*{Rapport annuel de la Banque mondiale, 1976} *socio=nil Résumé des activités*socio=rien dans le *socio=rien contexte général *socio=nil de l'exercice*socio=rien . Pendant l'exercice*socio=rien 1976, les engagements*socio=ec de prêt*socio=ec et d'investissement*socio=ec de la banque_mondiale*socio=ac et de ses deux filiales*socio=rien , l' association_internationale_de_développement*socio=ac (IDA*socio=ac) et la société_financière_internationale*socio=ac (SFI*socio=ac) ont atteint le montant*socio=ec total*socio=rien de 6,877,4 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Ce chiffre dépasse de 769 millions*socio=rien de dollars*socio=ec le niveau*socio=rien déjà sans précédent*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1975. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1976, 141 prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac, 73 crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac et 33 investissements*socio=ec de la SFI*socio=ac furent en tout approuvés. Durant l'exercice*socio=rien 1975, il y a eu au total*socio=rien 122 prêts*socio=ec, 68 crédits*socio=ec ont été*socio=rien accordés et les investissements*socio=ec ont été*socio=rien au nombre*socio=rien de 31. Les engagements*socio=ec de la Banque*socio=ac sont passés*socio=rien à 4,977 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit un*socio=rien accroissement*socio=ec de 657 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Les crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac ont progressé de 79 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour atteindre 1,655 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Les investissements*socio=ec de la SFI*socio=ac, en accroissement*socio=ec de quelque 34 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pendant l'année*socio=rien , se sont montés à 245 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. (Voir, pour plus de détails*socio=rien , le *socio=rien Rapport annuel *socio=nil de la SFI*socio=ac.) La Banque*socio=ac a, en outre, accordé un*socio=rien prêt*socio=ec de 70 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à la SFI*socio=ac. L'inflation*socio=ec a cependant continué à modérer l'augmentation*socio=uv, en *socio=rien termes réels,*socio=nil du volume des*socio=nil capitaux*socio=ec *socio=nil prêtés. Si l'on devait exprimer en dollars*socio=ec de 1976 les engagements*socio=ec de la Banque*socio=ac et de l'IDA*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1975, l'augmentation*socio=uv des prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien 1976 serait, en *socio=rien termes réels,*socio=nil *socio=nil de 391 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 9%, au lieu*socio=rien de 657 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 15%, en *socio=rien termes nominaux.*socio=nil *socio=nil Quant aux engagements*socio=ec de l'IDA*socio=ac, ils seraient en baisse*socio=rien de 1% en *socio=rien termes réels bien *socio=nil qu'ayant augmenté de 5% en valeur*socio=ec nominale*socio=rien . L'ensemble*socio=rien des engagements*socio=ec de la Banque*socio=ac et de l'IDA*socio=ac, mesurés en dollars*socio=ec constants*socio=rien de 1976, serait passé*socio=rien de 6,259 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pendant l'exercice*socio=rien 1975 à 6,632 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pendant l'exercice*socio=rien 1976, soit un*socio=rien accroissement*socio=ec de 6%. Le revenu*socio=ec net*socio=rien de la Banque*socio=ac pour l'exercice*socio=rien 1976 se monte à 220 millions*socio=rien de dollars*socio=ec: il est*socio=rien en baisse*socio=rien de 20% par rapport*socio=rien à l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien . Ceci est*socio=rien dû principalement à l'augmentation*socio=uv du*socio=rien coût*socio=ec du*socio=rien service*socio=ec des dettes*socio=ec de la Banque*socio=ac et à *socio=rien un fléchissement des*socio=nil rendements*socio=ec à*socio=nil court_terme*socio=ec *socio=nil de ses investissements*socio=ec. Le compte*socio=rien de *socio=rien Réserve générale a*socio=nil été *socio=nil débité au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1976 d'un*socio=rien montant*socio=ec de 151 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par suite*socio=rien des réévaluations et des *socio=ec dévaluations monétaires *socio=nil qui ont eu lieu*socio=rien pendant la période*socio=te. (La section*socio=rien "Revenus*socio=ec et dépenses*socio=ec - Banque*socio=ac" *socio=rien du chapitre "*socio=nil Emprunts*socio=ec et*socio=nil finances*socio=ec"*socio=nil du présent Rapport *socio=nil contient à ce sujet*socio=rien de plus *socio=rien amples détails.*socio=nil *socio=nil ) Les emprunts*socio=ec ont augmenté, passant de 3,510 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pendant l'exercice*socio=rien 1975 à 3,811 millions*socio=rien de dollars*socio=ec au cours*socio=rien de celui qui vient de s'achever. Les décaissements*socio=ec de la Banque*socio=ac et de l'IDA*socio=ac ont atteint durant l'année*socio=rien de nouveaux*socio=rien sommets2. Les décaissements*socio=ec de la Banque*socio=ac ont augmenté de 475 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour atteindre 2,470 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, et ceux de l'IDA*socio=ac de 226 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour passer à 1,252 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. La Banque*socio=ac et l'IDA*socio=ac ont continué à renforcer leur assistance*socio=et aux plus pauvres*socio=uv d'entre leurs pays_membres*socio=ac. Ces pays*socio=ac ont bénéficié de 39% *socio=rien du total des*socio=nil engagements*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac et de l'IDA*socio=ac, contre 38% pendant l'exercice*socio=rien 1975. Dans le cas*socio=rien de la seule*socio=rien IDA*socio=ac, ces pays*socio=ac ont reçu 92% des engagements*socio=ec contre 84% pendant l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien . Pour la *socio=rien deuxième année consécutive,*socio=nil c'*socio=nil est l'*socio=nil agriculture*socio=ec *socio=nil et le développement*socio=uv rural*socio=te qui ont bénéficié plus que tout autre secteur*socio=ec des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec. Soixante-cinq projets*socio=rien ont été*socio=rien approuvés, qui ont donné lieu*socio=rien à l'engagement*socio=ec de 1,627,6 millions*socio=rien de dollars*socio=ec Sur*socio=rien les 65, 38 étaient des projets_de_développement*socio=et rural*socio=te dont la plus *socio=rien grande partie des*socio=nil avantages *socio=nil bénéficient à des paysans*socio=ac pauvres*socio=uv. Les capitaux*socio=ec prêtés en faveur*socio=rien de l'agriculture*socio=ec et du*socio=rien développement*socio=uv rural*socio=te ont représenté 25% de tous les engagements*socio=ec de la Banque*socio=ac et de VIDA au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien . (On trouvera de plus *socio=rien amples détails sur les*socio=nil prêts*socio=ec en*socio=nil faveur *socio=nil de l'agriculture*socio=ec et du*socio=rien développement*socio=uv rural*socio=te à la *socio=rien section du présent chapitre *socio=nil intitulé "développement*socio=uv rural*socio=te"). La proportion*socio=rien des prêts*socio=ec en faveur*socio=rien des secteurs*socio=ec "traditionnels*socio=rien " - énergie*socio=ec, transports*socio=ec et télécommunications*socio=rien - a été*socio=rien au total*socio=rien à peu près de 36%, soit un*socio=rien peu plus que le niveau*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1975, qui avait été*socio=rien d'environ 29%; pour l'exercice*socio=rien 1974,)a proportion*socio=rien était de 43%. Augmentation*socio=uv de capital*socio=ec. Aux termes*socio=rien de ses Statuts*socio=rien , la Banque*socio=ac ne peut laisser le montant*socio=ec non amorti de ses prêts*socio=ec dépasser la somme*socio=rien de son capital*socio=ec souscrit net*socio=rien d'obligations*socio=uv, de ses réserves*socio=ec et de ses excédents*socio=ec. Au 30 juin*socio=rien 1976, les prêts*socio=ec non amortis se montaient à 22,741 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, le capital*socio=ec souscrit net*socio=rien d'obligations*socio=uv, les réserves*socio=ec et les excédents*socio=ec s'élevaient au total*socio=rien à 32,777 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. C'est*socio=rien dans ces conditions*socio=uv que la question*socio=rien d'une augmentation*socio=uv du*socio=rien capital*socio=ec de la Banque*socio=ac a été*socio=rien débattue dans le courant*socio=rien de l'année*socio=rien . Les discussions*socio=rien s'appuyaient *socio=rien sur un examen complet *socio=nil et approfondi *socio=rien du volume souhaitable des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac dans l'avenir*socio=te ainsi que de la *socio=ec structure financière *socio=nil permettant d'appuyer les *socio=rien opérations futures.*socio=nil Cet*socio=nil examen a*socio=nil fait *socio=nil ressortir la nécessité*socio=uv d'une augmentation*socio=uv du*socio=rien capital*socio=ec. Après*socio=rien avoir étudié *socio=rien un éventail de*socio=nil propositions diverses,*socio=nil les*socio=nil Administrateurs*socio=ac *socio=nil ont transmis pour vote*socio=et au conseil_des_gouverneurs*socio=ac, en mai*socio=rien 1976, deux résolutions*socio=et relatives*socio=rien à la capitalisation*socio=ec de la Banque*socio=ac. L'une prévoit une augmentation*socio=uv de 8,444 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (en dollars*socio=ec 1976) du*socio=rien capital*socio=ec autorisé de la Banque*socio=ac pour le porter à 41,016 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, l'autre tend à ce que des augmentations*socio=uv spéciales*socio=rien des souscriptions*socio=ec au capital*socio=ec social*socio=ac soient attribuées à 125 membres*socio=rien jusqu'à concurrence*socio=ec de 8,340 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Les 104 millions*socio=rien de dollars*socio=ec restants*socio=rien constitueraient un*socio=rien capital*socio=ec non souscrit qui serait à la disposition*socio=rien des *socio=rien nouveaux membres *socio=nil pour leurs souscriptions*socio=ec et pourrait servir à de futures*socio=rien augmentations*socio=uv du*socio=rien capital*socio=ec souscrit. L'augmentation*socio=uv est*socio=rien dite "spéciale*socio=rien " ou "sélective*socio=rien " en ce sens*socio=rien que des parts*socio=rien sont attribuées aux membres*socio=rien qui ont accepté l'augmentation*socio=uv de leur quote-part*socio=rien au fonds_monétaire_international*socio=ac (FMI*socio=ac). Ce *socio=rien mode sélectif *socio=nil découle d'un*socio=rien usage*socio=rien déjà ancien*socio=rien de la Banque*socio=ac, selon lequel, lorsque des augmentations*socio=uv des quotes-parts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac sont acceptées, les membres*socio=rien sont aussi censés*socio=rien demander des augmentations*socio=uv spéciales*socio=rien de leurs souscriptions*socio=ec au capital*socio=ec de la Banque*socio=ac. A l'issue*socio=rien de son *socio=rien sixième examen général des*socio=nil quotes-parts*socio=et des*socio=nil pays_membres*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil conseil_des_gouverneurs*socio=ac du Fonds*socio=ec *socio=nil a approuvé, en mars*socio=rien 1976, une résolution*socio=et tendant à augmenter les quotes-parts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. L'approbation*socio=uv de la résolution*socio=et d'augmentation*socio=uv du*socio=rien capital*socio=ec autorisé de la Banque*socio=ac exigera un*socio=rien vote*socio=et affirmatif des trois quarts*socio=rien des *socio=rien voix disponibles au*socio=nil conseil_des_gouverneurs*socio=ac.*socio=nil La*socio=nil résolution*socio=et *socio=nil attribuant les augmentations*socio=uv spéciales*socio=rien des souscriptions*socio=ec devra, pour être*socio=rien approuvée, recueillir la *socio=rien majorité simple *socio=nil des suffrages exprimés par les Gouverneurs*socio=ac. Si elle était approuvée et souscrite en totalité*socio=rien , l'augmentation*socio=uv *socio=rien sélective du capital*socio=ec *socio=nil affaiblirait de 2,18% le pouvoir*socio=et de vote*socio=et des cinq*socio=rien plus gros*socio=rien actionnaires*socio=ac de la Banque*socio=ac (les États-unis*socio=ac, le Royaume Uni, l'Allemagne*socio=ac, la France*socio=ac et le Japon*socio=ac), qui serait alors de 42,56%; elle abaisserait le pouvoir*socio=et de vote*socio=et des autres pays*socio=ac développés*socio=rien de 0,58% pour le ramener à 18,79%; elle réduirait de 1,38% celui des pays_en_développement*socio=ac non pétroliers*socio=ec pour l'établir à 29,43%; et elle accroîtrait de 4,44% le pouvoir*socio=et de vote*socio=et global*socio=rien des *socio=ac pays_en_développement exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec,*socio=nil *socio=nil qui passerait à 9,22%; ce qui correspondrait à l'accord*socio=et du*socio=rien même ordre*socio=rien dont les quotes-parts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien . Il a été*socio=rien décidé que la question*socio=rien des droits_de_vote*socio=et de tous les pays_en_développement*socio=ac serait inclue dans tout *socio=rien nouvel examen du rôle *socio=nil de la Banque*socio=ac dans l'avenir*socio=te. Il a été*socio=rien décidé également que le futur*socio=rien programme*socio=et de prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac ne serait pas établi en comptant sur*socio=rien l'approbation*socio=uv d'une nouvelle*socio=rien augmentation*socio=uv de la capitalisation*socio=ec (augmentation*socio=uv *socio=rien générale du capital*socio=ec)*socio=nil *socio=nil au-delà de l'augmentation*socio=uv *socio=rien sélective du capital*socio=ec,*socio=nil *socio=nil tant que les membres*socio=rien ne se seraient pas mis d'accord*socio=uv sur*socio=rien une telle augmentation*socio=uv. Étant donné le montant*socio=ec dont le capital*socio=ec souscrit de la Banque*socio=ac augmenterait à la suite*socio=rien des *socio=rien mesures prises *socio=nil pendant l'exercice*socio=rien , il a été*socio=rien en outre reconnu que les programmes*socio=et de prêts*socio=ec pour l'exercice*socio=rien 1977 et au-delà, pourraient être*socio=rien maintenus au niveau*socio=rien de 5,800 millions*socio=rien de dollars*socio=ec environ. Amortissement*socio=ec des prêts*socio=ec. Il a été*socio=rien décidé au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1976 de modifier la méthode*socio=rien d'amortissement*socio=ec des prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac pour les prêts*socio=ec approuvés à partir du*socio=rien 30 juin*socio=rien 1976. Par suite*socio=rien de cette modification*socio=rien , le principal*socio=ec de prêts*socio=ec sera remboursé par montants*socio=rien égaux*socio=uv au lieu*socio=rien de l'être*socio=rien par *socio=rien montants croissant *socio=nil progressivement au cours*socio=rien de la période*socio=te d'amortissement*socio=ec. Il a été*socio=rien entendu également que la Banque*socio=ac fixerait les conditions*socio=uv de remboursement*socio=ec de ses futurs*socio=rien prêts*socio=ec en veillant à ce que les moyennes*socio=rien pondérées des différés d'amortissement*socio=ec et des échéances*socio=te finales*socio=rien n'excèdent pas 3,8 ans*socio=rien et 19 ans*socio=rien respectivement. Ces modifications*socio=rien ont été*socio=rien conçues en vue*socio=rien d'aider à assurer que le montant*socio=ec des prêts*socio=ec décaissés et non amortis ne dépasse pas la limite*socio=rien imposée par les Statuts*socio=rien . Taux*socio=rien des prêts*socio=ec. Le taux*socio=rien des prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac a été*socio=rien porté, à titre*socio=rien transitoire, à 8,85% pour la période*socio=te allant du*socio=rien 1er au 30 juin*socio=rien 1976. Le taux*socio=rien était de 8,5% depuis janvier*socio=rien 1975. Il a été*socio=rien décidé qu'une *socio=rien nouvelle formule de*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec *socio=nil serait appliquée aux prêts*socio=ec à partir du*socio=rien 1" juillet*socio=rien 1976. Celle-ci a été*socio=rien approuvée *socio=rien après examen *socio=nil approfondi des besoins*socio=uv financiers*socio=ec de la Banque*socio=ac. Selon la *socio=rien nouvelle formule,*socio=nil le*socio=nil taux des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac sera révisé à la fin*socio=rien de chaque trimestre*socio=te et ajusté en *socio=rien fonction du coût*socio=ec moyen *socio=nil pondéré par montants*socio=rien et par échéances*socio=te des capitaux*socio=ec empruntés par la Banque*socio=ac au cours*socio=rien des douze *socio=rien mois précédents.*socio=nil Au*socio=nil résultat *socio=nil de ce calcul*socio=rien sera ajoutée une marge de 0,5% pour obtenir*socio=rien le taux_d'_intérêt*socio=ec que la Banque*socio=ac appliquera aux nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec approuvés au *socio=rien cours du trimestre*socio=te suivant.*socio=nil Cette*socio=nil formule *socio=nil sera appliquée en attendant que les Administrateurs*socio=ac aient procédé à une étude*socio=ac générale*socio=rien de la politique*socio=et de prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac, dont l'analyse*socio=rien d'une proposition*socio=rien de "prise_en_charge*socio=et totale*socio=rien des coûts*socio=ec" et à l'examen*socio=rien d'une politique*socio=et selon laquelle le taux*socio=rien des prêts*socio=ec serait ajusté périodiquement pendant la période*socio=te de décaissement*socio=ec du*socio=rien prêt*socio=ec. IDA*socio=ac. En septembre*socio=rien 1973 a été*socio=rien conclu un*socio=rien accord*socio=et concernant la *socio=rien Quatrième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil de l'IDA*socio=ac. Par cet accord*socio=et, qui liait 24 pays_membres*socio=ac et un*socio=rien pays*socio=ac non membre*socio=rien , la Suisse*socio=ac, l'IDA*socio=ac se voyait autorisée à engager quelque 4,501 millions*socio=rien de dollars*socio=ec mis à sa disposition*socio=rien pour la période*socio=te de trois ans*socio=rien couvrant les exercices*socio=rien 1975-1977. Toutefois, au 30 juin*socio=rien 1976, les contributions*socio=uv inscrites*socio=rien dans l'accord*socio=et conclu à Nairobi*socio=te n'avaient pas toutes été*socio=rien confirmées ou allouées. Qui plus est*socio=rien , contrairement aux trois précédentes*socio=rien , la *socio=rien Quatrième reconstitution *socio=nil ne contenait aucune clause*socio=et de maintien*socio=rien de valeur*socio=ec. Or*socio=rien , depuis l'époque*socio=rien de l'accord*socio=et, la plupart*socio=rien des monnaies*socio=ec des *socio=rien membres participants *socio=nil se sont dépréciées par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec des États-unis*socio=ac, et comme les crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac sont libellés en dollars*socio=ec, il y a eu une perte*socio=rien de pouvoir*socio=et d'engagement*socio=ec qui dépassait 300 millions*socio=rien de dollars*socio=ec au 30 juin*socio=rien 1976. Toute perte*socio=rien subie dans les ressources*socio=ec de la *socio=rien Quatrième reconstitution *socio=nil se répercutera nécessairement sur*socio=rien le niveau*socio=rien des engagements*socio=ec de l'IDA*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien 1977, *socio=rien dernière année *socio=nil couverte par l'Accord*socio=et de la *socio=rien Quatrième reconstitution.*socio=nil Or,*socio=nil la*socio=nil plupart des*socio=nil crédits*socio=ec *socio=nil de l'IDA*socio=ac sont engagés en faveur*socio=rien des plus pauvres*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac, ceux qui ne peuvent pas emprunter sur*socio=rien les *socio=ec marchés_financiers privés *socio=nil et qui n'ont pas non plus les moyens*socio=ec d'emprunter la totalité*socio=rien des fonds*socio=ec dont ils ont besoin*socio=uv aux conditions*socio=uv classiques*socio=rien appliquées par la Banque*socio=ac. (Quelque 92% de l'ensemble*socio=rien des engagements*socio=ec pris par l'IDA*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1976 sont allés à des pays*socio=ac où le revenu*socio=ec annuel*socio=rien par habitant*socio=ac est*socio=rien de 200 dollars*socio=ec ou moins.) Ce sont donc les pays*socio=ac qui ont le plus grand*socio=rien besoin*socio=uv d'obtenir*socio=rien des ressources*socio=ec à des conditions*socio=uv de faveur*socio=rien qui seraient frappés le plus durement par *socio=rien un déclin des*socio=nil engagements*socio=ec *socio=nil de l'IDA*socio=ac. Les suppléants*socio=ac nommés par le conseil_des_gouverneurs*socio=ac de l'IDA*socio=ac afin de négocier l'octroi*socio=rien de nouvelles*socio=rien ressources*socio=ec à la filiale*socio=ac de la Banque*socio=ac pour une période*socio=te commençant le 1er juillet*socio=rien 1977, ont tenu trois réunions*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1976. Ces réunions*socio=rien , qui ont eu lieu*socio=rien à Paris*socio=ac, Londres*socio=ac et Helsinki comptaient parmi leurs participants*socio=ac de nouveaux*socio=rien souscripteurs en puissance*socio=et de même que des pays*socio=ac ayant pris part*socio=rien à l'Accord*socio=et de la *socio=rien Quatrième reconstitution.