*{Rapport annuel de la Banque mondiale, 1986 } *socio=rien Chapitre premier:*socio=nil La*socio=nil banque_mondiale*socio=ac:*socio=nil *socio=nil aperçu de l'exercice*socio=rien 86. Il apparaîtra peut-être plus tard que l'exercice*socio=rien écoulé a *socio=rien été décisif *socio=nil dans l'histoire*socio=rien récente*socio=rien des relations*socio=rien économiques*socio=ec entre *socio=ac pays industriels et*socio=nil pays_en_développement.*socio=nil *socio=nil Il serait injuste de garder essentiellement, au sujet*socio=rien de l'exercice*socio=rien écoulé, le souvenir d'une série d'événements*socio=rien conjoncturels*socio=et - tous examinés dans d'autres *socio=rien parties du Rapport annuel,*socio=nil à*socio=nil savoir:*socio=nil le*socio=nil ralentissement*socio=uv *socio=nil de la croissance*socio=uv par rapport*socio=rien à 1984, aussi bien*socio=rien dans les *socio=ac pays industriels *socio=nil que dans les pays_en_développement*socio=ac; la prolongation*socio=rien et l'aggravation*socio=rien des problèmes*socio=uv que connaissent les pays*socio=ac lourdement endettés; la baisse*socio=rien marquée du*socio=rien prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec et les conséquences*socio=rien de cette baisse*socio=rien pour les exportateurs*socio=ac et les importateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec; la chute des taux_d'_intérêt*socio=ec; la *socio=rien nouvelle chance *socio=nil qui s'offre*socio=rien , sur*socio=rien le plan*socio=rien économique*socio=ec, aux pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac; l'intensification*socio=rien des pressions*socio=uv protectionnistes*socio=et; et le tassement*socio=rien des niveaux*socio=rien d' aide_publique_au_développement*socio=et. Il vaudrait mieux se souvenir plutôt *socio=rien du fait *socio=nil que, durant l'exercice*socio=rien écoulé, les *socio=rien discussions théoriques *socio=nil ont cédé le pas à l'action*socio=rien *socio=rien sur un certain nombre de*socio=nil points critiques.*socio=nil *socio=nil Certes, des problèmes*socio=uv épineux ne sont toujours pas résolus et, dans d'autres cas*socio=rien , on ne fait*socio=rien qu'entrevoir l'ébauche d'une solution*socio=rien . Pourtant, la convergence*socio=uv d'opinions*socio=uv entre *socio=ac pays industriels et*socio=nil pays_en_développement sur*socio=rien la*socio=nil nature*socio=rien des*socio=nil problèmes*socio=uv économiques*socio=ec actuels*socio=rien et*socio=nil sur*socio=rien les*socio=nil voies*socio=rien *socio=nil qui pourraient être*socio=rien empruntées pour les atténuer, ou même renverser des *socio=rien tendances chroniquement négatives,*socio=nil *socio=nil donne à cet exercice*socio=rien son caractère*socio=rien distinctif par rapport*socio=rien aux précédents*socio=rien . On peut citer en particulier*socio=uv deux points*socio=rien essentiels*socio=uv sur*socio=rien lesquels une convergence*socio=uv vitale*socio=rien a été*socio=rien constatée, à savoir*socio=rien la nécessité*socio=uv de stimuler la croissance_économique*socio=ec dans les pays*socio=ac lourdement endettés qui ont entrepris, non sans *socio=rien un certain coût_social*socio=ec,*socio=nil des*socio=nil programmes*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et économique*socio=ec de*socio=nil grande portée,*socio=nil *socio=nil et la nécessité*socio=uv d'une action*socio=rien concertée de la part*socio=rien de toutes les parties*socio=rien intéressées, pour mettre fin*socio=rien à des décennies*socio=rien de déclin*socio=rien économique*socio=ec dans les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac. La communauté*socio=ac internationale*socio=te s'est*socio=rien déclarée résolue à s'attaquer à ces problèmes*socio=uv majeurs*socio=rien et, parallèlement, il est*socio=rien apparu de plus en plus clairement que, pendant le restant de cette décennie*socio=rien et les années*socio=rien 90, la banque_mondiale*socio=ac devait jouer *socio=rien un rôle de*socio=nil premier plan *socio=nil pour stimuler la croissance*socio=uv dans les pays*socio=ac très endettés, aider à renverser le déclin*socio=rien économique*socio=ec de l'Afrique*socio=ac, et promouvoir et coordonner les apports*socio=rien de capitaux*socio=ec destinés aux pays_en_développement*socio=ac du*socio=rien monde*socio=te entier*socio=rien . (Voir au Tableau*socio=rien 1-1 la liste des réunions*socio=rien de coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv présidées par la Banque*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien 86.) Les *socio=rien principales réunions *socio=nil où ce consensus*socio=uv international*socio=te s'est*socio=rien dégagé ont été*socio=rien les Assemblées*socio=et annuelles*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac et du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac (FMI*socio=ac) (à Séoul*socio=ac, Corée*socio=ac, en octobre*socio=rien 1985) et les *socio=rien réunions du comité_du_développement*socio=ac.*socio=nil Note*socio=nil sur le*socio=nil comité_du_développement*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil comité_du_développement*socio=ac *socio=nil - connu officiellement sous le nom*socio=rien de Comité*socio=rien ministériel*socio=et conjoint*socio=uv des Gouverneurs*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac et du*socio=rien fonds_*socio=ec monétaire_international*socio=ac sur*socio=rien le transfert*socio=ec des ressources*socio=ec réelles*socio=rien aux pays_en_développement*socio=ac - a été*socio=rien crée en 1974. Il comprend 22 ministres*socio=ac désignés par chaque État*socio=ac membre*socio=rien de la Banque*socio=ac ou du*socio=rien Fonds*socio=ec qui nomme un*socio=rien administrateur*socio=ac, ou bien*socio=rien par un*socio=rien groupe*socio=ac de membres*socio=rien élisant un*socio=rien Administrateur*socio=ac } (à Séoul*socio=ac, Corée*socio=ac, en octobre*socio=rien 1985 et à Washington*socio=ac en avril*socio=rien 1986). Ce nouvel*socio=rien esprit_de_coopération*socio=uv s'est*socio=rien également manifesté lors*socio=rien d'autres réunions*socio=rien internationales*socio=te, et notamment au sommet_économique*socio=ec de Tokyo*socio=ac (mai*socio=rien 1986) et durant la *socio=rien session spéciale *socio=nil d'une semaine*socio=rien consacrée par l'assemblée*socio=ac générale*socio=rien des nations_unies*socio=ac aux problèmes*socio=uv économiques*socio=ec de l'Afrique*socio=ac en mai*socio=rien 1986. Fin*socio=rien de note. A l'époque*socio=rien des Assemblées*socio=et annuelles*socio=rien de Séoul*socio=ac, il était apparu que les difficultés*socio=rien qu'éprouvaient de nombreux*socio=rien pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés à assurer le service*socio=ec de leur dette*socio=ec risquaient de durer et que leur solution*socio=rien à long_terme*socio=ec dépendait de façon*socio=rien critique*socio=uv d'un*socio=rien retour*socio=rien à une croissance*socio=uv soutenue. Ces pays*socio=ac avaient trop souvent appliqué des politiques*socio=et d'ajustement*socio=et débouchant sur*socio=rien une réduction*socio=uv des importations*socio=ec plutôt que sur*socio=rien une progression*socio=uv des exportations*socio=ec et de l'épargne*socio=ec; les déficits*socio=ec budgétaires*socio=et étaient réduits non pas grâce*socio=rien à un*socio=rien accroissement*socio=ec de la production*socio=ec, mais par une diminution*socio=rien des dépenses*socio=ec consacrées à la santé*socio=et et à l'éducation*socio=et ainsi qu'à d'autres services_sociaux*socio=et, ce qui compromettait à la fois*socio=rien la croissance_économique*socio=ec à long_terme*socio=ec et la paix_sociale*socio=uv. Le consensus*socio=uv qui est*socio=rien apparu était le suivant*socio=rien : toutes les parties*socio=rien intéressées - les pays*socio=ac endettés, les pays_industrialisés*socio=ac, les banques*socio=ac commerciales*socio=ec et les institutions_financières*socio=ec internationales*socio=te - devaient agir de façon*socio=rien concertée et non en ordre*socio=rien dispersé. Selon le scénario*socio=rien envisagé, les pays*socio=ac endettés devaient poursuivre leurs efforts*socio=uv en vue*socio=rien d'atteindre plusieurs *socio=rien grands objectifs,*socio=nil à*socio=nil savoir une*socio=nil stabilisation*socio=et du contexte macroéconomique*socio=ec,*socio=nil une*socio=nil augmentation*socio=uv du volume global des*socio=nil investissements*socio=ec,*socio=nil des*socio=nil gains*socio=ec de*socio=nil productivité*socio=ec,*socio=nil un accroissement*socio=ec rapide des*socio=nil exportations*socio=ec,*socio=nil une*socio=nil expansion*socio=ec *socio=nil de l'épargne*socio=ec intérieure*socio=rien et une rationalisation*socio=uv *socio=rien du système d'*socio=nil incitations au*socio=nil secteur_privé*socio=ec.*socio=nil En*socio=nil collaboration*socio=uv *socio=nil avec le FMI*socio=ac, la banque_mondiale*socio=ac aiderait les gouvernements*socio=ac à élaborer et mettre en oeuvre*socio=rien les réformes*socio=et nécessaires*socio=rien au *socio=rien plan interne *socio=nil pour que les prêteurs*socio=ac et les investisseurs*socio=ac aient davantage confiance*socio=uv dans l'aptitude*socio=rien de ces pays*socio=ac à retrouver le chemin*socio=rien de la croissance*socio=uv. En même temps*socio=rien , les *socio=ac pays industriels *socio=nil agiraient de concert*socio=uv pour obtenir*socio=rien des taux_de_croissance*socio=ec satisfaisants*socio=rien sans inflation*socio=ec et s'associeraient à des banques*socio=ac commerciales*socio=ec et à des banques_multilatérales_de_développement*socio=ac pour stimuler l'investissement*socio=ec dans les pays*socio=ac appliquant au *socio=rien plan interne une*socio=nil politique*socio=et *socio=nil permettant d'utiliser efficacement des ressources*socio=ec supplémentaires*socio=rien . Ce scénario*socio=rien s'est*socio=rien partiellement réalisé. Les pays*socio=ac endettés ont continué à exécuter des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et; les politiques_économiques*socio=ec du*socio=rien Groupe*socio=ac des Cinq*socio=rien ont été*socio=rien mieux coordonnées et la banque_mondiale*socio=ac a intensifié ses activités*socio=rien de prêt*socio=ec à l'appui*socio=rien des efforts*socio=uv d'ajustement*socio=et. Le soutien*socio=uv accru apporté par la Banque*socio=ac à ces pays*socio=ac, grâce*socio=rien à ce consensus*socio=uv international*socio=te, a pris essentiellement trois formes*socio=rien : assistance*socio=et, en collaboration*socio=uv étroite*socio=rien avec le FMI*socio=ac, au niveau*socio=rien de la formulation*socio=rien , de l'exécution*socio=rien et du*socio=rien suivi de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et à *socio=rien moyen terme;*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'appui*socio=rien de ces programmes*socio=et et, enfin, rôle*socio=rien de catalyseur*socio=rien pour mobiliser et coordonner des flux*socio=ec d'aide*socio=uv privée*socio=ec et publique*socio=et. Les décaissements*socio=ec au profit*socio=ec de 14 pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés ont progressé, passant de 2,4 à environ 4,1 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec de l'exercice*socio=rien 82 à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 86, finançant essentiellement, mais pas exclusivement, des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et entrepris dans les pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac. Les prêts*socio=ec à l'appui*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et représentent maintenant au total*socio=rien environ *socio=rien un tiers *socio=nil de tous les engagements*socio=ec de la Banque*socio=ac en faveur*socio=rien de ces pays*socio=ac. Que ce soit dans le cadre*socio=rien de prêts*socio=ec à l' ajustement_structurel*socio=et ou sectoriel*socio=ec, les fonds*socio=ec fournis à l'appui*socio=rien de réformes*socio=et sont décaissés rapidement et permettent ainsi de répondre promptement aux besoins*socio=uv d'un*socio=rien pays*socio=ac donné en capitaux*socio=ec extérieurs*socio=te. Les *socio=ec prêts privés *socio=nil n'ont cependant pas augmenté dans les mêmes proportions*socio=rien . Comme l'a signalé le Président*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac, M:A:W: Clausen au comité_du_développement*socio=ac lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1986, il apparaît difficile*socio=rien d'amener les banques*socio=ac privées*socio=ec à accroître le volume*socio=rien de leurs prêts*socio=ec aux pays_en_développement*socio=ac, qui a *socio=rien été faible ces*socio=nil derniers temps.*socio=nil Le*socio=nil comité_du_développement*socio=ac *socio=nil a, quant à lui, réagi en demandant instamment aux *socio=ac pays créanciers *socio=nil de veiller à ce que les règlements*socio=et et directives*socio=rien imposés par leurs autorités*socio=et de contrôle*socio=uv des opérations*socio=rien bancaires*socio=ec ne fassent pas obstacle*socio=rien à des arrangements*socio=et de financement*socio=ec susceptibles*socio=rien de fournir aux pays*socio=ac qui mettent en oeuvre*socio=rien des programmes*socio=et sérieux*socio=rien d'ajustement*socio=et et de croissance*socio=uv des flux*socio=ec de financement*socio=ec d'origine*socio=rien commerciale*socio=ec modestes*socio=rien mais d'un*socio=rien volume*socio=rien accru. De même, un*socio=rien soutien*socio=uv a également été*socio=rien accordé durant l'exercice*socio=rien écoulé à une initiative*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac visant à assurer aux pays_en_développement*socio=ac des flux*socio=ec d'investissement*socio=ec étrangers*socio=uv privés*socio=ec accrus, lorsque le conseil_des_gouverneurs*socio=ac de la Banque*socio=ac a approuvé *socio=rien un projet de*socio=nil Convention*socio=et relatif *socio=nil à l'Agence*socio=rien multilatérale*socio=te de garantie des investissements*socio=ec (AMGI*socio=ac). L'AMGI*socio=ac, dont l'objet*socio=rien est*socio=rien de stimuler précisément ces flux*socio=ec de financement*socio=ec, fournira des garanties contre les risques*socio=uv non commerciaux*socio=ec et mènera des activités*socio=rien d'assistance_technique*socio=et et consultatives. Pendant tout l'exercice*socio=rien écoulé, la Banque*socio=ac s'est*socio=rien efforcée d'encourager les banques*socio=ac commerciales*socio=ec à accroître leurs prêts*socio=ec à ces pays*socio=ac, les décaissements*socio=ec des banques*socio=ac commerciales*socio=ec au profit*socio=ec des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien très endettés ayant en effet*socio=rien augmenté de moins de 1% en 1985. A plus long_terme*socio=ec, les banques*socio=ac commerciales*socio=ec pourraient bien*socio=rien avoir davantage confiance*socio=uv dans l'aptitude*socio=rien de ces pays*socio=ac à retrouver le chemin*socio=rien de la croissance*socio=uv si la Banque*socio=ac dispose des ressources*socio=ec nécessaires*socio=rien pour aider les pays*socio=ac lourdement endettés à élaborer et mettre en oeuvre*socio=rien les réformes*socio=et indispensables*socio=uv au cours*socio=rien des années*socio=rien à venir. Un*socio=rien programme*socio=et prévoyant un*socio=rien accroissement*socio=ec des prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac à ses pays_membres*socio=ac en développement*socio=uv durant les exercices*socio=rien 86 à 88, portant *socio=rien sur un montant*socio=ec *socio=nil compris entre 40 et 45 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, a été*socio=rien approuvé au début*socio=rien de l'exercice*socio=rien par des ministres*socio=ac de pays*socio=ac aussi bien*socio=rien industriels*socio=ac qu'en développement*socio=uv. La Banque*socio=ac a reconnu ultérieurement qu'il fallait s'attendre à ce que ses prêts*socio=ec augmentent, non seulement en faveur*socio=rien des pays*socio=ac très endettés, mais aussi en faveur*socio=rien d'autres pays*socio=ac, y compris ceux qui pouvaient bénéficier d'un*socio=rien financement*socio=ec mixte*socio=rien et dont l'accès*socio=uv aux flux*socio=ec d'aide*socio=uv concessionnelle*socio=uv de l'IDA*socio=ac risquait d'être*socio=rien limité. Elle a donc porté la fourchette*socio=rien de prêts*socio=ec prévue pour ces exercices*socio=rien à *socio=rien un maximum *socio=nil de 50 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, tout en prévoyant *socio=rien un volume de*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil allant jusqu'à 21,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec pour l'exercice*socio=rien 90. *socio=rien Du fait *socio=nil qu'une telle expansion*socio=ec des activités*socio=rien de prêt*socio=ec de la BIRD*socio=ac rend *socio=rien nécessaire un accroissement*socio=ec *socio=nil de son capital*socio=ec, la question*socio=rien de la date d'une augmentation*socio=uv *socio=rien générale du capital*socio=ec *socio=nil (AGC) revêt *socio=rien un caractère *socio=nil de plus en plus crucial*socio=rien . Il ne fait*socio=rien pas de doute*socio=rien , comme l'indique le communiqué du*socio=rien comité_du_développement*socio=ac d'avril*socio=rien 1986, que la Banque*socio=ac doit disposer du*socio=rien capital*socio=ec et du*socio=rien pouvoir*socio=et d'emprunt*socio=ec voulus pour répondre à l'avenir*socio=te à la demande*socio=ec de ses *socio=ac pays_membres emprunteurs.*socio=nil Le*socio=nil Président*socio=rien *socio=nil de la Banque*socio=ac a cependant fait*socio=rien observer qu'il importera que les actionnaires*socio=ac parviennent à un*socio=rien accord*socio=et de *socio=rien principe sur une*socio=nil augmentation*socio=uv spécifique du capital*socio=ec au*socio=nil cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien 87 pour permettre à la BIRD*socio=ac de répondre pleinement aux besoins*socio=uv de ses membres*socio=rien . Le *socio=rien deuxième domaine important *socio=nil dans lequel on a constaté une convergence*socio=uv d'opinions*socio=uv marquée concerne les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac. En 1986, l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac a commencé à surmonter les effets*socio=rien d'une des pires*socio=rien famines*socio=ec que l'on ait connue de mémoire d'homme*socio=ac et les revenus*socio=ec par habitant*socio=ac devraient normalement augmenter pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis 1980. Cette *socio=rien bonne nouvelle est *socio=nil à nuancer car les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec restent aujourd'hui plus pauvres*socio=uv qu'ils ne l'étaient il y a *socio=rien un quart de*socio=nil siècle.*socio=nil *socio=nil A la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 85, après*socio=rien la publication*socio=et par la Banque*socio=ac d'un*socio=rien rapport*socio=rien intitulé Un*socio=rien programme*socio=et d'action*socio=rien concertée pour le *socio=uv développement stable *socio=nil de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=te, il est*socio=rien apparu plus manifestement que jamais que la Banque*socio=ac devait rechercher les moyens*socio=ec de mobiliser des ressources*socio=ec supplémentaires*socio=rien pour mettre en *socio=rien oeuvre un programme*socio=et d'*socio=nil action susceptible *socio=nil de permettre à la région*socio=te d'exploiter pleinement son potentiel*socio=uv. Les efforts*socio=uv de la Banque*socio=ac ont abouti à la *socio=rien création du Fonds*socio=ec spécial d'*socio=nil aide*socio=uv *socio=nil à l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac, chargé de contribuer au financement*socio=ec, durant une période*socio=te de trois ans*socio=rien , des programmes*socio=et de réforme*socio=et entrepris par des *socio=ac gouvernements africains.*socio=nil Les*socio=nil opérations*socio=rien *socio=nil de ce Fonds*socio=ec ont démarré le 1er juillet*socio=rien 1985. Durant l'exercice*socio=rien 86, la Banque*socio=ac a fait*socio=rien le point*socio=rien de l'évolution*socio=rien récente*socio=rien de la situation*socio=uv en *socio=ac Afrique subsaharienne.*socio=nil Son*socio=nil étude *socio=nil a tiré plusieurs conclusions*socio=rien : tout d'abord*socio=rien , les *socio=ac gouvernements africains *socio=nil font des progrès*socio=uv considérables*socio=rien en ce qui concerne la formulation*socio=rien et l'exécution*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement_structurel*socio=et, mais il reste*socio=rien encore beaucoup à faire; deuxièmement, la diminution*socio=rien des importations*socio=ec de l'Afrique*socio=ac - non seulement de biens*socio=ec d'équipement*socio=ec mais aussi de biens*socio=ec de consommation*socio=ec essentiels*socio=uv et de matières_premières*socio=ec - menace*socio=rien de faire échouer les réformes*socio=et en cours*socio=rien ; et enfin, les engagements*socio=ec d'aide*socio=uv connus et prévus en faveur*socio=rien de la région*socio=te durant la période*socio=te 1986-90, d'un*socio=rien montant*socio=ec de 32,8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, font apparaître un*socio=rien déficit*socio=ec de ressources*socio=ec de 2,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, qui doit être*socio=rien comblé. Le *socio=rien thème principal du rapport est sans*socio=nil ambiguïté:*socio=nil *socio=nil si les pays*socio=ac qui persévèrent dans leurs efforts*socio=uv d'ajustement_structurel*socio=et ne bénéficient pas de ressources*socio=ec supplémentaires*socio=rien sous forme*socio=rien d'une aide*socio=uv nouvelle*socio=rien et d'un*socio=rien nouvel*socio=rien allégement*socio=ec de la dette*socio=ec, les efforts*socio=uv qu'ils déploient pour se tirer d'affaire*socio=ec sont voués à l'échec*socio=uv. Un*socio=rien consensus*socio=uv *socio=rien sur un certain nombre de*socio=nil recommandations *socio=nil de la Banque*socio=ac visant à aider les pays*socio=ac de cette région*socio=te est*socio=rien apparu, les *socio=ac pays industriels *socio=nil ayant décidé de n'épargner aucun effort*socio=uv pour combler le déficit*socio=ec de 2,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en accroissant leur aide_publique_au_développement*socio=et, par des voies*socio=rien aussi bien*socio=rien multilatérales*socio=te que bilatérales*socio=te, aux pays*socio=ac qui entreprennent des programmes*socio=et de réforme*socio=et de *socio=rien grande portée.*socio=nil *socio=nil En outre, chacun s'accorde à estimer que les *socio=ac pays donateurs *socio=nil ne devraient pas recevoir des *socio=ac pays africains *socio=nil qu'ils s'efforcent précisément d'aider davantage de capitaux*socio=ec publics*socio=et qu'ils ne leur en accordent. La Banque*socio=ac a recommandé que les donateurs*socio=ac coordonnent davantage leur action*socio=rien en ce qui concerne leurs programmes_d'_aide*socio=uv à la région*socio=te et il a été*socio=rien suggéré qu'elle joue *socio=rien un rôle de*socio=nil premier plan *socio=nil à cet égard*socio=rien . Les efforts*socio=uv déployés pour fournir à la Banque*socio=ac les fonds*socio=ec dont elle a besoin*socio=uv pour pouvoir*socio=et jouer le rôle*socio=rien qui est*socio=rien le sien en soutenant l'ajustement*socio=et dans la croissance*socio=uv en *socio=ac Afrique subsaharienne *socio=nil se sont poursuivis pendant toute l'année*socio=rien . Au cours*socio=rien des négociations*socio=uv sur*socio=rien la *socio=rien Huitième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec de*socio=nil PIDA*socio=ac *socio=nil pour les exercices*socio=rien 88 à 90, les délégués*socio=ac représentant*socio=rien 34 *socio=ac pays donateurs *socio=nil ont décidé de faire tout leur possible*socio=rien pour qu'IDA-8*socio=ac atteigne 12 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Cependant, ce n'est*socio=rien pas seulement à cause*socio=rien des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac qu'IDA-8*socio=ac doit atteindre *socio=rien un niveau suffisamment*socio=nil élevé.*socio=nil Les*socio=nil pays*socio=ac pauvres*socio=uv *socio=nil des autres régions*socio=te du*socio=rien monde*socio=te peuvent eux aussi légitimement prétendre bénéficier régulièrement de crédits*socio=ec importants*socio=rien de l'IDA*socio=ac. La Banque*socio=ac s'est*socio=rien également félicitée, durant l'exercice*socio=rien écoulé, de la *socio=rien décision prise *socio=nil par le conseil_d'_administration*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac de créer une facilité_d'_ajustement_structurel*socio=et qui mettra à la disposition*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec ayant élaboré des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et à *socio=rien moyen terme 2,7*socio=nil milliards*socio=ec *socio=nil de DTS au titre*socio=rien de la balance_des_paiements*socio=ec . La Banque*socio=ac étudie actuellement les moyens*socio=ec par lesquels elle pourrait collaborer avec le Fonds*socio=ec pour accroître l'efficacité*socio=uv de cette facilité. Les liens*socio=rien de collaboration*socio=uv entre la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec ont continué de se renforcer au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 86, les deux institutions*socio=ac redoublant d'efforts*socio=uv pour aider leurs pays_membres*socio=ac à retrouver *socio=rien un rythme de*socio=nil croissance_soutenable*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Pendant l'exercice*socio=rien , la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec ont collaboré de façon*socio=rien particulièrement étroite*socio=rien dans les pays*socio=ac très endettés pour appuyer leurs programmes*socio=et d'ajustement*socio=et en vue*socio=rien de mobiliser un*socio=rien financement*socio=ec supplémentaire*socio=rien auprès des banques*socio=ac commerciales*socio=ec, objectif*socio=rien qui, à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien , n'avait pas encore été*socio=rien atteint. L'exercice*socio=rien 86 a peut-être préparé la voie*socio=rien à deux évolutions*socio=uv: la poursuite*socio=rien des progrès*socio=uv réalisés grâce*socio=rien à une action*socio=rien internationale*socio=te concertée en vue*socio=rien d'assurer une croissance_économique*socio=ec soutenue et non inflationniste*socio=ec; et une responsabilité*socio=uv accrue de la banque_mondiale*socio=ac dans ce processus*socio=rien . C'est*socio=rien une responsabilité*socio=uv que la Banque*socio=ac *socio=rien est prête *socio=nil à assumer, puisqu'elle a entrepris de jouer *socio=rien un rôle de*socio=nil premier plan *socio=nil en développant ses services*socio=ec dans plusieurs domaines*socio=rien , notamment les activités*socio=rien de prêt*socio=ec, de prestation*socio=et de conseils*socio=ac en matière*socio=rien de politique_économique*socio=et et d' assistance_technique*socio=et, et en intensifiant son rôle*socio=rien de catalyseur*socio=rien auprès des banques*socio=ac commerciales*socio=ec et dans la coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv. Ce *socio=rien rôle est *socio=nil actuellement renforcé dans deux *socio=rien domaines clés:*socio=nil -*socio=nil Intensification *socio=nil de J'aide*socio=uv aux pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien très endettés qui souhaitent que la Banque*socio=ac les aide*socio=uv à poursuivre des politiques*socio=et à *socio=rien moyen terme compatibles *socio=nil avec la croissance*socio=uv et l'ajustement*socio=et. - Renforcement*socio=uv de l'assistance*socio=et dans le *socio=rien cadre du Programme*socio=et d'*socio=nil action *socio=nil concertée en faveur*socio=rien des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac. Cette assistance*socio=et prendra la forme*socio=rien de prêts*socio=ec (dont le montant*socio=ec pendant l'exercice*socio=rien 87 continuera d'être*socio=rien limité par les résultats*socio=rien des accords*socio=et conclus dans le passé*socio=rien ), auxquels s'ajoutera l'élaboration*socio=rien , en collaboration*socio=uv avec le FMI*socio=ac, de cadres*socio=rien de politique_économique*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil qui serviront de base*socio=rien à un*socio=rien renforcement*socio=uv *socio=rien du rôle de*socio=nil catalyseur *socio=nil de la Banque*socio=ac. Note sur*socio=rien le rôle*socio=rien de la Banque*socio=ac. L'aptitude*socio=rien de la Banque*socio=ac à faire face*socio=rien à ses responsabilités*socio=uv accrues dépend en fait*socio=rien d'une multitude*socio=rien de facteurs*socio=rien et, par dessus tout, de l'environnement*socio=ec économique*socio=ec global*socio=rien , *socio=rien du volume de*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil mis à sa disposition*socio=rien et *socio=rien du fait *socio=nil qu'elle peut continuer d'attirer et de garder à son *socio=rien service un personnel compétent*socio=uv *socio=nil et dévoué. Il faut en outre qu'elle veille à ce que son personnel*socio=rien travaille dans un*socio=rien environnement*socio=ec propre*socio=rien à promouvoir l'efficacité*socio=uv. On verra à la page*socio=rien 26 les moyens*socio=ec qui sont actuellement mis en place*socio=rien pour accroître l'efficacité*socio=uv des opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac. Fin*socio=rien de note. Quelques *socio=rien faits marquants *socio=nil de l'exercice*socio=rien 86. Durant l'exercice*socio=rien 86, les engagements*socio=ec de prêt*socio=ec de la banque_internationale_pour_la_reconstruction*socio=ac et le développement*socio=uv (BIRD*socio=ac), de l' association_internationale_de_développement*socio=ac (IDA*socio=ac) et de la société_financière_internationale*socio=ac (SFI*socio=ac) ont représenté au total*socio=rien 17,475 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Ce montant*socio=ec *socio=rien est supérieur *socio=nil de 2,153 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (14%) à celui de l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien , qui avait atteint le chiffre record*socio=rien de 15,322 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Les engagements*socio=ec de la BIRD*socio=ac ont été*socio=rien de 13,179 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 1,823 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (16%) de plus qu'au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 85. Ceux de l'IDA*socio=ac, d'un*socio=rien montant*socio=ec de 3,140 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ont *socio=rien été supérieurs *socio=nil de 112 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (3,7%) à ceux de l'exercice*socio=rien 85. Les engagements*socio=ec de la SFI*socio=ac, d'un*socio=rien montant*socio=ec d'environ 1,156 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ont *socio=rien été supérieurs *socio=nil de 219 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (23%) à ceux de l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien . En plus des prêts*socio=ec de la BIRD*socio=ac et de l'IDA*socio=ac le Fonds*socio=ec spécial*socio=rien d'aide*socio=uv à l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac a financé au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 86 des opérations*socio=rien portant sur*socio=rien 782 millions*socio=rien de dollars*socio=ec dans 15 pays*socio=ac. Au total*socio=rien , 131 prêts*socio=ec de la BIRD*socio=ac ont été*socio=rien répartis entre 41 pays*socio=ac et 97 crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac entre 37 pays*socio=ac. La SFI*socio=ac a effectué 85 investissements*socio=ec dans 39 pays*socio=ac. Pour les projets*socio=rien dont on peut calculer les coûts*socio=ec totaux*socio=rien , la BIRD*socio=ac et l'IDA*socio=ac ont fourni environ 30% du*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien des fonds*socio=ec requis*socio=rien . Les plus gros*socio=rien emprunteurs*socio=ac de la BIRD*socio=ac ont été*socio=rien l'Inde*socio=ac (1,743 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, six projets*socio=rien ), le Brésil*socio=ac (1,620 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, onze projets*socio=rien ) et l'Indonésie*socio=ac (1,132 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, onze projets*socio=rien ). C'est*socio=rien à l'Inde*socio=ac (625 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, six projets*socio=rien ), au Bangladesh*socio=ac (463 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, six projets*socio=rien ) et à la Chine*socio=ac (450 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, quatre projets*socio=rien ) que l'IDA*socio=ac a accordé le plus de crédits*socio=ec. Durant l'exercice*socio=rien 86, les décaissements*socio=ec de la BIRD*socio=ac ont atteint au total*socio=rien 8,263 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit une baisse*socio=rien de 382 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien à l'exercice*socio=rien 85. Ceux de l'IDA*socio=ac, d'un*socio=rien montant*socio=ec de 3,155 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ont augmenté de 664 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien à l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien . La diminution*socio=rien des décaissements*socio=ec de la BIRD*socio=ac tient au fait*socio=rien que le nombre*socio=rien d'annulations de prêts*socio=ec est*socio=rien resté supérieur*socio=rien à la moyenne*socio=rien et que le rythme*socio=rien d'exécution*socio=rien des projets*socio=rien a été*socio=rien très lent*socio=rien dans certains *socio=ac pays emprunteurs.