*{Rapport annuel de la Banque mondiale, 1970 } PREMIERE_PARTIE*socio=rien:*socio=nil ACTIVITÉS*socio=rien AU*socio=nil COURS*socio=rien *socio=nil DE L'EXERCICE*socio=rien . Le groupe_de_la_banque_mondiale*socio=ac a une fois*socio=rien de plus, pendant l'exercice*socio=rien 1970, fortement augmenté le volume*socio=rien et la gamme*socio=rien de ses activités*socio=rien . Chacune des trois institutions*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac a approuvé des engagements*socio=ec en *socio=rien faveur du développement_économique*socio=ec,*socio=nil *socio=nil dont le montant*socio=ec était sensiblement plus élevé*socio=rien qu'au cours*socio=rien de n'importe quel autre *socio=rien exercice précédent,*socio=nil *socio=nil - le total*socio=rien pour les trois institutions*socio=ac s'est*socio=rien élevé*socio=rien à 2 297,8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pendant l'exercice*socio=rien qui a pris fin*socio=rien le 30 juin*socio=rien 1970, ce qui représente une augmentation*socio=uv de 22% par rapport*socio=rien au total*socio=rien de l'exercice*socio=rien antérieur*socio=te (qui lui-même avait atteint un*socio=rien chiffre sans précédent*socio=rien ), et de plus de 100% par rapport*socio=rien à la moyenne*socio=rien des *socio=rien cinq années *socio=nil 1964-1968. En outre, la Banque*socio=ac a, pour la *socio=rien deuxième fois,*socio=nil *socio=nil prêté 100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à sa filiale*socio=ac la société_financière_internationale*socio=ac (SFI*socio=ac - voir ci-après). Les nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec et crédits*socio=ec qui ont été*socio=rien consentis pendant l'exercice*socio=rien 1970 par la Banque*socio=ac elle-même et sa filiale*socio=ac, l' association_internationale_de_développement*socio=ac (IDA*socio=ac) ont atteint au total*socio=rien 2 186 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, non compris le prêt*socio=ec de la Banque*socio=ac à la SFI*socio=ac, Ce sont les engagements*socio=ec pris en *socio=rien faveur du développement*socio=uv *socio=nil de l'agriculture*socio=ec et des projets*socio=rien d'infrastructure*socio=ec qui ont particulièrement augmenté pendant l'exercice*socio=rien ,- *socio=rien du point de*socio=nil vue géographique*socio=te,*socio=nil les*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil accordés aux pays_en_voie_de_développement*socio=ac de l'Hémisphère_occidental*socio=te et d'Afrique*socio=ac se sont sensiblement accrus. Sur*socio=rien le total*socio=rien des engagements*socio=ec des deux institutions*socio=ac les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac ont représenté 1 580,4 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, le solde*socio=ec, soit 605,6 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, a pris la forme*socio=rien de crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac. Les crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac (qui ne portent pas intérêt*socio=ec et ne sont assortis que d'une commission*socio=ac de 0,75% par an*socio=rien ) fournissent aux pays_membres*socio=ac de l'Association*socio=ac les plus *socio=rien nécessiteux un complément aux*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac ou les remplacent,- le taux_d'_intérêt*socio=ec de ces prêts*socio=ec *socio=rien est passé *socio=nil de 6,5% à 7% pendant l'exercice*socio=rien 1970. Des négociations*socio=uv ont été*socio=rien entamées pendant l'exercice*socio=rien en vue*socio=rien d'une *socio=rien troisième reconstitution générale des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil de l'IDA*socio=ac. Ces négociations*socio=uv ont été*socio=rien menées à *socio=rien bonne fin peu*socio=nil après *socio=nil la clôture de l'exercice*socio=rien . Les dix-huit pays_membres*socio=ac de la *socio=rien Première Partie (*socio=nil *socio=ac pays donateurs)*socio=nil *socio=nil ainsi que trois nations*socio=te membres*socio=rien de la *socio=rien Deuxième Partie et*socio=nil un État*socio=ac non*socio=nil membre *socio=nil ont consenti à une *socio=rien reconstitution grâce *socio=nil à laquelle l'IDA*socio=ac disposerait pendant trois ans*socio=rien , à partir des *socio=rien derniers mois *socio=nil de l'année*socio=rien 1971, d'un*socio=rien peu plus de 800 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de *socio=ec capitaux frais par*socio=nil an*socio=rien *socio=nil . Des accords*socio=et sont aussi intervenus au *socio=rien sujet du nombre de*socio=nil voix *socio=nil dont disposent certains pays*socio=ac. De plus *socio=rien amples détails *socio=nil à ce sujet*socio=rien figurent à la page*socio=rien 44 *socio=rien du présent Rapport.*socio=nil Le*socio=nil troisième membre du groupe_de_la_banque*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil SFI*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui a pour fonction*socio=rien d'apporter une aide_financière*socio=et aux entreprises_privées*socio=ec productives*socio=uv dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac, a fait*socio=rien des investissements*socio=ec d'un*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de 111,8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1970. Les activités*socio=rien de la Société*socio=ac sont montées en flèche depuis deux ans*socio=rien et c'est*socio=rien pourquoi la Banque*socio=ac, afin de garantir à la SFI*socio=ac des ressources*socio=ec suffisantes*socio=rien pour accroître encore ses opérations*socio=rien , lui a prêté 200 millions*socio=rien de dollars*socio=ec Pendant l'exercice*socio=rien , ce prêt*socio=ec incorporant et remplaçant un*socio=rien prêt*socio=ec de 100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec qui lui avait *socio=rien été fait *socio=nil en 1966. Les opérations*socio=rien financières*socio=ec de la SFI*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien 1970 sont résumées à la page*socio=rien 27 *socio=rien du présent Rapport,*socio=nil *socio=nil mais les détails*socio=rien des travaux*socio=rien de la Société*socio=ac figurent dans son *socio=rien propre Rapport annuel.*socio=nil Ce*socio=nil nouvel accroissement*socio=ec *socio=nil de l'aide*socio=uv du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac à ses pays_membres*socio=ac en voie*socio=rien de développement*socio=uv pendant l'exercice*socio=rien a coïncidé avec la publication*socio=et d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil études *socio=nil de l'effort*socio=uv de développement*socio=uv, exécutées à l'initiative*socio=rien aussi bien*socio=rien de gouvernements*socio=ac que d'institutions*socio=ac multilatérales*socio=te. Pour sa part*socio=rien , la Banque*socio=ac a fait*socio=rien exécuter une étude*socio=ac de ce genre*socio=rien (il s'agit du*socio=rien "Rapport*socio=rien Pearson", voir pages*socio=rien 35 et 36). Ces réévaluations de l'effort*socio=uv fait*socio=rien par le passé*socio=rien ont abouti à des conclusions*socio=rien convergentes, à savoir*socio=rien que, si des succès*socio=uv non négligeables*socio=rien ont été*socio=rien obtenus par le passé*socio=rien , il faudra dans l'avenir*socio=te que les institutions_internationales*socio=et aussi bien*socio=rien que chaque pays*socio=ac développé*socio=rien ou en voie*socio=rien de développement*socio=uv intensifient encore leurs efforts*socio=uv et les coordonnent davantage. Les difficultés*socio=rien et les tâches*socio=rien qui confrontent le monde_en_voie_de_développement*socio=te apparaissent plus nettement et il devient donc possible*socio=rien , pour y faire face*socio=rien , d'élaborer et d'exécuter de nouvelles*socio=rien stratégies*socio=et où le problème*socio=uv est*socio=rien abordé dans son ensemble*socio=rien . Le groupe_de_la_banque*socio=ac pour sa part*socio=rien se rend nettement compte*socio=rien qu'il lui faut intensifier ses activités*socio=rien dans le *socio=rien domaine du développement_économique*socio=ec aussi*socio=nil bien *socio=nil que pour ce qui est*socio=rien de la qualité*socio=rien que du'volume*socio=rien ; des *socio=rien mesures vigoureuses ont*socio=nil été prises *socio=nil à cette fin*socio=rien pendant l'exercice*socio=rien examiné et la Banque*socio=ac a, pour ce faire, tiré parti*socio=et de l'expérience*socio=uv qu'elle a acquise*socio=rien et des évaluations*socio=uv générales*socio=rien que d'autres ont faites. Le développement*socio=uv dans le monde*socio=te a été*socio=rien marqué pendant l'année*socio=rien par *socio=rien un certain nombre de*socio=nil *socio=uv progrès encourageants.*socio=nil La*socio=nil croissance_économique*socio=ec des*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=ac *socio=nil dans leur ensemble*socio=rien s'est*socio=rien poursuivie et s'est*socio=rien traduite en 1969 par une augmentation*socio=uv de 6,7% du*socio=rien produit_intérieur_brut*socio=ec global*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=ac, Au cours*socio=rien de cette année*socio=rien les exportations*socio=ec de ces pays*socio=ac se sont accrues de 9%, grâce*socio=rien en partie*socio=rien à une *socio=rien accélération continue des*socio=nil échanges*socio=ec mondiaux*socio=te *socio=nil et à une hausse*socio=rien des prix*socio=ec d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil produits de*socio=nil base.*socio=nil *socio=nil La mise en place*socio=rien ou la modernisation*socio=ec de l'infrastructure*socio=ec de ces pays*socio=ac s'est*socio=rien poursuivie et on soit que c'est*socio=rien là une condition*socio=rien essentielle*socio=uv du*socio=rien développement*socio=uv futur*socio=rien aussi bien*socio=rien que de la satisfaction*socio=uv des besoins*socio=uv quotidiens*socio=rien . Plusieurs pays*socio=ac ont nettement augmenté leur *socio=ec production agricole *socio=nil et dans *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'entre eux l'industrialisation*socio=ec a beaucoup progressé. Comme les afflux de fonds*socio=ec extérieurs*socio=te vers les pays_en_voie_de_développement*socio=ac ont encore augmenté en 1969, il s'est*socio=rien créé dans ces pays*socio=ac de *socio=rien nouvelles sources d'*socio=nil emploi*socio=ec *socio=nil et de revenu*socio=ec pour leurs habitants*socio=ac. Les pays_en_voie_de_développement*socio=ac deviennent de plus en plus capables*socio=rien d'utiliser des *socio=ec capitaux frais,*socio=nil publics*socio=et et*socio=nil privés,*socio=nil *socio=nil car ils ont appris à mieux gérer et organiser leur économie*socio=ec et qu'en même temps*socio=rien les projets*socio=rien d'infrastructure*socio=ec qui avaient été*socio=rien mis en route*socio=rien les *socio=rien années précédentes *socio=nil ont commencé à porter leurs fruits*socio=rien . De ce fait*socio=rien , les résultats*socio=rien obtenus pendant l'exercice*socio=rien ont corroboré le jugement*socio=rien de la Commission*socio=ac Pearson et autres économistes*socio=ac selon lequel l'effort*socio=uv de développement*socio=uv s'est*socio=rien traduit par des progrès*socio=uv réels*socio=rien qui, pourvu que l'on applique des politiques*socio=et judicieuses*socio=uv, ne pourront que s'amplifier à l'avenir*socio=te. En même *socio=rien temps un certain nombre de*socio=nil contraintes*socio=uv fondamentales *socio=nil qui freinent encore la croissance_économique*socio=ec des pays_en_voie_de_développement*socio=ac, et qui n'ont pas sensiblement diminué pendant l'exercice*socio=rien soulignent la nécessité*socio=uv d'accroître les efforts*socio=uv aussi bien*socio=rien des *socio=ac pays fournisseurs *socio=nil de l'aide*socio=uv que des pays*socio=ac qui en bénéficient. Si l'industrie*socio=ec manufacturière*socio=ec prend de plus en plus d'importance*socio=rien dans quelques pays_membres*socio=ac de la Banque*socio=ac, la majorité*socio=rien d'entre eux restent tributaires*socio=rien de leurs exportations*socio=ec de *socio=rien produits primaires.*socio=nil *socio=nil Ils continuent d'ailleurs*socio=rien à éprouver des difficultés*socio=rien à prendre *socio=rien pied sur les*socio=nil marchés*socio=ec des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil (qui constituent des marchés*socio=ec de plus en plus vastes*socio=rien pour les exportations*socio=ec de l'ensemble*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=ac). Ces pays*socio=ac ont un*socio=rien *socio=uv besoin urgent de*socio=nil nouveaux*socio=rien projets_de_développement*socio=et prioritaires *socio=nil et de créer de *socio=rien nouvelles possibilités d'*socio=nil emploi*socio=ec *socio=nil et de revenu*socio=ec pour leurs citoyens*socio=et, et cela d'autant plus que dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, une croissance*socio=uv *socio=rien démographique élevée *socio=nil exerce des pressions*socio=uv accrues sur*socio=rien des ressources*socio=ec dont il y a déjà pénurie*socio=ec. Il est*socio=rien donc indispensable*socio=uv que ces pays*socio=ac parviennent davantage à mobiliser leurs ressources*socio=ec intérieures*socio=rien et que le volume*socio=rien et les conditions*socio=uv des flux*socio=ec de l' aide_extérieure*socio=te s'améliorent. Le service_de_la_dette*socio=et qui pose déjà de graves*socio=rien problèmes*socio=uv à plusieurs pays*socio=ac risque*socio=uv encore de s'alourdir pour nombre*socio=rien d'entre eux et l'analyse*socio=rien de la structure*socio=ec de la dette*socio=ec *socio=rien actuelle fait *socio=nil présager des *socio=rien effets inquiétants *socio=nil pour l'avenir*socio=te. C'est*socio=rien dans ce *socio=rien contexte général,*socio=nil *socio=nil où des progrès*socio=uv non négligeables*socio=rien ont certes été*socio=rien obtenus mais où *socio=rien un certain nombre de*socio=nil problèmes*socio=uv *socio=nil continuent à se poser, que la banque_mondiale*socio=ac a consolidé et élargi sa contribution*socio=uv à l'effort*socio=uv de développement_économique*socio=ec du*socio=rien monde*socio=te pendant l'exercice*socio=rien étudié. La Banque*socio=ac a tout lieu*socio=rien de penser que ses activités*socio=rien augmenteront encore pendant les années*socio=rien à venir, en coopération*socio=uv avec ses pays_membres*socio=ac en voie*socio=rien de développement*socio=uv et grâce*socio=rien aux efforts*socio=uv d'aide_au_développement*socio=uv que font les pays_industrialisés*socio=ac et les autres organisations_internationales*socio=ac. Financement*socio=ec des services_publics*socio=et. Depuis le début*socio=rien des *socio=rien opérations du groupe_de_la_banque*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil financement*socio=ec de*socio=nil projets *socio=nil destinés à améliorer et moderniser l'infrastructure*socio=ec des services_publics*socio=et des pays*socio=ac (réseaux*socio=rien de transports*socio=ec, production*socio=ec d'électricité*socio=ec, télécommunications*socio=rien , système*socio=rien d'égouts*socio=rien et d'adduction d'eau*socio=ec) a toujours été*socio=rien la partie*socio=rien la plus importante*socio=rien des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec. Une infrastructure*socio=ec *socio=rien suffisante est la*socio=nil condition sine *socio=nil qua non du*socio=rien succès*socio=uv des mesures*socio=rien que l'on prend pour développer l'agriculture*socio=ec et l'industrie*socio=ec - il reste*socio=rien donc essentiel*socio=uv, si l'on veut atteindre les *socio=rien objectifs du développement*socio=uv général du pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil que l'on continue*socio=rien à prévoir la modernisation*socio=ec de cette infrastructure*socio=ec, compte*socio=rien tenu dans chaque cas*socio=rien de l'aptitude*socio=rien du*socio=rien pays*socio=ac à l'utiliser rentablement. Le groupe_de_la_banque*socio=ac n'ignore pas néanmoins que les projets*socio=rien d'infrastructure*socio=ec dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac aussi bien*socio=rien que dans les pays_industrialisés*socio=ac peuvent avoir des *socio=rien effets néfastes sur le*socio=nil milieu *socio=nil ambiant. Il veille de plus en plus à ce qu'il soit bien*socio=rien tenu compte*socio=rien des effets*socio=rien écologiques*socio=et des projets*socio=rien qu'il finance*socio=ec lors*socio=rien de l'évaluation*socio=uv de leurs coûts*socio=ec et *socio=rien avantages potentiels.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien examiné, les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac et de l'IDA*socio=ac pour les services_publics*socio=et ont atteint 1 315, 1 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ce qui représente une augmentation*socio=uv notable*socio=rien par rapport*socio=rien au chiffre de 1969, qui constituait déjà *socio=rien un record.*socio=nil Le*socio=nil total *socio=nil cumulé des capitaux*socio=ec prêtés par la Banque*socio=ac et l'IDA*socio=ac pour les services_publics*socio=et dépasse maintenant 10 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec et représente environ 60% de l'ensemble*socio=rien des prêts*socio=ec et crédits*socio=ec consentis par les deux institutions*socio=ac jusqu'à aujourd'hui. Dans ce secteur*socio=ec comme dans d'autres, la Banque*socio=ac et l'IDA*socio=ac savent que la fourniture*socio=rien d'assistance_technique*socio=et et une aide*socio=uv à la création*socio=rien de services*socio=ec administratifs*socio=et adéquats*socio=rien sont souvent d'une nécessité*socio=uv au moins aussi urgente*socio=uv que la mise en place*socio=rien de l'infrastructure*socio=ec matérielle*socio=rien . Dans de nombreux*socio=rien prêts*socio=ec ou crédits*socio=ec consentis pendant l'exercice*socio=rien pour les services_publics*socio=et, il y avait une part*socio=rien réservée à l'assistance_technique*socio=et (voir ci-après, page*socio=rien 31 ) - mais en outre, quatre des six crédits*socio=ec consentis par l'IDA*socio=ac uniquement*socio=rien pour l'assistance_technique*socio=et étaient destinés aux études_techniques*socio=ec ou à la préparation*socio=rien de projet*socio=rien dans le secteur*socio=ec des services_publics*socio=et (voir ci-après page*socio=rien 31). La création*socio=rien ou le renforcement*socio=uv de services*socio=ec administratifs*socio=et dans le pays_membre*socio=ac pour la gestion*socio=et ou l'élaboration*socio=rien de stratégies*socio=et nationales*socio=te dans le domaine*socio=rien des services_publics*socio=et est*socio=rien resté un*socio=rien des *socio=rien objectifs majeurs *socio=nil de l'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac et de l'IDA*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien . Une partie*socio=rien des fonds*socio=ec fournis aux services_publics*socio=et sous forme*socio=rien de prêts*socio=ec ou de crédits*socio=ec, particulièrement pour les transports*socio=ec ou l'énergie*socio=ec électrique*socio=rien , était affectée à la formation*socio=et de personnel*socio=rien local*socio=te, à la création*socio=rien ou le renforcement*socio=uv de services*socio=ec de planification*socio=et dans les ministères*socio=ac ou, à la création*socio=rien de services*socio=ec de gestion*socio=et ou d'inspection*socio=et des projets*socio=rien . Financement*socio=ec de l'industrie*socio=ec. La Banque*socio=ac et 1'IDA*socio=ac aident au développement*socio=uv industriel*socio=ec de leurs pays_membres*socio=ac de deux façons*socio=rien : elles accordent des prêts*socio=ec et des crédits*socio=ec aux sociétés*socio=ac de financement*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv qui rétrocèdent ces fonds*socio=ec à des entreprises*socio=ac industrielles*socio=ec ou commerciales*socio=ec productives*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac, et elles viennent aussi en aide*socio=uv directement à l'industrie*socio=ec par l'octroi*socio=rien de fonds*socio=ec pour des projets*socio=rien industriels*socio=ac spécifiques*socio=rien . En outre, l'IDA*socio=ac a, dans des *socio=rien circonstances spéciales,*socio=nil *socio=nil accordé des crédits*socio=ec à deux gouvernements*socio=ac pour l'achat*socio=ec à l'étranger*socio=te des matières_premières*socio=ec et des pièces*socio=rien détachées indispensables*socio=uv au fonctionnement*socio=rien des certaines*socio=rien industries*socio=ec. Enfin, les investissements*socio=ec de la SFI*socio=ac dans les entreprises_privées*socio=ec productives*socio=uv du*socio=rien monde_en_voie_de_développement*socio=te entrent pour une *socio=rien part importante *socio=nil dans le total*socio=rien des capitaux*socio=ec que le groupe_de_la_banque*socio=ac octroie pour l'industrialisation*socio=ec des pays_membres*socio=ac. Avant de passer en revue les résultats*socio=rien obtenus pendant l'exercice*socio=rien dans chacune de ces catégories*socio=rien , il vaut la peine de noter que les prêts*socio=ec du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac pour des projets*socio=rien dans les secteurs*socio=ec de l'agriculture*socio=ec, de l'éducation*socio=et et des services_publics*socio=et contribuent à fournir à ses pays_membres*socio=ac certaines*socio=rien des bases*socio=rien indispensables*socio=uv à la croissance*socio=uv industrielle*socio=ec: une *socio=ec économie monétaire,*socio=nil une*socio=nil main-d'_oeuvre*socio=ac qualifiée *socio=nil et une infrastructure*socio=ec *socio=rien physique suffisante.*socio=nil *socio=nil De plus, en application*socio=rien de la politique*socio=et générale*socio=rien que la Banque*socio=ac a fixée pour l'achat*socio=ec des biens*socio=ec financés au moyen*socio=rien de ses prêts*socio=ec, les soumissions*socio=rien présentées par des fournisseurs*socio=ac *socio=rien locaux du *socio=ac pays emprunteur aux*socio=nil contrats*socio=ec des*socio=nil projets*socio=rien *socio=nil financés par la Banque*socio=ac peuvent bénéficier d'une marge de préférence*socio=et équivalente*socio=rien à 15% ou au *socio=rien taux effectif du tarif*socio=ec *socio=nil douanier si ce *socio=rien taux est inférieur.*socio=nil *socio=nil (Dans certains cas*socio=rien cette marge de préférence*socio=et peut être*socio=rien accordée aussi aux fournisseurs*socio=ac d'autres pays*socio=ac qui sont membres*socio=rien d'un*socio=rien groupement régional*socio=te auquel appartient le *socio=ac pays emprunteur)*socio=nil *socio=nil . Enfin, l'aide*socio=uv et les conseils*socio=ac techniques*socio=rien que le groupe_de_la_banque*socio=ac fournit à ses pays_membres*socio=ac contribuent à l'adoption*socio=et par ces pays*socio=ac d'une politique_économique*socio=et et à l'édification*socio=rien d'organismes*socio=ac qui permettront une industrialisation*socio=ec conçue rationnellement. De plus en plus nombreux*socio=rien sont les pays_membres*socio=ac de la Banque*socio=ac qui ont atteint le stade*socio=te où ils peuvent profiter de l'infrastructure*socio=ec, mise en place*socio=rien les années*socio=rien antérieures*socio=te, souvent avec l'aide*socio=uv du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac, pour développer encore leur économie*socio=ec dont la croissance*socio=uv industrielle*socio=ec sera le fer*socio=rien de lance. La Banque*socio=ac réexamine actuellement sa politique*socio=et de financement*socio=ec de l'industrie*socio=ec avec cet objectif*socio=rien en vue*socio=rien . L'aide_financière*socio=et globale*socio=rien que la Banque*socio=ac et l'IDA*socio=ac ont accordée à l'industrie*socio=ec pendant l'exercice*socio=rien 1970 s'est*socio=rien élevée*socio=rien au total*socio=rien à 367,5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Sur*socio=rien ce total*socio=rien , les prêts*socio=ec et crédits*socio=ec aux sociétés*socio=ac de financement*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv représentaient 216 millions*socio=rien de dollars*socio=ec et les engagements*socio=ec en faveur*socio=rien de projets*socio=rien industriels*socio=ac spécifiques*socio=rien 76,5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. En outre l'IDA*socio=ac a accordé un*socio=rien crédit*socio=ec de 75 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour l'importation*socio=ec de matières*socio=rien industrielles*socio=ec de base*socio=rien . Pendant l'exercice*socio=rien les investissements*socio=ec de la SFI*socio=ac dans des entreprises_privées*socio=ec productives*socio=uv des pays_en_voie_de_développement*socio=ac ont atteint au total*socio=rien 111,8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Comme les *socio=rien années précédentes les*socio=nil prêts*socio=ec et*socio=nil crédits*socio=ec *socio=nil qui sont allés aux sociétés*socio=ac de financement*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv ont absorbé la plus *socio=rien grande part du *socio=ec financement industriel du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac.*socio=nil Ces*socio=nil sociétés*socio=ac *socio=nil par leur *socio=rien rôle catalyseur *socio=nil peuvent contribuer à mobiliser les capitaux*socio=ec pour le développement*socio=uv de l'industrie*socio=ec et du*socio=rien commerce*socio=ec - leurs opérations*socio=rien consistent à fournir des prêts*socio=ec ou prendre des participations*socio=ec, à garantir des émissions*socio=rien de *socio=ec valeurs mobilières,*socio=nil *socio=nil à servir d'intermédiaire*socio=ec financier*socio=ec entre les hommes_d'_affaires*socio=ac du*socio=rien pays*socio=ac et ceux de l'étranger*socio=te et à fournir aux sociétés*socio=ac opérant dans le pays*socio=ac des conseils*socio=ac sur*socio=rien la manière*socio=rien de gérer leurs entreprises*socio=ac et des *socio=rien avis techniques.*socio=nil Les*socio=nil sociétés*socio=ac de*socio=nil financement*socio=ec du développement*socio=uv *socio=nil ont aussi une fonction*socio=rien institutionnelle*socio=ac utile*socio=uv dans la *socio=ec structure financière des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil en stimulant la création*socio=rien de marchés*socio=ec de capitaux*socio=ec. La Banque*socio=ac et l'IDA*socio=ac ont actuellement prêté *socio=rien un total cumulé*socio=nil supérieur à*socio=nil un milliard de*socio=nil dollars*socio=ec *socio=nil à une trentaine*socio=rien de sociétés*socio=ac de financement*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv dans les pays_membres*socio=ac. *socio=rien Un total *socio=nil de 216 millions*socio=rien de dollars*socio=ec octroyés par la Banque*socio=ac et 1'l DA pendant l'exercice*socio=rien 1970 a été*socio=rien versé à des sociétés*socio=ac de financement*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv dans douze pays*socio=ac. Dans le cas*socio=rien de quatre sociétés*socio=ac, au Brésil*socio=ac, au Pakistan*socio=ac, en République*socio=ac démocratique*socio=uv du*socio=rien Congo*socio=ac et à Singapour*socio=ac, il s'agissait des premiers*socio=rien prêts*socio=ec ou crédits*socio=ec du*socio=rien Groupe*socio=ac bien*socio=rien que des prêts*socio=ec eussent été*socio=rien accordés antérieurement à une autre société*socio=ac au Pakistan*socio=ac). Les huit autres sociétés*socio=ac qui ont bénéficié d'une aide*socio=uv pendant l'exercice*socio=rien dans les pays*socio=ac suivants*socio=rien , Ceylan*socio=ac, Grèce, Inde*socio=ac, Israël*socio=ac, Maroc*socio=ac, Philippines*socio=ac, République*socio=ac de Chine*socio=ac et Tunisie*socio=ac avaient toutes déjà reçu des capitaux*socio=ec du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac. Les prêts*socio=ec et crédits*socio=ec accordés pendant l'exercice*socio=rien 1970 ont dépassé tout ce qui avait été*socio=rien réalisé jusque là, aussi bien*socio=rien pour ce qui est*socio=rien de la valeur*socio=ec des engagements*socio=ec et *socio=rien du nombre des*socio=nil sociétés*socio=ac *socio=nil qui ont reçu de l'aide*socio=uv que *socio=rien du nombre de*socio=nil nouveaux pays*socio=ac *socio=nil ayant bénéficié de prêts*socio=ec et crédits*socio=ec. Le crédit*socio=ec de l'IDA*socio=ac de 5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à la Société*socio=ac Congolaise de Financement*socio=ec du*socio=rien Développement*socio=uv (SOCOFIDE) au Congo*socio=ac *socio=rien présente un intérêt_particulier*socio=ec.*socio=nil *socio=nil La SOCOFIDE *socio=rien est un nouveau type d'*socio=nil organisation*socio=ac *socio=nil pour le Congo*socio=ac,- elle a pour fonction*socio=rien de fournir des capitaux*socio=ec aux entreprises*socio=ac commerciales*socio=ec et industrielles*socio=ec productives*socio=uv et aussi de développer l' esprit_d'_entreprise*socio=uv au Congo*socio=ac. Le financement*socio=ec de cette nouvelle*socio=rien société*socio=ac est*socio=rien assuré non seulement par l'IDA*socio=ac mais aussi par la SFI*socio=ac, des investisseurs*socio=ac privés*socio=ec, l'État*socio=ac congolais et des établissements*socio=rien financiers*socio=ec de Belgique*socio=ac, des États-unis*socio=ac, de France*socio=ac, d'Italie*socio=ac, du*socio=rien Japon*socio=ac et de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac. Ce crédit*socio=ec est*socio=rien le quatrième*socio=rien engagement*socio=ec que la Banque*socio=ac ou l'IDA*socio=ac ait souscrit en faveur*socio=rien d'une Banque*socio=ac de développement*socio=uv dans l'Afrique*socio=ac au Sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=te. La Banque*socio=ac et l'IDA*socio=ac qui sont très désireuses d'étendre ce genre*socio=rien de financement*socio=ec dans cette région*socio=te, s'efforcent d'en trouver la possibilité*socio=rien , mais de nombreux*socio=rien *socio=ac pays africains *socio=nil ont encore besoin*socio=uv de beaucoup d'assistance_technique*socio=et pour mettre *socio=rien sur pied des*socio=nil sociétés*socio=ac de*socio=nil financement*socio=ec du développement*socio=uv *socio=nil qui soient viables*socio=uv et fonctionnent utilement*socio=rien . Le crédit*socio=ec de l'IDA*socio=ac d'un*socio=rien montant*socio=ec de 20 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour l'Industrial Development*socio=rien Bank*socio=ac of Pakistan*socio=ac (IDBP) est*socio=rien l'une des *socio=rien premières opérations *socio=nil de la Banque*socio=ac ou de HDA en faveur*socio=rien d'une banque*socio=ac de développement*socio=uv où l'État*socio=ac est*socio=rien majoritaire,- les deux institutions*socio=ac ont en effet*socio=rien modifié leur politique*socio=et à cet égard*socio=rien et ce genre*socio=rien de financement*socio=ec est*socio=rien maintenant autorisé, Ce crédit*socio=ec aidera l'IDBP à fournir des capitaux*socio=ec surtout aux moyennes*socio=rien entreprises*socio=ac, ses efforts*socio=uv étant essentiellement axés sur*socio=rien le développement*socio=uv industriel*socio=ec et commercial*socio=ec du*socio=rien Pakistan*socio=ac oriental qui, jusqu'à *socio=rien présent est *socio=nil resté une région*socio=te relativement pauvre*socio=uv si on la compare au Pakistan*socio=ac occidental*socio=te. Ce crédit*socio=ec complétera l'aide*socio=uv que le groupe_de_la_banque*socio=ac a fournie précédemment à la PICIC, autre *socio=rien source principale de*socio=nil capitaux*socio=ec de*socio=nil développement*socio=uv à*socio=nil long et*socio=nil moyen terme au*socio=nil Pakistan*socio=ac.