*{Rapport annuel de la Banque mondiale, 1992} *socio=nil Aperçu des activités*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac durant l'exercice*socio=rien 92. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, la banque_mondiale*socio=ac s'est*socio=rien rapprochée de la réalisation*socio=uv du*socio=rien rêve*socio=uv, partagé il y a 48 ans*socio=rien par les participants*socio=ac à la Conférence*socio=rien de bretton_woods*socio=et de juin*socio=rien 1944, d'une institution*socio=ac qui aurait pour mission*socio=rien de promouvoir le développement_économique*socio=ec d'une famille*socio=uv unie de nations*socio=te, avec l'adoption*socio=et, par les gouverneurs*socio=ac de la Banque*socio=ac, de résolutions*socio=et permettant l'adhésion*socio=uv à l'institution*socio=ac des 15 anciennes*socio=te républiques_de_l'_union_soviétique*socio=ac. Cet événement*socio=rien contribuera pour beaucoup à faire de l'avenir*socio=te envisagé à bretton_woods*socio=et une réalité*socio=uv. Les efforts*socio=uv que déploient les 15 républiques*socio=te à transformer leur société*socio=ac et leur économie*socio=ec comportent de nombreux*socio=rien dangers*socio=uv. Leur succès*socio=uv ou leur échec*socio=uv sera lourd*socio=rien de conséquences*socio=rien pour le monde*socio=te entier*socio=rien . Cependant, les ressources*socio=ec dont elles disposent sont modestes*socio=rien . Et elles n'ont pas beaucoup de *socio=rien temps devant *socio=nil elles. Il est*socio=rien donc urgent*socio=uv de mobiliser toute l'aide*socio=uv possible*socio=rien pour cette entreprise*socio=ac d'une *socio=rien grande importance historique*socio=te.*socio=nil L'*socio=nil éclatement *socio=nil de l'ancienne*socio=rien union_soviétique*socio=ac en États*socio=ac indépendants*socio=et et souverains*socio=et et les progrès*socio=uv sur*socio=rien la voie*socio=rien de la paix*socio=et dans plusieurs régions*socio=te où la Banque*socio=ac étend son action*socio=rien ont entraîné une brusque expansion*socio=ec de la demande*socio=ec des services*socio=ec de l'institution*socio=ac (voir encadré). L'adhésion*socio=uv à la Banque*socio=ac de la Lettonie*socio=ac, de la Lituanie et de 11 autres républiques*socio=te de l'ancienne*socio=rien union_soviétique*socio=ac, événement*socio=rien attendu avant la fin*socio=rien de l'année*socio=rien civile*socio=et 1992, porterait à 173 le nombre*socio=rien des États*socio=ac membres*socio=rien de la Banque*socio=ac. Les demandes*socio=uv d'adhésion*socio=uv à la Banque*socio=ac présentées par la Bosnie-herzégovine*socio=ac, la Croatie*socio=ac et la Slovénie sont également à l'étude*socio=ac. Huit autres *socio=ac pays emprunteurs,*socio=nil *socio=nil qui ont adhéré à la Banque*socio=ac pendant les exercices*socio=rien 91-92 - l'Albanie*socio=ac, la Bulgarie*socio=ac, l'Estonie, les îles_marshall*socio=ac, la Mongolie*socio=ac, la Namibie, la Fédération*socio=et de Russie*socio=ac et la Tchécoslovaquie*socio=ac -, sont prêts*socio=ec à commencer à emprunter, ce qui veut dire que la Banque*socio=ac aura besoin*socio=uv de ressources*socio=ec additionnelles*socio=rien , notamment pour la préparation*socio=rien d'activités*socio=rien de prêt*socio=ec et d' études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien . Les programmes*socio=et de prêt*socio=ec - pour l'Iran*socio=ac, le Nicaragua*socio=ac, le Panama*socio=ac, le Paraguay, le Pérou*socio=ac, la Roumanie*socio=ac, le Salvador*socio=ac, la Sierra_leone*socio=ac et la Zambie*socio=ac - ont été*socio=rien réactivés. Les prêts*socio=ec pourraient également reprendre dans un*socio=rien proche avenir*socio=te vis-à-vis de l'Afghanistan*socio=ac, de l'afrique_du_sud*socio=ac, du*socio=rien Cambodge*socio=ac, du*socio=rien Guatemala*socio=ac, du*socio=rien Liban et du*socio=rien Vietnam*socio=ac et des prêts*socio=ec pourraient être*socio=rien consentis pour la *socio=rien première fois en*socio=nil faveur du Cambodge*socio=ac.*socio=nil L'*socio=nil accroissement*socio=ec *socio=nil de la demande*socio=ec des prêts*socio=ec et services*socio=ec consultatifs*socio=rien de la Banque*socio=ac intervient à *socio=rien un moment *socio=nil où se dessine un*socio=rien consensus*socio=uv sur*socio=rien les objectifs*socio=rien prioritaires*socio=uv du*socio=rien développement*socio=uv pour les années*socio=rien 90: l'instauration*socio=et d'une croissance_économique*socio=ec durable*socio=rien et le recul*socio=rien de la pauvreté*socio=uv; les mesures*socio=rien de protection*socio=et de l'environnement*socio=ec sont jugées essentielles*socio=uv à la réalisation*socio=uv de ces deux objectifs*socio=rien . On note également une convergence*socio=uv de vues*socio=rien de plus en plus marquée sur*socio=rien les moyens*socio=ec et les objectifs*socio=rien . Un*socio=rien plus *socio=rien grand recours au*socio=nil marché*socio=ec et*socio=nil un rôle important *socio=nil mais plus limité pour l'État*socio=ac, axé plus particulièrement sur*socio=rien le cadre*socio=rien stratégique*socio=uv et sur*socio=rien les responsabilités*socio=uv écologiques*socio=et et sociales*socio=ac. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil banque_mondiale*socio=ac a*socio=nil défini ses*socio=nil stratégies*socio=et de*socio=nil lutte*socio=uv *socio=nil contre la pauvreté*socio=uv, de promotion*socio=uv du*socio=rien développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec et de contribution*socio=uv à l'effort*socio=uv mondial*socio=te de protection*socio=et de l'environnement*socio=ec. Ces stratégies*socio=et ont façonné les activités*socio=rien de la Banque*socio=ac au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée et devraient continuer à le faire dans les années*socio=rien à venir. La Banque*socio=ac se concentre à *socio=rien présent sur les*socio=nil questions concrètes d'*socio=nil exécution:*socio=nil *socio=nil comment appliquer au mieux ses stratégies*socio=et de croissance*socio=uv accélérée, de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv et de protection*socio=et de l'environnement*socio=ec à ses programmes*socio=et par pays*socio=ac? Comment ces objectifs*socio=rien et stratégies*socio=et peuvent-ils s'intégrer au mieux dans les politiques*socio=et et les investissements*socio=ec concernant certains secteurs*socio=ec particuliers*socio=rien ? Selon la situation*socio=uv propre*socio=rien à chaque pays*socio=ac, comment assurer la *socio=rien complémentarité pratique *socio=nil entre les *socio=rien activités du secteur_privé*socio=ec *socio=nil et les interventions*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac? Il s'agit donc de veiller à ce que les stratégies*socio=et définies*socio=rien se reflètent dans tous les programmes*socio=et pertinents*socio=rien plutôt que dans certains programmes*socio=et spéciaux*socio=rien étroitement définis*socio=rien . La *socio=rien ventilation sectorielle des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil et la répartition*socio=uv des rôles*socio=rien entre le secteur_privé*socio=ec et le secteur_public*socio=ac les mieux à même de favoriser le recul*socio=rien de la pauvreté*socio=uv sont donc fonction*socio=rien des conditions*socio=uv propres*socio=rien au pays*socio=ac. Cela veut dire que - à quelques *socio=rien exceptions évidentes *socio=nil près, telles que l'accroissement*socio=ec récent*socio=rien de l'aide_financière*socio=et apportée à la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec et à la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec - la poursuite*socio=rien de ces objectifs*socio=rien et stratégies*socio=et ne se traduit pas par des tendances*socio=rien clairement définies*socio=rien concernant les prêts*socio=ec aux différents*socio=rien secteurs*socio=ec. Le *socio=rien dernier rapport annuel *socio=nil de la Banque*socio=ac sur*socio=rien son portefeuille*socio=ec d'opérations*socio=rien en cours*socio=rien , qui portait sur*socio=rien l'exercice*socio=rien 91, a confirmé que ce portefeuille*socio=ec suit de près les grandes*socio=rien missions de la Banque*socio=ac: recul*socio=rien de la pauvreté*socio=uv, croissance*socio=uv durable*socio=rien et *socio=rien réponse effective aux*socio=nil préoccupations*socio=uv d'*socio=nil environnement*socio=ec.*socio=nil En*socio=nil particulier*socio=uv,*socio=nil la*socio=nil lutte*socio=uv *socio=nil contre la pauvreté*socio=uv, y compris la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec, était l'un*socio=rien des *socio=rien principaux objectifs *socio=nil d'environ 20% du*socio=rien portefeuille*socio=ec des opérations*socio=rien en cours*socio=rien , pour ce qui est*socio=rien des engagements*socio=ec (13,8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec répartis entre 307 projets*socio=rien ). D'autre part*socio=rien , *socio=rien un nombre croissant d'*socio=nil opérations *socio=nil laissaient apparaître *socio=rien un souci *socio=nil de répondre aux problèmes*socio=uv de l'environnement*socio=ec. La mise en *socio=rien oeuvre du portefeuille*socio=ec a*socio=nil été jugée*socio=nil satisfaisante *socio=nil dans environ 80% des cas*socio=rien , malgré les difficultés*socio=rien d'exécution*socio=rien causées par des conditions*socio=uv *socio=ec macroéconomiques mondiales et*socio=nil nationales*socio=te peu*socio=nil favorables*socio=rien *socio=nil . Toutefois, parmi les projets*socio=rien qui se trouvaient dans leur quatrième*socio=rien ou *socio=rien cinquième année d'*socio=nil exécution,*socio=nil *socio=nil 30% se heurtaient à de graves*socio=rien problèmes*socio=uv dans toutes les régions*socio=te sauf en Asie*socio=ac. Cette détérioration*socio=uv était particulièrement marquée dans le cas*socio=rien de l'Afrique*socio=ac, *socio=rien du fait *socio=nil de la situation*socio=uv difficile*socio=rien de certains pays*socio=ac. L'exécution*socio=rien efficace*socio=uv et en temps*socio=rien voulu des opérations*socio=rien s'est*socio=rien encore heurtée principalement aux carences de politiques*socio=et et stratégies*socio=et macroéconomiques*socio=ec des pays*socio=ac, qui ont souvent *socio=rien débouché sur l'*socio=nil affectation de*socio=nil *socio=ec ressources financières insuffisantes*socio=rien aux*socio=nil projets*socio=rien *socio=nil . Les pays*socio=ac qui ont continué à appliquer les réformes_structurelles*socio=ec et économiques*socio=ec entreprises*socio=ac ont vu s'améliorer sensiblement les résultats*socio=rien d'exécution*socio=rien de leurs opérations*socio=rien . La *socio=rien bonne exécution des*socio=nil projets *socio=nil figurant dans le portefeuille*socio=ec de la Banque*socio=ac est*socio=rien d'une *socio=rien importance vitale *socio=nil pour les perspectives*socio=uv de croissance*socio=uv des *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil de l'institution*socio=ac. Les conseils*socio=ac que la Banque*socio=ac dispense à travers*socio=rien la supervision*socio=rien de ses opérations*socio=rien constituent l'une des formes*socio=rien les plus importantes*socio=rien de son aide_au_développement*socio=uv. La mise en oeuvre*socio=rien réussie des opérations*socio=rien approuvées a autant de poids*socio=rien que les nouveaux*socio=rien engagements*socio=ec de l'année*socio=rien comme indicateur*socio=rien de l'efficacité*socio=uv de l'oeuvre*socio=rien de développement*socio=uv de la Banque*socio=ac. La nomination, pendant l'exercice*socio=rien , d'un*socio=rien groupe*socio=ac d'étude*socio=ac de *socio=rien haut niveau,*socio=nil *socio=nil pour examiner le processus*socio=rien de gestion*socio=et et d'évaluation*socio=uv du*socio=rien portefeuille*socio=ec de l'institution*socio=ac et présenter des recommandations*socio=rien pour l'améliorer, témoigne*socio=rien de l'importance*socio=rien prioritaire*socio=rien de cet aspect*socio=rien de l'action*socio=rien de la Banque*socio=ac. Ce groupe*socio=ac d'étude*socio=ac doit terminer son rapport*socio=rien d'ici à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien civile*socio=et 1992. La responsabilité*socio=uv de l'exécution*socio=rien incombe à l'emprunteur*socio=ac et celle de la supervision*socio=rien , au personnel*socio=rien de la Banque*socio=ac. Il ressort *socio=rien du rapport annuel sur l'*socio=nil exécution *socio=nil et la supervision*socio=rien des projets*socio=rien que le volume*socio=rien des ressources*socio=ec de la Banque*socio=ac affectées à la supervision*socio=rien dans toutes les régions*socio=te et à la plupart*socio=rien des secteurs*socio=ec a augmenté sensiblement. Néanmoins, ajoute ce rapport*socio=rien , certaines*socio=rien préoccupations*socio=uv persistent a) quant au *socio=rien niveau suffisant *socio=nil ou non des ressources*socio=ec consacrées à la supervision*socio=rien , en particulier*socio=uv dans les secteurs*socio=ec de la population*socio=ac, de la santé*socio=et et de la nutrition*socio=rien , ainsi que pour les projets*socio=rien avant une *socio=rien incidence sur l'*socio=nil environnement*socio=ec,*socio=nil *socio=nil qui ont enregistré une expansion*socio=ec très *socio=rien rapide du volume des*socio=nil prêts*socio=ec et*socio=nil un accroissement*socio=ec du ratio consultants*socio=ac/*socio=nil personnel;*socio=nil *socio=nil et b) quant à la bonne*socio=rien adaptation*socio=uv des compétences*socio=uv techniques*socio=rien utilisées. On se préoccupe également au sujet*socio=rien de la supervision*socio=rien de projets*socio=rien complexes (par exemple*socio=rien , des prêts*socio=ec consentis pour des investissements*socio=ec sectoriels*socio=rien et des prêts*socio=ec servant à la fois*socio=rien au financement*socio=ec de réformes*socio=et et d'investissements*socio=ec) et de la gestion*socio=et des services*socio=ec de consultants*socio=ac financés sur*socio=rien les ressources*socio=ec de *socio=ec fonds fiduciaires,*socio=nil *socio=nil et de consultants*socio=ac nationaux*socio=te, chargés de la supervision*socio=rien des projets*socio=rien . Ces questions*socio=rien seront de nouveau*socio=rien examinées dans le *socio=rien cadre du plan d'*socio=nil action des*socio=nil exercices *socio=nil 1992-93 pour l'exécution*socio=rien et la supervision*socio=rien des projets*socio=rien , qui aura pour but*socio=rien de prévenir une nouvelle*socio=rien détérioration*socio=uv de la mise en *socio=rien oeuvre du portefeuille*socio=ec *socio=nil et de limiter*socio=rien le plus possible*socio=rien les risques*socio=uv que les projets*socio=rien n'atteignent pas leur *socio=rien objectif initial.*socio=nil Le*socio=nil cas *socio=nil échéant, la Banque*socio=ac s'efforce également de veiller à ce que les actions*socio=rien entreprises*socio=ac mais non terminées dans les années*socio=rien 80 soient menées à leur terme*socio=rien en même temps*socio=rien que sont respectées les priorités*socio=uv pour les années*socio=rien 90. Dans certains cas*socio=rien , la *socio=rien complémentarité est évidente.*socio=nil Par*socio=nil exemple,*socio=nil l'*socio=nil éducation*socio=et des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil va dans le sens*socio=rien de la promotion*socio=uv *socio=rien du rôle des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans le développement*socio=uv et, d'une façon*socio=rien plus générale*socio=rien , de la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec. Dans d'autres cas*socio=rien , les liens*socio=rien et arbitrages*socio=et sont plus complexes et ne peuvent trouver de solution*socio=rien que dans des programmes*socio=et concrets*socio=rien par pays*socio=ac. Par leur nombre*socio=rien et leur complexité*socio=rien , les objectifs*socio=rien et les politiques*socio=et qui sont d'une *socio=rien importance cruciale *socio=nil pour le développement*socio=uv rendent d'autant plus difficiles*socio=rien la conception*socio=rien et l'exécution*socio=rien des programmes*socio=et. Ils exigent également beaucoup plus des ressources*socio=ec et *socio=rien du personnel *socio=nil de la Banque*socio=ac. Ainsi, concevoir une stratégie*socio=et pour l'agriculture*socio=ec d'un*socio=rien pays*socio=ac est*socio=rien à présent*socio=rien beaucoup plus complexe et doit aller au-delà des "traditionnelles*socio=rien " préoccupations*socio=uv techniques*socio=rien et économiques*socio=ec et se concentrer sur*socio=rien le renforcement*socio=uv des *socio=rien rôles du secteur_privé*socio=ec *socio=nil et des femmes*socio=ac, la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec, l'accentuation *socio=rien du rôle *socio=nil de l'agriculture*socio=ec dans la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, tant à l'intérieur*socio=rien qu'à l'extérieur*socio=ec du*socio=rien *socio=ec secteur agricole,*socio=nil *socio=nil et les liens*socio=rien avec les politiques_commerciales*socio=ec et autres politiques*socio=et ayant trait*socio=rien à l'ensemble*socio=rien de l'économie*socio=ec. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, la Banque*socio=ac a réitéré avec vigueur*socio=uv son attachement*socio=uv de toujours à la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, par la voix*socio=rien de son Président*socio=rien , M: Lewis*socio=rien T: Preston*socio=ac, qui a déclaré qu'une réduction*socio=uv durable*socio=rien de la pauvreté*socio=uv était l'"objectif*socio=rien essentiel*socio=uv" de l'institution*socio=ac. Cette déclaration*socio=et figurait dans la préface au manuel*socio=rien intitulé Éléments*socio=rien d'une stratégie*socio=et de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv de la Banque*socio=ac, qui dresse le bilan*socio=rien des activités*socio=rien consacrées par la Banque*socio=ac à la réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv et fournit des indications*socio=rien aux chefs*socio=ac de projet*socio=rien de la Banque*socio=ac quant aux "meilleures*socio=rien " approches opérationnelles*socio=rien . La publication*socio=et de ce manuel*socio=rien s'est*socio=rien accompagnée de celle d'une *socio=rien directive opérationnelle sur la*socio=nil réduction*socio=uv *socio=nil de la pauvreté*socio=uv, qui récapitule les procédures*socio=rien et directives*socio=rien de la Banque*socio=ac pour les opérations*socio=rien de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. Ce manuel*socio=rien et cette directive*socio=rien ont donné lieu*socio=rien à *socio=rien un examen *socio=nil et à un*socio=rien débat*socio=et approfondi de la part*socio=rien des Administrateurs*socio=ac. Pendant cet exercice*socio=rien , la Banque*socio=ac a publié le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1992, document*socio=rien de réflexion*socio=rien qui représente sa contribution*socio=uv à la conférence_des_nations_unies*socio=ac sur*socio=rien l' environnement_et_le_développement*socio=ac (CNUED*socio=ac) de juin*socio=rien 1992. Ce rapport*socio=rien , qui analyse*socio=rien les liens*socio=rien entre le développement_économique*socio=ec et l'environnement*socio=ec, conclut qu'un*socio=rien développement_économique*socio=ec et humain*socio=ac continu*socio=rien , voire accéléré, *socio=rien est possible *socio=nil et peut *socio=rien être compatible *socio=nil avec une amélioration*socio=uv des conditions*socio=uv d'environnement*socio=ec, à condition*socio=rien que les programmes*socio=et, les politiques*socio=et et les institutions*socio=ac subissent une sérieuse*socio=rien réorientation*socio=et, accompagnée d'un*socio=rien financement*socio=ec suffisant*socio=rien . Le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1992 préconise de mettre en oeuvre*socio=rien plus rapidement des programmes*socio=et visant à réduire la pauvreté*socio=uv, supprimer les distorsions*socio=uv qui favorisent les gaspillages d'énergie*socio=ec et des ressources_naturelles*socio=ec et à clarifier les droits_de_propriété*socio=et afin d'inciter les populations*socio=ac et les collectivités*socio=ac à mieux gérer leurs ressources*socio=ec, comme de développer les programmes*socio=et d'éducation*socio=et (en particulier*socio=uv pour les filles*socio=ac), les services*socio=ec de planning*socio=rien familial*socio=uv, l'assainissement*socio=uv et l'alimentation*socio=ec en eau*socio=ec potable*socio=rien ainsi que la vulgarisation*socio=rien , le crédit*socio=ec et la *socio=ec recherche agricoles.*socio=nil *socio=nil Il décrit *socio=rien certaines mesures spécifiques susceptibles *socio=nil d'apporter des améliorations*socio=uv spectaculaires*socio=rien à la qualité*socio=rien de l'environnement*socio=ec moyennant un*socio=rien coût*socio=ec modeste*socio=rien en investissement*socio=ec et une *socio=rien légère perte en*socio=nil efficacité*socio=uv économique*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Pour les appliquer, ajoute-t-il, il faudra passer outre à certains *socio=uv intérêts acquis,*socio=nil *socio=nil créer des institutions*socio=ac solides*socio=rien , améliorer la connaissance*socio=uv, favoriser une plus grande*socio=rien participation*socio=uv au processus*socio=rien de décision*socio=rien et promouvoir des efforts*socio=uv conjugués de la part*socio=rien des *socio=ac pays industriels *socio=nil et des pays_en_développement*socio=ac. L'intégration*socio=uv des préoccupations*socio=uv d'environnement*socio=ec aux opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac s'est*socio=rien poursuivie: près de 30% des projets*socio=rien approuvés au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92 soit constituaient des projets*socio=rien exclusivement consacrés à l'environnement*socio=ec soit comportaient quelques composantes*socio=rien "environnement*socio=ec". Un*socio=rien accord*socio=et a également été*socio=rien conclu au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien sur*socio=rien les principes*socio=uv d'une restructuration*socio=uv du*socio=rien Fonds_pour_l'_environnement_mondial*socio=ac (FEM*socio=ac), qui a été*socio=rien créé en 1990 pour aider les pays_en_développement*socio=ac à résoudre les problèmes*socio=uv mondiaux*socio=te d'environnement*socio=ec. Ces principes*socio=uv prévoient d'ouvrir le FEM*socio=ac à une participation*socio=uv mondiale*socio=te, d'y assurer une représentation*socio=uv plus large*socio=rien et plus équitable*socio=uv et de conférer plus de transparence*socio=uv et de fiabilité*socio=uv à ses opérations*socio=rien . Les gouvernements*socio=ac participants*socio=rien se sont également accordés à reconnaître que le FEM*socio=ac devrait pouvoir*socio=et être*socio=rien utilisé comme mécanisme*socio=rien de financement*socio=ec pour les conventions*socio=et relatives*socio=rien aux changements*socio=uv climatiques*socio=et et à la *socio=rien diversité biologique.*socio=nil Lors de*socio=nil négociations*socio=uv ultérieures*socio=te,*socio=nil les*socio=nil gouvernements*socio=ac *socio=nil ont désigné le FEM*socio=ac pour faire fonction*socio=rien dans l'immédiat*socio=rien de mécanisme*socio=rien financier*socio=ec pour ces deux conventions*socio=et, qui ont été*socio=rien signées par plus de 150 pays*socio=ac lors*socio=rien de la CNUED*socio=ac, en juin*socio=rien 1992. Une *socio=rien décision définitive *socio=nil à ce sujet*socio=rien sera prise*socio=rien par les *socio=rien conférences respectives *socio=nil réunissant les parties*socio=rien , une fois*socio=rien que les conventions*socio=et auront été*socio=rien ratifiées par le *socio=rien nombre requis de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil et seront entrées en vigueur*socio=uv. Les administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac ont également donné leur approbation*socio=uv, au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien , au maintien*socio=rien de l'aptitude*socio=rien de l'institution*socio=ac à financer des opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec et de son service*socio=ec. Ces opérations*socio=rien permettent à la Banque*socio=ac de consentir un*socio=rien financement*socio=ec et/ou de renoncer à la clause*socio=et de nantissement négative*socio=rien pour les opérations*socio=rien entraînant une réduction*socio=uv des obligations*socio=uv de la dette*socio=ec ou du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et des pays_membres*socio=ac envers les banques*socio=ac commerciales*socio=ec qui sont leurs créanciers*socio=ac. La renonciation à la clause*socio=et de nantissement négative*socio=rien consentie au Nigeria*socio=ac a été*socio=rien la *socio=rien seule opération de*socio=nil service_de_la_dette*socio=et *socio=nil montée par la Banque*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92. Les administrateurs*socio=ac sont également convenus de proroger les *socio=rien opérations du Fonds*socio=ec de*socio=nil désendettement*socio=ec des*socio=nil pays*socio=ac exclusivement*socio=nil IDA*socio=ac,*socio=nil mécanisme *socio=nil créé en 1990 pour alléger le fardeau*socio=uv de la dette*socio=ec extérieure*socio=te des pays_en_développement*socio=ac les plus pauvres*socio=uv envers leurs créanciers*socio=ac commerciaux*socio=ec. Dix-sept*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec lourdement endettés ont exprimé le désir*socio=rien de pouvoir*socio=et accéder aux ressources*socio=ec de ce fonds*socio=ec. Deux opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec, au Mozambique*socio=ac et au Niger*socio=ac, ont été*socio=rien menées à bien*socio=rien , et l'on prévoit que trois autres, concernant la Bolivie*socio=ac, le Guyana*socio=ac et l'Ouganda*socio=ac, seront soumises à l'approbation*socio=uv des administrateurs*socio=ac avant la fin*socio=rien de l'année*socio=rien civile*socio=et 1992. L'exercice*socio=rien 92 a marqué le démarrage*socio=rien des évaluations*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Ces évaluations*socio=uv s'inscrivaient dans une série de *socio=rien mesures spécifiques *socio=nil convenues au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 91 pour renforcer l'exécution*socio=rien *socio=rien du plan d'*socio=nil action *socio=nil de la Banque*socio=ac en *socio=rien faveur du développement*socio=uv du secteur_privé*socio=ec *socio=nil (les autres étaient notamment une coopération*socio=uv accrue entre *socio=rien membres du groupe_de_la_banque*socio=ac *socio=nil et l'expansion*socio=ec de la recherche*socio=ec sur*socio=rien les problèmes*socio=uv de développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec). Ces évaluations*socio=uv contribuent à l'élaboration*socio=rien de stratégies*socio=et synergiques de développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec qui s'inscrivent dans le *socio=rien cadre global des*socio=nil stratégies*socio=et d'*socio=nil assistance*socio=et du groupe_de_la_banque*socio=ac aux*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil et servent de base*socio=rien au dialogue*socio=uv de politique_économique*socio=et entre la Banque*socio=ac et les pays*socio=ac. Elles permettent d'identifier les réformes*socio=et à entreprendre en priorité*socio=uv et les actions*socio=rien d'une importance*socio=rien critique*socio=uv pour le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. La Banque*socio=ac prévoit l'achèvement*socio=rien des 20 premières*socio=rien de ces évaluations*socio=uv d'ici à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 93. Le *socio=rien volume total des*socio=nil engagements*socio=ec *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92 s'est*socio=rien élevé*socio=rien à 21 705,7 millions*socio=rien de dollars*socio=ec: 15 156 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de la BIRD*socio=ac et 6 549,7 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de l'IDA*socio=ac. Les engagements*socio=ec de la BIRD*socio=ac ont diminué de 1 236 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien au total*socio=rien de l'exercice*socio=rien 91. Les engagements*socio=ec de l'IDA*socio=ac ont augmenté de 256 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. La *socio=rien diminution du volume des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de la BIRD*socio=ac est*socio=rien due à un*socio=rien déficit*socio=ec d'engagements*socio=ec dans les régions*socio=te Asie_du_sud*socio=ac, Europe*socio=ac et Asie*socio=ac centrale*socio=rien , et Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te. Les engagements*socio=ec en Asie_du_sud*socio=ac ont été*socio=rien retardés par la nécessité*socio=uv que les *socio=ac gouvernements indien *socio=nil et pakistanais réunissent un*socio=rien consensus*socio=uv sur*socio=rien divers éléments*socio=rien de leurs programmes*socio=et de réforme*socio=et. Les prêts*socio=ec aux pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te ont diminué par le fait*socio=rien que la décision*socio=rien de financer *socio=rien cinq projets *socio=nil qui représentaient *socio=rien un volume d'*socio=nil engagements*socio=ec *socio=nil de plus de 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec a été*socio=rien avancée à juin*socio=rien 1991 (c'est-à-dire que ces prêts*socio=ec ont été*socio=rien comptés dans l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien ). Le chiffre record*socio=rien de 3,9 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec d'engagements*socio=ec envers cette région*socio=te au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 91 a épuisé temporairement*socio=rien la réserve*socio=rien d'opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac pour l'Europe*socio=ac. Le *socio=rien fléchissement du volume des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil destinés au Moyen-orient*socio=ac et à l'Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te est*socio=rien dû à la décision*socio=rien de surseoir à deux *socio=rien grandes opérations *socio=nil prévues en Algérie*socio=ac et en Égypte*socio=ac. L'aide*socio=uv de la banque_mondiale*socio=ac aux pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv - ceux dont le PNB*socio=ec par habitant*socio=ac *socio=rien est égal ou*socio=nil inférieur *socio=nil à 610 dollars*socio=ec - s'est*socio=rien élevée*socio=rien au total*socio=rien à 9 896 millions*socio=rien de dollars*socio=ec: 4 662 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de la BIRD*socio=ac et 5 234 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de l'IDA*socio=ac (voir *socio=rien graphique page *socio=nil 19). Le volume*socio=rien des prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et s'est*socio=rien élevé*socio=rien à 5 847 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit à 27% *socio=rien du total des*socio=nil engagements*socio=ec *socio=nil (voir *socio=rien tableau sur les*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'ajustement*socio=et); au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 91, ce volume*socio=rien - abstraction*socio=rien faite des 215 millions*socio=rien de dollars*socio=ec consacrés à appuyer un*socio=rien allégement*socio=ec de l'encours et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et - avait été*socio=rien de 5 671,4 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Les décaissements*socio=ec nets*socio=rien de la BIRD*socio=ac à ses pays_membres*socio=ac ont diminué de 272 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien au total*socio=rien de l'exercice*socio=rien 91, pour s'établir à 1 818 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Les décaissements*socio=ec nets*socio=rien de l'IDA*socio=ac ont augmenté de 167 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, et ont atteint 4 441 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. La BIRD*socio=ac a emprunté l'équivalent*socio=rien de 11,8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec mondiaux*socio=te. Son revenu*socio=ec net*socio=rien s'est*socio=rien élevé*socio=rien à 1 645 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. L'Albanie*socio=ac a adhéré à la Banque*socio=ac le 15 octobre*socio=rien 1991, les îles_marshall*socio=ac le 21 mai*socio=rien 1992, la Suisse*socio=ac le 29 mai*socio=rien 1992, la Fédération*socio=et de Russie*socio=ac le 16 juin*socio=rien 1992, et l'Estonie le 23 juin*socio=rien 1992, portant le *socio=rien nombre total des*socio=nil membres *socio=nil de la BIRD*socio=ac à 160. A la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien , les démarches*socio=rien étaient en cours*socio=rien en vue*socio=rien de l'adhésion*socio=uv à la BIRD*socio=ac de l'Arménie*socio=ac, de la République*socio=ac azerbaïdjanaise, de la Biélorussie*socio=ac, de la Bosnie-herzégovine*socio=ac, de la Croatie*socio=ac, de la Géorgie*socio=ac, du*socio=rien Kazakhstan*socio=ac, du*socio=rien Kirghizistan*socio=ac, de la Lettonie*socio=ac, de la Lituanie, de la Micronésie, de la Moldavie, de l'Ouzbékistan*socio=ac, de la Slovénie, du*socio=rien Tadjikistan*socio=ac, du*socio=rien Turkménistan et de l'Ukraine*socio=ac. L'Albanie*socio=ac est*socio=rien devenue membre*socio=rien de l'IDA*socio=ac le 15 octobre*socio=rien 1991, la Suisse*socio=ac le 29 mai*socio=rien 1992, et la Fédération*socio=et de Russie*socio=ac le 16 juin*socio=rien 1992, portant le *socio=rien nombre total des*socio=nil membres *socio=nil de l'Association*socio=ac à 142. A la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien , les démarches*socio=rien étaient en cours*socio=rien en vue*socio=rien de l'adhésion*socio=uv à l'IDA*socio=ac de l'Arménie*socio=ac, de la Géorgie*socio=ac, du*socio=rien Kazakhstan*socio=ac, du*socio=rien Kirghizistan*socio=ac, de la Lettonie*socio=ac, de la Micronésie, de la Moldavie, de la Namibie, de l'Ouzbékistan*socio=ac, du*socio=rien Portugal*socio=ac, de la Slovénie, du*socio=rien Tadjikistan*socio=ac, du*socio=rien Turkménistan et de l'Ukraine*socio=ac. Encadré: Le défi*socio=uv de la transition*socio=uv. Quinze nouveaux*socio=rien pays*socio=ac sont nés de ce qui était l'union_soviétique*socio=ac. Tous devraient adhérer à la Banque*socio=ac en 1992. La *socio=rien création simultanée de*socio=nil nouveaux régimes_politiques*socio=et et*socio=nil économiques*socio=ec *socio=nil dans des pays*socio=ac naguère tributaires*socio=rien d'un*socio=rien puissant*socio=rien pouvoir*socio=et central*socio=rien pose de douloureux*socio=rien problèmes*socio=uv de transition*socio=uv aux autorités*socio=et. La préparation*socio=rien de programmes*socio=et pour 15 *socio=rien nouveaux membres ayant*socio=nil un besoin*socio=uv d'*socio=nil aide*socio=uv aussi*socio=nil urgent*socio=uv *socio=nil représente également une tâche*socio=rien sans précédent*socio=rien pour la Banque*socio=ac. Pour les autorités*socio=et, le processus*socio=rien de transition*socio=uv est*socio=rien compliqué par la désintégration de l'ordre*socio=rien ancien*socio=rien et par la difficulté*socio=rien pour les institutions_publiques*socio=et d'en créer *socio=rien un nouveau.*socio=nil *socio=nil Il faut concevoir et mettre en oeuvre*socio=rien des programmes*socio=et de stabilisation*socio=et en même temps*socio=rien que se créent des banques_centrales*socio=ac et de nouveaux*socio=rien régimes*socio=et fiscaux*socio=ec. Les institutions*socio=ac chargées de concevoir et d'appliquer la *socio=et politique budgétaire sont*socio=nil nouvelles*socio=rien *socio=nil et se heurtent à l'absence*socio=rien des transferts*socio=ec massifs*socio=rien qui se produisaient au sein*socio=rien de l'ancienne*socio=rien union_soviétique*socio=ac. Les rares*socio=rien organismes*socio=ac de privatisation*socio=et qui existent sont pour la plupart*socio=rien pauvres*socio=uv en personnel*socio=rien et ont à faire face*socio=rien à des programmes*socio=et de privatisation*socio=et d'une ampleur*socio=rien sans précédent*socio=rien . Cependant, le mouvement*socio=ac de réforme*socio=et est*socio=rien irrépressible: la dislocation de l'appareil*socio=rien de production*socio=ec pourrait entraîner une *socio=rien nouvelle baisse de*socio=nil production*socio=ec *socio=nil de plus de 10% en 1992. Le besoin*socio=uv d'aide_internationale*socio=et est*socio=rien donc énorme*socio=rien et immédiat*socio=rien . Grâce*socio=rien à un*socio=rien financement*socio=ec spécial*socio=rien approuvé par son conseil_des_administrateurs*socio=ac, la Banque*socio=ac a entrepris trois séries d'actions*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92 pour faciliter le passage*socio=rien des républiques*socio=te de l'ancienne*socio=rien union_soviétique*socio=ac à l'économie_de_marché*socio=ec: - la conception*socio=rien , le lancement*socio=rien et l'exécution*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et de 30 millions*socio=rien de dollars*socio=ec d'assistance_technique*socio=et aux quatre États*socio=ac qui ont signé l'Accord*socio=et de coopération*socio=uv technique*socio=rien (Fédération*socio=et de Russie*socio=ac, Biélorussie*socio=ac, Kazakhstan*socio=ac et Kirghizistan*socio=ac); - l'exécution*socio=rien de travaux*socio=rien de reconnaissance*socio=rien dans les 11 autres États*socio=ac et l'accélération*socio=rien *socio=rien du processus d'*socio=nil adhésion*socio=uv *socio=nil des 15 républiques*socio=te; et - la conception*socio=rien de programmes_d'_études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien et la réalisation*socio=uv d'efforts*socio=uv intensifs*socio=rien de formation*socio=et en matière*socio=rien de développement*socio=uv pour toutes les républiques*socio=te, afin que la Banque*socio=ac puisse commencer à leur prêter pour des programmes*socio=et de réforme*socio=et dès que les conditions*socio=uv le permettront. Des progrès*socio=uv ont été*socio=rien réalisés dans tous les domaines*socio=rien . L'exécution*socio=rien du*socio=rien programme*socio=et d'assistance_technique*socio=et est*socio=rien en *socio=rien bonne voie.*socio=nil Des*socio=nil rapports économiques*socio=ec *socio=nil sont en préparation*socio=rien pour neuf*socio=rien pays*socio=ac, et devraient être*socio=rien terminés pour les 15 républiques*socio=te au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 93. Les *socio=rien travaux préparatoires *socio=nil sont également en cours*socio=rien , ce qui devrait permettre le démarrage*socio=rien d'opérations*socio=rien de prêt*socio=ec dans plusieurs nouveaux*socio=rien pays_membres*socio=ac d'ici à la fin*socio=rien de 1992. Pendant l'exercice*socio=rien 92, la Banque*socio=ac a aidé ces pays*socio=ac à s'acquitter de certaines*socio=rien des *socio=rien tâches difficiles *socio=nil de la transition*socio=uv et elle a commencé à identifier certains des *socio=rien principaux éléments *socio=nil de ses stratégies*socio=et d'assistance*socio=et. Celles-ci seront élaborées pour chaque pays*socio=ac, et seront complétées par une évaluation*socio=uv des besoins*socio=uv financiers*socio=ec. Parmi les *socio=rien éléments généraux *socio=nil figurent: a) les *socio=rien principaux aspects *socio=nil de la réforme*socio=et des systèmes*socio=rien , notamment la *socio=ec libéralisation_des_échanges commerciaux *socio=nil et des prix*socio=ec, le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec et la privatisation*socio=et; b) des réformes*socio=et sectorielles*socio=rien , portant en particulier*socio=uv sur*socio=rien les secteurs*socio=ec des finances*socio=ec, de l'alimentation*socio=ec, de l'énergie*socio=ec, des transports*socio=ec et du*socio=rien logement*socio=ec; c) des améliorations*socio=uv des politiques*socio=et et des programmes*socio=et, par l'établissement*socio=rien de filets*socio=rien de protection_sociale*socio=et; et d) la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec, notamment par le renforcement*socio=uv des institutions*socio=ac et la formation*socio=et. Pour élaborer ces programmes*socio=et, la Banque*socio=ac a entrepris de se doter rapidement de l'équipe*socio=rien de *socio=rien personnel nécessaire,*socio=nil après *socio=nil avoir établi des règles*socio=et de redéploiement*socio=rien afin d'assurer le maintien*socio=rien de la qualité*socio=rien de ses autres programmes*socio=et. Tous les redéploiements internes*socio=rien étaient terminés à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien ; la plupart*socio=rien des recrutements extérieurs*socio=te devraient l'être*socio=rien avant la fin*socio=rien de 1992. Pour mieux répondre aux besoins*socio=uv de ces *socio=rien futurs membres,*socio=nil quatre*socio=nil nouvelles divisions Opérations pays*socio=ac ont*socio=nil été *socio=nil créées dès le 11 avril*socio=rien 1992. Toutefois, ce surcroît*socio=rien de décentralisation*socio=et ne diminuera pas la communication*socio=et au *socio=rien sein du personnel:*socio=nil la*socio=nil direction *socio=nil veillera à ce que les enseignements*socio=et et les leçons*socio=rien de l'expérience*socio=uv tirés de chaque pays*socio=ac soient rapidement partagés et promptement appliqués. Fin*socio=rien de l'encadré. *socio=rien Chapitre premier:*socio=nil Le*socio=nil conseil_des_administrateurs*socio=ac.*socio=nil En*socio=nil vertu *socio=nil de ses Statuts*socio=rien , tous les pouvoirs*socio=et de la Banque*socio=ac sont dévolus*socio=rien au conseil_des_gouverneurs*socio=ac, qui comprend un*socio=rien gouverneur*socio=ac par État*socio=ac membre*socio=rien . A l'exception*socio=rien de certains pouvoirs*socio=et qui leur sont expressément réservés par les Statuts*socio=rien , les gouverneurs*socio=ac de la Banque*socio=ac ont délégué*socio=rien leurs pouvoirs*socio=et au conseil_des_administrateurs*socio=ac, qui exerce ses fonctions*socio=rien en permanence*socio=rien au siège*socio=rien de la Banque*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac sont au nombre*socio=rien de 22; chacun d'entre eux désigne un*socio=rien suppléant. En application*socio=rien des Statuts*socio=rien , cinq*socio=rien administrateurs*socio=ac sont nommés par les cinq*socio=rien États*socio=ac membres*socio=rien qui détiennent le plus *socio=rien grand nombre de*socio=nil parts du capital*socio=ec,*socio=nil *socio=nil et les autres sont élus*socio=et par les gouverneurs*socio=ac qui représentent les autres États*socio=ac membres*socio=rien . Toutefois, les scrutins formels*socio=rien sont rares*socio=rien , la plupart*socio=rien des décisions*socio=rien étant prises*socio=rien par consensus*socio=uv. Le président*socio=rien de la Banque*socio=ac *socio=rien est président du conseil_des_administrateurs*socio=ac.*socio=nil Il*socio=nil est *socio=nil aussi le chef*socio=rien des services*socio=ec opérationnels*socio=rien de la Banque*socio=ac et dirige, selon les orientations*socio=et définies*socio=rien par les administrateurs*socio=ac, les affaires*socio=ec courantes*socio=rien de l'institution*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac sont chargés de la conduite*socio=rien des *socio=rien opérations générales *socio=nil de la Banque*socio=ac: ils arrêtent sa politique*socio=et en conformité avec ses Statuts*socio=rien et toutes les propositions*socio=rien de prêt*socio=ec et de crédit*socio=ec sont soumises à leur approbation*socio=uv. Les administrateurs*socio=ac doivent aussi présenter au conseil_des_gouverneurs*socio=ac *socio=rien un rapport de*socio=nil vérification des*socio=nil comptes,*socio=nil un budget*socio=ec administratif,*socio=nil le*socio=nil Rapport annuel sur les*socio=nil opérations *socio=nil et les politiques*socio=et de la banque_mondiale*socio=ac ainsi que toutes autres questions*socio=rien qu'ils jugent nécessaires*socio=rien de lui soumettre. Ils peuvent soumettre ces questions*socio=rien aux gouverneurs*socio=ac lors*socio=rien des assemblées*socio=et annuelles*socio=rien ou à tout autre moment*socio=rien de l'année*socio=rien . Aux termes*socio=rien des Statuts*socio=rien de la Banque*socio=ac, les administrateurs*socio=ac exercent leurs compétences*socio=uv dans les trois *socio=rien grands domaines suivants.*socio=nil *socio=nil Premièrement, lors*socio=rien de l'examen*socio=rien annuel*socio=rien des programmes*socio=et financiers*socio=ec et opérationnels*socio=rien et des budgets*socio=ec administratifs*socio=et, ils décident de l'affectation*socio=rien des *socio=ec ressources financières *socio=nil et des dotations en effectifs*socio=rien pour l'exercice*socio=rien suivant*socio=rien . Deuxièmement, lorsqu'ils passent en revue les évaluations*socio=uv rétrospectives*socio=rien des projets*socio=rien achevés et les résultats*socio=rien que la Banque*socio=ac a obtenus dans les différents*socio=rien secteurs*socio=ec et dans l'application*socio=rien de politiques*socio=et particulières*socio=uv, ils s'efforcent de donner à la Banque*socio=ac et aux États*socio=ac membres*socio=rien la possibilité*socio=rien de profiter des *socio=rien leçons du passé.*socio=nil *socio=nil Enfin, lors*socio=rien de l'examen*socio=rien de propositions*socio=rien particulières*socio=uv concernant la politique*socio=et générale*socio=rien , auquel ils procèdent annuellement (par *socio=rien exemple affectation du revenu*socio=ec net,*socio=nil rémunération*socio=ec du personnel,*socio=nil activités *socio=nil de la Banque*socio=ac à l'égard*socio=rien de l'environnement*socio=ec) ou périodiquement (politiques*socio=et financières*socio=ec de la Banque*socio=ac, conditions*socio=uv de prêt*socio=ec, priorités*socio=uv sectorielles*socio=rien ), ils décident de l'orientation*socio=et à donner à la politique*socio=et de la Banque*socio=ac. Examen*socio=rien des orientations*socio=et proposées. Pendant l'exercice*socio=rien , les administrateurs*socio=ac ont examiné de *socio=rien nombreuses propositions *socio=nil concernant la politique*socio=et financière*socio=ec et opérationnelle*socio=rien , l'économie*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv, les politiques*socio=et sectorielles*socio=rien et l'administration*socio=et. Finances*socio=ec. Pendant l'exercice*socio=rien 92, ils ont concentré leur *socio=rien attention sur diverses questions *socio=nil concernant l'IDA*socio=ac. Ils ont notamment examiné *socio=rien un rapport sur les*socio=nil politiques*socio=et,*socio=nil les*socio=nil opérations *socio=nil et les finances*socio=ec de l'IDA*socio=ac pendant la *socio=rien première année *socio=nil de la *socio=rien neuvième reconstitution (*socio=nil exercice *socio=nil 91) et ils se sont dits généralement satisfaits des progrès*socio=uv accomplis dans la réalisation*socio=uv des *socio=rien principaux objectifs définis *socio=nil dans le *socio=rien rapport sur cette*socio=nil neuvième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil de l'IDA*socio=ac. Ils ont aussi examiné des *socio=rien propositions relatives *socio=nil à l'utilisation*socio=rien , pendant l'exercice*socio=rien 92, des fonds*socio=ec provenant des remboursements*socio=ec à l'IDA*socio=ac et ils ont approuvé a) une augmentation*socio=uv de 75 millions*socio=rien de DTS par an*socio=rien pendant les exercices*socio=rien 92-93 du*socio=rien montant*socio=ec des engagements*socio=ec anticipés à financer au moyen*socio=rien des remboursements*socio=ec (qui passerait de 575 à 650 millions*socio=rien de DTS); b) la poursuite*socio=rien des allocations*socio=et annuelles*socio=rien au taux*socio=rien de couverture*socio=rien déjà approuvé de 90% des paiements*socio=ec d'intérêts*socio=ec à la BIRD*socio=ac (ce qui s'est*socio=rien traduit par une allocation*socio=et annuelle*socio=rien de 118 millions*socio=rien de DTS pour l'exercice*socio=rien 92); et c) une allocation*socio=et spéciale*socio=rien de 75 millions*socio=rien de DTS pour compléter les fonds*socio=ec normalement alloués aux pays*socio=ac empruntant exclusivement à l'IDA*socio=ac qui ont entrepris un*socio=rien programme*socio=et de restructuration*socio=uv de leur dette*socio=ec. Par la suite*socio=rien , le Conseil*socio=rien a approuvé l'allocation*socio=et à 16 pays*socio=ac de fonds*socio=ec provenant de remboursements*socio=ec de crédits*socio=ec. Les administrateurs*socio=ac ont examiné une proposition*socio=rien ayant trait*socio=rien au rachat*socio=ec de dettes*socio=ec par la BIRD*socio=ac et ils ont autorisé la Banque*socio=ac à racheter périodiquement, sur*socio=rien l'"open*socio=rien market*socio=rien " ou d'une autre façon*socio=rien , des bons*socio=rien , des obligations*socio=uv ou d'autres titres*socio=rien d'endettement*socio=ec émis par la Banque*socio=ac. Le *socio=ec gain financier *socio=nil que tire la Banque*socio=ac du*socio=rien rachat*socio=ec de ses dettes*socio=ec sur*socio=rien le marché*socio=ec vient *socio=rien du remplacement d'*socio=nil un titre *socio=nil déjà en circulation*socio=ec par un*socio=rien autre qui a la préférence*socio=uv des investisseurs*socio=ac et que ceux-ci sont disposés à payer*socio=rien à un*socio=rien prix*socio=ec plus élevé*socio=rien . L'avantage financier*socio=ec pour la Banque*socio=ac tient précisément à cette différence*socio=rien de prix*socio=ec. Pour mieux suivre ce nouveau*socio=rien programme*socio=et, le Conseil*socio=rien a décidé que a) si les opérations*socio=rien de rachat*socio=ec effectuées pendant les exercices*socio=rien 92 ou 93 entraînaient une *socio=rien diminution nette du revenu*socio=ec *socio=nil de la BIRD*socio=ac de 50 millions*socio=rien de dollars*socio=ec ou b) si le montant*socio=ec nominal*socio=rien des obligations*socio=uv de la BIRD*socio=ac rachetées pendant les exercices*socio=rien 92 ou 93 s'élevait au total*socio=rien à 500 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, la direction*socio=rien devrait consulter le Conseil*socio=rien avant d'effectuer d'autres rachats*socio=ec. La direction*socio=rien a accepté aussi de consulter le Conseil*socio=rien avant d'entreprendre un*socio=rien programme*socio=et de rachat*socio=ec de dettes*socio=ec dans une monnaie*socio=ec autre que le dollar*socio=ec des États-unis*socio=ac. L'autorisation*socio=rien globale*socio=rien d'emprunt*socio=ec a été*socio=rien modifiée en conséquence*socio=rien . Comme au cours*socio=rien des *socio=rien exercices précédents,*socio=nil le*socio=nil Conseil s'*socio=nil est penché*socio=nil sur les*socio=nil questions *socio=nil concernant les pratiques*socio=et de la Banque*socio=ac à l'égard*socio=rien des pays*socio=ac en situation*socio=uv d'arriérés de paiement*socio=ec. Il a été*socio=rien informé de l'état*socio=rien du*socio=rien portefeuille*socio=ec de prêts*socio=ec de la BIRD*socio=ac et a examiné, au cours*socio=rien de plusieurs réunions*socio=rien , les conditions*socio=uv de la BIRD*socio=ac relatives*socio=rien à la constitution*socio=rien de provisions*socio=rien pour pertes*socio=ec sur*socio=rien prêts*socio=ec. Il a approuvé une proposition*socio=rien de la direction*socio=rien de maintenir le niveau*socio=rien des provisions*socio=rien pour pertes*socio=ec sur*socio=rien prêts*socio=ec pour l'exercice*socio=rien 92 à 2,5% de l'encours des prêts*socio=ec et de la valeur*socio=ec actualisée des garanties à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien et de constituer des provisions*socio=rien pour l'exercice*socio=rien 93 à hauteur*socio=rien de 2,5% de la croissance*socio=uv *socio=rien globale du portefeuille*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Outre l'examen*socio=rien de ces *socio=rien aspects particuliers *socio=nil de la politique*socio=et financière*socio=ec, les administrateurs*socio=ac ont suivi de près l'état*socio=rien du*socio=rien programme*socio=et d'emprunts*socio=ec de la BIRD*socio=ac dans le cadre*socio=rien de séances*socio=rien d'information*socio=rien *socio=rien régulières sur les*socio=nil marchés*socio=ec *socio=nil et de l'examen*socio=rien trimestriel*socio=rien de *socio=rien rapports sur les*socio=nil opérations de*socio=nil financement*socio=ec.*socio=nil Opérations.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien 92, le Conseil*socio=rien s'est*socio=rien penché sur*socio=rien plusieurs *socio=rien questions fondamentales ayant*socio=nil trait aux*socio=nil priorités*socio=uv *socio=nil et aux stratégies*socio=et opérationnelles*socio=rien de la Banque*socio=ac. Après*socio=rien avoir examiné, au cours*socio=rien des *socio=rien exercices précédents,*socio=nil les*socio=nil directives et*socio=nil procédures opérationnelles relatives *socio=nil à la stratégie*socio=et de la Banque*socio=ac à l'égard*socio=rien de la dette*socio=ec, les administrateurs*socio=ac ont examiné *socio=rien un rapport d'*socio=nil activité sur le*socio=nil Fonds*socio=ec de*socio=nil désendettement*socio=ec des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil empruntant exclusivement à l'IDA*socio=ac ainsi qu'un*socio=rien *socio=rien rapport sur le*socio=nil programme*socio=et *socio=nil à l'appui*socio=rien des opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de l'encours et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et. Lors*socio=rien de l'examen*socio=rien *socio=rien du projet de*socio=nil directive opérationnelle sur la*socio=nil pauvreté*socio=uv et*socio=nil du manuel sur la*socio=nil lutte*socio=uv *socio=nil contre la pauvreté*socio=uv, qui a *socio=rien fait suite *socio=nil à l'examen*socio=rien , pendant l'exercice*socio=rien 91, des stratégies*socio=et d'assistance*socio=et de la Banque*socio=ac pour la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, le Conseil*socio=rien a réaffirmé la nécessité*socio=uv de faire de la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv *socio=rien un élément inhérent *socio=nil à presque tous les programmes_d'_aide*socio=uv de la Banque*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que la Banque*socio=ac devait concentrer son *socio=rien attention sur le*socio=nil renforcement*socio=uv *socio=nil de l'application*socio=rien de la stratégie*socio=et de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv et sur*socio=rien la réalisation*socio=uv d'études*socio=rien de la pauvreté*socio=uv. Ils sont convenus d'examiner à nouveau*socio=rien l'état*socio=rien d'avancement des activités*socio=rien de la Banque*socio=ac dans ce domaine*socio=rien au *socio=rien cours du prochain exercice.*socio=nil *socio=nil En ce qui concerne la privatisation*socio=et, le Conseil*socio=rien a examiné, a l'occasion*socio=rien d'une série de réunions*socio=rien , *socio=rien un rapport sur les*socio=nil enseignements*socio=et *socio=nil qui se dégagent des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac, qui contenait des recommandations*socio=rien pratiques*socio=et sur*socio=rien les moyens*socio=ec d'aider les gouvernements*socio=ac des *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil et le groupe_de_la_banque*socio=ac à tirer parti*socio=et des *socio=rien avantages potentiels *socio=nil de la privatisation*socio=et tout en en minimisant le coût*socio=ec. Le Conseil*socio=rien a examiné aussi le programme*socio=et de cofinancement*socio=ec élargi de la Banque*socio=ac, qui vise à favoriser l'accès*socio=uv des emprunteurs*socio=ac aux *socio=ec marchés_financiers privés *socio=nil dans le cadre*socio=rien des stratégies*socio=et générales*socio=rien de la Banque*socio=ac en matière*socio=rien d'aide*socio=uv aux pays*socio=ac et compte*socio=rien tenu des impératifs*socio=uv de gestion*socio=et des risques*socio=uv. Pour renforcer encore les *socio=rien activités du groupe_de_la_banque*socio=ac destinées *socio=nil à promouvoir les investissements_étrangers_directs*socio=ec, les administrateurs*socio=ac ont approuvé l'organisation*socio=rien et le financement*socio=ec du*socio=rien Service-conseil pour l'investissement*socio=ec étranger*socio=te (FIAS), programme*socio=et administré*socio=rien conjointement par la Banque*socio=ac, la SFI*socio=ac et l'AMGI*socio=ac. Le Conseil*socio=rien a examiné en outre les politiques*socio=et qui régissent les opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac dans le *socio=ec secteur financier.*socio=nil Il*socio=nil est*socio=rien *socio=nil convenu qu'il était nécessaire*socio=rien de veiller à ce que les prêts*socio=ec consentis aux institutions_financières*socio=ec locales*socio=rien ou par leur intermédiaire*socio=rien soient compatibles*socio=rien avec des stratégies*socio=et cohérentes*socio=rien de développement*socio=uv de ce secteur*socio=ec et en facilitent l'application*socio=rien . Par ailleurs*socio=rien , le Conseil*socio=rien a examiné le *socio=rien troisième rapport sur les*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'ajustement*socio=et. Les questions*socio=rien d'environnement*socio=ec ont continué cette année*socio=rien à occuper une *socio=rien place importante *socio=nil dans les projets*socio=rien financés par la Banque*socio=ac. Poursuivant les travaux*socio=rien qu'il avait entrepris pendant l'exercice*socio=rien 91, le Conseil*socio=rien a achevé l'examen*socio=rien des politiques*socio=et de la Banque*socio=ac dans le *socio=ec secteur forestier,*socio=nil *socio=nil a entériné le principe*socio=rien d'une approche multisectorielle pour atténuer les pressions*socio=uv s'exerçant sur*socio=rien les forêts*socio=et et défini*socio=rien les conditions*socio=uv d'intervention*socio=et de la Banque*socio=ac dans le *socio=ec secteur forestier,*socio=nil *socio=nil confirmant notamment la décision*socio=rien de la Banque*socio=ac de ne pas financer l'exploitation*socio=ec commerciale*socio=ec des forêts*socio=et tropicales*socio=te *socio=rien humides primaires.