*socio=nil Le*socio=nil transfert*socio=ec net*socio=rien de*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil effectué à la fois*socio=rien par la BIRD*socio=ac et l'IDA*socio=ac aux *socio=ac pays emprunteurs s'*socio=nil *socio=rien est élevé *socio=nil à 3,184 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, contre 4,936 millions*socio=rien de dollars*socio=ec au total*socio=rien pour l'exercice*socio=rien 85. Durant l'exercice*socio=rien 86, 113 projets*socio=rien bénéficiant de l'aide*socio=uv de la BIRD*socio=ac et de l'IDA*socio=ac ont été*socio=rien cofinancés à raison*socio=uv de 3,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec (voir Tableau*socio=rien 1-10). Ce montant*socio=ec a *socio=rien été inférieur *socio=nil de 1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec à celui de l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien . Les 113 projets*socio=rien cofinancés ont représenté presque la moitié*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des opérations*socio=rien approuvées par les deux institutions*socio=ac. Le revenu*socio=ec net*socio=rien de la BIRD*socio=ac, qui s'est*socio=rien élevé*socio=rien à 1,243 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour l'exercice*socio=rien 86, a augmenté de 9% (c'est-à-dire de 106 millions*socio=rien de dollars*socio=ec) par rapport*socio=rien au niveau*socio=rien de l'exercice*socio=rien 85, qui avait atteint 1,137 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Ce sont essentiellement le rendement*socio=ec très élevé*socio=rien des liquidités*socio=ec de la BIRD*socio=ac et la baisse*socio=rien des coûts*socio=ec des emprunts*socio=ec qui ont permis*socio=rien d'enregistrer ce résultat*socio=rien . Les emprunts*socio=ec de la BIRD*socio=ac se sont élevés*socio=rien au total*socio=rien à 10,609 millions*socio=rien de dollars*socio=ec contre 11,086 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pendant l'exercice*socio=rien 85. La BIRD*socio=ac a surtout emprunté (avant swaps*socio=ec) des dollars*socio=ec des États-unis*socio=ac (31%), des francs*socio=ec suisses*socio=te (18%), des yen*socio=ec japonais*socio=ac (17%), des deutsche_mark*socio=ec (16%) et des florins néerlandais (7%). Après*socio=rien swaps*socio=ec, la BIRD*socio=ac a surtout emprunté des francs*socio=ec suisses*socio=te (29%), des deutsche_mark*socio=ec (20%), des dollars*socio=ec des États-unis*socio=ac (19%), des yen*socio=ec japonais*socio=ac (18%) et des florins néerlandais (9%). La BIRD*socio=ac a, pendant l'exercice*socio=rien 86, enregistré une augmentation*socio=uv de 6.889 millions*socio=rien de DTS de son capital*socio=ec souscrit. Sur*socio=rien ce montant*socio=ec, 4.865 millions*socio=rien de DTS correspondent à des souscriptions*socio=ec autorisées au titre*socio=rien de l'Augmentation*socio=uv *socio=rien générale du capital*socio=ec *socio=nil approuvée en janvier*socio=rien 1980. Fonds*socio=ec spécial*socio=rien d'aide*socio=uv à l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac. Le Fonds*socio=ec spécial*socio=rien d'aide*socio=uv à l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac a commencé ses opérations*socio=rien le ler juillet*socio=rien 1985, le montant*socio=ec des ressources*socio=ec *socio=rien devant être *socio=nil mises à sa disposition*socio=rien - au titre*socio=rien de contributions*socio=uv directes*socio=rien ou d'un*socio=rien financement*socio=ec spécial*socio=rien conjoint*socio=uv - dépassant 1,2 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec. Ce Fonds*socio=ec a pour objet*socio=rien d'accorder une aide*socio=uv à décaissement*socio=ec rapide*socio=rien aux pays*socio=ac subsahariens ayant droit*socio=uv à un*socio=rien financement*socio=ec de l'IDA*socio=ac qui ont entrepris ou se sont engagés à entreprendre des programmes*socio=et de réforme*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil appropriés. Ce *socio=rien critère est *socio=nil appliqué avec souplesse*socio=uv compte*socio=rien tenu de la situation*socio=uv de chaque pays*socio=ac. On n'a pas essayé de déterminer à l'avance*socio=rien la répartition*socio=uv des ressources*socio=ec entre les ayants droit*socio=uv mais, en *socio=rien règle générale,*socio=nil les*socio=nil crédits*socio=ec *socio=nil consentis par le Fonds*socio=ec spécial*socio=rien à un*socio=rien pays*socio=ac ne dépasseront pas 60 à 70% du*socio=rien montant*socio=ec qu'il a été*socio=rien prévu de lui affecter au titre*socio=rien de la *socio=rien Septième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil de l'IDA*socio=ac. Durant l'exercice*socio=rien , les *socio=rien opérations du Fonds*socio=ec spécial portant*socio=nil sur un montant*socio=ec total *socio=nil de 782 millions*socio=rien de dollars*socio=ec ont été*socio=rien approuvées dans 15 pays*socio=ac. Le Tableau*socio=rien 1-8 indique en détail*socio=rien la ventilation*socio=rien des crédits*socio=ec par pays*socio=ac et montant*socio=ec. Les crédits*socio=ec à l'ajustement_structurel*socio=et, ainsi que les crédits*socio=ec à l'importation*socio=ec pour la reconstruction*socio=uv, ont représenté environ 45% des engagements*socio=ec du*socio=rien Fonds*socio=ec spécial*socio=rien . Les crédits*socio=ec à l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec ont représenté 40% des engagements*socio=ec, le solde*socio=ec ayant contribué au financement*socio=ec de projets*socio=rien de réhabilitation*socio=uv comportant d'importantes*socio=rien mesures*socio=rien de réforme*socio=et. Les décaissements*socio=ec au *socio=rien titre du Fonds*socio=ec spécial *socio=nil - y compris les 17,4 millions*socio=rien de dollars*socio=ec décaissés au *socio=rien titre du financement*socio=ec spécial conjoint*socio=uv *socio=nil - se sont élevés*socio=rien à 119,1 millions*socio=rien de dollars*socio=ec durant l'exercice*socio=rien , La majorité*socio=rien des projets*socio=rien admis à bénéficier d'un*socio=rien financement*socio=ec du*socio=rien Fonds*socio=ec étant entrés en vigueur*socio=uv pendant la *socio=rien deuxième moitié *socio=nil de l'exercice*socio=rien , on prévoit que les décaissements*socio=ec au *socio=rien titre du Fonds*socio=ec spécial *socio=nil s'accéléreront durant l'exercice*socio=rien 87. Les ressources*socio=ec du*socio=rien Fonds*socio=ec spécial*socio=rien ont augmenté durant l'exercice*socio=rien grâce*socio=rien à trois nouvelles*socio=rien contributions*socio=uv directes*socio=rien - celles de la Belgique*socio=ac, des États-unis*socio=ac et de l'Irlande*socio=ac - la Belgique*socio=ac participant*socio=rien en outre au financement*socio=ec spécial*socio=rien conjoint*socio=uv. Le Tableau*socio=rien 1-9 indique les montants*socio=rien des contributions*socio=uv au Fonds*socio=ec spécial*socio=rien annoncées au 3 juin*socio=rien 1986. L'IDA*socio=ac. Les premières*socio=rien délibérations*socio=et relatives*socio=rien à la *socio=rien Huitième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil de l'association_internationale_de_développement*socio=ac (IDA-8*socio=ac) ont eu *socio=rien lieu lors des*socio=nil Assemblées*socio=et annuelles *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac et du*socio=rien FMI*socio=ac à Séoul*socio=ac, Corée*socio=ac, en octobre*socio=rien 1985. Les négociations*socio=uv n'ont cependant été*socio=rien engagées officiellement que les 27 et 28 janvier*socio=rien 1986, à la réunion*socio=rien des délégués*socio=ac de l'IDA*socio=ac à Paris*socio=ac. Une *socio=rien nouvelle réunion *socio=nil a eu lieu*socio=rien à Washington*socio=ac, les 7 et 8 avril*socio=rien 1986. Les ressources*socio=ec mises à la disposition*socio=rien de l'Association*socio=ac au titre*socio=rien d'IDA-8*socio=ac lui permettront de financer les crédits*socio=ec engagés pendant les exercices*socio=rien 88 à 90. A l'a réunion*socio=rien de Séoul*socio=ac, où IDA-7*socio=ac (la *socio=rien Septième reconstitution)*socio=nil a*socio=nil fait l'*socio=nil objet d'*socio=nil un examen *socio=nil à mi-parcours, les délégués*socio=ac de l'IDA*socio=ac ont évoqué la détérioration*socio=uv marquée des économies*socio=ec des pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv, surtout en Afrique*socio=ac. Dans le même temps*socio=rien , les crédits*socio=ec que l'Association*socio=ac prévoyaient d'accorder à ces pays*socio=ac ont été*socio=rien fortement réduits *socio=rien du fait *socio=nil que le volume*socio=rien de ressources*socio=ec fourni au titre*socio=rien d'IDA-7*socio=ac était inférieur*socio=rien à celui d'IDA-6 (la *socio=rien Sixième reconstitution)*socio=nil *socio=nil . Il lui a donc fallu différer les investissements*socio=ec prévus dans ces pays*socio=ac dans l'infrastructure*socio=ec, les secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac et les activités*socio=rien de production*socio=ec, ce qui a eu des *socio=rien effets négatifs sur la*socio=nil croissance*socio=uv à*socio=nil long_terme*socio=ec et*socio=nil sur le*socio=nil niveau_de_vie*socio=uv des*socio=nil couches*socio=ac défavorisées.*socio=nil Ces*socio=nil motifs de*socio=nil préoccupation*socio=uv *socio=nil ont accentué l'urgence*socio=rien des négociations*socio=uv relatives*socio=rien à IDA-8*socio=ac et amené les délégués*socio=ac de l'IDA*socio=ac à s'engager à mener à *socio=rien bon terme les*socio=nil négociations*socio=uv *socio=nil avant la fin*socio=rien des Assemblées*socio=et annuelles*socio=rien de 1986. A la réunion*socio=rien de Séoul*socio=ac, les délégués*socio=ac ont également réaffirmé avec force*socio=uv leur appui*socio=rien à l'IDA*socio=ac en tant qu'institution*socio=ac et souligné le *socio=rien rôle important *socio=nil qu'elle joue sur*socio=rien le plan*socio=rien multilatéral*socio=te en finançant les investissements*socio=ec essentiels*socio=uv à la croissance*socio=uv à long_terme*socio=ec et en contribuant à élaborer et à appuyer les réformes*socio=et économiques*socio=ec et les changements_structurels*socio=ec nécessaires*socio=rien . Ils ont également souligné que l'IDA*socio=ac est*socio=rien une institution*socio=ac efficace*socio=uv et qu'elle doit donc jouer *socio=rien un rôle clé *socio=nil pour réduire la pauvreté*socio=uv et promouvoir le développement*socio=uv dans les pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv. Des progrès*socio=uv considérables*socio=rien ont été*socio=rien réalisés au cours*socio=rien des deux *socio=rien premières réunions officielles*socio=et.*socio=nil *socio=nil A la réunion*socio=rien de Paris*socio=ac, les délégués*socio=ac de l'IDA*socio=ac ont discuté de l'ampleur*socio=rien éventuelle*socio=rien de la reconstitution*socio=rien , des conditions*socio=uv des crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac et de la répartition*socio=uv des ressources*socio=ec entre les groupes*socio=ac de pays*socio=ac. Comme ces trois questions*socio=rien sont étroitement liées, il a été*socio=rien décidé qu'elles seraient négociées en bloc*socio=rien . Dans ce contexte*socio=rien , la *socio=rien question centrale *socio=nil était le niveau*socio=rien d'IDA-8*socio=ac, les autres points*socio=rien ne pouvant être*socio=rien réglés avant qu'une décision*socio=rien ne soit prise*socio=rien à ce sujet*socio=rien . A la réunion*socio=rien de Washington*socio=ac, des progrès*socio=uv ont *socio=rien été faits sur ce*socio=nil point.*socio=nil La*socio=nil plupart des*socio=nil délégués*socio=ac *socio=nil se sont fixés *socio=rien sur un *socio=nil chiffre d'environ 12 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, ce qui correspondrait, en valeur*socio=ec réelle*socio=rien , au montant*socio=ec total*socio=rien d'IDA-7*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec spécial*socio=rien d'aide*socio=uv à l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac. La *socio=rien question du partage*socio=uv des*socio=nil charges*socio=et *socio=nil entre les donateurs*socio=ac a également été*socio=rien examinée, le débat*socio=et portant plus précisément sur*socio=rien les *socio=rien parts existantes des*socio=nil donateurs*socio=ac au*socio=nil titre d'*socio=nil IDA-7*socio=ac.*socio=nil La*socio=nil plupart des*socio=nil délégués*socio=ac *socio=nil ont souligné que les parts*socio=rien à IDA-8*socio=ac ne devraient pas être*socio=rien réduites si l'objectif*socio=rien consistant à réduire la part*socio=rien non affectée d'IDA-7*socio=ac, soit 2,6%, doit être*socio=rien atteint. Pouvoir*socio=et d'engagement*socio=ec. Pendant l'exercice*socio=rien 86, cinq*socio=rien pays*socio=ac de la *socio=rien Première partie (*socio=nil Belgique*socio=ac,*socio=nil Irlande*socio=ac,*socio=nil Italie*socio=ac,*socio=nil Nouvelle-zélande*socio=ac et*socio=nil Pays-bas*socio=ac)*socio=nil *socio=nil et deux pays*socio=ac de la *socio=rien Deuxième partie (*socio=nil Espagne*socio=ac et*socio=nil Yougoslavie*socio=ac)*socio=nil *socio=nil ont en outre notifié à l'IDA*socio=ac leur intention*socio=rien de participer à la *socio=rien Septième reconstitution.*socio=nil La*socio=nil Nouvelle-zélande*socio=ac *socio=nil a indiqué que sa participation*socio=uv serait supérieure*socio=rien de 36% au montant*socio=ec qui avait été*socio=rien convenu lors*socio=rien des négociations*socio=uv relatives*socio=rien à IDA-7*socio=ac. Les notifications de participation*socio=uv à IDA-7*socio=ac reçues jusqu'à présent*socio=rien représentent maintenant environ 98,8% *socio=rien du volume total *socio=nil de la reconstitution*socio=rien . L'Association*socio=ac a demandé que la seconde tranche d'IDA-7*socio=ac soit libérée par anticipation*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 86 afin de remédier à l'interruption de son pouvoir*socio=et d'engagement*socio=ec. L'afrique_du_sud*socio=ac, l'Australie*socio=ac, le Canada*socio=ac, le Danemark*socio=ac, l'Espagne*socio=ac, la Grèce, le Japon*socio=ac, la Norvège*socio=ac, le Royaume-uni*socio=ac et la Suède*socio=ac ont procédé ainsi à des contributions*socio=uv anticipées. Les contributions*socio=uv prévues au titre*socio=rien de la seconde tranche ont maintenant été*socio=rien libérées par l'Arabie_saoudite*socio=ac, l'Autriche*socio=ac, la Belgique*socio=ac, le Brésil*socio=ac, la République*socio=ac de Corée*socio=ac, la Finlande*socio=ac, la France*socio=ac, la Hongrie*socio=ac, l'Islande*socio=ac, l'Italie*socio=ac, le Koweït*socio=ac, le Luxembourg*socio=ac, le Mexique*socio=ac et la Yougoslavie*socio=ac. Au total*socio=rien , ces contributions*socio=uv ont accru le pouvoir*socio=et d'engagement*socio=ec de l'IDA*socio=ac d'environ 1.630 millions*socio=rien de DTS. Les parts*socio=rien des États-unis*socio=ac et de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac au titre*socio=rien de la seconde tranche n'ont pas encore été*socio=rien intégralement libérées car les États-unis*socio=ac n'ont pas été*socio=rien en mesure*socio=rien d'affecter les fonds*socio=ec nécessaires*socio=rien pour financer intégralement leur seconde tranche de 750 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. La contribution*socio=uv de ce pays*socio=ac a donc été*socio=rien ramenée à 669,9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit une réduction*socio=uv de 11%, et l'Allemagne*socio=ac a exercé son droit*socio=uv de réduire sa seconde tranche dans la même proportion*socio=rien que celle des États-unis*socio=ac. Par suite*socio=rien , les fonds*socio=ec libérés à des fins*socio=rien d'engagements*socio=ec au titre*socio=rien de la seconde tranche par les États-unis*socio=ac et l'Allemagne*socio=ac se sont montés à environ 880 millions*socio=rien de DTS. Le pouvoir*socio=et d'engagement*socio=ec de l'IDA*socio=ac pour l'exercice*socio=rien 86 a également augmenté grâce*socio=rien à la décision*socio=rien de l'Australie*socio=ac de verser une contribution*socio=uv supplémentaire*socio=rien de 60 millions*socio=rien de dollars*socio=ec australiens; au transfert*socio=ec par la BIRD*socio=ac de 150 millions*socio=rien de dollars*socio=ec prélevés sur*socio=rien son revenu*socio=ec net*socio=rien de l'exercice*socio=rien 85; et à la libération*socio=uv anticipée de la troisième*socio=rien tranche des souscriptions*socio=ec et contributions*socio=uv à IDA-7*socio=ac, pour un*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de 104 millions*socio=rien de DTS. Des contributions*socio=uv anticipées ont également *socio=rien été offertes *socio=nil par l'Autriche*socio=ac, la Corée*socio=ac, le Danemark*socio=ac, l'Espagne*socio=ac, l'Islande*socio=ac, la Norvège*socio=ac et la Yougoslavie*socio=ac. La Banque*socio=ac et l'environnement*socio=ec. Plusieurs initiatives*socio=rien ont été*socio=rien lancées pendant l'exercice*socio=rien 86 en vue*socio=rien d'améliorer les aspects*socio=rien environnementaux*socio=et de l'aide*socio=uv offerte*socio=rien par la Banque*socio=ac aux pays_en_développement*socio=ac. Au nombre*socio=rien de ces initiatives*socio=rien , qui prolongent les mesures*socio=rien et procédures*socio=rien adoptées par la Banque*socio=ac dans le passé*socio=rien pour veiller à ce que le développement_économique*socio=ec n'ait pas d'effets*socio=rien trop *socio=rien nuisibles sur l'*socio=nil écologie*socio=et,*socio=nil *socio=nil on peut citer: - un*socio=rien programme*socio=et de gestion*socio=et des ressources_naturelles*socio=ec, qui permettra de déterminer comment le travail*socio=rien économique*socio=ec et sectoriel*socio=ec de la Banque*socio=ac peut être*socio=rien amélioré afin d'accorder plus de poids*socio=rien aux questions*socio=rien d'environnement*socio=ec; - la création*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien d'information*socio=rien sur*socio=rien les ressources_naturelles*socio=ec utilisant la détection par satellite*socio=rien et d'autres techniques*socio=rien pour créer une *socio=rien base globale *socio=nil de données sur*socio=rien l'environnement*socio=ec dans les pays_en_développement*socio=ac; - un*socio=rien programme*socio=et intensifié de formation*socio=et interne*socio=rien pour aider les services*socio=ec opérationnels*socio=rien non techniques*socio=rien à mieux évaluer les aspects*socio=rien environnementaux*socio=et des projets_de_développement*socio=et. L' institut_de_développement_économique*socio=ac de la Banque*socio=ac offrira également des *socio=rien cours spéciaux *socio=nil dans ce domaine*socio=rien à l'intention*socio=rien des fonctionnaires*socio=et des pays_en_développement*socio=ac; - la mise en place*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et informatique*socio=ec d'analyse*socio=rien des risques*socio=uv, qui sera mis à la disposition*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac ainsi que des concepteurs d'installations*socio=rien industrielles*socio=ec et des entrepreneurs*socio=ac chargés de les réaliser dans le monde*socio=te entier*socio=rien . Ce programme*socio=et aidera les promoteurs*socio=rien à déterminer les conséquences*socio=rien d'accidents*socio=rien *socio=rien majeurs potentiels *socio=nil et leur apprendra comment ils peuvent les atténuer ou les éliminer par l'adoption*socio=rien de procédés*socio=rien appropriés, la réduction*socio=uv des stocks*socio=ec, la modification*socio=rien des plans*socio=rien ou de l'implantation*socio=rien , etc:; - l'adoption*socio=rien de *socio=rien nouvelles orientations et*socio=nil directives *socio=nil pour la préservation*socio=rien et la gestion*socio=et des terres*socio=rien vierges. L'objectif*socio=rien est*socio=rien de renforcer la protection*socio=et des forêts*socio=et tropicales*socio=te ainsi que des *socio=rien espèces rares *socio=nil et en danger*socio=uv, de préserver la *socio=rien diversité biologique *socio=nil et de promouvoir les services*socio=ec économiquement avantageux*socio=rien qu'offrent les terres*socio=rien vierges. (Voir l'encadré ci-contre.) Ces initiatives*socio=rien , qui ont été*socio=rien annoncées vers la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien , sont les plus récentes*socio=rien d'une série de *socio=rien mesures prises *socio=nil par la Banque*socio=ac au cours*socio=rien des quelque 12 *socio=rien derniers mois,*socio=nil *socio=nil et qui comprennent: - la participation*socio=uv à un*socio=rien programme*socio=et international*socio=te visant à arrêter la destruction des forêts*socio=et tropicales*socio=te. Un*socio=rien groupe*socio=ac de travail*socio=rien international*socio=te constitué par la Banque*socio=ac, le programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac et l'Institut_mondial_des_ressources_naturelles*socio=(ac,ec) a mis *socio=rien sur pied un vaste programme*socio=et *socio=nil pour la gestion*socio=et des forêts*socio=et tropicales*socio=te qui existent encore dans le monde*socio=te; - *socio=rien un examen *socio=nil de la politique*socio=et de la Banque*socio=ac prévoyant des sauvegardes*socio=uv pour les tribus affectées par les projets_de_développement*socio=et. Formulée en 1983, cette politique*socio=et a été*socio=rien appliquée dans certains projets*socio=rien et une évaluation*socio=uv des résultats*socio=rien de cette expérience*socio=uv devrait être*socio=rien achevée pendant l'exercice*socio=rien 87; - la création*socio=rien de centres*socio=rien d'évaluation*socio=uv et d'essai*socio=rien des pesticides*socio=ec en certains points*socio=rien d'Afrique*socio=ac de l'Est*socio=rien et de l'Ouest*socio=rien , en plus *socio=rien du centre *socio=nil qui existe déjà dans les Caraïbes*socio=ac. Ces centres*socio=rien forment à l'analyse*socio=rien des résidus*socio=rien de pesticides*socio=ec sur*socio=rien les produits*socio=rien agricoles*socio=ec et à l'utilisation*socio=rien correcte*socio=rien des pesticides*socio=ec; - l'élaboration*socio=rien de *socio=rien nouvelles directives *socio=nil en ce qui concerne les sites*socio=rien archéologiques. Ces directives*socio=rien , qui paraîtront au début*socio=rien de l'exercice*socio=rien 87, tiendront compte*socio=rien des résultats*socio=rien de l'assistance*socio=et accordée par la Banque*socio=ac aux pays_en_développement*socio=ac pour préserver et gérer des sites*socio=rien et objets*socio=rien archéologiques précieux*socio=rien dans 30 projets*socio=rien . - la publication*socio=et d'un*socio=rien ouvrage analysant les problèmes*socio=uv qui se posent dans divers secteurs*socio=ec et montrant comment une planification*socio=et à long_terme*socio=ec peut empêcher que des dommages*socio=rien coûteux*socio=ec et peut-être irréparables ne soient causés à l'environnement*socio=ec et à l'homme*socio=ac. Accroître l'efficacité*socio=uv opérationnelle*socio=rien . Il *socio=rien est difficile *socio=nil d'évaluer exactement dans quelle mesure*socio=rien les modalités*socio=rien de fonctionnement*socio=rien de la Banque*socio=ac sont efficaces*socio=uv, La diversité*socio=rien et la complexité*socio=rien de ses activités*socio=rien , l'incidence*socio=rien sur*socio=rien ces activités*socio=rien de facteurs*socio=rien qui échappent à son contrôle*socio=uv et les *socio=rien circonstances propres *socio=nil à chaque *socio=ac pays emprunteur *socio=nil sont autant de facteurs*socio=rien qui compliquent l'évaluation*socio=uv. C'est*socio=rien pourquoi on accorde maintenant moins d'importance*socio=rien à l'utilisation*socio=rien des *socio=rien critères traditionnels d'*socio=nil efficacité*socio=uv *socio=nil qu'aux méthodes*socio=rien et instruments*socio=rien de gestion*socio=et qui permettent d'accroître l'efficacité*socio=uv. On décrira ici trois de ces méthodes*socio=rien et instruments*socio=rien qui sont actuellement mis au point*socio=rien ou déjà appliqués. Ils visent tous les mêmes objectifs*socio=rien : *socio=rien un sens plus*socio=nil clair des*socio=nil responsabilités*socio=uv,*socio=nil une*socio=nil meilleure définition des*socio=nil priorités*socio=uv *socio=nil et l'adoption*socio=et des *socio=rien meilleures options *socio=nil sous le rapport*socio=rien coût-efficacité*socio=uv, et en *socio=rien dernier lieu la*socio=nil création de*socio=nil conditions*socio=uv susceptibles *socio=nil de favoriser une adaptation*socio=uv rapide*socio=rien à l'évolution*socio=rien des circonstances*socio=rien . Il s'agit *socio=rien du processus de*socio=nil gestion_de_l'_assistance_par_pays*socio=ac (*socio=nil CAM*socio=et)*socio=nil ,*socio=nil du Système d'*socio=nil information de*socio=nil gestion*socio=et *socio=nil (MIS) et des modifications*socio=rien apportées aux procédures*socio=rien d'instruction*socio=et des dossiers*socio=rien de prêt*socio=ec. Dans le *socio=rien cadre du processus CAM*socio=et,*socio=nil une*socio=nil personne est *socio=nil maintenant chargée de la conception*socio=rien et de l'exécution*socio=rien de la stratégie*socio=et d'assistance*socio=et de la Banque*socio=ac par pays*socio=ac, de la coordination*socio=uv de toutes les ressources*socio=ec nécessaires*socio=rien pour exécuter cette stratégie*socio=et et du*socio=rien suivi de l'état*socio=rien d'avancement et des coûts*socio=ec. Ce processus*socio=rien établit *socio=rien un lien plus*socio=nil explicite *socio=nil qu'auparavant entre les objectifs*socio=rien et les coûts*socio=ec. Il contribue également à préciser les priorités*socio=uv et les choix*socio=uv qui s'imposent et améliore la prise*socio=rien en compte*socio=rien des coûts*socio=ec, ce qui permet de fournir aux emprunteurs*socio=ac des services*socio=ec à la fois*socio=rien plus économiques*socio=ec et efficaces*socio=uv. Le MIS produit*socio=rien une information*socio=rien qui facilite la *socio=rien bonne marche du processus CAM*socio=et.