*{Rapport annuel de la Banque mondiale, 1990 } Chapitre*socio=rien deux: La scène*socio=rien économique*socio=ec: vue*socio=rien d'ensemble*socio=rien . Résumé. Le développement*socio=uv s'est*socio=rien sensiblement ralenti en 1989 dans la quasi-totalité*socio=rien des régions*socio=te du*socio=rien monde*socio=te. Le *socio=rien taux moyen de*socio=nil croissance_économique*socio=ec *socio=nil des sept principaux*socio=rien *socio=ac pays industriels *socio=nil (le Groupe*socio=ac des sept) qui avait été*socio=rien en 1988 de 4,6%, s'est*socio=rien trouvé ramené en 1989 à 3,5%. Cette croissance*socio=uv, qui reste*socio=rien soutenue, s'est*socio=rien accompagnée en 1989 d'une réduction*socio=uv des taux*socio=rien de chômage*socio=ec et d'une certaine*socio=rien reprise de l'inflation*socio=ec. La crainte*socio=rien de l'inflation*socio=ec a incité les *socio=ac pays industriels *socio=nil à suivre des politiques*socio=et monétaires*socio=ec plus prudentes*socio=rien , et les taux_d'_intérêt*socio=ec sur*socio=rien les places financières*socio=ec internationales*socio=te ont augmenté, ce qui a pu faire craindre un*socio=rien ralentissement*socio=uv très marqué de la croissance*socio=uv. Tout bien*socio=rien considéré, cependant, les perspectives*socio=uv demeurent favorables*socio=rien pour les *socio=ac pays industriels,*socio=nil *socio=nil dont les investissements*socio=ec et les exportations*socio=ec ont continué de progresser. Le volume*socio=rien mondial*socio=te des échanges*socio=ec a fortement augmenté en 1989 (7% contre 9% environ en 1988), et les exportations*socio=ec des États-unis*socio=ac et des États*socio=ac membres*socio=rien de la *socio=ac Communauté européenne *socio=nil (CE) ont progressé plus que la moyenne*socio=rien . Les *socio=rien bouleversements fondamentaux *socio=nil qui se sont produits*socio=rien pendant l'année*socio=rien en europe_de_l'_est*socio=ac et en Europe*socio=ac centrale*socio=rien ont fait*socio=rien passer la région*socio=te au *socio=rien premier plan *socio=nil de l'actualité*socio=rien . Ces économies*socio=ec, qui font actuellement l'objet*socio=rien d'une restructuration*socio=uv complète, ont devant*socio=rien elles une très *socio=rien lourde tâche:*socio=nil *socio=nil il leur faut notamment réformer le système_des_prix*socio=ec et des droits_de_propriété*socio=et, définir*socio=rien les étapes*socio=rien et le rythme*socio=rien de la réforme*socio=et des entreprises*socio=ac, mettre en place*socio=rien des "filets*socio=rien de sécurité*socio=uv" sociaux*socio=ac pour protéger les couches*socio=ac les plus vulnérables*socio=uv de leur population*socio=ac, décider *socio=rien du degré d'*socio=nil ouverture *socio=nil de leur économie*socio=ec, et se prononcer sur*socio=rien l'ampleur*socio=rien et la composition*socio=rien de l'aide_extérieure*socio=te dont elles ont besoin*socio=uv. A l'heure*socio=rien actuelle*socio=rien , les pays*socio=ac de la région*socio=te ne pèsent pas très lourd*socio=rien économiquement, leur part*socio=rien des échanges*socio=ec mondiaux*socio=te ne dépassant pas 3,7%. Cependant, une fois*socio=rien qu'ils auront restructuré leur économie*socio=ec et l'auront intégrée au système*socio=rien commercial*socio=ec international*socio=te, ces pays*socio=ac devraient avoir un*socio=rien potentiel*socio=uv de croissance*socio=uv considérable*socio=rien et offrir d'immenses*socio=rien possibilités*socio=rien d'investissement*socio=ec. Une nouvelle*socio=rien institution_financière*socio=ec - la *socio=ac Banque européenne *socio=nil pour la reconstruction*socio=uv et le développement*socio=uv - devrait contribuer au processus*socio=rien en finançant des projets*socio=rien d'investissement*socio=ec (pour la plupart*socio=rien dans le secteur_privé*socio=ec) en europe_de_l'_est*socio=ac et en Europe*socio=ac centrale*socio=rien . Dans le groupe*socio=ac des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec et le groupe*socio=ac des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien , la croissance*socio=uv s'est*socio=rien aussi ralentie en 1989, *socio=rien du fait en*socio=nil particulier*socio=uv *socio=nil que, dans les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac économiquement les plus dynamiques*socio=uv, pour lesquels l'année*socio=rien 1988 avait été*socio=rien marquée par une expansion*socio=ec rapide*socio=rien , les taux_de_croissance*socio=ec se sont nettement assagis, tout en restant très supérieurs*socio=rien à la moyenne*socio=rien des taux*socio=rien des autres pays*socio=ac. Par ailleurs*socio=rien , le problème*socio=uv *socio=rien fondamental du "*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil à deux vitesses*socio=rien " c'est-à-dire l'écart*socio=rien considérable*socio=rien qui sépare les *socio=ec taux_de_croissance moyens *socio=nil enregistrés en amérique_latine*socio=ac et en *socio=ac Afrique subsaharienne *socio=nil de ceux enregistrés dans les autres régions*socio=te en développement*socio=uv ne s'est*socio=rien nullement réduit, et la croissance*socio=uv dans les deux régions*socio=te - surtout en termes*socio=rien de revenu*socio=ec par habitant*socio=ac - est*socio=rien restée beaucoup plus faible*socio=rien qu'ailleurs*socio=rien . En *socio=ac Afrique subsaharienne,*socio=nil la*socio=nil croissance*socio=uv *socio=rien moyenne du produit_intérieur_brut*socio=ec (*socio=nil PIB*socio=ec)*socio=nil a*socio=nil été *socio=nil en 1989 de 3,5%, mais le PIB*socio=ec par habitant*socio=ac est*socio=rien resté inférieur*socio=rien à 1%. En amérique_latine*socio=ac, le taux_de_croissance*socio=ec du*socio=rien PIB*socio=ec n'a pas dépassé 1,5%, ce qui signifie que le revenu*socio=ec par habitant*socio=ac a diminué. Comme les *socio=rien années précédentes,*socio=nil ces*socio=nil écarts interrégionaux*socio=te *socio=nil tiennent aux disparités*socio=uv des taux*socio=rien d'investissement*socio=ec, ainsi qu'aux résultats*socio=rien inégaux*socio=uv enregistrés dans l'application*socio=rien de saines*socio=uv politiques_économiques*socio=ec. En *socio=rien dépit du succès*socio=uv d'*socio=nil un certain nombre d'*socio=nil opérations d'*socio=nil allégement*socio=ec *socio=nil de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et, 1989 a été*socio=rien une année*socio=rien de stagnation*socio=ec pour le groupe*socio=ac des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil ces*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil se sont caractérisés par une faible*socio=rien croissance_économique*socio=ec, une forte*socio=rien inflation*socio=ec, le déclin*socio=rien des investissements*socio=ec et l'aggravation*socio=rien du*socio=rien déficit*socio=ec de leur balance_des_paiements*socio=ec courants*socio=rien . Cependant, certains se sont nettement distingués *socio=rien du lot:*socio=nil c'*socio=nil est *socio=nil ainsi que le Maroc*socio=ac, le Mexique*socio=ac et les Philippines*socio=ac ont fait*socio=rien de très sensibles*socio=rien progrès*socio=uv. Les accords*socio=et signés pendant l'exercice*socio=rien 1990 par le Mexique*socio=ac, les Philippines*socio=ac, le costa_rica*socio=ac et le Venezuela*socio=ac avec leurs créanciers*socio=ac commerciaux*socio=ec constituent les *socio=rien premières opérations de*socio=nil réduction*socio=uv *socio=nil de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et menées dans le cadre*socio=rien de la stratégie*socio=et renforcée de la dette*socio=ec (Plan*socio=rien Brady*socio=et). Ces accords*socio=et ont démontré la viabilité*socio=uv d'une formule*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et qui, tout en bénéficiant de la caution d'institutions_financières*socio=ec publiques*socio=et, repose sur*socio=rien la libre*socio=uv entente*socio=et entre les parties*socio=rien et laisse jouer les forces_du_marché*socio=ec. En outre, ces accords*socio=et ont permis*socio=rien d'acquérir une certaine*socio=rien expérience*socio=uv et de cerner d'importantes*socio=rien questions*socio=rien touchant les orientations*socio=et futures*socio=rien : que faire pour répondre aux besoins*socio=uv des pays*socio=ac qui, lourdement endettés envers des créanciers*socio=ac publics*socio=et, ne peuvent bénéficier d'un*socio=rien financement*socio=ec concessionnel*socio=uv parce qu'ils dépassent le plafond*socio=rien de revenu*socio=ec? Comment assurer *socio=rien un niveau suffisant de*socio=nil liquidités*socio=ec aux*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui, eux, peuvent bénéficier des opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de leur dette*socio=ec et du*socio=rien service*socio=ec de cette dette*socio=ec auprès des créanciers*socio=ac commerciaux*socio=ec? Autre problème*socio=uv à résoudre: comment les pays_en_développement*socio=ac pourront-ils obtenir*socio=rien des apports*socio=rien financiers*socio=ec extérieurs*socio=te suffisants*socio=rien , alors que, depuis 1989, les banques*socio=ac commerciales*socio=ec pratiquent à leur égard*socio=rien une politique*socio=et de crédit*socio=ec extrêmement restrictive*socio=uv? Les initiatives*socio=rien internationales*socio=te visant la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec à l'échelle*socio=rien mondiale*socio=te ont continué de se multiplier. Lors*socio=rien d'une *socio=rien réunion clé,*socio=nil *socio=nil qui a eu lieu*socio=rien à la fin*socio=rien de juin*socio=rien 1990, les ministres*socio=ac de l'environnement*socio=ec de 93 pays*socio=ac ont convenu de mettre fin*socio=rien d'ici la *socio=rien fin du siècle *socio=nil à la production*socio=ec et aux utilisations*socio=rien de chlorofluorocarbones et de plusieurs autres *socio=rien substances chimiques dérivées*socio=nil du *socio=nil chlore et du*socio=rien brome, et *socio=rien un nouveau fonds*socio=ec a*socio=nil été *socio=nil créé pour aider les pays_en_développement*socio=ac à adopter des technologies*socio=ec de remplacement*socio=rien à base*socio=rien de composés non chlorés; un*socio=rien accord*socio=et international*socio=te a été*socio=rien conclu sur*socio=rien le contrôle*socio=uv des mouvements*socio=rien transfrontaliers de déchets*socio=ec dangereux*socio=rien ; le comité_du_développement*socio=ac a demandé à la banque_mondiale*socio=ac d'élaborer des propositions*socio=rien pour la mise au point*socio=rien d'une formule*socio=rien pilote de financement*socio=ec des *socio=rien mesures prises *socio=nil par les pays_en_développement*socio=ac en vue*socio=rien d'améliorer ou de préserver la qualité*socio=rien de l'environnement*socio=ec mondial*socio=te. On se rend compte*socio=rien de plus en plus que, si certains problèmes*socio=uv écologiques*socio=et peuvent être*socio=rien réglés au niveau*socio=rien national*socio=te, d'autres exigeront une coopération_internationale*socio=ac: c'est*socio=rien ainsi, par exemple*socio=rien , que la banque_mondiale*socio=ac et la *socio=ac Banque européenne d'*socio=nil investissement*socio=ec *socio=nil ont pris en commun*socio=uv une initiative*socio=rien visant à mettre *socio=rien un terme *socio=nil à la dégradation*socio=rien de l'environnement*socio=ec dans le bassin*socio=rien méditerranéen. Les bouleversements*socio=rien politiques*socio=et qui ont fait*socio=rien de 1989 une année*socio=rien charnière pourraient avoir des répercussions*socio=rien économiques*socio=ec considérables*socio=rien . L'année*socio=rien 1989 n'a pas été*socio=rien marquée seulement par les *socio=rien événements intérieurs d'*socio=nil importance historique*socio=te *socio=nil qui ont secoué les pays*socio=ac d'europe_de_l'_est*socio=ac et d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien ; pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis 31 ans*socio=rien , aucune guerre*socio=et nouvelle*socio=rien n'a éclaté durant l'année*socio=rien . Il *socio=rien est permis *socio=nil d'espérer des réductions*socio=uv plus substantielles*socio=rien des budgets*socio=ec militaires*socio=et des *socio=ac pays industriels;*socio=nil les*socio=nil pays_en_développement,*socio=nil *socio=nil quant à eux, pourraient aussi songer à réévaluer l'utilité*socio=rien de leurs dépenses*socio=ec militaires*socio=et. A long_terme*socio=ec, l'événement*socio=rien le plus significatif*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée est*socio=rien sans doute*socio=rien l'abandon*socio=rien par les pays*socio=ac d' europe_de_l'_est*socio=ac et d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien de la planification*socio=et centrale*socio=rien , au profit*socio=ec d'un*socio=rien système*socio=rien qui laisse davantage jouer les forces_du_marché*socio=ec; il faut s'attendre à ce que ce revirement*socio=rien modifie profondément, et pour plusieurs décennies*socio=rien , la philosophie*socio=et du*socio=rien développement_économique*socio=ec. *socio=ac Pays industriels.*socio=nil *socio=nil Dans les pays*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des sept, la croissance*socio=uv *socio=rien réelle du produit_national_brut*socio=ec (*socio=nil PNB*socio=ec)*socio=nil *socio=nil , quoique encore vigoureuse*socio=rien , s'est*socio=rien ralentie en 1989, passant en moyenne*socio=rien à 3,5% contre 4,6% en 1988 (Tableau*socio=rien 2-1). Ce ralentissement*socio=uv tient essentiellement à la croissance*socio=uv relativement faible*socio=rien de la *socio=ec consommation privée;*socio=nil ce*socio=nil facteur*socio=rien *socio=nil a joué en particulier*socio=uv au Japon*socio=ac, mais il a aussi exercé une influence importante*socio=rien en Europe*socio=ac et aux États-unis*socio=ac. Le ralentissement*socio=uv de la croissance*socio=uv des investissements_privés*socio=ec en capital*socio=ec fixe (logement*socio=ec non compris) a aussi contribué à la réduction*socio=uv des taux_de_croissance*socio=ec; c'est*socio=rien vrai*socio=rien en particulier*socio=uv pour les États-unis*socio=ac. En dépit*socio=rien des pressions*socio=uv inflationnistes*socio=ec enregistrées dans certains pays*socio=ac, l'année*socio=rien 1989 peut être*socio=rien considérée dans l'ensemble*socio=rien comme une *socio=rien bonne année *socio=nil pour les *socio=ac pays industriels.*socio=nil Le*socio=nil *socio=rien taux moyen de*socio=nil chômage*socio=ec *socio=nil pour le groupe*socio=ac est*socio=rien tombé à 5,7% en 1989, contre 6,2% en 1988, et le déséquilibre*socio=uv des paiements*socio=ec courants*socio=rien entre les États-unis*socio=ac et le Japon*socio=ac a pu être*socio=rien quelque peu réduit (Tableau*socio=rien 2-2). Cependant, la hausse*socio=rien de 4,4% du*socio=rien taux_de_change*socio=ec *socio=rien effectif du dollar*socio=ec *socio=nil enregistrée en 1989 pourrait freiner la réduction*socio=uv du*socio=rien déficit*socio=ec de la balance_des_paiements*socio=ec courants*socio=rien des États-unis*socio=ac. Le ralentissement*socio=uv de la croissance*socio=uv de la demande*socio=ec mondiale*socio=te de biens*socio=ec d'exportation*socio=ec qui, après*socio=rien avoir progressé en volume*socio=rien de 9% en 1988, n'a augmenté en 1989 que de 7%, a d'autre part*socio=rien entravé l'expansion*socio=ec des exportations*socio=ec des États-unis*socio=ac. Grâce*socio=rien à la progression*socio=uv des échanges_internationaux*socio=ec et à la croissance*socio=uv des PNB*socio=ec, l'économie*socio=ec mondiale*socio=te a connu sa *socio=rien septième année consécutive d'*socio=nil expansion*socio=ec.*socio=nil De*socio=nil nouveaux besoins*socio=uv en*socio=nil ressources*socio=ec -*socio=nil capacité de*socio=nil production*socio=ec et*socio=nil main-d'_oeuvre*socio=ac qualifiée*socio=ec en*socio=nil particulier*socio=uv *socio=nil - se sont ainsi ajoutées aux demandes*socio=uv existantes*socio=rien , ce qui a entraîné une *socio=rien hausse générale des*socio=nil coûts*socio=ec de*socio=nil production*socio=ec,*socio=nil *socio=nil laquelle à son tour*socio=rien , dans les pays*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des sept, a fait*socio=rien s'accélérer la hausse*socio=rien des prix*socio=ec à la consommation*socio=ec qui est*socio=rien passée de 3,1% en 1988 à 4,3% en 1989. Cependant, le déflateur des prix*socio=ec servant au *socio=rien calcul du produit national*socio=te *socio=nil n'a pas augmenté aussi vite, *socio=rien du fait *socio=nil que les entreprises*socio=ac n'ont pas répercuté entièrement la hausse*socio=rien des coûts*socio=ec de production*socio=ec sur*socio=rien leurs prix*socio=ec, préférant réduire leurs marges bénéficiaires*socio=ac. Les risques*socio=uv d'inflation*socio=ec que présentait cette situation*socio=uv ont incité les banques_centrales*socio=ac, aux États-unis*socio=ac, en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et au Japon*socio=ac, à freiner la croissance*socio=uv de la masse*socio=rien monétaire*socio=ec au *socio=rien sens large.*socio=nil Les*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil ont cependant renoncé à cette politique*socio=et en cours*socio=rien d'année*socio=rien , et ont laissé croître modérément la masse*socio=rien monétaire*socio=ec pendant le *socio=rien second semestre.*socio=nil *socio=nil Toujours aux États-unis*socio=ac, le rapport*socio=rien entre le déficit*socio=ec total*socio=rien des finances_publiques*socio=et et le PNB*socio=ec est*socio=rien resté à peu près inchangé*socio=rien en 1989, alors qu'il s'était caractérisé par une tendance*socio=rien à la baisse*socio=rien depuis 1985. A en juger d'après*socio=rien ce même rapport*socio=rien déficit*socio=ec/PNB*socio=ec, l'Allemagne*socio=ac, le Japon*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac ont géré leurs finances_publiques*socio=et avec prudence*socio=uv. En revanche, le déficit*socio=ec des finances_publiques*socio=et est*socio=rien resté considérable*socio=rien en Italie*socio=ac, représentant*socio=rien 10,5% du*socio=rien PNB*socio=ec, et le ratio*socio=rien déficit*socio=ec/PNB*socio=ec s'est*socio=rien détérioré au Canada*socio=ac, passant à environ 4%. Le resserrement*socio=uv monétaire*socio=ec s'est*socio=rien accompagné dans la plupart*socio=rien des *socio=ac pays industriels *socio=nil d'une hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec. En Allemagne*socio=ac, le taux_d'_intérêt*socio=ec moyen*socio=rien à court_terme*socio=ec sur*socio=rien le marché*socio=ec intérieur*socio=rien a augmenté en 1989 de 2,9 points*socio=rien par rapport*socio=rien à son *socio=rien faible niveau antérieur*socio=te.*socio=nil L'*socio=nil augmentation*socio=uv s'*socio=nil est en*socio=nil partie répercutée*socio=nil sur les*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec *socio=nil dans les autres pays*socio=ac participant*socio=rien au mécanisme*socio=rien de *socio=rien change du système_monétaire*socio=ec *socio=nil européen2. Le taux_d'_intérêt*socio=ec à court_terme*socio=ec sur*socio=rien le marché*socio=ec intérieur*socio=rien a augmenté de 1,4% aux États-unis*socio=ac, et de 0,8% seulement au Japon*socio=ac. Le Graphique*socio=rien 2-1 illustre l'évolution*socio=rien du*socio=rien LIBOR*socio=ec (taux*socio=rien interbancaire moyen*socio=rien des eurodollars à Londres*socio=ac) pour les opérations*socio=rien à six mois*socio=rien . Après*socio=rien une poussée en mars*socio=rien 1989, le LIBOR*socio=ec a suivi une *socio=rien tendance générale *socio=nil à la baisse*socio=rien pendant le restant de l'année*socio=rien . europe_de_l'_est*socio=ac et Europe*socio=ac centrale*socio=rien . Durant l'année*socio=rien écoulée, la quasi-totalité*socio=rien des pays*socio=ac d' europe_de_l'_est*socio=ac et d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien ont entrepris de profondes*socio=rien *socio=et réformes politiques et*socio=nil économiques*socio=ec en*socio=nil vue*socio=rien *socio=nil de renverser la *socio=rien tendance récente *socio=nil à la détérioration*socio=uv de leurs résultats*socio=rien économiques*socio=ec. La situation*socio=uv économique*socio=ec dans ces pays*socio=ac se caractérisait auparavant par des dysfonctionnements*socio=uv et des pénuries*socio=ec graves*socio=rien . De la restructuration*socio=uv de leur économie*socio=ec et d'une politique*socio=et laissant jouer plus librement les forces_du_marché*socio=ec, on attend des gains*socio=ec de productivité*socio=ec, une progression*socio=uv des revenus*socio=ec et des rééquilibrages internes*socio=rien et externes*socio=te répondant aux impératifs*socio=uv d'une expansion*socio=ec durable*socio=rien . Il *socio=rien est difficile *socio=nil de prévoir les incidences*socio=rien que ces transformations*socio=uv auront sur*socio=rien l'économie*socio=ec mondiale*socio=te à court*socio=rien et *socio=rien moyen termes.*socio=nil *socio=nil Mis à part*socio=rien l'union_soviétique*socio=ac, les pays*socio=ac considérés tiennent une *socio=rien place modeste *socio=nil dans l'économie*socio=ec mondiale*socio=te, puisque le total*socio=rien de leurs PNB*socio=ec ne représente qu'environ 6% *socio=rien du produit mondial*socio=te brut.*socio=nil Leur*socio=nil part du commerce*socio=ec mondial*socio=te est *socio=nil de l'ordre*socio=rien de 3,7%, et plus de la moitié*socio=rien de leurs échanges*socio=ec se font dans le *socio=rien cadre du conseil_d'_assistance_économique_mutuelle*socio=ac (*socio=nil CAEM*socio=ac ou*socio=nil COMECON*socio=ac)*socio=nil *socio=nil . Cette situation*socio=uv se modifiera sans doute*socio=rien dans les années*socio=rien à venir, au fur*socio=rien et à mesure*socio=rien que les pays*socio=ac d'europe_de_l'_est*socio=ac et d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien seront de plus en plus *socio=rien présents sur les*socio=nil marchés*socio=ec mondiaux*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil programmes*socio=et de*socio=nil réformes*socio=et économiques*socio=ec *socio=nil adoptés par ces pays*socio=ac comprennent des mesures*socio=rien , diversement dosées, de libération*socio=uv des prix*socio=ec, de libéralisation*socio=ec du*socio=rien commerce*socio=ec, de réforme*socio=et du*socio=rien budget*socio=ec et de réforme*socio=et des institutions*socio=ac, lesquelles touchent notamment le droit_de_propriété*socio=et. Étant donné que plusieurs des pays*socio=ac considérés ont à la fois*socio=rien besoin*socio=uv de mesures*socio=rien de stabilisation*socio=et et de mesures*socio=rien d' ajustement_structurel*socio=et, la question*socio=rien de l'échelonnement*socio=rien et *socio=rien du rythme des*socio=nil réformes*socio=et *socio=nil revêt une *socio=rien importance cruciale.*socio=nil Le*socio=nil vaste programme*socio=et *socio=nil adopté par la Pologne*socio=ac procède de l'idée*socio=rien qu'une réforme*socio=et des structures*socio=ec serait vouée à l'échec*socio=uv dans un*socio=rien *socio=ec environnement macroéconomique instable*socio=uv,*socio=nil *socio=nil et le processus*socio=rien de réforme*socio=et a, dans ce contexte*socio=rien , d'abord*socio=rien consisté à mettre en *socio=rien oeuvre un ambitieux*socio=uv programme*socio=et de*socio=nil stabilisation*socio=et,*socio=nil *socio=nil qui comprend également *socio=rien un important élément structurel*socio=ec *socio=nil touchant la réforme*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec. Grâce*socio=rien au *socio=uv soutien populaire *socio=nil dont il bénéficie, le Gouvernement*socio=ac polonais a pu mener les réformes*socio=et rapidement. En Hongrie*socio=ac, en revanche, les réformes*socio=et ont été*socio=rien menées de façon*socio=rien plus progressive*socio=uv, selon *socio=rien un processus *socio=nil amorcé depuis plusieurs années*socio=rien . De toute évidence*socio=rien , le plus difficile*socio=rien , pour les pays*socio=ac d'europe_de_l'_est*socio=ac et d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien , sera de parvenir à restructurer leur économie*socio=ec afin d'assurer une croissance_économique*socio=ec durable*socio=rien , tout en limitant autant que possible*socio=rien les coûts_sociaux*socio=ec de la phase*socio=te de transition*socio=uv - chômage*socio=ec, inflation*socio=ec et crise*socio=uv de confiance*socio=uv. Parallèlement au débat*socio=et sur*socio=rien le rythme*socio=rien des réformes*socio=et en europe_de_l'_est*socio=ac et en Europe*socio=ac centrale*socio=rien s'en *socio=rien est ouvert un *socio=nil autre, sur*socio=rien l'importance*socio=rien et la nature*socio=rien de l'aide_extérieure*socio=te à apporter à ces pays*socio=ac. L'une des sources*socio=rien de cette assistance*socio=et devrait être*socio=rien la *socio=ac Banque européenne *socio=nil pour la reconstruction*socio=uv et le développement*socio=uv, créée tout récemment et dotée d'une *socio=rien capacité initiale de*socio=nil crédit*socio=ec *socio=nil d'environ 12 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec; cette institution*socio=ac investira dans des *socio=rien projets intéressant le*socio=nil secteur_privé*socio=ec *socio=nil et le secteur_public*socio=ac dans les pays*socio=ac de la région*socio=te qui ont entrepris des réformes*socio=et. Les pays_en_développement*socio=ac se demandent avec beaucoup d'inquiétude*socio=rien dans quelle mesure*socio=rien les apports*socio=rien financiers*socio=ec extérieurs*socio=te, les investissements*socio=ec et les *socio=ec flux commerciaux *socio=nil dont ils ont besoin*socio=uv vont diminuer *socio=rien du fait *socio=nil de la demande*socio=ec des pays*socio=ac d'europe_de_l'_est*socio=ac et d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien . La banque_mondiale*socio=ac a insisté sur*socio=rien le fait*socio=rien que l'assistance*socio=et qu'elle fournit à ces derniers*socio=rien ne serait pas apportée au détriment*socio=rien des autres pays_en_développement*socio=ac, mais il faut s'attendre à ce qu'une partie*socio=rien des mouvements*socio=ec de *socio=ec capitaux privés *socio=nil se réorientent vers l'europe_de_l'_est*socio=ac et l'Europe*socio=ac centrale*socio=rien . Étant donné les événements*socio=rien auxquels ont été*socio=rien confrontées, dans *socio=rien un passé récent les*socio=nil banques*socio=ac commerciales*socio=ec face au*socio=nil risque*socio=uv *socio=nil d'insolvabilité d'États*socio=ac emprunteurs*socio=ac, il semble probable*socio=rien que la *socio=rien majeure partie des*socio=nil apports de*socio=nil *socio=ec capitaux privés en*socio=nil faveur*socio=rien des*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil europe_de_l'_est*socio=ac *socio=nil et d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien seront affectés au financement*socio=ec de projets*socio=rien et d'échanges*socio=ec commerciaux*socio=ec. *socio=ac Pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec à*socio=nil revenu*socio=ec élevé*socio=rien *socio=nil . Comme tous les autres exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec, les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec à*socio=nil revenu*socio=ec élevé*socio=rien *socio=nil , à la faveur*socio=rien d'une *socio=rien hausse du prix*socio=ec du pétrole*socio=ec *socio=nil et d'une poussée de la demande*socio=ec, ont enregistré en 1989 une progression*socio=uv de leurs recettes*socio=ec d'exportation*socio=ec de pétrole*socio=ec supérieure*socio=rien à 35%. Pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis des années*socio=rien , la *socio=rien hausse du prix*socio=ec du pétrole*socio=ec n'*socio=nil est *socio=nil pas allée de pair*socio=rien avec une réduction*socio=uv de la production*socio=ec des États*socio=ac membres*socio=rien de l' organisation_des_pays_exportateurs_de_pétrole*socio=ec (OPEP*socio=ac). L'augmentation*socio=uv de la demande*socio=ec et la *socio=rien hausse du prix*socio=ec du pétrole*socio=ec *socio=nil tiennent à une légère*socio=rien augmentation*socio=uv de la consommation*socio=ec dans les pays_en_développement*socio=ac et à des sautes de production*socio=ec dans les pays*socio=ac non membres*socio=rien de l'OPEP*socio=ac, résultant*socio=rien notamment de perturbations*socio=uv qui ont affecté l'exploitation*socio=ec des gisements*socio=ec en *socio=rien mer du Nord*socio=te *socio=nil et en union_soviétique*socio=ac et la production*socio=ec des raffineries aux États-unis*socio=ac. Le volume*socio=rien de la production*socio=ec de brut*socio=rien des pays_membres*socio=ac de l'OPEP*socio=ac a augmenté de 14,5% en 1989, et la moyenne*socio=rien pondérée des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec à l'exportation*socio=ec, qui avait baissé en 1988, est*socio=rien remontée de plus de 19%, s'établissant à 16 dollars*socio=ec le baril*socio=rien . C'est*socio=rien ainsi que, pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis 1982, le groupe*socio=ac de pays*socio=ac considéré dans son ensemble*socio=rien a pu équilibrer sa balance_des_paiements*socio=ec courants*socio=rien avec le *socio=rien reste du monde*socio=te.*socio=nil *socio=nil Dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec à*socio=nil revenu*socio=ec élevé*socio=rien *socio=nil , le taux_de_croissance*socio=ec du*socio=rien *socio=ec PIB réel *socio=nil a atteint 6,6%, et les revenus*socio=ec réels*socio=rien , calculés compte*socio=rien tenu de l'amélioration*socio=uv des termes_de_l'_échange*socio=et, ont progressé de plus de 8%. En 1988, en revanche, le *socio=ec PIB réel *socio=nil de ces pays*socio=ac n'avait augmenté que de 2,7% en moyenne*socio=rien à cause*socio=rien de l'instabilité*socio=uv persistante*socio=rien des *socio=ec recettes pétrolières.*socio=nil Pays*socio=ac à*socio=nil faible*socio=rien revenu et*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil revenu intermédiaire*socio=rien *socio=nil . Alors que 1989 a été*socio=rien plutôt une *socio=rien bonne année *socio=nil pour les *socio=ac pays industriels,*socio=nil la*socio=nil croissance*socio=uv du*socio=rien PIB*socio=ec des*socio=nil pays_en_développement à*socio=nil faible*socio=rien revenu*socio=ec *socio=nil et à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien s'est*socio=rien considérablement*socio=rien ralentie, tombant de 5,4% en 1988 à 3,3% (Tableau*socio=rien 2-3). Les taux_de_croissance*socio=ec du*socio=rien PIB*socio=ec des pays*socio=ac d'Asie*socio=ac est*socio=rien tombée de 9,7% en 1988 à 5,1%, déclin*socio=rien qui tient essentiellement à ce que l'Inde*socio=ac et la Chine*socio=ac ont retrouvé des taux_de_croissance*socio=ec plus proches*socio=rien de la normale*socio=rien , après*socio=rien avoir connu en 1988 une expansion*socio=ec exceptionnellement rapide*socio=rien . Le rythme*socio=rien de croissance*socio=uv des pays*socio=ac à forte*socio=rien expansion*socio=ec d'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien s'est*socio=rien également ralenti, sous l'effet*socio=rien notamment de la réduction*socio=uv de la demande*socio=ec mondiale*socio=te des produits*socio=rien qu'ils exportent et, pour certains d'entre eux, de la hausse*socio=rien de leurs coûts*socio=ec de production*socio=ec. Le ralentissement*socio=uv de la croissance*socio=uv de la production*socio=ec dans le groupe*socio=ac des pays_en_développement*socio=ac de la région*socio=te Europe*socio=ac, Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te s'explique principalement par les *socio=rien profonds bouleversements *socio=nil qui se sont produits*socio=rien en europe_de_l'_est*socio=ac et en Europe*socio=ac centrale*socio=rien . Ces bouleversements*socio=rien ont entraîné en 1989 la stagnation*socio=ec des revenus*socio=ec par habitant*socio=ac dans cette région*socio=te, malgré les *socio=rien meilleurs résultats *socio=nil obtenus par des pays*socio=ac comme l'Algérie*socio=ac, le Portugal*socio=ac et la Yougoslavie*socio=ac. La croissance*socio=uv du*socio=rien PIB*socio=ec a enregistré de *socio=rien meilleurs résultats *socio=nil dans les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac, ce qui a sensiblement réduit l'écart*socio=rien qui sépare traditionnellement ces pays*socio=ac des *socio=ac pays asiatiques *socio=nil pour ce qui est*socio=rien de la croissance*socio=uv. Cependant, l'accroissement*socio=ec démographique*socio=rien y est*socio=rien tel que les revenus*socio=ec par habitant*socio=ac ont continué de ne progresser que faiblement. La croissance*socio=uv du*socio=rien PIB*socio=ec par habitant*socio=ac a été*socio=rien d'environ 0,3% en 1989 dans les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac. Les *socio=rien meilleurs résultats *socio=nil enregistrés dans ces pays*socio=ac tiennent dans une *socio=rien large mesure *socio=nil à la hausse*socio=rien des prix*socio=ec de certains produits*socio=rien de base*socio=rien , à des conditions*socio=uv météorologiques favorables*socio=rien à l'agriculture*socio=ec et à l'amélioration*socio=uv des politiques_économiques*socio=ec. Il y avait plusieurs années*socio=rien que le revenu*socio=ec par habitant*socio=ac n'avait pas augmenté dans la région*socio=te. En amérique_latine*socio=ac, le taux_de_croissance*socio=ec moyen*socio=rien des PIB*socio=ec a été*socio=rien de 1,5 et la production*socio=ec par habitant*socio=ac a diminué de 0,6 en dépit*socio=rien d'une certaine*socio=rien reprise enregistrée au Brésil*socio=ac et au Mexique*socio=ac. De nombreux*socio=rien *socio=ac pays latino-américains *socio=nil sont restés très gravement handicapés*socio=ac par les forces*socio=uv conjuguées de l'inflation*socio=ec, de l'endettement*socio=ec, des difficultés*socio=rien financières*socio=ec et de l'instabilité*socio=uv politique*socio=et. Les taux*socio=rien d'investissement*socio=ec ont globalement baissé en 1989, aussi bien*socio=rien dans le groupe*socio=ac des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec que dans le groupe*socio=ac des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien , baisse*socio=rien qui s'inscrit*socio=rien dans une tendance*socio=rien décennale. Les taux*socio=rien moyens*socio=ec d'investissement*socio=ec ont baissé aussi dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac d'Europe*socio=ac, du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et d'Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te, après*socio=rien avoir atteint *socio=rien un niveau élevé au*socio=nil début des*socio=nil années *socio=nil 80. En *socio=ac Afrique subsaharienne *socio=nil et en amérique_latine*socio=ac, les taux*socio=rien d'investissement*socio=ec ont été*socio=rien plus bas*socio=rien encore que l'année*socio=rien précédente*socio=rien , sauf au Nigeria*socio=ac et au Brésil*socio=ac, où la formation*socio=et de capital*socio=ec a amorcé une légère*socio=rien reprise (Tableau*socio=rien 2-4). Les taux*socio=rien d'investissement*socio=ec sont en revanche restés élevés*socio=rien en Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien . De telles différences*socio=uv interrégionales*socio=te ne peuvent que contribuer à maintenir pendant plusieurs années*socio=rien encore l'écart*socio=rien considérable*socio=rien qui sépare les taux_de_croissance*socio=ec des *socio=ac pays latino-américains et*socio=nil africains *socio=nil de ceux des pays*socio=ac d'Asie*socio=ac (Graphique*socio=rien 2-2). Pour les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec et les pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien , la situation*socio=uv des paiements*socio=ec courants*socio=rien s'est*socio=rien légèrement modifiée en 1989 par rapport*socio=rien aux *socio=rien années précédentes (*socio=nil Tableau *socio=nil 2-5). Le rapport*socio=rien déficit*socio=ec de la balance_des_paiements*socio=ec courants*socio=rien /PIB*socio=ec s'est*socio=rien très légèrement amélioré pour le groupe*socio=ac des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac comme pour les pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac. Cependant, cette légère*socio=rien amélioration*socio=uv s'est*socio=rien accompagnée dans certains pays*socio=ac d'une augmentation*socio=uv des arriérés du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et. En revanche, on a enregistré dans les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac une détérioration*socio=uv des balances_des_paiements*socio=ec , qui tient au ralentissement*socio=uv de l'activité*socio=rien économique*socio=ec et au déclin*socio=rien des exportations*socio=ec. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil *socio=nil ce sont les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec et les pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés qui ont vu le déficit*socio=ec de leur balance_des_paiements*socio=ec courants*socio=rien se creuser le plus. Pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés. L'année*socio=rien 1989 a été*socio=rien une année*socio=rien de stagnation*socio=ec pour la plupart*socio=rien des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés . Pour ces pays*socio=ac considérés collectivement*socio=rien , la croissance*socio=uv *socio=rien réelle du PIB*socio=ec *socio=nil a, une fois*socio=rien encore, *socio=rien été inférieure *socio=nil à l'accroissement*socio=ec démographique*socio=rien . Certains pays*socio=ac, comme le Mexique*socio=ac, les Philippines*socio=ac et le Venezuela*socio=ac, ont procédé à un*socio=rien ajustement*socio=et économique*socio=ec; d'autres, comme l'Argentine*socio=ac, le Brésil*socio=ac, la Hongrie*socio=ac et la Pologne*socio=ac, ont subi des bouleversements*socio=rien politiques*socio=et qui ont retardé le processus*socio=rien d'ajustement*socio=et. La croissance*socio=uv globale*socio=rien de 1,4% enregistrée par le groupe*socio=ac tient en partie*socio=rien aux taux_d'_intérêt*socio=ec plus élevés*socio=rien pratiqués sur*socio=rien les places internationales*socio=te et aux tendances*socio=rien à la récession*socio=ec qui accompagnent les politiques*socio=et d'ajustement*socio=et. Les résultats*socio=rien globaux*socio=ec obtenus par les pays*socio=ac lourdement endettés masquent cependant quelques différences*socio=uv à l'intérieur*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac. Pour beaucoup de ces pays*socio=ac, le processus*socio=rien d'ajustement*socio=et est*socio=rien allé de pair*socio=rien avec l'instabilité*socio=uv des prix*socio=ec et de *socio=rien faibles taux d'*socio=nil investissement*socio=ec.*socio=nil Le*socio=nil taux d'*socio=nil inflation*socio=ec a*socio=nil été élevé *socio=nil pour le groupe*socio=ac dans son ensemble*socio=rien , mais ce *socio=rien taux moyen *socio=nil recouvre des réalités*socio=uv diverses*socio=rien : hyperinflation en Argentine*socio=ac,, au Brésil*socio=ac, au Pérou*socio=ac et en Yougoslavie*socio=ac; fortes*socio=rien pressions*socio=uv inflationnistes*socio=ec en Équateur*socio=ac, en Uruguay*socio=ac et au Venezuela*socio=ac; mais ralentissement*socio=uv de l'inflation*socio=ec en 1989 en Bolivie*socio=ac, au Maroc*socio=ac, au Mexique*socio=ac, au Nigeria*socio=ac et aux Philippines*socio=ac, *socio=rien du fait *socio=nil notamment d'une gestion*socio=et plus rigoureuse*socio=rien des finances_publiques*socio=et et de l'application*socio=rien d'une politique*socio=et de resserrement*socio=uv monétaire*socio=ec. Pour ce qui est*socio=rien des taux*socio=rien d'investissement*socio=ec, on relève*socio=ac pour 1989 des différences*socio=uv considérables*socio=rien entre les pays*socio=ac lourdement endettés, les taux*socio=rien les plus faibles*socio=rien étant en général*socio=rien enregistrés dans des pays*socio=ac en proie*socio=rien à l'instabilité*socio=uv financière*socio=ec et politique*socio=et. Pour le groupe*socio=ac dans son ensemble*socio=rien , le rapport*socio=rien investissements*socio=ec/ PIB*socio=ec a légèrement augmenté, passant de 17,4% en 1988 à 17,9% (prix*socio=ec constants*socio=rien de 1980). Cette augmentation*socio=uv *socio=rien du taux moyen d'*socio=nil investissement*socio=ec a*socio=nil été *socio=nil enregistrée au Chili*socio=ac, au Maroc*socio=ac, au Mexique*socio=ac et aux Philippines*socio=ac. En revanche, d'autres pays*socio=ac, dont l'Argentine*socio=ac, le Brésil*socio=ac, la Pologne*socio=ac et l'Uruguay*socio=ac, n'ont pas réussi à relancer la formation*socio=et de capital*socio=ec et la croissance*socio=uv. Le déficit*socio=ec des paiements*socio=ec courants*socio=rien des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés s'est*socio=rien encore creusé, l'augmentation*socio=uv des importations*socio=ec de ces pays*socio=ac n'ayant pas été*socio=rien compensée par une augmentation*socio=uv suffisante*socio=rien de leurs exportations*socio=ec. Le déficit*socio=ec total*socio=rien des paiements*socio=ec courants*socio=rien des pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac est*socio=rien ainsi passé*socio=rien de 12,4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1988 à 20 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1989. Les *socio=rien effets bénéfiques *socio=nil qu'a eus la hausse*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec pour les *socio=ac pays exportateurs ont*socio=nil été*socio=rien en*socio=nil partie*socio=rien *socio=nil annulés par la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec, qui a alourdi les charges*socio=et afférentes*socio=rien au service*socio=ec de leur dette*socio=ec. Les flux*socio=ec nets*socio=rien de capitaux*socio=ec vers les pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés ont très fortement diminué en 1989, la légère*socio=rien augmentation*socio=uv des apports*socio=rien de sources*socio=rien publiques*socio=et n'ayant pas suffi, tant s'en faut, à compenser la très forte*socio=rien contraction*socio=et du*socio=rien crédit*socio=ec provenant de sources*socio=rien privées*socio=ec. Endettement*socio=ec et *socio=ec flux financiers.*socio=nil Le*socio=nil total*socio=rien des*socio=nil transferts nets*socio=rien de*socio=nil ressources des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil vers le *socio=rien reste du monde*socio=te *socio=nil a augmenté en 1989, passant à 42,9 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec contre 37,6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1988 (Tableau*socio=rien 2-6). Les décaissements*socio=ec de prêts*socio=ec, qui ont baissé de 36,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien au niveau*socio=rien exceptionnellement élevé*socio=rien de 1981, ont fléchi de 8,8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien à l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien , ce qui a réduit les flux*socio=ec nets*socio=rien de capitaux*socio=ec, qui sont néanmoins restés positifs*socio=uv (16,6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec). L'encours total*socio=rien de la dette*socio=ec à long_terme*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac (non compris les prêts*socio=ec non décaissés) a, en 1989, atteint 988,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, montant*socio=ec légèrement supérieur*socio=rien en *socio=rien termes nominaux *socio=nil à celui de 1988. Deux facteurs*socio=rien ont contribué à cette augmentation*socio=uv: a) le ralentissement*socio=uv temporaire*socio=rien des opérations*socio=rien de conversion*socio=ec de la dette*socio=ec, en particulier*socio=uv des échanges*socio=ec de créances*socio=ec contre des prises*socio=rien de participation*socio=uv qui est*socio=rien dû en partie*socio=rien à des anticipations*socio=uv touchant les suites*socio=rien de l'initiative*socio=rien Brady*socio=et; b) l'augmentation*socio=uv du*socio=rien montant*socio=ec des prêts*socio=ec publics*socio=et provenant de sources*socio=rien bilatérales*socio=te et multilatérales*socio=te. Le service_de_la_dette*socio=et s'est*socio=rien chiffré en 1989 à 129,8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, soit une légère*socio=rien réduction*socio=uv par rapport*socio=rien à l'année*socio=rien précédente*socio=rien . Le total*socio=rien des prêts*socio=ec décaissés a accusé une baisse*socio=rien , passant de 95,7 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1988 à 86,9 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec; pour les prêts*socio=ec de sources*socio=rien privées*socio=ec, la baisse*socio=rien a été*socio=rien encore plus forte*socio=rien (44,4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec contre 54,8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1988) (Graphique*socio=rien 2-3 et Tableau*socio=rien 2-7). Dans *socio=rien un discours *socio=nil prononcé en mars*socio=rien 1989 devant*socio=rien le Comité*socio=rien de bretton_woods*socio=et, M: Nicholas F: Brady*socio=et, *socio=ac Secrétaire américain au*socio=nil Trésor*socio=ec,*socio=nil *socio=nil a souligné la nécessité*socio=uv d'un*socio=rien soutien*socio=uv financier*socio=ec public*socio=et pour des opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et librement décidées, adaptées à la situation*socio=uv de chacun et faisant jouer les forces_du_marché*socio=ec. Les accords*socio=et que le Mexique*socio=ac, les Philippines*socio=ac, le costa_rica*socio=ac et le Venezuela*socio=ac ont conclus avec les banques*socio=ac commerciales*socio=ec auprès desquelles ils sont endettés, ainsi que l'accord*socio=et de *socio=rien principe passé *socio=nil avec le Maroc*socio=ac, sont les *socio=rien premières opérations de*socio=nil réduction*socio=uv *socio=nil de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et menées dans le *socio=rien cadre du Plan Brady*socio=et.*socio=nil Ces*socio=nil accords*socio=et *socio=nil prévoient, dans des *socio=rien proportions diverses,*socio=nil *socio=nil des remises de principal*socio=ec, des réductions*socio=uv d'intérêts*socio=ec et/ou de nouveaux*socio=rien concours. Les apports*socio=rien financiers*socio=ec consentis par la banque_mondiale*socio=ac, le fonds_monétaire_international*socio=ac (FMI*socio=ac) et le *socio=ac Gouvernement japonais *socio=nil ont contribué de *socio=rien façon importante au*socio=nil succès*socio=uv des*socio=nil négociations*socio=uv *socio=nil qui ont abouti à ces accords*socio=et. Dans le *socio=rien cas du Mexique*socio=ac,*socio=nil l'*socio=nil accord*socio=et *socio=nil prévoit la restructuration*socio=uv complète de dettes*socio=ec à *socio=rien moyen terme *socio=nil et à long_terme*socio=ec d'un*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de 48,9 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, en vue*socio=rien d'alléger les charges*socio=et afférentes*socio=rien au service*socio=ec de ces dettes*socio=ec. Les banques*socio=ac commerciales*socio=ec avaient le choix*socio=uv entre trois formules*socio=rien : l'échange*socio=ec de leurs créances*socio=ec, à raison*socio=uv de 65% de leur valeur*socio=ec nominale*socio=rien , contre des obligations*socio=uv à prime d'émission*socio=rien à 30 ans*socio=rien portant intérêt*socio=ec au *socio=rien taux du marché*socio=ec;*socio=nil l'*socio=nil échange*socio=ec *socio=nil de leurs créances*socio=ec contre des obligations*socio=uv à 30 ans*socio=rien portant intérêt*socio=ec à *socio=rien un taux inférieur *socio=nil à celui du*socio=rien marché*socio=ec; l'octroi*socio=rien d'argent*socio=ec frais*socio=ec d'un*socio=rien montant*socio=ec équivalent*socio=rien à 25% de leurs engagements*socio=ec de base*socio=rien , prêts*socio=ec *socio=rien remboursables sur 15*socio=nil ans *socio=nil avec différé d'amortissement*socio=ec de sept ans*socio=rien . L'accord*socio=et n'a pas eu simplement pour effet*socio=rien d'alléger l'endettement*socio=ec extérieur*socio=ec et le service_de_la_dette*socio=et du*socio=rien Mexique*socio=ac; il semble qu'il a eu aussi, indirectement, des effets*socio=rien macroéconomiques*socio=ec très favorables*socio=rien : réduction*socio=uv des taux_d'_intérêt*socio=ec sur*socio=rien le marché_financier*socio=ec intérieur*socio=rien , augmentation*socio=uv sensible*socio=rien des entrées de capitaux*socio=ec et progression*socio=uv des investissements_privés*socio=ec. L'accord*socio=et conclu entre les Philippines*socio=ac et leurs créanciers*socio=ac extérieurs*socio=te prévoit principalement l'octroi*socio=rien d'argent*socio=ec frais*socio=ec et des remises de principal*socio=ec. Les banques*socio=ac qui n'étaient pas disposées à consentir de nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec se sont vu offrir la possibilité*socio=rien de se porter vendeuses de leurs titres*socio=rien de créances*socio=ec au comptant dans le cadre*socio=rien d'opérations*socio=rien de rachat*socio=ec. En revanche, l'accord*socio=et conclu entre le costa_rica*socio=ac et ses créanciers*socio=ac visait à réduire l'encours de la dette*socio=ec, et ne prévoyait aucun nouveau*socio=rien concours. L'accord*socio=et prévoyait aussi *socio=rien un plan de*socio=nil règlement*socio=et partiel *socio=nil des arriérés, le solde*socio=ec *socio=rien devant être *socio=nil échangé contre des obligations*socio=uv à 15 ans*socio=rien assorties d'avantages*socio=rien spéciaux*socio=rien . En rachetant environ 60% de sa dette*socio=ec envers des banques*socio=ac commerciales*socio=ec, qui s'élève à 1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec, le costa_rica*socio=ac réduira l'encours de sa dette*socio=ec de 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec. Ces accords*socio=et, ainsi que d'autres qui ont été*socio=rien conclus ultérieurement ou sont en cours*socio=rien de négociation*socio=uv, démontrent la viabilité*socio=uv des formules*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et conçues dans le *socio=rien cadre du Plan Brady*socio=et *socio=nil et qui bénéficient d'un*socio=rien soutien*socio=uv public*socio=et, laissent le libre_choix*socio=uv aux créanciers*socio=ac et font jouer les forces_du_marché*socio=ec. De telles formules*socio=rien peuvent aider les pays*socio=ac endettés à s'engager sur*socio=rien la voie*socio=rien d'une croissance*socio=uv durable*socio=rien . Cependant, comme il a été*socio=rien souligné au comité_du_développement*socio=ac et en d'autres instances*socio=et, il convient d'accorder une *socio=rien attention spéciale aux*socio=nil besoins*socio=uv de*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil de la catégorie*socio=rien la moins favorisée*socio=rien des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés, et cela essentiellement envers des créanciers*socio=ac publics*socio=et. En effet*socio=rien , ces pays*socio=ac ne peuvent prétendre au bénéfice*socio=rien de *socio=uv conditions concessionnelles *socio=nil parce qu'ils dépassent le plafond*socio=rien de revenu*socio=ec fixé par les gouvernements*socio=ac des *socio=ac pays créanciers *socio=nil en 1988 *socio=rien lors du sommet de*socio=nil Toronto*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil comité_du_développement*socio=ac *socio=nil a demandé à la Banque*socio=ac et au FMI*socio=ac de continuer d'analyser les problèmes*socio=uv d'endettement*socio=ec de ces pays*socio=ac. Pour les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec, une *socio=rien initiative intéressante est *socio=nil à signaler: la mise en place*socio=rien par la Banque*socio=ac d'un*socio=rien fonds*socio=ec de désendettement*socio=ec à l'intention*socio=rien des pays*socio=ac qui ne peuvent emprunter qu'à l'IDA*socio=ac. Les fonds*socio=ec nécessaires*socio=rien proviennent d'un*socio=rien prélèvement*socio=ec de 100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec sur*socio=rien les excédents*socio=ec nets*socio=rien de la Banque*socio=ac pour l'exercice*socio=rien 89. Les pays_en_développement*socio=ac ne peuvent guère s'attendre à un*socio=rien accroissement*socio=ec des sources*socio=rien de financement*socio=ec extérieures*socio=te, sauf ceux qui participent à des opérations*socio=rien de désendettement*socio=ec et ceux qui mettent en oeuvre*socio=rien des réformes*socio=et économiques*socio=ec, ces derniers*socio=rien étant mieux à même d'attirer des investissements_étrangers_directs*socio=ec et d'encourager le retour*socio=rien des capitaux*socio=ec enfuis. Les *socio=rien apports nets de*socio=nil capitaux*socio=ec *socio=nil qu'ils ont reçus en 1989 sont tombés à 16,6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, chiffre le plus bas*socio=rien de la décennie*socio=rien . Cette baisse*socio=rien tient essentiellement à ce que les banques*socio=ac *socio=ec commerciales privées *socio=nil ont brusquement cessé leurs opérations*socio=rien de crédit*socio=ec concerté, en partie*socio=rien à cause*socio=rien de la forte*socio=rien augmentation*socio=uv des arriérés d'intérêts*socio=ec qui, d'environ 10 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1988, sont passés*socio=rien à quelque 16,4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1989. Les *socio=rien rares nouveaux prêts*socio=ec *socio=nil accordés l'ont été*socio=rien à des pays_en_développement*socio=ac d'Asie*socio=ac et d'Europe*socio=ac. Bien*socio=rien que la part*socio=rien des investissements_étrangers_directs*socio=ec dans le total*socio=rien des apports*socio=rien de capitaux*socio=ec dont bénéficient les pays_en_développement*socio=ac ait doublé depuis le début*socio=rien de la décennie*socio=rien , ces investissements*socio=ec ont diminué en chiffres absolus*socio=rien pendant la même période*socio=te; ce déclin*socio=rien s'est*socio=rien poursuivi en 1989. En dépit*socio=rien d'une *socio=rien tendance générale au*socio=nil déclin du financement*socio=ec du crédit*socio=ec *socio=nil à l'exportation*socio=ec, cette forme*socio=rien de crédit*socio=ec a repris quelque importance*socio=rien ces *socio=rien dernières années *socio=nil dans plusieurs *socio=ac pays asiatiques.