*{Rapport annuel de la Banque mondiale, 1988} Chapitre*socio=rien deux. La scène*socio=rien économique*socio=ec: Vue*socio=rien d'ensemble*socio=rien . En 1987, la production*socio=ec a continué de croître à *socio=rien un rythme *socio=nil modéré et l'inflation*socio=ec *socio=rien globale est *socio=nil restée relativement faible*socio=rien dans les *socio=ac pays industriels,*socio=nil *socio=nil alors que le taux_de_croissance*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac fléchissait par rapport*socio=rien à 1986. Dans les sept plus grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac (République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, Canada*socio=ac, États-unis*socio=ac, France*socio=ac, Italie*socio=ac, Japon*socio=ac et Royaume-uni*socio=ac), la croissance*socio=uv de la production*socio=ec et l'inflation*socio=ec ont été*socio=rien en moyenne*socio=rien d'environ 3% en 1987, la première*socio=rien ayant quelque peu tendance*socio=rien à s'accélérer, et la seconde à se ralentir, par rapport*socio=rien à 1986 (Voir Tableau*socio=rien 2-1). Dans les pays_en_développement*socio=ac, on estime*socio=rien que le produit_intérieur_brut*socio=ec (PIB*socio=ec) par habitant*socio=ac a augmenté de 2,3% en 1987, contre 2,8% en 1986, et 1,2% en moyenne*socio=rien pendant la *socio=rien première moitié des*socio=nil années *socio=nil 80 (Voir Tableau*socio=rien 2-2). Dans les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac et, en moyenne*socio=rien , dans les pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien très endettés, le PIB*socio=ec par habitant*socio=ac a en fait*socio=rien régressé en 1987. Chez certains, l'inflation*socio=ec et d'autres signes d'instabilité*socio=uv financière*socio=ec ont empiré. Les déséquilibres des paiements*socio=ec courants*socio=rien sont restés prononcés en 1987 dans les grands*socio=rien *socio=ac pays industriels.*socio=nil Le*socio=nil *socio=ec déficit extérieur courant*socio=rien des*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil a atteint plus de 150 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, alors que l'excédent*socio=ec global*socio=rien des paiements*socio=ec de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et du*socio=rien Japon*socio=ac dépassait 130 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec (Voir Tableaux*socio=rien 2-3 et 2-4). En 1986-87, l'instabilité*socio=uv des taux_de_change*socio=ec a été*socio=rien sans précédent*socio=rien : la valeur*socio=ec du*socio=rien dollar*socio=ec des États-unis*socio=ac a baissé de plus de 50% par rapport*socio=rien au yen*socio=ec et au deutsche_mark*socio=ec (Voir Graphique*socio=rien 2-1). Pourtant, l'année*socio=rien 1987 a également été*socio=rien marquée par quelques premiers*socio=rien progrès*socio=uv sur*socio=rien plusieurs fronts*socio=rien . La stabilisation*socio=et des *socio=rien changes est devenue*socio=nil un objectif majeur des*socio=nil pouvoirs_publics*socio=ac,*socio=nil *socio=nil comme en témoignent*socio=rien l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre (février*socio=rien 1987) et les déclarations*socio=et publiées à l'issue*socio=rien du*socio=rien sommet_économique*socio=ec de Venise (juin*socio=rien 1987), des réunions*socio=rien des pays*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des sept à Washington*socio=ac (décembre*socio=rien 1987) et du*socio=rien sommet_économique*socio=ec de Toronto*socio=ac (juin*socio=rien 1988)1. Dans certains *socio=ac pays industriels,*socio=nil une*socio=nil nouvelle*socio=rien structure*socio=ec *socio=nil de la demande*socio=ec a stimulé l'investissement*socio=ec. L'évolution*socio=rien survenue pendant l'année*socio=rien a fait*socio=rien ressortir de plus en plus la nécessité*socio=uv d'élargir la gamme*socio=rien des *socio=rien instruments disponibles *socio=nil pour atténuer les problèmes*socio=uv de la dette*socio=ec et de réévaluer les modalités*socio=rien d'utilisation*socio=rien des *socio=rien instruments existants.*socio=nil *socio=nil En outre, des initiatives*socio=rien ont *socio=rien été prises *socio=nil par les divers éléments*socio=rien de la communauté*socio=ac des créanciers*socio=ac, conjointement avec les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac, en vue*socio=rien de venir à bout*socio=rien de la grave*socio=rien crise*socio=uv de développement*socio=uv à laquelle sont confrontés les pays*socio=ac subsahariens à faible*socio=rien revenu*socio=ec. *socio=rien Faits marquants *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac. D'après*socio=rien les indicateurs*socio=ec disponibles*socio=rien à la mi-88, l'activité*socio=rien économique*socio=ec a repris, l'inflation*socio=ec et les *socio=ec coûts salariaux *socio=nil ont encore quelque peu diminué et la productivité*socio=ec s'est*socio=rien améliorée dans les principaux*socio=rien *socio=ac pays industriels *socio=nil en 1987 et 1988. Fait*socio=rien à signaler, le Japon*socio=ac contribue maintenant dans une *socio=rien large mesure *socio=nil à régler l'allure*socio=rien de la demande*socio=ec globale*socio=rien . Le boom*socio=ec des investissements*socio=ec, qui a pris de l'élan*socio=rien au Japon*socio=ac en 1987, s'est*socio=rien poursuivi en 1988. En outre, plusieurs grands*socio=rien *socio=ac pays européens *socio=nil se sont beaucoup mieux comportés qu'on ne l'avait espéré à la fin*socio=rien de 1987, après*socio=rien le krach boursier mondial*socio=te d'octobre*socio=rien . La chute des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec enregistrée en 1986 a amélioré la rentabilité*socio=ec. De plus, les exportations*socio=ec des *socio=ac pays industriels en*socio=nil direction*socio=rien des*socio=nil pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec *socio=nil sont reparties au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1987 et augmentent maintenant rapidement par rapport*socio=rien aux *socio=rien faibles niveaux *socio=nil enregistrés en 1986. La stabilité*socio=uv des salaires*socio=ec dans les *socio=ac pays industriels *socio=nil contribue à la bonne*socio=rien rentabilité*socio=ec et à la stabilité*socio=uv des prix*socio=ec, étayée par une productivité*socio=ec accrue (et donc par des coûts*socio=ec unitaires*socio=rien plus faibles*socio=rien ) à mesure*socio=rien que la demande*socio=ec se raffermit. Enfin, les encaisses monétaires*socio=ec ont progressé plus rapidement que les niveaux*socio=rien des prix*socio=ec correspondants*socio=rien , ce qui, tôt ou tard, stimulera la demande*socio=ec et intensifiera la menace*socio=rien de l'inflation*socio=ec. Le taux_de_croissance*socio=ec *socio=rien du volume des*socio=nil échanges*socio=ec mondiaux*socio=te *socio=nil et des débouchés*socio=ec des exportations*socio=ec des États-unis*socio=ac s'est*socio=rien accéléré à partir de mi-1987. Par conséquent*socio=rien , l'essor*socio=rien des exportations*socio=ec américaines*socio=ac, qui est*socio=rien lié à la compétitivité*socio=uv accrue de ce pays*socio=ac, n'est*socio=rien pas neutralisé par une baisse*socio=rien des exportations*socio=ec ailleurs*socio=rien . En 1987 et au début*socio=rien de 1988, ces exportations*socio=ec ont progressé à *socio=rien un rythme *socio=nil de plus de 20% par an*socio=rien en volume*socio=rien , alors que, d'après*socio=rien les dernières*socio=rien estimations*socio=ec, les échanges*socio=ec mondiaux*socio=te augmentaient d'environ 11% entre le premier*socio=rien et le *socio=rien second semestres *socio=nil de 1987. La demande*socio=ec *socio=rien globale est *socio=nil également renforcée par la croissance*socio=uv toujours considérable*socio=rien de la demande*socio=ec intérieure*socio=rien aux États-unis*socio=ac. Pendant la seconde moitié*socio=rien de 1987, cette croissance*socio=uv a été*socio=rien de 4% sur*socio=rien une *socio=rien base annuelle *socio=nil et le niveau*socio=rien de la demande*socio=ec a continué de progresser au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1988, bien*socio=rien qu'à *socio=rien un rythme plus*socio=nil lent.*socio=nil Le*socio=nil taux d'*socio=nil épargne*socio=ec des*socio=nil États-unis*socio=ac est *socio=nil cependant toujours faible*socio=rien et leur déficit*socio=ec courant*socio=rien (et, par conséquent*socio=rien , leur *socio=rien taux global d'*socio=nil emprunt*socio=ec *socio=nil à l'étranger*socio=te) reste*socio=rien à *socio=rien un niveau élevé.*socio=nil *socio=nil Pendant le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1988, ce déficit*socio=ec était d'environ 160 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec sur*socio=rien une *socio=rien base annuelle,*socio=nil *socio=nil soit au même niveau*socio=rien qu'en 1987, malgré l'amélioration*socio=uv en cours*socio=rien de la balance*socio=rien commerciale*socio=ec. La priorité*socio=uv accordée par les principaux*socio=rien pays*socio=ac à la stabilité*socio=uv des taux_de_change*socio=ec clés*socio=rien a commencé à porter ses fruits*socio=rien à la fin*socio=rien de 1987 (Voir Graphique*socio=rien 2-1). Compte*socio=rien tenu de tous ces facteurs*socio=rien , le taux_de_croissance*socio=ec de la masse*socio=rien monétaire*socio=ec et du*socio=rien PNB*socio=ec nominal*socio=rien des pays*socio=ac excédentaires*socio=ec a continué d'augmenter, dans le même temps*socio=rien que ceux-ci augmentaient leurs réserves*socio=ec. Compte*socio=rien tenu de ces tendances*socio=rien , les autorités*socio=et devront surveiller de près les pressions*socio=uv inflationnistes*socio=ec, celles-ci pouvant résulter de l'action*socio=rien combinée d'influences monétaires*socio=ec, d'un*socio=rien resserrement*socio=uv des marchés*socio=ec des facteurs*socio=rien (à la fois*socio=rien travail*socio=ec et capital*socio=ec) et des rigidités du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec qui tendent à persister en dépit*socio=rien d'une *socio=rien modification considérable *socio=nil de la structure*socio=ec de la demande*socio=ec. En avril*socio=rien 1988, les prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien non pétroliers*socio=ec dépassaient de 25% le niveau*socio=rien qu'ils atteignaient au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1987 et ils n'ont cessé de monter chaque mois*socio=rien pendant la *socio=rien première moitié *socio=nil de 1988. Les prix*socio=ec des métaux*socio=ec et des minerais, qui suivent une évolution*socio=rien relativement cyclique*socio=te, ont augmenté de 50% dans le même temps*socio=rien . A la *socio=rien fin du premier trimestre*socio=te *socio=nil de 1988, le taux*socio=rien de chômage*socio=ec aux États-unis*socio=ac était tombé à 5,6%, contre 6,6% *socio=rien un an *socio=nil plus tôt. Les gouvernements*socio=ac souhaiteront donc peut-être examiner les *socio=rien mesures supplémentaires *socio=nil qui sont nécessaires*socio=rien pour parer aux risques*socio=uv d'inflation*socio=ec et donner ainsi aux marchés*socio=ec des capitaux*socio=ec nationaux*socio=te et internationaux*socio=te *socio=rien un meilleur sentiment de*socio=nil solidité *socio=nil et de confiance*socio=uv que celui qui régnait à la fin*socio=rien de 1987 et au début*socio=rien de 1988. C'est*socio=rien dans cet état*socio=rien d'esprit*socio=uv que les chefs*socio=ac d'État*socio=ac ou de gouvernement*socio=ac de sept grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac et le président*socio=rien de la Commission*socio=ac des *socio=ac communautés européennes,*socio=nil *socio=nil réunis à Toronto*socio=ac à la mi-juin 1988, ont convenu de renforcer leur coopération*socio=uv pour assurer la poursuite*socio=rien d'une croissance*socio=uv non inflationniste*socio=ec et de rester en garde*socio=rien contre toute reprise de l'inflation*socio=ec. Dans une perspective*socio=rien à long_terme*socio=ec (c'est-à-dire au-delà de la gestion*socio=et des risques*socio=uv financiers*socio=ec de 1988), il est*socio=rien maintenant largement et solidement*socio=rien établi que la priorité*socio=uv pour les pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien de préserver les progrès*socio=uv accomplis dans la lutte*socio=uv contre l'inflation*socio=ec. Pour que cette politique*socio=et donne des résultats*socio=rien à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil il faut que les autorités*socio=et suivent une *socio=et politique budgétaire plus*socio=nil crédible*socio=uv *socio=nil et plus concertée, faisant une *socio=rien place importante *socio=nil à des objectifs*socio=rien communs*socio=uv pour l'économie*socio=ec mondiale*socio=te. Compte*socio=rien tenu des déséquilibres des paiements*socio=ec, toute tentative*socio=rien de stabilisation*socio=et des taux_de_change*socio=ec pourrait sinon provoquer à nouveau*socio=rien l'instabilité*socio=uv des *socio=ec marchés boursiers *socio=nil qui était si préoccupante*socio=uv vers la fin*socio=rien de 1987. Un*socio=rien tel retour*socio=rien à l'instabilité*socio=uv pourrait à son tour*socio=rien aboutir à une création*socio=rien monétaire*socio=ec excessive*socio=rien et à la "stagflation*socio=ec". La coopération_internationale*socio=ac comporte donc ses propres*socio=rien risques*socio=uv, ce qui explique peut-être pourquoi toutes les projections*socio=et en matière*socio=rien de croissance*socio=uv à long_terme*socio=ec sont entourées d'une très grande*socio=rien marge d'incertitude*socio=uv. Il importe également que la demande*socio=ec soit suffisante*socio=rien pour assurer le *socio=rien bon fonctionnement du processus d'*socio=nil ajustement*socio=et.*socio=nil Le*socio=nil Japon*socio=ac *socio=nil joue donc *socio=rien un rôle critique*socio=uv *socio=nil à ce stade*socio=te et la résorption*socio=rien des graves*socio=rien déséquilibres de paiements*socio=ec au sein*socio=rien de l'Europe*socio=ac - par la réduction*socio=uv des rigidités et des entraves aux échanges*socio=ec et à la concurrence*socio=ec, ainsi que par des mesures*socio=rien de stabilisation*socio=et - est*socio=rien également importante*socio=rien non seulement pour la croissance*socio=uv future*socio=rien de l'Europe*socio=ac, mais pour l'Afrique*socio=ac, qui lui est*socio=rien unie par des liens*socio=rien commerciaux*socio=ec et financiers*socio=ec étroits*socio=rien . La situation*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac. Les indicateurs*socio=ec courants*socio=rien donnent *socio=rien un tableau moins*socio=nil complet *socio=nil de ce qui se passe dans les pays_en_développement*socio=ac, mais il semble que la relance*socio=uv de la demande*socio=ec dans les *socio=ac pays industriels,*socio=nil *socio=nil surtout au Japon*socio=ac, ait exercé une *socio=rien impulsion majeure sur les*socio=nil exportations*socio=ec des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac.*socio=nil *socio=nil De plus, leurs importations*socio=ec commencent également, avec *socio=rien un certain *socio=nil décalage dans le temps*socio=rien , à s'en ressentir. Les pays*socio=ac nouvellement industrialisés d'Asie*socio=ac sont les principaux*socio=rien bénéficiaires*socio=ac du*socio=rien boom*socio=ec des importations*socio=ec japonaises*socio=ac et leurs importations*socio=ec progressent également rapidement. Vers la fin*socio=rien de 1987, les importations*socio=ec du*socio=rien Japon*socio=ac provenant de ces pays*socio=ac dépassaient de 50%, en dollars*socio=ec, le niveau*socio=rien qu'elles atteignaient *socio=rien un an *socio=nil plus tôt; la plupart*socio=rien des autres régions*socio=te ont également profité de ce boom*socio=ec. A la fin*socio=rien de 1987, la balance_des_paiements*socio=ec courants*socio=rien de la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac, sauf en *socio=ac Afrique subsaharienne,*socio=nil *socio=nil a accusé un*socio=rien déficit*socio=ec plus faible*socio=rien ou un*socio=rien excédent*socio=ec plus élevé*socio=rien qu'un*socio=rien an*socio=rien auparavant. Par conséquent*socio=rien , la plupart*socio=rien des grands*socio=rien *socio=ac pays industriels,*socio=nil *socio=nil sauf la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, ont enregistré des excédents*socio=ec plus faibles*socio=rien ou des déficits*socio=ec accrus, alors que le déficit*socio=ec des États-unis*socio=ac restait pratiquement inchangé*socio=rien par rapport*socio=rien à l'année*socio=rien précédente*socio=rien . L'amélioration*socio=uv des balances_des_paiements*socio=ec courants*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac en 1987 reflète l'essor*socio=rien des exportations*socio=ec, ainsi que la contraction*socio=et des importations*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien très endettés et des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec d'Afrique*socio=ac. Pour ces deux groupes*socio=ac de pays*socio=ac, les estimations*socio=ec de la croissance*socio=uv récente*socio=rien de la production*socio=ec restent généralement faibles*socio=rien . Ainsi, les différences*socio=uv de croissance*socio=uv constatées entre les pays*socio=ac fortement endettés et ceux qui n'ont pas de gros*socio=rien problèmes*socio=uv d'endettement*socio=ec continuent d'être*socio=rien marquées. En 1987, la croissance*socio=uv de la production*socio=ec globale*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac s'est*socio=rien ralentie, tombant de 4,9% en 1986 à 4,5%, d'après*socio=rien les estimations*socio=ec. Le PIB*socio=ec de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac a en fait*socio=rien régressé (non compris le Nigeria*socio=ac, il a augmenté de 1,5% - ce qui, exprimé par habitant*socio=ac, représente quand même *socio=rien un recul)*socio=nil *socio=nil . Dans les pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien très endettés, la croissance*socio=uv moyenne*socio=rien n'a été*socio=rien que de 1,6%, alors qu'elle était de 3,4% en 1986. La croissance*socio=uv des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec à*socio=nil revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien a*socio=nil *socio=rien été inférieure *socio=nil à 1% (c'est-à-dire négative*socio=rien , par habitant*socio=ac), ces pays*socio=ac ayant essayé d'amortir le choc*socio=rien de la baisse*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec et de s'y adapter*socio=rien . L'économie*socio=ec indienne*socio=ac a souffert d'une sévère*socio=rien sécheresse*socio=et - *socio=rien facteur principal *socio=nil expliquant le recul*socio=rien de la croissance*socio=uv du*socio=rien PIB*socio=ec en Asie_du_sud*socio=ac de 4,7% en 1986 à 2,7% en 1987. Néanmoins, dans beaucoup de pays_en_développement*socio=ac d'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien et de la région*socio=te Europe*socio=ac, Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te, les tendances*socio=rien de la croissance*socio=uv sont restées relativement soutenues. Pour les pays_en_développement*socio=ac en tant que groupe*socio=ac, l'environnement*socio=ec *socio=ec commercial extérieur s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil quelque peu amélioré en 1987, si l'on considère la croissance*socio=uv *socio=rien appréciable du volume global *socio=nil de leurs exportations*socio=ec, le léger*socio=rien redressement*socio=uv de leurs termes_de_l'_échange*socio=et et, par conséquent*socio=rien , l'amélioration*socio=uv du*socio=rien pouvoir_d'_achat*socio=ec de leurs recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec, qui a augmenté de près de 8% de 1986 à 1987 (Voir Tableau*socio=rien 2-5). En outre, le volume*socio=rien des importations*socio=ec a évolué plus ou moins de pair*socio=rien avec le pouvoir_d'_achat*socio=ec des recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec, sauf dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec *socio=nil où les importations*socio=ec (qui étaient à *socio=rien un niveau très*socio=nil bas *socio=nil en 1986) n'ont commencé à se redresser qu'à la fin*socio=rien de 1987. Les mouvements*socio=ec de tous ces indicateurs*socio=ec ont énormément varié d'un*socio=rien groupe*socio=ac à l'autre, ce qui s'explique surtout par la *socio=rien part respective des*socio=nil produits de*socio=nil base *socio=nil dans les *socio=ec échanges commerciaux *socio=nil et la destination*socio=rien géographique*socio=te des exportations*socio=ec. Pour l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac, par exemple*socio=rien , le volume*socio=rien des importations*socio=ec a de nouveau*socio=rien fléchi en 1987, de même que le pouvoir_d'_achat*socio=ec des recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec. La chute de ce dernier*socio=rien a traduit *socio=rien un recul du volume des*socio=nil exportations*socio=ec,*socio=nil *socio=nil alors que les termes_de_l'_échange*socio=et s'amélioraient légèrement grâce*socio=rien à un*socio=rien redressement*socio=uv partiel*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec. Pour les exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés, cependant, le volume*socio=rien des importations*socio=ec et le pouvoir_d'_achat*socio=ec des exportations*socio=ec ont tous deux augmenté d'environ 8% et 11%, respectivement; leurs termes_de_l'_échange*socio=et se sont détériorés, mais ce facteur*socio=rien a été*socio=rien largement compensé par un*socio=rien accroissement*socio=ec d'environ 13% *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec.*socio=nil Le*socio=nil Graphique *socio=nil 2-2 illustre l'évolution*socio=rien divergente du*socio=rien pouvoir_d'_achat*socio=ec des recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec de trois grandes*socio=rien régions*socio=te en développement*socio=uv. Les mouvements*socio=ec contrastes des termes_de_l'_échange*socio=et des différents*socio=rien groupes*socio=ac de pays*socio=ac reflètent l'évolution*socio=rien extrêmement divergente des prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien (Voir Tableau*socio=rien 2-6). Si le prix*socio=ec en dollars*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec a regagné en 1987 près de la moitié*socio=rien de ce qu'il avait perdu en 1986 (en pourcentage*socio=rien ), les prix*socio=ec en dollars*socio=ec des autres produits*socio=rien de base*socio=rien sont restés relativement stationnaires pour la *socio=rien deuxième année consécutive;*socio=nil *socio=nil une chute de l'indice des *socio=rien denrées alimentaires *socio=nil et des boissons*socio=rien a annulé les *socio=rien effets du retour *socio=nil à une tendance*socio=rien positive*socio=uv des indices des métaux*socio=ec et des minerais et de ceux des produits*socio=rien agricoles*socio=ec non alimentaires*socio=rien . La *socio=rien fin du boom*socio=ec du cours du café*socio=ec *socio=nil de 1986, la *socio=rien baisse continue des*socio=nil prix*socio=ec des*socio=nil céréales*socio=ec *socio=nil et le boom*socio=ec des prix*socio=ec des métaux*socio=ec dû à l'expansion*socio=ec industrielle*socio=ec (surtout au Japon*socio=ac, aux États-unis*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac) ont été*socio=rien les *socio=rien principaux facteurs *socio=nil sous-tendant l'évolution*socio=rien inégale*socio=uv des prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien . Pour le café*socio=ec et le cacao*socio=ec - *socio=rien principales sources de*socio=nil recettes*socio=ec d'*socio=nil exportation*socio=ec pour*socio=nil un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil parmi les plus pauvres*socio=uv - on est*socio=rien entré dans un*socio=rien cycle*socio=te de croissance*socio=uv rapide*socio=rien de la production*socio=ec et de bas*socio=rien prix*socio=ec. Cet accroissement*socio=ec de la production*socio=ec est*socio=rien le résultat*socio=rien de la *socio=rien forte extension des*socio=nil superficies plantées*socio=nil après le*socio=nil boom*socio=ec des*socio=nil prix*socio=ec du café*socio=ec et*socio=nil du cacao*socio=ec *socio=nil de 1977-79. Les efforts*socio=uv déployés par les États-unis*socio=ac pour réduire les vastes*socio=rien *socio=ec stocks agricoles *socio=nil accumulés à *socio=rien cause du soutien*socio=uv élevé des*socio=nil prix*socio=ec *socio=nil ont suscité des différends*socio=uv entre eux et la communauté_économique_européenne*socio=ac au sujet*socio=rien des marchés*socio=ec d'importation*socio=ec, ce qui a fait*socio=rien chuter les prix*socio=ec internationaux*socio=te. Toutefois, la production*socio=ec a diminué, les stocks*socio=ec ont été*socio=rien réduits et les prix*socio=ec sont en hausse*socio=rien . La vigueur*socio=uv du*socio=rien boom*socio=ec de l'industrie*socio=ec, surtout au Japon*socio=ac, a surpris les marchés*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien . Les prix*socio=ec des matières_premières*socio=ec, surtout de l'aluminium*socio=ec et du*socio=rien cuivre*socio=ec, ont vivement augmenté et les stocks*socio=ec de certains de ces produits*socio=rien sont descendus à des niveaux*socio=rien sans précédent*socio=rien . Jusqu'à présent*socio=rien , l'expansion*socio=ec de la production*socio=ec a *socio=rien été lente *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=ac. Une fois*socio=rien exprimés en droits_de_tirage_spéciaux*socio=ec (DTS) - pour annuler presque entièrement l'effet*socio=rien de distorsion qu'exerce la dépréciation*socio=ec du*socio=rien dollar*socio=ec des États-unis*socio=ac - ou déflatés par les prix*socio=ec des biens*socio=ec manufacturés exportés par les *socio=ac pays industriels,*socio=nil les*socio=nil prix*socio=ec totaux*socio=rien des*socio=nil produits*socio=rien de*socio=nil base*socio=rien non*socio=nil pétroliers*socio=ec *socio=nil ont à nouveau*socio=rien fortement reculé entre 1986 et 1987, même si, en pourcentage*socio=rien , ce recul*socio=rien n'était pas aussi marqué qu'en 1985 et 1986. Le *socio=ec prix réel du*socio=rien pétrole *socio=nil a cependant augmenté d'environ 15%, une fois*socio=rien déflaté par les prix*socio=ec à l'exportation*socio=ec des biens*socio=ec manufacturés. Par conséquent*socio=rien , le *socio=rien nouvel élan *socio=nil donné à la croissance*socio=uv en 1987-88 par les cours*socio=rien internationaux*socio=te se fait*socio=rien particulièrement sentir dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec,*socio=nil *socio=nil alors que ceux qui exportent des produits*socio=rien de base*socio=rien non pétroliers*socio=ec (surtout des aliments*socio=ec et des boissons*socio=rien ) ont pas encore beaucoup profité de la reprise des échanges*socio=ec mondiaux*socio=te. Si les conditions*socio=uv extérieures*socio=te de la croissance*socio=uv dans les pays_en_développement*socio=ac ont commencé à paraître plus favorables*socio=rien en 1987 qu'auparavant, *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont continué de suivre une politique*socio=et de rigueur*socio=uv. Pour les pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien , cette rigueur*socio=uv s'est*socio=rien traduite par *socio=rien un renversement du solde*socio=ec *socio=nil de la balance_des_paiements*socio=ec (biens*socio=ec, services*socio=ec et *socio=ec transferts privés)*socio=nil *socio=nil qui, de déficitaire*socio=ec en 1986, est*socio=rien devenu excédentaire*socio=rien en 1987 (Voir Tableau*socio=rien 2-7). La Chine*socio=ac, grand*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec, a également fortement réduit son déficit*socio=ec courant*socio=rien . Cela n'a pas été*socio=rien le cas*socio=rien des petits*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec, en particulier*socio=uv ceux d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac, qui ne sont guère en mesure*socio=rien de comprimer davantage encore leurs dépenses*socio=ec; ces pays*socio=ac ont réussi toutefois à limiter*socio=rien la croissance*socio=uv de leur *socio=ec déficit extérieur *socio=nil en réduisant encore le volume*socio=rien de leurs importations*socio=ec entre 1986 et 1987. Les pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien très endettés, pris en tant que groupe*socio=ac, ont amputé leurs importations*socio=ec et réduit leur *socio=ec déficit extérieur *socio=nil en 1987. La relance*socio=uv de la croissance*socio=uv et sa viabilité*socio=uv à l'avenir*socio=te dépendra de ce que ces pays*socio=ac persévèrent dans l'exécution*socio=rien de programmes*socio=et rigoureux*socio=rien d'ajustement*socio=et. *socio=rien Un grand nombre *socio=nil d'entre eux ont bien*socio=rien avancé dans la mise en oeuvre*socio=rien de réformes*socio=et. Le Chili*socio=ac et la Colombie*socio=ac, par exemple*socio=rien , ont fortement réduit leurs déséquilibres intérieurs*socio=rien , tout en soutenant leur production*socio=ec par des mesures*socio=rien qui ont stimulé les exportations*socio=ec. En dépit*socio=rien de ses difficultés*socio=rien , le Mexique*socio=ac a également beaucoup progressé dans cette voie*socio=rien , même s'il lui en a beaucoup coûté sur*socio=rien le plan*socio=rien de la croissance*socio=uv. Dans *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'autres pays*socio=ac, par contre, l'effort*socio=uv de réforme*socio=et a *socio=rien été insuffisant,*socio=nil *socio=nil ou s'est*socio=rien relâché, et il reste*socio=rien encore beaucoup à faire pour rationaliser l'investissement*socio=ec et l'activité*socio=rien du*socio=rien secteur_public*socio=ac; pour renforcer les incitations*socio=rien à l'épargne*socio=ec intérieure*socio=rien et réduire les déficits*socio=ec budgétaires*socio=et; enfin pour atténuer les distorsions*socio=uv des prix*socio=ec qui encouragent l'inefficacité*socio=uv économique*socio=ec, surtout dans le secteur*socio=ec du*socio=rien *socio=ec commerce extérieur.*socio=nil Le*socio=nil *socio=rien volume total *socio=nil de la dette*socio=ec extérieure*socio=te (à moyen*socio=rien et à long_terme*socio=ec) des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien très endettés et des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac s'est*socio=rien encore alourdi en 1987, tant en *socio=rien montants absolus en*socio=nil dollars*socio=ec des*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil qu'en *socio=rien pourcentage du PNB*socio=ec en*socio=nil dollars*socio=ec courants *socio=nil (Voir Tableau*socio=rien 2-8). Pour ce dernier*socio=rien groupe*socio=ac de pays*socio=ac, l'accroissement*socio=ec de la dette*socio=ec a surtout été*socio=rien dû aux effets*socio=rien de *socio=ec conversion monétaire,*socio=nil *socio=nil qui ont augmenté la dette*socio=ec en dollars*socio=ec lorsque cette monnaie*socio=ec s'est*socio=rien dépréciée en 1987. (En 1987, le PNB*socio=ec de plusieurs pays*socio=ac, exprimé en dollars*socio=ec courants*socio=rien des États-unis*socio=ac, a été*socio=rien fortement révisé à la baisse*socio=rien en raison*socio=uv de la *socio=ec dévaluation monétaire.*socio=nil *socio=nil ) Pour le premier*socio=rien groupe*socio=ac de pays*socio=ac, l'augmentation*socio=uv de la dette*socio=ec a été*socio=rien due surtout à l'action*socio=rien combinée des ajustements*socio=et de conversion*socio=ec et à l'aménagement*socio=rien de la dette*socio=ec qui a été*socio=rien rééchelonnée *socio=rien du court à*socio=nil moyen et*socio=nil long termes.*socio=nil Les*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec nominaux en*socio=nil dollars*socio=ec *socio=nil ayant légèrement remonté en 1987, la charge*socio=uv *socio=rien totale du service_de_la_dette*socio=et du groupe*socio=ac *socio=nil des 109 pays_en_développement*socio=ac s'est*socio=rien alourdie; en *socio=rien pourcentage du PNB*socio=ec,*socio=nil la*socio=nil dette*socio=ec *socio=nil a cependant reculé, ce qui s'explique surtout par la croissance*socio=uv rapide*socio=rien de certains *socio=ac pays asiatiques *socio=nil qui, dans le même temps*socio=rien , ont réduit leur encours, ou dont la dette*socio=ec a augmenté à *socio=rien un rythme plus*socio=nil lent *socio=nil que leur PNB*socio=ec. Sur*socio=rien la base*socio=rien des paiements*socio=ec, le groupe*socio=ac des pays*socio=ac très endettés a en fait*socio=rien réduit les montants*socio=rien versés au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et *socio=nil en obtenant des rééchelonnements*socio=ec ou en accumulant des arriérés. Malgré cette réduction*socio=uv, les montants*socio=rien payés au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et à*socio=nil moyen *socio=nil et à long_terme*socio=ec par les 109 pays_en_développement*socio=ac ont augmenté entre 1986 et 1987, alors que les décaissements*socio=ec bruts*socio=rien de prêts*socio=ec à moyen*socio=rien et à long_terme*socio=ec qu'ils ont reçus ont légèrement diminué. Le transfert*socio=ec net*socio=rien de *socio=ec ressources financières *socio=nil (c'est-à-dire la différence*socio=rien entre décaissements*socio=ec bruts*socio=rien et service*socio=ec total*socio=rien de la dette*socio=ec) a continué de se traduire, pour les pays_en_développement*socio=ac, par une sortie *socio=rien nette annuelle largement*socio=nil supérieure *socio=nil à 30 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec (Voir Graphique*socio=rien 2-3). Bien*socio=rien que des mesures*socio=rien aient *socio=rien été prises *socio=nil pour accroître le flux*socio=ec des ressources*socio=ec acheminées par les circuits officiels*socio=rien , le *socio=rien volume total des*socio=nil apports financiers*socio=ec *socio=nil allât, aux pays_en_développement*socio=ac *socio=rien est insuffisant *socio=nil pour leur permettre de faire face*socio=rien aux impératifs*socio=uv de la croissance_économique*socio=ec, de la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, de la conservation*socio=uv de l'environnement*socio=ec et de l'ajustement_structurel*socio=et comme de surmonter leurs problèmes*socio=uv d'endettement*socio=ec. C'est*socio=rien pour ces raisons*socio=rien que le comité_du_développement*socio=ac, lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1988 à Washington*socio=ac, a exhorté de nouveau*socio=rien la communauté*socio=ac internationale*socio=te à accroître les *socio=ec flux financiers *socio=nil destinés aux pays_en_développement*socio=ac. Les *socio=rien membres du Comité *socio=nil ont également convenu que ces apports*socio=rien pouvaient être*socio=rien renforcés si les pays*socio=ac développés*socio=rien tout comme les pays_en_développement*socio=ac mettaient en oeuvre*socio=rien les politiques*socio=et et les mesures*socio=rien appropriées. Le Comité*socio=rien a noté qu'une aide*socio=uv mieux coordonnée, un*socio=rien renforcement*socio=uv supplémentaire*socio=rien des institutions_financières*socio=ec internationales*socio=te, de meilleures*socio=rien perspectives*socio=uv en ce qui concerne les recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien et une réduction*socio=uv des mesures*socio=rien de protection*socio=et contribueraient également à accroître les flux*socio=ec de ressources*socio=ec. Dans le rapport*socio=rien qu'il a adressé au Comité*socio=rien , le Président*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac a cependant déclaré que la plupart*socio=rien des *socio=rien mesures sur *socio=nil lesquelles le Comité*socio=rien s'était mis d'accord*socio=uv dans le passé*socio=rien n'avaient pas encore *socio=rien été prises *socio=nil et a demandé instamment qu'un*socio=rien appui*socio=rien politique*socio=et soit mobilisé pour rétablir les flux*socio=ec de *socio=ec ressources financières destinées*socio=rien aux*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil et pour affecter ces ressources*socio=ec à ceux qui en ont le plus besoin*socio=uv et qui sont le mieux à même de les utiliser. Les sorties croissantes*socio=rien de *socio=ec ressources financières en*socio=nil provenance*socio=rien des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac,*socio=nil *socio=nil ajoutées aux données déjà analysées sur*socio=rien la croissance*socio=uv de la production*socio=ec, des exportations*socio=ec et des importations*socio=ec, confirment que les résultats*socio=rien ne correspondent pas à ce qu'on aurait raisonnablement pu attendre et que les progrès*socio=uv enregistrés ne pourront être*socio=rien soutenus à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Tout*socio=nil progrès*socio=uv *socio=nil dans la recherche*socio=rien d'une solution*socio=rien acceptable*socio=uv à la crise*socio=uv de la dette*socio=ec exige une reprise de la croissance*socio=uv par habitant*socio=ac dans les *socio=ac pays débiteurs.