*socio=nil Cette*socio=nil information,*socio=nil *socio=nil qui indique avec précision*socio=rien chaque tâche*socio=rien faisant partie*socio=rien d'une opération*socio=rien , la personne*socio=rien responsable*socio=uv de l'exécution*socio=rien de chaque tâche*socio=rien , les coûts*socio=ec estimatifs*socio=rien et effectifs*socio=rien , et le calendrier*socio=rien d'exécution*socio=rien , permet aux directions*socio=rien , lorsqu'elle est*socio=rien utilisée conjointement avec le processus*socio=rien CAM*socio=et, de mieux déléguer les responsabilités*socio=uv et elle accélère et facilite l'adaptation*socio=uv des programmes_de_travail*socio=rien . Les procédures*socio=rien d'instruction*socio=et des prêts*socio=ec sont en cours*socio=rien de révision*socio=uv, ce qui permettra de régler les questions*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien et les problèmes*socio=uv techniques*socio=rien à un*socio=rien stade*socio=te *socio=rien précoce du cycle*socio=te des*socio=nil prêts*socio=ec,*socio=nil *socio=nil de préciser les responsabilités*socio=uv quant à l'analyse*socio=rien et aux *socio=rien recommandations afférentes *socio=nil à chaque proposition*socio=rien de prêt*socio=ec, d'éliminer les doubles emplois*socio=ec dans le processus*socio=rien d'examen*socio=rien et de déléguer les responsabilités*socio=uv au plus *socio=rien bas échelon possible.*socio=nil Le*socio=nil processus CAM*socio=et *socio=nil et le MIS qui sont actuellement mis en place*socio=rien devraient être*socio=rien pleinement opérationnels*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 87. Les modifications*socio=rien apportées aux procédures*socio=rien d'instruction*socio=et des dossiers*socio=rien de prêt*socio=ec doivent entrer en vigueur*socio=uv avant la fin*socio=rien de l'année*socio=rien civile*socio=et 1986. En offrant à la direction*socio=rien les moyens*socio=ec d'assigner plus précisément les responsabilités*socio=uv à des personnes*socio=rien déterminées et de suivre et d'évaluer l'état*socio=rien d'avancement d'une série de *socio=rien tâches différentes dans*socio=nil un contexte en*socio=nil pleine évolution,*socio=nil le*socio=nil nouveau système *socio=nil devrait procurer d'importants*socio=rien avantages*socio=rien aux emprunteurs*socio=ac ainsi qu'au personnel*socio=rien et aux responsables*socio=uv de la Banque*socio=ac - décisions*socio=rien plus rapides*socio=rien , délégation*socio=et accrue, objectifs*socio=rien et responsabilités*socio=uv mieux définis*socio=rien et simplification*socio=rien de la documentation*socio=rien et des procédures*socio=rien . Cofinancement*socio=ec. Près de la moitié*socio=rien des projets*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac approuvés durant l'exercice*socio=rien 86 ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'un*socio=rien cofinancement*socio=ec provenant d'autres sources*socio=rien . Les plans*socio=rien de financement*socio=ec pour les 113 projets*socio=rien cofinancés prévoient au *socio=rien total un cofinancement*socio=ec *socio=nil de 3,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Les *socio=rien tendances récentes des*socio=nil moyennes sur deux*socio=nil ans *socio=nil indiquent que le volume*socio=rien de cofinancement*socio=ec se maintient dans une fourchette*socio=rien de 4 à 4,6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec (passant de 4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec durant les exercices*socio=rien 81-82 à 4,6 milliards*socio=ec pour les exercices*socio=rien 83-84, et à 4,3 milliards*socio=ec pour les exercices*socio=rien 85-86), malgré la situation*socio=uv *socio=rien difficile du marché*socio=ec *socio=nil qui se répercute sur*socio=rien les flux*socio=ec de *socio=ec financement privés *socio=nil et de crédits*socio=ec à l'exportation*socio=ec. Les facteurs*socio=rien qui contribuent aux fluctuations*socio=uv annuelles*socio=rien des *socio=rien montants totaux de*socio=nil cofinancement*socio=ec *socio=nil ont joué *socio=rien un rôle particulièrement*socio=nil important au*socio=nil cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien écoulé dans le cas*socio=rien des flux*socio=ec de crédits*socio=ec à l'exportation*socio=ec prévus, qui sont directement liés aux importations*socio=ec de biens*socio=ec d'équipement*socio=ec des emprunteurs*socio=ac, et dans le cas*socio=rien des cofinancements privés*socio=ec envisagés, qui sont restés touchés par la situation*socio=uv *socio=rien difficile du marché*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Ces deux facteurs*socio=rien ont eu des *socio=rien répercussions sur le*socio=nil volume de*socio=nil cofinancement*socio=ec *socio=nil mobilisé au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 86. (Voir le Tableau*socio=rien 1-10.) Les organismes_publics*socio=ac d'aide*socio=uv bilatérale*socio=te et les institutions*socio=ac de développement*socio=uv multilatérales*socio=te dont la contribution*socio=uv s'est*socio=rien élevée*socio=rien à 2,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec pendant l'exercice*socio=rien 86 demeurent la *socio=rien principale source de*socio=nil cofinancement*socio=ec.*socio=nil Ces*socio=nil fonds*socio=ec ont*socio=nil été *socio=nil destinés à 102 projets*socio=rien , ce qui représente *socio=rien un net progrès*socio=uv par*socio=nil rapport *socio=nil à la moyenne*socio=rien de 83 projets*socio=rien cofinancés par des sources*socio=rien publiques*socio=et au cours*socio=rien des quatre *socio=rien exercices précédents.*socio=nil *socio=nil Comme les *socio=rien années précédentes,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a poursuivi ses efforts*socio=uv pour conclure des accords-cadres avec ces cofinanciers publics*socio=et. Ces accords*socio=et fixent *socio=rien un cadre *socio=nil pour des consultations*socio=uv annuelles*socio=rien entre la Banque*socio=ac et ses cofinanciers et une coordination*socio=uv plus systématique*socio=rien des *socio=rien diverses opérations de*socio=nil cofinancement*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Durant l'exercice*socio=rien 86, des accords*socio=et ont été*socio=rien renouvelés avec l'Australie*socio=ac et l'Italie*socio=ac et de nouveaux*socio=rien accords*socio=et ont été*socio=rien signés avec l'Autriche*socio=ac et le Danemark*socio=ac. Les possibilités*socio=rien de cofinancement*socio=ec se sont accrues durant l'exercice*socio=rien 86, *socio=rien du fait *socio=nil de la *socio=rien création du Fonds*socio=ec spécial d'*socio=nil aide*socio=uv *socio=nil à l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac. En plus des 424 millions*socio=rien de dollars*socio=ec fournis par le Fonds*socio=ec spécial*socio=rien (14 crédits*socio=ec), la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, la Belgique*socio=ac, le Japon*socio=ac, le Royaume-uni*socio=ac et la Suisse*socio=ac ont assuré un*socio=rien financement*socio=ec spécial*socio=rien conjoint*socio=uv d'un*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de 168 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour huit projets*socio=rien approuvés durant l'exercice*socio=rien 86. Des fonds*socio=ec supplémentaires*socio=rien , d'un*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de 190 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ont été*socio=rien destinés à huit projets*socio=rien approuvés durant l'exercice*socio=rien 85 (112 millions*socio=rien de dollars*socio=ec sous forme*socio=rien de crédits*socio=ec du*socio=rien Fonds*socio=ec spécial*socio=rien et 78 millions*socio=rien de dollars*socio=ec au *socio=rien titre du financement*socio=ec spécial conjoint*socio=uv)*socio=nil *socio=nil . Plusieurs pays*socio=ac lourdement endettés doivent absolument bénéficier de crédits*socio=ec a l'exportation*socio=ec suffisants*socio=rien pour financer les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et qui les aideront à rétablir leur solvabilité*socio=ec. Le succès*socio=uv de ce type*socio=rien d'ajustement*socio=et dépendra non seulement des *socio=rien mesures prises *socio=nil par les débiteurs*socio=ac eux-mêmes, mais aussi de la disponibilité*socio=rien de capitaux*socio=ec extérieurs*socio=te et d'échanges*socio=ec commerciaux*socio=ec adéquats*socio=rien . Le rôle*socio=rien des crédits*socio=ec à l'exportation*socio=ec dans le processus*socio=rien d'ajustement*socio=et a été*socio=rien examiné lors*socio=rien d'une conférence*socio=rien organisée par la Banque*socio=ac en mai*socio=rien 1986. Au cours*socio=rien de cette conférence*socio=rien , à laquelle ont participé des organismes*socio=ac de crédits*socio=ec à l'exportation*socio=ec de 17 pays_membres*socio=ac de l'Organisation_de_coopération_et_de_développement_économiques*socio=ac et, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien , leurs autorités*socio=et de tutelle*socio=rien , il a été*socio=rien reconnu nécessaire*socio=rien que les organismes*socio=ac de crédit*socio=ec à l'exportation*socio=ec soutiennent le cas*socio=rien échéant les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et exécutés avec l'assistance*socio=et de la Banque*socio=ac et du*socio=rien FMI*socio=ac. Les participants*socio=ac se sont déclarés résolument en faveur*socio=rien d'une intensification*socio=rien des échanges*socio=rien de vues*socio=rien , dans le cadre*socio=rien des instances*socio=et existantes*socio=rien , entre les organismes*socio=ac de crédit*socio=ec à l'exportation*socio=ec, la Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac. Depuis janvier*socio=rien 1983, la Banque*socio=ac s'efforce d'accroître les flux*socio=ec de *socio=ec capitaux commerciaux *socio=nil vers les pays_en_développement*socio=ac en liant une partie*socio=rien de ces flux*socio=ec aux opérations*socio=rien de la BIRD*socio=ac. Les *socio=rien nouveaux instruments *socio=nil approuvés par les Administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac à *socio=rien titre expérimental *socio=nil prennent trois formes*socio=rien : participation*socio=uv directe*socio=rien de la Banque*socio=ac aux dernières*socio=rien échéances*socio=te d'un*socio=rien prêt*socio=ec syndiqué, garantie par la Banque*socio=ac du*socio=rien remboursement*socio=ec des dernières*socio=rien échéances*socio=te et acceptation*socio=uv par la Banque*socio=ac d'une participation*socio=uv conditionnelle*socio=rien aux dernières*socio=rien échéances*socio=te d'un*socio=rien *socio=ec prêt commercial *socio=nil assorti d'échéances*socio=te de remboursement*socio=ec fixes, qui combinent des taux_d'_intérêt*socio=ec flottants*socio=uv et un*socio=rien remboursement*socio=ec en principal*socio=ec variable. La Banque*socio=ac a utilisé chacune de ces trois formules*socio=rien pour les prêts*socio=ec signés depuis septembre*socio=rien 1983, mobilisant ainsi près de 2,2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec de cofinancements auprès de sources*socio=rien commerciales*socio=ec, sa propre*socio=rien participation*socio=uv à ce cofinancement*socio=ec s'élevant à 242 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. En février*socio=rien 1986, le conseil_des_administrateurs*socio=ac a approuvé ces *socio=rien nouveaux instruments,*socio=nil *socio=nil qui figurent ainsi au nombre*socio=rien des *socio=rien instruments réguliers *socio=nil que la Banque*socio=ac peut utiliser pour aider ses emprunteurs*socio=ac à mobiliser des *socio=ec fonds commerciaux.*socio=nil Des*socio=nil accords*socio=et de*socio=nil cofinancement passés*socio=rien *socio=nil avec des sources*socio=rien commerciales*socio=ec et faisant intervenir les *socio=rien nouveaux instruments,*socio=nil ont*socio=nil été *socio=nil signés durant l'exercice*socio=rien 86 pour *socio=rien un volume total *socio=nil de 706 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, la participation*socio=uv de la Banque*socio=ac s'élevant à 60 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Ces fonds*socio=ec sont allés à la côte_d'_ivoire*socio=ac, au Chili*socio=ac et à la Turquie*socio=ac. Le cofinancement*socio=ec dont a bénéficié la côte_d'_ivoire*socio=ac durant l'exercice*socio=rien 86, et qui aidera ce pays*socio=ac à financer un*socio=rien programme*socio=et de dépenses*socio=ec nationales*socio=te de trois ans*socio=rien et demi*socio=rien concernant le *socio=rien réseau routier publie*socio=nil interurbain,*socio=nil *socio=nil avait plusieurs caractéristiques*socio=rien novatrices*socio=uv. Il s'agissait de la *socio=rien première opération *socio=nil de ce type*socio=rien en Afrique*socio=ac, *socio=rien du premier nouveau prêt*socio=ec *socio=nil syndiqué accordé de leur *socio=rien propre chef *socio=nil par des banques*socio=ac commerciales*socio=ec à la côte_d'_ivoire*socio=ac depuis 1983 et *socio=rien du premier prêt*socio=ec *socio=nil de ce type*socio=rien libellé en unités*socio=rien monétaires*socio=ec européennes*socio=ac et en francs*socio=ec français*socio=rien . La participation*socio=uv de la Banque*socio=ac à ce prêt*socio=ec a contribué à la réalisation*socio=uv des divers *socio=rien objectifs du programme*socio=et,*socio=nil à*socio=nil savoir *socio=nil faciliter le retour*socio=rien de la côte_d'_ivoire*socio=ac sur*socio=rien les *socio=ec marchés_financiers privés,*socio=nil *socio=nil améliorer les conditions*socio=uv des prêts*socio=ec (taux_d'_intérêt*socio=ec, échéances*socio=te et commissions*socio=ac) et enfin, susciter *socio=rien un vif intérêt*socio=uv *socio=nil auprès des milieux*socio=rien bancaires*socio=ec internationaux*socio=te. Les moyens*socio=ec utilisés par la Banque*socio=ac pour aider ses emprunteurs*socio=ac lourdement endettés dans leurs efforts*socio=uv de redressement*socio=uv sont décrits dans une autre partie*socio=rien de ce rapport*socio=rien . Dans *socio=rien un cas exceptionnel*socio=uv *socio=nil - celui du*socio=rien Chili*socio=ac -, la Banque*socio=ac a garanti*socio=rien 150 millions*socio=rien de dollars*socio=ec *socio=rien sur un *socio=ec cofinancement commercial *socio=nil de 300 millions*socio=rien de dollars*socio=ec destiné à financer *socio=rien un projet routier,*socio=nil *socio=nil pour aider l'emprunteur*socio=ac à mettre *socio=rien sur pied un montage financier*socio=ec *socio=nil beaucoup plus important*socio=rien portant sur*socio=rien près de 6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec consolidés et plus de 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec d'argent*socio=ec frais*socio=ec. Chapitre*socio=rien deux: La scène*socio=rien économique*socio=ec: vue*socio=rien d'ensemble*socio=rien . La reprise économique*socio=ec mondiale*socio=te s'est*socio=rien quelque peu ralentie en 1985 et le taux_de_croissance*socio=ec de la production*socio=ec mondiale*socio=te est*socio=rien tombé à 2,9%, alors qu'il avait atteint 4,3% en 1984. Ce *socio=rien fléchissement est en*socio=nil grande partie imputable*socio=uv *socio=nil à une décélération*socio=uv de la croissance*socio=uv aux États-unis*socio=ac, qui avaient joué le *socio=rien rôle moteur *socio=nil dans la reprise de 1983 et 1984, et au fait*socio=rien que cette décélération*socio=uv n'a pas été*socio=rien contrebalancée par une progression*socio=uv des taux_de_croissance*socio=ec dans les autres *socio=ac pays industriels,*socio=nil taux*socio=rien *socio=nil qui sont restés généralement assez faibles*socio=rien , sauf au Japon*socio=ac. Le taux*socio=rien d'expansion*socio=ec du*socio=rien commerce*socio=ec mondial*socio=te est*socio=rien tombé à un*socio=rien peu plus de 3%. Par ailleurs*socio=rien , *socio=rien un certain nombre de*socio=nil changements*socio=uv importants *socio=nil se sont produits*socio=rien dans l'économie*socio=ec mondiale*socio=te en 1985, qui ont influé sur*socio=rien les résultats*socio=rien et les perspectives*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac. D'une part*socio=rien , la baisse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec et le ralentissement*socio=uv de l'inflation*socio=ec ont été*socio=rien des facteurs*socio=rien positifs*socio=uv dans tous les pays*socio=ac; d'autre part*socio=rien , le fléchissement*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec a eu des effets*socio=rien à la *socio=rien fois favorables et*socio=nil négatifs sur les*socio=nil différents pays*socio=ac *socio=nil selon la composition*socio=rien de leurs importations*socio=ec et de leurs exportations*socio=ec. Toutefois, les effets*socio=rien de cette évolution*socio=rien n'ont été*socio=rien que partiellement ressentis par les pays_en_développement*socio=ac et, dans l'ensemble*socio=rien , la croissance*socio=uv de leurs exportations*socio=ec s'est*socio=rien sensiblement ralentie et leurs termes_de_l'_échange*socio=et se sont détériorés. Aussi, les efforts*socio=uv qu'ils ont faits*socio=rien pour rétablir leur solvabilité*socio=ec n'ont-ils pas abouti et la progression*socio=uv de leurs importations*socio=ec n'a pas été*socio=rien aussi marquée qu'en 1984. La croissance*socio=uv de la production*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac a également fléchi par rapport*socio=rien à 1984, restant très inégale*socio=uv d'une région*socio=te et d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. Les revenus*socio=ec par habitant*socio=ac ont encore baissé en *socio=ac Afrique subsaharienne *socio=nil et les pays*socio=ac fortement endettés ont éprouvé de plus en plus de difficulté*socio=rien à adapter*socio=rien leur économie*socio=ec en fonction*socio=rien des *socio=ec ressources financières disponibles*socio=rien *socio=nil . Les pays_en_développement*socio=ac ont poursuivi leurs politiques*socio=et générales*socio=rien de réforme*socio=et en vue*socio=rien de réduire leurs déséquilibres macroéconomiques*socio=ec - en particulier*socio=uv du*socio=rien budget*socio=ec - et d'accroître leur efficacité*socio=uv économique*socio=ec, ainsi que la part*socio=rien donnée aux mesures*socio=rien d'incitation*socio=rien dans la gestion*socio=et de l'économie*socio=ec. Dans le même temps*socio=rien , les *socio=ac pays industriels *socio=nil se sont montrés plus enclins à reconnaître que la poursuite*socio=rien des ajustements*socio=et dans les pays_en_développement*socio=ac devait aller de pair*socio=rien avec des *socio=rien mesures propres *socio=nil à relancer la croissance*socio=uv. La situation*socio=uv de nombreux*socio=rien pays*socio=ac endettés restait toujours difficile*socio=rien à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien , et les débiteurs*socio=ac et les créanciers*socio=ac essayaient de faire face*socio=rien aux problèmes*socio=uv soulevés par le service_de_la_dette*socio=et et par l'insuffisance*socio=rien des *socio=rien nouveaux apports financiers*socio=ec,*socio=nil *socio=nil ainsi qu'à leurs *socio=rien répercussions sur la*socio=nil consommation*socio=ec,*socio=nil les*socio=nil investissements*socio=ec *socio=nil et les *socio=ec échanges commerciaux.*socio=nil En*socio=nil dépit*socio=rien *socio=nil de ces difficultés*socio=rien , on observe toutefois *socio=rien un certain nombre *socio=nil de signes encourageants*socio=uv: la tendance*socio=rien à la baisse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec et au ralentissement*socio=uv de l'inflation*socio=ec, qui s'est*socio=rien poursuivie au *socio=rien cours du premier semestre *socio=nil de 1986; pour les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec,*socio=nil *socio=nil une chute spectaculaire*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec; et, en Afrique*socio=ac, des précipitations suffisantes*socio=rien qui ont contribué à améliorer sensiblement les perspectives*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur agricole *socio=nil dans certains pays*socio=ac de cette région*socio=te. Reprise moins vigoureuse*socio=rien des *socio=ac pays industriels.*socio=nil *socio=nil La reprise économique*socio=ec a continué pour la *socio=rien troisième année consécutive *socio=nil dans les *socio=ac pays industriels,*socio=nil *socio=nil mais avec moins de vigueur*socio=uv que l'année*socio=rien précédente*socio=rien . Le produit_intérieur_brut*socio=ec (PIB*socio=ec) de ces pays*socio=ac a augmenté de 2,8%, alors que sa progression*socio=uv avait atteint, en 1984, 4,6% (chiffre le plus élevé*socio=rien depuis dix ans*socio=rien ) (voir Tableau*socio=rien 2-1). Les États-unis*socio=ac, le *socio=rien principal moteur *socio=nil de la reprise, ont été*socio=rien également essentiellement à l'origine*socio=rien de ce ralentissement*socio=uv, leur taux_de_croissance*socio=ec étant tombé à 2,5%, alors qu'il avait atteint 7,2% en 1984 (niveau*socio=rien record*socio=rien depuis *socio=rien vingt ans)*socio=nil *socio=nil . Cette croissance*socio=uv plus lente*socio=rien a été*socio=rien due à la fois*socio=rien à une réduction*socio=uv des mesures*socio=rien de relance*socio=uv budgétaires*socio=et (l'accroissement*socio=ec du*socio=rien déficit*socio=ec budgétaire*socio=et s'étant sensiblement ralenti) et à une forte*socio=rien détérioration*socio=uv de la balance_des_paiements*socio=ec résultant*socio=rien en *socio=rien partie du niveau élevé du dollar*socio=ec.*socio=nil La*socio=nil balance des*socio=nil transactions*socio=ec courantes des*socio=nil États-unis*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui était passée d'un*socio=rien excédent*socio=ec de 1,9 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec en 1980 à un*socio=rien déficit*socio=ec de 102 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1984, a accusé un*socio=rien déficit*socio=ec de 128 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1985. Vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien , les craintes que des déséquilibres plus accentués du*socio=rien budget*socio=ec et de la balance_des_paiements*socio=ec des États-unis*socio=ac allaient provoquer une crise*socio=uv se sont toutefois quelque peu dissipées. Des *socio=rien mesures importantes ont*socio=nil été prises *socio=nil pour réduire le déséquilibre*socio=uv du*socio=rien budget*socio=ec des États-unis*socio=ac dans les années*socio=rien à venir. La diminution*socio=rien de la demande*socio=ec de crédit*socio=ec et l'assouplissement*socio=uv de la politique*socio=et monétaire*socio=ec ont contribué à faire baisser les taux_d'_intérêt*socio=ec par rapport*socio=rien à ceux de la plupart*socio=rien des autres *socio=ac pays industriels.*socio=nil La*socio=nil valeur*socio=ec du*socio=rien dollar*socio=ec *socio=nil a atteint *socio=rien un niveau record en*socio=nil mars *socio=nil 1985 et a baissé sensiblement au *socio=rien cours du dernier trimestre*socio=te après *socio=nil l'annonce faite par les principaux*socio=rien *socio=ac pays industriels *socio=nil d'une politique*socio=et d'intervention*socio=et concertée sur*socio=rien le marché*socio=ec ("Accord*socio=et de new_york*socio=ac"). Le PIB*socio=ec du*socio=rien Japon*socio=ac a progressé de 5%, contre 5,8% l'année*socio=rien précédente*socio=rien . Les autorités*socio=et ont continué de chercher à réduire les déficits*socio=ec budgétaires*socio=et, et l'assouplissement*socio=uv de la politique*socio=et monétaire*socio=ec a été*socio=rien limité par les objectifs*socio=rien de taux_de_change*socio=ec. Le *socio=ec secteur extérieur du*socio=rien Japon*socio=ac *socio=nil a fortement stimulé la croissance*socio=uv - les exportations*socio=ec ont progressé de 8%, alors que les importations*socio=ec n'ont augmenté que de 1,5% en volume*socio=rien . Les investissements_privés*socio=ec autres que dans le logement*socio=ec ont augmenté de plus de 10%, contribuant ainsi aux résultats*socio=rien très positifs*socio=uv de l'économie*socio=ec japonaise*socio=ac. La croissance*socio=uv est*socio=rien restée généralement faible*socio=rien en Europe*socio=ac. Le taux_de_croissance*socio=ec du*socio=rien PIB*socio=ec le plus élevé*socio=rien (3,3%) a été*socio=rien enregistré au Royaume-uni*socio=ac, où les exportations*socio=ec ont progressé rapidement et les investissements_privés*socio=ec se sont accrus, alors qu'en France*socio=ac, le taux_de_croissance*socio=ec n'a été*socio=rien que de 1%. Avec un*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec du*socio=rien PIB*socio=ec de 2,3 l'Allemagne*socio=ac et l'Italie*socio=ac se sont situées dans la moyenne*socio=rien européenne*socio=ac. En France*socio=ac et en Allemagne*socio=ac, l'austérité budgétaire*socio=et a constitué *socio=rien un objectif important *socio=nil de l'action*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=ac. Les *socio=ac pays industriels *socio=nil ont continué à connaître des taux*socio=rien de chômage*socio=ec élevés*socio=rien ; dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac - l'Allemagne*socio=ac, le Canada*socio=ac, les États-unis*socio=ac, la France*socio=ac, l'Italie*socio=ac, le Japon*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac - le *socio=rien taux moyen de*socio=nil chômage*socio=ec s'*socio=nil est *socio=nil maintenu à 7,5%, alors qu'au Japon*socio=ac il est*socio=rien resté inférieur*socio=rien à 3%. La situation*socio=uv n'a guère évolué aux États-unis*socio=ac en ce qui concerne le taux*socio=rien de chômage*socio=ec, qui avait fortement baissé en 1984, et dans les grands*socio=rien *socio=ac pays européens,*socio=nil le*socio=nil chômage*socio=ec *socio=nil touchait en moyenne*socio=rien plus de 10% de la population_active*socio=ac. Il *socio=rien est inquiétant *socio=nil de noter que la proportion*socio=rien de personnes*socio=rien restant au chômage*socio=ec pendant plus d'un*socio=rien an*socio=rien a augmenté en Europe*socio=ac, alors qu'elle se situait déjà à des niveaux*socio=rien plus élevés*socio=rien qu'aux États-unis*socio=ac. Ce chômage*socio=ec de *socio=rien longue durée,*socio=nil *socio=nil qui touche surtout les personnes*socio=rien relativement jeunes*socio=rien et relativement âgées*socio=rien , met en évidence*socio=rien les graves*socio=rien déséquilibres structurels*socio=ec de l'économie*socio=ec et constitue un*socio=rien problème_social*socio=et qui ne cesse de s'accentuer. Le ralentissement*socio=uv continu*socio=rien de l'inflation*socio=ec a été*socio=rien l'un*socio=rien des facteurs*socio=rien d'évolution*socio=rien les plus positifs*socio=uv observés dans les *socio=ac pays industriels.*socio=nil Leur*socio=nil *socio=rien coefficient moyen d'*socio=nil ajustement*socio=et du PIB*socio=ec *socio=nil n'a progressé que de 3,9%, soit au même rythme*socio=rien qu'en 1984. L'inflation*socio=ec est*socio=rien restée inférieure*socio=rien à 4% (mesurée sur*socio=rien la *socio=rien base du PIB*socio=ec)*socio=nil aux*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil et n'a atteint qu'environ 2% et 1%, respectivement, en Allemagne*socio=ac et au Japon*socio=ac. Il est*socio=rien particulièrement encourageant de noter que les taux*socio=rien d'inflation*socio=ec ont continué de baisser dans des pays*socio=ac qui connaissaient encore récemment une forte*socio=rien inflation*socio=ec, comme la France*socio=ac et l'Italie*socio=ac (voir Graphique*socio=rien 2-1). La *socio=rien baisse du dollar*socio=ec a*socio=nil été assez*socio=nil régulière.*socio=nil *socio=nil En même temps*socio=rien , les succès*socio=uv obtenus par de nombreux*socio=rien pays*socio=ac dans la lutte*socio=uv contre l'inflation*socio=ec ont permis*socio=rien une réduction*socio=uv générale*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec nominaux*socio=rien . En adoptant le Balanced Budget*socio=ec Act de 1985, les États-unis*socio=ac ont montré qu'ils étaient vraiment*socio=rien décidés à réduire leur déficit*socio=ec budgétaire*socio=et dans les années*socio=rien à venir, ce qui a contribué à créer *socio=rien un climat *socio=nil dans lequel le dollar*socio=ec et les taux_d'_intérêt*socio=ec en dollars*socio=ec ont pu baisser sans que les autres pays*socio=ac soient moins résolus pour autant à continuer de financer les déficits*socio=ec des États-unis*socio=ac. Le désir*socio=rien récemment manifesté par les grands*socio=rien pays*socio=ac de coopérer dans ce domaine*socio=rien , qu'ils ont exprimé dans l'Accord*socio=et de new_york*socio=ac, a fortement contribué à une transition*socio=uv sans à-coups. Toutefois, les déséquilibres restent importants*socio=rien . Le déficit*socio=ec sans précédent*socio=rien accusé par les États-unis*socio=ac au titre*socio=rien des transactions*socio=ec courantes*socio=rien a été*socio=rien contrebalancé par un*socio=rien excédent*socio=ec *socio=rien record du Japon*socio=ac *socio=nil de 50 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec et un*socio=rien excédent*socio=ec des *socio=ac pays européens *socio=nil de 21 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. En raison*socio=uv de différences*socio=uv dans les *socio=rien procédures comptables *socio=nil et le calcul*socio=rien des erreurs*socio=rien et omissions, on ne peut exactement "équilibrer" les *socio=rien soldes courants globaux*socio=ec,*socio=nil *socio=nil mais il semble tout à *socio=rien fait certain *socio=nil que l'excédent*socio=ec des paiements*socio=ec de l'ensemble*socio=rien des *socio=ac pays industriels *socio=nil a fortement diminué ces *socio=rien dernières années *socio=nil et qu'il existe actuellement un*socio=rien *socio=ec déficit commercial global*socio=rien *socio=nil . Ce déficit*socio=ec correspond en *socio=rien grande partie aux*socio=nil *socio=ec excédents commerciaux *socio=nil enregistrés par de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac, lesquels doivent faire face*socio=rien à la quasi-cessation des *socio=rien nouveaux apports financiers*socio=ec spontanés *socio=nil et à un*socio=rien accroissement*socio=ec de leurs engagements*socio=ec au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et.*socio=nil *socio=nil Alors que les marchés_financiers*socio=ec exigent des *socio=ac pays débiteurs *socio=nil qu'ils dégagent des *socio=ec excédents commerciaux,*socio=nil *socio=nil ces mêmes excédents*socio=ec ont créé des frictions avec leurs partenaires*socio=uv commerciaux*socio=ec, situation*socio=uv qui demeure potentiellement explosive. Le lourd*socio=rien *socio=ec déficit commercial des*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil a suscité dans ce pays*socio=ac des appels*socio=rien en faveur*socio=rien de l'adoption*socio=et de mesures*socio=rien protectionnistes*socio=et et a exacerbé les tensions*socio=uv commerciales*socio=ec entre les *socio=ac pays industriels.*socio=nil *socio=nil Toutefois, on peut espérer que ces tensions*socio=uv se relâcheront en *socio=rien partie grâce *socio=nil à la *socio=rien baisse récente du dollar*socio=ec.*socio=nil Les*socio=nil effets *socio=nil de la *socio=rien baisse du dollar*socio=ec ont*socio=nil été,*socio=nil *socio=nil comme on s'y attendait, retardés, les prix*socio=ec en dollars*socio=ec des importations*socio=ec augmentant et ceux des exportations*socio=ec baissant avant que les *socio=rien volumes correspondants *socio=nil n'aient eu le temps*socio=rien de s'adapter*socio=rien à la nouvelle*socio=rien situation*socio=uv (l'effet*socio=rien de "courbe en J"). Toutefois, on prévoit actuellement une *socio=rien diminution du *socio=ec déficit commercial des*socio=nil États-unis*socio=ac.*socio=nil En*socio=nil raison*socio=uv des*socio=nil taux_de_change actuels*socio=rien *socio=nil et de l'évolution*socio=rien probable*socio=rien des taux_de_croissance*socio=ec relatifs*socio=rien , le déficit*socio=ec ne disparaîtra pas, mais les perspectives*socio=uv des *socio=ac pays industriels *socio=nil paraissent toutefois plus stables*socio=uv que l'année*socio=rien dernière*socio=rien . *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil ajustements*socio=et *socio=nil considérés comme nécessaires*socio=rien il y a *socio=rien un an ont*socio=nil été *socio=nil opérés et les autorités*socio=et financières*socio=ec ont réussi très largement à coordonner leur action*socio=rien pour les mettre en oeuvre*socio=rien . En 1986, la croissance*socio=uv dans les *socio=ac pays industriels *socio=nil devrait rester assez modérée. Il est*socio=rien de plus en plus largement reconnu que ce pronostic a été*socio=rien sensiblement amélioré par la baisse*socio=rien de 30 à 40% du*socio=rien prix*socio=ec en dollars*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec enregistrée depuis décembre*socio=rien 1985. En supposant que le prix*socio=ec *socio=rien actuel du pétrole*socio=ec *socio=nil se maintienne et que les taxes*socio=et sur*socio=rien le pétrole*socio=ec ne soient pas relevées, à court_terme*socio=ec la *socio=rien baisse du prix*socio=ec du pétrole*socio=ec *socio=nil devrait sensiblement accroître les revenus*socio=ec réels*socio=rien et ralentir l'inflation*socio=ec dans les *socio=ac pays industriels.*socio=nil Les*socio=nil effets*socio=rien positifs*socio=uv directs*socio=rien *socio=nil de cette réduction*socio=uv de prix*socio=ec sur*socio=rien les revenus*socio=ec réels*socio=rien des utilisateurs*socio=rien de pétrole*socio=ec sont à peu près équivalents*socio=rien à leurs *socio=rien effets négatifs sur les*socio=nil producteurs*socio=ac de*socio=nil pétrole*socio=ec,*socio=nil bien *socio=nil qu'il *socio=rien reste avantageux *socio=nil pour l'économie*socio=ec mondiale*socio=te d'affecter moins de ressources*socio=ec à la production*socio=ec d'une *socio=ec énergie coûteuse.*socio=nil *socio=nil Toutefois, le principal*socio=rien avantage à l'échelle*socio=rien mondiale*socio=te de la *socio=rien baisse du prix*socio=ec du pétrole*socio=ec *socio=nil devrait résulter d'un*socio=rien brusque relâchement des pressions*socio=uv inflationnistes*socio=ec, qui permettra un*socio=rien assouplissement*socio=uv de la politique*socio=et monétaire*socio=ec en *socio=rien termes réels.*socio=nil La*socio=nil croissance*socio=uv devrait*socio=nil être un *socio=nil peu plus rapide*socio=rien que l'an*socio=rien dernier*socio=rien , tant aux États-unis*socio=ac qu'en Europe*socio=ac. Toutefois, elle risque*socio=uv de se ralentir au Japon*socio=ac car, en raison*socio=uv de la *socio=rien hausse du yen*socio=ec,*socio=nil l'*socio=nil accroissement*socio=ec *socio=nil de la demande*socio=ec intérieure*socio=rien pourrait ne pas entièrement compenser le fléchissement*socio=rien de la croissance*socio=uv des exportations*socio=ec. Les résultats*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac. Les pays_en_développement*socio=ac avaient espéré que la reprise économique*socio=ec intervenue après*socio=rien la récession*socio=ec *socio=rien du début des*socio=nil années *socio=nil 80 continuerait à s'accélérer. Toutefois, ces espoirs*socio=uv ne se sont pas concrétisés en raison*socio=uv du*socio=rien ralentissement*socio=uv de la croissance*socio=uv dans les *socio=ac pays industriels:*socio=nil la*socio=nil croissance*socio=uv du*socio=rien PIB*socio=ec des*socio=nil pays_en_développement,*socio=nil *socio=nil qui était de 5,4% en 1984, est*socio=rien tombée à 4,3% en 1985; la croissance*socio=uv *socio=rien du volume *socio=nil de leurs exportations*socio=ec a fléchi de plus de 8%, pour tomber à 2,3%, et leurs termes_de_l'_échange*socio=et ont régressé de 1, 1%, les prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien étant restés généralement assez bas*socio=rien . Ce n'est*socio=rien qu'à la fin*socio=rien de 1985 - et au début*socio=rien de 1986 - qu'un*socio=rien *socio=rien certain soulagement a*socio=nil été *socio=nil ressenti par différents*socio=rien groupes*socio=ac de pays_en_développement*socio=ac: premièrement, par *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil très endettés, qui ont bénéficié de la baisse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec (et, dans certains cas*socio=rien , peut-être également de la dépréciation*socio=ec du*socio=rien dollar*socio=ec) et, deuxièmement, par les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec,*socio=nil *socio=nil qui ont profité de la chute du*socio=rien prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1986. Ce taux_de_croissance*socio=ec de 4,3% du*socio=rien PIB*socio=ec était *socio=rien bien inférieur *socio=nil à la moyenne*socio=rien enregistrée avant 1980. Qui plus est*socio=rien , si l'on ne tient pas compte*socio=rien des données sur*socio=rien la Chine*socio=ac, l'Inde*socio=ac et le Brésil*socio=ac, qui entrent pour une *socio=rien part importante *socio=nil dans les *socio=rien moyennes statistiques *socio=nil pour l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac, la croissance*socio=uv du*socio=rien PIB*socio=ec en 1984 est*socio=rien tombée à 2,4%. En raison*socio=uv de la dégradation*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=et, les revenus*socio=ec par habitant*socio=ac ont baissé dans la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac. Tous les groupes*socio=ac de pays*socio=ac ont subi les conséquences*socio=rien des événements*socio=rien survenus en 1985: ceux qui avaient toujours obtenu de très *socio=rien bons résultats *socio=nil à l'exportation*socio=ec ont vu la croissance*socio=uv de leur économie*socio=ec entravée par la stagnation*socio=ec ou la baisse*socio=rien de leurs recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec; dans les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac, qui sont fortement tributaires*socio=rien des exportations*socio=ec de biens*socio=ec manufacturés, le taux_de_croissance*socio=ec des exportations*socio=ec a fléchi; en dépit*socio=rien des efforts*socio=uv constants*socio=rien déployés par les pouvoirs_publics*socio=ac pour encourager les exportations*socio=ec, de nombreux*socio=rien pays*socio=ac lourdement endettés n'ont pas pu soutenir l'essor*socio=rien des exportations*socio=ec enregistré en 1984 en raison*socio=uv de la faiblesse*socio=rien de la demande*socio=ec et ont donc dû limiter*socio=rien le taux_de_croissance*socio=ec de leurs importations*socio=ec; dans les *socio=ac pays africains,*socio=nil les*socio=nil revenus*socio=ec par*socio=nil habitant *socio=nil ont régressé pour la *socio=rien cinquième année consécutive *socio=nil et certains des *socio=ac pays méditerranéens *socio=nil les plus avancés ont vu se ralentir la progression*socio=uv de leur PIB*socio=ec, alors qu'ils appliquaient des politiques*socio=et restrictives*socio=uv pour réduire l'inflation*socio=ec et limiter*socio=rien l'accroissement*socio=ec de leurs déficits*socio=ec extérieurs*socio=te courants*socio=rien ; d'une *socio=rien manière générale,*socio=nil les*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil ont eu des raisons*socio=rien d'être*socio=rien préoccupés par la menace*socio=rien que fait*socio=rien peser sur*socio=rien leur économie*socio=ec l'intensification*socio=rien des pressions*socio=uv protectionnistes*socio=et dans les *socio=ac pays industriels.*socio=nil Le*socio=nil *socio=rien taux offert *socio=nil pour les dépôts*socio=rien en dollars*socio=ec à six *socio=rien mois sur le*socio=nil marché*socio=ec *socio=nil interbancaire à Londres*socio=ac (LIBOR*socio=ec), qui est*socio=rien utilisé comme taux*socio=rien de base*socio=rien pour la *socio=rien majeure partie *socio=nil de la dette*socio=ec de sources*socio=rien privées*socio=ec à taux*socio=rien flottant des pays_en_développement*socio=ac, est*socio=rien tombé de 11,2% en moyenne*socio=rien en 1984 à 8,7% en 1985. Toutefois, si l'on utilise comme déflateur les prix*socio=ec à l'exportation*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac (qui ont baissé de 2,2%), le *socio=ec taux_d'_intérêt réel *socio=nil se situe en moyenne*socio=rien à plus de 10%. L'ensemble*socio=rien des paiements*socio=ec d'intérêts*socio=ec au titre*socio=rien de la dette*socio=ec à long_terme*socio=ec ont augmenté *socio=rien du fait *socio=nil de l'accroissement*socio=ec de l'encours de la dette*socio=ec, qui tient en *socio=rien grande partie *socio=nil à une politique*socio=et de prêts*socio=ec concertés dans le cadre*socio=rien d'accords*socio=et de rééchelonnement*socio=ec. En raison*socio=uv de la stagnation*socio=ec des recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec, des *socio=rien faibles niveaux d'*socio=nil emprunt*socio=ec *socio=nil et de l'alourdissement des paiements*socio=ec d'intérêts*socio=ec, la croissance*socio=uv *socio=rien du volume des*socio=nil importations*socio=ec est *socio=nil tombée à 3,4%, contre environ 6% en 1984. Croissance*socio=uv du*socio=rien PIB*socio=ec. Les taux_de_croissance*socio=ec ont varié très sensiblement d'une région*socio=te à l'autre (voir Tableau*socio=rien 2-2). Le PIB*socio=ec de l'Asie*socio=ac a progressé de 6j%, contre 8,7% en 1984. La Chine*socio=ac, poursuivant avec succès*socio=uv sa politique*socio=et de réformes*socio=et intérieures*socio=rien , a annoncé un*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec supérieur*socio=rien à 10%. En revanche, dans les pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien d'Asie*socio=ac, la croissance*socio=uv s'est*socio=rien ralentie à la suite*socio=rien d'une progression*socio=uv plus modérée des exportations*socio=ec de biens*socio=ec manufacturés. Le taux_de_croissance*socio=ec du*socio=rien PIB*socio=ec de la République*socio=ac de Corée*socio=ac, qui se situait en moyenne*socio=rien à 9% entre 1960 et 1970, a progressé de 5%, alors que le PIB*socio=ec de Singapour*socio=ac a en fait*socio=rien baissé de 1,8%, *socio=rien premier recul *socio=nil enregistré par ce pays*socio=ac depuis *socio=rien vingt ans.*socio=nil La*socio=nil croissance*socio=uv s'*socio=nil est *socio=nil également ralentie en Indonésie*socio=ac et en Malaisie*socio=ac à cause*socio=rien de la stagnation*socio=ec des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec et de la faiblesse*socio=rien des prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien . En raison*socio=uv de la persistance*socio=rien de la crise*socio=uv politique*socio=et et économique*socio=ec, le PIB*socio=ec des Philippines*socio=ac a encore fléchi cette année*socio=rien . Le PIB*socio=ec des pays*socio=ac de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac n'a augmenté que de 1,2% et leurs termes_de_l'_échange*socio=et se sont également détériorés. Les revenus*socio=ec par habitant*socio=ac dans cette région*socio=te ont donc continué de s'éroder. Depuis 1980, le PIB*socio=ec par habitant*socio=ac de cette région*socio=te a baissé de 16,6%. Les causes*socio=rien des difficultés*socio=rien économiques*socio=ec de l'Afrique*socio=ac sont nombreuses*socio=rien et variées*socio=rien . Les *socio=rien catastrophes naturelles *socio=nil survenues dans le passé*socio=rien ont décimé le bétail*socio=ec et dévasté les cultures*socio=et agricoles*socio=ec et, dans certaines*socio=rien régions*socio=te, elles ont provoqué une famine généralisée. La croissance_économique*socio=ec de plusieurs pays*socio=ac a été*socio=rien entravée par des troubles politiques*socio=et. Les difficultés*socio=rien éprouvées par de nombreux*socio=rien pays*socio=ac pour assurer le service_de_la_dette*socio=et, dont une *socio=rien grande partie *socio=nil était pourtant assortie de conditions*socio=uv libérales*socio=et, ont préoccupé les responsables*socio=uv et empêché les pays*socio=ac de se procurer les importations*socio=ec nécessaires*socio=rien . Les prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien ont baissé rapidement par rapport*socio=rien aux *socio=rien niveaux élevés *socio=nil atteints en 1978-80, et *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac restent*socio=nil tributaires *socio=nil de quelques cultures*socio=et commerciales*socio=ec pour obtenir*socio=rien la *socio=rien majeure partie *socio=nil de leurs recettes*socio=ec en devises*socio=ec. En dépit*socio=rien d'une hausse*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien café*socio=ec, les prix*socio=ec de l'ensemble*socio=rien des *socio=rien produits primaires non*socio=nil pétroliers*socio=ec *socio=nil ont baissé de 11% en 1985. Enfin, *socio=rien un nouveau fléchissement des*socio=nil prix*socio=ec du pétrole*socio=ec *socio=nil a réduit le revenu*socio=ec national*socio=te du*socio=rien Nigeria*socio=ac, qui occupe une *socio=rien place importante *socio=nil dans la région*socio=te. Depuis 1980, le PIB*socio=ec du*socio=rien Nigeria*socio=ac a reculé de près de 18%, et son revenu*socio=ec national*socio=te réel*socio=ec dans des proportions*socio=rien encore plus notables*socio=rien . Néanmoins, il est*socio=rien aujourd'hui très largement reconnu en Afrique*socio=ac que les distorsions*socio=uv des taux_de_change*socio=ec et autres prix*socio=ec, le gaspillage*socio=uv souvent observé dans les investissements_publics*socio=et et les interventions*socio=et malencontreuses*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=ac ont également sensiblement contribué à la situation*socio=uv *socio=rien difficile du continent*socio=ac.*socio=nil De*socio=nil fait,*socio=nil la*socio=nil prise de*socio=nil conscience*socio=uv *socio=nil de plus en plus claire*socio=rien de ces *socio=rien effets sur la*socio=nil situation*socio=uv actuelle *socio=nil et le *socio=rien nombre croissant de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui en tiennent compte*socio=rien pour adopter de nouvelles*socio=rien politiques*socio=et d'ajustement*socio=et constituent les événements*socio=rien les plus prometteurs*socio=rien de l'année*socio=rien . Toutefois, il est*socio=rien également reconnu que, pour être*socio=rien pleinement efficaces*socio=uv, ces politiques*socio=et d'ajustement*socio=et doivent être*socio=rien soutenues par une aide_extérieure*socio=te beaucoup plus substantielle*socio=rien , qui n'est*socio=rien pas encore en vue*socio=rien . Le produit_intérieur_brut*socio=ec n'a progressé que de 2,5% en Europe*socio=ac du*socio=rien Sud*socio=te et de 4,6% dans les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te et du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac (dont *socio=rien un grand nombre,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=uv les*socio=nil *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec,*socio=nil *socio=nil ont dû faire face*socio=rien à une forte*socio=rien détérioration*socio=uv de leurs termes_de_l'_échange*socio=et). De nombreux*socio=rien pays*socio=ac ont dû continuer à appliquer les programmes*socio=et persistants d'austérité qu'ils avaient adoptés pour ralentir l'inflation*socio=ec et contenir leurs déficits*socio=ec extérieurs*socio=te courants*socio=rien , compte*socio=rien tenu de leur dette*socio=ec excessive*socio=rien . En Turquie*socio=ac, les autorités*socio=et ont continué d'appliquer des mesures*socio=rien de libéralisation*socio=ec et si la croissance*socio=uv du*socio=rien PIB*socio=ec s'est*socio=rien quelque peu ralentie, elle est*socio=rien restée toutefois proche de 5%. Les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec du*socio=rien Moyen-orient *socio=nil et d'Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te ont souffert *socio=rien du fléchissement des*socio=nil prix*socio=ec du pétrole*socio=ec *socio=nil et, vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien , de la *socio=rien baisse du dollar*socio=ec,*socio=nil *socio=nil qui a encore réduit le pouvoir_d'_achat*socio=ec de leurs exportations*socio=ec sur*socio=rien les marchés*socio=ec extérieurs*socio=te aux États-unis*socio=ac. Exportations*socio=ec. Les exportations*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac n'ont augmenté, en volume*socio=rien , que de 2,3% en 1985, ce qui *socio=rien marque un recul par*socio=nil rapport *socio=nil à la hausse*socio=rien de 10,7% de 1984 et représente moins de la *socio=rien moitié du taux_de_croissance*socio=ec moyen *socio=nil enregistré au cours*socio=rien de la période*socio=te 1965-80 (voir Tableau*socio=rien 2-3). Ce *socio=rien recul est *socio=nil dû en *socio=rien grande partie au*socio=nil ralentissement*socio=uv *socio=nil de la croissance*socio=uv globale*socio=rien des *socio=ac pays industriels,*socio=nil *socio=nil qui a également contribué à une détérioration*socio=uv des termes_de_l'_échange*socio=et des pays_en_développement*socio=ac. Les exportations*socio=ec de biens*socio=ec manufacturés de ces derniers*socio=rien n'ont progressé que de 3,3%, contre 16,6% en 1984, Ce ralentissement*socio=uv a touché la plupart*socio=rien des gros*socio=rien exportateurs*socio=ac de biens*socio=ec manufacturés, dont la Corée*socio=ac, *socio=ac Hong Kong,*socio=nil Singapour,*socio=nil le*socio=nil Brésil *socio=nil et le Portugal*socio=ac. Les pays*socio=ac fortement *socio=rien tributaires du marché*socio=ec des*socio=nil États-unis*socio=ac,*socio=nil *socio=nil notamment ceux d'amérique_latine*socio=ac et de l'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien , ont été*socio=rien les plus touchés. Cette situation*socio=uv était due en partie*socio=rien au rythme*socio=rien de croissance*socio=uv beaucoup plus lent*socio=rien aux États-unis*socio=ac et, pour la majorité*socio=rien des pays*socio=ac dont la monnaie*socio=ec suit plus ou moins l'évolution*socio=rien du*socio=rien dollar*socio=ec (jusqu'à ce que le dollar*socio=ec ait commencé sérieusement à baisser à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien ), à une perte*socio=rien de compétitivité*socio=uv par rapport*socio=rien à l'Europe*socio=ac et au Japon*socio=ac. De nombreux*socio=rien pays*socio=ac ont poursuivi leurs efforts*socio=uv pour accroître les incitations*socio=rien à l'exportation*socio=ec, réduire la surévaluation*socio=ec de leur monnaie*socio=ec et abaisser les barrières*socio=rien protectionnistes*socio=et. Ceux qui avaient adopté une politique*socio=et des prix*socio=ec ne créant pas de distorsions*socio=uv et évité de décourager les exportations*socio=ec ont continué, dans l'ensemble*socio=rien , d'obtenir*socio=rien de *socio=rien meilleurs résultats *socio=nil que ceux qui avaient défavorisé les exportations*socio=ec en pratiquant des taux_de_change*socio=ec surévalués et en mettant en place*socio=rien des barrières*socio=rien protectionnistes*socio=et élevées*socio=rien ; toutefois, même l'adoption*socio=et de politiques*socio=et appropriées ne leur a pas permis*socio=rien de maintenir un*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec élevé*socio=rien pour leurs exportations*socio=ec en raison*socio=uv de la stagnation*socio=ec de la demande*socio=ec. Les pays*socio=ac qui ont le plus souffert de cette stagnation*socio=ec de la demande*socio=ec ont été*socio=rien les exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien de base*socio=rien . Le fléchissement*socio=rien des prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien autres que le pétrole*socio=ec a provoqué en 1985 une détérioration*socio=uv de 5,6% des termes_de_l'_échange*socio=et des pays*socio=ac très pauvres*socio=uv d'Afrique*socio=ac, dont le pouvoir_d'_achat*socio=ec des exportations*socio=ec a en fait*socio=rien baissé en dépit*socio=rien d'un*socio=rien accroissement*socio=ec de 2% en volume*socio=rien . La *socio=rien faiblesse persistante du *socio=ec marché pétrolier,*socio=nil *socio=nil conjuguée à un*socio=rien accroissement*socio=ec de la production*socio=ec des pays*socio=ac à revenu*socio=ec élevé*socio=rien , a réduit les recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec des *socio=ac pays_en_développement exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec *socio=nil de près de 5% en 1985. Prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien non pétroliers*socio=ec. En 1985, les prix*socio=ec en dollars*socio=ec des exportations*socio=ec de produits*socio=rien de base*socio=rien non pétroliers*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac ont fléchi d'environ 10% (voir Graphique*socio=rien 2-2). Cette baisse*socio=rien était due à la fois*socio=rien à un*socio=rien ralentissement*socio=uv de la croissance*socio=uv de la demande*socio=ec depuis le début*socio=rien de 1985 dans les *socio=ac pays industriels *socio=nil et, dans le cas*socio=rien des céréales*socio=ec, du*socio=rien coton*socio=ec et des oléagineux, à un*socio=rien excédent*socio=ec de l'offre*socio=rien dû à des récoltes exceptionnellement abondantes*socio=rien ou à des changements*socio=uv dans la politique*socio=et de soutien*socio=uv des prix*socio=ec et d'exportation*socio=ec des principaux*socio=rien *socio=ac pays fournisseurs.*socio=nil Les*socio=nil pays producteurs,*socio=nil *socio=nil qui avaient besoin*socio=uv de recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec pour financer leurs importations*socio=ec et le service*socio=ec de leur dette*socio=ec, n'ont guère pris de mesures*socio=rien pour limiter*socio=rien leur production*socio=ec à la suite*socio=rien de la baisse*socio=rien des prix*socio=ec. Les *socio=ec prix moyens en*socio=nil dollars des*socio=nil métaux *socio=nil et des minéraux*socio=ec ont baissé de 5% en 1985 et d'environ 30% depuis 1980. Les prix*socio=ec de l'étain*socio=ec ont très fortement chuté, et les transactions*socio=ec sur*socio=rien l'étain*socio=ec ont été*socio=rien suspendues à la Bourse*socio=ac des métaux*socio=ec de Londres*socio=ac à la fin*socio=rien d'octobre*socio=rien lorsque le Conseil*socio=rien international*socio=te de l'étain*socio=ec s'est*socio=rien heurté à des difficultés*socio=rien financières*socio=ec et n'a plus été*socio=rien en mesure*socio=rien de soutenir le prix*socio=ec de l'étain*socio=ec. Exprimés en dollars*socio=ec, les prix*socio=ec des *socio=rien produits alimentaires *socio=nil ont diminué en moyenne*socio=rien de 12%, alors qu'ils avaient augmenté de 6% en 1984. Les prix*socio=ec des produits*socio=rien destinés à la préparation*socio=rien de boissons*socio=rien se sont toutefois sensiblement redressés au *socio=rien cours du quatrième trimestre*socio=te *socio=nil de 1985, surtout à la suite*socio=rien de l'essor*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien café*socio=ec, dû à une grave*socio=rien sécheresse*socio=et qui devrait, selon les prévisions*socio=rien , réduire de 30 à 50% la récolte de café*socio=ec du*socio=rien Brésil*socio=ac en 1986/87. Le prix*socio=ec *socio=rien du thé *socio=nil a cependant baissé et n'atteignait à la fin*socio=rien de 1985 que la moitié*socio=rien environ de son niveau*socio=rien de 1984, en raison*socio=uv d'un*socio=rien accroissement*socio=ec important*socio=rien de la production*socio=ec dans les *socio=ac pays producteurs de*socio=nil thé*socio=rien *socio=nil . Les prix*socio=ec des céréales*socio=ec et des graisses et huiles ont baissé de 6% et 24% respectivement. Les superficies*socio=rien consacrées à la culture*socio=et de coton*socio=ec dans le monde*socio=te ayant augmenté de 11% en 1984/85 à la suite*socio=rien d'une *socio=rien évolution favorable des*socio=nil prix*socio=ec l'*socio=nil année précédente,*socio=nil les*socio=nil cours mondiaux*socio=te du coton*socio=ec *socio=nil ont ensuite baissé de 21% au cours*socio=rien de la campagne*socio=rien 1984/85. Depuis, les États-unis*socio=ac et la Chine*socio=ac, qui sont tous deux de gros*socio=rien producteurs*socio=ac de coton*socio=ec, ont pris des mesures*socio=rien pour réduire la production*socio=ec de coton*socio=ec. Prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec. En raison*socio=uv du*socio=rien ralentissement*socio=uv de la croissance*socio=uv dans les pays_industrialisés*socio=ac, et *socio=rien du maintien,*socio=nil *socio=nil dans le même temps*socio=rien , des mesures*socio=rien d'économie*socio=ec de pétrole*socio=ec, la demande*socio=ec de pétrole*socio=ec est*socio=rien restée faible*socio=rien en 1985 et le prix*socio=ec moyen*socio=rien en dollars*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec brut*socio=rien a baissé de 4% pour tomber à 27,80 dollars*socio=ec le baril*socio=rien , prix*socio=ec officiel*socio=rien de l' organisation_des_pays_exportateurs_de_pétrole*socio=ec (OPEP*socio=ac). Les prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec n'ont pas cessé de baisser par rapport*socio=rien au *socio=rien niveau record *socio=nil qu'ils avaient atteint en 1981; le prix*socio=ec de 27,80 dollars*socio=ec était inférieur*socio=rien de près de 20% au *socio=rien niveau record *socio=nil de 34,30 dollars*socio=ec. Durant la *socio=rien première partie *socio=nil de l'année*socio=rien , la majorité*socio=rien des membres*socio=rien de l'OPEP*socio=ac ayant respecté les volumes*socio=rien de production*socio=ec et les contingents*socio=uv d'exportation*socio=ec convenus, l'offre_et_la_demande*socio=ec sont restées à peu près équilibrées. Le *socio=rien bas niveau des*socio=nil stocks*socio=ec *socio=nil et le temps*socio=rien exceptionnellement froid*socio=rien en Europe*socio=ac et aux États-unis*socio=ac ont contribué à maintenir la demande*socio=ec. Toutefois, avec l'arrivée*socio=rien *socio=rien du printemps,*socio=nil la*socio=nil demande*socio=ec de*socio=nil pétrole*socio=ec *socio=nil a encore fléchi et, au milieu*socio=rien de 1985, l'union_soviétique*socio=ac et l'Égypte*socio=ac ont abaissé leur prix*socio=ec officiel*socio=rien de vente*socio=ec, comme d'ailleurs*socio=rien le Mexique*socio=ac. Les membres*socio=rien de l'OPEP*socio=ac ont commencé à accorder des rabais*socio=rien pour conserver ou accroître leurs *socio=rien parts du marché*socio=ec.*socio=nil *socio=nil A la fin*socio=rien de 1985, plusieurs pays_membres*socio=ac de l'OPEP*socio=ac ont déclaré qu'au lieu*socio=rien de limiter*socio=rien les approvisionnements*socio=ec pour maintenir les prix*socio=ec, ils préféraient adopter une politique*socio=et qui leur permette de s'assurer "une part*socio=rien équitable*socio=uv du*socio=rien marché*socio=ec". A cette époque*socio=rien , le prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec *socio=rien brut sur le*socio=nil marché*socio=ec spot *socio=nil a commencé à baisser, se situant en moyenne*socio=rien aux environs*socio=rien de 18 dollars*socio=ec le baril*socio=rien au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1986 et retombant à moins de 11 dollars*socio=ec en juin*socio=rien . balance_des_paiements*socio=ec , dette*socio=ec et financement*socio=ec. Le déficit*socio=ec des paiements*socio=ec courants*socio=rien (à l'exclusion*socio=uv des transferts*socio=ec officiels*socio=rien ) des pays_en_développement*socio=ac s'est*socio=rien élevé*socio=rien à 41 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1985 (voir Tableau*socio=rien 2-4), en *socio=rien légère hausse par*socio=nil rapport *socio=nil à l'année*socio=rien précédente*socio=rien , mais en restant inférieur*socio=rien de plus de 60 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec au déficit*socio=ec record*socio=rien de 105 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec enregistré en 1981. Ce déficit*socio=ec est*socio=rien également beaucoup moins élevé*socio=rien que le montant*socio=ec des intérêts*socio=ec versés par les pays_en_développement*socio=ac au titre*socio=rien de leur seule*socio=rien dette*socio=ec à long_terme*socio=ec. Globalement, les exportations*socio=ec de biens*socio=ec et de services*socio=ec non facteurs*socio=rien de ces pays*socio=ac ont été*socio=rien à peu près égales*socio=uv (et, si l'on ne tient pas compte*socio=rien de la Chine*socio=ac, supérieures*socio=rien ) à leurs importations*socio=ec de biens*socio=ec et de services*socio=ec non facteurs*socio=rien . Dans l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac à l'exclusion*socio=uv de la Chine*socio=ac, et en particulier*socio=uv dans les pays*socio=ac fortement endettés, l'épargne*socio=ec nationale*socio=te a dépassé l'investissement*socio=ec *socio=rien intérieur brut *socio=nil et a servi en partie*socio=rien à financer les paiements*socio=ec nets*socio=rien au titre*socio=rien de la dette*socio=ec. La réduction*socio=uv du*socio=rien *socio=ec déficit extérieur courant*socio=rien a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil due aux mesures*socio=rien adoptées pour faire face*socio=rien à une *socio=rien baisse substantielle,*socio=nil *socio=nil depuis 1981, des apports*socio=rien financiers*socio=ec extérieurs*socio=te. En 1985, les prêts*socio=ec à long_terme*socio=ec nets*socio=rien accordés aux pays_en_développement*socio=ac se sont élevés*socio=rien à 35,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, contre 74,6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1981. Sur*socio=rien ce montant*socio=ec, les apports*socio=rien financiers*socio=ec de sources*socio=rien privées*socio=ec sont tombés de 52 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1981 à 15 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1985. Ce dernier*socio=rien montant*socio=ec comprenait essentiellement des prêts*socio=ec concertés accordés dans le cadre*socio=rien d'accords*socio=et de rééchelonnement*socio=ec et non des prêts*socio=ec "spontanés*socio=rien ". Les investissements_étrangers_directs*socio=ec nets*socio=rien d'origine*socio=rien privée*socio=ec ont également baissé d'environ 28% depuis 1981, ce qui tient certainement à la faiblesse*socio=rien de la demande*socio=ec interne*socio=rien dans les pays_en_développement*socio=ac et à l'évolution*socio=rien défavorable*socio=uv des marchés*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien . Les apports*socio=rien financiers*socio=ec nets*socio=rien aux pays_en_développement*socio=ac (y compris les erreurs*socio=rien et les omissions) sont tombés d'environ 55 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1984 à 42 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, ce qui est*socio=rien dû en *socio=rien grande partie *socio=nil à une baisse*socio=rien des prêts*socio=ec de sources*socio=rien privées*socio=ec aux *socio=ac pays_en_développement exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec *socio=nil et à une diminution*socio=rien des engagements*socio=ec nets*socio=rien à court_terme*socio=ec des *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec.*socio=nil Le*socio=nil *socio=ec déficit extérieur courant*socio=rien des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil a néanmoins augmenté de 5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1985 et les réserves*socio=ec, de moins de 2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Il convient de noter que les estimations*socio=ec du*socio=rien déficit*socio=ec courant*socio=rien peuvent comporter une marge considérable*socio=rien d'erreur*socio=rien ; premièrement, il existe un*socio=rien risque*socio=uv général*socio=rien d'erreur*socio=rien en ce qui concerne le solde*socio=ec global*socio=rien des transactions*socio=ec courantes*socio=rien ; deuxièmement, on ne dispose pas encore pour tous les pays*socio=ac de *socio=rien rapports complets sur leurs*socio=nil paiements*socio=ec effectifs *socio=nil (par rapport*socio=rien à leurs obligations*socio=uv) au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et *socio=nil en 1985. Le déficit*socio=ec courant*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac a peut-être été*socio=rien beaucoup plus élevé*socio=rien qu'on ne le prévoit actuellement, compte*socio=rien tenu de l'accumulation*socio=ec des arriérés. En raison*socio=uv de la diminution*socio=rien des prêts*socio=ec, de la faible*socio=rien progression*socio=uv des recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec et de la détérioration*socio=uv des termes_de_l'_échange*socio=et, les importations*socio=ec de marchandises*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac n'ont augmenté que de 3,6% en volume*socio=rien , contre 5,8% en 1984. Cet accroissement*socio=ec modeste*socio=rien n'est*socio=rien dû qu'à *socio=rien un petit nombre de*socio=nil pays*socio=ac:*socio=nil le*socio=nil volume des*socio=nil importations*socio=ec *socio=nil de la Chine*socio=ac, par exemple*socio=rien , a augmenté de 27% et des restrictions*socio=uv ont dû être*socio=rien appliquées pour maîtriser*socio=rien la surchauffe de l'économie*socio=ec durant le *socio=rien second semestre *socio=nil de l'année*socio=rien . En revanche, les importations*socio=ec des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien ont progressé de moins de 0,5%. Les ajustements*socio=et opérés dans ces pays*socio=ac ont continué d'être*socio=rien le fait*socio=rien de politiques*socio=et restrictives*socio=uv et de limitations des importations*socio=ec, et non de *socio=rien mesures propres *socio=nil à promouvoir les exportations*socio=ec. Les bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec du*socio=rien secteur_privé*socio=ec sont restés extrêmement prudents*socio=rien dans leurs opérations*socio=rien de prêt*socio=ec en faveur*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac. Certains pays*socio=ac ont continué d'avoir accès*socio=uv à des *socio=ec prêts bancaires à*socio=nil faibles*socio=rien *socio=nil marges et quelques pays*socio=ac d'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien - la Chine*socio=ac, la Corée*socio=ac et la Malaisie*socio=ac - ont réussi à mobiliser des fonds*socio=ec sur*socio=rien les *socio=ec marchés obligataires.*socio=nil *socio=nil Mais la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac n'ont pas été*socio=rien en mesure*socio=rien d'obtenir*socio=rien de nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec nets*socio=rien de sources*socio=rien privées*socio=ec, sauf dans le cadre*socio=rien d'accords*socio=et de rééchelonnement*socio=ec. Les négociations*socio=uv tendant à rééchelonner la dette*socio=ec actuelle*socio=rien se sont poursuivies activement en 1985 et ont concerné 19 membres*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac, dont dix pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac et sept d'amérique_latine*socio=ac. Au total*socio=rien , 12 accords*socio=et ont été*socio=rien signés en 1985, portant *socio=rien sur un montant*socio=ec *socio=nil rééchelonné de 87 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, dont 49 milliards*socio=ec dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien accord*socio=et initialement conclu en 1984 et signé avec le Mexique*socio=ac. Des accords*socio=et de rééchelonnement*socio=ec ont également été*socio=rien conclus avec l'Argentine*socio=ac, le Chili*socio=ac, l'Équateur*socio=ac et les Philippines*socio=ac. Les fonds*socio=ec obtenus dans le cadre*socio=rien de ces accords*socio=et étaient inférieurs*socio=rien aux *socio=rien montants nécessaires *socio=nil pour financer les paiements*socio=ec d'intérêts*socio=ec. Les décaissements*socio=ec nets*socio=rien à long_terme*socio=ec en faveur*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac se sont chiffrés au total*socio=rien à environ 36 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1985, alors que les paiements*socio=ec d'intérêts*socio=ec au titre*socio=rien de la dette*socio=ec à long_terme*socio=ec ont atteint près de 58 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec (voir Tableau*socio=rien 2-5). En 1985, aucun progrès*socio=uv notable*socio=rien n'a été*socio=rien enregistré dans l'amélioration*socio=uv de la solvabilité*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac. Exprimés par rapport*socio=rien aux exportations*socio=ec, les *socio=ec paiements globaux au*socio=nil *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et à*socio=nil long_terme*socio=ec sont*socio=nil passés *socio=nil de 20% en 1984 à 22%, alors que la valeur*socio=ec de la dette*socio=ec à long_terme*socio=ec, toujours par rapport*socio=rien aux exportations*socio=ec, est*socio=rien passée de 130 à 136%. Cette *socio=rien estimation du service_de_la_dette*socio=et *socio=nil peut paraître élevée*socio=rien car, pour certains pays*socio=ac, elle prend en compte*socio=rien les paiements*socio=ec dus en 1985 et non les paiements*socio=ec effectués. C'est*socio=rien toutefois le chiffre qu'il convient d'utiliser pour évaluer la solvabilité*socio=ec, d'autant plus que les arriérés au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et *socio=nil en 1985 se traduiront par un*socio=rien accroissement*socio=ec de la dette*socio=ec et par des obligations*socio=uv de paiements*socio=ec dans les années*socio=rien à venir. De *socio=rien gros obstacles *socio=nil ont continué d'entraver les efforts*socio=uv déployés pour résoudre les problèmes*socio=uv de la dette*socio=ec. De nombreux*socio=rien pays*socio=ac ont souffert d'un*socio=rien *socio=rien recul continu *socio=nil de la production*socio=ec par habitant*socio=ac et de baisses encore plus fortes*socio=rien des dépenses*socio=ec intérieures*socio=rien par habitant*socio=ac *socio=rien du fait *socio=nil qu'il leur a fallu maintenir des *socio=ec excédents commerciaux pour*socio=nil payer*socio=rien les*socio=nil intérêts *socio=nil de leur dette*socio=ec. Dans certains pays*socio=ac, les politiques*socio=et restrictives*socio=uv qui, pour une partie*socio=rien de l'opinion_publique*socio=et, avaient uniquement*socio=rien pour but*socio=rien de mobiliser des fonds*socio=ec pour rembourser les banques*socio=ac étrangères*socio=ec ont suscité des tensions*socio=uv au sein*socio=rien des institutions_politiques*socio=ac. Les banques*socio=ac se sont attachées à renforcer leur assise financière*socio=ec, ce qui leur a permis*socio=rien d'amortir les *socio=rien effets sur leur*socio=nil solvabilité*socio=ec des*socio=nil difficultés de*socio=nil remboursement*socio=ec des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac.*socio=nil Cette*socio=nil capacité *socio=nil accrue de faire face*socio=rien à des pertes*socio=ec potentielles*socio=rien a peut-être eu pour résultat*socio=rien d'accroître les réticences*socio=rien de certaines*socio=rien banques*socio=ac (notamment les plus petites*socio=rien d'entre elles) à participer à des prêts*socio=ec concertés, ce qui a augmenté la charge*socio=uv pesant sur*socio=rien les plus grosses*socio=rien banques*socio=ac, dont une plus *socio=rien grande partie des*socio=nil actifs*socio=ec est *socio=nil immobilisée dans les pays_en_développement*socio=ac. La persistance*socio=rien de la crise*socio=uv a également accentué le dilemme*socio=rien auquel sont confrontés les organismes*socio=ac de contrôle*socio=uv. Il est*socio=rien de toute *socio=rien évidence nécessaire *socio=nil que les banques*socio=ac augmentent leurs engagements*socio=ec dans les pays*socio=ac en difficulté*socio=rien pour empêcher une désorganisation*socio=uv *socio=rien du système financier*socio=ec *socio=nil et pour sauvegarder les *socio=ec actifs bancaires.*socio=nil *socio=nil Toutefois, les règles*socio=et classiques*socio=rien (et l'égalité*socio=uv de traitement*socio=rien avec les prêts*socio=ec intérieurs*socio=rien ) exigent que les banques*socio=ac augmentent leurs provisions*socio=rien pour couvrir les risques*socio=uv concernant leurs actifs*socio=ec dans les pays_en_développement*socio=ac, ce qui les dissuade d'accroître leurs engagements*socio=ec. Ainsi, en dépit*socio=rien de la poursuite*socio=rien de la reprise dans les *socio=ac pays industriels *socio=nil et de la baisse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec, les pays_en_développement*socio=ac continuent de se heurter à de *socio=rien gros obstacles *socio=nil pour relancer leur croissance*socio=uv et rétablir leur solvabilité*socio=ec. Les gouvernements*socio=ac des *socio=ac pays industriels *socio=nil ont largement reconnu la nécessité*socio=uv de faire face*socio=rien aux problèmes*socio=uv des pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv, en particulier*socio=uv ceux de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac et des principaux*socio=rien débiteurs*socio=ac. Les propositions*socio=rien présentées aux Assemblées*socio=et annuelles*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac et du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac (FMI*socio=ac) à Séoul*socio=ac (Corée*socio=ac), en octobre*socio=rien 1985, ont clairement insisté sur*socio=rien la nécessité*socio=uv de relancer la croissance*socio=uv dans les principaux*socio=rien *socio=ac pays débiteurs,*socio=nil les*socio=nil gouvernements *socio=nil se rendant compte*socio=rien de plus en plus que le problème*socio=uv de la dette*socio=ec appelle des solutions*socio=rien à long_terme*socio=ec et un*socio=rien accroissement*socio=ec de l'aide*socio=uv. L'"initiative*socio=rien Baker" (du*socio=rien nom*socio=rien de celui qui l'a lancée, M: James*socio=rien A: Baker, Secrétaire*socio=ac au Trésor*socio=ec des États-unis*socio=ac) a demandé aux bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec, multilatéraux*socio=te et privés*socio=ec d'engager une action*socio=rien concertée en vue*socio=rien d'accroître les *socio=ec flux financiers *socio=nil destinés aux pays*socio=ac endettés qui mettent en oeuvre*socio=rien de vastes*socio=rien programmes*socio=et de réforme*socio=et économique*socio=ec. Cette initiative*socio=rien a recueilli un*socio=rien très *socio=rien large appui *socio=nil comme il ressort, par exemple*socio=rien , du*socio=rien communiqué publié par le comité_du_développement*socio=ac en avril*socio=rien 1986; celui-ci a demandé instamment aux *socio=rien principales parties *socio=nil intéressées de redoubler d'efforts*socio=uv pour que des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil orientés vers la croissance*socio=uv, puissent être*socio=rien élaborés et appliqués dès que possible*socio=rien . De même, la banque_mondiale*socio=ac et le FMI*socio=ac s'efforcent ensemble*socio=rien d'aider les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec, en particulier*socio=uv ceux de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac, à renverser la tendance*socio=rien au fléchissement*socio=rien économique*socio=ec qui a suscité tant de difficultés*socio=rien dans la région*socio=te au cours*socio=rien de la *socio=rien dernière décennie,*socio=nil *socio=nil en élaborant et en mettant en oeuvre*socio=rien des réformes*socio=et indispensables*socio=uv. En 1985, la Banque*socio=ac a poursuivi cet effort*socio=uv, non seulement dans le cadre*socio=rien de son programme*socio=et normal*socio=rien de prêts*socio=ec, mais au *socio=rien moyen du Fonds*socio=ec spécial d'*socio=nil aide*socio=uv *socio=nil à l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac qui a été*socio=rien expressément créé pour soutenir les efforts*socio=uv d'ajustement*socio=et déployés dans la région*socio=te. A sa réunion*socio=rien d'octobre*socio=rien 1985, le Comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac a accepté en principe*socio=rien une proposition*socio=rien qui permettra au FMI*socio=ac d'utiliser le produit*socio=rien des remboursements*socio=ec au *socio=ec Fonds fiduciaire *socio=nil pour accorder une *socio=uv aide concessionnelle aux*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil faible*socio=rien revenu*socio=ec *socio=nil qui mettent en oeuvre*socio=rien des programmes*socio=et économiques*socio=ec visant à promouvoir un*socio=rien ajustement_structurel*socio=et à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Un nouveau mécanisme *socio=nil - la facilité_d'_ajustement_structurel*socio=et - a été*socio=rien officiellement créé par le conseil_d'_administration*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac en mars*socio=rien 1986. Ce programme*socio=et prévoit notamment une étroite*socio=rien coordination*socio=uv entre la Banque*socio=ac (par le biais*socio=rien des crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac à l'appui*socio=rien de réformes*socio=et) et le FMI*socio=ac (par les prêts*socio=ec au titre*socio=rien de la nouvelle*socio=rien facilité) pour favoriser des ajustements_structurels*socio=ec dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec. L'ampleur*socio=rien et la nature*socio=rien de la *socio=rien Huitième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil de l'IDA*socio=ac auront des *socio=rien incidences importantes sur la*socio=nil capacité *socio=nil de la Banque*socio=ac de soutenir ces efforts*socio=uv d'ajustement*socio=et. Parallèlement au soutien*socio=uv accordé par la communauté*socio=ac internationale*socio=te des donateurs*socio=ac, les pays_en_développement*socio=ac ont pris de plus en plus conscience*socio=uv *socio=rien du rôle des*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil qu'ils avaient adoptées dans le passé*socio=rien dans leurs *socio=rien difficultés actuelles *socio=nil et des orientations*socio=et nécessaires*socio=rien pour assurer un*socio=rien avenir*socio=te meilleur*socio=rien - attitude*socio=rien qui est*socio=rien essentielle*socio=uv au succès*socio=uv de la mise en oeuvre*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil de ces politiques*socio=et souvent très difficiles*socio=rien à adopter. Dans le domaine*socio=rien de la politique_commerciale*socio=ec internationale*socio=te, en 1985 et au début*socio=rien de 1986, *socio=rien un processus de*socio=nil préparation a*socio=nil été *socio=nil amorcé dans le cadre*socio=rien de l'accord_général*socio=rien sur*socio=rien les tarifs*socio=ec douaniers*socio=ac et le commerce*socio=ec (GATT*socio=ec) en vue*socio=rien de lancer dès que possible*socio=rien une nouvelle*socio=rien série de négociations_commerciales_multilatérales*socio=te. Cette nouvelle*socio=rien série de négociations*socio=uv est*socio=rien considérée comme *socio=rien un mécanisme crucial *socio=nil pour éviter *socio=rien un nouveau renforcement*socio=uv des*socio=nil mesures protectionnistes*socio=et *socio=nil et réduire sensiblement les obstacles*socio=rien au commerce*socio=ec à la fois*socio=rien dans les pays*socio=ac développés*socio=rien et les pays_en_développement*socio=ac - réduction*socio=uv qui *socio=rien est importante *socio=nil pour promouvoir la croissance*socio=uv et l'efficacité*socio=uv à long_terme*socio=ec dans tous les pays*socio=ac. Une réunion*socio=rien ministérielle*socio=et du*socio=rien GATT*socio=ec, qui doit se tenir au milieu*socio=rien de septembre*socio=rien 1986, devrait marquer l'ouverture*socio=rien officielle*socio=rien de ces importantes*socio=rien négociations*socio=uv commerciales*socio=ec. Les progrès*socio=uv accomplis en 1985 ont été*socio=rien limités et décevants*socio=rien , mais le plus large*socio=rien consensus*socio=uv qui a déjà été*socio=rien mentionné et la mise en route*socio=rien de mesures*socio=rien dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil font entrevoir des possibilités*socio=rien d'amélioration*socio=uv de la situation*socio=uv dans l'avenir*socio=te. Les éléments*socio=rien essentiels*socio=uv du*socio=rien succès*socio=uv d'une stratégie*socio=et sont maintenant généralement admis: le maintien*socio=rien de la croissance*socio=uv dans les *socio=ac pays industriels *socio=nil et la poursuite*socio=rien des réformes*socio=et, appuyées par des apports*socio=rien financiers*socio=ec accrus, dans les pays_en_développement*socio=ac, dans un*socio=rien *socio=ec environnement commercial international*socio=te *socio=nil sans entrave. Les principaux*socio=rien protagonistes ont également été*socio=rien identifiés: les gouvernements*socio=ac des pays_en_développement*socio=ac, qui doivent poursuivre et étayer les réformes*socio=et entreprises*socio=ac; les créanciers*socio=ac commerciaux*socio=ec, dont rien*socio=rien ne peut remplacer les fonds*socio=ec actuellement, tout au moins pour les pays*socio=ac fortement endettés; enfin les gouvernements*socio=ac des *socio=ac pays industriels,*socio=nil *socio=nil qui doivent non seulement appliquer une politique*socio=et concertée de nature*socio=rien à assurer une croissance*socio=uv plus vigoureuse*socio=rien et non inflationniste*socio=ec, mais également agir directement en fournissant une aide*socio=uv libérale*socio=et, et indirectement en soutenant les institutions_financières*socio=ec internationales*socio=te; ils s'assureront ainsi que les *socio=ac pays débiteurs *socio=nil disposent dans leurs efforts*socio=uv d'ajustement*socio=et de capitaux*socio=ec suffisants*socio=rien accessibles*socio=uv à des conditions*socio=uv appropriées. Le succès*socio=uv de cette stratégie*socio=et *socio=rien est important,*socio=nil *socio=nil non pas uniquement*socio=rien pour les pays_en_développement*socio=ac, mais pour l'ensemble*socio=rien de l'économie*socio=ec internationale*socio=te. L'objectif*socio=rien pour 1986 et au-delà est*socio=rien de poursuivre cet effort*socio=uv. L'aide_publique_au_développement*socio=et. En 1985, le Groupe*socio=ac d'étude*socio=ac sur*socio=rien les flux*socio=ec d'aide*socio=uv libérale*socio=et, composé de 18 membres*socio=rien qui a été*socio=rien créé par le comité_du_développement*socio=ac en mai*socio=rien 1982, a publié son rapport*socio=rien . Il traitait de trois *socio=rien grands sujets:*socio=nil l'*socio=nil efficacité*socio=uv *socio=nil de l'aide*socio=uv, le soutien*socio=uv du*socio=rien public*socio=ac en faveur*socio=rien de l'aide*socio=uv et le volume*socio=rien de l'aide*socio=uv. Dans l'analyse*socio=rien la plus approfondie jamais faite sur*socio=rien la notion*socio=rien d'efficacité*socio=uv par un*socio=rien organe*socio=et composé de donateurs*socio=ac et de bénéficiaires*socio=ac, le Groupe*socio=ac d'étude*socio=ac a conclu que l'aide*socio=uv avait contribué efficacement au développement*socio=uv. Toutefois, les *socio=rien auteurs du rapport *socio=nil font également observer que l'aide*socio=uv a abouti à des échecs*socio=uv aussi bien*socio=rien qu'à des succès*socio=uv. Comme le nombre*socio=rien des échecs*socio=uv peut être*socio=rien réduit, ils ont demandé aux donateurs*socio=ac et aux bénéficiaires*socio=ac de mettre l'accent*socio=rien sur*socio=rien la nécessité*socio=uv d'accroître l'efficacité*socio=uv de l'aide_publique_au_développement*socio=et (APD*socio=et). Le Groupe*socio=ac d'étude*socio=ac a noté que si le soutien*socio=uv du*socio=rien public*socio=ac en faveur*socio=rien de l'aide*socio=uv est*socio=rien assez discret, il *socio=rien est possible *socio=nil - comme en témoignent*socio=rien les réactions*socio=rien à l'égard*socio=rien de la situation*socio=uv d'urgence*socio=rien observée récemment en Afrique*socio=ac - de mobiliser un*socio=rien soutien*socio=uv plus enthousiaste du*socio=rien public*socio=ac. Cette possibilité*socio=rien pourrait être*socio=rien exploitée au niveau*socio=rien des dirigeants*socio=ac politiques*socio=et et par un*socio=rien plus gros*socio=rien effort*socio=uv d'information*socio=rien dans le cadre*socio=rien de programmes*socio=et de sensibilisation*socio=uv au développement*socio=uv et par les organisations_non_gouvernementales*socio=ac. Enfin, le Groupe*socio=ac d'étude*socio=ac a traité*socio=rien de la *socio=rien question du volume *socio=nil de l'aide*socio=uv. Il a constaté qu'il y aura probablement une inadéquation entre les besoins*socio=uv d'APD*socio=et, en particulier*socio=uv des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec, durant le reste*socio=rien des années*socio=rien 80 et les montants*socio=rien qui, selon les prévisions*socio=rien , devraient être*socio=rien fournis par les donateurs*socio=ac. En cette période*socio=te caractérisée par les restrictions*socio=uv budgétaires*socio=et et par l'insuffisance*socio=rien de l'APD*socio=et, la plupart*socio=rien des *socio=rien membres du Groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ac *socio=nil ont essayé de trouver d'autres moyens*socio=ec de répondre aux besoins*socio=uv en matière*socio=rien d'APD*socio=et sans accroître encore les crédits*socio=ec déjà prévus à ce titre*socio=rien . *socio=rien Diverses options *socio=nil visant à faire face*socio=rien à cette situation*socio=uv ont donc été*socio=rien soigneusement examinées dans le rapport*socio=rien . Toutefois, les auteurs*socio=rien ont conclu que si certaines*socio=rien de ces options*socio=rien offraient des possibilités*socio=rien d'action*socio=rien considérables*socio=rien , elles restaient cependant largement insuffisantes*socio=rien . En conséquence*socio=rien , le Groupe*socio=ac d'étude*socio=ac a demandé que des efforts*socio=uv accrus et plus imaginatifs soient déployés pour mobiliser des crédits*socio=ec classiques*socio=rien au titre*socio=rien de PAPD (y compris ceux fournis par l'intermédiaire*socio=rien de certaines*socio=rien institutions*socio=ac multilatérales*socio=te) au cours*socio=rien des années*socio=rien à venir. Le comité_du_développement*socio=ac a examiné le *socio=rien rapport du Groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ac *socio=nil à sa réunion*socio=rien d'octobre*socio=rien 1985. Il a exhorté tous les gouvernements*socio=ac concernés à tenir *socio=rien compte du rapport *socio=nil et de ses suggestions*socio=rien et a invité la banque_mondiale*socio=ac à jouer *socio=rien un rôle de*socio=nil premier plan *socio=nil dans l'application*socio=rien des *socio=rien conclusions du Groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ac.*socio=nil *socio=nil En 1985, les décaissements*socio=ec nets*socio=rien au titre*socio=rien de l' aide_publique_au_développement*socio=et fournie par les pays_membres*socio=ac du*socio=rien comité_d'_aide_au_développement*socio=ac (CAD*socio=ac)2 de l' Organisation_de_coopération_et_de_développement_économiques*socio=ac aux pays_en_développement*socio=ac ont atteint un*socio=rien montant*socio=ec estimatif*socio=rien de 29,6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, soit une hausse*socio=rien de 900 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien à 1984. La répartition*socio=uv de ces décaissements*socio=ec entre les différents*socio=rien pays*socio=ac varie en fonction*socio=rien de l'origine*socio=rien de l'aide*socio=uv qu'ils reçoivent. Les décaissements*socio=ec nets*socio=rien au titre*socio=rien de l'APD*socio=et des pays_membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac ont représenté 0,35% de leur PNB*socio=ec. *socio=rien Seuls cinq pays*socio=ac *socio=nil (le Danemark*socio=ac, la France*socio=ac, la Norvège*socio=ac, les Pays-bas*socio=ac et la Suède*socio=ac) ont fourni une aide*socio=uv représentant*socio=rien plus de 0,7% de leur PNB*socio=ec, ce qui est*socio=rien l'objectif*socio=rien fixé par l' Organisation_des_nations_unies*socio=ac pour les Deuxième*socio=rien et *socio=rien Troisième Décennies du développement*socio=uv.*socio=nil *socio=nil Plusieurs autres *socio=rien membres du CAD*socio=ac *socio=nil ont accru sensiblement leur contribution*socio=uv au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée. D'après*socio=rien des données provisoires*socio=rien pour 1985, le montant*socio=ec des décaissements*socio=ec nets*socio=rien au titre*socio=rien de l'APD*socio=et fournie par les pays_membre*socio=ac de l'OPEP*socio=ac aux pays_en_développement*socio=ac s'est*socio=rien élevé*socio=rien à 3 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, ce qui traduit une diminution*socio=rien - due à la baisse*socio=rien des revenus*socio=ec provenant du*socio=rien pétrole*socio=ec - de 1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien à l'année*socio=rien précédente*socio=rien . Toutefois, les décaissements*socio=ec nets*socio=rien effectués par ces pays*socio=ac au titre*socio=rien de l'APD*socio=et ont représenté 0,6% de leur PNB*socio=ec, pour la plus *socio=rien grande partie *socio=nil sous la forme*socio=rien d'aide*socio=uv "non liée". L'Arabie_saoudite*socio=ac et le Koweït*socio=ac, en particulier*socio=uv, ont continué de consacrer une *socio=rien part substantielle *socio=nil de leur PNB*socio=ec - 2,3% et 2,7%, respectivement - à l'APD*socio=et. Chapitre*socio=rien 3: Politiques*socio=et, activités*socio=rien et finances*socio=ec de la Banque*socio=ac. Politiques*socio=et de la Banque*socio=ac. Prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec. Au cours*socio=rien de ces quatre *socio=rien derniers exercices,*socio=nil les*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec ont reçu de plus en plus d'importance*socio=rien dans le cadre*socio=rien de la politique*socio=et de prêt*socio=ec de la Banque*socio=ac. C'est*socio=rien au début*socio=rien de la décennie*socio=rien qu'elle les a inaugurés pour lutter contre les *socio=rien graves difficultés économiques*socio=ec *socio=nil qui ont ralenti, et bien*socio=rien souvent renversé, le processus*socio=rien de croissance*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac; ces prêts*socio=ec se sont élevés*socio=rien à 14% *socio=rien du total des*socio=nil engagements*socio=ec *socio=nil de la BIRD*socio=ac et de l'IDA*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien 86, alors qu'ils n'en représentaient que 1,1% il y a seulement *socio=rien cinq ans.*socio=nil *socio=nil Tout comme les opérations*socio=rien plus générales*socio=rien d'ajustement_structurel*socio=et, les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec étaient destinés à appuyer, dans *socio=rien un cadre macroéconomique*socio=ec acceptable*socio=uv,*socio=nil des*socio=nil programmes*socio=et sectoriels de*socio=nil réforme*socio=et *socio=nil de la politique*socio=et et des institutions*socio=ac, et notamment à restructurer la capacité*socio=rien de production*socio=ec, et à améliorer la mobilisation*socio=uv et l'affectation*socio=rien des ressources*socio=ec. Les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec ont pour but*socio=rien d'encourager l'adoption*socio=et et la *socio=rien bonne exécution de*socio=nil politiques*socio=et sectorielles propres *socio=nil à encourager une croissance*socio=uv rapide*socio=rien et soutenue. Selon les objectifs*socio=rien de l'opération*socio=rien et la *socio=uv situation particulière du*socio=rien pays*socio=ac,*socio=nil ce*socio=nil genre*socio=rien de*socio=nil prêt*socio=ec est*socio=rien *socio=nil accordé pour toute une gamme*socio=rien de mesures*socio=rien , allant de *socio=rien modifications fondamentales *socio=nil de la politique*socio=et macroéconomique*socio=ec à la création*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien cadre propice aux*socio=nil investissements*socio=ec sectoriels.*socio=nil Le*socio=nil décaissement*socio=ec *socio=nil de ces prêts*socio=ec s'étale généralement sur*socio=rien une période*socio=te de deux à six ans*socio=rien , et s'opère normalement par tranches, le décaissement*socio=ec de la deuxième*socio=rien tranche étant fonction*socio=rien de l'état*socio=rien d'avancement du*socio=rien programme*socio=et d'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec. (On trouvera aux Tableaux*socio=rien 3-1 et 3-2 des *socio=rien détails sur les*socio=nil tendances des*socio=nil prêts*socio=ec et*socio=nil opérations d'*socio=nil ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec,*socio=nil par*socio=nil région*socio=te,*socio=nil *socio=nil pour les exercices*socio=rien 79 à 86). Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 86, les Administrateurs*socio=ac, poursuivant l'examen*socio=rien des prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et de la Banque*socio=ac, ont évalué cet instrument*socio=rien particulier*socio=uv lorsqu'ils ont analysé une étude*socio=ac de la direction*socio=rien intitulée "Prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec: Rapport*socio=rien d'activité*socio=rien ". L'étude*socio=ac a noté que, comme la *socio=rien grande majorité des*socio=nil opérations de*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec n'avait été*socio=rien approuvée que depuis le début*socio=rien de l'exercice*socio=rien 83, il était encore trop tôt pour juger dans quelle mesure*socio=rien elles étaient parvenues à satisfaire les objectifs*socio=rien fixés (par exemple*socio=rien , une augmentation*socio=uv de la *socio=ec production agricole *socio=nil et des exportations*socio=ec non traditionnelles*socio=rien ); tant d'autres forces*socio=uv étaient en jeu*socio=rien qu'il était pratiquement impossible*socio=rien d'isoler, et donc de mesurer quantitativement, l'efficacité*socio=uv des opérations*socio=rien appuyées par la Banque*socio=ac. Le rapport*socio=rien a conclu néanmoins que les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et arrêtés d'un*socio=rien *socio=uv commun accord avaient*socio=nil été*socio=rien *socio=nil , pour la plupart*socio=rien , bien*socio=rien exécutés, et que les pays*socio=ac où *socio=rien un premier prêt*socio=ec *socio=nil à l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec avait été*socio=rien suivi d'autres opérations*socio=rien dans le même secteur*socio=ec ou dans, des secteurs*socio=ec connexes*socio=rien - le Ghana*socio=ac, la Jamaïque*socio=ac, le Maroc*socio=ac, l'Ouganda*socio=ac, le Soudan*socio=ac et la Zambie*socio=ac - avaient particulièrement bien*socio=rien réussi à atteindre les objectifs*socio=rien d'ajustement*socio=et convenus. Les *socio=rien auteurs du rapport *socio=nil ont également noté les répercussions*socio=rien des opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec sur*socio=rien les pauvres*socio=ac et fait*socio=rien remarquer qu'elles n'étaient pas non plus faciles*socio=rien à identifier: ces opérations*socio=rien avaient pu entraîner des sacrifices*socio=uv à court_terme*socio=ec pour certains groupes*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec, essentiellement dans les villes*socio=te, mais les politiques*socio=et mêmes qui rendaient *socio=rien nécessaire un ajustement*socio=et *socio=nil comportaient des coûts*socio=ec qui dureraient aussi longtemps qu'elles seraient appliquées - *socio=rien taux élevé d'*socio=nil inflation*socio=ec,*socio=nil faiblesse des*socio=nil prix*socio=ec *socio=nil à la *socio=ec production agricole,*socio=nil lenteur*socio=rien *socio=nil de la croissance*socio=uv industrielle*socio=ec (et donc offres*socio=rien d'emploi*socio=ec moins nombreuses*socio=rien ), et insuffisance*socio=rien des services_sociaux*socio=et *socio=rien du fait des*socio=nil crédits*socio=ec *socio=nil consacrés aux subventions*socio=ec en faveur*socio=rien des groupes*socio=ac à revenu*socio=ec élevé*socio=rien . Plusieurs Administrateurs*socio=ac ont indiqué qu'ils approuvaient particulièrement l'importance*socio=rien qu'attachait ce rapport*socio=rien à aider les gouvernements*socio=ac membres*socio=rien à trouver les moyens*socio=ec de réduire les coûts*socio=ec de l'ajustement*socio=et et, le cas*socio=rien échéant, à modifier la conception*socio=rien des réformes*socio=et et des mesures*socio=rien institutionnelles*socio=ac envisagées. En résumé, le rapport*socio=rien a conclu que les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec étaient *socio=rien un instrument flexible*socio=uv *socio=nil pour appuyer les politiques*socio=et d'ajustement*socio=et des pays_en_développement*socio=ac, dont l'importance*socio=rien ne diminuerait pas dans un*socio=rien avenir*socio=te prévisible*socio=rien . Pour améliorer l'efficacité*socio=uv de cet instrument*socio=rien , on pourrait notamment: - renforcer le travail*socio=rien d'analyse*socio=rien économique*socio=ec et sectorielle*socio=rien par pays*socio=ac réalisé par la Banque*socio=ac afin qu'il débouche sur*socio=rien des propositions*socio=rien d'ajustement*socio=et concrètes*socio=rien ; Note sur*socio=rien l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec. La formulation*socio=rien des prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec repose essentiellement sur*socio=rien les études*socio=rien économique*socio=ec et sectorielles*socio=rien par pays*socio=ac. Ces études*socio=rien peuvent permettre de déterminer si l'environnement*socio=ec macroéconomique*socio=ec *socio=rien est propre *socio=nil à favoriser l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec et si un*socio=rien gouvernement*socio=ac peut soutenir un*socio=rien programme*socio=et d'ajustement*socio=et à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil En analysant la politique*socio=et sectorielle*socio=rien et les moyens*socio=ec institutionnels*socio=ac, ces études*socio=rien servent de base*socio=rien à la formulation*socio=rien de programmes*socio=et de restructuration*socio=uv sectorielle*socio=rien ; elles sont *socio=rien un élément important du dialogue*socio=uv *socio=nil de la Banque*socio=ac avec les responsables*socio=uv gouvernementaux*socio=ac, notamment pour les convaincre du*socio=rien bien-fondé*socio=uv et de la nécessité*socio=uv des réformes*socio=et; elles permettent de suivre les progrès*socio=uv de la mise en oeuvre*socio=rien des prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec et d'identifier les autres problèmes*socio=uv dont l'examen*socio=rien s'impose; enfin, ces études*socio=rien sont elles-mêmes améliorées grâce*socio=rien à l'expérience*socio=uv acquise*socio=rien dans la conception*socio=rien et l'exécution*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et. Fin*socio=rien de note. - s'assurer que le programme*socio=et d'ajustement*socio=et est*socio=rien vu dans son ensemble*socio=rien afin que chaque opération*socio=rien s'inscrive dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et de réforme*socio=et complet*socio=rien et approfondi; - attacher de plus en plus d'importance*socio=rien à l'adoption*socio=et de mesures*socio=rien détaillées et spécifiques*socio=rien pour stimuler une réaction*socio=rien de l'offre*socio=rien (producteurs*socio=ac individuels*socio=ac et entreprises*socio=ac) aux réformes*socio=et de politique_économique*socio=et et sectorielle*socio=rien . Les instruments*socio=rien de prêt*socio=ec à l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec et structurel*socio=ec ont été*socio=rien conçus dans *socio=rien un but bien précis:*socio=nil *socio=nil aider les pays*socio=ac à mener à bien*socio=rien le processus*socio=rien de réforme*socio=et et de restructuration*socio=uv économique*socio=ec rendu nécessaire*socio=rien par les *socio=rien graves difficultés *socio=nil de la fin*socio=rien des années*socio=rien 70 et *socio=rien du début des*socio=nil années *socio=nil 80. Comme l'indiquait le *socio=rien Rapport annuel *socio=nil de l'an*socio=rien dernier*socio=rien , il est*socio=rien maintenant reconnu que la Banque*socio=ac devra à l'avenir*socio=te préserver et renforcer les compétences*socio=uv qui font traditionnellement sa force*socio=uv, notamment dans le domaine*socio=rien de la conception*socio=rien des projets*socio=rien . Par conséquent*socio=rien , même si les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec représentent encore probablement de 10 à 15% *socio=rien du total des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac au cours*socio=rien des trois *socio=rien prochains exercices,*socio=nil leur*socio=nil rôle *socio=nil devrait à la longue*socio=rien diminuer à mesure*socio=rien que le processus*socio=rien de réforme*socio=et améliore la situation*socio=uv économique*socio=ec intérieure*socio=rien des pays*socio=ac. Cependant, la reprise ne sera sans doute*socio=rien pas aussi rapide*socio=rien dans les pays*socio=ac qui ont été*socio=rien touchés par la récession*socio=ec mondiale*socio=te récente*socio=rien - ceux d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac et ceux d'amérique_latine*socio=ac lourdement endettés. Mais à mesure*socio=rien que la reprise gagne *socio=rien du terrain,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil prévoit la préparation*socio=rien de prêts*socio=ec plus nombreux*socio=rien dans des secteurs*socio=ec tels que celui des entreprises_publiques*socio=et et de l'énergie*socio=ec, ainsi que des prêts*socio=ec à l'appui*socio=rien de réformes*socio=et financières*socio=ec; elle pense également accorder une plus *socio=rien grande importance aux*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil appuyant une restructuration*socio=uv profonde*socio=rien des systèmes*socio=rien d'incitation*socio=rien et des programmes*socio=et d'investissement*socio=ec ainsi que des politiques*socio=et et des institutions*socio=ac sectoriels*socio=rien ; et elle prévoit enfin que les décaissements*socio=ec seront échelonnés sur*socio=rien des périodes*socio=te plus longues*socio=rien , à mesure*socio=rien que les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec seront de plus en plus destinés à financer des opérations*socio=rien d'investissement*socio=ec. La sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec dans le monde_en_développement*socio=te. La sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec - c'est-à-dire la possibilité*socio=rien pour tous de disposer en permanence*socio=rien d'une *socio=rien nourriture suffisante *socio=nil pour rester en bonne*socio=rien santé*socio=et et mener une vie_active*socio=ec - *socio=rien est un problème*socio=uv majeur *socio=nil pour les dirigeants*socio=ac de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac. Note sur*socio=rien l'insécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec. Il existe deux types d'insécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec: l'insécurité*socio=uv chronique*socio=rien et l'insécurité*socio=uv temporaire*socio=rien . L'insécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec *socio=rien chronique est la*socio=nil situation*socio=uv *socio=nil de ceux qui, faute de pouvoir*socio=et se procurer de la nourriture*socio=rien , ont en permanence*socio=rien une alimentation*socio=ec insuffisante*socio=rien . Elle est*socio=rien le lot*socio=rien des ménages*socio=rien qui ne peuvent jamais soit acheter, soit produire de quoi se nourrir. Quant à l'insécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec temporaire*socio=rien , c'est*socio=rien le fait*socio=rien , pour *socio=rien un ménage,*socio=nil d'*socio=nil être *socio=nil momentanément dans l'impossibilité*socio=rien de se procurer une alimentation*socio=ec suffisante*socio=rien . Les causes*socio=rien en sont l'instabilité*socio=uv des prix*socio=ec ou de la *socio=ec production alimentaire,*socio=nil *socio=nil ou celle du*socio=rien revenu*socio=ec des ménages*socio=rien - et sa *socio=rien pire forme est *socio=nil la famine. Fin*socio=rien de note. Cet état*socio=rien de choses*socio=rien n'a rien*socio=rien de surprenant*socio=rien étant donné que la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec n'existe pas pour le tiers*socio=rien de la population*socio=ac des pays_en_développement*socio=ac, à l'exclusion*socio=uv de la République_populaire_de_chine*socio=ac. Et, sur*socio=rien ces 730 millions*socio=rien d'êtres_humains*socio=ac, près de la moitié*socio=rien - 340 millions*socio=rien - est*socio=rien fortement sous-alimentée. *socio=rien Un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont adopté des stratégies*socio=et pour assurer la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec de leurs habitants*socio=ac. Bien*socio=rien souvent, cependant, ces stratégies*socio=et ne sont pas d'un*socio=rien *socio=rien bon rapport coût-efficacité*socio=uv,*socio=nil ou*socio=nil bien *socio=nil elles n'atteignent pas les groupes*socio=ac qu'elles étaient censées servir. Certains pays*socio=ac n'ont même aucune stratégie*socio=et, alors que le besoin*socio=uv le plus fondamental*socio=rien de l'homme*socio=ac est*socio=rien de disposer d'une *socio=rien nourriture suffisante.*socio=nil Soucieuse *socio=nil de contribuer à l'efficacité*socio=uv des programmes*socio=et de sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec dans un*socio=rien monde*socio=te où les ressources*socio=ec sont limitées, la banque_mondiale*socio=ac a publié une étude*socio=ac de politique*socio=et générale*socio=rien intitulée La pauvreté*socio=uv et la faim*socio=rien - La sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec dans les pays_en_développement*socio=ac: Problèmes*socio=uv et options*socio=rien , qui a suscité au conseil_des_administrateurs*socio=ac des débats*socio=et approfondis. Il ressort principalement de cette étude*socio=ac que parmi les forces*socio=uv qui, dans le monde*socio=te d'aujourd'hui, conspirent à sous-alimenter près d'une *socio=rien personne sur cinq,*socio=nil *socio=nil ce n'est*socio=rien pas le spectre*socio=rien d'une pénurie*socio=ec d'aliments*socio=ec - en fait*socio=rien le monde*socio=te, et même la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, en ont en abondance - mais bien*socio=rien la pauvreté*socio=uv qui prime sur*socio=rien toutes les autres causes*socio=rien . Étant donné que c'est*socio=rien là la *socio=rien principale cause *socio=nil de la malnutrition*socio=ec, on ne peut assurer la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec qu'en relevant le *socio=ec revenu réel des*socio=nil ménages*socio=rien *socio=nil pour leur permettre d'acheter suffisamment d'aliments*socio=ec ou qu'en offrant aux agriculteurs*socio=ac les moyens*socio=ec d'en produire assez pour subvenir à leurs propres*socio=rien besoins*socio=uv. La croissance_économique*socio=ec est*socio=rien le *socio=rien meilleur moyen *socio=nil d'augmenter les revenus*socio=ec. Malheureusement, on se heurte à deux écueils*socio=rien : la croissance*socio=uv *socio=rien est longue *socio=nil à venir et, même lorsqu'il y a croissance_économique*socio=ec, la répartition*socio=uv actuelle*socio=rien des biens*socio=ec et des *socio=rien chances est *socio=nil telle qu'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pauvres*socio=ac *socio=nil ne pourront augmenter leur pouvoir_d'_achat*socio=ec que lentement, et certains demeureront inéluctablement victimes*socio=ac de la pauvreté*socio=uv. Comment surmonter ce *socio=rien dernier écueil *socio=nil à l'échelle*socio=rien nationale*socio=te? Et comment la communauté*socio=ac internationale*socio=te peut-elle aider les pays*socio=ac à planifier et à appliquer des stratégies*socio=et de sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec? Tels sont les deux *socio=rien thèmes centraux *socio=nil de l'étude*socio=ac de la Banque*socio=ac. D'après*socio=rien ce document*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien , les programmes*socio=et nationaux*socio=te d'intervention*socio=et disposent de trois moyens*socio=ec différents*socio=rien pour s'attaquer au problème*socio=uv de l'insécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec chronique*socio=rien : augmenter les *socio=rien disponibilités alimentaires,*socio=nil *socio=nil subventionner les denrées*socio=rien de grande*socio=rien consommation*socio=ec et opérer des transferts*socio=ec de revenu*socio=ec en espèces*socio=rien et en nature*socio=rien . La *socio=rien troisième option *socio=nil - les paiements*socio=ec de transfert*socio=ec en espèces*socio=rien ou en nature*socio=rien - sont généralement la *socio=rien meilleure façon *socio=nil d'augmenter le *socio=ec revenu réel des*socio=nil pauvres*socio=ac *socio=nil et de leur permettre de consommer une plus *socio=rien grande quantité d'*socio=nil aliments*socio=ec.*socio=nil *socio=nil On peut trouver le moyen*socio=rien de viser à la fois*socio=rien les ménages*socio=rien urbains*socio=te et ruraux*socio=te, mais il faut veiller à éviter les "fuites" en faveur*socio=rien de ceux qui n'y ont pas droit*socio=uv. On peut éviter ces fuites mais, malheureusement, cela suppose une augmentation*socio=uv, forte*socio=rien parfois, des coûts*socio=ec administratifs*socio=et et des besoins*socio=uv en personnel*socio=rien qualifié, nécessaire*socio=rien pour gérer ces programmes*socio=et. Pour choisir entre ces trois formes*socio=rien d'intervention*socio=et, il convient de peser soigneusement les coûts*socio=ec qu'elles entraînent pour le budget*socio=ec et pour l'économie*socio=ec, leurs possibilités*socio=rien d'application*socio=rien sur*socio=rien le *socio=rien plan administratif et*socio=nil politique*socio=et,*socio=nil *socio=nil et les avantages*socio=rien qu'on espère en retirer. Étant donné que la plupart*socio=rien des pays*socio=ac ont divers groupes*socio=ac cibles, il *socio=rien est probable *socio=nil qu'ils devront associer divers types d'intervention*socio=et pour améliorer la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec. L'efficacité*socio=uv *socio=rien du train de*socio=nil mesures *socio=nil adopté dépendra donc des caractéristiques*socio=rien des groupes*socio=ac touchés par l'insécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec dans un*socio=rien pays*socio=ac donné. Jusqu'à présent*socio=rien , l'aide*socio=uv apportée par la communauté*socio=ac internationale*socio=te pour assurer la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec n'a guère donné de résultats*socio=rien . En raison*socio=uv de l'idée*socio=rien fausse*socio=rien , largement répandue, selon laquelle les pénuries*socio=ec alimentaires*socio=rien sont à la *socio=rien base du problème*socio=uv,*socio=nil les*socio=nil organismes*socio=ac d'*socio=nil aide*socio=uv *socio=nil se sont généralement limités à essayer d'augmenter la *socio=ec production alimentaire.*socio=nil L'*socio=nil étude*socio=ac *socio=nil de la Banque*socio=ac demande*socio=rien à la communauté*socio=ac internationale*socio=te de tenir compte*socio=rien des quatre *socio=rien grandes conclusions *socio=nil ci-après lorsqu'elle mettra au point*socio=rien des stratégies*socio=et pour assurer la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec: a) l'absence*socio=rien de sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec résulte d'un*socio=rien manque*socio=rien de pouvoir_d'_achat*socio=ec des peuples*socio=ac et des nations*socio=te; b) l'autosuffisance*socio=uv alimentaire*socio=ec ou l'augmentation*socio=uv rapide*socio=rien de la production*socio=ec vivrière ne constituent des conditions*socio=uv ni nécessaires*socio=rien ni suffisantes*socio=rien de la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec; c) à long_terme*socio=ec, la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec dépend de la croissance_économique*socio=ec et *socio=rien du recul *socio=nil de la pauvreté*socio=uv mais, à court_terme*socio=ec, elle passe par une redistribution*socio=et du*socio=rien pouvoir_d'_achat*socio=ec et des ressources*socio=ec; d) on peut remédier à l'insécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec temporaire*socio=rien par des mesures*socio=rien qui facilitent les *socio=ec échanges commerciaux *socio=nil et améliorent le revenu*socio=ec des groupes*socio=ac cibles. Les donateurs*socio=ac internationaux*socio=te, conclut cette étude*socio=ac, peuvent de trois façons*socio=rien aider les pays*socio=ac à appliquer ces conclusions*socio=rien à leur stratégie*socio=et de sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec: en leur offrant des conseils*socio=ac, en leur apportant un*socio=rien concours financier*socio=ec et en améliorant l'environnement*socio=ec commercial*socio=ec international*socio=te. Les conclusions*socio=rien de l'étude*socio=ac ont plusieurs conséquences*socio=rien pour les opérations*socio=rien et les programmes*socio=et de recherche*socio=ec de la banque_mondiale*socio=ac. C'est*socio=rien ainsi que la Banque*socio=ac s'efforcera principalement de: - renforcer ses études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien par pays*socio=ac pour aider ses pays_membres*socio=ac à mettre au point*socio=rien , en matière*socio=rien de sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec, des politiques*socio=et à la fois*socio=rien efficaces*socio=uv et économiques*socio=ec; - veiller à ce que les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et économique*socio=ec axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv à long_terme*socio=ec soient complétés par des politiques*socio=et et des stratégies*socio=et qui visent à remédier aux conséquences*socio=rien préjudiciables*socio=et que ces programmes*socio=et entraînent à court_terme*socio=ec pour la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec des pauvres*socio=ac; - continuer, dans son programme*socio=et de prêt*socio=ec, à accorder une priorité*socio=uv élevée*socio=rien aux projets*socio=rien qui relèvent le niveau*socio=rien de revenu*socio=ec des pauvres*socio=ac. La Banque*socio=ac s'efforcera, le cas*socio=rien échéant, de financer des investissements*socio=ec visant à accroître l'offre*socio=rien de denrées*socio=rien de base*socio=rien et à en réduire le prix*socio=ec; - faire davantage appel*socio=rien aux groupes*socio=ac consultatifs*socio=rien et aux consortiums*socio=ac dans le cadre*socio=rien desquels il *socio=rien est possible *socio=nil d'améliorer la coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv alimentaire*socio=ec; continuer à appuyer vigoureusement la *socio=ec recherche agricole internationale*socio=te,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=uv *socio=nil par l'intermédiaire*socio=rien du*socio=rien groupe_consultatif_pour_la_recherche_agricole*socio=ec internationale*socio=te (GCRAI), et à renforcer les organismes*socio=ac nationaux*socio=te de recherche*socio=ec, notamment ceux de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac. L'intermédiation*socio=uv financière*socio=ec. S'il *socio=rien est bien développé et*socio=nil efficace*socio=uv,*socio=nil le*socio=nil système financier*socio=ec d'*socio=nil un pays*socio=ac *socio=nil peut contribuer dans une *socio=rien large mesure *socio=nil à la croissance_économique*socio=ec. Il peut faciliter l'accumulation*socio=ec du*socio=rien capital*socio=ec; en servant d'intermédiaire*socio=ec entre emprunteurs*socio=ac et bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec, il peut transformer le montant*socio=ec, l'échéance*socio=te et les caractéristiques*socio=rien de risque*socio=uv des actifs*socio=ec, encourageant ainsi les épargnants*socio=ac ayant une perspective*socio=rien à court_terme*socio=ec à acquérir des actifs*socio=ec à long_terme*socio=ec; en outre, il peut opérer l'affectation*socio=rien de ressources*socio=ec en allouant des fonds*socio=ec aux projets*socio=rien à rendement*socio=ec élevé*socio=rien . Par conséquent*socio=rien , le *socio=ec secteur financier *socio=nil contribue à la croissance*socio=uv à la fois*socio=rien en relevant le taux*socio=rien d'épargne*socio=ec et en réduisant le coefficient*socio=rien de capital*socio=ec. Depuis l'exercice*socio=rien 74, la banque_mondiale*socio=ac a prêté plus de 21 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec à des intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec, dont un*socio=rien peu plus de la moitié*socio=rien sous forme*socio=rien de crédits*socio=ec industriels*socio=ac destinés aux petites*socio=rien et moyennes*socio=rien entreprises*socio=ac, surtout dans le secteur_privé*socio=ec. Ces prêts*socio=ec ont deux buts*socio=rien : le premier*socio=rien , qui *socio=rien est évident,*socio=nil est *socio=nil d'accorder des fonds*socio=ec pour financer des investissements*socio=ec dans les *socio=ec secteurs productifs;*socio=nil le*socio=nil second*socio=rien *socio=nil , moins évident*socio=rien , est*socio=rien d'accroître l'efficacité*socio=uv avec laquelle le système*socio=rien financier*socio=ec d'un*socio=rien pays*socio=ac mobilise des ressources*socio=ec et affecte des fonds*socio=ec aux investissements*socio=ec et aux activités*socio=rien à forte*socio=rien rentabilité*socio=ec. Jusqu'au milieu*socio=rien des années*socio=rien 70, les investissements*socio=ec effectués dans le *socio=ec secteur financier ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil presque exclusivement destinés à des institutions_financières_spécialisées*socio=ac dans le développement*socio=uv (IFD*socio=ac). En aidant ces institutions*socio=ac, la Banque*socio=ac a cherché à mettre en place*socio=rien des institutions*socio=ac qui soient capables*socio=rien : a) d'évaluer, de choisir et de superviser des investissements*socio=ec trop petits*socio=rien pour être*socio=rien financés directement par elle, b) de devenir*socio=rien , à terme*socio=rien , des *socio=rien promoteurs du développement*socio=uv industriel*socio=ec,*socio=nil *socio=nil à même d'identifier les possibilités*socio=rien d'investissement*socio=ec, de trouver des idées*socio=rien de projets*socio=rien et de choisir des investisseurs*socio=ac potentiels*socio=rien . Dans la pratique*socio=rien , toutefois, il s'est*socio=rien avéré difficile*socio=rien de créer des *socio=ec intermédiaires financiers *socio=nil pouvant financer des projets*socio=rien aléatoires au moyen*socio=rien d'instruments*socio=rien de prêt*socio=ec, prêter en faveur*socio=rien de projets*socio=rien d'une *socio=ec rentabilité économique élevée*socio=rien *socio=nil , mais d'une *socio=ec rentabilité financière souvent*socio=nil marginale*socio=rien *socio=nil , et financer des entreprises_publiques*socio=et et d'autres projets*socio=rien patronnés par l'État*socio=ac, tout en conservant leur viabilité*socio=uv financière*socio=ec et leur aptitude*socio=rien à mobiliser des fonds*socio=ec à des conditions*socio=uv commerciales*socio=ec. La Banque*socio=ac a donc *socio=rien été conduite *socio=nil à intensifier son analyse*socio=rien de l'environnement*socio=ec économique*socio=ec et à parrainer*socio=rien des études*socio=rien détaillées par pays*socio=ac des systèmes*socio=rien d'aide*socio=uv à l'investissement*socio=ec, de la protection*socio=et effective*socio=rien , des tarifs*socio=ec douaniers*socio=ac ainsi que de la structure*socio=ec et de la politique*socio=et financières*socio=ec. Les *socio=rien recommandations concrètes *socio=nil tirées de ces études*socio=rien ont été*socio=rien de plus en plus prises*socio=rien en compte*socio=rien dans le cadre*socio=rien d'opérations*socio=rien de prêt*socio=ec à l'appui*socio=rien de réformes*socio=et. C'est*socio=rien ainsi que, pendant les années*socio=rien 80, la Banque*socio=ac a commencé à utiliser divers instruments*socio=rien de prêt*socio=ec pour financer l'industrie*socio=ec. La Banque*socio=ac a tiré de son expérience*socio=uv récente*socio=rien plusieurs enseignements*socio=et importants*socio=rien qui lui ont permis*socio=rien de donner une nouvelle*socio=rien orientation*socio=et à l' aide_financière*socio=et qu'elle consent aux IFD*socio=ac. 1: Les événements*socio=rien ont démontré clairement que le rôle*socio=rien et la performance*socio=uv *socio=rien du système financier*socio=ec d'*socio=nil un pays*socio=ac *socio=nil sont étroitement liés à la fois*socio=rien à sa situation*socio=uv macroéconomique*socio=ec et à la santé*socio=et financière*socio=ec de ses entreprises*socio=ac. Des politiques*socio=et inappropriées, adoptées sous l'effet*socio=rien de chocs*socio=rien extérieurs*socio=te, se sont traduites pour de nombreux*socio=rien pays*socio=ac par une charge*socio=uv de la dette*socio=ec écrasante*socio=rien , et finalement par la récession*socio=ec. Au niveau*socio=rien des entreprises*socio=ac, ces politiques*socio=et nationales*socio=te inappropriées ont eu des *socio=rien conséquences désastreuses,*socio=nil *socio=nil engendrant une crise*socio=uv de liquidité*socio=ec et, dans certains pays*socio=ac, l'insolvabilité de nombreuses*socio=rien sociétés*socio=ac. 2: *socio=rien Un grand nombre de*socio=nil problèmes*socio=uv *socio=nil éprouvés récemment par le *socio=ec secteur financier *socio=nil sont dus au fait*socio=rien que les pays*socio=ac ont négligé la mobilisation*socio=uv des ressources*socio=ec intérieures*socio=rien et *socio=rien fait appel *socio=nil dans une trop *socio=rien large mesure *socio=nil à l'emprunt*socio=ec extérieur*socio=ec, emprunt*socio=ec qui risque*socio=uv d'être*socio=rien plus difficile*socio=rien à obtenir*socio=rien et plus onéreux*socio=ec, du*socio=rien moins à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil 3: L'intervention*socio=et excessive*socio=rien des gouvernements*socio=ac, enjoignant aux banques*socio=ac commerciales*socio=ec et aux IFD*socio=ac d'accorder des prêts*socio=ec aux secteurs*socio=ec prioritaires*socio=uv, a souvent entraîné une mauvaise*socio=rien répartition*socio=uv des ressources*socio=ec. 4: La mise en place*socio=rien d'une base*socio=rien institutionnelle*socio=ac solide*socio=rien et robuste*socio=rien ne consiste pas seulement à créer et à soutenir des IFD*socio=ac particulières*socio=uv: il faut résoudre une multitude*socio=rien de questions*socio=rien d'ordre*socio=rien institutionnel*socio=rien . Ces questions*socio=rien , et les *socio=rien grandes lignes *socio=nil de la stratégie*socio=et future*socio=rien de la Banque*socio=ac dans le *socio=ec secteur financier,*socio=nil ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil examinées en détail*socio=rien dans *socio=rien un rapport *socio=nil intitulé "Document*socio=rien de politique*socio=et *socio=rien générale sur l'*socio=nil intermédiation*socio=uv financière*socio=ec"*socio=nil *socio=nil , qui a servi de base*socio=rien aux débats*socio=et du*socio=rien conseil_des_administrateurs*socio=ac au début*socio=rien de l'exercice*socio=rien . La politique*socio=et envisagée ne s'écarte pas sensiblement de la *socio=rien pratique actuelle *socio=nil de la Banque*socio=ac; elle cherche plutôt à accorder une plus *socio=rien grande importance relative au*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil et aux *socio=rien résultats du système financier*socio=ec *socio=nil dans son ensemble*socio=rien . Dans cette *socio=rien nouvelle optique,*socio=nil en*socio=nil vertu *socio=nil de l'appui*socio=rien qu'elle se propose d'apporter au *socio=ec secteur financier,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil aidera à la mise au point*socio=rien de stratégies*socio=et, de politiques*socio=et et d'institutions*socio=ac propres*socio=rien à: - accroître la mobilisation*socio=uv des ressources*socio=ec intérieures*socio=rien en offrant toute une gamme*socio=rien d'instruments*socio=rien de dépôts*socio=rien et autres, dont le rendement*socio=ec soit compétitif*socio=uv; - encourager le développement*socio=uv de *socio=ec structures financières plus*socio=nil solides*socio=rien et*socio=nil durables*socio=uv,*socio=nil *socio=nil tant au niveau*socio=rien des entreprises*socio=ac qu'au *socio=rien niveau du système financier*socio=ec,*socio=nil grâce *socio=nil à l'adoption*socio=et de mesures*socio=rien visant, par exemple*socio=rien , à accroître les disponibilités*socio=rien de capitaux*socio=ec à long_terme*socio=ec et à améliorer l'équilibre*socio=uv entre l'endettement*socio=ec et les fonds*socio=ec propres*socio=rien ; - améliorer l'affectation*socio=rien des ressources*socio=ec en réduisant la fragmentation de l'intermédiation*socio=uv financière*socio=ec, en renforçant la concurrence*socio=ec et en resserrant la discipline*socio=uv du*socio=rien marché*socio=ec; - améliorer le système*socio=rien de *socio=rien vérification comptable *socio=nil et l'infrastructure*socio=ec institutionnelle*socio=ac de l'information*socio=rien financière*socio=ec afin de rendre les *socio=ec transactions financières plus*socio=nil transparentes*socio=uv *socio=nil et d'accroître la confiance*socio=uv dans le système*socio=rien ; - renforcer le cadre*socio=rien juridique*socio=et et les moyens*socio=ec de contrôle*socio=uv et de *socio=rien supervision du système financier*socio=ec *socio=nil afin d'encourager la prudence*socio=uv et la discipline*socio=uv financière*socio=ec et de promouvoir des rapports*socio=rien de pleine*socio=rien concurrence*socio=ec entre institutions_financières*socio=ec, emprunteurs*socio=ac et épargnants*socio=ac. Le rapport*socio=rien a noté cependant qu'en formulant une stratégie*socio=et d'aide*socio=uv par pays*socio=ac pour promouvoir le développement*socio=uv financier*socio=ec, tout en tenant compte*socio=rien de la complexité*socio=rien et des résonances politiques*socio=et des réformes*socio=et dans ce secteur*socio=ec, on devra *socio=rien être sélectif *socio=nil quant aux questions*socio=rien qu'il faudra résoudre dans un*socio=rien pays*socio=ac donné, à *socio=rien un moment *socio=nil donné, car ces questions*socio=rien dépendent de la taille, du*socio=rien stade*socio=te de développement*socio=uv et du*socio=rien système_économique*socio=ec de ce pays*socio=ac. De même, les solutions*socio=rien adoptées devront *socio=rien être fonction *socio=nil de la situation*socio=uv de chaque pays*socio=ac. D'après*socio=rien le rapport*socio=rien , quatre types d'instruments*socio=rien de prêt*socio=ec sont nécessaires*socio=rien pour permettre à la Banque*socio=ac d'atteindre ses objectifs*socio=rien dans les différents*socio=rien pays*socio=ac: des prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et du*socio=rien *socio=ec secteur financier;*socio=nil des*socio=nil prêts *socio=nil multi-institutionnels; une aide*socio=uv (conjointement avec la SFI*socio=ac) au développement*socio=uv des marchés*socio=ec des capitaux*socio=ec; et, comme dans le passé*socio=rien , des prêts*socio=ec accordés individuellement à des IFD*socio=ac, notamment dans les pays*socio=ac dotés de systèmes*socio=rien financiers*socio=ec moins développés*socio=rien , ou dans les cas*socio=rien où une IFD*socio=ac peut fournir efficacement des ressources*socio=ec à l'appui*socio=rien d'objectifs*socio=rien sous-sectoriels. Au cours*socio=rien de leurs débats*socio=et, les Administrateurs*socio=ac ont approuvé, pour la plupart*socio=rien , les orientations*socio=et générales*socio=rien exposées dans le rapport*socio=rien et les *socio=rien grandes lignes *socio=nil de la stratégie*socio=et recommandant une approche plus *socio=rien globale du *socio=ec secteur financier.*socio=nil Plusieurs*socio=nil Administrateurs*socio=ac *socio=nil ont notamment préconisé des mesures*socio=rien tendant a) à promouvoir les prises*socio=rien de participation*socio=uv au capital*socio=ec, nationales*socio=te ou étrangères*socio=ec, de préférence*socio=uv à l'endettement*socio=ec; b) à accorder une plus *socio=rien grande attention aux*socio=nil questions de*socio=nil réformes*socio=et institutionnelles*socio=ac *socio=nil et de restructuration*socio=uv des sociétés*socio=ac; et c) à encourager la décentralisation*socio=et des décisions*socio=rien et du*socio=rien pouvoir*socio=et économique*socio=ec. Le conseil_des_administrateurs*socio=ac a appuyé la *socio=rien décision prise *socio=nil par la Banque*socio=ac d'appliquer sa stratégie*socio=et avec circonspection*socio=rien , en tenant *socio=rien compte du climat_politique*socio=et et*socio=nil économique*socio=ec *socio=nil de chaque pays*socio=ac. Les *socio=rien membres du Conseil *socio=nil ont également noté - et la direction*socio=rien a abondé dans ce sens*socio=rien - qu'une coordination*socio=uv étroite*socio=rien s'imposait entre les services_de_la_banque*socio=ac et ceux du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac (FMI*socio=ac) dans ce domaine*socio=rien afin d'assurer la complémentarité*socio=rien de leurs *socio=rien recommandations techniques *socio=nil lorsque les questions*socio=rien traitées relèvent de la compétence*socio=uv des deux institutions*socio=ac. Il a été*socio=rien également convenu que la Banque*socio=ac continuerait d'aider individuellement les IFD*socio=ac, l'objectif*socio=rien principal*socio=rien étant d'améliorer leur santé*socio=et financière*socio=ec afin qu'elles puissent devenir*socio=rien des institutions*socio=ac viables*socio=uv, capables*socio=rien de mobiliser des ressources*socio=ec sur*socio=rien les marchés*socio=ec étrangers*socio=uv et nationaux*socio=te et de les affecter rationnellement. L'Agence*socio=rien multilatérale*socio=te de garantie des investissements*socio=ec (AMGI*socio=ac). Lors*socio=rien des Assemblées*socio=et annuelles*socio=rien de la Banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec à Séoul*socio=ac, en Corée*socio=ac, le conseil_des_gouverneurs*socio=ac de la Banque*socio=ac, sur*socio=rien la recommandation*socio=rien des Administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac, a décidé d'ouvrir le projet*socio=rien de Convention*socio=et portant création*socio=rien de l'Agence*socio=rien multilatérale*socio=te de garantie des investissements*socio=ec (AMGI*socio=ac) à la signature*socio=rien des gouvernements*socio=ac membres*socio=rien de la Banque*socio=ac et de la Suisse*socio=ac. La recommandation*socio=rien des Administrateurs*socio=ac est*socio=rien venue quatre *socio=rien ans après le*socio=nil discours *socio=nil prononcé par le Président*socio=rien de la Banque*socio=ac, M: A: W: Clausen, devant*socio=rien le conseil_des_gouverneurs*socio=ac à l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=rien de 1981, dans lequel il avait relancé l'idée*socio=rien de créer une telle agence*socio=rien . Cette Agence*socio=rien , dont l'objectif*socio=rien est*socio=rien d'encourager les flux*socio=ec d'investissements*socio=ec internationaux*socio=te vers les pays_en_développement*socio=ac, commencera à fonctionner dès que cinq*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec *socio=nil et quinze *socio=ac pays importateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec *socio=nil auront ratifié la Convention*socio=et, sous réserve*socio=uv que le total*socio=rien des souscriptions*socio=ec de ces pays*socio=ac représente au moins *socio=rien un tiers *socio=nil - 360 millions*socio=rien de dollars*socio=ec - de son capital*socio=ec initial*socio=rien autorisé proposé (1,082 millions*socio=rien de dollars*socio=ec). *socio=rien Un Comité préparatoire *socio=nil sera réuni par le Président*socio=rien de la Banque*socio=ac en septembre*socio=rien 1986 étant donné que ce même *socio=rien nombre minimum de*socio=nil pays*socio=ac devant *socio=nil souscrire au moins *socio=rien un tiers *socio=nil de son capital*socio=ec initial*socio=rien autorisé avait signé la Convention*socio=et au 30 juin*socio=rien 1986. Ce Comité*socio=rien préparera des projets*socio=rien de règlements*socio=et qui seront soumis à l'approbation*socio=uv des organes*socio=et directeurs*socio=rien de l'Agence*socio=rien . Au 30 juin*socio=rien 1986, 31 pays*socio=ac (5 *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec *socio=nil et 26 *socio=ac pays importateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec)*socio=nil *socio=nil avaient signé la Convention*socio=et - leurs souscriptions*socio=ec atteignant au total*socio=rien 457 millions*socio=rien de dollars*socio=ec - et deux pays*socio=ac avaient ratifié la Convention*socio=et. On estime*socio=rien que cette initiative*socio=rien vient particulièrement à point*socio=rien nommé pour deux *socio=rien grandes raisons:*socio=nil *socio=nil d'une part*socio=rien , les gouvernements*socio=ac des pays_en_développement*socio=ac se rendent de plus en plus compte*socio=rien des avantages*socio=rien que présentent pour eux les *socio=ec investissements directs par*socio=nil rapport*socio=rien aux*socio=nil emprunts commerciaux.*socio=nil *socio=nil D'autre part*socio=rien , le flux*socio=ec des investissements*socio=ec étrangers*socio=uv privés*socio=ec à destination*socio=rien de ces pays*socio=ac a diminué au cours*socio=rien de ces *socio=rien dernières années.*socio=nil Les*socio=nil investisseurs*socio=ac *socio=nil sont de plus en plus préoccupés par les risques*socio=uv non commerciaux*socio=ec liés aux investissements*socio=ec réalisés dans ces pays*socio=ac, et notamment par les risques*socio=uv touchant la convertibilité et le transfert*socio=ec des recettes*socio=ec à l'étranger*socio=te. Il est*socio=rien donc essentiel*socio=uv de réduire les obstacles*socio=rien qui s'opposent aux flux*socio=ec des investissements*socio=ec internationaux*socio=te, à *socio=rien un moment *socio=nil où les gouvernements*socio=ac des pays_en_développement*socio=ac manifestent à leur *socio=rien égard un intérêt*socio=uv croissant.*socio=nil L'*socio=nil Agence *socio=nil aura pour objectif*socio=rien d'encourager ces flux*socio=ec en faveur*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac par l'émission*socio=rien de garanties contre les risques*socio=uv non commerciaux*socio=ec, y compris sous forme*socio=rien de coassurance et de réassurance avec les assureurs qui offrent actuellement une couverture*socio=rien contre les risques*socio=uv politiques*socio=et. De plus, l'Agence*socio=rien mènera des opérations*socio=rien de promotion*socio=uv et d'assistance_technique*socio=et, en fournissant notamment une assistance_technique*socio=et et des services*socio=ec consultatifs*socio=rien en matière*socio=rien de politique_économique*socio=et aux États*socio=ac membres*socio=rien intéressés. Elle devrait donc constituer *socio=rien un lieu *socio=nil de rencontre privilégié*socio=rien pour favoriser la coopération*socio=uv entre *socio=ac pays importateurs et*socio=nil exportateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec.*socio=nil Les*socio=nil *socio=rien principales caractéristiques *socio=nil de l'Agence*socio=rien seront notamment les suivantes*socio=rien : - Ce sera une organisation*socio=ac autonome*socio=uv dotée de la pleine*socio=rien personnalité*socio=ac juridique*socio=et. Dans le cadre*socio=rien de ses opérations*socio=rien , l'Agence*socio=rien coopérera avec des dispositifs*socio=rien nationaux*socio=te de garantie des investissements*socio=ec, des organismes*socio=ac régionaux*socio=te et avec le secteur_privé*socio=ec des assurances*socio=ec, et elle complétera leurs activités*socio=rien , notamment par des opérations*socio=rien de coassurance et de réassurance. - Elle couvrira essentiellement quatre catégories*socio=rien de risques*socio=uv non commerciaux*socio=ec: les risques*socio=uv de transfert*socio=ec résultant*socio=rien de restrictions*socio=uv imposées par le gouvernement*socio=ac d'accueil*socio=te à la conversion*socio=ec et au transfert*socio=ec de fonds*socio=ec; les risques*socio=uv de pertes*socio=ec résultant*socio=rien de mesures*socio=rien législatives*socio=et ou administratives*socio=rien , ou d'une omission du*socio=rien gouvernement*socio=ac d'accueil*socio=te et ayant pour effet*socio=rien de priver l'investisseur*socio=ac de ses droits*socio=uv sur*socio=rien son capital*socio=ec ou sur*socio=rien son investissement*socio=ec ou d'une *socio=rien part substantielle des*socio=nil avantages *socio=nil découlant de son investissement*socio=ec; les risques*socio=uv résultant*socio=rien de la dénonciation d'un*socio=rien contrat*socio=ec par le gouvernement*socio=ac d'accueil*socio=te lorsque l'investisseur*socio=ac ne dispose pas de voie*socio=rien de recours*socio=rien , ne peut obtenir*socio=rien une décision*socio=rien dans des délais*socio=rien raisonnables*socio=uv ou ne peut obtenir*socio=rien l'exécution*socio=rien d'une *socio=rien décision définitive;*socio=nil *socio=nil et les risques*socio=uv de conflits*socio=uv armés et de troubles civils. - Le champ*socio=rien d'activité*socio=rien de l'Agence*socio=rien sera étendu. Au début*socio=rien , elle se concentrera sur*socio=rien les prises*socio=rien de participation*socio=uv, y compris les prêts*socio=ec de type*socio=rien participatif*socio=uv, et *socio=rien sur diverses formes d'*socio=nil investissement*socio=ec direct,*socio=nil *socio=nil telles que certains types de contrats*socio=ec de gestion*socio=et et de service*socio=ec, les accords*socio=et de licence*socio=et et de franchise, les contrats*socio=ec clés*socio=rien en main*socio=rien , et des accords*socio=et prévoyant le transfert*socio=rien de technologie*socio=ec et de *socio=rien procédés techniques.*socio=nil *socio=nil Elle pourra également assurer les prêts*socio=ec à moyen*socio=rien et à long_terme*socio=ec liés à un*socio=rien investissement*socio=ec particulier*socio=uv. - Outre ses opérations*socio=rien de garantie, l'Agence*socio=rien s'acquittera de *socio=rien diverses fonctions d'*socio=nil assistance_technique*socio=et *socio=nil et consultatives; elle mènera des recherches*socio=ec, fournira des renseignements*socio=rien et des conseils*socio=ac en matière*socio=rien de politique_économique*socio=et aux gouvernements*socio=ac, et exercera d'autres *socio=rien activités susceptibles *socio=nil d'encourager les flux*socio=ec d'investissement*socio=ec direct*socio=rien à destination*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac et entre ces pays*socio=ac. - L'Agence*socio=rien sera juridiquement et financièrement*socio=rien distincte*socio=uv de la banque_mondiale*socio=ac. Elle aura *socio=rien un lien organique *socio=nil avec la Banque*socio=ac en ce sens*socio=rien que le Président*socio=rien de cette dernière*socio=rien sera d'office*socio=rien Président*socio=rien de son conseil_d'_administration*socio=et et que le Président*socio=rien de l'Agence*socio=rien sera nommé sur*socio=rien sa proposition*socio=rien . L'AMGI*socio=ac sera dotée d'un*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac, représentant*socio=rien chacun de ses États*socio=ac membres*socio=rien , et d'un*socio=rien conseil_d'_administration*socio=et. L'adhésion*socio=uv à l'Agence*socio=rien sera ouverte*socio=uv à tous les États*socio=ac membres*socio=rien de la Banque*socio=ac et à la Suisse*socio=ac. - Pour pouvoir*socio=et bénéficier *socio=rien du système *socio=nil de garantie, les investisseurs*socio=ac devront être*socio=rien des nationaux*socio=te d'un*socio=rien État*socio=ac membre*socio=rien de l'Agence*socio=rien et, s'il s'agit de personnes_morales*socio=ac, être*socio=rien constitués et avoir leur *socio=rien établissement principal dans*socio=nil un pays_membre*socio=ac,*socio=nil *socio=nil ou il faudra que des nationaux*socio=te d'un*socio=rien ou de plusieurs pays_membres*socio=ac de l'Agence*socio=rien détiennent la majorité*socio=rien de leur capital*socio=ec. A la demande*socio=ec conjointe*socio=uv de l'investisseur*socio=ac et du*socio=rien pays*socio=ac dans lequel doit être*socio=rien effectué l'investissement*socio=ec, les nationaux*socio=te d'un*socio=rien pays*socio=ac d'accueil*socio=te pourront être*socio=rien couverts s'ils apportent des actifs*socio=ec de l'étranger*socio=te pour effectuer des investissements*socio=ec dans ce pays*socio=ac. Cette disposition*socio=rien aidera les efforts*socio=uv que déploient les pays_en_développement*socio=ac pour renverser la tendance*socio=rien aux fuites de capitaux*socio=ec. - L'Agence*socio=rien ne conclura aucun contrat*socio=ec ou ne consentira aucune garantie sans avoir obtenu au préalable*socio=rien l'approbation*socio=uv du*socio=rien gouvernement*socio=ac d'accueil*socio=te. Ce sera donc une agence*socio=rien multilatérale*socio=te qui tiendra compte*socio=rien des besoins*socio=uv, des exigences*socio=uv et de la situation*socio=uv de ses pays_membres*socio=ac, selon des *socio=rien modalités propres *socio=nil à servir directement leurs intérêts*socio=uv. - L'Agence*socio=rien fonctionnera sur*socio=rien une base*socio=rien commerciale*socio=ec et financière*socio=ec saine*socio=uv, elle s'acquittera de ses engagements*socio=ec essentiellement en prélevant sur*socio=rien le produit*socio=rien des primes*socio=ec qu'elle encaissera et sur*socio=rien ses autres recettes*socio=ec, telles que le rendement*socio=ec de ses investissements*socio=ec. - La solvabilité*socio=ec de l'Agence*socio=rien est*socio=rien également garantie par son capital*socio=ec social*socio=ac, auquel ses pays_membres*socio=ac souscriront en proportion*socio=rien de leurs *socio=rien parts relatives du capital*socio=ec *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac. Dix pour *socio=rien cent du capital*socio=ec *socio=nil autorisé seront versés en numéraire et 10% supplémentaires*socio=rien seront souscrits sous forme*socio=rien de billets à ordre*socio=rien non négociables et ne portant pas intérêt*socio=ec que l'Agence*socio=rien n'encaissera que si elle en a besoin*socio=uv pour faire face*socio=rien à ses obligations*socio=uv. Le solde*socio=ec de 80% sera appelable. - Le montant*socio=ec de garanties que l'Agence*socio=rien émettra au début*socio=rien ne dépassera pas 150% du*socio=rien montant*socio=ec du*socio=rien capital*socio=ec souscrit, augmenté des réserves*socio=ec et d'une fraction*socio=rien de la couverture*socio=rien de réassurance. Autrement dit, l'Agence*socio=rien maintiendra *socio=rien un rapport prudent *socio=nil de 1,5 à 1 entre ses risques*socio=uv et ses actifs*socio=ec. Lorsqu'elle aura constitué un*socio=rien portefeuille*socio=ec de risques*socio=uv équilibré et aura acquis*socio=uv de l'expérience*socio=uv, ce ratio*socio=rien pourra atteindre *socio=rien un maximum *socio=nil de 5 à 1. - Agissant en qualité*socio=rien d'administrateur*socio=ac au nom*socio=rien des pays*socio=ac parrains*socio=rien , l'Agence*socio=rien pourra également garantir les investissements*socio=ec parrainés*socio=rien par ses pays_membres*socio=ac. Les recettes*socio=ec provenant de ces *socio=rien opérations parrainées *socio=nil seront déposées dans un*socio=rien "Fonds*socio=ec fiduciaire*socio=ec de parrainage*socio=ec", séparé*socio=rien des actifs*socio=ec de l'Agence*socio=rien , et utilisé pour payer*socio=rien les indemnités*socio=et et les frais*socio=ec résultant*socio=rien directement des opérations*socio=rien de parrainage*socio=ec, qui ne seront assujetties à aucun plafond*socio=rien . - Conformément aux principes*socio=uv fondamentaux*socio=rien qui régissent les institutions_internationales*socio=et, il sera interdit à l'Agence*socio=rien de s'ingérer dans les affaires_politiques*socio=et de ses membres*socio=rien . - La répartition*socio=uv des voix*socio=rien au sein*socio=rien de l'Agence*socio=rien sera fondée sur*socio=rien le principe*socio=rien selon lequel les *socio=ac pays exportateurs *socio=nil et les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec disposeront*socio=nil du*socio=rien même*socio=nil nombre*socio=rien de*socio=nil voix*socio=rien une*socio=nil fois*socio=rien *socio=nil que tous les membres*socio=rien de la Banque*socio=ac auront adhéré à l'Agence*socio=rien . Pendant les *socio=rien premières années,*socio=nil la*socio=nil Convention*socio=et *socio=nil prévoit des *socio=rien dispositions spéciales *socio=nil pour empêcher qu'aucun de ces groupes*socio=ac de pays*socio=ac ne domine le scrutin*socio=et. L'Agence*socio=rien devrait être*socio=rien en mesure*socio=rien de réduire les risques*socio=uv de différends*socio=uv en matière*socio=rien d'investissement*socio=ec vu que les pays*socio=ac développés*socio=rien et les pays_en_développement*socio=ac se partageront la responsabilité*socio=uv politique*socio=et et financière*socio=ec de l'Agence*socio=rien et que l'Agence*socio=rien aura pour mandat*socio=rien de servir ses membres*socio=rien et de stimuler les investissements*socio=ec en *socio=rien faveur du développement*socio=uv.*socio=nil Activités *socio=nil de la Banque*socio=ac. institut_de_développement_économique*socio=ac. Pendant l'exercice*socio=rien 86, *socio=rien deuxième année du plan quinquennal*socio=te *socio=nil de l' institut_de_développement_économique*socio=ac (IDE*socio=ac), l'Institut*socio=et s'est*socio=rien attaché tout spécialement à offrir des stages*socio=ec de formation*socio=et visant à faire connaître des principes*socio=uv de politique_économique*socio=et aux *socio=rien cadres supérieurs des*socio=nil pays_membres*socio=ac en*socio=nil développement*socio=uv,*socio=nil *socio=nil à produire des ouvrages didactiques*socio=rien traitant de la politique_économique*socio=et, à aider davantage les établissements*socio=rien de formation*socio=et des pays_en_développement*socio=ac et à poursuivre une collaboration*socio=uv accrue avec les sources*socio=rien d'aide_financière*socio=et à la formation*socio=et. L'Institut*socio=et a organisé ou coparrainé 105 cours*socio=rien et séminaires*socio=rien pendant l'exercice*socio=rien , dont 15 étaient des séminaires*socio=rien de *socio=rien haut niveau *socio=nil à l'intention*socio=rien des responsables*socio=uv et 21 des séminaires*socio=rien à l'intention*socio=rien des cadres*socio=rien des établissements*socio=rien de formation*socio=et des pays_en_développement*socio=ac. Le nombre*socio=rien de cours*socio=rien et séminaires*socio=rien a sensiblement dépassé celui de 83 inscrit*socio=rien au plan*socio=rien quinquennal*socio=te et les 82 qui ont été*socio=rien donnés pendant l'exercice*socio=rien 85. Cette croissance*socio=uv s'explique par la coopération*socio=uv accrue avec des établissements*socio=rien associés*socio=uv à l'étranger*socio=te et avec d'autres sources*socio=rien de financement*socio=ec de la formation*socio=et (voir Tableau*socio=rien 3-3). Près de la moitié*socio=rien des 69 activités*socio=rien de formation*socio=et directe*socio=rien qui se sont déroulées pendant l'exercice*socio=rien portaient sur*socio=rien la gestion*socio=et de l'économie*socio=ec dans son ensemble*socio=rien ou de secteurs*socio=ec et de sous-secteurs*socio=ec particuliers*socio=rien . Le reste*socio=rien traitait, en *socio=rien majeure partie,*socio=nil d'*socio=nil analyse *socio=nil et de gestion*socio=et de projets*socio=rien . Dans le *socio=rien cadre du plan quinquennal*socio=te *socio=nil de l'Institut*socio=et, les pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv ou les plus petits*socio=rien (dont beaucoup sont situés en *socio=ac Afrique subsaharienne)*socio=nil ont*socio=nil *socio=rien été retenus *socio=nil tout spécialement. Conformément à cet objectif*socio=rien , l'Institut*socio=et a concentré ses efforts*socio=uv sur*socio=rien l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac et sur*socio=rien d'autres pays*socio=ac dont les institutions*socio=ac avaient besoin*socio=uv d'être*socio=rien renforcées. Sur*socio=rien les 3300 participants*socio=ac qui ont assisté*socio=rien aux cours*socio=rien et aux séminaires*socio=rien de l'IDE*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien , 1600 environ venaient de ces pays*socio=ac. Plus de 85% des activités*socio=rien de formation*socio=et qui se sont déroulées pendant l'exercice*socio=rien 86 ont eu lieu*socio=rien en dehors de Washington*socio=ac, ce qui témoigne*socio=rien des contacts*socio=rien que l'Institut*socio=et entretient avec diverses*socio=rien institutions*socio=ac de formation*socio=et de par le monde*socio=te. (L'Institut*socio=et est*socio=rien activement associé*socio=rien à environ 80 établissements*socio=rien de formation*socio=et de pays_en_développement*socio=ac.) A la suite*socio=rien d'efforts*socio=uv spéciaux*socio=rien entrepris l'année*socio=rien dernière*socio=rien , des rapports*socio=rien de coopération*socio=uv ont été*socio=rien établis avec des établissements*socio=rien appropriés pour l'organisation*socio=rien d'une formation*socio=et en gestion*socio=et urbaine*socio=te en *socio=ac Afrique francophone *socio=nil et en gestion*socio=et des transports*socio=ec et gestion*socio=et de l'enseignement*socio=et en amérique_latine*socio=ac. Outre les cours*socio=rien et les *socio=rien séminaires offerts en*socio=nil coopération*socio=uv *socio=nil avec des établissements*socio=rien régionaux*socio=te et nationaux*socio=te de formation*socio=et, l'Institut*socio=et a apporté son concours à quelque 42 établissements*socio=rien pour les aider à organiser et à donner leurs *socio=rien propres cours *socio=nil ou pour les conseiller*socio=ac sur*socio=rien la mise au point*socio=rien de leurs propres*socio=rien programmes*socio=et de formation*socio=et, sur*socio=rien la conception*socio=rien de leurs programmes*socio=et d'enseignement*socio=et, sur*socio=rien la planification*socio=et et la gestion*socio=et financières*socio=ec, et sur*socio=rien la préparation*socio=rien de *socio=rien matériels didactiques fondés*socio=nil sur le*socio=nil contexte local*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil programme*socio=et de*socio=nil séminaires de*socio=nil politique*socio=et générale de*socio=nil niveau élevé est *socio=nil appliqué selon les *socio=rien grandes lignes *socio=nil énoncées dans le plan*socio=rien quinquennal*socio=te de l'Institut*socio=et. Sur*socio=rien les 15 *socio=rien séminaires offerts *socio=nil pendant l'exercice*socio=rien 86, dix portaient sur*socio=rien l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac, trois sur*socio=rien l'amérique_latine*socio=ac, *socio=rien un sur l'*socio=nil Asie*socio=ac,*socio=nil et*socio=nil un essentiellement*socio=nil sur les*socio=nil pays*socio=ac du Moyen-orient*socio=ac *socio=nil et de l'Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te. Ces séminaires*socio=rien se concentraient, pour la plupart*socio=rien , sur*socio=rien des *socio=rien questions sectorielles *socio=nil telles que la politique*socio=et des *socio=ec prix agricoles,*socio=nil le*socio=nil financement *socio=nil de l'enseignement*socio=et, la politique*socio=et démographique*socio=rien et l'utilisation*socio=rien efficace*socio=uv des moyens*socio=ec de transport*socio=ec. Les ministères*socio=ac nationaux*socio=te de l'économie*socio=ec étaient généralement représentés à ces séminaires*socio=rien , et en particulier*socio=uv très largement aux séminaires*socio=rien qui traitaient de questions*socio=rien macroéconomiques*socio=ec. Les participants*socio=ac étaient pour la plupart*socio=rien des ministres*socio=ac, des secrétaires permanents*socio=rien ou sous-secrétaires permanents*socio=rien . Ces séminaires*socio=rien , qui sont bien*socio=rien accueillis des participants*socio=ac et *socio=rien du personnel *socio=nil intéressé de la Banque*socio=ac, sont considérés comme *socio=rien un moyen efficace*socio=uv *socio=nil de procéder à des échanges*socio=rien de vues*socio=rien et de mettre en commun*socio=uv des données d'expérience*socio=uv sur*socio=rien les *socio=rien questions importantes *socio=nil de la politique*socio=et du*socio=rien développement*socio=uv entre hauts_fonctionnaires*socio=ac, représentants*socio=ac du*socio=rien secteur_privé*socio=ec et cadres*socio=rien de la Banque*socio=ac. Pendant l'exercice*socio=rien 86, l'Institut*socio=et a considérablement*socio=rien étendu la portée*socio=rien géographique*socio=te de son programme*socio=et de séminaires*socio=rien à l'intention*socio=rien des formateurs*socio=rien . Ce programme*socio=et est*socio=rien toujours orienté principalement vers l'Asie*socio=ac et l'amérique_latine*socio=ac, mais plusieurs séminaires*socio=rien ont été*socio=rien organisés à l'intention*socio=rien des formateurs*socio=rien d'Afrique*socio=ac et du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac. La préparation*socio=rien et l'utilisation*socio=rien d'études*socio=rien de cas*socio=rien , ainsi que l'évaluation*socio=uv des besoins*socio=uv de formation*socio=et, ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien de *socio=rien nouveaux séminaires.*socio=nil Un autre*socio=nil aspect important du plan quinquennal*socio=te *socio=nil de l'Institut*socio=et est*socio=rien l'expansion*socio=ec considérable*socio=rien de la production*socio=ec de *socio=rien matériels didactiques.*socio=nil Les*socio=nil documents *socio=nil que prépare l'Institut*socio=et sur*socio=rien les projets*socio=rien sont bien*socio=rien connus et sont largement utilisés depuis quelque temps*socio=rien de par le monde*socio=te. Mais, conformément à l'importance*socio=rien sensiblement accrue qu'il attache à la formation*socio=et axée sur*socio=rien les grandes*socio=rien *socio=et orientations politiques,*socio=nil l'*socio=nil Institut *socio=nil utilise la moitié*socio=rien environ des dépenses*socio=ec courantes*socio=rien qu'il consacre à l'élaboration*socio=rien d'ouvrages didactiques*socio=rien à la mise au point*socio=rien de matériels*socio=rien traitant des orientations*socio=et générales*socio=rien . Les travaux*socio=rien consacrés à la production*socio=ec de matériels*socio=rien de formation*socio=et ont représenté 14% des dépenses*socio=ec totales*socio=rien de l'Institut*socio=et au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années.*socio=nil La*socio=nil production*socio=ec de*socio=nil documents *socio=nil achevés a dépassé l'objectif*socio=rien *socio=rien du plan quinquennal*socio=te *socio=nil pendant l'exercice*socio=rien 85, et la production*socio=ec de l'exercice*socio=rien 86 s'est*socio=rien maintenue à peu près au même niveau*socio=rien . Les matériels*socio=rien terminés au *socio=rien cours du dernier exercice *socio=nil ont attaché une plus *socio=rien grande importance aux*socio=nil questions *socio=nil de macroéconomie et de gestion*socio=et sectorielle*socio=rien , notamment à des sujets*socio=rien aussi vastes*socio=rien que la fourniture*socio=rien de services_publics*socio=et par le secteur_privé*socio=ec, le développement*socio=uv de l'esprit_d'_entreprise*socio=uv et la gestion*socio=et des entreprises_publiques*socio=et. Une *socio=rien grande proportion *socio=nil de ces ouvrages a été*socio=rien produite au titre*socio=rien de contrats*socio=ec passés*socio=rien avec des universités*socio=et et d'autres institutions*socio=ac, ainsi qu'avec des *socio=ac consultants individuels *socio=nil de par le monde*socio=te. Le cofinancement*socio=ec des activités*socio=rien de l'Institut*socio=et a atteint 4 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pendant l'exercice*socio=rien 86 - soit environ 25% de ses dépenses*socio=ec totales*socio=rien -, ce qui représente une *socio=rien somme bien supérieure *socio=nil à celle de l'exercice*socio=rien 85 (2,3 millions*socio=rien de dollars*socio=ec). La plus *socio=rien grande partie *socio=nil de cette augmentation*socio=uv est*socio=rien à attribuer au programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac (PNUD*socio=ac), à l'Agence*socio=rien canadienne*socio=ac de développement_international*socio=et (ACDI*socio=ec) et au Fonds_international_de_développement_agricole*socio=ac (FIDA*socio=ac). Vers le milieu*socio=rien de 1985, l'Institut*socio=et a créé *socio=rien un Comité d'*socio=nil évaluation*socio=uv *socio=nil qui établit des politiques*socio=et et des méthodes*socio=rien d'évaluation*socio=uv des travaux*socio=rien de l'IDE*socio=ac et en surveille la mise en oeuvre*socio=rien . Ce Comité*socio=rien a examiné les techniques*socio=rien d'évaluation*socio=uv de PIDE*socio=ac et en a élargi et renforcé l'application*socio=rien . Il commence actuellement une évaluation*socio=uv expérimentale*socio=rien de l'incidence*socio=rien de la formation*socio=et de l'Institut*socio=et *socio=rien sur un secteur*socio=ec *socio=nil dans trois pays*socio=ac. Il prépare également *socio=rien un plan *socio=nil pour procéder, pendant l'exercice*socio=rien 87, à une évaluation*socio=uv à mi-parcours *socio=rien du plan quinquennal*socio=te *socio=nil de l'Institut*socio=et, en collaboration*socio=uv avec le Département*socio=ac de l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac de la Banque*socio=ac. Ce travail*socio=rien comportera une évaluation*socio=uv *socio=rien spéciale du programme*socio=et *socio=nil de l'Institut*socio=et en Chine*socio=ac. Recherche*socio=ec et études_économiques*socio=ec. Le travail*socio=rien que la Banque*socio=ac accomplit à l'appui*socio=rien de ses projets*socio=rien et programmes*socio=et tire profit*socio=ec d'un*socio=rien vaste*socio=rien programme*socio=et de *socio=ec recherches économiques et*socio=nil sociales*socio=ac *socio=nil en même temps*socio=rien qu'il profite à ce programme*socio=et. Cette *socio=rien interaction constante *socio=nil entre l'effort*socio=uv opérationnel*socio=rien et l'effort*socio=uv intellectuel*socio=rien renforce la qualité*socio=rien des connaissances*socio=rien , de l'analyse*socio=rien et des conseils*socio=ac que la Banque*socio=ac offre*socio=rien dans le cadre*socio=rien de son dialogue*socio=uv avec les différents*socio=rien pays*socio=ac et avec les milieux*socio=rien internationaux*socio=te. Pour financer ses activités*socio=rien de *socio=ec recherche économique et*socio=nil sociale*socio=ac *socio=nil pendant l'exercice*socio=rien 86, la banque_mondiale*socio=ac a dépensé environ 24 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, dont 4,4 millions*socio=rien pour payer*socio=rien les services*socio=ec de consultants*socio=ac, les frais*socio=ec de voyage*socio=rien , l'informatique*socio=ec et l'aide*socio=uv à la recherche*socio=ec. Le reste*socio=rien représente le coût*socio=ec *socio=rien du temps du personnel.*socio=nil Le*socio=nil programme*socio=et de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac comprend a) des études*socio=rien comparatives spéciales*socio=rien menées sous l'égide*socio=rien du*socio=rien conseil_de_la_politique_de_recherche*socio=ec; b) des projets*socio=rien de recherche*socio=ec approuvés au *socio=rien niveau central par*socio=nil un Comité d'*socio=nil approbation*socio=uv des*socio=nil projets de*socio=nil recherche*socio=ec;*socio=nil *socio=nil et c) des études*socio=rien entreprises*socio=ac à l'initiative*socio=rien des départements*socio=rien de la Banque*socio=ac et financées sur*socio=rien leurs propres*socio=rien ressources*socio=ec. La recherche*socio=ec représente environ le cinquième*socio=rien des *socio=rien travaux analytiques *socio=nil effectués par la Banque*socio=ac à l'appui*socio=rien de ses activités*socio=rien de prêt*socio=ec. Les deux autres *socio=rien grandes catégories de*socio=nil travaux analytiques *socio=nil sont l'analyse*socio=rien des grandes*socio=rien orientations*socio=et ainsi que les *socio=rien analyses sectorielles *socio=nil et les analyses*socio=rien par pays*socio=ac. Quatre *socio=rien grands objectifs *socio=nil continuent à guider le programme*socio=et de recherche*socio=ec de la Banque*socio=ac: appuyer tous les aspects*socio=rien des opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac, faire mieux comprendre le *socio=rien processus du développement*socio=uv,*socio=nil *socio=nil améliorer l'aptitude*socio=rien de la Banque*socio=ac à prodiguer des conseils*socio=ac à ses membres*socio=rien et contribuer à mettre *socio=rien sur pied une*socio=nil capacité de*socio=nil recherche*socio=ec nationale*socio=te *socio=nil dans les pays_membres*socio=ac. Ce programme*socio=et continue*socio=rien également à évoluer en fonction*socio=rien des nouvelles*socio=rien orientations*socio=et recommandées par le conseil_de_la_politique_de_recherche*socio=ec en 1984, qui ont donné une *socio=rien grande importance *socio=nil à la recherche*socio=ec axée sur*socio=rien les questions*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien . Conformément à ces recommandations*socio=rien , le programme*socio=et de recherche*socio=ec a été*socio=rien réorienté vers *socio=rien cinq grands domaines prioritaires*socio=uv:*socio=nil les*socio=nil coûts*socio=ec *socio=nil et les avantages*socio=rien des interventions*socio=et de l'État*socio=ac, l'interaction*socio=rien des incitations*socio=rien et des institutions*socio=ac, l'environnement*socio=ec économique*socio=ec international*socio=te, les rapports*socio=rien qui existent entre les politiques*socio=et à court_terme*socio=ec et le développement*socio=uv à long_terme*socio=ec, et le rôle*socio=rien de la planification*socio=et économique*socio=ec et du*socio=rien renforcement*socio=uv des institutions*socio=ac. En matière*socio=rien de recherche*socio=ec, ces domaines*socio=rien sont apparus comme les plus importants*socio=rien pour les opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac et comme ceux qui lui permettent de rester la mieux informée des questions*socio=rien économiques*socio=ec intéressant*socio=rien les pays_en_développement*socio=ac. La Banque*socio=ac a entrepris de faire des études*socio=rien comparatives de quelques problèmes*socio=uv fondamentaux*socio=rien qui se posent dans ces domaines*socio=rien prioritaires*socio=uv. Chaque étude*socio=ac s'efforcera de mettre au *socio=rien point un cadre analytique commun*socio=uv *socio=nil pour l'examen*socio=rien d'un*socio=rien *socio=uv problème particulier de*socio=nil politique*socio=et générale*socio=rien concernant*socio=nil *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil Ce*socio=nil programme_d'_études *socio=nil comparatives bénéficie de l'avantage_comparatif*socio=ec dont jouit la Banque*socio=ac dans le domaine*socio=rien de la recherche*socio=ec, et ne peut que renforcer le dialogue*socio=uv qu'entretient la Banque*socio=ac avec ses membres*socio=rien en matière*socio=rien de politique_économique*socio=et, en même temps*socio=rien qu'il s'en trouvera lui-même renforcé. Inauguré en février*socio=rien 1984 avec l'étude*socio=ac portant sur*socio=rien l'échéancier d'application*socio=rien d'une politique*socio=et de libéralisation_des_échanges*socio=ec ("The*socio=rien Timing and Sequencing of a Trade*socio=rien Liberalization Policy*socio=rien "), ce programme*socio=et comprend également des *socio=rien études sur la*socio=nil politique*socio=et des*socio=nil *socio=ec prix agricoles *socio=nil ("Agricultural Pricing Policies") et sur*socio=rien la pauvreté*socio=uv, l'équité*socio=uv et la croissance*socio=uv ("Poverty, Equity and Growth"). Une quatrième*socio=rien étude*socio=ac comparative en préparation*socio=rien , sur*socio=rien l'ajustement*socio=et macroéconomique*socio=ec et la croissance*socio=uv à long_terme*socio=ec ("Macroeconomic Adjustment and Long-run Growth"), traitera des *socio=rien questions fondamentales des*socio=nil effets *socio=nil de la gestion*socio=et macroéconomique*socio=ec en période*socio=te de crise*socio=uv de la croissance*socio=uv à long_terme*socio=ec. Le choix*socio=uv de nouvelles*socio=rien priorités*socio=uv est*socio=rien également évident*socio=rien dans le nombre*socio=rien de projets*socio=rien de recherche*socio=ec entrepris pendant l'exercice*socio=rien 86. Dans le domaine*socio=rien des effets*socio=rien des interventions*socio=et de l'État*socio=ac, *socio=rien un nouveau projet *socio=nil se propose d'étudier les coûts*socio=ec et les *socio=rien avantages du contrôle*socio=uv des*socio=nil loyers*socio=ec dans*socio=nil un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=ac,*socio=nil *socio=nil afin de formuler différents*socio=rien moyens*socio=ec d'abolir ce contrôle*socio=uv compte*socio=rien tenu de ses conséquences*socio=rien économiques*socio=ec e; politiques*socio=et. Un*socio=rien autre projet*socio=rien étudiera les déficits*socio=ec des entreprises_publiques*socio=et dans les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac, et calculera les effets*socio=rien des distorsions*socio=uv de prix*socio=ec, des carences d'ordre*socio=rien technique*socio=rien et administratif*socio=rien ; il examinera également le rôle*socio=rien joué par les objectifs*socio=rien non économiques*socio=ec dans l'apparition*socio=rien de ces déficits*socio=ec. L'incidence*socio=rien des interventions*socio=et de l'État*socio=ac sur*socio=rien les marchés_du_travail*socio=ec au Sénégal*socio=ac fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'un*socio=rien projet*socio=rien de recherche*socio=ec sur*socio=rien l'emploi*socio=ec et les salaires*socio=ec dans l'industrie*socio=ec sénégalaise ("Employment*socio=rien and Earnings in Senegalese Industry"). Un*socio=rien autre examinera l'incidence*socio=rien des politiques*socio=et du*socio=rien gouvernement*socio=ac sur*socio=rien l'état*socio=rien nutritionnel et l'état*socio=rien de santé*socio=et des enfants*socio=ac dans une étude*socio=ac de *socio=rien cas sur la*socio=nil côte_d'_ivoire*socio=ac.*socio=nil Au*socio=nil niveau macroéconomique*socio=ec,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil étudiera également la politique*socio=et officielle*socio=rien à l'égard*socio=rien de la taxe*socio=et à la valeur_ajoutée*socio=ec, ainsi que la structure*socio=ec des dépenses*socio=ec et de la *socio=et politique budgétaire du*socio=rien secteur_public*socio=ac *socio=nil dans les pays*socio=ac les plus lourdement endettés d'amérique_latine*socio=ac. *socio=rien Un deuxième groupe*socio=ac de*socio=nil projets de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil s'intéresse aux questions*socio=rien d'ajustement*socio=et et aux mesures*socio=rien adoptées pour résister aux chocs*socio=rien causés de l'extérieur*socio=ec. Il s'agit de mettre au *socio=rien point un cadre analytique *socio=nil dont la Banque*socio=ac pourra se servir pour concevoir des programmes*socio=et d'ajustement_structurel*socio=et. Une étude*socio=ac se concentrera sur*socio=rien les politiques*socio=et d'ajustement*socio=et adoptées comme second*socio=rien choix*socio=uv, notamment la politique*socio=et des taux_de_change*socio=ec et la *socio=et politique budgétaire,*socio=nil *socio=nil lorsqu'il *socio=rien est impossible *socio=nil d'ajuster les salaires*socio=ec nominaux*socio=rien en fonction*socio=rien de ces chocs*socio=rien . Une deuxième*socio=rien étude*socio=ac portera sur*socio=rien la façon*socio=rien dont les marchés_du_travail*socio=ec ont réagi à ces chocs*socio=rien et dont leur structure*socio=ec et leur tenue ont influé sur*socio=rien l'efficacité*socio=uv des *socio=rien mesures prises *socio=nil par les pouvoirs_publics*socio=ac, telles que la libéralisation_des_échanges*socio=ec, la dévaluation*socio=ec et la réduction*socio=uv des déficits*socio=ec budgétaires*socio=et. Une troisième*socio=rien s'intéresse aux aspects*socio=rien financiers*socio=ec et macroéconomiques*socio=ec du*socio=rien problème*socio=uv de la dette*socio=ec, dont l'analyse*socio=rien pourrait servir à mettre au point*socio=rien des stratégies*socio=et en matière*socio=rien d'emprunts*socio=ec extérieurs*socio=te. Une quatrième*socio=rien étude*socio=ac s'efforcera de tirer les enseignements*socio=et de ce qui s'est*socio=rien passé*socio=rien en Corée*socio=ac, pays*socio=ac qui a réussi à s'adapter*socio=rien aux bouleversements*socio=rien des années*socio=rien 70. Dans le domaine*socio=rien de l'environnement*socio=ec économique*socio=ec international*socio=te, la Banque*socio=ac étudiera deux sujets*socio=rien qui intéressent au plus *socio=rien haut point les*socio=nil pays_en_développement*socio=ac:*socio=nil la*socio=nil portée des*socio=nil barrières non*socio=nil tarifaires*socio=ec au*socio=nil commerce*socio=ec international*socio=te *socio=nil et leurs *socio=rien effets sur le*socio=nil niveau *socio=nil et la composition*socio=rien des importations*socio=ec des pays_industrialisés*socio=ac, et la question*socio=rien de savoir*socio=rien comment les pays_en_développement*socio=ac peuvent utiliser le commerce*socio=ec international*socio=te des services*socio=ec pour accélérer leur développement*socio=uv. *socio=rien Un dernier groupe*socio=ac de*socio=nil projets de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil s'intéresse à l'évolution*socio=rien des secteurs*socio=ec de l'agriculture*socio=ec, de l'industrie*socio=ec et de l'énergie*socio=ec. *socio=rien Un projet *socio=nil traite des systèmes*socio=rien de culture*socio=et et d'élevage*socio=ec en *socio=ac Afrique subsaharienne.*socio=nil Un*socio=rien *socio=nil autre a pour objet*socio=rien de faire comprendre l'organisation*socio=rien des *socio=ac entreprises collectives et*socio=nil privées*socio=ec en*socio=nil Chine *socio=nil et la façon*socio=rien dont elles fonctionnent au sein*socio=rien de l'économie*socio=ec chinoise. *socio=rien Un troisième *socio=nil abordera la *socio=rien double question *socio=nil de l'efficacité*socio=uv des prix*socio=ec et de la mise en valeur*socio=ec optimale*socio=uv des ressources*socio=ec en gaz*socio=ec naturel*socio=rien . Les projets*socio=rien approuvés par le Comité*socio=rien d'approbation*socio=uv des projets*socio=rien de recherche*socio=ec ont une *socio=rien durée maximale *socio=nil de trois ans*socio=rien , mais la plupart*socio=rien d'entre eux sont terminés en l'espace*socio=rien d'un*socio=rien ou deux ans*socio=rien . Le Comité*socio=rien d'approbation*socio=uv des projets*socio=rien de recherche*socio=ec fait*socio=rien régulièrement l'évaluation*socio=uv des projets*socio=rien achevés; cette évaluation*socio=uv permet de tirer les enseignements*socio=et de l'expérience*socio=uv et d'améliorer la conception*socio=rien et la conduite*socio=rien de projets*socio=rien de recherche*socio=ec futurs*socio=rien . Dix-neuf projets*socio=rien ont été*socio=rien évalués pendant l'exercice*socio=rien 86. Au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée, le conseil_de_la_recherche*socio=ac a recommandé la publication*socio=et de deux *socio=rien nouveaux journaux professionnels,*socio=nil The World*socio=nil Bank *socio=nil Research Observer et The*socio=rien World Bank*socio=rien Economic Review, pour mieux assurer la diffusion*socio=rien des résultats*socio=rien de la recherche*socio=ec tant à l'intérieur*socio=rien qu'en dehors de la Banque*socio=ac. Le *socio=rien premier numéro de*socio=nil The World*socio=nil Bank *socio=nil Research Observer a été*socio=rien publié en janvier*socio=rien 1986 et le *socio=rien premier numéro de*socio=nil The World*socio=nil Bank *socio=nil Economic Review doit paraître au début*socio=rien de l'exercice*socio=rien 87. Un*socio=rien Research News *socio=rien nouvelle formule,*socio=nil de*socio=nil présentation *socio=nil et de style plus journalistiques, donne les *socio=rien principaux résultats des*socio=nil projets de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil achevés et des *socio=rien renseignements sur *socio=nil ceux qui viennent d'être*socio=rien entrepris. Tous les projets*socio=rien de recherche*socio=ec en cours*socio=rien sont décrits dans une publication*socio=et intitulée Abstracts of Current Studies. assistance_technique*socio=et. En 1985, l'assistance_technique*socio=et, qui fait*socio=rien depuis longtemps *socio=rien partie intégrante des*socio=nil opérations *socio=nil de la Banque*socio=ac, a progressé à la fois*socio=rien en volume*socio=rien et en portée*socio=rien . Les prêts*socio=ec accordés par la Banque*socio=ac à ce titre*socio=rien ont augmenté de 30% entre 1984 et 1985. Les plus *socio=rien gros éléments *socio=nil de l'assistance_technique*socio=et financée par la Banque*socio=ac sont restés inscrits*socio=rien dans le cadre*socio=rien de projets*socio=rien plus vastes*socio=rien ayant fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'un*socio=rien prêt*socio=ec ou d'un*socio=rien crédit*socio=ec. Pendant l'année*socio=rien , ces éléments*socio=rien se sont élevés*socio=rien , au total*socio=rien , à 1,345,2 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour 229 opérations*socio=rien , contre 960,8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour 179 opérations*socio=rien en 1984. Les secteurs*socio=ec qui ont bénéficié des plus fortes*socio=rien augmentations*socio=uv en pourcentage*socio=rien des montants*socio=rien financés en 1985 ont été*socio=rien le développement*socio=uv agricole*socio=ec et rural*socio=te et l'éducation*socio=et, tandis que les *socio=rien parts relatives des*socio=nil secteurs*socio=ec *socio=nil de l'énergie*socio=ec et des transports*socio=ec ont diminué. Les prêts*socio=ec accordés au titre*socio=rien de l' assistance_technique*socio=et ont augmenté dans les régions*socio=te Afrique*socio=ac de l'Ouest*socio=rien ; Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien et Pacifique*socio=uv; Europe*socio=ac, Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te; et amérique_latine_et_caraïbes*socio=ac; le volume*socio=rien des prêts*socio=ec a diminué en Afrique*socio=ac orientale*socio=te et australe*socio=te et en Asie_du_sud*socio=ac. Dix prêts*socio=ec et crédits*socio=ec exclusivement destinés à l'assistance_technique*socio=et ont été*socio=rien approuvés en 1985 pour *socio=rien un total *socio=nil de 69,7 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Les chiffres comparables*socio=rien pour 1984 étaient de 13 prêts*socio=ec et crédits*socio=ec, pour *socio=rien un total *socio=nil de 123,4 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Les bénéficiaires*socio=ac des opérations*socio=rien portant exclusivement sur*socio=rien l'assistance_technique*socio=et approuvées en 1985 ont été*socio=rien le Chili*socio=ac (11 millions*socio=rien de dollars*socio=ec), le costa_rica*socio=ac (3,5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec), l'Équateur*socio=ac (8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec), la Guinée*socio=ac (9,5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec), la Jamaïque*socio=ac (9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec), le Nigeria*socio=ac (5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec), le Rwanda*socio=ac (4,8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec), le Togo*socio=ac (6,2 millions*socio=rien de dollars*socio=ec), la République_arabe_du_yémen*socio=ac (4,7 millions*socio=rien de dollars*socio=ec) et la République_centrafricaine*socio=ac (8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec). Trois de ces opérations*socio=rien venaient à l'appui*socio=rien de prêts*socio=ec à l'ajustement_structurel*socio=et; les sept autres étaient destinés essentiellement à traiter des questions*socio=rien institutionnelles*socio=ac et des questions*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien . En 1975, la Banque*socio=ac a créé le Mécanisme*socio=rien de financement*socio=ec de la préparation*socio=rien des projets*socio=rien pour aider les emprunteurs*socio=ac à pallier leurs faiblesses*socio=rien dans la préparation*socio=rien des projets*socio=rien et pour soutenir les organismes*socio=ac chargés de préparer ou d'exécuter ces projets*socio=rien . Par cette formule*socio=rien , la Banque*socio=ac avance*socio=rien des fonds*socio=ec pour la préparation*socio=rien des projets*socio=rien et pour commencer leur mise en oeuvre*socio=rien avant l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv du*socio=rien prêt*socio=ec ou du*socio=rien crédit*socio=ec. Au cours*socio=rien de l'année*socio=rien , les 45 avances accordées à ce titre*socio=rien se sont élevées*socio=rien à 26,8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, contre 28,6 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour 48 avances au cours*socio=rien de l'année*socio=rien précédente*socio=rien . En 1985, la Banque*socio=ac a créé le *socio=rien Mécanisme spécial de*socio=nil financement*socio=ec *socio=nil de la préparation*socio=rien des projets*socio=rien pour aider les pays_membres*socio=ac de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac aptes*socio=uv à bénéficier des crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac à financer la préparation*socio=rien de projets*socio=rien (y compris de *socio=rien projets susceptibles d'*socio=nil être *socio=nil financés par d'autres donateurs*socio=ac) qui ne pouvait être*socio=rien financée au moyen*socio=rien d'autres ressources*socio=ec. Les avances ainsi consenties le sont à titre*socio=rien de don*socio=ec. Le remboursement*socio=ec n'est*socio=rien exigé que lorsque cette avance*socio=rien débouche *socio=rien sur un projet *socio=nil financé par la Banque*socio=ac dans les *socio=rien cinq ans *socio=nil qui suivent son approbation*socio=uv. En 1985, 13 avances ont été*socio=rien approuvées pour *socio=rien un total *socio=nil de 3,1 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. La Banque*socio=ac a continué à faire fonction*socio=rien d'agent*socio=ac d'exécution*socio=rien pour les projets*socio=rien financés par le PNUD*socio=ac. En 1985, 40 *socio=rien nouveaux projets *socio=nil financés par le PNUD*socio=ac et exécutés par la Banque*socio=ac ont été*socio=rien approuvés, pour un*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de 15,5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. A la fin*socio=rien de 1985, on comptait 117 projets*socio=rien de ce type*socio=rien en cours*socio=rien , pour un*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de 170,6 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Parmi les *socio=rien nouveaux projets *socio=nil financés par le PNUD*socio=ac et pour lesquels la Banque*socio=ac a été*socio=rien choisie comme agent*socio=ac d'exécution*socio=rien figurent une aide*socio=uv préparatoire*socio=rien pour la création*socio=rien d'un*socio=rien Service*socio=rien de promotion*socio=uv et de mise au point*socio=rien de projets*socio=rien en Afrique*socio=ac; des programmes*socio=et PNUD*socio=ac/IDE*socio=ac pour renforcer la formation*socio=et régionale*socio=te en Afrique*socio=ac et dans les États*socio=ac arabes*socio=te; une étude*socio=ac d'organisation*socio=rien et de gestion*socio=et de la Lagos State Water Corporation*socio=ac; des études_techniques*socio=ec, des études*socio=rien de faisabilité et des études_sectorielles*socio=ec au Bangladesh*socio=ac; une aide*socio=uv technique*socio=rien et institutionnelle*socio=ac à un*socio=rien *socio=ec crédit agricole en*socio=nil Birmanie*socio=ac;*socio=nil une*socio=nil aide*socio=uv technique*socio=rien *socio=nil à la *socio=rien constitution du dossier du projet *socio=nil de barrage de Kalabagh au Pakistan*socio=ac; des *socio=rien travaux préparatoires pour*socio=nil un prêt*socio=ec de*socio=nil coopération*socio=uv technique *socio=nil à l'Argentine*socio=ac; et une aide*socio=uv préparatoire*socio=rien à *socio=rien un projet de*socio=nil portée mondiale*socio=te *socio=nil destiné à renforcer la formation*socio=et et la recherche*socio=ec en vue*socio=rien d'augmenter la *socio=ec production alimentaire.*socio=nil *socio=nil Parmi les autres projets*socio=rien figurent des projets*socio=rien par pays*socio=ac ayant trait*socio=rien à la Décennie*socio=rien de l'eau*socio=ec potable*socio=rien actuellement en cours*socio=rien et aux programmes*socio=et de gestion*socio=et du*socio=rien secteur*socio=ec de l'énergie*socio=ec.