*{Rapport annuel de la Banque mondiale, 1978 } *{sommaire} *socio=nil Résumé des activités*socio=rien dans le *socio=rien contexte général *socio=nil de l'exercice*socio=rien . L'année*socio=rien en bref*socio=rien . Pendant l'exercice*socio=rien 1978, les engagements*socio=ec de prêt*socio=ec et d'investissement*socio=ec de la banque_mondiale*socio=ac et de ses deux filiales*socio=rien , l' association_internationale_de_développement*socio=ac (IDA*socio=ac) et la société_financière_internationale*socio=ac (SFI*socio=ac), ont atteint le montant*socio=ec total*socio=rien de 8,749,1 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Ce montant*socio=ec était en augmentation*socio=uv de 1,475,6 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien à l'exercice*socio=rien 1977. La Banque*socio=ac a accordé à 46 pays*socio=ac 137 prêts*socio=ec d'un*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de 6,097,7 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 339 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de plus qu'au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1977. Les 99 crédits*socio=ec accordés par l'IDA*socio=ac à 42 pays*socio=ac se sont chiffrés à 2,313 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 1,005 millions*socio=rien de plus que pendant l'exercice*socio=rien 1977. L'IDA*socio=ac a eu cette année*socio=rien beaucoup plus de ressources*socio=ec à sa disposition*socio=rien ; l'exercice*socio=rien 1978 était le *socio=rien premier exercice *socio=nil de la période*socio=te de trois ans*socio=rien pendant laquelle doit s'effectuer la *socio=rien Cinquième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil de l'Association*socio=ac. L'IDA*socio=ac dispose actuellement, pour la période*socio=te financière*socio=ec 1978-80, d'un*socio=rien total*socio=rien de 7,731,7 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. La SFI*socio=ac a effectué 41 investissements*socio=ec, d'un*socio=rien total*socio=rien de 338,4 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, dans 31 pays*socio=ac. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1977, les investissements*socio=ec effectués par la Société*socio=ac sous forme*socio=rien de prêts*socio=ec ou de prises*socio=rien de participation*socio=uv avaient atteint le total*socio=rien de 258,9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Le revenu*socio=ec net*socio=rien de la Banque*socio=ac s'est*socio=rien élevé*socio=rien à 238 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 29 millions*socio=rien de plus que pendant l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien . Les recettes*socio=ec brutes ont atteint 1,947 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ce qui constitue *socio=rien un record.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de l'année*socio=rien écoulée, la Banque*socio=ac a emprunté l'équivalent*socio=rien de 3,636 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, elle a offert*socio=rien ou placé au total*socio=rien 28 émissions*socio=rien . Le programme*socio=et d'emprunts*socio=ec pour l'année*socio=rien était chiffré à 4,200 millions*socio=rien de dollars*socio=ec; sur*socio=rien ce montant*socio=ec, la Banque*socio=ac a emprunté 600 millions*socio=rien de dollars*socio=ec avant le début*socio=rien de l'exercice*socio=rien afin de tirer parti*socio=et des conditions*socio=uv favorables*socio=rien qui régnaient sur*socio=rien le marché*socio=ec des obligations*socio=uv aux États-unis*socio=ac. (Pour plus de *socio=rien détails sur les*socio=nil opérations financières*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac, voir le chapitre*socio=rien "Emprunts*socio=ec et Finances*socio=ec" *socio=rien du présent Rapport annuel.*socio=nil *socio=nil ) Les décaissements*socio=ec de la Banque*socio=ac pour l'exercice*socio=rien 1978 ont atteint le total*socio=rien de 2,787 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ce qui représente une augmentation*socio=uv de 5,7% par rapport*socio=rien à l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien . Les décaissements*socio=ec de l'IDA*socio=ac se sont chiffrés à 1,062 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit une baisse*socio=rien de 18%. Ces décaissements*socio=ec étaient inférieurs*socio=rien à ceux que l'on attendait, et cela pour *socio=rien diverses raisons *socio=nil dont l'importance*socio=rien relative*socio=rien de chacune *socio=rien est difficile,*socio=nil voire*socio=nil impossible,*socio=nil *socio=nil à déterminer. *socio=rien Un examen,*socio=nil *socio=nil effectué par la Banque*socio=ac, des causes*socio=rien de ce *socio=rien faible taux d'*socio=nil augmentation*socio=uv des*socio=nil décaissements*socio=ec *socio=nil a révélé que l'exécution*socio=rien de *socio=rien nombreux projets *socio=nil bénéficiant de l'assistance*socio=et de la Banque*socio=ac a été*socio=rien ralentie par le fait*socio=rien que les *socio=ac gouvernements emprunteurs *socio=nil ont pris des mesures*socio=rien pour essayer de lutter contre l'inflation*socio=ec, d'atténuer leurs difficultés*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec et d'enrayer l'augmentation*socio=uv des déficits*socio=ec budgétaires*socio=et. En réduisant les dépenses*socio=ec pour parer à l'inflation*socio=ec et en restreignant l'expansion*socio=ec du*socio=rien crédit*socio=ec intérieur*socio=rien pour atténuer les difficultés*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec , les gouvernements*socio=ac ont constaté que les fonds*socio=ec de *socio=rien contrepartie nécessaires *socio=nil pour le financement*socio=ec intégral*socio=rien des projets*socio=rien bénéficiant de l'assistance*socio=et de la Banque*socio=ac et de l'IDA*socio=ac ne sont pas disponibles*socio=rien en *socio=rien quantité suffisante,*socio=nil *socio=nil ce qui, naturellement, influe défavorablement sur*socio=rien l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien . Cet examen*socio=rien a montré aussi que les décaissements*socio=ec effectués dans certains secteurs*socio=ec importants*socio=rien , en particulier*socio=uv dans l'agriculture*socio=ec, resteront pendant plusieurs années*socio=rien encore inférieurs*socio=rien à ceux auxquels on pourrait s'attendre d'après*socio=rien l'évolution*socio=rien passée des décaissements*socio=ec. Les projets*socio=rien "nouveau*socio=rien style" ne sont pas seulement techniquement complexes; ils font aussi intervenir de nouvelles*socio=rien organisations*socio=ac et institutions*socio=ac qui entreprennent des *socio=rien activités nouvelles au*socio=nil profit*socio=ec de*socio=nil groupes*socio=ac de*socio=nil population*socio=ac *socio=nil considérés précédemment comme n'étant pas visés par la plupart*socio=rien des programmes*socio=et gouvernementaux*socio=ac. On peut raisonnablement s'attendre que les retards*socio=rien dans les décaissements*socio=ec s'atténueront à mesure*socio=rien que les emprunteurs*socio=ac et la Banque*socio=ac acquerront de l'expérience*socio=uv dans l'exécution*socio=rien desdits projets*socio=rien . La Banque*socio=ac, en ce moment*socio=rien , recherche*socio=rien activement l'avis*socio=rien de plusieurs de ses emprunteurs*socio=ac sur*socio=rien la façon*socio=rien dont ses procédures*socio=rien de décaissement*socio=ec pourraient être*socio=rien accélérées à l'avenir*socio=te. Les transferts*socio=ec nets*socio=rien de ressources*socio=ec effectués au cours*socio=rien de l'année*socio=rien par la Banque*socio=ac et l'IDA*socio=ac au profit*socio=ec des pays_membres*socio=ac (décaissements*socio=ec moins remboursements*socio=ec du*socio=rien principal*socio=ec, intérêts*socio=ec et autres charges*socio=et) ont atteint au total*socio=rien 1,598 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, contre 2,078 millions*socio=rien de dollars*socio=ec *socio=rien an cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien 1977. Les activités*socio=rien de la Banque*socio=ac en matière*socio=rien d'assistance_technique*socio=et ont continué de s'intensifier au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1978. L'octroi*socio=rien d'une assistance_technique*socio=et a été*socio=rien le *socio=rien seul but *socio=nil de deux prêts*socio=ec et d'un*socio=rien crédit*socio=ec d'un*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de 20,3 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, alors qu'en 1977 il y avait eu six opérations*socio=rien de ce genre*socio=rien , correspondant à *socio=rien un total *socio=nil de 16,9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. En outre, 151 opérations*socio=rien de prêts*socio=ec *socio=rien représentant un total *socio=nil de 230 millions*socio=rien de dollars*socio=ec ont comporté des crédits*socio=ec spéciaux*socio=rien au titre*socio=rien de l'assistance_technique*socio=et, contre 162 opérations*socio=rien de ce genre*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1977, pour *socio=rien un total *socio=nil de 189 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Il n'y a pas de différences*socio=uv dans la manière*socio=rien dont les crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac et les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac sont examinés et traités*socio=rien ; on applique les mêmes normes*socio=et pour déterminer si les projets*socio=rien entrepris par la Banque*socio=ac et par l'IDA*socio=ac sont rationnels*socio=uv. Ces deux institutions*socio=ac appuient des projets*socio=rien dans les mêmes secteurs*socio=ec. Il y a cependant des différences*socio=uv notoires*socio=rien dans la *socio=rien composition sectorielle des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac et des crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac. Ces différences*socio=uv sont dues à la diversité*socio=rien des priorités*socio=uv économiques*socio=ec fixées par les pays*socio=ac qui empruntent à la Banque*socio=ac et par ceux qui empruntent à l'IDA*socio=ac. Étant donné que l'assistance*socio=et demandée à l'IDA*socio=ac a toujours dépassé le niveau*socio=rien des fonds*socio=ec disponibles*socio=rien , les crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac sont rigoureusement rationnés; l'IDA*socio=ac approuve rarement l'octroi*socio=rien de crédits*socio=ec à des pays*socio=ac dont le revenu*socio=ec par habitant*socio=ac dépasse 520 dollars*socio=ec (de 1975) da Guyane*socio=ac a été*socio=rien le seul*socio=rien pays*socio=ac de cette catégorie*socio=rien qui ait bénéficié d'un*socio=rien crédit*socio=ec de l'IDA*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1978). Une caractéristique*socio=rien essentielle*socio=uv des économies*socio=ec de nombre*socio=rien de ces pays*socio=ac est*socio=rien le *socio=rien faible niveau *socio=nil de la *socio=ec productivité agricole.*socio=nil C'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil ainsi que 58% environ des crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac approuvés au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1978 étaient destinés à l'agriculture*socio=ec et au développement*socio=uv rural*socio=te. Les prêts*socio=ec accordés par la Banque*socio=ac dans ce secteur*socio=ec, en revanche, ont représenté 32% au total*socio=rien . Les pays*socio=ac à revenu*socio=ec moyen*socio=rien ou élevé*socio=rien ont en général*socio=rien une économie*socio=ec plus industrialisée que les pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv; de ce fait*socio=rien les prêts*socio=ec accordés par la Banque*socio=ac dans les secteurs*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv industriel*socio=ec et des finances*socio=ec et dans le secteur*socio=ec de l'industrie*socio=ec, ont représenté au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1978, 20% *socio=rien du total des*socio=nil engagements*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac, tandis que dans le cas*socio=rien de l'IDA*socio=ac 5% seulement du*socio=rien montant*socio=ec des engagements*socio=ec a servi à ce développement*socio=uv. La société_financière_internationale*socio=ac - filiale*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac qui a pour mission*socio=rien d'aider au développement_économique*socio=ec de ses pays_membres*socio=ac moins avancés en encourageant la croissance*socio=uv de leurs secteurs_privés*socio=ec - a sensiblement accru ses activités*socio=rien d'investissement*socio=ec au cours*socio=rien de l'année*socio=rien . Le volume*socio=rien , en dollars*socio=ec, des investissements*socio=ec approuvés par le conseil_des_administrateurs*socio=ac de la Société*socio=ac a augmenté de 31% par rapport*socio=rien à l'année*socio=rien précédente*socio=rien , pour passer à 338,4 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, et le nombre*socio=rien des investissements*socio=ec approuvés s'est*socio=rien accru de 21% pour passer à 41. L'accroissement*socio=ec *socio=rien du nombre des*socio=nil investissements*socio=ec *socio=nil approuvés a été*socio=rien dû en *socio=rien majeure partie *socio=nil à l'accélération*socio=rien des efforts*socio=uv déployés par la Société*socio=ac en Afrique*socio=ac et dans la région*socio=te amérique_centrale*socio=ac/Caraïbes*socio=ac. Le coût*socio=ec total*socio=rien des projets*socio=rien de la SFI*socio=ac approuvés pendant l'année*socio=rien a été*socio=rien de 1,871,8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ce qui a porté le *socio=rien total cumulatif *socio=nil à 10,904,4 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Pendant l'exercice*socio=rien 1978, la SFI*socio=ac a effectué pour la *socio=rien première fois des*socio=nil investissements*socio=ec dans*socio=nil cinq nouveaux pays*socio=ac:*socio=nil le*socio=nil Lesotho*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil Mali*socio=ac,*socio=nil *socio=nil le Souaziland, la Trinité*socio=ac et Tobago*socio=ac et la République_arabe_du_yémen*socio=ac. Le Mali*socio=ac et les Émirats_arabes_unis*socio=ac ont adhéré à la SFI*socio=ac au cours*socio=rien de l'année*socio=rien , ce qui a porté à 108 le *socio=rien nombre total *socio=nil de ses membres*socio=rien . L'accélération*socio=rien et l'élargissement*socio=rien des opérations*socio=rien de la SFI*socio=ac traduisent l'augmentation*socio=uv de son capital*socio=ec autorisé - de 110 à 650 millions*socio=rien de dollars*socio=ec - que le conseil_des_gouverneurs*socio=ac a approuvée au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1978. Avec les ressources*socio=ec supplémentaires*socio=rien dont elle dispose maintenant *socio=rien du fait *socio=nil de cette augmentation*socio=uv de son capital*socio=ec, la SFI*socio=ac a entrepris un*socio=rien programme*socio=et visant à intensifier et à diversifier l'assistance*socio=et qu'elle fournit aux pays_membres*socio=ac en développement*socio=uv. La SFI*socio=ac publie elle-même son *socio=rien propre Rapport annuel,*socio=nil *socio=nil où sont exposées dans le détail*socio=rien les opérations*socio=rien qu'elle a faites au cours*socio=rien de l'année*socio=rien . Le *socio=rien rôle futur *socio=nil de la Banque*socio=ac; l'augmentation*socio=uv de capital*socio=ec. En mars*socio=rien 1977, lorsque les Administrateurs*socio=ac ont accepté, aux fins*socio=rien de la planification*socio=et, que la banque_mondiale*socio=ac contracte des engagements*socio=ec de 6,100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1978 et de 6,800 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pendant l'exercice*socio=rien 1979, ils ont décidé aussi de faire de leur mieux pour se mettre d'accord*socio=uv le 30 juin*socio=rien 1978 au plus tard au sujet*socio=rien d'une augmentation*socio=uv générale*socio=rien de capital*socio=ec. Parallèlement à ces négociations*socio=uv, il devait y avoir un*socio=rien échange*socio=ec de *socio=rien vues sur le*socio=nil rôle futur *socio=nil de la Banque*socio=ac et sur*socio=rien la série des *socio=rien diverses solutions financières*socio=ec nécessaires *socio=nil pour lui permettre de jouer ce rôle*socio=rien . Il a été*socio=rien entendu que la décision*socio=rien d'accepter, comme hypothèse*socio=rien de planification*socio=et des engagements*socio=ec de la Banque*socio=ac pour l'exercice*socio=rien 1979, le montant*socio=ec de 6,800 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, était une *socio=rien décision provisoire *socio=nil et que les Administrateurs*socio=ac ne seraient pas obligés de s'en tenir à ce chiffre si aucun progrès*socio=uv substantiel*socio=rien n'était réalisé avant la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1978 au sujet*socio=rien de l'Augmentation*socio=uv générale*socio=rien de capital*socio=ec. Pendant l'exercice*socio=rien 1978 des progrès*socio=uv ont été*socio=rien réalisés, par voie*socio=rien de discussions*socio=rien officieuses, sur*socio=rien la questions*socio=rien de l'Augmentation*socio=uv générale*socio=rien de capital*socio=ec. Il a été*socio=rien reconnu qu'il fallait que cette augmentation*socio=uv soit suffisamment importante*socio=rien pour que les prêts*socio=ec s'accroissent en valeur*socio=ec réelle*socio=rien pendant les *socio=rien cinq années suivantes.*socio=nil Les*socio=nil Administrateurs*socio=ac *socio=nil poursuivront leurs *socio=rien discussions sur le*socio=nil rôle futur *socio=nil de la Banque*socio=ac et le niveau*socio=rien approprié d'une Augmentation*socio=uv générale*socio=rien de capital*socio=ec. C'est*socio=rien pourquoi, eu égard*socio=rien à ces considérations*socio=uv, les Administrateurs*socio=ac sont convenus de fixer à 6,800 millions*socio=rien de dollars*socio=ec le total*socio=rien des engagements*socio=ec de prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac pour l'exercice*socio=rien 1979. Ce chiffre de 6,800 millions*socio=rien de dollars*socio=ec sera revu en milieu*socio=rien d'exercice*socio=rien pour que les Administrateurs*socio=ac puissent tenir compte*socio=rien des progrès*socio=uv réalisés - ou de l'absence*socio=rien de progrès*socio=uv - dans les discussions*socio=rien concernant l'Augmentation*socio=uv générale*socio=rien de capital*socio=ec. Les *socio=rien discussions relatives au*socio=nil rôle futur *socio=nil de la Banque*socio=ac, ainsi qu'il était noté dans le *socio=rien Rapport annuel *socio=nil pour l'exercice*socio=rien 1977, auront comme arrière-plan les grands*socio=rien changements*socio=uv - touchant l'ampleur*socio=rien , la répartition*socio=uv entre régions*socio=te, la ventilation*socio=rien par secteurs*socio=ec et le caractère*socio=rien même des opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac - qui ont fait*socio=rien que ces opérations*socio=rien répondent mieux aux objectifs*socio=rien de développement*socio=uv de ses pays_membres*socio=ac. Pendant l'exercice*socio=rien 1978, deux questions*socio=rien qui ont une incidence*socio=rien pour le moins indirecte sur*socio=rien le *socio=rien rôle futur *socio=nil de la Banque*socio=ac ont également retenu l'attention*socio=rien , tant à l'intérieur*socio=rien qu'à l'extérieur*socio=ec de la Banque*socio=ac: la question*socio=rien des droits*socio=uv de l'homme*socio=ac et celle de la rémunération*socio=ec *socio=rien du personnel.*socio=nil La*socio=nil première *socio=nil n'a pas été*socio=rien abordée officiellement au sein*socio=rien de la Banque*socio=ac, mais la seconde l'a été*socio=rien . Afin de déterminer ce qui constitue une échelle*socio=rien appropriée de rémunération*socio=ec, les Administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac et ceux du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac ont créé en août*socio=rien 1977 *socio=rien un comité *socio=nil chargé d'étudier la question*socio=rien de la rémunération*socio=ec *socio=rien du personnel *socio=nil des deux institutions*socio=ac. Ce comité*socio=rien de 15 membres*socio=rien (dont cinq*socio=rien provenant de chacun des Conseils*socio=ac des Administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec et cinq*socio=rien experts*socio=ac extérieurs*socio=te) devrait adresser ses recommandations*socio=rien aux deux Conseils*socio=ac pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de l'exercice*socio=rien 1979. Le *socio=rien Président du Comité est *socio=nil M: Alexandre Kafka, un*socio=rien des Administrateurs*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec. IDA*socio=ac: *socio=rien Cinquième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Les quatre reconstitutions antérieures*socio=te des ressources*socio=ec de l'Association*socio=ac ont pris effet*socio=rien lorsque des *socio=ac pays donateurs *socio=nil dont les contributions*socio=uv représentaient au total*socio=rien 80% environ des nouvelles*socio=rien ressources*socio=ec eurent notifié officiellement leur intention*socio=rien de verser les contributions*socio=uv autorisées, en ce qui les concernait, par les résolutions*socio=et correspondantes*socio=rien . Une *socio=rien procédure différente *socio=nil a cependant été*socio=rien convenue pour la mise en vigueur*socio=uv de la *socio=rien Cinquième reconstitution.*socio=nil *socio=nil Dans ce cas*socio=rien le total*socio=rien des contributions*socio=uv a été*socio=rien fixé à 7,637,855,000 dollars*socio=ec, et la reconstitution*socio=rien devait intervenir lorsque des *socio=ac pays donateurs *socio=nil dont les contributions*socio=uv prévues représentaient au total*socio=rien 6,000 millions*socio=rien de dollars*socio=ec au moins auraient notifié officiellement à l'IDA*socio=ac leur intention*socio=rien de verser les contributions*socio=uv autorisées dans leur cas*socio=rien par la Résolution*socio=et relative*socio=rien à la *socio=rien Cinquième reconstitution;*socio=nil l'*socio=nil accord*socio=et *socio=nil intervenu permettait en fait*socio=rien aux donateurs*socio=ac de préciser dans leur notification que leur engagement*socio=uv de procéder aux deuxième*socio=rien et troisième*socio=rien versements*socio=ec (mais non au premier*socio=rien ) serait subordonné à l'obtention*socio=rien de l'approbation*socio=uv appropriée de leurs *socio=et organes législatifs.*socio=nil La*socio=nil *socio=rien Cinquième reconstitution *socio=nil a pris effet*socio=rien le 29 novembre*socio=rien 1977. Avant cette date, l'IDA*socio=ac avait pu accorder des crédits*socio=ec au titre*socio=rien d'un*socio=rien arrangement*socio=uv de "soudure" en vertu*socio=rien duquel 12 pays*socio=ac ont versé des contributions*socio=uv préalables*socio=rien se chiffrant au total*socio=rien à quelque 1,300 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. A propos*socio=rien de leur participation*socio=uv à la *socio=rien Cinquième reconstitution,*socio=nil les*socio=nil États-unis*socio=ac ont*socio=nil fait *socio=nil connaître à l'IDA*socio=ac qu'ils paieraient le montant*socio=ec de 800 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (représentant*socio=rien le premier*socio=rien versement*socio=ec au titre*socio=rien de leur contribution*socio=uv) et qu'ils verseraient le reste*socio=rien , soit 1,600 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, sous réserve*socio=uv de l'ouverture*socio=rien des crédits*socio=ec nécessaires*socio=rien . La notification des États-unis*socio=ac est*socio=rien donc l'objet*socio=rien d'une réserve*socio=ec en ce qui concerne les 1,600 millions*socio=rien de dollars*socio=ec restant à verser sur*socio=rien leur contribution*socio=uv. La Résolution*socio=et relative*socio=rien à la *socio=rien Cinquième reconstitution *socio=nil dispose qu'à moins de recevoir des engagements*socio=ec inconditionnels portant au *socio=rien total sur *socio=nil 80% au moins de chacun des deuxième*socio=rien et troisième*socio=rien versements*socio=ec - niveau*socio=rien qui ne peut être*socio=rien atteint sans engagements*socio=ec inconditionnels des États-unis*socio=ac - l'Association*socio=ac ne peut accorder de nouveaux*socio=rien crédits*socio=ec dont le décaissement*socio=ec s'effectuerait par imputation sur*socio=rien ces versements*socio=ec à moins que les crédits*socio=ec en question*socio=rien ne soient accordés dans des conditions*socio=uv telles qu'ils ne prennent effet*socio=rien et n'engagent l'Association*socio=ac qu'à partir *socio=rien du moment *socio=nil où des engagements*socio=ec inconditionnels portant sur*socio=rien 80% au moins des versements*socio=ec respectifs*socio=rien auront été*socio=rien obtenus. Lorsque les conditions*socio=uv devant*socio=rien régir la *socio=rien Cinquième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil de l'IDA*socio=ac ont été*socio=rien arrêtées, à Vienne, en mars*socio=rien 1977, il restait à répartir entre les *socio=ac pays donateurs 51,7*socio=nil millions*socio=rien de*socio=nil dollars*socio=ec *socio=rien sur un total *socio=nil de 7,638 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de ressources*socio=ec à reconstituer. Depuis cette date, six pays*socio=ac - l'Australie*socio=ac, l'Irlande*socio=ac, le Koweït*socio=ac, la Norvège*socio=ac, les Pays-bas*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac - ont versé des contributions*socio=uv supplémentaires*socio=rien équivalant à 45,5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. En outre, le Gouvernement*socio=ac de l'Arabie_saoudite*socio=ac a informé l'Association*socio=ac, en avril*socio=rien 1978, de sa décision*socio=rien d'accroître de 100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec sa contribution*socio=uv à la *socio=rien Cinquième reconstitution.*socio=nil Sous*socio=nil réserve*socio=uv des*socio=nil conditions*socio=uv *socio=nil mentionnées ci-dessus, les ressources*socio=ec dont l'IDA*socio=ac disposait au 30 juin*socio=rien 1978 pour accorder des prêts*socio=ec pendant les trois exercices*socio=rien 1978 à 1980 se chiffraient au total*socio=rien à 7,731,7 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (aux taux_de_change*socio=ec représentatifs du*socio=rien FMI*socio=ac au 14 mars*socio=rien 1977). Des engagements*socio=ec d'environ 2,300 millions*socio=rien de dollars*socio=ec ont été*socio=rien contractés pour la *socio=rien première année *socio=nil de la période*socio=te de reconstitution*socio=rien . 