*socio=nil Une*socio=nil expansion*socio=ec *socio=nil soutenue de leur PIB*socio=ec est*socio=rien essentielle*socio=uv pour que ces pays*socio=ac puissent régler progressivement leurs problèmes*socio=uv d'endettement*socio=ec dans des délais*socio=rien réalistes*socio=uv et rétablir ainsi leur solvabilité*socio=ec. Or*socio=rien , jusqu'à présent*socio=rien pendant cette décennie*socio=rien , la plupart*socio=rien des pays*socio=ac très endettés, y compris les quelques pays*socio=ac qui ont entrepris de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et, ont enregistré des taux_de_croissance*socio=ec de la production*socio=ec beaucoup plus faibles*socio=rien et leurs taux*socio=rien d'épargne*socio=ec et d'investissement*socio=ec ont beaucoup diminué. Une croissance*socio=uv *socio=rien rapide est également*socio=nil vitale *socio=nil pour assurer un*socio=rien accroissement*socio=ec soutenable*socio=uv de la consommation*socio=ec par habitant*socio=ac. Vue*socio=rien dans ce contexte*socio=rien , 1987 a donc été*socio=rien encore une *socio=rien année difficile *socio=nil pour les pays*socio=ac très endettés. Néanmoins, cette année*socio=rien , la crise*socio=uv de la dette*socio=ec a été*socio=rien attaquée *socio=rien sur bien des*socio=nil fronts.*socio=nil *socio=nil En 1987 et au début*socio=rien de 1988, *socio=rien un certain nombre de*socio=nil gros *socio=ac pays débiteurs,*socio=nil *socio=nil dont l'Argentine*socio=ac, le Brésil*socio=ac, le Chili*socio=ac, le Nigeria*socio=ac, les Philippines*socio=ac et le Venezuela*socio=ac ont entamé des négociations*socio=uv en vue*socio=rien de réaménager leur dette*socio=ec sous une forme*socio=rien ou sous une autre. Le secteur_privé*socio=ec *socio=rien reste hésitant *socio=nil à prêter aux pays_en_développement*socio=ac, comme l'atteste le recul*socio=rien de la *socio=rien part du secteur_privé*socio=ec *socio=nil dans les décaissements*socio=ec totaux*socio=rien (cette *socio=rien part est *socio=nil passée d'environ 65% en 1985 à 60% en 1987). Aux États-unis*socio=ac, la plupart*socio=rien des grandes*socio=rien banques*socio=ac ont augmenté leurs provisions*socio=rien pour pertes*socio=ec sur*socio=rien prêts*socio=ec pour réduire au minimum*socio=rien leur engagement*socio=ec dans les pays_en_développement*socio=ac. *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil *socio=ac pays débiteurs,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=uv en*socio=nil amérique_latine,*socio=nil *socio=nil ont échangé leurs dettes*socio=ec contre des prises*socio=rien de participation*socio=uv de leurs créanciers*socio=ac dans des entreprises*socio=ac locales*socio=rien . Ces transactions*socio=ec, qui consistent pour le créancier*socio=ac à vendre la dette*socio=ec à une fraction*socio=rien seulement de sa valeur*socio=ec initiale*socio=rien , ont été*socio=rien facilitées par l'existence*socio=rien de marchés*socio=ec secondaires*socio=et. Le Chili*socio=ac et le Mexique*socio=ac sont parmi ceux qui ont le mieux réussi dans ce domaine*socio=rien . Pour la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, cependant, le volume*socio=rien de la dette*socio=ec échangée de cette *socio=rien façon est resté*socio=nil modeste,*socio=nil *socio=nil comparé aux montants*socio=rien que ces pays*socio=ac devaient à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien . A certains pays*socio=ac, surtout ceux d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac, le rééchelonnement*socio=ec de la dette*socio=ec négocié avec le Club_de_paris*socio=ac a *socio=rien offert un répit essentiel*socio=uv.*socio=nil *socio=nil Pour ce groupe*socio=ac de pays*socio=ac, le service_de_la_dette*socio=et d'environ 9 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec versé sur*socio=rien l'encours de la dette*socio=ec (93 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec) représente *socio=rien un pourcentage du PIB*socio=ec plus*socio=nil élevé *socio=nil que celui de toute autre région*socio=te. En 1987, une *socio=rien tentative spéciale a*socio=nil été *socio=nil faite pour "internationaliser" les efforts*socio=uv de redressement*socio=uv de cette région*socio=te (pour plus de détails*socio=rien , voir page*socio=rien 35). Pour leur part*socio=rien , les *socio=ac pays africains *socio=nil ont tenu une *socio=rien réunion spéciale *socio=nil à Addis Abéba (30 novembre*socio=rien et ler décembre*socio=rien 1987), sous les auspices*socio=rien de l'Organisation_de_l'_unité_africaine*socio=ac, pour adopter une stratégie*socio=et commune*socio=uv face*socio=rien au problème*socio=uv grandissant*socio=rien de leur dette*socio=ec. Les participants*socio=ac au sommet*socio=rien ont souligné la nécessité*socio=uv pour les pays*socio=ac écrasés par la dette*socio=ec de canaliser davantage de ressources*socio=ec vers les importations*socio=ec indispensables*socio=uv à l'investissement*socio=ec. Pour atteindre cet objectif*socio=rien , ils ont demandé instamment à leurs créanciers*socio=ac d'offrir des rééchelonnements*socio=ec pluriannuels de la dette*socio=ec couvrant au moins *socio=rien cinq ans,*socio=nil *socio=nil avec des remboursements*socio=ec étalés sur*socio=rien 50 ans*socio=rien , des différés d'amortissement*socio=ec de dix ans*socio=rien et des taux_d'_intérêt*socio=ec zéro*socio=rien . Au sommet_économique*socio=ec de Toronto*socio=ac, les dirigeants*socio=ac de sept grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, ainsi que le Président*socio=rien de la Commission*socio=ac des *socio=ac communautés européennes,*socio=nil *socio=nil ont annoncé qu'ils s'étaient entendus sur*socio=rien le rééchelonnement*socio=ec de la dette_publique*socio=et des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec "selon *socio=rien un modèle *socio=nil qui permet aux créanciers*socio=ac publics*socio=et de choisir entre *socio=rien diverses options:*socio=nil des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec concessionnels*socio=uv *socio=nil ordinairement assortis d'échéances*socio=te plus courtes*socio=rien , des périodes*socio=te de remboursement*socio=ec plus longues*socio=rien aux *socio=rien taux du marché*socio=ec,*socio=nil *socio=nil des annulations partielles*socio=rien d'obligations*socio=uv au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et *socio=nil pendant la période*socio=te de consolidation*socio=rien , ou une combinaison*socio=rien de ces options*socio=rien ". Peu avant le sommet*socio=rien , la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac avait décidé de remettre 86 millions*socio=rien de deutsche_mark*socio=ec de dettes*socio=ec, et le *socio=rien Président français *socio=nil s'était engagé à annuler *socio=rien un tiers *socio=nil de la dette_publique*socio=et de ces pays*socio=ac. Les stratégies*socio=et poursuivies ces *socio=rien dernières années *socio=nil pour résoudre le problème*socio=uv de la dette*socio=ec ont de plus en plus focalisé l'attention*socio=rien sur*socio=rien les liens*socio=rien qui existent entre les résultats*socio=rien enregistrés par les *socio=ac pays industriels *socio=nil - y compris la politique_commerciale*socio=ec et la croissance*socio=uv du*socio=rien PIB*socio=ec - et les possibilités*socio=rien d'accroissement*socio=ec des exportations*socio=ec et de croissance_économique*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac. La recrudescence du*socio=rien protectionnisme*socio=et, particulièrement notable*socio=rien depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80, *socio=rien reste inquiétante.*socio=nil L'*socio=nil agriculture*socio=ec fait l'*socio=nil objet de*socio=nil mesures protectionnistes*socio=et *socio=nil étendues depuis de *socio=rien nombreuses années *socio=nil et, bien*socio=rien souvent, la chute des cours*socio=rien internationaux*socio=te n'a pas été*socio=rien accompagnée d'une *socio=uv réduction égale des*socio=nil prix*socio=ec de*socio=nil soutien intérieurs*socio=rien *socio=nil dans certains grands*socio=rien *socio=ac pays industriels.*socio=nil *socio=nil Cela a eu des effets*socio=rien pervers: non seulement le coût*socio=ec de la protection*socio=et a augmenté mais les marchés*socio=ec plus fermés que jamais et les exportations*socio=ec subventionnées ont exercé une pression*socio=rien à la *socio=rien baisse sur les*socio=nil cours internationaux*socio=te des*socio=nil produits de*socio=nil base agricoles*socio=ec,*socio=nil *socio=nil alors que ceux-ci étaient déjà bas*socio=rien . Dans le secteur*socio=ec manufacturier*socio=ac la croissance*socio=uv des *socio=uv restrictions volontaires *socio=nil à l'exportation*socio=ec et l'extension*socio=rien de l'Arrangement*socio=uv multifibre ont contribué à étouffer la concurrence*socio=ec au niveau*socio=rien des prix*socio=ec. Le nouveau*socio=rien cycle*socio=te de négociations_commerciales_multilatérales*socio=te engagées en Uruguay*socio=ac est*socio=rien donc devenu encore plus crucial*socio=rien que tous ceux qui l'ont précédé. Convaincus à présent*socio=rien de l'importance*socio=rien des négociations*socio=uv multilatérales*socio=te et des bienfaits*socio=uv de la réforme*socio=et commerciale*socio=ec, de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac prennent part*socio=rien à l'accord_général*socio=rien sur*socio=rien les tarifs*socio=ec douaniers*socio=ac et le commerce*socio=ec (GATT*socio=ec) et participent pour la *socio=rien première fois à*socio=nil part entière aux*socio=nil négociations*socio=uv.*socio=nil *socio=nil En outre, l'inclusion*socio=rien de l'agriculture*socio=ec et de diverses*socio=rien autres barrières*socio=rien de type*socio=rien commercial*socio=ec dans le cadre*socio=rien des négociations*socio=uv, et celle des services*socio=ec dans les négociations*socio=uv parallèles*socio=rien qui se tiennent en dehors du*socio=rien GATT*socio=ec, souligne bien*socio=rien les avantages*socio=rien auxquels la réussite*socio=uv de ces négociations*socio=uv pourraient aboutir. Les négociations*socio=uv d'Uruguay*socio=ac ont commencé il y a environ deux ans*socio=rien et l'examen*socio=rien à mi-parcours doit avoir lieu*socio=rien au début*socio=rien de décembre*socio=rien à Montréal*socio=ac. Même s'il n'y a encore guère de *socio=rien résultats concluants *socio=nil à signaler, les pays_en_développement*socio=ac continuent de participer activement aux négociations*socio=uv actuelles*socio=rien , les propositions*socio=rien faites par *socio=rien un grand nombre de*socio=nil parties contractantes*socio=ec *socio=nil continuent d'être*socio=rien sérieuses*socio=rien et, dans le communiqué publié a l'issue*socio=rien du*socio=rien sommet_économique*socio=ec de Toronto*socio=ac, les chefs*socio=ac d'État*socio=ac ou de gouvernement*socio=ac de sept grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont réaffirmé leur volonté*socio=uv de voir aboutir les négociations*socio=uv. aide_publique_au_développement*socio=et. En 1987, les *socio=rien montants nets d'*socio=nil aide_publique_au_développement*socio=et (*socio=nil APD*socio=et)*socio=nil *socio=nil versés par les pays_membres*socio=ac du*socio=rien comité_d'_aide_au_développement*socio=ac (CAD*socio=ac)2 de l'Organisation_de_coopération_et_de_développement_économiques*socio=ac aux pays_en_développement*socio=ac ont atteint, d'après*socio=rien les estimations*socio=ec, 41,2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, soit une hausse*socio=rien en volume*socio=rien de 4,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien à 1986. En *socio=rien termes réels,*socio=nil *socio=nil cependant, si l'on tient compte*socio=rien de l'évolution*socio=rien des taux_de_change*socio=ec vis-à-vis du*socio=rien dollar*socio=ec des États-unis*socio=ac et des variations*socio=rien des prix*socio=ec, ce montant*socio=ec représente une diminution*socio=rien de 2% par rapport*socio=rien à 1986. Ces décaissements*socio=ec nets*socio=rien d'APD*socio=et ont représenté 0,34% du*socio=rien PNB*socio=ec des pays*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac. *socio=rien Seuls cinq pays*socio=ac (*socio=nil Danemark*socio=ac,*socio=nil France*socio=ac,*socio=nil Norvège*socio=ac,*socio=nil Pays-bas*socio=ac et*socio=nil Suède*socio=ac)*socio=nil *socio=nil ont fourni plus de 0,7% de leur PNB*socio=ec sous forme*socio=rien d'aide_au_développement*socio=uv, ce chiffre de 0,7% étant l'objectif*socio=rien fixé par les nations_unies*socio=ac pour les Deuxième*socio=rien et *socio=rien Troisième décennies *socio=nil pour le développement*socio=uv. Parmi les pays*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac qui ont enregistré une augmentation*socio=uv réelle*socio=rien à deux chiffres des décaissements*socio=ec d'APD*socio=et pendant l'année*socio=rien , on peut citer la Finlande*socio=ac (14%) et le Japon*socio=ac (13,5%). D'après*socio=rien l'OCDE*socio=ac, les données provisoires*socio=rien pour 1987 indiquent que les décaissements*socio=ec nets*socio=rien d'APD*socio=et des pays*socio=ac non *socio=rien membres du CAD*socio=ac en*socio=nil faveur des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil se sont chiffrés à 9,4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, soit une baisse*socio=rien de 914 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien à 1986. Cette baisse*socio=rien s'explique par la réduction*socio=uv des décaissements*socio=ec d'aide*socio=uv des pays*socio=ac arabes*socio=te et des autres *socio=ac pays_en_développement donateurs.*socio=nil *socio=nil Dans le cas*socio=rien de ces derniers*socio=rien , l'OCDE*socio=ac a indiqué que le niveau*socio=rien réduit de l'aide*socio=uv était dû essentiellement à la contraction*socio=et des apports*socio=rien de la Chine*socio=ac, qui avaient été*socio=rien exceptionnellement élevés*socio=rien en 1986 *socio=rien du fait de*socio=nil contributions*socio=uv importantes *socio=nil à la Banque_asiatique_de_développement*socio=ac et à la banque_mondiale*socio=ac. L'Arabie_saoudite*socio=ac et le Koweït*socio=ac ont cependant continué d'offrir une *socio=rien part substantielle *socio=nil de leur PNB*socio=ec sous forme*socio=rien d'APD*socio=et - soit, respectivement, 3,7% et 1,3%. Chapitre*socio=rien trois. La banque_mondiale*socio=ac - exercice*socio=rien 88. En septembre*socio=rien 1987, M: Barber B: Conable*socio=ac, Président*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac, a annoncé qu'il entendait donner une nouvelle*socio=rien vigueur*socio=uv à l'action*socio=rien menée par la Banque*socio=ac pour aider les pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés à sortir de l'endettement*socio=ec et de la récession*socio=ec; pour endiguer et gérer la crise*socio=uv économique*socio=ec actuelle*socio=rien de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac et instituer des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et soutenus permettant de tirer parti*socio=et du*socio=rien potentiel*socio=uv d'initiative*socio=rien privée*socio=ec et de production*socio=ec des économies*socio=ec et des peuples*socio=ac d'Afrique*socio=ac; et pour appuyer les stratégies*socio=et gouvernementales*socio=ac visant à éliminer les aspects*socio=rien les plus sombres de la pauvreté*socio=uv absolue*socio=rien dans les pays*socio=ac pauvres*socio=uv très peuplés d'Asie*socio=ac d'ici à l'an*socio=rien 2000. Les pays*socio=ac les plus lourdement endettés s'efforcent encore de recouvrer croissance*socio=uv et solvabilité*socio=ec; les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac restent aux prises*socio=rien avec *socio=rien un grave fléchissement *socio=nil de leur revenu*socio=ec et de leurs investissements*socio=ec, ainsi qu'avec les difficultés*socio=rien de l'endettement*socio=ec; d'autre part*socio=rien , l'incidence*socio=rien de la pauvreté*socio=uv ne s'est*socio=rien pas atténuée. Cependant, au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 88, la banque_mondiale*socio=ac s'est*socio=rien dotée d'une *socio=rien base solide *socio=nil pour honorer les engagements*socio=ec qu'elle avait pris au début*socio=rien de l'année*socio=rien . Elle a notamment établi des records*socio=rien de prêts*socio=ec, qu'il s'agisse de prêts-projets*socio=et ou de prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et (Voir Graphique*socio=rien 3-1). Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 88, les prêts*socio=ec de la B IRD ont atteint 14,8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, soit 600 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de plus que pendant l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien . Quarante-trois pour cent*socio=rien de ce total*socio=rien sont allés aux pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien fortement endettés. Les crédits*socio=ec de FIDA*socio=ac ont augmenté de 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec pour atteindre 4,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, dont la moitié*socio=rien a été*socio=rien accordée à des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac. La Banque*socio=ac a également renforcé son rôle*socio=rien de catalyseur*socio=rien pour ce qui est*socio=rien de l'aide*socio=uv aux pays*socio=ac fortement endettés, a sensiblement augmenté le volume*socio=rien de ses prêts*socio=ec aux pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac ayant entrepris un*socio=rien effort*socio=uv d'ajustement*socio=et et a obtenu des engagements*socio=ec de participation*socio=uv accrus à des opérations*socio=rien de cofinancement*socio=ec en leur faveur*socio=rien , enfin a mis l'accent*socio=rien , particulièrement à travers*socio=rien ses opérations*socio=rien , sur*socio=rien la formulation*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et d'action*socio=rien élargi axé sur*socio=rien la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec d'Asie*socio=ac et d'ailleurs*socio=rien (Voir Graphique*socio=rien 3.2). D'autre part*socio=rien , l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv de la *socio=rien Huitième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil de l'association_internationale_de_développement*socio=ac (IDA-8*socio=ac) en septembre*socio=rien 1987 et de la convention*socio=et portant création*socio=rien de l'Agence*socio=rien multilatérale*socio=te de garantie des investissements*socio=ec (AMGI*socio=ac) en avril*socio=rien 1988 jointe à l'approbation*socio=uv par le conseil_des_gouverneurs*socio=ac de la Banque*socio=ac en avril*socio=rien 1988 d'une recommandation*socio=rien de son conseil_des_administrateurs*socio=ac relative*socio=rien à une augmentation*socio=uv générale*socio=rien de 74,8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec du*socio=rien capital*socio=ec de la BIRD*socio=ac a augmenté les chances*socio=rien que la Banque*socio=ac puisse soutenir et accentuer ses efforts*socio=uv dans les années*socio=rien à venir. L'augmentation*socio=uv *socio=rien générale du capital*socio=ec.*socio=nil Les*socio=nil résolutions*socio=et *socio=nil autorisant une augmentation*socio=uv générale*socio=rien de 74,8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec du*socio=rien capital*socio=ec autorisé de la Banque*socio=ac ont été*socio=rien adoptées le 27 avril*socio=rien 1988 par le conseil_des_gouverneurs*socio=ac, portant ce capital*socio=ec à 171,4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. L'approbation*socio=uv à cette date de l'augmentation*socio=uv générale*socio=rien de capital*socio=ec par l'Arabie_saoudite*socio=ac a porté l'appui*socio=rien à cette augmentation*socio=uv à 77% des voix*socio=rien des actionnaires*socio=ac, soit 2% au-dessus *socio=rien du pourcentage nécessaire *socio=nil à son entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv. Au 30 juin*socio=rien 1988, *socio=rien un total *socio=nil de 142 États*socio=ac membres*socio=rien s'étaient prononcés en faveur*socio=rien de l'augmentation*socio=uv générale*socio=rien de capital*socio=ec. Ces États*socio=ac représentaient 79,1% *socio=rien du nombre de*socio=nil voix.*socio=nil Ce*socio=nil vote*socio=et favorable d'*socio=nil avril est *socio=nil survenu à peine un*socio=rien peu plus de deux *socio=rien mois après *socio=nil que les Administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac eurent unanimement recommandé l'approbation*socio=uv de l'augmentation*socio=uv générale*socio=rien de capital*socio=ec aux Gouverneurs*socio=ac. La fraction*socio=rien libérée des nouvelles*socio=rien souscriptions*socio=ec est*socio=rien de 3%, les 97% restants*socio=rien étant exigibles. En accord*socio=uv avec une résolution*socio=et supplémentaire*socio=rien , de *socio=rien nouvelles parts représentant *socio=nil 1% du*socio=rien capital*socio=ec total*socio=rien autorisé, soit 1,7 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec, seront mises de côté*socio=rien en prévision*socio=rien de nouvelles*socio=rien demandes*socio=uv d'adhésion*socio=uv. Grâce*socio=rien à cette augmentation*socio=uv générale*socio=rien de capital*socio=ec la Banque*socio=ac pourra accroître sensiblement le niveau*socio=rien soutenable*socio=uv de ses prêts*socio=ec et enregistrer une croissance*socio=uv nominale*socio=rien de son volume*socio=rien de prêts*socio=ec d'environ 10% par an*socio=rien au cours*socio=rien des cinq*socio=rien ou six *socio=rien prochaines années *socio=nil - ce qui portera ce volume*socio=rien à plus de 20 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par an*socio=rien d'ici au début*socio=rien de la *socio=rien prochaine décennie.*socio=nil Les*socio=nil gouvernements*socio=ac des*socio=nil États*socio=ac membres *socio=nil auront jusqu'au 30 septembre*socio=rien 1993 pour effectuer leurs nouvelles*socio=rien souscriptions*socio=ec au capital*socio=ec. Cette augmentation*socio=uv générale*socio=rien de son capital*socio=ec autorisé est*socio=rien la troisième*socio=rien que connaît la Banque*socio=ac. La première*socio=rien , qui était de 100%, a été*socio=rien approuvée en 1959. La deuxième*socio=rien , approuvée en 1980, portait *socio=rien sur un total *socio=nil de 40 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, ce qui doublait pratiquement une fois*socio=rien encore le capital*socio=ec de la Banque*socio=ac. Outre ces augmentations*socio=uv générales*socio=rien , la Banque*socio=ac a parfois également bénéficié d'augmentations*socio=uv sélectives*socio=rien de son capital*socio=ec. L'aide*socio=uv aux pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien fortement endettés. La stratégie*socio=et adoptée par la Banque*socio=ac pour son aide*socio=uv aux pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés, conçue pour aider ces pays*socio=ac à rétablir leur croissance*socio=uv à *socio=rien un niveau *socio=nil qui leur permette de diminuer progressivement leurs ratios*socio=rien d'endettement*socio=ec - et d'avoir ainsi à nouveau*socio=rien accès*socio=uv à des fonds*socio=ec provenant des *socio=ec marchés privés *socio=nil - et pour favoriser un*socio=rien accroissement*socio=ec progressif*socio=uv de leur consommation*socio=ec par habitant*socio=ac et *socio=rien un nouvel assaut *socio=nil contre la pauvreté*socio=uv, est*socio=rien adaptée à la *socio=uv situation particulière des*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Elle préconise: - un*socio=rien accroissement*socio=ec *socio=rien du volume des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'ajustement_structurel*socio=et et sectoriel*socio=ec; - l'intensification*socio=rien du*socio=rien dialogue*socio=uv de politique_économique*socio=et avec les gouvernements*socio=ac des États*socio=ac *socio=rien membres sur les*socio=nil changements_structurels*socio=ec *socio=nil à apporter et un*socio=rien accord*socio=et sur*socio=rien les réformes*socio=et nécessaires*socio=rien ; - un*socio=rien financement*socio=ec soutenu des investissements*socio=ec, réorienté, selon les besoins*socio=uv, vers la réhabilitation*socio=uv et la restructuration*socio=uv des projets*socio=rien , des entreprises*socio=ac et des programmes*socio=et d'investissement*socio=ec, ainsi que vers l'expansion*socio=ec de la capacité*socio=rien de production*socio=ec; - la poursuite*socio=rien de la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, y compris *socio=rien certaines mesures destinées *socio=nil à atténuer les effets*socio=rien de l'ajustement*socio=et sur*socio=rien les groupes*socio=ac les plus vulnérables*socio=uv; enfin - une assistance*socio=et accrue pour la mobilisation*socio=uv de l'appui*socio=rien financier*socio=ec des bailleurs*socio=ac de *socio=ec fonds privés et*socio=nil publics*socio=et.*socio=nil Le*socio=nil Tableau*socio=rien *socio=nil 3-1 indique les volumes*socio=rien des prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac, par instrument*socio=rien de prêt*socio=ec, en faveur*socio=rien de 17 pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien fortement endettés qui retiennent particulièrement l'attention*socio=rien au moins depuis 1985, pour les exercices*socio=rien 82-88. Note sur*socio=rien les pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien fortement endettés. Ces 17 pays*socio=ac sont l'Argentine*socio=ac, la Bolivie*socio=ac, le Brésil*socio=ac, le Chili*socio=ac, la Colombie*socio=ac, le costa_rica*socio=ac, la côte_d'_ivoire*socio=ac, l'Équateur*socio=ac, la Jamaïque*socio=ac, le Maroc*socio=ac, le Mexique*socio=ac, le Nigeria*socio=ac, le Pérou*socio=ac, les Philippines*socio=ac, l'Uruguay*socio=ac, le Venezuela*socio=ac et la Yougoslavie*socio=ac. Fin*socio=rien de note. La participation*socio=uv à la conception*socio=rien et à l'exécution*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv est*socio=rien la contribution*socio=uv la plus précieuse*socio=rien que la Banque*socio=ac puisse apporter aux efforts*socio=uv déployés par ces pays*socio=ac pour recouvrer leur croissance_économique*socio=ec. L'aptitude*socio=rien de la Banque*socio=ac à atteindre ses objectifs*socio=rien de prêt*socio=ec dépend principalement de ses *socio=rien relations étroites et*socio=nil uniques *socio=nil avec ses emprunteurs*socio=ac, qui exigent qu'elle apporte *socio=rien un solide soutien*socio=uv *socio=nil à leurs efforts*socio=uv de développement*socio=uv. Depuis l'exercice*socio=rien 82, la banque_mondiale*socio=ac a considérablement*socio=rien accru le volume*socio=rien de ses prêts*socio=ec en faveur*socio=rien des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien fortement endettés (Voir Tableau*socio=rien 3-2). Les décaissements*socio=ec bruts*socio=rien et nets*socio=rien ont aussi augmenté. Les transferts*socio=ec nets*socio=rien sont toutefois devenus négatifs*socio=rien pendant l'exercice*socio=rien 88. C'est*socio=rien le résultat*socio=rien à la fois*socio=rien d'une absence*socio=rien de prêts*socio=ec à décaissements*socio=ec rapide*socio=rien en faveur*socio=rien de certains emprunteurs*socio=ac importants*socio=rien (Brésil*socio=ac, Nigeria*socio=ac et Yougoslavie*socio=ac) et de la *socio=rien forte baisse du dollar*socio=ec des*socio=nil États-unis*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui a elle-même conduit à une augmentation*socio=uv rapide*socio=rien des remboursements*socio=ec libellés en dollars*socio=ec des États-unis*socio=ac. Sur*socio=rien les 17 pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien fortement endettés, 15 - c'est-à-dire tous sauf le Pérou*socio=ac et le Venezuela*socio=ac - ont reçu sous une forme*socio=rien ou une autre des prêts*socio=ec à l'appui*socio=rien de réformes*socio=et. (Voir Tableau*socio=rien 3-3). D'autre part*socio=rien , la Banque*socio=ac a fortement intérêt*socio=uv à veiller à ce que les pays*socio=ac lourdement endettés obtiennent suffisamment de *socio=ec ressources financières *socio=nil d'autres créanciers*socio=ac. Dans le *socio=rien cas contraire,*socio=nil les*socio=nil programmes*socio=et *socio=nil qu'elle soutient pourraient souffrir d'une insuffisance*socio=rien de fonds*socio=ec, ce qui risquerait de compromettre leurs chances*socio=rien de succès*socio=uv. Ainsi, au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 88, la Banque*socio=ac a continué à jouer son rôle*socio=rien de catalyseur*socio=rien pour mobiliser des flux*socio=ec de ressources*socio=ec provenant d'autres créanciers*socio=ac en faveur*socio=rien des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien fortement endettés. L'aspect*socio=rien le plus important*socio=rien de ce *socio=rien rôle est le*socio=nil dialogue*socio=uv de*socio=nil politique_économique*socio=et *socio=nil et l'octroi*socio=rien direct*socio=rien de prêts*socio=ec qui constituent les fondements*socio=uv de la stratégie*socio=et d'assistance*socio=et de la Banque*socio=ac au pays*socio=ac. La Banque*socio=ac multiplie ses efforts*socio=uv en vue*socio=rien de concevoir et d'appuyer des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil dans les pays*socio=ac lourdement endettés. L'existence*socio=rien de bons*socio=rien programmes*socio=et constitue une *socio=rien condition sine *socio=nil qua non si elle veut pouvoir*socio=et attirer les contributions*socio=uv d'autres bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec. Ils sont également le principal*socio=rien "argument de vente*socio=ec" qu'elle peut invoquer pour inciter d'autres créanciers*socio=ac à aider ces pays*socio=ac. Pour ces créanciers*socio=ac, les engagements*socio=ec substantiels*socio=rien de la Banque*socio=ac témoignent*socio=rien de la confiance*socio=uv qu'elle place*socio=rien dans les efforts*socio=uv d'ajustement*socio=et d'un*socio=rien pays*socio=ac et dans ses chances*socio=rien d'améliorer sa performance*socio=uv économique*socio=ec. Par ailleurs*socio=rien , la Banque*socio=ac a *socio=rien fait usage *socio=nil de deux autres types d'instrument*socio=rien : l'établissement*socio=rien de *socio=rien liens formels *socio=nil entre ses prêts*socio=ec et ceux des autres bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec et la réduction*socio=uv du*socio=rien risque*socio=uv *socio=rien sur certaines parties des*socio=nil apports d'*socio=nil *socio=ec argent frais,*socio=nil *socio=nil et de façon*socio=rien limitée, lorsque cela était indispensable*socio=uv à la *socio=rien constitution du montage financier*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Depuis 1985, la Banque*socio=ac a joué *socio=rien un rôle de*socio=nil catalyseur *socio=nil pour des accords*socio=et de prêts*socio=ec de banques*socio=ac commerciales*socio=ec avec dix pays*socio=ac qui avaient entrepris des programmes*socio=et de restructuration*socio=uv (l'Argentine*socio=ac, le Brésil*socio=ac, le Chili*socio=ac, la Colombie*socio=ac, la côte_d'_ivoire*socio=ac, l'Équateur*socio=ac, le Mexique*socio=ac, le Nigeria*socio=ac, les Philippines*socio=ac et l'Uruguay*socio=ac); dans trois cas*socio=rien (Chili*socio=ac, Mexique*socio=ac et Uruguay*socio=ac), elle a fourni des garanties partielles*socio=rien . La Banque*socio=ac a accentué ses efforts*socio=uv, de façon*socio=rien informelle*socio=uv comme à travers*socio=rien les groupes*socio=ac consultatifs*socio=rien , l'Union_de_berne*socio=ac et le Club_de_paris*socio=ac, afin d'informer les donateurs*socio=ac bilatéraux*socio=te et les organismes*socio=ac d'assurance*socio=ec du*socio=rien crédit*socio=ec au sujet*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et, des perspectives*socio=uv et des besoins*socio=uv financiers*socio=ec des pays*socio=ac lourdement endettés, et de mobiliser des ressources*socio=ec à l'appui*socio=rien de ces programmes*socio=et, ainsi que de projets*socio=rien d'investissement*socio=ec hautement prioritaires*socio=uv. Dans chaque cas*socio=rien , l'aspect*socio=rien le plus complexe *socio=rien du rôle de*socio=nil catalyseur *socio=nil de la Banque*socio=ac a trait*socio=rien à la mobilisation*socio=uv de ressources*socio=ec provenant des banques*socio=ac commerciales*socio=ec. Les changements*socio=uv intervenus récemment dans les milieux*socio=rien bancaires*socio=ec ont *socio=rien débouché sur des*socio=nil efforts*socio=uv de*socio=nil diversification *socio=nil de la "carte*socio=rien " des *socio=rien possibilités offertes *socio=nil dans le cadre*socio=rien des apports*socio=rien d'argent*socio=ec frais*socio=ec. La Banque*socio=ac suit continuellement ces changements*socio=uv, qui ont été*socio=rien examinés par son conseil_des_administrateurs*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 88, et le fait*socio=rien qu'elle ait inscrit*socio=rien sa stratégie*socio=et à l'égard*socio=rien de la crise*socio=uv de l'endettement*socio=ec au programme*socio=et de travail*socio=rien dudit Conseil*socio=rien pour 1989 montre qu'elle continuera de le faire. A l'issue*socio=rien d'une réunion*socio=rien , le 7 avril*socio=rien 1988, sur*socio=rien la stratégie*socio=et de la Banque*socio=ac à l'égard*socio=rien des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien fortement endettés, le *socio=rien Président du conseil_des_administrateurs*socio=ac,*socio=nil *socio=nil résumant le débat*socio=et, a noté que: - L'approche cas*socio=rien par cas*socio=rien était généralement reconnue comme celle qu'il convenait à la Banque*socio=ac de suivre; - La plupart*socio=rien des Administrateurs*socio=ac approuvaient le *socio=rien principe suivant *socio=nil lequel la principale*socio=rien contribution*socio=uv de la Banque*socio=ac devait rester de prodiguer des conseils*socio=ac de politique_économique*socio=et et d'accorder directement des prêts*socio=ec à l'appui*socio=rien de programmes*socio=et valables*socio=rien ; - La plupart*socio=rien des Administrateurs*socio=ac s'inquiétaient des chances*socio=rien de succès*socio=uv d'une stratégie*socio=et axée sur*socio=rien la croissance*socio=uv, étant donné les modestes*socio=rien perspectives*socio=uv de croissance*socio=uv des pays_industrialisés*socio=ac et les possibilités*socio=rien moins favorables*socio=rien d'obtenir*socio=rien de l'argent*socio=ec frais*socio=ec auprès des banques*socio=ac commerciales*socio=ec; - Les Administrateurs*socio=ac ont également souscrit au principe*socio=rien selon lequel le rôle*socio=rien de catalyseur*socio=rien de la Banque*socio=ac devrait continuer à évoluer en fonction*socio=rien des changements*socio=uv qui interviendront sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec et des exigences*socio=uv des pays*socio=ac endettés; - *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil Administrateurs*socio=ac *socio=nil ont tenu à souligner la nécessité*socio=uv pour la Banque*socio=ac d'exercer une gestion*socio=et prudente*socio=rien des risques*socio=uv que représentent les pays*socio=ac lourdement endettés, et par là même d'exiger de solides*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et de se montrer très ferme*socio=ec pour ce qui *socio=rien est du partage*socio=uv *socio=nil de la charge*socio=uv entre les *socio=ac groupes créanciers;*socio=nil *socio=nil enfin - Plusieurs Administrateurs*socio=ac ont également souligné l'importance*socio=rien d'une collaboration*socio=uv étroite*socio=rien entre la Banque*socio=ac et le fonds_monétaire_international*socio=ac (FMI*socio=ac), faisant valoir que les deux institutions*socio=ac ont des *socio=rien rôles différents mais*socio=nil complémentaires.*socio=nil Lors *socio=nil de sa réunion*socio=rien de la mi-avril 1988 à Washington*socio=ac, le comité_du_développement*socio=ac, examinant le problème*socio=uv de la dette*socio=ec des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés, a réaffirmé son appui*socio=rien à une stratégie*socio=et cas*socio=rien par cas*socio=rien axée sur*socio=rien le marché*socio=ec. Dans son communiqué du*socio=rien 15 avril*socio=rien , le Comité*socio=rien a pris note de certains éléments*socio=rien encourageants*socio=uv dans l'évolution*socio=rien de l'approche "à la carte*socio=rien ", notamment l'apparition*socio=rien de *socio=rien nouvelles possibilités de*socio=nil financement*socio=ec *socio=nil et de techniques*socio=rien faisant jouer librement les forces_du_marché*socio=ec qui réduisent le volume*socio=rien de la dette*socio=ec. Le Comité*socio=rien a invité la Banque*socio=ac et le fonds_monétaire_international*socio=ac à poursuivre, en étroite*socio=rien collaboration*socio=uv, leurs efforts*socio=uv en vue*socio=rien de faciliter l'apparition*socio=rien de *socio=rien nouvelles possibilités *socio=nil dans l'approche "à la carte*socio=rien " au cas*socio=rien par cas*socio=rien et de susciter ainsi les appuis*socio=uv financiers*socio=ec à une stratégie*socio=et de croissance*socio=uv. Il est*socio=rien également convenu de continuer à suivre la stratégie*socio=et à l'égard*socio=rien de la dette*socio=ec, de manière*socio=rien à renforcer les perspectives*socio=uv de croissance*socio=uv et de développement*socio=uv. Initiatives*socio=rien en *socio=ac Afrique subsaharienne.