*socio=nil Le*socio=nil Conseil *socio=nil a en outre examiné l'état*socio=rien d'avancement du*socio=rien programme*socio=et pilote de protection*socio=et de la forêt*socio=ec ombrophile brésilienne*socio=ac, lancé en réponse*socio=rien à la demande*socio=ec formulée par les chefs*socio=ac d'État*socio=ac des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac *socio=rien lors du sommet_économique*socio=ec *socio=nil de Houston, en juillet*socio=rien 1990. Les administrateurs*socio=ac ont examiné le *socio=rien deuxième rapport annuel sur la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil et l'environnement*socio=ec (portant sur*socio=rien l'exercice*socio=rien 91) et ils ont approuvé sa publication*socio=et et sa présentation*socio=rien au comité_du_développement*socio=ac comme document*socio=rien de référence*socio=rien pour sa réunion*socio=rien d'octobre*socio=rien 1991. Ils ont ensuite été*socio=rien informés de l'état*socio=rien d'avancement des *socio=rien activités du Fonds_pour_l'_environnement_mondial*socio=ac,*socio=nil *socio=nil dont ils avaient approuvé le financement*socio=ec pendant l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien . Lors*socio=rien de plusieurs séminaires*socio=rien et comités*socio=ac pléniers, les administrateurs*socio=ac se sont également penchés sur*socio=rien le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1992, qui analyse*socio=rien les liens*socio=rien entre le développement_économique*socio=ec et l'environnement*socio=ec, et ils ont examiné la *socio=rien directive opérationnelle *socio=nil concernant les évaluations*socio=uv écologiques*socio=et. Le Conseil*socio=rien a aussi examiné les politiques*socio=et du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac dans le secteur*socio=ec du*socio=rien tabac*socio=ec et il a approuvé la *socio=rien suspension formelle du soutien*socio=uv *socio=nil de la Banque*socio=ac à la production*socio=ec et à la transformation*socio=uv du*socio=rien tabac*socio=ec, ainsi que l'inscription*socio=rien *socio=rien du matériel *socio=nil destiné à la transformation*socio=uv du*socio=rien tabac*socio=ec sur*socio=rien la liste des produits*socio=rien dont l'importation*socio=ec ne peut être*socio=rien financée dans le cadre*socio=rien des prêts*socio=ec et des crédits*socio=ec à l'ajustement*socio=et. Tout en insistant sur*socio=rien la nécessité*socio=uv de prendre des mesures*socio=rien pour encourager la réduction*socio=uv de la consommation*socio=ec des *socio=rien produits du tabac*socio=ec,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont invité la Banque*socio=ac à traiter la question*socio=rien avec doigté et souplesse*socio=uv car, pour certains pays*socio=ac, le tabac*socio=ec était une source*socio=rien de devises*socio=ec extrêmement importante*socio=rien . Le Conseil*socio=rien a suivi de près l'évolution*socio=rien de la conjoncture*socio=et économique*socio=ec et politique*socio=et internationales*socio=te. Tout au long*socio=rien de l'année*socio=rien , des réunions*socio=rien d'information*socio=rien , des séminaires*socio=rien et des *socio=rien séances ordinaires du Conseil ont*socio=nil été *socio=nil consacrés à la situation*socio=uv dans les pays*socio=ac issus de l'ex-union_soviétique*socio=ac. A cet égard*socio=rien , le Conseil*socio=rien a notamment pris les *socio=rien décisions suivantes:*socio=nil au*socio=nil début *socio=nil de l'exercice*socio=rien , il a approuvé un*socio=rien transfert*socio=ec de fonds*socio=ec prélevés sur*socio=rien l'excédent*socio=ec de la Banque*socio=ac pour financer l'assistance_technique*socio=et à l'union_soviétique*socio=ac; en milieu*socio=rien d'exercice*socio=rien , il a examiné le programme*socio=et de travail*socio=rien de la Banque*socio=ac et les progrès*socio=uv accomplis dans les anciennes_républiques_soviétiques*socio=ac et, peu avant la réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1992 du*socio=rien comité_du_développement*socio=ac, il a entériné *socio=rien un rapport et*socio=nil un projet_de_résolution*socio=et devant être *socio=nil soumis au conseil_des_gouverneurs*socio=ac, recommandant l'admission*socio=rien à la Banque*socio=ac des 15 républiques*socio=te de l'ex-union_soviétique*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont également suivi les stratégies*socio=et de développement*socio=uv de nombreux*socio=rien pays_membres*socio=ac. Ils ont notamment examiné des *socio=rien rapports sur la*socio=nil stratégie*socio=et *socio=nil de 41 pays*socio=ac empruntant exclusivement à l'IDA*socio=ac, et ils ont étudié des documents-cadres*socio=et de politique_économique*socio=et sur*socio=rien 18 pays*socio=ac, établis conjointement par la Banque*socio=ac, le fonds_monétaire_international*socio=ac (FMI*socio=ac) et les pays*socio=ac concernés. Ils ont été*socio=rien régulièrement informés des travaux*socio=rien et des résultats*socio=rien des groupes*socio=ac consultatifs*socio=rien et des groupes*socio=ac d'aide*socio=uv, de plus en plus nombreux*socio=rien , présidés par la Banque*socio=ac, à la demande*socio=ec des *socio=ac pays bénéficiaires *socio=nil (voir Tableau*socio=rien 1-1), ainsi que des progrès*socio=uv accomplis dans le *socio=rien cadre du programme*socio=et de*socio=nil lutte*socio=uv *socio=nil contre l'onchocercose*socio=rien et des résultats*socio=rien des *socio=rien réunions du groupe_consultatif_pour_la_recherche_agricole*socio=ec internationale*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil Conseil *socio=nil a aussi examiné l'approche opérationnelle*socio=rien de la Banque*socio=ac à l'égard*socio=rien du*socio=rien Pérou*socio=ac, pays*socio=ac de longue*socio=rien date en situation*socio=uv d'arriérés de paiement*socio=ec. Il a tenu *socio=rien un séminaire sur les*socio=nil dimensions sociales*socio=ac *socio=nil de l'ajustement*socio=et en Afrique*socio=ac et a entendu des exposés sur*socio=rien l'évolution*socio=rien de la situation*socio=uv en afrique_du_sud*socio=ac et en Yougoslavie*socio=ac. Le Conseil*socio=rien a suivi le *socio=rien déroulement du programme*socio=et de*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac à travers*socio=rien les comptes*socio=rien rendus réguliers*socio=rien de la direction*socio=rien . Il a en outre tenu des séances*socio=rien semestrielles*socio=te consacrées à l'examen*socio=rien de son propre*socio=rien programme*socio=et de travail*socio=rien , comme l'avait recommandé le *socio=rien Comité directeur des*socio=nil administrateurs*socio=ac,*socio=nil *socio=nil pour l'exercice*socio=rien 92. Politiques*socio=et sectorielles*socio=rien et économie*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv. Lors*socio=rien de *socio=rien séances ordinaires,*socio=nil de*socio=nil comités*socio=ac *socio=nil pléniers et de séminaires*socio=rien , le Conseil*socio=rien a examiné *socio=rien un certain nombre de*socio=nil rapports sectoriels portant*socio=nil sur les*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil de la Banque*socio=ac et l'optimisation de ses méthodes*socio=rien de travail*socio=rien . Ces rapports*socio=rien portaient notamment sur*socio=rien les zones*socio=te franches*socio=rien industrielles*socio=ec, sur*socio=rien la réforme*socio=et de la gestion*socio=et du*socio=rien secteur_publics*socio=et, sur*socio=rien la conduite*socio=rien des affaires_publiques*socio=et et *socio=rien sur un planning familial*socio=uv réellement*socio=nil efficace*socio=uv.*socio=nil Le*socio=nil Conseil *socio=nil a aussi passé*socio=rien en revue les activités*socio=rien et les priorités*socio=uv *socio=rien du Bureau du Vice-président*socio=ac,*socio=nil économie*socio=ec du développement*socio=uv et*socio=nil économiste*socio=ac en*socio=nil chef,*socio=nil et*socio=nil du Bureau du Vice-président*socio=ac,*socio=nil politique*socio=et sectorielle et*socio=nil opérationnelle.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont penchés sur*socio=rien plusieurs *socio=rien documents importants *socio=nil émanant de ces bureaux*socio=rien , notamment le *socio=rien rapport annuel sur le*socio=nil programme*socio=et de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac, le programme*socio=et de travail*socio=rien de l' institut_de_développement_économique*socio=ac (IDE*socio=ac) et l'ébauche et la *socio=rien version finale du Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1992. Reconnaissant l'importance*socio=rien de la conjoncture*socio=et économique*socio=ec internationale*socio=te pour les perspectives*socio=uv de développement*socio=uv, le Conseil*socio=rien a examiné des *socio=rien rapports sur les*socio=nil perspectives*socio=uv *socio=ec économiques mondiales *socio=nil et les pays_en_développement*socio=ac et sur*socio=rien les perspectives*socio=uv à court_terme*socio=ec de l'économie*socio=ec mondiale*socio=te. Il a tenu une réunion*socio=rien d'information*socio=rien sur*socio=rien les Tableaux*socio=rien de la dette*socio=ec internationale*socio=te et il a assisté*socio=rien à *socio=rien un colloque *socio=nil de deux *socio=rien jours sur les*socio=nil problèmes*socio=uv nouveaux *socio=nil dans les anciennes_républiques_soviétiques*socio=ac. Administration*socio=et. Le Conseil*socio=rien a continué de s'occuper de la formulation*socio=rien des principes*socio=uv directeurs*socio=rien de l'administration*socio=et de la Banque*socio=ac. Pendant l'exercice*socio=rien 92, il s'est*socio=rien intéressé plus particulièrement aux questions*socio=rien concernant les ressources_humaines*socio=ec de la Banque*socio=ac. A la suite*socio=rien des travaux*socio=rien approfondis *socio=rien du Comité *socio=nil chargé des questions*socio=rien de politique*socio=et *socio=rien du personnel,*socio=nil *socio=nil il a examiné le rapport*socio=rien de ce *socio=rien comité sur l'*socio=nil application *socio=nil de la stratégie*socio=et de la Banque*socio=ac en matière*socio=rien de ressources_humaines*socio=ec. Plus tard dans l'année*socio=rien , il a examiné le *socio=rien rapport annuel *socio=nil de la *socio=rien direction sur la*socio=nil stratégie*socio=et en*socio=nil matière de*socio=nil ressources_humaines*socio=ec,*socio=nil *socio=nil qui traitait des progrès*socio=uv accomplis dans la réalisation*socio=uv des *socio=uv priorités stratégiques *socio=nil de la Banque*socio=ac, compte*socio=rien tenu des profonds*socio=rien changements*socio=uv intervenus dans la liste des membres*socio=rien de la Banque*socio=ac et dans la conjoncture*socio=et internationale*socio=te et des exigences*socio=uv nouvelles*socio=rien et plus complexes auxquelles doivent répondre les services_de_la_banque*socio=ac. En ce qui concerne la politique*socio=et *socio=rien du personnel,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont revu la politique*socio=et des prestations*socio=et et approuvé une *socio=rien modification du régime*socio=et des*socio=nil prestations*socio=et au*socio=nil titre du *socio=nil congé dans les foyers et des voyages*socio=rien pour études*socio=rien , qui laisse une plus *socio=rien grande latitude au*socio=nil personnel *socio=nil sans avoir d'incidence*socio=rien sur*socio=rien les coûts*socio=ec et qui est*socio=rien plus facile*socio=rien à administrer pour la Banque*socio=ac. Ils ont aussi approuvé un*socio=rien ajustement*socio=et de l'indemnité pour frais*socio=ec d'études*socio=rien et ont prorogé les mesures*socio=rien transitoires*socio=uv, qu'ils avaient adoptées au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 90, pour protéger le personnel*socio=rien non américain*socio=ac des effets*socio=rien de la modification*socio=rien apportée en 1988 au régime*socio=et des droits*socio=uv de succession*socio=rien des États-unis*socio=ac. Comme il le fait*socio=rien chaque année*socio=rien , le Conseil*socio=rien a procédé à *socio=rien un examen des*socio=nil questions de*socio=nil rémunération*socio=ec *socio=nil et approuvé un*socio=rien ajustement*socio=et des *socio=rien traitements annuels du personnel.*socio=nil *socio=nil Ayant approuvé, durant l'exercice*socio=rien 89, *socio=rien un plan de*socio=nil rénovation*socio=ec du complexe*socio=nil principal des*socio=nil bâtiments*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac, le Conseil*socio=rien a continué de suivre de près le déroulement*socio=rien de ce programme*socio=et; il a notamment examiné des projections*socio=et révisées sur*socio=rien les besoins*socio=uv en *socio=rien locaux du groupe_de_la_banque*socio=ac *socio=nil jusqu'au *socio=rien début du siècle prochain.*socio=nil *socio=nil A l'occasion*socio=rien de son départ*socio=rien , les administrateurs*socio=ac ont adopté une résolution*socio=et rendant hommage*socio=rien à M: Barber B: Conable*socio=ac pour sa conduite*socio=rien des affaires*socio=ec du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac au cours*socio=rien des *socio=rien cinq années précédentes.*socio=nil *socio=nil Ils ont aussi salué l'arrivée*socio=rien , le *socio=rien fer septembre *socio=nil 1991, de M: Lewis*socio=rien T: Preston*socio=ac à la présidence*socio=rien des Conseils*socio=ac de la BIRD*socio=ac, de l'IDA*socio=ac, de la SFI*socio=ac et de l'AMGI*socio=ac. S'agissant de la collaboration*socio=uv avec le FMI*socio=ac, les administrateurs*socio=ac ont été*socio=rien saisis d'un*socio=rien *socio=rien mémorandum sur la*socio=nil collaboration*socio=uv *socio=nil entre la Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac et sont parvenus à *socio=rien un accord_général sur la*socio=nil nécessité*socio=uv *socio=nil d'une coordination*socio=uv étroite*socio=rien et efficace*socio=uv entre les deux institutions*socio=ac, face*socio=rien aux problèmes*socio=uv complexes et d'un*socio=rien caractère*socio=rien exceptionnel*socio=uv qui se posent aux pays*socio=ac de l'ancienne*socio=rien union_soviétique*socio=ac. Tout en reconnaissant l'interdépendance*socio=uv étroite*socio=rien entre la stabilisation_macroéconomique*socio=ec et les réformes_structurelles*socio=ec, qui rend nécessaire*socio=rien la collaboration*socio=uv entre les deux institutions*socio=ac, il importe de veiller à ce que la Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac conservent leurs mandats respectifs*socio=rien . Certains administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer qu'une collaboration*socio=uv qui enfreindrait ces limites*socio=rien pourrait être*socio=rien interprétée comme imposant une double*socio=rien conditionnalité. Par exemple*socio=rien , ont-ils souligné, l'octroi*socio=rien de prêts*socio=ec par la Banque*socio=ac pour des investissements*socio=ec dans un*socio=rien pays*socio=ac donné ne doit pas être*socio=rien subordonné à l'existence*socio=rien d'un*socio=rien accord*socio=et entre ce pays*socio=ac et le FMI*socio=ac, étant entendu toutefois que la Banque*socio=ac doit avoir elle-même approuvé l'orientation*socio=et de la politique_économique*socio=et du*socio=rien pays*socio=ac. Chapitre*socio=rien deux: La scène*socio=rien économique*socio=ec: vue*socio=rien d'ensemble*socio=rien . En 1991, pour la *socio=rien deuxième année consécutive,*socio=nil les*socio=nil économies*socio=ec des*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil faible *socio=nil et à moyen*socio=rien revenu*socio=ec ont pratiquement stagné, si l'on considère l'augmentation*socio=uv du*socio=rien produit_intérieur_brut*socio=ec (PIB*socio=ec) par habitant*socio=ac. Pendant l'année*socio=rien , la production*socio=ec globale*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac a progressé d'un*socio=rien peu moins de 2% (chiffre comparable*socio=rien aux *socio=rien résultats médiocres *socio=nil de 1990), ce qui explique une très légère*socio=rien amélioration*socio=uv (0,1%) du*socio=rien revenu*socio=ec par habitant*socio=ac. Les *socio=rien statistiques globales *socio=nil pour 1991 ont subi le contrecoup de l'effondrement*socio=rien de la production*socio=ec en Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te et des *socio=rien retombées négatives *socio=nil de la crise*socio=uv du*socio=rien Golfe*socio=te sur*socio=rien plusieurs pays*socio=ac du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac. Si l'on *socio=rien fait abstraction des*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil Europe*socio=ac centrale et*socio=nil orientale*socio=te,*socio=nil la*socio=nil croissance*socio=uv *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=ac a été*socio=rien de 3,4% en 1991, contre 3,8% dans les années*socio=rien 80. D'après*socio=rien les estimations*socio=ec pour chaque grande*socio=rien région*socio=te, la croissance*socio=uv du*socio=rien PIB*socio=ec s'est*socio=rien accélérée en amérique_latine*socio=ac et en *socio=ac Afrique subsaharienne *socio=nil et elle est*socio=rien restée soutenue en Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien grâce*socio=rien à une expansion*socio=ec plus rapide*socio=rien en Chine*socio=ac. En 1991, la conjoncture*socio=et internationale*socio=te touchant la croissance*socio=uv des pays*socio=ac en développements*socio=uv, est*socio=rien détériorée. Dans les sept principaux*socio=rien *socio=ac pays industriels (*socio=nil G-7)*socio=nil *socio=nil , la croissance*socio=uv du*socio=rien PIB*socio=ec s' est*socio=rien nettement ralentie - passant de 2,8% en 1990 à 1,9% en 1991 - sous l'effet*socio=rien de la récession*socio=ec qui a frappé le Canada*socio=ac, les États-unis*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac et de la décélération*socio=uv de la croissance*socio=uv en Europe*socio=ac continentale et au Japon*socio=ac. A certains *socio=rien égards importants,*socio=nil ce*socio=nil ralentissement*socio=uv *socio=nil de l'activité*socio=rien était différent*socio=rien de ceux qui s'étaient produits*socio=rien dans les années*socio=rien 70 et les années*socio=rien 80. Au lieu*socio=rien d'être*socio=rien la conséquence*socio=rien de politiques*socio=et de désinflation, la faiblesse*socio=rien de la demande*socio=ec était plutôt due à *socio=rien un phénomène de*socio=nil décélération*socio=uv,*socio=nil après la*socio=nil longue phase*socio=te d'*socio=nil expansion*socio=ec *socio=nil amorcée en 1983. Le fléchissement*socio=rien cyclique*socio=te des dépenses*socio=ec d'investissement*socio=ec a été*socio=rien une autre *socio=rien cause sous-jacente du ralentissement*socio=uv *socio=nil de l'activité*socio=rien dans de nombreux*socio=rien *socio=ac pays industriels.*socio=nil La*socio=nil faiblesse*socio=rien *socio=nil de la demande*socio=ec aux États-unis*socio=ac a entraîné une *socio=rien forte baisse des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec à*socio=nil court_terme*socio=ec sur le*socio=nil dollar*socio=ec -*socio=nil évolution positive*socio=uv *socio=nil pour de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac - mais elle a aussi contribué à la baisse*socio=rien de plus de 6% des prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien autres que le pétrole*socio=ec et au ralentissement*socio=uv de la croissance*socio=uv du*socio=rien commerce*socio=ec mondial*socio=te, qui n'a pas dépassé 3%. Ces tendances*socio=rien ont été*socio=rien aggravées par la détérioration*socio=uv de la situation*socio=uv économique*socio=ec en union_soviétique*socio=ac et dans les États*socio=ac qui lui ont succédé, où la pénurie*socio=ec croissante*socio=rien de devises*socio=ec a conduit à la contraction*socio=et des importations*socio=ec en provenance*socio=rien de l' europe_de_l'_est*socio=ac et à l'accélération*socio=rien des exportations*socio=ec de certains produits*socio=rien de base*socio=rien (tels que l'aluminium*socio=ec, l'or*socio=rien et le plomb*socio=ec), source*socio=rien de devises*socio=ec fortes*socio=rien . En regard*socio=rien de cette dégradation*socio=rien de la conjoncture*socio=et internationale*socio=te, l'amélioration*socio=uv des performances*socio=uv économiques*socio=ec dans *socio=rien un petit nombre de*socio=nil régions*socio=te en*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil en 1991 - et de nouveau*socio=rien en 1992-a été*socio=rien particulièrement remarquable*socio=rien . Cette amélioration*socio=uv tient, en partie*socio=rien , à ce que de nombreux*socio=rien gouvernements*socio=ac ont appliqué des mesures*socio=rien de stabilisation*socio=et économique*socio=ec et ont procédé à une restructuration*socio=uv des incitations*socio=rien pour encourager l'initiative*socio=rien privée*socio=ec et le commerce*socio=ec international*socio=te. Les réformes*socio=et économiques*socio=ec entreprises*socio=ac en amérique_latine*socio=ac ont permis*socio=rien de freiner l'inflation*socio=ec et la demande*socio=ec intérieure*socio=rien . En Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien , la croissance*socio=uv est*socio=rien restée rapide*socio=rien , en raison*socio=uv de l'accroissement*socio=ec *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec *socio=nil (de l'ordre*socio=rien de 10%) et de la fermeté*socio=rien de la demande*socio=ec intérieure*socio=rien . En *socio=ac Afrique subsaharienne,*socio=nil le*socio=nil *socio=ec taux_de_croissance réel du*socio=rien PIB *socio=rien est passé *socio=nil de 1,3% en 1990 à 2,4% en 1991. Il faut noter aussi que le Club_de_paris*socio=ac a mis en *socio=rien place un nouvel ensemble de*socio=nil concessions*socio=uv *socio=nil élargies pour le rééchelonnement*socio=ec de la dette*socio=ec des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec lourdement endettés. Ces concessions*socio=uv ont été*socio=rien appliquées d'abord*socio=rien dans le cadre*socio=rien d'accords*socio=et passés*socio=rien avec le Bénin*socio=ac et le Nicaragua*socio=ac, puis ont été*socio=rien étendues à des accords*socio=et passés*socio=rien avec la Bolivie*socio=ac et la Tanzanie*socio=ac. Des conditions*socio=uv de rééchelonnement*socio=ec spéciales*socio=rien , mais non concessionnelles*socio=uv, ont également été*socio=rien accordées à dix pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés. Sur*socio=rien le marché*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien , les prix*socio=ec de toutes les *socio=rien grandes catégories de*socio=nil produits *socio=nil ont baissé en 1991. L'indice_des_prix*socio=ec en dollars*socio=ec nominaux*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien autres que le pétrole*socio=ec a diminué pour la *socio=rien troisième année consécutive *socio=nil et, en valeur*socio=ec réelle*socio=rien , il a atteint son niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien . La croissance*socio=uv *socio=rien du volume du commerce*socio=ec mondial*socio=te,*socio=nil en*socio=nil dollars*socio=ec constants,*socio=nil s'*socio=nil est *socio=nil ralentie, passant de 5% en 1990 à 3% en 1991, principalement en raison*socio=uv *socio=rien du fléchissement *socio=nil de la demande*socio=ec d'importations*socio=ec dans les *socio=ac pays industriels.*socio=nil Par*socio=nil ailleurs*socio=rien *socio=nil , aucun progrès*socio=uv décisif*socio=rien n'a *socio=rien été fait *socio=nil dans plusieurs domaines*socio=rien essentiels*socio=uv des négociations*socio=uv de l' uruguay_round*socio=ec, menées sous les *socio=rien auspices du GATT*socio=ec,*socio=nil *socio=nil et l'issue*socio=rien de ces négociations*socio=uv *socio=rien reste incertaine.*socio=nil *socio=nil En ce qui concerne l'environnement*socio=ec, la conférence_des_nations_unies*socio=ac sur*socio=rien l'environnement_et_le_développement*socio=ac, qui s'est*socio=rien tenue en juin*socio=rien 1992 à rio_de_janeiro*socio=ac, a abouti à l'adoption*socio=et d'une "Charte*socio=et de la Terre*socio=ec", énonçant les grands*socio=rien principes*socio=uv qui doivent régir la conduite*socio=rien des nations*socio=te et des peuples*socio=ac en matière*socio=rien d'environnement*socio=ec et de développement*socio=uv, à la conclusion*socio=rien d'accords*socio=et sur*socio=rien des mesures*socio=rien juridiques*socio=et spécifiques*socio=rien , notamment une convention*socio=et sur*socio=rien les changements*socio=uv climatiques*socio=et et sur*socio=rien la *socio=rien diversité biologique,*socio=nil *socio=nil ainsi que sur*socio=rien les principes*socio=uv d'un*socio=rien accord-cadre relatif*socio=rien à la protection*socio=et des forêts*socio=et. La conférence*socio=rien a abouti aussi à l'adoption*socio=et du*socio=rien programme*socio=et "Action*socio=rien 21", programme*socio=et de travail*socio=rien arrêté par la communauté*socio=ac internationale*socio=te dans le domaine*socio=rien de l'environnement*socio=ec pour la période*socio=te allant de 1992 jusqu'au Xxie siècle*socio=rien . Les principaux*socio=rien *socio=ac pays industriels.*socio=nil *socio=nil En 1991, la croissance*socio=uv s'est*socio=rien ralentie dans les pays*socio=ac du*socio=rien G-7*socio=ac, où elle s'est*socio=rien établie à 1,9% au lieu*socio=rien de 2,8% en 1990 (Tableau*socio=rien 2-1). Cette *socio=rien tendance générale *socio=nil s'explique par le retard*socio=rien , en *socio=rien grande partie imprévu*socio=uv,*socio=nil *socio=nil de la reprise aux États-unis*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac et par l'amorce apparente d'un*socio=rien ralentissement*socio=uv de la croissance_économique*socio=ec au Japon*socio=ac et en Allemagne*socio=ac. Le ralentissement*socio=uv cyclique*socio=te de l'investissement*socio=ec semble avoir largement contribué à ce freinage*socio=rien : la croissance*socio=uv des investissements*socio=ec s'est*socio=rien ralentie, ou a laissé la place*socio=rien à une diminution*socio=rien dans tous les pays*socio=ac du*socio=rien G-7*socio=ac. Ce ralentissement*socio=uv a même sans *socio=rien doute été la*socio=nil principale cause du fléchissement *socio=nil de la croissance*socio=uv au Japon*socio=ac, mais celui-ci résulte aussi de l'effondrement*socio=rien de la construction*socio=ec de logements*socio=ec locatifs et de l'essoufflement des ventes*socio=ec d'automobiles*socio=ec, après*socio=rien une période*socio=te de forte*socio=rien expansion*socio=ec de ce marché*socio=ec provoquée par l'abaissement*socio=rien des taxes*socio=et. En Allemagne*socio=ac, l'investissement*socio=ec a également joué *socio=rien un rôle prépondérant.*socio=nil La*socio=nil réunification*socio=et *socio=nil lui a donné une *socio=rien nouvelle impulsion,*socio=nil *socio=nil mais il a semblé faiblir par la suite*socio=rien , lorsque la promesse*socio=rien de rendements*socio=ec élevés*socio=rien a été*socio=rien tempérée par l'augmentation*socio=uv des salaires*socio=ec et par le *socio=rien niveau élevé des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec nominaux et*socio=nil réels à*socio=nil court_terme*socio=ec.*socio=nil *socio=nil D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil les*socio=nil pressions*socio=uv *socio=nil à la hausse*socio=rien qui se sont exercées sur*socio=rien les salaires*socio=ec et les taux_d'_intérêt*socio=ec ont freiné l'activité*socio=rien économique*socio=ec en Allemagne*socio=ac en 1991. Il convient également de noter l'élément*socio=rien particulier*socio=uv créé par la tension sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec, liée au financement*socio=ec de la réunification*socio=et et à la politique*socio=et *socio=ec monétaire anti-inflationniste.*socio=nil L'*socio=nil inflation,*socio=nil *socio=nil mesurée d'après*socio=rien le déflateur du*socio=rien PIB*socio=ec, s'est*socio=rien ralentie dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac du*socio=rien G-7*socio=ac. Sa décélération*socio=uv s'est*socio=rien poursuivie en amérique_du_nord*socio=ac et un*socio=rien ralentissement*socio=uv s'est*socio=rien amorcé au Japon*socio=ac. Toutefois, en Europe*socio=ac, les résultats*socio=rien ont été*socio=rien inégaux*socio=uv: l'inflation*socio=ec s'est*socio=rien quelque peu ralentie en Italie*socio=ac et dans les pays*socio=ac de *socio=rien moindre dimension économique*socio=ec,*socio=nil *socio=nil comme l'Espagne*socio=ac et le Portugal*socio=ac, mais elle a progressé d'environ *socio=rien un demi point de*socio=nil pourcentage au*socio=nil Royaume-uni*socio=ac *socio=nil (par suite*socio=rien d'anomalies*socio=rien statistiques*socio=rien ) et de plus d'un*socio=rien point*socio=rien en Allemagne*socio=ac. Le ralentissement*socio=uv de l'activité*socio=rien dans les *socio=ac pays industriels *socio=nil en 1991 est*socio=rien dû en partie*socio=rien à des problèmes*socio=uv structurels*socio=ec hérités des années*socio=rien 80. Le tassement*socio=rien de la croissance*socio=uv en Europe*socio=ac en 1991 a révélé que le chômage*socio=ec, par exemple*socio=rien , restait un*socio=rien problème*socio=uv structurel*socio=ec. En 1990, au moment*socio=rien où le cycle*socio=te économique*socio=ec approchait de son point*socio=rien culminant, le taux*socio=rien de chômage*socio=ec était déjà de 7,8% dans les quatre principaux*socio=rien *socio=ac pays européens *socio=nil et, en 1991, il est*socio=rien monté à 8,3%. Les tensions*socio=uv financières*socio=ec suscitées par l'endettement*socio=ec excessif*socio=rien des ménages*socio=rien et des entreprises*socio=ac constituent un*socio=rien autre problème*socio=uv structurel*socio=ec, en particulier*socio=uv au Japon*socio=ac et aux États-unis*socio=ac. Dans ces deux pays*socio=ac, les établissements*socio=rien financiers*socio=ec ont adopté des politiques*socio=et de prêt*socio=ec plus prudentes*socio=rien , en se désengageant du*socio=rien financement*socio=ec de *socio=rien certaines activités à*socio=nil haut risque*socio=uv,*socio=nil *socio=nil comme la construction*socio=ec d'immeubles*socio=rien commerciaux*socio=ec et les transactions*socio=ec de sociétés*socio=ac largement financées par l'emprunt*socio=ec. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil établissements,*socio=nil plus*socio=nil vulnérables*socio=uv,*socio=nil ont*socio=nil été *socio=nil acculés à la faillite*socio=ec ou ont dû recourir à des fusions ou à la réorganisation*socio=uv. Ces faits*socio=rien ont joué *socio=rien un rôle *socio=nil dans le resserrement*socio=uv *socio=rien général du crédit*socio=ec *socio=nil en 1991, qui a peut-être lui-même contribué au ralentissement*socio=uv de l'investissement*socio=ec aux États-unis*socio=ac et au Japon*socio=ac. La faible*socio=rien croissance*socio=uv du*socio=rien crédit*socio=ec et la dépréciation*socio=ec de certains actifs*socio=ec ont sans doute*socio=rien aussi freiné la consommation*socio=ec. L'année*socio=rien 1991 a été*socio=rien marquée par la réduction*socio=uv des déséquilibres des *socio=rien comptes courants *socio=nil de la plupart*socio=rien des grands*socio=rien *socio=ac pays industriels *socio=nil (voir Tableau*socio=rien 2-2). La balance*socio=rien des *socio=rien opérations courantes des*socio=nil États-unis*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui était déficitaire*socio=ec, a approché de l'équilibre*socio=uv (le déficit*socio=ec ne représentant*socio=rien plus que 0,2% du*socio=rien produit_intérieur_brut*socio=ec). La *socio=rien part du déficit*socio=ec *socio=nil due aux opérations*socio=rien commerciales*socio=ec a diminué, le ralentissement*socio=uv de l'inflation*socio=ec et la dépréciation*socio=ec antérieure*socio=te du*socio=rien dollar*socio=ec ayant amélioré la compétitivité*socio=uv, tandis que le solde*socio=ec des opérations*socio=rien de transfert*socio=ec est*socio=rien devenu largement *socio=rien excédentaire grâce aux*socio=nil versements*socio=ec *socio=nil effectués au titre*socio=rien de la guerre*socio=et du*socio=rien Golfe*socio=te. Le *socio=rien compte courant *socio=nil de l'Allemagne*socio=ac est*socio=rien brusquement passé*socio=rien d'un*socio=rien excédent*socio=ec équivalant à 3,2% du*socio=rien PIB*socio=ec en 1990 à un*socio=rien déficit*socio=ec de 1,3% - conséquence*socio=rien notamment du*socio=rien gonflement*socio=ec persistant des importations*socio=ec consécutif à la réunification*socio=et et de l'appréciation antérieure*socio=te du*socio=rien deutsche_mark*socio=ec. Au Japon*socio=ac, l'excédent*socio=ec *socio=rien du compte courant est passé *socio=nil de 1,2% du*socio=rien produit_intérieur_brut*socio=ec en 1990 à 2,1% en 1991. Plusieurs *socio=rien faits importants *socio=nil sont intervenus aussi dans le domaine*socio=rien monétaire*socio=ec. Une politique*socio=et monétaire*socio=ec plus conciliante a entraîné la baisse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec nominaux*socio=rien à court_terme*socio=ec aux États-unis*socio=ac et au Japon*socio=ac (voir Graphique*socio=rien 2-1). En revanche, la hausse*socio=rien de ces taux*socio=rien en Allemagne*socio=ac, où ils ont atteint leurs niveaux*socio=rien les plus élevés*socio=rien de l'après-guerre*socio=te, a restreint les possibilités*socio=rien pour certains partenaires*socio=uv du*socio=rien système_monétaire*socio=ec européen*socio=ac de réduire les leurs. Les taux_d'_intérêt*socio=ec réels*socio=rien à court_terme*socio=ec en Allemagne*socio=ac ont aussi augmenté par rapport*socio=rien aux taux_d'_intérêt*socio=ec réels*socio=rien aux États-unis*socio=ac et au Japon*socio=ac (voir Graphique*socio=rien 2-2). La courbe des rendements*socio=ec a pris une pente*socio=rien moins descendante au Japon*socio=ac et plus ascendante aux États-unis*socio=ac, car les taux_d'_intérêt*socio=ec à court_terme*socio=ec ont diminué plus rapidement que les taux*socio=rien à long_terme*socio=ec dans l'un*socio=rien et l'autre pays*socio=ac. En Allemagne*socio=ac, la courbe des rendements*socio=ec, dont la pente*socio=rien était jusque-là négative*socio=rien , s'est*socio=rien redressée. Les pays_en_développement*socio=ac. Dans les pays_en_développement*socio=ac, la production*socio=ec a progressé de 1,9% en 1991, ce qui *socio=rien est comparable au*socio=nil résultat *socio=nil médiocre de l'année*socio=rien précédente*socio=rien (voir Tableau*socio=rien 2-3). *socio=rien Du point de*socio=nil vue du revenu*socio=ec par*socio=nil habitant*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil production*socio=ec réelle *socio=nil de ces pays*socio=ac semble, en augmentant de 0,1%, avoir *socio=rien été un *socio=nil peu moins insuffisante*socio=rien . Plusieurs *socio=rien facteurs généraux *socio=nil ou plus spécifiques*socio=rien expliquent ces *socio=rien modestes résultats:*socio=nil *socio=nil - Le ralentissement*socio=uv de la croissance*socio=uv dans les *socio=ac pays industriels *socio=nil a freiné la demande*socio=ec de *socio=rien produits primaires *socio=nil et d'articles*socio=rien manufacturés exportés par les pays_en_développement*socio=ac, si bien*socio=rien que le volume*socio=rien des exportations*socio=ec de marchandises*socio=ec de ces pays*socio=ac a diminué de 2%. - La crise*socio=uv du*socio=rien Golfe*socio=te a eu des répercussions*socio=rien de *socio=rien grande ampleur;*socio=nil *socio=nil elle a provoqué notamment la flambée des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec et des bouleversements*socio=rien au Moyen-orient*socio=ac, en Irak*socio=ac et en Yougoslavie*socio=ac, pays*socio=ac qui assurent à eux deux 4% environ du*socio=rien PIB*socio=ec total*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac, elle a entraîné une chute brutale*socio=rien de la production*socio=ec. - Les transformations*socio=uv structurelles*socio=ec et l'effondrement*socio=rien du*socio=rien commerce*socio=ec avec l'union_soviétique*socio=ac et avec les États*socio=ac qui en sont issus se sont conjugués pour provoquer une profonde*socio=rien récession*socio=ec dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te, et la forte*socio=rien contraction*socio=et des importations*socio=ec de l'union_soviétique*socio=ac a porté *socio=rien un coup *socio=nil à ses autres partenaires*socio=uv commerciaux*socio=ec, comme l'Inde*socio=ac. - Le manque*socio=rien de vigueur*socio=uv des réformes*socio=et mises en oeuvre*socio=rien dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil a pesé sur*socio=rien les résultats*socio=rien de leur économie*socio=ec. Les *socio=rien statistiques globales *socio=nil pour 1991 ont été*socio=rien dominées par la *socio=rien forte baisse *socio=nil de la production*socio=ec en Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te et par les effets*socio=rien très préjudiciables*socio=et de la crise*socio=uv du*socio=rien Golfe*socio=te sur*socio=rien l'économie*socio=ec des pays*socio=ac du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac. Les estimations*socio=ec du*socio=rien PIB*socio=ec par grande*socio=rien *socio=te région géographique *socio=nil montrent que la croissance*socio=uv de la production*socio=ec s'est*socio=rien accélérée en amérique_latine*socio=ac et en *socio=ac Afrique subsaharienne *socio=nil et que l'activité*socio=rien est*socio=rien restée soutenue en Asie*socio=ac grâce*socio=rien à une reprise en Chine*socio=ac. En dépit*socio=rien d'un*socio=rien ralentissement*socio=uv très marqué en Inde*socio=ac, où la croissance*socio=uv du*socio=rien PIB*socio=ec est*socio=rien passée de 5,5% en 1990 à 2,5%, la croissance*socio=uv du*socio=rien PIB*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac, pondérée par la population*socio=ac - 3,5% en 1991 - a continué à *socio=rien être supérieure *socio=nil à la normale*socio=rien . Malgré le ralentissement*socio=uv de l'activité*socio=rien dans les *socio=ac pays industriels,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=uv aux*socio=nil États-unis,*socio=nil les*socio=nil résultats*socio=rien économiques*socio=ec en*socio=nil amérique_latine *socio=nil se sont généralement améliorés. Le PIB*socio=ec de la région*socio=te a augmenté de 3% en 1991, ce qui a inversé la tendance*socio=rien à la *socio=rien baisse du revenu*socio=ec annuel par*socio=nil habitant*socio=ac,*socio=nil *socio=nil enregistrée au cours*socio=rien de la *socio=rien dernière décennie.*socio=nil Le*socio=nil taux_de_croissance*socio=ec *socio=nil a dépassé 4% en Argentine*socio=ac, au Chili*socio=ac et au Mexique*socio=ac et atteint le *socio=rien niveau record *socio=nil de 9,1% au Venezuela*socio=ac. Des réformes*socio=et économiques*socio=ec, portant sur*socio=rien le redressement*socio=uv du*socio=rien budget*socio=ec, la libéralisation*socio=ec du*socio=rien commerce*socio=ec et de l'investissement*socio=ec, l'assainissement*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur financier *socio=nil et la restructuration*socio=uv et la privatisation*socio=et des entreprises_publiques*socio=et, le tout appuyé par le réaménagement*socio=et de la dette*socio=ec, ont aidé à freiner l'inflation*socio=ec dans la région*socio=te et à stimuler la demande*socio=ec intérieure*socio=rien . Le Chili*socio=ac enregistre depuis six *socio=rien ans un taux_de_croissance*socio=ec annuel moyen *socio=nil de 4,5% et le Mexique*socio=ac connaît depuis 1989 une croissance*socio=uv généralisée de 3 à 4% par an*socio=rien . Les *socio=rien importantes mesures économiques*socio=ec prises *socio=nil récemment en Argentine*socio=ac ont eu pour effet*socio=rien de faire renaître la confiance*socio=uv et de relancer la croissance*socio=uv. Le retour*socio=rien des capitaux*socio=ec dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil sous la forme*socio=rien d' investissements_étrangers_directs*socio=ec et d'investissements*socio=ec de portefeuille*socio=ec, *socio=rien témoigne du regain de*socio=nil confiance*socio=uv du marché*socio=ec,*socio=nil face aux*socio=nil progrès*socio=uv *socio=nil accomplis jusqu'à présent*socio=rien . En Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien , la croissance*socio=uv de la production*socio=ec, stimulée par le dynamisme*socio=uv persistant des exportations*socio=ec de la région*socio=te et par le raffermissement de la demande*socio=ec intérieure*socio=rien , en particulier*socio=uv en Chine*socio=ac, s'est*socio=rien accélérée en 1991, atteignant environ 6,8%. La *socio=rien forte accélération *socio=nil de la croissance*socio=uv du*socio=rien PIB*socio=ec en Chine*socio=ac, qui est*socio=rien passée de 4,5% à plus de 6%, a *socio=rien été favorisée *socio=nil par l'accroissement*socio=ec de la *socio=ec production industrielle,*socio=nil *socio=nil par l'augmentation*socio=uv des dépenses*socio=ec de consommation*socio=ec et par l'essor*socio=rien sensible*socio=rien des exportations*socio=ec d'articles*socio=rien manufacturés. Malgré la récession*socio=ec dans les *socio=ac pays industriels,*socio=nil le*socio=nil volume*socio=rien des*socio=nil exportations*socio=ec des*socio=nil pays d'*socio=nil Asie *socio=nil de l'Est*socio=rien a enregistré des taux_de_croissance*socio=ec à deux chiffres, qui se sont accompagnés d'un*socio=rien accroissement*socio=ec de leurs parts*socio=rien de marché*socio=ec. Dans des pays*socio=ac dynamiques*socio=uv comme la République*socio=ac de Corée*socio=ac, la Malaisie*socio=ac et la Thaïlande*socio=ac, la croissance*socio=uv du*socio=rien PIB*socio=ec s'est*socio=rien légèrement ralentie par rapport*socio=rien au *socio=rien rythme rapide *socio=nil de 9 à 10% enregistré en 1990, ce qui tient en partie*socio=rien à une remontée des importations*socio=ec. Le risque*socio=uv de stagnation*socio=ec ou de perturbation*socio=uv des courants*socio=rien d'échanges*socio=ec mondiaux*socio=te constitue le principal*socio=rien danger*socio=uv pour cette région*socio=te largement tournée vers le commerce*socio=ec. Le marasme économique*socio=ec sur*socio=rien certains de ses marchés*socio=ec d'exportation*socio=ec traditionnels*socio=rien a souligné l'importance*socio=rien d'une diversification*socio=rien des débouchés*socio=ec, notamment d'un*socio=rien nouveau*socio=rien resserrement*socio=uv des liens*socio=rien entre les pays*socio=ac de la région*socio=te. D'ailleurs*socio=rien , le dynamisme*socio=uv *socio=rien croissant du commerce*socio=ec intrarégional*socio=te en*socio=nil Asie*socio=ac *socio=nil de l'Est*socio=rien peut être*socio=rien considéré comme la preuve*socio=uv d'un*socio=rien processus*socio=rien , actuellement en cours*socio=rien , d'intégration*socio=uv régionale*socio=te fondée sur*socio=rien le marché*socio=ec, qui pourrait contrebalancer en partie*socio=rien les *socio=rien résultats médiocres *socio=nil obtenus dans le domaine*socio=rien des négociations_commerciales_multilatérales*socio=te. En Asie_du_sud*socio=ac, le taux_de_croissance*socio=ec du*socio=rien PIB*socio=ec a été*socio=rien de 2,8% en 1991, contre 5,6% en 1990. Cette baisse*socio=rien a été*socio=rien due notamment aux efforts*socio=uv faits*socio=rien par l'Inde*socio=ac pour maîtriser*socio=rien son déficit*socio=ec budgétaire*socio=et et aux *socio=rien effets immédiats *socio=nil de l'application*socio=rien par ce pays*socio=ac de *socio=rien vigoureuses mesures de*socio=nil stabilisation*socio=et d'*socio=nil urgence,*socio=nil *socio=nil qui, conjuguées à l'effondrement*socio=rien du*socio=rien marché*socio=ec soviétique*socio=ac et à la récession*socio=ec aux États-unis*socio=ac, ont contribué au brusque recul*socio=rien de l'activité*socio=rien industrielle*socio=ec et des exportations*socio=ec. Les mesures*socio=rien d'urgence*socio=rien comprenaient notamment une forte*socio=rien compression*socio=et des importations*socio=ec, le resserrement*socio=uv du*socio=rien crédit*socio=ec et la dévaluation*socio=ec de la monnaie*socio=ec. Dans la région*socio=te du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et de l'Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te, la production*socio=ec a légèrement augmenté - de 0,8% - en 1991, sous l'effet*socio=rien des chocs*socio=rien dus à la crise*socio=uv du*socio=rien Golfe*socio=te. La baisse*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec a entraîné *socio=rien un fléchissement des*socio=nil recettes*socio=ec *socio=nil dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec,*socio=nil *socio=nil et de nombreux*socio=rien pays*socio=ac de la région*socio=te ont été*socio=rien pénalisés par la réduction*socio=uv des envois*socio=rien de fonds*socio=ec de leurs travailleurs*socio=ac expatriés, par la baisse*socio=rien des recettes*socio=ec touristiques et par la nécessité*socio=uv d'accroître leurs dépenses*socio=ec sociales*socio=ac pour subvenir aux besoins*socio=uv des travailleurs*socio=ac rapatriés d'Irak*socio=ac et des pays*socio=ac du*socio=rien Golfe*socio=te. En Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te, le PIB*socio=ec a diminué de 7% environ, car les programmes*socio=et de stabilisation*socio=et et de réforme*socio=et entrepris dans plusieurs pays*socio=ac n'ont pas encore permis*socio=rien à leur économie*socio=ec de commencer à se redresser. D'après*socio=rien les estimations*socio=ec, la production*socio=ec moyenne*socio=rien a diminué de 14% dans les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te, y compris la Yougoslavie*socio=ac, après*socio=rien avoir déjà reculé de 8,7% en 1990, et le fléchissement*socio=rien de l'activité*socio=rien économique*socio=ec dans les cinq*socio=rien pays*socio=ac ayant entrepris des réformes*socio=et va de 7,5% en Hongrie*socio=ac à 26% en Bulgarie*socio=ac. Toutefois, les efforts*socio=uv faits*socio=rien pour libéraliser les importations*socio=ec et diversifier les exportations*socio=ec, à la *socio=rien suite du démantèlement*socio=ec du conseil_d'_assistance_économique_mutuelle*socio=ac (*socio=nil COMECON*socio=ac)*socio=nil *socio=nil se sont traduits par une forte*socio=rien expansion*socio=ec des échanges*socio=ec entre l'europe_de_l'_est*socio=ac et les pays_industrialisés*socio=ac. En *socio=ac Afrique subsaharienne,*socio=nil la*socio=nil croissance*socio=uv s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil accélérée, atteignant 2,4% en 1991. Ce résultat*socio=rien tient en partie*socio=rien à ce que l'économie*socio=ec du*socio=rien Nigeria*socio=ac a indirectement tiré profit*socio=ec de la crise*socio=uv du*socio=rien Golfe*socio=te, non seulement en raison*socio=uv de la *socio=rien hausse temporaire des*socio=nil prix*socio=ec du pétrole*socio=ec,*socio=nil *socio=nil mais aussi grâce*socio=rien à la mise en exploitation*socio=ec rapide*socio=rien de *socio=rien nouveaux champs pétroliers*socio=ec.*socio=nil Au*socio=nil cours des*socio=nil cinq dernières années,*socio=nil les*socio=nil prix*socio=ec des*socio=nil produits de*socio=nil base *socio=nil autres que le pétrole*socio=ec exportés par la plupart*socio=rien des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac de l'Ouest*socio=rien (tels que le café*socio=ec robusta et le cacao*socio=ec) ont baissé plus vite que ceux des produits*socio=rien particulièrement importants*socio=rien pour les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac orientale*socio=te et australe*socio=te (notamment le café*socio=ec arabica doux*socio=rien et le cuivre*socio=ec). Cette détérioration*socio=uv continue*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=et explique que la croissance*socio=uv ait été*socio=rien plus faible*socio=rien en Afrique*socio=ac de l'Ouest*socio=rien qu'en Afrique*socio=ac orientale*socio=te et australe*socio=te. Évolution*socio=rien de la stratégie*socio=et de la dette*socio=ec. En 1991, le Club_de_paris*socio=ac a conclu avec l'Égypte*socio=ac et la Pologne*socio=ac des accords*socio=et de *socio=rien grande envergure,*socio=nil *socio=nil qui pourraient réduire effectivement le service_de_la_dette*socio=et de ces pays*socio=ac de 50%. Toutefois, pour bénéficier pleinement de ces accords*socio=et, l'Égypte*socio=ac et la Pologne*socio=ac doivent mettre en *socio=rien oeuvre un programme*socio=et *socio=nil convenu avec le fonds_monétaire_international*socio=ac et acquitter ponctuellement les montants*socio=rien dus aux termes*socio=rien de l'accord*socio=et pendant la période*socio=te 1991-94. Ils doivent en outre obtenir*socio=rien préalablement de leurs autres créanciers*socio=ac des conditions*socio=uv similaires*socio=rien en vue*socio=rien de l'allégement*socio=ec de leur dette*socio=ec. Ces accords*socio=et portent sur*socio=rien une dette*socio=ec totale*socio=rien estimée en valeur*socio=ec nominale*socio=rien à 30 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec pour la Pologne*socio=ac et à 28 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec pour l'Égypte*socio=ac. Les *socio=ac pays créanciers *socio=rien membres du Club_de_paris*socio=ac *socio=nil ont souligné que l'Égypte*socio=ac et la Pologne*socio=ac étaient des *socio=rien cas particuliers *socio=nil et que les concessions*socio=uv dont ils bénéficiaient ne seraient pas nécessairement accordées à d'autres pays_en_développement*socio=ac. A la fin*socio=rien de l'année*socio=rien , le Club_de_paris*socio=ac avait accordé des conditions*socio=uv de rééchelonnement*socio=ec spéciales*socio=rien , mais non concessionnelles*socio=uv, à dix pays*socio=ac: Congo*socio=ac, côte_d'_ivoire*socio=ac, République_dominicaine*socio=ac, Honduras*socio=ac, Jamaïque*socio=ac, Maroc*socio=ac, Nigeria*socio=ac, Pérou*socio=ac, Philippines*socio=ac et Salvador*socio=ac. (Lors*socio=rien de la réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1992 du*socio=rien Groupe*socio=ac des 24, les ministres*socio=ac ont souligné qu'il importe d'accorder l'attention*socio=rien voulue aux pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien accablés de dettes*socio=ec et lancé *socio=rien un appel au*socio=nil Club_de_paris*socio=ac *socio=nil pour qu'il consente des allégements*socio=rien de dette*socio=ec analogues*socio=rien à ceux qu'il a accordés à l'Égypte*socio=ac et à la Pologne*socio=ac à d'autres pays*socio=ac se trouvant dans une situation*socio=uv comparable*socio=rien . Ils ont également noté l'importance*socio=rien des nouveaux*socio=rien crédits*socio=ec ou garanties publics*socio=et à l'exportation*socio=ec, étant donné surtout les besoins*socio=uv de modernisation*socio=ec liés aux privatisations*socio=et.). La stratégie*socio=et de la dette*socio=ec à l'égard*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec lourdement endettés a fait*socio=rien des progrès*socio=uv en 1991, avec l'appel*socio=rien lancé en *socio=rien juillet lors du sommet du G-7*socio=ac *socio=nil pour que le Club_de_paris*socio=ac accorde à ces pays*socio=ac un*socio=rien allégement*socio=ec supplémentaire*socio=rien de leur dette*socio=ec. Le Club_de_paris*socio=ac a été*socio=rien invité à envisager l'octroi*socio=rien à *socio=rien bref délai,*socio=nil lors du rééchelonnement*socio=ec *socio=nil de la dette*socio=ec des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec, de concessions*socio=uv allant bien*socio=rien au-delà de l'allégement*socio=ec consenti selon les conditions*socio=uv de Toronto*socio=ac. Cette proposition*socio=rien reprenait les propositions*socio=rien faites à Trinidad *socio=rien un an *socio=nil plus tôt, qui préconisaient une réduction*socio=uv sensible*socio=rien de l'ensemble*socio=rien de la dette*socio=ec plutôt que des échéances*socio=te tombant pendant une période*socio=te rapprochée de consolidation*socio=rien . En décembre*socio=rien 1991, le Club_de_paris*socio=ac a adopté *socio=rien un nouvel ensemble de*socio=nil concessions*socio=uv *socio=nil élargies en faveur*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec ayant obtenu le rééchelonnement*socio=ec de leur dette*socio=ec. Cet ensemble*socio=rien , qui a été*socio=rien appliqué pour la *socio=rien première fois *socio=nil dans le cadre*socio=rien des accords*socio=et de rééchelonnement*socio=ec conclus avec le Nicaragua*socio=ac et le Bénin*socio=ac, puis dans des accords*socio=et avec la Bolivie*socio=ac et la Tanzanie*socio=ac, élargit le degré*socio=rien de concessionnalité si on le compare aux conditions*socio=uv de Toronto*socio=ac. Il prévoit une réduction*socio=uv effective*socio=rien de 50% du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et sur*socio=rien les montants*socio=rien rééchelonnés pendant la période*socio=te de consolidation*socio=rien . Les créanciers*socio=ac ont indiqué en outre qu'ils étaient prêts*socio=ec à prendre en considération*socio=rien , au bout*socio=rien de trois à quatre ans*socio=rien , l'encours de la dette*socio=ec contractée avant la date limite*socio=rien . Après*socio=rien que la stratégie*socio=et de la dette*socio=ec eut été*socio=rien modifiée de manière*socio=rien à permettre l'apport*socio=rien d'un*socio=rien soutien*socio=uv financier*socio=ec public*socio=et aux opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec, de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac lourdement endettés, tels que le costa_rica*socio=ac, le Maroc*socio=ac, le Mexique*socio=ac, les Philippines*socio=ac, l'Uruguay*socio=ac et le Venezuela*socio=ac, ont conclu des accords*socio=et en 1989 et 1990 avec leurs créanciers*socio=ac commerciaux*socio=ec. Mais, en 1991, seuls*socio=rien le Niger*socio=ac, le Mozambique*socio=ac et le Nigeria*socio=ac sont parvenus à s'entendre avec les banques*socio=ac commerciales*socio=ec créancières*socio=ac *socio=rien sur un programme*socio=et de*socio=nil réduction*socio=uv *socio=nil de leur dette*socio=ec. Les accords*socio=et conclus avec le Niger*socio=ac et le Mozambique*socio=ac, respectivement en mars*socio=rien et en décembre*socio=rien 1991, prévoyaient le rachat*socio=ec, avec une forte*socio=rien décote*socio=ec, de la *socio=rien majeure partie *socio=nil de leurs dettes*socio=ec envers les banques*socio=ac commerciales*socio=ec, alors que l'accord*socio=et avec le Nigeria*socio=ac, signé en décembre*socio=rien 1991, comportait une série d'options*socio=rien , comprenant le rachat*socio=ec de dettes*socio=ec et l'échange*socio=ec au pair*socio=rien de dettes*socio=ec contre des obligations*socio=uv à taux_d'_intérêt*socio=ec réduit. Les accords*socio=et conclus avec le Niger*socio=ac et le Mozambique*socio=ac ont bénéficié du*socio=rien soutien*socio=uv du*socio=rien Fonds*socio=ec de désendettement*socio=ec des pays*socio=ac empruntant exclusivement à l'IDA*socio=ac et ont été*socio=rien cofinancés par des donateurs*socio=ac bilatéraux*socio=te. Le Nigeria*socio=ac a financé sur*socio=rien ses propres*socio=rien ressources*socio=ec son opération*socio=rien de désendettement*socio=ec, au titre*socio=rien de laquelle la BIRD*socio=ac a cependant approuvé une dérogation*socio=et à la clause*socio=et de nantissement négative*socio=rien . Par ailleurs*socio=rien , en février*socio=rien 1992, les Philippines*socio=ac sont parvenues à un*socio=rien accord*socio=et avec leurs créanciers*socio=ac bancaires*socio=ec sur*socio=rien une liste de conditions*socio=uv relatives*socio=rien à *socio=rien un montage financier*socio=ec *socio=nil qui prévoyait la restructuration*socio=uv globale*socio=rien de la *socio=ec dette commerciale subsistant*socio=nil après*socio=rien le*socio=nil rachat *socio=nil de 1990. Ce nouvel*socio=rien accord*socio=et énonçait une série d'options*socio=rien : rachats*socio=ec additionnels*socio=rien au comptant, apport*socio=rien d'argent*socio=ec frais*socio=ec lié à la conversion*socio=ec de la dette*socio=ec en obligations*socio=uv et différents*socio=rien types d'échanges*socio=ec de dettes*socio=ec au pair*socio=rien contre des obligations*socio=uv à taux_d'_intérêt*socio=ec réduit à *socio=rien titre temporaire ou*socio=nil définitif.*socio=nil Deux*socio=nil mois *socio=nil plus tard, l'Argentine*socio=ac a conclu avec ses créanciers*socio=ac bancaires*socio=ec un*socio=rien accord*socio=et de principe*socio=rien portant sur*socio=rien la réduction*socio=uv de l'encours et du*socio=rien service*socio=ec de sa *socio=ec dette commerciale,*socio=nil pour*socio=nil un*socio=rien montant *socio=nil de 31 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, dont 8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec d'arriérés. Cet accord*socio=et autorise les banques*socio=ac à choisir entre des obligations*socio=uv à prime d'émission*socio=rien et à taux*socio=rien flottant et des obligations*socio=uv au pair*socio=rien à taux*socio=rien fixe. A la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien , les négociations*socio=uv se poursuivaient sur*socio=rien les modalités*socio=rien de cet accord*socio=et. Plusieurs pays*socio=ac, dont le Brésil*socio=ac, sont à divers stades*socio=te de discussions*socio=rien avec leurs créanciers*socio=ac commerciaux*socio=ec en ce qui concerne des accords*socio=et de restructuration*socio=uv de leur dette*socio=ec, prévoyant des formules*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et dont la plupart*socio=rien seraient susceptibles*socio=rien de bénéficier d'un*socio=rien soutien*socio=uv public*socio=et multilatéral*socio=te et bilatéral*socio=te. D'après*socio=rien des données préliminaires*socio=rien , le montant*socio=ec nominal*socio=rien de la dette*socio=ec extérieure*socio=te des pays_en_développement*socio=ac s'est*socio=rien élevé*socio=rien en 1991 à 1 280 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, ce qui est*socio=rien pratiquement autant qu'en 1990. Sur*socio=rien ce total*socio=rien , l'encours de la dette*socio=ec à long_terme*socio=ec était de 1 060 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec (voir Tableau*socio=rien 2-4). La stabilité*socio=uv *socio=rien du volume *socio=nil de la dette*socio=ec tient à ce que les nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec (y compris les prêts*socio=ec à court_terme*socio=ec) 1 d'un*socio=rien montant*socio=ec de 38 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, ont été*socio=rien entièrement compensés par les opérations*socio=rien de conversion*socio=ec et d'allégement*socio=ec de la dette*socio=ec et par la liquidation*socio=ec des arriérés ainsi que par les fluctuations*socio=uv des taux_de_change*socio=ec. Outre la réduction*socio=uv négociée de la dette*socio=ec de l'Égypte*socio=ac et de la Pologne*socio=ac, le paiement*socio=ec comptant des arriérés d'intérêts*socio=ec, en particulier*socio=uv par le Brésil*socio=ac et le Nigeria*socio=ac, a contribué à la réduction*socio=uv de l'encours total*socio=rien de la dette*socio=ec. Les échanges*socio=ec de créances*socio=ec contre des actifs*socio=ec ont aussi épongé une *socio=rien bonne partie *socio=nil de la dette*socio=ec extérieure*socio=te, en particulier*socio=uv en Argentine*socio=ac, où les programmes*socio=et de conversion*socio=ec de la dette*socio=ec ont permis*socio=rien de réduire de 7 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec le montant*socio=ec nominal*socio=rien de la dette*socio=ec du*socio=rien pays*socio=ac (y compris les arriérés), avec la privatisation*socio=et de la compagnie*socio=ac de télécommunications*socio=rien Entel et de la compagnie*socio=ac aérienne*socio=ec Aerolineas Argentinas. Les swaps*socio=ec de dettes*socio=ec contre des fonds*socio=ec propres*socio=rien et autres programmes*socio=et de conversion*socio=ec n'ont cependant joué qu'un*socio=rien rôle*socio=rien limité dans la réduction*socio=uv de la dette*socio=ec extérieure*socio=te, en raison*socio=uv des craintes qu'inspiraient leurs répercussions*socio=rien budgétaires*socio=et aux *socio=ac pays débiteurs.