*socio=nil L'*socio=nil État*socio=ac *socio=nil détient aussi la majorité*socio=rien des actions*socio=rien des deux autres entreprises*socio=ac aidées pendant l'exercice*socio=rien considéré qui n'avaient pas précédemment bénéficié de prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac ou de l'IDA*socio=ac. La Banco do Nordeste do Brasil, de développement_régional*socio=ec créée sous l'égide*socio=rien de l'État*socio=ac qui a été*socio=rien depuis sa création*socio=rien en 1952 l'un*socio=rien des principaux*socio=rien moteurs de l'aménagement*socio=rien *socio=rien du nord-est du pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil a reçu un*socio=rien prêt*socio=ec de 25 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Cet établissement*socio=rien opère en *socio=rien liaison étroite *socio=nil avec les organes*socio=et brésiliens de planification*socio=et chargés de moderniser l'infrastructure*socio=ec et de relever le niveau*socio=rien de la production*socio=ec dans cette région*socio=te. La quatrième*socio=rien institution*socio=ac nouvellement aidée par la Banque*socio=ac, qui lui a consenti pendant l'exercice*socio=rien un*socio=rien prêt*socio=ec de 5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, est*socio=rien la Development*socio=rien Bank*socio=ac of Singappore dont l'État*socio=ac détient 49% des actions*socio=rien . Créé il y a moins de deux ans*socio=rien , elle aura *socio=rien un rôle crucial *socio=nil à jouer dans le développement*socio=uv des industries*socio=ec axées sur*socio=rien l'exportation*socio=ec à Singapour*socio=ac et la mise en place*socio=rien d'une *socio=ec infrastructure commerciale urbaine*socio=te.*socio=nil *socio=nil Comme il a déjà été*socio=rien indiqué, la SFI*socio=ac a elle aussi participé au financement*socio=ec de la SOCOFIDE au Congo*socio=ac, souscrivant 800 000 dollars*socio=ec du*socio=rien capital*socio=ec de la Société*socio=ac. D'autres engagements*socio=ec pris par la SFI*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien en faveur*socio=rien de sociétés*socio=ac de financement*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv ont comporté une augmentation*socio=uv de 100 000 dollars*socio=ec de sa prise*socio=rien de participation*socio=uv dans une société*socio=ac colombienne; un*socio=rien prêt*socio=ec de 10 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à Adela, société*socio=ac *socio=ec financière privée *socio=nil dont les statuts*socio=rien l'autorisent à venir en aide*socio=uv aux sociétés*socio=ac dans tout l'Hémisphère_occidental*socio=te, exception*socio=rien faite du*socio=rien Canada*socio=ac et des États*socio=ac Unis (c'est*socio=rien la *socio=rien première fois *socio=nil que le Groupe*socio=ac aide*socio=uv une société_de_financement*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv opérant dans plus d'un*socio=rien pays*socio=ac) - une augmentation*socio=uv de 600 000 dollars*socio=ec de sa prise*socio=rien de participation*socio=uv dans une société_de_financement*socio=ac tunisienne; et un*socio=rien investissement*socio=ec de 2 millions*socio=rien de dollars*socio=ec dans une nouvelle*socio=rien société_de_financement*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv en Yougoslavie*socio=ac. Les opérations*socio=rien de la SFI*socio=ac dans ce secteur*socio=ec ont été*socio=rien de 13,5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec et ont porté le total*socio=rien des investissements*socio=ec dans des sociétés*socio=ac de financement*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv effectués par la Banque*socio=ac, l'IDA*socio=ac et la SFI*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien à 229,5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Le groupe_de_la_banque*socio=ac tient beaucoup à accroître encore son soutien*socio=uv aux Banques*socio=ac de développement*socio=uv, et cela à la fois*socio=rien par des prêts*socio=ec et par la fourniture*socio=rien d'assistance_technique*socio=et. Cette assistance*socio=et peut prendre des formes*socio=rien très variées*socio=rien - aide*socio=uv à la création*socio=rien d'institutions*socio=ac nouvelles*socio=rien , recrutement*socio=ec de personnel*socio=rien , solution*socio=rien des problèmes*socio=uv d'organisation*socio=rien et de gestion*socio=et, et formation*socio=et *socio=rien du personnel *socio=nil (qui peut se faire soit par le détachement*socio=rien de *socio=rien cadres supérieurs d'*socio=nil un pays*socio=ac au*socio=nil siège du Groupe*socio=ac à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil soit par l'envoi*socio=rien de *socio=rien membres du personnel *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac qui travaillent dans les bureaux*socio=rien de la banque*socio=ac de développement*socio=uv en cause*socio=rien ). Pour que les banques*socio=ac de développement*socio=uv fonctionnent efficacement, il ne suffit pas de leur fournir des capitaux*socio=ec - il est*socio=rien tout aussi important*socio=rien de leur apprendre à fixer ou améliorer leurs critères*socio=rien de prêt*socio=ec et de les aider à former *socio=rien un personnel compétent*socio=uv *socio=nil et à appliquer des *socio=rien techniques opérationnelles efficaces*socio=uv.*socio=nil C'*socio=nil est *socio=nil pourquoi l'aide*socio=uv que le groupe_de_la_banque*socio=ac apporte aux sociétés*socio=ac de financement*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv ne se limite*socio=rien pas à l'octroi*socio=rien de fonds*socio=ec ; le Groupe*socio=ac a l'intention*socio=rien d'accroître encore le temps*socio=rien qui est*socio=rien consacré à l'assistance_technique*socio=et fournie à ces institutions*socio=ac et d'étendre cette aide*socio=uv à de *socio=rien nouveaux établissements *socio=nil pendant les années*socio=rien à venir. Comme nous l'avons noté ci-dessus (page*socio=rien 24) la Banque*socio=ac et HDA fournissent également une aide_financière*socio=et directe*socio=rien à des projets*socio=rien industriels*socio=ac spécifiques*socio=rien dans les pays_membres*socio=ac. Pendant l'exercice*socio=rien 1970, quatre prêts*socio=ec ou crédits*socio=ec de ce genre*socio=rien , d'un*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de 76,5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ont été*socio=rien accordés à l'Indonésie*socio=ac, au Pakistan*socio=ac, à la République_dominicaine*socio=ac et à la Yougoslavie*socio=ac. L'engagement*socio=ec le plus important*socio=rien de cette catégorie*socio=rien a été*socio=rien l'octroi*socio=rien par Il DA d'un*socio=rien crédit*socio=ec de 30 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à l'Indonésie*socio=ac pour la production*socio=ec d'engrais*socio=rien - ce crédit*socio=ec aidera une fabrique d'engrais*socio=rien , dont la gestion*socio=et donne de *socio=rien bons résultats,*socio=nil *socio=nil à porter sa production*socio=ec de 100000 à 480000 t durée*socio=rien par an*socio=rien , ce qui contribuera à accroître la *socio=ec production agricole en*socio=nil Indonésie*socio=ac.*socio=nil Des*socio=nil arrangements*socio=et financiers complémentaires*socio=rien ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil conclus pour ce projet*socio=rien , d'autres fonds*socio=ec étant fournis par la Banque_asiatique_de_développement*socio=ac, les États-unis*socio=ac et le Japon*socio=ac. Le prêt*socio=ec de 25 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de la Banque*socio=ac à la République_dominicaine*socio=ac servira à une *socio=rien grande opération *socio=nil intégrée d'extraction*socio=rien et de *socio=rien traitement du *socio=nil minerai de nickel*socio=ec. Le prêt*socio=ec de la Banque*socio=ac sera utilisé pour financer les dépenses*socio=ec de construction*socio=ec d'une *socio=rien centrale thermique,*socio=nil *socio=nil y compris l'oléoduc qui acheminera le carburant*socio=rien de la côte*socio=rien jusqu'à l'emplacement*socio=rien *socio=rien du projet.*socio=nil Cette*socio=nil entreprise*socio=ac *socio=nil permettra d'exploiter une riche*socio=uv source*socio=rien de minerai et contribuera à diversifier l'activité*socio=rien économique*socio=ec du*socio=rien pays*socio=ac à qui elle rapportera d'importantes*socio=rien recettes*socio=ec en devises*socio=ec. (Un*socio=rien organisme*socio=ac du*socio=rien Gouvernement*socio=ac dominicain est*socio=rien actionnaire*socio=ac de la société*socio=ac qui a été*socio=rien créée pour exploiter le projet*socio=rien sous les auspices*socio=rien communs*socio=uv de sociétés*socio=ac du*socio=rien Canada*socio=ac et des États-unis*socio=ac). C'est*socio=rien la *socio=rien première opération du groupe_de_la_banque*socio=ac en*socio=nil République_dominicaine*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Les deux autres opérations*socio=rien de prêt*socio=ec de l'exercice*socio=rien ont *socio=rien été un prêt*socio=ec *socio=nil de 18,5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par la Banque*socio=ac à la Yougoslavie*socio=ac en faveur*socio=rien de l'industrie*socio=ec automobile*socio=ec et de ses entreprises*socio=ac auxiliaires ainsi que pour la production*socio=ec d'aciers spéciaux*socio=rien , et un*socio=rien crédit*socio=ec de l'IDA*socio=ac de 3 millions*socio=rien de dollars*socio=ec au Pakistan*socio=ac pour le développement*socio=uv de la petite*socio=rien industrie*socio=ec. *socio=rien Un nouveau Département*socio=ac des*socio=nil projets industriels*socio=ac a*socio=nil été *socio=nil créé à la Banque*socio=ac ; il est*socio=rien chargé des *socio=ec prêts directs aux*socio=nil entreprises*socio=ac industrielles.*socio=nil Ce*socio=nil Département*socio=ac *socio=nil a aussi pour fonction*socio=rien d'aider les pays_membres*socio=ac à élaborer leur politique*socio=et de développement*socio=uv industriel*socio=ec, d'exécuter des *socio=rien études sur le*socio=nil secteur*socio=ec *socio=nil de l'industrie*socio=ec, de fournir l'assistance_technique*socio=et nécessaire*socio=rien aux projets*socio=rien et de contribuer à l'organisation*socio=rien des services*socio=ec administratifs*socio=et si besoin*socio=uv est*socio=rien . Les activités*socio=rien de cette nature*socio=rien prennent une *socio=rien importance croissante *socio=nil dans l'aide*socio=uv *socio=rien globale du groupe_de_la_banque*socio=ac *socio=nil à ce secteur*socio=ec ainsi qu'à d'autres. Dans des circonstances*socio=rien particulières*socio=uv, des crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac ont été*socio=rien utilisés pour les importations*socio=ec de matières*socio=rien de base*socio=rien industrielles*socio=ec nécessaires*socio=rien à la production*socio=ec de biens*socio=ec d'équipement*socio=ec. Une opération*socio=rien de ce genre*socio=rien a été*socio=rien exécutée au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien , à savoir*socio=rien l'octroi*socio=rien par l'IDA*socio=ac d'un*socio=rien crédit*socio=ec de 75 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à l'Inde*socio=ac. Ce crédit*socio=ec, contribuera à fournir les devises*socio=ec dont ont besoin*socio=uv *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil industries*socio=ec *socio=nil dont les activités*socio=rien sont cruciale*socio=rien pour l'effort*socio=uv de développement*socio=uv de l'Inde*socio=ac et qu'elles utiliseront pour acheter à l'étranger*socio=te des matières_premières*socio=ec et certains éléments*socio=rien et pièces*socio=rien de rechange essentiels*socio=uv. Les industriels*socio=ac qui bénéficieront de ce crédit*socio=ec produisent des véhicules commerciaux*socio=ec, des tracteurs, des pièces*socio=rien de véhicules automobiles*socio=ec, des machines-outils, des outils*socio=rien pour le découpage*socio=rien , des *socio=rien petits instruments,*socio=nil *socio=nil des abrasifs, des moteurs électriques*socio=ec, des engrais*socio=rien et des produits*socio=rien antiparasitaires. On compte*socio=rien que la valeur*socio=ec de leur production*socio=ec globale*socio=rien dépassera *socio=rien un milliard de*socio=nil dollars*socio=ec *socio=nil en 1970-1971 et elles emploient environ 160 000 personnes*socio=rien . L'industrie*socio=ec joue *socio=rien un rôle *socio=nil de plus en plus grand*socio=rien dans l'économie*socio=ec de l'Inde*socio=ac, à la fois*socio=rien par sa contribution*socio=uv directe*socio=rien à l'emploi*socio=ec et au revenu*socio=ec et parce qu'elle fournit des biens*socio=ec fabriqués dans le pays*socio=ac à d'autres secteurs*socio=ec, notamment l'agriculture*socio=ec et les transports*socio=ec. Les investissements*socio=ec de la SFI*socio=ac entrent pour une *socio=rien forte part *socio=nil qui ne cesse de croître dans l'aide*socio=uv du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac à l'industrie*socio=ec. La SFI*socio=ac souscrit des engagements*socio=ec sous forme*socio=rien de prises*socio=rien de participations*socio=ec ou de prêts*socio=ec aux entreprises_privées*socio=ec productives*socio=uv des pays_en_voie_de_développement*socio=ac. Le total*socio=rien cumulé de ses investissements*socio=ec depuis 1956, année*socio=rien où elle fut fondée, a maintenant atteint 476,5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec - sur*socio=rien ce total*socio=rien 204,7 millions*socio=rien de dollars*socio=ec ont été*socio=rien fournis pendant les deux *socio=rien derniers exercices.*socio=nil L'*socio=nil importance des*socio=nil activités *socio=nil de la SFI*socio=ac ne peut néanmoins se mesurer uniquement*socio=rien par le volume*socio=rien de ses propres*socio=rien investissements*socio=ec,- en effet*socio=rien , les engagements*socio=ec qu'elle souscrit sont conçus de manière*socio=rien à amener les investisseurs*socio=ac de pays_industrialisés*socio=ac à participer aux projets*socio=rien qu'elle soutient. Actuellement le total*socio=rien de ces fonds*socio=ec, dont on peut dire qu'ils sont la contrepartie*socio=rien des investissements*socio=ec de la SFI*socio=ac, s'élève à 2 132,7 millions*socio=rien de dollars*socio=ec dont 772,5 millions*socio=rien fournis pendant les deux *socio=rien derniers exercices.*socio=nil Les*socio=nil capitaux*socio=ec *socio=nil engagés par la SFI*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1970 ont atteint le chiffre sans précédent*socio=rien de 111,8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, dont 80 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour l'industrie*socio=ec manufacturière*socio=ec et le reste*socio=rien pour les banques*socio=ac de développement*socio=uv (13,5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec), les industries*socio=ec extractives (12,4 millions*socio=rien de dollars*socio=ec), les services*socio=ec (4,5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec) et le tourisme*socio=ec (1,4 million*socio=rien de dollars*socio=ec). Les investissements*socio=ec que des participants*socio=ac extérieurs*socio=te ont fournis pendant l'exercice*socio=rien aux projets*socio=rien bénéficiant d'une aide_financière*socio=et de la SFI*socio=ac ont atteint au total*socio=rien 380,9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. La SFI*socio=ac, qui est*socio=rien la *socio=rien principale source de*socio=nil fonds*socio=ec du groupe_de_la_banque*socio=ac *socio=nil pour l'entreprise_privée*socio=ac, joue *socio=rien un rôle crucial *socio=nil dans l'ensemble*socio=rien des mesures*socio=rien que prend le Groupe*socio=ac pour stimuler une croissance*socio=uv équilibrée de l'économie*socio=ec de ses pays_membres*socio=ac. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien la Banque*socio=ac a consenti à la SFI*socio=ac un*socio=rien prêt*socio=ec de 200 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour reconstituer les fonds*socio=ec de la Société*socio=ac - ce prêt*socio=ec incorpore et remplace un*socio=rien prêt*socio=ec de 100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec accordé en 1966 et qui au milieu*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1970 avait été*socio=rien presqu'entièrement utilisé. La SFI*socio=ac pense développer encore ses activités*socio=rien pendant les années*socio=rien à venir. assistance_technique*socio=et et autres activités*socio=rien . assistance_technique*socio=et. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien qui vient de s'écouler, les activités*socio=rien des institutions*socio=ac aussi bien*socio=rien nationales*socio=te qu'internationales*socio=te qui s'occupent du*socio=rien développement_économique*socio=ec ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil analyses *socio=nil approfondies et l'on a généralement recherché si les programmes*socio=et d' assistance_technique*socio=et aux pays_en_voie_de_développement*socio=ac étaient bien*socio=rien conçus et suffisants*socio=rien . Pour leur part*socio=rien , plusieurs gouvernements*socio=ac qui exécutent d'importants*socio=rien programmes*socio=et bilatéraux*socio=te d'assistance_technique*socio=et ont procédé à une étude*socio=ac critique*socio=uv des politiques*socio=et et méthodes*socio=rien qu'ils appliquent. Au niveau*socio=rien international*socio=te, l'efficacité*socio=uv de l'assistance_technique*socio=et en général*socio=rien , et son rôle*socio=rien dans des secteurs*socio=ec particuliers*socio=rien tels que l'agriculture*socio=ec, ont été*socio=rien étudiés par le Secrétariat*socio=ac de l' Organisation_de_coopération_et_de_développement_économique*socio=ac (OCDE*socio=ac) et discutés au comité_d'_aide_au_développement*socio=ac; les résultats*socio=rien obtenus en matière*socio=rien d'assistance_technique*socio=et par l'Organisation_des_nations_unies*socio=ac et ses institutions*socio=ac spécialisées*socio=rien au cours*socio=rien des *socio=rien vingt dernières années *socio=nil et leur aptitude*socio=rien à poursuivre leur tâche*socio=rien dans l'avenir*socio=te ont été*socio=rien analysés dans l'"Étude*socio=ac de la *socio=rien capacité du système des*socio=nil nations_unies_pour_le_développement*socio=ac"*socio=nil *socio=nil qui a été*socio=rien effectuée sous la direction*socio=rien de Sir*socio=rien Robert Jackson. Cet examen*socio=rien a comporté de la part*socio=rien de chaque institution*socio=ac une étude*socio=ac utile*socio=uv de ses programmes*socio=et, de son organisation*socio=rien et de l'efficacité*socio=uv avec laquelle elle vient en aide*socio=uv à ses pays_membres*socio=ac en voie*socio=rien de développement*socio=uv. Cette réévaluation générale*socio=rien a permis*socio=rien de dégager deux *socio=rien idées directrices.*socio=nil La*socio=nil première est,*socio=nil *socio=nil selon la banque_mondiale*socio=ac, le principe*socio=rien essentiel*socio=uv qui doit inspirer toute action*socio=rien en *socio=rien faveur du développement*socio=uv;*socio=nil le*socio=nil choix*socio=uv des*socio=nil projets ou*socio=nil programmes*socio=et de*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil qui bénéficieront d'une aide_internationale*socio=et (technique*socio=rien ou financière*socio=ec) doit se faire à partir d'un*socio=rien programme*socio=et ou d'un*socio=rien ordre*socio=rien de priorité*socio=uv fixé par chaque pays*socio=ac et qui tienne compte*socio=rien de tous les impératifs*socio=uv *socio=rien majeurs du développement*socio=uv.*socio=nil Le*socio=nil second principe est *socio=nil que le PNUD*socio=ac devrait être*socio=rien l'organisme*socio=ac central*socio=rien chargé, en particulier*socio=uv par l'intermédiaire*socio=rien de ses *socio=ac Représentants résidents,*socio=nil *socio=nil de coordonner et de fournir les études*socio=rien et travaux*socio=rien de pré-investissement*socio=ec et autre assistance_technique*socio=et que peuvent apporter les membres*socio=rien de la famille*socio=uv des nations_unies*socio=ac à chaque pays*socio=ac participant*socio=rien . Les *socio=uv conditions essentielles du*socio=rien succès *socio=nil dans ce domaine*socio=rien sont que l'on fixe des priorités*socio=uv d'investissement*socio=ec en fonction*socio=rien de critères*socio=rien économiques*socio=ec rationnels*socio=uv, que l'on s'en tienne fermement à ces priorités*socio=uv une fois*socio=rien qu'elles ont été*socio=rien déterminées, et que l'on affecte des spécialistes*socio=ac qualifiés*socio=ec à la préparation*socio=rien et à l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien . La banque_mondiale*socio=ac lorsqu'elle fournit son assistance_technique*socio=et, qui est*socio=rien en *socio=rien majeure partie axée*socio=nil sur son*socio=nil programme*socio=et de*socio=nil prêts*socio=ec,*socio=nil *socio=nil a appliqué ces principes*socio=uv et elle continuera de le faire. Pendant l'exercice*socio=rien examiné, comme son programme*socio=et de prêts*socio=ec augmentait, le champ*socio=rien des activités*socio=rien d'assistance_technique*socio=et de la Banque*socio=ac s'est*socio=rien accru également. Comme par le passé*socio=rien , le financement*socio=ec de l'assistance_technique*socio=et par le groupe_de_la_banque*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien 1970 s'est*socio=rien fait*socio=rien notamment par l'affectation*socio=rien , dans ses prêts*socio=ec et crédits*socio=ec ordinaires*socio=rien , de fonds*socio=ec réservés aux études*socio=rien qui permettront de définir*socio=rien et de préparer d'autres *socio=rien projets futurs *socio=nil pour le même emprunteur*socio=ac (par *socio=rien exemple un service *socio=nil de l'électricité*socio=ec) ou dans le même secteur*socio=ec (par exemple*socio=rien l'agriculture*socio=ec), Cette année*socio=rien les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac et les crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac d'un*socio=rien montant*socio=ec global*socio=rien de 1 041 millions*socio=rien de dollars*socio=ec ont contenu des fonds*socio=ec pour les activités*socio=rien d'assistance_technique*socio=et. L'élément*socio=rien "assistance_technique*socio=et" de ces prêts*socio=ec représentait 40a millions*socio=rien de dollars*socio=ec qui se répartissent ainsi: 15,3 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour les études*socio=rien de justification*socio=rien économique*socio=ec de *socio=rien projets futurs;*socio=nil 23*socio=nil millions de*socio=nil dollars*socio=ec *socio=nil pour le recrutement*socio=ec de consultants*socio=ac ou d'experts*socio=ac extérieurs*socio=te chargés d'organiser les projets*socio=rien bénéficiant d'une aide*socio=uv, financière*socio=ec et de fournir des services*socio=ec administratifs*socio=et ou techniques*socio=rien au *socio=rien début du fonctionnement du projet;*socio=nil 2,2*socio=nil millions de*socio=nil dollars*socio=ec *socio=nil pour la formation*socio=et de personnel*socio=rien et l'octroi*socio=rien de bourses*socio=rien d'études*socio=rien dans les pays*socio=ac étrangers*socio=uv afin que les emprunteurs*socio=ac puissent disposer, aussitôt que possible*socio=rien , de cadres*socio=rien de direction*socio=rien qualifiés*socio=ec et autres spécialistes*socio=ac indispensables*socio=uv, sans devoir*socio=rien s'adresser à des ressortissants*socio=ac d'autres pays*socio=ac. L'assistance_technique*socio=et du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac prend également diverses*socio=rien autres formes*socio=rien : a) l'octroi*socio=rien de prêts*socio=ec ou de crédits*socio=ec spéciaux*socio=rien pour la préparation*socio=rien de projets*socio=rien , qui comporte habituellement l'exécution*socio=rien d' études_techniques*socio=ec ou d'études*socio=rien de viabilité*socio=uv ou les deux à la fois*socio=rien ; b) des dons*socio=ec (à concurrence*socio=ec de 200 000 dollars*socio=ec) pour les *socio=rien petites études de*socio=nil pré-investissement*socio=ec *socio=nil dans les cas*socio=rien relativement rares*socio=rien où ces études*socio=rien ne peuvent bénéficier d'une aide_financière*socio=et du*socio=rien PNUD*socio=ac et c) la Banque*socio=ac sert d'Agent*socio=ac d'exécution*socio=rien pour des projets*socio=rien financés par le PNUD*socio=ac. Les missions et les représentants*socio=ac que la Banque*socio=ac détache dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil personnel *socio=nil qu'elle prête*socio=rien de temps*socio=rien à autre aux gouvernements*socio=ac, les conseils*socio=ac et l'aide*socio=uv qu'elle est*socio=rien disposée à apporter aux gouvernements*socio=ac pour la planification*socio=et du*socio=rien développement*socio=uv constituent également une forme*socio=rien utile*socio=uv d'assistance_technique*socio=et dans le pays*socio=ac même. L'institut_de_développement_économique*socio=ac (IDE*socio=ac). L'institut_de_développement_économique*socio=ac a été*socio=rien créé par la Banque*socio=ac en 1955 pour organiser à l'intention*socio=rien des hauts_fonctionnaires*socio=ac des pays_membres*socio=ac des cours*socio=rien de formation*socio=et sur*socio=rien des sujets*socio=rien touchant particulièrement au développement*socio=uv. A la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1970 plus de 1 100 de ces fonctionnaires*socio=et avaient suivi les cours*socio=rien de l'IDE*socio=ac. Les 150 participants*socio=ac aux cours*socio=rien qui ont eu lieu*socio=rien cette année*socio=rien venaient de 68 pays_en_voie_de_développement*socio=ac et de deux organisations_internationales*socio=ac. Pendant l'exercice*socio=rien , l'IDE*socio=ac a organisé six cours*socio=rien , dont *socio=rien un cours général *socio=nil d'une durée*socio=rien de six mois*socio=rien donné en *socio=rien anglais sur les*socio=nil problèmes*socio=uv *socio=nil et les politiques*socio=et du*socio=rien développement*socio=uv et *socio=rien cinq cours *socio=nil d'une durée*socio=rien de huit à onze *socio=rien semaines sur des*socio=nil sujets *socio=nil qui ont *socio=rien un lien *socio=nil avec l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien . Trois de ces *socio=rien cours sur les*socio=nil projets ont*socio=nil été *socio=nil donnés en anglais*socio=rien , un*socio=rien en français*socio=rien et un*socio=rien en espagnol*socio=rien . Le personnel*socio=rien à plein_temps*socio=rien de l'Institut*socio=et est*socio=rien relativement réduit, mais les *socio=rien membres du personnel des*socio=nil départements opérationnels du groupe_de_la_banque*socio=ac *socio=nil viennent aussi donner des conférences*socio=rien . La durée*socio=rien et le calendrier*socio=rien des cours*socio=rien sont conçus de façon*socio=rien que deux cours*socio=rien peuvent être*socio=rien donnés simultanément pendant la *socio=rien majeure partie *socio=nil de l'année*socio=rien . En plus des *socio=rien cours réguliers *socio=nil qu'il donne au siège*socio=rien de la Banque*socio=ac à Washington*socio=ac, l'Institut*socio=et aide*socio=uv des organismes*socio=ac de pays_membres*socio=ac à mettre *socio=rien sur pied *socio=nil et exécuter des programmes*socio=et de formation*socio=et dans les pays*socio=ac mêmes. *socio=rien Un cours *socio=nil de huit semaines*socio=rien d'analyse*socio=rien des projets*socio=rien , destiné à des *socio=ac stagiaires africains anglophones a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil donné à Nairobi*socio=te en juillet*socio=rien et août*socio=rien 1969, avec la collaboration*socio=uv de l' Institut_africain_de_développement_et_de_planification_économiqu*socio=ac et de l'Institute *socio=rien for Development Studies*socio=nil du *socio=nil University College de Nairobi*socio=rien . L'IDE*socio=ac s'est*socio=rien associé*socio=rien au Fonds*socio=ec de développement*socio=uv agricole*socio=ec de l'Iran*socio=ac pour organiser en novembre*socio=rien 1969 à l'intention*socio=rien de participants*socio=ac d'Iran*socio=ac et de quatre pays*socio=ac *socio=rien voisins un cours *socio=nil de quatre *socio=rien semaines sur l'*socio=nil évaluation*socio=uv des*socio=nil projets agricoles*socio=ec.*socio=nil En*socio=nil avril et*socio=nil mai *socio=nil 1970, l'institut*socio=et a fourni *socio=rien du personnel et*socio=nil du matériel d'*socio=nil enseignement*socio=et pour*socio=nil un cours sur l'*socio=nil évaluation*socio=uv des*socio=nil projets *socio=nil organisé par le gouvernement*socio=ac indonésien*socio=te à Djakarta. En outre, des *socio=rien membres du personnel ont*socio=nil été *socio=nil détachés durant des périodes*socio=te plus courtes*socio=rien pour faire des conférences*socio=rien à l'occasion*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre *socio=nil d'autres cours*socio=rien donnés en dehors des États-unis*socio=ac, dont *socio=rien un cours d'*socio=nil évaluation*socio=uv des*socio=nil projets,*socio=nil *socio=nil organisé à Athènes sous l'égide*socio=rien de l'OCDE*socio=ac, *socio=rien un cours *socio=nil à l' Institut_asiatique_de*socio=ac -bangkok et un*socio=rien cycle*socio=te d'études*socio=rien sur*socio=rien le financement*socio=ec des entreprises_publiques*socio=et organisé à Rome sous les auspices*socio=rien de l' Organisation_des_nations_unies_pour_le_développement_industriel*socio=ac (ONUDI*socio=ac). Coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv. Dans les études*socio=rien faites ces *socio=rien derniers temps *socio=nil de l'effort*socio=uv international*socio=te pour le développement*socio=uv, il a souvent *socio=rien été fait mention *socio=nil de la nécessité*socio=uv de mieux coordonner l'aide*socio=uv au niveau*socio=rien des pays*socio=ac. Il semble encore que dans bien*socio=rien des cas*socio=rien l'aide_au_développement*socio=uv soit donnée sans qu'il existe *socio=rien un ordre de*socio=nil priorité*socio=uv *socio=nil fixé d'un*socio=rien *socio=uv commun accord *socio=nil pour le développement_économique_et_social*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac assisté*socio=uv. Le choix*socio=uv d'un*socio=rien ordre*socio=rien de priorité*socio=uv en matière*socio=rien de développement*socio=uv et la coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv qui en est*socio=rien le corollaire peuvent être*socio=rien grandement facilités par le genre*socio=rien d'analyse*socio=rien détaillée des économies*socio=ec des pays_membres*socio=ac et de leurs grands*socio=rien secteurs*socio=ec que la Banque*socio=ac fait*socio=rien exécuter régulièrement et dont elle vient d'augmenter le nombre*socio=rien et la fréquence (voir ci-dessus page*socio=rien 32) Des rapports*socio=rien sont maintenant rédigés chaque *socio=rien année sur l'*socio=nil économie*socio=ec *socio=nil d'une trentaine*socio=rien de grands*socio=rien pays_membres*socio=ac en voie*socio=rien de développement*socio=uv "pour les autres ils sont préparés tous les deux ou trois ans*socio=rien . Ces études*socio=rien servent utilement*socio=rien de base*socio=rien à la coordination*socio=uv de l' aide_au_développement*socio=uv au niveau*socio=rien des pays*socio=ac. La Banque*socio=ac apporte aussi son soutien*socio=uv à des consortiums*socio=ac et groupes*socio=ac consultatifs*socio=rien organisés pour venir en aide*socio=uv à *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Actuellement deux consortiums*socio=ac, onze groupes*socio=ac consultatifs*socio=rien et le Groupe*socio=ac d'aide*socio=uv à Ceylan*socio=ac fonctionnent sous ses auspices*socio=rien . Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien , la Banque*socio=ac a pris la *socio=rien présidence du Groupe*socio=ac d'*socio=nil aide*socio=uv au*socio=nil Ghana*socio=ac *socio=nil que le FMI*socio=ac exerçait précédemment. En outre la Banque*socio=ac fournit l'aide*socio=uv de ses services*socio=ec au Groupe*socio=ac intergouvernemental*socio=et pour l'Indonésie*socio=ac, aux groupes*socio=ac de coordination*socio=uv réunis par les gouvernements*socio=ac de la Guyane*socio=ac et du*socio=rien Honduras*socio=ac - elle est*socio=rien aussi *socio=rien membre du Consortium*socio=ac *socio=nil pour la Turquie*socio=ac organisé par l'OCDE*socio=ac. Pendant l'exercice*socio=rien 1970, ont eu lieu*socio=rien onze réunions*socio=rien des groupes*socio=ac d'aide*socio=uv fonctionnant sous l'égide*socio=rien de la Banque*socio=ac. Dans le *socio=rien cas du Groupe*socio=ac Consultatif*socio=uv *socio=nil pour l'Afrique*socio=ac orientale*socio=te, des réunions*socio=rien distinctes*socio=uv se sont tenues pour l'Ouganda*socio=ac, le Kenya*socio=ac et la Tanzanie*socio=ac; le Consortium*socio=ac pour l'Inde*socio=ac s'est*socio=rien réuni en novembre*socio=rien 1969 pour étudier le rapport*socio=rien de l' Organisation_des_nations_unies*socio=ac sur*socio=rien l'"Evaluation *socio=rien du Programme de*socio=nil Planification *socio=nil de la *socio=rien famille du Gouvernement *socio=nil de l'Inde*socio=rien " et une fois*socio=rien encore en mai*socio=rien 1970; le Groupe*socio=ac consultatif*socio=uv pour la Tunisie*socio=ac a tenu deux réunions*socio=rien en octobre*socio=rien 1969 et juin*socio=rien 1970. Le Consortium*socio=ac pour le Pakistan*socio=ac, les Groupes*socio=ac consultatifs*socio=rien pour la Corée*socio=ac et le Maroc*socio=ac et le Groupe*socio=ac d'aide*socio=uv à Ceylan*socio=ac se sont réunis une *socio=rien seule fois.*socio=nil *socio=nil Si une *socio=rien grande part des*socio=nil travaux *socio=nil que requiert la coordination*socio=uv de l' aide_au_développement*socio=uv se fait*socio=rien au cours*socio=rien des réunions*socio=rien , la Banque*socio=ac fait*socio=rien son possible*socio=rien pour que les membres*socio=rien des groupes*socio=ac d'aide*socio=uv et les *socio=ac pays bénéficiaires *socio=nil poursuivent leurs consultations*socio=uv dans l'intervalle des réunions*socio=rien - elle fournit à tous les membres*socio=rien des rapports*socio=rien économiques*socio=ec, des *socio=rien études spéciales,*socio=nil *socio=nil des listes de projets*socio=rien à financer, des comptes*socio=rien rendus des séances*socio=rien et autres *socio=rien documents pertinents.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil met aussi des rapports*socio=rien économiques*socio=ec et autres *socio=rien documents analytiques *socio=nil à la disposition*socio=rien des groupes*socio=ac d'aide*socio=uv créés par d'autres organisations*socio=ac. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien la Banque*socio=ac a pris l'initiative*socio=rien de deux réunions*socio=rien intergouvernementales qui ont abouti à des accords*socio=et sur*socio=rien le financement*socio=ec en association*socio=rien de deux projets*socio=rien énergétiques*socio=ec qui reçoivent l'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac au Brésil*socio=ac et au Mexique*socio=ac. Selon les arrangements*socio=et qui ont été*socio=rien conclus, dix grands*socio=rien *socio=ac pays producteurs d'*socio=nil équipement*socio=ec *socio=nil se joindront à la Banque*socio=ac pour financer à parts*socio=rien égales*socio=uv les commandes d'un*socio=rien montant*socio=ec supérieur*socio=rien à 200 000 dollars*socio=ec qu'auront obtenues leurs entreprises*socio=ac nationales*socio=te. Le montant*socio=ec exact*socio=rien des capitaux*socio=ec que fourniront les prêteurs*socio=ac dépendra *socio=rien du résultat *socio=nil des adjudications internationales*socio=te; on pense qu'il atteindra au total*socio=rien quelque 40 à 45 millions*socio=rien de dollars*socio=ec dans le *socio=rien cas du projet *socio=nil mexicain et environ 26 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour le Brésil*socio=ac. La Banque*socio=ac a des relations*socio=rien de coopération*socio=uv étroites*socio=rien avec d'autres organisations_internationales*socio=ac qui s'occupent de l'aide_au_développement*socio=uv au niveau*socio=rien des pays*socio=ac. Comme les *socio=rien années précédentes,*socio=nil des*socio=nil représentants*socio=ac du FMI*socio=ac,*socio=nil *socio=nil de l'OCDE*socio=ac, du*socio=rien PNUD*socio=ac et de la Banque*socio=ac régionale*socio=te de développement*socio=uv intéressée, ont participé en qualité*socio=rien de membres*socio=rien ou d'observateurs aux réunions*socio=rien des Consortiums*socio=ac et Groupes*socio=ac consultatifs*socio=rien organisés sous les auspices*socio=rien de la Banque*socio=ac. Des fonctionnaires*socio=et de l'ONU*socio=ec, appartenant à la Division*socio=rien de la Population*socio=ac, ont assisté*socio=rien à la réunion*socio=rien de novembre*socio=rien 1969 du*socio=rien Consortium*socio=ac pour l'Inde*socio=ac. Des organismes*socio=ac tels que le comité_d'_aide_au_développement*socio=ac (CAD*socio=ac) de l'OCDE*socio=ac ont étudié utilement*socio=rien la question*socio=rien des fonctions*socio=rien qu'il convient de confier aux groupes*socio=ac d'aide*socio=uv et ont donné leur accord*socio=uv à la Banque*socio=ac quant aux objectifs*socio=rien qu'elle a fixés dans ce domaine*socio=rien . L'intensification*socio=rien rapide*socio=rien des activités*socio=rien de la Banque*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien allant de pair*socio=rien avec un*socio=rien accroissement*socio=ec notable*socio=rien des opérations*socio=rien des banques*socio=ac régionales*socio=te de développement*socio=uv, a rendu plus nécessaire*socio=rien encore une bonne*socio=rien coordination*socio=uv entre les travaux*socio=rien de l'une et des autres. Nous avons cité dans d'autres *socio=rien parties du rapport des*socio=nil cas de*socio=nil financement*socio=ec en*socio=nil commun*socio=uv *socio=nil des mêmes projets*socio=rien et l'on s'efforce d'étendre cette collaboration*socio=uv à de *socio=rien nouveaux domaines d'*socio=nil activité.*socio=nil La*socio=nil banque_mondiale*socio=ac *socio=nil envoie régulièrement aux banques*socio=ac régionales*socio=te ses rapports*socio=rien économiques*socio=ec, ses évaluations*socio=uv de projets*socio=rien et ses *socio=rien études sur les*socio=nil produits de*socio=nil base.*socio=nil Les*socio=nil économistes*socio=ac *socio=nil de toutes ces institutions*socio=ac se réunissent périodiquement afin d'échanger des éléments*socio=rien d'information*socio=rien sur*socio=rien leurs programmes*socio=et de recherche*socio=ec et d'améliorer d'une *socio=rien façon générale la*socio=nil coordination*socio=uv *socio=nil entre leurs activités*socio=rien économiques*socio=ec. La possibilité*socio=rien de faire participer des *socio=rien membres du personnel des*socio=nil établissements régionaux*socio=te *socio=nil aux missions économiques*socio=ec de la Banque*socio=ac est*socio=rien à l'étude*socio=ac, et *socio=rien un premier essai *socio=nil dans ce sens*socio=rien a déjà été*socio=rien effectué. La banque_mondiale*socio=ac et la Banque*socio=ac Interaméricaine*socio=te de Développement*socio=uv (BID) échangeant déjà systématiquement des *socio=rien informations sur leurs*socio=nil opérations *socio=nil et confrontent leurs programmes*socio=et de prêt*socio=ec pays*socio=ac par pays*socio=ac. En outre la BID, le comité_interaméricain_de_l'_alliance_pour_le_progrès*socio=ac (CIAP*socio=ac) et la BIRD*socio=ac élaborent actuellement les modalités*socio=rien d'une coopération*socio=uv plus étroite*socio=rien en matière*socio=rien d'étude*socio=ac des stratégies*socio=et du*socio=rien développement*socio=uv à l'échelon*socio=rien des pays*socio=ac. Les missions tant opérationnelles*socio=rien qu'économiques*socio=ec de la banque_mondiale*socio=ac se rendant dans des pays_membres*socio=ac s'arrêtent régulièrement, à l'aller comme au retour*socio=rien , au siège*socio=rien de la Banque_asiatique_de_développement*socio=ac à Manille*socio=te, pour discuter de leurs constatations*socio=rien et de leurs conclusions*socio=rien avec leurs homologues de cette institution*socio=ac. La banque_mondiale*socio=ac et la banque_africaine_de_développement*socio=ac ont créé, en liaison*socio=rien avec le PNUD*socio=ac et la Commission*socio=ac Économique*socio=ec pour l'Afrique*socio=ac de l' Organisation_des_nations_unies*socio=ac, *socio=rien un comité de*socio=nil coordination*socio=uv *socio=nil pour les études*socio=rien de pré-investissement*socio=ec en Afrique*socio=ac. Des fonctionnaires*socio=et de la banque_mondiale*socio=ac se rendent aussi à la banque_africaine_de_développement*socio=ac pour s'entretenir de problèmes*socio=uv présentant un*socio=rien intérêt_commun*socio=uv, et il a été*socio=rien convenu qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil fonctionnaires*socio=et *socio=nil de la Banque_africaine*socio=ac seraient reçus en stage au siège*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac. Les missions de cette dernière*socio=rien à Abidjan*socio=te et Nairobi*socio=te discutent des projets*socio=rien dont elles ont reconnu l'utilité*socio=rien ou qu'elles aident à préparer avec la banque_africaine_de_développement*socio=ac chaque fois*socio=rien que cette institution*socio=ac en exprime le désir*socio=rien ; ces entretiens*socio=rien ont *socio=rien lieu après accord*socio=uv du gouvernement*socio=ac *socio=nil intéressé. La Banque*socio=ac collabore aussi de plus en plus fréquemment avec d'autres organismes*socio=ac régionaux*socio=te tels que la *socio=ac Banque Européenne d'*socio=nil Investissement*socio=ec *socio=nil (BEI) et le Fonds*socio=ec Européen*socio=ac de Développement*socio=uv (FED). Étude*socio=ac sur*socio=rien les produits*socio=rien : mise en oeuvre*socio=rien des décisions*socio=rien . Le groupe_de_la_banque*socio=ac a pendant l'exercice*socio=rien pris une série de mesures*socio=rien pour mettre en oeuvre*socio=rien les décisions*socio=rien des Administrateurs*socio=ac relatives*socio=rien à la contribution*socio=uv que le Groupe*socio=ac peut apporter à la solution*socio=rien des problèmes*socio=uv de stabilisation*socio=et des prix*socio=ec des *socio=rien produits primaires.*socio=nil Les*socio=nil décisions des*socio=nil Administrateurs*socio=ac *socio=nil portaient essentiellement sur*socio=rien les mesures*socio=rien à prendre pour diversifier les productions*socio=ec des *socio=ac pays producteurs primaires*socio=rien *socio=nil , pour rendre les *socio=rien produits primaires plus*socio=nil compétitifs*socio=uv *socio=nil et pour aider à la conclusion*socio=rien d'arrangements*socio=et internationaux*socio=te sur*socio=rien les produits*socio=rien . Les prêts*socio=ec que le groupe_de_la_banque*socio=ac a consentis pendant l'exercice*socio=rien dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil secteurs*socio=ec,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=uv en*socio=nil faveur *socio=nil de l'élevage*socio=ec, des pêcheries*socio=ec, de l'exploitation*socio=ec des forêts*socio=et et de projets*socio=rien industriels*socio=ac (voir ci-dessus pages*socio=rien 10 à 14 et 24 à 27) servent à atteindre le premier*socio=rien de ces objectifs*socio=rien - y ont contribué aussi les analyses*socio=rien exécutées pendant l'exercice*socio=rien d'économies*socio=ec nationales*socio=te, de secteurs*socio=ec d'activité*socio=rien cruciaux*socio=rien et d'autres *socio=rien sujets particuliers.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac s'*socio=nil est *socio=nil aussi attachée à trouver les moyens*socio=ec de rendre les'produits*socio=rien primaires*socio=rien plus compétitifs*socio=uv,- pour ce faire le groupe_de_la_banque*socio=ac a notamment engagé des discussions*socio=rien avec d'autres organisations_internationales*socio=ac qui s'occupent des produits*socio=rien de base*socio=rien et a étudié la possibilité*socio=rien de participer à la recherche*socio=ec sur*socio=rien les caractéristiques*socio=rien essentielles*socio=uv de la *socio=ec production agricole et*socio=nil sur*socio=rien les*socio=nil *socio=rien nouvelles utilisations finales *socio=nil que l'on peut trouver pour les *socio=rien produits primaires.*socio=nil *socio=nil Pour ce qui *socio=rien est du troisième objectif,*socio=nil des*socio=nil membres du personnel *socio=nil de la Banque*socio=ac et de l'IDA*socio=ac ont participé en qualité*socio=rien d'observateurs, aux réunions*socio=rien des *socio=rien principaux groupes sur les*socio=nil produits,*socio=nil *socio=nil rédigeant à leur intention*socio=rien des *socio=rien études sur les*socio=nil produits,*socio=nil *socio=nil leur communiquant d'autres *socio=rien documents pertinents *socio=nil et examinant avec eux les cas*socio=rien où le financement*socio=ec en coopération*socio=uv de *socio=rien projets spécifiques *socio=nil se justifierait. Des dispositions*socio=rien ont été*socio=rien également prises*socio=rien pour réunir des renseignements*socio=rien de *socio=rien bonne source sur les*socio=nil problèmes*socio=uv *socio=nil de l'accès*socio=uv aux marchés*socio=ec. études_économiques*socio=ec. Les *socio=rien opérations du groupe_de_la_banque*socio=ac *socio=nil ne sauraient être*socio=rien efficaces*socio=uv si elles ne sont précédées d'analyses*socio=rien économiques*socio=ec. L'organisation*socio=rien des programmes*socio=et de prêt*socio=ec du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac est*socio=rien déterminée au *socio=rien premier chef *socio=nil par les études*socio=rien qui sont consacrées au préalable*socio=rien à l'économie*socio=ec de chacun des projets*socio=rien ou de l'ensemble*socio=rien d'un*socio=rien secteur*socio=ec, ainsi qu'aux problèmes*socio=uv des économies*socio=ec nationales*socio=te et aux perspectives*socio=uv d'avenir*socio=te qu'elles présentent. Les travaux*socio=rien de la Banque*socio=ac en matière*socio=rien économique*socio=ec portent aussi sur*socio=rien la préparation*socio=rien d'études*socio=rien traitant des perspectives*socio=uv et problèmes*socio=uv des *socio=rien principaux produits de*socio=nil base,*socio=nil des*socio=nil questions du financement*socio=ec international*socio=te du développement*socio=uv,*socio=nil *socio=nil de L'amélioration*socio=uv des techniques*socio=rien et méthodes*socio=rien utilisées par le Groupe*socio=ac pour l'évaluation*socio=uv des projets*socio=rien et de *socio=rien sujets spéciaux *socio=nil comme la démographie*socio=ac et l'urbanisation*socio=ec. Les *socio=ec services économiques *socio=nil de la Banque*socio=ac entreprennent, si besoin*socio=uv est*socio=rien , des études*socio=rien qui lui sont demandées par d'autres organisations_internationales*socio=ac. Pendant l'exercice*socio=rien , ces services*socio=ec, ont entrepris à la demande*socio=ec de la conférence_des_nations_unies*socio=ac sur*socio=rien le commerce_et_le_développement*socio=ac (CNUCED*socio=ac) une étude*socio=ac des "Possibilités*socio=rien d'améliorer les techniques*socio=rien de prêt*socio=ec" qui est*socio=rien une *socio=rien enquête sur les*socio=nil conditions*socio=uv *socio=nil auxquelles sont consentis les prêts*socio=ec publics*socio=et pour le développement*socio=uv 'l'étude*socio=ac est*socio=rien accompagnée de *socio=rien propositions relatives aux*socio=nil améliorations*socio=uv possibles.*socio=nil *socio=nil A sa *socio=rien neuvième session,*socio=nil *socio=nil le 12 septembre*socio=rien 1969, le conseil_du_commerce_et_du_développement*socio=ac de la CNUCED*socio=ac a adopté une résolution*socio=et reprenant les *socio=rien conclusions du Groupe*socio=ac intergouvernemental*socio=et,*socio=nil *socio=nil dans laquelle la Banque*socio=ac est*socio=rien invitée à étudier "la possibilité*socio=rien de mettre au *socio=rien point un mécanisme de*socio=nil financement*socio=ec supplémentaire *socio=nil et, le cas*socio=rien échéant, la possibilité*socio=rien de le faire entrer en application*socio=rien ". Cette *socio=rien question est *socio=nil actuellement à l'étude*socio=ac et *socio=rien un rapport intérimaire *socio=nil sera présenté au conseil_du_commerce_et_du_développement*socio=ac *socio=rien après examen *socio=nil par les Administrateurs*socio=ac. Quelques études*socio=rien préparées par les services_de_la_banque*socio=ac ont été*socio=rien publiées dans la série des "World Bank*socio=rien Staff Occasional Papers". Trois de ces études*socio=rien ont paru pendant l'exercice*socio=rien écoulé: "Automotive Industries*socio=ec in Developing Countries" par Jack Baranson - "Manufacture*socio=ec of Heavy Electrical Equipment in Developing Couniries" par Ayhan Cilingiroglu - et "Techniques*socio=rien of Project Appraisal under Uncertainty" par Shlomo Reutlinger. La Banque*socio=ac est*socio=rien le principal*socio=rien organe*socio=et mondial*socio=te de rassemblement*socio=rien d'informations*socio=rien sur*socio=rien la dette*socio=ec extérieure*socio=te des pays_en_voie_de_développement*socio=ac. La Banque*socio=ac obtient directement de ses *socio=ac pays_membres débiteurs des*socio=nil *socio=rien renseignements complets sur leur*socio=nil dette*socio=ec;*socio=nil *socio=nil en même temps*socio=rien des statistiques*socio=rien fournies par les pays*socio=ac créditeurs*socio=ec *socio=rien membres du comité_d'_aide_au_développement*socio=ac *socio=nil de l'OCDE*socio=ac sont rassemblées par la Banque*socio=ac et l'OCDE*socio=ac en *socio=rien application du "*socio=nil système *socio=nil élargi de rassemblement*socio=rien de statistiques*socio=rien internationales*socio=te" des deux organisations*socio=ac. Pendant l'exercice*socio=rien , les informations*socio=rien demandées aux *socio=ac pays débiteurs ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil étendues. Ils devaient antérieurement fournir des *socio=rien détails complets,*socio=nil *socio=nil régulièrement mis à jour*socio=rien , sur*socio=rien l'en cours*socio=rien de la dette_publique*socio=et ou garantie par l'État*socio=ac, complétés par des *socio=rien rapports réguliers sur toute*socio=nil nouvelle dette*socio=ec *socio=nil encourue dans cette catégorie*socio=rien . La Banque*socio=ac demande*socio=rien maintenant que l'on y ajoute des rapports*socio=rien récapitulatifs *socio=rien annuels sur la*socio=nil *socio=ec dette privée *socio=nil non garantie et sur*socio=rien les dons*socio=ec reçus. L'enregistrement*socio=rien continu*socio=rien de toutes les dettes_publiques*socio=et contractées par les pays_membres*socio=ac (il *socio=rien porte sur *socio=nil plus de 20 000 postes*socio=rien individuels*socio=ac dont chaque mouvement*socio=ac est*socio=rien systématiquement ajouté aux informations*socio=rien déjà disponibles*socio=rien ) est*socio=rien maintenant complété par des renseignements*socio=rien récapitulatifs sur*socio=rien les autres *socio=rien grandes catégories d'*socio=nil apports de*socio=nil capitaux*socio=ec aux*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=ac.*socio=nil Les*socio=nil informations *socio=nil reçues des *socio=ac pays débiteurs *socio=nil sont confrontées aux rapports*socio=rien des pays*socio=ac créditeurs*socio=ec qui portent sur*socio=rien la catégorie*socio=rien et le montant*socio=ec de chaque prêt*socio=ec ou don*socio=ec public*socio=et et sur*socio=rien les totaux*socio=rien des crédits*socio=ec prives garantis*socio=rien par l'État*socio=ac. Ce système*socio=rien fournit à la Banque*socio=ac des renseignements*socio=rien utiles*socio=uv pour l'analyse*socio=rien de l'économie*socio=ec du*socio=rien pays*socio=ac. Leur valeur*socio=ec dépend évidemment *socio=rien du degré d'*socio=nil exactitude des*socio=nil rapports *socio=nil préparés par les pays*socio=ac, mais ils peuvent souvent être*socio=rien vérifiés par la comparaison*socio=rien des chiffres indiqués par les débiteurs*socio=ac et les créditeurs*socio=ac. La Banque*socio=ac s'efforce d'aider les *socio=ac pays débiteurs *socio=nil à améliorer la gestion*socio=et de leur dette*socio=ec, leur système*socio=rien de comptabilité*socio=ec et la préparation*socio=rien de leurs rapports*socio=rien , au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien plus de douze missions se sont rendues à cette fin*socio=rien dans les pays_membres*socio=ac. La Banque*socio=ac ne communique pas les renseignements*socio=rien détaillés qui sont strictement confidentiels*socio=uv 'mais, si besoin*socio=uv est*socio=rien , elle met les données de *socio=rien base relatives aux*socio=nil tendances *socio=nil et aux agrégats*socio=ec de la dette*socio=ec à la disposition*socio=rien de groupes*socio=ac qui étudient les problèmes*socio=uv de développement*socio=uv, lorsque ces groupes*socio=ac fonctionnent sous l'égide*socio=rien de gouvernements*socio=ac. La Banque*socio=ac compte*socio=rien que les renseignements*socio=rien fournis engloberont des rubriques*socio=rien toujours plus nombreuses*socio=rien et que la situation*socio=uv générale*socio=rien qu'ils présentent gagnera en utilité*socio=rien à mesure*socio=rien que le système*socio=rien deviendra encore plus complet*socio=rien (voir aussi les pages*socio=rien 56 à 59). TENDANCES*socio=rien ET PERSPECTIVES*socio=uv DU*socio=rien DEVELOPPEMENT ET DU*socio=rien FINANCEMENT*socio=ec DU*socio=rien DÉVELOPPEMENT*socio=uv. *socio=rien Tendances récentes du commerce*socio=ec *socio=nil et de la croissance*socio=uv des pays_en_voie_de_développement*socio=ac. *socio=rien Tendances récentes du commerce*socio=ec des*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil commerce*socio=ec mondial*socio=te *socio=nil en 1969 a augmenté dans des *socio=rien proportions spectaculaires,*socio=nil *socio=nil 13%, dépassant même en valeur*socio=ec les taux_de_croissance*socio=ec élevés*socio=rien qui avaient été*socio=rien atteints en 1964 et 1968. Les exportations*socio=ec des pays_industrialisés*socio=ac ont monté de 15%. Dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac, dont le rythme*socio=rien d'accroissement*socio=ec des *socio=ec échanges commerciaux est*socio=rien *socio=nil normalement plus lent*socio=rien que celui des pays*socio=ac développés*socio=rien , le taux_de_croissance*socio=ec des exportations*socio=ec a été*socio=rien de 9% pendant l'exercice*socio=rien (alors qu'il avait été*socio=rien proche de 10% en 1968 - voir le *socio=rien tableau du texte page *socio=nil 50). Grâce*socio=rien à ces progrès*socio=uv les exportations*socio=ec totales*socio=rien dans le monde*socio=te (y compris celles des pays*socio=ac à économie*socio=ec planifiée) ont atteint *socio=rien un niveau *socio=nil de 270 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1969, dont 48 milliards*socio=ec représentaient les exportations*socio=ec des pays_en_voie_de_développement*socio=ac. Si les *socio=rien tendances actuelles *socio=nil se confirment, il se peut que pour la *socio=rien troisième année consécutive *socio=nil se produise en 1970 une *socio=rien hausse remarquable du commerce*socio=ec d'*socio=nil exportation*socio=ec des*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=ac.*socio=nil Cette*socio=nil hausse est *socio=nil liée à l'intensification*socio=rien de l'activité*socio=rien économique*socio=ec dans les pays_industrialisés*socio=ac, qui s'est*socio=rien traduite aussi par *socio=rien un relèvement des*socio=nil prix*socio=ec de*socio=nil nombreux produits primaires *socio=nil en 1969. La part*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=ac dans les *socio=ec exportations mondiales *socio=nil a légèrement baissé en 1969, tombant de 18,5% à 17,7%; elles sont entrées pour un*socio=rien peu plus de 40% dans toutes les exportations*socio=ec de *socio=rien produits primaires *socio=nil et pour 6% dans celles d'articles*socio=rien manufacturés. L'analyse*socio=rien du*socio=rien commerce*socio=ec mondial*socio=te par origine*socio=rien et destination*socio=rien , que l'on trouve au Tableau*socio=rien 2 de l'Annexe*socio=rien , confirme les tendances*socio=rien de la décennie*socio=rien antérieure*socio=te - ce sont les pays*socio=ac développés*socio=rien eux-mêmes qui ont absorbé l'augmentation*socio=uv de leurs propres*socio=rien exportations*socio=ec; les courants*socio=rien commerciaux*socio=ec des pays_en_voie_de_développement*socio=ac se dirigent de plus en plus vers les pays_industrialisés*socio=ac; et la proportion*socio=rien des exportations*socio=ec des pays_en_voie_de_développement*socio=ac vers les autres pays_en_voie_de_développement*socio=ac se réduit progressivement. Les pays_industrialisés*socio=ac à économie_de_marché*socio=ec importent à peu près les trois-quarts des exportations*socio=ec des pays_en_voie_de_développement*socio=ac et la proportion*socio=rien des exportations*socio=ec vers les autres pays_en_voie_de_développement*socio=ac dans le commerce*socio=ec total*socio=rien de ces pays*socio=ac est*socio=rien tombé de 21,5% en 1961-65 à 19,5% en 1969. Cela est*socio=rien particulièrement vrai*socio=rien de l'Asie*socio=ac et de l'Afrique*socio=ac où le commerce*socio=ec régional*socio=te a baissé respectivement de 23 et 7% de leur commerce*socio=ec total*socio=rien en 1961-65 à 20 et 6% en 1969. C'est*socio=rien seulement en amérique_latine*socio=ac que les exportations*socio=ec vers d'autres pays_en_voie_de_développement*socio=ac ont augmenté, passant de 18 à 20%, ce qui est*socio=rien dû, pour une *socio=rien grande part,*socio=nil *socio=nil à l'accroissement*socio=ec des échanges*socio=ec à l'intérieur*socio=rien de la région*socio=te, qui ont monté de 8 à 12. La commission*socio=ac Pearson a noté qu'en plus de la suppression*socio=rien des barrières*socio=rien commerciales*socio=ec dans les pays_industrialisés*socio=ac et l'octroi*socio=rien de préférences*socio=et non réciproques aux exportations*socio=ec de produits*socio=rien manufacturés et semi-manufacturés en provenance*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=ac, un*socio=rien autre *socio=rien moyen possible *socio=nil d'accroître les exportations*socio=ec des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec est*socio=rien de développer les échanges*socio=ec entre ces pays*socio=ac eux-mêmes. Le fonctionnement*socio=rien des arrangements*socio=et commerciaux*socio=ec régionaux*socio=te donne à penser que c'est*socio=rien entre les pays*socio=ac assez proches*socio=rien géographiquement les uns des autres et qui sont reliés par des réseaux*socio=rien de communications*socio=et satisfaisants*socio=rien , qu'il y a le plus de chance*socio=rien de pouvoir*socio=et développer les échanges*socio=ec plutôt qu'entre pays*socio=ac d'une même région*socio=te de *socio=rien vastes dimensions *socio=nil ou entre pays*socio=ac de régions*socio=te différentes*socio=rien . Par exemple*socio=rien , le commerce*socio=ec intrarégional*socio=te entre les pays*socio=ac de l'Association*socio=ac latino-américaine de libre_échange*socio=ec pendant les années*socio=rien 1960 n'a pas dépassé le niveau*socio=rien qui avait été*socio=rien atteint vers 1955, c'est-à-dire avant la création*socio=rien de l'Association*socio=ac, alors qu'au contraire*socio=rien le commerce*socio=ec est*socio=rien monté en flèche dans les pays_membres*socio=ac du*socio=rien marché_commun*socio=ec d'amérique_centrale*socio=ac, puisqu'il *socio=rien est passé *socio=nil de 7% de leurs exportations*socio=ec totales*socio=rien en 1960 à 25% en 1967; ces échanges*socio=ec intrarégionaux représentaient 18% des exportations*socio=ec totales*socio=rien de la Communauté*socio=ac de l'Afrique*socio=ac Orientale*socio=te en 1965-67,- ce qui dépasse marginalement le niveau*socio=rien de 1960-62. Dans le commerce*socio=ec intrarégional*socio=te de ces deux régions*socio=te les produits*socio=rien manufacturés se taillent la *socio=rien part du lion.*socio=nil L'*socio=nil accroissement*socio=ec des*socio=nil *socio=ec échanges commerciaux *socio=nil pendant l'exercice*socio=rien a bénéficié de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec. La banque_mondiale*socio=ac tient à *socio=rien jour un indice_des_prix*socio=ec des*socio=nil produits de*socio=nil base,*socio=nil *socio=nil calculé à partir des cours*socio=rien de trente-huit *socio=rien produits primaires *socio=nil qui entrent pour les trois quarts*socio=rien dans les exportations*socio=ec totales*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=ac. Sur*socio=rien une période*socio=te de dix ans*socio=rien , cet indice a atteint en 1969 une pointe*socio=uv de 107 (1960-62 - 100) si l'on tient compte*socio=rien des exportations*socio=ec de pétrole*socio=ec et de 118 si l'on ne tient pas compte*socio=rien des exportations*socio=ec de pétrole*socio=ec. Les causes*socio=rien de cette hausse*socio=rien sont les suivantes*socio=rien - la persistance*socio=rien de l'augmentation*socio=uv des prix*socio=ec de cacao*socio=ec qui dure déjà depuis quatre ans*socio=rien et qui, en 1969, a atteint un*socio=rien chiffre jamais enregistré pendant les années*socio=rien 1960 - la négociation*socio=uv de l'Accord*socio=et international*socio=te de 1968 sur*socio=rien le sucre*socio=ec qui est*socio=rien entré en vigueur*socio=uv en janvier*socio=rien 1969 - une augmentation*socio=uv des prix*socio=ec du*socio=rien café*socio=ec à partir *socio=rien du dernier trimestre*socio=te *socio=nil 1969 qu'il faut attribuer à des *socio=rien dommages importants *socio=nil causés par le gel*socio=et au Brésil*socio=ac; une reprise à court_terme*socio=ec des prix*socio=ec du*socio=rien caoutchouc*socio=ec et une montée en flèche des prix*socio=ec des métaux*socio=ec non ferreux*socio=ec qui s'expliquent surtout, dans les deux cas*socio=rien , par une forte*socio=rien augmentation*socio=uv de la demande*socio=ec. Les mouvements*socio=ec des cours*socio=rien des huiles végétales et des graines oléagineuses ont été*socio=rien très divergents*socio=uv - les cours*socio=rien ont augmenté pour les huiles fluides mais ils ont baissé pour les huiles à acide laurique (coprah et palmiste). L'indice a encore augmenté pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1970 (voir le *socio=rien Tableau du texte *socio=nil ci-dessous et le diagramme*socio=rien ci-dessus) *socio=rien du fait *socio=nil que les prix*socio=ec de certains produits*socio=rien continuaient à monter (notamment ceux du*socio=rien café*socio=ec, du*socio=rien cuivre*socio=ec, du*socio=rien plomb*socio=ec, de l'étain*socio=ec et des graisses et huiles végétales). Des facteurs*socio=rien économiques*socio=ec ont également contribué à la hausse*socio=rien des prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien en 1969 - on peut citer notamment l'augmentation*socio=uv générale*socio=rien des prix*socio=ec aux États-unis*socio=ac et la forte*socio=rien *socio=ec expansion économique en*socio=nil Europe*socio=ac *socio=nil et au Japon*socio=ac. Néanmoins, de nombreux*socio=rien pays*socio=ac n'ont pu bénéficier de ces hausses parce que le marché*socio=ec d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil produits *socio=nil qui ont une *socio=rien importance primordiale *socio=nil dans leur commerce*socio=ec a encore faibli. Les prix*socio=ec du*socio=rien riz*socio=ec s'amenuisent alors qu'ils avaient atteint des niveaux*socio=rien exceptionnellement élevés*socio=rien et ceux de la laine et des fibres*socio=ec dures sont particulièrement bas*socio=rien depuis quelque temps*socio=rien . Il y a maintenant dix ans*socio=rien que les prix*socio=ec *socio=rien du thé,*socio=nil du *socio=nil minerai de fer*socio=rien et du*socio=rien minerai de manganèse ne cessent de baisser; par contre les prix*socio=ec du*socio=rien coton*socio=ec, bien*socio=rien qu'ils restent inférieurs*socio=rien à ceux de 1968, ont été*socio=rien en général*socio=rien soutenus. Grâce*socio=rien au comportement*socio=rien des prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien en 1969 on à pu constater que se poursuivait le relèvement*socio=rien progressif*socio=uv des termes_de_l'_échange*socio=et des pays_en_voie_de_développement*socio=ac enregistré la plupart*socio=rien des années*socio=rien depuis 1962. Cette *socio=rien évolution favorable *socio=nil a eu des effets*socio=rien divers suivant*socio=rien les régions*socio=te *socio=rien du fait *socio=nil de la concentration*socio=rien géographique*socio=te des produits*socio=rien qui ont le plus contribué à l'augmentation*socio=uv des prix*socio=ec: le café*socio=ec, le cacao*socio=ec et les métaux*socio=ec non ferreux*socio=ec. C'est*socio=rien pourquoi les termes_de_l'_échange*socio=et se sont nettement améliorés pour l'amérique_latine*socio=ac et l'Afrique*socio=ac alors que la tendance*socio=rien de ceux de l'Asie*socio=ac, qui baisse*socio=rien depuis dix ans*socio=rien , n'a guère changé. La cause*socio=rien en est*socio=rien peut-être la baisse*socio=rien à long_terme*socio=ec des prix*socio=ec de produits*socio=rien comme le thé*socio=rien , le minerai de fer*socio=rien , et le minerai de manganèse. *socio=rien Tendances récentes *socio=nil de la croissance*socio=uv des pays_en_voie_de_développement*socio=ac. La croissance*socio=uv de l'économie*socio=ec dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac, mesurée en dollars*socio=ec courants*socio=rien , a été*socio=rien plus accentuée en 1969 qu'en 1968 et dans les années*socio=rien antérieures*socio=te, aussi bien*socio=rien en chiffres globaux*socio=ec que par habitant*socio=ac. Mais le développement*socio=uv, en *socio=rien termes réels,*socio=nil continue à*socio=nil être *socio=nil freiné par la *socio=rien hausse persistante des*socio=nil prix*socio=ec.