1977: Croissance*socio=uv continue*socio=rien , problèmes*socio=uv persistants. Au cours*socio=rien de l'année*socio=rien , la Banque*socio=ac a continué de suivre les effets*socio=rien des tendances*socio=rien de l'économie*socio=ec mondiale*socio=te sur*socio=rien les pays_en_développement*socio=ac. En analysant les tendances*socio=rien de l'épargne*socio=ec, de l'investissement*socio=ec, de la production*socio=ec, de la consommation*socio=ec, des exportations*socio=ec et des courants*socio=rien de capitaux*socio=ec destinés à des pays_en_développement*socio=ac qui représentent environ 87% de la population*socio=ac et du*socio=rien produit_national_brut*socio=ec du*socio=rien monde_en_développement*socio=te, la Banque*socio=ac a procédé à une évaluation*socio=uv générale*socio=rien des perspectives*socio=uv à *socio=rien moyen terme *socio=nil qui s'offrent à ces pays*socio=ac (jusqu'en 1985) après*socio=rien leur adaptation*socio=uv à l'inflation*socio=ec et à la récession*socio=ec *socio=rien du milieu *socio=nil de la décennie*socio=rien . Cette analyse*socio=rien a montré que les effets*socio=rien exercés sur*socio=rien les pays_en_développement*socio=ac par les hausses successives*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec, par de mauvaises*socio=rien récoltes, et parla récession*socio=ec qui a sévi dans les pays*socio=ac développés*socio=rien étaient en général*socio=rien moins graves*socio=rien , et que l'adaptation*socio=uv a été*socio=rien moins difficile*socio=rien que beaucoup ne l'avaient craint. En tant que groupe*socio=ac, les pays_en_développement*socio=ac ont enregistré une *socio=rien bien meilleure croissance*socio=uv réelle *socio=nil de leur produit_intérieur_brut*socio=ec (PIB*socio=ec) que les pays*socio=ac développés*socio=rien au cours*socio=rien des années*socio=rien 1974 et 1975. Sur*socio=rien le plan*socio=rien humain*socio=ac cependant, le fléchissement*socio=rien même relativement faible*socio=rien des taux_de_croissance*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac a eu tendance*socio=rien à ralentir l'atténuation*socio=rien de la pauvreté*socio=uv qui est*socio=rien si généralisée dans ces pays*socio=ac. Une des *socio=rien principales conclusions *socio=nil qui en découlent est*socio=rien qu'en général*socio=rien les pays_en_développement*socio=ac se sont révélés capables*socio=rien non seulement de poursuivre leur adaptation*socio=uv structurelle*socio=ec à long_terme*socio=ec face*socio=rien à la récession*socio=ec, mais aussi de surmonter les fluctuations*socio=uv de l'économie*socio=ec mondiale*socio=te. C'est*socio=rien pourquoi la Banque*socio=ac estime*socio=rien que d'ici au milieu*socio=rien des années*socio=rien 80 les pays_en_développement*socio=ac dont la croissance*socio=uv est*socio=rien relativement plus rapide*socio=rien ont de *socio=rien bonnes chances de*socio=nil pouvoir*socio=et *socio=nil maintenir leurs taux_de_croissance*socio=ec et que ces taux*socio=rien augmenteront quelque peu dans les pays*socio=ac où l'expansion*socio=ec est*socio=rien plus lente*socio=rien . Une récente*socio=rien mise à jour*socio=rien des données à l'aide*socio=uv des chiffres concernant l'année*socio=rien civile*socio=et 1977 tend à confirmer ces conclusions*socio=rien . Les données préliminaires*socio=rien indiquent que la croissance_économique*socio=ec du*socio=rien groupe*socio=ac des pays_en_développement*socio=ac a continué de dépasser celle du*socio=rien monde_industrialisé*socio=te en 1977. La *socio=rien seule modification sensible des*socio=nil perspectives*socio=uv à*socio=nil moyen terme s'*socio=nil est *socio=nil produite parmi les pays_en_développement*socio=ac au revenu*socio=ec particulièrement faible*socio=rien , pour lesquels les statistiques*socio=rien sont dominées par l'Inde*socio=ac. Les progrès*socio=uv récents*socio=rien de l'économie*socio=ec indienne*socio=ac (dont il *socio=rien est question en*socio=nil détail *socio=nil dans le *socio=rien chapitre du présent Rapport annuel *socio=nil consacré à l'Asie_du_sud*socio=ac) laissent entrevoir une croissance*socio=uv plus rapide*socio=rien à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil Comme toujours, les économies*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac ont été*socio=rien fortement influencées en 1977 par les événements*socio=rien qui ses sont produits*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac. La poursuite*socio=rien de l'expansion*socio=ec économique*socio=ec des *socio=ac pays industriels *socio=nil contribue à améliorer les perspectives*socio=uv qu'a le monde_en_développement*socio=te de voir croître la demande*socio=ec dans le cas*socio=rien de ses produits*socio=rien d'exportation*socio=ec, de recevoir une plus forte*socio=rien assistance*socio=et pour son développement*socio=uv et, en ce qui concerne quelques pays*socio=ac, d'avoir accès*socio=uv, grâce*socio=rien aux *socio=ac travailleurs migrants,*socio=nil aux*socio=nil marchés_du_travail*socio=ec des*socio=nil nations*socio=te développées*socio=rien *socio=nil . Une forte*socio=rien croissance*socio=uv initiale*socio=rien suivie d'une stagnation*socio=ec est*socio=rien en général*socio=rien moins profitable*socio=ec aux nations*socio=te en développement*socio=uv qu'une croissance_économique*socio=ec modérée mais régulière*socio=rien . Les recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec exceptionnelles*socio=uv, par exemple*socio=rien , que les pays_en_développement*socio=ac peuvent percevoir au cours*socio=rien d'une période*socio=te initiale*socio=rien d'intense*socio=rien activité*socio=rien économique*socio=ec ne compensent souvent pas les baisses de recettes*socio=ec qui se produisent au cours*socio=rien des périodes*socio=te où la croissance*socio=uv se ralentit. C'est*socio=rien ainsi qu'une augmentation*socio=uv de 3,5% seulement, en 1977, du*socio=rien *socio=ec produit_national_brut réel (*socio=nil PNB)*socio=nil des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui sont membres*socio=rien de l' Organisation_de_coopération_et_de_développement_économiques*socio=ac (OCDE*socio=ac) - alors que cette augmentation*socio=uv avait dépassé 5% en 1976 - a limité les gains*socio=ec réalisés par les nations*socio=te en développement*socio=uv au cours*socio=rien de ladite année*socio=rien . La lenteur*socio=rien de la croissance*socio=uv enregistrée par les pays_de_l'_ocde*socio=ac en 1977 s'est*socio=rien traduite par un*socio=rien ralentissement*socio=uv de l'augmentation*socio=uv, en volume*socio=rien , du*socio=rien commerce*socio=ec mondial*socio=te. En 1976, année*socio=rien de redressement*socio=uv partiel*socio=rien par rapport*socio=rien à la période*socio=te de récession*socio=ec de 1973 à 1975, le commerce*socio=ec mondial*socio=te avait augmenté de 12% en volume*socio=rien et d'environ 14% en valeur*socio=ec (exprimée en dollars*socio=ec des États-unis*socio=ac). En 1977, par contre, le *socio=rien volume du commerce*socio=ec mondial*socio=te *socio=nil n'a augmenté que de 4% environ, ce qui est*socio=rien beaucoup moins que la moyenne*socio=rien de 7,2% enregistrée depuis la fin*socio=rien de la deuxième*socio=rien guerre*socio=et mondiale*socio=te. En revanche, la valeur*socio=ec en dollars*socio=ec des exportations*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac (à l'exclusion*socio=uv des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec *socio=nil disposant d'un*socio=rien excédent*socio=ec de capitaux*socio=ec) s'est*socio=rien accrue rapidement - 14% environ - en 1977. Les exportations*socio=ec des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec et des pays*socio=ac se situant dans la tranche intermédiaire*socio=rien des *socio=ec revenus moyens ont*socio=nil fait*socio=rien *socio=nil Mieux que la moyenne*socio=rien , augmentant de 22 et 17% respectivement, tandis que celles des pays*socio=ac se situant dans la tranche supérieure*socio=rien des *socio=ec revenus moyens *socio=nil ont augmenté d'un*socio=rien peu moins de 10%. Quant aux exportations*socio=ec des pays*socio=ac se classant dans la tranche inférieure*socio=rien des *socio=ec revenus moyens,*socio=nil *socio=nil elles ont *socio=rien été voisines *socio=nil de la moyenne*socio=rien . L'augmentation*socio=uv continue*socio=rien de la valeur*socio=ec de ces exportations*socio=ec donne à penser que la compétitivité*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac, sur*socio=rien ce plan*socio=rien , n'est*socio=rien pas *socio=rien un phénomène temporaire,*socio=nil *socio=nil mais une *socio=rien évolution susceptible *socio=nil de durer - sauf intensification*socio=rien des obstacles*socio=rien au commerce*socio=ec. Or*socio=rien , en 1977 les barrières*socio=rien commerciales*socio=ec supplémentaires*socio=rien imposées par les *socio=ac pays industriels *socio=nil visaient en *socio=rien grande partie des*socio=nil produits *socio=nil tels que l'acier*socio=ec et les véhicules automobiles*socio=ec; elles ont donc touché les autres *socio=ac pays industriels *socio=nil plutôt que les pays_en_développement*socio=ac. Ont fait*socio=rien surtout exception*socio=rien à cet état*socio=rien de choses*socio=rien les restrictions*socio=uv imposées aux exportations*socio=ec d'articles*socio=rien d'habillement*socio=rien et de textiles*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac. Ces exportations*socio=ec sont régies*socio=ac par l' Accord_multifibres*socio=et négocié en 1973, en vertu*socio=rien duquel des *socio=rien limites quantitatives au*socio=nil commerce*socio=ec peuvent*socio=nil être *socio=nil imposées, dans chacune des sous-catégories définies*socio=rien , pour chaque paire de partenaires*socio=uv commerciaux*socio=ec. *socio=rien Un nouvel accord*socio=et,*socio=nil *socio=nil négocié à la fin*socio=rien de 1977 Pour la période*socio=te 1978-82, est*socio=rien plus restrictif*socio=uv que l'ancien*socio=rien et, en outre, il est*socio=rien appliqué à beaucoup plus de pays*socio=ac, y compris ceux qui ne sont pas encore de gros*socio=rien exportateurs*socio=ac. Tout en mentionnant comme *socio=rien objectif théorique un accroissement*socio=ec annuel *socio=nil de 6% pour l'ensemble*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs,*socio=nil *socio=nil il laisse aux *socio=ac pays importateurs *socio=nil une marge de *socio=rien manoeuvre considérable *socio=nil Pour la fixation de *socio=rien limites intérieures *socio=nil à ce chiffre par voie*socio=rien de négociations*socio=uv bilatérales*socio=te. L'amélioration*socio=uv des termes_de_l'_échange*socio=et des pays_en_développement*socio=ac a *socio=rien été faible *socio=nil en 1977 (un*socio=rien peu plus de 2%), mais générale*socio=rien , et elle a intéressé non seulement les pays*socio=ac à revenu*socio=ec moyen*socio=rien qui augmentent leurs ventes*socio=ec d'articles*socio=rien manufacturés à l'étranger*socio=te, mais aussi nombre*socio=rien des nations*socio=te les plus pauvres*socio=uv qui exportent des produits*socio=rien agricoles*socio=ec non transformés. Cette amélioration*socio=uv était due à la hausse*socio=rien des prix*socio=ec d'une *socio=rien large gamme de*socio=nil produits *socio=nil exportés par des pays_en_développement*socio=ac. Les données disponibles*socio=rien indiquent qu'en 1977 les prix*socio=ec des exportations*socio=ec d'articles*socio=rien manufacturés ont, en dollars*socio=ec des États-unis*socio=ac, augmenté d'environ 9%. L'indice global*socio=rien des prix*socio=ec de 34 produits*socio=rien de base*socio=rien (pétrole*socio=ec non compris) a augmenté de 25%. Ces hausses de prix*socio=ec des *socio=rien produits primaires ont*socio=nil été *socio=nil dues essentiellement a de fortes*socio=rien augmentations*socio=uv des prix*socio=ec des boissons*socio=rien (72%), des *socio=rien matières grasses *socio=nil (26%) et de certains métaux*socio=ec, en tête*socio=rien desquels viennent l'étain*socio=ec, le plomb*socio=ec et la bauxite. Les prix*socio=ec des céréales*socio=ec, cependant, à cause*socio=rien de conditions*socio=uv atmosphériques favorables*socio=rien , ainsi que ceux du*socio=rien sucre*socio=ec, ont continué de fléchir. Les prix*socio=ec d'autres *socio=rien denrées alimentaires *socio=nil ont également baissé, et ceux de la plupart*socio=rien des matières_premières*socio=ec, tant agricoles*socio=ec qu'industrielles*socio=ec, n'ont augmenté que de *socio=rien façon marginale par*socio=nil rapport *socio=nil à leurs niveaux*socio=rien moyens*socio=ec de 1976. Les prix*socio=ec *socio=rien nominaux du pétrole*socio=ec,*socio=nil en*socio=nil moyenne,*socio=nil *socio=nil ont augmenté un*socio=rien peu - de 8% environ - en 1977. Mais la consommation*socio=ec de pétrole*socio=ec n'a augmenté que légèrement, à *socio=rien cause du ralentissement*socio=uv *socio=nil de l'activité*socio=rien économique*socio=ec dans les principaux*socio=rien *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=uv en*socio=nil Europe occidentale.*socio=nil L'*socio=nil excédent*socio=ec en*socio=nil *socio=rien compte courant *socio=nil des 12 plus importants*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec a diminué de 5,400 millions*socio=rien de dollars*socio=ec - pour revenir juste*socio=rien au-dessous de 30 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec - parce que ces pays*socio=ac ont continué de beaucoup importer. *socio=rien Du fait *socio=nil que les prix*socio=ec de *socio=rien nombreux produits de*socio=nil base *socio=nil accusent d'importantes*socio=rien fluctuations*socio=uv, la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac deviennent de plus en plus conscients*socio=uv de la nécessité*socio=uv d'entreprendre des programmes*socio=et visant à diversifier leur production*socio=ec. Malheureusement, cependant, les pays*socio=ac qui sont tributaires*socio=rien de l'exportation*socio=ec de deux ou trois produits*socio=rien sont souvent ceux qui peuvent le moins supporter l'incertitude*socio=uv des prix*socio=ec instables*socio=uv du*socio=rien marché*socio=ec. Certains des pays*socio=ac pauvres*socio=uv de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=te, où la difficulté*socio=rien de développer les exportations*socio=ec d'articles*socio=rien manufacturés est*socio=rien particulièrement grande*socio=rien , sont fortement tributaires*socio=rien de leurs exportations*socio=ec de cacao*socio=ec, de cuivre*socio=ec ou de sisal, dont les prix*socio=ec ont été*socio=rien parmi les plus volatiles ces *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Pendant la période*socio=te 1973 à 1975, par exemple*socio=rien le cuivre*socio=ec a représenté environ 90% des exportations*socio=ec de la Zambie*socio=ac et 70% de celles du*socio=rien Zaïre*socio=ac. Dans les exportations*socio=ec du*socio=rien Ghana*socio=ac, il y a eu 60% de cacao*socio=ec, produit*socio=rien quia représenté aussi près de 20% des exportations*socio=ec du*socio=rien Bénin*socio=ac et du*socio=rien Togo*socio=ac. Quant aux exportations*socio=ec de sisal, elles provenaient à raison*socio=uv de 60% à peu près d'Afrique*socio=ac, essentiellement de l'Angola*socio=ac, du*socio=rien Lesotho*socio=ac et de la Tanzanie*socio=ac. Cette dépendance*socio=uv vis-à-vis d'un*socio=rien très *socio=rien petit nombre de*socio=nil produits d'*socio=nil exportation*socio=ec *socio=nil dont les prix*socio=ec varient fortement signifie que la balance_des_paiements*socio=ec du*socio=rien pays*socio=ac considéré sera particulièrement vulnérable face*socio=rien aux vicissitudes du*socio=rien marché*socio=ec international*socio=te. Un*socio=rien tel pays*socio=ac peut donc avoir beaucoup de mal*socio=rien à élaborer des programmes*socio=et de développement*socio=uv à long_terme*socio=ec. Les améliorations*socio=uv intervenues en 1977 dans le commerce*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac ont été*socio=rien dues à une augmentation*socio=uv des exportations*socio=ec tant de *socio=rien produits primaires *socio=nil que d'articles*socio=rien manufacturés. Bien*socio=rien qu'on manque*socio=rien encore de chiffres concernant la croissance*socio=uv des exportations*socio=ec d'articles*socio=rien manufacturés des pays_en_développement*socio=ac, les augmentations*socio=uv supérieures*socio=rien à la moyenne*socio=rien qui sont intervenues en 1977 dans la valeur*socio=ec des exportations*socio=ec de pays*socio=ac tels que la Corée*socio=ac et le Mexique*socio=ac (augmentations*socio=uv d'environ 18% et 20% respectivement) portent à croire que les exportations*socio=ec d'articles*socio=rien manufacturés se sont développées*socio=rien à *socio=rien un rythme rapide.*socio=nil Le*socio=nil pourcentage d'*socio=nil augmentation*socio=uv,*socio=nil en*socio=nil valeur*socio=ec,*socio=nil des*socio=nil importations*socio=ec de*socio=nil produits *socio=nil effectuées par les pays_en_développement*socio=ac non exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec a été*socio=rien dépassé pour la *socio=rien deuxième année de*socio=nil suite *socio=nil par celui des exportations*socio=ec. Les *socio=ec déficits commerciaux *socio=nil ont néanmoins atteint en 1977 le chiffre total*socio=rien de 12,700 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Ce chiffre traduisait une réduction*socio=uv de plus de 3,000 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien à 1976, et il ne représentait que la moitié*socio=rien de la moyenne*socio=rien pour 1974/1975. L'accroissement*socio=ec des importations*socio=ec a cependant été*socio=rien particulièrement fort*socio=rien en 1977 dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec et à revenu*socio=ec moyen*socio=rien . La demande*socio=ec d'importations*socio=ec, dans ces pays*socio=ac, a été*socio=rien stimulée par le fait*socio=rien que l'on avait freiné les importations*socio=ec au cours*socio=rien de l'année*socio=rien précédente*socio=rien afin de réduire les graves*socio=rien déséquilibres commerciaux*socio=ec enregistrés en 1974 et 1975. Depuis 1975 l'accroissement*socio=ec rapide*socio=rien des recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac, s'ajoutant au fait*socio=rien que les importations*socio=ec n'ont augmenté que modérément, a contribué à réduire de *socio=rien façon remarquable les*socio=nil déficits*socio=ec en*socio=nil compte courant de*socio=nil nombreux pays_en_développement*socio=ac non*socio=nil exportateurs*socio=ac de*socio=nil pétrole*socio=ec.*socio=nil *socio=nil En 1975, année*socio=rien où la récession*socio=ec mondiale*socio=te était à son maximum*socio=rien et où l'on venait seulement de commencer à élaborer des mesures*socio=rien d'adaptation*socio=uv à la hausse*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec, le déficit*socio=ec global*socio=rien en *socio=rien compte courant *socio=nil de l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac non exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec était passé*socio=rien à un*socio=rien chiffre record*socio=rien de 37,300 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. En 1976, ce déficit*socio=ec a diminué de près de 12 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec; la tendance*socio=rien à la baisse*socio=rien s'est*socio=rien poursuivie pendant toute l'année*socio=rien 1977, et le déficit*socio=ec global*socio=rien a été*socio=rien ramené à 22 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Cela représente à peu près la même *socio=rien proportion du PNB*socio=ec *socio=nil qu'au début*socio=rien des années*socio=rien 70. Il peut se révéler difficile*socio=rien de réduire encore ce déficit*socio=ec; des données concernant le début*socio=rien de l'année*socio=rien 1978 donnent à penser que l'expansion*socio=ec des importations*socio=ec peut *socio=rien fort bien *socio=nil rattraper la croissance*socio=uv des exportations*socio=ec et qu'un*socio=rien reversement de cette *socio=rien récente tendance *socio=nil à,!amélioration*socio=uv des termes_de_l'_échange*socio=et pourra faire grossir à nouveau*socio=rien le *socio=ec déficit commercial des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac non*socio=nil exportateurs*socio=ac de*socio=nil pétrole.*socio=nil Une*socio=nil baisse*socio=rien des*socio=nil prix des*socio=nil boissons*socio=rien *socio=nil en 1978 - des données concernant le début*socio=rien de l'année*socio=rien montrent que ces prix*socio=ec ont fléchi par rapport*socio=rien à 1977 - aurait par exemple*socio=rien des effets*socio=rien défavorables*socio=uv particulièrement marqués sur*socio=rien la balance*socio=rien commerciale*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac dont le revenu*socio=ec se situe dans la tranche supérieure*socio=rien et la tranche intermédiaire*socio=rien des *socio=ec revenus moyens.*socio=nil *socio=nil Toutefois, un*socio=rien accroissement*socio=ec modéré des *socio=ec déficits globaux en*socio=nil *socio=rien compte courant ne*socio=nil risque*socio=uv *socio=nil pas de placer ces pays*socio=ac devant*socio=rien des difficultés*socio=rien généralisées. Une analyse*socio=rien des courants*socio=rien financiers*socio=ec enregistrés récemment et prévus pour l'avenir*socio=te indique que les rentrées de capitaux*socio=ec et l'aide*socio=uv disponibles*socio=rien permettraient de couvrir sans difficulté*socio=rien particulière*socio=uv un*socio=rien déficit*socio=ec global*socio=rien en *socio=rien compte courant *socio=nil de 30 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. En fait*socio=rien , tant en 1976 qu'en 1977, certains pays*socio=ac qui avaient facilement accès*socio=uv aux marchés*socio=ec de capitaux*socio=ec ont pu emprunter à l'étranger*socio=te beaucoup plus de fonds*socio=ec qu'il ne leur en fallait pour faire face*socio=rien à leur déficit*socio=ec collectif*socio=uv en *socio=rien compte courant;*socio=nil *socio=nil ils ont par conséquent*socio=rien ajouté la différence*socio=rien à leurs réserves*socio=ec. Cette même analyse*socio=rien donne également à penser que, compte*socio=rien tenu de la croissance*socio=uv et de l'inflation*socio=ec, une augmentation*socio=uv modérée du*socio=rien déficit*socio=ec global*socio=rien en *socio=rien compte courant *socio=nil ne serait pas indûment élevée*socio=rien en *socio=rien termes réels *socio=nil et pourrait être*socio=rien considérée comme *socio=rien un retour aux*socio=nil niveaux traditionnels après les*socio=nil fortes fluctuations*socio=uv *socio=nil enregistrées au-dessus (1975) et en-deçà (1977) de la norme*socio=et. Un*socio=rien problème*socio=uv est*socio=rien réapparu en 1977 après*socio=rien s'être*socio=rien estompé au cours*socio=rien des trois *socio=rien années précédentes:*socio=nil *socio=nil celui de la reprise de l'inflation*socio=ec. Cette reprise a *socio=rien été générale;*socio=nil sur *socio=nil les 88 pays_en_développement*socio=ac non producteurs*socio=ac de pétrole*socio=ec pour lesquels on dispose d'indices concernant les prix*socio=ec à la consommation*socio=ec, 50 ont enregistré des taux*socio=rien d'inflation*socio=ec plus élevés*socio=rien que l'année*socio=rien précédente*socio=rien . En 1976, les hausses de prix*socio=ec avaient *socio=rien été inférieures *socio=nil à celles de l'année*socio=rien précédente*socio=rien dans 62 pays*socio=ac. Si l'on exclut certains pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac où les taux*socio=rien d'inflation*socio=ec ne sont pas typiques, le *socio=rien taux moyen *socio=nil pondéré d'inflation*socio=ec a été*socio=rien de 21% en 1977, soit un*socio=rien accroissement*socio=ec de 6 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien par rapport*socio=rien à 1976. Les études*socio=rien d'ensemble*socio=rien de la Banque*socio=ac qui portent sur*socio=rien l'économie*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac en 1977 mettent par conséquent*socio=rien en relief*socio=rien le fait*socio=rien qu'en moyenne*socio=rien le rétablissement*socio=rien amorcé en 1976 après*socio=rien les années*socio=rien de récession*socio=ec 1973 à 1975 s'est*socio=rien poursuivi, et que pour 1978 les perspectives*socio=uv resteront probablement inchangées*socio=rien . Toutefois la croissance*socio=uv continue*socio=rien de l'économie*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac est*socio=rien une croissance*socio=uv fragile*socio=rien et les chiffres globaux*socio=ec dissimulent le fait*socio=rien que de nombreux*socio=rien problèmes_sociaux*socio=et et économiques*socio=ec ne peuvent être*socio=rien éliminés par l'augmentation*socio=uv des prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien , la réduction*socio=uv des déficits*socio=ec en *socio=rien compte courant *socio=nil et l'expansion*socio=ec du*socio=rien commerce*socio=ec. La *socio=ec production agricole *socio=nil suit tout juste*socio=rien l'accroissement*socio=ec démographique*socio=rien et, bien*socio=rien que les rendements*socio=ec augmentent grâce*socio=rien à l'amélioration*socio=uv des pratiques*socio=et agricoles*socio=ec, la *socio=ec production alimentaire reste*socio=rien *socio=nil fortement subordonnée ans*socio=rien caprices *socio=rien du temps.*socio=nil L'*socio=nil emploi*socio=ec *socio=nil n'a pas suivi le rythme*socio=rien d'expansion*socio=ec de la main-d'_oeuvre*socio=ac, même lorsque l'accroissement*socio=ec de la production*socio=ec a *socio=rien été impressionnant.*socio=nil Une*socio=nil urbanisation*socio=ec rapide *socio=nil - il n'est*socio=rien pas rare*socio=rien que la population*socio=ac des villes*socio=te augmente de plus de 5% par an*socio=rien - soulève des problèmes*socio=uv difficiles*socio=rien , dont le moindre*socio=rien n'est*socio=rien pas la nécessité*socio=uv d'accroître sensiblement les investissements*socio=ec consacrés à l'infrastructure*socio=ec - logements*socio=ec, routes*socio=rien , écoles*socio=et et services*socio=ec d'utilité*socio=rien publique*socio=et. La misère*socio=uv et le dénuement*socio=rien restent dans le monde_en_développement*socio=te un*socio=rien problème*socio=uv immense*socio=rien , en particulier*socio=uv dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec d'Asie*socio=ac et de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=te. Les pays_en_développement*socio=ac ne peuvent à eux seuls*socio=rien atténuer la misère*socio=uv et créer un*socio=rien environnement*socio=ec propre*socio=rien à leur assurer de bonnes*socio=rien perspectives*socio=uv de croissance*socio=uv, même si l'effet*socio=rien le plus durable*socio=rien des perturbations*socio=uv économiques*socio=ec survenues au milieu*socio=rien des années*socio=rien 70 doit venir des améliorations*socio=uv que ces perturbations*socio=uv auront engendrées - dans les pays_en_développement*socio=ac eux-mêmes - sur*socio=rien le plan*socio=rien de la politique*socio=et générale*socio=rien . Les projections*socio=et concernant la croissance*socio=uv future*socio=rien sont pourtant *socio=rien vraiment modestes,*socio=nil *socio=nil surtout si l'on tient compte*socio=rien de l'accroissement*socio=ec de la population*socio=ac, et ces perspectives*socio=uv modérées ne pourront se traduire dans les faits*socio=rien que si se maintient la tendance*socio=rien à long_terme*socio=ec au resserrement*socio=uv des relations*socio=rien internationales*socio=te entre pays*socio=ac développés*socio=rien et pays_en_développement*socio=ac. Ces relations*socio=rien ne devraient pas nécessairement aboutir à *socio=rien un climat *socio=nil de confrontation sur*socio=rien le plan*socio=rien de la concurrence*socio=ec. Dans le passé*socio=rien les pays*socio=ac développés*socio=rien se sont efforcés d'agir en *socio=rien faveur du développement*socio=uv.