*socio=nil Le*socio=nil *socio=rien déclin du *socio=ec crédit privé *socio=nil a contribué à déplacer le problème*socio=uv de la dette*socio=ec, l'endettement*socio=ec envers des créanciers*socio=ac publics*socio=et représentant*socio=rien une part*socio=rien de plus en plus importante*socio=rien de l'encours total*socio=rien de la dette*socio=ec tandis que diminue le rôle*socio=rien des banques*socio=ac commerciales*socio=ec. A la fin*socio=rien de 1989, les dettes*socio=ec à long_terme*socio=ec contractées par des pays_en_développement*socio=ac envers des créanciers*socio=ac publics*socio=et représentaient environ 48% de leur dette*socio=ec à long_terme*socio=ec totale*socio=rien , alors que la *socio=rien proportion correspondante *socio=nil était de 38% en 1982, année*socio=rien qui marque*socio=rien le début*socio=rien de la "crise*socio=uv de la dette*socio=ec". Des possibilités*socio=rien de financement*socio=ec prometteuses*socio=rien pourraient provenir d'une réduction*socio=uv des dépenses*socio=ec militaires*socio=et. L'apaisement des tensions*socio=uv politiques*socio=et n'a cependant pas encore eu *socio=rien un effet sensible sur le*socio=nil montant*socio=ec nominal des*socio=nil dépenses*socio=ec militaires*socio=et au*socio=nil niveau mondial*socio=te,*socio=nil *socio=nil dont le *socio=rien total est plus*socio=nil élevé *socio=nil que jamais. Si l'on peut dire en général*socio=rien qu'un*socio=rien lourd*socio=rien budget*socio=ec militaire*socio=et correspond à une utilisation*socio=rien improductive des ressources*socio=ec, le coût*socio=ec d'option*socio=rien des dépenses*socio=ec militaires*socio=et est*socio=rien parfois plus élevé*socio=rien pour les pays*socio=ac pauvres*socio=uv que pour les autres. Dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac où le revenu*socio=ec par habitant*socio=ac est*socio=rien très faible*socio=rien , une *socio=rien part importante du budget_de_l'_état*socio=et *socio=nil va à la défense - en dépit*socio=rien des besoins*socio=uv pressants*socio=rien qu'il faudrait satisfaire dans d'autres secteurs*socio=ec de l'économie*socio=ec. Dans l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac, les dépenses*socio=ec militaires*socio=et ont, depuis 1960, progressé deux fois*socio=rien plus vite que le revenu*socio=ec par habitant*socio=ac. La *socio=rien détermination du niveau des*socio=nil dépenses*socio=ec militaires*socio=et est en*socio=nil dernier *socio=nil ressort une décision*socio=rien qui relève*socio=ac des prérogatives*socio=rien de la souveraineté*socio=et de chaque État*socio=ac. Cependant, l'évolution*socio=rien de la situation*socio=uv politique*socio=et mondiale*socio=te devrait inciter les États*socio=ac à revoir la structure*socio=ec de leurs dépenses*socio=ec dans le sens*socio=rien de la maximisation du*socio=rien bien-être*socio=uv des citoyens*socio=et. Ce processus*socio=rien suppose en particulier*socio=uv que les dépenses*socio=ec militaires*socio=et soient clairement distinguées des autres dans le budget_de_l'_état*socio=et, et que ces dépenses*socio=ec fassent l'objet*socio=rien d'analyses*socio=rien coût*socio=ec/efficacité*socio=uv sérieuses*socio=rien , qui permettent notamment d'en comparer l'utilité*socio=rien à celle d'autres usages*socio=rien des fonds_publics*socio=et, tels que des investissements*socio=ec dans le secteur*socio=ec de l'éducation*socio=et ou dans celui de la santé*socio=et. En outre, les pays*socio=ac qui s'engageront sur*socio=rien la voie*socio=rien de la démilitarisation devront se préoccuper de la reconversion de leurs industries*socio=ec militaires*socio=et afin qu'elles contribuent utilement*socio=rien à la production*socio=ec civile*socio=et. Ce sont là des domaines*socio=rien où la banque_mondiale*socio=ac pourrait fournir une assistance_technique*socio=et aux gouvernements*socio=ac des États*socio=ac membres*socio=rien . Prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien . L'indice_des_prix*socio=ec nominaux*socio=rien en dollars*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien non pétroliers*socio=ec a baissé de 1,8% en 1989, après*socio=rien avoir accusé en 1988 une forte*socio=rien augmentation*socio=uv qui reflétait la hausse*socio=rien des prix*socio=ec de la plupart*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien (Tableau*socio=rien 2-8). Cependant, *socio=rien du fait *socio=nil de l'appréciation du*socio=rien dollar*socio=ec par rapport*socio=rien aux autres monnaies*socio=ec principales*socio=rien , l'indice_des_prix*socio=ec réels*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien autres que le pétrole*socio=ec (calculé en utilisant comme déflateur l'indice de la valeur*socio=ec unitaire*socio=rien des produits*socio=rien manufacturés) n'a baissé que de 1,4%; l'indice de la valeur*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien exprimée en droits_de_tirage_spéciaux*socio=ec (DTS) a même augmenté de 3%. A quelques exceptions*socio=rien près, les prix*socio=ec nominaux*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien ont augmenté en 1989. Le prix*socio=ec du*socio=rien café*socio=ec a accusé une chute de 21% à la suite*socio=rien de la suspension*socio=rien de l'application*socio=rien *socio=rien du système de*socio=nil contingents*socio=uv *socio=nil prévu par l'Accord*socio=et international*socio=te sur*socio=rien le café*socio=ec. Comme le café*socio=ec est*socio=rien affecté d'un*socio=rien coefficient*socio=rien de *socio=rien pondération élevé *socio=nil pour le calcul*socio=rien de l'indice_des_prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien autres que le pétrole*socio=ec, cette chute explique pour une *socio=rien bonne part la*socio=nil baisse *socio=nil de l'indice global*socio=rien . Le prix*socio=ec du*socio=rien cacao*socio=ec a continué de s'effriter *socio=rien du fait *socio=nil d'une surproduction chronique*socio=rien . Un*socio=rien raffermissement sensible*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien café*socio=ec et du*socio=rien cacao*socio=ec est*socio=rien peu probable*socio=rien à court_terme*socio=ec; les pays_en_développement*socio=ac lourdement tributaires*socio=rien de leurs exportations*socio=ec de ces deux produits*socio=rien , dont la plupart*socio=rien sont des *socio=ac pays africains,*socio=nil *socio=nil continueront donc probablement d'être*socio=rien affectés par la faiblesse*socio=rien de ces cours*socio=rien . Les prix*socio=ec de *socio=rien certaines catégories de*socio=nil matières grasses *socio=nil et d'huiles, ainsi que les prix*socio=ec du*socio=rien caoutchouc*socio=ec et de l'aluminium*socio=ec, ont aussi accusé une *socio=rien forte baisse.*socio=nil *socio=nil D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil les*socio=nil prix*socio=ec *socio=nil de la plupart*socio=rien des matières_premières*socio=ec à usage*socio=rien industriel*socio=ec se sont mieux comportés en 1989, grâce*socio=rien à la poursuite*socio=rien de la croissance*socio=uv de la *socio=ec production industrielle.*socio=nil En*socio=nil dépit*socio=rien *socio=nil de la *socio=rien baisse du prix*socio=ec *socio=nil de l'aluminium*socio=ec, l'indice_des_prix*socio=ec des métaux*socio=ec et des minéraux*socio=ec a augmenté, des perturbations*socio=uv de l'offre*socio=rien de cuivre*socio=ec, de plomb*socio=ec et de zinc*socio=ec ayant contribué à raffermir les cours*socio=rien de ces métaux*socio=ec. On s'attend à ce que les prix*socio=ec de la plupart*socio=rien des métaux*socio=ec et minéraux*socio=ec restent relativement élevés*socio=rien jusqu'à la fin*socio=rien de 1990. La hausse*socio=rien de 20% du*socio=rien prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec enregistrée en 1989 est*socio=rien due à une forte*socio=rien poussée de la demande*socio=ec, à la cohésion*socio=uv relative*socio=rien des contrôles*socio=et appliqués par les pays*socio=ac de l'OPEP*socio=ac à leur production*socio=ec, et à des interruptions dans les approvisionnements*socio=ec en provenance*socio=rien de la *socio=rien mer du Nord*socio=te *socio=nil et de l'Alaska. Cependant, le *socio=ec prix réel du*socio=rien pétrole *socio=nil a amorcé *socio=rien un fléchissement au*socio=nil début *socio=nil de 1990, *socio=rien du fait *socio=nil de l'augmentation*socio=uv de la capacité*socio=rien de production*socio=ec et de l'offre*socio=rien des pays_membres*socio=ac de l'OPEP*socio=ac et des autres *socio=ac pays producteurs,*socio=nil *socio=nil ainsi que de l'absence*socio=rien de consensus*socio=uv entre les pays*socio=ac de l'OPEP*socio=ac sur*socio=rien la question*socio=rien de la répartition*socio=uv des contingents*socio=uv. *socio=rien Tendances du commerce*socio=ec mondial*socio=te.*socio=nil La*socio=nil valeur*socio=ec des*socio=nil échanges*socio=ec mondiaux*socio=te de*socio=nil marchandises*socio=ec *socio=nil a, en 1989, progressé une fois*socio=rien encore plus rapidement que la production*socio=ec, atteignant le chiffre record*socio=rien de 3,1 billions de dollars*socio=ec (3,100 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec). Ce chiffre *socio=rien est supérieur *socio=nil de 7,5% à celui de 1988 et correspond à une augmentation*socio=uv de 7% en volume*socio=rien . Pour la *socio=rien deuxième moitié *socio=nil de la décennie*socio=rien , la croissance*socio=uv des échanges*socio=ec mondiaux*socio=te a été*socio=rien d'une *socio=rien manière générale plus*socio=nil rapide *socio=nil que pendant la première*socio=rien , atteignant en moyenne*socio=rien 3,5% par an*socio=rien . Comme les *socio=rien années précédentes,*socio=nil la*socio=nil croissance*socio=uv du commerce*socio=ec des*socio=nil produits *socio=nil manufacturés a été*socio=rien particulièrement vigoureuse*socio=rien , et elle a contribué pour environ 80% à la croissance*socio=uv de la valeur*socio=ec globale*socio=rien des échanges*socio=ec mondiaux*socio=te entre 1988 et 1989. A quelques exceptions*socio=rien près, ce sont les exportations*socio=ec des pays*socio=ac développés*socio=rien qui ont progressé le plus rapidement; en revanche, les exportations*socio=ec des *socio=ac pays socialistes d'*socio=nil Europe *socio=nil sont restées stagnantes ou ont même diminué. Parmi les pays*socio=ac développés*socio=rien , les États-unis*socio=ac et les pays*socio=ac de la *socio=ac Communauté européenne *socio=nil se sont distingués par la croissance*socio=uv, supérieure*socio=rien à la moyenne*socio=rien , de leurs exportations*socio=ec; par contre, les exportations*socio=ec du*socio=rien Japon*socio=ac ont progressé à *socio=rien un rythme inférieur *socio=nil à la moyenne*socio=rien mondiale*socio=te. Pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis 1985, le volume*socio=rien des exportations*socio=ec de l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac n'a pas augmenté, en 1989, plus rapidement que le volume*socio=rien mondial*socio=te des échanges*socio=ec, *socio=rien du fait *socio=nil d'une *socio=rien forte baisse *socio=nil des expéditions à l'étranger*socio=te des principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés d'Asie*socio=ac. Les exportations*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac ont donc progressé en moyenne*socio=rien modérément, sans qu'aucune région*socio=te ne se distingue nettement des autres. La croissance*socio=uv des exportations*socio=ec des *socio=ac pays latino-américains,*socio=nil *socio=nil qui avait été*socio=rien plus rapide*socio=rien que la moyenne*socio=rien mondiale*socio=te en 1988, est*socio=rien tombée à environ 3,5%, soit la *socio=rien moitié du taux mondial*socio=te.*socio=nil *socio=nil Parmi les pays_en_développement*socio=ac, ce sont les pays*socio=ac de l'OPEP*socio=ac qui ont obtenu les *socio=rien meilleurs résultats *socio=nil à l'exportation*socio=ec: leurs ventes*socio=ec à l'étranger*socio=te ont progressé d'environ 9%, et ont représenté près *socio=rien du quart des*socio=nil exportations*socio=ec totales de*socio=nil marchandises*socio=ec des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Cela revient à dire que les exportations*socio=ec non pétrolières*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac ont augmenté plus lentement en volume*socio=rien que le total*socio=rien de leurs exportations*socio=ec pour 1989. *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil faits importants *socio=nil sont intervenus en 1989 au niveau*socio=rien de différents*socio=rien pays*socio=ac (Tableau*socio=rien 2-9). Les États-unis*socio=ac ont retrouvé leur rang*socio=rien de premier*socio=rien exportateur*socio=ec mondial*socio=te *socio=rien après être *socio=nil restés pendant trois ans*socio=rien en seconde position*socio=rien derrière l'Allemagne*socio=ac. Ce redressement*socio=uv tient à deux facteurs*socio=rien : une forte*socio=rien augmentation*socio=uv *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec des*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil et la dépréciation*socio=ec du*socio=rien deutsche_mark*socio=ec par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec; chacun de ces deux facteurs*socio=rien aurait suffi à lui seul*socio=rien à faire passer les États-unis*socio=ac en tête*socio=rien . Par ailleurs*socio=rien , sur*socio=rien les 23 principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac, trois (l' Arabie_saoudite*socio=ac, la Chine*socio=ac et le Mexique*socio=ac) ont gagné deux places par rapport*socio=rien à 1988. Toujours parmi les 23 premiers*socio=rien exportateurs*socio=ac, l' Arabie_saoudite*socio=ac et le Mexique*socio=ac ont enregistré une progression*socio=uv de leurs exportations*socio=ec plus de deux *socio=rien fois supérieure *socio=nil à la moyenne*socio=rien mondiale*socio=te de 7,5%. Pour ce qui est*socio=rien de la progression*socio=uv des importations*socio=ec, cinq*socio=rien pays*socio=ac ont atteint ou dépassé le *socio=rien double du taux mondial*socio=te:*socio=nil l'*socio=nil Australie*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil Corée*socio=ac,*socio=nil l'*socio=nil Espagne*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil Finlande*socio=ac *socio=nil et le Mexique*socio=ac. Plusieurs *socio=rien mesures prises *socio=nil en 1989 ont eu ou pourraient avoir une *socio=rien incidence importante sur le*socio=nil commerce*socio=ec international*socio=te.*socio=nil En*socio=nil vertu *socio=nil de l'Article*socio=rien 301 de l'Omnibus Trade*socio=rien and Competitiveness Act (Loi*socio=et *socio=rien cadre sur le*socio=nil commerce*socio=ec *socio=nil et la concurrence*socio=ec) de 1988, le Délégué*socio=ac au commerce*socio=ec des États-unis*socio=ac peut engager contre tout pays*socio=ac une action*socio=rien pour pratiques*socio=et commerciales*socio=ec déloyales*socio=uv et demander l'ouverture*socio=rien de négociations*socio=uv pour obtenir*socio=rien l'élimination*socio=rien de ces pratiques*socio=et ou, à défaut*socio=rien , une indemnisation*socio=et. Si ces négociations*socio=uv n'aboutissent pas, le Délégué*socio=ac est*socio=rien habilité à ouvrir une *socio=rien enquête sur les*socio=nil pratiques*socio=et commerciales*socio=ec *socio=nil litigieuses, enquête*socio=rien qui peut déboucher sur*socio=rien des mesures*socio=rien de représailles visant les importations*socio=ec en *socio=rien provenance du pays*socio=ac *socio=nil incriminé. En 1989, des actions*socio=rien ont été*socio=rien intentées contre trois pays*socio=ac en vertu*socio=rien de cette loi*socio=et; cependant, au début*socio=rien de 1990, les progrès*socio=uv des négociations*socio=uv, ainsi que des modifications*socio=rien apportées aux politiques_économiques*socio=ec, ont permis*socio=rien aux États-unis*socio=ac d'abandonner l'action*socio=rien engagée contre deux de ces pays*socio=ac. Certains *socio=ac pays industriels *socio=nil ont reconduit en 1989 les restrictions*socio=uv non tarifaires*socio=ec qu'ils appliquaient précédemment, mais d'autres obstacles*socio=rien aux échanges*socio=ec ont été*socio=rien éliminés ou atténués. En juin*socio=rien 1989, les États-unis*socio=ac ont décidé de proroger jusqu'à mars*socio=rien 1992 les accords*socio=et de *socio=uv restriction volontaire des*socio=nil exportations*socio=ec d'*socio=nil acier*socio=ec *socio=nil conclus avec certains de leurs partenaires*socio=uv commerciaux*socio=ec, limitant ainsi leurs propres*socio=rien importations*socio=ec de ce produit*socio=rien ; de son côté*socio=rien , la *socio=ac Communauté européenne *socio=nil a conclu de nouveaux*socio=rien accords*socio=et limitant ses importations*socio=ec de fer*socio=rien et d'acier*socio=ec. En revanche, plusieurs obstacles*socio=rien non tarifaires*socio=ec importants*socio=rien ont été*socio=rien éliminés. Le Japon*socio=ac a continué de prendre des mesures*socio=rien visant à ouvrir davantage son marché*socio=ec, et la Suède*socio=ac a supprimé les restrictions*socio=uv quantitatives*socio=rien qui frappaient les importations*socio=ec de certains *socio=rien fruits produits *socio=nil dans les régions*socio=te tempérées. En outre, les restrictions*socio=uv visant les importations*socio=ec de certains produits*socio=rien tropicaux ont été*socio=rien atténuées en vertu*socio=rien de concessions*socio=uv décidées lors*socio=rien des Négociations*socio=uv d'Uruguay*socio=ac. Plusieurs pays_membres*socio=ac de la *socio=ac Communauté européenne *socio=nil ont éliminé les restrictions*socio=uv quantitatives*socio=rien frappant les produits*socio=rien importés du*socio=rien Japon*socio=ac, et la Communauté*socio=ac dans son ensemble*socio=rien a décidé d'abolir à compter du*socio=rien ler janvier*socio=rien 1990 la plupart*socio=rien des restrictions*socio=uv quantitatives*socio=rien limitant les importations*socio=ec de produits*socio=rien hongrois et polonais. Enfin, les États-unis*socio=ac et le Canada*socio=ac ont libéralisé leurs échanges*socio=ec bilatéraux*socio=te en réduisant leurs tarifs*socio=ec douaniers*socio=ac et en atténuant certaines*socio=rien restrictions*socio=uv non tarifaires*socio=ec en vertu*socio=rien de l'Accord*socio=et de libre-échange*socio=ec qu'ils ont conclu. Les événements*socio=rien qui se sont produits*socio=rien en 1989 en europe_de_l'_est*socio=ac et en Europe*socio=ac centrale*socio=rien auront de *socio=rien profondes répercussions sur les*socio=nil relations commerciales*socio=ec.*socio=nil La*socio=nil Hongrie*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil Pologne*socio=ac *socio=nil et la Tchécoslovaquie*socio=ac, en particulier*socio=uv, appliquent déjà ou préparent des réformes*socio=et économiques*socio=ec ambitieuses*socio=uv fondées sur*socio=rien la libéralisation*socio=ec des marchés*socio=ec, qui promettent de modifier la structure*socio=ec géographique*socio=te et la composition*socio=rien de leurs échanges*socio=ec. Les Négociations*socio=uv d'Uruguay*socio=ac se sont poursuivies en 1989; selon le calendrier*socio=rien prévu, elles doivent s'achever en décembre*socio=rien 1990. Des progrès*socio=uv ont été*socio=rien accomplis dans certains domaines*socio=rien : par exemple*socio=rien , les négociations*socio=uv à mi-parcours visant à établir *socio=rien un système de*socio=nil contrôle*socio=uv des*socio=nil politiques_commerciales*socio=ec nationales*socio=te *socio=nil ont abouti à un*socio=rien accord*socio=et intéressant*socio=rien notamment l'Australie*socio=ac, les États-unis*socio=ac et le Maroc*socio=ac. Dans d'autres domaines*socio=rien , d'importantes*socio=rien divergences*socio=uv de vues*socio=rien subsistent. Pour ce qui est*socio=rien de l'agriculture*socio=ec, par exemple*socio=rien , les négociateurs n'arrivent pas à se mettre d'accord*socio=uv *socio=rien sur un calendrier de*socio=nil libéralisation*socio=ec du commerce*socio=ec *socio=nil et de suppression*socio=rien des programmes*socio=et nationaux*socio=te de soutien*socio=uv. En dépit*socio=rien de négociations*socio=uv intensives*socio=rien , les pays*socio=ac en sont encore à débattre*socio=rien de la méthode*socio=rien à suivre pour mesurer le degré*socio=rien de protection*socio=et de l'agriculture*socio=ec et à discuter des *socio=rien modalités du processus de*socio=nil libéralisation*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Dans le cadre*socio=rien des négociations*socio=uv sur*socio=rien le commerce*socio=ec des textiles*socio=ec et des vêtements*socio=ec, des pressions*socio=uv de plus en plus fortes*socio=rien se sont exercées en 1989 en vue*socio=rien de l'abrogation de l'Arrangement_multifibres*socio=et, qui pénalise systématiquement les exportations*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac. De gros*socio=rien problèmes*socio=uv subsistent à cet égard*socio=rien : en effet*socio=rien , le sort*socio=rien de *socio=rien nombreuses propositions de*socio=nil libéralisation*socio=ec est *socio=nil lié à l'issue*socio=rien de *socio=rien discussions difficiles portant*socio=nil sur l'*socio=nil application sélective de*socio=nil mesures de*socio=nil sauvegarde*socio=uv *socio=nil contre les brusques poussées des importations*socio=ec. Les droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien constituent un*socio=rien autre *socio=rien domaine sur *socio=nil lequel les négociateurs sont restés divisés en 1989. Par exemple*socio=rien , les pays*socio=ac développés*socio=rien veulent renforcer la protection*socio=et des brevets*socio=rien et sont partisans*socio=et de *socio=rien mesures nouvelles *socio=nil visant à contrer l'usage*socio=rien illicite des marques*socio=rien de commerce*socio=ec, tandis que les pays_en_développement*socio=ac veulent pouvoir*socio=et accéder plus librement aux technologies*socio=ec nouvelles*socio=rien et souhaitent voir baisser le prix*socio=ec des produits*socio=rien pharmaceutiques*socio=ac. En 1989, les pays_en_développement*socio=ac, agissant individuellement ou de concert*socio=uv avec des pays*socio=ac développés*socio=rien ou d'autres pays_en_développement*socio=ac, ont pour la *socio=rien première fois assumé*socio=nil un rôle vraiment actif *socio=nil dans les négociations*socio=uv *socio=ec commerciales mondiales,*socio=nil *socio=nil faisant des propositions*socio=rien dans de *socio=rien nombreux domaines.*socio=nil L'*socio=nil évolution future *socio=nil de l'accord_général*socio=rien sur*socio=rien les tarifs*socio=ec douaniers*socio=ac et le commerce*socio=ec (GATT*socio=ec) dépendra pour une *socio=rien bonne part *socio=nil de la mesure*socio=rien dans laquelle les résultats*socio=rien des négociations*socio=uv tiendront compte*socio=rien des préoccupations*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac. Note sur*socio=rien le GATT*socio=ec. Lors*socio=rien de la réunion*socio=rien qu'il a tenue à Washington*socio=ac en mai*socio=rien 1990, le comité_du_développement*socio=ac a exhorté les pays*socio=ac développés*socio=rien et les pays_en_développement*socio=ac à se mettre d'accord*socio=uv le plus rapidement *socio=rien possible sur ces*socio=nil questions *socio=nil et à convenir d'un*socio=rien système*socio=rien commercial*socio=ec multilatéral*socio=te renforcé reposant sur*socio=rien des règles*socio=et précises*socio=rien et uniformes propres*socio=rien à inciter tous les pays*socio=ac à libéraliser leurs échanges*socio=ec. Le Comité*socio=rien a fait*socio=rien valoir que le succès*socio=uv des négociations*socio=uv contribuerait de *socio=rien façon déterminante *socio=nil à enrayer la montée du*socio=rien protectionnisme*socio=et. Les *socio=rien membres du Comité *socio=nil ont souligné aussi que pour faciliter les réformes*socio=et entreprises*socio=ac par les pays_en_développement*socio=ac et stimuler leur croissance*socio=uv, il était essentiel*socio=uv de leur ouvrir plus largement les marchés*socio=ec et de leur permettre de mieux tirer parti*socio=et des *socio=rien avantages offerts *socio=nil par le GAÎT, et que des mesures*socio=rien en ce sens*socio=rien seraient dans bien*socio=rien des cas*socio=rien plus efficaces*socio=uv que l'aide_publique_au_développement*socio=et ou des mesures*socio=rien d'allégement*socio=ec de la dette*socio=ec. Fin*socio=rien de note. Environnement*socio=ec. Au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée, la sensibilisation*socio=uv à l'envergure*socio=rien mondiale*socio=te des problèmes*socio=uv écologiques*socio=et s'est*socio=rien encore accrue, et la communauté*socio=ac internationale*socio=te a continué de se préoccuper de plus en plus de la qualité*socio=rien de l'air*socio=rien , des sols*socio=ec et de l'eau*socio=ec, ainsi que des répercussions*socio=rien de la pollution*socio=et sur*socio=rien la qualité_de_la_vie*socio=uv. De toute évidence*socio=rien , *socio=rien certaines questions relatives *socio=nil à l'environnement*socio=ec ne peuvent être*socio=rien réglées par des pays*socio=ac agissant isolément, ni même par des groupes*socio=ac de pays*socio=ac. Elles doivent être*socio=rien appréhendées de façon*socio=rien plus globale*socio=rien . Aussi la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec à l'échelle*socio=rien mondiale*socio=te est-elle plus complexe; elle exige en effet*socio=rien que des pays*socio=ac qui diffèrent considérablement*socio=rien par leurs niveaux*socio=rien de revenu*socio=ec, leurs dotations en ressources_naturelles*socio=ec, leurs niveaux*socio=rien technologiques*socio=ec et leurs *socio=rien caractéristiques démographiques,*socio=nil *socio=nil et qui ont des *socio=uv intérêts divergents,*socio=nil *socio=nil se mettent néanmoins d'accord*socio=uv sur*socio=rien une stratégie*socio=et commune*socio=uv. La question*socio=rien de savoir*socio=rien à qui il incombe de prendre en charge*socio=uv les dépenses*socio=ec entraînées par la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec a continué d'occuper une *socio=rien place importante *socio=nil dans le débat*socio=et international*socio=te. Prenons, par exemple*socio=rien , le cas*socio=rien des chlorofluorocarbones, qui sont considérés comme susceptibles*socio=rien d'altérer la couche d'ozone*socio=rien : environ 90% des chlorofluorocarbones présents*socio=rien dans l'atmosphère*socio=rien proviennent des *socio=ac pays industriels.*socio=nil *socio=nil Toutefois, on prévoit une augmentation*socio=uv spectaculaire*socio=rien de la part*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac si ce problème*socio=uv n'est*socio=rien pas réglé dans les *socio=rien meilleurs délais.*socio=nil En*socio=nil raison*socio=uv *socio=nil de la *socio=uv répartition inéquitable des*socio=nil revenus*socio=ec *socio=nil entre les différents*socio=rien pays*socio=ac et des risques*socio=uv de ralentissement*socio=uv de la croissance_économique*socio=ec, les pays_en_développement*socio=ac ont fait*socio=rien valoir qu'ils auraient *socio=rien du mal *socio=nil à prendre en charge*socio=uv une partie*socio=rien des coûts*socio=ec supplémentaires*socio=rien engendrés par les mesures*socio=rien de protection*socio=et de l'environnement*socio=ec. Lors*socio=rien d'une *socio=rien réunion clé *socio=nil tenue à Londres*socio=ac à la fin*socio=rien de juin*socio=rien 1990, les ministres*socio=ac de l'environnement*socio=ec de 93 pays*socio=ac ont décidé d'un*socio=rien *socio=uv commun accord *socio=nil de mettre fin*socio=rien d'ici la *socio=rien fin du siècle *socio=nil à la production*socio=ec et aux utilisations*socio=rien de chlorofluorocarbones et de plusieurs autres *socio=rien substances chimiques dérivées*socio=nil du *socio=nil chlore et du*socio=rien brome, renforçant ainsi grandement le Protocole*socio=rien de Montréal*socio=ac de 1987, relatif*socio=rien à des substances*socio=rien qui appauvrissent la couche d'ozone*socio=rien . *socio=rien Un nouveau fonds*socio=ec *socio=nil a également été*socio=rien créé pour aider les pays_en_développement*socio=ac à adopter des technologies*socio=ec de remplacement*socio=rien à base*socio=rien de composés non chlorés. Le fonds*socio=ec, qui s'élèvera au total*socio=rien à 240 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour les trois *socio=rien premières années,*socio=nil sera*socio=nil administré par*socio=nil un comité *socio=nil de 14 membres*socio=rien , dont sept pays_en_développement*socio=ac et sept pays_industrialisés*socio=ac. Une formule*socio=rien de financement*socio=ec novatrice, proposée par le Gouvernement*socio=ac français*socio=rien et étudiée par la banque_mondiale*socio=ac, consisterait à accorder aux pays_en_développement*socio=ac des conditions*socio=uv privilégiées*socio=rien pour le financement*socio=ec de programmes*socio=et d' assistance_technique*socio=et et d'investissement*socio=ec portant sur*socio=rien quatre domaines*socio=rien essentiels*socio=uv: la protection*socio=et de la couche d'ozone*socio=rien , la réduction*socio=uv des rejets*socio=rien de gaz*socio=ec qui contribuent à l'"effet*socio=rien de serre" et des rejets*socio=rien qui entraînent des phénomènes*socio=rien de pollution*socio=et transfrontalière, la lutte*socio=uv contre la dégradation*socio=rien des ressources*socio=ec internationales*socio=te en eau*socio=ec et la préservation*socio=rien de la *socio=rien diversité biologique du *socio=nil globe. *socio=rien Diverses propositions *socio=nil sont actuellement envisagées pour la mise en place*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien pilote visant à résoudre ces problèmes*socio=uv et tenant compte*socio=rien des programmes*socio=et déjà lancés par la Banque*socio=ac. La notion*socio=rien de "développement_durable*socio=ec" commence aussi à influencer la *socio=rien réflexion actuelle sur la*socio=nil viabilité*socio=uv économique*socio=ec à*socio=nil long_terme*socio=ec des*socio=nil différentes stratégies*socio=et de*socio=nil développement*socio=uv.*socio=nil Les*socio=nil méthodes employées*socio=ac en*socio=nil agriculture*socio=ec,*socio=nil les*socio=nil politiques*socio=et énergétiques*socio=ec *socio=nil et le choix*socio=uv des *socio=ec technologies industrielles *socio=nil ont toutes des *socio=rien incidences considérables sur l'*socio=nil environnement*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Cependant, on est*socio=rien encore loin*socio=rien de pouvoir*socio=et quantifier précisément la viabilité*socio=uv à long_terme*socio=ec des *socio=rien différentes options économiques*socio=ec,*socio=nil *socio=nil et de savoir*socio=rien comment ajuster en conséquence*socio=rien les politiques*socio=et. Il importe en particulier*socio=uv d'étudier plus avant la possibilité*socio=rien de protéger l'environnement*socio=ec par un*socio=rien régime*socio=et d'incitations*socio=rien faisant jouer les forces_du_marché*socio=ec, en comparant son efficacité*socio=uv à celle de *socio=rien mesures réglementaires.*socio=nil La*socio=nil question difficile du réchauffement général *socio=nil de l'atmosphère*socio=rien continue*socio=rien d'être*socio=rien vivement débattue. Certains scientifiques*socio=ec pensent que l'usage*socio=rien des combustibles*socio=ec fossiles, certaines*socio=rien pratiques*socio=et agricoles*socio=ec, le déboisement*socio=et et *socio=rien diverses activités *socio=nil de l'homme*socio=ac entraîneront une élévation*socio=rien des températures dans le monde*socio=te entier*socio=rien , provoquant un*socio=rien "effet*socio=rien de serre". D'autres soutiennent qu'en dépit*socio=rien de l'augmentation*socio=uv des rejets*socio=rien auxquels on attribue l'effet*socio=rien de serre, rien*socio=rien ne prouve qu'il y ait *socio=rien réchauffement général *socio=nil de l'atmosphère*socio=rien . Bien*socio=rien que les résultats*socio=rien des travaux*socio=rien de recherche*socio=ec soient ambigus et parfois contradictoires*socio=uv, on est*socio=rien plus ou moins d'accord*socio=uv sur*socio=rien la nécessité*socio=uv d'économiser l'énergie*socio=ec afin de réduire la dépendance*socio=uv par rapport*socio=rien aux combustibles*socio=ec fossiles. Le succès*socio=uv de l'action*socio=rien menée dans ce sens*socio=rien dépendra du*socio=rien progrès*socio=uv technologique*socio=ec comme des politiques*socio=et susceptibles*socio=rien de mettre en place*socio=rien des incitations*socio=rien efficaces*socio=uv. Pour déterminer en quoi devront consister ces incitations*socio=rien , il faudra attendre de connaître les résultats*socio=rien des recherches*socio=ec sur*socio=rien l'ampleur*socio=rien et la nature*socio=rien de l'effet*socio=rien de serre. Les 24 chefs*socio=ac d'États*socio=ac qui ont signé le 11 mars*socio=rien 1989 la Déclaration_de_la_haye*socio=et ont reconnu qu'en attendant il fallait qu'une institution_internationale*socio=ac soit chargée de suivre la *socio=rien question du réchauffement général *socio=nil de l'atmosphère*socio=rien . Toujours dans le domaine*socio=rien de la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec, un*socio=rien accord*socio=et a été*socio=rien signé à Bâle en 1989 sur*socio=rien le contrôle*socio=uv des mouvements*socio=rien transfrontaliers de déchets*socio=ec dangereux*socio=rien . Cet accord*socio=et répondait à la crainte*socio=rien que les pays*socio=ac développés*socio=rien exportent des déchets*socio=ec dangereux*socio=rien vers des pays_en_développement*socio=ac. La banque_mondiale*socio=ac a exprimé à cet égard*socio=rien son intention*socio=rien de refuser de financer tout projet*socio=rien comportant l'évacuation*socio=rien de déchets*socio=ec toxiques*socio=et vers des pays*socio=ac tiers*socio=rien , et elle a publié des directives*socio=rien visant à aider les pays*socio=ac pauvres*socio=uv à résoudre le problème*socio=uv des déchets*socio=ec dangereux*socio=rien . Cette initiative*socio=rien comporte la définition*socio=rien de *socio=rien directives destinées aux*socio=nil programmes*socio=et de*socio=nil gestion*socio=et des*socio=nil déchets*socio=ec,*socio=nil *socio=nil et prévoit une assistance*socio=et aux *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil qui entreprennent de renforcer leur capacité*socio=rien de recyclage*socio=et, de retraitement et d'évacuation*socio=rien des déchets*socio=ec toxiques*socio=et. Ces initiatives*socio=rien marquent d'importants*socio=rien progrès*socio=uv dans la voie*socio=rien de l'application*socio=rien des recommandations*socio=rien de la *socio=ac Commission Brundtland,*socio=nil recommandations*socio=rien *socio=nil dont la mise en oeuvre*socio=rien doit être*socio=rien examinée lors*socio=rien de la conférence_des_nations_unies*socio=ac sur*socio=rien l'environnement_et_le_développement*socio=ac, qui aura lieu*socio=rien au Brésil*socio=ac en 1992. Chapitre*socio=rien trois: La banque_mondiale*socio=ac - exercice*socio=rien 90. *socio=rien Neuvième reconstitution *socio=nil de l'IDA*socio=ac (IDA-9*socio=ac). Pendant l'exercice*socio=rien 90, il a été*socio=rien convenu que la reconstitution*socio=rien des ressources*socio=ec de l'IDA*socio=ac s'élèverait à 11,68 milliards*socio=ec de DTS pour les trois exercices*socio=rien allant de 91 à 93, soit la contre-valeur de 15,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec au taux_de_change*socio=ec en vigueur*socio=uv à la date de l'accord*socio=et. Comme ce montant*socio=ec représente une augmentation*socio=uv de 12% par rapport*socio=rien au total*socio=rien en DTS de la *socio=rien huitième reconstitution (*socio=nil IDA-8*socio=ac)*socio=nil *socio=nil , la valeur*socio=ec réelle*socio=rien des contributions*socio=uv *socio=rien reste inchangée.*socio=nil *socio=nil Trente et un*socio=rien pays_membres*socio=ac de l'IDA*socio=ac plus la Suisse*socio=ac (qui n'est*socio=rien pas membre*socio=rien de l'Association*socio=ac) contribuent à la *socio=rien Neuvième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil de l'IDA*socio=ac (Tableau*socio=rien 3-1). Sept d'entre eux sont actuellement emprunteurs*socio=ac auprès de la BIRD*socio=ac (Brésil*socio=ac, République*socio=ac de Corée*socio=ac, Hongrie*socio=ac, Mexique*socio=ac, Pologne*socio=ac, Turquie*socio=ac et Yougoslavie*socio=ac). L'accord*socio=et conclu à Washington*socio=ac le 14 décembre*socio=rien 1989 était l'aboutissement*socio=rien de négociations*socio=uv officielles*socio=et engagées en février*socio=rien 1989, également à Washington*socio=ac. Les représentants*socio=ac des gouvernements*socio=ac des *socio=ac pays donateurs (*socio=nil délégués *socio=nil à l'IDA*socio=ac) se sont également réunis à Londres*socio=ac en mai*socio=rien 1989, à Copenhague*socio=ac en juillet*socio=rien 1989, à Washington*socio=ac en septembre*socio=rien 1989 et à Kyoto en novembre*socio=rien 1989. Au cours*socio=rien des négociations*socio=uv, les délégués*socio=ac ont examiné l'évolution*socio=rien *socio=rien du rôle *socio=nil de l'IDA*socio=ac au milieu*socio=rien des années*socio=rien 80, face*socio=rien à la crise*socio=uv économique*socio=ec et à l'amenuisement*socio=rien des ressources*socio=ec disponibles*socio=rien dans de nombreux*socio=rien *socio=ac pays bénéficiaires de*socio=nil crédits*socio=ec *socio=nil de l'IDA*socio=ac. Dans ce contexte*socio=rien économique*socio=ec, l'IDA*socio=ac a soutenu les programmes*socio=et de réformes*socio=et, de renforcement*socio=uv institutionnel*socio=rien et d'investissements*socio=ec qui s'imposaient pour assurer une croissance*socio=uv à long_terme*socio=ec, pour lutter contre la pauvreté*socio=uv et pour améliorer l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec. Elle a considérablement*socio=rien élargi ses opérations*socio=rien de crédits*socio=ec à l'ajustement*socio=et, en particulier*socio=uv en *socio=ac Afrique subsaharienne,*socio=nil *socio=nil et les donateurs*socio=ac se sont montrés très favorables*socio=rien à l'évolution*socio=rien de ses programmes*socio=et pendant cette période*socio=te. Dans leur rapport*socio=rien détaillé sur*socio=rien les dispositions*socio=rien de l'accord*socio=et, les délégués*socio=ac ont recommandé à leurs gouvernements*socio=ac d'engager des ressources*socio=ec. Le rapport*socio=rien abordait en outre plusieurs questions*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien et invitait les Administrateurs*socio=ac de l'Association*socio=ac à examiner les moyens*socio=ec qui permettraient à l'IDA*socio=ac de faciliter les transactions*socio=ec d'échange*socio=ec de la dette*socio=ec contre des mesures*socio=rien de conservation*socio=uv de l'environnement*socio=ec (transactions*socio=ec dette*socio=ec/nature*socio=rien ); à mettre au point*socio=rien les procédures*socio=rien appropriées pour l'examen*socio=rien régulier*socio=rien et l'approbation*socio=uv *socio=rien du déblocage *socio=nil des tranches dans le cadre*socio=rien des opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et; à examiner tous les ans*socio=rien le cadre*socio=rien de politique_économique*socio=et de chaque pays*socio=ac empruntant à l'IDA*socio=ac (ou en tant que de besoin*socio=uv lorsqu'il s'agit de petits*socio=rien emprunteurs*socio=ac); et à renforcer la collaboration*socio=uv entre la Banque*socio=ac et le fonds_monétaire_international*socio=ac. Le rapport*socio=rien indiquait trois domaines*socio=rien d'action*socio=rien méritant *socio=rien un rang de*socio=nil priorité*socio=uv plus*socio=nil élevé *socio=nil pendant la période*socio=te de la neuvième*socio=rien , reconstitution*socio=rien : la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, le soutien*socio=uv aux réformes*socio=et macroéconomiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien , et la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec. Considérant que le programme*socio=et de prêt*socio=ec de l'IDA*socio=ac devait rester axé sur*socio=rien les segments*socio=rien les plus pauvres*socio=uv de la population*socio=ac, les donateurs*socio=ac ont demandé l'assurance*socio=uv que la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv soit au *socio=rien centre du dialogue*socio=uv de*socio=nil politique*socio=et générale *socio=nil entre l'IDA*socio=ac et les *socio=ac pays bénéficiaires,*socio=nil *socio=nil que ces derniers*socio=rien soient encouragés à prendre des mesures*socio=rien en faveur*socio=rien des pauvres*socio=ac pendant la période*socio=te d'ajustement*socio=et et que, dans la définition*socio=rien des critères*socio=rien de performance*socio=uv régissant*socio=rien l'attribution*socio=rien des ressources*socio=ec de l'IDA*socio=ac, une importance*socio=rien accrue soit accordée à la volonté*socio=uv effectivement démontrée par les gouvernements*socio=ac de lutter contre la pauvreté*socio=uv. Les donateurs*socio=ac ont souligné l'importance*socio=rien que revêtaient des politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien saines*socio=uv pour assurer une utilisation*socio=rien efficace*socio=uv des ressources*socio=ec de l'IDA*socio=ac et recommandé que, dans le cadre*socio=rien de l'évaluation*socio=uv régulière*socio=rien des résultats*socio=rien de chaque pays*socio=ac, l'IDA*socio=ac prenne soin*socio=rien de déterminer si ces politiques*socio=et sont adéquates*socio=uv en vue*socio=rien de déterminer les domaines*socio=rien où des améliorations*socio=uv sont nécessaires*socio=rien pour favoriser un*socio=rien développement_durable*socio=ec et de plus en plus autonome*socio=uv. Les représentants*socio=ac des donateurs*socio=ac ont aussi jugé important*socio=rien que l'IDA*socio=ac continue*socio=rien à jouer *socio=rien un rôle de*socio=nil premier plan *socio=nil dans l'élaboration*socio=rien et le soutien*socio=uv des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et en accordant des crédits*socio=ec d'ajustement*socio=et à décaissement*socio=ec rapide*socio=rien ainsi que des 5rédits d'investissement*socio=ec. D'un*socio=rien *socio=uv commun accord,*socio=nil les*socio=nil délégués*socio=ac *socio=nil ont recommandé que, pendant la durée*socio=rien d'IDA-9*socio=ac, la part*socio=rien des *socio=rien premiers reste *socio=nil de l'ordre*socio=rien de 25%, comme pendant IDA-8*socio=ac, sans jamais dépasser 30% *socio=rien du total.*socio=nil Les*socio=nil délégués*socio=ac *socio=nil se sont félicités des efforts*socio=uv entrepris dans les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil pour faire en sorte*socio=rien que le développement*socio=uv ne nuise pas à l'environnement*socio=ec, et ils ont instamment demandé à l'Association*socio=ac d'accélérer ces efforts*socio=uv à trois niveaux*socio=rien , c'est-à-dire dans le cadre*socio=rien des opérations*socio=rien de crédit*socio=ec; dans celui des programmes*socio=et spécifiques*socio=rien aux différents*socio=rien pays*socio=ac et du*socio=rien dialogue*socio=uv avec les gouvernements*socio=ac; au sein*socio=rien enfin des initiatives*socio=rien à échelle*socio=rien mondiale*socio=te ou régionale*socio=te. Ils ont appelé au renforcement*socio=uv du*socio=rien dialogue*socio=uv de FIDA*socio=ac avec les gouvernements*socio=ac et les organisations_non_gouvernementales*socio=ac sur*socio=rien les problèmes*socio=uv d'environnement*socio=ec. Ils sont convenus que la préparation*socio=rien de rapports*socio=rien d'évaluation*socio=uv environnementale*socio=et s'inscrirait dans le processus*socio=rien ininterrompu de consultations*socio=uv avec les groupes*socio=ac concernés et les organisations_non_gouvernementales*socio=ac locales*socio=rien intéressées. Aux termes*socio=rien d'IDA-9*socio=ac, les délégués*socio=ac ont recommandé que les critères*socio=rien d'attribution*socio=rien des ressources*socio=ec de l'Association*socio=ac, à savoir*socio=rien les besoins*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac (degré*socio=rien de pauvreté*socio=uv, taille du*socio=rien pays*socio=ac et insolvabilité) et son aptitude*socio=rien à utiliser efficacement ces ressources*socio=ec (critère*socio=rien de performance*socio=uv), continuent d'être*socio=rien appliqués. La définition*socio=rien de la performance*socio=uv comprendrait trois éléments*socio=rien : une gestion*socio=et économique*socio=ec saine*socio=uv; les efforts*socio=uv faits*socio=rien pour assurer une croissance*socio=uv qui favorise l'équité*socio=uv et une réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv; et les efforts*socio=uv faits*socio=rien pour assurer un*socio=rien développement*socio=uv soutenu à long_terme*socio=ec. Vu le caractère*socio=rien limité des ressources*socio=ec de PIDA*socio=ac, les donateurs*socio=ac ont bien*socio=rien insisté sur*socio=rien le fait*socio=rien que les programmes*socio=et de l'IDA*socio=ac ne devaient pas être*socio=rien considérés comme acquis*socio=uv une fois*socio=rien pour toutes. La priorité*socio=uv donnée aux pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv a été*socio=rien approuvée, de même que la pratique*socio=rien instituée dans le cadre*socio=rien de la *socio=rien huitième reconstitution,*socio=nil *socio=nil limitant à 30% les fonds*socio=ec alloués aux deux principaux*socio=rien emprunteurs*socio=ac de l'IDA*socio=ac, l'Inde*socio=ac et la Chine*socio=ac. (On trouvera au Graphique*socio=rien 3-1 de plus *socio=rien amples détails sur les*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil consentis par la BIRD*socio=ac et l'IDA*socio=ac aux pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv.). Note sur*socio=rien l'admissibilité*socio=uv à l'IDA*socio=ac. En approuvant la priorité*socio=uv donnée aux pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv, les délégués*socio=ac à l'IDA*socio=ac se sont prononcés pour le maintien*socio=rien des deux critères*socio=rien d'admissibilité*socio=uv de l'Association*socio=ac. Il existe deux *socio=rien critères relatifs au*socio=nil revenu*socio=ec par*socio=nil habitant*socio=ac:*socio=nil le*socio=nil seuil opérationnel *socio=nil fixé à 580 dollars*socio=ec (en dollars*socio=ec de 1987) en termes*socio=rien de PNB*socio=ec par habitant*socio=ac et *socio=rien un plafond d'*socio=nil admissibilité*socio=uv *socio=nil qui a une valeur*socio=ec historique*socio=te fixé à 940 dollars*socio=ec (également en dollars*socio=ec de 1987). En principe*socio=rien , les pays*socio=ac dont le PNB*socio=ec par habitant*socio=ac *socio=rien est supérieur *socio=nil à 580 dollars*socio=ec ne peuvent prétendre à une aide*socio=uv de l'IDA*socio=ac. Ils peuvent cependant bénéficier de ses ressources*socio=ec, à titre*socio=rien exceptionnel*socio=uv et temporaire*socio=rien , s'ils ont entrepris de vastes*socio=rien efforts*socio=uv d'ajustement*socio=et ou s'il s'agit de petits*socio=rien pays*socio=ac insulaires*socio=te qui, ayant une faible*socio=rien surface financière*socio=ec, n'ont pas ou pratiquement pas accès*socio=uv aux prêts*socio=ec de la BIRD*socio=ac. Le plafond*socio=rien traditionnel*socio=uv de 940 dollars*socio=ec est*socio=rien celui qu'appliquent les nations_unies*socio=ac et d'autres organisations*socio=ac pour déterminer si un*socio=rien pays*socio=ac peut bénéficier d'une *socio=uv aide concessionnelle.*socio=nil Fin*socio=rien *socio=nil de note. Les délégués*socio=ac ont également recommandé de ne pas réduire la part*socio=rien de l'aide*socio=uv aux pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac, qui est*socio=rien actuellement comprise entre 45 et 50%, à condition*socio=rien que leur performance*socio=uv le justifie. Les délégués*socio=ac ont cependant noté que d'autres pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec avaient également besoin*socio=uv d'une aide*socio=uv et que, pendant IDA-8*socio=ac, certains pays*socio=ac non africains*socio=ac bénéficiant uniquement*socio=rien de l'aide*socio=uv de l'IDA*socio=ac avaient obtenu moins de crédits*socio=ec par habitant*socio=ac que des *socio=ac pays africains *socio=nil de même taille, obtenant des *socio=rien résultats comparables.*socio=nil *socio=nil Reconnaissant que ces pays*socio=ac pourraient avoir des besoins*socio=uv de financement*socio=ec considérables*socio=rien pendant les exercices*socio=rien allant de 91 à 93, les donateurs*socio=ac sont convenus que l'Association*socio=ac devrait répartir ses ressources*socio=ec entre les pays*socio=ac avec une plus grande*socio=rien souplesse*socio=uv et qu'elle pourrait les réaffecter, le cas*socio=rien échéant, entre les régions*socio=te, au cas*socio=rien où de nouveaux*socio=rien besoins*socio=uv apparaîtraient à *socio=rien grande échelle.*socio=nil Les*socio=nil Administrateurs*socio=ac *socio=nil de l'Association*socio=ac ont approuvé le rapport*socio=rien et la résolution*socio=et sur*socio=rien IDA-9*socio=ac pour transmission*socio=rien au conseil_des_gouverneurs*socio=ac. La résolution*socio=et a été*socio=rien ensuite adoptée le 8 mai*socio=rien 1990. Les Administrateurs*socio=ac ont indiqué que s'il était convenu que les questions*socio=rien évoquées dans le rapport*socio=rien des délégués*socio=ac seraient abordées en temps*socio=rien utile*socio=uv, l'approbation*socio=uv *socio=rien du rapport *socio=nil ne préjugeait en rien*socio=rien de l'issue*socio=rien de leurs délibérations*socio=et. Les questions*socio=rien soulevées par les transactions*socio=ec d'échange*socio=ec de la dette*socio=ec contre des mesures*socio=rien de conservation*socio=uv de l'environnement*socio=ec ont été*socio=rien examinées par les Administrateurs*socio=ac, qui ont encouragé la direction*socio=rien de la Banque*socio=ac à faire appel*socio=rien , dans le cas*socio=rien où cela était approprié, aux mécanismes*socio=rien décrits dans le *socio=rien rapport sur ce*socio=nil sujet *socio=nil comme faisant partie*socio=rien des activités*socio=rien menées de *socio=rien façon ininterrompue *socio=nil dans le domaine*socio=rien de la réduction*socio=uv de la dette*socio=ec, de l'environnement*socio=ec ou dans tout autre cadre*socio=rien où ils peuvent *socio=rien être applicables.*socio=nil *socio=nil Il a été*socio=rien convenu que les ressources*socio=ec de la Banque*socio=ac ne seraient pas utilisées directement pour des *socio=ec transactions dette/*socio=nil nature*socio=rien *socio=nil et que le critère*socio=rien d'impact*socio=rien continuerait d'être*socio=rien appliqué pleinement aux opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec. Les Administrateurs*socio=ac ont examiné, puis approuvé *socio=rien un document sur les*socio=nil modalités *socio=nil proposées pour le déblocage*socio=rien par tranche des prêts*socio=ec et crédits*socio=ec d'ajustement*socio=et. En vertu*socio=rien de ces modalités*socio=rien : - la direction*socio=rien de la Banque*socio=ac est*socio=rien tenue a) de débloquer une tranche lorsque, *socio=rien après examen,*socio=nil les*socio=nil services_de_la_banque*socio=ac *socio=nil ont conclu que les conditions*socio=uv préalables*socio=rien avaient été*socio=rien remplies de *socio=rien façon satisfaisante;*socio=nil *socio=nil et b) d'expliquer dans les *socio=rien meilleurs délais aux*socio=nil Administrateurs*socio=ac sur quelles*socio=nil bases *socio=nil ils sont parvenus à cette conclusion*socio=rien ; - la direction*socio=rien de la Banque*socio=ac peut soit suspendre le déblocage*socio=rien de la tranche, soit soumettre la question*socio=rien à l'examen*socio=rien *socio=rien du Conseil *socio=nil lorsque, *socio=rien après examen,*socio=nil les*socio=nil services_de_la_banque*socio=ac *socio=nil ont conclu que les clauses*socio=rien de l'accord*socio=et de prêt*socio=ec n'avaient pas été*socio=rien totalement remplies; le Conseil*socio=rien doit être*socio=rien informé tous les trimestres*socio=te au sujet*socio=rien des tranches qui doivent être*socio=rien débloquées et les opérations*socio=rien pour lesquelles le déblocage*socio=rien de la tranche a été*socio=rien retardé doivent être*socio=rien identifiées; - la direction*socio=rien de la Banque*socio=ac a) recommandera une ligne*socio=rien d'action*socio=rien éventuelle*socio=rien (en indiquant sur*socio=rien quoi elle base*socio=rien sa recommandation*socio=rien ) dans les cas*socio=rien où les circonstances*socio=rien justifient le déblocage*socio=rien de la tranche, même si les conditions*socio=uv n'ont pas été*socio=rien parfaitement remplies; et b) prendra les *socio=rien mesures nécessaires *socio=nil à la lumière*socio=rien des opinions*socio=uv exprimées par le Conseil*socio=rien ; et - dans le contexte*socio=rien des *socio=rien rapports périodiques *socio=nil établis par la Banque*socio=ac sur*socio=rien les prêts*socio=ec d'ajustement*socio=et, le Conseil*socio=rien procédera à une évaluation*socio=uv générale*socio=rien de l'application*socio=rien des conditions*socio=uv fixées pour les opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et et de l'état*socio=rien d'avancement *socio=rien du déblocage *socio=nil des tranches à ce titre*socio=rien . Après*socio=rien avoir examiné *socio=rien un rapport sur les*socio=nil méthodes *socio=nil à suivre pour l'examen*socio=rien des stratégies*socio=et pour chaque pays*socio=ac de l'IDA*socio=ac, les Administrateurs*socio=ac ont approuvé la recommandation*socio=rien selon laquelle, pour faciliter l'examen*socio=rien des cadres*socio=rien de politique_économique*socio=et au *socio=rien sein du Conseil,*socio=nil la*socio=nil direction *socio=nil de la Banque*socio=ac fournirait à celui-ci les renseignements*socio=rien dont il a besoin*socio=uv pour évaluer la stratégie*socio=et et la performance*socio=uv de chaque pays*socio=ac. Ces renseignements*socio=rien seraient fournis à l'occasion*socio=rien *socio=rien du premier crédit*socio=ec d'*socio=nil ajustement_structurel*socio=et *socio=nil ou d'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec qui doit être*socio=rien présenté lors*socio=rien de chaque exercice*socio=rien ; dans les pays*socio=ac empruntant à l'IDA*socio=ac qui n'ont pas d'opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et, l'information*socio=rien nécessaire*socio=rien serait fournie à l'occasion*socio=rien *socio=rien du premier crédit*socio=ec d'*socio=nil investissement*socio=ec *socio=nil présenté au Conseil*socio=rien pendant l'exercice*socio=rien . IDA-9*socio=ac prendra effet*socio=rien lorsque des instruments*socio=rien de notification auront été*socio=rien envoyés par les États*socio=ac membres*socio=rien dont la contribution*socio=uv globale*socio=rien représente 80% du*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de la reconstitution*socio=rien . Initiatives*socio=rien en faveur*socio=rien de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac. La crise*socio=uv économique*socio=ec persistante*socio=rien de l'Afrique*socio=ac constitue un*socio=rien défi*socio=uv sans précédent*socio=rien tant pour les Africains*socio=ac que pour l'ensemble*socio=rien des acteurs*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv. L'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac est*socio=rien en proie*socio=rien à des difficultés*socio=rien incommensurables et, si l'on ne parvient pas à renverser les *socio=rien tendances actuelles,*socio=nil la*socio=nil *socio=uv situation risque de*socio=nil *socio=rien devenir catastrophique sur le*socio=nil plan humain*socio=ac.