*socio=nil Un des*socio=nil thèmes essentiels*socio=uv sur *socio=nil lesquels ont porté les discussions*socio=rien au cours*socio=rien de l'année*socio=rien était l'ampleur*socio=rien d'une *socio=rien future reconstitution *socio=nil et la mesure*socio=rien dans laquelle il faudrait l'étoffer pour compenser l'inflation*socio=ec. Il a été*socio=rien noté aussi que l'autorisation*socio=rien d'engagement*socio=ec de l'IDA*socio=ac prend fin*socio=rien le 30 juin*socio=rien 1977, et que si l'on ne parvient pas à établir la base*socio=rien d'un*socio=rien nouvel*socio=rien accord*socio=et dans les 12 mois*socio=rien qui viennent, les opérations*socio=rien de l'Association*socio=ac se trouveront effectivement suspendues. Troisième*socio=rien guichet*socio=ec. L'exercice*socio=rien a été*socio=rien marqué par une autre *socio=rien nouveauté importante:*socio=nil une*socio=nil résolution*socio=et *socio=nil créant le Mécanisme*socio=rien intermédiaire*socio=ec de financement*socio=ec, plus connu sous le nom*socio=rien de Troisième*socio=rien guichet*socio=ec, a été*socio=rien adoptée à l'issue*socio=rien d'un*socio=rien vole des Administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac le 29 juillet*socio=rien 1975. Ce mécanisme*socio=rien , conçu en vue*socio=rien de fournir une aide*socio=uv complémentaire*socio=rien au développement*socio=uv à des conditions*socio=uv intermédiaires*socio=rien entre les conditions*socio=uv auxquelles la Banque*socio=ac consent ses prêts*socio=ec et celles dont HDA assortit ses crédits*socio=ec, est*socio=rien entré en vigueur*socio=uv le 23 décembre*socio=rien 1975. A cette date, les engagements*socio=ec de contribution*socio=uv reçus des pays*socio=ac participant*socio=rien au Fonds*socio=ec de bonification d'intérêts*socio=ec *socio=rien du Troisième guichet*socio=ec *socio=nil avaient atteint le montant*socio=ec de 100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Les ressources*socio=ec du*socio=rien Fonds*socio=ec de bonification sont fournies sur*socio=rien une base*socio=rien facultative par quelques-uns des membres*socio=rien les plus riches*socio=uv de la Banque*socio=ac et par la Suisse*socio=ac, État*socio=ac non-membre. Ce Fonds*socio=ec de bonification complète les intérêts*socio=ec dûs par les emprunteurs*socio=ac en versant semestriellement à la Banque*socio=ac un*socio=rien montant*socio=ec égal*socio=rien à 4% par *socio=rien an du principal*socio=ec *socio=nil non amorti des prêts*socio=ec accordés aux conditions*socio=uv *socio=rien du Troisième guichet*socio=ec.*socio=nil La*socio=nil différence *socio=nil entre les 4% payés par le Fonds*socio=ec de bonification et le taux_d'_intérêt*socio=ec que la Banque*socio=ac applique normalement est*socio=rien payée par les emprunteurs*socio=ac. A la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien , des contributions*socio=uv d'un*socio=rien montant*socio=ec de 124,9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec avaient été*socio=rien versées au Fonds*socio=ec. Elles émanaient des pays*socio=ac suivants*socio=rien : Arabie_saoudite*socio=ac, 25 millions*socio=rien de dollars*socio=ec; Canada*socio=ac, 20 millions*socio=rien de dollars*socio=ec; Danemark*socio=ac, 3 millions*socio=rien de dollars*socio=ec; Émirats_arabes_unis*socio=ac, 5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec; Koweït*socio=ac, 20 millions*socio=rien de dollars*socio=ec; Norvège*socio=ac, 4 millions*socio=rien de dollars*socio=ec; Pays-bas*socio=ac, 20 millions*socio=rien de dollars*socio=ec; Qatar, 2 millions*socio=rien de dollars*socio=ec; Royaume Uni, 10 millions*socio=rien de dollars*socio=ec; Suisse*socio=ac, 5,9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec; Venezuela*socio=ac, 10 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. En outre, à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1976, l'Australie*socio=ac avait *socio=rien fait savoir *socio=nil à la Banque*socio=ac qu'elle verserait au Fonds*socio=ec 4 millions*socio=rien de dollars*socio=ec australiens au début*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1977. Au 30 juin*socio=rien 1976, le montant*socio=ec des contributions*socio=uv et engagements*socio=ec de contribution*socio=uv était suffisant*socio=rien pour subventionner approximativement 600 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de prêts*socio=ec. Les prêts*socio=ec consentis aux conditions*socio=uv *socio=rien du Troisième guichet*socio=ec *socio=nil pendant l'exercice*socio=rien 1976 ont représenté un*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de 477,8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec réparti sur*socio=rien 20 projets*socio=rien . Avant l'approbation*socio=uv des premiers*socio=rien prêts*socio=ec accordés aux conditions*socio=uv *socio=rien du Troisième guichet*socio=ec,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac a*socio=nil défini les*socio=nil critères *socio=nil de recevabilité applicables*socio=rien aux candidats*socio=ac à ces prêts*socio=ec. Il a été*socio=rien décidé que les prêts*socio=ec *socio=rien du Troisième guichet*socio=ec *socio=nil seraient normalement (mais pas exclusivement) consentis aux pays*socio=ac dont le revenu*socio=ec par habitant*socio=ac en 1972 était inférieur*socio=rien à 375 dollars*socio=ec - que les prêts*socio=ec assortis de ces conditions*socio=uv ne seraient accordés qu'aux pays*socio=ac faisant des efforts*socio=uv de *socio=uv développement raisonnables par*socio=nil rapport*socio=rien *socio=nil à leurs ressources*socio=ec et à leur potentiel*socio=uv de développement*socio=uv - et que les pays*socio=ac susceptibles*socio=rien de bénéficier de ces prêts*socio=ec devraient être*socio=rien jugés capables*socio=rien de les rembourser compte*socio=rien tenu de la détérioration*socio=uv des termes*socio=rien de leurs échanges*socio=ec et des autres facteurs*socio=rien pouvant affecter dans le long_terme*socio=ec leur capacité*socio=rien de rembourser des prêts*socio=ec en devises*socio=ec. Bien*socio=rien que, comme on l'a vu précédemment, les conditions*socio=uv de remboursement*socio=ec des prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac soient en cours*socio=rien de durcissement*socio=rien , celles qui s'attachent aux *socio=rien opérations du Troisième guichet*socio=ec resteront*socio=nil inchangées.*socio=nil *socio=nil Il s'agit d'assurer que toutes les *socio=rien opérations du Troisième guichet*socio=ec *socio=nil soient financées aux mêmes conditions*socio=uv. Ainsi, dans le cadre*socio=rien de ces opérations*socio=rien , les calendriers*socio=et de remboursement*socio=ec continueront à être*socio=rien établis par annuités - avec différé de remboursement*socio=ec normal*socio=rien de sept ans*socio=rien et échéance*socio=te finale*socio=rien à environ 25 ans*socio=rien . Des économies*socio=ec en période*socio=te d'ajustement*socio=et. A partir de la fin*socio=rien de 1973, les pays_en_développement*socio=ac ont été*socio=rien éprouvés par une série d'événements*socio=rien qui, les *socio=rien premiers temps,*socio=nil *socio=nil menaçaient de plonger leurs économies*socio=ec dans la confusion*socio=rien . Ces événements*socio=rien sont bien*socio=rien connus. Ce furent des hausses accélérées des prix*socio=ec c1e~, biens*socio=ec d'équipement*socio=ec ainsi que de certains *socio=rien produits primaires,*socio=nil *socio=nil de brusques et fortes*socio=rien augmentations*socio=uv des *socio=ec prix pétroliers,*socio=nil des*socio=nil pénuries de*socio=nil *socio=rien produits alimentaires *socio=nil et d'engrais*socio=rien , enfin la récession*socio=ec des pays_industrialisés*socio=ac. En dépit*socio=rien des secousses multiples*socio=rien provoquées par la récession*socio=ec et l'inflation*socio=ec combinées, les pays_en_développement*socio=ac sont parvenus à maintenir des taux_de_croissance*socio=ec raisonnablement élevés*socio=rien en 1974 et 1975. Pendant les trois années*socio=rien de la période*socio=te 19731975, l'accroissement*socio=ec *socio=rien annuel du produit_intérieur_brut*socio=ec (*socio=nil PIB*socio=ec)*socio=nil *socio=nil de tous les pays_en_développement*socio=ac non exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec, pris en bloc*socio=rien , a été*socio=rien de 5a% au lieu*socio=rien de 6,0% au cours*socio=rien des *socio=rien cinq années précédentes.*socio=nil *socio=nil Cependant, cette *socio=rien bonne moyenne *socio=nil n'empêche pas que les pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv - essentiellement les pays*socio=ac de l' Asie_du_sud*socio=ac et ceux de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=te - ont traversé une mauvaise*socio=rien passe - leur taux_de_croissance*socio=ec annuelle*socio=rien , de 2,8% seulement, a été*socio=rien rendu pratiquement insignifiant*socio=rien par la croissance*socio=uv démographique*socio=rien , si bien*socio=rien que ces pays*socio=ac n'ont connu, par habitant*socio=ac, qu'une croissance*socio=uv réelle*socio=rien minime. En revanche, les plus avancés parmi les pays_en_développement*socio=ac ont enregistré un*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec de 6,4% pendant cette période*socio=te de trois ans*socio=rien . Dans la mesure*socio=rien où il y a eu croissance*socio=uv dans de vastes*socio=rien portions du*socio=rien monde_en_développement*socio=te, celle-ci a consolidé les fondations*socio=rien de l'expansion*socio=ec future*socio=rien . Face*socio=rien à leurs nouveaux*socio=rien problèmes*socio=uv, nombre*socio=rien de pays*socio=ac ont adopté une attitude*socio=rien résolument positive*socio=uv, par exemple*socio=rien en lançant des réformes*socio=et fiscales*socio=ec, en remaniant les prix*socio=ec intérieurs*socio=rien des produits*socio=rien pétroliers*socio=ec et alimentaires*socio=rien , en introduisant des stimulants*socio=rien destinés à encourager la *socio=ec production agricole,*socio=nil *socio=nil et en agissant sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil *socio=nil si la croissance*socio=uv a pu se poursuivre - quoique à *socio=rien un rythme *socio=nil ralenti - c'est*socio=rien grâce*socio=rien à deux facteurs*socio=rien . Les pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv ont accru leur *socio=ec production agricole,*socio=nil *socio=nil tandis que dans les autres le développement*socio=uv a été*socio=rien soutenu par des emprunts*socio=ec *socio=rien supplémentaires massifs *socio=nil contractés à des sources*socio=rien extérieures*socio=te. Dans la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac, la détérioration*socio=uv de l'économie*socio=ec mondiale*socio=te n'a été*socio=rien pleinement ressentie qu'à partir de 1975. C'est*socio=rien alors que les effets*socio=rien des *socio=rien mesures prises *socio=nil pour juguler l'inflation*socio=ec dans les nations*socio=te industrialisées ont commencé à se faire sentir très fortement dans les pays_en_développement*socio=ac. Ainsi, la demande*socio=ec de produits*socio=rien d'importation*socio=ec - même autres que le pétrole*socio=ec - a baissé en volume*socio=rien de près de 10%; à de *socio=rien rares exceptions *socio=nil près, les prix*socio=ec des produits*socio=rien dont dépendent les rentrées de devises*socio=ec de nombre*socio=rien de pays*socio=ac pauvres*socio=uv sont tombés, dans certains cas*socio=rien en chute vertigineuse. En revanche, les prix*socio=ec des articles*socio=rien manufacturés exportés vers les pays_en_développement*socio=ac ont augmenté car, en dépit*socio=rien de la récession*socio=ec, l'inflation*socio=ec se poursuivait dans les pays_industrialisés*socio=ac. Pour les pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv confrontés à cette situation*socio=uv économique*socio=ec, l'éventail*socio=rien des politiques*socio=et susceptibles*socio=rien d'être*socio=rien suivies était plus restreint que dans les autres pays_en_développement*socio=ac. Les premiers*socio=rien étaient pour la *socio=rien plupart incapables *socio=nil d'attirer suffisamment de capitaux*socio=ec d'origine*socio=rien extérieure*socio=te pour soutenir leur croissance*socio=uv. Si bien*socio=rien que les événements*socio=rien les contraignirent bientôt à reconnaître la nécessité*socio=uv de réformes*socio=et économiques*socio=ec et fiscales*socio=ec. Au Kenya*socio=ac, par exemple*socio=rien , le gouvernement*socio=ac a adopté une politique*socio=et des salaires*socio=ec et des prix*socio=ec tendant à limiter*socio=rien la croissance*socio=uv de la *socio=ec consommation privée *socio=nil de tous les groupes*socio=ac sauf ceux des plus bas*socio=rien revenus*socio=ec. Un*socio=rien Programme*socio=et d'action*socio=rien a été*socio=rien adopté au début*socio=rien de 1975, qui vise à restructurer l'économie*socio=ec en réduisant les importations*socio=ec de telle manière*socio=rien que l'alimentation*socio=ec en subisse le moins possible*socio=rien les conséquences*socio=rien , et en orientant davantage la production*socio=ec vers l'exportation*socio=ec. Les prix*socio=ec payés aux agriculteurs*socio=ac pour les *socio=rien denrées alimentaires ont*socio=nil été *socio=nil relevés et des mesures*socio=rien d'incitation*socio=rien à l'exportation*socio=ec ont été*socio=rien introduites. La préparation*socio=rien des projets*socio=rien d' investissements_publics*socio=et a été*socio=rien améliorée. La monnaie*socio=ec nationale*socio=te a été*socio=rien dévaluée. En Birmanie*socio=ac, les prix*socio=ec du*socio=rien paddy à la production*socio=ec ont *socio=rien été considérablement *socio=nil relevés, en conséquence*socio=rien de quoi la superficie*socio=rien cultivée en riz*socio=ec a augmenté de 6% en 1976. Les entreprises*socio=ac économiques*socio=ec d'État*socio=ac qui, au fil*socio=rien des années*socio=rien , se sont révélées *socio=rien être un gouffre*socio=nil budgétaire*socio=et,*socio=nil *socio=nil sont en cours*socio=rien de réorganisation*socio=uv. Une réforme*socio=et fiscale*socio=ec draconienne, qui devrait aider à mobiliser les ressources*socio=ec, a été*socio=rien instituée en avril*socio=rien 1976. En Égypte*socio=ac, la politique*socio=et des prix*socio=ec à la consommation*socio=ec appliquée en matière*socio=rien de produits*socio=rien agricoles*socio=ec a été*socio=rien modifiée; on s'efforce maintenant de fixer des prix*socio=ec plus conformes à la réalité*socio=uv et les subventions*socio=ec sont limitées aux groupes*socio=ac aux revenus*socio=ec les plus modestes*socio=rien . Des efforts*socio=uv du*socio=rien même ordre*socio=rien sont entrepris depuis peu au Soudan*socio=ac, où nombre*socio=rien de subventions*socio=ec à la consommation*socio=ec ont été*socio=rien abolies, en même temps*socio=rien que des mesures*socio=rien ont *socio=rien été prises *socio=nil pour encourager la production*socio=ec de cultures*socio=et autres que le traditionnel*socio=uv coton*socio=ec à fibre longue*socio=rien dont le pays*socio=ac *socio=rien est tributaire de*socio=nil longue *socio=nil date. La liste des réformes*socio=et entreprises*socio=ac depuis quelques années*socio=rien par les pays_en_développement*socio=ac abonde en exemples*socio=rien de ce genre*socio=rien . Elles comprennent notamment des tentatives*socio=rien pour réduire la consommation*socio=ec de pétrole*socio=ec et pour développer la production*socio=ec de pétrole*socio=ec et de charbon*socio=ec (Inde*socio=ac), l'encouragement*socio=rien d'un*socio=rien surcroît*socio=rien d'épargne*socio=ec privée*socio=ec (Pakistan*socio=ac), l'alignement des prix*socio=ec *socio=rien intérieurs sur les*socio=nil prix*socio=ec internationaux*socio=te *socio=nil par la réduction*socio=uv des subventions*socio=ec à la consommation*socio=ec (Sénégal*socio=ac, Brésil*socio=ac), l'accroissement*socio=ec des investissements_publics*socio=et (Maroc*socio=ac), l'adoption*socio=et de politiques*socio=et à caractère*socio=rien conservateur en matière*socio=rien de monnaie*socio=ec et de crédit*socio=ec afin de réduire l'inflation*socio=ec (Indonésie*socio=ac, Malaisie*socio=ac, Philippines*socio=ac), le lancement*socio=rien de réformes*socio=et fiscales*socio=ec visant à instaurer une plus grande*socio=rien justice_sociale*socio=uv (Colombie*socio=ac), le relèvement*socio=rien des prix*socio=ec payés aux producteurs*socio=ac agricoles*socio=ec (Zambie*socio=ac) et l'augmentation*socio=uv des impôts*socio=et (Mexique*socio=ac, costa_rica*socio=ac). D'autres exemples*socio=rien sont cités dans les *socio=rien chapitres du présent Rapport annuel *socio=nil consacrés aux différentes*socio=rien régions*socio=te. Dans presque tous les cas*socio=rien , la mise en oeuvre*socio=rien des réformes*socio=et a posé des problèmes*socio=uv nouveaux*socio=rien . Il *socio=rien est rare *socio=nil que la tâche*socio=rien soit aisée qui consiste à passer d'une économie*socio=ec handicapée par des déséquilibres à une économie*socio=ec ayant une certaine*socio=rien souplesse*socio=uv et offrant une marge de manoeuvre*socio=rien . Certains pays*socio=ac, par exemple*socio=rien , s'efforcent actuellement de mettre au point*socio=rien des moyens*socio=ec de protéger les très pauvres*socio=uv tout en conservant les stimulants*socio=rien aux agriculteurs*socio=ac et sans grever le budget*socio=ec d'une charge*socio=uv trop lourde*socio=rien - ils essaient de maintenir *socio=rien un rapport plus*socio=nil étroit *socio=nil entre les salaires*socio=ec et la productivité*socio=ec, là où auparavant les premiers*socio=rien prenaient souvent le pas sur*socio=rien la deuxième*socio=rien . Voilà qui n'est*socio=rien certes pas facile*socio=rien . Les conditions*socio=uv climatiques*socio=et favorables*socio=rien des 12 *socio=rien derniers mois ont*socio=nil permis *socio=nil aux plus pauvres*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac de progresser sur*socio=rien le plan*socio=rien économique*socio=ec. Cela n'est*socio=rien pas surprenant*socio=rien étant donné l'importance*socio=rien de l'agriculture*socio=ec dans les pays_en_développement*socio=ac - spécialement les plus pauvres*socio=uv, dans lesquels ce secteur*socio=ec occupe plus des deux tiers*socio=rien de la population_active*socio=ac. Les taux_de_croissance*socio=ec de ces pays*socio=ac ont jusqu'ici reflété en partie*socio=rien les variations*socio=rien des conditions*socio=uv climatiques*socio=et, notamment les effets*socio=rien des sécheresses qui ont sévi dans de vastes*socio=rien régions*socio=te de l'Afrique*socio=ac et de l' Asie_du_sud*socio=ac et ceux des inondations qui ont eu lieu*socio=rien à diverses*socio=rien reprises dans *socio=rien différentes parties du sous-continent*socio=nil indien*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Pour les pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv, la possibilité*socio=rien d'accéder à des ressources*socio=ec extérieures*socio=te à des conditions*socio=uv de faveur*socio=rien a été*socio=rien , et continue*socio=rien d'être*socio=rien , *socio=rien un facteur essentiel*socio=uv *socio=nil qui leur permet de mettre en oeuvre*socio=rien leurs objectifs*socio=rien de développement*socio=uv à long_terme*socio=ec. L'IDA*socio=ac reste*socio=rien pour la Banque*socio=ac le principal*socio=rien agent*socio=ac de transfert*socio=ec de ressources*socio=ec vers ces pays*socio=ac. Des projets*socio=rien conçus en vue*socio=rien d'accroître la productivité*socio=ec du*socio=rien *socio=ec secteur agricole *socio=nil ou de fournir les moyens*socio=ec de diversifier des économies*socio=ec fondées sur*socio=rien l'exportation*socio=ec d'une monoculture peuvent aider, dans le long_terme*socio=ec, à réaliser des économies*socio=ec de devises*socio=ec et à élargir la base*socio=rien d'acquisition*socio=rien des devises*socio=ec, grâce*socio=rien auxquelles ces pays*socio=ac seront en mesure*socio=rien d'établir les fondations*socio=rien de leur croissance*socio=uv future*socio=rien . Souvent, il est*socio=rien encore plus important*socio=rien pour les pays_en_développement*socio=ac d'adopter des politiques*socio=et intérieures*socio=rien qui encouragent la mobilisation*socio=uv et la *socio=rien distribution effectives des*socio=nil ressources*socio=ec intérieures *socio=nil et qui améliorent l'efficacité*socio=uv de leur répartition*socio=uv. L'assistance*socio=et fournie à des conditions*socio=uv de faveur*socio=rien n'est*socio=rien donc que l'un*socio=rien des nombreux*socio=rien moyens*socio=ec qui ont été*socio=rien conçus pour promouvoir la croissance_économique*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac. Toutefois, pour les pays*socio=ac qui en sont encore aux premiers*socio=rien stades*socio=te du*socio=rien développement*socio=uv, les ressources*socio=ec extérieures*socio=te obtenues à des conditions*socio=uv de faveur*socio=rien continuent d'apporter une *socio=uv contribution essentielle au*socio=nil financement*socio=ec *socio=nil de la *socio=rien majeure partie des*socio=nil dépenses*socio=ec d'*socio=nil investissement*socio=ec.*socio=nil Flux*socio=ec de*socio=nil capitaux*socio=ec,*socio=nil CAD*socio=ac et*socio=nil OPEP*socio=ac.