*socio=nil Bien*socio=rien *socio=nil que les efforts*socio=uv d'ajustement*socio=et des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac se soient intensifiés et multipliés au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien écoulé, la plupart*socio=rien des pays*socio=ac ont continué d'accuser une baisse*socio=rien de leurs investissements*socio=ec et de leur revenu*socio=ec et, comme il est*socio=rien indiqué par ailleurs*socio=rien (page*socio=rien 89), la production*socio=ec céréalière de la région*socio=te a diminué après*socio=rien les augmentations*socio=uv des deux *socio=rien années précédentes.*socio=nil Le*socio=nil volume actuel et*socio=nil futur des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac aux pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac écrasés par leur dette*socio=ec a été*socio=rien fixé de manière*socio=rien à accroître sensiblement le *socio=rien pourcentage du total des*socio=nil ressources*socio=ec d'*socio=nil IDA-8*socio=ac *socio=nil affectées à ces pays*socio=ac. En outre, la part*socio=rien des engagements*socio=ec de l'IDA*socio=ac envers l'ensemble*socio=rien de la région*socio=te a augmenté. Ainsi, si les efforts*socio=uv d'ajustement*socio=et le justifient, la moitié*socio=rien , soit environ 6,2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, des ressources*socio=ec d'IDA-8*socio=ac (sur*socio=rien la *socio=rien base du taux_de_change*socio=ec en*socio=nil vigueur*socio=uv lors des*socio=nil négociations*socio=uv *socio=nil de cette reconstitution*socio=rien ), devrait être*socio=rien à présent*socio=rien consacrée à l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac; sur*socio=rien ce montant*socio=ec, quelque 4,9 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec iront aux 17 pays*socio=ac admis à bénéficier des ressources*socio=ec de l'IDA*socio=ac qui sont écrasés par leur dette*socio=ec. Ce programme*socio=et de crédit*socio=ec devrait permettre à l'IDA*socio=ac d'accroître ses décaissements*socio=ec en faveur*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec de la région*socio=te qui ont entrepris un*socio=rien effort*socio=uv d'ajustement*socio=et d'environ 50% par rapport*socio=rien aux décaissements*socio=ec correspondant à la *socio=rien programmation actuelle.*socio=nil L'*socio=nil exercice *socio=nil 88 peut également être*socio=rien perçu comme une année*socio=rien où divers créanciers*socio=ac, de concert*socio=uv avec les nations*socio=te de la région*socio=te, ont lancé d'importantes*socio=rien initiatives*socio=rien afin de faire face*socio=rien à la grave*socio=rien crise*socio=uv *socio=rien actuelle du développement*socio=uv *socio=nil et de la surmonter. Le *socio=rien Rapport annuel *socio=nil 1987 de la banque_mondiale*socio=ac signalait que le Président*socio=rien de la Banque*socio=ac et le *socio=rien Directeur général du FMI*socio=ac *socio=nil avaient invité des représentants*socio=ac des *socio=ac pays industriels *socio=nil à une réunion*socio=rien , au début*socio=rien de l'exercice*socio=rien 88, à Paris*socio=ac, pour engager des pourparlers préliminaires*socio=rien et informels*socio=uv sur*socio=rien la situation*socio=uv économique*socio=ec et les besoins*socio=uv des nombreux*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac écrasés par leur dette*socio=ec. C'est*socio=rien lors*socio=rien de cette réunion*socio=rien que les éléments*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et triennal (1988-90) d'allégement*socio=ec de la dette*socio=ec et de financement*socio=ec des importations*socio=ec destinées*socio=rien à favoriser la croissance*socio=uv de ces pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac - en particulier*socio=uv de ceux qui avaient entrepris des *socio=rien ensembles complets et*socio=nil énergiques*socio=ec de*socio=nil réformes*socio=et -ont*socio=nil été *socio=nil présentés pour la *socio=rien première fois.*socio=nil Ce*socio=nil programme*socio=et a*socio=nil permis *socio=nil d'établir *socio=rien un cadre *socio=nil pour dispenser une assistance*socio=et à ces pays*socio=ac, en procédant cas*socio=rien par cas*socio=rien , par l'allégement*socio=ec de la dette*socio=ec à des conditions*socio=uv de faveur*socio=rien , l'expansion*socio=ec des flux*socio=ec d'aide*socio=uv concessionnelle*socio=uv de l'IDA*socio=ac, un*socio=rien cofinancement*socio=ec accru des opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et et l'accroissement*socio=ec des ressources*socio=ec de la facilité_d'_ajustement_structurel_renforcée*socio=ec du*socio=rien FMI*socio=ac. Les pays*socio=ac étaient jugés aptes*socio=uv à bénéficier de l'appui*socio=rien financier*socio=ec de ce programme*socio=et sur*socio=rien la base*socio=rien des critères*socio=rien de la pauvreté*socio=uv (ils devaient n'être*socio=rien emprunteurs*socio=ac qu'à l'IDA*socio=ac), de l'extrême*socio=rien endettement*socio=ec (les ratios*socio=rien projetés du*socio=rien service*socio=ec de leur dette*socio=ec devaient dépasser 30% pour la période*socio=te 1988-90), et de la volonté*socio=uv d'entreprendre un*socio=rien effort*socio=uv d'ajustement*socio=et (il leur fallait être*socio=rien déjà engagés dans des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et avec l'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac ou du*socio=rien FMI*socio=ac). Les besoins*socio=uv en aide_financière*socio=et extérieure*socio=te supplémentaire*socio=rien de 14 des plus grands*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec d'Afrique*socio=ac écrasés par leur dette*socio=ec qui avaient entrepris des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et étaient estimés à l'époque*socio=rien de la réunion*socio=rien de Paris*socio=ac à environ 1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec par an*socio=rien pour la période*socio=te 1988-90. Ce montant*socio=ec était jugé nécessaire*socio=rien à la fois*socio=rien pour maintenir les paiements*socio=ec au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et *socio=nil dans des limites*socio=rien tolérables et pour financer la reprise des importations*socio=ec nécessaires*socio=rien à une croissance*socio=uv *socio=rien modeste du produit_intérieur_brut*socio=ec *socio=nil et de la consommation*socio=ec par habitant*socio=ac. Note sur*socio=rien la FASR*socio=ec. Le chiffre de 1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec était indicatif de la nécessité*socio=uv d'une *socio=rien action supplémentaire.*socio=nil L'*socio=nil ampleur véritable des*socio=nil besoins*socio=uv en*socio=nil appuis*socio=uv financiers*socio=ec extérieurs*socio=te supplémentaires *socio=nil (le déficit*socio=ec de financement*socio=ec) dépendra, bien*socio=rien entendu, des conditions_économiques*socio=ec à venir (fluctuations*socio=uv des termes_de_l'_échange*socio=et, volumes*socio=rien de l'aide_financière*socio=et extérieure*socio=te qu'apporteront les donateurs*socio=ac, décisions*socio=rien de rééchelonnement*socio=ec, etc.), ainsi que *socio=rien du nombre effectif de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui pourraient être*socio=rien admis à bénéficier du*socio=rien programme*socio=et d'assistance*socio=et. Fin*socio=rien de note. Le "programme_spécial_d'_assistance*socio=et" proposé a reçu l'appui*socio=rien du*socio=rien comité_du_développement*socio=ac lors*socio=rien de la réunion*socio=rien de celui-ci, en septembre*socio=rien 1987, à Washington*socio=ac; lors*socio=rien de cette réunion*socio=rien , les *socio=rien membres du Comité *socio=nil ont fermement appuyé la proposition*socio=rien de la Banque*socio=ac d'accroître les décaissements*socio=ec en faveur*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac et invité les donateurs*socio=ac à augmenter leurs flux*socio=ec de ressources*socio=ec concessionnelles*socio=uv en faveur*socio=rien des opérations*socio=rien de cofinancement*socio=ec avec la Banque*socio=ac. Ils ont également vigoureusement soutenu l'initiative*socio=rien prise*socio=rien par le FMI*socio=ac d'accroître sensiblement les ressources*socio=ec de sa facilité_d'_ajustement_structurel*socio=et à l'appui*socio=rien des programmes*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv. Ils ont noté qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil *socio=ac pays donateurs *socio=nil avaient converti en dons*socio=ec leur aide_publique_au_développement*socio=et des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec et recommandé aux autres de faire de même. Le Comité*socio=rien a également examiné des propositions*socio=rien d'allégement*socio=ec de la dette*socio=ec par réduction*socio=uv des taux_d'_intérêt*socio=ec pour les pays*socio=ac à très faible*socio=rien revenu*socio=ec, à condition*socio=rien qu'ils aient entrepris des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et appropriés. A la suite*socio=rien de consultations*socio=uv bilatérales*socio=te entre la Banque*socio=ac et les participants*socio=ac à la réunion*socio=rien de juillet*socio=rien à Paris*socio=ac, une *socio=rien deuxième réunion des*socio=nil donateurs*socio=ac s'*socio=nil est *socio=nil tenue à Paris*socio=ac les 3 et 4 décembre*socio=rien . Cette réunion*socio=rien , à laquelle participaient des représentants*socio=ac de 17 pays*socio=ac, de la Banque*socio=ac, du*socio=rien FMI*socio=ac, de la banque_africaine_de_développement*socio=ac (Bafd*socio=ac), de la communauté_économique_européenne*socio=ac (CEE*socio=ec), du*socio=rien comité_d'_aide_au_développement*socio=ac de l' Organisation_de_coopération_et_de_développement_économiques*socio=ac et du*socio=rien programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac (PNUD*socio=ac), est*socio=rien parvenue à un*socio=rien accord*socio=et unanime sur*socio=rien la nécessité*socio=uv d'une *socio=rien action rapide et*socio=nil énergique*socio=ec *socio=nil pour faire face*socio=rien aux graves*socio=rien problèmes*socio=uv des pays*socio=ac de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac, sur*socio=rien le fait*socio=rien qu'il était souhaitable*socio=rien de coordonner des apports*socio=rien de ressources*socio=ec des différents*socio=rien donateurs*socio=ac par le *socio=rien biais du cofinancement*socio=ec et*socio=nil sur la*socio=nil nécessité*socio=uv *socio=nil que ces ressources*socio=ec soient assorties de *socio=uv conditions concessionnelles.*socio=nil Les*socio=nil *socio=ac pays donateurs *socio=nil et les organisations_internationales*socio=ac se sont alors engagés à fournir pour 6,4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec de ressources*socio=ec concessionnelles*socio=uv à décaissement*socio=ec rapide*socio=rien à l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec d'Afrique*socio=ac aux prises*socio=rien avec des problèmes*socio=uv d'endettement*socio=ec. Les participants*socio=ac à la réunion*socio=rien de Paris*socio=ac ont indiqué que plus de la moitié*socio=rien de ce montant*socio=ec serait fournie dans le cadre*socio=rien d'accords*socio=et formels*socio=rien de cofinancement*socio=ec avec la Banque*socio=ac à l'appui*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et au cours*socio=rien de la période*socio=te 1988-90, et que le reste*socio=rien serait consacré à des financements*socio=ec étroitement coordonnés. Ces annonces de contribution*socio=uv non seulement reflétaient les nouvelles*socio=rien orientations*socio=et données à de nombreux*socio=rien programmes_d'_aide*socio=uv pour renforcer l'appui*socio=rien aux efforts*socio=uv d'ajustement*socio=et mais représentaient aussi des flux*socio=ec d'aide*socio=uv supplémentaires*socio=rien vers ces pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac représentant*socio=rien quelque 3 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec au cours*socio=rien de cette période*socio=te. Note sur*socio=rien l'"aide*socio=uv supplémentaire*socio=rien ". L'aide*socio=uv *socio=rien supplémentaire est définie *socio=nil ici comme le montant*socio=ec des décaissements*socio=ec que le groupe*socio=ac de *socio=ac pays bénéficiaires *socio=nil recevraient au cours*socio=rien des trois *socio=rien prochaines années *socio=nil en sus de l'assistance*socio=et qu'il était déjà prévu de leur apporter. Cette aide*socio=uv supplémentaire*socio=rien provient de plusieurs sources*socio=rien : d'une certaine*socio=rien réorientation*socio=et de l'aide_financière*socio=et des projets*socio=rien vers des concours financiers*socio=ec à décaissement*socio=ec rapide*socio=rien en faveur*socio=rien de l'ajustement*socio=et, d'une certaine*socio=rien réaffectation de l'aide*socio=uv initialement prévue pour d'autres pays*socio=ac vers ce groupe*socio=ac particulier*socio=uv et d'une certaine*socio=rien expansion*socio=ec des budgets*socio=ec d'aide*socio=uv. Fin*socio=rien de note. Les donateurs*socio=ac ayant annoncé *socio=rien un appui financier*socio=ec *socio=nil sont la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, l'Autriche*socio=ac, la Belgique*socio=ac, le Canada*socio=ac, le Danemark*socio=ac, l'Espagne*socio=ac, les États-unis*socio=ac, la Finlande*socio=ac, la France*socio=ac, l'Italie*socio=ac, le Japon*socio=ac, la Norvège*socio=ac, les Pays-bas*socio=ac, le Royaume-uni*socio=ac, la Suède*socio=ac, la Suisse*socio=ac, la Bafd*socio=ac et la CEE*socio=ec. Plusieurs donateurs*socio=ac ont *socio=rien fait savoir *socio=nil qu'ils fourniraient leur *socio=rien part du cofinancement*socio=ec sous*socio=nil forme de*socio=nil dons*socio=ec;*socio=nil *socio=nil d'autres ont annoncé qu'ils consentiraient des prêts*socio=ec à des conditions*socio=uv fortement concessionnelles*socio=uv ou des prêts*socio=ec combinés à des dons*socio=ec. Dans l'ensemble*socio=rien , près des trois quarts*socio=rien des fonds*socio=ec annoncés devraient être*socio=rien consentis sous forme*socio=rien de dons*socio=ec, et environ les deux tiers*socio=rien à titre*socio=rien d'aide*socio=uv non liée. Les participants*socio=ac à la *socio=rien deuxième réunion de*socio=nil Paris*socio=ac *socio=nil ont également examiné les progrès*socio=uv réalisés en ce qui concerne les autres *socio=rien éléments du programme_spécial_d'_assistance*socio=et:*socio=nil application plus*socio=nil large des*socio=nil mesures d'*socio=nil allégement*socio=ec *socio=nil de la dette*socio=ec à des conditions*socio=uv plus concessionnelles*socio=uv et nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec concessionnels*socio=uv dans le cadre*socio=rien la facilité_d'_ajustement_structurel_renforcée*socio=ec du*socio=rien FMI*socio=ac. Le débat*socio=et a également porté sur*socio=rien la nécessité*socio=uv d'une collaboration*socio=uv étroite*socio=rien entre la Banque*socio=ac, le FMI*socio=ac, les donateurs*socio=ac et les *socio=ac pays bénéficiaires *socio=nil pour la conception*socio=rien et l'exécution*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et. On a aussi souligné la nécessité*socio=uv d'accorder une plus *socio=rien grande attention *socio=nil à la dimension*socio=rien sociale*socio=ac de l'ajustement*socio=et, notamment aux conséquences*socio=rien des réformes*socio=et pour les pauvres*socio=ac, et de maintenir les programmes_sociaux*socio=et essentiels*socio=uv. Les participants*socio=ac se sont accordés à reconnaître que la reprise de la croissance_économique*socio=ec exigerait non seulement une assistance*socio=et à décaissement*socio=ec rapide*socio=rien à l'appui*socio=rien de mesures*socio=rien d' ajustement_structurel*socio=et, mais aussi des investissements*socio=ec pour la remise en état*socio=rien et l'expansion*socio=ec de l'appareil*socio=rien de production*socio=ec des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec. Ils ont également examiné la possibilité*socio=rien d'inclure un*socio=rien autre élément*socio=rien dans l'initiative*socio=rien de la Banque*socio=ac, suivant*socio=rien lequel les donateurs*socio=ac apporteraient une assistance*socio=et financière*socio=ec supplémentaire*socio=rien destinée spécifiquement*socio=rien à rembourser ou à refinancer l'encours de la dette*socio=ec envers la BIRD*socio=ac des pays*socio=ac qui ne peuvent actuellement emprunter qu'à l'IDA*socio=ac et qui ont entrepris des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et appropriés. Cette *socio=rien proposition fait *socio=nil actuellement l'objet*socio=rien de nouvelles*socio=rien consultations*socio=uv avec les donateurs*socio=ac. Il a été*socio=rien reconnu que le programme_spécial_d'_assistance*socio=et permettrait non seulement d'offrir des *socio=ec ressources financières supplémentaires*socio=rien aux*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil écrasés par leurs dettes*socio=ec, mais aussi - par une coordination*socio=uv plus étroite*socio=rien de l'aide*socio=uv - d'améliorer la qualité*socio=rien et, par conséquent*socio=rien , l'efficacité*socio=uv des prêts*socio=ec. Les participants*socio=ac sont convenus que, dans le cadre*socio=rien de cette nouvelle*socio=rien association*socio=uv, plusieurs aspects*socio=rien réclameraient une attention*socio=rien particulière*socio=uv: - Premièrement, les donateurs*socio=ac seraient consultés dès le *socio=rien début sur la*socio=nil conception des*socio=nil programmes*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et,*socio=nil *socio=nil et ils pourraient davantage participer, dans la *socio=rien mesure du possible,*socio=nil *socio=nil aux missions de la Banque*socio=ac. - Deuxièmement, l'identité*socio=ac et le montant*socio=ec des contributions*socio=uv des différents*socio=rien donateurs*socio=ac seront connus de *socio=rien façon claire et*socio=nil distincte*socio=uv.*socio=nil *socio=nil - Troisièmement, la Banque*socio=ac, s'inspirant des initiatives*socio=rien qu'elle a prises*socio=rien récemment avec le PNUD*socio=ac, la Bafd*socio=ac et plusieurs donateurs*socio=ac bilatéraux*socio=te, accorderait une place*socio=rien encore plus grande*socio=rien aux dimensions*socio=rien sociales*socio=ac de l'ajustement*socio=et. - Quatrièmement, la Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac renforceraient leur collaboration*socio=uv, notamment par l'élaboration*socio=rien de documents-cadres*socio=et de politique_économique*socio=et. Cinquièmement, il faudrait établir un*socio=rien équilibre*socio=uv approprié entre les programmes*socio=et d'ajustement_structurel*socio=et et sectoriel*socio=ec. - Sixièmement, il importait tout autant de soutenir les programmes*socio=et ordinaires*socio=rien de prêts-projets*socio=et que les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et. - Septièmement, malgré la fermeté*socio=rien de l'accord*socio=et sur*socio=rien les critères*socio=rien à appliquer lors*socio=rien de la sélection*socio=rien des pays*socio=ac jugés aptes*socio=uv à participer au programme*socio=et, on ferait preuve*socio=uv d'une certaine*socio=rien souplesse*socio=uv pour les *socio=rien cas limites.*socio=nil *socio=nil De même, on a estimé qu'il importait de maintenir la souplesse*socio=uv dans les *socio=rien décisions cas par*socio=nil cas *socio=nil concernant la rigueur*socio=uv avec laquelle les donateurs*socio=ac observeraient la conditionnalité imposée par la Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac pour les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et. A la suite*socio=rien de la réunion*socio=rien de Paris*socio=ac, en décembre*socio=rien , la Banque*socio=ac a consulté les donateurs*socio=ac afin d'arrêter les modalités*socio=rien et procédures*socio=rien de cofinancement*socio=ec, de déterminer les préférences*socio=uv des donateurs*socio=ac sur*socio=rien le choix*socio=uv des *socio=ac pays bénéficiaires *socio=nil et les opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et et d'ébaucher conjointement *socio=rien un plan de*socio=nil travail et*socio=nil un calendrier *socio=nil pour le traitement*socio=rien de ces opérations*socio=rien au cours*socio=rien des 12 à 18 *socio=rien prochains mois.*socio=nil De*socio=nil nouveaux progrès*socio=uv ont*socio=nil été réalisés*socio=nil sur ces*socio=nil questions lors *socio=nil d'une réunion*socio=rien de suivi qui s'est*socio=rien tenue les 15 et 16 mars*socio=rien à Washington*socio=ac. Au cours*socio=rien de cette réunion*socio=rien , les critères*socio=rien d'admissibilité*socio=uv au programme*socio=et ont été*socio=rien réexaminés, et il a été*socio=rien convenu que 17 pays*socio=ac commenceraient à recevoir immédiatement une assistance*socio=et. On prévoit que d'autres pays*socio=ac seront admis à bénéficier du*socio=rien programme*socio=et pendant son exécution*socio=rien . Note sur*socio=rien les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec. Ces 17 pays*socio=ac sont le Burundi*socio=ac, la Gambie, le Ghana*socio=ac, la Guinée*socio=ac, la Guinée-bissau*socio=ac, Madagascar*socio=ac, le Malawi*socio=ac, la Mauritanie*socio=ac, le Mozambique*socio=ac, le Niger*socio=ac, l'Ouganda*socio=ac, la République_centrafricaine*socio=ac, Sào Tomé-et-principe, le Sénégal*socio=ac, la Tanzanie*socio=ac, le Togo*socio=ac et le Zaïre*socio=ac. Fin*socio=rien de note. Compte*socio=rien tenu des perspectives*socio=uv actuelles*socio=rien , les crédits*socio=ec de cofinancement*socio=ec des donateurs*socio=ac, combinés aux ressources*socio=ec accrues provenant d'IDA-8*socio=ac, aux ressources*socio=ec en provenance*socio=rien de la facilité_d'_ajustement_structurel_renforcée*socio=ec du*socio=rien FMI*socio=ac (Voir Encadré 3-2) et au rééchelonnement*socio=ec des amortissements, devraient théoriquement suffire pour combler le déficit*socio=ec de financement*socio=ec prévu des pays*socio=ac écrasés par leur dette*socio=ec, à condition*socio=rien que les donateurs*socio=ac leur assurent des rythmes de décaissement*socio=ec suffisamment rapides*socio=rien . Parallèlement, les créanciers*socio=ac officiels*socio=rien ont été*socio=rien invités à se montrer plus souples*socio=uv en ce qui concerne le rééchelonnement*socio=ec de la dette*socio=ec des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec d'Afrique*socio=ac. Le Club_de_paris*socio=ac a fait*socio=rien preuve*socio=uv d'une souplesse*socio=uv accrue dans le rééchelonnement*socio=ec de la dette*socio=ec des pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv et les plus lourdement endettés, consolidant jusqu'à 100% du*socio=rien principal*socio=ec et des intérêts*socio=ec, ainsi que le service_de_la_dette*socio=et qui avait déjà fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'un*socio=rien rééchelonnement*socio=ec, consentant des délais*socio=rien d'amortissement*socio=ec beaucoup plus longs*socio=rien à certains des pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv (en 1987, trois pays*socio=ac - la Guinée- Bissau, le Mozambique*socio=ac et la Somalie*socio=ac - se sont vu accorder un*socio=rien différé d'amortissement*socio=ec de 10 ans*socio=rien et des délais*socio=rien d'amortissement*socio=ec de 20 ans*socio=rien ), et allant jusqu'à différer, dans des *socio=uv conditions exceptionnelles,*socio=nil les*socio=nil paiements*socio=ec d'*socio=nil intérêts*socio=ec *socio=nil moratoires. Toutefois, le principal*socio=ec rééchelonné reste*socio=rien exigible, et le rééchelonnement*socio=ec des intérêts*socio=ec équivaut à de nouveaux*socio=rien emprunts*socio=ec aux conditions*socio=uv commerciales*socio=ec. S'ils permettent *socio=rien un soulagement immédiat des*socio=nil difficultés de*socio=nil trésorerie*socio=ec des*socio=nil *socio=ac pays emprunteurs,*socio=nil ces*socio=nil rééchelonnements*socio=ec *socio=nil contribuent à perpétuer le *socio=rien volume total *socio=nil de leurs dettes*socio=ec. Aujourd'hui encore, il *socio=rien est difficile aux*socio=nil créanciers*socio=ac *socio=nil de parvenir à un*socio=rien consensus*socio=uv sur*socio=rien la question*socio=rien de l'allégement*socio=ec des taux_d'_intérêt*socio=ec de la dette*socio=ec non concessionnelle*socio=uv rééchelonnée sous les *socio=rien auspices du Club_de_paris*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Certains sont favorables*socio=rien à cette proposition*socio=rien dans son principe*socio=rien , mais ne veulent pas s'engager *socio=rien seuls sur cette*socio=nil voie;*socio=nil *socio=nil ils préfèrent une approche qui fasse intervenir tous les créanciers*socio=ac. D'autres ont invoqué des *socio=rien difficultés diverses,*socio=nil *socio=nil y compris des réserves*socio=uv à*socio=ac adopter des taux*socio=rien concessionnels*socio=uv applicables*socio=rien aux crédits*socio=ec publics*socio=et à l'exportation*socio=ec et la probabilité*socio=rien , dans certains cas*socio=rien , que les concessions*socio=uv consenties sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec soient imputées aux budgets*socio=ec d'aide*socio=uv ordinaires*socio=rien . Quoi qu'il en soit, les pourparlers se poursuivent et la Banque*socio=ac a bon*socio=rien espoir*socio=uv que des dispositions*socio=rien chiffrables pourront *socio=rien être prises.*socio=nil En*socio=nil juin *socio=nil 1988, au sommet_économique*socio=ec de Toronto*socio=ac, les chefs*socio=ac d'État*socio=ac et de gouvernement*socio=ac des sept plus grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, ainsi que le Président*socio=rien de la Commission*socio=ac des *socio=ac communautés européennes,*socio=nil *socio=nil sont parvenus à un*socio=rien consensus*socio=uv sur*socio=rien le rééchelonnement*socio=ec de la dette_publique*socio=et des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac. Des renseignements*socio=rien détaillés sont fournis à ce sujet*socio=rien à la page*socio=rien 28. Tous ces efforts*socio=uv, entrepris alors même qu'apparaît *socio=rien probable un accroissement*socio=ec des*socio=nil fonds*socio=ec *socio=nil mis à la disposition*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac dans le cadre*socio=rien de la facilité_d'_ajustement_structurel_renforcée*socio=ec du*socio=rien FMI*socio=ac, représentent un*socio=rien progrès*socio=uv considérable*socio=rien dans la mobilisation*socio=uv des flux*socio=ec des ressources*socio=ec au profit*socio=ec de la région*socio=te. Il appartient à présent*socio=rien aux *socio=ac gouvernements africains,*socio=nil *socio=nil à la Banque*socio=ac et aux autres donateurs*socio=ac de veiller à ce que ces ressources*socio=ec soient utilisées efficacement et à ce qu'elles soient consacrées effectivement à appuyer des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et bien*socio=rien conçus. Aide*socio=uv à d'autres pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec. L'effort*socio=uv supplémentaire*socio=rien qui *socio=rien est nécessaire *socio=nil pour relever les défis*socio=uv de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac ne saurait se faire aux dépens*socio=rien des autres emprunteurs*socio=ac - surtout des autres pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec - d'Asie*socio=ac et d'ailleurs*socio=rien . Ces pays*socio=ac comptent encore la plus *socio=rien forte proportion *socio=nil de la population*socio=ac mondiale*socio=te vivant en état*socio=rien de pauvreté*socio=uv absolue*socio=rien . *socio=rien Un grand nombre *socio=nil d'entre eux, notamment en Asie*socio=ac, ont réalisé des progrès*socio=uv importants*socio=rien au cours*socio=rien de ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil mais continuent de nécessiter *socio=rien un puissant soutien*socio=uv *socio=nil à leur lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, ainsi que dans leurs efforts*socio=uv en vue*socio=rien de remplacer et de développer leur infrastructure*socio=ec de base*socio=rien . La Chine*socio=ac a fait*socio=rien de grands*socio=rien progrès*socio=uv. Il lui faut à présent*socio=rien poursuivre dans cette voie*socio=rien . Les cinq*socio=rien à dix *socio=rien prochaines années *socio=nil seront une difficile*socio=rien période*socio=te de transition*socio=uv, car les *socio=rien avantages du processus de*socio=nil réforme*socio=et,*socio=nil *socio=nil qui devient à présent*socio=rien plus complexe et nécessite un*socio=rien "meilleur*socio=rien réglage", ont peu de chances*socio=rien de se faire sentir aussi vite que ces *socio=rien dernières années.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac continue,*socio=nil *socio=nil et continuera, d'apporter son soutien*socio=uv au Gouvernement*socio=ac chinois*socio=te dans ses efforts*socio=uv de réforme*socio=et économique*socio=ec. L'Inde*socio=ac, également, a fait*socio=rien d'importants*socio=rien progrès*socio=uv économiques*socio=ec au cours*socio=rien de ces *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Elle a relevé son taux_de_croissance*socio=ec à long_terme*socio=ec *socio=rien du niveau *socio=nil d'environ 3,5% auquel il se maintenait depuis 20 ans*socio=rien à plus de 5%, par suite*socio=rien d'investissements*socio=ec massifs*socio=rien effectués précédemment dans son *socio=ec infrastructure économique *socio=nil et des réformes*socio=et plus récentes*socio=rien de ses politiques_commerciales*socio=ec et industrielles*socio=ec. Malgré l'ampleur*socio=rien de l'effort*socio=uv à fournir dans ce domaine*socio=rien , l'incidence*socio=rien de la pauvreté*socio=uv absolue*socio=rien , si forte*socio=rien soit elle encore, est*socio=rien également moins prononcée. La Banque*socio=ac appuie sans réserve*socio=uv l'objectif*socio=rien que s'est*socio=rien fixé l'Inde*socio=ac d'éliminer la pauvreté*socio=uv absolue*socio=rien d'ici à l'an*socio=rien 2000, et elle a l'intention*socio=rien d'examiner avec le Gouvernement*socio=ac les possibilités*socio=rien d'accroître sensiblement son soutien*socio=uv aux secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac afin d'atténuer les *socio=rien pires aspects *socio=nil de la pauvreté*socio=uv dans les campagnes*socio=et, ainsi que dans les bidonvilles*socio=ac urbains*socio=te. Note sur*socio=rien l'intervention*socio=et de la Banque*socio=ac en matière*socio=rien de pauvreté*socio=uv. Un*socio=rien groupe*socio=ac d'étude*socio=ac de la Banque*socio=ac sur*socio=rien la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, présidé par le Vice-président*socio=ac régional*socio=te pour l'Asie*socio=ac, a *socio=rien défini un programme*socio=et d'*socio=nil action *socio=nil pour la Banque*socio=ac au cours*socio=rien des *socio=rien cinq prochaines années,*socio=nil qui*socio=nil est *socio=nil conçu pour aider à atteindre l'objectif*socio=rien de l'élimination*socio=rien des *socio=rien pires formes *socio=nil de la pauvreté*socio=uv dans les pays_membres*socio=ac en développement*socio=uv d'ici à l'an*socio=rien 2000. Le rapport*socio=rien de ce groupe*socio=ac d'étude*socio=ac, qui sera examiné par le conseil_des_administrateurs*socio=ac au début*socio=rien de l'exercice*socio=rien 89, comprend: - *socio=rien un examen critique*socio=uv des*socio=nil principaux problèmes*socio=uv *socio=nil auxquels se heurtent les efforts*socio=uv consacrés à mettre en oeuvre*socio=rien des initiatives*socio=rien pour la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv par le biais*socio=rien de la recherche*socio=ec, de la politique*socio=et et des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec de la Banque*socio=ac; - des recommandations*socio=rien pour l'adoption*socio=et de nouvelles*socio=rien approches dans les opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac; - une indication*socio=rien des possibilités*socio=rien d'expansion*socio=ec des opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac axées sur*socio=rien la pauvreté*socio=uv au cours*socio=rien des *socio=rien cinq prochaines années,*socio=nil *socio=nil et ce qu'implique cette expansion*socio=ec pour les études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien , l'assistance_technique*socio=et et la coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv; et - des recommandations*socio=rien de mesures*socio=rien de suivi pour répéter et développer les programmes*socio=et valables*socio=rien déjà en cours*socio=rien d'exécution*socio=rien , lancer et appuyer de *socio=rien nouvelles initiatives *socio=nil et établir *socio=rien un système *socio=nil de suivi des progrès*socio=uv réalisés. Fin*socio=rien de note. L'Inde*socio=ac entre également dans une nouvelle*socio=rien phase*socio=te de croissance_économique*socio=ec - où elle doit exploiter pleinement son vaste*socio=rien potentiel*socio=uv industriel*socio=ec, satisfaire ses besoins*socio=uv énergétiques*socio=ec pour répondre à la demande*socio=ec et se doter d'une *socio=ec économie agricole *socio=nil de plus en plus diversifiée. La Banque*socio=ac poursuivra son dialogue*socio=uv de politique_économique*socio=et avec le *socio=ac Gouvernement indien *socio=nil afin d'aider le pays*socio=ac à franchir cette période*socio=te de transition*socio=uv d'une importance*socio=rien critique*socio=uv. Pour appuyer l'Inde*socio=ac dans ses efforts*socio=uv, la Banque*socio=ac continue*socio=rien de consacrer une *socio=rien large part *socio=nil de son programme*socio=et de prêts*socio=ec à aider le Gouvernement*socio=ac, qui aborde à *socio=rien présent un nouveau cycle*socio=te d'*socio=nil investissements*socio=ec d'*socio=nil infrastructure*socio=ec,*socio=nil *socio=nil à répondre aux besoins*socio=uv *socio=rien substantiels du pays*socio=ac *socio=nil à cet égard*socio=rien . Dans d'autres pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec, principalement en Asie_du_sud*socio=ac et de l'Est*socio=rien , mais aussi en Bolivie*socio=ac et en Haïti, les conditions*socio=uv macroéconomiques*socio=ec sont légèrement meilleures*socio=rien qu'en *socio=ac Afrique subsaharienne.*socio=nil *socio=nil Néanmoins, le déficit*socio=ec budgétaire*socio=et, une position*socio=rien de change*socio=rien très juste*socio=rien et un*socio=rien service_de_la_dette*socio=et élevé*socio=rien ou croissant*socio=rien posent de graves*socio=rien problèmes*socio=uv - souvent aggravés par des *socio=rien catastrophes naturelles *socio=nil - à la gestion*socio=et économique*socio=ec de la plupart*socio=rien des pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac. Toutefois, à plus longue*socio=rien échéance*socio=te, le *socio=rien principal souci *socio=nil de la plupart*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec est*socio=rien lié à l'ampleur*socio=rien décourageante de la pauvreté*socio=uv et à ses *socio=rien effets sur un environnement*socio=ec rendu*socio=nil fragile *socio=nil par le fort*socio=rien accroissement*socio=ec de la population*socio=ac, par la faible*socio=rien productivité*socio=ec dans tous les secteurs*socio=ec et par les insuffisances*socio=rien dans les domaines*socio=rien de la santé*socio=et et de l'éducation*socio=et (Voir Encadré 3-3). Ces pays*socio=ac ont grandement besoin*socio=uv d'un*socio=rien fort*socio=rien accroissement*socio=ec de l'aide*socio=uv concessionnelle*socio=uv. Or*socio=rien , l'assistance*socio=et qu'ils reçoivent de l'IDA*socio=ac *socio=rien est insuffisante.