*socio=nil D'*socio=nil ailleurs,*socio=nil *socio=nil dans certains pays*socio=ac, la *socio=rien faiblesse du revenu*socio=ec par*socio=nil habitant*socio=ac *socio=nil ou sa baisse*socio=rien provoquent déjà une détérioration*socio=uv des conditions_de_vie*socio=uv. Dans *socio=rien un rapport important *socio=nil publié en octobre*socio=rien 1989, la banque_mondiale*socio=ac a proposé aux *socio=ac gouvernements africains *socio=nil et à la communauté*socio=ac des donateurs*socio=ac un*socio=rien programme*socio=et stratégique*socio=uv pour les années*socio=rien 90 et au-delà qui, s'il est*socio=rien appliqué, pourrait aider à inverser le déclin*socio=rien économique*socio=ec et social*socio=ac des années*socio=rien 80 . Ce rapport*socio=rien était le résultat*socio=rien de plusieurs années*socio=rien d'étude*socio=ac et de consultations*socio=uv approfondies menées par le personnel*socio=rien de la Banque*socio=ac avec des dirigeants*socio=ac, des chercheurs*socio=rien et des intellectuels*socio=rien africains*socio=ac, ainsi qu'avec la communauté*socio=ac internationale*socio=te des donateurs*socio=ac. Cette étude*socio=ac sur*socio=rien l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac, la plus exhaustive*socio=rien que la Banque*socio=ac ait jamais réalisée à ce jour*socio=rien , recommandait le doublement des dépenses*socio=ec consacrées à la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien nouvel*socio=rien effort*socio=uv tendant à renforcer les compétences*socio=uv et les institutions*socio=ac en Afrique*socio=ac et à inverser le déclin*socio=rien économique*socio=ec du*socio=rien continent*socio=ac. Les programmes*socio=et de valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec, améliorés et mieux financés, visent à renforcer la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec et l'enseignement*socio=et primaire*socio=et et à assurer à tous les Africains*socio=ac des soins_de_santé*socio=et suffisants*socio=rien au cours*socio=rien des 30 *socio=rien prochaines années.*socio=nil *socio=nil A cette fin*socio=rien , l'économie*socio=ec des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac doit croître d'au moins 4 à 5% par an*socio=rien , objectif*socio=rien jugé ambitieux*socio=uv mais réalisable. Cette croissance*socio=uv est*socio=rien subordonnée à la poursuite*socio=rien des réformes*socio=et économiques*socio=ec et de l'ajustement_structurel*socio=et. Examinant le bilan*socio=rien des années*socio=rien 80, le rapport*socio=rien préconise l'amélioration*socio=uv continue*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et, qui doivent être*socio=rien mieux échelonnés et mieux exécutés, bénéficier d'un*socio=rien niveau*socio=rien de financement*socio=ec mieux adapté et dont la stratégie*socio=et doit faire une plus *socio=rien large place *socio=nil à la protection*socio=et des pauvres*socio=ac et des groupes*socio=ac vulnérables*socio=uv. Le rapport*socio=rien affirme que l'agriculture*socio=ec sera le *socio=rien principal moteur *socio=nil de la croissance*socio=uv et que la production*socio=ec vivrière devra croître de 4% par an*socio=rien (au lieu*socio=rien de 2% actuellement) pour que l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac puisse nourrir sa population*socio=ac de plus en plus nombreuse*socio=rien . Les *socio=ac pays africains *socio=nil doivent créer un*socio=rien environnement*socio=ec favorable*socio=rien (en libérant les prix*socio=ec, en renforçant le *socio=rien rôle du secteur_privé*socio=ec,*socio=nil *socio=nil en réformant le *socio=rien système du crédit*socio=ec *socio=nil et le régime*socio=et foncier*socio=ec, et en construisant des routes*socio=rien rurales*socio=te); ils doivent aussi mobiliser la technologie*socio=ec (en mettant l'accent*socio=rien sur*socio=rien la *socio=ec recherche agricole)*socio=nil *socio=nil , et renforcer les capacités*socio=rien à tous les niveaux*socio=rien (pour améliorer la formation*socio=et des chercheurs*socio=rien , des agents*socio=ac de vulgarisation*socio=rien et des agriculteurs*socio=ac, et pour consolider les institutions*socio=ac rurales*socio=te); ils doivent enfin protéger leurs ressources_naturelles*socio=ec (en luttant contre l'érosion*socio=ec, le déboisement*socio=et et la désertification*socio=et). Le rapport*socio=rien fixe également pour l'industrie*socio=ec *socio=rien un objectif de*socio=nil croissance*socio=uv annuelle *socio=nil qui passerait de 5% au départ*socio=rien à 7 ou 8% - soit une progression*socio=uv supérieure*socio=rien à celle de l'agriculture*socio=ec, ce qui correspond bien*socio=rien à l'évolution*socio=rien enregistrée dans d'autres régions*socio=te. Pour atteindre les objectifs*socio=rien fixés pour l'agriculture*socio=ec et l'industrie*socio=ec, il faut un*socio=rien environnement*socio=ec propice*socio=rien , c'est-à-dire des services*socio=ec d'infrastructure*socio=ec et des mesures*socio=rien d'incitation*socio=rien propres*socio=rien à promouvoir une production*socio=ec efficace*socio=uv ainsi que l'initiative*socio=rien privée*socio=ec. Pour freiner la croissance*socio=uv démographique*socio=rien , il faut convaincre les ménages*socio=rien qu'un*socio=rien espacement mieux maîtrisé des naissances*socio=rien et une moindre*socio=rien fécondité*socio=et peuvent contribuer à la diminution*socio=rien de la mortalité*socio=et et de la morbidité infantiles, juvéniles et maternelles. Aujourd'hui, la plupart*socio=rien des *socio=ac gouvernements africains *socio=nil encouragent officiellement le planning*socio=rien familial*socio=uv, mais il serait urgent*socio=uv que leurs déclarations*socio=et de principe*socio=rien se traduisent par une assistance_technique*socio=et, financière*socio=ec et administrative*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien niveau suffisant.*socio=nil Le*socio=nil rapport *socio=nil préconise en outre le renforcement*socio=uv de la coopération*socio=uv et de l'intégration*socio=uv régionales*socio=te - par l'adoption*socio=et d'une série de mesures*socio=rien pragmatiques et progressives*socio=rien visant à faciliter le commerce*socio=ec entre les pays*socio=ac - et l'élimination*socio=rien plus rapide*socio=rien des *socio=rien nombreux obstacles aux*socio=nil mouvements*socio=ec de*socio=nil capitaux*socio=ec,*socio=nil de*socio=nil main-d'_oeuvre*socio=ac,*socio=nil de*socio=nil biens*socio=ec *socio=nil et de services*socio=ec dans le cadre*socio=rien de la libéralisation*socio=ec du*socio=rien commerce*socio=ec mondial*socio=te. L'étude*socio=ac insiste également sur*socio=rien la nécessité*socio=uv de mieux équilibrer le rôle*socio=rien des secteurs_public*socio=ac et privé*socio=ec dans les économies*socio=ec africaines*socio=te. Il *socio=rien est important *socio=nil d'encourager l'initiative*socio=rien privée*socio=ec et de recourir aux *socio=rien mécanismes du marché*socio=ec,*socio=nil *socio=nil mais cela doit aller de pair*socio=rien avec une bonne*socio=rien gestion*socio=et des affaires_publiques*socio=et, c'est-à-dire un*socio=rien service_public*socio=et efficace*socio=uv, *socio=rien un cadre juridique*socio=et *socio=nil sans faille garantissant la *socio=rien bonne exécution des*socio=nil contrats*socio=ec *socio=nil et une administration*socio=et comptable*socio=rien de ses actes devant*socio=rien les citoyens*socio=et (Encadré 3-1). Tout en rappelant avec force*socio=uv que l'avenir*socio=te de l'Afrique*socio=ac dépend des Africains*socio=ac et d'eux seuls*socio=rien , le rapport*socio=rien souligne qu'il faut accroître l'aide_extérieure*socio=te pour soutenir leurs efforts*socio=uv. Il conclut que les besoins*socio=uv de ressources*socio=ec extérieures*socio=te de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac pourraient être*socio=rien satisfaits si la communauté*socio=ac des donateurs*socio=ac augmentait son aide_publique_au_développement*socio=et (APD*socio=et) d'environ 4% par an*socio=rien , en valeur*socio=ec réelle*socio=rien , au cours*socio=rien des années*socio=rien 90 et mettait en place*socio=rien des mécanismes*socio=rien d'allégement*socio=ec de la dette*socio=ec à des conditions*socio=uv libérales*socio=et, afin de limiter*socio=rien le service_de_la_dette*socio=et de l'Afrique*socio=ac à son *socio=rien niveau actuel,*socio=nil qui*socio=nil est *socio=nil d'environ 9 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par an*socio=rien . Dans cette hypothèse*socio=rien , les besoins*socio=uv bruts*socio=rien d'APD*socio=et devraient s'élever à plus de 20 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par an*socio=rien , en dollars*socio=ec de 1990, d'ici à l'an*socio=rien 2000, soit à peu près le *socio=rien double du montant*socio=ec *socio=nil de 1986 (Tableau*socio=rien 3-2). Si cette aide*socio=uv pouvait être*socio=rien mobilisée et utilisée efficacement, l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac serait mieux à même d'inverser son déclin*socio=rien économique*socio=ec et, en dernier*socio=rien ressort, de réduire ses besoins*socio=uv d'aide_extérieure*socio=te. *socio=rien Étape importante *socio=nil pour encourager l'adhésion*socio=uv aux *socio=rien recommandations du rapport *socio=nil de la Banque*socio=ac, le Gouvernement*socio=ac des Pays-bas*socio=ac a prévu d'organiser, au début*socio=rien de juillet*socio=rien 1990, une conférence*socio=rien internationale*socio=te sur*socio=rien l'Afrique*socio=ac qui devait donner à ce rapport*socio=rien une importance*socio=rien essentielle*socio=uv. Cette conférence*socio=rien devait réunir des représentants*socio=ac des *socio=ac gouvernements africains,*socio=nil des*socio=nil donateurs bilatéraux*socio=te *socio=nil et des institutions*socio=ac multilatérales*socio=te et être*socio=rien consacrée à l'examen*socio=rien des *socio=rien principales questions *socio=nil identifiées dans ce rapport*socio=rien . L'idée*socio=rien d'une alliance*socio=uv permanente*socio=rien pour soutenir le développement*socio=uv à long_terme*socio=ec de l'Afrique*socio=ac devait également y être*socio=rien débattue. Le soutien*socio=uv du*socio=rien développement*socio=uv à long_terme*socio=ec de l'Afrique*socio=ac repose en *socio=rien grande partie sur le*socio=nil programme_spécial_d'_assistance*socio=et (*socio=nil PSA*socio=et)*socio=nil *socio=nil , lancé en décembre*socio=rien 1987 pour aider à mobiliser et à coordonner, de 1988 à 1990, l'aide*socio=uv à décaissement*socio=ec rapide*socio=rien et l'allégement*socio=ec de la dette*socio=ec à des *socio=uv conditions concessionnelles,*socio=nil *socio=nil à l'appui*socio=rien de l'ajustement*socio=et dans les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec et surendettés*socio=ec. Le PSA*socio=et a également permis*socio=rien de renforcer la coopération*socio=uv entre les donateurs*socio=ac pour mieux coordonner le financement*socio=ec des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et permettre un*socio=rien débat*socio=et approfondi sur*socio=rien les principaux*socio=rien problèmes*socio=uv soulevés par l'exécution*socio=rien et le soutien*socio=uv de ces programmes*socio=et. Le PSA*socio=et prévoit *socio=rien cinq sources de*socio=nil financement*socio=ec:*socio=nil l'*socio=nil augmentation*socio=uv des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'ajustement*socio=et au moyen*socio=rien des ressources*socio=ec provenant de la *socio=rien huitième reconstitution *socio=nil de l'IDA*socio=ac; l'accroissement*socio=ec du*socio=rien cofinancement*socio=ec et du*socio=rien financement*socio=ec coordonné par des donateurs*socio=ac bilatéraux*socio=te et les autres donateurs*socio=ac multilatéraux*socio=te pour soutenir les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et; des crédits*socio=ec d'ajustement*socio=et supplémentaires*socio=rien de l'IDA*socio=ac financés par une *socio=rien partie du revenu*socio=ec des*socio=nil placements*socio=ec *socio=nil et des remboursements*socio=ec à l'IDA*socio=ac; des ressources*socio=ec supplémentaires*socio=rien provenant de la facilité_d'_ajustement_structurel_renforcée*socio=ec (FASR*socio=ec) du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac; et l'élargissement*socio=rien des mesures*socio=rien d'allégement*socio=ec de la dette*socio=ec, notamment l'annulation*socio=rien d'une part*socio=rien plus importante*socio=rien des prêts*socio=ec concessionnels*socio=uv et le rééchelonnement*socio=ec, à des conditions*socio=uv plus libérales*socio=et, d'une plus *socio=rien grande part *socio=nil de la dette*socio=ec non concessionnelle*socio=uv. Globalement, les flux*socio=ec d'aide*socio=uv vers l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac ont régulièrement augmenté, tant en volume*socio=rien qu'en proportion*socio=rien de l'aide*socio=uv mondiale*socio=te. Une *socio=rien part croissante *socio=nil de cette aide*socio=uv a pris la forme*socio=rien de crédits*socio=ec à décaissement*socio=ec rapide*socio=rien à l'appui*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et menés dans les *socio=ac pays africains.*socio=nil *socio=nil Pour les 22 pays*socio=ac admis à bénéficier du*socio=rien PSA*socio=et dès décembre*socio=rien 1989, le montant*socio=ec brut*socio=rien de l'APD*socio=et devrait croître, en moyenne*socio=rien , d'environ 10% par an*socio=rien environ, aux prix*socio=ec courants*socio=rien , entre les années*socio=rien civiles*socio=et 1988 et 1990, c'est-à-dire plus vite que pendant les sept *socio=rien années précédentes *socio=nil où il avait augmenté de 6,7% par an*socio=rien pour l'ensemble*socio=rien de la région*socio=te. Les trois quarts*socio=rien de cette augmentation*socio=uv de l'APD*socio=et représentent des engagements*socio=ec de crédits*socio=ec à décaissement*socio=ec rapide*socio=rien , qui devraient constituer de 35 à 40% de l'aide*socio=uv versée à ces pays*socio=ac pendant les trois *socio=rien années du PSA*socio=et,*socio=nil Ce*socio=nil programme*socio=et a*socio=nil été,*socio=nil et*socio=nil reste le*socio=nil principal *socio=nil vecteur d'une *socio=rien bonne partie *socio=nil de cette aide*socio=uv supplémentaire*socio=rien à l'appui*socio=rien de l'ajustement*socio=et. L'IDA*socio=ac a augmenté à la fois*socio=rien le *socio=rien volume total *socio=nil de son aide*socio=uv et la part*socio=rien des crédits*socio=ec à décaissement*socio=ec rapide*socio=rien destinés à soutenir les efforts*socio=uv d'ajustement*socio=et des pays*socio=ac pouvant bénéficier du*socio=rien PSA*socio=et. Pendant la durée*socio=rien de la *socio=rien huitième reconstitution,*socio=nil le*socio=nil montant*socio=ec annuel des*socio=nil engagements*socio=ec en*socio=nil faveur *socio=nil des 22 pays*socio=ac a été*socio=rien en *socio=rien moyenne supérieur *socio=nil de 900 millions*socio=rien de dollars*socio=ec au montant*socio=ec fourni pendant la période*socio=te de la *socio=rien septième reconstitution (*socio=nil exercices *socio=nil 85 à 87). D'après*socio=rien les dernières*socio=rien projections*socio=et, les crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac auront représenté, entre 1988 et 1990, près *socio=rien du cinquième du montant*socio=ec brut des*socio=nil flux*socio=ec d'*socio=nil aide*socio=uv *socio=nil vers ces pays*socio=ac. Environ 45% des engagements*socio=ec de l'IDA*socio=ac consistent en crédits*socio=ec à décaissement*socio=ec rapide*socio=rien à l'appui*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et. Le montant*socio=ec des crédits*socio=ec à l'ajustement*socio=et, qui est*socio=rien de l'ordre*socio=rien de 900 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par an*socio=rien en moyenne*socio=rien , est*socio=rien à peu près deux fois*socio=rien plus élevé*socio=rien que pendant la période*socio=te de la *socio=rien septième reconstitution,*socio=nil au*socio=nil cours *socio=nil de laquelle les engagements*socio=ec en faveur*socio=rien de l'ajustement*socio=et ont représenté 37% *socio=rien du total.*socio=nil *socio=nil A la fin*socio=rien de 1989, les contributions*socio=uv révisées annoncées par les donateurs*socio=ac au *socio=rien titre du PSA*socio=et en*socio=nil vue du cofinancement*socio=ec ou*socio=nil du financement*socio=ec *socio=nil coordonné de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et dans les *socio=ac pays bénéficiaires *socio=nil se sont élevées*socio=rien à 5,8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, dont 4,8 milliards*socio=ec alloués officiellement et 1 milliard*socio=rien alloué non officiellement. Le taux*socio=rien de décaissement*socio=ec prévu au titre*socio=rien de ces annonces de contributions*socio=uv révisées est*socio=rien de 75%, soit à peine moins que le taux*socio=rien initialement prévu; plus des deux tiers*socio=rien des décaissements*socio=ec sont consentis sous forme*socio=rien de dons*socio=ec et à titre*socio=rien d'aide*socio=uv non liée à la passation*socio=et de marchés*socio=ec. Pendant les deux *socio=rien premières années du PSA*socio=et (*socio=nil janvier 1988-fin*socio=nil décembre *socio=nil 1989), les décaissements*socio=ec effectués par les donateurs*socio=ac se sont élevés*socio=rien au total*socio=rien à 2,7 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Pour alléger le poids*socio=rien de la dette*socio=ec contractée envers la BIRD*socio=ac par les pays*socio=ac ne pouvant bénéficier que de crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac, la Banque*socio=ac a lancé, pendant l'exercice*socio=rien 89, un*socio=rien programme*socio=et de crédits*socio=ec d'ajustement*socio=et supplémentaires*socio=rien . Au 30 juin*socio=rien 1990, huit *socio=ac pays africains *socio=nil remplissant les conditions*socio=uv requises*socio=rien et bénéficiant tous du*socio=rien PSA*socio=et ont reçu pour 159 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de crédits*socio=ec supplémentaires*socio=rien , soit 80% environ du*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien alloué à l'échelon*socio=rien mondial*socio=te depuis le *socio=rien lancement du programme*socio=et,*socio=nil deux*socio=nil ans *socio=nil plus tôt (Tableau*socio=rien 3-3). Ces fonds*socio=ec ont été*socio=rien complétés par des cofinancements, à hauteur*socio=rien d'un*socio=rien cinquième*socio=rien environ. En mars*socio=rien 1986, le fonds_monétaire_international*socio=ac (FMI*socio=ac) a créé une facilité_d'_ajustement_structurel*socio=et (FAS*socio=ec) pour offrir une assistance*socio=et financière*socio=ec concessionnelle*socio=uv aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec, en proie*socio=rien à des difficultés*socio=rien persistantes de balance_des_paiements*socio=ec et entreprenant des programmes*socio=et d'ajustement_structurel*socio=et. Cette facilité est*socio=rien alimentée par des fonds*socio=ec provenant des remboursements*socio=ec de prêts*socio=ec du*socio=rien *socio=ec fonds fiduciaire,*socio=nil *socio=nil lui-même financé dans les années*socio=rien 70 par des ventes*socio=ec d'or*socio=rien du*socio=rien FMI*socio=ac. En 1987, le FMI*socio=ac a mis en place*socio=rien une facilité_d'_ajustement_structurel_renforcée*socio=ec (FASR*socio=ec), alimentée par des contributions*socio=uv spéciales*socio=rien sous forme*socio=rien de prêts*socio=ec et de dons*socio=ec. Les 62 pays_membres*socio=ac qui sont admis à bénéficier des prêts*socio=ec au titre*socio=rien de la FAS*socio=ec peuvent aussi bénéficier de la FASR*socio=ec. Ensemble*socio=rien , ces deux facilités peuvent fournir 12 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec environ, sous la forme*socio=rien de crédits*socio=ec à dix ans*socio=rien , avec un*socio=rien différé d'amortissement*socio=ec de *socio=rien cinq ans et*socio=nil demi et*socio=nil un taux_d'_intérêt*socio=ec *socio=nil de 0,5%. L'assistance*socio=et fournie par le FMI*socio=ac au titre*socio=rien de la FAS*socio=ec et de la FASR*socio=ec a *socio=rien été un complément important des*socio=nil efforts*socio=uv *socio=nil déployés par la Banque*socio=ac dans le *socio=rien cadre du PSA*socio=et.*socio=nil *socio=nil Dans ce domaine*socio=rien , la collaboration*socio=uv entre la Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac a *socio=rien été étroite et*socio=nil systématique.*socio=nil Le*socio=nil document-cadre*socio=et de*socio=nil politique_économique*socio=et fait partie intégrante des*socio=nil opérations *socio=nil menées dans le cadre*socio=rien de la FAS*socio=ec et de la FASR*socio=ec; ce document*socio=rien , qui est*socio=rien mis au point*socio=rien par les autorités*socio=et du*socio=rien pays*socio=ac avec l'aide*socio=uv des services_de_la_banque*socio=ac et du*socio=rien FMI*socio=ac, définit*socio=rien les objectifs*socio=rien économiques*socio=ec à *socio=rien moyen terme *socio=nil et les mesures*socio=rien de réforme*socio=et prévues. Les pays*socio=ac admis à bénéficier du*socio=rien PSA*socio=et sont également des bénéficiaires*socio=ac de la FAS*socio=ec et de la FASR*socio=ec. A la fin*socio=rien de 1989, 21 arrangements*socio=et au titre*socio=rien de la FAS*socio=ec et 11 arrangements*socio=et au titre*socio=rien de la FASR*socio=ec avaient été*socio=rien approuvés pour 22 pays*socio=ac admis à bénéficier du*socio=rien PSA*socio=et. Le montant*socio=ec brut*socio=rien des décaissements*socio=ec du*socio=rien FMI*socio=ac au titre*socio=rien de la FAS*socio=ec et de la FASR*socio=ec a atteint en moyenne*socio=rien 650 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par an*socio=rien pendant la période*socio=te 1987-89, et devrait représenter *socio=rien un dixième du total des*socio=nil flux*socio=ec d'*socio=nil aide*socio=uv bruts au*socio=nil titre du PSA*socio=et.*socio=nil Le*socio=nil PSA*socio=et *socio=nil a également fait*socio=rien activement progresser les efforts*socio=uv de règlement*socio=et du*socio=rien problème*socio=uv de la dette*socio=ec des *socio=ac pays africains à*socio=nil faible*socio=rien revenu*socio=ec *socio=nil en contribuant à faire reconnaître que, pour assurer un*socio=rien flux*socio=ec suffisant*socio=rien de ressources*socio=ec vers les pays*socio=ac surendettés*socio=ec d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac, il était indispensable*socio=uv d'appliquer une stratégie*socio=et coordonnée, associant aide*socio=uv et allégement*socio=ec de la dette*socio=ec à des *socio=uv conditions concessionnelles.*socio=nil *socio=rien Un grand nombre de*socio=nil donateurs*socio=ac importants *socio=nil ont annoncé qu'ils avaient l'intention*socio=rien de transformer en dons*socio=ec la plupart*socio=rien des prêts*socio=ec existants*socio=rien ou en cours*socio=rien au titre*socio=rien de l'aide_publique_au_développement*socio=et qu'ils avaient consentis à certains pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec. En outre, à partir de 1988, les accords*socio=et officiels*socio=rien de rééchelonnement*socio=ec de la dette*socio=ec sont devenus plus concessionnels*socio=uv et, maintenant, ils s'appliquent en général*socio=rien à une part*socio=rien plus importante*socio=rien des créances*socio=ec. En 1988-89, les créanciers*socio=ac du*socio=rien Club_de_paris*socio=ac ont accepté de rééchelonner plus de 3 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec dus par 15 pays*socio=ac bénéficiant du*socio=rien PSA*socio=et, presque toujours aux conditions*socio=uv convenues *socio=rien lors du sommet_économique*socio=ec de*socio=nil Toronto*socio=ac,*socio=nil en*socio=nil juin *socio=nil 1988. Ces rééchelonnements*socio=ec comportaient en *socio=rien moyenne un élément de*socio=nil don*socio=ec *socio=nil d'environ 20%. La dette*socio=ec contractée ou garantie par les *socio=ac gouvernements africains *socio=nil auprès de banques*socio=ac commerciales*socio=ec *socio=rien est un problème*socio=uv majeur *socio=nil et qui persistera pendant une *socio=rien bonne partie des*socio=nil années *socio=nil 90, pour près de la moitié*socio=rien des pays*socio=ac bénéficiant du*socio=rien PSA*socio=et. La réduction*socio=uv de cette dette*socio=ec par des *socio=ec rachats directs,*socio=nil des*socio=nil échanges de*socio=nil créances *socio=nil ou d'autres formes*socio=rien de conversion*socio=ec permet d'envisager un*socio=rien allégement*socio=ec du*socio=rien fardeau*socio=uv du*socio=rien service*socio=ec futur*socio=rien de la dette*socio=ec pour certains d'entre eux. Pour faciliter ces rachats*socio=ec, la Banque*socio=ac a accepté, pendant l'exercice*socio=rien 90, de créer un*socio=rien fonds*socio=ec mondial*socio=te de désendettement*socio=ec au profit*socio=ec des pays*socio=ac ne pouvant bénéficier que de crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac. Ce fonds*socio=ec, financé en partie*socio=rien par le don*socio=ec de 100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec prélevé sur*socio=rien les recettes*socio=ec de la BIRD*socio=ac, peut être*socio=rien utilisé par les gouvernements*socio=ac des *socio=ac pays bénéficiaires *socio=nil pour racheter les créances*socio=ec extérieures*socio=te non garanties détenues*socio=rien par des banques*socio=ac *socio=ec commerciales privées.*socio=nil Des*socio=nil arrangements*socio=et *socio=nil de ce type*socio=rien sont actuellement en préparation*socio=rien pour le Mozambique*socio=ac et la Bolivie*socio=ac. En mai*socio=rien 1990, le comité_du_développement*socio=ac a accueilli avec satisfaction*socio=uv les *socio=rien diverses mesures *socio=nil proposées pour alléger le fardeau*socio=uv de la dette*socio=ec des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec lourdement endettés. Les pays_membres*socio=ac ont noté que, même avec ces arrangements*socio=et, *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil n'étaient toujours pas assurés de pouvoir*socio=et retrouver bientôt leur viabilité*socio=uv externe*socio=te. Le Comité*socio=rien a demandé à la Banque*socio=ac et au FMI*socio=ac d'entreprendre une évaluation*socio=uv des avantages*socio=rien procurés par les opérations*socio=rien d'allégement*socio=ec de la dette*socio=ec et autres *socio=rien mesures prises *socio=nil jusqu'à présent*socio=rien . Étant donné la *socio=rien faible capacité *socio=nil d'assurer le service_de_la_dette*socio=et de ces pays*socio=ac, les pays_membres*socio=ac ont également estimé que les *socio=rien nouveaux apports d'*socio=nil aide*socio=uv *socio=nil qu'ils s'engagent à fournir aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec lourdement endettés devraient *socio=rien être uniquement *socio=nil assortis des conditions*socio=uv extrêmement libérales*socio=et. Le PSA*socio=et a démontré qu'une bonne*socio=rien coordination*socio=uv entre les donateurs*socio=ac et les créanciers*socio=ac pouvait aider à assurer un*socio=rien flux*socio=ec suffisant*socio=rien d'aide*socio=uv concessionnelle*socio=uv à l'appui*socio=rien de réformes*socio=et et qu'un*socio=rien meilleur*socio=rien échange*socio=ec d'informations*socio=rien entre donateurs*socio=ac permettait d'améliorer la qualité*socio=rien , la rapidité*socio=rien et l'efficacité*socio=uv de l'aide*socio=uv. Tout bien*socio=rien pesé, les résultats*socio=rien obtenus dans les années*socio=rien 80 par les pays*socio=ac bénéficiant du*socio=rien PSA*socio=et tendent à confirmer que des réformes*socio=et *socio=ec économiques énergiques,*socio=nil associées*socio=rien *socio=nil à une aide_extérieure*socio=te suffisante*socio=rien , peuvent aider à améliorer les résultats*socio=rien économiques*socio=ec et à surmonter certains des problèmes_sociaux*socio=et provoqués par la crise*socio=uv économique*socio=ec et financière*socio=ec. Le bilan*socio=rien économique*socio=ec récent*socio=rien des pays*socio=ac bénéficiant du*socio=rien PSA*socio=et *socio=rien est meilleur *socio=nil que celui des autres pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac (y compris de certains emprunteurs*socio=ac de la BIRD*socio=ac dont les politiques*socio=et sont satisfaisantes*socio=rien ). Au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil le*socio=nil produit_intérieur_brut*socio=ec,*socio=nil les*socio=nil exportations*socio=ec,*socio=nil l'*socio=nil investissement*socio=ec,*socio=nil le*socio=nil revenu*socio=ec *socio=nil et la consommation*socio=ec ont, en moyenne*socio=rien , progressé plus vite dans ces pays*socio=ac que dans les autres *socio=ac pays africains.*socio=nil Cette*socio=nil performance*socio=uv supérieure*socio=rien *socio=nil tient à de *socio=rien nombreux facteurs,*socio=nil *socio=nil mais les réformes*socio=et y ont contribué. Note sur*socio=rien l'admissibilité*socio=uv au PSA*socio=et. L'évaluation*socio=uv de la performance*socio=uv économique*socio=ec des pays*socio=ac bénéficiant du*socio=rien PSA*socio=et, en particulier*socio=uv *socio=rien du point de*socio=nil vue des*socio=nil efforts*socio=uv de*socio=nil réformes*socio=et *socio=nil qu'ils ont engagés, est*socio=rien une tâche*socio=rien compliquée, suscitant de nombreuses*socio=rien réserves*socio=uv. Les résultats*socio=rien globaux*socio=ec des pays*socio=ac qui peuvent bénéficier du*socio=rien PSA*socio=et dissimulent une grande*socio=rien disparité*socio=uv, due à ce que leur économie*socio=ec est*socio=rien souvent influencée par de *socio=rien nombreux facteurs,*socio=nil sans*socio=nil rapport *socio=nil avec l'envergure*socio=rien des réformes*socio=et, tels que la gravité des distorsions*socio=uv initiales*socio=rien , les conditions*socio=uv météorologiques, les prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien ou le volume*socio=rien et la rapidité*socio=rien de l'aide_extérieure*socio=te. Les programmes*socio=et de réforme*socio=et peuvent couvrir toute une gamme*socio=rien de politiques*socio=et, et la portée*socio=rien et l'échelonnement*socio=rien des mesures*socio=rien sont adaptées à la situation*socio=uv de chaque pays*socio=ac. La solidité*socio=rien des institutions*socio=ac et *socio=rien du personnel d'*socio=nil encadrement*socio=ec *socio=nil et la qualité*socio=rien de l'administration*socio=et déterminent également avec quelle efficacité*socio=uv les réformes*socio=et sont effectivement mises en oeuvre*socio=rien . Dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien , il faut *socio=rien du temps *socio=nil pour que les réformes*socio=et aient *socio=rien un effet appréciable sur les*socio=nil performances*socio=uv *socio=nil de l'économie*socio=ec. Enfin, on ne peut jamais *socio=rien vraiment savoir *socio=nil quelle aurait été*socio=rien la situation*socio=uv en l'absence*socio=rien de réformes*socio=et. Fin*socio=rien de note. Lors*socio=rien de la réunion*socio=rien qu'il a tenue au printemps*socio=rien 1989, le comité_du_développement*socio=ac a demandé que le PSA*socio=et soit maintenu au-delà de 1990, et lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien organisée en octobre*socio=rien 1989 à Paris*socio=ac, les donateurs*socio=ac participants*socio=rien ont arrêté les *socio=rien grandes lignes d'*socio=nil un deuxième PSA*socio=et *socio=nil pour la période*socio=te triennale 1991-93, en gardant à peu près les mêmes critères*socio=rien d'admissibilité*socio=uv que ceux qui avaient *socio=rien été retenus *socio=nil pendant la première*socio=rien phase*socio=te du*socio=rien programme*socio=et. Note sur*socio=rien le critère*socio=rien de pauvreté*socio=uv et l'admissibilité*socio=uv au PSA*socio=et. Le critère*socio=rien de pauvreté*socio=uv reste*socio=rien le même. En revanche, le degré*socio=rien d'endettement*socio=ec *socio=rien est défini *socio=nil avec plus de souplesse*socio=uv que dans la première*socio=rien phase*socio=te du*socio=rien PSA*socio=et, de manière*socio=rien à tenir compte*socio=rien des *socio=rien différents facteurs *socio=nil pouvant influer sur*socio=rien le poids*socio=rien de la dette*socio=ec; le critère*socio=rien des efforts*socio=uv d'ajustement*socio=et *socio=rien est inchangé,*socio=nil *socio=nil mais une attention*socio=rien particulière*socio=uv peut être*socio=rien accordée à la *socio=rien composition souhaitable du programme*socio=et de*socio=nil dépenses_publiques*socio=et.*socio=nil Fin *socio=nil de note. Le second*socio=rien PSA*socio=et devait continuer de maintenir un*socio=rien flux*socio=ec suffisant*socio=rien de ressources*socio=ec à l'appui*socio=rien des efforts*socio=uv d'ajustement*socio=et entrepris par les pays*socio=ac pouvant en bénéficier, d'améliorer la qualité*socio=rien de l'aide*socio=uv à l'ajustement*socio=et offerte*socio=rien par les donateurs*socio=ac et créanciers*socio=ac, et de favoriser un*socio=rien plus large*socio=rien échange*socio=ec d'informations*socio=rien entre donateurs*socio=ac en vue*socio=rien d'une action*socio=rien concertée dans un*socio=rien plus *socio=rien grand nombre de*socio=nil domaines *socio=nil concernant l'ajustement*socio=et, conformément aux *socio=rien recommandations du rapport *socio=nil intitulé L'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac: De la crise*socio=uv à une croissance*socio=uv durable*socio=rien . En mai*socio=rien 1990, le comité_du_développement*socio=ac s'est*socio=rien félicité de l'accord*socio=et de principe*socio=rien donné par les donateurs*socio=ac pour l'extension*socio=rien du*socio=rien PSA*socio=et et a instamment prié ceux-ci d'indiquer, lors*socio=rien de la réunion*socio=rien des donateurs*socio=ac participant*socio=rien au PSA*socio=et, prévue à l'automne*socio=rien 1990, le volume*socio=rien de l'aide*socio=uv à l'ajustement*socio=et qu'ils consentiraient pour la période*socio=te 1991-93. Les *socio=rien membres du Comité *socio=nil ont également proposé que les donateurs*socio=ac saisissent cette occasion*socio=rien pour poursuivre l'examen*socio=rien de mesures*socio=rien déliant de toute condition*socio=rien les achats*socio=ec découlant de leurs engagements*socio=ec au *socio=rien titre du PSA*socio=et *socio=nil et pour harmoniser davantage les procédures*socio=rien de passation_des_marchés*socio=ec et de décaissement*socio=ec. Réunis à Paris*socio=ac en juin*socio=rien 1990, les donateurs*socio=ac participant*socio=rien au PSA*socio=et ont non seulement confirmé leur accord*socio=et de principe*socio=rien , mais aussi approuvé sans réserve*socio=uv la *socio=rien poursuite du programme*socio=et.*socio=nil *socio=nil Ils sont convenus que les besoins*socio=uv estimatifs*socio=rien de financement*socio=ec à des fins*socio=rien d'ajustement*socio=et des pays*socio=ac susceptibles*socio=rien de bénéficier du*socio=rien programme*socio=et pendant la période*socio=te 1991-93 étaient une *socio=rien bonne base de*socio=nil départ *socio=nil pour justifier *socio=rien un second PSA*socio=et.*socio=nil *socio=nil Ils se sont également engagés à coopérer de façon*socio=rien plus étroite*socio=rien dans le *socio=rien cadre du programme*socio=et,*socio=nil *socio=nil et notamment à prendre des mesures*socio=rien plus vigoureuses*socio=rien pour améliorer la qualité*socio=rien de l'aide*socio=uv et à redoubler d'efforts*socio=uv pour élargir le débat*socio=et sur*socio=rien les questions*socio=rien de développement*socio=uv liées à l'ajustement*socio=et. Pour couvrir les besoins*socio=uv de financement*socio=ec afférents*socio=rien au second*socio=rien PSA*socio=et, la Banque*socio=ac a estimé que les donateurs*socio=ac devront s'engager à fournir 8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec environ de nouveaux*socio=rien engagements*socio=ec au titre*socio=rien de l'aide*socio=uv à l'ajustement*socio=et. En valeur*socio=ec réelle*socio=rien , cela représenterait une augmentation*socio=uv de 10% par rapport*socio=rien aux engagements*socio=ec initiaux*socio=rien au *socio=rien titre du PSA*socio=et.*socio=nil Les*socio=nil donateurs*socio=ac *socio=nil annonceront officiellement leur contribution*socio=uv lors*socio=rien d'une réunion*socio=rien prévue en novembre*socio=rien 1990. Aux termes*socio=rien de l'accord*socio=et sur*socio=rien la *socio=rien Neuvième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil de l'IDA*socio=ac (IDA-9*socio=ac), le montant*socio=ec total*socio=rien des engagements*socio=ec à l'appui*socio=rien de l'ajustement*socio=et en *socio=ac Afrique subsaharienne *socio=nil devrait s'élever à 3 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec environ, y compris les crédits*socio=ec supplémentaires*socio=rien , pendant les exercices*socio=rien 91 à 93. Avec les engagements*socio=ec antérieurs*socio=te, ces nouveaux*socio=rien engagements*socio=ec permettraient à l'IDA*socio=ac de décaisser environ 3,2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec pendant la période*socio=te considérée. Note sur*socio=rien l'admissibilité*socio=uv au PSA*socio=et. Le nombre*socio=rien de pays*socio=ac bénéficiant de la seconde phase*socio=te du*socio=rien PSA*socio=et changera vraisemblablement*socio=rien . Pour les pays*socio=ac, parmi les 23 actuellement admissibles, qui ne peuvent pas poursuivre un*socio=rien programme*socio=et de réforme*socio=et satisfaisant*socio=rien , le soutien*socio=uv à l'ajustement*socio=et serait différé. Si aucun *socio=ac pays bénéficiaire du*socio=rien PSA*socio=et *socio=nil ne semble devoir*socio=rien changer de statut*socio=rien au cours*socio=rien des trois années*socio=rien considérées, les besoins*socio=uv de certains pourraient diminuer (le Ghana*socio=ac, par exemple*socio=rien , s'attend à une diminution*socio=rien de ses paiements*socio=ec au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et)*socio=nil *socio=nil . D'autres pays*socio=ac pourraient être*socio=rien admis à bénéficier du*socio=rien PSA*socio=et s'ils renforcent leurs programmes*socio=et de réforme*socio=et. Fin*socio=rien de note. En outre, pendant la période*socio=te 1991-93, les efforts*socio=uv de réduction*socio=uv de la *socio=ec dette commerciale *socio=nil et des paiements*socio=ec au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et *socio=nil seront regroupés sous l'égide*socio=rien du*socio=rien PSA*socio=et. Cela devrait permettre d'opérer des restructurations*socio=uv de la dette*socio=ec plus complètes et plus efficaces*socio=uv et de réduire les marges sur*socio=rien les *socio=ec crédits commerciaux,*socio=nil *socio=nil ainsi que les obstacles*socio=rien à l'investissement*socio=ec étranger*socio=te, grâce*socio=rien au rétablissement*socio=rien de *socio=rien relations normales *socio=nil avec les créanciers*socio=ac. L'extinction*socio=rien de la *socio=ec dette commerciale *socio=nil des 22 pays*socio=ac initialement bénéficiaires*socio=ac du*socio=rien PSA*socio=et par des rachats*socio=ec au comptant pourrait coûter de 200 à 300 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, en fonction*socio=rien de la décote*socio=ec des créances*socio=ec. Cette *socio=rien composante du programme*socio=et *socio=nil serait financée en partie*socio=rien par le fonds*socio=ec de 100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec administré*socio=rien par l'IDA*socio=ac en vue*socio=rien de la réduction*socio=uv de la *socio=ec dette commerciale et*socio=nil du*socio=rien service *socio=nil de cette dette*socio=ec et par un*socio=rien cofinancement*socio=ec associé*socio=rien . Les autres éléments*socio=rien de financement*socio=ec de la seconde phase*socio=te du*socio=rien PSA*socio=et comprendraient, comme par le passé*socio=rien , des crédits*socio=ec d'ajustement*socio=et supplémentaires*socio=rien de l'IDA*socio=ac, des concours concessionnels*socio=uv du*socio=rien FMI*socio=ac et un*socio=rien allégement*socio=ec de la dette_publique*socio=et à des *socio=uv conditions concessionnelles.*socio=nil L'*socio=nil aide offerte*socio=rien *socio=nil dans le *socio=rien cadre du PSA*socio=et *socio=nil peut contribuer à assurer un*socio=rien financement*socio=ec suffisant*socio=rien pour combler les déficits*socio=ec de balance_des_paiements*socio=ec projetés dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien *socio=ec revenu surendettés *socio=nil pour la période*socio=te 1991-93, ce qui les mettra sur*socio=rien la voie*socio=rien d'une croissance*socio=uv accélérée. La communauté*socio=ac des donateurs*socio=ac devra également veiller à ce que les fonds*socio=ec destinés à des projets*socio=rien d'investissement*socio=ec dans ces pays*socio=ac continuent d'augmenter, surtout dans des domaines*socio=rien tels que la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec. Initiatives*socio=rien dans une Europe*socio=ac à l'heure*socio=rien des réformes*socio=et. Au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée, l'europe_de_l'_est*socio=ac et l'Europe*socio=ac centrale*socio=rien ont été*socio=rien le théâtre de *socio=rien profonds bouleversements *socio=nil qui ont transformé la carte*socio=rien politique*socio=et de la Bulgarie*socio=ac, de la Hongrie*socio=ac, de la Pologne*socio=ac, de la République*socio=ac démocratique*socio=uv allemande*socio=ac, de la Roumanie*socio=ac et de la Tchécoslovaquie*socio=ac. La réforme*socio=et économique*socio=ec s'est*socio=rien accélérée et a pris de l'ampleur*socio=rien , non seulement *socio=rien du point de*socio=nil vue du nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui s'y sont ralliés, mais aussi *socio=rien du point de*socio=nil vue *socio=nil de la portée*socio=rien des changements*socio=uv en cours*socio=rien là où des réformes*socio=et étaient déjà engagées. Pendant l'année*socio=rien , d'autres *socio=rien événements marquants *socio=nil se sont produits*socio=rien dans la région*socio=te de l'europe_de_l'_est*socio=ac et de l'Europe*socio=ac centrale*socio=rien . Des initiatives*socio=rien ont notamment *socio=rien été prises *socio=nil pour modifier le régime*socio=et commercial*socio=ec des pays*socio=ac appartenant au conseil_d'_assistance_économique_mutuelle*socio=ac (CAEM*socio=ac ou COMECON*socio=ac). La réforme*socio=et envisagée irait dans le *socio=rien sens du règlement*socio=et des*socio=nil échanges*socio=ec en*socio=nil monnaie*socio=ec *socio=nil convertible et sur*socio=rien la base*socio=rien des prix*socio=ec mondiaux*socio=te. La Bulgarie*socio=ac et la Tchécoslovaquie*socio=ac ont demandé à adhérer au fonds_monétaire_international*socio=ac et à la banque_mondiale*socio=ac et la Roumanie*socio=ac est*socio=rien redevenue *socio=rien membre actif *socio=nil de la Banque*socio=ac. Des missions exploratoires ont eu lieu*socio=rien dans chacun de ces pays*socio=ac et des missions économiques*socio=ec ont été*socio=rien envoyées en Bulgarie*socio=ac et en Tchécoslovaquie*socio=ac. Le programme*socio=et de réforme*socio=et économique*socio=ec est*socio=rien complexe et les difficultés*socio=rien économiques*socio=ec sont telles, en particulier*socio=uv dans les pays*socio=ac les plus endettés, qu'il faut procéder d'urgence*socio=rien à des *socio=et réformes politiques et*socio=nil institutionnelles*socio=ac sur*socio=rien plusieurs*socio=nil fronts*socio=rien *socio=nil à la fois*socio=rien . Le plus urgent*socio=uv, à court_terme*socio=ec, dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, est*socio=rien de rétablir la stabilité*socio=uv macroéconomique*socio=ec. Cela suppose non seulement le recours*socio=rien aux *socio=rien mesures classiques -*socio=nil *socio=et ajustement budgétaire et*socio=nil monétaire*socio=ec et*socio=nil ajustement de*socio=nil change*socio=rien *socio=nil - mais aussi la mise en oeuvre*socio=rien de réformes*socio=et institutionnelles*socio=ac et structurelles*socio=ec pour rendre les entreprises*socio=ac réceptives aux signaux*socio=rien donnés par les prix*socio=ec du*socio=rien marché*socio=ec. L'une des *socio=rien principales difficultés est *socio=nil d'appliquer les réformes_structurelles*socio=ec nécessaires*socio=rien pour stimuler l'offre*socio=rien grâce*socio=rien à la stabilisation*socio=et de l'économie*socio=ec, sans que cela se solde*socio=ec par des taux*socio=rien d'inflation*socio=ec et de chômage*socio=ec intolérables. Les politiques*socio=et d'ajustement*socio=et actuellement poursuivies comportent des *socio=rien mesures destinées *socio=nil à renforcer la discipline*socio=uv financière*socio=ec des entreprises*socio=ac, à encourager l'initiative*socio=rien privée*socio=ec, à stimuler la concurrence*socio=ec par la libéralisation*socio=ec des importations*socio=ec et le démantèlement*socio=ec des monopoles*socio=ec, et à encourager, dans toute la *socio=rien mesure possible,*socio=nil la*socio=nil mobilité*socio=uv *socio=nil de la main-d'_oeuvre*socio=ac et des capitaux*socio=ec. Ces réformes_structurelles*socio=ec doivent elles-mêmes s'accompagner de mesures*socio=rien de protection_sociale*socio=et appropriées pour faire en sorte*socio=rien que la baisse*socio=rien des salaires*socio=ec réels*socio=rien et la montée du*socio=rien chômage*socio=ec inévitablement liées aux premières*socio=rien phases*socio=te de la réforme*socio=et n'aient pas des effets*socio=rien trop *socio=rien négatifs sur le*socio=nil niveau_de_vie*socio=uv *socio=nil de la population*socio=ac et n'ébranlent pas la confiance*socio=uv des citoyens*socio=et dans les nouveaux*socio=rien dirigeants*socio=ac. En plus des mesures*socio=rien visant à améliorer la gestion*socio=et macroéconomique*socio=ec pendant la période*socio=te difficile*socio=rien de transition*socio=uv, le programme*socio=et de réforme*socio=et en europe_de_l'_est*socio=ac et en Europe*socio=ac centrale*socio=rien prévoit a) la transformation*socio=uv *socio=rien du système *socio=nil établi, tâche*socio=rien colossale s'il en est*socio=rien , pour poser les fondements*socio=uv d'une économie_de_marché*socio=ec; b) la création*socio=rien de filets*socio=rien de sécurité_sociale*socio=et en dehors des entreprises*socio=ac - jusque-là garantes du*socio=rien plein_emploi*socio=ec - et d'autres mécanismes*socio=rien d'aide_sociale*socio=et; c) une amélioration*socio=uv de la gestion*socio=et de l'environnement*socio=ec; et d) les tâches*socio=rien plus classiques*socio=rien de réhabilitation*socio=uv et de modernisation*socio=ec de l'infrastructure*socio=ec économique*socio=ec et sociale*socio=ac. La réalisation*socio=uv de ces objectifs*socio=rien exige: - une réforme*socio=et *socio=rien du système des*socio=nil entreprises*socio=ac d'*socio=nil État*socio=ac,*socio=nil *socio=nil par l'encouragement*socio=rien de la concurrence*socio=ec, la transformation*socio=uv de ces entreprises*socio=ac en sociétés*socio=ac au capital*socio=ec nettement structuré, la privatisation*socio=et et l'adoption*socio=et de méthodes*socio=rien de gestion*socio=et modernes*socio=uv; - le développement*socio=uv des institutions*socio=ac et des *socio=rien mécanismes du marché*socio=ec,*socio=nil *socio=nil allant de la création*socio=rien d'un*socio=rien réseau*socio=rien de banques*socio=ac *socio=ec commerciales concurrentielles *socio=nil et d'une banque_centrale*socio=ac indépendante*socio=et à l'instauration*socio=et d'un*socio=rien système*socio=rien budgétaire*socio=et et de *socio=rien méthodes statistiques et*socio=nil comptables *socio=nil diversifiés ainsi que d'un*socio=rien cadre*socio=rien juridique*socio=et et réglementaire*socio=et approprié; - la refonte*socio=uv des mécanismes*socio=rien de protection_sociale*socio=et - sécurité_sociale*socio=et, allocations*socio=et de chômage*socio=ec, soins_de_santé*socio=et, logement*socio=ec et éducation*socio=et notamment - afin d'améliorer le niveau*socio=rien de prestation*socio=et des services*socio=ec tout en réduisant le rôle*socio=rien de l'État*socio=ac dans l'économie*socio=ec et en renforçant la participation*socio=uv et l'autonomie*socio=uv des individus*socio=ac et des collectivités_locales*socio=ac; - l'assainissement*socio=uv de l'environnement*socio=ec, indispensable*socio=uv pour rétablir l'efficacité*socio=uv économique*socio=ec et améliorer la qualité_de_la_vie*socio=uv; et - la réhabilitation*socio=uv et la modernisation*socio=ec de l'infrastructure*socio=ec physique*socio=rien , en particulier*socio=uv des moyens*socio=ec de communication*socio=et, pour soutenir comme il convient le développement*socio=uv de l'économie*socio=ec et son intégration*socio=uv à l'économie*socio=ec mondiale*socio=te. Telles sont les *socio=rien grandes lignes des*socio=nil programmes*socio=et de*socio=nil réformes*socio=et *socio=nil envisagés dans ces pays*socio=ac, mais la situation*socio=uv des pays*socio=ac diffère considérablement*socio=rien en fonction*socio=rien de leur *socio=ec structure économique,*socio=nil *socio=nil de leur niveau*socio=rien de développement*socio=uv, de leur degré*socio=rien d'endettement*socio=ec extérieur*socio=ec et de leur dépendance*socio=uv vis-à-vis du*socio=rien COMECON*socio=ac. La grande*socio=rien disparité*socio=uv de ces pays*socio=ac tient aussi à leurs systèmes*socio=rien d'éducation*socio=et et de formation*socio=et, qui déterminent leur aptitude*socio=rien à s'adapter*socio=rien aux exigences*socio=uv d'une économie_de_marché*socio=ec. Pour aider à résoudre les problèmes*socio=uv posés par la transformation*socio=uv des économies*socio=ec socialistes*socio=ac en économies_de_marché*socio=ec, non seulement le travail*socio=rien d'analyse*socio=rien économique*socio=ec et sectorielle*socio=rien a été*socio=rien intensifié dans les services_de_la_banque*socio=ac chargés de la région*socio=te Europe*socio=ac, Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te, mais une unité*socio=uv spécialisée*socio=rien dans les questions*socio=rien de réforme*socio=et des économies*socio=ec socialistes*socio=ac a été*socio=rien créée au sein*socio=rien de la Banque*socio=ac. Elle s'occupe de renforcer et d'encourager la recherche*socio=ec menée par d'autres - tant à l'intérieur*socio=rien qu'à l'extérieur*socio=ec de la Banque*socio=ac - sur*socio=rien les programmes*socio=et de réforme*socio=et des *socio=ac pays socialistes *socio=nil et elle assure l'échange*socio=ec d'informations*socio=rien sur*socio=rien les études*socio=rien entreprises*socio=ac, leurs auteurs*socio=rien et le lieu*socio=rien où elles sont réalisées. Mais cette unité*socio=uv effectue aussi elle-même des analyses*socio=rien . En supervisant et en coordonnant le travail*socio=rien entrepris à la Banque*socio=ac et ailleurs*socio=rien , elle permet d'éviter les doubles emplois*socio=ec et d'identifier les lacunes*socio=rien dans les connaissances*socio=rien . Outre l'europe_de_l'_est*socio=ac et l'Europe*socio=ac centrale*socio=rien , cette unité*socio=uv s'occupe aussi de la Chine*socio=ac, de la république_démocratique_populaire_lao*socio=ac, du*socio=rien Vietnam*socio=ac et de plusieurs *socio=ac pays africains.*socio=nil *socio=nil Malgré les profondes*socio=rien différences*socio=uv structurelles*socio=ec existant*socio=rien entre tous ces pays*socio=ac, les leçons*socio=rien dégagées de l'expérience*socio=uv de l'europe_de_l'_est*socio=ac et l'Europe*socio=ac centrale*socio=rien sont importantes*socio=rien pour la mise en oeuvre*socio=rien de réformes*socio=et en dehors de l'Europe*socio=ac. En février*socio=rien 1990, le Gouvernement*socio=ac polonais a obtenu, à l'appui*socio=rien de ses efforts*socio=uv de stabilisation*socio=et, un*socio=rien accord*socio=et de *socio=rien confirmation du FMI*socio=ac et*socio=nil un rééchelonnement*socio=ec *socio=nil de sa dette*socio=ec auprès du*socio=rien Club_de_paris*socio=ac. Ces accords*socio=et lui ont permis*socio=rien d'obtenir*socio=rien des prêts*socio=ec de la banque_mondiale*socio=ac, qui a approuvé pendant l'année*socio=rien des engagements*socio=ec totalisant 781 millions*socio=rien de dollars*socio=ec dans les domaines*socio=rien de l'agro-industrie, des industries*socio=ec d'exportation*socio=ec, d es transports*socio=ec, de l'énergie*socio=ec et de la lutte*socio=uv antipollution*socio=et. En outre, la Banque*socio=ac a ouvert*socio=rien une mission*socio=rien résidente*socio=te à Varsovie pour faciliter le dialogue*socio=uv sur*socio=rien la stratégie*socio=et de développement*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac. En mars*socio=rien 1990, la Hongrie*socio=ac a conclu avec le FMI*socio=ac un*socio=rien accord*socio=et de confirmation*socio=rien portant essentiellement sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec et les taux_d'_intérêt*socio=ec, ainsi que sur*socio=rien les mesures*socio=rien budgétaires*socio=et. En juin*socio=rien , la Banque*socio=ac a approuvé un*socio=rien prêt*socio=ec à l'ajustement_structurel*socio=et à l'appui*socio=rien des efforts*socio=uv entrepris par le gouvernement*socio=ac pour opérer d'autres réformes_structurelles*socio=ec de taille, telles que la privatisation*socio=et de certaines*socio=rien entreprises*socio=ac d'État*socio=ac, la liquidation*socio=et des activités*socio=rien déficitaires*socio=ec et l'introduction*socio=rien de certaines*socio=rien réformes*socio=et sociales*socio=ac. Cette opération*socio=rien d'ajustement*socio=et a été*socio=rien complétée par *socio=rien un projet *socio=nil visant à moderniser le système*socio=rien financier*socio=ec - et à consolider de ce fait*socio=rien le *socio=ec secteur bancaire *socio=nil et le marché_financier*socio=ec - et par *socio=rien un projet *socio=nil intégré d'exportations*socio=ec agricoles*socio=ec destiné à encourager les petites*socio=rien *socio=ec exploitations privées *socio=nil et la restructuration*socio=uv des coopératives*socio=ac agricoles*socio=ec. La Yougoslavie*socio=ac se distingue de ces pays*socio=ac de par son emplacement*socio=rien géographique*socio=te et la durée*socio=rien de ses réformes*socio=et. L'aide*socio=uv apportée par la Banque*socio=ac au financement*socio=ec du*socio=rien programme*socio=et de réforme*socio=et du*socio=rien pays*socio=ac remonte à juillet*socio=rien 1983, date d'approbation*socio=uv *socio=rien du premier prêt*socio=ec d'*socio=nil ajustement_structurel*socio=et.*socio=nil *socio=nil Pendant l'exercice*socio=rien 90, la Yougoslavie*socio=ac a beaucoup intensifié ses efforts*socio=uv de réforme*socio=et. Lancé en mars*socio=rien 1990, le programme*socio=et de stabilisation*socio=et du*socio=rien gouvernement*socio=ac a été*socio=rien soutenu par un*socio=rien accord*socio=et de *socio=rien confirmation du FMI*socio=ac *socio=nil et par *socio=rien un deuxième prêt*socio=ec d'*socio=nil ajustement_structurel*socio=et *socio=nil de la Banque*socio=ac. Les mesures*socio=rien de réforme*socio=et soutenues par le prêt*socio=ec visent à libéraliser plus avant le régime*socio=et des prix*socio=ec et des échanges*socio=ec, et à assurer le *socio=rien bon fonctionnement d'*socio=nil un système de*socio=nil change compétitif*socio=uv.