*socio=nil Des*socio=nil statistiques provisoires *socio=nil et incomplètes portant sur*socio=rien soixante-quatorze pays*socio=ac indiquent pour 1969 un*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec de 6,7%, ce qui marque*socio=rien une amélioration*socio=uv sur*socio=rien le taux*socio=rien de 5,9% en 1968 et sur*socio=rien la moyenne*socio=rien de 5,1% enregistrée pour la période*socio=te 1961-1965. La croissance*socio=uv *socio=rien démographique annuelle *socio=nil se maintenant à 2,5%, on estime*socio=rien l'augmentation*socio=uv par habitant*socio=ac à 4,1% en 1969, contre des augmentations*socio=uv de 3,3% pendant l'année*socio=rien antérieure*socio=te et une moyenne*socio=rien de 2,5% sur*socio=rien la période*socio=te 1961-1965. Comme le *socio=rien niveau moyen des*socio=nil prix*socio=ec *socio=nil paraît, selon les estimations*socio=ec, avoir monté de près de 3% dans l'ensemble*socio=rien du*socio=rien monde*socio=te, la croissance_économique*socio=ec en *socio=rien termes réels *socio=nil n'a probablement pas dépassé 3,5 à 4% au total*socio=rien et a légèrement dépassé 1% par habitant*socio=ac. Les résultats*socio=rien sont meilleurs*socio=rien dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac que dans les pays_industrialisés*socio=ac où le taux_de_croissance*socio=ec du*socio=rien PIB*socio=ec en 1969, 4.9%, a *socio=rien été inférieur au*socio=nil taux *socio=nil de 5,4% obtenu en 1968 et à la moyenne*socio=rien de 5,1% sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien de la période*socio=te 1961-1965. Calculée par habitant*socio=ac, la croissance*socio=uv dans les pays_industrialisés*socio=ac a été*socio=rien à peu près la même que dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac, 4% en 1969, en *socio=rien baisse sur *socio=nil 1968, 4a%, mais sans grand*socio=rien changement*socio=uv par rapport*socio=rien aux années*socio=rien antérieures*socio=te. Ces tendances*socio=rien sont indiquées au Tableau*socio=rien 1 de l'Annexe*socio=rien . Comme par le passé*socio=rien , la croissance*socio=uv n'a pas été*socio=rien uniforme*socio=uv en 1969 et l'on constate de grandes*socio=rien différences*socio=uv entre les mouvements*socio=rien de l'économie*socio=ec et de la population*socio=ac selon les régions*socio=te. C'est*socio=rien dans les pays*socio=ac de l'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien que le taux_de_croissance*socio=ec a été*socio=rien le plus élevé*socio=rien - il a atteint 10% en 1969, alors que la moyenne*socio=rien dans ces pays*socio=ac avait été*socio=rien de 7,8% en 1968 et la *socio=rien moyenne annuelle *socio=nil pour la période*socio=te 1961 -1965 de 5 '5%. Malgré un*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec *socio=rien démographique supérieur *socio=nil à la moyenne*socio=rien (2,7%) c'est*socio=rien aussi en Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien que le taux_de_croissance*socio=ec du*socio=rien PIB*socio=ec par habitant*socio=ac a été*socio=rien le plus fort*socio=rien : 7,1% (4,9% en 1968 et une *socio=rien moyenne annuelle *socio=nil de 2,7% sur*socio=rien la période*socio=te 1961-1965). Le taux_de_croissance*socio=ec a également *socio=rien été élevé *socio=nil dans les économies*socio=ec du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac: 8,7% en chiffres globaux*socio=ec et 5,9% par habitant*socio=ac. Il y a là une baisse*socio=rien par rapport*socio=rien aux taux*socio=rien de 9,2% et de 6,3% atteints l'année*socio=rien précédente*socio=rien mais une nouvelle*socio=rien progression*socio=uv sur*socio=rien la moyenne*socio=rien 1961-1965 (7,4% et 4a%). Les économies*socio=ec des pays*socio=ac de l'Europe*socio=ac méridionale*socio=ac se sont redressées après*socio=rien la récession*socio=ec de 1967 /1968 et en 1969 le taux_de_croissance*socio=ec a été*socio=rien de 7,3% comme dans le monde_en_voie_de_développement*socio=te, c'est*socio=rien dans cette région*socio=te que la population*socio=ac a le moins augmenté (1,5%), leur taux_de_croissance*socio=ec par habitant*socio=ac (5,7%) a été*socio=rien relativement élevé*socio=rien . Dans les autres régions*socio=te, les taux_de_croissance*socio=ec sont les suivants*socio=rien : Hémisphère_occidental*socio=te, 6,4%; Asie_du_sud*socio=ac, 6,3%; Afrique*socio=ac 4,1%. Des taux_de_croissance*socio=ec *socio=rien démographique différents *socio=nil selon les régions*socio=te, allant d'un*socio=rien maximum*socio=rien de 3% dans l'Hémisphère_occidental*socio=te à *socio=rien un minimum *socio=nil de 2,4% en Afrique*socio=ac ont maintenu les taux_de_croissance*socio=ec par habitant*socio=ac à des niveaux*socio=rien relativement bas*socio=rien : 3,3% dans l'Hémisphère_occidental*socio=te, 3,7% en Asie_du_sud*socio=ac et 1,7% en Afrique*socio=ac. C'est*socio=rien l'activité*socio=rien industrielle*socio=ec qui entre pour la part*socio=rien de loin*socio=rien la plus forte*socio=rien dans la croissance_économique*socio=ec; l'agriculture*socio=ec se développe à *socio=rien un rythme plus*socio=nil lent.*socio=nil *socio=nil Si l'on tient compte*socio=rien des hausses des prix*socio=ec, il apparaît qu'en *socio=rien termes réels le*socio=nil PIB*socio=ec *socio=nil de certains pays*socio=ac a en fait*socio=rien diminué et que plusieurs autres nations*socio=te se sont à peine maintenues aux niveaux*socio=rien que leurs progrès*socio=uv antérieurs*socio=te leur avaient permis*socio=rien d'atteindre; mais, si l'on prend l'ensemble*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=ac, ces *socio=rien résultats décevants *socio=nil sont plus que compensés par l'expansion*socio=ec particulièrement rapide*socio=rien d'autres pays*socio=ac en 1969. Les flux*socio=ec de *socio=ec ressources financières extérieures*socio=te aux*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Depuis les *socio=rien premières années *socio=nil 1950, où pour la *socio=rien première fois *socio=nil on a commencé à réunir des *socio=rien statistiques globales,*socio=nil les*socio=nil flux*socio=ec des*socio=nil *socio=ec ressources financières *socio=nil apportées par les principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec aux*socio=nil pays_en_voie_de_développement *socio=nil et aux institutions_internationales*socio=et de développement*socio=uv ont généralement augmenté. Si d'une année*socio=rien à l'autre il y a eu parfois des diminutions*socio=rien , elles ont ordinairement été*socio=rien suivies d'une reprise rapide*socio=rien , si bien*socio=rien que la *socio=rien tendance est *socio=nil à une croissance*socio=uv à long_terme*socio=ec. La *socio=rien première année *socio=nil pour laquelle l'OCDE*socio=ac a préparé des statistiques*socio=rien détaillées sur*socio=rien les mouvements*socio=ec de l'aide*socio=uv et des capitaux*socio=ec est*socio=rien 1956. Depuis cette année*socio=rien les *socio=rien apports nets de*socio=nil *socio=ec ressources financières publiques*socio=et *socio=nil ont augmenté, passant de 3,3 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec à près de 7,3 milliards*socio=ec; la *socio=rien majeure partie *socio=nil de cette aide*socio=uv (c'est-à-dire plus de 90% la plupart*socio=rien des années*socio=rien ) est*socio=rien constituée par l' aide_publique_au_développement*socio=et. Les *socio=rien apports nets totaux de*socio=nil capitaux*socio=ec *socio=nil provenant de toutes les sources*socio=rien , publiques*socio=et et privées*socio=ec, ont plus que doublé, passant d'environ 6,1 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1956 à plus de 13 milliards*socio=ec en 1969, ce qui représente un*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec composé moyen*socio=rien d'environ 6% par an*socio=rien , légèrement inférieur*socio=rien au taux_de_croissance*socio=ec *socio=rien moyen du PNB*socio=ec des*socio=nil pays_membres*socio=ac du CAD*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Selon les estimations*socio=ec provisoires*socio=rien pour 1969, il semblerait que les flux*socio=ec totaux*socio=rien ont augmenté d'environ 100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien à 1968. Aussi bien*socio=rien la composition*socio=rien des *socio=rien apports totaux *socio=nil que leurs sources*socio=rien se sont beaucoup modifiés depuis 1956. Cette année*socio=rien là, et pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de la période*socio=te qui s'est*socio=rien écoulée depuis lors*socio=rien , les États-unis*socio=ac fournissaient environ la moitié*socio=rien des flux*socio=ec *socio=rien totaux nets *socio=nil enregistrés, le Royaume-uni*socio=ac environ 10% et la France*socio=ac de 15 à 20%. Depuis quelques années*socio=rien , et en particulier*socio=uv depuis 1966, le *socio=rien rôle relatif *socio=nil de ces grands*socio=rien *socio=ac pays donateurs *socio=nil a diminué. Si par le passé*socio=rien leurs contributions*socio=uv avaient représenté de 75 à 80% *socio=rien du total,*socio=nil *socio=nil elles sont tombées à environ 55% des flux*socio=ec *socio=rien totaux nets *socio=nil de tous les pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac, bien*socio=rien qu'en chiffres absolus*socio=rien les montants*socio=rien fournis par la France*socio=ac et les États-unis*socio=ac (jusqu'en 1969) aient continué à augmenter. La croissance*socio=uv générale*socio=rien des flux*socio=ec de ressources*socio=ec s'est*socio=rien maintenue grâce*socio=rien a une expansion*socio=ec rapide*socio=rien des exportations*socio=ec de capitaux*socio=ec d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre *socio=nil d'autres pays*socio=ac. Ceux qui ont apporté la contribution*socio=uv la plus forte*socio=rien en *socio=rien volume total *socio=nil sont le Japon*socio=ac et la République*socio=ac Fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac; le flux*socio=ec *socio=rien net total *socio=nil de ces deux pays*socio=ac *socio=rien ensemble est passé *socio=nil d'environ 550 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1956 à plus de 3,2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1969. On a enregistré des augmentations*socio=uv encore plus spectaculaires*socio=rien dans les apports*socio=rien de plusieurs petits*socio=rien pays*socio=ac d'Europe*socio=ac, à savoir*socio=rien : l'Autriche*socio=ac, le Danemark*socio=ac, la Norvège*socio=ac et la Suède*socio=ac. Les flux*socio=ec totaux*socio=rien de ces quatre pays*socio=ac ont atteint environ 520 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1969, c'est-à-dire qu'ils sont près de *socio=rien vingt fois supérieurs aux*socio=nil montants *socio=nil qu'ils avaient fournis en 1956, à savoir*socio=rien 28 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Pour l'essentiel*socio=uv cette augmentation*socio=uv a été*socio=rien le fait*socio=rien de décisions*socio=rien des gouvernements*socio=ac de ces pays*socio=ac qui accroissent leur aide*socio=uv aux pays_en_voie_de_développement*socio=ac. La composition*socio=rien des capitaux*socio=ec accordés aux pays_en_voie_de_développement*socio=ac et les conditions*socio=uv auxquelles ils leur sont fournis revêtent pour eux une *socio=rien importance primordiale.*socio=nil *socio=nil De 1956 jusqu'à 1964 inclus, les flux*socio=ec *socio=rien nets totaux de*socio=nil *socio=ec capitaux privés *socio=nil vers les pays_en_voie_de_développement*socio=ac et les institutions*socio=ac multilatérales*socio=te oscillaient aux alentours*socio=rien de 3 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par an*socio=rien , bien*socio=rien qu'ils aient atteint une pointe*socio=uv de 3,8 milliards*socio=ec en 1957 et soient retombés à environ 2,6 milliards*socio=ec en 1962-63. Pendant la *socio=rien majeure partie *socio=nil de cette même période*socio=te les flux*socio=ec totaux*socio=rien provenant de sources*socio=rien publiques*socio=et ont régulièrement augmenté, passant d'environ 3,3 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1956 à 6 milliards*socio=ec par an*socio=rien au début*socio=rien des années*socio=rien 1960 et ils se sont maintenus à peu près à ce niveau*socio=rien jusqu'en 1965. De ce fait*socio=rien , la *socio=rien part du secteur_privé*socio=ec *socio=nil dans le total*socio=rien de ces *socio=ec ressources financières est*socio=rien *socio=nil tombée de 50% en 1956 à quelque 30 à 35% pendant la période*socio=te 1962-64. On trouvera au Tableau*socio=rien 4 de l'Annexe*socio=rien certaines*socio=rien données sur*socio=rien les années*socio=rien plus récentes*socio=rien . Le flux*socio=ec net*socio=rien de ressources*socio=ec publiques*socio=et s'est*socio=rien remis à monter graduellement (d'environ 4% par an*socio=rien ) et les *socio=ec flux privés *socio=nil ont augmenté de près de 90% depuis 1964 et vont bientôt, à nouveau*socio=rien , atteindre le niveau*socio=rien de 50% *socio=rien du total.*socio=nil Les*socio=nil flux*socio=ec de*socio=nil *socio=ec capitaux privés *socio=nil vers les pays_en_voie_de_développement*socio=ac continuent à présenter une *socio=rien importance majeure.*socio=nil *socio=nil Ils consistent pour une *socio=rien grosse part en*socio=nil *socio=ec investissements directs.*socio=nil *socio=nil Pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de la décennie*socio=rien 1956-65, les *socio=ec investissements directs *socio=nil (parmi lesquels on compte*socio=rien les bénéfices*socio=ec réinvestis) ont représenté de 1,5 à 2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec chaque année*socio=rien , c'est-à-dire à peu près les deux *socio=rien tiers du total des*socio=nil apports privés*socio=ec.*socio=nil *socio=nil En 1965 l'investissement*socio=ec *socio=rien direct net *socio=nil a dépassé 2,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec et, *socio=rien après être *socio=nil retombé à environ 2,2 milliards*socio=ec en 1966-67, a presqu'atteint 3 milliards*socio=ec en 1968. Les estimations*socio=ec *socio=rien provisoires du secrétariat_de_l'_ocde*socio=ac *socio=nil indiquent que la valeur*socio=ec comptable*socio=rien cumulée *socio=rien du total des*socio=nil investissements_directs_étrangers*socio=ec *socio=nil dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac à la fin*socio=rien de 1966 se situait à environ 30 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Les *socio=rien apports supplémentaires nets *socio=nil depuis cette année*socio=rien là ont porté ce total*socio=rien à quelque 37 à 38 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec à la fin*socio=rien de 1969. Les flux*socio=ec en retour*socio=rien de fonds*socio=ec vers les pays*socio=ac développés*socio=rien au titre*socio=rien de ce montant*socio=ec substantiel*socio=rien d'investissements*socio=ec directs*socio=ec ont naturellement *socio=rien été considérables.*socio=nil Les*socio=nil comptes *socio=nil consolidés des balances_des_paiements*socio=ec des pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac font apparaître que dans la période*socio=te 196467 ces pays*socio=ac ont reçu, en moyenne*socio=rien , environ 5,8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec au titre*socio=rien des revenus*socio=ec de leurs investissements*socio=ec dans l'ensemble*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=ac. Sur*socio=rien ce total*socio=rien , à peu près 500 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par an*socio=rien étaient les intérêts*socio=ec de prêts*socio=ec publics*socio=et non amortis et un*socio=rien chiffre estimatif*socio=rien de 700 à 900 millions*socio=rien de dollars*socio=ec les intérêts*socio=ec sur*socio=rien les *socio=ec dettes privées à*socio=nil court*socio=rien et*socio=nil *socio=rien moyen termes.*socio=nil Le*socio=nil reste des*socio=nil recettes*socio=ec *socio=nil brutes, c'est-à-dire environ 4,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par an*socio=rien , représentent essentiellement les revenus*socio=ec des *socio=ec investissements directs.*socio=nil *socio=nil Selon les renseignements*socio=rien dont on dispose il semblerait qu'en moyenne*socio=rien 800 millions*socio=rien de dollars*socio=ec soient réinvestis chaque année*socio=rien , ce qui laisserait un*socio=rien chiffre net*socio=rien de revenus*socio=ec des *socio=ec investissements directs *socio=nil rapatriés d'à peu près 3,7 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par an*socio=rien , en moyenne*socio=rien . Pendant celle même période*socio=te 1964-67 les entrées nettes*socio=rien d'investissements*socio=ec directs*socio=ec dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac ont été*socio=rien , en moyenne*socio=rien , inférieures*socio=rien à 1,3 milliard*socio=rien par an*socio=rien . Il va sans dire qu'il faut tenir compte*socio=rien d'éléments*socio=rien autres que les seuls*socio=rien flux*socio=ec d'investissements*socio=ec dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac et les flux*socio=ec en retour*socio=rien des revenus*socio=ec. Sur*socio=rien ce total*socio=rien d'à peu près 30 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec d'investissements*socio=ec cumulés dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac à la fin*socio=rien de 1966, à peu près 14,5 milliards*socio=ec avaient été*socio=rien investis dans l'extraction*socio=rien du*socio=rien pétrole*socio=ec et autres produits*socio=rien miniers*socio=ec, secteurs*socio=ec qui de tradition*socio=uv attirent particulièrement les investisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv. Bien*socio=rien que l'on ne dispose pas de renseignements*socio=rien absolument concluants*socio=rien , il *socio=rien est probable *socio=nil que dans le cas*socio=rien de la plupart*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=ac une *socio=rien part substantielle *socio=nil de la production*socio=ec des investissements*socio=ec étrangers*socio=uv dans ces secteurs*socio=ec est*socio=rien exportée directement ou indirectement vers les régions*socio=te industrialisées - *socio=ac Europe Occidentale,*socio=nil amérique_du_nord et*socio=nil Japon.*socio=nil *socio=nil Il vaut donc la peine de noter qu'en cette même année*socio=rien 1966, les exportations*socio=ec des pays_en_voie_de_développement*socio=ac de quatre *socio=rien grands produits miniers*socio=ec *socio=nil seulement: le pétrole*socio=ec, le minerai de fer*socio=rien , la bauxite et le cuivre*socio=ec, se sont élevées*socio=rien à plus de 13,8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Les pays_en_voie_de_développement*socio=ac ont donc bénéficié des *socio=rien avantages supplémentaires *socio=nil que leur valait la croissance*socio=uv des *socio=ec investissements directs *socio=nil et qui sont le remplacement*socio=rien des importations*socio=ec, les transferts*socio=rien de techniques*socio=rien , la création_d'_emplois*socio=ec et les *socio=ec recettes fiscales.*socio=nil Il*socio=nil est*socio=rien plus*socio=nil difficile*socio=rien *socio=nil d'estimer les tendances*socio=rien des deux autres principaux*socio=rien types d'apports*socio=rien privés*socio=ec de capitaux*socio=ec. En 1969, les investissements_privés*socio=ec de portefeuille*socio=ec, aussi bien*socio=rien dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac que dans les institutions*socio=ac multilatérales*socio=te de développement*socio=uv, ont encore augmenté à partir d'un*socio=rien chiffre sans précédent*socio=rien atteint en 1968 qui dépassait 1,6 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec. Ce qui *socio=rien est surprenant est *socio=nil que cette hausse*socio=rien a eu lieu*socio=rien alors que le coût*socio=ec de l'argent*socio=ec augmente rapidement depuis quelques années*socio=rien . En même temps*socio=rien , bien*socio=rien que l'on prenne conscience*socio=uv de plus en plus des problèmes*socio=uv de dettes*socio=ec qui vont se poser dans les régions*socio=te en voie*socio=rien de développement*socio=uv, le *socio=rien troisième type de*socio=nil *socio=ec flux privés,*socio=nil *socio=nil c'est-à-dire les crédits*socio=ec à l'exportation*socio=ec, a continué à monter. D'un*socio=rien niveau*socio=rien d'environ 500 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par an*socio=rien en 1956-57, le flux*socio=ec total*socio=rien des crédits*socio=ec nets*socio=rien à l'exportation*socio=ec fournis par les pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac aux pays_en_voie_de_développement*socio=ac a triplé pour s'approcher de 1,6 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec en 1968 et a augmenté encore en 1969. Pendant les quelques années*socio=rien qui viennent de s'écouler les quatre cinquièmes*socio=rien environ des flux*socio=ec *socio=rien nets totaux *socio=nil qui ont été*socio=rien enregistrés, sont venus de l'Allemagne*socio=ac, de la France*socio=ac, de l'Italie*socio=ac, du*socio=rien Japon*socio=ac et du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac. Comme les services*socio=ec du*socio=rien FMI*socio=ac l'ont souligné dans une importante*socio=rien étude*socio=ac à ce sujet*socio=rien qui vient d'être*socio=rien publiée au début*socio=rien de cette *socio=rien année un certain nombre de*socio=nil facteurs *socio=nil expliquent cette montée régulière*socio=rien des *socio=ec crédits commerciaux *socio=nil accordés aux pays_en_voie_de_développement*socio=ac. Parmi les plus importants*socio=rien que cite le FMI*socio=ac on note la compétition*socio=uv toujours plus vive entre pays_industrialisés*socio=ac soucieux*socio=rien de trouver des débouchés*socio=ec à leurs exportations*socio=ec, le volume*socio=rien de plus en plus élevé*socio=rien des échanges*socio=ec mondiaux*socio=te, la demande*socio=ec croissante*socio=rien de biens*socio=ec d'équipement*socio=ec dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac (et il faut tenir compte*socio=rien aussi *socio=rien du fait *socio=nil que ces pays*socio=ac n'ont guère accès*socio=uv aux marchés_financiers*socio=ec internationaux*socio=te et que l' aide_au_développement*socio=uv qui leur est*socio=rien fournie prend très souvent la forme*socio=rien d'aide*socio=uv liée) et la libéralisation*socio=ec des politiques*socio=et de change*socio=rien , de crédit*socio=ec et d'assurance*socio=ec du*socio=rien crédit*socio=ec dans les pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac. On s'accorde moins, par contre, sur*socio=rien le rôle*socio=rien des *socio=ec crédits privés *socio=nil à l'exportation*socio=ec dans le financement*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv. D'une part*socio=rien , il semble que tout_le_monde*socio=ac pense que, lorsque les circonstances*socio=rien s'y prêtent, ces crédits*socio=ec augmentent sensiblement les ressources*socio=ec dont disposent les pays_en_voie_de_développement*socio=ac. Mais il ne faut pas oublier aussi que le recours*socio=rien à ce type*socio=rien de financement*socio=ec peut *socio=rien devenir excessif *socio=nil et mener un*socio=rien pays_en_voie_de_développement*socio=ac à succomber sous le poids*socio=rien de la dette*socio=ec. Bien*socio=rien que les apports*socio=rien de *socio=ec capitaux privés aux*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=ac *socio=nil ne cessent d'augmenter, les milieux*socio=rien internationaux*socio=te attachent traditionnellement une plus *socio=rien grande importance aux*socio=nil *socio=ec ressources financières *socio=nil fournies par des voies*socio=rien officielles*socio=et. En effet*socio=rien , ces flux*socio=ec de capitaux*socio=ec publics*socio=et ont toujours constitué une part*socio=rien plus grosse*socio=rien et davantage *socio=rien prévisible du volume total;*socio=nil *socio=nil ils sont plus directement orientés vers le développement*socio=uv et les conditions*socio=uv auxquelles ils sont offerts*socio=rien sont davantage fixées en fonction*socio=rien des politiques*socio=et d'aide*socio=uv. au développement*socio=uv qu'appliquent les *socio=ac pays donateurs *socio=nil et les institutions_internationales*socio=et de développement*socio=uv. Les flux*socio=ec nets*socio=rien de capitaux*socio=ec publics*socio=et fournis par l'ensemble*socio=rien des pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac ont augmenté en moyenne*socio=rien d'environ 4% par an*socio=rien depuis 1964 (les données de base*socio=rien sont indiquées au Tableau*socio=rien 4 de l'Annexe*socio=rien ). Ce taux_de_croissance*socio=ec *socio=rien est inférieur *socio=nil à celui du*socio=rien PNB*socio=ec global*socio=rien aux prix*socio=ec courants*socio=rien de ces pays*socio=ac pendant la période*socio=te, si bien*socio=rien que les flux*socio=ec nets*socio=rien de capitaux*socio=ec publics*socio=et en *socio=rien pourcentage du PNB*socio=ec *socio=nil sont tombés de 0,49% en 1964 à un*socio=rien chiffre estimatif*socio=rien de 0,39% en 1969. L'importance*socio=rien de cette baisse*socio=rien , apparemment assez petite*socio=rien , *socio=rien du ratio *socio=nil de ces flux*socio=ec au PNB*socio=ec des pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac apparaît plus nettement lorsque l'on considère ce que cette baisse*socio=rien représente en chiffres absolus*socio=rien . Si le niveau*socio=rien de O,49% s'était maintenu pendant toute la période*socio=te, près de 3,9 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec auraient été*socio=rien ajoutés aux flux*socio=ec nets*socio=rien de capitaux*socio=ec publics*socio=et entre 1964 et 1970, dont 1,8 milliard*socio=rien pour la *socio=rien seule année *socio=nil 1969. La *socio=rien majeure partie des*socio=nil apports nets de*socio=nil capitaux*socio=ec publics*socio=et est *socio=nil constituée par l'aide_publique_au_développement*socio=et que le CAD*socio=ac définit*socio=rien comme étant un*socio=rien financement*socio=ec destiné au *socio=rien premier chef *socio=nil à favoriser le développement_économique*socio=ec et le bien-être_social*socio=et des pays_en_voie_de_développement*socio=ac à des conditions*socio=uv qui doivent *socio=rien être favorables.*socio=nil *socio=nil (Pour le reste*socio=rien ces flux*socio=ec consistent en exportations*socio=ec financées par l'État*socio=ac donateur*socio=ac et en achats*socio=ec de *socio=ec valeurs mobilières placées*socio=nil sur*socio=rien le*socio=nil marché *socio=nil par des institutions_internationales*socio=et aux conditions*socio=uv du*socio=rien commerce*socio=ec). Comme il est*socio=rien indiqué au Tableau*socio=rien 4 de l'Annexe*socio=rien , les flux*socio=ec d'aide_publique_au_développement*socio=et ont aussi baissé par rapport*socio=rien au PNB*socio=ec des pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac et, peut-être même, dans de plus *socio=rien fortes proportions *socio=nil que les flux*socio=ec nets*socio=rien de capitaux*socio=ec publics*socio=et. Les dons*socio=ec, et contributions*socio=uv assimilables à des dons*socio=ec, ont constitué de loin*socio=rien la part*socio=rien la plus *socio=rien forte du total des*socio=nil apports de*socio=nil capitaux*socio=ec publics*socio=et.*socio=nil *socio=nil A partir de 1956 jusqu'au début*socio=rien des années*socio=rien 1960, cette proportion*socio=rien a chaque *socio=rien année été rarement*socio=nil inférieure *socio=nil (et souvent nettement supérieure*socio=rien ) aux trois quarts*socio=rien des *socio=rien apports totaux de*socio=nil capitaux*socio=ec publics*socio=et.*socio=nil *socio=nil Mais depuis quelques années*socio=rien les dons*socio=ec baissent régulièrement en proportion*socio=rien des flux*socio=ec publics*socio=et, si bien*socio=rien qu'en 1968 ils ont constitué un*socio=rien peu plus de 50% *socio=rien du total.