*{ Fonds Monétaire international Rapport Annuel 1982 } fonds_monétaire_international*socio=ac.*socio=nil Rapport*socio=rien annuel*socio=te du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil pour l'exercice*socio=rien financier*socio=ec1 clos le 30 avril*socio=rien 1928. Évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Introduction*socio=rien. L'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te en 1981 et au cours*socio=rien des six *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1982 a été*socio=rien marquée par des signes de progrès*socio=uv1 dans la lutte*socio=uv1 difficile*socio=rien menée contre l'inflation*socio=ec1. En dépit*socio=rien de cet aspect*socio=rien favorable*socio=uv4, la *socio=rien situation est *socio=nil restée dans l'ensemble*socio=rien fort*socio=rien préoccupante*socio=uv4 et a continué de poser de *socio=uv4 sérieux problèmes de*socio=nil politique_économique*socio=ec1 *socio=nil tant aux gouvernements*socio=ac qu'aux institutions_internationales*socio=ac. Les difficultés*socio=uv4 auxquelles se heurtent les gouvernements*socio=ac et la *socio=ac communauté internationale sont*socio=nil multiples*socio=rien et*socio=nil diverses*socio=rien.*socio=nil L'*socio=nil inflation*socio=ec1 reste*socio=rien *socio=nil encore trop élevée*socio=uv4 dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac. Les taux_de_croissance*socio=ec1 faibles*socio=rien ou négatifs*socio=rien se sont généralisés et le fort*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l' activité_économique*socio=ec1 qui se prolonge depuis trois ans*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac a eu des effets*socio=rien défavorables*socio=uv4 perceptibles*socio=rien, non seulement sur*socio=rien l'économie*socio=ec1 de ces pays*socio=ac, mais aussi sur*socio=rien celle des pays_en_développement*socio=uv3. Les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 sont élevés*socio=uv4 et continuent d'augmenter; ils ont maintenant dépassé de loin*socio=rien les niveaux*socio=rien enregistrés au cours*socio=rien de la récession*socio=ec2 de 1975 dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac. Le taux_de_croissance*socio=ec1 *socio=rien du volume des*socio=nil échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te est *socio=nil tombé à *socio=rien un niveau extrêmement*socio=nil faible.*socio=nil La*socio=nil position des*socio=nil paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te de*socio=nil nombreux pays*socio=ac *socio=nil se caractérise par *socio=rien un lourd déséquilibre*socio=uv3 des*socio=nil transactions_courantes*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil niveau *socio=nil et les fluctuations*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et des taux_de_change*socio=ec1 dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années *socio=nil ont créé de *socio=uv4 sérieuses difficultés *socio=nil à ces pays*socio=ac comme au *socio=rien reste du monde*socio=te.*socio=nil *socio=nil Considérés globalement, ces différents*socio=rien problèmes*socio=uv4 sont graves*socio=uv4 et sont devenus une source*socio=rien d'insatisfaction*socio=rien et de préoccupation*socio=uv4 généralisées. La faiblesse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 et le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 du*socio=rien chômage*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac accroissent les menaces*socio=uv4 de protectionnisme*socio=et; c'est*socio=rien là un*socio=rien problème*socio=uv4 crucial*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 qui exige, de la part*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=et, la plus *socio=rien grande vigilance *socio=nil et la plus grande*socio=rien prudence*socio=uv1, car céder aux pressions*socio=ec2 en *socio=rien faveur du protectionnisme*socio=et *socio=nil pourrait avoir de très graves*socio=uv4 conséquences*socio=rien pour la croissance*socio=uv3 du*socio=rien commerce*socio=ec1 international*socio=te. La faiblesse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac a aussi des incidences*socio=ec2 *socio=rien négatives sur les*socio=nil prix*socio=ec1 des*socio=nil produits de*socio=nil base *socio=nil et, partant, sur*socio=rien les recettes*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1 de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3. La diminution*socio=ec2 du*socio=rien pouvoir_d'_achat*socio=ec1 international*socio=te de ces pays*socio=ac accentue encore, par contrecoup*socio=te, le ralentissement*socio=ec2 des échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te. Les tensions*socio=ec2 sociales*socio=et et politiques*socio=et croissantes*socio=rien dont s'accompagne le chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4 engendrent des pressions*socio=ec2 en faveur*socio=rien d'un*socio=rien assouplissement*socio=uv3 des politiques*socio=et financières*socio=ec1 restrictives*socio=uv4 et anti-inflationnistes*socio=ec2 qui ont été*socio=rien appliquées au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années *socio=nil par de nombreux*socio=rien pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1, et notamment par plusieurs grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Il s'agit là aussi d'un*socio=rien phénomène*socio=rien très inquiétant*socio=rien; dans les circonstances*socio=rien actuelles*socio=te, on peut s'attendre que le passage*socio=rien à des politiques_monétaires*socio=et et budgétaires*socio=et expansionnistes*socio=ec2 n'aura qu'un*socio=rien effet*socio=rien positif*socio=uv4 limité et *socio=rien temporaire sur la*socio=nil production*socio=ec1 *socio=nil et l'emploi*socio=ec1, et risque*socio=uv3 fort*socio=rien d'intensifier les anticipations*socio=uv3 et *socio=ec2 pressions inflationnistes,*socio=nil *socio=nil ce qui ne tarderait sans doute*socio=rien guère à aggraver encore la stagflation*socio=ec2. Quel que soit le coût*socio=ec1 des mesures*socio=et qui permettraient d'empêcher une nouvelle*socio=rien recrudescence*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 et ses ravages, il serait de toute manière*socio=rien moins élevé*socio=uv4 que celui *socio=rien du pénible processus*socio=te d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil qui suivrait presque immanquablement cette nouvelle*socio=rien dégradation*socio=uv3. Dans plusieurs grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, les efforts*socio=uv1 tendant à réduire l'inflation*socio=ec1 se sont concrétisés par des signes manifestes de progrès*socio=uv1, Ces progrès*socio=uv1, qui sont attribuables*socio=rien surtout à l'application*socio=rien d'une politique_monétaire*socio=et restrictive*socio=uv4 destinée à limiter*socio=rien globalement la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 nominale*socio=rien, ont fait*socio=rien avancer ces pays*socio=ac dans la voie*socio=rien de l'ajustement*socio=et de leur économie*socio=ec1 davantage (compte*socio=ec1 tenu, comme il se doit, des décalages*socio=rien) que l'indiquent peut-être les statistiques*socio=ec2 actuelles*socio=te. Dans plusieurs grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, et notamment aux États-unis*socio=ac, l'évolution*socio=te récente*socio=rien des *socio=ec1 coûts salariaux *socio=nil laisse présager - à condition*socio=rien que de nouvelles*socio=rien pressions*socio=ec2 à la hausse*socio=rien ne se fassent sentir - que le taux*socio=ec1 d'augmentation*socio=ec2 des prix*socio=ec1 de la production*socio=ec1 finale*socio=rien sera nettement plus faible*socio=rien que l'an*socio=rien dernier*socio=rien. Il serait fort*socio=rien regrettable que ces progrès*socio=uv1 accomplis péniblement soient réduits à néant*socio=rien par le recours*socio=ec1 inopportun*socio=rien à des politiques*socio=et expansionnistes*socio=ec2. L'un*socio=rien des *socio=uv4 problèmes importants *socio=nil que connaissent les pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien celui des diverses*socio=rien rigidités*socio=uv3 et des différents*socio=rien déséquilibres*socio=uv3 structurels*socio=ec2 qui se sont ancrés dans leur système_économique*socio=ec1. On en trouve des exemples*socio=rien dans les conventions_collectives*socio=ec1 et le dispositif*socio=et de fixation*socio=ec1 des prix*socio=ec1, dans les subventions*socio=ec1 versées par les pouvoirs_publics*socio=et et la protection*socio=et qu'ils accordent*socio=rien aux industries*socio=ec1 sur*socio=rien le déclin*socio=ec2, dans l'imposition*socio=et de réglementations*socio=et trop pesantes et dans le chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2. En outre, *socio=rien certaines catégories de*socio=nil dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et *socio=nil et certains aspects*socio=rien de la fiscalité*socio=et se caractérisent aussi par une rigidité*socio=uv3 considérable*socio=rien, ce qui explique pourquoi les importants*socio=uv4 déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et sont devenus si fréquents*socio=rien. Ces déficits*socio=ec1 n'ont pas seulement eu directement des effets*socio=rien défavorables*socio=uv4 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 et les coûts*socio=ec1, ils ont aussi indirectement*socio=rien compromis*socio=uv1, de *socio=rien différentes manières,*socio=nil l'*socio=nil efficacité*socio=uv3 des*socio=nil mesures*socio=et de*socio=nil restriction*socio=et monétaire*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ils ont notamment joué un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 dans l'escalade qui a porté les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à leurs niveaux*socio=rien actuellement élevés*socio=uv4 (tant en valeur*socio=ec1 nominale*socio=rien qu'en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2). Les déséquilibres*socio=uv3 structurels*socio=ec2 et les rigidités*socio=uv3 - notamment en matière*socio=rien de fixation*socio=ec1 des prix*socio=ec1 et des salaires*socio=ec1 qu'on observe actuellement - ont tendance*socio=ec2 à rendre l'inflation*socio=ec1 plus résistante et la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 plus hésitante*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac. Si l'on veut que la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 et le chômage*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac porte*socio=rien ses fruits*socio=rien en temps*socio=rien utile*socio=uv4, il convient de mettre en oeuvre*socio=rien une politique_économique*socio=ec1 s'inscrivant*socio=rien dans une stratégie*socio=et d'ensemble*socio=rien, qui soit non seulement de nature*socio=rien à limiter*socio=rien globalement la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 nominale*socio=rien de façon*socio=rien à réduire l'inflation*socio=ec1, mais qui comprenne aussi des mesures*socio=et destinées*socio=rien à atténuer ou éliminer les rigidités*socio=uv3 et les déséquilibres*socio=uv3 structurels*socio=ec2 qui se manifestent dans le domaine*socio=rien budgétaire*socio=et, sur*socio=rien les marchés_du_travail*socio=ec1 et des produits*socio=rien et dans d'autres domaines*socio=rien où se posent des problèmes*socio=uv4. Sans mesures*socio=et efficaces*socio=uv4 de ce type*socio=rien, une politique*socio=et visant à réduire sensiblement la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 nominale*socio=rien pourrait avoir, selon l'effet*socio=rien qu'elle aurait sur*socio=rien les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2, une incidence*socio=ec2 défavorable*socio=uv4 sur*socio=rien la production*socio=ec1 et l'emploi*socio=ec1 pendant une période*socio=te prolongée et s'avérerait ainsi difficile*socio=rien à appliquer sur*socio=rien le plan*socio=rien politique*socio=et. Pour écourter cette période*socio=te et réduire autant que possible*socio=rien les conséquences*socio=rien défavorables*socio=uv4, certains pays*socio=ac auraient sans doute*socio=rien intérêt*socio=uv1 à adopter des mesures*socio=et souples*socio=uv4 ou informelles*socio=uv2 visant à limiter*socio=rien la croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 revenus nominaux *socio=nil sans compromettre pour autant l'ajustement*socio=et nécessaire*socio=rien de la structure*socio=ec1 des revenus*socio=ec1 et des prix*socio=ec1. Ces mesures*socio=et devraient, *socio=rien bien sûr,*socio=nil être *socio=nil adaptées aux caractéristiques*socio=rien politiques*socio=et, sociales*socio=et et institutionnelles*socio=et de chaque pays*socio=ac. Dans les circonstances*socio=rien actuelles*socio=te, il *socio=rien est évident *socio=nil que l'application*socio=rien générale*socio=rien de politiques*socio=et globales*socio=rien d'ajustement*socio=et s'impose, c'est-à-dire de politiques*socio=et conçues en fonction*socio=rien de la *socio=rien situation particulière *socio=nil de chaque pays*socio=ac et axées, dans la mesure*socio=rien voulue, sur*socio=rien la réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1, l'amélioration*socio=uv1 de l'efficacité*socio=uv3 économique*socio=ec1 et l'élimination*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te. *socio=rien Un nombre croissant de*socio=nil pays_membres*socio=ac,*socio=nil industriels*socio=ec1 *socio=nil comme en développement*socio=uv3, ont adopté des politiques*socio=et globales*socio=rien d'ajustement*socio=et au cours*socio=rien des quelques *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil et il ne fait*socio=rien guère de doute*socio=rien que d'autres pays*socio=ac suivront leur exemple*socio=rien. Étant donné que les problèmes*socio=uv4 à résoudre sont, par nature*socio=rien, profondément enracinés, les politiques*socio=et d'ajustement*socio=et doivent être*socio=rien conçues dans une optique*socio=rien à *socio=rien moyen terme.*socio=nil L'*socio=nil application *socio=nil de ces politiques*socio=et demandera donc *socio=rien du temps *socio=nil et de la patience; elle exigera également du*socio=rien courage*socio=uv1, car *socio=rien bon nombre des*socio=nil problèmes*socio=uv4 *socio=nil à éliminer pour rétablir les économies*socio=ec1 nationales*socio=te sur*socio=rien une *socio=rien base solide *socio=nil sont à la fois*socio=rien exceptionnellement ardus et particulièrement *socio=rien délicats sur le*socio=nil plan politique*socio=et.*socio=nil *socio=nil S'il *socio=rien est vrai *socio=nil que les tâches*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 qui incombent aux gouvernements*socio=ac semblent peu aisées*socio=rien et de *socio=rien longue haleine,*socio=nil *socio=nil il convient également de reconnaître qu'on ne voit poindre aucune autre solution*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 à l'orientation*socio=et générale*socio=rien esquissée plus haut*socio=rien. L'expérience*socio=ec2 montre clairement que le processus*socio=te d'ajustement*socio=et, nécessairement difficile*socio=rien, qui permettra le retour*socio=rien à une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 non inflationniste*socio=ec2, ne peut être*socio=rien écourté en recourant à des mesures*socio=et commerciales*socio=ec1 protectionnistes*socio=et ou à des politiques_monétaires*socio=et et budgétaires*socio=et prématurément*socio=rien expansionnistes*socio=ec2. Les *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil seraient particulièrement préjudiciables*socio=et aux perspectives*socio=te commerciales*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3, dont le pouvoir_d'_achat*socio=ec1 a déjà été*socio=rien gravement compromis*socio=uv1, dans bien*socio=rien des cas*socio=rien, par la baisse*socio=ec2 récente*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien. L'expérience*socio=ec2 montre encore que la mise en *socio=rien oeuvre patiente de*socio=nil politiques*socio=et prudentes*socio=uv2 *socio=nil et tendant à éviter les restrictions*socio=et commerciales*socio=ec1 devrait entraîner une convergence*socio=uv3 des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 à des niveaux*socio=rien plus faibles*socio=rien et poser ainsi les fondements*socio=uv4 d'une croissance*socio=uv3 soutenue et d'une progression*socio=ec2 de l'emploi*socio=ec1 à plus long_terme*socio=te. Le fléchissement*socio=ec2 des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 auquel on assiste actuellement dans les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac constitue une étape*socio=te de bon*socio=rien augure dans cette direction*socio=et. Le *socio=rien présent chapitre analyse l'*socio=nil évolution*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te sur*socio=rien laquelle se fondent les observations*socio=ec2 générales*socio=rien qui précèdent. Les trois grands*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac - pays_industrialisés*socio=ac, *socio=ac pays_en_développement exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 et*socio=nil pays_en_développement non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil - seront *socio=rien traités séparément *socio=nil afin de faciliter l'analyse*socio=ec2, étant donné la diversité*socio=uv1 de leurs situations*socio=rien actuelles*socio=te et de leurs évolutions*socio=te respectives*socio=rien; toutefois, les changements*socio=uv3 importants*socio=uv4 intervenus dans la situation*socio=rien des différents*socio=rien pays*socio=ac et sous-groupes_de_pays*socio=ac seront également examinés. Ces groupes_de_pays*socio=ac feront l'objet*socio=rien d'une étude*socio=ec2 générale*socio=rien portant sur*socio=rien l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien et les politiques_économiques*socio=et tant au niveau*socio=rien intérieur*socio=te qu'extérieur*socio=te. La *socio=rien dernière partie du chapitre,*socio=nil *socio=nil consacrée aux questions*socio=rien de politique_économique*socio=ec1, permettra notamment de développer certaines*socio=rien observations*socio=ec2 présentées dans cette introduction*socio=rien. Activités*socio=rien et politique_économiques*socio=ec1 intérieures*socio=te. pays_industrialisés*socio=ac. Orientation*socio=et de la politique_économique*socio=ec1. Pendant toute l'année*socio=rien 1981 et les six *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1982, la réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée l'objectif*socio=uv3 premier*socio=rien des politiques*socio=et financières*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac. Bien*socio=rien que les gouvernements*socio=ac de la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac aient été*socio=rien aux prises*socio=rien avec des taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 exceptionnellement élevés*socio=uv4, ils n'ont généralement pas jugé approprié d'adopter des politiques*socio=et axées sur*socio=rien des objectifs*socio=uv3 d'emploi*socio=ec1 à court_terme*socio=te. Leur attitude*socio=uv3 était fondée sur*socio=rien la conviction*socio=uv1 - exprimée à maintes reprises lors*socio=rien des réunions*socio=rien ministérielles*socio=ac tenues au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil et notamment à la réunion*socio=rien d'Helsinki (mai*socio=rien 1982) du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds*socio=ac - que la maîtrise*socio=rien rigoureuse*socio=uv4 et constante*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien devenue une *socio=rien condition préalable *socio=nil à l'amélioration*socio=uv1 durable*socio=uv4 de la situation*socio=rien de l'emploi*socio=ec1. Dans leurs efforts*socio=uv1 pour juguler l'inflation*socio=ec1, les pays_industrialisés*socio=ac ont eu recours*socio=rien tant à la politique_monétaire*socio=et qu'à la politique_budgétaire*socio=et. Toutefois, l'application*socio=rien de l'un*socio=rien et l'autre de ces deux principaux*socio=rien instruments*socio=et de gestion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 a été*socio=rien plutôt inégale*socio=uv2. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil c'*socio=nil est la*socio=nil politique_monétaire*socio=et *socio=nil qui a dû assurer la *socio=rien majeure partie *socio=nil de la tâche*socio=rien, principalement parce que l'efficacité*socio=uv3 des *socio=et mesures budgétaires a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil entamée par le décalage*socio=rien entre leur conception*socio=et et leur mise en oeuvre*socio=rien. A cause*socio=rien surtout d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pressions*socio=ec2 sociales*socio=et et*socio=nil politiques*socio=et,*socio=nil des*socio=nil rigidités*socio=uv3 *socio=nil sont apparues dans les systèmes*socio=rien budgétaires*socio=et de la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac et ont rendu singulièrement difficile*socio=rien l'ajustement*socio=et aux *socio=rien situations changeantes.*socio=nil Un obstacle*socio=uv3 important*socio=uv4 *socio=nil à l'efficacité*socio=uv3 des politiques_budgétaires*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2 tient à l'existence*socio=rien généralisée de vastes*socio=rien dispositifs*socio=et qui consacrent, soit avec une certaine*socio=rien force*socio=uv1 légale*socio=et, soit de facto mais de manière*socio=rien quasiment irrécusable, le droit*socio=uv1 de *socio=rien certaines catégories *socio=nil de la population*socio=ac à bénéficier de divers types de transferts*socio=ec1 ou de subventions*socio=ec1 provenant d'organismes_publics*socio=ac. Ces dispositifs*socio=et, davantage que les achats*socio=ec1 publics*socio=et directs*socio=rien de biens*socio=ec1 et de services*socio=et, sont à l'origine*socio=rien de la *socio=rien majeure partie *socio=nil de l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien considérable du rapport *socio=nil entre les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et totales*socio=rien et le produit_national_brut*socio=ec1 (PNB*socio=ec1) enregistrée depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 60 dans les pays_industrialisés*socio=ac. Cette augmentation*socio=ec2 s'explique non seulement par les pressions*socio=ec2 sociales*socio=et et politiques*socio=et exercées sur*socio=rien les pouvoirs_publics*socio=et par les bénéficiaires*socio=ac effectifs*socio=rien et potentiels*socio=uv4 des prestations*socio=et, mais également par le degré*socio=rien important*socio=uv4 d'automaticité inhérent*socio=rien aux nombreux*socio=rien programmes*socio=et dont les dépenses*socio=ec1 sont étroitement liées à l'inflation*socio=ec1 et à la croissance*socio=uv3 *socio=rien du nombre des*socio=nil bénéficiaires*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Cette automaticité empêche naturellement toute stabilisation*socio=et ou inversion*socio=rien de la tendance*socio=ec2 à la hausse*socio=rien. En outre, la réticence*socio=uv3 des contribuables*socio=ac à supporter la *socio=rien totalité du coût*socio=ec1 *socio=nil de ces programmes*socio=et engendre une distorsion*socio=uv3 systématique*socio=rien qui aboutit à la persistance*socio=te ou à l'accroissement*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 publics*socio=et. L'élimination*socio=ec2 des mesures*socio=et de stimulation*socio=rien de l'économie*socio=ec1 par le budget*socio=ec1 a été*socio=rien généralement limitée depuis 1979. Dans la plupart*socio=rien des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, le déficit*socio=ec1 effectif*socio=rien de l'État*socio=ac a été*socio=rien accru par les répercussions*socio=ec2 de la baisse*socio=ec2 actuelle*socio=te de conjoncture*socio=ec2 sur*socio=rien les recettes*socio=ec1 et les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et, encore que, abstraction*socio=rien faite de ces effets*socio=rien conjoncturels*socio=te, les soldes*socio=ec1 budgétaires*socio=et enregistrés récemment soient généralement plus restrictifs*socio=uv4 (ou moins expansionnistes*socio=ec2) que ceux enregistrés peu avant la récession*socio=ec2 amorcée au second*socio=rien trimestre*socio=te de 1980. Parmi les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, c'est*socio=rien au Royaume-uni*socio=ac qu'a été*socio=rien opéré le mouvement*socio=ec2 restrictif*socio=uv4 le plus important*socio=uv4 - équivalant à plus de 3,5 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 - des deux *socio=rien dernières années;*socio=nil la*socio=nil variation *socio=nil n'a dépassé 2 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 dans aucun autre pays*socio=ac; elle est*socio=rien même allée en *socio=rien sens contraire *socio=nil dans certains pays*socio=ac. Envisagés sur*socio=rien une longue*socio=rien période*socio=te, les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac sont restés généralement très élevés*socio=uv4. En *socio=rien pourcentage du PNB*socio=ec1,*socio=nil leur*socio=nil moyenne *socio=nil pondérée a presque atteint 4 % en 1981, soit seulement *socio=rien un point *socio=nil de moins environ qu'en 1975, année*socio=rien qui avait pourtant été*socio=rien marquée par la récession*socio=ec2 et l'adoption*socio=uv3 de *socio=et mesures budgétaires anticycliques.*socio=nil Les*socio=nil orientations *socio=nil de la politique_budgétaire*socio=et qu'impliquent les *socio=et programmes budgétaires *socio=nil pour 1982 ne présagent guère de changement*socio=uv3 de la *socio=rien moyenne globale.*socio=nil L'*socio=nil ampleur des*socio=nil déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et actuels*socio=te *socio=nil suscite des préoccupations*socio=uv4 quant au volume*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 absorbé par leur financement*socio=ec1. On estime*socio=rien que la *socio=rien part moyenne *socio=nil pondérée de l'épargne*socio=ec1 *socio=rien brute du secteur_privé*socio=et *socio=nil absorbée par les besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 de l'État*socio=ac dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac a été*socio=rien d'environ 17 % en 1981. Inférieure*socio=rien à celle enregistrée en 1975 (où elle avait dépassé *socio=rien un cinquième)*socio=nil ,*socio=nil cette*socio=nil part est *socio=nil néanmoins beaucoup plus importante*socio=uv4 que la *socio=rien moyenne correspondante des*socio=nil premières années *socio=nil 70 (moins d'un*socio=rien dixième*socio=rien, par exemple*socio=rien, en 1972). Les proportions*socio=rien varient beaucoup d'un*socio=rien grand*socio=rien pays_industrialisé*socio=ac à l'autre, puisqu'elles se sont situées entre environ 10 % et plus de 40 % en 1981, mais elles sont aujourd'hui considérablement*socio=rien plus élevées*socio=uv4 dans tous les pays*socio=ac qu'il y a une dizaine*socio=rien d'années*socio=rien. Compte*socio=ec1 tenu de cette modification*socio=rien structurelle*socio=ec2 importante*socio=uv4 de l'utilisation*socio=rien de l'épargne*socio=ec1, on ne saurait exclure la possibilité*socio=rien que les emprunts*socio=ec1 publics*socio=et écartent, en fait*socio=rien, l'investissement*socio=ec1 productif*socio=uv4 du*socio=rien secteur_privé*socio=et sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. La politique_monétaire*socio=et des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac a pris *socio=rien un tour *socio=nil nettement plus restrictif*socio=uv4 au cours*socio=rien des deux ou trois *socio=rien dernières années.*socio=nil La*socio=nil situation monétaire*socio=ec1 *socio=nil et son évolution*socio=te ont considérablement*socio=rien différé d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre mais la tendance*socio=ec2 générale*socio=rien au resserrement*socio=ec2 s'est*socio=rien manifestée tant par le ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 des principaux*socio=rien *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil que par la *socio=rien forte hausse des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1,*socio=nil en*socio=nil valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 *socio=nil comme en valeur*socio=ec1 nominale*socio=rien. On peut s'attendre que cette évolution*socio=te entraîne, avec *socio=rien un décalage considérable,*socio=nil un ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1. La moyenne*socio=rien pondérée des indices de la masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens étroit *socio=nil dans les sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac montre que le taux*socio=ec1 annuel*socio=te d'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 est*socio=rien tombé de 10 %, en moyenne*socio=rien annuelle*socio=te, au cours*socio=rien de la période*socio=te 1976-78 à 7,5 % en 1979 et environ 6,5 % en 1980 et en 1981. L'indice *socio=rien composite comparable *socio=nil de la masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens large fait *socio=nil apparaître des taux*socio=ec1 annuels*socio=te d'augmentation*socio=ec2 de l'ordre*socio=rien de Il à 13 % pour chacune des années*socio=rien de la période*socio=te 1976-78, suivis par des taux*socio=ec1 d'environ 10 % pour chacune des trois *socio=rien dernières années.*socio=nil Le*socio=nil ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 a encore été*socio=rien plus prononcé en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2. L'indice composite*socio=rien ajusté (sur*socio=rien la base*socio=rien des déflateurs du*socio=rien PNB*socio=ec1) de la monnaie*socio=ec1 au *socio=rien sens large fait *socio=nil apparaître une baisse*socio=ec2 *socio=rien progressive du taux*socio=ec1 annuel*socio=te d'*socio=nil expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1,*socio=nil passé *socio=nil de 5,5 % en 1976 à environ 1 % en 1980. Bien*socio=rien que ce taux*socio=ec1 soit remonté tout près de 1,5 % en 1981, la moyenne*socio=rien annuelle*socio=te de 1,5 % enregistrée au cours*socio=rien des trois *socio=rien dernières années a*socio=nil été inférieure *socio=nil de 3 points*socio=rien à celle de 1976-78. Les stocks*socio=ec1 déflatés de monnaie*socio=ec1 au *socio=rien sens étroit,*socio=nil *socio=nil qui s'étaient stabilisés en 1979, ont effectivement*socio=rien diminué d'environ 2 à 3 % par an*socio=rien en 1980 et 1981, alors qu'ils avaient au contraire*socio=rien augmenté de près de 3 % par an*socio=rien, en moyenne*socio=rien, de 1976 à 1978. Cette diminution*socio=ec2 des *socio=ec1 taux_de_croissance moyens des*socio=nil agrégats monétaires clés*socio=rien *socio=nil résulte de la politique*socio=et suivie par les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac qui ont réduit les objectifs*socio=uv3 (ou fourchettes*socio=rien - objectifs*socio=uv3) fixés pour l'évolution*socio=te de ces agrégats*socio=ec1. Les politiques_monétaires*socio=et plus restrictives*socio=uv4 appliquées au cours*socio=rien de ces *socio=rien dernières années *socio=nil se sont caractérisées notamment par le fait*socio=rien que les *socio=rien aspects quantitatifs *socio=nil de la gestion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 ont pris plus d'importance*socio=rien que les *socio=rien aspects relatifs aux*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil qui transparaissent dans les taux_d'_intérêt*socio=ec1. Ce remaniement des priorités*socio=uv4 a été*socio=rien opéré bien*socio=rien que les modifications*socio=rien des réglementations*socio=et et pratiques*socio=et financières*socio=ec1 aient compliqué l'interprétation*socio=ec2 des mouvements*socio=ec2 des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil dans certains pays*socio=ac (plus particulièrement aux États-unis*socio=ac). *socio=rien Du fait,*socio=nil en*socio=nil partie,*socio=nil *socio=nil qu'une plus *socio=rien grande importance ait*socio=nil été *socio=nil attachée à la régulation*socio=et de la croissance*socio=uv3 de la monnaie*socio=ec1 et du*socio=rien crédit*socio=ec1, et en partie*socio=rien parce que ce changement*socio=uv3 est*socio=rien intervenu à une époque*socio=te marquée par une poussée d'inflation*socio=ec1, par de fortes*socio=rien anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 et par des incertitudes*socio=uv3 dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont non seulement augmenté d'une *socio=rien manière spectaculaire au*socio=nil cours des*socio=nil dernières années,*socio=nil *socio=nil mais ont aussi accusé d'amples*socio=rien fluctuations*socio=ec2. Les *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux sur*socio=rien les*socio=nil créances financières à*socio=nil long*socio=rien *socio=nil et à court_terme*socio=te dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont dépassé en moyenne*socio=rien 13 %,en 1981, alors que les taux*socio=ec1 à court_terme*socio=te avaient été*socio=rien d'environ 6 à 7 % et les taux*socio=ec1 à long_terme*socio=te de l'ordre*socio=rien de 8 à 9 % entre 1976 et 1978. Le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien enregistré en 1981 a dépassé d'environ 4,5 points*socio=rien le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 (mesuré par les déflateurs du*socio=rien PNB*socio=ec1), alors qu'il lui avait au *socio=rien contraire été nettement*socio=nil inférieur *socio=nil pendant plusieurs années*socio=rien antérieures*socio=te à 1979. Au cours*socio=rien de la période*socio=te 1976-78, la moyenne*socio=rien pondérée des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 à long_terme*socio=te (calculée sur*socio=rien la base*socio=rien des déflateurs du*socio=rien PNB*socio=ec1) dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac n'a pas atteint 1,5 % et la *socio=rien moyenne correspondante des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 à*socio=nil court_terme*socio=te a*socio=nil été légèrement*socio=nil négative.*socio=nil L'*socio=nil ampleur considérable des*socio=nil variations des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 à*socio=nil court_terme*socio=te *socio=nil depuis la fin*socio=rien de 1979 (graphique*socio=rien 1) a déconcerté tant les participants*socio=ac au marché*socio=ec1 privé*socio=et que les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1. Étant donné que le degré*socio=rien de restriction*socio=et a varié considérablement*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, tout comme les circonstances*socio=rien dans lesquelles les politiques_monétaires*socio=et nationales*socio=te ont été*socio=rien mises en oeuvre*socio=rien, les variations*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 n'ont pas été*socio=rien uniformes*socio=uv4, loin*socio=rien de là. Les fluctuations*socio=ec2 des écarts*socio=ec2 internationaux*socio=te entre taux_d'_intérêt*socio=ec1 qui en sont résultées ont parfois provoqué des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 et engendré des pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, ce qui a limité les choix*socio=uv1 de politique_économique*socio=ec1 dans le monde*socio=te industrialisé (notamment pour les pays*socio=ac hésitant*socio=rien à laisser leur taux_de_change*socio=ec1 s'adapter*socio=rien librement aux forces_du_marché*socio=ec1) et a eu aussi des répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3. Bien*socio=rien que la fermeté*socio=rien avec laquelle les politiques*socio=et financières*socio=ec1 restrictives*socio=uv4 ont été*socio=rien appliquées dans les *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1981 et au début*socio=rien de 1982 ait considérablement*socio=rien varié, l'orientation*socio=et donnée actuellement par les pays_industrialisés*socio=ac à leur politique_économique*socio=ec1, si celle-ci est*socio=rien pleinement appliquée, se traduira sans doute*socio=rien, en 1982, par une restriction*socio=et moyenne*socio=rien au moins aussi ferme*socio=ec2 que celle déjà observée depuis *socio=rien un certain temps.*socio=nil Les*socio=nil déclarations*socio=et d'*socio=nil intentions des*socio=nil gouvernements*socio=ac en*socio=nil matière d'*socio=nil agrégats*socio=ec1 monétaires*socio=ec1 *socio=nil supposent une légère*socio=rien décélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 du*socio=rien taux*socio=ec1 composite*socio=rien de la masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens large,*socio=nil *socio=nil et les *socio=et programmes budgétaires d'*socio=nil un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil prévoient une réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et (après*socio=rien ajustement*socio=et conjoncturel*socio=te). Toutefois, plusieurs pays*socio=ac ont réorienté leur politique_budgétaire*socio=et dans *socio=rien un sens plus*socio=nil expansionniste*socio=ec2 *socio=nil et il est*socio=rien assez douteux*socio=uv2 que puissent être*socio=rien entièrement mis en oeuvre*socio=rien les *socio=et programmes budgétaires de*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil orientation restrictive*socio=uv4.*socio=nil Inflation*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Les douze *socio=rien derniers mois ont*socio=nil été *socio=nil marqués par des signes de progrès*socio=uv1 dans la lutte*socio=uv1 menée par les pays_industrialisés*socio=ac contre l'inflation*socio=ec1. Toutefois, la décélération*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 enregistrée récemment est*socio=rien due en partie*socio=rien à l'effet*socio=rien de *socio=rien facteurs temporaires,*socio=nil *socio=nil tels que la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 après*socio=rien leur forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 en 1979-80. Beaucoup moins important*socio=uv4, l'an*socio=rien dernier*socio=rien, que celui de la hausse*socio=rien des *socio=rien produits finals,*socio=nil le*socio=nil ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la hausse*socio=rien des coûts*socio=ec1 de base*socio=rien (principalement des salaires*socio=ec1) ne pourra se poursuivre que si les politiques*socio=et de restriction*socio=et financière*socio=ec1 continuent d'être*socio=rien mises en oeuvre*socio=rien et si l'opinion*socio=ac publique*socio=et est*socio=rien convaincue que leur orientation*socio=et ne sera pas renversée. Mesuré par les *socio=rien variations trimestrielles des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil à la consommation*socio=ec1, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 annuel*socio=te moyen*socio=rien des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien tombé, au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1982, à environ 5 %, chiffre *socio=rien considérablement inférieur *socio=nil à la moyenne*socio=rien enregistrée en 1978, avant que commence la forte*socio=rien montée observée entre-temps*socio=rien (voir graphique*socio=rien 2). La période*socio=te marquée par l'accélération*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1, déclenchée et entretenue essentiellement par la seconde vague de hausses des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, s'est*socio=rien étendue de la fin*socio=rien de 1978 au début*socio=rien de 1980. Au cours*socio=rien de cette période*socio=te, le taux*socio=ec1 annuel*socio=te moyen*socio=rien d'augmentation*socio=ec2 des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac *socio=rien est passé *socio=nil d'environ 7 % à 14 %. Peu après*socio=rien, *socio=rien du fait du ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, un*socio=rien fléchissement*socio=ec2 considérable*socio=rien s'est*socio=rien amorcé, qui a ramené le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 moyen*socio=rien aux alentours*socio=rien de 9 à 10 % pendant les *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1980. Mais le tassement*socio=rien de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 a été*socio=rien plus limité et irrégulier pendant la *socio=rien majeure partie *socio=nil de 1981. La levée des contrôles*socio=et sur*socio=rien les prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te du*socio=rien pétrole*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac et les effets*socio=rien des variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 en Europe*socio=ac figurent parmi les *socio=rien facteurs particuliers *socio=nil qui ont contribué à cet *socio=rien arrêt temporaire *socio=nil dans la décélération*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1. La réduction*socio=ec2 *socio=rien considérable du taux*socio=ec1 moyen d'*socio=nil augmentation*socio=ec2 des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil à la consommation*socio=ec1 observée dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1982 s'explique par l'effet*socio=rien conjugué*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil facteurs.*socio=nil *socio=nil Parmi ces éléments*socio=rien figurent la réapparition*socio=rien de la tendance*socio=ec2 à la récession*socio=ec2 aux États-unis*socio=ac et dans d'autres grands*socio=rien pays*socio=ac, la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, le fléchissement*socio=ec2 *socio=rien sensible du prix*socio=ec1 des*socio=nil produits de*socio=nil base *socio=nil et une modération*socio=ec2 appréciable*socio=rien des revendications*socio=uv1 salariales*socio=ec1 dans nombre*socio=rien de pays_industrialisés*socio=ac. Toutefois, certains de ces facteurs*socio=rien étaient manifestement de *socio=rien nature temporaire *socio=nil et, au cours*socio=rien des *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1982, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 fondamental*socio=uv2 des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien resté supérieur*socio=rien au taux*socio=ec1 effectif*socio=rien d'augmentation*socio=ec2 des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1. Les variations*socio=rien des déflateurs du*socio=rien PNB*socio=ec1 fournissent une meilleure*socio=uv4 *socio=rien mesure du taux*socio=ec1 d'*socio=nil inflation*socio=ec1 fondamental*socio=uv2.