*socio=nil Après *socio=nil avoir aidé l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac, la Chine*socio=ac et l'Inde*socio=ac, conformément aux instructions de l'accord*socio=et et des *socio=rien dispositions relatives à*socio=nil IDA-8*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil se retrouve avec des ressources*socio=ec qui restent nettement en deçà non seulement des besoins*socio=uv de ces pays*socio=ac (étant donné leur population*socio=ac, leur pauvreté*socio=uv et la qualité*socio=rien de leurs résultats*socio=rien économiques*socio=ec), mais aussi des besoins*socio=uv en aide_financière*socio=et extérieure*socio=te des projets*socio=rien que la Banque*socio=ac prépare avec leurs gouvernements*socio=ac. Face*socio=rien aux besoins*socio=uv critiques*socio=rien de ces pays*socio=ac en assistance*socio=et concessionnelle*socio=uv, la Banque*socio=ac poursuit ses *socio=rien travaux sur un programme*socio=et de*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil qui dépasse les ressources*socio=ec dont dispose l'IDA*socio=ac, dans l'espoir*socio=uv que les projets*socio=rien de l'Association*socio=ac bénéficieront d'un*socio=rien *socio=rien volume sensible de*socio=nil cofinancement*socio=ec *socio=nil à des *socio=uv conditions concessionnelles.*socio=nil Développement du*socio=rien secteur_privé*socio=ec.*socio=nil Ces*socio=nil *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a accentué ses efforts*socio=uv en vue*socio=rien d'aider les pays_en_développement*socio=ac à s'appuyer sur*socio=rien l'initiative*socio=rien privée*socio=ec et la discipline*socio=uv du*socio=rien marché*socio=ec pour promouvoir leur développement*socio=uv. L'extension*socio=rien *socio=rien du rôle *socio=nil de la Banque*socio=ac est*socio=rien allée au-delà des *socio=rien procédés traditionnels d'*socio=nil octroi de*socio=nil fonds*socio=ec *socio=nil pour l'entreprise_privée*socio=ac, de prêts*socio=ec pour l'infrastructure*socio=ec et les services*socio=ec, et de promotion*socio=uv de politiques*socio=et et de règlements*socio=et économiques*socio=ec favorisant un*socio=rien *socio=ec environnement économique concurrentiel et*socio=nil efficace*socio=uv.*socio=nil Ces*socio=nil actions*socio=rien *socio=nil , notamment celles qui visent à créer un*socio=rien environnement*socio=ec politique*socio=et et réglementaire*socio=et favorable*socio=rien , ont inclus: - des mesures*socio=rien visant à encourager de nouveaux*socio=rien investissements_privés*socio=ec, notamment la promotion*socio=uv par la Banque*socio=ac de mesures*socio=rien telles que les ristournes sur*socio=rien les droits*socio=uv de douane*socio=ac consenties aux exportateurs*socio=ac, l'amélioration*socio=uv de l'accès*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec au crédit*socio=ec, l'abolition*socio=uv des restrictions*socio=uv aux investissements_privés*socio=ec, les garanties contre l'expropriation*socio=et sans dédommagement, la suppression*socio=rien des désavantages fiscaux*socio=ec et l'institution*socio=ac de *socio=rien mesures sélectives d'*socio=nil incitation fiscale*socio=ec;*socio=nil *socio=nil - la création*socio=rien de l'AMGI*socio=ac, l'Agence*socio=rien multilatérale*socio=te de garantie des investissements*socio=ec (Voir page*socio=rien 86), qui assurera les investissements*socio=ec contre certains risques*socio=uv tels que les pertes*socio=ec dues à la nationalisation*socio=et ou à la perte*socio=rien de contrôle*socio=uv, à une guerre*socio=et ou à des troubles civils, et à des restrictions*socio=uv imposées à la conversion*socio=ec et au transfert*socio=ec de monnaies*socio=ec; - des efforts*socio=uv de la part*socio=rien de la SFI*socio=ac a) pour offrir des conseils*socio=ac aux gouvernements*socio=ac sur*socio=rien les moyens*socio=ec de modifier leurs politiques*socio=et, règlements*socio=et et institutions*socio=ac afin de faciliter les investissements_privés*socio=ec étrangers*socio=uv, et b) pour aider les gouvernements*socio=ac à utiliser les *socio=ec swaps dette/*socio=nil fonds propres*socio=rien comme*socio=nil moyens *socio=nil de promouvoir l'investissement_privé*socio=ec; enfin - un*socio=rien soutien*socio=uv aux programmes*socio=et qui visent à alléger le secteur_public*socio=ac et à freiner la tendance*socio=rien à écarter les entreprises_privées*socio=ec, par l'élimination*socio=rien des monopoles*socio=ec d'État*socio=ac, la privatisation*socio=et des entreprises_publiques*socio=et, la réorientation*socio=et des organismes_publics*socio=ac de manière*socio=rien à créer un*socio=rien environnement*socio=ec propice*socio=rien au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, la limitation des activités*socio=rien publiques*socio=et inutiles*socio=rien et inefficaces*socio=uv et la réorientation*socio=et des dépenses_publiques*socio=et vers les secteurs*socio=ec prioritaires*socio=uv. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 88, la Banque*socio=ac a commencé à élaborer des stratégies*socio=et par pays*socio=ac et de *socio=rien nouveaux instruments,*socio=nil *socio=nil y compris des opérations*socio=rien autonomes*socio=uv, afin d'aider directement au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. C'est*socio=rien ainsi qu'elle a lancé une série d'évaluations*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, afin d'identifier les goulets*socio=rien d'étranglement qui freinent sa croissance*socio=uv et les obstacles*socio=rien qui limitent sa contribution*socio=uv au développement_économique*socio=ec général*socio=rien . Les services_de_la_banque*socio=ac utiliseront ces évaluations*socio=uv pour travailler avec leurs collègues de la SFI*socio=ac, avec des responsables*socio=uv des gouvernements*socio=ac et avec des représentants*socio=ac du*socio=rien secteur_privé*socio=ec à l'élaboration*socio=rien de stratégies*socio=et visant à favoriser un*socio=rien développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec adapté à la situation*socio=uv de chaque pays*socio=ac. En outre, *socio=rien un nombre modeste mais*socio=nil croissant d'*socio=nil opérations indépendantes,*socio=nil *socio=nil visant exclusivement à favoriser le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, sont actuellement en préparation*socio=rien , notamment en *socio=ac Afrique subsaharienne.*socio=nil La*socio=nil Banque *socio=nil a également commencé à étudier, à la demande*socio=ec des gouvernements*socio=ac, les possibilités*socio=rien de prestation*socio=et de services_publics*socio=et par le secteur_privé*socio=ec comme de contrats*socio=ec de gestion*socio=et, de baux et d'entreprises*socio=ac à risques*socio=uv partagés. Ces études*socio=rien fourniront des *socio=rien informations sur les*socio=nil enseignements*socio=et *socio=nil tirés de la sous-traitance*socio=ec et de l'octroi*socio=rien de concessions*socio=uv, et les projets*socio=rien de la Banque*socio=ac aideront les gouvernements*socio=ac à élaborer et à gérer leurs marchés*socio=ec avec le secteur_privé*socio=ec. La Banque*socio=ac et la SFI*socio=ac ont renforcé leur assistance*socio=et à l'établissement*socio=rien de marchés_financiers*socio=ec solides*socio=rien et concurrentiels*socio=ec, capables*socio=rien de fournir efficacement des capitaux*socio=ec pour stimuler la croissance*socio=uv. C'est*socio=rien notamment pour cela qu'a été*socio=rien créée la Division*socio=rien de gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac et de promotion*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, au *socio=rien sein du Département*socio=ac *socio=nil de l'économie*socio=ec par pays*socio=ac, qui est*socio=rien chargée de définir*socio=rien des approches et des politiques*socio=et pour le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Cette Division*socio=rien a pour mandat*socio=rien d'offrir l'impulsion*socio=rien intellectuelle*socio=rien et l'appui*socio=rien aux *socio=rien futures opérations *socio=nil de la Banque*socio=ac dans ce domaine*socio=rien . Enfin, un*socio=rien groupe*socio=ac d'experts*socio=ac de *socio=rien haut niveau,*socio=nil le*socio=nil Groupe*socio=ac d'*socio=nil examen *socio=nil pour le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, a été*socio=rien créé pour évaluer et étudier de façon*socio=rien approfondie les activités*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac et de la SFI*socio=ac à l'égard*socio=rien du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Présidé par M: J: Burke Knapp, *socio=rien ancien Premier Vice-président*socio=ac *socio=nil de la Banque*socio=ac, et composé de Il autres membres*socio=rien appartenant au secteur_privé*socio=ec, à la Banque*socio=ac et à la SFI*socio=ac, ce Groupe*socio=ac a pour tâche*socio=rien : a) d'évaluer l'expérience*socio=uv acquise*socio=rien par la Banque*socio=ac et la SFI*socio=ac en matière*socio=rien de soutien*socio=uv au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec; b) de proposer des changements*socio=uv, des orientations*socio=et et des *socio=rien initiatives susceptibles *socio=nil d'accroître l'efficacité*socio=uv des efforts*socio=uv déployés par la Banque*socio=ac et la SFI*socio=ac pour aider à accroître leur contribution*socio=uv au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec; enfin c) d'examiner les activités*socio=rien de la Banque*socio=ac, de la SFI*socio=ac et de l'AMGI*socio=ac et de formuler des recommandations*socio=rien qui pourraient être*socio=rien particulièrement utiles*socio=uv au secteur_privé*socio=ec, compte*socio=rien tenu des *socio=rien statuts respectifs *socio=nil de ces institutions*socio=ac, de leurs politiques*socio=et et des initiatives*socio=rien qu'elles se proposent de prendre. L'examen*socio=rien par les Administrateurs*socio=ac *socio=rien du rapport *socio=nil de ce Groupe*socio=ac, ainsi que de ses recommandations*socio=rien , est*socio=rien prévu pour le début*socio=rien de l'exercice*socio=rien 89. Activités*socio=rien concernant l'environnement*socio=ec. En avril*socio=rien 1987, la Banque*socio=ac a préparé *socio=rien un document *socio=nil intitulé "Environnement*socio=ec, croissance*socio=uv et développement*socio=uv" qu'elle a présenté au comité_du_développement*socio=ac, lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien de Washington*socio=ac. Ce document*socio=rien portait essentiellement sur*socio=rien les liens*socio=rien qui existent entre la croissance_économique*socio=ec, la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv et la dégradation*socio=rien de l'environnement*socio=ec. Il soulignait à la fois*socio=rien la nécessité*socio=uv de traiter les problèmes*socio=uv de l'environnement*socio=ec dans le cadre*socio=rien d'une politique_économique*socio=et d'ensemble*socio=rien plutôt qu'à l'occasion*socio=rien de *socio=rien projets particuliers,*socio=nil *socio=nil et l'extrême*socio=rien gravité des conséquences*socio=rien de l'accroissement*socio=ec rapide*socio=rien de la population*socio=ac. Ce document*socio=rien insistait également sur*socio=rien la nécessité*socio=uv que s'instaure une collaboration*socio=uv à l'égard*socio=rien des problèmes*socio=uv de l'environnement*socio=ec, sous la conduite*socio=rien des gouvernements*socio=ac des pays_en_développement*socio=ac, avec la participation*socio=uv d'institutions_internationales*socio=et et bilatérales*socio=te ainsi que d'organisations_non_gouvernementales*socio=ac. Peu après*socio=rien l'examen*socio=rien de ce document*socio=rien par le comité_du_développement*socio=ac, la Commission*socio=ac mondiale*socio=te sur*socio=rien l'environnement_et_le_développement*socio=ac (la Commission*socio=ac Brumdland) a publié son *socio=rien propre rapport,*socio=nil *socio=nil intitulé "Notre avenir*socio=te à tous". Ses *socio=rien conclusions générales étaient*socio=nil semblables,*socio=nil *socio=nil dans l'ensemble*socio=rien , à celles *socio=rien du document *socio=nil de la Banque*socio=ac, et c'est*socio=rien sur*socio=rien cette base*socio=rien que la Banque*socio=ac a élaboré sa propre*socio=rien politique*socio=et à l'égard*socio=rien de l'environnement*socio=ec. Au cours*socio=rien de l'année*socio=rien qui s'est*socio=rien écoulée depuis la parution de ces rapports*socio=rien , la Banque*socio=ac a sensiblement élargi la portée*socio=rien de ses travaux*socio=rien dans le domaine*socio=rien de l'environnement*socio=ec. Ces travaux*socio=rien ont à présent*socio=rien une *socio=rien double vocation:*socio=nil *socio=nil premièrement, veiller davantage à tenir compte*socio=rien des effets*socio=rien des *socio=rien différents projets sur l'*socio=nil environnement*socio=ec *socio=nil et identifier des projets*socio=rien axés *socio=rien spécifiquement sur les*socio=nil problèmes*socio=uv *socio=nil de l'environnement*socio=ec; et, deuxièmement, favoriser la prise*socio=rien de *socio=rien mesures destinées *socio=nil à susciter *socio=rien un comportement général favorable *socio=nil à l'environnement*socio=ec, La Banque*socio=ac accorde une attention*socio=rien particulière*socio=uv aux graves*socio=rien problèmes*socio=uv écologiques*socio=et de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac (notamment aux problèmes*socio=uv de la désertification*socio=et et de la salinité), à la menace*socio=rien de déboisement*socio=et dans les pays*socio=ac possédant des forêts*socio=et denses*socio=rien tropicales*socio=te, dont la faune*socio=rien et la flore sont menacées, et dans les pays*socio=ac souffrant d'une grave*socio=rien pénurie*socio=ec de bois*socio=rien de feu*socio=rien ainsi qu'aux problèmes*socio=uv régionaux*socio=te tels que celui de la pollution*socio=et de la Méditerranée (Voir *socio=rien détails du programme*socio=et relatif au*socio=nil bassin méditerranéen*socio=nil page *socio=nil 111). Parmi les autres initiatives*socio=rien , on peut citer l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien ensemble*socio=rien de *socio=rien directives destinées *socio=nil à prévenir les catastrophes*socio=rien industrielles*socio=ec telles que celles qui se sont produites à Bhopal, à Tchernobyl et à Bâle; l'adoption*socio=et d'une politique*socio=et en faveur*socio=rien des opérations*socio=rien tendant à préserver la *socio=rien diversité biologique;*socio=nil la*socio=nil participation*socio=uv à*socio=nil un groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ac *socio=nil chargé d'identifier les pays*socio=ac ayant des bassins versants dégradés et d'élaborer des mesures*socio=rien appropriées; une étude*socio=ac des effets*socio=rien de la politique*socio=et des *socio=ec prix agricoles sur*socio=rien l'*socio=nil environnement;*socio=nil enfin*socio=nil un*socio=rien effort*socio=uv *socio=nil pour accorder plus d'attention*socio=rien au rôle*socio=rien des femmes*socio=ac dans la gestion*socio=et des ressources*socio=ec et dans le développement*socio=uv agricole*socio=ec. L'intérêt*socio=uv accru porté à l'environnement*socio=ec constituait précisément l'un*socio=rien des *socio=rien importants éléments *socio=nil de la réorganisation*socio=uv de la Banque*socio=ac. Des services*socio=ec de l'environnement*socio=ec ont été*socio=rien établis au sein*socio=rien des quatre bureaux*socio=rien régionaux*socio=te, et un*socio=rien Département*socio=ac central*socio=rien de l'environnement*socio=ec a été*socio=rien créé au *socio=rien sein du bureau du Premier Vice-président*socio=ac,*socio=nil Politiques*socio=et,*socio=nil planification*socio=et et*socio=nil recherche*socio=ec.*socio=nil Les*socio=nil travaux *socio=nil de ce Département*socio=ac portent essentiellement sur*socio=rien l'incidence*socio=rien des projets_de_développement*socio=et sur*socio=rien l'environnement*socio=ec, ainsi que sur*socio=rien l'identification*socio=rien de tâches*socio=rien de caractère*socio=rien plus général*socio=rien , les priorités*socio=uv étant fixées selon le pays*socio=ac et le degré*socio=rien d'urgence*socio=rien . Le Département*socio=ac de l'environnement*socio=ec se livre à des activités*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien et de recherche*socio=ec dans *socio=rien un ensemble de*socio=nil domaines techniques,*socio=nil économiques*socio=ec et*socio=nil sociaux*socio=ac,*socio=nil apporte*socio=nil un appui au*socio=nil personnel des*socio=nil bureaux régionaux*socio=te *socio=nil qui ont besoin*socio=uv de conseils*socio=ac et/ou de *socio=rien connaissances spécialisées,*socio=nil *socio=nil enfin établit et tient à jour*socio=rien des systèmes*socio=rien d'information*socio=rien et des bases*socio=rien de données. Les *socio=rien travaux sur l'*socio=nil environnement*socio=ec *socio=nil exigent l'examen*socio=rien d'effets*socio=rien intersectoriels complexes, qui apparaissent parfois longtemps après*socio=rien l'action*socio=rien qui les a produits*socio=rien . Pour élargir l'horizon*socio=rien des spécialistes*socio=ac sectoriels*socio=rien et établir des liens*socio=rien entre les *socio=rien activités sectorielles *socio=nil ainsi qu'entre la politique*socio=et macroéconomique*socio=ec et ces activités*socio=rien , il faut une *socio=rien meilleure compréhension *socio=nil à la fois*socio=rien des *socio=rien facteurs physiques *socio=nil et des comportements*socio=rien humains*socio=uv en jeu*socio=rien . Pour faire face*socio=rien aux grands*socio=rien problèmes*socio=uv de l'environnement*socio=ec (qui vont du*socio=rien déboisement*socio=et au réchauffement*socio=rien de la planète*socio=te) et améliorer la conception*socio=rien et l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien , la Banque*socio=ac s'emploie particulièrement à concilier des points*socio=rien de *socio=rien vue différents sur d'*socio=nil importantes questions scientifiques*socio=ec et*socio=nil techniques intéressant *socio=nil tous les secteurs*socio=ec, et à mieux intégrer ces aspects*socio=rien à ses travaux*socio=rien . Pour appuyer ces efforts*socio=uv, *socio=rien un haut conseiller*socio=ac scientifique*socio=ec et*socio=nil technique a*socio=nil été *socio=nil affecté au *socio=rien bureau du Vice-président*socio=ac,*socio=nil Politiques*socio=et sectorielles et*socio=nil recherche*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Conformément au rapport*socio=rien Brundtland*socio=ac, qui recommandait que la gestion*socio=et de l'environnement*socio=ec soit intégrée à la planification*socio=et du*socio=rien développement*socio=uv, la *socio=rien nouvelle grande idée *socio=nil de la politique*socio=et de la Banque*socio=ac à l'égard*socio=rien de l'environnement*socio=ec est*socio=rien d'adopter des procédures*socio=rien permettant de traiter l'environnement*socio=ec comme l'un*socio=rien des *socio=rien éléments habituels des*socio=nil travaux économiques*socio=ec et*socio=nil sectoriels sur les*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil Ces*socio=nil travaux *socio=nil supposent l'établissement*socio=rien préalable*socio=rien , pour les besoins*socio=uv des services_de_la_banque*socio=ac, d'une brève*socio=rien étude*socio=ac définissant*socio=rien dans leurs *socio=rien grandes lignes les*socio=nil principaux problèmes*socio=uv *socio=nil de l'environnement*socio=ec dans chaque pays*socio=ac. Ces études*socio=rien examineront donc la nature*socio=rien et l'importance*socio=rien des problèmes*socio=uv de l'environnement*socio=ec, leurs causes*socio=rien et les stratégies*socio=et générales*socio=rien à adopter pour l'élaboration*socio=rien de politiques*socio=et et de programmes*socio=et d'investissement*socio=ec destinés à y faire face*socio=rien . Les questions*socio=rien qui justifient *socio=rien un examen particulier*socio=uv *socio=nil seront ensuite incorporées au dialogue*socio=uv de politique_économique*socio=et engagé par la Banque*socio=ac, à ses stratégies*socio=et par pays*socio=ac, à ses travaux*socio=rien économiques*socio=ec et sectoriels*socio=rien comme à ses activités*socio=rien de prêt*socio=ec. Plusieurs pays*socio=ac aux prises*socio=rien avec de graves*socio=rien problèmes*socio=uv écologiques*socio=et et dont le gouvernement*socio=ac a donné la preuve*socio=uv de sa volonté*socio=uv d'améliorer la gestion*socio=et des ressources_naturelles*socio=ec ont *socio=rien été retenus *socio=nil et feront l'objet*socio=rien d'une étude*socio=ac plus approfondie. En outre, la Banque*socio=ac s'efforce d'identifier des projets*socio=rien qui, tout en répondant aux critères*socio=rien de croissance_économique*socio=ec et de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, traitent directement les *socio=rien grandes questions *socio=nil de l'environnement*socio=ec ou s'attaquent aux problèmes*socio=uv de la gestion*socio=et de l'environnement*socio=ec. Le processus*socio=rien traditionnel*socio=uv d'examen*socio=rien des *socio=rien projets un par*socio=nil un *socio=nil sera réparti entre un*socio=rien plus *socio=rien grand nombre de*socio=nil personnes *socio=nil et ces personnes*socio=rien représenteront un*socio=rien plus *socio=rien large éventail de*socio=nil disciplines.*socio=nil *socio=nil Conformément aux recommandations*socio=rien de la *socio=ac Commission Brundtland,*socio=nil la*socio=nil Banque *socio=nil s'efforce davantage de prévoir les conséquences*socio=rien que peuvent avoir sur*socio=rien l'environnement*socio=ec comme sur*socio=rien les comportements*socio=rien humains*socio=uv des grands*socio=rien projets_de_développement*socio=et, afin de pouvoir*socio=et prendre des dispositions*socio=rien en conséquence*socio=rien . Le Département*socio=ac de l'évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac de la Banque*socio=ac a également entrepris des études*socio=rien de *socio=rien projets passés *socio=nil afin d'identifier des schémas*socio=rien et des tendances*socio=rien pour en tirer des leçons*socio=rien et formuler des recommandations*socio=rien pour les opérations*socio=rien à venir de l'institution*socio=ac. Parmi ces études*socio=rien figurent *socio=rien un examen des*socio=nil questions relatives *socio=nil à la gestion*socio=et des ressources_naturelles*socio=ec renouvelables*socio=rien dans les projets*socio=rien agricoles*socio=ec de 12 pays*socio=ac appartenant à toutes les grandes*socio=rien zones*socio=te écologiques*socio=et et *socio=rien un examen des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil consentis par la Banque*socio=ac pour l'exploitation*socio=ec forestière*socio=ec, qui permettra d'évaluer le rôle*socio=rien et l'efficacité*socio=uv des opérations*socio=rien forestières*socio=ec. Parallèlement à une prise*socio=rien de conscience*socio=uv accrue des problèmes*socio=uv de l'environnement*socio=ec, on note un*socio=rien accroissement*socio=ec *socio=rien rapide du nombre d'*socio=nil initiatives des*socio=nil *socio=ac organisations gouvernementales et*socio=nil privées*socio=ec *socio=nil dans ce domaine*socio=rien . Pour favoriser une meilleure*socio=rien coordination*socio=uv des activités*socio=rien et la mise en commun*socio=uv des *socio=rien connaissances acquises,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil s'efforce d'améliorer ses liens*socio=rien avec les autres organismes*socio=ac. Elle s'efforce de développer sa collaboration*socio=uv avec les donateurs*socio=ac bilatéraux*socio=te pour ce qui est*socio=rien des *socio=rien activités opérationnelles *socio=nil comme des activités*socio=rien de politique*socio=et et de recherche*socio=ec, ainsi qu'avec les autres institutions*socio=ac *socio=rien du système des*socio=nil nations_unies*socio=ac *socio=nil et les autres institutions_financières*socio=ec internationales*socio=te, à travers*socio=rien divers mécanismes*socio=rien , y compris le Comité*socio=rien des institutions_internationales*socio=et de développement*socio=uv pour l'environnement*socio=ec. De façon*socio=rien également importante*socio=rien , la Banque*socio=ac s'efforce de resserrer ses liens*socio=rien avec certaines*socio=rien organisations_non_gouvernementales*socio=ac jouant *socio=rien un rôle important *socio=nil dans le domaine*socio=rien de l'environnement*socio=ec, notamment l'Union*socio=rien internationale*socio=te pour la conservation*socio=uv de la nature*socio=rien et de ses ressources*socio=ac, le Fonds*socio=ec mondial*socio=te pour la nature*socio=ac, l' Institut_mondial_des_ressources_naturelles*socio=ac et l'Institut*socio=et international*socio=te pour l' environnement_et_le_développement*socio=ac. Ainsi, le Bureau_régional_afrique*socio=ac de la Banque*socio=ac coopère avec l'Institut_mondial_des_ressources_naturelles*socio=(ac,ec) pour *socio=rien un examen des*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil menées dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac en*socio=nil vue *socio=nil de créer une interdépendance*socio=uv entre les objectifs*socio=rien écologiques*socio=et et économiques*socio=ec. Le rôle*socio=rien des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv: approches opérationnelles*socio=rien . La nouvelle*socio=rien approche adoptée par la Banque*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 87 vis-à-vis *socio=rien du rôle des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans le développement*socio=uv dépasse les études*socio=rien et la formation*socio=et de personnel*socio=rien et vise à rendre ses efforts*socio=uv en ce domaine*socio=rien plus opérationnels*socio=rien . Cette approche, qui s'est*socio=rien confirmée au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 88, s'emploie à montrer ce que l'on peut effectivement faire pour intégrer les femmes*socio=ac au processus*socio=rien de développement*socio=uv et comment cette intégration*socio=uv contribue à son tour*socio=rien à la réalisation*socio=uv des autres *socio=rien objectifs du développement*socio=uv:*socio=nil la*socio=nil croissance_économique*socio=ec,*socio=nil une*socio=nil utilisation plus*socio=nil efficace*socio=uv et*socio=nil durable des*socio=nil ressources*socio=ec,*socio=nil la*socio=nil lutte*socio=uv *socio=nil contre la pauvreté*socio=uv, l'amélioration*socio=uv des conditions_de_vie*socio=uv familiale*socio=et et le ralentissement*socio=uv de la croissance*socio=uv démographique*socio=rien . Cette approche comprend trois *socio=rien grandes composantes:*socio=nil -*socio=nil formulation de*socio=nil plans d'*socio=nil action *socio=nil pour certains pays*socio=ac, récapitulant la situation*socio=uv des femmes*socio=ac dans l'économie*socio=ec et ses principaux*socio=rien secteurs*socio=ec et ce qu'elles y apportent, et donnant des recommandations*socio=rien pratiques*socio=et d'interventions*socio=et (réformes*socio=et et prêts*socio=ec) destinées*socio=rien à améliorer la productivité*socio=ec et le bien-être*socio=uv des femmes*socio=ac; 0 élaboration*socio=rien de *socio=rien méthodes bien *socio=nil étayées et préparation*socio=rien d'instruments*socio=rien opérationnels*socio=rien pour certains secteurs*socio=ec, tels que la vulgarisation*socio=rien agricole*socio=ec pour les *socio=ac femmes agriculteurs,*socio=nil les*socio=nil systèmes*socio=rien d'*socio=nil octroi*socio=rien de*socio=nil crédit*socio=ec aux*socio=nil femmes,*socio=nil les*socio=nil services_de_santé*socio=et maternelle*socio=uv *socio=nil et de planning*socio=rien familial*socio=uv, l'éducation*socio=et et la formation*socio=et, la nutrition*socio=rien et les entreprises*socio=ac du*socio=rien secteur*socio=ec informel*socio=uv; enfin - lancement*socio=rien d'analyses*socio=rien et d'opérations*socio=rien de prêt*socio=ec dans des secteurs*socio=ec donnés - entre autres, dans l'agriculture*socio=ec, l'éducation*socio=et, la petite*socio=rien entreprise*socio=ac et l'industrie*socio=ec artisanale ou encore la population*socio=ac, la santé*socio=et et la nutrition*socio=rien , cette liste n'étant pas exhaustive*socio=rien - pour améliorer la participation*socio=uv, la productivité*socio=ec, la position*socio=rien et le bien-être*socio=uv des femmes*socio=ac. Pour aider au succès*socio=uv de cette nouvelle*socio=rien approche, une *socio=rien Division du rôle des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans le développement*socio=uv a été*socio=rien créée au *socio=rien sein du Département*socio=ac *socio=nil de la population*socio=ac et des ressources_humaines*socio=ec des services*socio=ec des politiques*socio=et, de la planification*socio=et et de la recherche*socio=ec. Cette *socio=rien nouvelle Division *socio=nil se livre à *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil activités destinées *socio=nil à renforcer l'intérêt*socio=uv et les moyens*socio=ec opérationnels*socio=rien , à lancer des travaux*socio=rien de recherche*socio=ec et des études*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien destinés à fournir de *socio=rien meilleurs outils analytiques,*socio=nil *socio=nil et à développer la *socio=rien capacité opérationnelle *socio=nil par la mise au point*socio=rien et la diffusion*socio=rien d'instruments*socio=rien opérationnels*socio=rien , ainsi que par une formation*socio=et accrue et plus *socio=rien fonctionnelle du personnel.*socio=nil Ces*socio=nil activités portent*socio=nil sur:*socio=nil Des*socio=nil plans d'*socio=nil action par*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil destinés à promouvoir le rôle*socio=rien des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv. L'un*socio=rien des *socio=rien principaux aspects *socio=nil de cette nouvelle*socio=rien approche opérationnelle*socio=rien de l'action*socio=rien de la Banque*socio=ac a trait*socio=rien à l'établissement*socio=rien de plans*socio=rien d'action*socio=rien par pays*socio=ac, destinés à offrir *socio=rien un cadre opérationnel,*socio=nil fondé*socio=nil sur l'*socio=nil analyse sectorielle,*socio=nil *socio=nil afin d'orienter et de concevoir l'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac d'une manière*socio=rien qui permette effectivement d'atteindre les femmes*socio=ac et d'améliorer à la fois*socio=rien leur contribution*socio=uv au développement_économique*socio=ec et les avantages*socio=rien qu'elles en retirent. Le premier*socio=rien de ces plans*socio=rien d'action*socio=rien , qui concerne le Kenya*socio=ac, est*socio=rien terminé et trois autres sont en préparation*socio=rien pour l'Inde*socio=ac, le Pakistan*socio=ac et le Bangladesh*socio=ac. Des *socio=rien travaux similaires *socio=nil sont prévus pour plusieurs pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac et d' amérique_latine*socio=ac. Des *socio=rien directives opérationnelles.*socio=nil *socio=nil L'une des grandes*socio=rien priorités*socio=uv du*socio=rien programme*socio=et de travail*socio=rien de cette *socio=rien division est *socio=nil d'élaborer des approches bien*socio=rien étayées, afin d'illustrer ce qui marche*socio=rien dans des secteurs*socio=ec donnés, en commençant par la vulgarisation*socio=rien agricole*socio=ec, la foresterie*socio=et et le crédit*socio=ec. Cette *socio=rien tâche est *socio=nil étroitement liée et doit aboutir à l'élaboration*socio=rien de *socio=rien directives opérationnelles *socio=nil visant à tenir compte*socio=rien des femmes*socio=ac dans l'analyse*socio=rien macroéconomique*socio=ec et sectorielle*socio=rien et dans la formulation*socio=rien et la conception*socio=rien des projets*socio=rien . Les travaux*socio=rien sont bien*socio=rien avancés en ce qui concerne les directives*socio=rien à suivre pour traiter les problèmes*socio=uv liés au rôle*socio=rien des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv dans l'analyse*socio=rien économique*socio=ec par pays*socio=ac et dans l'analyse*socio=rien et la conception*socio=rien de *socio=rien projets du *socio=ec secteur forestier;*socio=nil les*socio=nil *socio=rien travaux sur les*socio=nil directives *socio=nil pour la vulgarisation*socio=rien et le *socio=ec crédit agricoles *socio=nil ont commencé. Les *socio=ac femmes agriculteurs *socio=nil et la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec en Afrique*socio=ac. La Division*socio=rien assure la gestion*socio=et d'un*socio=rien projet*socio=rien de recherche*socio=ec opérationnelle*socio=rien portant sur*socio=rien plusieurs pays*socio=ac, financé par le programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac, qui a pour but*socio=rien de promouvoir et de réunir des *socio=rien informations sur la*socio=nil productivité*socio=ec des*socio=nil *socio=ac femmes agriculteurs *socio=nil dans certains pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac. Le burkina_faso*socio=ac, la Guinée*socio=ac, le Kenya*socio=ac, le Nigeria*socio=ac et la Zambie*socio=ac sont actuellement inclus dans cette étude*socio=ac. Mettant particulièrement l'accent*socio=rien sur*socio=rien la *socio=ec production alimentaire,*socio=nil ce*socio=nil programme*socio=et *socio=nil s'efforce, à travers*socio=rien des études*socio=rien de cas*socio=rien , d'identifier les obstacles*socio=rien à la productivité*socio=ec et à l'efficacité*socio=uv potentielle*socio=rien de nouveaux*socio=rien programmes*socio=et de vulgarisation*socio=rien , systèmes*socio=rien de crédit*socio=ec et mécanismes*socio=rien de fourniture*socio=rien d'intrants*socio=ec; il permettra également de mieux comprendre les effets*socio=rien de certaines*socio=rien politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec et *socio=rien sectorielles sur les*socio=nil *socio=ac femmes agriculteurs.*socio=nil Ses*socio=nil conclusions*socio=rien et*socio=nil recommandations*socio=rien *socio=nil seront diffusées dans des publications*socio=rien et à l'occasion*socio=rien de journées*socio=rien d'étude*socio=ac organisées dans certains pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac. Comme ces travaux*socio=rien intéressent directement la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec en général*socio=rien , la Division*socio=rien collabore également avec le Groupe*socio=ac d'étude*socio=ac de la Banque*socio=ac sur*socio=rien la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec en Afrique*socio=ac, notamment pour ce qui est*socio=rien de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des *socio=ac femmes agriculteurs africaines*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil soutien*socio=uv opérationnel*socio=rien *socio=nil . La Division*socio=rien apporte un*socio=rien soutien*socio=uv direct*socio=rien , à travers*socio=rien à la fois*socio=rien l'analyse*socio=rien sectorielle*socio=rien et la conception*socio=rien de projets*socio=rien , aux *socio=rien initiatives opérationnelles dans*socio=nil un certain nombre de*socio=nil secteurs*socio=ec *socio=nil - y compris notamment la vulgarisation*socio=rien agricole*socio=ec dispensée aux *socio=ac femmes agriculteurs,*socio=nil les*socio=nil systèmes*socio=rien d'*socio=nil octroi*socio=rien de*socio=nil crédit*socio=ec aux*socio=nil femmes,*socio=nil l'*socio=nil éducation*socio=et *socio=nil et la formation*socio=et, les services_de_santé*socio=et maternelle*socio=uv et de planning*socio=rien familial*socio=uv, l'alimentation*socio=ec en eau*socio=ec et l'assainissement*socio=uv en milieu*socio=rien rural*socio=te, la nutrition*socio=rien et les entreprises*socio=ac du*socio=rien secteur*socio=ec non structuré, cette liste n'étant pas exhaustive*socio=rien . Le programme*socio=et pour une maternité*socio=uv sans danger*socio=uv. C'est*socio=rien au sein*socio=rien de la *socio=rien Division du rôle des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans le développement*socio=uv et de la Division*socio=rien de la population*socio=ac, de la santé*socio=et et de la *socio=rien nutrition du Département*socio=ac *socio=nil de la population*socio=ac et des ressources_humaines*socio=ec que sont concentrés les efforts*socio=uv de la Banque*socio=ac pour un*socio=rien soutien*socio=uv continu*socio=rien au programme*socio=et de "maternité*socio=uv sans danger*socio=uv", lancé lors*socio=rien de la *socio=rien Conférence sur la*socio=nil maternité*socio=uv sans*socio=nil danger*socio=uv *socio=nil qui s'est*socio=rien tenue à Nairobi*socio=te en février*socio=rien 1987. Collaborant avec les départements*socio=rien régionaux*socio=te de la Banque*socio=ac, ces deux divisions*socio=rien soutiennent les initiatives*socio=rien régionales*socio=te et nationales*socio=te en vue*socio=rien d'élaborer et d'institutionnaliser des approches efficaces*socio=uv pour améliorer la santé*socio=et maternelle*socio=uv. La Banque*socio=ac participe également aux travaux*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien Comité directeur des*socio=nil nations_unies*socio=ac sur la*socio=nil maternité*socio=uv sans*socio=nil danger*socio=uv *socio=nil et aux travaux*socio=rien de recherche*socio=ec opérationnelle*socio=rien de l'Organisation_mondiale_de_la_santé*socio=ac, et elle soutient les campagnes*socio=et lancées par les gouvernements*socio=ac, les organisations_non_gouvernementales*socio=ac, les organisations_professionnelles*socio=ac et les associations*socio=ac féminines en faveur*socio=rien des femmes*socio=ac. La recherche*socio=ec. Un*socio=rien programme*socio=et de recherche*socio=ec a été*socio=rien entrepris, dont la première*socio=rien phase*socio=te *socio=rien porte sur l'*socio=nil établissement d'*socio=nil un cadre analytique,*socio=nil *socio=nil adapté aux opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac, qui s'efforce de déterminer le lien*socio=rien qui existe entre la *socio=ec productivité économique des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil et leur accès*socio=uv à l'éducation*socio=et, aux soins_de_santé*socio=et, à la vulgarisation*socio=rien et à d'autres services_publics*socio=et. Les deux *socio=rien principales activités de*socio=nil recherche*socio=ec en*socio=nil cours *socio=nil de ce programme*socio=et visent: a) la compréhension*socio=rien des éléments*socio=rien dont dépendent la participation*socio=uv des femmes*socio=ac à l'économie*socio=ec et leur productivité*socio=ec, et b) l'identification*socio=rien des facteurs*socio=rien influant sur*socio=rien l'accès*socio=uv des femmes*socio=ac aux services_publics*socio=et, tels que l'éducation*socio=et, la vulgarisation*socio=rien agricole*socio=ec et le crédit*socio=ec, et des moyens*socio=ec par lesquels cet accès*socio=uv pourrait être*socio=rien amélioré. Ces travaux*socio=rien de recherche*socio=ec tendent donc à consolider les *socio=rien bases analytiques des*socio=nil directives opérationnelles.