*{ Fonds Monétaire international Rapport Annuel 1973 } fonds_monétaire_international*socio=ac.*socio=nil Rapport annuel*socio=te des*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil pour l'exercice*socio=rien clos le 30 avril*socio=rien 1973. Évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 dans le monde*socio=te. En 1972 et pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1973, l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 dans le monde*socio=te fut dominée*socio=rien par une forte*socio=rien accélération*socio=ec2 conjoncturelle*socio=te de l'activité*socio=rien, des taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 d'inflation*socio=ec1, des crises*socio=uv2 et troubles monétaires*socio=ec1 qui ont entraîné *socio=rien un nouveau réalignement des*socio=nil principales monnaies*socio=ec1 en*socio=nil février -*socio=nil mars *socio=nil 1973. Les rouages*socio=rien essentiels*socio=uv4 *socio=rien du système de*socio=nil bretton_woods*socio=et *socio=nil ayant cessé de fonctionner, le comité_des_vingt*socio=ac a poursuivi au *socio=ec1 Fonds Monétaire ses*socio=nil travaux*socio=rien de*socio=nil réforme*socio=et du*socio=rien système_monétaire international*socio=te.*socio=nil *socio=nil (Voir chapitre*socio=rien 3.) Le *socio=rien présent chapitre,*socio=nil qui*socio=nil présente un examen*socio=ec2 général *socio=nil de l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 dans le monde*socio=te, comprend quatre *socio=rien sections principales.*socio=nil *socio=nil 1 - La section*socio=rien intitulée Marchés*socio=ec1 des devises*socio=ec1 et de l'or*socio=ec1 donne un*socio=rien aperçu des *socio=rien événements critiques survenus*socio=nil sur le*socio=nil marché*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1 *socio=nil qui ont abouti à la structure*socio=ec1 actuelle*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 et aux relations*socio=rien monétaires*socio=ec1 internationales*socio=te en vigueur*socio=uv3. Cette évolution*socio=te a été*socio=rien caractérisée par un*socio=rien assouplissement*socio=uv3 des relations*socio=rien de change*socio=ec1, dont témoignent*socio=rien, par exemple*socio=rien, l'élargissement*socio=ec2 temporaire*socio=rien des marges d'intervention*socio=et officielle*socio=et, le recours*socio=ec1 au flottement*socio=ec1 dans des *socio=rien cas particuliers,*socio=nil *socio=nil et le fait*socio=rien que de grands*socio=rien pays*socio=ac, notamment les États-unis*socio=ac, ont montré qu'ils étaient prêts*socio=ec1, lorsqu'il le fallait, à modifier la parité*socio=ec1 de leur monnaie*socio=ec1. Un*socio=rien autre trait*socio=rien des *socio=rien nouvelles relations de*socio=nil parité*socio=ec1 *socio=nil entre les monnaies*socio=ec1 est*socio=rien qu'elles ne sont pas fondées *socio=rien sur un ensemble de*socio=nil règles*socio=et ou*socio=nil un code*socio=et de*socio=nil conduite *socio=nil convenus par la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil *socio=nil A cet égard*socio=rien, malgré des consultations*socio=uv1 suivies et une large*socio=rien coopération*socio=uv1 entre les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 internationales*socio=te, la situation*socio=rien actuelle*socio=te infirme un*socio=rien des principes*socio=ec2 cardinaux qui ont présidé à la création*socio=uv4 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 - à savoir*socio=rien que les questions*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 intéressent essentiellement la *socio=ac communauté internationale tout*socio=nil entière*socio=rien.*socio=nil La*socio=nil nécessité*socio=uv1 *socio=nil d'insérer les politiques*socio=et et pratiques*socio=et en matière*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien issu d'un*socio=rien accord*socio=et international*socio=te et bénéficiant du*socio=rien soutien*socio=uv3 général*socio=rien - quelles que soient les *socio=rien caractéristiques propres *socio=nil de ce système*socio=rien - *socio=rien est un aspect important*socio=uv4 *socio=nil de la réforme*socio=et monétaire*socio=ec1 internationale*socio=ac. Entre-temps*socio=rien, il convient de souligner que, même si les relations*socio=rien de parité*socio=ec1 ne se fondent pas sur*socio=rien des textes*socio=rien juridiques*socio=et, il incombe aux pays_membres*socio=ac de poursuivre leur effort*socio=uv1 de coopération*socio=uv1 et de continuer à tenir compte*socio=ec1, dans la conduite*socio=rien de leur politique*socio=et des taux_de_change*socio=ec1, de considérations*socio=rien internationales*socio=te, c'est-à-dire des intérêts*socio=uv1 des autres pays*socio=ac. 2 - La section*socio=rien intitulée Croissance*socio=uv3 et inflation*socio=ec1 essaie de déceler les principales*socio=rien tendances*socio=ec2 actuelles*socio=te de l'activité_économique*socio=ec1 et de les caractériser. Elle expose, notamment, les *socio=uv4 graves difficultés *socio=nil auxquelles se heurtent les principaux*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 lorsqu'ils veulent à la fois*socio=rien atteindre leurs objectifs*socio=uv3 de croissance*socio=uv3 et d'emploi*socio=ec1 et contenir la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1. A l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, ces difficultés*socio=uv4 qui, d'une *socio=rien manière générale,*socio=nil *socio=nil persistent depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 1960, se manifestent essentiellement par le maintien*socio=rien de taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 d'inflation*socio=ec1, dans *socio=rien un climat général d'*socio=nil expansion*socio=ec2 rapide *socio=nil de la production*socio=ec1 totale*socio=rien et de progression*socio=ec2 des taux*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien de la capacité*socio=uv3. Parmi les *socio=rien tâches difficiles de*socio=nil gestion*socio=ec2 économique*socio=ec1 *socio=nil que doivent remplir la plupart*socio=rien des pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 - et notamment les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 - il n'en est*socio=rien pas de plus urgente*socio=uv4 ni de plus importante*socio=uv4, à longue*socio=rien échéance*socio=te, que celle de parvenir à maîtriser*socio=rien et à réduire l'inflation*socio=ec1. 3 - La section*socio=rien intitulée Échanges*socio=ec1 et paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te décrit l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 dans le monde*socio=te, qui progresse à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te; elle donne un*socio=rien aperçu de la *socio=rien situation du compte*socio=ec1 courant *socio=nil et de la *socio=rien situation globale des*socio=nil paiements*socio=ec1 *socio=nil dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1, et examine l'évolution*socio=te *socio=rien récente du commerce*socio=ec1 *socio=nil et des paiements*socio=ec1 dans les pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien. Dans ce contexte*socio=rien, une *socio=rien question centrale est *socio=nil celle des perspectives*socio=te de réduction*socio=ec2 et d'élimination*socio=ec2 de l'important*socio=uv4 déséquilibre*socio=uv3 du*socio=rien compte*socio=ec1 courant*socio=rien de la balance_des_paiements*socio=ec1 des principaux*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 : l'élimination*socio=ec2 de ce déséquilibre*socio=uv3 a été*socio=rien le principal*socio=rien objectif*socio=uv3 des *socio=ec1 réalignements monétaires *socio=nil de 1971 et 1973 et elle est*socio=rien la *socio=rien condition préalable essentielle*socio=uv4 au*socio=nil fonctionnement efficace*socio=uv4 du processus*socio=te d'*socio=nil ajustement_international*socio=ec1.*socio=nil Sur la*socio=nil base des*socio=nil projections*socio=ec2 *socio=nil effectuées par les services_du_fonds*socio=ec1, et en tenant compte*socio=ec1 de la marge d'erreur*socio=uv4 inévitable*socio=rien, il semble que si les pays*socio=ac gèrent leur économie*socio=ec1 d'une manière*socio=rien assez raisonnable*socio=uv4, le déséquilibre*socio=uv3 du*socio=rien compte*socio=ec1 courant*socio=rien devrait s'atténuer quelque peu à partir de 1973, mais il ne faut pas s'attendre à un*socio=rien progrès*socio=uv1 substantiel*socio=rien dans la voie*socio=rien de l'ajustement*socio=et avant 1974, car les modifications*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 ne se répercutent sur*socio=rien les courants*socio=te commerciaux*socio=ec1 qu'avec *socio=rien un certain retard.*socio=nil *socio=nil On peut ajouter, à ce propos*socio=rien, que cette constatation*socio=rien confirme l'opinion*socio=uv1 exprimée, en *socio=rien mars dernier,*socio=nil *socio=nil par la plupart*socio=rien des Ministres*socio=ac des Finances*socio=ec1 et des autres experts*socio=ac, à savoir*socio=rien que la dépréciation*socio=ec2 *socio=rien effective du dollar_éu*socio=ec1 *socio=nil à laquelle aboutit le *socio=rien second réalignement monétaire*socio=ec1 était*socio=nil réaliste*socio=uv4 et*socio=nil adéquate*socio=uv2.*socio=nil L'*socio=nil importante*socio=uv4 modification *socio=nil de ces relations*socio=rien entre la *socio=rien deuxième quinzaine de*socio=nil mai *socio=nil et la *socio=rien deuxième quinzaine de*socio=nil juillet,*socio=nil *socio=nil due notamment, à une nouvelle*socio=rien dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 par rapport*socio=rien aux principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac, souleva deux *socio=rien questions connexes *socio=nil concernant a) la mesure*socio=rien dans laquelle les *socio=ec1 taux flottants reflètent*socio=nil bien*socio=rien les*socio=nil tendances*socio=ec2 fondamentales*socio=uv4 *socio=nil et aboutissent, par conséquent*socio=rien, à une structure*socio=ec1 des taux_de_change*socio=ec1 qui correspond à la situation*socio=rien réelle*socio=ec2 et b) la mesure*socio=rien dans laquelle il convient, par principe*socio=ec2, de laisser les taux*socio=ec1 au comptant sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1 s'écarter des taux*socio=ec1 que l'on considère comme appropriés à plus long_terme*socio=te. 4 - La section*socio=rien intitulée La situation*socio=rien monétaire*socio=ec1 internationale*socio=ac récente*socio=rien et les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 présente*socio=rien une étude*socio=ec2 *socio=rien générale préliminaire des*socio=nil effets des*socio=nil *socio=ec1 réalignements monétaires *socio=nil et de la plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien sur un groupe_de_pays*socio=ac *socio=nil qui constituent la *socio=rien majeure partie des*socio=nil pays_membres*socio=ac du Fonds*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil répercussions*socio=ec2 des*socio=nil modifications du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te sur les*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 *socio=nil devront nécessairement être*socio=rien étudiées par étapes*socio=te, à mesure*socio=rien que la signification*socio=uv3 de ces changements*socio=uv3 devient plus manifeste. Marchés*socio=ec1 des devises*socio=ec1 et de l'or*socio=ec1. Les crises*socio=uv2 qui se sont succédé depuis deux *socio=rien ans sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1 *socio=nil ont profondément modifié à la fois*socio=rien la structure*socio=ec1 des relations*socio=rien de parité*socio=ec1 entre les monnaies*socio=ec1 et la nature*socio=rien même *socio=rien du système des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1.*socio=nil Ces*socio=nil modifications,*socio=nil *socio=nil décrites au chapitre*socio=rien 3 et à l'Appendice*socio=rien 1, provenaient en partie*socio=rien de l'extrême*socio=uv4 mobilité*socio=uv3 avec laquelle les fonds*socio=ec1 pouvaient être*socio=rien transférés d'un*socio=rien marché*socio=ec1 à un*socio=rien autre, et *socio=rien du fait *socio=nil que les autorités*socio=et hésitaient à contrôler ou à empêcher ces mouvements_de_fonds*socio=ec1 ou n'y parvenaient pas. Ces mouvements*socio=ec2 se produisaient lorsque plusieurs grands*socio=rien pays*socio=ac enregistraient d'importants*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 des comptes*socio=ec1 extérieurs*socio=te de leur balance*socio=ec1 de base*socio=rien, et étaient, dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil *socio=nil suscités par l'attente d'ajustements*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 destinés à corriger ces déséquilibres*socio=uv3. Toutefois, certaines*socio=rien des modifications*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 qui s'ensuivaient avaient pour effet*socio=rien d'accroître encore les incertitudes*socio=uv3 qui perturbaient les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et de l'or*socio=ec1. Dans une telle atmosphère*socio=rien, il s'avéra que le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te ne pouvait plus continuer à fonctionner dans le cadre*socio=rien des dispositions*socio=et en vigueur*socio=uv3. Les taux_de_change*socio=ec1, de même que les dispositifs*socio=et qui les régissent, demeurent fluctuants. Les taux*socio=ec1 ne redeviendront plus stables*socio=uv4 que si le marché*socio=ec1 estime*socio=rien que les ajustements*socio=et nécessaires*socio=rien de balances_des_paiements*socio=ec1 sont en *socio=rien bonne voie,*socio=nil *socio=nil et il ne sera possible*socio=rien de rétablir *socio=rien un cadre juridique*socio=et plus*socio=nil stable*socio=uv4 *socio=nil que lorsque les négociations*socio=et sur*socio=rien la réforme*socio=et monétaire*socio=ec1 internationale*socio=ac auront abouti. On peut néanmoins examiner les modifications*socio=rien fondamentales*socio=uv4 *socio=rien du système des*socio=nil changes*socio=ec1 *socio=nil qui se sont peu à peu reflétées dans les opérations_courantes*socio=te. Au début*socio=rien de 1972, le système*socio=rien selon lequel la plupart*socio=rien des pays*socio=ac maintenaient dans des marges relativement étroites*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 de leur monnaie*socio=ec1 - par rapport*socio=rien au dollar_éu*socio=ec1, à la livre sterling*socio=ec1 ou au franc*socio=ec1 français*socio=rien - s'était mué en *socio=rien un système *socio=nil où les marges autorisées de fluctuations*socio=ec2 de part*socio=rien et d'autre des parités*socio=ec1 et des taux_centraux*socio=ec1 s'étaient élargies. Puis, au début*socio=rien de 1973, huit pays*socio=ac industriels*socio=ec1 européens*socio=ac se mirent d'accord*socio=rien pour que chacun maintienne dans des marges convenues les *socio=rien variations du taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil de sa propre*socio=rien monnaie*socio=ec1 par rapport*socio=rien aux seules*socio=rien monnaies*socio=ec1 des sept autres pays*socio=ac; les autres pays*socio=ac industriels*socio=ec1 et *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac de*socio=nil production*socio=ec1 primaire *socio=nil décidèrent soit de maintenir le flottement*socio=ec1 de leur monnaie*socio=ec1, soit de laisser flotter leur monnaie*socio=ec1, c'est-à-dire de ne plus maintenir les taux_de_change*socio=ec1 dans les limites*socio=rien convenues; d'autres encore, dont la presque totalité*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3, décidèrent de maintenir des taux*socio=ec1 relativement stables*socio=uv4 de leur monnaie*socio=ec1 par rapport*socio=rien à une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1, généralement le dollar_éu*socio=ec1, la livre sterling*socio=ec1 ou le franc*socio=ec1 français*socio=rien. Ces événements*socio=rien - dont on trouvera le récit*socio=rien détaillé au chapitre*socio=rien 3 et à l'Appendice*socio=rien 1 - ont profondément modifié les modalités*socio=rien, la portée*socio=rien et les objectifs*socio=uv3 de l'intervention*socio=et des autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, ainsi que les formes*socio=rien que prennent les *socio=et règlements officiels *socio=nil entre les pays*socio=ac. Ces changements*socio=uv3 ont eu pour effet*socio=rien de modifier considérablement*socio=rien le *socio=rien fonctionnement du marché*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1 dans*socio=nil un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Comme l'indiquait le Rapport*socio=rien annuel*socio=te de 1972, il ne semblait pas, à en juger par la période*socio=te qui a suivi immédiatement l'Accord*socio=et de Washington*socio=ac de décembre*socio=rien 1971, que celui-ci ait beaucoup contribué à rétablir la confiance*socio=uv1 dans le système*socio=rien des parités*socio=ec1 fixes. Le reflux*socio=rien généralement attendu des capitaux*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 vers les États-unis*socio=ac n'a atteint qu'un*socio=rien *socio=rien faible volume *socio=nil pendant le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1972 et le déficit*socio=ec1 persistant*socio=rien de la balance*socio=ec1 de base*socio=rien des États-unis*socio=ac a eu pour effet*socio=rien d'accroître encore les avoirs*socio=ec1 officiels*socio=et en dollars*socio=ec1 des autres pays*socio=ac, auxquels est*socio=rien venu encore s'ajouter le *socio=rien déferlement sur les*socio=nil principaux *socio=ac pays européens et*socio=nil sur*socio=rien le*socio=nil Japon *socio=nil d'une nouvelle*socio=rien vague de capitaux*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2. En février*socio=rien 1972, les monnaies*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 s'étaient fortement appréciées dans les limites*socio=rien des marges de fluctuation*socio=ec2 élargies convenues depuis peu, et ont été*socio=rien cotées à des primes*socio=ec1 variables*socio=rien contre le dollar_éu*socio=ec1 pendant le reste*socio=rien de l'année*socio=rien 1972 (graphiques*socio=rien 1 et 2). Le *socio=rien calme relatif *socio=nil qui a régné sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 étrangers*socio=te pendant le deuxième*socio=rien trimestre*socio=te était attribué à la baisse*socio=ec2 relative*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 en Europe*socio=ac et à un*socio=rien très *socio=rien net déplacement des*socio=nil mouvements_de_capitaux*socio=ec1 à*socio=nil long *socio=nil et à court_terme*socio=te vers les États-unis*socio=ac, mais il provenait peut-être aussi de la plus grande*socio=rien efficacité*socio=uv3 des mesures*socio=et destinées*socio=rien à empêcher la conversion*socio=ec2 de fonds*socio=ec1 à court_terme*socio=te en certaines*socio=rien monnaies*socio=ec1 fortes*socio=rien. Puis, vers la *socio=rien fin du premier semestre,*socio=nil une*socio=nil attaque spéculative*socio=ec2 massive *socio=nil se déclencha contre la livre sterling*socio=ec1. Le 23 juin*socio=rien, les autorités*socio=et du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac décidèrent de ne plus respecter les marges fixées pour leur monnaie*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et cessèrent d'appliquer l'accord*socio=et avec la communauté_économique_européenne*socio=ac (CEE*socio=et) prévoyant des marges étroites*socio=rien. Les monnaies*socio=ec1 de seize pays*socio=ac non européens*socio=ac suivirent l'exemple*socio=rien du*socio=rien sterling*socio=ec1 et commencèrent à flotter à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Cette *socio=rien première grande crise*socio=uv2 *socio=nil fut suivie d'importantes*socio=uv4 ventes*socio=ec1 spéculatives*socio=ec2 de dollars*socio=ec1 ÉU, ainsi que de lires italiennes*socio=ac et de couronnes danoises. Ces ventes*socio=ec1 incitèrent d'autres pays*socio=ac à s'adapter*socio=rien à l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien : l'Italie*socio=ac fut autorisée à régler sa dette*socio=ec1 au titre*socio=rien de l'accord*socio=et avec la CEE*socio=et en dollars*socio=ec1 ÉU plutôt qu'en proportion*socio=rien de ses divers éléments*socio=rien de réserve*socio=ec1; le Danemark*socio=ac cessa temporairement*socio=rien d'appliquer l'accord*socio=et avec la CEE*socio=et relatif*socio=rien aux marges étroites*socio=rien; de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et de contrôle*socio=uv3 furent imposées pour limiter*socio=rien les mouvements_de_capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te entre les pays*socio=ac de la CEE*socio=et. Le malaise*socio=rien constaté à la *socio=rien fin du premier semestre sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1 *socio=nil provoqua non seulement des variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 et des *socio=et interventions officielles *socio=nil (en *socio=rien majeure partie *socio=nil par les *socio=ac banques_centrales européennes *socio=nil et la Banque*socio=ac du*socio=rien Japon*socio=ac, et dans une *socio=rien certaine mesure *socio=nil aussi par le Federal Reserve System*socio=rien) mais aussi, sur*socio=rien les marchés_privés*socio=et, une *socio=rien hausse du prix*socio=ec1 *socio=nil de l'or*socio=ec1 qui passa d'environ 50 dollars*socio=ec1 l'once*socio=rien au début*socio=rien de mai*socio=rien à 70 dollars*socio=ec1 au début*socio=rien d'août*socio=rien (graphique*socio=rien 3) alors que son cours*socio=rien officiel*socio=et était de 38 dollars*socio=ec1. Cependant, une stabilisation*socio=et progressive*socio=rien des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 se produisit pendant la *socio=rien deuxième moitié *socio=nil de 1972, et se répercuta également sur*socio=rien le marché*socio=ec1 de l'or*socio=ec1. Les mesures*socio=et prises*socio=rien par *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 *socio=nil pour continuer à maintenir les taux_centraux*socio=ec1 fixés par l'Accord*socio=et de Washington*socio=ac, entre autres facteurs*socio=rien, ont contribué à atténuer les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Une certaine*socio=rien amélioration*socio=uv1 de la balance_des_paiements*socio=ec1 des États-unis*socio=ac est*socio=rien venue appuyer ces efforts*socio=uv1. *socio=rien Un reflux important*socio=uv4 de*socio=nil fonds*socio=ec1 à*socio=nil court_terme*socio=te d'*socio=nil Europe*socio=ac *socio=nil vers les États-unis*socio=ac (commencé pendant le deuxième*socio=rien trimestre*socio=te il avait été*socio=rien interrompu par la crise*socio=uv2 du*socio=rien sterling*socio=ec1) a eu lieu*socio=rien entre septembre*socio=rien et le début*socio=rien de novembre*socio=rien, mois*socio=rien au cours*socio=rien desquels les sorties de capitaux*socio=ec1 d'Allemagne*socio=ac et de Suisse*socio=ac furent particulièrement importantes*socio=uv4. Ce reflux*socio=rien vers les États-unis*socio=ac s'expliquait en partie*socio=rien par la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2, en septembre*socio=rien, des taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur*socio=rien le *socio=ec1 marché monétaire américain*socio=ac *socio=nil et par une certaine*socio=rien reprise de confiance*socio=uv1 dans l'économie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, qui enregistrait alors à la *socio=rien fois un taux_d'_expansion*socio=ec2 élevé*socio=uv4 et*socio=nil un ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de l'inflation*socio=ec1, grâce*socio=rien aux mesures*socio=et prises*socio=rien au titre*socio=rien de la phase*socio=te II pour limiter*socio=rien la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 et des revenus*socio=ec1. En même temps*socio=rien, les mesures*socio=et de contrôle*socio=uv3 des capitaux*socio=ec1 adoptées par les *socio=ac pays européens *socio=nil rendaient de plus en plus difficile*socio=rien le placement*socio=ec1 de fonds*socio=ec1 sur*socio=rien la plupart*socio=rien des *socio=ec1 marchés monétaires européens*socio=ac *socio=nil et d'autres mesures*socio=et prises*socio=rien par ces mêmes pays*socio=ac pour empêcher les entrées de capitaux*socio=ec1 augmentaient le coût*socio=ec1 de ces capitaux*socio=ec1 pour les emprunteurs*socio=ac ou en diminuaient le rendement*socio=ec1 pour les prêteurs*socio=ac. Cette politique*socio=et encouragea à liquider plutôt qu'à accroître les avoirs*socio=ec1 accumulés pendant la crise*socio=uv2 du*socio=rien sterling*socio=ec1. Cette évolution*socio=te permit au dollar_éu*socio=ec1 de se redresser par rapport*socio=rien aux principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 - et en particulier*socio=rien le *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil et le florin*socio=ec1 néerlandais*socio=ac - pendant le *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1972. Cependant, la plupart*socio=rien des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac continuèrent à faire prime sur*socio=rien le dollar*socio=ec1, les banques_centrales*socio=ac réduisant leurs avoirs*socio=ec1 en devises*socio=ec1 plutôt que de laisser baisser la valeur*socio=ec1 de leur propre*socio=rien monnaie*socio=ec1. Le sterling*socio=ec1 resta faible*socio=rien et la lire italienne*socio=ac dut subir la pression*socio=ec2 de ventes*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 intérieur*socio=te provoquées par d'importantes*socio=uv4 sorties de capitaux*socio=ec1. La *socio=rien fermeté du yen*socio=ec1 japonais*socio=ac *socio=nil s'expliquait par le volume*socio=rien assez substantiel*socio=rien d'entrées de capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te au Japon*socio=ac ainsi que par l'important*socio=uv4 excédent*socio=ec1 de la balance_commerciale*socio=ec1 de ce pays*socio=ac. Les progrès*socio=uv1 qu'avaient semblé faire, pendant le *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1972, le rétablissement*socio=rien de la confiance*socio=uv1 et une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 ne se sont pas confirmés au début*socio=rien de 1973. Au contraire*socio=rien, une succession*socio=rien de *socio=rien facteurs nouveaux *socio=nil ébranla la confiance*socio=uv1 et précipita une grave*socio=uv4 crise*socio=uv2 monétaire*socio=ec1 internationale*socio=ac. Ce furent, entre autres, la crainte*socio=uv1 de nouvelles*socio=rien *socio=ec2 pressions inflationnistes aux*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil lorsque le Gouvernement*socio=ac mit fin*socio=rien, en janvier*socio=rien 1973, à la phase*socio=te II de son programme*socio=et de contrôle*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et des salaires*socio=ec1, ainsi que la *socio=rien réaction du marché*socio=ec1 *socio=nil à la spectaculaire*socio=rien détérioration*socio=uv4 du*socio=rien compte*socio=ec1 courant*socio=rien de la balance_des_paiements*socio=ec1 américaine*socio=ac entre 1971 et 1972 et la persistance*socio=te d'une balance_des_paiements*socio=ec1 excédentaire*socio=rien au Japon*socio=ac et dans d'autres pays*socio=ac. En outre, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 européens*socio=ac du*socio=rien marché*socio=ec1 à court_terme*socio=te avaient amorcé dans les *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1972 une forte*socio=rien poussée à la hausse*socio=rien qui se poursuivit en 1973 (voir graphique*socio=rien 8). Ce relèvement*socio=ec2 des taux*socio=ec1 reflétait une évolution*socio=te générale*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et européenne*socio=ac, provoquée par l'inquiétude*socio=rien *socio=rien grandissante devant le*socio=nil renforcement*socio=ec2 des*socio=nil *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil La*socio=nil hausse*socio=rien des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 réduisait*socio=nil considérablement*socio=rien l'*socio=nil attrait*socio=rien *socio=nil que présentait l'investissement*socio=ec1 de fonds*socio=ec1 en avoirs*socio=ec1 en dollars*socio=ec1, malgré la progression*socio=ec2 continue*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 américains*socio=ac à court_terme*socio=te. Un*socio=rien autre facteur*socio=rien qui militait contre le renforcement*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1 sur*socio=rien certains marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 étrangers*socio=te vers la fin*socio=rien de 1972 était son utilisation*socio=rien en tant que monnaie*socio=ec1 véhiculaire pour les sorties de fonds*socio=ec1 en provenance*socio=rien d'Italie*socio=ac. (Jusqu'à la *socio=rien fin novembre,*socio=nil la*socio=nil faiblesse*socio=ec2 relative du sterling*socio=ec1 *socio=nil a sans doute*socio=rien exercé *socio=rien un effet analogue sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1)*socio=nil .