*socio=nil *socio=nil En maintenant *socio=rien un système libéral*socio=et d'*socio=nil échanges_internationaux*socio=ec,*socio=nil *socio=nil en améliorant le transfert*socio=ec de ressources*socio=ec (sous forme*socio=rien d'aide_publique_au_développement*socio=et et d'aide*socio=uv fournie par les marchés*socio=ec internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec et les institutions_financières*socio=ec internationales*socio=te), en menant une action*socio=rien internationale*socio=te en faveur*socio=rien de l'expansion*socio=ec des *socio=ec ressources énergétiques *socio=nil et en continuant de fournir *socio=rien un appui international*socio=te *socio=nil pour le développement*socio=uv de la *socio=ec recherche agricole *socio=nil (si indispensable*socio=uv à l'accroissement*socio=ec permanent*socio=rien des *socio=ec rendements agricoles)*socio=nil *socio=nil , on peut créer *socio=rien un climat général de*socio=nil dynamisme*socio=uv économique*socio=ec *socio=nil qui soit nécessaire*socio=rien pour provoquer des changements*socio=uv dans la structure*socio=ec sociale*socio=ac et économique*socio=ec des nations*socio=te en développement*socio=uv. L'expansion*socio=ec du*socio=rien commerce*socio=ec et l'économie*socio=ec mondiale*socio=te. S'il est*socio=rien une leçon que le monde*socio=te a tirée des événements*socio=rien des *socio=rien cinq dernières années -*socio=nil hausse des*socio=nil prix*socio=ec *socio=nil de l'énergie*socio=ec, fluctuations*socio=uv marquées et soudaines*socio=rien des prix*socio=ec de certains produits*socio=rien de base*socio=rien , récession*socio=ec, inflation*socio=ec et déficits*socio=ec dans la production*socio=ec de céréales*socio=ec panifiables - c'est*socio=rien que la prospérité*socio=ec future*socio=rien des pays*socio=ac développés*socio=rien et celle des pays_en_développement*socio=ac sont désormais liées et que ces liens*socio=rien , bien*socio=rien que forgés récemment, ne risquent guère d'être*socio=rien facilement rompus. Ces *socio=rien événements récents ont*socio=nil fait prendre*socio=nil conscience*socio=uv au*socio=nil monde*socio=te *socio=nil de la nécessité*socio=uv de maintenir des relations*socio=rien commerciales*socio=ec stables*socio=uv. Par exemple*socio=rien , lorsque les prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec ont brusquement augmenté, en octobre*socio=rien 1973, les pays_en_développement*socio=ac, s'efforçant de ne pas réduire leurs programmes*socio=et de développement*socio=uv malgré la hausse*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec, se sont tournés vers les banques*socio=ac commerciales*socio=ec pour qu'elles les aident à financer une *socio=rien grande partie *socio=nil de leurs besoins*socio=uv de capitaux*socio=ec. En même temps*socio=rien ils ont accru leurs exportations*socio=ec, en particulier*socio=uv d'articles*socio=rien manufacturés, ce qui les a mis à même d'assurer le service*socio=ec d'une dette*socio=ec plus importante*socio=rien encore qu'auparavant; leurs recettes*socio=ec de *socio=ec devises étrangères *socio=nil ont elles aussi augmenté considérablement*socio=rien . Ainsi ces pays*socio=ac sont devenus d'importants*socio=rien marchés*socio=ec pour les pays_industrialisés*socio=ac et, dans la mesure*socio=rien où les pays*socio=ac développés*socio=rien ont pu redresser la situation*socio=uv après*socio=rien la récession*socio=ec de 1974-75, ce redressement*socio=uv a été*socio=rien facilité par les exportations*socio=ec à destination*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac. A l'heure*socio=rien actuelle*socio=rien on estime*socio=rien que 28% des exportations*socio=ec d'articles*socio=rien manufacturés des pays_industrialisés*socio=ac vont vers des pays_en_développement*socio=ac. Il ne faut pas considérer ces liens*socio=rien - et il y en a d'autres encore, par exemple*socio=rien les mouvements*socio=ec internationaux*socio=te réguliers*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac *socio=rien du bassin *socio=nil méditerranéen vers l'Europe*socio=ac, du*socio=rien Mexique*socio=ac et des Caraïbes*socio=ac vers les États-unis*socio=ac et des pays_en_développement*socio=ac limitrophes des nations*socio=te productrices*socio=ac de pétrole*socio=ec du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac vers ces mêmes nations*socio=te - comme une menace*socio=rien au bien-être*socio=uv économique*socio=ec des pays_industrialisés*socio=ac ou des pays_en_développement*socio=ac. Au contraire*socio=rien , un*socio=rien resserrement*socio=uv des liens*socio=rien économiques*socio=ec peut être*socio=rien une source*socio=rien de vigueur*socio=uv pour les deux groupes*socio=ac et faciliter un*socio=rien progrès*socio=uv économique*socio=ec plus rapide*socio=rien à l'échelle*socio=rien mondiale*socio=te. L'une des *socio=rien mesures propres *socio=nil à renforcer le mouvement*socio=ac qui s'est*socio=rien amorcé vers l'établissement*socio=rien de *socio=rien meilleures relations économiques*socio=ec *socio=nil entre les nations*socio=te consisterait à stimuler davantage les relations*socio=rien commerciales*socio=ec entre pays_industrialisés*socio=ac et pays_en_développement*socio=ac. La Banque*socio=ac a toujours attaché beaucoup d'importance*socio=rien à la croissance*socio=uv des exportations*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac, car l'expérience*socio=uv de la *socio=rien dernière décennie *socio=nil a confirmé que les exportations*socio=ec peuvent *socio=rien être un facteur dynamique*socio=uv *socio=nil de la croissance*socio=uv générale*socio=rien . Les pays*socio=ac qui ont réussi à accroître leurs exportations*socio=ec ont vu leur économie*socio=ec se développer également. De plus, une tendance*socio=rien à l'accroissement*socio=ec des exportations*socio=ec peut *socio=rien être un point de*socio=nil départ *socio=nil permettant aux pays_en_développement*socio=ac d'emprunter et d'assurer le service*socio=ec de leur dette*socio=ec. La libéralisation_des_échanges*socio=ec - en particulier*socio=uv du*socio=rien commerce*socio=ec des articles*socio=rien manufacturés - n'est*socio=rien qu'un*socio=rien des *socio=rien aspects du problème*socio=uv commercial*socio=ec global *socio=nil qui intéresse particulièrement le monde_en_développement*socio=te. Le *socio=rien principal souci des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil qui exportent des *socio=ec matières_premières industrielles *socio=nil et de ceux qui exportent des boissons*socio=rien et des fruits*socio=rien tropicaux est*socio=rien la stabilité*socio=uv des prix*socio=ec (question*socio=rien qui sera examinée au début*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1979 par la Banque*socio=ac et en septembre*socio=rien 1978 par le comité_du_développement*socio=ac), quant à ceux qui exportent des *socio=ec matières_premières agricoles,*socio=nil leur*socio=nil *socio=uv problème essentiel est*socio=rien *socio=nil celui de la concurrence*socio=ec avec les fibres*socio=ec artificielles*socio=rien et les produits*socio=rien synthétiques; de leur côté*socio=rien , les pays_en_développement*socio=ac qui sont tributaires*socio=rien des exportations*socio=ec de produits*socio=rien agricoles*socio=ec de la zone*socio=rien tempérée ont pour principal*socio=rien problème*socio=uv l'existence*socio=rien , dans les pays_industrialisés*socio=ac, de politiques*socio=et nationales*socio=te de soutien*socio=uv des prix*socio=ec en faveur*socio=rien de la production*socio=ec intérieure*socio=rien . Pour les pays_en_développement*socio=ac qui exportent des articles*socio=rien manufacturés, cependant, la libéralisation*socio=ec du*socio=rien commerce*socio=ec est*socio=rien une *socio=rien question fondamentale.*socio=nil Le*socio=nil nombre des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui participent à ce commerce*socio=ec a augmenté aussi vite que se modifiaient les avantages_comparatifs*socio=ec sur*socio=rien le plan*socio=rien international*socio=te. Il y a dix ans*socio=rien de cela, pas plus d'une demi-douzaine*socio=rien de nations*socio=te en développement*socio=uv exportaient une *socio=rien quantité appréciable d'*socio=nil articles *socio=nil manufacturés. A l'heure*socio=rien actuelle*socio=rien leur nombre*socio=rien a quintuplé. L'accroissement*socio=ec des exportations*socio=ec d'articles*socio=rien manufacturés provenant du*socio=rien monde_en_développement*socio=te a souvent été*socio=rien accompagné par une stagnation*socio=ec de la production*socio=ec et *socio=rien un fléchissement *socio=nil de l'emploi*socio=ec dans les secteurs*socio=ec correspondants*socio=rien de quelques pays_industrialisés*socio=ac. Bien*socio=rien que ce processus*socio=rien soit logique*socio=uv si l'on en croit l'histoire*socio=rien et la *socio=ec théorie économiques,*socio=nil *socio=nil il s'est*socio=rien cependant produit*socio=rien à une vitesse*socio=rien sans précédent*socio=rien , si bien*socio=rien qu'il n'est*socio=rien pas surprenant*socio=rien de constater que des frictions et des réactions*socio=rien de défense se produisent dans cette vaste*socio=rien restructuration*socio=uv de l'économie*socio=ec mondiale*socio=te. Sur*socio=rien cette toile de fond*socio=rien il convient de noter que les obstacles*socio=rien au commerce*socio=ec actuellement imposés par les pays_industrialisés*socio=ac - même contre les articles*socio=rien manufacturés finis - sont, au regard*socio=rien de ceux qui existaient dans le passé*socio=rien , remarquablement faibles*socio=rien . C'est*socio=rien ainsi que les politiques*socio=et de promotion*socio=uv des exportations*socio=ec qu'appliquent de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac ont provoqué, avec l'abaissement*socio=rien des barrières*socio=rien commerciales*socio=ec, une croissance*socio=uv rapide*socio=rien des exportations*socio=ec d'articles*socio=rien manufacturés des pays_en_développement*socio=ac - croissance*socio=uv qui a atteint des taux*socio=rien d'environ 15% par an*socio=rien , en valeur*socio=ec réelle*socio=rien , entre le début*socio=rien des années*socio=rien 60 et l'année*socio=rien 1976. Toutefois, l'accroissement*socio=ec des exportations*socio=ec destinées*socio=rien à des pays_industrialisés*socio=ac dont l'économie*socio=ec marque*socio=rien le pas se traduit par un*socio=rien renforcement*socio=uv des sentiments*socio=rien protectionnistes*socio=et dans les pays*socio=ac développés*socio=rien . Dans quelques cas*socio=rien , on a même mis en vigueur*socio=uv des restrictions*socio=uv quantitatives*socio=rien des importations*socio=ec afin d'aider les industries*socio=ec intérieures*socio=rien auxquelles ces importations*socio=ec portaient ou risquaient de porter préjudice*socio=et. *socio=rien Un exemple en*socio=nil est *socio=nil fourni par le nouvel*socio=rien accord_multifibres*socio=et qui a été*socio=rien négocié à la fin*socio=rien de 1977 (voir page*socio=rien 13). Cet accord*socio=et peut avoir pour effet*socio=rien de ralentir sérieusement la croissance*socio=uv des exportations*socio=ec d'articles*socio=rien d'habillement*socio=rien et de textiles*socio=ec, non seulement des principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac, mais aussi des pays_en_développement*socio=ac plus petits*socio=rien , plus pauvres*socio=uv et moins avancés où les textiles*socio=ec constituent habituellement une *socio=rien part importante des*socio=nil exportations*socio=ec d'*socio=nil articles *socio=nil manufacturés. C'est*socio=rien pourquoi les pays_en_développement*socio=ac s'inquiètent de plus en plus de savoir*socio=rien si les responsables*socio=uv, dans les pays_industrialisés*socio=ac, seront à même de résister aux pressions*socio=uv qui s'exercent en faveur*socio=rien de l'imposition*socio=et de nouvelles*socio=rien restrictions*socio=uv quantitatives*socio=rien . La *socio=rien principale façon *socio=nil dont les pays*socio=ac développés*socio=rien peuvent actuellement contribuer à l'expansion*socio=ec du*socio=rien commerce*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac consiste à s'abstenir d'appliquer de nouvelles*socio=rien restrictions*socio=uv quantitatives*socio=rien aux importations*socio=ec et à préciser et renforcer les règles*socio=et concernant le recours*socio=rien , à titre*socio=rien de "sauvegarde*socio=uv" ou dans des cas*socio=rien d'urgence*socio=rien , aux restrictions*socio=uv de ce genre*socio=rien . Les autres mesures*socio=rien que les pays_industrialisés*socio=ac pourraient prendre en théorie*socio=ec seraient, dans la pratique*socio=rien , plus difficiles*socio=rien à adopter. Bien*socio=rien qu'il ressorte de *socio=rien diverses études *socio=nil qu'il faut environ 20,000 dollars*socio=ec d'importations*socio=ec d'articles*socio=rien manufacturés pour déplacer un*socio=rien travailleur*socio=ac dans les pays*socio=ac développés*socio=rien et que l'accroissement*socio=ec des exportations*socio=ec à destination*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac peut permettre de créer une *socio=rien grande partie des*socio=nil emplois*socio=ec *socio=nil qu'une augmentation*socio=uv des importations*socio=ec ferait perdre, de telles modifications*socio=rien entraînent en fait*socio=rien la nécessité*socio=uv de fournir une aide*socio=uv, en vue*socio=rien de leur réadaptation, aux entreprises*socio=ac et aux travailleurs*socio=ac qui, dans les pays*socio=ac développés*socio=rien , se trouvent déplacés. Même si les pays*socio=ac développés*socio=rien ne font rien*socio=rien d'autre pour libéraliser leurs échanges*socio=ec avec les nations*socio=te en développement*socio=uv, il y a des mesures*socio=rien que ces dernières*socio=rien peuvent prendre pour accroître leur *socio=rien part du commerce*socio=ec mondial*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil créent fréquemment une discrimination*socio=uv à l'encontre*socio=rien de leurs propres*socio=rien exportations*socio=ec par *socio=rien un ensemble de*socio=nil mesures *socio=nil qui, par exemple*socio=rien , encouragent la protection*socio=et d'industries*socio=ec "naissantes*socio=et" qui ne le sont plus tellement, surévaluent les taux_de_change*socio=ec et favorisent les achats*socio=ec à des prix*socio=ec artificiellement bas*socio=rien . *socio=rien Un nombre croissant de*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil ont cependant commencé systématiquement à ajuster leur politique*socio=et en matière*socio=rien de taux_de_change*socio=ec et leur politique_commerciale*socio=ec afin d'éliminer ou de réduire cette distorsion qui joue à l'encontre*socio=rien des exportations*socio=ec. *socio=rien Un fort mouvement*socio=ac en*socio=nil faveur *socio=nil de la libéralisation*socio=ec s'est*socio=rien récemment dessiné dans des pays*socio=ac - comme l'Argentine*socio=ac et le Chili*socio=ac en particulier*socio=uv - qui étaient auparavant de farouches partisans*socio=et d'une forte*socio=rien protection*socio=et. Il sera plus difficile*socio=rien de réduire les mesures*socio=rien protectionnistes*socio=et dans les pays_en_développement*socio=ac que dans le monde_industrialisé*socio=te; une libéralisation*socio=ec sensible*socio=rien entraînerait à court_terme*socio=ec une perturbation*socio=uv sérieuse*socio=rien de l'emploi*socio=ec et de la situation*socio=uv de la balance_des_paiements*socio=ec dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac. Il faudrait par conséquent*socio=rien une aide*socio=uv considérable*socio=rien aux ajustements*socio=et de structure*socio=ec, en particulier*socio=uv dans le cas*socio=rien des pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv. Si les pays_en_développement*socio=ac accélèrent leur politique*socio=et de promotion*socio=uv des exportations*socio=ec et si les nations*socio=te industrialisées s'abstiennent de créer de *socio=rien nouveaux obstacles au*socio=nil commerce*socio=ec,*socio=nil les*socio=nil effets économiques*socio=ec *socio=nil de ces mesures*socio=rien pourraient *socio=rien être considérables *socio=nil pour le premier*socio=rien groupe*socio=ac. On a estimé que d'ici à 1985, par exemple*socio=rien , la valeur*socio=ec des exportations*socio=ec d'articles*socio=rien manufacturés provenant des pays_en_développement*socio=ac pourrait accuser une augmentation*socio=uv allant jusqu'à 21 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec et croître de quelque 15% par an*socio=rien . On peut considérer que, pour de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, l'accroissement*socio=ec des exportations*socio=ec contribuerait certainement à éliminer les contraintes*socio=uv qui pèsent sur*socio=rien leur balance_des_paiements*socio=ec et qui retardent leur développement*socio=uv général*socio=rien ; il pourrait avoir aussi une *socio=rien incidence sensible sur l'*socio=nil augmentation*socio=uv *socio=nil de l'emploi*socio=ec. Les pays*socio=ac développés*socio=rien , de leur côté*socio=rien , doivent se rendre compte*socio=rien que l'évolution*socio=rien vers la spécialisation*socio=uv et la recherche*socio=rien d'avantages_comparatifs*socio=ec est*socio=rien inexorable. La mise en place*socio=rien d'obstacles*socio=rien artificiels*socio=rien ne peut que retarder le processus*socio=rien , sans l'arrêter. L'intérêt*socio=uv des deux parties*socio=rien exige par conséquent*socio=rien que des mesures*socio=rien soient prises*socio=rien pour que les rouages*socio=rien de l'économie*socio=ec mondiale*socio=te puissent évoluer progressivement mais régulièrement, et non pas de manière*socio=rien convulsive, vers une situation*socio=uv qui *socio=rien est inévitable.*socio=nil Agriculture*socio=ec et*socio=nil développement*socio=uv rural*socio=te.*socio=nil Cinq années *socio=nil se sont maintenant écoulées depuis que le Président*socio=rien Robert S*socio=rien : Mcnamara*socio=ac a prononcé son *socio=rien important discours sur la*socio=nil pauvreté*socio=uv *socio=nil et le développement*socio=uv rural*socio=te lors*socio=rien des *socio=rien réunions annuelles *socio=nil que le conseil_des_gouverneurs*socio=ac a tenues, en 1973, à Nairobi*socio=te. A cette occasion*socio=rien il a fixé, en ce qui concerne les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac a l'agriculture*socio=ec (y compris les projets_de_développement*socio=et rural*socio=te s'adressant aux agriculteurs*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec), *socio=rien un objectif *socio=nil de 4,400 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en valeur*socio=ec réelle*socio=rien pour la *socio=te période quinquennale *socio=nil 1974-78 (ce qui représente une augmentation*socio=uv de plus de 40% par rapport*socio=rien à la *socio=te période quinquennale précédente*socio=rien *socio=nil ) , soit quelque 20% *socio=rien du total des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil envisagés De plus, comme le Président*socio=rien l'a souligné dans son discours*socio=rien , sans un*socio=rien progrès*socio=uv rapide*socio=rien de la petite*socio=rien *socio=ec exploitation agricole *socio=nil dans l'ensemble*socio=rien du*socio=rien monde_en_développement*socio=te, il y a peu d'espoir*socio=uv de réaliser une croissance_économique*socio=ec stable*socio=uv à long_terme*socio=ec ou de réduire sensiblement le degré*socio=rien de misère*socio=uv. C'est*socio=rien pourquoi le Président*socio=rien a proposé en outre qu'une *socio=rien part croissante des*socio=nil *socio=ec prêts agricoles *socio=nil de la Banque*socio=ac soit consacrée aux programmés visant à aider directement le *socio=rien petit exploitant à*socio=nil devenir plus*socio=nil productif*socio=uv.*socio=nil *socio=nil Quelque 70% des *socio=ec prêts agricoles *socio=nil de la Banque*socio=ac pourraient contenir *socio=rien un élément d'*socio=nil aide*socio=uv aux*socio=nil petits exploitants*socio=ac,*socio=nil *socio=nil a ajouté M: Mcnamara*socio=ac. *socio=rien Cinq années après,*socio=nil *socio=nil quels ont été*socio=rien les résultats*socio=rien de cette réorientation*socio=et de l'activité*socio=rien de la Banque*socio=ac et, en particulier*socio=uv, dans quelle mesure*socio=rien les objectifs*socio=rien ont-ils été*socio=rien atteints? Comment s'est*socio=rien déroulée pour la Banque*socio=ac la mise en oeuvre*socio=rien des projets*socio=rien et éléments*socio=rien de projets*socio=rien "nouveau*socio=rien style" visant à améliorer le rendement*socio=ec et le revenu*socio=ec *socio=rien du petit exploitant?*socio=nil *socio=nil Enfin et surtout, quels changements*socio=uv plus importants*socio=rien sont venus modifier les perspectives*socio=uv du*socio=rien développement*socio=uv agricole*socio=ec et rural*socio=te, et avec quelle *socio=rien incidence sur la*socio=nil nouvelle optique *socio=nil exposée à Nairobi*socio=te il y a *socio=rien cinq ans?*socio=nil Les*socio=nil résultats *socio=nil obtenus par la Banque*socio=ac au regard*socio=rien des objectifs*socio=rien fixés à Nairobi*socio=te sont relativement faciles*socio=rien à décrire. Tous les objectifs*socio=rien fixés ont été*socio=rien atteints. Au cours*socio=rien des exercices*socio=rien 1974 à 1978, les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac et de l'IDA*socio=ac en faveur*socio=rien de l'agriculture*socio=ec et du*socio=rien développement*socio=uv rural*socio=te se sont élevés*socio=rien à quelque 10,020 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour 363 projets*socio=rien , ce qui équivaut à 5,950 millions*socio=rien de dollars*socio=ec constants*socio=rien de 1973, année*socio=rien où ont été*socio=rien fixés les objectifs*socio=rien de Nairobi*socio=te. L'objectif*socio=rien de 4,400 millions*socio=rien de dollars*socio=ec a donc été*socio=rien dépassé largement - de quelque 35%. De plus, les prêts*socio=ec accordés pour l'agriculture*socio=ec et le développement*socio=uv rural*socio=te ont pratiquement doublé (en valeur*socio=ec réelle*socio=rien ) par rapport*socio=rien à la *socio=te période quinquennale précédente*socio=rien *socio=nil , celle des exercices*socio=rien 1969 à 1973. Au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée (exercice*socio=rien 1978), les prêts*socio=ec à l'agriculture*socio=ec ont concerné 88 projets*socio=rien et se sont élevés*socio=rien à 3,270 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, dépassant ainsi de beaucoup le record*socio=rien enregistré lors*socio=rien de l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien avec 2,308 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour 84 projets*socio=rien agricoles*socio=ec. Les résultats*socio=rien obtenus en ce qui concerne l'orientation*socio=et des prêts*socio=ec vers le groupe*socio=ac des petits*socio=rien exploitants*socio=ac sont également très encourageants*socio=uv. Au moins 75% des 363 projets*socio=rien approuvés pendant la *socio=te période quinquennale comprennent*socio=nil *socio=rien un élément d'*socio=nil aide*socio=uv aux*socio=nil petits exploitants*socio=ac.*socio=nil *socio=nil De plus, sur*socio=rien le *socio=rien volume total des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil consentis a l'agriculture*socio=ec pendant les exercices*socio=rien 1974 à 1978, plus de 50% s'appliquent à 210 projets_de_développement*socio=et rural*socio=te qui, d'après*socio=rien la définition*socio=rien de la Banque*socio=ac, sont des projets*socio=rien dont plus de la moitié*socio=rien des *socio=rien avantages directs sont*socio=nil censés *socio=nil revenir aux populations*socio=ac rurales*socio=te déshéritées. L'assistance*socio=et aux petits*socio=rien exploitants*socio=ac a donc représenté la *socio=rien principale part des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil accordés à ce secteur*socio=ec. Pendant l'exercice*socio=rien 1978, 49 projets_de_développement*socio=et rural*socio=te d'un*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de 1,728 millions*socio=rien de dollars*socio=ec ont été*socio=rien approuvés, ce qui représente 53% de l'ensemble*socio=rien des prêts*socio=ec accordés en faveur*socio=rien de l'agriculture*socio=ec et du*socio=rien développement*socio=uv rural*socio=te. Le pourcentage*socio=rien correspondant pour l'exercice*socio=rien 1973 était de 26% et pour la *socio=te période quinquennale *socio=nil 1969-73 il n'était que de 22%. La Banque*socio=ac a donc réussi à modifier sensiblement l'orientation*socio=et de ses prêts*socio=ec au profit*socio=ec *socio=rien du petit exploitant.*socio=nil Une*socio=nil question *socio=nil qui a été*socio=rien très débattue lorsqu'il a été*socio=rien proposé de réorienter les prêts*socio=ec vers le développement*socio=uv des petites*socio=rien exploitations*socio=ec était celle de savoir*socio=rien si l'on pourrait trouver *socio=rien un nombre suffisant de*socio=nil projets satisfaisant aux*socio=nil normes*socio=et *socio=nil fixées par la Banque*socio=ac en matière*socio=rien de *socio=ec rendement économique et*socio=nil financier.*socio=nil *socio=nil On s'est*socio=rien également demandé si ce type*socio=rien de projet*socio=rien susciterait parmi les pays_membres*socio=ac suffisamment d'intérêt*socio=uv et de volonté*socio=uv de participer pour que les objectifs*socio=rien concernant le montant*socio=ec des prêts*socio=ec soient atteints. Les résultats*socio=rien obtenus indiquent que ces préoccupations*socio=uv étaient en général*socio=rien exagérées. De plus, dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil cas,*socio=nil *socio=nil il s'est*socio=rien révélé possible*socio=rien , en bâtissant sur*socio=rien les *socio=rien premiers résultats *socio=nil obtenus avec *socio=rien un projet initial de*socio=nil développement*socio=uv rural*socio=te,*socio=nil *socio=nil de concevoir une série de *socio=rien projets connexes *socio=nil "de deuxième*socio=rien génération*socio=ac", souvent par l'intermédiaire*socio=rien des autorités*socio=et de l'État*socio=ac ou des autorités*socio=et régionales*socio=te et, parfois, dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et national*socio=te d'ensemble*socio=rien . La portée*socio=rien et l'envergure*socio=rien accrues de ces projets*socio=rien "de deuxième*socio=rien génération*socio=ac" sont *socio=rien un aspect important *socio=nil de l'expansion*socio=ec continue*socio=rien des prêts*socio=ec dans ce secteur*socio=ec; ces projets*socio=rien plus récents*socio=rien tiennent compte*socio=rien des *socio=rien premières leçons *socio=nil de l'expérience*socio=uv, ce qui améliore leur conception*socio=rien et leur efficacité*socio=uv. Le nombre*socio=rien de bénéficiaires*socio=ac des projets_de_développement*socio=et agricole*socio=ec et rural*socio=te sera sans *socio=rien doute important.*socio=nil D'*socio=nil après les*socio=nil estimations*socio=ec *socio=nil faites au moment*socio=rien de l'évaluation*socio=uv des projets*socio=rien , les prêts*socio=ec consentis à l'agriculture*socio=ec au cours*socio=rien de la *socio=te période quinquennale *socio=nil 1974-78 devraient contribuer au total*socio=rien à accroître les revenus*socio=ec de plus de 19 millions*socio=rien de familles*socio=uv agricoles*socio=ec, soit environ 115 millions*socio=rien de personnes*socio=rien faisant partie*socio=rien de ces familles*socio=uv. Grâce*socio=rien aux 88 projets_de_développement*socio=et agricole*socio=ec et rural*socio=te approuvés pendant le *socio=rien seul exercice *socio=nil 1978, quelque 28 millions*socio=rien de *socio=rien personnes sur *socio=nil les 43 millions*socio=rien et plus de bénéficiaires*socio=ac directs*socio=rien appartiennent, d'après*socio=rien les estimations*socio=ec, au groupe-cible des populations*socio=ac rurales*socio=te déshéritées. Il faut reconnaître cependant que ces estimations*socio=ec sont sujettes*socio=rien à une large*socio=rien marge d'erreur*socio=rien et qu'il y a des *socio=rien variations considérables d'*socio=nil un projet *socio=nil à l'autre, à la fois*socio=rien dans le montant*socio=ec et dans la répartition*socio=uv des avantages*socio=rien qu'en retirent les familles*socio=uv agricoles*socio=ec, selon la *socio=rien conception du projet,*socio=nil le*socio=nil type de*socio=nil projet,*socio=nil sa*socio=nil dimension *socio=nil et la *socio=uv situation particulière du*socio=rien pays*socio=ac.*socio=nil Une*socio=nil *socio=rien considération importante est la*socio=nil nécessité*socio=uv *socio=nil d'élargir l'impact*socio=rien des prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac par une *socio=rien meilleure conception des*socio=nil projets *socio=nil eux-mêmes et une augmentation*socio=uv *socio=rien du volume des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil consentis. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a pu déterminer le bien*socio=rien fondé d'un*socio=rien *socio=rien nombre croissant de*socio=nil projets *socio=nil dont le *socio=ec coût réel par*socio=nil bénéficiaire*socio=ac est*socio=rien relativement*socio=nil faible*socio=rien *socio=nil et aider à leur réalisation*socio=uv. En fin*socio=rien de compte*socio=rien , naturellement, les résultats*socio=rien obtenus par la Banque*socio=ac dans ce secteur*socio=ec, comme dans les autres, doivent se juger non pas d'après*socio=rien le succès*socio=uv ou l'impact*socio=rien escompté, mais d'après*socio=rien la façon*socio=rien dont le projet*socio=rien s'est*socio=rien déroulé et l'impact*socio=rien qu'il a effectivement eu. Parce que la *socio=rien grande majorité des*socio=nil projets "*socio=nil nouveau *socio=nil style" lancés pendant cette période*socio=te sont encore en cours*socio=rien d'exécution*socio=rien , et que les projets*socio=rien eux-mêmes visent à engendrer des améliorations*socio=uv progressives*socio=rien en *socio=rien un laps de*socio=nil temps relativement*socio=nil long *socio=nil - 10 à 12 années*socio=rien dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien - les données disponibles*socio=rien au sujet*socio=rien de l'impact*socio=rien des projets*socio=rien sont jusqu'à présent*socio=rien limitées. Les tout *socio=rien premiers projets *socio=nil semblent cependant avoir donné de *socio=rien bons résultats,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=uv *socio=nil dans les cas*socio=rien où existait une *socio=rien base technique bien définie *socio=nil pour l'amélioration*socio=uv de l'agriculture*socio=ec, ainsi qu'un*socio=rien *socio=rien système bien *socio=nil établi de livraison*socio=rien des facteurs*socio=rien de production*socio=ec aux agriculteurs*socio=ac (situation*socio=uv que l'on trouve le plus souvent dans les régions*socio=te irriguées ou dans le cas*socio=rien de cultures*socio=et permanentes se rattachant à des projets*socio=rien d'intensification*socio=rien des *socio=ec rendements agricoles)*socio=nil *socio=nil . Des cas*socio=rien plus difficiles*socio=rien sont ceux où la base*socio=rien de ressources_naturelles*socio=ec est*socio=rien pauvre*socio=uv, par exemple*socio=rien dans les zones*socio=te semi-arides et les *socio=te régions tropicales au*socio=nil sol *socio=nil épuisé, où les *socio=rien bases techniques *socio=nil sont peu développées*socio=rien ou inconnues. L'absence*socio=rien d'une série de *socio=rien recommandations techniques ayant*socio=nil fait leurs*socio=nil preuves *socio=nil va souvent de pair*socio=rien avec l'extrême*socio=rien faiblesse*socio=rien des systèmes*socio=rien de distribution*socio=rien , des institutions*socio=ac locales*socio=rien et de l'infrastructure*socio=ec rurale*socio=te, ce qui ne fait*socio=rien qu'aggraver les problèmes*socio=uv. C'est*socio=rien dans ce type*socio=rien de projet*socio=rien que la probabilité*socio=rien d'erreurs*socio=rien de *socio=rien conception est *socio=nil la plus grande*socio=rien , qu'il risque*socio=uv le plus d'y avoir des retards*socio=rien dans la mise en oeuvre*socio=rien et que le danger*socio=uv d'un*socio=rien échec*socio=uv *socio=rien final est plus*socio=nil net.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil procède avec précaution*socio=rien dans le cas*socio=rien de ces projets*socio=rien . Quelques projets*socio=rien d'assistance_technique*socio=et ou projets*socio=rien pilotes de développement*socio=uv ont bénéficié de son appui*socio=rien , et il sera peut-être nécessaire*socio=rien de faire une plus *socio=rien grande place *socio=nil à ces types de projets*socio=rien , dans le futur*socio=rien programme*socio=et de prêts*socio=ec, pour faire face*socio=rien aux besoins*socio=uv des régions*socio=te marginales. Des activités*socio=rien de recherche*socio=ec visant à développer encore la *socio=rien base technique de*socio=nil connaissances *socio=nil et à l'adapter*socio=rien à l'environnement*socio=ec local*socio=te sont prévues dans plus de la moitié*socio=rien des projets*socio=rien agricoles*socio=ec, et *socio=rien un certain nombre de*socio=nil projets récents *socio=nil sont destinés à fournir *socio=rien un appui plus*socio=nil complet aux*socio=nil systèmes et*socio=nil programmes*socio=et de*socio=nil recherche*socio=ec au*socio=nil niveau national*socio=te.*socio=nil Un facteur général *socio=nil qui a son importance*socio=rien dans les résultats*socio=rien d'un*socio=rien projet*socio=rien , s'agissant en particulier*socio=uv des projets*socio=rien pilotes ou des projets*socio=rien de caractère*socio=rien essentiellement expérimental*socio=rien , est*socio=rien la souplesse*socio=uv de *socio=rien conception du projet,*socio=nil *socio=nil qui permet d'y apporter des modifications*socio=rien au cours*socio=rien de la mise en oeuvre*socio=rien . Cela met en relief*socio=rien non seulement la nécessité*socio=uv de bien*socio=rien préparer les projets_de_développement*socio=et rural*socio=te, mais aussi l'importance*socio=rien critique*socio=uv d'une gestion*socio=et et d'une administration*socio=et de *socio=rien grande qualité,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=uv au*socio=nil cours des*socio=nil premières années *socio=nil de la mise en oeuvre*socio=rien . Dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac le*socio=nil personnel *socio=nil de la Banque*socio=ac, travaillant en *socio=rien étroite relation *socio=nil avec le gouvernement*socio=ac, a créé ou renforcé *socio=rien un cadre institutionnel *socio=nil pour la mise en oeuvre*socio=rien des projets*socio=rien , jetant ainsi les bases*socio=rien d'une approche plus *socio=rien large susceptible *socio=nil d'avoir d'importantes*socio=rien incidences*socio=rien allant au-delà des projets*socio=rien eux-mêmes. Ces nouveaux*socio=rien arrangements*socio=et peuvent entraîner une coopération*socio=uv plus étroite*socio=rien que par le passé*socio=rien entre les organisations*socio=ac qui participent aux projets*socio=rien , ce qui permet de mieux comprendre les besoins*socio=uv complexes des populations*socio=ac rurales*socio=te et d'organiser selon *socio=rien un ordre plus*socio=nil rationnel*socio=uv les*socio=nil activités de*socio=nil développement*socio=uv.*socio=nil Une*socio=nil assistance_technique*socio=et peut*socio=nil être *socio=nil fournie pour l'expansion*socio=ec ou le renforcement*socio=uv de la direction*socio=rien des projets*socio=rien . Des programmes*socio=et de *socio=et formation scolaire *socio=nil ou non constituent *socio=rien un élément important de*socio=nil nombre *socio=nil de ces projets*socio=rien , et la discipline*socio=uv et les efforts*socio=uv qu'exige la réalisation*socio=uv d'objectifs*socio=rien *socio=rien bien définis *socio=nil conformément à *socio=rien un calendrier *socio=nil donné constituent en soi*socio=rien une *socio=rien forme précieuse de*socio=nil formation*socio=et *socio=nil et d'amélioration*socio=uv des compétences*socio=uv. Si cependant *socio=rien un premier progrès*socio=uv a*socio=nil été fait *socio=nil dans l'amélioration*socio=uv des institutions*socio=ac locales*socio=rien pour les mettre a même d'aider le *socio=rien petit exploitant *socio=nil à accroître sa productivité*socio=ec et son revenu*socio=ec, il s'agit d'une tâche*socio=rien de *socio=rien longue haleine *socio=nil et, sur*socio=rien ce plan*socio=rien , il reste*socio=rien beaucoup à faire. Les premières*socio=rien données d'expérience*socio=uv glanées par la Banque*socio=ac contribuent aussi à mettre en *socio=rien lumière un certain nombre de*socio=nil cas *socio=nil où, avec le recul*socio=rien , on constate que la conception*socio=rien des projets*socio=rien et le rythme*socio=rien de mise en oeuvre*socio=rien étaient trop ambitieux*socio=uv, ce qui a entraîné des retards*socio=rien et des défaillances*socio=rien par rapport*socio=rien aux espérances*socio=uv initiales*socio=rien . Les leçons*socio=rien que l'on peut tirer des échecs*socio=uv aussi bien*socio=rien que des succès*socio=uv constituent *socio=rien un important aspect des*socio=nil activités *socio=nil consacrées aux projets*socio=rien , et la Banque*socio=ac essaie d'en tirer parti*socio=et en s'efforçant de développer et de renforcer les activités*socio=rien de contrôle*socio=uv et d'évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien des résultats*socio=rien donnés par les projets*socio=rien . L'un*socio=rien des aspects*socio=rien les plus *socio=rien délicats est *socio=nil la mise en place*socio=rien de systèmes*socio=rien dans lesquels les petits*socio=rien exploitants*socio=ac eux-mêmes ont leur mot*socio=rien à dire sur*socio=rien la façon*socio=rien dont les programmes*socio=et sont conçus et mis en oeuvre*socio=rien et sur*socio=rien la manière*socio=rien d'intégrer pleinement, dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien effort*socio=uv global*socio=rien , leurs compétences*socio=uv, leur connaissance*socio=uv *socio=rien technique du milieu agricole*socio=ec local*socio=te *socio=nil et leur aptitude*socio=rien à l'auto-assistance. La Banque*socio=ac participe à *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil études *socio=nil de ce problème*socio=uv crucial*socio=rien qui devraient aboutir à des solutions*socio=rien novatrices*socio=uv, niais il *socio=rien reste bien des*socio=nil choses *socio=nil à comprendre et à continuer de vérifier. La *socio=rien troisième question *socio=nil posée plus haut*socio=rien concernait les perspectives*socio=uv d'ensemble*socio=rien du*socio=rien développement*socio=uv agricole*socio=ec et rural*socio=te; ces perspectives*socio=uv ont-elles sensiblement changé depuis Nairobi*socio=te et, dans l'affirmative*socio=rien , comment ont-elles évolué? Le fait*socio=rien que la situation*socio=uv mondiale*socio=te actuelle*socio=rien s'est*socio=rien améliorée tant dans les pays*socio=ac développés*socio=rien que dans les pays_en_développement*socio=ac depuis la crise*socio=uv alimentaire*socio=ec générale*socio=rien de 1974, que la *socio=ec production alimentaire mondiale*socio=te *socio=nil a augmenté au cours*socio=rien des trois *socio=rien dernières années *socio=nil et que les stocks*socio=ec des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil *socio=rien produits alimentaires *socio=nil ont atteint des *socio=rien niveaux élevés *socio=nil ne doit pas faire oublier que, si la crise*socio=uv alimentaire*socio=ec s'est*socio=rien atténuée temporairement*socio=rien , elle n'a cependant pas disparu. L'amélioration*socio=uv *socio=rien générale récente *socio=nil dissimule d'importantes*socio=rien variations*socio=rien régionales*socio=te. L'Organisation_des_nations_unies_pour_l'_alimentation_et_l'_agricuure*socio=ac (FAO*socio=ac) estime*socio=rien que la *socio=ec production alimentaire mondiale*socio=te,*socio=nil qui*socio=nil est*socio=rien *socio=nil dominée par la production*socio=ec de céréales*socio=ec, s'est*socio=rien accrue d'environ 3% en 1975 et 1976, mais de 1,4% seulement en 1977. Au cours*socio=rien de cette *socio=rien dernière année la*socio=nil production*socio=ec des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil a augmenté de 2%, en *socio=rien grande partie à*socio=nil cause *socio=nil de l'accroissement*socio=ec de 4% enregistré en Inde*socio=ac. La *socio=ec production alimentaire du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac *socio=nil et de l'Afrique*socio=ac n'a pas augmenté du*socio=rien tout par rapport*socio=rien à 1976, et en amérique_latine*socio=ac elle ne s'est*socio=rien accrue que de 1%. Ces chiffres indiquent que la *socio=ec production alimentaire par*socio=nil habitant*socio=ac,*socio=nil *socio=nil pour l'ensemble*socio=rien des régions*socio=te en développement*socio=uv autres que l'Asie*socio=ac, a fléchi, et qu'une situation*socio=uv particulièrement difficile*socio=rien existe en Afrique*socio=ac où, selon la FAO*socio=ac, l'indice par habitant*socio=ac pour 1977 *socio=rien est inférieur *socio=nil de 10% à celui de la période*socio=te 1961-65. Des projections*socio=et fondées sur*socio=rien des données recueillies par la FAO*socio=ac au sujet*socio=rien de la production*socio=ec et de la consommation*socio=ec indiquent que d'ici à 1990 on peut s'attendre à voir les déficits*socio=ec alimentaires*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac se situer entre 120 et 145 millions*socio=rien de tonnes, c'est-à-dire augmenter au minimum*socio=rien de 80 millions*socio=rien de tonnes par rapport*socio=rien à 1975. On estime*socio=rien que les projets_de_développement*socio=et agricole*socio=ec et rural*socio=te bénéficiant de l'assistance*socio=et de la Banque*socio=ac et de l'IDA*socio=ac entraîneront une augmentation*socio=uv supplémentaire*socio=rien de la production*socio=ec de 13 millions*socio=rien de tonnes de céréales*socio=ec par an*socio=rien vers la fin*socio=rien des années*socio=rien 1980, ce qui représente environ 10% seulement du*socio=rien déficit*socio=ec prévu. Dans quelle mesure*socio=rien les pays_en_développement*socio=ac seront-ils en mesure*socio=rien d'importer cette quantité*socio=rien de *socio=rien produits alimentaires aux*socio=nil conditions*socio=uv habituelles du commerce*socio=ec?*socio=nil *socio=nil A une *socio=rien extrémité du spectre *socio=nil il y a les pays*socio=ac de l'OPEP*socio=ac et certains pays*socio=ac relativement développés*socio=rien d'Asie*socio=ac qui ont une *socio=ec industrie manufacturière *socio=nil avancée et qui perçoivent d'importantes*socio=rien recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec. Grâce*socio=rien à ces recettes*socio=ec, ils devraient être*socio=rien en mesure*socio=rien d'importer les 30 à 35 millions*socio=rien de tonnes de *socio=rien produits alimentaires *socio=nil dont ils auront sans doute*socio=rien besoin*socio=uv vers 1990. De même, les pays*socio=ac à revenu*socio=ec *socio=rien moyen du Moyen-orient*socio=ac *socio=nil et d'amérique_latine*socio=ac qui ne font pas partie*socio=rien de l'OPEP*socio=ac devraient pouvoir*socio=et acheter aux conditions*socio=uv *socio=rien habituelles du marché*socio=ec *socio=nil les 20 à 25 millions*socio=rien de tonnes de *socio=rien produits alimentaires *socio=nil dont ils pourront avoir besoin*socio=uv en 1990. Le *socio=rien véritable noeud du problème*socio=uv alimentaire*socio=ec mondial*socio=te *socio=nil se situe au niveau*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec d'Asie_du_sud*socio=ac et d'Afrique*socio=ac dont la *socio=ec production alimentaire est*socio=rien déficitaire *socio=nil et où vivent les deux tiers*socio=rien de la population*socio=ac des pays_en_développement*socio=ac. Bien*socio=rien que leur *socio=ec déficit alimentaire actuel*socio=rien soit*socio=nil faible*socio=rien *socio=nil - 12 millions*socio=rien de tonnes seulement en 1975 - on pense qu'il pourrait passer à 80 millions*socio=rien de tonnes d'ici à 1990. Si l'on compare les déficits*socio=ec ainsi prévus et les recettes*socio=ec en devises*socio=ec auxquelles ces pays*socio=ac peuvent s'attendre, on constate qu'il y a peu de chances*socio=rien qu'un*socio=rien tel *socio=ec déficit alimentaire puisse*socio=nil être*socio=rien *socio=nil comblé par des achats*socio=ec aux conditions*socio=uv *socio=rien habituelles du marché*socio=ec.*socio=nil *socio=nil On s'accorde par conséquent*socio=rien à reconnaître que ces pays*socio=ac doivent produire sur*socio=rien leur propre*socio=rien sol*socio=te les *socio=rien denrées alimentaires supplémentaires *socio=nil dont ils ont besoin*socio=uv et que, pour cela, il leur faut prendre de *socio=rien difficiles décisions de*socio=nil principe.*socio=nil Les*socio=nil problèmes*socio=uv que*socio=nil nombre des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil les plus pauvres*socio=uv rencontrent sur*socio=rien le plan*socio=rien de la *socio=ec production alimentaire et*socio=nil du*socio=rien développement*socio=uv agricole *socio=nil sont l'un*socio=rien des facteurs*socio=rien qui expliquent l'importance*socio=rien accordée au développement*socio=uv rural*socio=te dans le discours*socio=rien prononcé à Nairobi*socio=te en 1973. Le *socio=rien petit exploitant agricole*socio=ec est un élément critique*socio=uv *socio=nil en tant que producteur*socio=ac de céréales*socio=ec vivrières et d'autres *socio=rien denrées alimentaires *socio=nil dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac fortement déficitaires*socio=ec sur*socio=rien le plan*socio=rien alimentaire*socio=ec. *socio=rien Un deuxième facteur *socio=nil était le fait*socio=rien qu'il existait toute une série de données encore provisoires*socio=rien , mais de plus en plus complètes, mettant en relief*socio=rien l'importance*socio=rien primordiale*socio=rien d'une amélioration*socio=uv des conditions_économiques*socio=ec et sociales*socio=ac dans l'effort*socio=uv visant à ralentir l'accroissement*socio=ec de la population*socio=ac par *socio=rien un abaissement des*socio=nil taux de*socio=nil natalité*socio=et.*socio=nil Le*socio=nil diagnostic *socio=nil présenté à Nairobi*socio=te n'a guère été*socio=rien démenti; malheureusement, tout indique que la pauvreté*socio=uv rurale*socio=te massive*socio=rien , soutenue et accentuée par l'accroissement*socio=ec de la population*socio=ac rurale*socio=te, par *socio=rien un manque de*socio=nil terres *socio=nil et par l'insuffisance*socio=rien des systèmes*socio=rien d'appui*socio=rien , est*socio=rien une *socio=rien caractéristique permanente *socio=nil de la plupart*socio=rien des pays_membres*socio=ac de la Banque*socio=ac. Les mesures*socio=rien préconisées par le Président*socio=rien Mcnamara*socio=ac sont toujours valables*socio=rien en tant qu'éléments*socio=rien indispensables*socio=uv des solutions*socio=rien au problème*socio=uv de la pauvreté*socio=uv - *socio=et réforme agraire et*socio=nil réforme du*socio=rien régime foncier*socio=ec,*socio=nil crédit*socio=ec,*socio=nil systèmes*socio=rien *socio=nil d'adduction d'eau*socio=ec, vulgarisation*socio=rien , formation*socio=et et recherche*socio=ec - sans parler des "nouvelles*socio=rien formes*socio=rien d'institutions*socio=ac et organisations*socio=ac rurales*socio=te qui accorderont autant d'attention*socio=rien à la mise en valeur*socio=ec du*socio=rien potentiel*socio=uv et de la productivité*socio=ec des pauvres*socio=ac qu'on en accorde en général*socio=rien à la protection*socio=et du*socio=rien pouvoir*socio=et des privilégiés*socio=rien ". Cependant, en partie*socio=rien à *socio=rien cause du plus*socio=nil large impact du discours de*socio=nil Nairobi*socio=te,*socio=nil *socio=nil on a constaté ces *socio=rien dernières années *socio=nil que le problème*socio=uv de la pauvreté*socio=uv retenait davantage l'attention*socio=rien et que s'amplifiaient les efforts*socio=uv nationaux*socio=te et internationaux*socio=te (par exemple*socio=rien ceux de la famille*socio=uv d'institutions*socio=ac des nations_unies*socio=ac et d'organismes*socio=ac de création*socio=rien plus récente*socio=rien comme le Fonds_international_pour_le_développement_agricole*socio=ac) au profit*socio=ec des populations*socio=ac déshéritées de la campagne*socio=rien . Comme les efforts*socio=uv entrepris avec l'appui*socio=rien de la Banque*socio=ac par l'intermédiaire*socio=rien de ses projets*socio=rien agricoles*socio=ec, il reste*socio=rien encore à évaluer pleinement l'impact*socio=rien d'une *socio=rien grande partie *socio=nil de ces *socio=rien initiatives récentes *socio=nil et, dan, la Plupart*socio=rien des cas*socio=rien , leurs résultats*socio=rien sont encore à attendre. L'élan*socio=rien donné au développement*socio=uv rural*socio=te *socio=rien reste faible *socio=nil et sporadique eu égard*socio=rien à l'immensité du*socio=rien problème*socio=uv, mais *socio=rien un premier *socio=nil pas a *socio=rien été fait *socio=nil et l'expérience*socio=uv acquise*socio=rien sera précieuse*socio=rien pour les gouvernements*socio=ac qui ont à s'attaquer aux nombreux*socio=rien et formidables problèmes*socio=uv restant à résoudre. Mise en valeur*socio=ec des ressources*socio=ec de minéraux*socio=ec et de combustibles*socio=ec. La régularité de l'approvisionnement*socio=ec en minéraux*socio=ec non combustibles*socio=ec et matières*socio=rien minérales énergétiques*socio=ec est*socio=rien une nécessité*socio=uv vitale*socio=rien pour la santé*socio=et de l'économie*socio=ec mondiale*socio=te. L'exploitation*socio=ec de ces ressources*socio=ec a une importance*socio=rien particulière*socio=uv pour les pays_en_développement*socio=ac où se trouvent les gisements*socio=ec. Les minéraux*socio=ec non combustibles*socio=ec peuvent être*socio=rien une *socio=rien source majeure de*socio=nil *socio=ec devises étrangères *socio=nil et de recettes*socio=ec intérieures*socio=rien . Ils peuvent contribuer aussi à stimuler le développement*socio=uv dans d'autres secteurs*socio=ec. Pour les pays_en_développement*socio=ac, la réduction*socio=uv des importations*socio=ec de produits*socio=rien pétroliers*socio=ec a une *socio=rien importance évidente;*socio=nil *socio=nil pratiquement toutes les nations*socio=te en développement*socio=uv ont d'excellentes raisons*socio=rien de mettre en valeur*socio=ec les sources*socio=rien énergétiques*socio=ec indigènes le plus rapidement possible*socio=rien . Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien écoulé, la Banque*socio=ac a réévalué sa politique*socio=et de prêts*socio=ec dans ces deux domaines*socio=rien et l'a modifiée pour mieux l'adapter*socio=rien aux besoins*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac. Toute *socio=rien modification profonde du système actuel de*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil devra cependant être*socio=rien envisagée compte*socio=rien tenu des ressources*socio=ec dont la Banque*socio=ac peut disposer. Minéraux*socio=ec non combustibles*socio=ec. Le point*socio=rien de vite des pays_en_développement*socio=ac sur*socio=rien la manière*socio=rien d'exploiter les ressources*socio=ec minérales et celui des investisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv privés*socio=ec ont eu tendance*socio=rien , ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil à diverger plutôt qu'à se rapprocher. Les pays_en_développement*socio=ac qui possèdent des réserves*socio=ec de minéraux*socio=ec se sont montrés de plus en plus mécontents *socio=rien du système *socio=nil d'"enclaves" qui était caractéristique*socio=rien des arrangements*socio=et conclus dans le passé*socio=rien . On commence à reconnaître en général*socio=rien que ces pays*socio=ac doivent avoir davantage voix*socio=rien au chapitre*socio=rien dans les décisions*socio=rien concernant l'exploitation*socio=ec des ressources*socio=ec minérales et que la répartition*socio=uv des avantages*socio=rien économiques*socio=ec et sociaux*socio=ac que procurent les entreprises*socio=ac minières*socio=ec devrait être*socio=rien plus équilibrée. Mais les compagnies*socio=ac *socio=ec minières étrangères *socio=nil et les investisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv ont hésité à consacrer d'importants*socio=rien capitaux*socio=ec à des entreprises*socio=ac minières*socio=ec dans des pays*socio=ac qui paraissent politiquement*socio=et instables*socio=uv ou bien*socio=rien dans ceux où il y a un*socio=rien risque*socio=uv sérieux*socio=rien que le gouvernement*socio=ac hôte*socio=rien modifie les conditions*socio=uv des accords*socio=et d'investissement*socio=ec. L'incertitude*socio=uv régnant à ce *socio=rien sujet est *socio=nil peut-être la principale*socio=rien raison*socio=uv pour laquelle les investissements*socio=ec consacrés à l'exploitation*socio=ec minérale, en particulier*socio=uv sous forme*socio=rien de prise*socio=rien de participation*socio=uv, sont surtout allés, ces deux *socio=rien dernières décennies,*socio=nil aux*socio=nil pays*socio=ac développés.*socio=nil Les*socio=nil institutions_financières*socio=ec internationales*socio=te *socio=nil - la banque_mondiale*socio=ac, l'IDA*socio=ac et la SFI*socio=ac, ainsi que les banques*socio=ac régionales*socio=te de développement*socio=uv - peuvent aider à rapprocher les points*socio=rien de vite des *socio=ac pays producteurs *socio=nil et des compagnies*socio=ac *socio=ec minières étrangères *socio=nil en assurant une "présence*socio=rien " internationale*socio=te dans les *socio=ec exploitations minières.*socio=nil Les*socio=nil accords*socio=et régissant*socio=rien les*socio=nil projets*socio=rien *socio=nil dans lesquels une des institutions_financières*socio=ec internationales*socio=te *socio=rien est un partenaire*socio=uv actif *socio=nil ont plus de chances*socio=rien d'être*socio=rien considérés comme équitables*socio=uv par toutes les parties*socio=rien et, en conséquence*socio=rien , de durer. De cette manière*socio=rien , les investissements*socio=ec étrangers*socio=uv - et en particulier*socio=uv les capitaux*socio=ec à risques*socio=uv - devraient être*socio=rien plus faciles*socio=rien à trouver que par le passé*socio=rien pour la production*socio=ec minérale dans les pays_en_développement*socio=ac. Dans la pratique*socio=rien , le rôle*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac en tant que "catalyseur*socio=rien actif*socio=rien " serait le suivant*socio=rien : - Aider à préparer des projets*socio=rien et fournir une assistance*socio=et dès les premiers*socio=rien stades*socio=te. Une telle *socio=rien préparation est nécessaire *socio=nil parce que les projets*socio=rien miniers*socio=ec, qui font en général*socio=rien intervenir toute une série d'arrangements*socio=et connexes*socio=rien d'ordre*socio=rien technique*socio=rien , financier*socio=ec, juridique*socio=et et commercial*socio=ec, sont parmi les projets*socio=rien les plus complexes et les plus coûteux*socio=ec du*socio=rien monde*socio=te. Par son intervention*socio=et, la Banque*socio=ac pourrait être*socio=rien en mesure*socio=rien d'aider toutes les parties*socio=rien à conclure des accords*socio=et qui soient justes*socio=uv et qui aient une *socio=rien chance raisonnable d'*socio=nil être *socio=nil respectés ou d'être*socio=rien négociés conformément à des règles*socio=et convenues, et d'encourager les parties*socio=rien à s'entendre sur*socio=rien la procédure*socio=rien à suivre pour le règlement*socio=et des différends*socio=uv, y compris, dans les cas*socio=rien appropriés, à avoir recours*socio=rien au CIRDI. - Aider les pays_en_développement*socio=ac à déterminer leurs ressources*socio=ec, à élaborer une stratégie*socio=et pour l'exploitation*socio=ec de ces ressources*socio=ec et à se procurer les connaissances*socio=rien , *socio=rien techniques nécessaires *socio=nil pour concevoir, organiser et exploiter des entreprises*socio=ac minières*socio=ec. Pour s'acquitter de ces fonctions*socio=rien et maintenir une "présence*socio=rien effective*socio=rien ", la Banque*socio=ac doit cependant *socio=rien être prête *socio=nil à assurer une *socio=rien part importante du financement*socio=ec des*socio=nil projets *socio=nil concernant des minéraux*socio=ec non combustibles*socio=ec. Cette part*socio=rien pourrait représenter en moyenne*socio=rien 15% environ du*socio=rien coût*socio=ec total*socio=rien des projets*socio=rien , mais elle peut varier sensiblement. Les investissements*socio=ec *socio=rien bruts nécessaires *socio=nil dans le secteur*socio=ec des produits*socio=rien minéraux*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac, pour la période*socio=te 1976-85, sont estimés à un*socio=rien chiffre n'atteignant pas moins de 95 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Sur*socio=rien ce montant*socio=ec, les deux tiers*socio=rien au moins devront sans doute*socio=rien provenir de sources*socio=rien *socio=ec privées étrangères.*socio=nil *socio=nil On s'accorde à reconnaître, dans ce secteur*socio=ec, qu'à moins que les dépenses*socio=ec consacrées à un*socio=rien accroissement*socio=ec de la capacité*socio=rien de *socio=ec production minière *socio=nil ne commencent à s'accélérer d'ici peu, l'offre*socio=rien de certains minéraux*socio=ec essentiels*socio=uv sera inférieure*socio=rien à la demande*socio=ec au cours*socio=rien des années*socio=rien 1980, *socio=rien du fait *socio=nil qu'il faut dix ans*socio=rien ou plus pour ouvrir une *socio=rien nouvelle mine.