*socio=nil *socio=nil Ce qui a le plus contribué à cette *socio=rien baisse est la*socio=nil *socio=uv réduction progressive des*socio=nil prêts*socio=ec remboursables*socio=rien en*socio=nil monnaie*socio=ec du*socio=rien *socio=ac pays emprunteur *socio=nil (que l'on classe*socio=rien dans la catégorie*socio=rien des apports*socio=rien de capitaux*socio=ec assimilables à des dons*socio=ec) fournis par les États-unis*socio=ac; de fait*socio=rien les prêts*socio=ec de ce genre*socio=rien doivent être*socio=rien entièrement supprimés à la fin*socio=rien dé 1971. Les dons*socio=ec bilatéraux*socio=te ont encore diminué en 1969, mais les contributions*socio=uv aux organismes*socio=ac multilatéraux*socio=te ont beaucoup monté; de ce fait*socio=rien la part*socio=rien des dons*socio=ec et apports*socio=rien assimilables à des dons*socio=ec dans le *socio=rien total net est revenu*socio=ec *socio=nil à peu près au niveau*socio=rien de 1964-66. Si les flux*socio=ec de dons*socio=ec ont ainsi été*socio=rien irréguliers, le volume*socio=rien des prêts*socio=ec fournis par des gouvernements*socio=ac - ce qui est*socio=rien l'autre élément*socio=rien des apports*socio=rien publics*socio=et totaux*socio=rien - a généralement monté non seulement en proportion*socio=rien mais aussi en chiffres absolus*socio=rien . Les indicateurs*socio=ec sur*socio=rien les conditions*socio=uv des engagements*socio=ec qui sont fournis au Tableau*socio=rien 4 de l'Annexe*socio=rien en témoignent*socio=rien . Malgré les efforts*socio=uv faits*socio=rien par la plupart*socio=rien des pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac, les conditions*socio=uv des nouveaux*socio=rien engagements*socio=ec de prêts*socio=ec, dans leur ensemble*socio=rien , ne se sont guère améliorées. Bien*socio=rien qu'il y ait eu d'une *socio=rien année sur *socio=nil l'autre des fluctuations*socio=uv dans la *socio=rien durée moyenne des*socio=nil échéances*socio=te *socio=nil et de la période*socio=te de grâce*socio=rien ainsi que dans le taux_d'_intérêt*socio=ec des prêts*socio=ec publics*socio=et, l'élément*socio=rien don*socio=ec dans le total*socio=rien des prêts*socio=ec publics*socio=et a varié dans une marge assez étroite*socio=rien aux alentours*socio=rien de 50%. L'effet*socio=rien combiné de ces divers indicateurs*socio=ec apparaît peut-être le mieux dans les données sur*socio=rien l'élément*socio=rien don*socio=ec dans le total*socio=rien des engagements*socio=ec publics*socio=et, c'est-à-dire prêts*socio=ec et dons*socio=ec combinés. *socio=rien Après être *socio=nil resté assez stable*socio=uv aux alentours*socio=rien de 1965, l'élément*socio=rien don*socio=ec de ces engagements*socio=ec, y compris les dons*socio=ec, a baissé d'environ 80% en 1964-66 à quelque 75% en 1968. La reprise apparente de la part*socio=rien de l'élément*socio=rien don*socio=ec, enregistrée en 1969, est*socio=rien , rappelons le, le résultat*socio=rien d'une hausse*socio=rien des contributions*socio=uv aux institutions*socio=ac multilatérales*socio=te. Si l'on analyse*socio=rien comment ont évolué ces *socio=rien dernières années le*socio=nil volume,*socio=nil la*socio=nil composition *socio=nil et les conditions*socio=uv des flux*socio=ec de *socio=ec ressources financières aux*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil perspectives*socio=uv de*socio=nil financement *socio=rien global du développement*socio=uv *socio=nil dans l'immédiat*socio=rien n'apparaissent pas très nettement. Les investissements_directs_étrangers*socio=ec et le financement*socio=ec des exportations*socio=ec par le secteur_privé*socio=ec ont continué à augmenter rapidement, ce qui est*socio=rien une *socio=rien conséquence naturelle du développement_économique*socio=ec *socio=nil et de la croissance*socio=uv des *socio=ec échanges commerciaux des*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=ac.*socio=nil Bien*socio=rien *socio=nil que le *socio=ec financement extérieur *socio=nil à des conditions*socio=uv favorables*socio=rien par des sources*socio=rien publiques*socio=et, tant bilatérales*socio=te que multilatérales*socio=te, ait augmenté en chiffres absolus*socio=rien , son rythme*socio=rien de croissance*socio=uv a été*socio=rien plus lent*socio=rien que l'expansion*socio=ec économique*socio=ec des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec.*socio=nil *socio=nil De plus, l'élément*socio=rien don*socio=ec dans le total*socio=rien des engagements*socio=ec publics*socio=et ne semble pas devoir*socio=rien augmenter sensiblement. A l'heure*socio=rien *socio=rien actuelle rien *socio=nil ne semble indiquer que ces tendances*socio=rien doivent se renverser dans l'avenir*socio=te immédiat*socio=rien . La dette*socio=ec extérieure*socio=te des pays_en_voie_de_développement*socio=ac. Les Statuts*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac stipulent que lorsqu'elle accorde ou garantit un*socio=rien prêt*socio=ec la Banque*socio=ac tiendra dûment compte*socio=rien de la possibilité*socio=rien qu'à l'emprunteur*socio=ac (ou le garant) de s'acquitter de ses obligations*socio=uv au *socio=rien titre du prêt*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Dès que la Banque*socio=ac a commencé ses opérations*socio=rien de prêt*socio=ec, les emprunteurs*socio=ac éventuels*socio=rien ont été*socio=rien tenus de lui fournir des renseignements*socio=rien assez *socio=rien complets sur leur*socio=nil situation*socio=uv *socio=nil et, notamment, leur dette*socio=ec extérieure*socio=te. Afin d'obtenir*socio=rien plus facilement des *socio=rien rapports réguliers la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a mis au point*socio=rien , au cours*socio=rien des années*socio=rien , *socio=rien un système relativement*socio=nil simple mais*socio=nil efficace*socio=uv de*socio=nil recueil *socio=nil et d'analyse*socio=rien des *socio=rien renseignements sur la*socio=nil dette*socio=ec extérieure*socio=te *socio=nil et les mouvements*socio=ec de capitaux*socio=ec. La Banque*socio=ac doit procéder à des analyses*socio=rien économiques*socio=ec de plus en plus nombreuses*socio=rien et elle a pour ce faire augmenté le nombre*socio=rien des services*socio=ec capables*socio=rien de s'en acquitter mais en même temps*socio=rien les besoins*socio=uv de rassemblement*socio=rien et de traitement*socio=rien des statistiques*socio=rien dans le cadre*socio=rien de ce système*socio=rien se sont accrus très rapidement. Si des progrès*socio=uv considérables*socio=rien ont été*socio=rien réalisés il faudra néanmoins poursuivre des efforts*socio=uv vigoureux*socio=rien pour développer le rassemblement*socio=rien de données qui couvriront systématiquement tous les *socio=rien renseignements pertinents sur la*socio=nil dette*socio=ec *socio=nil et les flux*socio=ec de capitaux*socio=ec. Le total*socio=rien de la dette_publique*socio=et extérieure*socio=te des pays_en_voie_de_développement*socio=ac, non amortie à la fin*socio=rien de 1968, s'élevait à environ 53,4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, dont les trois quarts*socio=rien à peu près avaient été*socio=rien décaissés (Voir le Tableau*socio=rien 5 de l'Annexe*socio=rien ). Il a donc augmenté de plus de 5,4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien aux 47,9 milliards*socio=ec enregistrés à la fin*socio=rien de 1967 - ainsi se poursuit la *socio=rien hausse constante *socio=nil qui se manifeste depuis l'époque*socio=rien où des renseignements*socio=rien ont commencé à être*socio=rien recueillis il y a environ quinze ans*socio=rien . Sur*socio=rien les dix années*socio=rien qui viennent de s'écouler, le total*socio=rien non amorti de la dette_publique*socio=et extérieure*socio=te a augmenté au taux*socio=rien composé moyen*socio=rien de près de 15% par an*socio=rien . De ce fait*socio=rien la dette*socio=ec totale*socio=rien en cours*socio=rien a doublé tous les *socio=rien cinq ans *socio=nil depuis 1955. Selon des estimations*socio=ec provisoires*socio=rien , les pays_en_voie_de_développement*socio=ac ont, l'année*socio=rien dernière*socio=rien , augmenté leur dette_publique*socio=et extérieure*socio=te de 6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec de plus. Il semblerait donc que le total*socio=rien atteignait près de 60 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec à la fin*socio=rien de 1969, c'est-à-dire qu'il a grosso modo doublé depuis la fin*socio=rien de 1964. Le service_de_la_dette*socio=et totale*socio=rien , qui comprend l'amortissement*socio=ec du*socio=rien principal*socio=ec et les paiements*socio=ec de l'intérêt*socio=ec, a augmenté presque aussi rapidement que la dette*socio=ec en cours*socio=rien . En 1968 le service_de_la_dette*socio=et totale*socio=rien a atteint près de 4,7 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par an*socio=rien , soit une augmentation*socio=uv de plus de 12% par rapport*socio=rien au chiffre de 1967 qui était proche de 4,2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Pendant les dix années*socio=rien qui viennent de s'écouler, le taux_de_croissance*socio=ec aussi bien*socio=rien de la dette*socio=ec en cours*socio=rien que des paiements*socio=ec au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et,*socio=nil *socio=nil était à peu près deux fois*socio=rien plus élevé*socio=rien que le taux_de_croissance*socio=ec des recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec des pays_en_voie_de_développement*socio=ac et près du*socio=rien triple du*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec de leur produit_intérieur_brut*socio=ec combiné. Il vaut la peine de souligner que des agrégats*socio=ec tels que ceux-ci masquent des écarts*socio=rien assez marqués entre les divers pays_en_voie_de_développement*socio=ac, notamment dans les *socio=rien proportions respectives des*socio=nil dettes*socio=ec à*socio=nil long *socio=nil et à court_terme*socio=ec et dans l'aptitude*socio=rien à assurer le service_de_la_dette*socio=et (voir, ci-après page*socio=rien 60). Dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, ces *socio=rien dernières années,*socio=nil le*socio=nil gouvernement*socio=ac *socio=nil a pu maintenir la dette*socio=ec extérieure*socio=te à des *socio=rien proportions acceptables,*socio=nil *socio=nil mais pour *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'entre eux des problèmes*socio=uv se sont posés. Lorsqu'elle analyse*socio=rien les perspectives*socio=uv économiques*socio=ec et la solvabilité*socio=ec de ses pays_membres*socio=ac, la Banque*socio=ac étudie séparément*socio=rien la situation*socio=uv de chaque pays*socio=ac, compte*socio=rien tenu de son activité*socio=rien économique*socio=ec intérieure*socio=rien et internationale*socio=te. Néanmoins, des données globales*socio=rien , lorsqu'elles sont mises en regard*socio=rien des *socio=rien tendances générales *socio=nil de la croissance_économique*socio=ec, des recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec, des mouvements*socio=ec de capitaux*socio=ec et des conditions*socio=uv de l'aide*socio=uv, fournissent une base*socio=rien de référence*socio=rien utile*socio=uv pour analyser les problèmes*socio=uv de la dette*socio=ec et la manière*socio=rien dont les gouvernements*socio=ac la gèrent. D'une *socio=rien façon générale la*socio=nil dette*socio=ec globale,*socio=nil ces*socio=nil dernières années,*socio=nil *socio=nil a évolué à peu près comme on pouvait s'y attendre. Le développement_économique*socio=ec exige des investissements*socio=ec en biens*socio=ec d'équipement*socio=ec et en ressources_humaines*socio=ec; comme ce fut le cas*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien grand nombre des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac au*socio=nil début *socio=nil de la croissance*socio=uv de leur économie*socio=ec, une *socio=rien grande part *socio=nil de la demande*socio=ec de *socio=ec ressources financières *socio=nil dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac est*socio=rien aujourd'hui satisfaite au moyen*socio=rien de capitaux*socio=ec venus de l'extérieur*socio=ec. Jusqu'au moment*socio=rien où au moins certains des pays_en_voie_de_développement*socio=ac qui ont le plus progressé atteindront un*socio=rien stade*socio=te de développement*socio=uv où eux-mêmes deviendront exportateurs*socio=ac nets*socio=rien de capitaux*socio=ec, il *socio=rien est vraisemblable *socio=nil que la dette*socio=ec extérieure*socio=te, et donc bien*socio=rien entendu le service_de_la_dette*socio=et, continueront à augmenter. On peut se demander si la dette*socio=ec et le service_de_la_dette*socio=et peuvent continuer à s'accroître aussi rapidement que pendant les dix *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil particulièrement dans les pays*socio=ac qui ont déjà à s'acquitter d'obligations*socio=uv extérieures*socio=te relativement lourdes - la réponse*socio=rien dépend essentiellement des mesures*socio=rien que prendront ces pays*socio=ac pour gérer raisonnablement cette dette*socio=ec croissante*socio=rien et de la manière*socio=rien dont leur économie*socio=ec progressera. Le Tableau*socio=rien 5 de l'Annexe*socio=rien présente*socio=rien également des chiffres sur*socio=rien la dette*socio=ec en cours*socio=rien et sur*socio=rien le service_de_la_dette*socio=et ventilés par grandes*socio=rien régions*socio=te. Il convient de souligner que toute conclusion*socio=rien que l'on pourrait tirer des différences*socio=uv régionales*socio=te que ces chiffres font apparaître devrait être*socio=rien fondée sur*socio=rien une évaluation*socio=uv systématique*socio=rien des *socio=rien nombreux facteurs *socio=nil qui peuvent en être*socio=rien la cause*socio=rien . Les explications*socio=rien de ces différences*socio=uv ne viennent pas uniquement*socio=rien d'un*socio=rien calcul*socio=rien arithmétique *socio=rien du volume *socio=nil et des conditions*socio=uv des prêts*socio=ec. Les diverses*socio=rien régions*socio=te sur*socio=rien lesquelles portent les statistiques*socio=rien diffèrent beaucoup, qu'il s'agisse du*socio=rien stade*socio=te et *socio=rien du niveau *socio=nil de leur développement_économique*socio=ec et de leur industrialisation*socio=ec, de l'attrait*socio=rien relatif*socio=rien qu'y trouvent les investisseurs*socio=ac extérieurs*socio=te, de leur *socio=ec rendement économique intérieur*socio=rien *socio=nil , etc. Il faudrait donc tenir compte*socio=rien de tous ces facteurs*socio=rien pour donner une *socio=rien explication raisonnable et*socio=nil satisfaisante des*socio=nil écarts régionaux*socio=te *socio=nil quant au niveau*socio=rien de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et, ce qui permettrait des *socio=rien comparaisons valables *socio=nil entre les régions*socio=te et aussi des comparaisons*socio=rien des situations*socio=uv très hétérogènes de pays*socio=ac à pays*socio=ac à l'intérieur*socio=rien de ces régions*socio=te. L'examen*socio=rien qui va suivre n'essaie pas de servir de base*socio=rien à cette *socio=rien analyse systématique *socio=nil mais seulement à fournir des renseignements*socio=rien documentés sur*socio=rien l'incidence*socio=rien régionale*socio=te de la dette*socio=ec actuelle*socio=rien et sur*socio=rien le service*socio=ec auquel elle donnera lieu*socio=rien . Les données qui figurent au Tableau*socio=rien 5 de l'Annexe*socio=rien font ressortir les tendances*socio=rien qui se manifestent depuis les *socio=rien premières années *socio=nil 1960. Aussi bien*socio=rien la dette*socio=ec en cours*socio=rien que le service_de_la_dette*socio=et des pays*socio=ac de l' Hémisphère_occidental*socio=te ont doublé depuis 1960. C'est*socio=rien cette région*socio=te qui supporte la plus *socio=rien grosse part *socio=nil de la dette*socio=ec en cours*socio=rien , c'est-à-dire plus de 31% *socio=rien du total général.*socio=nil Les*socio=nil paiements*socio=ec *socio=nil en 1968 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et *socio=nil de cette région*socio=te ont constitué une part*socio=rien encore plus *socio=rien grande du total *socio=nil de l'année*socio=rien , c'est-à-dire près de la moitié*socio=rien . Les pays*socio=ac de l'Asie_du_sud*socio=ac, principalement l'Inde*socio=ac et le Pakistan*socio=ac, entraient pour près de 23% dans le total*socio=rien de la dette*socio=ec en cours*socio=rien à la fin*socio=rien de 1968 mais le service*socio=ec de leur dette*socio=ec ne représentait que 12% environ *socio=rien du total,*socio=nil *socio=nil la même année*socio=rien . La dette*socio=ec en cours*socio=rien de ces pays*socio=ac a plus que triplé depuis 1960 mais les paiements*socio=ec au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et *socio=nil en 1968 étaient à peine supérieurs*socio=rien au *socio=rien double du niveau *socio=nil enregistré au commencement*socio=rien de la décennie*socio=rien . Le service_de_la_dette*socio=et par région*socio=te qui figure au Tableau*socio=rien 10 de l'Annexe*socio=rien est*socio=rien ventilé par *socio=rien principales catégories de*socio=nil créditeurs*socio=ac *socio=nil de 1965 à 1968 et il indique quels seront les paiements*socio=ec jusqu'en 1980 au titre*socio=rien de la dette*socio=ec en cours*socio=rien au 31 décembre*socio=rien 1968. Dans ce Tableau*socio=rien le service_de_la_dette*socio=et au *socio=rien titre du financement*socio=ec des*socio=nil exportations*socio=ec *socio=nil consiste en versements*socio=ec d'amortissement*socio=ec et d'intérêt*socio=ec pour les crédits*socio=ec fournisseurs*socio=ac et les prêts*socio=ec de banques*socio=ac et autres établissements*socio=rien *socio=ec financiers privés.*socio=nil Les*socio=nil versements *socio=nil aux autres créanciers*socio=ac privés*socio=ec sont au *socio=rien premier chef l'*socio=nil intérêt*socio=ec *socio=nil et l'amortissement*socio=ec d'obligations*socio=uv et de la dette*socio=ec consolidée provenant de la nationalisation*socio=et de *socio=ec biens privés.*socio=nil Les*socio=nil catégories*socio=rien *socio=nil de la dette_publique*socio=et s'expliquent d'elles-mêmes. Dans l'Hémisphère_occidental*socio=te, les paiements*socio=ec au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et en*socio=nil cours *socio=nil due à des prêteurs*socio=ac privés*socio=ec au 31 décembre*socio=rien 1968 baissent rapidement pendant les quelques années*socio=rien qui suivent et en 1980 ils seront tombés à moins de 10% de leur niveau*socio=rien de 1968. Au contraire*socio=rien le service_de_la_dette*socio=et aux créanciers*socio=ac publics*socio=et à la fin*socio=rien de la période*socio=te se maintiendra à 60% *socio=rien du niveau *socio=nil de 1968. En Asie_du_sud*socio=ac, si le service_de_la_dette*socio=et privée*socio=ec en cours*socio=rien à la fin*socio=rien de 1968 disparaît presque en 1980, par contre les versements*socio=ec aux créanciers*socio=ac publics*socio=et seront alors plus élevés*socio=rien qu'ils n'étaient en 1968. Les versements*socio=ec aux gouvernements*socio=ac au titre*socio=rien de la dette*socio=ec actuelle*socio=rien continueront à monter après*socio=rien 1968 pendant sept années*socio=rien et ne commenceront à diminuer qu'en 1976 pour rester en 1980 à un*socio=rien montant*socio=ec supérieur*socio=rien de 16% à celui de 1968. De même les échéanciers de la dette*socio=ec pour l'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien montrent que même après*socio=rien onze années*socio=rien les versements*socio=ec au litre du*socio=rien service_de_la_dette_publique*socio=et actuelle*socio=rien seront pour les pays*socio=ac de cette région*socio=te plus élevés*socio=rien qu'au début*socio=rien de la période*socio=te de projection*socio=rien . En 1968, un*socio=rien peu plus de la *socio=rien moitié du service_de_la_dette_publique*socio=et *socio=nil ou garantie par l'État*socio=ac des pays_en_voie_de_développement*socio=ac allait à des créanciers*socio=ac privés*socio=ec bien*socio=rien qu'un*socio=rien quart*socio=rien seulement de la dette*socio=ec totale*socio=rien en cours*socio=rien eût été*socio=rien fourni par le secteur_privé*socio=ec. En 1980, le service_de_la_dette*socio=et actuelle*socio=rien aux créanciers*socio=ac privés*socio=ec aura diminué comme cela semble normal*socio=rien - elle ne représentera qu'environ 15% *socio=rien du total *socio=nil dû cette année*socio=rien là. Mais le service_de_la_dette*socio=et en cours*socio=rien à la fin*socio=rien de 1968 envers les États*socio=ac et les institutions_internationales*socio=et de prêt*socio=ec n'aura baissé que d'environ 20%. Comme on pouvait s'y attendre, la dette*socio=ec en cours*socio=rien des régions*socio=te en voie*socio=rien de développement*socio=uv se trouve concentrée dans *socio=rien un nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil relativement restreint. Sur*socio=rien les quatre-vingt un*socio=rien pays*socio=ac qui figurent au Tableau*socio=rien 5, de l'Annexe*socio=rien , les trois *socio=rien quarts du montant*socio=ec *socio=nil non amorti à la fin*socio=rien de 1968 incombaient à dix-neuf pays*socio=ac seulement. La moitié*socio=rien de la dette*socio=ec totale*socio=rien était due par huit pays*socio=ac seulement (qui représentent également un*socio=rien peu plus de la *socio=rien moitié du PNB*socio=ec total des*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=ac)*socio=nil *socio=nil . Les détails*socio=rien de la dette*socio=ec en cours*socio=rien par catégorie*socio=rien pour ces pays*socio=ac et les autres nations*socio=te qui sont englobées dans le total*socio=rien sont donnés au Tableau*socio=rien 6 de l'Annexe*socio=rien . A partir de 1960, huit pays_en_voie_de_développement*socio=ac avaient négocie quinze opérations*socio=rien de réaménagement*socio=et de la dette*socio=ec multilatérale*socio=te, ces opérations*socio=rien ont consisté en la consolidation*socio=rien et l'aménagement*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien nouveau calendrier de*socio=nil remboursement*socio=ec de*socio=nil prêts*socio=ec représentant un *socio=nil peu plus de 3 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec de dette*socio=ec décaissée et non amortie. Jusqu'en 1965, les réaménagements multilatéraux*socio=te de la dette*socio=ec portaient presque exclusivement sur*socio=rien les crédits*socio=ec de fournisseurs*socio=ac privés*socio=ec et dans presque tous les cas*socio=rien depuis 1956 les *socio=ec crédits commerciaux *socio=nil constituaient une *socio=rien grosse part *socio=nil de la dette*socio=ec. A partir *socio=rien du milieu des*socio=nil années *socio=nil 1960, il a fallu modifier le calendrier*socio=rien de remboursement*socio=ec de la dette_publique*socio=et aussi bien*socio=rien que privée*socio=ec. En avril*socio=rien de la *socio=rien présente année,*socio=nil un certain nombre de*socio=nil *socio=ac pays donateurs *socio=nil ont conclu un*socio=rien accord*socio=et avec l'Indonésie*socio=ac qui la fait*socio=rien bénéficier d'un*socio=rien allégement*socio=ec important*socio=rien et à long_terme*socio=ec de la dette*socio=ec. Il a été*socio=rien décidé de réaménager le calendrier*socio=rien des versements*socio=ec de près de 900 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de la dette*socio=ec extérieure*socio=te non amortie de l'Indonésie*socio=ac au 1,r juillet*socio=rien 1966. Le principal*socio=ec sera remboursé en tranches égales*socio=uv pendant trente années*socio=rien à partir de 1970. Aucun nouvel*socio=rien intérêt*socio=ec ne sera versé pendant la période*socio=te de moratoire sur*socio=rien les paiements*socio=ec réaménagés du*socio=rien principal*socio=ec et l'intérêt*socio=ec de la dette*socio=ec ne sera pas payé avant la seconde moitié*socio=rien de la période*socio=te de remboursement*socio=ec. Cet accord*socio=et a été*socio=rien encore assoupli par une clause*socio=et qui prévoit un*socio=rien allégement*socio=ec supplémentaire*socio=rien ; l'Indonésie*socio=ac peut, si elle en décide ainsi, différer une partie*socio=rien des remboursements*socio=ec de principal*socio=ec dus pendant les huit *socio=rien premières années.*socio=nil *socio=nil Il a été*socio=rien prévu également que *socio=rien certaines modifications *socio=nil limitées pourront être*socio=rien apportées à ces arrangements*socio=et à n'importe quel *socio=rien moment après *socio=nil 1980 si la situation*socio=uv économique*socio=ec de l'Indonésie*socio=ac l'exige. Cet accord*socio=et améliorera la structure*socio=ec actuelle*socio=rien de la dette*socio=ec extérieure*socio=te de l'Indonésie*socio=ac ce qui lui facilitera une planification*socio=et rationnelle*socio=uv de son redressement*socio=uv économique*socio=ec, et de sa croissance*socio=uv sur*socio=rien la longue*socio=rien période*socio=te. Il faut noter toutefois que cet accord*socio=et ne vaut que pour l'Indonésie*socio=ac et on ne saurait le considérer comme *socio=rien un précédent *socio=nil qui pourrait être*socio=rien généralisé. L'économie*socio=ec de l'Indonésie*socio=ac était au plus *socio=rien bas après une*socio=nil longue période*socio=te de*socio=nil graves difficultés politiques*socio=et et*socio=nil économiques*socio=ec *socio=nil et il fallait prendre des mesures*socio=rien exceptionnelles*socio=uv pour la reconstruction*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac -une fois*socio=rien entreprise*socio=ac avec détermination*socio=rien elle doit pouvoir*socio=et donner des *socio=rien résultats fructueux.*socio=nil Les*socio=nil arrangements*socio=et officiels allégement*socio=ec *socio=nil de la dette*socio=ec multilatérale*socio=te ne sont pas, bien*socio=rien entendu, la *socio=rien seule manière *socio=nil de résoudre ces problèmes*socio=uv. *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil débiteurs*socio=ac *socio=nil ont obtenu des accords*socio=et bilatéraux*socio=te qui comportent un*socio=rien remaniement *socio=rien du calendrier *socio=nil ou une récapitalisation du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et due aux créanciers*socio=ac publics*socio=et et aux créanciers*socio=ac privés*socio=ec bénéficiant d'une garantie de l'État*socio=ac. Depuis quelques années*socio=rien certains arrangements*socio=et ont aussi été*socio=rien conclus pour consolider ou récapitaliser la dette*socio=ec à court_terme*socio=ec et les arriérés de *socio=ec paiements commerciaux.*socio=nil *socio=nil Il s'agit là évidemment d'un*socio=rien allégement*socio=ec de la dette*socio=ec à court_terme*socio=ec mais qui a aussi pour résultat*socio=rien d'augmenter la dette*socio=ec à long_terme*socio=ec non amortie si les conditions*socio=uv de l'engagement*socio=ec prévoient que la période*socio=te de remboursement*socio=ec est*socio=rien prolongée de plus d'une année*socio=rien . La possibilité*socio=rien pour un*socio=rien pays*socio=ac d'assurer le service_de_la_dette*socio=et dépend de sa situation*socio=uv économique*socio=ec générale*socio=rien et notamment de sa position*socio=rien commerciale*socio=ec et financière*socio=ec sur*socio=rien les marchés*socio=ec internationaux*socio=te. Cette capacité*socio=rien de service_de_la_dette*socio=et *socio=rien est fonction *socio=nil notamment de l'aptitude*socio=rien qu'a ce pays*socio=ac à épargner, à appliquer des politiques*socio=et fiscales*socio=ec et monétaires*socio=ec rationnelles*socio=uv et à gagner par ses exportations*socio=ec de biens*socio=ec et de services*socio=ec les devises*socio=ec nécessaires*socio=rien pour faire face*socio=rien à ses besoins*socio=uv d'importation*socio=ec et à ses obligations*socio=uv financières*socio=ec extérieures*socio=te tout en constituant des réserves*socio=ec suffisantes*socio=rien . Les analyses*socio=rien de l'économie*socio=ec des pays*socio=ac auxquelles la banque_mondiale*socio=ac procède régulièrement tiennent normalement compte*socio=rien d'une *socio=rien grande partie *socio=nil de ces facteurs*socio=rien , en même temps*socio=rien qu'elles s'appuient sur*socio=rien les statistiques*socio=rien de la dette_publique*socio=et que la Banque*socio=ac obtient par son système*socio=rien de rassemblement*socio=rien de données sur*socio=rien la dette*socio=ec. *socio=rien Un indicateur *socio=nil que la Banque*socio=ac utilise communément dans ces analyses*socio=rien et qui est*socio=rien calculé en partie*socio=rien au moyen*socio=rien des statistiques*socio=rien mentionnées ci-dessus est*socio=rien le *socio=rien ratio du service_de_la_dette*socio=et.*socio=nil *socio=nil Certes cet indicateur*socio=rien ne saurait remplacer une *socio=rien analyse globale *socio=nil de l'économie*socio=ec d'un*socio=rien pays*socio=ac qui permet de porter *socio=rien un jugement sur le*socio=nil montant*socio=ec *socio=nil de la dette*socio=ec qu'il peut absorber mais cet indicateur*socio=rien sert fréquemment de point*socio=rien de départ*socio=rien à une étude*socio=ac des tendances*socio=rien . Bien*socio=rien que la *socio=rien définition du ratio *socio=nil varie quelquefois en fonction*socio=rien des *socio=uv exigences particulières *socio=nil de l'analyse*socio=rien , la notion*socio=rien la plus communément adoptée est*socio=rien celle utilisée au Tableau*socio=rien 7 de l'Annexe*socio=rien : c'est*socio=rien le ratio*socio=rien des paiements*socio=ec au *socio=rien titre du service_de_la_dette_publique*socio=et totale aux*socio=nil recettes*socio=ec *socio=nil obtenues par les exportations*socio=ec de biens*socio=ec et de services*socio=ec non-facteurs. Le fardeau*socio=uv *socio=rien relatif du service_de_la_dette_publique*socio=et extérieure*socio=te est *socio=nil indiqué par les ratios*socio=rien très élevés*socio=rien ou en croissance*socio=uv rapide*socio=rien de certains pays_en_voie_de_développement*socio=ac, notamment l'Argentine*socio=ac, le Brésil', Ceylan*socio=ac, le Chili*socio=ac, le Mexique*socio=ac, le Pakistan*socio=ac, le Pérou*socio=ac et la Tunisie*socio=ac. Dans certains cas*socio=rien le *socio=rien ratio du service_de_la_dette*socio=et *socio=nil a monté alors même que les recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec de ces pays*socio=ac augmentaient rapidement au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années *socio=nil - les recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec du*socio=rien Mexique*socio=ac et du*socio=rien Pérou*socio=ac se sont accrues en moyenne*socio=rien de plus de 8% par an*socio=rien entre 1965 et 1968 et celles du*socio=rien Chili*socio=ac et de la Tunisie*socio=ac de près de 10%. Par contre les ratios*socio=rien pour le Ghana*socio=ac et l'Inde*socio=ac ont diminué temporairement*socio=rien ces deux ou trois *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil ce qui est*socio=rien dû surtout à des opérations*socio=rien allégement*socio=ec de la dette*socio=ec plutôt qu'à une croissance*socio=uv des exportations*socio=ec: les recettes*socio=ec que le Ghana*socio=ac a obtenues des exportations*socio=ec de biens*socio=ec et de services*socio=ec ont *socio=rien été inférieures *socio=nil en 1968 à ce qu'elles avaient été*socio=rien en 1965 et celles de l'Inde*socio=ac n'ont monté pendant cette période*socio=te qu'à *socio=rien un taux annuel moyen inférieur *socio=nil à 3%. Les ratios*socio=rien relativement favorables*socio=rien pour l'Indonésie*socio=ac sont le résultat*socio=rien de plusieurs facteurs*socio=rien qui sont allégement*socio=ec de la dette*socio=ec, une *socio=rien diminution temporaire des*socio=nil emprunts*socio=ec extérieurs*socio=te *socio=nil et des exportations*socio=ec en croissance*socio=uv rapide*socio=rien . Lorsqu'elle étudie ces indicateurs*socio=ec et les nombreux*socio=rien autres éléments*socio=rien qui caractérisent la situation*socio=uv économique*socio=ec intérieure*socio=rien et extérieure*socio=te d'un*socio=rien pays_membre*socio=ac, la banque_mondiale*socio=ac utilise de plus en plus des techniques*socio=rien et modèles*socio=rien d'analyse*socio=rien quantitative*socio=rien . Diverses*socio=rien projections*socio=et de la dette*socio=ec ont été*socio=rien construites avec l'aide*socio=uv des *socio=rien statistiques sur la*socio=nil dette*socio=ec *socio=nil réunies par la Banque*socio=ac et par des *socio=rien opérations sur ordinateurs *socio=nil pour l'analyse*socio=rien interne*socio=rien . Interpréter comme il le faudrait ces projections*socio=et dépasserait le champ*socio=rien de notre Rapport*socio=rien . On connaît depuis longtemps le *socio=rien rôle crucial *socio=nil de la composition*socio=rien des apports*socio=rien de capitaux*socio=ec aux pays_en_voie_de_développement*socio=ac et des conditions*socio=uv auxquelles ils sont octroyés, et ces analyses*socio=rien dont nous venons de parler ne font que le confirmer. De plus, elles fournissent des *socio=rien indications sur l'*socio=nil ordre de*socio=nil grandeur *socio=nil de l'effort*socio=uv international*socio=te qui serait *socio=rien nécessaire uniquement *socio=nil pour maintenir à leur *socio=rien niveau actuel les*socio=nil transferts*socio=ec nets de*socio=nil ressources*socio=ec aux*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=ac,*socio=nil effort*socio=uv *socio=nil qui évidemment serait tout à *socio=rien fait insuffisant *socio=nil pour accroître ces transferts*socio=ec si l'on voulait satisfaire leurs besoins*socio=uv croissants*socio=rien d'investissement*socio=ec pendant la *socio=rien prochaine décennie.