*socio=nil La*socio=nil formation*socio=et *socio=nil à l'intention*socio=rien *socio=rien du personnel *socio=nil de la Banque*socio=ac. L'un*socio=rien des *socio=rien aspects importants des*socio=nil travaux *socio=nil de la Division*socio=rien consiste à diffuser les informations*socio=rien touchant les analyses*socio=rien et expériences*socio=uv *socio=rien du rôle des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans le développement*socio=uv qui présentent un*socio=rien intérêt*socio=uv opérationnel*socio=rien dans tous les départements*socio=rien régionaux*socio=te de la Banque*socio=ac, de manière*socio=rien à inscrire les *socio=rien questions relatives *socio=nil à ce rôle*socio=rien au centre*socio=rien des *socio=rien travaux opérationnels *socio=nil de la Banque*socio=ac. Cet effort*socio=uv est*socio=rien appuyé par de *socio=rien nouvelles initiatives en*socio=nil matière de*socio=nil formation*socio=et prises *socio=nil par l'institut_de_développement_économique*socio=ac (IDE*socio=ac), qui a consacré ses deux *socio=rien premiers ateliers *socio=nil à des *socio=rien questions relatives au*socio=nil rôle des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans le développement*socio=uv dans les domaines*socio=rien de l'agriculture*socio=ec et de la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec. A présent*socio=rien , la formation*socio=et vise à aller bien*socio=rien au-delà de la sensibilisation*socio=uv. A mesure*socio=rien que s'accroît la nécessité*socio=uv de renforcer l'aptitude*socio=rien *socio=rien du personnel *socio=nil de la Banque*socio=ac à faire face*socio=rien , dans les opérations*socio=rien de l'institution*socio=ac, aux besoins*socio=uv et aux exigences*socio=uv des femmes*socio=ac et aux contraintes*socio=uv auxquelles elles se heurtent, le besoin*socio=uv d'un*socio=rien matériel*socio=rien didactique plus abondant*socio=rien et de *socio=rien meilleure qualité se*socio=nil fait *socio=nil lui aussi plus pressant*socio=rien . La Division*socio=rien collabore avec l'IDE*socio=ac et avec les quatre bureaux*socio=rien régionaux*socio=te de la Banque*socio=ac afin de déterminer le type*socio=rien de formation*socio=et qui serait le plus utile*socio=uv. L'élaboration*socio=rien d'approches efficaces*socio=uv et l'établissement*socio=rien de *socio=rien directives opérationnelles *socio=nil sont des éléments*socio=rien essentiels*socio=uv de cet effort*socio=uv de formation*socio=et. La Banque*socio=ac et sa réorganisation*socio=uv. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 88, les activités*socio=rien de la Banque*socio=ac, décrites entre autres dans la *socio=rien présente section,*socio=nil *socio=nil se sont déroulées dans *socio=rien un contexte professionnel *socio=nil qui venait de connaître un*socio=rien changement*socio=uv très profond*socio=rien . Le *socio=rien Rapport annuel *socio=nil 1987 de la Banque*socio=ac a rendu compte*socio=rien de façon*socio=rien détaillée de cette réorganisation*socio=uv. En quelques mots*socio=rien , cette réorganisation*socio=uv avait pour objectifs*socio=rien d'accroître la capacité*socio=rien de réaction*socio=rien et l'efficacité*socio=uv de la Banque*socio=ac. Pour ce faire, il fallait que ses structures*socio=ec et ses méthodes*socio=rien de travail*socio=rien soient mieux adaptées à sa *socio=rien mission fondamentale,*socio=nil qui*socio=nil est *socio=nil de servir; il fallait que les questions*socio=rien de stratégie*socio=et à l'échelle*socio=rien de la Banque*socio=ac soient gérées plus efficacement et que celle-ci soit mieux à même de définir*socio=rien clairement ses stratégies*socio=et, sa structure*socio=ec de gestion*socio=et interne*socio=rien devait être*socio=rien adaptée aux nouvelles*socio=rien priorités*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac et devait lui permettre une perception plus nette*socio=rien des attentes*socio=rien de ses clients*socio=ac; son organisation*socio=ac devait accorder plus de place*socio=rien aux aspects*socio=rien financiers*socio=ec des travaux*socio=rien qu'elle consacre avec ses emprunteurs*socio=ac à la gestion*socio=et de leur économie*socio=ec et à l'élaboration*socio=rien de leurs politiques*socio=et; enfin, il fallait accroître l'efficacité*socio=uv de ses opérations*socio=rien dans tous leurs aspects*socio=rien . La restructuration*socio=uv elle-même, approuvée en juillet*socio=rien 1987, a été*socio=rien rapidement mise en oeuvre*socio=rien de manière*socio=rien à minimiser les perturbations*socio=uv causées aux travaux*socio=rien de la Banque*socio=ac et à laisser son personnel*socio=rien et ses clients*socio=ac le moins longtemps possible*socio=rien dans l'incertitude*socio=uv. Les coûts*socio=ec immédiats*socio=rien intangibles de la réorganisation*socio=uv ont peut-être été*socio=rien plus élevés*socio=rien que prévu mais, au début*socio=rien de 1988, les questions*socio=rien qui restaient à résoudre avaient été*socio=rien identifiées et des *socio=rien solutions constructives avaient*socio=nil été *socio=nil formulées pour tirer pleinement profit*socio=ec de la réorganisation*socio=uv grâce*socio=rien à une meilleure*socio=rien adaptation*socio=uv de la Banque*socio=ac à son mandat*socio=rien , à une plus grande*socio=rien souplesse*socio=uv et à une efficacité*socio=uv accrue. Au *socio=rien sein du complexe*socio=nil opérations,*socio=nil la*socio=nil grande priorité*socio=uv a*socio=nil été *socio=nil donnée aux *socio=rien travaux nécessaires *socio=nil pour exécuter le programme*socio=et de prêts*socio=ec de l'exercice*socio=rien et mettre *socio=rien sur pied *socio=nil une liste plus solidement*socio=rien étayée de projets*socio=rien en réserve*socio=rien pour l'exercice*socio=rien 89 - sans compromettre la qualité*socio=rien des projets*socio=rien ni celle du*socio=rien dialogue*socio=uv sur*socio=rien la politique_économique*socio=et. Les grands*socio=rien programmes*socio=et de travaux*socio=rien ont recouvré leur *socio=rien rythme normal après le*socio=nil ralentissement*socio=uv initial *socio=nil causé par le processus*socio=rien de *socio=rien sélection du personnel.*socio=nil Le*socio=nil programme*socio=et de*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de l'exercice*socio=rien 88 a *socio=rien été conforme aux*socio=nil prévisions;*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a renforcé son rôle*socio=rien de catalyseur*socio=rien pour le cofinancement*socio=ec, notamment en *socio=ac Afrique subsaharienne;*socio=nil *socio=nil elle a redoublé d'efforts*socio=uv pour mobiliser de nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec et/ou d'éventuels*socio=rien aménagements de la dette*socio=ec dans les pays*socio=ac lourdement endettés; enfin elle a jeté des bases*socio=rien qui rendront ses études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien mieux adaptées aux besoins*socio=uv des pays*socio=ac. Le complexe finances*socio=ec - qui n'a pas subi de profonde*socio=rien restructuration*socio=uv - a réussi à guider efficacement la Banque*socio=ac dans ses emprunts*socio=ec et ses investissements*socio=ec dans un*socio=rien environnement*socio=ec particulièrement instable*socio=uv; il a également rempli le mandat*socio=rien qui lui avait été*socio=rien donné d'assurer l'augmentation*socio=uv *socio=rien générale du capital*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac, entrepris une étude*socio=ac systématique*socio=rien des politiques*socio=et financières*socio=ec de l'institution*socio=ac et lancé un*socio=rien programme*socio=et de refonte*socio=uv de ses systèmes*socio=rien d'information*socio=rien . Le complexe politiques*socio=et, planification*socio=et et recherche*socio=ec a entrepris de resserrer les liens*socio=rien entre la recherche*socio=ec, la formation*socio=et et l'élaboration*socio=rien des politiques*socio=et ainsi qu'au sein*socio=rien des *socio=rien activités opérationnelles,*socio=nil *socio=nil et il a lancé des programmes_de_travail*socio=rien à l'appui*socio=rien de *socio=rien nouvelles initiatives *socio=nil dans ces domaines*socio=rien . Le complexe relations*socio=rien extérieures*socio=te et administration*socio=et, le plus durement touché par les suppressions*socio=rien de postes*socio=rien , dont l'objet*socio=rien était essentiellement la production*socio=ec centralisée de services*socio=ec, a réorienté son action*socio=rien vers la conception*socio=rien et la mise en oeuvre*socio=rien de stratégies*socio=et, de politiques*socio=et et de procédés*socio=rien de communications*socio=et internes*socio=rien et externes*socio=rien , vers les techniques*socio=rien de l'information*socio=rien et vers la gestion*socio=et des ressources_humaines*socio=ec dans le contexte*socio=rien décentralisé de la Banque*socio=ac après*socio=rien la réorganisation*socio=uv. Bien*socio=rien qu'un*socio=rien *socio=rien important travail *socio=nil ait déjà été*socio=rien accompli, il reste*socio=rien quelques *socio=uv problèmes transitoires,*socio=nil *socio=nil et il pourrait *socio=rien être nécessaire *socio=nil d'apporter quelques ajustements*socio=et *socio=rien supplémentaires sur le*socio=nil plan *socio=nil de l'organisation*socio=rien . Les relations_de_travail*socio=ec entre certains services*socio=ec n'ont pas encore atteint le maximum*socio=rien de leurs possibilités*socio=rien . Par exemple*socio=rien , on s'efforce de mieux intégrer les programmes_de_travail*socio=rien des *socio=rien départements techniques *socio=nil - où sont concentrées les connaissances*socio=rien de la région*socio=te et les qualifications*socio=ec techniques*socio=rien - et du*socio=rien complexe politiques*socio=et, planification*socio=et et recherche*socio=ec avec ceux des départements*socio=rien par pays*socio=ac. Dans le complexe finances*socio=ec, la décentralisation*socio=et de la fonction*socio=rien comptabilité*socio=ec se poursuit, et l'administration*socio=et est*socio=rien en train*socio=rien d'élaborer et de mettre en oeuvre*socio=rien des stratégies*socio=et dans les domaines*socio=rien tels que les relations*socio=rien extérieures*socio=te, les ressources_humaines*socio=ec et les installations*socio=rien . La réorganisation*socio=uv s'est*socio=rien traduite par une réduction*socio=uv de 320 *socio=rien postes permanents *socio=nil autorisés, dont 287 postes*socio=rien de cadres*socio=rien . Le 30 juin*socio=rien 1987, la Banque*socio=ac comptait *socio=rien un total *socio=nil de 3843 postes*socio=rien de cadres*socio=rien autorisés; le 30 juin*socio=rien 1988, ce nombre*socio=rien était de 3556. On prévoit que les *socio=ec coûts directs *socio=nil de la réorganisation*socio=uv seront entièrement recouvrés en l'espace*socio=rien de quatre ans*socio=rien environ. Encadré 3.2: La facilité_d'_ajustement_structurel_renforcée*socio=ec du*socio=rien FMI*socio=ac. A la fin*socio=rien de décembre*socio=rien 1987, le fonds_monétaire_international*socio=ac a créé *socio=rien un nouveau mécanisme de*socio=nil prêt*socio=ec concessionnel*socio=uv,*socio=nil la*socio=nil facilité_d'_ajustement_structurel_renforcée*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Cette Facilité devrait permettre *socio=rien un nouvel apport de*socio=nil ressources*socio=ec d'*socio=nil un total *socio=nil de 6 milliards*socio=ec de DTS (8,4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec), ce qui porterait à 8,2 milliards*socio=ec de DTS (11,4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec) les ressources*socio=ec dont dispose le FMI*socio=ac pour aider ses pays_membres*socio=ac les plus pauvres*socio=uv à entreprendre d'énergiques*socio=ec programmes*socio=et macroéconomiques*socio=ec et structurels*socio=ec triennaux destinés à améliorer la situation*socio=uv de leur balance_des_paiements*socio=ec et à favoriser leur croissance*socio=uv. Ces ressources*socio=ec additionnelles*socio=rien visent notamment à faciliter les efforts*socio=uv d'ajustement*socio=et des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec lourdement endettés, ainsi que de ceux dont les exportations*socio=ec ne portent que sur*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien - souvent sur*socio=rien l'un*socio=rien seulement de ces produits*socio=rien dont les prix*socio=ec restent obstinément *socio=rien faibles sur les*socio=nil marchés*socio=ec mondiaux*socio=te.*socio=nil La*socio=nil création *socio=nil de la facilité_d'_ajustement_structurel_renforcée*socio=ec - qui *socio=rien est entrée en*socio=nil activité en*socio=nil avril *socio=nil 1988 -est due à une initiative*socio=rien lancée au *socio=rien cours du deuxième trimestre*socio=te *socio=nil de 1987 en vue*socio=rien d'accroître les ressources*socio=ec à utiliser pour l'octroi*socio=rien de prêts*socio=ec concessionnels*socio=uv aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec accablés de dettes*socio=ec qui étaient aux prises*socio=rien avec des difficultés*socio=rien durables*socio=uv de balance_des_paiements*socio=ec . Soixante-deux pays*socio=ac, dont 34 pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac, sont actuellement admis, sur*socio=rien la base*socio=rien de leur produit_national_brut*socio=ec annuel*socio=rien par habitant*socio=ac, à solliciter l'aide*socio=uv de la facilité_d'_ajustement_structurel*socio=et précédemment mise en place*socio=rien ou de la facilité_d'_ajustement_structurel_renforcée*socio=ec et les sommes mises à la disposition*socio=rien de ces pays_membres*socio=ac dans le cadre*socio=rien de cette dernière*socio=rien proviendront de ressources*socio=ec nouvelles*socio=rien comme des montants*socio=rien dont dispose l'actuelle*socio=rien facilité_d'_ajustement_structurel*socio=et. La possibilité*socio=rien de faire appel*socio=rien à la facilité_d'_ajustement_structurel_renforcée*socio=ec sera consentie aux pays*socio=ac sur*socio=rien la base*socio=rien de la situation*socio=uv de leur balance_des_paiements*socio=ec et la vigueur*socio=uv de leur effort*socio=uv d'ajustement*socio=et. Conformément à la vocation*socio=rien d'institution*socio=ac monétaire*socio=ec du*socio=rien Fonds*socio=ec, les programmes*socio=et financés au titre*socio=rien de la facilité_d'_ajustement_structurel_renforcée*socio=ec viseront à renforcer la position*socio=rien de la balance_des_paiements*socio=ec des pays*socio=ac en même temps*socio=rien qu'à promouvoir leur croissance*socio=uv. A l'instar des programmes*socio=et de la facilité_d'_ajustement_structurel*socio=et, les programmes*socio=et de la facilité_d'_ajustement_structurel_renforcée*socio=ec seront fondés *socio=rien sur un document-cadre*socio=et de*socio=nil politique_économique*socio=et définissant *socio=nil dans leurs *socio=rien grandes lignes les*socio=nil priorités*socio=uv *socio=nil et les objectifs*socio=rien économiques*socio=ec à *socio=rien moyen terme des*socio=nil pouvoirs_publics*socio=ac.*socio=nil Ces*socio=nil documents,*socio=nil *socio=nil qui sont rédigés avec le concours des services_de_la_banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec travaillant en étroite*socio=rien collaboration*socio=uv et avec les gouvernements*socio=ac intéressés, sont conçus pour être*socio=rien particulièrement utiles*socio=uv aux donateurs*socio=ac désireux d'appuyer les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et des gouvernements*socio=ac. Fin*socio=rien encadré. Encadré 3.3: La contribution*socio=uv de la Banque*socio=ac à la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv: bilan*socio=rien . La lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv est*socio=rien depuis longtemps, et reste*socio=rien , au centre*socio=rien des activités*socio=rien de la Banque*socio=ac. Dans la poursuite*socio=rien de cet *socio=rien objectif fondamental,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a consacré d'importants*socio=rien travaux*socio=rien de recherche*socio=ec et d'analyse*socio=rien à la pauvreté*socio=uv, et elle a appuyé *socio=rien un large éventail de*socio=nil projets *socio=nil et de programmes*socio=et conçus pour améliorer le niveau_de_vie*socio=uv, les potentialités économiques*socio=ec et les perspectives*socio=uv des populations*socio=ac pauvres*socio=uv: Elle a enregistré de nombreux*socio=rien succès*socio=uv dans ses projets*socio=rien , et développé*socio=rien sa connaissance*socio=uv des problèmes*socio=uv et des moyens*socio=ec d'y faire face*socio=rien . Néanmoins, *socio=rien un rapport *socio=nil dressant le bilan*socio=rien de l'action*socio=rien menée jusqu'ici par la Banque*socio=ac pour combattre*socio=rien la pauvreté*socio=uv a conclu qu'il restait encore beaucoup à apprendre de ce fléau*socio=uv et des moyens*socio=ec de l'affronter efficacement, et qu'il fallait encore trouver des solutions*socio=rien aux *socio=rien nombreuses causes et*socio=nil manifestations *socio=nil de la pauvreté*socio=uv. Les ravages que causent la pauvreté*socio=uv et sa persistance*socio=rien réclament que l'on agisse d'urgence*socio=rien et de façon*socio=rien soutenue. Ce rapport*socio=rien , qui s'inscrit*socio=rien dans une série d'études*socio=rien que la Banque*socio=ac consacre de temps*socio=rien en temps*socio=rien à la question*socio=rien de la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, souligne que si la responsabilité*socio=uv première*socio=rien des mesures*socio=rien à prendre incombe aux pays*socio=ac eux-mêmes et si la volonté*socio=uv dont ils font montre et les mesures*socio=rien qu'ils prennent jouant *socio=rien un rôle décisif,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac,*socio=nil *socio=nil les autres institutions*socio=ac officielles*socio=et et les organismes*socio=ac privés*socio=ec peuvent également jouer *socio=rien un rôle important de*socio=nil soutien*socio=uv *socio=nil dans ce domaine*socio=rien . La croissance_économique*socio=ec *socio=rien est nécessaire au*socio=nil succès*socio=uv des*socio=nil efforts*socio=uv à*socio=nil long_terme*socio=ec *socio=nil entrepris pour combattre*socio=rien la pauvreté*socio=uv. La lenteur*socio=rien de la croissance*socio=uv ou son *socio=rien absence pure et*socio=nil simple,*socio=nil la*socio=nil crise*socio=uv financière*socio=ec *socio=nil et la nécessité*socio=uv de prendre des mesures*socio=rien de stabilisation*socio=et et d'ajustement*socio=et ont restreint l'éventail*socio=rien des possibilités*socio=rien , confronté les gouvernements*socio=ac à des choix*socio=uv de plus en plus difficiles*socio=rien et rendu encore plus impérieuse*socio=rien la nécessité*socio=uv d'utiliser au mieux les ressources*socio=ec disponibles*socio=rien . L'expérience*socio=uv a également montré, ajoute le rapport*socio=rien de la Banque*socio=ac, que comme la croissance*socio=uv ne saurait suffire à elle seule*socio=rien à faire reculer la pauvreté*socio=uv, les programmes*socio=et et politiques*socio=et doivent être*socio=rien conçus avec soin*socio=rien de manière*socio=rien à permettre aux multitudes de pauvres*socio=ac des pays_en_développement*socio=ac de profiter de la croissance*socio=uv. Ce rapport-bilan *socio=rien fait état *socio=nil de l'importance*socio=rien des décisions*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien pour la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv et présente*socio=rien des exemples*socio=rien d'améliorations*socio=uv, au plan*socio=rien des politiques*socio=et et des projets*socio=rien dans divers secteurs*socio=ec, qui peuvent accroître les revenus*socio=ec des populations*socio=ac pauvres*socio=uv et améliorer leur sort*socio=rien . Il insiste sur*socio=rien la nécessité*socio=uv d'approches équitables*socio=uv et viables*socio=uv en ce qui concerne le financement*socio=ec des services_sociaux*socio=et (de manière*socio=rien que les pauvres*socio=ac soient nombreux*socio=rien à pouvoir*socio=et bénéficier de meilleurs*socio=rien services*socio=ec à des coûts*socio=ec abordables*socio=rien ) et sur*socio=rien l'importance*socio=rien d'une plus grande*socio=rien participation*socio=uv des pauvres*socio=ac à la conception*socio=rien et à l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien . Il souligne également qu'un*socio=rien groupe*socio=ac particulier*socio=uv - les 10 à 20% les plus pauvres*socio=uv de la population*socio=ac - représente une ressource*socio=ec importante*socio=rien et potentiellement productive*socio=uv qui exige une attention*socio=rien et des programmes*socio=et spéciaux*socio=rien . La Banque*socio=ac consacre des efforts*socio=uv substantiels*socio=rien à améliorer sa compréhension*socio=rien de ce qu'impliquent pour ses opérations*socio=rien les coûts_sociaux*socio=ec de l'ajustement*socio=et. Face*socio=rien à la nécessité*socio=uv d'entreprendre des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et, l'étude*socio=ac de la Banque*socio=ac conclut qu'il est*socio=rien particulièrement impérieux*socio=rien de prendre en même temps*socio=rien des mesures*socio=rien pour protéger les pauvres*socio=ac, notamment de réorienter les dépenses*socio=ec sociales*socio=ac, de manière*socio=rien à en permettre une répartition*socio=uv plus efficace*socio=uv et plus équitable*socio=uv, et de lancer d'autres programmes*socio=et destinés à profiter directement aux pauvres*socio=ac. Ce rapport*socio=rien décrit les enseignements*socio=et et les orientations*socio=et qui se dégagent de l'action*socio=rien menée par la Banque*socio=ac à travers*socio=rien ses efforts*socio=uv pour combattre*socio=rien la pauvreté*socio=uv, et soulève *socio=rien un certain nombre de*socio=nil questions *socio=nil dont la Banque*socio=ac pourrait juger utile*socio=uv de tenir compte*socio=rien dans ses activités*socio=rien à venir dans ce domaine*socio=rien : dans quelle mesure*socio=rien devrait-elle traiter ses politiques*socio=et avec souplesse*socio=uv de manière*socio=rien à viser certains groupes*socio=ac particuliers*socio=rien de pauvres*socio=ac? Lui faut-il consacrer des initiatives*socio=rien particulières*socio=uv pour faire face*socio=rien aux problèmes*socio=uv des "plus démunis*socio=ac" que les programmes*socio=et de développement*socio=uv ont traditionnellement le plus de mal*socio=rien à atteindre efficacement? Comment renforcer la collaboration*socio=uv de la Banque*socio=ac avec les organisations_non_gouvernementales*socio=ac? Faut-il que la Banque*socio=ac développe ses prêts*socio=ec à l'appui*socio=rien de réformes*socio=et dans les secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac pour combattre*socio=rien la pauvreté*socio=uv? Ce rapport*socio=rien devait également servir de point*socio=rien de départ*socio=rien pour *socio=rien un rapport du groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ac sur la*socio=nil lutte*socio=uv *socio=nil contre la pauvreté*socio=uv (Voir Note 6). Le rapport*socio=rien de ce groupe*socio=ac ainsi qu'un*socio=rien *socio=rien rapport parallèle du groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ac opérationnel sur la*socio=nil sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec en*socio=nil Afrique*socio=ac *socio=nil (Voir Note 5) décriront les *socio=rien principaux aspects des*socio=nil programmes*socio=et d'*socio=nil action *socio=nil entrepris par la Banque*socio=ac pour tenter d'éliminer les formes*socio=rien les plus tragiques*socio=rien de la pauvreté*socio=uv dans ses pays_membres*socio=ac en développement*socio=uv. Fin*socio=rien de l'encadré. *socio=rien Chapitre cinq.*socio=nil Politiques*socio=et et*socio=nil opérations *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac. Le bilan*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac en matière*socio=rien de développement*socio=uv rural*socio=te. La stratégie*socio=et de prêt*socio=ec de la banque_mondiale*socio=ac à l'appui*socio=rien du*socio=rien développement*socio=uv rural*socio=te est*socio=rien née de la conviction*socio=uv que toute tentative*socio=rien pour faire reculer la pauvreté*socio=uv dans les pays_en_développement*socio=ac devait avoir pour cible les pauvres*socio=ac des *socio=te zones rurales.*socio=nil *socio=nil Des quelque 630 millions*socio=rien de "pauvres*socio=ac absolus*socio=rien " que comptaient les pays_en_développement*socio=ac au début*socio=rien des années*socio=rien 70, 80% vivaient en zone*socio=rien rurale*socio=te - principalement en Asie*socio=ac. De plus en plus, aussi, on en est*socio=rien venu à reconnaître que la théorie*socio=ec du*socio=rien développement_économique*socio=ec par diffusion*socio=rien progressive*socio=uv avait *socio=rien fait long feu,*socio=nil *socio=nil d'autant que les pénuries*socio=ec alimentaires*socio=rien survenues en Asie_du_sud*socio=ac au milieu*socio=rien des années*socio=rien 60 étaient venues rappeler que, non seulement la majorité*socio=rien des populations*socio=ac rurales*socio=te ne voyaient guère s'améliorer leurs conditions_de_vie*socio=uv, mais aussi que la *socio=ec production alimentaire *socio=nil exigeait une attention*socio=rien concertée d'un*socio=rien type*socio=rien particulier*socio=uv. L'avènement*socio=rien , vers la même époque*socio=rien , de la "révolution*socio=uv verte", qui, par la croissance*socio=uv rapide*socio=rien de la production*socio=ec, promettait des *socio=rien jours meilleurs aux*socio=nil petits exploitants*socio=ac aussi*socio=nil bien *socio=nil qu'aux grands*socio=rien , apportait un*socio=rien *socio=uv fondement optimiste *socio=nil à la théorie*socio=ec selon laquelle un*socio=rien programme*socio=et d'investissement*socio=ec en développement*socio=uv rural*socio=te mettant l'accent*socio=rien sur*socio=rien la production*socio=ec, sans considération*socio=rien aucune d'échelle*socio=rien , pourrait avoir *socio=rien un large effet *socio=nil à la *socio=rien fois sur la*socio=nil pauvreté*socio=uv rurale*socio=te et*socio=nil sur la*socio=nil *socio=ec production alimentaire.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a lancé son programme*socio=et de prêts*socio=ec au développement*socio=uv rural*socio=te sans avoir de *socio=rien réponse claire à*socio=nil un grand nombre de*socio=nil questions *socio=nil qui avaient trait*socio=rien à la technologie*socio=ec et à l'approvisionnement*socio=ec en facteurs*socio=rien de production*socio=ec. Les risques*socio=uv étaient connus et on n'ignorait pas qu'il faudrait improviser et expérimenter. Aussi bien*socio=rien , dans son discours*socio=rien aux Assemblées*socio=et annuelles*socio=rien de 1973, M: Robert S*socio=rien : Mcnamara*socio=ac, présentant pour la *socio=rien première fois la*socio=nil stratégie*socio=et de*socio=nil développement*socio=uv rural*socio=te *socio=nil de la Banque*socio=ac, notait que la Banque*socio=ac saurait tirer les leçons*socio=rien de ses échecs*socio=uv. Note sur*socio=rien la position*socio=rien de Mcnamara*socio=ac au *socio=rien sujet du développement*socio=uv rural*socio=te.*socio=nil L'*socio=nil objectif *socio=nil de la Banque*socio=ac, tel qu'il était officiellement annoncé en 1973, était audacieux. Il s'agissait en effet*socio=rien , dans le contexte*socio=rien d'une stratégie*socio=et qui mettait de plus en plus l'accent*socio=rien sur*socio=rien le *socio=ec secteur agricole,*socio=nil *socio=nil de consacrer la moitié*socio=rien au moins des prêts*socio=ec à l'agriculture*socio=ec à des projets_de_développement*socio=et rural*socio=te -c'est-à-dire à des projets*socio=rien qui visaient à aider directement les pauvres*socio=ac des *socio=te zones rurales *socio=nil (mais indirectement seulement ceux qui n'avaient pas de terre*socio=ec, qui n'avaient pratiquement pour *socio=rien seuls outils de*socio=nil production*socio=ec *socio=nil que la force*socio=uv de leurs bras*socio=rien ). D'ambitieux*socio=uv objectifs*socio=rien de productivité*socio=ec furent fixés (on devrait avoir atteint, en 1985, des augmentations*socio=uv annuelles*socio=rien de la production*socio=ec de l'ordre*socio=rien de 5%), accompagnés d'objectifs*socio=rien non moins ambitieux*socio=uv pour les prestations*socio=et de services*socio=ec et les équipements*socio=ec sociaux*socio=ac - santé*socio=et, éducation*socio=et, eau*socio=ec potable*socio=rien , logement*socio=ec, communications*socio=et, etc. Fin*socio=rien de note. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 88, faisant le bilan*socio=rien des 500 et quelques projets_de_développement*socio=et rural*socio=te par l'aide*socio=uv à la petite*socio=rien exploitation*socio=ec que la Banque*socio=ac a exécutés depuis 1965, une étude*socio=ac du*socio=rien Département*socio=ac de l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac a tiré la *socio=rien conclusion générale *socio=nil que, si elle a connu quelques succès*socio=uv, la stratégie*socio=et a également connu son lot*socio=rien de problèmes*socio=uv. C'est*socio=rien ainsi que: - La moitié*socio=rien des prêts*socio=ec consentis au *socio=ec secteur agricole *socio=nil a servi à financer des projets_de_développement*socio=et rural*socio=te - comme prévu; des millions*socio=rien de ruraux*socio=ac en ont bénéficié, la *socio=ec production alimentaire,*socio=nil *socio=nil dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, s'en est*socio=rien trouvée sensiblement accrue et des formules*socio=rien judicieuses*socio=uv d'aide*socio=uv à l'agriculture*socio=ec de subsistance ont été*socio=rien trouvées. - Mais les efforts*socio=uv de développement*socio=uv rural*socio=te ont été*socio=rien également contrecarrés par des faiblesses*socio=rien dans la conception*socio=rien et l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien . Les *socio=rien conclusions provisoires du bilan du Département*socio=ac *socio=nil de l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac (provisoire*socio=rien puisque environ les deux tiers*socio=rien des projets*socio=rien n'ont pas encore fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'une évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien et que très peu d'études*socio=rien d'impact*socio=rien complet*socio=rien ont été*socio=rien faites pour évaluer les *socio=rien effets produits sur les*socio=nil bénéficiaires*socio=ac de*socio=nil projets en*socio=nil cours)*socio=nil *socio=nil étaient notamment les suivantes*socio=rien : - Après*socio=rien avoir appliqué une stratégie*socio=et globale*socio=rien de développement*socio=uv rural*socio=te, prévoyant des objectifs*socio=rien et des modes*socio=rien d'intervention*socio=et multiples*socio=rien , la Banque*socio=ac en est*socio=rien vite venue à approuver des projets*socio=rien à l'intérieur*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et en expansion*socio=ec rapide*socio=rien . Une différenciation plus poussée entre les régions*socio=te et les pays*socio=ac, une *socio=rien certaine sélectivité *socio=nil dans le choix*socio=uv des types de projets*socio=rien et la réalisation*socio=uv d'un*socio=rien plus *socio=rien grand nombre de*socio=nil projets *socio=nil pilotes dans de *socio=rien nombreux cas *socio=nil auraient pu améliorer les méthodes*socio=rien et les projets*socio=rien . Les échecs*socio=uv les plus retentissants ont eu lieu*socio=rien dans le groupe*socio=ac nombreux*socio=rien des projets_de_développement*socio=et sous-régional*socio=te, surtout en *socio=ac Afrique subsaharienne,*socio=nil où*socio=nil seule*socio=rien une*socio=nil minorité *socio=nil a donné quelques *socio=rien bons résultats,*socio=nil *socio=nil ne serait-ce que dans une *socio=rien certaine mesure.*socio=nil Ce*socio=nil groupe*socio=ac de*socio=nil projets *socio=nil - le *socio=rien seul type de*socio=nil projets_de_développement*socio=et rural*socio=te *socio=nil conçus explicitement pour attaquer la pauvreté*socio=uv *socio=rien sur un large front *socio=nil - avait rapidement proliféré dans les pays*socio=ac, tellement parfois qu'ils ne pouvaient pas *socio=rien être bien *socio=nil gérés par des administrations*socio=ac déjà sollicitées à la limite*socio=rien de leurs moyens*socio=ec. - Les projets_de_développement*socio=et rural*socio=te ont mieux réussi - tout comme les autres - lorsque les gouvernements*socio=ac se sont montrés résolus à les mener à bien*socio=rien . D'où la nécessité*socio=uv de s'assurer, dès le début*socio=rien , de l'appui*socio=rien *socio=rien total du gouvernement*socio=ac en*socio=nil faveur du projet.