*socio=nil Les*socio=nil renseignements préliminaires *socio=nil fournis par le comité_d'_aide_au_développement*socio=ac (CAD*socio=ac) de l' Organisation_de_coopération_et_de_développement_économiques*socio=ac (OCDE*socio=ac) indiquent que l' aide_publique_au_développement*socio=et (APD*socio=et) fournie par les *socio=rien membres du CAD*socio=ac s'*socio=nil est *socio=nil montée à 13,606 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pendant l'année*socio=rien civile*socio=et 1975, soit une augmentation*socio=uv de 20% en dollars*socio=ec, qui représente en *socio=rien termes réels un accroissement*socio=ec *socio=nil estimé à 10%. On assiste donc à un*socio=rien renouveau de l'aide*socio=uv "réelle*socio=rien " après*socio=rien la chute enregistrée en 1972 et 1973. Seize des 17 pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac ont augmenté au cours*socio=rien de l'année*socio=rien leur effort*socio=uv d'APD*socio=et exprimé en dollars*socio=ec, et 13 pays*socio=ac l'ont aussi accru en proportion*socio=rien de leur produit_national_brut*socio=ec (PNB*socio=ec). En pourcentage*socio=rien de leur PNB*socio=ec combiné l'APD*socio=et fournie par les pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac *socio=rien est passé *socio=nil de 0,33% en 1974 à 0,36% en 1975. En 1974, la Suède*socio=ac a été*socio=rien le premier*socio=rien pays_membre*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac à fournir l'équivalent*socio=rien de 0,7% de son PNB*socio=ec, sous forme*socio=rien d'APD*socio=et. En 1975, ce pourcentage*socio=rien a été*socio=rien dépassé tant par la Suède*socio=ac que par les Pays-bas*socio=ac; dans les deux pays*socio=ac, l'APD*socio=et a représenté respectivement 0,82% et 0,75% du*socio=rien PNB*socio=ec. Le total*socio=rien des flux*socio=ec de capitaux*socio=ec destinés au pays_en_développement*socio=ac par les pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac, qui comprennent les crédits*socio=ec à l'exportation*socio=ec accordés par des institutions_publiques*socio=et et privées*socio=ec ainsi que les *socio=ec investissements directs *socio=nil et les investissements*socio=ec en portefeuille*socio=ec, a augmenté de 40% pendant l'année*socio=rien pour atteindre le chiffre sans précédent*socio=rien de 37,461 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Selon les estimations*socio=ec du*socio=rien CAD*socio=ac, ce chiffre équivalait à 0,99% du*socio=rien PNB*socio=ec des pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac. Si l'on tient compte*socio=rien de 1,371 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de dons*socio=ec accordés par des organismes*socio=ac privés*socio=ec, le flux*socio=ec net*socio=rien se monte au total*socio=rien à 38,832 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 1,02% du*socio=rien PNB*socio=ec combiné des pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac. C'est*socio=rien la *socio=rien première fois *socio=nil que l'objectif*socio=rien de 1% pour l'ensemble*socio=rien des flux*socio=ec, publics*socio=et et privés*socio=ec, est*socio=rien atteint. Bien*socio=rien qu'il soit encore trop tôt pour produire les chiffres relatifs*socio=rien aux différents*socio=rien pays*socio=ac, il *socio=rien est certain *socio=nil qu'ils ont pratiquement tous augmenté l'ensemble*socio=rien de leur aide*socio=uv exprimée en dollars*socio=ec, dans des proportions*socio=rien parfois considérables*socio=rien , et que pour sept pays*socio=ac au moins - l'Allemagne*socio=ac, la Belgique*socio=ac, le Canada*socio=ac, les États-unis*socio=ac, la France*socio=ac, les Pays-bas*socio=ac et la Suède*socio=ac - les flux*socio=ec représentaient une *socio=rien part du PNB*socio=ec largement*socio=nil supérieure *socio=nil à 1%. Ces chiffres ne comprennent pas les *socio=rien montants appréciables des*socio=nil emprunts*socio=ec en*socio=nil euromonnaies*socio=ec *socio=nil contractés par les pays_en_développement*socio=ac (dont il *socio=rien est question au*socio=nil chapitre "*socio=nil Emprunts*socio=ec et*socio=nil Finances*socio=ec"*socio=nil du présent Rapport annuel)*socio=nil .*socio=nil Bien *socio=nil que la plupart*socio=rien des euromarchés se trouvent dans des pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac, les capitaux*socio=ec d'un*socio=rien prêt*socio=ec donné ne proviennent pas nécessairement du*socio=rien pays*socio=ac qui l'accorde. Les statistiques*socio=rien concernant les flux*socio=ec d'aide*socio=uv en provenance*socio=rien des membres*socio=rien de l'organisation_des_pays_exportateurs_de_pétrole*socio=ec (OPEP*socio=ac) sont beaucoup moins sûres*socio=rien que celles que fournissent les pays*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac. Cependant les rapports*socio=rien dont on dispose indiquent que l'ensemble*socio=rien des engagements*socio=ec pris par les pays_membres*socio=ac de l'OPEP*socio=ac *socio=rien est passé *socio=nil de 1,469 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1973 à 8,575 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1974, et à 9,033 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1975. L'augmentation*socio=uv des décaissements*socio=ec aurait aussi *socio=rien été rapide:*socio=nil *socio=nil ils seraient passés*socio=rien d'environ 922 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à 4,647 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, puis 5,589 millions*socio=rien de dollars*socio=ec au cours*socio=rien de la même période*socio=te de trois ans*socio=rien . Ces chiffres comprennent à la fois*socio=rien les ressources*socio=ec accordées à des conditions*socio=uv de faveur*socio=rien et les autres apports*socio=rien de capitaux*socio=ec. En 1975, près de 46% des décaissements*socio=ec nets*socio=rien correspondaient à une aide*socio=uv assortie de conditions*socio=uv de faveur*socio=rien . Les autres décaissements*socio=ec de capitaux*socio=ec comprenaient l'achat*socio=ec de bons*socio=rien et obligations*socio=uv de la Banque*socio=ac (849 millions*socio=rien de dollars*socio=ec). En outre, l'OPEP*socio=ac a également fourni la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de ses ressources*socio=ec au mécanisme*socio=rien pétrolier*socio=ec du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac. (Les moyens*socio=ec d'augmenter l'aide_publique_au_développement*socio=et, ainsi que les problèmes*socio=uv que pose l'endettement*socio=ec vis-à-vis de l'extérieur*socio=ec, ont été*socio=rien discutés à la Quatrième*socio=rien conférence_des_nations_unies*socio=ac sur*socio=rien le commerce_et_le_développement*socio=ac qui s'est*socio=rien tenue récemment à Nairobi*socio=te. Voir, pour plus de détails*socio=rien , la section*socio=rien "Coopération*socio=uv entre institutions*socio=ac" *socio=rien du chapitre *socio=nil "Autres activités*socio=rien ".) A la *socio=rien suite du malaise économique*socio=ec mondial*socio=te,*socio=nil des*socio=nil institutions*socio=ac multilatérales*socio=te *socio=nil comme la banque_mondiale*socio=ac ont augmenté leurs engagements*socio=ec de prêt*socio=ec et leurs décaissements*socio=ec. Pour encourager l'assistance*socio=et en provenance*socio=rien d'autres sources*socio=rien , la Banque*socio=ac a aussi augmenté la portée*socio=rien de ses activités*socio=rien de cofinancement*socio=ec avec d'autres institutions*socio=ac bilatérales*socio=te ou multilatérales*socio=te et avec des *socio=ec institutions_financières privées.*socio=nil *socio=nil On trouvera les détails*socio=rien de cette coopération*socio=uv dans les chapitres*socio=rien consacrés aux différentes*socio=rien régions*socio=te ainsi que dans la section*socio=rien "Coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv" à la page*socio=rien 98. Les événements*socio=rien de ces *socio=rien dernières années *socio=nil ont, dans bien*socio=rien des cas*socio=rien , incité les pays_en_développement*socio=ac à modifier leurs politiques*socio=et et leurs objectifs*socio=rien de développement*socio=uv. Par exemple*socio=rien , l'utilisation*socio=rien du*socio=rien pétrole*socio=ec comme source*socio=rien d'énergie*socio=ec ainsi que celle de certains produits*socio=rien pétrochimiques est*socio=rien évidemment devenue plus onéreuse. C'est*socio=rien avec plus de réticence aussi que l'on importera aujourd'hui des *socio=rien produits alimentaires.*socio=nil *socio=nil En revanche, l'intérêt*socio=uv qu'il y a à promouvoir, lorsque cela *socio=rien est possible,*socio=nil de*socio=nil nouvelles exportations*socio=ec *socio=nil ou de *socio=rien nouveaux remplacements d'*socio=nil importations*socio=ec est,*socio=nil *socio=nil d'une *socio=rien manière générale,*socio=nil *socio=nil beaucoup plus apparent*socio=rien . Il faudra certainement *socio=rien du temps *socio=nil - peut-être une décennie*socio=rien , voire plus dans certains cas*socio=rien - avant que de tels ajustements*socio=et commencent à porter leurs fruits*socio=rien . La qualité*socio=rien de la gestion*socio=et économique*socio=ec sera d'une importance*socio=rien capitale*socio=ec pour assurer leur *socio=rien exécution rapide *socio=nil et sans heurts. Les répercussions*socio=rien de la récession*socio=ec du*socio=rien monde_industrialisé*socio=te n'ont pas été*socio=rien les mêmes dans les pays_en_développement*socio=ac dont le revenu*socio=ec par habitant*socio=ac était supérieur*socio=rien à 200 dollars*socio=ec que dans les pays*socio=ac plus pauvres*socio=uv qui se situent en dessous de ce niveau*socio=rien . Nombre*socio=rien de ces derniers*socio=rien , dont le volume*socio=rien des exportations*socio=ec s'était accru lentement au *socio=rien rythme moyen *socio=nil de 2,4% par an*socio=rien entre 1967 et 1973, n'ont guère été*socio=rien touchés - entre 1973 et 1975, leurs exportations*socio=ec ont même légèrement progressé. Les pays_en_développement*socio=ac mieux nantis*socio=uv, dont les exportations*socio=ec sont plus sensibles*socio=rien aux variations*socio=rien de la demande*socio=ec, ont vu le volume*socio=rien de leurs exportations*socio=ec s'accroître rapidement à la cadence de 8,1% par an*socio=rien entre 1967 et 1973. Ce *socio=rien taux annuel est *socio=nil tombé à 1,3% seulement au cours*socio=rien des années*socio=rien 1973 à 1975. Au moment*socio=rien où les effets*socio=rien de la récession*socio=ec se sont fait*socio=rien sentir, ces pays*socio=ac plus favorisés avaient toutefois accès*socio=uv aux *socio=ec capitaux commerciaux *socio=nil qui, en 1974 et 1975, sont devenus de plus en plus le *socio=rien moyen principal *socio=nil de maintenir ou d'accroître encore les importations*socio=ec. Cette évolution*socio=rien , toutefois, a comporté et comporte encore des frais*socio=ec et des risques*socio=uv aussi bien*socio=rien que des avantages*socio=rien . Les *socio=ec capitaux privés *socio=nil sont prêtés aux conditions*socio=uv fixées par le marché*socio=ec, et les taux_d'_intérêt*socio=ec étaient élevés*socio=rien en 1974 (ils ont baissé en 1975 et au début*socio=rien de 1976). Les échéances*socio=te étaient relativement courtes*socio=rien (de cinq*socio=rien à sept ans*socio=rien ). Les emprunteurs*socio=ac doivent faire preuve*socio=uv d'une compétence*socio=uv sans faille dans l'administration*socio=et de la dette*socio=ec, doublée de la discipline*socio=uv qui s*socio=rien 1 impose pour ne pas emprunter à l'excès*socio=rien , ainsi que de la volonté*socio=uv de prendre, si la situation*socio=uv de la balance_des_paiements*socio=ec l'exige, des *socio=rien mesures correctives *socio=nil qui peuvent *socio=rien être pénibles.*socio=nil *socio=nil Néanmoins, l'emprunt*socio=ec fournit bel*socio=rien et bien*socio=rien des ressources*socio=ec à l'emprunteur*socio=ac, et les gonflements de la dette*socio=ec non amortie, dont il *socio=rien est question *socio=nil à la *socio=rien section suivante,*socio=nil *socio=nil sont une mesure*socio=rien de ces ressources*socio=ec accrues. C'est*socio=rien parce qu'ils ont eu accès*socio=uv aux marchés_financiers*socio=ec internationaux*socio=te qu'il a *socio=rien été possible aux*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil qui n'étaient pas les plus pauvres*socio=uv de présenter des balances_des_paiements*socio=ec en déficit*socio=ec considérable*socio=rien . *socio=rien Un nombre croissant de*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil ont pu constater qu'ils étaient jugés suffisamment solvables*socio=ec pour obtenir*socio=rien des prêts*socio=ec de la part*socio=rien d'institutions_financières*socio=ec privées*socio=ec. En 1974 et 1975, des pays_en_développement*socio=ac en *socio=rien nombre croissant *socio=nil ont emprunté des sommes *socio=rien importantes sur le*socio=nil marché*socio=ec international*socio=te des*socio=nil capitaux*socio=ec.*socio=nil *socio=nil (Pour plus de détails*socio=rien , voir la section*socio=rien "Marchés*socio=ec étrangers*socio=uv et internationaux*socio=te des obligations*socio=uv" *socio=rien du chapitre "*socio=nil Emprunts*socio=ec et*socio=nil Finances*socio=ec"*socio=nil du présent Rapport.*socio=nil *socio=nil ) Plusieurs raisons*socio=rien concouraient pour inciter ces pays*socio=ac à emprunter massivement. Les producteurs*socio=ac de minerais, par exemple*socio=rien , avaient des coûts*socio=ec fixes élevés*socio=rien qu'ils ne pouvaient réduire rapidement au moment*socio=rien où la récession*socio=ec a frappé. Les producteurs*socio=ac de cultures*socio=et commerciales*socio=ec ont eu tendance*socio=rien à n'aligner que peu à peu leurs dépenses*socio=ec sur*socio=rien leurs revenus*socio=ec, et dans bien*socio=rien des cas*socio=rien , le décalage a été*socio=rien accru par des programmes*socio=et gouvernementaux*socio=ac de garantie des prix*socio=ec, qui amortissaient l'incidence*socio=rien des prix*socio=ec mondiaux*socio=te sur*socio=rien les revenus*socio=ec des producteurs*socio=ac. Il y avait aussi, au sein*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac, de fortes*socio=rien pressions*socio=uv en faveur*socio=rien de la croissance*socio=uv, qui ont poussé les gouvernements*socio=ac à essayer de maintenir le rythme*socio=rien des investissements*socio=ec en *socio=rien dépit du fait *socio=nil que la situation*socio=uv de leurs paiements*socio=ec extérieurs*socio=te s'était détériorée. Une *socio=rien grande partie *socio=nil de la dette*socio=ec nouvelle*socio=rien a été*socio=rien contractée par des pays_en_développement*socio=ac qui sont en train*socio=rien de s'industrialiser, cela en vue*socio=rien d'employer aussi complètement que possible*socio=rien leur capacité*socio=rien industrielle*socio=ec et de maintenir le niveau*socio=rien des investissements*socio=ec pour éviter les *socio=ec pertes économiques et*socio=nil sociales*socio=ac *socio=nil qui, sinon, n'auraient pas manqué d'avoir lieu*socio=rien . Ces pays*socio=ac ont agi comme l'ont fait*socio=rien les pays*socio=ac plus industrialisés. Malgré la crise*socio=uv de la croissance*socio=uv, qui reste*socio=rien plus lente*socio=rien qu'auparavant, l'investissement*socio=ec a été*socio=rien maintenu. Ainsi, après*socio=rien une période*socio=te d'ajustement*socio=et, on peut raisonnablement s'attendre au rétablissement*socio=rien de taux_de_croissance*socio=ec assez voisins*socio=rien de ceux des *socio=rien années passées;*socio=nil il*socio=nil est peu*socio=nil probable *socio=nil toutefois que ceux-ci soient égalés. Quand on sait à quel point*socio=rien l'établissement*socio=rien de relations*socio=rien équilibrées et durables*socio=uv entre un*socio=rien *socio=ac pays emprunteur *socio=nil et des *socio=ec institutions_financières privées *socio=nil dont l'activité*socio=rien couvre *socio=rien un domaine déterminé*socio=nil du marché_financier*socio=ec international*socio=te est un processus progressif*socio=uv,*socio=nil *socio=nil il n'est*socio=rien pas étonnant*socio=rien que les capitaux*socio=ec prêtés récemment par d'importants*socio=rien établissements*socio=rien *socio=ec financiers privés aient*socio=nil été*socio=rien *socio=nil concentrés surtout dans les nations*socio=te en développement*socio=uv où les revenus*socio=ec sont le plus élevés*socio=rien . Faciliter l'accès*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac dans leur ensemble*socio=rien aux marchés*socio=ec des capitaux*socio=ec *socio=rien est un problème*socio=uv *socio=nil dont il est*socio=rien beaucoup question*socio=rien depuis des années*socio=rien dans des *socio=rien enceintes diverses.*socio=nil *socio=nil Il a été*socio=rien , à plusieurs reprises au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien , le sujet*socio=rien des discussions*socio=rien d'un*socio=rien groupe*socio=ac de travail*socio=rien constitué par le comité_du_développement*socio=ac. Le groupe*socio=ac dans son ensemble*socio=rien a reconnu que si un*socio=rien effort*socio=uv concerté devait être*socio=rien accompli sur*socio=rien le plan*socio=rien international*socio=te pour activer, promouvoir et appuyer le *socio=rien processus graduel au*socio=nil terme *socio=nil duquel les pays_en_développement*socio=ac deviendraient des participants*socio=ac à *socio=rien part entière sur les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec internationaux*socio=te,*socio=nil *socio=nil il nécessiterait: - des *socio=rien mesures prises *socio=nil par les gouvernements*socio=ac des nations*socio=te en développement*socio=uv (avec, au besoin*socio=uv, l'assistance*socio=et d'institutions_internationales*socio=et de développement*socio=uv) en vue*socio=rien de créer des conditions_économiques*socio=ec favorables*socio=rien à la mobilisation*socio=uv à l'extérieur*socio=ec d'une *socio=rien masse croissante de*socio=nil capitaux*socio=ec d'*socio=nil *socio=ec emprunt privés,*socio=nil *socio=nil y compris des obligations*socio=uv; - une coopération*socio=uv entre les institutions_internationales*socio=et de crédit*socio=ec et les membres*socio=rien privés*socio=ec de la communauté*socio=ac financière*socio=ec internationale*socio=te pour améliorer les conditions*socio=uv dans lesquelles les emprunts*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac peuvent être*socio=rien organisés sur*socio=rien les marchés*socio=ec étrangers*socio=uv et internationaux*socio=te; et - des *socio=rien mesures prises *socio=nil par les nations*socio=te industrialisées et d'autres pays*socio=ac disposant ou appelés à disposer d'excédents*socio=ec de capitaux*socio=ec, en vue*socio=rien de promouvoir et d'accroître le flux*socio=ec des capitaux*socio=ec d'emprunt*socio=ec privés*socio=ec vers les pays_en_développement*socio=ac remplissant les conditions*socio=uv voulues pour les obtenir*socio=rien , ainsi que des *socio=rien mesures destinées *socio=nil à faciliter l'accès*socio=uv de ces pays*socio=ac aux marchés_financiers*socio=ec nationaux*socio=te et internationaux*socio=te. Dette_publique*socio=et extérieure*socio=te. L'analyse*socio=rien de l'évolution*socio=rien de la dette*socio=ec extérieure*socio=te de 86 pays*socio=ac en développement9 montre qu'il y a eu un*socio=rien accroissement*socio=ec appréciable*socio=rien de la dette_publique*socio=et extérieure*socio=te en 1974, *socio=rien dernière année *socio=nil pour laquelle on dispose de chiffres sûrs*socio=rien . Au cours*socio=rien de cette année*socio=rien , la dette*socio=ec totale*socio=rien non amortie est*socio=rien passée de 121,868 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à 151,399 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. L'augmentation*socio=uv de 29,531 millions*socio=rien de dollars*socio=ec a été*socio=rien beaucoup plus importante*socio=rien que celle qui avait été*socio=rien enregistrée en 1973 (20,640 millions*socio=rien de dollars*socio=ec) ou en 1972 (14,180 millions*socio=rien de dollars*socio=ec). Exprimée en pourcentage*socio=rien , c'est*socio=rien une augmentation*socio=uv de 24,2% qui a eu lieu*socio=rien en 1974, contre 20,4% en 1973 et 16,3% en 1972. L'alourdissement de la dette*socio=ec extérieure*socio=te en 1974 traduit, bien*socio=rien entendu, les déficits*socio=ec accrus des *socio=rien comptes courants *socio=nil dus à la détérioration*socio=uv des termes_de_l'_échange*socio=et et à la réduction*socio=uv de la demande*socio=ec d'exportations*socio=ec et le *socio=rien relèvement du niveau général des*socio=nil prix*socio=ec.*socio=nil Les*socio=nil changements*socio=uv importants *socio=nil qui ont lieu*socio=rien d'une *socio=rien année sur *socio=nil l'autre doivent donc être*socio=rien interprétés avec précaution*socio=rien . L'accroissement*socio=ec de la dette*socio=ec en dollars*socio=ec courants*socio=rien devient beaucoup moins alarmant lorsqu'on le compare à d'autres chiffres qui s'y rapportent, comme par exemple*socio=rien des changements*socio=uv intervenus dans les importations*socio=ec et)es exportations*socio=ec. Bien*socio=rien que l'exposé ci-après de ces accroissements*socio=ec soit présenté par groupes*socio=ac de pays*socio=ac, il *socio=rien fait partie *socio=nil de la *socio=rien tâche continue *socio=nil de la Banque*socio=ac d'examiner attentivement pour chaque pays*socio=ac l'incidence*socio=rien de la dette*socio=ec extérieure*socio=te et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et sur*socio=rien la situation*socio=uv des emprunteurs*socio=ac. Dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil le*socio=nil service*socio=ec des*socio=nil dettes*socio=ec *socio=nil contractées dans les années*socio=rien antérieures*socio=te (qui ne change*socio=rien pas lorsque les prix*socio=ec augmentent) est*socio=rien moins onéreux*socio=ec pour le débiteur*socio=ac si'ces exportations*socio=ec gagnent de la valeur*socio=ec. C'est*socio=rien ce que révèlent les augmentations*socio=uv ou diminutions*socio=rien très *socio=rien modestes du ratio du service_de_la_dette*socio=et aux*socio=nil exportations*socio=ec *socio=nil en 1974 pour un*socio=rien très *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil La*socio=nil récession*socio=ec *socio=nil de 19741975 et le fléchissement*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=et ont aggravé le processus*socio=rien de détérioration*socio=uv en rendant les importations*socio=ec plus coûteuses*socio=ec par rapport*socio=rien aux exportations*socio=ec et en imposant aux emprunteurs*socio=ac, en 1975, des ajustements*socio=et délicats*socio=rien . Ces difficultés*socio=rien commencent seulement à *socio=rien être un *socio=nil peu atténuées par la reprise de l'activité*socio=rien économique*socio=ec qui s'est*socio=rien manifestée dans certains pays*socio=ac en 1975 et pendant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1976. Un*socio=rien autre phénomène*socio=rien qui a pu être*socio=rien observé en 1974 est*socio=rien l'ampleur*socio=rien inhabituelle*socio=rien de l'accroissement*socio=ec des soldes*socio=rien non versés des prêts*socio=ec en cours*socio=rien aux pays_en_développement*socio=ac. Ces soldes*socio=rien non versés ont augmenté pendant l'année*socio=rien de 11,322 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour passer à 45,871 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. En 1973, l'augmentation*socio=uv n'avait été*socio=rien que de 5 909 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Il semble que l'accroissement*socio=ec soit imputable*socio=uv dans une *socio=rien certaine mesure *socio=nil à des emprunts*socio=ec contractés en prévision*socio=rien de besoins*socio=uv immédiats*socio=rien et dont les fonds*socio=ec ont pu être*socio=rien utilisés pour éponger les déficits*socio=ec continuels de 1975. On note également en 1974 une réduction*socio=uv *socio=rien du recours *socio=nil à l'emprunt*socio=ec de la part*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Durant les trois *socio=rien années précédentes,*socio=nil ce*socio=nil groupe*socio=ac de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil avait augmenté ses emprunts*socio=ec et sa dette*socio=ec extérieure*socio=te à *socio=rien un rythme rapide.