*socio=nil *socio=nil A l'heure*socio=rien actuelle*socio=rien , les perspectives*socio=uv d'accroissement*socio=ec des investissements*socio=ec consacrés à ce secteur*socio=ec sont assombries par l'état*socio=rien dépressif du*socio=rien marché*socio=ec de la plupart*socio=rien des minéraux*socio=ec. Il faudra encore *socio=rien un an *socio=nil ou deux avant que les effets*socio=rien de l'offre*socio=rien *socio=rien excédentaire actuelle *socio=nil ne s'estompent et que les investisseurs*socio=ac ne soient disposés à envisager la mise en place*socio=rien d'entreprises*socio=ac nouvelles*socio=rien . La Banque*socio=ac espère pouvoir*socio=et aider sous peu à financer deux ou trois projets*socio=rien par an*socio=rien , et doubler ce nombre*socio=rien aussitôt que la demande*socio=ec de minéraux*socio=ec aura repris de la fermeté*socio=rien . Pour les raisons*socio=rien mentionnées ci-dessus, les prêts*socio=ec et crédits*socio=ec accordés par la Banque*socio=ac pour des projets*socio=rien miniers*socio=ec seront associés*socio=rien à *socio=rien un volume *socio=nil beaucoup plus important*socio=rien d'investissements*socio=ec, tant étrangers*socio=uv qu'intérieurs*socio=rien . Combustibles*socio=ec. La nécessité*socio=uv d'accroître l'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac pour la mise en valeur*socio=ec des sources*socio=rien énergétiques*socio=ec - essentiellement le pétrole*socio=ec, le gaz*socio=ec naturel*socio=rien et le charbon*socio=ec - est*socio=rien plus urgente*socio=uv encore que pour les minéraux*socio=ec non combustibles*socio=ec, et cela vaut pour *socio=rien un nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil beaucoup plus élevé*socio=rien . Jusqu'à ces *socio=rien derniers temps la*socio=nil Banque*socio=ac s'*socio=nil est *socio=nil abstenue de financer des projets*socio=rien portant sur*socio=rien la production*socio=ec de pétrole*socio=ec, et cela pour deux *socio=rien raisons principales:*socio=nil *socio=nil avant 1973, la production*socio=ec de pétrole*socio=ec dans la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac n'était pas rentable*socio=ec aux prix*socio=ec en vigueur*socio=uv sur*socio=rien les marchés*socio=ec internationaux*socio=te et l'offre*socio=rien provenant de sources*socio=rien à faible*socio=rien prix*socio=ec de revient, situées essentiellement au Moyen-orient*socio=ac, était de plus en plus abondante*socio=rien ; d'un*socio=rien autre côté*socio=rien , lorsque les justifications économiques*socio=ec ne faisaient aucun doute*socio=rien , les *socio=ec moyens financiers privés *socio=nil étaient en général*socio=rien facilement disponibles*socio=rien . Après*socio=rien les importantes*socio=rien hausses des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec qui sont intervenues à partir de la fin*socio=rien de 1973 et qui ont sensiblement amélioré les perspectives*socio=uv économiques*socio=ec de la production*socio=ec à partir de sources*socio=rien à prix*socio=ec de revient plus élevé*socio=rien , la Banque*socio=ac a commencé à revoir sa politique*socio=et de prêts*socio=ec pour la mise en valeur*socio=ec des sources*socio=rien énergétiques*socio=ec. Des études*socio=rien effectuées récemment par la Banque*socio=ac montrent que: - Quelque 50 à 60 *socio=ac pays_en_développement importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec *socio=nil auraient la possibilité*socio=rien de produire du*socio=rien pétrole*socio=ec et/ou du*socio=rien gaz*socio=ec. Quatorze seulement d'entre eux sont actuellement des producteurs*socio=ac. - Les prix*socio=ec *socio=rien actuels du pétrole*socio=ec *socio=nil justifient l'exploration*socio=rien et la mise en valeur*socio=ec de nombreux*socio=rien gisements*socio=ec jusqu'à présent*socio=rien considérés comme non rentables*socio=ec. - Une exploitation*socio=ec plus intensive*socio=rien des gisements*socio=ec de pétrole*socio=ec dans les *socio=ac pays_en_développement importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec *socio=nil aurait des avantages*socio=rien non négligeables*socio=rien . - La plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac, cependant, n'ont pas les *socio=rien connaissances techniques *socio=nil et les *socio=ec ressources financières nécessaires*socio=rien *socio=nil pour exploiter leur potentiel*socio=uv, et ils n'ont pas non plus l'expérience*socio=uv indispensable*socio=uv pour élaborer une stratégie*socio=et concernant ce secteur*socio=ec. Ils ont besoin*socio=uv d'être*socio=rien conseillés pour prendre des *socio=rien décisions sur les*socio=nil techniques *socio=nil à utiliser et sur*socio=rien la manière*socio=rien de les appliquer dans les meilleures*socio=rien conditions*socio=uv. Le 30 juin*socio=rien 1977, la Banque*socio=ac a accordé son premier*socio=rien prêt*socio=ec pour l'exploitation*socio=ec de gisements*socio=ec de pétrole*socio=ec et de gaz*socio=ec; il s'agissait d'un*socio=rien prêt*socio=ec de 150 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, octroyé à l'Inde*socio=ac pour la mise en valeur*socio=ec du*socio=rien gisement offshore de Bombay High*socio=rien . Au *socio=rien début du même*socio=nil mois,*socio=nil les*socio=nil gouvernements*socio=ac *socio=nil représentés à la *socio=rien Conférence sur la*socio=nil coopération*socio=uv économique*socio=ec internationale*socio=te *socio=nil (CCEI) avaient invité la Banque*socio=ac à étendre sa participation*socio=uv à la coopération*socio=uv économique*socio=ec dans les pays_en_développement*socio=ac, en particulier*socio=uv dans ceux qui sont importateurs*socio=ac d'énergie*socio=ec, afin d'évaluer le montant*socio=ec des capitaux*socio=ec disponibles*socio=rien pour des investissements*socio=ec dans l'exploration*socio=rien et la mise en valeur*socio=ec des *socio=ec ressources énergétiques.*socio=nil La*socio=nil Conférence*socio=rien *socio=nil avait également demandé à la Banque*socio=ac de servir de catalyseur*socio=rien pour stimuler les courants*socio=rien de capitaux*socio=ec destinés à l'exploitation*socio=ec des sources*socio=rien d'énergie*socio=ec. Plus tard dans la même année*socio=rien , une *socio=rien nouvelle Division des*socio=nil projets pétroliers*socio=ec a*socio=nil été *socio=nil créée au *socio=rien sein du Département*socio=ac énergie,*socio=nil eaux et*socio=nil télécommunications *socio=nil de la Banque*socio=ac, afin d'accélérer encore le traitement*socio=rien des demandes*socio=uv d'assistance*socio=et présentées par les gouvernements*socio=ac membres*socio=rien pour le secteur*socio=ec de l'énergie*socio=ec. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1978, la Banque*socio=ac a envoyé des missions dans une *socio=rien bonne douzaine de*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil pour identifier et préparer des projets*socio=rien concernant la production*socio=ec de pétrole*socio=ec et de gaz*socio=ec. Les activités*socio=rien de la Banque*socio=ac dans ce secteur*socio=ec sont donc en progression*socio=uv, mais des questions*socio=rien subsistent: à quel rythme*socio=rien et dans quelle mesure*socio=rien la Banque*socio=ac peut-elle développer ses opérations*socio=rien ? Et quel devrait être*socio=rien le *socio=rien principal rôle *socio=nil de la Banque*socio=ac pour ce qui est*socio=rien d'aider à financer des projets*socio=rien dans ce secteur*socio=ec? Comme dans le cas*socio=rien des minéraux*socio=ec non combustibles*socio=ec - et cela est*socio=rien encore plus vrai*socio=rien dans ce secteur*socio=ec - la Banque*socio=ac peut n'espérer financer qu'une *socio=rien petite partie des*socio=nil besoins*socio=uv financiers*socio=ec.*socio=nil *socio=nil On a estimé en gros*socio=rien qu'au cours*socio=rien de la *socio=rien prochaine décennie le*socio=nil total des*socio=nil besoins*socio=uv financiers*socio=ec au*socio=nil titre *socio=nil de la mise en valeur*socio=ec des *socio=ec ressources pétrolières (*socio=nil exploration*socio=rien ,*socio=nil production et*socio=nil installations*socio=rien ou*socio=nil services en*socio=nil aval*socio=rien *socio=nil ) sera, dans les *socio=ac pays_en_développement importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec,*socio=nil *socio=nil de l'ordre*socio=rien d'environ 6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par an*socio=rien (en dollars*socio=ec de 1975). La plus *socio=rien grande partie *socio=nil de ces fonds*socio=ec devra venir d'investisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv et des nations*socio=te productrices*socio=ac; les institutions_financières*socio=ec internationales*socio=te comme la Banque*socio=ac n'auraient à assurer que les apports*socio=rien financiers*socio=ec nécessaires*socio=rien pour permettre à ces pays*socio=ac d'assumer la responsabilité*socio=uv de l'évaluation*socio=uv et de la supervision*socio=rien des projets*socio=rien et pour aider les nations*socio=te productrices*socio=ac à mobiliser l'ensemble*socio=rien des *socio=ec moyens financiers nécessaires*socio=rien *socio=nil , y compris à s'assurer le cofinancement*socio=ec d'autres institutions*socio=ac extérieures*socio=te. Dans ce secteur*socio=ec lui aussi, par conséquent*socio=rien , le *socio=rien principal rôle *socio=nil de la Banque*socio=ac serait *socio=rien un rôle de*socio=nil catalyseur.*socio=nil Des*socio=nil prêts*socio=ec symboliques *socio=nil suffiraient pour assurer une présence*socio=rien internationale*socio=te adéquate*socio=uv dans des projets*socio=rien laissant entrevoir la possibilité*socio=rien de réaliser d'importants*socio=rien bénéfices*socio=ec; dans d'autres cas*socio=rien , il pourrait *socio=rien être nécessaire *socio=nil que la Banque*socio=ac prenne en charge*socio=uv une partie*socio=rien beaucoup plus *socio=rien importante du financement*socio=ec des*socio=nil projets.*socio=nil *socio=nil Étant donné que la Banque*socio=ac ne s'occupe que depuis relativement peu de *socio=rien temps du *socio=ec secteur pétrolier,*socio=nil *socio=nil on ne peut prévoir avec certitude*socio=rien à quelle échelle*socio=rien il conviendra qu'elle accorde des prêts*socio=ec. Cependant, d'après*socio=rien les travaux*socio=rien d'identification*socio=rien et de préparation*socio=rien des projets*socio=rien qui ont déjà été*socio=rien effectués, on peut s'attendre que le programme*socio=et de prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac pour la production*socio=ec de pétrole*socio=ec et de gaz*socio=ec serait de l'ordre*socio=rien de 500 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour huit projets*socio=rien par an*socio=rien à partir de l'exercice*socio=rien 1981. Le financement*socio=ec des activités*socio=rien d'exploration*socio=rien étant *socio=rien un domaine *socio=nil qu'il vaut mieux laisser aux capitaux*socio=ec à risques*socio=uv, la Banque*socio=ac n'aurait qu'un*socio=rien *socio=rien rôle mineur *socio=nil à jouer, *socio=rien un rôle marginal,*socio=nil *socio=nil et seulement dans des *socio=rien cas particuliers,*socio=nil par*socio=nil exemple *socio=nil pour les travaux*socio=rien de reconnaissance*socio=rien géologique, géochimique et géophysique et pour une meilleure*socio=rien évaluation*socio=uv des gisements*socio=ec qui paraissent prometteurs*socio=rien . L'accent*socio=rien mis sur*socio=rien les problèmes*socio=uv pétroliers*socio=ec ne doit pas dissimuler le fait*socio=rien que le pétrole*socio=ec ne représente qu'une des dimensions*socio=rien des besoins*socio=uv énergétiques*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac. Il ne faut pas se lancer dans de *socio=rien nouvelles initiatives *socio=nil et entreprendre de nouvelles*socio=rien dépenses*socio=ec pour la mise en valeur*socio=ec des ressources*socio=ec de pétrole*socio=ec au détriment*socio=rien de l'exploitation*socio=ec du*socio=rien charbon*socio=ec ou de l'énergie*socio=ec hydraulique*socio=ec, géothermique, etc:, lorsque cela *socio=rien est possible;*socio=nil *socio=nil il ne faut pas non plus négliger les investissements*socio=ec dans la production*socio=ec d'énergie*socio=ec hydraulique*socio=ec, thermique*socio=rien et géothermique pour se hâter d'entreprendre de *socio=rien nouveaux projets pétroliers*socio=ec.*socio=nil Les*socio=nil investissements*socio=ec *socio=nil consacrés par la Banque*socio=ac et par l'IDA*socio=ac à la production*socio=ec d'énergie*socio=ec - depuis 1948 dans le cas*socio=rien de la Banque*socio=ac - ont totalisé jusqu'à présent*socio=rien près de 10 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec; lorsqu'un*socio=rien avantage_comparatif*socio=ec continue*socio=rien d'exister dans ce domaine*socio=rien , les investissements*socio=ec se poursuivront. La Banque*socio=ac a commencé aussi à réévaluer les sources*socio=rien énergétiques*socio=ec non commerciales*socio=ec traditionnelles*socio=rien , qui fournissent encore la moitié*socio=rien environ de l'énergie*socio=ec nécessaire*socio=rien dans les pays_en_développement*socio=ac et plus de 85% de l'énergie*socio=ec utilisée par les 2,200 millions*socio=rien de personnes*socio=rien vivant dans les *socio=te régions rurales *socio=nil de ces pays*socio=ac. Il existe de *socio=rien grandes possibilités *socio=nil de poursuivre et même d'accroître l'exploitation*socio=ec des sources*socio=rien d'énergie*socio=ec qui existent dans les *socio=te régions rurales,*socio=nil *socio=nil avec les *socio=rien avantages considérables *socio=nil que cela comporte sur*socio=rien le plan*socio=rien économique*socio=ec et social*socio=ac et sur*socio=rien celui de l'environnement*socio=ec. Il ne serait pas nécessaire*socio=rien pour cela de recourir à des *socio=rien techniques nouvelles *socio=nil et complexes, il suffirait plutôt d'appliquer directement, ou en les adaptant, les *socio=rien connaissances techniques de*socio=nil base *socio=nil qui existent habituellement dans les pays_en_développement*socio=ac. Dans les projets_de_développement*socio=et rural*socio=te et les *socio=rien projets relatifs *socio=nil à l'infrastructure*socio=ec auxquels la Banque*socio=ac fournit son assistance*socio=et, une attention*socio=rien particulière*socio=uv est*socio=rien déjà accordée à l'énergie*socio=ec, par exemple*socio=rien à la production*socio=ec, à la transformation*socio=uv et à l'utilisation*socio=rien *socio=rien du bois de*socio=nil chauffage *socio=nil et des déchets*socio=ec d'origine*socio=rien agricole*socio=ec et animale. L'exploitation*socio=ec des ressources*socio=ec en bois*socio=rien de chauffage*socio=rien a été*socio=rien prévue dans 1,4 des 34 projets*socio=rien de la Banque*socio=ac portant sur*socio=rien la "foresterie*socio=et", et dans 11 des 22 projets_de_développement*socio=et rural*socio=te comportant *socio=rien un élément foresterie*socio=et,*socio=nil *socio=nil qui ont été*socio=rien approuvés ou programmés pour les exercices*socio=rien 1976-80. Dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil projets la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a encouragé les gouvernements*socio=ac membres*socio=rien à reconnaître l'importance*socio=rien de ces sources*socio=rien d'énergie*socio=ec. En outre elle a accordé *socio=rien un appui financier*socio=ec *socio=nil pour la mise au point*socio=rien et l'exploitation*socio=ec de systèmes*socio=rien peu coûteux*socio=ec appropriés aux conditions*socio=uv locales*socio=rien : par exemple*socio=rien , *socio=rien utilisation pratique *socio=nil de l'énergie*socio=ec solaire*socio=rien dans les hauts*socio=rien plateaux de Bolivie*socio=ac, amélioration*socio=uv du*socio=rien rendement*socio=ec des l'ours à charbon*socio=ec de bois*socio=rien utilisés par les petits*socio=rien exploitants*socio=ac aux Philippines*socio=ac, et amélioration*socio=uv du*socio=rien rendement*socio=ec des fourneaux de cuisine dans plusieurs pays*socio=ac. L'emploi*socio=ec dans le secteur*socio=ec non agricole*socio=ec et les activités*socio=rien rurales*socio=te. Dans le *socio=rien Rapport annuel *socio=nil pour l'exercice*socio=rien 1977 il était noté que la Banque*socio=ac était prête*socio=rien à accorder une attention*socio=rien accrue au développement*socio=uv des petites*socio=rien entreprises*socio=ac (PE) parce qu'elle était consciente*socio=uv *socio=rien du fait *socio=nil que les PE peuvent souvent utiliser efficacement les ressources*socio=ec relativement abondantes*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac et que cette création_d'_emplois*socio=ec est*socio=rien à l'avantage des populations*socio=ac pauvres*socio=uv des *socio=te zones urbaines et*socio=nil du*socio=rien secteur*socio=ec rural non*socio=nil agricole*socio=ec.*socio=nil Au*socio=nil cours*socio=rien *socio=nil de l'exercice*socio=rien 1978, la Banque*socio=ac s'est*socio=rien intéressée au rôle*socio=rien que les entreprises*socio=ac rurales*socio=te peuvent jouer dans la création*socio=rien de nouveaux*socio=rien emplois*socio=ec dans le secteur*socio=ec non agricole*socio=ec. Le nombre*socio=rien des personnes*socio=rien qui, à l'heure*socio=rien actuelle*socio=rien , sont essentiellement occupées à des travaux*socio=rien non agricoles*socio=ec représente *socio=rien un pourcentage important *socio=nil de la main-d'_oeuvre*socio=ac rurale*socio=te - entre 20 et 30%, et ce chiffre s'accroît rapidement - en particulier*socio=uv dans les pays*socio=ac qui en sont aux premiers*socio=rien stades*socio=te de leur développe ment. En Afrique*socio=ac, par exemple*socio=rien , les *socio=te régions rurales *socio=nil et les bourgades de campagne*socio=rien fournissent plus des deux tiers*socio=rien des emplois*socio=ec non agricoles*socio=ec. En amérique_latine*socio=ac cette *socio=rien proportion est *socio=nil beaucoup moins forte*socio=rien - *socio=rien un tiers *socio=nil environ. Le niveau*socio=rien , la composition*socio=rien et la croissance*socio=uv de l'emploi*socio=ec rural*socio=te non agricole*socio=ec dépendent de la demande*socio=ec de trois catégories*socio=rien de produits*socio=rien et de services*socio=ec découlant des *socio=rien activités du secteur*socio=ec rural*socio=te non*socio=nil agricole*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Ces trois catégories*socio=rien sont les suivantes*socio=rien : - Produits*socio=rien non alimentaires*socio=rien et services*socio=ec, dont la demande*socio=ec augmente avec l'accroissement*socio=ec des revenus*socio=ec ruraux*socio=te; - Facteurs*socio=rien de production*socio=ec et services*socio=ec nécessaires*socio=rien à l'agriculture*socio=ec (outillage*socio=rien et matériel*socio=rien , services*socio=ec de réparation, transport*socio=ec, moyens*socio=ec de transformation*socio=uv, éléments*socio=rien d'infrastructure*socio=ec et ouvrages auxiliaires), dont la demande*socio=ec augmente avec le développement*socio=uv agricole*socio=ec; - Articles*socio=rien manufacturés et produits*socio=rien de l'artisanat, qui proviennent de marchés*socio=ec situés dans d'autres régions*socio=te ou de l'étranger*socio=te. Le développement*socio=uv agricole*socio=ec peut avoir des résultats*socio=rien divergents*socio=uv. A mesure*socio=rien que la *socio=ec productivité agricole *socio=nil augmente, la demande*socio=ec de main-d'_oeuvre*socio=ac agricole*socio=ec supplémentaire*socio=rien diminue - en *socio=rien importance relative *socio=nil sans aucun doute*socio=rien et, le cas*socio=rien échéant, en valeur*socio=ec absolue*socio=rien aussi. L'effet*socio=rien défavorable*socio=uv de cette évolution*socio=rien de la demande*socio=ec de main-d'_oeuvre*socio=ac agricole*socio=ec sera compensé dans la mesure*socio=rien où l'expansion*socio=ec des *socio=ec revenus agricoles *socio=nil stimule l'accroissement*socio=ec de la production*socio=ec, de l'emploi*socio=ec et des possibilités*socio=rien de gagner sa vie*socio=rien dans des *socio=rien activités locales non*socio=nil agricoles*socio=ec.*socio=nil Nombre des*socio=nil personnes *socio=nil déplacées de leur emploi*socio=ec par *socio=rien suite du développement*socio=uv *socio=nil de l'agriculture*socio=ec émigreront en fin*socio=rien de compte*socio=rien vers les *socio=te régions urbaines,*socio=nil *socio=nil en quête d'une vie*socio=uv meilleure*socio=rien . Toutefois les qualifications*socio=ec et l'expérience*socio=uv qu'elles auront acquises*socio=rien dans des activités*socio=rien rurales*socio=te non agricoles*socio=ec peuvent *socio=rien être un élément important et*socio=nil déterminant *socio=nil de leurs gains*socio=ec futurs*socio=rien en ville*socio=te. A vrai*socio=rien dire, de nombreux*socio=rien travailleurs*socio=ac acquièrent les compétences*socio=uv et l'expérience*socio=uv nécessaires*socio=rien avant d'émigrer vers les villes*socio=te à la recherche*socio=rien de *socio=rien meilleures possibilités économiques*socio=ec.*socio=nil Les*socio=nil activités rurales*socio=te non*socio=nil agricoles*socio=ec *socio=nil jouent donc *socio=rien un rôle important *socio=nil dans le processus*socio=rien de développement_économique*socio=ec et dans l'évolution*socio=rien structurelle*socio=ec qu'implique le passage*socio=rien d'une économie*socio=ec rurale*socio=te agricole*socio=ec à une économie*socio=ec urbaine*socio=te industrielle*socio=ec. En général*socio=rien , les activités*socio=rien rurales*socio=te non agricoles*socio=ec demandent beaucoup de main-d'_oeuvre*socio=ac. Cette *socio=rien forte intensité de*socio=nil main-d'_oeuvre*socio=ac,*socio=nil *socio=nil cependant, traduit aussi le fait*socio=rien que la main-d'_oeuvre*socio=ac *socio=rien est bon marché*socio=ec,*socio=nil *socio=nil que la pauvreté*socio=uv est*socio=rien généralisée et que la productivité_du_travail*socio=et *socio=rien est faible.*socio=nil *socio=nil Pour que ces activités*socio=rien contribuent à faire croître la production*socio=ec, à rendre disponible*socio=rien la quantité*socio=rien de biens*socio=ec et de services*socio=ec nécessaire*socio=rien au développement*socio=uv de l'agriculture*socio=ec et à améliorer le *socio=ec revenu réel *socio=nil de la population*socio=ac rurale*socio=te, il est*socio=rien indispensable*socio=uv que la productivité_du_travail*socio=et augmente. Ces deux nécessités - accroissement*socio=ec de la productivité*socio=ec et augmentation*socio=uv de l'emploi*socio=ec - ne sont pas nécessairement incompatibles*socio=uv dans une économie*socio=ec rurale*socio=te en développement*socio=uv où la croissance_économique*socio=ec peut être*socio=rien accentuée par une expansion*socio=ec efficace*socio=uv des *socio=rien activités exigeant *socio=nil relativement beaucoup de main-d'_oeuvre*socio=ac. Parce que les activités*socio=rien rurales*socio=te non agricoles*socio=ec combinent apparemment tous les *socio=rien éléments nécessaires *socio=nil pour étendre les *socio=rien avantages du développement*socio=uv aux*socio=nil groupes*socio=ac de*socio=nil populations*socio=ac à*socio=nil faible revenu*socio=ec,*socio=nil grâce *socio=nil à l'accroissement*socio=ec de l'emploi*socio=ec et des salaires*socio=ec, elles méritent d'être*socio=rien suivies de près lorsqu'on élabore des politiques*socio=et de développement*socio=uv qui mettent l'accent*socio=rien sur*socio=rien l'atténuation*socio=rien de la pauvreté*socio=uv. Faut-il accorder une aide*socio=uv directe*socio=rien pour le développement*socio=uv des activités*socio=rien rurales*socio=te non agricoles*socio=ec, ou bien*socio=rien faut-il laisser ce développement*socio=uv dépendre d'une *socio=rien réaction automatique *socio=nil à l'évolution*socio=rien de la demande*socio=ec engendrée sur*socio=rien le marché*socio=ec par l'expansion*socio=ec de l'agriculture*socio=ec? Il y a plusieurs raisons*socio=rien qui militent en faveur*socio=rien de l'assistance*socio=et directe*socio=rien , selon les *socio=rien circonstances locales.*socio=nil Grâce *socio=nil à l'assistance*socio=et directe*socio=rien , les activités*socio=rien non agricoles*socio=ec pourraient être*socio=rien à même de mieux répondre aux besoins*socio=uv de l'agriculture*socio=ec et de la population*socio=ac rurale*socio=te, de contribuer à l'accroissement*socio=ec de la production*socio=ec, de l'emploi*socio=ec et du*socio=rien revenu*socio=ec dans les *socio=te zones rurales,*socio=nil *socio=nil d'accélérer l'extension*socio=rien des avantages*socio=rien procurés par les programmes*socio=et de développement*socio=uv rural*socio=te à une *socio=rien importante partie *socio=nil de la population*socio=ac rurale*socio=te, représentée par les agriculteurs*socio=ac sans terres*socio=rien et les petits*socio=rien exploitants*socio=ac qui, en fin*socio=rien de compte*socio=rien , abandonnent définitivement*socio=rien l'agriculture*socio=ec ou qui sont tributaires*socio=rien de travaux*socio=rien non agricoles*socio=ec comme source*socio=rien secondaire*socio=et de revenu*socio=ec. - Les petites*socio=rien entreprises*socio=ac et les services*socio=ec figurent parmi les premiers*socio=rien bénéficiaires*socio=ac des améliorations*socio=uv apportées à l'infrastructure*socio=ec sociale*socio=ac et économique*socio=ec dans les *socio=te zones rurales *socio=nil et les bourgades de campagne*socio=rien . La construction*socio=ec de routes*socio=rien rurales*socio=te permet aux activités*socio=rien non agricoles*socio=ec d'élargir leurs marchés*socio=ec et d'avoir *socio=rien un meilleur accès*socio=uv aux*socio=nil matières_premières*socio=ec,*socio=nil *socio=nil à la main-d'_oeuvre*socio=ac, aux services*socio=ec d'utilité*socio=rien publique*socio=et, et aux *socio=ec services commerciaux *socio=nil qui écoulent leurs produits*socio=rien . Les programmes*socio=et d'électrification rurale*socio=te présentent manifestement de l'intérêt*socio=uv pour les petits*socio=rien industriels*socio=ac, pour les magasins*socio=ec, les services*socio=ec et les entreprises*socio=ac assurant le traitement*socio=rien des produits*socio=rien agricoles*socio=ec. - Les activités*socio=rien rurales*socio=te non agricoles*socio=ec se sont développées*socio=rien malgré des difficultés*socio=rien et des *socio=uv restrictions exceptionnelles *socio=nil qui ont entravé les programmes*socio=et d'expansion*socio=ec des banques*socio=ac et institutions*socio=ac de crédit*socio=ec rurales*socio=te. *socio=rien Un meilleur accès*socio=uv au*socio=nil capital*socio=ec *socio=nil par le recours*socio=rien à des services*socio=ec de vulgarisation*socio=rien non agricole*socio=ec, à des fonds*socio=ec garantis*socio=rien et à d'autres dispositifs*socio=rien aiderait à fournir les moyens*socio=ec de développer encore la production*socio=ec, l'emploi*socio=ec et les revenus*socio=ec. - Une assistance*socio=et en faveur*socio=rien des programmes*socio=et de formation_professionnelle*socio=et et des services*socio=ec de commercialisation*socio=ec, de recherche*socio=ec et de démonstration*socio=rien peut aider les activités*socio=rien non agricoles*socio=ec à améliorer leurs techniques*socio=rien , leurs services*socio=ec et leurs produits*socio=rien , ainsi qu'à élargir leurs débouchés*socio=ec. - Les activités*socio=rien rurales*socio=te non agricoles*socio=ec qui sont prospères*socio=ec peuvent en fin*socio=rien de compte*socio=rien soutenir la concurrence*socio=ec des grandes*socio=rien entreprises*socio=ac urbaines*socio=te qui ont déjà bénéficié de divers types d'assistance*socio=et, notamment de subventions*socio=ec et de mesures*socio=rien de protection*socio=et; une assistance*socio=et directe*socio=rien aux activités*socio=rien rurales*socio=te non agricoles*socio=ec pourrait se justifier pour la simple*socio=rien raison*socio=uv qu'il *socio=rien est souhaitable *socio=nil d'assurer un*socio=rien développement*socio=uv équilibré et compétitif*socio=uv des grandes*socio=rien entreprises*socio=ac et des secteurs*socio=ec de la petite*socio=rien entreprise*socio=ac. L'appui*socio=rien que la Banque*socio=ac a jusqu'à présent*socio=rien accordé aux activités*socio=rien rurales*socio=te non agricoles*socio=ec a revêtu trois formes*socio=rien essentielles*socio=uv, se traduisant par une assistance*socio=et aux projets_de_développement*socio=et rural*socio=te, aux projets*socio=rien concernant l'infrastructure*socio=ec rurale*socio=te et aux *socio=rien projets intéressant les*socio=nil agro-industries*socio=ec *socio=nil et la commercialisation*socio=ec. Il ressort des études*socio=rien effectuées que l'appui*socio=rien futur*socio=rien de la Banque*socio=ac devrait continuer d'être*socio=rien considéré couture*socio=rien une extension*socio=rien des opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac et non comme *socio=rien un aspect nouveau *socio=nil et distinct de ces opérations*socio=rien . C'est*socio=rien pourquoi la Banque*socio=ac ne peut, dans ce domaine*socio=rien , fixer d'objectif*socio=rien en ce qui concerne le montant*socio=ec total*socio=rien de ses prêts*socio=ec. Les programmes*socio=et entrepris par la Banque*socio=ac pour le développement*socio=uv rural*socio=te et la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv dans les villes*socio=te fournissent déjà le *socio=rien cadre nécessaire *socio=nil pour diversifier et renforcer l'appui*socio=rien et l'assistance*socio=et qu'elle fournit. La Banque*socio=ac peut par exemple*socio=rien accorder *socio=rien un appui supplémentaire *socio=nil en augmentant le nombre*socio=rien des éléments*socio=rien non agricoles*socio=ec spéciaux*socio=rien qui entrent dans le cadre*socio=rien des projets_de_développement*socio=et rural*socio=te et en prévoyant le développement*socio=uv de la petite*socio=rien entreprise*socio=ac dans les bourgades rurales*socio=te et les *socio=rien petits centres urbains*socio=te.