*socio=nil *socio=nil Qui plus est*socio=rien , le prêt*socio=ec soutient l'initiative*socio=rien ambitieuse prise*socio=rien par le gouvernement*socio=ac de restructurer les systèmes*socio=rien des entreprises*socio=ac financières*socio=ec et sociales*socio=ac et de renforcer de *socio=rien façon générale la*socio=nil rigueur*socio=uv *socio=nil de leur gestion*socio=et au sein*socio=rien de l'économie*socio=ec, tout en contribuant à améliorer le système*socio=rien de protection_sociale*socio=et du*socio=rien pays*socio=ac. Un*socio=rien prêt*socio=ec d'ajustement*socio=et du*socio=rien *socio=ec secteur financier,*socio=nil *socio=nil dont le *socio=rien préparation est *socio=nil maintenant assez avancée, vise à favoriser davantage le renforcement*socio=uv en profondeur*socio=rien des mesures*socio=rien d'adaptation*socio=uv de l'offre*socio=rien prises*socio=rien par le pays*socio=ac, en mettant l'accent*socio=rien sur*socio=rien la mise en oeuvre*socio=rien de la restructuration*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur financier et*socio=nil sur*socio=rien la*socio=nil restructuration*socio=uv *socio=nil ou la liquidation*socio=et de certaines*socio=rien des *socio=ac entreprises sociales *socio=nil les plus déficitaires*socio=ec. Des *socio=rien travaux préparatoires *socio=nil ont également été*socio=rien entrepris pour aider le gouvernement*socio=ac dans la campagne*socio=rien qu'il a lancée pour promouvoir le développement*socio=uv de la petite*socio=rien et moyenne*socio=rien entreprise*socio=ac, surtout dans le secteur_privé*socio=ec. Priorités*socio=uv opérationnelles*socio=rien : la dette*socio=ec et l'ajustement*socio=et. C'est*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 90 que le soutien*socio=uv de la banque_mondiale*socio=ac au programme*socio=et de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et, (dit Plan*socio=rien Brady*socio=et), a pu être*socio=rien testé, pour la *socio=rien première fois,*socio=nil *socio=nil pendant une année*socio=rien complète. Élaboré au printemps*socio=rien 1989, ce programme*socio=et vise à renforcer la stratégie*socio=et de la dette*socio=ec à l'égard*socio=rien des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés en soutenant officiellement les opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et librement décidées par les banques*socio=ac commerciales*socio=ec, en complément*socio=rien de mesures*socio=rien d'ajustement*socio=et, de nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec par ces banques*socio=ac, d'investissements*socio=ec et *socio=rien du rapatriement des*socio=nil capitaux*socio=ec *socio=nil enfuis. Globalement, il y a lieu*socio=rien de se féliciter des résultats*socio=rien obtenus jusqu'à présent*socio=rien . Le nouveau*socio=rien programme*socio=et est*socio=rien une innovation*socio=uv majeure*socio=rien dans la stratégie*socio=et de la dette*socio=ec et il doit être*socio=rien considéré comme un*socio=rien pas important*socio=rien vers le règlement*socio=et des problèmes*socio=uv de *socio=ec financement extérieur *socio=nil auxquels les pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés ont été*socio=rien confrontés pendant la *socio=rien majeure partie des*socio=nil années *socio=nil 80. La dette*socio=ec et le service_de_la_dette*socio=et des pays*socio=ac participants*socio=rien ont été*socio=rien sensiblement réduits et des instruments*socio=rien financiers*socio=ec entièrement nouveaux*socio=rien ont été*socio=rien créés. La plupart*socio=rien des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés ont manifesté *socio=rien un vif intérêt*socio=uv *socio=nil pour le programme*socio=et et ont discuté avec la Banque*socio=ac *socio=rien du volume *socio=nil et des conditions*socio=uv d'un*socio=rien tel soutien*socio=uv. Cela est*socio=rien même le cas*socio=rien de pays*socio=ac qui n'ont pas encore engagé de négociations*socio=uv avec leurs créanciers*socio=ac commerciaux*socio=ec. Le programme*socio=et a donc eu pour effet*socio=rien d'encourager davantage les gouvernements*socio=ac des pays_membres*socio=ac à entreprendre ou à poursuivre des programmes*socio=et d'ajustement_structurel*socio=et visant à la croissance*socio=uv. Conformément aux directives*socio=rien de mai*socio=rien 1989 concernant la participation*socio=uv de la Banque*socio=ac au programme*socio=et révisé de stratégie*socio=et de la dette*socio=ec, les opérations*socio=rien réalisées dans le *socio=rien cadre du nouveau programme*socio=et *socio=nil doivent aboutir à des montages financiers*socio=ec satisfaisants*socio=rien et appropriés pour les pays*socio=ac concernés. Il faut aussi que l'on puisse s'appuyer raisonnablement sur*socio=rien l'assurance*socio=uv que les exigences*socio=uv du*socio=rien programme*socio=et d'ajustement*socio=et et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et seront supportables*socio=rien à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Quatre*socio=nil accords*socio=et *socio=nil visant à alléger le service_de_la_dette*socio=et ont été*socio=rien conclus - avec le Mexique*socio=ac, les Philippines*socio=ac, le costa_rica*socio=ac et le Venezuela*socio=ac - dans les quatre cas*socio=rien , avec l'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac. En outre, le Maroc*socio=ac a conclu un*socio=rien accord*socio=et de principe*socio=rien avec ses créanciers*socio=ac commerciaux*socio=ec. L'accord*socio=et avec le Mexique*socio=ac, conclu en septembre*socio=rien 1989, prévoit l'allégement*socio=ec d'environ la moitié*socio=rien de la dette*socio=ec *socio=rien totale du pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil par l'apport*socio=rien d'argent*socio=ec frais*socio=ec et la conversion*socio=ec de la dette*socio=ec, les banques*socio=ac ayant le choix*socio=uv entre l'apport*socio=rien d'argent*socio=ec frais*socio=ec et la conversion*socio=ec de leurs créances*socio=ec rééchelonnées en obligations*socio=uv à 30 ans*socio=rien , soit à valeur*socio=ec faciale réduite et aux taux_d'_intérêt*socio=ec du*socio=rien marché*socio=ec, soit sans décote*socio=ec mais à des taux_d'_intérêt*socio=ec réduits et fixes. Le principal*socio=rien de ces instruments*socio=rien a été*socio=rien annulé en échange*socio=ec de titres*socio=rien à coupon *socio=rien zéro du Trésor*socio=ec des*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil - ou leur équivalent*socio=rien en d'autres monnaies*socio=ec - et une garantie a *socio=rien été offerte *socio=nil pour le paiement*socio=ec de 18 mois*socio=rien d'intérêts*socio=ec. Le plan*socio=rien prévoit en outre le *socio=rien recouvrement partiel des*socio=nil intérêts*socio=ec *socio=nil par les banques*socio=ac si les *socio=ec recettes pétrolières *socio=nil augmentent au-delà d'un*socio=rien *socio=rien certain niveau *socio=nil convenu. Le Mexique*socio=ac est*socio=rien également autorisé à procéder à des rachats*socio=ec ou à d'autres conversions de dettes*socio=ec s'il est*socio=rien à jour*socio=rien dans ses échéances*socio=te, et il peut contracter de nouveaux*socio=rien emprunts*socio=ec. Ces allégements*socio=rien devaient être*socio=rien financés au moyen*socio=rien des propres*socio=rien réserves*socio=ec du*socio=rien Mexique*socio=ac et de ressources*socio=ec empruntées auprès du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac et de la BIRD*socio=ac et, indirectement, de l'Export Import Bank*socio=ac du*socio=rien Japon*socio=ac. La BIRD*socio=ac a mis en réserve*socio=ec 750 millions*socio=rien de dollars*socio=ec d'engagements*socio=ec dans le cadre*socio=rien de plusieurs opérations*socio=rien en vue*socio=rien de réduire le principal*socio=rien de la dette*socio=ec. Elle a également consenti un*socio=rien prêt*socio=ec de 1,26 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec, dont 300 millions*socio=rien de dollars*socio=ec seront mis en réserve*socio=ec dans le cadre*socio=rien d'opérations*socio=rien futures*socio=rien , pour garantir le paiement*socio=ec des intérêts*socio=ec. L'accord*socio=et de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec conclu avec les Philippines*socio=ac en octobre*socio=rien 1989 était moins complexe. Il proposait aux banques*socio=ac soit de céder leurs créances*socio=ec au Gouvernement*socio=ac philippin avec une décote*socio=ec de 50%, soit d'apporter de l'argent*socio=ec frais*socio=ec. A l'appui*socio=rien de cette opération*socio=rien , la BIRD*socio=ac a accordé un*socio=rien prêt*socio=ec de 200 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour aider les Philippines*socio=ac à racheter une partie*socio=rien de leur dette*socio=ec. C'était le premier*socio=rien prêt*socio=ec exclusivement destiné par la BIRD*socio=ac à la réduction*socio=uv de la dette*socio=ec. Cet accord*socio=et donnait aux petits*socio=rien créanciers*socio=ac, peu engagés à long_terme*socio=ec dans le pays*socio=ac, la possibilité*socio=rien de passer une fois*socio=rien pour toute par pertes*socio=ec et profits*socio=ec une partie*socio=rien de leurs créances*socio=ec, tandis que le groupe*socio=ac des principaux*socio=rien créanciers*socio=ac, ayant des intérêts*socio=ec à long_terme*socio=ec dans le pays*socio=ac, pouvait accorder de nouveaux*socio=rien crédits*socio=ec et maintenir la valeur*socio=ec faciale de leurs créances*socio=ec. Après*socio=rien de longues*socio=rien négociations*socio=uv, compliquées par l'existence*socio=rien d'arriérés, le costa_rica*socio=ac est*socio=rien parvenu, en novembre*socio=rien 1989, à un*socio=rien accord*socio=et global*socio=rien et concerté avec ses créanciers*socio=ac commerciaux*socio=ec. Cet accord*socio=et, signé en mai*socio=rien 1990, prévoit une réduction*socio=uv de près de 75% du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et contractuelle du*socio=rien pays*socio=ac grâce*socio=rien à la cession*socio=rien au costa_rica*socio=ac par les banques*socio=ac d'une *socio=rien bonne partie *socio=nil de leurs créances*socio=ec (y compris les arriérés) à ce pays*socio=ac, avec une forte*socio=rien décote*socio=ec, le *socio=rien reste devant être *socio=nil échangé contre des obligations*socio=uv à long_terme*socio=ec à taux*socio=rien réduit moyennant la garantie du*socio=rien paiement*socio=ec d'une partie*socio=rien des intérêts*socio=ec (12 à 18 mois*socio=rien ). Le pays*socio=ac n'a pas demandé de nouveaux*socio=rien crédits*socio=ec et l'accord*socio=et devait permettre aux banques*socio=ac commerciales*socio=ec qui le souhaitaient de se retirer. Pour sa part*socio=rien , la BIRD*socio=ac a consenti une dérogation*socio=et à la clause*socio=et pari passu pour la garantie des intérêts*socio=ec, comme elle l'avait fait*socio=rien dans le *socio=rien cas du Mexique*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil Venezuela*socio=ac *socio=nil et ses *socio=ac banques créancières *socio=nil se sont entendus en juin*socio=rien 1990 *socio=rien sur un accord*socio=et global de*socio=nil financement*socio=ec.*socio=nil Cet*socio=nil accord*socio=et offre la*socio=nil carte d'*socio=nil options *socio=nil la plus vaste*socio=rien à ce jour*socio=rien , dont l'octroi*socio=rien d'argent*socio=ec frais*socio=ec, des rachats*socio=ec au comptant, des obligations*socio=uv avec réduction*socio=uv du*socio=rien principal*socio=ec, des obligations*socio=uv avec réduction*socio=uv des taux_d'_intérêt*socio=ec analogues*socio=rien à celles qui figurent dans l'accord*socio=et du*socio=rien Mexique*socio=ac, et une réduction*socio=uv temporaire*socio=rien de l'intérêt*socio=ec. Il est*socio=rien trop tôt pour évaluer les *socio=rien avantages spécifiques *socio=nil de cet accord*socio=et car il *socio=rien est difficile *socio=nil de prévoir à l'avance*socio=rien la réaction*socio=rien des banques*socio=ac. La Banque*socio=ac a mis en réserve*socio=ec 350 millions*socio=rien de dollars*socio=ec d'engagements*socio=ec dans le cadre*socio=rien de quatre opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et (deux pour l'exercice*socio=rien 89, deux pour l'exercice*socio=rien 90), en vue*socio=rien de contribuer à financer le programme*socio=et de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec. Les fonds*socio=ec seront disponibles*socio=rien dès qu'un*socio=rien accord*socio=et aura été*socio=rien conclu entre la Banque*socio=ac et le gouvernement*socio=ac *socio=rien sur un programme*socio=et de*socio=nil réduction*socio=uv *socio=nil de la dette*socio=ec jugé satisfaisant*socio=rien par la Banque*socio=ac. Ces quatre accords*socio=et très différents*socio=rien prouvent qu'il est*socio=rien indispensable*socio=uv de procéder au cas*socio=rien par cas*socio=rien , pour que le plan*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et soit adapté aux *socio=uv conditions particulières du*socio=rien débiteur*socio=ac *socio=nil et des banques*socio=ac commerciales*socio=ec. Chacun de ces accords*socio=et tient compte*socio=rien , en effet*socio=rien , de la situation*socio=uv, des contraintes*socio=uv et des *socio=rien objectifs particuliers de*socio=nil départ du pays*socio=ac *socio=nil et des *socio=ac banques créancières.*socio=nil *socio=nil Aucun des accords*socio=et ne constitue *socio=rien un modèle privilégié.*socio=nil *socio=nil Chacun comporte des *socio=rien éléments susceptibles d'*socio=nil être *socio=nil adaptés et améliorés dans d'autres contextes*socio=rien , à la lumière*socio=rien des résultats*socio=rien obtenus. Dans le *socio=rien cas du Mexique*socio=ac *socio=nil et des Philippines*socio=ac, les banques*socio=ac avaient des intérêts*socio=uv très variés, les unes souhaitant se retirer en cédant leurs créances*socio=ec ou en les échangeant contre des obligations*socio=uv à plus faible*socio=rien rendement*socio=ec mais assortis d'avantages*socio=rien , tandis que d'autres étaient encore disposés à accorder de nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec. L'accord*socio=et avec le costa_rica*socio=ac a ceci de particulièrement remarquable*socio=rien qu'il a été*socio=rien conclu après*socio=rien une longue*socio=rien période*socio=te d'accumulation*socio=ec d'arriérés, bien*socio=rien que le costa_rica*socio=ac ait continué pendant toute la période*socio=te de s'acquitter partiellement de ses obligations*socio=uv, dans une proportion*socio=rien correspondant à sa capacité*socio=rien de paiement*socio=ec. Ce fait*socio=rien , conjugué aux progrès*socio=uv *socio=rien constants du programme*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et du gouvernement*socio=ac,*socio=nil *socio=nil a grandement facilité la conclusion*socio=rien d'un*socio=rien accord*socio=et. L'expérience*socio=uv prouve donc qu'en dépit*socio=rien des difficultés*socio=rien rencontrées il *socio=rien est possible *socio=nil de conclure de fructueux*socio=rien accords*socio=et de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et. Les résultats*socio=rien ont aussi confirmé que, comme l'on s'y attendait, les opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et encouragent les pays*socio=ac à renforcer leurs efforts*socio=uv d'ajustement*socio=et, ce qui peut avoir à son tour*socio=rien une grande*socio=rien influence sur*socio=rien la confiance*socio=uv des investisseurs*socio=ac. C'est*socio=rien notamment le *socio=rien cas du Mexique*socio=ac *socio=nil et des Philippines*socio=ac. D'autres pays*socio=ac sont également en train*socio=rien de renforcer leurs programmes*socio=et d'ajustement*socio=et dans l'espoir*socio=uv de conclure des accords*socio=et de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et. Si l'ajustement*socio=et est*socio=rien capital*socio=ec en soi*socio=rien pour relancer durablement les perspectives*socio=uv de croissance*socio=uv, il a aussi pour effet*socio=rien de rétablir la confiance*socio=uv des investisseurs*socio=ac dans la viabilité*socio=uv de l'économie*socio=ec. Ainsi, le redoublement des efforts*socio=uv d'ajustement*socio=et semble avoir *socio=rien favorisé considérablement le*socio=nil retour des*socio=nil capitaux*socio=ec *socio=nil enfuis et contribué à l'accroissement*socio=ec des investissements_étrangers_directs*socio=ec, notamment au Mexique*socio=ac, mais aussi, à *socio=rien un moindre degré,*socio=nil aux*socio=nil Philippines*socio=ac.*socio=nil L'*socio=nil action *socio=nil de la Banque*socio=ac en faveur*socio=rien de la réduction*socio=uv de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et est*socio=rien le prolongement*socio=rien logique*socio=uv des efforts*socio=uv qu'elle déploie pour aider ses pays_membres*socio=ac lourdement endettés à poursuivre leur programme*socio=et de développement*socio=uv à *socio=rien moyen terme (*socio=nil Tableau *socio=nil 3-4). A cet égard*socio=rien , la réduction*socio=uv de la dette*socio=ec *socio=rien est un moyen *socio=nil et non une fin*socio=rien en soi*socio=rien . Il est*socio=rien donc justifié de la soutenir lorsqu'elle *socio=rien est nécessaire *socio=nil dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien plan*socio=rien de financement*socio=ec à *socio=rien moyen terme viable*socio=uv *socio=nil pouvant aider les *socio=ac pays débiteurs *socio=nil à relancer la croissance*socio=uv de leur économie*socio=ec et à retrouver la possibilité*socio=rien d'accéder normalement aux marchés_financiers*socio=ec extérieurs*socio=te, en leur évitant d'avoir à recourir à une nouvelle*socio=rien restructuration*socio=uv de la dette*socio=ec ou à d'autres formes*socio=rien exceptionnelles*socio=uv de financement*socio=ec. Le soutien*socio=uv de la Banque*socio=ac étant subordonné à l'exécution*socio=rien , par le *socio=ac pays emprunteur,*socio=nil d'*socio=nil un*socio=rien programme*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et à*socio=nil *socio=rien moyen terme solide et*socio=nil viable*socio=uv,*socio=nil les*socio=nil plans de*socio=nil réduction*socio=uv *socio=nil de la dette*socio=ec doivent pouvoir*socio=et être*socio=rien poursuivis pendant trois à *socio=rien cinq ans,*socio=nil *socio=nil voire plus longtemps, afin de contribuer à répondre aux besoins*socio=uv de *socio=ec financement extérieur à*socio=nil *socio=rien moyen terme du pays*socio=ac.*socio=nil L'*socio=nil objectif général est *socio=nil de faire en sorte*socio=rien que les pays*socio=ac qui s'engagent dans un*socio=rien programme*socio=et de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec n'aient pas besoin*socio=uv de solliciter des fonds*socio=ec supplémentaires*socio=rien publics*socio=et ou privés*socio=ec au-delà de ce que prévoit le programme*socio=et - à condition*socio=rien que la conjoncture*socio=et extérieure*socio=te n'évolue pas de façon*socio=rien trop aléatoire*socio=uv. Les accords*socio=et négociés jusqu'à présent*socio=rien avaient suffisamment de poids*socio=rien pour justifier le soutien*socio=uv de la Banque*socio=ac. Les Administrateurs*socio=ac ont d'ailleurs*socio=rien exprimé leur adhésion*socio=uv sans réserve*socio=uv au programme*socio=et. Passant en revue les progrès*socio=uv accomplis à ce jour*socio=rien , ils se sont dits généralement satisfaits des principes*socio=uv directeurs*socio=rien guidant le rôle*socio=rien de la Banque*socio=ac dans les opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et et ils sont convenus qu'aucune modification*socio=rien ne devait être*socio=rien apportée à l'orientation*socio=et *socio=rien fondamentale du programme*socio=et.*socio=nil Lors *socio=nil de sa réunion*socio=rien à Washington*socio=ac, en mai*socio=rien 1990, le comité_du_développement*socio=ac a félicité la Banque*socio=ac, le fonds_monétaire_international*socio=ac et le *socio=ac Gouvernement japonais *socio=nil pour le soutien*socio=uv rapide*socio=rien et important*socio=rien qu'ils ont apporté aux plans*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et négocié par les débiteurs*socio=ac et les *socio=ac banques créancières.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=rien *socio=nil a demandé à la Banque*socio=ac et au FMI*socio=ac de continuer à soutenir de tels programmes*socio=et, avec toute la souplesse*socio=uv que leur autorisent les principes*socio=uv directeurs*socio=rien établis - principes*socio=uv qu'ont confirmés les *socio=rien membres du Comité *socio=nil - et de suivre attentivement l'application*socio=rien de la stratégie*socio=et renforcée de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec. Il a également demandé à la Banque*socio=ac et au FMI*socio=ac de privilégier les mesures*socio=rien tendant à promouvoir l'investissement*socio=ec et le rapatriement*socio=rien des capitaux*socio=ec dans les programmes*socio=et de réforme*socio=et des pays*socio=ac. Selon ses principes*socio=uv directeurs*socio=rien , la Banque*socio=ac doit apporter son soutien*socio=uv au cas*socio=rien par cas*socio=rien , en fonction*socio=rien de la *socio=rien solidité du programme*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et à*socio=nil moyen terme du pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil de son degré*socio=rien d'endettement*socio=ec, des possibilités*socio=rien d'opérations*socio=rien volontaires*socio=uv fondées sur*socio=rien le marché*socio=ec, du*socio=rien contenu *socio=rien du plan de*socio=nil financement*socio=ec à*socio=nil moyen terme *socio=nil et des avantages*socio=rien pouvant découler du*socio=rien soutien*socio=uv de la Banque*socio=ac, en particulier*socio=uv *socio=rien du point de*socio=nil vue *socio=nil de l'investissement*socio=ec et de la croissance*socio=uv. Les principes*socio=uv *socio=rien directeurs définissent *socio=nil également les paramètres*socio=rien de l'aide_financière*socio=et de la Banque*socio=ac, consistant à la fois*socio=rien en fonds*socio=ec mis en réserve*socio=ec (destinés à financer des opérations*socio=rien contribuant à la réduction*socio=uv du*socio=rien principal*socio=ec de la dette*socio=ec) et en prêts*socio=ec additionnels*socio=rien (devant*socio=rien servir de soutien*socio=uv au paiement*socio=ec des intérêts*socio=ec en liaison*socio=rien avec la réduction*socio=uv de l'encours ou du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et). L'engagement*socio=uv de la Banque*socio=ac est*socio=rien subordonné, en outre, à l'existence*socio=rien d'un*socio=rien soutien*socio=uv financier*socio=ec suffisant*socio=rien pour permettre au pays*socio=ac d'atteindre les objectifs*socio=rien de son programme*socio=et d'ajustement*socio=et. Ces *socio=rien initiatives récentes *socio=nil avaient essentiellement pour but*socio=rien de réduire la *socio=ec dette privée des*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil revenu intermédiaire*socio=rien .*socio=nil Or*socio=rien *socio=nil , il y a plusieurs pays*socio=ac lourdement endettés à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien de la tranche inférieure*socio=rien , ayant entrepris des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et dont la dette*socio=ec a été*socio=rien essentiellement contractée auprès de sources*socio=rien publiques*socio=et, qui ne peuvent ni bénéficier d'un*socio=rien allégement*socio=ec concessionnel*socio=uv de la dette*socio=ec aux conditions*socio=uv fixées à Toronto*socio=ac, ni *socio=rien obtenir un allégement*socio=ec substantiel *socio=nil dans le cadre*socio=rien des plans*socio=rien soutenus par la Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac pour la *socio=uv réduction volontaire *socio=nil de la *socio=ec dette privée.*socio=nil Note*socio=nil sur*socio=rien la*socio=nil réduction*socio=uv *socio=nil de la *socio=ec dette privée.*socio=nil Les*socio=nil conditions*socio=uv *socio=nil arrêtées à Toronto*socio=ac représentaient un*socio=rien progrès*socio=uv décisif*socio=rien dans la réduction*socio=uv de la dette_publique*socio=et des pays*socio=ac à faible*socio=rien *socio=ec revenu surendettés.*socio=nil L'*socio=nil accord*socio=et *socio=nil conclu en septembre*socio=rien 1988 (à la suite*socio=rien de l'accord*socio=et de principe*socio=rien donné, trois mois*socio=rien plus tôt, au sommet_économique*socio=ec de Toronto*socio=ac) permet de concevoir toute une série d'options*socio=rien de rééchelonnement*socio=ec des paiements*socio=ec au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et non*socio=nil concessionnelle*socio=uv;*socio=nil ces*socio=nil options *socio=nil feraient intervenir un*socio=rien taux_d'_intérêt*socio=ec réduit (mais des échéances*socio=te un*socio=rien peu plus courtes*socio=rien ), l'allongement*socio=rien des différés d'amortissement*socio=ec et des délais*socio=rien de remboursement*socio=ec (aux taux*socio=rien commerciaux*socio=ec), ou bien*socio=rien l'annulation*socio=rien partielle*socio=rien des obligations*socio=uv au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et *socio=nil pendant la période*socio=te de consolidation*socio=rien (le reste*socio=rien étant réaménagé aux taux*socio=rien commerciaux*socio=ec avec des échéances*socio=te plus brèves*socio=rien ), ou encore une combinaison*socio=rien de ces *socio=rien différentes formules.*socio=nil Fin *socio=nil de note. Le comité_du_développement*socio=ac a exprimé ses préoccupations*socio=uv touchant cette question*socio=rien et des *socio=rien membres du Comité,*socio=nil *socio=nil notant que le rétablissement*socio=rien de la viabilité*socio=uv externe*socio=te et d'une croissance*socio=uv soutenue restait incertain*socio=rien pour plusieurs de ces pays*socio=ac, ont demandé à la Banque*socio=ac et au FMI*socio=ac de continuer à analyser les problèmes*socio=uv d'endettement*socio=ec de ces pays*socio=ac, ainsi que ceux des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés dont la dette*socio=ec a été*socio=rien en *socio=rien grande partie *socio=nil contractée auprès de sources*socio=rien publiques*socio=et. Fonds*socio=ec de désendettement*socio=ec pour les pays*socio=ac bénéficiant uniquement*socio=rien de crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac Pendant l'exercice*socio=rien 90, des directives*socio=rien et des *socio=rien procédures opérationnelles ont*socio=nil été *socio=nil approuvées pour l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec du*socio=rien fonds*socio=ec de désendettement*socio=ec pour les pays*socio=ac bénéficiant uniquement*socio=rien de crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac, et la préparation*socio=rien d'opérations*socio=rien destinées*socio=rien à réduire la *socio=ec dette commerciale *socio=nil de la Bolivie*socio=ac et du*socio=rien Mozambique*socio=ac a débuté. Les ressources*socio=ec destinées*socio=rien à ce nouveau*socio=rien fonds*socio=ec proviennent du*socio=rien transfert*socio=ec de 100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec prélevés sur*socio=rien le revenu*socio=ec net*socio=rien de la BIRD*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien 89. Ces ressources*socio=ec seront d'abord*socio=rien accordées pour une période*socio=te de trois ans*socio=rien , au bout*socio=rien de laquelle les fonds*socio=ec non décaissés seront reversés à PIDA*socio=ac pour le financement*socio=ec de ses *socio=rien opérations générales.*socio=nil La*socio=nil *socio=ec dette commerciale des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil bénéficiant exclusivement de crédits*socio=ec de PIDA*socio=ac - c'est-à-dire des pays*socio=ac dont le produit_intérieur_brut*socio=ec par habitant*socio=ac *socio=rien est inférieur *socio=nil à 580 dollars*socio=ec et pour lesquels aucun prêt*socio=ec de la BIRD*socio=ac n'est*socio=rien prévu dans les années*socio=rien à venir - représente une part*socio=rien assez *socio=rien faible du total *socio=nil de la dette*socio=ec extérieure*socio=te. Toutefois, en raison*socio=uv de son caractère*socio=rien non concessionnel*socio=uv, le service*socio=ec de cette dette*socio=ec pèse*socio=rien souvent beaucoup plus lourd*socio=rien que celui de la dette_publique*socio=et, qui est*socio=rien contractée, elle, à des conditions*socio=uv plus libérales*socio=et. En outre, alors que la dette_publique*socio=et bilatérale*socio=te peut être*socio=rien rééchelonnée auprès du*socio=rien Club_de_paris*socio=ac, il existe peu de mécanismes*socio=rien pour alléger le fardeau*socio=uv de cette *socio=ec dette commerciale.*socio=nil En*socio=nil général*socio=rien *socio=nil , les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec ont obtenu des banques*socio=ac commerciales*socio=ec des rééchelonnements*socio=ec moins favorables*socio=rien que les *socio=ac pays débiteurs à*socio=nil revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien *socio=nil , d'une part*socio=rien , parce que leur marge de négociation*socio=uv est*socio=rien plus réduite et, d'autre part*socio=rien , parce qu'ils sont plus dépendants des banques*socio=ac commerciales*socio=ec pour l'obtention*socio=rien de *socio=ec crédits commerciaux *socio=nil et d'autres *socio=ec services financiers.*socio=nil *socio=nil Malgré les efforts*socio=uv qu'ils ont faits*socio=rien pour assurer le service*socio=ec de leur *socio=ec dette commerciale *socio=nil ou pour parvenir à un*socio=rien accord*socio=et avec leurs créanciers*socio=ac commerciaux*socio=ec, les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec n'ont pas tous été*socio=rien en mesure*socio=rien de s'acquitter régulièrement de leurs obligations*socio=uv contractuelles*socio=et, d'où l'accumulation*socio=ec d'arriérés. Tous les pays*socio=ac surendettés*socio=ec bénéficiant exclusivement des crédits*socio=ec de PIDA*socio=ac peuvent recourir au fonds*socio=ec de désendettement*socio=ec, mais cette aide*socio=uv sera décidée au cas*socio=rien par cas*socio=rien , selon les *socio=rien critères suivants:*socio=nil *socio=nil - mise en oeuvre*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et d'ajustement*socio=et à *socio=rien moyen terme jugé*socio=nil acceptable*socio=uv *socio=nil par l'IDA*socio=ac, attestée, par exemple*socio=rien , par l'adoption*socio=et d'un*socio=rien document-cadre*socio=et de politique_économique*socio=et ou d'un*socio=rien programme*socio=et d'ajustement_structurel*socio=et, ou par l'accès*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac à la facilité_d'_ajustement_structurel_renforcée*socio=ec du*socio=rien FMI*socio=ac; et - application*socio=rien d'une stratégie*socio=et de gestion*socio=et de la dette*socio=ec jugée satisfaisante*socio=rien par PIDA*socio=ac et prévoyant a) un*socio=rien programme*socio=et visant au règlement*socio=et du*socio=rien problème*socio=uv de la *socio=ec dette commerciale au*socio=nil moyen*socio=rien de*socio=nil fonds provenant*socio=nil du*socio=rien fonds de*socio=nil désendettement *socio=nil de l'IDA*socio=ac et d'autres sources*socio=rien ; b) l'allégement*socio=ec d'une *socio=rien part importante *socio=nil de la dette_publique*socio=et bilatérale*socio=te grâce*socio=rien à un*socio=rien accord*socio=et avec le Club_de_paris*socio=ac, de préférence*socio=uv et si possible*socio=rien aux conditions*socio=uv fixées à Toronto*socio=ac; et c) une amélioration*socio=uv substantielle*socio=rien des perspectives*socio=uv de croissance*socio=uv et de développement*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac. Note sur*socio=rien le "document-cadre*socio=et". Le document-cadre*socio=et de politique_économique*socio=et (policy-framework paper - PFP) *socio=rien est un rapport triennal*socio=nil global *socio=nil préparé par les autorités*socio=et nationales*socio=te avec l'assistance*socio=et des services_de_la_banque*socio=ac et du*socio=rien FMI*socio=ac. Il identifie les causes*socio=rien des problèmes*socio=uv rencontrés par le pays*socio=ac, décrit les mesures*socio=rien proposées pour y remédier, estime*socio=rien le volume*socio=rien de financement*socio=ec nécessaire*socio=rien et définit*socio=rien le rôle*socio=rien des principaux*socio=rien organismes*socio=ac d'aide*socio=uv. Fin*socio=rien de note. Comme le soutien*socio=uv de la BIRD*socio=ac aux efforts*socio=uv de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien , le volume*socio=rien de l'aide*socio=uv fournie au titre*socio=rien de ce fonds*socio=ec sera déterminé au cas*socio=rien par cas*socio=rien , les avantages*socio=rien pouvant en résulter étant évalués selon deux *socio=rien critères principaux:*socio=nil *socio=nil l'influence de la *socio=ec dette commerciale sur*socio=rien l'*socio=nil *socio=rien aptitude du pays*socio=ac *socio=nil à parvenir à la croissance*socio=uv de son économie*socio=ec et le degré*socio=rien de confiance*socio=uv que l'on peut avoir dans l'exactitude*socio=rien et l'exhaustivité des données relatives*socio=rien à la dette*socio=ec que l'on se propose de réduire. Comme les ressources*socio=ec sont limitées, les fonds*socio=ec mis à la disposition*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac ne dépasseront pas 10 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, sauf circonstances*socio=rien exceptionnelles*socio=uv. Les pays*socio=ac sont donc censés*socio=rien faire tout leur possible*socio=rien pour mobiliser des ressources*socio=ec auprès d'autres donateurs*socio=ac en vue*socio=rien de la réduction*socio=uv de leur dette*socio=ec. Il *socio=rien est vraisemblable *socio=nil en outre qu'un*socio=rien pays*socio=ac ne pourra bénéficier qu'une fois*socio=rien de ce type*socio=rien d'opération*socio=rien . Les fonds*socio=ec seront accordés à titre*socio=rien de don*socio=ec afin de contribuer au maximum*socio=rien à la réduction*socio=uv de la dette*socio=ec. La plupart*socio=rien des opérations*socio=rien consisteront vraisemblablement*socio=rien en rachats*socio=ec au comptant de *socio=ec créances commerciales *socio=nil avec une forte*socio=rien décote*socio=ec. Comme dans le *socio=rien cas du soutien*socio=uv *socio=nil apporté par la'BIRD*socio=ac à la réduction*socio=uv de la dette*socio=ec des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés, PIDA*socio=ac s'efforcera de maintenir une position*socio=rien impartiale dans les négociations*socio=uv entre créanciers*socio=ac et *socio=ac pays débiteurs.*socio=nil *socio=nil Toutefois, comme *socio=rien bon nombre des*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil faible revenu*socio=ec *socio=nil n'ont pas l'expérience*socio=uv voulue pour régler les problèmes*socio=uv techniques*socio=rien complexes posés par les opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec, une assistance_technique*socio=et sera *socio=rien vraisemblablement nécessaire *socio=nil pour les aider à améliorer et analyser leurs statistiques*socio=rien de la dette*socio=ec, et à choisir entre *socio=rien différentes options *socio=nil dans l'élaboration*socio=rien de leur stratégie*socio=et de la dette*socio=ec. Dans tous les cas*socio=rien , l'IDA*socio=ac indiquera aux parties*socio=rien engagées dans les négociations*socio=uv ce qu'elle pense *socio=rien du déroulement du programme*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et du pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil quels sont les besoins*socio=uv et les perspectives*socio=uv de financement*socio=ec de celui-ci et quel volume*socio=rien d'aide*socio=uv pourrait lui être*socio=rien fourni. L'opération*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec, d'un*socio=rien montant*socio=ec de 10 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, actuellement en préparation*socio=rien pour la Bolivie*socio=ac, est*socio=rien destinée à soutenir le programme*socio=et d'amortissement*socio=ec de la *socio=ec dette commerciale *socio=nil que mène actuellement ce pays*socio=ac. A la clôture de l'exercice*socio=rien , l'encours de cette dette*socio=ec s'élevait encore à 272 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Des négociations*socio=uv entre le gouvernement*socio=ac et les banques*socio=ac commerciales*socio=ec permettront de déterminer le montant*socio=ec exact*socio=rien de la dette*socio=ec à amortir. La liquidation*socio=ec d'une *socio=rien part importante *socio=nil de cette dette*socio=ec est*socio=rien une *socio=rien condition du *socio=nil débloquage des fonds*socio=ec *socio=rien du mécanisme *socio=nil de l'IDA*socio=ac. Dans le *socio=rien cas du Mozambique*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil négociations*socio=uv *socio=nil avec les banques*socio=ac commerciales*socio=ec créancières*socio=ac sont en *socio=rien bonne voie.*socio=nil *socio=nil Elles portent sur*socio=rien une proposition*socio=rien de réduction*socio=uv de l'encours de la *socio=ec dette commerciale *socio=nil non garantie, qui est*socio=rien d'environ 280 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Lorsque les modalités*socio=rien de cette opération*socio=rien proposées par le gouvernement*socio=ac à ses créanciers*socio=ac commerciaux*socio=ec auront *socio=rien été définies *socio=nil et si elles sont jugées satisfaisantes*socio=rien par la Banque*socio=ac, une *socio=rien demande officielle *socio=nil sera présentée aux Administrateurs*socio=ac en vue*socio=rien de l'engagement*socio=ec précis*socio=rien des ressources*socio=ec nécessaires*socio=rien à la réalisation*socio=uv de l'opération*socio=rien . Prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et. Pendant l'exercice*socio=rien , les engagements*socio=ec de la Banque*socio=ac à l'appui*socio=rien d'opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et se sont élevés*socio=rien à 3, 969 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (Tableau*socio=rien 3-5). Onze prêts*socio=ec d'ajustement*socio=et (y compris les *socio=rien montants supplémentaires)*socio=nil ont*socio=nil été *socio=nil approuvés pour des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés et 20 crédits*socio=ec (y compris les *socio=rien montants supplémentaires)*socio=nil *socio=nil sont venus soutenir les pays*socio=ac à faible*socio=rien *socio=ec revenu surendettés d'*socio=nil *socio=ac Afrique subsaharienne.*socio=nil Deux*socio=nil opérations*socio=rien *socio=nil exclusivement axées sur*socio=rien la réduction*socio=uv de la dette*socio=ec, l'une de 1,260 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour le Mexique*socio=ac, au *socio=rien titre du soutien*socio=uv du paiement*socio=ec des*socio=nil intérêts*socio=ec,*socio=nil *socio=nil l'autre de 200 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour les Philippines*socio=ac pour la réduction*socio=uv du*socio=rien principal*socio=ec, ont été*socio=rien approuvées. La Banque*socio=ac a également soutenu des programmes*socio=et de réforme*socio=et dans d'autres pays*socio=ac endettés en proie*socio=rien aux mêmes difficultés*socio=rien économiques*socio=ec que les pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés (Algérie*socio=ac, Jordanie*socio=ac, Trinité*socio=ac et Tobago*socio=ac, Tunisie*socio=ac et Yougoslavie*socio=ac, par exemple*socio=rien ). Les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et ont représenté au total*socio=rien 19% des engagements*socio=ec de la Banque*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien 90, au lieu*socio=rien de 30% pendant l'exercice*socio=rien 89. Les décaissements*socio=ec nets*socio=rien en faveur*socio=rien des 20 pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés se sont élevés*socio=rien à 4,037 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit une augmentation*socio=uv de près de 250% par rapport*socio=rien aux décaissements*socio=ec effectués pendant l'exercice*socio=rien 89, qui s'étaient montés à 1,650 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (Tableau*socio=rien 3-6). Le soutien*socio=uv apporté par la Banque*socio=ac aux pays*socio=ac surendettés*socio=ec d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac a servi, en *socio=rien grande partie,*socio=nil *socio=nil à la *socio=rien préparation du cadre *socio=nil de la seconde phase*socio=te du*socio=rien programme_spécial_d'_assistance*socio=et (PSA*socio=et) envisagée après*socio=rien 1990. Lors*socio=rien de deux réunions*socio=rien de bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec potentiels*socio=rien organisées à Paris*socio=ac en octobre*socio=rien 1989 et en juin*socio=rien 1990, un*socio=rien accord*socio=et a été*socio=rien conclu sur*socio=rien les *socio=rien grandes lignes d'*socio=nil un deuxième PSA*socio=et *socio=nil pour la période*socio=te 1991-93. Pendant l'exercice*socio=rien , les décaissements*socio=ec nets*socio=rien en faveur*socio=rien des 23 pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac admis à bénéficier du*socio=rien PSA*socio=et se sont élevés*socio=rien à 1,306 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Au cours*socio=rien des années*socio=rien 80, les prêts*socio=ec d'ajustement_structurel*socio=et et d'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec ont occupé une *socio=rien place importante *socio=nil dans les activités*socio=rien de la Banque*socio=ac, place*socio=rien qu'ils conserveront sans doute*socio=rien dans les *socio=rien prochaines années,*socio=nil *socio=nil même si la plupart*socio=rien des prêts*socio=ec de développement*socio=uv vont encore à des projets*socio=rien d'investissement*socio=ec. C'est*socio=rien pourquoi la Banque*socio=ac s'emploie activement à trouver *socio=rien un moyen *socio=nil d'accroître l'efficacité*socio=uv des opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et. Pendant l'année*socio=rien écoulée, elles ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'une deuxième*socio=rien évaluation*socio=uv qui a confirmé les conclusions*socio=rien de la première*socio=rien , à savoir*socio=rien que les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et permettent d'améliorer légèrement les résultats*socio=rien *socio=ec économiques globaux *socio=nil et que, en moyenne*socio=rien , les pays*socio=ac qui en bénéficient obtiennent de *socio=rien meilleurs résultats *socio=nil que les autres . Le *socio=rien premier rapport,*socio=nil *socio=nil examiné avec les Administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac en septembre*socio=rien 1988, analysait lui aussi les moyens*socio=ec d'améliorer l'efficacité*socio=uv des prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et. Il était alors généralement admis que des prêts*socio=ec à décaissement*socio=ec rapide*socio=rien ne devaient être*socio=rien accordés qu'à trois conditions*socio=uv fondamentales*socio=rien : - la Banque*socio=ac et le gouvernement*socio=ac devaient s'être*socio=rien mis d'accord*socio=uv sur*socio=rien le diagnostic*socio=rien des *socio=rien principaux obstacles au*socio=nil rétablissement *socio=nil de la croissance*socio=uv et sur*socio=rien le contenu *socio=rien global du programme*socio=et d'*socio=nil ajustement_structurel*socio=et;*socio=nil *socio=nil les deux parties*socio=rien devaient aussi s'entendre sur*socio=rien les objectifs*socio=rien de la stabilisation*socio=et à court_terme*socio=ec et du*socio=rien développement*socio=uv à long_terme*socio=ec et sur*socio=rien la nature*socio=rien des politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec et microéconomiques*socio=ec et des réformes*socio=et institutionnelles*socio=ac à mettre en oeuvre*socio=rien pour atteindre ces objectifs*socio=rien ; - le gouvernement*socio=ac devait faire sien le programme*socio=et d'ajustement*socio=et; il devait le comprendre et l'accepter pleinement; et - le programme*socio=et d'ajustement*socio=et devait être*socio=rien réaliste*socio=uv, c'est-à-dire suffisamment restrictif*socio=uv pour *socio=rien être compatible *socio=nil avec le financement*socio=ec disponible*socio=rien , sans toutefois imposer trop de restrictions*socio=uv, qui le rendraient, selon toute probabilité*socio=rien , socialement et politiquement*socio=et inacceptable*socio=uv et, partant, insoutenable*socio=uv. Le *socio=rien second rapport,*socio=nil *socio=nil soumis à l'examen*socio=rien des Administrateurs*socio=ac en mai*socio=rien 1990, prolonge les *socio=rien recommandations du premier.*socio=nil *socio=nil Il indique *socio=rien cinq grands moyens*socio=ec *socio=nil d'accroître l'efficacité*socio=uv des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et - et du*socio=rien soutien*socio=uv de la Banque*socio=ac à ces programmes*socio=et: 1) supprimer les distorsions*socio=uv qui empêchent l'affectation*socio=rien efficace*socio=uv des ressources*socio=ec et freinent la croissance*socio=uv de la production*socio=ec; 2) donner davantage la priorité*socio=uv à la réforme*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac; 3) accorder une attention*socio=rien particulière*socio=uv à la relance*socio=uv de l'investissement*socio=ec; 4) adapter*socio=rien le rythme*socio=rien des décaissements*socio=ec à celui des réformes*socio=et; et,5) surveiller de près les déterminants*socio=rien de la stabilité*socio=uv macroéconomique*socio=ec. Les Administrateurs*socio=ac ont généralement reconnu que les programmes*socio=et d'ajustement_structurel*socio=et, habituellement financés par plusieurs prêts*socio=ec, devraient viser en priorité*socio=uv à réduire sensiblement les distorsions*socio=uv les plus graves*socio=rien . Dans les pays*socio=ac ayant au départ*socio=rien des taux*socio=rien d'inflation*socio=ec élevés*socio=rien ou *socio=rien un important déficit*socio=ec du compte courant,*socio=nil la*socio=nil priorité*socio=uv devrait*socio=nil être *socio=nil donnée aux réformes_structurelles*socio=ec visant à rétablir les grands*socio=rien équilibres macroéconomiques*socio=ec, et leur enchaînement devrait être*socio=rien déterminé en fonction*socio=rien des échanges*socio=ec intersectoriels. Les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et ne devraient être*socio=rien accordés qu'aux pays*socio=ac disposés à prendre des mesures*socio=rien pour remédier aux plus graves*socio=rien distorsions*socio=uv. Les Administrateurs*socio=ac sont en outre convenus, en général*socio=rien , que les efforts*socio=uv de réforme*socio=et devraient mettre davantage l'accent*socio=rien sur*socio=rien la gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac proprement dit. La plupart*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et devraient accorder *socio=rien un rang de*socio=nil priorité*socio=uv élevé aux*socio=nil réformes*socio=et *socio=nil visant à réduire, de *socio=rien façon permanente,*socio=nil les*socio=nil déficits*socio=ec budgétaires*socio=et *socio=nil et à accroître l'efficacité*socio=uv de la fiscalité*socio=ec et des dépenses_publiques*socio=et, surtout dans les pays*socio=ac souffrant de profonds*socio=rien déséquilibres macroéconomiques*socio=ec. La réforme*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac *socio=rien est importante *socio=nil aussi dans les pays*socio=ac où le cadre*socio=rien réglementaire*socio=et et le régime_fiscal*socio=et sont inefficaces*socio=uv et où l'utilisation*socio=rien des dépenses_publiques*socio=et laisse beaucoup à désirer. Cette réforme*socio=et devrait également faire partie*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement_structurel*socio=et des pays*socio=ac qui doivent accroître leurs dépenses*socio=ec pour l'éducation*socio=et, la santé*socio=et et l'infrastructure*socio=ec de base*socio=rien . Les Administrateurs*socio=ac sont convenus aussi qu'une certaine*socio=rien reprise des investissements*socio=ec dans l'infrastructure*socio=ec et les secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac était généralement nécessaire*socio=rien pour assurer une croissance*socio=uv équilibrée, même si, dans bien*socio=rien des cas*socio=rien , les programmes*socio=et de réforme*socio=et impliquent au départ*socio=rien une réduction*socio=uv des investissements_publics*socio=et parce qu'ils sont inefficaces*socio=uv ou excessifs*socio=rien . Dans les pays*socio=ac ayant déjà remédié aux graves*socio=rien distorsions*socio=uv de leur politique_économique*socio=et, les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et devraient accorder une attention*socio=rien particulière*socio=uv à la relance*socio=uv de l'investissement_privé*socio=ec, qu'il faudrait stimuler non pas au moyen*socio=rien de subventions*socio=ec spéciales*socio=rien , mais bien*socio=rien plutôt par l'amélioration*socio=uv de l'environnement*socio=ec macro et microéconomique. Des opérations*socio=rien hybrides, combinant crédits*socio=ec d'ajustement*socio=et et crédits*socio=ec d'investissement*socio=ec, et des opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec s'attaquant aux *socio=rien principaux obstacles *socio=nil à l'investissement_privé*socio=ec peuvent s'avérer particulièrement utiles*socio=uv à cet égard*socio=rien . Les Administrateurs*socio=ac ont généralement reconnu que, dans les pays*socio=ac devant*socio=rien entreprendre des réformes_structurelles*socio=ec de *socio=rien longue haleine (*socio=nil réforme*socio=et fiscale*socio=ec,*socio=nil restructuration*socio=uv et*socio=nil privatisation*socio=et des*socio=nil entreprises_publiques*socio=et et*socio=nil réforme*socio=et du *socio=ec secteur financier,*socio=nil par*socio=nil exemple*socio=rien *socio=nil ) , la Banque*socio=ac devrait s'efforcer d'adapter*socio=rien le rythme*socio=rien de ses décaissements*socio=ec à celui des réformes*socio=et. Les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et devraient être*socio=rien découpés en tranches multiples*socio=rien lorsque le programme*socio=et exige *socio=rien un vaste effort*socio=uv de*socio=nil développement*socio=uv institutionnel *socio=nil ou lorsque la mise en oeuvre*socio=rien progressive*socio=uv des réformes*socio=et, telle la libéralisation*socio=ec du*socio=rien commerce*socio=ec, peut réduire le coût*socio=ec de l'ajustement*socio=et. En *socio=rien pareil cas,*socio=nil l'*socio=nil assurance*socio=uv d'*socio=nil un apport continu de*socio=nil *socio=ec ressources financières *socio=nil renforcerait la crédibilité du*socio=rien programme*socio=et. Le choix*socio=uv entre les *socio=rien différentes options existant *socio=nil actuellement - octroi*socio=rien d'un*socio=rien seul*socio=rien prêt*socio=ec important*socio=rien découpé en plusieurs tranches, ou de plusieurs prêts*socio=ec moins importants*socio=rien en deux tranches, ou de prêts*socio=ec d'investissement*socio=ec sectoriel*socio=ec à l'appui*socio=rien de réformes*socio=et - devrait *socio=rien être fait en*socio=nil fonction *socio=nil de la *socio=uv situation particulière du*socio=rien pays*socio=ac.