*{ Fonds Monétaire international Rapport Annuel 1979 } FMI*socio=ac.*socio=nil Rapport annuel*socio=te du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil pour l'exercice*socio=rien financier*socio=ec1 clos le 30 avril*socio=rien 1979. Chapitre*socio=rien 1. Évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Introduction*socio=rien. Les progrès*socio=uv1 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, en 1978 et pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1979, s'inscrivent dans une évolution*socio=te par *socio=rien ailleurs décevante *socio=nil à certains égards*socio=rien. D'une part*socio=rien, la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te dans plusieurs des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac a évolué conformément aux grandes*socio=rien orientations*socio=et d'une stratégie*socio=et qui avait été*socio=rien convenue au sein*socio=rien de diverses*socio=rien instances*socio=et internationales*socio=te et la répartition*socio=uv3 des soldes*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants *socio=nil entre les membres*socio=ac du*socio=rien groupe_de_pays_industrialisés*socio=ac a bénéficié de cette évolution*socio=te. Les *socio=rien variations sensibles des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 des*socio=nil principales monnaies*socio=ec1 *socio=nil en 1978 ont également contribué à l'amélioration*socio=uv1 *socio=rien du réseau des*socio=nil relations de*socio=nil paiement*socio=ec1 *socio=nil qui existent entre les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac; de fait*socio=rien, la structure*socio=ec1 des soldes*socio=ec1 courants*socio=te de ces pays*socio=ac s'est*socio=rien nettement améliorée au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1979. En outre, les conditions*socio=ec1 plus ordonnées qui règnent depuis le début*socio=rien de l'année*socio=rien sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 dénotent que, jointes aux réaménagements*socio=rien des politiques*socio=et intérieures*socio=te, les mesures*socio=et concertées, adoptées pendant le *socio=rien second semestre *socio=nil de 1978 au niveau*socio=rien international*socio=te, ont eu pour effet*socio=rien de ramener le *socio=rien calme sur ces*socio=nil marchés*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil D'autre part*socio=rien, les progrès*socio=uv1 tangibles*socio=rien accomplis depuis la parution *socio=rien du Rapport annuel*socio=te *socio=nil 1978 vers la solution*socio=rien de quelques-uns des problèmes*socio=uv4 économiques*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4 sont minimes. Dans la plupart*socio=rien des pays_membres*socio=ac, les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 et de chômage*socio=ec1 sont toujours beaucoup trop élevés*socio=uv4, et les efforts*socio=uv1 que déploient les autorités*socio=et pour résoudre ces problèmes*socio=uv4 persistants*socio=rien ont été*socio=rien moins efficaces*socio=uv4 qu'on l'aurait espéré. A vrai*socio=rien dire, le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1979 a été*socio=rien le témoin d'un*socio=rien regain*socio=ec2 d'inflation*socio=ec1 assez généralisé et le *socio=rien renchérissement du pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil entré en vigueur*socio=uv3 au milieu*socio=rien de l'année*socio=rien, va accentuer les pressions*socio=ec2 qui tendent à faire monter les prix*socio=ec1. De nombreux*socio=rien problèmes*socio=uv4 d'ordre*socio=rien structurel*socio=ec2 ayant une incidence*socio=ec2 sur*socio=rien les possibilités*socio=rien d'approvisionnement*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac n'ont pas encore *socio=rien été traités *socio=nil comme il conviendrait et il est*socio=rien de plus en plus évident*socio=rien que la solution*socio=rien de ces problèmes*socio=uv4 devra être*socio=rien cherchée ailleurs*socio=rien que dans une politique*socio=et générale*socio=rien de la gestion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1. Un*socio=rien autre *socio=rien phénomène préoccupant s'*socio=nil est *socio=nil manifesté pendant l'année*socio=rien en cours*socio=rien : la réapparition*socio=rien, dans le groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil d'*socio=nil un*socio=rien déficit_global*socio=ec1 considérable*socio=rien au*socio=nil titre*socio=rien des*socio=nil opérations_courantes*socio=te.*socio=nil *socio=nil Comme ils ne peuvent pas compter actuellement sur*socio=rien une croissance*socio=ec1 soutenue de la demande*socio=ec1 dans le monde*socio=te industrialisé pour faciliter l'expansion*socio=ec2 de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et comme le coût*socio=ec1 de leurs importations*socio=ec1 augmente rapidement, *socio=rien un bon nombre *socio=nil de ces pays*socio=ac - et en particulier*socio=rien les_plus_pauvres*socio=uv2 - risquent d'éprouver des difficultés*socio=uv4 à porter leur taux_de_croissance*socio=ec1 au niveau*socio=rien souhaité parce qu'ils ne disposent pas des ressources*socio=ec1 suffisantes*socio=rien pour financer le volume*socio=rien d'importations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et services*socio=et que présuppose cette croissance*socio=ec1. Dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 continue*socio=rien d'être*socio=rien élevé*socio=uv4 : ce phénomène*socio=rien dénote que, depuis 1976, les taux_de_croissance*socio=ec1 ne sont pas assez élevés*socio=uv4 pour remédier, dans des *socio=rien proportions significatives,*socio=nil au*socio=nil sous-emploi*socio=ec1 *socio=nil de la main-d'_oeuvre*socio=ac - mais les États-unis*socio=ac font ici *socio=rien notablement exception *socio=nil - même si la productivité*socio=uv3 croît à un*socio=rien rythme*socio=ec2 nettement plus lent*socio=rien que pendant les années*socio=rien soixante. Dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil niveau décevant des*socio=nil taux_de_croissance*socio=ec1 *socio=nil (même si on tient compte*socio=ec1 *socio=rien du fait *socio=nil que l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien potentiel*socio=uv4 de production*socio=ec1 s'est*socio=rien elle-même ralentie), la *socio=rien hausse ininterrompue des*socio=nil coûts*socio=ec1 de*socio=nil main-d'_oeuvre*socio=ac *socio=nil et la virulence de l'inflation*socio=ec1 ont, par leur action*socio=ec1 combinée, empêché les entreprises*socio=ac de rétablir un*socio=rien taux*socio=ec1 satisfaisant*socio=rien de rentabilité*socio=ec1 et de "cash flow" et les ont grandement incitées à ne pas accroître leur capital*socio=ec1 social*socio=et. Bien*socio=rien que les tendances*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 au *socio=rien sein du groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil se soient modifiées ces *socio=rien dernières années *socio=nil - elles ont fait*socio=rien apparaître, notamment, un*socio=rien déclin*socio=ec2 progressif*socio=rien aux États-unis*socio=ac après*socio=rien 1976 et une certaine*socio=rien accélération*socio=ec2 en Europe*socio=ac et au Japon*socio=ac en 1978 - le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien d'expansion*socio=ec2 de la production*socio=ec1 dans l'ensemble*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac n'a guère varié et est*socio=rien demeuré à 4 pour 100 en 1977 et 1978. Toutefois, le taux*socio=ec1 *socio=rien moyen est *socio=nil tombé à moins de 3 pour 100 au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1979. Au milieu*socio=rien de l'année*socio=rien, les signes avant-coureurs d'une récession*socio=ec2 probable*socio=uv4 aux États-unis*socio=ac abondaient d'ores et déjà, le PNB*socio=ec1 réel*socio=rien n'ayant que légèrement augmenté au premier*socio=rien trimestre*socio=te, avant de régresser fortement au deuxième*socio=rien trimestre*socio=te. Pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de 1978, les déséquilibres*socio=uv3 intérieurs*socio=te ont continué d'engendrer dans les relations*socio=rien de commerce*socio=ec1 et de paiements*socio=ec1 entre les pays*socio=ac des perturbations*socio=ec2 dont la grave*socio=uv4 crise*socio=uv2 monétaire*socio=ec1 d'octobre*socio=rien fut le point*socio=rien culminant. Les mesures*socio=et adoptées par les autorités*socio=et de plusieurs grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac - notamment par les autorités*socio=et américaines*socio=ac au début*socio=rien de novembre*socio=rien - ont permis*socio=rien de mettre *socio=rien un terme aux*socio=nil mouvements*socio=ec2 *socio=nil précipités des taux*socio=ec1 de chance*socio=rien et des capitaux_privés*socio=ec1 qui ont caractérisé les dernières*socio=rien phases*socio=te du*socio=rien dérèglement monétaire*socio=ec1. Après*socio=rien le retour*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain calme sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1,*socio=nil de*socio=nil nombreux mouvements_de_capitaux*socio=ec1 à*socio=nil court_terme*socio=te *socio=nil se sont inversés au début*socio=rien de la *socio=rien nouvelle année,*socio=nil *socio=nil tout comme ce fut le cas*socio=rien (en partie*socio=rien) de quelques-unes des *socio=rien principales variations des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil qui s'étaient produites au cours*socio=rien des dix *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1978. En ce qui concerne la structure*socio=ec1 générale*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des soldes*socio=ec1 courants*socio=te, le déséquilibre*socio=uv3 entre le solde*socio=ec1 courant*socio=rien des *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil et celui des *socio=ac pays exportateurs,*socio=nil *socio=nil qui s'atténuait de *socio=rien façon continue *socio=nil depuis plusieurs années*socio=rien, a cessé de s'amenuiser au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1979. En raison*socio=rien principalement de la progression*socio=ec2 des importations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et services*socio=et des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil l'*socio=nil excédent*socio=ec1 courant*socio=rien *socio=nil de ce groupe*socio=ac, qui se chiffrait à 68 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1974, était tombé à environ 6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1978. Toutefois, la diminution*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 est*socio=rien une*socio=nil tendance*socio=ec2 *socio=nil qui s'est*socio=rien largement inversée à la suite*socio=rien des renchérissements *socio=rien successifs du pétrole*socio=ec1 *socio=nil qui ont eu lieu*socio=rien au cours*socio=rien des six *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1979, et qui ont abouti à la décision*socio=et adoptée à la fin*socio=rien de juin*socio=rien par les pays_membres*socio=ac de l' organisation_des_pays_exportateurs_de_pétrole*socio=ac (OPEP*socio=ac); en effet*socio=rien, cette décision*socio=et annonçait l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 de nouvelles*socio=rien hausses importantes*socio=uv4 dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien complexe qui prévoyait, pour la plupart*socio=rien des pétroles bruts*socio=rien exportés par les pays_membres*socio=ac de l'OPEP*socio=ac, des prix*socio=ec1 officiels*socio=et s'échelonnant entre 18 et 23,50 dollars*socio=ec1 le baril*socio=ec1 (contre une moyenne*socio=rien pondérée inférieure*socio=rien à 13 dollars*socio=ec1 en 1978). Ces augmentations*socio=ec2 sont survenues alors que la demande*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 augmentait et que la situation*socio=rien iranienne avait des répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien l'offre*socio=ec1 de ce produit*socio=rien, deux phénomènes*socio=rien qui, ensemble*socio=rien, avaient fait*socio=rien monter les prix*socio=ec1 *socio=rien du disponible au*socio=nil début *socio=nil de 1979; en outre, elles ont coïncidé avec des *socio=rien modifications analogues des*socio=nil prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 *socio=nil exporté par d'autres pays*socio=ac. Sans doute*socio=rien les répercussions*socio=ec2 précises*socio=rien des nouveaux*socio=rien prix*socio=ec1 fixés par l'OPEP*socio=ac dépendent-elles de facteurs*socio=rien encore incertains*socio=uv4, liés notamment à la ventilation*socio=rien des exportations*socio=ec1 totales*socio=rien par *socio=ac pays producteurs *socio=nil et par catégories*socio=rien de pétrole*socio=ec1, mais selon les estimations*socio=ec2, le prix*socio=ec1 moyen*socio=rien demandé par les principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil en*socio=nil vertu*socio=rien des*socio=nil dispositions*socio=et *socio=nil annoncées en juin*socio=rien 1979 à l'issue*socio=rien de la réunion*socio=rien de l'OPEP*socio=ac, devrait s'établir aux environs*socio=rien de 20,50 dollars*socio=ec1 le baril*socio=ec1. Si le prix*socio=ec1 moyen*socio=rien s'établit à ce niveau*socio=rien (supérieur*socio=rien de 60 pour 100 à celui de 1978), l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil passera, selon les estimations*socio=ec2, à 43 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pendant l'année*socio=rien civile*socio=ac 1979 et à plus de 50 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pendant la période*socio=te de 12 mois*socio=rien commençant en juillet*socio=rien 1979. A la base*socio=rien de ces estimations*socio=ec2, une hypothèse*socio=ec2 approximative : pour l'année*socio=rien qui vient, les dépenses*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien affectées à l'importation*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et services*socio=et pourront absorber entre 40 et 50 pour 100 de l'accroissement*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 dont bénéficiera le groupe*socio=ac des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Pour le volume*socio=rien de pétrole*socio=ec1 que ces pays*socio=ac ont exporté en 1978, par exemple*socio=rien, la *socio=rien hausse du nouveau prix*socio=ec1 *socio=nil (par rapport*socio=rien au prix*socio=ec1 moyen*socio=rien de 1978) ajouterait quelque 75 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 à la valeur*socio=ec1 globale*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1. De toute évidence*socio=rien, la facture des importations*socio=ec1 des pays*socio=ac autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 devrait s'alourdir d'autant. A l'échelle*socio=rien de l'année*socio=rien, cet alourdissement*socio=ec2 se chiffrerait à environ 70 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour les pays*socio=ac développés*socio=uv4 et à *socio=rien un total net *socio=nil de quelque 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour ceux des pays_en_développement*socio=uv3 qui ne font pas *socio=rien partie du groupe*socio=ac des*socio=nil principaux exportateurs*socio=ac de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans ce dernier*socio=rien croupe de pays_en_développement*socio=uv3, les pays*socio=ac qui sont importateurs*socio=ac nets*socio=rien de pétrole*socio=ec1 auront peut-être à absorber un*socio=rien coût*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien à l'importation*socio=ec1 de 12 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 environ par an*socio=rien, alors que les quelques pays*socio=ac, qui sont exportateurs*socio=ac nets*socio=rien, mais ne sont pas rangés dans la catégorie*socio=rien des "principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac" verront leurs recettes*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien s'accroître de quelque 7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Pour maints pays*socio=ac du*socio=rien sous-groupe des importateurs*socio=ac nets*socio=rien, le financement*socio=ec1 des paiements*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien importants*socio=uv4 que cette hausse*socio=rien va entraîner sera peut-être source*socio=rien de difficultés*socio=uv4, étant donné l'ampleur*socio=rien de leur dette*socio=ec1 *socio=te extérieure actuelle *socio=nil et les emprunts*socio=ec1 massifs*socio=rien qu'ils avaient prévu d'effectuer dès avant la *socio=rien dernière hausse des*socio=nil prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Outre les profondes*socio=rien répercussions*socio=ec2 qu'il aura sur*socio=rien la situation*socio=rien des paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te - de chaque pays*socio=ac et des principaux*socio=rien groupes*socio=ac - le *socio=rien renchérissement du pétrole*socio=ec1 *socio=nil entré en vigueur*socio=uv3 en 1979 aura une incidence*socio=ec2 délétère sur*socio=rien les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 et sur*socio=rien le rythme*socio=ec2 de l' activité_économique*socio=ec1 dans les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Si l'on part*socio=rien de l'hypothèse*socio=ec2 que les prix*socio=ec1 de la *socio=rien quasi-totalité du pétrole*socio=ec1 produit *socio=nil dans des pays*socio=ac autres que ceux qui font *socio=rien partie du groupe*socio=ac des*socio=nil principaux *socio=ac pays exportateurs et*socio=nil du*socio=rien groupe *socio=nil sino-soviétique augmenteront dans des proportions*socio=rien à peu près égales*socio=rien au *socio=rien renchérissement du pétrole*socio=ec1 *socio=nil de l'OPEP*socio=ac 1, on peut dire que le niveau*socio=rien des prix*socio=ec1, dans l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac extérieurs*socio=te aux deux zones*socio=te précitées*socio=rien, s'accroîtra d'environ 1,5 pour 100. Les autres conséquences*socio=rien de la *socio=rien hausse du prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1,*socio=nil indirectes *socio=nil celles-là, sont des plus incertaines*socio=uv4 et dépendent en *socio=rien grande partie des*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil adoptées par les pays*socio=ac touchés, mais elles pourraient *socio=rien bien être assez*socio=nil graves*socio=uv4.*socio=nil Sans*socio=nil doute le*socio=nil pouvoir_d'_achat*socio=ec1 *socio=nil qui se trouve détourné vers les importations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 achetées aux pays*socio=ac de l'OPEP*socio=ac sera-t-il progressivement*socio=rien compensé, du*socio=rien moins en partie*socio=rien, par le retour*socio=rien de fonds*socio=ec1 au titre*socio=rien des exportations*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien de biens*socio=ec1 et services*socio=et vers les principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil mais l'incidence*socio=ec2 déflationniste*socio=ec1 à court_terme*socio=te de ce détournement risque*socio=uv3, elle aussi, d'être*socio=rien importante*socio=uv4. Pour tout le groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac et des pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1, l'incidence*socio=ec2 déflationniste*socio=ec1 directe*socio=rien devrait, selon les calculs*socio=rien, osciller entre 0,66 et 0,75 pour 100 du*socio=rien PNB*socio=ec1, compte*socio=ec1 non tenu des effets*socio=rien "multiplicateurs" et de toute contre-réaction éventuelle*socio=te provoquée par les mesures*socio=et que pourraient adopter les autorités*socio=et nationales*socio=te. Une question*socio=rien qui doit être*socio=rien examinée immédiatement est*socio=rien celle de l'orientation*socio=et que les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil devraient donner à leurs politiques*socio=et pour réagir de façon*socio=rien adéquate*socio=uv2 aux renchérissements du*socio=rien pétrole*socio=ec1 en 1979. Ils devront en fait*socio=rien tenir compte*socio=ec1 de plusieurs facteurs*socio=rien. Tout d'abord*socio=rien, il faut à tout prix*socio=ec1 économiser l'énergie*socio=ec1 et mettre en valeur*socio=ec1 de *socio=rien nouvelles sources d'*socio=nil approvisionnement*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil A cette *socio=rien double fin,*socio=nil il*socio=nil est indispensable*socio=uv4 *socio=nil d'adopter pour la fixation*socio=ec1 des prix*socio=ec1 de l'énergie*socio=ec1 des politiques*socio=et réalistes*socio=uv4. Deuxièmement, devant*socio=rien les efforts*socio=uv1 des salariés*socio=ac pour prévenir l'érosion*socio=ec2 de leur revenu*socio=ec1 réel*socio=rien ou, le cas*socio=rien échéant, pour compenser les pertes*socio=ec2 subies, les gouvernements*socio=ac se trouvent dans l'obligation*socio=uv1 redoutable*socio=rien de limiter*socio=rien l'incidence*socio=ec2 *socio=rien indirecte du renchérissement du pétrole*socio=ec1 sur le*socio=nil niveau général des*socio=nil prix*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Troisièmement, les mesures*socio=et dictées par l'incidence*socio=ec2 déflationniste*socio=ec1 de la *socio=rien hausse du prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 *socio=nil varieront inévitablement d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, mais *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil dans lesquels sévit une inflation*socio=ec1 virulente*socio=uv2, ou dont la position*socio=rien extérieure*socio=te *socio=rien est faible,*socio=nil *socio=nil estimeront sans *socio=rien nul doute préférable*socio=uv4 *socio=nil d'accepter cette incidence*socio=ec2 plutôt que de chercher à la contrecarrer. Quatrièmement, les autorités*socio=et de nombreux*socio=rien *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil seront aux prises*socio=rien avec une dégradation*socio=uv3 de leur solde*socio=ec1 courant*socio=rien, et devront donner à leur politique*socio=et une orientation*socio=et qui sera dictée par la *socio=rien situation propre *socio=nil à chaque pays*socio=ac. Le *socio=rien présent chapitre,*socio=nil qui*socio=nil est *socio=nil consacré à l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te en 1978 et 1979, traite de cette évolution*socio=te pour chacun des principaux*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac. L'étude*socio=ec2 porte*socio=rien d'abord*socio=rien sur*socio=rien deux *socio=rien grands thèmes *socio=nil : l'activité*socio=rien et les politiques*socio=et internes*socio=te, d'une part*socio=rien, les échanges*socio=ec1 et les paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te, d'autre part*socio=rien. Cette étude*socio=ec2 permet d'aborder ensuite, en guise*socio=rien de conclusion*socio=rien, l'examen*socio=ec2 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil problèmes*socio=uv4 de*socio=nil politique*socio=et fondamentaux*socio=uv4 *socio=nil qui se posent aux pays_membres*socio=ac - notamment les répercussions*socio=ec2 aux niveaux*socio=rien national*socio=te et international*socio=te, d'une récession*socio=ec2 probable*socio=uv4 aux États-unis*socio=ac - et donne un*socio=rien aperçu de ce que le Fonds*socio=ec1 lui-même peut faire pour aider les pays_membres*socio=ac à surmonter leurs difficultés*socio=uv4 économiques*socio=ec1. Activités*socio=rien et politiques*socio=et internes*socio=te. pays_industrialisés*socio=ac. Production*socio=ec1 et prix*socio=ec1. L'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te a évolué ces *socio=rien dernières années suivant *socio=nil une courbe qui est*socio=rien en *socio=rien grande partie fonction *socio=nil de celle de l' activité_économique*socio=ec1 et des prix*socio=ec1 réels*socio=ec2 dans les pays_industrialisés*socio=ac, d'où proviennent, selon les estimations*socio=ec2, 75 pour 100 de la production*socio=ec1 globale*socio=rien des pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Il convient de rappeler qu'au lendemain*socio=te de la grave*socio=uv4 récession*socio=ec2 internationale*socio=ac de 1974 - 75, la reprise économique*socio=ec1, dans les pays_industrialisés*socio=ac, a *socio=rien été lente et*socio=nil irrégulière,*socio=nil *socio=nil et qu'elle a coïncidé avec une inflation*socio=ec1 à la *socio=rien fois tenace et*socio=nil virulente*socio=uv2.*socio=nil *socio=nil Dans la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac, la progression*socio=ec2 du*socio=rien PNB*socio=ec1 réel*socio=rien, en 1977 et en 1978, n'a pas dépassé la croissance*socio=uv3 estimée du*socio=rien PNB*socio=ec1 potentiel*socio=rien et ne leur a donc pas permis*socio=rien d'abaisser dans des *socio=rien proportions significatives,*socio=nil le*socio=nil niveau alors*socio=nil élevé*socio=uv4 du chômage*socio=ec1 (*socio=nil tableau *socio=nil 1). Malgré l'atonie*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans les pays_industrialisés*socio=ac, la structure*socio=ec1 d'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te réelle*socio=ec2 a subi en 1978 quelques changements*socio=uv3 dont on peut se féliciter. (Voir le graphique*socio=rien 1). En effet*socio=rien, il s'est*socio=rien *socio=rien produit un renversement partiel *socio=nil de l'évolution*socio=te observée en 1976 et en 1977, période*socio=te pendant laquelle la coexistence d'un*socio=rien taux_d'_expansion*socio=ec2 assez élevé*socio=uv4 aux États-unis*socio=ac et de taux*socio=ec1 beaucoup plus faibles*socio=rien dans les autres pays_industrialisés*socio=ac, notamment au Japon*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, est*socio=rien devenue une cause*socio=rien importante*socio=uv4 de déséquilibre*socio=uv3 des paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te (comme on le verra plus loin*socio=rien). Aux États-unis*socio=ac, le taux_de_croissance*socio=ec1 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te réelle*socio=ec2, dont le niveau*socio=rien annuel*socio=te moyen*socio=rien avait été*socio=rien d'environ 6 pour 100 en 1976 et en 1977, est*socio=rien retombé à 4,5 pour 100 en 1978. Au Japon*socio=ac, le phénomène*socio=rien inverse s'est*socio=rien produit*socio=rien : le taux_de_croissance*socio=ec1 annuelle*socio=te de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te réelle*socio=ec2 *socio=rien est passé *socio=nil d'environ 4 pour 100 en moyenne*socio=rien entre 1976 et 1977 à 7 pour 100 en 1978. Dans le cas*socio=rien de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, l'essentiel*socio=uv4 est*socio=rien de savoir*socio=rien que le rythme*socio=ec2 d'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, qui était d'à peine 2,25 pour 100 en 1977, s'est*socio=rien accéléré et a atteint près de 4 pour 100 en 1978. Il *socio=rien est permis *socio=nil de croire que la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te dans la plupart*socio=rien des autres pays_industrialisés*socio=ac s'est*socio=rien considérablement*socio=rien accélérée, elle aussi, de 1977 à 1978. Dans tous les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, sauf les États-unis*socio=ac, l'accélération*socio=ec2, comme l'illustre la *socio=rien partie supérieure gauche*socio=nil du graphique *socio=nil 1, s'est*socio=rien chiffrée en moyenne*socio=rien à près de deux points*socio=rien de pourcentage*socio=rien. La transformation*socio=ec2 de la structure*socio=ec1 d'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te réelle*socio=ec2 s'est*socio=rien poursuivie en 1979. Aux États-unis*socio=ac, le rythme*socio=ec2 d'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te est*socio=rien tombé à un*socio=rien taux*socio=ec1 annuel*socio=te inférieur*socio=rien à 1 pour 100 au *socio=rien premier semestre;*socio=nil *socio=nil on s'attendait généralement que l'expansion*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac se ralentirait, comme le souhaitaient d'ailleurs*socio=rien les autorités*socio=et de ce pays*socio=ac, en *socio=rien raison du taux*socio=ec1 d'*socio=nil utilisation élevé*socio=uv4 des*socio=nil ressources*socio=ec1 *socio=nil et de la montée ininterrompue*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 intérieure*socio=te. Dans maints autres pays_industrialisés*socio=ac, la reprise de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te s'est*socio=rien poursuivie à un*socio=rien rythme*socio=ec2 rapide*socio=rien et elle a été*socio=rien particulièrement vive à la fin*socio=rien de 1978. Au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1979, la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te réelle*socio=ec2 aurait atteint en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et en Italie*socio=ac *socio=rien un niveau *socio=nil qui, selon les estimations*socio=ec2, dépasserait d'environ 5 pour 100 celui de l'année*socio=rien précédente*socio=rien, mais au Japon*socio=ac l'écart*socio=ec2 serait de 9 pour 100. Dans le *socio=rien cas du Japon*socio=ac,*socio=nil *socio=nil précisément, la progression*socio=ec2 précitée de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te diffère sensiblement de l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien correspondante du PNB*socio=ec1;*socio=nil la*socio=nil divergence*socio=uv1 *socio=nil tient évidemment à l'évolution*socio=te du*socio=rien solde*socio=ec1 réel*socio=rien des opérations*socio=rien extérieures*socio=te sur*socio=rien biens*socio=ec1 et services*socio=et. En effet*socio=rien, le solde*socio=ec1 de ce pays*socio=ac, nettement positif*socio=uv4 pendant plusieurs années*socio=rien, est*socio=rien devenu négatif*socio=rien en 1978 et au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1979 (d'un*socio=rien montant*socio=ec1 global*socio=te équivalant à près de 3 pour 100 du*socio=rien PNB*socio=ec1), à mesure*socio=rien que l'incidence*socio=ec2 réelle*socio=ec2 de l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 et de l'action*socio=ec1 menée dans le domaine*socio=rien de l'ajustement*socio=et extérieur*socio=te se faisait de plus en plus vivement sentir. Cette dégradation*socio=uv3 du*socio=rien solde*socio=ec1 extérieur*socio=te réel*socio=rien s'est*socio=rien traduite par une perte*socio=ec2 d'incitation*socio=uv3 qui explique précisément pourquoi la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PNB*socio=ec1 réel*socio=rien en 1978 et au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1979 a été*socio=rien très inférieure*socio=rien à l'expansion*socio=ec2 correspondante*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te globale*socio=rien. Cette évolution*socio=te négative*socio=rien des soldes*socio=ec1 extérieurs*socio=te - qui n'est*socio=rien pas sans avoir aussi des répercussions*socio=ec2 importantes*socio=uv4 sur*socio=rien le plan*socio=rien intérieur*socio=te en Italie*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac - a principalement pour contrepartie*socio=rien la *socio=rien variation du solde*socio=ec1 des*socio=nil États-unis*socio=ac,*socio=nil *socio=nil où la rapide*socio=rien progression*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 en 1978 s'est*socio=rien traduite par une expansion*socio=ec2 de la production*socio=ec1 globale*socio=rien qui a dépassé d'environ un*socio=rien demi-point de pourcentage*socio=rien celle de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. (Voir le graphique*socio=rien 1). Comme on l'a déjà noté, les variations*socio=rien des taux_de_croissance*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac n'ont pas eu d'incidence*socio=ec2 sur*socio=rien le taux*socio=ec1 global*socio=te de croissance*socio=ec1 du*socio=rien groupe*socio=ac, qui était toujours de 4 pour 100 en 1978; en effet*socio=rien, le ralentissement*socio=ec2 observé aux États-unis*socio=ac a exactement été*socio=rien compensé par le regain*socio=ec2 de vigueur*socio=uv3 de la reprise dans le *socio=rien reste du monde*socio=te *socio=nil industrialisé. Toutefois, l'époque*socio=te d'un*socio=rien tel équilibrage des *socio=rien variations est sans*socio=nil nul doute *socio=nil révolue. La décélération*socio=ec2 *socio=rien continue du rythme*socio=ec2 de*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil de l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac et le fait*socio=rien que le taux_d'_expansion*socio=ec2 a plafonné dans les autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, ont limité la croissance*socio=uv3 globale*socio=rien des pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac à 2,75 pour 100 (taux*socio=ec1 annuel*socio=te) au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1979. Cette tendance*socio=ec2 à une apathie*socio=rien de plus en plus marquée devrait s'accuser légèrement pendant le reste*socio=rien de l'année*socio=rien dès que commenceront à se faire sentir sur*socio=rien la demande*socio=ec1 réelle*socio=ec2 l'incidence*socio=ec2 délétère que devraient avoir l'actuelle*socio=te montée des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et l'inflation*socio=ec1 en général*socio=rien. En ce qui concerne l'inflation*socio=ec1, le taux_d'_accroissement*socio=ec2 de la moyenne*socio=rien pondérée des indices d'ajustement*socio=et du*socio=rien PNB*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac, qui avait atteint *socio=rien un niveau record*socio=ec2 *socio=nil de 13,5 pour 100 (taux*socio=ec1 annuel*socio=te) au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1974, est*socio=rien retombé à 7 pour 100 au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1976, puis est*socio=rien demeuré à ce niveau*socio=rien pendant chacun des semestres*socio=rien qui ont précédé 1979. Cette *socio=rien remarquable absence de*socio=nil variation a*socio=nil été *socio=nil due au fait*socio=rien que les variations*socio=rien opposées enregistrées aux États-unis*socio=ac et dans le *socio=rien reste du monde*socio=te *socio=nil industrialisé se sont mutuellement équilibrées. De 1976 à 1978, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 est*socio=rien passée de 5 à 7,5 pour 100 aux États-unis*socio=ac (tableau*socio=rien 1), mais s'est*socio=rien ralentie de 8,5 à 7 pour 100 dans le groupe*socio=ac des autres pays_industrialisés*socio=ac. Dans ce groupe*socio=ac, le degré*socio=rien d'amélioration*socio=uv1 a, le cas*socio=rien échéant, fortement varié d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, et c'est*socio=rien dans les pays*socio=ac (Italie*socio=ac et Royaume-uni*socio=ac), où le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 était le plus élevé*socio=uv4, qu'il a été*socio=rien le plus sensible*socio=rien. Dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil baisse*socio=ec2 du prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 *socio=nil exprimé en monnaie*socio=ec1 locale*socio=te et le niveau*socio=rien généralement peu élevé*socio=uv4 des prix*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires *socio=nil importés ont contribué au ralentissement*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1. Bien*socio=rien que l'écart*socio=ec2 entre les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 des divers pays_industrialisés*socio=ac se fût sensiblement résorbé, les hausses de prix*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac ont été*socio=rien encore assez différentes*socio=rien en 1978 et se sont échelonnées entre moins de 3 pour 100 (Suisse*socio=ac) et plus de 13 pour 100 (Italie*socio=ac). La stabilité*socio=uv3 du*socio=rien taux*socio=ec1 global*socio=te de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac n'a pas persisté au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1979. Dans l'ensemble*socio=rien de ces pays*socio=ac, en effet*socio=rien, les prix*socio=ec1 de gros*socio=rien, qui s'étaient accrus en moyenne*socio=rien de 5 pour 100 en 1978, ont augmenté de 11-13 pour 100 (taux*socio=ec1 annuel*socio=te) pendant les quatre *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1979. Les prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1, quant à eux, se sont élevés*socio=uv4 en moyenne*socio=rien de 9-12 pour 100 (taux*socio=ec1 annuel*socio=te) au cours*socio=rien des *socio=rien premiers mois *socio=nil de l'année*socio=rien, contre 7 pour 100 pour l'ensemble*socio=rien de 1978. (Voir le graphique*socio=rien 2). Conformément à l'indice d'ajustement*socio=et du*socio=rien PNB*socio=ec1 (qui prend en compte*socio=ec1 les variations*socio=rien de prix*socio=ec1 se rapportant à la production*socio=ec1 nationale*socio=te mais non pas celles des produits*socio=rien importés, tels que le pétrole*socio=ec1), les prix*socio=ec1, dans l'ensemble*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, ont augmenté de 8 pour 100 (taux*socio=ec1 annuel*socio=te) *socio=rien du second semestre *socio=nil de 1978 au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1979. Ce qui *socio=rien est inquiétant,*socio=nil c'*socio=nil est *socio=nil que le rythme*socio=ec2 de hausse*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 s'accélère presque partout, même dans des pays*socio=ac qui, jusqu'à présent*socio=rien, avaient réussi à le contenir et qui disposaient d'une marge de ressources*socio=ec1 inutilisées*socio=rien. L'accélération*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 qui s'est*socio=rien produite au début*socio=rien de 1979 a coïncidé avec une diminution*socio=ec2 des gains*socio=ec1 de productivité*socio=uv3, une expansion*socio=ec2 démesurée*socio=rien de la masse_monétaire*socio=ec1 et *socio=rien un climat d'*socio=nil anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil cette*socio=nil accélération*socio=ec2 est directement*socio=nil imputable*socio=uv2,*socio=nil *socio=nil semble-t-il, au fait*socio=rien qu'on a répercuté certaines*socio=rien hausses de prix*socio=ec1 - celles du*socio=rien pétrole*socio=ec1, des produits*socio=rien destinés à l'alimentation*socio=ec1 et d'autres *socio=rien produits primaires *socio=nil - qui ne persisteront probablement pas au rythme*socio=ec2 atteint récemment. Au milieu*socio=rien de l'année*socio=rien, certes, l'incidence*socio=ec2 de ces hausses sur*socio=rien l'évolution*socio=te générale*socio=rien des prix*socio=ec1 ne s'était pas encore fait*socio=rien pleinement sentir mais elles n'auront pas nécessairement pour effet*socio=rien de provoquer une augmentation*socio=ec2 rapide*socio=rien et durable*socio=uv4 du*socio=rien taux*socio=ec1 fondamental*socio=uv2 de l'inflation*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac. C'est*socio=rien une conséquence*socio=rien qui a déjà été*socio=rien évitée au *socio=rien cours du premier semestre *socio=nil de 1977, mais les circonstances*socio=rien, quoique semblables*socio=rien, étaient alors beaucoup moins accusées (graphique*socio=rien 2). A cet égard*socio=rien, il est*socio=rien rassurant de noter que le taux*socio=ec1 de hausse*socio=rien de la rémunération*socio=ec1 des salariés*socio=ac (dans les pays_industrialisés*socio=ac, c'est*socio=rien de loin*socio=rien le *socio=rien principal élément à*socio=nil long_terme*socio=te *socio=nil de la formation*socio=et des prix*socio=ec1) est*socio=rien demeuré assez stable*socio=uv4 durant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1979. Néanmoins, il faut s'attendre à une certaine*socio=rien accélération*socio=ec2 des salaires*socio=ec1 en raison*socio=rien des mécanismes*socio=et d'indexation*socio=ec1 qui font *socio=rien partie intégrante du processus*socio=te de*socio=nil rémunération*socio=ec1.