*socio=nil *socio=nil Pendant la *socio=rien deuxième quinzaine de*socio=nil janvier *socio=nil 1973, les autorités*socio=et italiennes*socio=ac ont annoncé l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien double*socio=rien marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1 pour la lire, visant à enrayer les sorties de capitaux*socio=ec1 et l'amenuisement*socio=ec2 des réserves*socio=ec1. S'il eut pour effet*socio=rien d'abaisser considérablement*socio=rien le taux*socio=ec1 de la lire financière*socio=ec1 et de diminuer la pression*socio=ec2 sur*socio=rien le taux*socio=ec1 de la lire commerciale*socio=ec1, ce dispositif*socio=et n'empêcha pas une accélération*socio=ec2 des sorties de capitaux*socio=ec1 par l'intermédiaire*socio=rien *socio=rien du nouveau marché*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1 *socio=nil pour les transactions*socio=ec1 en capital*socio=ec1. Les mouvements_de_fonds*socio=ec1 en provenance*socio=rien d'Italie*socio=ac étaient pour la plupart*socio=rien orientés vers la Suisse*socio=ac, où ils menaçaient d'accroître les difficultés*socio=uv4 que soulève la gestion*socio=ec2 des liquidités*socio=ec1 intérieures*socio=te, malgré le *socio=rien blocage partiel des*socio=nil contreparties*socio=ec1 en*socio=nil francs*socio=ec1 *socio=nil suisses des entrées de capitaux*socio=ec1. Devant*socio=rien ces problèmes*socio=uv4, la *socio=ac banque_nationale Suisse *socio=nil annonça qu'elle se retirait temporairement*socio=rien des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 étrangers*socio=te. En conséquence*socio=rien, le taux*socio=ec1 du*socio=rien franc*socio=ec1 suisse*socio=ac dépassa d'une prime d'environ 6 pour 100 le taux*socio=ec1 fixé par l'Accord*socio=et de Washington*socio=ac. A la suite*socio=rien de ces événements*socio=rien, d'importantes*socio=uv4 ventes*socio=ec1 spéculatives*socio=ec2 de dollars*socio=ec1 ÉU se produisirent pendant la *socio=rien dernière semaine de*socio=nil janvier *socio=nil et au début*socio=rien de février*socio=rien, et la plupart*socio=rien des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 s'apprécièrent fortement par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1. Pendant les dix *socio=rien premiers jours de*socio=nil février,*socio=nil l'*socio=nil afflux*socio=ec1 de*socio=nil dollars*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil dans les réserves_officielles*socio=et des *socio=ac pays européens et*socio=nil du*socio=rien Japon,*socio=nil *socio=nil atteignit près de 10 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Le 12 février*socio=rien, les autorités*socio=et américaines*socio=ac annoncèrent que le Président*socio=ac demanderait au Congrès*socio=ac d'autoriser une réduction*socio=ec2 de 10 pour 100 de la parité*socio=ec1 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 par rapport*socio=rien aux droits_de_tirage_spéciaux*socio=rien (DTS). En réponse*socio=rien à la *socio=rien mesure prise *socio=nil par les États-unis*socio=ac, les autorités*socio=et de la plupart*socio=rien des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 décidèrent de ne pas modifier le pair*socio=rien ou le taux*socio=ec1 central*socio=rien de leurs monnaies*socio=ec1 respectives*socio=rien en termes*socio=rien de DTS ou d'or*socio=ec1, laissant ainsi la dévaluation*socio=ec2 proposée du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 se refléter intégralement sur*socio=rien leur propre*socio=rien taux_de_change*socio=ec1. Les trois principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 qui flottaient d'ores et déjà - la livre sterling*socio=ec1, le dollar_canadien*socio=ec1 et le franc*socio=ec1 suisse*socio=ac - continuèrent de flotter et les autorités*socio=et japonaises*socio=ac et italiennes*socio=ac décidèrent de laisser flotter leurs monnaies*socio=ec1. Pendant la *socio=rien deuxième quinzaine de*socio=nil février *socio=nil 1973, les transactions*socio=ec1 sur*socio=rien devises*socio=ec1 restèrent très variables*socio=rien et les taux_de_change*socio=ec1 fluctuèrent d'une manière*socio=rien assez générale*socio=rien. Les positions*socio=rien spéculatives*socio=ec2 restèrent dans l'ensemble*socio=rien inchangées*socio=rien, l'attente de *socio=rien nouvelles modifications des*socio=nil relations de*socio=nil parité*socio=ec1 *socio=nil l'emportant sur*socio=rien les *socio=rien considérations techniques *socio=nil qui, sans cela, auraient pu inciter les investisseurs*socio=ac qui détenaient d'autres monnaies*socio=ec1 à *socio=rien titre temporaire *socio=nil à les reconvertir en dollars*socio=ec1. En outre, une vague de spéculation*socio=ec1 déferla sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de l'or*socio=ec1 lorsque le *socio=rien cours sur le*socio=nil marché*socio=ec1 de*socio=nil Londres*socio=ac *socio=nil dépassa 90 dollars*socio=ec1 l'once*socio=rien. La spéculation*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de l'or*socio=ec1 et les *socio=rien rumeurs persistantes *socio=nil quant à la possibilité*socio=rien d'un*socio=rien flottement*socio=ec1 commun*socio=uv2 des monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac provoquèrent, à la fin*socio=rien de février*socio=rien, de nouvelles*socio=rien ventes*socio=ec1 massives*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU, pour la plupart*socio=rien en échange*socio=ec1 des monnaies*socio=ec1 pour lesquelles les autorités*socio=et nationales*socio=te observaient alors les marges convenues pour les transactions*socio=ec1 de change*socio=ec1. Devant*socio=rien des offres*socio=rien de dollars*socio=ec1 sans précédent*socio=rien, en particulier*socio=rien en contrepartie*socio=rien de deutsche*socio=ec1 marks et la conviction*socio=uv1 de plus en plus répandue sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 que le système*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 fixes n'était pas viable*socio=uv4 dans la situation*socio=rien actuelle*socio=te, et que la crise*socio=uv2 serait vraisemblablement*socio=rien de longue*socio=rien durée*socio=te, les principales*socio=rien *socio=ac banques_centrales européennes *socio=nil et la Banque*socio=ac du*socio=rien Japon*socio=ac décidèrent de fermer leurs marchés*socio=ec1 officiels*socio=et des devises*socio=ec1 le 2 mars*socio=rien, et ceux-ci restèrent fermés jusqu'au 19 mars*socio=rien, cependant que les autorités*socio=et s'efforçaient de dénouer la crise*socio=uv2. Après*socio=rien une série de réunions*socio=rien intergouvernementales, six pays_membres*socio=ac de la communauté_économique_européenne*socio=ac (CEE*socio=et) - l'Allemagne*socio=ac, la Belgique*socio=ac, le Danemark*socio=ac, la France*socio=ac, le Luxembourg*socio=ac et les Pays-bas*socio=ac - résolurent de maintenir l'accord*socio=et limitant à 2,25 pour 100 les fluctuations*socio=ec2 entre leurs monnaies*socio=ec1, mais de ne plus garantir le maintien*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 pour le dollar_éu*socio=ec1 dans les marges convenues antérieurement*socio=rien. Le Conseil_de_la_cee*socio=et décida qu'une consultation*socio=uv1 étroite*socio=rien et suivie sur*socio=rien les questions*socio=rien monétaires*socio=ec1 serait maintenue entre les autorités*socio=et nationales*socio=te concernées. Pour faciliter l'ajustement*socio=et ordonné des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 au *socio=rien nouvel état de*socio=nil choses,*socio=nil les*socio=nil autorités*socio=et allemandes*socio=ac *socio=nil décidèrent de réévaluer de 3 pour 100 le *socio=ec1 deutsche mark par*socio=nil rapport*socio=rien *socio=nil au DTS. La Norvège*socio=ac et la Suède*socio=ac ne tardèrent pas à s'associer à l'accord*socio=et spécial*socio=rien conclu entre les six membres*socio=ac de la CEE*socio=et susmentionnés*socio=rien. Trois pays_membres*socio=ac de la CEE*socio=et - le Royaume-uni*socio=ac, l'Italie*socio=ac qui laissaient encore leurs monnaies*socio=ec1 flotter en dehors des marges fixées par l'accord*socio=et, et l'Irlande*socio=ac, dont la monnaie*socio=ec1 demeurait liée à la livre sterling*socio=ec1 - exprimèrent l'intention*socio=rien de s'y associer dès que les circonstances*socio=rien le permettraient. Entre la mi-mars et le début*socio=rien de mai*socio=rien, la spéculation*socio=ec1 fut réduite au minimum*socio=rien et *socio=rien un calme relatif *socio=nil régna tant sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 que sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de l'or*socio=ec1. Toutefois, à l'exception*socio=rien du*socio=rien Japon*socio=ac qui enregistra pendant cette période*socio=te d'importantes*socio=uv4 sorties de fonds*socio=ec1, il ne se produisit apparemment pas de *socio=rien reflux net substantiel de*socio=nil fonds*socio=ec1 *socio=nil indiquant une diminution*socio=ec2 des capitaux*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 accumulés au début*socio=rien de l'année*socio=rien. Puis, le *socio=rien repli du dollar_éu*socio=ec1 par*socio=nil rapport *socio=nil à la plupart*socio=rien des monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac s'accentua sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Pendant cette période*socio=te, les monnaies*socio=ec1 des pays*socio=ac de la CEE*socio=et signataires*socio=rien de l'accord*socio=et sur*socio=rien des marges étroites*socio=rien s'apprécièrent fortement par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1 mais les fluctuations*socio=ec2 des valeurs*socio=ec1 des monnaies*socio=ec1 imposèrent des pressions*socio=ec2 *socio=rien considérables sur *socio=nil les marges convenues. Désirant préserver les arrangements*socio=et intervenus au *socio=rien sein du Groupe*socio=ac *socio=nil de la CEE*socio=et et compte*socio=ec1 tenu de l'évolution*socio=te récente*socio=rien et des perspectives*socio=te prévisibles*socio=uv4 de sa balance_des_paiements*socio=ec1, l'Allemagne*socio=ac réévalua de nouveau*socio=rien le *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil de 5,5 pour 100 le 29 juin*socio=rien. Le 10 juillet*socio=rien, le Federal Reserve System*socio=rien annonça une augmentation*socio=ec2 de 6,25 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 disponibles*socio=rien au titre*socio=rien des accords*socio=et de paiements*socio=ec1 réciproques*socio=uv2 qu'il a signés avec 14 autres banques_centrales*socio=ac et la banque_des_règlements_internationaux*socio=ac. Cet accroissement*socio=ec2 portait à près de 18 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 le montant*socio=ec1 total*socio=rien éventuellement disponible*socio=rien au titre*socio=rien de ces accords*socio=et. Au *socio=rien milieu du mois de*socio=nil juillet,*socio=nil la*socio=nil valeur*socio=ec1 des*socio=nil monnaies*socio=ec1 des*socio=nil pays*socio=ac signataires *socio=nil de l'accord*socio=et sur*socio=rien les marges étroites*socio=rien, du*socio=rien franc*socio=ec1 suisse*socio=ac et du*socio=rien schilling autrichien exprimée en dollars*socio=ec1 avait augmenté dans des proportions*socio=rien variant entre 9 et 18 pour 100 par rapport*socio=rien aux taux*socio=ec1 pratiqués au début*socio=rien de mai*socio=rien. Pendant la même période*socio=te la valeur*socio=ec1 de la livre sterling*socio=ec1 et de la lire italienne*socio=ac n'avait, dans l'ensemble*socio=rien, que peu augmenté, tandis que celle du*socio=rien yen*socio=ec1 japonais*socio=ac et du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1 avait relativement peu varié. La forte*socio=rien dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 étrangers*socio=te des changes*socio=ec1 a provoqué (comme ce fut le *socio=rien cas lors d'*socio=nil attaques*socio=ec2 antérieures*socio=te *socio=nil contre les monnaies*socio=ec1 de réserve*socio=ec1) une vague de spéculation*socio=ec1 sur*socio=rien tous les marchés*socio=ec1 de l'or*socio=ec1 dans le monde*socio=te; à Londres*socio=ac, le cours*socio=rien de l'or*socio=ec1 atteignit 127 dollars*socio=ec1 l'once*socio=rien au début*socio=rien de juin*socio=rien avant de retomber à 114 - 126 dollars*socio=ec1 l'once*socio=rien au milieu*socio=rien de juillet*socio=rien. La succession*socio=rien des récentes*socio=rien crises*socio=uv2 monétaires*socio=ec1, l'instabilité*socio=uv3 *socio=rien continue sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1 *socio=nil au comptant, et le renforcement*socio=ec2 des mesures*socio=et de contrôle*socio=uv3 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 se sont répercutés sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 à terme*socio=rien (graphique*socio=rien 4), tant en ce qui concerne les cours*socio=rien des changes*socio=ec1 à terme*socio=rien que le fonctionnement*socio=rien de ces marchés*socio=ec1 pour la couverture*socio=ec1 à terme*socio=rien des opérations*socio=rien financières*socio=ec1 internationales*socio=te. La plupart*socio=rien des cours*socio=rien à terme*socio=rien pour la conversion*socio=ec2 de dollars*socio=ec1 ÉU comportaient une prime par rapport*socio=rien aux cours*socio=rien au comptant correspondants*socio=rien, la raison*socio=rien en étant essentiellement l'impossibilité*socio=rien de prévoir quelle sera la stabilité*socio=uv3 des relations*socio=rien de parités*socio=ec1 à l'approche de l'échéance*socio=te. Toutefois, pendant certaines*socio=rien périodes*socio=te cruciales*socio=uv4 des deux *socio=rien dernières années *socio=nil il fut *socio=rien temporairement impossible d'*socio=nil obtenir *socio=nil des cambistes les cotations habituelles*socio=rien de cours*socio=rien à terme*socio=rien pour *socio=rien un certain nombre de*socio=nil monnaies*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 à*socio=nil court_terme*socio=te aux*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil étant généralement inférieurs*socio=rien à ceux pratiqués dans la plupart*socio=rien des grands*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 (les *socio=rien principales exceptions *socio=nil étant le Canada*socio=ac et la Suisse*socio=ac), la structure*socio=ec1 des taux*socio=ec1 à terme*socio=rien appliqués pendant la *socio=rien majeure partie *socio=nil de 1972 et la *socio=rien première moitié *socio=nil de 1973 aboutit à des écarts*socio=ec2 entre les taux*socio=ec1 pour la couverture*socio=ec1 à terme*socio=rien qui tendaient à encourager les sorties de capitaux*socio=ec1 des États-unis*socio=ac. en particulier*socio=rien au milieu*socio=rien de 1972, puis à nouveau*socio=rien en février*socio=rien et mars*socio=rien 1973, une importante*socio=uv4 prime à *socio=rien terme sur le*socio=nil *socio=ec1 deutsche mark est*socio=rien *socio=nil venue accroître l'écart*socio=ec2 substantiel*socio=rien entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur*socio=rien le court_terme*socio=te non couvert pratiqués en Allemagne*socio=ac et aux États-unis*socio=ac; il en est*socio=rien résulté un*socio=rien accroissement*socio=ec2 exceptionnel*socio=uv4 de l'écart*socio=ec2 entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 pratiqués dans ces deux pays*socio=ac sur*socio=rien le court_terme*socio=te couvert. Croissance*socio=uv3 et inflation*socio=ec1. Dans l'ensemble*socio=rien du*socio=rien monde*socio=te, la production*socio=ec1 totale*socio=rien a augmenté de 5,5 pour 100 entre 1971 et 1972 - soit un*socio=rien chiffre très supérieur*socio=rien à la croissance*socio=uv3 annuelle*socio=te moyenne*socio=rien de 3,75 pour 100 enregistrée de 1969 à 1971, et nettement plus élevé*socio=uv4 que la moyenne*socio=rien enregistrée pendant les années*socio=rien 1960 (tableau*socio=rien 1). Au début*socio=rien de 1972, après*socio=rien deux années*socio=rien d'activité_économique*socio=ec1 ralentie, le taux*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 dans le monde*socio=te industriel*socio=ec1 était dans l'ensemble*socio=rien plus faible*socio=rien qu'il ne l'avait été*socio=rien depuis 1958; les grands*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 où il était particulièrement bas*socio=rien étaient les États-unis*socio=ac, le Canada*socio=ac, le Royaume-uni*socio=ac, le Japon*socio=ac et l'Italie*socio=ac. Toutefois, les mesures*socio=et prises*socio=rien par ces pays*socio=ac pour accélérer la relance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 commençaient à donner des résultats*socio=rien dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac - notamment aux États-unis*socio=ac. Pendant les deux semestres*socio=rien de 1972, la croissance*socio=uv3 globale*socio=rien des pays*socio=ac industriels*socio=ec1, mesurée par le produit_national_brut*socio=ec1 (PNB*socio=ec1) réel*socio=rien, atteignit un*socio=rien taux*socio=ec1 annuel*socio=te moyen*socio=rien d'environ 6 pour 100, ce qui coïncidait avec une accélération*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 au cours*socio=rien de l'année*socio=rien. C'est*socio=rien dans *socio=rien un climat de*socio=nil forte hausse des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil - qui se poursuivit obstinément en 1972 malgré la détente*socio=rien provoquée par une baisse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 (tableau*socio=rien 2) que les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 s'efforcèrent d'accélérer et de soutenir la reprise économique*socio=ec1 par des mesures*socio=et monétaires*socio=ec1 et budgétaires*socio=et. Un*socio=rien autre facteur*socio=rien stabilisant fut l'échelonnement*socio=rien progressif*socio=rien de l'évolution*socio=te cyclique*socio=te dans les principaux*socio=rien pays*socio=ac. Les *socio=ec1 économies industrielles en*socio=nil Europe*socio=ac,*socio=nil *socio=nil comme l'économie*socio=ec1 japonaise*socio=ac, étaient dans une phase*socio=te d'expansion*socio=ec2 au moment*socio=rien où se produisit la récession*socio=ec2 aux États-unis*socio=ac, et ce n'est*socio=rien qu'en 1971 qu'elles atteignirent le point*socio=rien le plus bas*socio=rien de leur cycle*socio=te - c'est-à-dire longtemps après*socio=rien que les États-unis*socio=ac eurent amorcé leur phase*socio=te ascendante*socio=rien (graphique*socio=rien 5). Reflétant cette évolution*socio=te, l'accroissement*socio=ec2 de la production*socio=ec1 totale*socio=rien entre 1971 et 1972 fut très inférieur*socio=rien à la moyenne*socio=rien enregistrée pendant les années*socio=rien 1960 au Japon*socio=ac, en Allemagne*socio=ac et en Italie*socio=ac, ainsi qu'en Belgique*socio=ac, aux Pays-bas*socio=ac et en Suède*socio=ac. Au Royaume-uni*socio=ac, l'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien PNB*socio=ec1 réel*socio=rien en 1971-72 fut également inférieure*socio=rien au taux*socio=ec1 moyen*socio=rien, malgré une très forte*socio=rien reprise en 1972, tandis qu'en France*socio=ac, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 totale*socio=rien, qui avait légèrement baissé en 1971, reprit son rythme*socio=ec2 en 1972. Le raffermissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te aux États-unis*socio=ac en 1972 fut très sensible*socio=rien, et essentiellement responsable*socio=uv2 de l'accélération*socio=ec2 du*socio=rien rythme*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 du*socio=rien monde*socio=te industriel*socio=ec1, dans son ensemble*socio=rien. Pendant les cinq*socio=rien trimestres*socio=te se terminant à la fin*socio=rien de 1972, le PNB*socio=ec1 réel*socio=rien s'accrut à un*socio=rien taux*socio=ec1 annuel*socio=te supérieur*socio=rien à 7 pour 100 - ce qui diminua l'écart*socio=ec2 substantiel*socio=rien entre le PNB*socio=ec1 potentiel*socio=rien et réel*socio=rien. Au Canada*socio=ac, le taux_d'_expansion*socio=ec2 s'est*socio=rien accru vers la fin*socio=rien de 1972, *socio=rien après un bref ralentissement*socio=ec2 *socio=nil vers le milieu*socio=rien de l'année*socio=rien; le taux_de_croissance*socio=ec1 pour l'ensemble*socio=rien de 1972, qui était de 5,75 pour 100, fut analogue*socio=rien à celui enregistré en 1971. Contrairement au ralentissement*socio=ec2 et à la reprise marqués de l'activité*socio=rien des principaux*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil variations cycliques*socio=te globales *socio=nil dans l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien n'ont pas été*socio=rien très prononcées. Elles n'ont pas non plus touché plusieurs pays*socio=ac et régions*socio=te importants*socio=uv4. Le PNB*socio=ec1 réel*socio=rien dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien en Europe*socio=ac (par exemple*socio=rien la Finlande*socio=ac, la Grèce, le Portugal*socio=ac et l'Espagne*socio=ac) augmenta à un*socio=rien rythme*socio=ec2 plus rapide*socio=rien de 1971 à 1972 que de 1970 à 1971. Par contre, un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 fut observé en Australie*socio=ac, et le PNB*socio=ec1 réel*socio=rien de la Nouvelle-zélande*socio=ac continua de s'accroître très lentement. La croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 totale*socio=rien dans les pays*socio=ac moins développés*socio=uv4 au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années *socio=nil évolua parallèlement à celle des pays_industrialisés*socio=ac, et la transmission*socio=rien des mouvements_cycliques*socio=ec1 par l'intermédiaire*socio=rien *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 est assez*socio=nil évidente (*socio=nil tableau *socio=nil 3). Toutefois, dans l'ensemble*socio=rien, l'activité_économique*socio=ec1 dans les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 semble s'être*socio=rien relativement bien*socio=rien maintenue en 1970 et 1971 - ce que l'on peut attribuer au moins en partie*socio=rien au maintien*socio=rien de la *socio=rien position forte *socio=nil de leur balance_globale*socio=ec1 des paiements*socio=ec1 (comme on l'indique plus loin*socio=rien); l'accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 maintenant enregistrée pour 1972 semble avoir été*socio=rien très faible*socio=rien. Cela est*socio=rien essentiellement dû aux pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac et d'amérique_latine*socio=ac. Reflétant l'évolution*socio=te particulière*socio=rien de l'industrie*socio=ec1 pétrolière*socio=ec1, la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PNB*socio=ec1 réel*socio=rien dans le Moyen-orient*socio=ac de 1971 à 1972 s'est*socio=rien maintenue à *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil tandis que la production*socio=ec1 totale*socio=rien des pays*socio=ac d'Asie*socio=ac augmenta en 1972 à peu près au même rythme*socio=ec2 (environ 4 pour 100) qu'en 1971. L'accroissement*socio=ec2 du*socio=rien PNB*socio=ec1 réel*socio=rien en Inde*socio=ac fut très faible*socio=rien pour la *socio=rien deuxième année consécutive.