*socio=nil A*socio=nil *socio=rien propos du cinquième grand point du rapport,*socio=nil à*socio=nil savoir la*socio=nil nécessité*socio=uv *socio=nil de surveiller de près les déterminants*socio=rien de la stabilité*socio=uv macroéconomique*socio=ec, les Administrateurs*socio=ac, reconnaissant en général*socio=rien que la réussite*socio=uv des prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et dépendait de l'instauration*socio=et d'un*socio=rien cadre*socio=rien macroéconomique*socio=ec approprié, ont cependant exprimé des vues*socio=rien divergentes quant à la façon*socio=rien d'en assurer la pérennité*socio=te. La plupart*socio=rien sont néanmoins convenus que la Banque*socio=ac devrait garder la faculté*socio=rien d'évaluer elle-même la situation*socio=uv macroéconomique*socio=ec des pays*socio=ac bénéficiant de prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et. Par ailleurs*socio=rien , les Administrateurs*socio=ac ont de *socio=rien façon générale *socio=nil approuvé les autres *socio=rien conclusions du rapport,*socio=nil *socio=nil disant notamment que: a) les opérations*socio=rien de prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et doivent tenir dûment compte*socio=rien , dans leur conception*socio=rien , des conséquences*socio=rien des mesures*socio=rien pour les pauvres*socio=ac; b) la Banque*socio=ac ne doit soutenir des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et que si le pays*socio=ac bénéficie déjà, dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil *socio=nil de la stabilité*socio=uv macroéconomique*socio=ec et qu'il peut garantir le maintien*socio=rien de celle-ci ou si le programme*socio=et lui-même est*socio=rien axé sur*socio=rien des mesures*socio=rien visant à la rétablir rapidement et de *socio=rien façon durable;*socio=nil *socio=nil c) un*socio=rien pays*socio=ac ne doit obtenir*socio=rien de prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et à décaissement*socio=ec rapide*socio=rien que si sa balance_des_paiements*socio=ec est*socio=rien déficitaire*socio=ec ou si un*socio=rien déficit*socio=ec risque*socio=uv d'apparaître par suite*socio=rien des réformes*socio=et adoptées; d) les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et destinés principalement à soutenir des actions*socio=rien antérieures*socio=te doivent être*socio=rien considérés comme exceptionnels*socio=uv et réservés aux pays*socio=ac qui poursuivent des politiques*socio=et saines*socio=uv et dont les résultats*socio=rien attestent rigoureusement leur persévérance dans l'application*socio=rien des réformes*socio=et; e) pour assurer un*socio=rien financement*socio=ec pluriannuel, les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et doivent être*socio=rien complétés par *socio=rien un ensemble *socio=nil approprié de cofinancements, de dispositifs*socio=rien d'action*socio=rien conjoncturelle*socio=et et de plans*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec. Les *socio=rien directives actuelles *socio=nil qui limitent le montant*socio=ec global*socio=rien des prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et à 25% des engagements*socio=ec de la BIRD*socio=ac et à 30% de ceux de l'IDA*socio=ac resteront en vigueur*socio=uv. On prévoit cependant que la *socio=rien part totale des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'ajustement*socio=et diminuera au début*socio=rien des années*socio=rien 90 et que la plupart*socio=rien des bénéficiaires*socio=ac actuels*socio=rien limiteront leur recours*socio=rien à ces prêts*socio=ec, à l'exception*socio=rien , surtout, de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac. Pour faciliter le passage*socio=rien aux prêts*socio=ec d'investissement*socio=ec, le nombre*socio=rien de prêts*socio=ec hybrides et de prêts*socio=ec d'investissement*socio=ec sectoriel*socio=ec augmentera vraisemblablement*socio=rien . Priorités*socio=uv opérationnelles*socio=rien : la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv et la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec. Depuis sa fondation*socio=rien , la banque_mondiale*socio=ac a pour mission*socio=rien de lutter contre la pauvreté*socio=uv et d'accélérer la croissance*socio=uv. Au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil elle a cherché à accentuer ses efforts*socio=uv de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. Ceux-ci concernent tous les secteurs*socio=ec - de l'agriculture*socio=ec et du*socio=rien développement*socio=uv rural*socio=te à l'alimentation*socio=ec en eau*socio=ec et l'assainissement*socio=uv - et font appel*socio=rien à tout l'éventail*socio=rien des instruments*socio=rien de prêt*socio=ec de la Banque*socio=ac - des prêts*socio=ec d'investissement*socio=ec classiques*socio=rien aux opérations*socio=rien d'ajustement_structurel*socio=et à décaissement*socio=ec rapide*socio=rien . La réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv, telle est*socio=rien la finalité du*socio=rien développement_économique*socio=ec. Qu'il s'agisse d'opérations*socio=rien de prêt*socio=ec ou de travaux*socio=rien d'analyse*socio=rien , l'action*socio=rien de la Banque*socio=ac porte*socio=rien presque toujours, directement ou indirectement, sur*socio=rien la réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv. On fait*socio=rien souvent une distinction*socio=rien entre les programmes*socio=et et les projets*socio=rien visant essentiellement à promouvoir la croissance_économique*socio=ec et ceux dont le *socio=rien principal objectif est *socio=nil de réduire la pauvreté*socio=uv. En fait*socio=rien , comme l'objectif*socio=rien est*socio=rien le même dans les deux cas*socio=rien , cette distinction*socio=rien a trait*socio=rien aux moyens*socio=ec et non à la finalité de l'action*socio=rien . Et puisqu'ils concourent au même *socio=rien objectif fondamental,*socio=nil *socio=nil lutter contre la pauvreté*socio=uv, les uns et les autres sont profondément complémentaires*socio=rien . Il est*socio=rien maintenant largement admis qu'aucun effort*socio=uv dans ce domaine*socio=rien ne peut aboutir sans une vigoureuse*socio=rien croissance_économique*socio=ec, fondée sur*socio=rien des politiques*socio=et globales*socio=rien efficaces*socio=uv. L'expérience*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac au cours*socio=rien des deux ou trois *socio=rien dernières décennies *socio=nil en apporte la preuve*socio=uv: ceux où la pauvreté*socio=uv a le plus reculé sont aussi ceux où la croissance*socio=uv a été*socio=rien la plus rapide*socio=rien . En revanche, ceux qui ont négligé l'efficacité*socio=uv et la croissance*socio=uv sont aujourd'hui dans une situation*socio=uv beaucoup plus difficile*socio=rien et doivent faire beaucoup plus d'efforts*socio=uv pour s'en sortir. Inversement, si l'on s'efforce de stimuler la croissance*socio=uv sans fournir les services_sociaux*socio=et indispensables*socio=uv, les pauvres*socio=ac ne sont pas en mesure*socio=rien de profiter des opportunités*socio=rien économiques*socio=ec résultant*socio=rien de la croissance*socio=uv. Pour améliorer le sort*socio=rien des individus*socio=ac et des ménages*socio=rien les plus déshérités, il faut leur donner les moyens*socio=ec et les opportunités*socio=rien d'accroître leurs revenus*socio=ec. Pour ce faire, il faut majorer les prix*socio=ec des produits*socio=rien qu'ils fabriquent et augmenter leur productivité*socio=ec, leurs salaires*socio=ec et le nombre*socio=rien d'emplois*socio=ec. Or*socio=rien , de nombreuses*socio=rien stratégies*socio=et de développement*socio=uv - et toutes celles qui défavorisent considérablement*socio=rien l'agriculture*socio=ec ont été*socio=rien particulièrement répandues - ont eu précisément l'effet*socio=rien inverse. La réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv suppose l'application*socio=rien de mesures*socio=rien macroéconomiques*socio=ec efficaces*socio=uv favorisant la stabilité*socio=uv et la croissance*socio=uv. Il est*socio=rien néanmoins possible*socio=rien à bien*socio=rien des égards*socio=rien aussi de prendre des mesures*socio=rien venant directement en aide*socio=uv aux plus démunis*socio=ac. On peut notamment leur fournir des *socio=ec équipements productifs (*socio=nil routes*socio=rien rurales*socio=te et*socio=nil réseaux*socio=rien d'*socio=nil irrigation,*socio=nil par*socio=nil exemple*socio=rien *socio=nil ) et améliorer leurs compétences*socio=uv, par l'éducation*socio=et et la formation*socio=et. Les interventions*socio=et visant à améliorer le niveau_de_vie*socio=uv et l'espérance_de_vie*socio=uv des pauvres*socio=ac - nutrition*socio=rien , soins_de_santé*socio=et primaires*socio=rien , alimentation*socio=ec en eau*socio=ec et assainissement*socio=uv, distribution*socio=rien de vivres à ceux qui vivent au-dessous d'un*socio=rien *socio=rien certain seuil de*socio=nil consommation*socio=ec *socio=nil - sont importantes*socio=rien non seulement en soi*socio=rien , mais aussi pour promouvoir l'accroissement*socio=ec des revenus*socio=ec, y compris ceux des pauvres*socio=ac. A la suite*socio=rien des *socio=rien études sur la*socio=nil pauvreté*socio=uv *socio=nil effectuées récemment par deux groupes_de_travail*socio=ac, chaque bureau*socio=rien régional*socio=te de la Banque*socio=ac a élaboré *socio=rien un ensemble d'*socio=nil activités *socio=nil visant directement à réduire la pauvreté*socio=uv et des mesures*socio=rien ont *socio=rien été prises *socio=nil pour vérifier si elles sont efficaces*socio=uv. La lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv est*socio=rien ainsi devenue une *socio=rien partie intégrante des*socio=nil stratégies*socio=et d'*socio=nil aide*socio=uv aux*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil Ces*socio=nil stratégies*socio=et,*socio=nil *socio=nil adaptées à la situation*socio=uv et aux objectifs*socio=rien économiques*socio=ec et sociaux*socio=ac propres*socio=rien à chaque pays*socio=ac, ont pour but*socio=rien de soutenir le développement_économique_et_social*socio=uv dans des *socio=uv conditions viables *socio=nil et de réduire la pauvreté*socio=uv. Ces stratégies*socio=et par pays*socio=ac se traduisent concrètement par des *socio=rien activités spécifiques -*socio=nil études_économiques*socio=ec et*socio=nil sectorielles,*socio=nil prêts-projets*socio=et,*socio=nil assistance_technique*socio=et,*socio=nil mobilisation*socio=uv et*socio=nil coordination*socio=uv *socio=nil de l'aide_extérieure*socio=te. Le programme*socio=et de travail*socio=rien établi pour chaque pays*socio=ac comprend une série d'activités*socio=rien visant expressément à réduire la pauvreté*socio=uv dans des groupes*socio=ac particuliers*socio=rien . Toutes ces activités*socio=rien par pays*socio=ac et par région*socio=te constituent le programme*socio=et de réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv de la banque_mondiale*socio=ac ou, pour reprendre son titre*socio=rien , le "programme*socio=et prioritaire*socio=rien de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv". En subdivisant ainsi les tâches*socio=rien , la Banque*socio=ac peut suivre plus efficacement l'exécution*socio=rien du*socio=rien programme*socio=et de travail*socio=rien très directement axé sur*socio=rien la réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv. Programme*socio=et prioritaire*socio=rien de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. Il se compose de projets*socio=rien et d'études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien dont le *socio=rien principal objectif est la*socio=nil réduction*socio=uv *socio=nil de la pauvreté*socio=uv dans des groupes*socio=ac bien*socio=rien définissables. Il comprend aussi tous les projets*socio=rien visant à freiner l'accroissement*socio=ec de la population*socio=ac, ainsi que les activités*socio=rien en rapport*socio=rien avec la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, c'est-à-dire contenant des *socio=rien éléments importants *socio=nil visant spécialement à réduire la pauvreté*socio=uv, bien*socio=rien qu'elles aient des objectifs*socio=rien autres ou plus généraux*socio=rien . C'est*socio=rien notamment le cas*socio=rien d'un*socio=rien projet*socio=rien de pêcheries*socio=ec au Bangladesh*socio=ac, approuvé récemment, destiné à accroître la production*socio=ec de poisson*socio=rien et de crevettes pour la consommation*socio=ec intérieure*socio=rien et l'exportation*socio=ec. études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien et autres analyses*socio=rien . Les diverses*socio=rien études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien réalisées par les *socio=rien différents départements régionaux*socio=te *socio=nil de la Banque*socio=ac portent, directement ou indirectement, sur*socio=rien la réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv. Au niveau*socio=rien le plus général*socio=rien , les mémorandums économiques*socio=ec sur*socio=rien les pays*socio=ac, les examens*socio=rien des programmes*socio=et de dépenses_publiques*socio=et et autres documents*socio=rien macroéconomiques*socio=ec servent de base*socio=rien à l'élaboration*socio=rien des stratégies*socio=et de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. La plupart*socio=rien de ces études*socio=rien ne sont pas directement consacrées à ce problème*socio=uv, mais elles sont indispensables*socio=uv pour élaborer des stratégies*socio=et *socio=rien sectorielles cohérentes.*socio=nil Élément important des*socio=nil programmes_d'_études_économiques*socio=ec et*socio=nil sectorielles,*socio=nil les*socio=nil études_sectorielles*socio=ec *socio=nil traitent de sujets*socio=rien tels que l'agriculture*socio=ec et le développement*socio=uv rural*socio=te, l'éducation*socio=et, la population*socio=ac, la santé*socio=et et la nutrition*socio=rien . Elles font maintenant, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil une*socio=nil place plus*socio=nil large aux*socio=nil questions relatives *socio=nil à la pauvreté*socio=uv, mais l'attention*socio=rien accrue accordée par la Banque*socio=ac à la réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv a eu pour *socio=rien principale conséquence la*socio=nil multiplication des*socio=nil rapports *socio=nil traitant exclusivement de la question*socio=rien , tels que les études*socio=rien intersectorielles spécialisées*socio=rien , qui ont l'avantage, par rapport*socio=rien aux études_sectorielles*socio=ec classiques*socio=rien , de ne pas être*socio=rien limitées à *socio=rien un seul secteur*socio=ec *socio=nil et qui permettent aussi efficacement d'identifier les *socio=rien projets potentiels.*socio=nil L'*socio=nil attention *socio=nil accordée à la pauvreté*socio=uv s'est*socio=rien traduite aussi par l'établissement*socio=rien de "profils*socio=rien de la pauvreté*socio=uv" - analysant comment réorienter les subventions*socio=ec publiques*socio=et au profit*socio=ec des groupes*socio=ac les plus pauvres*socio=uv dans un*socio=rien pays*socio=ac donné et comment rééquilibrer le rôle*socio=rien des secteurs_public*socio=ac et privé*socio=ec dans la prestation*socio=et des services_sociaux*socio=et - et par la préparation*socio=rien d'évaluations*socio=uv et de plans*socio=rien d'action*socio=rien par pays*socio=ac, qui aident à formuler des politiques*socio=et et des projets*socio=rien de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. Ces *socio=rien études spéciales ont*socio=nil un rapport étroit *socio=nil avec le travail*socio=rien accompli dans le *socio=rien cadre du programme*socio=et relatif aux*socio=nil dimensions sociales*socio=ac *socio=nil de l'ajustement*socio=et, financé par plusieurs donateurs*socio=ac. Ce programme*socio=et, lancé en décembre*socio=rien 1987, aide*socio=uv les gouvernements*socio=ac des *socio=ac pays africains participants*socio=rien *socio=nil à élaborer des politiques*socio=et et des programmes*socio=et d'action*socio=rien spécifiques*socio=rien à chaque pays*socio=ac pour protéger les groupes*socio=ac vulnérables*socio=uv et stimuler le développement*socio=uv communautaire*socio=ac. Élargissement*socio=rien des approches opérationnelles*socio=rien . La plupart*socio=rien des projets*socio=rien inclus dans le programme*socio=et prioritaire*socio=rien de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv consistent essentiellement en *socio=rien opérations classiques *socio=nil dans le domaine*socio=rien de l'infrastructure*socio=ec ou dans les secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac. Toutefois, l'effort*socio=uv de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv fait*socio=rien également appel*socio=rien à d'autres types de prêts*socio=ec. La Banque*socio=ac veille à ce que les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et qu'elle soutient tiennent compte*socio=rien des intérêts*socio=uv des pauvres*socio=ac. Des *socio=rien activités destinées *socio=nil à améliorer leur sort*socio=rien ont été*socio=rien incorporées comme composantes*socio=rien de *socio=rien certaines opérations d'*socio=nil ajustement*socio=et,*socio=nil *socio=nil et des *socio=rien projets parallèles *socio=nil visant directement à réduire la pauvreté*socio=uv ont été*socio=rien élaborés. Ces opérations*socio=rien occupent une *socio=rien place importante *socio=nil dans le programme*socio=et prioritaire*socio=rien de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv des régions*socio=te où sont concentrés la plupart*socio=rien des prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et consentis par la Banque*socio=ac. Ainsi, *socio=rien un objectif essentiel*socio=uv du prêt*socio=ec *socio=nil à l' ajustement_structurel*socio=et accordé au Venezuela*socio=ac est*socio=rien de soutenir l'effort*socio=uv entrepris par le gouvernement*socio=ac pour améliorer l'efficacité*socio=uv des dépenses*socio=ec sociales*socio=ac. La suppression*socio=rien des subventions*socio=ec alimentaires*socio=rien indirectes, imposée par le programme*socio=et de réforme*socio=et, a été*socio=rien compensée par l'adoption*socio=et ou l'extension*socio=rien des mesures*socio=rien de transfert*socio=et direct*socio=rien et l'augmentation*socio=uv des dépenses*socio=ec sociales*socio=ac. Les *socio=rien opérations spéciales de*socio=nil lutte*socio=uv *socio=nil contre la pauvreté*socio=uv s'appuient de plus en plus sur*socio=rien des approches multisectorielles*socio=ec et sur*socio=rien des éléments*socio=rien de projets*socio=rien novateurs*socio=uv. Elles ont en général*socio=rien pour but*socio=rien d'aider de *socio=rien diverses manières des*socio=nil groupes*socio=ac cibles*socio=nil bien *socio=nil déterminés. En Ouganda*socio=ac, par exemple*socio=rien , *socio=rien un projet autonome*socio=uv d'*socio=nil un coût*socio=ec *socio=nil de 28 millions*socio=rien de dollars*socio=ec prévoit la remise en état*socio=rien de plus de 4 000 salles*socio=rien de classe*socio=rien dans 12 districts parmi les plus *socio=rien défavorisés du pays*socio=ac,*socio=nil l'*socio=nil amélioration*socio=uv des*socio=nil services_de_santé*socio=et communautaires*socio=ac *socio=nil et l'élaboration*socio=rien de programmes*socio=et d'assistance*socio=et aux orphelins et aux veuves des victimes*socio=ac de la guerre*socio=et et *socio=rien du SIDA.*socio=nil Sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec.*socio=nil *socio=nil En 1989, un*socio=rien groupe*socio=ac de *socio=rien travail sur la*socio=nil sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec en*socio=nil Afrique*socio=ac est *socio=nil parvenu à la conclusion*socio=rien que celle-ci ne pouvait être*socio=rien assurée qu'à deux conditions*socio=uv: que l'on dispose de vivres et que les ménages*socio=rien aient les moyens*socio=ec d'en acheter. Le groupe*socio=ac de travail*socio=rien a affirmé qu'au lieu*socio=rien de se concentrer sur*socio=rien la *socio=rien première condition,*socio=nil *socio=nil comme on l'avait fait*socio=rien jusque-là, il fallait s'efforcer de remédier à la *socio=rien cause profonde *socio=nil de l'insécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec, à savoir*socio=rien le fait*socio=rien que les ménages*socio=rien n'ont pas un*socio=rien revenu*socio=ec suffisant*socio=rien pour acheter des vivres ou en produire. Il a demandé à la Banque*socio=ac de jeter les bases*socio=rien de la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec à long_terme*socio=ec en Afrique*socio=ac en appliquant plus énergiquement les stratégies*socio=et de croissance*socio=uv et d'ajustement*socio=et actuellement mises en oeuvre*socio=rien . Il l'a aussi priée d'entreprendre une nouvelle*socio=rien série d'actions*socio=rien par pays*socio=ac, abordant le problème*socio=uv de la faim*socio=rien en Afrique*socio=ac de façon*socio=rien plus intensive*socio=rien , plus structurée et plus systématique*socio=rien . Des mesures*socio=rien énergiques*socio=ec ont *socio=rien été prises *socio=nil pendant l'exercice*socio=rien 90 pour appliquer les *socio=rien recommandations du groupe*socio=ac de*socio=nil travail.*socio=nil La*socio=nil grande diversité des*socio=nil opérations *socio=nil actuellement menées par la Banque*socio=ac dans le domaine*socio=rien de la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv reflète la grande*socio=rien disparité*socio=uv des pays*socio=ac, ainsi que des secteurs*socio=ec et des régions*socio=te dans un*socio=rien même pays*socio=ac. Actuellement, la priorité*socio=uv est*socio=rien donnée à la consolidation*socio=rien des résultats*socio=rien obtenus. L'effort*socio=uv accru de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv ne va pas à l'encontre*socio=rien de l'action*socio=rien menée par la Banque*socio=ac en faveur*socio=rien de l'adoption*socio=et et *socio=rien du maintien de*socio=nil politiques_économiques*socio=ec efficaces*socio=uv,*socio=nil fondées*socio=nil sur le*socio=nil marché*socio=ec,*socio=nil clé *socio=nil de voûte de toute stratégie*socio=et viable*socio=uv de réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv. Comme le souligne le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1990, il faudra toujours veiller à ce que chaque opération*socio=rien de réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv soit compatible*socio=rien avec la stabilité*socio=uv et la croissance*socio=uv de l'économie*socio=ec. Priorités*socio=uv opérationnelles*socio=rien : les ressources_humaines*socio=ec (y compris le rôle*socio=rien des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv). L'importance*socio=rien des ressources_humaines*socio=ec pour le progrès*socio=uv économique*socio=ec et l'amélioration*socio=uv des conditions_de_vie*socio=uv des ménages*socio=rien devient de plus en plus évidente*socio=rien , non seulement *socio=rien du point de*socio=nil vue du développement*socio=uv à*socio=nil long_terme*socio=ec,*socio=nil *socio=nil mais aussi *socio=rien du point de*socio=nil vue *socio=nil de l'ajustement*socio=et à court_terme*socio=ec. L'éducation*socio=et et la formation*socio=et, l'amélioration*socio=uv de la santé*socio=et et de la nutrition*socio=rien , et le planning*socio=rien familial*socio=uv sont autant d'éléments*socio=rien qui contribuent à l'accroissement*socio=ec de la capacité*socio=rien de production*socio=ec et d'adaptation*socio=uv. Ils permettent aussi l'amélioration*socio=uv des conditions_de_vie*socio=uv des familles*socio=uv et le ralentissement*socio=uv de la croissance*socio=uv démographique*socio=rien . Les pays*socio=ac qui négligent ces services*socio=ec compromettent non seulement le bien-être*socio=uv des familles*socio=uv, mais aussi leurs propres*socio=rien perspectives*socio=uv à long_terme*socio=ec. Éducation*socio=et. La banque_mondiale*socio=ac fournit actuellement 15% *socio=rien du total *socio=nil de l'aide*socio=uv publique*socio=et extérieure*socio=te destinée à l'éducation*socio=et dans les pays_en_développement*socio=ac. Depuis 1963, elle a prêté plus de 10 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec pour près de 400 projets*socio=rien d'éducation*socio=et dans environ 100 pays*socio=ac. Pendant l'exercice*socio=rien 90, les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac au secteur*socio=ec de l'éducation*socio=et ont dépassé pour la *socio=rien première fois *socio=nil la barre *socio=rien du milliard de*socio=nil dollars*socio=ec.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a approuvé environ 21 projets*socio=rien , représentant*socio=rien une aide*socio=uv de 1,487 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Pendant l'exercice*socio=rien 89, les engagements*socio=ec avaient atteint 964 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Plus *socio=rien du tiers *socio=nil de ces projets*socio=rien était destiné à soutenir des mesures*socio=rien visant à améliorer la qualité*socio=rien de l'enseignement_supérieur*socio=et ou de la formation*socio=et technique*socio=rien . Neuf*socio=rien d'entre eux s'attaquaient aux problèmes*socio=uv de l'enseignement*socio=et primaire*socio=et et secondaire*socio=et et trois autres soutenaient des efforts*socio=uv de réforme*socio=et dans le secteur*socio=ec. Deux projets*socio=rien se caractérisaient par des éléments*socio=rien novateurs*socio=uv qui avaient pour but*socio=rien d'accroître la scolarisation*socio=et des filles*socio=ac. Au Bangladesh*socio=ac, des mesures*socio=rien sont actuellement prises*socio=rien , dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien projet*socio=rien d'enseignement*socio=et général*socio=rien , pour élargir le recrutement*socio=ec de personnel*socio=rien enseignant*socio=ac féminin. Un*socio=rien programme*socio=et pilote visant à créer des écoles*socio=et à proximité*socio=rien des *socio=te villages ruraux mal*socio=rien desservis*socio=nil est*socio=rien *socio=nil actuellement lancé (si l'école*socio=et est*socio=rien éloignée, les filles*socio=ac ont moins de chances*socio=rien d'y aller). En outre, les autorités*socio=et sont en train*socio=rien d'élargir un*socio=rien programme*socio=et de bourses*socio=rien d'études*socio=rien secondaires*socio=et destinées*socio=rien aux filles*socio=ac. Au Pakistan*socio=ac, le manque*socio=rien d'institutrices est*socio=rien l'un*socio=rien des *socio=rien principaux obstacles au*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil de l'enseignement*socio=et primaire*socio=et en milieu*socio=rien rural*socio=te, décourageant les parents d'envoyer leurs filles*socio=ac à l'école*socio=et. Dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien projet*socio=rien d'enseignement*socio=et primaire*socio=et actuellement mis en oeuvre*socio=rien dans la province*socio=ac de Sindh, non seulement les pratiques*socio=et et *socio=et règlements administratifs *socio=nil allant à l'encontre*socio=rien de la participation*socio=uv des femmes*socio=ac à l'enseignement*socio=et sont en train*socio=rien d'être*socio=rien éliminés mais leur refonte*socio=uv vise à mettre en place*socio=rien des incitations*socio=rien en *socio=rien faveur du recrutement*socio=ec de*socio=nil personnel enseignant*socio=ac *socio=nil féminin. Pendant l'exercice*socio=rien 90, la Banque*socio=ac a aussi lancé, de concert*socio=uv avec le programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac, l' Organisation_des_nations_unies*socio=ac pour l'éducation*socio=et, la science*socio=ec et la culture*socio=et et le Fonds*socio=ec des nations_unies*socio=ac pour l'enfance*socio=uv, une *socio=rien nouvelle initiative mondiale*socio=te en*socio=nil faveur *socio=nil de l'enseignement*socio=et élémentaire. Cette initiative*socio=rien a été*socio=rien discutée par des chefs*socio=ac d'État*socio=ac, des ministres*socio=ac et des représentants*socio=ac d'organisations_non_gouvernementales*socio=ac et du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, lors*socio=rien d'une conférence*socio=rien qui s'est*socio=rien tenue à Jomtien, en Thaïlande*socio=ac, en mars*socio=rien 1990. Cette Conférence*socio=rien mondiale*socio=te sur*socio=rien l'éducation*socio=et pour tous a mis l'accent*socio=rien sur*socio=rien la nécessité*socio=uv d'améliorer la qualité*socio=rien de l'enseignement*socio=et primaire*socio=et et d'accroître les possibilités*socio=rien d'éducation*socio=et dans l'ensemble*socio=rien du*socio=rien monde_en_développement*socio=te. Elle a aussi été*socio=rien l'occasion*socio=rien de débattre*socio=rien des problèmes*socio=uv affectant l'éducation*socio=et, de définir*socio=rien une action*socio=rien de suivi et de contribuer à sensibiliser l'opinion_publique*socio=et à la nécessité*socio=uv d'élargir l'accès*socio=uv des enfants*socio=ac à l'éducation*socio=et. Devant*socio=rien les délégués*socio=ac à la conférence*socio=rien , le Président*socio=rien de la Banque*socio=ac s'est*socio=rien engagé à porter à plus de 1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec par an*socio=rien au cours*socio=rien des trois *socio=rien prochaines années le*socio=nil montant*socio=ec des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac en faveur*socio=rien de l'éducation*socio=et. Ces prêts*socio=ec seront destinés en priorité*socio=uv à l'enseignement*socio=et primaire*socio=et de base*socio=rien . Cette priorité*socio=uv répond à un*socio=rien besoin*socio=uv évident*socio=rien , en particulier*socio=uv dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec, où le niveau*socio=rien d'instruction*socio=et moyen*socio=rien des *socio=rien adultes âgés *socio=nil de 25 à 35 *socio=rien ans est *socio=nil de moins de trois ans*socio=rien , où la moitié*socio=rien des enfants*socio=ac d'âge*socio=rien scolaire*socio=et (Chine*socio=ac et Inde*socio=ac exceptées) ne sont pas scolarisés et où moins de 60% des élèves*socio=ac inscrits*socio=rien dans le primaire*socio=et vont jusqu'au *socio=rien bout du cycle*socio=te *socio=nil de six ans*socio=rien . Des progrès*socio=uv sensibles*socio=rien ont été*socio=rien accomplis dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien mais, même dans ce groupe*socio=ac, les adultes*socio=rien ont fait*socio=rien en moyenne*socio=rien moins de quatre ans*socio=rien d'études*socio=rien , près de 20% de la population*socio=ac d'âge*socio=rien scolaire*socio=et n'est*socio=rien pas scolarisée et les filles*socio=ac n'ont toujours pas les mêmes possibilités*socio=rien que les garçons. Peu après*socio=rien la conférence*socio=rien de Jomtien, les bases*socio=rien d'une aide*socio=uv accrue à l'enseignement*socio=et primaire*socio=et ont été*socio=rien posées. Un*socio=rien dialogue*socio=uv a été*socio=rien engagé avec les Administrateurs*socio=ac sur*socio=rien les conclusions*socio=rien d'une étude*socio=ac préparée par la Banque*socio=ac pour aider les gouvernements*socio=ac à faire des choix*socio=uv difficiles*socio=rien entre *socio=rien différentes possibilités d'*socio=nil investissement*socio=ec en*socio=nil vue *socio=nil d'améliorer l'efficacité*socio=uv de l'enseignement*socio=et primaire*socio=et. Cette étude*socio=ac concluait que des améliorations*socio=uv étaient nécessaires*socio=rien dans trois domaines*socio=rien - l'environnement*socio=ec scolaire*socio=et, la préparation*socio=rien et la motivation des enseignants*socio=ac et le renforcement*socio=uv des moyens*socio=ec institutionnels*socio=ac du*socio=rien système_éducatif*socio=et. Elle soulignait aussi la nécessité*socio=uv d'égaliser les chances*socio=rien d'accès*socio=uv à l'éducation*socio=et et d'améliorer le financement*socio=ec de l'enseignement*socio=et primaire*socio=et, comme d'accroître l'aide*socio=uv fournie par les donateurs*socio=ac bilatéraux*socio=te et les institutions_financières*socio=ec internationales*socio=te, y compris la banque_mondiale*socio=ac. Il était dit dans cette étude*socio=ac que, pour améliorer l'environnement*socio=ec scolaire*socio=et, il fallait s'efforcer de dispenser un*socio=rien enseignement*socio=et de qualité*socio=rien , c'est-à-dire un*socio=rien enseignement*socio=et permettant aux élèves*socio=ac d'acquérir les connaissances*socio=rien et les compétences*socio=uv de base*socio=rien , définies*socio=rien dans le programme*socio=et national*socio=te d'études*socio=rien . Pour cela, il faudrait fournir suffisamment de *socio=rien matériels pédagogiques *socio=nil pour que chaque enfant*socio=ac dispose de manuels*socio=rien et d'autres moyens*socio=ec de lecture*socio=rien ; il faudrait aussi consacrer au moins 880 heures*socio=rien de classe*socio=rien par an*socio=rien aux *socio=rien matières principales.*socio=nil Il*socio=nil est *socio=nil prouvé que l'apprentissage*socio=rien des enfants*socio=ac est*socio=rien fortement influencé par les compétences*socio=uv et la motivation des enseignants*socio=ac. Comme le suggère l'étude*socio=ac précitée, il est*socio=rien encore possible*socio=rien d'améliorer la formation*socio=et de la prochaine*socio=rien génération*socio=ac d'enseignants*socio=ac en exigeant*socio=rien que ceux-ci aient *socio=rien un diplôme d'*socio=nil études secondaires*socio=et,*socio=nil *socio=nil ce qui permet d'éviter d'avoir à mettre en *socio=rien place un enseignement*socio=et *socio=nil de mise à niveau*socio=rien coûteux*socio=ec dans les instituts*socio=ac de formation*socio=et des maîtres*socio=rien . La formation*socio=et pédagogique*socio=rien , largement négligée jusqu'ici, peut être*socio=rien assurée au moyen*socio=rien de stages*socio=ec de *socio=rien courte durée *socio=nil destinés aux futurs*socio=rien enseignants*socio=ac à la fin*socio=rien de leurs études*socio=rien secondaires*socio=et d'enseignement*socio=et général*socio=rien . Les enseignants*socio=ac devraient être*socio=rien mieux payés (les augmentations*socio=uv de traitement*socio=rien étant liées à des possibilités*socio=rien d'avancement) et ils devraient bénéficier de meilleures*socio=rien conditions_de_travail*socio=ec. L'amélioration*socio=uv des structures*socio=ec administratives*socio=rien et de gestion*socio=et est*socio=rien la *socio=rien troisième condition requise *socio=nil pour renforcer le système_éducatif*socio=et. Le renforcement*socio=uv de la capacité*socio=rien institutionnelle*socio=ac dans ce secteur*socio=ec peut être*socio=rien obtenu notamment par une restructuration*socio=uv donnant aux responsables*socio=uv à tous les niveaux*socio=rien le pouvoir*socio=et et les moyens*socio=ec dont ils ont besoin*socio=uv pour s'acquitter convenablement de leurs fonctions*socio=rien , par le développement*socio=uv de la capacité*socio=rien de gestion*socio=et au moyen*socio=rien de programmes*socio=et de *socio=rien perfectionnement systématiques,*socio=nil *socio=nil par l'élargissement*socio=rien des perspectives*socio=uv professionnelles*socio=rien et, par la définition*socio=rien de plans*socio=rien de *socio=rien carrière précis.*socio=nil *socio=nil Il faut aussi, dit en conclusion*socio=rien l'étude*socio=ac, que l'accès*socio=uv à l'éducation*socio=et soit plus équitable*socio=uv, en particulier*socio=uv dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec. La majorité*socio=rien des enfants*socio=ac d'âge*socio=rien scolaire*socio=et qui ne sont pas scolarisés - ils sont plus de 100 millions*socio=rien - appartiennent à une ou plusieurs des catégories_sociales*socio=et traditionnellement défavorisées*socio=rien , à savoir*socio=rien les ruraux*socio=ac, les femmes*socio=ac et les pauvres*socio=ac. *socio=rien Un moyen *socio=nil d'assurer aux enfants*socio=ac non scolarisés l'accès*socio=uv à l'éducation*socio=et consiste à fournir davantage de services*socio=ec scolaires*socio=et (par exemple*socio=rien , en organisant la journée*socio=rien de classe*socio=rien de manière*socio=rien à permettre. la succession*socio=rien de plusieurs groupes*socio=ac d'élèves*socio=ac, en construisant davantage d'écoles*socio=et ou en agrandissant celles qui existent, et en supprimant les obstacles*socio=rien à l'enseignement*socio=et privé*socio=ec). L'étude*socio=ac reconnaît que l'amélioration*socio=uv de l'enseignement*socio=et primaire*socio=et coûtera cher*socio=rien . Toutefois, comme c'est*socio=rien le *socio=rien seul moyen efficace*socio=uv *socio=nil et accepté d'encourager la mobilité*socio=uv économique*socio=ec et sociale*socio=ac, il faudra, si l'on se soucie *socio=rien vraiment du sort des*socio=nil pauvres*socio=ac,*socio=nil *socio=nil consacrer suffisamment de ressources*socio=ec à ce secteur*socio=ec pour que l'accès*socio=uv à l'éducation*socio=et ne soit pas subordonné à la capacité*socio=rien de payer*socio=rien . Il s'agit donc maintenant de mobiliser les ressources*socio=ec pour pouvoir*socio=et engager le processus*socio=rien et le poursuivre. Ces ressources*socio=ec *socio=rien supplémentaires nécessaires *socio=nil peuvent venir d'abord*socio=rien du*socio=rien sous-secteur*socio=ec de l'enseignement*socio=et primaire*socio=et lui-même, où l'on peut procéder à *socio=rien un redéploiement interne.*socio=nil *socio=nil Mais, pour financer l'amélioration*socio=uv de l'enseignement*socio=et primaire*socio=et, il faudra aussi que les donateurs*socio=ac fassent un*socio=rien effort*socio=uv, en augmentant leur aide_financière*socio=et spécialement destinée à ce secteur*socio=ec et en soutenant l'enseignement*socio=et primaire*socio=et dans le cadre*socio=rien de programmes*socio=et de développement*socio=uv sous-sectoriels généraux*socio=rien . En outre, cette aide*socio=uv devra être*socio=rien accordée avec souplesse*socio=uv, en fonction*socio=rien des priorités*socio=uv de chaque pays*socio=ac. Population*socio=ac, santé*socio=et et nutrition*socio=rien . En février*socio=rien 1981, le Président*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac a annoncé aux délégués*socio=ac à la *socio=rien Conférence sur la*socio=nil maternité*socio=uv sans*socio=nil risque*socio=uv,*socio=nil à*socio=nil Nairobi*socio=te,*socio=nil *socio=nil que la Banque*socio=ac doublerait ses prêts*socio=ec au secteur*socio=ec de la population*socio=ac, de la santé*socio=et et de la nutrition*socio=rien d'ici à l'exercice*socio=rien 90. Deux ans*socio=rien plus tard, pendant l'exercice*socio=rien 89, cet objectif*socio=rien était atteint, les prêts*socio=ec à ce secteur*socio=ec s'élevant à 550 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. En novembre*socio=rien 1989, le Président*socio=rien a annoncé que la Banque*socio=ac envisageait d'augmenter encore ses prêts*socio=ec au secteur*socio=ec, en les portant à 800 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par an*socio=rien de 1990à 1992 inclus. Pendant l'exercice*socio=rien 90, ces prêts*socio=ec se sont élevés*socio=rien au total*socio=rien à 933 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Leur augmentation*socio=uv *socio=rien récente est *socio=nil d'autant plus remarquable*socio=rien que le montant*socio=ec cumulé des prêts*socio=ec à ce secteur*socio=ec jusqu'à l'exercice*socio=rien 89 a été*socio=rien légèrement inférieur*socio=rien à 2,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. L'augmentation*socio=uv spectaculaire*socio=rien des prêts*socio=ec à ce secteur*socio=ec tient en partie*socio=rien à ce que la Banque*socio=ac considère que l'accroissement*socio=ec excessif*socio=rien de la population*socio=ac exerce des pressions*socio=uv parfois intolérables sur*socio=rien les points*socio=rien névralgiques de l'environnement*socio=ec urbain*socio=te et rural*socio=te, qui sont aussi les moins résistants. De ce fait*socio=rien , il est*socio=rien encore plus difficile*socio=rien , pour des millions*socio=rien de personnes*socio=rien , d'échapper à la pauvreté*socio=uv. Les prêts*socio=ec dans le domaine*socio=rien de la population*socio=ac, de la santé*socio=et et de la nutrition*socio=rien restent consacrés en priorité*socio=uv aux projets*socio=rien de santé*socio=et, qui ont absorbé environ les deux *socio=rien tiers du total *socio=nil pendant l'exercice*socio=rien 90. Néanmoins, le nombre*socio=rien des projets*socio=rien de population*socio=ac et de nutrition*socio=rien (approuvés ou'en réserve*socio=rien ) continue*socio=rien de croître, en particulier*socio=uv en Afrique*socio=ac, où le règlement*socio=et des problèmes*socio=uv liés, à l'accroissement*socio=ec rapide*socio=rien de la population*socio=ac conditionne la réussite*socio=uv des efforts*socio=uv entrepris pour résoudre les autres problèmes*socio=uv du*socio=rien continent*socio=ac. Les prêts*socio=ec au secteur*socio=ec population*socio=ac, santé*socio=et et nutrition*socio=rien sont complétés par les programmes*socio=et de dons*socio=ec spéciaux*socio=rien , auxquels la Banque*socio=ac a versé plus de 11 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pendant l'exercice*socio=rien 90 pour le financement*socio=ec d'activités*socio=rien dans ce secteur*socio=ec. Ces programmes*socio=et comprennent le Programme*socio=et spécial*socio=rien de recherche*socio=ec et de formation*socio=et concernant les maladies*socio=et tropicales*socio=te, le Programme*socio=et de lutte*socio=uv contre l'onchocercose*socio=rien , le Programme*socio=et relatif*socio=rien à la reproduction humaine, l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien d'une maternité*socio=uv sans risque*socio=uv, le Groupe*socio=ac de *socio=rien travail sur la*socio=nil survie*socio=uv *socio=nil de l'enfant*socio=ac, le Programme*socio=et mondial*socio=te de lutte*socio=uv contre le SIDA*socio=rien et le sous-comité pour la *socio=rien nutrition du Comité administratif de*socio=nil coordination*socio=uv des*socio=nil nations_unies*socio=ac.*socio=nil Ces*socio=nil programmes*socio=et de*socio=nil dons*socio=ec spéciaux *socio=nil présentent plusieurs avantages*socio=rien : ils disposent en général*socio=rien de davantage de ressources*socio=ec et d'un*socio=rien engagement*socio=ec à plus long_terme*socio=ec que les *socio=rien projets habituels *socio=nil de la Banque*socio=ac et ils profitent à plusieurs pays*socio=ac à la fois*socio=rien . Le travail*socio=rien d'analyse*socio=rien en matière*socio=rien de population*socio=ac, santé*socio=et et nutrition*socio=rien s'est*socio=rien lui aussi renforcé. Dans ce secteur*socio=ec, les recherches*socio=ec et études*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien portent avant tout sur*socio=rien la population*socio=ac et la santé*socio=et et sur*socio=rien certains aspects*socio=rien essentiels*socio=uv de la nutrition*socio=rien . Elles doivent servir de base*socio=rien au dialogue*socio=uv *socio=rien général sur la*socio=nil population*socio=ac *socio=nil et fournir un*socio=rien fondement*socio=uv théorique*socio=rien aux opérations*socio=rien de prêts*socio=ec dans ce domaine*socio=rien . La Banque*socio=ac effectue également des analyses*socio=rien et des projections*socio=et démographiques*socio=rien . Les études_sectorielles*socio=ec sur*socio=rien la population*socio=ac ont contribué de façon*socio=rien essentielle*socio=uv à attirer l'attention*socio=rien des gouvernements*socio=ac sur*socio=rien des problèmes*socio=uv importants*socio=rien et à élaborer des plans*socio=rien et des projets*socio=rien pour y remédier. De toutes les régions*socio=te, c'est*socio=rien l'Afrique*socio=ac qui fait*socio=rien l'objet*socio=rien du*socio=rien plus *socio=rien grand nombre d'*socio=nil études_sectorielles*socio=ec;*socio=nil l'*socio=nil intérêt*socio=uv *socio=nil pour le planning*socio=rien familial*socio=uv y a progressé et les données, naguère rares*socio=rien , sont de plus en plus abondantes*socio=rien . Le dialogue*socio=uv de politique*socio=et *socio=rien générale sur la*socio=nil population*socio=ac *socio=nil mené par la Banque*socio=ac s'appuie en *socio=rien partie sur ces*socio=nil études_sectorielles*socio=ec,*socio=nil *socio=nil mais il suppose aussi des contacts*socio=rien avec les gouvernements*socio=ac dans d'autres contextes*socio=rien : missions économiques*socio=ec, conférences*socio=rien internationales*socio=te, etc. Contrairement à beaucoup d'autres donateurs*socio=ac, la Banque*socio=ac a la possibilité*socio=rien d'aborder les problèmes*socio=uv de population*socio=ac avec les responsables*socio=uv gouvernementaux*socio=ac les plus haut*socio=rien placés. Le programme*socio=et de recherche*socio=ec sur*socio=rien la santé*socio=et est*socio=rien varié. Il étudie les solutions*socio=rien à apporter aux *socio=uv problèmes sanitaires en*socio=nil Afrique*socio=ac *socio=nil dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien document*socio=rien d'ensemble*socio=rien sur*socio=rien la politique*socio=et de santé*socio=et en Afrique*socio=ac (projet*socio=rien triennal qui devrait être*socio=rien achevé pendant l'exercice*socio=rien 91) et les priorités*socio=uv à fixer en matière*socio=rien de population*socio=ac, de santé*socio=et et de nutrition*socio=rien pour promouvoir l'efficacité*socio=uv interne*socio=rien . La recherche*socio=ec sur*socio=rien les maladies*socio=et tropicales*socio=te, la santé*socio=et des adultes*socio=rien et le *socio=rien SIDA est *socio=nil à la base*socio=rien de *socio=rien nouveaux domaines d'*socio=nil activité importants *socio=nil pour les services*socio=ec opérationnels*socio=rien de la Banque*socio=ac. Le coût*socio=ec et le financement*socio=ec des soins_de_santé*socio=et sont deux préoccupations*socio=uv majeures*socio=rien pour de nombreux*socio=rien emprunteurs*socio=ac. Les *socio=uv problèmes essentiels varient*socio=nil considérablement*socio=rien *socio=nil selon la région*socio=te et le degré*socio=rien de développement*socio=uv, si bien*socio=rien que les recherches*socio=ec et les études*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien sont entreprises*socio=ac en *socio=rien grande partie *socio=nil dans le cadre*socio=rien des études_sectorielles*socio=ec réalisées dans les régions*socio=te. *socio=rien Certaines questions fondamentales,*socio=nil *socio=nil méritant une attention*socio=rien accrue, concernent la plupart*socio=rien des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec et des études_sectorielles*socio=ec de la Banque*socio=ac (recouvrement*socio=rien et réduction*socio=uv des coûts*socio=ec, assurance*socio=rien médicale*socio=et, par exemple*socio=rien ). Dans ce contexte*socio=rien , la Banque*socio=ac est*socio=rien en train*socio=rien de s'engager dans un*socio=rien programme*socio=et de travail*socio=rien élargi sur*socio=rien la gestion*socio=et économique*socio=ec du*socio=rien secteur*socio=ec. Les femmes*socio=ac et le développement*socio=uv. *socio=rien Un rapport d'*socio=nil activité sur l'*socio=nil initiative *socio=nil de la Banque*socio=ac en *socio=rien faveur du rôle des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans le développement*socio=uv, lancée il y a trois ans*socio=rien , montre que celle-ci commence à porter ses fruits*socio=rien . Pendant l'exercice*socio=rien 89, une *socio=rien opération sur cinq *socio=nil contenait des recommandations*socio=rien particulières*socio=uv à ce sujet*socio=rien , alors qu'il n'y en avait qu'une sur*socio=rien dix pendant l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien et beaucoup moins encore auparavant. Quinze % des opérations*socio=rien approuvées pendant l'exercice*socio=rien 89 - au lieu*socio=rien de, 6% pendant l'exercice*socio=rien 88 - étaient jugées susceptibles*socio=rien d'influer sensiblement sur*socio=rien le rôle*socio=rien des femmes*socio=ac. Il semble à *socio=rien première vue *socio=nil que cette tendance*socio=rien se soit accélérée pendant l'exercice*socio=rien 90. L'initiative*socio=rien de la Banque*socio=ac a pour but*socio=rien d'accroître la productivité*socio=ec et le revenu*socio=ec des femmes*socio=ac, car c'est*socio=rien le *socio=rien meilleur moyen,*socio=nil *socio=nil pense-t-on, de les aider à compter sur*socio=rien elles-mêmes et à contribuer ainsi à la croissance_économique*socio=ec, à la réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv, au ralentissement*socio=uv de la croissance*socio=uv démographique*socio=rien et à la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec. Les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac ont augmenté surtout dans les secteurs*socio=ec dont dépend le plus la productivité*socio=ec des femmes*socio=ac: éducation*socio=et, population*socio=ac, santé*socio=et et nutrition*socio=rien , et agriculture*socio=ec. Dans les secteurs*socio=ec de l'éducation*socio=et et de l'agriculture*socio=ec, environ deux cinquièmes*socio=rien des opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien 89 contenaient des *socio=rien recommandations sur le*socio=nil rôle des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans le développement*socio=uv; il en allait de même de presque tous les projets*socio=rien en matière*socio=rien de population*socio=ac, santé*socio=et et nutrition*socio=rien . Le rapport*socio=rien tentait aussi d'évaluer les progrès*socio=uv accomplis sur*socio=rien une période*socio=te plus longue*socio=rien dans les secteurs*socio=ec visés par l'initiative*socio=rien de la Banque*socio=ac et dont dépend le renforcement*socio=uv *socio=rien du rôle des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans le développement*socio=uv. Soixante-treize opérations*socio=rien approuvées pendant les exercices*socio=rien 88 et 89 ont donc été*socio=rien comparées à *socio=rien un ensemble *socio=nil de 73 *socio=rien projets similaires *socio=nil approuvés entre les exercices*socio=rien 80 et 87 dans les mêmes pays*socio=ac (47 projets*socio=rien agricoles*socio=ec, 18 concernant l'éducation*socio=et et 8 concernant la population*socio=ac, la santé*socio=et et la nutrition*socio=rien ont ainsi été*socio=rien comparés terme*socio=rien à terme*socio=rien ). L'étude*socio=ac des trois sous-ensembles de l'échantillon*socio=rien considéré fait*socio=rien apparaître que dans l'agriculture*socio=ec, la part*socio=rien des opérations*socio=rien comportant des *socio=rien mesures spécifiques en*socio=nil faveur des*socio=nil femmes*socio=ac est *socio=nil passée de 9% pendant la période*socio=te 1980-87 à 30%, que dans l'éducation*socio=et, elle est*socio=rien passée de 22% à 33% et que dans le secteur*socio=ec de la population*socio=ac, de la santé*socio=et et de la nutrition*socio=rien , elle est*socio=rien restée stable*socio=uv à 75%. Il est*socio=rien évidemment trop tôt pour évaluer les résultats*socio=rien des initiatives*socio=rien concernant les femmes*socio=ac et le développement*socio=uv dans les projets*socio=rien approuvés pendant l'exercice*socio=rien 89. La description*socio=rien détaillée qui en est*socio=rien faite dans les rapports*socio=rien d'évaluation*socio=uv fait*socio=rien apparaître des intentions*socio=rien , et des efforts*socio=uv doivent *socio=rien être faits *socio=nil pour les concrétiser. Toutefois, l'examen*socio=rien de quelques projets*socio=rien approuvés au début*socio=rien des années*socio=rien 80 souligne la nécessité*socio=uv de mieux planifier les *socio=rien actions relatives au*socio=nil rôle des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans le développement*socio=uv pendant la préparation*socio=rien des projets*socio=rien et de mieux les superviser dès le début*socio=rien de leur mise en oeuvre*socio=rien . Il est*socio=rien ressorti de l'examen*socio=rien de projets*socio=rien antérieurs*socio=te que l'impact*socio=rien final*socio=rien d'un*socio=rien projet*socio=rien et la pérennité*socio=te de ses résultats*socio=rien peuvent dépendre en *socio=rien grande partie *socio=nil de l'importance*socio=rien accordée au rôle*socio=rien des femmes*socio=ac. L'étude*socio=ac cite le cas*socio=rien de plusieurs projets*socio=rien qui ont été*socio=rien modifiés pour faire une plus *socio=rien large place au*socio=nil rôle des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil et qui sont riches*socio=uv d'enseignements*socio=et pour les efforts*socio=uv en cours*socio=rien . Ainsi, *socio=rien un projet national*socio=te de*socio=nil vulgarisation agricole*socio=ec au*socio=nil Kenya*socio=ac,*socio=nil *socio=nil approuvé pendant l'exercice*socio=rien 83, a été*socio=rien élargi et recentré pour que les paysannes bénéficient des services*socio=ec de vulgarisation*socio=rien . Aujourd'hui, les femmes*socio=ac représentent au Kenya*socio=ac plus de la moitié*socio=rien de la main-d'_oeuvre*socio=ac agricole*socio=ec régulièrement contactée*socio=rien par des vulgarisateurs, et il s'avère que les groupes_de_femmes*socio=ac sont des points*socio=rien de liaison*socio=rien particulièrement efficaces*socio=uv dans la diffusion*socio=rien des thèmes*socio=rien de vulgarisation*socio=rien . L'étude*socio=ac explique aussi comment les *socio=rien questions relatives au*socio=nil rôle des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans le développement*socio=uv sont traitées dans les études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien de la Banque*socio=ac, qui forment la *socio=rien base théorique d'*socio=nil un dialogue*socio=uv bien *socio=nil documenté avec les emprunteurs*socio=ac comme des *socio=rien futures opérations de*socio=nil prêt*socio=ec *socio=nil et d'assistance_technique*socio=et de la Banque*socio=ac. A partir des exercices*socio=rien 88 et 89, les études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien traitant de ces questions*socio=rien ont été*socio=rien plus nombreuses*socio=rien que pendant les huit *socio=rien années précédentes,*socio=nil certaines *socio=nil les associant à l'examen*socio=rien des problèmes*socio=uv de pauvreté*socio=uv et d'emploi*socio=ec. Mais cela est*socio=rien encore insuffisant*socio=rien , notamment parce que les études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien influent sur*socio=rien l'aptitude*socio=rien de la Banque*socio=ac à aborder les *socio=rien questions relatives aux*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans ses *socio=rien futures opérations de*socio=nil prêt*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Et, comme le souligne le rapport*socio=rien , aucun pays*socio=ac ne peut se permettre de sous-employer et sous-équipé plus de la moitié*socio=rien de sa population_active*socio=ac. La lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec, le ralentissement*socio=uv de la croissance*socio=uv démographique*socio=rien , la qualité*socio=rien de la main-d'_oeuvre*socio=ac future*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac et la *socio=rien bonne utilisation *socio=nil de ses ressources_naturelles*socio=ec, tout cela dépend en *socio=rien grande partie des*socio=nil femmes*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Il faudra *socio=rien du temps *socio=nil pour que les initiatives*socio=rien en *socio=rien faveur du rôle des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans le développement*socio=uv soient pleinement intégrées à l'ensemble*socio=rien des activités*socio=rien de la Banque*socio=ac, mais le *socio=rien processus est en*socio=nil train *socio=nil de s'accélérer. Même dans les secteurs*socio=ec où ces initiatives*socio=rien ont une *socio=rien importance évidente *socio=nil et où l'on dispose des *socio=rien connaissances nécessaires *socio=nil pour élaborer des politiques*socio=et et des actions*socio=rien appropriées, de *socio=rien nombreuses opérations *socio=nil ne font pas encore une *socio=rien place suffisante *socio=nil à ces questions*socio=rien . Les différences*socio=uv entre régions*socio=te et entre pays*socio=ac peuvent refléter, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil des*socio=nil disparités*socio=uv politiques*socio=et et*socio=nil culturelles*socio=et,*socio=nil *socio=nil mais elles prouvent aussi que la Banque*socio=ac doit accorder à ces questions*socio=rien une plus *socio=rien grande attention.*socio=nil *socio=nil Et si, dans le passé*socio=rien , les emprunteurs*socio=ac prenaient rarement l'initiative*socio=rien , les choses*socio=rien sont en train*socio=rien de changer là aussi. Plusieurs pays*socio=ac, dont le Nigeria*socio=ac et le Pakistan*socio=ac, ont récemment demandé à la Banque*socio=ac des conseils*socio=ac au sujet*socio=rien d'activités*socio=rien concernant les femmes*socio=ac et le développement*socio=uv dans différents*socio=rien secteurs*socio=ec, et d'autres en feront sans doute*socio=rien autant. L'un*socio=rien des éléments*socio=rien essentiels*socio=uv de l'initiative*socio=rien de la Banque*socio=ac a été*socio=rien la préparation*socio=rien d'évaluations*socio=uv et de plans*socio=rien d'action*socio=rien par pays*socio=ac. Au cours*socio=rien des 15 *socio=rien derniers mois *socio=nil (depuis avril*socio=rien 1989), chacun des 19 *socio=rien départements géographiques *socio=nil de la Banque*socio=ac a préparé, pour un*socio=rien ou plusieurs des pays*socio=ac dont il s'occupe, une évaluation*socio=uv *socio=rien du rôle potentiel*socio=uv des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans le développement*socio=uv, *socio=rien du cadre de*socio=nil politique*socio=et générale *socio=nil influençant leurs conditions_de_vie*socio=uv et leur productivité*socio=ec, et des rigidités institutionnelles*socio=ac faisant obstacle*socio=rien au progrès*socio=uv. Ces évaluations*socio=uv donnent aussi les *socio=rien grandes lignes de*socio=nil programmes*socio=et d'*socio=nil action spécifiques en*socio=nil faveur des*socio=nil femmes*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui pourraient être*socio=rien exécutés avec le concours de la Banque*socio=ac. Au 30 juin*socio=rien 1990, 23 évaluations*socio=uv et plans*socio=rien d'action*socio=rien avaient été*socio=rien ébauchés. La plupart*socio=rien doivent encore être*socio=rien examinés avec les gouvernements*socio=ac concernés. Dans les cas*socio=rien où des discussions*socio=rien ont déjà eu lieu*socio=rien (Bangladesh*socio=ac, Inde*socio=ac, Kenya*socio=ac, Nigeria*socio=ac et Pakistan*socio=ac), les gouvernements*socio=ac se sont montrés très favorables19. Les évaluations*socio=uv concernant le Bangladesh*socio=ac, l'Inde*socio=ac, le Kenya*socio=ac et le Pakistan*socio=ac insistent sur*socio=rien la nécessité*socio=uv d'accroître la productivité*socio=ec et le revenu*socio=ec des femmes*socio=ac, qu'elles travaillent à leur compte*socio=rien ou aient une activité*socio=rien salariée. Elles indiquent aussi des moyens*socio=ec d'améliorer leur accès*socio=uv à l'éducation*socio=et et à la formation*socio=et, aux services_de_santé*socio=et de base*socio=rien et de planning*socio=rien familial*socio=uv, et aux programmes*socio=et - de vulgarisation*socio=rien agricole*socio=ec et de crédit*socio=ec, notamment - qui peuvent les aider à produire et gagner davantage, en particulier*socio=uv les plus pauvres*socio=uv d'entre elles. Ces évaluations*socio=uv, les *socio=rien premières du genre *socio=nil à avoir été*socio=rien accomplies, ont déjà commencé à influencer les opérations*socio=rien et les études_sectorielles*socio=ec en cours*socio=rien et prévues, ainsi que la réflexion*socio=rien plus générale*socio=rien de la Banque*socio=ac sur*socio=rien le rôle*socio=rien des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv. Dans les 19 autres évaluations*socio=uv, le *socio=rien sujet est traité de*socio=nil façon *socio=nil moins détaillée - les quatre *socio=rien principaux rapports *socio=nil représentent chacun un*socio=rien ou deux ans*socio=rien de travail*socio=rien dans plusieurs secteurs*socio=ec - mais, dans bien*socio=rien des cas*socio=rien , une analyse*socio=rien plus approfondie est*socio=rien prévue dans l'année*socio=rien ou les deux années*socio=rien à venir. La plupart*socio=rien des évaluations*socio=uv portent essentiellement sur*socio=rien la productivité*socio=ec des femmes*socio=ac et recommandent la mise en oeuvre*socio=rien d'activités*socio=rien combinées - recherche*socio=ec, études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien , dialogue*socio=uv de politique*socio=et générale*socio=rien , intégration*socio=uv des initiatives*socio=rien en faveur*socio=rien des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv aux opérations*socio=rien de prêt*socio=ec en cours*socio=rien et futures*socio=rien . La plupart*socio=rien indiquent les questions*socio=rien particulières*socio=uv à aborder dans des *socio=rien opérations spécifiques de*socio=nil prêts*socio=ec en*socio=nil cours d'*socio=nil exécution *socio=nil ou en préparation*socio=rien . La majorité*socio=rien de ces évaluations*socio=uv invitent à inclure de façon*socio=rien plus systématique*socio=rien des activités*socio=rien en faveur*socio=rien des femmes*socio=ac dans les programmes*socio=et de développement*socio=uv ordinaires*socio=rien ; quelques-unes proposent des opérations*socio=rien exclusivement consacrées à ces activités*socio=rien . Les plans*socio=rien d'action*socio=rien qui accompagnent ces évaluations*socio=uv préconisent presque tous l'adoption*socio=et de mesures*socio=rien particulières*socio=uv dans le secteur*socio=ec de l'éducation*socio=et et/ ou dans celui de la population*socio=ac, de la santé*socio=et et de la nutrition*socio=rien , pour mieux répondre aux besoins*socio=uv des femmes*socio=ac et des filles*socio=ac. Les quatre cinquièmes*socio=rien environ recommandent d'accroître la productivité*socio=ec et les revenus*socio=ec des paysannes en améliorant leur accès*socio=uv aux services*socio=ec de vulgarisation*socio=rien et autres services*socio=ec de soutien*socio=uv à l'agriculture*socio=ec. La moitié*socio=rien proposent des mesures*socio=rien pour faciliter leur accès*socio=uv au crédit*socio=ec et beaucoup recommandent de faire participer les femmes*socio=ac et leurs organisations*socio=ac à la conception*socio=rien , à la gestion*socio=et et à l'exécution*socio=rien des programmes*socio=et de développement*socio=uv. Plusieurs demandent que les droits*socio=uv juridiques*socio=et des femmes*socio=ac soient analysés et proposent une réforme*socio=et dans ce domaine*socio=rien . Cette série d'évaluations*socio=uv et de plans*socio=rien d'action*socio=rien touchant le rôle*socio=rien des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv par pays*socio=ac *socio=rien est un grand *socio=nil pas en avant. La plupart*socio=rien des pays*socio=ac les plus peuplés ont *socio=rien été passés *socio=nil en revue, du*socio=rien moins de *socio=rien façon préliminaire.