*socio=nil *socio=nil Elle peut aussi étendre son appui*socio=rien en introduisant certains éléments*socio=rien - éducation*socio=et, adduction d'eau*socio=ec, transport*socio=ec et électricité*socio=ec, pour n'en nommer que quelques-uns - dans ses projets*socio=rien concernant d'autres secteurs*socio=ec. Il sera difficile*socio=rien aux pays_membres*socio=ac qui empruntent à la Banque*socio=ac de concevoir de *socio=rien nouvelles formes d'*socio=nil aide_au_développement*socio=uv des*socio=nil activités rurales*socio=te non*socio=nil agricoles*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Il y a peu d'exemples*socio=rien de programmes*socio=et réussis dont on puisse tirer des leçons*socio=rien , et l'incertitude*socio=uv est*socio=rien encore accentuée par la diversité*socio=rien des situations*socio=uv politiques*socio=et, sociales*socio=ac et économiques*socio=ec dans lesquelles cette assistance*socio=et doit s'inscrire. C'est*socio=rien pourquoi l'insertion*socio=uv d'un*socio=rien élément*socio=rien de contrôle*socio=uv suivi et d'évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien dans les projets*socio=rien que la Banque*socio=ac contribue à financer, ainsi que les leçons*socio=rien tirées de son propre*socio=rien programme*socio=et de recherche*socio=ec, aideront la Banque*socio=ac et les agents*socio=ac d'exécution*socio=rien dans les pays_en_développement*socio=ac qui en sont membres*socio=rien à mieux se rendre compte*socio=rien de la manière*socio=rien dont l'aide*socio=uv aux activités*socio=rien rurales*socio=te non agricoles*socio=ec pourrait être*socio=rien orientée. Dette_publique*socio=et extérieure*socio=te. *socio=rien Un examen *socio=nil des données les plus récentes*socio=rien concernant la dette_publique*socio=et extérieure*socio=te de 96 pays_en_développement*socio=ac montre que cette dette*socio=ec s'est*socio=rien accrue, au cours*socio=rien de l'année*socio=rien civile*socio=et 1976, à *socio=rien un taux annuel *socio=nil à peu près identique*socio=rien à celui de 1975. A la fin*socio=rien de 1976, l'encours total*socio=rien de la dette*socio=ec correspondant aux décaissements*socio=ec effectués était de 160,505 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ce qui représentait une augmentation*socio=uv de 30,229 millions*socio=rien de dollars*socio=ec - soit 23% - par rapport*socio=rien à 1975, contre une augmentation*socio=uv de 21,850 millions*socio=rien de dollars*socio=ec - soit 20% - en 1975 par rapport*socio=rien à 1974. Compte*socio=rien tenu des soldes*socio=rien non décaissés, l'encours total*socio=rien de la dette*socio=ec a augmenté en 1976 de 41,150 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, pour passer à 227,403 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ce qui donne une augmentation*socio=uv de quelque 22% par rapport*socio=rien à 1975. Ces soldes*socio=rien , correspondant à des accords*socio=et fermes*socio=rien de prêt*socio=ec qui ne s'étaient pas encore traduits par des décaissements*socio=ec effectifs*socio=rien , se chiffraient à 66,877 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 29% environ *socio=rien du total *socio=nil de la dette*socio=ec en cours*socio=rien , c'est-à-dire un*socio=rien peu moins qu'à la fin*socio=rien de 1975 et un*socio=rien peu plus que les années*socio=rien antérieures*socio=te. Comme en 1975, ces soldes*socio=rien constituaient dans une *socio=rien certaine mesure la*socio=nil certitude *socio=nil que le financement*socio=ec des projets*socio=rien en cours*socio=rien ou des besoins*socio=uv escomptés continuerait d'être*socio=rien assuré. Les emprunts*socio=ec nets*socio=rien contractés en 1976 se sont chiffrés à 29,048 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 4,241 millions*socio=rien de plus qu'en 1975. Les 96 pays*socio=ac en question*socio=rien comprennent neuf*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec,*socio=nil *socio=nil qui en 1976 ont contracté des emprunts*socio=ec dont le montant*socio=ec *socio=rien net total *socio=nil se chiffrait à 4,641 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ce qui représente une augmentation*socio=uv considérable*socio=rien par rapport*socio=rien à 1975 (3,060 millions*socio=rien de dollars*socio=ec) et aux niveaux*socio=rien très bas*socio=rien de 1974. Plus de 90% de l'accroissement*socio=ec total*socio=rien des emprunts*socio=ec contractés par ces pays*socio=ac peuvent être*socio=rien attribués au fait*socio=rien que l'Iran*socio=ac et le Venezuela*socio=ac, qui en 1974 et 1975 avaient pu rembourser une partie*socio=rien de leur dette_publique*socio=et extérieure*socio=te, sont redevenus des emprunteurs*socio=ac nets*socio=rien . En 1976, ces deux pays*socio=ac avaient encore d'importants*socio=rien excédents*socio=ec en *socio=rien compte courant,*socio=nil *socio=nil mais ces excédents*socio=ec étaient plus faibles*socio=rien qu'en 1975. Au total*socio=rien les neuf*socio=rien pays*socio=ac en question*socio=rien , exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec, avaient en *socio=rien compte courant un excédent*socio=ec *socio=nil d'environ 6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, soit 1 milliard*socio=rien de moins qu'en 1975; cependant, à part*socio=rien l'Iran*socio=ac, l'Irak*socio=ac, la Trinité*socio=ac et Tobago*socio=ac et le Venezuela*socio=ac, tous étaient en déficit*socio=ec. A cet égard*socio=rien , leur position*socio=rien extérieure*socio=te commençait à ressembler davantage à celle des autres pays_en_développement*socio=ac. Le déficit*socio=ec en *socio=rien compte courant *socio=nil de la balance_des_paiements*socio=ec des 87 pays_en_développement*socio=ac qui ne sont pas d'importants*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec (c'est-à-dire autres que ceux énumérés dans la note 6) s'est*socio=rien réduit sensiblement en 1976 pour revenir à 33 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec environ, contre quelque 44 milliards*socio=ec en 1975. Ainsi qu'il était indiqué dans le *socio=rien Rapport annuel *socio=nil de la Banque*socio=ac pour 1977, cette évolution*socio=rien traduisait les ajustements*socio=et opérés dans nombre*socio=rien de ces pays*socio=ac à la suite*socio=rien des difficultés*socio=rien rencontrées en 1974 et 1975; elle traduisait aussi l'expansion*socio=ec intervenue en 1976 dans les recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec desdits pays*socio=ac. Les emprunts*socio=ec nets*socio=rien contractés par ces pays*socio=ac ont augmenté de 2,659 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, passant à 24,408 millions*socio=rien . Cette augmentation*socio=uv a *socio=rien été bien plus*socio=nil faible *socio=nil que celle des emprunts*socio=ec contractés au cours*socio=rien des deux *socio=rien exercices précédents;*socio=nil *socio=nil parallèlement à la réduction*socio=uv du*socio=rien déficit*socio=ec en *socio=rien compte courant,*socio=nil les*socio=nil emprunts*socio=ec en*socio=nil question ont*socio=nil permis *socio=nil d'accroître sensiblement les réserves*socio=ec officielles*socio=et, d'environ 6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Cette situation*socio=uv contrastait avec celles de 1974 et de 1975, années*socio=rien au cours*socio=rien desquelles les pays*socio=ac en question*socio=rien avaient prélevé environ 8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec sur*socio=rien leurs réserves*socio=ec. *socio=rien Du fait *socio=nil que ces 87 pays*socio=ac sont si divers, tout exposé concernent l'ensemble*socio=rien de leurs emprunts*socio=ec extérieurs*socio=te et leur situation*socio=uv financière*socio=ec globale*socio=rien doit être*socio=rien assorti de certaines*socio=rien réserves*socio=ec.*socio=uv En particulier*socio=uv, les *socio=rien statistiques relatives *socio=nil à la dette_publique*socio=et extérieure*socio=te mesurent *socio=rien un élément *socio=nil beaucoup plus restreint de la situation*socio=uv financière*socio=ec extérieure*socio=te des grands*socio=rien pays*socio=ac dont l'économie*socio=ec est*socio=rien relativement complexe que des pays*socio=ac plus pauvres*socio=uv, qui restent essentiellement tributaires*socio=rien de l' aide_publique_au_développement*socio=et. Les autres formes*socio=rien de *socio=ec financement extérieur,*socio=nil *socio=nil dont l' investissement_privé*socio=ec direct*socio=rien , les emprunts*socio=ec du*socio=rien secteur_privé*socio=ec contractés sans garantie officielle*socio=rien dans le *socio=ac pays emprunteur,*socio=nil *socio=nil et les transactions*socio=ec a court_terme*socio=ec, sont importantes*socio=rien pour les pays*socio=ac où le revenu*socio=ec par habitant*socio=ac est*socio=rien relativement élevé*socio=rien . On peut cependant dégager des *socio=rien conclusions générales *socio=nil en ce qui concerne les *socio=te groupements régionaux *socio=nil qui, dans une *socio=rien mesure considérable,*socio=nil *socio=nil correspondent aux catégories*socio=rien fondées sur*socio=rien le revenu*socio=ec moyen*socio=rien par habitant*socio=ac. Les pays_en_développement*socio=ac de la région*socio=te méditerranéenne sont ceux qui comptent le moins sur*socio=rien les emprunts*socio=ec publics*socio=et extérieurs*socio=te comme source*socio=rien de financement*socio=ec externe*socio=te. Ces pays*socio=ac, qui en gros*socio=rien figurent parmi ceux où le revenu*socio=ec par habitant*socio=ac *socio=rien est bien plus*socio=nil élevé *socio=nil que dans la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac, ont eu en 1976 un*socio=rien déficit*socio=ec global*socio=rien en *socio=rien compte courant *socio=nil de 11,100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, chiffre à peu près analogue*socio=rien à celui de 1975. Leurs emprunts*socio=ec nets*socio=rien ont atteint 3,138 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ce qui représente un*socio=rien accroissement*socio=ec de 11% par rapport*socio=rien à 1975 et l'équivalent*socio=rien de 28% du*socio=rien déficit*socio=ec en *socio=rien compte courant.*socio=nil Le*socio=nil reste des*socio=nil *socio=ec moyens financiers nécessaires*socio=rien a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil obtenu à d'autres sources*socio=rien , y compris par un*socio=rien prélèvement*socio=ec d'environ 1,100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec sur*socio=rien les réserves*socio=ec. A la fin*socio=rien de 1976, le total*socio=rien de la dette_publique*socio=et à rembourser au titre*socio=rien des décaissements*socio=ec effectués se chiffrait à 21,417 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ce qui représentait un*socio=rien accroissement*socio=ec de 18% par rapport*socio=rien à 1975, mais *socio=rien un pourcentage relativement*socio=nil faible *socio=nil (91% du*socio=rien produit_national_brut*socio=ec (PNB*socio=ec). Seuls*socio=rien de tous les pays_en_développement*socio=ac, autres que les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec,*socio=nil ceux*socio=nil du*socio=rien Moyen-orient *socio=nil et de l'Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te, ont vu leur déficit*socio=ec global*socio=rien en *socio=rien compte courant *socio=nil s'accentuer (légèrement cependant) en 1976, ce déficit*socio=ec étant passé*socio=rien à 4,800 millions*socio=rien de dollars*socio=ec contre 4,500 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1975. Les emprunts*socio=ec publics*socio=et nets*socio=rien ont fléchi de 740 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, tombant à 2,293 millions*socio=rien . Ce fléchissement*socio=rien s'explique par une diminution*socio=rien encore plus forte*socio=rien des emprunts*socio=ec contractés par l'Égypte*socio=ac, dont le déficit*socio=ec en *socio=rien compte courant *socio=nil a également beaucoup diminué. D'autres pays*socio=ac de la région*socio=te, en particulier*socio=uv le Maroc*socio=ac et la Syrie, ont eu en 1976 des déficits*socio=ec en *socio=rien compte courant plus*socio=nil importants,*socio=nil *socio=nil qui cependant n'ont pas été*socio=rien financés par une augmentation*socio=uv des emprunts*socio=ec publics*socio=et. Pour l'ensemble*socio=rien de la région*socio=te, les réserves*socio=ec ont diminué d'environ 500 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, chiffre à peu près égal*socio=rien à celui de l'année*socio=rien précédente*socio=rien . A la fin*socio=rien de 1976, la dette_publique*socio=et extérieure*socio=te des pays*socio=ac de la région*socio=te se chiffrait à 10,785 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, équivalant à près de 28% du*socio=rien revenu*socio=ec national*socio=te total*socio=rien de ces pays*socio=ac. Le gros*socio=rien de cette dette*socio=ec et des emprunts*socio=ec, contractés venait de sources*socio=rien publiques*socio=et - 76% de la dette*socio=ec non remboursée à la fin*socio=rien de 1976 et 74% des emprunts*socio=ec nets*socio=rien contractés pendant l'année*socio=rien provenaient de ces sources*socio=rien . A quelques exceptions*socio=rien près, les pays*socio=ac de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=te ont un*socio=rien revenu*socio=ec par habitant*socio=ac très faible*socio=rien et n'ont pas emprunté beaucoup aux bailleurs*socio=ac de *socio=ec fonds privés.*socio=nil *socio=nil En 1976, le déficit*socio=ec global*socio=rien en *socio=rien compte courant *socio=nil de ces pays*socio=ac a été*socio=rien ramené à environ 3,100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, contre 5,100 millions*socio=rien en 1975. Les emprunts*socio=ec publics*socio=et nets*socio=rien se sont chiffrés à 2,601 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 10% de plus qu'en 1975. Sur*socio=rien ces emprunts*socio=ec, les deux tiers*socio=rien provenaient de sources*socio=rien publiques*socio=et. Le total*socio=rien de la dette_publique*socio=et non remboursée à la fin*socio=rien de 1976 par les pays*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=te était de 13,927 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, dont les deux tiers*socio=rien avaient été*socio=rien prêtés par des organismes_publics*socio=ac. Le gros*socio=rien de cette dette*socio=ec avait été*socio=rien contracté à des conditions*socio=uv particulièrement favorables*socio=rien . L'encours de la dette*socio=ec envers des créanciers*socio=ac privés*socio=ec se chiffrait à la fin*socio=rien de 1976 à 4,608 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 24% de plus qu'en 1975. Sur*socio=rien ce montant*socio=ec, 69% étaient dus par quatre pays*socio=ac - la Côte-d'Ivoire*socio=ac, le Soudan*socio=ac, le Zaïre*socio=ac et la Zambie*socio=ac. En 1976, des arrangements*socio=et officiels*socio=rien ont été*socio=rien conclus en *socio=rien vue du réaménagement*socio=et *socio=nil de la dette*socio=ec du*socio=rien Zaïre*socio=ac. L'Asie_du_sud*socio=ac ressemble à l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=te en ce sens*socio=rien qu'une *socio=rien grosse part *socio=nil de la dette_publique*socio=et extérieure*socio=te a été*socio=rien contractée auprès d' organismes_publics*socio=ac et qu'une *socio=rien forte proportion des*socio=nil nouveaux emprunts*socio=ec *socio=nil vient de bailleurs*socio=ac de fonds_publics*socio=et. Les pays*socio=ac de la région*socio=te devaient au total*socio=rien 23,177 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à la fin*socio=rien de 1976, dont 96% à des organismes_publics*socio=ac. Il s'agissait en *socio=rien majeure partie d'*socio=nil emprunts*socio=ec *socio=nil contractés à des conditions*socio=uv extrêmement favorables*socio=rien , accordées soit d'emblée*socio=rien , soit à la suite*socio=rien de réaménagements *socio=rien successifs du service*socio=ec des*socio=nil prêts*socio=ec antérieurs*socio=te.*socio=nil Cette*socio=nil situation*socio=uv,*socio=nil *socio=nil comme dans le cas*socio=rien des *socio=ac pays africains,*socio=nil *socio=nil a pour cause*socio=rien (a) la politique*socio=et déclarée des bailleurs*socio=ac de fonds_publics*socio=et qui consiste à orienter de plus en plus l'aide_au_développement*socio=uv vers les pays*socio=ac très pauvres*socio=uv, (b) la politique*socio=et des gouvernements*socio=ac de la région*socio=te, et (c) les hésitations*socio=rien des bailleurs*socio=ac de *socio=ec fonds privés *socio=nil à prêter de l'argent*socio=ec aux pays*socio=ac très pauvres*socio=uv. En 1976 les emprunts*socio=ec nets*socio=rien contractés par les pays*socio=ac de la région*socio=te ont continué à l'être*socio=rien en quasi-totalité*socio=rien auprès de sources*socio=rien publiques*socio=et. Leur montant*socio=ec, de 2,322 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, était en diminution*socio=rien d'environ 500 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien à 1975. Le déficit*socio=ec en *socio=rien compte courant *socio=nil de ces pays*socio=ac a diminué d'environ 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec, pour tomber à 1,100 millions*socio=rien . Cette réduction*socio=uv, combinée à l'accroissement*socio=ec des autres courants*socio=rien financiers*socio=ec, notamment des subventions*socio=ec publiques*socio=et, a permis*socio=rien à ces pays*socio=ac d'augmenter leurs réserves*socio=ec d'environ 2,300 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. La dette_publique*socio=et extérieure*socio=te des pays*socio=ac de la région*socio=te de l'amérique_latine*socio=ac et des Caraïbes*socio=ac, non compris les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec,*socio=nil *socio=nil était de 50,841 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à la fin*socio=rien de 1976, soit 38% environ *socio=rien du total *socio=nil pour l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac autres que les exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec. Pour l'ensemble*socio=rien de la région*socio=te, la dette_publique*socio=et extérieure*socio=te représentait environ 16% du*socio=rien PNB*socio=ec. Le taux*socio=rien d'accroissement*socio=ec de la dette_publique*socio=et extérieure*socio=te *socio=rien est passé *socio=nil à 28%, contre 23% en 1975, mais il était encore inférieur*socio=rien au taux*socio=rien d'accroissement*socio=ec record*socio=rien de 32% enregistré en 1974. Les emprunts*socio=ec nets*socio=rien se sont chiffrés à 10,789 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 2,893 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ou 37% de plus qu'en 1975. Les sources*socio=rien privées*socio=ec avaient à leur actif*socio=ec 67% de la dette_publique*socio=et extérieure*socio=te non amortie à la fin*socio=rien de 1976 et 87% des emprunts*socio=ec nets*socio=rien contractés au cours*socio=rien de l'année*socio=rien . Les pays*socio=ac de la région*socio=te, à la fin*socio=rien de 1976, devaient 58% de la dette_publique*socio=et extérieure*socio=te contractée par l'ensemble*socio=rien des 87 pays_en_développement*socio=ac à l'égard*socio=rien de créanciers*socio=ac privés*socio=ec. Les emprunts*socio=ec publics*socio=et nets*socio=rien contractés par la région*socio=te auprès de sources*socio=rien privées*socio=ec ont représenté 66% *socio=rien du total *socio=nil en 1976. La dette_publique*socio=et extérieure*socio=te du*socio=rien Brésil*socio=ac, pays*socio=ac dont le PNB*socio=ec représente à lui seul*socio=rien 43% du*socio=rien PNB*socio=ec de la région*socio=te, s'est*socio=rien chiffrée à 29% de la dette_publique*socio=et régionale*socio=te et ses emprunts*socio=ec nets*socio=rien à 29% également *socio=rien du total régional*socio=te *socio=nil en 1976. En outre, au Brésil*socio=ac (comme dans plusieurs autres pays*socio=ac de la région*socio=te), le secteur_privé*socio=ec a obtenu de gros*socio=rien capitaux*socio=ec extérieurs*socio=te sans garantie de l'État*socio=ac, soit sous la forme*socio=rien de prêts*socio=ec, soit comme dans plusieurs autres pays*socio=ac, sous forme*socio=rien d'investissements*socio=ec directs*socio=ec. La dette*socio=ec du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, qui n'est*socio=rien pas comprise dans les statistiques*socio=rien de la dette_publique*socio=et extérieure*socio=te présentées dans ce *socio=rien Rapport annuel,*socio=nil *socio=nil correspondait à un*socio=rien peu plus de 40% *socio=rien du total *socio=nil de la dette*socio=ec extérieure*socio=te du*socio=rien Brésil*socio=ac. Les emprunts*socio=ec nets*socio=rien contractés par le secteur_privé*socio=ec sans garantie de l'État*socio=ac ont atteint un*socio=rien peut moins de 40% des emprunts*socio=ec nets*socio=rien à long_terme*socio=ec contractés par le Brésil*socio=ac au cours*socio=rien de cette année*socio=rien . Dans les autres pays*socio=ac, les emprunts*socio=ec du*socio=rien secteur_privé*socio=ec semblent avoir été*socio=rien beaucoup moindres*socio=rien , par rapport*socio=rien à la dette_publique*socio=et, qu'au Brésil*socio=ac. La dette_publique*socio=et de trois autres pays*socio=ac pris ensemble*socio=rien - le Mexique*socio=ac, l'Argentine*socio=ac et le Chili*socio=ac - a représenté 46% *socio=rien du total *socio=nil de la dette_publique*socio=et non amortie de la région*socio=te. En 1976, le déficit*socio=ec en *socio=rien compte courant *socio=nil de la région*socio=te était d'environ 11,400 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 500 millions*socio=rien de moins qu'en 1975. Cela a permis*socio=rien d'accroître les réserves*socio=ec d'environ 3 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Les pays*socio=ac autres que l'Indonésie*socio=ac qui constituent la région*socio=te de l'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien et du*socio=rien Pacifique*socio=uv 12 avaient une dette*socio=ec extérieure*socio=te en cours*socio=rien de 14,547 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à la fin*socio=rien de 1976, soit 29% de plus qu'à la fin*socio=rien de 1975. Les emprunts*socio=ec publics*socio=et nets*socio=rien se sont chiffrés en 1976 à 3,270 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit un*socio=rien accroissement*socio=ec de 16% par rapport*socio=rien à 1975. Le total*socio=rien des exportations*socio=ec des pays*socio=ac de la région*socio=te a augmenté en 1976 de plus de 60%. Cela a contribué à ramener le déficit*socio=ec en *socio=rien compte courant,*socio=nil *socio=nil qui se chiffrait à plus de 5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1974 et en 1975, à quelque 2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1976, c'est-à-dire approximativement au niveau*socio=rien de 1971, mais à *socio=rien un niveau bien moindre *socio=nil cependant si l'on tient compte*socio=rien de l'inflation*socio=ec. Environ 46% de l'encours total*socio=rien de la dette*socio=ec étaient dus par la Corée*socio=ac dont l'économie*socio=ec, la plus importante*socio=rien de la région*socio=te, a connu une expansion*socio=ec rapide*socio=rien . Les emprunts*socio=ec nets*socio=rien de la Corée*socio=ac, soit 1,207 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, n'ont pas augmenté en 1976 et ont représenté 37% *socio=rien du total *socio=nil pour la région*socio=te. En outre le secteur_privé*socio=ec de Corée*socio=ac, comme celui des autres pays*socio=ac de la région*socio=te, a emprunté à l'étranger*socio=te sans garantie. Les emprunts*socio=ec nets*socio=rien des Philippines*socio=ac se sont chiffrés à 23% environ *socio=rien du total *socio=nil pour la région*socio=te et ont représenté 15% de l'encours de la dette*socio=ec régionale*socio=te. Contrairement à la plupart*socio=rien des pays*socio=ac de la région*socio=te, les Philippines*socio=ac ont vu leur déficit*socio=ec en *socio=rien compte courant *socio=nil s'accentuer en 1976, et leurs réserves*socio=ec n'ont pas augmenté. Au total*socio=rien , les réserves*socio=ec des pays*socio=ac de la région*socio=te se sont accrues de près de 3 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. La dette*socio=ec et les emprunts*socio=ec contractés par les 87 pays_en_développement*socio=ac qui ne sont pas de gros*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec peuvent être*socio=rien considérés également selon le type*socio=rien de créancier*socio=ac. Sur*socio=rien le total*socio=rien de 134,673 millions*socio=rien de dollars*socio=ec que représentait la dette_publique*socio=et extérieure*socio=te de ces pays*socio=ac à la fin*socio=rien de 1976, non compris les soldes*socio=rien restant à décaisser, 54,029 millions*socio=rien de dollars*socio=ec étaient dus à des gouvernements*socio=ac, soit 15% de plus qu'en 1975. La part*socio=rien de la dette*socio=ec contractée envers des gouvernements*socio=ac dans le total*socio=rien de la dette*socio=ec en cours*socio=rien , qui était de 52% en 1970, a poursuivi son *socio=rien fléchissement régulier *socio=nil pour descendre à 40% à la fin*socio=rien de 1976. A cette date près des trois quarts*socio=rien de la dette*socio=ec en question*socio=rien étaient représentés par des prêts*socio=ec accordés à des conditions*socio=uv particulièrement favorables*socio=rien , contre les deux tiers*socio=rien environ en 1970. Les décaissements*socio=ec effectués par des gouvernements*socio=ac, déduction faite des paiements*socio=ec au titre*socio=rien de l'amortissement*socio=ec, ont atteint 6,516 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 14% de moins que le chiffre de pointe*socio=uv de 7,604 millions*socio=rien de dollars*socio=ec enregistré en 1975, mais environ 2,000 millions*socio=rien de plus qu'en 1974. Les nouveaux*socio=rien engagements*socio=ec de prêt*socio=ec émanant de gouvernements*socio=ac, qui comprennent les nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec non encore décaissés, ont augmenté en 1976 d'environ 10% pour passer à 13,044 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Le total*socio=rien des prêts*socio=ec gouvernementaux*socio=ac non décaissés à la fin*socio=rien de 1976 était de 21,011 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 28% *socio=rien du total *socio=nil de la dette_publique*socio=et contractée envers des gouvernements*socio=ac, y compris la fraction*socio=rien non décaissée. La dette*socio=ec contractée envers les organisations_internationales*socio=ac par les 87 pays_en_développement*socio=ac se chiffrait à 21,589 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à