*socio=nil *socio=nil En 1974, les emprunts*socio=ec n'ont augmenté que de 2,329 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 7,9% de l'accroissement*socio=ec total*socio=rien de la dette*socio=ec, au lieu*socio=rien de 5,510 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1973, représentant*socio=rien cette année-là 26,7% de l'accroissement*socio=ec. Cette augmentation*socio=uv modeste*socio=rien de la dette*socio=ec des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec *socio=nil en 1974 incorporait pourtant un*socio=rien accroissement*socio=ec sensiblement plus fort*socio=rien (3,002 millions*socio=rien de dollars*socio=ec au total*socio=rien ) des dettes*socio=ec de trois pays*socio=ac, et surtout de l'Indonésie*socio=ac (1,831 millions*socio=rien de dollars*socio=ec). Les deux autres pays*socio=ac dont les dettes*socio=ec se sont accrues sont l'Algérie*socio=ac et le Gabon. Ces augmentations*socio=uv ont été*socio=rien compensées par une diminution*socio=rien des dettes*socio=ec de quatre autres pays*socio=ac (l'Équateur*socio=ac, l'Irak*socio=ac, l'Iran*socio=ac et le Venezuela*socio=ac), représentant*socio=rien au total*socio=rien 672 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. A en juger d'après*socio=rien les renseignements*socio=rien assez incomplets fournis par les créanciers*socio=ac, les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec,*socio=nil *socio=nil en tant que groupe*socio=ac, avaient contracté en 1973 des emprunts*socio=ec *socio=rien massifs sur le*socio=nil marché*socio=ec des*socio=nil euromonnaies*socio=ec.*socio=nil *socio=nil En 1974, ils n'ont emprunté sur*socio=rien ce marché*socio=ec que des montants*socio=rien relativement modestes*socio=rien . Selon les indications*socio=rien dont on dispose, ce groupe*socio=ac de pays*socio=ac aurait une fois*socio=rien de plus emprunté sur*socio=rien ce marché*socio=ec des *socio=rien montants appréciables *socio=nil en 1975 et pendant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1976. Ce nouveau*socio=rien changement*socio=uv paraît correspondre à une augmentation*socio=uv considérable*socio=rien des importations*socio=ec, au financement*socio=ec de *socio=rien projets nouveaux *socio=nil exécutés par des entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec, ainsi qu'à *socio=rien un certain déclin *socio=nil de la demande*socio=ec mondiale*socio=te de pétrole*socio=ec. Il *socio=rien est clair *socio=nil cependant que l'état*socio=rien de la dette*socio=ec extérieure*socio=te des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec varie*socio=nil considérablement*socio=rien *socio=nil selon les pays*socio=ac. A la fin*socio=rien de 1974, l'encours de la dette*socio=ec des nations*socio=te exportatrices*socio=ec de pétrole*socio=ec (25,916 millions*socio=rien de dollars*socio=ec) et des pays_en_développement*socio=ac dont le revenu*socio=ec est*socio=rien assez élevé*socio=rien (70,764 millions*socio=rien de dollars*socio=ec) représentait 63,9% de la dette*socio=ec totale*socio=rien en cours*socio=rien , soit à peu près le même pourcentage*socio=rien qu'à la fin*socio=rien de 1973 et de 1972. Sur*socio=rien le montant*socio=ec global*socio=rien (96,680 millions*socio=rien de dollars*socio=ec) dû par ces emprunteurs*socio=ac à tous les créanciers*socio=ac, 44,385 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 45,9%, l'étaient à des créanciers*socio=ac privés*socio=ec. Cette part*socio=rien était plus importante*socio=rien qu'en 1973, tant en chiffres absolus*socio=rien (33,131 millions*socio=rien de dollars*socio=ec) qu'en pourcentage*socio=rien (42,0%). Ceux des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec dont les prêts*socio=ec en cours*socio=rien ont augmenté à l'allure*socio=rien la plus rapide*socio=rien étaient, en 1973, les banques*socio=ac privées*socio=ec et autres *socio=ec institutions_financières privées *socio=nil (une *socio=rien grande partie *socio=nil des "autres" prêteurs*socio=ac privés*socio=ec figurent au Tableau*socio=rien 4 de l'Annexe*socio=rien statistique*socio=ec). On leur devait 38,167 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 25,2% de l'encours total*socio=rien de la dette*socio=ec à la fin*socio=rien de 1974. A la fin*socio=rien de 1973, les chiffres correspondants*socio=rien étaient respectivement de 26,871 millions*socio=rien de dollars*socio=ec et 22,1%; et à la fin*socio=rien de 1972 de 18,961 millions*socio=rien de dollars*socio=ec et 18,7%. De 1973 à 1974, l'accroissement*socio=ec de la dette*socio=ec envers ces *socio=ec institutions_financières privées a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil de 11,296 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Ce chiffre représentait 38,3% de l'accroissement*socio=ec total*socio=rien de l'encours de la dette*socio=ec. La dette*socio=ec envers ces institutions*socio=ac était essentiellement concentrée dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec *socio=nil (4,935 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 12,9%) et dans les pays_en_développement*socio=ac aux revenus*socio=ec assez élevés*socio=rien (27,767 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 72,8%). La dette*socio=ec envers ces institutions*socio=ac a augmenté en 1974 pour toutes les catégories*socio=rien de pays_en_développement*socio=ac, mais les montants*socio=rien dus par les pays_en_développement*socio=ac à revenu*socio=ec moyen*socio=rien et à bas*socio=rien revenu*socio=ec sont demeurés modestes*socio=rien (5,464 millions*socio=rien de dollars*socio=ec). Par ailleurs*socio=rien , la dette*socio=ec envers les créanciers*socio=ac publics*socio=et bilatéraux*socio=te a augmenté de 9,290 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien à 1973 et représenté 31,5% de l'augmentation*socio=uv totale*socio=rien . En 1973, l'augmentation*socio=uv de la dette*socio=ec envers les créanciers*socio=ac publics*socio=et bilatéraux*socio=te avait été*socio=rien moins nette*socio=rien (7,682 millions*socio=rien de dollars*socio=ec) et représentait *socio=rien un pourcentage *socio=nil beaucoup plus *socio=rien élevé du total *socio=nil (37,2%). La dette*socio=ec envers les créanciers*socio=ac multilatéraux*socio=te a augmenté de 6,062 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1974, contre 4,515 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1973. Ces montants*socio=rien représentaient 20,5% de 1 accroissement*socio=ec total*socio=rien de la dette*socio=ec en 1974, et 21,9% en 1973. La dette*socio=ec envers les fournisseurs*socio=ac a sensiblement augmenté en 1974 par rapport*socio=rien à 1973 (de 2,884 millions*socio=rien de dollars*socio=ec). L'augmentation*socio=uv était due en *socio=rien grande partie *socio=nil à une utilisation*socio=rien accrue du*socio=rien crédit*socio=ec par les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec *socio=nil et les pays_en_développement*socio=ac aux revenus*socio=ec relativement élevés*socio=rien . En 1974, la dette*socio=ec des pays*socio=ac à revenu*socio=ec moyen*socio=rien et des pays*socio=ac à bas*socio=rien revenu*socio=ec se montait à 54,719 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 36,1% *socio=rien du total.*socio=nil L'*socio=nil accroissement*socio=ec avait*socio=nil été *socio=nil de 11,653 millions*socio=rien de dollars*socio=ec au cours*socio=rien de l'année*socio=rien , contre 6,458 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1973. La part*socio=rien de l'augmentation*socio=uv globale*socio=rien de la dette*socio=ec imputable*socio=uv à ces groupes*socio=ac de pays*socio=ac était de 39,5% en 1974, proportion*socio=rien très supérieure*socio=rien aux 31,3% enregistrés en 1973. Sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien des emprunts*socio=ec nouveaux*socio=rien contractés par les pays*socio=ac à revenu*socio=ec moyen*socio=rien et les pays*socio=ac à bas*socio=rien revenu*socio=ec, 8,728 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 74,9%, ont été*socio=rien empruntés à des prêteurs*socio=ac publics*socio=et bilatéraux*socio=te et multilatéraux*socio=te. Ce montant*socio=ec *socio=rien est bien plus*socio=nil élevé *socio=nil que l'accroissement*socio=ec des emprunts*socio=ec contractés aux mêmes sources*socio=rien en 1973, qui n'avait été*socio=rien que de 5,276 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. La part*socio=rien des prêteurs*socio=ac publics*socio=et bilatéraux*socio=te et multilatéraux*socio=te était inférieure*socio=rien à ce qu'elle avait été*socio=rien en 1973, où elle représentait 81,7% de l'accroissement*socio=ec. Cette proportion*socio=rien plus faible*socio=rien s'explique par un*socio=rien accroissement*socio=ec (par rapport*socio=rien à l'année*socio=rien précédente*socio=rien ) du*socio=rien montant*socio=ec absolu*socio=rien des nouveaux*socio=rien emprunts*socio=ec obtenus par les pays*socio=ac à revenu*socio=ec moyen*socio=rien et les pays*socio=ac à bas*socio=rien revenu*socio=ec auprès d'institutions_financières*socio=ec privées*socio=ec (2,341 millions*socio=rien de dollars*socio=ec). Par rapport*socio=rien au montant*socio=ec global*socio=rien dont se sont accrus les emprunts*socio=ec de ces pays*socio=ac (11,653 millions*socio=rien de dollars*socio=ec), les prêts*socio=ec obtenus aux sources*socio=rien publiques*socio=et bilatérales*socio=te et multilatérales*socio=te ont été*socio=rien en *socio=rien déclin relatif.*socio=nil Le*socio=nil flux*socio=ec des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil procurées par la Banque*socio=ac et l'IDA*socio=ac aux pays_en_développement*socio=ac a lui aussi considérablement*socio=rien augmenté au cours*socio=rien des trois *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Pendant la période*socio=te couvrant les exercices*socio=rien 1974-1976, la Banque*socio=ac et l'IDA*socio=ac ont prêté au total*socio=rien près de 17,000 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à ces pays*socio=ac, contre un*socio=rien peu moins de 9,000 millions*socio=rien de dollars*socio=ec au cours*socio=rien des trois *socio=rien exercices précédents.*socio=nil Les*socio=nil décaissements*socio=ec ont*socio=nil été au*socio=nil total *socio=nil de 8,987 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour la période*socio=te 1974-1976, contre 4 266 millions*socio=rien de dollars*socio=ec au cours*socio=rien des exercices*socio=rien 1971-1973. La Banque*socio=ac a donc été*socio=rien une *socio=rien source importante d'*socio=nil aide*socio=uv à*socio=nil long_terme*socio=ec *socio=nil pour des projets_de_développement*socio=et conçus en vue*socio=rien d'aider les pays*socio=ac à atteindre leurs objectifs*socio=rien éloignés. Ces objectifs*socio=rien comportent l'expansion*socio=ec et la diversification*socio=rien des exportations*socio=ec, qui revêtent l'une et l'autre une importance*socio=rien particulière*socio=uv au moment*socio=rien où la reprise économique*socio=ec s'amorce dans le monde_industrialisé*socio=te. Les activités*socio=rien de la Banque*socio=ac ont aussi permis*socio=rien à ces pays*socio=ac d'obtenir*socio=rien plus facilement des *socio=ec crédits privés *socio=nil en renforçant la productivité*socio=ec et la solvabilité*socio=ec de leurs économies*socio=ec. développement*socio=uv rural*socio=te. (Pendant l'exercice*socio=rien 1976, les Administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac ont approuvé plus de 200 projets*socio=rien de la Banque*socio=ac et de l'IDA*socio=ac dans 14 secteurs*socio=ec, les engagements*socio=ec pris par elles dépassant 6,600 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Les chapitres*socio=rien régionaux*socio=te qui suivent exposent en détail*socio=rien l'ampleur*socio=rien des activités*socio=rien de la Banque*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien . Dans les *socio=rien sections du présent chapitre,*socio=nil l'*socio=nil analyse ne*socio=nil porte que*socio=nil sur un petit nombre de*socio=nil sujets *socio=nil qui ont particulièrement retenu l'attention*socio=rien durant l'exercice*socio=rien .) Il ressort d'une étude*socio=ac *socio=rien récente sur l'*socio=nil octroi de*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil pour le développement*socio=uv agricole*socio=ec et rural*socio=te que quelque 2,7 millions*socio=rien de familles*socio=uv d'agriculteurs*socio=ac - soit environ 16 millions*socio=rien de gens*socio=ac - devraient bénéficier directement de projets*socio=rien appuyés par la Banque*socio=ac et pour lesquels des engagements*socio=ec ont été*socio=rien pris au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1976. Le nombre*socio=rien de familles*socio=uv d'agriculteurs*socio=ac, qui seront probablement les bénéficiaires*socio=ac directs*socio=rien de projets*socio=rien aidés par la Banque*socio=ac et approuvés au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1975 en faveur*socio=rien de l'agriculture*socio=ec et du*socio=rien développement*socio=uv rural*socio=te, est*socio=rien à peu près identique*socio=rien . Selon des estimations*socio=ec préliminaires*socio=rien , 80% environ de ces 32 millions*socio=rien de personnes*socio=rien vivent dans une "pauvreté*socio=uv absolue*socio=rien ", elles font partie*socio=rien de ce groupe*socio=ac de population*socio=ac, pris comme objectif*socio=rien , qui comprend près de 800 millions*socio=rien de pauvres*socio=ac vivant en milieu*socio=rien rural*socio=te. Si le *socio=rien nombre total des*socio=nil bénéficiaires*socio=ac est *socio=nil resté à peu près le même pendant l'exercice*socio=rien 1976, le coût*socio=ec total*socio=rien des projets*socio=rien a baissé d'environ 7%. Le coût*socio=ec des projets*socio=rien par famille*socio=uv agricole*socio=ec bénéficiaire*socio=ac est*socio=rien tombé de 1,550 dollars*socio=ec environ à 1,400 dollars*socio=ec. Les estimations*socio=ec montrent que les projets*socio=rien approuvés au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1976 en faveur*socio=rien de l'agriculture*socio=ec et du*socio=rien développement*socio=uv rural*socio=te contribueront, une fois*socio=rien achevés, à accroître la production*socio=ec d'environ 1,600 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Les deux tiers*socio=rien de ce montant*socio=ec concerneront la *socio=ec production alimentaire;*socio=nil le*socio=nil volume*socio=rien *socio=nil de la production*socio=ec de *socio=rien denrées alimentaires *socio=nil pourrait atteindre au total*socio=rien 6,7 millions*socio=rien de tonnes. Le secrétariat_de_la_banque*socio=ac estime*socio=rien cependant qu'en 1985 l'écart*socio=rien entre la production*socio=ec intérieure*socio=rien et la demande*socio=ec de céréales*socio=ec alimentaires*socio=rien , dans les pays_en_développement*socio=ac, pourrait être*socio=rien de l'ordre*socio=rien de 77 millions*socio=rien de tonnes. A moins que la *socio=ec production alimentaire intérieure*socio=rien *socio=nil ne s'accroisse plus rapidement au cours*socio=rien de la *socio=rien prochaine décennie,*socio=nil il*socio=nil est possible *socio=nil que de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac d'Asie_du_sud*socio=ac et d'Afrique*socio=ac qui sont déficitaires*socio=ec sur*socio=rien le plan*socio=rien de la *socio=ec production alimentaire *socio=nil aient à dépenser jusqu'à 30% de leurs recettes*socio=ec éventuelles*socio=rien d'exportation*socio=ec pour l'importation*socio=ec de *socio=rien produits alimentaires.*socio=nil *socio=nil Ce chiffre est*socio=rien à comparer à une moyenne*socio=rien de 10% enregistrée au cours*socio=rien de la récente*socio=rien période*socio=te de crise*socio=uv alimentaire*socio=ec. L'accroissement*socio=ec de la production*socio=ec dans les pays*socio=ac dont la *socio=ec production alimentaire est*socio=rien déficitaire est*socio=rien la*socio=nil manière*socio=rien *socio=nil la plus rationnelle*socio=uv de parer, pour l'essentiel*socio=uv aux futurs*socio=rien besoins*socio=uv alimentaires*socio=rien . En général*socio=rien , il paraît préférable d'axer l'effort*socio=uv de développement*socio=uv sur*socio=rien les petites*socio=rien exploitations*socio=ec, pour des raisons*socio=rien aussi bien*socio=rien d'équité*socio=uv que d'efficacité*socio=uv. La petite*socio=rien *socio=ec exploitation agricole produit*socio=rien *socio=nil dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien des *socio=rien quantités insuffisantes de*socio=nil denrées alimentaires.*socio=nil *socio=nil Elle emploie souvent relativement plus de main-d'_oeuvre*socio=ac que les autres, et il est*socio=rien de plus en plus démontré que les petites*socio=rien exploitations*socio=ec, lorsqu'elles ont des services*socio=ec d'appui*socio=rien adéquats*socio=rien , obtiennent des rendements*socio=ec supérieurs*socio=rien à ceux des grandes*socio=rien exploitations*socio=ec. Il n'est*socio=rien guère possible*socio=rien d'ouvrir de plus grandes*socio=rien surfaces à la culture*socio=et dans les pays*socio=ac dont la *socio=ec production alimentaire *socio=rien est insuffisante.*socio=nil *socio=nil Il faut alors compter essentiellement sur*socio=rien une augmentation*socio=uv des rendements*socio=ec. Il suffit d'augmentations*socio=uv relativement peu importantes*socio=rien pour *socio=rien obtenir un accroissement*socio=ec considérable *socio=nil de la *socio=ec production alimentaire:*socio=nil une*socio=nil amélioration*socio=uv du*socio=rien rendement des*socio=nil céréales *socio=nil de 100 kg seulement à l'hectare*socio=ec donnerait, dans les pays_en_développement*socio=ac, *socio=rien un complément de*socio=nil production*socio=ec *socio=nil de 30 millions*socio=rien de tonnes par an*socio=rien , soit plus d'un*socio=rien *socio=rien tiers du *socio=ec déficit alimentaire *socio=nil ressortant des projections*socio=et. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1976, les prêts*socio=ec accordés par la Banque*socio=ac pour l'agriculture*socio=ec et le développement*socio=uv rural*socio=te ont essentiellement visé à accroître la *socio=ec productivité agricole *socio=nil par la fourniture*socio=rien des facteurs*socio=rien de production*socio=ec nécessaires*socio=rien . Malgré cela les investissements*socio=ec consacrés à la santé*socio=et, à l'adduction d'eau*socio=ec et à d'autres activités*socio=rien non agricoles*socio=ec dans le cadre*socio=rien des *socio=rien projets intéressant l'*socio=nil agriculture*socio=ec *socio=nil et le développement*socio=uv rural*socio=te, sont restés à *socio=rien un niveau élevé,*socio=nil bien qu'*socio=nil inférieur *socio=nil à celui de l'exercice*socio=rien 1975. Quelque 185 000 familles*socio=uv bénéficieront de l'adduction d'eau*socio=ec, 70 000 familles*socio=uv recevront une aide*socio=uv sous forme*socio=rien de services*socio=ec sanitaires*socio=uv, et 15 000 personnes*socio=rien auront accès*socio=uv à des services*socio=ec d'enseignement*socio=et; l'électricité*socio=ec sera fournie à quelque 345 000 familles*socio=uv. *socio=rien Un point qui*socio=nil présente *socio=nil de l'intérêt*socio=uv - et qui préoccupe de plus en plus la Banque*socio=ac - est*socio=rien que jusqu'à présent*socio=rien la main-d'_oeuvre*socio=ac rurale*socio=te non agricole*socio=ec a tiré relativement peu d'avantages*socio=rien des projets*socio=rien entrepris avec l'assistance*socio=et de la Banque*socio=ac. Dans les pays_en_développement*socio=ac, ceux qui ne possèdent pas de terres*socio=rien représentent souvent *socio=rien un tiers *socio=nil de la population*socio=ac rurale*socio=te. Leur nombre*socio=rien augmente constamment. A vrai*socio=rien dire, la croissance*socio=uv du*socio=rien secteur*socio=ec rural*socio=te non agricole*socio=ec ressort en *socio=rien général du fait *socio=nil que les villages*socio=te et les bourgs paraissent, dans plusieurs cas*socio=rien , se développer aussi rapidement que les grandes*socio=rien villes*socio=te. Il n'est*socio=rien pas *socio=rien vraiment surprenant *socio=nil que la proportion*socio=rien de ruraux*socio=ac qui ne sont pas employés*socio=ac directement dans l'agriculture*socio=ec aille croissant*socio=rien . Le progrès*socio=uv économique*socio=ec amène*socio=rien normalement des gens*socio=ac à cesser des activités*socio=rien qui n'assurent que leur subsistance et à abandonner l'agriculture*socio=ec pour d'autres activités*socio=rien économiques*socio=ec, qui lui sont d'ailleurs*socio=rien souvent liées. Dans des circonstances*socio=rien moins favorables*socio=rien , en revanche, il n'est*socio=rien que le reflet*socio=rien de la croissance*socio=uv démographique*socio=rien qui, la superficie*socio=rien des terres*socio=rien exploitées étant fixe, oblige une *socio=rien proportion croissante de*socio=nil personnes *socio=nil à essayer de gagner leur *socio=rien vie grâce *socio=nil à des activités*socio=rien autres que l'agriculture*socio=ec. L'obligation*socio=uv dans laquelle ces gens*socio=ac se trouvent d'abandonner l'agriculture*socio=ec n'entrave pas nécessairement le développement*socio=uv si la *socio=ec productivité agricole *socio=nil augmente suffisamment pour assurer une offre*socio=rien de *socio=rien produits alimentaires *socio=nil à des prix*socio=ec abordables*socio=rien et si les autres secteurs*socio=ec de l'économie*socio=ec enregistrent une croissance*socio=uv suffisante*socio=rien pour qu'il s'y crée des *socio=ec emplois productifs.