*socio=nil *socio=nil Ainsi, une base*socio=rien de données, parfois fragmentaire*socio=rien , il *socio=rien est vrai,*socio=nil *socio=nil a pu être*socio=rien établie. Des *socio=rien recommandations opérationnelles ont*socio=nil été *socio=nil faites et sont à l'étude*socio=ac. Dans certains cas*socio=rien , des entretiens*socio=rien avec les gouvernements*socio=ac ont eu lieu*socio=rien ou sont en cours*socio=rien , et des recommandations*socio=rien ont été*socio=rien formulées. Les services_de_la_banque*socio=ac ont une idée*socio=rien plus précise*socio=rien des problèmes*socio=uv qui se posent dans les différents*socio=rien pays*socio=ac et sont mieux à même de décider des mesures*socio=rien à prendre pour que les femmes*socio=ac participent plus activement au développement*socio=uv. Les projets*socio=rien visant à renforcer le rôle*socio=rien des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv doivent être*socio=rien soigneusement adaptés aux conditions*socio=uv locales*socio=rien . Les difficultés*socio=rien pratiques*socio=et sont énormes*socio=rien et il faut faire en sorte*socio=rien que les intentions*socio=rien soient suivies d'actions*socio=rien concrètes*socio=rien . Grâce*socio=rien à son expérience*socio=uv, la Banque*socio=ac peut se faire une *socio=rien certaine idée *socio=nil de ce qui va marcher, mais cela doit être*socio=rien confirmé par l'analyse*socio=rien rigoureuse*socio=rien des résultats*socio=rien des mesures*socio=rien mises en oeuvre*socio=rien . Il *socio=rien est important *socio=nil de travailler avec les femmes*socio=ac - et de renforcer leurs organisations*socio=ac - pour qu'elles participent plus activement à la conception*socio=rien et à l'exécution*socio=rien des programmes*socio=et, Il faut aussi s'efforcer de déterminer les liens*socio=rien et les synergies*socio=uv entre les interventions*socio=et et d'en évaluer les coûts*socio=ec et les avantages*socio=rien . Les services*socio=ec de recherche*socio=ec et les services*socio=ec opérationnels*socio=rien de la Banque*socio=ac continueront à collaborer étroitement pour avoir dans ce domaine*socio=rien des *socio=rien activités complémentaires *socio=nil donnant à la Banque*socio=ac une base*socio=rien plus solide*socio=rien pour élargir le champ*socio=rien de son travail*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien . Celui-ci sera axé sur*socio=rien l'élaboration*socio=rien de *socio=rien directives sectorielles *socio=nil concernant les femmes*socio=ac et le développement*socio=uv et sur*socio=rien les recherches*socio=ec s'y rapportant. La formation*socio=et *socio=rien du personnel *socio=nil sera renforcée. Les études*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien et les plans*socio=rien d'action*socio=rien pourront ainsi servir de cadre*socio=rien au renforcement*socio=uv des efforts*socio=uv de la Banque*socio=ac, des pays_en_développement*socio=ac et de l'ensemble*socio=rien des donateurs*socio=ac en faveur*socio=rien des femmes*socio=ac. Priorités*socio=uv opérationnelles*socio=rien : l'environnement*socio=ec. Pendant l'exercice*socio=rien 90, la Banque*socio=ac s'est*socio=rien efforcée d'intégrer davantage les questions*socio=rien d'environnement*socio=ec à ses opérations*socio=rien , à son travail*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien et à ses recherches*socio=ec, et elle a procédé à l'examen*socio=rien de *socio=rien mécanismes susceptibles *socio=nil de soutenir les efforts*socio=uv de protection*socio=et de l'environnement*socio=ec mondial*socio=te. Intégration*socio=uv des problèmes*socio=uv d'environnement*socio=ec. Les objectifs*socio=rien de la Banque*socio=ac en matière*socio=rien d'environnement*socio=ec doivent être*socio=rien envisagés dans le contexte*socio=rien de sa *socio=rien mission initiale,*socio=nil qui*socio=nil est *socio=nil de contribuer à l'amélioration*socio=uv des conditions_de_vie*socio=uv dans les pays_en_développement*socio=ac membres*socio=rien de l'institution*socio=ac. La lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv et la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec sont au coeur*socio=rien de cette mission*socio=rien . Le *socio=rien principal objectif *socio=nil de la Banque*socio=ac est*socio=rien d'aider ses *socio=ac pays_membres emprunteurs *socio=nil à parvenir à un*socio=rien développement_durable*socio=ec, grâce*socio=rien à une utilisation*socio=rien rationnelle*socio=uv et efficace*socio=uv de ses ressources_humaines*socio=ec et financières*socio=ec - c'est-à-dire grâce*socio=rien à des opérations*socio=rien fondées sur*socio=rien la concertation*socio=uv avec les gouvernements*socio=ac de ces pays*socio=ac et soutenues par les autres bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec. Les *socio=et programmes environnementaux *socio=nil de la Banque*socio=ac sont donc structurés de manière*socio=rien à permettre la conception*socio=rien et la mise en oeuvre*socio=rien de stratégies*socio=et de développement*socio=uv respectueuses de l'environnement*socio=ec dans les *socio=ac pays_membres emprunteurs *socio=nil et l'intégration*socio=uv totale*socio=rien des problèmes*socio=uv d'environnement*socio=ec à ses opérations*socio=rien et à ses recherches*socio=ec. Dans le contexte*socio=rien de l'exécution*socio=rien de ses programmes*socio=et, la Banque*socio=ac est*socio=rien très attentive*socio=rien aux préoccupations*socio=uv exprimées par l'opinion_publique*socio=et comme par des groupes*socio=ac extérieurs*socio=te à l'institution*socio=ac, soucieux*socio=rien de savoir*socio=rien ce que fait*socio=rien la Banque*socio=ac, comment elle le fait*socio=rien et pourquoi. Pour assurer un*socio=rien développement_durable*socio=ec dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac, il faut intégrer les activités*socio=rien environnementales*socio=et aux *socio=rien opérations courantes *socio=nil de la Banque*socio=ac: dialogue*socio=uv avec les gouvernements*socio=ac et assistance_technique*socio=et, études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien , prêts*socio=ec et supervision*socio=rien , enfin coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv. Ces activités*socio=rien deviennent ainsi inhérentes*socio=rien aux opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac, au lieu*socio=rien d'être*socio=rien dissociées ou dissociables. Cette intégration*socio=uv suppose aussi que la Banque*socio=ac et les *socio=ac pays_membres emprunteurs *socio=nil se soient mis d'accord*socio=uv sur*socio=rien le contenu d'une stratégie*socio=et cohérente*socio=rien de protection*socio=et de l'environnement*socio=ec à l'échelon*socio=rien national*socio=te. Le programme*socio=et pour l'environnement*socio=ec est*socio=rien progressivement intégré à la structure*socio=ec interne*socio=rien de la Banque*socio=ac de *socio=rien diverses manières:*socio=nil enseignement*socio=et général ou*socio=nil formation_professionnelle*socio=et *socio=nil focalisée, *socio=rien examen spécialisé des*socio=nil éléments distincts*socio=uv des*socio=nil programmes*socio=et d'*socio=nil assistance*socio=et par*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil programmes*socio=et *socio=nil interactifs avec les *socio=rien départements sectoriels et*socio=nil économiques*socio=ec,*socio=nil politiques*socio=et et*socio=nil procédures institutionnelles*socio=ac.*socio=nil Du point de*socio=nil vue des*socio=nil relations publiques*socio=et,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac a*socio=nil fait un effort*socio=uv considérable *socio=nil pour répondre à des milliers*socio=rien de lettres, traitant tantôt de *socio=rien questions générales,*socio=nil *socio=nil tantôt de *socio=rien projets particuliers,*socio=nil *socio=nil et pour préparer des documents*socio=rien d'information*socio=rien , notamment *socio=rien un Bulletin sur l'*socio=nil environnement*socio=ec *socio=nil et une brochure intitulée "Striking a Balance*socio=rien ". Elle compte*socio=rien aussi à son actif*socio=ec les *socio=rien innombrables discours,*socio=nil articles et*socio=nil *socio=et interventions publiques *socio=nil assurés par son personnel*socio=rien à l'intention*socio=rien des spécialistes*socio=ac de l'environnement*socio=ec. *socio=rien Un rapport sur les*socio=nil activités environnementales*socio=et *socio=nil de la Banque*socio=ac a été*socio=rien préparé pour la réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1989 du*socio=rien comité_du_développement*socio=ac et des préparatifs sont en cours*socio=rien pour la production*socio=ec *socio=rien du premier rapport annuel portant*socio=nil sur les*socio=nil activités *socio=nil de la Banque*socio=ac en faveur*socio=rien de l'environnement*socio=ec. L'intégration*socio=uv des préoccupations*socio=uv touchant l'environnement*socio=ec aux opérations*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac - partie*socio=rien la plus visible*socio=rien de son action*socio=rien - s'est*socio=rien poursuivie pendant tout l'exercice*socio=rien 90. Des rapports*socio=rien identifiant les principaux*socio=rien problèmes*socio=uv dans le domaine*socio=rien de l'environnement*socio=ec et leurs *socio=rien causes profondes ont*socio=nil été *socio=nil préparés pour la plupart*socio=rien des *socio=ac pays emprunteurs,*socio=nil *socio=nil et l'élaboration*socio=rien de plans*socio=rien d'action*socio=rien pour l'environnement*socio=ec - études*socio=rien de plus en plus détaillées, préparées par la Banque*socio=ac en collaboration*socio=uv avec les *socio=ac pays emprunteurs,*socio=nil débouchant*socio=nil sur*socio=rien *socio=nil la mise en oeuvre*socio=rien de projets*socio=rien et de politiques*socio=et en faveur*socio=rien de l'environnement*socio=ec - s'est*socio=rien poursuivie. En mai*socio=rien 1987, le Président*socio=rien de la Banque*socio=ac avait annoncé qu'à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, 30 études*socio=rien de ce type*socio=rien auraient été*socio=rien réalisées. Dans l'accord*socio=et relatif*socio=rien à la *socio=rien Neuvième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil de l'IDA*socio=ac (IDA-9*socio=ac), les donateurs*socio=ac ont vivement recommandé que des plans*socio=rien d'action*socio=rien environnementale*socio=et soient terminés pour tous les bénéficiaires*socio=ac de l'IDA*socio=ac avant la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 93. Le plan*socio=rien d'action*socio=rien environnementale*socio=et pour Madagascar*socio=ac a abouti à l'approbation*socio=uv, pendant l'exercice*socio=rien , d'un*socio=rien projet*socio=rien exclusivement consacré à l'environnement*socio=ec dans ce pays*socio=ac (Encadré 3-2). La réserve*socio=rien de projets*socio=rien . Pendant l'exercice*socio=rien 90, il a été*socio=rien décidé que tous les *socio=rien nouveaux projets *socio=nil feraient l'objet*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien examen systématique du point de*socio=nil vue *socio=nil de l'environnement*socio=ec, aboutissant à une évaluation*socio=uv complète des *socio=rien effets sur l'*socio=nil environnement*socio=ec *socio=nil de chaque *socio=rien projet susceptible *socio=nil d'avoir d'importantes*socio=rien répercussions*socio=rien écologiques*socio=et. Cet examen*socio=rien et les évaluations*socio=uv qui lui font suite*socio=rien permettent de veiller à ce que les options*socio=rien de développement*socio=uv envisagées respectent l'environnement*socio=ec et puissent être*socio=rien soutenues dans le temps*socio=rien et que leurs incidences*socio=rien écologiques*socio=et soient identifiées dès le *socio=rien début du cycle*socio=te du projet et*socio=nil prises en*socio=nil compte *socio=nil dans la conception*socio=rien des projets*socio=rien , avant même l'évaluation*socio=uv *socio=rien du projet.*socio=nil Les*socio=nil projets *socio=nil ainsi évalués ont été*socio=rien classés dans l'une des quatre *socio=rien catégories suivantes:*socio=nil -*socio=nil Catégorie *socio=nil A: *socio=rien Projets susceptibles *socio=nil d'avoir des effets*socio=rien variés et *socio=rien importants sur l'*socio=nil environnement*socio=ec.*socio=nil -*socio=nil Catégorie *socio=nil B: Projets*socio=rien pouvant avoir seulement des effets*socio=rien limités sur*socio=rien l'environnement*socio=ec. - Catégorie*socio=rien C: Projets*socio=rien pour lesquels une analyse*socio=rien des *socio=rien effets sur l'*socio=nil environnement*socio=ec n'*socio=nil est *socio=nil généralement pas nécessaire*socio=rien . Note sur*socio=rien la catégorie*socio=rien C. Les projets*socio=rien de cette catégorie*socio=rien sont en général*socio=rien des projets*socio=rien d'éducation*socio=et (à l'exception*socio=rien des projets*socio=rien de construction*socio=ec scolaire*socio=et), de planning*socio=rien familial*socio=uv, de santé*socio=et (à l'exception*socio=rien des projets*socio=rien de construction*socio=ec d'hôpitaux*socio=et), de nutrition*socio=rien , de développement*socio=uv institutionnel*socio=rien et d'assistance_technique*socio=et. Fin*socio=rien de note. - Catégorie*socio=rien D: Projets*socio=rien environnementaux*socio=et, dont la *socio=rien préparation est centrée*socio=nil sur l'*socio=nil évaluation*socio=uv des*socio=nil effets sur l'*socio=nil environnement*socio=ec.*socio=nil La*socio=nil première *socio=nil série d'évaluations*socio=uv a porté sur*socio=rien des projets*socio=rien à différents*socio=rien stades*socio=te du*socio=rien cycle*socio=te des projets*socio=rien . Sur*socio=rien les 779 projets*socio=rien en réserve*socio=rien au 30 juin*socio=rien 1990, 58 (soit 7%) entrent dans la Catégorie*socio=rien A, 339 (44%) dans la Catégorie*socio=rien B, 253 (32%) dans la Catégorie*socio=rien C et 48 (6%) dans la Catégorie*socio=rien D. Parmi les 81 *socio=rien projets restants,*socio=nil *socio=nil certains n'avaient pas lieu*socio=rien d'être*socio=rien classés - par exemple*socio=rien , ceux qui visent à soutenir directement les efforts*socio=uv de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et - et certains ne l'étaient pas encore. Avec l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien mécanisme*socio=rien d'examen*socio=rien systématique*socio=rien et obligatoire*socio=uv, les évaluations*socio=uv sont devenues *socio=rien un élément courant *socio=nil de la préparation*socio=rien des projets*socio=rien , tout comme les analyses*socio=rien économiques*socio=ec, financières*socio=ec, institutionnelles*socio=ac et techniques*socio=rien . A ce titre*socio=rien , elles relèvent de la responsabilité*socio=uv de l'emprunteur*socio=ac. Leur intégration*socio=uv, à côté*socio=rien d'autres éléments*socio=rien , à la préparation*socio=rien des projets*socio=rien permet de tenir dûment compte*socio=rien des facteurs*socio=rien environnementaux*socio=et dans la sélection*socio=rien des projets*socio=rien , dans le choix*socio=uv des sites*socio=rien et dans la conception*socio=rien . La Banque*socio=ac souhaite que l'emprunteur*socio=ac prenne pleinement en considération*socio=rien , dans la conception*socio=rien des projets*socio=rien , les opinions*socio=uv des groupes*socio=ac et des organisations_non_gouvernementales*socio=ac concernés, lesquels peuvent être*socio=rien consultés, par exemple*socio=rien , lors*socio=rien des réunions*socio=rien chargées de coordonner le travail*socio=rien des organismes_gouvernementaux*socio=ac au *socio=rien cours du processus d'*socio=nil évaluation*socio=uv.*socio=nil Il*socio=nil est utile*socio=uv *socio=nil aussi de procéder à des consultations*socio=uv de ce type*socio=rien , une fois*socio=rien que le rapport*socio=rien d'évaluation*socio=uv a été*socio=rien établi, pour savoir*socio=rien quelles réactions*socio=rien il suscite et pour encourager la communauté*socio=ac à coopérer davantage à la mise en oeuvre*socio=rien de ses recommandations*socio=rien . Étant donné que l'évaluation*socio=uv des *socio=rien effets sur l'*socio=nil environnement*socio=ec *socio=nil représente en général*socio=rien de 2 à 3% du*socio=rien coût*socio=ec de la préparation*socio=rien des projets*socio=rien (et jusqu'à 10% dans certains *socio=rien cas rares)*socio=nil *socio=nil , les emprunteurs*socio=ac peuvent demander un*socio=rien concours financier*socio=ec de la Banque*socio=ac, soit sous la forme*socio=rien d'une avance*socio=rien pour la *socio=rien préparation du projet,*socio=nil *socio=nil soit sous la forme*socio=rien de crédits*socio=ec au *socio=rien titre du programme*socio=et de*socio=nil dons*socio=ec d'*socio=nil assistance_technique*socio=et *socio=nil pour l'environnement*socio=ec. L'intégration*socio=uv des questions*socio=rien d'environnement*socio=ec aux opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac signifie que celles-ci sont abordées à chaque stade*socio=te du*socio=rien cycle*socio=te *socio=rien du projet.*socio=nil Au*socio=nil stade*socio=te *socio=nil de l'identification*socio=rien et de la préévaluation, on examine la nature*socio=rien et l'étendue possible*socio=rien des *socio=rien effets du projet sur l'*socio=nil environnement*socio=ec *socio=nil et on le classe*socio=rien dans la catégorie*socio=rien appropriée. En cas*socio=rien de besoin*socio=uv, l'évaluation*socio=uv des *socio=rien effets sur l'*socio=nil environnement*socio=ec *socio=nil débute à ce stade*socio=te. Cette évaluation*socio=uv, qui est*socio=rien examinée avec le gouvernement*socio=ac concerné, influe à la *socio=rien fois sur le*socio=nil choix*socio=uv du site et*socio=nil sur la*socio=nil conception technique du projet.*socio=nil Au*socio=nil stade*socio=te *socio=nil de l'évaluation*socio=uv, la Banque*socio=ac examine avec l'emprunteur*socio=ac l'évaluation*socio=uv des *socio=rien effets du projet sur l'*socio=nil environnement*socio=ec,*socio=nil *socio=nil résout les problèmes*socio=uv en suspens*socio=rien , examine, à la lumière*socio=rien de l'évaluation*socio=uv, si l'institution*socio=ac chargée de la planification*socio=et et de la gestion*socio=et de l'environnement*socio=ec a les compétences*socio=uv requises*socio=rien , enfin détermine si les recommandations*socio=rien contenues dans l'évaluation*socio=uv sont convenablement prises*socio=rien en considération*socio=rien dans la *socio=rien conception du projet *socio=nil et dans l'analyse*socio=rien économique*socio=ec. Ces recommandations*socio=rien servent aussi de base*socio=rien à la supervision*socio=rien des aspects*socio=rien de l'exécution*socio=rien en rapport*socio=rien avec l'environnement*socio=ec. Le respect*socio=uv des conditions*socio=uv imposées par l'environnement*socio=ec, l'état*socio=rien d'avancement des *socio=rien mesures correctives *socio=nil et les résultats*socio=rien des programmes*socio=et de surveillance*socio=et font désormais partie*socio=rien des rapports*socio=rien que doivent fournir les emprunteurs*socio=ac et de la *socio=rien supervision du projet.*socio=nil *socio=nil Dans le cas*socio=rien des projets*socio=rien préparés avant que l'évaluation*socio=uv des *socio=rien effets sur l'*socio=nil environnement*socio=ec *socio=nil ne devienne obligatoire*socio=uv, tout est*socio=rien mis en oeuvre*socio=rien , pendant la phase*socio=te de supervision*socio=rien , pour identifier les problèmes*socio=uv éventuels*socio=rien et, en cas*socio=rien de besoin*socio=uv, modifier la *socio=rien conception du projet *socio=nil ou l'adapter*socio=rien aux normes*socio=et actuelles*socio=rien . Au Brésil*socio=ac, par exemple*socio=rien , la Banque*socio=ac a accordé des fonds*socio=ec pour relever et améliorer le niveau_de_vie*socio=uv d'environ 8 300 familles*socio=uv déplacées par un*socio=rien barrage de retenue*socio=rien construit dans le *socio=rien cadre du projet hydroélectrique*socio=ec *socio=nil d'Itaparica. La Banque*socio=ac n'avait pas financé la construction*socio=ec de ce bassin*socio=rien de retenue*socio=rien . Au stade*socio=te de l'évaluation*socio=uv ex post, le rapport*socio=rien d'achèvement*socio=rien *socio=rien du projet,*socio=nil *socio=nil soumis au Département*socio=ac de l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac de la Banque*socio=ac, doit maintenant contenir une analyse*socio=rien des *socio=rien effets sur l'*socio=nil environnement*socio=ec,*socio=nil *socio=nil indiquant s'ils avaient été*socio=rien prévus dans l'évaluation*socio=uv initiale*socio=rien . Il doit aussi évaluer l'efficacité*socio=uv des *socio=rien mesures correctives prises *socio=nil comme de l'effort*socio=uv de développement*socio=uv institutionnel*socio=rien et de formation*socio=et. On pense que l'incorporation*socio=rien systématique*socio=rien d'une évaluation*socio=uv environnementale*socio=et dans les projets*socio=rien en réserve*socio=rien commencera à produire *socio=rien un effet *socio=nil pendant l'exercice*socio=rien 91. En attendant, le nombre*socio=rien de projets*socio=rien conçus avec des *socio=rien éléments relatifs *socio=nil à l'environnement*socio=ec a augmenté pendant l'exercice*socio=rien 90. Sur*socio=rien les 222 prêts*socio=ec et crédits*socio=ec approuvés pendant l'exercice*socio=rien , 107, soit 48%, comprenaient des activités*socio=rien en rapport*socio=rien avec l'environnement*socio=ec, contre 85 pendant l'exercice*socio=rien 89 (38% *socio=rien du total)*socio=nil *socio=nil . Il s'agissait principalement de projets*socio=rien agricoles*socio=ec et énergétiques*socio=ec. Sur*socio=rien les 56 projets*socio=rien réalisés dans le *socio=ec secteur agricole,*socio=nil *socio=nil 44 avaient des *socio=rien effets sur l'*socio=nil environnement*socio=ec,*socio=nil les*socio=nil aspects *socio=nil les plus fréquemment abordés étant notamment l'aménagement*socio=rien et la conservation*socio=uv des terres*socio=rien et des sols*socio=ec, les techniques*socio=rien de protection*socio=et phytosanitaire intégrée, la gestion*socio=et de la faune*socio=rien et de la flore, la protection*socio=et et la gestion*socio=et des forêts*socio=et, la remise en état*socio=rien des réseaux*socio=rien de drainage*socio=rien et d'irrigation*socio=ec, l'appui*socio=rien institutionnel*socio=rien et la recherche*socio=ec. Huit projets*socio=rien soutenaient la protection*socio=et et la gestion*socio=et des forêts*socio=et (en Chine*socio=ac, Côte-d'Ivoire*socio=ac, Guinée*socio=ac, Indonésie*socio=ac, Maroc*socio=ac, Mexique*socio=ac, République_centrafricaine*socio=ac et Zimbabwe*socio=ac). Des projets*socio=rien entièrement axés sur*socio=rien l'environnement*socio=ec ont été*socio=rien approuvés pour la Bolivie*socio=ac, le Brésil*socio=ac et Madagascar*socio=ac. La moitié*socio=rien environ des prêts*socio=ec au secteur*socio=ec de l'énergie*socio=ec approuvés pendant l'exercice*socio=rien 90 comportaient, comme pendant l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien , des éléments*socio=rien ou des mesures*socio=rien visant à remédier aux effets*socio=rien préjudiciables*socio=et sur*socio=rien l'environnement*socio=ec et presque tous étaient assortis de conditions*socio=uv de prêt*socio=ec tendant à améliorer la politique*socio=et des prix*socio=ec afin de rationaliser la consommation*socio=ec d'énergie23. Les 15 projets*socio=rien approuvés dans le secteur*socio=ec de l'alimentation*socio=ec en eau*socio=ec et de l'assainissement*socio=uv contenaient tous des éléments*socio=rien touchant à l'environnement*socio=ec. Recherches*socio=ec et études*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien . Pendant l'exercice*socio=rien , les problèmes*socio=uv d'environnement*socio=ec ont pris une place*socio=rien encore plus importante*socio=rien dans les recherches*socio=ec et études*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien de la Banque*socio=ac. *socio=rien Certaines études ont*socio=nil été *socio=nil exclusivement consacrées à un*socio=rien secteur*socio=ec; d'autres ont porté sur*socio=rien des questions*socio=rien régionales*socio=te ou propres*socio=rien à un*socio=rien pays*socio=ac. Ainsi, des études*socio=rien par pays*socio=ac sont en cours*socio=rien pour le Brésil*socio=ac, l'Indonésie*socio=ac, le Népal*socio=ac et les Philippines*socio=ac. Parmi les études*socio=rien régionales*socio=te sur*socio=rien l'environnement*socio=ec, on peut mentionner le programme*socio=et d'amélioration*socio=uv de l'environnement*socio=ec des métropoles*socio=te soutenu par le PNUD*socio=ac, qui vise à stopper et inverser la dégradation*socio=rien de l'environnement*socio=ec causée par l'urbanisation*socio=ec rapide*socio=rien , la pollution*socio=et industrielle*socio=ec et la négligence générale*socio=rien de l'environnement*socio=ec dans les grandes*socio=rien villes*socio=te d'Asie*socio=ac, ainsi que le Programme*socio=et pour l'environnement*socio=ec dans la Méditerranée (PEM), soutenu par la *socio=ac Banque européenne d'*socio=nil investissement*socio=ec,*socio=nil *socio=nil dans le cadre*socio=rien duquel *socio=rien un plan d'*socio=nil action régional*socio=te *socio=nil sera mis en oeuvre*socio=rien pour lutter contre des problèmes*socio=uv cruciaux*socio=rien tels que la prévention*socio=uv et la maîtrise*socio=rien de la pollution*socio=et marine par les *socio=rien hydrocarbures grâce au*socio=nil renforcement*socio=uv des*socio=nil réglementations*socio=et en*socio=nil vigueur*socio=uv,*socio=nil la*socio=nil gestion*socio=et *socio=nil intégrée des ressources*socio=ec en eau*socio=ec, la gestion*socio=et des déchets*socio=ec solides*socio=rien et toxiques*socio=et, et l'aménagement*socio=rien des zones*socio=te littorales (pour plus de détails*socio=rien , voir l'Encadré 6-2 page*socio=rien 135). Les autres études*socio=rien de ce genre*socio=rien portent notamment sur*socio=rien les bassins versants et la foresterie*socio=et en Asie*socio=ac, l'agroforesterie en *socio=ac Afrique subsaharienne,*socio=nil la*socio=nil politique*socio=et *socio=nil à l'égard*socio=rien des populations*socio=ac tribales et son application*socio=rien en Afrique*socio=ac. Toutes ces études*socio=rien contribuent à jeter les bases*socio=rien d'une définition*socio=rien de *socio=uv priorités rationnelles *socio=nil pour le financement*socio=ec des activités*socio=rien concernant l'environnement*socio=ec. Pendant l'exercice*socio=rien 90, l'institut_de_développement_économique*socio=ac a organisé des *socio=rien séminaires sur différents aspects *socio=nil de l'environnement*socio=ec dans les quatre régions*socio=te du*socio=rien monde_en_développement*socio=te. Par exemple*socio=rien , sept ateliers*socio=rien nationaux*socio=te de deux jours*socio=rien , consacrés à l'évaluation*socio=uv des *socio=rien effets sur l'*socio=nil environnement*socio=ec,*socio=nil *socio=nil se sont tenus en amérique_latine*socio=ac (Bolivie*socio=ac, Brésil*socio=ac, Chili*socio=ac, Colombie*socio=ac, Équateur*socio=ac, Mexique*socio=ac et Venezuela*socio=ac). Le but*socio=rien était d'expliquer les nouvelles*socio=rien règles*socio=et appliquées par la Banque*socio=ac pour évaluer les effets*socio=rien des *socio=rien projets sur l'*socio=nil environnement*socio=ec,*socio=nil *socio=nil d'examiner leur rapport*socio=rien avec les lois*socio=et et règlements*socio=et nationaux*socio=te, et de déterminer comment former à ces *socio=rien techniques du personnel national*socio=te en*socio=nil nombre suffisant.*socio=nil Préoccupation*socio=uv *socio=nil de la communauté*socio=ac internationale*socio=te et engagement*socio=uv de la Banque*socio=ac. L'apparition*socio=rien soudaine*socio=rien d'une série de nouveaux*socio=rien problèmes*socio=uv environnementaux*socio=et de dimension*socio=rien mondiale*socio=te au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années *socio=nil a attiré l'attention*socio=rien générale*socio=rien et exposé la Banque*socio=ac à la pression*socio=rien accrue de l'opinion_publique*socio=et. Une *socio=rien première réponse *socio=nil a consisté pour la Banque*socio=ac à participer à plusieurs conférences*socio=rien internationales*socio=te sur*socio=rien l'environnement*socio=ec. Aux *socio=rien réunions sur le*socio=nil Protocole de*socio=nil Montréal*socio=ac relatif *socio=nil à des substances*socio=rien qui appauvrissent la couche d'ozone*socio=rien , la Banque*socio=ac est*socio=rien représentée au *socio=rien sein du Groupe*socio=ac économique*socio=ec international*socio=te sur *socio=nil la couche d'ozone*socio=rien . Lors*socio=rien d'une réunion*socio=rien organisée à Oslo en juillet*socio=rien 1988, le Président*socio=rien de la Banque*socio=ac a exprimé officiellement pour la *socio=rien première fois la*socio=nil position *socio=nil de l'institution*socio=ac sur*socio=rien le transport*socio=ec transfrontalier de déchets*socio=ec toxiques*socio=et. Par la suite*socio=rien , la Banque*socio=ac a assisté*socio=rien , en qualité*socio=rien d'observateur*socio=ac, à d'autres réunions*socio=rien qui ont eu lieu*socio=rien à Luxembourg*socio=ac, Genève*socio=ac et Bâle et au cours*socio=rien desquelles a été*socio=rien élaboré le *socio=rien texte final *socio=nil de la Convention*socio=et sur*socio=rien les déchets*socio=ec toxiques*socio=et qui sera soumise à la signature*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac et des *socio=ac pays industriels.*socio=nil L'*socio=nil environnement*socio=ec *socio=nil occupe aussi une *socio=rien place centrale *socio=nil pour le comité_du_développement*socio=ac. Celui-ci a suivi avec une attention*socio=rien particulière*socio=uv les progrès*socio=uv réalisés par la Banque*socio=ac pour intégrer ces questions*socio=rien dans ses études*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien et ses opérations*socio=rien , et focalisé ses débats*socio=et sur*socio=rien des questions*socio=rien telles que l'évaluation*socio=uv des *socio=rien effets sur l'*socio=nil environnement*socio=ec,*socio=nil les*socio=nil plans d'*socio=nil action *socio=nil de la Banque*socio=ac en faveur*socio=rien de l'environnement*socio=ec, le rendement*socio=ec et les économies*socio=ec d'énergie*socio=ec, la protection*socio=et des forêts*socio=et et les transactions*socio=ec d'échange*socio=ec de la dette*socio=ec contre des mesures*socio=rien de conservation*socio=uv de la nature*socio=rien . Le Comité*socio=rien a, dans le même temps*socio=rien , souligné l'importance*socio=rien des questions*socio=rien de changements*socio=uv climatiques*socio=et et a noté que des transferts*socio=rien de technologie*socio=ec et une aide_financière*socio=et extérieure*socio=te accrue seront nécessaires*socio=rien pour aider à faire face*socio=rien aux coûts*socio=ec et aux exigences*socio=uv *socio=rien supplémentaires résultant des*socio=nil efforts*socio=uv plus*socio=nil importants *socio=nil entrepris pour intégrer l'environnement*socio=ec aux plans*socio=rien de développement*socio=uv. Lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1989, le Comité*socio=rien a prié la Banque*socio=ac d'examiner les besoins*socio=uv et les mécanismes*socio=rien financiers*socio=ec que cela implique. Lors*socio=rien des Assemblées*socio=et annuelles*socio=rien de la Banque*socio=ac de septembre*socio=rien 1989, le Ministre*socio=ac des finances*socio=ec de la France*socio=ac a suggéré que la Banque*socio=ac demande*socio=rien à ses membres*socio=rien s'ils seraient favorables*socio=rien à la création*socio=rien d'un*socio=rien mécanisme*socio=rien pour le financement*socio=ec de programmes*socio=et qui, dans les pays_en_développement*socio=ac, s'attaqueraient à des problèmes*socio=uv environnementaux*socio=et de dimension*socio=rien planétaire*socio=ec. Il a indiqué que la France*socio=ac était prête*socio=rien à apporter une contribution*socio=uv de 900 millions*socio=rien de francs*socio=ec sur*socio=rien trois ans*socio=rien . En réponse*socio=rien à la demande*socio=ec du*socio=rien comité_du_développement*socio=ac et à la *socio=rien proposition du Ministre*socio=ac des*socio=nil finances*socio=ec *socio=nil de la France*socio=ac, la Banque*socio=ac a convoqué une réunion*socio=rien à Paris*socio=ac, en mars*socio=rien 1990, pour examiner *socio=rien un document *socio=nil proposant la création*socio=rien d'un*socio=rien fonds*socio=ec mondial*socio=te pour la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec qui interviendrait dans quatre *socio=rien grands domaines:*socio=nil la*socio=nil protection*socio=et *socio=nil de la couche d'ozone*socio=rien , la réduction*socio=uv des émissions*socio=rien de gaz*socio=ec à effet*socio=rien de serre provoquant des changements*socio=uv climatiques*socio=et comme des émissions*socio=rien entraînant une pollution*socio=et transfrontalière, la protection*socio=et contre la dégradation*socio=rien des ressources*socio=ec en eau*socio=ec internationales*socio=te et la protection*socio=et de la *socio=rien diversité biologique.*socio=nil Des*socio=nil représentants*socio=ac *socio=nil de 17 *socio=ac pays donateurs,*socio=nil du*socio=rien programme_des_nations_unies_pour_l'*socio=nil environnement*socio=ec (*socio=nil PNUE*socio=et)*socio=nil et*socio=nil du*socio=rien PNUD étaient*socio=nil présents*socio=rien *socio=nil à cette réunion*socio=rien . Le document*socio=rien examiné proposait le financement*socio=ec d'un*socio=rien programme*socio=et pilote concernant ces quatre domaines*socio=rien , par l'apport*socio=rien de nouveaux*socio=rien crédits*socio=ec concessionnels*socio=uv pour des activités*socio=rien d'assistance_technique*socio=et et des programmes*socio=et d'investissement*socio=ec dans les pays_en_développement*socio=ac. Lors*socio=rien de cette réunion*socio=rien , les donateurs*socio=ac ont encouragé la Banque*socio=ac à procéder, en étroite*socio=rien collaboration*socio=uv avec le PNUE*socio=et et le PNUD*socio=ac, à la définition*socio=rien détaillée des modalités*socio=rien particulières*socio=uv de financement*socio=ec des activités*socio=rien menées par les pays_en_développement*socio=ac qui sont bénéfiques*socio=rien pour l'environnement*socio=ec mondial*socio=te et ne seraient pas poursuivies sans quelques incitations*socio=rien financières*socio=ec supplémentaires*socio=rien . En outre, ils ont généralement admis qu'il fallait accorder à cette fin*socio=rien des crédits*socio=ec concessionnels*socio=uv, à condition*socio=rien qu'ils soient réservés à des *socio=rien actions supplémentaires.*socio=nil *socio=nil Ils ont instamment prié la Banque*socio=ac de rendre compte*socio=rien au comité_du_développement*socio=ac des *socio=rien principaux points d'*socio=nil accord*socio=uv.*socio=nil Lors *socio=nil de sa réunion*socio=rien de mai*socio=rien 1990 à Washington*socio=ac, le comité_du_développement*socio=ac a généralement reconnu que la Banque*socio=ac devait jouer *socio=rien un rôle important *socio=nil dans le financement*socio=ec des activités*socio=rien visant à protéger l'environnement*socio=ec mondial*socio=te. Les *socio=rien membres du Comité *socio=nil sont convenus qu'il fallait poursuivre la mise au point*socio=rien de méthodes*socio=rien pour que la Banque*socio=ac aide*socio=uv les pays_en_développement*socio=ac à prendre des mesures*socio=rien contribuant à la réduction*socio=uv des problèmes*socio=uv écologiques*socio=et mondiaux*socio=te. Ils sont convenus en outre qu'il était important*socio=rien de continuer à élaborer des propositions*socio=rien en vue*socio=rien de mettre en *socio=rien place un mécanisme *socio=nil pilote à cette fin*socio=rien , en tenant compte*socio=rien des programmes*socio=et existants*socio=rien de la Banque*socio=ac. Ils ont aussi instamment prié la Banque*socio=ac de prendre des dispositions*socio=rien pour renforcer et élargir ses *socio=et programmes environnementaux existants*socio=rien *socio=nil , pour que les pays_en_développement*socio=ac puissent contribuer à la réalisation*socio=uv du*socio=rien même objectif*socio=rien en fonction*socio=rien de leurs priorités*socio=uv. La Banque*socio=ac a été*socio=rien vivement priée de s'acquitter promptement de cette tâche*socio=rien en consultation*socio=uv avec les parties*socio=rien intéressées et en étroite*socio=rien collaboration*socio=uv avec le PNUE*socio=et et le PNUD*socio=ac. Les *socio=rien membres du Comité *socio=nil ont souligné qu'il fallait agir avec suffisamment de souplesse*socio=uv pour *socio=rien obtenir un soutien*socio=uv aussi*socio=nil large que*socio=nil possible.*socio=nil Lors *socio=nil d'une seconde réunion*socio=rien des donateurs*socio=ac éventuels*socio=rien , qui s'est*socio=rien tenue à Paris*socio=ac les 11 et 12 juin*socio=rien , les participants*socio=ac ont été*socio=rien invités à donner leur *socio=rien avis sur *socio=nil a) les critères*socio=rien à utiliser pour déterminer les mesures*socio=rien qui pourraient être*socio=rien financées par le fonds*socio=ec et qui ne relèvent d'aucun autre programme*socio=et existant*socio=rien ; et b) les meilleurs*socio=rien moyens*socio=ec d'organiser l'administration*socio=et de ce fonds*socio=ec. Les participants*socio=ac ont approuvé les critères*socio=rien proposés par la Banque*socio=ac et estimé que ces critères*socio=rien permettaient d'établir une *socio=rien distinction bien nette *socio=nil entre les programmes*socio=et existants*socio=rien et les *socio=rien activités du fonds*socio=ec *socio=nil proposé. Ils ont également confirmé qu'ils préconisaient une gestion*socio=et tripartite tirant parti*socio=et des avantages_comparatifs*socio=ec offerts*socio=rien par la Banque*socio=ac, le PNUD*socio=ac et le PNUE*socio=et. Cette initiative*socio=rien , ont-ils ajouté, devait être*socio=rien considérée comme faisant partie*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et d'action*socio=rien concerté qui soit compatible*socio=rien avec les conventions*socio=et mondiales*socio=ec existantes*socio=rien et *socio=rien nouvelles sur les*socio=nil problèmes*socio=uv multilatéraux*socio=te *socio=nil et qui tienne compte*socio=rien des programmes*socio=et et des compétences*socio=uv existant*socio=rien déjà dans ce domaine*socio=rien à l'échelon*socio=rien bilatéral*socio=te et multilatéral*socio=te. Priorités*socio=uv opérationnelles*socio=rien : le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec et la gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac. Au cours*socio=rien des dix *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil stratégies*socio=et de*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil ont évolué dans *socio=rien un sens favorable *socio=nil à l'initiative*socio=rien privée*socio=ec et à la concurrence*socio=ec. Entre les années*socio=rien 40 et les années*socio=rien 70, de nombreux*socio=rien pays*socio=ac développés*socio=rien et en développement*socio=uv avaient adopté une politique_économique*socio=et reposant sur*socio=rien la confiance*socio=uv dans la capacité*socio=rien de l'État*socio=ac à stimuler la croissance*socio=uv et à remédier aux *socio=rien défaillances du marché*socio=ec.*socio=nil *socio=nil A la fin*socio=rien des années*socio=rien 70, l'intervention*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac dans la gestion*socio=et économique*socio=ec s'était étendue au point*socio=rien de provoquer de graves*socio=rien dysfonctionnements*socio=uv dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac. D'où une remise en *socio=rien cause croissante du rôle *socio=nil de l'État*socio=ac et une prise*socio=rien de conscience*socio=uv de plus en plus nette*socio=rien de la nécessité*socio=uv de redéfinir les priorités*socio=uv, de supprimer les activités*socio=rien non rentables*socio=ec et d'utiliser toutes les ressources*socio=ec de façon*socio=rien plus efficace*socio=uv et économique*socio=ec. Depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80, on s'efforce de profiter autant que possible*socio=rien des compétences*socio=uv et des ressources*socio=ec du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, tout en renforçant les *socio=rien activités du secteur_public*socio=ac *socio=nil complétant et favorisant le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Aujourd'hui, de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac s'emploient activement à tirer parti*socio=et des avantages*socio=rien de l'initiative*socio=rien privée*socio=ec et des *socio=rien mécanismes du marché*socio=ec.*socio=nil La*socio=nil banque_mondiale*socio=ac *socio=nil a, elle aussi, commencée à s'adapter*socio=rien à cette évolution*socio=rien . Elle a intensifié son soutien*socio=uv aux *socio=ec marchés concurrentiels,*socio=nil *socio=nil en préconisant activement et explicitement des mesures*socio=rien prioritaires*socio=uv en *socio=rien faveur du secteur_privé*socio=ec,*socio=nil à*socio=nil travers *socio=nil toutes les institutions*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac de la Banque25. La Banque*socio=ac a toujours eu pour principe*socio=rien d'aider activement les pays*socio=ac à adopter une politique*socio=et favorisant le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, de manière*socio=rien à ce qu'ils puissent mettre à profit*socio=ec l'initiative*socio=rien privée*socio=ec et les *socio=rien mécanismes du marché*socio=ec *socio=nil pour promouvoir un*socio=rien *socio=uv développement efficace.*socio=nil D'*socio=nil ailleurs*socio=rien *socio=nil , l' un*socio=rien des *socio=rien principaux objectifs *socio=nil de la Banque*socio=ac, énoncé dans ses Statuts*socio=rien , est*socio=rien d'encourager l'investissement*socio=ec étranger*socio=te privé*socio=ec pour stimuler la production*socio=ec. En janvier*socio=rien 1989, la Banque*socio=ac a lancé son programme*socio=et d'action*socio=rien pour le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, afin d'élargir et de renforcer le soutien*socio=uv à ce secteur*socio=ec. Ce programme*socio=et était destiné à combler les lacunes*socio=rien des *socio=rien activités du groupe_de_la_banque*socio=ac *socio=nil dans ce domaine*socio=rien en intégrant*socio=rien aux opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac des activités*socio=rien favorisant le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, en identifiant les secteurs*socio=ec dans lesquels les efforts*socio=uv devaient être*socio=rien intensifiés et en cherchant avant tout des moyens*socio=ec d'améliorer la coordination*socio=uv entre la Banque*socio=ac, la SFI*socio=ac et l'AMGI*socio=ac. Le programme*socio=et d'action*socio=rien avait quatre objectifs*socio=rien prioritaires*socio=uv: l'amélioration*socio=uv de l'environnement*socio=ec économique*socio=ec; la restructuration*socio=uv et, le cas*socio=rien échéant, la privatisation*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac; la réforme*socio=et du*socio=rien *socio=ec secteur financier;*socio=nil *socio=nil enfin la recherche*socio=ec visant à élaborer de *socio=rien nouvelles initiatives *socio=nil et à accroître l'efficacité*socio=uv des activités*socio=rien de la Banque*socio=ac destinées*socio=rien à favoriser le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Dix-huit *socio=rien mois après son*socio=nil lancement,*socio=nil cet*socio=nil effort*socio=uv de*socio=nil longue haleine *socio=nil a déjà donné des *socio=rien résultats prometteurs.*socio=nil Bien *socio=nil qu'il *socio=rien reste fort *socio=nil à faire pour que ces éléments*socio=rien soient pleinement et systématiquement intégrés aux programmes*socio=et d'assistance*socio=et par pays*socio=ac de la Banque*socio=ac, quelques réalisations*socio=uv méritent d'être*socio=rien signalées: le nombre*socio=rien d'opérations*socio=rien comportant des éléments*socio=rien axés sur*socio=rien le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec a augmenté plus d'un*socio=rien tiers*socio=rien ; - le travail*socio=rien d'analyse*socio=rien mené par le personnel*socio=rien de la Banque*socio=ac dans ce domaine*socio=rien s'est*socio=rien considérablement*socio=rien intensifié; - les opérations*socio=rien approuvées par la SFI*socio=ac ont augmenté de 12%, ses investissements*socio=ec se sont diversifiés et elle utilise plus largement des instruments*socio=rien tels que les quasi-fonds propres*socio=rien et la délégation*socio=et de crédits*socio=ec pour prises*socio=rien de participation*socio=uv; - l'AMGI*socio=ac a octroyé ses premières*socio=rien garanties et un*socio=rien programme*socio=et de conférences*socio=rien et de services*socio=ec de conseils*socio=ac pour la promotion*socio=uv des investissements*socio=ec a été*socio=rien lancé; - les *socio=rien activités du *socio=nil Service-conseil pour l'investissement*socio=ec étranger*socio=te (FIAS) se sont étendues; opération*socio=rien conjointe*socio=uv de la SFI*socio=ac et de l'AMGI*socio=ac, ce service*socio=rien fournit une assistance_technique*socio=et aux gouvernements*socio=ac des pays_membres*socio=ac pour le développement*socio=uv des marchés_financiers*socio=ec et leur donne des conseils*socio=ac sur*socio=rien les mécanismes*socio=rien à mettre en place*socio=rien pour encourager l'investissement_étranger_direct*socio=ec. Des progrès*socio=uv ont été*socio=rien accomplis dans chacun des quatre domaines*socio=rien prioritaires*socio=uv du*socio=rien programme*socio=et d'action*socio=rien et la Banque*socio=ac a la ferme*socio=ec intention*socio=rien de les consolider. Pour favoriser *socio=rien un climat économique*socio=ec favorable,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac continue *socio=nil d'élargir son aide*socio=uv aux gouvernements*socio=ac qui prennent des *socio=rien mesures concrètes *socio=nil pour éliminer les obstacles*socio=rien à l'importation*socio=ec et aux investissements*socio=ec, réformer la législation*socio=et du*socio=rien travail*socio=ec et améliorer, renforcer ou réformer les systèmes*socio=rien juridiques*socio=et et réglementaires*socio=rien . Dans les 18 mois*socio=rien qui se sont écoulés entre janvier*socio=rien 1989 et *socio=rien fin juin *socio=nil 1990, 100 projets*socio=rien ont comporté des éléments*socio=rien visant à améliorer l'environnement*socio=ec économique*socio=ec. Dix opérations*socio=rien , entreprises*socio=ac dans sept pays*socio=ac - Cameroun*socio=ac, Ghana*socio=ac, Hongrie*socio=ac, Indonésie*socio=ac, Mexique*socio=ac, Népal*socio=ac et Yougoslavie*socio=ac - avaient pour *socio=rien principal objectif *socio=nil de soutenir la réforme*socio=et *socio=rien du cadre juridique*socio=et et*socio=nil réglementaire*socio=et.*socio=nil L'*socio=nil amélioration*socio=uv du climat des*socio=nil affaires*socio=ec indispensable*socio=uv *socio=nil pour maximiser la contribution*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec au développement*socio=uv. Certaines*socio=rien réformes*socio=et dans ce domaine*socio=rien commencent seulement à voir le jour*socio=rien (notamment en matière*socio=rien de législation*socio=et sur*socio=rien les faillites*socio=ec, de protection*socio=et des droits_de_propriété*socio=et et de lutte*socio=uv contre la collusion ou les monopoles*socio=ec). L'intensification*socio=rien en cours*socio=rien ou prévue par la Banque*socio=ac dans ses études_sectorielles*socio=ec et ses analyses*socio=rien économiques*socio=ec par pays*socio=ac portant sur*socio=rien le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec a pour but*socio=rien d'encourager et d'aider les emprunteurs*socio=ac à s'attaquer à ces problèmes*socio=uv cruciaux*socio=rien . En analysant les moyens*socio=ec d'améliorer le climat*socio=rien des affaires*socio=ec, la Banque*socio=ac a mis l'accent*socio=rien sur*socio=rien des *socio=rien mesures concrètes *socio=nil pour stimuler l'offre*socio=rien de *socio=rien manière rapide et*socio=nil efficace*socio=uv,*socio=nil grâce *socio=nil à de *socio=rien meilleures incitations.