*{Rapport annuel de la Banque mondiale, 1994 } *socio=nil Aperçu des activités*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac durant l'exercice*socio=rien 94. La banque_mondiale*socio=ac a pour *socio=rien objectif fondamental *socio=nil d'aider ses pays_membres*socio=ac à réduire l'emprise de la pauvreté*socio=uv. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, par ses opérations*socio=rien de prêt*socio=ec et par le renforcement*socio=uv du*socio=rien dialogue*socio=uv avec les autorités*socio=et des pays_membres*socio=ac, elle a poursuivi l'application*socio=rien des stratégies*socio=et de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv esquissées dans le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1990 et précisées ensuite dans *socio=rien un document d'*socio=nil orientation*socio=et *socio=nil et des notes *socio=rien opérationnelles connexes.*socio=nil Le*socio=nil rapport sur la*socio=nil réduction*socio=uv *socio=nil de la pauvreté*socio=uv examiné par les Administrateurs*socio=ac en avril*socio=rien 1994 relève*socio=ac les progrès*socio=uv accomplis dans la mise en oeuvre*socio=rien de ces stratégies*socio=et - qu'il s'agisse des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec, des stratégies*socio=et d'aide*socio=uv par pays*socio=ac et de la concertation*socio=uv sur*socio=rien les *socio=et politiques publiques,*socio=nil ou*socio=nil du*socio=rien renforcement*socio=uv des*socio=nil *socio=rien analyses sur la*socio=nil pauvreté*socio=uv.*socio=nil *socio=nil Il signale toutefois qu'il reste*socio=rien des défis*socio=uv à relever. La Banque*socio=ac doit encore faire en sorte*socio=rien d'intégrer pleinement la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv dans ses stratégies-pays*socio=et, d'achever la préparation*socio=rien d'évaluations*socio=uv de la pauvreté*socio=uv pour tous les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil et d'apporter des améliorations*socio=uv à la qualité*socio=rien de ces analyses*socio=rien , de mettre au point*socio=rien des systèmes*socio=rien de suivi de la pauvreté*socio=uv et de renforcer les moyens*socio=ec dont disposent les pays*socio=ac pour appliquer ces systèmes*socio=rien . Aujourd'hui, la Banque*socio=ac attache moins d'importance*socio=rien à l'expansion*socio=ec de son portefeuille*socio=ec qu'à la qualité*socio=rien des projets*socio=rien qui le composent. Cette évolution*socio=rien résulte *socio=rien du rapport *socio=nil établi en 1992 par le Groupe*socio=ac d'étude*socio=ac sur*socio=rien la gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec; ce rapport*socio=rien mettait en évidence*socio=rien certains *socio=rien aspects du fonctionnement *socio=nil de la Banque*socio=ac qui avaient sans doute*socio=rien contribué aux problèmes*socio=uv de gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec ou qui n'avaient en tout cas*socio=rien pas permis*socio=rien de les résoudre efficacement. Des mesures*socio=rien ont *socio=rien été prises *socio=nil durant l'exercice*socio=rien 94 en application*socio=rien des *socio=rien recommandations du groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ac,*socio=nil de*socio=nil sorte *socio=nil que la Banque*socio=ac soit mieux à même d'atteindre son *socio=rien objectif fondamental *socio=nil en aidant plus efficacement les *socio=ac pays_membres emprunteurs *socio=nil à réduire la pauvreté*socio=uv. L'élément*socio=rien *socio=rien clé du plan d'*socio=nil action *socio=nil adopté par la Banque*socio=ac a été*socio=rien l'introduction*socio=rien d'une nouvelle*socio=rien approche de la gestion*socio=et des opérations*socio=rien en cours*socio=rien : celle-ci n'est*socio=rien plus fondée sur*socio=rien les projets*socio=rien considérés isolément, mais sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien du*socio=rien portefeuille-pays. A l'appui*socio=rien des changements*socio=uv apportés à ses propres*socio=rien politiques*socio=et et procédures*socio=rien , la Banque*socio=ac évalue la performances*socio=uv de chacun de ses portefeuilles-pays*socio=ec avec les autorités*socio=et du*socio=rien pays*socio=ac concerné et, en collaboration*socio=uv avec elles, essaie de trouver une solution*socio=rien aux problèmes*socio=uv systémiques*socio=et constatés. Ces mesures*socio=rien et d'autres encore donnent à la Banque*socio=ac une *socio=rien bien meilleure vue d'*socio=nil ensemble *socio=nil des 148 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec de son portefeuille*socio=ec de prêts*socio=ec (107 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec répartis entre 982 projets*socio=rien pour la BIRD*socio=ac; 41 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec et 915 projets*socio=rien pour l'IDA*socio=ac). D'après*socio=rien *socio=rien un rapport sur *socio=nil l'avancement des *socio=rien initiatives prises *socio=nil pour améliorer la gestion*socio=et des programmes*socio=et et projets_de_développement*socio=et financés avec son aide*socio=uv, la Banque*socio=ac a accompli de substantiels*socio=rien progrès*socio=uv tout au long*socio=rien de l'exercice*socio=rien écoulé en faisant une plus *socio=rien grande place *socio=nil à la qualité*socio=rien de l'exécution*socio=rien et de la performance*socio=uv du*socio=rien portefeuille*socio=ec. Les *socio=rien auteurs du rapport *socio=nil ajoutent néanmoins qu'il lui faudra faire davantage, car le plan*socio=rien d'action*socio=rien ne se limite*socio=rien pas à une série de *socio=rien mesures ponctuelles *socio=nil et il s'agit plutôt d'un*socio=rien processus*socio=rien qui devra être*socio=rien poursuivi pendant des années*socio=rien avant de porter tous ses fruits*socio=rien . La Banque*socio=ac s'emploie également plus activement, en affectant à cet effort*socio=uv des ressources*socio=ec accrues, à encourager les *socio=rien parties prenante *socio=nil à participer à la préparation*socio=rien des projets*socio=rien . Un*socio=rien fonds*socio=ec spécial*socio=rien (Fonds*socio=ec de participation*socio=uv) a été*socio=rien créé en juin*socio=rien 1993 pour financer les dépenses*socio=ec supplémentaires*socio=rien qu'implique l'association*socio=uv des bénéficiaires*socio=ac à la préparation*socio=rien des projets*socio=rien et aux études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien . La dotation initiale*socio=rien de ce fonds*socio=ec ayant été*socio=rien intégralement engagée dès novembre*socio=rien , des ressources*socio=ec supplémentaires*socio=rien lui ont été*socio=rien affectées en mars*socio=rien 1994. Associer les bénéficiaires*socio=ac à la préparation*socio=rien des projets*socio=rien commence à devenir*socio=rien la *socio=rien pratique normale *socio=nil à la Banque*socio=ac. Tout au long*socio=rien de l'année*socio=rien , la coopération*socio=uv entre la Banque*socio=ac et les organisations_non_gouvernementales*socio=ac (ONG*socio=ac) a continué à se développer tant pour ce qui est*socio=rien des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec qu'en ce qui concerne le dialogue*socio=uv sur*socio=rien les *socio=et politiques publiques.*socio=nil L'*socio=nil intensification*socio=rien *socio=nil de cette collaboration*socio=uv a été*socio=rien clairement démontrée par la Conférence*socio=rien organisée par la Banque*socio=ac en novembre*socio=rien 1993 sur*socio=rien la lutte*socio=uv contre la faim*socio=rien dans le monde*socio=te. Les ONG*socio=ac ont participé non seulement aux exposés et aux débats*socio=et, mais aussi à la préparation*socio=rien de la conférence*socio=rien et aux travaux*socio=rien lancés dans son prolongement*socio=rien . L'exercice*socio=rien 94 a été*socio=rien marqué aussi par plusieurs initiatives*socio=rien allant dans le sens*socio=rien d'une plus grande*socio=rien responsabilisation*socio=uv et d'une plus *socio=rien grande ouverture *socio=nil de la Banque*socio=ac: En septembre*socio=rien 1993, le conseil_des_administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac a institué un*socio=rien Panel_d'_inspection_indépendant*socio=ac chargé de recevoir et d'instruire les plaintes selon lesquelles la Banque*socio=ac n'aurait pas respecté ses propres*socio=rien politiques*socio=et et *socio=rien procédures lors *socio=nil de la conception*socio=rien , de l'évaluation*socio=uv et/ou de l'exécution*socio=rien d'un*socio=rien projet*socio=rien de développement*socio=uv recevant son aide*socio=uv. Les *socio=rien membres du *socio=nil panel exerceront leurs fonctions*socio=rien en toute indépendance*socio=uv, et seront directement responsables*socio=uv devant*socio=rien le Conseil*socio=rien . Les trois *socio=rien membres du *socio=nil panel ont été*socio=rien nommés en avril*socio=rien 1994. En janvier*socio=rien 1994, les responsabilités*socio=uv d'information*socio=rien du*socio=rien public*socio=ac sur*socio=rien les opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac ont été*socio=rien sensiblement élargies par l'ouverture*socio=rien à Washington*socio=ac, au siège*socio=rien de l'institution*socio=ac, d'un*socio=rien *socio=rien Centre public d'*socio=nil information *socio=nil dont la *socio=rien mission est *socio=nil de fournir des *socio=rien renseignements pertinents *socio=nil et à *socio=rien jour sur les*socio=nil projets actuels et*socio=nil futurs *socio=nil de la Banque*socio=ac, en mettant à la *socio=rien disposition du public*socio=ac des*socio=nil documents *socio=nil dont la diffusion*socio=rien était autrefois restreinte. Ces informations*socio=rien peuvent également être*socio=rien obtenues par l'intermédiaire*socio=rien des bureaux*socio=rien de la Banque*socio=ac à Londres*socio=ac, Paris*socio=ac et Tokyo*socio=ac, et de ses nombreux*socio=rien autres bureaux*socio=rien extérieurs*socio=te. Le public*socio=ac peut utiliser le réseau*socio=rien *socio=ec informatique Internet *socio=nil pour accéder aux documents*socio=rien d'information*socio=rien sur*socio=rien les projets*socio=rien , consulter la liste de tous les documents*socio=rien de la Banque*socio=ac *socio=rien disponibles sur demande,*socio=nil *socio=nil commander les titres*socio=rien qui l'intéressent ou lire le résumé ou le *socio=rien texte intégral *socio=nil de certains documents*socio=rien . Une plus grande*socio=rien transparence*socio=uv est*socio=rien essentielle*socio=uv pour mieux faire connaître aux *socio=rien différentes parties prenantes le*socio=nil travail *socio=nil de la Banque*socio=ac et les activités*socio=rien qu'elle appuie, et les amener ainsi à leur apporter un*socio=rien soutien*socio=uv accru. La Banque*socio=ac a continué à affecter d'importantes*socio=rien ressources*socio=ec à de *socio=rien nombreuses activités *socio=nil qui ne constituent pas en elles-mêmes des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec, mais qui serviront de base*socio=rien à de *socio=rien futures opérations.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien 94, les études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien ont absorbé environ 19% des ressources*socio=ec totales*socio=rien . La Banque*socio=ac travaille en permanence*socio=rien , pour tous ses emprunteurs*socio=ac, à la préparation*socio=rien ou à la mise à jour*socio=rien d'évaluations*socio=uv de la pauvreté*socio=uv, d'analyses*socio=rien du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, d'évaluations*socio=uv environnementales*socio=et, de plans_nationaux_d'_action_environnementale*socio=et, et de stratégies-pays*socio=et qui seront soumises à l'examen*socio=rien des Administrateurs*socio=ac. Ces travaux*socio=rien , et d'autres analyses*socio=rien économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien , ont pour but*socio=rien d'aider la Banque*socio=ac à mieux comprendre les problèmes*socio=uv du*socio=rien développement*socio=uv, à améliorer l'impact*socio=rien de ses opérations*socio=rien et à renforcer l'efficacité*socio=uv des efforts*socio=uv de réforme*socio=et. Ils revêtent une importance*socio=rien particulière*socio=uv pour les nouveaux*socio=rien pays_membres*socio=ac qui exigent encore *socio=rien un gros travail d'*socio=nil analyse *socio=nil et des programmes*socio=et de prêt*socio=ec pour préparer l'expansion*socio=ec des activités*socio=rien d'assistance*socio=et techniques*socio=rien . De plus, par l'intermédiaire*socio=rien des trois vice-présidences*socio=ac thématiques*socio=rien créées récemment, la Banque*socio=ac a entrepris d'évaluer les pratiques*socio=et pouvant être*socio=rien considérées comme les meilleures*socio=rien pour assurer la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec, un*socio=rien développement*socio=uv écologiquement soutenable*socio=uv, et le développement*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur financier et*socio=nil du*socio=rien secteur_privé;*socio=nil ces*socio=nil pratiques*socio=et *socio=nil sont ensuite diffusées à l'intérieur*socio=rien et à l'extérieur*socio=ec de la Banque*socio=ac. Divers services_de_la_banque*socio=ac réexaminent leurs méthodes*socio=rien de travail*socio=rien et des expériences*socio=rien sont en cours*socio=rien pour aider à déterminer comment la Banque*socio=ac pourrait fournir à moindre*socio=rien coût*socio=ec des prestations*socio=et de *socio=rien meilleure qualité.*socio=nil *socio=nil A ce stade*socio=te, l'effort*socio=uv est*socio=rien axé sur*socio=rien la simplification*socio=rien des processus*socio=rien , bien*socio=rien que soient aussi envisagés des programmes*socio=et pilotes plus ambitieux*socio=uv, impliquant des "reconfigurations" ou l'introduction*socio=rien de *socio=rien processus nouveaux.*socio=nil *socio=nil De plus, *socio=rien un meilleur ciblage des*socio=nil priorités*socio=uv *socio=nil favorise l'établissement*socio=rien de plus vastes*socio=rien partenariats*socio=uv avec le secteur_privé*socio=ec et d'autres bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec multilatéraux*socio=te et bilatéraux*socio=te. La Banque*socio=ac encourage explicitement l'élargissement*socio=rien *socio=rien du rôle du secteur_privé*socio=ec *socio=nil en prenant des initiatives*socio=rien pour soutenir ses activités*socio=rien et en cherchant à catalyser d'autres appuis*socio=uv en leur faveur*socio=rien . La collaboration*socio=uv opérationnelle*socio=rien avec la société_financière_internationale*socio=ac s'est*socio=rien intensifiée avec notamment l'examen*socio=rien de programmes*socio=et à l'appui*socio=rien du*socio=rien développement*socio=uv des télécommunications*socio=rien et du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Les *socio=rien apports du secteur_privé*socio=ec *socio=nil constituent une source*socio=rien de financement*socio=ec de plus en plus importante*socio=rien pour les pays_en_développement*socio=ac; ils ont atteint en 1993 le montant*socio=ec net*socio=rien de 113 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, niveau*socio=rien le plus élevé*socio=rien jamais enregistré depuis dix ans*socio=rien et supérieur*socio=rien de plus de 150% à celui de 1990. L'évolution*socio=rien de ces flux*socio=ec est*socio=rien certes impossible*socio=rien à prévoir, mais il *socio=rien est clair *socio=nil qu'aujourd'hui le secteur_privé*socio=ec joue *socio=rien un rôle majeur *socio=nil dans les pays*socio=ac déjà bien*socio=rien engagés sur*socio=rien la voie*socio=rien de réformes*socio=et ou offrant des perspectives*socio=uv de gain*socio=ec intéressantes*socio=rien . Les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien , d' amérique_latine*socio=ac et d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te ont été*socio=rien les principaux*socio=rien bénéficiaires*socio=ac des flux*socio=ec de *socio=ec capitaux privés,*socio=nil *socio=nil ce qui a permis*socio=rien à la Banque*socio=ac de se consacrer à des problèmes*socio=uv plus fondamentaux*socio=rien , touchant le secteur*socio=ec social*socio=ac ou l'environnement*socio=ec, qui ne reçoivent pas l'aide*socio=uv d'autres prêteurs*socio=ac. En résumé, les opérations*socio=rien se sont caractérisées par l'évolution*socio=rien des prestations*socio=et fournies comme des processus*socio=rien dans *socio=rien un contexte lourd d'*socio=nil incertitudes*socio=uv *socio=nil quant à l'avenir*socio=te des pays*socio=ac; il est*socio=rien donc d'autant plus important*socio=rien que la Banque*socio=ac soit prête*socio=rien à appliquer des programmes_de_travail*socio=rien adaptés à la situation*socio=uv actuelle*socio=rien des pays*socio=ac, et capable*socio=rien de réagir rapidement à tout changement*socio=uv. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, la Banque*socio=ac a prêté à l'ensemble*socio=rien de ses emprunteurs*socio=ac 20,836 millions*socio=rien de dollars*socio=ec: 14,243,9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de prêts*socio=ec de la BIRD*socio=ac et 6,592,1 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac. Les prêts*socio=ec et crédits*socio=ec d'investissement*socio=ec ont été*socio=rien de loin*socio=rien les instruments*socio=rien les plus employés*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien écoulé. Les engagements*socio=ec pris pour ce type*socio=rien d'opérations*socio=rien ont totalisé 14,1 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec (68% *socio=rien du total)*socio=nil *socio=nil . Depuis 1989, on assiste à une diminution*socio=rien de la *socio=rien part relative des*socio=nil opérations d'*socio=nil ajustement*socio=et.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien 94, cette catégorie*socio=rien de prêts*socio=ec a représenté 2,4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, soit 12% *socio=rien du total des*socio=nil engagements*socio=ec,*socio=nil *socio=nil contre 29% et 6,2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec durant l'exercice*socio=rien 89. Cette *socio=rien baisse est *socio=nil due à ce que, dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, le processus*socio=rien de réforme*socio=et est*socio=rien désormais bien*socio=rien engagé et à ce que, dans d'autres pays*socio=ac, subsistent des obstacles*socio=rien et incertitudes*socio=uv qui freinent le mouvement*socio=ac. L'aide*socio=uv aux pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv - ceux dont le PNB*socio=ec par habitant*socio=ac *socio=rien est égal ou*socio=nil inférieur *socio=nil à 675 dollars*socio=ec (en dollars*socio=ec des États-unis*socio=ac de 1992) - s'est*socio=rien élevée*socio=rien au total*socio=rien de 9,435, 4 millions*socio=rien de dollars*socio=ec: 4,073,6 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de la BIRD*socio=ac et 5,361,9 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de l'IDA*socio=ac (voir figure ci-jointe). Un*socio=rien prêt*socio=ec de 30 millions*socio=rien de dollars*socio=ec assorti de conditions*socio=uv similaires*socio=rien à celles de l'IDA*socio=ac et financé sur*socio=rien les ressources*socio=ec du*socio=rien *socio=ec Fonds fiduciaire *socio=nil pour Gaza a été*socio=rien approuvé pour les Territoires*socio=ac occupés. Le montant*socio=ec net*socio=rien des décaissements*socio=ec aux pays_membres*socio=ac a été*socio=rien de -731 millions*socio=rien de pour la BIRD*socio=ac et de +5,110 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour l'IDA*socio=ac. L'exercice*socio=rien 94 a été*socio=rien marqué par l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv de la *socio=rien dixième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil de l'IDA*socio=ac (IDA-10) et par la prorogation jusqu'au 31 juillet*socio=rien 1995 du*socio=rien Fonds*socio=ec de désendettement*socio=ec des pays*socio=ac exclusivement IDA*socio=ac. En juillet*socio=rien 1993, les Administrateurs*socio=ac sont convenus d'affecter à ce fonds*socio=ec 100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec prélevés sur*socio=rien le revenu*socio=ec net*socio=rien de la BIRD*socio=ac pour l'exercice*socio=rien 93. La BIRD*socio=ac a emprunté l'équivalent*socio=rien de 8,908 millions*socio=rien de dollars*socio=ec sur*socio=rien les marchés*socio=ec mondiaux*socio=te de capitaux*socio=ec. Son revenu*socio=ec net*socio=rien a été*socio=rien de 1,051 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, l'ex-république*socio=ac yougoslave de Macédoine a rempli les *socio=rien formalités requises *socio=nil pour succéder à l'ex-république*socio=ac fédérative*socio=et socialiste*socio=ac de Yougoslavie*socio=ac, cette adhésion*socio=uv portant à 177 le *socio=rien nombre total des*socio=nil membres *socio=nil de la BIRD*socio=ac. A la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien , les démarches*socio=rien étaient en cours*socio=rien en vue*socio=rien de l'adhésion*socio=uv à la BIRD*socio=ac de la Bosnie-herzégovine*socio=ac, de l'Érythrée et de la République*socio=ac fédérative*socio=et de Yougoslavie*socio=ac. L'ex-république*socio=ac yougoslave de Macédoine a également mené à bien*socio=rien les *socio=rien formalités requises *socio=nil pour prendre la suite*socio=rien de l'ex-république*socio=ac fédérative*socio=et socialiste*socio=ac de Yougoslavie*socio=ac parmi les pays_membres*socio=ac de l'IDA*socio=ac. L'Arménie*socio=ac a adhéré à l'IDA*socio=ac le 25 août*socio=rien 1993, la Géorgie*socio=ac le 31 août*socio=rien 1993 et la Moldova*socio=ac le 14 juin*socio=rien 1994, ce qui porte*socio=rien à 156 le *socio=rien nombre total des*socio=nil membres *socio=nil de l'IDA*socio=ac. A la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien , les démarches*socio=rien étaient en cours*socio=rien en vue*socio=rien de l'adhésion*socio=uv à l'IDA*socio=ac de la Bosnie-herzégovine*socio=ac, de l'Érythrée, du*socio=rien Turkménistan, de l'Ukraine*socio=ac et de la République*socio=ac fédérative*socio=et de Yougoslavie*socio=ac. *socio=rien Chapitre premier:*socio=nil Le*socio=nil conseil_des_administrateurs*socio=ac.*socio=nil Les*socio=nil Administrateurs*socio=ac sont*socio=nil responsables*socio=uv *socio=nil de la conduite*socio=rien des *socio=rien opérations générales *socio=nil de la Banque*socio=ac et, à ce titre*socio=rien , décident, en conformité avec les Statuts*socio=rien , de ses politiques*socio=et et de la suite*socio=rien à donner aux propositions*socio=rien de prêt*socio=ec et de crédit*socio=ec. Le Président*socio=rien de la Banque*socio=ac, qui est*socio=rien aussi le *socio=rien Président du conseil_des_administrateurs*socio=ac,*socio=nil *socio=nil dirige les services*socio=ec opérationnels*socio=rien de l'institution*socio=ac et assure la gestion*socio=et des affaires*socio=ec courantes*socio=rien , selon les orientations*socio=et définies*socio=rien par les Administrateurs*socio=ac. Les Administrateurs*socio=ac doivent également présenter au conseil_des_gouverneurs*socio=ac *socio=rien un rapport de*socio=nil vérification des*socio=nil comptes,*socio=nil un budget*socio=ec administratif et*socio=nil un Rapport annuel sur les*socio=nil opérations *socio=nil et les politiques*socio=et de la banque_mondiale*socio=ac, et porter à sa connaissance*socio=uv toutes autres questions*socio=rien qui, à leur avis*socio=rien , relèvent de la compétence*socio=uv *socio=rien du Conseil.*socio=nil Les*socio=nil Gouverneurs*socio=ac peuvent*socio=nil être *socio=nil saisis de ces *socio=rien questions lors des*socio=nil assemblées*socio=et annuelles *socio=nil ou à tout autre moment*socio=rien de l'année*socio=rien . Aux termes*socio=rien des Statuts*socio=rien de la Banque*socio=ac, les Administrateurs*socio=ac exercent leurs pouvoirs*socio=et dans trois *socio=rien grands domaines.*socio=nil *socio=nil Premièrement, par *socio=rien un examen annuel des*socio=nil programmes*socio=et financiers*socio=ec et*socio=nil opérationnels *socio=nil et des budgets*socio=ec administratifs*socio=et, ils décident de l'affectation*socio=rien des *socio=ec ressources financières et*socio=nil humaines*socio=uv *socio=nil de l'institution*socio=ac pour l'exercice*socio=rien suivant*socio=rien . Deuxièmement, par l'examen*socio=rien des évaluations*socio=uv rétrospectives*socio=rien des projets*socio=rien achevés et des résultats*socio=rien obtenus par la Banque*socio=ac dans les différents*socio=rien secteurs*socio=ec et dans l'application*socio=rien de politiques*socio=et particulières*socio=uv, et par leur participation*socio=uv à l'examen*socio=rien annuel*socio=rien de la performance*socio=uv du*socio=rien portefeuille*socio=ec, les Administrateurs*socio=ac contribuent activement à l'évaluation*socio=uv de l'impact*socio=rien sur*socio=rien le développement*socio=uv, donnant ainsi à la Banque*socio=ac et aux États*socio=ac membres*socio=rien la possibilité*socio=rien de tirer parti*socio=et des leçons*socio=rien de l'expérience*socio=uv. Enfin, par leur examen*socio=rien des propositions*socio=rien de la direction*socio=rien (en matière*socio=rien de politiques*socio=et financières*socio=ec et opérationnelles*socio=rien , de conditions*socio=uv de prêt*socio=ec, de priorités*socio=uv sectorielles*socio=rien , etc:), ils décident de l'orientation*socio=et des politiques*socio=et de la Banque*socio=ac. Le conseil_des_administrateurs*socio=ac supervise aussi le programme*socio=et de prêt*socio=ec de la Banque*socio=ac à travers*socio=rien l'approbation*socio=uv de ses opérations*socio=rien de prêt*socio=ec et l'examen*socio=rien des stratégies*socio=et d'aide*socio=uv établies pour chaque pays*socio=ac. L'exercice*socio=rien des fonctions*socio=rien décrites ci-dessus a pour résultat*socio=rien l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien dialogue*socio=uv permanent*socio=rien entre le conseil_des_administrateurs*socio=ac et la direction*socio=rien de la Banque*socio=ac. Ce processus*socio=rien de concertation*socio=uv a gagné encore en qualité*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien à l'occasion*socio=rien des vastes*socio=rien débats*socio=et auxquels ont donné lieu*socio=rien d'importantes*socio=rien questions*socio=rien comme l'apport*socio=rien d'une aide*socio=uv d'urgence*socio=rien aux Territoires*socio=ac occupés et aux pays*socio=ac de la zone*socio=rien CFA, la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, la gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec, la création*socio=rien d'un*socio=rien panel_d'_inspection_indépendant*socio=ac et, à l'occasion*socio=rien du*socio=rien cinquantième anniversaire*socio=rien de sa création*socio=rien , le rôle*socio=rien de la Banque*socio=ac au *socio=rien seuil du Xxie*socio=nil siècle.*socio=nil Supervision des*socio=nil programmes*socio=et financiers*socio=ec et*socio=nil opérationnels.*socio=nil Étant*socio=nil responsables*socio=uv *socio=nil de la supervision*socio=rien des programmes*socio=et financiers*socio=ec et opérationnels*socio=rien de la BIRD*socio=ac et de l'IDA*socio=ac, les Administrateurs*socio=ac ont autorisé un*socio=rien programme*socio=et d'opérations*socio=rien d'emprunt*socio=ec et de gestion*socio=et du*socio=rien passif dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien plan*socio=rien de financement*socio=ec totalisant l'équivalent*socio=rien de 12 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec pour l'exercice*socio=rien 94. Ce programme*socio=et a été*socio=rien exécuté conformément aux *socio=rien paramètres généraux *socio=nil convenus, et les Administrateurs*socio=ac en ont suivi l'avancement chaque trimestre*socio=te à l'occasion*socio=rien de séances*socio=rien d'information*socio=rien sur*socio=rien les *socio=rien tendances du marché*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Conformément au cycle*socio=te simplifié d'examen*socio=rien budgétaire*socio=et approuvé par le Conseil*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, les Administrateurs*socio=ac ont participé à la définition*socio=rien des directives*socio=rien de planification*socio=et à *socio=rien moyen terme (*socio=nil exercices *socio=nil 95-97) et approuvé le budget*socio=ec opérationnel*socio=rien pour l'exercice*socio=rien 95, lequel fixe, à titre*socio=rien indicatif, la fourchette*socio=rien des prêts*socio=ec de la BIRD*socio=ac à 15,5-17,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec et le montant*socio=ec global*socio=rien des crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac à 5,3 milliards*socio=ec de droits_de_tirage_spéciaux*socio=ec (DTS) (environ 7,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec). Les Administrateurs*socio=ac ont également approuvé l'affectation*socio=rien du*socio=rien revenu*socio=ec net*socio=rien de l'exercice*socio=rien 93 et le plan*socio=rien pour l'exercice*socio=rien 94. Evaluation rétrospective*socio=rien des opérations*socio=rien et exécution*socio=rien des projets*socio=rien . Responsables*socio=uv de l'examen*socio=rien des rapports*socio=rien d'évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien des projets*socio=rien et des propositions*socio=rien concernant les *socio=rien futures activités d'*socio=nil évaluation*socio=uv rétrospective,*socio=nil les*socio=nil Administrateurs*socio=ac *socio=nil ont continué d'accorder une attention*socio=rien particulière*socio=uv aux *socio=rien travaux du Département*socio=ac *socio=nil de l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac (OED*socio=ac). Ce département*socio=ac, à travers*socio=rien son *socio=rien Directeur général,*socio=nil est *socio=nil administrativement lié au Président*socio=rien de la Banque*socio=ac, mais il relève*socio=ac directement des Administrateurs*socio=ac. Le Conseil*socio=rien a approuvé le programme*socio=et de travail*socio=rien de l'OED*socio=ac et son budget*socio=ec de personnel*socio=rien pour l'exercice*socio=rien 94, et examiné l'état*socio=rien d'avancement de ses activités*socio=rien et son *socio=rien rapport sur l'*socio=nil évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Il a également décidé qu'après*socio=rien avoir été*socio=rien soumis à son examen*socio=rien le *socio=rien rapport annuel *socio=nil de l'OED*socio=ac sur*socio=rien les résultats*socio=rien de l'évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien des projets*socio=rien devrait être*socio=rien publié et diffusé à l'extérieur*socio=ec de la Banque*socio=ac. Les Administrateurs*socio=ac ont en outre donné leur aval*socio=rien aux mesures*socio=rien visant à renforcer la gestion*socio=et de la performance*socio=uv du*socio=rien portefeuille*socio=ec, et notamment aux *socio=rien processus internes *socio=nil mis en place*socio=rien par la Banque*socio=ac pour assurer la supervision*socio=rien de la performance*socio=uv du*socio=rien portefeuille*socio=ec. Ils ont examiné avec la direction*socio=rien et le personnel*socio=rien le *socio=rien Rapport annuel sur la*socio=nil performance*socio=uv du portefeuille*socio=ec *socio=nil exposant les résultats*socio=rien de l'exercice*socio=rien 93, lequel notait que l'attention*socio=rien accrue portée*socio=rien à la gestion*socio=et de la performance*socio=uv, en particulier*socio=uv "l'assainissement*socio=uv" du*socio=rien portefeuille*socio=ec des opérations*socio=rien , avait immédiatement contribué à éviter *socio=rien un nouveau recul *socio=nil de la valeur*socio=ec des indicateurs*socio=ec quantitatifs*socio=rien de la performance*socio=uv du*socio=rien portefeuille*socio=ec. Les Administrateurs*socio=ac continueront à suivre l'évolution*socio=rien de la performance*socio=uv et les *socio=rien prochaines étapes du processus.*socio=nil Examen des*socio=nil orientations*socio=et *socio=nil proposées. Pendant l'exercice*socio=rien , les Administrateurs*socio=ac ont examiné plusieurs propositions*socio=rien et pris des décisions*socio=rien touchant *socio=rien un grand nombre des*socio=nil domaines d'*socio=nil activité *socio=nil de la Banque*socio=ac, notamment les finances*socio=ec, les opérations*socio=rien de prêt*socio=ec, les politiques*socio=et sectorielles*socio=rien , l'économie*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv et l'administration*socio=et. Finances*socio=ec. Pendant l'exercice*socio=rien 94, les Administrateurs*socio=ac se sont à nouveau*socio=rien penchés sur*socio=rien les politiques*socio=et et opérations*socio=rien de l'IDA*socio=ac. Au début*socio=rien de l'exercice*socio=rien , ils ont procédé à *socio=rien un examen *socio=nil rétrospectif des politiques*socio=et, opérations*socio=rien et finances*socio=ec de l'Association*socio=ac pendant la période*socio=te de la *socio=rien neuvième reconstitution (*socio=nil exercices *socio=nil 91-93) '. En ce qui concerne le réemploi*socio=et des fonds*socio=ec remboursés à l'IDA*socio=ac, ils ont approuvé l'engagement*socio=ec par anticipation*socio=rien d'un*socio=rien montant*socio=ec de 800 millions*socio=rien de DTS (environ 1,126 millions*socio=rien de dollars*socio=ec) pendant chacun des exercices*socio=rien 94 à 96, ainsi que l'affectation*socio=rien de 190 millions*socio=rien de DTS (environ 265 millions*socio=rien de dollars*socio=ec) supplémentaires*socio=rien durant l'exercice*socio=rien 94 au programme*socio=et "cinquième*socio=rien dimension*socio=rien ". Ce programme*socio=et permet d'apporter des ressources*socio=ec additionnelles*socio=rien de l'IDA*socio=ac aux pays*socio=ac exclusivement IDA*socio=ac qui n'ont pas encore remboursé la totalité*socio=rien de leurs emprunts*socio=ec à la BIRD*socio=ac, qui sont à jour*socio=rien dans le règlement*socio=et du*socio=rien service*socio=ec dû à la BIRD*socio=ac et à l'IDA*socio=ac et qui appliquent un*socio=rien programme*socio=et d'ajustement*socio=et soutenu par l'IDA*socio=ac. Ces *socio=rien apports additionnels *socio=nil visent donc à prendre en compte*socio=rien l'impact*socio=rien des paiements*socio=ec d'intérêts*socio=ec dus à la BIRD*socio=ac sur*socio=rien le fardeau*socio=uv de la dette*socio=ec. A la *socio=rien suite du lancement,*socio=nil *socio=nil pendant l'exercice*socio=rien 93, d'un*socio=rien programme*socio=et pilote de prêts*socio=ec en une seule*socio=rien monnaie*socio=ec pour répondre aux besoins*socio=uv de certains emprunteurs*socio=ac qui souhaitaient avoir le choix*socio=uv entre plusieurs formules*socio=rien afin de réduire leurs risques*socio=uv de change*socio=rien et de taux_d'_intérêt*socio=ec sur*socio=rien leurs emprunts*socio=ec à la BIRD*socio=ac, les Administrateurs*socio=ac ont procédé à *socio=rien un premier examen du programme*socio=et *socio=nil pour évaluer les ratios*socio=rien cibles qui déterminent la *socio=rien composition du pool*socio=ec des*socio=nil monnaies*socio=ec *socio=nil '. Ils ont approuvé des dispositions*socio=rien concernant la gestion*socio=et des liquidités*socio=ec et les emprunts*socio=ec sous forme*socio=rien d'obligations*socio=uv structurées qui permettront à la BIRD*socio=ac, dans le cadre*socio=rien de ses pouvoirs*socio=et en matière*socio=rien d'emprunt*socio=ec et de rachat*socio=ec de créances*socio=ec, d'échanger des obligations*socio=uv structurées libellées en une monnaie*socio=ec quelconque contre des obligations*socio=uv à taux*socio=rien flottant ou de nouvelles*socio=rien obligations*socio=uv structurées fondées sur*socio=rien des instruments*socio=rien dérivés différents*socio=rien . Pour faciliter ce type*socio=rien d'échanges*socio=rien et, d'une *socio=rien manière générale,*socio=nil l'*socio=nil emploi*socio=ec d'*socio=nil instruments *socio=nil structurés, les Administrateurs*socio=ac ont également autorisé la BIRD*socio=ac à emprunter à court_terme*socio=ec dans toute monnaie*socio=ec, en modifiant les pouvoirs*socio=et qui lui avaient été*socio=rien donnés précédemment d'emprunter à court_terme*socio=ec en dollars*socio=ec des États-unis*socio=ac et en excluant ce type*socio=rien d'échange*socio=ec des *socio=rien opérations ordinaires de*socio=nil rachat*socio=ec de*socio=nil créances*socio=ec *socio=nil pour lesquelles la BIRD*socio=ac ne doit pas dépasser le plafond*socio=rien imposé par le Conseil*socio=rien . Pendant l'exercice*socio=rien 89, les Administrateurs*socio=ac avaient approuvé une résolution*socio=et conjointe*socio=uv portant *socio=rien création du Fonds*socio=ec de*socio=nil désendettement*socio=ec *socio=nil pour les pays*socio=ac exclusivement IDA*socio=ac. Ce mécanisme*socio=rien a par la *socio=rien suite été *socio=nil prolongé et, au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, les Administrateurs*socio=ac ont examiné les progrès*socio=uv réalisés et approuvé sa reconduction jusqu'au 31 juillet*socio=rien 1995. Opérations*socio=rien . Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, les Administrateurs*socio=ac ont, en consultation*socio=uv avec la direction*socio=rien et les services*socio=ec de l'institution*socio=ac, pris des décisions*socio=rien d'une *socio=rien importance fondamentale *socio=nil pour les stratégies*socio=et et priorités*socio=uv opérationnelles*socio=rien de la Banque*socio=ac. La mise en place*socio=rien d'une fonction*socio=rien d'inspection*socio=et a été*socio=rien l'une des préoccupations*socio=uv *socio=rien majeures du Conseil au*socio=nil cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien écoulé. A la suite*socio=rien de *socio=rien discussions intensives -*socio=nil formelles et*socio=nil informelles*socio=uv *socio=nil - des enjeux et des options*socio=rien , les Administrateurs*socio=ac ont arrêté la mission*socio=rien , les objectifs*socio=rien et les modalités*socio=rien d'intervention*socio=et d'un*socio=rien panel d'inspection*socio=et, afin que puissent faire l'objet*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien examen indépendant les*socio=nil recours *socio=nil formés par les parties*socio=rien qui s'estiment lésées par une action*socio=rien ou une omission de la Banque*socio=ac imputable*socio=uv au non-respect de ses politiques*socio=et et *socio=rien procédures opérationnelles.*socio=nil *socio=nil Les trois *socio=rien membres du *socio=nil panel ont été*socio=rien nommés en avril*socio=rien 1994. Ils ont accepté ce mandat*socio=rien et entreront en fonctions*socio=rien le ler août*socio=rien . Le panel devrait commencer à fonctionner au *socio=rien début du mois de*socio=nil septembre.*socio=nil Les*socio=nil Administrateurs*socio=ac *socio=nil ont, selon *socio=rien un processus similaire,*socio=nil *socio=nil élargi l'accès*socio=uv aux informations*socio=rien dont dispose la Banque*socio=ac en modifiant ses politiques*socio=et de diffusion*socio=rien de l'information*socio=rien , de sorte*socio=rien que pourront être*socio=rien mis à la *socio=rien disposition du public*socio=ac *socio=nil divers types de documents*socio=rien dont la distribution*socio=rien était autrefois restreinte, et en ouvrant au *socio=rien siège un Centre public d'*socio=nil information.*socio=nil Les*socio=nil Administrateurs*socio=ac *socio=nil ont réaffirmé la nécessité*socio=uv de faire de la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv le pivot de la quasi-totalité*socio=rien des programmes_d'_aide*socio=uv de la Banque*socio=ac. Ils ont évalué dans quelle mesure*socio=rien les activités*socio=rien de la Banque*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 93 avaient effectivement contribué à la réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv et les *socio=rien initiatives prises *socio=nil par la Banque*socio=ac pour améliorer le traitement*socio=rien des problèmes*socio=uv de la pauvreté*socio=uv. Durant l'exercice*socio=rien 93, les Administrateurs*socio=ac avaient autorisé la Banque*socio=ac à renoncer temporairement*socio=rien , sous certaines*socio=rien conditions*socio=uv, à l'application*socio=rien de la clause*socio=et de non-préférence de tiers*socio=rien (appelée aussi clause*socio=et de nantissement négative*socio=rien ) dans le cas*socio=rien des économies_en_transition*socio=ec. Cette clause*socio=et est*socio=rien normalement incorporée à tous les accords*socio=et de prêt*socio=ec de la BIRD*socio=ac. Elle a pour *socio=rien objectif fondamental *socio=nil de protéger la Banque*socio=ac en interdisant notamment aux *socio=ac pays_membres emprunteurs *socio=nil de constituer sur*socio=rien les avoirs*socio=ec publics*socio=et des sûretés qui auraient pour effet*socio=rien d'assurer aux créances*socio=ec en devises*socio=ec d'autres prêteurs*socio=ac *socio=rien un traitement plus*socio=nil favorable *socio=nil que celui réservé aux créances*socio=ec de la Banque*socio=ac. Cependant, dans les pays*socio=ac en transition*socio=uv, la plupart*socio=rien des actifs*socio=ec importants*socio=rien appartiennent encore à l'État*socio=ac, de sorte*socio=rien qu'il est*socio=rien extrêmement difficile*socio=rien aux entreprises*socio=ac du*socio=rien secteur_public*socio=ac de nouer avec des créanciers*socio=ac privés*socio=ec des relations*socio=rien financières*socio=ec dont elles ont le plus grand*socio=rien besoin*socio=uv sans demander à la BIRD*socio=ac de renoncer à l'application*socio=rien de la clause*socio=et de non-préférence de tiers*socio=rien ou sans lui accorder une sûreté équivalente*socio=rien . Cependant, aucune dérogation*socio=et n'a été*socio=rien accordée à la suite*socio=rien de la *socio=rien décision prise *socio=nil durant l'exercice*socio=rien 93 en raison*socio=uv des critères*socio=rien d'éligibilité imposés. En conséquence*socio=rien , de *socio=rien substantiels projets d'*socio=nil investissement*socio=ec *socio=nil sont restés en suspens*socio=rien dans plusieurs pays*socio=ac, ce qui a amené les Administrateurs*socio=ac, au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, à modifier leur décision*socio=rien antérieure*socio=te pour autoriser la Banque*socio=ac à renoncer à la clause*socio=et de non-préférence de tiers*socio=rien dès lors*socio=rien qu'elle jugeait que le pays*socio=ac réalisait des progrès*socio=uv en matière*socio=rien de privatisation*socio=et, de mise en place*socio=rien d'une économie_de_marché*socio=ec et d'amélioration*socio=uv de sa situation*socio=uv macroéconomique*socio=ec, et qu'une dérogation*socio=et aiderait le pays*socio=ac à aller plus loin*socio=rien vers la réalisation*socio=uv de ces objectifs*socio=rien . Depuis cette modification*socio=rien , les Administrateurs*socio=ac ont approuvé des dérogations pour la Russie*socio=ac, l'Ouzbékistan*socio=ac et le Kazakhstan*socio=ac. Le Conseil*socio=rien a continué à suivre les activités*socio=rien de la Banque*socio=ac dans le domaine*socio=rien de l'assistance_technique*socio=et. Il a examiné les résultats*socio=rien de la *socio=rien première année d'*socio=nil activité du fonds_de_développement_institutionnel*socio=et *socio=nil ', recommandé au conseil_des_gouverneurs*socio=ac d'approuver la création*socio=rien de l'Institut*socio=et multilatéral*socio=te de Vienne, et examiné le *socio=rien rapport sur les*socio=nil activités d'*socio=nil assistance_technique*socio=et *socio=nil de l'exercice*socio=rien 93. Il a aussi donné des conseils*socio=ac au *socio=rien personnel sur les*socio=nil modifications *socio=nil à apporter aux politiques*socio=et de la Banque*socio=ac en matière*socio=rien de passation_des_marchés*socio=ec , de vulgarisation*socio=rien et de supervision*socio=rien . Les Administrateurs*socio=ac attachent une *socio=rien grande importance *socio=nil à la viabilité*socio=uv environnementale*socio=et des opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac et ont, au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien , examiné le *socio=rien rapport annuel sur la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil et l'environnement*socio=ec, procédé à *socio=rien un examen *socio=nil approfondi des projets*socio=rien de la Banque*socio=ac des années*socio=rien 86-93 ayant impliqué le déplacement*socio=rien involontaire de populations*socio=ac, et participé activement aux négociations*socio=uv qui ont abouti à la restructuration*socio=uv du*socio=rien Fonds_pour_l'_environnement_mondial*socio=ac et à la reconstitution*socio=rien de ses ressources*socio=ec. Les Administrateurs*socio=ac ont suivi de près l'évolution*socio=rien de la situation*socio=uv économique*socio=ec et politique*socio=et internationale*socio=te, souvent dans le cadre*socio=rien de séminaires*socio=rien et de réunions*socio=rien d'information*socio=rien , cela leur permettant d'établir un*socio=rien dialogue*socio=uv moins formel*socio=rien avec la direction*socio=rien et les services_de_la_banque*socio=ac. Parmi les *socio=rien principales questions *socio=nil examinées ont notamment figuré: la constitution*socio=rien d'un*socio=rien groupe*socio=ac d'aide*socio=uv pour les Territoires*socio=ac occupés et l'affectation*socio=rien de ressources*socio=ec prélevées sur*socio=rien le surplus*socio=ec de la Banque*socio=ac à un*socio=rien programme*socio=et de réhabilitation*socio=uv d'urgence*socio=rien pour Gaza; *socio=rien diverses questions ayant*socio=nil trait au*socio=nil développement*socio=uv en*socio=nil Afrique*socio=ac,*socio=nil *socio=nil comme les résultats*socio=rien de l'ajustement*socio=et, l'amélioration*socio=uv de la santé*socio=et et le rôle*socio=rien de la Banque*socio=ac dans le développement*socio=uv de l' afrique_du_sud*socio=ac; la situation*socio=uv de l'amérique_latine*socio=ac une *socio=rien décennie après la*socio=nil crise*socio=uv *socio=nil de l'endettement*socio=ec; le "miracle*socio=rien " économique*socio=ec de l'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien ; et la Conférence*socio=rien internationale*socio=te sur*socio=rien la lutte*socio=uv contre la faim*socio=rien . Les Administrateurs*socio=ac ont également pris part*socio=rien , aux côtés*socio=rien d'experts*socio=ac de l'extérieur*socio=ec, à *socio=rien un colloque *socio=nil de deux *socio=rien jours sur l'*socio=nil évolution récente *socio=nil de la situation*socio=uv économique*socio=ec en Chine*socio=ac. Les Administrateurs*socio=ac ont examiné l'évolution*socio=rien de la Banque*socio=ac dans le contexte*socio=rien des stratégies*socio=et d'aide*socio=uv établies pour 60 *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil à la BIRD*socio=ac et/ou l'IDA*socio=ac. Pour s'assurer que ces documents*socio=rien couvrent de manière*socio=rien appropriée tous les *socio=rien éléments déterminant la*socio=nil stratégie*socio=et globale *socio=nil de la Banque*socio=ac et que les *socio=rien diverses opérations de*socio=nil prêt*socio=ec correspondent*socio=nil bien *socio=nil à cette stratégie*socio=et d'ensemble*socio=rien , ils ont étudié le rôle*socio=rien et la nature*socio=rien des stratégies-pays*socio=et et fixé des directives*socio=rien pour leur préparation*socio=rien . Les Administrateurs*socio=ac se sont aussi tenus informés des activités*socio=rien et des *socio=rien résultats du nombre croissant de*socio=nil groupes*socio=ac consultatifs *socio=nil et des groupes*socio=ac d'aide*socio=uv présidés par la Banque*socio=ac à la demande*socio=ec des *socio=ac pays bénéficiaires (*socio=nil Tableau*socio=rien *socio=nil 1-1). Le Conseil*socio=rien a examiné toutes les propositions*socio=rien de prêt*socio=ec de la BIRD*socio=ac ou de l'IDA*socio=ac soumises à son approbation*socio=uv et a également suivi l'avancement de l'ensemble*socio=rien du*socio=rien programme*socio=et de prêt*socio=ec de l'institution*socio=ac à l'occasion*socio=rien d'échanges*socio=rien de *socio=rien vues réguliers *socio=nil avec la direction*socio=rien . En outre, pour évaluer l'impact*socio=rien des activités*socio=rien de la Banque*socio=ac "sur*socio=rien le terrain*socio=rien " et pour discuter des priorités*socio=uv du*socio=rien développement*socio=uv avec les décideurs*socio=et des pays_membres*socio=ac, des groupes*socio=ac d'Administrateurs*socio=ac et d'Administrateurs*socio=ac suppléants*socio=rien se sont rendus dans plusieurs pays_en_développement*socio=ac. Les quatre missions de l'exercice*socio=rien 94 ont, respectivement, concerné les pays*socio=ac suivants*socio=rien : Indonésie*socio=ac et *socio=ac Fidji Hongrie,*socio=nil République tchèque *socio=nil et Slovaquie Égypte*socio=ac, Liban et Maroc*socio=ac; et Bénin*socio=ac, côte_d'_ivoire*socio=ac et Ghana*socio=ac. Politiques*socio=et sectorielles*socio=rien et économie*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv. Lors*socio=rien de *socio=rien séances ordinaires du Conseil,*socio=nil de*socio=nil réunions en*socio=nil comité *socio=nil plénier, de séminaires*socio=rien et de réunions*socio=rien d'information*socio=rien informelles*socio=uv, les Administrateurs*socio=ac ont étudié *socio=rien un certain nombre de*socio=nil politiques*socio=et sectorielles,*socio=nil leur*socio=nil application *socio=nil et les "pratiques*socio=et optimales*socio=rien ". Dans le domaine*socio=rien de la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec, ils ont examiné les leçons*socio=rien de l'expérience*socio=uv en matière*socio=rien d'enseignement_supérieur*socio=et ` et ont débattu à plusieurs reprises de la problématique*socio=rien homme*socio=uv/ femme*socio=uv dans la *socio=rien perspective du développement*socio=uv,*socio=nil discussions *socio=nil qui ont *socio=rien débouché sur la*socio=nil préparation d'*socio=nil un document de*socio=nil politique*socio=et générale sur la*socio=nil promotion*socio=uv *socio=nil de la participation*socio=uv des femmes*socio=ac au développement_économique*socio=ec. Dans le *socio=rien domaine du commerce*socio=ec,*socio=nil *socio=nil ils ont examiné une évaluation*socio=uv préliminaire*socio=rien des résultats*socio=rien de l' uruguay_round*socio=ec à l'achèvement*socio=rien des négociations*socio=uv et étudié les implications*socio=rien de l'émergence*socio=rien d'un*socio=rien "nouveau*socio=rien régionalisme*socio=te". Les Administrateurs*socio=ac ont procédé à l'examen*socio=rien d'autres *socio=rien importantes questions sectorielles *socio=nil touchant les télécommunications*socio=rien , les politiques*socio=et de transport*socio=ec, le développement*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur financier *socio=nil et l'expansion*socio=ec du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Ils ont aussi examiné les versions préliminaire*socio=rien et *socio=rien finale du Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1994, qui avait pour *socio=rien thème central l'*socio=nil interaction *socio=nil entre l'infrastructure*socio=ec et le développement*socio=uv. Administration*socio=et. Le Conseil*socio=rien a consacré beaucoup de temps*socio=rien aux politiques*socio=et et pratiques*socio=et *socio=rien administratives du groupe_de_la_banque*socio=ac.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien 94, il s'est*socio=rien penché sur*socio=rien la question*socio=rien des prestations*socio=et au personnel*socio=rien , procédant en particulier*socio=uv à l'examen*socio=rien quadriennal des prestations*socio=et et à l'étude*socio=ac des conditions*socio=uv d'accès*socio=uv aux prestations*socio=et destinées*socio=rien aux expatriés. Les Administrateurs*socio=ac ont aussi examiné les règles*socio=et applicables*socio=rien à leurs *socio=rien propres déplacements professionnels *socio=nil et leur ont apporté des modifications*socio=rien pour les aligner sur*socio=rien les règles*socio=et appliquées au personnel*socio=rien . Comme chaque année*socio=rien , ils ont procédé à l'examen*socio=rien de la rémunération*socio=ec *socio=rien du personnel *socio=nil et approuvé un*socio=rien ajustement*socio=et des traitements*socio=rien . Ils ont présenté aux Gouverneurs*socio=ac une recommandation*socio=rien concernant la rémunération*socio=ec *socio=rien du Président *socio=nil de la Banque*socio=ac. Au cours*socio=rien de plusieurs réunions*socio=rien , les Administrateurs*socio=ac ont suivi la réalisation*socio=uv des travaux*socio=rien de rénovation*socio=ec des bâtiments*socio=ec du*socio=rien complexe principal*socio=rien de la Banque*socio=ac. Ils ont également examiné les *socio=rien dispositions relatives aux*socio=nil assemblées*socio=et annuelles *socio=nil de la Banque*socio=ac. A l'approche du*socio=rien cinquantième anniversaire*socio=rien de la fondation*socio=rien des institutions*socio=ac de bretton_woods*socio=et, les Administrateurs*socio=ac ont activement participé à la planification*socio=et des activités*socio=rien de commémoration, et ils ont collaboré avec la direction*socio=rien et les services*socio=ec à la mise au point*socio=rien de l'ordre*socio=rien *socio=rien du jour actuel et*socio=nil futur *socio=nil de la Banque*socio=ac. comité_du_développement*socio=ac. Comme les *socio=rien années précédentes,*socio=nil les*socio=nil Administrateurs*socio=ac *socio=nil ont participé activement aux *socio=rien travaux du comité_du_développement*socio=ac:*socio=nil *socio=nil ils ont aidé les *socio=rien membres du comité *socio=nil à se préparer aux réunions*socio=rien et examiné les projets*socio=rien d'ordre*socio=rien *socio=rien du jour,*socio=nil *socio=nil ainsi que les *socio=rien rapports du Président *socio=nil et les documents*socio=rien de référence*socio=rien qui serviraient de base*socio=rien aux délibérations*socio=et des ministres*socio=ac. En outre, plusieurs mois*socio=rien avant chaque *socio=rien réunion du comité_du_développement*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil Administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont réunis en comité*socio=rien plénier pour examiner l'ordre*socio=rien *socio=rien du jour préliminaire *socio=nil et le *socio=rien plan général des*socio=nil documents de*socio=nil référence *socio=nil pour s'assurer que ces documents*socio=rien reflétaient effectivement les *socio=rien principaux aspects *socio=nil de la question*socio=rien à traiter et les préoccupations*socio=uv des *socio=rien membres du comité.*socio=nil *socio=nil Dans le cadre*socio=rien de la préparation*socio=rien des réunions*socio=rien semestrielles*socio=te du*socio=rien comité_du_développement*socio=ac, les Administrateurs*socio=ac ont examiné *socio=rien un large éventail de*socio=nil documents et*socio=nil rapports *socio=nil traitant d'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil questions importantes *socio=nil pour les pays_membres*socio=ac de la Banque*socio=ac, notamment les résultats*socio=rien et les effets*socio=rien de l'ajustement*socio=et dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec; les réformes*socio=et de la sécurité_sociale*socio=et et les filets*socio=rien de protection_sociale*socio=et dans les économies_en_transition*socio=ec; les questions*socio=rien de population*socio=ac dans la perspective*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac Il et les flux_migratoires*socio=et; et les activités*socio=rien de la Banque*socio=ac concernant le rôle*socio=rien des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv Il. Le *socio=rien Comité directeur des*socio=nil Administrateurs*socio=ac *socio=nil a examiné les communiqués publiés par le comité_du_développement*socio=ac à l'issue*socio=rien de ses réunions*socio=rien semestrielles*socio=te et a présenté des suggestions*socio=rien pour adapter*socio=rien le programme*socio=et de *socio=rien travail du Conseil aux*socio=nil orientations*socio=et *socio=nil fixées par le comité*socio=rien . Comités*socio=ac des Administrateurs*socio=ac. *socio=rien Comité mixte de*socio=nil contrôle*socio=uv de*socio=nil gestion*socio=et *socio=nil (JAC). Ce comité*socio=rien , établi en 1970, est*socio=rien chargé de contrôler, au nom*socio=rien des actionnaires*socio=ac, la validité*socio=rien des pratiques*socio=et financières*socio=ec de la Banque*socio=ac et l'adéquation*socio=rien des travaux*socio=rien d'audit interne*socio=rien et d'évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac. Le comité*socio=rien assure la communication*socio=et entre les auditeurs*socio=ac - internes*socio=rien et externes*socio=rien - et les Administrateurs*socio=ac. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, le comité*socio=rien , conformément à ses attributions*socio=rien , a chargé un*socio=rien cabinet d'experts-comptables indépendants*socio=rien de réputation internationale*socio=te de procéder à la *socio=rien vérification annuelle des*socio=nil comptes *socio=nil de la Banque*socio=ac. Il a examiné la portée*socio=rien de la vérification*socio=rien effectuée et les états*socio=et financiers*socio=ec annuels*socio=rien ainsi vérifiés. Il a aussi procédé à des échanges*socio=rien de vues*socio=rien approfondis avec les auditeurs*socio=ac *socio=rien externes sur la*socio=nil portée *socio=nil de leur contribution*socio=uv aux audits spéciaux*socio=rien , en particulier*socio=uv aux audits concernant le projet*socio=rien de rénovation*socio=ec des bâtiments*socio=ec du*socio=rien complexe principal*socio=rien . Le comité*socio=rien a réaffirmé l'importance*socio=rien d'étroites*socio=rien relations_de_travail*socio=ec avec les auditeurs*socio=ac externes*socio=rien et a donc organisé plusieurs réunions*socio=rien à cet effet*socio=rien . En outre, grâce*socio=rien à des *socio=rien réunions régulières *socio=nil avec les hauts*socio=rien responsables*socio=uv financiers*socio=ec de la Banque*socio=ac, le comité*socio=rien a contribué à donner aux Administrateurs*socio=ac l'assurance*socio=uv que les *socio=ec affaires financières *socio=nil de la Banque*socio=ac étaient convenablement gérées. A cet égard*socio=rien , il a examiné et approuvé les recommandations*socio=rien concernant l'application*socio=rien de la politique*socio=et de provisionnement des prêts*socio=ec de la BIRD*socio=ac pour l'exercice*socio=rien 94. Il a été*socio=rien tenu informé de la situation*socio=uv *socio=rien courante du portefeuille*socio=ec de*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac. En outre, il a examiné la question*socio=rien des pays*socio=ac en situation*socio=uv d'arriérés de paiements*socio=ec et des rapports*socio=rien lui ont été*socio=rien présentés sur*socio=rien l'évolution*socio=rien de la situation*socio=uv des pays*socio=ac dont les emprunts*socio=ec sont classés improductifs*socio=ec. Le comité*socio=rien a examiné et approuvé les *socio=rien recommandations préliminaires *socio=nil concernant l'affectation*socio=rien *socio=rien annuelle du revenu*socio=ec net *socio=nil de la BIRD*socio=ac. Il a également étudié l'adéquation*socio=rien des systèmes*socio=rien de contrôle*socio=uv internes*socio=rien de la Banque*socio=ac. Dans le cadre*socio=rien de sa fonction*socio=rien de supervision*socio=rien , le comité*socio=rien a procédé à son *socio=rien examen annuel des*socio=nil programmes_de_travail du Département*socio=ac *socio=nil de l'évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac (OED*socio=ac) et du*socio=rien Département*socio=ac de l'audit interne*socio=rien . Deux sous-comités composés d'Administrateurs*socio=ac suppléants*socio=rien ont été*socio=rien constitués afin d'aider le comité*socio=rien à s'acquitter de son mandat*socio=rien à l'égard*socio=rien de ces deux départements*socio=rien . Le comité*socio=rien a en outre examiné de *socio=rien nombreux documents *socio=nil établis par l'OED*socio=ac afin d'identifier les problèmes*socio=uv ou les questions*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien à soumettre aux Administrateurs*socio=ac. Le comité*socio=rien se compose de huit Administrateurs*socio=ac. Depuis mars*socio=rien 1994, il est*socio=rien présidé par M: Marc-antoine Autheman. *socio=rien Comité sur l'*socio=nil efficacité-coût_et_les_pratiques_budgétaires*socio=ac (*socio=nil CEBP*socio=ac)*socio=nil *socio=nil . Ce comité*socio=rien a été*socio=rien créé en 1986 pour examiner les aspects*socio=rien des normes*socio=et et procédures*socio=rien de travail*socio=rien , des politiques*socio=et administratives*socio=rien et des *socio=et pratiques budgétaires *socio=nil de la Banque*socio=ac qui influent sensiblement sur*socio=rien le rapport*socio=rien coût-efficacité*socio=uv de ses opérations*socio=rien . L'exercice*socio=rien 94 est*socio=rien le premier*socio=rien pour lequel le comité*socio=rien ait eu, en raison*socio=uv de l'élargissement*socio=rien de son mandat*socio=rien , à examiner la totalité*socio=rien des documents*socio=rien de base*socio=rien pour chaque *socio=rien étape du cycle*socio=te budgétaire*socio=et *socio=nil de la Banque*socio=ac, à savoir*socio=rien l'examen*socio=rien rétrospectif de l'exercice*socio=rien 93, les directives*socio=rien de planification*socio=et BIRD*socio=ac/IDA*socio=ac pour les exercices*socio=rien 95/97, l'examen*socio=rien à mi-parcours de l'exercice*socio=rien 94, ainsi que les programmes*socio=et et budget*socio=ec de la BIRD*socio=ac pour l'exercice*socio=rien 95. Après*socio=rien avoir examiné ces documents*socio=rien , le CEBP*socio=ac a présenté des rapports*socio=rien aux Administrateurs*socio=ac pour leur faire part*socio=rien de ses *socio=rien observations sur les*socio=nil directives de*socio=nil planification*socio=et et*socio=nil sur le*socio=nil budget*socio=ec *socio=nil de l'exercice*socio=rien 95. L'examen*socio=rien de ce *socio=rien dernier document avait*socio=nil été *socio=nil ajouté au programme*socio=et de *socio=rien travail du comité *socio=nil à la suite*socio=rien de l'examen*socio=rien du*socio=rien budget*socio=ec pour l'exercice*socio=rien 94, au cours*socio=rien duquel avait été*socio=rien soulignée toute l'importance*socio=rien d'une *socio=uv participation active *socio=rien du comité au*socio=nil processus de*socio=nil planification*socio=et *socio=nil et de *socio=rien préparation du budget*socio=ec.*socio=nil Le*socio=nil CEBP*socio=ac *socio=nil a consacré plusieurs réunions*socio=rien à l'examen*socio=rien des possibilités*socio=rien de réduction*socio=uv des coûts*socio=ec pour toute une gamme*socio=rien d'activités*socio=rien de la Banque*socio=ac, allant d'améliorations*socio=uv de l'efficacité*socio=uv avec laquelle sont accomplies les *socio=rien différentes tâches *socio=nil à des *socio=rien modifications systématiques et*socio=nil incitatives*socio=et des*socio=nil méthodes et*socio=nil processus.*socio=nil *socio=nil A ce titre*socio=rien , il a demandé au *socio=rien Comité du personnel *socio=nil pour l'innovation*socio=uv et la *socio=rien simplification administratives *socio=nil (BIAS) de lui présenter ses activités*socio=rien . Le BIAS a ultérieurement lui-même demandé l'avis*socio=rien et les conseils*socio=ac du*socio=rien CEBP*socio=ac sur*socio=rien la simplification*socio=rien de certains documents*socio=rien destinés au Conseil*socio=rien . Le comité*socio=rien se compose de huit Administrateurs*socio=ac. Depuis décembre*socio=rien 1992, il est*socio=rien présidé par M: Angel Torres. Comité*socio=rien chargé des questions*socio=rien de politique*socio=et *socio=rien du personnel.*socio=nil Ce*socio=nil comité,*socio=nil *socio=nil créé en 1980, a pour mandat*socio=rien de suivre en permanence*socio=rien les questions*socio=rien de rémunération*socio=ec et autres *socio=rien questions importantes *socio=nil concernant le personnel*socio=rien et, s'il y a lieu*socio=rien , de conseiller*socio=ac les Administrateurs*socio=ac en la matière*socio=rien . Il reste*socio=rien également en *socio=rien liaison étroite *socio=nil avec les Administrateurs*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac (FMI*socio=ac) sur*socio=rien ces questions*socio=rien , compte*socio=rien tenu du*socio=rien parallélisme général*socio=rien des deux institutions*socio=ac. L'un*socio=rien des *socio=rien principaux éléments des*socio=nil activités du comité au*socio=nil cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien 94 a été*socio=rien la poursuite*socio=rien de l'examen*socio=rien de la question*socio=rien complexe des prestations*socio=et d'expatriation. Le Conseil*socio=rien a ensuite examiné la question*socio=rien d'abord*socio=rien sur*socio=rien la *socio=rien base du rapport *socio=nil et des *socio=rien recommandations du comité,*socio=nil puis*socio=nil sur la*socio=nil base d'*socio=nil un document *socio=nil établi par la direction*socio=rien . En définitive*socio=rien , les Administrateurs*socio=ac ont décidé de ne pas modifier la politique*socio=et actuelle*socio=rien . Le comité*socio=rien a passé*socio=rien en revue les politiques*socio=et et pratiques*socio=et de la Banque*socio=ac et de la société_financière_internationale*socio=ac (SFI*socio=ac) en matière*socio=rien de personnel*socio=rien , les résultats*socio=rien de l'enquête*socio=rien d'opinion*socio=uv menée en 1993 auprès *socio=rien du personnel,*socio=nil la*socio=nil question du dosage des*socio=nil compétences*socio=uv *socio=nil (autrement dit, comment la Banque*socio=ac identifie les *socio=uv compétences indispensables *socio=nil à l'exécution*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et de travail*socio=rien en *socio=rien constante évolution,*socio=nil *socio=nil et recrute les personnels*socio=ec nécessaires*socio=rien ), et d'éventuelles*socio=rien modifications*socio=rien de la formule*socio=rien de versement*socio=ec des pensions*socio=et de retraite*socio=ec en monnaie*socio=ec nationale*socio=te. Deux des *socio=rien principales activités du comité ont*socio=nil été l'*socio=nil examen des*socio=nil résultats *socio=nil de l'enquête*socio=rien quadriennale sur*socio=rien les prestations*socio=et et de l'étude*socio=ac de 1994 sur*socio=rien la rémunération*socio=ec *socio=rien du personnel.*socio=nil Sur les*socio=nil conseils*socio=ac du comité,*socio=nil le*socio=nil Conseil *socio=nil a approuvé les recommandations*socio=rien de la *socio=rien direction sur *socio=nil ces deux points*socio=rien . En outre, le comité*socio=rien a examiné le rôle*socio=rien des bureaux*socio=rien extérieurs*socio=te de la Banque*socio=ac. Le comité*socio=rien se compose de huit Administrateurs*socio=ac. Depuis janvier*socio=rien 1993, il est*socio=rien présidé par M: Jean-pierre Le Bouder. Comité*socio=rien des *socio=rien questions administratives *socio=nil concernant les Administrateurs*socio=ac (CODAM). Ce comité*socio=rien , créé en 1968, est*socio=rien chargé d'examiner les questions*socio=rien d'ordre*socio=rien administratif*socio=rien concernant les Administrateurs*socio=ac, leurs suppléants*socio=ac, conseillers*socio=ac et personnels*socio=ec. Il recommande aux Administrateurs*socio=ac les nouvelles*socio=rien politiques*socio=et à adopter et les modifications*socio=rien à apporter aux politiques*socio=et en vigueur*socio=uv. Les *socio=rien principales questions *socio=nil traitées au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien ont été*socio=rien les suivantes*socio=rien : la rémunération*socio=ec des conseillers*socio=ac et des assistants des Administrateurs*socio=ac; les déplacements*socio=rien des Administrateurs*socio=ac dans des pays_membres*socio=ac autres que ceux de leur groupe*socio=ac (missions d'information*socio=rien ); les règles*socio=et applicables*socio=rien aux déplacements*socio=rien des Administrateurs*socio=ac; et les dépenses*socio=ec administratives*socio=rien des Administrateurs*socio=ac. Le comité*socio=rien coordonne *socio=rien un grand nombre *socio=nil de ses recommandations*socio=rien avec le *socio=rien comité similaire *socio=nil créé par les Administrateurs*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac. Le comité*socio=rien se compose de six Administrateurs*socio=ac. Depuis janvier*socio=rien 1993, il est*socio=rien présidé par M: John Cosgrove. *socio=rien Comité spécial *socio=nil chargé de l'examen*socio=rien des Comités*socio=ac des Administrateurs*socio=ac. Ce *socio=rien comité spécial a*socio=nil été *socio=nil créé en décembre*socio=rien 1993 pour étudier le fonctionnement*socio=rien , la structure*socio=ec et le mandat*socio=rien des comités*socio=ac permanents*socio=rien des Administrateurs*socio=ac, y compris les *socio=rien critères applicables *socio=nil à la nomination des membres*socio=rien de ces comités*socio=ac. Il a achevé sa mission*socio=rien en avril*socio=rien 1994 et ses recommandations*socio=rien seront mises en *socio=rien oeuvre après l'*socio=nil élection*socio=et ordinaire *socio=nil de 1994 des Administrateurs*socio=ac. Les *socio=rien recommandations du rapport du comité,*socio=nil *socio=nil qui a été*socio=rien approuvé par les Administrateurs*socio=ac en mai*socio=rien 1994, visent à améliorer et renforcer plutôt qu'à modifier radicalement les *socio=rien dispositions existantes.*socio=nil Les*socio=nil principales conclusions et*socio=nil recommandations *socio=nil de ce rapport*socio=rien sont résumées ci-après. Fonctions*socio=rien et structure*socio=ec des comités*socio=ac. Les comités*socio=ac devraient avoir pour *socio=rien objectif général *socio=nil de renforcer l'efficacité*socio=uv avec laquelle le Conseil*socio=rien s'acquitte de ses responsabilités*socio=uv. Il faut donc que les programmes_de_travail*socio=rien des comités*socio=ac contribuent à faciliter la formation*socio=et d'un*socio=rien consensus*socio=uv et la prise*socio=rien de décisions*socio=rien au *socio=rien niveau du Conseil *socio=nil et à aider les Administrateurs*socio=ac à s'acquitter de leurs fonctions*socio=rien de supervision*socio=rien . D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil il*socio=nil est indispensable*socio=uv *socio=nil que chaque comité*socio=rien se concentre *socio=rien sur un nombre *socio=nil limité de questions*socio=rien prioritaires*socio=uv clairement définies*socio=rien . Compte*socio=rien tenu, d'une part*socio=rien , de la charge*socio=uv de *socio=rien travail globale des*socio=nil comités*socio=ac *socio=nil et, d'autre part*socio=rien , de l'importance*socio=rien et de la nécessité*socio=uv croissantes*socio=rien d'examens*socio=rien des questions*socio=rien touchant l'évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac et l'impact*socio=rien sur*socio=rien le développement*socio=uv dans le contexte*socio=rien des *socio=rien activités opérationnelles du groupe_de_la_banque*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil Comité spécial est *socio=nil également convenu: a) que le *socio=rien mandat du Comité mixte de*socio=nil contrôle*socio=uv de*socio=nil gestion*socio=et devrait*socio=nil être centré*socio=nil sur les*socio=nil questions *socio=nil d'audit interne*socio=rien et externe*socio=rien et de politique*socio=et financière*socio=ec, et b) qu'un*socio=rien *socio=rien nouveau comité *socio=nil composé de huit Administrateurs*socio=ac devrait être*socio=rien établi pour examiner les questions*socio=rien ayant trait*socio=rien à l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac et à l'efficacité*socio=uv de leur contribution*socio=uv au développement*socio=uv. Il a été*socio=rien convenu que le mandat*socio=rien de chaque comité*socio=rien devrait s'appliquer uniformément à la SFI*socio=ac. Interaction*socio=rien entre les comités*socio=ac, la direction*socio=rien de la Banque*socio=ac et le conseil_des_administrateurs*socio=ac. De *socio=rien nouvelles procédures ont*socio=nil été *socio=nil approuvées pour renforcer cette interaction*socio=rien . Elles concernent les obligations*socio=uv d'information*socio=rien des comités*socio=ac et de la direction*socio=rien , à l'égard*socio=rien *socio=rien du Conseil *socio=nil et visent à faciliter l'examen*socio=rien par le Conseil*socio=rien des *socio=rien propositions formelles *socio=nil de la direction*socio=rien (y compris, dans certains cas*socio=rien , les documents*socio=rien exposant les options*socio=rien ) qui ont été*socio=rien au préalable*socio=rien soumises à l'examen*socio=rien des comités*socio=ac. Plusieurs recommandations*socio=rien tendant à améliorer l'efficacité*socio=uv de la conduite*socio=rien des travaux*socio=rien des comités*socio=ac ont également été*socio=rien approuvées; elles concernent, par exemple*socio=rien , les moyens*socio=ec de faciliter la formation*socio=et d'un*socio=rien consensus*socio=uv parmi les Administrateurs*socio=ac sur*socio=rien les questions*socio=rien controversées, l'identification*socio=rien des *socio=rien questions devant être *socio=nil examinées en priorité*socio=uv par le Conseil*socio=rien , et l'approbation*socio=uv tacite par le Conseil*socio=rien (absence*socio=rien d'objections) des recommandations*socio=rien des comités*socio=ac. Composition*socio=rien des comités*socio=ac et directives*socio=rien concernant la désignation de leurs membres*socio=rien . Le *socio=rien Comité spécial *socio=nil a jugé que la désignation des membres*socio=rien des comités*socio=ac devrait être*socio=rien régie*socio=ac par des principes*socio=uv généraux*socio=rien qui puissent être*socio=rien appliqués avec souplesse*socio=uv, les deux plus importants*socio=rien étant qu'il y ait consultation*socio=uv entre les Administrateurs*socio=ac et représentation*socio=et équilibrée des *socio=rien membres du Conseil.*socio=nil *socio=nil Plus précisément, le choix*socio=uv des membres*socio=rien des comités*socio=ac devrait refléter la diversité*socio=rien économique*socio=ec et géographique*socio=te des pays_membres*socio=ac de la Banque*socio=ac dans le souci*socio=rien d'assurer une représentation*socio=et équilibrée des *socio=ac pays_membres emprunteurs *socio=nil et non emprunteurs*socio=ac. Le comité*socio=rien était composé de quatre Administrateurs*socio=ac et présidé par Mme*socio=rien Jorunn Maehlum. *socio=rien Comité directeur des*socio=nil Administrateurs*socio=ac.*socio=nil Ce*socio=nil comité,*socio=nil organe*socio=et *socio=uv consultatif informel,*socio=nil *socio=nil se compose du*socio=rien doyen et du*socio=rien co-doyen *socio=rien du Conseil,*socio=nil *socio=nil et des présidents des autres comités*socio=ac permanents*socio=rien . Il se réunit une fois*socio=rien par mois*socio=rien pour examiner avec le Vice-président*socio=ac et Secrétaire*socio=ac de la Banque*socio=ac le programme*socio=et de travail*socio=rien des Administrateurs*socio=ac. Son rôle*socio=rien consultatif*socio=uv s'étend à d'autres *socio=rien questions intéressant le*socio=nil Conseil.*socio=nil *socio=nil Il examine en outre les communiqués du*socio=rien comité_du_développement*socio=ac pour veiller à ce qu'il soit pleinement tenu compte*socio=rien de leurs implications*socio=rien pour le programme*socio=et de travail*socio=rien des Administrateurs*socio=ac. Il supervise également la mise en oeuvre*socio=rien des nouvelles*socio=rien politiques*socio=et et *socio=rien procédures du conseil_des_administrateurs*socio=ac,*socio=nil *socio=nil notamment pour ce qui *socio=rien est du calendrier d'*socio=nil examen des*socio=nil stratégies-pays*socio=et *socio=nil et des *socio=rien examens périodiques des*socio=nil politiques*socio=et sectorielles.*socio=nil Le*socio=nil comité *socio=nil se compose de six Administrateurs*socio=ac. Le doyen *socio=rien du conseil,*socio=nil *socio=nil M: Ibrahim Ai-assaf, en est*socio=rien le président*socio=rien depuis septembre*socio=rien 1993. Tous les Administrateurs*socio=ac peuvent assister aux réunions*socio=rien des Comités*socio=ac *socio=rien du Conseil.*socio=nil Chapitre *socio=nil deux: L'économie*socio=ec mondiale*socio=te. En 1993, l'expansion*socio=ec de l'activité*socio=rien économique*socio=ec s'est*socio=rien à nouveau*socio=rien tassée dans les *socio=ac pays industriels,*socio=nil *socio=nil tombant à 1,2% sous l'effet*socio=rien d'une croissance*socio=uv lente*socio=rien au Japon*socio=ac et de la récession*socio=ec qui a caractérisé l'Europe*socio=ac continentale (Tableau*socio=rien 2-1). Pendant le dernier*socio=rien trimestre*socio=te de l'année*socio=rien , la reprise était bien*socio=rien engagée aux États-unis*socio=ac, qui ont vu leur production*socio=ec augmenter de 7% en *socio=rien base annuelle.*socio=nil Le*socio=nil Canada*socio=ac *socio=nil et le Royaume-uni*socio=ac ont enregistré une légère*socio=rien reprise dans le cours*socio=rien de l'année*socio=rien . La lenteur*socio=rien de la croissance*socio=uv globale*socio=rien en 1993 s'est*socio=rien accompagnée d'une *socio=rien aggravation du chômage*socio=ec,*socio=nil *socio=nil qui a atteint 8,2% pour l'ensemble*socio=rien des *socio=ac pays industriels *socio=nil et même 10% de la population_active*socio=ac dans plusieurs pays*socio=ac d'Europe*socio=ac. Étant donné l'écart*socio=rien important*socio=rien entre la production*socio=ec effective*socio=rien et la production*socio=ec potentielle*socio=rien dans la plupart*socio=rien des *socio=ac pays industriels,*socio=nil l'*socio=nil inflation*socio=ec *socio=nil a continué à fléchir, et le déflateur du*socio=rien PIB*socio=ec *socio=rien est passé *socio=nil à 3,3%, contre 4% en 1992 . La croissance*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac - hormis les économies_en_transition*socio=ec d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te et de l'ex-union_soviétique*socio=ac - est*socio=rien chiffrée à 4,5% pour 1993, contre 3,6% en 1992, et a donc, pour la *socio=rien troisième année consécutive,*socio=nil *socio=nil dépassé de trois points*socio=rien celle des *socio=ac pays industriels (*socio=nil Tableau*socio=rien *socio=nil 2-2). Toutefois, ces données agrégées recouvrent des tendances*socio=rien très différentes*socio=rien selon que l'on considère les pays*socio=ac en transition*socio=uv ou le monde_en_développement*socio=te traditionnel*socio=uv. Dans les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te et dans les républiques*socio=te de l'ex-union_soviétique*socio=ac, la production*socio=ec aurait diminué de 7,4%. Le rythme*socio=rien s'est*socio=rien donc ralenti par rapport*socio=rien à 1992, où la chute avait atteint 12,7%, mais 1993 aura néanmoins été*socio=rien la *socio=rien quatrième année consécutive de*socio=nil baisse *socio=nil de la production*socio=ec. Le maintien*socio=rien d'une croissance*socio=uv robuste*socio=rien dans les pays_en_développement*socio=ac traditionnels*socio=rien , malgré la récession*socio=ec des *socio=ac pays industriels,*socio=nil *socio=rien est attribuable *socio=nil à plusieurs facteurs*socio=rien : la poursuite*socio=rien et l'amplification de l'effort*socio=uv de réforme*socio=et dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac; le *socio=rien bas niveau des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec sur le*socio=nil marché*socio=ec international*socio=te *socio=nil (qui a partiellement compensé, pour les exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien de base*socio=rien , les effets*socio=rien défavorables*socio=uv de la baisse*socio=rien des prix*socio=ec à l'exportation*socio=ec); enfin, en liaison*socio=rien avec ces deux facteurs*socio=rien , une nouvelle*socio=rien augmentation*socio=uv spectaculaire*socio=rien des apports*socio=rien de *socio=ec capitaux privés aux*socio=nil pays_en_développement*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil rythme*socio=rien *socio=nil de la croissance*socio=uv a été*socio=rien , une fois*socio=rien encore, *socio=rien fort différent *socio=nil selon la région*socio=te. En Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien et dans le Pacifique*socio=uv, l'expansion*socio=ec a de *socio=rien nouveau été plus*socio=nil rapide *socio=nil que partout ailleurs*socio=rien et s'est*socio=rien chiffrée à 9,2%, performance*socio=uv supérieure*socio=rien d'au moins *socio=rien cinq points *socio=nil à celle de toute autre région*socio=te en développement*socio=uv. La Chine*socio=ac est*socio=rien restée l'économie*socio=ec la plus dynamique*socio=uv de la région*socio=te, et même du*socio=rien monde*socio=te. Sa croissance*socio=uv moyenne*socio=rien a été*socio=rien de 13% sur*socio=rien les deux *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil pouvoirs_publics*socio=ac *socio=nil poursuivant leur effort*socio=uv de réforme*socio=et pour orienter l'économie*socio=ec vers le marché*socio=ec et les sociétés*socio=ac transnationales*socio=et continuant à engager des investissements*socio=ec d'un*socio=rien montant*socio=ec record*socio=rien . En juillet*socio=rien 1993, les autorités*socio=et chinoises ont pris des mesures*socio=rien pour freiner le rythme*socio=rien vertigineux de la croissance*socio=uv et faire obstacle*socio=rien à l'aggravation*socio=rien des pressions*socio=uv inflationnistes*socio=ec. La Malaisie*socio=ac et la Thaïlande*socio=ac, pays*socio=ac qui comptent aussi parmi les principaux*socio=rien bénéficiaires*socio=ac des flux*socio=ec d'investissements_directs_étrangers*socio=ec, ont à nouveau*socio=rien obtenu des résultats*socio=rien exceptionnels*socio=uv. Des signes de tension sont toutefois apparus dans ces deux pays*socio=ac par suite*socio=rien de pénuries*socio=ec de main-d'_oeuvre*socio=ac qualifiée*socio=ec et des insuffisances*socio=rien de l'infrastructure*socio=ec, et en raison*socio=uv aussi de la nécessité*socio=uv de s'attaquer aux problèmes*socio=uv du*socio=rien long_terme*socio=ec, notamment en orientant la production*socio=ec vers des secteurs*socio=ec à plus forte*socio=rien valeur_ajoutée*socio=ec face*socio=rien à l'intensification*socio=rien de la concurrence*socio=ec de pays*socio=ac comme la Chine*socio=ac, l'Inde*socio=ac et l'Indonésie*socio=ac dans les secteurs*socio=ec à *socio=rien forte intensité de*socio=nil main-d'_oeuvre*socio=ac.*socio=nil La*socio=nil production*socio=ec *socio=nil a de nouveau*socio=rien augmenté dans la région*socio=te amérique_latine_et_caraïbes*socio=ac où les réformes*socio=et ont continué à s'enraciner et à produire des résultats*socio=rien . Pour l'ensemble*socio=rien de la région*socio=te, la croissance*socio=uv, soutenue par des *socio=rien apports massifs de*socio=nil *socio=ec capitaux privés étrangers*socio=uv,*socio=nil s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil chiffrée à 3,5%, contre 2,8% en 1992. Les résultats*socio=rien ont cependant varié d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. Le Brésil*socio=ac a porté sa croissance*socio=uv à 4,9% (alors que l'année*socio=rien précédente*socio=rien s'était soldée par une diminution*socio=rien de près de 1%), mais son taux*socio=rien d'inflation*socio=ec a considérablement*socio=rien augmenté. La fragilité*socio=uv de la situation*socio=uv politique*socio=et, la baisse*socio=rien des prix*socio=ec du*socio=rien pétrole*socio=ec et *socio=rien certaines faiblesses des*socio=nil politiques_économiques*socio=ec *socio=nil ont plongé le Venezuela*socio=ac dans la récession*socio=ec au cours*socio=rien de l'année*socio=rien . Au Mexique*socio=ac, la croissance*socio=uv, tombée en 1992 aux environs*socio=rien de 2% après*socio=rien plusieurs années*socio=rien de gains*socio=ec plus vigoureux*socio=rien , a stagné en 1993, l'activité*socio=rien s'étant ralentie sous l'effet*socio=rien des *socio=rien mesures prises *socio=nil pour resserrer le crédit*socio=ec afin de maîtriser*socio=rien l'accroissement*socio=ec du*socio=rien *socio=ec déficit extérieur.*socio=nil La*socio=nil signature*socio=rien *socio=nil de l'accord_de_libre-échange_nord-américain*socio=et (ALENA*socio=et) a cependant renforcé les perspectives*socio=uv de l'économie*socio=ec à plus long_terme*socio=ec. L'Argentine*socio=ac, le Chili*socio=ac et la Colombie*socio=ac ont eu une croissance*socio=uv supérieure*socio=rien à 5%. L'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac (hors afrique_du_sud*socio=ac) a vu son PIB*socio=ec augmenter dans la *socio=rien modique proportion *socio=nil de 1,4%, évolution*socio=rien rendue possible*socio=rien par le rétablissement*socio=rien de la situation*socio=uv après*socio=rien la plus grave*socio=rien sécheresse*socio=et *socio=rien du siècle en*socio=nil Afrique*socio=ac orientale*socio=te et*socio=nil australe*socio=te,*socio=nil *socio=nil et aussi par l'amélioration*socio=uv progressive*socio=uv des résultats*socio=rien des pays*socio=ac qui ont persévéré sur*socio=rien la voie*socio=rien d'ajustements*socio=et et de réformes*socio=et. Bien*socio=rien que la croissance*socio=uv soit restée lente*socio=rien dans l'ensemble*socio=rien , l'année*socio=rien a été*socio=rien marquée par des signes encourageants*socio=uv: la *socio=et guerre civile *socio=nil a cessé en Éthiopie*socio=ac et au Mozambique*socio=ac, les prix*socio=ec des produits*socio=rien destinés à la fabrication*socio=ec de boissons*socio=rien ont augmenté, et l'espoir*socio=uv d'une stabilisation*socio=et, à tout le moins, des prix*socio=ec des produits*socio=rien de base*socio=rien non pétroliers*socio=ec s'est*socio=rien quelque peu affermi. La dévaluation*socio=ec de 50% du*socio=rien franc CFA, promptement suivie d'aides*socio=uv des prêteurs*socio=ac multilatéraux*socio=te et du*socio=rien Gouvernement*socio=ac français*socio=rien , a substantiellement amélioré les chances*socio=rien d'une relance*socio=uv *socio=rien du processus d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil dans les pays*socio=ac de la zone*socio=rien CFA. Enfin, l'économie*socio=ec sud-africaine a commencé à sortir d'une longue*socio=rien période*socio=te de récession*socio=ec avec la fin*socio=rien de la sécheresse*socio=et, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec de l'or*socio=rien et la levée des sanctions*socio=uv internationales*socio=te, les conditions*socio=uv devenant ainsi plus favorables*socio=rien au passage*socio=rien à un*socio=rien régime*socio=et démocratique*socio=uv multiracial. L'évolution*socio=rien qui s'est*socio=rien amorcée alimente l'espoir*socio=uv de progrès*socio=uv économiques*socio=ec substantiels*socio=rien dans les années*socio=rien à venir, mais elle a aussi mis en évidence*socio=rien les *socio=rien profondes difficultés sociales*socio=ac et*socio=nil culturelles*socio=et *socio=nil que devra surmonter le nouveau*socio=rien gouvernement*socio=ac. En Asie_du_sud*socio=ac, la croissance*socio=uv s'est*socio=rien tassée, tombant à 3,8% par suite*socio=rien notamment des inondations désastreuses*socio=rien subies par le Pakistan*socio=ac vers la fin*socio=rien de 1992 et de la lenteur*socio=rien de la croissance*socio=uv industrielle*socio=ec en Inde*socio=ac. Néanmoins, les pays*socio=ac de la région*socio=te ont amélioré la position*socio=rien de leurs comptes*socio=rien extérieurs*socio=te grâce*socio=rien à l'augmentation*socio=uv de leurs exportations*socio=ec et des apports*socio=rien de *socio=ec capitaux privés.*socio=nil Au*socio=nil Pakistan*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil nouveau*socio=rien gouvernement*socio=ac *socio=nil a confirmé son adhésion*socio=uv aux réformes*socio=et engagées par ses prédécesseurs. L'Inde*socio=ac a continué à progresser, à *socio=rien un rythme *socio=nil modéré mais régulier*socio=rien , dans l'application*socio=rien de ses politiques*socio=et de réforme*socio=et économique*socio=ec. Les flux*socio=ec de capitaux*socio=ec étrangers*socio=uv qu'elles a attirés ont certes *socio=rien été modestes au*socio=nil regard *socio=nil des sommes mobilisées par les grandes*socio=rien économies*socio=ec d'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien et d' amérique_latine*socio=ac, mais ils ont toutefois *socio=rien été bien plus*socio=nil élevés *socio=nil que jamais. La baisse*socio=rien de plus de 10% des prix*socio=ec mondiaux*socio=te du*socio=rien pétrole*socio=ec a contribué à *socio=rien un net ralentissement*socio=uv *socio=nil dans la région*socio=te Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te, dont la croissance*socio=uv est*socio=rien estimée pour 1993 à 1,9%. La production*socio=ec a diminué de près de 2% en Algérie*socio=ac parallèlement à l'intensification*socio=rien de la crise*socio=uv politique*socio=et. La croissance*socio=uv a été*socio=rien quasiment négligeable*socio=rien en Égypte*socio=ac, qui a poursuivi son effort*socio=uv de redressement*socio=uv des déséquilibres des finances_publiques*socio=et. Globalement, les économies_en_transition*socio=ec d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te et de l'ex-union_soviétique*socio=ac ont subi une *socio=rien nouvelle diminution *socio=nil de leur production*socio=ec, chiffrée à plus de 7%. Ce sont les républiques*socio=te de l' ex-union_soviétique*socio=ac qui ont le plus contribué à cette baisse*socio=rien , leur production*socio=ec ayant chuté de 13% après*socio=rien une contraction*socio=et de 20% en 1992. En Russie*socio=ac, la situation*socio=uv politique*socio=et est*socio=rien restée incertaine*socio=rien , et la situation*socio=uv macroéconomique*socio=ec instable*socio=uv, pendant toute l'année*socio=rien . Néanmoins, le gouvernement*socio=ac a poursuivi l'application*socio=rien de son programme*socio=et de réforme_structurelle*socio=ec, fût-ce à *socio=rien un rythme *socio=nil irrégulier. Le programme*socio=et de privatisation*socio=et a conservé son élan*socio=rien : à la fin*socio=rien de 1993, les deux tiers*socio=rien des petites*socio=rien entreprises*socio=ac de services*socio=ec avaient été*socio=rien privatisées. La production*socio=ec a augmenté en Pologne*socio=ac pour la seconde *socio=rien année consécutive,*socio=nil *socio=nil tandis que la contraction*socio=et de l'économie*socio=ec paraissait près de s'achever en Hongrie*socio=ac et en *socio=ac République tchèque.*socio=nil *socio=nil Il y a des raisons*socio=rien de penser, surtout pour ces trois derniers*socio=rien pays*socio=ac, que les activités*socio=rien "nouvelles*socio=rien " relevant principalement du*socio=rien secteur_privé*socio=ec (et concentrées dans les services*socio=ec, la construction*socio=ec et les corps de métiers*socio=ec) commencent à représenter une *socio=rien part substantielle *socio=nil de la production*socio=ec (parfois près de 50%) et à constituer *socio=rien un facteur de*socio=nil croissance*socio=uv.*socio=nil Dette*socio=ec extérieure*socio=te:*socio=nil tendances récentes et*socio=nil stratégies*socio=et.*socio=nil La*socio=nil dette*socio=ec extérieure*socio=te totale des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac,*socio=nil dette*socio=ec à*socio=nil court_terme*socio=ec *socio=nil comprise, était estimée à 1,700 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec à la fin*socio=rien de 1993, chiffre supérieur*socio=rien d'environ 108 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec (6,5%) en valeur*socio=ec nominale*socio=rien à celui de la fin*socio=rien de 1992. L'encours de la seule*socio=rien dette*socio=ec à long_terme*socio=ec représentait 1,411 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, soit une hausse*socio=rien de 7,9% (103 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec) (Tableau*socio=rien 2-3). Cette augmentation*socio=uv tient à deux *socio=rien raisons principales:*socio=nil le*socio=nil montant*socio=ec des*socio=nil apports nets de*socio=nil capitaux*socio=ec,*socio=nil *socio=nil qui a été*socio=rien de l'ordre*socio=rien de 72 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, et la dépréciation*socio=ec du*socio=rien dollar*socio=ec des États-unis*socio=ac par rapport*socio=rien au yen*socio=ec pendant l'année*socio=rien , qui majore de plus de 20 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec l'estimation*socio=rien de la dette*socio=ec en dollars*socio=ec. En outre, la capitalisation*socio=ec des intérêts*socio=ec résultant*socio=rien des opérations*socio=rien de rééchelonnement*socio=ec a ajouté 15 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec à la dette*socio=ec à long_terme*socio=ec (l'effet*socio=rien de cette augmentation*socio=uv sur*socio=rien la dette*socio=ec totale*socio=rien étant toutefois compensé en *socio=rien grande partie *socio=nil par la réduction*socio=uv de la dette*socio=ec à court_terme*socio=ec dans laquelle étaient comptabilisés les arriérés d'intérêts*socio=ec), et on estime*socio=rien à 9 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec l'impact*socio=rien des opérations*socio=rien de *socio=uv réduction volontaire *socio=nil de la dette*socio=ec (rachats*socio=ec, échanges*socio=ec de créances*socio=ec, conversions en participations*socio=ec, etc). Les créanciers*socio=ac privés*socio=ec ont fourni 61% (44 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec) *socio=rien du total *socio=nil (72 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec) des *socio=rien apports nets aux*socio=nil pays_en_développement*socio=ac sous*socio=nil forme de*socio=nil créances*socio=ec à*socio=nil long_terme*socio=ec,*socio=nil *socio=nil soit 2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec de plus qu'en 1992. Pour la seconde *socio=rien année consécutive,*socio=nil les*socio=nil flux*socio=ec nets privés*socio=ec *socio=nil ont dépassé les flux*socio=ec publics*socio=et, ce qui ne s'était jamais produit*socio=rien depuis l'apparition*socio=rien de la crise*socio=uv de la dette*socio=ec au début*socio=rien des années*socio=rien 80. Les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien et d'amérique_latine*socio=ac ont continué à emprunter activement sur*socio=rien les marchés*socio=ec de capitaux*socio=ec, dans la mesure*socio=rien où la diminution*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec internationaux*socio=te à court_terme*socio=ec et à long_terme*socio=ec et *socio=rien un vif *socio=nil engouement (passager sans doute*socio=rien ) pour les marchés*socio=ec naissants*socio=rien favorisaient une augmentation*socio=uv substantielle*socio=rien des émissions*socio=rien obligataires*socio=ec. Selon les estimations*socio=ec, dix pays*socio=ac - Argentine*socio=ac, Brésil*socio=ac, Mexique*socio=ac et Venezuela*socio=ac en *socio=ac amérique_latine Chine,*socio=nil Corée et*socio=nil Thaïlande en*socio=nil Asie *socio=nil de l'Est*socio=rien Hongrie*socio=ac, *socio=ac République tchèque et*socio=nil Turquie en*socio=nil Europe *socio=nil - se sont procuré plus de 34 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par des *socio=ec placements obligataires publics*socio=et et*socio=nil privés.*socio=nil Les*socio=nil flux nets*socio=rien publics*socio=et *socio=nil ont fortement augmenté (de 8 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec) et atteint 28 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Les *socio=rien apports nets de*socio=nil sources multilatérales*socio=te,*socio=nil *socio=nil dont ceux de la banque_mondiale*socio=ac, sont chiffrés à environ 18 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, contre 12 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1992 (Tableau*socio=rien 2-4), et les flux*socio=ec bilatéraux*socio=te à près de 10 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, soit une progression*socio=uv de 22%. On estime*socio=rien en outre que le degré*socio=rien de libéralité des créances*socio=ec publiques*socio=et a augmenté, par suite*socio=rien de la restructuration*socio=uv à des conditions*socio=uv libérales*socio=et de créances*socio=ec non concessionnelles*socio=uv sur*socio=rien l'Égypte*socio=ac, la Pologne*socio=ac et des pays*socio=ac éligibles aux conditions*socio=uv de Toronto*socio=ac améliorées et à cause*socio=rien également de nouveaux*socio=rien flux*socio=ec concessionnels*socio=uv vers l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac, les républiques*socio=te d'Asie*socio=ac centrale*socio=rien et le Viet_nam*socio=ac. Les opérations*socio=rien volontaires*socio=uv de réduction*socio=uv de la dette*socio=ec, notamment les annulations consenties par de grands*socio=rien créanciers*socio=ac publics*socio=et arabes*socio=te à des pays*socio=ac du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac, auraient effacé quelque 9 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1993, portant à près de 100 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec le total*socio=rien des réductions*socio=uv depuis 1988. Par une opération*socio=rien d'allégement*socio=ec de l'encours et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=et *socio=rien du type "*socio=nil Brady*socio=et"*socio=nil *socio=nil , l' Argentine*socio=ac, en avril*socio=rien 1993, a réduit la valeur*socio=ec nominale*socio=rien de sa dette*socio=ec de près de 3,3 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. En décembre*socio=rien 1993, la Jordanie*socio=ac et ses créanciers*socio=ac commerciaux*socio=ec sont parvenus à un*socio=rien accord*socio=et qui permettra de restructurer environ 900 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de principal*socio=ec et d'arriérés. De son côté*socio=rien , la République_dominicaine*socio=ac, après*socio=rien avoir conclu un*socio=rien accord*socio=et de principe*socio=rien avec ses *socio=ac banques créancières en*socio=nil mai*socio=rien *socio=nil 1993 en vue*socio=rien de la restructuration*socio=uv de 1,1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec de principal*socio=ec et d'arriérés, a continué à se rapprocher d'un*socio=rien accord*socio=et définitif*socio=rien , tandis que la Bulgarie*socio=ac est*socio=rien parvenue à un*socio=rien accord*socio=et de principe*socio=rien avec ses *socio=ac banques créancières sur*socio=rien la*socio=nil restructuration*socio=uv *socio=nil de 9,3 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Le Brésil*socio=ac a poursuivi la négociation*socio=uv d'une restructuration*socio=uv portant sur*socio=rien environ 50 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Le second*socio=rien des *socio=rien principaux dispositifs d'*socio=nil allégement*socio=ec *socio=nil de la *socio=ec dette commerciale,*socio=nil le*socio=nil fonds de*socio=nil désendettement des*socio=nil pays*socio=ac exclusivement*socio=nil IDA*socio=ac,*socio=nil a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil davantage sollicité. Ce fonds*socio=ec, créé en 1989, accorde des dons*socio=ec aux pays_membres*socio=ac éligibles pour les aider à réduire leurs *socio=ec dettes commerciales.*socio=nil Les*socio=nil opérations*socio=rien *socio=nil qu'il a soutenues ont également bénéficié d'importants*socio=rien cofinancements publics*socio=et bilatéraux*socio=te. A la fin*socio=rien de 1993, *socio=rien cinq opérations avaient*socio=nil été *socio=nil menées à bien*socio=rien : pour le Niger*socio=ac et le Mozambique*socio=ac en 1991, pour le Guyana*socio=ac en 1992 et pour l'Ouganda*socio=ac et la Bolivie*socio=ac en 1993. Elles ont permis*socio=rien le rachat*socio=ec de 623 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de principal*socio=ec à un*socio=rien prix*socio=ec moyen*socio=rien de 14 cents*socio=rien pour un*socio=rien dollar*socio=ec de valeur*socio=ec faciale. Des opérations*socio=rien de rachat*socio=ec similaires*socio=rien étaient en préparation*socio=rien pour dix pays*socio=ac: Albanie*socio=ac, Éthiopie*socio=ac, Guinée*socio=ac, Mali*socio=ac, Mauritanie*socio=ac, Nicaragua*socio=ac, Sào Tomé-et-principe, Sierra_leone*socio=ac, Tanzanie*socio=ac et Zambie*socio=ac. La restructuration*socio=uv de créances*socio=ec publiques*socio=et bilatérales*socio=te sous les *socio=rien auspices du Club_de_paris*socio=ac *socio=nil a contribué elle aussi à réduire la dette*socio=ec. En 1993, 11 pays*socio=ac sont parvenus à des accords*socio=et qui leur permettront de rééchelonner ou de restructurer 1,2 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec. Six de ces accords*socio=et (Bénin*socio=ac, burkina_faso*socio=ac, Guyana*socio=ac, Mauritanie*socio=ac, Mozambique*socio=ac et Viet_nam*socio=ac) ont été*socio=rien conclus aux conditions*socio=uv de Toronto*socio=ac améliorées. En novembre*socio=rien 1993, la France*socio=ac a annulé 800 millions*socio=rien de francs*socio=ec dus par quatre pays*socio=ac de la zone*socio=rien CFA et, à la suite*socio=rien de la dévaluation*socio=ec du*socio=rien franc CFA en janvier*socio=rien 1994, la France*socio=ac a offert*socio=rien d'annuler 25 milliards*socio=ec de francs*socio=ec supplémentaires*socio=rien dus par les pays*socio=ac de la zone*socio=rien CFA touchés par l'ajustement*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec. La stratégie*socio=et, surtout pour les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec lourdement endettés, continue*socio=rien à évoluer, la formule*socio=rien de rééchelonnements*socio=ec répétés cédant la place*socio=rien au maintien*socio=rien d'un*socio=rien cash-flow positif*socio=uv pour aider les *socio=ac pays débiteurs *socio=nil à rétablir plus rapidement la viabilité*socio=uv de leur position*socio=rien extérieure*socio=te. Les arriérés d'intérêts*socio=ec ont été*socio=rien réduits d'environ 10 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1993, seconde *socio=rien année consécutive à*socio=nil être *socio=nil marquée par une diminution*socio=rien , et non par une augmentation*socio=uv, des arriérés. Cette réduction*socio=uv a tenu en *socio=rien grande partie *socio=nil à l'élimination*socio=rien des arriérés de pays*socio=ac d' amérique_latine*socio=ac, du*socio=rien Pérou*socio=ac en particulier*socio=uv, et de l'ex-union_soviétique*socio=ac. Le montant*socio=ec des intérêts*socio=ec rééchelonnés en 1993 est*socio=rien estimé à 15 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, soit un*socio=rien peu plus que les 14,2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec de 1992. Bien*socio=rien que les pays_en_développement*socio=ac ait accru leur dette*socio=ec totale*socio=rien , les ratios*socio=rien d'endettement*socio=ec critiques*socio=rien ne se sont pas dégradés grâce*socio=rien à l'amélioration*socio=uv des conditions_économiques*socio=ec et commerciales*socio=ec. Leur ratio*socio=rien dette*socio=ec à long_terme*socio=ec/ PNB*socio=ec est*socio=rien certes passé*socio=rien à 31,7%, contre 29,6% en 1992, mais cette augmentation*socio=uv s'explique en partie*socio=rien par les fortes*socio=rien dévaluations*socio=ec qui ont réduit la valeur*socio=ec en dollars*socio=ec du*socio=rien PNB*socio=ec de certains pays*socio=ac du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac, d'Europe*socio=ac et d'Asie*socio=ac centrale*socio=rien . Elle tient en outre à la nette*socio=rien progression*socio=uv de l'encours de la dette*socio=ec des pays*socio=ac d'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien et du*socio=rien Sud*socio=te et de l' ex-union_soviétique*socio=ac. Le *socio=rien ratio du service_de_la_dette*socio=et à*socio=nil long_terme*socio=ec aux*socio=nil exportations*socio=ec est resté*socio=nil constant au*socio=nil niveau *socio=nil de 16,3% et cela fait*socio=rien maintenant quatre ans*socio=rien qu'il se maintient aux alentours*socio=rien de 16%. Augmentation*socio=uv des flux*socio=ec de capitaux*socio=ec. Le total*socio=rien des flux*socio=ec nets*socio=rien de ressources*socio=ec à long_terme*socio=ec aux pays_en_développement*socio=ac - c'est-à-dire la somme*socio=rien des flux*socio=ec nets*socio=rien au titre*socio=rien de créances*socio=ec à long_terme*socio=ec, de dons*socio=ec (hors assistance_technique*socio=et) et d'investissements*socio=ec participatifs*socio=uv (investissements_directs_étrangers*socio=ec et investissements*socio=ec de portefeuille*socio=ec en actions*socio=rien ) - est*socio=rien estimé pour 1993 à 177 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, soit une augmentation*socio=uv de 20 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec (Tableau*socio=rien 2-4). Les flux*socio=ec *socio=rien nets résultant de*socio=nil créances*socio=ec à*socio=nil long_terme*socio=ec *socio=nil ont formé le *socio=rien principal élément des*socio=nil apports totaux de*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil et se sont chiffrés à 72 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, dont 28 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec venus de créanciers*socio=ac publics*socio=et. Ces derniers*socio=rien ont aussi fourni 36 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec sous forme*socio=rien de dons*socio=ec, montant*socio=ec supérieur*socio=rien de 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec à celui de 1992; les financements*socio=ec publics*socio=et ont donc représenté 63 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, soit 9 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec de plus que l'année*socio=rien précédente*socio=rien . Le montant*socio=ec net*socio=rien des investissements_directs_étrangers*socio=ec (IDE*socio=ac) a augmenté de 9 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec pour atteindre 56 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, soit une hausse*socio=rien de 19%. Les investissements*socio=ec de portefeuille*socio=ec en actions*socio=rien , qui avaient été*socio=rien de 13 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1992, se sont maintenus au même niveau*socio=rien . Les autres types d'apports*socio=rien privés*socio=ec constituant des créances*socio=ec à long_terme*socio=ec ont atteint 44 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Les *socio=ec capitaux privés *socio=nil auraient donc représenté 64% *socio=rien du total des*socio=nil flux*socio=ec nets de*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil vers les pays_en_développement*socio=ac, soit une hausse*socio=rien de plus de 150% par rapport*socio=rien à 1990. En dollars*socio=ec constants*socio=rien , leur montant*socio=ec est*socio=rien ainsi revenu*socio=ec au *socio=rien niveau du début des*socio=nil années *socio=nil 80, avant que se déclenche la crise*socio=uv de la dette*socio=ec. Le total*socio=rien des transferts*socio=ec nets*socio=rien à long_terme*socio=ec vers les pays_en_développement*socio=ac - c'est-à-dire les flux*socio=ec nets*socio=rien de ressources*socio=ec, déduction faite des paiements*socio=ec d'intérêts*socio=ec sur*socio=rien la dette*socio=ec à long_terme*socio=ec et des bénéfices*socio=ec des IDE*socio=ac - a augmenté de 12 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec et atteint 92 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, le gonflement*socio=ec des flux*socio=ec nets*socio=rien ayant plus que compensé l'augmentation*socio=uv des intérêts*socio=ec et des bénéfices*socio=ec. Les transferts*socio=ec nets*socio=rien vers les pays_en_développement*socio=ac ont été*socio=rien non seulement positifs*socio=uv pour la *socio=rien cinquième année consécutive *socio=nil mais aussi substantiels*socio=rien , puisqu'ils ont représenté 2j% du*socio=rien PIB*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac, contre 1,8% en 1992. En raison*socio=uv de la contraction*socio=et des flux*socio=ec d'IDE*socio=ac vers les *socio=ac pays industriels,*socio=nil on*socio=nil estime*socio=rien *socio=nil que les pays_en_développement*socio=ac ont porté leur *socio=rien part du total mondial*socio=te des*socio=nil investissements_directs_étrangers*socio=ec aux*socio=nil environs *socio=nil de 35%, contre 31% en 1992. L'amélioration*socio=uv *socio=rien du climat économique*socio=ec *socio=nil a rendu de nombreux*socio=rien pays*socio=ac attrayants*socio=rien pour les investisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv; la privatisation*socio=et d'entreprises_publiques*socio=et a aussi stimulé les entrées de capitaux*socio=ec, surtout en amérique_latine*socio=ac et en Europe*socio=ac orientale*socio=te. La Chine*socio=ac a été*socio=rien , de loin*socio=rien , le premier*socio=rien destinataire des IDE*socio=ac, ayant reçu 15 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec en 1993, soit 4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec de plus qu'en 1992. En général*socio=rien , l'investissement_direct_étranger*socio=te est*socio=rien resté centré *socio=rien sur un nombre *socio=nil restreint de pays_en_développement*socio=ac: cinq*socio=rien pays*socio=ac - la Chine*socio=ac, le Mexique*socio=ac, l'Argentine*socio=ac, la Malaisie*socio=ac et la Thaïlande*socio=ac (en ordre*socio=rien décroissant selon le montant*socio=ec des IDE*socio=ac reçus) - ont absorbé 59% *socio=rien du total.*socio=nil Au*socio=nil plan régional*socio=te,*socio=nil *socio=nil ce sont l'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien (25 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec), l' amérique_latine*socio=ac (18 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec) et la région*socio=te Europe*socio=ac et Asie*socio=ac centrale*socio=rien (9 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec) qui ont attiré le plus d'IDE*socio=ac. Les montants*socio=rien reçus par la plupart*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec ont toutefois stagné, à cause*socio=rien de la faible*socio=rien augmentation*socio=uv des flux*socio=ec publics*socio=et et aussi parce que, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien , ces pays*socio=ac n'ont pas accès*socio=uv aux *socio=ec marchés_financiers privés.*socio=nil *socio=nil Certains de ces pays*socio=ac ont aussi souffert de la désaffection du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, comme cela a été*socio=rien le cas*socio=rien de banques*socio=ac commerciales*socio=ec pour l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac. La répartition*socio=uv des flux*socio=ec d'investissements*socio=ec de portefeuille*socio=ec en actions*socio=rien semble avoir suivi le même schéma*socio=rien , les trois *socio=rien quarts du total *socio=nil de 13 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec étant allés à l'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien et à l' amérique_latine*socio=ac. Les titres*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac sont aujourd'hui sous-représentés dans les portefeuilles*socio=ec des investisseurs*socio=ac des *socio=ac pays industriels,*socio=nil en*socio=nil dépit*socio=rien des*socio=nil *socio=rien avantages considérables *socio=nil qu'ils présentent *socio=rien du point de*socio=nil vue *socio=nil de la diversification*socio=rien et d'un*socio=rien meilleur*socio=rien rendement*socio=ec compte*socio=rien tenu des risques*socio=uv. Si les pays*socio=ac persistent dans leurs réformes*socio=et, le *socio=uv rééquilibrage progressif *socio=nil de ces portefeuilles*socio=ec en expansion*socio=ec devrait sensiblement renforcer les *socio=ec flux privés *socio=nil vers les pays_en_développement*socio=ac. Cependant, ces flux*socio=ec seront sans doute*socio=rien plus instables*socio=uv que les investissements_directs_étrangers*socio=ec, car ils sont plus sensibles*socio=rien aux mouvements*socio=ec mondiaux*socio=te des taux_d'_intérêt*socio=ec et aux effets*socio=rien "d'entraînement", positifs*socio=uv ou négatifs*socio=rien . *socio=rien Évolution du marché*socio=ec des*socio=nil produits primaires.*socio=nil Les*socio=nil tendances du marché*socio=ec des*socio=nil produits primaires ont*socio=nil été peu*socio=nil homogènes*socio=uv *socio=nil en 1993: si les prix*socio=ec des produits*socio=rien non pétroliers*socio=ec ont modérément augmenté, ceux des produits*socio=rien pétroliers*socio=ec ont à nouveau*socio=rien fortement baissé. Pour les premiers*socio=rien , l'indice_des_prix*socio=ec en dollars*socio=ec a gagné 1,4% par rapport*socio=rien à 1992, grâce*socio=rien à la revitalisation*socio=uv graduelle*socio=rien de la croissance*socio=uv dans les *socio=ac pays industriels,*socio=nil *socio=nil à la poursuite*socio=rien de la croissance*socio=uv dans les pays_en_développement*socio=ac et à l'abaissement*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec internationaux*socio=te (Tableau*socio=rien 2-5). En dollars*socio=ec constants*socio=rien de 1990 (en utilisant comme déflateur l'indice de la valeur*socio=ec unitaire*socio=rien des produits*socio=rien manufacturés exportés par les cinq*socio=rien plus grands*socio=rien *socio=ac pays industriels *socio=nil vers les pays_en_développement*socio=ac), les prix*socio=ec des produits*socio=rien non pétroliers*socio=ec ont augmenté de 1%. Quelle que soit la mesure*socio=rien de référence*socio=rien , la légère*socio=rien augmentation*socio=uv observée en 1993 est*socio=rien la première*socio=rien en *socio=rien cinq ans et*socio=nil fait suite *socio=nil à une chute de 27% (en dollars*socio=ec constants*socio=rien ) durant la période*socio=te 1988-92, de sorte*socio=rien qu'exprimés en dollars*socio=ec constants*socio=rien les prix*socio=ec de 1993 étaient inférieurs*socio=rien de près de 50% à leur moyenne*socio=rien de l'après-guerre*socio=te. Si elle a *socio=rien été faible,*socio=nil la*socio=nil hausse *socio=nil de l' indice_des_prix*socio=ec des produits*socio=rien non pétroliers*socio=ec a du*socio=rien moins été*socio=rien assez régulière*socio=rien d'un*socio=rien bout*socio=rien à l'autre de l'année*socio=rien ; au quatrième*socio=rien trimestre*socio=te, les prix*socio=ec dépassaient de 3,7% le niveau*socio=rien atteint au même moment*socio=rien en 1992 au point*socio=rien le plus *socio=rien bas du cycle*socio=te.*socio=nil *socio=nil Si l'on compare de quatrième*socio=rien trimestre*socio=te à quatrième*socio=rien trimestre*socio=te, on constate que ce sont les boissons*socio=rien , les céréales*socio=ec et le *socio=rien bois oeuvre *socio=nil qui ont le plus contribué au redressement*socio=uv des prix*socio=ec. De tous les groupes*socio=rien de produits*socio=rien , ce sont les métaux*socio=ec et les minéraux*socio=ec qui ont subi la chute de prix*socio=ec la plus forte*socio=rien en 1993, baissant en moyenne*socio=rien de 14,6% par rapport*socio=rien à 1992. En dollars*socio=ec constants*socio=rien , l'indice_des_prix*socio=ec de cette catégorie*socio=rien n'avait jamais été*socio=rien aussi bas*socio=rien depuis la guerre*socio=et. Les prix*socio=ec de tous les grands*socio=rien métaux*socio=ec industriels*socio=ac (cuivre*socio=ec, étain*socio=ec, nickel*socio=ec, aluminium*socio=ec, plomb*socio=ec, zinc*socio=ec, minerai de fer*socio=rien ) ont fortement diminué; seuls*socio=rien les prix*socio=ec des métaux*socio=ec précieux*socio=rien ont augmenté. La demande*socio=ec mondiale*socio=te totale*socio=rien de métaux*socio=ec industriels*socio=ac a été*socio=rien généralement stagnante ou en baisse*socio=rien par rapport*socio=rien à l'année*socio=rien précédente*socio=rien , le renforcement*socio=uv de la demande*socio=ec aux États-unis*socio=ac et dans les pays_en_développement*socio=ac étant annulé par sa faiblesse*socio=rien en Europe*socio=ac, au Japon*socio=ac et dans les économies_en_transition*socio=ec d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te et de l'ex-union_soviétique*socio=ac. L'existence*socio=rien de capacités*socio=rien de production*socio=ec inutilisées*socio=rien et la hausse*socio=rien de la production*socio=ec mondiale*socio=te ont aggravé les pressions*socio=uv à la *socio=rien baisse sur les*socio=nil prix*socio=ec *socio=nil de l'aluminium*socio=ec et du*socio=rien minerai de fer*socio=rien . L'augmentation*socio=uv des exportations*socio=ec de la Russie*socio=ac a affecté les marchés*socio=ec de l'aluminium*socio=ec et du*socio=rien nickel*socio=ec. Vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien , les prix*socio=ec du*socio=rien plomb*socio=ec, du*socio=rien zinc*socio=ec et du*socio=rien nickel*socio=ec se sont redressés, à des degrés*socio=rien divers, par suite*socio=rien des plus fortes*socio=rien compressions*socio=et de la production*socio=ec intervenues dans ces secteurs*socio=ec. Le prix*socio=ec *socio=rien du baril de*socio=nil pétrole*socio=ec brut *socio=nil a perdu 2 dollars*socio=ec (11,6%), tombant à 15,30 dollars*socio=ec. Cette baisse*socio=rien s'est*socio=rien produite principalement au *socio=rien second semestre.*socio=nil Les*socio=nil pressions*socio=uv *socio=nil qui se sont exercées sur*socio=rien les *socio=ec prix pétroliers *socio=nil ont tenu à plusieurs facteurs*socio=rien . L'effet*socio=rien de la *socio=rien faible hausse *socio=nil de la demande*socio=ec dans les *socio=ac pays industriels a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil plus que neutralisé par l'augmentation*socio=uv de la production*socio=ec en *socio=rien mer du Nord*socio=te *socio=nil et au Canada*socio=ac. Si la production*socio=ec a fortement diminué dans les pays*socio=ac de l'ex-union_soviétique*socio=ac et d'Europe*socio=ac orientale*socio=te, la consommation*socio=ec a baissé un*socio=rien peu plus fortement encore, laissant davantage de pétrole*socio=ec *socio=rien disponible sur le*socio=nil marché*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Enfin, si la demande*socio=ec de pétrole*socio=ec a augmenté très vigoureusement dans les pays_en_développement*socio=ac (d'environ 1 million*socio=rien de barils*socio=rien par jour*socio=rien ), la production*socio=ec de ces mêmes pays*socio=ac a progressé davantage encore (d'environ 1,2 million*socio=rien de barils*socio=rien par jour*socio=rien ). Les pays*socio=ac de l'OPEP*socio=ac ont été*socio=rien à l'origine*socio=rien des deux tiers*socio=rien de l'augmentation*socio=uv de la production*socio=ec. Ralentissement*socio=uv de la croissance*socio=uv du*socio=rien commerce*socio=ec mondial*socio=te. La croissance*socio=uv *socio=rien du volume des*socio=nil *socio=ec exportations mondiales s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil ralentie et n'est*socio=rien estimée qu'à 2,6% pour 1993 (Tableau*socio=rien 2-6). Les deux *socio=rien causes majeures *socio=nil de cette évolution*socio=rien ont été*socio=rien , d'une part*socio=rien , la récession*socio=ec en Europe*socio=ac (qui a freiné les échanges*socio=ec intra-européens, *socio=rien principale composante du commerce*socio=ec des*socio=nil *socio=ac pays européens *socio=nil , de même que leurs importations*socio=ec en *socio=rien provenance du reste du monde*socio=te)*socio=nil *socio=nil et, d'autre part*socio=rien , la faiblesse*socio=rien de la croissance*socio=uv au Japon*socio=ac. La reprise aux États-unis*socio=ac, qui a accru la demande*socio=ec d'importations*socio=ec, n'a pas *socio=rien été suffisante *socio=nil pour compenser le ralentissement*socio=uv imposé au commerce*socio=ec mondial*socio=te par la conjoncture*socio=et défavorable*socio=uv en Europe*socio=ac et au Japon*socio=ac. Selon les estimations*socio=ec du*socio=rien GATT*socio=ec, les échanges*socio=ec de services*socio=ec marchands pourraient n'avoir augmenté que de 3% en chiffres nominaux*socio=rien , atteignant 1,030 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec, alors qu'ils avaient progressé de 12% en 1992. En conséquence*socio=rien , les pays*socio=ac à revenu*socio=ec faible*socio=rien ou intermédiaire*socio=rien ont vu la croissance*socio=uv *socio=rien du volume *socio=nil de leurs exportations*socio=ec de marchandises*socio=ec se ralentir et tomber à 3,8%. En Asie*socio=ac, la croissance*socio=uv des exportations*socio=ec est*socio=rien restée robuste*socio=rien - 7,4% -, bien*socio=rien qu'inférieure*socio=rien aux 12,5% de l'année*socio=rien précédente*socio=rien , tandis qu'en amérique_latine*socio=ac elle est*socio=rien passée de 6,3% à 5,6%. Les exportations*socio=ec des pays*socio=ac de la région*socio=te Europe*socio=ac et Asie*socio=ac centrale*socio=rien , davantage orientées vers les marchés*socio=ec d'Europe*socio=ac occidentale*socio=ac, ont baissé de 4%. Deux événements*socio=rien survenus en 1993 - l'achèvement*socio=rien de l'uruguay_round*socio=ec et la signature*socio=rien de l'ALENA*socio=et entre le Canada*socio=ac, les États-unis*socio=ac et le Mexique*socio=ac - ont fait*socio=rien ressortir toute l'importance*socio=rien que revêt pour l'avenir*socio=te la coexistence de deux mouvements*socio=rien : l'un*socio=rien tendant à la mise en place*socio=rien de vastes*socio=rien accords*socio=et commerciaux*socio=ec multilatéraux*socio=te dans le *socio=rien cadre du GATT*socio=ec,*socio=nil *socio=nil et l'autre à la conclusion*socio=rien de dispositifs*socio=rien d'intégration*socio=uv régionale*socio=te. Le Secrétariat*socio=ac du*socio=rien GATT*socio=ec estime*socio=rien que, sous l'effet*socio=rien de l'uruguay_round*socio=ec, les échanges*socio=ec mondiaux*socio=te de marchandises*socio=ec devraient en l'an*socio=rien 2005 dépasser de 12% (soit d'environ 745 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec de 1992) le niveau*socio=rien qui serait le leur à la même date s'ils avaient continué à se développer au *socio=rien rythme moyen des*socio=nil années *socio=nil 1980-91 (4,1%). C'est*socio=rien pour les secteurs*socio=ec des vêtements*socio=ec (60%), des textiles*socio=ec (34%), des produits*socio=rien agricoles*socio=ec et forestiers*socio=ec et de la pêche*socio=ec (20%) et, enfin, des *socio=rien produits alimentaires *socio=nil transformés et des boissons*socio=rien (19%) que l'on s'attend aux plus fortes*socio=rien augmentations*socio=uv. Selon les estimations*socio=ec, le revenu*socio=ec mondial*socio=te pourrait s'en trouver accru d'au moins 1%, soit d'environ 212 à 270 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par an*socio=rien (dollars*socio=ec de 1992). Sur*socio=rien ce total*socio=rien , 80 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec devraient aller aux pays_en_développement*socio=ac. Les *socio=rien effets sur les*socio=nil exportations*socio=ec et*socio=nil sur les*socio=nil revenus*socio=ec réels *socio=nil varieront sans doute*socio=rien sensiblement d'une région*socio=te à l'autre, car ils seront largement tributaires*socio=rien des dispositions*socio=rien de l'accord*socio=et relatives*socio=rien à l'accès*socio=uv au marché*socio=ec (Encadré 2-1). L'Asie*socio=ac y gagnera beaucoup. Les exportateurs*socio=ac de textiles*socio=ec et de vêtements*socio=ec soumis à contingents*socio=uv (principalement en Asie_du_sud-est*socio=ac et de l'Est*socio=rien , Chine*socio=ac comprise) bénéficieront grandement de l'élimination*socio=rien progressive*socio=uv (en l'espace*socio=rien de dix ans*socio=rien ) de l'Arrangement_multifibres*socio=et, les contingents*socio=uv devant*socio=rien augmenter d'environ 50% sur*socio=rien sept ans*socio=rien . L'amérique_latine*socio=ac y gagnera aussi, mais dans une *socio=rien moindre proportion.*socio=nil Ses*socio=nil exportateurs*socio=ac de*socio=nil produits alimentaires (*socio=nil Argentine*socio=ac,*socio=nil Chili*socio=ac et*socio=nil Uruguay*socio=ac,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=uv)*socio=nil *socio=nil bénéficieront des réductions*socio=uv des *socio=ec subventions agricoles.*socio=nil Les*socio=nil économies *socio=nil latino-américaines devraient également profiter de l'abaissement*socio=rien des tarifs*socio=ec douaniers*socio=ac pour les métaux*socio=ec et les minéraux*socio=ec, et n'ont guère à perdre *socio=rien du côté des*socio=nil préférences*socio=et.*socio=nil Les*socio=nil avantages *socio=nil que les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac tireront des négociations*socio=uv d'Uruguay*socio=ac seront limités par le peu de poids*socio=rien des produits*socio=rien manufacturés dans leurs exportations*socio=ec. Néanmoins, l'accélération*socio=rien de la croissance*socio=uv mondiale*socio=te provoquée par la libéralisation*socio=ec partielle*socio=rien des *socio=ec échanges commerciaux *socio=nil qui résultera des négociations*socio=uv devrait apporter un*socio=rien soutien*socio=uv supplémentaire*socio=rien , à la marge, au niveau*socio=rien des prix*socio=ec et de la demande*socio=ec pour les *socio=rien produits primaires intéressant la*socio=nil région*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil *socio=ac pays africains *socio=nil craignent toutefois que l'abaissement*socio=rien des droits*socio=uv douaniers*socio=ac réduise la marge de préférence*socio=et accordée à leurs exportations*socio=ec en vertu*socio=rien des arrangements*socio=et préférentiels unilatéraux actuels*socio=rien tels que la Convention*socio=et de Lomé. Cependant, outre que ces préférences*socio=et ont *socio=rien un caractère *socio=nil limité, les *socio=rien nouvelles dispositions *socio=nil seront appliquées progressivement, ce qui devrait en limiter*socio=rien les effets*socio=rien défavorables*socio=uv. Au cours*socio=rien des 15 *socio=rien prochaines années,*socio=nil l'*socio=nil ALENA*socio=et *socio=nil éliminera les obstacles*socio=rien aux flux*socio=ec d'investissements*socio=ec et d'échanges*socio=ec commerciaux*socio=ec entre les pays*socio=ac d' amérique_du_nord*socio=ac; l'accord*socio=et ouvre également la voie*socio=rien à des réformes*socio=et des politiques*socio=et internes*socio=rien afin de favoriser le commerce*socio=ec et la concurrence*socio=ec dans une zone*socio=rien dont la taille économique*socio=ec rivalise avec celle de l'union_européenne*socio=ec. L'ALENA*socio=et aura pour *socio=rien principal effet *socio=nil d'améliorer les perspectives*socio=uv de croissance*socio=uv du*socio=rien Mexique*socio=ac, pays*socio=ac pour lequel l'application*socio=rien de l'accord*socio=et impliquera le plus gros*socio=rien effort*socio=uv de libéralisation*socio=ec et qui devrait donc bénéficier d'une forte*socio=rien poussée de ses exportations*socio=ec. Les modèles*socio=rien économiques*socio=ec indiquent qu'à court_terme*socio=ec FALENA ajoutera 11% et 9%, respectivement, aux exportations*socio=ec du*socio=rien Mexique*socio=ac et du*socio=rien Canada*socio=ac vers les États-unis*socio=ac, tandis que les achats*socio=ec des États-unis*socio=ac au *socio=rien reste du monde*socio=te *socio=nil pourraient légèrement diminuer. L'ALENA*socio=et présente*socio=rien ce désavantage pour les trois pays*socio=ac signataires*socio=rien que les *socio=rien dispositions relatives *socio=nil à la teneur*socio=rien en éléments*socio=rien d'origine*socio=rien locale*socio=te pourraient les empêcher de s'adresser à *socio=rien certaines sources d'*socio=nil approvisionnement*socio=ec bon marché*socio=ec *socio=nil (hors ALENA*socio=et), ce qui restreindrait leur aptitude*socio=rien à utiliser les préférences*socio=et tarifaires*socio=ec et non tarifaires*socio=ec que leur confère l'accord*socio=et. L'adoption*socio=et de l'ALENA*socio=et et le renforcement*socio=uv de l'union_européenne*socio=ec par la mise en *socio=rien place du marché_unique*socio=ec témoignent du regain d'*socio=nil intérêt*socio=uv *socio=nil suscité par les dispositifs*socio=rien d'intégration*socio=uv régionale*socio=te, tendance*socio=rien dite du*socio=rien "nouveau*socio=rien régionalisme*socio=te". Les dispositifs*socio=rien d'intégration*socio=uv régionale*socio=te, c'est-à-dire l'octroi*socio=rien négocié de préférences*socio=et commerciales*socio=ec réciproques entre pays*socio=ac d'une même région*socio=te, peuvent prendre plusieurs formes*socio=rien . Ils vont de régimes*socio=et commerciaux*socio=ec préférentiels et d'accords*socio=et de libre-échange*socio=ec (abaissement*socio=rien ou élimination*socio=rien des droits*socio=uv de douane*socio=ac entre pays*socio=ac signataires*socio=rien , ceux-ci restant libres*socio=uv de leurs politiques_commerciales*socio=ec envers les pays*socio=ac tiers*socio=rien )jusqu'aux *socio=ac unions douanières.*socio=nil Les*socio=nil pays_membres *socio=nil d'une union*socio=uv douanière*socio=et vont au-delà d'une simple*socio=rien réduction*socio=uv des droits*socio=uv de douane*socio=ac au profit*socio=ec de leurs partenaires*socio=uv et appliquent aux pays*socio=ac tiers*socio=rien une politique_commerciale*socio=ec commune*socio=uv. Dans le cas*socio=rien d'un*socio=rien marché_commun*socio=ec, ils autorisent en outre la libre*socio=uv circulation*socio=ec de la main-d'_oeuvre*socio=ac et des capitaux*socio=ec et, dans celui d'une union*socio=uv économique*socio=ec, ils vont plus loin*socio=rien encore en se donnant pour objectif*socio=rien d'harmoniser leurs politiques*socio=et microéconomiques*socio=ec et macroéconomiques*socio=ec ("intégration*socio=uv profonde*socio=rien "). La tendance*socio=rien au renforcement*socio=uv de la régionalisation*socio=te du*socio=rien commerce*socio=ec mondial*socio=te n'est*socio=rien pas nouvelle*socio=rien . Une étude*socio=ac *socio=rien récente du GATT*socio=ec *socio=nil montre que le commerce*socio=ec intrarégional*socio=te *socio=rien est passé *socio=nil de 7% du*socio=rien PIB*socio=ec mondial*socio=te en 1948 à 17% en 1990, évolution*socio=rien principalement due à l'Europe*socio=ac occidentale*socio=ac. Cependant, cette augmentation*socio=uv n'a pas étouffé les échanges*socio=ec interrégionaux*socio=te, dont la part*socio=rien dans le PIB*socio=ec est*socio=rien restée passablement stable*socio=uv, entre 15 et 16%. L'avènement*socio=rien d'un*socio=rien "régionalisme*socio=te bienveillant" - c'est-à-dire de nature*socio=rien à minimiser le préjudice*socio=et porté aux pays*socio=ac tiers*socio=rien et à contribuer à l'efficacité*socio=uv économique*socio=ec et commerciale*socio=ec à l'échelle*socio=rien du*socio=rien monde*socio=te - dépend donc fondamentalement de la volonté*socio=uv de préserver et de renforcer l'ouverture*socio=rien et la coopération*socio=uv multilatérale*socio=te entre les blocs commerciaux*socio=ec. C'est*socio=rien pourquoi l'heureuse*socio=rien issue*socio=rien des négociations*socio=uv d'Uruguay*socio=ac est*socio=rien venue apaiser la crainte*socio=rien de voir le "nouveau*socio=rien régionalisme*socio=te" se substituer à une libéralisation*socio=ec multilatérale*socio=te des *socio=ec échanges commerciaux.*socio=nil *socio=nil Pour écarter les risques*socio=uv posés par les dispositifs*socio=rien d'intégration*socio=uv régionale*socio=te, les négociations*socio=uv d'Uruguay*socio=ac ont renforcé les règles*socio=et du*socio=rien GATT*socio=ec selon lesquelles la mise en place*socio=rien d'un*socio=rien dispositif*socio=rien d'intégration*socio=uv régionale*socio=te ne doit pas ajouter aux obstacles*socio=rien opposés aux pays*socio=ac tiers*socio=rien . En outre, l'accord*socio=et intervenu à l'issue*socio=rien des négociations*socio=uv prévoit un*socio=rien resserrement*socio=uv de la surveillance*socio=et des dispositifs*socio=rien d'intégration*socio=uv régionale*socio=te, responsabilité*socio=uv qui sera certainement confiée à la nouvelle*socio=rien organisation_mondiale_du_commerce*socio=ac (OMC*socio=ac) qui succédera au GATT*socio=ec en 1995. L'OMC*socio=ac, dont la création*socio=rien répond à la volonté*socio=uv des participants*socio=ac aux négociations*socio=uv d'Uruguay*socio=ac d'assurer le respect*socio=uv des règles*socio=et de libre-échange*socio=ec du*socio=rien GATT*socio=ec, aura le pouvoir*socio=et d'imposer des sanctions*socio=uv commerciales*socio=ec aux pays*socio=ac dans le cadre*socio=rien de procédures*socio=rien semi-judiciaires de règlement*socio=et des différends*socio=uv telles que les pays*socio=ac ne pourront plus ignorer les *socio=rien décisions prises *socio=nil à leur encontre*socio=rien . Chapitre*socio=rien trois: Principaux*socio=rien programmes*socio=et de la banque_mondiale*socio=ac: exercice*socio=rien 94. Le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1990 définissait les *socio=rien grandes lignes *socio=nil d'une stratégie*socio=et de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, à partir de l'expérience*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac de toutes les régions*socio=te du*socio=rien monde*socio=te. Trois documents*socio=rien ont ensuite explicité ce que devrait faire la banque_mondiale*socio=ac pour intégrer cette stratégie*socio=et à ses opérations*socio=rien (Stratégies*socio=et d'assistance*socio=et pour réduire la pauvreté*socio=uv, Manuel*socio=rien de réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv, et *socio=rien Directive opérationnelle *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac sur*socio=rien la réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv). Pour évaluer les progrès*socio=uv accomplis, il s'agit de voir dans quelle mesure*socio=rien la Banque*socio=ac a effectivement donné suite*socio=rien aux recommandations*socio=rien de ces trois documents*socio=rien . Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, la Banque*socio=ac a continué à progresser dans l'application*socio=rien de sa stratégie*socio=et de réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv à la fois*socio=rien dans le cadre*socio=rien de ses opérations*socio=rien de prêt*socio=ec et en renforçant la concertation*socio=uv avec les autorités*socio=et nationales*socio=te. Elle a en outre intensifié ses travaux*socio=rien d'analyse*socio=rien de sorte*socio=rien que la stratégie*socio=et d'aide*socio=uv retenue*socio=rien pour chaque pays*socio=ac repose sur*socio=rien le dosage*socio=rien le plus approprié entre les *socio=rien diverses catégories de*socio=nil prêt*socio=ec,*socio=nil *socio=nil et en vue*socio=rien aussi d'améliorer le ciblage*socio=rien et la conception*socio=rien de ses opérations*socio=rien . A l'échelon*socio=rien des vice-présidences*socio=ac centrales*socio=rien comme des vice-présidences*socio=ac régionales*socio=te, la Banque*socio=ac suit désormais de *socio=rien manière systématique les*socio=nil moyens*socio=ec *socio=nil mis en oeuvre*socio=rien pour aider les pays*socio=ac à réduire la pauvreté*socio=uv. Dès le stade*socio=te de la planification*socio=et, chaque opération*socio=rien d'ajustement*socio=et est*socio=rien classée selon qu'elle est*socio=rien ou non centrée sur*socio=rien la pauvreté*socio=uv, et chaque projet*socio=rien d'investissement*socio=ec selon qu'il relève*socio=ac ou non du*socio=rien Programme_d'_interventions_ciblées*socio=et (PIC*socio=et). Chaque vice-présidence*socio=ac régionale*socio=te détermine périodiquement les progrès*socio=uv accomplis dans la mise en oeuvre*socio=rien de la stratégie*socio=et de la Banque*socio=ac pour la réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv, en indiquant les *socio=rien initiatives spéciales prises *socio=nil pour renforcer l'effort*socio=uv. Pour mettre à la disposition*socio=rien des services*socio=ec opérationnels*socio=rien de la Banque*socio=ac des techniques*socio=rien et instruments*socio=rien d'analyse*socio=rien d'une meilleure*socio=rien efficacité*socio=uv, les vice-présidences*socio=ac centrales*socio=rien s'emploient à perfectionner les outils*socio=rien d'analyse*socio=rien , à diffuser les méthodes*socio=rien d'analyse*socio=rien et de conception*socio=rien des projets*socio=rien correspondant aux "pratiques*socio=et optimales*socio=rien ", et à organiser des activités*socio=rien de formation*socio=et. Valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec. Les pays_en_développement*socio=ac à la recherche*socio=rien d'orientations*socio=et conceptuelles et de concours financiers*socio=ec en vue*socio=rien d'investissements*socio=ec dans les ressources_humaines*socio=ec se tournent de plus en plus vers la Banque*socio=ac. Pour leur part*socio=rien , les bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec orientent une *socio=rien part croissante *socio=nil de leur aide*socio=uv vers ce secteur*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv et demandent à la Banque*socio=ac de coordonner leurs apports*socio=rien . La Vice-présidence*socio=ac Développement*socio=uv des ressources_humaines_et_politique_opérationnelle*socio=ac (HRO*socio=ac) est*socio=rien le pivot des actions*socio=rien de la Banque*socio=ac visant les ressources_humaines*socio=ec et la pauvreté*socio=uv. Pertinence*socio=rien de l'opération*socio=rien et adaptation*socio=uv aux besoins*socio=uv du*socio=rien client*socio=ac sont les deux *socio=rien principaux critères *socio=nil qui guident le choix*socio=uv des interventions*socio=et à l'appui*socio=rien de la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec. Durant l'exercice*socio=rien écoulé, les services*socio=ec analytiques*socio=rien de la *socio=ac Vice-présidence HRO *socio=nil ont aussi été*socio=rien fortement mis à contribution*socio=uv. Les Administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac, et les six vice-présidences*socio=ac régionales*socio=te, lui ont demandé d'analyser plusieurs *socio=rien sujets importants:*socio=nil enseignement_supérieur*socio=et *socio=nil (Encadré 3-1), égalité*socio=uv entre les sexes*socio=rien , et population*socio=ac. Les publications*socio=rien de la vice-présidence*socio=ac - documents*socio=rien de travail*socio=rien , notes d'information*socio=rien , *socio=rien bulletins sur les*socio=nil questions de*socio=nil population*socio=ac *socio=nil et de santé*socio=et/nutrition*socio=rien - comme les informations*socio=rien diffusées par *socio=rien voie électronique *socio=nil se révèlent populaires*socio=ac tant auprès des chefs*socio=ac de projet*socio=rien que du*socio=rien public*socio=ac extérieur*socio=ec. Instruments*socio=rien de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. Durant l'exercice*socio=rien écoulé - qu'il s'agisse des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec, de l'élaboration*socio=rien de stratégies-pays*socio=et et de la concertation*socio=uv avec les responsables*socio=uv nationaux*socio=te, ou de l'analyse*socio=rien de la problématique*socio=rien de la pauvreté*socio=uv -, les activités*socio=rien de la Banque*socio=ac à l'appui*socio=rien de la réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv ont continué de progresser. Le Programme*socio=et de prêt*socio=ec pour la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec (éducation*socio=et; population*socio=ac, santé*socio=et et nutrition*socio=rien ; et secteur*socio=ec social*socio=ac) est*socio=rien resté dynamique*socio=uv durant l'exercice*socio=rien 94, les engagements*socio=ec atteignant 3,104 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (15% *socio=rien du total des*socio=nil engagements*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac). Avec quelque 1,198 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, le secteur*socio=ec des ressources_humaines*socio=ec a reçu 18% des nouveaux*socio=rien engagements*socio=ec de l'IDA*socio=ac. Les prêts*socio=ec à l'agriculture*socio=ec et au secteur*socio=ec de l'eau*socio=ec et de l'assainissement*socio=uv, qui jouent *socio=rien un rôle important *socio=nil dans l'action*socio=rien de la Banque*socio=ac contre la pauvreté*socio=uv, ont augmenté de plus de 400 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Les projets*socio=rien relevant du*socio=rien PIC*socio=et ont reçu 25% *socio=rien du total des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil affectés à des projets*socio=rien d'investissement*socio=ec (Tableau*socio=rien 3-1). La part*socio=rien des projets*socio=rien PIC*socio=et dans le total*socio=rien des engagements*socio=ec de l'IDA*socio=ac en faveur*socio=rien de projets*socio=rien d'investissement*socio=ec est*socio=rien passée à 43% . Pour qu'un*socio=rien projet*socio=rien soit inclus dans le PIC*socio=et, il faut qu'il comporte des interventions*socio=et *socio=rien spécifiquement destinées aux*socio=nil pauvres*socio=ac *socio=nil ou que la part*socio=rien des pauvres*socio=ac parmi ses bénéficiaires*socio=ac soit sensiblement supérieure*socio=rien à leur part*socio=rien dans la population*socio=ac totale*socio=rien . Sur*socio=rien les 23 opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et approuvées durant l'exercice*socio=rien 94, 17 (trois sur*socio=rien quatre) étaient centrées sur*socio=rien la pauvreté*socio=uv. Il est*socio=rien aujourd'hui largement admis que la participation*socio=uv des bénéficiaires*socio=ac à la conception*socio=rien et à l'exécution*socio=rien des *socio=rien projets est *socio=nil souvent une *socio=rien importante condition d'*socio=nil efficacité*socio=uv.*socio=nil *socio=nil Aussi la Banque*socio=ac recourt de plus en plus à des méthodes*socio=rien participatives*socio=uv - évaluations*socio=uv auprès des bénéficiaires*socio=ac, évaluations*socio=uv rurales*socio=te basées sur*socio=rien la participation*socio=uv, et ateliers*socio=rien participatifs*socio=uv pour affiner la conception*socio=rien des projets*socio=rien . Il ressort d'un*socio=rien *socio=rien premier examen *socio=nil des 228 opérations*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94 que, pour 96 d'entre elles, il a *socio=rien été fait appel aux*socio=nil principales parties prenantes (*socio=nil personnes devant *socio=nil individuellement bénéficier *socio=rien du projet,*socio=nil personnes *socio=nil affectées d'une manière*socio=rien ou d'une autre par le projet*socio=rien , organisations_communautaires*socio=ac, groupements*socio=ac d'usagers*socio=rien et autres tels qu'associations*socio=ac de producteurs*socio=ac et coopératives*socio=ac). L'effet*socio=rien salutaire de la participation*socio=uv des bénéficiaires*socio=ac apparaît maintenant plus clairement. D'après*socio=rien une étude*socio=ac portant sur*socio=rien 121 projets*socio=rien ruraux*socio=te d'approvisionnement*socio=ec en eau*socio=ec et d'assainissement*socio=uv, exécutés avec l'aide*socio=uv de 18 organismes*socio=ac d'aide_au_développement*socio=uv (dont la Banque*socio=ac) dans divers pays*socio=ac d'Asie*socio=ac, d'Afrique*socio=ac et d'amérique_latine*socio=ac, la participation*socio=uv des bénéficiaires*socio=ac est*socio=rien le *socio=rien principal facteur déterminant *socio=nil de la *socio=rien qualité globale *socio=nil de l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien . De même, dans son *socio=rien Rapport annuel *socio=nil 1992 (Annual Report*socio=rien of Evaluation Results 1992), le Département*socio=ac de l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac fait*socio=rien de la participation*socio=uv des bénéficiaires*socio=ac et de l'appropriation *socio=rien du projet *socio=nil par l'emprunteur*socio=ac deux *socio=rien caractéristiques importantes *socio=nil des 24 opérations*socio=rien considérées comme remarquables*socio=rien . L'exercice*socio=rien 94 a vu le couronnement de trois années*socio=rien d'étude*socio=ac *socio=rien du facteur participation*socio=uv.*socio=nil Ce*socio=nil processus,*socio=nil *socio=nil engagé à l'échelle*socio=rien de l'institution*socio=ac tout entière*socio=rien , avait pour objectif*socio=rien de faire le point*socio=rien de l'expérience*socio=uv de la Banque*socio=ac en matière*socio=rien d'approches participatives*socio=uv et d'identifier les moyens*socio=ec qui permettraient de promouvoir la participation*socio=uv dans les *socio=ac pays emprunteurs.*socio=nil *socio=nil Il a abouti à la présentation*socio=rien à la direction*socio=rien d'un*socio=rien rapport*socio=rien établi par un*socio=rien groupe*socio=ac composé d'une cinquantaine*socio=rien de *socio=rien membres du personnel *socio=nil engagés dans des activités*socio=rien participatives*socio=uv. Ce rapport*socio=rien , qui a fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien vaste examen *socio=nil à la Banque*socio=ac et au dehors parmi les spécialistes*socio=ac de la question*socio=rien , présente*socio=rien plusieurs recommandations*socio=rien et préconise notamment de faire en sorte*socio=rien que, pour tous les projets*socio=rien en préparation*socio=rien , des dispositions*socio=rien soient prises*socio=rien pour: a) identifier les *socio=rien parties prenantes *socio=nil et promouvoir systématiquement leur participation*socio=uv, et b) partager la responsabilité*socio=uv des études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien avec *socio=rien un vaste éventail de*socio=nil parties prenantes.*socio=nil *socio=nil Il a servi de base*socio=rien de *socio=rien discussion lors d'*socio=nil un atelier sur le*socio=nil *socio=uv développement participatif *socio=nil organisé par la Banque*socio=ac en mai*socio=rien 1994, qui a réuni 60 représentants*socio=ac d'ONG*socio=ac, des organismes*socio=ac d'aide*socio=uv et des centres*socio=rien d'études*socio=rien . Les débats*socio=et de cet atelier*socio=rien ont aidé la Banque*socio=ac à définir*socio=rien ses priorités*socio=uv pour les *socio=rien prochaines étapes *socio=nil maintenant que l'application*socio=rien d'approches participatives*socio=uv commence à devenir*socio=rien la norme*socio=et pour l'ensemble*socio=rien de ses activités*socio=rien . En vue*socio=rien d'encourager la généralisation*socio=rien d'approches participatives*socio=uv, un*socio=rien Fonds*socio=ec de participation*socio=uv doté de 300 000 dollars*socio=ec a été*socio=rien créé au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94 pour appuyer l'intégration*socio=uv d'une *socio=rien vaste gamme d'*socio=nil initiatives participatives*socio=uv aux*socio=nil opérations de*socio=nil prêt*socio=ec *socio=nil et autres activités*socio=rien de la Banque*socio=ac. Le fonds*socio=ec est*socio=rien devenu si populaire*socio=uv auprès des chefs*socio=ac de projet*socio=rien qu'il a été*socio=rien réapprovisionné à hauteur*socio=rien de 200 000 dollars*socio=ec pour lui permettre de faire face*socio=rien à la demande*socio=ec massive*socio=rien dont il fait*socio=rien l'objet*socio=rien . Parmi les activités*socio=rien financées par ce fonds*socio=ec a notamment figuré l'organisation*socio=rien de plusieurs ateliers*socio=rien au stade*socio=te de la *socio=rien préparation du projet *socio=nil pour examiner la conception*socio=rien de l'opération*socio=rien avec les bénéficiaires*socio=ac, les ONG*socio=ac et les services*socio=ec du*socio=rien gouvernement*socio=ac; d'autres ateliers*socio=rien ont associé*socio=rien les communautés*socio=ac locales*socio=rien à l'évaluation*socio=uv des composantes*socio=rien participatives*socio=uv de projets*socio=rien en cours*socio=rien . Sur*socio=rien la base*socio=rien de ce précédent*socio=rien , un*socio=rien Fonds*socio=ec pour la promotion*socio=uv d'approches novatrices*socio=uv du*socio=rien développement*socio=uv humain*socio=ac et social*socio=ac, doté de 2 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, a été*socio=rien créé vers la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien . Ce nouveau*socio=rien fonds*socio=ec soutiendra les efforts*socio=uv entrepris pour encourager l'adoption*socio=et d'approches participatives*socio=uv et financera *socio=rien un nombre *socio=nil limité d'évaluations*socio=uv sociales*socio=ac des *socio=rien effets potentiels des*socio=nil projets *socio=nil envisagés. Les stratégies*socio=et d'aide*socio=uv établies pour chaque pays*socio=ac et le dialogue*socio=uv entretenu avec les autorités*socio=et nationales*socio=te permettent de traiter le problème*socio=uv de la pauvreté*socio=uv dans *socio=rien un contexte *socio=nil de plus en plus large*socio=rien . Les questions*socio=rien de pauvreté*socio=uv sont ainsi abordées d'un*socio=rien point*socio=rien de *socio=rien vue global *socio=nil et considérées à la fois*socio=rien dans le contexte*socio=rien de la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec et, plus largement encore, dans celui des stratégies-pays*socio=et (politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien comprises) pour la quarantaine de pays*socio=ac qui ont déjà fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'évaluations*socio=uv ou d'autres *socio=rien analyses similaires *socio=nil de la pauvreté*socio=uv. La lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv est*socio=rien l'un*socio=rien des *socio=rien grands thèmes du dialogue*socio=uv de*socio=nil politique*socio=et générale à*socio=nil propos des*socio=nil stratégies-pays*socio=et.*socio=nil En*socio=nil particulier*socio=uv,*socio=nil les*socio=nil services_de_la_banque*socio=ac *socio=nil discutent plus souvent qu'auparavant de la réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv avec les ministères*socio=ac des finances*socio=ec et de la planification*socio=et dans le contexte*socio=rien des politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien . Plusieurs pays*socio=ac (Bélarus*socio=ac, Équateur*socio=ac et Sierra_leone*socio=ac, par exemple*socio=rien ) ont mis *socio=rien sur pied *socio=nil des cellules spéciales*socio=rien dans ces ministères*socio=ac pour mieux intégrer l'objectif*socio=rien de réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv dans la planification*socio=et économique*socio=ec. Dans le domaine*socio=rien de l'analyse*socio=rien des problèmes*socio=uv de pauvreté*socio=uv, la réalisation*socio=uv d'évaluations*socio=uv de la pauvreté*socio=uv et d'autres *socio=rien travaux analytiques a*socio=nil notablement *socio=nil avancé durant l'exercice*socio=rien 94 au cours*socio=rien duquel 11 évaluations*socio=uv ont été*socio=rien menées à bien*socio=rien , ce qui porte*socio=rien à 39 le nombre*socio=rien des évaluations*socio=uv terminées. Il est*socio=rien prévu d'achever, d'ici à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 95, 94 évaluations*socio=uv portant sur*socio=rien 83 pays*socio=ac. L'exercice*socio=rien 94 a également été*socio=rien marqué par de grands*socio=rien progrès*socio=uv vers l'amélioration*socio=uv des données *socio=rien disponibles sur les*socio=nil ménages pauvres*socio=uv,*socio=nil bien *socio=nil que le manque*socio=rien d'informations*socio=rien *socio=rien fiables reste un problème*socio=uv *socio=nil dans beaucoup de pays*socio=ac. C'est*socio=rien pour la région*socio=te Afrique*socio=ac, grâce*socio=rien à l'accélération*socio=rien des travaux*socio=rien d'enquête*socio=rien , que les progrès*socio=uv ont été*socio=rien le plus marqués. Note sur*socio=rien les évaluations*socio=uv de la pauvreté*socio=uv. Les évaluations*socio=uv de la pauvreté*socio=uv sont *socio=rien un instrument *socio=nil d'une *socio=rien importance cruciale *socio=nil pour l'action*socio=rien de la Banque*socio=ac contre la pauvreté*socio=uv, en servant de base*socio=rien à une approche coopérative entre les responsables*socio=uv nationaux*socio=te et la Banque*socio=ac. Elles aident aussi à établir l'ordre*socio=rien *socio=rien du jour du dialogue*socio=uv de*socio=nil politique*socio=et générale *socio=nil entre le gouvernement*socio=ac et la Banque*socio=ac, de même qu'entre le gouvernement*socio=ac et les organismes*socio=ac de la communauté*socio=ac internationale*socio=te des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec. L'achèvement*socio=rien d'évaluations*socio=uv pour tous les emprunteurs*socio=ac de l'IDA*socio=ac a pris plus longtemps que prévu. Cela tient principalement au temps*socio=rien qu'il faut pour surmonter les problèmes*socio=uv de données, établir des approches analytiques*socio=rien appropriées, et renforcer la participation*socio=uv du*socio=rien gouvernement*socio=ac au processus*socio=rien . Fin*socio=rien de note. *socio=rien Un rapport aux*socio=nil Administrateurs*socio=ac *socio=nil de la Banque*socio=ac, qui a ultérieurement été*socio=rien rendu public*socio=et , expose les leçons*socio=rien à tirer de l'exercice*socio=rien de la Banque*socio=ac et les défis*socio=uv qu'il reste*socio=rien à relever. - La Banque*socio=ac devra, pour chaque pays*socio=ac, faire en sorte*socio=rien que ses stratégies*socio=et d'aide*socio=uv intègrent les principaux*socio=rien problèmes*socio=uv de pauvreté*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac, qu'elles complètent les efforts*socio=uv de lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv entrepris par les gouvernements*socio=ac eux-mêmes et par d'autres bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec et qu'elles combinent judicieusement instruments*socio=rien de prêt*socio=ec généraux*socio=rien et ciblés. - La Banque*socio=ac se doit d'achever la préparation*socio=rien d'évaluations*socio=uv de la pauvreté*socio=uv pour tous les *socio=ac pays emprunteurs,*socio=nil *socio=nil d'en améliorer sans cesse la qualité*socio=rien , d'affiner l'analyse*socio=rien à travers*socio=rien une coordination*socio=uv plus étroite*socio=rien des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec, et d'intégrer pleinement les conclusions*socio=rien de ces évaluations*socio=uv dans ses stratégies-pays*socio=et. - La priorité*socio=uv doit aller aussi à la mise au point*socio=rien de systèmes*socio=rien de suivi de la pauvreté*socio=uv et au renforcement*socio=uv de la capacité*socio=rien des pays*socio=ac à appliquer ces systèmes*socio=rien . A ce jour*socio=rien , *socio=rien un petit nombre *socio=nil seulement d'évaluations*socio=uv de la pauvreté*socio=uv ont comporté *socio=rien un examen du système statistique*socio=ec national*socio=te *socio=nil et de sa contribution*socio=uv potentielle*socio=rien au suivi de la pauvreté*socio=uv; l'élaboration*socio=rien de plans*socio=rien d'action*socio=rien pour la mise en place*socio=rien progressive*socio=uv de systèmes*socio=rien de suivi de la pauvreté*socio=uv a reçu moins d'attention*socio=rien encore. rôle_de_la_femme_dans_le développement*socio=uv (RFD*socio=et). Selon *socio=rien un rapport *socio=nil préparé pour la réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1993 du*socio=rien comité_du_développement*socio=ac, la Banque*socio=ac a avancé dans la mise en oeuvre*socio=rien de la stratégie*socio=et *socio=rien opérationnelle retenue *socio=nil pour ce secteur*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv. Cette stratégie*socio=et vise à réduire les inégalités*socio=uv entre hommes*socio=ac et femmes*socio=ac et à accroître la participation*socio=uv des femmes*socio=ac au développement_économique*socio=ec en intégrant*socio=rien la problématique*socio=rien hommes*socio=ac/femmes*socio=ac à la définition*socio=rien de ses programmes_d'_aide*socio=uv aux pays*socio=ac. De tous les projets*socio=rien approuvés par la Banque*socio=ac durant l'exercice*socio=rien 93, *socio=rien un sur *socio=nil trois environ comportait des interventions*socio=et ciblées sur*socio=rien l'égalité*socio=uv des sexes*socio=rien . L'intégration*socio=uv des questions*socio=rien RFD*socio=et dans les études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien de la Banque*socio=ac se poursuit. Près de la moitié*socio=rien des rapports*socio=rien économiques*socio=ec et sectoriels*socio=rien contiennent des travaux*socio=rien d'analyse*socio=rien à ce sujet*socio=rien . Les questions*socio=rien d'égalité*socio=uv des sexes*socio=rien occupent aussi une *socio=rien place grandissante *socio=nil dans les évaluations*socio=uv de la pauvreté*socio=uv, en particulier*socio=uv lorsque le nombre*socio=rien des ménages*socio=rien dirigés par une femme*socio=ac est*socio=rien proportionnellement très élevé*socio=rien et que les indicateurs*socio=ec sociaux*socio=ac témoignent*socio=rien de sensibles*socio=rien différences*socio=uv entre hommes*socio=ac et femmes*socio=ac. D'après*socio=rien le rapport*socio=rien d'avancement de 1993, *socio=rien diverses leçons *socio=nil ont déjà été*socio=rien tirées des recherches*socio=ec entreprises*socio=ac par la Banque*socio=ac pour définir*socio=rien les "pratiques*socio=et optimales*socio=rien " dans les domaines*socio=rien de l'éducation*socio=et, de l'agriculture*socio=ec, de la maternité*socio=uv sans risques*socio=uv, du*socio=rien développement*socio=uv des entreprises*socio=ac et des *socio=ec services financiers.*socio=nil *socio=nil Pour l'agriculture*socio=ec, par exemple*socio=rien , on a constaté que la mise en place*socio=rien de services*socio=ec spécialement destinés aux femmes*socio=ac n'était pas une garantie de succès*socio=uv. Il vaut mieux intégrer les programmes*socio=et pour les femmes*socio=ac dans les services*socio=ec ordinaires*socio=rien de vulgarisation*socio=rien et encourager les agricultrices*socio=ac à participer à la mise au point*socio=rien de ces services*socio=ec. On a appris aussi que les projets*socio=rien doivent être*socio=rien adaptés aux particularités*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac ou de la région*socio=te, de manière*socio=rien à tenir dûment *socio=rien compte du rôle *socio=nil et des besoins*socio=uv des femmes*socio=ac. Les enseignements*socio=et tirés des activités*socio=rien de la Banque*socio=ac, d'autres bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec et des ONG*socio=ac suggèrent *socio=rien diverses démarches prometteuses *socio=nil pour surmonter les obstacles*socio=rien à l'amélioration*socio=uv de la condition*socio=rien et de la productivité*socio=ec des femmes*socio=ac. De cette expérience*socio=uv collective*socio=ac se dégagent très nettement cinq*socio=rien stratégies*socio=et opérationnelles*socio=rien d'une importance*socio=rien capitale*socio=ec: accroître la scolarisation*socio=et des filles*socio=ac, améliorer la santé*socio=et des femmes*socio=ac, renforcer leur *socio=rien présence sur le*socio=nil marché*socio=ec formel du travail*socio=ec,*socio=nil *socio=nil élargir les options*socio=rien qui leur sont offertes*socio=rien dans l'agriculture*socio=ec, et leur donner accès*socio=uv à des *socio=ec services financiers.*socio=nil *socio=nil Jusqu'à une période*socio=te très récente*socio=rien , les *socio=et programmes RFD,*socio=nil *socio=nil y compris ceux de la Banque*socio=ac, tendaient à traiter les femmes*socio=ac comme un*socio=rien groupe*socio=ac spécial*socio=rien parmi les bénéficiaires*socio=ac des projets*socio=rien et programmes*socio=et. D'après*socio=rien *socio=rien un récent document de*socio=nil politique*socio=et générale *socio=nil , les organismes*socio=ac d'aide_au_développement*socio=uv ont toutefois commencé à se rendre compte*socio=rien que, pour ne pas laisser les femmes*socio=ac en marge *socio=rien du processus du développement*socio=uv,*socio=nil *socio=nil le mieux est*socio=rien d'analyser les rôles*socio=rien et responsabilités*socio=uv de chaque sexe*socio=rien et d'appliquer les conclusions*socio=rien de cette analyse*socio=rien à l'élaboration*socio=rien des projets*socio=rien et programmes*socio=et. Cette nouvelle*socio=rien approche, centrée sur*socio=rien les relations*socio=rien entre hommes*socio=ac et femmes*socio=ac au sein*socio=rien de la famille*socio=uv et de la collectivité*socio=ac plutôt que sur*socio=rien les femmes*socio=ac prises*socio=rien isolément, est*socio=rien celle que la Banque*socio=ac préconise désormais pour améliorer la participation*socio=uv des femmes*socio=ac au développement*socio=uv. Ce document*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien expliquait les raisons*socio=rien et les moyens*socio=ec d'intégrer les questions*socio=rien d'égalité*socio=uv des sexes*socio=rien dans les opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac. Cette *socio=rien démarche est essentielle*socio=uv *socio=nil à la réalisation*socio=uv de l'objectif*socio=rien de réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv. En outre, tout ce qui peut *socio=rien être fait *socio=nil pour diminuer les disparités*socio=uv entre hommes*socio=ac et femmes*socio=ac et renforcer la participation*socio=uv des femmes*socio=ac au développement_économique*socio=ec est*socio=rien absolument compatible*socio=rien avec la promotion*socio=uv de la croissance*socio=uv comme d'un*socio=rien développement*socio=uv écologiquement viable*socio=uv. La Banque*socio=ac est*socio=rien donc résolue à intégrer pleinement la problématique*socio=rien hommes*socio=ac/ femmes*socio=ac dans ses *socio=rien activités opérationnelles *socio=nil comme dans ses travaux*socio=rien d'analyse*socio=rien . Dans une *socio=rien nouvelle directive de*socio=nil politique*socio=et opérationnelle *socio=nil publiée en avril*socio=rien 1994, la Banque*socio=ac affirme son intention*socio=rien d'encourager la réduction*socio=uv des inégalités*socio=uv et la participation*socio=uv des femmes*socio=ac au développement_économique*socio=ec en intégrant*socio=rien les questions*socio=rien d'égalité*socio=uv des sexes*socio=rien dans ses stratégies-pays*socio=et. Ces questions*socio=rien seront identifiées au moyen*socio=rien de divers instruments*socio=rien (évaluations*socio=uv de la pauvreté*socio=uv, évaluations*socio=uv RFD*socio=et par pays*socio=ac, examens*socio=rien des dépenses_publiques*socio=et, et autres travaux*socio=rien économiques*socio=ec et sectoriels*socio=rien ). Les objectifs*socio=rien qui auront été*socio=rien fixés et les actions*socio=rien jugées nécessaires*socio=rien pour promouvoir l'égalité*socio=uv des sexes*socio=rien trouveront ensuite leur traduction*socio=rien dans le programme*socio=et de prêt*socio=ec et dans la conception*socio=rien des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec. La mise en oeuvre*socio=rien de ces actions*socio=rien sera suivie dans le cadre*socio=rien des bilans*socio=rien d'exécution*socio=rien des projets*socio=rien établis pour chaque pays*socio=ac. La Banque*socio=ac n'est*socio=rien pas la seule*socio=rien à chercher à améliorer la condition_féminine*socio=et et la participation*socio=uv des femmes*socio=ac au développement_économique*socio=ec. D'autres bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec et institutions_internationales*socio=et, nationales*socio=te et locales*socio=rien jouent aussi *socio=rien un rôle important *socio=nil dans l'élimination*socio=rien des disparités*socio=uv entre hommes*socio=ac et femmes*socio=ac. La Banque*socio=ac continuera à collaborer avec d'autres organismes*socio=ac et à s'inspirer de leur propre*socio=rien expérience*socio=uv afin de tirer le meilleur*socio=rien parti*socio=et *socio=rien du vaste éventail des*socio=nil compétences*socio=uv disponibles *socio=nil pour faire des questions*socio=rien d'égalité*socio=uv des sexes*socio=rien l'une des priorités*socio=uv du*socio=rien développement*socio=uv. Cependant, tous ces efforts*socio=uv n'aboutiront que s'ils sont résolument soutenus et impulsés par les gouvernements*socio=ac eux-mêmes. Population*socio=ac, santé*socio=et et nutrition*socio=rien . La rapidité*socio=rien de la croissance*socio=uv démographique*socio=rien dans les pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv du*socio=rien monde*socio=te *socio=rien est un grave sujet de*socio=nil préoccupation*socio=uv,*socio=nil *socio=nil car elle pourrait aller à l'encontre*socio=rien des efforts*socio=uv déployés pour faire reculer la pauvreté*socio=uv, stimuler la croissance_économique*socio=ec et protéger l'environnement*socio=ec. Bien*socio=rien que la population*socio=ac mondiale*socio=te continue*socio=rien d'augmenter, les taux_de_croissance*socio=ec ont commencé à ralentir dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac. Ce *socio=rien phénomène témoigne *socio=nil d'une *socio=rien vaste évolution des*socio=nil mentalités*socio=uv *socio=nil et des comportements*socio=rien génésiques dans ces pays*socio=ac. Le *socio=rien rythme du changement*socio=uv *socio=nil varie selon les régions*socio=te, mais la tendance*socio=rien à la baisse*socio=rien de la fécondité*socio=et se généralise. Dans les pays_en_développement*socio=ac, le pourcentage*socio=rien des femmes*socio=ac mariées*socio=rien pratiquant la contraception*socio=rien sous une forme*socio=rien ou une autre *socio=rien est passé au*socio=nil cours *socio=nil des 30 *socio=rien dernières années *socio=nil de 10% à 51% (40 millions*socio=rien d'utilisatrices en 1960 et quelque 365 millions*socio=rien en 1990). Cependant, à cause*socio=rien de la forte*socio=rien augmentation*socio=uv *socio=rien du nombre de*socio=nil femmes*socio=ac en*socio=nil âge *socio=nil de procréer, le nombre*socio=rien de celles qui n'utilisent pas de moyen*socio=rien contraceptif a peu diminué et serait encore, d'après*socio=rien les estimations*socio=ec, de 350 millions*socio=rien . Pendant les années*socio=rien 90, la population*socio=ac en âge*socio=rien de procréer augmentera de 170 millions*socio=rien dans les pays_en_développement*socio=ac et de 180 millions*socio=rien encore pendant la *socio=rien décennie suivante.*socio=nil A*socio=nil seule fin *socio=nil de maintenir le *socio=rien niveau actuel de*socio=nil couverture,*socio=nil les*socio=nil services*socio=ec devront*socio=nil être capables *socio=nil de répondre à la demande*socio=ec de 80 à 90 millions*socio=rien de clients*socio=ac de plus au cours*socio=rien de chacune de ces deux décennies*socio=rien . A l'expansion*socio=ec de la capacité*socio=rien des services*socio=ec que cela suppose s'ajoutera le défi*socio=uv d'élargir l'accès*socio=uv aux services*socio=ec à tous les autres - 100 millions*socio=rien au moins de couples mariés*socio=rien et 20 millions*socio=rien au moins de célibataires*socio=rien - dont beaucoup sont en outre exposés au risque*socio=uv de maladies*socio=et sexuellement transmissibles en raison*socio=uv de l'insuffisance*socio=rien ou de la *socio=rien piètre qualité des*socio=nil services*socio=ec de*socio=nil contraception disponibles.*socio=nil A*socio=nil mesure *socio=nil qu'augmente le nombre*socio=rien des clients*socio=ac potentiels*socio=rien , la définition*socio=rien de ce qui constitue un*socio=rien programme*socio=et de population*socio=ac s'élargit. Il est*socio=rien désormais largement admis que ces programmes*socio=et doivent couvrir toute la gamme*socio=rien de besoins*socio=uv des femmes*socio=ac et des hommes*socio=ac en matière*socio=rien de santé*socio=et génésique . En outre, on cherche de plus en plus, dans le cadre*socio=rien de ces programmes*socio=et, à s'attaquer à d'autres problèmes*socio=uv de santé*socio=et liés à l'activité*socio=rien sexuelle et à la procréation - comme le sida*socio=rien et d'autres maladies*socio=et sexuellement transmissibles. De même, on cherche aussi à étendre leur portée*socio=rien à de nouveaux*socio=rien groupes*socio=ac tels que les adolescents et les hommes*socio=ac non mariés*socio=rien , notamment ceux dont les comportements*socio=rien sexuels impliquent de hauts*socio=rien risques*socio=uv et dont les besoins*socio=uv ont été*socio=rien négligés par les *socio=rien systèmes traditionnels de*socio=nil prestation*socio=et de*socio=nil services*socio=ec *socio=nil . Le rôle*socio=rien de la Banque*socio=ac dans le secteur*socio=ec de la population*socio=ac *socio=rien est fonction *socio=nil de son avantage_comparatif*socio=ec dans divers domaines*socio=rien . Elle possède ainsi de *socio=rien solides atouts en*socio=nil matière d'*socio=nil analyse sectorielle et*socio=nil économique*socio=ec,*socio=nil travaux sur *socio=nil lesquels repose le dialogue*socio=uv de politique*socio=et générale*socio=rien avec les *socio=ac pays emprunteurs.*socio=nil Cette*socio=nil expertise*socio=uv *socio=nil revêt une importance*socio=rien particulière*socio=uv dans le *socio=rien contexte actuel des*socio=nil politiques*socio=et de*socio=nil population*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui intègrent de plus en plus la réduction*socio=uv de la fécondité*socio=et à une *socio=rien vaste gamme *socio=nil d'autres interventions*socio=et sociales*socio=ac, en particulier*socio=uv à des *socio=rien actions devant *socio=nil contribuer à améliorer la condition_de_la_femme*socio=uv, dans le domaine*socio=rien de l'éducation*socio=et, par exemple*socio=rien . Cela fait*socio=rien 25 ans*socio=rien que la Banque*socio=ac intervient activement dans le secteur*socio=ec de la population*socio=ac et elle a prêté plus de 1,7 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec à l'appui*socio=rien de plus d'une centaine*socio=rien de projets*socio=rien incorporant des activités*socio=rien de population*socio=ac. Pour ce secteur*socio=ec, son portefeuille*socio=ec s'établit actuellement à un*socio=rien peu plus de 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec, répartis entre 73 projets*socio=rien sous supervision*socio=rien . Dans beaucoup de cas*socio=rien , la fourniture*socio=rien de services*socio=ec de planning*socio=rien familial*socio=uv est*socio=rien intégrée à de plus *socio=rien vastes projets de*socio=nil santé*socio=et *socio=nil et de nutrition*socio=rien et les synergies*socio=uv qui en résultent favorisent les progrès*socio=uv de la santé*socio=et et l'augmentation*socio=uv de la demande*socio=ec de planning*socio=rien familial*socio=uv. Durant l'exercice*socio=rien 94, les engagements*socio=ec se sont élevés*socio=rien à 199 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour les *socio=rien composantes planning familial*socio=uv et*socio=nil population*socio=ac *socio=nil incorporées à 14 projets*socio=rien de santé*socio=et et de développement*socio=uv social*socio=ac. Le montant*socio=ec des engagements*socio=ec varie considérablement*socio=rien d'une année*socio=rien à l'autre, mais la *socio=rien tendance est *socio=nil régulièrement à la hausse*socio=rien . La *socio=rien complexité croissante des*socio=nil projets de*socio=nil population*socio=ac pose*socio=nil un *socio=uv défi particulier au*socio=nil stade*socio=te *socio=nil de la supervision*socio=rien . Certains des projets*socio=rien de population*socio=ac et de santé*socio=et qui ont donné les *socio=rien meilleurs résultats *socio=nil - au Bangladesh*socio=ac et au Kenya*socio=ac, par exemple*socio=rien - comportaient la *socio=rien présence permanente de*socio=nil personnels*socio=ec d'*socio=nil encadrement*socio=ec *socio=nil pour renforcer la capacité*socio=rien de supervision*socio=rien . L'expérience*socio=uv d'autres bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec donne aussi à penser qu'il existe *socio=rien un lien étroit *socio=nil entre l'intensité*socio=rien de l'encadrement*socio=uv *socio=rien sur place *socio=nil et l'efficacité*socio=uv des projets*socio=rien . La Banque*socio=ac a *socio=rien fait un effort*socio=uv spécial *socio=nil pour améliorer la supervision*socio=rien en élargissant la gamme*socio=rien des compétences*socio=uv disponibles*socio=rien dans certains *socio=rien domaines techniques *socio=nil et pour mieux adapter*socio=rien ce suivi aux besoins*socio=uv des emprunteurs*socio=ac. La réforme*socio=et du*socio=rien secteur_de_la_santé*socio=et est*socio=rien hautement prioritaire*socio=rien . Depuis la publication*socio=et, en juillet*socio=rien 1993, *socio=rien du Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1993, dont la santé*socio=et était le *socio=rien thème principal,*socio=nil *socio=nil près d'une quarantaine de pays*socio=ac ont demandé une assistance*socio=et pour évaluer la charge*socio=uv découlant de la morbidité. Des *socio=rien lignes directrices *socio=nil pour la réforme*socio=et du*socio=rien secteur_de_la_santé*socio=et sont en cours*socio=rien de préparation*socio=rien ; elles seront publiées durant l'exercice*socio=rien 95 en tant que *socio=rien complément du Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1993. Sont également à l'étude*socio=ac l'efficacité*socio=uv de *socio=rien différents systèmes de*socio=nil soins *socio=nil intégrés, tant dans les pays_en_développement*socio=ac que dans les pays_industrialisés*socio=ac, et les politiques*socio=et pharmaceutiques*socio=ac d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Dans ce *socio=rien dernier domaine,*socio=nil l'*socio=nil objectif est *socio=nil d'aider les *socio=ac pays_membres emprunteurs à*socio=nil définir*socio=rien *socio=nil et à appliquer des politiques*socio=et pour améliorer l'accessibilité*socio=uv et la qualité*socio=rien des médicaments essentiels*socio=uv. La *socio=rien tendance récente *socio=nil à l'accroissement*socio=ec des prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac à l'appui*socio=rien de *socio=rien composantes nutrition s'*socio=nil est *socio=nil poursuivie, en *socio=rien partie grâce aux*socio=nil interventions*socio=et d'*socio=nil un bon rapport coût-efficacité*socio=uv *socio=nil recommandées par le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1993. La *socio=rien première grande conférence *socio=nil de la Banque*socio=ac sur*socio=rien le thème*socio=rien de la faim*socio=rien ("Vaincre la faim*socio=rien dans le monde*socio=rien - *socio=rien Conférence sur l'*socio=nil action *socio=nil à entreprendre", novembre*socio=rien 1993) a également contribué à focaliser l'attention*socio=rien sur*socio=rien les questions*socio=rien de nutrition*socio=rien . Les enfants*socio=ac de moins de quatre ans*socio=rien et les femmes*socio=ac enceintes*socio=rien et allaitantes restent la cible privilégiée*socio=rien des actions*socio=rien de nutrition*socio=rien incorporées aux projets*socio=rien de la Banque*socio=ac. Toutefois, plusieurs *socio=rien projets récents,*socio=nil *socio=nil comme le Projet*socio=rien de santé*socio=et maternelle*socio=uv et infantile*socio=ac approuvé pour l'Argentine*socio=ac durant l'exercice*socio=rien 94, comportent des actions*socio=rien intégrées en faveur*socio=rien des *socio=ac jeunes enfants *socio=nil pour répondre à toute la gamme*socio=rien de leurs besoins*socio=uv - en matière*socio=rien de santé*socio=et, de nutrition*socio=rien et d'éducation*socio=et - durant les années*socio=rien les plus cruciales*socio=rien de leur développement*socio=uv. Le montant*socio=ec global*socio=rien des prêts*socio=ec affectés au secteur*socio=ec population*socio=ac, santé*socio=et et nutrition*socio=rien a considérablement*socio=rien augmenté, la *socio=rien moyenne annuelle des*socio=nil nouveaux engagements*socio=ec *socio=nil passant de 103 millions*socio=rien de dollars*socio=ec durant les quatre exercices*socio=rien 81-84 à 1,368 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour les exercices*socio=rien 91-94 . Les investissements*socio=ec de la Banque*socio=ac dans le secteur*socio=ec de l'éducation*socio=et (2,068 millions*socio=rien de dollars*socio=ec durant l'exercice*socio=rien 94) sont de plus en plus ciblés sur*socio=rien la scolarisation*socio=et des filles*socio=ac et l'élimination*socio=rien des disparités*socio=uv actuelles*socio=rien entre garçons et filles*socio=ac en ce qui concerne les taux*socio=rien de scolarisation*socio=et, les résultats*socio=rien scolaires*socio=et et le niveau*socio=rien atteint; l'objectif*socio=rien est*socio=rien de donner aux femmes*socio=ac les moyens*socio=ec de participer aux activités*socio=rien productives*socio=uv, de réduire leur dépendance*socio=uv à l'égard*socio=rien de leurs maris et fils, et d'abaisser le taux*socio=rien de fécondité*socio=et. La *socio=ac Vice-présidence HRO *socio=nil s'emploie activement à améliorer la conception*socio=rien et l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien d'éducation*socio=et de la Banque*socio=ac. Durant l'exercice*socio=rien 94, par exemple*socio=rien , des *socio=rien cadres supérieurs *socio=nil ont participé activement à la mise en oeuvre*socio=rien d'un*socio=rien vaste*socio=rien et complexe projet*socio=rien d'enseignement*socio=et primaire*socio=et dans l'Uttar Pradesh, l'un*socio=rien des États*socio=ac de l'Inde*socio=ac les plus sous-équipés sur*socio=rien le plan*socio=rien éducatif*socio=et. Le projet*socio=rien , appuyé par un*socio=rien crédit*socio=ec de 165 millions*socio=rien de dollars*socio=ec approuvé par l'IDA*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 93, est*socio=rien axé sur*socio=rien l'éducation*socio=et des filles*socio=ac et des minorités_ethniques*socio=ac défavorisées*socio=rien . La conception*socio=rien et l'exécution*socio=rien de ce projet*socio=rien attestent l'adhésion*socio=uv résolue des autorités*socio=et au principe*socio=rien de l'éducation*socio=et pour tous, tant au *socio=rien niveau central *socio=nil qu'à la base*socio=rien ; en témoignent*socio=rien aussi la manière*socio=rien dont le projet*socio=rien a été*socio=rien doté en personnel*socio=rien et autres ressources*socio=ec, l'intérêt*socio=uv que portent à sa mise en oeuvre*socio=rien hauts_fonctionnaires*socio=ac et ONG*socio=ac locales*socio=rien et la rapidité*socio=rien exceptionnelle*socio=uv de l'avancement des études*socio=rien de base*socio=rien et des travaux*socio=rien d'infrastructure*socio=ec, tout cela devant*socio=rien ensuite faciliter l'évaluation*socio=uv et la mesure*socio=rien des résultats*socio=rien obtenus. Ce projet*socio=rien sert maintenant de modèle*socio=rien à une opération*socio=rien de bien*socio=rien plus *socio=rien grande envergure *socio=nil qui intéressera l'ensemble*socio=rien du*socio=rien pays*socio=ac. A l'échelon*socio=rien de l'enseignement_supérieur*socio=et, les services*socio=ec de la *socio=ac Vice-présidence HRO *socio=nil ont participé aussi à la conception*socio=rien et à l'exécution*socio=rien de projets*socio=rien pour des pays*socio=ac ayant entrepris de transformer leurs économies*socio=ec planifiées en économies_de_marché*socio=ec. L'un*socio=rien de ces projets*socio=rien concerne la Hongrie*socio=ac, où la réforme*socio=et de l'enseignement_supérieur*socio=et a introduit le principe*socio=rien de la concurrence*socio=ec pour l'attribution*socio=rien des ressources*socio=ec d'investissement*socio=ec, les diverses*socio=rien institutions*socio=ac devant*socio=rien soumettre leurs demandes*socio=uv de financement*socio=ec à un*socio=rien organisme*socio=ac national*socio=te impartial. Celui-ci évalue le bien-fondé*socio=uv éducatif*socio=et et économique*socio=ec des propositions*socio=rien , sur*socio=rien la base*socio=rien de procédures*socio=rien et de *socio=rien critères clairs et*socio=nil transparents*socio=uv *socio=nil qui mettent l'accent*socio=rien sur*socio=rien la recherche*socio=rien d'une utilisation*socio=rien économique*socio=ec et efficace*socio=uv des fonds_publics*socio=et. Ce projet*socio=rien a récemment fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=rien à mi-parcours dont les résultats*socio=rien sont encourageants*socio=uv; l'élargissement*socio=rien des *socio=rien nouvelles procédures *socio=nil permettra de remplacer complètement l'actuel*socio=rien système*socio=rien de financement*socio=ec de l'enseignement_supérieur*socio=et, et les pays*socio=ac voisins*socio=rien se montrent intéressés par ce modèle*socio=rien . En juillet*socio=rien 1992, dans une lettre adressée à 1.400 parlementaires*socio=ac de 26 pays*socio=ac sur*socio=rien l'évolution*socio=rien du*socio=rien programme*socio=et de prêt*socio=ec de la Banque*socio=ac, M: Lewis*socio=rien Preston*socio=ac avait annoncé une augmentation*socio=uv des prêts*socio=ec au secteur*socio=ec de l'éducation*socio=et durant les exercices*socio=rien 93-95, par rapport*socio=rien aux trois *socio=rien exercices précédents.*socio=nil Les*socio=nil engagements*socio=ec des*socio=nil exercices *socio=nil 93 et 94 se sont chiffrés à 4,074 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, *socio=rien total supérieur *socio=nil de 336 millions*socio=rien à celui des exercices*socio=rien 90 et 91. M: Preston*socio=ac avait aussi annoncé que la part*socio=rien des engagements*socio=ec des exercices*socio=rien 93-95 affectée à l'enseignement*socio=et fondamental*socio=rien dépasserait les 42% de l'exercice*socio=rien 92. L'enseignement*socio=et fondamental*socio=rien a reçu 45,7% *socio=rien du total des*socio=nil prêts*socio=ec *socio=nil à l'éducation*socio=et au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 93 et 30,2% durant l'exercice*socio=rien 94. Relations*socio=rien extérieures*socio=te. La Banque*socio=ac coopère avec de nombreuses*socio=rien institutions*socio=ac des nations_unies*socio=ac et divers autres organismes_internationaux*socio=ac et bilatéraux*socio=te, ainsi qu'avec d'importantes*socio=rien organisations_non_gouvernementales*socio=ac (ONG*socio=ac). La *socio=ac Vice-présidence HRO *socio=nil veille très attentivement à développer ces liens*socio=rien , à rester à l'écoute*socio=rien , à partager son analyse*socio=rien des problèmes*socio=uv rencontrés, et à établir des relations*socio=rien de coopération*socio=uv. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien écoulé, la Banque*socio=ac a été*socio=rien représentée à la tribune*socio=rien des réunions*socio=rien organisées par les nations_unies*socio=ac *socio=rien sur diverses questions de*socio=nil développement*socio=uv de*socio=nil portée mondiale*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil activités *socio=nil de suivi menées par la Banque*socio=ac dans le domaine*socio=rien de l'environnement*socio=ec, après*socio=rien la conférence_des_nations_unies*socio=ac sur*socio=rien l'environnement_et_le_développement*socio=ac (CNUED*socio=ac), ont été*socio=rien présentées au Comité*socio=rien interorganisations*socio=ac sur*socio=rien le développement_durable*socio=ec et à la Commission*socio=ac du*socio=rien développement_durable*socio=ec. La Banque*socio=ac s'est*socio=rien également exprimée sur*socio=rien les problèmes*socio=uv de l'environnement*socio=ec lors*socio=rien de réunions*socio=rien organisées sous l'égide*socio=rien des nations_unies*socio=ac, comme la Conférence*socio=rien mondiale*socio=te sur*socio=rien le développement_durable*socio=ec des petits*socio=rien États*socio=ac insulaires*socio=te (tenue à la Barbade) et la Conférence*socio=rien mondiale*socio=te sur*socio=rien la prévention*socio=uv des *socio=rien catastrophes naturelles *socio=nil (au Japon*socio=ac). La Banque*socio=ac a participé activement à tous les stades*socio=te de la préparation*socio=rien de la *socio=rien Troisième Conférence sur la*socio=nil population*socio=ac *socio=nil et le développement*socio=uv, prévue en septembre*socio=rien 1994 au Caire. Elle a subventionné les frais*socio=ec de déplacement*socio=rien des représentants*socio=ac d'ONG*socio=ac des pays_en_développement*socio=ac pour qu'ils puissent prendre pleinement part*socio=rien à la conférence*socio=rien et à sa préparation*socio=rien . La Banque*socio=ac a également contribué (par la rédaction*socio=rien de documents*socio=rien de *socio=rien référence sur le*socio=nil développement*socio=uv social*socio=ac *socio=nil et la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec, et par l'octroi*socio=rien de dons*socio=ec pour financer la participation*socio=uv d'ONG*socio=ac) à la *socio=rien préparation du Sommet social*socio=ac *socio=nil qui se tiendra à Copenhague*socio=ac en 1995. Elle a aussi organisé en juin*socio=rien 1994 en Zambie*socio=ac, conjointement avec le secrétariat*socio=ac *socio=rien du sommet *socio=nil et le Gouvernement*socio=ac des Pays-bas*socio=ac, une réunion*socio=rien d'un*socio=rien groupe*socio=ac préparatoire*socio=rien d'experts*socio=ac de la pauvreté*socio=uv. La contribution*socio=uv de la Banque*socio=ac à la *socio=rien Conférence sur les*socio=nil femmes*socio=ac *socio=nil et le développement*socio=uv, prévue à Beijing*socio=ac en 1995, a consisté notamment en une étude*socio=ac *socio=rien spéciale sur *socio=nil les potentialités économiques*socio=ec des femmes*socio=ac, tandis que les instances*socio=et de la Deuxième*socio=rien Commission*socio=ac (économique*socio=ec et financière*socio=ec) et de la Troisième*socio=rien Commission*socio=ac (sociale*socio=ac, humanitaire*socio=uv et culturelle) de l'assemblée*socio=ac générale*socio=rien des nations_unies*socio=ac lui ont donné l'occasion*socio=rien de présenter les toutes *socio=rien dernières informations sur son*socio=nil action en*socio=nil matière de*socio=nil pauvreté*socio=uv,*socio=nil d'*socio=nil égalité*socio=uv *socio=nil entre les sexes*socio=rien et d'endettement*socio=ec. La Banque*socio=ac continue*socio=rien de coordonner *socio=rien diverses activités axées*socio=nil sur la*socio=nil réalisation*socio=uv de*socio=nil projets *socio=nil avec les institutions*socio=ac des nations_unies*socio=ac dans des domaines*socio=rien d'intérêt_commun*socio=uv, notamment la FAO*socio=ac (sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec); l'UNICEF*socio=ac (santé*socio=et et éducation*socio=et); le BIT (emploi*socio=ec); l'OMS*socio=ac (sida*socio=rien et autres actions*socio=rien dans le domaine*socio=rien de la santé*socio=et); le PNUE*socio=et (environnement*socio=ec); l'UNESCO*socio=et, l'UNICEF*socio=ac et le PNUD*socio=ac (enseignement*socio=et fondamental*socio=rien ); et le PNUD*socio=ac (eau*socio=ec et assainissement*socio=uv, ainsi qu'assistance_technique*socio=et). La Banque*socio=ac continue*socio=rien à parrainer*socio=rien (avec le PNUD*socio=ac) le programme_d'_assistance_à_la_gestion*socio=et du*socio=rien secteur_énergétique*socio=ec (ESMAP*socio=et), qui aide*socio=uv les pays*socio=ac à mettre au point*socio=rien des stratégies*socio=et et des investissements*socio=ec sans danger*socio=uv pour l'environnement*socio=ec. Coopération*socio=uv avec les organisations_non_gouvernementales*socio=ac. La coopération*socio=uv de la Banque*socio=ac avec les ONG*socio=ac a continué de se développer tant au niveau*socio=rien des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec (Tableaux*socio=rien 3-2 et 3-3) qu'à celui du*socio=rien dialogue*socio=uv de politique*socio=et générale*socio=rien . Environ 50% des projets*socio=rien approuvés par la Banque*socio=ac impliquent la participation*socio=uv d'ONG*socio=ac. En ce qui concerne les opérations*socio=rien de prêt*socio=ec, les ONG*socio=ac sont de plus en plus souvent appelées à assurer la conception*socio=rien , la préparation*socio=rien , l'exécution*socio=rien et l'évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien de sous-projets financés dans le cadre*socio=rien d'opérations*socio=rien recevant l'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac et, grâce*socio=rien à l'élargissement*socio=rien du*socio=rien dialogue*socio=uv de politique*socio=et générale*socio=rien , les bénéficiaires*socio=ac s'impliquent davantage dans les projets*socio=rien soutenus par la Banque*socio=ac. Les projets*socio=rien de fonds*socio=ec social*socio=ac, dans diverses*socio=rien régions*socio=te du*socio=rien monde*socio=te, et les projets*socio=rien de sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec et de nutrition*socio=rien , en Afrique*socio=ac, ont bénéficié du*socio=rien concours d'ONG*socio=ac, tandis que le Programme*socio=et d'action*socio=rien sociale*socio=ac au Pakistan*socio=ac témoigne*socio=rien de l'appui*socio=rien croissant*socio=rien que la Banque*socio=ac entend apporter au développement*socio=uv sur*socio=rien la base*socio=rien de la participation*socio=uv. Au Pakistan*socio=ac, la Banque*socio=ac a créé un*socio=rien Fonds*socio=ec de *socio=uv développement participatif,*socio=nil *socio=nil doté de 10 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, afin d'aider différents*socio=rien agents*socio=ac d'exécution*socio=rien à associer les communautés*socio=ac locales*socio=rien à la prestation*socio=et de services_sociaux*socio=et de base*socio=rien , comme l'enseignement*socio=et primaire*socio=et, les soins_de_santé*socio=et et l'alimentation*socio=ec en eau*socio=ec dans les *socio=te zones rurales.*socio=nil L'*socio=nil un*socio=rien des*socio=nil *socio=rien principaux objectifs *socio=nil de la coopération*socio=uv de la Banque*socio=ac avec les ONG*socio=ac est*socio=rien d'accroître la capacité*socio=rien institutionnelle*socio=ac des agents*socio=ac d'exécution*socio=rien des projets*socio=rien . C'est*socio=rien pourquoi elle a elle-même apporté son concours au renforcement*socio=uv des capacités*socio=rien de diverses*socio=rien ONG*socio=ac et collectivités*socio=ac, ou conclu à cet effet*socio=rien des accords*socio=et avec d'autres organisations*socio=ac (très souvent des ONG*socio=ac). Ainsi, dans plusieurs pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac, un*socio=rien programme*socio=et de renforcement*socio=uv des capacités*socio=rien des *socio=ac ONG autochtones *socio=nil reçoit l'aide*socio=uv du*socio=rien Fonds*socio=ec de la Banque*socio=ac pour le développement*socio=uv institutionnel*socio=rien . Cette initiative*socio=rien répond directement aux demandes*socio=uv reçues des dirigeants*socio=ac d'ONG*socio=ac autochtones*socio=ac qui avaient participé au *socio=rien Deuxième atelier interorganisations*socio=ac sur le*socio=nil développement*socio=uv autochtone*socio=ac,*socio=nil *socio=nil organisé pour l'amérique_latine*socio=ac à Washington*socio=ac en septembre*socio=rien 1993. La Banque*socio=ac aide*socio=uv aussi les gouvernements*socio=ac à analyser leurs relations*socio=rien avec les ONG*socio=ac, en vue*socio=rien de créer *socio=rien un climat plus*socio=nil propice *socio=nil à l'action*socio=rien de ces dernières*socio=rien . Elle a notamment organisé *socio=rien un atelier en*socio=nil Ouganda*socio=ac au*socio=nil cours *socio=nil duquel les représentants*socio=ac des ONG*socio=ac, des pouvoirs_publics*socio=ac et des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec ont pu examiner des rapports*socio=rien préparés pour la *socio=rien réunion sur les*socio=nil ONG*socio=ac du pays*socio=ac *socio=nil et les conditions*socio=uv dans lesquelles elles exercent leurs activités*socio=rien , et participer à la définition*socio=rien d'un*socio=rien plan*socio=rien national*socio=te d'action*socio=rien pour élargir le rôle*socio=rien des ONG*socio=ac dans la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. Au cours*socio=rien de ses réunions*socio=rien semestrielles*socio=te, le Comité*socio=rien Banque-ong a examiné *socio=rien diverses questions *socio=nil comme la *socio=uv participation populaire *socio=nil et les répercussions*socio=rien sociales*socio=ac des programmes*socio=et d'ajustement_structurel*socio=et. La Banque*socio=ac a également pris l'avis*socio=rien des ONG*socio=ac concernées sur*socio=rien tel ou tel sujet*socio=rien particulier*socio=uv. En mai*socio=rien 1994, par exemple*socio=rien , des échanges*socio=rien de vues*socio=rien ont eu lieu*socio=rien avec des représentants*socio=ac d'ONG*socio=ac sur*socio=rien la mise en oeuvre*socio=rien de la politique*socio=et de la Banque*socio=ac en matière*socio=rien de foresterie*socio=et, qui doit être*socio=rien examinée au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 95 par le conseil_des_administrateurs*socio=ac. Des consultations*socio=uv avec des ONG*socio=ac en mai*socio=rien 1994 ont aussi aidé la Banque*socio=ac à affiner ses indicateurs*socio=ec d'impact*socio=rien sur*socio=rien le développement*socio=uv. Les ONG*socio=ac ont été*socio=rien consultées, à Paris*socio=ac et à Washington*socio=ac, sur*socio=rien le projet*socio=rien de *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1994: une infrastructure*socio=ec pour le développement*socio=uv. Outre ces consultations*socio=uv formelles*socio=rien , des réunions*socio=rien de plus en plus nombreuses*socio=rien ont rassemblé des responsables*socio=uv de *socio=rien haut niveau *socio=nil de la Banque*socio=ac et des représentants*socio=ac d'ONG*socio=ac du*socio=rien monde*socio=te entier*socio=rien . Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, elles ont notamment porté sur*socio=rien la diffusion*socio=rien de l'information*socio=rien , la création*socio=rien d'un*socio=rien panel d'inspection*socio=et, et la suite*socio=rien donnée par la Banque*socio=ac au *socio=rien rapport du Groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ac sur la*socio=nil gestion*socio=et du portefeuille*socio=ec.*socio=nil *socio=nil D'autres ont visé la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec, la réinstallation de populations*socio=ac, certains types de projet*socio=rien , et les effets*socio=rien des politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec sur*socio=rien l'environnement*socio=ec. L'évolution*socio=rien des rapports*socio=rien entre la Banque*socio=ac et les ONG*socio=ac a été*socio=rien manifeste à la *socio=rien Conférence sur la*socio=nil lutte*socio=uv *socio=nil contre la faim*socio=rien dans le monde*socio=te, organisée par la Banque*socio=ac en novembre*socio=rien 1993. Outre la présentation*socio=rien d'exposés et leur participation*socio=uv aux débats*socio=et, les représentants*socio=ac des ONG*socio=ac ont contribué aux *socio=rien activités préparatoires *socio=nil comme au suivi. La Banque*socio=ac et des ONG*socio=ac sont en train*socio=rien d'organiser des échanges*socio=rien de *socio=rien vues sur la*socio=nil faim *socio=nil dans divers pays*socio=ac. Les ONG*socio=ac jouent aussi *socio=rien un rôle *socio=nil dans les *socio=rien activités du Fonds_pour_l'_environnement_mondial*socio=ac (*socio=nil FEM*socio=ac)*socio=nil *socio=nil , surtout en ce qui concerne la conception*socio=rien , l'exécution*socio=rien et le suivi des projets*socio=rien . Les réunions*socio=rien semestrielles*socio=te des "participants*socio=ac" (membres*socio=rien du*socio=rien FEM*socio=ac) sont régulièrement précédées de consultations*socio=uv entre le FEM*socio=ac et les ONG*socio=ac. L'Instrument*socio=rien portant restructuration*socio=uv du*socio=rien FEM*socio=ac, que les participants*socio=ac ont adopté en mars*socio=rien 1994 à leur réunion*socio=rien de Genève*socio=ac, comprend plusieurs dispositions*socio=rien qui répondent aux préoccupations*socio=uv des ONG*socio=ac: les ONG*socio=ac auront *socio=rien un rôle important *socio=nil à jouer en ce qui concerne la proposition*socio=rien , la préparation*socio=rien et l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien , et les communautés*socio=ac locales*socio=rien seront consultées durant tout le cycle*socio=te des projets*socio=rien . Les trois agents*socio=ac d'exécution*socio=rien du*socio=rien FEM*socio=ac apportent des modifications*socio=rien à leurs procédures*socio=rien pour assurer la consultation*socio=uv des communautés*socio=ac concernées, accroître la participation*socio=uv des ONG*socio=ac aux *socio=rien projets du FEM*socio=ac,*socio=nil *socio=nil élargir l'accès*socio=uv du*socio=rien public*socio=ac à l'information*socio=rien , et organiser un*socio=rien suivi régulier*socio=rien de l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien et l'évaluation*socio=uv des résultats*socio=rien obtenus. Développement*socio=uv écologiquement viable*socio=uv. Faire en sorte*socio=rien que le développement*socio=uv soit écologiquement viable*socio=uv *socio=rien est un défi*socio=uv majeur des*socio=nil années *socio=nil 90. La CNUED*socio=ac de juin*socio=rien 1992 a réussi à sensibiliser l'opinion_mondiale*socio=et à l'urgence*socio=rien de cette tâche*socio=rien . Il incombe à la banque_mondiale*socio=ac, en tant que *socio=rien principale source multilatérale*socio=te de*socio=nil financement*socio=ec du développement*socio=uv,*socio=nil *socio=nil de veiller à ce que les programmes*socio=et et projets*socio=rien recevant son aide*socio=uv soient compatibles*socio=rien avec l'objectif*socio=rien d'un*socio=rien développement_durable*socio=ec. La *socio=ac Vice-présidence environnement_et_développement_durable (*socio=nil ESD)*socio=nil *socio=nil a pour mission*socio=rien d'aider la Banque*socio=ac à relever ce défi*socio=uv. Toute l'attention*socio=rien de la *socio=ac Vice-présidence ESD est*socio=rien centrée*socio=nil sur*socio=rien l'*socio=nil être_humain *socio=nil et l'aptitude*socio=rien des écosystèmes*socio=et à entretenir la vie*socio=rien . Le fléau*socio=uv de la pauvreté*socio=uv absolue*socio=rien et la dégradation*socio=rien des écosystèmes*socio=et sont des *socio=uv problèmes interdépendants *socio=nil et l'un*socio=rien comme l'autre sont au coeur*socio=rien de l'action*socio=rien à entreprendre pour promouvoir *socio=rien un mode de*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil qui ne mette pas l'environnement*socio=ec en danger*socio=uv. La Banque*socio=ac se doit de trouver les moyens*socio=ec d'accélérer l'amélioration*socio=uv des niveaux_de_vie*socio=uv, tout en faisant en sorte*socio=rien que ses politiques*socio=et et projets*socio=rien à l'appui*socio=rien du*socio=rien développement*socio=uv soient compatibles*socio=rien avec une gestion*socio=et des ressources*socio=ec écologiquement rationnelle*socio=uv. Pour accomplir sa mission*socio=rien , la *socio=ac Vice-présidence ESD *socio=nil a engagé six types d'activités*socio=rien : - aider la Banque*socio=ac à mieux comprendre tous les tenants et les aboutissants d'un*socio=rien *socio=uv développement équitable *socio=nil et écologiquement viable*socio=uv; - définir*socio=rien , pour les secteurs*socio=ec de l'environnement*socio=ec, de l'agriculture*socio=ec et de l'infrastructure*socio=ec, des politiques*socio=et, projets*socio=rien et programmes*socio=et qui soient viables*socio=uv et favorables*socio=rien à la durabilité - à travers*socio=rien ses *socio=rien propres études *socio=nil et en faisant appel*socio=rien aux meilleurs*socio=rien experts*socio=ac, où qu'ils soient; - fournir des conseils*socio=ac et un*socio=rien soutien*socio=uv technique*socio=rien aux six vice-présidences*socio=ac régionales*socio=te pour le montage*socio=rien d'opérations*socio=rien compatibles*socio=rien avec l'objectif*socio=rien de durabilité; Note sur*socio=rien le développement_durable*socio=ec. {Le rapport*socio=rien de 1987 de la Commission*socio=ac mondiale*socio=te sur*socio=rien l' environnement_et_le_développement*socio=ac (Commission*socio=ac Brundtland*socio=ac) définit*socio=rien le développement_durable*socio=ec comme celui qui répond aux "besoins*socio=uv de la génération*socio=ac présente*socio=rien sans compromettre ceux des générations futures*socio=rien "} Fin*socio=rien de note. - apporter des éléments*socio=rien de réponse*socio=rien aux questions*socio=rien d'intérêt*socio=uv mondial*socio=te concernant l'environnement*socio=ec, l'agriculture*socio=ec, l'infrastructure*socio=ec et le développement*socio=uv urbain*socio=te, en association*socio=uv avec les organismes*socio=ac bilatéraux*socio=te, d'autres institutions*socio=ac multilatérales*socio=te et les ONG*socio=ac; - partager les conclusions*socio=rien de ses études*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien et de ses *socio=rien travaux sur *socio=nil les "pratiques*socio=et optimales*socio=rien " avec ses partenaires*socio=uv extérieurs*socio=te et avec les autres services_de_la_banque*socio=ac; et - développer les compétences*socio=uv techniques*socio=rien de la Banque*socio=ac, par des recrutements sélectifs*socio=rien et par la formation*socio=et *socio=rien du personnel,*socio=nil *socio=nil pour le sensibiliser aux problèmes*socio=uv d'environnement*socio=ec et l'aider à élaborer et gérer des programmes*socio=et écologiquement viables*socio=uv. Etudes de politique*socio=et générale*socio=rien et recherches*socio=ec sur*socio=rien les pratiques*socio=et optimales*socio=rien . La *socio=ac Vice-présidence ESD *socio=nil a la charge*socio=uv de promouvoir l'application*socio=rien par la Banque*socio=ac de politiques*socio=et favorables*socio=rien à un*socio=rien développement_durable*socio=ec et de suivre les progrès*socio=uv accomplis dans les domaines*socio=rien de l'environnement*socio=ec, de l'agriculture*socio=ec et de l'infrastructure*socio=ec. Les documents*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien établis récemment ont porté sur*socio=rien le développement*socio=uv urbain*socio=te (exercice*socio=rien 91), la foresterie*socio=et (exercice*socio=rien 92), le logement*socio=ec (exercice*socio=rien 93) et la gestion*socio=et des ressources*socio=ec en eau*socio=ec (exercice*socio=rien 93). Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, la *socio=ac Vice-présidence ESD s'*socio=nil *socio=rien est employée *socio=nil à encourager l'adoption*socio=et des politiques*socio=et de gestion*socio=et de l'eau*socio=ec proposées par la Banque*socio=ac (considérer l'eau*socio=ec comme *socio=rien un bien économique*socio=ec,*socio=nil *socio=nil associer les *socio=rien parties prenantes *socio=nil à sa gestion*socio=et, et créer un*socio=rien environnement_institutionnel*socio=et propice*socio=rien à une utilisation*socio=rien de l'eau*socio=ec qui soit équitable*socio=uv en même temps*socio=rien que techniquement et économiquement efficace*socio=uv). L'effort*socio=uv a visé aussi à faire ressortir l'importance*socio=rien de gérer les ressources*socio=ec en eau*socio=ec dans *socio=rien un cadre global tenant*socio=nil compte *socio=nil de tous les secteurs*socio=ec. Sa *socio=rien mission amène la*socio=nil *socio=ac Vice-présidence ESD *socio=nil à apporter son concours à toutes les régions*socio=te. En Afrique*socio=ac, par exemple*socio=rien , ses services*socio=ec ont aidé le Gouvernement*socio=ac du*socio=rien Malawi*socio=ac à définir*socio=rien une politique*socio=et de gestion*socio=et de l'eau*socio=ec qui permette d'assurer une *socio=rien utilisation durable *socio=nil de cette ressource*socio=ec et de guider la planification*socio=et et la fourniture*socio=rien des services*socio=ec, tout en procédant à une vaste*socio=rien réforme*socio=et sectorielle*socio=rien ; en Chine*socio=ac, les interventions*socio=et ont été*socio=rien centrées sur*socio=rien les implications*socio=rien de la gestion*socio=et de l'eau*socio=ec et des réformes*socio=et apportées aux *socio=et politiques publiques *socio=nil pour la gestion*socio=et de l'environnement*socio=ec urbain*socio=te; et les États*socio=ac de Paranà, Minas Gerais et Sâo Paulo, au Brésil*socio=ac, ont adopté les principes*socio=uv d'un*socio=rien système*socio=rien de gestion*socio=et à l'échelon*socio=rien des bassins hydrographiques, lesquels impliquent notamment le recours*socio=rien à des instruments*socio=rien économiques*socio=ec pour décider de la répartition*socio=uv des ressources*socio=ec en eau*socio=ec et promouvoir la lutte*socio=uv contre la pollution*socio=et. Au *socio=rien cours du second semestre *socio=nil de l'exercice*socio=rien , la *socio=ac Vice-présidence ESD *socio=nil a entrepris d'évaluer le degré*socio=rien d'acceptation*socio=uv et d'application*socio=rien des *socio=rien recommandations du document *socio=nil de 1991 sur*socio=rien la politique*socio=et forestière*socio=ec . Cette étude*socio=ac - qui n'était pas encore achevée à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien - est*socio=rien axée sur*socio=rien l'ampleur*socio=rien des modifications*socio=rien apportées par les départements*socio=rien -pays à leurs *socio=rien travaux sectoriels *socio=nil et à la conception*socio=rien de leurs projets*socio=rien . Une *socio=rien version préliminaire a*socio=nil fait l'*socio=nil objet de*socio=nil consultations*socio=uv *socio=nil à Libreville (capitale*socio=ec du*socio=rien Gabon, pays*socio=ac riche*socio=uv en *socio=ec ressources forestières)*socio=nil *socio=nil , à Londres*socio=ac et à Washington*socio=ac. Y ont participé des ONG*socio=ac de pays_industrialisés*socio=ac et de pays_en_développement*socio=ac, des *socio=rien membres du Groupe*socio=ac d'*socio=nil expertise*socio=uv forestière*socio=ec *socio=nil (composé des conseillers*socio=ac foresterie*socio=et des principaux*socio=rien organismes*socio=ac d'aide*socio=uv), des représentants*socio=ac de l'industrie*socio=ec *socio=rien du bois *socio=nil et des universitaires*socio=et. L'exercice*socio=rien 94 a vu la publication*socio=et *socio=rien du Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1994: une infrastructure*socio=ec pour le développement*socio=uv , qui examine les liens*socio=rien entre l'infrastructure*socio=ec et le développement*socio=uv et étudie les moyens*socio=ec par lesquels les pays_en_développement*socio=ac peuvent améliorer tant la fourniture*socio=rien que la qualité*socio=rien des services*socio=ec d'infrastructure*socio=ec (transports*socio=ec, télécommunications*socio=rien , eau*socio=ec et assainissement*socio=uv, électricité*socio=ec et gaz*socio=ec, et *socio=rien grands travaux *socio=nil hydrauliques). Le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1994 présente*socio=rien de nouvelles*socio=rien stratégies*socio=et pour développer l'infrastructure*socio=ec de manière*socio=rien plus efficace*socio=uv et économique*socio=ec. Il montre que le volume*socio=rien des investissements*socio=ec ne peut être*socio=rien le *socio=rien seul élément *socio=nil à prendre en considération*socio=rien . Il *socio=rien est primordial *socio=nil aussi de rehausser la qualité*socio=rien des services*socio=ec d'infrastructure*socio=ec. Pour que la fourniture*socio=rien des services*socio=ec soit plus efficace*socio=uv et mieux adaptée aux besoins*socio=uv, le rapport*socio=rien juge*socio=et indispensable*socio=uv de modifier les incitations*socio=rien à trois niveaux*socio=rien : adoption*socio=et de modes*socio=rien de gestion*socio=et obéissant au marché*socio=ec, promotion*socio=uv de la concurrence*socio=ec (directement si possible*socio=rien , sinon indirectement) et élargissement*socio=rien de la participation*socio=uv des *socio=rien parties prenantes.*socio=nil Le*socio=nil rapport *socio=nil met également en évidence*socio=rien les tendances*socio=rien qui faciliteront l'amélioration*socio=uv des résultats*socio=rien dans le domaine*socio=rien de l'infrastructure*socio=ec: innovations*socio=uv dans le domaine*socio=rien technologique*socio=ec et réglementaire*socio=et, volonté*socio=uv nouvelle*socio=rien des gouvernements*socio=ac de faire participer le secteur_privé*socio=ec, et plus *socio=rien grand souci de*socio=nil viabilité*socio=uv sociale*socio=ac et*socio=nil environnementale*socio=et.*socio=nil Le*socio=nil Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1994 a bénéficié de l'apport*socio=rien de travaux*socio=rien d'analyse*socio=rien de la *socio=ac Vice-présidence ESD,*socio=nil *socio=nil publiés dans la série Documents*socio=rien de synthèse*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac. Une étude*socio=ac sur*socio=rien les chemins*socio=rien de fer*socio=rien , l'énergie*socio=ec et l'environnement*socio=ec et une autre sur*socio=rien l'amélioration*socio=uv et l'entretien*socio=rien des routes*socio=rien rurales*socio=te ont également été*socio=rien achevées au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94. Dans le domaine*socio=rien de l'environnement*socio=ec, les activités*socio=rien ont été*socio=rien centrées durant l'exercice*socio=rien 94 sur*socio=rien quatre *socio=rien grandes études parallèles:*socio=nil le*socio=nil deuxième examen des*socio=nil évaluations*socio=uv environnementales*socio=et;*socio=nil un examen *socio=nil de l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien d'environnement*socio=ec en cours*socio=rien ; *socio=rien un examen des*socio=nil plans_nationaux_d'_action_environnementale*socio=et (*socio=nil PNAE*socio=et)*socio=nil *socio=nil ; et *socio=rien un examen des*socio=nil projets *socio=nil impliquant le déplacement*socio=rien involontaire de populations*socio=ac. Pour cette dernière*socio=rien étude*socio=ac, au lieu*socio=rien de procéder à *socio=rien un bilan *socio=nil statique à partir de documents*socio=rien , on a délibérément engagé *socio=rien un vaste processus d'*socio=nil analyse *socio=nil de la réinstallation sur*socio=rien le terrain*socio=rien , qui a été*socio=rien confié aux services*socio=ec régionaux*socio=te et centraux*socio=rien compétents*socio=uv de la Banque*socio=ac, en association*socio=uv avec les emprunteurs*socio=ac (Encadré 3-2). La *socio=rien Directive opérationnelle sur l'*socio=nil évaluation*socio=uv environnementale*socio=et,*socio=nil *socio=nil publiée en octobre*socio=rien 1989, guide*socio=rien l'intégration*socio=uv des questions*socio=rien d'environnement*socio=ec dans les activités*socio=rien de la Banque*socio=ac. Elle rend obligatoire*socio=uv la préparation*socio=rien d'une évaluation*socio=uv environnementale*socio=et (EE) pour tous les projets*socio=rien qui risquent d'être*socio=rien nettement préjudiciables*socio=et à l'environnement*socio=ec. Les projets*socio=rien qui pourraient avoir des *socio=rien effets sensibles,*socio=nil *socio=nil irréversibles ou multiples*socio=rien sont classés dans la "Catégorie*socio=rien A" et nécessitent une évaluation*socio=uv environnementale*socio=et complète. Les projets*socio=rien dont les effets*socio=rien seront moindres*socio=rien sont classés dans la "Catégorie*socio=rien B" et font l'objet*socio=rien d'une analyse*socio=rien environnementale*socio=et moins exhaustive*socio=rien . Lors*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien premier examen *socio=nil en 1992, il était apparu que, si les procédures*socio=rien d'EE étaient réalistes*socio=uv, applicables*socio=rien et utiles*socio=uv pour une meilleure*socio=rien planification*socio=et du*socio=rien développement*socio=uv et gestion*socio=et de l'environnement*socio=ec, des problèmes*socio=uv subsistaient. Il avait été*socio=rien jugé nécessaire*socio=rien de faire davantage pour renforcer l'aptitude*socio=rien des emprunteurs*socio=ac à réaliser des évaluations*socio=uv de qualité*socio=rien , et il était donc recommandé de donner la priorité*socio=uv à la formation*socio=et *socio=rien du personnel des*socio=nil *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil à la préparation*socio=rien d'évaluations*socio=uv environnementales*socio=et. Ce *socio=rien premier examen *socio=nil recommandait également à la Banque*socio=ac d'engager les emprunteurs*socio=ac à procéder plus tôt à ces analyses*socio=rien environnementales*socio=et, c'est-à-dire aux tout premiers*socio=rien stades*socio=te de la planification*socio=et *socio=rien du projet *socio=nil avant que n'aient *socio=rien été prises de*socio=nil grandes décisions *socio=nil comme le choix*socio=uv des techniques*socio=rien et *socio=rien du lieu d'*socio=nil implantation du projet.*socio=nil Le*socio=nil deuxième examen des*socio=nil évaluations*socio=uv environnementales*socio=et *socio=nil constate qu'au cours*socio=rien des deux années*socio=rien écoulées depuis le *socio=rien premier examen,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a sensiblement accru son soutien*socio=uv au renforcement*socio=uv des capacités*socio=rien d'EE dans les *socio=ac pays emprunteurs.*socio=nil Les*socio=nil *socio=rien principales formes d'*socio=nil appui ont*socio=nil été les*socio=nil suivantes:*socio=nil projets visant*socio=nil spécifiquement le*socio=nil renforcement*socio=uv des*socio=nil institutions*socio=ac du secteur*socio=ec *socio=nil de l'environnement*socio=ec et d'autres *socio=rien objectifs connexes;*socio=nil incorporation,*socio=nil *socio=nil à des projets*socio=rien d'investissement*socio=ec ordinaires*socio=rien , de volets*socio=rien d'assistance_technique*socio=et pour développer les capacités*socio=rien d'EE; organisation*socio=rien dans le pays*socio=ac d'activités*socio=rien de formation*socio=et dirigées par l' institut_de_développement_économique*socio=ac de la Banque*socio=ac et les divisions*socio=rien de l'environnement*socio=ec des vice-présidences*socio=ac régionales*socio=te; et fourniture*socio=rien de conseils*socio=ac sur*socio=rien la législation*socio=et et les procédures*socio=rien d'EE. La Banque*socio=ac a aussi réussi à convaincre les emprunteurs*socio=ac d'anticiper le travail*socio=rien d'évaluation*socio=uv environnementale*socio=et, comme en témoigne*socio=rien le *socio=rien nombre croissant *socio=nil des EE "sectorielles*socio=rien ". Ces efforts*socio=uv commencent à porter leurs fruits*socio=rien . La qualité*socio=rien s'est*socio=rien beaucoup améliorée dans des *socio=rien domaines importants *socio=nil comme l'identification*socio=rien et l'analyse*socio=rien des impacts*socio=rien ; la consultation*socio=uv du*socio=rien public*socio=ac, en particulier*socio=uv lorsque le projet*socio=rien implique le déplacement*socio=rien de populations*socio=ac; et la planification*socio=et de mesures*socio=rien d'atténuation*socio=rien , ainsi que du*socio=rien suivi et de la gestion*socio=et des projets*socio=rien . En outre, et cela compte*socio=rien plus encore, le champ*socio=rien des investigations a été*socio=rien élargi non seulement à de nouveaux*socio=rien secteurs*socio=ec (comme le tourisme*socio=ec et la gestion*socio=et des déchets*socio=ec solides*socio=rien ), mais aussi à de nouveaux*socio=rien types d'opérations*socio=rien de prêt*socio=ec (privatisation*socio=et et rétrocession des fonds*socio=ec prêtés à des intermédiaires*socio=ac, par exemple*socio=rien ). Les progrès*socio=uv ont été*socio=rien particulièrement marqués en ce qui concerne l'aspect*socio=rien préventif*socio=rien des EE, c'est-à-dire la minimisation des effets*socio=rien préjudiciables*socio=et sur*socio=rien l'environnement*socio=ec. Mais on a aussi cherché à aller au-delà et à faire en sorte*socio=rien que les évaluations*socio=uv contribuent à la mise au point*socio=rien de *socio=rien projets ponctuels *socio=nil et de plus vastes*socio=rien programmes*socio=et d'investissement*socio=ec capables*socio=rien d'ajouter à la qualité*socio=rien de l'environnement*socio=ec. L'examen*socio=rien de l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien environnementaux*socio=et a porté sur*socio=rien 93 projets*socio=rien - représentant*socio=rien 4,2% de l'ensemble*socio=rien des projets*socio=rien en cours*socio=rien d'exécution*socio=rien à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 93 et des engagements*socio=ec de 6,4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec - identifiés comme ayant principalement des objectifs*socio=rien environnementaux*socio=et. Ces opérations*socio=rien avaient été*socio=rien approuvées au cours*socio=rien des exercices*socio=rien 86-93, la plupart*socio=rien étant postérieures à l'exercice*socio=rien 90. Elles constituaient donc un*socio=rien groupe*socio=ac relativement "jeune*socio=rien " par rapport*socio=rien à l'ensemble*socio=rien du*socio=rien portefeuille*socio=ec des *socio=rien projets actifs.*socio=nil Sur la*socio=nil base *socio=nil des notes attribuées au cours*socio=rien de la supervision*socio=rien , ces projets*socio=rien environnementaux*socio=et se révèlent légèrement plus performants que la moyenne*socio=rien pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien portefeuille*socio=ec à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 93. Cela s'explique en partie*socio=rien par la "jeunesse*socio=ac" de l'échantillon*socio=rien par rapport*socio=rien au portefeuille*socio=ec global*socio=rien . Dès lors*socio=rien , si l'on tient compte*socio=rien de l'"âge*socio=rien " des projets*socio=rien , il est*socio=rien probablement plus exact*socio=rien de conclure que la performance*socio=uv des projets*socio=rien environnementaux*socio=et est*socio=rien à peu près identique*socio=rien à celle de l'ensemble*socio=rien du*socio=rien portefeuille*socio=ec actif*socio=rien . Comme dans le *socio=rien cas du portefeuille*socio=ec global *socio=nil de la Banque*socio=ac, il semble y avoir une nette*socio=rien corrélation positive*socio=uv entre le niveau*socio=rien de revenu*socio=ec du*socio=rien pays*socio=ac et la performance*socio=uv des projets*socio=rien d'environnement*socio=ec. On n'a trouvé qu'un*socio=rien "projet*socio=rien à problèmes*socio=uv" parmi les opérations*socio=rien concernant des pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien de la tranche supérieure*socio=rien et beaucoup plus dans les pays*socio=ac à revenu*socio=ec intermédiaire*socio=rien de la tranche inférieure*socio=rien et dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec. Il semble toutefois que certains types de projets*socio=rien environnementaux*socio=et soient plus performants que d'autres (les résultats*socio=rien des projets*socio=rien "bruns" sont meilleurs*socio=rien que ceux des projets*socio=rien "verts" et "institutionnels*socio=ac"). D'autre part*socio=rien , comme l'octroi*socio=rien de prêts*socio=ec à l'appui*socio=rien de l'environnement*socio=ec est*socio=rien relativement récent*socio=rien , il y a d'inévitables*socio=rien coûts*socio=ec de démarrage*socio=rien parce que les institutions*socio=ac nationales*socio=te et sectorielles*socio=rien sont encore toutes jeunes*socio=ac et souvent fragiles*socio=rien . D'autres problèmes*socio=uv tiennent à ce que les organismes*socio=ac d'exécution*socio=rien n'avaient guère l'habitude*socio=rien de travailler avec la Banque*socio=ac, à ce que l'on a parfois eu tendance*socio=rien à vouloir*socio=rien "en faire trop" dans le cadre*socio=rien d'une *socio=rien seule opération,*socio=nil *socio=nil ou encore à ce que l'emprunteur*socio=ac ne souscrivait pas entièrement aux objectifs*socio=rien et aux *socio=rien composantes du projet,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=uv *socio=nil lorsque le projet*socio=rien ne comportait pas d'investissements*socio=ec physiques*socio=rien . L'aide*socio=uv qu'apporte la Banque*socio=ac à la préparation*socio=rien et à l'application*socio=rien de plans_nationaux_d'_action_environnementale*socio=et (PNAE*socio=et) contribue de manière*socio=rien critique*socio=uv aux efforts*socio=uv entrepris par les pays_membres*socio=ac pour améliorer la gestion*socio=et de l'environnement*socio=ec. Les PNAE*socio=et servent de base*socio=rien au dialogue*socio=uv entre la Banque*socio=ac et les emprunteurs*socio=ac sur*socio=rien les questions*socio=rien touchant l'environnement*socio=ec, décrivent les principaux*socio=rien problèmes*socio=uv et préoccupations*socio=uv du*socio=rien pays*socio=ac, et recommandent les politiques*socio=et et mesures*socio=rien à adopter pour remédier aux problèmes*socio=uv identifiés. C'est*socio=rien aux emprunteurs*socio=ac qu'incombe la responsabilité*socio=uv de l'élaboration*socio=rien et de l'application*socio=rien des PNAE*socio=et. Au 30 juin*socio=rien 1994, la plupart*socio=rien des emprunteurs*socio=ac actifs*socio=ec de VIDA avaient mené à bien*socio=rien la préparation*socio=rien de PNAE*socio=et ou de *socio=rien documents équivalents,*socio=nil *socio=nil et plusieurs pays*socio=ac ne relevant pas de FIDA*socio=ac avaient achevé ou étaient près d'achever leurs travaux*socio=rien de préparation*socio=rien . La Banque*socio=ac a entrepris une étude*socio=ac des stratégies*socio=et nationales*socio=te de l'environnement*socio=ec afin de pouvoir*socio=et guider les gouvernements*socio=ac dans leur travail*socio=rien de préparation*socio=rien . Cette étude*socio=ac, intitulée "National*socio=te Environmental*socio=et Strategies and *socio=rien Action Plans *socio=nil - Key Elements and Best Practice", devrait être*socio=rien achevée vers le milieu*socio=rien de l'exercice*socio=rien 95. Ses conclusions*socio=rien s'adresseront aux autorités*socio=et des pays_en_développement*socio=ac, en particulier*socio=uv aux ministères*socio=ac responsables*socio=uv de la programmation*socio=rien et de l'exécution*socio=rien des activités*socio=rien environnementales*socio=et. Les responsables*socio=uv de l'étude*socio=ac constatent de très grandes*socio=rien différences*socio=uv dans le mode*socio=rien de préparation*socio=rien des PNAE*socio=et d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. Ces plans*socio=rien doivent être*socio=rien établis à l'initiative*socio=rien des pays*socio=ac et il faut que soient associés*socio=rien à leur préparation*socio=rien tous les éléments*socio=rien de la société*socio=ac et des pouvoirs_publics*socio=ac. En outre, comme c'est*socio=rien le cas*socio=rien de toute stratégie*socio=et, les plans*socio=rien nationaux*socio=te sont plus faciles*socio=rien à appliquer lorsque les priorités*socio=uv sont clairement définies*socio=rien . Il a parfois *socio=rien été difficile *socio=nil d'atteindre les deux objectifs*socio=rien . Une étude*socio=ac détaillée des activités*socio=rien environnementales*socio=et de la Banque*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94 (Making Development*socio=rien Sustainable: The*socio=rien World *socio=rien Bank Group and*socio=nil the *socio=nil Environment) a été*socio=rien publiée au début*socio=rien de l'exercice*socio=rien 95. La préparation*socio=rien de documents*socio=rien exposant les pratiques*socio=et *socio=rien optimales forme un élément important du soutien*socio=uv *socio=nil apporté par la *socio=ac Vice-présidence ESD aux*socio=nil *socio=rien départements opérationnels *socio=nil pour assurer une assistance*socio=et de qualité*socio=rien aux emprunteurs*socio=ac de la Banque*socio=ac. Ces documents*socio=rien sont fondés sur*socio=rien les études*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien déjà établies et sur*socio=rien les leçons*socio=rien que ses services*socio=ec peuvent tirer de leurs activités*socio=rien de soutien*socio=uv opérationnel*socio=rien et de l'expérience*socio=uv de plus en plus riche*socio=uv que constituent les résultats*socio=rien obtenus sur*socio=rien le terrain*socio=rien par les pays_en_développement*socio=ac. Ils sont concis*socio=rien et pratiques*socio=et et tiennent compte*socio=rien des succès*socio=uv comme des échecs*socio=uv. Par exemple*socio=rien , durant l'exercice*socio=rien 94, la *socio=ac Vice-présidence ESD *socio=nil a lancé une série de *socio=rien bulletins sur les*socio=nil techniques agricoles*socio=ec spécifiquement *socio=nil destinés aux chefs*socio=ac de projet*socio=rien pour leur présenter en quatre pages*socio=rien les évolutions*socio=uv techniques*socio=rien récemment observées dans telle ou telle branche*socio=rien de l'agriculture*socio=ec, et elle a poursuivi la publication*socio=et de ses *socio=rien bulletins sur l'*socio=nil infrastructure*socio=ec.*socio=nil *socio=nil D'autres documents*socio=rien ont été*socio=rien achevés sur*socio=rien des sujets*socio=rien aussi divers que la pollution*socio=et atmosphérique due aux véhicules à moteur*socio=rien , les prêts*socio=ec aux chemins*socio=rien de fer*socio=rien , l'infrastructure*socio=ec urbaine*socio=te et la productivité*socio=ec, et la mise au point*socio=rien d'indicateurs*socio=ec pour le secteur*socio=ec du*socio=rien logement*socio=ec. Ces indicateurs*socio=ec du*socio=rien secteur*socio=ec du*socio=rien logement*socio=ec ont été*socio=rien établis en collaboration*socio=uv avec le Centre*socio=rien des nations_unies*socio=ac pour les établissements*socio=rien humains*socio=uv, dans le *socio=rien cadre du Programme*socio=et d'*socio=nil indicateurs*socio=ec du logement*socio=ec *socio=nil (HIP). Ils reflètent les intérêts*socio=uv de chacune des *socio=rien principales parties prenantes (*socio=nil utilisateurs finals,*socio=nil fournisseurs*socio=ac,*socio=nil financiers*socio=ec et*socio=nil gouvernements*socio=ac)*socio=nil *socio=nil et couvrent des paramètres*socio=rien aussi divers que le prix*socio=ec du*socio=rien logement*socio=ec, la *socio=ac population sans-abri,*socio=nil la*socio=nil qualité*socio=rien *socio=nil , la production*socio=ec, l' investissement*socio=ec, les *socio=ec taux_d'_intérêt hypothécaires,*socio=nil l'*socio=nil *socio=rien importance du financement*socio=ec du logement*socio=ec *socio=nil dans le système*socio=rien financier*socio=ec, les subventions*socio=ec et les taxes*socio=et. Les valeurs*socio=ec de ces indicateurs*socio=ec ont été*socio=rien relevées dans 53 pays*socio=ac de tous niveaux*socio=rien de développement*socio=uv et utilisées par la Banque*socio=ac pour déterminer les priorités*socio=uv en matière*socio=rien de réformes*socio=et et de prêts*socio=ec dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil Plusieurs*socio=nil *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil (comme la Hongrie*socio=ac et les Philippines*socio=ac) ont, avec l'aide*socio=uv du*socio=rien HIP, établi des indicateurs*socio=ec du*socio=rien logement*socio=ec pour évaluer leurs politiques*socio=et et programmes*socio=et de logement*socio=ec au niveau*socio=rien tant local*socio=te que national*socio=te, et pour suivre en permanence*socio=rien la performance*socio=uv du*socio=rien secteur*socio=ec. Dans la foulée du*socio=rien succès*socio=uv du*socio=rien HIP, la formule*socio=rien d'indicateurs*socio=ec de performance*socio=uv *socio=rien sectorielle est *socio=nil en passe d'être*socio=rien étendue à d'autres sous-secteurs*socio=ec urbains*socio=te, notamment les services*socio=ec et les finances*socio=ec des collectivités_locales*socio=ac, l'approvisionnement*socio=ec en eau*socio=ec et l'assainissement*socio=uv, l'environnement*socio=ec urbain*socio=te et les transports*socio=ec urbains*socio=te. Il y a des raisons*socio=rien de penser qu'à ne pas accorder suffisamment d'attention*socio=rien au rôle*socio=rien des facteurs*socio=rien sociaux*socio=ac dans le développement*socio=uv, on risque*socio=uv de compromettre l'efficacité*socio=uv des programmes*socio=et et projets*socio=rien appuyés par la Banque*socio=ac. Les dimensions*socio=rien sociales*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv revêtent une importance*socio=rien particulière*socio=uv pour le traitement*socio=rien des questions*socio=rien environne mentales*socio=rien et sociales*socio=ac. Il est*socio=rien de plus en plus admis que l'on ne peut diagnostiquer*socio=rien les problèmes*socio=uv et leur trouver des solutions*socio=rien qu'en faisant appel*socio=rien aux instruments*socio=rien d'analyse*socio=rien sociale*socio=ac. Pour combler les lacunes*socio=rien dans la prise*socio=rien en compte*socio=rien des dimensions*socio=rien sociales*socio=ac, la Banque*socio=ac a commencé durant l'exercice*socio=rien 94 la préparation*socio=rien d'un*socio=rien guide*socio=rien de la participation*socio=uv ("Participation*socio=uv Sourcebook"). Cet ouvrage, qui se fonde sur*socio=rien les conclusions*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et triennal d'apprentissage*socio=rien financé par l'Agence*socio=rien suédoise pour le développement_international*socio=et, est*socio=rien préparé sur*socio=rien une base*socio=rien participative*socio=uv, avec la contribution*socio=uv de plus de 200 agents*socio=ac de la Banque*socio=ac et conseillers*socio=ac extérieurs*socio=te. Ce sera *socio=rien un guide pratique *socio=nil présenté sous forme*socio=rien modulaire, dans lequel le personnel*socio=rien de la Banque*socio=ac trouvera les *socio=rien questions clés *socio=nil à poser; les pratiques*socio=et optimales*socio=rien à appliquer à la recherche*socio=rien de solutions*socio=rien ; de *socio=rien brèves études de*socio=nil cas;*socio=nil *socio=nil et des *socio=rien indications sur les*socio=nil ressources*socio=ec disponibles.*socio=nil *socio=nil Outre ce guide*socio=rien , la *socio=ac Vice-présidence ESD *socio=nil a préparé *socio=rien un guide des*socio=nil évaluations*socio=uv sociales*socio=ac,*socio=nil *socio=nil reflétant les pratiques*socio=et *socio=rien optimales actuelles dans*socio=nil un certain nombre de*socio=nil domaines.*socio=nil Les*socio=nil objectifs des*socio=nil évaluations*socio=uv sociales*socio=ac *socio=nil sont les suivants*socio=rien : a) identifier les *socio=rien principales parties prenantes *socio=nil et établir *socio=rien un cadre *socio=nil approprié en vue*socio=rien de leur participation*socio=uv aux opérations*socio=rien appuyées par la Banque*socio=ac; b) s'assurer que les *socio=rien objectifs du projet *socio=nil et les incitations*socio=rien au changement*socio=uv sont acceptés des bénéficiaires*socio=ac visés; c) évaluer l'impact*socio=rien social*socio=ac des projets*socio=rien et réduire au minimum*socio=rien leurs *socio=rien effets négatifs,*socio=nil le*socio=nil cas *socio=nil échéant; et d) porter les capacités*socio=rien au *socio=rien niveau requis *socio=nil pour rendre la participation*socio=uv possible*socio=rien et mener à bien*socio=rien les activités*socio=rien proposées. Ces deux guides (Participation*socio=uv et Évaluations*socio=uv sociales*socio=ac) seront étoffés et améliorés en fonction*socio=rien de l'expérience*socio=uv. Formation*socio=et et séminaires*socio=rien . La formation*socio=et qu'elle fournit au personnel*socio=rien de la Banque*socio=ac dans de *socio=rien multiples domaines,*socio=nil en*socio=nil vue *socio=nil d'appuyer les *socio=rien activités opérationnelles *socio=nil et de contribuer à améliorer l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien , *socio=rien est un élément clé du programme*socio=et de*socio=nil travail *socio=nil de la *socio=ac Vice-présidence ESD.*socio=nil *socio=nil Durant l'exercice*socio=rien écoulé, le nombre*socio=rien des cours*socio=rien de formation*socio=et a été*socio=rien de 48. A cela se sont ajoutés des séminaires*socio=rien , des ateliers*socio=rien et des visites d'étude*socio=ac, avec la participation*socio=uv d'experts*socio=ac extérieurs*socio=te. Ainsi, la Banque*socio=ac a coparrainé avec le programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac (PNUD*socio=ac) et la Fondation*socio=rien Rockefeller l'organisation*socio=rien d'un*socio=rien atelier*socio=rien à Bangkok sur*socio=rien la gestion*socio=et phytosanitaire intégrée et les biotechnologies. Dans le domaine*socio=rien de l'irrigation*socio=ec, *socio=rien un séminaire/*socio=nil voyage d'*socio=nil étude*socio=ac au*socio=nil Mexique*socio=ac a*socio=nil permis *socio=nil à des spécialistes*socio=ac venus de la Banque*socio=ac et de pays_industrialisés*socio=ac aussi bien*socio=rien qu'en développement*socio=uv d'étudier les excellents résultats*socio=rien des efforts*socio=uv entrepris par ce pays*socio=ac pour encourager la formation*socio=et d'associations*socio=ac d'usagers*socio=rien de l'eau*socio=ec. Soutien*socio=uv *socio=rien opérationnel direct.*socio=nil L'*socio=nil un des*socio=nil objectifs primordiaux *socio=nil de la *socio=ac Vice-présidence ESD est*socio=rien *socio=nil d'aider les *socio=rien départements opérationnels *socio=nil à intégrer pleinement la prise*socio=rien en compte*socio=rien de l'environnement*socio=ec (en suivant*socio=rien les approches économiques*socio=ec, sociales*socio=ac et environnementales*socio=et jugées les meilleures*socio=rien en l'état*socio=rien actuel*socio=rien des connaissances*socio=rien ) à la conception*socio=rien des projets*socio=rien de sorte*socio=rien qu'adaptés aux *socio=uv conditions particulières du*socio=rien pays*socio=ac *socio=nil et aux écosystèmes*socio=et locaux*socio=rien , ces projets*socio=rien soient compatibles*socio=rien avec l'objectif*socio=rien d'un*socio=rien développement*socio=uv écologiquement viable*socio=uv. Les activités*socio=rien de soutien*socio=uv opérationnel*socio=rien sont considérées comme l'occasion*socio=rien d'étudier systématiquement de nouvelles*socio=rien approches et, par *socio=rien un processus d'*socio=nil apprentissage *socio=nil structuré, d'enrichir progressivement la base*socio=rien des *socio=rien connaissances disponibles.*socio=nil Par*socio=nil exemple,*socio=nil l'*socio=nil étude*socio=ac sur la*socio=nil transformation*socio=uv *socio=nil de l'agriculture*socio=ec en Russie*socio=ac a impliqué l'organisation*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien d'enquêtes pour suivre l'évolution*socio=rien de l'organisation*socio=rien des *socio=ec exploitations agricoles,*socio=nil la*socio=nil formation*socio=et *socio=nil de l'institution*socio=ac locale*socio=te participante*socio=rien à la réalisation*socio=uv d'enquêtes et aux méthodes*socio=rien de traitement*socio=rien et d'analyse*socio=rien des données, et l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien "état*socio=rien des lieux*socio=rien " du*socio=rien *socio=ec secteur agricole en*socio=nil Russie*socio=ac.*socio=nil Les*socio=nil efforts*socio=uv de*socio=nil renforcement*socio=uv des*socio=nil capacités*socio=rien *socio=nil commencent à porter leurs fruits*socio=rien dans la mesure*socio=rien où l'institution*socio=ac participante*socio=rien procède maintenant à une enquête*socio=rien de suivi avec une *socio=rien supervision minimale.*socio=nil *socio=nil En outre l'étude*socio=ac a servi de modèle*socio=rien pour une *socio=rien initiative similaire en*socio=nil Ukraine*socio=ac.*socio=nil Protection*socio=et *socio=nil de l'environnement*socio=ec mondial*socio=te. C'est*socio=rien la *socio=ac Vice-présidence ESD qui*socio=nil guide*socio=rien l'*socio=nil action*socio=rien *socio=nil de la Banque*socio=ac face*socio=rien aux problèmes*socio=uv d'intérêt*socio=uv mondial*socio=te affectant l'environnement*socio=ec, l'agriculture*socio=ec et l'infrastructure*socio=ec, et pour donner suite*socio=rien à l'ordre*socio=rien *socio=rien du jour stratégique*socio=uv défini *socio=nil par la CNUED*socio=ac. Ces travaux*socio=rien sont liés en partie*socio=rien au Fonds_pour_l'_environnement_mondial*socio=ac (FEM*socio=ac). Le FEM*socio=ac a été*socio=rien établi en tant que programme*socio=et pilote en 1991 pour servir de mécanisme*socio=rien de coopération_internationale*socio=ac en *socio=rien vue du financement*socio=ec,*socio=nil sous*socio=nil forme de*socio=nil subventions*socio=ec *socio=nil ou d'aides*socio=uv financières*socio=ec concessionnelles*socio=uv, des dépenses*socio=ec additionnelles*socio=rien (surcoûts) à engager pour promouvoir la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec mondial*socio=te dans quatre *socio=rien domaines fondamentaux:*socio=nil changement*socio=uv climatique,*socio=nil diversité biologique,*socio=nil eaux*socio=et internationales*socio=te,*socio=nil et*socio=nil appauvrissement*socio=uv *socio=nil de la couche d'ozone*socio=rien . Le FEM*socio=ac peut également financer les surcoûts d'activités*socio=rien relatives*socio=rien à la dégradation*socio=rien des sols*socio=ec (essentiellement désertification*socio=et et déforestation*socio=et) dans la mesure*socio=rien où elles sont liées à ses quatre *socio=rien principaux domaines d'*socio=nil intervention*socio=et.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil PNUD*socio=ac *socio=nil et le PNUE*socio=et assurent conjointement la gestion*socio=et du*socio=rien FEM*socio=ac. La Banque*socio=ac, outre le soutien*socio=uv administratif*socio=rien qu'elle apporte au secrétariat*socio=ac du*socio=rien FEM*socio=ac, remplit deux *socio=rien grandes fonctions:*socio=nil *socio=nil elle administre la Caisse*socio=ec du*socio=rien FEM*socio=ac et *socio=rien fait partie *socio=nil aussi des agents*socio=ac d'exécution*socio=rien . Durant la phase*socio=te pilote, 115 projets*socio=rien , représentant*socio=rien plus de 733 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, ont été*socio=rien agréés par les participants*socio=ac au FEM*socio=ac, et 68 (représentant*socio=rien 471 millions*socio=rien de dollars*socio=ec) ont *socio=rien été définitivement *socio=nil approuvés. Les concours du*socio=rien FEM*socio=ac sont allés pour 42% à la biodiversité*socio=et, 40% aux changements*socio=uv climatiques*socio=et, 17% aux eaux*socio=et internationales*socio=te et 1% à l'ozone*socio=rien . En mars*socio=rien 1994, plus de 80 pays_industrialisés*socio=ac et en développement*socio=uv sont parvenus à un*socio=rien accord*socio=et sur*socio=rien la restructuration*socio=uv du*socio=rien FEM*socio=ac et la reconstitution*socio=rien de ses ressources*socio=ec. Vingt-six*socio=rien pays*socio=ac, dont plusieurs pays_en_développement*socio=ac, ont annoncé des contributions*socio=uv de plus de 2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec aux ressources*socio=ec de *socio=rien base du FEM*socio=ac *socio=nil (la Caisse*socio=ec du*socio=rien FEM*socio=ac) pour les trois années*socio=rien à venir. On trouvera à la page*socio=rien 59 *socio=rien du Rapport annuel *socio=nil de 1993 l'énoncé des huit principes*socio=uv qui régissent le FEM*socio=ac restructuré. Au terme*socio=rien de 15 mois*socio=rien de négociations*socio=uv, les participants*socio=ac se sont entendus sur*socio=rien la création*socio=rien d'un*socio=rien conseil*socio=rien composé de 32 membres*socio=rien et l'adoption*socio=et d'un*socio=rien système*socio=rien de vote*socio=et à "double*socio=rien majorité*socio=rien " afin de préserver les intérêts*socio=uv des *socio=ac pays donateurs *socio=nil comme des *socio=ac pays bénéficiaires.*socio=nil *socio=nil Cela veut dire que, pour être*socio=rien adoptée, une proposition*socio=rien devra recueillir l'approbation*socio=uv de 60% *socio=rien du nombre total des*socio=nil pays_membres*socio=ac,*socio=nil *socio=nil ainsi que l'approbation*socio=uv de donateurs*socio=ac représentant*socio=rien au moins 60% *socio=rien du total des*socio=nil contributions*socio=uv.*socio=nil Le*socio=nil Conseil *socio=nil prendra ses décisions*socio=rien par consensus*socio=uv et ne procédera qu'exceptionnellement à un*socio=rien vote*socio=et. Cette restructuration*socio=uv et la reconstitution*socio=rien de ses ressources*socio=ec font du*socio=rien FEM*socio=ac *socio=rien un mécanisme novateur*socio=uv de*socio=nil coopération_internationale*socio=ac.*socio=nil Faisant*socio=nil partie des*socio=nil agents*socio=ac d'*socio=nil exécution du FEM*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil se doit tout particulièrement d'aider les pays*socio=ac à intégrer la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec mondial*socio=te à leurs stratégies*socio=et nationales*socio=te de développement*socio=uv. A ce titre*socio=rien , il lui incombe notamment, lorsqu'elle est*socio=rien responsable*socio=uv d'activités*socio=rien financées par le FEM*socio=ac en liaison*socio=rien avec le projet*socio=rien recevant son aide*socio=uv, de faire en sorte*socio=rien que la composante*socio=rien FEM*socio=ac soit pleinement intégrée au projet*socio=rien et non pas traitée comme *socio=rien un simple ajout.*socio=nil En*socio=nil décembre *socio=nil 1992, les participants*socio=ac au FEM*socio=ac avaient demandé une évaluation*socio=uv indépendante*socio=rien de la phase*socio=te pilote, afin d'en tirer des enseignements*socio=et pour la planification*socio=et des *socio=rien activités futures.*socio=nil Eu*socio=nil égard *socio=nil à la structure*socio=ec du*socio=rien FEM*socio=ac, ce travail*socio=rien a été*socio=rien supervisé par des spécialistes*socio=ac de *socio=rien haut niveau *socio=nil de chacun des trois agents*socio=ac d'exécution*socio=rien , le secrétariat*socio=ac étant assuré par le Département*socio=ac de l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac de la Banque*socio=ac. Un*socio=rien groupe*socio=ac indépendant*socio=rien d'experts*socio=ac a fixé les orientations*socio=et stratégiques*socio=uv et validé la méthode*socio=rien et l'approche retenues*socio=rien pour l'évaluation*socio=uv. Le rapport*socio=rien d'évaluation*socio=uv (Rapport*socio=rien de l'évaluation*socio=uv indépendante*socio=rien de la phase*socio=te pilote du*socio=rien Fonds_pour_l'_environnement_mondial*socio=ac a été*socio=rien publié conjointement par le PNUD*socio=ac, le PNUE*socio=et et la Banque*socio=ac en mai*socio=rien 1994. Il préconise certains changements*socio=uv fondamentaux*socio=rien : formuler plus clairement la mission*socio=rien , les objectifs*socio=rien et les stratégies*socio=et du*socio=rien FEM*socio=ac; affermir son orientation*socio=et mondiale*socio=te; améliorer les capacités*socio=rien et les procédures*socio=rien des agents*socio=ac d'exécution*socio=rien pour la gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec; et accroître la participation*socio=uv des ONG*socio=ac, des pays*socio=ac et des communautés*socio=ac locales*socio=rien . Le *socio=ac Vice-président ESD est*socio=rien aussi*socio=nil *socio=rien président du groupe_consultatif_pour_la_recherche_agricole*socio=ec internationale*socio=ac (*socio=nil CGIAR*socio=ac)*socio=nil ,*socio=nil association*socio=ac informelle*socio=uv *socio=nil de 42 bailleurs*socio=ac de fonds_publics*socio=et et privés*socio=ec qui soutient *socio=rien un réseau *socio=nil de 18 centres*socio=rien internationaux*socio=te de *socio=ec recherche agricole.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil coparraine le CGIAR*socio=ac avec l'Organisation_des_nations_unies_pour_l'_alimentation_et_l'_agricuure*socio=ac (FAO*socio=ac) et le PNUD*socio=ac. Les programmes*socio=et de recherche*socio=ec des centres*socio=rien sont approuvés par les donateurs*socio=ac à la lumière*socio=rien des recommandations*socio=rien d'un*socio=rien organe*socio=et indépendant*socio=rien , le Comité*socio=rien consultatif*socio=uv technique*socio=rien , *socio=rien après un examen *socio=nil approfondi des défis*socio=uv mondiaux*socio=te, *socio=rien du travail *socio=nil d'autres institutions*socio=ac et des programmes*socio=et proposés par les centres*socio=rien . Le CGIAR*socio=ac est*socio=rien considéré par beaucoup comme une réussite*socio=uv exemplaire. Il *socio=rien est indéniable *socio=nil que les travaux*socio=rien de ses centres*socio=rien ont contribué à réduire la faim*socio=rien et la pauvreté*socio=uv. Après*socio=rien le récent*socio=rien réaménagement*socio=et des programmes*socio=et, les centres*socio=rien sont déterminés à s'attaquer aux défis*socio=uv que posent aujourd'hui la viabilité*socio=uv de l'agriculture*socio=ec, la sécurité*socio=uv alimentaire*socio=ec et la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. Les participants*socio=ac à la *socio=rien réunion intérimaire *socio=nil tenue à new_delhi*socio=ac *socio=rien fin mai *socio=nil 1994 ont appuyé des *socio=rien propositions destinées *socio=nil à revitaliser le *socio=rien système du CGIAR*socio=ac.*socio=nil Ces*socio=nil propositions *socio=nil visent à stabiliser son système*socio=rien financier*socio=ec et à stopper l'érosion*socio=ec de ses capacités*socio=rien scientifiques*socio=ec; à recentrer*socio=rien l'effort*socio=uv de recherche*socio=ec sur*socio=rien les programmes*socio=et approuvés; à améliorer et réformer les modes*socio=rien de gestion*socio=et afin d'accroître la prévisibilité, la transparence*socio=uv et la responsabilisation*socio=uv; à lier les programmes*socio=et du*socio=rien CGIAR*socio=ac à des programmes*socio=et participatifs*socio=uv au niveau*socio=rien des exploitations*socio=ec; et à mettre au *socio=rien point un plan d'*socio=nil action et*socio=nil un calendrier *socio=nil de 18 mois*socio=rien pour obtenir*socio=rien l'approbation*socio=uv de la nouvelle*socio=rien stratégie*socio=et pour les gouvernements*socio=ac. Pour ce qui est*socio=rien des finances*socio=ec, les *socio=rien membres du groupe*socio=ac *socio=nil ont affirmé leur volonté*socio=uv de mobiliser les 270 millions*socio=rien de dollars*socio=ec nécessaires*socio=rien au programme*socio=et de base*socio=rien . A cet effet*socio=rien , il a été*socio=rien décidé de redéployer des fonds*socio=ec affectés au programme*socio=et complémentaire*socio=rien au profit*socio=ec d'activités*socio=rien du*socio=rien programme*socio=et de base*socio=rien , et la proposition*socio=rien présentée par les trois copromoteurs de demander aux bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec *socio=rien un supplément exceptionnel*socio=uv *socio=nil a abouti à l'annonce de contributions*socio=uv supplémentaires*socio=rien d'au moins 10 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour 1994. La banque_mondiale*socio=ac envisage une augmentation*socio=uv proportionnelle*socio=rien de ses propres*socio=rien concours pour 1994 et pour 1995 (dans *socio=rien un rapport *socio=nil de 1 à 2, à concurrence*socio=ec de 10 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par an*socio=rien ). Pour assurer la transparence*socio=uv, la responsabilité*socio=uv et la prévisibilité dans le domaine*socio=rien financier*socio=ec, le CGIAR*socio=ac s'orientera vers l'adoption*socio=et d'un*socio=rien *socio=rien nouveau système *socio=nil de budgets-programmes. Ce système*socio=rien fera clairement ressortir le rôle*socio=rien incombant aux *socio=rien centres du CGIAR*socio=ac *socio=nil et à leurs programmes*socio=et de recherche*socio=ec dans l'ensemble*socio=rien des recherches*socio=ec entreprises*socio=ac à l'échelon*socio=rien mondial*socio=te par les pays_industrialisés*socio=ac, les centres*socio=rien internationaux*socio=te de *socio=ec recherche agricole,*socio=nil les*socio=nil systèmes*socio=rien nationaux*socio=te de*socio=nil recherche agricole des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et les organisations_non_gouvernementales*socio=ac. Le programme*socio=et et les budgets*socio=ec pour 1995 seront présentés sous une forme*socio=rien qui facilitera le passage*socio=rien à cette nouvelle*socio=rien approche. La Fédération*socio=et de Russie*socio=ac est*socio=rien devenue le quarante-deuxième *socio=rien membre du groupe*socio=ac lors *socio=nil de la réunion*socio=rien de new_delhi*socio=ac, et l'afrique_du_sud*socio=ac a *socio=rien été présente *socio=nil pour la *socio=rien première fois,*socio=nil en*socio=nil qualité d'*socio=nil observateur*socio=ac.*socio=nil Activités de*socio=nil vulgarisation.*socio=nil La*socio=nil *socio=ac Vice-présidence ESD *socio=nil diffuse les résultats*socio=rien de ses travaux*socio=rien d'analyse*socio=rien non seulement sous la forme*socio=rien d'études*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien , de *socio=rien rapports sur les*socio=nil pratiques*socio=et optimales *socio=nil et d'autres documents*socio=rien , mais aussi, et de plus en plus, par la publication*socio=et de courtes*socio=rien notes d'informations*socio=rien spécialisées*socio=rien qui sont largement diffusées (séries "Urban Age", "ENV Dissemination Notes" et "Forestry Newsletter", par exemple*socio=rien ), et par l'organisation*socio=rien d'ateliers*socio=rien informels*socio=uv, de séminaires*socio=rien et de colloques*socio=rien visant à renforcer la coopération*socio=uv avec d'autres institutions*socio=ac. La *socio=ac Vice-présidence ESD *socio=nil a ainsi participé à la Conférence*socio=rien ministérielle*socio=et organisée par les Pays-bas*socio=ac ("Eau*socio=ec potable*socio=rien et *socio=et hygiène environnementale:*socio=nil *socio=nil mise en oeuvre*socio=rien d'Action*socio=rien 21") et poursuivi sa collaboration*socio=uv avec les organismes*socio=ac d'aide*socio=uv bilatéraux*socio=te du*socio=rien Danemark*socio=ac et de la Suède*socio=ac dans le domaine*socio=rien de la gestion*socio=et des ressources*socio=ec en eau*socio=ec. La *socio=ac Vice-présidence ESD *socio=nil a tenu sa *socio=rien première conférence annuelle du 30*socio=nil septembre *socio=nil au ler octobre*socio=rien 1993 au siège*socio=rien de la Banque*socio=ac. Les débats*socio=et ont principalement porté sur*socio=rien l'identification*socio=rien des coûts*socio=ec et avantages*socio=rien de *socio=rien différentes utilisations des*socio=nil ressources_naturelles*socio=ec.*socio=nil Les*socio=nil centaines d'*socio=nil experts*socio=ac présents *socio=nil ont aussi débattu de la nécessité*socio=uv croissante*socio=rien d'une meilleure*socio=rien gestion*socio=et, face*socio=rien à l'aggravation*socio=rien des pénuries*socio=ec et de la pollution*socio=et. La conférence*socio=rien a donné lieu*socio=rien à un*socio=rien débat*socio=et enrichissant sur*socio=rien certains des problèmes*socio=uv les plus actuels*socio=rien de la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec. L'objectif*socio=rien n'était pas toutefois de trouver la panacée*socio=rien aux problèmes*socio=uv de l'environnement*socio=ec mondial*socio=te; il s'agissait plutôt de modifier les processus*socio=rien présidant à la recherche*socio=rien de solutions*socio=rien , en faisant participer la population*socio=ac et en se concentrant sur*socio=rien l'environnement*socio=ec tout en favorisant le développement_économique*socio=ec. La *socio=ac Vice-présidence ESD *socio=nil a également organisé une *socio=rien conférence sur la*socio=nil lutte*socio=uv *socio=nil contre la faim*socio=rien dans le monde*socio=te (30 novembre*socio=rien - ler décembre*socio=rien 1993). L'idée*socio=rien de la conférence*socio=rien était venue de la grève*socio=ec de la faim*socio=rien qu'avait faite au début*socio=rien de l'année*socio=rien , pendant 23 jours*socio=rien , un*socio=rien *socio=ac parlementaire américain,*socio=nil *socio=nil Tony Hall, pour alerter l'opinion_publique*socio=et sur*socio=rien le fléau*socio=uv croissant*socio=rien de la faim*socio=rien . Organisée en collaboration*socio=uv avec d'autres organisations*socio=ac multilatérales*socio=te d'aide_au_développement*socio=uv et d'ONG*socio=ac de pays_en_développement*socio=ac aussi bien*socio=rien qu'industrialisés, la conférence*socio=rien avait pour but*socio=rien de renforcer les actions*socio=rien mondiales*socio=ec contre la faim*socio=rien . Lors*socio=rien de la conférence*socio=rien , la Banque*socio=ac a annoncé qu'elle était prête*socio=rien à travailler avec d'autres bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec pour financer les organismes*socio=ac de crédit*socio=ec qui accordent aux plus pauvres*socio=uv des prêts*socio=ec d'un*socio=rien très faible*socio=rien montant*socio=ec dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et d'ensemble*socio=rien visant à leur donner les moyens*socio=ec de prendre leur sort*socio=rien en main*socio=rien . Ce programme*socio=et *socio=rien est semblable *socio=nil à plusieurs autres initiatives*socio=rien lancées avec succès*socio=uv dans les pays_en_développement*socio=ac, comme la Grameem Bank*socio=ac au Bangladesh*socio=ac, la Badan Kredit Kecamatan en Indonésie*socio=ac, les programmes*socio=et de crédit*socio=ec aux microentreprises appuyés par le Fonds_international_de_développement_agricole*socio=ac (FIDA*socio=ac) et la campagne*socio=rien d'éradication*socio=ec de la faim*socio=rien (Freedom from Hunger). La Banque*socio=ac a immédiatement accordé un*socio=rien don*socio=ec de 2 millions*socio=rien de dollars*socio=ec à la Grameen Bank*socio=ac pour couvrir les coûts*socio=ec de démarrage*socio=rien d'un*socio=rien *socio=ec fonds fiduciaire,*socio=nil *socio=nil le Grameen Trust, durant la *socio=rien première année *socio=nil de son fonctionnement*socio=rien . Ce don*socio=ec est*socio=rien distinct des prêts*socio=ec et crédits*socio=ec ordinaires*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac, lesquels ne peuvent être*socio=rien accordés qu'à un*socio=rien pays*socio=ac ou à un*socio=rien emprunteur*socio=ac bénéficiant d'une garantie publique*socio=et. Le don*socio=ec de 2 millions*socio=rien de dollars*socio=ec au Grameen Trust atteste la détermination*socio=rien de la Banque*socio=ac à apporter une aide*socio=uv directe*socio=rien aux programmes*socio=et visant des *socio=rien actions concrètes *socio=nil à l'appui*socio=rien de la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv et la faim*socio=rien . D'autres organismes*socio=ac ont déjà contribué à ce *socio=ec fonds fiduciaire *socio=nil et le *socio=rien modeste apport *socio=nil de la Banque*socio=ac conforte sa volonté*socio=uv de se joindre aux donateurs*socio=ac et à d'autres partenaires*socio=uv pour étudier les *socio=rien possibilités offertes *socio=nil par les programmes*socio=et axés sur*socio=rien les besoins*socio=uv des travailleurs*socio=ac indépendants*socio=rien sans ressources*socio=ec en matière*socio=rien de crédit*socio=ec et d'épargne*socio=ec et pour appuyer les institutions*socio=ac qui essaient de venir en aide*socio=uv aux plus démunis*socio=ac. Le Grameen Trust a été*socio=rien fondé par Mohammed Yunus, Président*socio=rien de la Grameen Bank*socio=ac, qui a pris la parole*socio=rien à la conférence*socio=rien . Parmi les autres conférenciers*socio=ac figuraient Boutros Boutros-ghali, Secrétaire*socio=ac général*socio=rien des nations_unies*socio=ac; Ketumile Masire, *socio=rien Président du *socio=nil Botswana; l'ancien*socio=rien Président*socio=rien des États-unis*socio=ac, Jimmy Carter*socio=rien (en tant que dirigeant *socio=rien du Carter *socio=nil Center, organisation_non_gouvernementale*socio=ac); Lewis*socio=rien Preston*socio=ac, Président*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac; et M: Hall, parlementaire*socio=ac des États-unis*socio=ac. Opérations*socio=rien de prêt*socio=ec. Durant l'exercice*socio=rien 94, les engagements*socio=ec à l'appui*socio=rien d'un*socio=rien développement*socio=uv écologiquement viable*socio=uv ont atteint 10,203 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (49% *socio=rien du total des*socio=nil engagements*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac) dont environ 6,835 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de prêts*socio=ec de la BIRD*socio=ac et 3,368 millions*socio=rien de dollars*socio=ec de crédits*socio=ec de l'IDA*socio=ac. Huit projets*socio=rien ayant des objectifs*socio=rien essentiellement environnementaux*socio=et ont été*socio=rien approuvés et ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'engagements*socio=ec représentant*socio=rien 748 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Dix-sept*socio=rien autres projets*socio=rien comportaient d'importants*socio=rien volets*socio=rien environnementaux*socio=et devant*socio=rien contribuer à la réalisation*socio=uv des *socio=rien objectifs du programme*socio=et *socio=nil vert (dix projets*socio=rien et 742 millions*socio=rien de dollars*socio=ec) et du*socio=rien programme*socio=et brun (sept projets*socio=rien et 913,6 millions*socio=rien de dollars*socio=ec) . Les prêts*socio=ec en faveur*socio=rien de l'agriculture*socio=ec et de la valorisation*socio=uv des ressources_naturelles*socio=ec se sont élevés*socio=rien à 3,907 millions*socio=rien de dollars*socio=ec répartis entre 46 projets*socio=rien et les prêts*socio=ec aux transports*socio=ec à 3,293 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (25 projets*socio=rien ); les 15 investissements*socio=ec affectés au développement*socio=uv urbain*socio=te ont reçu 1,279 millions*socio=rien de dollars*socio=ec; et des engagements*socio=ec totalisant 975 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (10 projets*socio=rien ) ont été*socio=rien approuvés pour le secteur*socio=ec de l'alimentation*socio=ec en eau*socio=ec et de l'assainissement*socio=uv. Développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec et financier*socio=ec. Durant l'exercice*socio=rien 94, le groupe_de_la_banque_mondiale*socio=ac - banque_mondiale*socio=ac, société_financière_internationale*socio=ac (SE) et Agence*socio=rien multilatérale*socio=te de garantie des investissements*socio=ec (AMGI*socio=ac) - a intensifié l'aide*socio=uv apportée aux pays_en_développement*socio=ac pour promouvoir l'expansion*socio=ec de leurs secteurs_privés*socio=ec et renforcer leurs *socio=ec secteurs financiers.*socio=nil L'*socio=nil *socio=rien objectif est *socio=nil d'améliorer les perspectives*socio=uv de croissance*socio=uv et de rendre leur économie*socio=ec suffisamment dynamique*socio=uv pour soutenir la concurrence*socio=ec d'une économie*socio=ec mondiale*socio=te en *socio=rien évolution rapide.*socio=nil L'*socio=nil appui du groupe_de_la_banque*socio=ac au*socio=nil développement*socio=uv du secteur_privé*socio=ec *socio=nil et à la privatisation*socio=et aide*socio=uv aussi les gouvernements*socio=ac à alléger leurs responsabilités*socio=uv et leurs *socio=et charges budgétaires,*socio=nil de*socio=nil sorte*socio=rien *socio=nil qu'ils puissent se concentrer davantage sur*socio=rien la réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv et la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec. Comme l'indiquait le *socio=rien Rapport annuel *socio=nil 1993, le groupe_de_la_banque*socio=ac s'efforce de comprendre la dynamique*socio=uv qui influence le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Il cherche aussi à établir des liens*socio=rien entre les institutions*socio=ac locales*socio=rien d'une *socio=rien importance décisive *socio=nil pour la création*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien contexte favorable *socio=nil à l'expansion*socio=ec de l'activité*socio=rien économique*socio=ec; et il analyse*socio=rien , pour en tirer les leçons*socio=rien et les diffuser, l'expérience*socio=uv des pays*socio=ac dont l'effort*socio=uv de réforme*socio=et a été*socio=rien couronné de succès*socio=uv. La *socio=rien majeure partie *socio=nil de ce travail*socio=rien incombe à la nouvelle*socio=rien Vice-présidence*socio=ac centrale*socio=rien FPD*socio=ac (Développement*socio=uv des *socio=ec secteurs financier et*socio=nil privé)*socio=nil *socio=nil qui 'durant l'exercice*socio=rien 94, a mené à bien*socio=rien la mise en place*socio=rien de son personnel*socio=rien et de son *socio=rien organisation interne.*socio=nil Les*socio=nil opérations *socio=nil et les *socio=rien activités du groupe_de_la_banque*socio=ac *socio=nil à l'appui*socio=rien du*socio=rien développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec ont été*socio=rien centrées sur*socio=rien trois *socio=rien grands objectifs:*socio=nil *socio=nil - soutenir efficacement le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec par une gamme*socio=rien d'activités*socio=rien de plus en plus diversifiée; - améliorer la diffusion*socio=rien des connaissances*socio=rien ; - expérimenter de *socio=rien nouvelles idées.*socio=nil *socio=nil Soutenir le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Dans l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac, la Banque*socio=ac encourage le secteur_privé*socio=ec sous *socio=rien diverses formes.*socio=nil Les*socio=nil prêts*socio=ec et*socio=nil crédits*socio=ec d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac, par exemple*socio=rien , contribuent à la création*socio=rien d'un*socio=rien environnement*socio=ec porteur*socio=rien , ouvert*socio=rien à la concurrence*socio=ec, tout en encourageant la réforme*socio=et du*socio=rien *socio=ec secteur financier.*socio=nil Le*socio=nil groupe_de_la_banque*socio=ac *socio=nil apporte en outre son aide*socio=uv à quelque 25 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par an*socio=rien d'investissements_privés*socio=ec. Les prêts*socio=ec d'environ 1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec par an*socio=rien qu'il accorde à des intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec débouchent sur*socio=rien environ 4 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec d' investissements_privés*socio=ec; la SFI*socio=ac - à travers*socio=rien ses prêts*socio=ec, prises*socio=rien de participation*socio=uv et lignes*socio=rien de crédit*socio=ec - fournit environ 2,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par an*socio=rien mais, comme son *socio=rien coefficient multiplicateur est bien plus*socio=nil élevé,*socio=nil *socio=nil de l'ordre*socio=rien de 7 à 1, ses concours contribuent à des investissements*socio=ec de l'ordre*socio=rien de 18 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Les opérations*socio=rien de garantie de l'AMGI*socio=ac sont actuellement d'environ 400 millions*socio=rien de dollars*socio=ec par an*socio=rien , et les investissements_privés*socio=ec qui en bénéficient représentent quelque 3 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Le total*socio=rien de 25 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec correspond à 10% environ des investissements*socio=ec des entreprises_privées*socio=ec dans les pays_en_développement*socio=ac. Soutien*socio=uv aux opérations*socio=rien . Dans tout ce qu'elle fait*socio=rien pour favoriser le dynamisme*socio=uv et la compétitivité*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, la vice-présidence_fpd*socio=ac attache une *socio=rien importance fondamentale *socio=nil à l'amélioration*socio=uv de la qualité*socio=rien et de l'efficacité*socio=uv des opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac, cet aspect*socio=rien de ses activités*socio=rien absorbant plus des deux tiers*socio=rien de ses ressources*socio=ec. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, elle a apporté son aide*socio=uv aux équipes-pays à l'appui*socio=rien d'améliorations*socio=uv dans de *socio=rien multiples domaines:*socio=nil conception et*socio=nil exécution des*socio=nil projets;*socio=nil formation*socio=et du personnel;*socio=nil programmes*socio=et d'*socio=nil assistance_technique*socio=et;*socio=nil prise de*socio=nil contacts *socio=nil dans le monde*socio=te entier*socio=rien avec tous ceux qui expérimentent des approches novatrices*socio=uv fondées sur*socio=rien les "pratiques*socio=et optimales*socio=rien "; et diffusion*socio=rien des progrès*socio=uv des connaissances*socio=rien et des "pratiques*socio=et optimales*socio=rien " auprès *socio=rien du personnel *socio=nil de la Banque*socio=ac et des emprunteurs*socio=ac. Comme cela a été*socio=rien mis en *socio=rien évidence lors d'*socio=nil un séminaire sur le*socio=nil développement*socio=uv du *socio=ec secteur financier et*socio=nil du*socio=rien secteur_privé,*socio=nil *socio=nil organisé à l'intention*socio=rien du*socio=rien conseil_des_administrateurs*socio=ac en mars*socio=rien 1994, les gouvernements*socio=ac du*socio=rien monde*socio=te entier*socio=rien ont entrepris de reconsidérer leur rôle*socio=rien dans le développement*socio=uv et de réorienter les *socio=rien activités du secteur_public*socio=ac *socio=nil pour maximiser l'efficacité*socio=uv, ce qui amène*socio=rien à compter de plus en plus sur*socio=rien l'aide*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec pour atteindre leurs objectifs*socio=rien de développement*socio=uv. En outre, les *socio=rien tendances actuelles du commerce*socio=ec *socio=nil et de l'activité*socio=rien économique*socio=ec à travers*socio=rien le monde*socio=te rendent la concurrence*socio=ec bien*socio=rien plus intense*socio=rien et imposent aux institutions_publiques*socio=et comme aux entreprises*socio=ac de renforcer considérablement*socio=rien leur capacité*socio=rien d'adaptation*socio=uv. Admettre ces réalités*socio=uv suppose, de la part*socio=rien des gouvernements*socio=ac, qu'ils modifient radicalement le champ*socio=rien de leur action*socio=rien et leurs rapports*socio=rien avec le secteur_privé*socio=ec. Ils doivent passer d'économies*socio=ec dirigées, repliées sur*socio=rien elles-mêmes, à des économies*socio=ec compétitives*socio=uv et ouvertes*socio=rien . Pour les entreprises*socio=ac, cela signifie courtiser non plus les pouvoirs_publics*socio=ac dans l'espoir*socio=uv d'obtenir*socio=rien des privilèges*socio=uv spéciaux*socio=rien , mais les marchés*socio=ec pour en tirer des bénéfices*socio=ec. Les gouvernements*socio=ac doivent donc mettre en *socio=rien place un *socio=ec environnement concurrentiel,*socio=nil *socio=rien un système juridique*socio=et et*socio=nil réglementaire*socio=et propice au*socio=nil bon fonctionnement du marché*socio=ec,*socio=nil et*socio=nil un ensemble d'*socio=nil institutions*socio=ac capables *socio=nil d'aider les entreprises*socio=ac à renforcer leurs capacités*socio=rien . De propriétaire*socio=ac et de gestionnaire*socio=ac, l'État*socio=ac doit devenir*socio=rien partenaire*socio=uv et arbitre compétent*socio=uv. Durant l'exercice*socio=rien 94, la Banque*socio=ac a continué d'aider les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil à intensifier leurs efforts*socio=uv de privatisation*socio=et, à remanier le cadre*socio=rien réglementaire*socio=et et, de manière*socio=rien plus générale*socio=rien , à créer *socio=rien un climat propice au*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil de l'activité*socio=rien économique*socio=ec. Au 30 juin*socio=rien 1994, la Banque*socio=ac, en collaboration*socio=uv avec la SFI*socio=ac, avait pratiquement achevé 17 évaluations*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Leurs constatations*socio=rien ont été*socio=rien diffusées dans le cadre*socio=rien de séminaires*socio=rien et d'ateliers*socio=rien pour aider les gouvernements*socio=ac à s'atteler à la recherche*socio=rien de solutions*socio=rien en consultation*socio=uv avec le secteur_privé*socio=ec. Cependant, dans les rapports*socio=rien établis à l'achèvement*socio=rien de ces évaluations*socio=uv, le groupe_de_la_banque*socio=ac présente*socio=rien habituellement son *socio=rien propre diagnostic *socio=nil et ses recommandations*socio=rien pour aider le gouvernement*socio=ac concerné à décider de ses politiques*socio=et à l'égard*socio=rien du*socio=rien développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Les recommandations*socio=rien des évaluations*socio=uv sont également prises*socio=rien en compte*socio=rien dans la définition*socio=rien de la stratégie*socio=et et du*socio=rien programme*socio=et de prêt*socio=ec de la Banque*socio=ac pour le pays*socio=ac en cause*socio=rien (Encadré 3-3). Au cours*socio=rien des *socio=rien exercices récents,*socio=nil *socio=nil près de trois sur*socio=rien quatre des opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et financées avec l'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac ont comporté des éléments*socio=rien visant la mise en place*socio=rien de marchés*socio=ec compétitifs*socio=uv et d'un*socio=rien environnement*socio=ec favorable*socio=rien au *socio=rien bon fonctionnement du secteur_privé*socio=ec.*socio=nil *socio=nil En outre, une attention*socio=rien accrue a *socio=rien été portée *socio=nil à l'instauration*socio=et des institutions*socio=ac essentielles*socio=uv au développement*socio=uv de *socio=ec marchés concurrentiels et*socio=nil dynamiques*socio=uv *socio=nil dans les domaines*socio=rien , par exemple*socio=rien , de l'administration*socio=et douanière*socio=et et fiscale*socio=ec, de la technologie*socio=ec, de l'enseignement*socio=et technique*socio=rien , et des normes*socio=et et brevets*socio=rien . Durant l'exercice*socio=rien 94, la privatisation*socio=et est*socio=rien restée l'un*socio=rien des *socio=rien éléments fondamentaux *socio=nil de l'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac et de la vice-présidence_fpd*socio=ac pour certains pays_membres*socio=ac. Beaucoup des *socio=rien initiatives prises *socio=nil ont visé la mise en place*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien cadre institutionnel *socio=nil tel que les privatisations*socio=et puissent se dérouler de manière*socio=rien efficace*socio=uv, rapide*socio=rien et transparente*socio=uv. De vastes*socio=rien programmes*socio=et ont été*socio=rien entrepris dans des économies*socio=ec très diverses*socio=rien , parmi les plus grandes*socio=rien (Turquie*socio=ac) comme parmi les plus petites*socio=rien (Bolivie*socio=ac et Fidji*socio=ac). Les opérations*socio=rien de désengagement*socio=et ont porté sur*socio=rien de petites*socio=rien entreprises*socio=ac et le commerce*socio=ec de détail*socio=rien , comme sur*socio=rien de grandes*socio=rien et moyennes*socio=rien entreprises*socio=ac du*socio=rien secteur*socio=ec marchand*socio=ac et sur*socio=rien des entreprises*socio=ac de service_public*socio=et. La SFI*socio=ac a joué *socio=rien un rôle actif *socio=nil dans la fourniture*socio=rien d' assistance_technique*socio=et à la Russie*socio=ac en vue*socio=rien de l'élaboration*socio=rien de modèles*socio=rien appropriés et facilement reproductibles, axés *socio=rien sur un système de*socio=nil ventes*socio=ec sur coupons*socio=nil ouvertes *socio=nil à tous. Elle a contribué à la mise au point*socio=rien de modèles*socio=rien pour la privatisation*socio=et des petites*socio=rien entreprises*socio=ac puis du*socio=rien camionnage, et ensuite pour la vente*socio=ec sur*socio=rien coupons de grandes*socio=rien et moyennes*socio=rien entreprises*socio=ac. Le groupe_de_la_banque*socio=ac a continué aussi à jouer *socio=rien un rôle de*socio=nil premier plan *socio=nil dans la conception*socio=rien et l'application*socio=rien de programmes*socio=et de privatisation*socio=et de masse*socio=rien visant à opérer des transferts*socio=ec massifs*socio=rien de propriété*socio=ec dans des économies_en_transition*socio=ec comme le Kazakhstan*socio=ac, la Moldova*socio=ac, la République*socio=ac kirghize, la Russie*socio=ac et l'Ukraine*socio=ac. Pour beaucoup de ces économies_en_transition*socio=ec et pour l'amérique_latine*socio=ac, des recherches*socio=ec sont en cours*socio=rien en vue*socio=rien de la conception*socio=rien et de l'exécution*socio=rien de programmes_d'_aide*socio=uv pour favoriser l'expansion*socio=ec et la viabilité*socio=uv des entreprises*socio=ac récemment privatisées. Traditionnellement, face*socio=rien aux monopoles*socio=ec publics*socio=et du*socio=rien secteur*socio=ec des infrastructures*socio=et, l'action*socio=rien de la Banque*socio=ac consistait à appuyer l'extension*socio=rien des réseaux*socio=rien , l'adoption*socio=et de nouvelles*socio=rien technologies*socio=ec, et le renforcement*socio=uv des *socio=ac organismes exploitants.*socio=nil L'*socio=nil accent*socio=rien *socio=nil était mis sur*socio=rien l'élaboration*socio=rien de plans*socio=rien de développement*socio=uv au moindre*socio=rien coût*socio=ec, l'efficacité*socio=uv de la passation_des_marchés*socio=ec et l'autonomie*socio=uv des *socio=ac organismes exploitants sur*socio=rien le*socio=nil plan*socio=rien financier*socio=ec *socio=nil et gestionnel. Les *socio=rien principaux instruments *socio=nil utilisés à cet effet*socio=rien étaient l'octroi*socio=rien de prêts*socio=ec d'investissement*socio=ec et le programme*socio=et ECO (opérations*socio=rien de cofinancement*socio=ec élargies). La *socio=rien tendance est *socio=nil aujourd'hui à une plus large*socio=rien participation*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec à la fourniture*socio=rien des services*socio=ec d'infrastructure*socio=ec, en réponse*socio=rien à la piètre*socio=rien performance*socio=uv des entreprises*socio=ac dont l'État*socio=ac est*socio=rien à la fois*socio=rien le propriétaire*socio=ac et le gestionnaire*socio=ac. A cela s'ajoute la précarité*socio=uv des finances_publiques*socio=et, alors que les besoins*socio=uv annuels*socio=rien d'investissement*socio=ec sont de l'ordre*socio=rien de 200 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par an*socio=rien . En outre, le progrès*socio=uv *socio=rien technique fait *socio=nil qu'aujourd'hui de plus *socio=rien petites unités de*socio=nil production*socio=ec peuvent*socio=nil être économiques*socio=ec *socio=nil - et privées*socio=ec. Pour promouvoir à la fois*socio=rien l'efficacité*socio=uv technique*socio=rien et l'efficacité*socio=uv économique*socio=ec, les gouvernements*socio=ac peuvent réformer le cadre*socio=rien réglementaire*socio=et de manière*socio=rien à favoriser la concurrence*socio=ec en séparant les activités*socio=rien potentiellement concurrentielles*socio=ec (production*socio=ec et distribution*socio=rien de l'électricité*socio=ec) de celles qui se prêtent moins bien*socio=rien à la concurrence*socio=ec (transport*socio=ec de l'électricité*socio=ec). Lorsqu'il n'existe pas de véritable*socio=rien concurrence*socio=ec, l'adoption*socio=et de réglementations*socio=et complémentaires*socio=rien pour protéger l'intérêt_public*socio=et peut aussi contribuer à l'amélioration*socio=uv de l'efficacité*socio=uv. De *socio=rien nouvelles manières *socio=nil de réglementer se font jour*socio=rien , dont les objectifs*socio=rien sont de mieux encourager la maîtrise*socio=rien des coûts*socio=ec et l'innovation*socio=uv technique*socio=rien . Le choix*socio=uv *socio=rien du meilleur système de*socio=nil réglementation*socio=et n'*socio=nil est pas*socio=nil chose facile *socio=nil et, si *socio=rien certaines formules *socio=nil valent mieux que d'autres, il n'y a pas de *socio=rien solution parfaite valable *socio=nil en toutes circonstances*socio=rien . Beaucoup dépend de la structure*socio=ec du*socio=rien secteur*socio=ec en cause*socio=rien , ainsi que de la capacité*socio=rien des institutions*socio=ac et de la fonction_publique*socio=et. La *socio=rien part prise *socio=nil par le secteur_privé*socio=ec dans le financement*socio=ec des infrastructures*socio=et progresse rapidement, mais elle est*socio=rien encore modeste*socio=rien . Le nombre*socio=rien des pays*socio=ac et des secteurs*socio=ec concernés a sensiblement augmenté. De l'électricité*socio=ec et des télécommunications*socio=rien , le champ*socio=rien d'intervention*socio=et du*socio=rien secteur_privé*socio=ec s'étend aujourd'hui aux aéroports*socio=ec, aux chemins*socio=rien de fer*socio=rien , aux ports*socio=ec, aux routes*socio=rien à péage et à l'approvisionnement*socio=ec en eau*socio=ec. Les investissements*socio=ec de la SFI*socio=ac à l'appui*socio=rien du*socio=rien secteur*socio=ec de l'infrastructure*socio=ec ont fortement augmenté ces *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Ils ont représenté, au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, des financements*socio=ec nets*socio=rien de plus de 550 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (financements*socio=ec bruts*socio=rien de 1,29 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec) qui contribuent à la réalisation*socio=uv de projets*socio=rien d'une valeur*socio=ec d'environ 5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec. Pareilles*socio=rien réalisations*socio=uv correspondent à une augmentation*socio=uv de 80 à 90% par rapport*socio=rien à l'exercice*socio=rien 93. Les télécommunications*socio=rien constituent *socio=rien un bon exemple.*socio=nil *socio=nil Comme il a été*socio=rien souligné lors*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien séminaire sur les*socio=nil télécommunications *socio=nil organisé par la Banque*socio=ac et la SFI*socio=ac à l'intention*socio=rien des Administrateurs*socio=ac en février*socio=rien 1994, les pays_en_développement*socio=ac doivent investir chaque année*socio=rien quelque 30 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec simplement pour mettre *socio=rien sur pied l'*socio=nil infrastructure*socio=ec de*socio=nil base nécessaire *socio=nil à la croissance_économique*socio=ec et à la satisfaction*socio=uv de la demande*socio=ec actuelle*socio=rien . Même avec l'appui*socio=rien du*socio=rien groupe_de_la_banque*socio=ac et d'autres bailleurs*socio=ac de fonds_publics*socio=et, il *socio=rien reste un déficit*socio=ec de*socio=nil financement*socio=ec *socio=nil d'au moins 20 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec que seul*socio=rien le secteur_privé*socio=ec peut combler. Pour mobiliser un*socio=rien tel volume*socio=rien de *socio=ec capitaux privés,*socio=nil *socio=nil de plus en plus de pays_en_développement*socio=ac procèdent à de vastes*socio=rien réformes*socio=et du*socio=rien secteur*socio=ec des télécommunications*socio=rien . Le moment*socio=rien s'y prête*socio=rien : la *socio=rien rapidité du progrès*socio=uv technique,*socio=nil la*socio=nil baisse des*socio=nil coûts*socio=ec *socio=nil et la perspective*socio=rien d'une forte*socio=rien croissance*socio=uv - toutes conditions*socio=uv inégalées dans les autres secteurs*socio=ec - ouvrent la voie*socio=rien à divers modes*socio=rien de propriété*socio=ec et de gestion*socio=et. Le groupe_de_la_banque*socio=ac appuie ces réformes*socio=et en jouant *socio=rien un rôle de*socio=nil catalyseur *socio=nil et en mettant *socio=rien un éventail *socio=nil de plus en plus large*socio=rien d'instruments*socio=rien de la Banque*socio=ac, de la SFI*socio=ac et de l'AMGI*socio=ac au service*socio=rien de la mobilisation*socio=uv de capitaux*socio=ec et de gestionnaires*socio=ac privés*socio=ec. La mise en jeu*socio=rien des trois institutions*socio=ac permet le montage*socio=rien de programmes*socio=et souples*socio=uv et adaptés à la *socio=uv situation particulière *socio=nil de chaque pays*socio=ac, qui combinent assistance_technique*socio=et, prêts*socio=ec, investissements*socio=ec et garanties. Pour le secteur*socio=ec de l'énergie*socio=ec, la Banque*socio=ac a centré son action*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94 sur*socio=rien l'efficacité*socio=uv de l'utilisation*socio=rien de l'énergie*socio=ec, la restructuration*socio=uv et la réglementation*socio=et du*socio=rien secteur*socio=ec, la mobilisation*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, le commerce*socio=ec du*socio=rien gaz*socio=ec, l'énergie*socio=ec rurale*socio=te, les combustibles*socio=ec ménagers*socio=rien et les sources*socio=rien d'énergie*socio=ec renouvelable - en mettant particulièrement l'accent*socio=rien sur*socio=rien l'analyse*socio=rien et l'atténuation*socio=rien des *socio=rien effets sur l'*socio=nil environnement*socio=ec.*socio=nil La*socio=nil vice-présidence_fpd*socio=ac *socio=nil a poursuivi l'analyse*socio=rien des *socio=rien principaux facteurs *socio=nil contribuant au succès*socio=uv des programmes*socio=et d'amélioration*socio=uv de l'efficacité*socio=uv - en vue*socio=rien d'élaborer, en tenant compte*socio=rien des spécificités du*socio=rien pays*socio=ac considéré, de meilleures*socio=rien approches pour faire jouer le marché*socio=ec en faveur*socio=rien d'améliorations*socio=uv de l'efficacité*socio=uv *socio=rien du côté *socio=nil de l'offre*socio=rien comme de la demande*socio=ec. *socio=rien Diverses initiatives ont*socio=nil été prises *socio=nil pour appuyer les réformes*socio=et sectorielles*socio=rien de pays*socio=ac clés*socio=rien . La Banque*socio=ac a encouragé le partage*socio=uv des connaissances*socio=rien et de l'expérience*socio=uv par des activités*socio=rien d' assistance_technique*socio=et et par l'organisation*socio=rien de séminaires*socio=rien et d'ateliers*socio=rien à l'intention*socio=rien des décideurs*socio=et dans divers pays*socio=ac, notamment au Brésil*socio=ac, en Chine*socio=ac, en Inde*socio=ac, et dans plusieurs pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te et de l' ex-union_soviétique*socio=ac. La Banque*socio=ac a renforcé ses activités*socio=rien dans le *socio=rien domaine du gaz*socio=ec naturel,*socio=nil combustible*socio=ec abondant *socio=nil et sans danger*socio=uv pour l'environnement*socio=ec. Les problèmes*socio=uv tiennent à ce que beaucoup des gisements*socio=ec sont éloignés des marchés*socio=ec et aux difficultés*socio=rien de transport*socio=ec. Durant l'exercice*socio=rien , l'effort*socio=uv a principalement visé l'amélioration*socio=uv des *socio=rien cadres réglementaires *socio=nil et de *socio=rien nouveaux projets *socio=nil pour l'acheminement*socio=rien du*socio=rien gaz*socio=ec vers les marchés*socio=ec, dans des pays*socio=ac comme l'Argentine*socio=ac, la Bolivie*socio=ac et le Pakistan*socio=ac. La vice-présidence_fpd*socio=ac a continué d'administrer le Programme*socio=et conjoint*socio=uv du*socio=rien PNUD*socio=ac et de la Banque*socio=ac d'assistance*socio=et à la gestion*socio=et du*socio=rien secteur_énergétique*socio=ec (ESMAP*socio=et), auquel sont aujourd'hui associés*socio=rien 15 donateurs*socio=ac bilatéraux*socio=te. Le programme*socio=et fournit une assistance_technique*socio=et aux pays_en_développement*socio=ac en vue*socio=rien de l'application*socio=rien de réformes*socio=et clés*socio=rien qui doivent rendre le secteur*socio=ec de l'énergie*socio=ec plus efficace*socio=uv et faire en sorte*socio=rien que les investissements*socio=ec tirent le meilleur*socio=rien parti*socio=et possible*socio=rien des rares*socio=rien ressources*socio=ec nationales*socio=te et extérieures*socio=te (Encadré 3-4). Pour ce qui est*socio=rien des systèmes*socio=rien et des marchés_financiers*socio=ec, l'expérience*socio=uv montre que, lorsqu'un*socio=rien système*socio=rien bancaire*socio=ec est*socio=rien en crise*socio=uv, il faut agir énergiquement à plusieurs niveaux*socio=rien . Pour ce qui est*socio=rien des conditions*socio=uv générales*socio=rien dans lesquelles opèrent les banques*socio=ac, trois types d'interventions*socio=et s'imposent. Tout d'abord*socio=rien , il faut améliorer l'environnement*socio=ec macroéconomique*socio=ec et restructurer les entreprises*socio=ac, pour qu'elles deviennent des emprunteurs*socio=ac viables*socio=uv et productifs*socio=ec. Ensuite, il faut réformer le régime*socio=et des taux_d'_intérêt*socio=ec et les programmes*socio=et de crédit*socio=ec sélectif*socio=rien et subventionné. Enfin, il faut améliorer l'infrastructure*socio=ec financière*socio=ec, notamment le cadre*socio=rien juridique*socio=et, comptable*socio=rien et réglementaire*socio=et. Comme la santé*socio=et financière*socio=ec des banques*socio=ac détermine la qualité*socio=rien de l'affectation*socio=rien des ressources*socio=ec à l'échelle*socio=rien de l'économie*socio=ec, l'un*socio=rien des principaux*socio=rien axes d'action*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac a été*socio=rien de contribuer au renforcement*socio=uv des institutions*socio=ac bancaires*socio=ec et de leur environnement*socio=ec. Par des opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et du*socio=rien *socio=ec secteur financier *socio=nil et autres interventions*socio=et analogues*socio=rien , la Banque*socio=ac collabore avec les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil à la mise en place*socio=rien de *socio=rien systèmes comptables plus*socio=nil transparents*socio=uv *socio=nil et de meilleures*socio=rien règles*socio=et prudentielles*socio=rien . La supervision*socio=rien a été*socio=rien renforcée pour garantir le respect*socio=uv de normes*socio=et raisonnables*socio=uv de fonds*socio=ec propres*socio=rien et la disponibilité*socio=rien des capacités*socio=rien de gestion*socio=et nécessaires*socio=rien au bon*socio=rien emploi*socio=ec des ressources*socio=ec. Les banques*socio=ac ont aussi reçu une aide*socio=uv directe*socio=rien , à travers*socio=rien des opérations*socio=rien de renforcement*socio=uv des capacités*socio=rien et de restructuration*socio=uv financière*socio=ec, pour leur permettre de mieux répondre à la demande*socio=ec de capitaux*socio=ec d'investissement*socio=ec émanant des entreprises*socio=ac. Les opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac comprennent souvent une composante*socio=rien destinée à la restructuration*socio=uv des institutions*socio=ac bancaires*socio=ec. L'objectif*socio=rien est*socio=rien d'isoler leurs *socio=ec actifs improductifs *socio=nil et de les aider à résoudre ce problème*socio=uv. Il s'agit aussi de réformer leurs procédures*socio=rien et leur gestion*socio=et pour éviter la réapparition*socio=rien des mêmes difficultés*socio=rien . Après*socio=rien cette restructuration*socio=uv des banques*socio=ac, il est*socio=rien essentiel*socio=uv de renforcer durablement les institutions*socio=ac et les processus*socio=rien de régulation*socio=et et de supervision*socio=rien bancaires*socio=ec de manière*socio=rien à prévenir de nouveaux*socio=rien problèmes*socio=uv de bilan*socio=rien . La restructuration*socio=uv des banques*socio=ac étant une entreprise*socio=ac longue*socio=rien et difficile*socio=rien , il est*socio=rien indispensable*socio=uv que la Banque*socio=ac supervise intensivement*socio=rien pendant des années*socio=rien la mise en oeuvre*socio=rien des prêts*socio=ec accordés à cet effet*socio=rien , sans quoi il n'y a guère de chances*socio=rien que le processus*socio=rien de réforme*socio=et soit poursuivi assez vigoureusement pour aboutir. Si les intermédiaires*socio=ac bancaires*socio=ec sont solides*socio=rien et viables*socio=uv, la Banque*socio=ac et la SFI*socio=ac peuvent utilement*socio=rien faire appel*socio=rien à eux pour acheminer leur aide*socio=uv. Les prêts*socio=ec aux intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec, qui sont *socio=rien un instrument important *socio=nil pour la réalisation*socio=uv des objectifs*socio=rien de développement*socio=uv de la Banque*socio=ac, peuvent *socio=rien être un moyen très*socio=nil efficace*socio=uv *socio=nil d'atteindre plusieurs catégories*socio=rien d'emprunteurs*socio=ac (petites*socio=rien entreprises*socio=ac, paysans*socio=ac, marché*socio=ec du*socio=rien logement*socio=ec, municipalités*socio=ac, et constructeurs*socio=ec d'infrastructures*socio=et). Ce type*socio=rien d'opérations*socio=rien permet au groupe_de_la_banque*socio=ac de faire profiter ses emprunteurs*socio=ac des avantages*socio=rien attachés à son excellente*socio=rien cote*socio=ec de crédit*socio=ec sur*socio=rien les marchés*socio=ec mondiaux*socio=te des capitaux*socio=ec. En outre, à mesure*socio=rien que les efforts*socio=uv de réforme*socio=et et de restructuration*socio=uv appuyés par ses prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et du*socio=rien *socio=ec secteur financier *socio=nil porteront leurs fruits*socio=rien - et que les intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec commenceront à opérer efficacement dans un*socio=rien environnement*socio=ec porteur*socio=rien -, la Banque*socio=ac pourrait *socio=rien fort bien *socio=nil voir les prêts*socio=ec aux intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec reprendre une *socio=rien place importante *socio=nil parmi ses opérations*socio=rien et venir renforcer les *socio=rien bons résultats *socio=nil obtenus par la SFI*socio=ac dans le cadre*socio=rien de ses lignes*socio=rien de crédit*socio=ec. Il est*socio=rien essentiel*socio=uv, dans tous les cas*socio=rien , que tout prêt*socio=ec accordé à un*socio=rien intermédiaire*socio=ac soit assorti des conditions*socio=uv du*socio=rien marché*socio=ec. La Banque*socio=ac et la SFI*socio=ac sont également engagées dans *socio=rien diverses activités en*socio=nil faveur du développement*socio=uv des*socio=nil marchés_financiers*socio=ec.*socio=nil *socio=nil A l'appui*socio=rien des *socio=rien initiatives prises *socio=nil depuis longtemps par la SFI*socio=ac pour aider les pays_en_développement*socio=ac dans le domaine*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec, la Banque*socio=ac met l'accent*socio=rien sur*socio=rien des questions*socio=rien d'une portée*socio=rien plus générale*socio=rien comme la réglementation*socio=et, les capacités*socio=rien institutionnelles*socio=ac d'investissement*socio=ec, et les systèmes*socio=rien d'épargne*socio=ec contractuelle. Ce faisant, elle est*socio=rien généralement amenée à promouvoir la transparence*socio=uv du*socio=rien crédit*socio=ec, en encourageant, par exemple*socio=rien , la création*socio=rien d'organismes*socio=ac indépendants*socio=rien de notation*socio=rien et la mise au point*socio=rien d'instruments*socio=rien simples*socio=rien et normalisés, comme des obligations*socio=uv bancaires*socio=ec. La Banque*socio=ac et la SFI*socio=ac ont étroitement collaboré au développement*socio=uv des marchés_financiers*socio=ec au Mexique*socio=ac, pour lequel une équipe*socio=rien rassemblant agents*socio=ac de la Banque*socio=ac, de la SFI*socio=ac et de la Banque*socio=ac interaméricaine*socio=te de développement*socio=uv a mis au *socio=rien point un schéma prometteur *socio=nil pour la création*socio=rien d'un*socio=rien mécanisme*socio=rien de financement*socio=ec des projets*socio=rien d'infrastructure*socio=ec du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Le rôle*socio=rien de la Banque*socio=ac dans le développement*socio=uv des marchés_financiers*socio=ec varie selon les besoins*socio=uv et les capacités*socio=rien de ses emprunteurs*socio=ac. Dans les économies*socio=ec encore fragiles*socio=rien et dans les économies_en_transition*socio=ec, son action*socio=rien a été*socio=rien axée sur*socio=rien la fourniture*socio=rien de *socio=ec services financiers de*socio=nil base*socio=rien et*socio=nil sur*socio=rien *socio=nil la mise en place*socio=rien de solides*socio=rien *socio=ec intermédiaires bancaires.*socio=nil *socio=nil Pour beaucoup d'emprunteurs*socio=ac, la Banque*socio=ac a privilégié*socio=rien l'octroi*socio=rien de prêts*socio=ec aux intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec, lorsque ceux-ci promettaient d'être*socio=rien viables*socio=uv, pour les aider à développer leurs activités*socio=rien . Pour les emprunteurs*socio=ac plus avancés, y compris *socio=rien un grand nombre de*socio=nil gros emprunteurs*socio=ac *socio=nil comme l'Argentine*socio=ac et le Mexique*socio=ac, la Banque*socio=ac a prêté activement son concours à la promotion*socio=uv des marchés_financiers*socio=ec. Les ressources*socio=ec de la Banque*socio=ac ont aussi aidé les gouvernements*socio=ac à promouvoir l'acceptation*socio=uv et la liquidité*socio=ec des *socio=rien titres offerts *socio=nil par des émetteurs solvables*socio=ec qui, sinon, risqueraient de ne pas trouver preneur en raison*socio=uv des craintes suscitées par l'orientation*socio=et générale*socio=rien des politiques*socio=et et des résultats*socio=rien économiques*socio=ec. Mieux diffuser les connaissances*socio=rien . L'une des missions principales*socio=rien de la vice-présidence_fpd*socio=ac est*socio=rien de rehausser le rôle*socio=rien de la Banque*socio=ac comme source*socio=rien de savoir*socio=uv et de conseils*socio=ac en matière*socio=rien de politiques*socio=et générales*socio=rien et de pratiques*socio=et optimales*socio=rien dans les *socio=rien domaines intéressant le*socio=nil développement*socio=uv du *socio=ec secteur financier et*socio=nil du*socio=rien secteur_privé.*socio=nil Ce*socio=nil *socio=rien rôle intellectuel *socio=nil conforte son rôle*socio=rien financier*socio=ec. Grâce*socio=rien à la masse*socio=rien de connaissances*socio=rien et d'informations*socio=rien qu'elle a accumulée sur*socio=rien tout ce qui touche au développement*socio=uv - et à la position*socio=rien exceptionnelle*socio=uv que lui confère sa vocation*socio=rien mondiale*socio=te -, la Banque*socio=ac devient de plus en plus une institution*socio=ac de savoir*socio=uv. L'économie*socio=ec mondiale*socio=te est*socio=rien de plus en plus impulsée par le "savoir*socio=uv" - les idées*socio=rien et l'innovation*socio=uv. Et ce sont aujourd'hui de *socio=rien pareils facteurs *socio=nil - tout autant que les matières_premières*socio=ec, le travail*socio=ec ou le capital*socio=ec - qui fondent la valeur_ajoutée*socio=ec ou l'avantage_comparatif*socio=ec. A mesure*socio=rien que les pays*socio=ac avancent sur*socio=rien la *socio=rien voie du développement*socio=uv,*socio=nil *socio=nil il s'agit, pour assurer leur compétitivité*socio=uv et leur intégration*socio=uv à l'économie*socio=ec mondiale*socio=te, non plus seulement de savoir*socio=rien quoi faire, mais surtout de savoir*socio=rien comment le faire. C'est*socio=rien pourquoi la Banque*socio=ac se veut de plus en plus centre*socio=rien de rassemblement*socio=rien et de diffusion*socio=rien d'informations*socio=rien sur*socio=rien les innovations*socio=uv et les pratiques*socio=et optimales*socio=rien qui les aideront à remplir les multiples*socio=rien conditions*socio=uv requises*socio=rien pour affronter victorieusement la concurrence*socio=ec mondiale*socio=te. La Vice-présidence*socio=ac FDP s'est*socio=rien activement employée*socio=rien à faire connaître les pratiques*socio=et optimales*socio=rien par l'organisation*socio=rien de conférences*socio=rien , de séminaires*socio=rien et de stages*socio=ec de formation*socio=et, souvent en collaboration*socio=uv avec la SFI*socio=ac. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, elle a organisé 60 séminaires*socio=rien et stages*socio=ec de formation*socio=et et assuré plus de 1 800 personnes-jours de formation*socio=et au personnel*socio=rien de la Banque*socio=ac (principalement dans le *socio=rien domaine du développement*socio=uv du secteur_privé*socio=ec)*socio=nil *socio=nil et 2000 personnes-jours de formation*socio=et à des participants*socio=ac extérieurs*socio=te (essentiellement sur*socio=rien le développement*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur financier,*socio=nil l'*socio=nil industrie *socio=nil et l'énergie*socio=ec). Les six vice-présidences*socio=ac régionales*socio=te, la SFI*socio=ac et l'AMGI*socio=ac ont organisé des *socio=rien activités similaires,*socio=nil sur *socio=nil toute une gamme*socio=rien de sujets*socio=rien . En mai*socio=rien 1994, la Banque*socio=ac a tenu *socio=rien un séminaire sur l'*socio=nil expérience*socio=uv internationale*socio=te *socio=nil de la restructuration*socio=uv de l'industrie*socio=ec charbonnière. Ce séminaire*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien type nouveau *socio=nil a rassemblé des représentants*socio=ac d'une *socio=rien large gamme de*socio=nil ministères*socio=ac en*socio=nil Russie*socio=ac *socio=nil et de spécialistes*socio=ac du*socio=rien secteur*socio=ec. En juin*socio=rien 1994, diverses*socio=rien organisations_internationales*socio=ac ont coparrainé une conférence*socio=rien qui avait pour thème*socio=rien "Le développement*socio=uv, l'environnement*socio=ec et les industries*socio=ec extractives - comment améliorer la contribution*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur minier à*socio=nil un*socio=rien développement_durable?*socio=nil *socio=nil " Les 300 représentants*socio=ac de gouvernements*socio=ac, d'entreprises*socio=ac du*socio=rien secteur*socio=ec et d'ONG*socio=ac qui y ont participé venaient pour les deux tiers*socio=rien de pays_en_développement*socio=ac. La Banque*socio=ac et la SFI*socio=ac ont établi des *socio=rien liens formels et*socio=nil informels*socio=uv *socio=nil avec divers groupes*socio=ac professionnels*socio=rien , des entreprises*socio=ac commerciales*socio=ec, des organismes*socio=ac de promotion*socio=uv, des organisations*socio=ac multilatérales*socio=te et des ONG*socio=ac, pour s'informer des *socio=rien idées nouvelles,*socio=nil *socio=nil renforcer l'appui*socio=rien du*socio=rien public*socio=ac, et lancer des initiatives*socio=rien communes*socio=uv. La Banque*socio=ac a aussi pris l'initiative*socio=rien d'organiser des tables *socio=rien rondes sectorielles *socio=nil pour faciliter la concertation*socio=uv et la recherche*socio=rien de solutions*socio=rien . Plusieurs ateliers*socio=rien et tables rondes*socio=rien ont ainsi réuni, sur*socio=rien le thème*socio=rien de la participation*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec à la fourniture*socio=rien de l'électricité*socio=ec, des représentants*socio=ac des producteurs*socio=ac, des organismes*socio=ac de réglementation*socio=et, des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec, des pouvoirs_publics*socio=ac et des exploitants*socio=ac de pays_en_développement*socio=ac. Ces réunions*socio=rien ont contribué à l'instauration*socio=et d'un*socio=rien vaste*socio=rien dialogue*socio=uv qui a permis*socio=rien à la Banque*socio=ac d'entendre des experts*socio=ac de l'extérieur*socio=ec et facilité la formation*socio=et d'un*socio=rien consensus*socio=uv sur*socio=rien les priorités*socio=uv futures*socio=rien . Pour le secteur*socio=ec des hydrocarbures*socio=rien , la Banque*socio=ac a invité investisseurs*socio=ac et représentants*socio=ac des pays*socio=ac d'accueil*socio=te à participer à des séminaires*socio=rien et conférences*socio=rien pour discuter des *socio=ec débouchés commerciaux du*socio=rien gaz *socio=nil et des possibilités*socio=rien d'investissement*socio=ec. Ces rencontres ont été*socio=rien aussi l'occasion*socio=rien d'échanges*socio=rien d'expérience*socio=uv et d'information*socio=rien sur*socio=rien les pratiques*socio=et optimales*socio=rien . Dans le même esprit*socio=uv, la Banque*socio=ac et la SFI*socio=ac ont collaboré avec les pouvoirs_publics*socio=ac marocains et le secteur_privé*socio=ec à l'analyse*socio=rien des options*socio=rien qui permettraient d'atteindre rapidement *socio=rien un palier supérieur de*socio=nil compétitivité*socio=uv.*socio=nil *socio=nil A la suite*socio=rien de ces travaux*socio=rien , le Gouvernement*socio=ac marocain a tenu *socio=rien un important séminaire *socio=nil pour explorer avec le secteur_privé*socio=ec les moyens*socio=ec d'améliorer le climat*socio=rien des affaires*socio=ec et de faire face*socio=rien à la concurrence*socio=ec sur*socio=rien les marchés*socio=ec mondiaux*socio=te. Expérimenter de *socio=rien nouvelles idées.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien 94, la Banque*socio=ac a intensifié ses *socio=rien travaux sur les*socio=nil sources renouvelables d'*socio=nil énergies de*socio=nil substitution,*socio=nil en*socio=nil collaboration*socio=uv *socio=nil avec les pays*socio=ac, les *socio=rien milieux professionnels *socio=nil et les ONG*socio=ac. Les objectifs*socio=rien sont de préparer des projets*socio=rien d'énergie*socio=ec solaire*socio=rien qui pourraient recevoir l'aide*socio=uv du*socio=rien Fonds_pour_l'_environnement_mondial*socio=ac et d'autres bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec - et d'encourager la coopération_internationale*socio=ac à l'appui*socio=rien d'activités*socio=rien de recherche-développement*socio=ec et de projets*socio=rien de démonstration*socio=rien . La Banque*socio=ac s'est*socio=rien aussi employée*socio=rien à mettre au point*socio=rien de nouveaux*socio=rien types de prêts*socio=ec à l'appui*socio=rien d'une participation*socio=uv accrue du*socio=rien secteur_privé*socio=ec à la fourniture*socio=rien de services*socio=ec d'intérêt_public*socio=et. Pour soutenir les *socio=ec marchés obligataires nationaux*socio=te,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a monté des opérations*socio=rien qui doivent avoir *socio=rien un effet *socio=nil catalytique en établissant *socio=rien un lien *socio=nil entre les *socio=ac investisseurs institutionnels (*socio=nil fonds_de_retraite*socio=et,*socio=nil compagnies d'*socio=nil assurances*socio=ec,*socio=nil fonds*socio=ec *socio=nil mutuels de placement*socio=ec) et les besoins*socio=uv de financement*socio=ec à long_terme*socio=ec des entreprises*socio=ac et du*socio=rien secteur*socio=ec de l'infrastructure*socio=ec. Ces initiatives*socio=rien contribueront à la viabilité*socio=uv *socio=rien du système financier*socio=ec des*socio=nil *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil et diminueront la dépendance*socio=uv vis-à-vis des devises*socio=ec. *socio=rien Un projet novateur*socio=uv *socio=nil pour le développement*socio=uv du*socio=rien marché_financier*socio=ec a été*socio=rien mis en oeuvre*socio=rien en Argentine*socio=ac: il s'agissait de trouver des moyens*socio=ec d'encourager efficacement la croissance*socio=uv des institutions*socio=ac opérant sur*socio=rien le marché*socio=ec national*socio=te. Ce projet*socio=rien , d'un*socio=rien montant*socio=ec de 500 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, a été*socio=rien approuvé en mars*socio=rien 1994 et aidera des banques*socio=ac commerciales*socio=ec de *socio=rien premier ordre *socio=nil à surmonter leurs difficultés*socio=rien de financement*socio=ec à terme*socio=rien , grâce*socio=rien à *socio=rien un mécanisme de*socio=nil crédit*socio=ec de*socio=nil substitution *socio=nil qui leur assurera une *socio=rien source continue de*socio=nil financement*socio=ec à*socio=nil un *socio=ec coût financier *socio=nil prédéterminé. En principe*socio=rien , l'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac aurait pu prendre la forme*socio=rien d'une garantie ou d'un*socio=rien prêt*socio=ec dont le montant*socio=ec aurait été*socio=rien versé à *socio=rien un compte *socio=nil de garantie bloqué, plutôt que celle d'un*socio=rien prêt*socio=ec dont le décaissement*socio=ec dépend des conditions*socio=uv du*socio=rien marché*socio=ec. Mais cette question*socio=rien de forme*socio=rien n'était pas la plus importante*socio=rien . L'innovation*socio=uv réside dans la mise en place*socio=rien d'un*socio=rien mécanisme*socio=rien de substitution*socio=rien et dans les possibilités*socio=rien qu'offre*socio=rien cette formule*socio=rien pour aider les institutions*socio=ac locales*socio=rien à se développer. Le *socio=rien projet est *socio=nil aussi révélateur de l'ouverture*socio=rien de la Banque*socio=ac au changement*socio=uv. Les décaissements*socio=ec seront effectués sur*socio=rien la base*socio=rien d'actifs*socio=ec financiers*socio=ec, et non pas de biens*socio=ec et de services*socio=ec. L'objectif*socio=rien fondamental*socio=rien étant de contribuer au développement*socio=uv du*socio=rien marché*socio=ec, l'accent*socio=rien est*socio=rien mis non pas tant sur*socio=rien l'apport*socio=rien de *socio=ec ressources financières *socio=nil de la Banque*socio=ac que sur*socio=rien la facilitation des flux*socio=ec du*socio=rien marché*socio=ec et sur*socio=rien le renforcement*socio=uv de la confiance*socio=uv. La Banque*socio=ac s'est*socio=rien efforcée aussi de développer les prêts*socio=ec aux intermédiaires*socio=ac financiers*socio=ec par la mise au point*socio=rien d'une *socio=rien nouvelle formule *socio=nil consistant à faire appel*socio=rien aux intermédiaires*socio=ac les plus solides*socio=rien et à donner à l'opération*socio=rien une structure*socio=ec aussi simple*socio=rien que possible*socio=rien . Le Projet*socio=rien de crédit*socio=ec à l'appui*socio=rien de l'investissement_privé*socio=ec en Tunisie*socio=ac, pour lequel un*socio=rien prêt*socio=ec de 120 millions*socio=rien de dollars*socio=ec a été*socio=rien approuvé en décembre*socio=rien 1993, est*socio=rien le *socio=rien meilleur exemple *socio=nil de cette nouvelle*socio=rien approche, Auparavant, la Banque*socio=ac aurait insisté sur*socio=rien la mise en place*socio=rien d'une structure*socio=ec complexe de type*socio=rien "apex" et *socio=rien sur un suivi*socio=nil étroit *socio=nil de toutes les décisions*socio=rien de prêt*socio=ec. Selon la *socio=rien formule actuelle,*socio=nil la*socio=nil plupart des*socio=nil décisions de*socio=nil prêt*socio=ec *socio=nil incombent aux intermédiaires*socio=ac, qui mettent enjeu*socio=rien leurs propres*socio=rien ressources*socio=ec. Les petites*socio=rien et moyennes*socio=rien entreprises*socio=ac jouent *socio=rien un rôle important *socio=nil dans la création_d'_emplois*socio=ec. Mais il s'est*socio=rien révélé difficile*socio=rien de répondre efficacement aux besoins*socio=uv particuliers*socio=rien qui sont les leurs sur*socio=rien le *socio=rien plan technique,*socio=nil commercial*socio=ec et*socio=nil financier*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Pour trouver des solutions*socio=rien à ce problème*socio=uv, la Banque*socio=ac a travaillé avec quatre ONG*socio=ac connues pour les excellents résultats*socio=rien de leurs programmes*socio=et de crédit*socio=ec. Les taux*socio=rien de remboursement*socio=ec de ces programmes*socio=et sont en effet*socio=rien très élevés*socio=rien (de 90 à 99%), mais leurs coûts*socio=ec de transaction*socio=ec sont lourds*socio=rien , principalement en raison*socio=uv de leurs frais*socio=ec de démarrage*socio=rien et des besoins*socio=uv d'assistance_technique*socio=et de leurs emprunteurs*socio=ac. La Banque*socio=ac aide*socio=uv ces ONG*socio=ac à mettre au point*socio=rien des programmes*socio=et soutenables*socio=uv et reproductibles, à obtenir*socio=rien la participation*socio=uv de bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec, et à diffuser leur expérience*socio=uv. La Banque*socio=ac s'emploie aussi à étudier avec les gouvernements*socio=ac les questions*socio=rien institutionnelles*socio=ac et les éléments*socio=rien des *socio=et politiques publiques *socio=nil qui revêtent une importance*socio=rien particulière*socio=uv pour les petites*socio=rien et moyennes*socio=rien entreprises*socio=ac. Elle joue ainsi *socio=rien un rôle d'*socio=nil intermédiaire*socio=ac *socio=nil et de partenaire*socio=uv pour aider les ONG*socio=ac à accroître la portée*socio=rien et l'efficacité*socio=uv de leurs programmes*socio=et. Chapitre*socio=rien quatre: Opérations*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac: exercice*socio=rien 94. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, les engagements*socio=ec de la banque_mondiale*socio=ac (BIRD*socio=ac et IDA*socio=ac confondues) ont atteint le total*socio=rien de 20,836 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 2,860 millions*socio=rien de moins que l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien . Cette différence*socio=rien tient principalement à la *socio=rien forte diminution des*socio=nil engagements*socio=ec *socio=nil de la BIRD*socio=ac: 14,244 millions*socio=rien de dollars*socio=ec contre 16,945 millions*socio=rien de dollars*socio=ec durant l'exercice*socio=rien 93. Pour l'IDA*socio=ac, l'écart*socio=rien est*socio=rien minime: 6,592 millions*socio=rien de dollars*socio=ec contre 6,751 millions*socio=rien de dollars*socio=ec l'année*socio=rien dernière*socio=rien . Une aide*socio=uv de 30 millions*socio=rien de dollars*socio=ec a été*socio=rien approuvée pour *socio=rien un projet *socio=nil dans les Territoires*socio=ac occupés. Son financement*socio=ec est*socio=rien assuré par le *socio=ec Fonds fiduciaire *socio=nil pour Gaza, doté de 50 millions*socio=rien de dollars*socio=ec et approuvé par les Administrateurs*socio=ac durant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de l'exercice*socio=rien 94. Pour le programme*socio=et de prêt*socio=ec de la BIRD*socio=ac, la différence*socio=rien par rapport*socio=rien à la fourchette*socio=rien indicative du*socio=rien budget*socio=ec (17 à 19,5 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec) est*socio=rien particulièrement prononcée pour les régions*socio=te amérique_latine_et_caraïbes*socio=ac, Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te (notamment l'Algérie*socio=ac), et Asie_du_sud*socio=ac (Inde*socio=ac principalement). En revanche, les engagements*socio=ec ont augmenté de 219 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour la région*socio=te Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien et Pacifique*socio=uv et de 81 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour la région*socio=te Afrique*socio=ac. Le nombre*socio=rien des opérations*socio=rien approuvées au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94 - 228 au total*socio=rien pour la BIRD*socio=ac et l'IDA*socio=ac - a été*socio=rien légèrement inférieur*socio=rien à celui de l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien (245). La BIRD*socio=ac a approuvé 124 opérations*socio=rien durant l'exercice*socio=rien 94, contre 122 pendant l'exercice*socio=rien 93. Mais la *socio=rien part relative des*socio=nil opérations d'*socio=nil investissement*socio=ec *socio=nil a augmenté durant l'exercice*socio=rien 94 et c'est*socio=rien cette modification*socio=rien de la répartition*socio=uv par instrument*socio=rien de prêt*socio=ec qui explique la diminution*socio=rien des engagements*socio=ec, le montant*socio=ec des prêts*socio=ec d'ajustement*socio=et étant généralement supérieur*socio=rien à celui des prêts*socio=ec d'investissement*socio=ec. Le pays*socio=ac qui a le plus emprunté à la BIRD*socio=ac est*socio=rien la Chine*socio=ac (2,145 millions*socio=rien de dollars*socio=ec répartis entre huit projets*socio=rien ); viennent ensuite le Mexique*socio=ac (1,530 millions*socio=rien de dollars*socio=ec et *socio=rien cinq projets)*socio=nil *socio=nil et la Russie*socio=ac (1,520 million*socio=rien de dollars*socio=ec et six projets*socio=rien ). Les trois plus gros*socio=rien emprunteurs*socio=ac de l'IDA*socio=ac ont été*socio=rien la Chine*socio=ac (925 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour six projets*socio=rien ), l'Inde*socio=ac (835 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour six projets*socio=rien ) et le Bangladesh*socio=ac (597 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour trois projets*socio=rien ). Le secteur*socio=ec pour lequel a été*socio=rien approuvé le plus *socio=rien grand nombre de*socio=nil projets est *socio=nil celui de l'agriculture*socio=ec (46 projets*socio=rien ); viennent ensuite les transports*socio=ec (25 projets*socio=rien ), puis la catégorie*socio=rien des opérations*socio=rien "plurisectorielles", qui comprend les prêts*socio=ec à l'appui*socio=rien de réformes*socio=et et d'importations*socio=ec d'urgence*socio=rien (22 projets*socio=rien ). Les prêts*socio=ec d'ajustement*socio=et se sont chiffrés à 2,425 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 12% du*socio=rien portefeuille*socio=ec de la banque_mondiale*socio=ac pour l'exercice*socio=rien 94 (510 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 4%, pour la BIRD*socio=ac, et 1,915 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, soit 29%, pour l'IDA*socio=ac). Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 93, ils avaient représenté un*socio=rien peu plus de 4,000 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (2,645 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour la BIRD*socio=ac et 1,363 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour l'IDA*socio=ac), soit 17% du*socio=rien portefeuille*socio=ec de l'exercice*socio=rien . Dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil la*socio=nil diminution des*socio=nil prêts*socio=ec d'*socio=nil ajustement*socio=et a*socio=nil été *socio=nil délibérée, en particulier*socio=uv pour l' amérique_latine*socio=ac, où le passage*socio=rien d'opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et à des projets*socio=rien d'investissement*socio=ec est*socio=rien en *socio=rien bonne voie,*socio=nil *socio=nil et pour la région*socio=te Moyen-orient*socio=ac et Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te, où aucune autre opération*socio=rien d'ajustement*socio=et n'est*socio=rien envisagée pour l'Égypte*socio=ac, le Maroc*socio=ac et la Tunisie*socio=ac. De plus, l'augmentation*socio=uv massive*socio=rien des apports*socio=rien de *socio=ec capitaux privés aux*socio=nil pays_en_développement*socio=ac au*socio=nil cours*socio=rien *socio=nil de l'année*socio=rien 1993 - les flux*socio=ec nets*socio=rien atteignant 177 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec - a dans certains cas*socio=rien (celui de l'Inde*socio=ac, par exemple*socio=rien ) ôté toute justification*socio=rien à l'octroi*socio=rien de prêts*socio=ec d'ajustement*socio=et pour des raisons*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec . Ce revirement*socio=rien des *socio=ec flux privés *socio=nil tient principalement aux réformes*socio=et entreprises*socio=ac par les pays_en_développement*socio=ac pour réorienter leurs politiques_économiques*socio=ec, en particulier*socio=uv à leur effort*socio=uv de privatisation*socio=et, d'assainissement*socio=uv des finances_publiques*socio=et, d'ouverture*socio=rien au commerce*socio=ec, de réduction*socio=uv de l'encours de la *socio=ec dette commerciale bancaire,*socio=nil de*socio=nil libéralisation des*socio=nil prix intérieurs*socio=rien *socio=nil et d'ouverture*socio=rien au marché*socio=ec. En soutenant ces réformes*socio=et, la banque_mondiale*socio=ac a contribué, dans une mesure*socio=rien certes impossible*socio=rien à chiffrer, à la mise en place*socio=rien de l'environnement*socio=ec qui a rendu possible*socio=rien cette augmentation*socio=uv des *socio=ec flux privés.*socio=nil Rien*socio=rien *socio=nil ne garantit évidemment que les pays_en_développement*socio=ac vont continuer à attirer chaque année*socio=rien 177 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec de *socio=ec capitaux privés.*socio=nil *socio=nil Certains de ces flux*socio=ec sont instables*socio=uv, et les *socio=rien perceptions du marché*socio=ec *socio=nil comme les rentabilités relatives*socio=rien évolueront. L'un*socio=rien des risques*socio=uv des années*socio=rien à venir, pour les pays_en_développement*socio=ac, est*socio=rien celui d'une *socio=rien forte diminution *socio=nil de ces apports*socio=rien , avec toutes les conséquences*socio=rien que cela impliquerait. Décaissements*socio=ec. La contraction*socio=et des engagements*socio=ec de la banque_mondiale*socio=ac s'est*socio=rien répercutée sur*socio=rien les décaissements*socio=ec, puisqu'elle a tenu en *socio=rien grande partie *socio=nil à la diminution*socio=rien des prêts*socio=ec d'ajustement*socio=et à décaissement*socio=ec rapide*socio=rien . Les décaissements*socio=ec bruts*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94 se sont chiffrés à 15,979 millions*socio=rien de dollars*socio=ec: 10,447 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour la BIRD*socio=ac et 5,532 millions*socio=rien pour l'IDA*socio=ac, contre 12,942 et 4,947 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, respectivement, au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien . (Pour la BIRD*socio=ac, le chiffre de l'exercice*socio=rien 93 comptait 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec de décaissements*socio=ec exceptionnels*socio=uv pour le Pérou*socio=ac, après*socio=rien que celui-ci eut réglé ses arriérés). Décaissements*socio=ec par source*socio=rien d'approvisionnement*socio=ec. La réalisation*socio=uv des objectifs*socio=rien des projets*socio=rien financés par la banque_mondiale*socio=ac nécessite la passation*socio=et de marchés*socio=ec auprès de fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv et nationaux*socio=te. Les décaissements*socio=ec sont principalement destinés à couvrir le coût*socio=ec des achats*socio=ec à l'étranger*socio=te et certaines*socio=rien dépenses*socio=ec en monnaie*socio=ec nationale*socio=te. Les règles*socio=et et procédures*socio=rien à suivre pour la passation_des_marchés*socio=ec sont fonction*socio=rien des particularités*socio=uv *socio=rien du projet.*socio=nil *socio=nil Cependant, trois considérations*socio=uv déterminent en général*socio=rien les prescriptions de la Banque*socio=ac: la nécessité*socio=uv de faire en sorte*socio=rien que l'exécution*socio=rien *socio=rien du projet soit*socio=nil efficace*socio=uv et*socio=nil économique*socio=ec;*socio=nil la*socio=nil volonté*socio=uv *socio=nil de la Banque*socio=ac, en tant qu'institution*socio=ac coopérative, de donner à tous les candidats*socio=ac éligibles, qu'ils viennent de pays_industrialisés*socio=ac ou de pays_en_développement*socio=ac, la possibilité*socio=rien de concourir pour l'obtention*socio=rien des marchés*socio=ec de travaux*socio=rien et de fournitures*socio=ec qu'elle finance*socio=ec; sa volonté*socio=uv, enfin, en tant qu'institution*socio=ac de développement*socio=uv, d'encourager le renforcement*socio=uv des entreprises*socio=ac du*socio=rien *socio=ac pays emprunteur.*socio=nil *socio=nil Dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien , l'appel*socio=rien à la concurrence*socio=ec internationale*socio=te est*socio=rien la méthode*socio=rien de passation_des_marchés*socio=ec la plus efficace*socio=uv. La Banque*socio=ac fixe les conditions*socio=uv auxquelles les fabricants*socio=ac nationaux*socio=te et régionaux*socio=te et, si cela est*socio=rien jugé approprié, les entreprises*socio=ac de travaux*socio=rien nationales*socio=te peuvent bénéficier de préférences*socio=et. A la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, 58% des décaissements*socio=ec de la BIRD*socio=ac et de l'IDA*socio=ac avaient servi à financer des biens*socio=ec et services*socio=ec provenant directement de fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv situés hors du*socio=rien *socio=ac pays emprunteur.*socio=nil Bien*socio=rien *socio=nil que la plupart*socio=rien des marchés*socio=ec attribués à des fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv aillent à des entreprises*socio=ac de pays_membres*socio=ac industrialisés, leurs concurrents*socio=ac des pays_en_développement*socio=ac sont de plus en plus nombreux*socio=rien à remporter des marchés*socio=ec. A la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 89, 15% des marchés*socio=ec passés*socio=rien à l'étranger*socio=te avaient été*socio=rien attribués à des fournisseurs*socio=ac de pays_en_développement*socio=ac; durant l'exercice*socio=rien 94, ceux-ci ont reçu 32% *socio=rien du total des*socio=nil décaissements*socio=ec au*socio=nil titre de*socio=nil marchés*socio=ec passés *socio=nil à l'étranger*socio=te. Le Tableau*socio=rien 4-1 indique le total*socio=rien des décaissements*socio=ec de la BIRD*socio=ac et de l'IDA*socio=ac au titre*socio=rien de marchés*socio=ec attribués à des entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec et locales*socio=rien (montant*socio=ec cumulé au 30 juin*socio=rien 1989 et montant*socio=ec annuel*socio=rien pour les *socio=rien cinq exercices suivants)*socio=nil *socio=nil . Par décaissements*socio=ec anticipés, on entend les fonds*socio=ec qui ont été*socio=rien versés à des *socio=rien comptes spéciaux ouverts *socio=nil par les emprunteurs*socio=ac et qui serviront à régler les fournisseurs*socio=ac au fur*socio=rien et à mesure*socio=rien des dépenses*socio=ec. Comme les ressources*socio=ec déposées dans ces comptes*socio=rien ne peuvent être*socio=rien rattachées à aucun *socio=ac pays fournisseur particulier*socio=uv *socio=nil tant que les dépenses*socio=ec n'ont pas été*socio=rien notifiées à la Banque*socio=ac, elles font l'objet*socio=rien d'une rubrique distincte*socio=uv. Le Tableau*socio=rien 4-2 répartit les décaissements*socio=ec au titre*socio=rien de marchés*socio=ec passés*socio=rien à l'étranger*socio=te entre entreprises*socio=ac de pays_membres*socio=ac de l'OCDE*socio=ac et entreprises*socio=ac d'autres pays*socio=ac - d'une part*socio=rien , pour la BIRD*socio=ac et, d'autre part*socio=rien , pour l'IDA*socio=ac. Le Tableau*socio=rien 4-3 présente*socio=rien les décaissements*socio=ec de la BIRD*socio=ac et de l'IDA*socio=ac durant l'exercice*socio=rien 94 au titre*socio=rien des marchés*socio=ec attribués à des entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec et locales*socio=rien par tous les *socio=ac pays emprunteurs actifs*socio=rien *socio=nil ; il indique en outre les décaissements*socio=ec effectués au titre*socio=rien des fournitures*socio=ec, travaux*socio=rien et services*socio=ec que leur ont achetés d'autres emprunteurs*socio=ac pour des projets*socio=rien financés par la Banque*socio=ac. Le Tableau*socio=rien 4-4 indique séparément*socio=rien les montants*socio=rien décaissés par la BIRD*socio=ac et par l'IDA*socio=ac au titre*socio=rien de marchés*socio=ec de fournitures*socio=ec et de services*socio=ec attribués aux entreprises*socio=ac d'autres pays_membres*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, ainsi que leur montant*socio=ec cumulé au 30 juin*socio=rien 1994. Le Tableau*socio=rien 4-5 indique la part*socio=rien de *socio=rien certaines catégories de*socio=nil fournitures*socio=ec et*socio=nil services*socio=ec *socio=nil dans le total*socio=rien des décaissements*socio=ec effectués par la BIRD*socio=ac et l'IDA*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94 au titre*socio=rien des marchés*socio=ec attribués aux entreprises*socio=ac d'autres pays_membres*socio=ac. Le Tableau*socio=rien 4-6 répartit entre *socio=ac fournisseurs OCDE *socio=nil et hors OCDE*socio=ac les décaissements*socio=ec effectués au cours*socio=rien de chacun des exercices*socio=rien 92 à 94 au titre*socio=rien de projets*socio=rien d'investissement*socio=ec. Il compare les montants*socio=rien décaissés par *socio=rien grande catégorie de*socio=nil fournitures*socio=ec *socio=nil achetées à l'étranger*socio=te et indique la *socio=rien part respective des*socio=nil *socio=ac fournisseurs OCDE *socio=nil et hors OCDE*socio=ac pour chacune de ces catégories*socio=rien au cours*socio=rien des trois *socio=rien derniers exercices.*socio=nil *socio=nil Dans tous ces tableaux*socio=rien , les chiffres indiqués pour la BIRD*socio=ac excluent les décaissements*socio=ec résultant*socio=rien des prêts*socio=ec à la société_financière_internationale*socio=ac ou des prêts*socio=ec "B". Pour l'IDA*socio=ac, les chiffres incluent les crédits*socio=ec au *socio=rien titre du Fonds*socio=ec spécial et*socio=nil du Fonds*socio=ec spécial d'*socio=nil aide*socio=uv *socio=nil à l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac. Les décaissements*socio=ec correspondant aux avances *socio=rien du Mécanisme de*socio=nil financement*socio=ec *socio=nil de la préparation*socio=rien des projets*socio=rien ne sont pris en compte*socio=rien ni pour la BIRD*socio=ac, ni pour l'IDA*socio=ac. Des ajustements*socio=et mineurs*socio=rien ont été*socio=rien apportés aux décaissements*socio=ec indiqués dans les Tableaux*socio=rien 4-1, 4-2, 4-4 et 4-6 pour les marchés*socio=ec attribués à des fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv/locaux*socio=rien . assistance_technique*socio=et. L'assistance_technique*socio=et occupe toujours une *socio=rien place importante *socio=nil parmi les activités*socio=rien financées par les prêts*socio=ec de la BIRD*socio=ac ou les crédits*socio=ec de FIDA*socio=ac, et son expansion*socio=ec au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années *socio=nil tient à plusieurs raisons*socio=rien . - Premièrement, l'augmentation*socio=uv des services*socio=ec d'assistance_technique*socio=et à l'appui*socio=rien du*socio=rien développement*socio=uv des institutions*socio=ac *socio=rien est un bon moyen *socio=nil de soutenir les efforts*socio=uv entrepris pour approfondir les réformes*socio=et des *socio=et politiques publiques *socio=nil et pour doter le secteur_public*socio=ac des *socio=rien outils nécessaires *socio=nil à l'exercice*socio=rien de ses *socio=rien nouvelles fonctions.*socio=nil *socio=nil On peut y voir aussi une nouvelle*socio=rien phase*socio=te de l'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac, une fois*socio=rien opérés les changements*socio=uv macroéconomiques*socio=ec essentiels*socio=uv. - Deuxièmement, la part*socio=rien des prêts*socio=ec d'ajustement*socio=et a diminué tandis qu'augmentait celle des prêts*socio=ec à l'appui*socio=rien de la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec et d'un*socio=rien développement*socio=uv écologiquement durable*socio=rien , secteurs*socio=ec qui ont toujours comporté le plus *socio=rien fort pourcentage d'*socio=nil assistance_technique*socio=et *socio=nil (largement plus de 10% du*socio=rien montant*socio=ec des prêts*socio=ec). - Troisièmement, le volume*socio=rien des fonds*socio=ec fournis gratuitement par le programme_des_nations_unies_pour_le_développement*socio=ac (PNUD*socio=ac) et par d'autres bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec bilatéraux*socio=te pour le financement*socio=ec de services*socio=ec d' assistance_technique*socio=et a généralement diminué, notamment pour certains des gros*socio=rien emprunteurs*socio=ac de la Banque*socio=ac qui comptent parmi les principaux*socio=rien destinataires*socio=ac des composantes*socio=rien d'assistance_technique*socio=et. En 1993, la part*socio=rien des concours de la Banque*socio=ac allouée à l' assistance_technique*socio=et (au titre*socio=rien des composantes*socio=rien d'assistance_technique*socio=et incorporées aux prêts*socio=ec visant d'autres secteurs*socio=ec ou de projets*socio=rien exclusivement consacrés à l'assistance_technique*socio=et) s'est*socio=rien chiffrée à 2,2 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec (1,9 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec (85%) pour les composantes*socio=rien et 300 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour 22 projets*socio=rien d'assistance_technique*socio=et pure*socio=rien ). Dix pays*socio=ac (avec en tête*socio=rien le Brésil*socio=ac, la Chine*socio=ac, l'Indonésie*socio=ac et le Mexique*socio=ac) ont reçu plus de la moitié*socio=rien de l'assistance_technique*socio=et financée par les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac. Ces pays*socio=ac ont plusieurs points*socio=rien communs*socio=uv: ce sont des emprunteurs*socio=ac de longue*socio=rien date, matures et capables*socio=rien de cerner leurs besoins*socio=uv d'assistance_technique*socio=et en collaboration*socio=uv avec la Banque*socio=ac. En outre, la plupart*socio=rien ne recevant pratiquement plus de dons*socio=ec des bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec bilatéraux*socio=te et multilatéraux*socio=te à l'appui*socio=rien de services*socio=ec d' assistance_technique*socio=et, ils attachent une *socio=rien grande importance *socio=nil à l'aide*socio=uv que leur fournit la Banque*socio=ac dans ce domaine*socio=rien . *socio=rien Principales questions *socio=nil touchant l'assistance_technique*socio=et. Le passage*socio=rien de systèmes_économiques*socio=ec planifiés à *socio=rien un système de*socio=nil marché*socio=ec ouvert et*socio=nil concurrentiel*socio=ec *socio=nil pose des problèmes*socio=uv nouveaux*socio=rien . Dans bien*socio=rien des pays*socio=ac, l'allégement*socio=ec des vastes*socio=rien structures*socio=ec administratives*socio=rien mises en place*socio=rien pour gérer les politiques_économiques*socio=ec prescrites*socio=rien par l'État*socio=ac constitue un*socio=rien défi*socio=uv majeur*socio=rien . Il faut restaurer l'efficacité*socio=uv et la motivation des fonctionnaires*socio=et qu'ont entamées la politisation des carrières*socio=rien et l'érosion*socio=ec des rémunérations*socio=ec réelles*socio=rien , cette dégradation*socio=rien de l'administration_publique*socio=et étant *socio=rien un obstacle majeur au*socio=nil lancement des*socio=nil réformes*socio=et nécessaires des*socio=nil *socio=et politiques publiques,*socio=nil au*socio=nil rétablissement*socio=rien *socio=nil d'une bonne*socio=rien gestion*socio=et de l'État*socio=ac et à l'amélioration*socio=uv des services_publics*socio=et. La Banque*socio=ac porte*socio=rien une attention*socio=rien accrue à la gestion*socio=et stratégique*socio=uv des services*socio=ec d'assistance_technique*socio=et destinés au développement*socio=uv des institutions*socio=ac en centrant ses études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien et la définition*socio=rien de ses stratégies-pays*socio=et sur*socio=rien les questions*socio=rien touchant la gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac et le renforcement*socio=uv des capacités*socio=rien institutionnelles*socio=ac. Cette intensification*socio=rien des activités*socio=rien pré opérationnelles*socio=rien s'est*socio=rien notamment traduite par un*socio=rien renforcement*socio=uv de la concertation*socio=uv avec les autorités*socio=et nationales*socio=te sur*socio=rien les problèmes*socio=uv institutionnels*socio=ac systémiques*socio=et et sur*socio=rien la gestion*socio=et de l'assistance_technique*socio=et à l'échelle*socio=rien du*socio=rien pays*socio=ac. Elle pourrait déboucher sur*socio=rien des opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et à l'appui*socio=rien de réformes*socio=et, des projets*socio=rien autonomes*socio=uv d'assistance_technique*socio=et, et l'incorporation*socio=rien à d'autres projets*socio=rien d'interventions*socio=et plus efficaces*socio=uv en *socio=rien faveur du renforcement*socio=uv des*socio=nil institutions*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Dans l'ensemble*socio=rien , bien*socio=rien qu'on ait déjà enregistré des progrès*socio=uv et commencé à cerner les pratiques*socio=et optimales*socio=rien , il faudra encore *socio=rien un certain temps *socio=nil pour renforcer les capacités*socio=rien d'analyse*socio=rien au niveau*socio=rien macro-institutionnel et pour intégrer les questions*socio=rien touchant la gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac aux études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien et au dialogue*socio=uv avec les autorités*socio=et nationales*socio=te. Dans plusieurs pays*socio=ac, ces questions*socio=rien sont extrêmement délicates*socio=rien et il faut beaucoup de temps*socio=rien et de persévérance pour s'assurer de l'adhésion*socio=uv des emprunteurs*socio=ac et de l'engagement*socio=uv des autorités*socio=et au plus *socio=rien haut niveau.*socio=nil Emploi*socio=ec de*socio=nil consultants*socio=ac locaux.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil encourage ses emprunteurs*socio=ac à faire appel*socio=rien à des consultants*socio=ac locaux*socio=rien qui travailleront seuls*socio=rien ou en association*socio=uv avec des cabinets étrangers*socio=uv. Cependant, ces consultants*socio=ac locaux*socio=rien se trouvent handicapés*socio=ac par leur manque*socio=rien d'expertise*socio=uv commerciale*socio=ec. Aussi la Banque*socio=ac finance*socio=ec actuellement la préparation*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien manuel sur les*socio=nil activités de*socio=nil conseil *socio=nil et leur marché*socio=ec. Lorsque cet ouvrage sera achevé, il servira de base*socio=rien à des séminaires*socio=rien d'une durée*socio=rien d'une semaine*socio=rien dans certains *socio=ac pays emprunteurs.*socio=nil La*socio=nil Banque *socio=nil suivra ensuite l'évolution*socio=rien de l'activité*socio=rien des bureaux*socio=rien d'études*socio=rien locaux*socio=rien et cherchera à faciliter leur association*socio=uv avec des bureaux*socio=rien de pays_industrialisés*socio=ac. En outre, des ateliers*socio=rien ont été*socio=rien organisés au siège*socio=rien de la Banque*socio=ac à l'intention*socio=rien d'associations_professionnelles*socio=ac regroupant des consultants*socio=ac d'Afrique*socio=ac, d'Asie*socio=ac et d'amérique_latine*socio=ac afin d'examiner ce qu'il serait possible*socio=rien de faire pour accroître la participation*socio=uv de leurs membres*socio=rien aux activités*socio=rien de conseil*socio=rien . Si la Banque*socio=ac met davantage l'accent*socio=rien sur*socio=rien cette question*socio=rien de l'emploi*socio=ec de consultants*socio=ac locaux*socio=rien , c'est*socio=rien en partie*socio=rien parce que ses emprunteurs*socio=ac jugent, et lui ont *socio=rien fait savoir,*socio=nil *socio=nil que le développement*socio=uv des capacités*socio=rien institutionnelles*socio=ac est*socio=rien essentiel*socio=uv à la réussite*socio=uv des projets*socio=rien - et que ce développement*socio=uv passe notamment par *socio=rien un recours *socio=nil accru aux consultants*socio=ac locaux*socio=rien et par l'amélioration*socio=uv de leurs compétences*socio=uv. fonds_de_développement_institutionnel*socio=et (FDI*socio=et). La Banque*socio=ac a créé ce fonds*socio=ec, devenu opérationnel*socio=rien le ler juillet*socio=rien 1992, afin de compléter la gamme*socio=rien des *socio=rien instruments disponibles *socio=nil pour financer l'assistance_technique*socio=et nécessaire*socio=rien aux travaux*socio=rien de développement*socio=uv institutionnel*socio=rien liés aux réformes*socio=et des *socio=et politiques publiques,*socio=nil aux*socio=nil programmes de*socio=nil gestion macroéconomique*socio=ec,*socio=nil aux*socio=nil activités*socio=rien de*socio=nil lutte*socio=uv *socio=nil contre la pauvreté*socio=uv, à la gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac, au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec et à la gestion*socio=et de l'environnement*socio=ec. Le FDI*socio=et *socio=rien offre un moyen rapide *socio=nil de financer les *socio=rien petits projets de*socio=nil recherches*socio=ec *socio=nil orientées vers l'action*socio=rien que la Banque*socio=ac juge*socio=et nécessaires*socio=rien dans le cadre*socio=rien de ses études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien ou de son dialogue*socio=uv avec les pays*socio=ac pour lesquels le développement*socio=uv *socio=rien institutionnel est l'*socio=nil un des*socio=nil objectifs essentiels*socio=uv *socio=nil de son programme*socio=et d'assistance*socio=et. Le montant*socio=ec des dons*socio=ec est*socio=rien plafonné à 500 000 dollars*socio=ec. Tous les pays*socio=ac qui empruntent à la Banque*socio=ac peuvent demander l'aide*socio=uv du*socio=rien FDI*socio=et. La *socio=rien création du FDI*socio=et *socio=nil reposait notamment sur*socio=rien l'hypothèse*socio=rien d'une *socio=rien demande latente de*socio=nil fonds*socio=ec concessionnels*socio=uv *socio=nil pour soutenir l'effort*socio=uv de renforcement*socio=uv des capacités*socio=rien dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Cette attente ne s'est*socio=rien pas encore totalement réalisée. Jusqu'ici, le FDI*socio=et a été*socio=rien assez peu sollicité, en partie*socio=rien parce que le *socio=rien mécanisme est *socio=nil encore tout nouveau*socio=rien et *socio=rien du fait *socio=nil aussi de la concurrence*socio=ec d'autres *socio=ec fonds fiduciaires.*socio=nil Au*socio=nil cours*socio=rien *socio=nil de l'année*socio=rien 1993, il a accordé 53 dons*socio=ec, répartis entre 43 pays*socio=ac et totalisant 14,3 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. L'utilisation*socio=rien de ces dons*socio=ec a parfois tardé, ce qui était inévitable*socio=rien dans la mesure*socio=rien où l'introduction*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien nouveau dispositif *socio=nil imposait la mise en place*socio=rien de *socio=rien procédures spéciales et*socio=nil un travail préalable d'*socio=nil information des*socio=nil responsables*socio=uv *socio=nil et des services*socio=ec des États*socio=ac membres*socio=rien . Malgré ce démarrage*socio=rien relativement lent*socio=rien , les ressources*socio=ec du*socio=rien FDI*socio=et ont permis*socio=rien à la Banque*socio=ac de contribuer au lancement*socio=rien de réaménagements institutionnels*socio=ac difficiles*socio=rien , comme la réforme*socio=et des ministères*socio=ac économiques*socio=ec en Albanie*socio=ac, à la diffusion*socio=rien des enseignements*socio=et tirés *socio=rien du processus de*socio=nil privatisation*socio=et en*socio=nil Pologne*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et à l'organisation*socio=rien de *socio=rien travaux préalables *socio=nil à la mise au point*socio=rien d'une stratégie*socio=et de privatisation*socio=et pour le Bélarus*socio=ac. Mécanisme*socio=rien de financement*socio=ec de la préparation*socio=rien des projets*socio=rien (PPF*socio=et). Ce mécanisme*socio=rien a été*socio=rien établi en 1975, après*socio=rien que les Administrateurs*socio=ac eurent autorisé le Président*socio=rien de la Banque*socio=ac à accorder des avances, à concurrence*socio=ec d'un*socio=rien montant*socio=ec global*socio=rien de 5 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, pour aider à financer la préparation*socio=rien des projets*socio=rien . A l'époque*socio=rien , on pensait que le coût*socio=ec des *socio=rien travaux préparatoires *socio=nil ainsi financés s'établirait généralement entre 50 000 et 150 000 dollars*socio=ec. Le plafond*socio=rien des avances a ensuite été*socio=rien relevé, passant à 1 million*socio=rien de dollars*socio=ec en 1978 et à 1,5 million*socio=rien de dollars*socio=ec en 1986. Durant l'exercice*socio=rien 94, le plafond*socio=rien a de *socio=rien nouveau été *socio=nil modifié et a été*socio=rien fixé à 2 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour toutes les avances, sauf dans le cas*socio=rien des prêts*socio=ec supérieurs*socio=rien à 200 millions*socio=rien de dollars*socio=ec pour lesquels l'avance*socio=rien *socio=rien maximale est *socio=nil de 3 millions*socio=rien de dollars*socio=ec. Au 31 décembre*socio=rien 1993, 138 avances PPF*socio=et avaient été*socio=rien approuvées, *socio=rien représentant un engagement*socio=ec total *socio=nil de 84 millions*socio=rien de dollars*socio=ec (101 avances, soit 49,6 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, aux conditions*socio=uv de l'IDA*socio=ac, et 37 avances, soit 34,3 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, aux conditions*socio=uv de la BIRD*socio=ac). La plupart*socio=rien de ces avances sont allées à des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac. La Banque*socio=ac et le PNUD*socio=ac. La Banque*socio=ac et le PNUD*socio=ac collaborent à de *socio=rien multiples niveaux *socio=nil dans le cadre*socio=rien de nombreux*socio=rien programmes*socio=et. Au cours*socio=rien de l'année*socio=rien 1993, la Banque*socio=ac a été*socio=rien l'agent*socio=ac d'exécution*socio=rien de 132 *socio=rien projets du PNUD*socio=ac *socio=nil totalisant 303 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, alors qu'en 1992 elle avait été*socio=rien l'agent*socio=ac d'exécution*socio=rien de 175 *socio=rien projets représentant 348*socio=nil millions de*socio=nil dollars*socio=ec.*socio=nil Cette*socio=nil tendance au*socio=nil ralentissement*socio=uv des*socio=nil activités *socio=nil pour le *socio=rien compte du PNUD*socio=ac *socio=nil sera probablement durable*socio=rien dans la mesure*socio=rien où le PNUD*socio=ac continue*socio=rien à voir ses ressources*socio=ec totales*socio=rien diminuer et va de plus en plus rapidement transférer la responsabilité*socio=uv de l'exécution*socio=rien de ses projets*socio=rien à des organismes*socio=ac nationaux*socio=te et passer du*socio=rien financement*socio=ec de projets*socio=rien à celui de programmes*socio=et. Jusqu'à présent*socio=rien , la diminution*socio=rien des apports*socio=rien financiers*socio=ec du*socio=rien PNUD*socio=ac a été*socio=rien plus que largement compensée par les financements*socio=ec provenant d'autres sources*socio=rien , notamment le Fonds*socio=ec japonais*socio=ac pour l'élaboration*socio=rien des politiques*socio=et et la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec. A long_terme*socio=ec, toutefois, la réduction*socio=uv des concours du*socio=rien PNUD*socio=ac sous forme*socio=rien de dons*socio=ec non liés à l'appui*socio=rien d'activités*socio=rien d'assistance_technique*socio=et se répercutera *socio=rien sur un grand nombre d'*socio=nil opérations.*socio=nil *socio=nil Les deux institutions*socio=ac examinent ensemble*socio=rien les implications*socio=rien de cette tendance*socio=rien . Il se trouve simultanément que beaucoup d'emprunteurs*socio=ac, spécialement en amérique_latine*socio=ac, font appel*socio=rien aux services*socio=ec du*socio=rien PNUD*socio=ac pour l'exécution*socio=rien de programmes*socio=et d'assistance_technique*socio=et financés par la Banque*socio=ac. Ils peuvent, pour cela, utiliser deux mécanismes*socio=rien : le *socio=rien premier est un dispositif de*socio=nil partage*socio=uv *socio=nil de la charge*socio=uv selon lequel les fonds*socio=ec de la Banque*socio=ac viennent s'ajouter à ceux du*socio=rien PNUD*socio=ac pour financer des projets*socio=rien unifiés PNUD*socio=ac/Banque*socio=ac, qui sont exécutés par le PNUD*socio=ac ou par d'autres parties*socio=rien ; le deuxième*socio=rien implique la conclusion*socio=rien d'un*socio=rien accord*socio=et de gestion*socio=et entre l'emprunteur*socio=ac de la Banque*socio=ac et le *socio=rien Bureau du PNUD*socio=ac responsable*socio=uv des*socio=nil services*socio=ec d'*socio=nil appui aux*socio=nil projets *socio=nil pour l'exécution*socio=rien des opérations*socio=rien d'assistance_technique*socio=et financées par la Banque*socio=ac. L'un*socio=rien des avantages*socio=rien de cette *socio=rien deuxième formule est *socio=nil d'accélérer la mise en oeuvre*socio=rien des projets*socio=rien car ce type*socio=rien d'accord*socio=et permet de tirer parti*socio=et des "privilèges*socio=uv et immunités" du*socio=rien PNUD*socio=ac pour réduire au minimum*socio=rien les *socio=rien délais nécessaires *socio=nil à d'importantes*socio=rien transactions*socio=ec. La Banque*socio=ac et le PNUD*socio=ac collaborent aussi dans le domaine*socio=rien de la coordination*socio=uv de l'aide*socio=uv, de sorte*socio=rien que les questions*socio=rien touchant l' assistance_technique*socio=et reçoivent toute l'attention*socio=rien voulue lors*socio=rien des réunions*socio=rien des groupes*socio=ac consultatifs*socio=rien présidés par la Banque*socio=ac et des tables rondes*socio=rien présidées par le PNUD*socio=ac. Amélioration*socio=uv de la gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec, responsabilisation*socio=uv et ouverture*socio=rien . C'est*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92 qu'un*socio=rien groupe*socio=ac d'étude*socio=ac a été*socio=rien chargé d'examiner la *socio=rien qualité du portefeuille*socio=ec de*socio=nil projets *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac et de proposer des mesures*socio=rien pour inverser la tendance*socio=rien à la baisse*socio=rien des pourcentages*socio=rien de réussite*socio=uv constatée depuis une dizaine*socio=rien d'années*socio=rien . Dans son rapport*socio=rien , communiqué aux Administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac en novembre*socio=rien 1992, le groupe*socio=ac d'étude*socio=ac notait que la performance*socio=uv du*socio=rien portefeuille*socio=ec s'était effectivement dégradée, malgré de *socio=rien bons résultats au*socio=nil stade*socio=te *socio=nil de l'exécution*socio=rien pour plus de 75% des projets*socio=rien aidés par la Banque*socio=ac. A son avis*socio=rien , cette baisse*socio=rien de performance*socio=uv tenait pour beaucoup à la détérioration*socio=uv de la situation*socio=uv interne*socio=rien des pays*socio=ac comme de leur *socio=ec environnement extérieur.*socio=nil Certains*socio=nil éléments*socio=rien des*socio=nil pratiques*socio=et *socio=nil de la Banque*socio=ac avaient aussi contribué aux problèmes*socio=uv de gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec, ou n'avaient pas été*socio=rien suffisamment efficaces*socio=uv pour en venir à bout*socio=rien . La *socio=rien conclusion fondamentale du groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ac *socio=nil était que la Banque*socio=ac devait modifier certaines*socio=rien des valeurs*socio=ec essentielles*socio=uv qui déterminent la manière*socio=rien dont elle traite tous les aspects*socio=rien de ses opérations*socio=rien de prêt*socio=ec. Au début*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, les Administrateurs*socio=ac ont approuvé un*socio=rien programme*socio=et d'action*socio=rien détaillé pour donner plus d'efficacité*socio=uv à tout ce que peut faire la Banque*socio=ac pour promouvoir la réalisation*socio=uv de son *socio=rien objectif fondamental,*socio=nil la*socio=nil réduction*socio=uv *socio=nil de la pauvreté*socio=uv dans les *socio=ac pays emprunteurs.*socio=nil Ce*socio=nil programme*socio=et d'*socio=nil *socio=rien action est centré*socio=nil sur une*socio=nil nouvelle *socio=nil approche de la gestion*socio=et des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec, que la Banque*socio=ac base*socio=rien désormais sur*socio=rien les portefeuilles-pays*socio=ec afin d'avoir une vision*socio=rien stratégique*socio=uv des 148 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec de son portefeuille*socio=ec global*socio=rien . Pour compléter les changements*socio=uv apportés à ses propres*socio=rien principes*socio=uv et pratiques*socio=et, la Banque*socio=ac, en collaboration*socio=uv avec les autorités*socio=et des *socio=ac pays emprunteurs,*socio=nil *socio=nil a entrepris d'examiner la performance*socio=uv de chaque portefeuille-pays pour trouver une solution*socio=rien aux problèmes*socio=uv systémiques*socio=et . Les *socio=rien diverses initiatives *socio=nil engagées pour améliorer la performance*socio=uv du*socio=rien portefeuille*socio=ec ont représenté une importante*socio=rien réorientation*socio=et des pratiques*socio=et opérationnelles*socio=rien de la Banque*socio=ac: perçue comme excessivement préoccupée d'objectifs*socio=rien quantitatifs*socio=rien , l'institution*socio=ac s'est*socio=rien attachée à donner plus d'importance*socio=rien aux *socio=rien résultats sur le*socio=nil terrain des*socio=nil opérations *socio=nil réalisées avec son appui*socio=rien et à leur *socio=rien impact sur le*socio=nil développement*socio=uv.*socio=nil *socio=nil Depuis que les Administrateurs*socio=ac ont approuvé le programme*socio=et d'action*socio=rien , en juillet*socio=rien 1993, des progrès*socio=uv sensibles*socio=rien ont été*socio=rien enregistrés dans divers domaines*socio=rien ; parmi ces améliorations*socio=uv figurent notamment les *socio=rien mesures prises *socio=nil pour: - faire de la performance*socio=uv du*socio=rien portefeuille*socio=ec, ou de la gestion*socio=et des opérations*socio=rien en cours*socio=rien d'exécution*socio=rien , l'élément*socio=rien fondamental*socio=rien des stratégies*socio=et d'aide*socio=uv aux pays*socio=ac. Les directives*socio=rien qui guident l'élaboration*socio=rien des stratégies-pays*socio=et ont été*socio=rien améliorées et font obligation*socio=uv aux six vice-présidences*socio=ac opérationnelles*socio=rien de tenir compte*socio=rien de la performance*socio=uv du*socio=rien portefeuille*socio=ec dans la conception*socio=rien de leurs stratégies*socio=et d'aide*socio=uv et de leurs programmes*socio=et d'activité*socio=rien ; - restructurer les projets*socio=rien et les portefeuilles-pays*socio=ec et, en *socio=rien dernier recours,*socio=nil *socio=nil annuler les projets*socio=rien à problèmes*socio=uv; - améliorer la qualité*socio=rien des projets*socio=rien entrant dans le portefeuille*socio=ec, en s'assurant dès le départ*socio=rien de la volonté*socio=uv des autorités*socio=et nationales*socio=te de voir aboutir le projet*socio=rien , en encourageant une large*socio=rien participation*socio=uv aux travaux*socio=rien de conception*socio=rien et en s'assurant de l'adhésion*socio=uv des *socio=rien diverses parties prenantes *socio=nil pendant toute la *socio=rien durée du projet;*socio=nil *socio=nil - simplifier et modifier les pratiques*socio=et de la Banque*socio=ac en matière*socio=rien de cofinancement*socio=ec, de manière*socio=rien à minimiser la complexité*socio=rien qui caractérise souvent les projets*socio=rien cofinancés; - faire en sorte*socio=rien que les risques*socio=uv et la sensibilité*socio=uv des projets*socio=rien fassent l'objet*socio=rien d'analyses*socio=rien plus rigoureuses*socio=rien au cours*socio=rien de leur préparation*socio=rien et tout au long*socio=rien de leur exécution*socio=rien , grâce*socio=rien à la publication*socio=et de *socio=rien nouvelles directives sur les*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil et les *socio=rien procédures opérationnelles *socio=nil et à la diffusion*socio=rien d'un*socio=rien manuel*socio=rien donnant des instructions plus détaillées pour l'analyse*socio=rien des risques*socio=uv et de la sensibilité*socio=uv des projets*socio=rien au niveau*socio=rien sectoriel*socio=ec; - accroître les ressources*socio=ec budgétaires*socio=et allouées à la supervision*socio=rien des projets*socio=rien , avec notamment un*socio=rien renforcement*socio=uv *socio=rien du rôle des*socio=nil bureaux extérieurs*socio=te *socio=nil dans la gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec; - renforcer le *socio=rien rôle du Département*socio=ac *socio=nil de l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac et l'intégration*socio=uv des enseignements*socio=et tirés de ses recherches*socio=ec dans les opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac; - proposer aux emprunteurs*socio=ac une formation*socio=et intensive*socio=rien aux pratiques*socio=et de la Banque*socio=ac en matière*socio=rien de passation_des_marchés*socio=ec , afin d'accélérer l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien . Pour sa part*socio=rien , la Banque*socio=ac prépare des documents*socio=rien types d'appel*socio=rien d'offres*socio=rien pour certains *socio=rien domaines spécialisés,*socio=nil et*socio=nil un comité a*socio=nil été *socio=nil chargé de veiller, à l'échelle*socio=rien de la Banque*socio=ac, à la cohérence des décisions*socio=rien touchant l'attribution*socio=rien des gros*socio=rien marchés*socio=ec; - renforcer les compétences*socio=uv disponibles*socio=rien à l'appui*socio=rien d'une bonne*socio=rien gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, la Banque*socio=ac a recruté quelque 122 spécialistes*socio=ac des sept domaines*socio=rien de compétence*socio=uv jugés à la fois*socio=rien essentiels*socio=uv au *socio=rien bon déroulement du processus *socio=nil et insuffisamment pourvus (environnement*socio=ec; développement*socio=uv du*socio=rien *socio=ec secteur financier;*socio=nil population*socio=ac et*socio=nil ressources_humaines;*socio=nil développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé;*socio=nil *socio=nil anthropologie et sociologie; passation_des_marchés*socio=ec ; et gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac); - mettre au *socio=rien point un nouveau programme*socio=et de*socio=nil formation*socio=et *socio=nil pour aider le personnel*socio=rien à perfectionner ses compétences*socio=uv professionnelles*socio=rien et sa connaissance*socio=uv des principes*socio=uv et pratiques*socio=et de la Banque*socio=ac en vue*socio=rien d'une meilleure*socio=rien gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec, et introduire *socio=rien un nouveau système de*socio=nil notation du personnel de*socio=nil manière *socio=nil à mieux prendre en compte*socio=rien et récompenser les résultats*socio=rien obtenus en matière*socio=rien de gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec; - créer un*socio=rien panel_d'_inspection_indépendant*socio=ac chargé d'examiner les projets*socio=rien aidés par la Banque*socio=ac (Encadré 4-1); - ouvrir *socio=rien un Centre public d'*socio=nil information,*socio=nil *socio=nil qui tiendra à la *socio=rien disposition du public*socio=ac des*socio=nil documents opérationnels *socio=nil dont la diffusion*socio=rien était autrefois restreinte (Encadré 4-2). En juillet*socio=rien 1993, l'engagement*socio=uv avait été*socio=rien pris d'appliquer, d'ici à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, 84 *socio=rien mesures destinées *socio=nil à améliorer la gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec. Selon *socio=rien un rapport *socio=nil remis aux Administrateurs*socio=ac à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien écoulé, pratiquement toutes ces mesures*socio=rien - relevant pour la plupart*socio=rien des catégories*socio=rien susmentionnées - avaient été*socio=rien appliquées ou étaient près de l'être*socio=rien au 30 juin*socio=rien 1994. Ce rapport*socio=rien souligne toutefois que les *socio=rien mesures prises au*socio=nil cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien 94 ne sont que l'amorce d'un*socio=rien *socio=rien processus continu et*socio=nil évolutif *socio=nil et que la pleine*socio=rien réalisation*socio=uv des *socio=rien objectifs du programme*socio=et d'*socio=nil action prendrait*socio=nil un certain temps.*socio=nil *socio=nil Il faudra avant tout, note aussi le rapport*socio=rien , appliquer d'efficaces*socio=uv méthodes*socio=rien participatives*socio=uv à toutes les activités*socio=rien de la Banque*socio=ac, modifier et simplifier les procédures*socio=rien de la Banque*socio=ac pour appeler davantage l'attention*socio=rien sur*socio=rien l'amélioration*socio=uv des *socio=rien résultats sur le*socio=nil terrain,*socio=nil *socio=nil et créer un*socio=rien environnement*socio=ec *socio=rien interne propice *socio=nil à l'instauration*socio=et d'une véritable*socio=rien "culture*socio=et d'exécution*socio=rien " au niveau*socio=rien de toute l'institution*socio=ac. Pendant l'exercice*socio=rien 94, la Banque*socio=ac s'est*socio=rien également attaquée à d'autres *socio=rien questions délicates *socio=nil soulevées par ses opérations*socio=rien , mais n'ayant pas fait*socio=rien l'objet*socio=rien de *socio=rien recommandations du Groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ac sur la*socio=nil gestion*socio=et du portefeuille*socio=ec.*socio=nil C'*socio=nil est *socio=nil ainsi qu'à l'issue*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=rien approfondi, elle a apporté de nouvelles*socio=rien améliorations*socio=uv à ses politiques*socio=et de réinstallation 4. Elle a en outre publié *socio=rien un bilan *socio=nil de son expérience*socio=uv dans le domaine*socio=rien de la gestion*socio=et des affaires_publiques*socio=et (Encadré 4-3). Ces deux études*socio=rien donnent une évaluation*socio=uv objective des questions*socio=rien en jeu*socio=rien et définissent*socio=rien le cadre*socio=rien d'améliorations*socio=uv des stratégies*socio=et de la Banque*socio=ac dans les domaines*socio=rien considérés. *socio=rien Pareilles initiatives font*socio=nil partie intégrante des*socio=nil efforts*socio=uv *socio=nil entrepris par la Banque*socio=ac pour améliorer la participation*socio=uv à la préparation*socio=rien et à la gestion*socio=et des projets*socio=rien , ainsi qu'à l'ensemble*socio=rien de ses activités*socio=rien . Jusqu'à présent*socio=rien , ces efforts*socio=uv, en particulier*socio=uv la restructuration*socio=uv de projets*socio=rien et la clôture (ou l'annulation*socio=rien ) de prêts*socio=ec destinés à des projets*socio=rien inefficaces*socio=uv, ont eu pour effet*socio=rien le plus visible*socio=rien de sauvegarder la performance*socio=uv *socio=rien globale du portefeuille*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Ainsi, le *socio=rien dernier rapport annuel sur les*socio=nil résultats du portefeuille*socio=ec,*socio=nil *socio=nil qui couvre l'exercice*socio=rien 93, montre que, dans l'ensemble*socio=rien , si l'on se réfère à la *socio=rien notation globale des*socio=nil projets,*socio=nil la*socio=nil qualité du portefeuille*socio=ec *socio=nil de la Banque*socio=ac est*socio=rien restée relativement stable*socio=uv entre les exercices*socio=rien 92 et 93. Après*socio=rien avoir culminé à plus de 20% durant l'exercice*socio=rien 91, le pourcentage*socio=rien des projets*socio=rien à problèmes*socio=uv est*socio=rien tombé à 18% pour les exercices*socio=rien 92 et 93. Ce rapport*socio=rien constate également que le pourcentage*socio=rien de projets*socio=rien à problèmes*socio=uv *socio=rien du point de*socio=nil vue *socio=nil de la réalisation*socio=uv des objectifs*socio=rien de développement*socio=uv a légèrement augmenté, passant de 12% pour l'exercice*socio=rien 92 à 13% pour l'exercice*socio=rien 93. Il signale toutefois que cette augmentation*socio=uv marginale*socio=rien ne témoigne*socio=rien pas forcément d'une dégradation*socio=rien de l'impact*socio=rien des *socio=rien projets sur le*socio=nil développement*socio=uv.*socio=nil *socio=nil Il faut plutôt y voir la conséquence*socio=rien des efforts*socio=uv entrepris par les six vice-présidences*socio=ac régionales*socio=te, dans les *socio=rien limites du système actuel de*socio=nil notation,*socio=nil *socio=nil pour mesurer la contribution*socio=uv *socio=rien du projet au*socio=nil développement*socio=uv *socio=nil à partir d'évaluations*socio=uv plus réalistes*socio=uv *socio=rien du degré *socio=nil escompté de réalisation*socio=uv des objectifs*socio=rien de développement*socio=uv. (L'Encadré 4-4 donne plus de *socio=rien détails sur les*socio=nil systèmes *socio=nil utilisés pour noter l'efficacité*socio=uv des projets*socio=rien ). Au-delà des *socio=rien effets immédiats *socio=nil de cet assainissement*socio=uv du*socio=rien portefeuille*socio=ec, il n'est*socio=rien pas certain*socio=rien que l'on assiste dans les années*socio=rien à venir à *socio=rien un revirement définitif des*socio=nil résultats globaux*socio=ec.*socio=nil Aux*socio=nil efforts*socio=uv *socio=nil actuellement déployés pour améliorer la gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec, il convient d'opposer les risques*socio=uv d'exécution*socio=rien qu'impliquent l'ampleur*socio=rien et la complexité*socio=rien des programmes*socio=et de développement*socio=uv de la Banque*socio=ac et de ses emprunteurs*socio=ac. Les opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac à l'appui*socio=rien de pays*socio=ac qui en sont encore à un*socio=rien stade*socio=te précoce*socio=rien et difficile*socio=rien de leur passage*socio=rien à l'économie_de_marché*socio=ec, ou de leurs programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et de réformes*socio=et économiques*socio=ec, comportent elles aussi des risques*socio=uv importants*socio=rien . L'expérience*socio=uv montre qu'en *socio=rien dernière analyse la*socio=nil situation*socio=uv économique*socio=ec et*socio=nil institutionnelle*socio=ac du pays*socio=ac *socio=nil entre pour beaucoup dans la contribution*socio=uv des projets*socio=rien au développement*socio=uv. Encadré: La Banque*socio=ac célèbre*socio=rien son cinquantenaire et se prépare au Xxie siècle*socio=rien . La banque_mondiale*socio=ac est*socio=rien née voilà 50 ans*socio=rien , en juillet*socio=rien 1944, à la Conférence*socio=rien monétaire*socio=ec et financière*socio=ec tenue par les nations_unies*socio=ac à bretton_woods*socio=et, dans le New*socio=rien Hampshire, aux États-unis*socio=ac. Les représentants*socio=ac de 44 nations*socio=te réunies à bretton_woods*socio=et ont établi deux institutions_financières*socio=ec complémentaires*socio=rien : la banque_mondiale*socio=ac et le fonds_monétaire_international*socio=ac. Le rapport*socio=rien de la Commission*socio=ac II ( banque_internationale_pour_la_reconstruction*socio=ac et le développement*socio=uv) à la *socio=rien Séance plénière *socio=nil exécutive (Conférence*socio=rien monétaire*socio=ec et financière*socio=ec des nations_unies*socio=ac) relate ainsi les événements*socio=rien de cet été*socio=rien 1944: "La création*socio=rien de la Banque*socio=ac a *socio=rien été un événement *socio=nil tout à fait*socio=rien inédit... à tel point*socio=rien que l'on n'a pas pu trouver de nom*socio=rien pour la désigner. Dans la mesure*socio=rien où il *socio=rien est question de*socio=nil souscriptions*socio=ec de*socio=nil capital*socio=ec,*socio=nil de*socio=nil prêts*socio=ec,*socio=nil *socio=nil de garanties, d'émissions*socio=rien de titres*socio=rien , la nouvelle*socio=rien institution_financière*socio=ec peut apparemment prétendre au nom*socio=rien de banque*socio=ac. Mais le type*socio=rien d'actionnaires*socio=ac, la nature*socio=rien des souscriptions*socio=ec, le fait*socio=rien que tous dépôts*socio=rien et prêts*socio=ec à court_terme*socio=ec soient exclus*socio=rien , de même que l'absence*socio=rien de but*socio=rien lucratif*socio=ec sont tout à fait*socio=rien étrangers*socio=uv à ce que l'on attend normalement d'une banque*socio=ac. En tout état*socio=rien de cause*socio=rien , cette nouvelle*socio=rien institution*socio=ac a par *socio=rien hasard été *socio=nil baptisée "banque*socio=ac", et "banque*socio=ac" elle restera, essentiellement parce qu'on n'a pas trouvé dans le dictionnaire d'autre nom*socio=rien pour qualifier une institution*socio=ac aussi originale*socio=rien ". Si l'on fait*socio=rien le bilan*socio=rien des 50 *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil on ne peut manquer de voir l'immensité des progrès*socio=uv accomplis tant au plan*socio=rien économique*socio=ec que social*socio=ac, non plus que l'immensité *socio=rien du chemin qui*socio=nil reste *socio=nil à parcourir. Dans les pays_en_développement*socio=ac, l'espérance_de_vie*socio=uv moyenne*socio=rien a augmenté d'environ 50%; la proportion*socio=rien des enfants*socio=ac scolarisés est*socio=rien passée de moins de la moitié*socio=rien à plus des trois quarts*socio=rien ; et le revenu*socio=ec moyen*socio=rien par habitant*socio=ac a plus que doublé. La Banque*socio=ac a contribué à ce progrès*socio=uv par le soutien*socio=uv qu'elle a apporté à plus de 5000 projets*socio=rien répartis entre quelque 140 pays*socio=ac. Il reste*socio=rien cependant d'énormes*socio=rien défis*socio=uv à relever. Il s'agit d'arracher à la pauvreté*socio=uv tous ceux - et ils sont plus de 1 milliard*socio=rien - qui n'ont à peu près qu'un*socio=rien dollar*socio=ec par jour*socio=rien pour survivre et de mettre en place*socio=rien des services*socio=ec de base*socio=rien - assainissement*socio=uv, eau*socio=ec potable*socio=rien , santé*socio=et et éducation*socio=et - à la disposition*socio=rien de tous ceux qui en sont encore dépourvus. Depuis plus d'une décennie*socio=rien , les taux_de_croissance_économique*socio=ec stagnent ou diminuent dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=ac. Les problèmes*socio=uv liés à la transformation*socio=uv des économies*socio=ec d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te, de l' ex-union_soviétique*socio=ac se révèlent extrêmement complexes. Et de nouveaux*socio=rien défis*socio=uv se font jour*socio=rien , en afrique_du_sud*socio=ac, à Gaza et en Cisjordanie*socio=ac, par exemple*socio=rien . A divers points*socio=rien de vue*socio=rien , la Banque*socio=ac est*socio=rien exceptionnellement bien*socio=rien placée pour aider à relever ces défis*socio=uv. Le plus *socio=rien important atout est qu'*socio=nil après 50*socio=nil années d'*socio=nil activité,*socio=nil *socio=nil il n'est*socio=rien guère de problème*socio=uv du*socio=rien développement*socio=uv, ni guère de pays_en_développement*socio=ac dont elle n'ait déjà l'expérience*socio=uv. Et cette expérience*socio=uv lui a beaucoup appris: que l'homme*socio=ac est*socio=rien à la fois*socio=rien la fin*socio=rien et le *socio=rien moyen du développement*socio=uv;*socio=nil qu'*socio=nil un engagement*socio=uv *socio=nil résolu et durable*socio=rien à l'appui*socio=rien de saines*socio=uv politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec est*socio=rien d'une *socio=rien importance vitale;*socio=nil *socio=nil que les capacités*socio=rien institutionnelles*socio=ac sont l'un*socio=rien des *socio=rien facteurs déterminants du progrès*socio=uv;*socio=nil *socio=nil et que la croissance_économique*socio=ec ne contribue efficacement à la réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv que si elle repose sur*socio=rien de *socio=rien larges bases *socio=nil et si elle *socio=rien est compatible *socio=nil avec la préservation*socio=rien de l'environnement*socio=ec. Point*socio=rien tout aussi fondamental*socio=rien , des décennies*socio=rien d'expérience*socio=uv de la conception*socio=rien et de la réalisation*socio=uv de projets*socio=rien d'investissement*socio=ec ont fait*socio=rien d'elle une *socio=rien conseillère fiable *socio=nil pour tout ce qui touche au développement*socio=uv - prête*socio=rien à partager son expérience*socio=uv mondiale*socio=te de ce qui marche*socio=rien et de ce qui ne marche*socio=rien pas - et à aider ses pays_membres*socio=ac à appliquer ces leçons*socio=rien . Pour aider ses pays_membres*socio=ac à relever les défis*socio=uv actuels*socio=rien et futurs*socio=rien , la Banque*socio=ac est*socio=rien résolue à jouer et à développer encore son rôle*socio=rien de source*socio=rien de financements*socio=ec et de conseils*socio=ac à l'appui*socio=rien du*socio=rien développement*socio=uv et elle *socio=rien est prête *socio=nil aussi, dans certains cas*socio=rien également, à contribuer à la recherche*socio=rien de solutions*socio=rien aux *socio=uv problèmes stratégiques du*socio=rien développement *socio=nil qui transcendent les *socio=te frontières nationales.*socio=nil *socio=nil Étant donné l'ampleur*socio=rien des besoins*socio=uv du*socio=rien développement*socio=uv et de la tâche*socio=rien à accomplir, la Banque*socio=ac sait qu'elle doit éviter de disperser son effort*socio=uv. Elle se concentre donc sur*socio=rien ce qu'elle fait*socio=rien le mieux et encourage une *socio=rien division du travail *socio=nil avec ses partenaires*socio=uv. Six principes*socio=uv directeurs*socio=rien guident son action*socio=rien : Sélectionner rigoureusement les actions*socio=rien stratégiques*socio=uv qui recevront son aide*socio=uv; rechercher la participation*socio=uv d'autres partenaires*socio=uv: au niveau*socio=rien bilatéral*socio=te et multilatéral*socio=te, parmi les organismes_publics*socio=ac et les organisations_non_gouvernementales*socio=ac et dans le secteur_privé*socio=ec; répondre aux besoins*socio=uv des emprunteurs*socio=ac et faciliter leur participation*socio=uv à la conception*socio=rien et à la mise en oeuvre*socio=rien des programmes*socio=et recevant son appui*socio=rien ; donner la priorité*socio=uv non pas au niveau*socio=rien des engagements*socio=ec de prêt*socio=ec, mais aux *socio=rien résultats sur le*socio=nil terrain;*socio=nil *socio=nil veiller à ce que les ressources*socio=ec *socio=rien rares disponibles aux*socio=nil fins du développement*socio=uv *socio=nil soient utilisées le plus judicieusement et le plus efficacement possibles*socio=rien ; et préserver l'excellente*socio=rien cote*socio=ec de crédit*socio=ec dont elle jouit sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec. La contribution*socio=uv de la Banque*socio=ac au développement_économique*socio=ec au cours*socio=rien des 50 *socio=rien dernières années est *socio=nil due pour une part*socio=rien non négligeable*socio=rien à ce que l'institution*socio=ac a su s'adapter*socio=rien avec souplesse*socio=uv et rapidité*socio=rien à un*socio=rien environnement*socio=ec en perpétuelle évolution*socio=rien . Il est*socio=rien toutefois *socio=rien un élément fondamental *socio=nil qui n'a jamais changé et ne changera pas: La Banque*socio=ac est*socio=rien la seule*socio=rien institution*socio=ac de développement*socio=uv au monde*socio=te à avoir établi des relations*socio=rien de partenariat*socio=uv avec pratiquement tous les pays_en_développement*socio=ac, à avoir une très vaste*socio=rien expérience*socio=uv internationale*socio=te, et à offrir une gamme*socio=rien de produits*socio=rien alliant la mobilisation*socio=uv de *socio=ec ressources financières,*socio=nil la*socio=nil fourniture*socio=rien de*socio=nil conseils*socio=ac sur*socio=rien l'*socio=nil action*socio=rien *socio=nil à entreprendre et des recherches*socio=ec de fond*socio=rien . Ses caractéristiques*socio=rien exceptionnelles*socio=uv et ses 50 années*socio=rien d'expérience*socio=uv du*socio=rien développement*socio=uv font de la Banque*socio=ac l'une des armes*socio=rien les plus efficaces*socio=uv de la communauté*socio=ac mondiale*socio=te à l'appui*socio=rien de la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv et de l'amélioration*socio=uv de la condition*socio=rien humaine, et cet *socio=rien atout est *socio=nil tout aussi nécessaire*socio=rien aujourd'hui qu'il y a 50 ans*socio=rien . La Banque*socio=ac conjure ses partenaires*socio=uv de s'employer avec elle à relever les défis*socio=uv du*socio=rien Xxie siècle*socio=rien . Fin*socio=rien de l'encadré. Encadré 2-1: L'uruguay_round*socio=ec, l'accès*socio=uv aux marchés*socio=ec et les pays_en_développement*socio=ac. Pour chacun des 118 participants*socio=ac à l'uruguay_round*socio=ec, la *socio=rien hausse du revenu*socio=ec national*socio=te *socio=nil attendue de l'heureuse*socio=rien conclusion*socio=rien des négociations*socio=uv tiendra à deux *socio=rien facteurs principaux:*socio=nil *socio=nil d'une part*socio=rien , une utilisation*socio=rien plus efficace*socio=uv de leurs propres*socio=rien ressources*socio=ec grâce*socio=rien à la réduction*socio=uv ou à l'élimination*socio=rien de distorsions*socio=uv internes*socio=rien comme les obstacles*socio=rien au commerce*socio=ec et, d'autre part*socio=rien , l'élargissement*socio=rien de leur accès*socio=uv aux marchés*socio=ec de leurs partenaires*socio=uv commerciaux*socio=ec. L'application*socio=rien des dispositions*socio=rien de l'accord*socio=et relatives*socio=rien à l'accès*socio=uv aux marchés*socio=ec devrait majorer le revenu*socio=ec mondial*socio=te de 200 à 300 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par an*socio=rien (dollars*socio=ec de 1992). Encore ces chiffres sont-ils probablement sous-évalués; ils ne tiennent pas compte*socio=rien des services*socio=ec et personne*socio=rien n'a encore cherché à saisir les effets*socio=rien de la plus *socio=rien grande ouverture du commerce*socio=ec mondial*socio=te sur la*socio=nil croissance*socio=uv *socio=nil de la productivité*socio=ec. Même au niveau*socio=rien "sous-estimé" indiqué ci-dessus, la *socio=rien pleine application *socio=nil de l'accord*socio=et de l'uruguay_round*socio=ec pourrait ajouter près de 80 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par an*socio=rien (dollars*socio=ec de 1992) au PIB*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac. La seule*socio=rien libéralisation*socio=ec du*socio=rien *socio=ec commerce agricole *socio=nil devrait leur valoir de 20 à 60 milliards*socio=ec de dollars*socio=ec par an*socio=rien , selon le degré*socio=rien de libéralisation*socio=ec de chaque économie*socio=ec. L'amélioration*socio=uv de l'accès*socio=uv aux marchés*socio=ec pour les produits*socio=rien agricoles*socio=ec et industriels*socio=ac proviendra essentiellement d'amples*socio=rien réductions*socio=uv des droits*socio=uv de douane*socio=ac et d'un*socio=rien contrôle*socio=uv plus sévère*socio=rien des subventions*socio=ec et des restrictions*socio=uv quantitatives*socio=rien . Pour les produits*socio=rien agricoles*socio=ec, à la différence*socio=rien de ce qui est*socio=rien prévu pour les produits*socio=rien industriels*socio=ac, l'élargissement*socio=rien de l'accès*socio=uv aux marchés*socio=ec implique des restrictions*socio=uv à l'utilisation*socio=rien de *socio=rien mesures internes de*socio=nil soutien*socio=uv.*socio=nil L'*socio=nil abaissement des*socio=nil subventions*socio=ec offertes *socio=nil par les *socio=ac pays industriels *socio=nil à leurs exportateurs*socio=ac renforcera la compétitivité*socio=uv des exportations*socio=ec des pays_en_développement*socio=ac. Les effets*socio=rien de la réduction*socio=uv des taux*socio=rien NPF*socio=et (nation*socio=te la plus favorisée*socio=rien ) sur*socio=rien les divers fournisseurs*socio=ac ne sont pas les mêmes selon le régime*socio=et accordé par le pays*socio=ac importateur*socio=ec au produit*socio=rien en cause*socio=rien : NPF*socio=et, traitement*socio=rien préférentiel*socio=et ou libre-échange*socio=ec. Pour les importations*socio=ec bénéficiant *socio=rien du traitement NPF*socio=et,*socio=nil l'*socio=nil abaissement des*socio=nil taux *socio=nil accroît indiscutablement le volume*socio=rien des ventes*socio=ec dans le pays*socio=ac importateur*socio=ec. Dans le cas*socio=rien d'importations*socio=ec recevant déjà *socio=rien un traitement préférentiel*socio=et *socio=nil ou bénéficiant d'un*socio=rien régime*socio=et de libre-échange*socio=ec, l'abaissement*socio=rien des taux*socio=rien NPF*socio=et peut réduire les marges de préférence*socio=et et inciter les acheteurs*socio=ac à se tourner vers des *socio=ac fournisseurs concurrents.*socio=nil Les*socio=nil analyses*socio=rien *socio=nil indiquent que les gains*socio=ec résultant*socio=rien de l'abaissement*socio=rien des taux*socio=rien NPF*socio=et l'emporteront probablement sur*socio=rien les pertes*socio=ec provoquées par l'érosion*socio=ec des préférences*socio=et, même pour les exportateurs*socio=ac bénéficiant de ces préférences*socio=et. L'abaissement*socio=rien des droits*socio=uv de douane*socio=ac applicables*socio=rien aux pays_en_développement*socio=ac est*socio=rien estimé à 34% - contre 38% pour les produits*socio=rien industriels*socio=ac, toutes sources*socio=rien confondues - et les pourcentages*socio=rien sont encore moindres*socio=rien pour les vêtements*socio=ec et les chaussures*socio=rien (produits*socio=rien qui intéressent particulièrement les pays_en_développement*socio=ac). Néanmoins, les effets*socio=rien exercés sur*socio=rien le volume*socio=rien des échanges*socio=ec seront importants*socio=rien même pour ces produits*socio=rien , qui font actuellement l'objet*socio=rien des taux*socio=rien les plus élevés*socio=rien , et le pourcentage*socio=rien de *socio=rien baisse du prix*socio=ec tous*socio=nil droits*socio=uv *socio=nil compris dans les *socio=ac pays importateurs sera*socio=nil substantiel*socio=rien *socio=nil . En outre, lorsque le facteur*socio=rien limitant est*socio=rien de *socio=rien nature quantitative *socio=nil (et non tarifaire*socio=ec) en application*socio=rien de l' Arrangement_multifibres*socio=et, le degré*socio=rien d'élargissement*socio=rien de l'accès*socio=uv au marché*socio=ec pourrait excéder celui que l'on peut escompter *socio=rien du seul abaissement des*socio=nil tarifs*socio=ec douaniers*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Malheureusement, l'accord*socio=et n'a pas mis fin*socio=rien à la progressivité des droits*socio=uv pour les produits*socio=rien agricoles*socio=ec. On avait espéré une diminution*socio=rien de la discrimination*socio=uv à l'encontre*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien transformés, qui aurait favorisé*socio=rien l'application*socio=rien de stratégies*socio=et d'industrialisation*socio=ec fondées sur*socio=rien l'exploitation*socio=ec des ressources_naturelles*socio=ec. Or*socio=rien , l'ampleur*socio=rien des réductions*socio=uv tarifaires*socio=ec convenues, que ce soit en valeur*socio=ec absolue*socio=rien ou en pourcentage*socio=rien , ne varie pas sensiblement selon le degré*socio=rien de transformation*socio=uv. L'accord*socio=et le plus *socio=rien récent témoigne de*socio=nil progrès*socio=uv considérables *socio=nil vers une augmentation*socio=uv de la proportion*socio=rien des droits*socio=uv consolidés (c'est-à-dire dont le taux*socio=rien ne peut être*socio=rien augmenté). Les risques*socio=uv des exportateurs*socio=ac s'en trouveront grandement réduits. Pour les produits*socio=rien industriels*socio=ac, les économies*socio=ec développées*socio=rien et en transition*socio=uv offrent de consolider la quasi-totalité*socio=rien de leurs droits*socio=uv et les pays_en_développement*socio=ac ont offert*socio=rien de porter à 65% la proportion*socio=rien des droits*socio=uv consolidés. Pour les produits*socio=rien agricoles*socio=ec, la part*socio=rien des lignes*socio=rien tarifaires*socio=ec soumises à *socio=rien consolidation est en*socio=nil augmentation*socio=uv sensible,*socio=nil *socio=nil surtout dans le cas*socio=rien des économies*socio=ec en développement*socio=uv pour lesquelles elle passe de un*socio=rien à cinq*socio=rien (de 17 à 89%). Pour la *socio=rien première fois *socio=nil dans l'histoire*socio=rien du*socio=rien GATT*socio=ec, la proportion*socio=rien des lignes*socio=rien tarifaires*socio=ec consolidées sera approximativement la même pour les produits*socio=rien agricoles*socio=ec et les autres. Fin*socio=rien de l'encadré. Encadré 3-1: enseignement_supérieur*socio=et - les leçons*socio=rien de l'expérience*socio=uv. L'enseignement_supérieur*socio=et est*socio=rien en crise*socio=uv partout dans le monde*socio=te, aussi bien*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac que dans les pays_en_développement*socio=ac - telle est*socio=rien la conclusion*socio=rien d'une étude*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac. Et, comme on pouvait s'y attendre, la crise*socio=uv est*socio=rien le plus aiguë*socio=rien dans les pays_en_développement*socio=ac, où les contraintes*socio=uv budgétaires*socio=et et la demande*socio=ec d'une expansion*socio=ec des effectifs*socio=rien sont le plus fortes*socio=rien . Cette étude*socio=ac - la troisième*socio=rien d'une série sur*socio=rien les divers sous-secteurs*socio=ec de l'éducation*socio=et - analyse*socio=rien les leçons*socio=rien des réformes*socio=et récemment engagées par les pays_en_développement*socio=ac, tant à l'échelon*socio=rien national*socio=te qu'au *socio=rien niveau institutionnel,*socio=nil *socio=nil pour indiquer aux pays*socio=ac qui envisagent ou qui commencent à peine d'introduire des réformes*socio=et la voie*socio=rien qu'ils pourraient suivre pour parvenir à la fois*socio=rien à plus d'efficacité*socio=uv, de qualité*socio=rien et d'équité*socio=uv. L'étude*socio=ac trace aussi l'orientation*socio=et probable*socio=rien des prêts*socio=ec de la banque_mondiale*socio=ac durant les années*socio=rien à venir. Faisant le bilan*socio=rien de l'expérience*socio=uv internationale*socio=te, l'étude*socio=ac - sans vouloir*socio=rien fixer de modèle*socio=rien pour chaque pays*socio=ac -juge que les réformes*socio=et les plus prometteuses*socio=rien pourraient consister à: a) élargir l'éventail*socio=rien des options*socio=rien , pour ce qui est*socio=rien des types d'institution*socio=ac et des modes*socio=rien d'enseignement*socio=et (ce qui favoriserait en même temps*socio=rien le développement*socio=uv des institutions_privées*socio=ec); b) inciter les institutions_publiques*socio=et à diversifier leurs sources*socio=rien de financement*socio=ec; c) lier plus étroitement la fourniture*socio=rien de fonds_publics*socio=et aux résultats*socio=rien obtenus; d) redéfinir le rôle*socio=rien de l'État*socio=ac dans l' enseignement_supérieur*socio=et; et e) adopter des *socio=rien mesures destinées *socio=nil explicitement à améliorer la qualité*socio=rien et l'équité*socio=uv de l'enseignement_supérieur*socio=et. Élargir l'éventail*socio=rien des options*socio=rien , cela veut dire ajouter aux universités*socio=et d'autres types d'institutions*socio=ac: instituts*socio=ac polytechniques, filières courtes*socio=rien d'enseignement_professionnel*socio=et, *socio=rien établissements locaux d'*socio=nil études *socio=nil postsecondaires, programmes_d'_études*socio=rien à distance, programmes*socio=et d'enseignement*socio=et ouvert*socio=rien à tous, etc. Généralement, ces structures*socio=ec complémentaires*socio=rien sont moins coûteuses*socio=ec à mettre en place*socio=rien et à gérer, et sont donc attrayantes*socio=rien pour le secteur_privé*socio=ec. Afin d'alléger la charge*socio=uv financière*socio=ec que l'augmentation*socio=uv des effectifs*socio=rien impose aux institutions_publiques*socio=et, l'étude*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac préconise de vastes*socio=rien réformes*socio=et du*socio=rien financement*socio=ec de ces institutions*socio=ac. On pourrait, par exemple*socio=rien , demander aux étudiants*socio=ac d'assumer une part*socio=rien plus *socio=rien importante du coût*socio=ec *socio=nil de leur éducation*socio=et '; réduire fortement, sinon éliminer totalement, toute subvention*socio=ec publique*socio=et aux dépenses*socio=ec hors enseignement*socio=et (hébergement*socio=et et repas*socio=rien , par exemple*socio=rien ); modifier le code*socio=et fiscal*socio=ec afin d'encourager les dons*socio=ec d'anciens*socio=rien étudiants*socio=ac et du*socio=rien secteur_privé*socio=ec; et inciter les institutions_publiques*socio=et d'enseignement_supérieur*socio=et à se lancer dans des *socio=rien activités génératrices de*socio=nil revenus*socio=ec.*socio=nil *socio=nil A tout le moins, les pouvoirs_publics*socio=ac devraient cesser de pénaliser l'esprit_d'_entreprise*socio=uv, comme ils le font lorsqu'ils réduisent les crédits*socio=ec affectés aux établissements*socio=rien publics*socio=et d'un*socio=rien montant*socio=ec correspondant à celui des recettes*socio=ec que ces établissements*socio=rien tirent d'activités*socio=rien "périphériques". L'étude*socio=ac montre que cette crise*socio=uv de l'enseignement_supérieur*socio=et public*socio=et conduit à reconsidérer le rôle*socio=rien de l'État*socio=ac. L'idée*socio=rien que l'on se fait*socio=rien de ses responsabilités*socio=uv est*socio=rien de plus en plus que l'État*socio=ac doit chercher, non pas à contrôler directement l'ensemble*socio=rien du*socio=rien sous-secteur*socio=ec, mais surtout à créer *socio=rien un cadre propice *socio=nil - pour les établissements*socio=rien tant publics*socio=et que privés*socio=ec - et à utiliser le levier de financements*socio=ec publics*socio=et pour encourager les institutions_d'_enseignement_supérieur*socio=et à répondre plus efficacement aux besoins*socio=uv de formation*socio=et et de recherche*socio=ec de la nation*socio=te. Favoriser l'élargissement*socio=rien des options*socio=rien , encourager la diversification*socio=rien des sources*socio=rien de financement*socio=ec et assouplir le contrôle*socio=uv des pouvoirs_publics*socio=ac sont autant d'éléments*socio=rien indispensables*socio=uv à l'amélioration*socio=uv de l' enseignement_supérieur*socio=et. Mais il faut aller au-delà. L'étude*socio=ac de la Banque*socio=ac montre que le processus*socio=rien de réforme*socio=et doit inclure *socio=rien un dernier élément *socio=nil - l'application*socio=rien de *socio=rien mesures destinées *socio=nil à rehausser la qualité*socio=rien de l'enseignement*socio=et dispensé et à élargir l'accès*socio=uv des groupes*socio=ac traditionnellement défavorisés*socio=rien . Promouvoir l'égalité_des_chances*socio=uv devant*socio=rien l'enseignement_supérieur*socio=et revêt une *socio=rien grande importance *socio=nil pour des raisons*socio=rien non seulement d'efficacité*socio=uv économique*socio=ec mais aussi de justice_sociale*socio=uv. Il ressort aussi de cette étude*socio=ac que la rentabilité*socio=ec sociale*socio=ac des investissements*socio=ec dans l'enseignement_supérieur*socio=et *socio=rien est inférieure *socio=nil à celle des investissements*socio=ec affectés à l'enseignement*socio=et primaire*socio=et et secondaire*socio=et, et que les investissements*socio=ec dans l'enseignement*socio=et fondamental*socio=rien contribuent plus directement à la réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv. Pour ces raisons*socio=rien , la Banque*socio=ac continuera de donner la priorité*socio=uv aux prêts*socio=ec à l'enseignement*socio=et primaire*socio=et et au premier*socio=rien cycle*socio=te d'enseignement*socio=et secondaire*socio=et. L'octroi*socio=rien de prêts*socio=ec à l'appui*socio=rien de réformes*socio=et de l'enseignement_supérieur*socio=et peut toutefois se justifier, dans la mesure*socio=rien où les fonds*socio=ec de la Banque*socio=ac aideront les pays*socio=ac à libérer des ressources*socio=ec supplémentaires*socio=rien au profit*socio=ec d'améliorations*socio=uv de la qualité*socio=rien et de l'accès*socio=uv aux niveaux*socio=rien primaire*socio=et et secondaire*socio=et. Des *socio=rien projets bien *socio=nil conçus peuvent en outre améliorer l'efficacité*socio=uv de l' enseignement_supérieur*socio=et et, ainsi, en réduire le coût*socio=ec pour l'État*socio=ac. La Banque*socio=ac accordera des prêts*socio=ec en faveur*socio=rien de l'enseignement_supérieur*socio=et si le pays*socio=ac est*socio=rien disposé à adopter une politique*socio=et privilégiant la diversification*socio=rien des institutions_d'_enseignement*socio=et et des sources*socio=rien de financement*socio=ec et faisant une plus *socio=rien grande place *socio=nil à la participation*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec dans la fourniture*socio=rien comme dans le financement*socio=ec des services*socio=ec d'éducation*socio=et. Dans ces pays*socio=ac, les prêts*socio=ec de la Banque*socio=ac appuient et continueront d'appuyer l'application*socio=rien de réformes*socio=et sectorielles*socio=rien , le développement*socio=uv des institutions*socio=ac et l'amélioration*socio=uv de la qualité*socio=rien . La première*socio=rien étude*socio=ac, sur*socio=rien l'enseignement*socio=et primaire*socio=et, a été*socio=rien examinée par le conseil_des_administrateurs*socio=ac durant l'exercice*socio=rien 90, et les politiques*socio=et relatives*socio=rien à l'enseignement*socio=et technique*socio=rien et à la formation_professionnelle*socio=et l'ont été*socio=rien durant l'exercice*socio=rien 91. Pour être*socio=rien appliqué de manière*socio=rien équitable*socio=uv, le partage*socio=uv des coûts*socio=ec doit toutefois être*socio=rien accompagné d'un*socio=rien programme*socio=et de bourses*socio=rien garantissant le soutien*socio=uv financier*socio=ec nécessaire*socio=rien aux étudiants*socio=ac qualifiés*socio=rien qui n'ont pas les moyens*socio=ec d'assumer les *socio=ec coûts directs *socio=nil et indirects (manque*socio=rien à gagner) d' études_supérieures*socio=et, ainsi que d'un*socio=rien programme*socio=et bien*socio=rien géré d'octroi*socio=rien de prêts*socio=ec aux étudiants*socio=ac qui sont obligés d'emprunter pour poursuivre leurs études*socio=rien . Fin*socio=rien de l'encadré. Encadré 3-2: Examen*socio=rien des projets*socio=rien donnant lieu*socio=rien au transfert*socio=rien de populations*socio=ac. L'expérience*socio=uv des projets*socio=rien Sardar Sarovar (Inde*socio=ac) a amené la Banque*socio=ac, en 1993, à créer un*socio=rien groupe*socio=ac d'études*socio=rien pour analyser 146 opérations*socio=rien approuvées entre 1986 et 1993 impliquant le transfert*socio=rien de populations*socio=ac et vérifier la conformité de l'exécution*socio=rien de ces projets*socio=rien avec les dispositions*socio=rien des accords*socio=et de prêt*socio=ec et avec la politique*socio=et et les directives*socio=rien de la Banque*socio=ac . Près de 2 millions*socio=rien de personnes*socio=rien sont concernées par ces 146 projets*socio=rien , qui représentent 8% *socio=rien du nombre total des*socio=nil projets en*socio=nil portefeuille*socio=ec *socio=nil (15% en valeur*socio=ec). Le *socio=rien principal résultat *socio=nil de cet examen*socio=rien réside non seulement dans l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien rapport final *socio=nil mais surtout dans le processus*socio=rien auquel il a donné lieu*socio=rien pendant toute l'année*socio=rien 1993 à la Banque*socio=ac et sur*socio=rien le terrain*socio=rien , processus*socio=rien multiforme qui a comporté une intensification*socio=rien de la *socio=rien supervision sur le*socio=nil terrain;*socio=nil l'*socio=nil analyse *socio=nil de la préparation*socio=rien , de l'évaluation*socio=uv, de la supervision*socio=rien et de l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien ; des consultations*socio=uv *socio=rien sur place *socio=nil avec les organisations_non_gouvernementales*socio=ac; des études_sectorielles*socio=ec sur*socio=rien la réinstallation; l'élaboration*socio=rien de *socio=rien nouveaux instruments techniques *socio=nil pour la planification*socio=et des opérations*socio=rien de réinstallation; et la prise*socio=rien par la Banque*socio=ac et les emprunteurs*socio=ac de très *socio=rien nombreuses mesures *socio=nil pour remédier aux déficiences*socio=rien des projets*socio=rien non conformes aux objectifs*socio=rien fixés. Le groupe*socio=ac d'étude*socio=ac a constaté que la Banque*socio=ac avait fait*socio=rien de sensibles*socio=rien progrès*socio=uv entre 1986 et 1993 dans certains domaines*socio=rien , mais il a aussi observé que, là où l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien n'avait pas *socio=rien été conforme *socio=nil à la politique*socio=et et aux *socio=rien directives opérationnelles,*socio=nil les*socio=nil personnes *socio=nil déplacées avaient parfois vu leurs conditions_de_vie*socio=uv se dégrader. La conclusion*socio=rien la plus importante*socio=rien de cet *socio=rien examen est *socio=nil qu'une opération*socio=rien de réinstallation *socio=rien bien conduite *socio=nil peut non seulement ne pas appauvrir les personnes*socio=rien concernées mais même réduire leur pauvreté*socio=uv en leur assurant des moyens*socio=ec d'existence*socio=rien durables*socio=uv. Une réinstallation socialement responsable*socio=uv est*socio=rien aussi bénéfique*socio=rien au plan*socio=rien économique*socio=ec, parce que le lourd*socio=rien tribut à payer*socio=rien en cas*socio=rien d'échec*socio=uv va bien*socio=rien au-delà de la population*socio=ac directement touchée, et affecte aussi l'économie*socio=ec régionale*socio=te et la population*socio=ac des zones*socio=te d'accueil*socio=te. Quand elles se passent mal*socio=rien , les opérations*socio=rien de réinstallation suscitent la résistance des populations*socio=ac locales*socio=rien , attisent les tensions*socio=uv politiques*socio=et, retardent considérablement*socio=rien l'avancement des projets*socio=rien et reportent à plus tard les avantages*socio=rien attendus de leur réalisation*socio=uv, au détriment*socio=rien de tous les intéressés. Les avantages*socio=rien que font perdre ces *socio=rien inévitables retards *socio=nil peuvent dépasser de loin*socio=rien le coût*socio=ec marginal*socio=rien d'un*socio=rien bon*socio=rien programme*socio=et de réinstallation. Dès lors*socio=rien , il est*socio=rien pleinement justifié, pour des raisons*socio=rien aussi bien*socio=rien économiques*socio=ec qu'éthiques, de réduire au minimum*socio=rien les déplacements*socio=rien involontaires et, s'ils sont inévitables*socio=rien , de faire en sorte*socio=rien qu'ils ne portent pas préjudice*socio=et aux personnes*socio=rien concernées. L'examen*socio=rien a montré, une fois*socio=rien de plus, que la réinstallation de populations*socio=ac est*socio=rien presque toujours plus difficile*socio=rien , plus coûteuse*socio=ec et plus longue*socio=rien qu'on ne le pense généralement. Les *socio=rien grandes opérations *socio=nil impliquent la réinstallation - en très peu de temps*socio=rien et loin*socio=rien de leur lieu*socio=rien d'origine*socio=rien - de dizaines*socio=rien de milliers*socio=rien de personnes*socio=rien - souvent parmi les plus pauvres*socio=uv - et la restauration*socio=uv de leurs moyens*socio=ec d'existence*socio=rien *socio=rien est loin d'*socio=nil être chose facile.*socio=nil Les*socio=nil difficultés inhérentes *socio=nil à la restauration*socio=uv des conditions_de_vie*socio=uv et des services*socio=ec communautaires*socio=ac sont exacerbées par la fragilité*socio=uv des moyens*socio=ec techniques*socio=rien et institutionnels*socio=ac dont disposent la plupart*socio=rien des emprunteurs*socio=ac en matière*socio=rien de réinstallation, et aussi par le manque*socio=rien de détermination*socio=rien de certains agents*socio=ac d'exécution*socio=rien . Pendant la période*socio=te de l'examen*socio=rien , la Banque*socio=ac a triplé les ressources*socio=ec affectées à la supervision*socio=rien des opérations*socio=rien de réinstallation, et le nombre*socio=rien des missions de supervision*socio=rien des projets*socio=rien comportant *socio=rien un volet *socio=nil de réinstallation a dépassé le total*socio=rien pour les trois *socio=rien années précédentes.*socio=nil Les*socio=nil mesures correctives prises -*socio=nil participation*socio=uv *socio=nil accrue des personnes*socio=rien affectées, identification*socio=rien des moyens*socio=ec de réduire les déplacements*socio=rien , fourniture*socio=rien de *socio=ec ressources financières supplémentaires*socio=rien *socio=nil , et aménagement*socio=rien des calendriers*socio=et de réinstallation - ont eu pour effet*socio=rien d'améliorer considérablement*socio=rien le portefeuille*socio=ec global*socio=rien de la Banque*socio=ac. Les *socio=rien activités internes d'*socio=nil analyse *socio=nil et de formation*socio=et à l'intention*socio=rien des responsables*socio=uv nationaux*socio=te ont aussi contribué en 1993 à améliorer la gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec. En fait*socio=rien , tout le processus*socio=rien d'examen*socio=rien s'est*socio=rien révélé une occasion*socio=rien exceptionnelle*socio=uv de définir*socio=rien les possibilités*socio=rien d'amélioration*socio=uv, d'identifier les bonnes*socio=rien pratiques*socio=et, d'adapter*socio=rien les approches générales*socio=rien aux circonstances*socio=rien particulières*socio=uv des *socio=rien diverses opérations,*socio=nil *socio=nil de renforcer les capacités*socio=rien institutionnelles*socio=ac et d'affiner les méthodes*socio=rien d'analyse*socio=rien et d'évaluation*socio=uv. En définitive*socio=rien , la Banque*socio=ac sera jugée sur*socio=rien l'efficacité*socio=uv avec laquelle elle aura assimilé les leçons*socio=rien de cet examen*socio=rien au bénéfice*socio=rien de ses *socio=rien activités futures.*socio=nil Le*socio=nil processus *socio=nil a révélé d'importantes*socio=rien déficiences*socio=rien dans les pratiques*socio=et antérieures*socio=te, et la Banque*socio=ac a entrepris diverses*socio=rien améliorations*socio=uv. Ainsi: - La Banque*socio=ac ne financera aucun projet*socio=rien impliquant de *socio=rien vastes opérations *socio=nil de réinstallation tant que le gouvernement*socio=ac concerné n'aura pas adopté des politiques*socio=et et *socio=rien un cadre juridique*socio=et *socio=nil tels que soient rétablies les sources*socio=rien de revenu*socio=ec des personnes*socio=rien déplacées. - La Banque*socio=ac aidera les emprunteurs*socio=ac à renforcer leurs capacités*socio=rien institutionnelles*socio=ac de manière*socio=rien que soient étudiés les moyens*socio=ec de protéger les droits*socio=uv des personnes*socio=rien affectées, avant même le commencement*socio=rien des opérations*socio=rien de réinstallation. - Les projets*socio=rien appuyés par la Banque*socio=ac éviteront ou minimiseront tout déplacement*socio=rien en intégrant*socio=rien des études_techniques*socio=ec et sociales*socio=ac à la conception*socio=rien et l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien . - Les populations*socio=ac concernées devront *socio=rien être associées *socio=nil à la préparation*socio=rien , à la planification*socio=et et à l'exécution*socio=rien de toute opération*socio=rien de réinstallation. - Dans tous les cas*socio=rien , le projet*socio=rien devra prendre en charge*socio=uv la totalité*socio=rien des coûts*socio=ec de la réinstallation et des investissements*socio=ec nécessaires*socio=rien pour restaurer les moyens*socio=ec d'existence*socio=rien des personnes*socio=rien déplacées et éviter leur appauvrissement*socio=uv. - On étudiera la possibilité*socio=rien de jumeler deux opérations*socio=rien dans le cas*socio=rien de *socio=rien grands travaux de*socio=nil génie civil*socio=et devant *socio=nil occasionner des déplacements*socio=rien involontaires. Cette approche a été*socio=rien utilisée durant l'exercice*socio=rien 94: le prêt*socio=ec de 460 millions*socio=rien de dollars*socio=ec accordé à l'appui*socio=rien *socio=rien du projet polyvalent*socio=uv *socio=nil de Xiaolangdi, en Chine*socio=ac, s'est*socio=rien accompagné d'un*socio=rien crédit*socio=ec de l'IDA*socio=ac, d'un*socio=rien montant*socio=ec de 110 millions*socio=rien de dollars*socio=ec, pour aider à rétablir et à améliorer les conditions_de_vie*socio=uv des 154 000 personnes*socio=rien qui seront directement touchées par le projet*socio=rien polyvalent*socio=uv, ainsi que des 300 000 personnes*socio=rien que le projet*socio=rien affectera indirectement. - La Banque*socio=ac renforcera ses *socio=rien propres capacités institutionnelles*socio=ac,*socio=nil *socio=nil essentiellement en utilisant mieux les compétences*socio=uv dont elle dispose déjà et en recrutant *socio=rien du personnel supplémentaire *socio=nil dans certains domaines*socio=rien névralgiques. - Des mesures*socio=rien de correction et d'amélioration*socio=uv continueront d'être*socio=rien prises*socio=rien pour tous les projets*socio=rien en cours*socio=rien dont l'exécution*socio=rien n'est*socio=rien pas conforme*socio=rien aux politiques*socio=et et directives*socio=rien de la Banque*socio=ac et aux dispositions*socio=rien des accords*socio=et de prêt*socio=ec. - La Banque*socio=ac veillera à ce que soient pleinement respectées les procédures*socio=rien et les sauvegardes*socio=uv mises en place*socio=rien pour assurer la qualité*socio=rien des projets*socio=rien . Si la responsabilité*socio=uv de l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien incombe intégralement aux gouvernements*socio=ac, la Banque*socio=ac se doit elle-même de suivre soigneusement la performance*socio=uv des projets*socio=rien , leurs résultats*socio=rien et leurs implications*socio=rien . - Le contenu et la fréquence des activités*socio=rien de supervision*socio=rien feront l'objet*socio=rien de nouvelles*socio=rien améliorations*socio=uv; des missions de *socio=rien supervision régulières,*socio=nil *socio=nil dont les membres*socio=rien posséderont toutes les compétences*socio=uv requises*socio=rien , auront lieu*socio=rien au moins tous les 12 mois*socio=rien , et leur programme*socio=et comprendra des visites des lieux*socio=rien d'origine*socio=rien et de réinstallation des personnes*socio=rien déplacées. - Pour sauvegarder les progrès*socio=uv obtenus et s'assurer du*socio=rien respect*socio=uv permanent*socio=rien des directives*socio=rien et des procédures*socio=rien de la Banque*socio=ac, les services*socio=ec régionaux*socio=te prépareront des *socio=rien rapports annuels sur les*socio=nil projets *socio=nil impliquant des opérations*socio=rien de réinstallation dans le cadre*socio=rien de l'examen*socio=rien annuel*socio=rien de la performance*socio=uv du*socio=rien portefeuille*socio=ec. En fixant des normes*socio=et aussi exigeantes*socio=rien pour les projets*socio=rien recevant son aide*socio=uv et en veillant à ce que les personnes*socio=rien déplacées retrouvent *socio=rien un niveau de*socio=nil revenu*socio=ec comparable *socio=nil ou même supérieur*socio=rien , la Banque*socio=ac poursuivra l'effort*socio=uv entrepris pour combler le fossé*socio=rien entre les objectifs*socio=rien des opérations*socio=rien de réinstallation et la manière*socio=rien dont les choses*socio=rien se passent encore dans beaucoup de pays*socio=ac. Fin*socio=rien de l'encadré. Encadré 3-3: Évaluations*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 92, pour mieux cibler ses *socio=rien travaux sur le*socio=nil développement*socio=uv du secteur_privé*socio=ec,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a élargi la gamme*socio=rien de ses études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien à la préparation*socio=rien d'évaluations*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Au 30 juin*socio=rien 1994, 17 évaluations*socio=uv avaient été*socio=rien achevées (dont dix pendant l'exercice*socio=rien 94). Six sont actuellement en préparation*socio=rien et 14 autres devraient être*socio=rien commencées et achevées au cours*socio=rien des deux *socio=rien prochains exercices.*socio=nil Par*socio=nil rapport *socio=nil aux autres études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien de la Banque*socio=ac, ces évaluations*socio=uv présentent la caractéristique*socio=rien d'impliquer la coopération*socio=uv formelle*socio=rien de la SFI*socio=ac, formule*socio=rien qui présente*socio=rien plusieurs avantages*socio=rien : le travail*socio=rien d'évaluation*socio=uv peut ainsi être*socio=rien ciblé sur*socio=rien les *socio=rien éléments du climat des*socio=nil affaires*socio=ec *socio=nil qui affectent directement l'activité*socio=rien du*socio=rien secteur_privé*socio=ec; et la Banque*socio=ac peut tirer parti*socio=et de la considérable*socio=rien expérience*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec que possède la SFI*socio=ac. En outre, cette coopération*socio=uv permet à la Banque*socio=ac et à la SFI*socio=ac de s'assurer de la compatibilité de leurs stratégies*socio=et et de faire en sorte*socio=rien que les activités*socio=rien de concertation*socio=uv avec les autorités*socio=et nationales*socio=te, les études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien et les opérations*socio=rien de prêt*socio=ec reflètent leurs préoccupations*socio=uv respectives*socio=rien . En général*socio=rien , une bonne*socio=rien évaluation*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec comprend les *socio=rien éléments suivants:*socio=nil description *socio=nil de la structure*socio=ec du*socio=rien secteur_privé*socio=ec dans le pays*socio=ac en cause*socio=rien ; identification*socio=rien des principales*socio=rien contraintes*socio=uv à son développement*socio=uv; et indications*socio=rien des moyens*socio=ec qui permettraient d'éliminer ces contraintes*socio=uv dans de bonnes*socio=rien conditions*socio=uv d'économie*socio=ec et d'efficacité*socio=uv. Au-delà de ces caractéristiques*socio=rien communes*socio=uv, la *socio=rien portée exacte *socio=nil de chaque évaluation*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec dépend pour beaucoup des autres études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien préparées pour le pays*socio=ac. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil les*socio=nil objectifs *socio=nil sont les suivants*socio=rien : - identifier les principaux*socio=rien enjeux macroéconomiques*socio=ec *socio=rien du point de*socio=nil vue du secteur_privé*socio=ec,*socio=nil *socio=nil et indiquer en quoi les obstacles*socio=rien au commerce*socio=ec et les distorsions*socio=uv des prix*socio=ec pourraient amener le secteur_privé*socio=ec à faire des investissements*socio=ec qui ne seraient pas favorables*socio=rien à la croissance*socio=uv; - examiner le bien-fondé*socio=uv de différents*socio=rien programmes*socio=et de dépenses*socio=ec et d' investissements_publics*socio=et, en indiquant les modifications*socio=rien qu'il serait économiquement souhaitable*socio=rien d'apporter aux dépenses*socio=ec et les possibilités*socio=rien qu'il y aurait d'associer le secteur_privé*socio=ec à la fourniture*socio=rien de services*socio=ec d'infrastructure*socio=ec et autres assurés jusque-là par les pouvoirs_publics*socio=ac; et - étudier les institutions*socio=ac du*socio=rien *socio=ec secteur financier *socio=nil et déterminer dans quelle mesure*socio=rien le secteur*socio=ec met à la disposition*socio=rien des entreprises*socio=ac le crédit*socio=ec dont elles ont besoin*socio=uv. Lorsque l'une ou plusieurs de ces questions*socio=rien n'ont pas été*socio=rien couvertes par les études_économiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien , elles le sont dans le cadre*socio=rien de l'évaluation*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Cependant, en *socio=rien règle générale,*socio=nil les*socio=nil évaluations*socio=uv du secteur_privé*socio=ec *socio=nil sont davantage ciblées sur*socio=rien le climat*socio=rien des affaires*socio=ec. Quelle est*socio=rien la réglementation*socio=et applicable*socio=rien aux entreprises*socio=ac? Quels sont les coûts*socio=ec d'une réglementation*socio=et excessive*socio=rien ? Les monopoles*socio=ec et pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=ec sont-ils correctement réglementés? Les prestations*socio=et de services*socio=ec du*socio=rien secteur_public*socio=ac sont-elles efficaces*socio=uv? Le système*socio=rien juridique*socio=et permet-il d'établir des contrats*socio=ec de prêt*socio=ec pour les *socio=ec transactions économiques importantes*socio=rien *socio=nil ? Permet-il de faire respecter ces contrats*socio=ec? *socio=rien Diverses conclusions intéressantes *socio=nil se dégagent des évaluations*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec déjà réalisées. - De *socio=rien petites modifications des*socio=nil pratiques*socio=et *socio=nil n'ayant suscité aucune controverse*socio=uv se sont parfois révélées extrêmement rentables*socio=ec, ayant suffi à impulser fortement l'activité*socio=rien du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. - Les évaluations*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec ont aidé la Banque*socio=ac à mieux cibler d'autres études_économiques*socio=ec et *socio=rien sectorielles sur les*socio=nil questions *socio=nil touchant le développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. - Les enquêtes menées récemment auprès d'entreprises_privées*socio=ec pour évaluer le cadre*socio=rien réglementaire*socio=et et *socio=rien institutionnel régissant leur*socio=nil activité *socio=nil montrent que, parmi leurs contraintes*socio=uv les plus lourdes, sont souvent la réglementation*socio=et fiscale*socio=ec et la réglementation*socio=et du*socio=rien travail*socio=ec. Le respect*socio=uv des réglementations*socio=et peut coûter extrêmement cher*socio=rien dans *socio=rien un cas,*socio=nil la*socio=nil haute direction *socio=nil de l'entreprise*socio=ac devait y consacrer jusqu'à 26% de son temps*socio=rien . - Les insuffisances*socio=rien des *socio=et infrastructures publiques constituent*socio=nil *socio=rien un vaste problème*socio=uv.*socio=nil Ces*socio=nil difficultés *socio=nil tendent à varier selon le secteur*socio=ec considéré, mais il semble que les grandes*socio=rien entreprises*socio=ac, indépendamment de leur branche*socio=rien d'activité*socio=rien , soient mieux à même que les petites*socio=rien de supporter le coût*socio=ec de ces déficiences*socio=rien . Fin*socio=rien de l'encadré. Encadré 3-4: Gérer l'énergie*socio=ec. Le programme_d'_assistance_à_la_gestion*socio=et du*socio=rien secteur_énergétique*socio=ec (ESMAP*socio=et) a été*socio=rien créé au début*socio=rien des années*socio=rien 80 par la Banque*socio=ac et le PNUD*socio=ac pour évaluer les *socio=rien effets sur les*socio=nil pays_en_développement*socio=ac des*socio=nil variations *socio=nil brutales des prix*socio=ec de l'énergie*socio=ec. Avec l'aide*socio=uv de plus d'une dizaine*socio=rien de bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec, ses *socio=rien principaux domaines d'*socio=nil intervention*socio=et *socio=nil sont aujourd'hui la restructuration*socio=uv du*socio=rien secteur*socio=ec, la réglementation*socio=et, le *socio=ec rendement énergétique,*socio=nil les*socio=nil combustibles ménagers*socio=rien *socio=nil , ainsi que le renforcement*socio=uv des institutions*socio=ac et la fourniture*socio=rien de services*socio=ec de conseils*socio=ac à divers pays*socio=ac. Ses activités*socio=rien , gérées par le Département*socio=ac de la Banque*socio=ac chargé de l'industrie*socio=ec et de l'énergie*socio=ec, forment souvent d'importants*socio=rien compléments, ou conditions*socio=uv préalables*socio=rien , aux opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac et aux programmes_d'_aide*socio=uv bilatéraux*socio=te. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, l'ESMAP*socio=et a principalement cherché à aider les pays_en_développement*socio=ac qui s'apprêtent à appliquer au secteur*socio=ec de l'énergie*socio=ec des stratégies*socio=et dites de la "deuxième*socio=rien génération*socio=ac", souvent dans le cadre*socio=rien de vastes*socio=rien réformes*socio=et économiques*socio=ec. Durant cette phase*socio=te, les *socio=rien activités traditionnelles d'*socio=nil assistance_technique*socio=et *socio=nil coïncident avec l'introduction*socio=rien d'importantes*socio=rien réformes*socio=et économiques*socio=ec - mesures*socio=rien de restructuration*socio=uv, révision*socio=uv de la réglementation*socio=et, ajustement*socio=et des prix*socio=ec et des tarifs*socio=ec, etc: - et la mise en oeuvre*socio=rien de nouveaux*socio=rien programmes*socio=et d'investissement*socio=ec qui tiennent de plus en plus compte*socio=rien de considérations*socio=uv écologiques*socio=et. Pendant l'exercice*socio=rien écoulé, l'ESMAP*socio=et a aidé des pays*socio=ac comme la Bolivie*socio=ac, l'Inde*socio=ac, le Maroc*socio=ac et la Pologne*socio=ac à planifier et à mettre en oeuvre*socio=rien la restructuration*socio=uv de *socio=rien segments clés du secteur*socio=ec *socio=nil de l'énergie*socio=ec. Les activités*socio=rien visant l'énergie*socio=ec domestique*socio=te et rurale*socio=te, l'un*socio=rien des *socio=rien grands atouts du programme*socio=et *socio=nil pour le long_terme*socio=ec, ont été*socio=rien activement poursuivies en Bolivie*socio=ac, en Inde*socio=ac, en Jamaïque*socio=ac, au Mali*socio=ac, au Rwanda*socio=ac, au Tchad et au Vietnam*socio=ac. De même, les actions*socio=rien centrées sur*socio=rien l'efficacité*socio=uv de l'utilisation*socio=rien et les économies*socio=ec d'énergie*socio=ec, qui comprennent notamment le renforcement*socio=uv des institutions*socio=ac et des *socio=rien capacités locales *socio=nil et la formation*socio=et à la gestion*socio=et de la demande*socio=ec, ont occupé une place*socio=rien de *socio=rien premier plan *socio=nil dans les travaux*socio=rien de l'ESMAP*socio=et au Brésil*socio=ac, en Chine*socio=ac, au Pakistan*socio=ac, en Tanzanie*socio=ac, au Zimbabwe*socio=ac et dans d'autres pays*socio=ac. Les *socio=rien activités intéressant les*socio=nil hydrocarbures *socio=nil sont restées importantes*socio=rien dans des pays*socio=ac comme le Maroc*socio=ac et le Mozambique*socio=ac, ainsi que dans plusieurs pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te dont les capacités*socio=rien sont largement sous utilisées et qui doivent au plus vite s'assurer de sources*socio=rien d'énergie*socio=ec fiables*socio=rien et propres*socio=rien . A cet égard*socio=rien , les questions*socio=rien commerciales*socio=ec liées à l'exploitation*socio=ec et à l'emploi*socio=ec des ressources*socio=ec en gaz*socio=ec naturel*socio=rien forment déjà et resteront l'un*socio=rien des *socio=rien principaux pôles des*socio=nil activités *socio=nil de l'ESMAP*socio=et. Fin*socio=rien de l'encadré. Encadré 4-2: Plus large*socio=rien accès*socio=uv du*socio=rien public*socio=ac aux *socio=rien informations sur la*socio=nil Banque*socio=ac.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac *socio=nil a sensiblement élargi l'accès*socio=uv du*socio=rien public*socio=ac aux informations*socio=rien concernant ses opérations*socio=rien en créant au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, à Washington*socio=ac, *socio=rien un centre d'*socio=nil information *socio=nil qui mettra à la disposition*socio=rien des parties*socio=rien intéressées une *socio=rien vaste gamme de*socio=nil documents,*socio=nil *socio=nil allant des rapports*socio=rien d'évaluation*socio=uv établis par ses services*socio=ec et des *socio=rien rapports sur l'*socio=nil impact environnemental*socio=et des*socio=nil projets *socio=nil à des fiches d'information*socio=rien décrivant chacune des opérations*socio=rien en préparation*socio=rien . Bien*socio=rien que les liens*socio=rien de confiance*socio=uv unissant la Banque*socio=ac à ses emprunteurs*socio=ac soient fondés sur*socio=rien la capacité*socio=rien de l'institution*socio=ac à assurer la confidentialité*socio=uv de certains types d'information*socio=rien , les esprits*socio=rien ont évolué ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil à l'intérieur*socio=rien de la Banque*socio=ac comme ailleurs*socio=rien , vers une plus *socio=rien large diffusion *socio=nil de l'information*socio=rien , lorsqu'il n'y a pas de raison*socio=uv impérieuse*socio=rien d'agir autrement. C'est*socio=rien à cette volonté*socio=uv d'ouverture*socio=rien qu'a répondu la création*socio=rien d'un*socio=rien centre*socio=rien d'information*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94. Les *socio=rien informations disponibles au*socio=nil centre de*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et par l'intermédiaire*socio=rien des bureaux*socio=rien de Londres*socio=ac, de Paris*socio=ac et de Tokyo*socio=ac et des autres bureaux*socio=rien hors siège*socio=rien , sont notamment les suivantes*socio=rien : - *socio=rien Un nouveau document *socio=nil intitulé "Fiche d'information*socio=rien sur*socio=rien le projet*socio=rien ", établi pour tous les projets*socio=rien en préparation*socio=rien . Grâce*socio=rien à ce document*socio=rien , qui donne beaucoup plus d'informations*socio=rien qu'auparavant et à un*socio=rien stade*socio=te beaucoup plus précoce*socio=rien , les parties*socio=rien intéressées pourront poser des questions*socio=rien et faire connaître leurs préoccupations*socio=uv dès le *socio=rien début du cycle*socio=te du projet.*socio=nil *socio=nil - Les rapports*socio=rien d'évaluation*socio=uv - une fois*socio=rien que le projet*socio=rien en cause*socio=rien a été*socio=rien approuvé par le conseil_des_administrateurs*socio=ac. La communication*socio=et de ces rapports*socio=rien au public*socio=ac devrait inciter les personnes*socio=rien concernées à participer davantage à l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien . - Les études*socio=rien consacrées à l'ensemble*socio=rien ou à un*socio=rien secteur*socio=ec particulier*socio=uv de l'économie*socio=ec de divers pays*socio=ac étaient déjà souvent publiées avec l'accord*socio=et des gouvernements*socio=ac concernés; désormais, ce sera en principe*socio=rien la règle*socio=et pour toutes. La Banque*socio=ac continuera de consulter les gouvernements*socio=ac afin d'assurer la protection*socio=et des informations*socio=rien confidentielles. - Les évaluations*socio=uv environnementales*socio=et. Dans *socio=rien un souci d'*socio=nil uniformisation*socio=uv,*socio=nil la*socio=nil pratique *socio=nil consistant à publier les analyses*socio=rien et rapports*socio=rien d'impact*socio=rien environnemental*socio=et - avant l'évaluation*socio=uv *socio=rien du projet *socio=nil - a été*socio=rien généralisée à tous les projets*socio=rien de la BIRD*socio=ac, à condition*socio=rien que les emprunteurs*socio=ac soient d'accord*socio=uv. (Depuis juillet*socio=rien 1993, le public*socio=ac avait accès*socio=uv à ces documents*socio=rien pour les projets*socio=rien de l'IDA*socio=ac.) - Les résumés des rapports*socio=rien établis en toute indépendance*socio=uv par le Département*socio=ac de l'évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac ont été*socio=rien ajoutés à la liste des documents*socio=rien accessibles*socio=uv au public*socio=ac. - Les avis*socio=rien juridiques*socio=et préparés à l'intention*socio=rien des Administrateurs*socio=ac, dont la diffusion*socio=rien était auparavant limitée en raison*socio=uv des règles*socio=et de confidentialité*socio=uv régissant*socio=rien les délibérations*socio=et *socio=rien du Conseil,*socio=nil *socio=nil peuvent désormais être*socio=rien publiés au cas*socio=rien par cas*socio=rien , *socio=rien sur décision des*socio=nil Administrateurs*socio=ac.*socio=nil Les*socio=nil parties *socio=nil intéressées peuvent utiliser le réseau*socio=rien *socio=ec informatique Internet *socio=nil pour accéder aux fiches d'information*socio=rien sur*socio=rien les projets*socio=rien , consulter la liste de tous les documents*socio=rien de la Banque*socio=ac dont ils peuvent obtenir*socio=rien communication*socio=et, commander les documents*socio=rien de leur choix*socio=uv, et prendre connaissance*socio=uv du*socio=rien résumé ou *socio=rien du texte intégral *socio=nil de certains documents*socio=rien . Les fiches d'information*socio=rien et les fiches de données environnementales*socio=et peuvent être*socio=rien obtenues gratuitement dans le monde*socio=te entier*socio=rien . Les *socio=rien documents sur les*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil où il existe une mission*socio=rien résidente*socio=te de la Banque*socio=ac peuvent être*socio=rien obtenus gratuitement au siège*socio=rien de la mission*socio=rien . Les résidents*socio=ac des pays*socio=ac où la Banque*socio=ac n'a pas de mission*socio=rien résidente*socio=te peuvent obtenir*socio=rien gratuitement *socio=rien du centre d'*socio=nil information de*socio=nil Washington*socio=ac les*socio=nil documents *socio=nil qui concernent leur pays*socio=ac. L'obtention*socio=rien des autres *socio=rien documents est *socio=nil soumise au paiement*socio=ec d'une redevance forfaitaire de 15 dollars*socio=ec. Fin*socio=rien de l'encadré. Encadré 4-3: Gouvernance*socio=et: l'expérience*socio=uv de la banque_mondiale*socio=ac. L'intérêt*socio=uv que la Banque*socio=ac porte*socio=rien à la gouvernance*socio=et qu'elle définit*socio=rien comme la manière*socio=rien dont sont gérées les *socio=ec ressources économiques et*socio=nil sociales*socio=ac d'*socio=nil un*socio=rien pays*socio=ac *socio=nil à l'appui*socio=rien de son développement*socio=uv - tient à son souci*socio=rien d'assurer la viabilité*socio=uv à long_terme*socio=ec des programmes*socio=et et projets*socio=rien qu'elle contribue à financer. Pour qu'il y ait développement_durable*socio=ec, il doit exister *socio=rien un cadre prévisible et*socio=nil transparent*socio=uv de*socio=nil règles*socio=et *socio=nil et d'institutions*socio=ac pour la conduite*socio=rien des affaires_publiques*socio=et et privées*socio=ec. La qualité*socio=rien de la gouvernance*socio=et dans les *socio=ac pays emprunteurs est*socio=rien *socio=nil d'une *socio=rien grande importance *socio=nil pour les activités*socio=rien de la Banque*socio=ac dans la mesure*socio=rien où une mauvaise*socio=rien gouvernance*socio=et compromettrait la réalisation*socio=uv de la plupart*socio=rien des objectifs*socio=rien de ses opérations*socio=rien de prêt*socio=ec. Dans *socio=rien un rapport *socio=nil soumis aux Administrateurs*socio=ac en 1992, la Banque*socio=ac décrivait certaines*socio=rien de ses activités*socio=rien - études*socio=rien , assistance_technique*socio=et et opérations*socio=rien de prêt*socio=ec - à l'appui*socio=rien de la gouvernance*socio=et. Dans les deux années*socio=rien qui ont suivi, selon le rapport*socio=rien d'activité*socio=rien publié en 1994 , la Banque*socio=ac, sans déborder *socio=rien du cadre économique*socio=ec et*socio=nil social*socio=ac *socio=nil que lui fixent ses Statuts*socio=rien , a rapidement lancé de *socio=rien nombreuses initiatives *socio=nil pour aider les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil à renforcer les aspects*socio=rien de la gouvernance*socio=et sur*socio=rien lesquels reposent leurs efforts*socio=uv de développement*socio=uv. Une *socio=rien bonne partie des*socio=nil activités *socio=nil de la Banque*socio=ac en matière*socio=rien de gouvernance*socio=et concernent les *socio=rien domaines traditionnels *socio=nil de la gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac, comme la réforme*socio=et de la fonction_publique*socio=et, la gestion*socio=et des dépenses_publiques*socio=et et la réforme*socio=et des entreprises_publiques*socio=et. Cela tient à ce que ces fonctions*socio=rien jouent *socio=rien un rôle essentiel*socio=uv *socio=nil dans l'exercice*socio=rien du*socio=rien pouvoir*socio=et et à ce qu'il y a beaucoup à faire pour réhabiliter, moderniser et réformer chacune d'elles. En outre, la Banque*socio=ac à élargi son aide*socio=uv à des domaines*socio=rien entièrement nouveaux*socio=rien : responsabilité*socio=uv, *socio=rien primauté du droit*socio=uv et*socio=nil ouverture.*socio=nil *socio=nil Si ses activités*socio=rien se développent dans ces trois *socio=rien nouveaux domaines,*socio=nil c'*socio=nil est toutefois*socio=nil sur la*socio=nil gestion*socio=et du secteur_public*socio=ac *socio=nil que restera centrée la *socio=rien majeure partie *socio=nil de son aide*socio=uv à la gouvernance*socio=et. Les activités*socio=rien visant la gestion*socio=et du*socio=rien secteur*socio=ec publie sont principalement d'ordre*socio=rien technique*socio=rien et portent sur*socio=rien les processus*socio=rien et les mécanismes*socio=rien de l'action*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=ac, et pas nécessairement sur*socio=rien les causes*socio=rien des résultats*socio=rien obtenus. Cela conduit à penser qu'à l'avenir*socio=te la Banque*socio=ac devrait faire davantage sur*socio=rien deux fronts*socio=rien . Il s'agirait d'abord*socio=rien de chercher plus résolument à faire en sorte*socio=rien que les pays*socio=ac et leurs populations*socio=ac souscrivent pleinement aux programmes*socio=et de réforme*socio=et et les considèrent comme leur propriété*socio=ec et leur responsabilité*socio=uv; il s'agirait aussi d'encourager le développement*socio=uv des institutions*socio=ac de la société*socio=ac civile*socio=et, pour que celles-ci soient mieux à même de demander aux gouvernants*socio=rien de rendre compte*socio=rien de leur gestion*socio=et économique*socio=ec. Les *socio=rien nouvelles procédures *socio=nil adoptées par la Banque*socio=ac pour améliorer la préparation*socio=rien des projets*socio=rien et la gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec auront probablement *socio=rien un impact extrêmement*socio=nil positif*socio=uv sur ses*socio=nil activités *socio=nil dans le domaine*socio=rien de la gouvernance*socio=et. Par exemple*socio=rien : - le *socio=rien nouveau processus d'*socio=nil examen *socio=nil de la performance*socio=uv des portefeuilles-pays*socio=ec permettra de porter une attention*socio=rien accrue aux problèmes*socio=uv systémiques*socio=et d'exécution*socio=rien des projets*socio=rien , dont beaucoup sont liés à la qualité*socio=rien de la gouvernance*socio=et; - la nouvelle*socio=rien politique*socio=et de diffusion*socio=rien de l'information*socio=rien sera une *socio=rien excellente occasion *socio=nil de rendre beaucoup plus transparente*socio=uv l'approche de la Banque*socio=ac face*socio=rien aux situations*socio=uv complexes des *socio=ac pays emprunteurs.*socio=nil *socio=nil Enfin, le dialogue*socio=uv auquel donne lieu*socio=rien l'élaboration*socio=rien des stratégies-pays*socio=et - l'un*socio=rien des *socio=rien principaux instruments *socio=nil utilisés par la Banque*socio=ac pour décider de sa ligne*socio=rien d'action*socio=rien à l'égard*socio=rien de chaque pays*socio=ac pourra être*socio=rien l'occasion*socio=rien d'une évaluation*socio=uv franche*socio=rien et objective des facteurs*socio=rien , ceux notamment liés à la gouvernance*socio=et, qui nuisent à l'efficacité*socio=uv de l'aide_au_développement*socio=uv. Fin*socio=rien de l'encadré. Encadré 4-4: Pour une notation*socio=rien plus fable de l'efficacité*socio=uv des projets*socio=rien . Les projets*socio=rien sont notés d'un*socio=rien *socio=rien double point de*socio=nil vue:*socio=nil le*socio=nil degré probable de*socio=nil réalisation*socio=uv *socio=nil de leurs objectifs*socio=rien de développement*socio=uv (note OD) et leur situation*socio=uv globale*socio=rien (note SG). L'échelle*socio=rien de notation*socio=rien va de 1 (note la meilleure*socio=rien ) à 4 (note la plus mauvaise*socio=rien ). Par exemple*socio=rien , lorsqu'un*socio=rien projet*socio=rien reçoit la note 1 pour son *socio=rien impact sur le*socio=nil développement*socio=uv,*socio=nil *socio=nil cela veut dire que ses objectifs*socio=rien de développement*socio=uv seront probablement tous atteints, tandis que la note 4 signifie que les objectifs*socio=rien essentiels*socio=uv ne seront sans doute*socio=rien pas atteints, et que la *socio=rien poursuite du projet *socio=nil ne semble plus justifiée. Pour ce qui est*socio=rien de la situation*socio=uv générale*socio=rien des projets*socio=rien , la note 1 signale l'absence*socio=rien de *socio=uv problèmes significatifs,*socio=nil *socio=nil et la note 4 l'existence*socio=rien de problèmes*socio=uv majeurs*socio=rien qui ne trouvent pas de *socio=rien réponse satisfaisante.*socio=nil Bien *socio=nil que les notes attribuées à la situation*socio=uv d'ensemble*socio=rien d'un*socio=rien projet*socio=rien soient censées prendre en compte*socio=rien le jugement*socio=rien porté sur*socio=rien les chances*socio=rien de réalisation*socio=uv des objectifs*socio=rien de développement*socio=uv, les disparités*socio=uv constatées entre les notes figurant, d'une part*socio=rien , dans les *socio=rien Rapports annuels sur la*socio=nil performance*socio=uv du portefeuille*socio=ec *socio=nil et, d'autre part*socio=rien , dans les rapports*socio=rien d'achèvement*socio=rien et d'évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien ont récemment fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'une analyse*socio=rien pour *socio=rien un échantillon *socio=nil de plus d'un*socio=rien millier*socio=rien de projets*socio=rien achevés dans les années*socio=rien 80. Cette étude*socio=ac a fait*socio=rien ressortir que la note SG semble refléter avant tout les préoccupations*socio=uv à court_terme*socio=ec suscitées par l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien , tandis que la notation*socio=rien de l'impact*socio=rien sur*socio=rien le développement*socio=uv témoigne*socio=rien d'un*socio=rien certain*socio=rien optimisme*socio=uv à long_terme*socio=ec quant aux chances*socio=rien de voir les objectifs*socio=rien de développement*socio=uv atteints, une fois*socio=rien les problèmes*socio=uv d'exécution*socio=rien résolus. Sa conclusion*socio=rien était donc qu'aucune des deux notes ne constituait une *socio=rien mesure fiable *socio=nil de la contribution*socio=uv des projets*socio=rien de l'échantillon*socio=rien au développement*socio=uv. C'est*socio=rien pourquoi, pour l'établissement*socio=rien du*socio=rien plus récent*socio=rien des *socio=rien Rapports annuels sur la*socio=nil performance*socio=uv du portefeuille*socio=ec,*socio=nil *socio=nil il a été*socio=rien demandé au personnel*socio=rien de la Banque*socio=ac de porter une attention*socio=rien accrue à la valeur*socio=ec des notes OD. De plus, tout *socio=rien écart important *socio=nil entre les notes SG et OD devait être*socio=rien expliqué. L'attention*socio=rien accrue portée*socio=rien aux notes OD à l'occasion*socio=rien *socio=rien du Rapport annuel sur la*socio=nil performance*socio=uv du portefeuille*socio=ec *socio=nil pour l'exercice*socio=rien 93 a contribué à en accroître la fiabilité*socio=uv. Toutefois, pour que des améliorations*socio=uv substantielles*socio=rien puissent continuer d'être*socio=rien enregistrées, il est*socio=rien essentiel*socio=uv de définir*socio=rien précisément les résultats*socio=rien attendus de chaque projet*socio=rien en termes*socio=rien de développement*socio=uv, et de disposer de meilleurs*socio=rien moyens*socio=ec de mesurer les progrès*socio=uv accomplis durant le décaissement*socio=ec du*socio=rien prêt*socio=ec ou l'exécution*socio=rien *socio=rien du projet.*socio=nil En*socio=nil principe,*socio=nil les*socio=nil progrès*socio=uv devraient*socio=nil être *socio=nil appréciés selon les mêmes critères*socio=rien coûts-avantages ou coûts-efficacité que ceux qui sont appliqués lors*socio=rien de l'évaluation*socio=uv des projets*socio=rien ou à leur achèvement*socio=rien . S'il n'y avait pas de contraintes*socio=uv financières*socio=ec, il faudrait alors recommencer périodiquement, tout au long*socio=rien de l'exécution*socio=rien *socio=rien du projet,*socio=nil les*socio=nil analyses *socio=nil coûts-avantages ou coûts-efficacité faites au moment*socio=rien de l'évaluation*socio=uv, sur*socio=rien la base*socio=rien de données ou d'estimations*socio=ec révisées ou actualisées. Le Groupe*socio=ac d'étude*socio=ac sur*socio=rien la gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec a cependant recommandé une solution*socio=rien plus pratique*socio=rien et moins coûteuse*socio=ec en préconisant de suivre l'évolution*socio=rien d'un*socio=rien nombre*socio=rien limité de variables*socio=ec (les "indicateurs*socio=ec de performance*socio=uv") portant sur*socio=rien les éléments*socio=rien qui, lors*socio=rien de l'analyse*socio=rien risques*socio=uv/sensibilité*socio=uv effectuée au moment*socio=rien de l'évaluation*socio=uv *socio=rien du projet,*socio=nil ont*socio=nil été jugés*socio=nil essentiels*socio=uv *socio=nil à la réalisation*socio=uv des objectifs*socio=rien de développement*socio=uv. Cette approche exige de substantielles*socio=rien améliorations*socio=uv au niveau*socio=rien de l'analyse*socio=rien des risques*socio=uv et de la sensibilité*socio=uv des projets*socio=rien comme à celui du*socio=rien suivi des indicateurs*socio=ec de performance*socio=uv. Dans le *socio=rien cadre du plan d'*socio=nil action *socio=nil pour l'amélioration*socio=uv de la gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec, la Banque*socio=ac prépare des directives*socio=rien à l'intention*socio=rien de son *socio=rien personnel sur les*socio=nil méthodes *socio=nil à appliquer aux analyses*socio=rien risques*socio=uv/ sensibilité*socio=uv et au suivi des indicateurs*socio=ec de performance*socio=uv. Sur*socio=rien la base*socio=rien de ces travaux*socio=rien , une révision*socio=uv de la méthodologie employée*socio=rien pour noter les projets*socio=rien et *socio=rien du système de*socio=nil notation *socio=nil de la performance*socio=uv a été*socio=rien entamée en juin*socio=rien 1994. Les principaux*socio=rien changements*socio=uv visent, entre autres, l'adoption*socio=et d'un*socio=rien système*socio=rien de notation*socio=rien en deux parties*socio=rien , permettant de noter séparément*socio=rien l'avancement de l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien et leur contribution*socio=uv au développement*socio=uv (donc, les notes OD ne seraient plus intégrées aux notes SG); l'attribution*socio=rien d'une plus *socio=rien grande importance aux*socio=nil risques*socio=uv *socio=nil dans la détermination*socio=rien des notes OD *socio=rien nouvelle formule;*socio=nil le*socio=nil recours *socio=nil accru à des indicateurs*socio=ec de performances*socio=uv pour mesurer l'efficacité*socio=uv *socio=rien du point de*socio=nil vue du développement*socio=uv;*socio=nil *socio=nil et l'adoption*socio=et de directives*socio=rien pour l'évaluation*socio=uv de la contribution*socio=uv au développement*socio=uv, au cours*socio=rien de l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien puis, ex post, au-delà de leur achèvement*socio=rien . Dans la mesure*socio=rien où ces améliorations*socio=uv représentent un*socio=rien changement*socio=uv considérable*socio=rien par rapport*socio=rien aux pratiques*socio=et actuelles*socio=rien , et vu le *socio=rien grand nombre de*socio=nil projets *socio=nil figurant dans le portefeuille*socio=ec de la Banque*socio=ac, il *socio=rien est évident *socio=nil que leur mise en oeuvre*socio=rien prendra quelques années*socio=rien . Fin*socio=rien de l'encadré. Chapitre*socio=rien six: Autres services*socio=ec et *socio=rien activités du groupe_de_la_banque_mondiale*socio=ac.*socio=nil évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac.*socio=nil L'*socio=nil évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac permet *socio=rien un examen systématique,*socio=nil *socio=nil approfondi et indépendant*socio=rien des opérations*socio=rien et activités*socio=rien de la Banque*socio=ac. Elle a pour *socio=rien objectifs principaux *socio=nil de rendre compte*socio=rien des résultats*socio=rien des projets*socio=rien et des programmes*socio=et appuyés par la Banque*socio=ac et de tirer les leçons*socio=rien de l'expérience*socio=uv pour améliorer la conception*socio=rien et l'exécution*socio=rien des opérations*socio=rien à venir. La responsabilité*socio=uv d'ensemble*socio=rien de cette fonction*socio=rien incombe au *socio=rien Directeur général *socio=nil de l'évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac. Relevant directement du*socio=rien conseil_des_administrateurs*socio=ac et lié administrativement au Président*socio=rien , il s'acquitte de sa mission*socio=rien avec l'aide*socio=uv du*socio=rien Département*socio=ac de l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac (OED*socio=ac). L'indépendance*socio=uv que lui confère son statut*socio=rien encourage le département*socio=ac et les membres*socio=rien de son personnel*socio=rien à rendre compte*socio=rien des opérations*socio=rien en toute franchise et leur permet d'avoir accès*socio=uv à toutes les *socio=rien informations pertinentes *socio=nil et d'analyser les sujets*socio=rien de leur choix*socio=uv. Le *socio=rien Comité mixte du contrôle*socio=uv de*socio=nil gestion*socio=et *socio=nil (JAC) du*socio=rien conseil_des_administrateurs*socio=ac supervise les travaux*socio=rien de l'OED*socio=ac. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, les conclusions*socio=rien et recommandations*socio=rien de ce comité*socio=rien ont été*socio=rien examinées par le Conseil*socio=rien , de même que le *socio=rien rapport annuel du directeur général *socio=nil pour l'exercice*socio=rien 93, le *socio=rien rapport sur les*socio=nil résultats *socio=nil de l'évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien pour 1992 et le programme*socio=et des travaux*socio=rien d'évaluation*socio=uv pour l'exercice*socio=rien 95. Programme*socio=et des travaux*socio=rien d'évaluation*socio=uv. L'exercice*socio=rien 94 a vu la concrétisation*socio=rien des *socio=rien initiatives prises *socio=nil à la suite*socio=rien des recommandations*socio=rien formulées en 1993 par le Groupe*socio=ac d'étude*socio=ac sur*socio=rien la gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec. Parmi les mesures*socio=rien préconisées pour améliorer la performance*socio=uv des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec et leur contribution*socio=uv au développement*socio=uv, le groupe*socio=ac avait recommandé à la Banque*socio=ac de renforcer les travaux*socio=rien d'évaluation*socio=uv indépendante*socio=rien ainsi que l'application*socio=rien de leurs résultats*socio=rien aux opérations*socio=rien en cours*socio=rien et à la formulation*socio=rien de ses politiques*socio=et. A l'échelle*socio=rien de la Banque*socio=ac, le programme*socio=et des travaux*socio=rien d'évaluation*socio=uv comprend: la préparation*socio=rien (par les services*socio=ec opérationnels*socio=rien ) de rapports*socio=rien d'achèvement*socio=rien des projets*socio=rien ; l'établissement*socio=rien (par l'OED*socio=ac) de rapports*socio=rien d'évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien et de rapports*socio=rien d'impact*socio=rien *socio=rien sur certaines opérations;*socio=nil *socio=nil et la préparation*socio=rien (par l'OED*socio=ac) d'études*socio=rien d'évaluation*socio=uv pouvant porter sur*socio=rien les prêts*socio=ec à tel ou tel pays*socio=ac ou secteur*socio=ec, ou sur*socio=rien les politiques*socio=et et processus*socio=rien de la Banque*socio=ac. Les rapports*socio=rien d'achèvement*socio=rien sont les documents*socio=rien établis par les services*socio=ec opérationnels*socio=rien pour chacune des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec au moment*socio=rien où la Banque*socio=ac a achevé le décaissement*socio=ec du*socio=rien prêt*socio=ec correspondant. Les services*socio=ec du*socio=rien *socio=ac pays emprunteur *socio=nil contribuent à leur préparation*socio=rien . Les rapports*socio=rien d'achèvement*socio=rien permettent aux *socio=rien membres du personnel *socio=nil de la Banque*socio=ac d'identifier et d'assimiler les leçons*socio=rien à tirer de l'expérience*socio=uv *socio=rien du projet *socio=nil pour les pays*socio=ac et les secteurs*socio=ec de leur ressort. L'OED*socio=ac examine tous les rapports*socio=rien pour s'assurer de leur qualité*socio=rien , enregistrer les données qui y figurent, et faciliter la diffusion*socio=rien des enseignements*socio=et de l'expérience*socio=uv au profit*socio=ec des *socio=rien opérations futures.*socio=nil Les*socio=nil rapports *socio=nil sont transmis au conseil_des_administrateurs*socio=ac avec une note d'évaluation*socio=uv *socio=rien du directeur général.*socio=nil Les*socio=nil rapports d'*socio=nil évaluation*socio=uv rétrospective *socio=nil confirment et complètent les informations*socio=rien contenues dans les rapports*socio=rien d'achèvement*socio=rien et examinent les sujets*socio=rien présentant un*socio=rien intérêt_particulier*socio=ec en vue*socio=rien d'enrichir la base*socio=rien des données qui servira ensuite aux études*socio=rien d'évaluation*socio=uv du*socio=rien département*socio=ac. L'OED*socio=ac structure*socio=ec son programme*socio=et (pour ce qui *socio=rien est du choix*socio=uv des*socio=nil projets,*socio=nil des*socio=nil sujets *socio=nil à analyser et des méthodes*socio=rien d'analyse*socio=rien à employer) de manière*socio=rien à disposer des *socio=rien éléments nécessaires *socio=nil à des études*socio=rien comparatives, tout en satisfaisant*socio=rien à ses obligations*socio=uv redditionnelles. Durant l'exercice*socio=rien 94, l'OED*socio=ac a procédé à l'évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien de 80% des opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et et d'au moins 40% des opérations*socio=rien d'investissement*socio=ec de la Banque*socio=ac. Il a contrôlé 266 rapports*socio=rien d'achèvement*socio=rien et a procédé à l'évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien de 122 d'entre eux (99 projets*socio=rien d'investissement*socio=ec et 23 projets*socio=rien d'ajustement*socio=et). Au total*socio=rien , le nombre*socio=rien cumulé des opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac soumises à une évaluation*socio=uv ex post s'élevait à 3.590 à la clôture de l'exercice*socio=rien . Dans ses rapports*socio=rien d'impact*socio=rien , l'OED*socio=ac, avec l'aide*socio=uv des organismes*socio=ac des *socio=ac pays emprunteurs,*socio=nil revient*socio=nil sur*socio=rien les*socio=nil *socio=rien projets cinq *socio=nil à huit *socio=rien ans après la*socio=nil fin des*socio=nil décaissements*socio=ec.*socio=nil Ces*socio=nil rapports *socio=nil visent à évaluer l'impact*socio=rien des projets*socio=rien , leurs *socio=rien retombées intentionnelles *socio=nil comme leurs conséquences*socio=rien imprévues. Ils constituent *socio=rien un outil puissant *socio=nil pour juger des effets*socio=rien sociaux*socio=ac et écologiques*socio=et des projets*socio=rien , ainsi que de leur *socio=ec valeur économique,*socio=nil *socio=nil et on peut en tirer de *socio=rien précieuses informations sur les*socio=nil conditions*socio=uv d'*socio=nil un développement_durable*socio=ec.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien 94, sept rapports*socio=rien d'impact*socio=rien ont été*socio=rien établis pour des projets*socio=rien ayant trait*socio=rien à l'agriculture*socio=ec, aux cultures*socio=et arbustives, aux migrations*socio=ac, et à la pétrochimie. Les études*socio=rien d'évaluation*socio=uv ont pour objet*socio=rien d'examiner un*socio=rien programme*socio=et, une politique*socio=et ou *socio=rien un sujet particulier*socio=uv dans*socio=nil un contexte plus*socio=nil large *socio=nil que celui d'une *socio=rien seule opération de*socio=nil prêt*socio=ec.*socio=nil L'*socio=nil OED*socio=ac *socio=nil arrête son programme_d'_études*socio=rien de manière*socio=rien à approfondir les questions*socio=rien dont ses travaux*socio=rien d'évaluation*socio=uv ont révélé l'intérêt*socio=uv et à répondre aux préoccupations*socio=uv des Administrateurs*socio=ac, de la direction*socio=rien et des services_de_la_banque*socio=ac. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, VOED a transmis Il études*socio=rien au conseil_des_administrateurs*socio=ac. Les examens*socio=rien de l'aide-pays, nouveauté*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, ont pour objet*socio=rien d'évaluer le bien-fondé*socio=uv de la stratégie*socio=et d'assistance*socio=et établie par la Banque*socio=ac pour chaque pays*socio=ac et l'efficacité*socio=uv des instruments*socio=rien choisis. Une étude*socio=ac des relations*socio=rien entre la Banque*socio=ac et le Mexique*socio=ac a été*socio=rien achevée et la préparation*socio=rien d'examens*socio=rien a commencé pour l'Argentine*socio=ac, les pays*socio=ac des Caraïbes*socio=ac et le Ghana*socio=ac. Ces examens*socio=rien évaluent l'adéquation*socio=rien des services*socio=ec de prêt*socio=ec et autres fournis au pays*socio=ac considéré, et les services*socio=ec des vice-présidences*socio=ac régionales*socio=te peuvent se fonder sur*socio=rien leurs conclusions*socio=rien et recommandations*socio=rien pour leurs *socio=rien propres examens *socio=nil de la performance*socio=uv des portefeuilles-pays*socio=ec et pour la mise au point*socio=rien de leurs stratégies-pays*socio=et. Les examens*socio=rien des processus*socio=rien visent à apprécier la manière*socio=rien dont la Banque*socio=ac applique ses politiques*socio=et et à déterminer dans quelle mesure*socio=rien ses pratiques*socio=et et procédures*socio=rien contribuent à la réalisation*socio=uv de ses objectifs*socio=rien de développement*socio=uv. Durant l'exercice*socio=rien 94, l'OED*socio=ac a publié une étude*socio=ac sur*socio=rien le suivi et l'évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien des projets*socio=rien recevant l'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac. Les études_sectorielles*socio=ec servent de base*socio=rien à l'examen*socio=rien des politiques*socio=et de prêt*socio=ec de la Banque*socio=ac pour les divers secteurs*socio=ec. Beaucoup impliquent des comparaisons*socio=rien internationales*socio=te, et d'autres consistent en *socio=rien un examen *socio=nil approfondi d'un*socio=rien secteur*socio=ec particulier*socio=uv pour divers pays*socio=ac. Les études_sectorielles*socio=ec publiées au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94 visaient le développement*socio=uv urbain*socio=te, la vulgarisation*socio=rien agricole*socio=ec, les télécommunications*socio=rien , l'électrification rurale*socio=te en Asie*socio=ac, les couloirs de transport*socio=ec en Afrique*socio=ac, la transmigration en Indonésie*socio=ac, les questions*socio=rien d'égalité*socio=uv des sexes*socio=rien dans les opérations*socio=rien de prêt*socio=ec de la Banque*socio=ac, et la réorientation*socio=et industrielle*socio=ec en Afrique*socio=ac de l'Est*socio=rien . Les études*socio=rien en cours*socio=rien ont pour thème*socio=rien l'impact*socio=rien social*socio=ac des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et, l'irrigation*socio=ec, les prêts*socio=ec à l'éducation*socio=et, la restructuration*socio=uv industrielle*socio=ec, l'électricité*socio=ec en Afrique*socio=ac, et l'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac à la gestion*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=ac. Diffusion*socio=rien des résultats*socio=rien et information*socio=rien en retour*socio=rien . Depuis quelques années*socio=rien , les *socio=rien directives opérationnelles *socio=nil de la Banque*socio=ac demandent au personnel*socio=rien de s'informer des conclusions*socio=rien des évaluations*socio=uv rétrospectives*socio=rien et d'en tirer les leçons*socio=rien au profit*socio=ec des *socio=rien opérations futures.*socio=nil *socio=nil Durant l'exercice*socio=rien 94, à l'appui*socio=rien des *socio=rien mesures prises *socio=nil par la Banque*socio=ac pour renforcer la gestion*socio=et de son portefeuille*socio=ec et la qualité*socio=rien des *socio=rien nouvelles opérations,*socio=nil l'*socio=nil OED*socio=ac *socio=nil a collaboré avec les vice-présidences*socio=ac centrales*socio=rien à la mise au point*socio=rien de *socio=rien meilleures méthodes *socio=nil pour l'évaluation*socio=uv préalable*socio=rien des projets*socio=rien et la notation*socio=rien de leurs résultats*socio=rien . Les réalisations*socio=uv de l'année*socio=rien sont notamment les suivantes*socio=rien : - *socio=rien Actions sélectives de*socio=nil diffusion des*socio=nil leçons *socio=nil de l'expérience*socio=uv, en liaison*socio=rien avec la proposition*socio=rien de *socio=rien nouvelles opérations de*socio=nil prêt*socio=ec.*socio=nil -*socio=nil Évaluation*socio=uv *socio=nil par l'OED*socio=ac des processus*socio=rien d'examen*socio=rien de l'avancement des projets*socio=rien en portefeuille*socio=ec. Le département*socio=ac a recommandé la révision*socio=uv *socio=rien du système de*socio=nil notation *socio=nil utilisé par la Banque*socio=ac pour évaluer la performance*socio=uv des projets*socio=rien en cours*socio=rien (Encadré 4-4, page*socio=rien 87); il collabore actuellement avec le Département*socio=ac de la politique*socio=et opérationnelle*socio=rien pour mettre au point*socio=rien des indicateurs*socio=ec plus fiables*socio=rien de la contribution*socio=uv *socio=rien du projet *socio=nil à la réalisation*socio=uv des objectifs*socio=rien de développement*socio=uv visés. - Mise en place*socio=rien , à l'intention*socio=rien *socio=rien du personnel,*socio=nil d'*socio=nil un *socio=nil "répertoire des décisions*socio=rien " indiquant la suite*socio=rien donnée par la direction*socio=rien de la Banque*socio=ac aux recommandations*socio=rien des études*socio=rien de l'OED*socio=ac. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, l'OED*socio=ac a publié une étude*socio=ac Human Resource Development*socio=rien in Sub-saharan Africa: Evaluation Results for*socio=rien 1992, qui comprend notamment une analyse*socio=rien de l'aide*socio=uv de la Banque*socio=ac à l'appui*socio=rien de l'agriculture*socio=ec et du*socio=rien développement*socio=uv institutionnel*socio=rien , ainsi qu'une brochure intitulée Assessing Development*socio=rien Effectiveness: Evaluation in the*socio=rien World Bank*socio=rien and International*socio=te Finance*socio=ec Corporation*socio=ac. Avec le PNUD*socio=ac et le PNUE*socio=et, elle a aussi publié le Rapport*socio=rien de l'évaluation*socio=uv indépendante*socio=rien de la phase*socio=te pilote du*socio=rien Fonds_pour_l'_environnement_mondial*socio=ac. Conscient*socio=uv de la nécessité*socio=uv de contribuer plus activement à faire connaître les enseignements*socio=et de l'expérience*socio=uv à l'extérieur*socio=ec de la Banque*socio=ac, le département*socio=ac a élargi la diffusion*socio=rien de sa série de "Notes de loed" et a lancé une nouvelle*socio=rien série "Leçons*socio=rien et pratiques*socio=et". La série "Notes de l'OED*socio=ac" présente*socio=rien les conclusions*socio=rien et recommandations*socio=rien des rapports*socio=rien et des études*socio=rien d'évaluation*socio=uv *socio=rien rétrospective du département*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Elle comprend 20 titres*socio=rien , disponibles*socio=rien en anglais*socio=rien , espagnol*socio=rien et français*socio=rien . La série "Leçons*socio=rien et pratiques*socio=et" comprend trois titres*socio=rien , portant respectivement sur*socio=rien les chemins*socio=rien de fer*socio=rien , le développement_régional*socio=ec, et les prêts*socio=ec à l'ajustement*socio=et. Elle vise à faire la synthèse*socio=rien des enseignements*socio=et et des recommandations*socio=rien découlant de l'expérience*socio=uv de la Banque*socio=ac dans le *socio=rien domaine du développement*socio=uv.*socio=nil L'*socio=nil OED*socio=ac *socio=nil a présenté les résultats*socio=rien de ses évaluations*socio=uv et de ses *socio=rien études lors de*socio=nil séminaires *socio=nil tenus à l'intérieur*socio=rien et à l'extérieur*socio=ec de la Banque*socio=ac, y compris certains séminaires*socio=rien organisés par les *socio=ac pays emprunteurs.*socio=nil Soutien*socio=uv *socio=nil à l'évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien dans les *socio=ac pays emprunteurs.*socio=nil *socio=rien Un nombre croissant de*socio=nil *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil demandent à la Banque*socio=ac de les aider à mettre en *socio=rien place un dispositif d'*socio=nil évaluation*socio=uv *socio=nil ou à renforcer les structures*socio=ec existantes*socio=rien . L'évolution*socio=rien des esprits*socio=rien quant au rôle*socio=rien de l'État*socio=ac, et aussi la raréfaction des ressources*socio=ec, appellent en effet*socio=rien l'attention*socio=rien sur*socio=rien l'efficacité*socio=uv technique*socio=rien et économique*socio=ec, et sur*socio=rien la responsabilité*socio=uv des institutions_publiques*socio=et et de leurs politiques*socio=et et programmes*socio=et. L'OED*socio=ac apporte son appui*socio=rien aux pays*socio=ac qui ont marqué leur volonté*socio=uv de renforcer leurs capacités*socio=rien d'évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien . Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, il a répondu aux demandes*socio=uv de conseil*socio=rien de l'Argentine*socio=ac, du*socio=rien Brésil*socio=ac, de la Chine*socio=ac, de la Colombie*socio=ac, de l'Indonésie*socio=ac et de Sri_lanka*socio=ac. Son aide*socio=uv a pris *socio=rien diverses formes:*socio=nil préparation d'*socio=nil études diagnostiques des*socio=nil capacités d'*socio=nil évaluation*socio=uv;*socio=nil organisation d'*socio=nil actions de*socio=nil formation*socio=et *socio=nil et d'ateliers*socio=rien ; participation*socio=uv d'experts*socio=ac nationaux*socio=te aux missions d'évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien de l'OED*socio=ac; et développement*socio=uv de la participation*socio=uv des emprunteurs*socio=ac aux processus*socio=rien d'évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien de la Banque*socio=ac. En application*socio=rien de l'une des *socio=rien recommandations du Groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ac sur la*socio=nil gestion*socio=et du portefeuille*socio=ec,*socio=nil un groupe*socio=ac de*socio=nil travail a*socio=nil été *socio=nil chargé de recommander aux Administrateurs*socio=ac et à la direction*socio=rien de la Banque*socio=ac les moyens*socio=ec à mettre en oeuvre*socio=rien pour aider les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil à développer les capacités*socio=rien d'évaluation*socio=uv *socio=rien rétrospective du secteur_public*socio=ac.*socio=nil Autres*socio=nil activités.*socio=nil L'*socio=nil OED*socio=ac *socio=nil a participé en qualité*socio=rien d'observateur*socio=ac aux *socio=rien réunions du Groupe*socio=ac d'*socio=nil experts*socio=ac du comité_d'_aide_au_développement*socio=ac *socio=nil de l'OCDE*socio=ac. Des membres*socio=rien de son personnel*socio=rien ont participé à des actions*socio=rien de formation*socio=et et à des ateliers*socio=rien et séminaires*socio=rien avec les responsables*socio=uv de l'évaluation*socio=uv rétrospective*socio=rien d'autres organisations_internationales*socio=ac et de *socio=ac pays donateurs.*socio=nil L'*socio=nil OED *socio=nil a continué aussi d'appuyer l' institut_de_développement_économique*socio=ac en mettant à sa disposition*socio=rien les services*socio=ec de spécialistes*socio=ac pour animer certains séminaires*socio=rien . institut_de_développement_économique*socio=ac. L'exercice*socio=rien 94 a été*socio=rien marqué par la mise au point*socio=rien d'un*socio=rien plan*socio=rien stratégique*socio=uv quinquennal*socio=te pour l'institut_de_développement_économique*socio=ac (IDE*socio=ac) face*socio=rien à l'évolution*socio=rien des besoins*socio=uv à satisfaire et des défis*socio=uv à relever, comme des possibilités*socio=rien à exploiter. La déclaration*socio=et de mission*socio=rien , qui forme*socio=rien l'élément*socio=rien clé*socio=rien de ce plan*socio=rien , met l'accent*socio=rien sur*socio=rien la volonté*socio=uv de l'Institut*socio=et d'investir dans les ressources_humaines*socio=ec et dans les idées*socio=rien , qu'il considère comme le moteur*socio=rien le plus *socio=rien puissant du développement*socio=uv.*socio=nil Le*socio=nil rôle *socio=nil de l'IDE*socio=ac se démarque ainsi de celui des secteurs*socio=ec opérationnels*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac qui investissent une *socio=rien grande partie *socio=nil de leurs ressources*socio=ec dans l'infrastructure*socio=ec physique*socio=rien . Cependant, le *socio=rien plan témoigne *socio=nil aussi de la volonté*socio=uv de l'Institut*socio=et d'orienter ses *socio=rien activités sur les*socio=nil objectifs *socio=nil de la Banque*socio=ac, à savoir*socio=rien la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv et la promotion*socio=uv d'un*socio=rien développement_durable*socio=ec et équitable*socio=uv. Formation*socio=et. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien écoulé, l'IDE*socio=ac a mené à bien*socio=rien 140 actions*socio=rien de formation*socio=et (Tableau*socio=rien 6-1). Il a notablement*socio=rien accru ses activités*socio=rien pour la région*socio=te Europe*socio=ac et Asie*socio=ac centrale*socio=rien (ECA), qui a fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'une cinquantaine*socio=rien d'interventions*socio=et, soit sept de plus que durant l'exercice*socio=rien 93. Malgré la *socio=rien forte demande d'*socio=nil aide*socio=uv *socio=nil émanant de la région*socio=te ECA, l'IDE*socio=ac n'en a pas moins développé*socio=rien ses activités*socio=rien en Afrique*socio=ac, où il a notamment organisé *socio=rien un séminaire *socio=nil pour accroître l'efficacité*socio=uv des réformes*socio=et de l'éducation*socio=et. Ce séminaire*socio=rien , qui a rassemblé 23 experts*socio=ac en éducation*socio=et de la Gambie, du*socio=rien Malawi*socio=ac, du*socio=rien Nigeria*socio=ac, de la Tanzanie*socio=ac et de la Zambie*socio=ac, ainsi que des représentants*socio=ac des services_de_la_banque*socio=ac responsables*socio=uv de projets*socio=rien d'éducation*socio=et dans ces pays*socio=ac, a été*socio=rien considéré comme *socio=rien un grand succès*socio=uv,*socio=nil *socio=nil dans la mesure*socio=rien où il a permis*socio=rien de très larges*socio=rien échange*socio=ec d'idées*socio=rien entre les deux groupes*socio=ac, ouvrant ainsi de nouvelles*socio=rien perspectives*socio=uv aux gouvernements*socio=ac pour le choix*socio=uv de leurs *socio=et politiques éducatives *socio=nil et à la Banque*socio=ac pour la conception*socio=rien de ses opérations*socio=rien dans ces pays*socio=ac. Bien*socio=rien que le nombre*socio=rien des activités*socio=rien soit resté sensiblement le même qu'au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien , celui des bénéficiaires*socio=ac de ces formations*socio=et *socio=rien est passé *socio=nil de 4 469 à 4 900. L'augmentation*socio=uv *socio=rien du nombre des*socio=nil participants*socio=ac reflète*socio=nil un changement*socio=uv *socio=nil dans le "panachage" des activités*socio=rien : la réduction*socio=uv de la place*socio=rien faite à de *socio=rien petits séminaires *socio=nil destinés à des responsables*socio=uv de *socio=rien haut niveau s'*socio=nil est *socio=nil accompagnée d'une expansion*socio=ec des programmes*socio=et de gestion*socio=et économique*socio=ec et sectorielle*socio=rien et de "formation*socio=et des formateurs*socio=rien ", qui s'adressent généralement à un*socio=rien auditoire plus nombreux*socio=rien . Programme*socio=et pour l'ex-union_soviétique*socio=ac. Face*socio=rien à l'augmentation*socio=uv de la demande*socio=ec émanant des anciennes_républiques_soviétiques*socio=ac, l'IDE*socio=ac a travaillé en étroite*socio=rien collaboration*socio=uv avec des *socio=et universités publiques -*socio=nil Faculté*socio=rien des*socio=nil *socio=ec sciences économiques *socio=nil de Tachkent, Institut*socio=et de gestion*socio=et du*socio=rien Kazakhstan*socio=ac et Faculté*socio=rien des *socio=ec sciences économiques *socio=nil de Kiev, par exemple*socio=rien - à la mise au point*socio=rien de séminaires*socio=rien , au recrutement*socio=ec de formateurs*socio=rien et à la préparation*socio=rien de *socio=rien matériels didactiques *socio=nil dans les langues*socio=et nationales*socio=te. Le programme*socio=et de gestion*socio=et des entreprises*socio=ac pour les pays*socio=ac de l' ex-union_soviétique*socio=ac *socio=rien est un bon exemple de*socio=nil programme*socio=et *socio=nil de "formation*socio=et de formateurs*socio=rien ", lequel consiste pour l'IDE*socio=ac à donner à *socio=rien certaines personnes la*socio=nil formation*socio=et nécessaire *socio=nil pour qu'elles puissent ensuite se charger de la formation*socio=et d'autres personnes*socio=rien . Durant l'exercice*socio=rien 94, 2.200 personnes*socio=rien ont reçu une formation*socio=et directe*socio=rien ou indirecte dans le cadre*socio=rien de ce programme*socio=et très fructueux*socio=rien . *socio=rien Matériels didactiques et*socio=nil publications.*socio=nil La*socio=nil plupart des*socio=nil matériels didactiques *socio=nil de l'IDE*socio=ac se présentent sous la forme*socio=rien de manuels*socio=rien , de livres, d'études*socio=rien de cas*socio=rien et de collections de *socio=rien documents analytiques *socio=nil qui sont distribués aux participants*socio=ac à ses cours*socio=rien et séminaires*socio=rien et qui sont également remis aux établissements*socio=rien de formation*socio=et avec lesquels l'Institut*socio=et coopère ainsi qu'aux responsables*socio=uv et décideurs*socio=et du*socio=rien monde*socio=te entier*socio=rien qui lui en font la demande*socio=ec. Ces matériels*socio=rien s'inspirent souvent de l'expérience*socio=uv de la banque_mondiale*socio=ac, notamment des études-pays et des études_sectorielles*socio=ec, des rapports*socio=rien de recherche*socio=ec, des études*socio=rien de cas*socio=rien effectuées pour des projets*socio=rien de la Banque*socio=ac, et des *socio=rien analyses du Département*socio=ac *socio=nil de l' évaluation_rétrospective_des_opérations*socio=ac. Durant l'exercice*socio=rien 94, l'IDE*socio=ac a publié 80 titres*socio=rien pour ses cours*socio=rien et séminaires*socio=rien . La plupart*socio=rien des documents*socio=rien de l'IDE*socio=ac sont publiés en anglais*socio=rien , mais *socio=rien un certain nombre de*socio=nil titres *socio=nil sont également disponibles*socio=rien dans d'autres langues*socio=et. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien écoulé, *socio=rien cinq titres *socio=nil sont parus en russe*socio=ac et d'autres ont été*socio=rien traduits en arabe*socio=rien , chinois*socio=rien , espagnol*socio=rien et français*socio=rien . Programmes*socio=et de bourses*socio=rien d'études*socio=rien . Le Programme*socio=et de bourses*socio=rien d'études*socio=rien universitaires*socio=et géré par la banque_mondiale*socio=ac et financé par le *socio=ac Gouvernement japonais a*socio=nil permis*socio=rien *socio=nil à 25 étudiants*socio=ac d'obtenir*socio=rien une maîtrise*socio=rien en gestion*socio=et des politiques_économiques*socio=ec à l'Université*socio=et Columbia. Au total*socio=rien , le programme*socio=et de base*socio=rien , qui aide*socio=uv des étudiants*socio=ac à suivre des études*socio=rien dans l'université*socio=et de leur choix*socio=uv où que ce soit dans le monde*socio=te, a attribué 94 bourses*socio=rien durant l'exercice*socio=rien 94. Des aménagements ont été*socio=rien apportés au Programme*socio=et de bourses*socio=rien Robert S*socio=rien : Mcnamara*socio=ac pour en faire, à partir de l'exercice*socio=rien 95, un*socio=rien programme*socio=et de recherche*socio=ec dans les pays_en_développement*socio=ac, avec des bourses*socio=rien d'un*socio=rien plus faible*socio=rien montant*socio=ec mais plus nombreuses*socio=rien . Jusqu'à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, les activités*socio=rien de recherche*socio=ec devaient être*socio=rien menées hors du*socio=rien pays*socio=ac d'origine*socio=rien du*socio=rien boursier. Initiatives*socio=rien . Pour s'adapter*socio=rien à l'évolution*socio=rien de son environnement*socio=ec, l'IDE*socio=ac a ajouté plusieurs initiatives*socio=rien à son programme*socio=et de base*socio=rien : - Un*socio=rien programme*socio=et a été*socio=rien lancé en juin*socio=rien 1994 pour les Territoires*socio=ac occupés. L'objectif*socio=rien est*socio=rien de promouvoir une gestion*socio=et efficace*socio=uv de l'aide_extérieure*socio=te par des actions*socio=rien de formation*socio=et dans des domaines*socio=rien comme l'évaluation*socio=uv des projets*socio=rien , la gestion*socio=et des projets*socio=rien et la passation_des_marchés*socio=ec , la révision*socio=uv *socio=rien du cadre réglementaire*socio=et *socio=nil pour le secteur*socio=ec du*socio=rien logement*socio=ec et la formulation*socio=rien de politiques*socio=et favorables*socio=rien au développement_économique*socio=ec. - A la *socio=rien suite du rapport *socio=nil établi en 1993 par le Groupe*socio=ac d'étude*socio=ac sur*socio=rien la gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec, PIDE*socio=ac a organisé un*socio=rien programme*socio=et axé sur*socio=rien la gestion*socio=et du*socio=rien portefeuille*socio=ec, qui s'appuie sur*socio=rien une série de manuels*socio=rien de formation*socio=et et d'études*socio=rien de cas*socio=rien portant, notamment, sur*socio=rien l'analyse*socio=rien économique*socio=ec des projets*socio=rien , la passation_des_marchés*socio=ec , et la gestion*socio=et des projets*socio=rien . Ce programme*socio=et a débuté durant l'exercice*socio=rien 94 dans l' ex-union_soviétique*socio=ac et doit être*socio=rien étendu à la Chine*socio=ac, au Vietnam*socio=ac et aux Territoires*socio=ac occupés. - Le programme*socio=et de l'IDE*socio=ac à l'appui*socio=rien d'un*socio=rien développement*socio=uv écologiquement durable*socio=rien a été*socio=rien élargi de manière*socio=rien à y inclure des actions*socio=rien de formation*socio=et visant à améliorer les politiques*socio=et et les pratiques*socio=et de réinstallation des personnes*socio=rien déplacées sous l'effet*socio=rien de projets_de_développement*socio=et. Ce programme*socio=et élargi a été*socio=rien mis en oeuvre*socio=rien durant l'exercice*socio=rien en Chine*socio=ac, en Inde*socio=ac et en Turquie*socio=ac. En outre, *socio=rien un nouveau programme*socio=et d'*socio=nil analyse *socio=nil et d'évaluation*socio=uv environnementales*socio=et, qui doit aider les gouvernements*socio=ac à faire face*socio=rien à la pollution*socio=et industrielle*socio=ec, a été*socio=rien mis au point*socio=rien en coopération*socio=uv avec la Foundation for*socio=rien Advanced Studies in International*socio=te Development*socio=rien (Tokyo*socio=ac). Ce programme*socio=et, financé par le *socio=ac Gouvernement japonais,*socio=nil porte*socio=rien notamment*socio=nil sur*socio=rien les*socio=nil techniques*socio=rien d'*socio=nil évaluation*socio=uv,*socio=nil *socio=nil de hiérarchisation des priorités*socio=uv et de gestion*socio=et des problèmes*socio=uv d'environnement*socio=ec pour les économies_en_transition*socio=ec d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te. - L'IDE*socio=ac utilise aujourd'hui des supports informatiques*socio=rien et des techniques*socio=rien multimédias pour beaucoup de ses *socio=rien matériels didactiques.*socio=nil *socio=nil Outre la publication*socio=et de *socio=rien nombreux titres sur *socio=nil CD-ROM, l'institut*socio=et a commencé a utiliser la technique*socio=rien de téléconférences*socio=rien pour rapprocher responsables*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac et *socio=rien membres du personnel *socio=nil de la Banque*socio=ac. Par exemple*socio=rien , dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien séminaire*socio=rien organisé au Cameroun*socio=ac au début*socio=rien de 1994, des journalistes*socio=ac d'Afrique*socio=ac francophone*socio=ac et des responsables*socio=uv de *socio=rien haut niveau *socio=nil de la Banque*socio=ac ont pu débattre*socio=rien d'importants*socio=rien concepts*socio=rien formant la base*socio=rien des réformes*socio=et économiques*socio=ec. Le réseau*socio=rien Worldnet de l'Agence*socio=rien d'information*socio=rien des États-unis*socio=ac a non seulement permis*socio=rien aux journalistes*socio=ac (présents*socio=rien à Yaoundé) de dialoguer avec les représentants*socio=ac de la Banque*socio=ac (à Washington*socio=ac), mais a aussi diffusé la téléconférence*socio=rien dans toute l'Afrique*socio=ac. Institut*socio=et multilatéral*socio=te de Vienne. Créé en coopération*socio=uv avec quatre autres partenaires*socio=uv - le fonds_monétaire_international*socio=ac, la Banque*socio=ac des règlements*socio=et internationaux*socio=te, la *socio=ac Banque européenne *socio=nil pour la reconstruction*socio=uv et le développement*socio=uv et l' Organisation_de_coopération_et_de_développement_économiques*socio=ac -, cet institut*socio=et continue*socio=rien d'organiser et d'accueillir des *socio=rien cours sur l'*socio=nil économie_de_marché*socio=ec *socio=nil destinés aux administrateurs*socio=ac d' économies_en_transition*socio=ec. Durant sa *socio=rien première année d'*socio=nil existence *socio=nil - de septembre*socio=rien 1992 à août*socio=rien 1993 -, il a organisé 44 séminaires*socio=rien , représentant*socio=rien 108 semaines*socio=rien de formation*socio=et, auxquels ont participé plus de 1. 150 administrateurs*socio=ac et cadres*socio=rien d'une trentaine*socio=rien d'économies_en_transition*socio=ec. Durant l'exercice*socio=rien 94, l'institut*socio=et, qui fonctionnait jusque-là selon des *socio=rien modalités provisoires et*socio=nil informelles*socio=uv,*socio=nil *socio=nil a reçu le statut*socio=rien d'organisation_internationale*socio=ac dirigée par *socio=rien un conseil d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil composé de représentants*socio=ac des organisations*socio=ac parrainantes*socio=rien . Bureau_de_moscou*socio=ac de l'IDE*socio=ac. La *socio=rien forte demande de*socio=nil formation*socio=et *socio=nil émanant de la région*socio=te Europe*socio=ac et Asie*socio=ac centrale*socio=rien a conduit l'IDE*socio=ac a ouvrir son *socio=rien premier bureau extérieur,*socio=nil à*socio=nil Moscou*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil personnel du bureau *socio=nil se compose actuellement de 15 formateurs*socio=rien recrutés *socio=rien sur place,*socio=nil *socio=nil qui coordonnent et dispensent les formations*socio=et destinées*socio=rien aux pays*socio=ac de l'ex-union_soviétique*socio=ac (y compris les activités*socio=rien liées à l'Institut*socio=et multilatéral*socio=te de Vienne) en collaboration*socio=uv avec le personnel*socio=rien de l'IDE*socio=ac basé à Washington*socio=ac. La recherche*socio=ec à la banque_mondiale*socio=ac. La contribution*socio=uv de la Banque*socio=ac à une *socio=rien meilleure compréhension des*socio=nil processus de*socio=nil croissance*socio=uv *socio=nil et de développement*socio=uv tient en *socio=rien grande partie *socio=nil à ses activités*socio=rien de recherche*socio=ec. Celles-ci ont pour objet*socio=rien de mettre à la disposition*socio=rien des responsables*socio=uv gouvernementaux*socio=ac des éléments*socio=rien d'information*socio=rien qui les aideront à décider de leurs politiques*socio=et face*socio=rien à l'évolution*socio=rien rapide*socio=rien de l'environnement*socio=ec national*socio=te et international*socio=te. Elles aident aussi la Banque*socio=ac à trouver des réponses aux questions*socio=rien que posent la conception*socio=rien de son programme*socio=et de prêt*socio=ec et son adaptation*socio=uv aux besoins*socio=uv des pays_membres*socio=ac. Les *socio=rien principaux thèmes des*socio=nil recherches*socio=ec actuelles *socio=nil sont la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv et la valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec, l'intégration*socio=uv des femmes*socio=ac au développement*socio=uv, l'expansion*socio=ec du*socio=rien secteur_privé*socio=ec, la viabilité*socio=uv écologique*socio=et du*socio=rien développement*socio=uv, et la gestion*socio=et économique*socio=ec. Les travaux*socio=rien sont centrés sur*socio=rien les questions*socio=rien pour lesquelles il reste*socio=rien à trouver des réponses essentielles*socio=uv à la détermination*socio=rien des actions*socio=rien à entreprendre. Lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv et valorisation*socio=uv des ressources_humaines*socio=ec. Les questions*socio=rien touchant la pauvreté*socio=uv et les ressources_humaines*socio=ec restent le *socio=rien principal pôle des*socio=nil activités de*socio=nil recherche*socio=ec,*socio=nil l'*socio=nil accent *socio=nil étant mis sur*socio=rien les rapports*socio=rien entre les *socio=et politiques publiques *socio=nil et la réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv. *socio=rien Un projet en*socio=nil cours *socio=nil étudie l'effet*socio=rien de la libéralisation*socio=ec des prix*socio=ec sur*socio=rien les pauvres*socio=ac des *socio=te régions rurales en*socio=nil Chine*socio=ac,*socio=nil et*socio=nil un*socio=rien *socio=nil autre l'impact*socio=rien des politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec et *socio=rien sectorielles sur la*socio=nil consommation*socio=ec en*socio=nil Inde*socio=ac *socio=nil durant la période*socio=te 1951-90. L'analyse*socio=rien de données individuelles*socio=ac temporelles provenant d'enquêtes auprès des ménages*socio=rien ruraux*socio=te en Chine*socio=ac devrait permettre de mieux comprendre comment les familles*socio=uv rurales*socio=te échappent à la pauvreté*socio=uv; et des *socio=rien travaux sur les*socio=nil moyens*socio=ec *socio=nil d'améliorer la productivité*socio=ec des femmes*socio=ac impliquent l'évaluation*socio=uv de la viabilité*socio=uv de trois programmes*socio=et de crédit*socio=ec ciblés sur*socio=rien les pauvres*socio=ac des *socio=te zones rurales au*socio=nil Bangladesh*socio=ac.*socio=nil L'*socio=nil analyse*socio=rien des*socio=nil *socio=rien questions relatives *socio=nil à la croissance_économique*socio=ec et à la réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv est*socio=rien rendue plus difficile*socio=rien par la rareté des données et de *socio=rien mesures fiables *socio=nil qui se prêtent à des comparaisons*socio=rien internationales*socio=te. Le tableau*socio=rien qui se dégage d'une base*socio=rien de données multipays établie pour la période*socio=te 1981-91 à partir d'indicateurs*socio=ec uniformes de la pauvreté*socio=uv et des parités du*socio=rien pouvoir_d'_achat*socio=ec *socio=rien est inquiétant:*socio=nil *socio=nil à l'échelle*socio=rien mondiale*socio=te, près d'une *socio=rien personne sur *socio=nil trois vit dans la pauvreté*socio=uv et le nombre*socio=rien des pauvres*socio=ac a augmenté proportionnellement à l'accroissement*socio=ec de la population*socio=ac. Il ressort des recherches*socio=ec effectuées sur*socio=rien la réussite*socio=uv économique*socio=ec et le recul*socio=rien concomitant de la pauvreté*socio=uv dans plusieurs pays*socio=ac d'Asie*socio=ac que l'éducation*socio=et a été*socio=rien l'un*socio=rien des *socio=rien facteurs déterminants *socio=nil de ce succès*socio=uv. Une étude*socio=ac de l'exercice*socio=rien 94 sur*socio=rien les nouveaux*socio=rien *socio=ac pays industriels d'*socio=nil Asie *socio=nil a cherché à déterminer en quoi l'enseignement*socio=et secondaire*socio=et avait contribué à accroître la productivité*socio=ec de la main-d'_oeuvre*socio=ac et à faciliter le passage*socio=rien d'une *socio=ec économie agricole *socio=nil à une économie*socio=ec de services*socio=ec à plus *socio=rien forte intensité de*socio=nil capital*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Une autre étude*socio=ac est*socio=rien en *socio=rien cours sur les*socio=nil moyens*socio=ec *socio=nil d'améliorer le système_éducatif*socio=et des pays_en_développement*socio=ac. *socio=rien Un important projet interorganisations*socio=ac *socio=nil achevé durant l'exercice*socio=rien 94 a montré que les subventions*socio=ec publiques*socio=et affectées à l'enseignement*socio=et fondamental*socio=rien sont à l'origine*socio=rien d'importants*socio=rien avantages*socio=rien , tandis que les dépenses_publiques*socio=et consacrées à l'enseignement_supérieur*socio=et dans les pays*socio=ac les plus pauvres*socio=uv compromettent l'équité*socio=uv et l'efficacité*socio=uv. Des données sur*socio=rien les acquisitions*socio=ec des élèves*socio=ac et l'efficacité-coût des diverses*socio=rien ressources*socio=ec affectées à l'éducation*socio=et ont aussi été*socio=rien analysées au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, et il a été*socio=rien tiré de cette étude*socio=ac des *socio=rien recommandations sur les*socio=nil mesures propres *socio=nil à améliorer l'efficacité*socio=uv de l'éducation*socio=et. Lorsque les familles*socio=uv sont prêtes*socio=rien à investir dans la santé*socio=et et l'éducation*socio=et de leurs membres*socio=rien , la qualité*socio=rien et l'accessibilité*socio=uv des services_sociaux*socio=et locaux*socio=rien exercent une influence *socio=rien décisive sur les*socio=nil fruits *socio=nil de leurs investissements*socio=ec; la Banque*socio=ac a achevé au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien des recherches*socio=ec couvrant *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil et d'années*socio=rien , qui montrent l'efficacité*socio=uv relative*socio=rien de différents*socio=rien programmes*socio=et et stratégies*socio=et de services*socio=ec. Une *socio=ac étude interorganisations sur*socio=rien l'*socio=nil emploi*socio=ec *socio=nil de contraceptifs montre que les politiques*socio=et visant à maîtriser*socio=rien la croissance*socio=uv démographique*socio=rien doivent être*socio=rien adaptées au niveau*socio=rien de développement_socio-économique*socio=ec du*socio=rien pays*socio=ac. Dans trois pays*socio=ac se trouvant à des stades*socio=te différents*socio=rien de la transition*socio=uv démographique*socio=rien , on a constaté que les résultats*socio=rien variaient fortement en fonction*socio=rien d'éléments*socio=rien comme le revenu*socio=ec, l'éducation*socio=et et l'accessibilité*socio=uv des services*socio=ec de contraception*socio=rien . L'amélioration*socio=uv des programmes*socio=et de santé*socio=et est*socio=rien l'objectif*socio=rien d'une étude*socio=ac qui mesure*socio=rien l'effet*socio=rien de tarifs*socio=ec plus *socio=rien élevés sur l'*socio=nil utilisation des*socio=nil services*socio=ec de*socio=nil soins primaires en*socio=nil Indonésie*socio=ac.*socio=nil Au*socio=nil Maroc*socio=ac,*socio=nil de*socio=nil nouvelles enquêtes*socio=nil sur les*socio=nil indicateurs*socio=ec *socio=nil et les équipements*socio=ec sanitaires*socio=uv et éducatifs*socio=et doivent servir de base*socio=rien à l'analyse*socio=rien d'une série de questions*socio=rien d'une *socio=rien importance cruciale *socio=nil touchant les dépenses_publiques*socio=et affectées aux services_sociaux*socio=et. A partir d'une exceptionnelle*socio=uv série de données longitudinales sur*socio=rien l'Afrique*socio=ac, *socio=rien un projet *socio=nil s'efforce d'identifier la relation*socio=rien entre santé*socio=et et productivité*socio=ec de la main-d'_oeuvre*socio=ac. Des recherches*socio=ec sur*socio=rien le rôle*socio=rien des syndicats*socio=ac et des *socio=et interventions publiques sur*socio=rien le*socio=nil marché_du_travail*socio=ec *socio=nil dans l'ajustement*socio=et à court_terme*socio=ec et la performance*socio=uv économique*socio=ec à long_terme*socio=ec aideront à déterminer s'il est*socio=rien justifié de mettre l'accent*socio=rien , comme la Banque*socio=ac l'a fait*socio=rien dans les années*socio=rien 80, sur*socio=rien la réforme*socio=et des marchés*socio=ec des produits*socio=rien . Elles examineront également jusqu'à quel point*socio=rien il a *socio=rien été possible au*socio=nil secteur_privé*socio=ec,*socio=nil *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=ac, de contourner les interventions*socio=et de l'État*socio=ac sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières décennies.*socio=nil Une*socio=nil étude*socio=ac établie*socio=nil sur trois*socio=nil ans *socio=nil a cherché à déterminer, parmi les politiques*socio=et et stratégies*socio=et d'intervention*socio=et sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec, lesquelles sont les plus importantes*socio=rien pour réduire les coûts_sociaux*socio=ec des réformes*socio=et des salaires*socio=ec et de l'emploi*socio=ec en rendant le marché_du_travail*socio=ec plus concurrentiel*socio=ec et en rehaussant l'efficacité*socio=uv des dépenses_publiques*socio=et et privées*socio=ec affectées à l'éducation*socio=et et à la formation*socio=et. L'objectif*socio=rien était de mettre en évidence*socio=rien les "pratiques*socio=et optimales*socio=rien " pour améliorer les *socio=rien aspects du fonctionnement du marché_du_travail*socio=ec *socio=nil qui ont *socio=rien un impact sur la*socio=nil situation*socio=uv des*socio=nil pauvres*socio=ac.*socio=nil Les*socio=nil résultats *socio=nil d'une autre étude*socio=ac sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec, qui sera publiée sous forme*socio=rien de *socio=rien manuel sur la*socio=nil politique*socio=et du marché_du_travail*socio=ec,*socio=nil *socio=nil serviront de base*socio=rien au dialogue*socio=uv entre la Banque*socio=ac et les gouvernements*socio=ac des pays_membres*socio=ac. Viabilité*socio=uv écologique*socio=et du*socio=rien développement*socio=uv. La création*socio=rien de la *socio=ac Vice-présidence environnement_et_développement_durable (*socio=nil ESD)*socio=nil a*socio=nil permis*socio=rien *socio=nil de centraliser les ressources*socio=ec affectées à l'analyse*socio=rien des problèmes*socio=uv d'environnement*socio=ec d'intérêt_général*socio=rien et mondial*socio=te. Divers services_de_la_banque*socio=ac ont aussi entrepris des recherches*socio=ec environnementales*socio=et pour répondre à des préoccupations*socio=uv locales*socio=rien ou régionales*socio=te. Durant l'exercice*socio=rien 94, les recherches*socio=ec de la Banque*socio=ac ont porté sur*socio=rien les *socio=rien questions suivantes:*socio=nil *socio=nil occupation des sols*socio=ec, préservation*socio=rien de la biodiversité*socio=et, mise en valeur*socio=ec de la plaine alluviale de l'Amazone, gestion*socio=et des zones*socio=te côtières dans les *socio=te régions tropicales d'*socio=nil amérique_latine*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et repeuplement dans de bonnes*socio=rien conditions*socio=uv de viabilité*socio=uv écologique*socio=et des zones*socio=te d'Afrique*socio=ac de l'Ouest*socio=rien libérées de l'onchocercose*socio=rien . Parmi les activités*socio=rien de recherche*socio=ec d'intérêt*socio=uv mondial*socio=te figurent l'analyse*socio=rien des interactions*socio=rien entre croissance*socio=uv démographique*socio=rien , dégradation*socio=rien de l'environnement*socio=ec et croissance_économique*socio=ec, et une étude*socio=ac *socio=rien préliminaire sur la*socio=nil question de*socio=nil savoir *socio=nil si la plantation d'arbres*socio=rien pour la production*socio=ec de *socio=rien bois oeuvre *socio=nil pourrait contribuer à la régénération de zones*socio=te de pâture dégradées et à la création*socio=rien de refuges pour *socio=rien certaines espèces locales.*socio=nil Développement*socio=uv du secteur_privé*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Dans de nombreuses*socio=rien économies*socio=ec en développement*socio=uv ou en transition*socio=uv, l'expansion*socio=ec du*socio=rien secteur_privé*socio=ec est*socio=rien freinée par le *socio=rien niveau élevé des*socio=nil coûts*socio=ec de*socio=nil transaction*socio=ec *socio=nil et par des monnaies*socio=ec peu compétitives*socio=uv, outre que les interventions*socio=et de l'État*socio=ac, et les restrictions*socio=uv imposées à l'activité*socio=rien privée*socio=ec, augmentent les coûts*socio=ec des entreprises*socio=ac et les empêchent de tirer pleinement parti*socio=et des facteurs*socio=rien par ailleurs*socio=rien concurrentiels*socio=ec. Les problèmes*socio=uv *socio=rien du passé *socio=nil ont légué à beaucoup de pays*socio=ac un*socio=rien *socio=ec secteur industriel *socio=nil moribond, pour lequel la *socio=rien seule solution est la*socio=nil faillite*socio=ec *socio=nil et la restructuration*socio=uv. Des recherches*socio=ec entreprises*socio=ac en vue*socio=rien de présenter des *socio=rien recommandations sur le*socio=nil droit*socio=uv des*socio=nil faillites*socio=ec *socio=nil tentent de déterminer le cadre*socio=rien juridique*socio=et et réglementaire*socio=et le plus approprié. Dans d'autres cas*socio=rien , les dysfonctionnements*socio=uv de l'infrastructure*socio=ec du*socio=rien secteur_public*socio=ac sont si nombreux*socio=rien et les coûts*socio=ec si élevés*socio=rien qu'il est*socio=rien indispensable*socio=uv d'organiser la fourniture*socio=rien des services*socio=ec d'infrastructure*socio=ec sur*socio=rien une base*socio=rien commerciale*socio=ec pour ouvrir la voie*socio=rien au développement*socio=uv du*socio=rien secteur_privé*socio=ec. Des recherches*socio=ec sont en *socio=rien cours sur les*socio=nil conditions*socio=uv de*socio=nil sous-traitance*socio=ec,*socio=nil en*socio=nil vue *socio=nil d'élaborer des recommandations*socio=rien pour la commercialisation*socio=ec des infrastructures*socio=et. De même, les systèmes*socio=rien de transport*socio=ec sont surchargés et sous-financés et *socio=rien un ensemble d'*socio=nil indicateurs*socio=ec de*socio=nil performance*socio=uv est en*socio=nil cours de*socio=nil préparation *socio=nil pour aider les décideurs*socio=et à hiérarchiser les priorités*socio=uv en matière*socio=rien d'entretien*socio=rien , de réhabilitation*socio=uv et d'investissement*socio=ec. En dépit*socio=rien de ces problèmes*socio=uv, des entreprises*socio=ac naissent et grandissent, et des travaux*socio=rien de recherche*socio=ec ont été*socio=rien lancés pour analyser le processus*socio=rien . En Russie*socio=ac, une étude*socio=ac est*socio=rien en *socio=rien cours sur les*socio=nil facteurs déterminants du succès*socio=uv du secteur_privé*socio=ec;*socio=nil *socio=nil elle doit également évaluer l'utilité*socio=rien potentielle*socio=rien de centres*socio=rien d'affaires*socio=ec pour fournir des services*socio=ec d'information*socio=rien , de crédit*socio=ec et de conseil*socio=rien aux nouveaux*socio=rien entrepreneurs*socio=ac. En Pologne*socio=ac, le *socio=rien difficile processus de*socio=nil commercialisation*socio=ec des*socio=nil entreprises_publiques*socio=et *socio=nil et de leur transfert*socio=et au secteur_privé*socio=ec a été*socio=rien relativement efficace*socio=uv, et les recherches*socio=ec de la Banque*socio=ac ont identifié les leçons*socio=rien de cette expérience*socio=uv pour que d'autres pays*socio=ac en transition*socio=uv et en développement*socio=uv puissent en tirer parti*socio=et. Pour de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac, le *socio=ec secteur agricole est*socio=rien *socio=nil la plus *socio=rien grande source potentielle de*socio=nil croissance*socio=uv *socio=nil et de développement*socio=uv, et des recherches*socio=ec sont en *socio=rien cours sur *socio=nil toute une série de questions*socio=rien touchant son développement*socio=uv. L'ex-union_soviétique*socio=ac doit commencer par des mesures*socio=rien de réforme*socio=et foncière*socio=ec et de restructuration*socio=uv des exploitations*socio=ec avant que les agriculteurs*socio=ac réagissent à l'amélioration*socio=uv des incitations*socio=rien . *socio=rien Un projet *socio=nil de la Banque*socio=ac examine les obstacles*socio=rien auxquels se heurte ce processus*socio=rien et les moyens*socio=ec de les éliminer. Une analyse*socio=rien des nouvelles*socio=rien politiques*socio=et agricoles*socio=ec de la Pologne*socio=ac doit permettre de dégager les enseignements*socio=et de cette expérience*socio=uv au profit*socio=ec d'autres pays*socio=ac post-socialistes, et une plus vaste*socio=rien étude*socio=ac examine la transition*socio=uv de l'agriculture*socio=ec socialiste*socio=ac en Europe*socio=ac et en Asie*socio=ac. Questions*socio=rien macroéconomiques*socio=ec et gestion*socio=et économique*socio=ec. Durant plus d'une décennie*socio=rien , la réforme*socio=et économique*socio=ec a été*socio=rien axée en Afrique*socio=ac sur*socio=rien l'ajustement*socio=et des équilibres budgétaires*socio=et et externes*socio=te, la *socio=rien diminution du rôle *socio=nil de l'État*socio=ac dans la production*socio=ec, et l'allégement*socio=ec des contraintes*socio=uv pesant sur*socio=rien le secteur_privé*socio=ec. Pourtant, la croissance*socio=uv n'est*socio=rien toujours pas au rendez-vous et les raisons*socio=rien de cette situation*socio=uv ne sont pas faciles*socio=rien à déterminer, Une étude*socio=ac de l'ajustement*socio=et dans 29 *socio=ac pays africains,*socio=nil *socio=nil achevée durant l'exercice*socio=rien 94, a mis en évidence*socio=rien quelques éléments*socio=rien de réponse*socio=rien : les déficits*socio=ec budgétaires*socio=et et l'inflation*socio=ec restent élevés*socio=rien , et la surévaluation*socio=ec des monnaies*socio=ec rend les produits*socio=rien africains*socio=ac non compétitifs*socio=uv sur*socio=rien les marchés*socio=ec internationaux*socio=te. Selon les conclusions*socio=rien de cette étude*socio=ac, les pays*socio=ac qui ont adopté des réformes*socio=et ont vu leur PIB*socio=ec augmenter; les pays*socio=ac qui viennent à peine de s'engager sur*socio=rien cette voie*socio=rien ont encore *socio=rien un long chemin *socio=nil à faire; et ceux qui n'ont pas adopté de réformes*socio=et subissent *socio=rien un inquiétant déclin économique*socio=ec.*socio=nil L'*socio=nil expansion*socio=ec *socio=nil de la production*socio=ec pour l'exportation*socio=ec a été*socio=rien le catalyseur*socio=rien de la croissance*socio=uv dans bien*socio=rien des pays*socio=ac. Si les moyens*socio=ec de libéraliser la politique_commerciale*socio=ec et les avantages*socio=rien qui en découlent sont bien*socio=rien connus, la longueur*socio=rien des négociations*socio=uv multilatérales*socio=te de l'uruguay_round*socio=ec a suscité *socio=rien un regain d'*socio=nil intérêt*socio=uv *socio=nil pour la formation*socio=et de groupements*socio=te afin de favoriser les *socio=ec échanges commerciaux régionaux*socio=te.*socio=nil Des*socio=nil recherches ont*socio=nil été*socio=rien menées*socio=nil sur*socio=rien ces*socio=nil arrangements*socio=et régionaux*socio=te *socio=nil et leurs coûts*socio=ec et avantages*socio=rien par rapport*socio=rien à ceux d'accords*socio=et internationaux*socio=te, afin de pouvoir*socio=et conseiller*socio=ac aux responsables*socio=uv des pays_en_développement*socio=ac les stratégies*socio=et les plus prometteuses*socio=rien . Les résultats*socio=rien des efforts*socio=uv entrepris pour accroître les recettes*socio=ec publiques*socio=et restent très variables*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, et il y a des années*socio=rien que la question*socio=rien de la mobilisation*socio=uv de recettes*socio=ec pour le financement*socio=ec des services_publics*socio=et figure au programme*socio=et de recherche*socio=ec de la Banque*socio=ac. Ses *socio=rien travaux sur l'*socio=nil économie*socio=ec publique*socio=et *socio=nil ont toutefois été*socio=rien réorientés durant l'exercice*socio=rien 94 vers les dépenses_publiques*socio=et et la *socio=et décentralisation budgétaire.*socio=nil De*socio=nil *socio=rien nouveaux projets *socio=nil étudient la péréquation*socio=et des dépenses*socio=ec entre collectivités*socio=ac régionales*socio=te et locales*socio=rien , les instruments*socio=rien à employer pour transférer la responsabilité*socio=uv des dépenses*socio=ec et des recettes*socio=ec de l'administration*socio=et centrale*socio=rien aux collectivités_locales*socio=ac, ainsi que les effets*socio=rien de la *socio=et décentralisation budgétaire *socio=rien sur diverses mesures *socio=nil de la performance*socio=uv. La *socio=rien sixième conférence annuelle *socio=nil de la Banque*socio=ac sur*socio=rien l'économie*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv a abordé *socio=rien cinq thèmes:*socio=nil la*socio=nil transition*socio=uv *socio=nil dans les économies*socio=ec socialistes*socio=ac; le *socio=rien domaine nouveau *socio=nil de l'économie*socio=ec des structures*socio=ec institutionnelles*socio=ac; la géoéconomie - ou dynamique*socio=uv des différences*socio=uv de développement*socio=uv entre régions*socio=te; les pressions*socio=uv déterminant*socio=rien les migrations*socio=ac internationales*socio=te; et les marchés_du_travail*socio=ec en cas*socio=rien de changement*socio=uv systémique. La présentation*socio=rien de Il communications*socio=et sur*socio=rien ces sujets*socio=rien a été*socio=rien précédée d'un*socio=rien discours-programme du*socio=rien Vice-président*socio=ac Économie*socio=ec du*socio=rien développement*socio=uv et Économiste*socio=ac en chef*socio=rien de la Banque*socio=ac sur*socio=rien les problèmes*socio=uv d'actualité*socio=rien , et la conférence*socio=rien a été*socio=rien suivie d'une *socio=rien table ronde sur l'*socio=nil emploi*socio=ec *socio=nil et le développement*socio=uv, qui a constitué la *socio=rien première discussion du thème du Rapport sur le*socio=nil développement *socio=nil dans le monde*socio=rien 1995. Les communications*socio=et, les observations*socio=rien des commentateurs*socio=ac, le discours-programme et une synthèse*socio=rien de la *socio=rien table ronde *socio=nil seront publiés sous le titre*socio=rien Proceedings of the*socio=rien World Bank*socio=rien Annual Conference on Development*socio=rien Economics, 1994. Encadré 7-1: La *socio=rien neuvième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil de l'IDA*socio=ac (exercices*socio=rien 91-93). Les trois exercices*socio=rien couverts par la *socio=rien neuvième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil de l'IDA*socio=ac (IDA-9*socio=ac) - c'est-à-dire la période*socio=te du*socio=rien ler juillet*socio=rien 1990 au 30 juin*socio=rien 1993 - ont été*socio=rien marqués par une conjoncture*socio=et internationale*socio=te difficile*socio=rien : ralentissement*socio=uv de la croissance*socio=uv du*socio=rien commerce*socio=ec mondial*socio=te, récession*socio=ec des pays_industrialisés*socio=ac, effondrement*socio=rien des prix*socio=ec réels*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien autres que le pétrole*socio=ec, et stagnation*socio=ec des apports*socio=rien d'aide_publique_au_développement*socio=et. Au plan*socio=rien politique*socio=et, il y a eu également des changements*socio=uv profonds*socio=rien . Avec la fin*socio=rien de la guerre*socio=et froide*socio=rien , de nouveaux*socio=rien emprunteurs*socio=ac - comme l'Albanie*socio=ac, le Bélarus*socio=ac et la Mongolie*socio=ac - ont sollicité le concours de l'IDA*socio=ac à l'appui*socio=rien d'ambitieux*socio=uv programmes*socio=et de transformation*socio=uv pour passer à une économie_de_marché*socio=ec. Le mouvement*socio=ac de démocratisation*socio=uv politique*socio=et a donné une impulsion*socio=rien aux réformes*socio=et dans plusieurs pays*socio=ac, mais il en a amené d'autres à faire passer leur programme*socio=et de réformes*socio=et au *socio=rien second plan.*socio=nil L'*socio=nil impact économique*socio=ec *socio=nil de la guerre*socio=et du*socio=rien Golfe*socio=te de 1991 a été*socio=rien moins grave*socio=rien qu'on ne l'avait craint au départ*socio=rien et plus bref*socio=rien qu'on ne l'avait pensé, mais il a exigé de la part*socio=rien de l'Association*socio=ac un*socio=rien effort*socio=uv qui n'était en *socio=rien rien prévisible au*socio=nil début d'*socio=nil IDA-9*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Durant les exercices*socio=rien 91-93, l'IDA*socio=ac a fourni des fonds*socio=ec à 60 pays*socio=ac et ses engagements*socio=ec de prêt*socio=ec ont atteint le total*socio=rien de 13,7 milliards*socio=ec de DTS, soit une augmentation*socio=uv de 20% en valeur*socio=ec nominale*socio=rien par rapport*socio=rien aux trois *socio=rien exercices précédents.*socio=nil Les*socio=nil *socio=ac pays africains *socio=nil ont reçu 46% des engagements*socio=ec d'IDA-9*socio=ac, autant que les pays*socio=ac d'Asie_du_sud*socio=ac et d'Asie*socio=ac de l'Est*socio=rien réunis. Les prêts*socio=ec d'ajustement*socio=et ont représenté environ 22% *socio=rien du total,*socio=nil *socio=nil et la part*socio=rien des secteurs*socio=ec éducation*socio=et, population*socio=ac, santé*socio=et et nutrition*socio=rien , eau*socio=ec et assainissement*socio=uv a fortement augmenté, passant à 31% contre 20% pour IDA-8*socio=ac. Lorsque l'accord*socio=et sur*socio=rien la *socio=rien neuvième reconstitution des*socio=nil ressources*socio=ec *socio=nil s'était fait*socio=rien , le 14 décembre*socio=rien 1989, les négociateurs des *socio=ac pays bailleurs de*socio=nil fonds*socio=ec *socio=nil (les Délégués*socio=ac à l'IDA*socio=ac) avaient estimé que, durant la période*socio=te d'IDA-9*socio=ac, priorité*socio=uv absolue*socio=rien devait être*socio=rien donnée à trois domaines*socio=rien d'action*socio=rien : la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv, le soutien*socio=uv à des politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien rationnelles*socio=uv, et l'environnement*socio=ec. Ils avaient également invité les Administrateurs*socio=ac de l'IDA*socio=ac à examiner chaque année*socio=rien les conditions*socio=uv dans lesquelles ces priorités*socio=uv avaient été*socio=rien servies. D'après*socio=rien l'examen*socio=rien final*socio=rien des opérations*socio=rien et des politiques*socio=et de l'IDA*socio=ac pendant la période*socio=te d'IDA-9*socio=ac, auquel le conseil_des_administrateurs*socio=ac a procédé au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 94, des progrès*socio=uv substantiels*socio=rien ont été*socio=rien réalisés dans les trois domaines*socio=rien . Durant cette période*socio=te, en effet*socio=rien , l'IDA*socio=ac a mis au point*socio=rien ou commencé d'utiliser de *socio=rien nouveaux instruments *socio=nil plus sophistiqués pour atteindre directement les pauvres*socio=ac: préparation*socio=rien d'évaluations*socio=uv de la pauvreté*socio=uv, qui permettent d'analyser les *socio=rien différents aspects du problème*socio=uv *socio=nil dans le pays*socio=ac considéré et de centrer le dialogue*socio=uv engagé avec les autorités*socio=et sur*socio=rien les stratégies*socio=et de réduction*socio=uv de la pauvreté*socio=uv; incorporation*socio=rien de *socio=rien mesures destinées *socio=nil à aider les pauvres*socio=ac dans les opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et; et octroi*socio=rien de crédits*socio=ec d'investissement*socio=ec axés sur*socio=rien la lutte*socio=uv contre la pauvreté*socio=uv. A la fin*socio=rien des trois exercices*socio=rien d'IDA-9*socio=ac, une évaluation*socio=uv de la pauvreté*socio=uv avait été*socio=rien effectuée dans 16 *socio=ac pays IDA,*socio=nil les*socio=nil opérations*socio=rien d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil comportaient de plus en plus de mesures*socio=rien en vue*socio=rien de soulager la pauvreté*socio=uv, et 40% des engagements*socio=ec pris par l'Association*socio=ac durant les deux *socio=rien derniers exercices *socio=nil à l'appui*socio=rien d'opérations*socio=rien d'investissement*socio=ec concernaient directement les pauvres*socio=ac. Une plus *socio=rien large place a*socio=nil été *socio=nil accordée aux groupes*socio=ac de population*socio=ac et aux services*socio=ec clés*socio=rien . Le rôle*socio=rien de la femme*socio=ac est*socio=rien désormais bien*socio=rien mieux reconnu et la conception*socio=rien des projets*socio=rien tient plus souvent compte*socio=rien des problèmes*socio=uv liés à l'inégalité*socio=uv des sexes*socio=rien . A peu près la moitié*socio=rien des projets*socio=rien aidés par l'IDA*socio=ac durant les exercices*socio=rien 91 à 93 comportaient des éléments*socio=rien directement axés sur*socio=rien les besoins*socio=uv spécifiques*socio=rien des femmes*socio=ac et l'on a cherché aussi à favoriser la participation*socio=uv des populations*socio=ac concernées à l'élaboration*socio=rien et à l'exécution*socio=rien des projets*socio=rien . L'aide*socio=uv fournie pour les services_sociaux*socio=et de base*socio=rien , dont éducation*socio=et, santé*socio=et et planning*socio=rien familial*socio=uv, a augmenté de *socio=rien manière substantielle.*socio=nil *socio=nil Dans le *socio=rien deuxième domaine -*socio=nil soutien*socio=uv *socio=nil à des politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec et sectorielles*socio=rien rationnelles*socio=uv - la plupart*socio=rien des pays*socio=ac engagés dans des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et ont fait*socio=rien des progrès*socio=uv en dépit*socio=rien des difficultés*socio=rien rencontrées. Les quelque 17 pays*socio=ac qui ont continué à recevoir une aide*socio=uv à l'ajustement*socio=et durant la période*socio=te d'IDA-9*socio=ac se sont de plus en plus attachés à rationaliser leur secteur_public*socio=ac (en prenant des mesures*socio=rien pour aligner les dépenses*socio=ec de l'État*socio=ac sur*socio=rien les ressources*socio=ec disponibles*socio=rien et les moyens*socio=ec d'action*socio=rien dont ils disposaient, élaguer la fonction_publique*socio=et et restructurer les entreprises_publiques*socio=et) et à créer un*socio=rien environnement*socio=ec favorable*socio=rien pour le secteur_privé*socio=ec. Durant IDA-9*socio=ac, près de 120 crédits*socio=ec ont comporté des éléments*socio=rien visant à améliorer le climat*socio=rien des affaires*socio=ec et le quart*socio=rien des crédits*socio=ec à l'appui*socio=rien de projets*socio=rien d'investissement*socio=ec devaient contribuer au développement*socio=uv des infrastructures*socio=et. L'IDA*socio=ac a en outre apporté son concours à de nouveaux*socio=rien programmes*socio=et de réforme*socio=et dans dix autres pays*socio=ac. En ce qui concerne la protection*socio=et de l'environnement*socio=ec, des bases*socio=rien ont été*socio=rien jetées au cours*socio=rien d'IDA-9*socio=ac pour soutenir un*socio=rien développement*socio=uv écologiquement viable*socio=uv dans tous les pays*socio=ac. Vingt-deux*socio=rien *socio=ac pays bénéficiaires *socio=nil de l'IDA*socio=ac ont achevé la préparation*socio=rien de plans_nationaux_d'_action_environnementale*socio=et (PNAE*socio=et) - instrument*socio=rien le plus important*socio=rien pour l'élaboration*socio=rien d'une *socio=et stratégie environnementale *socio=nil et, à la fin*socio=rien d'IDA-9*socio=ac, presque tous les autres emprunteurs*socio=ac actifs*socio=rien de l'IDA*socio=ac avaient déjà bien*socio=rien progressé. Lorsque ces plans*socio=rien sont achevés, leurs conclusions*socio=rien servent de base*socio=rien à l'établissement*socio=rien des priorités*socio=uv nationales*socio=te, et l'IDA*socio=ac et les autres bailleurs*socio=ac de fonds*socio=ec les prennent en compte*socio=rien dans leurs projets*socio=rien et études_sectorielles*socio=ec et dans leur dialogue*socio=uv avec les autorités*socio=et. Pour les secteurs*socio=ec écologiquement sensibles*socio=rien , comme la foresterie*socio=et et l'agriculture*socio=ec, l'énergie*socio=ec et la gestion*socio=et des ressources*socio=ec en eau*socio=ec, l'IDA*socio=ac a réaménagé ses politiques*socio=et afin de s'assurer que les objectifs*socio=rien environnementaux*socio=et sont mieux pris en considération*socio=rien dans son dialogue*socio=uv avec les gouvernements*socio=ac et dans ses programmes*socio=et de prêt*socio=ec. En outre, de *socio=rien nouvelles procédures d'*socio=nil évaluation*socio=uv environnementale*socio=et ont*socio=nil été *socio=nil adoptées afin de garantir la prise*socio=rien en *socio=rien compte du point de*socio=nil vue des*socio=nil populations*socio=ac *socio=nil concernées par l'impact*socio=rien environnemental*socio=et des projets*socio=rien . L'IDA*socio=ac s'est*socio=rien aussi efforcée de favoriser la *socio=uv collaboration active des*socio=nil autorités*socio=et nationales*socio=te *socio=nil et des communautés*socio=ac à la préparation*socio=rien et à l'exécution*socio=rien des plans*socio=rien et programmes*socio=et de protection*socio=et de l'environnement*socio=ec.