*socio=nil Les*socio=nil investissements *socio=nil consacrés à l'infrastructure*socio=ec (routes*socio=rien , énergie*socio=ec électrique*socio=rien , *socio=rien organisation du crédit*socio=ec et*socio=nil création de*socio=nil services*socio=ec d'*socio=nil approvisionnement*socio=ec en*socio=nil facteurs de*socio=nil production*socio=ec *socio=nil et de services_sociaux*socio=et) et qui servent ainsi aux programmes*socio=et de développement*socio=uv rural*socio=te profitent en général*socio=rien plus directement aux activités*socio=rien para-agricoles qu'à l'agriculture*socio=ec elle-même. On peut néanmoins faire plus pour favoriser la croissance*socio=uv de ce secteur*socio=ec qu'une simple*socio=rien mise en place*socio=rien de l'infrastructure*socio=ec ou que l'investissement*socio=ec direct*socio=rien de capitaux*socio=ec dans des services*socio=ec ruraux*socio=te au titre*socio=rien de projets_de_développement*socio=et rural*socio=te visant à accroître la *socio=ec production agricole.*socio=nil Des*socio=nil études*socio=rien *socio=nil sont en cours*socio=rien à la Banque*socio=ac au sujet*socio=rien de la création_d'_emplois*socio=ec et de la possibilité*socio=rien d'accroître les revenus*socio=ec de la population*socio=ac rurale*socio=te non agricole*socio=ec. Parmi les questions*socio=rien étudiées il faut citer les possibilités*socio=rien de développer l'emploi*socio=ec dans ce secteur*socio=ec et les *socio=rien différentes activités *socio=nil qui sont en cause*socio=rien , notamment celles qui se rattachent à l'agriculture*socio=ec, tant en aval*socio=rien (transformation*socio=uv, transports*socio=ec) qu'en amont (fabrication*socio=ec d'outillage*socio=rien , offre*socio=rien de facteurs*socio=rien de production*socio=ec), le développement*socio=uv des industries*socio=ec extractives et de la sylviculture, la petite*socio=rien industrie*socio=ec rurale*socio=te, la grande*socio=rien industrie*socio=ec décentralisée, et les programmes*socio=et relatifs*socio=rien aux travaux_publics*socio=et et à l'infrastructure*socio=ec dans les *socio=te zones rurales.*socio=nil La*socio=nil pauvreté*socio=uv *socio=nil dans les villes*socio=te. Dans l'allocution*socio=rien qu'il a prononcée en septembre*socio=rien 1975 devant*socio=rien les Conseils*socio=ac des Gouverneurs*socio=ac de la Banque*socio=ac et du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, le Président*socio=rien de la Banque*socio=ac, Robert S*socio=rien : Mcnamara*socio=ac, a indiqué que la Banque*socio=ac aiderait ses gouvernements*socio=ac membres*socio=rien "de toutes les *socio=rien manières possibles"*socio=nil *socio=nil à s'attaquer au problème*socio=uv de la pauvreté*socio=uv urbaine*socio=te. Environ deux mois*socio=rien auparavant, en juillet*socio=rien 1975, on avait créé un*socio=rien groupe*socio=ac spécial*socio=rien interdépartemental pour mettre au *socio=rien point un Programme*socio=et d'*socio=nil action *socio=nil contre la pauvreté*socio=uv dans les villes*socio=te. Ce groupe*socio=ac spécial*socio=rien poursuit actuellement ses travaux*socio=rien , mais il a fait*socio=rien des progrès*socio=uv considérables*socio=rien dans la définition*socio=rien de la nature*socio=rien de la pauvreté*socio=uv urbaine*socio=te et de son ampleur*socio=rien , ainsi que dans l'estimation*socio=rien préliminaire*socio=rien de ce que pourraient être*socio=rien la stratégie*socio=et générale*socio=rien et les *socio=rien grands objectifs *socio=nil de la Banque*socio=ac sur*socio=rien une période*socio=te appropriée. Le groupe*socio=ac a souligné que les problèmes*socio=uv de la pauvreté*socio=uv urbaine*socio=te et rurale*socio=te sont nettement liés et que, pour qu'il y ait la moindre*socio=rien amélioration*socio=uv *socio=rien du sort des*socio=nil pauvres*socio=ac *socio=nil dans les *socio=te zones rurales aussi*socio=nil bien*socio=rien qu'*socio=nil urbaines,*socio=nil *socio=nil il faut qu'à l'avenir*socio=te les villes*socio=te, petites*socio=rien et grandes*socio=rien , absorbent et emploient la plus *socio=rien grande partie du complément de*socio=nil main-d'_oeuvre*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Il y a à l'heure*socio=rien actuelle*socio=rien quelque 150 millions*socio=rien de citadins*socio=ac dont le revenu*socio=ec ne suffit pas pour couvrir le coût*socio=ec local*socio=te des *socio=uv besoins essentiels minimums*socio=rien *socio=nil , tant alimentaires*socio=rien que non alimentaires*socio=rien . Près de la moitié*socio=rien de ces habitants*socio=ac des villes*socio=te qui sont dans le plus *socio=rien complet dénuement *socio=nil vivent en Asie_du_sud*socio=ac, et *socio=rien un quart en*socio=nil amérique_latine*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Ceux qui n'ont pas accès*socio=uv à la possibilité*socio=rien de pourvoir à leurs besoins*socio=uv fondamentaux*socio=rien - régime*socio=et alimentaire*socio=ec adéquat*socio=rien , approvisionnement*socio=ec en eau*socio=ec potable*socio=rien et installations*socio=rien pour l'évacuation*socio=rien des eaux*socio=et usées et des excréments humains*socio=rien - sont plus nombreux*socio=rien encore que ceux dont le revenu*socio=ec *socio=rien est inférieur *socio=nil à celui qui permettrait en théorie*socio=ec de satisfaire à leurs *socio=uv besoins essentiels.*socio=nil En*socio=nil fait*socio=rien *socio=nil , l' incapacité*socio=rien des services*socio=ec urbains*socio=te de suivre l'expansion*socio=ec des populations*socio=ac urbaines*socio=te "appauvrit" actuellement 40 à 50 millions*socio=rien de gens*socio=ac en plus. En l'absence*socio=rien de toute *socio=rien définition claire *socio=nil de la population*socio=ac pauvre*socio=uv des villes*socio=te qui soit fondée sur*socio=rien l'emploi*socio=ec - il n'y a pas d'équivalent*socio=rien urbain*socio=te *socio=rien du petit exploitant agricole*socio=ec *socio=nil - le groupe*socio=ac de population*socio=ac à prendre comme objectif*socio=rien dans le Programme*socio=et d'action*socio=rien contre la pauvreté*socio=uv dans les villes*socio=te a été*socio=rien considéré comme comprenant quelque 190 millions*socio=rien de gens*socio=ac qui n'ont pas accès*socio=uv au minimum*socio=rien indispensable*socio=uv à l'homme*socio=ac. Ce groupe*socio=ac s'accroît actuellement à raison*socio=uv de 11 millions*socio=rien de personnes*socio=rien environ par an*socio=rien . Le fait*socio=rien de définir*socio=rien le groupe*socio=ac à prendre comme objectif*socio=rien d'après*socio=rien l'accès*socio=uv aux services_essentiels*socio=et ne signifie pas que le seul*socio=rien , ou même le principal*socio=rien , moyen*socio=rien de s'attaquer comme il convient au problème*socio=uv de la pauvreté*socio=uv dans les villes*socio=te soit d'améliorer ces possibilités*socio=rien d'accès*socio=uv par une *socio=rien action directe.*socio=nil La*socio=nil création *socio=nil accélérée d'emplois*socio=ec productifs*socio=ec dans le secteur*socio=ec non agricole*socio=ec sera évidemment l'élément*socio=rien central*socio=rien de toute réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv, tant rurale*socio=te qu'urbaine*socio=te. Il apparaît clairement cependant que la grande*socio=rien entreprise*socio=ac moderne*socio=uv ne fournira pas de possibilités*socio=rien d'emploi*socio=ec à plus qu'une *socio=rien petite fraction *socio=nil d'une main-d'_oeuvre*socio=ac dont le nombre*socio=rien ne cesse de croître. La hausse*socio=rien des revenus*socio=ec d'une *socio=rien grande partie *socio=nil de la main-d'_oeuvre*socio=ac non agricole*socio=ec sera donc subordonnée à l'accroissement*socio=ec des possibilités*socio=rien qui existent de gagner sa vie*socio=rien dans la petite*socio=rien industrie*socio=ec, le bâtiment*socio=ec, le commerce*socio=ec, les transports*socio=ec et d'autres industries*socio=ec productrices*socio=ac de services*socio=ec. La contribution*socio=uv de la Banque*socio=ac à l'amélioration*socio=uv de la productivité*socio=ec des pauvres*socio=ac résidant dans les villes*socio=te ne peut au mieux qu'être*socio=rien limitée, eu égard*socio=rien à l'ampleur*socio=rien de la tâche*socio=rien . Le nombre*socio=rien des emplois*socio=ec *socio=rien nouveaux associés aussi*socio=nil bien *socio=nil directement qu'indirectement aux projets*socio=rien et sous-projets appuyés par la Banque*socio=ac dans le secteur*socio=ec des entreprises*socio=ac industrielles*socio=ec pourrait atteindre jusqu'à 700.000 par an*socio=rien d'ici à 1980; à côté*socio=rien de cela, cependant, l'effectif*socio=rien de la main-d'_oeuvre*socio=ac urbaine*socio=te augmentera annuellement de plus de 8 millions*socio=rien , ce à quoi il faut ajouter une *socio=rien énorme masse de*socio=nil personnes *socio=nil sous-employées qui recherchent un*socio=rien emploi*socio=ec plus productif*socio=uv. Le succès*socio=uv de toute stratégie*socio=et visant à accroître les possibilités*socio=rien d'occuper un*socio=rien emploi*socio=ec productif*socio=uv sera donc lié tout autant à l'adoption*socio=et d'un*socio=rien ensemble*socio=rien de politiques*socio=et adéquates*socio=uv qu'au niveau*socio=rien des investissements*socio=ec. Les *socio=rien principaux éléments *socio=nil de ces politiques*socio=et pourraient être*socio=rien d'une part*socio=rien l'élimination*socio=rien des imperfections*socio=rien des marchés*socio=ec de capitaux*socio=ec (telles que le contrôle*socio=uv artificiel*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec) qui limitent les capitaux*socio=ec disponibles*socio=rien pour la petite*socio=rien industrie*socio=ec, forte*socio=rien consommatrice*socio=ec de main-d'_oeuvre*socio=ac, et qui causent une distorsion des choix*socio=uv technologiques*socio=ec en faveur*socio=rien des activités*socio=rien à *socio=rien forte intensité de*socio=nil capital*socio=ec;*socio=nil *socio=nil d'autre part*socio=rien , la modification*socio=rien de la législation*socio=et peu favorable*socio=rien à l'emploi*socio=ec de main-d'_oeuvre*socio=ac, et enfin l'application*socio=rien de prix*socio=ec en rapport*socio=rien avec la réalité*socio=uv pour les grandes*socio=rien variables*socio=ec du*socio=rien marché*socio=ec qui entrent en jeu*socio=rien dans l'économie*socio=ec - depuis les *socio=ec devises étrangères *socio=nil jusqu'aux produits*socio=rien agricoles*socio=ec. De plus, la capacité*socio=rien d'absorption des *socio=te zones urbaines *socio=nil et la productivité*socio=ec et le bien-être*socio=uv des pauvres*socio=ac résidant dans les villes*socio=te ne peuvent être*socio=rien efficacement accrus que si les gouvernements*socio=ac encouragent les activités*socio=rien basées sur*socio=rien l'effort*socio=uv personnel*socio=rien , acceptent des solutions*socio=rien non optimales*socio=rien et peu coûteuses*socio=ec en ce qui concerne l'adduction d'eau*socio=ec, l'assainissement*socio=uv, le logement*socio=ec, les transports*socio=ec et la protection*socio=et sanitaire*socio=uv, adoptent des politiques*socio=et positives*socio=uv en matière*socio=rien d'utilisation*socio=rien des terres*socio=rien , et fixent d'une manière*socio=rien rationnelle*socio=uv les prix*socio=ec des services*socio=ec urbains*socio=te. Les *socio=rien grandes lignes *socio=nil d'une stratégie*socio=et *socio=rien globale éventuelle de*socio=nil lutte*socio=uv *socio=nil contre la pauvreté*socio=uv dans les villes*socio=te sont donc apparues dans le courant*socio=rien de l'année*socio=rien . Ce sont les suivantes*socio=rien : - mettre l'accent*socio=rien , dans le développement*socio=uv industriel*socio=ec, sur*socio=rien l'application*socio=rien de politiques*socio=et et de techniques*socio=rien qui auront pour effet*socio=rien d'accroître l'emploi*socio=ec direct*socio=rien et indirect*socio=rien par rapport*socio=rien aux besoins*socio=uv de capitaux*socio=ec et qui donneront naissance*socio=et à une *socio=rien demande globale *socio=nil accrue de produits*socio=rien agricoles*socio=ec et de services*socio=ec; - améliorer la productivité*socio=ec et développer l'emploi*socio=ec dans le secteur*socio=ec des services*socio=ec et le secteur*socio=ec inorganisé, qui devront absorber le gros*socio=rien de l'accroissement*socio=ec de la main-d'_oeuvre*socio=ac; - Fournir avec efficacité*socio=uv les services*socio=ec urbains*socio=te de base*socio=rien à une importante*socio=rien population*socio=ac en voie*socio=rien d'expansion*socio=ec, selon des normes*socio=et et à des prix*socio=ec convenant pour la majorité*socio=rien de la population*socio=ac; - accroître la capacité*socio=rien des centres*socio=rien urbains*socio=te de créer des emplois*socio=ec et de faire face*socio=rien aux migrations*socio=ac massives*socio=rien de personnes*socio=rien pauvres*socio=uv, par la mise au point*socio=rien et l'application*socio=rien de politiques*socio=et et de méthodes*socio=rien de gestion*socio=et améliorées. L'accent*socio=rien à mettre sur*socio=rien tel ou tel élément*socio=rien de cette stratégie*socio=et, dans un*socio=rien pays*socio=ac quelconque, dépendra naturellement de facteurs*socio=rien tels que le *socio=rien niveau du revenu*socio=ec national*socio=te,*socio=nil le*socio=nil degré actuel d'*socio=nil urbanisation*socio=ec,*socio=nil les*socio=nil disponibilités en*socio=nil terres productives*socio=uv *socio=nil et le degré*socio=rien de développement*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec. (L'intérêt*socio=uv porté à l'habitat*socio=rien humain*socio=ac s'est*socio=rien accru pendant l'exercice*socio=rien à la suite*socio=rien de l'attention*socio=rien donnée à la conférence_des_nations_unies*socio=ac sur*socio=rien les établissements*socio=rien humains*socio=uv, à Vancouver*socio=ac. Le rôle*socio=rien qu'a eu la Banque*socio=ac dans cette *socio=rien Conférence est *socio=nil décrit dans la section*socio=rien "Coopération*socio=uv entre organisations*socio=ac" *socio=rien du chapitre *socio=nil "Autres activités*socio=rien ".) Sociétés*socio=ac financières*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv. Un*socio=rien secteur*socio=ec clé*socio=rien des programmes*socio=et entrepris par la Banque*socio=ac pour atténuer la pauvreté*socio=uv dans les villes*socio=te sera le secteur*socio=ec représenté par les sociétés*socio=ac financières*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv (SFD*socio=ac). Le financement*socio=ec des SFD*socio=ac a été*socio=rien le *socio=rien principal mécanisme *socio=nil mis en place*socio=rien par la Banque*socio=ac pour aider, dans ses pays_membres*socio=ac, les entreprises*socio=ac de production*socio=ec de *socio=rien moyennes dimensions.*socio=nil En*socio=nil fait,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a déjà fourni quelques milliards*socio=ec de dollars*socio=ec pour financer des SFD*socio=ac dans près de quatre douzaines de pays*socio=ac, et un*socio=rien programme*socio=et quinquennal*socio=te de prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac (exercices*socio=rien 1976 à 1980) prévoit des engagements*socio=ec de quelque 3,4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, soit 9% *socio=rien du total des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac et de l'IDA*socio=ac. Comme dans le cas*socio=rien des autres secteurs*socio=ec, la politique*socio=et appliquée par la Banque*socio=ac pour l'octroi*socio=rien de prêts*socio=ec par l'intermédiaire*socio=rien des SFD*socio=ac a évolué au cours*socio=rien des années*socio=rien . A l'origine*socio=rien , la Banque*socio=ac n'accordait son assistance*socio=et qu'à des SFD*socio=ac contrôlées par des *socio=ec intérêts privés,*socio=nil *socio=nil mais à l'heure*socio=rien actuelle*socio=rien elle appuie toute une série d'institutions_publiques*socio=et, privées*socio=ec et mixtes. Les objectifs*socio=rien consistant à créer des emplois*socio=ec et à appuyer la petite*socio=rien entreprise*socio=ac prennent maintenant beaucoup plus d'importance*socio=rien . Il *socio=rien est probable *socio=nil aussi que les prêts*socio=ec futurs*socio=rien de la Banque*socio=ac aux SFD*socio=ac serviront de plus en plus à aider des secteurs*socio=ec autres que l'industrie*socio=ec manufacturière*socio=ec et le tourisme*socio=ec et seront répartis par d'importants*socio=rien intermédiaires*socio=ac polyvalents s'intéressant*socio=rien à plusieurs secteurs*socio=ec. Les prêts*socio=ec accordés par l'entremise*socio=rien des SFD*socio=ac ont cependant conservé au cours*socio=rien des *socio=rien années certaines caractéristiques communes*socio=uv.*socio=nil Pour*socio=nil obtenir l'*socio=nil assistance*socio=et *socio=nil de la Banque*socio=ac, les secteurs*socio=ec desservis par les SFD*socio=ac doivent jouer *socio=rien un rôle important *socio=nil dans le processus*socio=rien de développement*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac - la SFD*socio=ac doit avoir besoin*socio=uv de *socio=ec ressources financières que*socio=nil seule*socio=rien la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil peut lui fournir; les politiques*socio=et, les méthodes*socio=rien , la gestion*socio=et, la *socio=ec structure financière *socio=nil et les programmes*socio=et de la SFD*socio=ac doivent reposer sur*socio=rien une base*socio=rien saine*socio=uv et être*socio=rien efficaces*socio=uv; enfin, et c'est*socio=rien là une préoccupation*socio=uv croissante*socio=rien , la SFD*socio=ac doit contribuer à l'innovation*socio=uv dans les secteurs*socio=ec où elle opère. La Banque*socio=ac considère qu'elle doit appliquer une politique*socio=et souple*socio=rien dans l'octroi*socio=rien de prêts*socio=ec aux SFD*socio=ac. Il faut qu'il en soit ainsi, car eu égard*socio=rien à la diversité*socio=rien des types de SFD*socio=ac qu'elle aide*socio=uv actuellement et des systèmes_économiques*socio=ec dans lesquels elles se situent - systèmes*socio=rien qui vont de l'économie*socio=ec planifiée à l'économie*socio=ec axée essentiellement sur*socio=rien le marché*socio=ec - les *socio=rien lignes directrices *socio=nil à suivre sur*socio=rien le plan*socio=rien financier*socio=ec ou sur*socio=rien celui de la politique*socio=et générale*socio=rien seront naturellement différentes*socio=rien . De plus, les conceptions*socio=rien concernant les priorités*socio=uv en matière*socio=rien de développement*socio=uv ont évolué avec le temps*socio=rien , ce qui a obligé à modifier les attitudes*socio=rien et à considérer les SFD*socio=ac - ainsi qu'à traiter avec elles - d'une *socio=rien manière différente.*socio=nil *socio=nil Dans ces activités*socio=rien d'octroi*socio=rien de prêts*socio=ec aux SFD*socio=ac, cependant, la Banque*socio=ac rencontre certains problèmes*socio=uv qui reviennent constamment, et elle s'y est*socio=rien attaquée en cours*socio=rien d'exercice*socio=rien de manière*socio=rien à mieux définir*socio=rien et à préciser sa *socio=rien méthode courante *socio=nil d'approche sur*socio=rien le terrain*socio=rien . Il a été*socio=rien reconnu en général*socio=rien qu'un*socio=rien des principaux*socio=rien problèmes*socio=uv auxquels se heurte la Banque*socio=ac est*socio=rien de trouver les moyens*socio=ec de favoriser le développement*socio=uv de la petite*socio=rien entreprise*socio=ac. Les petites*socio=rien entreprises*socio=ac sont nombreuses*socio=rien dans la plupart*socio=rien des économies*socio=ec, elles offrent des *socio=rien possibilités variées *socio=nil et sont une source*socio=rien d'expérience*socio=uv pour les entrepreneurs*socio=ac, et elles contribuent à équilibrer la répartition*socio=uv des *socio=ec avoirs productifs,*socio=nil *socio=nil - comme elles ont généralement besoin*socio=uv d'un*socio=rien effectif*socio=rien relativement important*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac non qualifiée*socio=ec, elles peuvent être*socio=rien une *socio=rien source appréciable d'*socio=nil emplois*socio=ec.