*socio=nil Une*socio=nil étude*socio=ac *socio=nil réalisée pendant l'année*socio=rien écoulée a jeté les *socio=rien bases théoriques *socio=nil de la création*socio=rien de conditions*socio=uv d'une saine*socio=uv concurrence*socio=ec permanente*socio=rien et loyale. D'autres études*socio=rien analysent l'influence des lois*socio=et sur*socio=rien le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec et leurs conséquences*socio=rien pratiques*socio=et pour les opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac, les effets*socio=rien des mesures*socio=rien d'ajustement*socio=et sur*socio=rien l'offre*socio=rien du*socio=rien secteur_privé*socio=ec et l'influence sur*socio=rien l'investissement_privé*socio=ec de l'impôt*socio=et sur*socio=rien les sociétés*socio=ac. Cette dernière*socio=rien étude*socio=ac explique comment éviter que la fiscalité*socio=ec des sociétés*socio=ac ne fausse*socio=rien leurs décisions*socio=rien d'investissement*socio=ec. Une étude*socio=ac sur*socio=rien les investissements_étrangers_directs*socio=ec examine comment les pays_en_développement*socio=ac pourraient attirer les investisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv sans recourir à des mesures*socio=rien d'incitation*socio=rien coûteuses*socio=ec et créatrices*socio=rien de distorsions*socio=uv. Les activités*socio=rien concernant la restructuration*socio=uv du*socio=rien secteur_public*socio=ac, *socio=rien deuxième objectif important du programme*socio=et d'*socio=nil action,*socio=nil *socio=nil consistent à soutenir les réformes*socio=et visant à accroître l'autonomie*socio=uv des entreprises_publiques*socio=et et à les responsabiliser, à les exposer à la concurrence*socio=ec, si cela *socio=rien est possible,*socio=nil *socio=nil et à les restructurer pour accroître leur efficacité*socio=uv. Dans le cadre*socio=rien de ces activités*socio=rien , la Banque*socio=ac aide*socio=uv aussi les pays*socio=ac intéressés à élaborer *socio=rien un cadre *socio=nil approprié et à créer *socio=rien un climat propice *socio=nil à la privatisation*socio=et réussie des entreprises_publiques*socio=et et à l'expansion*socio=ec *socio=rien du rôle du secteur_privé*socio=ec *socio=nil dans les domaines*socio=rien des services*socio=ec "aux et de l'infrastructure*socio=ec, lorsque cela aide*socio=uv à surmonter les difficultés*socio=rien financières*socio=ec et à accroître l'efficacité*socio=uv. La Banque*socio=ac procède en outre à l'examen*socio=rien des programmes*socio=et de dépenses_publiques*socio=et afin d'aider les gouvernements*socio=ac à évaluer leur *socio=rien effet sur l'*socio=nil initiative privée*socio=ec *socio=nil et de déterminer les possibilités*socio=rien d'élargir le *socio=rien rôle du secteur_privé*socio=ec *socio=nil dans la prestation*socio=et de services_sociaux*socio=et et l'aménagement*socio=rien de l'infrastructure*socio=ec. La privatisation*socio=et des entreprises_publiques*socio=et peut aider à renforcer l'efficacité*socio=uv, à mettre *socio=rien un terme *socio=nil à la saignée de l'économie*socio=ec et à ouvrir de *socio=rien nouveaux domaines *socio=nil à la concurrence*socio=ec et à l'initiative*socio=rien privée*socio=ec. La Banque*socio=ac soutient activement la privatisation*socio=et depuis 1983. Au cours*socio=rien des 18 mois*socio=rien qui se sont écoulés depuis que le programme*socio=et d'action*socio=rien est*socio=rien devenu opérationnel*socio=rien , 24 projets*socio=rien contenant des *socio=rien éléments relatifs *socio=nil à la privatisation*socio=et ont été*socio=rien approuvés, de sorte*socio=rien que le total*socio=rien de ces opérations*socio=rien depuis 1983 est*socio=rien maintenant de 86. Nonobstant les progrès*socio=uv accomplis (notamment en Guinée*socio=ac, à la Jamaïque*socio=ac, au Mexique*socio=ac et aux Philippines*socio=ac), les résultats*socio=rien globaux*socio=ec sont inégaux*socio=uv. Dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien , les entreprises*socio=ac privatisées sont assez petites*socio=rien ; dans d'autres, les gouvernements*socio=ac ont cherché à attirer les acheteurs*socio=ac en offrant des droits*socio=uv de monopole*socio=ec, des conditions*socio=uv de financement*socio=ec favorables*socio=rien et une protection*socio=et contre les importations*socio=ec. Enfin, les procédures*socio=rien établies n'ont pas toujours été*socio=rien respectées et le processus*socio=rien de désengagement*socio=et de l'État*socio=ac a parfois manqué de transparence*socio=uv. La Banque*socio=ac et la SFI*socio=ac donnent des conseils*socio=ac pour la conception*socio=rien des stratégies*socio=et de désengagement*socio=et de l'État*socio=ac; elles fournissent des crédits*socio=ec aux entreprises*socio=ac privatisées; elles contribuent au développement*socio=uv des marchés_financiers*socio=ec et aident les pays*socio=ac à résoudre les problèmes*socio=uv de procédure*socio=rien et les problèmes*socio=uv juridiques*socio=et. Tout en reconnaissant que les inconvénients*socio=uv immédiats*socio=rien de la privatisation*socio=et sont largement compensés par ses avantages*socio=rien à long_terme*socio=ec, la Banque*socio=ac s'efforce aussi, dans ses opérations*socio=rien , de remédier à ses conséquences*socio=rien sociales*socio=ac, qui peuvent être*socio=rien très lourdes. Alors que le licenciement*socio=ec d'effectifs*socio=rien *socio=rien pléthoriques est *socio=nil généralement le corollaire de tout programme*socio=et visant à accroître l'efficacité*socio=uv des entreprises*socio=ac, qu'elles soient publiques*socio=et ou privées*socio=ec, le chômage*socio=ec est*socio=rien considéré dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac comme *socio=rien un sérieux obstacle *socio=nil à la privatisation*socio=et, en particulier*socio=uv si les possibilités*socio=rien de réemploi*socio=et sont rares*socio=rien . Des fonds*socio=ec de formation*socio=et et de redéploiement*socio=rien de la main-d'_oeuvre*socio=ac ont été*socio=rien intégrés à *socio=rien certaines opérations *socio=nil menées en Afrique*socio=ac pour atténuer les conséquences*socio=rien des licenciements*socio=ec dans le secteur_public*socio=ac. Au Sénégal*socio=ac, par exemple*socio=rien , un*socio=rien fonds*socio=ec, soutenu par la Banque*socio=ac, sert à refinancer des prêts*socio=ec accordés par des banques*socio=ac commerciales*socio=ec pour de *socio=rien petits projets *socio=nil employant le personnel*socio=rien licencié par les entreprises_publiques*socio=et privatisées. Les *socio=rien opérations récentes *socio=nil de la Banque*socio=ac en faveur*socio=rien de la privatisation*socio=et répondent aussi à la nécessité*socio=uv d'éviter de créer des tensions*socio=uv qui entraîneraient des transactions*socio=ec hâtives*socio=rien . Ainsi, au lieu*socio=rien de considérer le nombre*socio=rien d'entreprises*socio=ac à privatiser, on fixe de plus en plus des objectifs*socio=rien de progrès*socio=uv, tels que la valeur*socio=ec totale*socio=rien des actifs*socio=ec mis en vente*socio=ec. La Banque*socio=ac fournit en outre une assistance_technique*socio=et plus importante*socio=rien pour aider les gouvernements*socio=ac à établir et à suivre les procédures*socio=rien de privatisation*socio=et et pour en analyser les conséquences*socio=rien économiques*socio=ec. La Banque*socio=ac accroît aussi son assistance*socio=et en vue*socio=rien d'aider les pays_membres*socio=ac à renforcer le *socio=rien rôle du secteur_privé*socio=ec *socio=nil dans le secteur*socio=ec des services_sociaux*socio=et et dans celui de l'infrastructure*socio=ec. Trente-huit des 85 projets*socio=rien destinés à favoriser la participation*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec à la prestation*socio=et de services_sociaux*socio=et et à l'équipement*socio=ec urbain*socio=te pendant les 18 *socio=rien mois du programme*socio=et d'*socio=nil action *socio=nil contenaient des éléments*socio=rien destinés à améliorer les règlements*socio=et et les *socio=rien incitations régissant la*socio=nil prestation*socio=et privée*socio=ec de*socio=nil services_publics*socio=et,*socio=nil *socio=nil à assurer un*socio=rien financement*socio=ec et une formation*socio=et aux entrepreneurs*socio=ac privés*socio=ec et à aider les gouvernements*socio=ac intéressés à engager des prestataires*socio=ac de *socio=ec services privés.*socio=nil *socio=nil Dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, en particulier*socio=uv ceux où le secteur_privé*socio=ec est*socio=rien très peu développé*socio=rien , les gouvernements*socio=ac peuvent hésiter à abandonner le contrôle*socio=uv direct*socio=rien de *socio=rien nombreuses activités.*socio=nil C'*socio=nil est *socio=nil pourquoi la Banque*socio=ac s'efforce de les aider à vaincre leur réticences*socio=rien touchant l'équité*socio=uv et l'efficacité*socio=uv. A cette fin*socio=rien , elle a soutenu récemment des activités*socio=rien ayant pour but*socio=rien de démontrer, par exemple*socio=rien , que le secteur_privé*socio=ec peut desservir des régions*socio=te éloignées ou des communautés*socio=ac pauvres*socio=uv que les pouvoirs_publics*socio=ac ne peuvent atteindre, ou qu'il peut faciliter l'accès*socio=uv aux services_de_santé*socio=et ou améliorer la qualité*socio=rien de l'enseignement*socio=et. L'extension*socio=rien *socio=rien du rôle du secteur_privé*socio=ec est un processus de*socio=nil longue haleine *socio=nil qui doit être*socio=rien mené à bien*socio=rien avec prudence*socio=uv et avec un*socio=rien soutien*socio=uv suffisant*socio=rien pour mettre en place*socio=rien les institutions*socio=ac et les mécanismes*socio=rien de sauvegarde*socio=uv nécessaires*socio=rien . Tout en continuant à fournir les services_publics*socio=et essentiels*socio=uv, les gouvernements*socio=ac doivent réglementer les prestataires*socio=ac privés*socio=ec de services_sociaux*socio=et, en assouplissant certaines*socio=rien restrictions*socio=uv mais aussi en fixant des normes*socio=et de qualité*socio=rien . La Banque*socio=ac est*socio=rien en train*socio=rien d'examiner de près les données d'expérience*socio=uv, en axant sa recherche*socio=ec en priorité*socio=uv sur*socio=rien les questions*socio=rien d'équité*socio=uv et d'efficacité*socio=uv et sur*socio=rien les aspects*socio=rien institutionnels*socio=ac de prestations*socio=et privées*socio=ec de services_sociaux*socio=et. La Banque*socio=ac et la SFI*socio=ac s'efforcent l'une et l'autre d'aider les gouvernements*socio=ac à mobiliser et attirer des capitaux*socio=ec et des *socio=rien cadres du secteur_privé*socio=ec *socio=nil pour l'aménagement*socio=rien de l'infrastructure*socio=ec de base*socio=rien . Là où l'État*socio=ac reste*socio=rien le principal*socio=rien responsable*socio=uv de l'équipement*socio=ec et des services_sociaux*socio=et de base*socio=rien , les pouvoirs_publics*socio=ac doivent chercher constamment des moyens*socio=ec d'exécuter ces tâches*socio=rien plus efficacement - par exemple*socio=rien , en stimulant la concurrence*socio=ec et en responsabilisant les directeurs*socio=ac des *socio=ac entreprises parapubliques.*socio=nil Les*socio=nil administrations_publiques*socio=et *socio=nil ont des capacités*socio=rien limitées et il est*socio=rien encourageant de voir qu'elles cherchent à mobiliser les ressources*socio=ec du*socio=rien secteur_privé*socio=ec dans des domaines*socio=rien jusque-là considérés, dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, comme le monopole*socio=ec de l'État*socio=ac - construction*socio=ec et exploitation*socio=ec des routes*socio=rien , enseignement*socio=et, propriété*socio=ec et gestion*socio=et des réseau*socio=rien d'alimentation*socio=ec en eau*socio=ec -, par exemple*socio=rien . Entre janvier*socio=rien 1989 et la fin*socio=rien de juin*socio=rien 1990, environ 17 études*socio=rien des dépenses_publiques*socio=et ont été*socio=rien réalisées. Toutes analysaient les perspectives*socio=uv de privatisation*socio=et et d'accroissement*socio=ec de la concurrence*socio=ec entre le secteur_privé*socio=ec et les entreprises_publiques*socio=et. Comme ces études*socio=rien , à quelques exceptions*socio=rien près, n'ont pas permis*socio=rien de définir*socio=rien avec précision*socio=rien des alternatives*socio=et privées*socio=ec aux *socio=et programmes publics,*socio=nil *socio=nil ni de démontrer les *socio=rien conséquences négatives *socio=nil que pourrait avoir le déplacement*socio=rien ou l'"éviction" des investissements_privés*socio=ec, la Banque*socio=ac s'efforce maintenant de mettre au point*socio=rien une méthode*socio=rien pour aider ses services*socio=ec ainsi que les gouvernements*socio=ac à analyser les *socio=rien avantages relatifs *socio=nil et à comparer les effets*socio=rien de l'éviction et *socio=rien du déplacement des*socio=nil investissements_privés*socio=ec aux*socio=nil effets complémentaires *socio=nil de l'investissement_public*socio=et sur*socio=rien le secteur_privé*socio=ec. La Banque*socio=ac est*socio=rien aussi en train*socio=rien d'analyser deux autres séries de problèmes*socio=uv liés à la restructuration*socio=uv du*socio=rien secteur_public*socio=ac. D'une part*socio=rien , elle étudie les leçons*socio=rien à tirer des effets*socio=rien de la privatisation*socio=et sur*socio=rien l'efficacité*socio=uv économique*socio=ec, l'emploi*socio=ec et les finances_publiques*socio=et et cherche à déterminer si les résultats*socio=rien obtenus sont reproductibles. Parmi les études*socio=rien récemment achevées figurent *socio=rien un examen des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac à l'appui*socio=rien de mesures*socio=rien de privatisation*socio=et, une évaluation*socio=uv des réformes*socio=et des systèmes*socio=rien de propriété*socio=ec et de contrôle*socio=uv en Chine*socio=ac et en Hongrie*socio=ac, et une monographie sur*socio=rien la privatisation*socio=et des chemins*socio=rien de fer*socio=rien . D'autre part*socio=rien , la Banque*socio=ac analyse*socio=rien le *socio=rien rôle respectif des*socio=nil secteurs_public*socio=ac et*socio=nil privé*socio=ec.*socio=nil Plusieurs*socio=nil études *socio=nil réalisées par la Banque*socio=ac et la SFI*socio=ac pendant l'année*socio=rien écoulée ont porté sur*socio=rien la prestation*socio=et privée*socio=ec de services_publics*socio=et dans les domaines*socio=rien de l'alimentation*socio=ec en eau*socio=ec et de l'assainissement*socio=uv, des transports*socio=ec, de la santé*socio=et et *socio=rien du planning familial*socio=uv.*socio=nil *socio=nil Elles proposaient des moyens*socio=ec de privatiser plus largement ces services*socio=ec tout en veillant à ce que leur prestation*socio=et couvre les besoins*socio=uv de *socio=rien manière suffisante et*socio=nil équitable*socio=uv.*socio=nil Le*socio=nil groupe_de_la_banque*socio=ac *socio=nil soutient la mise en place*socio=rien de systèmes*socio=rien financiers*socio=ec efficaces*socio=uv, basés sur*socio=rien le marché*socio=ec, au moyen*socio=rien de prêts*socio=ec à l'ajustement_structurel*socio=et et, de plus en plus, au moyen*socio=rien de prêts*socio=ec et de crédits*socio=ec pour l'ajustement*socio=et de l'ensemble*socio=rien du*socio=rien *socio=ec secteur financier.*socio=nil De*socio=nil janvier*socio=rien *socio=nil 1989 à juin*socio=rien 1990, *socio=rien neuf opérations *socio=nil de ce type*socio=rien ont été*socio=rien approuvées, les engagements*socio=ec s'élevant au total*socio=rien à 1 695 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. La SFI*socio=ac a activement oeuvré pour fournir une assistance_technique*socio=et et des conseils*socio=ac stratégiques*socio=uv pour le développement*socio=uv des marchés*socio=ec de capitaux*socio=ec, soit en collaboration*socio=uv avec la Banque*socio=ac, soit directement à la demande*socio=ec des gouvernements*socio=ac des pays_membres*socio=ac. Il faut noter aussi la multiplication*socio=rien des opérations*socio=rien de la SFI*socio=ac sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec, son soutien*socio=uv à de nouveaux*socio=rien fonds-pays (Indonésie*socio=ac, Malaisie*socio=ac et Thaïlande*socio=ac), et la création*socio=rien en son sein*socio=rien d'une unité*socio=uv, le groupe*socio=ac des titres*socio=rien internationaux*socio=te, chargée d'introduire sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec des *socio=ac pays industriels les*socio=nil sociétés prospères*socio=ec des*socio=nil pays_en_développement.*socio=nil Au*socio=nil cours*socio=rien *socio=nil des 18 *socio=rien derniers mois,*socio=nil huit*socio=nil opérations *socio=nil de la Banque*socio=ac ont contenu des éléments*socio=rien axés sur*socio=rien le développement*socio=uv des marchés_financiers*socio=ec; dans chaque cas*socio=rien , la Banque*socio=ac et la SFI*socio=ac ont collaboré étroitement. Par ailleurs*socio=rien , la Banque*socio=ac poursuit activement ses opérations*socio=rien d'intermédiation*socio=uv financière*socio=ec pour accroître le transfert*socio=ec de ressources*socio=ec au secteur_privé*socio=ec. Conformément aux *socio=rien conclusions du rapport d'*socio=nil un groupe*socio=ac de*socio=nil travail *socio=nil présenté en septembre*socio=rien 1989 sur*socio=rien les *socio=rien opérations du *socio=ec secteur financier *socio=nil (qui recommandait, d'une part*socio=rien , que des critères*socio=rien de sélection*socio=rien et de performance*socio=uv plus rigoureux*socio=rien soient appliqués aux institutions*socio=ac intermédiaires*socio=rien soutenues par la Banque*socio=ac et, d'autre part*socio=rien , que ces institutions*socio=ac aient une plus *socio=rien grande latitude *socio=nil pour rétrocéder les fonds*socio=ec de la Banque*socio=ac à des conditions*socio=uv commerciales*socio=ec), la Banque*socio=ac apporte son soutien*socio=uv à des institutions*socio=ac compétitives*socio=uv qui, conformément aux *socio=rien nouveaux critères *socio=nil de la Banque*socio=ac, mobilisent de plus en plus leurs ressources*socio=ec sur*socio=rien le marché*socio=ec intérieur*socio=rien (Encadré 3-3). Note sur*socio=rien les *socio=rien nouveaux critères *socio=nil de la Banque*socio=ac. Les institutions*socio=ac qui ne satisfont pas aux *socio=rien nouveaux critères *socio=nil de la Banque*socio=ac ne peuvent servir d'intermédiaires*socio=ac que si elles ont adopté des plans*socio=rien de développement*socio=uv institutionnel*socio=rien qui leur permettent de faire face*socio=rien à la concurrence*socio=ec dans *socio=rien un délai raisonnable.*socio=nil Fin *socio=nil de note. De janvier*socio=rien 1989 à juin*socio=rien 1990, 67 opérations*socio=rien d'intermédiation*socio=uv financière*socio=ec, d'un*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de 6,6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, ont été*socio=rien approuvées. Sur*socio=rien ce montant*socio=ec, 4,6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec devraient être*socio=rien rétrocédés à des entreprises_privées*socio=ec. Toutefois, les montants*socio=rien engagés par le groupe_de_la_banque*socio=ac (6,9 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec) pour le financement*socio=ec du*socio=rien secteur_privé*socio=ec depuis le *socio=rien lancement du programme*socio=et d'*socio=nil action *socio=nil (67% pour les opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac et 33% pour les investissements*socio=ec de la SFI*socio=ac) ne représentent qu'une *socio=rien petite fraction des*socio=nil crédits*socio=ec *socio=nil dont dispose un*socio=rien pays*socio=ac. La contribution*socio=uv la plus *socio=rien importante du groupe_de_la_banque*socio=ac *socio=nil réside non pas dans l'apport*socio=rien direct*socio=rien de crédits*socio=ec, mais dans son *socio=rien rôle catalyseur *socio=nil pour la mobilisation*socio=uv d'autres ressources*socio=ec et dans les avis*socio=rien qu'il donne sur*socio=rien les politiques*socio=et et les réformes*socio=et institutionnelles*socio=ac permettant d'améliorer le *socio=rien fonctionnement global des*socio=nil systèmes financiers*socio=ec des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac.*socio=nil A*socio=nil travers ses*socio=nil activités de*socio=nil cofinancement*socio=ec *socio=nil et son soutien*socio=uv à des entreprises*socio=ac à risques*socio=uv partagés, la Banque*socio=ac cherche à fournir des crédits*socio=ec supplémentaires*socio=rien aux pays_en_développement*socio=ac pour le financement*socio=ec de *socio=rien projets spécifiques.*socio=nil Deux*socio=nil nouvelles initiatives,*socio=nil fruit du travail plus*socio=nil intense des*socio=nil services_de_la_banque*socio=ac en*socio=nil matière de*socio=nil cofinancement*socio=ec,*socio=nil ont*socio=nil été *socio=nil lancées pendant l'exercice*socio=rien 90. L'une est*socio=rien le programme*socio=et d'opérations*socio=rien élargies de cofinancement*socio=ec (ECO), dont le *socio=rien but est *socio=nil d'aider à accroître les *socio=ec flux financiers *socio=nil vers les pays_en_développement*socio=ac en garantissant des *socio=ec prêts commerciaux *socio=nil et des obligations*socio=uv privés*socio=ec, ainsi que des obligations*socio=uv d'État*socio=ac en cas*socio=rien de financement*socio=ec avec droit*socio=uv de recours*socio=rien limité - le tout dans le cadre*socio=rien de projets*socio=rien soutenus par la Banque*socio=ac. Le programme*socio=et EXCEL de promotion*socio=uv des crédits*socio=ec à l'exportation*socio=ec a pour but*socio=rien de promouvoir l'octroi*socio=rien de crédits*socio=ec à l'exportation*socio=ec aux moyennes*socio=rien entreprises_privées*socio=ec pour des investissements*socio=ec bénéficiant d'un*socio=rien financement*socio=ec de la Banque*socio=ac dans le cadre*socio=rien d'opérations*socio=rien d'intermédiation*socio=uv financière*socio=ec. Une *socio=rien grande partie *socio=nil de l'analyse*socio=rien des *socio=rien questions relatives au*socio=nil développement*socio=uv du *socio=ec secteur financier *socio=nil va au-delà du*socio=rien développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec au *socio=rien sens strict.*socio=nil *socio=nil Néanmoins, plusieurs *socio=rien questions intéressant *socio=nil plus particulièrement le secteur_privé*socio=ec ont pu être*socio=rien abordées ou identifiées. Le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1989 était consacré à l'examen*socio=rien général*socio=rien des politiques*socio=et financières*socio=ec et de leurs *socio=rien effets sur le*socio=nil secteur_privé*socio=ec,*socio=nil *socio=nil et le groupe*socio=ac de travail*socio=rien précité sur*socio=rien les *socio=rien opérations du *socio=ec secteur financier *socio=nil a analysé l'action*socio=rien de la Banque*socio=ac en faveur*socio=rien de la réforme*socio=et et du*socio=rien développement*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur financier.*socio=nil Les*socio=nil sujets*socio=rien d'*socio=nil étude*socio=ac retenus*socio=rien *socio=nil pour l'avenir*socio=te ont trait*socio=rien notamment à l'effet*socio=rien des politiques*socio=et financières*socio=ec et des imperfections*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec sur*socio=rien les décisions*socio=rien d'investissement_privées*socio=ec, au *socio=rien rôle du *socio=nil capital-risque dans le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec et aux résultats*socio=rien des opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et du*socio=rien *socio=ec secteur financier.*socio=nil Le*socio=nil bilan*socio=rien *socio=nil de ces opérations*socio=rien devrait guider les services_de_la_banque*socio=ac dans la conception*socio=rien des *socio=rien futures opérations.*socio=nil *socio=nil De toute évidence*socio=rien , les *socio=rien débuts prometteurs du programme*socio=et *socio=nil annoncent l'élargissement*socio=rien et le renforcement*socio=uv de l'action*socio=rien en *socio=rien faveur du développement*socio=uv du secteur_privé*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Ainsi, la Banque*socio=ac vient d'entreprendre l'étude*socio=ac des moyens*socio=ec de stimuler l' esprit_d'_entreprise*socio=uv, en particulier*socio=uv en Afrique*socio=ac, et d'encourager le transfert*socio=rien de technologies*socio=ec. En tant qu'organisations*socio=ac coopératives*socio=ac associant pays*socio=ac développés*socio=rien et pays_en_développement*socio=ac, les institutions*socio=ac du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac bénéficient d'atouts*socio=rien exceptionnels*socio=uv pour contribuer à la croissance*socio=uv et à l'efficacité*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. La réussite*socio=uv de cette tâche*socio=rien suppose une étroite*socio=rien collaboration*socio=uv entre les *socio=rien membres du Groupe*socio=ac.*socio=nil Des*socio=nil progrès*socio=uv importants ont*socio=nil été *socio=nil accomplis au cours*socio=rien des 18 *socio=rien derniers mois *socio=nil et, maintenant, la collaboration*socio=uv *socio=rien est excellente au*socio=nil niveau des*socio=nil projets.*socio=nil De*socio=nil nouveaux efforts*socio=uv *socio=nil sont actuellement faits*socio=rien pour systématiser l'effort*socio=uv de collaboration*socio=uv dans le cadre*socio=rien de l'élaboration*socio=rien des stratégies*socio=et par pays*socio=ac. Dans bien*socio=rien des cas*socio=rien , ces stratégies*socio=et font encore une place*socio=rien inégale*socio=uv au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. L'importance*socio=rien accordée à la *socio=rien question est *socio=nil étroitement liée aux études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien par pays*socio=ac déjà réalisées sur*socio=rien les obstacles*socio=rien à l'initiative*socio=rien privée*socio=ec et sur*socio=rien les possibilités*socio=rien de redéfinir le *socio=rien rôle respectif des*socio=nil secteurs_public*socio=ac et*socio=nil privé*socio=ec.*socio=nil Les*socio=nil services*socio=ec de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac collaborent avec *socio=rien un certain nombre de*socio=nil départements géographiques *socio=nil pour tirer parti*socio=et de leur expérience*socio=uv et élaborer *socio=rien un cadre *socio=nil pouvant guider le personnel*socio=rien de la Banque*socio=ac dans ses efforts*socio=uv d'intégration*socio=uv cohérente*socio=rien et *socio=rien systématique du développement*socio=uv du secteur_privé*socio=ec aux*socio=nil programmes_d'_aide*socio=uv par*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil La*socio=nil réunion du comité_du_développement*socio=ac de*socio=nil mai *socio=nil 1990 a été*socio=rien consacrée en *socio=rien grande partie *socio=nil à l'examen*socio=rien de la contribution*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec au développement*socio=uv et *socio=rien du rôle *socio=nil que le groupe_de_la_banque_mondiale*socio=ac devrait jouer à cet égard*socio=rien . Le Comité*socio=rien s'est*socio=rien félicité de l'attention*socio=rien croissante*socio=rien que les pays_en_développement*socio=ac accordent au *socio=rien rôle du secteur_privé*socio=ec *socio=nil et a insisté sur*socio=rien la nécessité*socio=uv de créer un*socio=rien environnement*socio=ec favorable*socio=rien à ses activités*socio=rien . Le Comité*socio=rien a noté en outre que l'adoption*socio=et par tous les pays*socio=ac de marchés*socio=ec ouverts*socio=rien , la mise en oeuvre*socio=rien de mesures*socio=rien d' ajustement_structurel*socio=et et la création*socio=rien d'un*socio=rien *socio=ec environnement financier favorable*socio=rien *socio=nil pouvaient renforcer la confiance*socio=uv des investisseurs*socio=ac privés*socio=ec. Des *socio=rien membres du Comité *socio=nil ont encouragé la Banque*socio=ac à donner au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec *socio=rien un rang de*socio=nil priorité*socio=uv très*socio=nil élevé *socio=nil dans ses opérations*socio=rien , à continuer à étendre ses activités*socio=rien dans ce domaine*socio=rien , notamment en adoptant, en cas*socio=rien de besoin*socio=uv, de nouvelles*socio=rien approches et de *socio=rien nouveaux instruments,*socio=nil *socio=nil et à soutenir les efforts*socio=uv entrepris par les pays_en_développement*socio=ac pour mettre en oeuvre*socio=rien des réformes*socio=et institutionnelles*socio=ac, réglementaires*socio=rien et juridiques*socio=et à long_terme*socio=ec, en harmonie*socio=uv avec leur situation*socio=uv socio-économique*socio=ec. Ils ont ainsi souligné la nécessité*socio=uv d'une coordination*socio=uv étroite*socio=rien - sans chevauchements*socio=rien - au *socio=rien sein du groupe_de_la_banque*socio=ac *socio=nil pour mieux intégrer à ses opérations*socio=rien les activités*socio=rien concernant le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. *socio=rien Chapitre cinq:*socio=nil Activités *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac, SFI*socio=ac, AMGI*socio=ac et CIRDI. La recherche*socio=ec à la banque_mondiale*socio=ac. La recherche*socio=ec contribue à maintenir la Banque*socio=ac au tout *socio=rien premier rang des*socio=nil intervenants *socio=nil dans le débat*socio=et sur*socio=rien le processus*socio=rien de développement*socio=uv. Elle joue donc *socio=rien un rôle critique*socio=uv,*socio=nil *socio=nil tant pour assurer la compétence*socio=uv technique*socio=rien de la Banque*socio=ac que pour renforcer l'autorité*socio=et intellectuelle*socio=rien qu'elle représente dans le *socio=rien domaine du développement*socio=uv.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil participe activement à la recherche*socio=ec suivant*socio=rien trois *socio=rien grandes voies.*socio=nil *socio=nil Tout d'abord*socio=rien , elle identifie des sujets*socio=rien de recherche*socio=ec d'importance*socio=rien capitale*socio=ec pour le processus*socio=rien de développement*socio=uv et attire sur*socio=rien eux l'attention*socio=rien des milieux*socio=rien de la recherche*socio=ec. Elle agit à cet égard*socio=rien comme *socio=rien un catalyseur *socio=nil dans le secteur*socio=ec de la recherche*socio=ec au *socio=rien sens large,*socio=nil *socio=nil en aidant à définir*socio=rien les programmes*socio=et de recherche*socio=ec sur*socio=rien le développement*socio=uv. Ensuite, elle encourage la recherche*socio=ec en menant ses *socio=rien propres activités de*socio=nil recherche*socio=ec internes *socio=nil et en finançant les travaux*socio=rien entrepris par d'autres. Enfin, elle diffuse les *socio=rien connaissances nouvelles *socio=nil par l'intermédiaire*socio=rien de *socio=rien diverses publications,*socio=nil conférences et*socio=nil séminaires,*socio=nil *socio=nil et en intégrant*socio=rien ces connaissances*socio=rien dans ses activités*socio=rien macroéconomiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien , son dialogue*socio=uv de politique*socio=et générale*socio=rien et ses opérations*socio=rien de prêt*socio=ec en faveur*socio=rien de projets*socio=rien ou de l'ajustement*socio=et. Par l'exercice*socio=rien efficace*socio=uv de ces trois fonctions*socio=rien , la Banque*socio=ac peut affirmer son autorité*socio=et intellectuelle*socio=rien et promouvoir son rôle*socio=rien et ses objectifs*socio=rien dans le *socio=rien domaine du développement*socio=uv.*socio=nil *socio=nil Le complexe formé par les services*socio=ec de politique*socio=et, recherche*socio=ec et relations*socio=rien extérieures*socio=te (policy*socio=rien , research, and external affairs - PRE*socio=ac) constitue le principal*socio=rien organe*socio=et de recherche*socio=ec de la Banque*socio=ac, réalisant les quatre cinquièmes*socio=rien de la totalité*socio=rien des travaux*socio=rien de la Banque*socio=ac consacrés ou liés à la recherche*socio=ec. Le *socio=rien reste est *socio=nil confié pour l'essentiel*socio=uv à l'ensemble*socio=rien des services*socio=ec chargés des opérations*socio=rien . Au total*socio=rien , la recherche*socio=ec absorbe environ 3,5% du*socio=rien budget*socio=ec *socio=rien administratif annuel *socio=nil de la Banque*socio=ac. Durant l'exercice*socio=rien budgétaire*socio=et 90, les ressources*socio=ec consacrées à la recherche*socio=ec ont représenté environ 21 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, dont près de 15 millions*socio=rien de dollars*socio=ec correspondaient au coût*socio=ec d'environ 120 hommes-années. Les dépenses*socio=ec du*socio=rien budget*socio=ec d'appui*socio=rien à la recherche*socio=ec se sont élevées*socio=rien à 6,1 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Le personnel*socio=rien sollicite l'obtention*socio=rien de crédits*socio=ec financés sur*socio=rien ce budget*socio=ec en soumettant des propositions*socio=rien de recherche*socio=ec au Comité_de_la_recherche*socio=ac de la Banque*socio=ac. Le Comité*socio=rien a pour mission*socio=rien d'influer sur*socio=rien l'orientation*socio=et et la qualité*socio=rien de la recherche*socio=ec de la Banque*socio=ac en attribuant ses crédits*socio=ec centraux*socio=rien de recherche*socio=ec suivant*socio=rien des procédures*socio=rien fondées sur*socio=rien la compétition*socio=uv. Le Comité_de_la_recherche*socio=ac rend compte*socio=rien au conseil_d'_orientation_de_la_recherche*socio=ac et des publications*socio=rien , qui est*socio=rien l'organe*socio=et directeur*socio=rien pour les activités*socio=rien de recherche*socio=ec menées à la Banque*socio=ac. Le *socio=rien Conseil définit les*socio=nil grandes orientations*socio=et et*socio=nil fait des*socio=nil recommandations au*socio=nil sujet des*socio=nil activités de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil et de publication*socio=et de la Banque*socio=ac. Les Administrateurs*socio=ac examinent chaque année*socio=rien le programme*socio=et de recherche*socio=ec de la Banque*socio=ac et les priorités*socio=uv de recherche*socio=ec qui en déterminent l'orientation*socio=et durant l'année*socio=rien considérée et dans les années*socio=rien ultérieures*socio=te. Depuis 1987, un*socio=rien effort*socio=uv considérable*socio=rien se poursuit afin de recentrer*socio=rien les activités*socio=rien de recherche*socio=ec de la Banque*socio=ac vers les secteurs*socio=ec qu'elle a définis*socio=rien comme particulièrement importants*socio=rien pour son *socio=rien action opérationnelle:*socio=nil lutte*socio=uv *socio=nil contre la pauvreté*socio=uv et sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec; dette*socio=ec, intermédiation*socio=uv financière*socio=ec et ajustement*socio=et; valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec; développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec et gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac; et environnement*socio=ec et gestion*socio=et des ressources_naturelles*socio=ec. Les moyens*socio=ec consacrés à la recherche*socio=ec dans ces domaines*socio=rien représentent plus de 70% *socio=rien du total des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil dépensées pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien programme*socio=et de recherche*socio=ec. Tandis que les activités*socio=rien de recherche*socio=ec de la Banque*socio=ac restent centrées sur*socio=rien ces secteurs*socio=ec d'intérêt*socio=uv spécial*socio=rien , les responsables*socio=uv de la recherche*socio=ec ont sélectionné trois *socio=rien sujets sur lesquels*socio=nil un effort*socio=uv de*socio=nil recherche*socio=ec supplémentaire mérite d'*socio=nil être fait *socio=nil durant l'exercice*socio=rien 90 et au-delà. Ce sont l'environnement*socio=ec, le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec et la réforme*socio=et des économies*socio=ec socialistes*socio=ac. Environnement*socio=ec. La recherche*socio=ec sur*socio=rien les questions*socio=rien environnementales*socio=et est*socio=rien peu à peu intégrée aux activités*socio=rien de tous les *socio=rien départements du complexe*socio=nil PRE*socio=ac.*socio=nil Deux*socio=nil documents de*socio=nil recherche*socio=ec importants ont*socio=nil été produits *socio=nil durant l'exercice*socio=rien 90, l'un*socio=rien sur*socio=rien les politiques*socio=et agricoles*socio=ec des *socio=ac pays industriels *socio=nil et leur *socio=rien impact sur l'*socio=nil environnement*socio=ec,*socio=nil *socio=nil l'autre sur*socio=rien la préservation*socio=rien de la *socio=rien diversité biologique *socio=nil de la planète*socio=te. Les autres initiatives*socio=rien de recherche*socio=ec en cours*socio=rien ou prévues embrassent *socio=rien un vaste ensemble de*socio=nil sujets:*socio=nil préservation des*socio=nil forêts*socio=et,*socio=nil irrigation*socio=ec et*socio=nil drainage;*socio=nil assainissement*socio=uv et*socio=nil approvisionnement*socio=ec en*socio=nil eau*socio=ec;*socio=nil économies*socio=ec d'*socio=nil énergie*socio=ec et*socio=nil efficacité*socio=uv énergétique*socio=ec;*socio=nil gestion*socio=et *socio=nil de la qualité*socio=rien de l'air*socio=rien ; institutions*socio=ac environnementales*socio=et; traitement*socio=rien de l'environnement*socio=ec dans l'analyse*socio=rien coûts-avantages; environnement*socio=ec et comptabilité*socio=ec du*socio=rien revenu*socio=ec national*socio=te; politique*socio=et des finances_publiques*socio=et et gestion*socio=et de l'environnement*socio=ec; politique_commerciale*socio=ec et dégradation*socio=rien des ressources*socio=ec; privatisation*socio=et des ressources*socio=ec collectives*socio=ac; implantation*socio=rien internationale*socio=te des activités*socio=rien industrielles*socio=ec et environnement*socio=ec. Parmi ce *socio=rien vaste éventail de*socio=nil sujets,*socio=nil trois*socio=nil thèmes *socio=nil se dégagent comme les domaines*socio=rien prioritaires*socio=uv de la recherche*socio=ec dans les *socio=rien prochaines années:*socio=nil *socio=nil a) l'évolution*socio=rien *socio=rien du climat *socio=nil à l'échelle*socio=rien planétaire*socio=ec, les chlorofluorocarbones et les économies*socio=ec d'énergie*socio=ec; b) la gestion*socio=et intégrée des ressources*socio=ec en eau*socio=ec; c) les liens*socio=rien entre la politique_économique*socio=et et l'environnement*socio=ec. L'un*socio=rien des projets*socio=rien proposés analysera les conséquences*socio=rien pour les pays_en_développement*socio=ac *socio=rien du Protocole de*socio=nil Montréal*socio=ac relatif *socio=nil à des substances*socio=rien qui appauvrissent la couche d'ozone*socio=rien . Un*socio=rien autre, qui n'en est*socio=rien encore qu'à un*socio=rien stade*socio=te préliminaire*socio=rien , cherchera à étudier les "effets*socio=rien de serre" provoqués à l'échelle*socio=rien planétaire*socio=ec par les rejets*socio=rien de gaz*socio=ec, afin d'évaluer les *socio=rien diverses options susceptibles *socio=nil d'améliorer l'efficacité*socio=uv de l'utilisation*socio=rien de l'énergie*socio=ec et celle des mesures*socio=rien d'économies*socio=ec d'énergie*socio=ec. Les travaux*socio=rien liés à l'environnement*socio=ec comprennent aussi des études*socio=rien portant sur*socio=rien l'exploitation*socio=ec et la gestion*socio=et des ressources_naturelles*socio=ec (agriculture*socio=ec, pêche*socio=ec, élevage*socio=ec, énergie*socio=ec et foresterie*socio=et). Une étude*socio=ac comparative des choix*socio=uv économiques*socio=ec exprimés par les politiques*socio=et des *socio=ec prix agricoles a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil faite durant l'année*socio=rien . Deux études*socio=rien doivent être*socio=rien achevées pendant l'exercice*socio=rien 91: l'une sur*socio=rien le régime*socio=et foncier*socio=ec dans l'agriculture*socio=ec, l'autre sur*socio=rien l'analyse*socio=rien des risques*socio=uv de l'activité*socio=rien agricole*socio=ec. Développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Le programme*socio=et de recherche*socio=ec sur*socio=rien le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec est*socio=rien centré sur*socio=rien les domaines*socio=rien prioritaires*socio=uv définis*socio=rien dans le programme*socio=et d'action*socio=rien pour le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, lancé par la Banque*socio=ac en janvier*socio=rien 1989. Ces domaines*socio=rien prioritaires*socio=uv sont le climat*socio=rien des affaires*socio=ec, la restructuration*socio=uv des entreprises*socio=ac, l'intermédiation*socio=uv financière*socio=ec, la fourniture*socio=rien de services_publics*socio=et par le secteur_privé*socio=ec et la question*socio=rien de la *socio=rien diminution du rôle des*socio=nil entreprises_privées*socio=ec au*socio=nil profit*socio=ec du secteur_public*socio=ac.*socio=nil Des*socio=nil recherches*socio=ec *socio=nil sont en cours*socio=rien dans tous ces domaines*socio=rien et leurs résultats*socio=rien seront diffusés dans une série de documents*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien à paraître durant l'exercice*socio=rien 91 et portant sur*socio=rien une approche intégrée du*socio=rien développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, les stratégies*socio=et de compétitivité*socio=uv industrielle*socio=ec et les enseignements*socio=et tirés des opérations*socio=rien de désengagement*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac. Il convient de signaler particulièrement les études*socio=rien cherchant à analyser le rôle*socio=rien et l'impact*socio=rien de la technologie*socio=ec et des politiques*socio=et, institutions*socio=ac et mécanismes*socio=rien d'exportation*socio=ec, celles qui tendent à évaluer les *socio=rien faiblesses sur le*socio=nil plan *socio=nil de la compétitivité*socio=uv industrielle*socio=ec et celles qui cherchent à traduire les *socio=rien travaux faits au*socio=nil sujet des*socio=nil agents*socio=ac *socio=nil catalyseurs, des sociétés*socio=ac commerciales*socio=ec, de l' investissement_étranger_direct*socio=ec et des liens*socio=rien commerciaux*socio=ec en réformes*socio=et et programmes*socio=et d'action*socio=rien bénéficiant de l'appui*socio=rien de la Banque*socio=ac. Réforme*socio=et des économies*socio=ec socialistes*socio=ac. La recherche*socio=ec sur*socio=rien la réforme*socio=et des économies*socio=ec socialistes*socio=ac se poursuit dans plusieurs *socio=rien départements du complexe*socio=nil PRE*socio=ac *socio=nil et au Bureau_régional_europe*socio=ac, Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te de la Banque*socio=ac. Une unité*socio=uv spécialisée*socio=rien dans la réforme*socio=et des économies*socio=ec socialistes*socio=ac a été*socio=rien créée durant l'année*socio=rien dans le complexe PRE*socio=ac. Elle doit constituer *socio=rien un point *socio=nil d'ancrage et *socio=rien un mécanisme de*socio=nil coordination*socio=uv *socio=nil pour les activités*socio=rien de recherche*socio=ec et d'analyse*socio=rien générale*socio=rien portant sur*socio=rien les problèmes*socio=uv rencontrés pendant la phase*socio=te de la transition*socio=uv des économies*socio=ec planifiées à des économies_de_marché*socio=ec. L'activité*socio=rien prévue ou en cours*socio=rien relève*socio=ac de *socio=rien cinq rubriques:*socio=nil gestion*socio=et macroéconomique*socio=ec et*socio=nil politiques*socio=et de*socio=nil transition*socio=uv;*socio=nil études *socio=nil comparatives des politiques*socio=et, de l'échelonnement*socio=rien des réformes*socio=et et des résultats*socio=rien ; réaction*socio=rien des entreprises*socio=ac à la réforme*socio=et économique*socio=ec; marché_du_travail*socio=ec et questions*socio=rien sociales*socio=ac; réforme*socio=et des *socio=ec secteurs commercial et*socio=nil financier;*socio=nil *socio=rien un certain nombre de*socio=nil conférences ou*socio=nil ateliers de*socio=nil recherche*socio=ec est *socio=nil actuellement organisé sur*socio=rien plusieurs *socio=rien sujets intéressant *socio=nil spécialement les économies*socio=ec socialistes*socio=ac qui traversent une phase*socio=te de transition*socio=uv: options*socio=rien et stratégies*socio=et pour la réforme*socio=et agricole*socio=ec, privatisation*socio=et, et réforme*socio=et de la politique*socio=et du*socio=rien logement*socio=ec. Une nouvelle*socio=rien étude*socio=ac tentera de répondre à toute une série de questions*socio=rien liées à la mesure*socio=rien des résultats*socio=rien économiques*socio=ec des économies*socio=ec planifiées. Tandis qu'une partie*socio=rien des moyens*socio=ec de recherche*socio=ec est*socio=rien redéployée en direction*socio=rien de ces trois domaines*socio=rien prioritaires*socio=uv, la recherche*socio=ec dans les autres secteurs*socio=ec présentant un*socio=rien intérêt*socio=uv *socio=rien majeur reste toujours*socio=nil un élément important *socio=nil et activement poursuivi du*socio=rien programme*socio=et de recherche*socio=ec général*socio=rien . Lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv et sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec. La recherche*socio=ec sur*socio=rien cette question*socio=rien répond toujours à quatre préoccupations*socio=uv majeures*socio=rien : a) évaluer les conséquences*socio=rien de la politique*socio=et macroéconomique*socio=ec pour la pauvreté*socio=uv, en attachant une attention*socio=rien particulière*socio=uv aux moyens*socio=ec effectifs*socio=rien de protéger les pauvres*socio=ac pendant la période*socio=te d'ajustement*socio=et; b) fournir des services_publics*socio=et aux pauvres*socio=ac en améliorant le ciblage*socio=rien et en utilisant des mécanismes*socio=rien de fourniture*socio=rien non traditionnels*socio=rien ; c) concevoir des politiques*socio=et et programmes*socio=et *socio=rien sectoriels capables *socio=nil d'élargir l'accès*socio=uv des pauvres*socio=ac à l'emploi*socio=ec productif*socio=uv, aux revenus*socio=ec et aux ressources*socio=ec; d) mesurer la pauvreté*socio=uv et les niveaux_de_vie*socio=uv. A partir des résultats*socio=rien de certains projets*socio=rien achevés récemment, le personnel*socio=rien de la Banque*socio=ac travaille à la rédaction*socio=rien de plusieurs documents*socio=rien d'analyse*socio=rien générale*socio=rien traitant des liens*socio=rien avec la politique*socio=et macroagricole; des problèmes*socio=uv de la vulgarisation*socio=rien agricole*socio=ec; des causes*socio=rien et conséquences*socio=rien de la pauvreté*socio=uv; de la pauvreté*socio=uv, de la faim*socio=rien et de la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec; des droits*socio=uv fonciers en *socio=ac Afrique subsaharienne;*socio=nil *socio=nil de la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec en Afrique*socio=ac; de la diversification*socio=rien des cultures*socio=et. Tandis que les résultats*socio=rien des *socio=rien travaux sur la*socio=nil mesure des*socio=nil niveaux_de_vie*socio=uv *socio=nil commencent à trouver application*socio=rien dans les *socio=rien activités opérationnelles *socio=nil de la Banque*socio=ac, la recherche*socio=ec est*socio=rien passée du*socio=rien stade*socio=te de l'identification*socio=rien des caractéristiques*socio=rien des pauvres*socio=ac à celui de l'évaluation*socio=uv *socio=rien du comportement des*socio=nil ménages pauvres*socio=uv *socio=nil - en tant qu'épargnants*socio=ac, producteurs*socio=ac et salariés*socio=ac - face*socio=rien aux variations*socio=rien des prix*socio=ec clés*socio=rien et de la qualité*socio=rien des services_sociaux*socio=et. *socio=rien Un projet *socio=nil lancé récemment à partir des enseignements*socio=et de l'expérience*socio=uv tirée des programmes*socio=et de subventions*socio=ec et de travaux_publics*socio=et porte*socio=rien directement sur*socio=rien le problème*socio=uv *socio=rien du ciblage *socio=nil de l'action*socio=rien sur*socio=rien les pauvres*socio=ac. Le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1990, est*socio=rien le *socio=rien principal organe de*socio=nil diffusion des*socio=nil résultats *socio=nil de la recherche*socio=ec *socio=rien récente sur la*socio=nil pauvreté*socio=uv.*socio=nil *socio=nil Il servira de base*socio=rien à l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et d'action*socio=rien dans le domaine*socio=rien de la pauvreté*socio=uv pour les années*socio=rien 90, qui fixera l'orientation*socio=et de la recherche*socio=ec de la Banque*socio=ac sur*socio=rien la pauvreté*socio=uv pour les années*socio=rien qui viennent. Dette*socio=ec, intermédiation*socio=uv financière*socio=ec et ajustement*socio=et. *socio=rien Un volume d'*socio=nil activité considérable est *socio=nil consacré depuis deux ans*socio=rien aux problèmes*socio=uv de l'ajustement_structurel*socio=et et de la stabilisation*socio=et (des études*socio=rien ont été*socio=rien entreprises*socio=ac, par exemple*socio=rien , sur*socio=rien les stratégies*socio=et d'arrêt*socio=rien de l'inflation*socio=ec galopante) et aux moyens*socio=ec de maîtriser*socio=rien les conséquences*socio=rien des chocs*socio=rien passagers du*socio=rien *socio=ec commerce extérieur.*socio=nil Une*socio=nil nouvelle*socio=rien *socio=nil série d'outils*socio=rien d'analyse*socio=rien des problèmes*socio=uv macroéconomiques*socio=ec a été*socio=rien mise au point*socio=rien et entrera en application*socio=rien pendant l'exercice*socio=rien 91. Ces outils*socio=rien sont dérivés des modèles*socio=rien macroéconomiques*socio=ec de base*socio=rien utilisés par la Banque*socio=ac. La recherche*socio=ec commence à se détourner actuellement de l'analyse*socio=rien de la stabilisation*socio=et pour s'orienter vers celle de la croissance*socio=uv à long_terme*socio=ec, comme l'atteste toute une série d'études*socio=rien des déterminants*socio=rien de l'épargne*socio=ec, de l'investissement*socio=ec et de la croissance*socio=uv. Une plus *socio=rien grande importance est *socio=nil donnée aussi aux travaux*socio=rien qui visent à améliorer la connaissance*socio=uv des liens*socio=rien qui existent entre la politique*socio=et macroéconomique*socio=ec, la croissance*socio=uv et le développement_durable*socio=ec. Une fois*socio=rien achevé *socio=rien un document sur la*socio=nil politique_commerciale*socio=ec,*socio=nil les*socio=nil travaux *socio=nil passeront de l'analyse*socio=rien macroéconomique*socio=ec à une étude*socio=ac axée sur*socio=rien l'effet*socio=rien de la réforme*socio=et de la politique_commerciale*socio=ec dans certains secteurs*socio=ec particuliers*socio=rien , notamment l'agriculture*socio=ec. Au sujet*socio=rien de l'intermédiation*socio=uv financière*socio=ec interne*socio=rien , une *socio=rien grande partie *socio=nil de l'activité*socio=rien a porté sur*socio=rien la gestion*socio=et, la supervision*socio=rien et la réglementation*socio=et des banques*socio=ac et du*socio=rien *socio=ec secteur bancaire.*socio=nil *socio=nil On s'attache désormais tout particulièrement à en diffuser les résultats*socio=rien sous la forme*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien appui opérationnel *socio=nil dans ce domaine*socio=rien . Les recherches*socio=ec faites à ce *socio=rien jour sur les*socio=nil problèmes*socio=uv *socio=nil de la dette*socio=ec ont abouti à la publication*socio=et de plusieurs documents*socio=rien et d'un*socio=rien livre, intitulé Dealing with the*socio=rien Debt Crisis (Faire face*socio=rien à la crise*socio=uv de la dette*socio=ec). L'analyse*socio=rien de ces questions*socio=rien et des courants*socio=rien internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec se poursuivra; toutefois, *socio=rien un surcroît d'*socio=nil attention est *socio=nil actuellement accordé aux possibilités*socio=rien de *socio=ec financement extérieur *socio=nil autres que l'endettement*socio=ec, telles que l'investissement_étranger_direct*socio=ec, par exemple*socio=rien . Enfin, l'appui*socio=rien et les services*socio=ec d'analyse*socio=rien que la Banque*socio=ac a fournis aux pays_en_développement*socio=ac à l'occasion*socio=rien des Négociations*socio=uv d'Uruguay*socio=ac du*socio=rien GATT*socio=ec (accord_général*socio=rien sur*socio=rien les tarifs*socio=ec douaniers*socio=ac et le commerce*socio=ec) se prolongeront par l'analyse*socio=rien de l'effet*socio=rien des accords*socio=et conclus et des déterminants*socio=rien de la croissance*socio=uv du*socio=rien commerce*socio=ec international*socio=te. Gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac. Les travaux*socio=rien de recherche*socio=ec et de politique*socio=et *socio=rien générale sur la*socio=nil gestion*socio=et du secteur_public*socio=ac *socio=nil ont porté essentiellement sur*socio=rien : a) la réforme*socio=et des politiques*socio=et et pratiques*socio=et en matière*socio=rien de recettes*socio=ec et de dépenses_publiques*socio=et, b) la réforme*socio=et des entreprises_publiques*socio=et, et c) la gestion*socio=et et la réforme*socio=et sectorielles*socio=rien . Une étude*socio=ac a été*socio=rien achevée récemment sur*socio=rien la réforme*socio=et des politiques*socio=et fiscales*socio=ec. L'activité*socio=rien s'orientera vers l'analyse*socio=rien des problèmes*socio=uv de dépenses_publiques*socio=et, et en particulier*socio=uv des moyens*socio=ec d'améliorer l'efficacité*socio=uv et l'impact*socio=rien des dépenses_publiques*socio=et consacrées à l'infrastructure*socio=ec et aux secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac. Au sujet*socio=rien de la réforme*socio=et des entreprises_publiques*socio=et, une étude*socio=ac doit porter sur*socio=rien les enseignements*socio=et tirés de l'expérience*socio=uv des réformes*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac (et notamment sur*socio=rien des questions*socio=rien telles que les contrats-plans*socio=et et les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac aux entreprises*socio=ac d'Etat*socio=rien ), et un*socio=rien livre doit paraître sur*socio=rien l'expérience*socio=uv acquise*socio=rien par la Banque*socio=ac dans le *socio=rien domaine du développement*socio=uv institutionnel.*socio=nil Les*socio=nil travaux sur la*socio=nil gestion*socio=et sectorielle *socio=nil se centreront sur*socio=rien la recherche*socio=rien des systèmes*socio=rien de prestation*socio=et de services*socio=ec efficaces*socio=uv, publics*socio=et et privés*socio=ec. *socio=rien Un document sur la*socio=nil politique*socio=et de*socio=nil tarification*socio=ec des*socio=nil transports*socio=ec est *socio=nil prévu pour l'exercice*socio=rien 91. Valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec. *socio=rien Cinq grands sujets *socio=nil entrent sous cette rubrique: santé*socio=et, nutrition*socio=rien , éducation*socio=et, population*socio=ac et rôle*socio=rien des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv. Les résultats*socio=rien obtenus jusqu'ici seront incorporés dans *socio=rien un document de*socio=nil stratégie*socio=et sur la*socio=nil valorisation*socio=uv des*socio=nil ressources_humaines*socio=ec *socio=nil qui fera la synthèse*socio=rien de ces *socio=rien cinq éléments *socio=nil et proposera des *socio=rien méthodes cohérentes *socio=nil pour les appréhender. Une étude*socio=ac sur*socio=rien l'amélioration*socio=uv de l'enseignement*socio=et primaire*socio=et dans les pays_en_développement*socio=ac a été*socio=rien achevée; elle sera suivie de deux autres documents*socio=rien d'analyse*socio=rien générale*socio=rien , l'un*socio=rien sur*socio=rien l'enseignement_supérieur*socio=et, l'autre sur*socio=rien l'enseignement*socio=et et la formation*socio=et professionnels*socio=rien . Les *socio=rien travaux sur l'*socio=nil enseignement_supérieur*socio=et *socio=nil et l'enseignement_professionnel*socio=et seront exclusivement centrés sur*socio=rien l'étude*socio=ac de l'enseignement*socio=et scientifique*socio=ec et technique*socio=rien . Dans les domaines*socio=rien de la santé*socio=et et de la *socio=et planification familiale,*socio=nil deux*socio=nil projets*socio=rien de*socio=nil recherche*socio=ec ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil lancés récemment, l'un*socio=rien sur*socio=rien les effets*socio=rien économiques*socio=ec des décès d'adultes*socio=rien provoqués par le SIDA*socio=rien et d'autres maladies*socio=et en *socio=ac Afrique subsaharienne,*socio=nil *socio=nil l'autre sur*socio=rien les obstacles*socio=rien à l'emploi*socio=ec des contraceptifs et à la baisse*socio=rien de la fécondité*socio=et dans différents*socio=rien environnements. Les recherches*socio=ec se poursuivent sur*socio=rien la fourniture*socio=rien des services*socio=ec dans le secteur*socio=ec social*socio=ac; elles portent notamment sur*socio=rien l'évaluation*socio=uv du*socio=rien financement*socio=ec public*socio=et et privé*socio=ec des services_sociaux*socio=et et sur*socio=rien l'étude*socio=ac des *socio=rien différents systèmes de*socio=nil prestation*socio=et *socio=nil envisageables. L'élévation*socio=rien de la *socio=ec productivité économique des*socio=nil femmes*socio=ac est*socio=rien le*socio=nil *socio=rien premier objectif des*socio=nil travaux de*socio=nil recherche*socio=ec sur le*socio=nil rôle des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans le développement*socio=uv. L'activité*socio=rien dans ce domaine*socio=rien revêt de *socio=rien multiples aspects *socio=nil et comporte notamment une étude*socio=ac sur*socio=rien la participation*socio=uv des femmes*socio=ac au système_d'_enseignement*socio=et et leur insertion*socio=uv sur*socio=rien le marché*socio=ec de l'emploi*socio=ec, de même que des études*socio=rien de portée*socio=rien plus étroite*socio=rien , centrées sur*socio=rien l'accès*socio=uv des femmes*socio=ac au crédit*socio=ec et aux services*socio=ec de vulgarisation*socio=rien agricole*socio=ec. La *socio=rien deuxième conférence annuelle *socio=nil de la Banque*socio=ac sur*socio=rien l'économie*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv a eu lieu*socio=rien en avril*socio=rien 1990. Parrainée*socio=rien par le Comité_de_la_recherche*socio=ac de la Banque*socio=ac, cette série de conférences*socio=rien sert de cadre*socio=rien au débat*socio=et sur*socio=rien les politiques*socio=et et moyens*socio=ec propres*socio=rien à favoriser le développement_économique*socio=ec. Les travaux*socio=rien ont porté cette *socio=rien année sur quatre*socio=nil sujets:*socio=nil le*socio=nil passage *socio=nil de l'ajustement*socio=et à la croissance*socio=uv, le développement_durable*socio=ec et l'environnement*socio=ec, l'évolution*socio=rien démographique*socio=rien et le développement_économique*socio=ec, et l'évaluation*socio=uv des *socio=rien projets du secteur_public*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil Comité_de_la_recherche*socio=ac parraine aussi*socio=nil un programme*socio=et d'*socio=nil experts*socio=ac *socio=nil invités destiné à faire participer aux activités*socio=rien de recherche*socio=ec de la Banque*socio=ac des spécialistes*socio=ac du*socio=rien monde*socio=te entier*socio=rien . Durant l'exercice*socio=rien 90, le Comité*socio=rien a approuvé huit candidatures d'experts*socio=ac présentées par divers départements*socio=rien de la Banque*socio=ac. Outre ces programmes*socio=et, les activités*socio=rien de recherche*socio=ec s'orientent davantage aujourd'hui vers la création*socio=rien de moyens*socio=ec de recherche*socio=ec sur*socio=rien les politiques*socio=et générales*socio=rien dans les pays_en_développement*socio=ac, spécialement en *socio=ac Afrique subsaharienne.