*socio=nil *socio=nil De plus, ces analyses*socio=rien donnent à penser que les problèmes*socio=uv de service_de_la_dette*socio=et pour *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=ac *socio=nil risquent de s'aggraver au cours*socio=rien des *socio=rien prochaines années *socio=nil si les *socio=rien récentes tendances es*socio=nil flux*socio=ec de*socio=nil capitaux*socio=ec *socio=nil et des politiques*socio=et de l'aide*socio=uv et les résultats*socio=rien obtenus par ces pays*socio=ac restent inchangés*socio=rien . Au total*socio=rien , aussi bien*socio=rien le produit_intérieur_brut*socio=ec que les recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec des pays_en_voie_de_développement*socio=ac ont continué à croître. Mais la dette*socio=ec extérieure*socio=te et le service_de_la_dette*socio=et ont augmenté encore plus rapidement alors que depuis quelques années*socio=rien les flux*socio=ec nets*socio=rien de capitaux*socio=ec extérieurs*socio=te ont plafonné et que les conditions*socio=uv auxquelles ils sont fournis sont devenues un*socio=rien peu plus rigoureuses*socio=rien . Plusieurs pays_en_voie_de_développement*socio=ac, notamment quelques uns des plus grands*socio=rien , ont jugé nécessaire*socio=rien de rechercher un*socio=rien allégement*socio=ec partiel*socio=rien des obligations*socio=uv *socio=rien actuelles du service_de_la_dette*socio=et.*socio=nil Il*socio=nil est donc*socio=nil évident *socio=nil que la situation*socio=uv de la dette*socio=ec dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac continuera à exiger une attention*socio=rien soutenue de la part*socio=rien de la communauté*socio=ac financière*socio=ec internationale*socio=te. Perspectives*socio=uv de financement*socio=ec du*socio=rien développement_économique*socio=ec au moyen*socio=rien de ressources*socio=ec intérieures*socio=rien . La mobilisation*socio=uv des ressources*socio=ec intérieures*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=ac prend une *socio=rien importance nouvelle et*socio=nil décisive du fait *socio=nil que leurs économies*socio=ec sont de plus en plus capables*socio=rien d'utiliser efficacement les capitaux*socio=ec. Les fonds*socio=ec qui sont obtenus dans le pays*socio=ac même financent la *socio=rien majeure partie des*socio=nil coûts*socio=ec des*socio=nil projets_de_développement_économique*socio=ec;*socio=nil le*socio=nil *socio=ec financement extérieur,*socio=nil *socio=nil s'il *socio=rien est un complément essentiel*socio=uv *socio=nil de ces capitaux*socio=ec locaux*socio=rien , ne peut *socio=rien être vraiment efficace*socio=uv *socio=nil que s'il existe dans le pays*socio=ac des *socio=ec ressources financières en*socio=nil *socio=rien volume suffisant et*socio=nil disponibles *socio=nil sous des *socio=rien formes convenables.*socio=nil La*socio=nil planification*socio=et des*socio=nil ressources*socio=ec a*socio=nil fait des*socio=nil progrès*socio=uv au*socio=nil cours *socio=nil des dix *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil mais l'inflation*socio=ec a perturbé les allocations*socio=et de ressources*socio=ec et la balance_des_paiements*socio=ec , ce qui, en fin*socio=rien de compte*socio=rien , a freiné le développement_économique*socio=ec. L'inflation*socio=ec est*socio=rien le résultat*socio=rien , entre autres choses*socio=rien , de l'insuffisance*socio=rien des moyens*socio=ec dont dispose l'État*socio=ac pour mobiliser l'épargne*socio=ec intérieure*socio=rien ; cette épargne*socio=ec est*socio=rien indispensable*socio=uv pour assurer *socio=rien un niveau élevé d'*socio=nil investissement*socio=ec et*socio=nil obtenir *socio=nil que les capitaux*socio=ec étrangers*socio=uv contribuent au maximum*socio=rien aux apports*socio=rien de ressources*socio=ec dont une économie*socio=ec moderne*socio=uv a besoin*socio=uv. Il existe deux moyens*socio=ec fondamentaux*socio=rien de mobiliser l'épargne*socio=ec: soit une politiques*socio=et fiscale*socio=ec qui aboutit à des excédents*socio=ec budgétaires*socio=et, soit le *socio=rien dépôt du maximum d'*socio=nil *socio=ec épargne privée *socio=nil dans les établissements*socio=rien financiers*socio=ec. Les spécialistes*socio=ac attachent beaucoup de poids*socio=rien à la mobilisation*socio=uv de ressources*socio=ec par la fiscalité*socio=ec, mais on se rend compte*socio=rien de plus en plus que la création*socio=rien d'établissements*socio=rien financiers*socio=ec qui attirent l'épargne*socio=ec peuvent contribuer encore davantage dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac à mobiliser les ressources*socio=ec - c'est*socio=rien d'ailleurs*socio=rien ce que l'on constate aussi dans les pays_industrialisés*socio=ac. L'impôt*socio=et a été*socio=rien et restera une source*socio=rien de fonds*socio=ec très importante*socio=rien , surtout pour le financement*socio=ec de l' investissement_public*socio=et. Néanmoins, ce procédé comporte des limites*socio=rien qui viennent de ce que d'autres besoins*socio=uv de l'État*socio=ac entrent en concurrence*socio=ec et aussi qu'il y a toujours *socio=rien un certain délai *socio=nil entre l'élaboration*socio=rien des plans*socio=rien budgétaires*socio=et et leur mise en application*socio=rien . *socio=rien Un système financier*socio=ec bien *socio=nil organisé peut concilier les exigences*socio=uv divergentes de l'épargnant qui escompte des liquidités*socio=ec et des revenus*socio=ec, et de l'investisseur*socio=ac qui a besoin*socio=uv de capitaux*socio=ec à un*socio=rien coût*socio=ec raisonnable*socio=rien . Un*socio=rien tel système*socio=rien peut apporter plus de souplesse*socio=uv à la mobilisation*socio=uv des ressources*socio=ec, en particulier*socio=uv pour l' investissement_privé*socio=ec, et il peut jouer *socio=rien un rôle important *socio=nil dans de nombreux*socio=rien pays_en_voie_de_développement*socio=ac. Formation*socio=et de l'épargne*socio=ec par la fiscalité*socio=ec. Aussi bien*socio=rien les gouvernements*socio=ac que la banque_mondiale*socio=ac ont reconnu la nécessité*socio=uv d'une amélioration*socio=uv de la fiscalité*socio=ec en tant que *socio=rien principal moyen d'*socio=nil obtenir des*socio=nil ressources*socio=ec intérieures en*socio=nil vue du développement_économique*socio=ec.*socio=nil Le*socio=nil rapport moyen des*socio=nil impôts*socio=et au*socio=nil revenu*socio=ec national*socio=te *socio=nil dans la plupart*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=ac pour lesquels on dispose de statistiques*socio=rien semble être*socio=rien d'à peu près 16% depuis quelques années*socio=rien (voir le tableau*socio=rien de la page*socio=rien 62). Dans plusieurs pays*socio=ac (par exemple*socio=rien , Brésil*socio=ac, Chili*socio=ac, Israël*socio=ac, Maurice*socio=ac et République*socio=ac de Chine*socio=ac) le rendement*socio=ec des impôts*socio=et, exprimé en *socio=rien pourcentage du PNB*socio=ec,*socio=nil est *socio=nil tout proche de celui des pays_industrialisés*socio=ac, et même l'atteint dans certains cas*socio=rien . De plus, même dans des pays*socio=ac qui ne sont pas indiqués séparément*socio=rien dans les tableaux*socio=rien et où les charges*socio=et fiscales*socio=ec sont légères*socio=rien on a enregistré une *socio=rien hausse nette du rapport *socio=nil de l'impôt*socio=et. Dans un*socio=rien autre *socio=rien vaste échantillon de*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=ac *socio=nil (voir le *socio=rien tableau page *socio=nil 63) le rapport*socio=rien des *socio=ec recettes fiscales au*socio=nil PNB *socio=nil dans la majorité*socio=rien d'entre eux a augmenté vers le milieu*socio=rien des années*socio=rien 1960. Ainsi que ce tableau*socio=rien le confirme, cette hausse*socio=rien de l'impôt*socio=et n'a pas relevé l'épargne*socio=ec nationale*socio=te autant qu'on aurait pu l'escompter ni dans autant de pays*socio=ac qu'on l'avait pensé, si l'on se rappelle ce que les gouvernements*socio=ac attendaient de la politique*socio=et fiscale*socio=ec à cet effet*socio=rien . La volonté*socio=uv des gouvernements*socio=ac d'appliquer rigoureusement leur politique*socio=et fiscale*socio=ec et leur aptitude*socio=rien à le faire, sans lesquelles on ne peut vraiment*socio=rien espérer mobiliser les ressources*socio=ec par la fiscalité*socio=ec, peuvent être*socio=rien mises en échec*socio=uv par diverses*socio=rien contraintes*socio=uv politiques*socio=et et économiques*socio=ec; si un*socio=rien gouvernement*socio=ac veut imposer une augmentation*socio=uv des impôts*socio=et par la loi*socio=et et l'appliquer effectivement, il faut que dans le pays*socio=ac il y ait des hommes_politiques*socio=ac qui sachent se faire entendre et que l'unité*socio=uv sociale*socio=ac soit réalisée. *socio=rien Du point de*socio=nil vue *socio=nil de l'économie*socio=ec, la capacité*socio=rien contributive est*socio=rien limitée par des facteurs*socio=rien tels que le niveau*socio=rien de revenu*socio=ec par habitant*socio=ac et la mesure*socio=rien dans laquelle le gouvernement*socio=ac peut orienter et diriger l'économie*socio=ec, toutes choses*socio=rien qui risquent de limiter*socio=rien la possibilité*socio=rien pour les gouvernements*socio=ac à la fois*socio=rien d'élargir l'assiette*socio=rien de l'impôt*socio=et et de le recouvrer effectivement. Il *socio=rien est certain *socio=nil que des améliorations*socio=uv apportées au calcul*socio=rien de l'assiette*socio=rien et au recouvrement*socio=rien de l'impôt*socio=et réduiraient l'écart*socio=rien qui existe dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac entre une structure*socio=ec théorique*socio=rien de la fiscalité*socio=ec comportant des tarifs*socio=ec élevés*socio=rien et progressifs*socio=rien et le faible*socio=rien rendement*socio=ec de ces mêmes impôts*socio=et. Les gouvernements*socio=ac cherchent, en général*socio=rien , à récupérer par l'impôt*socio=et une partie*socio=rien des dépenses*socio=ec de développement*socio=uv en imposant en particulier*socio=uv les groupes*socio=ac qui ont le plus bénéficié de ce développement*socio=uv; celui-ci, en effet*socio=rien , contribue à créer de la richesse*socio=ec nouvelle*socio=rien entre les mains*socio=rien de particuliers*socio=rien . Il est*socio=rien donc indispensable*socio=uv de réformer l'impôt*socio=et personnel*socio=rien et l'impôt*socio=et indirect*socio=rien pour veiller à ce que ces individus*socio=ac contribuent plus largement et de plus en plus aux besoins*socio=uv de l'État*socio=ac. A cet objectif*socio=rien et à d'autres buts*socio=rien de la politique*socio=et fiscale*socio=ec est*socio=rien liée la nécessité*socio=uv de faire en sorte*socio=rien que les systèmes*socio=rien d'administration*socio=et de l'impôt*socio=et direct*socio=rien et de l'impôt*socio=et indirect*socio=rien se renforcent réciproquement afin de porter les *socio=ec recettes fiscales au*socio=nil maximum*socio=rien *socio=nil . L' agriculture*socio=ec *socio=rien est un secteur*socio=ec *socio=nil qui lui aussi devrait fournir un*socio=rien rendement*socio=ec de l'impôt*socio=et plus élevé*socio=rien . Dans de nombreux*socio=rien pays_en_voie_de_développement*socio=ac, l'application*socio=rien de *socio=rien techniques nouvelles *socio=nil dans l'exploitation*socio=ec agricole*socio=ec, s'accompagnant d'une amélioration*socio=uv des termes_de_l'_échange*socio=et intérieurs*socio=rien pour les produits*socio=rien agricoles*socio=ec, permet aux agriculteurs*socio=ac dans *socio=rien certaines branches *socio=nil de ce secteur*socio=ec d'obtenir*socio=rien des revenus*socio=ec plus élevés*socio=rien et il serait donc normal*socio=rien qu'ils supportent une part*socio=rien plus *socio=rien lourde du fardeau*socio=uv des*socio=nil impôts*socio=et.*socio=nil *socio=nil Mais la taxation*socio=et de l'agriculteur*socio=ac est*socio=rien souvent rendue difficile*socio=rien par l'application*socio=rien de politiques*socio=et contradictoires*socio=uv; les *socio=ec revenus agricoles *socio=nil bénéficier! d'exonérations*socio=ec ou de taux*socio=rien de l'impôt*socio=et plus favorables*socio=rien mais en même temps*socio=rien ces avantages*socio=rien peuvent être*socio=rien contrebalancés par d'autres éléments*socio=rien qui réduisent les gains*socio=ec de l'exploitant*socio=rien agricole*socio=ec; on peut citer notamment la réglementation*socio=et des prix*socio=ec à *socio=rien un niveau relativement*socio=nil bas *socio=nil et l'application*socio=rien de taux_de_change*socio=ec surévalués qui réduit les possibilités*socio=rien de vente*socio=ec des produits*socio=rien agricoles*socio=ec à l'étranger*socio=te. Les *socio=ec exonérations fiscales *socio=nil ne sont pas appliquées seulement à l'agriculture*socio=ec; ces avantages*socio=rien dont bénéficient les agriculteurs*socio=ac ne sont qu'un*socio=rien élément*socio=rien de systèmes*socio=rien plus généraux*socio=rien d'exonération fiscale*socio=ec dont profitent parfois les particuliers*socio=rien , mais qui sont surtout destinés à favoriser les entreprises*socio=ac commerciales*socio=ec et industrielles*socio=ec. Ces exonérations*socio=ec représentent autant de réductions*socio=uv des montants*socio=rien que la fiscalité*socio=ec pourrait procurer pour faire face*socio=rien aux besoins*socio=uv de l'État*socio=ac, même lorsque ces exonérations*socio=ec se justifient, il faudrait que les pouvoirs_publics*socio=ac se rendent nettement compte*socio=rien de leur effet*socio=rien d'érosion*socio=ec sur*socio=rien l'assiette*socio=rien fiscale*socio=ec, qu'ils calculent les pertes*socio=ec de recettes*socio=ec qui en résultent et en tiennent compte*socio=rien dans leurs prévisions*socio=rien budgétaires*socio=et. Un*socio=rien autre problèmes*socio=uv tient au fait*socio=rien que certains gouvernements*socio=ac ont pour politique*socio=et d'empêcher toute hausse*socio=rien des tarifs*socio=ec de services_publics*socio=et (chemins*socio=rien de fer*socio=rien , électricité*socio=ec, eau*socio=ec, etc.). Ces mesures*socio=rien sont en fait*socio=rien des subventions*socio=ec déguisées aux usagers*socio=rien - quand elles ne sont pas compensées par des crédits*socio=ec inscrits*socio=rien au budget*socio=ec, elles réduisent les ressources*socio=ec dont ces services_publics*socio=et pourraient disposer grâce*socio=rien à leurs recettes*socio=ec. L'augmentation*socio=uv des dépenses_publiques*socio=et est*socio=rien presque une *socio=rien constante du budget*socio=ec *socio=nil de la plupart*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=ac. Une partie*socio=rien de cette augmentation*socio=uv peut être*socio=rien considérée comme une *socio=rien conséquence normale *socio=nil de la croissance_économique*socio=ec elle-même. A quoi servirait-il de créer une capacité*socio=rien de production*socio=ec supplémentaire*socio=rien si on ne prévoyait pas les ressources*socio=ec nécessaires*socio=rien à l'entretien*socio=rien et à la complète utilisation*socio=rien des installations*socio=rien mises en place*socio=rien ? Mais il arrive souvent aussi que les gouvernements*socio=ac engagent des dépenses*socio=ec qui n'ont aucun lien*socio=rien avec les exigences*socio=uv du*socio=rien développement_économique*socio=ec. Cette hausse*socio=rien des dépenses*socio=ec ordinaires*socio=rien qui ne servent pas au développement*socio=uv *socio=rien est un aspect inquiétant du problème*socio=uv financier*socio=ec global des*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil souci *socio=nil qu'elle *socio=rien cause est *socio=nil exprimé dans presque tous les rapports*socio=rien économiques*socio=ec sur*socio=rien les pays*socio=ac que fait*socio=rien exécuter la banque_mondiale*socio=ac. Dans de *socio=rien nombreux cas,*socio=nil cette*socio=nil hausse des*socio=nil dépenses*socio=ec ordinaires *socio=nil exige une croissance*socio=uv encore plus rapide*socio=rien des *socio=ec recettes fiscales;*socio=nil or*socio=rien *socio=nil , c' est*socio=rien là une chose*socio=rien qu'il est*socio=rien peut-être difficile*socio=rien de réaliser, en particulier*socio=uv si le PNB*socio=ec s'accroît plus lentement qu'il n'avait été*socio=rien prévu au moment*socio=rien où avaient été*socio=rien pris les engagements*socio=ec de dépenses*socio=ec de fonctionnement*socio=rien . Il faut reconnaître certes que si les dépenses*socio=ec qui ne sont pas consacrées au développement*socio=uv augmentent, c'est*socio=rien peut-être parce qu'elles ont été*socio=rien stimulées par la croissance*socio=uv même des revenus*socio=ec. De plus, il est*socio=rien souvent difficile*socio=rien pour les gouvernements*socio=ac de rejeter les propositions*socio=rien de nouveaux*socio=rien programmes*socio=et de dépenses*socio=ec si les besoins*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac sont élevés*socio=rien et augmentent. Ce problème*socio=uv ne peut être*socio=rien résolu par une réduction*socio=uv des *socio=ec recettes fiscales *socio=nil mais par un*socio=rien choix*socio=uv plus judicieux des dépenses*socio=ec. Il se justifierait par exemple*socio=rien dans des *socio=rien circonstances spéciales *socio=nil de consacrer une part*socio=rien plus grande*socio=rien des *socio=ec recettes fiscales aux*socio=nil *socio=rien objectifs du développement*socio=uv *socio=nil qui apportent des *socio=rien avantages nouveaux aux*socio=nil citoyens*socio=et *socio=nil et à la collectivité*socio=ac tout entière*socio=rien . Mobilisation*socio=uv de l'épargne*socio=ec par des établissements*socio=rien financiers*socio=ec. La présence*socio=rien d'un*socio=rien réseau*socio=rien d'établissements*socio=rien bancaires*socio=ec et parabancaires peut compléter la fiscalité*socio=ec et les flux*socio=ec de capitaux*socio=ec extérieurs*socio=te pour *socio=rien obtenir un développement_économique*socio=ec *socio=nil qui se fasse dans de bonnes*socio=rien conditions*socio=uv. La fonction*socio=rien de ce réseau*socio=rien d'établissements*socio=rien financiers*socio=ec est*socio=rien de servir de lien*socio=rien entre l'épargne*socio=ec, en particulier*socio=uv celle qui naît de la croissance*socio=uv de secteurs*socio=ec modernes*socio=uv de l'économie*socio=ec, et les besoins*socio=uv d'investissement*socio=ec des entreprises*socio=ac industrielles*socio=ec. L'efficacité*socio=uv d'un*socio=rien tel réseau*socio=rien peut se juger de trois points*socio=rien de vue*socio=rien qui ne sont pas sans liens*socio=rien les uns avec les autres - est-il capable*socio=rien d'attirer et de mobiliser l'épargne*socio=ec intérieure*socio=rien ? Est-il suffisamment organisé pour acheminer les capitaux*socio=ec vers des *socio=ec emplois productifs *socio=nil ? enfin, sert-il d'intermédiaire*socio=ec et de garant pour les entrées et les investissements*socio=ec de capitaux*socio=ec extérieurs*socio=te ? Cette création*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien bancaire*socio=ec et parabancaire exige une adaptation*socio=uv des établissements*socio=rien financiers*socio=ec en service*socio=rien et la mise en place*socio=rien d'instruments*socio=rien nouveaux*socio=rien qui pourront élargir et renforcer le rôle*socio=rien d'intermédiaire*socio=ac de ces établissements*socio=rien , compte*socio=rien tenu bien*socio=rien entendu des structures*socio=ec sociales*socio=ac particulières*socio=uv à chaque pays*socio=ac, de son niveau*socio=rien de développement*socio=uv agricole*socio=ec et industriel*socio=ec et de son infrastructure*socio=ec. Un*socio=rien tel système*socio=rien financier*socio=ec est*socio=rien le mieux à même de susciter la confiance*socio=uv et d'attirer l'épargne*socio=ec quand il est*socio=rien composé en *socio=rien majeure partie d'*socio=nil établissements bien connus*socio=nil du public*socio=ac,*socio=nil *socio=nil que son *socio=rien fonctionnement est *socio=nil clairement compris, et quand il réagit lorsque des besoins*socio=uv nouveaux*socio=rien apparaissent. *socio=rien Un réseau d'*socio=nil établissements financiers*socio=ec qui*socio=nil est incapable *socio=nil de faire face*socio=rien aux besoins*socio=uv financiers*socio=ec des secteurs_public*socio=ac et privé*socio=ec de l'économie*socio=ec, ou *socio=rien un système *socio=nil qui implique la mise en place*socio=rien d'institutions*socio=ac nouvelles*socio=rien et complexes auxquelles ne correspond pas le *socio=rien niveau actuel des*socio=nil besoins*socio=uv de*socio=nil financement*socio=ec,*socio=nil *socio=nil ne saurait s'intégrer rationnellement dans le *socio=rien processus du développement_économique*socio=ec *socio=nil ni lui apporter son soutien*socio=uv. La contribution*socio=uv des intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec consiste, non seulement à réunir l'épargne*socio=ec dans des montants*socio=rien et sous des formes*socio=rien qui soient adaptés aux besoins*socio=uv, mais aussi, et ce qui est*socio=rien le plus important*socio=rien , à accoutumer l'épargnant à passer d'un*socio=rien *socio=rien simple dépôt *socio=nil de ses liquidités*socio=ec à l'achat*socio=ec de *socio=ec valeurs mobilières.*socio=nil Certains*socio=nil établissements*socio=rien non*socio=nil bancaires,*socio=nil *socio=nil tels que les coopératives*socio=ac et les caisses*socio=ec d'épargne*socio=ec, sont *socio=rien un prolongement naturel*socio=uv des*socio=nil banques*socio=ac de*socio=nil dépôts;*socio=nil *socio=nil d'autres, tels que les sociétés*socio=ac hypothécaires*socio=ec et financières*socio=ec, peuvent amener les épargnants*socio=ac et les investisseurs*socio=ac à utiliser des instruments*socio=rien que l'on peut négocier sur*socio=rien le marché*socio=ec. L'existence*socio=rien de ces institutions*socio=ac dans quelques pays_en_voie_de_développement*socio=ac *socio=rien est caractéristique des*socio=nil progrès*socio=uv *socio=nil qu'ils ont déjà faits*socio=rien et que d'autres font maintenant. Dans certains, l'économie*socio=ec s'est*socio=rien suffisamment développée*socio=rien et des établissements*socio=rien financiers*socio=ec se sont créés et se sont diversifiés au point*socio=rien où les besoins*socio=uv d'investissement*socio=ec peuvent commencer à être*socio=rien financés par des ventes*socio=ec de *socio=ec valeurs mobilières au*socio=nil public*socio=ac.*socio=nil Il*socio=nil est*socio=rien néanmoins*socio=nil indispensable*socio=uv *socio=nil pour que les progrès*socio=uv se poursuivent dans ce domaine*socio=rien , que la monnaie*socio=ec reste*socio=rien stable*socio=uv, comme on a pu le voir dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac où l'inflation*socio=ec a empêché ou ralenti ce processus*socio=rien . Si un*socio=rien gouvernement*socio=ac applique une surveillance*socio=et rigide et promulgue des règlements*socio=et pour encadrer le crédit*socio=ec et empêcher que le coût*socio=ec de l'argent*socio=ec augmente, il est*socio=rien à craindre que le pays*socio=ac ait *socio=rien du mal *socio=nil à mettre au point*socio=rien les structures*socio=ec institutionnelles*socio=ac qui réagissent convenablement à des mutations*socio=rien sociales*socio=ac et économiques*socio=ec. Certes, la surveillance*socio=et des banques*socio=ac et l'encadrement*socio=et du*socio=rien crédit*socio=ec sont des *socio=rien instruments nécessaires *socio=nil de la politique*socio=et financière*socio=ec de l'État*socio=ac, mais il ne faut pas que les autorités*socio=et les exercent au point*socio=rien de nuire à la souplesse*socio=uv des mécanismes*socio=rien financiers*socio=ec. Dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, la rigidité*socio=uv des *socio=et règlements publics *socio=nil a étouffé les innovations*socio=uv dans le réseau*socio=rien des institutions_traditionnelles*socio=ac et favorisé*socio=rien l'apparition*socio=rien d'un*socio=rien "marché*socio=ec parallèle*socio=rien " ou extra-bancaire où les transactions*socio=ec ont lieu*socio=rien hors de la surveillance*socio=et de l'État*socio=ac, à des taux_d'_intérêt*socio=ec plus élevés*socio=rien , à des conditions*socio=uv plus onéreuses et à des fins*socio=rien autres que celles envisagées par les pouvoirs_publics*socio=ac. Il est*socio=rien de plus en plus courant*socio=rien que l'État*socio=ac maintienne les taux_d'_intérêt*socio=ec à *socio=rien un niveau peu*socio=nil élevé *socio=nil par des lois*socio=et, des règlements*socio=et ou des interventions*socio=et sur*socio=rien le marché*socio=ec qu'il applique par des contrôles*socio=et directs*socio=rien des transactions*socio=ec internes*socio=rien ou avec l'étranger*socio=te. Il est*socio=rien tout à *socio=rien fait compréhensible *socio=nil que les gouvernements*socio=ac souhaitent maintenir les taux_d'_intérêt*socio=ec à *socio=rien un niveau aussi*socio=nil bas que*socio=nil possible,*socio=nil en*socio=nil raison*socio=uv des*socio=nil répercussions néfastes *socio=nil que la cherté de l'argent*socio=ec a sur*socio=rien les programmes*socio=et de développement_économique*socio=ec. Néanmoins des taux_d'_intérêt*socio=ec artificiellement bas*socio=rien font que l'épargne*socio=ec se cache; de plus, offrant aux emprunteurs*socio=ac des subventions*socio=ec déguisées qui vont à l'encontre*socio=rien des principes*socio=uv de rentabilité*socio=ec, ils faussent les critères*socio=rien que l'on pourrait utiliser pour juger de l'efficacité*socio=uv de l'investissement*socio=ec et contribuent à une *socio=rien mauvaise affectation des*socio=nil ressources*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Si l'on maintient les taux_d'_intérêt*socio=ec à des niveaux*socio=rien à peine plus élevés*socio=rien (voire plus bas*socio=rien ) que ceux appliqués sur*socio=rien les principaux*socio=rien *socio=ec marchés monétaires et*socio=nil financiers du*socio=rien monde*socio=te extérieur,*socio=nil il*socio=nil est*socio=rien *socio=nil à craindre que les groupes*socio=ac qui disposent de sommes suffisantes*socio=rien pour pouvoir*socio=et en transférer une partie*socio=rien hors du*socio=rien pays*socio=ac fassent passer des capitaux*socio=ec à l'étranger*socio=te. Tout *socio=rien compte fait,*socio=nil des*socio=nil contrôles*socio=et *socio=nil rigides et de faibles*socio=rien taux_d'_intérêt*socio=ec ont rarement servi à obtenir*socio=rien ce que l'on attendait d'eux; en fait*socio=rien , leurs conséquences*socio=rien ont en général*socio=rien abouti précisément à ce que les autorités*socio=et voulaient éviter, à savoir*socio=rien une pénurie*socio=ec de ressources*socio=ec. Malgré toutes ces limitations, *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont réussi à créer des réseaux*socio=rien d'établissements*socio=rien financiers*socio=ec qui correspondent au niveau*socio=rien atteint par leur économie_globale*socio=rien ou du*socio=rien moins par certains secteurs*socio=ec de pointe*socio=uv. Dans presque tous les pays_en_voie_de_développement*socio=ac, ce sont les banques*socio=ac commerciales*socio=ec qui forment le noyau*socio=rien de ce réseau*socio=rien financier*socio=ec et elles sont à même de fournir toute une gamme*socio=rien de services*socio=ec. La pénétration*socio=rien des banques*socio=ac commerciales*socio=ec dans l'économie*socio=ec diffère beaucoup d'un*socio=rien pays*socio=ac à Vautre. Leur rôle*socio=rien dans le rassemblement*socio=rien et la fourniture*socio=rien des fonds*socio=ec est*socio=rien relativement plus actif*socio=rien dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac que dans le monde_industrialisé*socio=te et cela est*socio=rien dû à l'absence*socio=rien ou à l'insuffisance*socio=rien d'établissements*socio=rien financiers*socio=ec spécialisés*socio=rien comme il en existe dans les pays*socio=ac plus développés*socio=rien . Néanmoins, la situation*socio=uv a beaucoup changé en dix ans*socio=rien - *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=ac *socio=nil (tels que l'Argentine*socio=ac, le Brésil*socio=ac, l'Inde*socio=ac, Israël*socio=ac, le Mexique*socio=ac et quelques autres) ont réussi à mettre *socio=rien sur pied des*socio=nil systèmes financiers*socio=ec *socio=nil presque aussi diversifiés que ceux qui existent dans les pays*socio=ac plus développés*socio=rien . Ils offrent à l'épargnant le choix*socio=uv entre des types de placements*socio=ec divers (quant à l'échéance*socio=te, au risque*socio=uv et au rendement*socio=ec) et fournissent divers types de financement*socio=ec en fonction*socio=rien des besoins*socio=uv changeants*socio=rien de leurs économies*socio=ec. *socio=rien Diverses sortes de*socio=nil structures*socio=ec *socio=nil sont nées qui présentent des *socio=rien caractéristiques spéciales *socio=nil selon les régions*socio=te. Par exemple*socio=rien le *socio=ec financement hypothécaire *socio=nil pour l'achat*socio=ec d'une *socio=rien maison est *socio=nil très répandu en amérique_latine*socio=ac où existent des institutions*socio=ac et des *socio=rien instruments spécialisés *socio=nil pour faciliter un*socio=rien flux*socio=ec d'épargne*socio=ec plus important*socio=rien à cet effet*socio=rien . Dans tous les pays*socio=ac, le financement*socio=ec de l'agriculture*socio=ec se fait*socio=rien par des services_publics*socio=et ou au moyen*socio=rien de caisses*socio=ec spéciales*socio=rien , mais ce que l'on a pu constater dans certains pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac et d'Asie*socio=ac fait*socio=rien ressortir le *socio=rien rôle important *socio=nil que les banques*socio=ac commerciales*socio=ec et les institutions*socio=ac de type*socio=rien coopératif peuvent jouer pour ouvrir à l'économie*socio=ec des secteurs*socio=ec qui, jusqu'ici, lui étaient fermés et pour mobiliser l'épargne*socio=ec locale*socio=te pour le financement*socio=ec intérieur*socio=rien . Dans quelques pays*socio=ac comme l'Inde*socio=ac et le Pakistan*socio=ac, la caisse*socio=ec d'épargne*socio=ec postale *socio=rien est un moyen *socio=nil qui à la fois*socio=rien permet une *socio=rien vaste diffusion *socio=nil de l'argent*socio=ec, puisque l'argent*socio=ec peut être*socio=rien épargné au *socio=rien niveau du *socio=nil hameau ou acheminé à ce niveau*socio=rien , et constitue en même *socio=rien temps un réservoir de*socio=nil fonds*socio=ec *socio=nil dont les pouvoirs_publics*socio=ac peuvent se servir. Les sociétés*socio=ac financières*socio=ec sont devenues aussi très populaires*socio=ac, mais leurs objectifs*socio=rien et leurs *socio=rien fonctions différent *socio=nil beaucoup. Dans certains pays*socio=ac (Argentine*socio=ac, Brésil*socio=ac, Nigeria*socio=ac), les activités*socio=rien des sociétés*socio=ac privées*socio=ec portent surtout sur*socio=rien la fourniture*socio=rien de crédits*socio=ec à la consommation*socio=ec - dans d'autres (Colombie*socio=ac, Israël*socio=ac, Mexique*socio=ac, Pakistan*socio=ac, Philippines*socio=ac) elles fournissent des capitaux*socio=ec aux entreprises*socio=ac qui ont pignon sur*socio=rien rue; en outre ces établissements*socio=rien ont occasionnellement participé à la fourniture*socio=rien de capitaux*socio=ec pour de nouvelles*socio=rien entreprises*socio=ac, en coopération*socio=uv avec des promoteurs*socio=rien et des capitaux*socio=ec étrangers*socio=uv. Le groupe_de_la_banque_mondiale*socio=ac a apporté son aide*socio=uv à la formation*socio=et dans une trentaine*socio=rien de pays*socio=ac de sociétés*socio=ac de financement*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv axées sur*socio=rien le marché*socio=ec. *socio=rien Un grand nombre *socio=nil de ces établissements*socio=rien apportent une contribution*socio=uv non négligeable*socio=rien au financement*socio=ec de l'industrie*socio=ec et certains ont aidé à constituer un*socio=rien marché_financier*socio=ec dans le pays*socio=ac. Les institutions_publiques*socio=et se voient quelquefois confier la lâche d'assurer les grosses*socio=rien dépenses*socio=ec en capitaux*socio=ec que nécessite la croissance*socio=uv de villes*socio=te nouvelles*socio=rien dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac (ainsi d'ailleurs*socio=rien que dans les pays_industrialisés*socio=ac). A cet égard*socio=rien , il faut noter le rôle*socio=rien particulier*socio=uv que jouent les *socio=rien diverses formes d'*socio=nil institutions*socio=ac d'*socio=nil épargne*socio=ec *socio=nil "contractuelle" qui vont de la cotisation obligatoire*socio=uv de sécurité_sociale*socio=et jusqu'aux *socio=et arrangements contractuels offerts*socio=rien *socio=nil par les compagnies*socio=ac d'assurances*socio=ec sur*socio=rien une base*socio=rien collective*socio=ac ou individuelle*socio=uv, grâce*socio=rien auxquels l'épargne*socio=ec est*socio=rien concentrée dans des masses*socio=rien communes*socio=uv dont la municipalité*socio=ac ou autres *socio=et autorités publiques *socio=nil pourront disposer pour financer des travaux_publics*socio=et qui aboutissent à des transformations*socio=uv de la société*socio=ac. On ne dispose pas de données complètes, comparables*socio=rien et systématiques*socio=rien qui permettent de mesurer, par leur degré*socio=rien de développement_économique*socio=ec ou par, la diversification*socio=rien de leurs besoins*socio=uv en capitaux*socio=ec, à quel point*socio=rien les pays_en_voie_de_développement*socio=ac ont réussi à faire progresser leurs réseaux*socio=rien bancaires*socio=ec et parabancaires. A titre*socio=rien d'exemple*socio=rien nous avons choisi *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil pour lesquels il a *socio=rien été possible *socio=nil de rassembler certaines*socio=rien données statistiques*socio=rien . Le Tableau*socio=rien 3 de l'Annexe*socio=rien indique l'importance*socio=rien relative*socio=rien que les institutions_financières*socio=ec, banques*socio=ac ou autres, ont atteinte dans ces pays*socio=ac au cours*socio=rien des dix *socio=rien dernières années;*socio=nil le*socio=nil tableau *socio=nil montre également comment se répartissent, en *socio=rien pourcentage du produit_national_brut*socio=ec,*socio=nil la*socio=nil masse monétaire*socio=ec,*socio=nil les*socio=nil engagements*socio=ec des*socio=nil banques*socio=ac commerciales*socio=ec *socio=nil et des établissements*socio=rien non bancaires*socio=ec et les créances*socio=ec sur*socio=rien le secteur_privé*socio=ec. Dans *socio=rien un certain nombre des*socio=nil pays*socio=ac retenus (*socio=nil Colombie*socio=ac,*socio=nil costa_rica*socio=ac,*socio=nil Israël*socio=ac,*socio=nil Maroc*socio=ac,*socio=nil Tunisie*socio=ac)*socio=nil les*socio=nil dépôts à*socio=nil vue *socio=nil ont pris plus d'importance*socio=rien que les espèces*socio=rien monétaires*socio=ec dans les transactions*socio=ec intérieures*socio=rien , ce qui montre le *socio=rien rôle primordial *socio=nil que jouent les banques*socio=ac commerciales*socio=ec dans leur système*socio=rien financier*socio=ec, et aussi l'acceptation*socio=uv de ce rôle*socio=rien par la population*socio=ac. De plus les renseignements*socio=rien qu'on a pu *socio=rien obtenir sur ces*socio=nil pays*socio=ac et*socio=nil sur *socio=nil quelques autres (Honduras*socio=ac, Inde*socio=ac, Mexique*socio=ac, Pakistan*socio=ac, Pérou*socio=ac, Philippines*socio=ac, République_arabe_unie*socio=ac, République*socio=ac de Chine*socio=ac) indiquent que les établissements*socio=rien financiers*socio=ec non bancaires*socio=ec complètent les banques*socio=ac commerciales*socio=ec dans une *socio=rien large mesure.*socio=nil La*socio=nil banque_mondiale*socio=ac *socio=nil s'intéresse particulièrement à la manière*socio=rien dont fonctionnent les systèmes*socio=rien financiers*socio=ec des pays_en_voie_de_développement*socio=ac en raison*socio=uv de la contribution*socio=uv qu'ils peuvent apporter à une combinaison*socio=rien productive*socio=uv des capitaux*socio=ec intérieurs*socio=rien et extérieurs*socio=te. Cette conjonction*socio=rien se produit*socio=rien en général*socio=rien s'il est*socio=rien reconnu que les institutions*socio=ac de ces pays*socio=ac sont devenues capables*socio=rien de mobiliser les *socio=ec ressources financières intérieures*socio=rien *socio=nil sous des formes*socio=rien et dans des montants*socio=rien appropriés. L'aptitude*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac à mobiliser les ressources*socio=ec intérieures*socio=rien et à participer à des entreprises*socio=ac en association*socio=rien avec des capitaux*socio=ec étrangers*socio=uv dépend dans une *socio=rien large mesure *socio=nil de ses règlements*socio=et financiers*socio=ec et de la politique*socio=et qu'il applique à l'égard*socio=rien des capitaux*socio=ec extérieurs*socio=te. Mais une politique*socio=et financière*socio=ec judicieuse*socio=uv ne suffit pas, il faut aussi que la gestion*socio=et des finances*socio=ec se fasse assez habilement pour que les pays*socio=ac reçoivent des capitaux*socio=ec mais bénéficient en même temps*socio=rien de transferts*socio=rien des techniques*socio=rien ,- c'est*socio=rien la pénurie*socio=ec de cadres*socio=rien financiers*socio=ec qui freine souvent le développement*socio=uv des investissements*socio=ec intérieurs*socio=rien et extérieurs*socio=te. Enfin, la mise en place*socio=rien d'un*socio=rien réseau*socio=rien financier*socio=ec capable*socio=rien de mobiliser une *socio=rien part croissante *socio=nil de l'épargne*socio=ec intérieure*socio=rien et d'attirer les capitaux*socio=ec étrangers*socio=uv dans des montants*socio=rien qui soient proportionnés à la possibilité*socio=rien d'en tirer le meilleur*socio=rien parti*socio=et, fait*socio=rien entrer en jeu*socio=rien d'autres facteurs*socio=rien d'une portée*socio=rien encore plus vaste*socio=rien ; il s'agit notamment des changements*socio=uv sociaux*socio=ac et culturels qui influent sur*socio=rien l'attitude*socio=rien générale*socio=rien de la population*socio=ac à l'égard*socio=rien de l'épargne*socio=ec et de l'investissement*socio=ec, ce que l'on peut appeler le "climat*socio=rien de développement*socio=uv" du*socio=rien pays*socio=ac. Urbanisation*socio=ec. La Banque*socio=ac se trouve de plus en plus aux prises*socio=rien avec des problèmes*socio=uv d'urbanisation*socio=ec et cherche à leur trouver les *socio=rien solutions nécessaires.*socio=nil La*socio=nil section spéciale *socio=nil consacrée à cette *socio=rien question offre un premier *socio=nil aperçu de la manière*socio=rien dont la Banque*socio=ac envisage d'aborder cet *socio=rien important sujet.*socio=nil Introduction.*socio=nil *socio=nil De tout temps*socio=rien l'urbanisation*socio=ec a été*socio=rien intimement liée au processus*socio=rien de développement_économique*socio=ec. La ville*socio=te, où se rassemblent l'industrie*socio=ec, le commerce*socio=ec, l'administration*socio=et, les capitaux*socio=ec, la main-d'_oeuvre*socio=ac et les spécialistes*socio=ac de la technologie*socio=ec, a toujours *socio=rien été un puissant moteur *socio=nil de la croissance_économique*socio=ec d'un*socio=rien pays*socio=ac. Mais les *socio=ec coûts économiques et*socio=nil sociaux*socio=ac *socio=nil qu'entraîne l'urbanisation*socio=ec peuvent être*socio=rien très élevés*socio=rien . Cela fut vrai*socio=rien des villes*socio=te du*socio=rien monde*socio=te actuellement développé*socio=rien pendant la période*socio=te où l'urbanisation*socio=ec y progressait à pas de géant*socio=rien et cela est*socio=rien aussi vrai*socio=rien des villes*socio=te des pays_en_voie_de_développement*socio=ac d'aujourd'hui. Comme il n'est*socio=rien guère possible*socio=rien d'arrêter ce processus*socio=rien , il faut déterminer les coûts*socio=ec qu'il entraîne et mettre au point*socio=rien des politiques*socio=et qui les réduisent au minimum*socio=rien en même temps*socio=rien qu'elle permettront une croissance*socio=uv plus équilibrée des villes*socio=te. C'est*socio=rien alors que l'instrument*socio=rien de développement*socio=uv que représente la ville*socio=te peut être*socio=rien mis au service*socio=rien de l'économie*socio=ec tout entière*socio=rien . Ce problème*socio=uv du*socio=rien développement*socio=uv des villes*socio=te ne se pose pas seulement aux pays_en_voie_de_développement*socio=ac; dans les pays_industrialisés*socio=ac aussi les pouvoirs_publics*socio=ac attachent beaucoup d'attention*socio=rien aux problèmes*socio=uv urbains*socio=te. Néanmoins, il y a entre ces deux groupes*socio=ac de pays*socio=ac une *socio=rien différence fondamentale.*socio=nil *socio=nil Dans les nations*socio=te industrialisées, les pauvres*socio=ac dans les villes*socio=te, les migrants*socio=ac venant de la campagne*socio=rien ou de régions*socio=te encore peu développées*socio=rien forment une fraction*socio=rien relativement petite*socio=rien de sociétés*socio=ac en général*socio=rien prospères*socio=ec où les pressions*socio=uv démographiques*socio=rien sont en même temps*socio=rien beaucoup plus faibles*socio=rien . De plus l'immigration*socio=et des *socio=te régions rurales *socio=nil vers les villes*socio=te est*socio=rien souvent compensée, du*socio=rien moins en partie*socio=rien , par l'émigration des gens*socio=ac plus fortunés qui laissent derrière eux une infrastructure*socio=ec de routes*socio=rien , de distribution*socio=rien d'électricité*socio=ec, d'installations*socio=rien sanitaires*socio=uv, d'écoles*socio=et et de moyens*socio=ec de transports*socio=ec. C'est*socio=rien pourquoi dans ces pays*socio=ac le gouvernement*socio=ac peut s'attacher avec plus de vigueur*socio=uv à des problèmes*socio=uv tels que la rénovation*socio=ec de la ville*socio=te, la pollution*socio=et, l'encombrement des rues et de certains quartiers*socio=te, le logement*socio=ec et l'organisation*socio=rien des loisirs*socio=ec. Dans le monde_développé*socio=te le problème*socio=uv consiste donc davantage à chercher une bonne*socio=rien répartition*socio=uv des ressources*socio=ec et à créer les mécanismes*socio=rien sociaux*socio=ac propres*socio=rien à intégrer dans les systèmes_économiques*socio=ec et sociaux*socio=ac modernes*socio=uv dont jouit la majorité*socio=rien ceux qui sont jusqu'ici restés en dehors de la vie*socio=uv sociale*socio=ac de la ville*socio=te. Au contraire*socio=rien , dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac, une urbanisation*socio=ec extrêmement rapide*socio=rien s'accompagne de problèmes_sociaux*socio=et et économiques*socio=ec croissants*socio=rien dont les *socio=rien symptômes principaux *socio=nil sont, à quelques variantes près, les mêmes dans l'ensemble*socio=rien du*socio=rien monde_en_voie_de_développement*socio=te. La population*socio=ac des villes*socio=te augmente plus vite que les *socio=rien nouvelles offres d'*socio=nil emploi*socio=ec,*socio=nil *socio=nil ce qui provoque un*socio=rien chômage*socio=ec et un*socio=rien sous-emploi*socio=ec graves*socio=rien . Les villes*socio=te se trouvent dans l'incapacité*socio=rien financière*socio=ec de satisfaire à une demande*socio=rien en croissance*socio=uv extrêmement rapide*socio=rien de services_sociaux*socio=et et d'investissements*socio=ec généraux*socio=rien dans le social*socio=ac,- le résultat*socio=rien en est*socio=rien que la qualité_de_la_vie*socio=uv dans les villes*socio=te baisse*socio=rien pour une *socio=rien grande partie *socio=nil de leurs habitants*socio=ac. Une *socio=rien forte proportion *socio=nil de la population*socio=ac urbaine*socio=te qui ne cesse de croître est*socio=rien forcée de vivre*socio=rien dans des conditions*socio=uv très précaires*socio=uv, logée dans des taudis et des bidonvilles*socio=ac. Tous les problèmes*socio=uv que pose la croissance*socio=uv des villes*socio=te, c'est-à-dire une *socio=rien mauvaise utilisation des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil et l'absence*socio=rien d'une infrastructure*socio=ec de base*socio=rien , retardent l'industrialisation*socio=ec et freinent l'augmentation*socio=uv des emplois*socio=ec et le développement*socio=uv de l'économie*socio=ec nationale*socio=te dans son ensemble*socio=rien . Les centres*socio=rien urbains*socio=te manquent également des institutions*socio=ac qui permettraient l'intégration*socio=uv culturelle des nouveaux*socio=rien venus et ils ne sont pas en mesure*socio=rien de les préparer à une vie*socio=uv économique*socio=ec productive*socio=uv. C'est*socio=rien pourquoi les villes*socio=te, dans de vastes*socio=rien régions*socio=te du*socio=rien monde_en_voie_de_développement*socio=te, sécrètent de plus en plus une "culture*socio=et de pauvreté*socio=uv" qui est*socio=rien plus proche de la société*socio=ac paysanne rurale*socio=te qu'elle ne l'est*socio=rien de la société_moderne*socio=ac des villes*socio=te. En même temps*socio=rien , dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac comme dans les pays_industrialisés*socio=ac, la croissance*socio=uv de la ville*socio=te se *socio=rien fait bien *socio=nil trop souvent sans qu'il soit suffisamment tenu compte*socio=rien des *socio=ec coûts économiques et*socio=nil écologiques*socio=et *socio=nil de la pollution*socio=et *socio=rien du milieu.*socio=nil L'*socio=nil urbanisation*socio=ec est un élément inévitable *socio=nil de la transformation*socio=uv économique*socio=ec et sociale*socio=ac du*socio=rien monde_en_voie_de_développement*socio=te. Pour l'instant*socio=rien cette mutation*socio=uv reste*socio=rien déséquilibrée, surtout à cause*socio=rien des *socio=rien taux excessifs de*socio=nil croissance*socio=uv démographique,*socio=nil *socio=nil et ce déséquilibre*socio=uv risque*socio=rien encore de s'aggraver pendant quelque temps*socio=rien si l'on en croit les *socio=rien tendances démographiques actuelles,*socio=nil les*socio=nil taux *socio=nil de la croissance_économique*socio=ec et les contraintes*socio=uv qui pèsent sur*socio=rien les ressources*socio=ec. Or*socio=rien , la croissance_économique*socio=ec des *socio=te zones urbaines *socio=nil où se concentre la *socio=rien majeure partie des*socio=nil industries*socio=ec modernes*socio=uv *socio=nil détermine, dans une très *socio=rien large mesure,*socio=nil *socio=nil celle de la nation*socio=te et les problèmes*socio=uv que pose l'urbanisation*socio=ec auront donc une *socio=rien incidence profonde sur la*socio=nil réalisation*socio=uv des*socio=nil objectifs nationaux*socio=te de*socio=nil développement*socio=uv.*socio=nil Il*socio=nil est donc*socio=nil indispensable*socio=uv *socio=nil que les auteurs*socio=rien de plans*socio=rien s'efforcent à la fois*socio=rien d'utiliser les espaces urbains*socio=te de la façon*socio=rien la plus rationnelle*socio=uv et de créer *socio=rien un réseau de*socio=nil villes*socio=te *socio=nil dont les fonctions*socio=rien s'adaptent*socio=rien bien*socio=rien aux besoins*socio=uv économiques*socio=ec changeants*socio=rien des pays*socio=ac, ce qui permettra alors de réunir les ressources*socio=ec qui serviront à un*socio=rien *socio=uv développement harmonieux des*socio=nil villes*socio=te.*socio=nil Cela*socio=nil est*socio=rien *socio=nil tout à fait*socio=rien réalisable, comme le prouvent les exemples*socio=rien de certaines*socio=rien villes*socio=te du*socio=rien monde_en_voie_de_développement*socio=te qui, du*socio=rien moins par comparaison*socio=rien avec d'autres, trouvent déjà des solutions*socio=rien sociales*socio=ac et économiques*socio=ec au problèmes*socio=uv de l'urbanisation*socio=ec rapide*socio=rien . Tendances*socio=rien de l'urbanisation*socio=ec. De 1920 à 1960, la population*socio=ac du*socio=rien monde*socio=te a augmenté d'environ 60%, passant de 1,9 milliard*socio=rien à 3 milliards*socio=ec d'habitants*socio=ac. Pendant celle période*socio=te, la population*socio=ac des villes*socio=te du*socio=rien monde*socio=te (que l'on définit*socio=rien comme les agglomérations d'au moins 20 000 personnes*socio=rien ) est*socio=rien passée de 270 millions*socio=rien à 750 millions*socio=rien , soit une hausse*socio=rien de 185%. L'accroissement*socio=ec de la population*socio=ac urbaine*socio=te dans les pays*socio=ac développés*socio=rien (125%) a été*socio=rien beaucoup moins rapide*socio=rien que celui enregistré dans le monde_en_voie_de_développement*socio=te (350%). Certes ce phénomène*socio=rien ne se présente*socio=rien pas toujours de la même façon*socio=rien dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac et nous pouvons y distinguer *socio=rien diverses tendances:*socio=nil *socio=nil 1- Les pays*socio=ac les moins développés*socio=rien sont aussi ceux où le pourcentage*socio=rien d'urbanisation*socio=ec de la population*socio=ac est*socio=rien le plus faible*socio=rien et c'est*socio=rien dans ces pays*socio=ac que la population*socio=ac s'accroît le plus vite en général*socio=rien , celle des villes*socio=te en particulier*socio=uv. Tout laisse à penser que dans ce groupe*socio=ac de pays*socio=ac les moins urbanisés et développés*socio=rien , la croissance*socio=uv des villes*socio=te en sera d'autant accélérée - en 1960, ces pays*socio=ac n'avaient que 13% de leur population*socio=ac dans les *socio=te zones urbaines,*socio=nil *socio=nil alors que cette proportion*socio=rien dépasse 50% dans les régions*socio=te développées*socio=rien . 2- La croissance*socio=uv urbaine*socio=te dans le monde_en_voie_de_développement*socio=te est*socio=rien exceptionnellement concentrée dans les grandes*socio=rien villes*socio=te (c'est-à-dire, celles dont la population*socio=ac atteint au moins 500 000 personnes*socio=rien ). Entre 1920 et 1960, les grandes*socio=rien villes*socio=te ont absorbé environ la moitié*socio=rien de la croissance*socio=uv urbaine*socio=te en Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien , environ *socio=rien un tiers en*socio=nil Asie_du_sud*socio=ac *socio=nil et en amérique_latine*socio=ac et environ *socio=rien un quart en*socio=nil Afrique*socio=ac.*socio=nil *socio=nil En 1920, 13% seulement des grandes*socio=rien villes*socio=te du*socio=rien monde*socio=te se trouvaient dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac alors qu'en 1960 cette proportion*socio=rien était de 37%. Aussi bien*socio=rien la croissance*socio=uv de la population*socio=ac totale*socio=rien que celle de la population*socio=ac des villes*socio=te s'est*socio=rien accélérée de 1950 à 1960, dernière*socio=rien période*socio=te pour laquelle on dispose des chiffres des recensements , pendant ces dix années*socio=rien le taux*socio=rien d'accroissement*socio=ec de la population*socio=ac des villes*socio=te dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac a dépassé de plus de 50% celui des trente *socio=rien années précédentes.*socio=nil Les*socio=nil projections*socio=et *socio=nil que l'on a établies pour la période*socio=te de 1960 à l'an*socio=rien 2000 indiquent que la population*socio=ac urbaine*socio=te des régions*socio=te en voie*socio=rien de développement*socio=uv pourrait quadrupler pour dépasser 1,4 milliard*socio=rien d'habitants*socio=ac, tandis que la population*socio=ac des campagnes*socio=et et des petites*socio=rien villes*socio=te dans ces régions*socio=te doublera sans doute*socio=rien pendant cette période*socio=te pour atteindre 3,2 milliards*socio=ec environ. 3- C'est*socio=rien en Afrique*socio=ac que le taux_de_croissance*socio=ec de la population*socio=ac des villes*socio=te sera probablement le plus élevé*socio=rien (4,5% par an*socio=rien ) *socio=rien du fait d'*socio=nil ailleurs *socio=nil que les niveaux*socio=rien d'urbanisation*socio=ec étaient au départ*socio=rien relativement faibles*socio=rien ; viennent ensuite l'amérique_latine*socio=ac, l'Asie_du_sud*socio=ac et l'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien . Tout donne à penser que la concentration*socio=rien de la population*socio=ac dans les grandes*socio=rien villes*socio=te va se poursuivre; il se peut que, dans la *socio=rien seule décennie *socio=nil qui s'ouvre, les grandes*socio=rien villes*socio=te du*socio=rien monde_en_voie_de_développement*socio=te aient à accueillir 100 millions*socio=rien d'habitants*socio=ac de plus. La plupart*socio=rien des villes*socio=te principales*socio=rien augmentent au taux*socio=rien de 5 à 8% par an*socio=rien et on peut s'attendre que leur population*socio=ac double*socio=rien en dix à quinze ans*socio=rien . Incidence*socio=rien de l'urbanisation*socio=ec sur*socio=rien la situation*socio=uv de la main-d'_oeuvre*socio=ac, l'emploi*socio=ec et la production*socio=ec. La main-d'_oeuvre*socio=ac urbaine*socio=te des régions*socio=te en voie*socio=rien de développement*socio=uv aura peut-être quintuplé ou sextuplé à la *socio=rien fin du siècle.*socio=nil La*socio=nil possibilité *socio=nil de fournir à cet excédent*socio=ec un*socio=rien emploi*socio=ec dans le secteur*socio=ec moderne*socio=uv est*socio=rien très aléatoire*socio=uv. De 1955 à 1964, la *socio=ec production manufacturière *socio=nil dans le monde_en_voie_de_développement*socio=te a augmenté au *socio=rien taux annuel *socio=nil de 7% et l'emploi*socio=ec dans ce secteur*socio=ec de 4% seulement. Environ *socio=rien un quart *socio=nil de la main-d'_oeuvre*socio=ac urbaine*socio=te en Asie*socio=ac et en Afrique*socio=ac travaille dans les *socio=ec industries manufacturières *socio=nil et les services_publics*socio=et; cette *socio=rien proportion est *socio=nil d'environ *socio=rien un tiers en*socio=nil amérique_latine*socio=ac.*socio=nil Ces*socio=nil proportions de*socio=nil travailleurs*socio=ac *socio=nil dans l'industrie*socio=ec et les services_publics*socio=et resteront probablement les mêmes jusqu'en l'an*socio=rien 2000 si l'on en croit les projections*socio=et de la main-d'_oeuvre*socio=ac et les *socio=rien tendances récentes *socio=nil de la production*socio=ec et de la productivité*socio=ec. Mais, afin d'accroître considérablement*socio=rien l'emploi*socio=ec dans ces secteurs*socio=ec et d'empêcher que se poursuive cette prolifération d'une main-d'_oeuvre*socio=ac excédentaire*socio=rien dans les villes*socio=te, il semblerait nécessaire*socio=rien d'augmenter sensiblement les investissements*socio=ec et la production*socio=ec dans les *socio=ec industries manufacturières *socio=nil et le secteur_public*socio=ac. Il est*socio=rien peu probable*socio=rien que les activités*socio=rien de l' administration_publique*socio=et, du*socio=rien commerce*socio=ec et autres *socio=rien activités connexes *socio=nil s'accroissent beaucoup plus rapidement que les recette*socio=rien fiscales*socio=ec et le total*socio=rien des transactions*socio=ec. C'est*socio=rien pourquoi, si l'on ne crée pas de nouveaux*socio=rien emplois*socio=ec, il est*socio=rien à craindre qu'une plus *socio=rien forte proportion *socio=nil de la main-d'_oeuvre*socio=ac sous-employée dans les villes*socio=te devra trouver du*socio=rien travail*socio=ec dans les *socio=ec services tertiaires traditionnels*socio=rien *socio=nil . Dans les politiques*socio=et que l'on adoptera pour atténuer ce problème*socio=uv, il serait bon*socio=rien de prévoir un*socio=rien effort*socio=uv vigoureux*socio=rien pour relever la *socio=rien qualité du "*socio=nil capital_humain*socio=ec"*socio=nil *socio=nil par des programmes*socio=et de formation*socio=et axés sur*socio=rien les possibilités*socio=rien d'emploi*socio=ec, qui pourraient faciliter l'intégration*socio=uv de la main-d'_oeuvre*socio=ac non qualifiée*socio=ec dans l'économie*socio=ec urbaine*socio=te. De plus, il est*socio=rien indispensable*socio=uv d'étudier les *socio=rien répercussions sur le*socio=nil problème*socio=uv *socio=nil de l'emploi*socio=ec urbain*socio=te de certaines*socio=rien politiques*socio=et du*socio=rien *socio=ec commerce extérieur *socio=nil et d'octroi*socio=rien de subventions*socio=ec qui font que le capital*socio=ec dont il y a pénurie*socio=ec dans ces pays*socio=ac se trouve artificiellement bon*socio=rien marché*socio=ec par rapport*socio=rien à la main-d'_oeuvre*socio=ac. Migrations*socio=ac internes*socio=rien . Alors qu'il y a beaucoup de sous-emploi*socio=ec dans les centres*socio=rien urbains*socio=te, ce sont encore les migrations*socio=ac d'habitants*socio=ac de *socio=te régions rurales *socio=nil qui entrent pour moitié*socio=rien , voire davantage, dans la croissance*socio=uv totale*socio=rien des villes*socio=te. Si l'on peut raisonnablement prédire la croissance*socio=uv d'une population*socio=ac à partir des taux*socio=rien de natalité*socio=et et de mortalité*socio=et, il n'en va pas de même des migrations*socio=ac dont la *socio=rien cause est *socio=nil essentiellement la réaction*socio=rien d'individus*socio=ac que *socio=rien certaines raisons *socio=nil incitent à quitter les *socio=te zones rurales.*socio=nil *socio=nil Si les gens*socio=ac décident de se rendre vers les villes*socio=te, c'est*socio=rien pour des motifs*socio=rien où se combinent des causes*socio=rien économiques*socio=ec et une *socio=rien certaine idée *socio=nil qu'ils se font d'une vie*socio=rien plus agréable*socio=rien dans les villes*socio=te; c'est*socio=rien donc le résultat*socio=rien à la *socio=rien fois du désir *socio=nil de quitter la campagne*socio=rien et de l'attraction*socio=rien de la ville*socio=te. Si les conditions_de_vie*socio=uv ne sont pas bonnes*socio=rien dans les villes*socio=te, celles dans les *socio=te zones rurales *socio=nil de la plupart*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=ac sont encore moins satisfaisantes*socio=rien , surtout pour les membres*socio=rien jeunes*socio=ac et dynamiques*socio=uv de la population*socio=ac. Il n'y a rien*socio=rien d'étonnant*socio=rien à ce que tous les avantages*socio=rien de la ville*socio=te (électricité*socio=ec, moyens*socio=ec de transports*socio=ec, eau*socio=ec courante*socio=rien , moyens*socio=ec d'enseignement*socio=et, magasins*socio=ec et distractions) se comparent favorablement, malgré l'insuffisance*socio=rien de l'infrastructure*socio=ec urbaine*socio=te causée par l'accroissement*socio=ec de la population*socio=ac, à ce que ces populations*socio=ac trouvent dans les campagnes*socio=et; de plus, les industries*socio=ec qui sont implantées dans les grandes*socio=rien villes*socio=te ou dans leur voisinage*socio=rien , offrent probablement aux travailleurs*socio=ac des rémunérations*socio=ec plus élevées*socio=rien qu'ils ne pourraient en obtenir*socio=rien dans les *socio=te zones rurales *socio=nil ou les petites*socio=rien villes*socio=te. On peut dire que sur*socio=rien ce point*socio=rien , la décision*socio=rien d'émigrer vers les villes*socio=te est*socio=rien rationnelle*socio=uv et, de fait*socio=rien , le coût*socio=ec pour la société*socio=ac ne semble pas dépasser les avantages*socio=rien dont bénéficie l'individu*socio=ac. Les migrations*socio=ac sont causées en partie*socio=rien par *socio=rien un excès de*socio=nil croissance*socio=uv démographique par*socio=nil rapport au*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil de l'économie*socio=ec. La saturation des campagnes*socio=et, c'est-à-dire la *socio=rien présence sur *socio=nil une même superficie*socio=rien de terre*socio=ec de davantage de personnes*socio=rien essayant d'y trouver un*socio=rien gagne-pain, provoque les migrations*socio=ac et il en est*socio=rien de morne dans *socio=rien un contexte différent *socio=nil d'une urbanisation*socio=ec excessive*socio=rien . Il est*socio=rien de fait*socio=rien que des *socio=rien taux élevés de*socio=nil croissance*socio=uv démographique *socio=nil dans de nombreux*socio=rien pays_en_voie_de_développement*socio=ac sont une des *socio=rien causes majeures *socio=nil de la *socio=rien pression sur les*socio=nil *socio=te zones urbaines *socio=nil et de la demande*socio=ec de ressources*socio=ec pour la consommation*socio=ec courante*socio=rien qui pourraient être*socio=rien mieux utilisées pour la croissance_économique*socio=ec du*socio=rien pays*socio=ac. Des programmes*socio=et bien*socio=rien conçus de régulation*socio=et des naissances*socio=rien peuvent dans l'immédiat*socio=rien résulter en une importante*socio=rien économie*socio=ec de ressources*socio=ec, mais ils ne fourniront pas de solution*socio=rien avant une vingtaine*socio=rien d'années*socio=rien au problème*socio=uv général*socio=rien des migrations*socio=ac de main-d'_oeuvre*socio=ac excédentaire*socio=rien vers les villes*socio=te, puisque ceux qui entreront dans la population_active*socio=ac pendant les quinze années*socio=rien à venir sont déjà nés. C'est*socio=rien ainsi que, même si le taux_de_croissance*socio=ec démographique*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=ac baissait brusquement, leurs *socio=te zones urbaines *socio=nil continueraient à se développer à *socio=rien un rythme rapide.