*socio=nil L'*socio=nil un des*socio=nil objectifs*socio=uv3 primordiaux *socio=nil de la politique_économique*socio=ec1 - et en particulier*socio=rien aux États-unis*socio=ac, où les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les ressources*socio=ec1 sont le plus accusées - sera donc de limiter*socio=rien, autant que faire se peut, les *socio=rien effets secondaires *socio=nil et d'empêcher que la flambée inflationniste*socio=ec2 actuelle*socio=te ne renforce les anticipations*socio=uv3 relatives*socio=rien aux prix*socio=ec1 et ne s'intègre*socio=rien ainsi au comportement*socio=rien des salaires*socio=ec1 et des profits*socio=ec1. Agir autrement, ce serait risquer de compromettre, en *socio=rien grande partie,*socio=nil les*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil déjà trop limités que les pays_industrialisés*socio=ac ont accomplis ces *socio=rien cinq dernières années *socio=nil dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1. Utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1. En raison*socio=rien principalement de l'allure*socio=rien modérée de l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 depuis le creux*socio=ec2 de la récession*socio=ec2 de 1974 - 75, le monde*socio=te industrialisé continue*socio=rien de se heurter à une *socio=rien sous-utilisation considérable des*socio=nil ressources*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil A cet égard*socio=rien, il convient toutefois d'établir une distinction*socio=rien très nette*socio=rien entre les États-unis*socio=ac et les autres pays*socio=ac. Selon des estimations*socio=ec2 - établies par les services_du_fonds*socio=ec1 - de "l'écart*socio=ec2" entre la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 et la production*socio=ec1 effective*socio=rien, la sous-utilisation*socio=rien de la capacité*socio=uv3 dans l'ensemble*socio=rien *socio=rien du secteur manufacturier*socio=ec1,*socio=nil au*socio=nil second semestre *socio=nil de 1978, était pour ainsi dire nulle*socio=rien aux États-unis*socio=ac, alors qu'en dehors de ce pays*socio=ac, elle allait du*socio=rien modéré (République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et Canada*socio=ac) au très accusé (dans le cas*socio=rien de la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac). L'existence*socio=rien d'un*socio=rien degré*socio=rien important*socio=uv4 de capacité*socio=uv3 inutilisée*socio=rien dans le secteur*socio=rien manufacturier*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, à l'exception*socio=rien des États-unis*socio=ac, *socio=rien est un phénomène *socio=nil que dénotent certains indices et que confirment les données *socio=rien disponibles sur le*socio=nil chômage*socio=ec1 *socio=nil dans tous les secteurs*socio=rien de l'économie*socio=ec1 de ces pays*socio=ac. Dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, le chômage*socio=ec1 a fortement augmenté pendant la récession*socio=ec2 de 1974 - 75, mais les États-unis*socio=ac sont pour ainsi dire le seul*socio=rien pays*socio=ac qui ait accompli par la suite*socio=rien certains progrès*socio=uv1 dans ses efforts*socio=uv1 pour le résorber. En effet*socio=rien, le chômage*socio=ec1 global*socio=te de ce pays*socio=ac, qui s'établissait à 9 pour 100 de la main-d'_oeuvre*socio=ac en mai*socio=rien 1975 - soit à *socio=rien un niveau record*socio=ec2 -*socio=nil est *socio=nil retombé à environ 5,75 pour 100 pendant les quinze *socio=rien derniers mois;*socio=nil ce*socio=nil dernier taux*socio=ec1 est plus*socio=nil élevé*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil certes, que ceux des années*socio=rien cinquante et soixante en raison*socio=rien de divers changements*socio=uv3 dans la structure*socio=ec1 des marchés_du_travail*socio=ec1, mais il se situe, estime-t-on, à *socio=rien un niveau compatible *socio=nil avec le concept*socio=rien de plein_emploi*socio=uv3. De toute évidence*socio=rien, la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac a accompli, elle aussi, des progrès*socio=uv1, moins rapides*socio=rien, il *socio=rien est vrai,*socio=nil *socio=nil mais néanmoins significatifs*socio=uv4, dans sa lutte*socio=uv1 contre le chômage*socio=ec1; en juin*socio=rien 1979 le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 y était de 3,75 pour 100, niveau*socio=rien qui se compare favorablement au niveau*socio=rien record*socio=ec2 atteint pendant la récession*socio=ec2 de 1975 (5,25 pour 100). Dans les autres pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac, les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 ont été*socio=rien, dans l'ensemble*socio=rien, assez stables*socio=uv4 en 1978 mais ils se sont maintenus à *socio=rien un niveau *socio=nil beaucoup plus élevé*socio=uv4 en moyenne*socio=rien que celui de 1975, année*socio=rien de récession*socio=ec2; ces taux*socio=ec1 dénotaient donc l'incidence*socio=ec2 de phénomènes*socio=rien cycliques*socio=te généralement défavorables*socio=uv4, ainsi que l'effet*socio=rien de divers facteurs*socio=rien structurels*socio=ec2 à long_terme*socio=te qui, à l'instar*socio=rien de ce qui s'est*socio=rien produit*socio=rien aux États-unis*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, ont eu tendance*socio=ec2 à relever le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 pour *socio=rien un niveau *socio=nil donné de la demande*socio=ec1 de la main-d'_oeuvre*socio=ac. Le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 de chômage*socio=ec1, qui a persisté dans le monde*socio=te industrialisé, ces *socio=rien dernières années,*socio=nil s'*socio=nil est *socio=nil accompagné d'une progression*socio=ec2 de l'emploi*socio=ec1 qui, jointe à la *socio=rien lenteur générale *socio=nil de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1, a eu pour effet*socio=rien d'amenuiser considérablement*socio=rien les gains*socio=ec1 de productivité*socio=uv3. Pour les sept grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, le gain*socio=ec1 global*socio=te de productivité*socio=uv3 - la mesure*socio=rien en est*socio=rien le PNB*socio=ec1 réel*socio=rien par *socio=rien personne employée *socio=nil - n'a atteint que 1,5 pour 100 environ par an*socio=rien de 1973 à 1978, contre un*socio=rien accroissement*socio=ec2 annuel*socio=te moyen*socio=rien de 3,75 pour 100 pendant la période*socio=te 1960 - 73. *socio=rien Un point *socio=nil qui demeure obscur*socio=rien, compte*socio=ec1 tenu de la marge encore considérable*socio=rien de capacité*socio=uv3 inutilisée*socio=rien, c'est*socio=rien la mesure*socio=rien dans laquelle la production*socio=ec1 par *socio=rien personne employée est *socio=nil réduite par des facteurs*socio=rien cycliques*socio=te, c'est-à-dire ceux qui ne sont pas de caractère*socio=rien intrinsèquement structurel*socio=ec2. L'un*socio=rien des *socio=rien principaux facteurs cycliques*socio=te *socio=nil à l'origine*socio=rien de la première*socio=rien baisse*socio=ec2 de productivité*socio=uv3 ou du*socio=rien ralentissement*socio=ec2 initial*socio=rien des gains*socio=ec1 de productivité*socio=uv3 après*socio=rien 1973 est*socio=rien immédiatement perceptible*socio=rien dans le graphique*socio=rien 3 qui illustre également le regain*socio=ec2 de vigueur*socio=uv3 de la reprise en 1976. Toutefois, il n'est*socio=rien pas moins évident*socio=rien que, depuis 1973, la courbe qui retrace les tendances*socio=ec2 de la productivité*socio=uv3 dans tous les secteurs*socio=rien de l'économie*socio=ec1 est*socio=rien généralement plus plate*socio=rien que la courbe retraçant les tendances*socio=ec2 qui se sont manifestées pendant de *socio=rien nombreuses années *socio=nil immédiatement avant 1973. A cet égard*socio=rien, le cas*socio=rien des États-unis*socio=ac est*socio=rien particulièrement frappant; en effet*socio=rien, le taux*socio=ec1 de progression*socio=ec2 de l'emploi*socio=ec1 y est*socio=rien trop fort*socio=rien depuis plusieurs années*socio=rien pour que l'on puisse présumer qu'il existe encore *socio=rien un degré appréciable de*socio=nil sous-utilisation *socio=nil de la main-d'_oeuvre*socio=ac. Ces observations*socio=ec2, qui, dans l'ensemble*socio=rien, valent aussi pour le Canada*socio=ac, confirmeraient l'opinion*socio=uv1 selon laquelle des facteurs*socio=rien structurels*socio=ec2 ont peut-être contribué à une décélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 fondamentale*socio=uv4 de la production*socio=ec1 par habitant*socio=ac. Par ailleurs*socio=rien, les *socio=rien tentatives directes *socio=nil pour démontrer que le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la productivité*socio=uv3 dans les pays_industrialisés*socio=ac *socio=rien est attribuable *socio=nil à certains facteurs*socio=rien structurels*socio=ec2 - variations*socio=rien intersectorielles de la composition*socio=rien de la production*socio=ec1, baisse*socio=ec2 des taux*socio=ec1 d'accumulation*socio=ec2 du*socio=rien capital*socio=ec1, changement*socio=uv3 dans la composition*socio=rien par âge*socio=rien et par sexe*socio=rien de la population_active*socio=ac, réglementations*socio=et concernant l'environnement*socio=et et incidence*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 de l'énergie*socio=ec1 - ne sont pas parvenues, dans l'ensemble*socio=rien, à expliquer une *socio=rien grande partie du ralentissement*socio=ec2 effectif.*socio=nil C'*socio=nil est *socio=nil dire qu'il *socio=rien est difficile *socio=nil d'exclure les facteurs*socio=rien cycliques*socio=te (et les mesures*socio=et connexes*socio=rien qui visent .à stimuler l'emploi*socio=ec1) dans une explication*socio=rien de la *socio=ec2 faiblesse tendancielle *socio=nil de la croissance*socio=uv3 de la productivité*socio=uv3 dans les pays_industrialisés*socio=ac, notamment en dehors des États-unis*socio=ac et du*socio=rien Canada*socio=ac. Orientation*socio=et des politiques*socio=et. Le fait*socio=rien que la situation*socio=rien inflationniste*socio=ec2 actuelle*socio=te coexiste avec une sous-utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 dans maints pays*socio=ac et une croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 généralement décevante*socio=rien, *socio=rien est un phénomène *socio=nil qui remet fondamentalement*socio=rien en question*socio=rien la stratégie*socio=et économique*socio=ec1 qui s'impose. Dans son Rapport*socio=rien annuel*socio=te 1976, le Fonds*socio=ec1 avait souligné l'importance*socio=rien que revêt la nécessité*socio=uv1 de ralentir l'inflation*socio=ec1 et d'atténuer fortement les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2. A cette fin*socio=rien, c'est*socio=rien une méthode*socio=ec2 d'approche "graduelle*socio=te" qui avait été*socio=rien préconisée, mais une méthode*socio=ec2 exigeant*socio=rien qu'on s'y tienne "fermement". Le Rapport*socio=rien précisait que (a) dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac les*socio=nil déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et *socio=nil demeuraient extrêmement importants*socio=uv4 et (b) que les taux_d'_expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 étaient toujours "à deux chiffres" dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac; il était donc indispensable*socio=uv4 de les abaisser considérablement*socio=rien si l'on voulait revenir au cours*socio=rien des *socio=rien prochaines années *socio=nil à une stabilité*socio=uv3 raisonnable*socio=uv4 des prix*socio=ec1. Par ailleurs*socio=rien, le Rapport*socio=rien soulignait nettement la nécessité*socio=uv1 d'accorder la priorité*socio=uv4 aux politiques*socio=et de gestion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1, propres*socio=rien à réduire l'inflation*socio=ec1 et les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2, mais il faisait ressortir le rôle*socio=et complémentaire*socio=rien important*socio=uv4 de la politique*socio=et en matière*socio=rien de revenus*socio=ec1 et de diverses*socio=rien mesures*socio=et permettant d'améliorer les conditions*socio=ec1 de l'offre*socio=ec1, d'alléger les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les coûts*socio=ec1 et de relever le niveau*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1. Le Rapport*socio=rien admettait, en outre, qu'il faudrait peut-être adopter d'autres mesures*socio=et spécifiques*socio=rien, notamment des mesures*socio=et se rapportant au marché_du_travail*socio=ec1, pour atténuer les problèmes*socio=uv4 des chômeurs*socio=ac et réduire le chômage*socio=ec1. Il est*socio=rien d'ores et déjà manifeste que la stratégie*socio=et préconisée il y a trois ans*socio=rien n'a pas donné de résultats*socio=rien satisfaisants*socio=uv4; dans le groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac, en effet*socio=rien, les *socio=ec1 taux moyens d'*socio=nil inflation *socio=nil et de chômage*socio=ec1 sont toujours aussi élevés*socio=uv4. Les raisons*socio=rien qui expliquent ces *socio=rien résultats décevants sont*socio=nil nombreuses *socio=nil et complexes, mais la *socio=rien principale est *socio=nil peut-être l'adoption*socio=uv3 de politiques*socio=et qui ne sont pas parvenues à ouvrir une brèche*socio=rien dans les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2. De toute évidence*socio=rien, les gouvernements*socio=ac ont éprouvé de *socio=uv4 graves difficultés,*socio=nil sur*socio=rien le*socio=nil plan*socio=rien économique*socio=ec1 comme*socio=nil sur*socio=rien le*socio=nil plan*socio=rien politique*socio=et,*socio=nil *socio=nil à lancer des programmes*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2 efficaces*socio=uv4, puisque à court_terme*socio=te de tels programmes*socio=et ont inévitablement sur*socio=rien l'emploi*socio=ec1 une incidence*socio=ec2 défavorable*socio=uv4 dont l'ampleur*socio=rien et le point*socio=rien d'apparition*socio=rien dans le temps*socio=rien sont des *socio=rien aspects difficiles *socio=nil à prévoir car ils dépendent avant tout des moyens*socio=ec1 dont les responsables*socio=uv2 disposent pour réduire les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2. Il convient, en outre, de noter que, dans le contexte*socio=rien actuel*socio=te de "stagflation*socio=ec2", auquel on est*socio=rien si peu habitué, la prévision*socio=ec2 économique*socio=ec1 et l'élaboration*socio=rien des politiques*socio=et risquent de comporter une importante*socio=uv4 marge d'erreur*socio=uv4 souvent aggravée, même si cela *socio=rien est fort compréhensible,*socio=nil *socio=nil par l'optimisme*socio=uv1 des autorités*socio=et à l'égard*socio=rien de l'avenir*socio=te ou par une interprétation*socio=ec2 fallacieuse des événements*socio=rien passés*socio=te. Il en est*socio=rien résulté que la "gradation" préconisée dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 et les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 a été*socio=rien trop "graduelle*socio=te" - à tel point*socio=rien que, dans maints pays*socio=ac, aucun progrès*socio=uv1 n'a été*socio=rien accompli. C'est*socio=rien ce qui ressort clairement, semble-t-il, *socio=rien du fait *socio=nil que le taux*socio=ec1 global*socio=te d'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 n'a pas diminué dans les pays_industrialisés*socio=ac : après*socio=rien 1975, il s'est*socio=rien maintenu chaque année*socio=rien aux alentours*socio=rien de 10 pour 100 (graphique*socio=rien 4). Dans le domaine*socio=rien monétaire*socio=ec1, les résultats*socio=rien obtenus ont naturellement varié fortement d'un*socio=rien pays*socio=ac et d'une année*socio=rien à l'autre. Mais dans aucun des pays*socio=ac couverts par le graphique*socio=rien précité, les mouvements*socio=ec2 du*socio=rien taux_d'_expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 ne manifestent de tendance*socio=ec2 prolongée à la baisse*socio=ec2. D'ailleurs*socio=rien, deux autres considérations*socio=rien incitent à se demander si les taux_d'_expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 ont été*socio=rien suffisamment bas*socio=rien : (a) les pays*socio=ac qui se fixent des objectifs*socio=uv3 d'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 ont souvent dépassé ces objectifs*socio=uv3; (b) tout bien*socio=rien considéré, les projections*socio=ec2 officielles*socio=et en matière*socio=rien de prix*socio=ec1 ont été*socio=rien trop optimistes*socio=uv2. Cette *socio=rien dernière considération *socio=nil peut très bien*socio=rien dissimuler une prise*socio=rien de conscience*socio=uv1 insuffisante*socio=uv4 de la vigueur*socio=uv3 des *socio=ec2 pressions inflationnistes,*socio=nil *socio=nil ou encore le manque*socio=rien de vigueur*socio=uv3 de la résistance*socio=rien opposée à ces pressions*socio=ec2 et, par conséquent*socio=rien, une politique_monétaire*socio=et trop peu restrictive*socio=uv4 (ou excessivement accommodante). Dans les pays_industrialisés*socio=ac, l'utilisation*socio=rien des instruments*socio=et de politique_budgétaire*socio=et est*socio=rien généralement caractérisée depuis 1975 par une certaine*socio=rien prudence*socio=uv1 - en ce sens*socio=rien que, devant*socio=rien le taux*socio=ec1 élevé*socio=uv4 de l'inflation*socio=ec1 et du*socio=rien chômage*socio=ec1, l'on hésite à procéder à des *socio=rien modifications profondes.*socio=nil A*socio=nil vrai *socio=nil dire, il s'est*socio=rien produit*socio=rien certains réaménagements*socio=rien d'ordre*socio=rien général*socio=rien : suppression*socio=rien de stimulants*socio=ec2 budgétaires*socio=et en 1976 et en 1977, injection d'une nouvelle*socio=rien dose en 1978, puis retour*socio=rien à la rigueur*socio=uv3 en 1979 (graphique*socio=rien 5). En outre, l'orientation*socio=et de la politique*socio=et a différé notablement*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre : en 1978 et en 1979, les États-unis*socio=ac ont régulièrement supprimé l'incitation*socio=uv3 budgétaire*socio=et mais le Japon*socio=ac a injecté une forte*socio=rien dose de stimulants*socio=ec2 chacune de ces deux années*socio=rien. Dans l'ensemble*socio=rien, toutefois, les réorientations*socio=et de la politique_budgétaire*socio=et dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ces *socio=rien dernières années *socio=nil n'ont été*socio=rien ni soutenues, ni particulièrement accusées. A vrai*socio=rien dire, mesurée en *socio=rien pourcentage du PNB*socio=ec1 global*socio=te des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil auxquels se rapporte le graphique*socio=rien, la somme*socio=rien des variations*socio=rien qu'accusent depuis 1975 tant les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et corrigés des fluctuations*socio=ec2 cycliques*socio=te que les déficits*socio=ec1 non ajustés de ces pays*socio=ac, fait*socio=rien apparaître une diminution*socio=ec2 d'environ 1 pour 100. Ainsi, le déficit_global*socio=ec1 (non ajusté) des administrations_centrales*socio=ac des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac a représenté 4,5 pour 100 de leur PNB*socio=ec1 en 1978, contre 5,5 pour 100 en 1975, année*socio=rien de récession*socio=ec2. En outre, la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de cette variation*socio=rien s'explique par la suppression*socio=rien de stimulants*socio=ec2 qui a eu lieu*socio=rien aux États-unis*socio=ac et qui, rétrospectivement, passe pour avoir été*socio=rien généralement trop graduelle*socio=te. Quant aux autres pays_industrialisés*socio=ac, les *socio=rien réaménagements cumulatifs *socio=nil de leur politique_budgétaire*socio=et ont eu une incidence*socio=ec2 à peu près neutre*socio=rien pendant l'ensemble*socio=rien de la période*socio=te concernée car le déficit*socio=ec1 combiné des administrations_centrales*socio=ac des pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac a représenté 6 pour 100 de leur PNB*socio=ec1 en 1975 et le taux*socio=ec1 était encore le même en 1978. Toutefois, s'il semble évident*socio=rien que la "gradation" a été*socio=rien trop "graduelle*socio=te", il apparaît également, qu'en pratique*socio=rien, les pays*socio=ac n'ont pas le choix*socio=uv1 : ils doivent s'en tenir à la stratégie*socio=et fixée et - à la lumière*socio=rien de l'expérience*socio=ec2 acquise*socio=rien - s'efforcer d'en accroître l'efficacité*socio=uv3. On trouvera ci-après *socio=rien un bref *socio=nil aperçu des *socio=rien principaux aspects *socio=nil d'une telle approche. - La politique*socio=et de chaque pays*socio=ac devrait être*socio=rien réexaminée en fonction*socio=rien de son aptitude*socio=rien à réduire progressivement*socio=rien mais sans interruption*socio=rien le taux_d'_expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1. Dans les pays*socio=ac qui disposent notamment d'une certaine*socio=rien marge de ressources*socio=ec1 inutilisées*socio=rien, la réduction*socio=ec2 du*socio=rien taux_d'_expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 pourrait - par l'intermédiaire*socio=rien de son incidence*socio=ec2 sur*socio=rien les anticipations*socio=uv3 - avoir des répercussions*socio=ec2 bénéfiques*socio=uv1 dans le domaine*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 sans influer sensiblement sur*socio=rien l'emploi*socio=ec1, ce qui n'est*socio=rien pas facile*socio=rien, il faut bien*socio=rien l'avouer. Sans doute*socio=rien, les implications*socio=rien d'une telle approche varient-elles d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, mais il convient néanmoins de noter tout d'abord*socio=rien que des efforts*socio=uv1 particuliers*socio=rien doivent être*socio=rien déployés par les pays*socio=ac où les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 sont très supérieurs*socio=rien aux moyennes*socio=rien des périodes*socio=te précédentes*socio=rien. Il convient, en outre, de noter qu'une solution*socio=rien monétaire*socio=ec1 au dernier*socio=rien rebondissement de l'inflation*socio=ec1 favoriserait l'enroulement de la spirale*socio=rien prix-salaires au lieu*socio=rien de le prévenir et serait en fin*socio=rien de compte*socio=ec1 une autre maladresse dans la mise en oeuvre*socio=rien d'une politique*socio=et d'ajustement*socio=et graduel*socio=te. Les mesures*socio=et de resserrement*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 qui ont été*socio=rien adoptées en *socio=rien novembre dernier *socio=nil par les États-unis*socio=ac et tout récemment par d'autres pays_industrialisés*socio=ac - mesures*socio=et que dénotent la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 (graphique*socio=rien 6) - devraient aider les pays*socio=ac concernés à éviter ce genre*socio=rien de maladresse. - En ce qui concerne le domaine*socio=rien budgétaire*socio=et, divers éléments*socio=rien entrent en ligne*socio=rien de compte*socio=ec1 dans la formulation*socio=rien de la politique*socio=et courante*socio=te : entre autres, le montant*socio=ec1 des stimulants*socio=ec2 budgétaires*socio=et - qui se distinguent en l'occurrence*socio=rien de leur modification*socio=rien - la vigueur*socio=uv3 de la demande_privée*socio=et, la crainte*socio=uv1 d'évincer l'investissement_privé*socio=et par des emprunts*socio=ec1 trop massifs*socio=rien, les soucis relatifs*socio=rien à la structure*socio=ec1 du*socio=rien budget*socio=ec1 (niveau*socio=rien de la dépense*socio=ec1 et de l'imposition*socio=et) à *socio=rien moyen terme,*socio=nil l'*socio=nil attitude*socio=uv3 du grand_public*socio=et,*socio=nil *socio=nil etc. Compte*socio=ec1 tenu de ces préoccupations*socio=uv4, dont la *socio=rien portée est très*socio=nil large,*socio=nil et*socio=nil compte*socio=ec1 *socio=nil tenu en outre *socio=rien du fait *socio=nil que le chômage*socio=ec1 et l'inflation*socio=ec1 varient sensiblement d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, il va de soi*socio=rien que les politiques_budgétaires*socio=et devront avoir des orientations*socio=et différentes*socio=rien. Aux États-unis*socio=ac, où le taux*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 est*socio=rien élevé*socio=uv4, les autorités*socio=et ont évidemment raison*socio=rien de vouloir*socio=rien, comme elles l'ont déclaré, appliquer une politique*socio=et d'austérité*socio=uv3 budgétaire*socio=et. Dans certains pays*socio=ac (au Canada*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac par exemple*socio=rien, où les gouvernements*socio=ac viennent de changer), la politique_budgétaire*socio=et fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'une réévaluation*socio=ec1 fondamentale*socio=uv4. Généralement parlant, comme on l'a déjà noté, la réaction*socio=rien à l'incidence*socio=ec2 déflationniste*socio=ec1 des hausses des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 en 1979 variera sans doute*socio=rien profondément d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, mais de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, où le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 est*socio=rien assez élevé*socio=uv4, décideront certainement de l'accepter plutôt que de la contrecarrer. Il faudrait veiller à ce que les *socio=et ajustements compensatoires *socio=nil apportés à l'orientation*socio=et de la politique_budgétaire*socio=et ne compromettent pas les objectifs*socio=uv3 fixés pour les *socio=ec1 agrégats monétaires.*socio=nil C'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil peut-être en augmentant les *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux *socio=nil - dans l'espoir*socio=uv1 qu'ils diminueront par la suite*socio=rien lorsque le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 se sera replié - que les autorités*socio=et auront le plus de chances*socio=rien de faire disparaître les incompatibilités qui existent à court_terme*socio=te entre les *socio=et mesures budgétaires *socio=nil et les objectifs*socio=uv3 monétaires*socio=ec1. - Étant donné la "stagflation*socio=ec2" actuelle*socio=te, il paraît opportun*socio=rien d'examiner la possibilité*socio=rien de recourir à une forme*socio=rien quelconque de politique*socio=et des revenus*socio=ec1. Quand il *socio=rien est possible *socio=nil de l'appliquer efficacement, la politique*socio=et des revenus*socio=ec1 devrait permettre de limiter*socio=rien les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les coûts*socio=ec1 et de contenir la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 sans accroître la capacité*socio=uv3 inutilisée*socio=rien ni le chômage*socio=ec1. Depuis le début*socio=rien des années*socio=rien soixante-dix, le Fonds*socio=ec1 attire l'attention*socio=rien sur*socio=rien ce point*socio=rien et préconise qu'on étudie en profondeur*socio=rien la possibilité*socio=rien d'utiliser une politique*socio=et des revenus*socio=ec1. Les efforts*socio=uv1 qui peuvent être*socio=rien assimilés à une politique*socio=et des revenus*socio=ec1 sont très différents*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre - en raison*socio=rien non seulement de la conjoncture*socio=ec2, mais aussi des institutions*socio=ac, des traditions*socio=rien, *socio=rien du contexte *socio=nil socio-politique de chaque pays*socio=ac - et ils ont donné, par le passé*socio=rien, des résultats*socio=rien mitigés. Il n'en reste*socio=rien pas moins que les politiques*socio=et des revenus*socio=ec1 appropriées aux besoins*socio=uv1 peuvent *socio=rien être un complément utile*socio=uv4 des*socio=nil politiques_budgétaire*socio=et et*socio=nil monétaire*socio=ec1;*socio=nil *socio=nil en outre, ces politiques*socio=et seraient tout particulièrement indiquées en l'état*socio=rien actuel*socio=te des choses*socio=rien, semble-t-il, étant donné l'intensification*socio=ec2 des pressions*socio=ec2 *socio=rien exogènes sur les*socio=nil coûts*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil A cet égard*socio=rien, toute mesure*socio=rien qui exclurait les prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 du*socio=rien mécanisme*socio=et d'indexation*socio=ec1 des salaires*socio=ec1 revêt une *socio=rien importance spéciale *socio=nil car elle permettrait ainsi d'empêcher l'enroulement stérile*socio=rien des spirales salaires-prix*socio=ec. - Enfin, il importe d'accorder une plus *socio=rien grande attention aux*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil qui permettent d'effectuer des ajustements*socio=et de structure*socio=ec1 et d'améliorer la productivité*socio=uv3. Il est*socio=rien de plus en plus manifeste que le début*socio=rien des années*socio=rien soixante-dix a en quelque sorte*socio=rien tracé une ligne*socio=rien de démarcation*socio=rien pour les pays_industrialisés*socio=ac, et que les mesures*socio=et d'action*socio=ec1 traditionnelles*socio=rien se sont souvent heurtées à des obstacles*socio=uv3 d'ordre*socio=rien structurel*socio=ec2. Pour supprimer ces obstacles*socio=uv3, il faut généralement recourir à des mesures*socio=et qui stimulent l'investissement*socio=ec1 - indirectement*socio=rien dans certains cas*socio=rien par une amélioration*socio=uv1 des bénéfices*socio=ec1. Depuis quelques années*socio=rien, le protectionnisme*socio=et est*socio=rien, lui aussi, *socio=rien un sujet d'*socio=nil inquiétude;*socio=nil par*socio=nil ailleurs,*socio=nil *socio=nil il convient d'envisager la possibilité*socio=rien d'adopter des mesures*socio=et complémentaires*socio=rien qui permettraient de procéder à une nouvelle*socio=rien répartition*socio=uv3 des ressources*socio=ec1 répondant mieux aux exigences*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te.*socio=nil L'*socio=nil un des*socio=nil objectifs*socio=uv3 importants*socio=uv4 des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil - tout comme des autres pays*socio=ac - doit être*socio=rien d'accélérer le processus*socio=te d'adaptation*socio=uv3 à la cherté de l'énergie*socio=ec1 qui caractérise d'ores et déjà l'époque*socio=te actuelle*socio=te. A cet égard*socio=rien, il est*socio=rien indispensable*socio=uv4, semble-t-il, d'adopter des politiques*socio=et réalistes*socio=uv4 pour la fixation*socio=ec1 des prix*socio=ec1 de l'énergie*socio=ec1 produite sur*socio=rien le sol*socio=rien national*socio=te, d'élaborer des programmes*socio=et permettant de l'économiser et de mettre en valeur*socio=ec1 des *socio=rien nouvelles sources d'*socio=nil approvisionnement*socio=ec1.*socio=nil Pays*socio=ac,*socio=nil de*socio=nil production*socio=ec1 primaire.*socio=nil Les*socio=nil pays*socio=ac de*socio=nil production*socio=ec1 primaire ont*socio=nil été *socio=nil plus ou moins touchés par la *socio=rien lenteur relative *socio=nil de l'activité_économique*socio=ec1 et la forte*socio=rien inflation*socio=ec1 qui a sévi dans les pays_industrialisés*socio=ac au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Ces influences extérieures*socio=te se sont ajoutées à toutes sortes*socio=rien de problèmes*socio=uv4 nationaux*socio=te, notamment dans *socio=rien un grand nombre *socio=nil de ces pays*socio=ac, à des carences de la politique*socio=et intérieure*socio=te. Dans ce contexte*socio=rien, la production*socio=ec1 réelle*socio=ec2 des pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien autres que les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil - qu'ils se classent parmi les pays*socio=ac développés*socio=uv4 ou les pays_en_développement*socio=uv3 - a généralement augmenté moins vite ces *socio=rien dernières années *socio=nil qu'elle ne l'avait fait*socio=rien avant 1973, et les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 ont été*socio=rien en moyenne*socio=rien beaucoup plus élevés*socio=uv4 pendant les années*socio=rien soixante ou au début*socio=rien des années*socio=rien soixante-dix. La situation*socio=rien des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil bien*socio=rien *socio=nil qu'elle diffère considérablement*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, est*socio=rien, dans l'ensemble*socio=rien, meilleure*socio=uv4 tant en ce qui concerne l'inflation*socio=ec1 que la croissance*socio=uv3 des secteurs*socio=rien non pétroliers*socio=ec1 de l'économie*socio=ec1. Prenant successivement*socio=rien les trois *socio=rien grandes catégories de*socio=nil pays*socio=ac de*socio=nil production*socio=ec1 primaire,*socio=nil *socio=nil on examinera l'évolution*socio=te de leurs économies*socio=ec1 et leurs politiques_économiques*socio=et. On étudiera d'abord*socio=rien le groupe*socio=ac - le plus nombreux*socio=rien - des pays_en_développement*socio=uv3 autres que les *socio=ac pays producteurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil puis on passera en revue, assez rapidement, la situation*socio=rien des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil et celle des pays*socio=ac développés*socio=uv4 de production*socio=ec1 primaire*socio=rien. De *socio=rien façon générale,*socio=nil *socio=nil les trois *socio=rien dernières années *socio=nil se caractérisent par une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 régulière*socio=ec2 mais assez faible*socio=rien dans les pays*socio=ac de production*socio=ec1 *socio=rien primaire du groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 (dénommés en anglais*socio=rien "less developed non-oil countries" ou plus communément "non-oil developing countries"). Le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien de croissance*socio=uv3 du*socio=rien PIB*socio=ec1 de ces pays*socio=ac a diminué dans de plus *socio=rien faibles proportions *socio=nil que ne l'avait fait*socio=rien celui des pays_industrialisés*socio=ac durant la récession*socio=ec2 de 1974 - 75, mais la reprise y est*socio=rien ensuite restée limitée, et l'économie*socio=ec1 n'a pas retrouvé la croissance*socio=uv3 vigoureuse*socio=rien qui la caractérisait à la fin*socio=rien des années*socio=rien soixante et au début*socio=rien des années*socio=rien soixante-dix. (Voir le tableau*socio=rien 2). L'augmentation*socio=ec2 moyenne*socio=rien pondérée du*socio=rien PIB*socio=ec1 réel*socio=rien de l'ensemble*socio=rien de ces pays*socio=ac a été*socio=rien d'environ 5 pour 100 par an*socio=rien, de 1976 à 1978, alors qu'elle dépassait légèrement 6 pour 100, de 1967 à 1972. Toutefois, *socio=rien du fait *socio=nil qu'il entraîne une baisse*socio=ec2 du*socio=rien revenu*socio=ec1 réel*socio=rien par habitant*socio=ac, ce recul*socio=rien, de près de 1 point*socio=rien de pourcentage*socio=rien, *socio=rien est loin d'*socio=nil être négligeable pour*socio=nil un groupe_de_pays*socio=ac *socio=nil dont l'accroissement*socio=ec2 démographique*socio=ec1 global*socio=te *socio=rien est voisin *socio=nil de 2,5 pour 100 par an*socio=rien. Le fait*socio=rien que, dans les pays*socio=ac où le revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac est*socio=rien parmi les plus bas*socio=rien, le taux_de_croissance*socio=ec1 de l'économie*socio=ec1 demeure relativement *socio=rien faible est particulièrement*socio=nil préoccupant.*socio=nil *socio=nil Pour les trois *socio=rien dernières années,*socio=nil le*socio=nil taux*socio=ec1 moyen de*socio=nil croissance*socio=uv3 annuelle*socio=te du PIB*socio=ec1 global*socio=te *socio=nil des 39 pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1, dont le PIB*socio=ec1 par habitant*socio=ac ne dépassait pas 300 dollars*socio=ec1 ÉU en 1977, n'a, selon les estimations*socio=ec2, été*socio=rien que d'environ 4 pour 100. Cependant, au *socio=rien sein du groupe*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil taux*socio=ec1 moyen d'*socio=nil accroissement*socio=ec2 démographique*socio=ec1 a*socio=nil été *socio=nil pratiquement le même dans l'ensemble*socio=rien de ces pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 et dans les autres. Il était donc proportionnellement plus difficile*socio=rien d'améliorer les conditions_de_vie*socio=uv1 dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 - où il était urgent*socio=uv4 de le faire - que dans les autres. Plus de la moitié*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1, où le revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac est*socio=rien parmi les plus faibles*socio=rien, se trouvent en Afrique*socio=ac; c'est*socio=rien en partie*socio=rien à cause*socio=rien de leur croissance*socio=ec1 relativement lente*socio=rien que le taux_de_croissance*socio=ec1 du*socio=rien PIB*socio=ec1 réel*socio=rien global*socio=te des pays*socio=ac de cette région*socio=te a été*socio=rien, ces *socio=rien dernières années,*socio=nil inférieur *socio=nil à celui de tout autre groupe*socio=ac régional*socio=te de pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1. En revanche, on trouve dans le groupe_des_pays*socio=ac d'Asie*socio=ac, *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui se situent à l'autre extrémité*socio=rien de l'échelle*socio=rien; l'heureux*socio=rien développement*socio=uv3 des industries*socio=ec1 nationales*socio=te et l'expansion*socio=ec2 rapide*socio=rien des exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés de ces pays*socio=ac ont fortement contribué à la réussite*socio=uv1 économique*socio=ec1 de la région*socio=te. De 1974 à 1978, la croissance*socio=uv3 annuelle*socio=te de la production*socio=ec1 des *socio=ac pays asiatiques en*socio=nil développement*socio=uv3 *socio=nil autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 a été*socio=rien au minimum*socio=rien d'environ 6 pour 100. Cette expansion*socio=ec2 soutenue s'explique essentiellement par l'efficacité*socio=uv3 remarquable*socio=rien de la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac. Plusieurs d'entre eux ont adopté, sans tarder, pendant et immédiatement après*socio=rien le boom*socio=ec2 *socio=rien général du début des*socio=nil années *socio=nil soixante-dix, des politiques*socio=et réalistes*socio=uv4 d'austérité*socio=uv3 financière*socio=ec1 qui leur ont permis*socio=rien de réduire les *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil avec une efficacité*socio=uv3 dont peu de pays*socio=ac ont fait*socio=rien preuve*socio=ec2 dans les autres régions*socio=te. Dans l'ensemble*socio=rien, toutefois, les pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 n'ont pas réussi à empêcher l'inflation*socio=ec1 ces *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Pendant la période*socio=te 1974 - fin*socio=rien 1977, le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien d'inflation*socio=ec1 pour ce groupe_de_pays*socio=ac, mesuré par les indices des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1, a, chaque année*socio=rien, atteint ou dépassé 30 pour 100. Il n'est*socio=rien retombé qu'à 25 pour 100, en 1978 - taux*socio=ec1 qui est*socio=rien encore égal*socio=rien à deux fois*socio=rien et demie*socio=rien celui de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 enregistré au cours*socio=rien de la période*socio=te 1967 - 72. Il existe de fortes*socio=rien disparités*socio=uv1 entre les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 des différents*socio=rien groupes*socio=ac régionaux*socio=te. En 1978, les *socio=ec1 taux moyens *socio=nil dans les régions*socio=te s'échelonnaient entre 7 pour 100 en Asie*socio=ac et plus de 40 pour 100 en amérique_latine*socio=ac et aux Caraïbes*socio=ac (tableau*socio=rien 2). Entre les pays*socio=ac pris individuellement, les différences*socio=uv1 sont encore plus frappantes. Dans presque tous les groupes*socio=ac régionaux*socio=te, on trouve à la fois*socio=rien quelques pays*socio=ac affligés d'un*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 extraordinaire*socio=rien, et d'autres où les prix*socio=ec1 peuvent soutenir la comparaison*socio=rien avec ceux de la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac. Si l'on excluait les *socio=rien cas extrêmes *socio=nil (énumérés dans les notes qui figurent au *socio=rien bas du tableau *socio=nil 2), le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien d'inflation*socio=ec1 en amérique_latine*socio=ac et aux Caraïbes*socio=ac, par exemple*socio=rien, serait de quelque 28 pour 100 en 1978, et celui de l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 (toujours à l'exclusion*socio=uv1 des *socio=rien cas marginaux)*socio=nil *socio=nil serait d'environ 17 pour 100. Dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil les*socio=nil taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 d'*socio=nil inflation*socio=ec1 *socio=nil enregistrés ces *socio=rien dernières années *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 sont imputables*socio=uv2 à la *socio=rien hausse du coût*socio=ec1 des*socio=nil produits *socio=nil importés. Mais, dans bien*socio=rien des cas*socio=rien, ils sont aussi la conséquence*socio=rien de *socio=et programmes budgétaires *socio=nil hyperexpansionnistes et d'un*socio=rien accroissement*socio=ec2 excessif*socio=uv4 de la masse_monétaire*socio=ec1 (qui est*socio=rien souvent la *socio=rien conséquence directe des*socio=nil moyens*socio=ec1 employés *socio=nil pour financer le déficit*socio=ec1 de l'État*socio=ac). Dans toutes les grandes*socio=rien régions*socio=te, les moyennes*socio=rien pondérées des principaux*socio=rien *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil ont augmenté plus vite ces trois *socio=rien dernières années *socio=nil - de plusieurs points*socio=rien de pourcentage*socio=rien - qu'au cours*socio=rien de la période*socio=te triennale précédente*socio=rien. Depuis plusieurs années*socio=rien, les principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil consolident les progrès*socio=uv1 que leur a permis*socio=rien de réaliser le surcroît*socio=rien de *socio=ec1 ressources financières produit*socio=rien *socio=nil par les augmentations*socio=ec2 de prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 en 1973 - 74. Après*socio=rien une période*socio=te initiale*socio=rien de politiques*socio=et très expansionnistes*socio=ec2, qui ont suscité de fortes*socio=rien pressions*socio=ec2 sur*socio=rien la demande*socio=ec1 et provoqué des goulots*socio=rien d'étranglement*socio=ec2 sur*socio=rien le plan*socio=rien de l'offre*socio=ec1, ainsi que de fortes*socio=rien hausses des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te, la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac, soucieux*socio=rien de réduire l'inflation*socio=ec1, se sont orientés vers des politiques*socio=et intérieures*socio=te plus prudentes*socio=uv2. Plusieurs d'entre eux ont également pris diverses*socio=rien mesures*socio=et pour éliminer les contraintes*socio=uv1 qui affectaient l'offre*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et, Après*socio=rien ce passage*socio=rien à une austérité*socio=uv3 relative*socio=rien, les taux_de_croissance*socio=ec1 des secteurs*socio=rien non pétroliers*socio=ec1 de l'économie*socio=ec1 des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil ont marqué peu à peu *socio=rien un certain fléchissement*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil mais ils restent encore élevés*socio=uv4, par rapport*socio=rien à ceux de la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3. En 1978, la croissance*socio=uv3 moyenne*socio=rien de la production*socio=ec1 non pétrolière*socio=ec1 de ces 12 pays*socio=ac atteignait encore près de 8 pour 100, malgré la forte*socio=rien incidence*socio=ec2 qu'a eue sur*socio=rien elle la détérioration*socio=uv4 de l'activité_économique*socio=ec1 en Iran*socio=ac à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. La production*socio=ec1 totale*socio=rien des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil a accusé des variations*socio=rien annuelles*socio=te qui sont très différentes*socio=rien de celles qu'a enregistrées la production*socio=ec1 des autres pays_en_développement*socio=uv3, et reflètent l'expansion*socio=ec2 relativement rapide*socio=rien des secteurs*socio=rien non pétroliers*socio=ec1 ainsi que les fluctuations*socio=ec2 de la *socio=ec1 production pétrolière *socio=nil dues à la mobilité*socio=uv3 de l'offre*socio=ec1 et de la demande*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te du*socio=rien pétrole*socio=ec1. La production*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 brut*socio=rien représente maintenant environ les deux *socio=rien cinquièmes du PIB*socio=ec1 total du groupe*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Si l'on tient compte*socio=ec1 non seulement des accroissements*socio=ec2 de la production*socio=ec1 non pétrolière*socio=ec1 mais aussi de la légère*socio=rien progression*socio=ec2 de la production*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 en 1977 puis de son recul*socio=rien de 4,5 pour 100 en 1978, on constate que le PIB*socio=ec1 global*socio=te de l'ensemble*socio=rien des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil qui progressait en 1976 d'un*socio=rien taux*socio=ec1 approchant 13 pour 100 - niveau*socio=rien cyclique*socio=te élevé*socio=uv4 - n'a augmenté que de 6 pour 100 en 1977 et de quelque 2,5 pour 100 en 1978 (tableau*socio=rien 2). La lutte*socio=uv1 menée par les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 a, de *socio=rien façon générale,*socio=nil été plus*socio=nil efficace*socio=uv4 *socio=nil que l'action*socio=ec1 entreprise*socio=ac par la plupart*socio=rien des autres pays_en_développement*socio=uv3 pour réduire la forte*socio=rien inflation*socio=ec1 qui sévissait depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien soixante-dix. Grâce*socio=rien à une régulation*socio=et sévère*socio=uv4 de la demande*socio=ec1 et à l'accroissement*socio=ec2 de la capacité*socio=uv3 d'absorption*socio=rien des importations*socio=ec1, en particulier*socio=rien dans les pays*socio=ac dont le solde*socio=ec1 *socio=rien courant est resté*socio=nil excédentaire,*socio=nil le*socio=nil taux*socio=ec1 moyen d'*socio=nil inflation*socio=ec1 *socio=nil enregistré dans les principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil a diminué de près de la moitié*socio=rien de 1975 à 1978 (tableau*socio=rien 2). Le milieu*socio=rien des années*socio=rien soixante-dix a été*socio=rien, pour les pays*socio=ac développés*socio=uv4 de production*socio=ec1 primaire*socio=rien une longue*socio=rien et difficile*socio=rien période*socio=te d'ajustement*socio=et. Ils ont été*socio=rien aux prises*socio=rien non seulement avec une croissance*socio=uv3 lente*socio=rien et des taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 de chômage*socio=ec1 et d'inflation*socio=ec1 mais aussi, sur*socio=rien le plan*socio=rien extérieur*socio=te, avec de *socio=uv4 graves problèmes *socio=nil que l'on abordera plus loin*socio=rien dans le *socio=rien présent chapitre.*socio=nil La*socio=nil production*socio=ec1 totale *socio=nil de ce groupe_de_pays*socio=ac n'a progressé que de 3 pour 100 par an*socio=rien, de 1975 à la fin*socio=rien de 1978, alors que les prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 augmentaient à des *socio=ec1 taux moyens *socio=nil de 14 à 18 pour 100. (Voir le tableau*socio=rien 2). Le ralentissement*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 s'expliquait à la fois*socio=rien par l'évolution*socio=te défavorable*socio=uv4 de la conjoncture*socio=ec2 internationale*socio=ac - notamment la lente*socio=rien remontée des pays_industrialisés*socio=ac après*socio=rien la récession*socio=ec2 de 1974 - 75, et la *socio=uv4 grave détérioration des*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 *socio=nil - et par une action*socio=ec1 délibérée des pouvoirs_publics*socio=et. *socio=rien Un nombre croissant de*socio=nil pays*socio=ac développés*socio=uv4 de*socio=nil production*socio=ec1 primaire *socio=nil ont dû adopter des politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1 d'austérité*socio=uv3 afin de freiner l'absorption*socio=rien de la production*socio=ec1 intérieure*socio=te et des importations*socio=ec1, et de combattre*socio=rien l'inflation*socio=ec1 qu'alimentaient la progression*socio=ec2 des salaires*socio=ec1, le renchérissement*socio=rien des importations*socio=ec1, notamment de pétrole*socio=ec1, et parfois des dévaluations*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1. Certains pays*socio=ac ont particulièrement souffert de l'incidence*socio=ec2 de relèvements*socio=ec2 considérables*socio=rien et inopportuns*socio=rien des salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2, intervenus en périodes*socio=te de détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 et de faible*socio=rien progression*socio=ec2 de la productivité*socio=uv3; en outre, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, les autorités*socio=et ont trop tardé à modifier les politiques_monétaires*socio=et d'ajustement*socio=et qu'elles avaient adoptées au plus fort*socio=rien de la récession*socio=ec2. Toutefois, en 1978, plusieurs pays*socio=ac développés*socio=uv4 de production*socio=ec1 primaire*socio=rien ont réussi à réduire considérablement*socio=rien leur taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1. En Australie*socio=ac, en Finlande*socio=ac et en Irlande*socio=ac après*socio=rien plusieurs années*socio=rien d'inflation*socio=ec1 à deux chiffres, la progression*socio=ec2 des prix*socio=ec1 a été*socio=rien ramenée à 7 - 8 pour 100 en 1978; en Espagne*socio=ac, en Nouvelle-zélande*socio=ac et au Portugal*socio=ac, elle a baissé de plusieurs points*socio=rien de pourcentage*socio=rien. Parmi les pays*socio=ac développés*socio=uv4 de production*socio=ec1 primaire*socio=rien, seules*socio=rien l'Islande*socio=ac et la Turquie*socio=ac ont connu une forte*socio=rien recrudescence*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1. Dans l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac, ce succès*socio=uv1 relatif*socio=rien de la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1, coïncidant généralement avec une certaine*socio=rien réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 de la balance*socio=ec1 des opérations_courantes*socio=te, a permis*socio=rien de revenir à des politiques*socio=et orientées davantage vers la croissance*socio=uv3. En conséquence*socio=rien, les taux_d'_expansion*socio=ec2 de la production*socio=ec1 ont quelque peu progressé dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac en 1978. Seules*socio=rien les économies*socio=ec1 turque et portugaise, après*socio=rien l'adoption*socio=uv3 longtemps différée de plans*socio=rien de stabilisation*socio=et, ont enregistré en 1978 une croissance*socio=uv3 très sensiblement inférieure*socio=rien à celle de 1977. Pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac, on prévoit une nouvelle*socio=rien augmentation*socio=ec2 du*socio=rien taux_d'_expansion*socio=ec2 de la production*socio=ec1 en 1979. Échanges*socio=ec1 et paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te. Perspectives*socio=te d'ensemble*socio=rien. Les efforts*socio=uv1 que les pays*socio=ac ont déployés ces *socio=rien dernières années *socio=nil pour ajuster les paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te se sont inscrits*socio=rien dans *socio=rien un contexte général d'*socio=nil expansion*socio=ec2 modérée*socio=nil du volume des*socio=nil échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te *socio=nil et de *socio=rien hausse ininterrompue des*socio=nil prix*socio=ec1 sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil volume des*socio=nil échanges*socio=ec1 *socio=nil a fortement augmenté en 1976, *socio=rien première année *socio=nil de la reprise qui a suivi la récession*socio=ec2 de 1974 - 75, mais les deux *socio=rien années suivantes,*socio=nil *socio=nil il n'a progressé, en moyenne*socio=rien, que de 5 pour 100 environ (tableau*socio=rien 3). Ce ralentissement*socio=ec2 est*socio=rien essentiellement imputable*socio=uv2 à la persistance*socio=te, depuis 1976, d'un*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec1 modeste*socio=rien (3,75 pour 100 par an*socio=rien) de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te réelle*socio=ec2 dans les pays_industrialisés*socio=ac, dont les importations*socio=ec1 représentent plus de 70 pour 100 *socio=rien du total mondial*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil prix*socio=ec1 des*socio=nil produits échangés*socio=nil sur le*socio=nil marché*socio=ec1 international*socio=te,*socio=nil *socio=nil mesurés par les *socio=ec1 valeurs unitaires *socio=nil exprimées en dollars*socio=ec1 ÉU, ont progressé de 9 - 10 pour 100 par an*socio=rien en 1977 et en 1978 et leur hausse*socio=rien s'est*socio=rien accélérée au *socio=rien cours du premier semestre *socio=nil de 1979. Malgré le ralentissement*socio=ec2 prévu de l' activité_économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac et le relâchement*socio=ec2 concomitant de la demande*socio=ec1 d'importation*socio=ec1, il n'y a aucune chance*socio=rien - étant donné les augmentations*socio=ec2 du*socio=rien prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 ces *socio=rien derniers mois *socio=nil -que la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien commerce*socio=ec1 international*socio=te puisse se ralentir avant la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. Pour la *socio=rien troisième année consécutive,*socio=nil le*socio=nil taux_d'_accroissement*socio=ec2 *socio=nil de la valeur*socio=ec1 unitaire*socio=rien des produits*socio=rien échangés sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te, exprimée en dollars*socio=ec1 ÉU, s'est*socio=rien apparemment maintenu aux environs*socio=rien de 10 pour 100 par an*socio=rien; toutefois, la structure*socio=ec1 fondamentale*socio=uv4 de l'évolution*socio=te des prix*socio=ec1 et des termes_de_l'_échange*socio=ec1 s'est*socio=rien nettement modifiée d'année*socio=rien en année*socio=rien. En 1977, ce sont les prix*socio=ec1 des matières_premières*socio=ec1, en particulier*socio=rien des produits*socio=rien tropicaux*socio=te servant à la fabrication*socio=ec1 de boissons*socio=ec1, qui ont enregistré les plus fortes*socio=rien hausses. Les pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil sont donc ceux dont les termes_de_l'_échange*socio=ec1 se sont le plus améliorés cette année-là, poursuivant un*socio=rien redressement*socio=ec2 déjà évident*socio=rien en 1976. De 1976 à 1977, les termes_de_l'_échange*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil ont également quelque peu progressé tandis qu'ils se détérioraient légèrement dans les pays_industrialisés*socio=ac et les pays*socio=ac développés*socio=uv4 de production*socio=ec1 primaire*socio=rien. Les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien sont entrés en 1976 - 77 dans une phase*socio=te ascendante*socio=rien qui a culminé au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1977, puis ont accusé une forte*socio=rien baisse*socio=ec2 les *socio=rien mois suivants.*socio=nil *socio=nil Cependant, ces prix*socio=ec1 (sauf ceux des denrées*socio=ec1 servant à la fabrication*socio=ec1 de boissons*socio=ec1) ont, en général*socio=rien, amorcé une remontée à la fin*socio=rien de 1977 qui s'est*socio=rien poursuivie jusqu'à la *socio=rien fin du deuxième trimestre*socio=te *socio=nil de 1979 (graphique*socio=rien 7). Les prix*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 se répercutant avec *socio=rien un certain retard sur la*socio=nil valeur*socio=ec1 unitaire des*socio=nil échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te,*socio=nil ces*socio=nil mouvements*socio=ec2 *socio=nil se sont traduits par une augmentation*socio=ec2 modérée, entre 1977 et 1978, de la valeur*socio=ec1 *socio=rien unitaire moyenne,*socio=nil *socio=nil exprimée en dollars*socio=ec1 ÉU, des exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Toutefois, cette augmentation*socio=ec2 a été*socio=rien très inférieure*socio=rien à la *socio=rien hausse concomitante des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil à l'importation*socio=ec1; cette hausse*socio=rien reflétait (pour l'essentiel*socio=uv4) le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien très élevé*socio=uv4 de l'inflation*socio=ec1 qui sévissait dans les pays_industrialisés*socio=ac. L'évolution*socio=te favorable*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 observée l'année*socio=rien précédente*socio=rien s'est*socio=rien donc trouvée inversée. Une détérioration*socio=uv4 beaucoup plus grave*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 s'est*socio=rien produite dans les principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil en 1978; en effet*socio=rien, leurs prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1, exprimés en dollars*socio=ec1 ÉU, sont restés pratiquement inchangés*socio=rien tout au long*socio=rien de l'année*socio=rien. (Voir le graphique*socio=rien 8). En revanche, les termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac ont beaucoup bénéficié de la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et de la faiblesse*socio=ec2 générale*socio=rien des prix*socio=ec1 des autres produits*socio=rien de base*socio=rien. (Voir le tableau*socio=rien 4). Une nouvelle*socio=rien évolution*socio=te des termes_de_l'_échange*socio=ec1 s'est*socio=rien clairement amorcée en 1979. Elle se manifeste par une amélioration*socio=uv1 substantielle*socio=rien dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil et une détérioration*socio=uv4 dans tous les autres grands*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac. Cette détérioration*socio=uv4 sera probablement plus marquée dans les pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil dont les prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 ne devraient pas pouvoir*socio=et s'aligner sur*socio=rien les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien manufacturés importés et à plus *socio=rien forte raison sur ceux*socio=nil du pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil En dehors des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien utilisés dans la fabrication*socio=ec1 des boissons*socio=ec1, qui avaient atteint *socio=rien un sommet au*socio=nil deuxième trimestre*socio=te *socio=nil de 1977, et se sont ensuite effrités jusqu'au début*socio=rien de 1979, les *socio=ec1 prix moyens *socio=nil des autres *socio=rien grandes catégories de*socio=nil produits de*socio=nil base *socio=nil enregistrent, depuis la fin*socio=rien de 1977, une augmentation*socio=ec2 modérée. Jusqu'au second*socio=rien trimestre*socio=te de 1978, les prix*socio=ec1 des *socio=ec1 denrées alimentaires *socio=nil ont augmenté plus vite que ceux des *socio=ec1 matières_premières agricoles *socio=nil et des métaux*socio=ec1. Cette tendance*socio=ec2 s'est*socio=rien inversée les trimestres*socio=te suivants*socio=rien; mais l'essor*socio=rien des prix*socio=ec1 des *socio=ec1 matières_premières industrielles *socio=nil a, semble-t-il, commencé à fléchir vers le milieu*socio=rien de 1979 (graphique*socio=rien 7). Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil structure*socio=ec1 globale des*socio=nil soldes*socio=ec1 des*socio=nil opérations_courantes*socio=te a*socio=nil été *socio=nil fortement influencée par l'évolution*socio=te des conditions*socio=ec1 cycliques*socio=te et des relations*socio=rien entre les prix*socio=ec1 internationaux*socio=te, ainsi que par des mesures*socio=et adoptées en vue*socio=rien de l'ajustement*socio=et des positions*socio=rien intérieure*socio=te et extérieure*socio=te. Depuis 1974, la structure*socio=ec1 de ces soldes*socio=ec1 se modifie profondément d'année*socio=rien en année*socio=rien, retrouvant sur*socio=rien des points*socio=rien importants*socio=uv4 ses caractéristiques*socio=rien d'avant 1974, mais continuant de présenter des aspects*socio=rien contrastés. Le *socio=rien principal point *socio=nil de ressemblance est*socio=rien la persistance*socio=te d'importants*socio=uv4 déficits*socio=ec1 des opérations_courantes*socio=te dans les deux groupes_de_pays*socio=ac qui sont essentiellement importateurs*socio=ac de capitaux*socio=ec1, c'est-à-dire les pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil et les pays*socio=ac développés*socio=uv4 de production*socio=ec1 primaire*socio=rien. Ce phénomène*socio=rien ressort clairement des tableaux*socio=rien 5 et 6 où figurent les déficits_globaux*socio=ec1 de ces pays*socio=ac. En revanche, la *socio=rien principale différence *socio=nil entre la structure*socio=ec1 des soldes*socio=ec1 des opérations_courantes*socio=te - telle qu'elle est*socio=rien actuellement et telle qu'elle était dans les années*socio=rien soixante et au début*socio=rien des années*socio=rien soixante-dix - est*socio=rien la répartition*socio=uv3 des excédents*socio=ec1 entre les groupes_de_pays*socio=ac qui sont surtout exportateurs*socio=ac de capitaux*socio=ec1. En 1974, les augmentations*socio=ec2 du*socio=rien prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 ont absorbé l'excédent*socio=ec1 traditionnel*socio=rien des opérations_courantes*socio=te du*socio=rien groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac; cet excédent*socio=ec1 représentait l'essentiel*socio=uv4 de la contrepartie*socio=rien des déficits*socio=ec1 des opérations_courantes*socio=te des deux *socio=ac groupes_de_pays importateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil En 1978, les pays_industrialisés*socio=ac étaient à nouveau*socio=rien d'importants*socio=uv4 exportateurs*socio=ac nets*socio=rien de biens*socio=ec1 et de services*socio=et, mais on prévoit que l'excédent_global*socio=te de leurs opérations_courantes*socio=te diminuera considérablement*socio=rien en 1979, sous l'effet*socio=rien probable*socio=uv4 des toutes dernières*socio=rien augmentations*socio=ec2 du*socio=rien prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1. Concurremment, l'excédent_global*socio=te des opérations_courantes*socio=te des six *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil dont la capacité*socio=uv3 d'absorption*socio=rien à court_terme*socio=te est*socio=rien limitée devrait s'accroître et, d'un*socio=rien montant*socio=ec1 estimé à 21 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1978 passer à 43 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1979 - venant ainsi en tête*socio=rien de la catégorie*socio=rien plus vaste*socio=rien des "principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1"*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil dont les opérations_courantes*socio=te enregistrent aujourd'hui un*socio=rien excédent_global*socio=te. Au cours*socio=rien des six *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil variations du solde*socio=ec1 global*socio=te des*socio=nil opérations_courantes*socio=te des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac ont*socio=nil été *socio=nil essentiellement déterminées par les fluctuations*socio=ec2 cycliques*socio=te *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 *socio=nil et des importations*socio=ec1 ainsi que par l'évolution*socio=te des termes_de_l'_échange*socio=ec1 résultant*socio=rien, notamment, des renchérissements du*socio=rien pétrole*socio=ec1. Ce solde*socio=ec1 global*socio=te a été*socio=rien nettement excédentaire*socio=rien en 1978, année*socio=rien où l'atonie*socio=ec2 générale*socio=rien de la demande*socio=ec1 d'importation*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac s'est*socio=rien accompagnée d'une amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, en faveur*socio=rien de ces derniers*socio=rien. Cet excédent*socio=ec1, qui se chiffrait à 33 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, tombera probablement à 10 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1979, le coût*socio=ec1 des *socio=ec1 importations pétrolières *socio=nil étant beaucoup plus élevé*socio=uv4 cette année-là. (Ces chiffres sont ceux qui figurent au tableau*socio=rien 5 et sont établis sur*socio=rien la base*socio=rien des *socio=rien opérations sur biens*socio=ec1 et*socio=nil services*socio=et *socio=nil ainsi que des transferts_privés*socio=et). Les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont connu des évolutions*socio=te très divergentes*socio=uv2 qu'expliquent plusieurs facteurs*socio=rien : ils n'ont pas traversé en même temps*socio=rien les mêmes *socio=te phases cycliques;*socio=nil *socio=nil ils ne sont pas également tributaires*socio=rien des importations*socio=ec1 de carburants*socio=ec1; enfin, les taux_de_change*socio=ec1 de leurs monnaies*socio=ec1 respectives*socio=rien ont fluctué. *socio=rien Du point de*socio=nil vue *socio=nil de l'ajustement*socio=et des paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te, la réduction*socio=ec2 sensible*socio=rien, d'une part*socio=rien, du*socio=rien déficit*socio=ec1 des opérations_courantes*socio=te des États-unis*socio=ac et, d'autre part*socio=rien, de l'excédent*socio=ec1 des opérations_courantes*socio=te de l'Allemagne*socio=ac et du*socio=rien Japon*socio=ac, *socio=rien est un phénomène *socio=nil des plus opportuns*socio=rien. (Voir le graphique*socio=rien 9). Il convient également de noter que plusieurs grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac (notamment le Royaume-uni*socio=ac et l'Italie*socio=ac) sont maintenant mieux armés qu'en 1974 pour supporter les effets*socio=rien d'un*socio=rien important*socio=uv4 *socio=rien renchérissement du pétrole*socio=ec1.*socio=nil La*socio=nil position extérieure*socio=te *socio=nil de certains pays_industrialisés*socio=ac fera l'objet*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=ec2 plus détaillé. Les modifications*socio=rien de la structure*socio=ec1 globale*socio=rien des soldes*socio=ec1 des opérations_courantes*socio=te que l'on prévoit pour l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien 1979 ne donnent pas une *socio=rien image exacte *socio=nil de la situation*socio=rien que l'on connaîtra probablement pendant les *socio=rien derniers mois *socio=nil de l'année*socio=rien. Les soldes*socio=ec1 des opérations_courantes*socio=te refléteront alors davantage les récentes*socio=rien augmentations*socio=ec2 du*socio=rien prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, et l'excédent_global*socio=te des opérations_courantes*socio=te des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil aura atteint *socio=rien un niveau annuel*socio=te très*socio=nil supérieur aux*socio=nil estimations*socio=ec2 *socio=nil figurant au tableau*socio=rien 5 pour l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien. L'évolution*socio=te de la conjoncture*socio=ec2 dans les pays_industrialisés*socio=ac pourrait avoir pour effet*socio=rien que la contrepartie*socio=rien de cet accroissement*socio=ec2 apparaisse pour une *socio=rien large part *socio=nil dans le solde*socio=ec1 courant*socio=rien des pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien autres que les principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil dont les déficits*socio=ec1 sont susceptibles*socio=rien de s'aggraver sensiblement. Il se peut que dans les pays_industrialisés*socio=ac, un*socio=rien affaiblissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 générale*socio=rien d'importation*socio=ec1 vienne atténuer quelque peu la brusque détérioration*socio=uv4 - due au gonflement*socio=ec2 de la facture pétrolière*socio=ec1 - qui, selon les prévisions*socio=ec2, affectera le solde*socio=ec1 des opérations_courantes*socio=te vers la fin*socio=rien de 1979. pays_industrialisés*socio=ac. Évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1. Les déséquilibres*socio=uv3 de balance_des_paiements*socio=ec1 qui s'étaient accumulés depuis 1976 ont précipité l'ajustement*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac en 1978. Comme on le note plus loin*socio=rien, les relations*socio=rien entre les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 ont été*socio=rien profondément modifiées tant en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 qu'en valeur*socio=ec1 nominale*socio=rien. Les taux_de_change*socio=ec1 ont continué d'évoluer dans *socio=rien un sens *socio=nil qui était généralement compatible*socio=rien avec la diminution*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 des paiements_courants*socio=ec1, comme l'indique le graphique*socio=rien 9. L'appréciation*socio=uv3 de la monnaie*socio=ec1 du*socio=rien Japon*socio=ac - le pays*socio=ac qui, l'année*socio=rien dernière*socio=rien, a enregistré le plus important*socio=uv4 excédent*socio=ec1 - ainsi que la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 et du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1 se sont accélérées dans le courant*socio=rien de 1978. L'incidence*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 sur*socio=rien les mouvements*socio=ec2 des coûts*socio=ec1 et des prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien et, par conséquent*socio=rien, sur*socio=rien la compétitivité*socio=uv3 au *socio=rien niveau du marché*socio=ec1 international*socio=te,*socio=nil *socio=nil a augmenté proportionnellement, et a commencé à avoir des *socio=rien effets perceptibles sur le*socio=nil volume des*socio=nil échanges*socio=ec1 au*socio=nil premier semestre *socio=nil de 1978. L'ajustement*socio=et des *socio=ec1 balances commerciales *socio=nil (exprimées en dollars*socio=ec1 ÉU ou en DTS de manière*socio=rien à faciliter les comparaisons*socio=rien internationales*socio=te) a été*socio=rien plus lent*socio=rien à se manifester, les effets*socio=rien des variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 sur*socio=rien les termes_de_l'_échange*socio=ec1 étant temporairement*socio=rien plus puissants*socio=rien que leur incidence*socio=ec2 correctrice sur*socio=rien les flux*socio=ec1 réels*socio=ec2. Ces effets*socio=rien, appelés effets*socio=rien de courbe en J, ont contribué à l'instabilité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 durant les mois*socio=rien qui ont précédé novembre*socio=rien 1978, les variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 d'un*socio=rien jour*socio=rien à l'autre devenant de plus en plus imprévisibles*socio=uv4 sur*socio=rien des marchés*socio=ec1 peu actifs*socio=ec1 et nerveux. De septembre*socio=rien 1977 à *socio=rien fin octobre *socio=nil 1978, le dollar_éu*socio=ec1 s'est*socio=rien fortement déprécié - d'environ 19 pour 100 en *socio=rien termes effectifs *socio=nil 1 - cependant que le yen*socio=ec1 et le *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil s'appréciaient de 40 et 13 pour 100 respectivement. Bien*socio=rien que le franc*socio=ec1 suisse*socio=ac se soit, lui aussi, fortement apprécié (de 35 pour 100), les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 ont été*socio=rien le plus souvent dominés par les modifications*socio=rien des relations*socio=rien entre les monnaies*socio=ec1 des trois principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Durant le quatrième*socio=rien trimestre*socio=te de 1977 et, de *socio=rien nouveau après juin *socio=nil 1978, les taux*socio=ec1 du*socio=rien *socio=ec1 deutsche mark et*socio=nil du*socio=rien yen *socio=nil sont remontés en flèche. Les variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien des autres principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 durant la période*socio=te allant de septembre*socio=rien 1977 à la fin*socio=rien d'octobre*socio=rien 1978 ont été*socio=rien généralement de *socio=rien moindre ampleur *socio=nil : le dollar_canadien*socio=ec1 s'est*socio=rien déprécié de 15 pour 100 et la lire italienne*socio=ac de 8 pour 100, et les variations*socio=rien des taux*socio=ec1 effectifs*socio=rien des monnaies*socio=ec1 de la France*socio=ac et du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac ont *socio=rien été négligeables.*socio=nil Les*socio=nil mouvements_de_capitaux*socio=ec1 à*socio=nil caractère préventif ou*socio=nil spéculatif*socio=uv2 *socio=nil ont de plus en plus dominé*socio=uv2 les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, où la situation*socio=rien était fondamentalement*socio=rien instable*socio=uv4, évolution*socio=te qui a atteint son point*socio=rien culminant en octobre*socio=rien 1978. Ce mois-là - durant lequel se produisirent les plus graves*socio=uv4 perturbations*socio=ec2 enregistrées sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 depuis le début*socio=rien de 1973 - le dollar_éu*socio=ec1 s'est*socio=rien déprécié de 6 pour 100 et les taux_de_change*socio=ec1 des autres principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 ont accusé des variations*socio=rien d'une *socio=rien ampleur correspondante.*socio=nil *socio=nil Rétrospectivement, il *socio=rien est clair *socio=nil que les perturbations*socio=ec2, dont a souffert l'économie*socio=ec1 durant les années*socio=rien soixante-dix, ont rendu très difficile*socio=rien une harmonisation*socio=uv3 des variations*socio=rien des soldes*socio=ec1 courants*socio=te et des flux*socio=ec1 privés*socio=et de capitaux*socio=ec1 dans plusieurs grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. L'absence*socio=rien d'un*socio=rien tel ajustement*socio=et quantitatif*socio=rien s'est*socio=rien traduite par une forte*socio=rien variabilité*socio=uv3 de prix*socio=ec1, le prix*socio=ec1 étant, en l'occurrence*socio=rien, le taux_de_change*socio=ec1. L"instabilité*socio=uv3 qui est*socio=rien apparue pendant la période*socio=te qui a précédé octobre*socio=rien 1978, et s'est*socio=rien accentuée durant ce même mois*socio=rien, jointe à une importante*socio=uv4 dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 par rapport*socio=rien à presque toutes les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1, ont amené les autorités*socio=et des États-unis*socio=ac, de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, du*socio=rien Japon*socio=ac et de la Suisse*socio=ac à annoncer, le 1er novembre*socio=rien 1978, *socio=rien un train de*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil concertées. Ces mesures*socio=et, portant sur*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1 et la politique_monétaire*socio=et, visaient à corriger une situation*socio=rien dans laquelle la baisse*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 du*socio=rien dollar*socio=ec1 avait dépassé celle qui pouvait être*socio=rien normalement attribuée à des facteurs*socio=rien fondamentaux*socio=uv4. Depuis l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 des mesures*socio=et prises*socio=rien le 1er novembre*socio=rien, il s'est*socio=rien *socio=rien produit un renversement général des*socio=nil mouvements*socio=ec2 antérieurs*socio=te des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1,*socio=nil ces*socio=nil mouvements*socio=ec2 *socio=nil devenant moins imprévisibles*socio=uv4. Le dollar_éu*socio=ec1 s'est*socio=rien apprécié par rapport*socio=rien à la plupart*socio=rien des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 : le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif du dollar*socio=ec1 *socio=nil a augmenté de *socio=rien façon substantielle *socio=nil durant les huit mois*socio=rien compris entre le 1er novembre*socio=rien 1978 et le 30 juin*socio=rien 1979, et, à la fin*socio=rien de juillet*socio=rien, il dépassait encore de plus de 6 pour 100 son niveau*socio=rien de *socio=rien fin octobre,*socio=nil *socio=nil malgré la baisse*socio=ec2 sensible*socio=rien qu'il avait enregistrée durant les *socio=rien dernières semaines de*socio=nil juin.*socio=nil L'*socio=nil évolution*socio=te en*socio=nil sens inverse*socio=nil du yen*socio=ec1 japonais*socio=ac entre*socio=nil novembre et*socio=nil juillet a*socio=nil été *socio=nil très marquée; après*socio=rien une appréciation*socio=uv3 de 36 pour 100 au cours*socio=rien des dix *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1978, le yen*socio=ec1 s'est*socio=rien déprécié de 18 pour 100 par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1 durant les huit *socio=rien mois suivants *socio=nil et son taux*socio=ec1 n'a que peu remonté au *socio=rien cours du mois de*socio=nil juillet.*socio=nil Les*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 des*socio=nil monnaies*socio=ec1 des*socio=nil pays_membres*socio=ac du système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac (*socio=nil SME*socio=ec1)*socio=nil *socio=nil - qui est*socio=rien entré en vigueur*socio=uv3 le 13 mars*socio=rien 1979 - n'ont accusé que de *socio=rien faibles variations nettes par*socio=nil rapport au*socio=nil dollar*socio=ec1 *socio=nil E . U. durant les six *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1979, mais ont augmenté sensiblement entre la mi-juin et la fin*socio=rien de juillet*socio=rien; le *socio=ec1 deutsche mark,*socio=nil par*socio=nil exemple*socio=rien,*socio=nil s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil apprécié de 4,5 pour 100 au cours*socio=rien de cette brève*socio=rien période*socio=te, le taux*socio=ec1 de cette monnaie*socio=ec1 par rapport*socio=rien au dollar_éu*socio=ec1 atteignant le niveau*socio=rien le plus élevé*socio=uv4 qu'il ait enregistré depuis octobre*socio=rien 1978. La livre sterling*socio=ec1 s'est*socio=rien encore plus appréciée que les monnaies*socio=ec1 du*socio=rien SME*socio=ec1 entre octobre*socio=rien 1978 et la fin*socio=rien de juillet*socio=rien 1979, alors que le dollar_ canadien*socio=ec n'a enregistré qu'une *socio=rien variation nette très*socio=nil faible.*socio=nil *socio=nil On peut donc dire que la *socio=rien hausse du taux*socio=ec1 effectif du dollar_éu*socio=ec1 au*socio=nil cours *socio=nil des sept *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1979 traduit essentiellement son évolution*socio=te par rapport*socio=rien au yen*socio=ec1. Le renversement*socio=rien des mouvements*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1, qui s'est*socio=rien *socio=rien produit après octobre *socio=nil 1978, s'est*socio=rien accompagné d'interventions*socio=et *socio=rien massives destinées *socio=nil à soutenir le *socio=rien cours du dollar*socio=ec1.*socio=nil La*socio=nil première *socio=nil de ces interventions*socio=et a eu lieu*socio=rien au moment*socio=rien de la forte*socio=rien chute du*socio=rien dollar*socio=ec1 en octobre*socio=rien 1978 - chute qu'elle n'a pu empêcher - les autres, qui portaient sur*socio=rien des montants*socio=ec1 importants*socio=uv4, s'échelonnant jusqu'à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. Depuis le début*socio=rien de 1979, toutefois, les engagements*socio=et extérieurs*socio=te officiels*socio=et des États-unis*socio=ac ont considérablement*socio=rien diminué, et à la fin*socio=rien de mars*socio=rien, tous les emprunts*socio=ec1 contractés dans le cadre*socio=rien des accords*socio=et de novembre*socio=rien avaient été*socio=rien remboursés. Parallèlement, les réserves_officielles*socio=et de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et du*socio=rien Japon*socio=ac ont fortement augmenté en novembre*socio=rien et en décembre*socio=rien par suite*socio=rien d'interventions*socio=et, mais ces positions*socio=rien ont, elles aussi, été*socio=rien entièrement dénouées le trimestre*socio=te suivant*socio=rien. Il ne fait*socio=rien guère de doute*socio=rien que les mesures*socio=et adoptées le 1er novembre*socio=rien ont beaucoup contribué à stabiliser les conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1; toutefois, au cours*socio=rien des derniers*socio=rien trimestres*socio=te, d'autres événements*socio=rien importants*socio=uv4 ont eu une forte*socio=rien incidence*socio=ec2 sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 en courte*socio=rien période*socio=te. L'activité*socio=rien intérieure*socio=te s'est*socio=rien accélérée tant en Allemagne*socio=ac fédérale*socio=et qu'au Japon*socio=ac, cependant que les mesures*socio=et d'austérité*socio=uv3 prises*socio=rien, sur*socio=rien le plan*socio=rien monétaire*socio=ec1 et en d'autres domaines*socio=rien, par les États-unis*socio=ac (en partie*socio=rien dans le *socio=rien cadre du train de*socio=nil mesures*socio=et du 1er*socio=nil novembre)*socio=nil *socio=nil contribuaient à modifier les taux_de_croissance*socio=ec1 relatifs*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te dans *socio=rien un sens favorable*socio=uv4 *socio=nil à une meilleure*socio=uv4 répartition*socio=uv3 des soldes*socio=ec1 courants*socio=te. L'annonce d'une diminution*socio=ec2 du*socio=rien *socio=ec1 déficit commercial des*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil et d'une réduction*socio=ec2 des excédents*socio=ec1 enregistrés par l'Allemagne*socio=ac et le Japon*socio=ac ont fortement influencé le *socio=rien climat sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 ces*socio=nil derniers mois.*socio=nil Les*socio=nil résultats des*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil adoptées le 1er novembre*socio=rien ont, semble-t-il, démontré clairement que, pour être*socio=rien efficaces*socio=uv4, les interventions*socio=et sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et les autres mesures*socio=et à court_terme*socio=te doivent être*socio=rien soutenues par une politique*socio=et qui inspire confiance*socio=uv1 et par des conditions*socio=ec1 *socio=uv4 fondamentales favorables.*socio=nil Le*socio=nil SME*socio=ec1 est*socio=rien *socio=nil entré en vigueur*socio=uv3 en mars*socio=rien sous les auspices*socio=rien favorables*socio=uv4 d'un*socio=rien dollar*socio=ec1 affermi et stable*socio=uv4. Jusqu'à présent*socio=rien, la lire italienne*socio=ac et, plus récemment, le *socio=ec1 deutsche mark,*socio=nil *socio=nil ont compté parmi les monnaies*socio=ec1 *socio=rien fortes du groupe*socio=ac du SME*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil alors que le franc*socio=ec1 belge*socio=ac et la *socio=ac couronne danoise *socio=nil se trouvaient au plancher de la bande de fluctuation*socio=ec2 du*socio=rien SME*socio=ec1. Bien*socio=rien qu'elle ne participe pas officiellement*socio=et au SME*socio=ec1, l'Autriche*socio=ac a continué d'appliquer sa politique*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 selon laquelle le schilling suit d'assez près les monnaies*socio=ec1 de ses principaux*socio=rien partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. Cette politique*socio=et avait eu jusqu'alors pour effet*socio=rien de lier l'Autriche*socio=ac de facto au "serpent*socio=rien" et l'associe maintenant d'une *socio=rien façon analogue au*socio=nil SME*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil ajustements*socio=et des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil intervenus en 1978 et au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1979 ont eu une très forte*socio=rien incidence*socio=ec2 sur*socio=rien les rapports*socio=rien des prix*socio=ec1 et coûts*socio=ec1 relatifs*socio=rien entre les principaux*socio=rien pays*socio=ac. Les taux*socio=ec1 de l'inflation*socio=ec1 intérieure*socio=te ayant manifesté, en 1978, une certaine*socio=rien tendance*socio=ec2 à une plus grande*socio=rien convergence*socio=uv3, l'évolution*socio=te des positions*socio=rien concurrentielles*socio=ec2 a été*socio=rien influencée essentiellement par les changements*socio=uv3 intervenus dans la structure*socio=ec1 des taux_de_change*socio=ec1 (graphique*socio=rien 10). Pendant les trois premiers*socio=rien trimestres*socio=te de 1978, les indices d'ajustement*socio=et relatifs*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien manufacturés, ajustés en fonction*socio=rien des variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 (qui indiquent les "taux_de_change*socio=ec1 réels*socio=ec2") ont fortement baissé aux États-unis*socio=ac et au Canada*socio=ac et augmenté très sensiblement au Japon*socio=ac. Les mouvements*socio=ec2 des autres monnaies*socio=ec1 ont été*socio=rien moins prononcés mais ont été*socio=rien dans l'ensemble*socio=rien conformes*socio=uv4 aux besoins*socio=uv1 de l'ajustement*socio=et, du*socio=rien moins en ce qui concerne leur sens*socio=rien, car il est*socio=rien plus difficile*socio=rien d'établir si leur amplitude*socio=ec1 a été*socio=rien adéquate*socio=uv2. Le renversement*socio=rien des mouvements*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 qui s'est*socio=rien produit*socio=rien au dernier*socio=rien trimestre*socio=te de 1978, et qui, pour certaines*socio=rien d'entre elles, s'est*socio=rien poursuivi en 1979 a partiellement neutralisé ces ajustements*socio=et. L'incidence*socio=ec2 sur*socio=rien la compétitivité*socio=uv3 du*socio=rien Japon*socio=ac sur*socio=rien le plan*socio=rien des coûts*socio=ec1 et des prix*socio=ec1 a été*socio=rien particulièrement marquée, annulant en *socio=rien grande partie l'*socio=nil appréciation*socio=uv3 du taux_de_change*socio=ec1 réel *socio=nil enregistrée vers la fin*socio=rien de 1977 et en 1978. A tout prendre, cependant, les taux_de_change*socio=ec1 réels*socio=ec2 y compris le taux*socio=ec1 du*socio=rien yen*socio=ec1 - ont été*socio=rien très sensiblement différents*socio=rien, au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1979, de ce qu'ils étaient au troisième*socio=rien trimestre*socio=te de 1977, lorsqu'ont commencé les ajustements*socio=et rapides*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1. Les monnaies*socio=ec1 qui se sont dépréciées en termes*socio=rien réels*socio=ec2 durant cette période*socio=te sont, notamment, le dollar*socio=ec1 des États-unis*socio=ac (-12 pour 100), le dollar_canadien*socio=ec1 (-8 pour 100) et la lire italienne*socio=ac (-8 pour 100); les monnaies*socio=ec1 qui se sont appréciées, également en termes*socio=rien réels*socio=ec2, sont le yen*socio=ec1 japonais*socio=ac (+13 pour 100) et le *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil (+5 pour 100). Les monnaies*socio=ec1 de la France*socio=ac et du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac se sont également légèrement appréciées *socio=rien du troisième trimestre*socio=te *socio=nil de 1977 au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1979, bien*socio=rien que l'on ne puisse pas dire qu'aucun de ces pays*socio=ac avait alors une particulièrement *socio=rien forte position de*socio=nil balance_des_paiements*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il convient de noter l'imprécision des comparaisons*socio=rien entre pays*socio=ac en ce qui concerne les coûts*socio=ec1 et les prix*socio=ec1. Les indices, analogues*socio=rien à ceux que l'on a utilisés plus haut*socio=rien pour analyser l'évolution*socio=te des compétitivités relatives*socio=rien, soulèvent *socio=rien un certain nombre de*socio=nil problèmes*socio=uv4 d'*socio=nil ordre conceptuel et*socio=nil statistique*socio=ec2.*socio=nil C'*socio=nil est *socio=nil ainsi que la correspondance entre ces indices et l'évolution*socio=te réelle*socio=ec2 peut être*socio=rien voilée, par exemple*socio=rien, par des différences*socio=uv1 dans la composition*socio=rien de l'industrie*socio=ec1 manufacturière*socio=ec1 et des industries*socio=ec1 travaillant pour l'exportation*socio=ec1 ou le remplacement*socio=rien des importations*socio=ec1, par des divergences*socio=uv1 dans l'évolution*socio=te des bénéfices*socio=ec1 des *socio=ec1 industries exportatrices *socio=nil (qui sont en partie*socio=rien la conséquence*socio=rien de mouvements_des_prix*socio=ec1 à l'étranger*socio=te) ainsi que par l'évolution*socio=te de la compétitivité*socio=uv3 sur*socio=rien d'autres plans*socio=rien que celui des prix*socio=ec1. En outre, il *socio=rien est rare *socio=nil que ces indices reflètent directement ou rapidement les importants*socio=uv4 changements*socio=uv3 structurels*socio=ec2 qui ont une incidence*socio=ec2 sur*socio=rien les positions*socio=rien commerciales*socio=ec1. comparatives. On estime*socio=rien, néanmoins, qu'ils fournissent des *socio=rien indications sur l'*socio=nil évolution*socio=te générale des*socio=nil positions concurrentielles*socio=ec2 relatives.*socio=nil Soldes*socio=ec1 courants*socio=te.*socio=nil D'*socio=nil importants*socio=uv4 *socio=nil glissements dans la répartition*socio=uv3 des soldes*socio=ec1 des opérations_courantes*socio=te entre les pays_industrialisés*socio=ac, qui rendaient cette répartition*socio=uv3 plus satisfaisante*socio=uv4, sont apparus de plus en plus clairement en 1978 et au début*socio=rien de 1979. Toutefois, la *socio=rien réaction initiale des*socio=nil soldes*socio=ec1 courants*socio=te aux*socio=nil ajustements*socio=et des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil intervenus ces *socio=rien dernières années a*socio=nil été *socio=nil le plus souvent *socio=rien un facteur supplémentaire de*socio=nil déséquilibre*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil dans le court_terme*socio=te. Les variations*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1 consécutives*socio=rien aux mouvements*socio=ec2 rapides*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 ont dissimulé les *socio=rien réactions du volume des*socio=nil échanges*socio=ec1 *socio=nil - qui n'interviennent qu'avec *socio=rien un certain retard *socio=nil - et ont entraîné une augmentation*socio=ec2 des excédents*socio=ec1 ou des déficits*socio=ec1. Le retard*socio=rien avec lequel les déséquilibres*socio=uv3 des soldes*socio=ec1 courants*socio=te se résorbaient a été*socio=rien mis en évidence*socio=rien par l'apparition*socio=rien d'énormes*socio=rien excédents*socio=ec1 et déficits*socio=ec1 en 1978, malgré d'importants*socio=uv4 ajustements*socio=et des taux_de_change*socio=ec1. (Voir le graphique*socio=rien 9). Au début*socio=rien de 1978, les *socio=rien effets profonds d'*socio=nil ajustements*socio=et des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 opérés*socio=nil antérieurement *socio=nil se sont manifestés sur*socio=rien les volumes*socio=rien des échanges*socio=ec1 de plusieurs grands*socio=rien pays*socio=ac. De 1977 au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1978, les importations*socio=ec1, en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2, ont augmenté au Japon*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac mais diminué aux États-unis*socio=ac. De même, le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 des États-unis*socio=ac a remonté en flèche au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1978, tandis que les exportations*socio=ec1 du*socio=rien Japon*socio=ac et de l'Allemagne*socio=ac fédérale*socio=et diminuaient sensiblement. Cette évolution*socio=te inverse des volumes*socio=rien des échanges*socio=ec1 des États-unis*socio=ac et du*socio=rien Japon*socio=ac s'est*socio=rien poursuivie au *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1978. Toutefois, l'ampleur*socio=rien des mouvements*socio=ec2 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 a été*socio=rien telle que les excédents*socio=ec1 courants*socio=te du*socio=rien Japon*socio=ac et de l'Allemagne*socio=ac ont continué d'augmenter en flèche pendant la période*socio=te 1977-78, où ils sont passés*socio=te de 11 à 17,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU, au Japon*socio=ac et de 4 à 9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en Allemagne*socio=ac (transferts_officiels*socio=et compris). A plusieurs égards*socio=rien, la répartition*socio=uv3 des soldes*socio=ec1 courants*socio=te entre pays_industrialisés*socio=ac a été*socio=rien plus décevante*socio=rien encore au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1978 qu'elle l'était depuis plusieurs années*socio=rien. Largement excédentaire*socio=rien (de 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, chiffres annuels*socio=te) au *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1975, le solde*socio=ec1 des États-unis*socio=ac n'avait, depuis lors*socio=rien, pas cessé de s'acheminer vers l'énorme*socio=rien déficit*socio=ec1 qu'il a atteint au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1978 et dont l'ampleur*socio=rien annuelle*socio=te était d'environ 28 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Évoluant en *socio=rien sens contraire,*socio=nil le*socio=nil solde*socio=ec1 courant du Japon*socio=ac était*socio=nil passé *socio=nil durant pratiquement la même période*socio=te d'un*socio=rien *socio=ec2 équilibre approximatif à*socio=nil un*socio=rien excédent*socio=ec1 *socio=nil de 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (chiffres annuels*socio=te). Pendant le reste*socio=rien de l'année*socio=rien, le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien des États-unis*socio=ac, transferts_officiels*socio=et compris, a été*socio=rien ramené à environ 9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (chiffres annuels*socio=te), de sorte*socio=rien que le déficit*socio=ec1 pour l'ensemble*socio=rien de 1978 a été*socio=rien légèrement inférieur*socio=rien à celui de 1977. De même, l'excédent*socio=ec1 du*socio=rien Japon*socio=ac a diminué considérablement*socio=rien vers la fin*socio=rien de 1978 et continué à se contracter au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1979, sous l'effet*socio=rien de l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien yen*socio=ec1 et de l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. L'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, qui avait continué à s'accroître en 1978, a lui aussi diminué au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1979. La plupart*socio=rien des autres pays_industrialisés*socio=ac ont enregistré des soldes*socio=ec1 courants*socio=te nettement plus importants*socio=uv4 en 1978 que l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Ces variations*socio=rien sont dues, pour la plupart*socio=rien, à une évolution*socio=te favorable*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, qui se sont améliorés sensiblement en France*socio=ac, en Italie*socio=ac, au Royaume-uni*socio=ac, en Autriche*socio=ac, en Norvège*socio=ac et en Suède*socio=ac; ce redressement*socio=ec2 répondait généralement au besoin*socio=uv1 de renforcer la balance_des_paiements*socio=ec1 de ces pays*socio=ac. Le solde*socio=ec1 global*socio=te des transactions_courantes*socio=te (biens*socio=ec1, services*socio=et et transferts_privés*socio=et) du*socio=rien groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac, qui était excédentaire*socio=rien de 4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1977, a atteint un*socio=rien excédent*socio=ec1 de 33 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1978. (Voir le tableau*socio=rien 7, où figurent également les soldes*socio=ec1 comprenant les transferts_officiels*socio=et). Sauf pour une augmentation*socio=ec2 de 7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 de l'excédent*socio=ec1 net*socio=rien au titre*socio=rien des transactions*socio=ec1 invisibles*socio=rien, cet accroissement*socio=ec2 peut être*socio=rien attribué à une amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac par rapport*socio=rien au *socio=rien reste du monde*socio=te,*socio=nil en*socio=nil général,*socio=nil *socio=nil et aux pays_en_développement*socio=uv3 (tant les exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 que les autres pays*socio=ac) en particulier*socio=rien. L'évolution*socio=te constatée au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1979 a été*socio=rien essentiellement la *socio=rien prolongation du mouvement*socio=ec2 *socio=nil amorcé en 1978 vers une meilleure*socio=uv4 répartition*socio=uv3 des soldes*socio=ec1 courants*socio=te. Une analyse*socio=ec2 rétrospective*socio=rien de la longue*socio=rien et profonde*socio=rien détérioration*socio=uv4 du*socio=rien solde*socio=ec1 courant*socio=rien des États-unis*socio=ac, entre la fin*socio=rien de 1975 et le début*socio=rien de 1978, montre clairement que le revirement*socio=rien observé est*socio=rien dû essentiellement au fait*socio=rien, qu'en volume*socio=rien, les importations*socio=ec1 ont augmenté davantage que les exportations*socio=ec1. Une certaine*socio=rien détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 y a aussi contribué, mais celle-ci provenait essentiellement de la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des *socio=ec1 exportations agricoles des*socio=nil États-unis*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et non des effets*socio=rien des variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 (mécanisme*socio=et de la courbe en J). Ces effets*socio=rien ne sont entrés en jeu*socio=rien qu'à un*socio=rien stade*socio=te tardif de la détérioration*socio=uv4 du*socio=rien solde*socio=ec1 courant*socio=rien; en effet*socio=rien, la valeur*socio=ec1 extérieure*socio=te du*socio=rien dollar*socio=ec1 s'est*socio=rien virtuellement maintenue à *socio=rien un niveau relativement*socio=nil élevé*socio=uv4 *socio=nil tout au long*socio=rien de 1976 et pendant les trois premiers*socio=rien trimestres*socio=te de 1977. Il est*socio=rien, en fait*socio=rien, hors de doute*socio=rien que le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 effectif*socio=rien au cours*socio=rien de cette période*socio=te (comparé à la moyenne*socio=rien des années*socio=rien qui l'ont immédiatement précédée) a été*socio=rien l'un*socio=rien des facteurs*socio=rien de la détérioration*socio=uv4 de la balance_commerciale*socio=ec1, car il impliquait une *socio=rien hausse du taux_de_change*socio=ec1 réel *socio=nil qui nuit à la compétitivité*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 américaines*socio=ac. Un*socio=rien autre facteur*socio=rien - peut-être le plus important*socio=uv4 - a été*socio=rien le rythme*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1, plus rapide*socio=rien aux États-unis*socio=ac que dans tout autre pays_industrialisé*socio=ac, depuis le *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1976. La croissance*socio=uv3 *socio=rien spectaculaire du solde*socio=ec1 courant du Japon*socio=ac *socio=nil - qui, voisin*socio=rien de l'équilibre*socio=ec2 en 1975, *socio=rien est passé *socio=nil en 1978 à un*socio=rien excédent*socio=ec1 de 18 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 - est*socio=rien aussi, en partie*socio=rien, *socio=rien un phénomène *socio=nil lié aux termes_de_l'_échange*socio=ec1, surtout en 1978; mais elle provient également des résultats*socio=rien remarquables*socio=uv4 obtenus sur*socio=rien le plan*socio=rien des exportations*socio=ec1 et d'une diminution*socio=ec2 des besoins*socio=uv1 de matières_premières*socio=ec1 importées. Un*socio=rien raffermissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te joint à une forte*socio=rien baisse*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 et l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et visant à réduire le solde*socio=ec1 courant*socio=rien ont entraîné depuis la fin*socio=rien de 1978 une baisse*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien - dont l'ampleur*socio=rien est*socio=rien telle que le solde*socio=ec1 *socio=rien courant du Japon*socio=ac est déficitaire*socio=ec2 *socio=nil depuis quelques mois*socio=rien. Bien*socio=rien qu'il ne soit pas certain*socio=rien que ce déficit*socio=ec1 puisse être*socio=rien maintenu, l'importance*socio=rien de l'ajustement*socio=et réalisé témoigne*socio=rien de l'efficacité*socio=uv3 des mesures*socio=et prises*socio=rien à cet effet*socio=rien. Dans la *socio=rien perspective du moyen terme,*socio=nil les*socio=nil soldes*socio=ec1 courants*socio=te *socio=nil des quatre principaux*socio=rien *socio=ac pays_industrialisés européens -*socio=nil France,*socio=nil République fédérale*socio=et d'*socio=nil Allemagne,*socio=nil Italie et*socio=nil Royaume-uni *socio=nil - se sont renforcés sensiblement entre 1975 et 1978, l'augmentation*socio=ec2 de leur solde*socio=ec1 global*socio=te représentant*socio=rien environ 26 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Dans trois de ces quatre pays*socio=ac, toutefois, le solde*socio=ec1 a commencé à s'améliorer après*socio=rien avoir atteint un*socio=rien creux*socio=ec2 durant la période*socio=te 1974-76; les excédents*socio=ec1 enregistrés récemment par l'Italie*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac, quant à eux, peuvent être*socio=rien jugés souhaitables*socio=rien dans la mesure*socio=rien où ils permettent à ces pays*socio=ac de rembourser plus facilement les emprunts*socio=ec1 qu'ils avaient contractés. Dans le cas*socio=rien de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, l'augmentation*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 en 1978 est*socio=rien venue renforcer une position*socio=rien extérieure*socio=te déjà solide*socio=rien. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil le*socio=nil déficit*socio=ec1 courant du Canada*socio=ac *socio=nil a assez peu varié. Étant donné la dépréciation*socio=ec2 *socio=rien substantielle du dollar_canadien*socio=ec1 *socio=nil depuis 1976, ce *socio=rien phénomène témoigne sans*socio=nil doute *socio=nil de la lenteur*socio=rien avec laquelle les effets*socio=rien des variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 se répercutent parfois sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 et les services*socio=et. La plupart*socio=rien des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac - la Suisse*socio=ac, avec l'énorme*socio=rien excédent*socio=ec1 d'environ 6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 qu'elle a enregistré en 1978, constituant une *socio=rien exception notable *socio=nil - ont également été*socio=rien importateurs*socio=ac de capitaux*socio=ec1 *socio=rien du milieu *socio=nil à la fin*socio=rien des années*socio=rien soixante-dix. Dans le groupe*socio=ac des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac ont généralement enregistré ces *socio=rien dernières années une*socio=nil progression*socio=ec2 *socio=nil de leur déficit*socio=ec1 courant*socio=rien qui s'est*socio=rien partiellement inversée en 1978. La forte*socio=rien croissance*socio=uv3 de l'excédent*socio=ec1 de la Suisse*socio=ac, toutefois, est*socio=rien elle aussi incluse dans le solde*socio=ec1 global*socio=te des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac qui figure au tableau*socio=rien 7. mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Les perturbations*socio=ec2 observées sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 en 1977 et en 1978 sont à la fois*socio=rien le résultat*socio=rien et la cause*socio=rien d'énormes*socio=rien flux*socio=ec1 déséquilibrants de capitaux*socio=ec1. Ces flux*socio=ec1 ont été*socio=rien parfois sensibles*socio=rien aux écarts*socio=ec2 d'origine*socio=rien conjoncturelle*socio=te entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1, mais ont souvent évolué en *socio=rien sens contraire,*socio=nil *socio=nil sous l'effet*socio=rien d'anticipations*socio=uv3 concernant les taux_de_change*socio=ec1 qui ont parfois provoqué des déports ou des reports des taux_de_change*socio=ec1 à terme*socio=rien si importants*socio=uv4 qu'ils dépassaient, en ampleur*socio=rien, les écarts*socio=ec2 non couverts des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Dans plusieurs pays*socio=ac, les modifications*socio=rien apportées aux restrictions*socio=et frappant les mouvements_de_capitaux*socio=ec1 ont également joué un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4. Le renversement*socio=rien des pressions*socio=ec2 exercées sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1979 s'est*socio=rien accompagné de mouvements*socio=ec2 massifs*socio=rien de capitaux_privés*socio=ec1 à court_terme*socio=te. Les flux*socio=ec1 nets*socio=rien de capitaux*socio=ec1 déclarés par les banques*socio=ac des États-unis*socio=ac, qui, au dernier*socio=rien trimestre*socio=te de 1978, s'étaient traduits par des sorties se chiffrant à 14 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, se sont mués en entrées de 14 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1979. Dans la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, les flux*socio=ec1 nets*socio=rien à court_terme*socio=te se sont également inversés au cours*socio=rien de ces deux trimestres*socio=te. L'arbitrage*socio=et couvert dont a bénéficié la place*socio=rien de Tokyo*socio=ac a persisté jusqu'en mars*socio=rien, *socio=rien du fait *socio=nil de l'important*socio=uv4 report*socio=rien à *socio=rien terme sur le*socio=nil yen*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil mais cette prime s'est*socio=rien fortement amenuisée en mars*socio=rien, tandis que se poursuivait le recul*socio=rien de l'excédent*socio=ec1 commercial*socio=ec1. Comme par le passé*socio=rien, les mesures*socio=et restrictives*socio=uv4 visant à empêcher ou à freiner les mouvements_de_capitaux*socio=ec1 se sont avérées d'une utilité*socio=rien limitée ces *socio=rien dernières années.*socio=nil C'*socio=nil est *socio=nil ainsi que le train*socio=rien de mesures*socio=et adopté par le Japon*socio=ac vers la fin*socio=rien de 1977 n'a pas pu empêcher les importants*socio=uv4 mouvements_de_fonds*socio=ec1 qui ont accompagné le *socio=rien renversement du taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil vers la fin*socio=rien de 1978. Un*socio=rien autre enseignement*socio=et que l'on peut tirer des *socio=rien événements récents est l'*socio=nil importance du rôle*socio=et *socio=nil que jouent les anticipations*socio=uv3 concernant les taux_de_change*socio=ec1, notamment lorsque l'existence*socio=rien de restrictions*socio=et de change*socio=ec1 permet l'accumulation*socio=ec2 d'un*socio=rien montant*socio=ec1 considérable*socio=rien de reports ou de déports du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 à terme*socio=rien. Dans certains pays*socio=ac, ces reports ou ces déports ont neutralisé les effets*socio=rien équilibrants sur*socio=rien les mouvements_de_capitaux*socio=ec1 que devait produire la politique*socio=et des taux_d'_intérêt*socio=ec1, et aggravé, de ce fait*socio=rien, les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. En général*socio=rien, comme on l'a déjà mentionné, les analyses*socio=ec2 de l'évolution*socio=te des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac au cours*socio=rien des années*socio=rien soixante-dix, effectuées par les services_du_fonds*socio=ec1, font ressortir que les mouvements_de_capitaux_privés*socio=et n'ont neutralisé qu'en partie*socio=rien les variations*socio=rien des soldes*socio=ec1 courants*socio=te et n'ont donc joué qu'un*socio=rien rôle*socio=et limité dans le rétablissement*socio=rien de l'équilibre*socio=ec2. Cette faible*socio=rien incidence*socio=ec2 est*socio=rien attribuée notamment aux incertitudes*socio=uv3 et aux risques*socio=uv3 inhérents*socio=rien aux investissements*socio=ec1 extérieurs*socio=te; aux *socio=et restrictions officielles *socio=nil limitant les mouvements_de_capitaux*socio=ec1 ou la crainte*socio=uv1 de restrictions*socio=et ultérieures*socio=te, aux rigidités*socio=uv3 de nature*socio=rien institutionnelle*socio=ac, ainsi qu'aux différences*socio=uv1 entre les marchés_financiers*socio=ec1 nationaux*socio=te quant à la dimension*socio=rien et à l'efficacité*socio=uv3. L'absence*socio=rien de l'indispensable*socio=uv4 correspondance, à *socio=rien un moment *socio=nil donné, entre les soldes*socio=ec1 courants*socio=te et les propensions des résidents*socio=ac privés*socio=et à investir à l'étranger*socio=te n'a été*socio=rien que trop évidente*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac durant les années*socio=rien soixante-dix. Cette carence a été*socio=rien la *socio=rien cause immédiate *socio=nil - renforcée par l'intensification*socio=ec2 des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 - des mouvements*socio=ec2 erratiques des taux_de_change*socio=ec1 et des *socio=rien variations considérables des*socio=nil avoirs*socio=ec1 de*socio=nil réserve*socio=ec1 *socio=nil et des engagements*socio=et apparentés qui ont caractérisé la scène*socio=rien financière*socio=ec1 internationale*socio=ac durant la *socio=rien majeure partie *socio=nil des deux *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Aucun des deux grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac - République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et Japon*socio=ac - qui ont enregistré les excédents*socio=ec1 courants*socio=te les plus importants*socio=uv4, n'a fourni au *socio=rien reste du monde*socio=te,*socio=nil *socio=nil en 1977 et en 1978, *socio=rien un volume net de*socio=nil capitaux_privés*socio=ec1 *socio=nil qui corresponde à leurs excédents*socio=ec1. Certes, des résidents*socio=ac des deux pays*socio=ac ont investi à l'étranger*socio=te, ces deux années-là, des montants*socio=ec1 considérables*socio=rien de capitaux*socio=ec1 à long_terme*socio=te, mais dans aucun des deux pays*socio=ac ces sorties de capitaux*socio=ec1 n'ont *socio=rien été suffisantes *socio=nil pour couvrir à la fois*socio=rien l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien et le mouvement*socio=ec2 net*socio=rien de capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te, qui était très influencé par les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2. De fait*socio=rien, en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, le volume*socio=rien des entrées nettes*socio=rien de fonds*socio=ec1 à court_terme*socio=te a *socio=rien été égal ou*socio=nil supérieur *socio=nil à celui des sorties à long_terme*socio=te, en 1977 comme en 1978, de sorte*socio=rien que l'investissement*socio=ec1 extérieur*socio=te net*socio=rien correspondant à l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien (transferts_officiels*socio=et compris) a pris la forme*socio=rien d'augmentations*socio=ec2 des réserves_internationales*socio=ec1 détenues*socio=rien par les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1. Au Japon*socio=ac, en 1977 comme en 1978, l'augmentation*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 a été*socio=rien nettement supérieure*socio=rien à la moitié*socio=rien de l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien. Au Japon*socio=ac, toutefois, les sorties nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 à long_terme*socio=te ont fortement augmenté en 1978 et se sont chiffrées à 11,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien. Dans les deux pays*socio=ac, l'augmentation*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 cette année-là provenait d'interventions*socio=et officielles*socio=et destinées*socio=rien à empêcher les mouvements*socio=ec2 désordonnés des taux_de_change*socio=ec1 à *socio=rien un moment *socio=nil où de fortes*socio=rien pressions*socio=ec2 à la hausse*socio=rien s'exerçaient sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Toutefois, les réserves*socio=ec1 de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et du*socio=rien Japon*socio=ac ont considérablement*socio=rien diminué pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1979, lorsque les opérations*socio=rien qui ont provoqué les mouvements*socio=ec2 de caractère*socio=rien spéculatif*socio=uv2 de capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te, entreprises*socio=ac précédemment, ont été*socio=rien apparemment dénouées. Les États-unis*socio=ac, qui avaient besoin*socio=uv1 d'importantes*socio=uv4 entrées nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 pour financer le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien de loin*socio=rien le plus important*socio=uv4 qu'un*socio=rien pays_industrialisé*socio=ac ait accumulé tant en 1977 qu'en 1978, ont en fait*socio=rien enregistré d'importantes*socio=uv4 sorties nettes*socio=rien de capitaux_privés*socio=ec1. Ces sorties, de même que le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien, ont été*socio=rien financées essentiellement par des augmentations*socio=ec2 massives*socio=rien des engagements*socio=et du*socio=rien gouvernement*socio=ac des États-unis*socio=ac envers des organismes*socio=ac officiels*socio=et étrangers*socio=te - c'est-à-dire principalement par l'accumulation*socio=ec2 de réserves*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 ÉU dans les caisses*socio=ec1 des institutions*socio=ac monétaires*socio=ec1 d'autres pays*socio=ac. Sur*socio=rien une période*socio=te plus longue*socio=rien, les autres pays_industrialisés*socio=ac ont observé *socio=rien un manque semblable *socio=nil de correspondance entre les flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1 et les déséquilibres*socio=uv3 des paiements_courants*socio=ec1. Jusqu'en 1978, le Canada*socio=ac faisait exception*socio=rien à cette règle*socio=et : il enregistrait, en effet*socio=rien, depuis longtemps, d'importantes*socio=uv4 et relativement stables*socio=uv4 entrées nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 autonomes*socio=uv2 à long_terme*socio=te. En 1978, toutefois, les entrées de capitaux*socio=ec1 au Canada*socio=ac auraient diminué en flèche si ce pays*socio=ac n'avait pas, cette année-là, contracté des emprunts*socio=ec1 *socio=rien massifs sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 officiels*socio=et *socio=nil à l'étranger*socio=te. Pour les pays_industrialisés*socio=ac pris en groupe*socio=ac, le déséquilibre*socio=uv3 marqué entre le solde*socio=ec1 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 et le solde*socio=ec1 courant*socio=rien a provoqué une série de flux*socio=ec1 et de *socio=rien reflux massifs de*socio=nil capitaux*socio=ec1 à*socio=nil court *socio=nil et à *socio=rien moyen terme *socio=nil (y compris des créances*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des euromonnaies*socio=ec1) entre les pays*socio=ac excédentaires*socio=ec2 et le *socio=rien reste du monde*socio=te.*socio=nil *socio=nil Mais les sorties *socio=rien nettes totales de*socio=nil capitaux_privés*socio=ec1 *socio=nil (c'est-à-dire tant à court_terme*socio=te qu'à long_terme*socio=te) des pays*socio=ac excédentaires*socio=ec2 n'ont été*socio=rien ni aussi régulières*socio=ec2 ni aussi importantes*socio=uv4 qu'il eût *socio=rien été nécessaire.*socio=nil La*socio=nil structure*socio=ec1 générale des*socio=nil mouvements_de_capitaux*socio=ec1 *socio=nil entre les principaux*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac a été*socio=rien longtemps caractérisée par des flux*socio=ec1 nets*socio=rien allant des pays_industrialisés*socio=ac vers les pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien qui ne font pas partie*socio=rien des principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1. Ces flux*socio=ec1 traduisent la fourniture*socio=ec1 de *socio=ec1 ressources financières *socio=nil par des zones*socio=te où l'épargne*socio=ec1 *socio=rien est excédentaire *socio=nil (c'est-à-dire où elle dépasse l'investissement*socio=ec1 intérieur*socio=te coexistant) à des zones*socio=te où l'épargne*socio=ec1 est*socio=rien insuffisante*socio=uv4. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil cette*socio=nil structure*socio=ec1 a*socio=nil été considérablement *socio=nil modifiée par le nouveau*socio=rien rôle*socio=et que jouent les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 excédentaires*socio=ec2 *socio=nil qui fournissent désormais aux marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1 qu'ils prélèvent sur*socio=rien leur épargne*socio=ec1 nationale*socio=te. Toutefois, comme le notaient les *socio=rien précédents Rapports annuels*socio=te,*socio=nil les*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil et les fonds*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 investis par les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 excédentaires*socio=ec2 ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil le plus souvent placés sous forme*socio=rien de *socio=ec1 créances financières sur*socio=rien les*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac;*socio=nil ces*socio=nil derniers*socio=rien,*socio=nil *socio=nil quant à eux, continuent de fournir directement l'essentiel*socio=uv4 des capitaux*socio=ec1 et des transferts_officiels*socio=et acheminés vers les pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien qui ne sont pas de grands*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1. Le *socio=rien pourcentage du montant*socio=ec1 total du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te *socio=nil que représente ce flux*socio=ec1 *socio=rien reste semblable *socio=nil à ce qu'il était vers la fin*socio=rien des années*socio=rien soixante et au début*socio=rien des années*socio=rien soixante-dix; toutefois, l'excédent*socio=ec1 de l'épargne*socio=ec1 nationale*socio=te des pays_industrialisés*socio=ac par rapport*socio=rien à leur investissement*socio=ec1 intérieur*socio=te ne constitue même plus la *socio=rien moitié du flux*socio=ec1 net global*socio=te *socio=nil (le *socio=rien reste représentant un "*socio=nil recyclage*socio=et"*socio=nil *socio=nil de l'épargne*socio=ec1 nationale*socio=te engendrée dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 excédentaires*socio=ec2)*socio=nil .*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil autres que les principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil déficit_global*socio=ec1 des*socio=nil opérations_courantes*socio=te *socio=nil et son financement*socio=ec1. Depuis nombre*socio=rien d'années*socio=rien, la balance_des_paiements*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 présente*socio=rien une structure*socio=ec1 qui est*socio=rien caractérisée normalement par deux tendances*socio=ec2 : des entrées nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 et - ou des transferts_officiels*socio=et (qui suppléent l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te, insuffisante*socio=uv4 pour financer la formation*socio=et de capital*socio=ec1 souhaitée) et un*socio=rien excédent*socio=ec1 notable*socio=rien des importations*socio=ec1 sur*socio=rien les exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et (qui dénote la contrepartie*socio=rien en ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 des entrées de capitaux*socio=ec1). Dans la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac, il est*socio=rien donc normal*socio=rien que les opérations_courantes*socio=te se soldent par *socio=rien un certain déficit*socio=ec1,*socio=nil bien *socio=nil qu'il y ait des exceptions*socio=rien comme c'est*socio=rien le cas*socio=rien, par exemple*socio=rien, lorsque les exportations*socio=ec1 bénéficient d'une conjoncture*socio=ec2 particulièrement favorable*socio=uv4 ou lorsque des pays*socio=ac raffermissent leurs positions*socio=rien financières*socio=ec1 extérieures*socio=te au cours*socio=rien de périodes*socio=te d'ajustement*socio=et. Si le solde*socio=ec1 des opérations_courantes*socio=te reste*socio=rien en équilibre*socio=ec2 ou demeure excédentaire*socio=rien pendant une période*socio=te prolongée, c'est*socio=rien dire qu'un*socio=rien pays*socio=ac (ou un*socio=rien groupe_de_pays*socio=ac) a omis d'utiliser ses ressources*socio=ec1 extérieures*socio=te pour accroître ses efforts*socio=uv1 de développement*socio=uv3. Au cours*socio=rien des années*socio=rien soixante-dix, le solde*socio=ec1 global*socio=te des opérations_courantes*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 *socio=rien est passé *socio=nil par plusieurs phases*socio=te distinctes*socio=rien. A une position*socio=rien d'une fermeté*socio=rien exceptionnelle*socio=uv4 (1972 - 73), attribuable*socio=rien essentiellement à des facteurs*socio=rien cycliques*socio=te, a succédé en 1974 et en 1975 un*socio=rien déficit*socio=ec1 sans précédent*socio=rien provoqué par la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te, le *socio=rien renchérissement du pétrole*socio=ec1 *socio=nil et la *socio=rien forte hausse *socio=nil qu'ont généralement enregistrée les prix*socio=ec1 pratiqués sur*socio=rien les marché*socio=ec1 mondiaux*socio=te. Les deux *socio=rien années suivantes *socio=nil ont surtout été*socio=rien marquées par les effets*socio=rien d'une reprise cyclique*socio=te partielle*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac et par un*socio=rien ajustement*socio=et généralisé des balances_des_paiements*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 à la suite*socio=rien des difficultés*socio=uv4 financières*socio=ec1 auxquelles s'étaient heurtées leurs positions*socio=rien extérieures*socio=te. Aussi, en 1976 et en 1977, le déficit_global*socio=ec1 des opérations_courantes*socio=te de l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 a-t-il été*socio=rien assez faible*socio=rien par rapport*socio=rien aux *socio=rien niveaux habituels (*socio=nil compte*socio=ec1 *socio=nil tenu des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 et de croissance*socio=uv3), bien*socio=rien que, pris isolément, maints pays*socio=ac aient accusé, sans interruption*socio=rien, des déséquilibres*socio=uv3 importants*socio=uv4. Dans ces circonstances*socio=rien, il fallait s'attendre à un*socio=rien rebondissement. L'alourdissement*socio=ec2 des déficits_courants*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 a eu pour effet*socio=rien de porter le déficit_global*socio=ec1 de ces pays*socio=ac de 21 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1977 à 31 milliards*socio=rien en 1978; d'après*socio=rien les projections*socio=ec2, leur déficit*socio=ec1 s'aggravera encore sensiblement en 1979 et atteindra 43 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (tableau*socio=rien 5). En 1978, ce déficit*socio=ec1 a été*socio=rien modéré par rapport*socio=rien aux *socio=rien niveaux habituels,*socio=nil bien qu'*socio=nil un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac aient*socio=nil été aux*socio=nil prises *socio=nil avec de *socio=uv4 graves problèmes de*socio=nil financement*socio=ec1 extérieur*socio=te.*socio=nil *socio=nil Toutefois, le déficit*socio=ec1 que les projections*socio=ec2 laissent entrevoir pour 1979 semble élevé*socio=uv4 lorsqu'on le rapproche de grandeurs pertinentes*socio=rien, telles que le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, la production*socio=ec1 totale*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 ou la valeur*socio=ec1 globale*socio=rien de leurs importations*socio=ec1. En outre, comme les déséquilibres*socio=uv3 courants*socio=te sont très inégalement répartis entre les pays_en_développement*socio=uv3, il *socio=rien est permis *socio=nil de penser que l'accroissement*socio=ec2 prévu du*socio=rien déficit_global*socio=ec1 accroîtra probablement le nombre*socio=rien de pays*socio=ac dont la position*socio=rien extérieure*socio=te est*socio=rien en difficulté*socio=uv4. La nature*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 effective*socio=rien et prévue du*socio=rien déficit*socio=ec1 *socio=rien courant du groupe_de_pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 entre 1977 et 1979 est*socio=rien aussi préoccupante*socio=uv4 que son ampleur*socio=rien. Sur*socio=rien les 22 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 de hausse*socio=rien que laissent entrevoir les estimations*socio=ec2 présentées au tableau*socio=rien 5, environ 16 milliards*socio=rien seraient attribuables*socio=rien à la dégradation*socio=uv3 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays*socio=ac qui, en 1978, ont obtenu, pour leurs exportations*socio=ec1, des prix*socio=ec1 n'ayant pas augmenté aussi rapidement que ceux de leurs importations*socio=ec1, tendance*socio=ec2 qui devrait persister d'ailleurs*socio=rien en 1979; le reste*socio=rien (environ 6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) correspondra probablement à l'augmentation*socio=ec2 des paiements*socio=ec1 nets*socio=rien au titre*socio=rien des intérêts*socio=uv1 et d'autres revenus*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1. Selon les estimations*socio=ec2, l'indice des termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 accuserait pour la période*socio=te 1977 - 79 une chute qui le ferait tomber au niveau*socio=rien auquel il s'était replié en 1975. Il *socio=rien est inquiétant *socio=nil de constater que, depuis 1977, l'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 est*socio=rien surtout imputable*socio=uv2 aux intérêts*socio=uv1 versés et à la dégradation*socio=uv3 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 qui absorbent les fonds*socio=ec1 empruntés sans que s'accroissent les flux*socio=ec1 réels*socio=ec2 de ressources*socio=ec1 extérieures*socio=te pour le développement*socio=uv3. Nonobstant le niveau*socio=rien généralement *socio=rien faible du taux_d'_expansion*socio=ec2 *socio=nil prévu pour la demande*socio=ec1 réelle*socio=ec2 globale*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac et pour le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, le taux_d'_expansion*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 devrait se maintenir à *socio=rien un niveau assez*socio=nil élevé*socio=uv4 *socio=nil en 1979. Les pays_en_développement*socio=uv3 qui sont devenus des fournisseurs*socio=ac importants*socio=uv4 de produits*socio=rien manufacturés continuent d'accroître leurs *socio=ec1 débouchés commerciaux *socio=nil dans des *socio=rien proportions considérables par*socio=nil rapport au*socio=nil volume *socio=nil de leurs propres*socio=rien exportations*socio=ec1; c'est*socio=rien en partie*socio=rien pour cette raison*socio=rien qu'à l'instar*socio=rien de ce qui s'est*socio=rien produit*socio=rien en 1978 le *socio=rien volume réel total des*socio=nil exportations*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 augmente un*socio=rien peu plus rapidement, estime-t-on, en 1979, que celui des importations*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac. On s'attend, en outre, que l'évolution*socio=te des *socio=ec1 valeurs unitaires *socio=nil à l'exportation*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires *socio=nil sera légèrement plus favorable*socio=uv4 qu'en 1978. Il est*socio=rien peu probable*socio=uv4 toutefois que leur variation*socio=rien soit assez forte*socio=rien pour compenser la hausse*socio=rien des *socio=ec1 valeurs unitaires *socio=nil à l'importation*socio=ec1, qui résultera à la *socio=rien fois du renchérissement du pétrole*socio=ec1 *socio=nil et de l'augmentation*socio=ec2 ininterrompue*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien manufacturés en provenance*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac. (Voir le graphique*socio=rien 11). En 1978, les pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 ont fortement accru le montant*socio=ec1 global*socio=te de leurs emprunts*socio=ec1 à l'étranger*socio=te; ces emprunts*socio=ec1 joints aux entrées de capitaux*socio=ec1 sous forme*socio=rien de transferts_officiels*socio=et et d'investissements*socio=ec1 directs*socio=rien leur ont permis*socio=rien non seulement de combler leur déficit*socio=ec1 courant*socio=rien, mais aussi d'accroître encore considérablement*socio=rien (d'environ 12,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) leurs réserves_internationales*socio=ec1. (Voir le tableau*socio=rien 8). Les montants*socio=ec1 que ces pays*socio=ac reçoivent en 1979 sous forme*socio=rien de ressources*socio=ec1 qui n'alourdissent pas leur dette*socio=ec1 (transferts_officiels*socio=et, allocations*socio=et de DTS et investissements*socio=ec1 directs*socio=rien en capital*socio=ec1) se sont, semble-t-il, accrus. Il semble d'ores et déjà probable*socio=uv4 que le rythme*socio=ec2 d'accumulation*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 se ralentira fortement. Après*socio=rien s'être*socio=rien accrus considérablement*socio=rien pendant trois *socio=rien années consécutives,*socio=nil les*socio=nil avoirs*socio=ec1 de*socio=nil réserve*socio=ec1 *socio=nil de ces pays*socio=ac pris collectivement*socio=rien avaient atteint, à la fin*socio=rien de 1978, *socio=rien un niveau *socio=nil qui, à en juger par les normes*socio=et d'évaluation*socio=ec2 traditionnelles*socio=rien, doit passer pour assez élevé*socio=uv4 par rapport*socio=rien au coût*socio=ec1 des importations*socio=ec1. A bien*socio=rien des égards*socio=rien, la portée*socio=rien de cette observation*socio=ec2 appelle toutefois de sérieuses*socio=uv4 réserves*socio=ec1. En *socio=rien premier lieu,*socio=nil la*socio=nil répartition*socio=uv3 *socio=nil entre les divers pays*socio=ac de l'accroissement*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 ces *socio=rien dernières années *socio=nil ainsi que de l'encours des réserves*socio=ec1 est*socio=rien très inégale*socio=uv2. Nonobstant l'ampleur*socio=rien de l'apport*socio=rien global*socio=te de réserves*socio=ec1 et le niveau*socio=rien d'ores et déjà élevé*socio=uv4 *socio=rien du rapport moyen *socio=nil entre les réserves*socio=ec1 et les importations*socio=ec1, maints pays_en_développement*socio=uv3, surtout parmi les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac et d'Asie*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, n'ont pas enregistré de gains*socio=ec1 de réserves*socio=ec1 et leur position*socio=rien dans ce domaine*socio=rien n'est*socio=rien pas des plus solides*socio=uv4. En *socio=rien second lieu,*socio=nil certaines des*socio=nil augmentations*socio=ec2 de*socio=nil réserve*socio=ec1 *socio=nil les plus importantes*socio=uv4 qui se sont produites ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil et notamment en 1978, ont été*socio=rien au profit*socio=ec1 des pays*socio=ac dont la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te nette*socio=rien s'accroissait, elle aussi, à un*socio=rien rythme*socio=ec2 plus rapide*socio=rien qu'auparavant. Ce "gonflement*socio=ec2" de leurs avoirs*socio=ec1 et engagements*socio=et financiers*socio=ec1 extérieurs*socio=te atténue quelque peu l'importance*socio=rien que revêt le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 *socio=rien du rapport *socio=nil entre les réserves*socio=ec1 et les importations*socio=ec1, même lorsqu'il s'agit de grands*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 qui jouissent d'une solide*socio=rien réputation*socio=uv1 sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te. Dans le *socio=rien contexte général des*socio=nil positions de*socio=nil réserve*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil peut-être convient-il de souligner que, depuis 1976, les pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 utilisent moins les facilités de crédit*socio=ec1 liées aux réserves*socio=ec1. Les emprunts*socio=ec1 nets*socio=rien qui se rangent dans cette catégorie*socio=rien et qui représentent principalement des recours*socio=ec1 aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 n'ont pas été*socio=rien aussi élevés*socio=uv4 ces deux *socio=rien dernières années *socio=nil (0,1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 par an*socio=rien) que pendant la période*socio=te 1974 - 76 (2,2 milliards*socio=rien par an*socio=rien); en outre, le faible*socio=rien montant*socio=ec1 des nouveaux*socio=rien emprunts*socio=ec1 effectués depuis 1976 a été*socio=rien compensé en partie*socio=rien par le remboursement*socio=ec1 de crédits*socio=ec1 obtenus au cours*socio=rien de la période*socio=te précédente*socio=rien. Quant aux pays_en_développement*socio=uv3 qui n'entrent ni dans la catégorie*socio=rien des principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 ni dans celle des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, l'accélération*socio=ec2 sensible*socio=rien de leurs emprunts*socio=ec1 nets*socio=rien en 1978 dénote surtout que maints grands*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 ont accru leur participation*socio=uv3 à la mobilisation*socio=uv3 des ressources*socio=ec1 sur*socio=rien les *socio=ec1 marchés bancaires internationaux*socio=te.*socio=nil *socio=nil Cette année-là, les pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 auraient, selon les estimations*socio=ec2, obtenu d'institutions_financières_privées*socio=ac des emprunts*socio=ec1 à long_terme*socio=te d'un*socio=rien montant*socio=ec1 net*socio=rien dépassant de près de 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 - soit une augmentation*socio=ec2 de plus *socio=rien du tiers *socio=nil - le niveau*socio=rien de 1977 qui était déjà élevé*socio=uv4 par rapport*socio=rien aux *socio=rien niveaux habituels.*socio=nil *socio=nil Si plusieurs éléments*socio=rien importants*socio=uv4 de la structure*socio=ec1 de financement*socio=ec1 se modifient dans le sens*socio=rien indiqué précédemment (et si notamment le taux*socio=ec1 d'accumulation*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 est*socio=rien réduit), le groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 pourra faire face*socio=rien à la *socio=rien hausse du déficit*socio=ec1 courant *socio=nil prévue pour 1979 - 12 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 - sans accroître le montant*socio=ec1 net*socio=rien de ses emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Le pourcentage*socio=rien global*socio=te des nouveaux*socio=rien emprunts*socio=ec1 demeurera néanmoins à un*socio=rien rythme*socio=ec2 élevé*socio=uv4, ce qui accroîtra la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te et alourdira encore, par conséquent*socio=rien, le fardeau*socio=uv4 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 dans les balances_des_paiements*socio=ec1. (Voir le graphique*socio=rien 12). Tout au long*socio=rien de la période*socio=te 1973 - 78, le montant*socio=ec1 total*socio=rien de la dette*socio=ec1 tant publique*socio=et que garantie par l'État*socio=ac a fortement augmenté et une fraction*socio=rien importante*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 contractée pendant cette période*socio=te représente des emprunts*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te (graphique*socio=rien 13) à des conditions*socio=ec1 moins favorables*socio=uv4 (en ce qui concerne le taux_d'_intérêt*socio=ec1 et les échéances*socio=te) que celles dont est*socio=rien traditionnellement assorti le financement*socio=ec1 du*socio=rien développement*socio=uv3. C'est*socio=rien essentiellement pour cette raison*socio=rien que le coût*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 a progressé plus rapidement que la dette*socio=ec1 elle-même. Les *socio=rien événements précités *socio=nil auront probablement pour effet*socio=rien, semble-t-il, d'accroître le nombre*socio=rien de pays*socio=ac qui éprouvent des difficultés*socio=uv4 à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1, et de renforcer ainsi une tendance*socio=ec2 qui se manifeste depuis quelques années*socio=rien. De 1974 à la fin*socio=rien de 1978, le nombre*socio=rien de pays*socio=ac qui ont accumulé des arriérés au titre*socio=rien de paiements_courants*socio=ec1 ou qui ont recapitalisé leur dette*socio=ec1 (ou tenté de le faire) dans le cadre*socio=rien de *socio=et négociations multilatérales *socio=rien est passé *socio=nil de 3 à 18. A la fin*socio=rien de 1978, la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te de ces pays*socio=ac représentaient environ 12 pour 100 de la dette*socio=ec1 totale*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3. Quant aux 18 pays*socio=ac qui éprouvaient des difficultés*socio=uv4 à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1, la dégradation*socio=uv3 de leur balance_des_paiements*socio=ec1 a été*socio=rien due à un*socio=rien concours de circonstances*socio=rien, mais l'une des causes*socio=rien le plus souvent observée a été*socio=rien l'important*socio=uv4 *socio=rien recul du taux_de_croissance*socio=ec1 des*socio=nil exportations*socio=ec1.*socio=nil Dans*socio=nil un certain nombre de*socio=nil cas,*socio=nil la*socio=nil dégradation*socio=uv3 a*socio=nil été imputable*socio=uv2 *socio=nil également à une politique*socio=et intérieure*socio=te peu adaptée aux besoins*socio=uv1. Dans ce groupe*socio=ac de 18 pays*socio=ac, la croissance*socio=uv3 de l'endettement*socio=ec1 global*socio=te a progressé à un*socio=rien taux*socio=ec1 voisin*socio=rien de celui qui a été*socio=rien observé dans les autres pays_en_développement*socio=uv3; en revanche, l'augmentation*socio=ec2 de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 - dont dépend l'aptitude*socio=rien à assurer le service_de_la_dette*socio=ec1 - n'a pas suivi la progression*socio=ec2 moyenne*socio=rien des recettes*socio=ec1 dans les autres pays_en_développement*socio=uv3. A l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, les perspectives*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 en matière*socio=rien de paiements*socio=ec1 et d'échanges*socio=ec1 sont assombries par l'incertitude*socio=uv3 qui entoure depuis peu certains facteurs*socio=rien importants*socio=uv4. Il s'agit notamment de la probabilité*socio=ec2 d'une récession*socio=ec2 aux États-unis*socio=ac, de la récente*socio=rien flambée d'inflation*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac et de ses répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien le prix*socio=ec1 des produits*socio=rien manufacturés qu'importent les pays_en_développement*socio=uv3, et de l'incidence*socio=ec2 que la *socio=rien hausse du prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 *socio=nil décidée ces *socio=rien derniers mois risque*socio=uv3 *socio=nil d'avoir sur*socio=rien les soldes*socio=ec1 courants*socio=te. Cette *socio=rien dernière question *socio=nil a déjà été*socio=rien traitée dans l'introduction*socio=rien au *socio=rien présent chapitre.*socio=nil Évolution*socio=te des*socio=nil sous-groupes_de_pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Dans les observations*socio=ec2 exprimées sous forme*socio=rien de données globales*socio=rien - ou *socio=rien moyennes relatives *socio=nil - à un*socio=rien groupe_de_pays*socio=ac aussi important*socio=uv4 et divers que celui qui est*socio=rien examiné, les différences*socio=uv1 entre chaque pays*socio=ac s'estompent nécessairement. Qu'il s'agisse de leurs niveaux*socio=rien ou de leurs *socio=rien variations nettes,*socio=nil les*socio=nil déficits_courants*socio=ec1 *socio=nil et les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 (ainsi que les variations*socio=rien des réserves*socio=ec1) se répartissent très inégalement entre les divers pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1. L'une des catégories*socio=rien de pays*socio=ac à laquelle cette remarque semble s'appliquer tout particulièrement est*socio=rien celle que constitue le sous-groupe des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, dont le poids*socio=rien dans presque toutes les données macroéconomiques*socio=ec1 a tendance*socio=ec2 à *socio=rien être faible par*socio=nil rapport *socio=nil à l'importance*socio=rien démographique*socio=ec1 ou géographique*socio=te de ces pays*socio=ac. A la fin*socio=rien de 1978, la situation*socio=rien extérieure*socio=te de ces pays*socio=ac était gravement menacée mais la plupart*socio=rien d'entre eux ne peuvent pour ainsi dire pas recourir aux marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te - ni compter sur*socio=rien l'investissement_direct*socio=ec1 - qui ont énormément contribué au financement*socio=ec1 des déficits_courants*socio=ec1 accrus de l'ensemble*socio=rien des autres pays_en_développement*socio=uv3 qui ne sont pas rangés parmi les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1. N'ayant pas, contrairement à certains autres, accru substantiellement leurs réserves*socio=ec1 en 1978, les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 ont peu de chances*socio=rien de pouvoir*socio=et combler une augmentation*socio=ec2 de leur déficit*socio=ec1 courant*socio=rien en effectuant d'autres prélèvements*socio=ec1 sur*socio=rien les réserves*socio=ec1 qu'ils ont accumulées. Il y a lieu*socio=rien de souligner, en outre, que leur financement*socio=ec1 extérieur*socio=te a tendance*socio=ec2 à provenir de sources*socio=rien d'aide*socio=uv1 officielles*socio=et ou internationales*socio=te, qui offrent moins de souplesse*socio=uv3 que le marché*socio=ec1 des crédits*socio=ec1 internationaux*socio=te où maints autres pays_en_développement*socio=uv3 ont emprunté massivement ces *socio=rien dernières années.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de la période*socio=te 1973 - 78, les deux tiers*socio=rien environ du*socio=rien montant*socio=ec1 cumulatif*socio=ec2 net*socio=rien des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 vers les pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 ont revêtu la forme*socio=rien de prêts*socio=ec1 assortis de conditions*socio=ec1 favorables*socio=uv4 et de transferts_officiels*socio=et. Comme l'illustre le tableau*socio=rien 9, les prêts*socio=ec1 et les dons*socio=ec1 que ces pays*socio=ac ont obtenus de créanciers*socio=ac officiels*socio=et extérieurs*socio=te leur ont permis*socio=rien de financer près de 18 pour 100 *socio=rien du volume total *socio=nil de leurs importations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et; en outre, plus de 80 pour 100 des capitaux*socio=ec1 nets*socio=rien en provenance*socio=rien de sources*socio=rien officielles*socio=et étrangères*socio=te leur ont été*socio=rien accordés à des conditions*socio=ec1 favorables*socio=uv4. En revanche, les autres pays_en_développement*socio=uv3 qui n'appartiennent pas au groupe*socio=ac des principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 n'ont financé que 7 pour 100 de leurs importations*socio=ec1 à l'aide*socio=uv1 de dons*socio=ec1 ou de crédits*socio=ec1 officiels*socio=et, dont les deux tiers*socio=rien, approximativement, ont été*socio=rien accordés à des conditions*socio=ec1 avantageuses*socio=rien. Puisque les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 ne pouvaient pour ainsi dire compter que sur*socio=rien le financement*socio=ec1 officiel*socio=et pendant une période*socio=te où les *socio=ac pays donateurs ou*socio=nil créanciers *socio=nil n'ont presque pas augmenté leur concours, les entrées réelles*socio=ec2 nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 et d'aide*socio=uv1 dans ces pays*socio=ac ont eu tendance*socio=ec2 à plafonner. Envisagées sous l'angle*socio=rien de leur pouvoir_d'_achat*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 ces entrées nettes*socio=rien, estime-t-on, n'auraient pas été*socio=rien, en 1978 et en 1979, supérieures*socio=rien à celles de 1973. Même en ce qui concerne le solde*socio=ec1 courant*socio=rien, la situation*socio=rien a eu tendance*socio=ec2 ces *socio=rien dernières années *socio=nil à évoluer différemment dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 et dans les autres pays_en_développement*socio=uv3. Depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien soixante-dix, la dégradation*socio=uv3 de la balance_commerciale*socio=ec1 *socio=rien du premier groupe_de_pays*socio=ac *socio=nil s'accentue mais elle a été*socio=rien partiellement compensée par une évolution*socio=te plus favorable*socio=uv4 du*socio=rien solde*socio=ec1 au titre*socio=rien des services*socio=et. Puisqu'ils n'ont guère recours*socio=rien aux marchés*socio=ec1 des capitaux_privés*socio=ec1, les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 n'ont pas autant souffert que les autres des hausses du*socio=rien coût*socio=ec1 de l'intérêt*socio=uv1; en outre, certains d'entre eux ont bénéficié dans une *socio=rien large mesure du produit d'*socio=nil envois de*socio=nil fonds*socio=ec1 *socio=nil par les *socio=ac travailleurs migrants.*socio=nil La*socio=nil balance_des_paiements*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil qui sont devenus d'importants*socio=uv4 fournisseurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés a manifestement suivi une évolution*socio=te qui est*socio=rien à l'opposé de la tendance*socio=ec2 générale*socio=rien. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil positions extérieures*socio=te *socio=nil de ces pays*socio=ac, dont le *socio=rien nombre est *socio=nil encore assez limité, ont été*socio=rien relativement fortes*socio=rien, tant en ce qui concerne le solde*socio=ec1 des opérations_courantes*socio=te que celui des opérations*socio=rien en capital*socio=ec1. Toutefois, comme c'est*socio=rien le cas*socio=rien des autres pays_en_développement*socio=uv3 dont les produits*socio=rien d'exportation*socio=ec1 sont suffisamment diversifiés pour leur permettre de faire concurrence*socio=ec1 aux autres fournisseurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te de plusieurs produits*socio=rien, ces pays*socio=ac sont désormais menacés par les restrictions*socio=et que les pays_industrialisés*socio=ac ont tendance*socio=ec2 à appliquer aux échanges_commerciaux*socio=ec1 depuis quelques années*socio=rien à des fins*socio=rien de protection*socio=et. L'accès*socio=uv1 des pays_en_développement*socio=uv3 aux marchés*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil produits *socio=nil manufacturés (textiles*socio=ec1 et habillement*socio=rien, chaussures*socio=ec1, acier*socio=ec1 et appareils*socio=rien électriques*socio=ec grand_public*socio=et) s'en est*socio=rien d'ores et déjà ressenti; aussi, les représentants*socio=ac de ces pays*socio=ac ont-ils exprimé leur *socio=rien inquiétude croissante *socio=nil quant aux effets*socio=rien de cette politique*socio=et sur*socio=rien leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et, d'une *socio=rien manière générale,*socio=nil sur leurs*socio=nil perspectives*socio=te de*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil et de développement*socio=uv3. Les négociations_commerciales_multilatérales*socio=et (NCM*socio=ac), qui viennent de prendre fin*socio=rien, ont abouti à des ententes*socio=et qui permettront éventuellement d'améliorer sensiblement la situation*socio=rien commerciale*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3, mais il est*socio=rien encore trop tôt pour savoir*socio=rien si l'application*socio=rien des divers accords*socio=et NCM*socio=ac parviendra à arrêter, voire à inverser, la tendance*socio=ec2 au protectionnisme*socio=et. Les progrès*socio=uv1 dans cette voie*socio=rien dépendront aussi dans une *socio=rien large mesure *socio=nil de l'adoption*socio=uv3 par les pays_industrialisés*socio=ac, ainsi que par les pays_en_développement*socio=uv3, de politiques*socio=et propres*socio=rien à favoriser la réalisation*socio=uv1 des ajustements*socio=et structurels*socio=ec2 souhaitables*socio=rien. Évolution*socio=te des régions*socio=te. A une exception*socio=rien près, tous les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés, qui ont été*socio=rien regroupés ci-dessus et qui ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=ec2 spécial*socio=rien, sont situés en Asie*socio=ac et en amérique_latine*socio=ac, alors que plus de la moitié*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 est*socio=rien concentrée en Afrique*socio=ac, comme on l'a déjà mentionné. Cette répartition*socio=uv3 inégale*socio=uv2 de pays*socio=ac, qui n'ont guère de traits*socio=rien communs*socio=uv4, explique dans une *socio=rien large mesure les*socio=nil divergences*socio=uv1 régionales*socio=te *socio=nil observées dans l'évolution*socio=te des balances_des_paiements*socio=ec1 et des *socio=ec1 balances commerciales.*socio=nil Un*socio=rien autre*socio=nil facteur*socio=rien de*socio=nil *socio=rien différenciation est *socio=nil naturellement la diversité*socio=uv1 manifeste dans l'évolution*socio=te des prix*socio=ec1 des *socio=rien diverses catégories de*socio=nil produits primaires *socio=nil (cette question*socio=rien a été*socio=rien abordée brièvement dans les commentaires*socio=rien précédemment formulés sur*socio=rien les perspectives*socio=te globales*socio=rien). Les derniers*socio=rien écarts*socio=ec2 entre les mouvements*socio=ec2 de prix*socio=ec1 sont trop nombreux*socio=rien, certes, pour être*socio=rien exposés dans le *socio=rien présent rapport,*socio=nil *socio=nil mais ils ont manifestement contribué à quelques-unes des divergences*socio=uv1 profondes*socio=rien que fait*socio=rien ressortir la comparaison*socio=rien des diverses*socio=rien régions*socio=te. Depuis une douzaine*socio=rien de mois*socio=rien, les prix*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 de maints pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac et d'amérique_latine*socio=ac, ainsi que de quelques pays*socio=ac du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac, ont été*socio=rien caractérisés par une certaine*socio=rien faiblesse*socio=ec2, tandis que ceux' des produits*socio=rien de base*socio=rien des pays*socio=ac de l'Asie*socio=ac ont été*socio=rien assez fermes*socio=rien. A vrai*socio=rien dire, l'Asie*socio=ac a été*socio=rien en 1978 la *socio=rien seule grande région*socio=te *socio=nil où les cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien exportés ont progressé. Depuis quelques années*socio=rien, la vigueur*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés en provenance*socio=rien de plusieurs pays_en_développement*socio=uv3 du*socio=rien *socio=ac continent asiatique *socio=nil exerce, en outre, une grande*socio=rien influence sur*socio=rien l'évolution*socio=te de leur balance*socio=ec1 extérieure*socio=te, mais cette influence s'atténuera peut-être en 1979 étant donné les diverses*socio=rien *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil que viennent d'adopter quelques-uns des *socio=ac pays importateurs.*socio=nil Le*socio=nil solde*socio=ec1 courant*socio=rien *socio=nil d'une région*socio=te dépend non seulement des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, cela va de soi*socio=rien, mais aussi des courants*socio=te d'importations*socio=ec1. A ce titre*socio=rien également, ce sont les *socio=ac pays asiatiques *socio=nil qui ont enregistré l'expansion*socio=ec2 la plus rapide*socio=rien en 1978, comme ce fut le cas*socio=rien au cours*socio=rien de chacune des deux *socio=rien années précédentes.*socio=nil L'*socio=nil accroissement*socio=ec2 massif du volume des*socio=nil importations*socio=ec1 *socio=nil de ces pays*socio=ac a porté le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te de la région*socio=te à 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1978, contre moins de 1 milliard*socio=rien en 1977 et environ 1,5 milliard*socio=rien en 1976. Le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien régional*socio=te de l' amérique_latine*socio=ac et des Caraïbes*socio=ac a progressé nettement, lui aussi, alors qu'il avait été*socio=rien réduit de moitié*socio=rien entre 1975 et 1977, grâce*socio=rien aux cours*socio=rien favorables*socio=uv4 des produits*socio=rien de base*socio=rien, notamment ceux du*socio=rien café*socio=ec1, et à une chute des importations*socio=ec1 en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2. L'évolution*socio=te de ces deux facteurs*socio=rien s'est*socio=rien inversée en 1978; le volume*socio=rien des importations*socio=ec1, par exemple*socio=rien, a progressé modérément après*socio=rien trois *socio=rien années consécutives de*socio=nil fléchissement*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil En outre, l'accroissement*socio=ec2 des paiements*socio=ec1 au titre*socio=rien des services*socio=et, y compris les versements*socio=ec1 d'intérêts*socio=uv1 pour la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, a largement contribué au rebondissement du*socio=rien déficit*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te des pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac et des Caraïbes*socio=ac en 1978. En Afrique*socio=ac, la faiblesse*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec1 des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 entre 1977 et 1978 a rendu presque inévitable*socio=rien l'intensification*socio=ec2 des pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Bien*socio=rien que le volume*socio=rien des importations*socio=ec1 ait très peu augmenté (l'expansion*socio=ec2 la plus faible*socio=rien de tous les groupes*socio=ac régionaux*socio=te), le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te des *socio=ac pays africains s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil accru d'environ 2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1978, et a atteint quelque 8,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Dans les pays_en_développement*socio=uv3 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac (autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1), la *socio=rien hausse du déficit*socio=ec1 des*socio=nil opérations_courantes*socio=te a*socio=nil été *socio=nil nettement plus faible*socio=rien que ceux des autres groupes*socio=ac, bien*socio=rien que leur balance_commerciale*socio=ec1 se soit sensiblement dégradée. Par ailleurs*socio=rien, ces deux *socio=rien dernières années,*socio=nil ces*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont pu, grâce*socio=rien à l'expansion*socio=ec2 rapide*socio=rien de leurs recettes*socio=ec1 au titre*socio=rien des services*socio=et et des transferts_privés*socio=et - y compris les envois*socio=rien de fonds*socio=ec1 des travailleurs*socio=ac qui ont émigré vers les pays*socio=ac pétroliers*socio=ec1 voisins*socio=rien - neutraliser le gonflement*socio=ec2 de leur *socio=ec1 déficit commercial.*socio=nil Principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans les principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil l'*socio=nil évolution*socio=te *socio=nil de la balance_des_paiements*socio=ec1 a été*socio=rien, ces *socio=rien dernières années,*socio=nil très*socio=nil différente *socio=nil de ce qu'elle a été*socio=rien, en général*socio=rien, dans les autres pays_en_développement*socio=uv3. Il convient en effet*socio=rien de rappeler la réduction*socio=ec2 massive*socio=rien et quelque peu irrégulière*socio=rien de l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te du*socio=rien *socio=ac groupe_des_pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui a ramené cet excédent*socio=ec1 de 68 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 à environ 32 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 entre 1974 et 1977. Au cours*socio=rien de ces trois années*socio=rien, si le volume*socio=rien des importations*socio=ec1 a augmenté de *socio=rien façon substantielle,*socio=nil *socio=nil quoique à un*socio=rien rythme*socio=ec2 décroissant, celui des exportations*socio=ec1 n'a progressé que légèrement en raison*socio=rien de la croissance*socio=uv3 relativement faible*socio=rien de la consommation*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 dans le monde*socio=te et de l'accroissement*socio=ec2, en 1977, de la production*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 dans les autres pays*socio=ac. Les hausses qu'ont enregistrées de façon*socio=rien intermittente les prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 depuis 1974 étant au total*socio=rien à peu près égales*socio=rien à celles des prix*socio=ec1 des importations*socio=ec1 payés par les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 *socio=nil de ces derniers*socio=rien ont été*socio=rien en 1977 pratiquement identiques à ceux de 1974. Le déficit*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 au*socio=nil titre*socio=rien des*socio=nil services*socio=et *socio=nil et des transferts_privés*socio=et a nettement augmenté durant ces trois années*socio=rien et atteint environ 30 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, en 1977. Ce déficit*socio=ec1, qui est*socio=rien de près de deux fois*socio=rien et *socio=rien demi supérieur *socio=nil au chiffre correspondant de 1973, s'explique essentiellement par l'accroissement*socio=ec2 rapide*socio=rien des paiements*socio=ec1 aux entrepreneurs*socio=ac étrangers*socio=te, des envois*socio=rien de fonds*socio=ec1 des travailleurs*socio=ac expatriés et des versements*socio=ec1 effectués pour les marchandises*socio=ec1 importées au *socio=rien titre du *socio=nil fret et de l'assurance*socio=ec1. Entre 1975 et 1977, ces derniers*socio=rien versements*socio=ec1 ont été*socio=rien particulièrement importants*socio=uv4 en raison*socio=rien des surtaxes*socio=et perçues sur*socio=rien le fret et les surestaries *socio=rien du fait *socio=nil de la congestion des ports*socio=ec. L'accroissement*socio=ec2 de l'ensemble*socio=rien des paiements*socio=ec1 au titre*socio=rien des "invisibles*socio=rien" n'a été*socio=rien qu'en partie*socio=rien compensé par la hausse*socio=rien relativement importante*socio=uv4 des revenus*socio=ec1 d'investissements*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Selon les estimations*socio=ec2 provisoires*socio=rien qui figurent au tableau*socio=rien 6, l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil a diminué de 26 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1978, où il est*socio=rien tombé à environ 6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Ce *socio=rien recul considérable *socio=nil provenait à la fois*socio=rien d'une diminution*socio=ec2 appréciable*socio=rien de la valeur*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 et de l'augmentation*socio=ec2 tant des importations*socio=ec1 que des paiements*socio=ec1 nets*socio=rien au titre*socio=rien des services*socio=et et des transferts_privés*socio=et. Le fléchissement*socio=ec2, en 1977 - 78, de la valeur*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 - qui représentent plus de 93 pour 100 des exportations*socio=ec1 totales*socio=rien des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 -*socio=nil est*socio=rien *socio=nil presque entièrement imputable*socio=uv2 à une diminution*socio=ec2 *socio=rien du volume *socio=nil de ces exportations*socio=ec1. La demande*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 provenant de ces pays*socio=ac a été*socio=rien relativement faible*socio=rien pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de l'année*socio=rien et l'offre*socio=ec1 s'est*socio=rien trouvée réduite par les interruptions de la production*socio=ec1 en Iran*socio=ac pendant les *socio=rien derniers mois *socio=nil de l'année*socio=rien. En 1978, le prix*socio=ec1 *socio=rien moyen du pétrole*socio=ec1 *socio=nil à l'exportation*socio=ec1, exprimé en dollars*socio=ec1 ÉU, est*socio=rien demeuré pratiquement inchangé*socio=rien par rapport*socio=rien à l'année*socio=rien précédente*socio=rien, le prix*socio=ec1 *socio=rien du brut de*socio=nil référence *socio=nil n'ayant pas été*socio=rien modifié à la suite*socio=rien des réunions*socio=rien de l'OPEP*socio=ac de décembre*socio=rien 1977 et de juin*socio=rien 1978. Le volume*socio=rien et la valeur*socio=ec1 des importations*socio=ec1 totales*socio=rien ont continué de progresser cette année-là, quoique à un*socio=rien rythme*socio=ec2 décroissant. Il est*socio=rien d'ores et déjà évident*socio=rien que l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 reprendra*socio=nil *socio=rien un essor vigoureux *socio=nil en 1979; selon les projections*socio=ec2, il atteindrait *socio=rien un total *socio=nil de 43 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (tableau*socio=rien 5). Cette forte*socio=rien remontée sera due essentiellement à l'amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 de ces pays*socio=ac qu'entraînera la montée en flèche des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 durant l'année*socio=rien. Toutefois, l'arrêt*socio=rien virtuel de l'accroissement*socio=ec2 - jusqu'alors rapide*socio=rien - des importations*socio=ec1 en termes*socio=rien réels*socio=ec2 contribuera, lui aussi, sensiblement au gonflement*socio=ec2 des excédents*socio=ec1. La *socio=rien principale cause *socio=nil de cette stabilisation*socio=et *socio=rien du total des*socio=nil importations*socio=ec1 est la*socio=nil baisse*socio=ec2 substantielle du volume des*socio=nil importations*socio=ec1 *socio=nil de l'Iran*socio=ac, due à la récente*socio=rien diminution*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 dans ce pays*socio=ac. On prévoit que l'accroissement*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 tirées des exportations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 par l'ensemble*socio=rien des autres grands*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil contribuera à l'accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1 de ces pays*socio=ac en 1979, bien*socio=rien que la plupart*socio=rien d'entre eux continuent d'appliquer des politiques*socio=et assez restrictives*socio=uv4 en matière*socio=rien de gestion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1. A l'intérieur*socio=te du*socio=rien groupe*socio=ac des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil excédents*socio=ec1 des*socio=nil opérations_courantes*socio=te *socio=nil sont de plus en plus concentrés dans certains pays*socio=ac. En 1978, le total*socio=rien de ces excédents*socio=ec1 - qui se chiffrait à 21 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 - était enregistré exclusivement par six pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac cependant que les six autres principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 accusaient*socio=nil un*socio=rien déficit*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te *socio=nil de 15 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. D'après*socio=rien les projections*socio=ec2 pour 1979, l'évolution*socio=te devrait être*socio=rien positive*socio=uv4 dans les deux groupes_de_pays*socio=ac, mais c'est*socio=rien sans doute*socio=rien dans le premier*socio=rien de ces groupes*socio=ac que se produira la *socio=rien majeure partie *socio=nil de l'amélioration*socio=uv1 globale*socio=rien, l'origine*socio=rien des exportations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 *socio=rien devant être *socio=nil modifiée en raison*socio=rien de la situation*socio=rien en Iran*socio=ac. On estime*socio=rien qu'en 1978, le montant*socio=ec1 *socio=rien total net *socio=nil de l'excédent*socio=ec1 de trésorerie*socio=ec1 dont ont disposé les principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil a moins diminué que l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te, *socio=rien du fait,*socio=nil *socio=nil essentiellement, des variations*socio=rien de l'encours des crédits*socio=ec1 accordés pour l'exportation*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 et de l'augmentation*socio=ec2 des emprunts*socio=ec1 contractés par les institutions*socio=ac officielles*socio=et des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil dont le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien s'est*socio=rien accru. Il ressort des renseignements*socio=ec2 incomplets dont on dispose sur*socio=rien l'emploi*socio=ec1 de l'excédent*socio=ec1 net*socio=rien de trésorerie*socio=ec1 en 1978, que les placements*socio=ec1 nets*socio=rien sous forme*socio=rien de *socio=ec1 dépôts bancaires *socio=nil et de titres*socio=rien d'État*socio=ac ont nettement diminué, cependant que les autres mouvements_de_capitaux*socio=ec1 (placements*socio=ec1 sous forme*socio=rien de *socio=ec1 valeurs mobilières,*socio=nil par*socio=nil exemple*socio=rien)*socio=nil à*socio=nil destination*socio=rien des*socio=nil pays*socio=ac développés*socio=uv4 *socio=nil accusaient une baisse*socio=ec2 plus modérée et que les mouvements_des_capitaux*socio=ec1 des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 à*socio=nil destination*socio=rien *socio=nil d'autres pays_en_développement*socio=uv3 sont demeurés à peu près au même niveau*socio=rien qu'en 1977. L'augmentation*socio=ec2 des avoirs*socio=ec1 à caractère*socio=rien relativement liquide a été*socio=rien beaucoup plus faible*socio=rien en 1978 que les *socio=rien années précédentes,*socio=nil phénomène imputable*socio=uv2,*socio=nil *socio=nil au moins dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil aux*socio=nil prélèvements*socio=ec1 effectués*socio=nil sur leurs*socio=nil avoirs*socio=ec1 *socio=nil liquides par les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil dont la balance_des_paiements*socio=ec1 était déficitaire*socio=ec2 cette année-là. On prévoit qu'en 1979, le montant*socio=ec1 *socio=rien total net *socio=nil de l'excédent*socio=ec1 de trésorerie*socio=ec1 des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil s'accroîtra moins fortement que l'excédent_global*socio=te de leurs opérations_courantes*socio=te, *socio=rien du fait *socio=nil notamment de l'intervalle*socio=te entre l'expédition*socio=rien du*socio=rien pétrole*socio=ec1 exporté et le paiement*socio=ec1 de ce pétrole*socio=ec1 en avoirs*socio=ec1 liquides. Par ailleurs*socio=rien, les emprunts*socio=ec1 nets*socio=rien contractés par les six principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil (dont le solde*socio=ec1 courant*socio=rien était déficitaire*socio=ec2 en 1978) devraient diminuer à mesure*socio=rien que leur position*socio=rien extérieure*socio=te se renforce sous l'effet*socio=rien des récentes*socio=rien hausses de prix*socio=ec1. Pays*socio=ac développés*socio=uv4 de production*socio=ec1 primaire*socio=rien. Au milieu*socio=rien des années*socio=rien soixante-dix, la plupart*socio=rien des pays*socio=ac développés*socio=uv4 de production*socio=ec1 primaire*socio=rien se sont heurtés à de *socio=uv4 graves difficultés de*socio=nil balance_des_paiements*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil déficit_global*socio=ec1 *socio=nil de leurs opérations_courantes*socio=te a atteint 14 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1974 et s'est*socio=rien obstinément maintenu entre 13 et 15 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 jusqu'à la fin*socio=rien de 1977 (tableau*socio=rien 5). Maints facteurs*socio=rien sont à l'origine*socio=rien de la persistance*socio=te de ces importants*socio=uv4 déficits_courants*socio=ec1, notamment la faiblesse*socio=ec2 relative*socio=rien, dans les pays_industrialisés*socio=ac, de la demande*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1 en provenance*socio=rien de ces pays*socio=ac, le fléchissement*socio=ec2 continu*socio=rien de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 et le taux*socio=ec1 comparativement élevé*socio=uv4 de leur inflation*socio=ec1, qui, dans certains cas*socio=rien, n'a pas coïncidé avec un*socio=rien ajustement*socio=et correspondant des taux_de_change*socio=ec1. Comme la position*socio=rien financière*socio=ec1 extérieure*socio=te de la majorité*socio=rien des pays*socio=ac développés*socio=uv4 de production*socio=ec1 primaire*socio=rien était initialement forte*socio=rien et qu'en général*socio=rien, ces pays*socio=ac avaient facilement accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1, *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'entre eux ont pu différer l'ajustement*socio=et aux secousses extérieures*socio=te et aux forces*socio=uv1 inflationnistes*socio=ec2 qui se sont manifestées au milieu*socio=rien des années*socio=rien soixante-dix. Sans doute*socio=rien plusieurs pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac ont-ils adopté dès le début*socio=rien de la période*socio=te examinée des programmes*socio=et de stabilisation*socio=et efficaces*socio=uv4, mais l'incidence*socio=ec2 de ces programmes*socio=et sur*socio=rien leur situation*socio=rien extérieure*socio=te a été*socio=rien généralement atténuée par la léthargie*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et la forte*socio=rien dégradation*socio=uv3 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, et leurs répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien le solde*socio=ec1 global*socio=te du*socio=rien groupe*socio=ac ont été*socio=rien neutralisées par le gonflement*socio=ec2 des déficits_courants*socio=ec1 des pays*socio=ac qui ont continué d'appliquer une politique*socio=et expansionniste*socio=ec2. Jusqu'à la fin*socio=rien de 1977 ou au début*socio=rien de 1978, ces derniers*socio=rien ont puisé dans leurs réserves*socio=ec1 et ont fait*socio=rien de plus en plus appel*socio=rien aux marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te pour financer leurs déficits*socio=ec1; c'est*socio=rien alors que plusieurs d'entre eux ont enfin adopté des programmes*socio=et de stabilisation*socio=et. Ces programmes*socio=et prévoyaient notamment le resserrement*socio=ec2 des politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1, l'application*socio=rien de diverses*socio=rien mesures*socio=et en matière*socio=rien de revenus*socio=ec1 et l'ajustement*socio=et des taux_de_change*socio=ec1. La mise en oeuvre*socio=rien de ces programmes*socio=et en 1978 a marqué, pour ainsi dire, un*socio=rien tournant dans le processus*socio=te d'ajustement*socio=et extérieur*socio=te des pays*socio=ac développés*socio=uv4 de production*socio=ec1 primaire*socio=rien. Le déficit_global*socio=ec1 de leurs opérations_courantes*socio=te a été*socio=rien réduit de plus de moitié*socio=rien par rapport*socio=rien à celui de 1977 et des années*socio=rien qui ont immédiatement précédé, et a été*socio=rien ramené à *socio=rien un niveau *socio=nil qui ne s'écartait plus notablement*socio=rien des résultats*socio=rien obtenus par les pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac au cours*socio=rien des années*socio=rien soixante et au début*socio=rien des années*socio=rien soixante-dix. Outre la forte*socio=rien réduction*socio=ec2 du*socio=rien *socio=ec1 déficit commercial,*socio=nil cet*socio=nil ajustement*socio=et considérable*socio=rien *socio=nil a dénoté une vive augmentation*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 des opérations*socio=rien extérieures*socio=te au titre*socio=rien des services*socio=et, imputable*socio=uv2 surtout à l'accroissement*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 touristiques dans les *socio=ac pays méditerranéens.*socio=nil La*socio=nil réduction*socio=ec2 du*socio=rien *socio=ec1 déficit commercial *socio=nil s'explique par une compression*socio=et *socio=rien du volume de*socio=nil biens*socio=ec1 *socio=nil et de services*socio=et absorbés par ces pays*socio=ac. La valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 des importations*socio=ec1 a légèrement diminué, et celle des exportations*socio=ec1 fortement augmenté sous l'effet*socio=rien d'un*socio=rien resserrement*socio=ec2 des politiques*socio=et de gestion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et d'un*socio=rien repli*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 dans certains des pays*socio=ac concernés. Les pays*socio=ac développés*socio=uv4 de production*socio=ec1 primaire*socio=rien qui sont situés hors du*socio=rien *socio=ac continent européen *socio=nil ont peut-être été*socio=rien frappés plus durement que la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac par les événements*socio=rien extérieurs*socio=te qui se sont brusquement produits*socio=rien au milieu*socio=rien des années*socio=rien soixante-dix. Entre 1973 et 1978, leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 se sont dégradés de 30 pour 100 et le déficit*socio=ec1 de leurs opérations*socio=rien au titre*socio=rien des services*socio=et, d'ores et déjà persistant*socio=rien, a augmenté progressivement*socio=rien. Bien*socio=rien qu'ils se soient hâtés d'adopter des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et qui leur ont généralement permis*socio=rien de maintenir dans des limites*socio=rien acceptables*socio=uv2 leur déséquilibre*socio=uv3 tant intérieur*socio=te qu'extérieur*socio=te, ces pays*socio=ac sont encore entravés, dans l'application*socio=rien de leur politique_économique*socio=ec1, par certains obstacles*socio=uv3 liés à leurs paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Parmi les pays*socio=ac développés*socio=uv4 de production*socio=ec1 primaire*socio=rien qui ont adopté à la fin*socio=rien de 1977 ou au début*socio=rien de 1978 un*socio=rien programme*socio=et de stabilisation*socio=et bénéficiant de l'aide*socio=uv1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1, l'Espagne*socio=ac est*socio=rien celui dont le succès*socio=uv1 a été*socio=rien le plus manifeste sur*socio=rien le plan*socio=rien extérieur*socio=te. Le solde*socio=ec1 courant*socio=rien de ce pays*socio=ac qui, depuis plusieurs années*socio=rien, faisait apparaître des déficits*socio=ec1 de plus en plus lourds*socio=rien, accompagnés d'un*socio=rien recours*socio=ec1 croissant*socio=rien aux emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te, et qui était encore déficitaire*socio=ec2 de 2,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1977, est*socio=rien devenu excédentaire*socio=rien (1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1) en 1978; par ailleurs*socio=rien, ses réserves_officielles*socio=et brutes*socio=rien - renforcées par des entrées massives*socio=rien de capitaux*socio=ec1 dans le secteur_privé*socio=et - ont augmenté de 4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Au Portugal*socio=ac, les efforts*socio=uv1 de stabilisation*socio=et que les autorités*socio=et ont déployés ont donné des résultats*socio=rien plus limités, certes, mais non moins encourageants*socio=uv4. Les fortes*socio=rien dévaluations*socio=ec2 de l'escudo et la compression*socio=et des salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2, tant en 1977 qu'en 1978, ont renforcé la compétitivité*socio=uv3 internationale*socio=ac de l'industrie*socio=ec1 portugaise et entraîné, en 1978, une amélioration*socio=uv1 de la balance_commerciale*socio=ec1 (en termes*socio=rien réels*socio=ec2) alors qu'elle s'était considérablement*socio=rien dégradée les deux *socio=rien années précédentes.*socio=nil En*socio=nil Turquie*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil politique*socio=et financière*socio=ec1 *socio=nil a omis de tenir trop longtemps compte*socio=ec1 adéquatement*socio=rien des changements*socio=uv3 qui s'étaient produits*socio=rien à l'extérieur*socio=te. En 1977, la livre turque a été*socio=rien dévaluée, mais l'intensification*socio=ec2 croissante*socio=rien des *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil et une nouvelle*socio=rien expansion*socio=ec2 *socio=rien considérable du crédit*socio=ec1 intérieur*socio=te *socio=nil ont eu pour effet*socio=rien d'accroître les difficultés*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1. La dévaluation*socio=ec2 de 1978 s'est*socio=rien accompagnée d'un*socio=rien programme*socio=et économique*socio=ec1 plus cohérent*socio=rien; mais ces mesures*socio=et n'ont pas réussi à freiner la *socio=rien hausse rapide des*socio=nil coûts*socio=ec1 *socio=nil et des prix*socio=ec1, en partie*socio=rien parce qu'elles n'offraient pas assez de latitude*socio=rien pour que les autorités*socio=et puissent poursuivre leurs actions*socio=ec1 en adoptant les mesures*socio=et supplémentaires*socio=rien qui s'imposaient. Si le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien a été*socio=rien réduit de moitié*socio=rien entre 1977 et 1978, c'est*socio=rien essentiellement parce que devant*socio=rien la pénurie*socio=ec2 de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te, le pays*socio=ac a dû comprimer fortement le volume*socio=rien de ses importations*socio=ec1. Toutefois, *socio=rien un nouveau programme*socio=et de*socio=nil stabilisation*socio=et,*socio=nil *socio=nil qui doit coïncider avec d'autres ajustements*socio=et importants*socio=uv4 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1, a été*socio=rien adopté il y a quelque temps*socio=rien en accord avec le Fonds*socio=ec1. Il semble que la reprise modérée de l'activité_économique*socio=ec1 dans les pays*socio=ac développés*socio=uv4 de production*socio=ec1 primaire*socio=rien provoquera probablement en 1979 la première*socio=rien *socio=ec2 expansion réelle des*socio=nil importations*socio=ec1 *socio=nil dans ces pays*socio=ac depuis *socio=rien cinq ans.*socio=nil *socio=nil Comme les termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac se sont encore dégradés, cette relance*socio=uv3 des importations*socio=ec1 voudrait dire que le déficit_global*socio=ec1 des opérations_courantes*socio=te s'accroîtra considérablement*socio=rien. En général*socio=rien, la hausse*socio=rien prévue ne devrait pas excéder, semble-t-il, les capacités*socio=uv3 d'emprunt*socio=ec1 extérieur*socio=te de la plupart*socio=rien des pays*socio=ac concernés. Toutefois, quelques pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac, dont la position*socio=rien extérieure*socio=te demeure précaire*socio=uv2, pourraient difficilement se permettre de participer à l'accroissement*socio=ec2 du*socio=rien déficit_global*socio=ec1. Principaux*socio=rien problèmes*socio=uv4 de politique_économique*socio=ec1. A la fin*socio=rien de 1978, on s'inquiétait, dans bien*socio=rien des milieux*socio=rien, *socio=rien du tour *socio=nil que prendrait en assez longue*socio=rien période*socio=te l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien énergétique*socio=ec1 internationale*socio=ac; on s'inquiétait également de certains aspects*socio=rien fondamentaux*socio=uv4 de l'évolution*socio=te économique*socio=ec1, notamment la virulence de l'inflation*socio=ec1, le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1, le faible*socio=rien coefficient*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1, l'instabilité*socio=uv3 intermittente des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, les difficultés*socio=uv4 des pays_en_développement*socio=uv3 autres que W principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1, et le *socio=rien déferlement du protectionnisme*socio=et commercial*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil A ces *socio=rien facteurs est *socio=nil venue s'ajouter en 1979 la flambée des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1. Le climat*socio=rien actuel*socio=te de profonde*socio=rien incertitude*socio=uv3 laisse clairement présager une période*socio=te de *socio=uv4 graves difficultés *socio=nil pour l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et souligne la nécessité*socio=uv1 d'adopter des politiques_économiques*socio=et qui permettent de les surmonter. A cet égard*socio=rien, la nature*socio=rien des politiques_économiques*socio=et intérieures*socio=te qu'adoptent les pays_industrialisés*socio=ac revêtira une *socio=rien importance primordiale.*socio=nil La*socio=nil multitude de*socio=nil difficultés*socio=uv4 *socio=nil auxquelles les autorités*socio=et nationales*socio=te du*socio=rien monde*socio=te industrialisé se heurtent actuellement exclut les thérapeutiques simples*socio=rien qui font miroiter la promesse*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien prompt rétablissement *socio=nil mais souligne plutôt la nécessité*socio=uv1 d'appliquer sur*socio=rien plusieurs fronts*socio=rien à la fois*socio=rien une stratégie*socio=et à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Telle*socio=nil est *socio=nil aussi la situation*socio=rien de *socio=rien bon nombre de*socio=nil pays*socio=ac développés*socio=uv4 de*socio=nil production*socio=ec1 primaire.*socio=nil *socio=nil Comme on l'a précédemment indiqué dans le *socio=rien présent chapitre,*socio=nil la*socio=nil méthode*socio=ec2 *socio=nil d'approche fondamentale*socio=uv4 doit en être*socio=rien une de "gradation" mais qui ne soit pas trop "graduelle*socio=te". Cette stratégie*socio=et présuppose, certes, une utilisation*socio=rien énergique*socio=ec1 et judicieuse*socio=uv4 des instruments*socio=et monétaires*socio=ec1 et budgétaires*socio=et traditionnels*socio=rien, mais elle exige en même temps*socio=rien qu'on applique des politiques*socio=et adéquates*socio=uv2 en matière*socio=rien de revenus*socio=ec1 (pour empêcher, par exemple*socio=rien, que les hausses du*socio=rien prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et les autres pressions*socio=ec2 d'origine*socio=rien externe*socio=ec1 qui s'exercent sur*socio=rien les coûts*socio=ec1 ne soient prises*socio=rien en compte*socio=ec1, officiellement*socio=et ou de fait*socio=rien, dans l'indexation*socio=ec1 des salaires*socio=ec1 et des autres revenus*socio=ec1 et qu'on accorde une importance*socio=rien accrue aux mesures*socio=et propres*socio=rien à opérer des ajustements*socio=et structurels*socio=ec2 et à améliorer les possibilités*socio=rien d'approvisionnement*socio=ec1, y compris l'adaptation*socio=uv3 à une conjoncture*socio=ec2 où, d'ores et déjà, le pétrole*socio=ec1 est*socio=rien plus cher*socio=rien et moins abondant*socio=rien qu'il ne l'était . De toute évidence*socio=rien, il sera difficile*socio=rien de mettre en oeuvre*socio=rien une stratégie*socio=et dictée par ces besoins*socio=uv1; le courage*socio=uv1 et la persévérance*socio=uv1 seront des atouts*socio=rien indispensables*socio=uv4 pour gagner l'appui*socio=uv1 du*socio=rien public*socio=et à la cause*socio=rien des politiques_économiques*socio=et nationales*socio=te et, avant tout, pour atténuer les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2. Le contexte*socio=rien international*socio=te dans lequel les pays_industrialisés*socio=ac devront mener leur *socio=ec1 action économique intérieure*socio=te est*socio=rien en*socio=nil voie*socio=rien de*socio=nil profonde*socio=rien transformation*socio=ec2.*socio=nil Au*socio=nil début*socio=rien *socio=nil de 1979, on s'attendait que le taux_de_croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1 totale*socio=rien de ces pays*socio=ac, qui avait été*socio=rien de 4 pour 100 pendant chacune des deux *socio=rien années précédentes,*socio=nil *socio=nil baisserait modérément sous l'effet*socio=rien du*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac - ralentissement*socio=ec2 souhaité par les autorités*socio=et américaines*socio=ac et favorablement accueilli dans les milieux*socio=rien internationaux*socio=te, en raison*socio=rien de la nécessité*socio=uv1 d'atténuer les *socio=ec2 pressions inflationnistes intérieures*socio=te.*socio=nil A*socio=nil présent*socio=rien,*socio=nil *socio=nil il semble clair*socio=rien que le fléchissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 dans le monde*socio=te industrialisé sera nettement plus fort*socio=rien qu'on l'avait généralement prévu. A cet égard*socio=rien, deux phénomènes*socio=rien revêtent de l'importance*socio=rien. Premièrement, les hausses du*socio=rien prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 depuis la fin*socio=rien de 1978 pourraient bien*socio=rien avoir pour *socio=rien effet général *socio=nil de ralentir la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1, tant directement par leur incidence*socio=ec2 déflationniste*socio=ec1, qu'indirectement*socio=rien par l'enroulement de la spirale*socio=rien inflationniste*socio=ec2. Secondement, la *socio=rien variation du PNB*socio=ec1 réel aux*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1979 - très légère*socio=rien expansion*socio=ec2 au premier*socio=rien trimestre*socio=te et recul*socio=rien au deuxième*socio=rien trimestre*socio=te - s'est*socio=rien avérée très faible*socio=rien. En l'occurrence*socio=rien, les *socio=ec1 indicateurs économiques,*socio=nil disponibles*socio=rien *socio=nil à la *socio=rien fin du mois de*socio=nil juin *socio=nil pour l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac, ne sont pas concluants*socio=rien; mais, si l'on tient aussi compte*socio=ec1 de la vigueur*socio=uv3 de la spirale*socio=rien inflationniste*socio=ec2 actuelle*socio=te et des effets*socio=rien probables*socio=uv4 de la pénurie*socio=ec2 de pétrole*socio=ec1, il y a lieu*socio=rien de croire, semble-t-il, qu'une récession*socio=ec2 se prépare d'ores et déjà aux États-unis*socio=ac - opinion*socio=uv1 qui rejoint les déclarations*socio=et des porte-parole*socio=ac du*socio=rien *socio=ac gouvernement américain,*socio=nil *socio=nil qui s'attendent à une récession*socio=ec2 éphémère*socio=te et modérée. Cette situation*socio=rien soulève *socio=rien un certain nombre de*socio=nil *socio=uv4 problèmes importants *socio=nil en ce qui concerne la politique_économique*socio=ec1. En *socio=rien premier lieu,*socio=nil une*socio=nil récession*socio=ec2 aux*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil (quelle qu'en soit la durée*socio=te ou la gravité) ne pourrait pas s'accompagner d'un*socio=rien essor*socio=rien correspondant dans les autres pays_industrialisés*socio=ac; d'une *socio=rien façon générale,*socio=nil leur*socio=nil économie*socio=ec1 manque de*socio=nil dynamisme*socio=uv3 *socio=nil et, en raison*socio=rien soit de l'existence*socio=rien de l'inflation*socio=ec1, soit de la menace*socio=uv1 d'inflation*socio=ec1, ils ne seraient pas en mesure*socio=rien d'intensifier l'orientation*socio=et expansionniste*socio=ec2 de leur politique_économique*socio=ec1 pour compenser la récession*socio=ec2 aux États-unis*socio=ac, bien*socio=rien qu'il y ait lieu*socio=rien de croire qu'ils s'efforceraient dans la *socio=rien mesure du possible *socio=nil de maintenir leur taux_de_croissance*socio=ec1. Quant aux États-unis*socio=ac eux-mêmes, une période*socio=te "de refroidissement", caractérisée par une très faible*socio=rien progression*socio=ec2, voire une diminution*socio=ec2 de la production*socio=ec1, leur permettrait d'atténuer les *socio=ec2 pressions inflationnistes,*socio=nil *socio=nil mais ne signifierait pas que la réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme pourrait*socio=nil devenir *socio=nil chez eux un*socio=rien objectif*socio=uv3 moins prioritaire*socio=uv4 qu'il ne l'a été*socio=rien jusqu'à présent*socio=rien. A vrai*socio=rien dire, les politiques*socio=et visant à contrecarrer la récession*socio=ec2 devraient être*socio=rien empreintes d'une grande*socio=rien prudence*socio=uv1 et accorder une place*socio=rien de choix*socio=uv1 à des éléments*socio=rien de *socio=et stabilisation budgétaire "*socio=nil automatiques*socio=rien"*socio=nil capables*socio=rien *socio=nil de soutenir l'économie*socio=ec1. Sur*socio=rien le plan*socio=rien extérieur*socio=te, un*socio=rien piétinement, voire un*socio=rien ralentissement*socio=ec2, de l' activité_économique*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac aurait une incidence*socio=ec2 positive*socio=uv4 sur*socio=rien le solde*socio=ec1 des opérations_courantes*socio=te en atténuant la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1. Toutefois, les répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien la balance_globale*socio=ec1 des paiements*socio=ec1 des États-unis*socio=ac et sur*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif du dollar*socio=ec1 *socio=nil dépendraient aussi de la mesure*socio=rien dans laquelle les variations*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires relatives*socio=rien *socio=nil se seraient répercutées sur*socio=rien le solde*socio=ec1 des opérations*socio=rien en capital*socio=ec1. Un*socio=rien autre point*socio=rien plus général*socio=rien revêt de l'importance*socio=rien en effet*socio=rien, les taux_de_ change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 subiraient l'influence de divers facteurs*socio=rien dans un*socio=rien environnement*socio=et économique*socio=ec1 où l'affaiblissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 serait aggravé par la *socio=rien hausse du prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 *socio=nil et la constance*socio=rien de l'inflation*socio=ec1. Quant à la persistance*socio=te *socio=rien du calme relatif *socio=nil qui a caractérisé les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 ces *socio=rien derniers mois,*socio=nil *socio=nil elle dépendra en *socio=rien grande partie des*socio=nil politiques_économiques*socio=et.*socio=nil *socio=nil Tout en conformant leurs politiques*socio=et aux objectifs*socio=uv3 fondamentaux*socio=uv4, les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac pourraient juger nécessaire*socio=rien d'adopter en matière*socio=rien d'intervention*socio=et sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, *socio=rien un plan d'*socio=nil action*socio=ec1 *socio=nil concerté et tout au moins de coordonner dans une *socio=rien certaine mesure leurs*socio=nil politiques_monétaires*socio=et.*socio=nil Un ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de l'activité_économique*socio=ec1 dans le monde*socio=te industrialisé pourrait avoir des *socio=rien effets néfastes prononcés*socio=nil sur les*socio=nil pays*socio=ac de*socio=nil production*socio=ec1 primaire.*socio=nil Au*socio=nil sein *socio=nil de ce groupe*socio=ac, composé de pays*socio=ac nombreux*socio=rien et hétérogènes, les conditions*socio=ec1 et les politiques_économiques*socio=et diffèrent grandement mais il convient d'accorder une attention*socio=rien toute particulière*socio=rien à la situation*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1. Dans la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac, le taux_de_croissance*socio=ec1 de ces *socio=rien dernières années *socio=nil n'a pas été*socio=rien proportionné à leurs besoins*socio=uv1 de développement*socio=uv3; en outre, *socio=rien un nombre croissant *socio=nil de ces pays*socio=ac sont aux prises*socio=rien avec des difficultés*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 causées par l'expansion*socio=ec2 *socio=rien récente du déficit*socio=ec1 *socio=nil de leurs opérations_courantes*socio=te et l'alourdissement*socio=ec2 du*socio=rien fardeau*socio=uv4 de leur endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te - autant de facteurs*socio=rien qui seront exacerbés au cours*socio=rien des douze *socio=rien prochains mois *socio=nil par l'incidence*socio=ec2 qu'auront les derniers*socio=rien renchérissements du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et le ralentissement*socio=ec2 continu*socio=rien de l'activité_économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac. Quant aux pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1, la situation*socio=rien et les perspectives*socio=te sont particulièrement décevantes*socio=rien dans les_plus_pauvres*socio=uv2 d'entre eux; une *socio=rien section du présent chapitre leur*socio=nil est *socio=nil spécialement consacrée. Les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 du*socio=rien groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, qui réunissent plus des deux cinquièmes*socio=rien de la population*socio=ac de tous les pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1, sont à n'en pas douter un*socio=rien grave*socio=uv4 sujet*socio=rien d'inquiétude*socio=rien sous l'angle*socio=rien du*socio=rien *socio=uv1 bien-être humain.*socio=nil Maints*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 doivent améliorer leurs politiques*socio=et intérieures*socio=te pour faire face*socio=rien à la situation*socio=rien très difficile*socio=rien dans laquelle ils se trouvent actuellement, ainsi que pour créer *socio=rien un climat propice aux*socio=nil investissements*socio=ec1 *socio=nil et au financement*socio=ec1 étrangers*socio=te. Mais leurs difficultés*socio=uv4 pourraient être*socio=rien atténuées si les pays_industrialisés*socio=ac adoptaient de leur *socio=rien côté certaines mesures*socio=et.*socio=nil *socio=nil L'une des difficultés*socio=uv4 provient *socio=rien du fait,*socio=nil *socio=nil déjà mentionné, que la *socio=rien majeure partie *socio=nil de la nouvelle*socio=rien dette*socio=ec1 contractée par les pays_en_développement*socio=uv3 autres que les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 au cours*socio=rien des *socio=rien cinq dernières années *socio=nil a revêtu la forme*socio=rien d'emprunts*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te, à des conditions*socio=ec1 moins avantageuses*socio=rien que celles dont bénéficie le financement*socio=ec1 *socio=rien traditionnel du développement*socio=uv3;*socio=nil *socio=nil aussi, le service_de_la_dette*socio=ec1 augmente-t-il à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te plus rapidement que la dette*socio=ec1 elle-même et que les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1. Dans le cas*socio=rien notamment de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 à revenu*socio=ec1 et à croissance*socio=uv3 faibles*socio=rien, les dettes*socio=ec1 contractées depuis 1974 représentent - *socio=rien du point de*socio=nil vue des*socio=nil emprunteurs*socio=ac -*socio=nil un moyen coûteux*socio=ec2 et*socio=nil inadéquat *socio=nil d'acheminer l'épargne*socio=ec1 vers les circuits*socio=ec1 internationaux*socio=te. Pour aider les pays_en_développement*socio=uv3 à assurer leur financement*socio=ec1 extérieur*socio=te, les pays_industrialisés*socio=ac dont la position*socio=rien extérieure*socio=te *socio=rien est forte *socio=nil devraient tout mettre en oeuvre*socio=rien pour améliorer leur position*socio=rien d'exportateurs*socio=ac de capitaux*socio=ec1. *socio=rien Un domaine important*socio=uv4 *socio=nil où doit s'opérer cette amélioration*socio=uv1 est*socio=rien celui des flux*socio=ec1 stabilisateurs*socio=uv4 de capitaux_privés*socio=ec1 dont le volume*socio=rien doit être*socio=rien accru - entreprise*socio=ac qui demande*socio=ec1 inévitablement beaucoup de temps*socio=rien mais dont la réalisation*socio=uv1 peut être*socio=rien facilitée par l'adoption*socio=uv3 de *socio=et mesures gouvernementales supplémentaires*socio=rien de*socio=nil nature*socio=rien *socio=nil à favoriser les sorties de capitaux*socio=ec1 soit directement, soit indirectement*socio=rien par une modification*socio=rien des structures*socio=ec1 et des *socio=et pratiques institutionnelles *socio=nil dans le secteur_privé*socio=et. En outre - et l'action*socio=ec1 dans ce domaine*socio=rien peut *socio=rien être immédiate *socio=nil - de puissants*socio=rien arguments*socio=ec2 justifient un*socio=rien accroissement*socio=ec2 de l' aide_publique_au_développement*socio=et dans tous les pays_industrialisés*socio=ac, excédentaires*socio=ec2 aussi bien*socio=rien que déficitaires*socio=ec2. Cette aide*socio=uv1 représente à peine *socio=rien un tiers *socio=nil de 1 pour 100 environ du*socio=rien PNB*socio=ec1 des *socio=ac pays_industrialisés donateurs *socio=nil pris en groupe*socio=ac et pour plusieurs grands*socio=rien pays*socio=ac - y compris ceux dont la *socio=rien position est excédentaire *socio=nil - le *socio=rien pourcentage est *socio=nil encore moins élevé*socio=uv4. L'augmentation*socio=ec2 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 et de l'aide*socio=uv1 aux pays_en_développement*socio=uv3 - conjointement avec des mesures*socio=et propres*socio=rien à accroître les *socio=ec1 débouchés commerciaux *socio=nil de ces pays*socio=ac - est*socio=rien une condition*socio=rien essentielle*socio=uv4 à leur développement*socio=uv3 économique*socio=ec1 de même qu'au *socio=rien bon fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil *socio=nil Pour le redressement*socio=ec2 des conditions_économiques*socio=ec1 mondiales*socio=te, il serait extrêmement fructueux*socio=rien d'améliorer le *socio=rien fonctionnement du processus*socio=te d'*socio=nil ajustement_international*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil grandes différences*socio=uv1 *socio=nil qui existent entre les positions*socio=rien actuelles*socio=te des pays_membres*socio=ac appellent l'adoption*socio=uv3 *socio=rien sur un vaste front de*socio=nil politiques*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil adaptées avec soin*socio=rien à la situation*socio=rien de chaque pays*socio=ac. En règle*socio=et générale*socio=rien, par exemple*socio=rien, chaque pays*socio=ac devrait contribuer à la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 mondiale*socio=te selon la fermeté*socio=rien de sa position*socio=rien extérieure*socio=te et la tenue de ses prix*socio=ec1. Cette méthode*socio=ec2 implique - si elle *socio=rien est effectivement *socio=nil appliquée - que les pays*socio=ac dont la position*socio=rien extérieure*socio=te est*socio=rien relativement forte*socio=rien devraient soutenir la croissance*socio=uv3 autant que possible*socio=rien sans toutefois compromettre le succès*socio=uv1 de leur programme*socio=et anti-inflationniste*socio=ec2, tandis que les pays*socio=ac dont la position*socio=rien extérieure*socio=te est*socio=rien relativement faible*socio=rien et qui sont aux prises*socio=rien avec une inflation*socio=ec1, dont le taux*socio=ec1 est*socio=rien élevé*socio=uv4, devraient adopter des mesures*socio=et de redressement*socio=ec2 qui s'attaquent aux *socio=rien causes profondes *socio=nil de leurs difficultés*socio=uv4. Dans ces conditions*socio=ec1, les pays_industrialisés*socio=ac pourraient apporter une contribution*socio=uv1 particulièrement importante*socio=uv4 en coordonnant leurs objectifs*socio=uv3 de croissance*socio=uv3 et leur politique_économique*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Ce*socio=nil processus*socio=te *socio=nil donnerait une nouvelle*socio=rien impulsion*socio=ec2 à la *socio=ec1 croissance économique,*socio=nil *socio=nil préserverait les progrès*socio=uv1 accomplis ces *socio=rien derniers temps *socio=nil dans la voie*socio=rien d'une meilleure*socio=uv4 répartition*socio=uv3 des soldes*socio=ec1 des opérations_courantes*socio=te et favoriserait par conséquent*socio=rien le maintien*socio=rien de l'ordre*socio=rien sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, ainsi qu'une stabilité*socio=uv3 satisfaisante*socio=uv4 des taux_de_change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1, A cet égard*socio=rien, il est*socio=rien important*socio=uv4 de constater que les écarts*socio=ec2 apparemment modérés entre les taux_de_croissance*socio=ec1 des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac pourraient entraîner des différences*socio=uv1 importantes*socio=uv4 entre leurs soldes*socio=ec1 courants*socio=te et avoir, le cas*socio=rien échéant, une profonde*socio=rien incidence*socio=ec2 sur*socio=rien le *socio=rien fonctionnement du processus*socio=te d'*socio=nil ajustement_international*socio=ec1.*socio=nil Il*socio=nil est clair *socio=nil que le *socio=rien reste du monde*socio=te *socio=nil a tout intérêt*socio=uv1 à ce que les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac appliquent des politiques_économiques*socio=et visant à coordonner le rythme*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 et l'ajustement*socio=et des paiements*socio=ec1. Il convient de souligner que la façon*socio=rien d'améliorer le *socio=rien fonctionnement du processus*socio=te d'*socio=nil ajustement_international*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil telle qu'elle vient d'être*socio=rien brièvement décrite, soulève des questions*socio=rien complexes et très controversées. Pourtant, il y a des raisons*socio=rien de croire que de nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 pourront être*socio=rien accomplis dans ce domaine*socio=rien; en effet*socio=rien, il est*socio=rien généralement reconnu que - compte*socio=ec1 tenu de l'interdépendance*socio=uv3 des pays*socio=ac dans un*socio=rien monde*socio=te secoué par de *socio=uv4 graves difficultés économiques*socio=ec1 et*socio=nil financières*socio=ec1 *socio=nil - aucun pays*socio=ac ne peut se permettre d'ignorer les facteurs*socio=rien internationaux*socio=te qui ont une influence sur*socio=rien la gestion*socio=ec2 de son économie*socio=ec1. La situation*socio=rien extrêmement difficile*socio=rien dans laquelle se trouvent les autorités*socio=et de la plupart*socio=rien des pays_membres*socio=ac donne une idée*socio=rien de la tâche*socio=rien importante*socio=uv4 et probablement pénible*socio=rien qui incombe au fonds_monétaire_international*socio=ac. Le rôle*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 est*socio=rien très vaste*socio=rien, et va de l'orchestration de débats*socio=et internationaux*socio=te sur*socio=rien des problèmes*socio=uv4 économiques*socio=ec1 et financiers*socio=ec1 à la prestation*socio=et de services*socio=et financiers*socio=ec1, consultatifs*socio=uv2 et techniques*socio=rien à chacun des pays*socio=ac. Dans l'exercice*socio=rien de toutes ses fonctions*socio=rien, notamment celles qui font intervenir les règles*socio=et de la conditionnalité ou les principes*socio=ec2 pour la surveillance*socio=et des politiques*socio=et en matière*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1, le Fonds*socio=ec1 doit agir avec équité*socio=uv1 et impartialité*socio=uv1 - comme l'a confirmé le directeur_général*socio=ac dans son discours*socio=rien de clôture à l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac de 1978. Il semble évident*socio=rien que, compte*socio=ec1 tenu d'une évolution*socio=te qui paraît imminente, le Fonds*socio=ec1 doit être*socio=rien disposé à aider *socio=rien un grand nombre *socio=nil de ses pays_membres*socio=ac à résoudre leurs difficultés*socio=uv4 économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1. Bien*socio=rien que la plus haute*socio=rien priorité*socio=uv4 doive être*socio=rien accordée à l'ajustement*socio=et, il semble néanmoins que les créances*socio=ec1 sur*socio=rien les ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 pourraient atteindre au cours*socio=rien des toutes *socio=rien prochaines années un niveau élevé*socio=uv4.*socio=nil Le*socio=nil Fonds*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil efforcé d'adapter*socio=rien ses politiques*socio=et et ses systèmes*socio=rien de financement*socio=ec1 aux besoins*socio=uv1 de ses pays_membres*socio=ac dans le contexte*socio=rien des changements*socio=uv3 qui se sont produits*socio=rien ces *socio=rien dernières années *socio=nil et il continue*socio=rien d'évaluer la convenance des modifications*socio=rien qui ont été*socio=rien apportées ou de celles qui sont en voie*socio=rien de l'être*socio=rien. De surcroît*socio=rien, étant donné l'incertitude*socio=uv3 qui plane sur*socio=rien la situation*socio=rien économique*socio=ec1 internationale*socio=ac, il serait extrêmement souhaitable*socio=rien que les pays_membres*socio=ac approuvent dans les meilleurs*socio=uv4 délais*socio=rien le relèvement*socio=ec2 de leur quote-part*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de la *socio=rien Septième révision générale.*socio=nil *socio=nil Si tous les pays_membres*socio=ac approuvaient le relèvement*socio=ec2 de leur quote-part*socio=ec1 à concurrence*socio=ec1 des montants*socio=ec1 proposés, le total*socio=rien des quotes-parts*socio=et au Fonds*socio=ec1 (comme on l'a expliqué au chapitre*socio=rien 3) passerait, en vertu*socio=rien de la *socio=rien Septième révision générale,*socio=nil *socio=nil de 39 milliards*socio=rien de DTS à 58,6 milliards*socio=rien de DTS - ce qui placerait le Fonds*socio=ec1 dans une bien*socio=rien meilleure*socio=uv4 situation*socio=rien financière*socio=ec1 pour répondre favorablement aux demandes*socio=et éventuelles*socio=te d'utilisation*socio=rien de ses ressources*socio=ec1. Appendice*socio=rien III: Communiqués de presse*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac. Communiqué de presse*socio=et, *socio=rien onzième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 24*socio=nil septembre *socio=nil 1978. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa *socio=rien onzième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil DC, le 24 septembre*socio=rien 1978, sous la présidence*socio=rien de M.. Denis Healey, Chancelier de l'Échiquier du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac. M.. J.. de Larosière, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, a pris part*socio=rien à cette réunion*socio=rien à laquelle assistaient également en qualité*socio=rien d'observateurs*socio=ac : M.. Gamani Corea, secrétaire_général*socio=ac, CNUCED*socio=ac; M.. Ali M.. Jaidah, secrétaire_général*socio=ac, OPEP*socio=ac; M.. René Larre, directeur_général*socio=ac, BRI*socio=ac; M.. Émile van*socio=rien Lennep, secrétaire_général*socio=ac, OCDE*socio=ac; M.. F.. Leutwiler, Président*socio=ac, *socio=ac banque_nationale suisse;*socio=nil *socio=nil M.. Olivier Long*socio=rien, directeur_général*socio=ac, GATT*socio=ac; M.. Robert S.. Mcnamara*socio=ac, Président*socio=ac, BIRD*socio=ac; M.. François-xavier Ortoli, Vice-président*socio=ac, CCE; M. Jean*socio=rien Ripert, Sous-secrétaire général*socio=rien aux affaires*socio=ec1 internationales*socio=te, économiques*socio=ec1 et sociales*socio=et, ONU*socio=ac; et M.. Cesar E.. A.. Virata, Président*socio=ac, Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3. 2 - Le Comité*socio=ac a examiné les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te ainsi que le *socio=rien fonctionnement du processus*socio=te d'*socio=nil ajustement_international*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a reconnu que des progrès*socio=uv1 dans la résolution*socio=uv1 des *socio=uv4 graves difficultés *socio=nil auxquelles l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te avait été*socio=rien confrontée au cours*socio=rien des années*socio=rien 1973 - 75 ont été*socio=rien accomplis dans divers domaines*socio=rien. Ces progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien particulièrement évidents*socio=rien dans les pays*socio=ac qui ont pris des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et pour faire face*socio=rien à ces difficultés*socio=uv4. Le Comité*socio=ac a néanmoins noté que la *socio=rien situation présente *socio=nil demeurait peu satisfaisante*socio=uv4 dans des domaines*socio=rien importants*socio=uv4. Le Comité*socio=ac s'est*socio=rien montré préoccupé par la persistance*socio=te, dans la plupart*socio=rien des pays_membres*socio=ac, de taux*socio=ec1 d'augmentation*socio=ec2 des prix*socio=ec1 trop élevés*socio=uv4 et d'un*socio=rien sous-emploi*socio=ec1 notable*socio=rien des *socio=ec1 ressources économiques *socio=nil et en particulier*socio=rien de *socio=rien hauts niveaux de*socio=nil chômage*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil En ce qui concerne le processus*socio=te d' ajustement_international*socio=ec1, le Comité*socio=ac a noté que de larges*socio=rien écarts*socio=ec2 entre les taux_de_croissance*socio=ec1 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 avaient contribué au maintien*socio=rien d'importants*socio=uv4 déficits*socio=ec1 et excédents*socio=ec1 courants*socio=te. Ces déséquilibres*socio=uv3 ont, au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée, entraîné une instabilité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 qui, à son tour*socio=rien, par ses *socio=rien effets sur les*socio=nil prix*socio=ec1,*socio=nil la*socio=nil confiance*socio=uv1 *socio=nil et l'investissement*socio=ec1, a rendu la formulation*socio=rien ainsi que la mise en oeuvre*socio=rien des politiques*socio=et plus ardues. Le Comité*socio=ac a souligné que le retour*socio=rien à la stabilité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 exigerait l'adoption*socio=uv3 de politiques*socio=et nationales*socio=te propres*socio=rien à atténuer l'inflation*socio=ec1 et à permettre de réaliser une plus grande*socio=rien convergence*socio=uv3 des taux_de_croissance*socio=ec1 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Complétant son analyse*socio=ec2 du*socio=rien processus*socio=te d'ajustement*socio=et, le Comité*socio=ac a noté qu'en partie*socio=rien à cause*socio=rien de la lenteur*socio=rien de la progression*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac non*socio=nil industriels*socio=ec1 *socio=nil se trouvaient aux prises*socio=rien avec de difficiles*socio=rien problèmes*socio=uv4 d'ajustement*socio=et et de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te. Le Comité*socio=ac a noté que l'inflation*socio=ec1 a continué de ralentir dans *socio=rien bon nombre de*socio=nil pays*socio=ac industriels*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil mais qu'elle a eu tendance*socio=ec2 à s'accélérer dans certains autres, dont les États-unis*socio=ac, où l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien devenue l'objet*socio=rien prioritaire*socio=uv4 de la politique_économique*socio=ec1. En ce qui concerne la croissance*socio=uv3 et l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1, le Comité*socio=ac a été*socio=rien préoccupé surtout par le niveau*socio=rien anormalement élevé*socio=uv4 du*socio=rien chômage*socio=ec1 et du*socio=rien sous-emploi*socio=ec1 de la capacité*socio=uv3 industrielle*socio=ec1 qui prévaut dans ces pays*socio=ac, les États-unis*socio=ac exceptés. Les écarts*socio=ec2 sensibles*socio=rien de taux_de_croissance*socio=ec1 au cours*socio=rien de ces *socio=rien dernières années *socio=nil entre les États-unis*socio=ac, qui ont connu une reprise cyclique*socio=te relativement marquée, et la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac industriels*socio=ec1, dont la *socio=ec1 croissance économique *socio=nil depuis 1975 n'a pas été*socio=rien, en général*socio=rien, suffisante*socio=rien pour réduire le chômage*socio=ec1, ont été*socio=rien soulignés. Le Comité*socio=ac a noté que dans le groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 non exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1, le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien de croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 globale*socio=rien a été*socio=rien assez soutenu, bien*socio=rien que restant à *socio=rien un niveau sensiblement*socio=nil inférieur *socio=nil à celui de la période*socio=te 1967 - 72 et ne permettant de ce fait*socio=rien que des gains*socio=ec1 de revenu*socio=ec1 *socio=rien réel modestes.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a réitéré sa préoccupation*socio=uv4 quant au risque*socio=uv3 d'un*socio=rien recours*socio=ec1 accru au protectionnisme*socio=et et a souligné l'importance*socio=rien qu'il attache à une *socio=rien conclusion rapide et*socio=nil fructueuse des*socio=nil négociations_commerciales_multilatérales*socio=et.*socio=nil Au*socio=nil cours du débat*socio=et sur la*socio=nil situation actuelle*socio=te *socio=nil et les perspectives*socio=te, le Comité*socio=ac a conclu qu'on pouvait discerner une amélioration*socio=uv1 dans les échanges_commerciaux*socio=ec1 internationaux*socio=te résultant*socio=rien des modifications*socio=rien intervenues dans les taux_de_change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 depuis une année*socio=rien et demie*socio=rien. Leurs *socio=rien effets sur le*socio=nil volume du commerce*socio=ec1 -*socio=nil bien que*socio=nil lents *socio=nil à se produire - commençaient à causer des changements*socio=uv3 favorables*socio=uv4 dans les balances_des_paiements_courants*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, du*socio=rien Japon*socio=ac et d'autres pays*socio=ac. D'après*socio=rien le Comité*socio=ac, ces changements*socio=uv3 devraient s'accentuer et pourraient, à la longue*socio=rien, contribuer à une amélioration*socio=uv1 *socio=rien substantielle du solde*socio=ec1 courant des*socio=nil pays*socio=ac industriels*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil à la condition*socio=rien que l'évolution*socio=te des prix*socio=ec1 et des taux_de_croissance*socio=ec1 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te des pays*socio=ac en question*socio=rien soit appropriée. Le Comité*socio=ac a souligné que cette évolution*socio=te nécessiterait l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et intérieures*socio=te destinées*socio=rien à compenser les effets*socio=rien expansionnistes*socio=ec2 d'une dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 et les effets*socio=rien déflationnistes*socio=ec2 de son appréciation*socio=uv3. Le Comité*socio=ac demeure convaincu, comme il l'était en *socio=rien avril dernier *socio=nil à Mexico, que dans les *socio=rien circonstances présentes une*socio=nil croissance*socio=uv3 non*socio=nil inflationniste*socio=ec2 *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te ainsi que la réduction*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 des paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te nécessitaient l'adoption*socio=uv3 d'une stratégie*socio=et coordonnée comprenant des mesures*socio=et relatives*socio=rien à l'énergie*socio=ec1. Ceci contribuerait au développement*socio=uv3 de conditions*socio=ec1 favorables*socio=uv4 à la stabilité*socio=uv3 économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 ainsi qu'à une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Le Comité*socio=ac a souligné que la mise en oeuvre*socio=rien d'une telle stratégie*socio=et pour le *socio=rien moyen terme *socio=nil exige que la contribution*socio=uv1 de chaque pays*socio=ac à la croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te soit modulée en fonction*socio=rien de sa position*socio=rien extérieure*socio=te et du*socio=rien succès*socio=uv1 de sa lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1. La *socio=rien poursuite fructueuse *socio=nil d'une stratégie*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil par les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 entraînerait, de l'avis*socio=rien du*socio=rien Comité*socio=ac, une amélioration*socio=uv1 sensible*socio=rien des conditions*socio=ec1 générales*socio=rien des échanges*socio=ec1 et du*socio=rien développement*socio=uv3, au grand*socio=rien profit*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 et des autres pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien. Le Comité*socio=ac a été*socio=rien d'avis*socio=rien qu'une amélioration*socio=uv1 des conditions*socio=ec1 générales*socio=rien des échanges*socio=ec1 contribuerait à arrêter la tendance*socio=ec2 néfaste*socio=rien au recours*socio=rien à des *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil qui s'est*socio=rien manifestée récemment. En outre, le Comité*socio=ac a souligné qu'il serait souhaitable*socio=rien que les pays*socio=ac développés*socio=uv4 prennent des mesures*socio=et pour ouvrir plus largement leurs marchés*socio=ec1 aux produits*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, qu'ils facilitent l'accès*socio=uv1 de ces pays*socio=ac à leurs marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 et, plus généralement, qu'ils assurent à ces pays*socio=ac *socio=rien un apport adéquat*socio=uv2 de*socio=nil ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2,*socio=nil notamment*socio=nil un niveau plus*socio=nil satisfaisant d'*socio=nil aide_publique_au_développement*socio=et.*socio=nil *socio=nil 3 - Le Comité*socio=ac a examiné plusieurs *socio=rien questions relatives *socio=nil au DTS, se fondant *socio=rien sur un rapport *socio=nil établi par le conseil_d'_administration*socio=ac. Le Comité*socio=ac a adopté des conclusions*socio=rien énoncées dans les paragraphes*socio=rien 4 et 5 ci-après, étant entendu qu'elles sont interdépendantes*socio=uv4 et doivent de ce *socio=rien fait être *socio=nil adoptées in toto et que leur adoption*socio=uv3 est*socio=rien liée aux *socio=rien conclusions retenues *socio=nil par le Comité*socio=ac au sujet*socio=rien de la *socio=rien Septième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et.*socio=nil En*socio=nil conséquence,*socio=nil *socio=nil de l'avis*socio=rien du*socio=rien Comité*socio=ac, toutes décisions*socio=et ayant trait*socio=rien aux DTS et à la *socio=rien Septième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et devraient*socio=nil être prises *socio=nil simultanément. 4 - Le Comité*socio=ac a examiné la question*socio=rien de nouvelles*socio=rien allocations*socio=et de DTS. A cet égard*socio=rien, il a tenu compte*socio=ec1 des divers avis*socio=rien et considérations*socio=rien présentés dans le *socio=rien rapport du conseil_d'_administration*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a convenu de recommander qu'une décision*socio=et d'allouer des DTS, sur*socio=rien la base*socio=rien d'une proposition*socio=rien faite par le directeur_général*socio=ac et soutenue par le conseil_d'_administration*socio=ac au plus tard le 1er novembre*socio=rien 1978, soit adoptée par le conseil_des_gouverneurs*socio=ac avant la fin*socio=rien de l'année*socio=rien, afin de mieux répondre au besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te de compléter les instruments*socio=et de réserve*socio=ec1 existants*socio=rien d'une *socio=rien manière souhaitable.*socio=nil *socio=nil Une telle allocation*socio=et contribuerait également à promouvoir l'objectif*socio=uv3 déclaré des Statuts*socio=et amendés de faire du*socio=rien DTS l'instrument*socio=et de réserve*socio=ec1 *socio=rien principal du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a convenu que le Fonds*socio=ec1 devrait procéder à une allocation*socio=et de 4 milliards*socio=rien de DTS au cours*socio=rien de chacune des trois *socio=rien prochaines années *socio=nil (1979 - 81). 5 - Le Comité*socio=ac est*socio=rien parvenu aux *socio=rien conclusions suivantes *socio=nil en ce qui concerne les autres *socio=rien aspects du *socio=nil DTS. (a) Il a été*socio=rien convenu que le taux_d'_intérêt*socio=ec1 du*socio=rien DTS devrait être*socio=rien porté, de 60 pour 100 de la moyenne*socio=rien pondérée des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te pratiqués dans les cinq*socio=rien pays_membres*socio=ac qui ont les quotes-parts*socio=et les plus élevées*socio=uv4, à 80 pour 100 de cette moyenne*socio=rien et que le taux*socio=ec1 de rémunération*socio=ec1 serait fixé à 90 pour 100 du*socio=rien taux_d'_intérêt*socio=ec1 du*socio=rien DTS, c'est-à-dire à 72 pour 100 du*socio=rien taux*socio=ec1 combiné du*socio=rien marché*socio=ec1. Ce changement*socio=uv3 serait subordonné à un*socio=rien consensus*socio=uv1 portant sur*socio=rien les *socio=rien points suivants *socio=nil : (i) peu avant la fin*socio=rien de chaque exercice*socio=rien financier*socio=ec1, le Fonds*socio=ec1 jugera si son revenu*socio=ec1 net*socio=rien estimé pour l'exercice*socio=rien *socio=rien courant est suffisant *socio=nil pour permettre de relever le taux*socio=ec1 de rémunération*socio=ec1 annuel*socio=te *socio=rien moyen applicable *socio=nil cette année-là à *socio=rien un niveau supérieur *socio=nil à 90 mais n'excédant pas 100 pour 100 du*socio=rien taux_d'_intérêt*socio=ec1 annuel*socio=te *socio=rien moyen du *socio=nil DTS. A cette occasion*socio=rien, il examinera aussi la possibilité*socio=rien d'abaisser dans l'avenir*socio=te les commissions*socio=ac périodiques*socio=te prélevées sur*socio=rien les monnaies*socio=ec1 détenues*socio=rien par le Fonds*socio=ec1. (ii) Lorsque le conseil_d'_administration*socio=ac adoptera la *socio=rien nouvelle formule de*socio=nil calcul du taux*socio=ec1 de*socio=nil rémunération*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil il veillera à ce que l'application*socio=rien de cette formule*socio=rien n'entraîne l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien automatique du taux*socio=ec1 initial des*socio=nil commissions*socio=ac périodiques*socio=te *socio=nil qui se produirait sinon en vertu*socio=rien des Règles*socio=et et Règlements*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Le conseil_d'_administration*socio=ac examinerait la position*socio=rien financière*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et prendrait toute mesure*socio=rien qui pourrait *socio=rien être nécessaire *socio=nil pour la protéger au cas*socio=rien où ses dépenses*socio=ec1 globales*socio=rien excéderaient son revenu*socio=ec1 au cours*socio=rien de toute période*socio=te de six *socio=rien mois consécutifs.*socio=nil *socio=nil (b) Le Comité*socio=ac a noté que le conseil_d'_administration*socio=ac avait poursuivi l'étude*socio=ec2 de *socio=rien nouvelles formes d'*socio=nil utilisation du *socio=nil DTS - à savoir*socio=rien les prêts*socio=ec1, les dépôts*socio=ec1 en gage*socio=rien et les règlements*socio=et directs*socio=rien d'obligations*socio=uv1 - qui pourraient être*socio=rien autorisées par le Fonds*socio=ec1 conformément aux dispositions*socio=et des Statuts*socio=et amendés. II a également exprimé l'espoir*socio=uv1 que le conseil_d'_administration*socio=ac achèvera cette étude*socio=ec2, qu'il prendra prochainement les décisions*socio=et voulues et présentera *socio=rien un rapport au*socio=nil Comité*socio=ac lors *socio=nil de sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil (c) Le Comité*socio=ac a souscrit aux *socio=rien vues du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil selon lesquelles il faudrait que l'obligation*socio=uv1 de reconstitution*socio=ec2 de droits_de_ tirage_spéciaux*socio=rien, à savoir*socio=rien l'obligation*socio=uv1 de maintenir un*socio=rien solde*socio=ec1 *socio=rien moyen minimum *socio=nil de DTS pendant des périodes*socio=te déterminées, soit réduite de 30 à 15 pour 100 des allocations*socio=et cumulatives*socio=ec2 nettes*socio=rien et qu'il conviendrait de revoir cette disposition*socio=et à la lumière*socio=rien de l'expérience*socio=ec2. (d) Le Comité*socio=ac a pris bonne*socio=rien note *socio=rien du fait *socio=nil que le conseil_d'_administration*socio=ac a l'intention*socio=rien de poursuivre son examen*socio=ec2 de la question*socio=rien d'un*socio=rien compte*socio=ec1 de substitution*socio=rien. 6 - Le Comité*socio=ac a repris ses débats*socio=et sur*socio=rien la *socio=rien Septième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et *socio=nil et a porté plus spécialement son *socio=rien attention sur trois*socio=nil aspects fondamentaux*socio=uv4 *socio=nil : le volume*socio=rien global*socio=te de l'augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et, les ajustements*socio=et sélectifs*socio=uv4 des quotes-parts*socio=et et la méthode*socio=ec2 de paiement*socio=ec1 de l'augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et. Il a examiné ces questions*socio=rien conjointement avec celles qui concernent le DTS, les unes et les autres étant considérées comme interdépendantes*socio=uv4. Le Comité*socio=ac a réitéré son opinion*socio=uv1 sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de procéder dans le cadre*socio=rien de la *socio=rien Septième révision *socio=nil à une augmentation*socio=ec2 globale*socio=rien des quotes-parts*socio=et suffisante*socio=rien pour faire face*socio=rien au besoin*socio=uv1 de liquidité*socio=ec1 conditionnelle*socio=rien prévu pour les *socio=rien cinq prochaines années.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a rappelé également qu'à son avis*socio=rien une augmentation*socio=ec2 adéquate*socio=uv2 renforcerait les *socio=rien sources disponibles *socio=nil pour le financement*socio=ec1 des balances_des_paiements*socio=ec1 en rendant le Fonds*socio=ec1 mieux à même de fournir un*socio=rien tel financement*socio=ec1 sans devoir*socio=rien recourir excessivement à l'emprunt*socio=ec1, tout en favorisant le processus*socio=te d' ajustement_international*socio=ec1. Le Comité*socio=ac a convenu qu'une augmentation*socio=ec2 globale*socio=rien des quotes-parts*socio=et de 50 pour 100 serait appropriée pour *socio=rien obtenir un meilleur*socio=uv4 équilibre*socio=ec2 *socio=nil entre l'ampleur*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et les besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme des*socio=nil balances_des_paiements*socio=ec1 des*socio=nil pays_membres*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a noté que le conseil_d'_administration*socio=ac n'avait pas l'intention*socio=rien de proposer d'ajustement*socio=et général*socio=rien des quotes-parts*socio=et pendant les *socio=rien cinq années *socio=nil qui suivront l'approbation*socio=uv1 par le conseil_des_gouverneurs*socio=ac de l'augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et au titre*socio=rien de la *socio=rien Septième révision,*socio=nil *socio=nil à moins que n'intervienne un*socio=rien changement*socio=uv3 majeur*socio=rien dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et ses besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1. Le Comité*socio=ac a noté avec satisfaction*socio=uv3 qu'une entente*socio=et s'était faite sur*socio=rien des augmentations*socio=ec2 sélectives*socio=uv4 de quotes-parts*socio=et pour 11 pays_en_développement*socio=uv3 : l'Arabie*socio=ac Saoudite*socio=ac, la Corée*socio=ac, les Émirats arabes*socio=ac unis, l'Irak*socio=ac, l'Iran*socio=ac, le Koweït*socio=ac, le Liban, la Libye*socio=ac, l'Oman*socio=ac, le Qatar et Singapour*socio=ac. Compte*socio=ec1 tenu des conclusions*socio=rien des débats*socio=et sur*socio=rien les questions*socio=rien touchant les DTS, y compris leur allocation*socio=et, le Comité*socio=ac a convenu que, pour les augmentations*socio=ec2 de quotes-parts*socio=et proposées à la suite*socio=rien de cet examen*socio=ec2, les participants*socio=ac au Département*socio=ac des droits_de_tirage_spéciaux*socio=rien devraient payer*socio=rien en DTS 25 pour 100 de l'augmentation*socio=ec2 de leur quote-part*socio=ec1 et que les non-participants devraient payer*socio=rien en devises*socio=ec1 l'équivalent*socio=rien de 25 pour 100 de l'augmentation*socio=ec2. Le Comité*socio=ac a convenu de demander au conseil_d'_administration*socio=ac de préparer et de soumettre au plus tard le 1er novembre*socio=rien 1978 au vote du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac pour décision*socio=et *socio=rien définitive un projet_de_résolution*socio=et sur les*socio=nil augmentations*socio=ec2 des*socio=nil quotes-parts*socio=et des*socio=nil pays_membres*socio=ac,*socio=nil résolution*socio=uv1 *socio=nil qui contiendrait les dispositions*socio=et nécessaires*socio=rien au sujet*socio=rien de la participation*socio=uv3, de la date de prise*socio=rien d'effet*socio=rien et de la méthode*socio=ec2 de paiement*socio=ec1 de cette augmentation*socio=ec2, conformément à ce qui a été*socio=rien convenu par le Comité*socio=ac. 7 - Étant donné que les besoins*socio=uv1 d'assistance*socio=uv1 financière*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac sont*socio=nil urgents *socio=nil et d'un*socio=rien ordre*socio=rien de grandeur*socio=rien correspondant aux montants*socio=ec1 envisagés par la facilité de financement*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien, le Comité*socio=ac a réitéré l'importance*socio=rien qu'il attachait à la mise en place*socio=rien aussi prochaine*socio=rien que possible*socio=rien de cette facilité et a prié instamment tous les pays_membres*socio=ac qui doivent contribuer à son financement*socio=ec1 de prendre les mesures*socio=et nécessaires*socio=rien pour qu'elle puisse entrer en vigueur*socio=uv3 dans les meilleurs*socio=uv4 délais*socio=rien. 8 - Le Comité*socio=ac a noté que, conformément à sa propre*socio=rien demande*socio=ec1, le conseil_d'_administration*socio=ac a commencé un*socio=rien examen*socio=ec2 de la conditionnalité dont est*socio=rien assortie l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et qu'il avait l'intention*socio=rien de reprendre cette question*socio=rien aussitôt que *socio=rien possible après la*socio=nil réunion annuelle*socio=te du conseil_des_gouverneurs*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 9 - Le Comité*socio=ac a convenu de tenir sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil DC, au printemps*socio=rien de 1979. Communiqué de presse*socio=et, douzième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 7 mars*socio=rien 1979. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa douzième session*socio=rien à Washington*socio=ac, le 7 mars*socio=rien 1979, sous la présidence*socio=rien de M.. Denis Healey, Chancelier de l'Échiquier du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac. M.. J.. de Larosière, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, a participé à la réunion*socio=rien. Le Comité*socio=ac, à l'occasion*socio=rien de la création*socio=uv4 *socio=rien du siège *socio=nil de l'Arabie*socio=ac Saoudite*socio=ac au comité_intérimaire*socio=ac, a souhaité la bienvenue*socio=rien à M.. Abdul Aziz Ai-quraishi, Gouverneur*socio=ac de l'Office*socio=rien monétaire*socio=ec1 saoudien, Suppléant de M.. Mohammed Abalkhail, Ministre*socio=ac des Finances*socio=ec1 et de l'Économie*socio=ec1 nationale*socio=te d'Arabie*socio=ac Saoudite*socio=ac. Les observateurs*socio=ac suivants*socio=rien ont assisté*socio=rien aux débats*socio=et du*socio=rien Comité*socio=ac : M.. Gamani Corea, secrétaire_général*socio=ac de la CNUCED*socio=ac; M.. Jean*socio=rien Ripert, secrétaire_général*socio=ac adjoint aux affaires*socio=ec1 internationales*socio=te, économiques*socio=ec1 et sociales*socio=et de l'ONU*socio=ac; M.. Pierre*socio=rien Languetin, directeur_général*socio=ac de la *socio=ac banque_nationale suisse;*socio=nil *socio=nil M.. René Larre, directeur_général*socio=ac de la BRI*socio=ac; M.. Émile van*socio=rien Lennep, secrétaire_général*socio=ac de l'OCDE*socio=ac; M. Olivier Long*socio=rien, directeur_général*socio=ac du*socio=rien GATT*socio=ac; M.. Ugo Mosca, directeur_général*socio=ac pour les *socio=ec1 affaires économiques et*socio=nil financières *socio=nil de la Commission*socio=ac des *socio=ac communautés européennes;*socio=nil *socio=nil M.. René G.. Ortiz, secrétaire_général*socio=ac de l'OPEP*socio=ac; M.. Ernest Stern, Vice-président*socio=ac, Services*socio=et opérationnels*socio=rien de la BIRD*socio=ac; et M.. Cesar E.. A.. Virata, Président*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3. 2 - Le Comité*socio=ac a examiné les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et le *socio=rien fonctionnement du processus*socio=te d'*socio=nil ajustement_international*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a constaté que la situation*socio=rien économique*socio=ec1 internationale*socio=ac demeure peu satisfaisante*socio=uv4 dans des domaines*socio=rien importants*socio=uv4, mais qu'il y a lieu*socio=rien d'espérer pour 1979 une amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien des paiements*socio=ec1 entre les pays*socio=ac industriels*socio=ec1. Le Comité*socio=ac a pris note que, malgré la reprise de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 dans certains pays*socio=ac industriels*socio=ec1, dans la plupart*socio=rien d'entre eux elle s'est*socio=rien poursuivie à des taux*socio=ec1 insuffisants*socio=uv4 pour réduire le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 du*socio=rien chômage*socio=ec1 et stimuler un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des investissements*socio=ec1. En fait*socio=rien, les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme *socio=nil dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 sont même un*socio=rien peu moins favorables*socio=uv4 qu'à l'époque*socio=te de la *socio=rien précédente session du Comité*socio=ac en*socio=nil septembre dernier.*socio=nil *socio=nil Dans ce contexte*socio=rien, le *socio=rien volume du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te *socio=nil augmente à un*socio=rien rythme*socio=ec2 lent*socio=rien et les pressions*socio=ec2 en *socio=rien faveur du protectionnisme*socio=et *socio=nil se généralisent. Le Comité*socio=ac a exprimé l'espoir*socio=uv1 que les négociations_commerciales_multilatérales*socio=et, qui sont sur*socio=rien le point*socio=rien de se terminer à Genève*socio=ac, permettront de renverser la tendance*socio=ec2 au protectionnisme*socio=et. Le Comité*socio=ac est*socio=rien particulièrement préoccupé de ce que les taux*socio=ec1 de hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 sont encore beaucoup trop élevés*socio=uv4 dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1. Dans certains d'entre eux, en Europe*socio=ac notamment, il semble que les *socio=ec2 tendances inflationnistes *socio=nil exigent une croissance*socio=uv3 plus modérée des *socio=ec1 revenus monétaires.*socio=nil En*socio=nil fait*socio=rien,*socio=nil le*socio=nil problème*socio=uv4 *socio=nil de l'inflation*socio=ec1 paraît s'être*socio=rien encore aggravé au cours*socio=rien des *socio=rien derniers mois.*socio=nil Cette*socio=nil situation *socio=nil appelle des efforts*socio=uv1 accrus pour lutter contre les pressions*socio=ec2 persistantes*socio=rien des prix*socio=ec1 et des coûts*socio=ec1, étant donné que dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac la reprise d'une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 vigoureuse*socio=rien présuppose une réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1. Le Comité*socio=ac s'inquiète*socio=rien tout particulièrement *socio=rien du fait *socio=nil que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac non industriels*socio=ec1, ou pays*socio=ac de production*socio=ec1 primaire*socio=rien, continuent d'enregistrer des taux_de_croissance*socio=ec1 inférieurs*socio=rien à la normale*socio=rien et des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 élevés*socio=uv4. Bien*socio=rien que certains de ces pays*socio=ac aient pris des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et efficaces*socio=uv4, la *socio=rien situation générale *socio=nil pour ce groupe*socio=ac est*socio=rien, de l'avis*socio=rien du*socio=rien Comité*socio=ac, loin*socio=rien d'être*socio=rien satisfaisante*socio=uv4. Le Comité*socio=ac a remarqué avec inquiétude*socio=rien la nouvelle*socio=rien augmentation*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te de la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac a noté l'éventualité*socio=te d'une meilleure*socio=uv4 répartition*socio=uv3 des soldes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te entre les principaux*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 en 1979 qu'en 1978. Cette amélioration*socio=uv1 devrait résulter, d'une part*socio=rien, des effets*socio=rien des variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 et, d'autre part*socio=rien, des *socio=rien variations opportunes des*socio=nil taux_de_croissance*socio=ec1 *socio=nil de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, en particulier*socio=rien aux États-unis*socio=ac, en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et au Japon*socio=ac. Le Comité*socio=ac a souligné que la réalisation*socio=uv1 et le maintien*socio=rien de cette amélioration*socio=uv1 dépendraient de l'adoption*socio=uv3 de politiques_économiques*socio=et nationales*socio=te appropriées. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que la réduction*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 de paiements*socio=ec1 contribuerait à stabiliser davantage les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, et il a pris note de l'amélioration*socio=uv1 intervenue dans ce domaine*socio=rien au cours*socio=rien des *socio=rien derniers mois,*socio=nil *socio=nil à la suite*socio=rien des mesures*socio=et importantes*socio=uv4 annoncées par le gouvernement*socio=ac des États-unis*socio=ac le 1er novembre*socio=rien 1978. *socio=rien Un sentiment d'*socio=nil inquiétude a*socio=nil été *socio=nil exprimé quant à l'incidence*socio=ec2 défavorable*socio=uv4 que pourrait avoir sur*socio=rien de nombreux*socio=rien pays_membres*socio=ac l'incertitude*socio=uv3 qui règne actuellement dans les domaines*socio=rien de l'approvisionnement*socio=ec1 et du*socio=rien prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1. Le Comité*socio=ac s'est*socio=rien félicité des mesures*socio=et prises*socio=rien récemment pour accroître la conservation*socio=uv3 de l'énergie*socio=ec1. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que la situation*socio=rien actuelle*socio=te exige que les pays_membres*socio=ac mettent tout en oeuvre*socio=rien pour poursuivre de façon*socio=rien coordonnée des politiques*socio=et susceptibles*socio=rien de résoudre les problèmes*socio=uv4 de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1, de l'inflation*socio=ec1 et des balances_de_paiements*socio=ec1. La stratégie*socio=et envisagée, qui tient compte*socio=ec1 de la diversité*socio=uv1 des situations*socio=rien économiques*socio=ec1 entre pays*socio=ac, doit faire appel*socio=rien à des mesures*socio=et économiques*socio=ec1 spécialement adaptées à la *socio=rien situation particulière *socio=nil à chacun d'eux. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien qu'il est*socio=rien particulièrement important*socio=uv4 que les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 tiennent compte*socio=ec1 des besoins*socio=uv1 économiques*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 dans la définition*socio=rien de leur politique_économique*socio=ec1. Le Comité*socio=ac invite les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 à n'épargner aucun effort*socio=uv1 pour élargir l'accès*socio=uv1 des exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 à leurs marchés*socio=ec1 et accroître le volume*socio=rien de l'aide_publique_au_développement*socio=et. A ceci s'ajouterait la contribution*socio=uv1 importante*socio=uv4 qu'apporterait dans ce domaine*socio=rien l'application*socio=rien efficace*socio=uv4 d'une stratégie*socio=et concertée à *socio=rien moyen terme de*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil et d'ajustement*socio=et des balances_des_paiements*socio=ec1. 3 - Le Comité*socio=ac, ayant souligné l'importance*socio=rien d'une étroite*socio=rien coopération*socio=uv1 économique*socio=ec1 internationale*socio=ac, fait*socio=rien ressortir la nécessité*socio=uv1 pour le Fonds*socio=ec1 d'exercer une surveillance*socio=et active*socio=uv4 sur*socio=rien les politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 et autres mesures*socio=et adoptées par tous les pays_membres*socio=ac pour rendre le processus*socio=te d'ajustement*socio=et plus efficace*socio=uv4. 4 - Le Comité*socio=ac s'est*socio=rien félicité de la *socio=rien récente entrée en*socio=nil vigueur*socio=uv3 *socio=nil de la facilité de financement*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien qui accroîtra les moyens*socio=ec1 dont le Fonds*socio=ec1 dispose pour aider les pays_membres*socio=ac aux prises*socio=rien à de graves*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 de paiements*socio=ec1, qui sont considérables*socio=rien par rapport*socio=rien à leur quote-part*socio=ec1. Le Comité*socio=ac a demandé à nouveau*socio=rien que le conseil_d'_administration*socio=ac examine la question*socio=rien d'un*socio=rien compte*socio=ec1 de subvention*socio=ec1 qui devrait permettre d'alléger la charge*socio=rien des commissions*socio=ac pour les pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 qui utilisent cette facilité. 5 - Le Comité*socio=ac a également accueilli avec satisfaction*socio=uv3 les décisions*socio=et prises*socio=rien par le conseil_d'_administration*socio=ac en vertu*socio=rien desquelles les DTS pourront servir à accorder des prêts*socio=ec1, à régler directement certaines*socio=rien obligations*socio=uv1 et à fournir une garantie sous forme*socio=rien d'engagements*socio=et et de mises en pension*socio=et; il a en outre approuvé l'intention*socio=rien qu'a le conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre et de mener à terme*socio=rien, dès que possible*socio=rien, les travaux*socio=rien concernant d'autres genres*socio=rien d'opérations*socio=rien comportant l'utilisation*socio=rien de DTS, en particulier*socio=rien l'utilisation*socio=rien de DTS pour les swaps, les opérations*socio=rien à terme*socio=rien et les dons*socio=ec1. Le Comité*socio=ac a aussi approuvé l'intention*socio=rien du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac d'envisager d'augmenter le nombre*socio=rien d'institutions*socio=ac officielles*socio=et qui pourront, comme autres détenteurs*socio=ac, être*socio=rien autorisées à acquérir, à détenir et à utiliser des DTS. 6 - Le Comité*socio=ac a examiné *socio=rien un rapport du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil concernant la création*socio=uv4 d'un*socio=rien compte*socio=ec1 qui serait géré par le Fonds*socio=ec1 et pourrait recevoir des dépôts*socio=ec1 en devises*socio=ec1 effectués librement par les membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 en échange*socio=ec1 d'un*socio=rien montant*socio=ec1 équivalent*socio=rien de créances*socio=ec1 libellées en DTS. L'objet*socio=rien de ce compte*socio=ec1 serait de franchir une nouvelle*socio=rien étape*socio=te en vue*socio=rien de faire du*socio=rien DTS le principal*socio=rien instrument*socio=et de réserve*socio=ec1 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. *socio=rien Un large appui*socio=uv1 s'*socio=nil est *socio=nil dégagé dans le Comité*socio=ac en faveur*socio=rien d'une prise*socio=rien en considération*socio=rien active*socio=uv4 d'un*socio=rien tel compte*socio=ec1 par le conseil_d'_administration*socio=ac, lequel a été*socio=rien invité à présenter ses conclusions*socio=rien à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 7 - Le Comité*socio=ac a convenu de tenir sa *socio=rien prochaine session *socio=nil à Belgrade, Yougoslavie*socio=ac, le lundi*socio=rien 1er octobre*socio=rien 1979, lors*socio=rien de la prochaine*socio=rien Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac. Le Comité*socio=ac a accepté avec plaisir*socio=rien l'invitation*socio=rien de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac à tenir une réunion*socio=rien en Allemagne*socio=ac au printemps*socio=rien de 1980.