*socio=nil Les*socio=nil mesures *socio=nil visant à accélérer leur expansion*socio=ec et à améliorer l'efficacité*socio=uv de leurs opérations*socio=rien pourraient accroître directement la productivité*socio=ec des couches*socio=ac pauvres*socio=uv de la population*socio=ac urbaine*socio=te. L'octroi*socio=rien de prêts*socio=ec par l'entremise*socio=rien des SFD*socio=ac constitue la façon*socio=rien la plus rationnelle*socio=uv d'utiliser à cette fin*socio=rien les fonds*socio=ec et le personnel*socio=rien de la Banque*socio=ac. Malheureusement on n'a guère attendu des SFD*socio=ac, jusqu'à présent*socio=rien , qu'elles s'attaquent aux problèmes*socio=uv des plus petits*socio=rien entrepreneurs*socio=ac. Il faudrait, en outre, s'intéresser d'une manière*socio=rien plus systématique*socio=rien que cela n'a été*socio=rien le cas*socio=rien jusqu'ici aux problèmes*socio=uv et aux possibilités*socio=rien de financement*socio=ec des petites*socio=rien entreprises*socio=ac, soit en exécutant des programmes*socio=et spéciaux*socio=rien mis au point*socio=rien sous les auspices*socio=rien des SFD*socio=ac qui bénéficient d'une assistance*socio=et de la Banque*socio=ac, soit en recourant à des méthodes*socio=rien impliquant des structures*socio=ec institutionnelles*socio=ac plus diffuses, une spécialisation*socio=uv des efforts*socio=uv et des ressources*socio=ec et une assistance_technique*socio=et étendue. La Banque*socio=ac entreprend actuellement des *socio=rien études sur les*socio=nil effets *socio=nil et les coûts*socio=ec marginaux*socio=rien de l'assistance*socio=et à la petite*socio=rien entreprise*socio=ac, sur*socio=rien la manière*socio=rien dont cette assistance*socio=et devrait être*socio=rien organisée pour avoir beaucoup d'impact*socio=rien , et sur*socio=rien l'importance*socio=rien de la contribution*socio=uv de ce secteur*socio=ec à la croissance*socio=uv dans les pays_en_développement*socio=ac. Des études*socio=rien ont été*socio=rien entreprises*socio=ac aussi au sujet*socio=rien d'une autre question*socio=rien qui aura de l'importance*socio=rien dans l'aide*socio=uv future*socio=rien de la Banque*socio=ac aux SFD*socio=ac: il s'agit de l'effet*socio=rien qu'auront sur*socio=rien l'emploi*socio=ec les prêts*socio=ec accordés par les SFD*socio=ac aux grandes*socio=rien entreprises*socio=ac aussi bien*socio=rien qu'aux petites*socio=rien . Ces études*socio=rien n'ont guère abouti à des *socio=rien conclusions fermes *socio=nil - les effets*socio=rien indirects sur*socio=rien l'emploi*socio=ec sont souvent difficiles*socio=rien à évaluer, et parfois ils vont à l'encontre*socio=rien des *socio=rien effets directs *socio=nil - ce qui a amené la Banque*socio=ac à considérer qu'il n'y a pas encore d'indicateur*socio=rien simple*socio=rien , axé essentiellement sur*socio=rien l'emploi*socio=ec, qui puisse guider les SFD*socio=ac dans leur choix*socio=uv de projets*socio=rien industriels*socio=ac. La Banque*socio=ac n'en considère pas moins que, pour contribuer d'une manière*socio=rien pragmatique*socio=uv à la création_d'_emplois*socio=ec par les prêts*socio=ec des SFD*socio=ac, il faut: a) faire en sorte*socio=rien que la détermination*socio=rien des prix*socio=ec des facteurs*socio=rien , dans les analyses*socio=rien de *socio=ec rentabilité économique *socio=nil effectuées par les SFD*socio=ac, prenne bien*socio=rien en considération*socio=rien l'aspect*socio=rien "emploi*socio=ec" en donnant à la main-d'_oeuvre*socio=ac, au capital*socio=ec et aux devises*socio=ec leurs valeurs*socio=ec appropriées dans le contexte*socio=rien de la situation*socio=uv d'offre*socio=rien et de pénurie*socio=ec qui caractérise l'économie*socio=ec; b) veiller à ce que les SFD*socio=ac évaluent les avantages*socio=rien de technologies*socio=ec ou de *socio=rien conceptions différentes,*socio=nil *socio=nil lorsqu'il existe plusieurs options*socio=rien , afin d'améliorer l'impact*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien projet sur l'*socio=nil emploi*socio=ec;*socio=nil *socio=nil et c) appuyer, dans les pays*socio=ac qui empruntent, les études*socio=rien visant à mieux adapter*socio=rien les techniques*socio=rien aux conditions*socio=uv locales*socio=rien . La Banque*socio=ac a également constaté que, si les SFD*socio=ac prélèvent sur*socio=rien les prêts*socio=ec qu'elles accordent à leur tour*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec trop peu élevés*socio=rien , cela réduit habituellement le montant*socio=ec de leurs ressources*socio=ec, et il peut arriver souvent que les fonds*socio=ec limités qui sont disponibles*socio=rien aillent de préférence*socio=uv à des sous emprunteurs*socio=ac "sûrs*socio=rien ", au détriment*socio=rien d'entreprises*socio=ac qui comportent des risques*socio=uv mais qui peuvent, en fait*socio=rien , avoir un*socio=rien plus *socio=rien grand impact sur le*socio=nil développement*socio=uv.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil considère en général*socio=rien que les emprunteurs*socio=ac de fonds*socio=ec des SFD*socio=ac devraient *socio=rien payer un taux_d'_intérêt*socio=ec positif*socio=uv *socio=nil (en *socio=rien termes réels)*socio=nil *socio=nil qui soit en rapport*socio=rien avec le coût*socio=ec des capitaux*socio=ec dans le pays*socio=ac. De tels taux*socio=rien facilitent la mobilisation*socio=uv des capitaux*socio=ec et leur bonne*socio=rien répartition*socio=uv. Ils permettent aussi aux SFD*socio=ac de se procurer des recettes*socio=ec adéquates*socio=uv, ce qui les aide*socio=uv à attirer des capitaux*socio=ec de participation*socio=uv et à supporter le coût*socio=ec et les risques*socio=uv d'un*socio=rien rôle*socio=rien promotionnel actif*socio=rien . En *socio=rien dernière analyse,*socio=nil *socio=nil toutefois, la politique*socio=et à suivre en matière*socio=rien de taux_d'_intérêt*socio=ec doit être*socio=rien évaluée en fonction*socio=rien de la stratégie*socio=et financière*socio=ec globale*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac et au regard*socio=rien des *socio=rien grands objectifs *socio=nil que la Banque*socio=ac s'est*socio=rien fixés pour l'octroi*socio=rien de prêts*socio=ec par l'intermédiaire*socio=rien des SFD*socio=ac dans le pays*socio=ac. Planification*socio=et démographique*socio=rien . Il est*socio=rien reconnu depuis quelque temps*socio=rien que des *socio=rien taux élevés d'*socio=nil accroissement*socio=ec *socio=nil de la population*socio=ac contrebalancent partiellement ou, dans certains cas*socio=rien même, annulent complètement les efforts*socio=uv de développement*socio=uv déployés par de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac. Au cours*socio=rien de la *socio=rien dernière décennie,*socio=nil aucun*socio=nil moyen vraiment efficace*socio=uv *socio=nil et uniformément applicable*socio=rien n'a été*socio=rien mis au point*socio=rien pour permettre aux pays_en_développement*socio=ac surpeuplés de résoudre les problèmes*socio=uv liés à l'accroissement*socio=ec de la population*socio=ac. Les discussions*socio=rien se poursuivent au sujet*socio=rien de l'efficacité*socio=uv relative*socio=rien de divers programmes*socio=et, stratégies*socio=et et politiques*socio=et visant à réduire la fécondité*socio=et. A la fin*socio=rien des années*socio=rien soixante, la Banque*socio=ac s'est*socio=rien dotée d'un*socio=rien personnel*socio=rien compétent*socio=uv pour aider ses pays_membres*socio=ac en développement*socio=uv à résoudre leurs problèmes*socio=uv démographiques*socio=rien . Depuis 1970, la Banque*socio=ac a aidé à financer 12 projets*socio=rien portant sur*socio=rien la population*socio=ac; ces projets*socio=rien en sont à des stades*socio=te différents*socio=rien de mise en oeuvre*socio=rien , et aucun n'a encore été*socio=rien achevé. La plupart*socio=rien de ces projets*socio=rien sont à la *socio=rien fois exhaustifs *socio=nil et à long_terme*socio=ec. Ces projets*socio=rien , si d'autres organismes*socio=ac n'apportent pas une aide*socio=uv, portent sur*socio=rien toute une gamme*socio=rien d'activités*socio=rien qui sont des éléments*socio=rien indispensables*socio=uv d'un*socio=rien programme*socio=et démographique*socio=rien efficace*socio=uv. A la différence*socio=rien de beaucoup d'autres organismes*socio=ac, la Banque*socio=ac n'apporte pas de fonds*socio=ec pour un*socio=rien programme*socio=et qui serait limité à "la seule*socio=rien formation*socio=et" ni pour *socio=rien un projet *socio=nil de "recherche*socio=ec seulement" ni encore pour la création*socio=rien d'une *socio=rien seule clinique *socio=nil ou d'un*socio=rien *socio=rien seul centre de*socio=nil formation*socio=et.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil veut aider à mettre au point*socio=rien des programmes*socio=et efficaces*socio=uv à l'échelon*socio=rien national*socio=te. Les projets*socio=rien bénéficiant d'une aide*socio=uv de la Banque*socio=ac peuvent, lors*socio=rien de leur exécution*socio=rien , nécessiter la participation*socio=uv de plusieurs entités*socio=rien , à savoir*socio=rien , non Seulement le conseil*socio=rien national*socio=te de planification*socio=et de la famille*socio=uv (là où il existe) et le ministère*socio=ac de la *socio=et Santé publique,*socio=nil *socio=nil mais aussi les ministères*socio=ac de l'Éducation*socio=et, du*socio=rien bien-être_social*socio=et, de l'Information*socio=rien et de l'Agriculture*socio=ec. Il se peut aussi que l'on doive avoir recours*socio=rien à des organisations_non_gouvernementales*socio=ac. Ces organismes*socio=ac sont à ce *socio=rien point multiples *socio=nil qu'il *socio=rien est nécessaire d'*socio=nil obtenir du gouvernement*socio=ac *socio=nil qu'il crée *socio=rien un mécanisme de*socio=nil coordination*socio=uv *socio=nil et d'exécution*socio=rien approprié, qui aura pour objet*socio=rien de centraliser les entités*socio=rien responsables*socio=uv de l'exécution*socio=rien *socio=rien du projet.*socio=nil L'*socio=nil optique *socio=nil adoptée par la Banque*socio=ac pour organiser ses activités*socio=rien dans le *socio=rien domaine démographique *socio=nil a évolué et s'est*socio=rien élargie au cours*socio=rien des six *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil mais les *socio=rien questions fondamentales *socio=nil concernant la *socio=rien meilleure manière *socio=nil d'aider le monde_en_développement*socio=te à surmonter les problèmes*socio=uv démographiques*socio=rien offrent encore matière*socio=rien à discussion*socio=rien . En décembre*socio=rien 1975, la Banque*socio=ac a constitué un*socio=rien groupe*socio=ac consultatif*socio=uv externe*socio=rien chargé d'examiner ces questions*socio=rien sous *socio=rien un angle nouveau,*socio=nil compte *socio=nil tenu de l'expérience*socio=uv acquise*socio=rien par la Banque*socio=ac et de l'évolution*socio=rien récente*socio=rien de la population*socio=ac mondiale*socio=te. Ce groupe*socio=ac, composé de *socio=rien cinq membres est *socio=nil présidé par Bernard Berelson, Président*socio=rien honoraire du*socio=rien conseil_de_la_population*socio=ac. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1976 ce groupe*socio=ac a examiné la stratégie*socio=et, la politique*socio=et et les programmes*socio=et appliqués par la Banque*socio=ac dans le *socio=rien domaine démographique,*socio=nil *socio=nil afin de déterminer quelles *socio=rien mesures complémentaires la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil pourrait prendre pour utiliser ses ressources*socio=ec d'une manière*socio=rien plus efficace*socio=uv. Ce faisant il s'est*socio=rien intéressé, entre autres choses*socio=rien , au rôle*socio=rien de la Banque*socio=ac dans la communauté*socio=ac internationale*socio=te et à ses relations*socio=rien avec les autres institutions*socio=ac, à ses possibilités*socio=rien globales*socio=te Sur*socio=rien le plan*socio=rien de l'analyse*socio=rien et de la programmation*socio=rien , aux qualités*socio=rien et aux faiblesses*socio=rien de sa *socio=rien façon traditionnelle *socio=nil d'envisager les projets*socio=rien , ainsi qu'aux conditions*socio=uv politiques*socio=et et socioéconomiques*socio=ec et aux *socio=rien possibilités opérationnelles existant *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=ac. Ce groupe*socio=ac fonctionnera pendant environ trois ans*socio=rien la *socio=rien tâche principale *socio=nil qui lui est*socio=rien confiée dans l'immédiat*socio=rien est*socio=rien de publier *socio=rien un premier rapport portant*socio=nil sur ces*socio=nil questions.*socio=nil Le*socio=nil groupe*socio=ac s'*socio=nil est *socio=nil réuni trois fois*socio=rien pendant l'exercice*socio=rien 1976. De même il a tenu une réunion*socio=rien de deux jours*socio=rien pour organiser ses travaux*socio=rien ; cela a été*socio=rien suivi de trois à quatre mois*socio=rien de travaux*socio=rien à temps_partiel*socio=ec qui ont consisté à envoyer des enquêteurs dans quatre pays*socio=ac où la Banque*socio=ac avait accordé des fonds*socio=ec pour l'exécution*socio=rien de *socio=rien projets démographiques.*socio=nil Le*socio=nil groupe*socio=ac s'*socio=nil est *socio=nil aussi entretenu avec *socio=rien du personnel *socio=nil et des emprunteurs*socio=ac de la Banque*socio=ac, ainsi qu'avec d'autres donateurs*socio=ac s'intéressant*socio=rien aux problèmes*socio=uv démographiques*socio=rien . On pense que le groupe*socio=ac pourra présenter son *socio=rien premier rapport au*socio=nil début *socio=nil de l'exercice*socio=rien 1977. Accroissement*socio=ec de l'efficacité*socio=uv. L'efficacité*socio=uv des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec de la Banque*socio=ac dépend pour beaucoup des mesures*socio=rien qu'elle prend, tant avant d'engager des fonds*socio=ec pour des projets*socio=rien , que par la suite*socio=rien , pour veiller à ce que ces fonds*socio=ec soient utilisés au *socio=rien moment opportun *socio=nil et à *socio=rien bon escient.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien 1976, la Banque*socio=ac a étudié les dispositions*socio=rien à prendre pour que ces mesures*socio=rien puissent favoriser, plus encore que dans le passé*socio=rien , le développement_économique*socio=ec de ses pays_membres*socio=ac. La préparation*socio=rien des *socio=rien projets est un élément essentiel*socio=uv *socio=nil de leur efficacité*socio=uv. Bien*socio=rien que l'on n'eût pas envisagé à l'origine*socio=rien une *socio=uv participation active *socio=nil de la Banque*socio=ac à la préparation*socio=rien des projets*socio=rien , les choses*socio=rien ont bien*socio=rien vite tourné autrement. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil notamment, la Banque*socio=ac a compté parmi ses membres*socio=rien davantage de pays*socio=ac pauvres*socio=uv et peu avancés qui n'ont qu'une compétence*socio=uv limitée en matière*socio=rien d'élaboration*socio=rien de projets*socio=rien , et par ailleurs*socio=rien il est*socio=rien devenu de plus en plus difficile*socio=rien de préparer et de mettre en oeuvre*socio=rien les *socio=rien nombreux projets "*socio=nil nouvelle formule"*socio=nil *socio=nil de la Banque*socio=ac portant sur*socio=rien la modification*socio=rien des institutions*socio=ac et de la politique*socio=et générale*socio=rien - en particulier*socio=uv dans les secteurs*socio=ec de l'agriculture*socio=ec, de l'éducation*socio=et, de la population*socio=ac, du*socio=rien tourisme*socio=ec et de l'aménagement*socio=rien urbain*socio=te. Bien*socio=rien que la Banque*socio=ac ait, comme d'autres, réagi devant*socio=rien cette évolution*socio=rien en créant *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil institutions*socio=ac *socio=nil et en mettant au *socio=rien point diverses techniques *socio=nil pour aider à élaborer les projets*socio=rien d'une *socio=rien manière satisfaisante,*socio=nil il*socio=nil est *socio=nil apparu à l'évidence*socio=rien que les *socio=rien nouveaux systèmes *socio=nil étaient dans certains cas*socio=rien déficients et que, pour faciliter la préparation*socio=rien des projets*socio=rien , il fallait des ressources*socio=ec supplémentaires*socio=rien , *socio=rien disponibles après quelques*socio=nil formalités administratives simples et*socio=nil souples*socio=uv.*socio=nil Deux*socio=nil activités,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=uv,*socio=nil avaient*socio=nil besoin*socio=uv d'*socio=nil être *socio=nil renforcées: a) certains *socio=rien petits travaux techniques distincts*socio=uv,*socio=nil *socio=nil spécifiés par la Banque*socio=ac et liés à des lacunes*socio=rien subsistant dans la préparation*socio=rien des projets*socio=rien (insuffisance*socio=rien des analyses*socio=rien économiques*socio=ec par exemple*socio=rien , ou *socio=rien caractéristiques inattendues du sol*socio=te)*socio=nil *socio=nil qu'il faut effectuer avant de pouvoir*socio=et procéder à l'évaluation*socio=uv, et b) *socio=rien appui supplémentaire *socio=nil à l'entité*socio=rien qui, dans le *socio=ac pays emprunteur,*socio=nil est*socio=rien *socio=nil chargée d'élaborer le projet*socio=rien ou de le mettre en oeuvre*socio=rien . Ce besoin*socio=uv se fait*socio=rien particulièrement sentir dans le cas*socio=rien des projets*socio=rien concernant l'éducation*socio=et, la population*socio=ac, l'aménagement*socio=rien des *socio=te zones rurales et*socio=nil urbaines,*socio=nil *socio=nil et pour d'autres projets*socio=rien "moins classiques*socio=rien " où les sociétés*socio=ac de consultants*socio=ac ne sont souvent pas en mesure*socio=rien de jouer, sur*socio=rien le plan*socio=rien de la mise en oeuvre*socio=rien , le rôle*socio=rien critique*socio=uv qu'elles jouent dans les secteurs*socio=ec traditionnels*socio=rien . Pour aider à remédier à ces déficiences*socio=rien , on a créé dans le courant*socio=rien de l'année*socio=rien un*socio=rien Fonds*socio=ec spécial*socio=rien pour la préparation*socio=rien des projets*socio=rien . En ouvrant un*socio=rien crédit*socio=ec de 5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à son intention*socio=rien , on est*socio=rien convenu que: a) il ne pourrait *socio=rien être fait appel *socio=nil à ce fonds*socio=ec que dans les cas*socio=rien où il n'y aurait pas d'autres possibilités*socio=rien de financer les activités*socio=rien en question*socio=rien ; b) le fonds*socio=ec interviendrait normalement dans les pays*socio=ac pauvres*socio=uv dont on ne peut raisonnablement attendre qu'ils financent les activités*socio=rien à l'aide*socio=uv de leurs propres*socio=rien ressources*socio=ec en attendant de pouvoir*socio=et rembourser le prêt*socio=ec ou le crédit*socio=ec éventuel*socio=rien ; c) en principe*socio=rien , il serait surtout *socio=rien fait appel *socio=nil à ce fonds*socio=ec dans les nouveaux*socio=rien secteurs*socio=ec et les *socio=rien nouvelles activités,*socio=nil *socio=nil notamment l'éducation*socio=et, la population*socio=ac et l'aménagement*socio=rien des *socio=te zones rurales et*socio=nil urbaines;*socio=nil *socio=nil et d) bien*socio=rien que le fonds*socio=ec doive servir essentiellement à couvrir des dépenses*socio=ec en devises*socio=ec, il y aurait aussi des cas*socio=rien où il serait indispensable*socio=uv d'assurer un*socio=rien financement*socio=ec en monnaie*socio=ec locale*socio=te pour atteindre les objectifs*socio=rien visés. Il a été*socio=rien convenu également que des avances pouvant aller jusqu'à 500,000 dollars*socio=ec seraient autorisées et que ce financement*socio=ec intérimaire*socio=rien n'obligerait pas la Banque*socio=ac à financer le projet*socio=rien par la suite*socio=rien . Les activités*socio=rien liées à la préparation*socio=rien des projets*socio=rien (avant l'accord*socio=et de prêt*socio=ec) et à leur supervision*socio=rien (après*socio=rien l'accord*socio=et de prêt*socio=ec) dépendent pour beaucoup du*socio=rien même facteur*socio=rien , à savoir*socio=rien la mesure*socio=rien dans laquelle l'emprunteur*socio=ac tient vraiment*socio=rien à atteindre les *socio=rien objectifs du projet.*socio=nil *socio=nil Pour qu'un*socio=rien projet*socio=rien soit couronné de succès*socio=uv, il est*socio=rien indispensable*socio=uv que l'emprunteur*socio=ac participe activement aussi bien*socio=rien à sa préparation*socio=rien qu'à sa supervision*socio=rien . En étudiant*socio=ac les moyens*socio=ec d'accroître l'efficacité*socio=uv *socio=rien du processus de*socio=nil contrôle*socio=uv,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a souligné que toute amélioration*socio=uv n'a de sens*socio=rien que si on la conçoit et si on la réalise en partant *socio=rien du principe *socio=nil que le projet*socio=rien considéré est*socio=rien le *socio=rien projet du pays*socio=ac *socio=nil lui-même, conçu pour atteindre les *socio=rien objectifs définis *socio=nil par le pays*socio=ac, et que le *socio=rien but final *socio=nil de la participation*socio=uv de la Banque*socio=ac est*socio=rien d'aider le pays*socio=ac en cause*socio=rien à accroître son aptitude*socio=rien à résoudre ses propres*socio=rien problèmes*socio=uv de développement*socio=uv. Le contrôle*socio=uv *socio=rien est un élément essentiel*socio=uv des*socio=nil activités *socio=nil de la Banque*socio=ac en matière*socio=rien de projets*socio=rien . Aucun projet*socio=rien n'a jamais été*socio=rien entièrement à l'abri des problèmes*socio=uv de mise en oeuvre*socio=rien . L'expansion*socio=ec *socio=rien récente du programme*socio=et de*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac a énormément accru l'ampleur*socio=rien de son effort*socio=uv de contrôle*socio=uv. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1976, la Banque*socio=ac a supervisé plus de 1000 projets*socio=rien , représentant*socio=rien des investissements*socio=ec totaux*socio=rien d'environ 50 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Cet effort*socio=uv de supervision*socio=rien a exigé plus de 200 homme-années de travail*socio=rien . D'ici à l'exercice*socio=rien 1980, le nombre*socio=rien des projets*socio=rien contrôlés aura peut-être doublé. Le *socio=ac pays emprunteur *socio=nil et la Banque*socio=ac ont l'un*socio=rien et l'autre beaucoup d'intérêt*socio=uv à ce qu'un*socio=rien projet*socio=rien soit couronné de succès*socio=uv. Mais la Banque*socio=ac se rend compte*socio=rien qu'il y a des possibilités*socio=rien d'améliorer l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec consacrées à la supervision*socio=rien des projets*socio=rien , et plusieurs mesures*socio=rien visant à parfaire ce travail*socio=rien de supervision*socio=rien sont maintenant soit à l'étude*socio=ac, soit en cours*socio=rien d'expérimentation*socio=rien . Certaines*socio=rien de ces mesures*socio=rien nécessitent une parfaite*socio=rien mise au *socio=rien point du processus de*socio=nil supervision:*socio=nil *socio=nil il faut aider l'emprunteur*socio=ac à améliorer ses méthodes*socio=rien d'établissement*socio=rien de rapports*socio=rien , il faut modifier légèrement la composition*socio=rien des missions de contrôle*socio=uv pour rendre possible*socio=rien une analyse*socio=rien plus complète des problèmes*socio=uv liés à la structure*socio=ec institutionnelle*socio=ac et des avantages*socio=rien à retirer *socio=rien du projet,*socio=nil *socio=nil il faut accroître le rôle*socio=rien de certaines*socio=rien missions permanentes, et il faut améliorer la diffusion*socio=rien des données d'expérience*socio=uv accumulées. D'autres mesures*socio=rien ont une portée*socio=rien plus large*socio=rien . Par exemple*socio=rien la Banque*socio=ac envisage, dans certains cas*socio=rien , de s'occuper en bloc*socio=rien de tous les projets*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac donné, car l'on a constaté qu'une *socio=rien grande partie des*socio=nil principaux facteurs de*socio=nil nature *socio=nil à influencer la mise en oeuvre*socio=rien des projets*socio=rien peuvent, à l'occasion*socio=rien , s'appliquer à tous les projets*socio=rien . C'est*socio=rien ainsi que les difficultés*socio=rien financières*socio=ec peuvent, dans une *socio=rien grande mesure *socio=nil et tout au moins à court_terme*socio=ec, s'expliquer dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien par des considérations*socio=uv de politique*socio=et nationale*socio=te qui ne relèvent pas de tel organisme*socio=ac ou de tel projet*socio=rien particulier*socio=uv. De même, une *socio=rien grande partie des*socio=nil problèmes*socio=uv *socio=nil dits de gestion*socio=et peuvent être*socio=rien communs*socio=uv à l'ensemble*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac. Ces problèmes*socio=uv d'ampleur*socio=rien nationale*socio=te pourraient être*socio=rien abordés par des missions spéciales*socio=rien composées de spécialistes*socio=ac des problèmes*socio=uv macroéconomiques*socio=ec ou institutionnels*socio=ac, tandis que les missions chargées de superviser des projets*socio=rien individuels*socio=ac Pourraient s'intéresser essentiellement aux problèmes*socio=uv concernant uniquement*socio=rien le projet*socio=rien en question*socio=rien . En bref*socio=rien , la stratégie*socio=et à suivre en la matière*socio=rien dans le pays*socio=ac intéressé consisterait à organiser plusieurs types de missions de contrôle*socio=uv, en fonction*socio=rien des types de problèmes*socio=uv à résoudre. D'importants*socio=rien changements*socio=uv ont été*socio=rien apportés aussi à la structure*socio=ec des rapports*socio=rien économiques*socio=ec de la Banque*socio=ac - qui constituent la *socio=rien base analytique *socio=nil de ses activités*socio=rien - pour que l'attention*socio=rien soit plus étroitement concentrée sur*socio=rien les besoins*socio=uv opérationnels*socio=rien . Ces changements*socio=uv laisseront davantage de temps*socio=rien et de latitude*socio=rien aux économistes*socio=ac régionaux*socio=te de la Banque*socio=ac pour procéder à l'analyse*socio=rien technique*socio=rien des questions*socio=rien particulières*socio=uv de politique*socio=et *socio=rien générale intéressant un pays_membre*socio=ac *socio=nil ou relevant de la stratégie*socio=et suivie par la Banque*socio=ac en matière*socio=rien de prêts*socio=ec. L'ancien*socio=rien système*socio=rien d'enquêtes économiques*socio=ec et indépendantes*socio=rien approfondies faites périodiquement a été*socio=rien remplacé par *socio=rien un système double,*socio=nil *socio=nil comprenant de *socio=rien brefs documents *socio=nil de mise à jour*socio=rien - le Mémoire économique*socio=ec par pays*socio=ac - et un*socio=rien Programme*socio=et de travaux*socio=rien économiques*socio=ec de base*socio=rien , constitué par une série de rapports*socio=rien économiques*socio=ec spéciaux*socio=rien ou d'études_sectorielles*socio=ec qui aboutissent à l'établissement*socio=rien , tous les cinq*socio=rien ou six ans*socio=rien , d'un*socio=rien Rapport*socio=rien économique*socio=ec de base*socio=rien . Au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée on a élaboré, en plus des 52 rapports*socio=rien succincts de mise à jour*socio=rien et des six Rapports*socio=rien économiques*socio=ec de base*socio=rien , 31 "rapports*socio=rien spéciaux*socio=rien " dont plusieurs portaient sur*socio=rien les aspects*socio=rien spatiaux du*socio=rien développement*socio=uv - domaine*socio=rien relativement nouveau*socio=rien pour la Banque*socio=ac, qui s'insère bien*socio=rien dans le cadre*socio=rien de l'effort*socio=uv consacré aux relations*socio=rien entre *socio=te zones rurales et*socio=nil zones urbaines *socio=nil et des tentatives*socio=rien faites pour toucher les couches*socio=ac pauvres*socio=uv de la population*socio=ac urbaine*socio=te. Parmi les autres *socio=rien grands sujets traités *socio=nil dans ces "rapports*socio=rien spéciaux*socio=rien " il faut citer l'emploi*socio=ec, la répartition*socio=uv des revenus*socio=ec, la planification*socio=et et la gestion*socio=et financière*socio=ec. Une attention*socio=rien particulière*socio=uv a été*socio=rien accordée aussi au rôle*socio=rien joué par le service*socio=rien de l'Évaluation*socio=uv des opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac qui *socio=rien fait rapport sur l'*socio=nil efficacité*socio=uv du système d'*socio=nil évaluation*socio=uv des*socio=nil opérations *socio=nil et procède à des *socio=rien études sélectives indépendantes portant*socio=nil sur ses*socio=nil opérations et*socio=nil activités.*socio=nil La*socio=nil section "*socio=nil Évaluation*socio=uv des*socio=nil opérations"*socio=nil du chapitre *socio=nil "Autres activités*socio=rien " donne de plus *socio=rien amples détails sur l'*socio=nil examen du rôle *socio=nil joué parce service*socio=rien . assistance_technique*socio=et. assistance_technique*socio=et. L'octroi*socio=rien d'une assistance_technique*socio=et aux pays_membres*socio=ac est*socio=rien désormais l'une des *socio=rien principales activités *socio=nil de la Banque*socio=ac. Nombreux*socio=rien sont les emprunteurs*socio=ac de la Banque*socio=ac qui s'adressent à la Banque*socio=ac pour qu'elle les aide*socio=uv à identifier, préparer, concevoir et exécuter des projets*socio=rien et à renforcer les institutions*socio=ac nationales*socio=te responsables*socio=uv du*socio=rien développement_économique*socio=ec. La Banque*socio=ac est*socio=rien amenée à fournir une assistance_technique*socio=et considérable*socio=rien dans le cadre*socio=rien de l'analyse*socio=rien économique*socio=ec des secteurs*socio=ec et des projets*socio=rien qui relève*socio=ac *socio=rien du cours normal *socio=nil de ses opérations*socio=rien . En outre, les prêts*socio=ec et crédits*socio=ec accordés au titre*socio=rien des projets*socio=rien peuvent inclure des crédits*socio=ec à affecter à des études*socio=rien de justification*socio=rien économique*socio=ec, des inventaires*socio=rien des ressources*socio=ec, des services*socio=ec de consultants*socio=ac en matière*socio=rien de gestion*socio=et et de planification*socio=et et à la formation*socio=et. Pendant l'exercice*socio=rien , 152 opérations*socio=rien de prêt*socio=ec ont comporté *socio=rien un élément *socio=nil identifiable d'assistance_technique*socio=et, d'une valeur*socio=ec totale*socio=rien de quelque 218 millions*socio=rien , contre 139 opérations*socio=rien d'une valeur*socio=ec totale*socio=rien de 160 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pendant l'exercice*socio=rien financier*socio=ec 1975; par *socio=rien ailleurs un certain nombre de*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil et de crédits*socio=ec ont été*socio=rien accordés exclusivement pour le financement*socio=ec de l'assistance_technique*socio=et. *socio=rien Bon nombre *socio=nil de ces opérations*socio=rien sont décrites dans les *socio=rien sections du Rapport Annuel *socio=nil qui traite des différentes*socio=rien régions*socio=te. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien , quelques *socio=ac pays_en_développement exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec *socio=nil qui ne sont pas actuellement des emprunteurs*socio=ac de la Banque*socio=ac ont obtenu une assistance_technique*socio=et remboursable*socio=ec. Cette assistance*socio=et - pour laquelle la Banque*socio=ac a fourni spécialement des services*socio=ec de consultants*socio=ac et dans *socio=rien un petit nombre de*socio=nil cas,*socio=nil *socio=nil a détaché *socio=rien du personnel *socio=nil dans des institutions*socio=ac régionales*socio=te et nationales*socio=te - a eu essentiellement pour objet*socio=rien d'aider les pays*socio=ac en cause*socio=rien à prendre les décisions*socio=rien d'investissements*socio=ec qu'ils envisageaient dans les domaines*socio=rien de l'industrie*socio=ec, de l'éducation*socio=et, de l'agriculture*socio=ec et de la planification*socio=et de l'emploi*socio=ec. Cette aide*socio=uv a *socio=rien été analogue aux*socio=nil services*socio=ec *socio=nil que la Banque*socio=ac fournit à ses emprunteurs*socio=ac au cours*socio=rien de ses opérations*socio=rien de prêt*socio=ec. Pendant l'exercice*socio=rien , la Banque*socio=ac a accordé à la République_arabe_du_yémen*socio=ac, l'un*socio=rien des pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv du*socio=rien monde*socio=te, un*socio=rien don*socio=ec de 120 000 dollars*socio=ec au titre*socio=rien de l'assistance*socio=et à la planification*socio=et économique*socio=ec; il s'agit *socio=rien du troisième don*socio=ec *socio=nil accordé à ce pays*socio=ac à cette fin*socio=rien . La Banque*socio=ac n'accorde de dons*socio=ec pour l'assistance_technique*socio=et que dans de *socio=rien rares cas,*socio=nil *socio=nil et encore les montants*socio=rien en sont-ils limités. Elle incite les gouvernements*socio=ac membres*socio=rien qui cherchent à obtenir*socio=rien des dons*socio=ec à s'adresser à d'autres organismes*socio=ac, en particulier*socio=uv au programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac (PNUD*socio=ac), qui, à l'intérieur*socio=rien *socio=rien du système des*socio=nil nations_unies*socio=ac,*socio=nil *socio=nil constitue la *socio=rien principale source de*socio=nil dons*socio=ec *socio=nil au litre de l' assistance_technique*socio=et. Avant d'envisager d'accorder son aide_financière*socio=et, que ce soit sous forme*socio=rien de dons*socio=ec ou sous forme*socio=rien de prêts*socio=ec, la Banque*socio=ac étudie les possibilités*socio=rien de recours*socio=rien au financement*socio=ec du*socio=rien PNUD*socio=ac. Souvent la Banque*socio=ac *socio=rien fait office d'*socio=nil agent*socio=ac d'*socio=nil exécution *socio=nil pour les projets*socio=rien financés par le PNUD*socio=ac. Pendant l'exercice*socio=rien , le PNUD*socio=ac s'est*socio=rien trouvé dans une situation*socio=uv financière*socio=ec temporaire*socio=rien qui eût nécessité*socio=uv une forte*socio=rien réduction*socio=uv de l'assistance*socio=et qu'il apporte à de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac. Afin d'aider à maintenir l'exécution*socio=rien de *socio=rien nombreux projets de*socio=nil pré-investissement*socio=ec *socio=nil et d'assistance_technique*socio=et du*socio=rien PNUD*socio=ac, qui ont une importance*socio=rien , parfois cruciale*socio=rien pour les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac, celle-ci a accepté de différer les demandes*socio=uv de fonds*socio=ec auprès du*socio=rien PNUD*socio=ac qui lui sont nécessaires*socio=rien pour couvrir, jusqu'à concurrence*socio=ec de 15 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, les décaissements*socio=ec qu'elle doit faire en tant qu'agent*socio=ac d'exécution*socio=rien ; le PNUD*socio=ac s'est*socio=rien engagé à payer*socio=rien les montants*socio=rien différés en 1977. Pendant l'exercice*socio=rien , la Banque*socio=ac a accepté de servir d'agent*socio=ac d'exécution*socio=rien pour 29 *socio=rien projets nouveaux *socio=nil auxquels le PNUD*socio=ac a affecté 15,9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Il s'est*socio=rien agi notamment d'une étude*socio=ac de justification*socio=rien économique*socio=ec et de l'étude*socio=ac technique*socio=rien d'un*socio=rien projet*socio=rien de production*socio=ec d'énergie*socio=ec électrique*socio=rien au Népal*socio=ac qui coûtera 3 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, grâce*socio=rien auquel le pays*socio=ac pourra couvrir ses besoins*socio=uv en énergie*socio=ec et renoncer à l'importation*socio=ec d'autres sources*socio=rien d'énergie*socio=ec, principalement le pétrole*socio=ec; d'un*socio=rien projet*socio=rien d'assistance*socio=et au pré-investissement*socio=ec, d'une durée*socio=rien de 3 ans*socio=rien et d'un*socio=rien montant*socio=ec de 2,5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec qui aidera le gouvernement*socio=ac de la Birmanie*socio=ac pour l'identification*socio=rien de projets*socio=rien d'investissement*socio=ec prioritaires*socio=uv, pour l'exécution*socio=rien d'études*socio=rien de justification*socio=rien économique*socio=ec et d'études_techniques*socio=ec nécessaires*socio=rien et pour la préparation*socio=rien de projets*socio=rien , d'un*socio=rien projet*socio=rien d'aménagement*socio=rien *socio=rien du Bassin *socio=nil de l'Indus, d'une durée*socio=rien de 3 ans*socio=rien et d'un*socio=rien montant*socio=ec de 3 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, qui tend à améliorer la capacité*socio=rien de la Direction*socio=rien de la mise en valeur*socio=ec des ressources*socio=ec hydrauliques et énergétiques*socio=ec du*socio=rien Pakistan*socio=ac, grâce*socio=rien à des stages*socio=ec de formation*socio=et *socio=rien du personnel en*socio=nil cours d'*socio=nil emploi*socio=ec;*socio=nil *socio=nil et enfin d'une étude*socio=ac du*socio=rien secteur*socio=ec de l'énergie*socio=ec en Égypte*socio=ac. Dans un*socio=rien secteur*socio=ec traditionnel*socio=uv, les transports*socio=ec, le PNUD*socio=ac a affecté environ 1,5 million*socio=rien de dollars*socio=ec à l'exécution*socio=rien d'études*socio=rien au Ghana*socio=ac, en Guyane*socio=ac, au Mali*socio=ac, au Népal*socio=ac et en Uruguay*socio=ac. Des projets*socio=rien , pour lesquels les affectations globales*socio=rien de crédits*socio=ec sont de l'ordre*socio=rien de quelque 2,9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ont été*socio=rien exécutés entre autres dans les secteurs*socio=ec de l'agriculture*socio=ec (125,000 dollars*socio=ec); de l'industrie*socio=ec (927,000 dollars*socio=ec); des services_publics*socio=et (997,000 dollars*socio=ec); du*socio=rien tourisme*socio=ec (72,000 dollars*socio=ec); et de l'éducation*socio=et (225,000 dollars*socio=ec). Pour de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac, l'amélioration*socio=uv des organismes*socio=ac de planification*socio=et *socio=rien reste un impératif*socio=uv prioritaire.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac,*socio=nil *socio=nil opérant en qualité*socio=rien d'agent*socio=ac d'exécution*socio=rien , a mené à terme*socio=rien deux projets*socio=rien de planification*socio=et, l'un*socio=rien en Éthiopie*socio=ac et l'autre en Jordanie*socio=ac, et elle en a entrepris deux autres, en Corée*socio=ac et aux Philippines*socio=ac. Cinq*socio=rien autres projets*socio=rien sont en cours*socio=rien de réalisation*socio=uv, en Indonésie*socio=ac, au Liberia*socio=ac, au Souaziland, au Soudan*socio=ac et au Zaïre*socio=ac. Les projets*socio=rien de planification*socio=et comportent normalement les services*socio=ec de conseillers*socio=ac à long_terme*socio=ec et de consultants*socio=ac à court_terme*socio=ec, ainsi que toute une série de programmes*socio=et de formation*socio=et et de bourses*socio=rien . Les opérations*socio=rien effectuées antérieurement grâce*socio=rien au financement*socio=ec du*socio=rien PNUD*socio=ac ont amené la Banque*socio=ac à financer des projets*socio=rien pour un*socio=rien montant*socio=ec estimé à 1,4 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien . Le total*socio=rien cumulé de tels investissements*socio=ec a ainsi atteint 5,4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. institut_de_développement_économique*socio=ac. Depuis que l'institut_de_développement_économique*socio=ac (IDE*socio=ac) a été*socio=rien créé il y a 20 ans*socio=rien , presque 5000 participants*socio=ac ont suivi les cours*socio=rien qu'il a organisés à Washington*socio=ac et outre-mer*socio=ac; sur*socio=rien ce nombre*socio=rien , rien*socio=rien moins que 852 participants*socio=ac, soit 17% au total*socio=rien , ont suivi les cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien écoulé. Le programme*socio=et de formation*socio=et hors-siège en constitue désormais l'élément*socio=rien principal*socio=rien : en effet*socio=rien les étudiants*socio=ac qui suivent les cours*socio=rien organisés hors-siège à l'initiative*socio=rien ou avec l'appui*socio=rien de l'IDE*socio=ac sont presque deux fois*socio=rien plus nombreux*socio=rien qu'à Washington*socio=ac (562 pour 20 cours*socio=rien hors-siège, contre 290 pour 11 cours*socio=rien à Washington*socio=ac). Cette augmentation*socio=uv *socio=rien du nombre des*socio=nil cours hors-siège*socio=nil fait suite aux*socio=nil recommandations *socio=nil que les Administrateurs*socio=ac ont formulées en 1974 lorsqu'ils ont examiné les politiques*socio=et de l'Institut*socio=et. Outre les cours*socio=rien d'analyse*socio=rien de projets*socio=rien qui ont été*socio=rien organisés à nouveau*socio=rien en 1976, pour différents*socio=rien secteurs*socio=ec - développement*socio=uv rural*socio=te, agro-industrie, agriculture*socio=ec, financement*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv, adduction d'eau*socio=ec et évacuation*socio=rien des eaux*socio=et usées, transports*socio=ec et croissance*socio=uv urbaine*socio=te - l'IDE*socio=ac a ajouté à son programme*socio=et de Washington*socio=ac, deux *socio=rien nouveaux cours *socio=nil qui portent l'un*socio=rien sur*socio=rien le crédit*socio=ec rural*socio=te et l'autre sur*socio=rien la préparation*socio=rien , l'évaluation*socio=uv et la gestion*socio=et des *socio=rien projets routiers.*socio=nil *socio=nil De même que les *socio=rien années précédentes,*socio=nil un cours sur la*socio=nil gestion*socio=et *socio=nil de l'économie*socio=ec nationale*socio=te a été*socio=rien donné à l'Institut*socio=et. Sur*socio=rien les 20 cours*socio=rien organisés hors-siège pendant l'exercice*socio=rien , il y a eu 7 cours*socio=rien régionaux*socio=te ouverts*socio=rien aux ressortissants*socio=ac d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil De même que pendant les *socio=rien exercices précédents,*socio=nil l'*socio=nil IDE*socio=ac s'*socio=nil est associé *socio=nil à la banque_africaine_de_développement*socio=ac, à la Commission*socio=ac économique*socio=ec pour l'Afrique*socio=ac et à l' Institut_africain_pour_le_développement_et_la_planification_éconique*socio=ac, en vue*socio=rien d'organiser en Côte-d'Ivoire*socio=ac *socio=rien un cours sur les*socio=nil projets agricoles*socio=ec et*socio=nil agro-industriels*socio=ec *socio=nil à l'intention*socio=rien de *socio=ac participants africains francophones.*socio=nil L'*socio=nil IDE *socio=nil et le Centre*socio=rien de planification*socio=et du*socio=rien développement*socio=uv du*socio=rien ministère*socio=ac brésilien de la Planification*socio=et ont poursuivi leur programme*socio=et commun*socio=uv de cours*socio=rien à l'intention*socio=rien des pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac et, comme chaque année*socio=rien , ont organisé deux cours*socio=rien , l'un*socio=rien sur*socio=rien les projets*socio=rien agro-industriels*socio=ec et l'autre sur*socio=rien les projets*socio=rien de transport*socio=ec. L'IDE*socio=ac et l' *socio=ac Institut_arabe_pour_le développement_économique *socio=nil ont mis en route*socio=rien de concert*socio=uv *socio=rien un deuxième cours *socio=nil à l'intention*socio=rien des pays*socio=ac du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac, qui a porté cette *socio=rien année sur les*socio=nil projets_de_développement*socio=et agricole*socio=ec.*socio=nil Au*socio=nil Pérou*socio=ac,*socio=nil l'*socio=nil IDE*socio=ac *socio=nil et l'Escuela de Administraciôn de Negocios para Graduados ont organisé conjointement *socio=rien un cours en*socio=nil langue espagnole sur les*socio=nil projets industriels*socio=ac *socio=nil pour les pays*socio=ac du*socio=rien Pacte*socio=uv andin. *socio=rien Un cours général sur les*socio=nil projets a*socio=nil été *socio=nil donné à l'intention*socio=rien des pays*socio=ac de l'Asie_du_sud-est*socio=ac au Centre*socio=rien de formation*socio=et *socio=rien du personnel *socio=nil de la Banque*socio=ac Negara de Malaisie*socio=ac, en collaboration*socio=uv avec les gouvernements*socio=ac de la Conférence*socio=rien des gouverneurs*socio=ac de banques_centrales*socio=ac de l'Asie_du_sud-est*socio=ac. Toujours en Malaisie*socio=ac, l'IDE*socio=ac a apporté son concours à l'organisation*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien cours sur les*socio=nil projets_de_développement*socio=et *socio=nil agro-industriel donné sur*socio=rien l'initiative*socio=rien de l'institut*socio=et de recherche*socio=ec pour les sciences*socio=ec de la gestion*socio=et de Delft, Pays-bas*socio=ac, et de l'Institut*socio=et national*socio=te d'administration_publique*socio=et de Kuala Lumpur. Pendant l'exercice*socio=rien financier*socio=ec 1976, treize cours*socio=rien nationaux*socio=te, réservés aux ressortissants*socio=ac d'un*socio=rien même pays*socio=ac ont été*socio=rien organisés hors siège*socio=rien . Au Pakistan*socio=ac, l'IDE*socio=ac et la Division*socio=rien de la planification*socio=et du*socio=rien ministère*socio=ac des Finances*socio=ec, de la Planification*socio=et et du*socio=rien Développement*socio=uv, ont organisé de concert*socio=uv *socio=rien un cours sur les*socio=nil projets agricoles*socio=ec *socio=nil à l'Académie pakistanaise pour le développement*socio=uv rural*socio=te. Deux cours*socio=rien , qui ont porté sur*socio=rien les projets*socio=rien industriels*socio=ac et les projets*socio=rien de transport*socio=ec respectivement, ont été*socio=rien donnés en Roumanie*socio=ac avec le concours *socio=rien du Centre de*socio=nil formation*socio=et des*socio=nil cadres dirigeants*socio=ac *socio=nil de la Roumanie*socio=ac. L'IDE*socio=ac a aidé le Centre*socio=rien de développement_international*socio=et du*socio=rien Japon*socio=ac en détachant *socio=rien du personnel enseignant*socio=ac *socio=nil et apportant la *socio=rien documentation nécessaire *socio=nil pour son *socio=rien cours sur l'*socio=nil économie*socio=ec du développement*socio=uv.