*socio=nil *socio=nil Comme les zones*socio=te du*socio=rien monde*socio=te où les revenus*socio=ec sont les plus faibles*socio=rien , c'est-à-dire la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de l'Asie*socio=ac et de l'Afrique*socio=ac tropicale*socio=te, n'ont pas encore atteint *socio=rien un taux d'*socio=nil urbanisation*socio=ec *socio=nil de 25%, il existe encore dans ces pays*socio=ac *socio=rien un nombre considérable de*socio=nil migrants*socio=ac potentiels *socio=nil qui peuvent se diriger vers les villes*socio=te et qui probablement s'y dirigeront. Urbanisation*socio=ec et développement_économique*socio=ec. Dans le passé*socio=rien , la ville*socio=te s'est*socio=rien développée*socio=rien parce qu'il fallait gérer et administrer les ressources*socio=ec et la main-d'_oeuvre*socio=ac dans des sociétés*socio=ac qui étaient capables*socio=rien de produire des excédents*socio=ec de biens*socio=ec. Dans l'Occident*socio=ac qui s'industrialisait, le centre*socio=rien urbain*socio=te lui-même est*socio=rien devenu le centre*socio=rien de l'activité*socio=rien économique*socio=ec, puisque les importants*socio=rien excédents*socio=ec qui étaient produits*socio=rien provenaient surtout des secteurs*socio=ec des *socio=ec industries manufacturières *socio=nil et des services*socio=ec plutôt que de l'agriculture*socio=ec. L'industrialisation*socio=ec a modifié l'organisation*socio=rien de la société*socio=ac ainsi que ses bases*socio=rien technologiques*socio=ec. La spécialisation*socio=uv fonctionnelle*socio=rien des *socio=rien activités est *socio=nil allée de pair*socio=rien avec la concentration*socio=rien de la population*socio=ac dans des zones*socio=te particulières*socio=uv. Néanmoins les caractéristiques*socio=rien de l'urbanisation*socio=ec diffèrent en fonction*socio=rien de la culture*socio=et, de circonstances*socio=rien historiques*socio=te et de la *socio=ec structure économique du*socio=rien pays*socio=ac.*socio=nil En*socio=nil fait*socio=rien *socio=nil , le développement*socio=uv des villes*socio=te en fonction*socio=rien de ces éléments*socio=rien dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac diffère en général*socio=rien nettement de ce que l'on a constaté en Occident*socio=ac. Ces *socio=rien caractéristiques nouvelles des*socio=nil villes*socio=te *socio=nil s'expliquent en *socio=rien grande partie *socio=nil par la différence*socio=rien qu'il y a entre les facteurs*socio=rien socio-économiques*socio=ec qui entraient en jeu*socio=rien dans l'Europe*socio=ac et l'Amérique*socio=ac du*socio=rien Xixe siècle*socio=rien et ceux qui existent aujourd'hui dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac. Par exemple*socio=rien , les *socio=uv conditions sanitaires *socio=nil sont sensiblement meilleures*socio=rien dans les villes*socio=te du*socio=rien monde_en_voie_de_développement*socio=te au Xxe siècle*socio=rien qu'elles ne l'étaient dans l'Occident*socio=ac du*socio=rien Xixe siècle*socio=rien . C'est*socio=rien pourquoi les villes*socio=te dont la population*socio=ac augmente aujourd'hui dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac ont à faire face*socio=rien à un*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec naturel*socio=uv plus élevé*socio=rien que ce ne fut le cas*socio=rien dans les villes*socio=te du*socio=rien monde_industrialisé*socio=te pendant leur période*socio=te d'urbanisation*socio=ec intensive*socio=rien . En même temps*socio=rien , l'industrie*socio=ec y constitue une proportion*socio=rien relativement plus faible*socio=rien de l'activité*socio=rien économique*socio=ec totale*socio=rien . Il faut noter de plus qu'au début*socio=rien de l'industrialisation*socio=ec et des progrès*socio=uv technologiques*socio=ec en Occident*socio=ac, il fallait beaucoup plus de main-d'_oeuvre*socio=ac par unité*socio=uv de production*socio=ec qu'il ne serait justifié aujourd'hui dans les pays_industrialisés*socio=ac, compte*socio=rien tenu de l'évolution*socio=rien des coûts*socio=ec relatifs*socio=rien des facteurs*socio=rien de production*socio=ec. Les pays_en_voie_de_développement*socio=ac de l'époque*socio=rien actuelle*socio=rien qui désirent créer des secteurs*socio=ec industriels*socio=ac capables*socio=rien de soutenir la concurrence*socio=ec sur*socio=rien les marchés*socio=ec internationaux*socio=te disposent d'un*socio=rien avantage, en ce qu'ils n'ont pas à mettre au point*socio=rien une *socio=ec technologie industrielle moderne*socio=uv *socio=nil qui existe déjà. Par contre, il se peut qu'en décidant d'adopter cette technologie*socio=ec, ils s'aperçoivent qu'elle n'est*socio=rien pas celle qui convient pour leur économie*socio=ec, vu le rapport*socio=rien des coûts*socio=ec du*socio=rien capital*socio=ec et de la main-d'_oeuvre*socio=ac dans leur société*socio=ac. C'est*socio=rien pourquoi ils peuvent avoir à faire face*socio=rien à la fois*socio=rien à une grave*socio=rien pénurie*socio=ec de main-d'_oeuvre*socio=ac qualifiée*socio=ec et à un*socio=rien sous-emploi*socio=ec considérable*socio=rien dans les villes*socio=te. Au Xixe siècle*socio=rien , en Occident*socio=ac, le *socio=ec secteur industriel *socio=nil qui se développait rapidement alors que la main-d'_oeuvre*socio=ac s'accroissait relativement assez lentement, était capable*socio=rien d'absorber l'afflux de travailleurs*socio=ac venant des *socio=te régions rurales,*socio=nil *socio=nil - de fait*socio=rien , le rythme*socio=rien de la croissance*socio=uv des villes*socio=te était mieux adapté, que ce n'est*socio=rien le cas*socio=rien aujourd'hui, à l'évolution*socio=rien générale*socio=rien des économies*socio=ec de ces pays*socio=ac. L'attrait*socio=rien de la ville*socio=te fut le *socio=rien principal élément *socio=nil qui entrait en jeu*socio=rien dans l'urbanisation*socio=ec de l'Occident*socio=ac; au contraire*socio=rien , la croissance*socio=uv des villes*socio=te dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac peut être*socio=rien considérée comme une combinaison*socio=rien de l'attrait*socio=rien des villes*socio=te et de l'exode*socio=te des campagnes*socio=et. L'économie*socio=ec urbaine*socio=te. On peut considérer théoriquement que la ville*socio=te *socio=rien est un producteur*socio=ac qui*socio=nil commerce*socio=ec *socio=nil avec le reste*socio=rien de l'économie*socio=ec. Le secteur*socio=ec des services*socio=ec de la ville*socio=te est*socio=rien le soutien*socio=uv de ses activités*socio=rien *socio=uv productives dynamiques,*socio=nil *socio=nil mais, à longue*socio=rien échéance*socio=te, ce secteur*socio=ec des services*socio=ec peut très *socio=rien bien être l'*socio=nil élément déterminant *socio=nil de la capacité*socio=rien de concurrence*socio=ec de la production*socio=ec d'une ville*socio=te. A mesure*socio=rien que s'accroît l'économie*socio=ec nationale*socio=te, s'accompagnant d'une demande*socio=rien de *socio=rien produits nouveaux *socio=nil et d'une spécialisation*socio=uv de la production*socio=ec, il peut se constituer dans la ville*socio=te *socio=rien un ensemble industriel*socio=ec qui*socio=nil commerce*socio=ec *socio=nil avec d'autres régions*socio=te et en même temps*socio=rien alimente le vaste*socio=rien marché*socio=ec de la ville*socio=te elle-même. *socio=rien Un grand centre urbain*socio=te *socio=nil peut offrir d'importantes*socio=rien économies*socio=ec d'échelle*socio=rien pour le commerce*socio=ec et l'industrie*socio=ec et pour les *socio=rien activités du secteur_public*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Il peut aussi engendrer ce que l'on appelle des "économies*socio=ec externes*socio=te" sous forme*socio=rien d'échanges*socio=ec interindustriels ainsi que de réserves*socio=ec de main-d'_oeuvre*socio=ac qualifiée*socio=ec, de capitaux*socio=ec et de moyens*socio=ec de recherche*socio=ec. La concentration*socio=rien urbaine*socio=te doit aboutir à une certaine*socio=rien "masse*socio=rien critique*socio=uv" de l'industrie*socio=ec permettant les économies*socio=ec externes*socio=te et les économies*socio=ec d'échelle*socio=rien internes*socio=rien dont le résultat*socio=rien sera une hausse*socio=rien de la productivité*socio=ec et *socio=rien un nouvel essor *socio=nil de l'économie*socio=ec. Mais il *socio=rien est nécessaire *socio=nil en même temps*socio=rien d'étudier soigneusement à quel moment*socio=rien de l'urbanisation*socio=ec les déséconomies externes*socio=rien de la croissance*socio=uv d'une ville*socio=te, sous forme*socio=rien , par exemple*socio=rien , des coûts*socio=ec que représentent la pollution*socio=et, l'encombrement du*socio=rien trafic urbain*socio=te et une administration*socio=et qui ne peut s'acquitter de sa tâche*socio=rien , annulent les avantages*socio=rien qu'offre*socio=rien la concentration*socio=rien urbaine*socio=te et commencent à réduire sensiblement les perspectives*socio=uv de nouveaux*socio=rien investissements*socio=ec et d'une croissance*socio=uv accrue. La région*socio=te. La ville*socio=te n'est*socio=rien pas une unité*socio=uv économique*socio=ec isolée. On peut dire qu'une nation*socio=te est*socio=rien composée d'un*socio=rien réseau*socio=rien de villes*socio=te où chacune a des fonctions*socio=rien à remplir pour la région*socio=te qui l'entoure. La ville*socio=te peut aussi être*socio=rien étudiée en fonction*socio=rien de la place*socio=rien qu'elle occupe dans le pays*socio=ac: certaines*socio=rien métropoles*socio=te (c'est-à-dire celles qui ont *socio=rien un rôle *socio=nil dominant dans la nation*socio=te ou, parfois, dans une région*socio=te) s'acquittent de fonctions*socio=rien pour l'économie*socio=ec tout entière*socio=rien , d'autres villes*socio=te pouvant dépendre de la métropole*socio=ac à des degrés*socio=rien divers. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil auteurs *socio=nil ont parlé d'un*socio=rien effet*socio=rien de "tarissement" c'est-à-dire que la croissance*socio=uv rapide*socio=rien des *socio=rien grands centres urbains*socio=te au*socio=nil premier stade*socio=te du développement*socio=uv est *socio=nil suivie ultérieurement par une croissance*socio=uv plus équilibrée lorsque les zones*socio=te de l'intérieur*socio=rien du*socio=rien pays*socio=ac deviennent accessibles*socio=uv et que les moyens*socio=ec de transport*socio=ec et les moyens*socio=ec d'éducation*socio=et se développent. Toutefois, la concentration*socio=rien dans les métropoles*socio=te risque*socio=uv d'empêcher une croissance*socio=uv équilibrée en ce sens*socio=rien que la grande*socio=rien ville*socio=te peut exercer une telle influence qu'elle continue*socio=rien à attirer vers elle les capitaux*socio=ec, la main-d'_oeuvre*socio=ac et les entrepreneurs*socio=ac en *socio=rien un processus permanent.*socio=nil *socio=nil Il peut arriver que les *socio=te zones rurales traditionnelles*socio=rien *socio=nil ne s'adaptent*socio=rien pas aux changements*socio=uv de la demande*socio=ec en matière*socio=rien de produits*socio=rien agricoles*socio=ec et qu'elles n'adoptent pas les techniques*socio=rien et les facteurs*socio=rien de production*socio=ec modernes*socio=uv. L'intégration*socio=uv de ces régions*socio=te dans l'économie_de_marché*socio=ec d'une nation*socio=te peut exiger de grandes*socio=rien réformes*socio=et de structure*socio=ec, dans le régime*socio=et foncier*socio=ec par exemple*socio=rien . Et il ne faut pas oublier par ailleurs*socio=rien , que la modernisation*socio=ec de l'agriculture*socio=ec réduit souvent les besoins*socio=uv en main-d'_oeuvre*socio=ac, ce qui là encore déclenchera une migration*socio=ac vers la ville*socio=te. De ce fait*socio=rien , une politique*socio=et de développement_économique*socio=ec des villes*socio=te ne peut être*socio=rien fondée sur*socio=rien une stratégie*socio=et purement urbaine*socio=te, mais doit tenir compte*socio=rien également de l'interaction*socio=rien entre *socio=te zones urbaines et*socio=nil rurales,*socio=nil *socio=nil si l'on veut qu'il soit tiré le meilleur*socio=rien parti*socio=et des ressources*socio=ec existantes*socio=rien . Les problèmes*socio=uv d'urbanisation*socio=ec dans les années*socio=rien 1970. La nation*socio=te. Un*socio=rien pays*socio=ac, lorsqu'il fixe sa politique*socio=et et répartit ses ressources*socio=ec à l'échelon*socio=rien national*socio=te doit envisager la croissance*socio=uv urbaine*socio=te sous des *socio=rien dimensions nouvelles.*socio=nil *socio=nil Il ne faut certes pas considérer les villes*socio=te uniquement*socio=rien comme des lieux*socio=rien drainant des ressources*socio=ec qu'il faut leur rationner si l'on veut pouvoir*socio=et financer les autres objectifs*socio=rien nationaux*socio=te; elles sont aussi des instruments*socio=rien de la transformation*socio=uv économique*socio=ec et sociale*socio=ac de l'ensemble*socio=rien de la nation*socio=te. Les pouvoirs_publics*socio=ac ont à faire un*socio=rien choix*socio=uv entre toute une gamme*socio=rien de projets*socio=rien prioritaires*socio=uv, qu'il s'agisse d'investissements*socio=ec pour la production*socio=ec de biens*socio=ec ou de ce que l'on peut appeler l'infrastructure*socio=ec et les services*socio=ec urbains*socio=te nécessaires*socio=rien au peuplement ainsi créé. A cet égard*socio=rien , les normes*socio=et de qualité*socio=rien et de quantité*socio=rien des services_publics*socio=et urbains*socio=te doivent être*socio=rien fixées en fonction*socio=rien des ressources*socio=ec dont on dispose et de la nécessité*socio=uv, de parvenir aux *socio=rien objectifs du développement*socio=uv urbain*socio=te *socio=nil et de l'emploi*socio=ec. Il se pose aussi dans le même ordre*socio=rien d'idées*socio=rien le problèmes*socio=uv du*socio=rien déséquilibre*socio=uv entre les régions*socio=te qui incite fréquemment le gouvernement*socio=ac à prendre des mesures*socio=rien pour limiter*socio=rien les dimensions*socio=rien des grandes*socio=rien villes*socio=te. Une telle politique*socio=et peut certes mieux répartir les ressources*socio=ec en faveur*socio=rien des régions*socio=te "faibles*socio=rien ", mais cela risque*socio=uv de se faire aux dépens*socio=rien de la croissance*socio=uv globale*socio=rien de la nation*socio=te. Il va sans dire qu'une politique*socio=et nationale*socio=te doit tenir compte*socio=rien de l'objectif*socio=rien à longue*socio=rien échéance*socio=te qu'est*socio=rien l'intégration*socio=uv de la nation*socio=te aussi *socio=rien bien du point de*socio=nil vue social*socio=ac qu'*socio=nil économique*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Il n'en reste*socio=rien pas moins que, lorsqu'il s'agit du*socio=rien développement*socio=uv national*socio=te, il *socio=rien est bon *socio=nil de donner la priorité*socio=uv aux régions*socio=te où les activités*socio=rien et les investissements*socio=ec qui y seront concentrés peuvent avoir des *socio=rien répercussions décisives sur le*socio=nil développement_économique*socio=ec de*socio=nil zones*socio=te plus*socio=nil vastes.*socio=nil Le*socio=nil choix*socio=uv *socio=nil de ces régions*socio=te où la croissance*socio=uv *socio=rien présente un intérêt_particulier*socio=ec *socio=nil dépendra dans une *socio=rien large mesure des*socio=nil possibilités de*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil de l'industrie*socio=ec et, dans certains cas*socio=rien , des perspectives*socio=uv de mise en valeur*socio=ec de ressources*socio=ec jusque là inexploitées. Le développement*socio=uv de l'infrastructure*socio=ec par l'État*socio=ac et l'application*socio=rien de mesures*socio=rien fiscales*socio=ec peuvent être*socio=rien de *socio=rien puissants leviers *socio=nil pour développer ces centres*socio=rien et si l'on ne choisit pas et ne crée pas rationnellement des "pôles*socio=rien de croissance*socio=uv", on risque*socio=uv de gaspiller au *socio=rien détriment du développement*socio=uv des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil dont il y a pénurie*socio=ec. La *socio=te région urbaine.*socio=nil *socio=nil Pour élaborer au niveau*socio=rien national*socio=te des stratégies*socio=et *socio=rien cohérentes du développement*socio=uv *socio=nil de la ville*socio=te et de la région*socio=te environnante*socio=rien il est*socio=rien indispensable*socio=uv de réévaluer avec soin*socio=rien l'économie*socio=ec de ces deux éléments*socio=rien . De nombreuses*socio=rien villes*socio=te souffrent d'une administration*socio=et fragmentée à l'excès*socio=rien , de réseaux*socio=rien de services_publics*socio=et inefficaces*socio=uv dans la ville*socio=te ou la région*socio=te, et, d'une *socio=rien manière générale,*socio=nil d'*socio=nil un manque de*socio=nil coordination*socio=uv *socio=nil dans la planification*socio=et et la répartition*socio=uv des investissements*socio=ec. Les municipalités*socio=ac sont souvent à court*socio=rien d'argent*socio=ec et il leur *socio=rien est difficile *socio=nil d'établir rationnellement des budgets*socio=ec et des plans*socio=rien de répartition*socio=uv des ressources*socio=ec. *socio=rien Un plan de*socio=nil développement*socio=uv global *socio=nil dans le cadre*socio=rien duquel on puisse évaluer et exécuter les programmes*socio=et d'investissement*socio=ec est*socio=rien essentiel*socio=uv. La stratégie*socio=et du*socio=rien développement*socio=uv des villes*socio=te doit viser à porter au maximum*socio=rien la production*socio=ec et l'emploi*socio=ec dans une zone*socio=rien donnée et à fournir, aux coûts*socio=ec les plus bas*socio=rien , l'infrastructure*socio=ec et les services*socio=ec urbains*socio=te indispensables*socio=uv. Ce qui risque*socio=uv le plus de freiner les projets*socio=rien dans la ville*socio=te est*socio=rien la pénurie*socio=ec de cadres*socio=rien de gestion*socio=et. C'est*socio=rien dans les grandes*socio=rien villes*socio=te que l'on trouve la *socio=rien majeure partie des*socio=nil emplois*socio=ec *socio=nil et des revenus*socio=ec du*socio=rien secteur*socio=ec moderne*socio=uv et une *socio=rien bonne part *socio=nil de l'emploi*socio=ec dans les services*socio=ec *socio=rien traditionnels du pays*socio=ac:*socio=nil l'*socio=nil efficacité*socio=uv des*socio=nil cadres de*socio=nil gestion*socio=et peut*socio=nil être l'*socio=nil élément déterminant *socio=nil de l'aptitude*socio=rien d'une société*socio=ac à parvenir à ses objectifs*socio=rien de développement*socio=uv. Financement*socio=ec de la croissance*socio=uv urbaine*socio=te. Allocation*socio=et des ressources*socio=ec nationales*socio=te. Dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil il sera impossible*socio=rien de mener à bien*socio=rien des programmes*socio=et efficaces*socio=uv de développement_des_régions*socio=te et des villes*socio=te aussi longtemps qu'on n'accordera pas suffisamment d'attention*socio=rien à la *socio=uv répartition judicieuse des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil entre l'État*socio=ac et les instances*socio=et inférieures*socio=rien , régions*socio=te ou communes*socio=uv. Il ne faudrait pas que les pouvoirs_publics*socio=ac, lorsqu'ils élaborent et appliquent les stratégies*socio=et nationales*socio=te de développement*socio=uv, négligent la contribution*socio=uv qu'apportent les économies*socio=ec urbaines*socio=te. Dans certains pays*socio=ac il serait utile*socio=uv de mieux coordonner les activités*socio=rien des autorités*socio=et qui sont chargées du*socio=rien développement*socio=uv aux échelons national*socio=te, régional*socio=te et urbain*socio=te. Des allocations*socio=et de ressources*socio=ec qui sont décidées essentiellement en *socio=rien fonction du souci *socio=nil de mieux répartir les ressources*socio=ec ou pour des raisons*socio=rien politiques*socio=et ou encore pour améliorer le bien-être*socio=uv des populations*socio=ac risquent de ne pas porter au maximum*socio=rien la croissance*socio=uv, alors que cela reste*socio=rien dans certains cas*socio=rien l'objectif*socio=rien fondamental*socio=rien d'une politique_économique*socio=et nationale*socio=te. Mobilisation*socio=uv des ressources*socio=ec au niveau*socio=rien local*socio=te. La plupart*socio=rien des administrations*socio=ac urbaines*socio=te n'ont pas de fonds*socio=ec suffisants*socio=rien pour l'équipement*socio=ec de leur ville*socio=te, ni même des revenus*socio=ec ordinaires*socio=rien qui leur permettraient d'assurer le fonctionnement*socio=rien et l'entretien*socio=rien des services*socio=ec existants*socio=rien . On peut prouver que la gestion*socio=et de villes*socio=te de *socio=rien dimensions comparables *socio=nil dans une économie*socio=ec donnée est*socio=rien plus ou moins efficace*socio=uv selon que les municipalités*socio=ac réussissent à mobiliser les ressources*socio=ec au moyen*socio=rien de la fiscalité*socio=ec, d'une structure*socio=ec rationnelle*socio=uv des tarifs*socio=ec, d'une base*socio=rien contributive bien*socio=rien évaluée et d'emprunts*socio=ec sur*socio=rien les marchés*socio=ec locaux*socio=rien . En particulier*socio=uv, il est*socio=rien indispensable*socio=uv de réviser périodiquement les barèmes*socio=rien tarifaires*socio=ec des services_publics*socio=et si l'objectif*socio=rien est*socio=rien de financer les investissements_publics*socio=et au moyen*socio=rien des excédents*socio=ec d'exploitation*socio=ec. Mobilisation*socio=uv de l'épargne*socio=ec pour le logement*socio=ec Le logement*socio=ec *socio=rien est un problème*socio=uv crucial *socio=nil de l'urbanisation*socio=ec. Les migrants*socio=ac et les pauvres*socio=ac qui constituent une *socio=rien proportion croissante des*socio=nil populations*socio=ac urbaines*socio=te actuelles ont*socio=nil besoin*socio=uv d'*socio=nil un *socio=nil abri. Une industrie*socio=ec de la construction*socio=ec, particulièrement de logements*socio=ec, peut créer de nombreux*socio=rien emplois*socio=ec pour les groupes*socio=ac de travailleurs*socio=ac non qualifiés*socio=ec à faible*socio=rien revenu*socio=ec, en même temps*socio=rien qu'elle provoque une demande*socio=rien de matériaux*socio=ec de construction*socio=ec. Si l'on dispose dans la région*socio=te de la main-d'_oeuvre*socio=ac et des matériaux*socio=ec nécessaires*socio=rien , il *socio=rien est possible *socio=nil de stimuler l'activité*socio=rien d'un*socio=rien important*socio=rien *socio=ec secteur économique *socio=nil sans que cela ait des répercussions*socio=rien fâcheuses sur*socio=rien la balance_des_paiements*socio=ec , à condition*socio=rien que les *socio=ec ressources financières *socio=nil que l'on se procure pour l'exécution*socio=rien du*socio=rien programme*socio=et de logement*socio=ec ne contribuent pas à des pressions*socio=uv excessives*socio=rien de la demande*socio=ec. C'est*socio=rien pourquoi, l'épargne*socio=ec devient *socio=rien un élément critique*socio=uv *socio=nil de la politique*socio=et nationale*socio=te du*socio=rien logement*socio=ec. La mise en place*socio=rien de caisses*socio=ec ou autres établissements*socio=rien d'épargne*socio=ec et la mobilisation*socio=uv des ressources*socio=ec sont difficiles*socio=rien lorsque l'épargne*socio=ec monétaire*socio=ec est*socio=rien minime. Cependant, on a appris, à l'expérience*socio=uv, que si l'on met à la disposition*socio=rien des habitants*socio=ac *socio=rien un terrain *socio=nil déjà aménagé avec peut-être *socio=rien un minimum de*socio=nil services*socio=ec *socio=nil installés, ce stimulant les incitera à construire leur propre*socio=rien logement*socio=ec sur*socio=rien l'épargne*socio=ec qu'ils feront occasionnellement. Un*socio=rien tel logement*socio=ec ne charge*socio=uv pas le propriétaire*socio=ac d'une grosse*socio=rien dette*socio=ec et au premier*socio=rien stade*socio=te du*socio=rien développement*socio=uv des villes*socio=te c'est*socio=rien là une façon*socio=rien de fournir des logements*socio=ec qui donne de *socio=rien meilleurs résultats *socio=nil que là construction*socio=ec de logements*socio=ec types et uniformes par les pouvoirs_publics*socio=ac. Les autorités*socio=et municipales*socio=ac devraient trouver le moyen*socio=rien d'utiliser ce gros*socio=rien potentiel*socio=uv de construction*socio=ec en créant sur*socio=rien certains terrains*socio=rien des peuplements d'immigrants*socio=ac, dans le cadre*socio=rien , bien*socio=rien entendu, de la stratégie*socio=et globale*socio=rien de développement*socio=uv de la ville*socio=te et sans qu'il faille avoir recours*socio=rien à l'excès*socio=rien à l' épargne_publique*socio=et. Certains pays_en_voie_de_développement*socio=ac, où les niveaux*socio=rien de revenus*socio=ec sont plus élevés*socio=rien , ont relativement bien*socio=rien réussi à stimuler la construction*socio=ec de logements*socio=ec avec l'aide*socio=uv d'associations*socio=rien d'épargne*socio=ec et de prêt*socio=ec, de sociétés*socio=ac de construction*socio=ec ou de caisses*socio=ec d'épargne*socio=ec. Ces associations*socio=ac peuvent être*socio=rien de types très divers qui vont de l'association*socio=ac entièrement publique*socio=et aux associations*socio=ac mixtes et privées*socio=ec. Lorsque l'épargne*socio=ec est*socio=rien liée à la possibilité*socio=rien d'obtenir*socio=rien un*socio=rien prêt*socio=ec à long_terme*socio=ec pour le logement*socio=ec, il n'est*socio=rien pas rare*socio=rien qu'il s'agisse d'une épargne*socio=ec qui ne s'était jamais manifestée auparavant. Il suffit alors que l'élément*socio=rien de subvention*socio=ec de l'État*socio=ac complète ce qui doit être*socio=rien fondamentalement un*socio=rien effort*socio=uv d'épargne*socio=ec de la *socio=rien part du secteur_privé*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Il va sans dire, bien*socio=rien entendu, que si l'inflation*socio=ec *socio=rien est forte dans*socio=nil un pays*socio=ac,*socio=nil un problème*socio=uv *socio=nil se pose à cet égard*socio=rien - si le gouvernement*socio=ac ne décide pas d'apporter les ajustements*socio=et monétaires*socio=ec compensatoires*socio=uv, l'inflation*socio=ec a tendance*socio=rien à réduire à la fois*socio=rien la propension à épargner et la valeur*socio=ec des *socio=ec avoirs financiers *socio=nil de l'institution*socio=ac d'épargne-logement*socio=et. Conclusion*socio=rien . Dans le monde_en_voie_de_développement*socio=te la population*socio=ac et probablement les dimensions*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil villes*socio=te *socio=nil doubleront dans l'avenir*socio=te prévisible*socio=rien . La possibilité*socio=rien s'offre*socio=rien de prendre des dispositions*socio=rien pour faire face*socio=rien à cette croissance*socio=uv d'une manière*socio=rien beaucoup plus efficace*socio=uv que cela n'a été*socio=rien le cas*socio=rien dans le passé*socio=rien , précisément parce que la croissance*socio=uv urbaine*socio=te ne fait*socio=rien que commencer. Les pays_en_voie_de_développement*socio=ac sont donc à même de dresser des schémas*socio=rien de croissance*socio=uv plus rationnels*socio=uv pour les villes*socio=te. Ils peuvent tirer meilleur*socio=rien parti*socio=et des ressources*socio=ec disponibles*socio=rien par une meilleure*socio=rien administration*socio=et des fonds*socio=ec et par des procédures*socio=rien plus rationnelles*socio=uv d'affectation*socio=rien des ressources*socio=ec. Ils peuvent beaucoup améliorer la mobilisation*socio=uv des ressources*socio=ec locales*socio=rien . Les décisions*socio=rien économiques*socio=ec et sociales*socio=ac qu'il faut prendre pour l'urbanisation*socio=ec doivent être*socio=rien planifiées et exécutées au niveau*socio=rien des villes*socio=te aussi bien*socio=rien qu'au niveau*socio=rien de la nation*socio=te. Une fois*socio=rien les objectifs*socio=rien précisés et les moyens*socio=ec identifiés, il suffit alors de faire les choix*socio=uv et de mettre au point*socio=rien les mécanismes*socio=rien qui permettent d'exécuter les décisions*socio=rien . L'urbanisation*socio=ec est*socio=rien intimement liée à la croissance_économique*socio=ec globale*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac. C'est*socio=rien pourquoi il faut élaborer des stratégies*socio=et du*socio=rien développement*socio=uv urbain*socio=te sur*socio=rien la base*socio=rien de considérations*socio=uv économiques*socio=ec s'appliquant à tout le pays*socio=ac; la planification*socio=et détaillée des investissements*socio=ec devrait viser à mettre en place*socio=rien toute l'infrastructure*socio=ec indispensable*socio=uv à une croissance*socio=uv urbaine*socio=te rationnelle*socio=uv, compte*socio=rien tenu des *socio=uv besoins prioritaires *socio=nil de l'économie*socio=ec nationale*socio=te. La banque_mondiale*socio=ac, qui est*socio=rien le plus important*socio=rien organisme*socio=ac multilatéral*socio=te de développement*socio=uv, a déjà aidé à financer l'infrastructure*socio=ec urbaine*socio=te, l'activité*socio=rien économique*socio=ec et les services_sociaux*socio=et des villes*socio=te dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil notamment par ses programmes*socio=et de prêts*socio=ec pour les services_publics*socio=et, l'industrie*socio=ec et l'éducation*socio=et. La Banque*socio=ac sait que l'élaboration*socio=rien et l'application*socio=rien de stratégies*socio=et rationnelles*socio=uv de développement*socio=uv de la ville*socio=te et de la région*socio=te pose des problèmes*socio=uv théoriques*socio=rien complexes; ces stratégies*socio=et exigent que les planificateurs*socio=ac ne négligent aucun aspect*socio=rien de ces problèmes*socio=uv, notamment des questions*socio=rien de portée*socio=rien plus vaste*socio=rien , telles que la régulation*socio=et des naissances*socio=rien , la formation*socio=et des travailleurs*socio=ac et l'emploi*socio=ec. La solution*socio=rien des problèmes*socio=uv demandera *socio=rien du temps *socio=nil et devra se fonder sur*socio=rien l'expérience*socio=uv. Il ne faut pas oublier non plus que les frais*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv des villes*socio=te risquent d'être*socio=rien très élevés*socio=rien et qu'il faut les acquitter en *socio=rien majeure partie en*socio=nil monnaie*socio=ec du pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Dans le meilleur*socio=rien des cas*socio=rien , la Banque*socio=ac ne peut apporter son aide*socio=uv dans ce secteur*socio=ec que dans la mesure*socio=rien où son mandat*socio=rien et ses possibilités*socio=rien financières*socio=ec le lui permettent. Comme dans d'autres domaines*socio=rien , la Banque*socio=ac et les autres institutions_internationales*socio=et auront donc sans *socio=rien doute un rôle de*socio=nil catalyseur,*socio=nil *socio=nil qui consistera à déclencher ce qui doit être*socio=rien essentiellement un*socio=rien effort*socio=uv vigoureux*socio=rien de la part*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=ac eux mêmes.