*socio=nil *socio=nil - Si la politique_économique*socio=et d'un*socio=rien pays*socio=ac n'est*socio=rien pas bien*socio=rien orientée, *socio=rien un projet,*socio=nil *socio=nil même s'il réussit, a peu de chances*socio=rien d'être*socio=rien viable*socio=uv à long_terme*socio=ec. On a souvent commis l'erreur*socio=rien d'appliquer une stratégie*socio=et de développement*socio=uv rural*socio=te à base*socio=rien de projets*socio=rien , alors que la politique*socio=et macroéconomique*socio=ec ne s'y prêtait pas. Note sur*socio=rien la dimension*socio=rien macroéconomique*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv rural*socio=te. Au *socio=rien cours du débat*socio=et sur l'*socio=nil étude*socio=ac du Département*socio=ac *socio=nil de l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac, les Administrateurs*socio=ac ont noté que le nouvel*socio=rien *socio=ec environnement macroéconomique *socio=nil d'une *socio=rien grande partie *socio=nil de l'Afrique*socio=ac - caractérisé par un*socio=rien réalignement des taux_de_change*socio=ec et des incitations*socio=rien à produire, le démantèlement*socio=ec des *socio=ec monopoles commerciaux,*socio=nil l'*socio=nil accroissement *socio=nil de l'efficacité*socio=uv des *socio=ac sociétés parapubliques de*socio=nil commercialisation*socio=ec *socio=nil et la réduction*socio=uv des restrictions*socio=uv frappant la libre-circulation des grains*socio=rien , par exemple*socio=rien - est*socio=rien en train*socio=rien d'avoir *socio=rien un effet *socio=nil des plus stimulants*socio=rien en zone*socio=rien rurale*socio=te, même là où des projets*socio=rien dont on pensait qu'ils avaient "échoué" étaient en cours*socio=rien d'exécution*socio=rien il y a seulement quelques années*socio=rien . Fin*socio=rien de note. - La pérennité*socio=te des avantages*socio=rien tirés de projets_de_développement*socio=et rural*socio=te - même d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil projets_de_développement*socio=et sous-régional*socio=te *socio=nil qui ont réussi - demeure douteuse, surtout dans le cas*socio=rien de projets*socio=rien à direction*socio=rien autonome*socio=uv et de projets*socio=rien pour lesquels le financement*socio=ec des équipements*socio=ec a été*socio=rien qualitativement ou quantitativement supérieur*socio=rien à ce qui était la norme*socio=et pour l'ensemble*socio=rien de l'économie*socio=ec. En fin*socio=rien de compte*socio=rien , était-il dit dans le *socio=rien rapport du Département*socio=ac *socio=nil de l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac, ne sont efficaces*socio=uv que les projets_de_développement*socio=et rural*socio=te qui ont *socio=rien un effet durable,*socio=nil *socio=nil c'est-à-dire ceux qui continueront à générer les avantages*socio=rien que l'on en attend jusque dans le long_terme*socio=ec. Or*socio=rien , faisait-on remarquer, la plupart*socio=rien des projets_de_développement*socio=et rural*socio=te aidés par la Banque*socio=ac sont trop récents*socio=rien pour pouvoir*socio=et être*socio=rien évalués de ce point*socio=rien de vue*socio=rien . Toutefois, *socio=rien un précédent examen *socio=nil de l'impact*socio=rien produit*socio=rien par 27 projets*socio=rien agricoles*socio=ec - dont 14 pouvaient passer pour des projets*socio=rien anti-pauvreté et que l'on considérait comme des succès*socio=uv à l'époque*socio=rien où les derniers*socio=rien décaissements*socio=ec ont été*socio=rien effectués - concluait que si, dans l'ensemble*socio=rien , les projets*socio=rien anti-pauvreté avaient mieux marché*socio=ec dans le long_terme*socio=ec que les autres projets*socio=rien agricoles*socio=ec, aucun des quatre projets_de_développement*socio=et sous-régional*socio=te n'avait donné les résultats*socio=rien qu'on en attendait dans le long_terme*socio=ec. Quand *socio=rien un projet est *socio=nil complexe - et la *socio=rien complexité est caractéristique des*socio=nil projets_de_développement*socio=et sous-régional*socio=te *socio=nil - et que l'environnement*socio=ec *socio=rien administratif est faible,*socio=nil *socio=nil note la dernière*socio=rien étude*socio=ac du*socio=rien Département*socio=ac de l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac, il a d'autant moins de chances*socio=rien d'avoir des effets*socio=rien durables*socio=uv. L'étude*socio=ac notait que la Banque*socio=ac a su tirer quelques leçons*socio=rien positives*socio=uv de son expérience*socio=uv en matière*socio=rien de développement*socio=uv rural*socio=te et que le programme*socio=et a évolué avec le temps*socio=rien et continue*socio=rien à évoluer au fur*socio=rien et à mesure*socio=rien que les problèmes*socio=uv sont identifiés. La Banque*socio=ac et les *socio=ac pays_en_développement bénéficiaires *socio=nil ont tiré les leçons*socio=rien des échecs*socio=uv et des changements*socio=uv ont été*socio=rien apportés à la conception*socio=rien et à la portée*socio=rien des projets*socio=rien dans le sens*socio=rien d'un*socio=rien plus grand*socio=rien réalisme*socio=uv. Il est*socio=rien généralement reconnu maintenant que les projets*socio=rien types de développement*socio=uv *socio=te rural sous-régional exigent*socio=nil *socio=rien un horizon temporel supérieur à*socio=nil cinq *socio=nil ou six ans*socio=rien . La brièveté de l'horizon*socio=rien temporel*socio=rien traditionnel*socio=uv de la Banque*socio=ac, jointe aux réticences*socio=rien de la Banque*socio=ac à engager des fonds*socio=ec pour des programmes*socio=et à long_terme*socio=ec, a abouti à une succession*socio=rien dans le temps*socio=rien irréaliste*socio=uv des opérations*socio=rien de développement*socio=uv rural*socio=te. Avec *socio=rien un horizon temporel *socio=nil de 15 à 20 ans*socio=rien , on aurait pu, durant les phases*socio=te initiales*socio=rien des projets*socio=rien , mettre davantage l'accent*socio=rien sur*socio=rien les questions*socio=rien d'institutions*socio=ac et d'orientations*socio=et. C'est*socio=rien pour cela, et pour d'autres raisons*socio=rien encore, que la Banque*socio=ac en est*socio=rien venue, dans l'ensemble*socio=rien , à étaler les décaissements*socio=ec *socio=rien sur un plus*socio=nil grand laps de*socio=nil temps.*socio=nil Elle*socio=nil finance*socio=ec *socio=nil aussi des projets*socio=rien de deuxième*socio=rien et troisième*socio=rien phase*socio=te qui visent, soit à améliorer la viabilité*socio=uv de ceux qui ont réussi, soit à tirer tout le parti*socio=et possible*socio=rien des coûts*socio=ec irréversiblement engagés dans des projets*socio=rien qui n'ont pas aussi bien*socio=rien réussi. En Afrique*socio=ac, on préfère maintenant, aux projets_de_développement*socio=et sous-régional*socio=te, l'aide*socio=uv à l'approvisionnement*socio=ec en facteurs*socio=rien de production*socio=ec, à la recherche*socio=ec et à la vulgarisation*socio=rien . Il est*socio=rien maintenant reconnu, au sein*socio=rien de la Banque*socio=ac, que le développement*socio=uv rural*socio=te de certains pays*socio=ac impose une *socio=rien démarche expérimentale *socio=nil et qu'il peut *socio=rien être nécessaire,*socio=nil dans*socio=nil un premier temps,*socio=nil *socio=nil de réaliser des projets*socio=rien pilotes. Suite*socio=rien à la *socio=rien discussion du rapport du Département*socio=ac *socio=nil de l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac, le Département*socio=ac de l'agriculture*socio=ec et du*socio=rien développement*socio=uv rural*socio=te, réaffirmant que la Banque*socio=ac était fermement résolue à mettre au coeur*socio=rien des efforts*socio=uv qu'elle déploie pour le développement*socio=uv la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv en milieu*socio=rien rural*socio=te, a noté que la Banque*socio=ac a fait*socio=rien porter son effort*socio=uv aussi sur*socio=rien d'autres points*socio=rien où le Département*socio=ac de l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac, se fondant sur*socio=rien des projets*socio=rien évalués, a estimé que des améliorations*socio=uv étaient possibles*socio=rien . De plus en plus, maintenant, on fait*socio=rien participer de plus près les bénéficiaires*socio=ac à la conception*socio=rien et à l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien ; il est*socio=rien généralement reconnu que l'emploi*socio=ec de contractuels*socio=et expatriés pour assurer la direction*socio=rien des projets_de_développement*socio=et rural*socio=te a ses limites*socio=rien ; la collaboration*socio=uv avec les organisations_non_gouvernementales*socio=ac (ONG*socio=ac) se développe et la Banque*socio=ac a pour politique*socio=et d'encourager les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil à inviter celles-ci à participer à la conception*socio=rien des projets*socio=rien et de demander que les emprunteurs*socio=ac fassent appel*socio=rien à elles pour assurer la participation*socio=uv des bénéficiaires*socio=ac à leur mise en oeuvre*socio=rien . La Banque*socio=ac s'intéresse aussi maintenant de plus près qu'elle ne le faisait il y a dix ans*socio=rien - dans le cadre*socio=rien de ses prêts*socio=ec à l'appui*socio=rien de réformes*socio=et - aux problèmes*socio=uv macroéconomiques*socio=ec que peuvent soulever les projets*socio=rien . Elle a appris en particulier*socio=uv que, sans politique*socio=et nationale*socio=te appropriée, même des projets*socio=rien qui ont réussi ne sont pas assurés d'avoir des effets*socio=rien durables*socio=uv et qu'une stratégie*socio=et de développement*socio=uv rural*socio=te qui ne s'inscrit*socio=rien pas dans un*socio=rien *socio=ec environnement macroéconomique *socio=rien favorable est *socio=nil vouée à l'échec*socio=uv. Le *socio=rien rapport du Département*socio=ac *socio=nil de l'évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac a été*socio=rien examiné par le conseil_des_administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac, après*socio=rien quoi il a été*socio=rien diffusé en vue*socio=rien d'assurer une *socio=rien large discussion *socio=nil de ses constatations*socio=rien et conclusions*socio=rien . Sur*socio=rien la *socio=rien recommandation du Conseil,*socio=nil le*socio=nil rapport a*socio=nil été *socio=nil publié en anglais*socio=rien les versions française*socio=rien et *socio=rien espagnole devant *socio=nil paraître au début*socio=rien de l'exercice*socio=rien 89. Sa diffusion*socio=rien a commencé au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien sous les auspices*socio=rien conjoints*socio=uv du*socio=rien Département*socio=ac de l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac et du*socio=rien Département*socio=ac de l'agriculture*socio=ec et du*socio=rien développement*socio=uv rural*socio=te. Le Département*socio=ac de l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac a *socio=rien parrainé un séminaire *socio=nil destiné aux évaluateurs au cours*socio=rien duquel les donateurs*socio=ac se sont mutuellement *socio=rien fait part *socio=nil de leur expérience*socio=uv du*socio=rien développement*socio=uv rural*socio=te. Les conclusions*socio=rien ont été*socio=rien examinées par le Groupe*socio=ac d'experts*socio=ac de l'évaluation*socio=uv de l'aide*socio=uv du*socio=rien comité_d'_aide_au_développement*socio=ac les 7 et 8 juin*socio=rien . Le Groupe*socio=ac d'experts*socio=ac a ensuite soumis *socio=rien un rapport,*socio=nil avec*socio=nil indication des*socio=nil mesures *socio=nil qu'il recommandait de prendre, à l'examen*socio=rien du*socio=rien comité_d'_aide_au_développement*socio=ac. *socio=rien Rapport intérimaire sur les*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'ajustement*socio=et. Dans un*socio=rien *socio=ec environnement extérieur *socio=nil qui se dégrade, la nécessité*socio=uv des prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et demeure forte*socio=rien et le processus*socio=rien de l'ajustement*socio=et s'accélère dans les pays_en_développement*socio=ac. La banque_mondiale*socio=ac s'emploie à affiner ses prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et de façon*socio=rien à mieux répondre aux besoins*socio=uv de ses emprunteurs*socio=ac et elle s'efforce de tirer les leçons*socio=rien des prêts*socio=ec passés*socio=rien pour améliorer la qualité*socio=rien de ses conseils*socio=ac aux pays*socio=ac qui s'engagent sur*socio=rien la voie*socio=rien des réformes*socio=et - encore qu'il ne soit pas facile*socio=rien de mesurer de manière*socio=rien significative*socio=uv le succès*socio=uv des prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et. Telles sont quelques-unes des *socio=rien conclusions du troisième *socio=nil de la série de *socio=rien rapports sur les*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'ajustement*socio=et - les deux premiers*socio=rien datent de 1984 et de 1986 - publiés au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 88. Le dernier*socio=rien de ces rapports*socio=rien examinait les *socio=rien tendances récentes des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'ajustement*socio=et, notamment *socio=rien du point de*socio=nil vue *socio=nil de la conception*socio=rien , du*socio=rien suivi et des aspects*socio=rien institutionnels*socio=ac, et résumait ce que l'on savait des effets*socio=rien de ce type*socio=rien de prêts*socio=ec sur*socio=rien les résultats*socio=rien économiques*socio=ec des pays*socio=ac et sur*socio=rien la situation_sociale*socio=et des pauvres*socio=ac. Le besoin*socio=uv des prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et - apparu dès la fin*socio=rien des années*socio=rien 70 dans les *socio=ac pays_en_développement importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec *socio=nil et dès le début*socio=rien des années*socio=rien 80 dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec *socio=nil - n'a pas faibli. Au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil les entrées de capitaux*socio=ec ont continué à diminuer. Les prix*socio=ec de la plupart*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien ont légèrement baissé en dépit*socio=rien d'un*socio=rien certain*socio=rien redressement*socio=uv en 1987. Le commerce*socio=ec mondial*socio=te est*socio=rien resté déprimé. De plus, les tentatives*socio=rien de réformes*socio=et des pays_en_développement*socio=ac se sont heurtées à la montée du*socio=rien protectionnisme*socio=et enregistrée durant cette décennie*socio=rien dans les *socio=ac pays industriels,*socio=nil *socio=nil dont les restrictions*socio=uv non tarifaires*socio=ec, en 1985, frappaient 20% de leurs importations*socio=ec en provenance*socio=rien de pays_en_développement*socio=ac et qui appliquaient, sur*socio=rien 10% environ de leurs importations*socio=ec, des droits*socio=uv de douane*socio=ac supérieurs*socio=rien à 10%. Ces facteurs*socio=rien exogènes continuent à mettre en lumière*socio=rien des faiblesses*socio=rien structurelles*socio=ec internes*socio=rien qui se sont multipliées au fil*socio=rien des années*socio=rien par l'effet*socio=rien de politiques_économiques*socio=ec mal*socio=rien inspirées et d'un*socio=rien *socio=rien appareil institutionnel trop*socio=nil faible.*socio=nil Les*socio=nil caractéristiques des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'ajustement*socio=et de la Banque*socio=ac ont changé. A la prédominance des prêts*socio=ec à l'ajustement_structurel*socio=et a succédé, au cours*socio=rien des quatre *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil celle des prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec. Il faut y voir l'effet*socio=rien , en partie*socio=rien , d'un*socio=rien élargissement*socio=rien et d'un*socio=rien approfondissement *socio=rien du processus d'*socio=nil ajustement*socio=et,*socio=nil les*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil se concentrant d'abord*socio=rien sur*socio=rien les grands*socio=rien problèmes*socio=uv de la macroéconomie pour passer ensuite à des préoccupations*socio=uv d'ordre*socio=rien sectoriel*socio=ec. Lorsqu'ils ont engagé le processus*socio=rien d'ajustement*socio=et, la plupart*socio=rien des pays*socio=ac connaissaient de graves*socio=rien problèmes*socio=uv de balance_des_paiements*socio=ec qui imposaient une transformation*socio=uv immédiate*socio=rien et radicale de l'ensemble*socio=rien *socio=rien du système des*socio=nil incitations.*socio=nil *socio=nil Ils ont été*socio=rien aidés en cela par les arrangements*socio=et conclus avec le fonds_monétaire_international*socio=ac et, en ce qui concerne la Banque*socio=ac, par les prêts*socio=ec à l'ajustement_structurel*socio=et et de plus en plus, au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil par des prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et touchant de larges*socio=rien secteurs*socio=ec. Le processus*socio=rien d'ajustement*socio=et de chaque pays*socio=ac évoluant, l'attention*socio=rien s'est*socio=rien souvent tournée vers la mise en place*socio=rien , au niveau*socio=rien des secteurs*socio=ec, de réformes*socio=et détaillées portant aussi *socio=rien bien sur les*socio=nil structures*socio=ec *socio=nil de l'investissement*socio=ec que sur*socio=rien la politique*socio=et des incitations*socio=rien en général*socio=rien . La mise en place*socio=rien de ces réformes*socio=et a généralement été*socio=rien appuyée par des prêts*socio=ec "hybrides" pour financer tout à la *socio=rien fois un ensemble de*socio=nil réformes*socio=et sectorielles *socio=nil ainsi qu'une ou plusieurs composantes*socio=rien investissement*socio=ec. Comparés aux premiers*socio=rien prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et, ces prêts*socio=ec hybrides font une plus *socio=rien grande place *socio=nil à la restructuration*socio=uv en profondeur*socio=rien des programmes*socio=et, politiques*socio=et et institutions*socio=ac d'investissement*socio=ec au niveau*socio=rien sectoriel*socio=ec. Ce type*socio=rien d'opération*socio=rien établit *socio=rien un cadre sectoriel*socio=ec de*socio=nil politique_économique*socio=et et*socio=nil un ensemble cohérent de*socio=nil priorités*socio=uv d'*socio=nil investissement*socio=ec,*socio=nil dont*socio=nil certaines composantes pourront*socio=nil être *socio=nil financées par une série d'opérations*socio=rien d'investissement*socio=ec qui ne seront approuvées que si l'ensemble*socio=rien du*socio=rien programme*socio=et sectoriel*socio=ec est*socio=rien maintenu. La Banque*socio=ac a adopté *socio=rien un certain nombre de*socio=nil mesures en*socio=nil vue *socio=nil d'améliorer l'efficacité*socio=uv des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et. Le décaissement*socio=ec de ses fonds*socio=ec n'est*socio=rien pas tant déclenché maintenant par des "déclarations*socio=et d'intention*socio=rien " de réformes*socio=et que par l'application*socio=rien des mesures*socio=rien qui conditionnent le déblocage*socio=rien des différentes*socio=rien tranches, ou "la *socio=rien concentration initiale des*socio=nil conditions*socio=uv"*socio=nil *socio=nil , de sorte*socio=rien que l'emprunteur*socio=ac prend les mesures*socio=rien convenues avant que les Administrateurs*socio=ac ne soient saisis d'une demande*socio=rien d'approbation*socio=uv d'un*socio=rien projet*socio=rien . La Banque*socio=ac a appris aussi qu'une série de prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et, dont chacun *socio=rien porte sur un ensemble bien défini de*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil réalisables, constitue une pratique*socio=rien utile*socio=uv. La conditionnalité, dans les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et, a été*socio=rien renforcée par l'application*socio=rien de deux recommandations*socio=rien faites en 1986 par le Sous-comité des résultats*socio=rien de l'évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien des *socio=rien projets du Comité mixte de*socio=nil contrôle*socio=uv de*socio=nil gestion*socio=et,*socio=nil *socio=nil où il était dit: a) qu'il fallait bien*socio=rien distinguer entre les mesures*socio=rien que les gouvernements*socio=ac se sont engagés à prendre et celles qui en sont encore au stade*socio=te de la discussion*socio=rien et b) que la Banque*socio=ac devrait évaluer plus attentivement la volonté*socio=uv de réforme*socio=et des gouvernements*socio=ac. Aussi la Banque*socio=ac suit-elle maintenant de plus près l'exécution*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et accorde-t-elle une plus *socio=rien grande attention aux*socio=nil détails *socio=nil de l'exécution*socio=rien . L'étude*socio=ac de 1988 propose que l'on envisage d'utiliser prudemment mais largement des indicateurs*socio=ec détaillés pour mesurer les résultats*socio=rien des réformes*socio=et engagées. En mesurant les progrès*socio=uv à l'aune des indicateurs*socio=ec convenus, il serait plus facile*socio=rien d'apprécier le succès*socio=uv de la politique*socio=et d'ajustement*socio=et ainsi que le degré*socio=rien d'application*socio=rien des conditions*socio=uv. On pourrait ainsi savoir*socio=rien jusqu'à quel point*socio=rien les nouvelles*socio=rien politiques*socio=et sont mises en place*socio=rien , et non plus ce qu'ont été*socio=rien les réalisations*socio=uv au plan*socio=rien macroéconomique*socio=ec, lesquelles dépendent d'un*socio=rien trop *socio=rien grand nombre de*socio=nil facteurs *socio=nil exogènes pour constituer *socio=rien un guide utile*socio=uv.*socio=nil *socio=nil Mesurer l'effet*socio=rien macroéconomique*socio=ec des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et qui bénéficient d'une aide*socio=uv de la Banque*socio=ac est*socio=rien une entreprise*socio=ac difficile*socio=rien : on ne discerne pas aisément, dans le court_terme*socio=ec, les avantages*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et; les économies*socio=ec en voie*socio=rien d'ajustement*socio=et sont soumises à des forces*socio=uv extérieures*socio=te dont les effets*socio=rien ne sont pas faciles*socio=rien à distinguer de celles de l'ajustement*socio=et. Et il est*socio=rien particulièrement difficile*socio=rien de différencier entre les effets*socio=rien de politiques*socio=et qui, tout en étant différentes*socio=rien , n'en font pas moins partie*socio=rien d'un*socio=rien tout intégré. Compte*socio=rien tenu de ces réserves*socio=ec, on a examiné les *socio=ec indicateurs macroéconomiques clés*socio=rien *socio=nil pour les 16 pays*socio=ac qui, durant la période*socio=te budgétaire*socio=et 1980-84, ont lancé des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et aidés par la Banque*socio=ac. Sans qu'il faille y voir une relation*socio=rien de cause*socio=rien à effet*socio=rien , les indicateurs*socio=ec relatifs*socio=rien au produit_intérieur_brut*socio=ec et aux exportations*socio=ec font apparaître une croissance*socio=uv relativement forte*socio=rien dans les deux tiers*socio=rien environ des pays*socio=ac après*socio=rien la mise en place*socio=rien d'une politique*socio=et d'ajustement*socio=et; 12 des 16 pays*socio=ac ont réduit le déficit*socio=ec de leur balance*socio=rien des transactions*socio=ec courantes*socio=rien ; et le déficit*socio=ec budgétaire*socio=et de neuf*socio=rien d'entre eux a baissé au cours*socio=rien de la période*socio=te d'ajustement*socio=et. On porte*socio=rien également une *socio=rien attention croissante aux*socio=nil réformes*socio=et institutionnelles*socio=ac *socio=nil dans les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et. Mais il *socio=rien est difficile *socio=nil de réformer les institutions*socio=ac. Cela *socio=rien demande du temps *socio=nil - plus de temps*socio=rien que n'en prennent des opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et à décaissement*socio=ec rapide*socio=rien . Ce *socio=rien facteur temps *socio=nil joue contre le processus*socio=rien de réforme*socio=et: celui-ci a besoin*socio=uv de la durée*socio=rien et de la volonté_politique*socio=et d'aboutir. La Banque*socio=ac suit également de près l'effet*socio=rien que la crise*socio=uv économique*socio=ec et l'effort*socio=uv d'ajustement*socio=et qu'elle nécessitait avaient sur*socio=rien les pauvres*socio=ac - baisse*socio=rien de la production*socio=ec, de l'emploi*socio=ec et de la consommation*socio=ec; dégradation*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=et pour ceux qui bénéficiaient auparavant de subventions*socio=ec et d'autres formes*socio=rien de protection*socio=et contre les forces_du_marché*socio=ec; et retard*socio=rien dans les diverses*socio=rien affectations possibles*socio=rien des ressources*socio=ec productives*socio=uv en réponse*socio=rien à la modification*socio=rien des prix*socio=ec relatifs*socio=rien . Ces coûts*socio=ec transitionnels sont - tout au moins au *socio=rien niveau global *socio=nil - à peu près inévitables*socio=rien . La crise*socio=uv économique*socio=ec oblige à une *socio=rien certaine forme d'*socio=nil ajustement*socio=et,*socio=nil *socio=nil qu'on le veuille ou non. Bien*socio=rien programmé et engagé à temps*socio=rien , l'ajustement*socio=et comporte, par la croissance*socio=uv plus rapide*socio=rien et plus viable*socio=uv qui en résulte, des avantages*socio=rien à long_terme*socio=ec qui l'emportent sur*socio=rien les coûts*socio=ec inévitables*socio=rien . Pour alléger les souffrances dans l'immédiat*socio=rien , il faudrait réorienter les dépenses*socio=ec sociales*socio=ac en les concentrant, dans la *socio=rien mesure du possible,*socio=nil sur les*socio=nil pauvres*socio=ac *socio=nil et engager, en particulier*socio=uv dans les domaines*socio=rien de la nutrition*socio=rien et de l'emploi*socio=ec, des actions*socio=rien compensatoires*socio=uv relativement peu coûteuses*socio=ec (Voir Encadré 5-1). Le volume*socio=rien des prêts*socio=ec de la banque_mondiale*socio=ac à l'ajustement*socio=et au cours*socio=rien des quelques années*socio=rien à venir pourrait être*socio=rien de l'ordre*socio=rien de 25% *socio=rien du total,*socio=nil *socio=nil mais, comme on l'a dit plus haut*socio=rien , les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et à décaissement*socio=ec rapide*socio=rien comprennent de plus en plus de composantes*socio=rien investissement*socio=ec dont le temps*socio=rien de mise en *socio=rien place est plus*socio=nil long.*socio=nil *socio=nil A la suite*socio=rien de la *socio=rien discussion du rapport intérimaire *socio=nil par les Administrateurs*socio=ac, le *socio=rien Président du conseil_des_administrateurs*socio=ac *socio=nil a conclu que les très utiles*socio=uv observations*socio=rien et suggestions*socio=rien formulées par ceux-ci seraient prises*socio=rien en considération*socio=rien dans la préparation*socio=rien d'un*socio=rien autre *socio=rien rapport sur la*socio=nil question *socio=nil qui devrait voir le jour*socio=rien durant la *socio=rien première moitié *socio=nil de l'exercice*socio=rien 89. La discussion*socio=rien , a poursuivi le Président*socio=rien , a soulevé *socio=rien un certain nombre de*socio=nil questions *socio=nil d'une importance*socio=rien exceptionnelle*socio=uv. Parmi celles qui ont suscité de larges*socio=rien préoccupations*socio=uv, on citera la cote*socio=ec du*socio=rien crédit*socio=ec de la Banque*socio=ac et le rôle*socio=rien des 25% de prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et et, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil l'*socio=nil équilibre*socio=uv *socio=nil à réaliser dans chaque pays*socio=ac entre prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et et prêts*socio=ec à l'investissement*socio=ec. Une autre question*socio=rien avait trait*socio=rien à l'interaction*socio=rien entre la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec. Il y a eu également toute une série de questions*socio=rien liées à ce qu'on pourrait appeler "la conception*socio=rien des projets*socio=rien ". Beaucoup d'intervenants*socio=rien ont souligné qu'il était important*socio=rien de tirer les leçons*socio=rien de l'expérience*socio=uv et de tenir compte*socio=rien à la fois*socio=rien des succès*socio=uv et des échecs*socio=uv dans la conception*socio=rien des nouveaux*socio=rien programmes*socio=et. L'importance*socio=rien de facteurs*socio=rien externes*socio=te tels que le protectionnisme*socio=et a été*socio=rien également mise en lumière*socio=rien , et il est*socio=rien apparu clairement qu'il faudrait traiter la question*socio=rien de l'environnement*socio=ec économique*socio=ec global*socio=rien de façon*socio=rien très approfondie. Presque tous les orateurs ont insisté sur*socio=rien le fait*socio=rien qu'il fallait que les emprunteurs*socio=ac participent dès le début*socio=rien à la conception*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et sur*socio=rien la nécessité*socio=uv d'un*socio=rien engagement*socio=uv résolu des gouvernements*socio=ac en faveur*socio=rien de ces programmes*socio=et si l'on voulait que ceux-ci réussissent. Il y a eu aussi une série de questions*socio=rien - qui seront reprises plus en détail*socio=rien dans la prochaine*socio=rien étude*socio=ac - concernant la succession*socio=rien dans le temps*socio=rien des prêts*socio=ec, leur volume*socio=rien , leur découpage*socio=rien en tranches, l'évolution*socio=rien du*socio=rien prêt*socio=ec hybride et la *socio=rien durée souhaitable des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'ajustement*socio=et. Certains Administrateurs*socio=ac ont demandé que la Banque*socio=ac précise*socio=rien la manière*socio=rien dont elle contrôle*socio=uv et mesure*socio=rien l'efficacité*socio=uv des prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et, et la question*socio=rien des *socio=ec indicateurs macroéconomiques,*socio=nil *socio=nil ainsi que des efforts*socio=uv sommaires qui étaient faits*socio=rien pour indiquer ce que les résultats*socio=rien avaient ou n'avaient pas été*socio=rien , a suscité de *socio=rien nombreuses réactions.*socio=nil L'*socio=nil éducation*socio=et en*socio=nil *socio=ac Afrique subsaharienne.*socio=nil La*socio=nil poursuite*socio=rien des*socio=nil progrès*socio=uv *socio=nil de l'éducation*socio=et en *socio=ac Afrique subsaharienne est*socio=rien *socio=nil menacée aujourd'hui par la conjonction*socio=rien de deux *socio=rien facteurs devant *socio=nil lesquels les systèmes*socio=rien éducatifs*socio=et de la région*socio=te sont impuissants*socio=rien : explosion démographique*socio=rien et régression économique*socio=ec. De ce fait*socio=rien , beaucoup de pays*socio=ac sont obligés de transformer profondément leur *socio=et politique éducative *socio=nil afin de mettre *socio=rien un terme *socio=nil à la stagnation*socio=ec des effectifs*socio=rien , de supprimer l'inégalité*socio=uv d'accès*socio=uv à l'éducation*socio=et et de renverser le processus*socio=rien d'érosion*socio=ec de la qualité*socio=rien de l'éducation*socio=et. Telles sont les *socio=rien principales conclusions du document *socio=nil "L'éducation*socio=et en *socio=ac Afrique subsaharienne"*socio=nil *socio=nil , une des études*socio=rien de la série que la banque_mondiale*socio=ac a entrepris de réaliser afin de stimuler la discussion*socio=rien des politiques_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien pour l'Afrique*socio=ac dans les années*socio=rien 90 et au-delà . Rédigée à l'issue*socio=rien d'une large*socio=rien consultation*socio=uv, tant en Afrique*socio=ac que dans les pays_industrialisés*socio=ac, l'étude*socio=ac vise trois *socio=rien objectifs principaux:*socio=nil *socio=nil dégager et décrire les *socio=uv problèmes communs *socio=nil que pose l'éducation*socio=et en Afrique*socio=ac, fournir aux *socio=ac dirigeants africains *socio=nil des données comparatives et des instruments*socio=rien d'analyse*socio=rien à l'aide*socio=uv desquels établir leur politique*socio=et et définir*socio=rien leurs priorités*socio=uv éducatives*socio=et, enfin proposer des orientations*socio=et à l'intention*socio=rien des autorités*socio=et nationales*socio=te ainsi que des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec. La crise*socio=uv actuelle*socio=rien de l'éducation*socio=et en *socio=ac Afrique subsaharienne *socio=nil succède à plus de deux décennies*socio=rien de progrès*socio=uv continus et spectaculaires*socio=rien . Entre 1960 et 1983, les effectifs*socio=rien des établissements*socio=rien africains*socio=ac, à tous les niveaux*socio=rien , ont quintuplé pour atteindre environ 63 millions*socio=rien d'élèves*socio=ac. Le développement*socio=uv considérable*socio=rien de l'éducation*socio=et depuis l'indépendance*socio=et a ouvert*socio=rien plus grandes*socio=rien les portes*socio=rien de l'école*socio=et à certaines*socio=rien catégories_sociales*socio=et qui, jusqu'alors, n'avaient pas, ou guère, accès*socio=uv à un*socio=rien enseignement*socio=et de *socio=rien type formel.*socio=nil Cette*socio=nil massive expansion*socio=ec *socio=nil de l'éducation*socio=et a fortement amélioré le capital_humain*socio=ec. La *socio=rien moyenne estimative du degré d'*socio=nil instruction*socio=et des*socio=nil hommes*socio=ac *socio=nil et des femmes*socio=ac d'âge*socio=rien actif*socio=rien , dans le pays*socio=ac africain*socio=te médian*socio=rien , est*socio=rien passée de moins d'une demi-année en 1960 à plus de trois années*socio=rien au début*socio=rien des années*socio=rien 80. Le taux*socio=rien d'alphabétisation*socio=et des adultes*socio=rien , dans le pays*socio=ac médian*socio=rien , *socio=rien est passé *socio=nil d'environ 9% à 42% au cours*socio=rien de la même période*socio=te. Avec les années*socio=rien 80, toutefois, la croissance*socio=uv des effectifs*socio=rien s'est*socio=rien ralentie, surtout dans le primaire*socio=et, où le taux_de_croissance*socio=ec est*socio=rien tombé de 8,4% par an*socio=rien pendant la période*socio=te 1970-80 à *socio=rien un taux qui*socio=nil est actuellement*socio=nil inférieur *socio=nil à l'augmentation*socio=uv du*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec démographique*socio=rien parmi les enfants*socio=ac en âge*socio=rien de *socio=et scolarisation primaire.*socio=nil Le*socio=nil problème*socio=uv *socio=nil de la stagnation*socio=ec des *socio=rien effectifs est *socio=nil compliqué par la faiblesse*socio=rien , et récemment la dégradation*socio=rien , de la qualité*socio=rien de l'éducation*socio=et. L'acquisition*socio=rien des connaissances*socio=rien , parmi les *socio=ac élèves africains,*socio=nil *socio=rien est faible par*socio=nil rapport aux*socio=nil normes*socio=et mondiales*socio=ec *socio=nil et il semblerait, à certains indices, que cet état*socio=rien de choses*socio=rien se soit encore aggravé. Ces problèmes*socio=uv de stagnation*socio=ec des effectifs*socio=rien et de baisse*socio=rien de la qualité*socio=rien de l'éducation*socio=et sont apparus dans *socio=rien un contexte *socio=nil de régression économique*socio=ec qui a obligé à tailler dans les dépenses_publiques*socio=et - celles d'éducation*socio=et tombant de 10 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec à moins de 9 milliards*socio=ec au cours*socio=rien de la seule*socio=rien période*socio=te 1980-83. Que peut-on faire? L'étude*socio=ac de la Banque*socio=ac ne prescrit*socio=rien pas de *socio=rien formule unique applicable *socio=nil à l'ensemble*socio=rien de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac, pas plus qu'elle ne propose d'investissements*socio=ec éducatifs*socio=et spécifiques*socio=rien . Elle suggère plutôt *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil actions *socio=nil à la mesure*socio=rien de la gravité des problèmes*socio=uv et *socio=rien présente un cadre *socio=nil à l'intérieur*socio=rien duquel les pays*socio=ac pourront formuler une stratégie*socio=et en rapport*socio=rien avec leurs besoins*socio=uv et leur situation*socio=uv propres*socio=rien . Sa conclusion*socio=rien , toutefois, est*socio=rien que, quelle que soit la formule*socio=rien adoptée, cette formule*socio=rien devrait comprendre, à des degrés*socio=rien divers, trois éléments*socio=rien distincts*socio=uv: adaptation*socio=uv, revitalisation*socio=uv et expansion*socio=ec sélective*socio=rien . Adaptation*socio=uv. L'adaptation*socio=uv prendra vraisemblablement*socio=rien deux *socio=rien formes principales:*socio=nil *socio=nil contenir les coûts*socio=ec unitaires*socio=rien et diversifier les sources*socio=rien de financement*socio=ec (partage*socio=uv des frais*socio=ec). La *socio=rien principale composante *socio=nil de l'adaptation*socio=uv, à savoir*socio=rien la réduction*socio=uv des coûts*socio=ec unitaires*socio=rien , est*socio=rien à poursuivre résolument à tous les niveaux*socio=rien de l'éducation*socio=et - tant pour les dépenses*socio=ec d'équipement*socio=ec que de fonctionnement*socio=rien . En ce qui concerne la réduction*socio=uv des dépenses*socio=ec d'équipement*socio=ec, il est*socio=rien notamment possible*socio=rien de minimiser les dépenses*socio=ec en *socio=rien locaux superflus,*socio=nil *socio=nil d'utiliser des modes*socio=rien de construction*socio=ec peu coûteux*socio=ec et des matériaux*socio=ec locaux*socio=rien et, surtout aux niveaux*socio=rien secondaire*socio=et et supérieur*socio=rien , d'utiliser plus intensivement*socio=rien les équipements*socio=ec en place*socio=rien . Quant aux réductions*socio=uv des dépenses*socio=ec de fonctionnement*socio=rien , elles pourraient consister à modifier le mode*socio=rien de rémunération*socio=ec et de recrutement*socio=ec des personnels*socio=ec enseignants*socio=ac et autres. Au niveau*socio=rien de l'enseignement_supérieur*socio=et, les étudiants*socio=ac pourraient se voir confier la charge*socio=uv d'exécuter des services_essentiels*socio=et de surveillance*socio=et et d'appui*socio=rien administratif*socio=rien . Le partage*socio=uv des coûts*socio=ec pourrait prendre plusieurs formes*socio=rien . - Les pays*socio=ac pourraient envisager d'encourager la création*socio=rien - et d'assouplir la réglementation*socio=et relative*socio=rien à leur fonctionnement*socio=rien - d'établissements*socio=rien d'enseignement*socio=et secondaire*socio=et et supérieur*socio=rien appartenant au secteur_privé*socio=ec et financé par celui-ci. Dans le primaire*socio=et et le secondaire*socio=et, on pourrait encourager des associations*socio=ac locales*socio=rien ou des organisations_non_gouvernementales*socio=ac à construire et gérer des écoles*socio=et. - On pourrait envisager aussi de faire assumer par les bénéficiaires*socio=ac de l'enseignement*socio=et secondaire*socio=et et supérieur*socio=rien une plus *socio=rien grande part des*socio=nil dépenses*socio=ec *socio=nil autres que d'éducation*socio=et (prestation*socio=et de services*socio=ec en nature*socio=rien ) ou d'introduire ou de relever progressivement un*socio=rien droit*socio=uv de scolarité*socio=et couvrant une partie*socio=rien au moins des dépenses*socio=ec d'éducation*socio=et. L'étude*socio=ac met en garde*socio=rien , toutefois, contre le fait*socio=rien qu'un*socio=rien partage*socio=uv total*socio=rien des frais*socio=ec risquerait d'empêcher les pauvres*socio=ac de poursuivre leurs études*socio=rien ; aussi préconise-t-elle l'adoption*socio=et d'autres formules*socio=rien - celle des prêts*socio=ec pour études*socio=rien , le prélèvement*socio=ec d'une taxe*socio=et *socio=rien spéciale sur les*socio=nil revenus*socio=ec des*socio=nil diplômés*socio=ac d'*socio=nil établissements supérieurs *socio=nil et l'imposition*socio=et d'un*socio=rien service*socio=rien national*socio=te aux bénéficiaires*socio=ac, par exemple*socio=rien - pour financer la *socio=rien hausse du coût*socio=ec *socio=nil de l'éducation*socio=et. Revitalisation*socio=uv: rétablir la qualité*socio=rien . La *socio=rien deuxième dimension *socio=nil d'une stratégie*socio=et de l'éducation*socio=et concerne le rétablissement*socio=rien et l'amélioration*socio=uv de la qualité*socio=rien des infrastructures*socio=et en place*socio=rien . La revitalisation*socio=uv devrait porter surtout sur*socio=rien ce qui *socio=rien est fondamental:*socio=nil le*socio=nil matériel pédagogique,*socio=nil les*socio=nil *socio=et normes scolaires *socio=nil et l'entretien*socio=rien des équipements*socio=ec et des installations*socio=rien . Pour rétablir la *socio=rien qualité du matériel pédagogique,*socio=nil *socio=nil il ne s'agit pas seulement de financer l'achat*socio=ec d'un*socio=rien *socio=rien nombre suffisant de*socio=nil manuels *socio=nil à tous les niveaux*socio=rien et dans toutes les matières*socio=rien . Il faut aussi trouver la réponse*socio=rien appropriée à des *socio=rien questions du genre:*socio=nil quel*socio=nil matériel pédagogique *socio=nil faut-il produire localement*socio=rien et lequel convient-il d'importer? Faut-il acheter plus cher*socio=rien des *socio=rien textes produits localement,*socio=nil *socio=nil ou les faire imprimer à moindres*socio=rien frais*socio=ec ailleurs*socio=rien dans la région*socio=te ou, ce qui est*socio=rien plus souvent le cas*socio=rien , en dehors de l'Afrique*socio=ac? Comment tirer le meilleur*socio=rien parti*socio=et de supports nouveaux*socio=rien d'éducation*socio=et tels que la radio*socio=et? S'il n'existe pas, comme l'étude*socio=ac le laisse entendre, de réponse*socio=rien à ces questions*socio=rien qui soit "la bonne*socio=rien ", celle qui conviendrait serait celle qui correspond aux réalités*socio=uv et aux besoins*socio=uv de chaque société*socio=ac africaine*socio=te. Revitaliser les *socio=et normes scolaires *socio=nil conduirait aussi probablement à modifier la manière*socio=rien d'évaluer les résultats*socio=rien scolaires*socio=et: à la formule*socio=rien de l'examen*socio=rien qui vise strictement à déterminer si l'élève possède les aptitudes*socio=rien qui seront le plus nécessaires*socio=rien au *socio=rien niveau suivant feraient*socio=nil place des*socio=nil systèmes *socio=nil largement structurés de mesure*socio=rien et d'incitation*socio=rien qui, prenant en compte*socio=rien toute la gamme*socio=rien des aptitudes*socio=rien cognitives, permettent d'évaluer les connaissances*socio=rien de la majorité*socio=rien des élèves*socio=ac qui n'abordent pas le *socio=rien niveau suivant.