*socio=nil La*socio=nil Banque *socio=nil participe actuellement à deux consortiums*socio=ac de donateurs*socio=ac constitués dans le but*socio=rien d'établir une capacité*socio=rien de recherche*socio=ec en Afrique*socio=ac et d'y consolider les ressources*socio=ec existant*socio=rien en ce domaine*socio=rien . Le *socio=rien premier porte le*socio=nil nom *socio=nil de "African economic-research consortium*socio=ac" et couvre l'Afrique*socio=ac anglophone*socio=ac; le *socio=rien second est *socio=nil le "Réseau*socio=rien pour les politiques*socio=et industrielles*socio=ec et les *socio=rien incitations sectorielles"*socio=nil *socio=nil et couvre l'Afrique*socio=ac francophone*socio=ac. L'institut_de_développement_économique*socio=ac. Les activités*socio=rien de l'institut_de_développement_économique*socio=ac (IDE*socio=ac) ont pris de l'expansion*socio=ec sur*socio=rien trois fronts*socio=rien durant le *socio=rien dernier exercice:*socio=nil *socio=nil a) formation*socio=et des dirigeants*socio=ac et gestionnaires*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv dans les pays_membres*socio=ac en développement*socio=uv; b) assistance*socio=et aux organismes*socio=ac de formation*socio=et et de recherche*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac pour les aider à consolider leurs capacités*socio=rien d'analyse*socio=rien générale*socio=rien et de gestion*socio=et économique*socio=ec; c) production*socio=ec et diffusion*socio=rien de moyens*socio=ec de formation*socio=et. Toutes ces activités*socio=rien s'inscrivent dans le *socio=rien cadre du plan stratégique*socio=uv *socio=nil de l'IDE*socio=ac pour la *socio=te période quinquennale *socio=nil 1990-94. Le programme*socio=et de l'exercice*socio=rien 90 a respecté précisément l'objectif*socio=rien *socio=rien du plan *socio=nil consistant à aider les pays*socio=ac à élever la qualité*socio=rien de leur gestion*socio=et macroéconomique*socio=ec, l'efficacité*socio=uv de leur gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac et l'impact*socio=rien de leurs actions*socio=rien de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. Durant l'exercice*socio=rien considéré, PIDE*socio=ac a organisé 99 séminaires*socio=rien et cours*socio=rien . Au total*socio=rien , 3.656 participants*socio=ac ont suivi ces activités*socio=rien de formation*socio=et, ainsi que 37 autres activités*socio=rien bénéficiant d'un*socio=rien soutien*socio=uv de l'IDE*socio=ac. Quinze % des participants*socio=ac, soit 553 personnes*socio=rien , étaient des femmes*socio=ac, contre 13,8%, soit 521 personnes*socio=rien , durant l'exercice*socio=rien 89. Ce progrès*socio=uv témoigne*socio=rien des efforts*socio=uv déployés par l'IDE*socio=ac pour encourager une plus forte*socio=rien participation*socio=uv des femmes*socio=ac à ses activités*socio=rien (Tableau*socio=rien 5-1). L'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac a été*socio=rien de nouveau*socio=rien la destinataire de la moitié*socio=rien des activités*socio=rien de l'IDE*socio=ac, qui sont allées de l'organisation*socio=rien de cours*socio=rien et de séminaires*socio=rien , principalement en collaboration*socio=uv avec des institutions*socio=ac africaines*socio=te, à la fourniture*socio=rien d'une assistance*socio=et institutionnelle*socio=ac centrée surtout sur*socio=rien la mise en place*socio=rien de capacités*socio=rien institutionnelles*socio=ac africaines*socio=te pour former le personnel*socio=rien de *socio=rien haut niveau *socio=nil et de *socio=rien niveau intermédiaire.*socio=nil L'*socio=nil IDE*socio=ac *socio=nil a aidé une vingtaine*socio=rien d'établissements*socio=rien et d'associations*socio=ac d'établissements*socio=rien de formation*socio=et à concevoir et à assurer des cours*socio=rien et séminaires*socio=rien , à mobiliser *socio=rien un appui extérieur*socio=ec au*socio=nil profit*socio=ec des*socio=nil activités de*socio=nil formation*socio=et *socio=nil et à resserrer la collaboration*socio=uv entre les institutions*socio=ac africaines*socio=te. Une *socio=rien nouvelle initiative de*socio=nil renforcement*socio=uv des*socio=nil établissements de*socio=nil formation*socio=et des*socio=nil *socio=ac pays africains *socio=nil lusophones a été*socio=rien lancée, à l'origine*socio=rien sous la forme*socio=rien de missions d'évaluation*socio=uv institutionnelle*socio=ac en vue*socio=rien de déterminer les besoins*socio=uv et les capacités*socio=rien de formation*socio=et dans les secteurs*socio=ec de la gestion*socio=et de l'économie*socio=ec nationale*socio=te et de la santé*socio=et; ultérieurement, *socio=rien un cours sur la*socio=nil gestion*socio=et *socio=nil de l'économie*socio=ec nationale*socio=te a été*socio=rien organisé en coopération*socio=uv avec des organismes*socio=ac portugais. Quant aux domaines*socio=rien d'activité*socio=rien , l'ajustement*socio=et et la croissance*socio=uv, le rôle*socio=rien des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv et la gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac et du*socio=rien secteur_privé*socio=ec ont été*socio=rien prioritaires*socio=uv durant l'exercice*socio=rien . Plusieurs *socio=rien initiatives destinées *socio=nil à l'Afrique*socio=ac méritent une mention*socio=rien particulière*socio=uv: a) six séminaires*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien tenus dans différentes*socio=rien régions*socio=te d'Afrique*socio=ac en collaboration*socio=uv avec des institutions*socio=ac africaines*socio=te dans le *socio=rien cadre du programme*socio=et *socio=nil pour les transports*socio=ec en *socio=ac Afrique subsaharienne -*socio=nil initiative*socio=rien conjointe*socio=uv *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac et de la Commission*socio=ac économique*socio=ec pour l'Afrique*socio=ac visant à remédier au *socio=rien grave état de*socio=nil détérioration*socio=uv du réseau routier africain*socio=te;*socio=nil *socio=nil b) *socio=rien un séminaire de*socio=nil politique*socio=et générale sur la*socio=nil stabilisation*socio=et *socio=nil et le développement*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur financier en*socio=nil Afrique*socio=ac *socio=nil de l'Est*socio=rien et en Afrique*socio=ac australe*socio=te; c) *socio=rien un projet *socio=nil pilote, avec l'aide*socio=uv du*socio=rien Gouvernement*socio=ac italien, sur*socio=rien la formation*socio=et des Africaines*socio=ac à la gestion*socio=et des entreprises*socio=ac, désormais pleinement opérationnel*socio=rien avec la participation*socio=uv d'un*socio=rien établissement*socio=rien de formation*socio=et africain*socio=te; d) *socio=rien un réseau d'*socio=nil institutions*socio=ac africaines*socio=te d'*socio=nil enseignement*socio=et *socio=nil et de formation*socio=et spécialisées*socio=rien dans les questions*socio=rien d'environnement*socio=ec, lancé avec l'aide*socio=uv de l'Agence*socio=rien suédoise de développement_international*socio=et; e) *socio=rien un cours de*socio=nil formation*socio=et de*socio=nil formateurs sur la*socio=nil gestion*socio=et financière*socio=ec urbaine*socio=te *socio=nil pour les *socio=ac pays africains francophones;*socio=nil *socio=nil f) des séminaires*socio=rien de programmation*socio=rien et de gestion*socio=et des dépenses_publiques*socio=et pour les *socio=ac pays africains anglophones et*socio=nil francophones;*socio=nil *socio=nil g) le lancement*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et à *socio=rien grand rayon d'*socio=nil action,*socio=nil *socio=nil consacré à la formation*socio=et des femmes*socio=ac à la gestion*socio=et. L'IDE*socio=ac a progressé considérablement*socio=rien dans l'exécution*socio=rien d'un*socio=rien projet*socio=rien - le Projet*socio=rien UNEDIL (parrainé*socio=rien conjointement par le programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac (PNUD*socio=ac), PIDE*socio=ac et l' organisation_internationale_du_travail*socio=ac) - tendant à renforcer les établissements*socio=rien et *socio=ac associations africains de*socio=nil formation*socio=et *socio=nil à la gestion*socio=et. Ce projet*socio=rien , appuyé par plusieurs donateurs*socio=ac, a déclenché la *socio=uv participation active d'*socio=nil établissements*socio=rien *socio=nil et d'associations*socio=ac africains*socio=ac de formation*socio=et à la gestion*socio=et dont l'intervention*socio=et *socio=rien est déterminante *socio=nil pour mobiliser les compétences*socio=uv et l'expérience*socio=uv des *socio=ac spécialistes africains *socio=nil par la constitution*socio=rien de réseaux*socio=rien et la mise en commun*socio=uv des savoir-faire*socio=uv. A l'heure*socio=rien actuelle*socio=rien , l'activité*socio=rien de l'UNEDIL est*socio=rien tournée surtout vers la recherche*socio=ec opérationnelle*socio=rien et les techniques*socio=rien de la préparation*socio=rien d'études*socio=rien de cas*socio=rien , la commercialisation*socio=ec des services*socio=ec institutionnels*socio=ac et l'amélioration*socio=uv des grandes*socio=rien orientations*socio=et gouvernementales*socio=ac ayant une *socio=rien incidence sur les*socio=nil établissements de*socio=nil formation*socio=et de*socio=nil niveau supérieur.*socio=nil Des*socio=nil consultants*socio=ac *socio=nil choisis par le PNUD*socio=ac ont procédé à une évaluation*socio=uv *socio=rien du projet *socio=nil à mi-parcours durant l'année*socio=rien ; ils ont estimé que le projet*socio=rien commençait à produire d'importants*socio=rien résultats*socio=rien positifs*socio=uv, particulièrement en renforçant les niveaux*socio=rien de compétence*socio=uv des enseignants*socio=ac et les réseaux*socio=rien d'échanges*socio=rien entre les institutions*socio=ac de formation*socio=et. L'IDE*socio=ac a continué à fournir *socio=rien un appui technique au*socio=nil programme*socio=et de*socio=nil formation*socio=et *socio=nil à la gestion*socio=et agricole*socio=ec pour l'Afrique*socio=ac, actuellement dans sa quatrième*socio=rien phase*socio=te. Ce programme*socio=et est*socio=rien géré par le centre*socio=rien de formation*socio=et de la banque_africaine_de_développement*socio=ac et financé par un*socio=rien don*socio=ec du*socio=rien Fonds_international_de_développement_agricole*socio=ac à l'Organisation_de_l'_unité_africaine*socio=ac. A l'échelon*socio=rien sous-régional*socio=te, PIDE*socio=ac a lancé un*socio=rien programme*socio=et élargi de formation*socio=et à la gestion*socio=et du*socio=rien secteur*socio=ec rural*socio=te et agricole*socio=ec par l'intermédiaire*socio=rien d'un*socio=rien réseau*socio=rien d'établissements*socio=rien de formation*socio=et. Dans la région*socio=te Europe*socio=ac, Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te, l'IDE*socio=ac a poursuivi son programme*socio=et élargi en faveur*socio=rien des pays*socio=ac arabes*socio=te; il a aussi entrepris de répondre au désir*socio=rien de collaboration*socio=uv de plus en plus vif*socio=rien manifesté par les pays*socio=ac d'europe_de_l'_est*socio=ac et d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien . Les *socio=rien principales activités de*socio=nil PIDE*socio=ac *socio=nil dans la région*socio=te Europe*socio=ac, Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te ont été*socio=rien notamment les suivantes*socio=rien : a) *socio=rien un séminaire de*socio=nil politique*socio=et générale sur les*socio=nil problèmes*socio=uv *socio=nil de l'emploi*socio=ec et du*socio=rien marché*socio=ec de l'emploi*socio=ec liés à l'ajustement*socio=et; b) plusieurs *socio=rien nouveaux séminaires *socio=nil dans le domaine*socio=rien de la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec, notamment sur*socio=rien la production*socio=ec de manuels*socio=rien et sur*socio=rien l'enseignement_professionnel*socio=et et technique*socio=rien ; c) le lancement*socio=rien réussi de la constitution*socio=rien d'un*socio=rien réseau*socio=rien dans le domaine*socio=rien des finances*socio=ec et de la gestion*socio=et urbaines*socio=te pour les pays*socio=ac du*socio=rien Maghreb; d) *socio=rien un séminaire sur l'*socio=nil analyse *socio=nil et la politique*socio=et des *socio=ec prix agricoles *socio=nil pour les pays*socio=ac arabes*socio=te; e) *socio=rien un séminaire de*socio=nil politique*socio=et générale sur la*socio=nil gestion*socio=et *socio=nil de l'inflation*socio=ec dans les économies*socio=ec socialistes*socio=ac; f) une série de séminaires*socio=rien nationaux*socio=te de *socio=rien courte durée *socio=nil traitant de l'évaluation*socio=uv de l'impact*socio=rien des projets*socio=rien et programmes*socio=et d'investissement*socio=ec sur*socio=rien l'environnement*socio=ec; et g) la poursuite*socio=rien de plusieurs arrangements*socio=et de collaboration*socio=uv avec des institutions*socio=ac telles que la Royal*socio=rien Scientific Society*socio=ac, l' Institut_de_planification_arabe*socio=ac, le *socio=ec Fonds monétaire arabe*socio=ac,*socio=nil l'*socio=nil Organisation_arabe_pour_le_développement_agricole*socio=ac *socio=nil et l'Association*socio=ac régionale*socio=te de *socio=ec crédit agricole du*socio=rien *socio=nil Proche-orient et de l'Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=ac. Pour la région*socio=te amérique_latine_et_caraïbes*socio=ac, la priorité*socio=uv est*socio=rien allée à des domaines*socio=rien tels que l'ajustement*socio=et et la croissance*socio=uv (y compris la réforme*socio=et du*socio=rien *socio=ec secteur financier)*socio=nil *socio=nil , la gestion*socio=et du*socio=rien secteur*socio=ec publie et du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, et la mise en valeur*socio=ec des ressources_humaines*socio=ec. Une nouvelle*socio=rien série de séminaires*socio=rien a commencé sur*socio=rien l'analyse*socio=rien de la politique*socio=et macroéconomique*socio=ec à l'intention*socio=rien des fonctionnaires*socio=et de *socio=rien haut niveau *socio=nil et de *socio=rien niveau intermédiaire,*socio=nil en*socio=nil collaboration*socio=uv *socio=nil avec l'Institut*socio=et centraméricain d'administration*socio=rien des entreprises*socio=ac du*socio=rien costa_rica*socio=ac. Un*socio=rien programme*socio=et cofinancé a aussi été*socio=rien lancé pour aider *socio=rien un réseau *socio=nil récemment constitué d'établissements*socio=rien d'amérique_centrale*socio=ac et des Andes offrant une formation*socio=et dans le domaine*socio=rien des finances*socio=ec et de la gestion*socio=et municipales*socio=ac. Des séminaires*socio=rien nationaux*socio=te de *socio=rien courte durée sur l'*socio=nil évaluation*socio=uv *socio=nil de l'impact*socio=rien environnemental*socio=et ont été*socio=rien organisés dans plusieurs pays*socio=ac. La collaboration*socio=uv avec des institutions*socio=ac telles que la Banque*socio=ac de développement*socio=uv des Caraïbes*socio=ac, l'Institut*socio=et latino-américain de planification*socio=et économique*socio=ec et sociale*socio=ac, l'Institut*socio=et interaméricain*socio=te de coopération*socio=uv pour l'agriculture*socio=ec, la Surintendance du*socio=rien développement*socio=uv de la région*socio=te du*socio=rien centre-ouest du*socio=rien Brésil*socio=ac et le Centre*socio=rien de recherche*socio=ec et de formation*socio=et en matière*socio=rien d'agriculture*socio=ec tropicale*socio=te s'est*socio=rien poursuivie malgré les difficultés*socio=rien rencontrées pour trouver le cofinancement*socio=ec nécessaire*socio=rien en complément*socio=rien des ressources*socio=ec de l'IDE*socio=ac. *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil programmes*socio=et *socio=nil exécutés dans les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac où la structure*socio=ec institutionnelle*socio=ac *socio=rien est faible,*socio=nil *socio=nil tels que le Vietnam*socio=ac, la république_démocratique_populaire_lao*socio=ac et les pays*socio=ac du*socio=rien Pacifique*socio=uv Sud*socio=te, ont porté principalement sur*socio=rien la gestion*socio=et du*socio=rien développement*socio=uv et les *socio=rien questions intéressant les*socio=nil projets.*socio=nil Un programme*socio=et de*socio=nil renforcement*socio=uv *socio=nil de la gestion*socio=et économique*socio=ec au Vietnam*socio=ac a été*socio=rien approuvé par le PNUD*socio=ac. Son exécution*socio=rien par l'IDE*socio=ac devrait commencer durant l'exercice*socio=rien 91. Les activités*socio=rien entreprises*socio=ac par l'IDE*socio=ac dans la Région*socio=te Asie*socio=ac dans le domaine*socio=rien de la gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac et du*socio=rien secteur_privé*socio=ec ont pour une très *socio=rien large part *socio=nil cherché à renforcer l'efficacité*socio=uv de la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. L'IDE*socio=ac a avancé dans ses travaux*socio=rien en organisant des séminaires*socio=rien auxquels ont participé les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac sur*socio=rien les sujets*socio=rien de l'expérience*socio=uv internationale*socio=te en matière*socio=rien de réforme*socio=et du*socio=rien *socio=ec secteur financier *socio=nil et d'ajustement*socio=et et de restructuration*socio=uv industriels*socio=ac. Le programme*socio=et de formation*socio=et à l'intention*socio=rien des fonctionnaires*socio=et des *socio=rien îles du Pacifique*socio=uv Sud*socio=te a*socio=nil bien *socio=nil avancé avec l'appui*socio=rien du*socio=rien Bureau_australien_d'_aide_au_développement_international*socio=et. Parmi les *socio=rien principaux séminaires mondiaux*socio=te *socio=nil tenus durant l'année*socio=rien , il faut mentionner ceux qui ont porté sur*socio=rien les ressources_humaines*socio=ec et les questions*socio=rien sociales*socio=ac: l'accès*socio=uv des pauvres*socio=ac aux services*socio=ec urbains*socio=te; la politique*socio=et de l'enseignement_professionnel*socio=et et technique*socio=rien ; la structuration des relations*socio=rien entre les secteurs_public*socio=ac et privé*socio=ec pour promouvoir la compétitivité*socio=uv i internationale*socio=te, spécialement dans l'industrie*socio=ec; l'expérience*socio=uv acquise*socio=rien en matière*socio=rien d' ajustement_structurel*socio=et; enfin, la réforme*socio=et du*socio=rien *socio=ec secteur financier.*socio=nil *socio=nil Durant l'année*socio=rien , l'IDE*socio=ac a progressé considérablement*socio=rien dans la production*socio=ec et la diffusion*socio=rien de moyens*socio=ec de formation*socio=et et dans l'aide*socio=uv qu'il a apportée à certains établissements*socio=rien choisis comme partenaires*socio=uv pour qu'ils soient mieux en mesure*socio=rien de préparer leur *socio=rien propre matériel de*socio=nil formation*socio=et.*socio=nil L'*socio=nil IDE*socio=ac *socio=nil a ajouté 99 documents*socio=rien de formation*socio=et en plusieurs langues*socio=et à son catalogue durant l'exercice*socio=rien 90. Outre la documentation*socio=rien imprimée, l'IDE*socio=ac prépare des bandes vidéo et des logiciels d'ordinateur*socio=rien . L'IDE*socio=ac a continué d'administrer le programme*socio=et de bourses*socio=rien d'études*socio=rien universitaires*socio=et de troisième*socio=rien cycle*socio=te de la banque_mondiale*socio=ac, qui est*socio=rien financé par le *socio=ac Gouvernement japonais *socio=nil et a connu une expansion*socio=ec rapide*socio=rien tant pour le nombre*socio=rien des bourses*socio=rien distribuées que pour celui des demandes*socio=uv reçues. A ce jour*socio=rien , le programme*socio=et a accordé 222 bourses*socio=rien dont 25% à des femmes*socio=ac et 80% à des candidats*socio=ac originaires de pays_en_développement*socio=ac. Le programme*socio=et commence à être*socio=rien reconnu dans sa spécificité*socio=uv comme *socio=rien un mécanisme international*socio=te,*socio=nil hautement*socio=nil compétitif*socio=uv *socio=nil et très recherché pour l'aide*socio=uv au financement*socio=ec des études*socio=rien de troisième*socio=rien cycle*socio=te en milieu*socio=rien de carrière*socio=rien dans les *socio=rien domaines du développement*socio=uv.*socio=nil *socio=nil Plus de 60 établissements*socio=rien d'Europe*socio=ac, d'Asie*socio=ac et d'amérique_du_nord*socio=ac accueillent actuellement des boursiers*socio=ec du*socio=rien programme*socio=et. L'économie*socio=ec reste*socio=rien toujours le *socio=rien premier domaine d'*socio=nil étude*socio=ac,*socio=nil *socio=nil mais plusieurs *socio=rien nouvelles bourses ont*socio=nil été *socio=nil accordées dans les secteurs*socio=ec de l'administration*socio=et et de la gestion*socio=et des entreprises*socio=ac, de l'administration*socio=et de la *socio=et santé publique,*socio=nil *socio=nil de la *socio=ec production agricole et*socio=nil du*socio=rien droit*socio=uv.*socio=nil *socio=nil En outre, 15 bourses*socio=rien Mcnamara*socio=ac ont été*socio=rien attribuées à des chercheurs*socio=rien d'Afrique*socio=ac, d'Asie*socio=ac, d'amérique_latine*socio=ac et d'amérique_du_nord*socio=ac pour leur permettre d'entreprendre des recherches*socio=ec sur*socio=rien les problèmes*socio=uv de développement*socio=uv *socio=rien intéressant un pays*socio=ac,*socio=nil membre *socio=nil de la Banque*socio=ac, autre que le leur. Pour la *socio=rien première fois,*socio=nil *socio=nil il y a eu plus de femmes*socio=ac que d'hommes*socio=ac parmi les lauréats. La majorité*socio=rien d'entre eux axeront leurs *socio=rien travaux sur deux*socio=nil domaines:*socio=nil les*socio=nil problèmes*socio=uv d'*socio=nil égalité*socio=uv des*socio=nil sexes *socio=nil et l'environnement*socio=ec. Les évaluations*socio=uv des effets*socio=rien d'un*socio=rien échantillon*socio=rien d'activités*socio=rien de l'IDE*socio=ac se sont poursuivies durant l'exercice*socio=rien . *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil études portant*socio=nil sur des*socio=nil points spécifiques a*socio=nil été *socio=nil mené et un*socio=rien programme*socio=et systématique*socio=rien a été*socio=rien lancé en vue*socio=rien de couvrir les principaux*socio=rien secteurs*socio=ec d'activité*socio=rien de l'IDE*socio=ac durant plusieurs années*socio=rien . L'objectif*socio=rien est*socio=rien de déterminer, essentiellement en interrogeant *socio=rien un échantillon d'*socio=nil anciens participants*socio=ac aux*socio=nil séminaires *socio=nil et d'agents*socio=ac d'institutions*socio=ac partenaires*socio=uv, dans quelle mesure*socio=rien l'IDE*socio=ac a réussi à renforcer les capacités*socio=rien nationales*socio=te. L'IDE*socio=ac a continué de jouer *socio=rien un rôle actif *socio=nil pour mobiliser des ressources*socio=ec extérieures*socio=te à l'appui*socio=rien de ses activités*socio=rien pour l'exercice*socio=rien 90 et au-delà. Abstraction*socio=rien faite des cofinancements destinés au programme*socio=et de bourses*socio=rien d'études*socio=rien universitaires*socio=et de troisième*socio=rien cycle*socio=te de la Banque*socio=ac, le montant*socio=ec *socio=rien total du cofinancement*socio=ec *socio=nil a atteint environ 7,6 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, contre 6,7 millions*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien . Si le PNUD*socio=ac est*socio=rien resté la *socio=rien principale source d'*socio=nil appui extérieur*socio=ec,*socio=nil *socio=nil les cofinancements d'origine*socio=rien bilatérale*socio=te ont continué d'augmenter plus vite que ceux d'autres sources*socio=rien , *socio=rien représentant un *socio=nil peu plus de la *socio=rien moitié du total des*socio=nil ressources*socio=ec extérieures*socio=te *socio=nil mobilisées par l'IDE*socio=ac. Cette augmentation*socio=uv est*socio=rien en partie*socio=rien le résultat*socio=rien de l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv des dispositions*socio=rien en matière*socio=rien de cofinancement*socio=ec prises*socio=rien les *socio=rien années précédentes *socio=nil avec des organismes*socio=ac d'aide*socio=uv de l'Australie*socio=ac, du*socio=rien Canada*socio=ac, de l'Irlande*socio=ac, de l'Italie*socio=ac, du*socio=rien Japon*socio=ac et du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac et avec le Secrétariat*socio=ac du*socio=rien Commonwealth*socio=ec; elle s'explique aussi en partie*socio=rien par les nouveaux*socio=rien accords*socio=et passés*socio=rien avec les États-unis*socio=ac, la France*socio=ac et les Pays-bas*socio=ac. La Belgique*socio=ac a contribué pour la *socio=rien première fois aux*socio=nil activités *socio=nil de l'IDE*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien 90. Parmi les organisations*socio=ac multilatérales*socio=te autres que le PNUD*socio=ac, le Centre*socio=rien des Nations*socio=te Unis pour les établissements*socio=rien humains*socio=uv (Habitat*socio=rien ), l'Organisation_mondiale_de_la_santé*socio=ac et l' organisation_internationale_du_travail*socio=ac (OIT*socio=ec) ont été*socio=rien les principaux*socio=rien collaborateurs de PIDE*socio=ac. Ce dernier*socio=rien a continué de resserrer ses liens*socio=rien de collaboration*socio=uv avec la Banque_asiatique_de_développement*socio=ac, et les *socio=rien dispositions récentes prises *socio=nil par les deux institutions*socio=ac devraient intensifier cette collaboration*socio=uv au cours*socio=rien de l'année*socio=rien à venir. Plusieurs Administrateurs*socio=ac se sont déclarés préoccupés par le fait*socio=rien que PIDE*socio=ac dépendait de plus en plus de concours extérieurs*socio=te pour le financement*socio=ec de ses activités*socio=rien . Pour ne pas perdre sa marge de manoeuvre*socio=rien et assurer une *socio=uv répartition équitable *socio=nil de ses activités*socio=rien entre les diverses*socio=rien régions*socio=te, l'IDE*socio=ac a engagé, avec quelque succès*socio=uv, des négociations*socio=uv avec plusieurs bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec afin d'obtenir*socio=rien une aide*socio=uv pluriannuelle pour ses programmes*socio=et, au lieu*socio=rien d'avoir à mobiliser *socio=rien un appui *socio=nil pour chaque activité*socio=rien . Coopération*socio=uv entre organisations*socio=ac. Coopération*socio=uv avec le fonds_monétaire_international*socio=ac. La collaboration*socio=uv entre la Banque*socio=ac et le fonds_monétaire_international*socio=ac (FMI*socio=ac) dans les activités*socio=rien d'aide*socio=uv aux pays_membres*socio=ac recouvre de *socio=rien nombreux domaines *socio=nil et s'opère simultanément au *socio=rien niveau du personnel *socio=nil et à celui de la direction*socio=rien . La coopération*socio=uv dans l'assistance*socio=et aux pays*socio=ac prend *socio=rien diverses formes:*socio=nil *socio=nil a) échanges*socio=rien de vues*socio=rien et d'information*socio=rien entre le personnel*socio=rien des deux institutions*socio=ac, b) mise en commun*socio=uv des analyses*socio=rien et de la connaissance*socio=uv des différents*socio=rien pays*socio=ac dans des *socio=rien domaines particuliers,*socio=nil *socio=nil c) information*socio=rien réciproque*socio=uv au sujet*socio=rien des projets*socio=rien de chacune et, souvent, d) *socio=uv aide conjointe aux*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil pour la préparation*socio=rien de programmes*socio=et de réforme*socio=et. Pour les pays*socio=ac pouvant prétendre à une aide*socio=uv au titre*socio=rien de la facilité_d'_ajustement_structurel*socio=et (FAS*socio=ec) et de la facilité_d'_ajustement_structurel_renforcée*socio=ec (FASR*socio=ec) du*socio=rien FMI*socio=ac, l'élaboration*socio=rien de documents-cadres*socio=et de politique_économique*socio=et formalise ce type*socio=rien de collaboration*socio=uv. Ces documents-cadres*socio=et, qui définissent*socio=rien les objectifs*socio=rien à *socio=rien moyen terme des*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil ainsi que des priorités*socio=uv pour chaque pays*socio=ac, représentent un*socio=rien effort*socio=uv tripartite associant le FMI*socio=ac, la Banque*socio=ac et les autorités*socio=et nationales*socio=te. Durant l'exercice*socio=rien 90, 22 documents-cadres*socio=et de politique_économique*socio=et ont été*socio=rien établis, pour la plupart*socio=rien par des missions mixtes ou parallèles*socio=rien de fonctionnaires*socio=et de la Banque*socio=ac et du*socio=rien FMI*socio=ac. La *socio=uv participation conjointe de*socio=nil fonctionnaires*socio=et *socio=nil aux missions ne se borne pas au contexte*socio=rien de l'établissement*socio=rien des documents-cadres*socio=et. La Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac poursuivent leur collaboration*socio=uv étroite*socio=rien à propos*socio=rien de la stratégie*socio=et applicable*socio=rien aux problèmes*socio=uv d'endettement*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac. Une équipe*socio=rien de travail*socio=rien conjointe*socio=uv a été*socio=rien créée pour favoriser une coopération*socio=uv plus étroite*socio=rien pour l'analyse*socio=rien des problèmes*socio=uv intéressant*socio=rien la stratégie*socio=et de la dette*socio=ec et pour permettre un*socio=rien échange*socio=ec de vues*socio=rien et d'informations*socio=rien sur*socio=rien les techniques*socio=rien de financement*socio=ec. La coopération*socio=uv des personnels*socio=ec des deux institutions*socio=ac *socio=rien est continue *socio=nil dans les pays*socio=ac qui ont besoin*socio=uv d'une aide*socio=uv de la Banque*socio=ac et du*socio=rien FMI*socio=ac pour des opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et. La collaboration*socio=uv est*socio=rien également étroite*socio=rien au sujet*socio=rien des arriérés de paiement*socio=ec envers les deux institutions*socio=ac. Les fonctionnaires*socio=et de l'une et de l'autre maintiennent le dialogue*socio=uv avec les autorités*socio=et des pays*socio=ac en situation*socio=uv d'arriérés et continuent de les aider à définir*socio=rien et appliquer des programmes*socio=et destinés à relancer la croissance*socio=uv, à redresser la cote*socio=ec de crédit*socio=ec du*socio=rien pays*socio=ac et à liquider les arriérés à l'égard*socio=rien des créanciers*socio=ac multilatéraux*socio=te. Les fonctionnaires*socio=et de la Banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec ont également travaillé étroitement ensemble*socio=rien au montage*socio=rien d'arrangements*socio=et de restructuration*socio=uv financière*socio=ec répondant aux besoins*socio=uv propres*socio=rien des pays_membres*socio=ac en situation*socio=uv d'arriérés, comme le Guyana*socio=ac et le Honduras*socio=ac, arrangement*socio=uv nécessaire*socio=rien à la mobilisation*socio=uv de l'aide*socio=uv des donateurs*socio=ac par l'intermédiaire*socio=rien de groupes*socio=ac consultatifs*socio=rien ou de soutien*socio=uv. Coopération*socio=uv avec l' Organisation_de_coopération_et_de_développement_économiques*socio=ac (OCDE*socio=ac). La Banque*socio=ac cherche à entretenir activement un*socio=rien échange*socio=ec de vues*socio=rien et de données avec l'OCDE*socio=ac au sujet*socio=rien de l'évolution*socio=rien économique*socio=ec intéressant*socio=rien les pays_en_développement*socio=ac; elle travaille à cette fin*socio=rien avec le Secrétariat_de_l'_ocde*socio=ac et assiste aux *socio=rien principales réunions *socio=nil de l'organisation*socio=ac - celles du*socio=rien comité_d'_aide_au_développement*socio=ac (CAD*socio=ac) de l'OCDE*socio=ac, en particulier*socio=uv - en qualité*socio=rien d'observateur*socio=ac. La Banque*socio=ac participe régulièrement à des réunions*socio=rien et séminaires*socio=rien de l'OCDE*socio=ac sur*socio=rien tout *socio=rien un ensemble de*socio=nil sujets.*socio=nil *socio=nil Elle contribue chaque année*socio=rien aux *socio=rien travaux du CAD*socio=ac à*socio=nil propos des*socio=nil questions majeures *socio=nil de la coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv, de l'évaluation*socio=uv de l'aide*socio=uv, des pratiques*socio=et d'aide*socio=uv, des aspects*socio=rien financiers*socio=ec de l'aide*socio=uv et des problèmes*socio=uv statistiques*socio=rien de la mesure*socio=rien des flux*socio=ec d'aide*socio=uv. Durant l'exercice*socio=rien 90, la Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac ont entrepris de rechercher avec l'OCDE*socio=ac les moyens*socio=ec d'assurer la compatibilité et de promouvoir la normalisation*socio=uv des données relatives*socio=rien aux flux*socio=ec de capitaux*socio=ec en direction*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac. La Banque*socio=ac coopère à une action*socio=rien entreprise*socio=ac par le CAD*socio=ac afin de définir*socio=rien des principes*socio=uv de l'aide-programme; une délégation*socio=et de la Banque*socio=ac a assisté*socio=rien à une *socio=rien réunion sur la*socio=nil population*socio=ac,*socio=nil *socio=nil consacrée principalement au besoin*socio=uv de ressources*socio=ec; la Banque*socio=ac prend part*socio=rien actuellement à *socio=rien un nouveau groupe*socio=ac de*socio=nil travail du CAD*socio=ac sur l'*socio=nil aide_au_développement*socio=uv *socio=nil et l'environnement*socio=ec, qui examine des problèmes*socio=uv tels que les moyens*socio=ec par lesquels les donateurs*socio=ac peuvent établir des évaluations*socio=uv fiables*socio=rien de l'impact*socio=rien sur*socio=rien l'environnement*socio=ec; elle participe enfin régulièrement à des *socio=rien réunions sur le*socio=nil rôle des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans le développement*socio=uv. La participation*socio=uv de la Banque*socio=ac à d'autres réunions*socio=rien de l'OCDE*socio=ac lui donne la possibilité*socio=rien d'exprimer ses préoccupations*socio=uv de développement*socio=uv dans le débat*socio=et sur*socio=rien les *socio=rien questions intéressant les*socio=nil *socio=ac pays industriels,*socio=nil *socio=nil telles que les *socio=ec échanges commerciaux,*socio=nil l'*socio=nil inflation *socio=nil ainsi que l'épargne*socio=ec et l'investissement*socio=ec. A l'occasion*socio=rien des réunions*socio=rien auxquelles elle assiste sur*socio=rien l'activité*socio=rien bancaire*socio=ec, la dette*socio=ec, la prévision*socio=rien économique*socio=ec, le commerce*socio=ec et l'agriculture*socio=ec, la Banque*socio=ac acquiert une vision*socio=rien de ces réalités*socio=uv qui profite à ses activités*socio=rien de conseil*socio=rien et d'analyse*socio=rien auprès des pays_en_développement*socio=ac. La *socio=rien réunion annuelle *socio=nil de l'OCDE*socio=ac au niveau*socio=rien ministériel*socio=et, qui se tient à la *socio=rien fin du mois de*socio=nil mai,*socio=nil *socio=nil et les *socio=rien réunions du Comité de*socio=nil politique_économique*socio=et *socio=nil (tournées principalement vers les problèmes*socio=uv de l'inflation*socio=ec, des dépenses_publiques*socio=et, des subventions*socio=ec, de la concurrence*socio=ec et de l'intégration*socio=uv des *socio=et politiques environnementales et*socio=nil économiques*socio=ec)*socio=nil *socio=nil offrent à la Banque*socio=ac d'importantes*socio=rien occasions*socio=rien de rencontre. La réunion*socio=rien ministérielle*socio=et de 1990 a mis l'accent*socio=rien sur*socio=rien les Négociations*socio=uv d'Uruguay*socio=ac, les *socio=ec échanges agricoles *socio=nil et les politiques*socio=et de soutien*socio=uv à l'agriculture*socio=ec, la croissance*socio=uv non inflationniste*socio=ec, les relations*socio=rien de l'OCDE*socio=ac avec les pays*socio=ac non membres*socio=rien et l'environnement*socio=ec mondial*socio=te. assistance_technique*socio=et. Les composantes*socio=rien assistance_technique*socio=et des prêts*socio=ec et crédits*socio=ec, qui sont toujours la *socio=rien principale source d'*socio=nil assistance_technique*socio=et *socio=nil dans le programme*socio=et de prêt*socio=ec de la Banque*socio=ac, sont passées*socio=rien de 1,095,1 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1988 à 1,185,8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en 1989. Ces composantes*socio=rien servent essentiellement à appuyer des projets*socio=rien d'investissement*socio=ec, ce qui les distingue des prêts*socio=ec exclusivement consacrés à l'assistance_technique*socio=et qui s'affirment de plus en plus comme le moyen*socio=rien d'apporter *socio=rien un appui institutionnel au*socio=nil processus d'*socio=nil ajustement*socio=et.*socio=nil En*socio=nil proportion des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'investissement*socio=ec, ces composantes*socio=rien sont tombées de 7,9% durant l'année*socio=rien civile*socio=et 1988 à 7,3% durant l'année*socio=rien civile*socio=et 1989. En outre, cette même année*socio=rien , 12 prêts*socio=ec d'assistance_technique*socio=et pure*socio=rien ont été*socio=rien approuvés pour un*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de 126,3 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Parmi ceux-ci, neuf*socio=rien , *socio=rien représentant un montant*socio=ec *socio=nil de 90,3 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ont été*socio=rien destinés à la région*socio=te Afrique*socio=ac, le reste*socio=rien allant aux régions*socio=te amérique_latine_et_caraïbes*socio=ac, et Europe*socio=ac, Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te. Bien*socio=rien qu'ils portent sur*socio=rien des sommes modestes*socio=rien par rapport*socio=rien aux autres instruments*socio=rien de prêt*socio=ec de la Banque*socio=ac, les prêts*socio=ec d'assistance_technique*socio=et proprement dits constituent *socio=rien un complément essentiel*socio=uv des*socio=nil prêts*socio=ec d'*socio=nil ajustement_structurel*socio=et et*socio=nil prêts*socio=ec d'*socio=nil ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec.*socio=nil Sur l'*socio=nil ensemble des*socio=nil prêts*socio=ec d'*socio=nil assistance_technique*socio=et *socio=nil approuvés durant l'année*socio=rien civile*socio=et 1989, neuf*socio=rien (soit 96,3 millions*socio=rien de dollars*socio=ec ou 76%) ont apporté *socio=rien un appui *socio=nil à des opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et. En 1989, 60 avances au *socio=rien titre du mécanisme de*socio=nil financement*socio=ec *socio=nil de la préparation*socio=rien des projets*socio=rien (project_preparation_facility*socio=et - PPF*socio=et) ont été*socio=rien approuvées, pour un*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de 48,8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Les avances PPF*socio=et sont accordées préalablement à l'approbation*socio=uv du*socio=rien prêt*socio=ec et financent le plus souvent des activités*socio=rien telles que: la mise en service*socio=rien ou le renforcement*socio=uv de l'organisme*socio=ac chargé de la préparation*socio=rien et/ou de l'exécution*socio=rien *socio=rien du projet,*socio=nil ces*socio=nil fonds*socio=ec *socio=nil permettant d'étoffer ses effectifs*socio=rien de personnel*socio=rien et de lui donner les moyens*socio=ec de dresser les plans*socio=rien , programmes*socio=et et avant-projets exigés par la préparation*socio=rien ou l'exécution*socio=rien ; l'achèvement*socio=rien des *socio=rien travaux préparatoires *socio=nil et des avant-projets détaillés nécessaires*socio=rien pour garantir à la *socio=rien préparation du projet un avancement*socio=nil suffisant *socio=nil pour que l'exécution*socio=rien puisse commencer rapidement après*socio=rien l'approbation*socio=uv du*socio=rien prêt*socio=ec; *socio=rien certaines activités de*socio=nil démarrage essentielles*socio=uv *socio=nil sans lesquelles l'exécution*socio=rien *socio=rien du projet *socio=nil serait sérieusement retardée; la mise au point*socio=rien de programmes*socio=et de formation*socio=et et la formation*socio=et de *socio=rien personnel sur place.*socio=nil Le*socio=nil mécanisme spécial de*socio=nil financement*socio=ec *socio=nil de la préparation*socio=rien des projets*socio=rien (special project_preparation_facility*socio=et - SPPF) est*socio=rien l'un*socio=rien des *socio=rien rares instruments de*socio=nil don*socio=ec *socio=nil utilisés par la Banque*socio=ac pour l' assistance_technique*socio=et. Il a été*socio=rien créé en 1985 pour aider les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac susceptibles*socio=rien de bénéficier des interventions*socio=et de FIDA*socio=ac à financer les *socio=rien activités préparatoires *socio=nil (y compris l'établissement*socio=rien des propositions*socio=rien de financement*socio=ec par les autres donateurs*socio=ac) qui ne pouvaient être*socio=rien financées par d'autres sources*socio=rien . L'expérience*socio=uv indique qu'à la différence*socio=rien des avances PPF*socio=et, qui sont soit remboursées par l'emprunteur*socio=ac, soit refinancées ultérieurement à l'aide*socio=uv des prêts*socio=ec et crédits*socio=ec de la Banque*socio=ac, les avances SPPF sont le plus souvent converties en dons*socio=ec. Durant l'année*socio=rien civile*socio=et 1989, 31 avances ont été*socio=rien faites à concurrence*socio=ec de 3,9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Le portefeuille*socio=ec de projets*socio=rien exécutés par la Banque*socio=ac pour le programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac (PNUD*socio=ac) représente 162 projets*socio=rien en cours*socio=rien d'un*socio=rien montant*socio=ec total*socio=rien de 260,9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. *socio=rien Un projet novateur*socio=uv du PNUD*socio=ac *socio=nil dans le *socio=rien domaine crucial *socio=nil de la gestion*socio=et des risques*socio=uv financiers*socio=ec a été*socio=rien lancé en août*socio=rien 1989. Ce Projet*socio=rien d'assistance_technique*socio=et financière*socio=ec pour la gestion*socio=et de trésorerie*socio=ec vise à offrir une assistance_technique*socio=et aux pays_en_développement*socio=ac qui n'ont pas les connaissances*socio=rien ni les compétences*socio=uv voulues pour manier les techniques*socio=rien modernes*socio=uv de gestion*socio=et des risques*socio=uv financiers*socio=ec. Ce projet*socio=rien interrégional*socio=te du*socio=rien PNUD*socio=ac permet à la Banque*socio=ac, qui en est*socio=rien l'agent*socio=ac d'exécution*socio=rien , de mettre à profit*socio=ec son expérience*socio=uv et de transférer des techniques*socio=rien de gestion*socio=et de trésorerie*socio=ec à certains groupes*socio=ac des secteurs_public*socio=ac et privé*socio=ec. Au nombre*socio=rien des *socio=rien nouvelles initiatives *socio=nil lancées au titre*socio=rien des programmes*socio=et spéciaux*socio=rien de dons*socio=ec de la Banque*socio=ac, cette dernière*socio=rien a mis au point*socio=rien , en coopération*socio=uv avec le PNUD*socio=ac et la banque_africaine_de_développement*socio=ac, l'initiative*socio=rien pour le renforcement*socio=uv des capacités*socio=rien en Afrique*socio=ac (IRCA), dont l'objectif*socio=rien est*socio=rien de constituer *socio=rien un cadre propice *socio=nil à la formation*socio=et en *socio=ac Afrique subsaharienne de*socio=nil capacités*socio=rien d'*socio=nil analyse*socio=rien de*socio=nil politique*socio=et générale*socio=rien *socio=nil et de gestion*socio=et économique*socio=ec. Concrètement, cette initiative*socio=rien vise essentiellement à former une masse*socio=rien critique*socio=uv d'experts*socio=ac africains*socio=ac de l'analyse*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien , à renforcer les institutions*socio=ac nationales*socio=te afin qu'elles offrent une formation*socio=et locale*socio=te plus vaste*socio=rien dans les domaines*socio=rien de l'analyse*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien et de la gestion*socio=et à développer l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec autochtones*socio=ac d'analyse*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien et de gestion*socio=et économique*socio=ec déjà présentes*socio=rien en Afrique*socio=ac, à faciliter le retour*socio=rien en Afrique*socio=ac des Africains*socio=ac déjà formés, à mieux harmoniser l'intervention*socio=et des donateurs*socio=ac pour l'appui*socio=rien à l'analyse*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien et à la gestion*socio=et économique*socio=ec, à donner aux Africains*socio=ac *socio=rien un rôle directeur *socio=nil affirmé et à assurer leur participation*socio=uv aux programmes*socio=et de renforcement*socio=uv des capacités*socio=rien , enfin, à organiser *socio=rien un appui financier*socio=ec continu et*socio=nil cohérent en*socio=nil faveur du renforcement*socio=uv à*socio=nil long_terme*socio=ec de*socio=nil capacités d'*socio=nil analyse de*socio=nil politique*socio=et générale *socio=nil et de gestion*socio=et économique*socio=ec en *socio=ac Afrique subsaharienne.*socio=nil La*socio=nil Banque,*socio=nil en*socio=nil consultation*socio=uv *socio=nil avec ses deux autres partenaires*socio=uv, a réuni les donateurs*socio=ac à Paris*socio=ac le 5 juin*socio=rien en vue*socio=rien de recueillir 100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour financer l'initiative*socio=rien durant une première*socio=rien période*socio=te de quatre ans*socio=rien . Les *socio=rien premiers résultats *socio=nil sont très encourageants*socio=uv. Si l'initiative*socio=rien réussit, on cherchera à établir une *socio=rien source permanente de*socio=nil financement*socio=ec.*socio=nil Les*socio=nil Administrateurs*socio=ac *socio=nil de la Banque*socio=ac ont entériné l'initiative*socio=rien et approuvé une contribution*socio=uv de la Banque*socio=ac plafonnée à 15% *socio=rien du total.*socio=nil Le*socio=nil nombre des*socio=nil projets *socio=nil financés par des fonds*socio=ec d'affectation*socio=rien spéciale*socio=rien augmente rapidement depuis quelques années*socio=rien . Ceux qui contribuent à ces fonds*socio=ec sont des pays*socio=ac, des institutions*socio=ac multinationales*socio=ec, des organisations_non_gouvernementales*socio=ac, des fondations*socio=ac et d'autres organisations*socio=ac privées*socio=ec. Certains fonds*socio=ec d'affectation*socio=rien spéciale*socio=rien sont constitués par une pluralité de donateurs*socio=ac. A la fin*socio=rien de 1989, la Banque*socio=ac administrait 720 opérations*socio=rien de fonds*socio=ec de ce type*socio=rien (y compris le fonds*socio=ec administré*socio=rien pour le PNUD*socio=ac) représentant*socio=rien au total*socio=rien l'équivalent*socio=rien de 2,858 millions*socio=rien de dollars*socio=ec d'engagements*socio=ec de donateurs*socio=ac. En 1989, les décaissements*socio=ec ont atteint au total*socio=rien 461 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, dont 61% ont servi au cofinancement*socio=ec de projets*socio=rien de la Banque*socio=ac. Les 39% restants*socio=rien sont allés à des projets*socio=rien de portée*socio=rien mondiale*socio=te, tels que le groupe_consultatif_pour_la_recherche_agricole*socio=ec internationale*socio=te, le Programme*socio=et spécial*socio=rien de recherche*socio=ec et de formation*socio=et concernant les maladies*socio=et tropicales*socio=te et le Programme*socio=et de lutte*socio=uv contre l'onchocercose*socio=rien , à des études*socio=rien de préinvestissement*socio=ec comme à des *socio=rien projets intéressant l'*socio=nil environnement*socio=ec *socio=nil et à des projets*socio=rien d'études*socio=rien spéciales*socio=rien . Encadré 3-3: Examen*socio=rien des politiques*socio=et de la Banque*socio=ac dans le *socio=ec secteur financier.*socio=nil D'*socio=nil après*socio=rien les*socio=nil *socio=rien conclusions du rapport d'*socio=nil un groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ac sur les*socio=nil opérations *socio=nil dans le *socio=ec secteur financier,*socio=nil les*socio=nil responsables*socio=uv des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil tout comme la banque_mondiale*socio=ac ont souvent sous-estimé l'importance*socio=rien du*socio=rien développement*socio=uv de ce secteur*socio=ec qu'ils ont mis à contribution*socio=uv pour atteindre des objectifs*socio=rien à court_terme*socio=ec dans les secteurs*socio=ec non financiers*socio=ec ou "réels*socio=rien ". La *socio=rien thèse centrale *socio=nil de ce *socio=rien rapport est *socio=nil qu'il existe une relation*socio=rien d'interdépendance*socio=uv entre l'efficacité*socio=uv et la croissance*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur financier d'*socio=nil un*socio=rien pays*socio=ac *socio=nil d'une part*socio=rien et celles des secteurs*socio=ec réels*socio=rien d'autre part*socio=rien . Le développement*socio=uv de ces derniers*socio=rien , producteurs*socio=ac des biens*socio=ec et des services*socio=ec déterminant*socio=rien le bien-être*socio=uv matériel*socio=rien , *socio=rien est un objectif central *socio=nil de la politique_économique*socio=et. Toutefois, sans un*socio=rien développement*socio=uv parallèle*socio=rien des institutions*socio=ac, des instruments*socio=rien et des marchés_financiers*socio=ec, les secteurs*socio=ec réels*socio=rien sont voués à la stagnation*socio=ec. Le rapport*socio=rien recommande donc que la Banque*socio=ac aide*socio=uv les gouvernements*socio=ac des pays_membres*socio=ac à concevoir et exécuter des opérations*socio=rien dans le *socio=ec secteur financier,*socio=nil *socio=nil à l'appui*socio=rien soit d'une réforme*socio=et *socio=rien générale du secteur*socio=ec,*socio=nil soit*socio=nil du développement*socio=uv *socio=nil d'une institution*socio=ac particulière*socio=uv, conformément à une stratégie*socio=et sectorielle*socio=rien intégrée et cohérente*socio=rien , pour faire en sorte*socio=rien que ses opérations*socio=rien et ses conseils*socio=ac soient complémentaires*socio=rien et concourent à la réalisation*socio=uv des *socio=rien objectifs sectoriels et*socio=nil macroéconomiques*socio=ec.*socio=nil La*socio=nil promotion*socio=uv d'*socio=nil institutions*socio=ac *socio=nil et de systèmes*socio=rien financiers*socio=ec compétitifs*socio=uv, fondés sur*socio=rien le marché*socio=ec, constitue *socio=rien un élément essentiel*socio=uv *socio=nil de la stratégie*socio=et de la Banque*socio=ac en matière*socio=rien de développement*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur financier,*socio=nil *socio=nil énoncée dans le rapport*socio=rien précité. La libéralisation*socio=ec des marchés*socio=ec de capitaux*socio=ec peut donner une *socio=rien vigoureuse impulsion *socio=nil à la mobilisation*socio=uv de l'épargne*socio=ec intérieure*socio=rien et à l'investissement*socio=ec étranger*socio=te, et favoriser l'orientation*socio=et de ces ressources*socio=ec combinées vers des *socio=ec investissements productifs.*socio=nil C'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil pourquoi la Banque*socio=ac doit accorder une attention*socio=rien particulière*socio=uv au *socio=rien niveau général *socio=nil et à la structure*socio=ec des taux_d'_intérêt*socio=ec dans son dialogue*socio=uv sur*socio=rien la politique*socio=et macroéconomique*socio=ec et sectorielle*socio=rien . Elle doit aussi choisir les intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec selon des critères*socio=rien plus rigoureux*socio=rien et décider de la poursuite*socio=rien de son aide*socio=uv en fonction*socio=rien des résultats*socio=rien , tout en laissant aux intermédiaires*socio=ac une plus *socio=rien grande latitude *socio=nil pour rétrocéder les fonds*socio=ec de la Banque*socio=ac sur*socio=rien la base*socio=rien de critères*socio=rien financiers*socio=ec sains*socio=uv. Le rapport*socio=rien signale néanmoins le risque*socio=uv suivant*socio=rien : la libéralisation*socio=ec des marchés*socio=ec de capitaux*socio=ec peut avoir de *socio=rien dangereux effets déstabilisateurs*socio=ec *socio=nil si les conditions*socio=uv *socio=rien préalables du fonctionnement efficace*socio=uv et*socio=nil concurrentiel*socio=ec des*socio=nil marchés*socio=ec *socio=nil ne sont pas réunies, Une attention*socio=rien particulière*socio=uv sera donc accordée à l'établissement*socio=rien de mécanismes*socio=rien juridiques*socio=et et réglementaires*socio=rien appropriés et au renforcement*socio=uv des institutions*socio=ac de contrôle*socio=uv. En outre, comme le *socio=ec secteur financier est*socio=rien *socio=nil très vulnérable aux déséquilibres macroéconomiques*socio=ec et qu'il y contribue, la décision*socio=rien d'entreprendre des opérations*socio=rien dans ce secteur*socio=ec doit tenir tout particulièrement compte*socio=rien de la conjoncture*socio=et macroéconomique*socio=ec, et les réformes*socio=et sectorielles*socio=rien doivent être*socio=rien conçues et mises en oeuvre*socio=rien parallèlement aux mesures*socio=rien plus générales*socio=rien de stabilisation_macroéconomique*socio=ec. La Banque*socio=ac et le fonds_monétaire_international*socio=ac doivent continuer à se concerter et à coordonner étroitement leurs efforts*socio=uv dans ce domaine*socio=rien . Examinant les *socio=rien recommandations du groupe*socio=ac de*socio=nil travail,*socio=nil les*socio=nil Administrateurs*socio=ac *socio=nil ont, de *socio=rien façon générale,*socio=nil *socio=nil approuvé leur orientation*socio=et d'ensemble*socio=rien . Considérant eux aussi que le développement*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur financier *socio=nil était hautement prioritaire*socio=rien , ils ont souscrit à la recommandation*socio=rien selon laquelle les opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac dans le *socio=ec secteur financier devaient*socio=nil être*socio=rien fondées*socio=nil sur*socio=rien une*socio=nil stratégie*socio=et de*socio=nil développement*socio=uv sectoriel *socio=nil adaptée à chaque pays*socio=ac. Les Administrateurs*socio=ac ont *socio=rien été nombreux *socio=nil à dire que la Banque*socio=ac devait continuer à tenir *socio=rien compte du fait *socio=nil que la situation*socio=uv économique*socio=ec générale*socio=rien , les institutions*socio=ac et le degré*socio=rien de développement*socio=uv du*socio=rien marché*socio=ec des capitaux*socio=ec varient d'un*socio=rien *socio=ac pays emprunteur *socio=nil à l'autre et que ces différences*socio=uv doivent dicter le rythme*socio=rien et l'ordre*socio=rien de succession*socio=rien des réformes*socio=et entreprises*socio=ac dans ce secteur*socio=ec.