*socio=nil *socio=nil En 1991, les indicateurs*socio=ec de l'endettement*socio=ec global*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac ont été*socio=rien ambigus: le *socio=rien ratio estimatif *socio=nil de la dette*socio=ec aux exportations*socio=ec est*socio=rien resté inchangé*socio=rien , à 176%, mais le ratio*socio=rien de la dette*socio=ec au produit_national_brut*socio=ec est*socio=rien tombé à 38% (contre 42% en 1990) et le *socio=rien ratio du service_de_la_dette*socio=et aux*socio=nil exportations*socio=ec est passé *socio=nil à 21% (au lieu*socio=rien de 20% en 1990). Ces chiffres globaux*socio=ec dissimulent d'importantes*socio=rien différences*socio=uv régionales*socio=te. En Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien , l'accroissement*socio=ec attendu de l'encours de la dette*socio=ec, qui témoigne*socio=rien d'un*socio=rien large*socio=rien accès*socio=uv aux marchés_financiers*socio=ec, a été*socio=rien compensé par la bonne*socio=rien tenue des exportations*socio=ec. En conséquence*socio=rien , le ratio*socio=rien de la dette*socio=ec aux exportations*socio=ec et le *socio=rien ratio du service_de_la_dette*socio=et aux*socio=nil exportations*socio=ec *socio=nil ont l'un*socio=rien et l'autre diminué légèrement. En *socio=ac Afrique subsaharienne,*socio=nil *socio=nil en revanche, l'augmentation*socio=uv supposée de l'encours de la dette*socio=ec, *socio=rien conséquence du rééchelonnement*socio=ec des*socio=nil intérêts*socio=ec *socio=nil et de l'octroi*socio=rien de nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec de sources*socio=rien publiques*socio=et, ainsi que de la mauvaise*socio=rien tenue des exportations*socio=ec, a encore alourdi le fardeau*socio=uv de la dette*socio=ec. D'après*socio=rien les estimations*socio=ec, les paiements*socio=ec au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et des*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil *socio=ac Afrique subsaharienne *socio=nil ont atteint 21% des exportations*socio=ec en 1991, au lieu*socio=rien de 19% en 1990, et encore ne représentaient-ils que la moitié*socio=rien environ des paiements*socio=ec prévus à l'échéancier. En amérique_latine*socio=ac, l'encours estimatif*socio=rien de la dette*socio=ec a légèrement diminué en 1991, mais les paiements*socio=ec au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et *socio=nil ont progressé, si bien*socio=rien que les indicateurs*socio=ec du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et ont diversement évolué: le ratio*socio=rien de la dette*socio=ec au produit_national_brut*socio=ec a diminué, passant de 41% en 1990 à 37% en 1991, alors que les paiements*socio=ec effectifs*socio=rien au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=et *socio=nil ont sensiblement augmenté, atteignant 30% des exportations*socio=ec, au lieu*socio=rien de 25% l'année*socio=rien précédente*socio=rien . Transferts*socio=ec nets*socio=rien et accès*socio=uv aux marchés*socio=ec des capitaux*socio=ec. D'après*socio=rien les estimations*socio=ec, le montant*socio=ec *socio=rien nominal total des*socio=nil transferts*socio=ec nets de*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil vers les pays_en_développement*socio=ac a augmenté de près de 7% en 1991, atteignant 87 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, contre 81,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec l'année*socio=rien précédente*socio=rien (voir Tableau*socio=rien 2-5). Toutefois, en valeur*socio=ec réelle*socio=rien , leur montant*socio=ec total*socio=rien a diminué de 1% en 1991. L'évolution*socio=rien récente*socio=rien de leur composition*socio=rien s'est*socio=rien confirmée: les apports*socio=rien de sources*socio=rien publiques*socio=et en ont représenté une *socio=rien part importante,*socio=nil *socio=nil et les *socio=ec transferts privés ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil constitués en *socio=rien grande partie *socio=nil par des investissements_étrangers_directs*socio=ec et des investissements*socio=ec de portefeuille*socio=ec (notamment, émissions*socio=rien d'actions*socio=rien à l'extérieur*socio=ec, placements*socio=ec intérieurs*socio=rien en actions*socio=rien , *socio=rien opérations sur le*socio=nil *socio=ec marché monétaire)*socio=nil *socio=nil . La part*socio=rien des ressources*socio=ec publiques*socio=et dans les transferts*socio=ec *socio=rien nets totaux,*socio=nil *socio=nil c'est-à-dire la part*socio=rien de l'aide_publique_au_développement*socio=et (comprenant les prêts*socio=ec et les dons*socio=ec de sources*socio=rien publiques*socio=et), a été*socio=rien de 60% en 1991, soit autant qu'en 1990, mais plus qu'en 1989, où elle était de 57%. Le montant*socio=ec total*socio=rien des investissements_étrangers_directs*socio=ec (net*socio=rien des bénéfices*socio=ec rapatriés) a légèrement diminué, s'établissant à 24,1 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec (au lieu*socio=rien de 25,2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1990); malgré cela, il était encore supérieur*socio=rien au montant*socio=ec de 23,6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec enregistré en 1989. Les transferts*socio=ec *socio=rien nets estimatifs,*socio=nil par*socio=nil région*socio=te,*socio=nil *socio=nil ont enregistré principalement *socio=rien un fort accroissement*socio=ec *socio=nil vers le Moyen-orient*socio=ac et l'Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te ainsi que vers l'Asie*socio=ac, et une progression*socio=uv continue*socio=rien des flux*socio=ec de ressources*socio=ec non génératrices*socio=rien de dette*socio=ec vers l'amérique_latine*socio=ac. D'après*socio=rien les estimations*socio=ec, les transferts*socio=ec nets*socio=rien vers le Moyen-orient*socio=ac et l'Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te ont augmenté de 5,3 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, atteignant 13 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, en partie*socio=rien en raison*socio=uv de l'accroissement*socio=ec des *socio=ec flux financiers *socio=nil lié à la crise*socio=uv du*socio=rien Golfe*socio=te et à ses suites*socio=rien . En Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien et du*socio=rien Sud*socio=te, les emprunts*socio=ec contractés par les pays*socio=ac solvables*socio=ec ont été*socio=rien en *socio=rien grande partie *socio=nil à l'origine*socio=rien de l'augmentation*socio=uv de 4,6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec des flux*socio=ec vers la région*socio=te, dont le montant*socio=ec s'est*socio=rien élevé*socio=rien à 37,4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. En Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te, la diminution*socio=rien de 1,4 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec des *socio=rien apports nets de*socio=nil ressources*socio=ec,*socio=nil *socio=nil qui n'ont pas dépassé 3,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, tient aux difficultés*socio=rien éprouvées par les pays*socio=ac de cette sous-région pour attirer des capitaux*socio=ec à des conditions*socio=uv commerciales*socio=ec. Cette baisse*socio=rien a été*socio=rien compensée, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil *socio=nil par des décaissements*socio=ec de sources*socio=rien publiques*socio=et, provenant à peu près à parts*socio=rien égales*socio=uv des institutions_financières*socio=ec multilatérales*socio=te et des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec bilatéraux*socio=te. En *socio=ac Afrique subsaharienne,*socio=nil le*socio=nil *socio=rien léger tassement des*socio=nil apports de*socio=nil ressources*socio=ec,*socio=nil *socio=nil qui ont diminué de 485 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour s'établir à 16,4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, est*socio=rien dû au recul*socio=rien des dons*socio=ec et des apports*socio=rien de sources*socio=rien privées*socio=ec (y compris les crédits-fournisseurs*socio=ec). En amérique_latine*socio=ac, les transferts*socio=ec nets*socio=rien se sont élevés*socio=rien à 17,1 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, en baisse*socio=rien de 1,7 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec, alors qu'ils avaient fortement augmenté en 1990, mais leur recul*socio=rien a été*socio=rien moins significatif*socio=rien que l'évolution*socio=rien de leur composition*socio=rien au profit*socio=ec des ressources*socio=ec non génératrices*socio=rien de dette*socio=ec, principalement des investissements_étrangers_directs*socio=ec et des investissements*socio=ec de portefeuille*socio=ec. Les apports*socio=rien de fonds_publics*socio=et en amérique_latine*socio=ac ont diminué en 1991, en particulier*socio=uv les apports*socio=rien de sources*socio=rien multilatérales*socio=te, qui se sont ralentis à la suite*socio=rien de la réalisation*socio=uv d'opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec. Le montant*socio=ec total*socio=rien des transferts*socio=ec nets*socio=rien donne une indication*socio=rien des moyens*socio=ec de trésorerie*socio=ec fournis à un*socio=rien pays*socio=ac par ses créanciers*socio=ac extérieurs*socio=te. Il correspond à la somme*socio=rien des *socio=rien apports nets de*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil diminuée des charges*socio=et afférentes*socio=rien au service*socio=ec des obligations*socio=uv extérieures*socio=te - c'est-à-dire du*socio=rien service*socio=ec des intérêts*socio=ec sur*socio=rien les prêts*socio=ec et *socio=rien du rapatriement des*socio=nil bénéfices*socio=ec *socio=nil tirés des investissements_étrangers_directs*socio=ec. D'après*socio=rien les estimations*socio=ec, le montant*socio=ec global*socio=rien de transferts*socio=ec nets*socio=rien a diminué, passant de 16 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1990 à 13,2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1991. Ce recul*socio=rien , qui contraste avec l'accroissement*socio=ec des *socio=rien apports nets,*socio=nil est *socio=nil dû à l'augmentation*socio=uv de 3,7 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec des paiements*socio=ec d'intérêts*socio=ec effectués par certains pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac en 1991. L'évolution*socio=rien régionale*socio=te des transferts*socio=ec nets*socio=rien a été*socio=rien plus différenciée en 1991. Les transferts*socio=ec nets*socio=rien vers l'amérique_latine*socio=ac, déjà négatifs*socio=rien , ont encore diminué, leur solde*socio=ec atteignant - 8,6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, au lieu*socio=rien de - 6,3 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1990. En revanche, les transferts*socio=ec nets*socio=rien vers le Moyen-orient*socio=ac et l'Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te ont augmenté, passant de 1,9 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec en 1990 à 2,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1991, en raison*socio=uv du*socio=rien *socio=ec financement extérieur *socio=nil de la restructuration*socio=uv à la suite*socio=rien de la crise*socio=uv du*socio=rien Golfe*socio=te, en particulier*socio=uv au moyen*socio=rien de prêts*socio=ec. Le solde*socio=ec des transferts*socio=ec *socio=rien nets est *socio=nil resté largement positif*socio=uv en Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien et du*socio=rien Sud*socio=te (atteignant, respectivement, 7,3 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec et 5,8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec) ainsi qu'en *socio=ac Afrique subsaharienne *socio=nil (11,2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec), cette région*socio=te ayant bénéficié d'apports*socio=rien importants*socio=rien de fonds_publics*socio=et à des *socio=uv conditions concessionnelles *socio=nil et à titre*socio=rien de dons*socio=ec. Depuis 1990, quelques pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien - Chili*socio=ac, Mexique*socio=ac et Venezuela*socio=ac - ont pu, à la suite*socio=rien d'opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de leur *socio=ec dette commerciale,*socio=nil *socio=nil accéder de nouveau*socio=rien au marché*socio=ec international*socio=te des capitaux*socio=ec, où ils ont obtenu des prêts*socio=ec et d'autres formes*socio=rien de financement*socio=ec. Cette évolution*socio=rien s'est*socio=rien accélérée en 1991. Les emprunteurs*socio=ac du*socio=rien Mexique*socio=ac et du*socio=rien Venezuela*socio=ac - entreprises_publiques*socio=et et exportateurs*socio=ac privés*socio=ec - ont pu *socio=rien obtenir sur le*socio=nil marché*socio=ec *socio=nil obligataire des *socio=rien montants substantiels *socio=nil à des conditions*socio=uv de plus en plus favorables*socio=rien . Leurs émissions*socio=rien , placées principalement sur*socio=rien le marché*socio=ec européen*socio=ac et sur*socio=rien le *socio=ec marché privé aux*socio=nil États-unis*socio=ac,*socio=nil *socio=nil ont totalisé la contre-valeur de 2,7 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis 1982, l'Argentine*socio=ac et le Brésil*socio=ac ont pu eux aussi accéder de nouveau*socio=rien aux *socio=ec marchés obligataires internationaux*socio=te,*socio=nil *socio=nil avec de *socio=rien nouvelles émissions d'*socio=nil un montant*socio=ec total *socio=nil de 0,8 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec et 1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec, respectivement. Ce retour*socio=rien semble lié à l'amélioration*socio=uv des perspectives*socio=uv de réduction*socio=uv globale*socio=rien de l'encours et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et de ces deux pays*socio=ac. Par ailleurs*socio=rien , *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil entreprises*socio=ac de*socio=nil pays_en_développement*socio=ac,*socio=nil notamment*socio=nil du Mexique*socio=ac,*socio=nil *socio=nil ont émis des actions*socio=rien à l'étranger*socio=te. L'évolution*socio=rien des flux*socio=ec de capitaux*socio=ec internationaux*socio=te au profit*socio=ec de modes*socio=rien de financement*socio=ec (émissions*socio=rien d'obligations*socio=uv ou d'actions*socio=rien ) différents*socio=rien des prêts*socio=ec syndiqués*socio=ac *socio=rien classiques est *socio=nil attribuée aux *socio=rien facteurs suivants:*socio=nil le*socio=nil resserrement*socio=uv général du crédit*socio=ec *socio=nil et le manque*socio=rien de capitaux*socio=ec auxquels sont confrontées les banques*socio=ac internationales*socio=te; le rôle*socio=rien accru des *socio=ac investisseurs institutionnels comme*socio=nil bailleurs de*socio=nil fonds*socio=ec internationaux*socio=te;*socio=nil la*socio=nil multiplication*socio=rien des*socio=nil *socio=rien nouveaux instruments obligataires*socio=ec *socio=nil créés à l'occasion*socio=rien d'opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de l'encours et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et; la façon*socio=rien dont le marché*socio=ec perçoit l'amélioration*socio=uv de la solvabilité*socio=ec de certains pays_en_développement*socio=ac endettés qui ont appliqué avec succès*socio=uv des programmes*socio=et de réforme*socio=et; et le fait*socio=rien que les principaux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac, y compris ceux qui, comme l'Argentine*socio=ac, le Brésil*socio=ac et la Bulgarie*socio=ac, avaient accumulé des arriérés d'intérêts*socio=ec sur*socio=rien leurs *socio=ec prêts bancaires,*socio=nil *socio=nil ont tous assuré intégralement le service*socio=ec de leurs *socio=ec emprunts obligataires.*socio=nil L'*socio=nil amélioration*socio=uv *socio=rien du climat d'*socio=nil investissement*socio=ec *socio=nil dans certains pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac s'est*socio=rien traduite en 1991 par une augmentation*socio=uv de 20% des investissements_étrangers_directs*socio=ec dans la région*socio=te par rapport*socio=rien à l'année*socio=rien précédente*socio=rien , avec un*socio=rien montant*socio=ec estimé à 9,8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. A peu près le tiers*socio=rien de ces investissements*socio=ec ont été*socio=rien facilités par des programmes*socio=et de conversion*socio=ec de dettes*socio=ec en fonds*socio=ec propres*socio=rien . État*socio=ac des marchés*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien . Le ralentissement*socio=uv mondial*socio=te de l'activité*socio=rien économique*socio=ec a été*socio=rien le facteur*socio=rien dominant dans l'évolution*socio=rien des prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien en 1991. L' indice_des_prix*socio=ec en dollars*socio=ec courants*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien autres que le pétrole*socio=ec, calculé par la banque_mondiale*socio=ac, a diminué de 4,8%, pour la *socio=rien troisième année consécutive *socio=nil (voir Tableau*socio=rien 2-6). Calculé en dollars*socio=ec constants*socio=rien (en utilisant comme déflateur l'indice de la valeur*socio=ec unitaire*socio=rien des produits*socio=rien manufacturés exportés vers les pays_en_développement*socio=ac par les pays*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Cinq*socio=rien ), cet indice est*socio=rien tombé à son niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien . L'influence de la *socio=ec récession économique sur*socio=rien l'*socio=nil évolution*socio=rien des*socio=nil marchés *socio=nil en 1991 a été*socio=rien mise en relief*socio=rien par la baisse*socio=rien de l'indice_des_prix*socio=ec des trois *socio=rien principaux groupes de*socio=nil produits de*socio=nil base *socio=nil autres que le pétrole*socio=ec (produits*socio=rien alimentaires*socio=rien et boissons*socio=rien , produits*socio=rien agricoles*socio=ec non alimentaires*socio=rien et métaux*socio=ec et minerais). Les difficultés*socio=rien économiques*socio=ec de l'union_soviétique*socio=ac et des pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te ont aussi contribué, en général*socio=rien , à la baisse*socio=rien des prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien , à l'exception*socio=rien des *socio=rien produits alimentaires de*socio=nil première nécessité*socio=uv.*socio=nil L'*socio=nil indice_des_prix*socio=ec des*socio=nil céréales*socio=ec *socio=nil et des huiles et autres *socio=rien matières grasses *socio=nil a augmenté, respectivement, de 2% et 3% en 1991 par rapport*socio=rien à 1990. Toutefois, cette augmentation*socio=uv a été*socio=rien largement contrebalancée par la baisse*socio=rien des prix*socio=ec des boissons*socio=rien et du*socio=rien sucre*socio=ec, qui ont diminué, respectivement, de 5,9% et de 28,5%, ce qui a entraîné le recul*socio=rien de l'indice global*socio=rien des prix*socio=ec des *socio=rien produits alimentaires *socio=nil et des boissons*socio=rien . Les *socio=rien cours du café*socio=ec,*socio=nil du cacao*socio=ec et*socio=nil du thé *socio=nil sont tombés à leur niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien en valeur*socio=ec réelle*socio=rien . Pour le thé*socio=rien , cette baisse*socio=rien s'explique en *socio=rien grande partie *socio=nil par la forte*socio=rien contraction*socio=et des importations*socio=ec de l'union_soviétique*socio=ac et de l'Irak*socio=ac. Dans le *socio=rien cas du cacao*socio=ec,*socio=nil l'*socio=nil anticipation *socio=nil d'une diminution*socio=rien de la récolte en 1991/92 a provoqué une hausse*socio=rien momentanée des cours*socio=rien vers la fin*socio=rien de 1991, mais leur niveau*socio=rien (de même que celui des *socio=rien cours du café*socio=ec)*socio=nil *socio=nil se ressent toujours de l'accroissement*socio=ec de la capacité*socio=rien de production*socio=ec durant la *socio=rien dernière décennie.*socio=nil *socio=nil En ce qui concerne les céréales*socio=ec, on prévoyait une baisse*socio=rien de plus de 4% de la production*socio=ec mondiale*socio=te pendant la campagne*socio=rien 1991/92 par rapport*socio=rien à la *socio=rien campagne précédente.*socio=nil Les*socio=nil stocks*socio=ec de*socio=nil céréales*socio=ec,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=uv de*socio=nil blé*socio=ec,*socio=nil *socio=nil sont restés relativement bas*socio=rien , rendant les marchés*socio=ec vulnérables*socio=uv à une contraction*socio=et de la production*socio=ec. Les engagements*socio=ec pris envers l'union_soviétique*socio=ac pour la livraison*socio=rien de *socio=rien grandes quantités de*socio=nil blé*socio=ec *socio=nil ont entraîné une *socio=rien forte hausse des*socio=nil prix*socio=ec *socio=nil pendant la *socio=rien majeure partie *socio=nil de 1991. Malgré cela, le prix*socio=ec moyen*socio=rien a légèrement fléchi par rapport*socio=rien à l'année*socio=rien précédente*socio=rien . Le prix*socio=ec du*socio=rien riz*socio=ec a augmenté en partie*socio=rien en raison*socio=uv de la *socio=rien forte demande au*socio=nil Moyen-orient*socio=ac *socio=nil et en amérique_latine*socio=ac. L'indice_des_prix*socio=ec des huiles et autres *socio=rien matières grasses,*socio=nil *socio=nil qui avait légèrement fléchi au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1991, a ensuite plus que regagné ce qu'il avait perdu, en raison*socio=uv de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec de l'huile*socio=rien de palme et de l'huile*socio=rien de coco, due à la baisse*socio=rien de la production*socio=ec liée aux intempéries. La production*socio=ec et les stocks*socio=ec de sucre*socio=ec ont augmenté, ce qui a provoqué une *socio=rien baisse sensible des*socio=nil prix*socio=ec,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=uv au*socio=nil deuxième trimestre*socio=te *socio=nil de 1991. Le *socio=rien cours du coton*socio=ec a*socio=nil été *socio=nil orienté à la baisse*socio=rien dans la *socio=rien deuxième moitié *socio=nil de 1991, par suite*socio=rien de la forte*socio=rien augmentation*socio=uv de la production*socio=ec dans l'hémisphère*socio=te Nord*socio=te, en particulier*socio=uv en Chine*socio=ac. La *socio=rien pression sur les*socio=nil cours a*socio=nil été *socio=nil accentuée par l'accroissement*socio=ec des exportations*socio=ec de l'union_soviétique*socio=ac, qui a notamment écoulé sa récolte de l'année*socio=rien précédente*socio=rien . Les primes*socio=ec versées par le Gouvernement*socio=ac des États-unis*socio=ac aux producteurs*socio=ac et aux exportateurs*socio=ac nationaux*socio=te pour préserver la compétitivité*socio=uv du*socio=rien coton*socio=ec américain*socio=ac, face*socio=rien à l'abondance de l'offre*socio=rien , ont fait*socio=rien baisser davantage les prix*socio=ec. Les *socio=rien cours du caoutchouc*socio=ec naturel *socio=nil ont légèrement fléchi, principalement en raison*socio=uv d'une nouvelle*socio=rien contraction*socio=et de la *socio=ec production automobile.*socio=nil L'*socio=nil indice_des_prix des*socio=nil métaux *socio=nil et des minéraux*socio=ec a accusé *socio=rien un net repli,*socio=nil *socio=nil dû principalement à la baisse*socio=rien des cours*socio=rien de l'aluminium*socio=ec, du*socio=rien plomb*socio=ec et du*socio=rien zinc*socio=ec. Sous l'effet*socio=rien conjugué de la faiblesse*socio=rien de la *socio=ec demande industrielle *socio=nil et de conditions*socio=uv de production*socio=ec relativement bonnes*socio=rien , les stocks*socio=ec ont fortement augmenté, en particulier*socio=uv ceux de la Bourse*socio=ac des métaux*socio=ec de Londres*socio=ac. En outre, l'union_soviétique*socio=ac a écoulé ses stocks*socio=ec et ses excédents*socio=ec de métaux*socio=ec sur*socio=rien les marchés*socio=ec mondiaux*socio=te, ce qui a considérablement*socio=rien déprimé les cours*socio=rien de l'aluminium*socio=ec, du*socio=rien cuivre*socio=ec, du*socio=rien plomb*socio=ec, du*socio=rien nickel*socio=ec et du*socio=rien zinc*socio=ec. Le *socio=rien cours du cuivre*socio=ec *socio=nil n'a cependant accusé qu'une *socio=rien légère baisse *socio=nil depuis 1989, restant à *socio=rien un niveau relativement*socio=nil élevé par*socio=nil rapport *socio=nil aux autres métaux*socio=ec. Apparemment, cela tient avant tout à la persistance*socio=rien de problèmes*socio=uv de production*socio=ec, en particulier*socio=uv au Zaïre*socio=ac et en Zambie*socio=ac, et à la crainte*socio=rien d'une importante*socio=rien perturbation*socio=uv des *socio=rien livraisons du Chili*socio=ac.*socio=nil Au*socio=nil lendemain *socio=nil de la crise*socio=uv du*socio=rien Golfe*socio=te, les prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec brut*socio=rien se sont orientés à la baisse*socio=rien . Leur évolution*socio=rien a été*socio=rien influencée par les ajustements*socio=et de la production*socio=ec décidés par l' organisation_des_pays_exportateurs_de_pétrole*socio=ec (OPEP*socio=ac) en fonction*socio=rien de l'évolution*socio=rien du*socio=rien marché*socio=ec. Au deuxième*socio=rien trimestre*socio=te de 1991, les pays_membres*socio=ac de l'OPEP*socio=ac ont réduit leur production*socio=ec, en *socio=rien grande partie *socio=nil pour tenter de résorber les *socio=ec stocks excédentaires *socio=nil constitués dans la crainte*socio=rien que la guerre*socio=et ne perturbe les approvisionnements*socio=ec et en *socio=rien prévision du fléchissement saisonnier *socio=nil de la demande*socio=ec. Toutefois, au *socio=rien deuxième semestre,*socio=nil la*socio=nil production*socio=ec *socio=nil de l'OPEP*socio=ac a augmenté d'environ 1,2 million*socio=rien de barils*socio=rien par jour*socio=rien , en partie*socio=rien pour faire face*socio=rien à l'accroissement*socio=ec saisonnier*socio=rien de la demande*socio=ec et pour compenser la réduction*socio=uv des livraisons*socio=rien des pays*socio=ac non membres*socio=rien de l'OPEP*socio=ac, en particulier*socio=uv de l'union_soviétique*socio=ac. Cette augmentation*socio=uv ayant coïncidé avec la *socio=ec récession économique et*socio=nil *socio=rien un hiver doux *socio=nil dans l'hémisphère*socio=te Nord*socio=te, les stocks*socio=ec ont augmenté et les prix*socio=ec ont baissé. Les *socio=rien tendances du commerce*socio=ec mondial*socio=te.*socio=nil La*socio=nil croissance*socio=uv du volume du commerce*socio=ec mondial*socio=te s'*socio=nil est *socio=nil ralentie en 1991, tombant à 3% (voir Tableau*socio=rien 2-7), ce qui contraste nettement avec sa vigoureuse*socio=rien expansion*socio=ec (de 7 à 9%) à la fin*socio=rien des années*socio=rien 80. En dollars*socio=ec courants*socio=rien , les exportations*socio=ec n'ont progressé que de 1,5% en 1991, contre 13,5% en 1990. Le nivellement des prix*socio=ec à l'exportation*socio=ec en dollars*socio=ec a été*socio=rien dû à l'appréciation du*socio=rien dollar*socio=ec en 1991, après*socio=rien sa dépréciation*socio=ec en 1990, à la hausse*socio=rien puis à la baisse*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec, et au *socio=rien fléchissement continu des*socio=nil prix*socio=ec *socio=nil des autres produits*socio=rien de base*socio=rien . Le ralentissement*socio=uv de l'activité*socio=rien économique*socio=ec s'est*socio=rien répercuté aussi sur*socio=rien les échanges*socio=ec de *socio=ec services commerciaux,*socio=nil *socio=nil qui n'ont progressé que de 5%, au lieu*socio=rien de 17% en 1990. La faible*socio=rien croissance*socio=uv du*socio=rien commerce*socio=ec mondial*socio=te s'explique en *socio=rien grande partie *socio=nil par le fléchissement*socio=rien de la demande*socio=ec de produits*socio=rien importés dans les *socio=ac pays industriels,*socio=nil *socio=nil mais elle a été*socio=rien aggravée par l'effondrement*socio=rien quasi total*socio=rien des échanges*socio=ec entre les anciens*socio=rien pays_membres*socio=ac du*socio=rien COMECON*socio=ac. Dans les *socio=ac pays industriels,*socio=nil le*socio=nil tassement*socio=rien des*socio=nil dépenses*socio=ec d'*socio=nil investissement*socio=ec,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=uv en*socio=nil amérique_du_nord *socio=nil et au Japon*socio=ac, a entraîné une contraction*socio=et des exportations*socio=ec de biens*socio=ec d'équipement*socio=ec. Certains de ces *socio=rien facteurs négatifs *socio=nil semblaient s'atténuer au début*socio=rien de 1992 et, d'après*socio=rien des chiffres préliminaires*socio=rien , la croissance*socio=uv du*socio=rien commerce*socio=ec mondial*socio=te pourrait avoir amorcé une reprise au *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1991. Plusieurs facteurs*socio=rien ont cependant contribué à soutenir la croissance*socio=uv du*socio=rien commerce*socio=ec international*socio=te en 1991: - La réunification*socio=et de l'Allemagne*socio=ac, qui s'est*socio=rien traduite non seulement par la forte*socio=rien augmentation*socio=uv (11%) *socio=rien du volume des*socio=nil importations*socio=ec allemandes*socio=ac *socio=nil mais aussi par la bonne*socio=rien tenue de la production*socio=ec et des exportations*socio=ec dans les pays*socio=ac voisins*socio=rien , partenaires*socio=uv commerciaux*socio=ec de l'Allemagne*socio=ac, a stimulé les échanges*socio=ec intra-européens. - La demande*socio=ec de produits*socio=rien importés est*socio=rien restée ferme*socio=ec en Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien , où elle a été*socio=rien soutenue par l'accroissement*socio=ec rapide*socio=rien de la demande*socio=ec intérieure*socio=rien dans les pays*socio=ac d'Asie_du_sud-est*socio=ac et par une forte*socio=rien reprise des importations*socio=ec chinoises, qui ont progressé de 18%. En 1991, le commerce*socio=ec entre les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien a augmenté de 17% (en dollars*socio=ec), contre 15% l'année*socio=rien précédente*socio=rien . - La reprise économique*socio=ec en cours*socio=rien dans plusieurs pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac a fortement stimulé les importations*socio=ec de la région*socio=te, dont le volume*socio=rien a augmenté de 10,5%. Toutefois, en valeur*socio=ec, seules*socio=rien les exportations*socio=ec de l'amérique_du_nord*socio=ac et de l'Asie*socio=ac ont progressé, augmentant, respectivement, de 5,5% et de 11,5%, alors que dans les autres régions*socio=te elles ont diminué, principalement par suite*socio=rien de la baisse*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec et des autres produits*socio=rien de base*socio=rien . Dans les pays_en_développement*socio=ac, les *socio=rien résultats du commerce*socio=ec de*socio=nil marchandises*socio=ec ont*socio=nil été très*socio=nil disparates *socio=nil d'une région*socio=te à l'autre. En Asie*socio=ac, le volume*socio=rien des exportations*socio=ec et des importations*socio=ec a continué de croître, de 10,5% et 10%, respectivement, principalement grâce*socio=rien au dynamisme*socio=uv des principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac d'articles*socio=rien manufacturés et à la vigueur*socio=uv du*socio=rien commerce*socio=ec intrarégional*socio=te. En amérique_latine*socio=ac, les importations*socio=ec ont augmenté de plus de 10% et les exportations*socio=ec de 4%. Les exportations*socio=ec de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac se sont nettement redressées, augmentant de 2,5%, alors qu'elles avaient diminué de 4,1% l'année*socio=rien précédente*socio=rien . Les importations*socio=ec, qui stagnaient, ont elles aussi repris, progressant de 2%. Les exportations*socio=ec du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et de l'Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te ont brusquement fléchi (de 15%), par suite*socio=rien de la crise*socio=uv du*socio=rien Golfe*socio=te et de la baisse*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec. Les importations*socio=ec de la région*socio=te se sont effondrées, diminuant de 12%. En Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te, la forte*socio=rien contraction*socio=et *socio=rien du volume des*socio=nil échanges*socio=ec s'*socio=nil est *socio=nil poursuivie. La croissance*socio=uv du*socio=rien commerce*socio=ec des *socio=ac pays industriels a*socio=nil *socio=rien été faible:*socio=nil les*socio=nil exportations*socio=ec du Japon*socio=ac *socio=nil ont progressé de 3% en moyenne*socio=rien , alors que celles des pays_membres*socio=ac de la *socio=ac Communauté européenne *socio=nil (CE) ont enregistré une croissance*socio=uv de 2,5%, inférieure*socio=rien à la moyenne*socio=rien . Seule*socio=rien l'amérique_du_nord*socio=ac a vu ses exportations*socio=ec croître rapidement en volume*socio=rien (6,5%). La tenue des importations*socio=ec a été*socio=rien à peine meilleure*socio=rien : celles du*socio=rien Japon*socio=ac ont augmenté de 3% et celles de l'amérique_du_nord*socio=ac ont stagné; seule*socio=rien la *socio=ac Communauté européenne *socio=nil a vu ses importations*socio=ec augmenter à *socio=rien un rythme supérieur *socio=nil à la moyenne*socio=rien (4,5%). Les négociations_commerciales_multilatérales*socio=te de l'uruguay_round*socio=ec, qui se sont poursuivies sous les auspices*socio=rien de l'accord_général*socio=rien sur*socio=rien les tarifs*socio=ec douaniers*socio=ac et le commerce*socio=ec (GATT*socio=ec), n'ont toujours pas *socio=rien débouché sur un accord*socio=et,*socio=nil *socio=nil et leur issue*socio=rien demeure incertaine*socio=rien . Le projet*socio=rien d'Acte final*socio=rien ne répond pas à tous les objectifs*socio=rien des participants*socio=ac, ni au désir*socio=rien de libéralisation*socio=ec du*socio=rien commerce*socio=ec exprimé dans la Déclaration_de_punta_del_este. La *socio=ac Communauté européenne est*socio=rien *socio=nil cependant parvenue, à la mi-mai, à un*socio=rien accord*socio=et sur*socio=rien une nouvelle*socio=rien politique*socio=et agricole*socio=ec commune*socio=uv, prévoyant des réductions*socio=uv substantielles*socio=rien des mesures*socio=rien de soutien*socio=uv aux prix*socio=ec des céréales*socio=ec et l'abaissement*socio=rien des plafonds*socio=rien de production*socio=ec, ce qui a créé *socio=rien un climat plus*socio=nil favorable *socio=nil pour les négociations*socio=uv. Même si celles-ci aboutissent à un*socio=rien accord*socio=et, il restera fort*socio=rien à faire pour assurer l'existence*socio=rien de marchés*socio=ec ouverts*socio=rien , permettant à tous les pays*socio=ac de tirer pleinement profit*socio=ec de la spécialisation*socio=uv dans le *socio=rien cadre du commerce*socio=ec international*socio=te.*socio=nil *socio=nil Il y a cependant lieu*socio=rien de penser que des engagements*socio=ec seront pris en vue*socio=rien de l'abaissement*socio=rien d'au moins 30% des droits*socio=uv de douane*socio=ac sur*socio=rien les marchandises*socio=ec, de la réduction*socio=uv des subventions*socio=ec à l'exportation*socio=ec et des mesures*socio=rien de soutien*socio=uv intérieur*socio=rien en *socio=rien faveur du *socio=ec secteur agricole,*socio=nil *socio=nil de l'abolition*socio=uv des restrictions*socio=uv quantitatives*socio=rien frappant les textiles*socio=ec et le vêtement*socio=ec, de la suppression*socio=rien des *socio=uv restrictions volontaires *socio=nil à l'exportation*socio=ec et de l'élargissement*socio=rien de l'accès*socio=uv aux marchés*socio=ec dans le domaine*socio=rien des services*socio=ec. Les avantages*socio=rien économiques*socio=ec de la libéralisation*socio=ec du*socio=rien commerce*socio=ec pour les pays_en_développement*socio=ac sont difficiles*socio=rien à chiffrer avec précision*socio=rien , bien*socio=rien que plusieurs études*socio=rien aient tenté de le faire. Même d'après*socio=rien les estimations*socio=ec les plus prudentes*socio=rien , la libéralisation*socio=ec du*socio=rien commerce*socio=ec avec les *socio=ac pays industriels *socio=nil procurerait aux pays_en_développement*socio=ac des gains*socio=ec au moins équivalents*socio=rien aux quelque 50 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec qu'ils reçoivent annuellement au titre*socio=rien de l'aide_publique_au_développement*socio=et. Toutefois, les pays_en_développement*socio=ac ne profiteraient pas tous autant de la libéralisation*socio=ec du*socio=rien commerce*socio=ec multilatéral*socio=te. Certains *socio=ac pays importateurs de*socio=nil *socio=rien produits alimentaires *socio=nil craignent qu'elle entraîne une hausse*socio=rien des prix*socio=ec des produits*socio=rien agricoles*socio=ec et une détérioration*socio=uv de leurs termes_de_l'_échange*socio=et. Si tel était le cas*socio=rien , les *socio=ac pays importateurs nets*socio=rien de*socio=nil *socio=rien produits alimentaires *socio=nil pourraient avoir besoin*socio=uv d'une aide_financière*socio=et ou autre pendant qu'ils s'adapteront aux nouveaux*socio=rien prix*socio=ec relatifs*socio=rien . D'autres pays*socio=ac, en particulier*socio=uv ceux d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac et des Caraïbes*socio=ac, craignent que la libéralisation*socio=ec du*socio=rien commerce*socio=ec multilatéral*socio=te entraîne la réduction*socio=uv ou la disparition*socio=rien de leurs marges préférentielles et, partant, la contraction*socio=et de leurs exportations*socio=ec. Certains d'entre eux auront peut-être également besoin*socio=uv d'un*socio=rien soutien*socio=uv transitoire pour s'adapter*socio=rien . Quoiqu'il en soit, d'une *socio=rien manière générale,*socio=nil l'*socio=nil heureux aboutissement des*socio=nil négociations*socio=uv *socio=nil de l'uruguay_round*socio=ec procurerait des avantages*socio=rien économiques*socio=ec substantiels*socio=rien tant aux *socio=ac pays industriels *socio=nil qu'aux pays_en_développement*socio=ac. En revanche, en cas*socio=rien d'échec*socio=uv, il serait politiquement*socio=et difficile*socio=rien pour les pays_en_développement*socio=ac qui ont entrepris des réformes*socio=et commerciales*socio=ec, ou qui envisagent de le faire, de continuer sur*socio=rien la voie*socio=rien de la libéralisation*socio=ec. Depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 80, les accords*socio=et commerciaux*socio=ec régionaux*socio=te suscitent un*socio=rien intérêt*socio=uv de plus en plus grand*socio=rien . Les arrangements*socio=et existants*socio=rien sont réactivés et élargis (du*socio=rien point*socio=rien de *socio=rien vue du nombre de*socio=nil participants*socio=ac et*socio=nil du champ d'*socio=nil application)*socio=nil *socio=nil et de nouveaux*socio=rien groupements*socio=te sont en train*socio=rien de se constituer ou sont envisagés. L'idée*socio=rien que de tels arrangements*socio=et peuvent faire avancer les négociations*socio=uv multilatérales*socio=te - en encourageant l'ouverture*socio=rien des marchés*socio=ec - sous-tend parfois ces efforts*socio=uv. *socio=rien Certaines initiatives,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=uv en*socio=nil amérique_latine*socio=ac,*socio=nil *socio=nil sont nées de l'échec*socio=uv de politiques*socio=et de protection*socio=et autocentrées, qui n'ont pas réussi à stimuler la croissance_économique*socio=ec. De nombreux*socio=rien pays*socio=ac considèrent que des liens*socio=rien avec un*socio=rien partenaire*socio=uv commercial*socio=ec fort*socio=rien , dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien arrangement*socio=uv commercial*socio=ec plus ouvert*socio=rien , auraient *socio=rien un effet stimulant*socio=nil sur la*socio=nil production*socio=ec intérieure *socio=nil et encourageraient l'affectation*socio=rien plus efficace*socio=uv des ressources*socio=ec, en introduisant et en favorisant une concurrence*socio=ec plus active*socio=uv. Quelle que soit leur raison_d'_être*socio=et, les accords*socio=et commerciaux*socio=ec régionaux*socio=te constituent *socio=rien un élément significatif *socio=nil de l'environnement*socio=ec commercial*socio=ec international*socio=te. A l'exception*socio=rien non *socio=rien négligeable du Japon*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil plupart des*socio=nil pays_membres*socio=ac du GATT*socio=ec font*socio=nil partie,*socio=nil *socio=nil sous une forme*socio=rien ou sous une autre, d'un*socio=rien système*socio=rien commercial*socio=ec préférentiel*socio=et. Les pays*socio=ac appartenant aux deux plus vastes*socio=rien zones*socio=te de libre-échange*socio=ec envisagées - l'Espace*socio=rien économique*socio=ec européen*socio=ac et la Zone*socio=rien de libre-échange*socio=ec de l'amérique_du_nord*socio=ac -représenteraient ensemble*socio=rien 65% des *socio=ec importations mondiales *socio=nil et 47% des exportations*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac. Bien*socio=rien que les *socio=te groupements régionaux *socio=nil ne constituent pas nécessairement une menace*socio=rien pour le multilatéralisme, les risques*socio=uv inhérents*socio=rien aux *socio=rien nouvelles initiatives *socio=nil sont de mieux en mieux perçus. Par définition*socio=rien , les accords*socio=et régionaux*socio=te, en offrant des *socio=rien avantages particuliers *socio=nil à leurs pays_membres*socio=ac, peuvent être*socio=rien discriminatoires*socio=uv. Or*socio=rien , seuls*socio=rien des échanges*socio=ec non discriminatoires*socio=uv peuvent garantir pleinement le maximum*socio=rien d'avantages*socio=rien à toutes les parties*socio=rien . Non seulement les arrangements*socio=et régionaux*socio=te autocentrés entraînent *socio=rien un déplacement des*socio=nil courants commerciaux*socio=ec normaux,*socio=nil *socio=nil mais encore ils risquent de provoquer le détournement des flux*socio=ec d'investissements*socio=ec et de technologies*socio=ec qui, sans cela, seraient allés à des pays*socio=ac qui n'y participent pas. Certains craignent aussi que l'accession élargie à des accords*socio=et comportant des éléments*socio=rien de protection*socio=et intensifie les restrictions*socio=uv, au lieu*socio=rien de les limiter*socio=rien . L'expérience*socio=uv a montré clairement qu'il y a des limites*socio=rien aux *socio=rien possibilités offertes *socio=nil par les arrangements*socio=et régionaux*socio=te de libéraliser les secteurs*socio=ec les plus protégés*socio=rien , où les difficultés*socio=rien sont les plus grandes*socio=rien . On court*socio=rien également le danger*socio=uv, ainsi que certains l'ont exprimé, que l'attention*socio=rien ne soit détournée des négociations_commerciales_multilatérales*socio=te, ce qui compromettrait leurs chances*socio=rien de succès*socio=uv, quelque forte*socio=rien que soit la volonté_politique*socio=et de parvenir à un*socio=rien accord*socio=et. Pour éviter ces risques*socio=uv, il faut que les accords*socio=et commerciaux*socio=ec régionaux*socio=te restent tournés vers l'extérieur*socio=ec. L'idéal serait qu'ils réduisent les obstacles*socio=rien au commerce*socio=ec érigés à l'encontre*socio=rien des pays*socio=ac non signataires*socio=rien et qu'ils suppriment le plus rapidement possible*socio=rien tous les *socio=rien obstacles internes au*socio=nil commerce*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Si leurs membres*socio=rien appliquent des mesures*socio=rien entravant considérablement*socio=rien le commerce*socio=ec avec les pays*socio=ac non membres*socio=rien , il faudrait en réduire au maximum*socio=rien la portée*socio=rien afin d'éviter le détournement des courants*socio=rien commerciaux*socio=ec et la *socio=rien mauvaise affectation des*socio=nil ressources*socio=ec.*socio=nil *socio=nil A cet égard*socio=rien , la réussite*socio=uv des négociations*socio=uv de l'uruguay_round*socio=ec permettrait de limiter*socio=rien les effets*socio=rien préjudiciables*socio=et que peuvent avoir des arrangements*socio=et commerciaux*socio=ec préférentiels. L'environnement*socio=ec. Les préparatifs et la convocation, en juin*socio=rien 1992, de la conférence_des_nations_unies*socio=ac sur*socio=rien l'environnement_et_le_développement*socio=ac (CNUED*socio=ac) ont été*socio=rien au centre*socio=rien des préoccupations*socio=uv concernant l'environnement*socio=ec de l'exercice*socio=rien 92. Les délégations de 178 pays*socio=ac ont assisté*socio=rien à cette conférence*socio=rien , qui devait définir*socio=rien une stratégie*socio=et de développement*socio=uv écologiquement viable*socio=uv pour les décennies*socio=rien à venir. Deux conventions*socio=et - l'une sur*socio=rien les changements*socio=uv climatiques*socio=et et l'autre sur*socio=rien la *socio=rien diversité biologique *socio=nil - ont été*socio=rien signées lors*socio=rien de cette conférence*socio=rien . La convention*socio=et relative*socio=rien aux changements*socio=uv climatiques*socio=et fixe comme condition*socio=rien non contraignante*socio=uv que les nations*socio=te industrielles*socio=ec essaient de réduire d'ici à l'an*socio=rien 2000 leurs émissions*socio=rien de gaz*socio=ec à effet*socio=rien de serre à leurs niveaux*socio=rien de 1990. Les *socio=ac pays industriels *socio=nil et les pays_en_développement*socio=ac sont tenus d'élaborer des plans*socio=rien en vue*socio=rien de maîtriser*socio=rien leurs émissions*socio=rien qui, pour les seconds*socio=rien , sont appelées à augmenter très sensiblement. Cette convention*socio=et engage également les nations*socio=te industrielles*socio=ec à apporter leur appui*socio=rien financier*socio=ec aux pays_en_développement*socio=ac pour cette tâche*socio=rien . Le traité*socio=rien entrera en vigueur*socio=uv lorsque 50 nations*socio=te l'auront ratifié. Aux termes*socio=rien de la convention*socio=et relative*socio=rien à la *socio=rien diversité biologique,*socio=nil les*socio=nil signataires *socio=nil sont tenus de prendre des mesures*socio=rien visant à ralentir la disparition*socio=rien d'espèces*socio=rien végétales et animales. Ils doivent également partager les travaux*socio=rien de recherche*socio=ec, les bénéfices*socio=ec et les technologies*socio=ec avec les pays*socio=ac dont ils utilisent les ressources*socio=ec génétiques. Pour entrer en vigueur*socio=uv, ce traité*socio=rien devra être*socio=rien ratifié par 30 nations*socio=te. Le Fonds_pour_l'_environnement_mondial*socio=ac, projet*socio=rien pilote de trois ans*socio=rien mis en oeuvre*socio=rien conjointement par la Banque*socio=ac, le programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac et le programme_des_nations_unies_pour_l'environnement*socio=ec, a été*socio=rien conçu comme mécanisme*socio=rien de financement*socio=ec intérimaire*socio=rien de ces deux conventions*socio=et. "Action*socio=rien 21", plan*socio=rien d'action*socio=rien de 800 pages*socio=rien pour un*socio=rien *socio=uv développement respectueux *socio=nil de l'environnement*socio=ec, qui traite de questions*socio=rien telles que la pollution*socio=et des océans, les déchets*socio=ec dangereux*socio=rien , la santé*socio=et humaine, la pauvreté*socio=uv et la promotion*socio=uv des femmes*socio=ac, a été*socio=rien adoptée par les délégués*socio=ac à la CNUED*socio=ac, de même que la "Déclaration_de_rio*socio=et", énoncé de principes*socio=uv, n'ayant pas force*socio=uv exécutoire*socio=rien , destiné à guider la politique*socio=et à l'égard*socio=rien de l'environnement*socio=ec, qui prône la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec comme l'un*socio=rien des *socio=rien aspects du développement_économique*socio=ec *socio=nil et la sauvegarde*socio=uv des systèmes*socio=rien écologiques*socio=et des autres nations*socio=te, et qui recommande que l'on accorde la priorité*socio=uv aux besoins*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac les "plus vulnérables*socio=uv sur*socio=rien le plan*socio=rien de l'environnement*socio=ec". Il a été*socio=rien convenu également qu'une nouvelle*socio=rien institution*socio=ac, la Commission*socio=ac sur*socio=rien le développement_durable*socio=ec, serait mise en place*socio=rien pour surveiller le respect*socio=uv des objectifs*socio=rien de la conférence*socio=rien à l'égard*socio=rien de l'environnement*socio=ec et faire l'inventaire*socio=ec des *socio=ec ressources financière *socio=nil qui peuvent être*socio=rien consacrées à la réalisation*socio=uv de ces objectifs*socio=rien . La création*socio=rien de cette commission*socio=ac doit être*socio=rien ratifiée par la prochaine*socio=rien assemblée*socio=ac générale*socio=rien des nations_unies*socio=ac, en septembre*socio=rien 1992. Un*socio=rien énoncé de principes*socio=uv relatifs*socio=rien aux forêts*socio=et, à caractère*socio=rien non contraignant*socio=uv, qui recommande que les pays*socio=ac évaluent l'incidence*socio=rien du*socio=rien développement_économique*socio=ec sur*socio=rien leurs forêts*socio=et et prennent des mesures*socio=rien , individuellement et collectivement*socio=rien , pour limiter*socio=rien le plus possible*socio=rien les dommages*socio=rien causés, a aussi été*socio=rien adopté. M: Maurice*socio=rien Strong, *socio=ac Secrétaire exécutif *socio=nil de la conférence*socio=rien , a défini*socio=rien celle-ci comme un*socio=rien "point*socio=rien de départ*socio=rien , non pas un*socio=rien expédient", et M: Fernando Collor de Mello, *socio=rien Président du Brésil*socio=ac,*socio=nil pays*socio=ac hôte *socio=nil de la conférence*socio=rien , a déclaré aux délégués*socio=ac que la CNUED*socio=ac avait consacré l'idée*socio=rien que le développement*socio=uv humain*socio=ac et la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec sont inexorablement liés. Chapitre*socio=rien trois: La banque_mondiale*socio=ac - exercice*socio=rien 92. La mise en oeuvre*socio=rien de la stratégie*socio=et de la Banque*socio=ac dans la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. L'édition*socio=rien 1990 *socio=rien du Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien , publication*socio=et de la Banque*socio=ac, constituait une grande*socio=rien étude*socio=ac sur*socio=rien la pauvreté*socio=uv. Il y était recommandé que les pays_en_développement*socio=ac adoptent une stratégie*socio=et à deux volets*socio=rien qui leur permettrait de faire reculer la pauvreté*socio=uv avec le maximum*socio=rien d'efficacité*socio=uv. Il s'agissait, d'une part*socio=rien , d'encourager une croissance_économique*socio=ec reposant sur*socio=rien une *socio=rien large base *socio=nil et de nature*socio=rien à générer une demande*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac, d'autre part*socio=rien , de fournir des services*socio=ec dans les secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac - en particulier*socio=uv l'enseignement*socio=et primaire*socio=et, les soins_de_santé*socio=et de base*socio=rien , le planning*socio=rien familial*socio=uv et la nutrition*socio=rien pour améliorer les conditions_de_vie*socio=uv des pauvres*socio=ac et leur donner les moyens*socio=ec de mettre à profit*socio=ec toutes les possibilités*socio=rien de gain*socio=ec que peut engendrer la croissance_économique*socio=ec. La mise en place*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien de transferts*socio=et et de dispositifs*socio=rien de protection_sociale*socio=et ciblés pour venir en aide*socio=uv à ceux qui ne sont pas en mesure*socio=rien d'exploiter ces *socio=rien possibilités est une*socio=nil composante supplémentaire,*socio=nil mais*socio=nil essentielle*socio=uv,*socio=nil *socio=nil de cette stratégie*socio=et. A la lumière*socio=rien des *socio=rien conclusions du Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1990, des mesures*socio=rien ont *socio=rien été prises,*socio=nil *socio=nil pendant l'exercice*socio=rien 91, pour intégrer pleinement cette double*socio=rien stratégie*socio=et de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv dans les opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac. L'urgence*socio=rien de l'action*socio=rien s'impose d'elle-même: d'après*socio=rien le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1992, le nombre*socio=rien de pauvres*socio=ac s'est*socio=rien accru presque au même rythme*socio=rien que la population*socio=ac mondiale*socio=te entre 1985 et 1990. Le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1990 avait ouvert*socio=rien une *socio=rien voie grâce *socio=nil à laquelle il devait *socio=rien être possible *socio=nil de réduire de 300 millions*socio=rien le nombre*socio=rien de pauvres*socio=ac dans le monde*socio=te entre 1985 et l'an*socio=rien 2000. D'après*socio=rien l'édition*socio=rien de 1992 *socio=rien du Rapport,*socio=nil cet*socio=nil objectif *socio=nil ne semble plus être*socio=rien réaliste*socio=uv, à cause*socio=rien notamment de la gravité de la récession*socio=ec ambiante et de l'évolution*socio=rien décevante*socio=rien de la situation*socio=uv entre 1985 et 1990; en fait*socio=rien , le nombre*socio=rien d'êtres_humains*socio=ac à vivre*socio=rien dans la pauvreté*socio=uv absolue*socio=rien à la *socio=rien fin du siècle *socio=nil sera probablement plus élevé*socio=rien qu'il ne l'était en 1985. Deux *socio=rien éléments clés *socio=nil caractérisent l'action*socio=rien de la Banque*socio=ac en vue*socio=rien de lutter contre la pauvreté*socio=uv. Le premier*socio=rien consiste à évaluer la pauvreté*socio=uv, dans chaque pays*socio=ac, de façon*socio=rien à a) déterminer si les politiques*socio=et, les dépenses_publiques*socio=et et les institutions*socio=ac des divers pays*socio=ac contribuent à la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv et b) recommander les *socio=rien mesures correctives *socio=nil à prendre. Le *socio=rien second élément *socio=nil consiste à formuler des stratégies*socio=et adaptées à chaque pays*socio=ac, de manière*socio=rien à garantir que les programmes*socio=et de la Banque*socio=ac soutiennent en les complétant leurs efforts*socio=uv déployés à l'échelon*socio=rien national*socio=te pour faire reculer la pauvreté*socio=uv. Évaluer la pauvreté*socio=uv. Les bilans*socio=rien de la pauvreté*socio=uv jettent les bases*socio=rien d'une coopération*socio=uv entre les dirigeants*socio=ac nationaux*socio=te et la Banque*socio=ac pour lutter contre la pauvreté*socio=uv. Ils servent aussi à définir*socio=rien les questions*socio=rien qui doivent être*socio=rien abordées dans le dialogue*socio=uv de politique*socio=et générale*socio=rien qu'entretiennent les gouvernements*socio=ac avec la Banque*socio=ac comme avec les autres bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec. La portée*socio=rien de ces évaluations*socio=uv de la pauvreté*socio=uv varie nécessairement d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, selon la situation*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac, la volonté_politique*socio=et de combattre*socio=rien la pauvreté*socio=uv et la nature*socio=rien des données disponibles*socio=rien . A partir de ces bilans*socio=rien sont proposées des recommandations*socio=rien d'action*socio=rien à l'intention*socio=rien des gouvernants*socio=rien , sous la forme*socio=rien notamment de programmes*socio=et échelonnés de réformes*socio=et, d'une réaffectation des dépenses_publiques*socio=et et d'un*socio=rien renforcement*socio=uv des institutions*socio=ac qui s'occupent de la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. Ces recommandations*socio=rien sont fondées sur*socio=rien une évaluation*socio=uv a) des *socio=ec moyens financiers et*socio=nil institutionnels*socio=ac *socio=nil dont disposent les pouvoirs_publics*socio=ac pour mettre en oeuvre*socio=rien les programmes*socio=et et les mesures*socio=rien de réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv et b) de la situation*socio=uv politique*socio=et et économique*socio=ec du*socio=rien pays*socio=ac. A la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, de tels bilans*socio=rien de la pauvreté*socio=uv avaient été*socio=rien réalisés dans 20 pays*socio=ac (voir Tableau*socio=rien 3-1). D'ici la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 95, il est*socio=rien prévu de mener à bien*socio=rien 85 évaluations*socio=uv de ce type*socio=rien . Le nombre*socio=rien des bilans*socio=rien de la pauvreté*socio=uv déjà effectuées varie selon les bureaux*socio=rien régionaux*socio=te de la Banque*socio=ac, qui sont au nombre*socio=rien de six. La couverture*socio=rien géographique*socio=te de l'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien et de l'Asie_du_sud*socio=ac, où vivent plus des deux tiers*socio=rien des pauvres*socio=ac des pays_en_développement*socio=ac, est*socio=rien presque complète (sauf pour les pays*socio=ac devenus récemment des emprunteurs*socio=ac actifs*socio=rien ), et les *socio=rien travaux relatifs *socio=nil aux trois bilans*socio=rien qui devraient être*socio=rien menés à bien*socio=rien pendant l'exercice*socio=rien 93 ont débuté. Assez détaillées et complets*socio=rien , la plupart*socio=rien des évaluations*socio=uv analysent le cadre*socio=rien de politique*socio=et général*socio=rien , les secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac et l'efficacité*socio=uv d'interventions*socio=et ciblées. Elles reposent pour la *socio=rien plupart sur une*socio=nil base d'*socio=nil informations de*socio=nil bonne qualité *socio=nil et, lorsque cela *socio=rien est nécessaire,*socio=nil des*socio=nil efforts*socio=uv sont*socio=nil faits en*socio=nil vue *socio=nil d'améliorer la qualité*socio=rien ou l'accessibilité*socio=uv des données. Près d'un*socio=rien tiers*socio=rien des pays*socio=ac de la région*socio=te amérique_latine_et_caraïbes*socio=ac ont procédé à de telles évaluations*socio=uv, en mettant l'accent*socio=rien principalement sur*socio=rien les secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac. Dans la *socio=rien majeure partie *socio=nil des autres pays*socio=ac de la région*socio=te, il existe une base*socio=rien d'informations*socio=rien suffisante*socio=rien , des études_économiques*socio=ec thématiques*socio=rien ont été*socio=rien faites et des bilans*socio=rien détaillés doivent être*socio=rien préparés dans les deux *socio=rien prochaines années.*socio=nil *socio=nil Dans les trois autres régions*socio=te (Afrique*socio=ac, Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te, et Europe*socio=ac et Asie*socio=ac centrale*socio=rien ), la couverture*socio=rien géographique*socio=te est*socio=rien moins étendue. Seulement trois évaluations*socio=uv sont achevées. C'est*socio=rien pour l'essentiel*socio=uv l'insuffisance*socio=rien des données et les carences des institutions*socio=ac qui expliquent la lenteur*socio=rien des progrès*socio=uv en la matière*socio=rien . Dans nombre*socio=rien de cas*socio=rien , les évaluations*socio=uv dans ces trois régions*socio=te devront se faire sur*socio=rien la base*socio=rien de données insuffisantes*socio=rien et de jugements subjectifs. Dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, il ne sera probablement pas envisageable de fonder ces évaluations*socio=uv sur*socio=rien les résultats*socio=rien d'enquêtes nationales*socio=te sur*socio=rien les ménages*socio=rien avant la *socio=rien deuxième moitié *socio=nil de la décennie*socio=rien . Il est*socio=rien néanmoins important*socio=rien qu'un*socio=rien effort*socio=uv de collecte de données soit entrepris aussitôt que possible*socio=rien dans les pays*socio=ac où elles font actuellement défaut*socio=rien . Or*socio=rien , la collecte de données, même préliminaires*socio=rien , exige des ressources*socio=ec considérables*socio=rien et les responsables*socio=uv politiques*socio=et auront besoin*socio=uv d'une assistance_technique*socio=et non seulement au stade*socio=te de la collecte, mais aussi, dans bien*socio=rien des cas*socio=rien , au stade*socio=te de l'analyse*socio=rien des données et de la formulation*socio=rien des stratégies*socio=et. Il s'agit donc d'un*socio=rien défi*socio=uv de taille, étant donné que la pauvreté*socio=uv semble s'étendre plus vite dans les pays*socio=ac où les problèmes*socio=uv sont mal*socio=rien identifiés et où les solutions*socio=rien sont mal*socio=rien connues, de même que sont limités les moyens*socio=ec dont disposent les institutions*socio=ac pour y remédier. Adapter*socio=rien les stratégies*socio=et à la spécificité*socio=uv des pays*socio=ac. Bien*socio=rien que la conception*socio=rien des stratégies*socio=et d'aide*socio=uv à un*socio=rien pays*socio=ac donné soit fonction*socio=rien de *socio=rien nombreux facteurs -*socio=nil politiques*socio=et,*socio=nil institutionnels*socio=ac et*socio=nil économiques*socio=ec *socio=nil - elle obéit cependant à des principes*socio=uv généraux*socio=rien . Le volume*socio=rien des prêts*socio=ec sera subordonné, entre autres, aux efforts*socio=uv déployés par le pays*socio=ac pour lutter contre la pauvreté*socio=uv, et la répartition*socio=uv entre les secteurs*socio=ec et à l'intérieur*socio=rien de chaque secteur*socio=ec des prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac soutiendra les efforts*socio=uv de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. La lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv est*socio=rien l'un*socio=rien des *socio=rien objectifs fondamentaux *socio=nil de toutes les stratégies*socio=et d'aide*socio=uv que soutient la Banque*socio=ac. Dans les pays*socio=ac où des bilans*socio=rien de la pauvreté*socio=uv ont *socio=rien été faits,*socio=nil *socio=nil ils ont néanmoins contribué au renforcement*socio=uv du*socio=rien dialogue*socio=uv de politique*socio=et générale*socio=rien et à la mise au point*socio=rien des programmes*socio=et de prêt*socio=ec à l'appui*socio=rien des efforts*socio=uv des gouvernements*socio=ac en matière*socio=rien de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. La mesure*socio=rien dans laquelle les enseignements*socio=et tirés de ces bilans*socio=rien se reflètent dans les stratégies*socio=et d'aide*socio=uv varie d'une région*socio=te à une autre, en partie*socio=rien selon l'ampleur*socio=rien et la nature*socio=rien de la pauvreté*socio=uv dans un*socio=rien pays*socio=ac donné, et en partie*socio=rien selon les moyens*socio=ec dont dispose le pays*socio=ac pour mener à bien*socio=rien sa propre*socio=rien évaluation*socio=uv. Dans les pays*socio=ac où aucun bilan*socio=rien de la pauvreté*socio=uv n'a encore été*socio=rien achevé ce sont souvent les *socio=rien rapports sectoriels et*socio=nil économiques*socio=ec habituels *socio=nil de la Banque*socio=ac que l'on utilise pour orienter l'élaboration*socio=rien des stratégies*socio=et d'aide*socio=uv. Dans certains cas*socio=rien , les conclusions*socio=rien d'évaluations*socio=uv faites ultérieurement obligent à modifier la stratégie*socio=et; dans d'autres cas*socio=rien , elles ne font au contraire*socio=rien que confirmer l'orientation*socio=et déjà choisie par la Banque*socio=ac. L'action*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=ac et les opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac dans les régions*socio=te de l'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien et de l'Asie_du_sud*socio=ac sont résolument axées sur*socio=rien la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. La plupart*socio=rien des évaluations*socio=uv entreprises*socio=ac sont achevées et, lorsque ce n'est*socio=rien pas encore le cas*socio=rien , la *socio=rien tâche est bien *socio=nil entamée. Globalement, le programme*socio=et de prêt*socio=ec de la Banque*socio=ac soutient la restructuration*socio=uv économique*socio=ec et la réaffectation des dépenses_publiques*socio=et vers les services_sociaux*socio=et et des investissements*socio=ec spécifiquement*socio=rien ciblés. L'évaluation*socio=uv de la pauvreté*socio=uv effectuée en Indonésie*socio=ac, par exemple*socio=rien , recommandait d'investir dans des activités*socio=rien d'exportation*socio=ec employant une main-d'_oeuvre*socio=ac abondante*socio=rien , de stimuler les cultures*socio=et autres que le riz*socio=ec ainsi que la production*socio=ec arboricole dans les petites*socio=rien exploitations*socio=ec afin de diversifier la *socio=ec production agricole *socio=nil et de renforcer les services*socio=ec d'appui*socio=rien . Il y était aussi recommandé d'élargir l'accès*socio=uv aux services_sociaux*socio=et des populations*socio=ac vivant dans les provinces*socio=ac reculées. Ces recommandations*socio=rien sont à la base*socio=rien de la stratégie*socio=et d'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac, dont le *socio=rien but est *socio=nil de réduire les distorsions*socio=uv qui affectent l'économie*socio=ec nationale*socio=te et les échanges*socio=ec, et de promouvoir la croissance*socio=uv dans les îles*socio=rien rurales*socio=te éloignées. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, par exemple*socio=rien , la BIRD*socio=ac a engagé 87,6 millions*socio=rien de dollars*socio=ec afin d'aider quelque 161 000 familles*socio=uv de cultivateurs de cinq*socio=rien des îles*socio=rien périphériques à relever leurs revenus*socio=ec, en soutenant l'aménagement*socio=rien ou l'entretien*socio=rien de petites*socio=rien plantations d'hévéas et de cocotiers grâce*socio=rien à la fourniture*socio=rien d'intrants*socio=ec, à la construction*socio=ec de pistes d'accès*socio=uv, et à des actions*socio=rien de vulgarisation*socio=rien et de formation*socio=et. En amérique_latine*socio=ac, comme en Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien et en Asie_du_sud*socio=ac, les bilans*socio=rien de la pauvreté*socio=uv déjà effectués ont influé sur*socio=rien la conception*socio=rien des stratégies*socio=et d'aide*socio=uv aux pays*socio=ac concernés. Cependant, dans environ les deux tiers*socio=rien des pays*socio=ac de la région*socio=te, ces bilans*socio=rien n'ont pas encore été*socio=rien établis. Dans ces pays*socio=ac, la Banque*socio=ac a généralement choisi d'élaborer des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et visant à jeter les bases*socio=rien d'une croissance*socio=uv de la production*socio=ec et de l'emploi*socio=ec durable*socio=rien tout en mettant en place*socio=rien des programmes_sociaux*socio=et ciblés pour protéger les groupes*socio=ac les plus vulnérables*socio=uv. Pour ce faire, il a fallu réaffecter les ressources*socio=ec propres*socio=rien des pays*socio=ac - au Mexique*socio=ac, au Panama*socio=ac, au Salvador*socio=ac et au Venezuela*socio=ac, par exemple*socio=rien - en vue*socio=rien d'éliminer les subventions*socio=ec générales*socio=rien aux *socio=rien produits alimentaires *socio=nil et de les remplacer par des programmes*socio=et ciblés dans les domaines*socio=rien de la nutrition*socio=rien et de la santé*socio=et. Une autre forme*socio=rien d'assistance*socio=et visant spécifiquement*socio=rien les couches*socio=ac défavorisées*socio=rien s'est*socio=rien traduite par l'établissement*socio=rien de fonds*socio=ec sociaux*socio=ac destinés à financer des interventions*socio=et et à mobiliser le soutien*socio=uv des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec dans des domaines*socio=rien comme l'approvisionnement*socio=ec en eau*socio=ec et l'assainissement*socio=uv, les soins_de_santé*socio=et de base*socio=rien , la nutrition*socio=rien et l'emploi*socio=ec. En *socio=ac Afrique subsaharienne,*socio=nil les*socio=nil stratégies*socio=et d'*socio=nil aide*socio=uv par*socio=nil pays *socio=nil de la Banque*socio=ac pour la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv ont dû être*socio=rien élaborées, alors qu'il n'existait pas de données ni d'analyses*socio=rien complètes. La Banque*socio=ac a soutenu des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et destinés à alléger les taxes*socio=et directes*socio=rien et indirectes qui frappent l'agriculture*socio=ec, à infléchir les termes_de_l'_échange*socio=et en *socio=rien faveur du secteur*socio=ec rural*socio=te,*socio=nil *socio=nil à supprimer les réglementations*socio=et qui limitent la croissance*socio=uv de l'emploi*socio=ec et de l'investissement_privé*socio=ec, et à réorienter les dépenses_publiques*socio=et vers les secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac et les *socio=te régions rurales.*socio=nil La*socio=nil plupart*socio=rien des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'investissement*socio=ec portent sur*socio=rien des projets*socio=rien dans les domaines*socio=rien de l'enseignement*socio=et primaire*socio=et, de la santé*socio=et, *socio=rien du planning familial*socio=uv et*socio=nil du développement*socio=uv rural*socio=te.*socio=nil *socio=nil Dans cette région*socio=te, il faudra procéder à des évaluations*socio=uv de la pauvreté*socio=uv pour confirmer que les efforts*socio=uv déployés vont dans le *socio=rien bon sens *socio=nil ou pour les réorienter si tel n'est*socio=rien pas le cas*socio=rien . Dans les pays*socio=ac de la région*socio=te Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te, relativement rares*socio=rien sont les stratégies*socio=et d'aide*socio=uv par pays*socio=ac dont la conception*socio=rien a pu bénéficier de bilans*socio=rien de la pauvreté*socio=uv achevés. Leur préparation*socio=rien a été*socio=rien différée afin que les *socio=rien travaux sectoriels de*socio=nil lutte*socio=uv *socio=nil contre la pauvreté*socio=uv commencés pendant l'exercice*socio=rien 92 et qui devaient être*socio=rien achevés au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 93 puissent être*socio=rien menés à leur terme*socio=rien . Les bilans*socio=rien de la pauvreté*socio=uv, qui seront achevés pour tous les pays*socio=ac de la région*socio=te d'ici la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, tiendront donc plus du*socio=rien résumé ou de la compilation que d'une véritable*socio=rien étude*socio=ac. En Égypte*socio=ac, le seul*socio=rien pays*socio=ac de la région*socio=te qui ait fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'un*socio=rien bilan*socio=rien de la pauvreté*socio=uv, les conclusions*socio=rien dégagées ont influé sur*socio=rien la stratégie*socio=et d'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac à divers égards*socio=rien : des actions*socio=rien ont été*socio=rien engagées en vue*socio=rien de modifier la structure*socio=ec de la croissance*socio=uv; un*socio=rien programme*socio=et d'interventions*socio=et à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil principalement axées sur*socio=rien les secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac et visant à accroître la productivité*socio=ec des pauvres*socio=ac dans les campagnes*socio=et, est*socio=rien en préparation*socio=rien ; un*socio=rien fonds*socio=ec social*socio=ac a été*socio=rien créé dans le souci*socio=rien d'offrir, dans *socio=rien un premier temps,*socio=nil un filet de*socio=nil sécurité*socio=uv *socio=nil à ceux qui ont à subir les *socio=rien retombées négatives des*socio=nil réformes*socio=et économiques*socio=ec en*socio=nil cours *socio=nil et de la crise*socio=uv du*socio=rien Golfe*socio=te; enfin, *socio=rien un travail d'*socio=nil analyse est en*socio=nil cours *socio=nil afin d'améliorer le système*socio=rien de sécurité_sociale*socio=et. Même en l'absence*socio=rien de *socio=rien bilans formels *socio=nil de la pauvreté*socio=uv, le programme*socio=et opérationnel*socio=rien pour la région*socio=te a accordé une place*socio=rien de choix*socio=uv aux activités*socio=rien visant à faire reculer la pauvreté*socio=uv. Le second*socio=rien prêt*socio=ec à l' ajustement_structurel*socio=et en *socio=rien faveur du Maroc*socio=ac,*socio=nil *socio=nil approuvé au *socio=rien cours du dernier exercice,*socio=nil en*socio=nil offre un exemple.*socio=nil L'*socio=nil opération *socio=nil s'attaquait à la pauvreté*socio=uv non seulement par une action*socio=rien visant à atténuer les coûts*socio=ec immédiats*socio=rien de l'ajustement*socio=et, mais aussi - ce qui est*socio=rien plus important*socio=rien - dans le contexte*socio=rien plus large*socio=rien d'une stratégie*socio=et à long_terme*socio=ec de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. Cette stratégie*socio=et sera intégrée au *socio=rien futur plan national*socio=te de*socio=nil développement_économique_et_social*socio=uv du gouvernement*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Dans la région*socio=te Europe*socio=ac et Asie*socio=ac centrale*socio=rien , des progrès*socio=uv notables*socio=rien ont été*socio=rien accomplis en peu de temps*socio=rien , malgré l'inexistence de données et d'analyses*socio=rien *socio=rien fiables sur la*socio=nil question *socio=nil de la pauvreté*socio=uv. Étant donné que la région*socio=te ne semble pas encore affligée d'un*socio=rien grave*socio=rien problème*socio=uv de pauvreté*socio=uv chronique*socio=rien , la priorité*socio=uv a été*socio=rien donnée à la mise en place*socio=rien de filets*socio=rien de sécurité*socio=uv permettant d'atténuer les *socio=rien retombées négatives immédiates *socio=nil que le processus*socio=rien de restructuration*socio=uv entraînera probablement pour les couches*socio=ac défavorisées*socio=rien . La stratégie*socio=et de la Banque*socio=ac a consisté à encourager les gouvernements*socio=ac à mieux cibler les *socio=rien mécanismes existants de*socio=nil soutien*socio=uv des*socio=nil revenus*socio=ec.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac aide*socio=uv *socio=nil aussi certains pays*socio=ac, comme la Bulgarie*socio=ac, la Hongrie*socio=ac, la Pologne*socio=ac et la Roumanie*socio=ac, à mettre *socio=rien sur pied des*socio=nil programmes*socio=et de*socio=nil promotion*socio=uv *socio=nil de l'emploi*socio=ec et des dispositifs*socio=rien d'indemnisation*socio=et - chômage*socio=ec qui puissent être*socio=rien maintenus durablement. Elle les encourage aussi à améliorer leurs bases*socio=rien de données pour accroître l'assistance*socio=et dont ils pourront bénéficier à l'avenir*socio=te. La Banque*socio=ac assure le suivi de ses prêts*socio=ec axés sur*socio=rien la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv à l'aide*socio=uv d'un*socio=rien système*socio=rien d'information*socio=rien qui classe*socio=rien tous les projets*socio=rien en fonction*socio=rien de leur *socio=rien objectif principal.*socio=nil *socio=nil Cette classification recense *socio=rien neuf objectifs principaux,*socio=nil *socio=nil dont la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. Parmi les projets*socio=rien qui ont pour *socio=rien objectif principal de*socio=nil combattre la*socio=nil pauvreté*socio=uv *socio=nil figurent des projets*socio=rien destinés à renforcer la productivité*socio=ec des petits*socio=rien agriculteurs*socio=ac, à offrir une instruction*socio=et de base*socio=rien , des soins_de_santé*socio=et de base*socio=rien , et des services*socio=ec de nutrition*socio=rien , d'approvisionnement*socio=ec en eau*socio=ec et d'assainissement*socio=uv, spécialement aux femmes*socio=ac et aux enfants*socio=ac et, enfin, à mettre en place*socio=rien une infrastructure*socio=ec de base*socio=rien dans les régions*socio=te où la pauvreté*socio=uv est*socio=rien concentrée. Ces projets*socio=rien peuvent aussi prendre la forme*socio=rien de fonds*socio=ec sociaux*socio=ac et de programmes*socio=et d'action*socio=rien sociale*socio=ac, destinés à l'origine*socio=rien à protéger les personnes*socio=rien pouvant avoir à souffrir des effets*socio=rien de l'ajustement*socio=et économique*socio=ec, mais qui, aujourd'hui, visent de plus en plus souvent la pauvreté*socio=uv chronique*socio=rien . Ce système*socio=rien d'information*socio=rien donne une estimation*socio=rien approximative, mais en dessous de la réalité*socio=uv, *socio=rien du volume des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil finançant directement la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. Le montant*socio=ec des prêts*socio=ec qui visent à réduire la pauvreté*socio=uv est*socio=rien sous-estimé dans la mesure*socio=rien où le classement*socio=rien ne peut attribuer aux projets*socio=rien qu'un*socio=rien *socio=rien seul objectif principal;*socio=nil *socio=nil de ce fait*socio=rien , des projets*socio=rien qui ont pour effet*socio=rien de réduire sensiblement la pauvreté*socio=uv - dans le secteur*socio=ec des ressources_humaines*socio=ec ou de l'infrastructure*socio=ec rurale*socio=te, par exemple*socio=rien - peuvent en *socio=rien être exclus.*socio=nil Un nouveau système *socio=nil de suivi des projets*socio=rien réalisés dans le *socio=rien cadre du "*socio=nil Programme_d'_interventions_ciblées*socio=et"*socio=nil est *socio=nil actuellement en préparation*socio=rien . Les projets*socio=rien y sont considérés comme "faisant reculer la pauvreté*socio=uv" s'ils satisfont à l'un*socio=rien des deux *socio=rien critères suivants:*socio=nil *socio=nil ils comportent *socio=rien un dispositif spécifique *socio=nil permettant d'identifier et d'atteindre les pauvres*socio=ac, ou bien*socio=rien , si un*socio=rien tel dispositif*socio=rien n'existe pas, le nombre*socio=rien de pauvres*socio=ac participant*socio=rien au projet*socio=rien dépasse de beaucoup le pourcentage*socio=rien national*socio=te de pauvres*socio=ac. D'après*socio=rien des estimations*socio=ec préliminaires*socio=rien , au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, entre 12 et 15% des prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac entraient dans cette catégorie*socio=rien . Par ailleurs*socio=rien , la Banque*socio=ac s'efforce de mobiliser la population*socio=ac locale*socio=te et de faire participer les organisations_non_gouvernementales*socio=ac (ONG*socio=ac) à la conception*socio=rien et à la mise en oeuvre*socio=rien de ses projets*socio=rien ciblés pour en garantir l'efficacité*socio=uv. Lorsqu'il y a participation*socio=uv de la communauté*socio=ac locale*socio=te - les faits*socio=rien sont là pour le démontrer -, les efforts*socio=uv de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv donnent de *socio=rien meilleurs résultats.*socio=nil *socio=nil Dans le cadre*socio=rien de ces efforts*socio=uv, la Banque*socio=ac apporte son concours à *socio=rien un nombre croissant d'*socio=nil évaluations*socio=uv des*socio=nil bénéficiaires*socio=ac,*socio=nil *socio=nil effectuées par *socio=rien un personnel local*socio=te *socio=nil auquel elle dispense ses conseils*socio=ac. Ces études*socio=rien permettent d'évaluer les conditions*socio=uv socio-culturelles dans lesquelles évoluent les *socio=ac populations bénéficiaires,*socio=nil de*socio=nil manière*socio=rien *socio=nil à faire en sorte*socio=rien que les projets*socio=rien profitent bien*socio=rien aux groupes*socio=ac cibles et que l'infrastructure*socio=ec et les services*socio=ec que proposent les projets*socio=rien répondent bien*socio=rien à leurs besoins*socio=uv. Vingt*socio=rien évaluations*socio=uv de ce type*socio=rien devraient être*socio=rien achevées d'ici la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 93. Améliorer les bases*socio=rien de données: les progrès*socio=uv accomplis. Aider les pays*socio=ac à améliorer la qualité*socio=rien et la fiabilité*socio=uv de leurs *socio=rien statistiques sur la*socio=nil pauvreté*socio=uv constitue*socio=nil un élément important des*socio=nil stratégies*socio=et d'*socio=nil aide*socio=uv par*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Afin d'améliorer les données sur*socio=rien les ménages*socio=rien , la Banque*socio=ac accorde un*socio=rien soutien*socio=uv financier*socio=ec et une assistance_technique*socio=et en vue*socio=rien de la réalisation*socio=uv de l'Étude*socio=ac sur*socio=rien la mesure*socio=rien des niveaux_de_vie*socio=uv et, dans la région*socio=te Afrique*socio=ac, du*socio=rien programme*socio=et sur*socio=rien les Dimensions*socio=rien sociales*socio=ac de l'ajustement*socio=et. Il faut toutefois faire bien*socio=rien davantage pour améliorer les capacités*socio=rien de collecte et d'analyse*socio=rien des données dans les pays_en_développement*socio=ac. Les insuffisances*socio=rien des institutions*socio=ac et, parfois, la situation*socio=uv politique*socio=et difficile*socio=rien sont les *socio=rien principaux obstacles *socio=nil à surmonter, notamment en *socio=ac Afrique subsaharienne.*socio=nil *socio=nil Remédier aux carences des institutions*socio=ac étant une entreprise*socio=ac de *socio=rien longue haleine,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac continue *socio=nil d'encourager les enquêtes sur*socio=rien les ménages*socio=rien tout en rassemblant d'autres données suffisamment solides*socio=rien pour pouvoir*socio=et servir à l'établissement*socio=rien des bilans*socio=rien de la pauvreté*socio=uv. Guider le personnel*socio=rien de la Banque*socio=ac. Afin de le guider dans la mise en oeuvre*socio=rien de la stratégie*socio=et à deux volets*socio=rien , une *socio=rien directive opérationnelle et*socio=nil un manuel *socio=nil intitulé: Éléments*socio=rien d'une stratégie*socio=et de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv (Poverty Reduction Handbook) ont été*socio=rien préparés et distribués en cours*socio=rien d'année*socio=rien au personnel*socio=rien de la Banque*socio=ac. La *socio=rien directive présente des*socio=nil principes*socio=uv d'*socio=nil action,*socio=nil *socio=nil tandis que le manuel*socio=rien entre davantage dans le détail*socio=rien et étaye l'argumentation présentée par des exemples*socio=rien de pratiques*socio=et réussies. Dans une préface à la version*socio=rien publiée *socio=rien du manuel *socio=nil et de la *socio=rien directive opérationnelle,*socio=nil le*socio=nil président *socio=nil de la Banque*socio=ac déclarait que la réduction*socio=uv durable*socio=rien de la pauvreté*socio=uv était "l'objectif*socio=rien essentiel*socio=uv de la Banque*socio=ac" et le critère*socio=rien à l'aune duquel serait mesurée la tâche*socio=rien accomplie par la Banque*socio=ac en tant qu'institution*socio=ac de développement*socio=uv. Lors*socio=rien de la *socio=rien préparation du manuel,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a sollicité les observations*socio=rien des agences*socio=rien des nations_unies*socio=ac, des organismes*socio=ac d'aide*socio=uv et des ONG*socio=ac. Le manuel*socio=rien , à l'état*socio=rien de projet*socio=rien , avait été*socio=rien discuté lors*socio=rien d'une *socio=rien réunion du Comité Banque*socio=ac -*socio=nil ONG*socio=ac *socio=nil qui s'est*socio=rien tenue à Suraj Kund en octobre*socio=rien 1991, puis lors*socio=rien d'un*socio=rien séminaire*socio=rien qui a eu *socio=rien lieu un mois *socio=nil plus tard à Washington*socio=ac, auquel participaient des représentants*socio=ac des agences*socio=rien des nations_unies*socio=ac et des banques_multilatérales_de_développement*socio=ac. Le manuel*socio=rien a été*socio=rien largement diffusé dans le monde*socio=te entier*socio=rien . Les administrateurs*socio=ac ont examiné le projet*socio=rien de manuel*socio=rien et de *socio=rien directive opérationnelle lors d'*socio=nil un séminaire *socio=nil qui s'est*socio=rien tenu en décembre*socio=rien 1991, où ils ont insisté sur*socio=rien le fait*socio=rien qu'il était très important*socio=rien de leur communiquer les bilans*socio=rien de la pauvreté*socio=uv achevés, ainsi qu'aux bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec et aux agences*socio=rien des nations_unies*socio=ac. Ils ont noté que la mise en oeuvre*socio=rien de la stratégie*socio=et aurait une *socio=rien incidence sur le*socio=nil budget*socio=ec et*socio=nil sur les*socio=nil diverses qualifications*socio=ec du personnel *socio=nil de la Banque*socio=ac auxquelles il faudrait faire appel*socio=rien ; ils ont en outre rappelé combien il importait que la Banque*socio=ac améliore ses moyens*socio=ec d'intervention*socio=et, notamment sa capacité*socio=rien de renforcer le développement*socio=uv des institutions*socio=ac. C'est*socio=rien aux bureaux*socio=rien régionaux*socio=te qu'incombe la responsabilité*socio=uv de mettre en oeuvre*socio=rien la stratégie*socio=et de la Banque*socio=ac, alors que le suivi de l'action*socio=rien menée pour lutter contre la pauvreté*socio=uv et la prestation*socio=et des services*socio=ec d' assistance_technique*socio=et aux régions*socio=te reviennent aux services*socio=ec des politiques*socio=et opérationnelles*socio=rien et sectorielles*socio=rien . Mieux coordonner l'aide*socio=uv. La Banque*socio=ac s'efforce d'améliorer la coordination*socio=uv des efforts*socio=uv de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec. En septembre*socio=rien 1991, à Berlin, elle s'est*socio=rien entretenue des stratégies*socio=et de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv avec de hauts_fonctionnaires*socio=ac de pays_en_développement*socio=ac, d'agences*socio=rien des nations_unies*socio=ac et d'organismes*socio=ac bilatéraux*socio=te, et des universitaires*socio=et, lors*socio=rien d'une *socio=rien table ronde parrainée *socio=nil par la Fondation*socio=rien allemande*socio=ac pour le développement*socio=uv. La *socio=rien directive opérationnelle sur la*socio=nil réduction*socio=uv *socio=nil de la pauvreté*socio=uv demande*socio=rien aux *socio=rien départements géographiques *socio=nil de communiquer aux bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec les bilans*socio=rien de la pauvreté*socio=uv et d'autres analyses*socio=rien de fond*socio=rien consacrées à des *socio=rien aspects spécifiques *socio=nil de la pauvreté*socio=uv, à l'occasion*socio=rien de réunions*socio=rien de groupes*socio=ac consultatifs*socio=rien ou d'autres groupes*socio=ac de coordination*socio=uv, et de tables rondes*socio=rien . Valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec. Le soutien*socio=uv qu'apporte la Banque*socio=ac à la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec a considérablement*socio=rien évolué au *socio=rien cours du dernier quart de*socio=nil siècle.*socio=nil *socio=nil Relativement limitée à l'origine*socio=rien au développement*socio=uv du*socio=rien capital_humain*socio=ec à des fins*socio=rien productives*socio=uv, la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec est*socio=rien depuis quelques années*socio=rien l'une des clés*socio=rien de voûte de la stratégie*socio=et d' aide_au_développement*socio=uv de la Banque*socio=ac, considérée comme essentielle*socio=uv à l'action*socio=rien qu'elle mène pour stimuler la croissance_économique*socio=ec, atténuer la pauvreté*socio=uv et diffuser les progrès*socio=uv technologiques*socio=ec. L'éducation*socio=et, la santé*socio=et, la nutrition*socio=rien , les questions*socio=rien de population*socio=ac, la formation*socio=et et l'emploi*socio=ec ainsi que le rôle*socio=rien socio-économique*socio=ec des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv font de plus en plus *socio=rien partie intégrante *socio=nil de l'ensemble*socio=rien *socio=rien du processus de*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil et des priorités*socio=uv institutionnelles*socio=ac de la Banque*socio=ac. En accroissant le volume*socio=rien de ses prêts*socio=ec et en modifiant la nature*socio=rien de son soutien*socio=uv aux activités*socio=rien de valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec, la Banque*socio=ac est*socio=rien devenue l'un*socio=rien des partenaires*socio=uv les plus dynamiques*socio=uv dans l'action*socio=rien qui est*socio=rien menée sur*socio=rien ce plan*socio=rien . En outre, elle participe de plus en plus aux travaux*socio=rien d'analyse*socio=rien et de promotion*socio=uv qui sont consacrés à cette question*socio=rien . Pour toutes ces raisons*socio=rien , en plus de son aptitude*socio=rien à donner corps à ses *socio=et déclarations publiques sur*socio=rien la*socio=nil valorisation*socio=uv des*socio=nil ressources_humaines*socio=ec *socio=nil en adaptant en conséquence*socio=rien ses programmes*socio=et de prêts*socio=ec aux pays*socio=ac, la Banque*socio=ac a acquis*socio=uv une influence *socio=rien notable sur la*socio=nil teneur des*socio=nil actions internationales*socio=te *socio=nil engagées dans ce domaine*socio=rien . Le soutien*socio=uv qu'accorde la Banque*socio=ac à la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec a pris *socio=rien un tour radicalement*socio=nil nouveau *socio=nil depuis la réorganisation*socio=uv de l'institution*socio=ac en 1987, qui a profondément modifié ce secteur*socio=ec jusque-là relativement peu étendu et fragmenté. Les prêts*socio=ec consentis en faveur*socio=rien de la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec ont été*socio=rien portés de moins de 8% *socio=rien du total des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 86 à plus de 13% au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, et devraient continuer à progresser. L'augmentation*socio=uv *socio=rien du volume de*socio=nil prêts*socio=ec en*socio=nil faveur *socio=nil de la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec a signifié avant tout, pour la Banque*socio=ac, un*socio=rien soutien*socio=uv accru aux services*socio=ec de base*socio=rien d'éducation*socio=et et de santé*socio=et, planning*socio=rien familial*socio=uv et nutrition*socio=rien , notamment (voir Encadré 3-1). Education. Les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac à l'éducation*socio=et et à la formation*socio=et se sont élevés*socio=rien en moyenne*socio=rien à 700 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par an*socio=rien pendant les années*socio=rien 80. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 90, ils ont plus que doublé pour atteindre près de 1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec; durant l'exercice*socio=rien 91, ils ont culminé à 2,25 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec et, au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, les prêts*socio=ec en faveur*socio=rien de tous les types de projets*socio=rien d'éducation*socio=et se sont élevés*socio=rien au total*socio=rien à 1 884 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. En tout, la Banque*socio=ac a approuvé 26 projets*socio=rien , portant sur*socio=rien 20 pays*socio=ac. Cette croissance*socio=uv *socio=rien rapide du volume des*socio=nil prêts*socio=ec en*socio=nil faveur *socio=nil de l'éducation*socio=et s'est*socio=rien accompagnée de modifications*socio=rien tant du*socio=rien contenu que *socio=rien du mode de*socio=nil prestation*socio=et *socio=nil de l'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac. De plus en plus, les prêts*socio=ec tendent à financer des réformes*socio=et et des stratégies*socio=et de développement*socio=uv de l'éducation*socio=et correspondant à une *socio=rien couverture large.*socio=nil Les*socio=nil lignes de*socio=nil force*socio=uv *socio=nil de ces prêts*socio=ec à l'appui*socio=rien de réformes*socio=et vont dans le sens*socio=rien d'un*socio=rien accroissement*socio=ec des possibilités*socio=rien d'éducation*socio=et, avec un*socio=rien *socio=uv effort particulier *socio=nil dans l'enseignement*socio=et primaire*socio=et et à l'intention*socio=rien des enfants*socio=ac défavorisés*socio=rien ; d'une amélioration*socio=uv de la qualité*socio=rien à tous les niveaux*socio=rien d'enseignement*socio=et; et d'une rationalisation*socio=uv de l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec dans ce secteur*socio=ec. Si la Banque*socio=ac suit ces orientations*socio=et depuis déjà quelque temps*socio=rien , elle a consacré, de façon*socio=rien plus vigoureuse*socio=rien et avec des objectifs*socio=rien plus précis*socio=rien , certaines*socio=rien de ses *socio=rien opérations récentes *socio=nil à des réformes*socio=et de nature*socio=rien à améliorer la qualité*socio=rien de l'enseignement*socio=et, à donner davantage de moyens*socio=ec aux pays*socio=ac pour évaluer et suivre les résultats*socio=rien de l'apprentissage*socio=rien des connaissances*socio=rien , à lutter contre la pauvreté*socio=uv et les inégalités*socio=uv entre les sexes*socio=rien , à faire mieux coïncider la formation*socio=et à la demande*socio=ec sur*socio=rien le marché*socio=ec de l'emploi*socio=ec et, enfin, à développer les capacités*socio=rien scientifiques*socio=ec et techniques*socio=rien . Les trois plus *socio=rien récents documents et*socio=nil études de*socio=nil politique*socio=et générale *socio=nil de la Banque*socio=ac consacrés à l'éducation*socio=et, L'éducation*socio=et en *socio=ac Afrique subsaharienne *socio=nil (publié durant l'exercice*socio=rien 88), L'enseignement*socio=et primaire*socio=et (exercice*socio=rien 92 pour la *socio=rien version française)*socio=nil *socio=nil et l'enseignement*socio=et technique*socio=rien et la formation_professionnelle*socio=et (exercice*socio=rien 92 pour la *socio=rien version française)*socio=nil *socio=nil , aboutissent à la même conclusion*socio=rien , à savoir*socio=rien qu'il faut donner *socio=rien un rang de*socio=nil priorité*socio=uv plus*socio=nil élevé *socio=nil à la qualité*socio=rien et à l'adaptation*socio=uv de l'enseignement*socio=et dispensé aux besoins*socio=uv. Leurs recommandations*socio=rien ont influé tant sur*socio=rien l'action*socio=rien sectorielle*socio=rien que sur*socio=rien les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac. Un*socio=rien prêt*socio=ec de 170 millions*socio=rien de dollars*socio=ec accordé au Chili*socio=ac *socio=rien offre un exemple *socio=nil de cette réorientation*socio=et. Le secteur*socio=ec de l'éducation*socio=et au Chili*socio=ac se trouve à un*socio=rien stade*socio=te décisif*socio=rien de son évolution*socio=rien . La couverture*socio=rien de l'enseignement*socio=et primaire*socio=et y est*socio=rien maintenant pratiquement totale*socio=rien ; l'enjeu*socio=rien , aujourd'hui, consiste à garantir l'égalité*socio=uv d'accès*socio=uv à un*socio=rien *socio=et enseignement primaire de*socio=nil qualité*socio=rien *socio=nil tout en renforçant l'efficacité*socio=uv *socio=rien interne du système.*socio=nil *socio=nil Il faudra pour ce faire modifier profondément la politique*socio=et de l'éducation*socio=et et les approches suivies jusqu'à présent*socio=rien , de même que les mécanismes*socio=rien de financement*socio=ec, l'administration*socio=et et la gestion*socio=et. Il est*socio=rien aussi essentiel*socio=uv, pour améliorer les résultats*socio=rien de l'enseignement*socio=et primaire*socio=et, d'accroître les possibilités*socio=rien préscolaires pour les enfants*socio=ac défavorisés*socio=rien . Le projet*socio=rien illustre parfaitement la stratégie*socio=et d'aide*socio=uv par pays*socio=ac de la Banque*socio=ac pour lutter contre la pauvreté*socio=uv. Il prévoit en particulier*socio=uv l'adoption*socio=et de mesures*socio=rien d'économie*socio=ec en vue*socio=rien d'accroître les possibilités*socio=rien d'accès*socio=uv à l'enseignement*socio=et des enfants*socio=ac défavorisés*socio=rien dans les villes*socio=te et les campagnes*socio=et, aspect*socio=rien dont les *socio=rien récents travaux *socio=nil de la Banque*socio=ac dans le secteur*socio=ec social*socio=ac ont montré l'importance*socio=rien . L'action*socio=rien de la Banque*socio=ac a aussi pour but*socio=rien d'aider le secteur_privé*socio=ec à assumer *socio=rien un rôle *socio=nil accru et de renforcer la décentralisation*socio=et des services_sociaux*socio=et. Population*socio=ac, santé*socio=et et nutrition*socio=rien . Les prêts*socio=ec à ce secteur*socio=ec ont aussi augmenté rapidement, depuis la période*socio=te couvrant les *socio=rien cinq exercices *socio=nil 83-87, où ils s'étaient élevés*socio=rien en moyenne*socio=rien à 205 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par an*socio=rien . Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, les prêts*socio=ec à ce secteur*socio=ec ont totalisé 961,7 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit moins qu'au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 91 où ils se sont chiffrés à 1,6 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec. Seize projets*socio=rien pour 14 pays*socio=ac ont été*socio=rien approuvés. La nature*socio=rien des projets*socio=rien dans le secteur*socio=ec population*socio=ac, santé*socio=et et nutrition*socio=rien évolue aussi. Comme ce secteur*socio=ec fait*socio=rien de plus en plus *socio=rien partie intégrante des*socio=nil stratégies*socio=et globales d'*socio=nil aide*socio=uv par*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil de la Banque*socio=ac, *socio=rien un nombre croissant de*socio=nil projets *socio=nil traitent ces questions*socio=rien en même temps*socio=rien que d'autres composantes*socio=rien et les *socio=rien travaux sectoriels *socio=nil jettent les bases*socio=rien d'un*socio=rien dialogue*socio=uv et d'opérations*socio=rien s'inscrivant*socio=rien dans le cadre*socio=rien d'une action*socio=rien intégrée de valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec et d'appui*socio=rien aux secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac. Nombre*socio=rien de projets*socio=rien font maintenant intervenir de multiples*socio=rien ministères*socio=ac d'exécution*socio=rien , ce qui nécessite une coordination*socio=uv étroite*socio=rien entre les différents*socio=rien services*socio=ec de l'administration_publique*socio=et. Pour être*socio=rien plus complexes et plus risqués que d'autres, ces projets*socio=rien auront probablement des retombées*socio=rien positives*socio=uv à long_terme*socio=ec *socio=rien du fait *socio=nil que des ministères*socio=ac auparavant exclus*socio=rien , en particulier*socio=uv les ministères*socio=ac centraux*socio=rien (comme le Plan*socio=rien et les finances*socio=ec), sont maintenant davantage amenés à participer à des programmes_sociaux*socio=et. Les organisations_non_gouvernementales*socio=ac (ONG*socio=ac) participent aussi de plus en plus aux projets*socio=rien de population*socio=ac, santé*socio=et et nutrition*socio=rien . Pour la quasi-totalité*socio=rien de ces projets*socio=rien approuvés pendant l'exercice*socio=rien , elles joueront *socio=rien un rôle important au*socio=nil stade*socio=te *socio=nil de la mise en oeuvre*socio=rien . Dans une *socio=rien mesure moindre,*socio=nil *socio=nil mais non négligeable*socio=rien , les ONG*socio=ac participent aussi à la conception*socio=rien des projets*socio=rien , en particulier*socio=uv de ceux qui portent sur*socio=rien la création*socio=rien de fonds*socio=ec sociaux*socio=ac, où elles aident à formuler et à mettre en oeuvre*socio=rien des projets*socio=rien qui répondent directement aux besoins*socio=uv de la population*socio=ac locale*socio=te. L'élargissement*socio=rien *socio=rien du cadre *socio=nil dans lequel sont menées à bien*socio=rien les activités*socio=rien liées à la population*socio=ac depuis qu'elles ont commencé en 1970 - leur intégration*socio=uv, en 1980, aux projets*socio=rien de santé*socio=et et de nutrition*socio=rien et, depuis 1987, à d'autres opérations*socio=rien dans les secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac - est*socio=rien allé de pair*socio=rien avec une expansion*socio=ec *socio=rien considérable du nombre des*socio=nil projets et*socio=nil du volume des*socio=nil prêts*socio=ec.*socio=nil Au*socio=nil cours des*socio=nil exercices *socio=nil 80-87, les engagements*socio=ec annuels*socio=rien en faveur*socio=rien de projets*socio=rien de population*socio=ac se sont élevés*socio=rien en moyenne*socio=rien à 50 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Dans les *socio=rien cinq années *socio=nil qui ont suivi, ils ont atteint en moyenne*socio=rien 166 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Il convient de noter en particulier*socio=uv l'expansion*socio=ec rapide*socio=rien des prêts*socio=ec dans le secteur*socio=ec de la population*socio=ac en Afrique*socio=ac, à la suite*socio=rien des efforts*socio=uv de la Banque*socio=ac et d'autres bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec en vue*socio=rien d'aider les pays*socio=ac de la région*socio=te dans le *socio=rien cadre du "*socio=nil Programme*socio=et d'*socio=nil action *socio=nil visant à améliorer l'exécution*socio=rien des programmes*socio=et de population*socio=ac". Les *socio=rien opérations récentes *socio=nil mettent l'accent*socio=rien sur*socio=rien la nécessité*socio=uv a) d'élargir l'accès*socio=uv aux services*socio=ec de planning*socio=rien familial*socio=uv (surtout pour les *socio=rien personnes difficiles *socio=nil à atteindre) et de mobiliser les ressources*socio=ec du*socio=rien secteur_privé*socio=ec pour aider à fournir de tels services*socio=ec; b) de rehausser la qualité*socio=rien des services*socio=ec de planning*socio=rien familial*socio=uv et d'en accroître la demande*socio=ec; c) d'intégrer le planning*socio=rien familial*socio=uv à *socio=rien un ensemble plus*socio=nil vaste de*socio=nil soins_de_santé*socio=et,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=uv de*socio=nil santé*socio=et maternelle*socio=uv et*socio=nil infantile*socio=ac;*socio=nil *socio=nil d) de renforcer la gestion*socio=et et les moyens*socio=ec *socio=rien techniques du programme*socio=et;*socio=nil *socio=nil et e) de resserrer la coordination*socio=uv avec les autres *socio=ac organismes bailleurs de*socio=nil fonds*socio=ec *socio=nil et les institutions*socio=ac locales*socio=rien , afin de faire pleinement jouer à la Banque*socio=ac son rôle*socio=rien de catalyseur*socio=rien pour générer des aides*socio=uv sous forme*socio=rien de dons*socio=ec, de mobiliser les volontés_politiques*socio=et dans les pays*socio=ac concernés comme de mettre en place*socio=rien des infrastructures*socio=et nationales*socio=te. En Mauritanie*socio=ac, par exemple*socio=rien , un*socio=rien crédit*socio=ec de l'IDA*socio=ac d'un*socio=rien montant*socio=ec de 15,7 millions*socio=rien de dollars*socio=ec approuvé au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92 prévoit d'intégrer le planning*socio=rien familial*socio=uv aux services*socio=ec normalement offerts*socio=rien dans les établissements*socio=rien de *socio=et santé publique.*socio=nil Une*socio=nil fois*socio=rien le*socio=nil projet*socio=rien *socio=nil achevé, tous les centres*socio=rien de santé*socio=et du*socio=rien pays*socio=ac disposeront de leurs propres*socio=rien services*socio=ec de planning*socio=rien familial*socio=uv, ce qui aura une incidence*socio=rien très *socio=rien bénéfique sur le*socio=nil bien-être*socio=uv *socio=nil des mères et des enfants*socio=ac. En aidant les pouvoirs_publics*socio=ac à adopter une politique*socio=et *socio=rien bien définie en*socio=nil matière de*socio=nil population*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil projet *socio=nil contribuera aussi à légitimer les activités*socio=rien de planning*socio=rien familial*socio=uv et à en renforcer l'efficacité*socio=uv. Si les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac continuent d'être*socio=rien centrés sur*socio=rien les soins_de_santé*socio=et primaires*socio=rien , les opérations*socio=rien de prêt*socio=ec de ces *socio=rien dernières années *socio=nil mettent de plus en plus l'accent*socio=rien sur*socio=rien le renforcement*socio=uv des capacités*socio=rien pour ce qui est*socio=rien de la formulation*socio=rien des politiques*socio=et de santé*socio=et, de la planification*socio=et des programmes*socio=et et de la gestion*socio=et. Une plus *socio=rien grande place est *socio=nil faite aussi à la santé*socio=et des femmes*socio=ac et à son *socio=rien incidence sur la*socio=nil santé*socio=et *socio=nil et le bien-être*socio=uv des familles*socio=uv, à l'éradication*socio=ec de certaines*socio=rien maladies*socio=et et à la gestion*socio=et économique*socio=ec du*socio=rien secteur_de_la_santé*socio=et, notamment aux investissements*socio=ec dans les hôpitaux*socio=et au niveau*socio=rien des districts. Les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac durant l'exercice*socio=rien 92 ont été*socio=rien centrés sur*socio=rien la prévention*socio=uv ou l'éradication*socio=ec de certaines*socio=rien maladies*socio=et dans quatre pays*socio=ac: la schistosomiase et la tuberculose*socio=et en Chine*socio=ac, la schistosomiase en Égypte*socio=ac, le SIDA*socio=rien en Inde*socio=ac, et le paludisme*socio=et à Sâo Tomé-et-principe. Le projet*socio=rien de lutte*socio=uv contre le SIDA*socio=rien en Inde*socio=ac, d'un*socio=rien montant*socio=ec de 84 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, est*socio=rien le *socio=rien second projet *socio=nil destiné exclusivement à prévenir la propagation de cette maladie*socio=et (voir l'Encadré 3-2). Les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac en faveur*socio=rien de la nutrition*socio=rien ont aussi augmenté, passant, en *socio=rien moyenne annuelle,*socio=nil *socio=nil de 82,1 millions*socio=rien de dollars*socio=ec au cours*socio=rien de la période*socio=te correspondant aux exercices*socio=rien 84-87 à 778,9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec au cours*socio=rien des exercices*socio=rien 8891. La génération*socio=ac actuelle*socio=rien de projets*socio=rien et de composantes*socio=rien de projets*socio=rien de nutrition*socio=rien met l'accent*socio=rien sur*socio=rien des interventions*socio=et visant à améliorer la situation*socio=uv nutritionnelle des groupes*socio=ac les plus vulnérables*socio=uv: les personnes*socio=rien exposées à des risques*socio=uv d'insécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec, en particulier*socio=uv les femmes*socio=ac enceintes*socio=rien et les femmes*socio=ac qui allaitent et les enfants*socio=ac de trois ans*socio=rien ou moins. Les interventions*socio=et de la Banque*socio=ac dans le domaine*socio=rien de la nutrition*socio=rien portent essentiellement sur*socio=rien le suivi de la croissance*socio=uv de l'enfant*socio=ac et l'éducation*socio=et alimentaire*socio=ec correspondante*socio=rien , ainsi que sur*socio=rien la distribution*socio=rien de *socio=rien suppléments alimentaires aux*socio=nil enfants*socio=ac *socio=nil dont la croissance*socio=uv *socio=rien est insuffisante.*socio=nil *socio=nil Dans le cadre*socio=rien de ses *socio=rien travaux sur la*socio=nil nutrition,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil se penche à *socio=rien présent sur la*socio=nil distribution *socio=nil de vitamines et de suppléments*socio=rien minéraux*socio=ec, et *socio=rien porte un intérêt*socio=uv croissant aux*socio=nil aliments*socio=ec *socio=nil enrichis. Les expériences*socio=rien consistant à cibler les subventions*socio=ec *socio=rien alimentaires sur une*socio=nil certaine catégorie de*socio=nil consommateurs*socio=ac *socio=nil par le biais*socio=rien d'un*socio=rien conditionnement conçu pour rebuter les consommateurs*socio=ac à revenu*socio=ec plus élevé*socio=rien , et l'amélioration*socio=uv des méthodes*socio=rien de contrôle*socio=uv des ressources*socio=ec employées*socio=ac dans le cadre*socio=rien des programmes*socio=et de transfert*socio=ec de revenu*socio=ec, témoignent*socio=rien de l'attention*socio=rien accrue portée*socio=rien à la rentabilité*socio=ec des interventions*socio=et dans le domaine*socio=rien de la nutrition*socio=rien . A travers*socio=rien les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et, la Banque*socio=ac continue*socio=rien d'accorder une *socio=rien grande attention aux*socio=nil questions de*socio=nil nutrition.*socio=nil Au*socio=nil Zimbabwe*socio=ac,*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui a reçu de la Banque*socio=ac durant l'exercice*socio=rien des concours financiers*socio=ec d'un*socio=rien montant*socio=ec de 175 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à l'appui*socio=rien de l'ajustement_structurel*socio=et, il est*socio=rien essentiel*socio=uv *socio=rien du point de*socio=nil vue social*socio=ac *socio=nil que les pauvres*socio=ac et les groupes*socio=ac vulnérables*socio=uv puissent se procurer du*socio=rien maïs (l'élément*socio=rien de base*socio=rien de leur alimentation*socio=ec) à des prix*socio=ec abordables*socio=rien . Même avant la sécheresse*socio=et qui a récemment frappé le pays*socio=ac, une hausse*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien maïs était probable*socio=rien étant donné que le gouvernement*socio=ac, dans le cadre*socio=rien de son effort*socio=uv d'ajustement*socio=et, s'était engagé à réduire ses subventions*socio=ec à l'Office*socio=rien de commercialisation*socio=ec des céréales*socio=ec. Pour éviter une trop *socio=rien grande pression *socio=nil à la hausse*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien maïs et pour accroître l'efficacité*socio=uv *socio=rien du système de*socio=nil distribution,*socio=nil le*socio=nil gouvernement*socio=ac *socio=nil a annoncé son intention*socio=rien de libéraliser la commercialisation*socio=ec des céréales*socio=ec et d'instaurer des subventions*socio=ec par produit*socio=rien financées par le biais*socio=rien d'un*socio=rien fonds*socio=ec de développement*socio=uv social*socio=ac. Il est*socio=rien en outre prévu de réaliser une *socio=rien vaste enquête sur la*socio=nil santé*socio=et *socio=nil et la nutrition*socio=rien , de façon*socio=rien à assurer un*socio=rien suivi rigoureux*socio=rien de l'impact*socio=rien social*socio=ac de l'ajustement*socio=et; enfin, le Ministère*socio=ac de la santé*socio=et renforce actuellement son système*socio=rien de surveillance*socio=et de la nutrition*socio=rien , de sorte*socio=rien que les données recueillies puissent être*socio=rien exploitées sur*socio=rien une *socio=rien base mensuelle *socio=nil à cette fin*socio=rien . Le rôle*socio=rien des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv. Les progrès*socio=uv réalisés au cours*socio=rien des *socio=rien exercices précédents,*socio=nil *socio=nil pour ce qui est*socio=rien de l'intégration*socio=uv des questions*socio=rien d'égalité*socio=uv des sexes*socio=rien dans les activités*socio=rien de la Banque*socio=ac, ne se sont pas démentis durant l'exercice*socio=rien 92. Plus de 40% des projets*socio=rien approuvés pendant l'exercice*socio=rien comportaient des interventions*socio=et spécialement axées sur*socio=rien la promotion*socio=uv *socio=rien du rôle des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans le développement*socio=uv. Ces projets*socio=rien continuent de porter essentiellement sur*socio=rien les secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac et la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec. La plupart*socio=rien des projets*socio=rien d'éducation*socio=et et la totalité*socio=rien des projets*socio=rien dans les domaines*socio=rien de la population*socio=ac, de la santé*socio=et et de la nutrition*socio=rien comportent des activités*socio=rien de promotion*socio=uv des femmes*socio=ac. Cette *socio=rien question est *socio=nil de plus en plus prise*socio=rien en compte*socio=rien dans les projets*socio=rien d'infrastructure*socio=ec (un*socio=rien sur*socio=rien trois au lieu*socio=rien de *socio=rien un sur cinq *socio=nil durant l'exercice*socio=rien 91), en particulier*socio=uv ceux qui touchent à l'approvisionnement*socio=ec en eau*socio=ec des campagnes*socio=et (Chine*socio=ac et Lesotho*socio=ac) et à l'aménagement*socio=rien de routes*socio=rien de desserte*socio=rien (Ghana*socio=ac). La phase*socio=te d'exécution*socio=rien des projets*socio=rien a fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'une attention*socio=rien accrue durant l'exercice*socio=rien 92. Le personnel*socio=rien des bureaux*socio=rien régionaux*socio=te chargé de la promotion*socio=uv *socio=rien du rôle des*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil dans le développement*socio=uv a apporté un*socio=rien soutien*socio=uv direct*socio=rien à la supervision*socio=rien de projets*socio=rien qui contenaient des activités*socio=rien ou des composantes*socio=rien allant dans ce sens*socio=rien . Pour faciliter l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien dans la région*socio=te Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te, la Banque*socio=ac a lancé des missions spéciales*socio=rien de supervision*socio=rien des activités*socio=rien de promotion*socio=uv *socio=rien du rôle des*socio=nil femmes*socio=ac au*socio=nil titre *socio=nil de tous les projets*socio=rien qui comportaient une action*socio=rien à cet égard*socio=rien , quel que soit le secteur*socio=ec. Dans le cas*socio=rien de projets*socio=rien agricoles*socio=ec au Yémen*socio=ac et au Maroc*socio=ac, le bilan*socio=rien de ces missions de *socio=rien supervision est *socio=nil pour l'instant*socio=rien positif*socio=uv. S'agissant de la mise en *socio=rien oeuvre du Projet national*socio=te de*socio=nil *socio=ec crédit agricole du*socio=rien Maroc*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil progrès*socio=uv ont*socio=nil *socio=rien été remarquables:*socio=nil le*socio=nil nombre de*socio=nil *socio=ac femmes emprunteurs *socio=nil a augmenté de 250% au cours*socio=rien des quatre *socio=rien dernières années,*socio=nil le*socio=nil volume de*socio=nil crédit*socio=ec *socio=nil consenti à des femmes*socio=ac a quadruplé et le taux*socio=rien de remboursement*socio=ec *socio=rien est voisin *socio=nil de 100%. De plus, des évaluations*socio=uv détaillées de l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien ont été*socio=rien réalisées dans les régions*socio=te Europe*socio=ac et Asie*socio=ac centrale*socio=rien , Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te, et amérique_latine_et_caraïbes*socio=ac; *socio=rien un certain nombre de*socio=nil bilans sectoriels (*socio=nil agriculture*socio=ec *socio=nil dans les régions*socio=te Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien et Pacifique*socio=uv et Asie_du_sud*socio=ac, environnement*socio=ec dans la région*socio=te Afrique*socio=ac) ont été*socio=rien menés à bien*socio=rien ; enfin, la Banque*socio=ac a dressé *socio=rien un bilan des*socio=nil résultats *socio=nil de l'ensemble*socio=rien de ses *socio=ec services financiers *socio=nil et de son aide*socio=uv à la création*socio=rien d'entreprises*socio=ac à l'intention*socio=rien des femmes*socio=ac. Autant de bilans*socio=rien qui n'ont fait*socio=rien que corroborer les conclusions*socio=rien antérieures*socio=te, à savoir*socio=rien que le moyen*socio=rien le plus efficace*socio=uv dont dispose la Banque*socio=ac pour promouvoir le rôle*socio=rien des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv consiste à combiner plusieurs modes*socio=rien d'action*socio=rien afin de faciliter l'accès*socio=uv des femmes*socio=ac aux actifs*socio=ec, aux ressources*socio=ec productives*socio=uv et aux marchés*socio=ec de l'emploi*socio=ec: programmes*socio=et d'enseignement*socio=et et de formation*socio=et pour adultes*socio=rien , appui*socio=rien aux organisations_non_gouvernementales*socio=ac pour former et mobiliser les femmes*socio=ac, recrutement*socio=ec de femmes*socio=ac dans le cadre*socio=rien des projets*socio=rien , sensibilisation*socio=uv des emprunteurs*socio=ac et *socio=rien du personnel *socio=nil de la Banque*socio=ac à la question*socio=rien de l'inégalité*socio=uv des sexes*socio=rien , et évaluation*socio=uv systématique*socio=rien des effets*socio=rien des *socio=rien projets sur la*socio=nil productivité*socio=ec des*socio=nil femmes*socio=ac.*socio=nil C'*socio=nil est *socio=nil l'approche qui a été*socio=rien adoptée en Inde*socio=ac pour la formation*socio=et de cultivatrices dans le *socio=rien cadre du Projet de*socio=nil *socio=ec services agricoles *socio=nil de l'État*socio=ac du*socio=rien Madhya Pradesh. En Afrique*socio=ac, les projets*socio=rien axés sur*socio=rien la prestation*socio=et de services*socio=ec ruraux*socio=te dégagent *socio=rien un bilan comparable.*socio=nil *socio=nil Dans les secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac, l'expérience*socio=uv *socio=rien du Projet de*socio=nil *socio=et protection familiale au*socio=nil Pakistan*socio=ac *socio=nil et d'autres projets*socio=rien de *socio=et santé publique *socio=nil dans toutes les régions*socio=te confirme que l'existence*socio=rien de services*socio=ec de soins_de_santé*socio=et *socio=rien primaires est une*socio=nil condition sine *socio=nil qua non de tout progrès*socio=uv tant dans le *socio=rien domaine du planning familial*socio=uv *socio=nil que dans celui de la protection*socio=et maternelle*socio=uv et infantile*socio=ac. Dans le secteur*socio=ec de l'éducation*socio=et, diverses*socio=rien approches novatrices*socio=uv ont permis*socio=rien d'améliorer les taux*socio=rien de scolarisation*socio=et et de fréquentation*socio=rien scolaire*socio=et des filles*socio=ac. Par exemple*socio=rien , au Bangladesh*socio=ac, *socio=rien un projet d'*socio=nil éducation*socio=et *socio=nil permettra d'instaurer *socio=rien un système de*socio=nil bourses d'*socio=nil études *socio=nil afin de contribuer à compenser le manque*socio=rien à gagner pour les filles*socio=ac qui fréquentent l'école*socio=et secondaire*socio=et. Le cas*socio=rien de la Bolivie*socio=ac illustre tout spécialement combien il importe de mettre à profit*socio=ec les *socio=rien leçons du passé au*socio=nil moment *socio=nil de concevoir de *socio=rien nouvelles opérations.*socio=nil Il*socio=nil est *socio=nil ressorti, au stade*socio=te de la supervision*socio=rien des deux premières*socio=rien phases*socio=te de la *socio=rien création du Fonds*socio=ec social*socio=ac d'*socio=nil urgence *socio=nil dans ce pays*socio=ac, que peu de projets*socio=rien d'aide_sociale*socio=et se traduisaient par une amélioration*socio=uv sensible*socio=rien de la condition_des_femmes*socio=uv. A la lumière*socio=rien de cette expérience*socio=uv, le projet*socio=rien de suivi, intitulé Fonds*socio=ec d'investissement*socio=ec social*socio=ac, a orienté services*socio=ec et investissements*socio=ec vers les femmes*socio=ac économiquement faibles*socio=rien , par exemple*socio=rien , par la création*socio=rien de crèches pour leurs enfants*socio=ac, ou l'organisation*socio=rien de programmes*socio=et d'alphabétisation*socio=et et de formation*socio=et dans le *socio=rien but spécifique *socio=nil d'encourager la participation*socio=uv des femmes*socio=ac. L'accroissement*socio=ec significatif*socio=rien des prêts*socio=ec alloués par la Banque*socio=ac à la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec, sous quelque forme*socio=rien que ce soit, montre que les pays*socio=ac n'hésitent plus à demander l'assistance*socio=et de la Banque*socio=ac pour des activités*socio=rien de développement*socio=uv du*socio=rien capital_humain*socio=ec ou à emprunter à ce titre*socio=rien aux conditions*socio=uv de la BIRD*socio=ac. Les emprunteurs*socio=ac de la BIRD*socio=ac comme ceux de l'IDA*socio=ac sollicitent une assistance*socio=et accrue dans tous les domaines*socio=rien que recouvrent les programmes*socio=et de valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec, notamment dans les secteurs*socio=ec - planning*socio=rien familial*socio=uv, par exemple*socio=rien - où une aide*socio=uv sous forme*socio=rien de dons*socio=ec était auparavant facilement accessible*socio=uv. Trois caractéristiques*socio=rien se dégagent du*socio=rien programme*socio=et actuel*socio=rien de prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac pour la promotion*socio=uv du*socio=rien capital_humain*socio=ec: - L'éducation*socio=et n'est*socio=rien plus le secteur*socio=ec dominant. Les prêts*socio=ec pour des actions*socio=rien dans les domaines*socio=rien de la population*socio=ac, de la santé*socio=et et de la nutrition*socio=rien continuent de s'accroître, alors que les prêts*socio=ec à l'éducation*socio=et se stabilisent. D'ici l'exercice*socio=rien 94, les *socio=rien volumes respectifs des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'éducation*socio=et et à l'ensemble*socio=rien des secteurs*socio=ec population*socio=ac, santé*socio=et et nutrition*socio=rien devraient être*socio=rien à peu près équivalents*socio=rien . - Les projets*socio=rien dans les secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac, qui ont fait*socio=rien leur apparition*socio=rien , sont essentiellement destinés à protéger les pauvres*socio=ac pendant les phases*socio=te d'ajustement*socio=et économique*socio=ec. Ces projets*socio=rien ont généralement pour but*socio=rien d'offrir des services*socio=ec d'éducation*socio=et et de formation*socio=et, et de soutenir des *socio=rien actions spécifiques axées*socio=nil sur la*socio=nil santé*socio=et *socio=nil et la nutrition*socio=rien . *socio=rien Du point de*socio=nil vue institutionnel,*socio=nil leur*socio=nil objectif est *socio=nil de renforcer les moyens*socio=ec dont disposent les administrations_publiques*socio=et pour canaliser ces services*socio=ec vers les couches*socio=ac pauvres*socio=uv et surveiller les effets*socio=rien des mesures*socio=rien ainsi mises en oeuvre*socio=rien au niveau*socio=rien des ménages*socio=rien . - Le portefeuille*socio=ec d'investissements*socio=ec de la Banque*socio=ac en faveur*socio=rien de la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec est*socio=rien de *socio=rien création récente:*socio=nil *socio=nil plus de la moitié*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac à ce secteur*socio=ec (en dollars*socio=ec constants*socio=rien ) a été*socio=rien consentie depuis l'exercice*socio=rien 87, de même que les deux tiers*socio=rien environ de l'ensemble*socio=rien des prêts*socio=ec consacrés à la population*socio=ac, la santé*socio=et et la nutrition*socio=rien . De ce fait*socio=rien , les *socio=rien informations relatives aux*socio=nil résultats des*socio=nil projets *socio=nil sont limitées, et ce que l'on sait porte*socio=rien en *socio=rien grande partie sur un ensemble de*socio=nil projets *socio=nil conçus et mis en oeuvre*socio=rien dans des conditions*socio=uv sensiblement différentes*socio=rien de celles qui sont la règle*socio=et depuis les *socio=rien cinq dernières années.*socio=nil L'*socio=nil accroissement*socio=ec du volume des*socio=nil prêts*socio=ec au*socio=nil développement*socio=uv des*socio=nil ressources_humaines*socio=ec s'*socio=nil est *socio=nil accompagné d'une évolution*socio=rien de leurs objectifs*socio=rien : la priorité*socio=uv est*socio=rien passée de la mise en place*socio=rien d'une infrastructure*socio=ec matérielle*socio=rien à l'application*socio=rien de stratégies*socio=et sectorielles*socio=rien ou à l'appui*socio=rien de réformes*socio=et. Il est*socio=rien en effet*socio=rien apparu de plus en plus clairement qu'un*socio=rien progrès*socio=uv économique*socio=ec durable*socio=rien n'était pas envisageable sans la mise en *socio=rien place préalable *socio=nil d'une politique_sociale*socio=et cohérente*socio=rien et efficace*socio=uv. Cette évolution*socio=rien a eu une *socio=rien double conséquence:*socio=nil *socio=nil d'une part*socio=rien , l'attention*socio=rien accrue apportée à la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv par l'intensification*socio=rien de l'aide*socio=uv en faveur*socio=rien des services_essentiels*socio=et et, d'autre part*socio=rien , la définition*socio=rien de priorités*socio=uv en matière*socio=rien de prêts*socio=ec axées sur*socio=rien le renforcement*socio=uv de la productivité*socio=ec de la main-d'_oeuvre*socio=ac grâce*socio=rien à l'amélioration*socio=uv de la santé*socio=et, à l'instruction*socio=et élémentaire, à la formation*socio=et spécialisée*socio=rien et à l'accès*socio=uv aux *socio=rien techniques nouvelles.*socio=nil L'*socio=nil environnement*socio=ec.*socio=nil D'*socio=nil après les*socio=nil conclusions du Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1992, qui s'interroge sur*socio=rien les liens*socio=rien entre développement_économique*socio=ec et environnement*socio=ec, le développement_économique*socio=ec et humain*socio=ac peut se poursuivre, voire s'accélérer, et peut aller de pair*socio=rien avec une meilleure*socio=rien protection*socio=et de l'environnement*socio=ec si des changements*socio=uv profonds*socio=rien sont apportés aux politiques*socio=et, aux programmes*socio=et et aux institutions*socio=ac. Les *socio=rien auteurs du rapport *socio=nil adressent une mise en garde*socio=rien : "Sans bonne*socio=rien protection*socio=et de l'environnement*socio=ec, pas de développement_durable*socio=ec; sans développement*socio=uv, pas de protection*socio=et de l'environnement*socio=ec". Pour assurer un*socio=rien développement_économique*socio=ec et humain*socio=ac soutenable*socio=uv compatible*socio=rien avec l'amélioration*socio=uv de l'environnement*socio=ec, deux types de réformes*socio=et s'imposent, précise*socio=rien le rapport*socio=rien : celles qui s'appuient sur*socio=rien les corrélations positives*socio=uv entre développement*socio=uv et environnement*socio=ec et celles qui, au contraire*socio=rien , visent à briser les corrélations négatives*socio=rien . Même si elles ne se justifient que par des raisons*socio=rien économiques*socio=ec classiques*socio=rien , nombreuses*socio=rien sont les réformes*socio=et qui peuvent avoir des effets*socio=rien très bénéfiques*socio=rien pour l'environnement*socio=ec, poursuivent les *socio=rien auteurs du rapport.*socio=nil *socio=nil Cesser de subventionner l'utilisation*socio=rien des *socio=ec ressources énergétiques *socio=nil et de l'eau*socio=ec, faire accéder les paysans*socio=ac pauvres*socio=uv à la propriété*socio=ec de la terre*socio=ec qu'ils cultivent, investir dans l'amélioration*socio=uv des réseaux*socio=rien d'assainissement*socio=uv et d'approvisionnement*socio=ec en eau*socio=ec sont autant de *socio=rien mesures propres *socio=nil à relever les revenus*socio=ec et à améliorer l'environnement*socio=ec. Selon le rapport*socio=rien , les réformes*socio=et qui visent une *socio=uv croissance efficace *socio=nil peuvent compléter celles qui ont pour but*socio=rien de protéger l'environnement*socio=ec. L'amélioration*socio=uv de l'éducation*socio=et des filles*socio=ac sera peut-être, à long_terme*socio=ec, l'action*socio=rien en matière*socio=rien d'environnement*socio=ec qui aura le plus de retombées*socio=rien dans les pays_en_développement*socio=ac, étant donné, par exemple*socio=rien , que les femmes*socio=ac instruites ont moins d'enfants*socio=ac et sont en mesure*socio=rien d'utiliser plus rationnellement les ressources_naturelles*socio=ec. Même si elles permettent de gagner sur*socio=rien les deux tableaux*socio=rien - grâce*socio=rien à un*socio=rien développement*socio=uv bon*socio=rien pour l'environnement*socio=ec - ces mesures*socio=rien ne seront pas suffisantes*socio=rien . Rien*socio=rien ne pourra se faire sans des institutions_publiques*socio=et solides*socio=rien et des *socio=rien actions vigoureuses en*socio=nil faveur *socio=nil de l'environnement*socio=ec. Dans certains cas*socio=rien , il y aura peut-être des arbitrages*socio=et à faire entre croissance*socio=uv du*socio=rien revenu*socio=ec et protection*socio=et de l'environnement*socio=ec; il faudra donc peser soigneusement ce que le choix*socio=uv de telle ou telle politique*socio=et comportera d'avantages*socio=rien et de coûts*socio=ec dans la mesure*socio=rien où elle affecte aussi bien*socio=rien les populations*socio=ac actuelles*socio=rien que les générations futures*socio=rien . "Les faits*socio=rien indiquent qu'il y a beaucoup à gagner à protéger l'environnement*socio=ec et que ce que l'on y perd en manque*socio=rien à gagner est*socio=rien relativement peu de chose*socio=rien quand on suit une politique*socio=et avisée", peut-on lire dans le rapport*socio=rien . Les réformes*socio=et doivent viser principalement à modifier les pratiques*socio=et dans l'agriculture*socio=ec et l'industrie*socio=ec, de façon*socio=rien à réduire considérablement*socio=rien la pollution*socio=et, la production*socio=ec de déchets*socio=ec et les autres dommages*socio=rien causés à l'environnement*socio=ec par unité*socio=uv produite. Les effets*socio=rien des activités*socio=rien humaines*socio=uv sur*socio=rien l'environnement*socio=ec doivent être*socio=rien reconnus. Les politiques*socio=et visant à changer les comportements*socio=rien doivent faire appel*socio=rien , entre autres choses*socio=rien , aux incitations*socio=rien économiques*socio=ec. Par ailleurs*socio=rien , le plus souvent, il *socio=rien est bien moins*socio=nil coûteux*socio=ec *socio=nil d'agir sans délai*socio=rien pour prévenir la dégradation*socio=rien de l'environnement*socio=ec que de tenter d'y porter remède*socio=rien une fois*socio=rien que le *socio=rien mal est fait.*socio=nil Les*socio=nil réformes*socio=et *socio=nil et les changements*socio=uv institutionnels*socio=ac qui s'imposent se heurtent à des obstacles*socio=rien de taille, nous explique-t-on. Les groupes_de_pression*socio=ac interviendront, l'opinion_publique*socio=et se focalisera davantage sur*socio=rien les aspects*socio=rien les plus spectaculaires*socio=rien que sur*socio=rien les plus graves*socio=rien problèmes*socio=uv; qui plus est*socio=rien , ce sont souvent les pouvoirs_publics*socio=ac qui sont responsables*socio=uv des dommages*socio=rien causés à l'environnement*socio=ec. On a besoin*socio=uv d'institutions*socio=ac efficaces*socio=uv et capables*socio=rien de faire face*socio=rien aux problèmes*socio=uv. Il faut améliorer la collecte de données et les capacités*socio=rien d'analyse*socio=rien pour mieux fixer les priorités*socio=uv et définir*socio=rien les orientations*socio=et. Il y a encore beaucoup à faire pour mettre au point*socio=rien les outils*socio=rien de *socio=ec comptabilité économique et*socio=nil écologique*socio=et indispensables*socio=uv *socio=nil à cet égard*socio=rien . La participation*socio=uv de la population*socio=ac, surtout sur*socio=rien le plan*socio=rien local*socio=te, est*socio=rien essentielle*socio=uv à la prise*socio=rien de décisions*socio=rien , au suivi et au respect*socio=uv des mesures*socio=rien adoptées, de même que pour la conception*socio=rien des projets*socio=rien . Dans certains cas*socio=rien , les pouvoirs_publics*socio=ac doivent déléguer la gestion*socio=et des ressources_naturelles*socio=ec à des particuliers*socio=rien ou à des collectivités*socio=ac et, partout où c'est*socio=rien possible*socio=rien , recourir à des incitations*socio=rien fiscales*socio=ec et jouant sur*socio=rien les prix*socio=ec pour favoriser la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec. Des *socio=rien mesures simples mais*socio=nil directes,*socio=nil *socio=nil comme la taxation*socio=et des facteurs*socio=rien de production*socio=ec polluants et l'imposition*socio=et de droits*socio=uv d'exploitation*socio=ec forestière*socio=ec, sont souvent préférables*socio=rien parce qu'elles sont plus faciles*socio=rien à administrer et à faire respecter. En outre, il *socio=rien est possible *socio=nil d'améliorer de *socio=rien façon spectaculaire les*socio=nil conditions_de_vie*socio=uv,*socio=nil *socio=nil notamment en milieu*socio=rien urbain*socio=te, en encourageant l'utilisation*socio=rien de modes*socio=rien de transport*socio=ec non motorisés. Nombreux*socio=rien sont les investissements*socio=ec visant à protéger l'environnement*socio=ec qui, soutient l'étude*socio=ac, commenceront à s'autofinancer d'ici quelques années*socio=rien , soit parce qu'ils augmenteront la productivité*socio=ec, soit parce qu'ils amélioreront la *socio=et santé publique *socio=nil et le bien-être*socio=uv. Il sera probablement coûteux*socio=ec, en valeur*socio=ec absolue*socio=rien , de donner aux pays*socio=ac les moyens*socio=ec de se développer sans pour autant porter atteinte à l'environnement*socio=ec, mais ce sera peu de chose*socio=rien en comparaison*socio=rien des ressources*socio=ec engendrées par la croissance_économique*socio=ec. D'après*socio=rien les *socio=rien auteurs du rapport,*socio=nil le*socio=nil coût*socio=ec des*socio=nil investissements*socio=ec *socio=nil pourrait se hisser à environ 75 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par an*socio=rien , soit environ 1,4% du*socio=rien produit_intérieur_brut*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac durant la *socio=rien présente décennie.*socio=nil *socio=nil Si les gouvernements*socio=ac peuvent mettre en place*socio=rien des mesures*socio=rien d'incitation*socio=rien et de dissuasion appropriées, en fonction*socio=rien des coûts*socio=ec externes*socio=rien pour l'environnement*socio=ec, la plupart*socio=rien des investissements*socio=ec et de l'entretien*socio=rien requis*socio=rien pour la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec seront assumés par les entreprises*socio=ac, les coûts*socio=ec supplémentaires*socio=rien étant répercutés sur*socio=rien les prix*socio=ec à la consommation*socio=ec. Les pratiques*socio=et souhaitables*socio=rien pour l'environnement*socio=ec auront donc plus d'attrait*socio=rien et deviendront ainsi plus rentables*socio=ec. D'après*socio=rien le rapport*socio=rien , le financement*socio=ec de ces investissements*socio=ec nécessitera un*socio=rien accroissement*socio=ec des apports*socio=rien de capitaux*socio=ec publics*socio=et et privés*socio=ec à destination*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac. Le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1992 fait*socio=rien valoir que ce financement*socio=ec additionnel*socio=rien devrait venir en sus de l'aide_au_développement*socio=uv qui serait offerte*socio=rien en tout état*socio=rien de cause*socio=rien . En définissant*socio=rien les réformes*socio=et économiques*socio=ec et les *socio=rien méthodes applicables *socio=nil à la protection*socio=et des ressources_naturelles*socio=ec de façon*socio=rien à garantir des programmes*socio=et de développement_économique*socio=ec écologiquement viables*socio=uv et soutenables*socio=uv, le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1992 a apporté une contribution*socio=uv majeure*socio=rien à la conférence_des_nations_unies*socio=ac sur*socio=rien l'environnement_et_le_développement*socio=ac (CNUED*socio=ac), qui s'est*socio=rien tenue à rio_de_janeiro*socio=ac en juin*socio=rien 1992. Comme cette conférence*socio=rien traitait de tous les aspects*socio=rien de l'environnement*socio=ec et du*socio=rien développement*socio=uv, c'était *socio=rien un événement exceptionnel*socio=uv *socio=nil pour la Banque*socio=ac, laquelle, de son côté*socio=rien , a accordé beaucoup d'importance*socio=rien à sa préparation*socio=rien en vue*socio=rien de cette réunion*socio=rien et à sa propre*socio=rien participation*socio=uv à ses travaux*socio=rien . Outre la rédaction*socio=rien et la publication*socio=et *socio=rien du Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1992, la Banque*socio=ac: - a mis en *socio=rien place un bureau de*socio=nil haut niveau *socio=nil pour la coordination*socio=uv des activités*socio=rien liées à sa participation*socio=uv à la CNUED*socio=ac, ainsi qu'un*socio=rien *socio=rien vaste réseau de*socio=nil hauts conseillers*socio=ac responsables*socio=uv *socio=nil de l'élaboration*socio=rien des politiques*socio=et de la Banque*socio=ac et de ses prises*socio=rien de *socio=rien position sur *socio=nil tous les points*socio=rien à l'ordre*socio=rien *socio=rien du jour *socio=nil de la conférence*socio=rien et - a activement participé aux groupes_de_travail*socio=ac, *socio=rien réunions préparatoires et*socio=nil conférences connexes.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a aussi salué l'importance*socio=rien toute particulière*socio=uv de la CNUED*socio=ac en y envoyant une délégation*socio=et conduite*socio=rien par son président*socio=rien , qui a, par son discours*socio=rien à la conférence*socio=rien , donné une orientation*socio=et et des priorités*socio=uv nouvelles*socio=rien à l'action*socio=rien que mène la Banque*socio=ac en vue*socio=rien de promouvoir un*socio=rien développement_durable*socio=ec. La *socio=uv participation active *socio=nil de la Banque*socio=ac à tous les aspects*socio=rien des travaux*socio=rien de la CNUED*socio=ac a contribué au renforcement*socio=uv de ses activités*socio=rien en faveur*socio=rien de l'environnement*socio=ec. Les conclusions*socio=rien et les accords*socio=et qui ont pu être*socio=rien formulés au sein*socio=rien des groupes_de_travail*socio=ac de la CNUED*socio=ac sur*socio=rien des questions*socio=rien telles que la *socio=rien diversité biologique,*socio=nil le*socio=nil climat,*socio=nil l'*socio=nil eau*socio=ec douce *socio=nil et les ressources*socio=ec marines, ou encore l'agriculture*socio=ec écologiquement viable*socio=uv, ont été*socio=rien intégrés aux politiques*socio=et de la Banque*socio=ac consacrées à la foresterie*socio=et, à l'énergie*socio=ec, à l'urbanisme*socio=ec et à d'autres secteurs*socio=ec (voir l'Encadré 3-3, qui *socio=rien présente un bilan *socio=nil de l'action*socio=rien de la Banque*socio=ac dans le secteur*socio=ec de la foresterie*socio=et). L'intégration*socio=uv des préoccupations*socio=uv liées à l'environnement*socio=ec dans les opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac s'est*socio=rien poursuivie durant l'exercice*socio=rien 92. Sur*socio=rien les 222 projets*socio=rien approuvés pendant l'année*socio=rien , 19 avaient comme *socio=rien objectif principal l'*socio=nil environnement*socio=ec *socio=nil (les projets*socio=rien sont réputés "à vocation*socio=rien essentiellement environnementale*socio=et" si plus de 50% de leurs coûts*socio=ec ou de leurs avantages*socio=rien ont trait*socio=rien à l'environnement*socio=ec). Ces 19 projets*socio=rien représentaient *socio=rien un volume total de*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de quelque 1,2 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec. En outre, la Banque*socio=ac a approuvé pendant l'exercice*socio=rien de *socio=rien nombreux projets *socio=nil dont l'objectif*socio=rien , sans être*socio=rien essentiellement environnemental*socio=et, répondait à une ou plusieurs préoccupations*socio=uv écologiques*socio=et. Sur*socio=rien les 222 projets*socio=rien approuvés au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien , 43 (11 en Afrique*socio=ac, 16 en Asie*socio=ac, 10 en amérique_latine*socio=ac et aux Caraïbes*socio=ac, et 6 dans les régions*socio=te Europe*socio=ac et Asie*socio=ac centrale*socio=rien et Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te) comportaient des composantes*socio=rien environnementales*socio=et. L'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac a l'environnement*socio=ec dans la région*socio=te Afrique*socio=ac s'inscrit*socio=rien dans le cadre*socio=rien des plans_nationaux_d'_action_environnementale*socio=et (PNAE*socio=et), qui permettent d'intégrer les considérations*socio=uv écologiques*socio=et au développement_économique_et_social*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac et sont préparés par chaque pays*socio=ac en coopération*socio=uv avec la communauté*socio=ac des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec. Pour faciliter le processus*socio=rien , un*socio=rien Secrétariat*socio=ac des PNAE*socio=et a été*socio=rien créé à la banque_africaine_de_développement*socio=ac, à Abidjan*socio=ac, avec le concours de la banque_mondiale*socio=ac et d'autres bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec. Il aura pour mission*socio=rien de tirer parti*socio=et des compétences*socio=uv des *socio=ac ressortissants africains ayant*socio=nil acquis*socio=uv une*socio=nil expérience*socio=uv *socio=rien du fonctionnement des*socio=nil PNAE*socio=et *socio=nil pour dispenser une formation*socio=et et une assistance_technique*socio=et aux pays*socio=ac qui commencent à mettre en *socio=rien oeuvre un plan national*socio=te d'*socio=nil action environnementale*socio=et.*socio=nil *socio=nil Jusqu'à présent*socio=rien , près de 20 pays*socio=ac ont lancé ou préparent un*socio=rien tel plan*socio=rien . Sur*socio=rien les 77 projets*socio=rien que la Banque*socio=ac a approuvés en faveur*socio=rien de la région*socio=te au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, six (en Angola*socio=ac, au Bénin*socio=ac, au Kenya*socio=ac, au Mali*socio=ac, au Nigeria*socio=ac et en Tanzanie*socio=ac) - au lieu*socio=rien de trois pendant l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien - étaient consacrés essentiellement à l'amélioration*socio=uv de la gestion*socio=et de l'environnement*socio=ec. En outre, des composantes*socio=rien environnementales*socio=et ont été*socio=rien incorporées à *socio=rien un grand nombre d'*socio=nil opérations.*socio=nil *socio=nil Comme dans les autres départements*socio=rien de la Banque*socio=ac, la stratégie*socio=et d'environnement*socio=ec pour les régions*socio=te Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien et Pacifique*socio=uv et Asie_du_sud*socio=ac consiste à allier une évaluation*socio=uv environnementale*socio=et plus rigoureuse*socio=rien des projets*socio=rien à toute une série d'activités*socio=rien hors *socio=rien projet destinées *socio=nil à améliorer les moyens*socio=ec dont disposent les pouvoirs_publics*socio=ac pour gérer les ressources*socio=ec du*socio=rien pays*socio=ac. Les activités*socio=rien hors projet*socio=rien peuvent inclure un*socio=rien soutien*socio=uv à l'établissement*socio=rien des plans_nationaux_d'_action_environnementale*socio=et et à la hiérarchisation des priorités*socio=uv en ce qui concerne les investissements*socio=ec à venir en faveur*socio=rien de la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec; le renforcement*socio=uv des institutions*socio=ac locales*socio=rien qui élaborent et font appliquer les politiques*socio=et et réglementations*socio=et en matière*socio=rien d'environnement*socio=ec et, enfin, le financement*socio=ec de travaux*socio=rien d'analyse*socio=rien dans des *socio=rien domaines techniques essentiels*socio=uv.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien 92, 18 projets*socio=rien avaient des composantes*socio=rien environnementales*socio=et. La plupart*socio=rien de ces 18 projets*socio=rien portaient sur*socio=rien les secteurs*socio=ec de l'énergie*socio=ec ou de l'agriculture*socio=ec. Par ailleurs*socio=rien , des évaluations*socio=uv environnementales*socio=et sont en *socio=rien cours sur *socio=nil une soixantaine de projets*socio=rien . Pour divers qu'ils soient, tous les pays_en_développement*socio=ac de la région*socio=te Europe*socio=ac et Asie*socio=ac centrale*socio=rien ont en commun*socio=uv d'être*socio=rien confrontés à de graves*socio=rien problèmes*socio=uv d'environnement*socio=ec, dont les plus préoccupants*socio=rien touchent à l'utilisation*socio=rien de l'énergie*socio=ec (consommation*socio=ec d'énergie*socio=ec particulièrement élevée*socio=rien par unité*socio=uv produite). Dans toute la région*socio=te, les *socio=rien centrales thermiques,*socio=nil *socio=nil les chaudières industrielles*socio=ec et les fours domestiques brûlent du*socio=rien lignite. Des combustibles*socio=ec de *socio=rien qualité inférieure,*socio=nil des*socio=nil technologies*socio=ec de*socio=nil transformation*socio=uv *socio=nil dépassées et d'énormes*socio=rien déperditions dans l'utilisation*socio=rien de l'énergie*socio=ec sont autant de facteurs*socio=rien qui se traduisent par des niveaux*socio=rien de pollution*socio=et parmi les plus élevés*socio=rien jamais observés. Dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien projet*socio=rien en Tchécoslovaquie*socio=ac approuve pendant l'exercice*socio=rien 92, d'un*socio=rien montant*socio=ec de 246 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, il est*socio=rien prévu d'affecter 140 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à l'achat*socio=ec d'équipements*socio=ec de désulfuration des gaz*socio=ec de carneau, et 70 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à la réduction*socio=uv des émissions*socio=rien de particules dans une *socio=rien grande centrale *socio=nil située en Bohême, région*socio=te déjà fort*socio=rien polluée, qui brûle du*socio=rien lignite à *socio=rien forte teneur *socio=nil en soufre. La Banque*socio=ac continue*socio=rien d'appeler l'attention*socio=rien sur*socio=rien la nécessité*socio=uv de préparer des *socio=rien études sur les*socio=nil *socio=et stratégies environnementales *socio=nil et des plans*socio=rien d'action*socio=rien pour chaque pays*socio=ac, éléments*socio=rien jugés indispensables*socio=uv si l'on veut avoir une *socio=rien idée générale des*socio=nil principaux problèmes*socio=uv écologiques*socio=et et*socio=nil pouvoir*socio=et *socio=nil ainsi fixer les priorités*socio=uv et identifier les "points*socio=rien chauds*socio=rien " en matière*socio=rien de pollution*socio=et, où la *socio=et santé publique *socio=nil et l'environnement*socio=ec sont en danger*socio=uv. La préparation*socio=rien des études*socio=rien stratégiques*socio=uv pour les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te est*socio=rien aujourd'hui achevée et celles qui concernent la Biélorussie*socio=ac et l'Ukraine*socio=ac sont en préparation*socio=rien ; le processus*socio=rien sera reproduit pour toutes les autres républiques*socio=te de l'ex-union_soviétique*socio=ac. La stratégie*socio=et opérationnelle*socio=rien de la Banque*socio=ac pour la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec dans la région*socio=te amérique_latine_et_caraïbes*socio=ac est*socio=rien axée sur*socio=rien trois *socio=rien grands thèmes:*socio=nil *socio=nil renforcer les institutions*socio=ac chargées de cette protection*socio=et, aider les emprunteurs*socio=ac. à définir*socio=rien clairement les priorités*socio=uv dans ce domaine*socio=rien et encourager des initiatives*socio=rien efficaces*socio=uv. Compte*socio=rien tenu de la tendance*socio=rien de plus en plus marquée de cette région*socio=te à l'urbanisation*socio=ec, il *socio=rien est probable *socio=nil que les résultats*socio=rien les plus payants seront associés*socio=rien aux efforts*socio=uv faits*socio=rien en vue*socio=rien d'améliorer l'assainissement*socio=uv et l'approvisionnement*socio=ec en eau*socio=ec dans les villes*socio=te, et de réduire les concentrations*socio=rien atmosphériques de substances*socio=rien polluantes*socio=ec à l'origine*socio=rien de maladies*socio=et respiratoires. L'octroi*socio=rien de prêts*socio=ec au renforcement*socio=uv des institutions*socio=ac chargées de l'environnement*socio=ec a été*socio=rien la *socio=rien principale caractéristique du Projet en*socio=nil faveur *socio=nil de l'environnement*socio=ec au Mexique*socio=ac, qui avait pour but*socio=rien de consolider l'agence*socio=rien nationale*socio=te pour l'environnement*socio=ec et de favoriser la mise en place*socio=rien d'organismes*socio=ac décentralisés. Quatre autres projets*socio=rien visant à créer ou à renforcer des institutions*socio=ac - en Bolivie*socio=ac, au Chili*socio=ac, en Colombie*socio=ac et en Équateur*socio=ac - étaient en préparation*socio=rien pendant l'exercice*socio=rien . En décembre*socio=rien 1991, lors*socio=rien d'une réunion*socio=rien à Genève*socio=ac, plusieurs *socio=ac pays bailleurs de*socio=nil fonds*socio=ec *socio=nil se sont engagés à soutenir un*socio=rien Programme*socio=et pilote pour protéger la forêt*socio=ec tropicale*socio=te humide au Brésil*socio=ac en finançant un*socio=rien *socio=ec fonds fiduciaire *socio=nil qui serait administré*socio=rien par la Banque*socio=ac, et en participant*socio=rien à des accords*socio=et de cofinancement*socio=ec bilatéral*socio=te. A la suite*socio=rien de cette réunion*socio=rien , les services_de_la_banque*socio=ac ont mis au *socio=rien point un document définissant le*socio=nil cadre institutionnel *socio=nil et les conditions*socio=uv de financement*socio=ec, sur*socio=rien la base*socio=rien des vues*socio=rien exprimées par les bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec et le gouvernement*socio=ac brésilien. Les participants*socio=ac au programme*socio=et ont ratifié le document*socio=rien et, en mars*socio=rien 1992, les administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac ont adopté une résolution*socio=et portant création*socio=rien d'un*socio=rien *socio=ec fonds fiduciaire *socio=nil pour les forêts*socio=et *socio=rien denses humides de*socio=nil façon *socio=nil à pourvoir au financement*socio=ec de projets*socio=rien pendant la phase*socio=te pilote. A ce jour*socio=rien , les bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec se sont engagés à verser quelque 55 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à ce *socio=ec fonds fiduciaire *socio=nil et plus de 200 millions*socio=rien de dollars*socio=ec sous forme*socio=rien d'aide*socio=uv bilatérale*socio=te associée*socio=rien . Dans la région*socio=te Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te, le problème*socio=uv *socio=rien principal est *socio=nil la rareté de l'eau*socio=ec et la pollution*socio=et croissante*socio=rien des ressources*socio=ec en eau*socio=ec disponibles*socio=rien , Le Projet*socio=rien de conservation*socio=uv des sols*socio=ec et de l'eau*socio=ec au Yémen*socio=ac, approuvé au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92 et portant *socio=rien sur un montant*socio=ec *socio=nil de 32,8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, a pour objet*socio=rien d'aider à améliorer le réseau*socio=rien de distribution*socio=rien de l'eau*socio=ec aux fins*socio=rien de l'irrigation*socio=ec contrôlée, à lancer des initiatives*socio=rien pilotes en vue*socio=rien de construire de petits*socio=rien ouvrages d'irrigation*socio=ec, à étendre la stabilisation*socio=et des dunes de sable et la protection*socio=et des sols*socio=ec, à protéger les zones*socio=te forestières*socio=ec essentielles*socio=uv et à préserver la *socio=rien diversité biologique *socio=nil et la régénération de la forêt*socio=ec et la plantation d'arbres*socio=rien . La préparation*socio=rien des plans_nationaux_d'_action_environnementale*socio=et a progressé cette année*socio=rien dans toutes les régions*socio=te; ces plans*socio=rien constituent la *socio=rien base du dialogue*socio=uv *socio=nil qu'entretient la Banque*socio=ac avec les gouvernements*socio=ac sur*socio=rien des questions*socio=rien d'environnement*socio=ec de *socio=rien première importance.*socio=nil Ces*socio=nil plans nationaux*socio=te *socio=nil décrivent les problèmes*socio=uv d'environnement*socio=ec qui se posent dans le pays*socio=ac, résument le contenu de la stratégie*socio=et de développement*socio=uv poursuivie et analysent en quoi les objectifs*socio=rien de développement*socio=uv ont pu influer sur*socio=rien la qualité*socio=rien de l'environnement*socio=ec et l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec; autant d'informations*socio=rien utiles*socio=uv à la mise au point*socio=rien des stratégies*socio=et d'aide*socio=uv par pays*socio=ac de la Banque*socio=ac et à la détermination*socio=rien des priorités*socio=uv de prêt*socio=ec. Il est*socio=rien prévu que ces plans*socio=rien deviennent *socio=rien partie intégrante du processus de*socio=nil planification*socio=et *socio=nil et d'exécution*socio=rien des programmes*socio=et et des projets*socio=rien de gestion*socio=et de l'environnement*socio=ec, et ne se limitent plus à *socio=rien un exercice ponctuel.*socio=nil Ces*socio=nil plans *socio=nil donnent à la Banque*socio=ac *socio=rien un cadre stratégique*socio=uv *socio=nil pour planifier ses investissements*socio=ec et son aide*socio=uv en fonction*socio=rien des priorités*socio=uv environnementales*socio=et des pays*socio=ac. Note sur*socio=rien la stratégie*socio=et d'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac. Durant les négociations*socio=uv relatives*socio=rien à la *socio=rien neuvième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil de l'IDA*socio=ac, il avait été*socio=rien convenu que tous les pays*socio=ac bénéficiant de l'aide*socio=uv de l'IDA*socio=ac devraient préparer des PNAE*socio=et avant la fin*socio=rien de la période*socio=te sur*socio=rien laquelle portait IDA-9*socio=ac (juin*socio=rien 1993). Il a ensuite été*socio=rien décidé d'étendre la pratique*socio=rien aux pays*socio=ac bénéficiant de l'aide*socio=uv de la BIRD*socio=ac. Si un*socio=rien *socio=ac pays bénéficiaire *socio=nil de l'aide*socio=uv de l'IDA*socio=ac ne peut mener à *socio=rien bien un PNAE*socio=et *socio=nil avant la date limite*socio=rien de juin*socio=rien 1993, la Banque*socio=ac doit s'assurer: a) que la préparation*socio=rien d'une stratégie*socio=et nationale*socio=te appropriée pour la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec *socio=rien est bien *socio=nil engagée et b) que les *socio=rien conclusions préliminaires des*socio=nil travaux préparatoires ont*socio=nil été *socio=nil intégrées aux stratégies*socio=et d'aide*socio=uv par pays*socio=ac de la Banque*socio=ac. Fin*socio=rien de note. Le rôle*socio=rien de la Banque*socio=ac dans la préparation*socio=rien et l'exécution*socio=rien des plans*socio=rien d'action*socio=rien environnementale*socio=et revient surtout à dispenser des conseils*socio=ac et une assistance_technique*socio=et aux gouvernements*socio=ac. La mesure*socio=rien de l'aide*socio=uv qu'apporte la Banque*socio=ac dépend de la capacité*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=ac à concevoir, puis à gérer le processus*socio=rien ; son appui*socio=rien peut *socio=rien être substantiel *socio=nil dans certains pays*socio=ac, et insignifiant*socio=rien dans d'autres. L'action*socio=rien de la Banque*socio=ac pour la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec est*socio=rien guidée par des orientations*socio=et précises*socio=rien contenues dans trois séries de documents*socio=rien : les *socio=rien Directives du Manuel opérationnel,*socio=nil *socio=nil les Notes de politique*socio=et opérationnelle*socio=rien et les *socio=rien Directives opérationnelles.*socio=nil *socio=nil (La publication*socio=et des deux premières*socio=rien séries de documents*socio=rien mentionnées ici a été*socio=rien interrompue en 1989, mais ces derniers*socio=rien sont progressivement repris sous la forme*socio=rien de *socio=rien Directives opérationnelles)*socio=nil *socio=nil . L' intégration*socio=uv des préoccupations*socio=uv environnementales*socio=et aux activités*socio=rien de la Banque*socio=ac s'articule autour de la "Directive*socio=rien *socio=rien opérationnelle sur les*socio=nil évaluations*socio=uv environnementales*socio=et"*socio=nil *socio=nil , approuvée en octobre*socio=rien 1989. Celle-ci rend obligatoires les évaluations*socio=uv environnementales*socio=et pour tous les projets*socio=rien qui risquent d'être*socio=rien préjudiciables*socio=et à l'environnement*socio=ec de *socio=rien façon importante.*socio=nil Au*socio=nil cours du dernier exercice,*socio=nil la*socio=nil directive a*socio=nil été *socio=nil révisée de façon*socio=rien à garantir que les populations*socio=ac concernées par les projets*socio=rien soutenus par la Banque*socio=ac aient accès*socio=uv aux informations*socio=rien contenues dans ces évaluations*socio=uv. En outre, la directive*socio=rien révisée simplifie le processus*socio=rien qui prévoit l'examen*socio=rien rigoureux*socio=rien de tous les projets*socio=rien en préparation*socio=rien pour déterminer les dangers*socio=uv qu'ils risquent de comporter pour l'environnement*socio=ec, puis leur notation*socio=rien , compte*socio=rien tenu de la *socio=rien probabilité du préjudice*socio=et *socio=nil qu'ils pourraient causer à l'environnement*socio=ec. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien , les questions*socio=rien de la transparence*socio=uv et de la définition*socio=rien des responsabilités*socio=uv dans les activités*socio=rien en rapport*socio=rien avec l'environnement*socio=ec ont été*socio=rien soulevées à propos*socio=rien d'un*socio=rien prêt*socio=ec accordé à la Compagnie*socio=ac générale*socio=rien d'électricité*socio=ec de Thaïlande*socio=ac en faveur*socio=rien d'un*socio=rien projet*socio=rien destiné à accroître la production*socio=ec d'électricité*socio=ec dans les pays*socio=ac et à renforcer les moyens*socio=ec dont disposent les institutions_publiques*socio=et pour surveiller l'environnement*socio=ec dans les secteurs*socio=ec de l'électricité*socio=ec et des mines*socio=rien . Les dispositions*socio=rien concernant la réinstallation des populations*socio=ac (quelque 250 familles*socio=uv devaient être*socio=rien touchées), ainsi que l'incidence*socio=rien *socio=rien du projet sur la*socio=nil *socio=et santé publique *socio=nil et le produit*socio=rien de la pêche*socio=ec, ont suscité une controverse*socio=uv au sein*socio=rien des milieux*socio=rien écologistes*socio=ac locaux*socio=rien et internationaux*socio=te. L'ensemble*socio=rien *socio=rien du processus d'*socio=nil évaluation*socio=uv *socio=nil de l'environnement*socio=ec et d'élaboration*socio=rien des programmes*socio=et visant à atténuer les *socio=rien effets négatifs du projet sur l'*socio=nil environnement*socio=ec a*socio=nil été *socio=nil revu de très près et pendant longtemps avant que le projet*socio=rien ne soit approuvé par les administrateurs*socio=ac en décembre*socio=rien 1991. L'accent*socio=rien est*socio=rien mis désormais sur*socio=rien le suivi de l'application*socio=rien des mesures*socio=rien visant à atténuer les *socio=rien effets négatifs du projet sur l'*socio=nil environnement*socio=ec.*socio=nil Forte *socio=nil de cette expérience*socio=uv, la Banque*socio=ac a décidé qu'elle veillerait à l'avenir*socio=te à ce que les questions*socio=rien d'environnement*socio=ec soient traitées avec plus de transparence*socio=uv et selon *socio=rien un processus *socio=nil synergique. La *socio=rien directive opérationnelle *socio=nil révisée, qui donne une définition*socio=rien plus précise*socio=rien de la participation*socio=uv et de la consultation*socio=uv des personnes*socio=rien touchées - au stade*socio=te de la conception*socio=rien des projets*socio=rien , de l'évaluation*socio=uv environnementale*socio=et et des programmes*socio=et visant à atténuer les effets*socio=rien préjudiciables*socio=et à l'environnement*socio=ec - devrait contribuer à diminuer les risques*socio=uv de *socio=rien nouvelles controverses.*socio=nil Au*socio=nil début *socio=nil de l'exercice*socio=rien 93, la direction*socio=rien et les administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac doivent examiner une autre série de projets*socio=rien - les projets*socio=rien Sardar Sarovar (Narmada) en Inde*socio=ac - qui prévoit aussi la réinstallation de populations*socio=ac. En 1984 et 1988, la Banque*socio=ac a publié des directives*socio=rien concernant la pollution*socio=et de l'environnement*socio=ec pour la mise au point*socio=rien de mesures*socio=rien de nature*socio=rien à réduire la pollution*socio=et industrielle*socio=ec. Ces directives*socio=rien , néanmoins, ne faisaient pas mention*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil secteurs*socio=ec clés,*socio=nil *socio=nil tels que ceux des *socio=rien centrales thermiques *socio=nil et des stations*socio=rien d'épuration*socio=et des eaux*socio=et usées, et ne traitaient pas la question*socio=rien de la gestion*socio=et, *socio=rien du traitement *socio=nil et de l'élimination*socio=rien des déchets*socio=ec dangereux*socio=rien . Oui plus est*socio=rien , la plupart*socio=rien des remèdes*socio=rien proposés relevaient de techniques*socio=rien de traitement*socio=rien en aval*socio=rien ou d'élimination*socio=rien des substances*socio=rien polluantes*socio=ec, et peu d'attention*socio=rien était accordée à la réduction*socio=uv de la production*socio=ec de déchets*socio=ec. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, la Banque*socio=ac a révisé ou actualisé environ 85 directives*socio=rien concernant la pollution*socio=et industrielle*socio=ec. Il s'agit de *socio=rien directives sectorielles *socio=nil qui traitent de *socio=rien diverses substances polluantes*socio=ec *socio=nil et mettent l'accent*socio=rien sur*socio=rien les techniques*socio=rien de prévention*socio=uv ou de réduction*socio=uv de la production*socio=ec de déchets*socio=ec, notamment l'adoption*socio=et de technologies*socio=ec propres*socio=rien et la préservation*socio=rien des ressources*socio=ec. Les quatre R - réduction*socio=uv, réutilisation, recyclage*socio=et et récupération*socio=et - recevront toute l'attention*socio=rien de la Banque*socio=ac lors*socio=rien de l'élaboration*socio=rien de ses nouveaux*socio=rien programmes*socio=et de prêt*socio=ec. La gestion*socio=et des déchets*socio=ec dangereux*socio=rien portera principalement sur*socio=rien les efforts*socio=uv de suivi "de A à Z" et les techniques*socio=rien d'élimination*socio=rien des déchets*socio=ec plus sûres*socio=rien . Par ailleurs*socio=rien , une *socio=rien nouvelle directive opérationnelle *socio=nil consacrée aux populations*socio=ac indigènes a été*socio=rien publiée en cours*socio=rien d'année*socio=rien . Sur*socio=rien la base*socio=rien de l'expérience*socio=uv d'une décennie*socio=rien de projets*socio=rien conçus dans le but*socio=rien d'atténuer les *socio=rien éventuels effets négatifs des*socio=nil projets_de_développement*socio=et sur le*socio=nil patrimoine*socio=et naturel*socio=uv et*socio=nil culturel*socio=et des*socio=nil populations*socio=ac *socio=nil indigènes, la directive*socio=rien énonce une série de directives*socio=rien plus *socio=rien spécifiques propres *socio=nil à guider l'action*socio=rien à venir dans ce domaine*socio=rien . Elle stipule que les *socio=ac populations autochtones *socio=nil appelées à souffrir d'une façon*socio=rien quelconque des projets*socio=rien de la Banque*socio=ac doivent *socio=rien être associées *socio=nil à la préparation*socio=rien et à la mise en oeuvre*socio=rien de ces projets*socio=rien . En consultant directement les populations*socio=ac locales*socio=rien pour savoir*socio=rien où vont leurs préférences*socio=uv, la Banque*socio=ac sera mieux à même de mettre à profit*socio=ec le savoir*socio=uv des populations*socio=ac locales*socio=rien pour déterminer la teneur*socio=rien de ses projets*socio=rien . Cette *socio=rien nouvelle directive opérationnelle *socio=nil vise à épargner aux *socio=ac populations autochtones les*socio=nil *socio=rien retombées négatives du développement*socio=uv,*socio=nil *socio=nil pendant et après*socio=rien le processus*socio=rien , et à garantir qu'elles en retirent des avantages_sociaux*socio=ec et économiques*socio=ec culturellement acceptables*socio=rien . Il faut en particulier*socio=uv prendre dûment en compte*socio=rien les *socio=rien rôles respectifs des*socio=nil hommes*socio=ac *socio=nil et des femmes*socio=ac au moment*socio=rien d'examiner les questions*socio=rien de la réinstallation et de l'impact*socio=rien sur*socio=rien l'environnement*socio=ec. L'exercice*socio=rien 92 a été*socio=rien la *socio=rien première année pleine d'*socio=nil existence du Fonds_pour_l'_environnement_mondial*socio=ac (*socio=nil FEM*socio=ac)*socio=nil .*socio=nil Projet *socio=nil pilote d'une durée*socio=rien de trois ans*socio=rien , le FEM*socio=ac fournit des financements*socio=ec à titre*socio=rien de dons*socio=ec à l'appui*socio=rien de projets*socio=rien d'investissement*socio=ec, de services*socio=ec d'assistance_technique*socio=et et, dans une *socio=rien moindre mesure,*socio=nil *socio=nil de la recherche*socio=ec, pour couvrir les coûts*socio=ec *socio=rien additionnels nécessaires *socio=nil afin de mener à bien*socio=rien les améliorations*socio=uv de l'environnement*socio=ec mondial*socio=te dans les quatre domaines*socio=rien programmatiques dont il s'occupe: les changements*socio=uv climatiques*socio=et, l'appauvrissement*socio=uv de la couche d'ozone*socio=rien , la pollution*socio=et des eaux*socio=et internationales*socio=te, et la protection*socio=et de la *socio=rien diversité biologique.*socio=nil *socio=nil Tous les pays*socio=ac dont le revenu*socio=ec annuel*socio=rien par habitant*socio=ac *socio=rien est inférieur *socio=nil à 4,000 dollars*socio=ec sont admis à bénéficier des dons*socio=ec du*socio=rien FEM*socio=ac. Ce fonds*socio=ec contribue à financer des programmes*socio=et et des projets*socio=rien novateurs*socio=uv qui visent à protéger l'environnement*socio=ec mondial*socio=te, notamment pour les *socio=rien questions du changement*socio=uv climatique *socio=nil et de l'appauvrissement*socio=uv de la *socio=rien diversité biologique.*socio=nil *socio=nil Au 30 juin*socio=rien 1992, plus de 30 pays*socio=ac, dont près de la moitié*socio=rien appartenaient au monde_en_développement*socio=te, participaient au FEM*socio=ac. Trois institutions*socio=ac se partagent la responsabilité*socio=uv de l'action*socio=rien du*socio=rien FEM*socio=ac: le programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac ( assistance_technique*socio=et, renforcement*socio=uv des capacités*socio=rien , préparation*socio=rien des projets*socio=rien ), le programme_des_nations_unies_pour_l'environnement*socio=ec (secrétariat*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac consultatif*socio=uv pour la science*socio=ec et la technologie*socio=ec, *socio=rien connaissances spécialisées en*socio=nil matière d'*socio=nil environnement*socio=ec et*socio=nil prestation*socio=et de*socio=nil conseils*socio=ac sur des*socio=nil projets spécifiques)*socio=nil *socio=nil et la banque_mondiale*socio=ac (dépositaire*socio=rien et administrateur*socio=ac du*socio=rien *socio=ec fonds fiduciaire *socio=nil de 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec, projets*socio=rien d'investissement*socio=ec). Au 30 juin*socio=rien 1992, le FEM*socio=ac envisageait d'apporter son concours à plus de 70 projets*socio=rien qui représentaient *socio=rien un volume *socio=nil de 580 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Six projets*socio=rien d'investissement*socio=ec avaient été*socio=rien approuvés, qui concernaient: la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec au Bhoutan, la protection*socio=et de la *socio=rien diversité biologique en*socio=nil Pologne*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil substitution *socio=nil de la bagasse aux combustibles*socio=ec fossiles pour la production*socio=ec d'énergie*socio=ec à Maurice*socio=ac, la protection*socio=et de la *socio=rien diversité biologique au*socio=nil Mexique*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil gestion*socio=et *socio=nil et l'élimination*socio=rien sans danger*socio=uv pour l'environnement*socio=ec *socio=rien du produit *socio=nil de la vidange des navires*socio=ec dans six ports*socio=ec chinois*socio=te et le reboisement en Équateur*socio=ac. Les projets*socio=rien au Bhoutan et en Pologne*socio=ac sont des projets*socio=rien autonomes*socio=uv financés intégralement par le FEM*socio=ac; les quatre autres étaient des *socio=rien projets du groupe_de_la_banque*socio=ac *socio=nil dont le FEM*socio=ac a financé une composante*socio=rien . L'avenir*socio=te du*socio=rien FEM*socio=ac, au-delà de la phase*socio=te pilote, fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'un*socio=rien dialogue*socio=uv permanent*socio=rien entre les gouvernements*socio=ac qui y participent. A la *socio=rien fin du mois d'*socio=nil avril *socio=nil 1992, les gouvernements*socio=ac participants*socio=rien ont décidé de restructurer le FEM*socio=ac. Comme par le passé*socio=rien , il aura pour objet*socio=rien de traiter des questions*socio=rien environnementales*socio=et convenues qui ont une portée*socio=rien planétaire*socio=ec dans les quatre domaines*socio=rien énoncés dans son *socio=rien mandat initial,*socio=nil *socio=nil mais le FEM*socio=ac pourra aussi, à l'avenir*socio=te, financer des projets*socio=rien visant à mettre *socio=rien un terme aux*socio=nil problèmes*socio=uv *socio=nil de la dégradation*socio=rien des sols*socio=ec (désertification*socio=et et déforestation*socio=et, essentiellement), dans la mesure*socio=rien où ces problèmes*socio=uv sont liés aux quatre *socio=rien domaines clés *socio=nil dont il s'occupe. Il a aussi été*socio=rien convenu de faire du*socio=rien FEM*socio=ac le mécanisme*socio=rien de financement*socio=ec des conventions*socio=et sur*socio=rien l'environnement*socio=ec mondial*socio=te signées à la CNUED*socio=ac, si les parties*socio=rien auxdites conventions*socio=et en décident ainsi. Ces activités*socio=rien amèneront le FEM*socio=ac à financer des programmes*socio=et et des projets*socio=rien conçus à l'initiative*socio=rien des pays*socio=ac concernés et compatibles*socio=rien avec les priorités*socio=uv nationales*socio=te fixées en vue*socio=rien d'assurer un*socio=rien développement_durable*socio=ec. Sur*socio=rien la base*socio=rien de la structure*socio=ec institutionnelle*socio=ac qu'offrent les trois agences*socio=rien d'exécution*socio=rien , les principes*socio=uv de gestion*socio=et du*socio=rien FEM*socio=ac seront revus. L'universalité*socio=uv de l'adhésion*socio=uv est*socio=rien considérée comme la clé*socio=rien de la réussite*socio=uv de l'entreprise*socio=ac. Les gouvernements*socio=ac ayant adhéré au FEM*socio=ac constitueront une "Assemblée*socio=ac des participants*socio=ac" au sein*socio=rien de laquelle les décisions*socio=rien se prendront à l'unanimité*socio=uv. Lorsqu'il sera impossible*socio=rien de dégager un*socio=rien consensus*socio=uv, l'assemblée*socio=ac des participants*socio=ac recourra à *socio=rien un mode de*socio=nil scrutin*socio=et *socio=nil qui garantira une représentation*socio=uv juste*socio=rien et équilibrée des intérêts*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac, tout en accordant l'importance*socio=rien voulue aux efforts*socio=uv de financement*socio=ec des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec. Il a été*socio=rien convenu qu'un*socio=rien mécanisme*socio=rien de financement*socio=ec unique*socio=rien , qui serait reconstitué périodiquement, aurait ses *socio=rien avantages du point de*socio=nil vue *socio=nil de son efficacité*socio=uv à mobiliser des ressources*socio=ec et à garantir une approche intégrée de la programmation*socio=rien . Outre les trois agences*socio=rien d'exécution*socio=rien , d'autres *socio=rien agences spécialisées des*socio=nil nations_unies*socio=ac,*socio=nil des*socio=nil banques*socio=ac régionales*socio=te de*socio=nil développement*socio=uv,*socio=nil des*socio=nil organisations_non_gouvernementales*socio=ac,*socio=nil des*socio=nil groupes_communautaires*socio=ac *socio=nil et le secteur_privé*socio=ec devraient contribuer notablement*socio=rien au succès*socio=uv de ce mécanisme*socio=rien . L'accord*socio=et sur*socio=rien la restructuration*socio=uv du*socio=rien FEM*socio=ac a joué *socio=rien un rôle important *socio=nil dans la création*socio=rien d'un*socio=rien consensus*socio=uv au sein*socio=rien des comités*socio=ac internationaux*socio=te de négociation*socio=uv pour la désignation du*socio=rien FEM*socio=ac comme mécanisme*socio=rien de financement*socio=ec des conventions*socio=et sur*socio=rien les changements*socio=uv climatiques*socio=et et la protection*socio=et de la *socio=rien diversité biologique.*socio=nil *socio=nil Ces deux conventions*socio=et ont été*socio=rien ensuite signées par plus de 150 pays*socio=ac lors*socio=rien de la CNUED*socio=ac, en juin*socio=rien 1992. La conférence*socio=rien a en outre approuvé l'accord*socio=et sur*socio=rien la restructuration*socio=uv du*socio=rien FEM*socio=ac et a convenu qu'il constituait *socio=rien un mécanisme de*socio=nil financement*socio=ec *socio=nil approprié pour couvrir les coûts*socio=ec additionnels*socio=rien des mesures*socio=rien conçues en vue*socio=rien de faire progresser l'environnement*socio=ec dans le monde*socio=te entier*socio=rien . Plusieurs pays*socio=ac se sont déclarés favorables*socio=rien à un*socio=rien doublement, voire un*socio=rien triplement, des ressources*socio=ec du*socio=rien FEM*socio=ac, une fois*socio=rien que la phase*socio=te pilote s'achèvera, à la fin*socio=rien de 1993. Le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Les pays_en_développement*socio=ac s'en remettent de plus en plus aux *socio=rien signaux du marché*socio=ec *socio=nil et à l'initiative*socio=rien privée*socio=ec pour favoriser une *socio=uv répartition efficace des*socio=nil ressources*socio=ec et*socio=nil un*socio=rien dynamisme *socio=nil accru de l'économie*socio=ec. Le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec constitue donc *socio=rien un élément important des*socio=nil efforts*socio=uv *socio=nil entrepris par le groupe_de_la_banque*socio=ac - banque_mondiale*socio=ac, SFI*socio=ac et AMGI*socio=ac - pour atteindre son *socio=rien objectif fondamental qui*socio=nil est *socio=nil d'élever les niveaux_de_vie*socio=uv et de combattre*socio=rien la pauvreté*socio=uv. Les opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et de la Banque*socio=ac, de même qu'une *socio=rien part grandissante *socio=nil de ses opérations*socio=rien d'investissement*socio=ec, confèrent au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec une place*socio=rien de choix*socio=uv dans la réalisation*socio=uv de cet *socio=rien objectif fondamental.*socio=nil *socio=nil Généralement, deux opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac sur*socio=rien trois ont des composantes*socio=rien qui soutiennent explicitement le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, contre environ 40% il y a quatre ans*socio=rien . Cette évolution*socio=rien vaut pour toutes les régions*socio=te. De surcroît*socio=rien , beaucoup d'opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac qui ne portent pas explicitement sur*socio=rien le secteur_privé*socio=ec financent néanmoins des investissements_publics*socio=et complémentaires*socio=rien et, souvent essentiels*socio=uv au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec - infrastructure*socio=ec des transports*socio=ec et *socio=ec recherche agricole,*socio=nil par*socio=nil exemple*socio=rien *socio=nil . La *socio=rien portée globale *socio=nil et l'ampleur*socio=rien des activités*socio=rien de promotion*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec dans la région*socio=te Afrique*socio=ac se sont considérablement*socio=rien élargies au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92. Les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et se sont concentrés sur*socio=rien les réformes*socio=et touchant la réglementation*socio=et et la concurrence*socio=ec nationale*socio=te, et ont poussé plus avant les réformes*socio=et des politiques_commerciales*socio=ec (côte_d'_ivoire*socio=ac, Zambie*socio=ac et Zimbabwe*socio=ac); les programmes*socio=et de réforme*socio=et du*socio=rien secteur*socio=ec des entreprises_publiques*socio=et et de privatisation*socio=et soutenus par la Banque*socio=ac ont été*socio=rien adoptés ou renforcés (Burundi*socio=ac, côte_d'_ivoire*socio=ac, Guinée*socio=ac et Zambie*socio=ac, par exemple*socio=rien ); l'aide*socio=uv à la prestation*socio=et de services_publics*socio=et par le secteur_privé*socio=ec s'est*socio=rien développée*socio=rien pour englober la formation_professionnelle*socio=et ( côte_d'_ivoire*socio=ac) et les services*socio=ec de commercialisation*socio=ec de produits*socio=rien agricoles*socio=ec (Guinée*socio=ac et Zambie*socio=ac); enfin, les opérations*socio=rien hybrides de développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec ont combiné réformes*socio=et, renforcement*socio=uv des services*socio=ec d'appui*socio=rien aux *socio=rien mécanismes du marché*socio=ec et*socio=nil financement*socio=ec en*socio=nil vue *socio=nil de rétablir et de consolider les marchés*socio=ec du*socio=rien crédit*socio=ec à terme*socio=rien (Burundi*socio=ac et Ouganda*socio=ac, par exemple*socio=rien ). L'appui*socio=rien au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec a aussi été*socio=rien une composante*socio=rien essentielle*socio=uv des programmes*socio=et d'action*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92 dans les régions*socio=te Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien et Pacifique*socio=uv et Asie_du_sud*socio=ac. Les *socio=rien études sur la*socio=nil réforme*socio=et commerciale*socio=ec et*socio=nil financière*socio=ec *socio=nil qu'a réalisées la Banque*socio=ac ont facilité la progression*socio=uv notable*socio=rien de l'Inde*socio=ac sur*socio=rien la voie*socio=rien de la libéralisation*socio=ec et de la déréglementation*socio=et, progression*socio=uv qui a été*socio=rien également soutenue par le premier*socio=rien prêt*socio=ec à l'ajustement_structurel*socio=et de la Banque*socio=ac à ce pays*socio=ac. Pour recenser les *socio=rien diverses voies *socio=nil que pourraient suivre les réformes*socio=et en vue*socio=rien de la privatisation*socio=et ultérieure*socio=te de *socio=rien certaines activités en*socio=nil Chine*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a apporté son concours à des *socio=rien analyses sectorielles *socio=nil consacrées au logement*socio=ec, au régime*socio=et foncier*socio=ec et à l'industrie*socio=ec. Elle a aussi encouragé la privatisation*socio=et directe*socio=rien pour développer des secteurs*socio=ec auparavant réservés au secteur*socio=ec publie par le biais*socio=rien de projets*socio=rien dans le secteur*socio=ec des télécommunications*socio=rien en Indonésie*socio=ac et le sous-secteur*socio=ec des hydrocarbures*socio=rien au Pakistan*socio=ac. Elle a en outre appuyé la préparation*socio=rien de vastes*socio=rien programmes*socio=et de privatisation*socio=et au Bangladesh*socio=ac, au Népal*socio=ac et dans la république_démocratique_populaire_lao*socio=ac. Les actions*socio=rien visant à encourager l'initiative*socio=rien privée*socio=ec dans la région*socio=te Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te et dans la région*socio=te Europe*socio=ac et Asie*socio=ac centrale*socio=rien se sont inscrites*socio=rien dans le *socio=rien cadre du Programme*socio=et *socio=nil EMENA (Europe*socio=ac, Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te) pour la promotion*socio=uv *socio=rien spéciale du secteur_privé*socio=ec *socio=nil dans les opérations*socio=rien , mis au point*socio=rien en début*socio=rien d'exercice*socio=rien . Les actions*socio=rien économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien ont inclus des composantes*socio=rien mettant l'accent*socio=rien sur*socio=rien l'identification*socio=rien et l'élimination*socio=rien des obstacles*socio=rien au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Des études*socio=rien distinctes*socio=uv ont été*socio=rien effectuées dans certains pays*socio=ac sur*socio=rien des *socio=rien questions connexes *socio=nil telles que le cadre*socio=rien juridique*socio=et et réglementaire*socio=et, la structure*socio=ec des incitations*socio=rien et les *socio=ec marchés boursiers.*socio=nil Des*socio=nil prêts *socio=nil spécialement alloués au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec - Projet*socio=rien de réforme*socio=et des entreprises*socio=ac en Hongrie*socio=ac et Projet*socio=rien de développement*socio=uv des entreprises_privées*socio=ec en Pologne*socio=ac - ont été*socio=rien approuvés et plusieurs autres opérations*socio=rien en sont à différents*socio=rien stades*socio=te de préparation*socio=rien . En amérique_latine*socio=ac et aux Caraïbes*socio=ac, la Banque*socio=ac a notamment privilégié*socio=rien , dans son action*socio=rien en *socio=rien faveur du secteur_privé*socio=ec,*socio=nil *socio=nil la mise en place*socio=rien d'un*socio=rien environnement*socio=ec favorable*socio=rien , la réorganisation*socio=uv des *socio=rien rôles respectifs du secteur_public*socio=ac et*socio=nil du secteur_privé*socio=ec *socio=nil et le renforcement*socio=uv de l'efficacité*socio=uv *socio=rien du système financier*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Ainsi, au Brésil*socio=ac, l'Étude*socio=ac sur*socio=rien le cadre*socio=rien juridique*socio=et et réglementaire*socio=et des activités*socio=rien commerciales*socio=ec et industrielles*socio=ec, qui examine ce qui *socio=rien fait obstacle *socio=nil à la rentabilité*socio=ec des entreprises*socio=ac, a été*socio=rien achevée. Dans le cadre*socio=rien de l'appui*socio=rien qu'elle donne aux efforts*socio=uv de restructuration*socio=uv du*socio=rien secteur_public*socio=ac, la Banque*socio=ac a consenti deux prêts*socio=ec à l'Argentine*socio=ac pour aider les pouvoirs_publics*socio=ac à réduire les effectifs*socio=rien de l'administration*socio=et fédérale*socio=et, à accroître l'efficacité*socio=uv de la fiscalité*socio=ec, à maîtriser*socio=rien les dépenses*socio=ec fédérales*socio=ac et à renforcer la *socio=rien supervision du système financier*socio=ec.*socio=nil Au*socio=nil Chili*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a approuvé une opération*socio=rien en vue*socio=rien de mener à bien*socio=rien une réforme*socio=et du*socio=rien secteur_de_la_santé*socio=et, où le secteur_privé*socio=ec sera encouragé à fournir une part*socio=rien accrue des soins_de_santé*socio=et. L'accès*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec au financement*socio=ec suppose l'existence*socio=rien de systèmes*socio=rien financiers*socio=ec obéissant aux lois_du_marché*socio=ec, et qui permettent de mobiliser et d'affecter efficacement les ressources*socio=ec. La Banque*socio=ac appuie les efforts*socio=uv de la Colombie*socio=ac pour rendre son *socio=ec secteur financier plus*socio=nil concurrentiel *socio=nil par le biais*socio=rien d'une opération*socio=rien de restructuration*socio=uv des intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec et de désengagement*socio=et de l'État*socio=ac dont le *socio=rien but est *socio=nil de privatiser les banques*socio=ac publiques*socio=et et de désencadrer le crédit*socio=ec. Le programme*socio=et d'action*socio=rien de la Banque*socio=ac pour le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, adopté en 1989 et renforcé en 1991, a *socio=rien été un point de*socio=nil départ *socio=nil qui a permis*socio=rien d'intensifier et de décloisonner les efforts*socio=uv du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac en *socio=rien faveur du secteur_privé*socio=ec.*socio=nil Son*socio=nil objectif *socio=nil se décompose en trois points*socio=rien : création*socio=rien d'un*socio=rien climat*socio=rien dynamique*socio=uv pour les affaires*socio=ec, restructuration*socio=uv du*socio=rien secteur_public*socio=ac, ainsi que développement*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur financier et*socio=nil aide*socio=uv aux*socio=nil activités*socio=rien qui*socio=nil témoignent*socio=rien d'*socio=nil un*socio=rien esprit_d'_entreprise*socio=uv.*socio=nil *socio=rien Un aspect essentiel*socio=uv *socio=nil de l'action*socio=rien du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac à cet *socio=rien égard est le*socio=nil resserrement*socio=uv *socio=nil de la coopération*socio=uv entre les services*socio=ec compétents*socio=uv de la Banque*socio=ac, de la SFI*socio=ac et de l'AMGI*socio=ac. Des progrès*socio=uv considérables*socio=rien ont été*socio=rien accomplis dans chacun des domaines*socio=rien mentionnés. Pour le groupe_de_la_banque*socio=ac, la création*socio=rien d'un*socio=rien *socio=ec environnement économique favorable*socio=rien *socio=nil ne veut pas seulement dire surcroît*socio=rien d'initiative*socio=rien privée*socio=ec, mais concurrence*socio=ec accrue. C'est*socio=rien pourquoi le groupe_de_la_banque*socio=ac aide*socio=uv les gouvernements*socio=ac à promouvoir les entreprises*socio=ac et les encourage à supprimer progressivement les mesures*socio=rien de contrôle*socio=uv des prix*socio=ec et des décisions*socio=rien d'investissement*socio=ec, ainsi qu'à réduire les subventions*socio=ec, certains avantages*socio=rien fiscaux*socio=ec et mesures*socio=rien de protection*socio=et vis-à-vis des importations*socio=ec, l'accès*socio=uv préférentiel*socio=et aux marchés*socio=ec et aux financements*socio=ec publics*socio=et, et autres privilèges*socio=uv qui empêchent la concurrence*socio=ec de jouer son rôle*socio=rien , à savoir*socio=rien accroître l'efficacité*socio=uv et encourager l'innovation*socio=uv. L'IDA*socio=ac a ainsi consenti au Burundi*socio=ac un*socio=rien crédit*socio=ec de 17 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour financer partiellement *socio=rien un projet *socio=nil ayant pour *socio=rien principal objectif *socio=nil d'éliminer les obstacles*socio=rien institutionnels*socio=ac, juridiques*socio=et et réglementaires*socio=rien qui s'opposent au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Les *socio=rien mécanismes existants *socio=nil sont en train*socio=rien d'être*socio=rien renforcés de façon*socio=rien à garantir le respect*socio=uv des *socio=et accords contractuels;*socio=nil *socio=nil il faut pour cela améliorer le fonctionnement*socio=rien des institutions*socio=ac juridiques*socio=et et créer des professions d'auxiliaires de justice*socio=et appartenant au secteur_privé*socio=ec. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, la Banque*socio=ac a aussi approuvé des opérations*socio=rien qui visaient surtout à améliorer l'environnement*socio=ec économique*socio=ec en faveur*socio=rien de la côte_d'_ivoire*socio=ac, de l'Ouganda*socio=ac et, de la Pologne*socio=ac. Les composantes*socio=rien de restructuration*socio=uv du*socio=rien secteur_public*socio=ac constituent une *socio=rien part croissante des*socio=nil opérations d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil de la Banque*socio=ac, à mesure*socio=rien que les pays*socio=ac abandonnent les réformes*socio=et générales*socio=rien (définies*socio=rien à grands*socio=rien traits) au profit*socio=ec de réformes*socio=et institutionnelles*socio=ac de plus *socio=rien longue haleine.*socio=nil La*socio=nil restructuration*socio=uv du secteur_public*socio=ac *socio=nil nécessite à la fois*socio=rien d'améliorer l'efficacité*socio=uv au niveau*socio=rien des services_essentiels*socio=et de l'État*socio=ac, comme la mise en place*socio=rien d'une infrastructure*socio=ec sociale*socio=ac et matérielle*socio=rien , et de ménager*socio=rien une place*socio=rien pour l'initiative*socio=rien privée*socio=ec en redéfinissant les frontières*socio=te entre les secteurs_public*socio=ac et privé*socio=ec. La Banque*socio=ac a approuvé pendant l'exercice*socio=rien 92 un*socio=rien prêt*socio=ec à l'Argentine*socio=ac d'un*socio=rien montant*socio=ec de 325 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à l'appui*socio=rien de réformes*socio=et fondamentales*socio=rien de l'administration*socio=et fédérale*socio=et. Les mesures*socio=rien engagées consistent notamment à rationaliser les dépenses*socio=ec en réduisant d'environ 20% les effectifs*socio=rien de la *socio=et fonction_publique fédérale,*socio=nil *socio=nil en supprimant *socio=rien certaines fonctions *socio=nil et redéfinissant les activités*socio=rien essentielles*socio=uv par le biais*socio=rien d'une réorganisation*socio=uv ministérielle*socio=et, en portant la réduction*socio=uv de la masse*socio=rien salariale*socio=ec d'une proportion*socio=rien de 3 pour 1 à une proportion*socio=rien de plus de 10 pour 1, et en améliorant le processus*socio=rien budgétaire*socio=et et le contrôle*socio=uv des dépenses*socio=ec. D'autres opérations*socio=rien ayant comme *socio=rien objectif principal la*socio=nil restructuration*socio=uv du secteur_public*socio=ac ont*socio=nil été *socio=nil approuvées au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien en faveur*socio=rien de Madagascar*socio=ac, de la Mauritanie*socio=ac et du*socio=rien Pakistan*socio=ac. Des opérations*socio=rien d'ajustement_structurel*socio=et en Bolivie*socio=ac, en Bulgarie*socio=ac, au Burundi*socio=ac, en Inde*socio=ac, au Pérou*socio=ac, dans la république_démocratique_populaire_lao*socio=ac et en Roumanie*socio=ac - toutes approuvées durant l'exercice*socio=rien 92 - comportaient *socio=rien un volet de*socio=nil restructuration*socio=uv du secteur_public*socio=ac.*socio=nil La*socio=nil privatisation*socio=et est un processus *socio=nil qui contribue à modifier le *socio=rien rôle respectif des*socio=nil secteurs*socio=ec *socio=nil publie et privé*socio=ec de façon*socio=rien à accroître l'efficacité*socio=uv économique*socio=ec et à rationaliser l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec tant dans l'administration*socio=et qu'au sein*socio=rien des entreprises*socio=ac. La privatisation*socio=et permet d'offrir de *socio=rien nouvelles possibilités aux*socio=nil investisseurs*socio=ac privés*socio=ec *socio=nil et de libérer des ressources*socio=ec publiques*socio=et et des compétences*socio=uv administratives*socio=rien qui peuvent être*socio=rien affectées à des activités*socio=rien hautement prioritaires*socio=uv. Le groupe_de_la_banque*socio=ac a soutenu activement le processus*socio=rien de privatisation*socio=et dans le cadre*socio=rien de plus de 180 opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac, de 50 opérations*socio=rien de conseil*socio=rien et d'investissement*socio=ec de la SFI*socio=ac à l'intention*socio=rien d'entreprises*socio=ac privatisées et de 3 projets*socio=rien de l'AMGI*socio=ac qui garantissent des investissements*socio=ec liés à la privatisation*socio=et. L'effort*socio=uv de privatisation*socio=et du*socio=rien gouvernement*socio=ac hongrois est*socio=rien actuellement appuyé par un*socio=rien prêt*socio=ec de 200 millions*socio=rien de dollars*socio=ec approuvé au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92. L'objectif*socio=rien que poursuivent les pouvoirs_publics*socio=ac est*socio=rien de ramener la part*socio=rien des intérêts*socio=ec de l'État*socio=ac à moins de 50% du*socio=rien *socio=ec secteur concurrentiel *socio=nil d'ici à la fin*socio=rien de 1994. Dans ce but*socio=rien , ils mènent à bien*socio=rien leur stratégie*socio=et de privatisation*socio=et par *socio=rien un processus *socio=nil ordonné de ventes*socio=ec d'entreprises*socio=ac d'État*socio=ac. Des projets*socio=rien consacrés principalement à la privatisation*socio=et ont aussi été*socio=rien approuvés durant l'exercice*socio=rien en faveur*socio=rien de l'Argentine*socio=ac, de la côte_d'_ivoire*socio=ac, de l'Égypte*socio=ac et de la Zambie*socio=ac. L'efficacité*socio=uv et le dynamisme*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur financier sont*socio=nil essentiels*socio=uv *socio=nil à la croissance*socio=uv d'une économie_de_marché*socio=ec. Dans le contexte*socio=rien des opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac, il est*socio=rien souvent nécessaire*socio=rien de restructurer le *socio=ec secteur financier *socio=nil et de procéder à des réformes*socio=et économiques*socio=ec pour accroître l'efficacité*socio=uv et le rendement*socio=ec de la mobilisation*socio=uv des ressources*socio=ec provenant du*socio=rien secteur_privé*socio=ec et de la répartition*socio=uv de celles-ci en faveur*socio=rien de ce même secteur_privé*socio=ec. La Banque*socio=ac a entrepris des opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et consacrées à ce type*socio=rien d'action*socio=rien dans *socio=rien un nombre croissant de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Ainsi, la côte_d'_ivoire*socio=ac a bénéficié d'une opération*socio=rien portant sur*socio=rien 200 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en faveur*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et polyvalent*socio=uv de réformes*socio=et financières*socio=ec, dont la restructuration*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur bancaire est*socio=rien la*socio=nil clé*socio=rien *socio=nil de voûte. Les activités*socio=rien des banques*socio=ac commerciales*socio=ec seront réorganisées, les banques*socio=ac commerciales*socio=ec seront recapitalisées, la banque_nationale*socio=ac pour le développement*socio=uv agricole*socio=ec (BNDA) sera liquidée (ainsi que d'autres établissements*socio=rien de prêt*socio=ec spécialisés*socio=rien ) et la Caisse*socio=ec d'amortissement*socio=ec de la dette*socio=ec sera restructurée. Des opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et dans le *socio=ec secteur financier *socio=nil ont aussi été*socio=rien approuvées au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92 en *socio=rien faveur du Ghana*socio=ac,*socio=nil du Pérou*socio=ac *socio=nil et de la Tanzanie*socio=ac. *socio=rien Du fait *socio=nil de la prise*socio=rien de conscience*socio=uv grandissante*socio=rien de l'importance*socio=rien du*socio=rien développement*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur financier,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a mis en *socio=rien place un Groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ac sur les*socio=nil opérations du *socio=ec secteur financier *socio=nil afin d'évaluer l'aide*socio=uv qu'elle dispense dans ce secteur*socio=ec. Le *socio=rien rapport du groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ac a*socio=nil été *socio=nil publié en 1989. Depuis, toutes les opérations*socio=rien liées au *socio=ec secteur financier *socio=nil qui étaient en préparation*socio=rien ont *socio=rien été passées *socio=nil en revue pour veiller à ce que les recommandations*socio=rien qui figuraient dans le rapport*socio=rien soient bien*socio=rien respectées, et pour déterminer les questions*socio=rien ou les domaines*socio=rien qui avaient besoin*socio=uv d'être*socio=rien éclaircis, eu égard*socio=rien à la préparation*socio=rien de directives*socio=rien détaillées à l'intention*socio=rien *socio=rien du personnel *socio=nil de la Banque*socio=ac. Le processus*socio=rien s'est*socio=rien achevé par la rédaction*socio=rien d'un*socio=rien document*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien qui a été*socio=rien approuvé par les administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac en juillet*socio=rien 1991 (voir Encadré 3-4). Les *socio=rien recommandations du groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ac *socio=nil ont donné lieu*socio=rien à l'application*socio=rien de divers types de réformes*socio=et du*socio=rien *socio=ec secteur financier:*socio=nil amélioration*socio=uv des*socio=nil institutions_financières,*socio=nil libéralisation des*socio=nil taux_d'_intérêt et*socio=nil soutien*socio=uv *socio=nil à la mobilisation*socio=uv des ressources*socio=ec pour l'investissement_privé*socio=ec et/ou la concurrence*socio=ec au sein*socio=rien des intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec, par exemple*socio=rien . S'ils continuent de contribuer de façon*socio=rien significative*socio=uv au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, les prêts*socio=ec aux intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec ont été*socio=rien touchés par la réorientation*socio=et des activités*socio=rien de la Banque*socio=ac dans le *socio=ec secteur financier:*socio=nil les*socio=nil prêts *socio=nil consentis à de grandes*socio=rien entreprises*socio=ac industrielles*socio=ec par l'entremise*socio=rien d'intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec ont décliné, alors que les financements*socio=ec aux conditions*socio=uv du*socio=rien marché*socio=ec et l'assistance_technique*socio=et en faveur*socio=rien des petites*socio=rien et moyennes*socio=rien entreprises_privées*socio=ec ont progressé. En Pologne*socio=ac, la Banque*socio=ac a engagé 60 millions*socio=rien de dollars*socio=ec au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92 à l'appui*socio=rien d'un*socio=rien projet*socio=rien consistant à financer des *socio=ec investissements rentables *socio=nil dans des entreprises_privées*socio=ec (petites*socio=rien et moyennes*socio=rien , essentiellement). Des prêts*socio=ec à des intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec ont en outre été*socio=rien approuvés en *socio=rien faveur du Bangladesh*socio=ac,*socio=nil *socio=nil de la Colombie*socio=ac et de Trinité-et-tobago. Les enseignements*socio=et à tirer des réformes*socio=et en rapport*socio=rien avec la gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac et la privatisation*socio=et ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien de deux *socio=rien réunions du conseil_des_administrateurs*socio=ac au*socio=nil cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien . Bien*socio=rien que les réformes*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac n'aient pas eu les effets*socio=rien escomptés, l'action*socio=rien de la Banque*socio=ac dans ce domaine*socio=rien a eu des résultats*socio=rien positifs*socio=uv en dépit*socio=rien de circonstances*socio=rien parfois très délicates*socio=rien , telle est*socio=rien la *socio=rien conclusion du rapport *socio=nil soumis au *socio=rien Conseil sur les*socio=nil leçons *socio=nil à tirer des réformes*socio=et menées en matière*socio=rien de gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac. Ce rapport*socio=rien notait toutefois qu'on pouvait constater d'importantes*socio=rien variations*socio=rien selon la situation*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac *socio=rien du point de*socio=nil vue des*socio=nil moyens*socio=ec administratifs*socio=et *socio=nil et de sa réceptivité aux ressources*socio=ec et aux conseils*socio=ac venus de l'extérieur*socio=ec. Dans les pays*socio=ac où les compétences*socio=uv, la volonté_politique*socio=et et les incitations*socio=rien se conjuguent pour créer un*socio=rien environnement*socio=ec favorable*socio=rien , on assiste à une évolution*socio=rien incontestablement rapide*socio=rien ; dans d'autres cas*socio=rien , il faudra des années*socio=rien pour réunir les ingrédients indispensables*socio=uv à la mise en place*socio=rien d'institutions*socio=ac solides*socio=rien . Dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, la Banque*socio=ac devra maintenir son action*socio=rien dans ce domaine*socio=rien pendant longtemps. La Banque*socio=ac s'est*socio=rien employée*socio=rien à promouvoir les réformes*socio=et de la gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac par le biais*socio=rien de l'assistance_technique*socio=et, de la formation*socio=et, d'études*socio=rien et de son dialogue*socio=uv de politique*socio=et générale*socio=rien avec les gouvernements*socio=ac. Le rapport*socio=rien conclut que la Banque*socio=ac peut renforcer son efficacité*socio=uv dans ce domaine*socio=rien , notamment en accordant plus de poids*socio=rien aux questions*socio=rien de gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac dans le dialogue*socio=uv qu'elle entretient avec les pays*socio=ac, en étudiant*socio=ac de plus près le contexte*socio=rien sociopolitique*socio=et du*socio=rien pays*socio=ac et en prêtant davantage d'attention*socio=rien aux opérations*socio=rien d'investissement*socio=ec et d'assistance_technique*socio=et en rapport*socio=rien avec la gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac. Selon l'étude*socio=ac que la Banque*socio=ac a consacrée à la privatisation*socio=et, deux *socio=rien leçons principales *socio=nil sont à tirer de l'expérience*socio=uv: - Le *socio=rien simple fait *socio=nil qu'une entreprise*socio=ac passe aux *socio=rien mains du secteur_privé*socio=ec fait *socio=nil déjà évoluer la situation*socio=uv. Certaines*socio=rien entreprises*socio=ac d'État*socio=ac ont *socio=rien été bien *socio=nil gérées et rentables*socio=ec pendant quelque temps*socio=rien , mais la mainmise de l'État*socio=ac permet rarement de maintenir de *socio=rien bons résultats *socio=nil pendant plus de quelques années*socio=rien . - Le processus*socio=rien de privatisation*socio=et, s'il n'est*socio=rien pas simple*socio=rien , peut fonctionner et a déjà fait*socio=rien ses preuves*socio=rien . Et cela vaut pour toutes sortes*socio=rien d'entreprises*socio=ac dans toutes sortes*socio=rien d'environnement*socio=ec, y compris dans les pays*socio=ac pauvres*socio=uv. La plupart*socio=rien des expériences*socio=rien réussies de privatisation*socio=et ont cependant eu lieu*socio=rien dans des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien ou élevé*socio=rien . Il est*socio=rien plus difficile*socio=rien de privatiser dans les économies*socio=ec peu développées*socio=rien et le *socio=rien processus est plus*socio=nil délicat *socio=nil à engager. Cependant, même dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec, le bilan*socio=rien de certaines*socio=rien privatisations*socio=et a été*socio=rien des plus positifs*socio=uv. Il appartient aux gouvernements*socio=ac et aux organismes*socio=ac qui leur prêtent assistance*socio=et, comme le groupe_de_la_banque_mondiale*socio=ac, de structurer l'environnement*socio=ec économique*socio=ec et les transactions*socio=ec de telle sorte*socio=rien que la privatisation*socio=et puisse donner tous les résultats*socio=rien qu'on en attendait (voir Encadré 3-5). La *socio=rien direction du groupe_de_la_banque*socio=ac est *socio=nil déterminée à renforcer l'application*socio=rien de son plan*socio=rien d'action*socio=rien pour le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec;, à cet effet*socio=rien , *socio=rien un certain nombre de*socio=nil dispositions ont*socio=nil été *socio=nil adoptées à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 91, qui portaient notamment sur*socio=rien la préparation*socio=rien d'évaluations*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec pays*socio=ac par pays*socio=ac, le resserrement*socio=uv de la coopération*socio=uv entre la Banque*socio=ac, la SFI*socio=ac et l'AMGI*socio=ac, et l'intensification*socio=rien de la recherche*socio=ec sur*socio=rien les *socio=rien questions relatives au*socio=nil développement*socio=uv du secteur_privé*socio=ec.*socio=nil Les*socio=nil évaluations*socio=uv du secteur_privé*socio=ec *socio=nil ont commencé au début*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92. Elles ont pour objet*socio=rien d'aider à l'élaboration*socio=rien des stratégies*socio=et d'aide*socio=uv par pays*socio=ac du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac de façon*socio=rien qu'elles répondent aux priorités*socio=uv retenues*socio=rien pour le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec (de même que les travaux*socio=rien menés dans d'autres domaines*socio=rien prioritaires*socio=uv comme l'environnement*socio=ec et la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv), et serviront de base*socio=rien au dialogue*socio=uv qu'entretient la Banque*socio=ac avec les pays*socio=ac. Ces évaluations*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec permettront d'identifier les réformes*socio=et à entreprendre en priorité*socio=uv et les actions*socio=rien indispensables*socio=uv au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Le groupe_de_la_banque*socio=ac, en consultation*socio=uv avec les gouvernements*socio=ac concernés, a recensé les 20 pays*socio=ac pour lesquels seront réalisées les premières*socio=rien évaluations*socio=uv d'ici à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 93 . Ces pays*socio=ac ont été*socio=rien sélectionnés conjointement par les services_de_la_banque*socio=ac et de la SFI*socio=ac, selon l'urgence*socio=rien des problèmes*socio=uv qui y entravent le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec et le potentiel*socio=uv de ce secteur*socio=ec, compte*socio=rien tenu aussi *socio=rien du rôle *socio=nil que jouent la Banque*socio=ac et la SFI*socio=ac dans les pays*socio=ac en question*socio=rien et de la détermination*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=ac à poursuivre des réformes*socio=et visant à promouvoir le secteur_privé*socio=ec. L'évaluation*socio=uv effectuée pour le Kenya*socio=ac, maintenant achevée, est*socio=rien particulièrement représentative*socio=uv. Elle analyse*socio=rien les *socio=rien principales caractéristiques du secteur_privé*socio=ec *socio=nil et son poids*socio=rien dans l'économie*socio=ec, les *socio=rien principaux obstacles *socio=nil auxquels il se heurte, et la stratégie*socio=et à venir du*socio=rien groupe_de_la_banque_mondiale*socio=ac en *socio=rien faveur du développement*socio=uv *socio=nil de ce secteur*socio=ec. Cette évaluation*socio=uv se fondait sur*socio=rien des missions sur*socio=rien le terrain*socio=rien de la Banque*socio=ac et de la SFI*socio=ac, au cours*socio=rien desquelles avaient été*socio=rien réalisées de vastes*socio=rien enquêtes sur*socio=rien les entreprises*socio=ac, de même que sur*socio=rien les enseignements*socio=et que le groupe_de_la_banque*socio=ac avait pu tirer de son *socio=rien action opérationnelle et*socio=nil sectorielle *socio=nil passée. Les contraintes*socio=uv les plus graves*socio=rien mises en évidence*socio=rien dans l'évaluation*socio=uv sont les suivantes*socio=rien : l'existence*socio=rien d'une réglementation*socio=et et de mesures*socio=rien de contrôle*socio=uv pesantes, l'incertitude*socio=uv résultant*socio=rien de la situation*socio=uv macroéconomique*socio=ec *socio=rien globale du pays*socio=ac *socio=nil et l'application*socio=rien inégale*socio=uv des lois*socio=et et des règlements*socio=et, la taille du*socio=rien secteur_public*socio=ac et le risque*socio=uv d'éviction du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Pour les entreprises*socio=ac incluses dans l'enquête*socio=rien , le coût*socio=ec du*socio=rien crédit*socio=ec et l'obligation*socio=uv de fournir des garanties représentaient les plus *socio=rien importants obstacles du point de*socio=nil vue du financement*socio=ec.*socio=nil Le*socio=nil programme*socio=et de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil que consacre la Banque*socio=ac au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec englobe des études*socio=rien qui portent aussi *socio=rien bien sur le*socio=nil secteur*socio=ec *socio=nil non structuré, la réglementation*socio=et dans les divers secteurs*socio=ec et le régime*socio=et foncier*socio=ec, que sur*socio=rien la concurrence*socio=ec, les *socio=rien effets du désengagement*socio=et *socio=nil de l'État*socio=ac sur*socio=rien l'efficacité*socio=uv économique*socio=ec et sur*socio=rien les déterminants*socio=rien de l' investissement_privé*socio=ec. Les ressources*socio=ec consacrées au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec ont augmenté considérablement*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, *socio=rien du fait du redéploiement des*socio=nil opérations *socio=nil liées à la dette*socio=ec et à l'ajustement*socio=et. Une importante*socio=rien étude*socio=ac, commencée l'année*socio=rien dernière*socio=rien et intitulée "East Asian Miracle*socio=rien " (le miracle*socio=rien de l'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien ), examine en quoi l'action*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=ac (ou la non-intervention) a déterminé la croissance*socio=uv au Japon*socio=ac et dans les pays_en_développement*socio=ac d'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien , et *socio=rien un rapport d'*socio=nil activité sur le*socio=nil développement*socio=uv du secteur_privé*socio=ec devrait*socio=nil être *socio=nil examiné par le comité_du_développement*socio=ac en avril*socio=rien 1993. La dette*socio=ec et l'ajustement*socio=et. Pendant l'exercice*socio=rien 89, les administrateurs*socio=ac ont approuvé le principe*socio=rien de l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec de la banque_mondiale*socio=ac pour appuyer des opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de l'encours et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et en faveur*socio=rien des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien lourdement endettés. Ce programme*socio=et a été*socio=rien conçu pour durer trois ans*socio=rien et comporte des évaluations*socio=uv et *socio=rien examens réguliers.*socio=nil Après les*socio=nil débats*socio=et relatifs au*socio=nil troisième examen du programme*socio=et,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont décidé que la Banque*socio=ac devrait maintenir pendant l'exercice*socio=rien 92 ce moyen*socio=rien de financer des opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de l'encours et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et lorsque la *socio=uv situation particulière des*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil justifie de telles opérations*socio=rien . En général*socio=rien , les administrateurs*socio=ac ont aussi accueilli favorablement et approuvé les propositions*socio=rien qui ont été*socio=rien faites de maintenir le *socio=rien plafond initial *socio=nil des "prêts*socio=ec additionnels*socio=rien " liés au programme*socio=et, fixé pour les trois exercices*socio=rien 90-92 à 6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, et d'autoriser, cas*socio=rien par cas*socio=rien et compte*socio=rien tenu de considérations*socio=uv d'efficacité*socio=uv économique*socio=ec et de *socio=uv nécessité légitime,*socio=nil l'*socio=nil utilisation*socio=rien *socio=nil de ces fonds*socio=ec additionnels*socio=rien pour la constitution*socio=rien d'une garantie de remboursement*socio=ec du*socio=rien principal*socio=ec d'obligations*socio=uv au pair*socio=rien assorties de taux_d'_intérêt*socio=ec inférieurs*socio=rien à ceux du*socio=rien marché*socio=ec. Grâce*socio=rien à ce programme*socio=et, la Banque*socio=ac peut, lorsqu'elle le juge*socio=et approprié, octroyer des financements*socio=ec et/ou renoncer à la clause*socio=et de nantissement négative*socio=rien dans le cas*socio=rien d'opérations*socio=rien qui se soldent par une réduction*socio=uv des obligations*socio=uv au titre*socio=rien de l'encours et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et de ses pays_membres*socio=ac envers des banques*socio=ac commerciales*socio=ec. Le soutien*socio=uv de la Banque*socio=ac, octroyé au cas*socio=rien par cas*socio=rien , est*socio=rien subordonné au respect*socio=uv d'une série de conditions*socio=uv énoncées par les administrateurs*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 89, dont les plus importantes*socio=rien sont la mise au point*socio=rien par le pays*socio=ac d'un*socio=rien plan*socio=rien de financement*socio=ec rigoureux*socio=rien , qui comprenne des opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec; l'application*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et macroéconomique*socio=ec soutenable*socio=uv, en général*socio=rien avec l'appui*socio=rien du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac (FMI*socio=ac); la *socio=uv libre acceptation *socio=nil de l'opération*socio=rien ; et la preuve*socio=uv qu'elle contribue matériellement à l'amélioration*socio=uv des perspectives*socio=uv de développement*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac. La banque_mondiale*socio=ac n'intervient pas directement dans les négociations*socio=uv entre le *socio=ac pays emprunteur *socio=nil et les banques*socio=ac commerciales*socio=ec créancières*socio=ac. Son rôle*socio=rien consiste à fournir les informations*socio=rien qui lui sont demandées par chaque partie*socio=rien au *socio=rien sujet du programme*socio=et *socio=nil et de ses modalités*socio=rien , et sur*socio=rien les paramètres*socio=rien financiers*socio=ec qui justifieraient le soutien*socio=uv de la Banque*socio=ac. La Banque*socio=ac dispense aussi des services*socio=ec d'assistance_technique*socio=et dans le domaine*socio=rien de la gestion*socio=et de la dette*socio=ec extérieure*socio=te aux pays_membres*socio=ac qui en font la demande*socio=ec. Depuis le lancement*socio=rien de ce programme*socio=et, la Banque*socio=ac a soutenu six opérations*socio=rien de ce type*socio=rien . Dans quatre cas*socio=rien (Mexique*socio=ac, Philippines*socio=ac, Uruguay*socio=ac et Venezuela*socio=ac), la Banque*socio=ac a prêté son concours financier*socio=ec à l'opération*socio=rien et, lorsque cela a *socio=rien été nécessaire,*socio=nil *socio=nil renoncé à la clause*socio=et de nantissement négative*socio=rien pour permettre la constitution*socio=rien d'une garantie pour les obligations*socio=uv ayant fait*socio=rien l'objet*socio=rien de l'échange*socio=ec. Dans deux cas*socio=rien (costa_rica*socio=ac et Nigeria*socio=ac), la Banque*socio=ac n'a pas participé au financement*socio=ec de l'opération*socio=rien , mais a néanmoins renoncé à la clause*socio=et de nantissement négative*socio=rien . La renonciation à la clause*socio=et de nantissement négative*socio=rien pour le Nigeria*socio=ac a été*socio=rien la *socio=rien seule activité de*socio=nil réduction*socio=uv du service_de_la_dette*socio=et *socio=nil menée par la Banque*socio=ac durant l'exercice*socio=rien 92 . Les résultats*socio=rien de ce programme*socio=et ont été*socio=rien plus lents*socio=rien à se concrétiser qu'on ne l'avait prévu et ce, pour *socio=rien diverses raisons.*socio=nil *socio=nil Certains des débiteurs*socio=ac ont eu *socio=rien du mal *socio=nil à appliquer des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et appropriés. Dans d'autres pays*socio=ac, les négociations*socio=uv se sont prolongées à cause*socio=rien des incertitudes*socio=uv ressenties quant à l'évolution*socio=rien de la situation*socio=uv politique*socio=et. Les banques*socio=ac commerciales*socio=ec, de leur côté*socio=rien , ne se sentent plus aussi menacées que dans le *socio=rien passé récent *socio=nil par le volume*socio=rien de leurs créances*socio=ec sur*socio=rien les pays_en_développement*socio=ac. En général*socio=rien , elles ont considérablement*socio=rien redressé leur situation*socio=uv financière*socio=ec durant ces *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Ce qui les préoccupe aujourd'hui au *socio=rien premier chef,*socio=nil *socio=nil ce sont des difficultés*socio=rien d'un*socio=rien autre ordre*socio=rien : la nécessité*socio=uv, pour la plupart*socio=rien d'entre elles, de faire face*socio=rien à des exigences*socio=uv plus rigoureuses*socio=rien en matière*socio=rien de fonds*socio=ec propres*socio=rien , la récession*socio=ec aux États-unis*socio=ac, ou encore l'évolution*socio=rien du*socio=rien marché*socio=ec de l'immobilier*socio=ec aux États-unis*socio=ac, les problèmes*socio=uv liés à l'europe_de_l'_est*socio=ac (pour les *socio=ac banques européennes)*socio=nil *socio=nil et la chute de la bourse*socio=ac et de l'immobilier*socio=ec au Japon*socio=ac. Ces préoccupations*socio=uv, de même que le fait*socio=rien qu'elles constituent des provisions*socio=rien de plus en plus importantes*socio=rien pour se prémunir contre les risques*socio=uv liés aux prêts*socio=ec aux pays_en_développement*socio=ac, ont contribué à détourner l'attention*socio=rien des banques*socio=ac de la nécessité*socio=uv de parvenir à des accords*socio=et avec les *socio=ac pays débiteurs.*socio=nil *socio=nil Autant de raisons*socio=rien qui font que le montant*socio=ec des ressources*socio=ec que la Banque*socio=ac alloue à des opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de l'encours et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et a *socio=rien été inférieur aux*socio=nil estimations*socio=ec *socio=nil faites pendant l'exercice*socio=rien 89. Il y a trois ans*socio=rien , on pensait que les prêts*socio=ec additionnels*socio=rien dans le *socio=rien cadre du programme*socio=et *socio=nil de trois ans*socio=rien atteindraient pas moins de 6 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. En fait*socio=rien , le volume*socio=rien des engagements*socio=ec de prêts*socio=ec additionnels*socio=rien n'a pas dépassé 1,44 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec, et les montants*socio=rien "mis en réserve*socio=rien " par la Banque*socio=ac se sont élevés*socio=rien au total*socio=rien à 1,23 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec, au *socio=rien lieu du maximum *socio=nil de 4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec qui avait été*socio=rien prévu durant l'exercice*socio=rien 89 . Bien*socio=rien que le programme*socio=et n'ait pas progressé aussi vite que prévu, il *socio=rien est indéniable *socio=nil qu'il a beaucoup contribué au processus*socio=rien de restructuration*socio=uv de la dette*socio=ec et que, dans plusieurs cas*socio=rien , il a *socio=rien été un élément décisif *socio=nil dans le processus*socio=rien d'ajustement*socio=et des pays*socio=ac surendettés*socio=ec. Les voies*socio=rien par lesquelles les opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de l'encours et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et influent sur*socio=rien le *socio=rien processus du développement*socio=uv *socio=nil n'ont pas toutes la même importance*socio=rien , selon la situation*socio=uv propre*socio=rien à chaque pays*socio=ac débiteur*socio=ec. Les pays*socio=ac sont d'autant plus gagnants*socio=rien que ces opérations*socio=rien ont des effets*socio=rien significatifs*socio=uv sur*socio=rien leur développement*socio=uv. Réciproquement, de tels *socio=rien effets sur le*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil ne peuvent se concrétiser que dans *socio=rien un contexte de*socio=nil réformes*socio=et rigoureuses *socio=nil permettant au *socio=ac pays bénéficiaire *socio=nil d'exploiter les possibilités*socio=rien de développement*socio=uv ouvertes*socio=rien par les nouveaux*socio=rien accords*socio=et relatifs*socio=rien à la dette*socio=ec. Il est*socio=rien trop tôt toutefois pour juger pleinement des effets*socio=rien de ce programme*socio=et, mais les opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de l'encours et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et semblent, d'après*socio=rien les faits*socio=rien , avoir eu des *socio=rien effets tangibles sur le*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil et, de ce point*socio=rien de vue*socio=rien , le programme*socio=et a atteint son objectif*socio=rien . Les effets*socio=rien sont tout à *socio=rien fait visibles *socio=nil dans le *socio=rien cas du Mexique*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil ratio formation*socio=et *socio=nil brute de capital*socio=ec fixe/produit_intérieur_brut*socio=ec (PIB*socio=ec) y a augmenté de 1,4 point*socio=rien de pourcentage*socio=rien 1991 (par rapport*socio=rien à 1990); l' investissement_privé*socio=ec en capital*socio=ec fixe a gagné près de 5 points*socio=rien en 1990 et en 1991; les taux_d'_intérêt*socio=ec nominaux*socio=rien ont baissé de 20 points*socio=rien au cours*socio=rien de la période*socio=te des négociations*socio=uv et les taux_d'_intérêt*socio=ec réels*socio=rien ont perdu presque 60% en six mois*socio=rien pendant les négociations*socio=uv; durant la même période*socio=te, les cours*socio=rien de la bourse*socio=ac ont remonté; la cote*socio=ec de crédit*socio=ec attribuée par les *socio=ec opérateurs privés *socio=nil a nettement progressé; enfin, le transfert*socio=ec net*socio=rien sous forme*socio=rien d'apports*socio=rien de capitaux*socio=ec extérieurs*socio=te - *socio=ec investissements directs et*socio=nil investissements de*socio=nil portefeuille,*socio=nil *socio=nil pour l'essentiel*socio=uv - a représenté au total*socio=rien plus de 5% du*socio=rien PIB*socio=ec en 1991, soit une augmentation*socio=uv de plus de 13 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien à 1990. Dans le *socio=rien cas du Venezuela*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil perspectives*socio=uv de*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil se sont améliorées: en 1991, le taux_de_croissance*socio=ec du*socio=rien PIB*socio=ec a été*socio=rien de 9,1%, soit l'un*socio=rien des plus élevés*socio=rien dans le monde_en_développement*socio=te. Au costa_rica*socio=ac et, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil en*socio=nil Uruguay*socio=ac,*socio=nil *socio=nil on a aussi observé une amélioration*socio=uv tangible*socio=rien , en particulier*socio=uv des comptes*socio=rien extérieurs*socio=te, mais qui a toutefois été*socio=rien rognée par une évolution*socio=rien défavorable*socio=uv des termes_de_l'_échange*socio=et. L'opération*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec conclue avec les Philippines*socio=ac qui, en valeur*socio=ec relative*socio=rien , était la moins importante*socio=rien des *socio=rien cinq premières opérations *socio=nil de ce type*socio=rien menées par la Banque*socio=ac a eu moins de retombées*socio=rien que prévu. On peut clairement établir, semble-t-il, *socio=rien un parallèle *socio=nil entre la réussite*socio=uv de ces opérations*socio=rien (du*socio=rien point*socio=rien de vue*socio=rien de leur *socio=rien impact sur le*socio=nil développement*socio=uv)*socio=nil *socio=nil et le bien-fondé*socio=uv des politiques*socio=et poursuivies. Pour ce qui *socio=rien est du Mexique*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et dans *socio=rien un mesure moindre peut-être*socio=nil du Venezuela*socio=ac,*socio=nil l'*socio=nil amélioration*socio=uv *socio=nil et la rigueur*socio=uv des mesures*socio=rien d'ajustement*socio=et, poursuivies pendant plusieurs années*socio=rien , ont permis*socio=rien à la réduction*socio=uv de la dette*socio=ec d'avoir les effets*socio=rien positifs*socio=uv les plus *socio=rien importante sur le*socio=nil développement*socio=uv.*socio=nil Les*socio=nil gains*socio=ec *socio=nil n'ont pas été*socio=rien aussi importants*socio=rien dans les autres pays*socio=ac, où les politiques*socio=et mises en oeuvre*socio=rien n'avaient pas créé un*socio=rien environnement*socio=ec aussi favorable*socio=rien , ce qui montre une fois*socio=rien de plus que ce *socio=rien dernier élément est indispensable*socio=uv *socio=nil pour que les opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de l'encours et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et favorisent de façon*socio=rien significative*socio=uv le développement*socio=uv. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien , les administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac ont aussi décidé d'élargir les *socio=rien opérations du Fonds*socio=ec de*socio=nil désendettement*socio=ec des*socio=nil pays*socio=ac exclusivement*socio=nil IDA*socio=ac.*socio=nil Financé*socio=nil grâce à*socio=nil un transfert*socio=ec *socio=nil de 100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec prélevés sur*socio=rien le bénéfice*socio=ec net*socio=rien de la BIRD*socio=ac au titre*socio=rien de l'exercice*socio=rien 89, ce fonds*socio=ec a été*socio=rien créé pendant l'exercice*socio=rien 90 en raison*socio=uv de l'inexistence de mécanismes*socio=rien appropriés permettant d'alléger la dette*socio=ec extérieure*socio=te commerciale*socio=ec contractée par les pays*socio=ac exclusivement IDA*socio=ac. Les ressources*socio=ec de ce fonds*socio=ec sont offertes*socio=rien sous forme*socio=rien de dons*socio=ec - soumis normalement à *socio=rien un plafond *socio=nil de 10 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour chaque pays*socio=ac - de façon*socio=rien à donner le plus d'effet*socio=rien possible*socio=rien à la réduction*socio=uv de la dette*socio=ec extérieure*socio=te commerciale*socio=ec des pays*socio=ac. Tous les pays*socio=ac surendettés*socio=ec bénéficiant exclusivement des crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac peuvent recourir au fonds*socio=ec de désendettement*socio=ec, mais cette aide*socio=uv est*socio=rien décidée au cas*socio=rien par cas*socio=rien , étant entendus que doivent être*socio=rien réunies les conditions*socio=uv suivantes*socio=rien : - mise en oeuvre*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et d'ajustement*socio=et à *socio=rien moyen terme jugé*socio=nil acceptable*socio=uv *socio=nil par l'IDA*socio=ac, attestée, par exemple*socio=rien , par l'adoption*socio=et d'un*socio=rien document-cadre*socio=et de politique*socio=et opérationnelle*socio=rien ou d'un*socio=rien programme*socio=et d' ajustement_structurel*socio=et, ou par l'accès*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac à la facilité_d'_ajustement_structurel_renforcée*socio=ec du*socio=rien FMI*socio=ac; et - application*socio=rien d'une stratégie*socio=et de gestion*socio=et de la dette*socio=ec jugée satisfaisante*socio=rien par l'IDA*socio=ac et prévoyant a) un*socio=rien programme*socio=et visant au règlement*socio=et du*socio=rien problème*socio=uv de la *socio=ec dette commerciale au*socio=nil moyen*socio=rien de*socio=nil ressources provenant*socio=nil du*socio=rien fonds de*socio=nil désendettement *socio=nil de l'IDA*socio=ac et d'autres sources*socio=rien ; b) un*socio=rien allégement*socio=ec substantiel*socio=rien de la dette_publique*socio=et bilatérale*socio=te grâce*socio=rien à un*socio=rien accord*socio=et avec le Club_de_paris*socio=ac, de préférence*socio=uv aux conditions*socio=uv les plus favorables*socio=rien consenties par cet organisme*socio=ac; et c) une amélioration*socio=uv substantielle*socio=rien des perspectives*socio=uv de croissance*socio=uv et de développement*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac. Jusqu'à présent*socio=rien , 17 pays*socio=ac ont manifesté leur souhait*socio=rien d'accéder aux ressources*socio=ec du*socio=rien fonds*socio=ec . Deux opérations*socio=rien ont été*socio=rien menées à leur terme*socio=rien (au Mozambique*socio=ac et au Niger*socio=ac)8, et trois autres opérations*socio=rien (en Bolivie*socio=ac, au Guyana*socio=ac et en Ouganda*socio=ac) doivent être*socio=rien soumises à l'approbation*socio=uv *socio=rien du Conseil au*socio=nil cours du premier semestre *socio=nil de l'exercice*socio=rien 93. Dans les *socio=rien cas du Mozambique*socio=ac et*socio=nil du Niger*socio=ac,*socio=nil *socio=nil environ 230,8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec du*socio=rien principal*socio=ec de la *socio=ec dette commerciale ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil liquidés, ainsi qu'un*socio=rien total*socio=rien de quelque 90 millions*socio=rien de dollars*socio=ec d"arriérés de paiement*socio=ec d'intérêts*socio=ec. Environ 13,8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec ont été*socio=rien utilisés jusqu'à présent*socio=rien au titre*socio=rien des ressources*socio=ec du*socio=rien fonds*socio=ec, en plus d'une aide*socio=uv substantielle*socio=rien provenant de donateurs*socio=ac bilatéraux*socio=te. La France*socio=ac et la Suisse*socio=ac ont accordé des dons*socio=ec de, respectivement, 12 et 7,5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour les opérations*socio=rien menées au Mozambique*socio=ac et au Niger*socio=ac; par ailleurs*socio=rien , les Pays-bas*socio=ac et la Suède*socio=ac ont consenti, respectivement, des dons*socio=ec de 2 et 4,5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en faveur*socio=rien de l'opération*socio=rien au Mozambique*socio=ac. A l'exception*socio=rien du*socio=rien don*socio=ec de la France*socio=ac au Niger*socio=ac, toutes les autres ressources*socio=ec ont pris la forme*socio=rien de contributions*socio=uv au fonds*socio=ec. A la fin*socio=rien de l'année*socio=rien 1991, la Suisse*socio=ac a décidé de verser une nouvelle*socio=rien contribution*socio=uv aux ressource*socio=ec *socio=rien générales du fonds*socio=ec,*socio=nil d'*socio=nil un montant*socio=ec *socio=nil de 20 millions*socio=rien de francs*socio=ec suisses*socio=te, qui seront utilisés pour des opérations*socio=rien à venir convenues entre la Suisse*socio=ac et l'IDA*socio=ac. En outre, le Canada*socio=ac, la France*socio=ac, le Japon*socio=ac, le Royaume-uni*socio=ac et la Suisse*socio=ac ont apporté un*socio=rien concours financier*socio=ec à des *socio=rien activités préparatoires en*socio=nil rapport direct *socio=nil avec les opérations*socio=rien réalisées grâce*socio=rien au fonds*socio=ec de désendettement*socio=ec. Les pays*socio=ac endettés ont certes manifesté *socio=rien un vif intérêt*socio=uv *socio=nil pour les *socio=rien opérations du fonds*socio=ec,*socio=nil *socio=nil mais la réalisation*socio=uv de ces opérations*socio=rien a été*socio=rien plus lente*socio=rien que prévu. Il y a plusieurs raisons*socio=rien à cela: les difficultés*socio=rien rencontrées dans la mise en oeuvre*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et, les contraintes*socio=uv propres*socio=rien aux *socio=ac pays débiteurs,*socio=nil *socio=nil la réticence des banques*socio=ac commerciales*socio=ec, des problèmes*socio=uv juridiques*socio=et et des considérations*socio=uv liées au financement*socio=ec. Les contraintes*socio=uv propres*socio=rien aux *socio=ac pays débiteurs ont*socio=nil trait*socio=rien aux*socio=nil difficultés*socio=rien *socio=nil qu'ont eues certains bénéficiaires*socio=ac *socio=rien potentiels du fonds*socio=ec *socio=nil à déterminer précisément ce qu'ils devaient et à qui. Les *socio=rien opérations du fonds*socio=ec *socio=nil ont aussi été*socio=rien retardées par les contraintes*socio=uv en ressources_humaines*socio=ec dont souffrent les *socio=ac pays débiteurs *socio=nil et qui se soldent par le fait*socio=rien , facile*socio=rien à comprendre, que les petites*socio=rien créances*socio=ec des banques*socio=ac commerciales*socio=ec sont reléguées à l'arrière-plan et supplantées par les créances*socio=ec officielles*socio=et, d'un*socio=rien montant*socio=ec bien*socio=rien plus élevé*socio=rien . Le peu d'empressement*socio=rien des banques*socio=ac commerciales*socio=ec a été*socio=rien aussi plus marqué que prévu. Le scénario*socio=rien selon lequel les banques*socio=ac accepteraient volontiers*socio=rien , en contrepartie*socio=rien de versements*socio=ec au comptant, d'effacer leurs créances*socio=ec sur*socio=rien des pays*socio=ac très pauvres*socio=uv ayant déjà connu de *socio=rien graves difficultés de*socio=nil service_de_la_dette*socio=et s'*socio=nil est *socio=nil révélé, pour *socio=rien diverses raisons,*socio=nil *socio=nil par trop optimiste*socio=uv. Il s'est*socio=rien avéré qu'il était difficile*socio=rien de trouver des méthodes*socio=rien qui permettent de mener des opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec compatibles*socio=rien avec les contrats*socio=ec initiaux*socio=rien conclus entre le débiteur*socio=ac et ses créanciers*socio=ac commerciaux*socio=ec. De plus, la mise en place*socio=rien des accords*socio=et individuels*socio=ac a pris *socio=rien un retard considérable du fait *socio=nil qu'il était souvent difficile*socio=rien d'obtenir*socio=rien les *socio=rien documents requis (*socio=nil contrats*socio=ec initiaux,*socio=nil par*socio=nil exemple)*socio=nil *socio=nil pour garantir que les opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec envisagées atteindraient bien*socio=rien leur objectif*socio=rien , à savoir*socio=rien l'extinction*socio=rien légale*socio=et de la dette*socio=ec. Enfin, les retards*socio=rien dans l'octroi*socio=rien des financements*socio=ec bilatéraux*socio=te qui devaient permettre le recrutement*socio=ec en temps*socio=rien voulu de conseilleurs financiers*socio=ec et juridiques*socio=et extérieurs*socio=te ont parfois ralenti la préparation*socio=rien détaillée des *socio=rien opérations du fonds*socio=ec.*socio=nil En*socio=nil dépit *socio=nil de la *socio=rien lenteur du processus,*socio=nil preuve*socio=uv a*socio=nil été *socio=nil faite que le fonds*socio=ec peut contribuer grandement à la réduction*socio=uv de la *socio=ec dette commerciale des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil les plus pauvres*socio=uv. Ce fonds*socio=ec demeure le *socio=rien seul mécanisme de*socio=nil financement*socio=ec qui*socio=nil offre aux*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil faible revenu*socio=ec *socio=nil lourdement endettés la perspective*socio=rien d'obtenir*socio=rien le financement*socio=ec requis*socio=rien pour réduire sensiblement leurs obligations*socio=uv au titre*socio=rien de *socio=ec dettes commerciales.*socio=nil La*socio=nil création*socio=rien *socio=nil de ce fonds*socio=ec a aussi eu des effets*socio=rien secondaires*socio=et positifs*socio=uv. Par sa *socio=rien seule existence,*socio=nil *socio=nil il a encouragé plusieurs pays*socio=ac à adopter une approche plus systématique*socio=rien et plus globale*socio=rien de la gestion*socio=et de leurs obligations*socio=uv extérieures*socio=te, présentes*socio=rien et à venir, et il a favorisé*socio=rien des efforts*socio=uv accrus de coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec dans le domaine*socio=rien de la gestion*socio=et de la dette*socio=ec. En acceptant de prolonger les *socio=rien activités du fonds*socio=ec *socio=nil jusqu'au 31 juillet*socio=rien 1994, les administrateurs*socio=ac ont aussi décidé que le critère*socio=rien à l'aune duquel une *socio=rien opération est *socio=nil jugée - c'est-à-dire si elle permet ou non de résoudre en profondeur*socio=rien les difficultés*socio=rien liées à la *socio=ec dette commerciale d'*socio=nil un*socio=rien pays*socio=ac *socio=nil - doit être*socio=rien interprété dans *socio=rien un sens *socio=nil qui permette d'utiliser les ressources*socio=ec du*socio=rien fonds*socio=ec pour le financement*socio=ec d'opérations*socio=rien partielles*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec, dans les cas*socio=rien appropriés. Les administrateurs*socio=ac ont aussi décidé que: - les ressources*socio=ec du*socio=rien fonds*socio=ec pourraient être*socio=rien employées*socio=ac pour s'assurer les services*socio=ec de conseillers*socio=ac financiers*socio=ec et juridiques*socio=et afin d'aider les pays*socio=ac à préparer les opérations*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec ; - les ressources*socio=ec du*socio=rien fonds*socio=ec pourraient être*socio=rien fournies à une tierce partie*socio=rien au profit*socio=ec d'une opération*socio=rien de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec en faveur*socio=rien d'un*socio=rien pays_membre*socio=ac dans les cas*socio=rien où il n'est*socio=rien pas envisageable de faire un*socio=rien don*socio=ec au pays_membre*socio=ac pour des raisons*socio=rien d'ordre*socio=rien juridique*socio=et; et que - les ressources*socio=ec du*socio=rien fonds*socio=ec pourraient être*socio=rien également employées*socio=ac pour des opérations*socio=rien de réduction*socio=uv applicables*socio=rien à l'ensemble*socio=rien de la *socio=ec dette commerciale extérieure*socio=te *socio=nil qui n'est*socio=rien ni garantie ni gagée, c'est-à-dire la dette*socio=ec à court_terme*socio=ec aussi bien*socio=rien qu'à moyen*socio=rien ou long_terme*socio=ec. La dette*socio=ec à court_terme*socio=ec ne pourra néanmoins faire l'objet*socio=rien de telles opérations*socio=rien que si elle a donné lieu*socio=rien depuis déjà quelque temps*socio=rien à des arriérés et si la direction*socio=rien de l'IDA*socio=ac a la certitude*socio=rien , pour chaque pays*socio=ac, que cela ne risque*socio=uv pas d'avoir pour conséquence*socio=rien de limiter*socio=rien l'accès*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac au crédit*socio=ec à court_terme*socio=ec à des *socio=uv conditions raisonnables.*socio=nil Prêts*socio=ec *socio=nil à l'ajustement*socio=et. Pendant l'exercice*socio=rien 92, les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et de la Banque*socio=ac se sont élevés*socio=rien au total*socio=rien à 5 847 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit une augmentation*socio=uv de 176 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par rapport*socio=rien à l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien . Les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et ont représenté 27% *socio=rien du total des*socio=nil engagements*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac. Cette augmentation*socio=uv provient essentiellement de la mise en place*socio=rien des *socio=rien premières opérations d'*socio=nil ajustement*socio=et en*socio=nil Inde*socio=ac *socio=nil et au Pérou*socio=ac (650 millions*socio=rien et 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec, respectivement) et *socio=rien du maintien des*socio=nil niveaux élevés des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'ajustement*socio=et en Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te (850 millions*socio=rien de dollars*socio=ec). Les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et font partie*socio=rien de la réalité*socio=uv *socio=rien quotidienne du monde_en_développement*socio=te *socio=nil depuis plus de dix ans*socio=rien . Ils ont été*socio=rien au *socio=rien coeur du débat*socio=et de*socio=nil politique_économique*socio=et en*socio=nil amérique_latine*socio=ac *socio=nil et en *socio=ac Afrique subsaharienne *socio=nil et occupé une *socio=rien place importante *socio=nil dans d'autres régions*socio=te. Quelques pays*socio=ac, le Chili*socio=ac et la Thaïlande*socio=ac, par exemple*socio=rien , ont sans conteste réussi à ne plus *socio=rien être tributaires des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'ajustement*socio=et; à moins qu'ils ne subissent de *socio=rien nouveaux chocs graves,*socio=nil ces*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ne devraient plus avoir besoin*socio=uv de prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et pour soutenir leurs réformes*socio=et. D'autres, comme le Maroc*socio=ac et la Tunisie*socio=ac, vont bientôt aussi pouvoir*socio=et s'en affranchir. Les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et vont continuer d'occuper une *socio=rien place importante *socio=nil tout au long*socio=rien des années*socio=rien 90: ils sont déjà devenus l'un*socio=rien des principaux*socio=rien canaux*socio=ec par lesquels une aide*socio=uv est*socio=rien apportée aux anciens*socio=rien pays*socio=ac à économie*socio=ec dirigée; l'Inde*socio=ac y a eu recours*socio=rien pour la *socio=rien première fois,*socio=nil *socio=nil et la plupart*socio=rien des régions*socio=te du*socio=rien monde*socio=te comptent des pays*socio=ac qui en sont d'anciens*socio=rien ou de nouveaux*socio=rien bénéficiaires*socio=ac. *socio=rien Un troisième bilan des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'ajustement*socio=et, achevé par la Banque*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, conclut que, dans l'ensemble*socio=rien , l'octroi*socio=rien de ces prêts*socio=ec s'accompagne d'un*socio=rien redressement*socio=uv des taux_de_croissance*socio=ec et d'une amélioration*socio=uv des politiques*socio=et. Il faut néanmoins noter que l'ajustement*socio=et réussit mieux aux pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien qu'aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec: compte*socio=rien tenu des *socio=rien circonstances initiales,*socio=nil des*socio=nil chocs extérieurs*socio=te *socio=nil et des flux*socio=ec officiels*socio=rien , dans le premier*socio=rien groupe*socio=ac de pays*socio=ac, la croissance*socio=uv a *socio=rien été supérieure *socio=nil de quatre points*socio=rien de pourcentage*socio=rien à ce qu'elle aurait été*socio=rien sans l'ajustement*socio=et; en revanche, dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec, la croissance*socio=uv par habitant*socio=ac à été*socio=rien à peine positive*socio=uv. Ce rapport*socio=rien faisait remarquer que le processus*socio=rien d'ajustement*socio=et prend généralement plusieurs années*socio=rien et qu'il peut entraîner des coûts*socio=ec considérables*socio=rien pendant la période*socio=te de transition*socio=uv. Là encore, il convient de distinguer entre les pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien et les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec en cours*socio=rien d'ajustement*socio=et. Les plus *socio=rien grandes difficultés *socio=nil que rencontre le groupe*socio=ac des pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv s'expliquent par le fait*socio=rien que, dans la plupart*socio=rien d'entre eux, l'infrastructure*socio=ec et les ressources_humaines*socio=ec n'ont pas une *socio=rien base solide,*socio=nil l'*socio=nil initiative privée*socio=ec *socio=nil a peu de place*socio=rien dans le secteur*socio=ec structuré et les institutions_publiques*socio=et sont insuffisantes*socio=rien . Ces pays*socio=ac ont aussi comme handicap*socio=uv d'avoir commencé le processus*socio=rien avec des distorsions*socio=uv économiques*socio=ec plus fortes*socio=rien que celles des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien . D'après*socio=rien ce rapport*socio=rien , l'expérience*socio=uv à ce jour*socio=rien montre que l' ajustement_structurel*socio=et dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec est*socio=rien une *socio=rien condition nécessaire,*socio=nil *socio=nil mais généralement non suffisante*socio=rien , pour ouvrir la voie*socio=rien à une croissance*socio=uv durable*socio=rien . S'il *socio=rien est vrai *socio=nil que la plupart*socio=rien des pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac continueront d'avoir besoin*socio=uv d'une aide*socio=uv liée à l'ajustement*socio=et au cours*socio=rien des années*socio=rien 90, celle-ci n'aura d'effets*socio=rien probants*socio=rien que si l'on essaie de résoudre en même temps*socio=rien les problèmes*socio=uv de développement*socio=uv à long_terme*socio=ec. Or*socio=rien , la recherche*socio=rien d'une solution*socio=rien à ces problèmes*socio=uv continuera de nécessiter une aide*socio=uv substantielle*socio=rien de la part*socio=rien de la communauté*socio=ac internationale*socio=te, par le biais*socio=rien de prêts*socio=ec à l'appui*socio=rien de projets*socio=rien ou de prêts*socio=ec à l'investissement*socio=ec sectoriel*socio=ec. Même si ce rapport*socio=rien conclut que l'ajustement*socio=et améliore la condition*socio=rien de la plupart*socio=rien des pauvres*socio=ac, du*socio=rien moins à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil il reconnaît que les programmes*socio=et de réformes*socio=et économiques*socio=ec se soldent souvent pour certains par *socio=rien un recul temporaire du niveau_de_vie*socio=uv.*socio=nil *socio=nil Lorsqu'elles sont bien*socio=rien conçues, les politiques*socio=et d'ajustement*socio=et peuvent toutefois atténuer ces revers*socio=rien et être*socio=rien une source*socio=rien d'amélioration*socio=uv plus rapide*socio=rien des conditions_de_vie*socio=uv pour les pauvres*socio=ac. Les programmes*socio=et de transferts*socio=et de l'État*socio=ac bien*socio=rien ciblés, tels que les programmes*socio=et d'emploi*socio=ec dans le secteur_public*socio=ac, ou les programmes*socio=et alimentaires*socio=rien ou de nutrition*socio=rien , ont aussi leur rôle*socio=rien à jouer pour compenser quelque peu la perte*socio=rien de revenu*socio=ec des groupes*socio=ac les plus exposés. Ce rapport*socio=rien ne se limite*socio=rien pas à actualiser l'analyse*socio=rien des effets*socio=rien des prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et sur*socio=rien la croissance*socio=uv du*socio=rien revenu*socio=ec global*socio=rien ou sur*socio=rien les pauvres*socio=ac, il s'intéresse aussi tout particulièrement à deux domaines*socio=rien problématiques *socio=rien du processus d'*socio=nil ajustement*socio=et:*socio=nil *socio=nil la reprise des investissements*socio=ec du*socio=rien secteur_privé*socio=ec et la réforme*socio=et des dépenses_publiques*socio=et. D'après*socio=rien ce rapport*socio=rien , s'il *socio=rien est vrai *socio=nil que l'investissement*socio=ec du*socio=rien secteur_privé*socio=ec reprend à terme*socio=rien lorsque les politiques*socio=et menées sont satisfaisantes*socio=rien , il demeure un*socio=rien problème*socio=uv dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec. On peut comprendre la lenteur*socio=rien de la réaction*socio=rien des investisseurs*socio=ac privés*socio=ec, conclut l'étude*socio=ac de la Banque*socio=ac, et elle n'a pas à faire problème*socio=uv dès lors*socio=rien que l'application*socio=rien de politiques*socio=et appropriées prépare le terrain*socio=rien à une reprise ultérieure*socio=te de l'investissement_privé*socio=ec. La plupart*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec se heurtent souvent à une *socio=rien difficulté supplémentaire,*socio=nil *socio=nil qui vient de ce que le secteur_privé*socio=ec structuré a toujours été*socio=rien moins développé*socio=rien . De surcroît*socio=rien , il y est*socio=rien plus rare*socio=rien que dans les pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien que les conditions*socio=uv nécessaires*socio=rien à la reprise de l'investissement_privé*socio=ec s'y trouvent réunies: le marché*socio=ec souffre de distorsions*socio=uv encore plus graves*socio=rien , l'infrastructure*socio=ec y est*socio=rien moins développée*socio=rien et le système*socio=rien financier*socio=ec y est*socio=rien plus rudimentaire. La mauvaise*socio=rien répartition*socio=uv des ressources*socio=ec publiques*socio=et, au moins *socio=rien du point de*socio=nil vue des*socio=nil perspectives*socio=uv de*socio=nil développement*socio=uv,*socio=nil demeure*socio=nil un problème*socio=uv,*socio=nil *socio=nil selon le rapport*socio=rien qui explique que les baisses générales*socio=rien des dépenses_publiques*socio=et ont souvent été*socio=rien faites au détriment*socio=rien de dépenses*socio=ec de fonctionnement*socio=rien ou d'entretien*socio=rien vitales (et parfois aux dépens*socio=rien des investissements_publics*socio=et nécessaires*socio=rien ); que la mauvaise*socio=rien répartition*socio=uv des ressources*socio=ec *socio=rien est visible au*socio=nil sein des*socio=nil secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac (*socio=nil dépenses*socio=ec insuffisantes *socio=nil consacrées aux intrants*socio=ec complémentaires*socio=rien , tels que les médicaments ou les manuels*socio=rien scolaires*socio=et par rapport*socio=rien aux effectifs*socio=rien , par exemple*socio=rien ); et que la réduction*socio=uv des effectifs*socio=rien dans le secteur_public*socio=ac n'a guère progressé. Pour ce qui est*socio=rien de l'avenir*socio=te, le rapport*socio=rien recommande que la Banque*socio=ac a) maintienne ses prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et en faveur*socio=rien des gouvernements*socio=ac résolus à agir et complète ce soutien*socio=uv par des prêts*socio=ec à l'investissement*socio=ec visant à développer l'infrastructure*socio=ec et les institutions*socio=ac économiques*socio=ec et sociales*socio=ac; b) accorde une attention*socio=rien accrue, lors*socio=rien de la conception*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et, aux réformes*socio=et qui favorisent le développement*socio=uv des affaires*socio=ec; c) porte*socio=rien une attention*socio=rien accrue à la ventilation*socio=rien des dépenses*socio=ec du*socio=rien secteur_public*socio=ac; et d) intensifie ses efforts*socio=uv en vue*socio=rien de formuler des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et favorisant une croissance*socio=uv qui permette de combattre*socio=rien la pauvreté*socio=uv. Ce *socio=rien troisième rapport *socio=nil consacré aux prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et a été*socio=rien examiné par le conseil_des_administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac, qui en a approuvé les *socio=rien conclusions générales.*socio=nil *socio=nil Encadré 3-1: Engagements*socio=ec en faveur*socio=rien des secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac et de l'environnement*socio=ec. Le *socio=rien Rapport annuel *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac pour l'exercice*socio=rien 91 prenait note des engagements*socio=ec explicites*socio=rien et quantifiables annoncés par M: Barber B: Conable*socio=ac, *socio=rien septième président *socio=nil de la Banque*socio=ac, qui pouvaient *socio=rien être associés *socio=nil à des programmes*socio=et *socio=rien opérationnels spécifiques.*socio=nil En*socio=nil mars *socio=nil 1990, par exemple*socio=rien , M: Conable*socio=ac avait déclaré que la Banque*socio=ac doublerait au cours*socio=rien des trois *socio=rien années suivantes ses*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'éducation*socio=et, qui atteindraient ainsi plus de 1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec par an*socio=rien . Pendant les exercices*socio=rien 90-92, les prêts*socio=ec à l'éducation*socio=et se sont respectivement chiffrés à 1,5 milliard*socio=rien , 2,3 milliards*socio=ec et 1,9 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 1,9 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec en moyenne*socio=rien . Dans des courriers adressés respectivement l'un*socio=rien , en janvier*socio=rien 1991, à M: Javier Perez de Cuellar, secrétaire*socio=ac général*socio=rien des nations_unies*socio=ac de l'époque*socio=rien , et l'autre, en septembre*socio=rien 1990, à M: Brian Mulroney, premier_ministre*socio=ac du*socio=rien Canada*socio=ac, M: Conable*socio=ac annonçait l'intention*socio=rien de la Banque*socio=ac de tripier au cours*socio=rien des exercices*socio=rien 91-93 ses prêts*socio=ec en faveur*socio=rien de l'enseignement*socio=et primaire*socio=et, qui s'étaient élevés*socio=rien pendant l'exercice*socio=rien 90 à 450 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Ces prêts*socio=ec, écrivait-il, représenteraient entre 30 et 40% environ *socio=rien du total des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'éducation*socio=et. Les engagements*socio=ec de la Banque*socio=ac pour l'enseignement*socio=et primaire*socio=et au cours*socio=rien des exercices*socio=rien 91 et 92 ont atteint au total*socio=rien , respectivement, 1 114 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (soit 34% de ce total*socio=rien ) et 792 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (soit 40% de ce total*socio=rien ). Dans ces lettres, M: Conable*socio=ac déclarait aussi envisager de porter les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac en faveur*socio=rien des soins_de_santé*socio=et primaires*socio=rien qui étaient de l'ordre*socio=rien de 3% *socio=rien du total des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à environ 5% de ce total*socio=rien au cours*socio=rien d'une période*socio=te de trois à quatre ans*socio=rien . Durant l'exercice*socio=rien 91, la Banque*socio=ac a alloué 1220 millions*socio=rien de dollars*socio=ec aux soins_de_santé*socio=et primaires*socio=rien , soit 5,4% *socio=rien du volume total *socio=nil de ses prêts*socio=ec. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, 788 millions*socio=rien de dollars*socio=ec ont été*socio=rien engagés en faveur*socio=rien des soins_de_santé*socio=et primaires*socio=rien , soit l'équivalent*socio=rien de 3,6% *socio=rien du total des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac. Le recul*socio=rien que l'on constate s'explique par la *socio=rien diminution générale des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil engagées dans le secteur*socio=ec de la population*socio=ac, de la santé*socio=et et de la nutrition*socio=rien pendant l'exercice*socio=rien 92. Les prêts*socio=ec en faveur*socio=rien de ce secteur*socio=ec devraient néanmoins se redresser au cours*socio=rien des exercices*socio=rien 93 et 94. Les *socio=rien seuls projets de*socio=nil population*socio=ac,*socio=nil santé*socio=et et*socio=nil nutrition *socio=nil approuvés pendant l'exercice*socio=rien et qui n'intègrent pas une composante*socio=rien soins_de_santé*socio=et primaires*socio=rien finançaient soit des actions*socio=rien de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, soit la remise en état*socio=rien d'hôpitaux*socio=et. Dans *socio=rien un discours prononcé*socio=nil devant la*socio=nil Fédération*socio=et internationale*socio=te *socio=nil pour le planning*socio=rien familial*socio=uv à Ottawa*socio=ac, en novembre*socio=rien 1989, M: Conable*socio=ac avait déclaré que les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac aux secteurs*socio=ec de la population*socio=ac, de la santé*socio=et et de la nutrition*socio=rien passeraient à 800 millions*socio=rien de dollars*socio=ec en moyenne*socio=rien au cours*socio=rien des trois années*socio=rien qui suivraient, contre 500 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par an*socio=rien au cours*socio=rien des exercices*socio=rien 87-89. En tout, les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac aux activités*socio=rien de population*socio=ac, santé*socio=et et nutrition*socio=rien se sont élevés*socio=rien , respectivement, à 933 millions*socio=rien , 1,6 milliard*socio=rien et 962 millions*socio=rien de dollars*socio=ec aux cours*socio=rien des exercices*socio=rien 90, 91 et 92, ce qui dépasse de loin*socio=rien l'objectif*socio=rien fixé à la fin*socio=rien de 1989. Enfin, dans une allocution*socio=rien présentée lors*socio=rien de la *socio=rien Conférence sur l'*socio=nil environnement*socio=ec mondial*socio=te *socio=nil et les activités*socio=rien humaines*socio=uv tendant à un*socio=rien développement_durable*socio=ec, qui s'est*socio=rien tenue à Tokyo*socio=ac en septembre*socio=rien 1989, M: Conable*socio=ac a déclaré que le soutien*socio=uv de la Banque*socio=ac à des projets*socio=rien exclusivement consacrés à l'environnement*socio=ec devrait atteindre près de 1,3 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec en l'espace*socio=rien de trois ans*socio=rien . Cet engagement*socio=uv s'est*socio=rien concrétisé au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 91, où ont été*socio=rien approuvés 14 projets*socio=rien , *socio=rien représentant un volume de*socio=nil prêt*socio=ec *socio=nil d'environ 1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec, dont la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec était l'objectif*socio=rien principal*socio=rien . Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, la Banque*socio=ac a approuvé 19 projets*socio=rien de ce type*socio=rien , soit *socio=rien un volume de*socio=nil prêt*socio=ec *socio=nil de 1,2 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec. Fin*socio=rien de l'encadré. Encadré 3-3: Politique*socio=et forestière*socio=ec. D'après*socio=rien le document*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac intitulé Le *socio=ec secteur forestier,*socio=nil *socio=nil l'une des caractéristiques*socio=rien essentielles*socio=uv de ce secteur*socio=ec, qui le distingue des autres *socio=rien activités du secteur*socio=ec primaire*socio=et,*socio=nil est *socio=nil que les coûts*socio=ec et les *socio=rien avantages sur le*socio=nil plan privé*socio=ec *socio=nil sont généralement très différents*socio=rien des coûts*socio=ec et avantages*socio=rien à l'échelle*socio=rien nationale*socio=te ou mondiale*socio=te. De par l'existence*socio=rien de ces effets*socio=rien induits, le libre*socio=uv jeu*socio=rien des forces_du_marché*socio=ec peut ne pas aboutir à des résultats*socio=rien socialement souhaitables*socio=rien . Certains des effets*socio=rien induits se traduisent par des coûts*socio=ec pour le pays*socio=ac, d'autres par des coûts*socio=ec pour la communauté*socio=ac internationale*socio=te. Étant donné que les populations*socio=ac qui coupent ou qui plantent des arbres*socio=rien sont en général*socio=rien peu incités à tenir compte*socio=rien des conséquences*socio=rien de leurs actes, ces effets*socio=rien induits aboutissent inexorablement à un*socio=rien déboisement*socio=et excessif*socio=rien et à un*socio=rien reboisement insuffisant*socio=rien . D'après*socio=rien ce document*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien , des divers enjeux issus de cette divergence entre les intérêts*socio=uv des particuliers*socio=rien et les intérêts*socio=uv de la collectivité*socio=ac, deux méritent une attention*socio=rien toute particulière*socio=uv. Il faut, d'une part*socio=rien , empêcher le déboisement*socio=et à *socio=rien un rythme trop*socio=nil rapide *socio=nil - des forêts*socio=et *socio=rien denses humides en*socio=nil particulier*socio=uv.*socio=nil *socio=nil Il faut, d'autre part*socio=rien , assurer la plantation en *socio=rien quantité suffisante de*socio=nil nouveaux arbres *socio=nil pour répondre à la demande*socio=ec, en croissance*socio=uv rapide*socio=rien , de bois*socio=rien de feu*socio=rien dans les pays_en_développement*socio=ac. Le document*socio=rien de politique*socio=et *socio=rien générale définit une*socio=nil stratégie*socio=et *socio=nil s'articulant autour de quatre objectifs*socio=rien pour mettre *socio=rien un terme *socio=nil à la déforestation*socio=et. Premièrement, le développement_économique*socio=ec global*socio=rien - et notamment la diversification*socio=rien accrue des économies*socio=ec nationales*socio=te, la réduction*socio=uv des inégalités*socio=uv et la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, ainsi que le ralentissement*socio=uv de la croissance*socio=uv démographique*socio=rien - est*socio=rien indispensable*socio=uv à toute solution*socio=rien à long_terme*socio=ec du*socio=rien problème*socio=uv de la déforestation*socio=et En attendant, il faut en priorité*socio=uv renforcer la *socio=ec productivité agricole *socio=nil dans les régions*socio=te pauvres*socio=uv à *socio=rien forte densité de*socio=nil population*socio=ac,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=uv *socio=nil dans les régions*socio=te jouxtant les zones*socio=te forestières*socio=ec, ou dans celles d'où proviennent la majorité*socio=rien des défricheurs de forêts*socio=et; il convient en outre d'accroître l'emploi*socio=ec non agricole*socio=ec dans ces zones*socio=te cibles. Deuxièmement, c'est*socio=rien par des mesures*socio=rien législatives*socio=et et *socio=rien réglementaires spécifiques *socio=nil qu'il faut assurer la protection*socio=et des forêts*socio=et, en particulier*socio=uv des forêts*socio=et *socio=rien denses humides.*socio=nil *socio=nil Troisièmement, il convient de modifier les incitations*socio=rien données aux particuliers*socio=rien (ceux qui colonisent les terres*socio=rien pour l'agriculture*socio=ec comme ceux qui abattent les arbres*socio=rien ), faute de quoi l'application*socio=rien du*socio=rien zonage et d'autres *socio=rien mesures réglementaires *socio=nil restera probablement sans effet*socio=rien . Quatrièmement, les investissements_publics*socio=et doivent être*socio=rien précédés par des évaluations*socio=uv environnementales*socio=et beaucoup plus approfondies qu'elles ne le sont aujourd'hui. Pour relever le second*socio=rien défi*socio=uv, à savoir*socio=rien répondre à la demande*socio=ec croissante*socio=rien de bois*socio=rien de feu*socio=rien , il faut mettre en oeuvre*socio=rien des réformes*socio=et visant à réduire la demande*socio=ec, à accroître l'offre*socio=rien et à encourager l'utilisation*socio=rien d'autres sources*socio=rien d'énergie*socio=ec. On peut réduire la demande*socio=ec par des interventions*socio=et directes*socio=rien visant à encourager les économies*socio=ec d'énergie*socio=ec et l'utilisation*socio=rien de techniques*socio=rien plus efficaces*socio=uv. Quant à l'offre*socio=rien , on peut l'accroître en répondant à la demande*socio=ec de bois*socio=rien des populations*socio=ac rurales*socio=te grâce*socio=rien à une utilisation*socio=rien plus efficace*socio=uv de la main-d'_oeuvre*socio=ac et des terres*socio=rien sous-utilisées. Pour ce faire, il faut que les questions*socio=rien liées à la production*socio=ec de bois*socio=rien soient résolues au niveau*socio=rien de l'exploitation*socio=ec agricole*socio=ec. Les *socio=ec services forestiers *socio=nil doivent réorienter leur action*socio=rien en conséquence*socio=rien ; il convient, par ailleurs*socio=rien , de mobiliser les compétences*socio=uv spécifiques*socio=rien des ONG*socio=ac soucieuses*socio=rien de faire reculer la pauvreté*socio=uv et de protéger l'environnement*socio=ec pour aider les usagers*socio=rien à s'organiser afin de planter des arbres*socio=rien . Le *socio=ec secteur forestier *socio=nil ne pourra relever ces deux grands*socio=rien défis*socio=uv que si l'administration*socio=et, au plus *socio=rien haut niveau,*socio=nil est *socio=nil déterminée à agir. La banque_mondiale*socio=ac *socio=rien est prête *socio=nil à aider les gouvernements*socio=ac à procéder aux réformes*socio=et qui s'imposent. L'intervention*socio=et de la Banque*socio=ac dans le secteur*socio=ec de la foresterie*socio=et est*socio=rien conçue en tant qu'élément*socio=rien d'une approche multisectorielle. Pour atténuer à plus long_terme*socio=ec les pressions*socio=uv inéluctables*socio=rien qui s'exercent sur*socio=rien la forêt*socio=ec, la Banque*socio=ac continue*socio=rien , par le biais*socio=rien de ses *socio=rien mécanismes ordinaires,*socio=nil *socio=nil de soutenir les politiques*socio=et démographiques*socio=rien , l'intensification*socio=rien de l'agriculture*socio=ec, la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv et la création_d'_emplois*socio=ec dans d'autres secteurs*socio=ec. Elle porte*socio=rien toutefois une *socio=rien attention croissante aux*socio=nil effets potentiellement*socio=nil néfastes des*socio=nil projets d'*socio=nil infrastructure*socio=ec *socio=nil et autres projets*socio=rien qui impliquent une utilisation*socio=rien des sois, et s'efforce d'en limiter*socio=rien l'ampleur*socio=rien au minimum*socio=rien . Dans l'action*socio=rien qu'elle mène directement dans le *socio=ec secteur forestier -*socio=nil coordination*socio=uv *socio=nil de l'aide*socio=uv, dialogue*socio=uv avec les pouvoirs_publics*socio=ac, *socio=rien action sectorielle,*socio=nil et*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil -, la Banque*socio=ac s'applique en particulier*socio=uv à intensifier la coopération_internationale*socio=ac (en soutenant l'adoption*socio=et d'instruments*socio=rien juridiques*socio=et internationaux*socio=te de nature*socio=rien à faciliter le développement*socio=uv et la *socio=uv conservation durables des*socio=nil forêts*socio=et)*socio=nil *socio=nil , à favoriser les réformes*socio=et et renforcer les institutions*socio=ac des *socio=ac pays_membres emprunteurs,*socio=nil *socio=nil à accroître ses efforts*socio=uv pour financer la création*socio=rien de *socio=ec ressources forestières supplémentaires*socio=rien *socio=nil , à appuyer des initiatives*socio=rien visant à étendre le couvert forestier*socio=ec (parcs et *socio=rien réserves naturelles)*socio=nil *socio=nil et à instaurer *socio=rien un aménagement efficace*socio=uv des*socio=nil zones*socio=te existantes *socio=nil ou récemment créées en en faisant respecter le statut*socio=rien . La Banque*socio=ac a adopté, et encouragera les gouvernements*socio=ac à adopter, une politique*socio=et de prudence*socio=uv envers l'exploitation*socio=ec de la forêt*socio=ec dense humide. Cette politique*socio=et se justifie par les incertitudes*socio=uv concernant l'évaluation*socio=uv exacte*socio=rien des services*socio=ec écologiques*socio=et, par l'insuffisance*socio=rien des *socio=rien connaissances actuelles relatives aux*socio=nil systèmes de*socio=nil gestion*socio=et écologiquement*socio=nil viables*socio=uv *socio=nil et par les dommages*socio=rien irréversibles consécutifs à la destruction des forêts*socio=et tropicales*socio=te humides*socio=rien . En particulier*socio=uv, la Banque*socio=ac ne finance*socio=ec en aucun cas*socio=rien l'exploitation*socio=ec commerciale*socio=ec des forêts*socio=et tropicales*socio=te *socio=rien humides primaires.*socio=nil *socio=nil Dans tous les pays*socio=ac et pour tous les types de forêts*socio=et, les opérations*socio=rien de prêt*socio=ec de la Banque*socio=ac dans le *socio=ec secteur forestier *socio=nil feront une distinction*socio=rien entre les projets*socio=rien dont la finalité est*socio=rien incontestablement de protéger l'environnement*socio=ec, ou ceux qui intéressent spécifiquement*socio=rien les petits*socio=rien exploitants*socio=ac et ceux qui recouvrent d'autres activités*socio=rien forestières*socio=ec. Les deux premiers*socio=rien types de projets*socio=rien seront jugés en fonction*socio=rien de leur intérêt_social*socio=uv, économique*socio=ec et écologique*socio=et. Les autres *socio=rien activités du secteur*socio=ec *socio=nil seront subordonnées à l'engagement*socio=uv des pouvoirs_publics*socio=ac de mener une politique*socio=et forestière*socio=ec écologiquement viable*socio=uv et allant dans le sens*socio=rien de la conservation*socio=uv des ressources*socio=ec. Au cours*socio=rien des débats*socio=et dont a fait*socio=rien l'objet*socio=rien le document*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien de la Banque*socio=ac consacré au *socio=ec secteur forestier,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont réaffirmé qu'ils approuvaient globalement le contenu de ce document*socio=rien , qui avait été*socio=rien enrichi par les opinions*socio=uv des *socio=ac gouvernements emprunteurs,*socio=nil des*socio=nil universitaires*socio=et,*socio=nil des*socio=nil chercheurs*socio=rien *socio=nil , des personnes*socio=rien concernées par les projets*socio=rien et des représentants*socio=ac des ONG*socio=ac. Ils ont approuvé les principes*socio=uv énoncés dans le document*socio=rien , qui guideront l'action*socio=rien de la Banque*socio=ac dans le secteur*socio=ec de la foresterie*socio=et, en particulier*socio=uv l'approche multisectorielle visant à atténuer les pressions*socio=uv exercées sur*socio=rien les forêts*socio=et. Ils ont aussi approuvé le refus de la Banque*socio=ac de financer l'exploitation*socio=ec commerciale*socio=ec des forêts*socio=et tropicales*socio=te *socio=rien humides primaires.*socio=nil Fin *socio=nil de l'encadré. Encadré 3-4: Les politiques*socio=et qui guident les opérations*socio=rien dans le *socio=ec secteur financier.*socio=nil Les*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil de la Banque*socio=ac attachent de plus en plus d'importance*socio=rien au développement*socio=uv d'institutions*socio=ac et de marchés_financiers*socio=ec solides*socio=rien . Pour aller dans le sens*socio=rien de cette évolution*socio=rien , la Banque*socio=ac se concentre aussi davantage qu'auparavant à la réforme*socio=et et à la modernisation*socio=ec des *socio=ec secteurs financiers des*socio=nil *socio=ac pays emprunteurs.*socio=nil *socio=nil A la suite*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=rien de l'approche de la Banque*socio=ac vis-à-vis des opérations*socio=rien réalisées dans le *socio=ec secteur financier,*socio=nil *socio=nil il a été*socio=rien décidé de recentrer*socio=rien l'attention*socio=rien sur*socio=rien a) le renforcement*socio=uv des marchés_financiers*socio=ec et des institutions_financières*socio=ec qui obéissent aux lois_du_marché*socio=ec, b) la réforme*socio=et des politiques*socio=et applicables*socio=rien au *socio=ec secteur financier,*socio=nil *socio=nil et c) l'importance*socio=rien *socio=rien du cadre macroéconomique*socio=ec,*socio=nil *socio=nil incitatif, juridique*socio=et et réglementaire*socio=et pour le développement*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur financier.*socio=nil *socio=nil Avant la publication*socio=et des directives*socio=rien détaillées relatives*socio=rien aux opérations*socio=rien dans le *socio=ec secteur financier *socio=nil à l'intention*socio=rien *socio=rien du personnel *socio=nil de la Banque*socio=ac, les politiques*socio=et devant*socio=rien orienter le soutien*socio=uv apporté au *socio=ec secteur financier avaient*socio=nil été*socio=rien *socio=nil examinées par le conseil_des_administrateurs*socio=ac. Les paragraphes*socio=rien qui suivent résument les principes*socio=uv d'action*socio=rien qui ont été*socio=rien approuvés par le Conseil*socio=rien . Réforme*socio=et du*socio=rien *socio=ec secteur financier.*socio=nil *socio=nil Toutes les opérations*socio=rien et les services*socio=ec consultatifs*socio=rien de la Banque*socio=ac qui ont trait*socio=rien au *socio=ec secteur financier *socio=nil doivent s'inscrire dans le contexte*socio=rien d'une stratégie*socio=et cohérente*socio=rien et explicite*socio=rien de développement*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur financier *socio=nil dans le *socio=ac pays emprunteur.*socio=nil Pour*socio=nil *socio=rien être opérationnelles,*socio=nil les*socio=nil stratégies*socio=et *socio=nil doivent trouver leurs racines dans le dialogue*socio=uv de politique_économique*socio=et qu'entretiennent la Banque*socio=ac et les *socio=ac gouvernements emprunteurs.*socio=nil Il*socio=nil est*socio=rien essentiel*socio=uv *socio=nil que la Banque*socio=ac consulte la société_financière_internationale*socio=ac (SFI*socio=ac) et le fonds_monétaire_international*socio=ac (FMI*socio=ac) et qu'elle coordonne son action*socio=rien avec ces institutions*socio=ac dès les premiers*socio=rien stades*socio=te de la formulation*socio=rien des stratégies*socio=et relatives*socio=rien au *socio=ec secteur financier.*socio=nil La*socio=nil mobilisation*socio=uv *socio=nil et la répartition*socio=uv des ressources*socio=ec gagnent généralement en efficacité*socio=uv lorsqu'on réduit les distorsions*socio=uv qui faussent le marché*socio=ec, qu'on élargit le champ*socio=rien des décisions*socio=rien qui relèvent *socio=rien du jeu du marché*socio=ec *socio=nil et qu'on favorise le développement*socio=uv d'institutions*socio=ac concurrentielles*socio=ec obéissant aux lois_du_marché*socio=ec. Lorsque les taux_d'_intérêt*socio=ec sont considérablement*socio=rien faussés, il faut subordonner les opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac dans le *socio=ec secteur financier *socio=nil à l'adoption*socio=et d'un*socio=rien programme*socio=et concerté visant à rapprocher les taux_d'_intérêt*socio=ec de la structure*socio=ec et des *socio=rien taux du marché*socio=ec,*socio=nil *socio=nil ainsi qu'à la mise en place*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien mécanisme satisfaisant d'*socio=nil ajustement*socio=et des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec *socio=nil qui leur permettent de suivre l'évolution*socio=rien de la conjoncture*socio=et. Conformément à la politique*socio=et de la Banque*socio=ac, une analyse*socio=rien sera faite pour déterminer l'importance*socio=rien et les justifications des programmes*socio=et de crédit*socio=ec sélectif*socio=rien , dans le cadre*socio=rien de la formulation*socio=rien et de l'évaluation*socio=uv des stratégies*socio=et du*socio=rien *socio=ec secteur financier.*socio=nil L'*socio=nil objectif*socio=rien des*socio=nil programmes*socio=et de*socio=nil crédit sélectif*socio=rien doit*socio=nil être*socio=rien *socio=nil de permettre à des groupes*socio=ac ciblés auparavant exclus*socio=rien des marchés*socio=ec du*socio=rien crédit*socio=ec de bénéficier de flux*socio=ec normaux*socio=rien de crédit*socio=ec, jusqu'au moment*socio=rien où ces programmes*socio=et n'auront plus de raison_d'_être*socio=et. En général*socio=rien , les programmes*socio=et de contrôle*socio=uv du*socio=rien crédit*socio=ec qui ne s'inscrivent pas dans le contexte*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et visant à favoriser l'accès*socio=uv au marché*socio=ec devront être*socio=rien abandonnés. Les bénéficiaires*socio=ac de ce crédit*socio=ec sélectif*socio=rien devraient avoir à payer*socio=rien , au minimum*socio=rien , des taux_d'_intérêt*socio=ec positifs*socio=uv. L'attention*socio=rien accordée au respect*socio=uv des normes*socio=et établies en matière*socio=rien de comptabilité*socio=ec et de communication*socio=et des états*socio=et financiers*socio=ec et des dispositions*socio=rien juridiques*socio=et *socio=rien est un élément indispensable*socio=uv des*socio=nil stratégies*socio=et de*socio=nil développement*socio=uv du *socio=ec secteur financier et*socio=nil du*socio=rien soutien*socio=uv *socio=nil de la Banque*socio=ac aux réformes*socio=et du*socio=rien secteur*socio=ec. L'élimination*socio=rien des *socio=rien obstacles éventuels *socio=nil à la concurrence*socio=ec doit précéder ou accompagner les mesures*socio=rien de libéralisation*socio=ec du*socio=rien *socio=ec secteur financier.*socio=nil *socio=nil Dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, la restructuration*socio=uv ou la liquidation*socio=et des institutions_financières*socio=ec en *socio=rien difficulté est un premier pas*socio=nil indispensable*socio=uv *socio=nil pour la réussite*socio=uv d'une réforme*socio=et du*socio=rien secteur*socio=ec. Pour en tirer des avantages*socio=rien durables*socio=uv, toutefois, il faut avant et pendant la période*socio=te de la réforme*socio=et corriger les déséquilibres macroéconomiques*socio=ec ainsi que les insuffisances*socio=rien des politiques*socio=et et des institutions*socio=ac qui ont été*socio=rien à l'origine*socio=rien de la généralisation*socio=rien des problèmes*socio=uv ou qui l'ont rendue possible*socio=rien . Prêts*socio=ec aux intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec. Dans le cas*socio=rien des pays*socio=ac et des opérations*socio=rien où l'appui*socio=rien du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac peut être*socio=rien convenablement fourni sans intervention*socio=et ou garantie de remboursement*socio=ec *socio=rien importante du gouvernement*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil SFI*socio=ac *socio=nil devrait normalement jouer le *socio=rien rôle principal en*socio=nil matière de*socio=nil prêts*socio=ec aux*socio=nil intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Inversement, quand *socio=rien un élément important *socio=nil de l'opération*socio=rien implique des réformes*socio=et sectorielles*socio=rien ou des réformes*socio=et de la politique_économique*socio=et, le *socio=rien rôle principal *socio=nil doit normalement revenir à la Banque*socio=ac. L'objectif*socio=rien central*socio=rien commun*socio=uv aux deux institutions*socio=ac est*socio=rien de donner les moyens*socio=ec aux intermédiaires*socio=ac et aux emprunteurs*socio=ac finaux*socio=rien de mobiliser ultérieurement des ressources*socio=ec auprès du*socio=rien marché*socio=ec. Il est*socio=rien indispensable*socio=uv, pour l'efficacité*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur financier *socio=nil et la réussite*socio=uv des réformes*socio=et, que les intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec soient solides*socio=rien et que leurs finances*socio=ec soient saines*socio=uv. Si les résultats*socio=rien et la solidité*socio=rien financière*socio=ec d'un*socio=rien intermédiaire*socio=ac ne satisfont pas aux *socio=rien critères acceptables *socio=nil en la matière*socio=rien , sa participation*socio=uv à un*socio=rien prêt*socio=ec financé par la Banque*socio=ac sera subordonnée à l'approbation*socio=uv d'un*socio=rien programme*socio=et de renforcement*socio=uv institutionnel*socio=rien qui fasse la preuve*socio=uv de la capacité*socio=rien de survie*socio=uv de l'institution*socio=ac au sein*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien de plus en plus concurrentiel*socio=ec et obéissant aux lois_du_marché*socio=ec. Lorsque les carences de l'intermédiaire*socio=ac sont imputables*socio=uv à l'application*socio=rien de politiques*socio=et qui échappent à son contrôle*socio=uv ou à des circonstances*socio=rien extérieures*socio=te, l'appui*socio=rien de la Banque*socio=ac sera conditionné*socio=rien par l'adoption*socio=et des *socio=rien mesures correctives *socio=nil appropriées. Les gestionnaires*socio=ac des institutions*socio=ac d'intermédiation*socio=uv financière*socio=ec doivent être*socio=rien à l'abri de toute ingérence*socio=et de l'État*socio=ac dans leurs décisions*socio=rien de prêt*socio=ec; l'autonomie*socio=uv de gestion*socio=et des établissements*socio=rien d'intermédiation*socio=uv financière*socio=ec appartenant à l'État*socio=ac est*socio=rien de toute *socio=rien première importance.*socio=nil Les*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac qui passent par le biais*socio=rien d'intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec seront subordonnés à l'existence*socio=rien de taux_d'_intérêt*socio=ec dont le niveau*socio=rien et la structure*socio=ec soient satisfaisants*socio=rien , ou à un*socio=rien engagement*socio=uv des autorités*socio=et à progresser dans cette voie*socio=rien . Dans leurs discussions*socio=rien , les administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac ont réaffirmé leur approbation*socio=uv des *socio=rien conclusions générales *socio=nil énoncées dans le *socio=rien rapport du groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ac *socio=nil de 1989 sur*socio=rien les *socio=rien opérations du *socio=ec secteur financier,*socio=nil conclusions*socio=rien *socio=nil qui allaient dans le sens*socio=rien d'une orientation*socio=et de la Banque*socio=ac en *socio=rien faveur du développement*socio=uv de*socio=nil *socio=ec secteurs financiers solides*socio=rien *socio=nil , obéissant aux lois_du_marché*socio=ec et dépourvus de distorsions*socio=uv et autres dysfonctionnements*socio=uv. Si les opinions*socio=uv divergeaient quelque peu quant à la hiérarchisation des priorités*socio=uv - au *socio=rien sujet du crédit*socio=ec sélectif,*socio=nil *socio=nil de la nécessité*socio=uv de prendre pleinement en compte*socio=rien le stade*socio=te de développement*socio=uv et la situation*socio=uv de tel ou tel emprunteur*socio=ac lors*socio=rien de la formulation*socio=rien des stratégies*socio=et d'aide*socio=uv et des opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac, par exemple*socio=rien -, un*socio=rien consensus*socio=uv s'est*socio=rien *socio=rien fait jour *socio=nil autour de la nouvelle*socio=rien orientation*socio=et de la Banque*socio=ac. Fin*socio=rien de l'encadré. Encadré 3-5: Récapitulatif des recommandations*socio=rien aux gouvernements*socio=ac engagés dans *socio=rien un processus de*socio=nil privatisation*socio=et.*socio=nil *socio=nil - Plus la structure*socio=ec des politiques*socio=et qu'applique un*socio=rien pays*socio=ac est*socio=rien ouverte*socio=uv au marché*socio=ec - et une politique*socio=et appropriée va de pair*socio=rien avec la capacité*socio=rien de réglementation*socio=et - moins il *socio=rien est difficile *socio=nil à ce pays*socio=ac de privatiser une entreprise_publique*socio=et et plus il *socio=rien est probable *socio=nil que la vente*socio=ec se déroulera dans de bonnes*socio=rien conditions*socio=uv. - Les entreprises_publiques*socio=et qui fonctionnent *socio=rien sur un *socio=ec marché concurrentiel,*socio=nil ou*socio=nil sur*socio=rien des*socio=nil marchés *socio=nil que l'on peut rendre facilement concurrentiels*socio=ec, sont des candidats*socio=ac tout désignés à la privatisation*socio=et. Leur vente*socio=ec *socio=rien est simple,*socio=nil par*socio=nil rapport au*socio=nil cas des*socio=nil monopoles*socio=ec d'*socio=nil État*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et elle n'exige que peu ou pas de réglementation*socio=et. - *socio=rien Un cadre réglementaire*socio=et *socio=nil approprié doit être*socio=rien en place*socio=rien avant la privatisation*socio=et des monopoles*socio=ec. L'absence*socio=rien d'une réglementation*socio=et appropriée est*socio=rien préjudiciable*socio=et aux consommateurs*socio=ac et peut avoir pour effet*socio=rien de monter l'opinion_publique*socio=et contre les privatisations*socio=et. - L'objectif*socio=rien essentiel*socio=uv de la privatisation*socio=et doit être*socio=rien de renforcer l'efficacité*socio=uv - et non d'accroître les recettes*socio=ec (par exemple*socio=rien , en vendant sur*socio=rien des marchés*socio=ec protégés*socio=rien ), ni même de multiplier le nombre*socio=rien de participations*socio=ec aux dépens*socio=rien de l'efficacité*socio=uv de la gestion*socio=et. - Les pays*socio=ac peuvent gagner à privatiser les fonctions*socio=rien de gestion*socio=et par le biais*socio=rien de contrats*socio=ec de gestion*socio=et, de baux, de contrats*socio=ec de sous-traitance*socio=ec ou de concessions*socio=uv. - Plutôt que de fermer le marché*socio=ec en en excluant les investisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv et en favorisant certains groupes_ethniques*socio=ac, on peut tester des solutions*socio=rien comme l'attribution*socio=rien d'actions*socio=rien spécifiques*socio=rien ("golden shares") ou l'offre*socio=rien au public*socio=ac d'une partie*socio=rien seulement du*socio=rien capital*socio=ec, de façon*socio=rien à faire accepter le principe*socio=rien de l'entrée*socio=rien d'investisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv ou autres acquéreurs dans le capital*socio=ec des sociétés*socio=ac nationales*socio=te. - Éviter les investissements*socio=ec massifs*socio=rien dans le capital*socio=ec des candidats*socio=ac à la privatisation*socio=et: les risques*socio=uv l'emportent en *socio=rien général sur les*socio=nil avantages.*socio=nil Au*socio=nil lieu *socio=nil de cela, se préparer à la vente*socio=ec en procédant à des *socio=rien modifications sur les*socio=nil plans juridique*socio=et,*socio=nil *socio=nil de la gestion*socio=et et de l'organisation*socio=rien , ainsi qu'en mettant *socio=rien sur pied des*socio=nil arrangements*socio=et financiers*socio=ec *socio=nil et en comprimant les effectifs*socio=rien . - L'expérience*socio=uv montre que la main-d'_oeuvre*socio=ac ne perd pas - et n'a pas nécessairement à perdre - à la privatisation*socio=et, si les gouvernements*socio=ac veillent à atténuer le coût_social*socio=ec du*socio=rien chômage*socio=ec de *socio=rien façon suffisante *socio=nil en versant des indemnités*socio=et de licenciement*socio=ec ou des indemnités*socio=et de chômage*socio=ec, en proposant un*socio=rien recyclage*socio=et ou en aidant les licenciés*socio=rien à retrouver un*socio=rien emploi*socio=ec. - Dans l'idéal, laisser le *socio=rien jeu du marché*socio=ec *socio=nil déterminer le prix*socio=ec et vendre pour récupérer le produit*socio=rien de la vente*socio=ec. De façon*socio=rien plus réaliste*socio=uv, il peut *socio=rien être inévitable *socio=nil d'avoir à transiger par le biais*socio=rien de règlements*socio=et négociés et d'accords*socio=et de financement*socio=ec, ou encore de conversion*socio=ec de créances*socio=ec en prises*socio=rien de participation*socio=uv. - Dans toutes les privatisations*socio=et, dans tous les pays*socio=ac, assurer la transparence*socio=uv des transactions*socio=ec. Fin*socio=rien de l'encadré. *socio=rien Chapitre cinq:*socio=nil Activités *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac, SFI*socio=ac, AMGI*socio=ac et CIRDI. L'institut_de_développement_économique*socio=ac. L'exercice*socio=rien 92 correspondait à la *socio=rien troisième année du Plan stratégique*socio=uv quinquennal*socio=te *socio=nil (1990-94) de l'institut_de_développement_économique*socio=ac (IDE*socio=ac). Pour ce qui est*socio=rien de la *socio=rien ventilation sectorielle et*socio=nil régionale*socio=te des*socio=nil activités *socio=nil comme de l'importance*socio=rien attachée au choix*socio=uv des orientations*socio=et, l'IDE*socio=ac a atteint les objectifs*socio=rien fixés par le plan*socio=rien pour cette année*socio=rien . Par ailleurs*socio=rien , les services*socio=ec de l'Institut*socio=et ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien de plusieurs nouvelles*socio=rien demandes*socio=uv. En tout *socio=rien premier lieu,*socio=nil *socio=nil il convient de citer les énormes*socio=rien besoins*socio=uv de formation*socio=et de l'ancienne*socio=rien union_soviétique*socio=ac. En outre, a) *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'autres pays*socio=ac ont adhéré à la Banque*socio=ac au cours*socio=rien de l'année*socio=rien ou ont cherché à reprendre leurs activités*socio=rien d'emprunt*socio=ec auprès de l'institution*socio=ac; b) la demande*socio=ec des services*socio=ec de l'IDE*socio=ac pour une formation*socio=et dans le domaine*socio=rien de l'analyse*socio=rien de projets*socio=rien a refait surface; c) l'Institut*socio=et a lancé avec succès*socio=uv des programmes*socio=et de formation*socio=et dans certains domaines*socio=rien , notamment sur*socio=rien le rôle*socio=rien des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv, le rôle*socio=rien des organisations_non_gouvernementales*socio=ac, la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, l'environnement*socio=ec et la réforme*socio=et de la fonction_publique*socio=et; enfin, d) le nombre*socio=rien de plus en plus élevé*socio=rien des pays*socio=ac ayant entrepris des réformes_structurelles*socio=ec s'est*socio=rien traduit par un*socio=rien accroissement*socio=ec de la demande*socio=ec de formation*socio=et de fonctionnaires*socio=et engagés dans la formulation*socio=rien et la gestion*socio=et de ces programmes*socio=et. Activités*socio=rien de formation*socio=et. Pendant l'exercice*socio=rien , l'IDE*socio=ac a organisé 117 séminaires*socio=rien et cours*socio=rien , à l'intention*socio=rien de près de 3000 participants*socio=ac (sans compter les quelque 4500 bénéficiaires*socio=ac indirects qui ont reçu une formation*socio=et appuyée par l'IDE*socio=ac auprès d'institutions*socio=ac partenaires*socio=uv). Toutes les activités*socio=rien sauf sept se sont déroulées hors de Washington*socio=ac; 97 d'entre elles ont eu lieu*socio=rien dans des pays_en_développement*socio=ac, généralement en collaboration*socio=uv avec une institution*socio=ac locale*socio=te partenaire*socio=uv. Le Tableau*socio=rien 5-1 donne la ventilation*socio=rien régionale*socio=te des activités*socio=rien de formation*socio=et de l'IDE*socio=ac par secteur*socio=ec et par nombre*socio=rien de participants*socio=ac. Conformément à ses objectifs*socio=rien stratégiques*socio=uv, environ *socio=rien un tiers des*socio=nil programmes*socio=et de*socio=nil formation*socio=et *socio=nil de l'IDE*socio=ac de l'exercice*socio=rien visaient l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac. Cette proportion*socio=rien tend à sous-estimer la part*socio=rien de ses ressources*socio=ec que l'Institut*socio=et a consacrée à cette région*socio=te, dans la mesure*socio=rien où il y a également concentré une *socio=rien grande partie *socio=nil de ses activités*socio=rien de renforcement*socio=uv d'institutions*socio=ac. En Asie*socio=ac, le programme*socio=et de l'IDE*socio=ac pour la Chine*socio=ac a diminué par *socio=rien suite du fléchissement *socio=nil de l'appui*socio=rien financier*socio=ec du*socio=rien programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac à ce pays*socio=ac. En revanche, pour l'ensemble*socio=rien de l'Asie*socio=ac, certains accroissements*socio=ec des activités*socio=rien , notamment au Vietnam*socio=ac et dans les pays*socio=ac insulaires*socio=te du*socio=rien Pacifique*socio=uv, ont compensé ce fléchissement*socio=rien . Le nombre*socio=rien des activités*socio=rien menées dans et pour les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te a augmenté fortement sous l'effet*socio=rien de la demande*socio=ec suscitée par leur évolution*socio=rien d'un*socio=rien régime*socio=et d'économie*socio=ec dirigée vers l'économie_de_marché*socio=ec. En outre, l'IDE*socio=ac a organisé huit activités*socio=rien dans l'ancienne*socio=rien union_soviétique*socio=ac qui ont été*socio=rien financées dans le cadre*socio=rien de l'Accord*socio=et de coopération*socio=uv technique*socio=rien conclu avec la Banque*socio=ac. En revanche, les efforts*socio=uv consacrés à mettre *socio=rien sur pied un programme*socio=et de*socio=nil formation*socio=et plus*socio=nil vaste *socio=nil et plus durable*socio=rien dans les pays*socio=ac du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et de l'amérique_latine*socio=ac ont continué à se heurter à une relative*socio=rien désaffection de la plupart*socio=rien des cofinanciers. Pendant l'exercice*socio=rien , l'IDE*socio=ac a poursuivi la réalisation*socio=uv de ses objectifs*socio=rien de fond*socio=rien . La réorientation*socio=et stratégique*socio=uv de son programme*socio=et vers une formation*socio=et liée à l'action*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=ac s'est*socio=rien poursuivie, notamment dans les domaines*socio=rien essentiels*socio=uv de la gestion*socio=et macroéconomique*socio=ec et de l'amélioration*socio=uv de l'efficacité*socio=uv du*socio=rien secteur_public*socio=ac. Cette formation*socio=et a représenté plus de 70% de toutes les activités*socio=rien menées au cours*socio=rien de l'année*socio=rien , contre une moyenne*socio=rien de 58% au cours*socio=rien des exercices*socio=rien 85-89. Dans le domaine*socio=rien de la gestion*socio=et macroéconomique*socio=ec, après*socio=rien s'être*socio=rien concentré sur*socio=rien l' ajustement_structurel*socio=et, la dette*socio=ec extérieure*socio=te et le commerce*socio=ec, l'IDE*socio=ac a étendu son champ*socio=rien d'action*socio=rien aux *socio=rien questions relatives *socio=nil à l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=ec et aux grandes*socio=rien orientations*socio=et, notamment au rôle*socio=rien des institutions*socio=ac du*socio=rien secteur*socio=ec publie, à la prestation*socio=et des services_publics*socio=et par le secteur_privé*socio=ec, à la création*socio=rien d'un*socio=rien environnement*socio=ec propice*socio=rien à l'initiative*socio=rien privée*socio=ec et à la concentration*socio=rien des efforts*socio=uv sur*socio=rien les services*socio=ec à l'intention*socio=rien des couches*socio=ac pauvres*socio=uv de la population*socio=ac. Tenant compte*socio=rien également de la *socio=rien tendance récente *socio=nil de l'économie*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv à une vision*socio=rien intersectorielle *socio=rien du processus de*socio=nil développement*socio=uv,*socio=nil l'*socio=nil IDE*socio=ac *socio=nil a élargi le contenu de son programme*socio=et de formation*socio=et. L'Institut*socio=et intègre*socio=rien à présent*socio=rien de *socio=rien façon systématique quatre*socio=nil thèmes *socio=nil intersectoriels dans ses activités*socio=rien : la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, le rôle*socio=rien des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv, la viabilité*socio=uv écologique*socio=et à long_terme*socio=ec et l'encouragement*socio=rien à l'initiative*socio=rien du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Ces thèmes*socio=rien apparaissent aussi bien*socio=rien dans les *socio=rien activités indépendantes *socio=nil que dans des modules incorporés à des *socio=rien activités sur *socio=nil d'autres sujets*socio=rien . Renforcement*socio=uv d'institutions*socio=ac. L'IDE*socio=ac a également pour objectif*socio=rien de renforcer les *socio=rien établissements locaux de*socio=nil formation*socio=et.*socio=nil C'*socio=nil est *socio=nil ainsi qu'il s'attache davantage à promouvoir la croissance*socio=uv des réseaux*socio=rien nationaux*socio=te et sous-régionaux d'établissements*socio=rien de formation*socio=et. Ces réseaux*socio=rien ont d'importants*socio=rien effets*socio=rien multiplicateurs et permettent de tirer profit*socio=ec des économies*socio=ec d'échelle*socio=rien . Treize réseaux*socio=rien de ce type*socio=rien fonctionnent actuellement, et d'autres sont en voie*socio=rien de création*socio=rien , notamment en Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te. Pendant l'exercice*socio=rien 92, l'IDE*socio=ac a entrepris une évaluation*socio=uv systématique*socio=rien de ses efforts*socio=uv de renforcement*socio=uv d'institutions*socio=ac, qui portent sur*socio=rien l'orientation*socio=et, le choix*socio=uv et la viabilité*socio=uv à long_terme*socio=ec de l'assistance*socio=et, et sur*socio=rien l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien d'information*socio=rien *socio=rien interne suffisant *socio=nil dans les établissements*socio=rien partenaires*socio=uv. Autrement dit, l'IDE*socio=ac insiste à présent*socio=rien beaucoup plus sur*socio=rien la restructuration*socio=uv des institutions*socio=ac, c'est-à-dire sur*socio=rien le renforcement*socio=uv de leur gestion*socio=et interne*socio=rien et sur*socio=rien l'amélioration*socio=uv de leur *socio=rien cadre administratif,*socio=nil *socio=nil tout en poursuivant ses efforts*socio=uv de *socio=rien perfectionnement du personnel enseignant*socio=ac.*socio=nil L'*socio=nil IDE*socio=ac recherche *socio=nil également des moyens*socio=ec d'améliorer les liens*socio=rien entre ses activités*socio=rien de renforcement*socio=uv d'institutions*socio=ac et la formation*socio=et liée aux projets*socio=rien dispensée dans le cadre*socio=rien des projets*socio=rien appuyés par la Banque*socio=ac. Pour ce faire, il a entrepris *socio=rien un examen *socio=nil de tous les projets*socio=rien approuvés par le conseil_des_administrateurs*socio=ac au cours*socio=rien des exercices*socio=rien 85 et 91 dans les secteurs*socio=ec de l'agriculture*socio=ec et de l'infrastructure*socio=ec en Afrique*socio=ac et en Asie*socio=ac. Cet examen*socio=rien a porté sur*socio=rien la nature*socio=rien et l'ampleur*socio=rien de la participation*socio=uv des *socio=rien établissements locaux de*socio=nil formation*socio=et *socio=nil à la formation*socio=et liée aux projets*socio=rien , sur*socio=rien les possibilités*socio=rien de renforcer cette participation*socio=uv et sur*socio=rien la possibilité*socio=rien d'accroître le rôle*socio=rien que joue l'IDE*socio=ac dans la conception*socio=rien et la mise en oeuvre*socio=rien des activités*socio=rien de formation*socio=et liées aux projets*socio=rien . Se fondant sur*socio=rien les conclusions*socio=rien de ce rapport*socio=rien , l'IDE*socio=ac a décidé d'apporter *socio=rien un appui aux*socio=nil bureaux régionaux*socio=te Afrique*socio=ac et*socio=nil Asie*socio=ac *socio=nil de la Banque*socio=ac, à *socio=rien titre expérimental,*socio=nil *socio=nil afin d'aider ces bureaux*socio=rien : a) à concevoir des composantes*socio=rien "formation*socio=et" plus efficaces*socio=uv pour leurs projets*socio=rien ; et b) à collaborer avec les établissements*socio=rien partenaires*socio=uv de l'IDE*socio=ac afin de les aider à dispenser la formation*socio=et prévue par ces composantes*socio=rien . *socio=rien Matériels didactiques.*socio=nil *socio=nil Tout en s'inspirant du*socio=rien succès*socio=uv de ses activités*socio=rien de publication*socio=et, l'IDE*socio=ac a apporté *socio=rien un certain nombre de*socio=nil changements*socio=uv *socio=nil à ses méthodes*socio=rien de publication*socio=et et de diffusion*socio=rien des *socio=rien matériels didactiques:*socio=nil *socio=nil premièrement, en réponse*socio=rien aux demandes*socio=uv des participants*socio=ac, il *socio=rien produit un plus*socio=nil grand nombre *socio=nil d'ouvrages plus courts*socio=rien et plus faciles*socio=rien à assimiler; deuxièmement, il accorde plus d'attention*socio=rien aux rapport*socio=rien coût*socio=ec/efficacité*socio=uv en concevant des *socio=rien matériels susceptibles d'*socio=nil être *socio=nil utilisés à plusieurs reprises, que ce soit dans le temps*socio=rien à un*socio=rien même endroit*socio=rien ou, avec des modifications*socio=rien appropriées, pour des séminaires*socio=rien organisés dans différentes*socio=rien régions*socio=te. Pendant l'exercice*socio=rien , FIDE*socio=ac a publié 16 ouvrages formels*socio=rien ("série de l'IDE*socio=ac") et 40 documents*socio=rien informels*socio=uv (documents*socio=rien de travail*socio=rien et recueils*socio=rien ). Une nouvelle*socio=rien série, intitulée IDE*socio=ac - Série *socio=rien Études du développement*socio=uv,*socio=nil a*socio=nil été *socio=nil lancée et a déjà donné lieu*socio=rien à la publication*socio=et de trois ouvrages. Les programmes*socio=et de bourses*socio=rien . L'IDE*socio=ac a poursuivi la gestion*socio=et de deux programmes*socio=et de bourses*socio=rien : le Programme*socio=et de bourses*socio=rien d'études*socio=rien universitaires*socio=et *socio=rien du troisième cycle*socio=te *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac, qui en est*socio=rien à présent*socio=rien à sa *socio=rien cinquième année *socio=nil et qui est*socio=rien financé par le *socio=ac Gouvernement japonais,*socio=nil *socio=nil et le Programme*socio=et de bourses*socio=rien Mcnamara*socio=ac. Dans le *socio=rien prolongement du premier *socio=nil de ces deux programmes*socio=et, à l'issue*socio=rien d'un*socio=rien appel*socio=rien d'offres*socio=rien , l'IDE*socio=ac a invité l'Université*socio=et Columbia à concevoir *socio=rien un nouveau programme*socio=et de*socio=nil préparation en*socio=nil un an *socio=nil à la maîtrise*socio=rien en gestion*socio=et économique*socio=ec. Ce programme*socio=et s'adresse*socio=rien à des fonctionnaires*socio=et des ministères*socio=ac des finances*socio=ec et *socio=rien du Plan,*socio=nil *socio=nil ainsi que des banques_centrales*socio=ac, des pays_en_développement*socio=ac. *socio=rien Après achèvement *socio=nil de leurs études*socio=rien à Columbia, les étudiants*socio=ac feront un*socio=rien stage de six mois*socio=rien à la Banque*socio=ac ou dans une autre institution_internationale*socio=ac, telle que le fonds_monétaire_international*socio=ac ou la Banque_asiatique_de_développement*socio=ac. La première*socio=rien promotion*socio=uv de 25 étudiants*socio=ac a commencé ses études*socio=rien en juin*socio=rien 1992. Cofinancement*socio=ec. L'IDE*socio=ac est*socio=rien constamment encouragé à accroître ses efforts*socio=uv en vue*socio=rien de mobiliser l'appui*socio=rien de cofinanciers. En effet*socio=rien , c'est*socio=rien le cofinancement*socio=ec qui a permis*socio=rien la *socio=rien majeure partie *socio=nil de l'expansion*socio=ec des activités*socio=rien de l'IDE*socio=ac depuis l'exercice*socio=rien 84; il a joué *socio=rien un rôle particulièrement*socio=nil important *socio=nil dans le financement*socio=ec de *socio=rien nouveaux domaines d'*socio=nil activité.*socio=nil *socio=nil Pendant l'exercice*socio=rien , les *socio=rien sources du cofinancement*socio=ec,*socio=nil *socio=nil qui a atteint *socio=rien un total *socio=nil d'environ 11,5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ont continué à se diversifier. Pendant l'exercice*socio=rien 84, les institutions*socio=ac multilatérales*socio=te avaient procuré plus de 80% des fonds*socio=ec mobilisés. Pour l'exercice*socio=rien 92, leur contribution*socio=uv, malgré son accroissement*socio=ec en valeur*socio=ec absolue*socio=rien , n'était plus qu'à peine supérieure*socio=rien à 25% *socio=rien du total.*socio=nil *socio=nil Si le cofinancement*socio=ec *socio=rien offre un certain nombre d'*socio=nil avantages *socio=nil (en aidant à financer les programmes*socio=et de l'IDE*socio=ac et à en élargir la portée*socio=rien ), la dépendance*socio=uv de l'IDE*socio=ac à l'égard*socio=rien des appuis*socio=uv financiers*socio=ec extérieurs*socio=te a suscité *socio=rien un certain nombre de*socio=nil préoccupations*socio=uv:*socio=nil il*socio=nil est difficile *socio=nil d'établir un*socio=rien programme*socio=et de formation*socio=et ferme*socio=ec en raison*socio=uv des incertitudes*socio=uv qui pèsent sur*socio=rien les chances*socio=rien d'obtenir*socio=rien un*socio=rien cofinancement*socio=ec; les préférences*socio=uv des cofinanciers peuvent se traduire par une indifférence relative*socio=rien à l'égard*socio=rien de certaines*socio=rien régions*socio=te ou sous-régions; le coût*socio=ec de gestion*socio=et et d'administration*socio=et de l'IDE*socio=ac peut *socio=rien être élevé,*socio=nil *socio=nil surtout en ce qui concerne les contributions*socio=uv plus modestes*socio=rien , et malgré les augmentations*socio=uv généreuses*socio=rien dont il a bénéficié au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, l'IDE*socio=ac craint que rares*socio=rien soient les cofinanciers qui seront en mesure*socio=rien d'accroître leur contribution*socio=uv dans un*socio=rien proche avenir*socio=te, et que certains soient même amenés à réduire la leur. A ce propos*socio=rien , plusieurs administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac ont exprimé la crainte*socio=rien qu'une trop forte*socio=rien dépendance*socio=uv des activités*socio=rien de l'IDE*socio=ac à l'égard*socio=rien de financements*socio=ec extérieurs*socio=te ne risque*socio=uv d'entraîner une amputation du*socio=rien programme*socio=et de base*socio=rien de l'Institut*socio=et, surtout dans les régions*socio=te en faveur*socio=rien desquelles les *socio=ac organismes donateurs,*socio=nil en*socio=nil raison*socio=uv *socio=nil de leurs *socio=rien propres difficultés budgétaires*socio=et,*socio=nil pourraient*socio=nil être *socio=nil amenés à interrompre leur aide_financière*socio=et. Au cours*socio=rien des deux *socio=rien derniers exercices,*socio=nil l'*socio=nil IDE*socio=ac *socio=nil a conclu pour la *socio=rien première fois des*socio=nil accords*socio=et *socio=nil pluriannuels avec des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec pour appuyer certains de ses programmes*socio=et les plus importants*socio=rien . Pour tenter d'accroître les avantages*socio=rien de tels accords*socio=et, l'IDE*socio=ac a convoqué la *socio=rien première réunion d'*socio=nil un groupe*socio=ac consultatif*socio=uv à*socio=nil Paris*socio=ac en*socio=nil février *socio=nil 1992, qui avait pour objectifs*socio=rien : a) de permettre aux bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec de procéder à *socio=rien un examen *socio=nil approfondi de son programme*socio=et de formation*socio=et; b) de coordonner plus étroitement ses activités*socio=rien avec celles des autres bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec; c) de mieux faire connaître son programme*socio=et parmi les milieux*socio=rien internationaux*socio=te du*socio=rien développement*socio=uv; d) d'assurer une *socio=rien meilleure couverture régionale*socio=te *socio=nil en attirant l'attention*socio=rien des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec sur*socio=rien les régions*socio=te relativement négligées; e) de faire participer d'autres institutions*socio=ac multilatérales*socio=te de façon*socio=rien plus systématique*socio=rien à la réalisation*socio=uv de ses objectifs*socio=rien ; et f) de mobiliser des ressources*socio=ec supplémentaires*socio=rien . Abstraction*socio=rien faite de l'incapacité*socio=rien de mobiliser des ressources*socio=ec additionnelles*socio=rien et des fonds*socio=ec pour les programmes*socio=et au Moyen-orient*socio=ac et en amérique_latine*socio=ac et aux Caraïbes*socio=ac, et de surmonter la réticence des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec à verser leurs contributions*socio=uv à *socio=rien un seul fonds*socio=ec *socio=nil de l'IDE*socio=ac, ces objectifs*socio=rien ont été*socio=rien en *socio=rien grande partie *socio=nil atteints. La recherche*socio=ec à la banque_mondiale*socio=ac. La banque_mondiale*socio=ac effectue des travaux*socio=rien de recherche*socio=ec à l'appui*socio=rien de ses opérations*socio=rien et pour répondre aux problèmes*socio=uv de développement*socio=uv les plus délicats*socio=rien qui se posent à ses membres*socio=rien . Son programme*socio=et de recherche*socio=ec a pour objectifs*socio=rien de réunir des *socio=rien connaissances sur les*socio=nil questions économiques*socio=ec et*socio=nil techniques,*socio=nil *socio=nil de même que sur*socio=rien les questions*socio=rien de programme*socio=et et d'exécution*socio=rien liées à ses activités*socio=rien de prêt*socio=ec, de diagnostic*socio=rien , de formation*socio=et et d' assistance_technique*socio=et, d'accroître la connaissance*socio=uv sur*socio=rien le développement*socio=uv, et de renforcer son dialogue*socio=uv sur*socio=rien les grandes*socio=rien orientations*socio=et avec ses pays_membres*socio=ac et leurs capacités*socio=rien de recherche*socio=ec. Pour répondre à ce *socio=rien vaste mandat,*socio=nil ce*socio=nil programme*socio=et de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil traite d'un*socio=rien *socio=rien large éventail de*socio=nil questions,*socio=nil de*socio=nil portée mondiale*socio=te,*socio=nil régionale*socio=te ou*socio=nil nationale*socio=te.*socio=nil La*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil s'effectue dans tous les services_de_la_banque*socio=ac, mais elle est*socio=rien surtout concentrée sous les vices-présidences Économie*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv et Politiques*socio=et sectorielles*socio=rien et opérationnelles*socio=rien , qui gèrent 90% de la recherche*socio=ec de la Banque*socio=ac. Pendant l'exercice*socio=rien 92, la Banque*socio=ac a consacré 24 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, dont quelque 150 hommes-années, à la recherche*socio=ec. Les projets*socio=rien de recherche*socio=ec sont élaborés et examinés par les départements*socio=rien , par les services*socio=ec centraux*socio=rien et conjointement avec les bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec extérieurs*socio=te. Les travaux*socio=rien de recherche*socio=ec des départements*socio=rien s'inscrivent dans les programmes_de_travail*socio=rien des départements*socio=rien en question*socio=rien et sont financés par ceux-ci sur*socio=rien leur propre*socio=rien budget*socio=ec - qui assure ainsi 54% du*socio=rien budget*socio=ec total*socio=rien de la recherche*socio=ec. Les projets*socio=rien de recherche*socio=ec à financement*socio=ec central*socio=rien (41% *socio=rien du total)*socio=nil doivent*socio=nil être *socio=nil agréés par le personnel*socio=rien de la Banque*socio=ac et des experts*socio=ac extérieurs*socio=te, et sont soumis au Comité_de_la_recherche*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac. Le financement*socio=ec des autres *socio=rien projets est *socio=nil assuré par des organismes*socio=ac extérieurs*socio=te et doit être*socio=rien approuvé par les directeurs*socio=ac des départements*socio=rien et les coordonnateurs des financements*socio=ec extérieurs*socio=te. Les priorités*socio=uv de la recherche*socio=ec découlent des *socio=rien objectifs du programme*socio=et *socio=nil déterminés par la *socio=rien haute direction *socio=nil de la Banque*socio=ac. Pendant l'exercice*socio=rien 92, les *socio=rien principaux thèmes ont*socio=nil été la*socio=nil lutte*socio=uv *socio=nil contre la pauvreté*socio=uv, la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec, l'environnement*socio=ec, la foresterie*socio=et et les ressources_naturelles*socio=ec, les questions*socio=rien macroéconomiques*socio=ec et la gestion*socio=et (ajustement*socio=et, dette*socio=ec, commerce*socio=ec, finances*socio=ec, réforme*socio=et du*socio=rien secteur*socio=ec publie et développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec), et l'infrastructure*socio=ec et l'urbanisme*socio=ec. La lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. Face*socio=rien à l'instabilité*socio=uv de l'économie*socio=ec mondiale*socio=te et à la nécessité*socio=uv d'un*socio=rien ajustement_structurel*socio=et, pendant les années*socio=rien 80, beaucoup de pays_en_développement*socio=ac ont réduit la fourniture*socio=rien de biens*socio=ec et de services_publics*socio=et et l'emploi*socio=ec dans le secteur*socio=ec publie au détriment*socio=rien des éléments*socio=rien les plus vulnérables*socio=uv de la population*socio=ac. Une *socio=rien grande partie des*socio=nil travaux de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac sont consacrés à chercher les moyens*socio=ec de protéger les populations*socio=ac les plus pauvres*socio=uv et les plus vulnérables*socio=uv pendant les périodes*socio=te de stagnation*socio=ec et d'instabilité*socio=uv économiques*socio=ec. *socio=rien Un projet de*socio=nil recherche*socio=ec sur l'*socio=nil ajustement*socio=et,*socio=nil la*socio=nil répartition*socio=uv des*socio=nil revenus*socio=ec *socio=nil et la pauvreté*socio=uv examine actuellement d'autres possibilités*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et pour six pays*socio=ac que celles effectivement adoptées. La viabilité*socio=uv à long_terme*socio=ec et l'équité*socio=uv des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et sont fonction*socio=rien des interactions*socio=rien entre divers *socio=rien éléments spécifiques *socio=nil de ces programmes*socio=et et de la situation*socio=uv politique*socio=et et économique*socio=ec du*socio=rien pays*socio=ac. Ces interactions*socio=rien sont particulièrement sensibles*socio=rien dans les anciens*socio=rien *socio=ac pays socialistes en*socio=nil transition*socio=uv *socio=nil vers l'économie_de_marché*socio=ec, et ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'une autre étude*socio=ac sur*socio=rien la pauvreté*socio=uv et la répartition*socio=uv des revenus*socio=ec en europe_de_l'_est*socio=ac. Pour améliorer la conception*socio=rien des programmes*socio=et de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, une conférence*socio=rien exploratoire a été*socio=rien consacrée à examiner les moyens*socio=ec efficaces*socio=uv de faire porter les dépenses_publiques*socio=et sur*socio=rien les populations*socio=ac pauvres*socio=uv, à étudier les effets*socio=rien des mesures*socio=rien d'incitation*socio=rien et à analyser les obstacles*socio=rien politiques*socio=et aux programmes*socio=et conçus uniquement*socio=rien ou principalement au profit*socio=ec des pauvres*socio=ac. La *socio=rien majeure partie des*socio=nil populations*socio=ac à*socio=nil faible revenu*socio=ec des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil vivent dans les *socio=te régions rurales;*socio=nil des*socio=nil travaux*socio=rien de*socio=nil recherche*socio=ec,*socio=nil *socio=nil consacrés à évaluer des compromis*socio=uv entre l'efficacité*socio=uv agricole*socio=ec, la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv et l'environnement*socio=ec, ont été*socio=rien entrepris au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92. En même temps*socio=rien , la recherche*socio=ec sur*socio=rien la pauvreté*socio=uv en milieu*socio=rien urbain*socio=te examine les *socio=rien effets sur les*socio=nil pauvres*socio=ac *socio=nil de la détérioration*socio=uv de l'infrastructure*socio=ec urbaine*socio=te et des changements*socio=uv apportés aux programmes*socio=et en faveur*socio=rien des secteurs*socio=ec sociaux*socio=ac. Elle s'efforce d'identifier les contraintes*socio=uv qui pèsent sur*socio=rien la productivité*socio=ec des groupes*socio=ac urbains*socio=te à faible*socio=rien revenu*socio=ec s'adonnant à des activités*socio=rien non structurées et de proposer des moyens*socio=ec de les atténuer. La valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec. Le revenu*socio=ec de la main-d'_oeuvre*socio=ac constitue le *socio=rien principal élément *socio=nil dont dépend la situation*socio=uv économique*socio=ec des couches*socio=ac défavorisées*socio=rien , que les travaux*socio=rien de recherche*socio=ec consacrés à l'éducation*socio=et, à l'emploi*socio=ec et à la santé*socio=et s'efforcent d'améliorer. *socio=rien Un projet de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil examine actuellement l'efficacité*socio=uv relative*socio=rien des systèmes*socio=rien d'enseignement*socio=et privé*socio=ec et public*socio=et, la mobilisation*socio=uv et l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec pédagogiques*socio=rien et la diversification*socio=rien des moyens*socio=ec d'éducation*socio=et de manière*socio=rien à accroître les *socio=ec dépenses privées *socio=nil consacrées à l'éducation*socio=et afin d'augmenter d'autant les ressources*socio=ec publiques*socio=et. Un*socio=rien autre projet*socio=rien , également en cours*socio=rien , vise à évaluer les moyens*socio=ec d'améliorer la compétitivité*socio=uv des marchés_du_travail*socio=ec, de manière*socio=rien que les investissements_publics*socio=et et privés*socio=ec consacrés à l'éducation*socio=et et à la formation*socio=et tiennent compte*socio=rien de l'évolution*socio=rien des salaires*socio=ec et de l'emploi*socio=ec. L'utilisation*socio=rien des *socio=ec ressources financières publiques*socio=et et*socio=nil privées *socio=nil représente l'une des *socio=rien questions clés *socio=nil de la politique*socio=et de *socio=et santé publique,*socio=nil *socio=nil qui sera étudiée dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien examen général,*socio=nil *socio=nil commencé au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, des aspects*socio=rien économiques*socio=ec du*socio=rien secteur_de_la_santé*socio=et. Des études*socio=rien en cours*socio=rien sont également consacrées à l'examen*socio=rien des méthodes*socio=rien d'établissement*socio=rien des priorités*socio=uv dans le *socio=et secteur_de_la_santé publique,*socio=nil des*socio=nil effets*socio=rien *socio=nil de l'ajustement*socio=et sur*socio=rien les dépenses*socio=ec consacrées à ce secteur*socio=ec, des effets*socio=rien économiques*socio=ec des décès d'adultes*socio=rien (notamment *socio=rien du fait du SIDA)*socio=nil en*socio=nil *socio=ac Afrique subsaharienne *socio=nil et des *socio=rien éléments déterminants *socio=nil de la nutrition*socio=rien et de la santé*socio=et. Les conditions*socio=uv de la fécondité*socio=et et de la compatibilité entre les intentions*socio=rien de fécondité*socio=et et les services*socio=ec de planning*socio=rien familial*socio=uv ont également été*socio=rien étudiées. Les travaux*socio=rien de recherche*socio=ec consacrés aux effets*socio=rien des politiques*socio=et de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv sur*socio=rien les ménages*socio=rien et aux services*socio=ec d'appui*socio=rien aux activités*socio=rien productives*socio=uv des femmes*socio=ac ont révélé de graves*socio=rien inefficacités*socio=uv dues au fait*socio=rien qu'on n'avait pas tenu compte*socio=rien de la condition_féminine*socio=et lors*socio=rien de la formulation*socio=rien des politiques*socio=et. L'environnement*socio=ec. Le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1992 analyse*socio=rien les liens*socio=rien entre le développement_économique*socio=ec et l'environnement*socio=ec. Il examine les politiques*socio=et qui ont eu des *socio=rien effets négatifs sur l'*socio=nil économie*socio=ec *socio=nil et l'environnement*socio=ec et démontre les bienfaits*socio=uv dans ces deux domaines*socio=rien de l'octroi*socio=rien de titres*socio=rien de *socio=ec propriété foncière aux*socio=nil paysans*socio=ac pauvres*socio=uv,*socio=nil *socio=nil de l'amélioration*socio=uv des réseaux*socio=rien d'alimentation*socio=ec en eau*socio=ec et d'assainissement*socio=uv et de la prestation*socio=et de services*socio=ec de recherche*socio=ec et de vulgarisation*socio=rien . Il analyse*socio=rien également les domaines*socio=rien où sont réalisés des compromis*socio=uv entre la croissance*socio=uv et la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec, et montre qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil d'effectuer une évaluation*socio=uv minutieuse et objective des coûts*socio=ec et *socio=rien avantages relatifs *socio=nil de telles mesures*socio=rien . En dehors *socio=rien du large éventail des*socio=nil activités de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil menées à travers*socio=rien toute la Banque*socio=ac sur*socio=rien l'environnement*socio=ec, le Département*socio=ac de l'environnement*socio=ec axe actuellement ses recherches*socio=ec sur*socio=rien l'ajustement*socio=et et l'environnement*socio=ec, la gestion*socio=et foncière*socio=ec intégrée, les questions*socio=rien d'environnement*socio=ec de portée*socio=rien mondiale*socio=te et la protection*socio=et de la *socio=rien diversité biologique.*socio=nil *socio=nil Dans le cadre*socio=rien de l'un*socio=rien de ces projets*socio=rien , il examine comment une gestion*socio=et intégrée des ressources*socio=ec foncières, tenant *socio=rien compte du besoin*socio=uv de*socio=nil conservation*socio=uv biologique,*socio=nil *socio=nil peut concilier les exigences*socio=uv rivales qui découlent de la croissance*socio=uv démographique*socio=rien , des pratiques*socio=et agricoles*socio=ec et de l'utilisation*socio=rien *socio=rien du bois d'*socio=nil oeuvre.*socio=nil *socio=nil D'autres travaux*socio=rien de recherche*socio=ec liés à la *socio=rien diversité biologique *socio=nil portent essentiellement sur*socio=rien le financement*socio=ec et la gestion*socio=et des efforts*socio=uv de protection*socio=et de la biodiversité*socio=et, sur*socio=rien la possibilité*socio=rien d'aménager des zones*socio=te tampons dans les projets*socio=rien de conservation*socio=uv et de développement*socio=uv et sur*socio=rien la conservation*socio=uv de la forêt*socio=ec dense équatoriale en Afrique*socio=ac. Les ressources_naturelles*socio=ec. La protection*socio=et de l'environnement*socio=ec et la recherche*socio=ec de moyens*socio=ec de réduire la pollution*socio=et ont été*socio=rien au centre*socio=rien de plusieurs études*socio=rien entreprises*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien sur*socio=rien les secteurs*socio=ec de l'énergie*socio=ec et de l'agriculture*socio=ec. Des travaux*socio=rien de recherche*socio=ec ont été*socio=rien effectués sur*socio=rien les moyens*socio=ec de promouvoir une utilisation*socio=rien plus rationnelle*socio=uv de l'énergie*socio=ec, sur*socio=rien le recours*socio=rien à des combustibles*socio=ec de substitution*socio=rien et sur*socio=rien la pollution*socio=et atmosphérique, et des études*socio=rien se poursuivent sur*socio=rien l'instabilité*socio=uv des *socio=rien cours du pétrole*socio=ec *socio=nil et la dégradation*socio=rien de l'environnement*socio=ec. La recherche*socio=ec sur*socio=rien les raffineries de pétrole*socio=ec traite actuellement des *socio=rien conséquences du développement*socio=uv *socio=nil pour l'offre*socio=rien et de l'adoption*socio=et de technologies*socio=ec durables*socio=uv. Les politiques*socio=et à l'étude*socio=ac dans le sous-secteur*socio=ec de l'électricité*socio=ec ont trait*socio=rien notamment à la régulation*socio=et, à l'alimentation*socio=ec des *socio=te zones rurales *socio=nil et à l'utilisation*socio=rien du*socio=rien charbon*socio=ec. Dans le *socio=ec secteur agricole,*socio=nil une*socio=nil étude*socio=ac *socio=nil consacrée à la qualité*socio=rien de l'eau*socio=ec et des sols*socio=ec a porté plus particulièrement sur*socio=rien les moyens*socio=ec de maîtriser*socio=rien la saturation en eau*socio=ec et la salinisation des sols*socio=ec. Les questions*socio=rien d'environnement*socio=ec ont également été*socio=rien traitées dans *socio=rien un document de*socio=nil politique*socio=et générale sur la*socio=nil gestion*socio=et *socio=nil et l'exploitation*socio=ec des ressources*socio=ec en eau*socio=ec. Des travaux*socio=rien sont en *socio=rien cours sur les*socio=nil liens entre*socio=nil différentes activités *socio=nil nécessitant une consommation*socio=ec d'eau*socio=ec et l'environnement*socio=ec. Une évaluation*socio=uv des contraintes*socio=uv psychologiques*socio=rien et sociales*socio=ac et des *socio=rien difficultés techniques *socio=nil qui s'opposent à la création*socio=rien et à l'adoption*socio=et de nouvelles*socio=rien *socio=ec technologies agricoles est*socio=rien *socio=nil également en cours*socio=rien , de même que des *socio=rien travaux connexes sur la*socio=nil biotechnologie agricole*socio=ec.*socio=nil Des*socio=nil travaux de*socio=nil recherche*socio=ec,*socio=nil fondés*socio=nil sur l'*socio=nil analyse des*socio=nil liens *socio=nil entre les secteurs*socio=ec ruraux*socio=te agricoles*socio=ec et non agricoles*socio=ec, commencent à être*socio=rien consacrés à étudier les moyens*socio=ec d'accroître les effets*socio=rien des *socio=ec investissements agricoles et*socio=nil ruraux*socio=te sur*socio=rien la*socio=nil croissance*socio=uv.*socio=nil Les*socio=nil questions*socio=rien institutionnelles*socio=ac jouent*socio=nil *socio=rien un rôle important *socio=nil dans la croissance*socio=uv et le développement*socio=uv de l'agriculture*socio=ec, et des *socio=rien études relatives aux*socio=nil réformes*socio=et *socio=nil de l'agriculture*socio=ec dans les pays*socio=ac naguère à économie*socio=ec planifiée analysent *socio=rien certaines questions *socio=nil telles que la privatisation*socio=et de la propriété*socio=ec, la création*socio=rien d' institutions_financières*socio=ec rurales*socio=te, la réforme*socio=et des *socio=ec prix agricoles *socio=nil et l'aménagement*socio=rien de dispositifs*socio=rien de protection*socio=et des groupes*socio=ac vulnérables*socio=uv. Les questions*socio=rien macroéconomiques*socio=ec et la gestion*socio=et. L'expérience*socio=uv de la Banque*socio=ac en matière*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et, de stratégies*socio=et de la réduction*socio=uv de la dette*socio=ec et de politiques*socio=et de *socio=ec libéralisation_des_échanges commerciaux est*socio=rien *socio=nil actuellement examinée et adaptée en vue*socio=rien de son utilisation*socio=rien dans les pays*socio=ac en transition*socio=uv de l'économie*socio=ec planifiée vers l'économie_de_marché*socio=ec. La recherche*socio=ec *socio=rien porte sur les*socio=nil aspects microéconomiques*socio=ec et*socio=nil macroéconomiques*socio=ec *socio=nil de la réforme*socio=et des entreprises*socio=ac en Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te; sur*socio=rien les aspects*socio=rien microéconomiques*socio=ec de la réforme*socio=et de la propriété*socio=ec et sur*socio=rien le *socio=ec commerce extérieur en*socio=nil europe_de_l'_est*socio=ac;*socio=nil sur*socio=rien la*socio=nil réforme*socio=et *socio=nil et la productivité*socio=ec des industries*socio=ec en Chine*socio=ac; sur*socio=rien la réforme*socio=et des cadres*socio=rien juridiques*socio=et en Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te; sur*socio=rien l'ajustement*socio=et du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec en Tchécoslovaquie*socio=ac et en Yougoslavie*socio=ac; et sur*socio=rien la réforme*socio=et dans des *socio=ac pays africains naguère*socio=nil socialistes.*socio=nil *socio=nil Alors que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac tendent actuellement à réduire le rôle*socio=rien de l'État*socio=ac dans leur économie*socio=ec, l'expérience*socio=uv de plusieurs pays*socio=ac d'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien a montré que le gouvernement*socio=ac peut jouer *socio=rien un rôle de*socio=nil soutien*socio=uv *socio=nil à la croissance_économique*socio=ec et au développement*socio=uv. *socio=rien Un important programme*socio=et de*socio=nil recherche*socio=ec *socio=nil dans ce domaine*socio=rien , lancé au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, sera consacré à examiner le processus*socio=rien de croissance*socio=uv, à analyser des stratégies*socio=et utilisées par les gouvernements*socio=ac, à déterminer dans quelle mesure*socio=rien les taux*socio=rien et les profils*socio=rien de croissance*socio=uv sont dus à la politique*socio=et des pouvoirs_publics*socio=ac et à évaluer les possibilités*socio=rien de transposition*socio=rien dans d'autres pays_en_développement*socio=ac. Cette étude*socio=ac examinera trois domaines*socio=rien où les carences du*socio=rien marché*socio=ec peuvent nécessiter une intervention*socio=et de l'État*socio=ac: la *socio=rien création du volume *socio=nil souhaité d'épargne*socio=ec, le partage*socio=uv des risques*socio=uv et l'utilisation*socio=rien de l'information*socio=rien et les investissements*socio=ec qui y sont consacrés. Un*socio=rien autre projet*socio=rien de recherche*socio=ec, entrepris en coopération*socio=uv avec le fonds_monétaire_international*socio=ac, *socio=rien porte sur les*socio=nil effets *socio=nil de la mise en oeuvre*socio=rien de la stratégie*socio=et de la dette*socio=ec (l'initiative*socio=rien Brady*socio=et) sur*socio=rien les pays*socio=ac les plus lourdement endettés. Les problèmes*socio=uv financiers*socio=ec nationaux*socio=te sont examinés dans des études*socio=rien portant sur*socio=rien les effets*socio=rien des réformes*socio=et financières*socio=ec et dans un*socio=rien ouvrage sur*socio=rien l'expérience*socio=uv internationale*socio=te en matière*socio=rien de restructuration*socio=uv des institutions_financières*socio=ec. Le rôle*socio=rien de l' investissement_étranger_direct*socio=ec dans les transferts*socio=rien de technologie*socio=ec et la *socio=rien question connexe *socio=nil de la protection*socio=et des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien sont également analysés. Des recherches*socio=ec complémentaires*socio=rien ont été*socio=rien consacrées aux leçons*socio=rien à tirer de l'expérience*socio=uv d'autres stratégies*socio=et commerciales*socio=ec. Les arrangements*socio=et commerciaux*socio=ec régionaux*socio=te sont apparus comme d'éventuels*socio=rien substituts aux accords*socio=et internationaux*socio=te, et des études*socio=rien sont actuellement consacrées à l' accord_de_libre-échange_nord-américain*socio=et en particulier*socio=uv et, d'une façon*socio=rien plus générale*socio=rien , à l'analyse*socio=rien des perspectives*socio=uv et des problèmes*socio=uv des stratégies*socio=et régionales*socio=te. Les effets*socio=rien des restrictions*socio=uv commerciales*socio=ec adoptées en réponse*socio=rien aux problèmes*socio=uv d'environnement*socio=ec ont été*socio=rien analysés, cette étude*socio=ac montre clairement que de telles mesures*socio=rien comportent des *socio=ec coûts économiques élevés*socio=rien *socio=nil et que leurs *socio=rien effets bénéfiques sur l'*socio=nil environnement*socio=ec *socio=nil sont relativement limités. L'infrastructure*socio=ec et l'urbanisme*socio=ec. On a très souvent recours*socio=rien à des réformes*socio=et des réglementations*socio=et pour accroître l'efficacité*socio=uv et la productivité*socio=ec des industries*socio=ec. Pendant l'exercice*socio=rien 92, des travaux*socio=rien de recherche*socio=ec ont été*socio=rien consacrés à analyser la réforme*socio=et de la réglementation*socio=et industrielle*socio=ec et les goulets*socio=rien d'étranglement de l'infrastructure*socio=ec, ainsi que leurs *socio=rien effets sur la*socio=nil productivité*socio=ec des*socio=nil industries*socio=ec.*socio=nil Les*socio=nil règlements*socio=et relatifs *socio=nil à l'utilisation*socio=rien des terres*socio=rien et à l'aménagement*socio=rien de zones*socio=te d'habitation sont également en cours*socio=rien d'examen*socio=rien , et une *socio=rien enquête analytique a*socio=nil été entreprise*socio=ac sur les*socio=nil indicateurs*socio=ec du secteur*socio=ec du logement*socio=ec *socio=nil pour les besoins*socio=uv de la politique*socio=et de développement*socio=uv. L'ordre*socio=rien *socio=rien du jour *socio=nil de la *socio=rien Conférence annuelle sur l'*socio=nil économie*socio=ec du développement*socio=uv témoigne *socio=nil de la *socio=rien grande diversité des*socio=nil thèmes traités *socio=nil par le programme*socio=et de recherche*socio=ec de la Banque*socio=ac. Cette série de conférences*socio=rien a pour objet*socio=rien de favoriser *socio=rien un nouvel effort*socio=uv de*socio=nil réflexion *socio=nil et de recherche*socio=ec sur*socio=rien certains *socio=rien aspects du processus de*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil qui échappent encore à la compréhension*socio=rien et d'identifier de *socio=rien nouveaux domaines *socio=nil qui méritent d'être*socio=rien étudiés. Cette année*socio=rien , cette conférence*socio=rien a porté sur*socio=rien quatre thèmes*socio=rien - les théories de la croissance*socio=uv et du*socio=rien développement*socio=uv, les marchés_du_travail*socio=ec et le développement*socio=uv, la technologie*socio=ec et les flux*socio=ec internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec. En plus des 11 documents*socio=rien présentés, une *socio=rien table ronde a*socio=nil été *socio=nil consacrée à la responsabilité*socio=uv du*socio=rien secteur_public*socio=ac à l'égard*socio=rien des soins_de_santé*socio=et. L'ensemble*socio=rien complet*socio=rien des documents*socio=rien , accompagnés des commentaires*socio=rien des intervenants*socio=rien , *socio=rien du discours -*socio=nil programme*socio=et *socio=nil et d'un*socio=rien résumé des débats*socio=et de la *socio=rien table ronde sur la*socio=nil *socio=et santé publique,*socio=nil *socio=nil sera publié prochainement dans le compte*socio=rien rendu de cette conférence*socio=rien (Proceedings of the*socio=rien World Bank*socio=rien Annual Conference on Development*socio=rien Economics, 1992). assistance_technique*socio=et. Pendant l'exercice*socio=rien 92, la Banque*socio=ac a revu et analysé ses opérations*socio=rien d' assistance_technique*socio=et afin d'en tirer des leçons*socio=rien et de rendre ses travaux*socio=rien d'avenir*socio=te plus efficaces*socio=uv. Cet examen*socio=rien a été*socio=rien inspiré par deux *socio=rien phénomènes récents *socio=nil - l'accroissement*socio=ec *socio=rien sensible du volume d'*socio=nil assistance_technique*socio=et *socio=nil auquel la Banque*socio=ac a participé en tant que financier*socio=ec, fournisseur*socio=ac et administrateur*socio=ac, et le rôle*socio=rien de plus en plus actif*socio=rien que joue la Banque*socio=ac - face*socio=rien aux programmes*socio=et de réforme*socio=et économique*socio=ec de ses *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil - dans la prestation*socio=et d'une assistance_technique*socio=et dans certains domaines*socio=rien tels que ceux des réformes*socio=et, de la création*socio=rien d'institutions*socio=ac et du*socio=rien renforcement*socio=uv des capacités*socio=rien . Conscient*socio=uv de cette situation*socio=uv, le président*socio=rien de la Banque*socio=ac a chargé un*socio=rien groupe*socio=ac d'étude*socio=ac de faire le bilan*socio=rien de cette *socio=rien évolution du rôle *socio=nil de la Banque*socio=ac dans l'assistance_technique*socio=et et de suggérer des moyens*socio=ec d'améliorer l'impact*socio=rien de cette assistance*socio=et sur*socio=rien le développement*socio=uv. En particulier*socio=uv, ce groupe*socio=ac d'étude*socio=ac a été*socio=rien invité à examiner: a) comment organiser et financer au mieux ces activités*socio=rien d'assistance_technique*socio=et de la Banque*socio=ac, et b) comment coordonner de façon*socio=rien optimale*socio=uv ces activités*socio=rien avec celles des autres institutions*socio=ac et bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec. Le groupe*socio=ac d'étude*socio=ac a recommandé que la gestion*socio=et des activités*socio=rien d' assistance_technique*socio=et de la Banque*socio=ac soit améliorée, que la coordination*socio=uv de cette assistance_technique*socio=et (en particulier*socio=uv avec le programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac (PNUD*socio=ac)) soit renforcée et qu'un*socio=rien mécanisme*socio=rien de dons*socio=ec pour l'assistance_technique*socio=et - le fonds_de_développement_institutionnel*socio=et (FDI*socio=et) soit créé. *socio=rien Un plan d'*socio=nil action institutionnel,*socio=nil fondé*socio=nil sur les*socio=nil recommandations *socio=nil de ce rapport*socio=rien , a été*socio=rien élaboré pour répondre à ces trois préoccupations*socio=uv. Ce plan*socio=rien prévoit des mesures*socio=rien en vue*socio=rien : a) d'inclure *socio=rien un examen systématique des*socio=nil besoins*socio=uv en*socio=nil assistance_technique*socio=et *socio=nil dans les documents*socio=rien de stratégie*socio=et par pays*socio=ac; b) de renforcer les compétences*socio=uv *socio=rien du personnel *socio=nil de la Banque*socio=ac en matière*socio=rien de création*socio=rien d'institutions*socio=ac; et c) de veiller davantage à une gestion*socio=et rigoureuse*socio=rien de l'assistance_technique*socio=et. *socio=rien Un manuel *socio=nil de l'assistance_technique*socio=et est*socio=rien en préparation*socio=rien . Avec les programmes*socio=et de formation*socio=et, ce manuel*socio=rien contribuera à assurer la participation*socio=uv des bénéficiaires*socio=ac à la conception*socio=rien et améliorera l'efficacité*socio=uv de l'exécution*socio=rien et du*socio=rien suivi de l'assistance_technique*socio=et. On prévoit également d'apporter des changements*socio=uv au programme*socio=et de recherche*socio=ec, afin de faire face*socio=rien à des questions*socio=rien telles que le renforcement*socio=uv des capacités*socio=rien et la création*socio=rien d'institutions*socio=ac. Pour aider à améliorer la coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv, la Banque*socio=ac et le PNUD*socio=ac sont convenus que les principes*socio=uv de coopération*socio=uv entre les deux organisations*socio=ac seraient revus par le groupe*socio=ac d'experts*socio=ac à *socio=rien haut niveau PNUD*socio=ac /*socio=nil Banque*socio=ac;*socio=nil *socio=nil que la coopération*socio=uv serait renforcée sur*socio=rien le plan*socio=rien de la coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv pour l'assistance_technique*socio=et; et que la Banque*socio=ac et le PNUD*socio=ac uniraient leurs efforts*socio=uv pour le renforcement*socio=uv de la capacité*socio=rien locale*socio=te de gestion*socio=et de l'assistance_technique*socio=et, en utilisant l'approche nationale*socio=te de l'évaluation*socio=uv et des programmes*socio=et de coopération*socio=uv *socio=rien techniques parrainée *socio=nil par le PNUD*socio=ac en l'adaptant aux besoins*socio=uv propres*socio=rien à chaque pays*socio=ac. En juin*socio=rien 1992, les administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac ont approuvé la *socio=rien création du fonds_de_développement_institutionnel*socio=et (*socio=nil FDI*socio=et)*socio=nil *socio=nil qu'ils ont doté d'un*socio=rien montant*socio=ec initial*socio=rien de 25 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à utiliser pendant sa *socio=rien première année de*socio=nil fonctionnement.*socio=nil Ce*socio=nil fonds*socio=ec *socio=nil doit commencer à fonctionner au début*socio=rien de l'exercice*socio=rien 93. Il offrira une *socio=rien réponse rapide au*socio=nil besoin*socio=uv de*socio=nil financement*socio=ec de*socio=nil petits programmes*socio=et d'*socio=nil action *socio=nil identifiés dans le cadre*socio=rien des études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien de la Banque*socio=ac (et étroitement liés à elles) et du*socio=rien dialogue*socio=uv de politique_économique*socio=et avec les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec et les pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien . Les activités*socio=rien d'assistance_technique*socio=et de la Banque*socio=ac sont essentiellement de trois ordres*socio=rien : - assistance_technique*socio=et en tant qu'élément*socio=rien de projets*socio=rien financés par des prêts*socio=ec et crédits*socio=ec du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac, activités*socio=rien d' assistance_technique*socio=et indépendantes*socio=rien faisant l'objet*socio=rien de prêts*socio=ec et de crédits*socio=ec particuliers*socio=rien ; et assistance_technique*socio=et financée au *socio=rien titre du mécanisme de*socio=nil financement*socio=ec *socio=nil de la préparation*socio=rien des projets*socio=rien (PPF*socio=et); - assistance_technique*socio=et administrée*socio=rien mais non financée par la Banque*socio=ac (par exemple*socio=rien , *socio=rien projets du PNUD*socio=ac *socio=nil pour lesquels la Banque*socio=ac *socio=rien fait fonction d'*socio=nil agent*socio=ac d'*socio=nil exécution ou*socio=nil projets administrés *socio=nil par la Banque*socio=ac qui sont financés par le biais*socio=rien d'autres *socio=ec fonds fiduciaires)*socio=nil *socio=nil . Parmi les autres activités*socio=rien d' assistance_technique*socio=et de cette catégorie*socio=rien figurent les programmes*socio=et d' assistance_technique*socio=et remboursable*socio=ec destinés aux *socio=ac pays_en_développement exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec à*socio=nil revenu*socio=ec *socio=rien élevé du Moyen-orient*socio=ac *socio=nil et au Fonds_international_de_développement_agricole*socio=ac; enfin - assistance_technique*socio=et fournie dans le *socio=rien cadre du budget*socio=ec administratif,*socio=nil *socio=nil qui comprend les travaux*socio=rien de l'institut_de_développement_économique*socio=ac, et assistance_technique*socio=et s'inscrivant*socio=rien dans le *socio=rien cadre du programme*socio=et de*socio=nil coopération*socio=uv *socio=nil avec l' Organisation_des_nations_unies_pour_l'_alimentation_et_l'_agricuure*socio=ac et d'autres programmes*socio=et. *socio=rien Un volume substantiel d'*socio=nil assistance_technique*socio=et est *socio=nil dispensé dans le cadre*socio=rien des *socio=rien activités ordinaires *socio=nil de la Banque*socio=ac - qu'elles concernent ou non des prêts*socio=ec - et financé sur*socio=rien le budget*socio=ec administratif*socio=rien , mais il *socio=rien est difficile *socio=nil à chiffrer. Ces services*socio=ec sont inextricablement liés aux études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien de la Banque*socio=ac, à la préparation*socio=rien et à la supervision*socio=rien des prêts*socio=ec, à la coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv et aux conseils*socio=ac informels*socio=uv que la Banque*socio=ac offre*socio=rien à ses emprunteurs*socio=ac sur*socio=rien les questions*socio=rien relevant de l'action*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=ac ou sur*socio=rien des *socio=rien questions techniques.*socio=nil Le*socio=nil volume *socio=nil de l'assistance_technique*socio=et dispensée au titre*socio=rien de ces trois catégories*socio=rien s'est*socio=rien *socio=rien développé considérablement *socio=nil depuis quelques années*socio=rien et, pendant l'année*socio=rien civile*socio=et 1991, il a atteint environ 2,3 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Sur*socio=rien ce total*socio=rien , la *socio=rien part du lion,*socio=nil *socio=nil soit 1,8 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec, est*socio=rien allée aux composantes*socio=rien assistance_technique*socio=et des prêts*socio=ec et crédits*socio=ec de la Banque*socio=ac. La même année*socio=rien , l'assistance_technique*socio=et financée sur*socio=rien le budget*socio=ec administratif*socio=rien a représenté *socio=rien un total *socio=nil d'environ 45 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. (Toutefois, ce montant*socio=ec ne tient pas compte*socio=rien de l'assistance_technique*socio=et dispensée par la Banque*socio=ac dans le cadre*socio=rien de ses services*socio=ec ordinaires*socio=rien , que ceux-ci concernent ou non des prêts*socio=ec.) Les décaissements*socio=ec au titre*socio=rien de l' assistance_technique*socio=et prélevés sur*socio=rien les *socio=ec fonds fiduciaires administrés*socio=rien *socio=nil par la Banque*socio=ac, combinés aux programmes*socio=et remboursables*socio=rien , ont représenté *socio=rien un total *socio=nil de 228 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Au cours*socio=rien de l'année*socio=rien civile*socio=et 1991, le *socio=rien volume total *socio=nil de l' assistance_technique*socio=et financée dans le cadre*socio=rien des projets*socio=rien s'est*socio=rien élevé*socio=rien à 2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec (1,8 milliard*socio=rien pour les composantes*socio=rien de projets*socio=rien financés au moyen*socio=rien de prêts*socio=ec et crédits*socio=ec et 0,2 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec pour les projets*socio=rien d'assistance_technique*socio=et indépendants*socio=rien ). Ce montant*socio=ec a représenté un*socio=rien accroissement*socio=ec de 25% par rapport*socio=rien à l'année*socio=rien précédente*socio=rien ; toutefois, en *socio=rien proportion du volume total des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac, l' assistance_technique*socio=et n'a progressé que d'un*socio=rien point*socio=rien de pourcentage*socio=rien , atteignant 8%. Les avances au *socio=rien titre du mécanisme de*socio=nil financement*socio=ec *socio=nil de la préparation*socio=rien des projets*socio=rien (PPF*socio=et), qui sont refinancées sur*socio=rien les prêts*socio=ec et crédit*socio=ec ultérieurs*socio=te, se sont élevées*socio=rien au total*socio=rien à 72 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, contre 66 millions*socio=rien de dollars*socio=ec l'année*socio=rien précédente*socio=rien . Les composantes*socio=rien assistance_technique*socio=et financées par la Banque*socio=ac se concentrent de plus en plus sur*socio=rien la formation*socio=et et les services*socio=ec consultatifs*socio=rien en *socio=rien vue du renforcement*socio=uv des*socio=nil institutions*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et de moins en moins sur*socio=rien des tâches*socio=rien de *socio=rien caractère technique.*socio=nil Le*socio=nil Projet national*socio=te de*socio=nil *socio=ec recherche agricole au*socio=nil Nigeria*socio=ac,*socio=nil *socio=nil approuvé pendant l'année*socio=rien civile*socio=et 1991, représente *socio=rien un exemple *socio=nil de cette nouvelle*socio=rien orientation*socio=et. La composante*socio=rien "formation*socio=et" de 13,6 millions*socio=rien de dollars*socio=ec financée par la Banque*socio=ac permettra d'organiser des activités*socio=rien de formation*socio=et de *socio=rien courte durée,*socio=nil *socio=nil ainsi que des programmes*socio=et à plus long_terme*socio=ec de préparation*socio=rien à des diplômes*socio=rien , à l'intention*socio=rien des gestionnaires*socio=ac et *socio=rien du personnel scientifique*socio=ec et*socio=nil technique.*socio=nil *socio=nil De même, en Indonésie*socio=ac, le *socio=rien deuxième projet de*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil de l' enseignement_supérieur*socio=et finance*socio=ec un*socio=rien programme*socio=et de formation*socio=et à l'étranger*socio=te pour le *socio=rien perfectionnement du personnel universitaire*socio=et.*socio=nil Le*socio=nil programme*socio=et de*socio=nil formation*socio=et *socio=nil de 68 millions*socio=rien de dollars*socio=ec financé par la Banque*socio=ac comprend l'octroi*socio=rien de bourses*socio=rien pour la préparation*socio=rien de maîtrises*socio=rien et de doctorats de science*socio=ec fondamentale*socio=rien , d'enseignement*socio=et des sciences*socio=ec et d'ingénierie*socio=rien . Parmi les projets*socio=rien à composantes*socio=rien de services*socio=ec consultatifs*socio=rien en gestion*socio=et et en finances*socio=ec figure le Projet*socio=rien de développement*socio=uv des institutions_financières*socio=ec en Pologne*socio=ac et le Projet*socio=rien de décentralisation*socio=et et de développement_régional*socio=ec au Mexique*socio=ac. Le premier*socio=rien de ces deux projets*socio=rien prévoit plus de 23 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de services*socio=ec de consultants*socio=ac à travers*socio=rien des accords*socio=et de "jumelage" entre des banques*socio=ac étrangères*socio=ec et des banques*socio=ac polonaises pour l'élaboration*socio=rien et l'exécution*socio=rien de programmes*socio=et de renforcement*socio=uv de la capacité*socio=rien institutionnelle*socio=ac des banques*socio=ac polonaises intéressées. La composante*socio=rien renforcement*socio=uv *socio=rien institutionnel du Projet de*socio=nil décentralisation*socio=et *socio=nil et de développement_régional*socio=ec au Mexique*socio=ac prévoit une assistance_technique*socio=et dans les domaines*socio=rien liés à la gestion*socio=et afin de renforcer les organismes*socio=ac d'exécution*socio=rien des projets*socio=rien , principalement dans les secteurs*socio=ec de l'agriculture*socio=ec et des routes*socio=rien , de même que les institutions*socio=ac au niveau*socio=rien des États*socio=ac et des municipalités*socio=ac. Pendant l'année*socio=rien civile*socio=et 1991, la Banque*socio=ac a approuvé 16 projets*socio=rien d' assistance_technique*socio=et indépendants*socio=rien , *socio=rien représentant un coût*socio=ec total *socio=nil de 241 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Parmi ces projets*socio=rien figuraient les *socio=rien premières opérations d'*socio=nil assistance_technique*socio=et *socio=nil à la Bulgarie*socio=ac, à l'Angola*socio=ac et à la Mongolie*socio=ac. Le prêt*socio=ec de 17 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour assistance_technique*socio=et à la Bulgarie*socio=ac financera des activités*socio=rien multisectorielles*socio=ec à l'appui*socio=rien du*socio=rien programme*socio=et de réforme*socio=et économique*socio=ec du*socio=rien gouvernement*socio=ac. Ces activités*socio=rien ont notamment pour objectifs*socio=rien le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, la restructuration*socio=uv et la réforme*socio=et des banques*socio=ac, la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec, la réforme*socio=et des stratégies*socio=et du*socio=rien secteur_énergétique*socio=ec et le renforcement*socio=uv institutionnel*socio=rien dans les *socio=rien domaines du commerce*socio=ec,*socio=nil *socio=nil de la stratégie*socio=et de la dette*socio=ec et des statistiques*socio=rien . En Angola*socio=ac, le Projet*socio=rien de renforcement*socio=uv de la capacité*socio=rien de gestion*socio=et économique*socio=ec de 23 millions*socio=rien de dollars*socio=ec vise à renforcer l'aptitude*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=ac à formuler et à mettre en oeuvre*socio=rien de saines*socio=uv politiques_économiques*socio=ec et de *socio=rien solides projets d'*socio=nil investissement*socio=ec *socio=nil en offrant une assistance_technique*socio=et et une formation*socio=et pour la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec, les statistiques*socio=rien économiques*socio=ec, l' assistance_juridique*socio=et, la gestion*socio=et des ressources*socio=ec publiques*socio=et et les politiques*socio=et de libéralisation*socio=ec. En Mongolie*socio=ac, *socio=rien un projet d'*socio=nil assistance_technique*socio=et *socio=nil de 5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec aidera le pays*socio=ac à se doter de la capacité*socio=rien institutionnelle*socio=ac de gestion*socio=et macroéconomique*socio=ec dans une économie_de_marché*socio=ec et de définir*socio=rien des stratégies*socio=et pour les secteurs*socio=ec et sous-secteurs*socio=ec essentiels*socio=uv à son développement_économique*socio=ec. Au 31 décembre*socio=rien 1991, la Banque*socio=ac travaillait à l'exécution*socio=rien d'un*socio=rien total*socio=rien de 183 *socio=rien projets du PNUD*socio=ac,*socio=nil *socio=nil évalués à 356 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Parmi les tout *socio=rien derniers projets *socio=nil approuvés figuraient le Projet*socio=rien régional*socio=te d'équipes*socio=rien de gestion*socio=et de l'Initiative*socio=rien de renforcement*socio=uv des capacités*socio=rien en Afrique*socio=ac (9,8 millions*socio=rien de dollars*socio=ec) et deux projets*socio=rien agricoles*socio=ec de portée*socio=rien mondiale*socio=te: Élaboration*socio=rien d'une stratégie*socio=et efficace*socio=uv de lutte*socio=uv contre la mouche tsé-tsé et les tiques dans les *socio=te régions tropicales,*socio=nil et*socio=nil Élaboration*socio=rien de*socio=nil systèmes*socio=rien durables*socio=uv de*socio=nil production*socio=ec de*socio=nil riz*socio=ec *socio=nil (6,2 et 8,3 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, respectivement). En août*socio=rien 1991, les administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac ont approuvé le transfert*socio=ec de 30 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de l'excédent*socio=ec de l'exercice*socio=rien 91 pour financer un*socio=rien programme*socio=et d'assistance_technique*socio=et à titre*socio=rien de don*socio=ec à l' Union_des_républiques_socialistes_soviétiques*socio=ac et ses républiques*socio=ac. Par la suite*socio=rien , quatre républiques*socio=te - la Biélorussie*socio=ac, le Kazakhstan*socio=ac, le Kirghizistan*socio=ac et la Russie*socio=ac - ont signé cet accord*socio=et. Le fonds*socio=ec de 30 millions*socio=rien de dollars*socio=ec a été*socio=rien utilisé pour financer le coût*socio=ec de l' assistance_technique*socio=et dispensée par la Banque*socio=ac à ces quatre républiques*socio=te pendant la période*socio=te de transition*socio=uv avant que leur adhésion*socio=uv à l'institution*socio=ac ne prenne effet*socio=rien . Le programme*socio=et de travail*socio=rien comprenait quatre *socio=rien principaux éléments:*socio=nil appui *socio=nil à des réformes_systémiques*socio=et destinées*socio=rien à faciliter la transition*socio=uv des différentes*socio=rien républiques*socio=te vers l'économie_de_marché*socio=ec et leur intégration*socio=uv à l'économie*socio=ec mondiale*socio=te; *socio=rien un appui *socio=nil à des réformes*socio=et spécifiques*socio=rien dans les secteurs*socio=ec de l'agriculture*socio=ec, de l'énergie*socio=ec, des transports*socio=ec et autres; la conception*socio=rien de dispositifs*socio=rien de protection_sociale*socio=et, à l'intention*socio=rien des groupes*socio=ac vulnérables*socio=uv, pendant la transition*socio=uv vers l' économie_de_marché*socio=ec, et *socio=rien un appui *socio=nil à l'amélioration*socio=uv des services*socio=ec de base*socio=rien ; ainsi que des programmes*socio=et de formation*socio=et et des réformes*socio=et institutionnelles*socio=ac. A la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, les nouveaux*socio=rien engagements*socio=ec au titre*socio=rien de ce *socio=ec fonds fiduciaire ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil supprimés et la somme*socio=rien de 1,7 million*socio=rien de dollars*socio=ec de crédits*socio=ec non engagés a été*socio=rien restituée au compte*socio=rien d'excédent*socio=ec de la Banque*socio=ac. Coopération*socio=uv entre organisations*socio=ac. Coopération*socio=uv avec la *socio=ac Communauté européenne *socio=nil et avec l' Organisation_de_coopération_et_de_développement_économiques*socio=ac (OCDE*socio=ac). *socio=rien Un nouveau poste a*socio=nil été *socio=nil créé en juillet*socio=rien 1991 au *socio=ac Bureau_européen_de_la Banque,*socio=nil *socio=nil dont le *socio=rien titulaire est *socio=nil chargé d'assurer la liaison*socio=rien avec la *socio=ac Communauté européenne *socio=nil (CE) et de suivre et analyser les questions*socio=rien s'y rapportant. *socio=rien Un ensemble de*socio=nil points de*socio=nil contact ont*socio=nil été *socio=nil établis avec la *socio=ac Commission européenne *socio=nil à Bruxelles. Face*socio=rien à la croissance*socio=uv *socio=rien rapide du volume *socio=nil de l'aide*socio=uv qu'accorde la CE, il devient de plus en plus important*socio=rien pour la Banque*socio=ac que s'instaure une *socio=uv coopération efficace *socio=nil entre elle et la Communauté*socio=ac. La Banque*socio=ac entretient activement un*socio=rien dialogue*socio=uv avec l'OCDE*socio=ac et son comité_d'_aide_au_développement*socio=ac (CAD*socio=ac) sur*socio=rien les orientations*socio=et et pratiques*socio=et présentant un*socio=rien intérêt*socio=uv mutuel pour les bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec bilatéraux*socio=te et multilatéraux*socio=te. La Banque*socio=ac et le CAD*socio=ac procèdent régulièrement à des échanges*socio=rien d'informations*socio=rien , notamment en ce qui concerne le flux*socio=ec d'aide*socio=uv, ainsi que la dette*socio=ec et les *socio=ec transferts financiers.*socio=nil Les*socio=nil *socio=rien questions relatives au*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil par la participation*socio=uv, à l'aide*socio=uv liée, à la coopération*socio=uv technique*socio=rien et à la conduite*socio=rien des affaires_publiques*socio=et figurent depuis quelque temps*socio=rien au *socio=rien premier plan du dialogue*socio=uv *socio=nil entre la Banque*socio=ac et le CAD*socio=ac. Coopération*socio=uv avec le fonds_monétaire_international*socio=ac. La Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac collaborent étroitement, à travers*socio=rien leurs programmes*socio=et de prêts*socio=ec et leurs conseils*socio=ac de politique_économique*socio=et, afin d'aider leurs pays_membres*socio=ac à se doter d'un*socio=rien contexte*socio=rien stratégique*socio=uv et *socio=rien institutionnel propice *socio=nil à la stabilité*socio=uv et à la croissance*socio=uv économiques*socio=ec. *socio=rien Un examen *socio=nil de la situation*socio=uv de la collaboration*socio=uv entre la Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac, effectué au milieu*socio=rien de 1990, a permis*socio=rien de réaffirmer l'efficacité*socio=uv des principes*socio=uv et procédures*socio=rien en place*socio=rien . Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien écoulé, les fonctionnaires*socio=et des deux organisations*socio=ac ont travaillé en collaboration*socio=uv particulièrement étroite*socio=rien à la conception*socio=rien de programmes*socio=et visant à aider des pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te à effectuer leur transition*socio=uv entre un*socio=rien régime*socio=et d'économie*socio=ec dirigée et un*socio=rien régime*socio=et d'économie_de_marché*socio=ec, et à l'élaboration*socio=rien de programmes*socio=et de restructuration*socio=uv de la dette*socio=ec pour les pays*socio=ac en situation*socio=uv d'arriérés de paiement*socio=ec envers l'une ou l'une et l'autre de ces deux institutions*socio=ac. La Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac sont sur*socio=rien le point*socio=rien d'aborder la phase*socio=te opérationnelle*socio=rien de leur aide*socio=uv à leurs *socio=rien nouveaux membres *socio=nil issus de l'ancienne*socio=rien union_soviétique*socio=ac. La complexité*socio=rien et l'ampleur*socio=rien *socio=rien du phénomène d'*socio=nil évolution *socio=nil de ces pays*socio=ac vers l'économie_de_marché*socio=ec exigeant*socio=rien la plus étroite*socio=rien coordination*socio=uv entre les deux institutions*socio=ac, les fonctionnaires*socio=et de la Banque*socio=ac et du*socio=rien FMI*socio=ac ont reçu des conseils*socio=ac au cours*socio=rien de l'année*socio=rien sur*socio=rien quatre aspects*socio=rien de ce travail*socio=rien : a) l'évaluation*socio=uv des besoins*socio=uv d'ajustement*socio=et macroéconomique*socio=ec, les priorités*socio=uv des réformes_structurelles*socio=ec et le fait*socio=rien que les *socio=uv besoins stratégiques *socio=nil observés dans chacun de ces domaines*socio=rien sont également importants*socio=rien pour le succès*socio=uv dans les autres; b) la coordination*socio=uv des efforts*socio=uv d'élaboration*socio=rien des différents*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et et des *socio=rien travaux sur les*socio=nil délicates questions *socio=nil qui intéressent plusieurs républiques*socio=te et transcendent les programmes*socio=et par pays*socio=ac; c) la coordination*socio=uv avec les autres institutions*socio=ac; et d) les *socio=rien dispositions prises *socio=nil pour mobiliser l'assistance*socio=et financière*socio=ec.