*socio=nil *socio=nil Alors que l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 pris dans leur ensemble*socio=rien se poursuivit assez régulièrement de 1971 à 1972, il semble que la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 se soit fortement accentuée. On ne dispose pas d'indices d'ajustement*socio=et du*socio=rien PNB*socio=ec1 pour la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac, mais les données sur*socio=rien les prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 donnent à penser que cette accélération*socio=ec2 fut générale*socio=rien sans cependant avoir été*socio=rien universelle*socio=uv2; elle fut particulièrement marquée dans les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 de l'hémisphère_occidental*socio=te (tableau*socio=rien 4). L'extraordinaire*socio=rien gonflement*socio=ec2 des prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil monnaies*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil dû en partie*socio=rien au réalignement*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 de décembre*socio=rien 1971, explique dans une *socio=rien large mesure cette*socio=nil hausse.*socio=nil *socio=nil Si l'on se *socio=rien base sur l'*socio=nil année civile*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil changements*socio=uv3 annuels*socio=te récents *socio=nil de l'activité_économique*socio=ec1 et des prix*socio=ec1 donnent une *socio=rien idée incomplète *socio=nil de la dynamique*socio=uv4 de la situation*socio=rien actuelle*socio=te. On estime*socio=rien que, *socio=rien du deuxième semestre *socio=nil de 1972 au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1973, le PNB*socio=ec1 *socio=rien réel total des*socio=nil pays*socio=ac industriels*socio=ec1 *socio=nil a augmenté à un*socio=rien taux*socio=ec1 annuel*socio=te supérieur*socio=rien à 7 pour 100, et le taux_d'_accroissement*socio=ec2 de la production*socio=ec1 mondiale*socio=te n'a peut-être pas *socio=rien été bien *socio=nil en deçà de ce chiffre. Cependant que l'expansion*socio=ec2 américaine*socio=ac se poursuivait à un*socio=rien rythme*socio=ec2 rapide*socio=rien, l'activité_économique*socio=ec1 s'accélérait fortement (par rapport*socio=rien aux taux_de_croissance*socio=ec1 enregistrés de 1971 à 1972) au Canada*socio=ac, en Allemagne*socio=ac, au Royaume-uni*socio=ac et dans plusieurs pays*socio=ac industriels*socio=ec1 de *socio=rien moindre superficie.*socio=nil Au*socio=nil Japon*socio=ac,*socio=nil *socio=nil également, l'essor*socio=rien cyclique*socio=te qui s'était produit*socio=rien à la fin*socio=rien de 1972 se poursuivit pendant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1973. Il ne semble pas que cette extraordinaire*socio=rien expansion*socio=ec2 soit due à *socio=rien un seul facteur.*socio=nil *socio=nil Pendant le *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1972, les conditions*socio=ec1 favorables*socio=uv4 à une expansion*socio=ec2 cyclique*socio=te générale*socio=rien avaient été*socio=rien réalisées grâce*socio=rien à des politiques_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et expansionnistes*socio=ec2. Au cours*socio=rien des derniers*socio=rien trimestres*socio=te, au fur*socio=rien et à mesure*socio=rien qu'augmentait le taux*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 l'évolution*socio=te cyclique*socio=te fut marquée par un*socio=rien accroissement*socio=ec2 considérable*socio=rien de l'investissement*socio=ec1 réel*socio=rien cette évolution*socio=te fut apparemment liée à une forte*socio=rien expansion*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil échanges*socio=ec1 extérieurs*socio=te,*socio=nil *socio=nil notamment entre les *socio=ac pays européens.*socio=nil La*socio=nil constitution*socio=rien de*socio=nil stocks*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil dont les variations*socio=rien cycliques*socio=te sont souvent liées à la fois*socio=rien à celles de l'investissement*socio=ec1 et du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te, a probablement contribué dans une *socio=rien large mesure *socio=nil à l'expansion*socio=ec2 en Allemagne*socio=ac, au Japon*socio=ac et au Canada*socio=ac. La croissance*socio=uv3 de la consommation*socio=ec1 réelle*socio=ec2 a eu une structure*socio=ec1 plus régulière*socio=ec2 et plus uniforme*socio=uv4, mais son taux*socio=ec1 était généralement plus élevé*socio=uv4. L'essor*socio=rien général*socio=rien de l'activité_économique*socio=ec1 réelle*socio=ec2 au cours*socio=rien des derniers*socio=rien trimestres*socio=te coïncidait avec une accélération*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1. Comme le prévoyait le Rapport*socio=rien annuel*socio=te de l'année*socio=rien dernière*socio=rien, l'inflation*socio=ec1 se ralentit dans certains grands*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 en 1972 (tableau*socio=rien 2), ce qui provenait, notamment, *socio=rien du retard *socio=nil avec lequel l'accroissement*socio=ec2 de la productivité*socio=uv3 s'est*socio=rien répercuté sur*socio=rien les coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien (indice *socio=rien du début *socio=nil d'une reprise cyclique*socio=te); la politique*socio=et des revenus*socio=ec1 y contribua également dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil *socio=nil notamment aux États-unis*socio=ac. Cette évolution*socio=te favorable*socio=uv4 ne se poursuivit pas au début*socio=rien de 1973. On estime*socio=rien que les indices d'ajustement*socio=et du*socio=rien PNB*socio=ec1 pour les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 ont augmenté en moyenne*socio=rien par an*socio=rien de plus de 6 pour 100 pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1973, contre 4,25 pour 100 entre le premier*socio=rien et le *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1972. Bien*socio=rien que cette accélération*socio=ec2 puisse être*socio=rien attribuée pour une *socio=rien large part *socio=nil à l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien aux États-unis*socio=ac, elle se produisit également au Japon*socio=ac, en Allemagne*socio=ac, en Italie*socio=ac et dans *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'autres pays*socio=ac; et il n'y eut dans aucun pays*socio=ac industriel*socio=ec1 (à de *socio=rien rares exceptions *socio=nil près) de preuve*socio=ec2 tangible*socio=rien que les autorités*socio=et parvenaient mieux à contenir la poussée des prix*socio=ec1. Il n'est*socio=rien pas facile*socio=rien d'évaluer dans quelle mesure*socio=rien la hausse*socio=rien accélérée des prix*socio=ec1 peut être*socio=rien attribuée à la "surchauffe" au *socio=rien sens habituel du mot,*socio=nil *socio=nil c'est-à-dire à la demande_globale*socio=ec1 excédentaire*socio=rien. Au début*socio=rien de 1973, les niveaux*socio=rien d'utilisation*socio=rien de la capacité*socio=uv3, tels qu'ils ressortent des indicateurs*socio=ec1 (imparfaits il *socio=rien est vrai)*socio=nil *socio=nil dont on dispose, n'étaient pas anormalement élevés*socio=uv4 par rapport*socio=rien à ceux enregistrés jusque-là dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac industriels*socio=ec1. Il n'est*socio=rien, cependant, pas douteux*socio=uv2 que les *socio=rien variations rapides *socio=nil de ces niveaux*socio=rien et l'orientation*socio=et assez uniforme*socio=uv4 desdites variations*socio=rien dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac y ont contribué. Dans une très *socio=rien large mesure,*socio=nil la*socio=nil nouvelle *socio=nil flambée des prix*socio=ec1 doit être*socio=rien attribuée à des causes*socio=rien plus particulières*socio=rien : par exemple*socio=rien, l'approvisionnement*socio=ec1 insuffisant*socio=uv4 qui explique la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1 tant en Europe*socio=ac qu'aux États-unis*socio=ac, le relâchement*socio=ec2 des contrôles*socio=et des prix*socio=ec1 et l'attente d'une hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 *socio=rien lors du passage *socio=nil de la phase*socio=te II à la phase*socio=te III de la politique*socio=et américaine*socio=ac des prix*socio=ec1 et des revenus*socio=ec1, ainsi que la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 non alimentaires*socio=ec1 due non seulement au renforcement*socio=ec2 général*socio=rien de l'activité*socio=rien industrielle*socio=ec1, mais aussi à la reconstitution*socio=ec2 des stocks*socio=ec1 et à des achats*socio=ec1 de caractère*socio=rien spéculatif*socio=uv2. La hausse*socio=rien des *socio=ec1 prix alimentaires fut*socio=nil *socio=rien un facteur particulièrement*socio=nil important*socio=uv4 dans*socio=nil un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac en*socio=nil raison *socio=nil de son incidence*socio=ec2 *socio=rien immédiate sur les*socio=nil dépenses*socio=ec1 de*socio=nil consommation*socio=ec1 *socio=nil et les revendications*socio=uv1 salariales*socio=ec1. L'inflation*socio=ec1 poussée par les coûts*socio=ec1 se manifesta presque partout dans le monde*socio=te, reflétant l'accroissement*socio=ec2 du*socio=rien coût*socio=ec1 des programmes_sociaux*socio=et et la hausse*socio=rien des salaires*socio=ec1. En outre, dans certains pays*socio=ac, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 des importations*socio=ec1 consécutive*socio=rien à la dépréciation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 vint*socio=rien encore accroître la pression*socio=ec2 des coûts*socio=ec1. Il ne semble pas que, dans d'autres pays*socio=ac, l'incidence*socio=ec2 en *socio=rien sens contraire *socio=nil de l'appréciation*socio=uv3 de la monnaie*socio=ec1 se soit reflétée aussi nettement sur*socio=rien l'évolution*socio=te récente*socio=rien des prix*socio=ec1 en raison*socio=rien de rigidités*socio=uv3 qui ont fait*socio=rien résister à la baisse*socio=ec2 la plupart*socio=rien des marchés*socio=ec1. Les *socio=et politiques gouvernementales ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil adaptées de *socio=rien diverses manières *socio=nil et à des *socio=rien degrés variables aux*socio=nil forces*socio=uv1 cycliques*socio=te et*socio=nil inflationnistes*socio=ec2 *socio=nil auxquelles se heurte maintenant l'économie*socio=ec1 des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. - Pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1973, les pressions*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 qui commençaient à se faire sentir aux États-unis*socio=ac contribuaient apparemment - de même que le passage*socio=rien d'un*socio=rien régime*socio=et de contrôles*socio=et des prix*socio=ec1 à l'observation*socio=ec2 librement consentie de prix*socio=ec1 et de salaires*socio=ec1 limites*socio=rien - à relancer l'inflation*socio=ec1. La montée en flèche des prix*socio=ec1 de gros*socio=rien pendant les *socio=rien cinq premiers mois *socio=nil de 1973 a remis au *socio=rien premier plan le*socio=nil problème*socio=uv4 *socio=nil de l'inflation*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac et, le 13 juin*socio=rien, le Président*socio=ac annonça le *socio=rien blocage temporaire *socio=nil de presque tous les prix*socio=ec1, qui devait permettre la mise au point*socio=rien d'un*socio=rien nouveau*socio=rien programme*socio=et de contrôle*socio=uv3. Le 18 juillet*socio=rien, le Gouvernement*socio=ac annonça la suppression*socio=rien par étapes*socio=te *socio=rien du blocage des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil et son remplacement*socio=rien par un*socio=rien programme*socio=et radical*socio=rien comportant l'application*socio=rien de normes*socio=et plus rigoureuses*socio=uv4 et un*socio=rien recours*socio=ec1 plus large*socio=rien au contrôle*socio=uv3 obligatoire*socio=uv2 des prix*socio=ec1 et des revenus*socio=ec1 que pendant la période*socio=te immédiatement antérieure*socio=te au blocage*socio=rien des prix*socio=ec1. Le budget*socio=ec1 fédéral*socio=et pour l'exercice*socio=rien 1974, publié en janvier*socio=rien 1973, envisageait de réduire les *socio=et mesures fiscales destinées*socio=rien *socio=nil à encourager l' activité_économique*socio=ec1, ce qui accentuerait le renforcement*socio=ec2 des mesures*socio=et monétaires*socio=ec1 adoptées pendant les deux premiers*socio=rien trimestres*socio=te de 1973. En raison*socio=rien de l'évolution*socio=te incertaine*socio=uv4 de la situation*socio=rien actuelle*socio=te, les autorités*socio=et se trouvent devant*socio=rien la tâche*socio=rien exceptionnellement difficile*socio=rien de remettre l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac dans la voie*socio=rien de son expansion*socio=ec2 potentielle*socio=uv4, en évitant la surchauffe ou la récession*socio=ec2. - Au Canada*socio=ac, le rythme*socio=ec2 de la reprise économique*socio=ec1 s'est*socio=rien accéléré fortement pendant le dernier*socio=rien trimestre*socio=te 1972 et le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1973, où le PNB*socio=ec1 réel*socio=rien augmenta à un*socio=rien taux*socio=ec1 annuel*socio=te d'environ 12 pour 100. Les hausses de salaires*socio=ec1, qui ne se sont guère ralenties en 1972, resteront *socio=rien vraisemblablement fortes *socio=nil en 1973 si elles ne sont pas enrayées par une action*socio=ec1 gouvernementale*socio=ac directe*socio=rien. La politique_économique*socio=ec1 canadienne*socio=ac doit maintenant s'adapter*socio=rien à la nouvelle*socio=rien conjoncture*socio=ec2, de manière*socio=rien que l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien PNB*socio=ec1 réel*socio=rien pendant la *socio=rien deuxième partie *socio=nil de 1973 et en 1974 puisse être*socio=rien réduite à un*socio=rien taux*socio=ec1 plus facile*socio=rien à maintenir, à mesure*socio=rien que diminue l'écart*socio=ec2 entre la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 et la production*socio=ec1 réelle*socio=ec2. - Au Japon*socio=ac, l'attitude*socio=uv3 vis-à-vis de la politique_économique*socio=ec1 globale*socio=rien a été*socio=rien profondément modifiée pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1973, après*socio=rien le vote, au début*socio=rien de l'année*socio=rien, d'un*socio=rien budget*socio=ec1 fortement expansionniste*socio=ec2 pour l'exercice*socio=rien 1973 / 74. Comme au Canada*socio=ac, il apparut très vite que l' activité_économique*socio=ec1 s'intensifiait plus rapidement qu'on ne l'avait prévu, le PNB*socio=ec1 réel*socio=rien augmentant à un*socio=rien taux*socio=ec1 annuel*socio=te de 15 pour 100 pendant le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1973. En outre, une nouvelle*socio=rien flambée d'inflation*socio=ec1, due en partie*socio=rien à la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 à partir *socio=rien du deuxième semestre *socio=nil de 1972, posa un*socio=rien problème*socio=uv4 économique*socio=ec1 majeur*socio=rien. On prévoyait que cette évolution*socio=te inciterait le Gouvernement*socio=ac à la prudence*socio=uv1 dans l'exécution*socio=rien *socio=rien du nouveau budget*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et la Banque*socio=ac du*socio=rien Japon*socio=ac adopta pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1973 une politique*socio=et de plus en plus restrictive*socio=uv4 - qu'elle semblait devoir*socio=rien poursuivre pendant quelque temps*socio=rien malgré l'effet*socio=rien stabilisateur exercé sur*socio=rien les coûts*socio=ec1 par l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 de février*socio=rien 1973 et par l'accroissement*socio=ec2 rapide*socio=rien de la productivité*socio=uv3. - En France*socio=ac, l'activité_économique*socio=ec1 a récemment enregistré une très forte*socio=rien expansion*socio=ec2. La situation*socio=rien de la main-d'_oeuvre*socio=ac s'est*socio=rien améliorée avec *socio=rien un certain retard *socio=nil et, après*socio=rien s'être*socio=rien préoccupées *socio=rien du niveau *socio=nil de l'emploi*socio=ec1, les autorités*socio=et s'inquiétèrent des pressions*socio=ec2 exercées sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1 quand, vers la fin*socio=rien de 1972 et au début*socio=rien de 1973 la main-d'_oeuvre*socio=ac spécialisée*socio=uv4 a commencé à manquer. Bien*socio=rien qu'il ne prévoie pas de déséquilibre*socio=uv3 budgétaire*socio=et, le Gouvernement*socio=ac recourt essentiellement à des mesures*socio=et de contrôle*socio=uv3 de la masse_monétaire*socio=ec1 et du*socio=rien crédit*socio=ec1 pour contenir l'expansion*socio=ec2 actuelle*socio=te. L'accroissement*socio=ec2 du*socio=rien crédit*socio=ec1 au secteur_privé*socio=et est*socio=rien soumis à un*socio=rien contrôle*socio=uv3 étroit*socio=rien par l'imposition*socio=et à titre*socio=rien de pénalité de réserves_obligatoires*socio=ec1 pour les emprunts*socio=ec1 dépassant des montants*socio=ec1 spécifiés, et par une nouvelle*socio=rien réglementation*socio=et de *socio=rien certaines catégories de*socio=nil crédit*socio=ec1;*socio=nil *socio=nil l'on prévoit maintenant que l'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1 sera modérée et, en fin*socio=rien 1973, analogue*socio=rien à celle du*socio=rien PNB*socio=ec1 nominal*socio=rien. Les mesures*socio=et adoptées par le Gouvernement*socio=ac pour limiter*socio=rien la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 ont été*socio=rien renforcées pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1973 par l'abaissement*socio=rien des taux*socio=ec1 de la taxe*socio=et sur*socio=rien la valeur_ajoutée*socio=ec1, et les autorités*socio=et françaises*socio=ac estiment que cette réduction*socio=ec2 et la politique_monétaire*socio=et plus rigoureuse*socio=uv4 devraient permettre de modifier l'évolution*socio=te des prix*socio=ec1 et contribuer à modérer quelque peu les augmentations*socio=ec2 de salaires*socio=ec1. - En Allemagne*socio=ac, l'essor*socio=rien cyclique*socio=te de l'économie*socio=ec1 fut, au début*socio=rien de 1972, beaucoup plus fort*socio=rien qu'on ne le prévoyait grâce*socio=rien à la coïncidence*socio=rien de plusieurs facteurs*socio=rien favorables*socio=uv4 (quoique transitoires*socio=rien), mais il se ralentit pendant le reste*socio=rien de l'année*socio=rien. Toutefois, à la fin*socio=rien de 1972, une nouvelle*socio=rien expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1 provoqua *socio=rien un net accroissement*socio=ec2 *socio=nil de la propension*socio=ec1 à investir du*socio=rien secteur_privé*socio=et, qui renforça considérablement*socio=rien le redressement*socio=ec2 économique*socio=ec1. Dans les tout *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1973, en raison*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 rapide*socio=rien de la demande_globale*socio=ec1 et de la marge très faible*socio=rien - sinon nulle*socio=rien - d'inutilisation des ressources*socio=ec1, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 s'accentua. Puis, au début*socio=rien de mai*socio=rien, les autorités*socio=et annoncèrent l'adoption*socio=uv3 d'un*socio=rien programme*socio=et de stabilisation*socio=et comprenant l'application*socio=rien d'une politique_budgétaire*socio=et restrictive*socio=uv4 qui s'ajoutait à la politique_monétaire*socio=et très rigoureuse*socio=uv4 déjà en vigueur*socio=uv3. - L'Italie*socio=ac est*socio=rien, de tous les principaux*socio=rien *socio=ac pays européens,*socio=nil *socio=nil celui qui est*socio=rien le plus éloigné d'un*socio=rien stade*socio=te de surchauffe cyclique*socio=te (malgré une certaine*socio=rien relance*socio=uv3 de l'activité*socio=rien pendant le *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1972), mais c'est*socio=rien l'un*socio=rien de ceux qui ont enregistré les plus fortes*socio=rien hausses générales*socio=rien des prix*socio=ec1. Si l'on se *socio=rien base sur les*socio=nil plans en*socio=nil cours d'*socio=nil exécution,*socio=nil la*socio=nil politique_budgétaire*socio=et *socio=nil en 1973 sera vraisemblablement*socio=rien modérément expansionniste*socio=ec2, en partie*socio=rien à cause*socio=rien d'une baisse*socio=ec2 temporaire*socio=rien des recettes*socio=ec1 fiscales*socio=et, due à l'introduction*socio=rien en janvier*socio=rien 1973 de la taxe*socio=et sur*socio=rien la valeur_ajoutée*socio=ec1. Les coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien de la main-d'_oeuvre*socio=ac ont augmenté récemment, après*socio=rien une période*socio=te de conflits*socio=uv1 sociaux*socio=et qui ont ralenti la croissance*socio=uv3 de l'industrie*socio=ec1 pendant les tout *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1973, tandis que la forte*socio=rien dépréciation*socio=ec2 effective*socio=rien de la lire (flottante) qui s'est*socio=rien produite depuis le début*socio=rien de 1973 expose le consommateur*socio=ac et le producteur*socio=ac italiens à des majorations*socio=rien exceptionnellement élevées*socio=uv4 des prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1. Dans une telle situation*socio=rien, et en l'absence*socio=rien d'une intervention*socio=et de plus *socio=rien grande envergure,*socio=nil la*socio=nil poursuite *socio=nil d'une *socio=et politique_monétaire libérale,*socio=nil *socio=nil avec de faibles*socio=rien taux_d'_intérêt*socio=ec1 destinés à stimuler les investissements*socio=ec1, risque*socio=uv3 de se heurter à certains obstacles*socio=uv3. - Au Royaume-uni*socio=ac, les mesures*socio=et prises*socio=rien par le Gouvernement*socio=ac, en 1972, pour stimuler l'économie*socio=ec1 ont provoqué un*socio=rien accroissement*socio=ec2 substantiel*socio=rien de la demande*socio=ec1 et de l'activité*socio=rien qui s'est*socio=rien poursuivi en 1973. A partir de la *socio=rien fin du premier semestre *socio=nil 1972, l'inflation*socio=ec1 rapide*socio=rien des salaires*socio=ec1 et des prix*socio=ec1 s'est*socio=rien poursuivie malgré les effets*socio=rien modérateurs du*socio=rien programme*socio=et anti-inflationniste*socio=ec2 du*socio=rien Gouvernement*socio=ac, entré en vigueur*socio=uv3 en novembre*socio=rien 1972. La deuxième*socio=rien phase*socio=te de ce programme*socio=et (qui, en avril*socio=rien 1973, succéda, au "blocage*socio=rien" temporaire*socio=rien décrété en novembre*socio=rien 1972) limite*socio=rien rigoureusement la hausse*socio=rien des salaires*socio=ec1 et des prix*socio=ec1; ce dispositif*socio=et doit être*socio=rien maintenu jusqu'à la fin*socio=rien de 1973, et les mesures*socio=et prévues à la phase*socio=te suivante*socio=rien n'ont pas encore été*socio=rien annoncées. Compte*socio=ec1 tenu de cet état*socio=rien de choses*socio=rien, l'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1 devrait, dans l'ensemble*socio=rien, permettre d'atteindre le taux_de_croissance*socio=ec1 prévu, c'est-à-dire environ 5 pour 100. En ce qui concerne la politique_budgétaire*socio=et, l'un*socio=rien de ses objectifs*socio=uv3 *socio=rien majeurs est *socio=nil d'amener les dépenses*socio=ec1 courantes*socio=te de l'État*socio=ac, qui ont enregistré une forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1973, à diminuer comme le prévoient les programmes*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2. Deux taux*socio=ec1 mentionnés plus haut*socio=rien à propos*socio=rien des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 dans leur ensemble*socio=rien - l'accroissement*socio=ec2, de plus de 7 pour 100 par an*socio=rien, de la production*socio=ec1 et la hausse*socio=rien de 6 pour 100 par an*socio=rien des prix*socio=ec1 entre le *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1972 et le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1973 - illustrent de *socio=rien façon concrète la*socio=nil nature *socio=nil et la gravité des problèmes*socio=uv4 de politique_économique*socio=ec1 qui confrontent ces pays*socio=ac à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te. Ces taux*socio=ec1 sont, l'un*socio=rien et l'autre, anormalement élevés*socio=uv4, comme le montre leur comparaison*socio=rien avec ceux des années*socio=rien 60 et avec ceux des *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil qui figurent aux tableaux*socio=rien 1 et 2. (Pour les prix*socio=ec1, voir également le graphique*socio=rien 6). Les autorités*socio=et nationales*socio=te se trouvent, pour la plupart*socio=rien, devant*socio=rien la *socio=rien tâche difficile *socio=nil de contrôler et de ralentir le rythme*socio=ec2 actuel*socio=te, trop rapide*socio=rien, de l'expansion*socio=ec2, de manière*socio=rien à assurer une croissance*socio=uv3 qui réponde au potentiel*socio=uv4 de production*socio=ec1 et que les autorités*socio=et puissent maintenir, tout en modérant les *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil *socio=nil Pendant la période*socio=te de stagnation*socio=ec1 dans l'inflation*socio=ec1 qu'ont traversée tous les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 et qui s'est*socio=rien étendue sur*socio=rien une *socio=rien bonne partie des*socio=nil années *socio=nil 1970 - 72, la politique*socio=et des autorités*socio=et nationales*socio=te eut pour objectif*socio=uv3 à la fois*socio=rien d'améliorer le taux*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 et de réduire le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 des prix*socio=ec1. Cette *socio=rien tâche reste *socio=nil à accomplir. Toutefois, le problème*socio=uv4 de l'inflation*socio=ec1 *socio=rien est passé au*socio=nil premier plan du fait *socio=nil que, dans presque tous les pays*socio=ac industriels*socio=ec1, les taux*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien ont augmenté, et que l'accroissement*socio=ec2 de la production*socio=ec1 continue*socio=rien de les améliorer. De plus en plus, *socio=rien un nouvel accroissement*socio=ec2 du taux*socio=ec1 d'*socio=nil utilisation des*socio=nil ressources*socio=ec1 *socio=nil dépend de mesures*socio=et spécifiques*socio=rien affectant des éléments*socio=rien structurels*socio=ec2, plutôt que de la seule*socio=rien expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1. Le problème*socio=uv4 que posent le contrôle*socio=uv3 et la réduction*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 - quelque évident*socio=rien et important*socio=uv4 qu'il soit - *socio=rien est loin d'*socio=nil être facile *socio=nil à résoudre. Il convient, à cet égard*socio=rien, de considérer plusieurs points*socio=rien. - La conjoncture*socio=ec2 actuelle*socio=te n'est*socio=rien généralement pas favorable*socio=uv4, ou propre*socio=rien à mener à une réduction*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1. Avec des taux*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 qui, dans l'ensemble*socio=rien, augmentent assez rapidement, c'est*socio=rien dans *socio=rien un climat d'*socio=nil expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 susceptible *socio=nil de se maintenir jusqu'à la fin*socio=rien 1973, voire au début*socio=rien de 1974, que les autorités*socio=et s'efforcent de réduire les taux*socio=ec1 actuels*socio=te élevés*socio=uv4 de hausses des prix*socio=ec1 et de lutter contre la psychose*socio=uv de l'inflation*socio=ec1. - Le rôle*socio=et que peuvent jouer les politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1 *socio=rien est un rôle*socio=et crucial,*socio=nil mais*socio=nil difficile.