*socio=nil En*socio=nil collaboration*socio=uv *socio=nil avec l'Institut*socio=et d'étude*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv du*socio=rien Bangladesh*socio=ac, il a organisé le troisième*socio=rien d'une série annuelle*socio=rien de *socio=rien cours sur les*socio=nil projets agricoles*socio=ec *socio=nil donnés au Bangladesh*socio=ac. Le programme*socio=et indonésien*socio=te de planification*socio=et nationale*socio=te a organisé à Bahasa, Indonésie*socio=ac, deux cours*socio=rien - *socio=rien un cours général sur les*socio=nil projets,*socio=nil et*socio=nil un cours sur les*socio=nil projets agricoles*socio=ec *socio=nil dirigés exclusivement par des enseignants*socio=ac indonésiens qui avaient acquis*socio=uv leur formation*socio=et aux cours*socio=rien dispensés par l'IDE*socio=ac. Le gouvernement*socio=ac algérien a participé à l'organisation*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien cours sur les*socio=nil projets industriels*socio=ac.*socio=nil *socio=nil A la demande*socio=ec du*socio=rien gouvernement*socio=ac égyptien*socio=te, l'Institut*socio=et de planification*socio=et nationale*socio=te et l'IDE*socio=ac ont organisé conjointement *socio=rien un cours sur les*socio=nil projets agricoles*socio=ec.*socio=nil Des*socio=nil programmes*socio=et de*socio=nil formation*socio=et spéciaux,*socio=nil *socio=nil financés dans le cadre*socio=rien des projets*socio=rien de planification*socio=et du*socio=rien programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac, ont été*socio=rien organisés avec le concours du*socio=rien gouvernement*socio=ac du*socio=rien Soudan*socio=ac (un*socio=rien *socio=rien cours sur les*socio=nil transports*socio=ec et*socio=nil un cours sur *socio=nil l'agro-industrie) et du*socio=rien Zaïre*socio=ac (un*socio=rien *socio=rien cours général sur les*socio=nil projets)*socio=nil *socio=nil . Pendant les douze *socio=rien dernières années,*socio=nil l'*socio=nil institut*socio=et *socio=nil et ses activités*socio=rien ont été*socio=rien l'objet*socio=rien d'examens*socio=rien périodiques*socio=rien , mais c'est*socio=rien durant l'exercice*socio=rien financier*socio=ec 1976 qu'a été*socio=rien mis *socio=rien sur pied un programme*socio=et régulier d'*socio=nil évaluation*socio=uv des*socio=nil effets *socio=nil de la formation*socio=et dispensée par l'IDE*socio=ac Pour cette évaluation*socio=uv des questionnaires*socio=rien sont envoyés à quelques diplômés*socio=ac de l'IDE*socio=ac (anciens*socio=rien participants*socio=ac) et des personnes*socio=rien connaissant bien*socio=rien l'institut*socio=et mais ne faisant pas partie*socio=rien de son personnel*socio=rien ont été*socio=rien chargées de missions d'évaluation*socio=uv, au cours*socio=rien desquelles elles ont eu des entrevues avec *socio=rien un échantillon représentatif des*socio=nil anciens élèves*socio=ac *socio=nil dans 10 pays_membres*socio=ac - les rapports*socio=rien de ces missions ne sont pas sans exercer d'ores et déjà une influence sur*socio=rien la conception*socio=rien des cours*socio=rien de l'IDE*socio=ac. C'est*socio=rien ainsi que les cours*socio=rien font désormais une plus *socio=rien large place *socio=nil tant aux techniques*socio=rien de réalisation*socio=uv des projets*socio=rien qu'à l'analyse*socio=rien des marchés*socio=ec et de la demande*socio=ec de produits*socio=rien agricoles*socio=ec et industriels*socio=ac. Autres activités*socio=rien . Coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv. A la demande*socio=ec des gouvernements*socio=ac des pays*socio=ac qui accordent l'aide*socio=uv comme de ceux qui la reçoivent, la Banque*socio=ac a continué d'être*socio=rien la principale*socio=rien organisatrice des mécanismes*socio=rien de coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv pour *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil qui bénéficient d'une assistance*socio=et de plusieurs sources*socio=rien , bilatérales*socio=te ou multilatérales*socio=te. Pendant l'exercice*socio=rien 1976, sept des groupes*socio=ac de coordination*socio=uv présidés par la Banque*socio=ac ont tenu des réunions*socio=rien officielles*socio=et. Ce furent les groupes*socio=ac d'aide*socio=uv au Bangladesh*socio=ac, à la Corée*socio=ac, à l'Inde*socio=ac, au Pakistan*socio=ac, aux Philippines*socio=ac, au Sri_lanka*socio=ac et à la Thaïlande*socio=ac. De plus, la Banque*socio=ac a également participé à deux *socio=rien réunions du Groupe*socio=ac *socio=nil inter-gouvernemental d'aide*socio=uv à l'Indonésie*socio=ac, qu'a présidé le gouvernement*socio=ac des Pays-bas*socio=ac, et à une réunion*socio=rien d'un*socio=rien Consortium*socio=ac pour la Turquie*socio=ac, présidé par l'Organisation*socio=ac pour la coopération*socio=uv et le développement*socio=uv économiques*socio=ec. Le *socio=rien nombre élevé des*socio=nil projets *socio=nil que la Banque*socio=ac et l'IDA*socio=ac ont aidé à financer conjointement ou parallèlement avec d'autres organismes*socio=ac bilatéraux*socio=te et multilatéraux*socio=te illustre la coopération*socio=uv étroite*socio=rien qui existe entre les diverses*socio=rien institutions*socio=ac d'aide_au_développement*socio=uv. Des projets*socio=rien ont été*socio=rien cofinancés avec le programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac et diverses*socio=rien institutions*socio=ac régionales*socio=te de financement*socio=ec, ainsi qu'avec les organismes*socio=ac d'aide*socio=uv d'abou_dhabi*socio=ac, de l'Allemagne*socio=ac, de l'Arabie_saoudite*socio=ac, de l'Australie*socio=ac, de la Belgique*socio=ac, du*socio=rien Canada*socio=ac, des Etats-unis, de la France*socio=ac, du*socio=rien Japon*socio=ac, du*socio=rien Koweït*socio=ac, de la Libye*socio=ac, de la Nouvelle-zélande*socio=ac, de la Norvège*socio=ac, des Pays-bas*socio=ac, du*socio=rien Royaume Uni, de la Suède*socio=ac et de la communauté_économique_européenne*socio=ac (CEE*socio=ec). De plus, pour la *socio=rien première fois,*socio=nil des*socio=nil projets ont*socio=nil été *socio=nil financés avec la nouvelle*socio=rien *socio=ac Banque arabe *socio=nil pour le développement_économique*socio=ac de l'Afrique*socio=ac (BADEA). La Banque*socio=ac a également redoublé d'efforts*socio=uv en vue*socio=rien de stimuler les investissements_privés*socio=ec dans les projets*socio=rien réalisés sous ses auspices*socio=rien , et pendant l'année*socio=rien , un*socio=rien de ces projets*socio=rien a été*socio=rien cofinancé par des banques*socio=ac d'affaires*socio=ec privées*socio=ec. Les milieux*socio=rien bancaires*socio=ec ont manifesté un*socio=rien très vif*socio=rien intérêt*socio=uv pour ce type*socio=rien de coopération*socio=uv, dont on pense qu'il se développera dans l'avenir*socio=te. Sur*socio=rien le plan*socio=rien régional*socio=te, la Banque*socio=ac a conclu avec le Fonds*socio=ec d'investissement*socio=ec du*socio=rien Venezuela*socio=ac, un*socio=rien accord*socio=et de coopération*socio=uv qui définit*socio=rien la *socio=rien portée générale *socio=nil de ses *socio=rien opérations futures de*socio=nil cofinancement*socio=ec *socio=nil avec ce Fonds*socio=ec. Elle a également continué de participer activement aux études*socio=rien de portée*socio=rien nationale*socio=te entreprises*socio=ac à l'initiative*socio=rien *socio=rien du Comité exécutif*socio=ac permanent du conseil_économique_et_social*socio=ac interaméricain*socio=te.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a continué de coopérer étroitement avec les institutions*socio=ac régionales*socio=te de financement*socio=ec (la banque_africaine_de_développement*socio=ac, la Banque_asiatique_de_développement*socio=ac et la Banque*socio=ac interaméricaine*socio=te de développement*socio=uv) ce qui a permis*socio=rien de mieux coordonner leurs activités*socio=rien d'assistance*socio=et respectives*socio=rien . Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien , des consultations*socio=uv officielles*socio=et ont eu lieu*socio=rien avec certains *socio=ac organismes japonais (*socio=nil Fonds*socio=ec de*socio=nil coopération*socio=uv économique*socio=ec d'*socio=nil outre-mer du*socio=rien Japon et*socio=nil Banque d'*socio=nil Export-import*socio=ec du*socio=rien Japon)*socio=nil au*socio=nil sujet*socio=rien *socio=nil de leurs programmes*socio=et de prêt*socio=ec respectifs*socio=rien - avec la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, la Commonwealth*socio=ec Development*socio=rien Corporation*socio=ac, et la direction_générale_du_développement*socio=ac et de la coopération*socio=rien de la CEE*socio=ec, à l'effet*socio=rien d'examiner les questions*socio=rien d'intérêt_commun*socio=uv et les problèmes*socio=uv relatifs*socio=rien à divers pays*socio=ac et projets*socio=rien - avec le Fonds*socio=ec d'abou_dhabi*socio=ac pour le développement_économique*socio=ec des pays*socio=ac arabes*socio=te, le Fond*socio=rien arabe*socio=ac pour le développement_économique_et_social*socio=ac, la BADEA, le Fonds*socio=ec du*socio=rien Koweït*socio=ac pour le développement_économique*socio=ec des pays*socio=ac arabes*socio=te, la Banque_islamique_de_développement*socio=ac et le Fonds*socio=ec de l' Arabie_saoudite*socio=ac pour le développement*socio=uv, à l'effet*socio=rien de déterminer les possibilités*socio=rien qu'il pourrait y avoir de coopérer à la réalisation*socio=uv de certains *socio=rien projets précis.*socio=nil Recherches*socio=ec et*socio=nil études_économiques*socio=ec.*socio=nil Les*socio=nil Administrateurs*socio=ac *socio=nil ont procédé au *socio=rien troisième examen annuel du programme*socio=et de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac. Ils ont décidé que les procédures*socio=rien d'évaluation*socio=uv des recherches*socio=ec menées à terme*socio=rien pendant l'exercice*socio=rien devaient s'intégrer désormais dans un*socio=rien effort*socio=uv continu*socio=rien portant sur*socio=rien les *socio=rien points suivants:*socio=nil diffusion *socio=nil accrue des résultats*socio=rien ; collaboration*socio=uv avec les institutions*socio=ac de recherche*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac et des pays*socio=ac développés*socio=rien ; coordination*socio=uv des recherches*socio=ec de la Banque*socio=ac avec celles d'autres organismes*socio=ac et effort*socio=uv général*socio=rien pour tirer le meilleur*socio=rien parti*socio=et de ces résultats*socio=rien dans l'intérêt*socio=uv de l'efficacité*socio=uv des opérations*socio=rien et des politiques*socio=et de la Banque*socio=ac. Le programme*socio=et de recherche*socio=ec de la Banque*socio=ac qui, dans sa *socio=rien forme actuelle *socio=nil a moins de 5 ans*socio=rien , arrive à maturation et se transforme en *socio=rien un programme_d'_études complémentaires *socio=nil qui touchent aux principaux*socio=rien secteurs*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv. Certaines*socio=rien de ces études*socio=rien sont axées sur*socio=rien des secteurs*socio=ec spécifiques*socio=rien , par exemple*socio=rien l'éducation*socio=et, la santé*socio=et, les services_publics*socio=et et l'industrie*socio=ec et s'accompagnent de nouvelles*socio=rien recherches*socio=ec approfondies sur*socio=rien la planification*socio=et de la famille*socio=uv, les *socio=rien stimulants propres *socio=nil à augmenter les exportations*socio=ec et la croissance*socio=uv industrielle*socio=ec; d'autres, telle la comparaison*socio=rien des agrégats*socio=ec nationaux*socio=te en *socio=rien fonction du pouvoir_d'_achat*socio=ec,*socio=nil *socio=nil ont plutôt pour objet*socio=rien d'améliorer les instruments*socio=rien qui servent à définir*socio=rien la stratégie*socio=et et la planification*socio=et du*socio=rien développement*socio=uv, Simultanément, on continue*socio=rien de mettre l'accent*socio=rien sur*socio=rien l'emploi*socio=ec et la répartition*socio=uv des revenus*socio=ec, le développement*socio=uv rural*socio=te, la population*socio=ac, la nutrition*socio=rien et l'urbanisation*socio=ec, en vue*socio=rien de soutenir les efforts*socio=uv déployés par la Banque*socio=ac pour améliorer les conditions_de_vie*socio=uv des deshérités. Normalement, les projets*socio=rien qui relèvent du*socio=rien programme*socio=et de recherche*socio=ec sont exécutés par le personnel*socio=rien de la Banque*socio=ac et financés au moyen*socio=rien de crédits*socio=ec dont le Comité*socio=rien de recherche*socio=ec a approuvé l'affectation*socio=rien aux services*socio=ec des consultants*socio=ac, aux frais*socio=ec de voyages*socio=rien et à d'autres dépenses*socio=ec externes*socio=rien . Plus de 40 projets*socio=rien de cet ordre*socio=rien sont d'ores et déjà achevés, 16 autres touchent à leur terme*socio=rien et 15 projets*socio=rien ont commencé à être*socio=rien exécutés pendant l'exercice*socio=rien 1976: Projets*socio=rien terminés: 42; Projets*socio=rien touchant à leur terme*socio=rien : 16; Projets*socio=rien reportés de l'exercice*socio=rien 1975: 47; Projets*socio=rien commencés pendant l'exercice*socio=rien 1976: 15; 120. Les politiques*socio=et tendant à réduire la disparité*socio=uv des revenus*socio=ec et à promouvoir l'emploi*socio=ec doivent tirer le meilleur*socio=rien parti*socio=et possible*socio=rien des données disponibles*socio=rien et veiller en même temps*socio=rien à améliorer la base*socio=rien de données et à préciser les *socio=rien rapports théoriques.*socio=nil C'*socio=nil est *socio=nil pour cette raison*socio=uv que le *socio=rien premier projet relatif *socio=nil à la répartition*socio=uv des revenus*socio=ec, qui a été*socio=rien achevé cette année*socio=rien , a fait*socio=rien connaître les données dont on dispose pour 81 pays*socio=ac et mesuré l'ampleur*socio=rien des inégalités*socio=uv. Des études*socio=rien plus récentes*socio=rien utilisent des séries de données spéciales*socio=rien pour déterminer le profil*socio=rien des revenus*socio=ec et de la consommation*socio=ec des groupes*socio=ac les plus déshérités de l'Asie*socio=ac et de l'amérique_latine*socio=ac. C'est*socio=rien dans le cadre*socio=rien de la même entreprise*socio=ac que l'on est*socio=rien en train*socio=rien de déterminer les disparités*socio=uv de revenus*socio=ec des groupes*socio=ac de population*socio=ac et des régions*socio=te de la Thaïlande*socio=ac, en vue*socio=rien d'améliorer la *socio=rien base du prochain plan de*socio=nil développement*socio=uv.*socio=nil Un projet portant*socio=nil sur l'*socio=nil effet de*socio=nil redistribution*socio=et des*socio=nil dépenses_publiques*socio=et *socio=nil étudie le mode*socio=rien de répartition*socio=uv des services*socio=ec sanitaires*socio=uv, éducatifs*socio=et et autres services*socio=ec entre les ménages*socio=rien ayant des niveaux*socio=rien de revenus*socio=ec différents*socio=rien . Les conclusions*socio=rien de ces projets*socio=rien et d'autres encore donnent à penser que l'augmentation*socio=uv de la productivité*socio=ec de la main-d'_oeuvre*socio=ac peut améliorer la répartition*socio=uv des revenus*socio=ec. C'est*socio=rien pour aider à mieux comprendre le fonctionnement*socio=rien des marchés_du_travail*socio=ec dans les *socio=te zones urbaines,*socio=nil qu'*socio=nil *socio=rien un ensemble de*socio=nil projets a*socio=nil été mis*socio=nil sur pied en*socio=nil vue *socio=nil d'étudier les caractéristiques*socio=rien de la main-d'_oeuvre*socio=ac employée*socio=rien dans le secteur*socio=ec moderne*socio=uv et dans le secteur*socio=ec "inorganisé". Les résultats*socio=rien de la première*socio=rien phase*socio=te de l'un*socio=rien des projets*socio=rien ont été*socio=rien utiles*socio=uv pour les études*socio=rien entreprises*socio=ac en vue*socio=rien de définir*socio=rien la stratégie*socio=et de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv urbaine*socio=te qui a *socio=rien été définie lors des*socio=nil Assemblées*socio=et annuelles *socio=nil de 1975. C'est*socio=rien ainsi que dans le *socio=rien cadre du projet *socio=nil "prototype" on construit des modèles*socio=rien des économies*socio=ec nationales*socio=te qui incorporent plus complètement les caractéristiques*socio=rien de l'emploi*socio=ec et de la répartition*socio=uv des revenus*socio=ec en faisant *socio=rien fond sur l'*socio=nil étude*socio=ac de*socio=nil schémas de*socio=nil comptabilité*socio=ec sociale*socio=ac *socio=nil qui intégreront plus rigoureusement les données relatives*socio=rien à la pauvreté*socio=uv et à l'inégalité*socio=uv dans la comptabilité*socio=ec nationale*socio=te des revenus*socio=ec. Dans sa phase*socio=te actuelle*socio=rien , une étude*socio=ac sur*socio=rien les *socio=rien aspects techniques et*socio=nil économiques*socio=ec *socio=nil de la substitution*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac aux équipements*socio=ec dans la construction*socio=ec de routes*socio=rien et autres travaux*socio=rien de génie*socio=rien civil*socio=et mesure*socio=rien la productivité*socio=ec de la main-d'_oeuvre*socio=ac à partir d'expériences*socio=rien faites sur*socio=rien les chantiers*socio=rien de construction*socio=ec de routes*socio=rien et de canaux*socio=ec. L' assistance_technique*socio=et fournie dans le cadre*socio=rien de ce *socio=rien projet est *socio=nil destinée à améliorer le recrutement*socio=ec et l'encadrement*socio=ec de la main-d'_oeuvre*socio=ac et la formation*socio=et *socio=rien du personnel local*socio=te.*socio=nil *socio=nil Étant donné que la maladie*socio=et et la malnutrition*socio=ec contribuent à abaisser encore la productivité*socio=ec, plusieurs *socio=rien études connexes en*socio=nil cours *socio=nil évaluent l'incidence*socio=rien de la santé*socio=et et de la *socio=rien nutrition sur la*socio=nil productivité*socio=ec.*socio=nil Un certain nombre de*socio=nil projets de*socio=nil recherches*socio=ec *socio=nil ont pour objet*socio=rien d'aider à améliorer la conception*socio=rien des *socio=rien projets futurs de*socio=nil développement*socio=uv rural*socio=te.*socio=nil *socio=nil Des enquêtes extensives effectuées avec le concours de l' Organisation_des_nations_unies_pour_l'_alimentation_et_l'_agricuure*socio=ac (FAO*socio=ac) dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien projet*socio=rien d'irrigation*socio=ec en Malaisie*socio=ac, permettront de connaître l'incidence*socio=rien d'un*socio=rien changement*socio=uv de comportement*socio=rien des agriculteurs*socio=ac sur*socio=rien le revenu*socio=ec et l'emploi*socio=ec régional*socio=te. *socio=rien Un projet antérieur*socio=te *socio=nil réalisé dans le *socio=rien Nord-est du Brésil*socio=ac a*socio=nil permis *socio=nil de construire les tableaux*socio=rien de séries de données très complètes qui se sont révélés très utiles*socio=uv pour plusieurs projets*socio=rien entrepris par la Banque*socio=ac dans des secteurs*socio=ec qui sont actuellement l'objet*socio=rien de recherches*socio=ec. Une étude*socio=ac plus récente*socio=rien compile des données sur*socio=rien la gestion*socio=et et l'organisation*socio=rien des projets*socio=rien d'irrigation*socio=ec. Par ailleurs*socio=rien , les recherches*socio=ec se poursuivent sur*socio=rien l'amélioration*socio=uv de la productivité*socio=ec et des revenus*socio=ec des petits*socio=rien exploitants*socio=ac agricoles*socio=ec et sur*socio=rien les méthodes*socio=rien d'évaluation*socio=uv des politiques*socio=et de stockage*socio=ec des céréales*socio=ec alimentaires*socio=rien . Récemment, l'effort*socio=uv de recherche*socio=ec sur*socio=rien l'urbanisation*socio=ec a visé à obtenir*socio=rien une *socio=rien meilleure compréhension *socio=nil de la croissance*socio=uv urbaine*socio=te et de la nature*socio=rien de la pauvreté*socio=uv dans les métropoles*socio=te. On est*socio=rien en train*socio=rien d'étudier les normes*socio=et applicables*socio=rien aux services_publics*socio=et et aux "trames d'accueil*socio=uv" où seront construits des logements*socio=ec, en vue*socio=rien de mieux définir*socio=rien les critères*socio=rien qui doivent régir la conception*socio=rien des projets*socio=rien . Des études*socio=rien plus précises*socio=rien portent sur*socio=rien les finances_publiques*socio=et, les terrains*socio=rien et les transports*socio=ec urbains*socio=te. De plus, le Centre*socio=rien international*socio=te de recherche*socio=ec sur*socio=rien le développement*socio=uv (Canada*socio=ac) et la Banque*socio=ac apportent leur soutien*socio=uv à l'évaluation*socio=uv de trois projets*socio=rien de construction*socio=ec de logements*socio=ec qui tend à déterminer comment, avec le temps*socio=rien , les familles*socio=uv tirent parti*socio=et des possibilités*socio=rien qui leur sont offertes*socio=rien d'améliorer leurs conditions_de_vie*socio=uv. Les recherches*socio=ec qui ont été*socio=rien menées à bien*socio=rien jusqu'à ce jour*socio=rien se sont révélées utiles*socio=uv pour l'élaboration*socio=rien de publications*socio=rien exposant les politiques*socio=et de la Banque*socio=ac ou *socio=rien certaines questions particulières*socio=uv.*socio=nil Certaines *socio=nil de ces publications*socio=rien , en particulier*socio=uv les *socio=rien études sur la*socio=nil politique*socio=et *socio=nil de l'éducation*socio=et et du*socio=rien développement*socio=uv rural*socio=te, ont *socio=rien fait fond sur les*socio=nil résultats *socio=nil de plusieurs projets*socio=rien de recherche*socio=ec. Pour être*socio=rien mieux connus, les résultats*socio=rien de recherches*socio=ec de la Banque*socio=ac sont souvent publiés sous la forme*socio=rien de "Staff Working papers" et parfois, sous la forme*socio=rien de monographies ou de livres. Les articles*socio=rien de revue rédigés par le personnel*socio=rien de la Banque*socio=ac sont l'objet*socio=rien de tirages à part*socio=rien pour *socio=rien distribution interne.*socio=nil *socio=nil La liste complète des publications*socio=rien paraît chaque année*socio=rien dans le World Bank*socio=rien Catalog. On trouvera des informations*socio=rien plus détaillées sur*socio=rien le programme*socio=et de recherche*socio=ec en cours*socio=rien dans les Abstracts of Current Studies, qui paraissent également chaque année*socio=rien .