la fin*socio=rien de 1976, soit 20% de plus qu'en 1975. Les sommes dues à des organisations_internationales*socio=ac entraient pour 16% dans le total*socio=rien des montants*socio=rien décaissés à rembourser, part*socio=rien qui est*socio=rien restée stable*socio=uv pendant la *socio=rien première moitié des*socio=nil années *socio=nil 1970. Les décaissements*socio=ec nets*socio=rien se sont chiffrés à 3,629 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1976, soit une augmentation*socio=uv de 6% seulement, contre 37% en 1975 et 41% en 1974. Les nouveaux*socio=rien engagements*socio=ec de prêt*socio=ec des organisations_internationales*socio=ac, en 1976, se sont élevés*socio=rien à 7,714 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ce qui représente 4% de plus qu'en 1975. Les soldes*socio=rien non décaissés par les organisations_internationales*socio=ac à la fin*socio=rien de 1976 étaient de 19,055 millions*socio=rien de dollars*socio=ec et représentaient environ 37% *socio=rien du total des*socio=nil soldes *socio=nil que l'ensemble*socio=rien des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec avaient encore à décaisser à la fin*socio=rien de 1976. Les prêts*socio=ec contractés sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec comprennent des prêts*socio=ec de banques*socio=ac privées*socio=ec et d'autres *socio=ec institutions_financières privées,*socio=nil *socio=nil ainsi que des obligations*socio=uv. L'encours de la dette*socio=ec envers les marchés_financiers*socio=ec se chiffrait à la fin*socio=rien de 1976 à 47,915 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ce qui représente une augmentation*socio=uv de 37%, contre 37% également en 1975 et 45% en 1974. La dette_publique*socio=et contractée envers ces bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec représentait 36% de la dette*socio=ec restant à rembourser à tous les créditeurs*socio=ac en 1976; cette part*socio=rien avait augmenté régulièrement, passant de 16% en 1970 à 32% en 1975. Les emprunts*socio=ec nets*socio=rien contractés sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec ont augmenté de 3,386 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit de 34%, pour passer à 13,270 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Les nouveaux*socio=rien engagements*socio=ec pris par ces bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec ont augmenté de 41% pour passer à 18,241 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, après*socio=rien avoir fléchi d'environ 6% en 1975. Les engagements*socio=ec n'ayant pas fait*socio=rien l'objet*socio=rien de décaissements*socio=ec ou de retraits se situaient à 8,569 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à la fin*socio=rien de 1976; dans de *socio=rien nombreux cas *socio=nil il s'agissait d'engagements*socio=ec à honorer selon les besoins*socio=uv. Des estimations*socio=ec fiables*socio=rien concernant l'accroissement*socio=ec de la dette*socio=ec en cours*socio=rien en 1977 ont été*socio=rien faites pour 34 pays*socio=ac qui, pris ensemble*socio=rien , ont contracté les quatre cinquièmes*socio=rien environ de la dette_publique*socio=et en cours*socio=rien des 87 pays_en_développement*socio=ac non exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec, et auxquels est*socio=rien imputable*socio=uv une proportion*socio=rien légèrement supérieure*socio=rien de l'accroissement*socio=ec de la dette*socio=ec de ces pays*socio=ac. Ces estimations*socio=ec ont été*socio=rien rendues possibles*socio=rien , dans de *socio=rien nombreux cas,*socio=nil *socio=nil par une amélioration*socio=uv et *socio=rien un meilleur échelonnement des*socio=nil rapports *socio=nil adressés à la Banque*socio=ac au sujet*socio=rien de la dette*socio=ec extérieure*socio=te des *socio=ac pays emprunteurs,*socio=nil *socio=nil ainsi que par des efforts*socio=uv plus intensifs*socio=rien déployés, à l'occasion*socio=rien notamment de missions sur*socio=rien le terrain*socio=rien , par le personnel*socio=rien de la Banque*socio=ac pour aider les pays*socio=ac à établir ces rapports*socio=rien . La dette_publique*socio=et en cours*socio=rien de cet échantillon*socio=rien de 34 pays*socio=ac a été*socio=rien estimée à 133,800 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à la fin*socio=rien de 1977, ce qui donne pour ce groupe*socio=ac de pays*socio=ac une augmentation*socio=uv de 23%, contre 24% en 1976. Il semble que, comme en 1976, les emprunts*socio=ec de ces pays*socio=ac dépassent leurs besoins*socio=uv immédiats*socio=rien : d'après*socio=rien les estimations*socio=ec, leur déficit*socio=ec global*socio=rien en *socio=rien compte courant *socio=nil a diminué en 1977, après*socio=rien avoir déjà diminué en 1976, et dans de *socio=rien nombreux cas les*socio=nil réserves*socio=ec *socio=nil ont sensiblement augmenté. Toutefois, les chiffres concernant l'ensemble*socio=rien de ces pays*socio=ac doivent être*socio=rien lus en tenant compte*socio=rien de leur diversité*socio=rien ; parmi les régions*socio=te, le taux*socio=rien d'accroissement*socio=ec de la dette*socio=ec semble avoir fléchi en amérique_latine*socio=ac, en Asie*socio=ac dit Sud*socio=te et en Afrique*socio=ac, mais il a augmenté ou est*socio=rien resté au même niveau*socio=rien dans les autres régions*socio=te. Flux*socio=ec de capitaux*socio=ec en provenance*socio=rien des pays*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac et de l'OPEP*socio=ac. Les *socio=rien renseignements préliminaires *socio=nil fournis par le comité_d'_aide_au_développement*socio=ac (CAD*socio=ac) de l' Organisation_de_coopération_et_de_développement_économiques*socio=ac (OCDE*socio=ac) indiquent que l' aide_publique_au_développement*socio=et (APD*socio=et) fournie par les *socio=rien membres du CAD*socio=ac au*socio=nil cours *socio=nil de l'année*socio=rien civile*socio=et 1977 s'est*socio=rien chiffrée à 14,754 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ce qui correspond à une augmentation*socio=uv d'environ 8% en dollars*socio=ec et d'environ 4% en valeur*socio=ec réelle*socio=rien par rapport*socio=rien à 1976. Treize des 17 pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac ont augmenté au cours*socio=rien de l'année*socio=rien leur effort*socio=uv d'APD*socio=et, exprimé en dollars*socio=ec, et neuf*socio=rien pays*socio=ac 14 l'ont aussi accru au regard*socio=rien de leur produit_national_brut*socio=ec (PNB*socio=ec). En pourcentage*socio=rien de leur PNB*socio=ec combiné, l'APD*socio=et fournie par les *socio=rien membres du CAD*socio=ac est *socio=nil tombée de 0,35% en 1976 à 0,31% en 1977, chiffres se situant au *socio=rien deuxième rang *socio=nil à partir *socio=rien du bas *socio=nil si l'on considère les années*socio=rien 1970. En 1974, la Suède*socio=ac était devenue le premier*socio=rien pays_membre*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac à atteindre l'objectif*socio=rien consistant à consacrer à l'APD*socio=et 0,7% de son PNB*socio=ec. L'APD*socio=et fournie par la Suède*socio=ac a atteint le record*socio=rien de 1% de son PNB*socio=ec en 1977. Les Pays-bas*socio=ac et la Norvège*socio=ac ont fourni 0,85% et 0,82%, respectivement, contre 0,82% et 0,70% en 1976. Des données tout à *socio=rien fait provisoires *socio=nil donnent à penser que le total*socio=rien des flux*socio=ec de capitaux*socio=ec destinés aux pays_en_développement*socio=ac et provenant des pays_membres*socio=ac du*socio=rien CA D - total*socio=rien qui comprend les crédits*socio=ec à l'exportation*socio=ec ouverts*socio=rien par des institutions_publiques*socio=et et privées*socio=ec, les *socio=ec investissements directs *socio=nil et les investissements*socio=ec en valeurs*socio=ec de portefeuille*socio=ec, ainsi que les dons*socio=ec d'organisations*socio=ac bénévoles privées*socio=ec - a été*socio=rien de 43,449 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1977, contre 40,511 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1976. Selon les estimations*socio=ec du*socio=rien CAD*socio=ac, ce total*socio=rien équivalait en 1977 à 0,93% du*socio=rien PNB*socio=ec combiné des pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac, contre 0,97% en 1976. Les chiffres ci-dessus ne comprennent pas les *socio=rien montants appréciables des*socio=nil emprunts*socio=ec en*socio=nil euromonnaies*socio=ec *socio=nil contractés par les pays_en_développement*socio=ac (dont il *socio=rien est question au*socio=nil chapitre "*socio=nil Emprunts*socio=ec et*socio=nil Finances*socio=ec"*socio=nil du présent Rapport annuel)*socio=nil .*socio=nil Bien *socio=nil que la plupart*socio=rien des euro-marchés se trouvent dans des pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac, les capitaux*socio=ec fournis au titre*socio=rien d'un*socio=rien prêt*socio=ec donné ne proviennent pas nécessairement du*socio=rien pays*socio=ac où l'emprunt*socio=ec est*socio=rien émis. Les statistiques*socio=rien concernant les flux*socio=ec d'aide*socio=uv provenant des membres*socio=rien de l'Organisation*socio=ac des *socio=ac pays producteurs de*socio=nil pétrole*socio=ec (*socio=nil OPEP)*socio=nil *socio=nil sont certes beaucoup moins sûres*socio=rien que celles que fournissent les pays*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac, mais les renseignements*socio=rien que l'on a donnent à croire que le total*socio=rien des décaissements*socio=ec nets*socio=rien effectués par les membres*socio=rien de l'OPEP*socio=ac, *socio=rien après être passé *socio=nil rapidement de 1,740 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1973 à 5,952 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1974 et à 8,164 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1975, semblaient avoir fléchi légèrement en 1976, avec 7,955 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, mais ont augmenté sensiblement en 1977 pour passer à quelque 9 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Ces chiffres comprennent aussi bien*socio=rien les ressources*socio=ec accordées à des conditions*socio=uv de faveur*socio=rien que les prêts*socio=ec classiques*socio=rien . En 1977, environ 61% des décaissements*socio=ec nets*socio=rien ont été*socio=rien effectués à des conditions*socio=uv de faveur*socio=rien . Le total*socio=rien des apports*socio=rien de l'OPEP*socio=ac représentait en 1977 quelque 3% selon le PNB*socio=ec de ces pays*socio=ac et les flux*socio=ec aux conditions*socio=uv de faveur*socio=rien étaient d'environ 2% du*socio=rien PNB*socio=ec. Les principaux*socio=rien donateurs*socio=ac étaient l'Arabie_saoudite*socio=ac, les Émirats_arabes_unis*socio=ac, l'Iran*socio=ac, le Koweït*socio=ac et la Libye*socio=ac. assistance_technique*socio=et. assistance_technique*socio=et. L'assistance_technique*socio=et qui *socio=rien fait partie intégrante des*socio=nil services*socio=ec *socio=nil que la Banque*socio=ac apporte à ses pays_membres*socio=ac en développement*socio=uv, s'est*socio=rien considérablement*socio=rien accrue. Des consultations*socio=uv ont sans cesse lieu*socio=rien entre le personnel*socio=rien et les emprunteurs*socio=ac de la Banque*socio=ac pendant la préparation*socio=rien et l'évaluation*socio=uv des projets*socio=rien , et durant l'examen*socio=rien des pays*socio=ac ou des secteurs*socio=ec. Outre cet *socio=rien apport régulier d'*socio=nil information technique,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac aide*socio=uv ses*socio=nil emprunteurs*socio=ac au*socio=nil moyen d'*socio=nil études *socio=nil de faisabilité, d'ingénierie*socio=rien , d'enquêtes sur*socio=rien les ressources*socio=ec et contribue aussi à créer des institutions*socio=ac et à fournir des moyens*socio=ec de formation*socio=et et autres concours du*socio=rien même ordre*socio=rien . Pendant l'année*socio=rien en cours*socio=rien , l'objectif*socio=rien primordial*socio=rien a été*socio=rien de fournir une assistance_technique*socio=et grâce*socio=rien à un*socio=rien prêt*socio=ec et deux crédits*socio=ec d'un*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de 20,3 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, contre six opérations*socio=rien d'une valeur*socio=ec totale*socio=rien de 16,9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pendant l'exercice*socio=rien 1977. De plus, 15 1 opérations*socio=rien de prêt*socio=ec ont comporté des éléments*socio=rien d'assistance_technique*socio=et, d'une valeur*socio=ec totale*socio=rien de 230 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, contre 162 opérations*socio=rien d'une valeur*socio=ec totale*socio=rien de 189 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pendant l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien . Pendant l'exercice*socio=rien 1978 6,4 millions*socio=rien de dollars*socio=ec ont été*socio=rien fournis par le Mécanisme*socio=rien de préparation*socio=rien des projets*socio=rien de la Banque*socio=ac. Ce *socio=rien mécanisme est un fonds*socio=ec *socio=nil qui accorde des avances temporaires*socio=rien pour l'exécution*socio=rien d'études*socio=rien et autres l'ormes d'aide*socio=uv technique*socio=rien ; l'emprunteur*socio=ac rembourse les avances en les refinançant grâce*socio=rien à un*socio=rien prêt*socio=ec de la Banque*socio=ac ou un*socio=rien crédit*socio=ec de l'IDA*socio=ac pour le projet*socio=rien en cause*socio=rien dès qu'il entre en vigueur*socio=uv. D'autres formes*socio=rien d'aide*socio=uv sont fournies à titre*socio=rien remboursable*socio=ec ou au moyen*socio=rien d'arrangements*socio=et compensatoires*socio=uv équivalents*socio=rien avec des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec *socio=nil qui ne contractent pas d'emprunts*socio=ec auprès de la Banque*socio=ac. Cette sorte*socio=rien d'aide*socio=uv d'un*socio=rien montant*socio=ec de 33 millions*socio=rien de dollars*socio=ec a été*socio=rien fournie à quatre pays*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien 1978. Pendant de *socio=rien nombreuses années,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a servi d'agent*socio=ac d'exécution*socio=rien pour des projets*socio=rien de pré-investissement*socio=ec et d'assistance_technique*socio=et financés par le programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac (PNUD*socio=ac). Toutefois, à la différence*socio=rien d'autres agents*socio=ac d'exécution*socio=rien , elle s'est*socio=rien occupée des procédures*socio=rien et autres aspects*socio=rien administratifs*socio=et de son rôle*socio=rien en tant qu'agent*socio=ac d'exécution*socio=rien sur*socio=rien la base*socio=rien de réalisation*socio=uv de chaque projet*socio=rien , l'un*socio=rien après*socio=rien l'autre. Ces arrangements*socio=et ont, pendant l'année*socio=rien , été*socio=rien normalisés par un*socio=rien accord*socio=et entre la Banque*socio=ac et le PNUD*socio=ac. Pendant l'exercice*socio=rien 1978, la Banque*socio=ac a accepté de servir d'agent*socio=ac d'exécution*socio=rien de 23 *socio=rien projets nouveaux,*socio=nil *socio=nil pour lesquels le PNUD*socio=ac a apporté 11,9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Ces projets*socio=rien sont les suivants*socio=rien : un*socio=rien programme*socio=et plurisectoriel d'un*socio=rien montant*socio=ec de 2 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour la préparation*socio=rien d'un*socio=rien projet*socio=rien au Sri_lanka*socio=ac, conçu pour mettre *socio=rien sur pied des*socio=nil projets d'*socio=nil investissements*socio=ec rationnels*socio=uv *socio=nil et renforcer l'aptitude*socio=rien du*socio=rien pays*socio=ac à identifier et préparer dans l'avenir*socio=te d'autres *socio=rien projets du même*socio=nil ordre;*socio=nil l'*socio=nil exécution en*socio=nil Afrique*socio=ac d'*socio=nil un projet régional*socio=te d'*socio=nil un montant*socio=ec *socio=nil de 2,2 millions*socio=rien de dollars*socio=ec destiné à soutenir l'Organisation*socio=ac pour la mise en valeur*socio=ec du*socio=rien fleuve*socio=te Sénégal*socio=ac; une étude*socio=ac d'un*socio=rien montant*socio=ec de 220,000 dollars*socio=ec portant sur*socio=rien la gestion*socio=et des chemins*socio=rien de fer*socio=rien au Ghana*socio=ac; une étude*socio=ac du*socio=rien *socio=ec secteur agricole en*socio=nil Algérie*socio=ac,*socio=nil d'*socio=nil un*socio=rien montant *socio=nil de 400,000 dollars*socio=ec; et *socio=rien un projet *socio=nil de 400,000 dollars*socio=ec destiné à aider l'Institut*socio=et coréen*socio=ac des techniques*socio=rien de l'électronique*socio=rien et autres institutions*socio=ac du*socio=rien même genre*socio=rien en Corée*socio=ac. De plus, la Banque*socio=ac et le PNUD*socio=ac se sont mis d'accord*socio=uv pour contribuer ensemble*socio=rien au coût*socio=ec des services*socio=ec de médiation*socio=uv pour la Communauté*socio=ac de l'Afrique*socio=ac de l'Est*socio=rien . Ces services*socio=ec ont pour objet*socio=rien d'aider le Kenya*socio=ac, l'Ouganda*socio=ac et la Tanzanie*socio=ac à se mettre d'accord*socio=uv sur*socio=rien le partage*socio=uv des actifs*socio=ec et des passifs des sociétés*socio=ac et institutions*socio=ac dont la Communauté*socio=ac s'occupait antérieurement. *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil projets *socio=nil financés par le PNUD*socio=ac et exécutés par la Banque*socio=ac fournissent une aide*socio=uv de planification*socio=et économique*socio=ec. Ils se caractérisent par l'emploi*socio=ec de *socio=rien petites équipes de*socio=nil conseillers*socio=ac des*socio=nil programmes*socio=et,*socio=nil *socio=nil par des services*socio=ec de consultants*socio=ac et des programmes*socio=et de formation*socio=et à l'intention*socio=rien de personnel*socio=rien local*socio=te de contrepartie*socio=rien ; dans certains cas*socio=rien , ces programmes*socio=et ont été*socio=rien exécutés avec l'aide*socio=uv de l' institut_de_développement_économique*socio=ac de la Banque*socio=ac. Des *socio=rien projets consultatifs en*socio=nil cours d'*socio=nil exécution en*socio=nil Corée*socio=ac,*socio=nil au*socio=nil Liberia*socio=ac,*socio=nil aux*socio=nil Philippines*socio=ac,*socio=nil au*socio=nil Soudan*socio=ac *socio=nil et au Zaïre*socio=ac ont été*socio=rien prolongés pendant l'exercice*socio=rien 1978 à la demande*socio=ec des gouvernements*socio=ac hôtes*socio=rien ; *socio=rien un projet en*socio=nil Ouganda*socio=ac est en*socio=nil cours d'*socio=nil exécution;*socio=nil l'*socio=nil un *socio=nil des deux projets*socio=rien au Souaziland a été*socio=rien mené à bien*socio=rien , et des conseillers*socio=ac ont été*socio=rien recrutés pour l'exécution*socio=rien d'un*socio=rien projet*socio=rien en Malaisie*socio=ac. La Banque*socio=ac a aidé le PNUD*socio=ac à évaluer la pertinence*socio=rien et l'efficacité*socio=uv de la coopération*socio=uv technique*socio=rien de ce Programme*socio=et en vue*socio=rien de constituer des services*socio=ec centraux*socio=rien de planification*socio=et indépendants*socio=rien et à suggérer des améliorations*socio=uv éventuelles*socio=rien . Cette évaluation*socio=uv a été*socio=rien faite *socio=rien an moyen *socio=nil de 12 études*socio=rien de pays*socio=ac dont la moitié*socio=rien a été*socio=rien réalisée avec la participation*socio=uv *socio=rien du personnel *socio=nil de la Banque*socio=ac. Il commence à se manifester une tendance*socio=rien , lors*socio=rien de la conception*socio=rien de ces projets*socio=rien de planification*socio=et, à reconnaître qu'il est*socio=rien indispensable*socio=uv de mieux répartir sur*socio=rien une base*socio=rien sociale*socio=ac et régionale*socio=te les *socio=rien avantages du développement*socio=uv,*socio=nil *socio=nil de concilier les allocations*socio=et de ressources*socio=ec annuelles*socio=rien avec les objectifs*socio=rien de développement*socio=uv à long_terme*socio=ec et d'accélérer la création*socio=rien de projets*socio=rien d'investissements*socio=ec rationnels*socio=uv. Ce qui est*socio=rien d'un*socio=rien grand*socio=rien intérêt*socio=uv pour les pays_en_développement*socio=ac bénéficiant de projets*socio=rien exécutés par la Banque*socio=ac et financés parle PNUD*socio=ac, c'est*socio=rien leur orientation*socio=et pratique*socio=rien qui souvent mène à *socio=rien un projet apte à*socio=nil être *socio=nil financé par la Banque*socio=ac et qui peut donner suite*socio=rien à de gros*socio=rien investissements*socio=ec. Les études*socio=rien terminées, ou en cours*socio=rien d'exécution*socio=rien , ont abouti au financement*socio=ec de projets*socio=rien par la Banque*socio=ac et par l'IDA*socio=ac pour un*socio=rien montant*socio=ec de 555 millions*socio=rien de dollars*socio=ec dans l'année*socio=rien civile*socio=et 1977. institut_de_développement_économique*socio=ac. Pendant l'année*socio=rien écoulée, l'institut_de_développement_économique*socio=ac (IDE*socio=ac) a continué son programme*socio=et de cours*socio=rien à Washington*socio=ac et aidé les pays_en_développement*socio=ac par des cours*socio=rien nationaux*socio=te et régionaux*socio=te. A Washington*socio=ac, onze cours*socio=rien ont été*socio=rien donnés, dont deux nouveaux*socio=rien , l'un*socio=rien concernant les projets*socio=rien énergétiques*socio=ec et l'autre la gestion*socio=et des projets*socio=rien . De plus, et pour la *socio=rien première fois en*socio=nil français,*socio=nil un cours a*socio=nil été *socio=nil consacré à la gestion*socio=et économique*socio=ec au niveau*socio=rien national*socio=te. L'IDE*socio=ac a aussi commencé, à *socio=rien titre expérimental,*socio=nil *socio=nil à organiser des séminaires*socio=rien de plus *socio=rien courte durée.*socio=nil L'*socio=nil Institut*socio=et *socio=nil a fourni *socio=rien un séminaire *socio=nil de deux *socio=rien semaines sur les*socio=nil méthodes d'*socio=nil enseignement*socio=et *socio=nil et la conception*socio=rien des programmes*socio=et; il a accueilli *socio=rien un séminaire *socio=nil à l'intention*socio=rien de représentants*socio=ac d'institutions*socio=ac de formation*socio=et ibéro-américaines qui ont échangé des idées*socio=rien et l'expérience*socio=uv qu'ils ont *socio=rien acquises sur les*socio=nil objectifs *socio=nil et les modes*socio=rien de formation*socio=et pour le développement*socio=uv. L'Institut*socio=et des nations_unies*socio=ac pour la formation*socio=et et la recherche*socio=ec, de concert*socio=uv avec l'IDE*socio=ac, ont dirigé *socio=rien un séminaire sur le*socio=nil développement_économique*socio=ec *socio=nil et son cadre*socio=rien international*socio=te pour les membres*socio=rien de délégations diplomatiques des nations_unies*socio=ac. Comme cela s'est*socio=rien passé*socio=rien ces *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil majeure partie des*socio=nil travaux de*socio=nil formation*socio=et *socio=nil auxquels l'IDE*socio=ac prend part*socio=rien ont été*socio=rien exécutés hors de Washington*socio=ac. L'IDE*socio=ac a apporté son appui*socio=rien à 28 cours*socio=rien organisés dans des régions*socio=te d'outre-mer*socio=ac et par la politique*socio=et qui consiste à encourager le développement*socio=uv des institutions*socio=ac de formation*socio=et locales*socio=rien et à leur apporter uniquement*socio=rien les ressources*socio=ec et les compétences*socio=uv dont elles ne peuvent disposer localement*socio=rien , l'IDE*socio=ac a fourni moins de 25% de l'enseignement*socio=et dans 6 de ces cours*socio=rien . Pendant l'exercice*socio=rien 1978, l'IDE*socio=ac a patronné ou contribué à aider 10 cours*socio=rien régionaux*socio=te ouverts*socio=rien à des fonctionnaires*socio=et de pays*socio=ac parlant la même langue*socio=rien , ayant une culture*socio=et identique*socio=rien et venant d'une même région*socio=te. Chacun des 18 autres cours*socio=rien était ouvert*socio=rien aux ressortissants*socio=ac d'un*socio=rien seul*socio=rien pays*socio=ac. Sur*socio=rien les 10 cours*socio=rien régionaux*socio=te, 6 se sont tenus avec des institutions*socio=ac avec lesquelles l'IDE*socio=ac collaborait pour la *socio=rien première fois;*socio=nil en*socio=nil Afrique*socio=ac *socio=nil de l'Est*socio=rien , l'Institut*socio=et de gestion*socio=et est-africain et l'IDE*socio=ac ont organisé à l'intention*socio=rien de fonctionnaires*socio=et d'Afrique*socio=ac de l'Est*socio=rien et du*socio=rien Sud*socio=te, à Arusha, en Tanzanie*socio=ac, *socio=rien un cours de*socio=nil planification*socio=et,*socio=nil d'*socio=nil évaluation*socio=uv *socio=nil et de gestion*socio=et d'un*socio=rien projet*socio=rien de transport*socio=ec. Le Centre*socio=rien international*socio=te de l'élevage*socio=ec pour l'Afrique*socio=ac et l'IDE*socio=ac ont patronné *socio=rien un Cours de*socio=nil projets_de_développement*socio=et du bétail*socio=ec à*socio=nil Nairobi*socio=te *socio=nil pour des fonctionnaires*socio=et de *socio=ac pays africains anglophones.*socio=nil *socio=nil Dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et de formation*socio=et d'une durée*socio=rien de 3 ans*socio=rien organisé pour l'Asie_du_sud*socio=ac et de l'Est*socio=rien , l'Université*socio=et des Philippines*socio=ac à Los Banos, le Centre*socio=rien régional*socio=te d'Asie_du_sud*socio=ac Est*socio=rien pour l'étude*socio=ac et la recherche*socio=ec en agriculture*socio=ec au niveau*socio=rien des diplômés*socio=ac ainsi que l'IDE*socio=ac ont fourni des *socio=rien cours sur les*socio=nil projets agro-industriels*socio=ec *socio=nil et les projets_de_développement*socio=et rural*socio=te à l'Université*socio=et. Pour la *socio=rien deuxième année d'*socio=nil un programme*socio=et de*socio=nil formation*socio=et au*socio=nil moyen de*socio=nil cours agro-industriels*socio=ec *socio=nil pour l'amérique_latine*socio=ac et les Caraïbes*socio=ac, la Banque*socio=ac interaméricaine*socio=te de développement*socio=uv et l'IDE*socio=ac ont apporté leur soutien*socio=uv à la Colombie*socio=ac, avec la Banco de la Repùblica, et à la Barbade, avec la Banque*socio=ac de développement*socio=uv des Caraïbes*socio=ac. Sur*socio=rien les 18 cours*socio=rien nationaux*socio=te auxquels l'IDE*socio=ac a apporté sa participation*socio=uv, 3 ont été*socio=rien organisés pour la *socio=rien première fois:*socio=nil *socio=nil il s'agit d'un*socio=rien *socio=rien cours sur les*socio=nil projets industriels*socio=ac en*socio=nil Irak*socio=ac *socio=nil avec la collaboration*socio=uv du*socio=rien Ministère*socio=ac de la planification*socio=et; d'un*socio=rien *socio=rien cours sur les*socio=nil projets de*socio=nil transports*socio=ec *socio=nil avec les Services*socio=ec de planification*socio=et des transports*socio=ec du*socio=rien Ministère*socio=ac (égyptien*socio=te) des transports*socio=ec; et d'un*socio=rien *socio=rien séminaire sur l'*socio=nil analyse *socio=nil de la politique*socio=et du*socio=rien développement*socio=uv et de la prise*socio=rien de décision*socio=rien en Inde*socio=ac avec la participation*socio=uv de l'École*socio=et supérieure*socio=rien d'administration*socio=rien (Hayderabad) et la Division*socio=rien de formation*socio=et du*socio=rien Gouvernement*socio=ac du*socio=rien *socio=ac Département indien des*socio=nil réformes*socio=et *socio=rien du personnel *socio=nil et de l'administration*socio=rien . En décembre*socio=rien 1977, les Administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac ont approuvé à l'intention*socio=rien de l'IDE*socio=ac un*socio=rien programme*socio=et quinquennal*socio=te pour les exercices*socio=rien 1979-83; ce programme*socio=et préconise une activité*socio=rien encore accrue outremer et une réorientation*socio=et des activités*socio=rien de l'IDE*socio=ac de façon*socio=rien à fournir plus de conseils*socio=ac et de matériel*socio=rien éducatif*socio=et aux institutions*socio=ac des pays_en_développement*socio=ac. L'IDE*socio=ac continuera à augmenter son plan*socio=rien d'études*socio=rien et à développer davantage la préparation*socio=rien et l'aménagement*socio=rien des projets*socio=rien ainsi que leur évaluation*socio=uv. L'IDE*socio=ac juge*socio=et aussi nécessaire*socio=rien , si besoin*socio=uv est*socio=rien , d'ajouter davantage de séminaires*socio=rien de *socio=rien courte durée sur des*socio=nil sujets particuliers.