*socio=nil Il*socio=nil est indispensable*socio=uv4 *socio=nil que les autorités*socio=et nationales*socio=te pratiquent *socio=rien un dosage prudent*socio=uv2 *socio=nil de ces politiques*socio=et, d'abord*socio=rien pour éviter autant que possible*socio=rien la réapparition*socio=rien de pressions*socio=ec2 excessives*socio=uv4 de la demande*socio=ec1 tant que la capacité*socio=uv3 de production*socio=ec1 n'est*socio=rien pas utilisée en totalité*socio=rien, ensuite pour s'efforcer, par des mesures*socio=et restrictives*socio=uv4, de donner à l'économie*socio=ec1 un*socio=rien rythme*socio=ec2 à peu près conforme*socio=uv4 à son taux_de_croissance*socio=ec1 - sans dépasser la *socio=rien juste mesure *socio=nil ni relever le *socio=rien niveau du chômage*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui, dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac industriels*socio=ec1, semble plus élevé*socio=uv4 qu'on ne pourrait s'y attendre à ce stade*socio=te du*socio=rien cycle*socio=te. De toute évidence*socio=rien, l'adoption*socio=uv3 d'une telle politique*socio=et, dont l'application*socio=rien sera différente*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac à un*socio=rien autre, est*socio=rien compliquée par l'insuffisance*socio=uv3 non seulement des instruments*socio=et de politique*socio=et eux-mêmes, mais aussi des connaissances*socio=ec2 requises*socio=uv4 pour les utiliser avec une sûreté*socio=uv1 raisonnable*socio=uv4 tant en ce qui concerne le choix*socio=uv1 *socio=rien du moment *socio=nil et l'ampleur*socio=rien de leurs effets*socio=rien. - En tout état*socio=rien de cause*socio=rien, il semble que l'on considère de plus en plus que, pour lutter efficacement contre l'inflation*socio=ec1, les Gouvernements*socio=ac devront utiliser une *socio=rien grande variété d'*socio=nil instruments*socio=et de*socio=nil politique*socio=et *socio=nil - renforcer les politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1 par d'autres mesures*socio=et relevant par exemple*socio=rien de la politique*socio=et des revenus*socio=ec1 (y compris les prix*socio=ec1), de la politique*socio=et régionale*socio=te, de la politique*socio=et de la main-d'_oeuvre*socio=ac, etc., selon les circonstances*socio=rien. Ce point*socio=rien de vue*socio=rien reflète a) l'expérience*socio=ec2 décevante*socio=rien qu'ont fait*socio=rien, depuis plusieurs années*socio=rien, de nombreux*socio=rien pays*socio=ac qui, pour lutter contre l'inflation*socio=ec1, n'ont eu recours*socio=rien qu'aux politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1 et b) l'opinion*socio=uv1, de plus en plus répandue, que l'inflation*socio=ec1 peut provenir, au moins en partie*socio=rien, de *socio=rien caractères spécifiques *socio=nil de la structure*socio=ec1 de l'économie*socio=ec1 ou de son fonctionnement*socio=rien, qui ne sont pas clairement liés au niveau*socio=rien de la demande_globale*socio=ec1. De nombreux*socio=rien pays*socio=ac, en particulier*socio=rien, ont utilisé la politique*socio=et des revenus*socio=ec1 pour compléter les instruments*socio=et de gestion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1", cette pratique*socio=rien semble généralement raisonnable*socio=uv4 et appropriée car elle peut aider les pays*socio=ac à mieux harmoniser leurs objectifs*socio=uv3 d'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 et de stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 qu'ils ne le pourraient sans cela. Bien*socio=rien que les observations*socio=ec2 d'ordre*socio=rien général*socio=rien qui précèdent s'appliquent à une évaluation*socio=ec2 du*socio=rien problème*socio=uv4 de l'inflation*socio=ec1, il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 que les autorités*socio=et nationales*socio=te - notamment celles des principaux*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 - accordent*socio=rien à ce problème*socio=uv4 une très haute*socio=rien priorité*socio=uv4 dans la formulation*socio=rien et la conduite*socio=rien de leur politique_économique*socio=ec1. La raison*socio=rien en est*socio=rien, avant tout, que des taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 d'inflation*socio=ec1 gênent le fonctionnement*socio=rien de l'économie*socio=ec1 et sont la source*socio=rien d'injustices*socio=uv économiques*socio=ec1 et sociales*socio=et dont souffrent actuellement les populations*socio=ac dans le monde*socio=te entier*socio=rien. Par ailleurs*socio=rien, des taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 d'inflation*socio=ec1 - qui tendent à être*socio=rien plus variables*socio=rien ou inégaux*socio=uv2 - risquent, par surcroît*socio=rien, de gêner le processus*socio=te d' ajustement_international*socio=ec1, et de rendre plus difficile*socio=rien l'harmonisation*socio=uv3 des objectifs*socio=uv3 intérieurs*socio=te et extérieurs*socio=te. Échanges*socio=ec1 et paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te. Certains aspects*socio=rien de la situation*socio=rien des échanges*socio=ec1 et des paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te en 1972 et pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1973 étaient étroitement liés à la succession*socio=rien de crises*socio=uv2 monétaires*socio=ec1 mentionnées brièvement plus haut*socio=rien. Par contre, d'autres éléments*socio=rien importants*socio=uv4 de la situation*socio=rien ont, semble-t-il, été*socio=rien relativement peu affectés par les difficultés*socio=uv4 monétaires*socio=ec1. La *socio=rien position du compte*socio=ec1 courant des*socio=nil pays*socio=ac industriels*socio=ec1 *socio=nil était l'un*socio=rien des aspects*socio=rien étroitement liés aux crises*socio=uv2 monétaires*socio=ec1; le déséquilibre*socio=uv3 était nettement accentué en 1972 et commençait seulement à s'atténuer au début*socio=rien de 1973. Le fait*socio=rien qu'à l'époque*socio=te la structure*socio=ec1 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 à destination*socio=rien ou en provenance*socio=rien des principaux*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 ne facilitait pas le financement*socio=ec1 du*socio=rien déficit*socio=ec1 du*socio=rien compte*socio=ec1 courant*socio=rien tendait également à prolonger le malaise*socio=rien que provoquaient les problèmes*socio=uv4 de paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te. En fait*socio=rien, les sorties de capitaux*socio=ec1 des États-unis*socio=ac rendirent plus difficile*socio=rien le financement*socio=ec1 de l'important*socio=uv4 déficit*socio=ec1 du*socio=rien compte*socio=ec1 courant*socio=rien des États-unis*socio=ac en 1972, tandis que des entrées de capitaux*socio=ec1 gonflèrent encore les réserves*socio=ec1 de certains pays*socio=ac dont les comptes_courants*socio=te étaient d'ores et déjà fortement excédentaires*socio=ec2. Ces répercussions*socio=ec2 contradictoires*socio=uv2 contribuèrent pour beaucoup au déclenchement*socio=rien des fortes*socio=rien pressions*socio=ec2 qui s'exercèrent de façon*socio=rien intermittente sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1 entre le milieu*socio=rien de 1972 et le milieu*socio=rien de 1973. Néanmoins, l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te fut remarquablement soutenue pendant toute cette période*socio=te de relations*socio=rien monétaires*socio=ec1 complexes. Le *socio=rien volume du commerce*socio=ec1 *socio=nil dans le monde*socio=te augmenta de plus de 8 pour 100 entre 1971 et 1972, ce qui représente à peu près son taux_de_croissance*socio=ec1 moyen*socio=rien pendant la décennie*socio=te 1960-70, et l'expansion*socio=ec2 semble se poursuivre à un*socio=rien rythme*socio=ec2 accéléré en 1973. L'expansion*socio=ec2 en 1972-73 fut marquée, notamment, par le *socio=rien nouvel essor des*socio=nil exportations*socio=ec1 des*socio=nil pays*socio=ac de*socio=nil production*socio=ec1 primaire,*socio=nil *socio=nil qui avaient souffert du*socio=rien ralentissement*socio=ec2 en 1970-71 de l' activité_économique*socio=ec1 des pays*socio=ac industriels*socio=ec1. L'augmentation*socio=ec2 *socio=rien du volume du commerce*socio=ec1 des*socio=nil produits de*socio=nil base *socio=nil et la hausse*socio=rien de leurs cours*socio=rien pendant la *socio=rien dernière partie *socio=nil de 1972 et au début*socio=rien de 1973 combinèrent leurs effets*socio=rien pour accroître les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 des pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien. Toutefois, le pouvoir_d'_achat*socio=ec1 de ces recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 accrues fut en *socio=rien grande partie *socio=nil réduit par la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 résultant*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 et, dans beaucoup de pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien, les répercussions*socio=ec2 des ajustements*socio=et monétaires*socio=ec1 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 payés par leurs résidents*socio=ac pour les produits*socio=rien d'importation*socio=ec1. Dans l'ensemble*socio=rien, les termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien, qui s'étaient quelque peu détériorés en 1971, ont peu varié en 1972, bien*socio=rien qu'ils aient été*socio=rien meilleurs*socio=uv4 vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien et aient, semble-t-il, continué de s'améliorer nettement pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1973. Malgré l'instabilité*socio=uv3 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 entre les pays*socio=ac industriels*socio=ec1, depuis à peu près *socio=rien un an,*socio=nil le*socio=nil volume total *socio=nil des sorties nettes*socio=rien de *socio=ec1 ressources financières *socio=nil de ces pays*socio=ac vers les pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien fut très important*socio=uv4 et très stable*socio=uv4 en 1972. Comme l'indiquent les statistiques*socio=ec2 de balances_des_paiements*socio=ec1 des pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien, ce flux*socio=ec1 net*socio=rien qui comprend les transferts_officiels*socio=et et les mouvements_de_capitaux*socio=ec1 - fut estimé à 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1972, contre environ 18 milliards*socio=rien en 1971. Cet accroissement*socio=ec2 du*socio=rien flux*socio=ec1 net*socio=rien en 1972 coïncida avec une réduction*socio=ec2 marquée du*socio=rien déficit*socio=ec1 combiné des comptes_courants*socio=te des pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien, contribuant à provoquer un*socio=rien accroissement*socio=ec2 exceptionnel*socio=uv4 de leurs réserves*socio=ec1 de change*socio=ec1. Pour l'ensemble*socio=rien de ce groupe*socio=ac, l'excédent*socio=ec1 total*socio=rien des *socio=ec1 balances_des_paiements globales *socio=nil qui s'élevait à quelque 16 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1972 représentait près *socio=rien du double *socio=nil de l'excédent*socio=ec1 correspondant en 1971 - qui était déjà très important*socio=uv4 par rapport*socio=rien à ceux enregistrés dans le passé*socio=rien. Les réserves*socio=ec1 accumulées grâce*socio=rien aux excédents*socio=ec1 enregistrés récemment constituent pour de nombreux*socio=rien pays*socio=ac de production*socio=ec1 *socio=rien primaire un fonds*socio=ec1 *socio=nil de secours potentiel*socio=rien qui leur permettrait de poursuivre l'expansion*socio=ec2 de leurs importations*socio=ec1 si la tendance*socio=ec2 récente*socio=rien à l'austérité*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 qui s'est*socio=rien manifestée récemment dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 provoquait une réduction*socio=ec2 des entrées de capitaux*socio=ec1. Expansion*socio=ec2 des échanges*socio=ec1 dans le monde*socio=te. L'accroissement*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil échanges*socio=ec1 *socio=nil dans le monde*socio=te de 1971 à 1972 - bien*socio=rien qu'il soit moyen*socio=rien par rapport*socio=rien aux années*socio=rien 1960 - représente une forte*socio=rien amélioration*socio=uv1 si on le compare au taux_de_croissance*socio=ec1 enregistré en 1971, où il n'avait été*socio=rien que de 5,5 pour 100 en raison*socio=rien de la faible*socio=rien demande*socio=ec1 dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 (tableau*socio=rien 5). La demande*socio=ec1 croissante*socio=rien d'importations*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac, provoquée par la relance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 après*socio=rien la récession*socio=ec2 ou le ralentissement*socio=ec2 observés en 1970-71, fut le *socio=rien principal facteur *socio=nil de l'accélération*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te en 1972. Les importations*socio=ec1 des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 dans leur ensemble*socio=rien ont continué de s'accroître pendant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1973, bien*socio=rien que ce fut, par rapport*socio=rien à l'année*socio=rien précédente*socio=rien, une période*socio=te de net*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1 du*socio=rien plus grand*socio=rien pays*socio=ac importateur*socio=ec1, les États-unis*socio=ac. On estime*socio=rien que le volume*socio=rien des échanges*socio=ec1 dans le monde*socio=te, pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1973, fut d'environ 12 pour 100 supérieur*socio=rien à ce qu'il était pendant le même semestre*socio=rien de 1972 (graphique*socio=rien 7). Les importations*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 dans leur ensemble*socio=rien ne contribuèrent pas à l'accroissement*socio=ec2 plus *socio=rien rapide du volume des*socio=nil échanges*socio=ec1 *socio=nil dans le monde*socio=te en 1972. Le volume*socio=rien global*socio=te de ces importations*socio=ec1 n'augmenta que d'environ 3 pour 100, ce qui reflète, semble-t-il, une *socio=rien réaction tardive au*socio=nil fléchissement*socio=ec2 antérieur*socio=te *socio=nil de la plupart*socio=rien des exportations*socio=ec1 - autres que le pétrole*socio=ec1 - des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3. Dans les pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien les plus développés*socio=uv4, l'évolution*socio=te des importations*socio=ec1 en 1972 ne fut pas uniforme*socio=uv4. Il se produisit une certaine*socio=rien contraction*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil importations*socio=ec1 des*socio=nil pays*socio=ac de*socio=nil production*socio=ec1 primaire développés*socio=uv4 *socio=nil de l'hémisphère_sud*socio=te, ce qui reflétait une baisse*socio=ec2 *socio=rien du niveau *socio=nil de leur activité_économique*socio=ec1, mais les importations*socio=ec1 des *socio=ac pays européens de*socio=nil production*socio=ec1 primaire*socio=rien *socio=nil augmentèrent davantage en 1972 qu'en 1971. En 1973, il semble que l'accroissement*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil importations*socio=ec1 *socio=nil doit s'accélérer dans tous les principaux*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien, parallèlement à l'accélération*socio=ec2 prévue du*socio=rien rythme*socio=ec2 de l' activité_économique*socio=ec1 dans la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac. L'accroissement*socio=ec2 des importations*socio=ec1 des pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien sera financé non seulement par les importantes*socio=uv4 recettes*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1 qu'ils ont enregistrées en 1972 et l'accroissement*socio=ec2 prévu de leurs exportations*socio=ec1 en 1973, mais aussi par leurs positions*socio=rien de réserve*socio=ec1 et de paiements_globaux*socio=ec1 relativement *socio=rien fortes grâce *socio=nil à l'amélioration*socio=uv1 de leur compte*socio=ec1 courant*socio=rien et aux entrées de capitaux*socio=ec1 sans précédent*socio=rien enregistrées en 1972. En ce qui concerne l'accroissement*socio=ec2 des exportations*socio=ec1, les pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien les plus développés*socio=uv4 furent parmi les premiers*socio=rien bénéficiaires*socio=ac de l'accélération*socio=ec2 croissante*socio=rien de l'activité_économique*socio=ec1 dans le monde*socio=te industriel*socio=ec1 après*socio=rien le fléchissement*socio=ec2 de 1970-71. Le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 de ces pays*socio=ac augmenta de 11 pour 100 entre 1971 et 1972 (tableau*socio=rien 6). En outre, l'importante*socio=uv4 demande*socio=ec1 mondiale*socio=te de produits*socio=rien comme la laine et la viande, jointe à la forte*socio=rien accélération*socio=ec2 récente*socio=rien des prix*socio=ec1 des matières_premières*socio=ec1, devrait assurer la bonne*socio=rien tenue des ventes*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 des pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien les plus développés*socio=uv4, en 1973. Les exportations*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 reflètent également la hausse*socio=rien des cours*socio=rien des matières_premières*socio=ec1 en 1972, mais le volume*socio=rien de ces exportations*socio=ec1 n'augmenta que modérément cette année-là. On peut s'attendre qu'il s'accroisse davantage en 1973, à mesure*socio=rien que s'accentuera l'essor*socio=rien cyclique*socio=te des pays_industrialisés*socio=ac, et la récente*socio=rien montée en flèche des cours*socio=rien des matières_premières*socio=ec1 contribuera de *socio=rien façon substantielle aux*socio=nil recettes*socio=ec1 en*socio=nil devises*socio=ec1 *socio=nil qui en résulteront. Bien*socio=rien que l'accroissement*socio=ec2 de ces recettes*socio=ec1 en 1972 et au début*socio=rien de 1973 ait une base*socio=rien beaucoup plus large*socio=rien qu'en 1971, les exportateurs*socio=ac de *socio=ec1 matières_premières industrielles *socio=nil et de produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1 ayant contribué davantage à cet accroissement*socio=ec2, une fois*socio=rien de plus, les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 qui augmentèrent le plus en 1972 furent celles des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil dont les perspectives*socio=te d'exportation*socio=ec1 pour 1973 semblent aussi meilleures*socio=uv4 que celles de la plupart*socio=rien des autres pays_en_voie_de_développement*socio=uv3. De tous les pays*socio=ac industriels*socio=ec1, seuls*socio=rien le Japon*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac enregistrèrent en 1972 un*socio=rien accroissement*socio=ec2 *socio=rien du volume *socio=nil de leurs exportations*socio=ec1 sensiblement inférieur*socio=rien aux moyennes*socio=rien enregistrées jusqu'alors. L'expansion*socio=ec2 relativement lente*socio=rien des marchés*socio=ec1 japonais*socio=ac et une progression*socio=ec2 beaucoup plus faible*socio=rien que d'habitude*socio=rien de la part*socio=rien des exportations*socio=ec1 du*socio=rien Japon*socio=ac sur*socio=rien le marché*socio=ec1 mondial*socio=te - probablement due en *socio=rien grande partie *socio=nil à l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien yen*socio=ec1, expliquent l'accroissement*socio=ec2 plus *socio=rien lent du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 du Japon*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Il convient, cependant, de noter que l'augmentation*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 ÉU des exportations*socio=ec1 japonaises*socio=ac de 1971 à 1972, *socio=rien du fait *socio=nil de l'incidence*socio=ec2 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 de la réévaluation*socio=ec1 du*socio=rien yen*socio=ec1, fut au moins égale*socio=rien à l'accroissement*socio=ec2 moyen*socio=rien de la valeur*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 (exprimée en dollars*socio=ec1) de tous les pays*socio=ac industriels*socio=ec1. La tenue médiocre*socio=uv2 des exportations*socio=ec1 du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac en 1972 (dont le volume*socio=rien augmenta à peine) provenait en partie*socio=rien de l'accroissement*socio=ec2 relativement faible*socio=rien des marchés*socio=ec1 étrangers*socio=te pour les produits*socio=rien britanniques*socio=ac cette année-là, mais surtout de la diminution*socio=ec2 importante*socio=uv4 de la *socio=rien part du Royaume-uni*socio=ac sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 d'*socio=nil exportation*socio=ec1 *socio=nil qui provient peut-être de ses prix*socio=ec1 de moins en moins compétitifs*socio=uv4 depuis plusieurs années*socio=rien. Le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, qui avait baissé en 197 1, augmenta de plus de 9 pour 100 en 1972 -contre une moyenne*socio=rien annuelle*socio=te de 5,5 pour 100 pendant la décennie*socio=te 1960-70. Le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 des États-unis*socio=ac suivit donc l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien marché*socio=ec1, après*socio=rien de *socio=rien nombreuses années de*socio=nil recul progressif sur le*socio=nil marché*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil particulièrement accentué en 1971. La pénurie*socio=ec2 de produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 dans d'autres pays*socio=ac contribua à l'expansion*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 des États-unis*socio=ac en 1972 et au début*socio=rien de 1973, mais on estime*socio=rien qu'elle reflète en partie*socio=rien l'incidence*socio=ec2 de la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1 en 1971 sur*socio=rien la position*socio=rien compétitive*socio=uv4 des *socio=ac exportateurs américains.*socio=nil *socio=nil Toutefois, les *socio=ec1 valeurs unitaires *socio=nil exprimées en dollars*socio=ec1 augmentant moins pour les exportations*socio=ec1 des États-unis*socio=ac que pour celles des autres pays*socio=ac industriels*socio=ec1, l'accroissement*socio=ec2 en 1971-72 de la valeur*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 américaines*socio=ac exprimé en pourcentage*socio=rien ne s'éleva qu'aux deux tiers*socio=rien environ de l'augmentation*socio=ec2 moyenne*socio=rien dans l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac industriels*socio=ec1. Les taux_d'_accroissement*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 de 1971 à 1972 furent supérieurs*socio=rien à la moyenne*socio=rien des années*socio=rien 1960, tant en volume*socio=rien qu'en valeur*socio=ec1 exprimée en dollars*socio=ec1, en France*socio=ac, en Italie*socio=ac et dans plusieurs pays*socio=ac industriels*socio=ec1 européens*socio=ac moins importants*socio=uv4. Pour certains de ces derniers*socio=rien, l'accroissement*socio=ec2 de leurs exportations*socio=ec1 représentait une augmentation*socio=ec2 importante*socio=uv4 de leur *socio=rien part du marché*socio=ec1 d'*socio=nil exportations*socio=ec1.