*socio=nil *socio=nil Enfin, pour revitaliser l'éducation*socio=et en Afrique*socio=ac, il faut pouvoir*socio=et disposer de fonds*socio=ec suffisants*socio=rien pour maintenir en *socio=rien bon état le*socio=nil matériel des*socio=nil laboratoires *socio=nil et des ateliers*socio=rien et pour assurer l'entretien*socio=rien des installations*socio=rien . L'absence*socio=rien d'entretien*socio=rien entraîne d'abord*socio=rien la *socio=rien dégradation rapide des*socio=nil avantages *socio=nil que le *socio=rien matériel est *socio=nil censé procurer aux élèves*socio=ac et, ensuite, un*socio=rien gonflement*socio=ec des coûts*socio=ec unitaires*socio=rien quand, pour avoir été*socio=rien négligé, le matériel*socio=rien doit être*socio=rien remplacé prématurément*socio=rien . Expansion*socio=ec sélective*socio=rien . A longue*socio=rien échéance*socio=te, affirme l'étude*socio=ac, les pays*socio=ac seraient malavisés*socio=rien de réduire, *socio=rien du fait *socio=nil de l'actuelle*socio=rien austérité budgétaire*socio=et, leurs investissements*socio=ec éducatifs*socio=et à long_terme*socio=ec. Une fois*socio=rien les mesures*socio=rien d'adaptation*socio=uv et de revitalisation*socio=uv mises en place*socio=rien , la plupart*socio=rien des pays*socio=ac devraient redoubler d'efforts*socio=uv en vue*socio=rien d'universaliser l'enseignement*socio=et primaire*socio=et. Il faudra y consacrer d'importantes*socio=rien ressources*socio=ec publiques*socio=et mais, conclut l'étude*socio=ac, comparé aux autres secteurs*socio=ec, le bilan*socio=rien des investissements*socio=ec éducatifs*socio=et, en ce qui concerne leur réalisation*socio=uv et leur viabilité*socio=uv, est*socio=rien exceptionnellement bon*socio=rien , outre qu'il est*socio=rien prouvé que l'investissement*socio=ec éducatif*socio=et, surtout au niveau*socio=rien primaire*socio=et, a un*socio=rien *socio=ec rendement économique élevé*socio=rien *socio=nil . Il ressort également des travaux*socio=rien de la Banque*socio=ac que, pour apporter *socio=rien un complément utile*socio=uv *socio=nil à l'éducation*socio=et formelle*socio=rien , certains pays*socio=ac pourraient aussi envisager de développer leurs programmes_d'_études*socio=rien dispensés en-dehors*socio=rien de l'école*socio=et, sous la forme*socio=rien généralement de cours*socio=rien par correspondance complétés par des émissions*socio=rien radiophoniques, pour résoudre les problèmes*socio=uv d'accès*socio=uv à l'enseignement*socio=et secondaire*socio=et et postsecondaire*socio=et ainsi que de la formation*socio=et permanente*socio=rien des maîtres*socio=rien . Il y manque*socio=rien , certes, l'interaction*socio=rien élèves-maître, mais les coûts*socio=ec unitaires*socio=rien de cette forme*socio=rien d'enseignement*socio=et ne représentent généralement que de 20 à 40% de ceux de l'enseignement*socio=et traditionnel*socio=uv. Les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac pourraient également souhaiter envisager de développer la formation*socio=et spécifiquement*socio=rien adaptée à un*socio=rien emploi*socio=ec. Pour mieux adapter*socio=rien la formation*socio=et aux besoins*socio=uv du*socio=rien marché*socio=ec, les pays*socio=ac devraient envisager de faire participer les employeurs*socio=ac éventuels*socio=rien à la conception*socio=rien des programmes*socio=et de formation_professionnelle*socio=et. De cette façon*socio=rien , celle-ci pourrait être*socio=rien utile*socio=uv aux étudiants*socio=ac qui cherchent un*socio=rien emploi*socio=ec (ou qui en ont un*socio=rien ) comme à ceux qui se destinent à un*socio=rien métier*socio=ec indépendant*socio=rien . Enfin, conclut l'étude*socio=ac, l'Afrique*socio=ac doit développer, par l'organisation*socio=rien de programmes_d'_études_supérieures*socio=et de troisième*socio=rien cycle*socio=te, les talents*socio=uv *socio=rien professionnels susceptibles *socio=nil de permettre aux pays*socio=ac de tirer parti*socio=et de l'explosion mondiale*socio=te du*socio=rien savoir*socio=uv et d'acquérir une plus grande*socio=rien autonomie*socio=uv dans les domaines*socio=rien de la science*socio=ec et de la technique*socio=rien . Parce que les *socio=ec moyens financiers du*socio=rien continent*socio=ac *socio=nil sont limités, aucun pays*socio=ac ne peut entreprendre de résoudre à lui seul*socio=rien ce problème*socio=uv transnational. La coopération_internationale*socio=ac *socio=rien est nécessaire *socio=nil - entre pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac ainsi qu'entre ceux-ci et leurs partenaires*socio=uv d'autres régions*socio=te du*socio=rien monde*socio=te - pour mettre en *socio=rien place un ensemble cohérent de*socio=nil programmes*socio=et de*socio=nil formation*socio=et d'*socio=nil élites*socio=ac *socio=nil dans les établissements*socio=rien nationaux*socio=te d'enseignement_supérieur*socio=et. Le rôle*socio=rien de la communauté*socio=ac internationale*socio=te. Les mesures*socio=rien d'adaptation*socio=uv préconisées par l'étude*socio=ac de la Banque*socio=ac peuvent *socio=rien être génératrices d'*socio=nil économies*socio=ec,*socio=nil *socio=nil qui, à leur tour*socio=rien , peuvent servir à financer en partie*socio=rien l'indispensable*socio=uv revitalisation*socio=uv et, en dernier*socio=rien ressort, l'expansion*socio=ec *socio=rien sélective du secteur*socio=ec éducatif*socio=et.*socio=nil *socio=nil Mais, note l'étude*socio=ac, l'ensemble*socio=rien des économies*socio=ec réalisées *socio=rien du fait *socio=nil de l'adaptation*socio=uv ne sera pas suffisant*socio=rien , dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, pour couvrir les coûts*socio=ec de la revitalisation*socio=uv et de l'expansion*socio=ec. De l'aide_internationale*socio=et continuera à dépendre pour une *socio=rien large part le*socio=nil rythme des*socio=nil progrès*socio=uv *socio=nil dans la région*socio=te. En outre, l'évolution*socio=rien des besoins*socio=uv de l'Afrique*socio=ac dans ce secteur*socio=ec appelle des changements*socio=uv correspondants*socio=rien dans l'organisation*socio=rien et la nature*socio=rien de l'aide_internationale*socio=et à l'éducation*socio=et africaine*socio=te - et pas seulement une augmentation*socio=uv des concours financiers*socio=ec pour aider au financement*socio=ec des programmes*socio=et qui le méritent. L'élaboration*socio=rien des politiques*socio=et nationales*socio=te d'éducation*socio=et nécessite trois types connexes*socio=rien d'appui*socio=rien international*socio=te dont il n'existe encore aucun: la fourniture*socio=rien de capitaux*socio=ec de lancement*socio=rien pour financer, en monnaie*socio=ec locale*socio=te et étrangère*socio=te, la mise au point*socio=rien des *socio=et politiques éducatives *socio=nil et l'amélioration*socio=uv de leur gestion*socio=et; la mise en place*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien d'information*socio=rien qui permette de savoir*socio=rien comment les autres pays*socio=ac s'y sont pris pour formuler leurs *socio=et réformes éducatives;*socio=nil la*socio=nil création*socio=rien *socio=nil et le financement*socio=ec d'un*socio=rien aréopage d'experts*socio=ac *socio=rien techniques indépendants *socio=nil auquel les gouvernements*socio=ac pourraient faire appel*socio=rien pour la formulation*socio=rien de leur politique*socio=et, puis pour son application*socio=rien , son évaluation*socio=uv et son *socio=rien éventuelle modification en*socio=nil cours d'*socio=nil exécution.*socio=nil *socio=nil Il faut que la volonté*socio=uv internationale*socio=te d'appui*socio=rien à la réforme*socio=et de l'enseignement*socio=et apparaisse dès le début*socio=rien comme une volonté*socio=uv permanente*socio=rien , ce qui n'a pas été*socio=rien le cas*socio=rien jusqu'ici. En outre, conclut l'étude*socio=ac, les concours financiers*socio=ec consentis par la communauté*socio=ac des donateurs*socio=ac à l'appui*socio=rien des *socio=et réformes éducatives *socio=nil doivent faire l'objet*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=rien et, au besoin*socio=uv, d'un*socio=rien ajustement*socio=et pour s'assurer qu'ils vont dans le sens*socio=rien des programmes*socio=et que les *socio=ac gouvernements africains *socio=nil sont en train*socio=rien de formuler pour le développement*socio=uv de l'éducation*socio=et et de la formation*socio=et. "L'éducation*socio=et en *socio=ac Afrique subsaharienne"*socio=nil a*socio=nil été*socio=rien au*socio=nil centre*socio=rien *socio=nil de plusieurs séminaires*socio=rien et conférences*socio=rien de portée*socio=rien régionale*socio=te et internationale*socio=te parmi lesquels on citera: la réunion*socio=rien des *socio=ac ministres anglophones *socio=nil de l'éducation*socio=et, des finances*socio=ec et *socio=rien du plan *socio=nil (Nazret, Éthiopie*socio=ac, avec la collaboration*socio=uv de la Commission*socio=ac économique*socio=ec pour l'Afrique*socio=ac - janvier*socio=rien 1987); la réunion*socio=rien des *socio=ac ministres francophones *socio=nil de l'éducation*socio=et, des finances*socio=ec et *socio=rien du plan *socio=nil (Agroville, côte_d'_ivoire*socio=ac, avec la collaboration*socio=uv de la banque_africaine_de_développement*socio=ac - février*socio=rien 1987); le *socio=rien séminaire sur les*socio=nil stratégies*socio=et futures *socio=nil de l'éducation*socio=et au Kenya*socio=ac (Eldoret, Kenya*socio=ac, avec la collaboration*socio=uv du*socio=rien "Groupe*socio=ac de travail*socio=rien présidentiel sur*socio=rien l'éducation*socio=et et la formation*socio=et de la main-d'_oeuvre*socio=ac pendant la *socio=rien prochaine décennie *socio=nil et au-delà"); la réunion*socio=rien des *socio=ac donneurs européens d'*socio=nil aide*socio=uv *socio=nil à l'éducation*socio=et en Afrique*socio=ac (Dublin - septembre*socio=rien 1987); la réunion*socio=rien des *socio=ac ministres africains *socio=nil de l'éducation*socio=et (Paris*socio=ac - octobre*socio=rien 1987); et la réunion*socio=rien des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec bilatéraux*socio=te et multilatéraux*socio=te d'aide*socio=uv à l'éducation*socio=et en Afrique*socio=ac (Paris*socio=ac - janvier*socio=rien 1988). L'étude*socio=ac a été*socio=rien examinée par les Administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac, qui en ont généralement approuvé les conclusions*socio=rien et recommandations*socio=rien . Leurs vues*socio=rien ont *socio=rien été prises en*socio=nil considération *socio=nil avant la publication*socio=et *socio=rien finale du rapport.*socio=nil Programme*socio=et de*socio=nil recherche*socio=ec.*socio=nil La*socio=nil banque_mondiale*socio=ac parraine des*socio=nil activités de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil visant à améliorer les perspectives*socio=uv de développement*socio=uv de ses pays_membres*socio=ac. Cet *socio=rien objectif général *socio=nil trouve sa traduction*socio=rien dans quatre objectifs*socio=rien plus précis*socio=rien qui sont depuis longtemps au coeur*socio=rien des travaux*socio=rien de recherche*socio=ec de la Banque*socio=ac: - faire mieux comprendre le *socio=rien processus du développement*socio=uv;*socio=nil *socio=nil - renforcer le fondement*socio=uv intellectuel*socio=rien de la politique*socio=et de la Banque*socio=ac; - assurer une contribution*socio=uv importante*socio=rien à l'activité*socio=rien opérationnelle*socio=rien et à la conception*socio=rien des projets*socio=rien de la Banque*socio=ac; - favoriser la mise en place*socio=rien d'une capacité*socio=rien locale*socio=te de recherche*socio=ec dans les pays_en_développement*socio=ac. Les efforts*socio=uv consacrés à chacun de ces objectifs*socio=rien ont souvent aussi pour effet*socio=rien de contribuer à la réalisation*socio=uv des autres; c'est*socio=rien le cas*socio=rien , en particulier*socio=uv, de la recherche*socio=ec sur*socio=rien le *socio=rien processus du développement*socio=uv,*socio=nil *socio=nil qui vient renforcer la base*socio=rien de la politique*socio=et et de la conception*socio=rien des projets*socio=rien de la Banque*socio=ac. Mais il peut arriver que des arbitrages*socio=et s'imposent entre les *socio=rien différents objectifs.*socio=nil Il*socio=nil est des*socio=nil investissements*socio=ec de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil qui veulent des *socio=rien résultats rapides *socio=nil et visent ainsi à répondre immédiatement aux besoins*socio=uv opérationnels*socio=rien . C'est*socio=rien le cas*socio=rien de la recherche*socio=ec sur*socio=rien les méthodes*socio=rien d'évaluation*socio=uv des projets*socio=rien ou sur*socio=rien les succès*socio=uv et les échecs*socio=uv des prêts*socio=ec à l'ajustement_structurel*socio=et. Certains, par contre, visent le long_terme*socio=ec, car il s'agit de constituer une *socio=rien meilleure base *socio=nil pour la solution*socio=rien des futurs*socio=rien problèmes*socio=uv de développement*socio=uv. Pour être*socio=rien moins tourné vers les besoins*socio=uv *socio=rien opérationnels actuels,*socio=nil ce*socio=nil type de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil n'en est*socio=rien pas moins important*socio=rien , car la Banque*socio=ac doit, tout comme ses pays_membres*socio=ac, investir pour l'avenir*socio=te. Une des tâches*socio=rien des responsables*socio=uv de la recherche*socio=ec à la Banque*socio=ac est*socio=rien donc d'équilibrer les coûts*socio=ec et les avantages*socio=rien de la recherche*socio=ec à court*socio=rien et à long_terme*socio=ec. La mise en place*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et efficace*socio=uv de recherche*socio=ec à la Banque*socio=ac répond à une autre préoccupation*socio=uv majeure*socio=rien : renforcer les rapports*socio=rien entre recherche*socio=ec, formulation*socio=rien des orientations*socio=et et *socio=rien activités opérationnelles.*socio=nil *socio=nil Avec la *socio=rien création du *socio=nil complexe "politique*socio=et, planification*socio=et et recherche*socio=ec" (PPR), des mécanismes*socio=rien institutionnels*socio=ac ont été*socio=rien mis en place*socio=rien en vue*socio=rien de renforcer ces rapports*socio=rien . Dans le cadre*socio=rien de la réorganisation*socio=uv, ce complexe a reçu pour mandat*socio=rien de créer une structure*socio=ec fonctionnelle*socio=rien qui se prête*socio=rien à l'intégration*socio=uv de la politique*socio=et et de la recherche*socio=ec - et qui puisse répondre aux besoins*socio=uv *socio=rien opérationnels immédiats *socio=nil ainsi qu'aux priorités*socio=uv à plus long_terme*socio=ec de la direction*socio=rien . La *socio=rien majeure partie *socio=nil de la recherche*socio=ec actuelle*socio=rien a été*socio=rien regroupée au *socio=rien sein du *socio=nil PPR. Il s'en fait*socio=rien aussi, mais à *socio=rien un moindre degré,*socio=nil dans*socio=nil diverses autres*socio=nil parties du complexe*socio=nil opérationnel,*socio=nil *socio=nil très souvent en collaboration*socio=uv avec les services*socio=ec de la recherche*socio=ec du*socio=rien PPR. Une nouvelle*socio=rien structure*socio=ec, chargée de guider et diriger les activités*socio=rien de recherche*socio=ec de la Banque*socio=ac, a également été*socio=rien mise en place*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 88. Le conseil_d'_orientation_de_la_recherche*socio=ac et des *socio=rien publications est *socio=nil maintenant l'organisme*socio=ac directeur*socio=rien de la Banque*socio=ac pour la recherche*socio=ec et les publications*socio=rien . Il est*socio=rien présidé par le Premier*socio=rien Vice-président*socio=ac, Politique*socio=et, planification*socio=et et recherche*socio=ec, et a pour membres*socio=rien des *socio=rien cadres supérieurs *socio=nil de la Banque*socio=ac et de la SFI*socio=ac. Il fixe la nature*socio=rien des activités*socio=rien de recherche*socio=ec et de publication*socio=et de la Banque*socio=ac, dresse les *socio=rien grandes lignes du programme*socio=et et*socio=nil formule des*socio=nil recommandations *socio=nil à cet effet*socio=rien . Pour exécuter le programme*socio=et de recherche*socio=ec *socio=rien du Conseil,*socio=nil un Comité permanent *socio=nil de la recherche*socio=ec a été*socio=rien créé qui est*socio=rien présidé par l'économiste*socio=ac en chef*socio=rien de la Banque*socio=ac. Ce *socio=rien Comité est *socio=nil chargé de traduire en priorités*socio=uv de recherche*socio=ec le programme*socio=et *socio=rien général du Conseil *socio=nil et de superviser le programme*socio=et de recherche*socio=ec financé sur*socio=rien le *socio=ec budget recherche *socio=nil de la Banque*socio=ac. Ce *socio=rien Comité est *socio=nil donc le principal*socio=rien organisme*socio=ac *socio=rien opérationnel du système de*socio=nil direction *socio=nil et de gestion*socio=et des activités*socio=rien de recherche*socio=ec à la Banque*socio=ac. Cette structure*socio=ec bicéphale de la direction*socio=rien de la recherche*socio=ec répond au souci*socio=rien d'élargir et d'approfondir la participation*socio=uv de la direction*socio=rien de la Banque*socio=ac aux *socio=rien décisions relatives *socio=nil à la recherche*socio=ec, tout en assurant *socio=rien un haut niveau de*socio=nil compétence*socio=uv technique *socio=nil à l'appui*socio=rien des activités*socio=rien de recherche*socio=ec. Si la Banque*socio=ac encourage la recherche*socio=ec dans tous ses domaines*socio=rien d'activité*socio=rien , il existe des priorités*socio=uv qui réclament un*socio=rien redoublement ou un*socio=rien renouvellement*socio=uv des efforts*socio=uv: trouver des moyens*socio=ec à proposer aux pays*socio=ac pour assainir leur économie*socio=ec sans sacrifier leur croissance*socio=uv; définir*socio=rien des stratégies*socio=et et des mécanismes*socio=rien pour résoudre les problèmes*socio=uv d'endettement*socio=ec des pays*socio=ac lourdement endettés; stimuler le développement*socio=uv de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac; lutter contre la pauvreté*socio=uv; le rôle*socio=rien et la participation*socio=uv des femmes*socio=ac au développement*socio=uv; la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec; les meilleurs*socio=rien moyens*socio=ec d'élargir la contribution*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec au développement*socio=uv. L'évolution*socio=rien *socio=rien récente du programme*socio=et de*socio=nil prêt*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac montre en outre qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil de multiplier les efforts*socio=uv de recherche*socio=ec dans plusieurs autres domaines*socio=rien . C'est*socio=rien le cas*socio=rien notamment d'une analyse*socio=rien de l'expérience*socio=uv de la Banque*socio=ac en matière*socio=rien de prêts*socio=ec en faveur*socio=rien de réformes*socio=et, ce qui comprend les prêts*socio=ec à l'ajustement_structurel*socio=et, les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec et le portefeuille*socio=ec croissant*socio=rien de prêts*socio=ec hybrides, mélange de prêts*socio=ec d'ajustement*socio=et à décaissement*socio=ec rapide*socio=rien et de prêts*socio=ec d'investissement*socio=ec de type*socio=rien traditionnel*socio=uv. Beaucoup des thèmes*socio=rien de ce programme*socio=et de recherche*socio=ec figurent dans les programmes_de_travail*socio=rien que les services*socio=ec de recherche*socio=ec de la Banque*socio=ac sont en train*socio=rien d'établir. Il *socio=rien est inévitable *socio=nil - et *socio=rien du reste souhaitable *socio=nil - que la *socio=rien majeure partie des*socio=nil travaux de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac visent à répondre à des préoccupations*socio=uv immédiates*socio=rien . Mais il en est*socio=rien qui doivent regarder au-delà des problèmes*socio=uv de l'heure*socio=rien , aussi pressants*socio=rien soient-ils. C'est*socio=rien ainsi qu'il faudra considérer l'importance*socio=rien croissante*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac dans l'économie*socio=ec mondiale*socio=te - et celle de l'économie*socio=ec mondiale*socio=te pour le bien-être*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac; les incidences*socio=rien de l'urbanisation*socio=ec sur*socio=rien la gestion*socio=et et le développement*socio=uv de l'économie*socio=ec; la mondialisation*socio=te croissante*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec; les tendances*socio=rien à long_terme*socio=ec des prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien ; les implications*socio=rien économiques*socio=ec d'une démographie*socio=ac galopante et de la différence*socio=rien des *socio=rien tendances démographiques entre*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Pour que le portefeuille*socio=ec de la recherche*socio=ec de la Banque*socio=ac soit axé sur*socio=rien l'avenir*socio=te et corresponde aux besoins*socio=uv de ses pays_membres*socio=ac ainsi que *socio=rien du personnel des*socio=nil services*socio=ec opérationnels,*socio=nil le*socio=nil Comité_de_la_recherche*socio=ac *socio=nil fera faire des *socio=rien études sur l'*socio=nil état actuel des*socio=nil connaissances *socio=nil et de la recherche*socio=ec dans des domaines*socio=rien prioritaires*socio=uv et dira quelles lacunes*socio=rien la recherche*socio=ec future*socio=rien devra combler. Il a également mis au *socio=rien point un nouveau système plus*socio=nil rationnel*socio=uv d'*socio=nil évaluation*socio=uv *socio=nil de la recherche*socio=ec qui portera sur*socio=rien des *socio=rien domaines entiers *socio=nil plutôt que sur*socio=rien des *socio=rien projets particuliers.*socio=nil *socio=nil Avec l'examen*socio=rien plus général*socio=rien de l'état*socio=rien actuel*socio=rien des connaissances*socio=rien dans certains domaines*socio=rien , cette évaluation*socio=uv permettra de voir dans quelle mesure*socio=rien les professionnels*socio=ac de l'aide_au_développement*socio=uv auront réussi ou échoué à répondre aux *socio=rien importantes questions de*socio=nil politique*socio=et générale *socio=nil et de déterminer la manière*socio=rien dont on pourrait, par un*socio=rien effort*socio=uv supplémentaire*socio=rien de recherche*socio=ec, combler ce qu'il reste*socio=rien de lacunes*socio=rien . Dans le cadre*socio=rien de l'action*socio=rien qu'il mène en vue*socio=rien de renforcer le leadership*socio=uv intellectuel*socio=rien de la Banque*socio=ac dans le *socio=rien domaine du développement*socio=uv,*socio=nil le*socio=nil conseil_d'_orientation_de_la_recherche*socio=ac *socio=nil et des publications*socio=rien a créé un*socio=rien programme*socio=et (le "Visiting Research Fellow Program" dont le *socio=rien but est *socio=nil de faire venir à la Banque*socio=ac, pour des périodes*socio=te de trois à douze mois*socio=rien , d'éminents*socio=rien *socio=rien chercheurs du monde*socio=te entier *socio=nil qui, outre qu'ils auront la possibilité*socio=rien de poursuivre leurs *socio=rien propres travaux de*socio=nil recherche*socio=ec,*socio=nil pourront*socio=nil être *socio=nil consultés par les services_de_la_banque*socio=ac et participeront à des séminaires*socio=rien et à des ateliers*socio=rien dans leur domaine*socio=rien de compétences*socio=uv. La Banque*socio=ac continuera à oeuvrer au renforcement*socio=uv de la capacité*socio=rien de recherche*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac. Au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années les*socio=nil chercheurs ou*socio=nil établissements de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil d'~ pays_en_développement*socio=ac ont pris une part*socio=rien active*socio=uv à la recherche*socio=ec financée sur*socio=rien le budget*socio=ec de la recherche*socio=ec à hauteur*socio=rien de 40 à 50% du*socio=rien portefeuille*socio=ec. La *socio=rien clé du succès*socio=uv,*socio=nil *socio=nil dans ce domaine*socio=rien , consiste à jouer de l'effet*socio=rien multiplicateur*socio=rien . La Banque*socio=ac est*socio=rien toujours à la recherche*socio=rien d'occasions*socio=rien de mobiliser, en engageant des quantités*socio=rien relativement faibles*socio=rien de ses propres*socio=rien ressources*socio=ec, d'importants*socio=rien volumes*socio=rien d'aide*socio=uv provenant d'autres bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec. Une de ses *socio=rien récentes initiatives *socio=nil en ce sens*socio=rien a été*socio=rien de participer à un*socio=rien consortium*socio=ac de bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec constitué pour réunir les 7 millions*socio=rien de dollars*socio=ec nécessaires*socio=rien à l'expansion*socio=ec d'un*socio=rien programme*socio=et pilote *socio=rien du Centre de*socio=nil recherches*socio=ec sur le*socio=nil développement_international*socio=et *socio=nil qui avait connu *socio=rien un remarquable succès*socio=uv *socio=nil pour créer des réseaux*socio=rien d'appui*socio=rien à la recherche*socio=ec en Afrique*socio=ac de l'Est*socio=rien . L'institut_de_développement_économique*socio=ac (IDE*socio=ac). L'exercice*socio=rien 88 a vu progresser encore la réalisation*socio=uv des objectifs*socio=rien que l'Institut*socio=et s'est*socio=rien fixés pour les exercices*socio=rien 85-89. C'est*socio=rien ainsi, essentiellement, qu'il a: a) renforcé son rôle*socio=rien de formation*socio=et à la direction*socio=rien des *socio=ec affaires économiques *socio=nil à la suite*socio=rien de l'heureuse*socio=rien conclusion*socio=rien des évaluations*socio=uv d'impact*socio=rien entreprises*socio=ac en 1986-87; b) contribué à beaucoup plus d'autres cours*socio=rien et séminaires*socio=rien organisés par les établissements*socio=rien de formation*socio=et des pays_en_développement*socio=ac tout en réduisant ses *socio=rien propres activités de*socio=nil formation*socio=et directe en*socio=nil analyse et*socio=nil gestion*socio=et des*socio=nil projets;*socio=nil *socio=nil c) amélioré la qualité*socio=rien de ses séminaires*socio=rien pour formateurs*socio=rien ; d) accru son aide*socio=uv aux *socio=rien établissements supérieurs de*socio=nil formation*socio=et des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac,*socio=nil *socio=nil notamment par l'établissement*socio=rien de réseaux*socio=rien régionaux*socio=te et sectoriels*socio=rien . Le Tableau*socio=rien 5-2 compare le nombre*socio=rien des différents*socio=rien types d'activité*socio=rien de l'exercice*socio=rien 88 aux *socio=rien exercices précédents.*socio=nil Le*socio=nil schéma des*socio=nil activités fait *socio=nil apparaître une expansion*socio=ec continue*socio=rien des séminaires*socio=rien de *socio=rien haut niveau de*socio=nil politique*socio=et générale *socio=nil (d'une durée*socio=rien de un*socio=rien à *socio=rien cinq jours,*socio=nil *socio=nil ils sont organisés à l'intention*socio=rien des hauts*socio=rien responsables*socio=uv, conseillers*socio=ac et autres *socio=rien cadres supérieurs chargés*socio=nil du développement*socio=uv)*socio=nil *socio=nil et la *socio=rien grande place *socio=nil que continuent à occuper les séminaires*socio=rien de gestion*socio=et macroéconomique*socio=ec et sectorielle*socio=rien (d'une durée*socio=rien de une à quatre semaines*socio=rien , ils sont conçus à l'intention*socio=rien des *socio=rien cadres supérieurs des*socio=nil ministères*socio=ac *socio=nil à vocations économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien ). La baisse*socio=rien des séminaires*socio=rien de formateurs*socio=rien de l'Institut*socio=et s'explique en partie*socio=rien par la décision*socio=rien de confier à des établissements*socio=rien associés*socio=uv à l'Institut*socio=et le soin*socio=rien d'organiser plusieurs séminaires*socio=rien pour formateurs*socio=rien et le fait*socio=rien qu'une assistance*socio=et pédagogique*socio=rien accrue leur a été*socio=rien donnée à cette fin*socio=rien , ces deux éléments*socio=rien étant étroitement liés. Comme prévu, le nombre*socio=rien des cours*socio=rien de l'Institut*socio=et sur*socio=rien l'analyse*socio=rien et la gestion*socio=et des projets*socio=rien a fortement diminué au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 88 et une aide*socio=uv accrue a été*socio=rien fournie aux autres établissements*socio=rien de formation*socio=et qui assurent ce genre*socio=rien de cours*socio=rien . L'IDE*socio=ac a aussi l'intention*socio=rien d'accroître son aide*socio=uv à *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil établissements régionaux*socio=te de*socio=nil formation*socio=et *socio=nil afin qu'ils puissent renforcer les capacités*socio=rien nationales*socio=te de formation*socio=et à l'analyse*socio=rien et à la gestion*socio=et des projets*socio=rien . De nouvelles*socio=rien orientations*socio=et peuvent être*socio=rien notées, pour l'exercice*socio=rien 88, dans les activités*socio=rien de formation*socio=et et de renforcement*socio=uv institutionnel*socio=rien de l'IDE*socio=ac. - Pour la *socio=rien première fois,*socio=nil l'*socio=nil IDE*socio=ac *socio=nil a organisé des séminaires*socio=rien de politique*socio=et *socio=rien générale sur le*socio=nil *socio=ec secteur financier et*socio=nil sur*socio=rien les*socio=nil incidences*socio=rien sociales*socio=ac *socio=nil de l'ajustement*socio=et. Le séminaire*socio=rien d'Istanbul (pour les pays*socio=ac de la région*socio=te Europe*socio=ac, Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te) a étudié le *socio=rien rôle du *socio=ec secteur financier *socio=nil dans l'ajustement_structurel*socio=et et celui d'Oxford (participation*socio=uv mondiale*socio=te) s'est*socio=rien penché sur*socio=rien l'utilisation*socio=rien de *socio=rien nouveaux instruments financiers*socio=ec *socio=nil dans la gestion*socio=et des actifs*socio=ec et des engagements*socio=ec extérieurs*socio=te des pays*socio=ac. Le *socio=rien séminaire sur les*socio=nil incidences sociales*socio=ac *socio=nil de l'ajustement*socio=et dans les pays*socio=ac d' amérique_latine*socio=ac, qui était coparrainé par l'Institut*socio=et latino-américain de planification*socio=et économique*socio=ec et sociale*socio=ac (ILPES) et le Fonds*socio=ec des nations_unies*socio=ac pour l'enfance*socio=uv (FISEUNICEF), a étudié les voies*socio=rien et moyens*socio=ec pratiques*socio=et de rendre plus positif*socio=uv l'effet*socio=rien des politiques*socio=et d'ajustement*socio=et sur*socio=rien les catégories*socio=rien socio-économiques*socio=ec les plus exposées. 0 Grâce*socio=rien à une aide_financière*socio=et *socio=rien substantielle du Japon*socio=ac,*socio=nil l'*socio=nil Institut*socio=et *socio=nil a organisé, à Washington*socio=ac, *socio=rien un séminaire pour*socio=nil hauts_fonctionnaires*socio=ac des*socio=nil ministères*socio=ac clés des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil ainsi que des organismes*socio=ac d'aide*socio=uv bilatérale*socio=te pour étudier l'adoption*socio=et d'une démarche*socio=rien commune*socio=uv dans la conception*socio=rien et l'exécution*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement_structurel*socio=et. - L'IDE*socio=ac a lancé une nouvelle*socio=rien série de *socio=rien séminaires annuels *socio=nil pour deux cas*socio=rien de besoins*socio=uv spéciaux*socio=rien . Pour le sud*socio=te du*socio=rien Pacifique*socio=uv, l'accent*socio=rien est*socio=rien mis sur*socio=rien l'organisation*socio=rien de séminaires*socio=rien de gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac tandis que, dans le cas*socio=rien de l'Asie_du_sud-est*socio=ac (Vietnam*socio=ac et république_démocratique_populaire_lao*socio=ac), les cours*socio=rien portent surtout sur*socio=rien l'analyse*socio=rien et l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien . Cofinancés par des sources*socio=rien extérieures*socio=te, les séminaires*socio=rien sont organisés conjointement avec des *socio=rien établissements locaux ou*socio=nil régionaux*socio=te *socio=nil avec lesquels l'Institut*socio=et collabore. - L'IDE*socio=ac vient d'être*socio=rien chargé d'exécuter *socio=rien un important programme*socio=et *socio=nil en trois ans*socio=rien avec *socio=rien un substantiel concours*socio=nil financier*socio=ec du programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac (*socio=nil PNUD*socio=ac)*socio=nil *socio=nil , en vue*socio=rien de renforcer les instituts*socio=ac supérieurs*socio=rien de formation*socio=et à la gestion*socio=et en *socio=ac Afrique subsaharienne.