*socio=nil Autres*socio=nil activités.*socio=nil Coordination*socio=uv *socio=nil de l'aide*socio=uv. A la demande*socio=ec des gouvernements*socio=ac qui accordent de l'aide*socio=uv comme de ceux qui en reçoivent, la Banque*socio=ac a continué de prendre des initiatives*socio=rien pour mettre en place*socio=rien des mécanismes*socio=rien de coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv à l'intention*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil qui bénéficient d'une assistance*socio=et provenant de plusieurs sources*socio=rien , bilatérales*socio=te et multilatérales*socio=te. Le Groupe*socio=ac des Caraïbes*socio=ac pour la coopération*socio=uv en matière*socio=rien de développement_économique*socio=ec a été*socio=rien constitué par la banque_mondiale*socio=ac et s'est*socio=rien réuni pour la *socio=rien première fois *socio=nil pendant l'exercice*socio=rien 1978 sous la présidence*socio=rien de la Banque*socio=ac. La Banque*socio=ac de développement*socio=uv des Caraïbes*socio=ac, la Banque*socio=ac interaméricaine*socio=te de développement*socio=uv et le fonds_monétaire_international*socio=ac se sont joints à la Banque*socio=ac pour organiser la réunion*socio=rien . Le *socio=rien principal objectif *socio=nil de la réunion*socio=rien était de mettre en *socio=rien route un processus grâce *socio=nil auquel les donateurs*socio=ac extérieurs*socio=te pourraient, en les coordonnant, augmenter leur aide_financière*socio=et et technique*socio=rien à la zone*socio=rien des Caraïbes*socio=ac, renforçant ainsi des programmes*socio=et économiques*socio=ec rationnels*socio=uv de *socio=rien longue durée *socio=nil entrepris par les pays*socio=ac de la région*socio=te. En juin*socio=rien 1978, 31 gouvernements*socio=ac et 16 institutions_internationales*socio=et se sont réunies à la Banque*socio=ac; le résultat*socio=rien de cette réunion*socio=rien a été*socio=rien qu'un*socio=rien *socio=rien nouveau mécanisme appelé*socio=nil Mécanisme de*socio=nil développement des*socio=nil Caraïbes*socio=ac,*socio=nil a*socio=nil été *socio=nil créé pour fournir une aide*socio=uv aux pays*socio=ac des Caraïbes*socio=ac. Dix pays*socio=ac et institutions_internationales*socio=et ont indiqué qu'ils pourraient, pour ce genre*socio=rien d'aide*socio=uv, disposer d'environ 112 millions*socio=rien de dollars*socio=ec afin de satisfaire les besoins*socio=uv des pays*socio=ac des Caraïbes*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien commençant le 1er juillet*socio=rien 1978. Tout porte*socio=rien à croire que des *socio=rien montants supplémentaires *socio=nil seront mis à la disposition*socio=rien de ces pays*socio=ac à mesure*socio=rien qu'ils termineront leurs procédures*socio=rien de décision*socio=rien et, en particulier*socio=uv, qu'il sera tenu davantage compte*socio=rien des besoins*socio=uv de certains pays*socio=ac qui n'ont pas été*socio=rien étudiés en détail*socio=rien à la réunion*socio=rien . Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien , 10 des autres groupes*socio=ac de coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv patronnés par la Banque*socio=ac ont tenu des réunions*socio=rien officielles*socio=et. Ce furent les groupes*socio=ac d'aide*socio=uv au Bangladesh*socio=ac, à la Birmanie*socio=ac, à la Bolivie*socio=ac, à l'Égypte*socio=ac, à l'Inde*socio=ac, au Népal*socio=ac, au Pakistan*socio=ac, aux Philippines*socio=ac, à Sri_lanka*socio=ac et à la Zambie*socio=ac. La Banque*socio=ac a également participé à une *socio=rien réunion du Groupe*socio=ac intergouvernemental*socio=et *socio=nil pour l'Indonésie*socio=ac présidé par les Pays-bas*socio=ac. Le *socio=rien grand nombre de*socio=nil projets *socio=nil que la Banque*socio=ac et l'IDA*socio=ac ont aidé à financer conjointement ou concurremment avec d'autres organismes*socio=ac nationaux*socio=te ou multilatéraux*socio=te illustre l'étroite*socio=rien coopération*socio=uv qui unit les diverses*socio=rien institutions*socio=ac d'aide_au_développement*socio=uv. Des projets*socio=rien ont été*socio=rien cofinancés de concert*socio=uv avec le programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac, le Programme*socio=et alimentaire*socio=ec mondial*socio=te, la *socio=ac Banque arabe *socio=nil pour le développement_économique*socio=ac de l'Afrique*socio=ac (BADEA), le fonds_arabe_pour_le_développement_économique_et_social*socio=ac, la Banque_islamique_de_développement*socio=ac et diverses*socio=rien institutions*socio=ac régionales*socio=te de financement*socio=ec da Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec africains*socio=ac de développement*socio=uv, la Banque*socio=ac de développement*socio=uv des Caraïbes*socio=ac et la Banque*socio=ac interaméricaine*socio=te de développement*socio=uv), ainsi que des organismes*socio=ac d'aide*socio=uv d' abou_dhabi*socio=ac, de l'Allemagne*socio=ac, de l'Arabie_saoudite*socio=ac, de l'Australie*socio=ac, de la Belgique*socio=ac, du*socio=rien Canada*socio=ac, des États-unis*socio=ac, de la France*socio=ac, du*socio=rien Japon*socio=ac, du*socio=rien Koweït*socio=ac, de la Norvège*socio=ac, des Pays-bas*socio=ac, du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac, de la Suède*socio=ac, du*socio=rien Venezuela*socio=ac et de la communauté_économique_européenne*socio=ac. Pour la *socio=rien première fois,*socio=nil des*socio=nil projets ont*socio=nil été *socio=nil financés de concert*socio=uv avec le Fonds*socio=ec spécial*socio=rien de l'OPEP*socio=ac et le Fonds_international_pour_le_développement_agricole*socio=ac (FIDA*socio=ac). La banque_mondiale*socio=ac a également redoublé d'efforts*socio=uv pour stimuler l'investissement*socio=ec de *socio=ec capitaux privés *socio=nil dans les projets*socio=rien qui sont exécutés sous ses auspices*socio=rien et, pendant l'exercice*socio=rien , *socio=rien un nombre croissant de*socio=nil projets ont*socio=nil été *socio=nil cofinancés par des banques*socio=ac d'affaires*socio=ec privées*socio=ec. A l'échelon*socio=rien régional*socio=te, la Banque*socio=ac a continué de prendre une part*socio=rien active*socio=uv aux études*socio=rien par pays*socio=ac que patronne le Comité*socio=rien exécutif*socio=ac *socio=rien permanent du conseil_économique_et_social*socio=ac interaméricain*socio=te,*socio=nil *socio=nil et elle a maintenu d'étroites*socio=rien relations_de_travail*socio=ec avec les institutions*socio=ac régionales*socio=te de financement*socio=ec ( banque_africaine_de_développement*socio=ac, Banque_asiatique_de_développement*socio=ac et Banque*socio=ac interaméricaine*socio=te de développement*socio=uv) et avec la Commission*socio=ac des *socio=ac Communautés européennes,*socio=nil *socio=nil ce qui a contribué à assurer la coordination*socio=uv de leurs *socio=rien activités respectives d'*socio=nil assistance*socio=et au*socio=nil développement*socio=uv.*socio=nil En*socio=nil décembre *socio=nil 1977, la Banque*socio=ac a accueilli à Londres*socio=ac une réunion*socio=rien des *socio=ac organismes donateurs s'*socio=nil intéressant*socio=rien au*socio=nil secteur*socio=ec *socio=nil de la population*socio=ac, au cours*socio=rien de laquelle ont été*socio=rien discutés les moyens*socio=ec d'améliorer le cofinancement*socio=ec et d'autres aspects*socio=rien de la coordination*socio=uv. Huit *socio=ac pays donateurs *socio=nil ainsi que la Fédération*socio=et internationale*socio=te de la planification*socio=et de la famille*socio=uv, le conseil_de_la_population*socio=ac et le Fonds*socio=ec des nations_unies*socio=ac pour les activités*socio=rien en matière*socio=rien de population*socio=ac étaient représentés à la réunion*socio=rien . Les participants*socio=ac ont tous reconnu que c'est*socio=rien le contexte*socio=rien de chaque pays*socio=ac particulier*socio=uv qui fournit le cadre*socio=rien le plus approprié à une étroite*socio=rien collaboration*socio=uv. Ils ont aussi souligné qu'une coordination*socio=uv intersectorielle s'imposait désormais *socio=rien du fait *socio=nil que le domaine*socio=rien couvert par le "financement*socio=ec de la population*socio=ac" s'était sensiblement étendu. Des consultations*socio=uv officielles*socio=et ont eu lieu*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien avec le Ministère*socio=ac français*socio=rien de la coopération*socio=uv et la Caisse*socio=ec centrale*socio=rien de coopérations économique*socio=ec, avec le Ministère*socio=ac de la coopération*socio=uv économique*socio=ec de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et le Kreditanstalt für Wiederautbau, avec les organismes*socio=ac d'aide*socio=uv japonais*socio=ac (Fonds*socio=ec de coopération*socio=uv économique*socio=ec avec l'étranger*socio=te du*socio=rien Japon*socio=ac et Banque*socio=ac d'Export-import*socio=ec du*socio=rien Japon*socio=ac) et avec le *socio=ac Ministère britannique du*socio=rien développement*socio=uv outre-mer,*socio=nil *socio=nil pour examiner des questions*socio=rien d'intérêt_commun*socio=uv et discuter des problèmes*socio=uv relatifs*socio=rien à divers pays*socio=ac et projets*socio=rien ainsi que *socio=rien certaines possibilités de*socio=nil cofinancement*socio=ec.*socio=nil Des*socio=nil contacts réguliers ont*socio=nil été *socio=nil maintenus avec le Fonds*socio=ec d'abou_dhabi*socio=ac pour le développement_économique*socio=ec des pays*socio=ac arabes*socio=te, le fonds_arabe_pour_le_développement_économique_et_social*socio=ac, la Banque_islamique_de_développement*socio=ac, le Fonds*socio=ec du*socio=rien Koweït*socio=ac pour le développement_économique*socio=ec des pays*socio=ac arabes*socio=te, le Fonds*socio=ec saoudien pour le développement*socio=uv, le Fonds*socio=ec d'investissement*socio=ec du*socio=rien Venezuela*socio=ac et les institutions*socio=ac de financement*socio=ec des pays_de_l'_ocde*socio=ac, pour déterminer les possibilités*socio=rien d'un*socio=rien cofinancement*socio=ec de certains *socio=rien projets particuliers.*socio=nil *socio=nil En outre, des discussions*socio=rien ont eu lieu*socio=rien , peu après*socio=rien sa création*socio=rien , avec des représentants*socio=ac du*socio=rien FIDA*socio=ac pour explorer les perspectives*socio=uv de coopération*socio=uv entre la Banque*socio=ac et cette organisation*socio=ac. Les détails*socio=rien de l'accord*socio=et conclu entre la Banque*socio=ac et le FIDA*socio=ac figurent dans la *socio=rien section suivante "*socio=nil Coopération*socio=uv entre*socio=nil institutions*socio=ac"*socio=nil du présent Rapport annuel.*socio=nil Recherche*socio=ec et*socio=nil études_économiques*socio=ec.*socio=nil La*socio=nil *socio=ec recherche économique et*socio=nil sociale*socio=ac *socio=nil menée par la Banque*socio=ac *socio=rien fait partie *socio=nil de sa contribution*socio=uv à la *socio=rien compréhension du processus de*socio=nil développement*socio=uv.*socio=nil *socio=nil Depuis les sept années*socio=rien qu'existe officiellement le programme*socio=et de recherche*socio=ec, la Banque*socio=ac s'est*socio=rien constituée des moyens*socio=ec de recherche*socio=ec internes*socio=rien pour atteindre les *socio=rien objectifs du programme*socio=et;*socio=nil ces*socio=nil objectifs *socio=nil sont conçus de façon*socio=rien à satisfaire les besoins*socio=uv de la Banque*socio=ac et aussi ceux de ses pays_membres*socio=ac pour ce qui est*socio=rien de la recherche*socio=ec consacrée au développement_économique*socio=ec. A l'heure*socio=rien actuelle*socio=rien , 67 projets*socio=rien de recherche*socio=ec ont été*socio=rien menés à bien*socio=rien et 87 sont en cours*socio=rien d'exécution*socio=rien . Pendant l'exercice*socio=rien 1978, 17 projets*socio=rien de recherche*socio=ec ont été*socio=rien commencés. Normalement, les projets*socio=rien de recherche*socio=ec sont mis en route*socio=rien à l'intérieur*socio=rien de la Banque*socio=ac et nécessitent une collaboration*socio=uv et une coopération*socio=uv étroites*socio=rien entre le personnel*socio=rien et la Banque*socio=ac en même temps*socio=rien qu'il *socio=rien est fait appel *socio=nil à des collectivités*socio=ac extérieures*socio=te à la Banque*socio=ac. La collaboration*socio=uv se fait*socio=rien d'ordinaire*socio=rien avec les institutions*socio=ac de pays_en_développement*socio=ac. De fait*socio=rien , l'un*socio=rien des produits*socio=rien accessoires les plus *socio=rien souhaitables du programme*socio=et de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac est*socio=rien qu'il a contribué au développement*socio=uv de l'aptitude*socio=rien à la recherche*socio=ec chez les autochtones*socio=ac des pays_membres*socio=ac. Pendant l'exercice*socio=rien 1977, par exemple*socio=rien , 13 projets*socio=rien ont nécessité*socio=uv une collaboration*socio=uv avec 26 institutions*socio=ac de 16 pays*socio=ac différents*socio=rien ; de même durant l'exercice*socio=rien 1978, des projets*socio=rien de recherche*socio=ec ont entraîné une collaboration*socio=uv avec des personnes*socio=rien et des institutions*socio=ac dans 29 pays_membres*socio=ac, la plupart*socio=rien d'entre eux dans le monde_en_développement*socio=te. Le programme*socio=et de recherche*socio=ec *socio=rien est offert *socio=nil à plusieurs sortes*socio=rien de publie; on y trouve les responsables*socio=uv de la politique*socio=et de la Banque*socio=ac et le personnel*socio=rien d'exécution*socio=rien , les planificateurs*socio=ac et les responsables*socio=uv de la politique*socio=et des pays_membres*socio=ac et la communauté*socio=ac de recherche*socio=ec internationale*socio=te. La diffusion*socio=rien des recherches*socio=ec de la Banque*socio=ac est*socio=rien donc conçue de manière*socio=rien à atteindre tous ces trois groupes*socio=ac. Les publications*socio=rien que fournit le programme*socio=et de recherche*socio=ec sont portées sur*socio=rien le Catalog de la banque_mondiale*socio=ac publié chaque année*socio=rien . Des renseignements*socio=rien détaillés sur*socio=rien les projets*socio=rien de recherche*socio=ec en cours*socio=rien d'exécution*socio=rien sont disponibles*socio=rien dans les Abstracts of Current Studies (Résumés des études*socio=rien en cours*socio=rien ) qui sont aussi publiés chaque année*socio=rien . Le programme*socio=et de recherche*socio=ec *socio=rien porte sur un vaste éventail de*socio=nil domaines spécialisés.*socio=nil *socio=nil Comme il *socio=rien est impossible *socio=nil de les examiner en détail*socio=rien , quelques exemples*socio=rien sont présentés ici. Les recherches*socio=ec menées par la Banque*socio=ac sur*socio=rien la pauvreté*socio=uv, comportent des *socio=rien travaux sur la*socio=nil lutte*socio=uv *socio=nil contre les maladies*socio=et dans les pays_en_développement*socio=ac. On peut citer par exemple*socio=rien la schistosomiase, infection parasitaire des tropiques qui, selon les estimations*socio=ec, atteint quelque 250 millions*socio=rien d'individus*socio=ac dans 71 pays_en_développement*socio=ac. *socio=rien Du fait *socio=nil que l'agriculture*socio=ec en pâtit, cette maladie*socio=et est*socio=rien considérée comme l'une des plus graves*socio=rien chez les travailleurs*socio=ac du*socio=rien secteur*socio=ec rural*socio=te dans les économies*socio=ec en développement*socio=uv. Les *socio=rien mesures prises *socio=nil pour améliorer les conditions*socio=uv socio-économiques*socio=ec des populations*socio=ac pauvres*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac comportent des programmes*socio=et de lutte*socio=uv contre les maladies*socio=et qui généralement coûtent cher*socio=rien et doivent se contenter des rares*socio=rien ressources*socio=ec sanitaires*socio=uv disponibles*socio=rien . Une étude*socio=ac que la Banque*socio=ac mène actuellement porte*socio=rien essentiellement sur*socio=rien le problème*socio=uv que pose la conception*socio=rien d'une lutte*socio=uv économique*socio=ec contre la schistosomiase. Plus précisément, il s'agit de mettre au point*socio=rien dans cette lutte*socio=uv la meilleure*socio=rien stratégie*socio=et possible*socio=rien , en utilisant les molluscicides et la chimiothérapie. Cette étude*socio=ac s'attaque*socio=rien au problème*socio=uv du*socio=rien développement*socio=uv de l'agriculture*socio=ec par l'irrigation*socio=ec en Égypte*socio=ac, au Ghana*socio=ac, à Sainte-lucie, au Soudan*socio=ac et en Tanzanie*socio=ac. Les populations*socio=ac ne peuvent atteindre un*socio=rien niveau_de_vie*socio=uv *socio=rien minimum raisonnable *socio=nil si elles ne disposent pas d'un*socio=rien approvisionnement*socio=ec en eau*socio=ec potable*socio=rien pour boire et laver le linge, et d'installations*socio=rien sanitaires*socio=uv. C'est*socio=rien pourquoi *socio=rien un gros effort*socio=uv de*socio=nil recherche*socio=ec,*socio=nil *socio=nil proche maintenant du*socio=rien stade*socio=te *socio=rien du projet *socio=nil pilote, est*socio=rien en cours*socio=rien d'exécution*socio=rien sur*socio=rien les possibilités*socio=rien d'utiliser des techniques*socio=rien peu coûteuses*socio=ec dans ces domaines*socio=rien . Les rapports*socio=rien obtenus jusqu'ici au moyen*socio=rien d'études*socio=rien sur*socio=rien les lieux*socio=rien et autres intrants*socio=ec indiquent qu'il existe de *socio=rien nombreuses techniques viables*socio=uv *socio=nil qui vont de la latrine au *socio=rien système complet d'*socio=nil égouts.*socio=nil L'*socio=nil hygiène*socio=et du milieu peut*socio=nil être *socio=nil beaucoup améliorée par l'installation et le *socio=rien bon entretien de*socio=nil systèmes *socio=nil qui coûtent de trois à dix fois*socio=rien moins par ménage*socio=rien que le réseau*socio=rien d'égouts*socio=rien normal*socio=rien . De même, les systèmes*socio=rien d'adduction d'eau*socio=ec par borne-fontaine peuvent contribuer à mettre fin*socio=rien à la transmission*socio=rien de la plupart*socio=rien des maladies*socio=et dues à l'eau*socio=ec, et cela à moindre*socio=rien frais*socio=ec dans la distribution*socio=rien . Ces solutions*socio=rien sont particulièrement utiles*socio=uv pour les *socio=te zones rurales *socio=nil et pour améliorer les conditions_de_vie*socio=uv dans les taudis urbains*socio=te et autres types de projets*socio=rien conçus pour venir en aide*socio=uv aux pauvres*socio=ac. Il apparaît aussi de plus en plus que, si l'on recherche*socio=rien pour les pauvres*socio=ac des possibilités*socio=rien d'emploi*socio=ec et des biens*socio=ec et services*socio=ec peu coûteux*socio=ec, les petites*socio=rien entreprises*socio=ac peuvent *socio=rien être un potentiel*socio=uv *socio=nil que l'on néglige et qui devrait être*socio=rien exploité. On n'a guère obtenu toutefois de *socio=rien connaissances systématiques sur *socio=nil ce que représente ce potentiel*socio=uv. Une étude*socio=ac est*socio=rien en cours*socio=rien qui vise à remédier à cette insuffisance*socio=rien . Plusieurs études*socio=rien de cas*socio=rien dont on a l'expérience*socio=uv seront menées dans quelques pays*socio=ac choisis à cet effet*socio=rien . S'ajouteront à ces *socio=rien travaux un certain nombre *socio=nil d'enquêtes *socio=rien sur certaines industries*socio=ec *socio=nil dans les villes*socio=te et les campagnes*socio=et, l'objectif*socio=rien étant d'analyser en détail*socio=rien les caractéristiques*socio=rien des entreprises*socio=ac et le milieu*socio=rien économique*socio=ec dans lequel elles fonctionnent. Dans le domaine*socio=rien de l'agriculture*socio=ec et du*socio=rien développement*socio=uv des campagnes*socio=et la Banque*socio=ac a investi des sommes non négligeables*socio=rien pour examiner les conditions_économiques*socio=ec dans lesquelles vivent les pauvres*socio=ac des campagnes*socio=et. *socio=rien Un projet a*socio=nil été *socio=nil conçu pour aider à mettre au point*socio=rien les informations*socio=rien et les analyses*socio=rien qui serviront de base*socio=rien aux programmes*socio=et de prêts*socio=ec destinés au développement_régional*socio=ec et pour offrir *socio=rien un cadre analytique *socio=nil permettant le rôle*socio=rien de la réforme*socio=et du*socio=rien régime*socio=et foncier*socio=ec, les innovations*socio=uv technologiques*socio=ec et les autres éléments*socio=rien d'une stratégie*socio=et du*socio=rien développement*socio=uv dans ce domaine*socio=rien . Il est*socio=rien prévu, dans un*socio=rien autre projet*socio=rien , d'enquêter sur*socio=rien le comportement*socio=rien des ménages*socio=rien d'agriculteurs*socio=ac et les modifications*socio=rien de l'économie*socio=ec régionale*socio=te afin de préciser la structure*socio=ec de l'économie*socio=ec locale*socio=te *socio=rien du projet d'*socio=nil irrigation*socio=ec *socio=nil de la Muda en Malaisie*socio=ac. A cela s'ajoute l'étude*socio=ac des effets*socio=rien secondaires*socio=et *socio=rien du projet,*socio=nil agriculture*socio=ec *socio=nil non compris, et des interactions*socio=rien entre l'agriculture*socio=ec et les autres activités*socio=rien . Les pays_en_développement*socio=ac se trouvent aussi toujours confrontés au problème*socio=uv de la planification*socio=et des investissements*socio=ec dans les secteurs*socio=ec industriels*socio=ac où chaque projet*socio=rien individuel*socio=uv est*socio=rien soumis aux économies*socio=ec d'échelle*socio=rien . *socio=rien Un projet de*socio=nil recherche*socio=ec,*socio=nil *socio=nil près d'être*socio=rien terminé, a mis au point*socio=rien une méthodologie qui sert utilement*socio=rien à la planification*socio=et et à l'identification*socio=rien des projets*socio=rien . Une série de manuels*socio=rien sont en cours*socio=rien de préparation*socio=rien qui mettent en relief*socio=rien le *socio=rien cadre analytique *socio=nil et plusieurs études*socio=rien de cas*socio=rien dans les sous-secteurs*socio=ec de la construction*socio=ec mécanique*socio=rien et des engrais*socio=rien en Corée*socio=ac et en Égypte*socio=ac. L'exiguïté de nombreux*socio=rien marchés*socio=ec nationaux*socio=te peut nécessiter une coopération*socio=uv régionale*socio=te des pays_en_développement*socio=ac. Les manuels*socio=rien présentent aussi des modèles*socio=rien régionaux*socio=te où il est*socio=rien discuté des coûts*socio=ec et bénéfices*socio=ec de la coopération*socio=uv dans les sous-secteurs*socio=ec des *socio=ec industries forestières *socio=nil et celles des engrais*socio=rien dans la Région*socio=te de l'Asie_du_sud-est*socio=ac (ASEAN) et dans les pays*socio=ac du*socio=rien marché_commun*socio=ec des Andes. Il *socio=rien est nécessaire,*socio=nil *socio=nil pour comprendre dans le monde*socio=te l'état*socio=rien de l'offre*socio=rien et de la demande*socio=ec de divers produits*socio=rien , d'envisager la situation*socio=uv globalement, plutôt que de se limiter*socio=rien à une Région*socio=te. De même, l'évaluation*socio=uv périodique*socio=rien par la Banque*socio=ac de la situation*socio=uv économique*socio=ec du*socio=rien monde*socio=te nécessite une *socio=rien méthode systématique *socio=nil pour la compilation des données et l'analyse*socio=rien des *socio=ec marchés commerciaux.*socio=nil *socio=nil Ce que cherche la Banque*socio=ac dans ce *socio=rien domaine est *socio=nil de fournir la méthodologie et les données qui serviront à analyser les conditions*socio=uv générales*socio=rien de l'offre*socio=rien et de la demande*socio=ec des ressources_naturelles*socio=ec importantes*socio=rien et des produits*socio=rien de ces ressources*socio=ec. *socio=rien Un projet de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil se rami fie sous forme*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre *socio=nil de sous-projets, parmi lesquels on compte*socio=rien la construction*socio=ec d'un*socio=rien modèle*socio=rien mondial*socio=te d'économie*socio=ec de l'énergie*socio=ec; des modèles*socio=rien régionaux*socio=te et globaux*socio=ec de *socio=ec flux commerciaux *socio=nil et de planification*socio=et des investissements*socio=ec dans les industries*socio=ec de la bauxite et de l'aluminium*socio=ec; et les travaux*socio=rien de recherche*socio=ec sur*socio=rien la dynamique*socio=uv des marchés*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien . Les travaux*socio=rien de recherche*socio=ec considérables*socio=rien que la Banque*socio=ac a menés dans le *socio=rien domaine du commerce*socio=ec international*socio=te ont*socio=nil été *socio=nil stimulés par l'importance*socio=rien des perspectives*socio=uv commerciales*socio=ec qui s'ouvrent aux économies*socio=ec du*socio=rien inonde en développement*socio=uv. C'est*socio=rien ainsi, par exemple*socio=rien , qu'une importante*socio=rien étude*socio=ac actuellement en *socio=rien cours est *socio=nil conçue de manière*socio=rien à entreprendre une *socio=rien analyse rigoureuse du sujet par*socio=nil un échantillon *socio=nil de la production*socio=ec des *socio=rien principaux produits d'*socio=nil exportation*socio=ec *socio=nil et une analyse*socio=rien chronologique des effets*socio=rien obtenus par les *socio=rien mesures prises *socio=nil pour développer les exportations*socio=ec. Cette étude*socio=ac évaluera les efforts*socio=uv faits*socio=rien en ce sens*socio=rien par 4 pays_en_développement*socio=ac, à savoir*socio=rien le Brésil*socio=ac, la République*socio=ac de Chine*socio=ac, la Grèce et le Pakistan*socio=ac. Les résultats*socio=rien serviront à formuler des *socio=rien recommandations sur l'*socio=nil importance *socio=nil et les méthodes*socio=rien de lancement*socio=rien des exportations*socio=ec dans les pays_en_développement*socio=ac. Le programme*socio=et de recherche*socio=ec de la Banque*socio=ac a maintenant terminé un*socio=rien cycle*socio=te en ce sens*socio=rien que plusieurs projets*socio=rien , lancés au *socio=rien début du programme*socio=et,*socio=nil *socio=nil ont maintenant été*socio=rien menés à bien*socio=rien ou sont près d'être*socio=rien achevés. Il a été*socio=rien décidé que ce serait là *socio=rien un moment opportun *socio=nil pour réexaminer le programme*socio=et afin d'aider la direction*socio=rien de la Banque*socio=ac à déterminer la dimension*socio=rien et la *socio=rien nature du programme*socio=et de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil pendant le cycle*socio=te suivant*socio=rien . Il a été*socio=rien créé à cette fin*socio=rien une commission*socio=ac générale*socio=rien composée d'éminentes*socio=rien personnalités. Cette commission*socio=ac générale*socio=rien bénéficiera de l'aide*socio=uv de sept commissions*socio=ac, chacune étant chargée d'un*socio=rien domaine*socio=rien de recherche*socio=ec spécial*socio=rien . Deux commissions*socio=ac ont déjà déposé leur rapport*socio=rien : ce sont la Commission*socio=ac consultative extérieure*socio=te de la population*socio=ac et la Commission*socio=ac consultative chargée de la recherche*socio=ec sur*socio=rien la répartition*socio=uv des revenus*socio=ec et l'emploi*socio=ec. Il a été*socio=rien prévu de constituer *socio=rien cinq nouvelles commissions*socio=ac *socio=nil auxquelles seront confiées les programmes*socio=et de recherche*socio=ec suivants*socio=rien : Développement*socio=uv industriel*socio=ec et commerce*socio=ec, Éducation*socio=et, services_publics*socio=et, Transports*socio=ec et Agriculture*socio=ec et développement*socio=uv rural*socio=te. Cet examen*socio=rien devrait être*socio=rien terminé vers la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1979.