*socio=nil L'*socio=nil Allemagne*socio=ac,*socio=nil *socio=nil dont l'accroissement*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 *socio=nil en 1972 fut quelque peu inférieur*socio=rien à sa moyenne*socio=rien à long_terme*socio=te, enregistra une légère*socio=rien diminution*socio=ec2 de sa part*socio=rien (en volume*socio=rien) du*socio=rien marché*socio=ec1 des exportations*socio=ec1, contre une légère*socio=rien augmentation*socio=ec2 de cette part*socio=rien pendant les années*socio=rien 60. Les autres pays*socio=ac industriels*socio=ec1 dont la *socio=rien part du volume total des*socio=nil exportations*socio=ec1 *socio=nil diminua en 1972 sont le Danemark*socio=ac, la Suède*socio=ac et la Suisse*socio=ac. La diminution*socio=ec2 particulièrement importante*socio=uv4 de la part*socio=rien de la Suisse*socio=ac fut probablement une *socio=rien conséquence directe *socio=nil de l'appréciation*socio=uv3 *socio=rien effective du franc*socio=ec1 suisse*socio=ac *socio=nil en 1971. *socio=rien Position du compte*socio=ec1 courant *socio=nil et de la balance_globale*socio=ec1 des paiements*socio=ec1 des pays*socio=ac industriels*socio=ec1. Pendant toute l'année*socio=rien 1972, la structure*socio=ec1 fondamentale*socio=uv4 du*socio=rien solde*socio=ec1 du*socio=rien compte*socio=ec1 courant*socio=rien continua d'être*socio=rien défectueuse*socio=rien. Elle était, en fait*socio=rien dans l'ensemble*socio=rien, nettement moins équilibrée en 1972 qu'en 1971. La modification*socio=rien de loin*socio=rien la plus remarquable*socio=rien fut une nouvelle*socio=rien et forte*socio=rien détérioration*socio=uv4 de la position*socio=rien des États-unis*socio=ac, dont le déficit*socio=ec1 du*socio=rien compte*socio=ec1 courant*socio=rien atteignit environ 6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1972, contre moins de 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1971 (tableau*socio=rien 7). Le compte*socio=ec1 *socio=rien courant du Royaume-uni*socio=ac *socio=nil se dégrada, lui aussi, considérablement*socio=rien, l'excédent*socio=ec1 de 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 qu'il avait enregistré en 1971 étant suivi d'un*socio=rien excédent*socio=ec1 à peine supérieur*socio=rien à 0,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1972; pendant la même période*socio=te, le compte*socio=ec1 *socio=rien courant du Canada*socio=ac,*socio=nil excédentaire *socio=nil en 1971, enregistra l'année*socio=rien *socio=rien suivante un déficit*socio=ec1 *socio=nil d'environ 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1. Les autres pays*socio=ac industriels*socio=ec1 enregistrèrent soit des excédents*socio=ec1 plus importants*socio=uv4 soit des déficits*socio=ec1 plus faibles*socio=rien, mais la modification*socio=rien la plus importante*socio=uv4 fut de l'ordre*socio=rien de 1 à 1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1. Bien*socio=rien que le cours*socio=rien et le degré*socio=rien de la détérioration*socio=uv4 du*socio=rien compte*socio=ec1 courant*socio=rien des États-unis*socio=ac furent obscurcis par des perturbations*socio=ec2 de *socio=rien caractère particulier,*socio=nil *socio=nil il apparaissait clairement à la fin*socio=rien de 1972, que le déficit*socio=ec1 sans précédent*socio=rien enregistré ne provenait pas seulement de *socio=rien facteurs temporaires *socio=nil et réversibles, ni de répercussions*socio=ec2 *socio=rien néfastes sur les*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 des*socio=nil modifications des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil de 1971, mais que la position*socio=rien commerciale*socio=ec1 fondamentale*socio=uv4 des États-unis*socio=ac était probablement beaucoup moins bonne*socio=rien qu'on ne l'avait supposé avant la fin*socio=rien de 1971. C'est*socio=rien essentiellement pour cette raison*socio=rien que l'on décida, au début*socio=rien de 1973, qu'il y avait lieu*socio=rien de procéder à une nouvelle*socio=rien réorganisation*socio=uv3 des relations*socio=rien monétaires*socio=ec1. Il ne faudrait donc pas considérer que la dévaluation*socio=ec2 (projetée) du*socio=rien dollar*socio=ec1 en février*socio=rien 1973 était essentiellement destinée à compenser l'inaptitude*socio=rien *socio=rien du réalignement des*socio=nil monnaies*socio=ec1 de*socio=nil décembre *socio=nil 1971 à produire les effets*socio=rien que l'on pouvait raisonnablement en attendre. En fait*socio=rien, l'analyse*socio=ec2 des *socio=rien résultats fait *socio=nil apparaître une très nette*socio=rien amélioration*socio=uv1 de la balance_commerciale*socio=ec1 des États-unis*socio=ac entre le début*socio=rien de 1972 et le début*socio=rien de 1973 - amélioration*socio=uv1 qui, comme il fallait s'y attendre, fut plus importante*socio=uv4 si l'on se *socio=rien base sur le*socio=nil volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 que*socio=nil sur leur*socio=nil *socio=ec1 valeur courante,*socio=nil en*socio=nil raison*socio=rien des*socio=nil effets*socio=rien,*socio=nil initialement*socio=nil néfastes*socio=rien,*socio=nil des*socio=nil modifications*socio=rien des*socio=nil taux_de_change sur*socio=rien les*socio=nil termes_de_l'_échange.*socio=nil L'*socio=nil amélioration*socio=uv1 *socio=rien du volume *socio=nil était à peu près du*socio=rien même ordre*socio=rien que celle que l'on pouvait attribuer à ces modifications*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1. La détérioration*socio=uv4 du*socio=rien compte*socio=ec1 courant*socio=rien des États-unis*socio=ac, du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac et du*socio=rien Canada*socio=ac de 1971 à 1972 s'accompagna non seulement de modifications*socio=rien structurelles*socio=ec2 positives*socio=uv4 des comptes_courants*socio=te de la plupart*socio=rien des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 d'Europe*socio=ac continentale*socio=te et du*socio=rien Japon*socio=ac, mais aussi d'une forte*socio=rien réduction*socio=ec2 de l'excédent_global*socio=te du*socio=rien compte*socio=ec1 courant*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 dans leurs transactions*socio=ec1 avec les autres *socio=rien parties du monde*socio=te.*socio=nil Cet*socio=nil excédent_global*socio=te *socio=nil tomba d'environ 13,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1971 à 9,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1972, cette chute provenant à la fois*socio=rien d'influences cycliques*socio=te et de la hausse*socio=rien des cours*socio=rien des matières_premières*socio=ec1 pendant cette *socio=rien dernière année.*socio=nil Les*socio=nil déséquilibres_globaux*socio=ec2 des*socio=nil paiements*socio=ec1 *socio=nil en 1972, bien*socio=rien que très importants*socio=uv4 par rapport*socio=rien à ceux enregistrés avant 1971, restèrent généralement très inférieurs*socio=rien aux chiffres enregistrés en 1971, essentiellement grâce*socio=rien au tassement*socio=rien des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2. Les mouvements*socio=ec2 internationaux*socio=te de fonds*socio=ec1 pendant l'année*socio=rien qui suivit l'Accord*socio=et de Washington*socio=ac furent, à quelques *socio=rien rares exceptions *socio=nil près, beaucoup moins imprévisibles*socio=uv4 que pendant la période*socio=te précédente*socio=rien lorsque s'effondra l'ancien*socio=rien système*socio=rien de règlements*socio=et internationaux*socio=te. Les mouvements*socio=ec2 fondamentaux*socio=uv4 de capitaux*socio=ec1 destinés au développement*socio=uv3 furent très soutenus; en fait*socio=rien, comme on l'indique plus haut*socio=rien, le montant*socio=ec1 total*socio=rien des mouvements_nets_de_capitaux*socio=ec1 des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 vers les pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien continuèrent de s'accroître, dépassant le niveau*socio=rien déjà très élevé*socio=uv4 atteint en 1971 (voir tableau*socio=rien 8). Il convient de noter que le volume*socio=rien global*socio=te des sorties nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 en 1972, et l'accroissement*socio=ec2 de ces sorties de 1971 à 1972, tels qu'ils ressortent des statistiques*socio=ec2 de balances_des_paiements*socio=ec1 des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 (tableau*socio=rien 7), sont fortement sous-évalués en raison*socio=rien de l'asymétrie*socio=ec2 des déclarations*socio=et de dépôts*socio=ec1 de réserves_officielles*socio=et selon qu'elles sont effectuées en eurodollars, ou directement en monnaies*socio=ec1 autres que les monnaies*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 traditionnelles*socio=rien. Comme l'explique la "Note" générale*socio=rien au *socio=rien bas du tableau *socio=nil 8, ces dépôts*socio=ec1 sont traités*socio=rien comme des entrées de capitaux*socio=ec1 par les pays*socio=ac qui les reçoivent, bien*socio=rien qu'ils ne soient pas enregistrés en tant que sorties de capitaux*socio=ec1 par les pays*socio=ac qui placent leurs réserves*socio=ec1 en instruments*socio=et non traditionnels*socio=rien. Si ces dépôts*socio=ec1 étaient considérés par les pays*socio=ac qui les reçoivent comme des fonds*socio=ec1 destinés à financer leur *socio=ec1 balance_ globale des*socio=nil paiements,*socio=nil *socio=nil plutôt que comme des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, les classifications des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 et des *socio=rien modifications nettes des*socio=nil réserves*socio=ec1 des*socio=nil pays*socio=ac industriels*socio=ec1 *socio=nil pris dans leur ensemble*socio=rien correspondraient plus étroitement aux données de balances_des_paiements*socio=ec1 des pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien, et la sous-évaluation des sorties totales*socio=rien de capitaux*socio=ec1 des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 se trouverait corrigée. Sur*socio=rien la base*socio=rien des estimations*socio=ec2 très approximatives de la sous-évaluation indiquées dans les notes au bas*socio=rien des tableaux*socio=rien 7 et 8, les sorties nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 et les transferts_officiels*socio=et des pays*socio=ac industriels*socio=ec1, après*socio=rien ajustement*socio=et, s'élèveraient à environ 23 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1972, contre 20 milliards*socio=rien en 1971 et environ 12,5 milliards*socio=rien en 1970. La *socio=rien majeure partie *socio=nil de l'accroissement*socio=ec2 après*socio=rien 1970 provient de mouvements_de_capitaux_privés*socio=et, tandis que les sorties nettes*socio=rien de fonds*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 officielle*socio=et au développement*socio=uv3 augmentèrent de façon*socio=rien beaucoup plus modérée (et furent à peine supérieures*socio=rien, en termes*socio=rien réels*socio=ec2). L'expansion*socio=ec2 soutenue des sorties *socio=rien nettes totales de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil de l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 en 1972 s'accompagna de *socio=rien modifications substantielles des*socio=nil rôles*socio=et respectifs *socio=nil des divers pays*socio=ac en tant qu'origine*socio=rien et destination*socio=rien de ces mouvements_de_capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te. Les sorties nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 des États-unis*socio=ac diminuèrent fortement en 1972, s'élevant à environ 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 contre près de 30 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1971. Ce mouvement*socio=ec2 s'accompagna d'une augmentation*socio=ec2 considérable*socio=rien des sorties nettes*socio=rien des autres pays*socio=ac industriels*socio=ec1 ou d'une diminution*socio=ec2 des entrées de capitaux*socio=ec1 dans ces mêmes pays*socio=ac. Un*socio=rien groupe*socio=ac de ces derniers*socio=rien comprenant la Belgique*socio=ac, l'Italie*socio=ac, le Japon*socio=ac, les Pays-bas*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac enregistra des sorties *socio=rien nettes totales *socio=nil dépassant 13 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, contre des entrées nettes*socio=rien de 6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour le même groupe*socio=ac, l'année*socio=rien précédente*socio=rien, tandis que les entrées *socio=rien nettes totales *socio=nil dans les autres pays*socio=ac industriels*socio=ec1 tombèrent d'environ 9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1971 à quelque 5,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1972. Les sorties de capitaux*socio=ec1 du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac en 1972, qui s'élevaient au total*socio=rien à 4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, se produisirent essentiellement pendant la crise*socio=uv2 du*socio=rien sterling*socio=ec1. Les importantes*socio=uv4 sorties nettes*socio=rien d'Italie*socio=ac (plus de 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) reflétaient aussi de substantielles*socio=rien ventes*socio=ec1 spéculatives*socio=ec2 de lires, qui s'ajoutèrent aux sorties de capitaux*socio=ec1 continues*socio=te observées depuis de *socio=rien nombreuses années.*socio=nil Au*socio=nil Japon*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil libéralisation*socio=et des*socio=nil transactions*socio=ec1 *socio=nil entraînant des sorties de capitaux*socio=ec1, et les autres mesures*socio=et appliquées par les autorités*socio=et pour stimuler les investissements*socio=ec1 du*socio=rien Japon*socio=ac à l'étranger*socio=te et pour décourager les entrées de capitaux*socio=ec1 expliquaient pour une *socio=rien large part *socio=nil des sorties nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 qui s'élevèrent, au total*socio=rien, à plus de 4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. De même, les sorties nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 de Belgique*socio=ac (plus de 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1) étaient dues aux mesures*socio=et adoptées pour promouvoir l'investissement*socio=ec1 à l'étranger*socio=te et empêcher des entrées de capitaux*socio=ec1 déséquilibrantes. Les seuls*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 qui reçurent d'importantes*socio=uv4 entrées nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te en 1972 furent l'Allemagne*socio=ac, la France*socio=ac et la Suisse*socio=ac; la plupart*socio=rien de ces entrées de capitaux*socio=ec1 se produisirent pendant la crise*socio=uv2 du*socio=rien sterling*socio=ec1. Dans le cas*socio=rien de l'Allemagne*socio=ac, toutefois, le *socio=rien volume net *socio=nil des entrées de capitaux*socio=ec1 dans l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien qui s'élevait à quelque 2,7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, dont environ 1,8 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 sous forme*socio=rien de capitaux*socio=ec1 à long_terme*socio=te, provenait, semble-t-il, de mouvements*socio=ec2 provoqués par les différences*socio=uv1 entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 et le resserrement*socio=ec2 *socio=rien relatif du crédit*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil ainsi que d'investissements*socio=ec1 motivés par l'attente de modifications*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1. Un*socio=rien important*socio=uv4 élément*socio=rien de la structure*socio=ec1 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 en 1972 fut la nouvelle*socio=rien expansion*socio=ec2 substantielle*socio=rien des flux*socio=ec1 acheminés par l'intermédiaire*socio=rien du*socio=rien marché*socio=ec1 de l'eurodollar*socio=ec. Selon les estimations*socio=ec2 de la banque_des_règlements_internationaux*socio=ac, basées sur*socio=rien des données relatives*socio=rien aux banques*socio=ac de neuf*socio=rien *socio=ac pays européens l'*socio=nil accroissement*socio=ec2 des*socio=nil engagements*socio=et en*socio=nil devises*socio=ec1 *socio=nil de ces banques*socio=ac vis-à-vis de non-résidents*socio=ac du*socio=rien pays*socio=ac où elles sont établies s'élevèrent en 1972 à quelque 34 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 contre environ 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pendant chacune des trois *socio=rien années précédentes.*socio=nil L'*socio=nil accélération*socio=ec2 *socio=nil de cette croissance*socio=uv3 en 1972 reflétait une rapide*socio=rien expansion*socio=ec2 des dépôts*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 ÉU et en deutsche*socio=ec1 marks, accompagnée d'un*socio=rien accroissement*socio=ec2 beaucoup plus faible*socio=rien des dépôts*socio=ec1 libellés en autres monnaies*socio=ec1. A la fin*socio=rien de 1972, la proportion*socio=rien de deutsche*socio=ec1 marks dans le montant*socio=ec1 total*socio=rien des dépôts*socio=ec1 en eurodollars déclarés était à peu près la même (quelque 15 pour 100) que l'année*socio=rien précédente*socio=rien, mais près de deux fois*socio=rien plus élevée*socio=uv4 qu'à la fin*socio=rien de 1969; la proportion*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU, qui était tombée de 82 pour 100 à la fin*socio=rien de 1969 à 72 pour 100 à la fin*socio=rien de 1971, augmenta quelque peu en 1972 et atteignit 74 pour 100 à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. Plus de la moitié*socio=rien de l'importante*socio=uv4 augmentation*socio=ec2 des dépôts*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 en 1972 se produisit pendant le quatrième*socio=rien trimestre*socio=te, où le dollar*socio=ec1 fut relativement ferme*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. *socio=rien Un facteur particulier *socio=nil de la croissance*socio=uv3 des dépôts*socio=ec1 en monnaies*socio=ec1 autres que le dollar*socio=ec1 (notamment en deutsche*socio=ec1 marks) sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des euromonnaies*socio=ec1 fut l'intensification*socio=ec2 des restrictions*socio=et imposées par certains *socio=ac pays européens sur*socio=rien le*socio=nil placement*socio=ec1 direct*socio=rien des*socio=nil dépôts*socio=ec1 des*socio=nil non-résidents *socio=nil auprès de leurs banques*socio=ac commerciales*socio=ec1. Les principaux*socio=rien fournisseurs*socio=ac nets*socio=rien de fonds*socio=ec1 au marché*socio=ec1 des euromonnaies*socio=ec1 en 1972 furent le Moyen-orient*socio=ac et les *socio=ac pays européens de*socio=nil production*socio=ec1 primaire*socio=rien.*socio=nil *socio=nil Les plus importants*socio=uv4 emprunteurs*socio=ac nets*socio=rien auprès des institutions*socio=ac bancaires*socio=ec1 européennes*socio=ac pendant la même période*socio=te furent les résidents*socio=ac (y compris les banques*socio=ac) des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 européens*socio=ac déclarants, du*socio=rien Japon*socio=ac, des États-unis*socio=ac et de l'europe_de_l'_est*socio=ac. Comme indiqué plus loin*socio=rien, les résidents*socio=ac des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 furent d'assez importants*socio=uv4 emprunteurs*socio=ac bruts*socio=rien en 1972, et il est*socio=rien probable*socio=uv4 qu'un*socio=rien *socio=rien volume supplémentaire de*socio=nil fonds*socio=ec1 *socio=nil libellés en euromonnaies*socio=ec1 entra dans les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 par la *socio=rien voie indirecte d'*socio=nil institutions_financières*socio=ac *socio=nil des divers pays*socio=ac industriels*socio=ec1. Les *socio=ac banques canadiennes et*socio=nil japonaises,*socio=nil bien*socio=rien *socio=nil qu'elles ne soient pas incluses dans les agrégats*socio=ec1 en euromonnaies*socio=ec1 mentionnés plus haut*socio=rien, ont aussi d'importants*socio=uv4 engagements*socio=et de dépôt*socio=ec1, libellés en monnaies*socio=ec1 autres que la leur. Les engagements*socio=et en devises*socio=ec1 des *socio=ac banques japonaises *socio=nil vis-à-vis des non-résidents*socio=ac augmentèrent de 0,9 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1972, mais leurs créances*socio=ec1 en devises*socio=ec1 sur*socio=rien des non-résidents*socio=ac s'accrurent d'environ 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Les *socio=ac banques japonaises *socio=nil se procurèrent ainsi *socio=rien un volume substantiel de*socio=nil capitaux*socio=ec1 (*socio=nil nets)*socio=nil *socio=nil auprès des banques*socio=ac de neuf*socio=rien pays*socio=ac déclarants européens*socio=ac et de sources*socio=rien japonaises*socio=ac, et augmentèrent leurs investissements*socio=ec1 nets*socio=rien en devises*socio=ec1, aux États-unis*socio=ac et ailleurs*socio=rien. Les *socio=ac banques canadiennes *socio=nil augmentèrent leurs engagements*socio=et en devises*socio=ec1 de 1,7 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1, et leurs avoirs*socio=ec1 en devises*socio=ec1 de 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1, se procurant des capitaux*socio=ec1 (nets*socio=rien) essentiellement au Royaume-uni*socio=ac et aux États-unis*socio=ac qu'elles utilisèrent au Canada*socio=ac et dans la zone*socio=te sterling*socio=ec1 en dehors du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac. *socio=rien Après un certain tassement *socio=nil des sorties de capitaux*socio=ec1 américains*socio=ac en 1972, la crise*socio=uv2 des changes*socio=ec1 *socio=rien du début *socio=nil de 1973 provoqua *socio=rien un nouveau gonflement*socio=ec2 *socio=nil des sorties de capitaux*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, et des entrées correspondantes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 essentiellement dans les autres pays*socio=ac industriels*socio=ec1, mais apparemment aussi dans d'autres pays*socio=ac. Les données *socio=rien provisoires sur la*socio=nil balance_des_paiements*socio=ec1 des*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil pendant le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1973 indiquent une sortie nette*socio=rien de capitaux*socio=ec1 d'environ 10 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, dont *socio=rien un tiers *socio=nil environ peut être*socio=rien attribué à des sorties identifiées de capitaux*socio=ec1 liquides du*socio=rien secteur_privé*socio=et. Les avoirs*socio=ec1 officiels*socio=et en devises*socio=ec1 des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 autres que les États-unis*socio=ac enregistrèrent pendant le premier*socio=rien trimestre*socio=te une augmentation*socio=ec2 totale*socio=rien, de 10,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, mais on pense qu'une partie*socio=rien de cette augmentation*socio=ec2 provient d'un*socio=rien excédent*socio=ec1 *socio=rien continu du compte*socio=ec1 courant *socio=nil de ces pays*socio=ac, pris dans leur ensemble*socio=rien. Les données dont on dispose donnent donc à penser que les pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien ont probablement enregistré d'autres entrées nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 s'élevant à plusieurs milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pendant le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1973. Si l'on considère les perspectives*socio=te à court_terme*socio=te des paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te des pays*socio=ac industriels*socio=ec1, il importe de prévoir que plusieurs grands*socio=rien pays*socio=ac continueront probablement d'enregistrer de sérieux*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 de leur position*socio=rien de compte*socio=ec1 courant*socio=rien en 1973. Les effets*socio=rien positifs*socio=uv4 des modifications*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 intervenues en 1970-71 et au début*socio=rien de 1973 devraient atténuer quelque peu, en 1973, l'important*socio=uv4 déséquilibre*socio=uv3 du*socio=rien compte*socio=ec1 courant*socio=rien des principaux*socio=rien pays*socio=ac au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil y compris notamment le déficit*socio=ec1 des États-unis*socio=ac; mais, comme il a été*socio=rien dit plus haut*socio=rien, ce n'est*socio=rien pas avant 1974 que l'on peut espérer que la situation*socio=rien évoluera nettement dans la direction*socio=et souhaitée et le rythme*socio=ec2 et l'ampleur*socio=rien de l'évolution*socio=te dépendront des politiques*socio=et intérieures*socio=te des pays*socio=ac concernés. Étant donné que plusieurs grands*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 continueront vraisemblablement*socio=rien d'enregistrer d'importants*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 de leur compte*socio=ec1 courant*socio=rien extérieur*socio=te en 1973, la non-récurrence d'excédents*socio=ec1 ou de déficits_globaux*socio=ec1 excessifs*socio=uv4 des paiements*socio=ec1 - ou de fortes*socio=rien pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 dans un*socio=rien régime*socio=et où les relations*socio=rien entre les monnaies*socio=ec1 ne sont pas fixées - dépend maintenant en *socio=rien grande partie *socio=nil de la nouvelle*socio=rien structure*socio=ec1 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Cette structure*socio=ec1 elle-même dépend évidemment, pour une *socio=rien large part,*socio=nil des*socio=nil politiques*socio=et des*socio=nil autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 nationales*socio=te *socio=nil en ce qui concerne l'intervention*socio=et sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1, ainsi que des caractéristiques*socio=rien plus générales*socio=rien des politiques*socio=et et des situations*socio=rien financières*socio=ec1 nationales*socio=te. C'est*socio=rien, dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil sur une*socio=nil inversion *socio=nil au moins partielle*socio=rien des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 qui ont créé de si graves*socio=uv4 perturbations*socio=ec2 depuis deux ans*socio=rien que l'on compte*socio=ec1 pour minimiser les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 et sur*socio=rien les réserves*socio=ec1. Au milieu*socio=rien de 1973, l'éventualité*socio=te de *socio=rien reflux substantiels des*socio=nil fonds*socio=ec1 *socio=nil qui avaient été*socio=rien déplacés pour des raisons*socio=rien de spéculation*socio=ec1 ou d'arbitrage*socio=et semblait essentiellement dépendre de trois facteurs*socio=rien : 1) de l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 prévue par le marché*socio=ec1; 2) de l'influence fondamentale*socio=uv4 des *socio=rien différentes situations et*socio=nil politiques_monétaires*socio=et nationales*socio=te sur le*socio=nil placement*socio=ec1 des*socio=nil fonds*socio=ec1 mobiles*socio=uv4;*socio=nil *socio=nil et 3) des mesures*socio=et *socio=rien spéciales destinées spécifiquement *socio=nil à stimuler ou à décourager certains mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Les *socio=rien événements récents *socio=nil ont montré que l'attente d'une *socio=rien modification prochaine des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil l'emporte sur*socio=rien les *socio=rien considérations habituelles de*socio=nil rendement*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Cette attente explique, sans aucun doute*socio=rien, en *socio=rien grande partie *socio=nil (mais non entièrement) que ni l'Accord*socio=et de Washington*socio=ac ni le *socio=rien réalignement du début *socio=nil de 1973 n'aient entraîné rapidement de *socio=rien reflux substantiel de*socio=nil capitaux*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Toutefois, le fait*socio=rien même que de *socio=rien nouvelles modifications importantes*socio=uv4 des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil furent décidées en 1973, généralement dans le même sens*socio=rien (pour les principaux*socio=rien pays*socio=ac) que celles qui avaient été*socio=rien adoptées par l'Accord*socio=et de Washington*socio=ac, devrait décourager l'attente de *socio=rien nouvelles modifications des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil dans cette direction*socio=et. Si l'on compare les situations*socio=rien monétaires*socio=ec1, l'évolution*socio=te qui se produisit aux États-unis*socio=ac et en Europe*socio=ac pendant les *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1972 et au début*socio=rien de 1973 n'était pas propice*socio=rien au reflux*socio=rien des capitaux*socio=ec1 vers les États-unis*socio=ac. Bien*socio=rien que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 américains*socio=ac aient continué d'augmenter fortement durant tout le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1973, à mesure*socio=rien que la politique_monétaire*socio=et se resserrait pour modérer l'intensité*socio=rien de l' activité_économique*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac, l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 s'accéléra aussi en Europe*socio=ac et au Japon*socio=ac et dans ces zones*socio=te les autorités*socio=et nationales*socio=te s'orientaient peu à peu vers une politique_monétaire*socio=et restrictive*socio=uv4 plutôt que de recourir à des mesures*socio=et d'austérité*socio=uv3 budgétaires*socio=et. En conséquence*socio=rien, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te y augmentèrent beaucoup plus rapidement qu'aux États-unis*socio=ac (graphique*socio=rien 8), ce qui élargit à nouveau*socio=rien l'écart*socio=ec2 entre les rendements*socio=ec1 des *socio=ec1 marchés monétaires en*socio=nil Europe*socio=ac *socio=nil et aux États-unis*socio=ac, et empêcha les reflux*socio=rien des capitaux*socio=ec1 mobiles*socio=uv4. Toutefois, il semble, en même temps*socio=rien, peu probable*socio=uv4 que des écarts*socio=ec2 insignifiants*socio=rien entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 puissent, à eux seuls*socio=rien, attirer hors des États-unis*socio=ac *socio=rien un volume important*socio=uv4 de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil liquides, au moment*socio=rien où le crédit*socio=ec1 y est*socio=rien très resserré. Il convient aussi de noter la récente*socio=rien réduction*socio=ec2 du*socio=rien coefficient*socio=ec1 de réserves_obligatoires*socio=ec1 sur*socio=rien les emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te contractés par les *socio=ac banques américaines *socio=nil par l'intermédiaire*socio=rien de leurs filiales*socio=rien à l'étranger*socio=te; cette réduction*socio=ec2 peut renforcer les *socio=rien effets du resserrement*socio=ec2 général du crédit*socio=ec1 sur *socio=nil les entrées de capitaux*socio=ec1 liquides aux États-unis*socio=ac, en particulier*socio=rien si les prévisions*socio=ec2 touchant l'évolution*socio=te du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 du*socio=rien dollar*socio=ec1 se réalisent. Certains pays*socio=ac industriels*socio=ec1 dont le compte*socio=ec1 *socio=rien courant est actuellement*socio=nil excédentaire *socio=nil étaient traditionnellement des importateurs*socio=ac nets*socio=rien de capitaux*socio=ec1. Ils risquent de voir leurs taux_de_change*socio=ec1 ou leurs réserves*socio=ec1 - ou les uns et les autres à la fois*socio=rien -exposés à de fortes*socio=rien pressions*socio=ec2, à moins qu'ils ne puissent stimuler les sorties de capitaux*socio=ec1 par des mesures*socio=et de politique_monétaire*socio=et, ou en modifiant leur dispositif*socio=et de contrôle*socio=uv3 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Il reste*socio=rien, néanmoins, peu probable*socio=uv4 que l'on puisse modifier beaucoup les soldes*socio=ec1 des comptes*socio=ec1 de capital*socio=ec1 en recourant aux mesures*socio=et de contrôle*socio=uv3 adoptées ou renforcées au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil malgré les quelques résultats*socio=rien obtenus jusqu'ici grâce*socio=rien à ces mesures*socio=et. L'efficacité*socio=uv3 future*socio=te des mesures*socio=et de contrôle*socio=uv3 sera fonction*socio=rien de l'intensité*socio=rien des forces*socio=uv1 à maîtriser*socio=rien et partant, de la *socio=rien situation du crédit*socio=ec1 *socio=nil engendrée par la conjoncture*socio=ec2 fondamentale*socio=uv4 et la politique_monétaire*socio=et. Évolution*socio=te de la situation*socio=rien dans les pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien. L'évolution*socio=te récente*socio=rien de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 dans les pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien a été*socio=rien déterminée par plusieurs facteurs*socio=rien dont l'action*socio=ec1 s'est*socio=rien fait*socio=rien largement sentir. Ce sont la reprise cyclique*socio=te dans les *socio=rien principaux secteurs industriels*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil l'aliment qu'elle a apporté aux forces*socio=uv1 inflationnistes*socio=ec2 émanant de ces secteurs*socio=rien, la hausse*socio=rien des cours*socio=rien des matières_premières*socio=ec1 en 1972-73 et les effets*socio=rien durables*socio=uv4 des récents*socio=rien réalignements*socio=ec1 des relations*socio=rien entre les monnaies*socio=ec1. La vigueur*socio=uv3 de l'essor*socio=rien cyclique*socio=te qui se poursuit dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 a considérablement*socio=rien renforcé la demande*socio=ec1 de produits*socio=rien originaires des pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien en 1972, et semble devoir*socio=rien maintenir une demande*socio=ec1 soutenue au moins pendant la *socio=rien majeure partie *socio=nil de 19737. Cet état*socio=rien de *socio=rien choses présente un *socio=nil contraste frappant avec le fléchissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 que subissaient les exportateurs*socio=ac de *socio=rien produits primaires *socio=nil en 1971 et jusqu'au début*socio=rien de 1972. L'envolée des prix*socio=ec1 des matières_premières*socio=ec1 pendant le *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1972 et le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1973 reflétait non seulement le renforcement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1, mais aussi plusieurs *socio=rien facteurs spécifiques *socio=nil liés à la situation*socio=rien de l'offre*socio=ec1 sur*socio=rien certains marchés*socio=ec1. La forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien blé, par exemple*socio=rien, provenait pour une *socio=rien large part *socio=nil d'une baisse*socio=ec2 générale*socio=rien de la production*socio=ec1 céréalière dans le monde*socio=te, qui eut pour effet*socio=rien de provoquer une demande*socio=ec1 exceptionnelle*socio=uv4 d'exportations*socio=ec1 de *socio=ac pays producteurs *socio=nil comme l' union_soviétique*socio=ac et la Chine*socio=ac continentale*socio=te. Les *socio=rien cours sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 *socio=nil de la viande, du*socio=rien cacao*socio=ec1 et du*socio=rien sucre*socio=ec1 furent également influencés par une insuffisance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 globale*socio=rien par rapport*socio=rien à l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1. *socio=rien Un facteur spécial *socio=nil qui a contribué à la hausse*socio=rien des cours*socio=rien des matières_premières*socio=ec1, exprimés en dollars*socio=ec1 ÉU ou en monnaie*socio=ec1 de nombreux*socio=rien pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien, fut la succession*socio=rien d'ajustements*socio=et monétaires*socio=ec1 depuis 1971. En outre, la crise*socio=uv2 monétaire*socio=ec1 internationale*socio=ac *socio=rien du début *socio=nil de 1973 provoqua des achats*socio=ec1 exceptionnels*socio=uv4 de matières_premières*socio=ec1 qui représentaient alors - étant donné la situation*socio=rien - la détention d'un*socio=rien des moyens*socio=ec1 de se protéger contre le risque*socio=uv3 inhérent*socio=rien à une monnaie*socio=ec1 donnée ou de spéculer directement sur*socio=rien les variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1. Il semble que les demandes*socio=et motivées par cette considération*socio=rien aient contribué à la hausse*socio=rien des cours*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil matières_premières*socio=ec1 au*socio=nil début *socio=nil de 1973. Au total*socio=rien, les cours*socio=rien des matières_premières*socio=ec1 autres que le pétrole*socio=ec1 augmentèrent entre 1971 et 1972, de 13 pour 100 en moyenne*socio=rien, en termes*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU La hausse*socio=rien toucha essentiellement les produits*socio=rien agricoles*socio=ec1, et en particulier*socio=rien les produits*socio=rien non alimentaires*socio=ec1 de cette catégorie*socio=rien. Les cours*socio=rien des produits*socio=rien non alimentaires*socio=ec1 augmentèrent de 30 pour 100 - ce qui représente *socio=rien un rétablissement exceptionnel*socio=uv4 après des*socio=nil années de*socio=nil repli *socio=nil - tandis que les cours*socio=rien des produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1 augmentèrent d'environ 12 pour 100. Dans l'ensemble*socio=rien, le *socio=rien cours moyen des*socio=nil métaux*socio=ec1 *socio=nil n'avait pratiquement pas changé de 1971 à 1972. En 1973, par contre, les métaux*socio=ec1 ont participé à la *socio=rien hausse générale.*socio=nil Les*socio=nil *socio=ec1 valeurs unitaires des*socio=nil exportations de*socio=nil *socio=rien produits primaires,*socio=nil *socio=nil dont dépendent directement les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, ont enregistré en 1972 et au début*socio=rien de 1973 des augmentations*socio=ec2 beaucoup plus modérées que celles des cotations du*socio=rien marché*socio=ec1, tout en suivant*socio=rien en gros*socio=rien une évolution*socio=te analogue8. Dans le *socio=rien cas du pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui n'est*socio=rien pas englobé dans les chiffres cités pour les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien, l'augmentation*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 unitaire*socio=rien des exportations*socio=ec1 de 1971 à 1972 a été*socio=rien plus forte*socio=rien que pour l'ensemble*socio=rien des autres *socio=rien produits primaires *socio=nil et il semble qu'il en sera de même en 1973. Les profits*socio=ec1 résultant*socio=rien des récentes*socio=rien augmentations*socio=ec2 de prix*socio=ec1 n'ont pas été*socio=rien répartis de *socio=rien façon égale *socio=nil entre tous les pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien. En fait*socio=rien, l'une des conséquences*socio=rien essentielles*socio=uv4 des modifications*socio=rien de prix*socio=ec1 pendant la période*socio=te 1971-72 est*socio=rien que les pays*socio=ac plus développés*socio=uv4 ont dans l'ensemble*socio=rien bénéficié davantage que les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 de la hausse*socio=rien des *socio=ec1 valeurs unitaires des*socio=nil exportations.*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=rien,*socio=nil les*socio=nil pays*socio=ac de*socio=nil production primaire*socio=rien *socio=nil reçoivent des pays*socio=ac plus développés*socio=uv4 une *socio=rien grande partie *socio=nil de leurs importations*socio=ec1 de blé, de laine et de viande - qui comptent parmi les produits*socio=rien les plus touchés par l'évolution*socio=te favorable*socio=uv4 des prix*socio=ec1. Les marchés*socio=ec1 du*socio=rien sucre*socio=ec1 et du*socio=rien pétrole*socio=ec1 constituent les exceptions*socio=rien les plus notables*socio=rien à la tendance*socio=ec2 générale*socio=rien. Sur*socio=rien ces marchés*socio=ec1, certains pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 ont tiré *socio=rien un net *socio=nil avantage de l'augmentation*socio=ec2 des cours*socio=rien. Pour certains produits*socio=rien, cette augmentation*socio=ec2 est*socio=rien venue trop tard dans l'année*socio=rien pour se faire beaucoup sentir sur*socio=rien les résultats*socio=rien commerciaux*socio=ec1 de 1972. C'est*socio=rien ainsi que la forte*socio=rien progression*socio=ec2 des *socio=rien cours du cacao*socio=ec1 *socio=nil en 1972 ne s'est*socio=rien qu'incomplètement répercutée sur*socio=rien la valeur*socio=ec1 des expéditions déclarée par les *socio=ac pays exportateurs,*socio=nil *socio=nil car la *socio=rien pratique habituelle est *socio=nil de négocier les ventes*socio=ec1 de cacao*socio=ec1 longtemps avant les expéditions. Il semble d'après*socio=rien l'évolution*socio=te générale*socio=rien des prix*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1972 et pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1973 que les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 recevront une part*socio=rien légèrement plus importante*socio=uv4 des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 résultant*socio=rien des augmentations*socio=ec2 de prix*socio=ec1 en 1973. Le raffermissement*socio=ec2 des *socio=rien cours sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil métaux*socio=ec1 au*socio=nil passage *socio=nil d'une année*socio=rien à l'autre a contribué à cette tendance*socio=ec2 générale*socio=rien. Ainsi qu'on l'a noté précédemment, la situation*socio=rien des paiements*socio=ec1 de nombreux*socio=rien pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien a été*socio=rien soutenue en 1972 non seulement par la fermeté*socio=rien de leurs marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et l'envolée des prix*socio=ec1 des denrées*socio=ec1 primaires*socio=rien, mais également par un*socio=rien important*socio=uv4 afflux*socio=ec1 net*socio=rien de capitaux*socio=ec1, qui s'est*socio=rien accru pour l'ensemble*socio=rien de ces pays*socio=ac de 6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 entre 1970 et 1972 (tableau*socio=rien 8). Cette situation*socio=rien tient à de très *socio=rien nombreux facteurs.*socio=nil Les*socio=nil crédits*socio=ec1 internationaux*socio=te *socio=nil ont en *socio=rien général été plus*socio=nil abondants *socio=nil et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 plus faibles*socio=rien pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de l'année*socio=rien 1972 qu'au cours*socio=rien des deux *socio=rien années précédentes.*socio=nil *socio=nil D'autre part*socio=rien, les demandes*socio=et de crédit*socio=ec1 d'emprunteurs*socio=ac traditionnellement importants*socio=uv4 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des euromonnaies*socio=ec1 ont été*socio=rien quelque peu déprimées par la faiblesse*socio=ec2 conjoncturelle*socio=te des investissements*socio=ec1 chez certains des principaux*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1. Un*socio=rien autre facteur*socio=rien qui a joué dans le même *socio=rien sens est le*socio=nil renforcement*socio=ec2 des*socio=nil mesures*socio=et prises *socio=nil par plusieurs pays*socio=ac industriels*socio=ec1 pour freiner les emprunts*socio=ec1 de leurs résidents*socio=ac à l'étranger*socio=te. Quant aux demandes*socio=et de fonds*socio=ec1 à des fins*socio=rien spéculatives*socio=ec2, elles ont seulement été*socio=rien sporadiques en 1972 et d'une *socio=rien ampleur bien moindre *socio=nil qu'en 1971. Dans ces conditions*socio=ec1, les pays*socio=ac économiquement moins développés*socio=uv4 d'amérique_latine*socio=ac, d'Afrique*socio=ac et d'Extrême-orient ont pu accroître substantiellement leurs emprunts*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des euromonnaies*socio=ec1. Dans certains pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien, la politique*socio=et nationale*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 et la *socio=rien situation du crédit*socio=ec1 intérieur*socio=te,*socio=nil *socio=nil jointes à *socio=rien diverses circonstances particulières,*socio=nil *socio=nil ont également fortement contribué à l'ampleur*socio=rien des entrées de capitaux*socio=ec1. Les banques*socio=ac effectuant des transactions*socio=ec1 en euromonnaies*socio=ec1 jouent depuis quelque *socio=rien temps un rôle*socio=et important*socio=uv4 *socio=nil dans l'acheminement*socio=rien des fonds*socio=ec1 vers les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 - ces fonds*socio=ec1 étant réunis dans de nombreuses*socio=rien régions*socio=te du*socio=rien monde*socio=te (y compris dans certains pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 eux-mêmes) sous forme*socio=rien de dépôts*socio=ec1 à relativement court_terme*socio=te puis placés dans une *socio=rien mesure croissante sous*socio=nil forme de*socio=nil prêts*socio=ec1 à*socio=nil moyen terme,*socio=nil *socio=nil souvent de caractère*socio=rien renouvelable. Selon des données partielles*socio=rien, les crédits*socio=ec1 de ce type*socio=rien ont été*socio=rien encore plus importants*socio=uv4 au *socio=rien cours du premier trimestre*socio=te *socio=nil de 1973 qu'un*socio=rien an*socio=rien auparavant. Cependant, il se peut que le resserrement*socio=ec2 de la situation*socio=rien monétaire*socio=ec1 dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1972 et pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1973 s'oppose à de nouvelles*socio=rien augmentations*socio=ec2 des mouvements_de_fonds*socio=ec1 au profit*socio=ec1 d'emprunteurs*socio=ac des pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien, que ce soit par le canal*socio=ec1 des euro-banques ou sous toute autre forme*socio=rien. Pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien économiquement plus développés*socio=uv4. Tout en étant importantes*socio=uv4, les entrées de capitaux*socio=ec1 dans l'ensemble*socio=rien de ces pays*socio=ac sont restées sensiblement du*socio=rien même ordre*socio=rien en 1972 qu'au cours*socio=rien de l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Comme en 1971, l'Australie*socio=ac en a été*socio=rien le principal*socio=rien bénéficiaire*socio=ac net*socio=rien, représentant*socio=rien plus *socio=rien du tiers *socio=nil de l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac. A côté*socio=rien des mouvements_de_capitaux_privés*socio=et à long_terme*socio=te sous des *socio=rien formes traditionnelles,*socio=nil l'*socio=nil ampleur *socio=nil des entrées de capitaux*socio=ec1 en Australie*socio=ac reflète le niveau*socio=rien très élevé*socio=uv4 des emprunts*socio=ec1 à court*socio=rien ou à *socio=rien moyen terme *socio=nil contractés par les sociétés*socio=ac nationales*socio=te. En 1972, l'attente d'une réévaluation*socio=ec1 du*socio=rien dollar*socio=ec1 australien*socio=rien a également contribué à augmenter le volume*socio=rien des entrées de capitaux*socio=ec1. Une fois*socio=rien cette attente confirmée par les événements*socio=rien en décembre*socio=rien 1972, les *socio=rien positions prises en*socio=nil dollars*socio=ec1 *socio=nil australiens par les opérateurs*socio=ac et les investisseurs*socio=ac ont souvent été*socio=rien dénouées au cours*socio=rien des *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1973. Des entrées nettes*socio=rien relativement importantes*socio=uv4 se sont aussi produites en Grèce, en afrique_du_sud*socio=ec1, en Espagne*socio=ac et en Turquie*socio=ac. Parmi les capitaux*socio=ec1 entrés en Grèce et en Turquie*socio=ac figurait une *socio=rien forte proportion de*socio=nil fonds*socio=ec1 à*socio=nil court_terme*socio=te,*socio=nil en*socio=nil particulier des*socio=nil dépôts*socio=ec1 *socio=nil de garantie de change*socio=ec1 relativement très bien*socio=rien rémunérés, tandis que les capitaux*socio=ec1 entrés en afrique_du_sud*socio=ec1 et en Espagne*socio=ac se rangeaient surtout dans le compartiment du*socio=rien long_terme*socio=te et comprenaient en particulier*socio=rien d'importants*socio=uv4 montants*socio=ec1 au titre*socio=rien d'investissements*socio=ec1 directs*socio=rien dans ces pays*socio=ac. Bien*socio=rien que les entrées *socio=rien nettes globales de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil aient cessé d'augmenter de 1971 à 1972, les pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien plus développés*socio=uv4 ont dans l'ensemble*socio=rien bénéficié cette *socio=rien dernière année *socio=nil d'une *socio=rien position globale des*socio=nil paiements*socio=ec1 très*socio=nil forte.*socio=nil Cette*socio=nil situation *socio=nil s'explique par le redressement*socio=ec2 du*socio=rien compte*socio=ec1 courant*socio=rien combiné de ces pays*socio=ac, qui est*socio=rien devenu nettement excédentaire*socio=rien pour deux raisons*socio=rien essentielles*socio=uv4 : une forte*socio=rien évolution*socio=te en *socio=rien hausse du solde*socio=ec1 *socio=nil de la balance_commerciale*socio=ec1 de l'Australie*socio=ac et de l'afrique_du_sud*socio=ec1 et une progression*socio=ec2 importante*socio=uv4 des recettes*socio=ec1 nettes*socio=rien procurées à *socio=rien un certain nombre de*socio=nil *socio=ac pays européens de*socio=nil production*socio=ec1 primaire*socio=rien *socio=nil par les transactions*socio=ec1 au titre*socio=rien des services*socio=et, notamment par les envois*socio=rien de fonds*socio=ec1 de travailleurs*socio=ac et par le tourisme*socio=ec1. Pour cette *socio=rien dernière catégorie de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil forte augmentation*socio=ec2 *socio=nil de la valeur*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 en 1972 a été*socio=rien plus que compensée par la progression*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 de leurs importations*socio=ec1, traduisant en général*socio=rien la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 et de la demande*socio=ec1 intérieures*socio=te, de sorte*socio=rien que l'évolution*socio=te du*socio=rien solde*socio=ec1 de la balance_commerciale*socio=ec1 n'a, dans l'ensemble*socio=rien, pas contribué à la solidité*socio=uv3 du*socio=rien compte*socio=ec1 courant*socio=rien et de la situation*socio=rien globale*socio=ec1 des paiements*socio=ec1. En Australie*socio=ac et en afrique_du_sud*socio=ec1, l'amélioration*socio=uv1 de la balance_commerciale*socio=ec1 résulte surtout de l'accroissement*socio=ec2 *socio=rien spectaculaire du prix*socio=ec1 des*socio=nil principaux produits,*socio=nil *socio=nil d'une hausse*socio=rien soutenue *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 et*socio=nil du faible niveau des*socio=nil importations*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui s'explique par le ralentissement*socio=ec2 conjoncturel*socio=te de l'activité_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te. Pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe_des_pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien les plus développés*socio=uv4, en Europe*socio=ac et dans l'hémisphère_austral*socio=te, l'excédent*socio=ec1 combiné des paiements_globaux*socio=ec1 s'est*socio=rien élevé*socio=uv4 en 1972 à 7,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, contre environ 4 milliards*socio=rien en 1971 et moins de 1,5 milliard*socio=rien en 1970. Pays*socio=ac économiquement moins développés*socio=uv4. Tout comme les pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien les plus développés*socio=uv4, ces pays*socio=ac ont amélioré le solde*socio=ec1 combiné de leurs *socio=ec1 balances commerciales *socio=nil qui, de déficitaire*socio=ec2 qu'il était en 1971 est*socio=rien devenu excédentaire*socio=rien en 1972. La valeur*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 ÉU des exportations*socio=ec1 a augmenté en moyenne*socio=rien de 15,5 pour 100 tandis que celle des importations*socio=ec1 progressait un*socio=rien peu plus modérément (en moyenne*socio=rien de 12,5 pour 100), si bien*socio=rien que ces pays*socio=ac ont dégagé en 1972 un*socio=rien excédent*socio=ec1 collectif*socio=uv2 au titre*socio=rien des exportations*socio=ec1 estimé à environ 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, alors qu'en 1971 leur situation*socio=rien avait été*socio=rien à peu près équilibrée. Le déficit_global*socio=ec1 du*socio=rien compte*socio=ec1 courant*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 a ainsi été*socio=rien réduit de quelque 2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 et ramené à *socio=rien un total *socio=nil estimé à 7 milliards*socio=rien, en dépit*socio=rien de la nouvelle*socio=rien progression*socio=ec2 des paiements*socio=ec1 nets*socio=rien au titre*socio=rien des services*socio=et (y compris le paiement*socio=ec1 des revenus*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1). Parmi ces agrégats*socio=ec1, la balance_commerciale*socio=ec1 et le compte*socio=ec1 courant*socio=rien ont été*socio=rien très différents*socio=rien chez les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil et chez les autres pays_en_voie_de_développement*socio=uv3. En 1972, le groupe_des_pays*socio=ac pétroliers*socio=ec1 a dégagé un*socio=rien *socio=ec1 excédent commercial *socio=nil d'environ 10 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 et un*socio=rien excédent*socio=ec1 en compte*socio=ec1 courant*socio=rien de près de 2 milliards*socio=rien, tandis que le groupe_des_pays*socio=ac non producteurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 enregistrait un*socio=rien *socio=ec1 déficit commercial *socio=nil de 7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 et un*socio=rien déficit*socio=ec1 en compte*socio=ec1 courant*socio=rien de 9 milliards*socio=rien (tableau*socio=rien 8). Toutefois, les pays*socio=ac de ce dernier*socio=rien groupe*socio=ac interviennent pour plus de la moitié*socio=rien dans l'évolution*socio=te nette*socio=rien constatée de 1971 à 1972 dans la balance_commerciale*socio=ec1 combinée de l'ensemble*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 et pour la totalité*socio=rien de l'évolution*socio=te *socio=rien nette du solde*socio=ec1 global*socio=te du compte*socio=ec1 courant.*socio=nil La*socio=nil diminution*socio=ec2 *socio=nil en 1972 du*socio=rien déficit*socio=ec1 du*socio=rien compte*socio=ec1 courant*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 s'est*socio=rien accompagnée d'un*socio=rien afflux*socio=ec1 accru de capitaux*socio=ec1, créant ainsi un*socio=rien excédent*socio=ec1 des paiements_globaux*socio=ec1 encore jamais vu, supérieur*socio=rien à 8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Sur*socio=rien ce montant*socio=ec1, environ 4,5 milliards*socio=rien concernent des pays*socio=ac qui exportent surtout d'autres produits*socio=rien que le pétrole*socio=ec1 et qui avaient dégagé l'année*socio=rien *socio=rien précédente un excédent_global*socio=te inférieur *socio=nil à 1 milliard*socio=rien. Pour les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil l'*socio=nil excédent_global*socio=te *socio=nil de quelque 3,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1972 a légèrement dépassé la valeur*socio=ec1 de l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Les entrées nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil ont légèrement progressé, bien*socio=rien que des fonds*socio=ec1 nets*socio=rien à court_terme*socio=te aient continué de sortir de certains de ces pays*socio=ac. Ce flux*socio=ec1 accru de sorties à court_terme*socio=te a essentiellement été*socio=rien le *socio=rien fait du Koweït*socio=ac,*socio=nil *socio=nil de l'Arabie*socio=ac Saoudite*socio=ac et de la *socio=ac République arabe *socio=nil libyenne; à côté*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 des réserves_officielles*socio=et, ces capitaux*socio=ec1 correspondaient au placement*socio=ec1 de fonds*socio=ec1 procurés aux pays*socio=ac indiqués par leurs importants*socio=uv4 excédents*socio=ec1 en compte*socio=ec1 courant*socio=rien. Selon des estimations*socio=ec2 préliminaires*socio=rien, les entrées nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 dans les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 sont*socio=nil passées*socio=te *socio=nil d'environ Il milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1971 à 13 milliards*socio=rien en 1972. Cette augmentation*socio=ec2 a résulté pour l'essentiel*socio=uv4 de l'accroissement*socio=ec2 des mouvements_de_capitaux_privés*socio=et, les transferts*socio=ec1 nets*socio=rien au titre*socio=rien de l'aide*socio=uv1 et des crédits*socio=ec1 officiels*socio=et (tels qu'ils sont recensés dans les statistiques*socio=ec2 de balance_des_paiements*socio=ec1 communiquées par les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3) n'ayant que légèrement progressé de 1971 à 1972. On constate maintenant que les entrées nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te dans les pays*socio=ac non producteurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 ont représenté environ la moitié*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 de 2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien des entrées de capitaux*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac de 1971 à 1972. Pour cette *socio=rien dernière année,*socio=nil le*socio=nil montant*socio=ec1 total *socio=nil a également été*socio=rien gonflé par l'augmentation*socio=ec2 sensible*socio=rien des entrées nettes*socio=rien de capitaux_privés*socio=ec1 à long_terme*socio=te. Cette progression*socio=ec2 est*socio=rien en partie*socio=rien le *socio=rien résultat direct *socio=nil de la politique*socio=et de certains pays_en_voie_de_développement*socio=uv3, qui se sont efforcés d'allonger la durée*socio=te moyenne*socio=rien d'amortissement*socio=ec1 de leur dette*socio=ec1 extérieure*socio=te en fournissant des incitations*socio=uv3 aux capitaux*socio=ec1 à long_terme*socio=te et en prenant des mesures*socio=et pour ne plus dépendre aussi étroitement des crédits*socio=ec1 à court_terme*socio=te. Le Brésil*socio=ac constitue à la fois*socio=rien le meilleur*socio=uv4 exemple*socio=rien de la réussite*socio=uv1 des efforts*socio=uv1 officiels*socio=et pour étaler l'amortissement*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te sur*socio=rien une durée*socio=te plus longue*socio=rien et, de tous les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3, celui qui a bénéficié en 1972 des entrées de capitaux*socio=ec1 de loin*socio=rien les plus importantes*socio=uv4. Avec un*socio=rien montant*socio=ec1 de 3,8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, les importations*socio=ec1 nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 au Brésil*socio=ac ont dépassé le double*socio=rien de leur valeur*socio=ec1 totale*socio=rien en dollars*socio=ec1 ÉU de l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Cette forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 a surtout été*socio=rien due à l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1, qui a diminué le coût*socio=ec1 effectif*socio=rien des emprunts*socio=ec1 à l'étranger*socio=te, et à la situation*socio=rien relativement serrée du*socio=rien crédit*socio=ec1 provoquée par les efforts*socio=uv1 visant à contenir la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Parmi les autres pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 qui ont reçu des capitaux*socio=ec1 (et une aide*socio=uv1) nets*socio=rien relativement importants*socio=uv4 en 1972 (de 0,3 à 1,2 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1) il convient de citer : la Colombie*socio=ac, le Mexique*socio=ac et le Venezuela*socio=ac dans l' hémisphère_occidental*socio=te; l'Égypte*socio=ac, l'Iran*socio=ac et Israël*socio=ac au Moyen-orient*socio=ac; la Corée*socio=ac, l'Indonésie*socio=ac, Singapour*socio=ac et le Viêt-nam en Asie*socio=ac. Si l'aide*socio=uv1 et les crédits*socio=ec1 officiels*socio=et ont constitué la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de ces entrées dans certains des pays*socio=ac nommés, les crédits_privés*socio=et ont constitué l'essentiel*socio=uv4 des entrées de capitaux*socio=ec1 en Indonésie*socio=ac, au Mexique*socio=ac, à Singapour*socio=ac et au Venezuela*socio=ac. Pour ces deux derniers*socio=rien pays*socio=ac, les entrées nettes*socio=rien consistaient surtout en capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te; par contre, la *socio=rien majeure partie *socio=nil des entrées de capitaux*socio=ec1 en Indonésie*socio=ac et au Mexique*socio=ac représentait des investissements*socio=ec1 directs*socio=rien de l'étranger*socio=te et des capitaux*socio=ec1 à long_terme*socio=te réunis à l'étranger*socio=te pour le financement*socio=ec1 du*socio=rien développement*socio=uv3, conformément à la politique*socio=et des gouvernements*socio=ac qui s'efforcent de trouver des crédits*socio=ec1 extérieurs*socio=te pour compléter l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te. Au *socio=rien sein du groupe*socio=ac nombreux *socio=nil et diversifié que constituent les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3, on a assisté*socio=rien en 1972 à une évolution*socio=te extrêmement variable*socio=rien de la balance_des_paiements*socio=ec1 et il *socio=rien est certain *socio=nil que les divergences*socio=uv1 seront encore importantes*socio=uv4 en 1973. L'augmentation*socio=ec2 d'une *socio=rien ampleur inhabituelle *socio=nil enregistrée en 1972 par l'excédent*socio=ec1 des paiements_globaux*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac a été*socio=rien particulièrement sensible*socio=rien pour les pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te (du*socio=rien fait*socio=rien d'un*socio=rien afflux*socio=ec1 particulièrement important*socio=uv4 de capitaux*socio=ec1, ainsi qu'on l'a noté précédemment), mais elle a également intéressé, quoique dans une *socio=rien moindre mesure,*socio=nil les*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil Asie*socio=ac et*socio=nil du Moyen-orient*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Par contre, cette augmentation*socio=ec2 n'a pas touché les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac, dont l'excédent*socio=ec1 combiné des paiements_globaux*socio=ec1 est*socio=rien resté inchangé*socio=rien en 1972, après*socio=rien avoir diminué en 1971, malgré l'amélioration*socio=uv1 de la balance_commerciale*socio=ec1. Bien*socio=rien entendu, la situation*socio=rien a été*socio=rien très différente*socio=rien dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 du*socio=rien Moyen-orient *socio=nil et d'Afrique*socio=ac du*socio=rien Nord*socio=te et dans la plupart*socio=rien des autres pays_en_voie_de_développement*socio=uv3. La situation*socio=rien monétaire*socio=ec1 internationale*socio=ac récente*socio=rien et les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3. Le réalignement*socio=rien des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 en 1971 et 1973, joint aux décisions*socio=et prises*socio=rien par les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 quant à leur propre*socio=rien politique*socio=et de taux_de_change*socio=ec1, a sensiblement modifié certains des *socio=rien principaux facteurs et*socio=nil considérations *socio=nil qui déterminent la structure*socio=ec1 des échanges_commerciaux*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3. Les avoirs*socio=ec1 et les engagements*socio=et financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te de ces pays*socio=ac ont également notablement*socio=rien évolué, à la fois*socio=rien en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1 et, dans une *socio=rien moindre mesure,*socio=nil en*socio=nil termes réels*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil En outre, la *socio=rien nouvelle situation de*socio=nil flexibilité*socio=uv3 *socio=nil accrue des taux_de_change*socio=ec1 semble placer les pays*socio=ac les moins développés*socio=uv4 dans une situation*socio=rien plus incertaine*socio=uv4 et leur poser de nouveaux*socio=rien problèmes*socio=uv4 d'adaptation*socio=uv3, sans aucun rapport*socio=rien avec l'évolution*socio=te de la structure*socio=ec1 des taux_de_change*socio=ec1 qui a effectivement*socio=rien eu lieu*socio=rien. Le Rapport*socio=rien annuel*socio=te pour 1972 résumait les estimations*socio=ec2 des services_du_fonds*socio=ec1 quant à l'influence *socio=rien du réalignement monétaire*socio=ec1 *socio=nil de 1971 sur*socio=rien le commerce*socio=ec1, les avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 et la dette*socio=ec1 à long_terme*socio=te des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3. Des estimations*socio=ec2 analogues*socio=rien dans le cas*socio=rien de la modification*socio=rien de la structure*socio=ec1 des taux_de_change*socio=ec1 intervenue au début*socio=rien de 1973 sont brièvement présentées dans les trois paragraphes*socio=rien qui suivent, tandis qu'un*socio=rien *socio=rien quatrième paragraphe est *socio=nil consacré à certaines*socio=rien des conséquences*socio=rien qui résultent pour les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 de la flexibilité*socio=uv3 accrue des taux_de_change*socio=ec1, en tant que telle. Répercussions*socio=ec2 *socio=rien du réalignement du début *socio=nil de 1973 sur*socio=rien le commerce*socio=ec1. La dépréciation*socio=ec2 *socio=rien effective du dollar_éu*socio=ec1 après le*socio=nil réalignement de*socio=nil février -*socio=nil mars *socio=nil 1973 a été*socio=rien sensiblement du*socio=rien même ordre*socio=rien de grandeur*socio=rien qu'après*socio=rien le réalignement*socio=rien de 1971; les modifications*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 des autres pays*socio=ac industriels*socio=ec1 par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1 ont également eu à pou près la même physionomie*socio=rien dans les deux cas*socio=rien, encore qu'on note quelques différences*socio=uv1 pour certains pays*socio=ac. En présence*socio=rien de cette situation*socio=rien d'ajustements*socio=et effectifs*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 sensiblement parallèles*socio=rien chez les pays*socio=ac industriels*socio=ec1, les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 ont en *socio=rien grande majorité *socio=nil également agi de *socio=rien façon similaire *socio=nil dans l'ajustement*socio=et de leurs parités*socio=ec1 par rapport*socio=rien à certaines*socio=rien des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1. Cependant, certains de ces pays*socio=ac, un*socio=rien peu moins nombreux*socio=rien, ont laissé inchangé*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1 de leur monnaie*socio=ec1 par rapport*socio=rien au dollar_éu*socio=ec1 au *socio=rien moment du réalignement du début *socio=nil de 1973, et la revalorisation*socio=uv3 moyenne*socio=rien des monnaies*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1 a été*socio=rien légèrement plus importante*socio=uv4 à cette occasion*socio=rien qu'après*socio=rien la série d'ajustements*socio=et décidés dans le cadre*socio=rien de l'Accord*socio=et de Washington*socio=ac - un*socio=rien peu plus de 5 pour 100, en prenant comme pondérations les exportations*socio=ec1 et les importations*socio=ec1 combinées, contre moins de 4 pour 100 après*socio=rien le réalignement*socio=rien de 1971. Par rapport*socio=rien aux monnaies*socio=ec1 des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 européens*socio=ac et du*socio=rien Japon*socio=ac, les monnaies*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 ont subi une dépréciation*socio=ec2 moyenne*socio=rien moins importante*socio=uv4 en 1973 qu'en 1971, la différence*socio=rien étant d'environ 2 pour 100. Par rapport*socio=rien aux monnaies*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac développés*socio=uv4, la dépréciation*socio=ec2 *socio=rien effective moyenne des*socio=nil monnaies*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 s'*socio=nil est *socio=nil établie à environ 2 pour 100 lors*socio=rien des dernières*socio=rien négociations*socio=et, contre environ 4,5 pour 100 au moment*socio=rien des négociations*socio=et de Washington*socio=ac. La dépréciation*socio=ec2 *socio=rien effective moyenne *socio=nil estimée ci-dessus implique normalement une légère*socio=rien dégradation*socio=uv3 des termes*socio=rien moyens*socio=ec1 de l'échange*socio=ec1 pour les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3. Toutefois, cette détérioration*socio=uv4 *socio=rien du fait du réalignement *socio=nil - sans doute*socio=rien de l'ordre*socio=rien de moins de 0,5 pour 100 - serait faible*socio=rien par rapport*socio=rien à l'évolution*socio=te moyenne*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1 en faveur*socio=rien des pays*socio=ac moins développés*socio=uv4 qui résulte *socio=rien du bond des*socio=nil cours des*socio=nil produits de*socio=nil base *socio=nil en 1972-73. Ce gain*socio=ec1 moyen*socio=rien recouvre sans aucun doute*socio=rien des situations*socio=rien extrêmement différentes*socio=rien selon les pays*socio=ac, les termes_de_l'_échange*socio=ec1 pouvant même se détériorer pour certains d'entre eux. Le mouvement*socio=ec2 estimé des prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 et à l'exportation*socio=ec1 qui est*socio=rien à la base*socio=rien de la partie*socio=rien de l'évolution*socio=te "projetée" des termes_de_l'_échange*socio=ec1 en 1973 qui résulte *socio=rien du réalignement,*socio=nil *socio=nil devrait entraîner une certaine*socio=rien expansion*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 et*socio=nil un certain resserrement*socio=ec2 du volume *socio=nil de leurs importations*socio=ec1 - sans doute*socio=rien de l'ordre*socio=rien de 1 pour 100 ou un*socio=rien peu moins dans les deux cas*socio=rien. Au total*socio=rien, les modifications*socio=rien indiquées pour les volumes*socio=rien et les prix*socio=ec1 devraient finalement conduire à une amélioration*socio=uv1, sous l'influence *socio=rien du réalignement,*socio=nil *socio=nil de la balance_commerciale*socio=ec1 combinée des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 de l'ordre*socio=rien de 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1, compte*socio=ec1 non tenu des *socio=rien effets indirects ou*socio=nil secondaires.*socio=nil *socio=nil Ce chiffre estimatif*socio=rien représente de 1 à 2 pour 100 de leurs exportations*socio=ec1 combinées et il se rapporte à une *socio=rien année théorique *socio=nil complète commençant lorsque l'adaptation*socio=uv3 progressive*socio=rien des producteurs*socio=ac, des intermédiaires*socio=rien et des consommateurs*socio=ac à la nouvelle*socio=rien structure*socio=ec1 des taux_de_change*socio=ec1 sera achevée. Les modifications*socio=rien qu'un*socio=rien réalignement*socio=rien impose aux variables*socio=rien commerciales*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 devraient pour la *socio=rien plupart être un *socio=nil peu moins marquées dans le cas*socio=rien de l'ajustement*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien du début *socio=nil de 1973 que dans celui de l'ajustement*socio=et de 1971 (essentiellement parce que la dépréciation*socio=ec2 *socio=rien effective moyenne des*socio=nil monnaies*socio=ec1 *socio=nil de ces pays*socio=ac a été*socio=rien plus faible*socio=rien). Toutefois, cette considération*socio=rien ne s'applique pas aux prix*socio=ec1 des importations*socio=ec1 et des exportations*socio=ec1 exprimés en dollars*socio=ec1 ÉU (ou en monnaies*socio=ec1 locales*socio=te qui n'ont pas été*socio=rien revalorisées par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1). En ce qui concerne les prix*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 et des importations*socio=ec1, comme les *socio=ec1 taux nominaux des*socio=nil monnaies des*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 par*socio=nil rapport*socio=rien au*socio=nil dollar *socio=nil ont en moyenne*socio=rien varié davantage en 1973 qu'en 1971, cela devrait légèrement plus que compenser l'évolution*socio=te moyenne*socio=rien plus modérée des prix*socio=ec1 estimatifs*socio=rien exprimés en monnaies*socio=ec1 locales*socio=te. Par conséquent*socio=rien, en 1973 comme en 1971, l'augmentation*socio=ec2 des prix*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 et des importations*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 sous l'influence *socio=rien directe du réalignement *socio=nil s'établit en moyenne*socio=rien à environ 7 pour 100, l'augmentation*socio=ec2 étant légèrement plus élevée*socio=uv4 dans le cas*socio=rien des importations*socio=ec1. Pour de nombreux*socio=rien pays_en_voie_de_développement*socio=uv3, les *socio=ec1 réalignements monétaires *socio=nil auront peut-être une influence plus *socio=rien remarquable sur l'*socio=nil évolution*socio=te *socio=nil qui se produira à la longue*socio=rien dans l'orientation*socio=et de leurs échanges_commerciaux*socio=ec1 que sur*socio=rien le montant*socio=ec1 total*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 ou de leurs importations*socio=ec1. Dans bien*socio=rien des cas*socio=rien, la difficulté*socio=uv4 qu'il y a à détourner les échanges*socio=ec1 des circuits*socio=ec1 établis limitera ou retardera cette évolution*socio=te de la répartition*socio=uv3 géographique*socio=te du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te. Cependant, elle sera fortement encouragée par des considérations*socio=rien de prix*socio=ec1. C'est*socio=rien ainsi que pendant de *socio=rien nombreuses années *socio=nil il devrait être*socio=rien beaucoup plus intéressant*socio=rien qu'il ne l'a jamais été*socio=rien de s'approvisionner aux États-unis*socio=ac, le contraire*socio=rien étant vrai*socio=rien pour le Japon*socio=ac, l'Allemagne*socio=ac et les autres pays*socio=ac industriels*socio=ec1 dont la monnaie*socio=ec1 s'est*socio=rien fortement appréciée. En même temps*socio=rien, il se peut que dans certains cas*socio=rien les considérations*socio=rien de prix*socio=ec1 incitent les pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien à reporter une partie*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 sur*socio=rien des pays*socio=ac dont la monnaie*socio=ec1 s'est*socio=rien appréciée. En outre, la position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 de certains pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te pourra s'améliorer s'ils sont capables*socio=rien d'augmenter leur production*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés destinés à l'exportation*socio=ec1 et si leur monnaie*socio=ec1 s'est*socio=rien dépréciée par rapport*socio=rien à celles de la majorité*socio=rien des pays*socio=ac industriels*socio=ec1. Modifications*socio=rien de l'évaluation*socio=ec2 des avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1. De même qu'après*socio=rien l'Accord*socio=et de Washington*socio=ac, le réalignement*socio=rien des rapports*socio=rien de change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 au début*socio=rien de 1973 a exercé une influence *socio=rien immédiate sur la*socio=nil valeur*socio=ec1 relative *socio=nil des divers types d'avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1. Les avoirs*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 ÉU ont perdu de leur valeur*socio=ec1 par rapport*socio=rien aux DTS, aux positions*socio=rien de réserve*socio=ec1 au Fonds*socio=ec1, à l'or*socio=ec1 ou aux autres grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1 entrant dans les réserves*socio=ec1, tandis que toutes ces catégories*socio=rien d'avoirs*socio=ec1 prenaient une valeur*socio=ec1 relative*socio=rien accrue par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1. La valeur*socio=ec1 totale*socio=rien des réserves_globales*socio=ec1 des pays*socio=ac, exprimée en dollars*socio=ec1 ÉU, est*socio=rien passée de 164 à 173 milliards*socio=rien, soit une augmentation*socio=ec2 de 5,5 pour 100, *socio=rien du fait *socio=nil de la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1 en février*socio=rien. Exprimée en droits_de_tirage_spéciaux*socio=rien, la valeur*socio=ec1 du*socio=rien même stock*socio=ec1 global*socio=te de réserves*socio=ec1 est*socio=rien tombée de 151 à 143 milliards*socio=rien de DTS. Tant pour les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 que pour les pays*socio=ac économiquement moins développés*socio=uv4, l'augmentation*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 des réserves*socio=ec1 par *socio=rien suite du réalignement *socio=nil opéré au début*socio=rien de 1973 s'est*socio=rien élevée*socio=uv4 en moyenne*socio=rien à environ 5 pour 100; l'augmentation*socio=ec2 a été*socio=rien de très *socio=rien loin supérieure *socio=nil pour les pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien les plus développés*socio=uv4, qui détenaient une partie*socio=rien relativement importante*socio=uv4 de leurs réserves*socio=ec1 sous d'autres formes*socio=rien que le dollar*socio=ec1. Si *socio=rien du fait du récent réalignement monétaire*socio=ec1 les*socio=nil prix*socio=ec1 des*socio=nil importations*socio=ec1 *socio=nil exprimés en dollars*socio=ec1 s'élèvent d'environ 7 pour 100 (comme semblent l'indiquer les estimations*socio=ec2 indiquées ci-dessus), la perte*socio=ec2 de " pouvoir_d'_achat*socio=ec1" des réserves*socio=ec1 excédera d'environ 1,5 pour 100 l'augmentation*socio=ec2 de leur valeur*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 associée*socio=rien au réalignement*socio=rien. Pour les seuls*socio=rien pays_en_voie_de_développement*socio=uv3, la perte*socio=ec2 nette*socio=rien en termes*socio=rien réels*socio=ec2 a peut-être légèrement dépassé 2 pour 100 en moyenne*socio=rien, contre une *socio=ec2 perte réelle moyenne*socio=rien tout*socio=nil *socio=rien juste inférieure *socio=nil à 2 pour 100 dans le cas*socio=rien des pays*socio=ac industriels*socio=ec1. (Ce n'est*socio=rien que pour les pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien les plus développés*socio=uv4 que le gain*socio=ec1 moyen*socio=rien provoqué par la réévaluation*socio=ec1 des réserves*socio=ec1 détenues*socio=rien sous une autre forme*socio=rien que le dollar*socio=ec1 semble avoir plus que compensé l'influence estimée des augmentations*socio=ec2 de prix*socio=ec1 sur*socio=rien le pouvoir_d'_achat*socio=ec1 du*socio=rien stock*socio=ec1 global*socio=te des réserves*socio=ec1.) Une *socio=rien nouvelle modification *socio=nil de la valeur*socio=ec1 des réserves*socio=ec1 - dans le sens*socio=rien de la hausse*socio=rien quand elle est*socio=rien exprimée en dollars*socio=ec1 ÉU et de la baisse*socio=ec2 quand elle est*socio=rien exprimée en certaines*socio=rien autres monnaies*socio=ec1 - résulte des changements*socio=uv3 complémentaires*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 intervenus après*socio=rien le mois*socio=rien de mars*socio=rien 1973. Toutefois, en l'absence*socio=rien d'informations*socio=rien *socio=rien récentes sur la*socio=nil composition monétaire*socio=ec1 des*socio=nil réserves*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil on ne dispose d'aucune évaluation*socio=ec2 chiffrée sur*socio=rien les conséquences*socio=rien de ces changements*socio=uv3. Répercussions*socio=ec2 *socio=rien du réalignement du début *socio=nil de 1973 sur*socio=rien la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. De même que les avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1, la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 a subi le contrecoup*socio=te *socio=rien du réalignement des*socio=nil monnaies*socio=ec1 *socio=nil en 1973, aussi *socio=rien bien du point de*socio=nil vue *socio=nil de sa valeur*socio=ec1 nominale*socio=rien que de sa valeur*socio=ec1 "réelle*socio=ec2". L'équivalent*socio=rien en dollars*socio=ec1 de la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de la dette*socio=ec1 (ou du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1) sous une autre forme*socio=rien que le dollar*socio=ec1 a augmenté, tandis que la progression*socio=ec2 des prix*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 qui devrait résulter *socio=rien du réalignement aura*socio=nil tendance*socio=ec2 *socio=nil à réduire en termes*socio=rien réels*socio=ec2 aussi bien*socio=rien la dette*socio=ec1 (ou le service_de_la_dette*socio=ec1) libellée en dollars*socio=ec1 que la contre-valeur en dollars*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des autres formes*socio=rien de dette*socio=ec1 (ou de service_de_la_dette*socio=ec1). Sur*socio=rien la base*socio=rien des données de la BIRD*socio=ac pour 70 pays_en_voie_de_développement*socio=uv3, concernant la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te publique*socio=et ou garantie par l'État*socio=ac (avec une échéance*socio=te dépassant *socio=rien un an)*socio=nil *socio=nil au 31 décembre*socio=rien 1971, les estimations*socio=ec2 des services_du_fonds*socio=ec1 font apparaître une différence*socio=rien de l'ordre*socio=rien de 2,3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (pris pour unité*socio=rien de compte*socio=ec1), selon que l'évaluation*socio=ec2 est*socio=rien faite au taux_de_change*socio=ec1 en vigueur*socio=uv3 le 30 mars*socio=rien 1973 ou le 31 décembre*socio=rien 1972, soit un*socio=rien peu moins de 5 pour 100 du*socio=rien montant*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 non amortie 10. Si l'on tient compte*socio=ec1 de l'augmentation*socio=ec2 des prix*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 (pour les exportations*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3) *socio=rien résultant du réalignement monétaire*socio=ec1,*socio=nil la*socio=nil dette*socio=ec1 totale *socio=nil a subi une diminution*socio=ec2 en termes*socio=rien réels*socio=ec2 estimée à 1,5 - 2 pour 100. Parmi les groupes*socio=ac régionaux*socio=te de pays_en_voie_de_développement*socio=uv3, c'est*socio=rien pour l'Afrique*socio=ac que la dette*socio=ec1 a subi la réévaluation*socio=ec1 la plus importante*socio=uv4 - quelque 6,5 pour 100 lorsqu'on l'exprime en dollars*socio=ec1 ÉU - car la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te non amortie à la fin*socio=rien de 1971 n'y était libellée en dollars*socio=ec1 qu'à concurrence*socio=ec1 de 25 pour 100, A l'autre extrême*socio=uv4 figure l' amérique_latine*socio=ac, où plus des trois cinquièmes*socio=rien de la dette*socio=ec1 étaient libellés en dollars*socio=ec1 et où sa réévaluation*socio=ec1, exprimée en dollars*socio=ec1, s'est*socio=rien limitée à 4 pour 100 environ. Il semble d'après*socio=rien des estimations*socio=ec2 préliminaires*socio=rien que la valeur*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 ÉU du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 se soit accrue en 1973 de près de 5 pour 100, par *socio=rien suite du réalignement monétaire*socio=ec1 en*socio=nil début d'*socio=nil année.*socio=nil *socio=nil Par contre, la valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2, compte*socio=ec1 tenu des modifications*socio=rien de prix*socio=ec1 associées*socio=rien au réalignement*socio=rien, devrait avoir diminué d'un*socio=rien montant*socio=ec1 équivalant à un*socio=rien peu plus de 1,5 pour 100 de l'amortissement*socio=ec1 annuel*socio=te de la dette*socio=ec1. Implications*socio=rien de la flexibilité*socio=uv3 accrue des taux_de_change*socio=ec1. Devant*socio=rien la flexibilité*socio=uv3 considérablement*socio=rien accrue des rapports*socio=rien de parité*socio=ec1 qui est*socio=rien apparue ces *socio=rien derniers temps *socio=nil et qui a été*socio=rien décrite au *socio=rien début du chapitre,*socio=nil *socio=nil on peut s'interroger sur*socio=rien les conséquences*socio=rien qui en résultent pour les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3. Pour examiner cette question*socio=rien, il semble utile*socio=uv4 de faire abstraction*socio=rien de deux considérations*socio=rien : a) la viabilité*socio=uv3 de la structure*socio=ec1 des parités*socio=ec1 qui s'est*socio=rien établie sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 pour les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1, pendant la période*socio=te d'importants*socio=uv4 mouvements*socio=ec2 des taux*socio=ec1, de mai*socio=rien à juillet*socio=rien; et b) le fait*socio=rien que les rapports*socio=rien entre les diverses*socio=rien monnaies*socio=ec1 ne répondent à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te à aucun accord international*socio=te, ce qui revêt une *socio=rien importance particulière *socio=nil pour les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3, étant donné leur vulnérabilité*socio=uv1 à cet égard*socio=rien. *socio=rien Un aspect *socio=nil de cette vulnérabilité*socio=uv1 est*socio=rien que de *socio=rien fortes variations *socio=nil dans les rapports*socio=rien de change*socio=ec1 entre les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 risquent d'être*socio=rien une source*socio=rien de déséquilibre*socio=uv3 pour les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3. C'est*socio=rien ainsi que des fluctuations*socio=ec2 importantes*socio=uv4 ou capricieuses des taux_de_change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1, dans un*socio=rien régime*socio=et de flottement*socio=ec1, affecteront les taux_de_change*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 d'une façon*socio=rien ne répondant généralement pas à leurs propres*socio=rien besoins*socio=uv1 en matière*socio=rien d'ajustement*socio=et; d'autre part*socio=rien, étant donné l'incertitude*socio=uv3 de l'évolution*socio=te des taux*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1, les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 éprouveront de grandes*socio=rien difficultés*socio=uv4 à adapter*socio=rien correctement leur propre*socio=rien taux_de_change*socio=ec1. Même si l'on *socio=rien fait abstraction des*socio=nil anomalies *socio=nil de la situation*socio=rien actuelle*socio=te, il est*socio=rien manifeste, comme on l'a indiqué précédemment, que la flexibilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 des grands*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 met les pays*socio=ac moins développés*socio=uv4 en présence*socio=rien de toute une série d'incertitudes*socio=uv3 nouvelles*socio=rien. Avant d'examiner en quoi consistent ces incertitudes*socio=uv3, il faut insister sur*socio=rien le fait*socio=rien que, dans une évaluation*socio=ec2 globale*socio=rien des répercussions*socio=ec2 de la flexibilité*socio=uv3 accrue des taux_de_change*socio=ec1 sur*socio=rien les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3, le problème*socio=uv4 *socio=rien central est de*socio=nil savoir si*socio=nil un tel*socio=nil régime*socio=et *socio=nil contribuera à améliorer le *socio=rien fonctionnement du mécanisme*socio=et d'*socio=nil ajustement_international*socio=ec1 -*socio=nil amélioration*socio=uv1 cruciale*socio=uv4 *socio=nil pour les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3. Les risques*socio=uv3 accrus associés*socio=rien aux incertitudes*socio=uv3 inhérentes*socio=rien à un*socio=rien régime*socio=et de plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 sont à *socio=rien juste titre *socio=nil considérés par de nombreux*socio=rien pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 comme une *socio=rien charge supplémentaire.*socio=nil Par*socio=nil ailleurs,*socio=nil *socio=nil il faut noter que certains des problèmes*socio=uv4 que l'on considère habituellement comme devant*socio=rien découler de ce régime*socio=et peuvent également avoir *socio=rien un aspect positif*socio=uv4.*socio=nil Les*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 *socio=nil craignent, par exemple*socio=rien, que leurs intérêts*socio=uv1 en matière*socio=rien d'exportation*socio=ec1 soient lésés par la dépréciation*socio=ec2 des monnaies*socio=ec1 utilisées pour fixer les prix*socio=ec1 dans les contrats*socio=ec1 de vente*socio=ec1. Certes, il *socio=rien est exact *socio=nil que le risque*socio=uv3 de pertes*socio=ec2 de ce type*socio=rien pourra être*socio=rien plus grand*socio=rien dans un*socio=rien régime*socio=et de flexibilité*socio=uv3 accrue des taux_de_change*socio=ec1. Mais il est*socio=rien non moins vrai*socio=rien - spécialement si dans le proche avenir*socio=te les appréciations*socio=uv3 et dépréciations*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 s'équilibrent mieux qu'au cours*socio=rien des *socio=rien années récentes *socio=nil - que les exportateurs*socio=ac des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 enregistreront parfois des gains*socio=ec1 *socio=rien du fait *socio=nil de l'appréciation*socio=uv3 des monnaies*socio=ec1 largement utilisées dans la facturation*socio=ec de leurs ventes*socio=ec1 à l'étranger*socio=te. Des *socio=rien considérations analogues *socio=nil s'appliquent aux répercussions*socio=ec2 de la flexibilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 sur*socio=rien la valeur*socio=ec1 des monnaies*socio=ec1 dans lesquelles sont libellés certains *socio=ec1 avoirs financiers extérieurs*socio=te ou*socio=nil certaines*socio=rien dettes extérieures*socio=te des*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil De plus, la plus grande*socio=rien incertitude*socio=uv3 inhérente*socio=rien à un*socio=rien régime*socio=et de taux*socio=ec1 flexibles*socio=uv4 risque*socio=uv3 de gêner ou de retarder les transactions*socio=ec1 et peut apparaître à cet égard*socio=rien comme *socio=rien un facteur négatif en*socio=nil matière de*socio=nil commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te.*socio=nil *socio=nil Mais dans le contexte*socio=rien actuel*socio=te, il conviendrait de mettre en balance*socio=ec1 le risque*socio=uv3 supplémentaire*socio=rien de fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1, en *socio=rien général mineures dans*socio=nil un régime*socio=et de*socio=nil flexibilité*socio=uv3 *socio=nil accrue, et le risque*socio=uv3 réduit d'importants*socio=uv4 ajustements*socio=et, comme il pourrait s'en produire dans un*socio=rien régime*socio=et plus rigide*socio=uv4. Des *socio=ec1 taux_de_change flottants *socio=nil peuvent avoir des répercussions*socio=ec2 plus *socio=rien sensibles sur le*socio=nil budget*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 que*socio=nil sur *socio=nil celui des pays*socio=ac développés*socio=uv4. Les recettes*socio=ec1 budgétaires*socio=et des premiers*socio=rien sont souvent fortement tributaires*socio=rien des taxes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 et des droits*socio=uv1 d'importation*socio=ec1 et pourraient donc être*socio=rien affectées par les fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1, d'où *socio=rien un nouvel élément d'*socio=nil incertitude*socio=uv3 *socio=nil dans la gestion*socio=ec2 et la planification*socio=et de l'économie*socio=ec1. D'autre part*socio=rien, l'argument présenté à la *socio=rien fin du paragraphe précédent *socio=nil vaut également ici. *socio=rien Un aspect particulier des*socio=nil incertitudes*socio=uv3 des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil qui pourrait bien*socio=rien constituer une *socio=rien nouvelle source de*socio=nil coûts*socio=ec1 *socio=nil pour les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 est*socio=rien que, devant*socio=rien la possibilité*socio=rien accrue de fluctuations*socio=ec2 à court_terme*socio=te des taux*socio=ec1, on pourra peut-être moins se dispenser de se protéger contre certains risques*socio=uv3 de change*socio=ec1 à court_terme*socio=te en se couvrant sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 à terme*socio=rien. Cette obligation*socio=uv1 pourra obliger à développer les mécanismes*socio=et de change*socio=ec1 à terme*socio=rien, actuellement inexistants*socio=rien ou rudimentaires dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac moins développés*socio=uv4, soit en mettant en place*socio=rien de nouveaux*socio=rien services*socio=et dans les institutions_financières*socio=ac de ces pays*socio=ac, soit en organisant un*socio=rien meilleur*socio=uv4 accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 à terme*socio=rien des *socio=rien principaux centres financiers*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil soit encore par le recours*socio=ec1 simultané*socio=rien à ces deux solutions*socio=rien. En toute hypothèse*socio=ec2, le coût*socio=ec1 réel*socio=rien de ces mécanismes*socio=et de couverture*socio=ec1 à terme*socio=rien, nouveaux*socio=rien ou renforcés, dont la mise en place*socio=rien exigera peut-être plusieurs années*socio=rien dans certains pays*socio=ac, retombera au moins pour une *socio=rien part considérable sur les*socio=nil résidents*socio=ac des*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=uv3.*socio=nil Les*socio=nil modifications des*socio=nil rapports de*socio=nil change*socio=ec1 *socio=nil chez les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 d'un*socio=rien pays_en_voie_de_développement*socio=uv3, môme lorsqu'elles n'entraînent pour lui ni pertes*socio=ec2 ni gains*socio=ec1 nets*socio=rien, créent en matière*socio=rien de taux*socio=ec1 une incertitude*socio=uv3 qui, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil *socio=nil complique inévitablement la planification*socio=et des pouvoirs_publics*socio=et et des entreprises*socio=ac en vue*socio=rien d'améliorer les *socio=rien résultats du commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te.*socio=nil *socio=nil De plus, il *socio=rien est inévitable *socio=nil que de tels changements*socio=uv3 créent des conflits*socio=uv1 d'intérêt*socio=uv1 parmi les différents*socio=rien groupes*socio=ac de résidents*socio=ac nationaux*socio=te, par exemple*socio=rien les exportateurs*socio=ac et les consommateurs*socio=ac. Il est*socio=rien probable*socio=uv4 que des pressions*socio=ec2 politiques*socio=et se feront sentir, surtout de la part*socio=rien de ceux dont les intérêts*socio=uv1 sont lésés et non de ceux qui tirent profit*socio=ec1 de cet ajustement*socio=et des taux_de_change*socio=ec1. Le problème*socio=uv4 sera pour les autorités*socio=et d'équilibrer les intérêts*socio=uv1 intérieurs*socio=te divergents*socio=uv2 de façon*socio=rien à obtenir*socio=rien les résultats*socio=rien optimaux dans une situation*socio=rien donnée. Dans le cadre*socio=rien des considérations*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 nationale*socio=te, il faudra peut-être à l'avenir*socio=te tenir compte*socio=ec1 plus fréquemment des répercussions*socio=ec2 des ajustements*socio=et des taux_de_change*socio=ec1, qui viendront renforcer ou contrarier d'autres influences. Par exemple*socio=rien, ainsi que les *socio=rien événements récents *socio=nil l'ont montré, les augmentations*socio=ec2 de prix*socio=ec1 associées*socio=rien aux modifications*socio=rien monétaires*socio=ec1 dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 peuvent renforcer dans de nombreux*socio=rien pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 les *socio=ec2 pressions inflationnistes intérieures*socio=te.*socio=nil Une*socio=nil méthode *socio=nil utilisable par ces pays*socio=ac pour essayer de contenir ces pressions*socio=ec2 consiste à réévaluer leur taux_de_change*socio=ec1 effectif*socio=rien ou tout au moins à le laisser inchangé*socio=rien; l'appréciation*socio=uv3 de la monnaie*socio=ec1 dans les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 peut contribuer à détendre les *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil surtout en freinant la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te des marchandises*socio=ec1 importées, encore qu'une telle politique*socio=et en matière*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 pour réagir aux modifications*socio=rien des taux*socio=ec1 dans le monde*socio=te industriel*socio=ec1 soit appelée à avoir une influence variable*socio=rien dans les divers pays*socio=ac, selon la composition*socio=rien et l'origine*socio=rien de leurs importations*socio=ec1. En *socio=rien présence du réalignement des*socio=nil monnaies*socio=ec1 des*socio=nil principaux pays*socio=ac *socio=nil en 1971 et 1973, la *socio=rien majorité écrasante des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil économiquement moins développés*socio=uv4 a préféré, pour toute une série de raisons*socio=rien, ne pas tirer parti*socio=et de la possibilité*socio=rien qu'ils avaient d'apprécier leur taux_de_change*socio=ec1 effectif*socio=rien. La raison*socio=rien peut-être la plus fréquente*socio=rien d'une telle décision*socio=et est*socio=rien que l'appréciation*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 a été*socio=rien jugée défavorable*socio=uv4 par les nombreux*socio=rien pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 chez qui la balance_des_paiements*socio=ec1 est*socio=rien une des contraintes*socio=uv1 les plus importantes*socio=uv4 imposées au développement*socio=uv3 et qui doivent faire un*socio=rien effort*socio=uv1 particulier*socio=rien pour accroître au maximum*socio=rien leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et réduire au minimum*socio=rien leurs importations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 de consommation*socio=ec1. La nécessité*socio=uv1 de décisions*socio=et plus fréquentes*socio=rien en matière*socio=rien de politique*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 peut être*socio=rien citée comme l'un*socio=rien des problèmes*socio=uv4 particuliers*socio=rien que le régime*socio=et plus flexible*socio=uv4 d'ajustement*socio=et posera aux autorités*socio=et des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3, qui devront peut-être procéder à des ajustements*socio=et assez fréquents*socio=rien de leurs taux*socio=ec1 en fonction*socio=rien des modifications*socio=rien de taux*socio=ec1 intervenant*socio=rien dans les pays*socio=ac développés*socio=uv4. Mais il se peut que les décisions*socio=et de ce genre*socio=rien se révèlent à l'expérience*socio=ec2 moins difficiles*socio=rien qu'on pensait. Le fardeau*socio=uv4 imposé par la nécessité*socio=uv1 de décisions*socio=et plus *socio=rien fréquentes sur les*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil sera peut-être allégé *socio=rien du fait *socio=nil que chaque décision*socio=et sera normalement moins critique*socio=uv2 dans le cadre*socio=rien d'accords*socio=et reposant sur*socio=rien le principe*socio=ec2 d'ajustements*socio=et relativement faibles*socio=rien, au lieu*socio=rien des ajustements*socio=et importants*socio=uv4 et générateurs*socio=rien de déséquilibre*socio=uv3 qu'on a connus autrefois. En outre, à mesure*socio=rien qu'on acquerra l'expérience*socio=ec2 de ce genre*socio=rien de décisions*socio=et, elles devraient automatiquement s'en trouver facilitées, Il convient également de noter qu'un*socio=rien tel régime*socio=et permettra sans doute*socio=rien de procéder aux ajustements*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 dans une atmosphère*socio=rien plus calme*socio=rien et relativement dégagée des contraintes*socio=uv1 politiques*socio=et. *socio=rien Du point de*socio=nil vue *socio=nil de presque tous les problèmes*socio=uv4 que posent ainsi les incertitudes*socio=uv3 de la situation*socio=rien monétaire*socio=ec1 et les décisions*socio=et en matière*socio=rien de politique*socio=et des taux_de_change*socio=ec1, les pays*socio=ac économiquement moins développés*socio=uv4 sont indiscutablement désavantagés*socio=uv4 par rapport*socio=rien aux pays*socio=ac industriels*socio=ec1 plus importants*socio=uv4. *socio=rien Du fait *socio=nil de divers facteurs*socio=rien - par exemple*socio=rien les insuffisances*socio=uv3 des institutions*socio=ac, la pénurie*socio=ec2 de personnel*socio=ac technique*socio=rien qualifié*socio=uv4, le développement*socio=uv3 limité des moyens*socio=ec1 d'information*socio=rien et de communication*socio=ec1 et l'éloignement*socio=rien par rapport*socio=rien aux *socio=rien grands centres financiers*socio=ec1 *socio=nil - il paraît probable*socio=uv4 que de nombreux*socio=rien pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 seront plus ou moins handicapés*socio=ac pour résoudre les problèmes*socio=uv4 examinés précédemment, ainsi que les problèmes*socio=uv4 de caractère*socio=rien plus technique*socio=rien - par exemple*socio=rien la négociation*socio=et d'arrangements*socio=et plus complexes dans le cadre*socio=rien des accords*socio=et sur*socio=rien les produits*socio=rien de base*socio=rien - que devrait soulever un*socio=rien régime*socio=et généralisé de taux_de_change*socio=ec1 flexibles*socio=uv4.