*socio=nil L'*socio=nil *socio=rien exécution du projet se*socio=nil fait *socio=nil avec la collaboration*socio=uv du*socio=rien bureau_international_du_travail*socio=ac et avec les toutes nouvelles*socio=rien associations*socio=ac régionales*socio=te d'établissements*socio=rien de formation*socio=et à la gestion*socio=et. - Répondant à l'attention*socio=rien accrue que la Banque*socio=ac porte*socio=rien au rôle*socio=rien des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv, l'IDE*socio=ac a lancé un*socio=rien programme*socio=et d'activités*socio=rien en vue*socio=rien de sensibiliser les formateurs*socio=rien et les dirigeants*socio=ac à ce problème*socio=uv, ainsi qu'aux effets*socio=rien différentiels que les diverses*socio=rien politiques*socio=et possibles*socio=rien peuvent avoir sur*socio=rien les hommes*socio=ac et sur*socio=rien les femmes*socio=ac. La première*socio=rien de ces activités*socio=rien a été*socio=rien , en mai*socio=rien 1988, *socio=rien un atelier *socio=nil de trois jours*socio=rien pour formateurs*socio=rien de l'IDE*socio=ac et services*socio=ec opérationnels*socio=rien de la Banque*socio=ac sur*socio=rien les problèmes*socio=uv des *socio=rien rôles respectifs des*socio=nil hommes*socio=ac *socio=nil et des femmes*socio=ac dans les secteurs*socio=ec de l'agriculture*socio=ec et de l'éducation*socio=et. Sur*socio=rien le même sujet*socio=rien , un*socio=rien autre *socio=rien atelier est *socio=nil prévu, fin*socio=rien 1988 ou début*socio=rien 1989, à l'intention*socio=rien d'équipes*socio=rien venues d'établissements*socio=rien de formation*socio=et d'Asie*socio=ac et d'Afrique*socio=ac. Le Programme*socio=et de bourses*socio=rien d'études_supérieures*socio=et de la banque_mondiale*socio=ac a été*socio=rien inauguré au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 87 grâce*socio=rien à un*socio=rien don*socio=ec du*socio=rien *socio=ac Gouvernement japonais.*socio=nil Cent*socio=rien trente*socio=nil candidats,*socio=nil représentant*socio=rien 54*socio=nil pays_membres *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac, ont présenté une demande*socio=rien de bourse*socio=ac pour l'année*socio=rien universitaire*socio=et 1987-88. Trente-quatre ont été*socio=rien accordées, dont dix à des femmes*socio=ac et 26 à des nationaux*socio=te de pays_en_développement*socio=ac. Les boursiers*socio=ec, qui venaient de 25 pays*socio=ac et ont fréquenté 20 universités*socio=et, étaient âgés*socio=rien de 23 à 41 ans*socio=rien . Les universités*socio=et qui les ont accueillis feront rapport*socio=rien à la Banque*socio=ac sur*socio=rien leurs progrès*socio=uv. Pour l'année*socio=rien 88-89, 59 *socio=rien nouvelles bourses ont*socio=nil été *socio=nil attribuées par le *socio=rien Comité directeur *socio=nil chargé des bourses*socio=rien composé de trois Administrateurs*socio=ac et de quatre *socio=rien cadres supérieurs *socio=nil de la Banque*socio=ac, et le nombre*socio=rien d'universités*socio=et contactées*socio=rien pour fournir éventuellement des candidats*socio=ac *socio=rien qualifiés est passé *socio=nil de 30 à plus de 100. En vue*socio=rien de rendre son matériel*socio=rien de formation*socio=et plus accessible*socio=uv, l'Institut*socio=et a adopté, en janvier*socio=rien 1988, *socio=rien un nouveau système de*socio=nil classement *socio=nil qui permettra de diffuser *socio=rien un important volume de*socio=nil documentation informelle*socio=uv *socio=nil dans le cadre*socio=rien d'une série de documents*socio=rien de travail*socio=rien de l'IDE*socio=ac. Ces documents*socio=rien , qui porteront *socio=rien sur un grand nombre de*socio=nil problèmes*socio=uv économiques*socio=ec *socio=nil et de développement*socio=uv, comprendront habituellement une *socio=rien présentation initiale des*socio=nil vues d'*socio=nil un auteur *socio=nil avant la publication*socio=et d'un*socio=rien travail*socio=rien achevé. Les *socio=rien documents formels *socio=nil - actuellement répartis en différentes*socio=rien séries - sont des publications*socio=rien dont le contenu et la forme*socio=rien ont été*socio=rien systématiquement revus et corrigés. Ces documents*socio=rien seront énumérés dans l'Index des publications*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac, ainsi que dans le catalogue de l'Institut*socio=et, et leur diffusion*socio=rien sera assurée par les divers points*socio=rien de vente*socio=ec de la Banque*socio=ac. Avec la capacité*socio=rien accrue de moyens*socio=ec matériels*socio=rien de publication*socio=et dont s'est*socio=rien doté PIDE*socio=ac, la présentation*socio=rien des documents*socio=rien de formation*socio=et et la rapidité*socio=rien de leur parution seront considérablement*socio=rien améliorés. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 88, on a cherché surtout à rattraper le retard*socio=rien assez important*socio=rien pris dans la publication*socio=et *socio=rien du matériel de*socio=nil formation*socio=et *socio=nil annoncé. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien , 42 publications*socio=rien sont venues s'ajouter au catalogue, dont six appartenaient à la catégorie*socio=rien des publications*socio=rien "formelles*socio=rien ", notamment deux livres de la série développement_économique*socio=ec (IDE*socio=ac) et le *socio=rien premier cas pédagogique *socio=nil de la série des Études*socio=rien de *socio=rien cas sur la*socio=nil politique*socio=et de*socio=nil développement*socio=uv (*socio=nil IDE*socio=ac)*socio=nil *socio=nil . Trente-six appartenaient à la catégorie*socio=rien des publications*socio=rien informelles*socio=uv, dont *socio=rien neuf documents de*socio=nil travail *socio=nil de l'IDE*socio=ac. En outre, *socio=rien neuf documents *socio=nil établis avec l'aide*socio=uv de l'Institut*socio=et ont été*socio=rien publiés par des établissements*socio=rien qui lui sont associés*socio=uv. La collaboration*socio=uv avec les autres sources*socio=rien extérieures*socio=te d'aide*socio=uv à la formation*socio=et supérieure*socio=rien dans les pays_en_développement*socio=ac s'est*socio=rien encore renforcée, le *socio=rien volume total *socio=nil des cofinancements atteignant environ 5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour l'exercice*socio=rien . La plus forte*socio=rien augmentation*socio=uv en valeur*socio=ec absolue*socio=rien , et de loin*socio=rien , est*socio=rien venue de sources*socio=rien bilatérales*socio=te, et notamment de l'Australie*socio=ac, de la France*socio=ac, de l'Italie*socio=ac et du*socio=rien Japon*socio=ac. La République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, le Canada*socio=ac, l'Irlande*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac ont continué à apporter un*socio=rien concours très apprécié. Le PNUD*socio=ac est*socio=rien demeuré le plus important*socio=rien des collaborateurs de l'IDE*socio=ac, et des *socio=rien rapports étroits ont*socio=nil été *socio=nil maintenus avec d'autres organismes*socio=ac multilatéraux*socio=te, en particulier*socio=uv l'Organisation_mondiale_de_la_santé*socio=ac (y compris l'Organisation*socio=ac panaméricaine de la santé*socio=et), le Centre*socio=rien des nations_unies*socio=ac pour les établissements*socio=rien humains*socio=uv et la Banque_asiatique_de_développement*socio=ac. Des discussions*socio=rien sont en cours*socio=rien avec la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, l'Espagne*socio=ac, les Pays-bas*socio=ac et les pays*socio=ac nordiques*socio=rien qui devraient déboucher sur*socio=rien la conclusion*socio=rien d'arrangements*socio=et de cofinancement*socio=ec pluriannuel. Il est*socio=rien prévu aussi que la communauté_économique_européenne*socio=ac collaborera avec l'IDE*socio=ac à des *socio=rien activités spécifiquement *socio=nil subsahariennes d'intérêt*socio=uv mutuel. L'IDE*socio=ac continue*socio=rien à s'efforcer de collaborer davantage avec les banques*socio=ac régionales*socio=te de développement*socio=uv. *socio=rien Un comité consultatif*socio=uv *socio=nil de l'IDE*socio=ac a été*socio=rien créé en fin*socio=rien d'exercice*socio=rien . Il a pour *socio=rien principale mission *socio=nil d'aider au renforcement*socio=uv des liens*socio=rien de l'Institut*socio=et avec les activités*socio=rien et les actions*socio=rien menées en dehors de la banque_mondiale*socio=ac, tout en lui assurant *socio=rien un appui *socio=nil renforcé de la part*socio=rien même de la Banque*socio=ac récemment réorganisée. La création*socio=rien de ce comité*socio=rien a été*socio=rien rendue nécessaire*socio=rien par le fait*socio=rien que l'Institut*socio=et doit maintenant faire face*socio=rien à *socio=rien un ensemble bien *socio=nil plus complexe d'objectifs*socio=rien de programme*socio=et que ce n'était le cas*socio=rien avant sa propre*socio=rien réorganisation*socio=uv, en 1984. *socio=rien Différentes options *socio=nil s'offrent à lui - organiser des activités*socio=rien de formation*socio=et à la direction*socio=rien des *socio=ec affaires économiques,*socio=nil *socio=nil contribuer au *socio=uv développement autonome d'*socio=nil instituts*socio=ac de*socio=nil recherche*socio=ec/*socio=nil formation*socio=et *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=ac, collaborer et coordonner son action*socio=rien avec les autres sources*socio=rien de soutien*socio=uv à la formation*socio=et et à la recherche*socio=ec, produire *socio=rien du matériel de*socio=nil formation*socio=et *socio=nil et organiser des programmes*socio=et de bourses*socio=rien d'études*socio=rien universitaires*socio=et. Toutes ces activités*socio=rien peuvent être*socio=rien menées de front*socio=rien et selon une *socio=rien démarche propre *socio=nil à favoriser le *socio=uv soutien réciproque *socio=nil et les synergies*socio=uv, mais de *socio=rien difficiles questions de*socio=nil dosage *socio=nil continueront à se poser. Le comité*socio=rien consultatif*socio=uv sera appelé à conseiller*socio=ac les Administrateurs*socio=ac, ainsi que la direction*socio=rien de la Banque*socio=ac et de l'IDE*socio=ac, sur*socio=rien ces problèmes*socio=uv et à susciter des idées*socio=rien et des concours pour guider les travaux*socio=rien de l'Institut*socio=et. Le comité*socio=rien consultatif*socio=uv est*socio=rien formé d'Administrateurs*socio=ac, de *socio=rien cadres supérieurs *socio=nil de la Banque*socio=ac intéressés, d'universitaires*socio=et extérieurs*socio=te et de spécialistes*socio=ac expérimentés du*socio=rien développement*socio=uv originaires de pays_membres*socio=ac. Il est*socio=rien prévu qu'il se réunira une ou deux fois*socio=rien par an*socio=rien pendant deux jours*socio=rien ; la *socio=rien première réunion est *socio=nil fixée au mois*socio=rien de juillet*socio=rien 1988. Il sera chargé aussi de guider la *socio=rien préparation du plan quinquennal*socio=te *socio=nil de l'Institut*socio=et pour les exercices*socio=rien 90-94. assistance_technique*socio=et. Pendant l'exercice*socio=rien 88, bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec et bénéficiaires*socio=ac prenant de plus en plus conscience*socio=uv que l'assistance_technique*socio=et, trop souvent, n'avait pas donné les résultats*socio=rien attendus, la Banque*socio=ac a entrepris d'en faire une analyse*socio=rien en profondeur*socio=rien . Celle-ci a conclu que l'efficacité*socio=uv d'utilisation*socio=rien , l'absorption et la viabilité*socio=uv de l'assistance_technique*socio=et se heurtaient à plusieurs obstacles*socio=rien : a) elle était souvent perçue comme étant imposée par les bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec plutôt que comme une réponse*socio=rien à ce qui était demandé au niveau*socio=rien local*socio=te; b) certains projets*socio=rien d'assistance_technique*socio=et étaient trop vastes*socio=rien à la suite*socio=rien d'une *socio=uv évaluation irréaliste des*socio=nil besoins *socio=nil de l'emprunteur*socio=ac; c) il y avait souvent, faute de coordination*socio=uv entre donateurs*socio=ac, gaspillage*socio=uv des ressources*socio=ec et des efforts*socio=uv; d) malgré son coût*socio=ec élevé*socio=rien par rapport*socio=rien aux salaires*socio=ec locaux*socio=rien , l'assistance_technique*socio=et étrangère*socio=te donnait des résultats*socio=rien qui - sauf dans le cas*socio=rien des prestations*socio=et de services*socio=ec d'ingénierie*socio=rien -n'étaient pas toujours tangibles*socio=rien et étaient rarement durables*socio=uv; enfin e) le passage*socio=rien d'une assistance_technique*socio=et portant sur*socio=rien les *socio=rien installations matérielles *socio=nil (pour la conception*socio=rien et le montage*socio=rien des projets*socio=rien ) à une assistance_technique*socio=et touchant les programmes*socio=et et méthodes*socio=rien (pour le renforcement*socio=uv institutionnel*socio=rien et l'organisation*socio=rien d'activités*socio=rien de formation*socio=et liées à *socio=rien un projet)*socio=nil *socio=nil multipliait le nombre*socio=rien des problèmes*socio=uv d'exécution*socio=rien et de suivi. Une *socio=rien mesure importante a*socio=nil été prise au*socio=nil cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien écoulé pour améliorer la coordination*socio=uv de l'assistance_technique*socio=et: aux termes*socio=rien d'un*socio=rien accord*socio=et conclu entre la Banque*socio=ac et le programmes_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac (PNUD*socio=ac), les questions*socio=rien d'assistance_technique*socio=et seront dorénavant inscrites*socio=rien à l'ordre*socio=rien *socio=rien du jour des*socio=nil réunions des*socio=nil groupes*socio=ac consultatifs *socio=nil et des tables rondes*socio=rien . En outre, le PNUD*socio=ac a accepté de faire un*socio=rien inventaire*socio=ec complet*socio=rien des activités*socio=rien d'assistance_technique*socio=et en cours*socio=rien dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil d'en analyser l'utilisation*socio=rien et les effets*socio=rien , ainsi que les problèmes*socio=uv auxquels il pourrait *socio=rien être nécessaire *socio=nil de remédier, et d'évaluer les besoins*socio=uv d'assistance_technique*socio=et à *socio=rien moyen terme des*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de l'année*socio=rien 87, les composantes*socio=rien assistance_technique*socio=et des prêts*socio=ec et crédits*socio=ec de la Banque*socio=ac ont totalisé 1,022,3 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, contre 1,051,7 millions*socio=rien en 1986 et 1,345,2 millions*socio=rien en 1985. Seize prêts*socio=ec et crédits*socio=ec d'assistance_technique*socio=et pure*socio=rien ont été*socio=rien approuvés au cours*socio=rien de l'année*socio=rien pour *socio=rien un total *socio=nil de 146,6 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Bien*socio=rien que cette somme*socio=rien ne représente qu'une légère*socio=rien augmentation*socio=uv par rapport*socio=rien à 1986 (136,9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec), le nombre*socio=rien des opérations*socio=rien a augmenté de cinq*socio=rien , réduisant la taille moyenne*socio=rien des opérations*socio=rien d'assistance_technique*socio=et, qui est*socio=rien passée de 12,4 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1986 à 9,2 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1987. En 1987, 75 avances au *socio=rien titre du Mécanisme de*socio=nil financement*socio=ec *socio=nil de la préparation*socio=rien des projets*socio=rien ont été*socio=rien approuvées pour *socio=rien un total *socio=nil de 69,8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit une augmentation*socio=uv de 42% par rapport*socio=rien à 1986 (49,2 millions*socio=rien de dollars*socio=ec); par rapport*socio=rien à 1985 (26,8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec), l'augmentation*socio=uv a été*socio=rien de l'ordre*socio=rien de 160%. Bien*socio=rien que le nombre*socio=rien des nouvelles*socio=rien avances soit demeuré à peu près le même en 1986 et en 1987, leur montant*socio=ec moyen*socio=rien s'est*socio=rien considérablement*socio=rien accru, pour passer de 700,000 dollars*socio=ec en 1986 à 900,000 dollars*socio=ec en 1987. Les avances consenties au *socio=rien titre du Mécanisme spécial de*socio=nil financement*socio=ec *socio=nil de la préparation*socio=rien des projets*socio=rien sont tombées de 5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1986 à 2 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1987. Les *socio=rien projets du PNUD*socio=ac *socio=nil pour lesquels la Banque*socio=ac agit en qualité*socio=rien d'agence*socio=rien d'exécution*socio=rien ont diminué en nombre*socio=rien , mais augmenté légèrement en volume*socio=rien . En 1987, 49 projets*socio=rien ont été*socio=rien approuvés pour *socio=rien un total *socio=nil de 52,4 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, contre 68 projets*socio=rien pour *socio=rien un total *socio=nil de 5l millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1986. A la fin*socio=rien de décembre*socio=rien 1987, 149 projets*socio=rien étaient en chantier*socio=rien , auxquels *socio=rien un total *socio=nil de 223,9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec avaient été*socio=rien affectés. assistance_technique*socio=et remboursable*socio=ec. La Banque*socio=ac offre*socio=rien , à titre*socio=rien remboursable*socio=ec, une assistance_technique*socio=et aux *socio=ac pays producteurs de*socio=nil pétrole*socio=ec à*socio=nil excédent*socio=ec de*socio=nil capitaux*socio=ec *socio=nil lorsque le programme*socio=et *socio=rien annuel demande *socio=nil plus qu'une année*socio=rien de travail*socio=rien d'apport*socio=rien de la Banque*socio=ac et, à titre*socio=rien non remboursable*socio=ec, quand elle est*socio=rien saisie de demandes*socio=uv ponctuelles*socio=rien pour des programmes*socio=et qui nécessitent moins qu'une année*socio=rien de travail*socio=rien . Au cours*socio=rien de l'année*socio=rien civile*socio=et 87, comme au cours*socio=rien des précédentes*socio=rien , le plus *socio=rien gros du programme*socio=et d'*socio=nil assistance_technique*socio=et remboursable*socio=ec est *socio=nil allé à l' Arabie_saoudite*socio=ac. Au cours*socio=rien de l'année*socio=rien , le programme*socio=et réalisé en Arabie_saoudite*socio=ac a totalisé 18,8 hommes-années, dont 12,4 ont été*socio=rien fournies par Washington*socio=ac et 4,4 par la mission*socio=rien résidente*socio=te à Riyad. Les *socio=rien principales activités *socio=nil ont porté sur*socio=rien l'infrastructure*socio=ec et l'ingénierie*socio=rien , de même que sur*socio=rien la gestion*socio=et et l'informatique*socio=ec. En outre, en étroite*socio=rien collaboration*socio=uv avec la SFI*socio=ac, la Banque*socio=ac a préparé une étude*socio=ac sur*socio=rien la création*socio=rien d'un*socio=rien marché*socio=ec des *socio=ec valeurs mobilières.*socio=nil Les*socio=nil programmes*socio=et d'*socio=nil assistance_technique*socio=et remboursable *socio=nil ont représenté 0,66 homme-année au Koweït*socio=ac et une année*socio=rien de travail*socio=rien à Oman*socio=ac. Le Venezuela*socio=ac ayant été*socio=rien déclaré admis à emprunter à nouveau*socio=rien à la Banque*socio=ac en décembre*socio=rien 1986, son programme*socio=et d'assistance_technique*socio=et remboursable*socio=ec a pris fin*socio=rien durant l'exercice*socio=rien 87, le total*socio=rien des ressources*socio=ec en personnel*socio=rien de la Banque*socio=ac qui ont été*socio=rien consacrées au Venezuela*socio=ac depuis décembre*socio=rien 1986 étant imputé directement au programme*socio=et de prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac. L'année*socio=rien civile*socio=et 1987 a été*socio=rien une année*socio=rien de transition*socio=uv, qui a vu mener à leur terme*socio=rien plusieurs études*socio=rien - relatives*socio=rien à la politique_commerciale*socio=ec, au *socio=ec rendement énergétique *socio=nil et aux marchés_financiers*socio=ec. *socio=rien Un total *socio=nil de 91,2 semaines*socio=rien de travail*socio=rien a été*socio=rien consacré au Venezuela*socio=ac durant l'année*socio=rien 87, soit plus que les 52 qui avaient été*socio=rien prévus, une *socio=rien exception spéciale ayant*socio=nil été *socio=nil faite en raison*socio=uv de la nature*socio=rien transitoire du*socio=rien programme*socio=et. Encadré 5.1: Protéger les pauvres*socio=ac en période*socio=te d'ajustement*socio=et. L'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac à l'ajustement*socio=et économique*socio=ec avait d'abord*socio=rien visé à réaliser une *socio=rien meilleure affectation des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil et à renforcer l'appareil*socio=rien institutionnel*socio=rien afin de rétablir la croissance*socio=uv et d'assainir la situation*socio=uv de la balance_des_paiements*socio=ec dans les pays*socio=ac en proie*socio=rien à de *socio=rien graves difficultés économiques*socio=ec.*socio=nil Cette*socio=nil démarche *socio=nil procédait de l'idée*socio=rien qu'il était essentiel*socio=uv, pour aider les pauvres*socio=ac, de rétablir promptement la croissance*socio=uv. Plus récemment, forte*socio=rien de son expérience*socio=uv des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et mis en route*socio=rien au début*socio=rien des années*socio=rien 80, la Banque*socio=ac, élargissant son appui*socio=rien aux pays*socio=ac en cours*socio=rien d'ajustement*socio=et, y a inclus une préoccupation*socio=uv plus directe*socio=rien des conséquences*socio=rien sociales*socio=ac de l'ajustement*socio=et. Aujourd'hui, c'est*socio=rien surtout par l'examen*socio=rien et la révision*socio=uv des dépenses_publiques*socio=et que les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac à l'ajustement*socio=et influent directement sur*socio=rien la condition*socio=rien des pauvres*socio=ac. La rationalisation*socio=uv des dépenses*socio=ec et des investissements_publics*socio=et d'un*socio=rien programme*socio=et d'ajustement*socio=et peut contribuer à éliminer les projets*socio=rien non économiques*socio=ec, réduire les programmes*socio=et inopérants*socio=rien et dispendieux*socio=rien et réorienter davantage les dépenses*socio=ec sociales*socio=ac vers les pauvres*socio=ac. La Banque*socio=ac peut ensuite, s'il y a lieu*socio=rien , accorder un*socio=rien prêt*socio=ec. Elle en est*socio=rien venue aussi à appuyer, et de plus en plus, les actions*socio=rien compensatoires*socio=uv qui ont pour but*socio=rien d'amortir le coût_social*socio=ec de l'ajustement*socio=et. La *socio=rien somme croissante d'*socio=nil expérience*socio=uv *socio=nil accumulée à la Banque*socio=ac et ailleurs*socio=rien montre que des actions*socio=rien compensatoires*socio=uv convenablement ciblées sont possibles*socio=rien dans les situations*socio=uv les plus diverses*socio=rien . La Banque*socio=ac coopère aussi avec d'autres organismes_internationaux*socio=ac et bilatéraux*socio=te, ainsi qu'avec des organisations_non_gouvernementales*socio=ac (ONG*socio=ac), qui ont l'expérience*socio=uv de ce type*socio=rien d'action*socio=rien . Elle y est*socio=rien d'autant plus portée*socio=rien que, *socio=rien du fait *socio=nil de leur grande*socio=rien liberté*socio=uv de manoeuvre*socio=rien , de leur connaissance*socio=uv des lieux*socio=rien et du*socio=rien dévouement de leur personnel*socio=rien , les ONG*socio=ac sont souvent à même d'administrer les programmes_sociaux*socio=et plus efficacement que beaucoup d'organismes*socio=ac officiels*socio=rien . C'est*socio=rien ainsi que des ONG*socio=ac participent déjà, en collaboration*socio=uv avec des *socio=ac pays_membres emprunteurs,*socio=nil *socio=nil à plus de 100 projets*socio=rien de réhabilitation*socio=uv urbaine*socio=te, de construction*socio=ec de logements_sociaux*socio=et, de coopératives*socio=ac agricoles*socio=ec, d'approvisionnement*socio=ec des villages*socio=te en eau*socio=ec et de *socio=et soins_de_santé primaire.*socio=nil Au*socio=nil cours*socio=rien *socio=nil de l'exercice*socio=rien 88, la Banque*socio=ac a contribué au financement*socio=ec de deux projets*socio=rien - en Bolivie*socio=ac et au Ghana*socio=ac - qui visent directement à protéger les pauvres*socio=ac en période*socio=te d'ajustement*socio=et. e Depuis plus de deux ans*socio=rien , le Gouvernement*socio=ac bolivien s'emploie, contre vents et marées, à exécuter *socio=rien un vaste programme*socio=et de*socio=nil stabilisation*socio=et,*socio=nil d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil et d'assainissement*socio=uv économique*socio=ec. Par rapport*socio=rien à la période*socio=te de turbulence et de déclin*socio=rien économique*socio=ec de l'ère*socio=rien précédente*socio=rien , les progrès*socio=uv accomplis ont *socio=rien été considérables.*socio=nil *socio=nil Ainsi, l'inflation*socio=ec, qui atteignait 24,000% en octobre*socio=rien 1985, était redescendue, à la fin*socio=rien de 1987, à 10%. Le produit_intérieur_brut*socio=ec, qui n'avait cessé de baisser depuis 1980, a augmenté d'au moins 1,5% en 1987. Depuis 1986, le Gouvernement*socio=ac s'est*socio=rien préoccupé de plus en plus, dans le court_terme*socio=ec, des problèmes*socio=uv de chômage*socio=ec causés par la dépression et les mesures*socio=rien de stabilisation*socio=et et, à plus long_terme*socio=ec, de la nécessité*socio=uv d'améliorer les conditions_sociales*socio=et. En attendant que les effets*socio=rien de la reprise aient commencé à se faire sentir, un*socio=rien Fonds*socio=ec d'aide_sociale*socio=et d'urgence*socio=rien (FASU) a été*socio=rien créé en vue*socio=rien de secourir ceux qui sont dans le besoin*socio=uv et de créer des emplois*socio=ec au cours*socio=rien de la période*socio=te triennale 1987-89. En juin*socio=rien 1987, l'attribution*socio=rien d'une dizaine*socio=rien de millions*socio=rien de dollars*socio=ec de fonds*socio=ec de FIDA*socio=ac a été*socio=rien approuvée pour venir en aide*socio=uv au FASU pendant sa *socio=rien première année,*socio=nil *socio=nil et il a été*socio=rien convenu qu'une opération*socio=rien de plus *socio=rien grande envergure *socio=nil suivrait. En mars*socio=rien 1988, un*socio=rien crédit*socio=ec IDA*socio=ac d'un*socio=rien montant*socio=ec de 27 millions*socio=rien de dollars*socio=ec a été*socio=rien attribué au FASU pour ses deuxième*socio=rien et *socio=rien troisième années de*socio=nil fonctionnement.*socio=nil Ce*socio=nil crédit*socio=ec *socio=nil sert à financer *socio=rien un grand nombre de*socio=nil petits sous-projets*socio=nil parrainés *socio=nil par des municipalités*socio=ac, des organisations_communautaires*socio=ac ou des ONG*socio=ac et qui se répartissent entre quatre *socio=rien grandes catégories:*socio=nil assistance_sociale*socio=et (*socio=nil alimentation*socio=ec et*socio=nil nutrition,*socio=nil services_de_santé*socio=et de*socio=nil base,*socio=nil formation_professionnelle*socio=et et*socio=nil aide*socio=uv *socio=nil à l'éducation*socio=et); infrastructure*socio=ec sociale*socio=ac (eau*socio=ec potable*socio=rien et évacuation*socio=rien des déchets*socio=ec, réparation des écoles*socio=et et des dispensaires, logements_sociaux*socio=et et projets*socio=rien culturels); *socio=ec infrastructure économique (*socio=nil entretien*socio=rien des*socio=nil routes*socio=rien rurales*socio=te,*socio=nil *socio=nil pavage des rues et autres travaux*socio=rien d'amélioration*socio=uv urbaine*socio=te, irrigation*socio=ec, lutte*socio=uv contre l'érosion*socio=ec, reboisement et autres activités*socio=rien de construction*socio=ec); soutien*socio=uv à la production*socio=ec (crédits*socio=ec de fonds*socio=ec de roulement*socio=rien et autres formes*socio=rien d'appui*socio=rien aux coopératives*socio=ac et à la petite*socio=rien entreprise*socio=ac). Les sous-projets dont se compose le projet*socio=rien de 59 millions*socio=rien de dollars*socio=ec créeront quelque 21,000 hommes-années d'emplois*socio=ec directs*socio=ec (l'ensemble*socio=rien du*socio=rien programme*socio=et créera peut-être entre 35,000 et 50,000 hommes-années d'emplois*socio=ec). En outre, environ 400 000 personnes*socio=rien recevront de la nourriture*socio=rien , des soins_de_santé*socio=et améliorés et d'autres services*socio=ec (de 600,000 à 950,000 personnes*socio=rien pour la *socio=rien totalité du programme*socio=et)*socio=nil *socio=nil et les usagers*socio=rien des nouvelles*socio=rien infrastructures*socio=et et des nouveaux*socio=rien logements*socio=ec vivront dans de meilleures*socio=rien conditions*socio=uv d'hygiène*socio=et, dépenseront moins pour leur transport*socio=ec et souffriront moins des effets*socio=rien de l'érosion*socio=ec en montagne*socio=rien . Le Fonds*socio=ec d'aide_sociale*socio=et d'urgence*socio=rien de la Bolivie*socio=ac reçoit aussi une aide*socio=uv de la Banque*socio=ac interaméricaine*socio=te de développement*socio=uv, du*socio=rien programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac, de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, du*socio=rien Canada*socio=ac, de l'Italie*socio=ac, des Pays-bas*socio=ac, de la Suisse*socio=ac, du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac, des États-unis*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec "Save the*socio=rien Children". - Durant les années*socio=rien 70 et au début*socio=rien des années*socio=rien 80, l'économie*socio=ec du*socio=rien Ghana*socio=ac a fortement régressé. Le *socio=ec revenu réel *socio=nil a chuté, la *socio=rien grande majorité *socio=nil des Ghanéens, dont beaucoup se trouvaient dans une situation*socio=uv économique*socio=ec difficile*socio=rien , a vu son niveau_de_vie*socio=uv baisser encore. L'infrastructure*socio=ec économique*socio=ec et sociale*socio=ac du*socio=rien pays*socio=ac s'est*socio=rien dégradée et l'application*socio=rien d'un*socio=rien taux_de_change*socio=ec nominal*socio=rien fixe a contribué à faire baisser les importations*socio=ec et à déclencher des crises*socio=uv périodiques*socio=rien de devises*socio=ec. Le programme*socio=et de redressement*socio=uv économique*socio=ec lancé en 1983 et pour lequel plusieurs crédits*socio=ec de PIDA*socio=ac ont été*socio=rien attribués a réussi à renverser cette tendance*socio=rien et à remettre l'économie*socio=ec sur*socio=rien le chemin*socio=rien de la croissance*socio=uv. Mais, malgré des perspectives*socio=uv prometteuses*socio=rien de croissance*socio=uv à moyen*socio=rien et *socio=rien long termes,*socio=nil la*socio=nil pauvreté*socio=uv reste grande *socio=nil et la situation*socio=uv économique*socio=ec difficile*socio=rien . En outre, le programme*socio=et de redressement*socio=uv économique*socio=ec ne peut rien*socio=rien , dans le court_terme*socio=ec, pour soulager les difficultés*socio=rien économiques*socio=ec d'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pauvres*socio=ac *socio=nil et d'économiquement faibles*socio=rien . Qui plus est*socio=rien , certains *socio=rien éléments du programme*socio=et *socio=nil sont venus aggraver leurs difficultés*socio=rien économiques*socio=ec dans le court_terme*socio=ec, menaçant*socio=rien ainsi de compromettre la viabilité*socio=uv du*socio=rien programme*socio=et lui-même. Face*socio=rien à la gravité de ce problème*socio=uv à court_terme*socio=ec, le Gouvernement*socio=ac a réagi en mettant *socio=rien sur pied un programme*socio=et d'*socio=nil action *socio=nil visant à amortir le coût_social*socio=ec de l'ajustement*socio=et, surtout parmi les pauvres*socio=ac des villes*socio=te et des campagnes*socio=et qui ont beaucoup souffert au cours*socio=rien de la *socio=rien dernière décennie *socio=nil et qui vont devoir*socio=rien maintenant affronter une plus grande*socio=rien concurrence*socio=ec sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec *socio=rien du fait des*socio=nil mesures *socio=nil qui ont *socio=rien été prises *socio=nil pour réduire de 45.000 les effectifs*socio=rien de la fonction_publique*socio=et et de 20 000 ceux du*socio=rien secteur*socio=ec des entreprises_publiques*socio=et au cours*socio=rien de la période*socio=te triennale 1987-89. Les *socio=rien projets inscrits *socio=nil dans ce programme*socio=et d'action*socio=rien comprendraient des opérations*socio=rien de travaux_publics*socio=et à *socio=rien fort coefficient de*socio=nil main-d'_oeuvre*socio=ac *socio=nil destinés à fournir du*socio=rien travail*socio=ec aux chômeurs*socio=ac et aux personnes*socio=rien sous-employées des milieux*socio=rien ruraux*socio=te et urbains*socio=te, tout en améliorant leur *socio=ec infrastructure économique et*socio=nil sociale*socio=ac;*socio=nil un*socio=rien programme*socio=et de*socio=nil complément*socio=rien alimentaire *socio=nil et d'éducation*socio=et nutritionnelle visant à répondre aux besoin*socio=uv nutritionnels des mères et des enfants*socio=ac de *socio=uv familles pauvres;*socio=nil des*socio=nil projets*socio=rien *socio=nil pour améliorer l'accès*socio=uv aux services*socio=ec et équipements*socio=ec éducatifs*socio=et; *socio=rien un système de*socio=nil fourniture *socio=nil de médicaments de première*socio=rien nécessité*socio=uv pour répondre aux besoins*socio=uv de santé*socio=et des pauvres*socio=ac; enfin, une stratégie*socio=et d'aide*socio=uv à la recherche*socio=rien d'un*socio=rien emploi*socio=ec productif*socio=uv pour les nouveaux*socio=rien chômeurs*socio=ac. En juillet*socio=rien 1987, la Banque*socio=ac a participé, avec le Groupe*socio=ac de travail*socio=rien des questions*socio=rien sociales*socio=ac du*socio=rien Gouvernement*socio=ac ghanéen, à des journées*socio=rien d'étude*socio=ac interorganisations*socio=ac au cours*socio=rien desquelles l'attention*socio=rien s'est*socio=rien *socio=rien portée sur cinq domaines *socio=nil où une action*socio=rien était possible*socio=rien : emploi*socio=ec et redéploiement*socio=rien ; alimentation*socio=ec, nutrition*socio=rien et santé*socio=et; éducation*socio=et et alphabétisation*socio=et des adultes*socio=rien ; rôle*socio=rien des petits*socio=rien exploitants*socio=ac et des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv; logement*socio=ec. Quelque dix-sept*socio=rien interventions*socio=et à court_terme*socio=ec ont été*socio=rien recensées, dont un*socio=rien programme*socio=et spécial*socio=rien en deux ans*socio=rien de travaux*socio=rien urbains*socio=te prioritaires*socio=uv à *socio=rien fort coefficient de*socio=nil main-d'_oeuvre*socio=ac,*socio=nil *socio=nil dit "Priority Works Project", qui prolongerait les activités*socio=rien entreprises*socio=ac actuellement dans le *socio=rien cadre du projet de*socio=nil réhabilitation*socio=uv d'*socio=nil Accra*socio=ac *socio=nil aidé par l'IDA*socio=ac. Six mois*socio=rien plus tard, l'attribution*socio=rien de 10,6 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de fonds*socio=ec IDA*socio=ac était approuvée pour aider au financement*socio=ec *socio=rien du projet,*socio=nil *socio=nil lequel devrait, selon les autorités*socio=et, créer environ 10 000 *socio=ec emplois productifs sur*socio=rien deux*socio=nil ans*socio=rien *socio=nil . Les deux *socio=rien principales composantes du projet *socio=nil - remise en état*socio=rien et entretien*socio=rien des infrastructures*socio=et dans quatre villes*socio=te, avec une composante*socio=rien réhabilitation*socio=uv urbaine*socio=te à Accra*socio=ac - représentent des travaux*socio=rien indispensables*socio=uv qu'il faudrait entreprendre dans tous les cas*socio=rien et qui, de ce fait*socio=rien , se justifient d'eux-mêmes. Mais les trois quarts*socio=rien environ des dépenses*socio=ec *socio=rien du projet *socio=nil bénéficieront directement ou indirectement aux pauvres*socio=ac des villes*socio=te (sans parler des emplois*socio=ec qui seront créés) grâce*socio=rien à une diminution*socio=rien des frais*socio=ec d'exploitation*socio=ec des véhicules, de la durée*socio=rien des déplacements*socio=rien , de la densité*socio=rien de la circulation*socio=ec et *socio=rien du nombre des*socio=nil accidents;*socio=nil l'*socio=nil amélioration*socio=uv *socio=nil de la santé*socio=et, de l'hygiène*socio=et, de l'approvisionnement*socio=ec en eau*socio=ec, de l'éclairage*socio=rien urbain*socio=te et autres équipements*socio=ec sociaux*socio=ac; un*socio=rien environnement*socio=ec de *socio=rien meilleure qualité;*socio=nil *socio=nil et l'augmentation*socio=uv *socio=rien du nombre de*socio=nil logements*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Contribuent aussi au financement*socio=ec *socio=rien du projet,*socio=nil *socio=nil notamment, la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac (10 millions*socio=rien de deutsche_mark*socio=ec) et le Fonds*socio=ec OPEP*socio=ac pour le développement_international*socio=et (5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec).