*{ Assemblée des évêques du Québec 1984 } Les*socio=nil femmes*socio=ac26 et l'emploi*socio=ec4 égales*socio=uv7. A l'occasion*socio=rien du Premier mai*socio=rien, comme évêques*socio=ac9, nous voulons redire tout l'intérêt*socio=rien que nous portons aux travailleurs*socio=ac2 et travailleuses*socio=ac2. Nous désirons cette année*socio=te3 reconnaître plus particulièrement le droit*socio=uv8 des femmes*socio=ac26 d'exercer un travail*socio=ec4 qui leur permette d'assurer adéquatement leur autonomie*socio=uv4 financière*socio=ec0, de participer au développement*socio=uv32 collectif*socio=ac22 et de se réaliser humainement, . Il est nécessaire*socio=rien de rappeler que pour les femmes*socio=ac26 le travail*socio=ec4 comprend de multiples tâches*socio=rien qui débordent largement le cadre*socio=rien des emplois*socio=ec4 rémunérés. En effet*socio=rien, qu'elles occupent un emploi*socio=ec4 ou non, la responsabilité*socio=uv28 du travail*socio=ec4 domestique*socio=et10 repose d'abord*socio=rien sur elles. Les femmes*socio=ac26 qui travaillent à la maison*socio=et10 sont aussi celles qui font le plus de travail*socio=uv23 bénévole*socio=uv17 dans les organismes*socio=ac18 communautaires*socio=ac22. Elles accomplissent ainsi une série de taches nécessaires*socio=rien à la vie*socio=rien en société*socio=ac22 mais qui ne sont pas comptabilisées dans le *socio=rien produit_national_brut*socio=ec0 (*socio=nil PNB*socio=ec0)*socio=nil .*socio=nil *socio=nil A l'échelle*socio=rien mondiale*socio=te9, on estime*socio=rien que les femmes*socio=ac26 fournissent les 2/3 des heures*socio=rien de travail*socio=ec4 tout en ne recevant que 10% des revenus*socio=ec0. Toutefois dans le cadre*socio=rien de ce *socio=rien court message,*socio=nil *socio=nil nous nous limitons volontairement à la situation*socio=et9 des femmes*socio=ac26 en emploi*socio=ec4 . Quelques éléments*socio=rien de la situation*socio=et9. La présence*socio=rien des femmes*socio=ac26 sur le "marché_du_travail*socio=ec4" est de plus en plus importante*socio=rien. En effet*socio=rien, 46% des femmes*socio=ac26 occupent actuellement un emploi*socio=ec4. Elles forment ainsi 40% de l'ensemble*socio=rien de la population*socio=ac22 dite active*socio=ec4 du Québec*socio=te10, comparativement à 28% en 1963. Il est à prévoir que leur nombre*socio=rien continuera d'augmenter sous la pression*socio=et9 de *socio=rien divers facteurs sociaux*socio=ac22.*socio=nil *socio=nil Pourtant, toutes les *socio=rien études récentes *socio=nil montrent que les femmes*socio=ac26 sont moins bien traitées que les hommes*socio=ac26 dans l'emploi*socio=ec4. En 1983, les femmes*socio=ac26 ne gagnaient que 51% du salaire*socio=ec4 moyen*socio=rien des hommes*socio=ac26. La pauvreté*socio=uv14a est le lot*socio=rien de 60% des femmes*socio=ac26 âgées*socio=ac25 qui vivent seules*socio=rien. De plus, elles sont nombreuses*socio=rien à travailler au noir dans des *socio=rien conditions pénibles et*socio=nil injustes*socio=uv6.*socio=nil *socio=nil Il apparait donc clairement que malgré leur présence*socio=rien plus grande*socio=rien dans le domaine*socio=rien de l'emploi*socio=ec4, les femmes*socio=ac26 sont loin d'y être traitées avec justice*socio=uv6 et équité*socio=uv6. Plusieurs initiatives*socio=uv31 sociales*socio=ac22 sont nécessaires*socio=rien pour leur permettre d'être égales*socio=uv7 dans l'emploi*socio=ec4. Nous insistons ici sur quatre points*socio=rien plus urgents*socio=rien qui font l'objet*socio=rien du débat*socio=et9 social*socio=ac22: l'égalité*socio=uv7 en emploi*socio=ec4, le travail*socio=rien à temps_partiel*socio=ec4, l'accès*socio=uv7 a la syndicalisation*socio=ac7 et la révolution*socio=uv32 technologique*socio=ec5. Quelques *socio=rien actions urgentes.*socio=nil *socio=nil Dans le contexte*socio=et9 de chômage*socio=ec4 élevé*socio=rien que nous connaissons, l'accès*socio=uv7 des femmes*socio=ac26 à l'emploi*socio=ec4 est particulièrement difficile*socio=rien. D'une part*socio=rien, dans nos sociétés*socio=ac22 industrielles*socio=ec2, les femmes*socio=ac26 ont servi de main-d'_oeuvre*socio=ac2 d'appoint*socio=rien. On a *socio=rien fait appel *socio=nil a elles au cours*socio=rien de *socio=rien certaines périodes de*socio=nil pénurie*socio=et9 de*socio=nil main-d'_oeuvre*socio=ac2,*socio=nil *socio=nil leur fermant ensuite les portes. Le plus souvent, elles ont été confinées a certains secteurs*socio=ec1 d'emplois*socio=ec4 dits féminins*socio=ac26. D'autre part*socio=rien, un certain nombre*socio=rien d'entre elles veulent revenir sur le marché_du_travail*socio=ec4 après*socio=rien avoir consacré une partie*socio=rien de leur vie*socio=rien à éduquer leurs enfants*socio=et10. Elles ont alors accès*socio=uv7 à des emplois*socio=ec4 temporaires*socio=rien et de seconde zone*socio=rien lorsqu'elles arrivent à en trouver. On ne reconnaît pas dans les faits*socio=rien le droit*socio=uv8 des femmes*socio=ac26 à l'emploi*socio=ec4. Dans certains milieux*socio=rien, on élabore des programmes*socio=et0a d'accès*socio=uv7 à l'égalité*socio=uv7 destinés à corriger des situations*socio=et9 discriminatoires*socio=uv6 et a permettre aux femmes*socio=ac26 d'être présentes*socio=rien dans toutes les sphères*socio=rien de l'activité*socio=rien humaine*socio=uv13. Bien que les modalités*socio=rien d'application*socio=rien de ces programmes*socio=et0a ne soient pas encore connues, nous encourageons le développement*socio=uv32 de projets*socio=rien qui répondent à ces objectifs*socio=rien. Néanmoins, il nous semble qu'une politique*socio=et0a de plein_ emploi*socio=ec4 est *socio=rien seule capable *socio=nil de garantir la reconnaissance*socio=rien et l'exercice*socio=rien du droit*socio=uv8 des femmes*socio=ac26 à l'emploi*socio=ec4. Sans une telle politique*socio=et0a, il demeure illusoire*socio=rien d'atteindre l'égalité*socio=uv7 en emploi*socio=ec4 pour les femmes*socio=ac26. Le travail*socio=rien à temps_partiel*socio=ec4 est une réalité*socio=rien de plus en plus importante*socio=rien dans le monde*socio=rien du travail*socio=ec4. Cette situation*socio=et9 semble s'être installée pour longtemps. Depuis quelques années*socio=te2, il s'est créé plus d'emplois*socio=ec4 à temps_partiel*socio=ec4 que d'emplois*socio=ec4 à plein_temps*socio=ec4. Ils requièrent généralement peu de qualifications*socio=ec4 sauf, par exemple*socio=rien, pour le personnel*socio=ac2 de l'enseignement*socio=et6 et des services*socio=rien de santé*socio=et6. Ils ne sont régis que par la Loi*socio=et7 des normes*socio=et7 minimales*socio=rien de travail*socio=ec4 qui n'a d'ailleurs*socio=rien pas été conçue pour ce type d'emploi*socio=ec4. De plus, ces emplois*socio=ec4 se retrouvent surtout dans des secteurs*socio=ec1 faiblement syndiqués*socio=ac7. Or 70% des travailleurs*socio=ac2 à temps_partiel*socio=ec4 sont des femmes*socio=ac26. Le fait*socio=rien que certaines*socio=rien femmes*socio=ac26 préfèrent exercer un travail*socio=rien à temps_partiel*socio=ec4 ne saurait justifier que des conditions_de_travail*socio=ec4 inférieures*socio=rien leur soient imposées et qu'on leur refuse les avantages_sociaux*socio=ec4 ordinairement offerts*socio=rien. Plusieurs organismes*socio=ac18 ont recommandé de fournir des conditions_de_travail*socio=ec4 égales*socio=uv7 et des avantages_sociaux*socio=ec4 proportionnels*socio=rien au temps*socio=rien travaillé. Il est nécessaire*socio=rien de mettre en oeuvre*socio=rien des solutions*socio=rien en ce sens*socio=rien tout en maintenant l'accès*socio=uv7 des femmes*socio=ac26 au travail*socio=rien à temps_plein*socio=ec4. Les femmes*socio=ac26 se retrouvent surtout dans les secteurs*socio=ec1 d'emplois*socio=ec4 les moins syndiqués*socio=ac7. Le travail*socio=ec4 de bureau*socio=ec1, la vente*socio=ec3 et les services*socio=ec1 regroupent 56% des travailleuses*socio=ac2 québécoises*socio=ac23. Secrétaires*socio=ac3, vendeuses*socio=ac3, serveuses*socio=ac3, elles travaillent dans de petites*socio=rien et moyennes*socio=rien entreprises*socio=ac6. Dispersées dans de multiples lieux*socio=rien de travail*socio=ec4, elles ont peu accès*socio=uv7 à la syndicalisation*socio=ac7. Pourtant, c'est un outil*socio=rien non négligeable*socio=rien pour que les travailleuses*socio=ac2 obtiennent des conditions_de_travail*socio=ec4 décentes*socio=uv14a. Les formules*socio=rien d'accréditation*socio=ac7 multi-patronale doivent être étudiées sérieusement pour permettre aux femmes*socio=ac26 de recourir aux syndicats*socio=ac7 pour défendre leurs droits*socio=uv8. Par ailleurs*socio=rien, la participation*socio=rien des femmes*socio=ac26 à la vie*socio=rien syndicale*socio=ac7 est difficile*socio=rien. Ajoute à l'emploi*socio=ec4 et au travail*socio=ec4 domestique*socio=et10, l'engagement*socio=rien syndical*socio=ac7 les place*socio=rien en situation*socio=et9 de vivre*socio=rien ce qu'on appelle la triple journée*socio=rien. Des aménagements*socio=rien s'imposent dans la vie*socio=rien familiale*socio=et10 par un partage*socio=uv17 équilibre*socio=rien des taches domestiques*socio=et10 entre les conjoints*socio=et10 et avec les enfants*socio=et10. D'autre part*socio=rien, de *socio=rien nouveaux mécanismes de*socio=nil participation *socio=nil et de négociation*socio=et9 peuvent être mis en place*socio=rien afin de rendre la vie*socio=rien syndicale*socio=ac7 plus accessible*socio=uv7 aux femmes*socio=ac26. Les changements*socio=uv32 technologiques*socio=ec5 sont en train*socio=rien de transformer considérablement le monde*socio=rien du travail*socio=ec4. Ces *socio=rien nouveaux outils *socio=nil modifient la vision*socio=rien même du travail*socio=ec4 humain*socio=uv13. Les applications*socio=rien des nouvelles*socio=rien technologies*socio=ec5 se multiplient rapidement dans le secteur*socio=rien tertiaire*socio=ec1 où les femmes*socio=ac26 se retrouvent a 80%. Il est à craindre que des femmes*socio=ac26 perdent leur emploi*socio=ec4 ou soient reléguées à des taches plus machinales*socio=rien et moins bien rémunérées. L'accroissement*socio=rien des écarts*socio=rien entre les hommes*socio=ac26 et les femmes*socio=ac26 en regard*socio=rien de la qualification*socio=ec4, les *socio=rien faibles possibilités de*socio=nil formation*socio=ec4 en*socio=nil cours d'*socio=nil emploi*socio=ec4,*socio=nil l'*socio=nil intensification des*socio=nil contrôles*socio=uv18 *socio=nil et la rétrogradation*socio=rien voire le chômage*socio=ec4, sont des phénomènes*socio=rien déjà repérables*socio=rien. C'est au plan*socio=rien de la formation*socio=ec4 et du perfectionnement*socio=ec4 qu'il faut agir pour réduire l'impact*socio=rien négatif*socio=rien de l'introduction*socio=rien des nouvelles*socio=rien technologies*socio=ec5. Il faut ouvrir des *socio=rien perspectives neuves aux*socio=nil jeunes*socio=ac25 étudiantes*socio=ac28 *socio=nil qui continuent encore de s'intéresser majoritairement a des métiers*socio=ec4 et des secteurs*socio=ec1 sans débouché*socio=rien. Des programmes*socio=et0a de formation*socio=ec4 en cours*socio=rien d'emploi*socio=ec4 sont nécessaires*socio=rien pour permettre aux travailleuses*socio=ac2 de s'adapter au nouveau*socio=rien contexte*socio=et9 de travail*socio=ec4. De plus, des ressources*socio=ec0 doivent être mises en oeuvre*socio=rien pour favoriser le recyclage*socio=ec4 de celles qui reviennent au marché_du_travail*socio=ec4 après*socio=rien une absence*socio=rien plus ou moins prolongée. Les *socio=ac2 travailleuses salariées en*socio=nil Église*socio=ac21.*socio=nil *socio=nil Un autre domaine*socio=rien nous préoccupe particulièrement comme évêques*socio=ac9. Les diocèses*socio=te6, les paroisses*socio=te6 et la divers*socio=rien organismes*socio=ac18 d'Église*socio=ac21 emploient des personnes*socio=ac28 qui assurent l'efficacité*socio=uv29 des *socio=rien nombreuses activités ecclésiales*socio=ac21.*socio=nil *socio=nil Il s'y trouve des employées*socio=ac2 de bureau*socio=ec1, des aide-ménager, animatrices, quelques administratrices*socio=ac1 et responsable*socio=ac9 de secteurs*socio=rien pastoraux*socio=uv2. Ces femmes*socio=ac26 vivent une situation*socio=et9 semblable*socio=rien à celle que nous venons de décrire pour les travailleuses*socio=ac2 des autres sphères*socio=rien de la société*socio=ac22. Et nous devons admettre qu'en plus, elles portent quotidiennement le poids*socio=rien d'une institution*socio=ac21 qui véhicule encore souvent une vision*socio=rien des femmes*socio=ac26 qui est loin d'être à la hauteur*socio=rien de leurs capacités*socio=rien et de leurs aspirations*socio=rien. Comme le rappelait, monseigneur_louis-albert_vachon*socio=ac29, au nom*socio=rien de la conférence_des_évêques_catholiques_du_canada*socio=ac21, lors du *socio=rien récent Synode la*socio=nil réconciliation:*socio=nil *socio=nil "La reconnaissance*socio=rien en Église*socio=ac21 de notre *socio=rien propre déformation culturelle*socio=et8 *socio=nil nous permettra de dépasser les *socio=rien concepts archaïques *socio=nil de la femme*socio=ac26 tels qu'ils nous furent inculqués pendant des siècles*socio=rien » . Porteuse*socio=rien d'une longue*socio=rien tradition*socio=uv1 prophétique*socio=rien l'Église*socio=ac21 n'a pas a craindre d'amorcer les changement*socio=uv32 qui s'imposent sur son *socio=rien propre terrain.*socio=nil *socio=nil En ce sens*socio=rien, nous voulons rappeler une recommandation*socio=rien des évêques*socio=ac9 canadiens*socio=ac23 lors de ce même Synode*socio=rien et l'appliquer à cette question*socio=rien des *socio=ac2 travailleuses salariées en*socio=nil Église*socio=ac21:*socio=nil *socio=nil que « les communautés*socio=ac22 ecclésiales*socio=ac21, familiales*socio=et10, professionnelles*socio=ec4, régionales*socio=te6, diocésaines ou autre... mettent en place*socio=rien des structures*socio=rien de dialogue*socio=et9 qui soient des lieux*socio=rien de *socio=rien reconnaissance mutuelle *socio=nil et de mise en *socio=rien oeuvre effective de*socio=nil nouveaux rapports d'*socio=nil égalité*socio=uv7 «*socio=nil hommes*socio=ac26 et*socio=nil femmes*socio=ac26 *socio=nil » dans l'Église*socio=ac21 ». Nous n'avons abordé que quelques aspects*socio=rien dans cette *socio=rien courte réflexion.*socio=nil La*socio=nil reconnaissance sociale*socio=ac22 du*socio=nil travail*socio=ec4 ménager*socio=et10,*socio=nil la*socio=nil modification*socio=uv32 des*socio=nil politiques*socio=et0a fiscales*socio=et3,*socio=nil la*socio=nil réduction du*socio=nil temps de*socio=nil travail*socio=ec4,*socio=nil l'*socio=nil accès*socio=uv7 aux*socio=nil régimes*socio=et0a de*socio=nil pension*socio=ec4,*socio=nil l'*socio=nil implantation de*socio=nil garderies*socio=et6a *socio=nil sont quelques-unes des principales revendications*socio=et9 des femmes*socio=ac26. Elles ont aussi une *socio=rien grande importance *socio=nil pour assurer l'égalité*socio=uv7 des femmes*socio=ac26. Nous nous contentons pour l'instant de retenir deux *socio=rien défis importants *socio=nil à relever: le développement*socio=uv32 d'une politique*socio=et0a de plein_emploi*socio=ec4 et la recherche*socio=rien de *socio=rien nouveaux rapports «*socio=nil hommes*socio=ac26 et*socio=nil femmes*socio=ac26 *socio=nil », en particulier*socio=rien dans le partage*socio=rien du travail*socio=ec4 domestique*socio=et10. Comme l'a démonté le Pape*socio=rien jean-paul_ii*socio=ac29 dans sa lettre*socio=rien encyclique*socio=ac21 sur le travail*socio=ec4, « le travail*socio=ec4 humain*socio=uv13 est une clé*socio=rien, probablement la *socio=rien clé essentielle *socio=nil de toute la question*socio=rien sociale*socio=et6 ». Ainsi la question*socio=rien du travail*socio=ec4 des femmes*socio=ac26 est-elle centrale*socio=rien pour la promotion*socio=et8 de l'égalité*socio=uv7 entre les hommes*socio=ac26 et les femmes*socio=ac26 dans notre société*socio=ac22. La *socio=rien reconnaissance effective du*socio=nil droit*socio=uv8 des*socio=nil femmes*socio=ac26 au*socio=nil travail*socio=ec4 *socio=nil demeure un enjeu*socio=rien majeur pour l'avenir*socio=te4 immédiat*socio=rien. Il en va de la dignité*socio=uv25 des femmes*socio=ac26 et de notre sens*socio=rien de la justice*socio=uv6 sociale*socio=ac22.