*socio=nil Du fait *socio=nil qu'ils constituent une *socio=rien mesure générale des*socio=nil coûts*socio=ec1 unitaires intérieurs*socio=te de*socio=nil production*socio=ec1 *socio=nil (y compris les bénéfices*socio=ec1), ces déflateurs sont beaucoup moins influencés que les prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 par les variations*socio=rien des coûts*socio=ec1 des produits*socio=rien importés, tels que le pétrole*socio=ec1, et par les fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1. Pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac, le taux*socio=ec1 d'augmentation*socio=ec2 moyen*socio=rien des déflateurs du*socio=rien PNB*socio=ec1 n'a atteint que 9 % en 1980, contre 7,5 % en 1978, *socio=rien du fait *socio=nil que ces pays*socio=ac sont parvenus à limiter*socio=rien dans une très *socio=rien large mesure les*socio=nil répercussions*socio=ec2 secondaires du choc*socio=ec2 pétrolier*socio=ec1 *socio=nil de 1979-80 (voir tableau*socio=rien 1 ). Toutefois, mesuré aussi par les variations*socio=rien des déflateurs du*socio=rien PNB*socio=ec1, le recul*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 a été*socio=rien relativement lent*socio=rien. Le taux*socio=ec1 d'augmentation*socio=ec2 moyen*socio=rien n'a fléchi que d'un*socio=rien quart*socio=rien de point*socio=rien, atteignant 8,75 % en 1981, et cette légère*socio=rien amélioration*socio=uv1 s'explique essentiellement par les ralentissements enregistrés en Italie*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac, qui avaient connu des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 très élevés*socio=uv4 en 1980. Toutefois, une nouvelle*socio=rien amélioration*socio=uv1 a été*socio=rien observée au cours*socio=rien des six *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1982, plus particulièrement aux États-unis*socio=ac. Le rétrécissement*socio=ec2 des marges bénéficiaires*socio=ac dû à la récession*socio=ec2 a contribué à cette amélioration*socio=uv1, mais le fait*socio=rien que cette amélioration*socio=uv1 provienne, en *socio=rien grande partie,*socio=nil *socio=nil de la modération*socio=ec2 des revendications*socio=uv1 salariales*socio=ec1 indique que la réduction*socio=ec2 progressive*socio=rien des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4 s'est*socio=rien poursuivie au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1982. Les *socio=rien éléments clés *socio=nil sous-tendant ces taux*socio=ec1 sont résumés dans le tableau*socio=rien ci-après, qui retrace les variations*socio=rien annuelles*socio=te en pourcentage*socio=rien des variables*socio=ec2 pertinentes*socio=rien pour le groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac. L'étroit*socio=rien parallélisme observé entre les variations*socio=rien des traitements*socio=rien et salaires*socio=ec1 par unité*socio=rien de PNB*socio=ec1 réel*socio=rien et celles des déflateurs du*socio=rien PNB*socio=ec1 s'explique, *socio=rien bien sûr,*socio=nil *socio=nil par l'importance*socio=rien du*socio=rien rôle*socio=et que jouent les traitements*socio=rien et salaires*socio=ec1 parmi les *socio=rien différents déterminants des*socio=nil coûts*socio=ec1 totaux *socio=nil de la production*socio=ec1 courante*socio=te ou de la valeur_ajoutée*socio=ec1 totale*socio=rien qu'elle engendre. En outre, étant donné que le déflateur du*socio=rien PNB*socio=ec1 mesure*socio=rien la valeur*socio=ec1 nominale*socio=rien de la production*socio=ec1 totale*socio=rien par unité*socio=rien de production*socio=ec1 réelle*socio=ec2, il reflète aussi les variations*socio=rien des éléments*socio=rien non salariaux*socio=ec1 du*socio=rien revenu*socio=ec1 national*socio=te, qui avaient légèrement augmenté en 1978 et 1979 mais semblent avoir quelque peu diminué en 1980 et 1981. *socio=rien Du point de*socio=nil vue *socio=nil de l'évaluation*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 fondamental*socio=uv2, deux tendances*socio=ec2 significatives*socio=rien ressortent *socio=rien du tableau.*socio=nil *socio=nil Premièrement, après*socio=rien s'être*socio=rien considérablement*socio=rien accéléré entre 1978-79 et 1980, le rythme*socio=ec2 d'augmentation*socio=ec2 des traitements*socio=rien et salaires*socio=ec1 par travailleur*socio=ac ne s'est*socio=rien pas sensiblement ralenti en 1981, encore que l'on s'attende à une légère*socio=rien décélération*socio=ec2 en 1982. Deuxièmement, la hausse*socio=rien des *socio=ec1 coûts salariaux unitaires*socio=rien s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil accélérée beaucoup plus en 1980 que celle des traitements*socio=rien et salaires*socio=ec1 par travailleur*socio=ac, à *socio=rien cause du fléchissement*socio=ec2 sensible *socio=nil de la progression*socio=ec2 de la productivité*socio=uv3. De ce fait*socio=rien, les pressions*socio=ec2 à la hausse*socio=rien s'exerçant sur*socio=rien les prix*socio=ec1 des *socio=rien produits finals *socio=nil se sont intensifiées. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil le*socio=nil redressement*socio=ec2 *socio=nil de la productivité*socio=uv3 a *socio=rien été lent *socio=nil en 1981 et l'on ne s'attend pas à des progrès*socio=uv1 importants*socio=uv4 en 1982. Toutefois, les conventions*socio=et salariales*socio=ec1 conclues récemment sont encourageantes*socio=uv4. Un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 important*socio=uv4 de la croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 coûts salariaux unitaires*socio=rien *socio=nil - qui suppose soit des augmentations*socio=ec2 beaucoup plus faibles*socio=rien des traitements*socio=rien et salaires*socio=ec1, soit une amélioration*socio=uv1 de la productivité*socio=uv3 par travailleur*socio=ac (ou les deux à la fois*socio=rien) - est*socio=rien une *socio=rien condition nécessaire *socio=nil à une réduction*socio=ec2 importante*socio=uv4 et durable*socio=uv4 du*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1. La répartition*socio=uv3 géographique*socio=te des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 dans le monde*socio=te industrialisé n'a pas beaucoup varié entre 1980 et 1981. Mesuré par le déflateur du*socio=rien PIB*socio=ec1, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 est*socio=rien tombé de 19 % à 12,5 % au Royaume-uni*socio=ac et de 21 % à 17,5 % en Italie*socio=ac (tableau*socio=rien 1); mais les taux*socio=ec1 de ces deux pays*socio=ac ont encore été*socio=rien les plus élevés*socio=uv4 du*socio=rien groupe*socio=ac des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, à côté*socio=rien de celui de 13,5 % enregistré en France*socio=ac. La variation*socio=rien entre 1980 et 1981 n'a dépassé *socio=rien un point *socio=nil dans aucun autre pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac et le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac (environ 9 % ) n'a absolument pas diminué entre 1980 et 1981. La détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 a eu tendance*socio=ec2 à alimenter la hausse*socio=rien des déflateurs du*socio=rien PNB*socio=ec1 dans les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac continentale*socio=te et à provoquer directement la hausse*socio=rien de leurs taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 mesurés par les indices des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 ou par les déflateurs de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. En fait*socio=rien, dans certains *socio=ac pays européens,*socio=nil cette*socio=nil détérioration*socio=uv4 *socio=nil (liée pour une *socio=rien bonne part *socio=nil à l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar*socio=ec1 ÉU.. enregistrée en 1980-81) a suffi à provoquer une accélération*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des déflateurs de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, même là où l'inflation*socio=ec1 intérieure*socio=te, mesurée par le déflateur du*socio=rien PNB*socio=ec1, reculait quelque peu. A cause*socio=rien des variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1, ni le ralentissement*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 en 1981 ni le fléchissement*socio=ec2 des prix*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 ÉU.. des produits*socio=rien de base*socio=rien ne s'est*socio=rien traduit par des *socio=rien modifications comparables des*socio=nil coûts*socio=ec1 *socio=nil à l'importation*socio=ec1 exprimés dans les différentes*socio=rien monnaies*socio=ec1 nationales*socio=te. Bien*socio=rien au contraire*socio=rien, ces évolutions*socio=te des prix*socio=ec1 se sont traduites par une augmentation*socio=ec2 considérable*socio=rien des prix*socio=ec1 en monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te payés par les importateurs*socio=ac d'Europe*socio=ac continentale*socio=te. Par exemple*socio=rien, la *socio=rien hausse moyenne des*socio=nil prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 *socio=nil entre 1980 et 1981, qui n'a pourtant atteint que 10 % en dollars*socio=ec1 ÉU.., a été*socio=rien de l'ordre*socio=rien de 36 à 37 % en *socio=ec1 deutsche mark.*socio=nil *socio=nil De même, les prix*socio=ec1 en *socio=ec1 deutsche mark des*socio=nil produits*socio=rien de*socio=nil base*socio=rien non*socio=nil pétroliers *socio=nil importés par la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac ont augmenté d'environ 9 % bien*socio=rien que leurs prix*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 aient diminué de 12,5 %. La hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 en *socio=ec1 deutsche mark des*socio=nil exportations commerciales *socio=nil de ce pays*socio=ac a *socio=rien été loin *socio=nil d'atteindre la *socio=rien hausse correspondante *socio=nil de ses importations*socio=ec1. Aux États-unis*socio=ac, les relations*socio=rien de prix*socio=ec1 ont été*socio=rien soumises à des influences contraires*socio=rien : le taux*socio=ec1 de la *socio=rien hausse du *socio=nil déflateur de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a diminué d'un*socio=rien point*socio=rien entre 1980 et 1981 bien*socio=rien que la tendance*socio=ec2 à la *socio=rien hausse du déflateur*socio=nil du PNB*socio=ec1 *socio=nil se soit légèrement accentuée. Production*socio=ec1 et demande*socio=ec1. Au milieu*socio=rien de 1982, l'économie*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac se trouvait enlisée dans une période*socio=te prolongée de lente*socio=rien croissance*socio=uv3. La croissance*socio=uv3 globale*socio=rien de leur PNB*socio=ec1 réel*socio=rien n'a atteint en moyenne*socio=rien qu'environ 1,25 % par an*socio=rien en 1980 et 1981, contre 4 % entre 1977 et 1979; et l'on s'attend que 1982 soit aussi marquée par une faible*socio=rien expansion*socio=ec2 annuelle*socio=te. En fait*socio=rien, les six *socio=rien premiers mois *socio=nil de cette année*socio=rien se sont caractérisés par des taux_de_croissance*socio=ec1 encore plus faibles*socio=rien, voire négatifs*socio=rien, dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Toutefois, *socio=rien différents facteurs *socio=nil laissent présager une amélioration*socio=uv1 de la croissance*socio=uv3 du*socio=rien revenu*socio=ec1 *socio=rien réel disponible,*socio=nil *socio=nil et par conséquent*socio=rien des dépenses*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 des ménages*socio=ac, pendant le *socio=rien second semestre.*socio=nil *socio=nil Dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, les salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2 (qui avaient diminué en 1980) ont déjà commencé à augmenter *socio=rien du fait *socio=nil que le ralentissement*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 a *socio=rien été un *socio=nil peu plus sensible*socio=rien, l'an*socio=rien dernier*socio=rien, que celui de l'augmentation*socio=ec2 des *socio=ec1 salaires nominaux.*socio=nil *socio=nil En outre, les allégements*socio=ec2 de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 des personnes*socio=ac physiques*socio=rien entrés en vigueur*socio=uv3 le 1er juillet*socio=rien 1982 aux États-unis*socio=ac devraient entraîner une augmentation*socio=ec2 plus importante*socio=uv4 du*socio=rien revenu*socio=ec1 *socio=rien réel disponible *socio=nil et de la consommation*socio=ec1 dans le plus grand*socio=rien pays_industrialisé*socio=ac. De plus, il est*socio=rien probable*socio=uv4 que l'influence négative*socio=rien de l'accumulation*socio=ec2 des stocks*socio=ec1 sur*socio=rien l'évolution*socio=te de la demande_globale*socio=ec1 enregistrée récemment tant aux États-unis*socio=ac que dans plusieurs autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac disparaîtra, voire se renversera, lorsque les ajustements*socio=et de stocks*socio=ec1 provoqués par le ralentissement*socio=ec2 conjoncturel*socio=te des ventes*socio=ec1 auront été*socio=rien terminés. On peut s'attendre à ce que ces facteurs*socio=rien soient à l'origine*socio=rien d'une modeste*socio=rien expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1982. Néanmoins, pour l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien, l'augmentation*socio=ec2 en *socio=rien pourcentage du PNB*socio=ec1 réel des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil sera probablement encore plus faible*socio=rien qu'en 1981. Étant donné que la croissance*socio=uv3 effective*socio=rien de la production*socio=ec1 est*socio=rien restée bien*socio=rien en deçà de la croissance*socio=uv3 potentielle*socio=uv4 estimée sur*socio=rien la base*socio=rien des ressources*socio=ec1 disponibles*socio=rien de main_d'_oeuvre*socio=ac et de capital*socio=ec1 réel*socio=rien, les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 sont montés en flèche. Toutefois, en dépit*socio=rien de l'inutilisation ou de la sous-utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 qu'impliquent ces niveaux*socio=rien élevés*socio=uv4 de chômage*socio=ec1 (voir plus loin*socio=rien), les pressions*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien les salaires*socio=ec1 et les prix*socio=ec1 ont *socio=rien été lentes *socio=nil à apparaître. La durée*socio=te du*socio=rien ralentissement*socio=ec2 actuel*socio=te de l'activité_économique*socio=ec1 est*socio=rien, en *socio=rien grande partie,*socio=nil une*socio=nil conséquence indirecte des*socio=nil politiques*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2 restrictives*socio=uv4 *socio=nil appliquées par les pouvoirs_publics*socio=et dans les pays_industrialisés*socio=ac depuis 1979. Elle reflète aussi les *socio=rien effets directs *socio=nil de l'érosion*socio=ec2 sur*socio=rien les revenus*socio=ec1 et les dépenses*socio=ec1 réels*socio=ec2 ainsi que les effets*socio=rien déflationnistes*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 de 1979-80 sur*socio=rien les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Tous ces facteurs*socio=rien ont provoqué un*socio=rien fléchissement*socio=ec2 considérable*socio=rien de la croissance*socio=uv3 du*socio=rien revenu*socio=ec1 *socio=rien disponible réel *socio=nil qui s'est*socio=rien répercuté sur*socio=rien la demande_globale*socio=ec1. Le ralentissement*socio=ec2 actuel*socio=te a sérieusement touché tous les pays_industrialisés*socio=ac, mais son ampleur*socio=rien a considérablement*socio=rien varié selon les cas*socio=rien. C'est*socio=rien aux États-unis*socio=ac, en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac que le fléchissement*socio=ec2, mesuré par la *socio=rien variation du taux_de_croissance*socio=ec1 moyen *socio=nil entre 1978-79 et 1980-81, a été*socio=rien le plus prononcé, dépassant dans tous les cas*socio=rien trois points*socio=rien par an*socio=rien. La baisse*socio=ec2 a atteint 2,5 points*socio=rien en France*socio=ac et s'est*socio=rien située entre 1,5 et 2 points*socio=rien au Canada*socio=ac, au Japon*socio=ac, en Italie*socio=ac ainsi que dans le groupe*socio=ac des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Le *socio=rien profil temporel des*socio=nil variations des*socio=nil taux_de_croissance*socio=ec1 *socio=nil enregistrées récemment a lui aussi varié d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. Aux États-unis*socio=ac et au Canada*socio=ac (ainsi qu'en Australie*socio=ac et en Nouvelle-zélande*socio=ac), la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 a été*socio=rien particulièrement faible*socio=rien en 1980, mais temporairement*socio=rien plus ferme*socio=ec2 (2 à 3 % ) en 1981. Le profil*socio=rien de l'évolution*socio=te a été*socio=rien à peu près inverse dans les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac continentale*socio=te, y compris le groupe*socio=ac formé par les plus petits*socio=rien d'entre eux. Dans ce dernier*socio=rien, les variations*socio=rien de la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PNB*socio=ec1 réel*socio=rien ont eu tendance*socio=ec2 à suivre celles enregistrées en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, où la production*socio=ec1 a augmenté de 1,75 % en 1980 puis diminué d'environ 0,25 % en 1981. L'économie*socio=ec1 japonaise*socio=ac a été*socio=rien constamment plus dynamique*socio=uv4 que celle des autres pays*socio=ac, au cours*socio=rien de cette période*socio=te de deux ans*socio=rien, et l'économie*socio=ec1 britannique*socio=ac plus faible*socio=rien, avec des reculs de 2 % par an*socio=rien. Le graphique*socio=rien 3 retrace ces différences*socio=uv1 dans la chronologie et l'orientation*socio=et des variations*socio=rien de l'activité_économique*socio=ec1 enregistrées récemment dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Pour les États-unis*socio=ac et le Canada*socio=ac, on voit clairement apparaître *socio=rien un schéma *socio=nil où se succèdent une récession*socio=ec2 pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1980, puis une reprise jusque vers le milieu*socio=rien de 1981, et une nouvelle*socio=rien récession*socio=ec2 jusqu'au moins au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1982. En Europe*socio=ac, par contre, la production*socio=ec1 s'est*socio=rien à peu près stabilisée au niveau*socio=rien où elle était descendue au milieu*socio=rien de 1980. Le graphique*socio=rien 3, qui retrace aussi l'évolution*socio=te de la *socio=ec1 production industrielle *socio=nil dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, appelle deux observations*socio=ec2 supplémentaires*socio=rien, d'ailleurs*socio=rien liées entre elles. Il montre que les fluctuations*socio=ec2 cycliques*socio=te ont été*socio=rien généralement plus amples*socio=rien dans le secteur*socio=rien industriel*socio=ec1 que dans l'ensemble*socio=rien de l'économie*socio=ec1 de ces pays*socio=ac; il montre aussi que, sous l'effet*socio=rien de la stagnation*socio=ec1 qui a marqué ces deux *socio=rien dernières années,*socio=nil le*socio=nil niveau *socio=nil de la *socio=ec1 production industrielle est*socio=rien *socio=nil resté de *socio=rien loin inférieur *socio=nil à ses sommets*socio=rien antérieurs*socio=te, sauf au Japon*socio=ac. Dans le groupe*socio=ac des sept pays*socio=ac considérés globalement, la *socio=ec1 production industrielle *socio=nil était, au début*socio=rien de 1982, inférieure*socio=rien d'environ 5 % au niveau*socio=rien maximal enregistré au début*socio=rien de 1980. Comme on l'a déjà noté, l'atonie*socio=ec2 actuelle*socio=te de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 est*socio=rien, en *socio=rien grande partie,*socio=nil imputable*socio=uv2 *socio=nil à l'affaiblissement*socio=ec2 considérable*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te résultant*socio=rien des *socio=rien effets conjugués *socio=nil des hausses du*socio=rien prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 en 1979-80, de l'accélération*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 et de la mise en oeuvre*socio=rien de politiques*socio=et financières*socio=ec1 restrictives*socio=uv4. Cet affaiblissement*socio=ec2, mesuré par les variations*socio=rien de la croissance*socio=uv3 réelle*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te entre 1978-79 et 1980-81, a été*socio=rien le plus sensible*socio=rien en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, au Japon*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac. Dans ces trois pays*socio=ac, qui ont été*socio=rien les premiers*socio=rien à mettre en oeuvre*socio=rien les politiques*socio=et les plus restrictives*socio=uv4, le ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te au cours*socio=rien de la période*socio=te considérée a dépassé 5 points*socio=rien par an*socio=rien. Le ralentissement*socio=ec2 correspondant a été*socio=rien relativement modéré ( 1,5 point*socio=rien environ) au Canada*socio=ac, en Italie*socio=ac et dans le groupe*socio=ac des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac considérés globalement. Il a été*socio=rien d'une *socio=rien ampleur intermédiaire,*socio=nil *socio=nil de l'ordre*socio=rien de 3 points*socio=rien, en France*socio=ac et aux États-unis*socio=ac, Pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac, le taux_de_croissance*socio=ec1 annuel*socio=te moyen*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te réelle*socio=ec2 est*socio=rien tombé de 4 % en 1978-79 à 0,5 % en 1980-81. L'incidence*socio=ec2 de cette évolution*socio=te *socio=rien négative sur la*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil de la production*socio=ec1 a été*socio=rien atténuée, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil *socio=nil par la fermeté*socio=rien de la demande*socio=ec1 émanant de l'extérieur*socio=te du*socio=rien groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac, et notamment des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil Grâce*socio=rien *socio=nil à cette vigueur*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te, les exportations*socio=ec1 du*socio=rien groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac ont, en 1980 et 1981, augmenté en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 à des taux*socio=ec1 (respectivement 8 % et 4,5 % ) de *socio=rien loin supérieurs aux*socio=nil taux_d'_expansion*socio=ec2 *socio=nil de leur production*socio=ec1 totale*socio=rien. Toutefois, cette augmentation*socio=ec2 relativement forte*socio=rien des exportations*socio=ec1 s'est*socio=rien inégalement répartie*socio=rien entre les pays_industrialisés*socio=ac, le Japon*socio=ac et, dans une *socio=rien moindre mesure,*socio=nil la*socio=nil République*socio=ac fédérale*socio=et d'*socio=nil Allemagne*socio=ac représentant des*socio=nil parts particulièrement*socio=nil importantes*socio=uv4 *socio=nil de l'accroissement*socio=ec2 global*socio=te. Le facteur*socio=rien dominant*socio=uv2 du*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a été*socio=rien l'importante*socio=uv4 décélération*socio=ec2, en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2, des dépenses*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 qu'a entraînée la modération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 du*socio=rien revenu*socio=ec1 réel*socio=rien des ménages*socio=ac. Les *socio=rien éléments principaux *socio=nil de cet enchaînement*socio=te sont décrits dans le tableau*socio=rien ci-dessous. Le ralentissement*socio=ec2 graduel*socio=te de la croissance*socio=uv3 des traitements*socio=rien et salaires*socio=ec1 globaux*socio=te que fait*socio=rien apparaître le tableau*socio=rien reflète, notamment, le resserrement*socio=ec2 des politiques*socio=et financières*socio=ec1 depuis 1979; les efforts*socio=uv1 faits*socio=rien par les travailleurs*socio=ac ayant un*socio=rien emploi*socio=ec1 pour préserver la croissance*socio=uv3 de leur revenu*socio=ec1 réel*socio=rien se traduisent, bien*socio=rien que beaucoup n'aient guère *socio=rien été fructueux,*socio=nil *socio=nil par une accélération*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des traitements*socio=rien et *socio=ec1 salaires nominaux par*socio=nil travailleur*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 de l'emploi*socio=ec1 qui en est*socio=rien résulté est*socio=rien saisissant, tout comme celui de la progression*socio=ec2 du*socio=rien revenu*socio=ec1 *socio=rien disponible réel.*socio=nil Cette*socio=nil dernière décélération*socio=ec2 est *socio=nil allée, pour ainsi dire, de pair*socio=rien avec le fléchissement*socio=ec2 de la consommation*socio=ec1 réelle*socio=ec2, encore que l'on ait aussi constaté, en 1979-81, une légère*socio=rien réduction*socio=ec2 de la *socio=rien proportion moyenne du revenu*socio=ec1 disponible *socio=nil consacrée à l'épargne*socio=ec1. Il convient de noter que la politique_budgétaire*socio=et n'a guère apporté d'appui*socio=uv1, voire aucun, à la croissance*socio=uv3 du*socio=rien revenu*socio=ec1 *socio=rien disponible réel *socio=nil en 1980 et 1981. Cette absence*socio=rien de soutien*socio=uv3 marque*socio=rien une nette*socio=rien rupture*socio=ec2 avec la pratique*socio=rien des années*socio=rien antérieures*socio=te, où le budget*socio=ec1 contribuait sensiblement à la croissance*socio=uv3 du*socio=rien revenu*socio=ec1 disponible*socio=rien, ce qui permettait généralement d'atténuer les effets*socio=rien des baisses conjoncturelles*socio=te et d'amorcer les reprises de l' activité_économique*socio=ec1. En 1975, par exemple*socio=rien, le soutien*socio=uv3 net*socio=rien fourni par le budget*socio=ec1 atteignait l'équivalent*socio=rien de 2 % environ du*socio=rien revenu*socio=ec1 *socio=rien disponible net.*socio=nil *socio=nil En 1980 et 1981, par contre, les soutiens de ce genre*socio=rien n'ont pratiquement pas existé dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac considérés globalement. La faiblesse*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 en 1980 et 1981 a eu, tout comme la baisse*socio=ec2 de la rentabilité*socio=ec1 et la *socio=rien hausse du coût*socio=ec1 des*socio=nil biens*socio=ec1 d'*socio=nil équipement*socio=ec1,*socio=nil un effet négatif sur la*socio=nil formation*socio=et de*socio=nil capital*socio=ec1.*socio=nil En*socio=nil valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2,*socio=nil la*socio=nil formation*socio=et brute de*socio=nil capital*socio=ec1 *socio=nil fixe dans les pays_industrialisés*socio=ac, qui avait augmenté de 4 à 5 % par an*socio=rien en 1978 et 1979, a diminué de 1,5 % en 1980 et de 0,75 % en 1981. Toutefois, par rapport*socio=rien à la croissance*socio=uv3, très lente*socio=rien, de la consommation*socio=ec1, ces diminutions*socio=ec2 ont *socio=rien été considérablement plus*socio=nil faibles *socio=nil que celles enregistrées au cours*socio=rien de la récession*socio=ec2 de 1974-75. En outre, la faiblesse*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 observée récemment s'est*socio=rien surtout fait*socio=rien sentir dans le secteur*socio=rien de la construction*socio=ec1 de logements*socio=ec1, dont l'activité*socio=rien est*socio=rien très influencée par les variations*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1, et dans lequel les dépenses*socio=ec1 du*socio=rien groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac ont été*socio=rien, en 1981, inférieures*socio=rien de 10 à 15 %, en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2, à leur niveau*socio=rien d'il y a deux ans*socio=rien. La formation*socio=et brute*socio=rien de capital*socio=ec1 fixe des entreprises*socio=ac est*socio=rien restée plus ferme*socio=ec2, avec de *socio=rien légères variations positives*socio=uv4 *socio=nil tant en 1980 qu'en 1981. Parmi les raisons*socio=rien probables*socio=uv4 de cette plus *socio=rien grande fermeté *socio=nil figurent l'accroissement*socio=ec2 des avantages*socio=rien fiscaux*socio=et, la mise en place*socio=rien d'équipements*socio=ec1 destinés à contrebalancer les *socio=rien variations récentes des*socio=nil coûts*socio=ec1 relatifs des*socio=nil facteurs *socio=nil et les grands*socio=rien investissements*socio=ec1 réalisés dans les industries*socio=ec1 fondées sur*socio=rien l'exploitation*socio=ec1 des ressources_naturelles*socio=ec1. Enfin, les variations*socio=rien des stocks*socio=ec1 ont joué un*socio=rien rôle*socio=et non négligeable*socio=rien dans l'affaiblissement*socio=ec2 de la demande_globale*socio=ec1 enregistré récemment dans les pays_industrialisés*socio=ac. Pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac, la baisse*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 d'accumulation*socio=ec2 des stocks*socio=ec1 a atteint l'équivalent*socio=rien d'environ 0,5 % du*socio=rien PNB*socio=ec1, tant en 1980 qu'en 1981; cette influence *socio=rien négative sur la*socio=nil croissance*socio=uv3 du PNB*socio=ec1 a*socio=nil été *socio=nil beaucoup plus forte*socio=rien dans certains pays*socio=ac au cours*socio=rien de l'une ou de l'autre des deux années*socio=rien. On peut citer, parmi les facteurs*socio=rien de cette *socio=rien variation négative *socio=nil de l'accumulation*socio=ec2 des stocks*socio=ec1, l'utilisation*socio=rien des *socio=ec1 stocks pétroliers au*socio=nil cours*socio=rien des*socio=nil *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1981, le déséquilibre*socio=uv3 entre le niveau*socio=rien des stocks*socio=ec1, d'une part*socio=rien, et ceux des ventes*socio=ec1 actuelles*socio=te et escomptées, d'autre part*socio=rien, ainsi que les lourdes charges*socio=rien financières*socio=ec1 qu'ont entraînées les taux_d'_intérêt*socio=ec1 exceptionnellement élevés*socio=uv4 pour les détenteurs*socio=ac de stocks*socio=ec1. Emploi*socio=ec1. La lente*socio=rien croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 au cours*socio=rien des deux ans*socio=rien et demi*socio=rien qui viennent de s'écouler a provoqué, dans l'ensemble*socio=rien du*socio=rien monde*socio=te industrialisé, un*socio=rien élargissement*socio=ec2 *socio=rien croissant du *socio=nil volant des *socio=ec1 ressources économiques,*socio=nil *socio=nil surtout des ressources*socio=ec1 en main-d'_oeuvre*socio=ac, sous-utilisées. Au milieu*socio=rien de 1982, le chômage*socio=ec1 atteignait environ 8 % de l'ensemble*socio=rien de la population_active*socio=ac des pays_industrialisés*socio=ac, contre 5 % en 1979. Dans tous les grands*socio=rien pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac, et dans la plupart*socio=rien des petits*socio=rien, les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 se sont récemment rapprochés des niveaux*socio=rien atteints au cours*socio=rien de la récession*socio=ec2 de 1975 ou les ont dépassés, de beaucoup, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien. La montée du*socio=rien chômage*socio=ec1 constatée récemment dans le groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien intervenue en *socio=rien dépit du ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 de la population_active*socio=ac. Ce taux_de_croissance*socio=ec1 annuel*socio=te *socio=rien moyen est *socio=nil tombé, en partie*socio=rien pour des raisons*socio=rien démographiques*socio=ec1 et en partie*socio=rien sous l'effet*socio=rien de facteurs*socio=rien conjoncturels*socio=te, de 1,75 % en 1977-79 à 1 % au cours*socio=rien des deux *socio=rien années suivantes.*socio=nil Cette*socio=nil diminution*socio=ec2 *socio=nil ne s'est*socio=rien toutefois pas manifestée dans plusieurs *socio=ac pays européens,*socio=nil *socio=nil notamment en France*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac. Dans ces pays*socio=ac, la croissance*socio=uv3 de la population_active*socio=ac est*socio=rien restée relativement rapide*socio=rien (par rapport*socio=rien à son *socio=te évolution antérieure)*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil ce qui, joint à l'aggravation*socio=ec2 de la situation*socio=rien conjoncturelle*socio=te, a conduit les pouvoirs_publics*socio=et à mettre en *socio=rien oeuvre différents programmes*socio=et de*socio=nil création_d'_emplois*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Pour le groupe*socio=ac des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, les taux*socio=ec1 de participation*socio=uv3 de la population_active*socio=ac (qui avaient suivi une tendance*socio=ec2 à la hausse*socio=rien) ne se sont pas beaucoup modifiés au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil La montée du*socio=rien chômage*socio=ec1 est*socio=rien donc, en *socio=rien grande partie,*socio=nil un reflet direct des*socio=nil variations *socio=nil de l'emploi*socio=ec1, qui avait progressé dans ces pays*socio=ac à un*socio=rien taux*socio=ec1 annuel*socio=te *socio=rien moyen voisin *socio=nil de 2 % au cours*socio=rien de la période*socio=te 1976-79 mais n'a plus augmenté que de 0,5 % en 1980 puis est*socio=rien demeuré stationnaire*socio=ec2. L'emploi*socio=ec1 a continué de s'accroître dans les activités*socio=rien de services*socio=et mais à un*socio=rien taux*socio=ec1 plus faible*socio=rien qu'à la fin*socio=rien des années*socio=rien 70. Dans le secteur*socio=rien manufacturier*socio=ec1, on a toutefois observé des baisses d'une *socio=rien ampleur considérable.*socio=nil Le*socio=nil nombre de*socio=nil travailleurs*socio=ac employés *socio=nil par ce secteur*socio=rien avait, au début*socio=rien de 1982, diminué d'environ 6 % en trois ans*socio=rien et ce fléchissement*socio=ec2 s'est*socio=rien accompagné d'une réduction*socio=ec2 de 2,25 % de l'horaire hebdomadaire *socio=rien moyen du travail.*socio=nil *socio=nil La poussée actuelle*socio=te du*socio=rien chômage*socio=ec1 est*socio=rien, en *socio=rien grande partie,*socio=nil de*socio=nil nature conjoncturelle*socio=te *socio=nil mais ses répercussions*socio=ec2 sont aggravées par deux facteurs*socio=rien. Premièrement, les perspectives*socio=te d'un*socio=rien *socio=rien renversement rapide *socio=nil de la tendance*socio=ec2 actuelle*socio=te sont pratiquement nulles*socio=rien, étant donné qu'on ne peut guère s'attendre qu'à une légère*socio=rien reprise par rapport*socio=rien à la récession*socio=ec2 actuelle*socio=te. Deuxièmement, l'augmentation*socio=ec2 conjoncturelle*socio=te du*socio=rien chômage*socio=ec1 enregistrée récemment s'est*socio=rien ajoutée à une *socio=ec2 augmentation tendancielle en*socio=nil longue*socio=rien période*socio=te,*socio=nil de*socio=nil nature*socio=rien plus*socio=nil fondamentale*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Même avant 1980, le chômage*socio=ec1 augmentait plus ou moins régulièrement dans les pays_industrialisés*socio=ac (sauf au Japon*socio=ac) depuis une douzaine*socio=rien d'années*socio=rien environ, la progression*socio=ec2 ayant été*socio=rien particulièrement sensible*socio=rien en Europe*socio=ac après*socio=rien 1974. Lorsqu'on compare les taux*socio=ec1 de *socio=ec1 chômage moyens *socio=nil enregistrés par les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac (sauf le Japon*socio=ac) pendant les années*socio=rien correspondant aux sommets*socio=rien des *socio=te cycles conjoncturels successifs*socio=rien,*socio=nil *socio=nil depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 60, on constate que ces taux*socio=ec1 ont progressivement*socio=rien augmenté, passant d'environ 3 % de la population_active*socio=ac en 1966 à 4 % en 1973 et à 6 % en 1979. Si cette tendance*socio=ec2 fondamentale*socio=uv4 exerce encore ses effets*socio=rien, le chômage*socio=ec1 pourrait continuer de poser de *socio=uv4 graves problèmes *socio=nil même lorsque l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te sera sortie de la récession*socio=ec2 actuelle*socio=te. De nombreux*socio=rien groupes*socio=ac socio-économiques*socio=ec1 ont été*socio=rien touchés par l'augmentation*socio=ec2 tendancielle*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1, mais ses incidences*socio=ec2 ont été*socio=rien particulièrement lourdes sur*socio=rien les couches*socio=ac les plus jeunes*socio=ac de la population_active*socio=ac, ainsi que sur*socio=rien le groupe*socio=ac des *socio=ac travailleurs migrants et*socio=nil sur*socio=rien *socio=nil d'autres groupes_minoritaires*socio=ac. En France*socio=ac, par exemple*socio=rien, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 des travailleurs*socio=ac de moins de 25 ans*socio=rien était de l'ordre*socio=rien de 20 % au début*socio=rien de 1982, contre 13 % en 1979 et 4 % seulement en 1973. Bien*socio=rien que les augmentations*socio=ec2 correspondantes*socio=rien aient été*socio=rien généralement moins spectaculaires*socio=rien dans les autres pays*socio=ac, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 moyen*socio=rien des jeunes*socio=ac atteignait 18 %, au début*socio=rien de 1982, dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac d'Europe*socio=ac et en amérique_du_nord*socio=ac. Les changements*socio=uv3 démographiques*socio=ec1 ont contribué à la *socio=rien variation du taux*socio=ec1 de*socio=nil chômage*socio=ec1 *socio=nil dans certains grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac; mais ils ne semblent pas pouvoir*socio=et expliquer la *socio=rien majeure partie *socio=nil de la hausse*socio=rien en longue*socio=rien période*socio=te dans l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac. Abstraction*socio=rien faite du*socio=rien Japon*socio=ac, les taux*socio=ec1 de participation*socio=uv3 de la *socio=ac population_active féminine *socio=nil ont continué d'augmenter au cours*socio=rien des années*socio=rien 70, mais les effets*socio=rien de cette augmentation*socio=ec2 ont été*socio=rien, pour l'essentiel*socio=uv4, compensés, dans les quatre grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac d'Europe*socio=ac, par la réduction*socio=ec2 de la participation*socio=uv3 de la population_active*socio=ac masculine, notamment dans les tranches les plus jeunes*socio=ac et les plus âgées de la population*socio=ac en âge*socio=rien de travailler. Les *socio=rien principaux facteurs *socio=nil de cette montée prolongée du*socio=rien chômage*socio=ec1 semblent être*socio=rien au nombre*socio=rien de trois. Il convient en *socio=rien premier lieu *socio=nil de mentionner l'augmentation*socio=ec2 importante*socio=uv4 du*socio=rien coût*socio=ec1 *socio=rien moyen relatif *socio=nil de la main-d'_oeuvre*socio=ac, notamment dans les *socio=ac pays européens *socio=nil où la hausse*socio=rien des salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2 a largement dépassé la progression*socio=ec2 de la productivité*socio=uv3 au cours*socio=rien de la *socio=rien première moitié des*socio=nil années *socio=nil 70. Les forts*socio=rien relèvements*socio=ec2 des prélèvements*socio=ec1 obligatoires*socio=uv2 liés aux salaires*socio=ec1 et à la charge*socio=rien des employeurs*socio=ac, ainsi que les augmentations*socio=ec2 de salaires*socio=ec1, ont contribué à cette évolution*socio=te. Le *socio=rien deuxième facteur est le*socio=nil manque de*socio=nil souplesse*socio=uv3 des*socio=nil marchés_du_travail*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Lorsque les changements*socio=uv3 de la répartition*socio=uv3 des ressources*socio=ec1 d'un*socio=rien pays*socio=ac entre les différentes*socio=rien industries*socio=ec1 ont obligé les travailleurs*socio=ac à abandonner leurs *socio=rien activités habituelles *socio=nil pour se tourner vers de *socio=rien nouvelles activités,*socio=nil les*socio=nil pratiques*socio=et salariales*socio=ec1 existantes *socio=nil ont souvent empêché les employeurs*socio=ac potentiels*socio=uv4 d'embaucher des travailleurs*socio=ac, qui avaient besoin*socio=uv1 d'un*socio=rien recyclage*socio=et, à *socio=rien un niveau de*socio=nil salaire*socio=ec1 compatible *socio=nil avec leur faible*socio=rien productivité*socio=uv3 initiale*socio=rien dans leur nouvel*socio=rien emploi*socio=ec1. La législation*socio=et du*socio=rien salaire*socio=ec1 minimum*socio=rien semble avoir eu des *socio=rien effets semblables *socio=nil dans certains pays*socio=ac. Le *socio=rien troisième facteur est la*socio=nil réduction*socio=ec2 des*socio=nil incitations*socio=uv3 au*socio=nil travail.*socio=nil Les*socio=nil difficultés*socio=uv4 financières*socio=ec1 *socio=nil qu'entraîne ce dernier*socio=rien pour les particuliers*socio=rien ont été*socio=rien atténuées par l'augmentation*socio=ec2 de la proportion*socio=rien des ménages*socio=ac ayant plus d'un*socio=rien revenu*socio=ec1. En outre, les allocations*socio=et de chômage*socio=ec1 ont eu tendance*socio=ec2 à augmenter, tout comme le nombre*socio=rien des travailleurs*socio=ac admis à en bénéficier, à tel point*socio=rien que, dans certains pays*socio=ac, les travailleurs*socio=ac ne sont plus encouragés à passer de la position*socio=rien de chômeurs*socio=ac à celle de salariés*socio=ac. Ce manque*socio=rien d'incitations*socio=uv3 à rechercher un*socio=rien emploi*socio=ec1 semble avoir été*socio=rien renforcé par l'existence*socio=rien de systèmes*socio=rien fiscaux*socio=et dans le cadre*socio=rien desquels le passage*socio=rien d'une position*socio=rien à l'autre entraîne l'application*socio=rien d'un*socio=rien taux*socio=ec1 d'imposition*socio=et *socio=rien marginal effectif élevé*socio=uv4.*socio=nil Ces*socio=nil effets secondaires,*socio=nil inattendus et*socio=nil inopportuns,*socio=nil de*socio=nil programmes*socio=et *socio=nil dont les objectifs*socio=uv3 sociaux*socio=et sont d'ailleurs*socio=rien louables*socio=rien appellent sans doute*socio=rien une certaine*socio=rien réévaluation*socio=ec1 des techniques*socio=rien utilisées pour assurer la protection_sociale*socio=et des chômeurs*socio=ac et un*socio=rien réexamen*socio=et des interactions*socio=rien, au niveau*socio=rien des faibles*socio=rien revenus*socio=ec1, du*socio=rien régime_fiscal*socio=et et du*socio=rien régime*socio=et des *socio=et prestations sociales.*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil *socio=ac groupe_des_pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Les douze pays_en_développement*socio=uv3 compris dans le groupe*socio=ac des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil sont très divers et se distinguent les uns des autres par leur superficie*socio=rien, leur population*socio=ac, leurs réserves*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 et la nature*socio=rien de leurs activités*socio=rien non pétrolières*socio=ec1, ainsi que par leur situation_sociale*socio=et et politique*socio=et. Mais ils ont en commun*socio=uv2 *socio=rien certaines caractéristiques et*socio=nil tendances*socio=ec2 évolutives*socio=uv2 importantes*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil notamment le rôle*socio=et dominant*socio=uv2 que joue le pétrole*socio=ec1 dans leur commerce*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et la prépondérance des *socio=ec1 recettes pétrolières *socio=nil dans leurs budgets*socio=ec1 nationaux*socio=te. La production*socio=ec1 totale*socio=rien de ce groupe*socio=ac a diminué au cours*socio=rien de chacune des deux *socio=rien dernières années *socio=nil et diminuera probablement encore en 1982. Cette baisse*socio=ec2, estimée à environ 2,5 % pour 1980 et 4,5 % pour 1981 (tableau*socio=rien 2), s'explique par la contraction*socio=ec2 importante*socio=uv4 qui a marqué la demande*socio=ec1 mondiale*socio=te de pétrole*socio=ec1 produit*socio=rien par le groupe*socio=ac et qui est*socio=rien due tant à la récession*socio=ec2 internationale*socio=ac qu'à la réaction*socio=rien des consommateurs*socio=ac aux hausses des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 intervenues en 1979-80. Toutefois, grâce*socio=rien à l'amélioration*socio=uv1 considérable*socio=rien de leurs termes*socio=rien d'échange*socio=ec1 entraînée par ces hausses de prix*socio=ec1, le revenu*socio=ec1 national*socio=te réel*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil a fortement augmenté de 1978 à 1980 et sa progression*socio=ec2 s'est*socio=rien poursuivie, à un*socio=rien taux*socio=ec1 plus modéré, en 1981. Mais cette progression*socio=ec2 sera sans doute*socio=rien en partie*socio=rien compensée, en 1982, par la baisse*socio=ec2 probable*socio=uv4 de leur produit_intérieur_brut*socio=ec1 (PIB*socio=ec1) *socio=rien total réel,*socio=nil *socio=nil à laquelle s'ajoutera une tendance*socio=ec2 à la dégradation*socio=uv3 de leurs termes*socio=rien d'échange*socio=ec1. La production*socio=ec1 réelle*socio=ec2 des secteurs*socio=rien non pétroliers*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1, qui a représenté un*socio=rien peu plus de 50 % de leur PIB*socio=ec1 global*socio=te en 1980, a évolué de manière*socio=rien beaucoup plus régulière*socio=ec2 que le PIB*socio=ec1 total*socio=rien au cours*socio=rien des quelques *socio=rien dernières années *socio=nil (voir tableau*socio=rien 2). On estime*socio=rien qu'elle a augmenté de 5 % en 1981, contre 4,5 % en 1980, et l'on s'attend qu'elle continuera de s'accroître à un*socio=rien rythme*socio=ec2 moyen*socio=rien à peu près semblable*socio=rien en 1982. Bien*socio=rien qu'ayant considérablement*socio=rien baissé depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 70, le taux_de_croissance*socio=ec1 moyen*socio=rien de la production*socio=ec1 non pétrolière*socio=ec1 a été*socio=rien, depuis 1979, comparativement plus favorable*socio=uv4 dans ce groupe*socio=ac que dans les autres grands*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac au cours*socio=rien de la période*socio=te considérée. L'expansion*socio=ec2 relativement vive de l'activité_économique*socio=ec1 autre que celle liée à l'extraction*socio=ec1 et au *socio=rien traitement du pétrole*socio=ec1 *socio=nil dans la plupart*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 est*socio=rien *socio=nil due à l'application*socio=rien générale*socio=rien de politiques*socio=et de gestion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 modérément expansionnistes*socio=ec2. Le passage*socio=rien à des politiques_budgétaires*socio=et expansionnistes*socio=ec2 était intervenu à la fin*socio=rien de 1979 ou en 1980, après*socio=rien une période*socio=te d'austérité*socio=uv3 relative*socio=rien marquée par *socio=rien un freinage des*socio=nil dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et.*socio=nil La*socio=nil nouvelle *socio=nil montée en flèche des recettes*socio=ec1 provenant des exportations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 qui s'est*socio=rien amorcée en 1979 est*socio=rien survenue à *socio=rien un moment *socio=nil où, d'une *socio=rien manière générale,*socio=nil les*socio=nil *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 avaient*socio=nil été*socio=rien *socio=nil maîtrisées ou, tout au moins, considérablement*socio=rien réduites, et où les difficultés*socio=uv4 éprouvées précédemment en matière*socio=rien d'offre*socio=rien s'étaient atténuées. Ces circonstances*socio=rien ont favorisé*socio=rien et facilité un*socio=rien redémarrage*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et, qui sont généralement le *socio=rien déterminant principal *socio=nil de l'activité_économique*socio=ec1 non pétrolière*socio=ec1 dans la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac. Dans certains d'entre eux, des politiques_budgétaires*socio=et plus expansionnistes*socio=ec2 se sont accompagnées d'un*socio=rien assouplissement*socio=uv3 des politiques_monétaire*socio=et et de crédit*socio=ec1. Les gouvernements*socio=ac des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil ont, toutefois, veillé à éviter que se reproduisent les goulots*socio=rien d'étranglement*socio=ec2 au niveau*socio=rien de l'offre*socio=ec1 et les *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil constatées auparavant, afin de réduire les pressions*socio=ec2 liées au développement*socio=uv3 et d'améliorer la qualité*socio=rien et la structure*socio=ec1 de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1. Le passage*socio=rien à des politiques*socio=et expansionnistes*socio=ec2 en 1979-80 a été*socio=rien généralement beaucoup moins abrupt que le *socio=rien virage analogue *socio=nil qui avait suivi la *socio=rien hausse du prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 *socio=nil en 1973-74. Tant l'augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et que la croissance*socio=uv3 moyenne*socio=rien de la liquidité*socio=ec1 intérieure*socio=te ont été*socio=rien beaucoup plus modérées en 1980 et 1981 qu'au cours*socio=rien de la période*socio=te précédente*socio=rien d'expansion*socio=ec2 rapide*socio=rien, et l'on a observé dans plusieurs pays*socio=ac une tendance*socio=ec2 à freiner la croissance*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et en 1981, en réponse*socio=rien à la diminution*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 provenant des exportations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1. De plus, en raison*socio=rien de l'affaiblissement*socio=ec2 *socio=rien considérable du *socio=ec1 marché pétrolier,*socio=nil cette*socio=nil tendance*socio=ec2 s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil généralisée au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1982, où certains pays*socio=ac ont été*socio=rien obligés d'effectuer des coupes importantes*socio=uv4 dans leurs programmes*socio=et de dépenses*socio=ec1. Les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil ayant réagi de manière*socio=rien plus modérée et plus prudente*socio=uv2 aux relèvements*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 de 1979-80 qu'à ceux de 1973-74, les pressions*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 n'ont apparemment guère contribué à accélérer l'inflation*socio=ec1; en outre, la réorientation*socio=et récente*socio=rien dans le *socio=rien sens du freinage des*socio=nil dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et aura*socio=nil tendance*socio=ec2 *socio=nil à réduire encore le risque*socio=uv3 que se reproduise l'évolution*socio=te inflationniste*socio=ec2 observée au milieu*socio=rien des années*socio=rien 70 dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac. Certes, le taux*socio=ec1 d'augmentation*socio=ec2 moyen*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 a*socio=nil effectivement*socio=rien *socio=nil augmenté, passant de 10,5 % en 1979 à environ 12,5 % en 1980 et à 13 % en 1981 (tableau*socio=rien 3), mais on peut s'attendre à enregistrer une certaine*socio=rien diminution*socio=ec2 en 1982. Dans les pays*socio=ac dont le taux_de_change*socio=ec1 vis-à-vis du*socio=rien dollar*socio=ec1 ÉU.. n'a pas été*socio=rien modifié en 1981 et au début*socio=rien de 1982, la faiblesse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 exprimés en dollars*socio=ec1 ÉU.. a contribué à contenir l'inflation*socio=ec1. S'il *socio=rien est vrai *socio=nil que les problèmes*socio=uv4 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil généralement atténués par les *socio=rien facteurs susmentionnés,*socio=nil il*socio=nil est *socio=nil néanmoins apparu, comme indiqué ci-dessus, que certains de ces pays*socio=ac devaient adopter des mesures*socio=et de politique_économique*socio=ec1 pour favoriser l'ajustement*socio=et aux circonstances*socio=rien actuelles*socio=te. pays_en_développement*socio=uv3. groupe_des_pays*socio=ac non pétroliers*socio=ec1. La croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 a été*socio=rien marquée, l'an*socio=rien dernier*socio=rien encore, par une forte*socio=rien décélération*socio=ec2. En valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2, la production*socio=ec1 globale*socio=rien de ces pays*socio=ac n'a augmenté que de 2,5 % en 1981, contre 5 % au cours*socio=rien de chacune des deux *socio=rien années précédentes *socio=nil et 6,5 % en 1978 (tableau*socio=rien 2). Le chiffre enregistré en 1981 a *socio=rien été inférieur *socio=nil de près d'un*socio=rien point*socio=rien et demi*socio=rien à celui de 1975, année*socio=rien de récession*socio=ec2; en fait*socio=rien, c'est*socio=rien le taux*socio=ec1 annuel*socio=te le plus faible*socio=rien observé depuis plusieurs dizaines*socio=rien d'années*socio=rien. L'importance*socio=rien du*socio=rien ralentissement*socio=ec2 constaté entre 1980 et 1981 peut être*socio=rien attribuée en partie*socio=rien aux mesures*socio=et d'ajustement*socio=et adoptées l'an*socio=rien dernier*socio=rien par trois grands*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, l'Argentine*socio=ac, le Brésil*socio=ac et la République*socio=ac populaire*socio=uv1 de Chine*socio=ac. Ensemble*socio=rien, ces derniers*socio=rien représentent environ *socio=rien un tiers *socio=nil de la production*socio=ec1 totale*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 et la réduction*socio=ec2 de leur taux_de_croissance*socio=ec1 s'est*socio=rien fortement répercutée sur*socio=rien la *socio=rien moyenne globale.*socio=nil *socio=nil Toutefois, le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 du*socio=rien groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 n'est*socio=rien certainement pas *socio=rien un phénomène *socio=nil limité à quelques-uns d'entre eux. Cette constatation*socio=rien ressort clairement de l'examen*socio=ec2 des taux*socio=ec1 médians*socio=rien de croissance*socio=uv3 dans les différents*socio=rien pays*socio=ac au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années *socio=nil (voir tableau*socio=rien 2). Le taux*socio=ec1 médian*socio=rien, qui a le mérite*socio=rien d'être*socio=rien plus représentatif*socio=uv2 de la structure*socio=ec1 de croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3 types que le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien pondéré mentionné plus haut*socio=rien, n'a cessé de diminuer : 5,6 % en 1978, 4,7 % en 1979, 4 % en 1980, 3 % en 1981. Le ralentissement*socio=ec2 prolongé de l'activité*socio=rien dans le monde*socio=te industrialisé est*socio=rien, *socio=rien bien sûr,*socio=nil un facteur important*socio=uv4 du fléchissement*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. On peut trouver une *socio=rien concrétisation directe *socio=nil de ce lien*socio=rien dans l'évolution*socio=te des exportations*socio=ec1 de ces pays*socio=ac, dont le volume*socio=rien avait augmenté d'environ 9 % par an*socio=rien au cours*socio=rien de la période*socio=te 1976-79 mais n'a progressé que de 5,5 % en 1980 et de 4 % en 1981 (voir tableau*socio=rien 4). La détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, liée, elle aussi, à l'affaiblissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac, constitue un*socio=rien autre *socio=rien facteur négatif *socio=nil (voir tableau*socio=rien 5). Cette détérioration*socio=uv4, qui est*socio=rien due essentiellement à la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 en 1979 et 1980, s'est*socio=rien poursuivie en 1981 sous l'effet*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 conjoncturelle*socio=te des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien, laquelle a gravement compromis*socio=uv1 les recettes*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1 de *socio=rien bon nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil composant le groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. Dans le cas*socio=rien des *socio=ac pays importateurs nets*socio=rien de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil appartenant à ce groupe*socio=ac, la détérioration*socio=uv4 cumulée des termes_de_l'_échange*socio=ec1 entre 1977 et 1981 a dépassé 15 % - soit l'équivalent*socio=rien de quelque 45 à 50 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.., par rapport*socio=rien à la valeur*socio=ec1 des échanges_commerciaux*socio=ec1 de 1981. La progression*socio=ec2 plus lente*socio=rien des revenus*socio=ec1 réels*socio=ec2 qui en est*socio=rien résultée a aggravé les *socio=rien effets du tassement *socio=nil de la demande*socio=ec1 et de la production*socio=ec1 globales*socio=rien dû à la faiblesse*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1.*socio=nil La*socio=nil relation pratiquement*socio=nil parallèle,*socio=nil *socio=nil qui se dégage *socio=rien du graphique *socio=nil 4, entre les variations*socio=rien des *socio=ec1 taux_de_croissance moyens des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de*socio=nil pétrole *socio=nil et celles des pays_industrialisés*socio=ac pendant la période*socio=te commencée en 1976 représente une rupture*socio=ec2 par rapport*socio=rien aux tendances*socio=ec2 enregistrées précédemment. Ni la récession*socio=ec2 de 1974-75 dans les pays_industrialisés*socio=ac ni le ralentissement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien en 1969-70 n'avait entraîné une réduction*socio=ec2 proportionnellement aussi *socio=rien forte du rythme*socio=ec2 d'*socio=nil expansion*socio=ec2 *socio=nil de la production*socio=ec1 réelle*socio=ec2 dans les pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1. Une certaine*socio=rien baisse*socio=ec2 de ce rythme*socio=ec2 avait été*socio=rien constatée dans chacun des deux cas*socio=rien, mais elle avait *socio=rien été faible par*socio=nil rapport *socio=nil à celle enregistrée dans les pays_industrialisés*socio=ac. Et ces résultats*socio=rien étaient ceux auxquels on pouvait logiquement s'attendre compte*socio=ec1 tenu de la relation*socio=rien observée depuis longtemps entre les deux taux_de_croissance*socio=ec1, qui était plutôt lâche, du*socio=rien moins concernant les fluctuations*socio=ec2 d'une *socio=rien année sur *socio=nil l'autre. *socio=rien Du fait *socio=nil que le ralentissement*socio=ec2 a été*socio=rien généralisé dans l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 en 1981, et *socio=rien du fait *socio=nil que la relation*socio=rien entre les variations*socio=rien des taux_de_croissance*socio=ec1 intérieurs*socio=te de ces pays*socio=ac et l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac s'est*socio=rien resserrée ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil on peut déduire l'existence*socio=rien de facteurs*socio=rien omniprésents dont les effets*socio=rien ne s'étaient pas faits*socio=rien si fortement sentir au cours*socio=rien des baisses conjoncturelles*socio=te précédentes*socio=rien. L'un*socio=rien de ces *socio=rien facteurs est *socio=nil probablement l'intégration*socio=uv1 progressive*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et la dépendance*socio=uv1 croissante*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil plus avancés sur*socio=rien la voie*socio=rien de l'industrialisation*socio=ec2, à l'égard*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés et de *socio=rien produits intermédiaires sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac.*socio=nil Mais*socio=nil un effet plus*socio=nil direct *socio=nil a probablement été*socio=rien exercé, depuis la fin*socio=rien des années*socio=rien 70, par les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et économique*socio=ec1 mis en oeuvre*socio=rien par *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil pour faire face*socio=rien à un*socio=rien déséquilibre*socio=uv3 extérieur*socio=te ou à l'inflation*socio=ec1, ou encore, dans bien*socio=rien des cas*socio=rien, à l'un*socio=rien et à l'autre à la fois*socio=rien. Au cours*socio=rien de cette période*socio=te, le freinage*socio=rien de la demande*socio=ec1 que comportent ces programmes*socio=et a généralement agi dans le même sens*socio=rien que les politiques*socio=et restrictives*socio=uv4 appliquées dans les pays_industrialisés*socio=ac. Comme on le verra plus loin*socio=rien dans ce chapitre*socio=rien, le *socio=rien volume du déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil (mesuré par la médiane*socio=rien des rapports*socio=rien entre ce déficit*socio=ec1 et les exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et) a généralement été*socio=rien, tant en 1980 qu'en 1981, de *socio=rien loin supérieur aux*socio=nil maximums *socio=nil enregistrés précédemment. Afin de réduire ce déficit*socio=ec1, de nombreux*socio=rien gouvernements*socio=ac ont été*socio=rien obligés d'adopter des mesures*socio=et destinées*socio=rien à limiter*socio=rien la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et et la plupart*socio=rien de ces mesures*socio=et ont nécessairement exercé *socio=rien un effet restrictif*socio=uv4 *socio=nil non seulement sur*socio=rien la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1, mais aussi sur*socio=rien la demande*socio=ec1 de produits*socio=rien intérieurs*socio=te. En outre, les limitations*socio=uv3 imposées à l'offre*socio=ec1 de produits*socio=rien importés ont eu tendance*socio=ec2 à empêcher la croissance*socio=uv3 intérieure*socio=te de se poursuivre dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil notamment dans les pays*socio=ac de la catégorie*socio=rien à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, où les ressources*socio=ec1 utilisables*socio=uv4 sont généralement les plus rares*socio=rien. Le taux_de_croissance*socio=ec1 global*socio=te *socio=rien du volume des*socio=nil importations*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de*socio=nil pétrole*socio=ec1 est *socio=nil tombé d'environ 8 à 9 % en 1978 et 1979 à une moyenne*socio=rien avoisinant 1 % au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années;*socio=nil en*socio=nil fait,*socio=nil *socio=nil on a observé d'une manière*socio=rien assez générale*socio=rien, en 1980 et 1981, une contraction*socio=ec2 *socio=rien effective du volume des*socio=nil importations*socio=ec1 respectives *socio=nil des divers pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac, étant donné que le volume*socio=rien global*socio=te des importations*socio=ec1 de ce dernier*socio=rien a été*socio=rien soutenu par le pouvoir_d'_achat*socio=ec1 extérieur*socio=te, relativement fort*socio=rien, des quelques pays*socio=ac constituant le sous-groupe dont les exportations*socio=ec1 sont composées pour une *socio=rien bonne part de*socio=nil produits *socio=nil manufacturés. Il se peut que l'accélération*socio=ec2 généralisée de l'inflation*socio=ec1 observée depuis 1978 environ dans les pays_en_développement*socio=uv3 ait figuré au nombre*socio=rien des facteurs*socio=rien ayant contribué à l'affaiblissement*socio=ec2 des taux_de_croissance*socio=ec1. Une étude*socio=ec2 récente*socio=rien des services_du_fonds*socio=ec1, basée sur*socio=rien les chiffres relatifs*socio=rien à l'inflation*socio=ec1 et à la croissance*socio=uv3 dans plus de cent*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 au cours*socio=rien des dix *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil indique que des taux*socio=ec1 relativement élevés*socio=uv4 de croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 avaient *socio=rien été associés *socio=nil à des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 relativement faibles*socio=rien (ou décroissants), et vice*socio=uv3 versa. Ce rapprochement*socio=rien statistique*socio=ec2 ne saurait évidemment pas être*socio=rien considéré comme la preuve*socio=ec2, à proprement parler, d'une relation*socio=rien de cause*socio=rien à effet*socio=rien, mais il n'est*socio=rien pas incompatible*socio=uv4 avec l'hypothèse*socio=ec2 qu'une telle relation*socio=rien pourrait exister. Le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 est*socio=rien devenu *socio=rien un phénomène général *socio=nil en 1981, mais on a vu apparaître d'importantes*socio=uv4 différences*socio=uv1 entre les divers pays*socio=ac. Parmi les sous-groupes*socio=ac analytiques*socio=ec2 figurant au tableau*socio=rien 2, c'est*socio=rien celui des exportateurs*socio=ac nets*socio=rien de pétrole*socio=ec1 dont les résultats*socio=rien en matière*socio=rien de croissance*socio=uv3 se sont le plus écartés de la tendance*socio=ec2 générale*socio=rien. Ces pays*socio=ac, qui, grâce*socio=rien à leurs *socio=ec1 recettes pétrolières,*socio=nil *socio=nil sont relativement moins assujettis aux contraintes*socio=uv1 extérieures*socio=te, sont parvenus, tout au long*socio=rien de la période*socio=te 1979-81, à conserver des taux_de_croissance*socio=ec1 atteignant en moyenne*socio=rien 7 %, chiffre *socio=rien bien supérieur *socio=nil à la moyenne*socio=rien enregistrée entre 1976 et 1978. En moyenne*socio=rien pondérée, les résultats*socio=rien les plus faibles*socio=rien en 1981, tant en valeur*socio=ec1 absolue*socio=rien qu'en proportion*socio=rien des résultats*socio=rien enregistrés en 1976-78, ont été*socio=rien ceux des principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés. Toutefois, leurs résultats*socio=rien moyens*socio=ec1 ont *socio=rien été considérablement *socio=nil influencés par les politiques*socio=et d'ajustement*socio=et adoptées par le Brésil*socio=ac et l'Argentine*socio=ac en 1981. Si l'on examine les taux_de_croissance*socio=ec1 médians*socio=rien, les résultats*socio=rien enregistrés récemment tant dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 que dans les pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 moyen*socio=rien dont les exportations*socio=ec1 consistent essentiellement en *socio=rien produits primaires *socio=nil (c'est-à-dire les "autres importateurs*socio=ac nets*socio=rien de pétrole*socio=ec1" au tableau*socio=rien 2) ont été*socio=rien sensiblement plus faibles*socio=rien que les résultats*socio=rien enregistrés dans les pays_en_développement*socio=uv3 qui exportent du*socio=rien pétrole*socio=ec1 ou des produits*socio=rien manufacturés. En 1981, les taux_de_croissance*socio=ec1 types (médians*socio=rien) des deux premiers*socio=rien sous-groupes*socio=ac ont à peine suffi à contrebalancer l'accroissement*socio=ec2 démographique*socio=ec1 et, dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac de ces importants*socio=uv4 sous-groupes*socio=ac, la production*socio=ec1 par habitant*socio=ac a effectivement*socio=rien diminué. *socio=rien Du point de*socio=nil vue régional*socio=te,*socio=nil le*socio=nil ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3 a été*socio=rien le plus sensible*socio=rien, au cours*socio=rien des quelques *socio=rien dernières années,*socio=nil en*socio=nil Europe*socio=ac *socio=nil et dans l'hémisphère_occidental*socio=te. Dans ces deux régions*socio=te, les taux_de_croissance*socio=ec1 médians*socio=rien en 1981 n'ont été*socio=rien que de 2 %, contre environ 6 à 7 % trois ans*socio=rien auparavant. En Afrique*socio=ac, où le taux*socio=ec1 médian*socio=rien en 1981 a également été*socio=rien de 2 %, le contraste avec les taux*socio=ec1 enregistrés précédemment (environ 4 % de 1977 à 1979) est*socio=rien moins accentué *socio=rien du point de*socio=nil vue statistique*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil mais peut-être plus *socio=rien significatif du point de*socio=nil vue *socio=ec1 économique compte *socio=nil tenu de l'insuffisance*socio=uv3 du*socio=rien revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac dans cette région*socio=te. C'est*socio=rien dans les régions*socio=te d'Asie*socio=ac et du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac, où les pays*socio=ac sont généralement parvenus à maintenir l' activité_économique*socio=ec1 à un*socio=rien rythme*socio=ec2 à peine plus faible*socio=rien qu'à la fin*socio=rien des années*socio=rien 70, que les taux_de_croissance*socio=ec1 médians*socio=rien les plus élevés*socio=uv4 ont été*socio=rien enregistrés en 1981 (environ 5 % ). En dépit*socio=rien de l'adoption*socio=uv3 de politiques*socio=et de stabilisation*socio=et par *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil accomplis en 1981 dans la voie*socio=rien de la réduction*socio=ec2 des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 moyens*socio=ec1 très élevés*socio=uv4 enregistrés en 1980 ont *socio=rien été faibles *socio=nil dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien. Après*socio=rien avoir atteint 32 % en 1980, contre 20 % en 1978, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 moyen*socio=rien (pondéré) de l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac n'a diminué que d'environ 1 point*socio=rien en 1981 (tableau*socio=rien 3). Toutefois, tant les niveaux*socio=rien atteints par les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 en 1980-81 que l'ampleur*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 par rapport*socio=rien aux taux*socio=ec1 déjà élevés*socio=uv4 enregistrés à la fin*socio=rien des années*socio=rien 70 reflètent des hausses de prix*socio=ec1 exceptionnellement rapides*socio=rien dans quelques-uns des grands*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, notamment en amérique_latine*socio=ac. Le taux*socio=ec1 médian*socio=rien pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac *socio=rien est passé *socio=nil de 9,5 % en 1978 à 15 % en 1980 avant de diminuer, comme le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien, d'environ 1 point*socio=rien en 1981. Toutefois, il ressort clairement, même des chiffres médians*socio=rien, que la recrudescence*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 en 1978-80 et la modicité des progrès*socio=uv1 enregistrés jusqu'ici dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 sont des traits*socio=rien communs*socio=uv4 à une *socio=rien forte proportion *socio=nil de l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. Si l'on envisage la période*socio=te plus longue*socio=rien qui s'est*socio=rien écoulée depuis la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te de 1974-75, les résultats*socio=rien sont un*socio=rien peu moins décourageants. Les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 médians*socio=rien des deux *socio=rien dernières années *socio=nil (1415 %) sont nettement inférieurs*socio=rien au taux*socio=ec1 record*socio=ec2 de 18,5 % enregistré en 1974 et légèrement plus faibles*socio=rien que le taux*socio=ec1 de 1975. La différence*socio=rien qui apparaît entre les résultats*socio=rien de cette comparaison*socio=rien et ceux d'une comparaison*socio=rien établie entre les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 moyens*socio=ec1 pondérés pour les mêmes années*socio=rien (37 %, compte*socio=ec1 non tenu de la République*socio=ac populaire*socio=uv1 de Chine*socio=ac, en 1980-81, contre environ 28 % en 1974-75) dénote le rôle*socio=et que jouent certains grands*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 dans la *socio=rien hausse du taux*socio=ec1 d'*socio=nil inflation*socio=ec1 moyen du groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil En outre, les résultats*socio=rien relativement favorables*socio=uv4 ressortant de la comparaison*socio=rien entre les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 enregistrés récemment et ceux enregistrés en 1974-75 dans des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 "typiques" subsistent dans le cas*socio=rien de tous les sous-groupes*socio=ac analytiques*socio=ec2, sauf celui des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés, ainsi que dans le cas*socio=rien de tous les sous-groupes*socio=ac régionaux*socio=te, sauf celui des *socio=ac pays européens.*socio=nil *socio=nil Pour les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 ainsi que pour les pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien exportant essentiellement des *socio=rien produits primaires non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil (les deux sous-groupes*socio=ac les plus importants*socio=uv4 quant au nombre*socio=rien de pays*socio=ac qu'ils comprennent), les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 moyens*socio=ec1 pondérés, de même que les taux*socio=ec1 médians*socio=rien, sont restés inférieurs*socio=rien aux niveaux*socio=rien records*socio=ec2 enregistrés en 1974-75. On peut déduire de ces observations*socio=ec2, semble-t-il, que la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 sont probablement mieux à même de juguler effectivement*socio=rien l'inflation*socio=ec1 que paraissent l'indiquer les *socio=rien moyennes générales,*socio=nil *socio=nil qui sont fortement influencées par les plus grands*socio=rien pays*socio=ac. L'accélération*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 au cours*socio=rien des trois *socio=rien dernières années peut*socio=nil être *socio=nil attribuée en partie*socio=rien au contexte*socio=rien extérieur*socio=te plus inflationniste*socio=ec2, mais elle doit aussi être*socio=rien imputée à l'application*socio=rien de politiques*socio=et trop expansionnistes*socio=ec2 dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac pendant la *socio=rien dernière partie des*socio=nil années *socio=nil 70, et même en 1980 et 1981 dans certains pays*socio=ac, notamment parmi les plus grands*socio=rien. Pour le groupe*socio=ac dans son ensemble*socio=rien, le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien d'expansion*socio=ec2 des *socio=ec1 agrégats monétaires au*socio=nil *socio=rien sens large (*socio=nil monnaie*socio=ec1 *socio=nil et quasi-monnaie) a été*socio=rien d'environ 35 % par an*socio=rien au cours*socio=rien de la période*socio=te 1976-78 et a progressivement*socio=rien augmenté ensuite chaque année*socio=rien pour atteindre 39 % en 1981. Toutefois, certains signes témoignent*socio=rien que des politiques*socio=et moins expansionnistes*socio=ec2 ont été*socio=rien adoptées dans des cas*socio=rien relativement fréquents*socio=rien depuis environ 1979, encore que leurs *socio=rien effets sur les*socio=nil mouvements_des_prix*socio=ec1 *socio=nil n'aient guère *socio=rien été perceptibles *socio=nil jusqu'ici. D'une part*socio=rien, le taux*socio=ec1 de. croissance*socio=uv3 médian*socio=rien de la monnaie*socio=ec1 au *socio=rien sens large *socio=nil a légèrement diminué entre 1979 et 1980, et à nouveau*socio=rien en 1981, ce qui implique une divergence*socio=uv1 entre l'orientation*socio=et prise*socio=rien généralement par la politique_économique*socio=ec1 de *socio=rien nombreux petits pays*socio=ac *socio=nil et celle adoptée dans les grands*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 dont l'évolution*socio=te exerce une influence *socio=rien prépondérante sur les*socio=nil moyennes *socio=nil pondérées. D'autre part*socio=rien, la croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil enregistrée récemment peut être*socio=rien considérée, si on la mesure*socio=rien en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2, comme dénotant une orientation*socio=et relativement restrictive*socio=uv4. La différence*socio=rien entre les taux*socio=ec1 annuels*socio=te d'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 et les taux*socio=ec1 annuels*socio=te d'inflation*socio=ec1 correspondants*socio=rien a été*socio=rien plus faible*socio=rien en 1980 et 1981 qu'au cours*socio=rien de la *socio=rien dernière partie des*socio=nil années *socio=nil 70 : elle a diminué d'environ 7 points*socio=rien pour les moyennes*socio=rien pondérées et d'environ 9 points*socio=rien pour les taux*socio=ec1 médians*socio=rien. Certes, les politiques_monétaires*socio=et appliquées au cours*socio=rien de la plus ancienne*socio=rien des deux périodes*socio=te comparées ont été*socio=rien généralement expansionnistes*socio=ec2; mais une réduction*socio=ec2 aussi nette*socio=rien de la croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 avoirs monétaires réels*socio=ec2 *socio=nil n'a certainement pas manqué de contribuer au ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1; et l'on peut s'attendre, si les politiques*socio=et moins laxistes adoptées récemment sont maintenues et intensifiées, à ce qu'elle exerce, au *socio=rien fil du temps,*socio=nil *socio=nil une influence modératrice progressivement*socio=rien plus *socio=rien forte sur l'*socio=nil inflation*socio=ec1.*socio=nil L'*socio=nil orientation*socio=et expansionniste*socio=ec2 prise *socio=nil par les politiques_monétaires*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 au cours*socio=rien de la *socio=rien dernière partie *socio=nil de la décennie*socio=te 70 était étroitement liée à la situation*socio=rien budgétaire*socio=et de ces pays*socio=ac, qui a été*socio=rien marquée, ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil par des *socio=ec1 déficits moyens *socio=nil de l'ordre*socio=rien de 3,5 % du*socio=rien PIB*socio=ec1. Si cette *socio=rien proportion moyenne est *socio=nil restée relativement stable*socio=uv4, c'est*socio=rien surtout parce que la modération*socio=ec2 budgétaire*socio=et de quelques grands*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 a eu tendance*socio=ec2 à la contenir. Le ratio*socio=ec1 *socio=rien médian du déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et au*socio=nil PIB*socio=ec1 *socio=nil n'a cessé d'augmenter - environ 3 % en 1975, 6 % en 1981 - ce qui dénote le maintien*socio=rien de politiques_budgétaires*socio=et expansionnistes*socio=ec2 dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil petits pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil Ces*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil tout comme ceux du*socio=rien monde*socio=te industrialisé, ont éprouvé des difficultés*socio=uv4, en raison*socio=rien de leurs déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et relativement lourds*socio=rien, à réduire l'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 sans comprimer fortement le crédit*socio=ec1 disponible*socio=rien pour les emprunteurs*socio=ac privés*socio=et et, partant, les composantes*socio=ec1 de la demande_privée*socio=et sensibles*socio=rien aux *socio=rien variations du crédit*socio=ec1.*socio=nil Commerce*socio=ec1 et*socio=nil paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te.*socio=nil Situation générale.*socio=nil L'*socio=nil évolution*socio=te générale des*socio=nil balances_des_paiements*socio=ec1 *socio=nil en 1981 s'est*socio=rien caractérisée par *socio=rien un renversement partie]*socio=nil des*socio=nil importants*socio=uv4 changements*socio=uv3 *socio=nil intervenus au cours*socio=rien des deux *socio=rien années précédentes.*socio=nil L'*socio=nil excédent*socio=ec1 courant des*socio=nil *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 a*socio=nil considérablement*socio=rien *socio=nil diminué et le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te des pays_industrialisés*socio=ac s'est*socio=rien presque réduit d'autant (voir tableau*socio=rien 6). De nouveaux*socio=rien renversements*socio=te importants*socio=uv4 dans le même sens*socio=rien étaient en cours*socio=rien au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1982; ils laissent entrevoir, pour l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien, que l'excédent*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil diminuera sans doute*socio=rien encore beaucoup et que la *socio=ec1 balance_courante globale *socio=nil (à l'exclusion*socio=uv1 des transferts_officiels*socio=et) des pays_industrialisés*socio=ac pourrait devenir*socio=rien légèrement excédentaire*socio=rien. Toutefois, les grands*socio=rien changements*socio=uv3 de structure*socio=ec1 observés au cours*socio=rien de la période*socio=te 1978-80 ne se sont pas tous renversés. Le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, qui avait considérablement*socio=rien augmenté au cours*socio=rien de cette période*socio=te, s'est*socio=rien encore accru en 1981 pour atteindre la centaine*socio=rien de milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.. On ne peut guère s'attendre à ce qu'il diminue sensiblement en 1982. Les mouvements*socio=ec2 les plus récents*socio=rien des balances_courantes*socio=ec1 des principaux*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac sont intervenus dans *socio=rien un contexte *socio=nil marqué par la faiblesse*socio=ec2 des échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te due à la récession*socio=ec2 dans les pays_industrialisés*socio=ac et aux difficultés*socio=uv4 de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te de maints pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. La croissance*socio=uv3 *socio=rien du volume des*socio=nil échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te,*socio=nil *socio=nil qui s'était considérablement*socio=rien ralentie en 1980, a complètement cessé en 1981. Mesuré en dollars*socio=ec1 ÉU.., le total*socio=rien des *socio=ec1 flux commerciaux *socio=nil a diminué pour la *socio=rien première fois depuis*socio=nil bien des*socio=nil années,*socio=nil *socio=nil encore que sa valeur*socio=ec1, exprimée en d'autres grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1 ou en DTS, ait continué d'augmenter (voir tableau*socio=rien 4). Le *socio=rien seul élément de*socio=nil dynamisme*socio=uv3 *socio=nil dans l'ensemble*socio=rien des échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te en 1981 a été*socio=rien l'augmentation*socio=ec2 de 20 % *socio=rien du volume des*socio=nil importations*socio=ec1 des*socio=nil *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Toutefois, ces pays*socio=ac ayant vu leurs propres*socio=rien exportations*socio=ec1 fortement diminuer en termes*socio=rien réels*socio=ec2 et le prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 ayant baissé pendant les six *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1982, on s'attend que leurs importations*socio=ec1 augmentent beaucoup plus lentement cette année*socio=rien. En revanche, les importations*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac ont diminué de 2,5 % en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 en 1981 (cette réduction*socio=ec2 s'expliquant presque entièrement par la contraction*socio=ec2 de 12 % *socio=rien du volume *socio=nil de leurs importations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1) et elles sont restées faibles*socio=rien au cours*socio=rien des *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1982. Si l'on considère l'ensemble*socio=rien des échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te, la réduction*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil importations*socio=ec1 des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil enregistrée en 1981 a à peu près compensé non seulement la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil mais aussi le léger*socio=rien accroissement*socio=ec2 (2 % ) en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 des importations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. La tendance*socio=ec2 des variations*socio=rien en volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 en 1981 s'est*socio=rien aussi caractérisée par des augmentations*socio=ec2 relativement faibles*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac et dans les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 (de 2,5 % et de 4 %, respectivement), contrastant avec la réduction*socio=ec2 importante*socio=uv4 d'environ 16 % observée dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil La*socio=nil hausse*socio=rien des*socio=nil prix*socio=ec1 du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil nettement ralentie en 1981. Exprimés en dollars*socio=ec1 ÉU.., ces prix*socio=ec1 ont, en moyenne*socio=rien, marqué une légère*socio=rien diminution*socio=ec2 qui contraste fortement avec les augmentations*socio=ec2 annuelles*socio=te proches*socio=rien de 20 % enregistrées en 1979 et 1980. La hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 en DTS des exportations*socio=ec1 et des importations*socio=ec1 mondiales*socio=te, qui avait atteint 15 % en 1979 et 19 % en 1980, n'a été*socio=rien que de 9 % en 1981. Quelle que soit l'unité*socio=rien de mesure*socio=rien utilisée, les mouvements*socio=ec2 de prix*socio=ec1 ont considérablement*socio=rien varié selon les catégories*socio=rien de produits*socio=rien; ils ont entraîné des différences*socio=uv1 correspondantes*socio=rien entre les mouvements*socio=ec2 de prix*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 et ceux des importations*socio=ec1 des divers pays*socio=ac, selon la composition*socio=rien de leur commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te. Il *socio=rien est intéressant,*socio=nil *socio=nil à cet égard*socio=rien, de consulter le tableau*socio=rien 5, qui retrace les variations*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1 des trois principaux*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac et permet de comparer les mouvements_des_prix*socio=ec1 de trois *socio=rien grandes catégories de*socio=nil produits *socio=nil faisant l'objet*socio=rien d'échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te. Ce *socio=rien tableau fait *socio=nil notamment apparaître la *socio=rien forte différence *socio=nil observée en 1981 entre la baisse*socio=ec2 des cours*socio=rien des *socio=rien produits primaires non*socio=nil pétroliers*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui a atteint 15 % en dollars*socio=ec1 ÉU.., et celle des prix*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 ÉU.. des produits*socio=rien manufacturés, qui n'a été*socio=rien que de 5 %. Ces deux baisses contrastent encore plus fortement, *socio=rien bien sûr,*socio=nil *socio=nil avec la hausse*socio=rien de 10 % du*socio=rien prix*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 ÉU.. du*socio=rien pétrole*socio=ec1 observée entre 1980 et 1981. Le fléchissement*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien non pétroliers*socio=ec1 s'est*socio=rien poursuivi au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1982 : au milieu*socio=rien de l'année*socio=rien, l'indice de ces prix*socio=ec1 (en dollars*socio=ec1 ÉU..) se situait à 13 % environ au-dessous de son *socio=rien niveau moyen *socio=nil de 1981. En *socio=rien termes 46réels"*socio=nil *socio=nil (c'est-à-dire déflatés à l'aide*socio=uv1 de l'indice_des_prix*socio=ec1 des produits*socio=rien manufacturés utilisé au graphique*socio=rien 5), les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien non pétroliers*socio=ec1 sont tombés, au milieu*socio=rien de 1982, à leur niveau*socio=rien le plus faible*socio=rien depuis plus de trente ans*socio=rien, et à 21 % au-dessous *socio=rien du niveau *socio=nil atteint pendant la récession*socio=ec2 de 1975. A cause*socio=rien des contrastes précités*socio=rien entre les mouvements_des_prix*socio=ec1 des échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te et à cause*socio=rien aussi d'autres différences*socio=uv1 entre les *socio=rien diverses catégories de*socio=nil produits primaires,*socio=nil les*socio=nil fluctuations*socio=ec2 des*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 *socio=nil ont beaucoup contribué aux variations*socio=rien des balances_courantes*socio=ec1 en 1981, mais dans une *socio=rien moindre mesure *socio=nil qu'au cours*socio=rien des deux *socio=rien années précédentes.*socio=nil L'*socio=nil amélioration*socio=uv1 *socio=nil de 11,5 % des termes_de_l'_échange*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil entre 1980 et 1981 a atténué l'évolution*socio=te défavorable*socio=uv4 *socio=rien du volume net *socio=nil de leurs exportations*socio=ec1 et importations*socio=ec1. Pour les deux autres grands*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac, les variations*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1 comme celles *socio=rien du volume net des*socio=nil exportations*socio=ec1 *socio=nil ont pris les directions*socio=rien opposées et leur ampleur*socio=rien a varié selon les cas*socio=rien. L'évolution*socio=te positive*socio=uv4 *socio=rien du volume net des*socio=nil exportations*socio=ec1 des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac a*socio=nil été relativement*socio=nil importante*socio=uv4 *socio=nil et n'a été*socio=rien freinée que faiblement par la dégradation*socio=uv3 des termes_de_l'_échange*socio=ec1. En revanche, pour les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, l'évolution*socio=te positive*socio=uv4 des exportations*socio=ec1 a été*socio=rien moins importante*socio=uv4 et la dégradation*socio=uv3 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 plus considérable*socio=rien, de sorte*socio=rien que la seconde l'a emporté sur*socio=rien la première*socio=rien. *socio=rien Certaines variations importantes*socio=uv4 du compte*socio=ec1 des*socio=nil services*socio=et *socio=nil de la balance_des_paiements*socio=ec1 (tableau*socio=rien 7) se sont aussi réparties*socio=rien inégalement entre les principaux*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac. en particulier*socio=rien, la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 internationaux*socio=te et l'augmentation*socio=ec2 de l'encours de la dette*socio=ec1 ont considérablement*socio=rien accru les paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 et les recettes*socio=ec1 extérieures*socio=te des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil en 1981. Malgré l'accroissement*socio=ec2 de leurs paiements*socio=ec1 et de leurs recettes*socio=ec1 au titre*socio=rien des intérêts*socio=uv1, la balance_des_paiements*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac n'a pas été*socio=rien aussi fortement touchée car ces pays*socio=ac ont continué, en tant que groupe*socio=ac, de jouer essentiellement un*socio=rien rôle*socio=et d'intermédiaire*socio=rien financier*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1 et du*socio=rien crédit*socio=ec1. Les *socio=rien sections suivantes *socio=nil examinent de plus près l'évolution*socio=te récente*socio=rien de la situation*socio=rien des paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te de différents*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac et de quelques grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac considérés isolément. La première*socio=rien, consacrée aux pays_industrialisés*socio=ac, étudie les variations*socio=rien de leurs balances_courantes*socio=ec1 et les fortes*socio=rien fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 intervenues au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années.*socio=nil Les*socio=nil sections suivantes *socio=nil décrivent les transactions*socio=ec1 extérieures*socio=te des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil et des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. pays_industrialisés*socio=ac. Évolution*socio=te des balances_courantes*socio=ec1. Comme déjà mentionné précédemment, le solde*socio=ec1 courant*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, qui était devenu largement déficitaire*socio=ec2 en raison*socio=rien des hausses de prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 en 1979-80, s'est*socio=rien fortement amélioré en 1981. D'un*socio=rien niveau*socio=rien record*socio=ec2 d'environ 66 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.., montant*socio=ec1 qui comprend les transferts_officiels*socio=et, le déficit_global*socio=ec1 de ces pays*socio=ac est*socio=rien tombé à 25 milliards*socio=rien en 1981. Si l'on exclut les transferts_officiels*socio=et (qui ont peu varié), le déficit*socio=ec1 a été*socio=rien pratiquement éliminé en 1981 (voir tableau*socio=rien 8). Le facteur*socio=rien le plus important*socio=uv4 ayant contribué à la réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 d'environ 40 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.. est*socio=rien la baisse*socio=ec2 *socio=rien considérable du volume des*socio=nil importations*socio=ec1 de*socio=nil pétrole*socio=ec1 des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac.*socio=nil Un autre*socio=nil facteur *socio=nil ayant contribué pour une part*socio=rien presque égale*socio=rien à ce redressement*socio=ec2 de situation*socio=rien a été*socio=rien l'amélioration*socio=uv1 *socio=rien du volume net des*socio=nil exportations*socio=ec1 *socio=nil et des importations*socio=ec1 de produits*socio=rien non pétroliers*socio=ec1, explicable pour une *socio=rien bonne part *socio=nil par la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 à destination*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Toutefois, les effets*socio=rien de ces facteurs*socio=rien positifs*socio=uv4 ont été*socio=rien partiellement neutralisés par une légère*socio=rien détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1. S'il *socio=rien est vrai *socio=nil que la composante*socio=rien non pétrolière*socio=ec1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac s'est*socio=rien légèrement améliorée en 1981, cette amélioration*socio=uv1 n'a pas suffi à compenser la nouvelle*socio=rien augmentation*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des importations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 (sur*socio=rien une base*socio=rien annuelle*socio=te). Tant la réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 entre 1980 et 1981 que les soldes*socio=ec1 courants*socio=te qui en sont résultés en 1981 ont été*socio=rien assez inégalement répartis entre les pays_industrialisés*socio=ac (voir tableau*socio=rien 8). Le Japon*socio=ac et la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac - les deux pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac qui avaient enregistré les déficits*socio=ec1 les plus élevés*socio=uv4 en 1980 - ont compté pour plus de la moitié*socio=rien dans l'amélioration*socio=uv1 totale*socio=rien de la situation*socio=rien de l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac et c'est*socio=rien au Royaume-uni*socio=ac, dont le solde*socio=ec1 courant*socio=rien était déjà excédentaire*socio=rien en 1980, qu'il faut attribuer près de 50 % *socio=rien du reste *socio=nil de l'amélioration*socio=uv1. Parmi les grands*socio=rien pays*socio=ac, seul*socio=rien le Canada*socio=ac a enregistré un*socio=rien déficit*socio=ec1 courant*socio=rien plus élevé*socio=uv4 en 1981 qu'en 1980. Toutefois, la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac sont également restés déficitaires*socio=ec2. Parmi les exceptions*socio=rien, outre le Royaume-uni*socio=ac, qui a enregistré un*socio=rien excédent*socio=ec1 très important*socio=uv4 de 14 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.. (y compris les transferts_officiels*socio=et), figurent le Japon*socio=ac (avec un*socio=rien excédent*socio=ec1 de 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU..) et les États-unis*socio=ac (dont l'excédent*socio=ec1 *socio=rien est passé *socio=nil de 1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.. en 1980 à 4,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU..). Le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac autres que ces trois derniers*socio=rien pays*socio=ac a encore atteint environ 50 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.. en 1981, dont quelque 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.. pour le groupe*socio=ac des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Bien*socio=rien que l'on s'attende à une diminution*socio=ec2 des excédents*socio=ec1 du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac et des États-unis*socio=ac en 1982, l'excédent*socio=ec1 du*socio=rien Japon*socio=ac ne variera probablement pas beaucoup et le solde*socio=ec1 courant*socio=rien de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac pourrait redevenir excédentaire*socio=rien. Étant donné que l'on assiste, d'une *socio=rien manière générale,*socio=nil *socio=nil à une réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, on s'attend que le déficit_global*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac diminuera encore considérablement*socio=rien en 1982. Parmi les raisons*socio=rien qui donnent à penser que l'évolution*socio=te positive*socio=uv4 se poursuivra figurent les perspectives*socio=te de stabilité*socio=uv3 relative*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien non pétroliers*socio=ec1 (graphique*socio=rien 5) et l'improbabilité de voir le volume*socio=rien des importations*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac augmenter considérablement*socio=rien d'une *socio=rien année sur *socio=nil l'autre, étant donné le ralentissement*socio=ec2 de leur activité_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1982 et la faiblesse*socio=ec2 de la reprise attendue pour le *socio=rien second semestre *socio=nil de l'année*socio=rien. En 1981, la balance_courante*socio=ec1 du*socio=rien Japon*socio=ac a enregistré *socio=rien un renversement de*socio=nil solde*socio=ec1 *socio=nil de 15 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.., passant d'un*socio=rien déficit*socio=ec1 de 11 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1980 à l'excédent*socio=ec1 de 5 milliards*socio=rien mentionné plus haut*socio=rien. La réapparition*socio=rien d'un*socio=rien excédent*socio=ec1 au Japon*socio=ac s'explique à la fois*socio=rien par la réduction*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil importations*socio=ec1 *socio=nil (notamment de pétrole*socio=ec1) et par la hausse*socio=rien - moins rapide*socio=rien toutefois qu'en 1980 - *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1.*socio=nil La*socio=nil faiblesse*socio=ec2 *socio=nil de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et les mutations_structurelles*socio=ec2 dans l'industrie*socio=ec1 japonaise*socio=ac, qui ont eu pour effet*socio=rien de réduire la consommation*socio=ec1 d'énergie*socio=ec1 et de matières_premières*socio=ec1, expliquent la réduction*socio=ec2 des importations*socio=ec1. La progression*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 japonaises*socio=ac *socio=nil - qui a atteint environ 11 % en 1981 et qui est*socio=rien venue s'ajouter à l'augmentation*socio=ec2 de 17 % enregistrée en 1980 - est*socio=rien due à la force*socio=uv1 de la position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 internationale*socio=ac du*socio=rien Japon*socio=ac attribuable*socio=rien à la depréciation *socio=rien sensible du yen*socio=ec1 *socio=nil intervenue entre la fin*socio=rien de 1978 et le début*socio=rien de 1980. Toutefois, le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif moyen du yen*socio=ec1 a*socio=nil été plus*socio=nil élevé*socio=uv4 *socio=nil en 1981 qu'en 1980 et l'amélioration*socio=uv1 du*socio=rien solde*socio=ec1 courant*socio=rien s'est*socio=rien ralentie au cours*socio=rien des *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1981. Il est*socio=rien peu probable*socio=uv4 que la progression*socio=ec2 se poursuive en 1982 au rythme*socio=ec2 de 1981, compte*socio=ec1 tenu essentiellement du*socio=rien contrôle*socio=uv3 qu'exercent volontairement certaines*socio=rien industries*socio=ec1 japonaises*socio=ac sur*socio=rien leurs livraisons*socio=rien à l'exportation*socio=ec1. Le mouvement*socio=ec2 positif*socio=uv4 du*socio=rien solde*socio=ec1 courant*socio=rien de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac s'est*socio=rien amorcé plus tard qu'au Japon*socio=ac (graphique*socio=rien 6) et n'a pas été*socio=rien aussi important*socio=uv4 en 1981 (sur*socio=rien une base*socio=rien annuelle*socio=te). En outre, la position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 de l'Allemagne*socio=ac a été*socio=rien particulièrement forte*socio=rien, la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 dépassant celle des marchés*socio=ec1 de plusieurs points*socio=rien de pourcentage*socio=rien (mais toutefois pas dans la même mesure*socio=rien que les exportations*socio=ec1 japonaises*socio=ac); les importations*socio=ec1 allemandes*socio=ac ont, par ailleurs*socio=rien, sensiblement diminué en termes*socio=rien réels*socio=ec2. L'amélioration*socio=uv1 de la balance_commerciale*socio=ec1 de l'Allemagne*socio=ac a été*socio=rien particulièrement marquée au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1981. Elle s'explique par les effets*socio=rien favorables*socio=uv4, sur*socio=rien le volume*socio=rien des échanges*socio=ec1, de la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil intervenue au cours*socio=rien de l'année*socio=rien, encore que cette influence positive*socio=uv4 ait été*socio=rien atténuée par les effets*socio=rien défavorables*socio=uv4 de "courbe en J" de la *socio=rien variation du taux_de_change*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil troisième cas de*socio=nil forte augmentation*socio=ec2 *socio=nil de l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien d'un*socio=rien pays_industrialisé*socio=ac en 1981 - celui du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac - n'est*socio=rien pas comparable*socio=rien aux deux cas*socio=rien précédemment évoqués. La position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 des entreprises*socio=ac manufacturières*socio=ec1 britanniques*socio=ac, mesurée par n'importe quel indice habituel*socio=rien de coûts*socio=ec1 ou de prix*socio=ec1 comparatifs au niveau*socio=rien international*socio=te (graphique*socio=rien 7), s'est*socio=rien détériorée de manière*socio=rien exceptionnelle*socio=uv4 en 1979 et 1480 sous le *socio=rien double effet *socio=nil d'une forte*socio=rien appréciation*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 effectif*socio=rien et d'un*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 qui était l'un*socio=rien des plus élevés*socio=uv4 de ceux des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. C'est*socio=rien la raison*socio=rien pour laquelle, tout au moins en partie*socio=rien, le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1 du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac a diminué d'environ 3 %, malgré la croissance*socio=uv3 de 4 % des marchés*socio=ec1 étrangers*socio=te auxquels elles étaient destinées*socio=rien. Toutefois, en raison*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, le volume*socio=rien des importations*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1 du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac ne s'est*socio=rien guère modifié et les exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien de pétrole*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac ont sensiblement augmenté. En outre, les termes_de_l'_échange*socio=ec1 ont continué de s'améliorer et l'excédent*socio=ec1 enregistré en 1980 au titre*socio=rien des services*socio=et et des transferts*socio=ec1 a nettement progressé. Ces deux éléments*socio=rien, qui ont eu une influence positive*socio=uv4 sur*socio=rien le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te, ont largement compensé la réduction*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 *socio=nil en 1981. Toutefois, la reprise de la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1, qui devrait accompagner le léger*socio=rien redressement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, entraînera probablement une réduction*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien en 1982, en particulier*socio=rien si, comme prévu, une reconstitution*socio=ec2 considérable*socio=rien des stocks*socio=ec1 de matières_premières*socio=ec1 importées et de produits*socio=rien semi-finis constitue l'un*socio=rien des éléments*socio=rien de la reprise de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. La balance_courante*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, qui était passée d'une position*socio=rien déficitaire*socio=ec2 à une *socio=rien position excédentaire *socio=nil en 1979, à l'époque*socio=te où le solde*socio=ec1 courant*socio=rien de la plupart*socio=rien des autres pays_industrialisés*socio=ac se détériorait, s'est*socio=rien soldée par des excédents*socio=ec1 en légère*socio=rien progression*socio=ec2 tant en 1980 qu'en 1981. La part*socio=rien des États-unis*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1 et le *socio=rien volume total *socio=nil de leurs exportations*socio=ec1 ont fortement augmenté à la suite*socio=rien de la dépréciation*socio=ec2 *socio=rien sensible du dollar*socio=ec1 *socio=nil ÉU.. en 1978. En 1981, l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3 hésitante*socio=rien des marchés*socio=ec1 extérieurs*socio=te ont entravé une nouvelle*socio=rien expansion*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 des États-unis*socio=ac. En outre, le volume*socio=rien des importations*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac a de nouveau*socio=rien augmenté après*socio=rien deux années*socio=rien de stagnation*socio=ec1. Toutefois, la nouvelle*socio=rien réduction*socio=ec2 *socio=rien sensible du volume des*socio=nil importations*socio=ec1 de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil et l'évolution*socio=te positive*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 ont permis*socio=rien aux États-unis*socio=ac d'éviter une aggravation*socio=ec2 considérable*socio=rien de leur *socio=ec1 déficit commercial,*socio=nil *socio=nil et la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 de leur important*socio=uv4 excédent*socio=ec1 au titre*socio=rien des services*socio=et et transferts*socio=ec1 a accentué l'évolution*socio=te positive*socio=uv4 du*socio=rien solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. Le glissement*socio=rien de la position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 des États-unis*socio=ac en matière*socio=rien de produits*socio=rien manufacturés en 1981 pourrait se traduire par une réduction*socio=ec2 beaucoup plus considérable*socio=rien des parts*socio=rien de ce pays*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1 en 1982. Toutefois, on s'attend qu'une nouvelle*socio=rien amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 et une nouvelle*socio=rien réduction*socio=ec2 des *socio=ec1 importations pétrolières,*socio=nil *socio=nil ainsi que le maintien*socio=rien de la tendance*socio=ec2 à la hausse*socio=rien des recettes*socio=ec1 nettes*socio=rien au titre*socio=rien des services*socio=et, limiteront toute dégradation*socio=uv3 de la balance_courante*socio=ec1. Le *socio=rien seul grand pays_industrialisé*socio=ac *socio=nil ayant enregistré une dégradation*socio=uv3 *socio=rien considérable du solde*socio=ec1 *socio=nil de ses transactions_courantes*socio=te entre 1980 et 1981 est*socio=rien le Canada*socio=ac. Le déficit*socio=ec1 de ce pays*socio=ac au titre*socio=rien des services*socio=et a continué de se creuser, tandis que le fléchissement*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien et l'augmentation*socio=ec2 des importations*socio=ec1 nettes*socio=rien de pétrole*socio=ec1 provoquée par une réduction*socio=ec2 de la production*socio=ec1 intérieure*socio=te ont eu des répercussions*socio=ec2 défavorables*socio=uv4 sur*socio=rien le *socio=ec1 déficit commercial.*socio=nil *socio=nil En ce qui concerne la France*socio=ac et l'Italie*socio=ac, le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien n'a guère varié en 1981 et ne variera probablement pas sensiblement en 1982. La *socio=rien grande majorité des*socio=nil petits pays_industrialisés*socio=ac,*socio=nil *socio=nil dont le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te est*socio=rien tombé de 29 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.. en 1980 à 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.. en 1981, ont enregistré une évolution*socio=te positive*socio=uv4 de leurs soldes*socio=ec1 individuels*socio=uv2. L'Australie*socio=ac, dont le déficit*socio=ec1 a doublé, constitue une exception*socio=rien importante*socio=uv4; parmi les autres exceptions*socio=rien figurent la Belgique*socio=ac et le Luxembourg*socio=ac (où le déficit*socio=ec1 est*socio=rien resté stable*socio=uv4), l'Irlande*socio=ac et la Nouvelle-zélande*socio=ac. Évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1. L'instabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 a été*socio=rien l'une des *socio=rien caractéristiques majeures *socio=nil de la situation*socio=rien financière*socio=ec1 internationale*socio=ac au cours*socio=rien des quelques *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Toutefois, la dernière*socio=rien série de fluctuations*socio=ec2 réellement considérables*socio=rien -notamment l'appréciation*socio=uv3 importante*socio=uv4 du*socio=rien dollar*socio=ec1 ÉU.. entre octobre*socio=rien 1980 et août*socio=rien 1981 et la forte*socio=rien dépréciation*socio=ec2 effective*socio=rien des monnaies*socio=ec1 des pays*socio=ac d'Europe*socio=ac continentale*socio=te, ainsi que les larges*socio=rien fluctuations*socio=ec2 (dans *socio=rien un premier temps *socio=nil à la hausse*socio=rien, puis à la baisse*socio=ec2) des taux*socio=ec1 *socio=rien effectifs du yen*socio=ec1 *socio=nil et de la livre sterling*socio=ec1 -avait, pour l'essentiel*socio=uv4, pris fin*socio=rien au troisième*socio=rien trimestre*socio=te de 1981 (voir graphique*socio=rien 8). Bien*socio=rien que de *socio=rien nouvelles variations importantes*socio=uv4 *socio=nil soient intervenues depuis lors*socio=rien, leur ampleur*socio=rien n'a pas atteint, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, celle des fluctuations*socio=ec2 précédentes*socio=rien et elles n'ont pas modifié la structure*socio=ec1 des rapports*socio=rien entre les taux_de_change*socio=ec1 réels*socio=ec2 apparue au *socio=rien cours du second semestre *socio=nil de 1981. L'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif du dollar*socio=ec1 *socio=nil ÉU.. entre octobre*socio=rien 1980 et août*socio=rien 1981 a atteint 22 %. Par la suite*socio=rien, le taux*socio=ec1 s'est*socio=rien légèrement déprécié pendant plusieurs mois*socio=rien mais s'est*socio=rien raffermi au début*socio=rien de 1982 pour se situer, au deuxième*socio=rien trimestre*socio=te, à plusieurs points*socio=rien de pourcentage*socio=rien au-dessus *socio=rien du sommet *socio=nil atteint au mois*socio=rien d'août*socio=rien de l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Ces mouvements*socio=ec2, observés depuis août*socio=rien 1981, semblent avoir été*socio=rien provoqués essentiellement par les variations*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac et par les écarts*socio=ec2 entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te aux États-unis*socio=ac et dans les autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. La valeur*socio=ec1 nominale*socio=rien de change*socio=ec1 du*socio=rien dollar*socio=ec1, mesurée par le taux_de_change*socio=ec1 effectif*socio=rien, a été*socio=rien, au deuxième*socio=rien trimestre*socio=te de 1982, plus élevée*socio=uv4 qu'au cours*socio=rien de toute autre période*socio=te depuis le *socio=rien second semestre *socio=nil de 1971. Les taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien de toutes les autres grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1, à l'exception*socio=rien du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1, se sont dépréciés au cours*socio=rien de la période*socio=te allant de la fin*socio=rien de 1980 à la mi-juin 1982. Les dépréciations*socio=ec1 les plus importantes*socio=uv4 ont été*socio=rien celles du*socio=rien franc*socio=ec1 français*socio=rien et de la lire italienne*socio=ac qui ont atteint cumulativement*socio=rien 20 % et 18 %, respectivement. Ces deux monnaies*socio=ec1 se sont dépréciées de manière*socio=rien plus ou moins continue*socio=rien, en *socio=rien termes effectifs,*socio=nil au*socio=nil cours *socio=nil de la période*socio=te considérée. Bien*socio=rien qu'ayant également diminué d'une *socio=rien manière générale au*socio=nil cours *socio=nil des trois premiers*socio=rien trimestres*socio=te de 1981, les taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectifs du *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil et de la livre sterling*socio=ec1 se sont légèrement redressés au cours*socio=rien des *socio=rien derniers mois *socio=nil de l'année*socio=rien et au début*socio=rien de 1982, de sorte*socio=rien que leur *socio=ec2 dépréciation cumulative a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil nettement plus faible*socio=rien que celle des monnaies*socio=ec1 française*socio=ac et italienne*socio=ac. Dans le *socio=rien cas du *socio=ec1 deutsche mark,*socio=nil l'*socio=nil appréciation*socio=uv3 *socio=nil a même permis*socio=rien de ramener le taux*socio=ec1 effectif*socio=rien à *socio=rien un niveau *socio=nil proche de celui enregistré en octobre*socio=rien 1980. Pour la livre sterling*socio=ec1, la *socio=ec2 baisse cumulative nette*socio=rien *socio=nil a atteint 7,5 %. Les fluctuations*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 *socio=rien effectif du yen*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui avaient été*socio=rien, au cours*socio=rien des deux années*socio=rien ayant précédé octobre*socio=rien 1980, les plus importantes*socio=uv4 jamais enregistrées, ont été*socio=rien relativement faibles*socio=rien par la suite*socio=rien. La valeur*socio=ec1 de change*socio=ec1 du*socio=rien yen*socio=ec1, qui avait déjà suivi une nette*socio=rien tendance*socio=ec2 à la hausse*socio=rien au *socio=rien cours du deuxième et*socio=nil du troisième trimestre*socio=te *socio=nil de 1980, a augmenté de 8 % entre octobre*socio=rien 1980 et février*socio=rien 198 1, mais ce mouvement*socio=ec2 positif*socio=uv4 s'est*socio=rien ensuite inversé pour faire place*socio=rien à une dépréciation*socio=ec2 progressive*socio=rien. A la mi-juin 1982, le taux_de_change*socio=ec1 effectif*socio=rien de la monnaie*socio=ec1 japonaise*socio=ac était inférieur*socio=rien d'environ 2 % à son niveau*socio=rien d'octobre*socio=rien 1980. Au cours*socio=rien de la période*socio=te allant d'octobre*socio=rien 1980 à la mi-juin 1982, le dollar_canadien*socio=ec1 est*socio=rien, de toutes les grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1, celle dont le taux*socio=ec1 *socio=rien effectif est *socio=nil resté le plus stable*socio=uv4. Sa dépréciation*socio=ec2 progressive*socio=rien par rapport*socio=rien au dollar_éu*socio=ec1 a été*socio=rien plus que compensée par son appréciation*socio=uv3 vis-à-vis des monnaies*socio=ec1 des principaux*socio=rien autres partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac, de sorte*socio=rien que, cumulativement*socio=rien, le dollar_canadien*socio=ec1 s'est*socio=rien apprécié de 6%. A l'origine*socio=rien des variations*socio=rien susmentionnées des taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien, on trouve des changements*socio=uv3 très prononcés et extrêmement variés des rapports*socio=rien bilatéraux*socio=et entre les taux_de_change*socio=ec1. Ces changements*socio=uv3 ont entraîné, d'une manière*socio=rien que les fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien ne traduisent pas nécessairement de *socio=rien façon évidente,*socio=nil des*socio=nil modifications *socio=nil de la position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 de certains pays*socio=ac sur*socio=rien certains marchés*socio=ec1. Quelques-unes de ces modifications*socio=rien sont résumées au tableau*socio=rien 9, qui fait*socio=rien apparaître les variations*socio=rien fondamentales*socio=uv4 des taux_de_change*socio=ec1 bilatéraux*socio=et des *socio=rien cinq grands pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil entre le troisième*socio=rien trimestre*socio=te de 1980 et le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1982, tant en valeur*socio=ec1 nominale*socio=rien qu'en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2. On peut juger, en examinant la *socio=rien partie supérieure du tableau,*socio=nil *socio=nil de l'ampleur*socio=rien de la différence*socio=rien entre l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar*socio=ec1 ÉU.. vis-à-vis des monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac et son appréciation*socio=uv3 vis-à-vis du*socio=rien yen*socio=ec1. Les deux autres *socio=rien parties du tableau *socio=nil font apparaître clairement que l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar*socio=ec1 ÉU.. par rapport*socio=rien au yen*socio=ec1 et au *socio=ec1 deutsche mark a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil sensiblement plus importante*socio=uv4 en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 qu'en valeur*socio=ec1 nominale*socio=rien et que l'appréciation*socio=uv3 *socio=rien nominale du dollar*socio=ec1 *socio=nil vis-à-vis des monnaies*socio=ec1 française*socio=ac et britannique*socio=ac ne s'est*socio=rien pas accompagnée d'une *socio=rien modification considérable des*socio=nil coûts*socio=ec1 de*socio=nil main-d'_oeuvre*socio=ac *socio=nil comparatifs (avant correction*socio=ec2 des fluctuations*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1). Une autre observation*socio=ec2 importante*socio=uv4 découlant *socio=rien du tableau est *socio=nil que le yen*socio=ec1, tout en se dépréciant légèrement vis-à-vis du*socio=rien dollar*socio=ec1 ÉU.., a considérablement*socio=rien augmenté par rapport*socio=rien aux trois autres monnaies*socio=ec1. Toutefois, cette appréciation*socio=uv3 vis-à-vis des monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac a été*socio=rien en partie*socio=rien contrebalancée, *socio=rien du point de*socio=nil vue *socio=nil de la position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2, par l'évolution*socio=te relativement favorable*socio=uv4 des coûts*socio=ec1 de main-d'_oeuvre*socio=ac au Japon*socio=ac. Par ailleurs*socio=rien, *socio=rien certaines caractéristiques significatives des*socio=nil rapports *socio=nil entre les taux_de_change*socio=ec1 des trois *socio=ac pays européens *socio=nil ressortent clairement *socio=rien du tableau.*socio=nil En*socio=nil valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil la livre sterling*socio=ec1 s'est*socio=rien considérablement*socio=rien appréciée vis-à-vis du*socio=rien *socio=ec1 deutsche mark et*socio=nil du*socio=rien franc français*socio=rien *socio=nil (pour des *socio=rien raisons différentes *socio=nil dans chacun des cas*socio=rien), tandis que le rapport*socio=rien entre les monnaies*socio=ec1 des deux pays*socio=ac d'Europe*socio=ac continentale*socio=te est*socio=rien resté stable*socio=uv4 jusqu'à la *socio=rien fin du premier trimestre*socio=te *socio=nil de 1982, en raison*socio=rien des variations*socio=rien compensatrices du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 nominal*socio=rien et des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 relatifs*socio=rien. Toutefois, ce tableau*socio=rien montre que la compensation*socio=rien des écarts*socio=ec2 importants*socio=uv4 entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 n'a pas été*socio=rien une *socio=rien caractéristique constante des*socio=nil variations des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 au*socio=nil cours *socio=nil des dix-huit *socio=rien derniers mois.*socio=nil Bien au*socio=nil contraire,*socio=nil certaines des*socio=nil variations de*socio=nil change*socio=ec1 *socio=nil les plus importantes*socio=uv4 enregistrées au cours*socio=rien de la période*socio=te - et plus particulièrement celles du*socio=rien dollar*socio=ec1 E.U, vis-à-vis du*socio=rien yen*socio=ec1 et du*socio=rien *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil - ont amplifié les effets*socio=rien des écarts*socio=ec2 entre les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 sur*socio=rien les positions*socio=rien concurrentielles*socio=ec2 plutôt que de les corriger. Les *socio=rien variations récentes des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 réels*socio=ec2 des*socio=nil monnaies*socio=ec1 clés principaux pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil ont ramené la majorité*socio=rien de ces taux*socio=ec1 à des niveaux*socio=rien relativement proches*socio=rien de leurs *socio=rien moyennes respectives *socio=nil pour les dix *socio=rien dernières années.*socio=nil Le*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil constituant l'exception*socio=rien principale*socio=rien à cet *socio=rien égard est le*socio=nil Royaume-uni*socio=ac,*socio=nil *socio=nil où les coûts*socio=ec1 et les prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien des produits*socio=rien manufacturés (corrigés des fluctuations*socio=ec2 de change*socio=ec1) sont élevés*socio=uv4 par rapport*socio=rien à la tendance*socio=ec2 pendant cette période*socio=te, *socio=rien du fait *socio=nil essentiellement des effets*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et restrictive*socio=uv4 et de la production*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 de la *socio=rien mer du Nord*socio=te sur le*socio=nil taux_de_change*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Indépendamment des écarts*socio=ec2 entre les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 dont on tient compte*socio=ec1 (tout au moins, en_principe*socio=ec2) pour établir les indices des taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien réels*socio=ec2, les *socio=rien principaux facteurs *socio=nil mesurables ayant eu une incidence*socio=ec2 sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 au cours*socio=rien des quelques *socio=rien dernières années *socio=nil sont ceux liés à l'évolution*socio=te des balances_courantes*socio=ec1 et des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Les écarts*socio=ec2 entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 des divers pays*socio=ac (et les différences*socio=uv1 entre les politiques*socio=et financières*socio=ec1 nationales*socio=te -effectivement appliquées ou prévues - qui les sous-tendent) ont, dans certains cas*socio=rien, joué un*socio=rien rôle*socio=et prépondérant*socio=rien dans les fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 pendant plusieurs *socio=rien mois consécutifs *socio=nil (comme au cours*socio=rien de la période*socio=te allant d'août*socio=rien à novembre*socio=rien 1981, par exemple*socio=rien). Toutefois, ces écarts*socio=ec2 ne semblent pas avoir exercé une influence *socio=rien considérable sur les*socio=nil variations *socio=nil à plus long_terme*socio=te des rapports*socio=rien entre les taux_de_change*socio=ec1, en partie*socio=rien parce que les mouvements_de_capitaux*socio=ec1 ou les modifications*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1, ou les deux, ont tendance*socio=ec2 à provoquer un*socio=rien rétrécissement*socio=ec2 des écarts*socio=ec2 entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 (compte*socio=ec1 tenu également, bien*socio=rien entendu, des facteurs*socio=rien de confiance*socio=uv1, de nature*socio=rien non économique*socio=ec1). Les effets*socio=rien de l'évolution*socio=te des balances_courantes*socio=ec1 - qui est*socio=rien elle-même responsable*socio=uv2 en partie*socio=rien, *socio=rien bien sûr,*socio=nil des*socio=nil variations des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil - ont été*socio=rien généralement plus lents*socio=rien à se faire sentir, mais également plus durables*socio=uv4. Par exemple*socio=rien, la *socio=rien fermeté du dollar*socio=ec1 *socio=nil ÉU.. enregistrée en 1981 doit beaucoup à l'amélioration*socio=uv1 sensible*socio=rien de la balance_courante*socio=ec1 des États-unis*socio=ac entre 1978 et 1980. De même, la *socio=rien fermeté du taux_de_change*socio=ec1 du yen*socio=ec1 et*socio=nil du *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil à la fin*socio=rien de 1981 s'explique - outre par le fléchissement*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac au cours*socio=rien de cette période*socio=te - par l'amélioration*socio=uv1 *socio=rien rapide du solde*socio=ec1 des*socio=nil transactions_courantes*socio=te *socio=nil de ces deux pays*socio=ac, tout comme la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien yen*socio=ec1 en 1980 et celle du*socio=rien *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil en 1981 étaient attribuables*socio=rien à la dégradation*socio=uv3 de leurs balances_courantes*socio=ec1 respectives*socio=rien enregistrée précédemment. Les réactions*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 aux influences provenant de la position*socio=rien des balances_courantes*socio=ec1 et des *socio=ec1 conditions monétaires relatives*socio=rien *socio=nil sont beaucoup plus perceptibles*socio=rien lorsque ces deux facteurs*socio=rien oeuvrent dans la même direction*socio=et, comme ce fut le cas*socio=rien pour le dollar*socio=ec1 ÉU.. à la fin*socio=rien de 1980 et à nouveau*socio=rien au milieu*socio=rien de 1981, que lorsqu'ils exercent des influences contradictoires*socio=uv2. Ce *socio=rien deuxième cas peut*socio=nil être *socio=nil illustré par la *socio=rien situation du Japon*socio=ac *socio=nil entre la fin*socio=rien de 1980 et les *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1981. Au cours*socio=rien de cette période*socio=te, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 plus élevés*socio=uv4 à l'étranger*socio=te qu'au Japon*socio=ac et les sorties de capitaux*socio=ec1 qu'ils avaient contribué à susciter ont eu tendance*socio=ec2 à annuler l'incidence*socio=ec2 potentielle*socio=uv4 *socio=rien du fort redressement*socio=ec2 *socio=nil de la balance_courante*socio=ec1. Le *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac (*socio=nil SME*socio=ec1)*socio=nil est un facteur institutionnel*socio=et *socio=nil qui a contribué à l'uniformité des fluctuations*socio=ec2 de change*socio=ec1 en Europe*socio=ac au cours*socio=rien de la période*socio=te examinée. Ce mécanisme*socio=et a, de toute évidence*socio=rien, atténué ou amorti les *socio=rien effets sur les*socio=nil pays*socio=ac participants d'*socio=nil un certain nombre de*socio=nil perturbations*socio=ec2 temporaires *socio=nil subies par leurs relations*socio=rien de paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Toutefois, la convergence*socio=uv3 des conditions_économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 des pays*socio=ac participants*socio=rien n'a pas *socio=rien été suffisante *socio=nil pour empêcher l'apparition*socio=rien périodique*socio=te de fortes*socio=rien pressions*socio=ec2. Au cours*socio=rien des dix-huit *socio=rien derniers mois,*socio=nil ces*socio=nil pressions*socio=ec2 *socio=nil ont, à quatre reprises, donné lieu*socio=rien au réalignement*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 des pays*socio=ac participant*socio=rien au SME*socio=ec1. En mars*socio=rien 1981, le *socio=rien cours pivot *socio=nil de la lire italienne*socio=ac a été*socio=rien dévalué de 6 %. En octobre*socio=rien 1981, les *socio=rien cours pivots du *socio=ec1 deutsche mark et*socio=nil du*socio=rien florin néerlandais*socio=ac ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil réévalués de 5,5 %, tandis que le franc*socio=ec1 français*socio=rien et la lire italienne*socio=ac étaient dévalués de 3 %. En février*socio=rien 1982, le franc*socio=ec1 belge*socio=ac et la *socio=ac couronne danoise ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil dévalués respectivement de 8,5 % et de 3 %. En juin*socio=rien 1982, les *socio=rien cours pivots du *socio=ec1 deutsche mark et*socio=nil du*socio=rien florin néerlandais*socio=ac ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil réévalués de 4,25 %, tandis que ceux du*socio=rien franc*socio=ec1 français*socio=rien et de la lire italienne*socio=ac ont été*socio=rien dévalués respectivement de 5,75 % et de 2,75 %. pays_en_développement*socio=uv3. *socio=ac groupe_des_pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil On a signalé plus haut*socio=rien la forte*socio=rien diminution*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil qui*socio=nil *socio=rien est passé *socio=nil de 116 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.. en 1980 à 69 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.. en 1981 et qui devrait se situer, selon les projections*socio=ec2, à 25 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.. en 1982. Les *socio=rien principales caractéristiques *socio=nil de cette évolution*socio=te ont été*socio=rien une baisse*socio=ec2 très marquée *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1,*socio=nil un ralentissement*socio=ec2 et*socio=nil un renversement partiel des*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil réalisés auparavant sur*socio=rien le plan*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1, en *socio=rien raison du tassement *socio=nil de la demande*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1, ainsi qu'une croissance*socio=uv3 accélérée *socio=rien du volume des*socio=nil importations*socio=ec1 *socio=nil en 1981. La faiblesse*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 dans les principaux*socio=rien *socio=ac pays consommateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil notamment pendant la *socio=rien dernière partie *socio=nil de l'année*socio=rien 1981 et au début*socio=rien de 1982, est*socio=rien l'une des raisons*socio=rien qui explique l'ampleur*socio=rien de la baisse*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil Un autre*socio=nil facteur plus*socio=nil important*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil cependant, a été*socio=rien la *socio=rien forte réaction des*socio=nil consommateurs*socio=ac face au*socio=nil renchérissement du pétrole*socio=ec1 *socio=nil en 1979 et 1980. Les progrès*socio=uv1 réalisés en matière*socio=rien d'économies*socio=ec1 d'énergie*socio=ec1 sont allés de pair*socio=rien avec des augmentations*socio=ec2 continues*socio=te de la production*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 en dehors des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil de*socio=nil sorte*socio=rien *socio=nil que la diminution*socio=ec2 de la consommation*socio=ec1 mondiale*socio=te n'a expliqué qu'en partie*socio=rien la baisse*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 du *socio=ac groupe_des_pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil On s'attend que ce volume*socio=rien sera en 1982 inférieur*socio=rien de plus d'un*socio=rien quart*socio=rien au niveau*socio=rien atteint en 1980. Étant donné que les exportations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 représentent environ 80 % des recettes*socio=ec1 au titre*socio=rien des transactions_courantes*socio=te des pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac, le rôle*socio=et majeur*socio=rien que joue ce fléchissement*socio=ec2 dans la réduction*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 *socio=rien courant est *socio=nil manifeste. Le volume*socio=rien des importations*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil a augmenté d'environ 20 % en 1981, contre 15 % en 1980, et l'on prévoit une nouvelle*socio=rien augmentation*socio=ec2 modérée (environ 5 % ) pour 1982. Toutefois, le rôle*socio=et joué par l'expansion*socio=ec2 des importations*socio=ec1 dans la réduction*socio=ec2 des excédents*socio=ec1 courants*socio=te a *socio=rien été moindre *socio=nil que pendant les *socio=rien années consécutives aux*socio=nil relèvements*socio=ec2 du prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 *socio=nil intervenus en 1973-74, où il avait *socio=rien été prépondérant.*socio=nil Cette*socio=nil différence *socio=nil s'explique par le fait*socio=rien que la tendance*socio=ec2 à adopter des politiques_économiques*socio=et expansionnistes*socio=ec2 a été*socio=rien moins prononcée en 1979 et 1980 que pendant la précédente*socio=rien période*socio=te de fortes*socio=rien hausses du*socio=rien prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1. On observe aussi une différence*socio=rien en ce qui concerne l'évolution*socio=te des paiements*socio=ec1 nets*socio=rien au titre*socio=rien des services*socio=et et des transferts_privés*socio=et. Après*socio=rien 1974, ils avaient marqué une augmentation*socio=ec2 considérable*socio=rien, s'expliquant par le *socio=rien lien existant *socio=nil entre de nombreux*socio=rien paiements_courants*socio=ec1 (rémunérations*socio=ec1 des prestataires*socio=ac de services*socio=et et consultants*socio=ac étrangers*socio=te, envois*socio=rien de fonds*socio=ec1 des travailleurs*socio=ac expatriés, etc.) et les efforts*socio=uv1 de développement*socio=uv3 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil déficit*socio=ec1 net*socio=rien *socio=nil enregistré par ces pays*socio=ac au titre*socio=rien des services*socio=et et des transferts_privés*socio=et n'a cessé de se creuser tout au long*socio=rien de 1980. Mais il s'est*socio=rien stabilisé depuis en raison*socio=rien d'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 des paiements*socio=ec1 au titre*socio=rien des invisibles*socio=rien et d'une *socio=rien forte hausse des*socio=nil recettes*socio=ec1 au*socio=nil titre des*socio=nil revenus*socio=ec1 d'*socio=nil investissements*socio=ec1 *socio=nil à l'étranger*socio=te qui s'explique à la fois*socio=rien par les importantes*socio=uv4 augmentations*socio=ec2 de ces avoirs*socio=ec1 pendant les trois *socio=rien dernières années *socio=nil et par la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 internationaux*socio=te. Ainsi, bien*socio=rien que la baisse*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil qui se produit*socio=rien à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te rappelle à certains égards*socio=rien l'évolution*socio=te qu'on avait observée pendant la période*socio=te 1975-78, les *socio=rien principaux facteurs *socio=nil qui la sous-tendent sont totalement différents*socio=rien. Depuis 1980, la faiblesse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te de pétrole*socio=ec1 joue un*socio=rien rôle*socio=et beaucoup plus important*socio=uv4 et l'accroissement*socio=ec2 de l'absorption*socio=rien de produits*socio=rien et services*socio=et étrangers*socio=te, un*socio=rien rôle*socio=et moins important*socio=uv4 que pendant la période*socio=te précédente*socio=rien. La diminution*socio=ec2 de l'excédent_global*socio=te des transactions_courantes*socio=te du*socio=rien *socio=ac groupe_des_pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil depuis 1980 est*socio=rien surtout imputable*socio=uv2 à la balance*socio=ec1 extérieure*socio=te de six pays*socio=ac, qui n'avaient cessé d'enregistrer des excédents*socio=ec1 annuels*socio=te de 1970 jusqu'en 1980. Les six autres pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac, dont les balances_courantes*socio=ec1 étaient toutes devenues déficitaires*socio=ec2 en 1978, ont enregistré *socio=rien ensemble un important*socio=uv4 excédent*socio=ec1 *socio=nil en 1979 et 1980, mais la part*socio=rien de celui-ci dans l'excédent_global*socio=te du*socio=rien groupe*socio=ac a *socio=rien été bien plus*socio=nil faible *socio=nil en 1980 qu'en 1974. Ce changement*socio=uv3 est*socio=rien essentiellement dû à la concentration*socio=ec2 accrue des recettes*socio=ec1 provenant des exportations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 dans le sous-groupe des pays*socio=ac qui n'avaient cessé d'enregistrer des excédents*socio=ec1 pendant la période*socio=te 1970-80. C'est*socio=rien à ce sous-groupe qu'est*socio=rien imputable*socio=uv2 la *socio=rien majeure partie *socio=nil de la diminution*socio=ec2 de l'excédent_global*socio=te des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil observée en 1981. Le solde*socio=ec1 global*socio=te des transactions_courantes*socio=te des six autres pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac est*socio=rien devenu déficitaire*socio=ec2 en 1981, mais beaucoup moins qu'il ne l'avait été*socio=rien en 1978. *socio=rien Du fait des*socio=nil emprunts*socio=ec1 importants*socio=uv4 *socio=nil contractés par certains pays*socio=ac du*socio=rien sous-groupe déficitaire*socio=ec2, le volume*socio=rien des fonds*socio=ec1 dont les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil disposaient pour faire des investissements*socio=ec1 à l'étranger*socio=te a été*socio=rien plus important*socio=uv4 en 1981, comme pendant la plupart*socio=rien des *socio=rien années précédentes,*socio=nil *socio=nil que leurs recettes*socio=ec1 nettes*socio=rien au titre*socio=rien des paiements_courants*socio=ec1. Selon les estimations*socio=ec2, ces pays*socio=ac ont dépensé quelque 80 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.. sous forme*socio=rien de divers placements*socio=ec1 extérieurs*socio=te (pour la plupart*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac) ou de dons*socio=ec1 aux pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 pendant l'année*socio=rien 1981, contre plus de 120 milliards*socio=rien en 1980 et quelque 70 milliards*socio=rien en 1979. Les montants*socio=ec1 investis pendant ces trois années*socio=rien ont représenté les trois cinquièmes*socio=rien environ de l'excédent*socio=ec1 total*socio=rien des liquidités*socio=ec1 accumulées depuis 1973, estimées à quelque 475 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.. On ne dispose pas de données statistiques*socio=ec2 *socio=rien exhaustives sur le*socio=nil montant*socio=ec1 brut des*socio=nil avoirs*socio=ec1 extérieurs*socio=te des*socio=nil *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil à la fin*socio=rien de 1981, mais ce dernier*socio=rien chiffre peut donner une idée*socio=rien approximative de leur ordre*socio=rien de grandeur*socio=rien. Les avoirs*socio=ec1 des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 et du*socio=rien secteur_privé*socio=et non bancaire*socio=ec1 représentaient un*socio=rien peu plus *socio=rien du quart du total,*socio=nil *socio=nil mais celui-ci était essentiellement constitué de réserves_officielles*socio=et et d'autres actifs*socio=ec1 extérieurs*socio=te détenus*socio=rien par des organismes*socio=ac du*socio=rien secteur_public*socio=et. La totalité*socio=rien des avoirs*socio=ec1 extérieurs*socio=te s'est*socio=rien trouvée, bien*socio=rien entendu, concentrée dans les six pays*socio=ac excédentaires*socio=ec2, qui ont représenté plus de 90 % au total*socio=rien des excédents*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants *socio=nil enregistrés par l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac entre 1974 et 1981. La plupart*socio=rien des fonds*socio=ec1 investis à l'étranger*socio=te par les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil l'ont été*socio=rien sous forme*socio=rien de *socio=ec1 dépôts bancaires *socio=nil (notamment en eurodevises) et autres placements*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac. L'essor*socio=rien des placements*socio=ec1 pendant ces *socio=rien dernières années s'*socio=nil est de*socio=nil nouveau *socio=nil caractérisé par une concentration*socio=ec2 initiale*socio=rien en actifs*socio=ec1 relativement liquides, suivie d'une diversification*socio=ec2 progressive*socio=rien avec une augmentation*socio=ec2 de la proportion*socio=rien des investissements*socio=ec1 à plus long_terme*socio=te et moins liquides comme les actions*socio=ec1 et obligations*socio=uv1 de sociétés*socio=ac, les titres*socio=rien de dette*socio=ec1 publique*socio=et à long_terme*socio=te, les investissements*socio=ec1 directs*socio=rien dans les entreprises*socio=ac et les prêts*socio=ec1 entre organismes*socio=ac officiels*socio=et à certains pays_industrialisés*socio=ac. Les données limitées dont on dispose indiquent que les placements*socio=ec1 en *socio=ec1 dépôts bancaires *socio=nil identifiés, qui avaient compté pour plus de moitié*socio=rien dans l'excédent*socio=ec1 total*socio=rien des liquidités*socio=ec1 en 1979, n'ont plus représenté qu'un*socio=rien tiers*socio=rien environ de l'excédent*socio=ec1, plus important*socio=uv4, en 1980 et beaucoup moins d'un*socio=rien dixième*socio=rien en 1981. Cette évolution*socio=te s'explique non seulement par la diversification*socio=ec2 des avoirs*socio=ec1, mais aussi par les tirages*socio=ec1 effectués sur*socio=rien leurs *socio=ec1 dépôts bancaires *socio=nil par les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil qui avaient besoin*socio=uv1 d'utiliser leurs réserves*socio=ec1. Cette tendance*socio=ec2 à la réorientation*socio=et vers des investissements*socio=ec1 à plus long_terme*socio=te ou moins liquides s'explique, en partie*socio=rien, par la concentration*socio=ec2 *socio=rien croissante du total des*socio=nil avoirs*socio=ec1 extérieurs*socio=te du *socio=ac groupe_des_pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 dans*socio=nil *socio=rien un petit nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil dont la position*socio=rien de liquidité*socio=ec1 était déjà forte*socio=rien. L'augmentation*socio=ec2 de la *socio=rien part du secteur_privé*socio=et *socio=nil dans le total*socio=rien des avoirs*socio=ec1 et la mise au point*socio=rien de politiques*socio=et d'investissement*socio=ec1 de plus en plus complexes dans les principaux*socio=rien pays*socio=ac excédentaires*socio=ec2 y ont également contribué. La diversification*socio=ec2 par genres*socio=rien d'actifs*socio=ec1 financiers*socio=ec1 est*socio=rien allée de pair*socio=rien avec une diversification*socio=ec2 géographique*socio=te et une diversification*socio=ec2 des monnaies*socio=ec1 de dénomination. Toutefois, les changements*socio=uv3 de la composition*socio=rien des avoirs*socio=ec1 ont surtout été*socio=rien causés par la réorientation*socio=et des nouveaux*socio=rien placements*socio=ec1, bien*socio=rien davantage que par les modifications*socio=rien, si importantes*socio=uv4 soient-elles, des investissements*socio=ec1 existants*socio=rien. *socio=rien Un fait marquant *socio=nil de l'évolution*socio=te *socio=rien récente est l'*socio=nil augmentation*socio=ec2 du rôle*socio=et des*socio=nil banques*socio=ac *socio=nil et autres institutions_financières*socio=ac créées par les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil dans la canalisation*socio=rien des flux*socio=ec1 de prêts*socio=ec1 consortiaux, par l'intermédiaire*socio=rien des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de crédit*socio=ec1, vers les emprunteurs*socio=ac des pays_industrialisés*socio=ac comme des pays_en_développement*socio=uv3. Un*socio=rien autre *socio=rien fait marquant est *socio=nil que quelques *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil ont commencé à faire des investissements*socio=ec1 directs*socio=rien dans des activités*socio=rien liées au pétrole*socio=ec1 dans d'autres régions*socio=te du*socio=rien monde*socio=te. En outre, les créances*socio=ec1 sur*socio=rien le Fonds*socio=ec1 et la banque_mondiale*socio=ac ont augmenté au cours*socio=rien de ces deux *socio=rien dernières années,*socio=nil en*socio=nil raison surtout*socio=nil du *socio=nil concours de l'Arabie*socio=ac Saoudite*socio=ac à la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi du*socio=rien Fonds*socio=ec1. On a aussi observé une expansion*socio=ec2 des apports*socio=rien d'aide*socio=uv1 assortie de conditions*socio=ec1 libérales*socio=et aux pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, à la fois*socio=rien sous forme*socio=rien de prêts*socio=ec1 bilatéraux*socio=et ou de dons*socio=ec1 et sous forme*socio=rien de contributions*socio=uv1 à des institutions*socio=ac multilatérales*socio=et d'aide*socio=uv1 au développement*socio=uv3 (outre la banque_mondiale*socio=ac). En chiffres cumulés, ces apports*socio=rien d'aide*socio=uv1 ont représenté quelque 14 % des excédents*socio=ec1 *socio=te courants globaux des*socio=nil *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil depuis 1974. pays_en_développement*socio=uv3. groupe_des_pays*socio=ac non pétroliers*socio=ec1. Évolution*socio=te du*socio=rien solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. Le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 appartenant au groupe*socio=ac non pétrolier*socio=ec1 a augmenté en 1981 de 13 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.. et atteint quelque 100 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Cette dernière*socio=rien augmentation*socio=ec2 annuelle*socio=te a porté à 60 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.. l'accroissement*socio=ec2 cumulé du*socio=rien déficit*socio=ec1 courant*socio=rien des pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac depuis 1978. Des facteurs*socio=rien extérieurs*socio=te très défavorables*socio=uv4, y compris le *socio=rien renchérissement du pétrole*socio=ec1 *socio=nil en 1979-80, la *socio=rien forte hausse des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te *socio=nil depuis le milieu*socio=rien de 1979, les *socio=et politiques_commerciales protectionnistes *socio=nil et le sévère*socio=uv4 ralentissement*socio=ec2 de l' activité_économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac, sont essentiellement à l'origine*socio=rien de cet alourdissement*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te. Cependant, les facteurs*socio=rien intérieurs*socio=te ont aussi joué un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 dans certains pays_en_développement*socio=uv3, dont beaucoup ont appliqué des politiques*socio=et financières*socio=ec1 inconsidérément*socio=rien expansionnistes*socio=ec2 dans leurs efforts*socio=uv1 tendant à stimuler le développement*socio=uv3 mais n'ont pas corrigé les distorsions*socio=uv3 qu'elles ont introduites dans les prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien. Les influences défavorables*socio=uv4 d'origine*socio=rien extérieure*socio=te les plus importantes*socio=uv4, tant l'an*socio=rien dernier*socio=rien que pour l'ensemble*socio=rien de la période*socio=te allant de 1978 à 1981, ont été*socio=rien celles qui ont agi sur*socio=rien les prix*socio=ec1 des importations*socio=ec1 et des exportations*socio=ec1. Les hausses du*socio=rien prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et le fléchissement*socio=ec2 des cours*socio=rien des *socio=rien produits primaires *socio=nil ont beaucoup contribué à la dégradation*socio=uv3 substantielle*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années (*socio=nil graphique *socio=nil 9) ; et les baisses des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien, intervenues pendant la *socio=rien dernière partie *socio=nil de 1981 et les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1982, présagent une nouvelle*socio=rien aggravation*socio=ec2 notable*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1 en 1982. Au cours*socio=rien des trois *socio=rien dernières années,*socio=nil cette*socio=nil détérioration*socio=uv4 *socio=nil a contribué pour plus de deux tiers*socio=rien à l'alourdissement*socio=ec2 *socio=rien total du déficit*socio=ec1 courant global*socio=te du groupe*socio=ac.*socio=nil L'*socio=nil évolution*socio=te des*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil toutefois, a varié considérablement*socio=rien selon les pays*socio=ac, dans le groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. Ceux qui sont exportateurs*socio=ac nets*socio=rien de pétrole*socio=ec1 (sans remplir les conditions*socio=ec1 requises*socio=uv4 pour être*socio=rien inclus dans le groupe*socio=ac des principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 étudié plus haut*socio=rien) ont vu leurs termes*socio=rien d'échange*socio=ec1 s'améliorer fortement entre 1978 et 1980, et ceux-ci ne se sont pas dégradés en 1981; mais les pays*socio=ac dont les exportations*socio=ec1 se composent surtout de *socio=rien produits primaires *socio=nil ont subi, pendant chacune des trois *socio=rien dernières années,*socio=nil une*socio=nil forte dégradation*socio=uv3 *socio=nil de leurs termes*socio=rien d'échange*socio=ec1, qui a été*socio=rien tout particulièrement lourde*socio=rien pour les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Pour ce qui est*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, relativement peu nombreux*socio=rien, qui sont devenus d'importants*socio=uv4 exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés, la dégradation*socio=uv3 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 pendant cette période*socio=te a été*socio=rien modérée. L'évolution*socio=te des termes_de_l'_échange*socio=ec1 a joué un*socio=rien rôle*socio=et prépondérant*socio=rien dans les variations*socio=rien des déficits*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 au*socio=nil cours*socio=rien des*socio=nil *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil mais le ralentissement*socio=ec2 conjoncturel*socio=te de l'activité_économique*socio=ec1 dans le monde*socio=te industrialisé a aussi exercé une influence *socio=rien majeure sur le*socio=nil volume des*socio=nil échanges_commerciaux*socio=ec1 *socio=nil de ces pays*socio=ac. En comprimant directement la demande*socio=ec1 réelle*socio=ec2 de leurs exportations*socio=ec1 et en freinant indirectement*socio=rien la croissance*socio=uv3 réelle*socio=ec2 de leurs importations*socio=ec1, il a eu tendance*socio=ec2 à réduire l'accroissement*socio=ec2 du*socio=rien pouvoir_d'_achat*socio=ec1 de leurs recettes*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1. Le taux_de_croissance*socio=ec1 réelle*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 *socio=rien globales du groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 est *socio=nil tombé de 9-10 % par an*socio=rien en 1978-79 à 5-6 % en 1980 et à 4 % en 1981; cette décélération*socio=ec2 s'est*socio=rien répartie*socio=rien de façon*socio=rien relativement uniforme*socio=uv4 entre les différents*socio=rien sous-groupes*socio=ac. En revanche, les *socio=rien variations du volume des*socio=nil importations*socio=ec1 *socio=nil se sont très inégalement réparties*socio=rien, surtout parce que l'évolution*socio=te des termes_de_l'_échange*socio=ec1 a eu des influences très différentes*socio=rien, selon les pays*socio=ac et les sous-groupes*socio=ac, sur*socio=rien l'accroissement*socio=ec2 du*socio=rien pouvoir_d'_achat*socio=ec1 des recettes*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1 (graphique*socio=rien 10). L'accroissement*socio=ec2 de ce pouvoir_d'_achat*socio=ec1 a *socio=rien été rapide,*socio=nil *socio=nil en 1979 et 1980, pour le sous-groupe des *socio=ac pays exportateurs nets*socio=rien de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil et l'augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 qu'il a entraînée est*socio=rien restée rapide*socio=rien en 1981. Au cours*socio=rien de cette *socio=rien dernière année,*socio=nil le*socio=nil fait *socio=nil que ces pays*socio=ac aient pu et voulu emprunter davantage à l'étranger*socio=te les a aussi beaucoup aidés à maintenir le taux_de_croissance*socio=ec1 réelle*socio=ec2 de leurs importations*socio=ec1 dans la fourchette*socio=rien de 12 à 16 % pour la *socio=rien troisième année consécutive.*socio=nil *socio=nil En revanche, pour ce qui est*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1, l'expansion*socio=ec2 des importations*socio=ec1 en termes*socio=rien réels*socio=ec2 s'est*socio=rien pratiquement interrompue, son taux*socio=ec1 annuel*socio=te tombant de 8-9 % en 1978-79 à environ 1 % en 1980-81. Cet ajustement*socio=et a été*socio=rien le plus grave*socio=uv4 pour les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, dont le volume*socio=rien des importations*socio=ec1 a effectivement*socio=rien baissé d'environ 2 % en 1980 et 7 % en 1981. Les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés ont pu continuer d'accroître leurs importations*socio=ec1 en termes*socio=rien réels*socio=ec2 pendant ces deux années*socio=rien (de 3-4 % par an*socio=rien, contre une moyenne*socio=rien d'environ 10 % en 1978-79), mais les importations*socio=ec1 de "l'autre" sous-groupe (comprenant les pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien qui exportent généralement surtout des *socio=rien produits primaires)*socio=nil *socio=nil n'ont pu être*socio=rien maintenues totalement après*socio=rien 1979. A cause*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1 et de l'insuffisance*socio=uv3 du*socio=rien financement*socio=ec1, les deux tiers*socio=rien environ des pays*socio=ac relevant du*socio=rien sous-groupe à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 et de "l'autre" sous-groupe ont recouru à divers types de réglementations*socio=et quantitatives*socio=rien pour restreindre les importations*socio=ec1. Les répercussions*socio=ec2 défavorables*socio=uv4 de l'évolution*socio=te du*socio=rien monde*socio=te industrialisé sur*socio=rien la balance_des_paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 ne se sont pas limitées à la balance_commerciale*socio=ec1; elles ont aussi touché la balance*socio=ec1 des services*socio=et. L'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac, par exemple*socio=rien, s'est*socio=rien répercutée sur*socio=rien les envois*socio=rien de fonds*socio=ec1 des travailleurs*socio=ac expatriés et sur*socio=rien les recettes*socio=ec1 provenant du*socio=rien tourisme*socio=ec1. Toutefois, le facteur*socio=rien qui a, de loin*socio=rien, été*socio=rien le plus préjudiciable*socio=et à la balance*socio=ec1 des services*socio=et extérieurs*socio=te a été*socio=rien la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 internationaux*socio=te, qui ont à peu près doublé entre 1978 et 1981. Bien*socio=rien qu'une *socio=rien bonne partie *socio=nil de l'encours de la dette*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 n'ait guère été*socio=rien influencée par la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1, cette hausse*socio=rien a contribué pour bien*socio=rien plus de la moitié*socio=rien à l'augmentation*socio=ec2 de 23 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.. qu'ont subie, pendant cette période*socio=te, les paiements*socio=ec1 annuels*socio=te d'intérêts*socio=uv1 effectués par ce groupe_de_pays*socio=ac au titre*socio=rien de leurs engagements*socio=et extérieurs*socio=te à long_terme*socio=te. Cette évolution*socio=te a eu des répercussions*socio=ec2 relativement uniformes*socio=uv4 sur*socio=rien les différents*socio=rien sous-groupes*socio=ac, à l'exception*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, qui en ont moins subi le contrecoup*socio=te que les autres *socio=rien du fait *socio=nil que les emprunts*socio=ec1 à long_terme*socio=te, à taux*socio=ec1 fixe et assortis de conditions*socio=ec1 libérales*socio=et occupent une *socio=rien place prépondérante *socio=nil dans leurs engagements*socio=et extérieurs*socio=te. Il *socio=rien est possible *socio=nil de situer l'origine*socio=rien principale*socio=rien de l'accroissement*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 courant*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 observé entre 1980 et 1981 chez les *socio=ac pays exportateurs nets*socio=rien de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil Ces*socio=nil derniers*socio=rien,*socio=nil tirant*socio=nil parti*socio=et *socio=nil de l'augmentation*socio=ec2 de leur patrimoine*socio=et national*socio=te et de leur réputation*socio=uv1 d'emprunteurs*socio=ac généralement *socio=rien bonne sur le*socio=nil marché*socio=ec1 international*socio=te du crédit*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil ont accru d'environ 13,5 % le volume*socio=rien de leurs importations*socio=ec1 (qui s'était déjà accru dans des *socio=rien proportions analogues,*socio=nil *socio=nil voire plus importantes*socio=uv4, en 1979 et en 1980). Pour la centaine*socio=rien de pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 qui sont importateurs*socio=ac nets*socio=rien de pétrole*socio=ec1, l'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te a été*socio=rien relativement faible*socio=rien : 73 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.. en 1980, 80 milliards*socio=rien en 1981. En fait*socio=rien, à l'exception*socio=rien de l'afrique_du_sud*socio=ec1 (dont la balance*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te, excédentaire*socio=rien de 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU.., est*socio=rien devenue déficitaire*socio=ec2 de 4,5 milliards*socio=rien sous l'effet*socio=rien des fortes*socio=rien fluctuations*socio=ec2 *socio=rien du cours *socio=nil de l'or*socio=ec1), la tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 a été*socio=rien modérée. En proportion*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et, le déficit*socio=ec1 total*socio=rien enregistré en 1981 par les *socio=ac pays importateurs nets*socio=rien de*socio=nil pétrole*socio=ec1 s'*socio=nil est*socio=rien situé*socio=nil bien*socio=rien *socio=nil au-dessous des maximums*socio=rien atteints en 1974 et 1975, quoique bien*socio=rien au-dessus des niveaux*socio=rien enregistrés entre-temps*socio=rien (voir graphique*socio=rien 11 ). Cette observation*socio=ec2, en soi*socio=rien, inclinerait à penser que l'ajustement*socio=et au *socio=rien renchérissement du pétrole*socio=ec1 *socio=nil et à la faiblesse*socio=ec2 générale*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te a été*socio=rien meilleur*socio=uv4 pendant ces quelques *socio=rien dernières années *socio=nil qu'au milieu*socio=rien de la décennie*socio=te 70. Il semble, toutefois, qu'une part*socio=rien disproportionnée de l'ajustement*socio=et ait été*socio=rien le fait*socio=rien des plus grands*socio=rien parmi les pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac importateur*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 et que la situation*socio=rien extérieure*socio=te de la plupart*socio=rien des pays*socio=ac ait évolué de façon*socio=rien moins satisfaisante*socio=uv4 que les chiffres agrégés (ou les moyennes*socio=rien pondérées) sembleraient l'indiquer. Comme le montre le graphique*socio=rien 11, le *socio=rien rapport médian *socio=nil entre le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien et les exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et services*socio=et des *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil a augmenté beaucoup plus fortement que le *socio=rien rapport moyen au*socio=nil cours des*socio=nil dernières années,*socio=nil *socio=nil et il a été*socio=rien nettement plus élevé*socio=uv4 en 1980 et 1981 qu'en 1975. Étant donné qu'en 1980 *socio=rien un cinquième des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac nets de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil ont contribué pour les quatre cinquièmes*socio=rien au déficit*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te du*socio=rien groupe*socio=ac, la marge d'écart*socio=ec2 entre les moyennes*socio=rien pondérées et la *socio=rien position médiane représentant les*socio=nil transactions_courantes*socio=te du groupe*socio=ac est très*socio=nil large.*socio=nil *socio=nil Toutefois, l'apparition*socio=rien d'un*socio=rien écart*socio=ec2 aussi important*socio=uv4 *socio=rien est un phénomène relativement*socio=nil récent,*socio=nil *socio=nil Jusqu'au milieu*socio=rien des années*socio=rien 70, les différences*socio=uv1 observées entre grands*socio=rien et petits*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, quant à l'importance*socio=rien relative*socio=rien des soldes*socio=ec1 des paiements_courants*socio=ec1 par rapport*socio=rien aux exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et services*socio=et, étaient beaucoup moins évidentes*socio=rien et les variations*socio=rien les plus amples*socio=rien étaient observées parmi les grands*socio=rien pays*socio=ac. Le graphique*socio=rien 11 montre aussi que, ces *socio=rien dernières années,*socio=nil l'*socio=nil écart*socio=ec2 *socio=nil entre la médiane*socio=rien et la moyenne*socio=rien des rapports*socio=rien des déficits_courants*socio=ec1 aux exportations*socio=ec1 a été*socio=rien le plus ample*socio=rien pour le vaste*socio=rien sous-groupe des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Pour ces derniers*socio=rien, en effet*socio=rien, les deux ratios*socio=ec1 sont extrêmement élevés*socio=uv4 comparativement aux ratios*socio=ec1 correspondants*socio=rien des autres sous-groupes*socio=ac, ce qui dénote en général*socio=rien que les recettes*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1 sont faibles*socio=rien par rapport*socio=rien à la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 et que l'aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 libérale*socio=et *socio=rien disponible est importante*socio=uv4 par*socio=nil rapport aux*socio=nil exportations*socio=ec1,*socio=nil mais*socio=nil insuffisante*socio=uv4 par*socio=nil rapport aux*socio=nil besoins*socio=uv1 de*socio=nil *socio=ec1 ressources économiques.*socio=nil La*socio=nil forte*socio=rien augmentation*socio=ec2,*socio=nil ces*socio=nil *socio=rien dernières années,*socio=nil du déficit*socio=ec1 courant des*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil faible revenu*socio=ec1 par*socio=nil rapport *socio=nil à leurs recettes*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1 est*socio=rien imputable*socio=uv2 non seulement à la faiblesse*socio=ec2 marquée de ces recettes*socio=ec1, mais aussi aux difficultés*socio=uv4 rencontrées par *socio=rien bon nombre *socio=nil de ces pays*socio=ac pour ajuster en baisse*socio=ec2 leur demande*socio=ec1, déjà comprimée, de biens*socio=ec1 et services*socio=et importés. A cet égard*socio=rien, les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 illustrent de *socio=rien façon particulière une*socio=nil question plus*socio=nil générale.*socio=nil En*socio=nil effet,*socio=nil les*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil accomplis par les pays_en_développement*socio=uv3 dans l'ajustement*socio=et de leurs transactions*socio=ec1 extérieures*socio=te à la situation*socio=rien qui règne actuellement ne peuvent souvent pas être*socio=rien convenablement évalués si on les envisage seulement sous l'angle*socio=rien de la réduction*socio=ec2 rapide*socio=rien des déficits*socio=ec1 des paiements_courants*socio=ec1. A cause*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 extérieurs*socio=te, notamment de *socio=rien produits primaires,*socio=nil *socio=nil et de la diminution*socio=ec2 de l'aide*socio=uv1 libérale*socio=et provenant des pays_industrialisés*socio=ac, maints pays_en_développement*socio=uv3 ont dû apporter d'importants*socio=uv4 ajustements*socio=et à leur demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 uniquement*socio=rien pour empêcher leur déficit*socio=ec1 de se creuser davantage. Il leur a fallu d'abord*socio=rien s'occuper des répercussions*socio=ec2 des hausses du*socio=rien prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 sur*socio=rien leurs termes*socio=rien d'échange*socio=ec1, puis d'autres influences de nature*socio=rien cyclique*socio=te. En d'autres termes*socio=rien, il leur a fallu, si l'on peut dire, accélérer l'allure*socio=rien uniquement*socio=rien pour ne pas rester à la traîne. L'importance*socio=rien des ajustements*socio=et est*socio=rien mise en évidence*socio=rien par le fait*socio=rien que la croissance*socio=uv3 *socio=rien du volume *socio=nil de leurs importations*socio=ec1 s'est*socio=rien ralentie alors que leurs déficits_courants*socio=ec1 correspondants*socio=rien n'ont pas encore commencé à diminuer sensiblement. Parmi les sous-groupes_de_pays_en_développement*socio=ac non pétroliers*socio=ec1 dont l'évolution*socio=te de l'ampleur*socio=rien relative*socio=rien des déficits_courants*socio=ec1 est*socio=rien retracée au graphique*socio=rien 11, le seul*socio=rien dont les ratios*socio=ec1 récents*socio=rien déficit*socio=ec1/exportations*socio=ec1 sont demeurés pour la *socio=rien plupart inférieurs aux*socio=nil maximums précédents est *socio=nil celui des principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés. Le seul*socio=rien sous-groupe dont les ratios*socio=ec1 correspondants*socio=rien ont dépassé, ces *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil maximums précédents est *socio=nil celui des "autres" importateurs*socio=ac nets*socio=rien de pétrole*socio=ec1. Cependant, les ratios*socio=ec1 du*socio=rien groupe_de_pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien accusent depuis longtemps une tendance*socio=ec2 à la hausse*socio=rien et les niveaux*socio=rien qu'ils ont atteints récemment peuvent refléter les résultats*socio=rien non seulement de pays*socio=ac dont les situations*socio=rien sont tendues et ont besoin*socio=uv1 d'être*socio=rien ajustées, mais aussi de pays*socio=ac qui connaissent des changements*socio=uv3 structurels*socio=ec2 tendant à accroître leurs déficits_courants*socio=ec1, et qui renforcent leur développement*socio=uv3 à long_terme*socio=te à mesure*socio=rien qu'ils obtiennent un*socio=rien accès*socio=uv1 élargi aux marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te du*socio=rien crédit*socio=ec1. Financement*socio=ec1 et endettement*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Bien*socio=rien que les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 aient réussi à financer des déficits*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te de plus en plus élevés*socio=uv4 au cours*socio=rien des quatre *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil structure*socio=ec1 *socio=nil de ce financement*socio=ec1 révèle certains signes de difficultés*socio=uv4, notamment une réduction*socio=ec2 marquée de l'accumulation*socio=ec2 de réserves*socio=ec1, qui est*socio=rien tombée à 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1980 et à 1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1981 après*socio=rien avoir dépassé 12 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 par an*socio=rien de 1976 à 1979. Même pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac, les faibles*socio=rien augmentations*socio=ec2 en valeur*socio=ec1 nominale*socio=rien des deux *socio=rien dernières années *socio=nil impliquent une réduction*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 en termes*socio=rien réels*socio=ec2; *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil se sont trouvés contraints*socio=uv2 de réduire leurs réserves*socio=ec1, même en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1. Les diminutions*socio=ec2 de réserves*socio=ec1 ont été*socio=rien particulièrement importantes*socio=uv4 (par rapport*socio=rien au montant*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te) dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, tandis que les pays*socio=ac où des réserves*socio=ec1 ont été*socio=rien accumulées au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années ont*socio=nil été *socio=nil principalement les exportateurs*socio=ac nets*socio=rien de pétrole*socio=ec1. Même dans ce dernier*socio=rien sous-groupe, le ratio*socio=ec1 des réserves*socio=ec1 aux importations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et a diminué de plusieurs points*socio=rien de pourcentage*socio=rien entre 1979 et 1981. Pour les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, il est*socio=rien tombé au cours*socio=rien de ces deux années*socio=rien de 30 % à 18,5 % et le ratio*socio=ec1 moyen*socio=rien pour tous les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 a diminué de 5 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien pour tomber à 17 %. Les difficultés*socio=uv4 mises en évidence*socio=rien par ces chiffres apparaissent plus nettement si l'on considère qu'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac ont*socio=nil été contraints*socio=uv2 *socio=nil de dépenser une part*socio=rien importante*socio=uv4 du*socio=rien revenu*socio=ec1 des intérêts*socio=uv1 provenant de leurs réserves*socio=ec1 en monnaies*socio=ec1 au lieu*socio=rien d'ajouter ces intérêts*socio=uv1 à leurs avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1. Autrement, étant donné le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 en 1980 et 1981, les réserves*socio=ec1 se seraient sensiblement accrues par le seul*socio=rien revenu*socio=ec1 des intérêts*socio=uv1. Étant donné que le groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 a pratiquement cessé d'accumuler des réserves*socio=ec1, l'ampleur*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 des emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te qui, autrement, aurait *socio=rien été nécessaire du fait *socio=nil de l'accroissement*socio=ec2 des déficits_courants*socio=ec1 au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années,*socio=nil a*socio=nil été *socio=nil très largement réduit. Le rythme*socio=ec2 d'accroissement*socio=ec2 des emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te nets*socio=rien s'est*socio=rien aussi ralenti *socio=rien du fait des*socio=nil augmentations*socio=ec2 des*socio=nil flux*socio=ec1 de*socio=nil financement*socio=ec1 sous*socio=nil forme de*socio=nil transactions*socio=ec1 *socio=nil qui n'ont pas d'incidence*socio=ec2 sur*socio=rien les positions*socio=rien débitrices nettes*socio=rien, comme les dons*socio=ec1 officiels*socio=et et les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 d'investissement_direct*socio=ec1. Au total*socio=rien, les divers flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 non créateurs*socio=rien de dette*socio=ec1 ont, en 1981, dépassé d'environ 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ceux de 1979. Cet accroissement*socio=ec2 des flux*socio=ec1 ajouté à la réduction*socio=ec2 de l'accumulation*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 a permis*socio=rien aux pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 de financer une hausse*socio=rien de 40 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 de leur déficit*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te pendant la période*socio=te de deux ans*socio=rien en n'augmentant que de 26 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 le montant*socio=ec1 de leurs emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te nets*socio=rien. Néanmoins, des changements*socio=uv3 dans la composition*socio=rien des fonds*socio=ec1 empruntés sont révélateurs d'autres difficultés*socio=uv4 au niveau*socio=rien des positions*socio=rien financières*socio=ec1 extérieures*socio=te. La situation*socio=rien, en ce qui concerne le recours*socio=ec1 à des mécanismes*socio=et de crédit*socio=ec1 liés aux réserves*socio=ec1 (dont les crédits*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 ont été*socio=rien le *socio=rien principal élément)*socio=nil ,*socio=nil s'*socio=nil est *socio=nil très nettement renversée, passant d'un*socio=rien léger*socio=rien remboursement*socio=ec1 net*socio=rien en 1979 à des entrées nettes*socio=rien d'environ 5,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 au total*socio=rien en 1981. Les emprunts*socio=ec1 à court_terme*socio=te, provenant pour l'essentiel*socio=uv4 de banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 et d'autres sources*socio=rien privées*socio=et, ont aussi fortement augmenté, en particulier*socio=rien en 1980. Ce *socio=rien recours massif au*socio=nil financement*socio=ec1 temporaire témoigne *socio=nil manifestement des difficultés*socio=uv4 qu'ont eues les pays*socio=ac à *socio=rien obtenir un financement*socio=ec1 à*socio=nil long_terme*socio=te *socio=nil approprié et de la réticence*socio=uv3 des emprunteurs*socio=ac à prendre des engagements*socio=et à moyen*socio=rien et *socio=rien long termes aux*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 en*socio=nil vigueur*socio=uv3.*socio=nil Les*socio=nil capitaux*socio=ec1 à*socio=nil court_terme*socio=te *socio=nil (y compris les crédits*socio=ec1 liés aux réserves*socio=ec1) ont représenté environ la moitié*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 totale*socio=rien des emprunts*socio=ec1 nets*socio=rien en 1980, mais ils n'ont pas augmenté davantage en 1981 étant donné que le recours*socio=ec1 accru aux crédits*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 a été*socio=rien approximativement compensé par une diminution*socio=ec2 des emprunts*socio=ec1 nets*socio=rien à court_terme*socio=te auprès de sources*socio=rien privées*socio=et. Le gonflement*socio=ec2 des financements_privés*socio=ec1 à court*socio=rien et *socio=rien moyen termes *socio=nil en 1980 a été*socio=rien concentré dans quelques grands*socio=rien pays*socio=ac des *socio=ac sous-groupes exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil ou de produits*socio=rien manufacturés. Un*socio=rien peu plus des deux tiers*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 cumulée des emprunts*socio=ec1 totaux*socio=rien entre 1979 et 1981 a revêtu la forme*socio=rien de prêts*socio=ec1 à long_terme*socio=te. Là aussi, la composition*socio=rien des emprunts*socio=ec1 a changé de 1980 à 1981. En 1980, l'accroissement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 à long_terme*socio=te a été*socio=rien essentiellement attribuable*socio=rien aux augmentations*socio=ec2 des prêts*socio=ec1 provenant de sources*socio=rien officielles*socio=et (y compris les *socio=ac institutions multinationales de*socio=nil financement*socio=ec1 du*socio=rien développement*socio=uv3)*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil tandis que le montant*socio=ec1 net*socio=rien des crédits*socio=ec1 à long_terme*socio=te obtenus auprès d' institutions_financières_privées*socio=ac a quelque peu diminué (tableau*socio=rien 10). En 1981, la totalité*socio=rien des nouveaux*socio=rien emprunts*socio=ec1 à long_terme*socio=te a été*socio=rien d'origine*socio=rien privée*socio=et, notamment grâce*socio=rien à une recrudescence*socio=ec2 des flux*socio=ec1 provenant d' institutions_financières*socio=ac, tandis que les emprunts*socio=ec1 nets*socio=rien à long_terme*socio=te de sources*socio=rien officielles*socio=et n'ont pas augmenté. Les proportions*socio=rien dans lesquelles les divers types de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te sont utilisés par les pays_en_développement*socio=ac non pétroliers*socio=ec1 varient considérablement*socio=rien selon les différents*socio=rien pays*socio=ac et sous-groupes_de_pays*socio=ac. Ceux qui sont exportateurs*socio=ac nets*socio=rien de pétrole*socio=ec1 ou de produits*socio=rien manufacturés ont continué en 1980 et 1981 à recourir principalement aux marchés*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 privés*socio=et; en 1980, ce sont les crédits*socio=ec1 à court_terme*socio=te qui ont été*socio=rien nettement prédominants tandis qu'en 1981 la *socio=rien préférence est *socio=nil allée aux emprunts*socio=ec1 à moyen*socio=rien et à long_terme*socio=te. Dans ces deux sous-groupes*socio=ac, les entrées de capitaux*socio=ec1 publics*socio=et à long_terme*socio=te n'ont pratiquement pas augmenté entre 1980 et 1981, bien*socio=rien que le recours*socio=ec1 au financement*socio=ec1 non créateur*socio=rien d'endettement*socio=ec1 (en *socio=rien majeure partie sous*socio=nil forme de*socio=nil capitaux*socio=ec1 d'*socio=nil investissement_direct*socio=ec1)*socio=nil *socio=nil ait modérément progressé. Les deux autres sous-groupes*socio=ac, qui réunissent la *socio=rien grande majorité des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil n'ont reçu qu'une *socio=rien faible part *socio=nil de l'augmentation*socio=ec2 totale*socio=rien des entrées de capitaux_privés*socio=ec1 à long_terme*socio=te. Toutefois, la quasi-totalité*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 des emprunts*socio=ec1 à long_terme*socio=te auprès de sources*socio=rien officielles*socio=et entre 1979 et 1981 leur a *socio=rien été attribuable.*socio=nil *socio=nil En outre, bien*socio=rien que leur part*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 des entrées de capitaux_privés*socio=ec1 à court_terme*socio=te ait été*socio=rien relativement faible*socio=rien, ces pays*socio=ac ont été*socio=rien les bénéficiaires*socio=ac presque exclusifs*socio=rien de l'accroissement*socio=ec2 des crédits*socio=ec1 liés aux réserves*socio=ec1. Pour le groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, les augmentations*socio=ec2 nominales*socio=rien de la dette*socio=ec1 à long_terme*socio=te ces deux *socio=rien dernières années,*socio=nil bien qu'*socio=nil importantes*socio=uv4 en*socio=nil valeur*socio=ec1 absolue,*socio=nil *socio=nil n'ont pas été*socio=rien plus rapides*socio=rien que celles des recettes*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et du*socio=rien groupe*socio=ac (voir graphique*socio=rien 12). En fait*socio=rien, le ratio*socio=ec1 global*socio=te de l'endettement*socio=ec1 aux exportations*socio=ec1 n'a été*socio=rien en 1981 que très légèrement supérieur*socio=rien à celui de 1979 et s'est*socio=rien maintenu bien*socio=rien au-dessous *socio=rien du niveau *socio=nil de 1978. Là encore, les différences*socio=uv1 marquées qui existent d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre ne permettent pas de donner à ces chiffres une interprétation*socio=ec2 satisfaisante*socio=uv4. Le *socio=rien premier point *socio=nil à souligner dans ce contexte*socio=rien a trait*socio=rien aux positions*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs nets*socio=rien de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Étant donné la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 de leurs exportations*socio=ec1 ces *socio=rien dernières années,*socio=nil leur*socio=nil ratio*socio=ec1 moyen d'*socio=nil endettement*socio=ec1 /*socio=nil exportations*socio=ec1 a*socio=nil été considérablement plus*socio=nil faible *socio=nil en 1981 qu'en 1979 (ou que toute autre année*socio=rien depuis 1974). Parmi les importateurs*socio=ac nets*socio=rien de pétrole*socio=ec1, les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés ont enregistré des résultats*socio=rien à peu près analogues*socio=rien, mais moins marqués. Toutefois, dans les deux autres sous-groupes*socio=ac d'importateurs*socio=ac nets*socio=rien de pétrole*socio=ec1, les *socio=ec1 ratios endettement/*socio=nil exportations *socio=nil ont beaucoup augmenté. En outre, il convient de noter que la médiane*socio=rien des ratios*socio=ec1 dans chacun de ces sous-groupes*socio=ac a augmenté plus rapidement que la moyenne*socio=rien pondérée (graphique*socio=rien 12), la progression*socio=ec2 plus lente*socio=rien de cette dernière*socio=rien s'expliquant par le fait*socio=rien que les plus grands*socio=rien pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac ont accru leur recours*socio=ec1 à l'emprunt*socio=ec1 extérieur*socio=te dans une mesure*socio=rien relativement modérée. Il apparaît, dans l'ensemble*socio=rien, que les résultats*socio=rien enregistrés par le *socio=rien nombre considérable des*socio=nil petits *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil qui ne sont pas d'importants*socio=uv4 exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés ont été*socio=rien moins favorables*socio=uv4, en ce qui concerne l'accroissement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, que ne le laisseraient supposer les moyennes*socio=rien pour le groupe*socio=ac. Cependant, il convient aussi de noter que la progression*socio=ec2 plus rapide*socio=rien de ratios*socio=ec1 médians*socio=rien endettement*socio=ec1 / exportations*socio=ec1 que celle des *socio=ec1 ratios moyens *socio=nil pour les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 et "l'autre" sous-groupe des pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac nets*socio=rien de pétrole*socio=ec1 *socio=rien est un phénomène *socio=nil qui remonte à 1973 au moins. A l'époque*socio=te, le ratio*socio=ec1 médian*socio=rien était égal*socio=rien au moins à la *socio=rien moitié du ratio*socio=ec1 moyen du *socio=nil sous-groupe à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 et à environ deux tiers*socio=rien seulement de celui de l'autre sous-groupe. Les médianes étaient encore plus faibles*socio=rien que les moyennes*socio=rien en 1981, l'écart*socio=ec2 entre les deux étant toutefois relativement étroit*socio=rien. Il se peut que la progression*socio=ec2 plus rapide*socio=rien des ratios*socio=ec1 médians*socio=rien, à partir d'un*socio=rien niveau*socio=rien beaucoup plus bas*socio=rien, indique principalement qu'un*socio=rien écart*socio=ec2 est*socio=rien en train*socio=rien de se combler, à savoir*socio=rien, un*socio=rien changement*socio=uv3 graduel*socio=te des structures*socio=ec1 de paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te des plus petits*socio=rien pays*socio=ac se traduisant par une ressemblance plus étroite*socio=rien avec celles des plus grands*socio=rien pays*socio=ac qui se sont engagés plus tôt dans la *socio=rien voie du développement*socio=uv3 *socio=nil aidé par l'étranger*socio=te. Ces différences*socio=uv1 relativement marquées entre les ratios*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1 de divers groupes_de_pays*socio=ac ne se traduisent pas généralement par des différences*socio=uv1 du*socio=rien même ordre*socio=rien dans les paiements*socio=ec1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Tandis que ces paiements*socio=ec1 sont, *socio=rien bien sûr,*socio=nil *socio=nil liés au montant*socio=ec1 de l'encours de la dette*socio=ec1, ils dépendent encore davantage de la structure*socio=ec1 particulière*socio=rien des échéances*socio=te et de la répartition*socio=uv3 de la dette*socio=ec1 en fonction*socio=rien des divers créanciers*socio=ac. Par exemple*socio=rien, comme il a été*socio=rien mentionné plus haut*socio=rien, la dette*socio=ec1 des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 consiste, dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil en*socio=nil prêts*socio=ec1 officiels*socio=et à*socio=nil long_terme*socio=te *socio=nil à des conditions*socio=ec1 libérales*socio=et. En conséquence*socio=rien, bien*socio=rien qu'ils aient le ratio*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1 le plus élevé*socio=uv4 des quatre sous-groupes*socio=ac analytiques*socio=ec2 de pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 ont aussi, en général*socio=rien, le ratio*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 le plus faible*socio=rien. Toutefois, pour ce sous-groupe, ainsi que pour d'autres pays_en_développement*socio=uv3, les paiements*socio=ec1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1 ont*socio=nil été en*socio=nil augmentation*socio=ec2 rapide en*socio=nil raison *socio=nil de la *socio=rien forte hausse des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 internationaux*socio=te *socio=nil (qui ont pratiquement doublé entre 1978 et 1981) et de la rapide*socio=rien escalade de l'encours de la dette*socio=ec1 à long_terme*socio=te (tableau*socio=rien 11). Ces facteurs*socio=rien ont été*socio=rien renforcés par d'autres éléments*socio=rien, notamment les opérations*socio=rien de refinancement*socio=ec1 qui ont tendance*socio=ec2 à gonfler les ratios*socio=ec1 d'amortissement*socio=ec1, et un*socio=rien raccourcissement*socio=ec2 de la structure*socio=ec1 des échéances*socio=te. En conséquence*socio=rien, les paiements*socio=ec1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1 par*socio=nil rapport aux*socio=nil exportations*socio=ec1 de*socio=nil biens*socio=ec1 et*socio=nil services*socio=et *socio=nil ont fortement augmenté, passant de 14 % en 1975-77 à 18 % en 1979 et 21 % en 1981 pour le groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 (voir graphique*socio=rien 13). Questions*socio=rien de politique_économique*socio=ec1. Après*socio=rien avoir passé*socio=rien en revue la situation*socio=rien économique*socio=ec1 mondiale*socio=te en 1980 et pendant la *socio=rien première moitié *socio=nil de 1981, le Rapport*socio=rien annuel*socio=te de l'année*socio=rien dernière*socio=rien a isolé deux *socio=uv4 problèmes fondamentaux *socio=nil auxquels il a fallu faire face*socio=rien au début*socio=rien des années*socio=rien 80. L'un*socio=rien de ces problèmes*socio=uv4 a été*socio=rien la ,,stagflation*socio=ec2" dans les pays_industrialisés*socio=ac, c'est-à-dire la persistance*socio=te, dans ces pays*socio=ac, de *socio=rien résultats décevants en*socio=nil matière de*socio=nil croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 *socio=nil et de stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1. L'autre problème*socio=uv4 s'est*socio=rien situé au niveau*socio=rien de l'ajustement*socio=et et du*socio=rien financement*socio=ec1 des balances_de_paiements*socio=ec1. Ces problèmes*socio=uv4 continuent de préoccuper les pouvoirs_publics*socio=et et, plus généralement, la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil La*socio=nil situation*socio=rien *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te n'a pas beaucoup changé au cours*socio=rien des douze *socio=rien derniers mois *socio=nil et ce qui a été*socio=rien dit il y a *socio=rien un an *socio=nil s'applique encore dans une très *socio=rien large mesure aux*socio=nil conditions*socio=ec1 actuelles*socio=te.*socio=nil *socio=nil Pourtant, l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien depuis lors*socio=rien a jeté, à certains égards*socio=rien, une *socio=rien lumière différente sur les*socio=nil problèmes*socio=uv4 actuels*socio=te et*socio=nil sur certains*socio=nil aspects *socio=nil de la politique_économique*socio=ec1. La stagflation*socio=ec2 dans le monde*socio=te industrialisé. Il convient de rappeler que les problèmes*socio=uv4 généralisés de forte*socio=rien inflation*socio=ec1, de faible*socio=rien croissance*socio=uv3 et de chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4 dans les pays_industrialisés*socio=ac ont commencé à se développer dans les années*socio=rien 60 et 70. A leur origine*socio=rien on trouve *socio=rien un certain nombre de*socio=nil facteurs à*socio=nil long_terme*socio=te *socio=nil qui ont entraîné une forte*socio=rien accentuation*socio=ec2 des rigidités*socio=uv3 des économies*socio=ec1 de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac; ces difficultés*socio=uv4 ont aussi contribué à alimenter les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 et ont, par ailleurs*socio=rien, eu une influence défavorable*socio=uv4 sur*socio=rien la manière*socio=rien dont l'opinion*socio=ac publique*socio=et perçoit l'efficacité*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et nationales*socio=te. Étant donné que les origines*socio=rien de la stagflation*socio=ec2 dans les pays_industrialisés*socio=ac sont à la fois*socio=rien complexes et profondément enracinées, l'approche qu'il convient d'adopter en matière*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 doit porter sur*socio=rien plusieurs fronts*socio=rien. Ce point*socio=rien fondamental*socio=uv2 a été*socio=rien examiné dans le Rapport*socio=rien annuel*socio=te de 1981 qui, tout en soulignant que les politiques_économiques*socio=et devaient être*socio=rien adaptées aux situations*socio=rien et aux objectifs*socio=uv3 économiques*socio=ec1 respectifs*socio=rien des divers pays*socio=ac, a présenté une approche générale*socio=rien qu'il importait d'adopter et qui reposait sur*socio=rien plusieurs éléments*socio=rien cruciaux*socio=uv4. L'un*socio=rien d'entre eux, d'une importance*socio=rien fondamentale*socio=uv4, est*socio=rien la maîtrise*socio=rien de la demande*socio=ec1 *socio=rien nominale globale qui*socio=nil est essentielle*socio=uv4 *socio=nil pour réduire l'inflation*socio=ec1 et couper court*socio=rien aux anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 et créer ainsi un*socio=rien environnement*socio=et économique*socio=ec1 propice*socio=rien à la relance*socio=uv3 des investissements_privés*socio=ec1 et au rétablissement*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 soutenable*socio=uv4. D'autres éléments*socio=rien importants*socio=uv4 sont les différents*socio=rien types de mesures*socio=et de soutien*socio=uv3 ou de mesures*socio=et supplémentaires*socio=rien visant, pour l'essentiel*socio=uv4, à obtenir*socio=rien une meilleure*socio=uv4 répartition*socio=uv3 (que celle que l'on obtiendrait en l'absence*socio=rien de telles mesures*socio=et) de la variation*socio=rien de la demande*socio=ec1 nominale*socio=rien entre ses composantes*socio=ec1 croissance*socio=uv3 et prix*socio=ec1. Parmi ces mesures*socio=et, on peut citer celles qui sont destinées*socio=rien à accroître l'efficacité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 des biens*socio=ec1 et de la main-d'_oeuvre*socio=ac par la suppression*socio=rien des rigidités*socio=uv3 existantes*socio=rien ainsi que les mesures*socio=et destinées*socio=rien à éliminer les facteurs*socio=rien qui découragent l'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 et à favoriser ces derniers*socio=rien. En outre, *socio=rien un ensemble de*socio=nil mesures*socio=et souples*socio=uv4 ou*socio=nil informelles*socio=uv2 *socio=nil visant à restreindre la croissance*socio=uv3 des revenus*socio=ec1 peut, dans certains pays*socio=ac, s'ajouter utilement*socio=rien aux politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1. En fait*socio=rien, la lutte*socio=uv1 contre la stagflation*socio=ec2 au cours*socio=rien de l'année*socio=rien passée, qui a été*socio=rien principalement fondée sur*socio=rien les politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1, s'est*socio=rien révélée très difficile*socio=rien. Étant donné la nature*socio=rien profondément ancrée de ce problème*socio=uv4, il se peut que les prévisions*socio=ec2 d'ordre*socio=rien général*socio=rien concernant la production*socio=ec1 et l'emploi*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac pendant cette courte*socio=rien période*socio=te aient été*socio=rien trop optimistes*socio=uv2. Néanmoins, les résultats*socio=rien dans ce domaine*socio=rien, ainsi qu'en ce qui concerne le comportement*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et des taux_de_change*socio=ec1, ont *socio=rien été décevants.*socio=nil Les*socio=nil paragraphes *socio=nil qui suivent traitent brièvement de deux questions*socio=rien : la conduite*socio=rien des politiques_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et et la montée du*socio=rien chômage*socio=ec1. Comme il a été*socio=rien noté plus haut*socio=rien dans le *socio=rien présent chapitre,*socio=nil les*socio=nil dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et,*socio=nil en*socio=nil particulier au*socio=nil titre des*socio=nil programmes_sociaux*socio=et,*socio=nil ont*socio=nil été en*socio=nil augmentation*socio=ec2 rapide *socio=nil depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 60, tandis que les gouvernements*socio=ac ont éprouvé des difficultés*socio=uv4 à accroître leurs recettes*socio=ec1 fiscales*socio=et au même rythme*socio=ec2, en partie*socio=rien au moins parce que les *socio=ec1 taux_de_croissance économique à*socio=nil long_terme*socio=te *socio=nil ont diminué et que les termes_de_l'_échange*socio=ec1 extérieurs*socio=te se sont dégradés. Les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et élevés*socio=uv4 sont devenus *socio=rien un facteur persistant,*socio=nil *socio=nil et non plus *socio=rien un phénomène purement*socio=nil temporaire *socio=nil lié à une récession*socio=ec2 économique*socio=ec1. Cet aspect*socio=rien des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et a eu deux conséquences*socio=rien d'une *socio=rien importance particulière *socio=nil pour la politique_monétaire*socio=et. Premièrement, les participants*socio=ac au marché*socio=ec1 privé*socio=et ont craint que l'absorption*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 privée*socio=et par le secteur_public*socio=et ne maintienne les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 à des niveaux*socio=rien élevés*socio=uv4 pendant plusieurs années*socio=rien à venir. Deuxièmement, ils ont également craint que, dans ces circonstances*socio=rien, les déficits*socio=ec1 ne soient tôt ou tard monétisés, de sorte*socio=rien que les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 sont restées fortes*socio=rien. Ces deux types d'attitude*socio=uv3 du*socio=rien marché*socio=ec1 ont contribué à la hausse*socio=rien des *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux et*socio=nil réels*socio=ec2 *socio=nil et ont donc accentué l'incidence*socio=ec2 négative*socio=rien des restrictions*socio=et monétaires*socio=ec1 sur*socio=rien la production*socio=ec1 et l'emploi*socio=ec1. Il n'est*socio=rien pas surprenant*socio=rien que les *socio=rien effets pernicieux des*socio=nil importants*socio=uv4 déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et aient*socio=nil été *socio=nil particulièrement prononcés dans les pays*socio=ac où les taux*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 privée*socio=et sont faibles*socio=rien. Il *socio=rien est possible *socio=nil également que des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et importants*socio=uv4 et persistants*socio=rien contribuent à l'inflation*socio=ec1 en affaiblissant graduellement le secteur_privé*socio=et. La concurrence*socio=ec1 que se livrent le secteur_public*socio=et et le secteur_privé*socio=et pour obtenir*socio=rien les fonds*socio=ec1 disponibles*socio=rien peut se traduire par une "exclusion*socio=uv1" des investissements_privés*socio=ec1 due à des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 élevés*socio=uv4. A moyen*socio=rien et à long_terme*socio=te, cet effet*socio=rien ralentit la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 en réduisant la formation*socio=et de capital*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3 de la productivité*socio=uv3 dans le secteur_privé*socio=et. L'inflation*socio=ec1 devient alors encore plus difficile*socio=rien à maîtriser*socio=rien parce que le taux_de_croissance*socio=ec1 soutenable*socio=uv4 des salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2 est*socio=rien réduit, conséquence*socio=rien qu'il *socio=rien est difficile *socio=nil de faire accepter aux travailleurs*socio=ac. L'apparition*socio=rien d'un*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et *socio=rien persistant est la*socio=nil principale question de*socio=nil politique_économique*socio=ec1 *socio=nil qui se pose aux États-unis*socio=ac, lesquels se heurtent, de l'avis*socio=rien général*socio=rien, à un*socio=rien *socio=uv4 grave problème au*socio=nil niveau*socio=rien des*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et.*socio=nil Les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 des*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil sont devenus très sensibles*socio=rien à ce problème*socio=uv4 au cours*socio=rien de l'année*socio=rien passée et il est*socio=rien probable*socio=uv4 que la persistance*socio=te prévue du*socio=rien déficit*socio=ec1 et l'incertitude*socio=uv3 concernant le niveau*socio=rien qu'il atteindra ont eu une influence *socio=rien indirecte sur la*socio=nil crédibilité*socio=uv1 *socio=nil de la politique_monétaire*socio=et et, d'une manière*socio=rien plus générale*socio=rien, de la *socio=rien détermination du gouvernement*socio=ac *socio=nil à réduire l'inflation*socio=ec1. Cette situation*socio=rien a contribué à la montée des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et à leur variabilité*socio=uv3. Un*socio=rien changement*socio=uv3 dans le dosage*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 des États-unis*socio=ac qui résulterait de l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et visant à éviter un*socio=rien déficit*socio=ec1 persistant*socio=rien à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil tandis que les objectifs*socio=uv3 de croissance*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 resteraient inchangés*socio=rien, aurait tendance*socio=ec2 à abaisser les *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux et*socio=nil réels*socio=ec2 *socio=nil et à susciter une amélioration*socio=uv1 fondamentale*socio=uv4 des conditions*socio=ec1 propices*socio=rien à une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 soutenue. Le problème*socio=uv4 budgétaire*socio=et est*socio=rien encore plus grave*socio=uv4 dans des pays*socio=ac comme la Belgique*socio=ac, le Danemark*socio=ac, l'Irlande*socio=ac, l'Italie*socio=ac et la Suède*socio=ac, où les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et constituent un*socio=rien obstacle*socio=uv3 majeur*socio=rien à l'efficacité*socio=uv3 de la politique*socio=et de restriction*socio=et monétaire*socio=ec1, en raison*socio=rien de leurs effets*socio=rien inflationnistes*socio=ec2 et de la forte*socio=rien contrainte*socio=uv1 qu'ils imposent aux investissements*socio=ec1 et à la croissance*socio=uv3 dans le secteur_privé*socio=et. En France*socio=ac également, il y a lieu*socio=rien de craindre que l'augmentation*socio=ec2 prévue du*socio=rien déficit*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et n'alimente les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 et n'absorbe une part*socio=rien importante*socio=uv4 de l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te. En République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, où le volume*socio=rien et la croissance*socio=uv3 escomptés du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et sont une source*socio=rien d'inquiétude*socio=rien grandissante*socio=rien, le niveau*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 est*socio=rien partiellement attribuable*socio=rien aux besoins*socio=uv1 d'emprunt*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et. Un*socio=rien autre aspect*socio=rien désormais préoccupant*socio=rien des politiques*socio=et de gestion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac tient aux difficultés*socio=uv4 qu'éprouvent les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 à éviter une variabilité*socio=uv3 excessive*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 tout en convaincant*socio=rien les participants*socio=ac au marché*socio=ec1 privé*socio=et que les *socio=ec1 taux_de_croissance monétaire *socio=nil sont en train*socio=rien d'être*socio=rien réduits et seront maintenus à de *socio=rien faibles niveaux *socio=nil à l'avenir*socio=te. La crédibilité*socio=uv1 des autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 est*socio=rien d'une *socio=rien importance clé *socio=nil étant donné le caractère*socio=rien très enraciné des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2, lesquelles ont peu de chances*socio=rien de se modérer si le marché*socio=ec1 estime*socio=rien que ces mêmes autorités*socio=et pourraient devenir*socio=rien plus accommodantes*socio=uv4. Il n'y a pas de *socio=rien solution facile *socio=nil pour concilier le besoin*socio=uv1 de crédibilité*socio=uv1 des politiques*socio=et visant à réduire la croissance*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 avec la nécessité*socio=uv1 d'une certaine*socio=rien stabilité*socio=uv3 des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Les chocs*socio=ec2 d'origine*socio=rien intérieure*socio=te ou extérieure*socio=te peuvent modifier la demande*socio=ec1 de monnaie*socio=ec1 et provoquer des variations*socio=rien de taux_d'_intérêt*socio=ec1 qui sont, du*socio=rien moins en partie*socio=rien, indépendantes*socio=uv2 des mesures*socio=et de politique_économique*socio=ec1, tandis que les changements*socio=uv3 structurels*socio=ec2 récents*socio=rien et qui continuent d'être*socio=rien apportés aux pratiques*socio=et et aux systèmes_financiers*socio=ec1 de différents*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac compliquent l'élaboration*socio=rien et la mise en oeuvre*socio=rien des objectifs*socio=uv3 de croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 agrégats monétaires.*socio=nil *socio=nil Dans ces circonstances*socio=rien, en particulier*socio=rien aux États-unis*socio=ac, les problèmes*socio=uv4 que soulève la conduite*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et sont à la *socio=rien fois difficiles et*socio=nil sujets à*socio=nil controverse*socio=uv1.*socio=nil *socio=nil Néanmoins, il *socio=rien est clair *socio=nil que, dans la situation*socio=rien économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 actuelle*socio=te, il convient de résoudre ces *socio=rien questions délicates *socio=nil dans une optique*socio=rien de stabilité*socio=uv3 par le freinage*socio=rien des taux_d'_expansion*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 et du*socio=rien crédit*socio=ec1. Avec une telle approche, il y a lieu*socio=rien de penser que les aberrations futures*socio=te des taux_d'_intérêt*socio=ec1 par rapport*socio=rien au niveau*socio=rien souhaité seront limitées et temporaires*socio=rien, sans quoi les progrès*socio=uv1 vers une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et, ultérieurement, la réalisation*socio=uv1 d'une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 soutenable*socio=uv4 à un*socio=rien taux*socio=ec1 satisfaisant*socio=rien seraient compromis*socio=uv1. S'il *socio=rien est certain *socio=nil que des politiques*socio=et de gestion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 mieux appliquées et plus efficaces*socio=uv4 contribueraient à réduire le chômage*socio=ec1, il importe aussi de reconnaître que le problème*socio=uv4 du*socio=rien chômage*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac a des racines plus profondes*socio=rien. Comme il a été*socio=rien indiqué plus haut*socio=rien, le chômage*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac est*socio=rien en hausse*socio=rien depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 60, hausse*socio=rien qui n'a connu que de brèves*socio=rien interruptions pendant les périodes*socio=te de reprise économique*socio=ec1. La récente*socio=rien politique*socio=et de lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 par la restriction*socio=et de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 nominale*socio=rien a contribué temporairement*socio=rien à la montée du*socio=rien chômage*socio=ec1; mais, étant donné sa tendance*socio=ec2 à long_terme*socio=te, il est*socio=rien probable*socio=uv4 que le problème*socio=uv4 du*socio=rien chômage*socio=ec1 persistera à l'avenir*socio=te même si l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien maîtrisée, à moins que l'on ne prenne des mesures*socio=et pour y remédier en s'attaquant à ses causes*socio=rien fondamentales*socio=uv4. Les gouvernements*socio=ac des pays*socio=ac commettraient une erreur*socio=uv4 s'ils essayaient de réduire le chômage*socio=ec1 en recourant à des politiques_monétaires*socio=et et budgétaires*socio=et expansionnistes*socio=ec2 ou au protectionnisme*socio=et; une telle démarche*socio=rien irait à l'encontre*socio=rien de l'orientation*socio=et anti-inflationniste*socio=ec2 de la politique_économique*socio=ec1 et pousserait l'inflation*socio=ec1 à un*socio=rien taux*socio=ec1 encore plus élevé*socio=uv4 qui finirait par entraîner un*socio=rien processus*socio=te d'ajustement*socio=et plus coûteux*socio=ec2 sur*socio=rien le plan*socio=rien de l'emploi*socio=ec1. Une autre approche à éviter est*socio=rien l'adoption*socio=uv3 des mesures*socio=et obligatoires*socio=uv2 de partage*socio=uv1 *socio=rien du travail *socio=nil telles qu'une réduction*socio=ec2 des horaires*socio=rien de travail*socio=rien. Ces mesures*socio=et sont généralement inflationnistes*socio=ec2 et ont aussi tendance*socio=ec2 à accroître les ril7idités sur*socio=rien les marchés_du_travail*socio=ec1 et à réduire l'efficacité*socio=uv3 d'utilisation*socio=rien des biens*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1 fixes. Il sera difficile*socio=rien de renverser la tendance*socio=ec2 à la *socio=rien hausse persistante du chômage*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil ne serait-ce que parce qu'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil facteurs *socio=nil socio-politiques interviennent directement. Par ailleurs*socio=rien, il ne fait*socio=rien aucun doute*socio=rien que les gouvernements*socio=ac doivent accorder d'urgence*socio=rien une plus *socio=rien grande attention *socio=nil à ce problème*socio=uv4. Il convient de donner la priorité*socio=uv4 à une réduction*socio=ec2 des rigidités*socio=uv3 qui contribuent à l'inflexibilité du*socio=rien coût*socio=ec1 moyen*socio=rien de la main-d'_oeuvre*socio=ac et de la structure*socio=ec1 des taux*socio=ec1 de salaires*socio=ec1. Les rigidités*socio=uv3 relatives*socio=rien au coût*socio=ec1 moyen*socio=rien de la main-d'_oeuvre*socio=ac sont particulièrement préjudiciables*socio=et à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te étant donné que la part*socio=rien des bénéfices*socio=ec1 bruts*socio=rien dans le revenu*socio=ec1 national*socio=te a fortement diminué dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil en*socio=nil particulier en*socio=nil Europe*socio=ac,*socio=nil *socio=nil pendant les années*socio=rien 70. Cette diminution*socio=ec2 a contribué à réduire le taux*socio=ec1 global*socio=te de formation*socio=et de capital*socio=ec1, à favoriser les investissements*socio=ec1 qui économisent la main-d'_oeuvre*socio=ac au détriment*socio=uv2 de ceux qui développent la capacité*socio=uv3 de production*socio=ec1 et à réduire les taux*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien de la capacité*socio=uv3 productive*socio=uv4. Tous ces effets*socio=rien ont contribué à la diminution*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 de main-d'_oeuvre*socio=ac. La rigidité*socio=uv3 de la structure*socio=ec1 des taux*socio=ec1 de salaires*socio=ec1 est*socio=rien aussi particulièrement préjudiciable*socio=et à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, en raison*socio=rien de l'ampleur*socio=rien des mutations*socio=ec2 économiques*socio=ec1 structurelles*socio=ec2 qui se sont produites ces *socio=rien dernières années.*socio=nil La*socio=nil forte hausse du prix*socio=ec1 réel *socio=nil de l'énergie*socio=ec1 et la progression*socio=ec2 de l'avantage_comparatif*socio=ec2 des nouveaux*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 dans de *socio=rien nombreuses activités manufacturières*socio=ec1 traditionnelles *socio=nil ont eu des conséquences*socio=rien pour tous les pays_industrialisés*socio=ac. D'autres facteurs*socio=rien, comme l'exploitation*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 de la *socio=rien mer du Nord*socio=te,*socio=nil *socio=nil ont eu une influence sur*socio=rien certains pays*socio=ac. Ces mutations_structurelles*socio=ec2 exigent des travailleurs*socio=ac qu'ils abandonnent les activités*socio=rien pour lesquelles ils ont été*socio=rien formés pour se tourner vers des activités*socio=rien qui sont nouvelles*socio=rien pour eux. Dans de *socio=rien nombreux cas,*socio=nil les*socio=nil pratiques*socio=et en*socio=nil matière de*socio=nil main-d'_oeuvre*socio=ac *socio=nil et les lois*socio=et sur*socio=rien les salaires*socio=ec1 minimums*socio=rien empêchent les employeurs*socio=ac potentiels*socio=uv4 de recruter ces travailleurs*socio=ac, qui doivent recevoir une nouvelle*socio=rien formation*socio=et à un*socio=rien salaire*socio=ec1 correspondant à la productivité*socio=uv3 qu'ils auraient au départ*socio=rien dans leur nouvel*socio=rien emploi*socio=ec1. En fin*socio=rien de compte*socio=ec1, il pourrait s'avérer nécessaire*socio=rien de mettre en place*socio=rien des mécanismes*socio=et sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1 permettant une plus grande*socio=rien souplesse*socio=uv3 de la structure*socio=ec1 des taux*socio=ec1 de salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2 dans les entreprises*socio=ac et les *socio=rien différents secteurs d'*socio=nil activité.*socio=nil *socio=nil Dans ce contexte*socio=rien, une *socio=rien caractéristique notable du système japonais*socio=ac est *socio=nil qu'une *socio=rien large part des*socio=nil rémunérations*socio=ec1 *socio=nil de la main-d'_oeuvre*socio=ac est*socio=rien distribuée sous forme*socio=rien de primes*socio=ec1 liées à la rentabilité*socio=ec1 de chaque entreprise*socio=ac. Pour renverser la tendance*socio=ec2 à la *socio=rien hausse persistante du chômage*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil on pourrait aussi être*socio=rien amené à s'assurer que les incitations*socio=uv3 à la recherche*socio=ec2 d'un*socio=rien emploi*socio=ec1 sont adéquates*socio=uv2. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil le*socio=nil niveau des*socio=nil allocations*socio=et de*socio=nil chômage*socio=ec1 *socio=nil a eu tendance*socio=ec2 à augmenter tandis qu'une proportion*socio=rien plus élevée*socio=uv4 de la population_active*socio=ac bénéficiait desdites allocations*socio=et. S'il convient de se féliciter de cette évolution*socio=te sur*socio=rien le plan*socio=rien social*socio=et, des niveaux*socio=rien de compensation*socio=rien trop élevés*socio=uv4 qui doivent être*socio=rien financés à l'aide*socio=uv1 des deniers publics*socio=et peuvent avoir pour effet*socio=rien à la fois*socio=rien de prolonger anormalement la période*socio=te de chômage*socio=ec1 et d'alourdir le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et ou la charge*socio=rien fiscale*socio=et. Le problème*socio=uv4 est*socio=rien souvent exacerbé par *socio=rien certaines caractéristiques du système_fiscal*socio=et *socio=nil qui désavantagent les revenus*socio=ec1 *socio=rien du travail.*socio=nil *socio=nil Tandis qu'en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 les allocations*socio=et de chômage*socio=ec1 non assujetties à l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 ont eu tendance*socio=ec2 à augmenter au cours*socio=rien des quinze *socio=rien dernières années,*socio=nil le*socio=nil seuil d'*socio=nil imposition*socio=et des*socio=nil revenus*socio=ec1 réels*socio=ec2 du travail *socio=nil a eu tendance*socio=ec2 à baisser, ce qui a donné lieu*socio=rien à de fortes*socio=rien augmentations*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 d'imposition*socio=et *socio=rien marginal implicite du revenu*socio=ec1 *socio=nil tiré de l'exercice*socio=rien d'un*socio=rien travail*socio=rien déclaré. Déséquilibres*socio=uv3 des paiements*socio=ec1 mondiaux*socio=te. Comme il a été*socio=rien dit plus haut*socio=rien, la répartition*socio=uv3 mondiale*socio=te des soldes*socio=ec1 des *socio=te transactions_courantes extérieures *socio=nil a connu un*socio=rien changement*socio=uv3 important*socio=uv4 au cours*socio=rien de l'année*socio=rien passée, à savoir*socio=rien que le déséquilibre*socio=uv3 entre les soldes*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil et ceux des *socio=ac pays importateurs s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil atténué beaucoup plus vite qu'il n'avait été*socio=rien généralement prévu. Mais il reste*socio=rien d'autres *socio=uv4 problèmes importants d'*socio=nil ajustement*socio=et extérieur*socio=te *socio=nil à résoudre. Il n'est*socio=rien pas surprenant*socio=rien que, pour l'essentiel*socio=uv4, la contrepartie*socio=rien de la diminution*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil se soit traduite par une diminution*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 *socio=rien courant du groupe*socio=ac des*socio=nil principaux pays_industrialisés*socio=ac,*socio=nil *socio=nil dans la mesure*socio=rien où ces pays*socio=ac sont les principaux*socio=rien importateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1. La faiblesse*socio=ec2 des positions*socio=rien extérieures*socio=te de certains des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac et d'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil a persisté. Comme il est*socio=rien indiqué plus haut*socio=rien, les soldes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te au *socio=rien sein du groupe*socio=ac des*socio=nil grands pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil ont évolué très différemment ces *socio=rien dernières années.*socio=nil Ces*socio=nil différences*socio=uv1 *socio=nil sont symptomatiques d'un*socio=rien phénomène*socio=rien plus fondamental*socio=uv2, à savoir*socio=rien une divergence*socio=uv1 au niveau*socio=rien des politiques_économiques*socio=et et, par conséquent*socio=rien, des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1, des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et de la position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 qui, dans le passé*socio=rien, s'est*socio=rien traduite périodiquement par une instabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 et des conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1. La nécessité*socio=uv1 de politiques_économiques*socio=et mieux conçues dans les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien impérative tant pour des raisons*socio=rien d'ordre*socio=rien extérieur*socio=te que pour remédier à la stagflation*socio=ec2. Dans certains des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, la nécessité*socio=uv1 de politiques*socio=et d'ajustement*socio=et *socio=rien fermes est *socio=nil encore plus marquée cette année*socio=rien que l'année*socio=rien dernière*socio=rien, étant donné que les difficultés*socio=uv4 d'ajustement*socio=et extérieur*socio=te de ces pays*socio=ac, dues pour une *socio=rien large part *socio=nil à des facteurs*socio=rien intérieurs*socio=te, ont des effets*socio=rien de plus en plus défavorables*socio=uv4 sur*socio=rien leurs volumes*socio=rien d'exportations*socio=ec1 et leurs niveaux*socio=rien d'activité_économique*socio=ec1 et de chômage*socio=ec1. Comme il a été*socio=rien dit dans le Rapport*socio=rien annuel*socio=te de 1981, des facteurs*socio=rien intérieurs*socio=te sont, dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil responsables*socio=uv2 *socio=nil de ces difficultés*socio=uv4 extérieures*socio=te. Dans la plupart*socio=rien des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, la *socio=rien part du revenu*socio=ec1 national*socio=te brut *socio=nil allant aux bénéfices*socio=ec1 des entreprises*socio=ac pendant les années*socio=rien 70 a fortement baissé, en particulier*socio=rien dans le secteur*socio=rien manufacturier*socio=ec1 d'où provient l'essentiel*socio=uv4 des recettes*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1. Ce phénomène*socio=rien a entraîné une réduction*socio=ec2 *socio=rien progressive du secteur manufacturier*socio=ec1 *socio=nil et, par conséquent*socio=rien, une diminution*socio=ec2 des parts*socio=rien de marchés*socio=ec1 tant intérieurs*socio=te qu'extérieurs*socio=te, ainsi qu'une hausse*socio=rien graduelle*socio=te des taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1. Les tentatives*socio=rien visant à renverser ce processus*socio=te ont, jusqu'à présent*socio=rien, été*socio=rien trop timides*socio=rien pour avoir des *socio=rien conséquences sensibles.*socio=nil *socio=nil Dans le groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, la plupart*socio=rien des pays*socio=ac ont, en 1981, enregistré à nouveau*socio=rien d'importants*socio=uv4 déficits*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te et de nouvelles*socio=rien augmentations*socio=ec2 des ratios*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1. Des difficultés*socio=uv4 de financement*socio=ec1 sont devenues apparentes dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil cas.*socio=nil Le*socio=nil problème*socio=uv4 majeur *socio=nil auquel ces pays*socio=ac doivent faire face*socio=rien consiste à trouver le moyen*socio=rien de procéder à l'ajustement*socio=et extérieur*socio=te nécessaire*socio=rien tout en s'orientant vers le rétablissement*socio=rien de taux_de_croissance*socio=ec1 adéquats*socio=uv2. Les approches adoptées par les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 pour remédier aux difficultés*socio=uv4 extérieures*socio=te des *socio=rien dernières années ont*socio=nil été très*socio=nil variées.*socio=nil Les*socio=nil différences*socio=uv1 *socio=nil à cet égard*socio=rien ont été*socio=rien liées en partie*socio=rien à des facteurs*socio=rien tels que le degré*socio=rien d'indépendance*socio=uv1 à l'égard*socio=rien du*socio=rien pétrole*socio=ec1 importé et la structure*socio=ec1 par produit*socio=rien des exportations*socio=ec1, mais la nature*socio=rien des politiques*socio=et intérieures*socio=te que les pays*socio=ac ont appliquées a également exercé une influence importante*socio=uv4. Le *socio=rien passé récent *socio=nil montre que les pays*socio=ac qui ont relativement bien*socio=rien réussi à ajuster leur économie*socio=ec1 ont mis l'accent*socio=rien sur*socio=rien le maintien*socio=rien et l'amélioration*socio=uv1 de la compétitivité*socio=uv3 *socio=rien du secteur des*socio=nil produits *socio=nil faisant l'objet*socio=rien d'échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te au moyen*socio=rien d'une structure*socio=ec1 appropriée d'incitations*socio=uv3 par les prix*socio=ec1 dans l'ensemble*socio=rien de l'économie*socio=ec1; ces politiques*socio=et sont examinées plus en détail*socio=rien au chapitre*socio=rien 2. Néanmoins, pour *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil en*socio=nil particulier les*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil faible revenu*socio=ec1 *socio=nil disposant d'une gamme*socio=rien limitée de produits*socio=rien exportables*socio=ec2, l'ajustement*socio=et *socio=rien est un processus*socio=te long et*socio=nil difficile,*socio=nil exigeant d'*socio=nil importants*socio=uv4 financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te.*socio=nil Il*socio=nil est clair *socio=nil que, pour réussir, les politiques*socio=et "orientées vers l'extérieur*socio=te" doivent être*socio=rien appuyées par des mesures*socio=et de gestion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 complémentaires*socio=rien. Cependant, les politiques*socio=et excessivement expansionnistes*socio=ec2 appliquées dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil et les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 élevés*socio=uv4 qui en ont résulté ont empêché une amélioration*socio=uv1 *socio=rien du secteur extérieur*socio=te.*socio=nil Bien qu'*socio=nil en_principe*socio=ec2 la*socio=nil structure*socio=ec1 des*socio=nil prix*socio=ec1 relatifs *socio=nil et l'efficacité*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 sur*socio=rien le plan*socio=rien de l'allocation*socio=et des ressources*socio=ec1 sont indépendantes*socio=uv2 de l'inflation*socio=ec1, ceci n'est*socio=rien pas vrai*socio=rien dans la pratique*socio=rien. Les pays*socio=ac qui ont obtenu des résultats*socio=rien relativement plus satisfaisants*socio=uv4 dans le domaine*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 ont, en général*socio=rien, mieux su gérer leurs économies*socio=ec1 de façon*socio=rien à maintenir la compétitivité*socio=uv3 *socio=rien du secteur extérieur*socio=te.*socio=nil *socio=nil En revanche, les répercussions*socio=ec2 politiques*socio=et et sociales*socio=et souvent associées*socio=rien à l'incidence*socio=ec2 des variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 des biens*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 et d'autres produits*socio=rien essentiels*socio=uv4 ont, en général*socio=rien, empêché les pays*socio=ac où les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 sont relativement élevés*socio=uv4 d'ajuster suffisamment leurs taux_de_change*socio=ec1. Les importants*socio=uv4 déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et dans les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 ont constitué un*socio=rien obstacle*socio=uv3 majeur*socio=rien au maintien*socio=rien d'un*socio=rien niveau*socio=rien approprié de la demande_globale*socio=ec1. Il *socio=rien est possible *socio=nil également que ces déficits*socio=ec1 aient des *socio=rien effets inopportuns au*socio=nil niveau *socio=nil de l'offre*socio=ec1 dans l'économie*socio=ec1. Dans la mesure*socio=rien où ils reflètent des dispositions*socio=et visant à protéger certaines*socio=rien industries*socio=ec1 ou certains groupes*socio=ac sociaux*socio=et de facteurs*socio=rien défavorables*socio=uv4 qui, selon toute probabilité*socio=ec2, ne disparaîtront pas rapidement, ils peuvent entraver la réallocation nécessaire*socio=rien des ressources*socio=ec1. En outre, comme il a été*socio=rien dit dans le contexte*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, le financement*socio=ec1 de ces déficits*socio=ec1 se traduit souvent par une réduction*socio=ec2 du*socio=rien crédit*socio=ec1 *socio=rien réel disponible au*socio=nil secteur_privé*socio=et,*socio=nil *socio=nil qui se répercute sur*socio=rien le financement*socio=ec1 de la production*socio=ec1 et des investissements*socio=ec1. Les pays_en_développement*socio=uv3 peuvent eux aussi faire beaucoup pour enrayer l'évolution*socio=te défavorable*socio=uv4 des *socio=rien récentes années.*socio=nil *socio=nil Toutefois, la persistance*socio=te de conditions*socio=ec1 extérieures*socio=te défavorables*socio=uv4 et les retards*socio=rien qui interviennent avant que les mesures*socio=et de politique_économique*socio=ec1 n'entrent en vigueur*socio=uv3 signifient qu'un*socio=rien niveau*socio=rien exceptionnellement élevé*socio=uv4 de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te sera nécessaire*socio=rien pendant plusieurs années*socio=rien. Les perspectives*socio=te de financement*socio=ec1 à des conditions*socio=ec1 libérales*socio=et demeurent malheureusement limitées. D'une part*socio=rien, la réduction*socio=ec2, massive*socio=rien et soudaine*socio=rien, de l'excédent*socio=ec1 de transactions_courantes*socio=te des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 risque*socio=uv3 *socio=nil d'avoir des répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien les prêts*socio=ec1 et les dons*socio=ec1 accordés par ces pays*socio=ac aux pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. En outre, à en juger d'après*socio=rien les résultats*socio=rien obtenus jusqu'à présent*socio=rien, les perspectives*socio=te concernant une augmentation*socio=ec2 *socio=rien du volume d'*socio=nil aide*socio=uv1 au*socio=nil développement*socio=uv3 *socio=nil fourni par les pays_industrialisés*socio=ac sont loin*socio=rien d'être*socio=rien brillantes. Par ailleurs*socio=rien, la possibilité*socio=rien que les capitaux*socio=ec1 prêtables ne soient pas suffisants*socio=rien et imposent ainsi des limites*socio=rien aux *socio=ec1 prêts bancaires *socio=nil a récemment suscité de nouvelles*socio=rien préoccupations*socio=uv4. Bien*socio=rien que ce facteur*socio=rien puisse éventuellement contribuer à réduire les crédits*socio=ec1 accordés par certaines*socio=rien banques*socio=ac, le volume*socio=rien des capitaux*socio=ec1 ne semble pas *socio=rien devoir être,*socio=nil *socio=nil dans l'ensemble*socio=rien, un*socio=rien obstacle*socio=uv3 majeur*socio=rien aux prêts*socio=ec1 internationaux*socio=te en 1982. A l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, les banques*socio=ac internationales*socio=te semblent être*socio=rien disposées à accroître leurs actifs*socio=ec1 internationaux*socio=te à un*socio=rien rythme*socio=ec2 voisin*socio=rien de celui de 1981. Elles deviennent toutefois plus sélectives*socio=uv4 dans leurs activités*socio=rien de prêts*socio=ec1, tenant désormais mieux compte*socio=ec1 de la politique*socio=et et de la situation*socio=rien économiques*socio=ec1 propres*socio=rien à chaque pays*socio=ac. Il y a même lieu*socio=rien de penser que le nombre*socio=rien de pays*socio=ac considérés par les banques*socio=ac comme se trouvant dans une situation*socio=rien critique*socio=uv2 est*socio=rien en augmentation*socio=ec2, comme en témoigne*socio=rien le fait*socio=rien que de nombreux*socio=rien pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 avaient des arriérés de paiements*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1981. En outre, la crainte*socio=uv1 d'une trop forte*socio=rien concentration*socio=ec2 des risques*socio=uv3 pourrait empêcher les banques*socio=ac d'accorder des crédits*socio=ec1 à certains des plus gros*socio=rien emprunteurs*socio=ac. Ces facteurs*socio=rien incitent à penser que les banques*socio=ac, qui sont toujours disposées à accorder *socio=rien un volume de*socio=nil financement*socio=ec1 substantiel *socio=nil à chaque pays*socio=ac individuellement, prendront en considération*socio=rien, comme *socio=rien condition préalable importante*socio=uv4,*socio=nil la*socio=nil ferme*socio=ec2 volonté*socio=uv1 *socio=nil de la part*socio=rien des bénéficiaires*socio=ac d'appliquer une politique*socio=et d'ajustement*socio=et appropriée. L'examen*socio=ec2 des *socio=rien questions relatives au*socio=nil financement*socio=ec1 *socio=nil et à l'endettement*socio=ec1 extérieurs*socio=te a porté, jusqu'à présent*socio=rien, sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. Toutefois, cette *socio=rien optique globale *socio=nil masque, tant pour le passé*socio=rien que pour les perspectives*socio=te d'avenir*socio=te, les différences*socio=uv1 qui existent entre les sous-groupes*socio=ac. en particulier*socio=rien, la situation*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 et des "autres" importateurs*socio=ac nets*socio=rien de pétrole*socio=ec1 (comprenant des pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien exportant surtout des produits*socio=rien de base*socio=rien) est*socio=rien une *socio=rien cause majeure de*socio=nil préoccupation*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Non seulement la charge*socio=rien réelle*socio=ec2 du*socio=rien service_de_leur_dette*socio=ec1 s'est-elle considérablement*socio=rien alourdie en 1980-81, mais beaucoup d'entre eux n'ont qu'un*socio=rien accès*socio=uv1 limité au marché_financier*socio=ec1 international*socio=te et se heurtent à de sérieux*socio=uv4 obstacles*socio=uv3 *socio=rien du fait *socio=nil de la lente*socio=rien croissance*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1 étrangère*socio=te et des prêts*socio=ec1 accordés à des conditions*socio=ec1 libérales*socio=et. Bien*socio=rien qu'il soit urgent*socio=uv4 que ces pays*socio=ac doivent appliquer une politique*socio=et d'ajustement*socio=et *socio=rien du type *socio=nil mentionné plus haut*socio=rien et au chapitre*socio=rien 2, tout dépendra, à court_terme*socio=te d'une reprise de l'expansion*socio=ec2 et d'une plus grande*socio=rien ouverture*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 qui les intéressent dans le monde*socio=te industriel*socio=ec1. A *socio=rien moyen terme,*socio=nil ces*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil doivent chercher à se doter d'une structure*socio=ec1 de production*socio=ec1 et d'exportation*socio=ec1 plus diversifiée. La rapidité*socio=rien avec laquelle ces politiques*socio=et de diversification*socio=ec2 porteront leurs fruits*socio=rien dépendra dans une mesure*socio=rien cruciale*socio=uv4 de l'ouverture*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac. Quant aux *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil l'*socio=nil examen*socio=ec2 des*socio=nil résultats*socio=rien *socio=nil de l'effort*socio=uv1 de développement*socio=uv3 entrepris au cours*socio=rien des années*socio=rien 70 a incité certains pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac à modifier leur politique_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te. Avant même le fléchissement*socio=ec2 récemment constaté sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac pratiquaient une politique*socio=et de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 assez prudente*socio=uv2 et le problème*socio=uv4 de l'inflation*socio=ec1 intérieure*socio=te a *socio=rien été considérablement *socio=nil atténué par rapport*socio=rien à ce qu'il était au milieu*socio=rien des années*socio=rien 70. Comme indiqué précédemment, la diminution*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1, résultant*socio=rien de l'évolution*socio=te *socio=rien récente du marché*socio=ec1 mondial*socio=te du pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil a amené plusieurs pays*socio=ac à adopter une politique_économique*socio=ec1 plus restrictive*socio=uv4. Certains *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil réorientent actuellement leurs investissements*socio=ec1 vers des activités*socio=rien plus directement productives*socio=uv4. Il se peut que des industries*socio=ec1 à *socio=rien forte intensité *socio=nil capitalistique fondées sur*socio=rien l'exploitation*socio=ec1 de *socio=ec1 ressources pétrolières *socio=nil puissent convenir aux pays*socio=ac qui ont des réserves*socio=ec1 considérables*socio=rien de pétrole*socio=ec1 par rapport*socio=rien à leur production*socio=ec1 actuelle*socio=te, et dont la population*socio=ac est*socio=rien relativement faible*socio=rien. D'autres, en revanche, s'orientent vers le développement*socio=uv3 de l'agriculture*socio=ec1 et *socio=rien du secteur manufacturier*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et cette politique*socio=et semble convenir, dans l'ensemble*socio=rien, à leur situation*socio=rien. L'examen*socio=ec2 de l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te auquel on vient de se livrer démontre que les gouvernements*socio=ac des pays_membres*socio=ac sont toujours aux prises*socio=rien avec des problèmes*socio=uv4 économiques*socio=ec1 difficiles*socio=rien. La résolution*socio=uv1 de ces problèmes*socio=uv4 exigera non seulement l'application*socio=rien courageuse de politiques*socio=et d'ajustement*socio=et saines*socio=uv2 à l'échelle*socio=rien nationale*socio=te, mais aussi une coopération*socio=uv1 *socio=rien étroite sur le*socio=nil plan international*socio=te.*socio=nil *socio=nil L'une des formes*socio=rien de cette coopération*socio=uv1 consistera à appuyer les politiques*socio=et d'ajustement*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 en leur accordant une aide*socio=uv1 à des conditions*socio=ec1 libérales*socio=et et en évitant d'appliquer des restrictions*socio=et commerciales*socio=ec1 à leurs produits*socio=rien. Une autre forme*socio=rien de coopération_internationale*socio=uv3 réside dans le soutien*socio=uv3 que les pays_membres*socio=ac apporteront aux efforts*socio=uv1 que le Fonds*socio=ec1 ne cesse de faire pour adapter*socio=rien sa politique*socio=et et ses mécanismes*socio=et à l'évolution*socio=te des circonstances*socio=rien et contribuer ainsi, de façon*socio=rien positive*socio=uv4, à l'ajustement*socio=et des balances_des_paiements*socio=ec1. Surveillance*socio=et du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1. Surveillance*socio=et des politiques*socio=et de change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. Dans son acception*socio=rien la plus large*socio=rien, l'objectif*socio=uv3 de la surveillance*socio=et exercée par le Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 est*socio=rien d'évaluer la justesse*socio=rien des politiques*socio=et des différents*socio=rien pays_membres*socio=ac et d'encourager l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et qui renforcent le *socio=rien fonctionnement du régime*socio=et de*socio=nil change*socio=ec1,*socio=nil compte*socio=ec1 *socio=nil tenu de l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 récente*socio=rien et des *socio=rien questions générales *socio=nil que nous venons d'examiner. La surveillance*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 comporte donc la tâche*socio=rien cruciale*socio=uv4, mais difficile*socio=rien, d'intégrer la surveillance*socio=et exercée au niveau*socio=rien de chaque pays*socio=ac - c'est-à-dire les consultations*socio=uv1 et discussions*socio=et avec chaque *socio=ac pays membre *socio=nil - et la surveillance*socio=et exercée au niveau*socio=rien multilatéral*socio=et ou global*socio=te - c'est-à-dire sur*socio=rien le *socio=rien fonctionnement du système *socio=nil considéré dans son ensemble*socio=rien. Le document*socio=rien de 1977 intitulé "Surveillance*socio=et des politiques*socio=et de change*socio=ec1", dans lequel sont décrits les principes*socio=ec2 et procédures*socio=et de surveillance*socio=et, reconnaît explicitement les difficultés*socio=uv4 de cette tâche*socio=rien en notant que ces principes*socio=ec2 "ne sont pas nécessairement exhaustifs*socio=rien et feront l'objet*socio=rien d'un*socio=rien nouvel*socio=rien examen*socio=ec2 à la lumière*socio=rien de l'expérience*socio=ec2 acquise*socio=rien". Le conseil_d'_administration*socio=ac doit donc réexaminer le document*socio=rien susmentionné tous les deux ans*socio=rien, en plus de l'examen*socio=ec2 annuel*socio=te dont doit faire l'objet*socio=rien l'application*socio=rien de la surveillance*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. Le conseil_d'_administration*socio=ac a achevé l'un*socio=rien de ces réexamens généraux*socio=rien au cours*socio=rien des *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1982. A l'issue*socio=rien de son examen*socio=ec2 *socio=rien du document *socio=nil de 1977, le conseil_d'_administration*socio=ac a conclu que les principes*socio=ec2, tels qu'ils sont établis, situent les jugements qui doivent êtres*socio=rien portés sur*socio=rien la surveillance*socio=et dans *socio=rien un contexte suffisamment*socio=nil large *socio=nil et donnent une orientation*socio=et adéquate*socio=uv2 à la surveillance*socio=et. Par conséquent*socio=rien, compte*socio=ec1 tenu de l'expérience*socio=ec2 acquise*socio=rien jusqu'ici, les administrateurs*socio=ac sont convenus qu'il n'était pas nécessaire*socio=rien, pour le moment*socio=rien, de réviser ou de reformuler ces principes*socio=ec2. En ce qui concerne l'examen*socio=ec2 annuel*socio=te de l'application*socio=rien de la surveillance*socio=et, les administrateurs*socio=ac ont avalisé les efforts*socio=uv1 du*socio=rien directeur_général*socio=ac visant à renforcer la surveillance*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 mais ont constaté que la coopération*socio=uv1 pleine*socio=rien et entière*socio=rien des *socio=ac États membres est*socio=rien indispensable*socio=uv4 *socio=nil si l'on veut renforcer l'efficacité*socio=uv3 de cette fonction*socio=rien. Dans ce contexte*socio=rien, les pays_membres*socio=ac devraient coopérer à trois *socio=rien niveaux distincts.*socio=nil En*socio=nil premier lieu,*socio=nil *socio=nil il importe de parvenir à une opinion*socio=uv1 commune*socio=uv2 ou à une entente*socio=et, concernant la structure*socio=ec1 analytique*socio=ec2 au sein*socio=rien de laquelle les problèmes*socio=uv4 et les besoins*socio=uv1 relatifs*socio=rien aux taux_de_change*socio=ec1 peuvent être*socio=rien discutés. Le Fonds*socio=ec1 a déjà avancé dans cette voie*socio=rien, mais il reste*socio=rien encore beaucoup à faire pour mieux comprendre le réseau*socio=rien des relations*socio=rien entre les déficits*socio=ec1 de balance_des_paiements*socio=ec1, les politiques_budgétaires*socio=et, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 et les taux_de_change*socio=ec1. Le *socio=rien deuxième niveau *socio=nil de la coopération*socio=uv1 consiste à obtenir*socio=rien des pays_membres*socio=ac qu'ils acceptent d'examiner avec le Fonds*socio=ec1, et au *socio=rien sein du Fonds*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil différents aspects des*socio=nil politiques*socio=et nationales*socio=te *socio=nil qui ont, ou peuvent avoir, une incidence*socio=ec2 défavorable*socio=uv4 sur*socio=rien d'autres pays*socio=ac. En *socio=rien troisième lieu,*socio=nil *socio=nil il importe que les pays_membres*socio=ac coopèrent en tenant compte*socio=ec1, dans leur *socio=te processus national de*socio=nil prise*socio=rien de*socio=nil décisions*socio=et,*socio=nil des*socio=nil opinions*socio=ec2 *socio=nil exprimées et des conclusions*socio=rien formulées par le conseil_d'_administration*socio=ac. Cette coopération*socio=uv1 est*socio=rien l'essence*socio=rien même de la surveillance*socio=et. *socio=rien Questions relatives *socio=nil à l'application*socio=rien de la surveillance*socio=et. Dans l'application*socio=rien de la surveillance*socio=et, le Fonds*socio=ec1 a continué de s'inspirer essentiellement de l'idée*socio=rien que le rétablissement*socio=rien généralisé de la stabilité*socio=uv3 des conditions_économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 intérieures*socio=te est*socio=rien la *socio=rien condition sine *socio=nil qua non d'un*socio=rien système*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 plus stable*socio=uv4. En conséquence*socio=rien, le Fonds*socio=ec1 a souligné la nécessité*socio=uv1 d'adopter l'approche générale*socio=rien de lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 exposée au *socio=rien chapitre premier.*socio=nil A*socio=nil court_terme*socio=te,*socio=nil *socio=nil on ne saurait attendre de cette approche qu'elle stabilise les taux_de_change*socio=ec1 car la réduction*socio=ec2 des taux_d'_expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 - l'une des composantes*socio=ec1 décisives*socio=uv4 de l'approche - va souvent de pair*socio=rien, dans la phase*socio=te initiale*socio=rien, avec des *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux et*socio=nil réels*socio=ec2 *socio=nil à la fois*socio=rien élevés*socio=uv4 et variables*socio=rien. Néanmoins, une fois*socio=rien l'inflation*socio=ec1 maîtrisée et la crédibilité*socio=uv1 de la politique*socio=et anti-inflationniste*socio=ec2 des autorités*socio=et bien*socio=rien établie, on pourra attendre des taux_d'_intérêt*socio=ec1 qu'ils baissent, deviennent moins variables*socio=rien et contribuent ainsi à réduire la variabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1. L'application*socio=rien de cette approche globale*socio=rien à la *socio=rien situation particulière de*socio=nil différents pays*socio=ac *socio=nil a soulevé de *socio=rien nombreuses questions d'*socio=nil ordre pratique.*socio=nil *socio=nil L'une des principales*socio=rien concerne le dosage*socio=rien des diverses*socio=rien politiques*socio=et dont l'amalgame constitue la gestion*socio=ec2 économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 intérieure*socio=te. Comme on l'a déjà noté dans le *socio=rien présent chapitre,*socio=nil ce*socio=nil dosage *socio=nil influence le *socio=rien comportement du taux_de_change*socio=ec1 sur le*socio=nil marché*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Si, pour maîtriser*socio=rien l'inflation*socio=ec1, on utilise davantage les taux_d'_intérêt*socio=ec1 et la politique_monétaire*socio=et que les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et la fiscalité*socio=et, le taux_de_change*socio=ec1 aura généralement tendance*socio=ec2 à augmenter davantage, à court_terme*socio=te, que dans le *socio=rien cas contraire.*socio=nil *socio=nil Au-delà de cet accord*socio=et fondamental*socio=uv2 sur*socio=rien l'effet*socio=rien *socio=rien du dosage des*socio=nil politiques*socio=et,*socio=nil les*socio=nil opinions*socio=ec2 *socio=nil divergent quant à la possibilité*socio=rien d'identifier un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 approprié qui ne soit pas déterminé par le marché*socio=ec1, et quant à l'opportunité*socio=uv3 de modifier ce dosage*socio=rien essentiellement dans le but*socio=rien d'agir sur*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1. De toute évidence*socio=rien, chaque *socio=ac pays membre *socio=nil souhaitera choisir le dosage*socio=rien des politiques*socio=et qu'il jugera le mieux adapté à sa *socio=rien propre situation.*socio=nil *socio=nil Toutefois, les principes*socio=ec2 de la surveillance*socio=et impliquent aussi qu'il faut tenir compte*socio=ec1 des intérêts*socio=uv1 des autres pays_membres*socio=ac. Par exemple*socio=rien, un*socio=rien pays*socio=ac qui compte*socio=ec1 trop sur*socio=rien la politique_monétaire*socio=et pour maîtriser*socio=rien l'inflation*socio=ec1 peut, notamment s'il *socio=rien est un important*socio=uv4 centre financier*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil créer des difficultés*socio=uv4 à d'autres pays*socio=ac qui voudraient bien*socio=rien que leurs propres*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 ne soient pas modifiés, en limitant l'éventail*socio=rien des politiques*socio=et intérieures*socio=te qui conviendraient le mieux à leurs *socio=rien propres situations.*socio=nil *socio=nil Réciproquement, un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 excessivement bas*socio=rien, qu'il soit dû à *socio=rien un dosage mal *socio=nil équilibré des politiques*socio=et ou à toute autre raison*socio=rien, peut conduire d'autres pays*socio=ac à adopter des mesures*socio=et défensives*socio=ec2. Une autre question*socio=rien importante*socio=uv4, qui a récemment retenu*socio=rien davantage l'attention*socio=rien, tient à l'ampleur*socio=rien et à l'incidence*socio=ec2 que doivent avoir les interventions*socio=et destinées*socio=rien à redresser une situation*socio=rien désordonnée sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. De toute évidence*socio=rien, il importe que les pays_membres*socio=ac s'efforcent énergiquement de prévenir, dans toute la *socio=rien mesure du possible,*socio=nil l'*socio=nil établissement *socio=nil d'une telle situation*socio=rien, tout en évitant les interventions*socio=et excessives*socio=uv4 qui pourraient avoir des effets*socio=rien déstabilisateurs*socio=ec2. Il est*socio=rien toutefois difficile*socio=rien, sauf dans les cas*socio=rien relativement bien*socio=rien tranchés, de s'entendre sur*socio=rien les *socio=rien caractéristiques précises *socio=nil de la situation*socio=rien d'un*socio=rien marché*socio=ec1 qui doivent déclencher une *socio=et intervention officielle,*socio=nil ou*socio=nil sur*socio=rien le*socio=nil degré*socio=rien de*socio=nil coordination*socio=uv3 *socio=nil entre les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 des différents*socio=rien pays*socio=ac qu'appelle cette intervention*socio=et. Dans certains cas*socio=rien, l'instabilité*socio=uv3 du*socio=rien marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1 a été*socio=rien due surtout à l'évolution*socio=te des politiques_monétaires*socio=et et financières*socio=ec1. Comme l'observation*socio=ec2 des faits*socio=rien montre qu'en *socio=rien pareils cas,*socio=nil *socio=nil on ne saurait attendre de l'intervention*socio=et qu'elle modère sensiblement les fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1, le Fonds*socio=ec1 s'est*socio=rien davantage préoccupé d'examiner si les politiques*socio=et sous-jacentes*socio=rien étaient adéquates*socio=uv2. On ne saurait attendre de l'intervention*socio=et des autorités*socio=et qu'elle corrige, à elle seule*socio=rien, les effets*socio=rien de ces facteurs*socio=rien fondamentaux*socio=uv4, mais on peut parfois l'utiliser à court_terme*socio=te pour étayer une modification*socio=rien des politiques*socio=et intérieures*socio=te sous-jacentes*socio=rien qui, sans cela, ne transparaîtrait sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 qu'après*socio=rien *socio=rien un délai plus*socio=nil long.*socio=nil L'*socio=nil intervention*socio=et *socio=nil peut alors *socio=rien être employée *socio=nil pour signaler le changement*socio=uv3 de politique*socio=et au marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1. L'expérience*socio=ec2 acquise*socio=rien récemment a aussi fait*socio=rien paraître quelque peu contestable*socio=rien l'opinion*socio=uv1, naguère généralement admise, que "l'orientation*socio=et des politiques*socio=et" peut être*socio=rien convenablement jugée à l'aide*socio=uv1 d'un*socio=rien nombre*socio=rien relativement restreint d'indicateurs*socio=ec1, tels que les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et ajustés en fonction*socio=rien de la conjoncture*socio=ec2, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 et les taux_de_change*socio=ec1. Lorsque les taux_d'_intérêt*socio=ec1 sont relativement élevés*socio=uv4 et variables*socio=rien et les taux_de_change*socio=ec1 très instables*socio=uv4, il est*socio=rien beaucoup plus difficile*socio=rien d'identifier la tendance*socio=ec2 générale*socio=rien, l'axe fondamental*socio=uv2, de la politique_économique*socio=ec1 d'un*socio=rien pays*socio=ac. Les participants*socio=ac au marché*socio=ec1 privé*socio=et peuvent mettre beaucoup de temps*socio=rien à percevoir et interpréter clairement les implications*socio=rien anti-inflationnistes*socio=ec2 de mesures*socio=et prises*socio=rien par les autorités*socio=et et celles-ci doivent s'efforcer de mieux leur faire comprendre les objectifs*socio=uv3 qu'elles s'assignent et les méthodes*socio=ec2 qu'elles mettent en oeuvre*socio=rien. Si les *socio=rien questions relatives *socio=nil à la variabilité*socio=uv3 des *socio=ec1 taux_de_change flottants ont*socio=nil été*socio=rien au*socio=nil centre*socio=rien *socio=nil de l'application*socio=rien de la surveillance*socio=et exercée sur*socio=rien les politiques_économiques*socio=et des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, les *socio=rien principales questions *socio=nil soulevées par l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 des petits*socio=rien pays*socio=ac ont trait*socio=rien surtout à l'opportunité*socio=uv3 de maintenir un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 plus ou moins fixe malgré les importantes*socio=uv4 modifications*socio=rien des conditions_économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4. En *socio=rien pareils cas,*socio=nil le*socio=nil Fonds*socio=ec1 *socio=nil a insisté sur*socio=rien l'importance*socio=rien d'adopter une politique*socio=et de change*socio=ec1 appropriée en temps*socio=rien voulu, c'est-à-dire avant que les distorsions*socio=uv3 économiques*socio=ec1 engendrées par la surévaluation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1, notamment celles créées par les réglementations*socio=et mises en oeuvre*socio=rien pour des raisons*socio=rien de paiements*socio=ec1, s'enracinent profondément dans la *socio=ec1 structure économique.*socio=nil Procédures*socio=et d'*socio=nil application*socio=rien *socio=nil de la surveillance*socio=et. La surveillance*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 est*socio=rien mise en oeuvre*socio=rien de *socio=rien diverses façons,*socio=nil *socio=nil y compris pendant l'examen*socio=ec2 des positions*socio=rien et politiques*socio=et des pays_membres*socio=ac par le conseil_d'_administration*socio=ac dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, lors*socio=rien de l'étude*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te par le conseil_d'_administration*socio=ac et le comité_intérimaire*socio=ac, et à l'occasion*socio=rien des consultations*socio=uv1 tenues avec les *socio=ac États membres *socio=nil par le directeur_général*socio=ac et les services_du_fonds*socio=ec1. En outre, ces derniers*socio=rien préparent, pour l'information*socio=rien des administrateurs*socio=ac, des documents*socio=rien portant sur*socio=rien les questions*socio=rien d'ajustement*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 et des balances_des_paiements*socio=ec1 ainsi que des *socio=rien rapports sur les*socio=nil restrictions*socio=et commerciales*socio=ec1 *socio=nil et les régimes*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 multiples*socio=rien. Le conseil_d'_administration*socio=ac est*socio=rien ainsi à même de traiter plusieurs fois*socio=rien par an*socio=rien des questions*socio=rien se rapportant à la surveillance*socio=et. Conformément au deuxième*socio=rien amendement*socio=et aux statuts*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1, entré en vigueur*socio=uv3 le 1er avril*socio=rien 1978, les consultations*socio=uv1 ordinaires*socio=rien tenues avec les pays_membres*socio=ac au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV sont devenues le véhicule principal*socio=rien de la surveillance*socio=et exercée par le Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. Grâce*socio=rien à leur fréquence*socio=rien et à leur régularité*socio=ec2, ces consultations*socio=uv1 constituent un*socio=rien instrument*socio=et particulièrement approprié à l'identification*socio=rien rapide*socio=rien des problèmes*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 et peuvent contribuer à promouvoir un*socio=rien ajustement*socio=et précoce*socio=rien, exigeant*socio=rien des mesures*socio=et correctives*socio=ec2 moins contraignantes*socio=uv2 et ayant plus de chances*socio=rien de succès*socio=uv1. Reconnaissant l'importance*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV dans le processus*socio=te d'ajustement*socio=et, les administrateurs*socio=ac en ont élargi le champ*socio=rien d'application*socio=rien. Une décision*socio=et *socio=rien récente du conseil_d'_administration*socio=ac,*socio=nil sur l'*socio=nil utilisation des*socio=nil ressources*socio=ec1 générales du Fonds*socio=ec1 *socio=nil dans le cadre*socio=rien des accords*socio=et de confirmation*socio=et, stipule que : "C'est*socio=rien, entre autres, à l'occasion*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV que le Fonds*socio=ec1 peut examiner avec les pays_membres*socio=ac les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et - y compris les mesures*socio=et correctives*socio=ec2 - qui lui permettent d'approuver des accords*socio=et de confirmation*socio=et". Dans cette décision*socio=et, le conseil_d'_administration*socio=ac prévoit explicitement que les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV peuvent comporter des discussions*socio=et portant sur*socio=rien l'intérêt*socio=uv1 d'un*socio=rien ajustement*socio=et appuyé par des accords*socio=et de confirmation*socio=et. Il importe de reconnaître que le rôle*socio=et des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV n'a pas été*socio=rien confiné aux relations*socio=rien bilatérales*socio=et entre les pays_membres*socio=ac et le Fonds*socio=ec1. Les consultations*socio=uv1, et plus particulièrement les rapports*socio=rien qui en résultent, jouent un*socio=rien rôle*socio=et de *socio=rien premier plan *socio=nil dans les *socio=rien relations du Fonds*socio=ec1 *socio=nil avec les autres organisations_internationales*socio=ac, telles que l' accord_général*socio=et sur*socio=rien les *socio=et tarifs douaniers *socio=nil et le commerce*socio=ec1, la banque_internationale_pour_la_reconstruction*socio=ac et le développement*socio=uv3 et l'Organisation*socio=ac de coopération*socio=uv1 et de développement*socio=uv3 économiques*socio=ec1. Les rapports*socio=rien de consultations*socio=uv1 peuvent également s'avérer utiles*socio=uv4 pour la conduite*socio=rien des relations*socio=rien extérieures*socio=te des pays_membres*socio=ac. L'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 dépend beaucoup de la régularité*socio=ec2 des consultations*socio=uv1 avec les pays_membres*socio=ac. Les politiques*socio=et de change*socio=ec1 ne peuvent être*socio=rien jugées que dans le contexte*socio=rien d'une évaluation*socio=ec2 *socio=rien globale du progrès*socio=uv1 *socio=nil de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 d'un*socio=rien pays*socio=ac, évaluation*socio=ec2 qui ne peut elle-même être*socio=rien faite que dans le *socio=rien cadre du dispositif*socio=et des*socio=nil consultations*socio=uv1.*socio=nil *socio=nil En outre, des consultations*socio=uv1 régulières*socio=ec2 et fréquentes*socio=rien tenues au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV ne peuvent que tendre à réduire le besoin*socio=uv1 de procéder à des consultations*socio=uv1 spéciales*socio=rien à propos*socio=rien de la surveillance*socio=et des politiques*socio=et de change*socio=ec1. Le Fonds*socio=ec1 s'est*socio=rien toujours efforcé de couvrir les trois quarts*socio=rien des pays_membres*socio=ac au cours*socio=rien de toute période*socio=te de 12 mois*socio=rien, tout en maintenant un*socio=rien cycle*socio=te de consultations*socio=uv1 annuelles*socio=te avec les grands*socio=rien pays*socio=ac et ceux qui appliquent des programmes*socio=et ayant reçu son appui*socio=uv1. La réalisation*socio=uv1 complète de cet objectif*socio=uv3 s'est*socio=rien toutefois heurtée à des difficultés*socio=uv4. Le *socio=rien nombre total de*socio=nil consultations*socio=uv1 *socio=nil en 12 mois*socio=rien a diminué depuis 1978-79 tandis que celui des pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 augmentait, et le nombre*socio=rien de ceux qui n'ont pas tenu de consultations*socio=uv1 avec le Fonds*socio=ec1 depuis au moins 18 mois*socio=rien a lui aussi augmenté. Un*socio=rien cycle*socio=te de consultations*socio=uv1 de 15 mois*socio=rien ou moins a toutefois été*socio=rien maintenu avec plus de 40 pays*socio=ac, y compris la plupart*socio=rien des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. En ce qui concerne les pays_membres*socio=ac appliquant des programmes*socio=et ayant reçu l'appui*socio=uv1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1, la plupart*socio=rien des consultations*socio=uv1 se sont accompagnées d'entretiens*socio=rien portant sur*socio=rien l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 ou les ont précédés. A l'occasion*socio=rien de son examen*socio=ec2 de l'application*socio=rien de la surveillance*socio=et, le conseil_d'_administration*socio=ac a souligné la nécessité*socio=uv1 de poursuivre les efforts*socio=uv1 visant à maintenir une fréquence*socio=rien adéquate*socio=uv2 des consultations*socio=uv1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 avec les pays_membres*socio=ac. L'examen*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te par le conseil_d'_administration*socio=ac et le comité_intérimaire*socio=ac fournit l'occasion*socio=rien de dégager un*socio=rien consensus*socio=uv1 sur*socio=rien l'orientation*socio=et générale*socio=rien appropriée des politiques*socio=et des pays_membres*socio=ac. Cet examen*socio=ec2 constitue donc *socio=rien un second instrument*socio=et capital*socio=ec1 *socio=nil de l'exercice*socio=rien collectif*socio=uv2 de la *socio=et surveillance multilatérale entreprise*socio=ac *socio=nil par le Fonds*socio=ec1. Il permet de mieux comprendre les interactions*socio=rien à l'échelon*socio=rien international*socio=te des politiques*socio=et nationales*socio=te, le rôle*socio=et *socio=rien premier du Fonds*socio=ec1 *socio=nil étant d'identifier clairement les principaux*socio=rien problèmes*socio=uv4 de politique_économique*socio=ec1. En 1981, l'examen*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te a continué d'offrir *socio=rien un cadre général *socio=nil à l'analyse*socio=ec2 de l'évolution*socio=te globale*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 et de fournir ainsi *socio=rien un élément de*socio=nil référence essentiel*socio=uv4 *socio=nil à la surveillance*socio=et des politiques*socio=et de change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. Les analyses*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te réalisées par les services_du_fonds*socio=ec1 ont été*socio=rien examinées en profondeur*socio=rien par le conseil_d'_administration*socio=ac en mai*socio=rien et septembre*socio=rien 1981 et en avril*socio=rien 1982; chaque fois*socio=rien, le comité_intérimaire*socio=ac a procédé*socio=rien, peu de *socio=rien temps après,*socio=nil à*socio=nil un nouvel examen*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Tous ces examens*socio=ec2 ont permis*socio=rien au conseil_d'_administration*socio=ac et au comité_intérimaire*socio=ac d'évaluer l'évolution*socio=te de certains taux_de_change*socio=ec1 dans le contexte*socio=rien plus large*socio=rien des tendances*socio=ec2 économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 globales*socio=rien, ainsi que le *socio=rien fonctionnement du processus*socio=te d'*socio=nil ajustement_international*socio=ec1 *socio=nil dans son ensemble*socio=rien. Ils ont, en outre, permis*socio=rien d'étudier de façon*socio=rien pragmatique*socio=uv4 les effets*socio=rien réciproques*socio=uv2 des politiques_économiques*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac et leurs *socio=rien effets sur le*socio=nil reste du monde*socio=te.*socio=nil Régimes*socio=et de*socio=nil change*socio=ec1 des*socio=nil pays_membres*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil deuxième amendement*socio=et aux*socio=nil statuts*socio=et du Fonds*socio=ec1 fait obligation*socio=uv1 *socio=nil à chaque *socio=ac pays membre *socio=nil de notifier au Fonds*socio=ec1 le régime*socio=et de change*socio=ec1 de son choix*socio=uv1. La coopération*socio=uv1 que les pays*socio=ac apportent au Fonds*socio=ec1 en lui communiquant promptement ces renseignements*socio=ec2 est*socio=rien vitale*socio=uv4 pour l'application*socio=rien de la surveillance*socio=et. Pendant la période*socio=te écoulée de juillet*socio=rien 1975 à décembre*socio=rien 1981, les régimes*socio=et des changes*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 ont été*socio=rien classés sous quatre *socio=rien grands titres *socio=nil : 1) taux_de_change*socio=ec1 établi par référence*socio=rien à une autre monnaie*socio=ec1 ou à *socio=rien un ensemble *socio=nil d'autres monnaies*socio=ec1 (y compris le DTS) ; 2) taux_de_change*socio=ec1 modulé en fonction*socio=rien d'un*socio=rien groupe*socio=ac d'indicateurs*socio=ec1; 3) régimes*socio=et de coopération*socio=uv1 monétaire*socio=ec1; et 4) divers. Pendant cette période*socio=te, les régimes*socio=et de change*socio=ec1 ont tendu, en général*socio=rien, à devenir*socio=rien plus hétérogènes; en conséquence*socio=rien, la catégorie*socio=rien résiduelle "Divers", qui comprenait seulement 15 membres*socio=ac (sur*socio=rien 126 pays_membres*socio=ac au total*socio=rien) en juillet*socio=rien 1975, en a englobé 37 (sur*socio=rien 143) en décembre*socio=rien 1981. Une classification*socio=ec2 comportant un*socio=rien résidu aussi important*socio=uv4 de cas*socio=rien dits "divers", c'est-à-dire indéterminés, n'était guère satisfaisante*socio=uv4; une méthode*socio=ec2 de classement*socio=rien révisée et amplifiée a donc été*socio=rien adoptée pour mieux faire apparaître l'ampleur*socio=rien et la forme*socio=rien de la flexibilité*socio=uv3 qu'autorisent ces régimes*socio=et (voir tableau*socio=rien 15). On remarquera qu'entre 1975 et 1981 le pourcentage*socio=rien des pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 dont le régime*socio=et des changes*socio=ec1 détermine leur taux*socio=ec1 par référence*socio=rien à une autre monnaie*socio=ec1 *socio=rien est passé *socio=nil d'environ 78 à 65 %. Le *socio=rien pourcentage du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te *socio=nil représenté par ces pays*socio=ac est*socio=rien tombé de 26 à 18 % ; ce *socio=rien recul est *socio=nil dû en totalité*socio=rien à la diminution*socio=ec2 *socio=rien du nombre des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil établis par référence*socio=rien à une seule*socio=rien autre monnaie*socio=ec1. Le nombre*socio=rien des pays_membres*socio=ac établissant leur taux_de_change*socio=ec1 par référence*socio=rien à *socio=rien un ensemble *socio=nil d'autres monnaies*socio=ec1 s'est*socio=rien nettement accru, passant de 20 à 36 % ; toutefois, pondérée par la part*socio=rien de ces pays*socio=ac dans le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, la proportion*socio=rien n'a guère changé. Le nombre*socio=rien des pays*socio=ac établissant leur taux_de_change*socio=ec1 par référence*socio=rien au DTS a doublé de 1975 à 1981, mais la part*socio=rien de ces pays*socio=ac dans les échanges_mondiaux*socio=ec1 est*socio=rien tombée à moins d'un*socio=rien tiers*socio=rien de son niveau*socio=rien de 1975. En ce qui concerne les taux_de_change*socio=ec1 établis par référence*socio=rien à une seule*socio=rien autre monnaie*socio=ec1, les préférences*socio=uv4 que traduit le choix*socio=uv1 de cette monnaie*socio=ec1 ont, elles aussi, beaucoup changé : pondéré en fonction*socio=rien des échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te, le pourcentage*socio=rien des pays*socio=ac se référant au dollar_éu*socio=ec1 avait diminué environ de moitié*socio=rien entre le milieu*socio=rien de 1975 et la fin*socio=rien de 1981. Cette baisse*socio=ec2 peut s'expliquer, en partie*socio=rien, par l'instabilité*socio=uv3 plus *socio=rien grande du dollar_éu*socio=ec1 *socio=nil vis-à-vis des monnaies*socio=ec1 des autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Communiqués de presse*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac et du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3. comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Dix-septième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 26 et 27 septembre*socio=rien 1981. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa dix-septième réunion*socio=rien à Washington*socio=ac, DC, les 26 et 27 septembre*socio=rien 1981, sous la présidence*socio=rien de M.. Allan J. Maceachen, premier_ministre*socio=ac adjoint et Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 du*socio=rien Canada*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac a examiné les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et les politiques*socio=et à adopter dans la *socio=rien situation difficile *socio=nil dans laquelle se trouvent actuellement la plupart*socio=rien des pays*socio=ac. L'attention*socio=rien du*socio=rien Comité*socio=ac s'est*socio=rien portée*socio=rien principalement sur*socio=rien les problèmes*socio=uv4 que posent un*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 élevé*socio=uv4, des *socio=ec1 taux_de_croissance économique faibles*socio=rien ou*socio=nil négatifs*socio=rien *socio=nil accompagnés d'un*socio=rien chômage*socio=ec1 croissant*socio=rien, de déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te massifs*socio=rien, de taux_d'_intérêt*socio=ec1 élevés*socio=uv4 et de *socio=rien fortes variations des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 des*socio=nil principales monnaies*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac est *socio=nil convenu que le caractère*socio=rien profondément ancré des difficultés*socio=uv4 économiques*socio=ec1 majeures*socio=rien exige que soient mises en oeuvre*socio=rien résolument, au cours*socio=rien d'une période*socio=te prolongée, des politiques*socio=et visant à corriger les déséquilibres*socio=uv3, tant intérieurs*socio=te qu'extérieurs*socio=te. Le Comité*socio=ac a de nouveau*socio=rien donné clairement la priorité*socio=uv4 à la poursuite*socio=rien énergique*socio=ec1 de politiques*socio=et visant à enrayer l'inflation*socio=ec1 pour faire baisser les taux_d'_intérêt*socio=ec1, encourager les investissements*socio=ec1 productifs*socio=uv4 et améliorer les *socio=ec1 taux_de_croissance économique *socio=nil et le niveau*socio=rien de l'emploi*socio=ec1. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que certains signes de progrès*socio=uv1 apparaissent en matière*socio=rien de lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1, mais qu'il importe de ne pas relâcher les efforts*socio=uv1 entrepris. L'expansion*socio=ec2 prématurée*socio=rien de la demande_globale*socio=ec1 nominale*socio=rien pourrait déclencher une recrudescence*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 sans pour autant contribuer à résoudre le problème*socio=uv4 du*socio=rien chômage*socio=ec1 ni à rétablir une croissance*socio=uv3 réelle*socio=ec2 durable*socio=uv4 d'un*socio=rien rythme*socio=ec2 satisfaisant*socio=rien. Le Comité*socio=ac insiste pour que la limitation*socio=uv3 nécessaire*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 nominale*socio=rien soit effectuée au moyen*socio=rien d'un*socio=rien dosage*socio=rien approprié des politiques_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et. Il met l'accent*socio=rien sur*socio=rien l'importance*socio=rien d'une modération*socio=ec2 constante*socio=rien et prudente*socio=uv2 de la croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 agrégats monétaires.*socio=nil *socio=nil Il souligne tout particulièrement le fait*socio=rien que cette modération*socio=ec2 doit être*socio=rien accompagnée et soutenue dans une plus *socio=rien grande mesure *socio=nil par des politiques_budgétaires*socio=et cohérentes*socio=rien nécessitant dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac une réduction*socio=ec2 *socio=rien du niveau des*socio=nil déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil souligne que des politiques*socio=et prudentes*socio=uv2 de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 doivent être*socio=rien appuyées par des mesures*socio=et axées sur*socio=rien les problèmes*socio=uv4 de l'offre*socio=ec1. Les mesures*socio=et citées à cet égard*socio=rien visent notamment à supprimer les rigidités*socio=uv3 et inefficacités*socio=uv existantes*socio=rien, à fournir des incitations*socio=uv3 - ou éliminer les entraves*socio=uv4 - à l'épargne*socio=ec1 et à l'investissement*socio=ec1, à utiliser de façon*socio=rien plus rationnelle*socio=uv4 les *socio=ec1 ressources énergétiques *socio=nil et à mettre en valeur*socio=ec1 de *socio=rien nouvelles sources d'*socio=nil énergie*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil attache une *socio=rien importance particulière aux*socio=nil actions*socio=ec1 en*socio=nil faveur *socio=nil de la mobilité*socio=uv3 et du*socio=rien recyclage*socio=et de la main-d'_oeuvre*socio=ac. Le Comité*socio=ac demeure particulièrement préoccupé par la tendance*socio=ec2 actuelle*socio=te au protectionnisme*socio=et plutôt qu'à la libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3. Il met en garde*socio=rien contre cette politique*socio=et à *socio=rien courte vue,*socio=nil *socio=nil qui tend à perpétuer les rigidités*socio=uv3 dans l'affectation*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 et ne peut apporter de solutions*socio=rien durables*socio=uv4 au problème*socio=uv4 du*socio=rien chômage*socio=ec1. Le Comité*socio=ac souligne que le recours*socio=ec1 aux *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil s'oppose non seulement à l'amélioration*socio=uv1 de la productivité*socio=uv3 et à la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1, mais nuit également aux possibilités*socio=rien d'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te et de participation*socio=uv3 accrue des pays_en_développement*socio=uv3 aux avantages*socio=rien d'une expansion*socio=ec2. L'accès*socio=uv1 non discriminatoire*socio=uv2 aux marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 est*socio=rien également essentiel*socio=uv4 et doit être*socio=rien préservé. S'agissant des déséquilibres*socio=uv3 de paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te, le Comité*socio=ac se déclare particulièrement préoccupé par les problèmes*socio=uv4 de l'ajustement*socio=et et du*socio=rien financement*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. Le Comité*socio=ac reconnaît que l'aggravation*socio=ec2 *socio=rien considérable du déficit*socio=ec1 des*socio=nil paiements_courants*socio=ec1 des*socio=nil nombreux pays*socio=ac *socio=nil de ce groupe*socio=ac, de 38 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1978 à un*socio=rien montant*socio=ec1 estimatif*socio=rien de 83 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1980, résulte principalement de facteurs*socio=rien extérieurs*socio=te qui leur sont préjudiciables*socio=et, notamment l'incidence*socio=ec2 sur*socio=rien leurs exportations*socio=ec1 clé*socio=rien la récession*socio=ec2 dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1, l'évolution*socio=te défavorable*socio=uv4 de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1, y compris le *socio=rien renchérissement du pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et la *socio=rien forte hausse des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur les*socio=nil grands marchés*socio=ec1 de*socio=nil capitaux*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil note que ces facteurs*socio=rien extérieurs*socio=te, ainsi que l'augmentation*socio=ec2 limitée de l' aide_publique_au_développement*socio=et, ont eu de graves*socio=uv4 *socio=rien conséquences sur le*socio=nil pouvoir_d'_achat*socio=ec1 international*socio=te de*socio=nil nombreux pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil qu'ils ont provoqué un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 brutal*socio=rien de la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1 et, de ce fait*socio=rien, freiné le rythme*socio=ec2 du*socio=rien développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac souligne que des politiques*socio=et d'ajustement*socio=et énergiques*socio=ec1 et globales*socio=rien s'imposaient pour réduire les déficits*socio=ec1 des paiements_courants*socio=ec1 insoutenables*socio=uv2 dans les circonstances*socio=rien actuelles*socio=te. Le Comité*socio=ac constate que de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 se sont déjà adaptés dans une mesure*socio=rien importante*socio=uv4 à la situation*socio=rien extérieure*socio=te extrêmement difficile*socio=rien dans laquelle ils se trouvent actuellement plongés, mais reconnaît que des mesures*socio=et additionnelles*socio=ec2 s'imposent. Pour certains d'entre eux, en particulier*socio=rien les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, cet ajustement*socio=et a été*socio=rien imposé par leur incapacité*socio=uv3 à financer des importations*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien. Toutefois, de nombreux*socio=rien pays*socio=ac procèdent à la mise en place*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et aux conditions*socio=ec1 extérieures*socio=te qui s'appuient très souvent sur*socio=rien des accords*socio=et prévoyant l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. 3 - Le Comité*socio=ac souligne l'importance*socio=rien du*socio=rien rôle*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 dans la promotion*socio=uv3 de l'ajustement*socio=et des balances_des_paiements*socio=ec1 et approuve pleinement la priorité*socio=uv4 que le Fonds*socio=ec1 accorde à l'exécution*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et efficaces*socio=uv4 par ceux des pays_membres*socio=ac qui utilisent ses ressources*socio=ec1 dans les tranches supérieures*socio=rien de crédit*socio=ec1. Dans la situation*socio=rien actuelle*socio=te, il reconnaît que les aspects*socio=rien structurels*socio=ec2 de certains déséquilibres*socio=uv3 peuvent exiger le recours*socio=ec1 aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien d'accords*socio=et élargis. 4 - Le Comité*socio=ac souligne qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil que le Fonds*socio=ec1 assume, de façon*socio=rien efficace*socio=uv4 et d'une manière*socio=rien uniforme*socio=uv4 et symétrique*socio=rien, à l'égard*socio=rien de tous les pays_membres*socio=ac, son rôle*socio=et de surveillance*socio=et en ce qui concerne les politiques*socio=et de balance_des_paiements*socio=ec1 et de taux_de_change*socio=ec1. 5 - Le Comité*socio=ac réaffirme le principe*socio=ec2 selon lequel les souscriptions*socio=et aux quotes-parts*socio=et doivent constituer la *socio=rien source principale des*socio=nil ressources*socio=ec1 destinées au*socio=nil financement*socio=ec1 *socio=nil de ses opérations*socio=rien et estime*socio=rien qu'il convient d'accélérer la *socio=rien Huitième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et.*socio=nil *socio=nil Il note, entre autres, que les quotes-parts*socio=et actuelles*socio=te d'un*socio=rien nombre*socio=rien important*socio=uv4 de pays_membres*socio=ac ne correspondent pas à leur *socio=rien part relative *socio=nil dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, et réaffirme qu'il conviendrait de saisir l'occasion*socio=rien offerte*socio=rien par la *socio=rien Huitième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et *socio=nil pour remédier à cette situation*socio=rien dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien élargissement*socio=ec2 *socio=rien général du Fonds*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil 6 - Le Comité*socio=ac se félicite de la conclusion*socio=rien de nouveaux*socio=rien accords*socio=et d'emprunt*socio=ec1 avec les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 de plusieurs pays_membres*socio=ac. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que le Fonds*socio=ec1 doit poursuivre ses efforts*socio=uv1 en vue*socio=rien d'emprunter à *socio=rien moyen terme *socio=nil auprès des pays_membres*socio=ac dont la position*socio=rien de paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te *socio=rien est solide,*socio=nil *socio=nil et approuve également l'intention*socio=rien du*socio=rien Fonds*socio=ec1 de conclure avec des autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 de nouveaux*socio=rien accords*socio=et d'emprunt*socio=ec1 à court_terme*socio=te analogues*socio=rien à ceux qui ont été*socio=rien récemment conclus. En ce qui concerne d'éventuels*socio=te emprunts*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés_privés*socio=et, le Comité*socio=ac réaffirme que cette option*socio=rien doit rester ouverte*socio=uv4, en fonction*socio=rien de l'évolution*socio=te des engagements*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et de ses ressources*socio=ec1 disponibles*socio=rien. 7 - Le Comité*socio=ac exprime sa reconnaissance*socio=uv1 aux pays*socio=ac qui ont déjà contribué ou se sont engagés à contribuer au compte*socio=ec1 de bonification créé en *socio=rien décembre dernier en*socio=nil vue *socio=nil de réduire le coût*socio=ec1 de l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 au *socio=rien titre du mécanisme*socio=et de*socio=nil financement*socio=ec1 supplémentaire *socio=nil pour les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Le Comité*socio=ac réitère son appel*socio=rien aux pays_membres*socio=ac qui sont en mesure*socio=rien de contribuer au compte*socio=ec1 pour qu'ils le fassent dans les meilleurs*socio=uv4 délais*socio=rien. 8 - Le Comité*socio=ac invite le conseil_d'_administration*socio=ac à continuer ses délibérations*socio=et sur*socio=rien la question*socio=rien de savoir*socio=rien si, dans les *socio=rien circonstances présentes,*socio=nil *socio=nil il y a lieu*socio=rien de procéder à une nouvelle*socio=rien allocation*socio=et de DTS et lui recommande, au cours*socio=rien de ces délibérations*socio=et, d'examiner la proposition*socio=rien visant à prolonger la troisième*socio=rien période*socio=te de base*socio=rien en continuant les allocations*socio=et au rythme*socio=ec2 décidé en 1978. 9 - En réponse*socio=rien à l'invitation*socio=rien du*socio=rien *socio=ac Gouvernement finlandais,*socio=nil le*socio=nil Comité est*socio=rien *socio=nil convenu de tenir sa *socio=rien prochaine réunion *socio=nil à Helsinki (Finlande*socio=ac) les 12 et 13 mai*socio=rien 1982. Dix-huitième réunion*socio=rien, Helsinki, 12 et 13 mai*socio=rien 1982. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa dix-huitième réunion*socio=rien à Helsinki, Finlande*socio=ac, les 12 et 13 mai*socio=rien 1982, sous la présidence*socio=rien de M.. Allan J. Maceachen, vice-premier_ministre*socio=ac et Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 du*socio=rien Canada*socio=ac. M.. Jacques de Larosière, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, a participé à cette réunion*socio=rien, à laquelle ont assisté*socio=rien également des observateurs*socio=ac d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil organisations_internationales*socio=ac et*socio=nil régionales*socio=te,*socio=nil *socio=nil et de la Suisse*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac a examiné les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et les mesures*socio=et de politique_économique*socio=ec1 qu'appellent les *socio=uv4 graves problèmes *socio=nil auxquels doivent faire face*socio=rien la plupart*socio=rien des pays*socio=ac à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te. Les *socio=rien points suivants *socio=nil ont particulièrement retenu*socio=rien l'attention*socio=rien : la persistance*socio=te d'une forte*socio=rien inflation*socio=ec1 dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil lenteur *socio=nil de la croissance*socio=ec1 de l'activité_économique*socio=ec1, le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 et la progression*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1, la montée du*socio=rien protectionnisme*socio=et, l'existence*socio=rien de taux_d'_intérêt*socio=ec1 élevés*socio=uv4 et de fortes*socio=rien fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 dans les grands*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 et l'ampleur*socio=rien des déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te de nombreux*socio=rien pays*socio=ac. Le Comité*socio=ac note qu'il n'existe pas de méthode*socio=ec2 rapide*socio=rien ni aisée pour résoudre ces problèmes*socio=uv4. Pour améliorer dans une *socio=rien large mesure *socio=nil et de façon*socio=rien permanente*socio=te les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1, il y aurait lieu*socio=rien de mettre en *socio=rien oeuvre un ensemble *socio=nil équilibré d'actions*socio=ec1 visant à réduire l'inflation*socio=ec1, à améliorer l'efficacité*socio=uv3 de la production*socio=ec1 et à ramener les déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te à *socio=rien un niveau soutenable*socio=uv4.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil note que, dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil d'*socio=nil importants*socio=uv4 progrès*socio=uv1 *socio=nil ont déjà été*socio=rien réalisés dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1. On peut s'attendre à voir ces progrès*socio=uv1 se poursuivre dans les *socio=rien prochaines années *socio=nil si de prudentes*socio=uv2 politiques*socio=et d'austérité*socio=uv3 sont appliquées. Ces politiques*socio=et doivent être*socio=rien appuyées par une modération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 des revenus*socio=ec1. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que des politiques_budgétaires*socio=et compatibles*socio=rien avec des politiques_monétaires*socio=et rigoureuses*socio=uv4 seraient le meilleur*socio=uv4 moyen*socio=rien de réduire de façon*socio=rien durable*socio=uv4 les taux_d'_intérêt*socio=ec1 et les amples*socio=rien fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 qui ont accompagné les taux_d'_intérêt*socio=ec1 élevés*socio=uv4 et instables*socio=uv4 observés ces deux *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Une plus grande*socio=rien convergence*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac et des résultats*socio=rien qu'ils obtiennent dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 favoriserait aussi la stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1. Le Comité*socio=ac souligne qu'il est*socio=rien urgent*socio=uv4, dans la situation*socio=rien actuelle*socio=te, que les autorités*socio=et - surtout celles des grands*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 - s'engagent avec détermination*socio=rien à appliquer une discipline*socio=uv1 budgétaire*socio=et et à comprimer le déficit*socio=ec1 du*socio=rien budget*socio=ec1. Ce n'est*socio=rien qu'à ce prix*socio=ec1 que les autorités*socio=et pourront établir la crédibilité*socio=uv1 de leurs politiques*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2 et éviter que les flux*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 disponible*socio=rien ne soient détournés de l'investissement*socio=ec1 productif*socio=uv4. Le Comité*socio=ac convient que l'austérité*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 doit demeurer l'un*socio=rien des éléments*socio=rien essentiels*socio=uv4 de la stratégie*socio=et économique*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac. Une réorientation*socio=et prématurée*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et dans *socio=rien un sens expansionniste*socio=ec2 *socio=nil risquerait, par *socio=rien un effet *socio=nil de cliquet, de pousser le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 à *socio=rien un niveau plus*socio=nil élevé*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil d'autant plus que les agents*socio=ac économiques*socio=ec1 sont sensibles*socio=rien à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te aux effets*socio=rien inflationnistes*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 avoirs monétaires.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac estime*socio=rien *socio=nil également que les politiques*socio=et axées sur*socio=rien l'offre*socio=ec1 et visant à favoriser la production*socio=ec1 et la productivité*socio=uv3 ainsi que l'atténuation*socio=ec2 des rigidités*socio=uv3 sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1 et sur*socio=rien celui des produits*socio=rien auront à jouer un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4. Le Comité*socio=ac exprime sa vive *socio=rien inquiétude devant le*socio=nil niveau élevé*socio=uv4 de*socio=nil chômage*socio=ec1 *socio=nil enregistré à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac. Le type*socio=rien d'approche globale*socio=rien qu'il recommande ne repose pas sur*socio=rien la prémisse*socio=rien selon laquelle la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 passe avant la lutte*socio=uv1 contre le chômage*socio=ec1. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien, au contraire*socio=rien, que la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien une étape*socio=te nécessaire*socio=rien dans la reprise d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 dont le rythme*socio=ec2 soit satisfaisant*socio=rien. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que la réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1, des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2, des *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux et*socio=nil réels*socio=ec2 *socio=nil et des rigidités*socio=uv3 *socio=rien existantes est une*socio=nil condition préalable *socio=nil d'une croissance*socio=uv3 soutenue et de la réduction*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1. L'examen*socio=ec2 de la transformation*socio=ec2 rapide*socio=rien de la structure*socio=ec1 des paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te a mis en évidence*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de poursuivre l'ajustement*socio=et des positions*socio=rien extérieures*socio=te. Le Comité*socio=ac note, en particulier*socio=rien, que les déficits_courants*socio=ec1 restent encore élevés*socio=uv4 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil et qu'un*socio=rien *socio=rien grand nombre des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil connaissent d'importants*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 des paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Le Comité*socio=ac est*socio=rien particulièrement préoccupé par les difficultés*socio=uv4 actuelles*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. Les problèmes*socio=uv4 qui se posent à ces pays*socio=ac, et en particulier*socio=rien le *socio=rien volume du déficit*socio=ec1 *socio=nil de leurs paiements*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants,*socio=nil *socio=nil proviennent en partie*socio=rien de facteurs*socio=rien qui échappent à leur contrôle*socio=uv3. Les plus importants*socio=uv4 de ces facteurs*socio=rien extérieurs*socio=te sont l'incidence*socio=ec2 de la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, la vive détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays*socio=ac qui exportent principalement des *socio=rien produits primaires *socio=nil et l'alourdissement*socio=ec2 du*socio=rien fardeau*socio=uv4 de l'intérêt*socio=uv1 sur*socio=rien la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. Le Comité*socio=ac fait*socio=rien observer, toutefois, que les difficultés*socio=uv4 de nombre*socio=rien de pays_en_développement*socio=uv3 ont été*socio=rien exacerbées par les *socio=rien effets perturbateurs *socio=nil d'une forte*socio=rien inflation*socio=ec1 à laquelle ont contribué des politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1 excessivement expansionnistes*socio=ec2. La mise en oeuvre*socio=rien dans ces pays*socio=ac de politiques_budgétaires*socio=et plus réalistes*socio=uv4, jointe à des mesures*socio=et visant à réduire les déséquilibres*socio=uv3 structurels*socio=ec2, faciliterait considérablement*socio=rien l'ajustement*socio=et ordonné des positions*socio=rien intérieure*socio=te et extérieure*socio=te. Le Comité*socio=ac reconnaît que les pays_en_développement*socio=uv3, surtout ceux dont le revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac *socio=rien est faible,*socio=nil ont*socio=nil un besoin*socio=uv1 urgent*socio=uv4 de*socio=nil flux*socio=ec1 adéquats*socio=uv2 d'*socio=nil aide_publique_au_développement*socio=et *socio=nil et d'autres ressources*socio=ec1 extérieures*socio=te. D'une manière*socio=rien plus générale*socio=rien, le Comité*socio=ac souligne que la situation*socio=rien actuelle*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te met en évidence*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'une coopération*socio=uv1 économique*socio=ec1 internationale*socio=ac sur*socio=rien tous les fronts*socio=rien. *socio=rien Un domaine *socio=nil qui le préoccupe particulièrement est*socio=rien celui des politiques_commerciales*socio=et internationales*socio=te. Le Comité*socio=ac réaffirme sa conviction*socio=uv1 que tous les pays*socio=ac doivent résister fermement aux pressions*socio=ec2 qui s'exercent actuellement en faveur*socio=rien de formules*socio=rien protectionnistes*socio=et face*socio=rien aux problèmes*socio=uv4 créés par la concurrence*socio=ec1 internationale*socio=ac, et souligne la nécessité*socio=uv1 d'éliminer ces pratiques*socio=et là où elles existent déjà. 3 - Le Comité*socio=ac insiste sur*socio=rien l'importance*socio=rien de la contribution*socio=uv1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 à l'ajustement*socio=et de la balance_des_paiements*socio=ec1; il souligne également qu'il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 que le Fonds*socio=ec1 exerce de *socio=rien façon effective sa*socio=nil fonction de*socio=nil surveillance*socio=et des*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil qu'appliquent ses pays_membres*socio=ac en matière*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec1 et de taux_de_change*socio=ec1. Il est*socio=rien, selon lui, de la plus *socio=rien haute importance *socio=nil que le Fonds*socio=ec1 exerce cette surveillance*socio=et d'une manière*socio=rien impartiale pour tous les pays_membres*socio=ac, qu'ils soient grands*socio=rien ou petits*socio=rien, industrialisés ou en développement*socio=uv3, et qu'ils utilisent ou non les ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Le Comité*socio=ac souligne qu'il importe d'accorder une *socio=rien attention particulière aux*socio=nil répercussions*socio=ec2 internationales*socio=te *socio=nil de la politique*socio=et qu'appliquent les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. 4 - Le Comité*socio=ac a examiné la question*socio=rien des relèvements*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et qui doivent intervenir dans le cadre*socio=rien de la *socio=rien Huitième révision générale.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de cet examen*socio=ec2, il a, en particulier*socio=rien, étudié ce que devrait être*socio=rien le volume*socio=rien approprié d'une augmentation*socio=ec2 générale*socio=rien des quotes-parts*socio=et dans le cadre*socio=rien de cette révision*socio=rien, à la *socio=rien lumière du rôle*socio=et *socio=nil envisagé pour le Fonds*socio=ec1 pendant les années*socio=rien 80; le Comité*socio=ac a procédé*socio=rien en outre à *socio=rien un premier échange_de_vues*socio=uv3 sur la*socio=nil répartition*socio=uv3 *socio=nil de cette augmentation*socio=ec2 entre les pays_membres*socio=ac. A ce propos*socio=rien, il prend note *socio=rien du rapport du conseil_d'_administration*socio=ac sur l'*socio=nil état d'*socio=nil avancement*socio=uv3 *socio=nil de ses travaux*socio=rien et du*socio=rien calendrier*socio=te envisagé pour l'achèvement*socio=rien de la révision*socio=rien. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que le Fonds*socio=ec1 a un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 à jouer dans l'ajustement*socio=et et le financement*socio=ec1 des déficits*socio=ec1 de balance_des_paiements*socio=ec1, et qu'il doit être*socio=rien en mesure*socio=rien de faire face*socio=rien aux problèmes*socio=uv4 qui risquent de se poser pendant les années*socio=rien 80, et disposer pour cela de ressources*socio=ec1 adéquates*socio=uv2. Le Comité*socio=ac réaffirme, en même temps*socio=rien, que les quotes-parts*socio=et doivent rester la *socio=rien principale source de*socio=nil financement*socio=ec1 des*socio=nil opérations du Fonds*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil conclut donc que toute augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et au Fonds*socio=ec1 doit pouvoir*socio=et permettre à celui-ci de remplir pleinement ses fonctions*socio=rien pendant les années*socio=rien 80 conformément à ces principes*socio=ec2 et que la révision*socio=rien devrait être*socio=rien achevée dans les délais*socio=rien convenus. Faisant remarquer que les quotes-parts*socio=et actuelles*socio=te d'un*socio=rien assez *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil ne reflètent pas leur *socio=rien position relative *socio=nil dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, le Comité*socio=ac réaffirme qu'à son avis*socio=rien, il convient de saisir l'occasion*socio=rien du*socio=rien relèvement*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et dans le cadre*socio=rien de la *socio=rien Huitième révision générale *socio=nil pour faire en sorte*socio=rien que les quotes-parts*socio=et de ces membres*socio=ac reflètent plus fidèlement leur *socio=rien position relative,*socio=nil compte*socio=ec1 tenu*socio=nil du fait *socio=nil qu'il importe de maintenir *socio=rien un juste équilibre*socio=ec2 *socio=nil entre les différents*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac. Le Comité*socio=ac invite le conseil_d'_administration*socio=ac à accorder la plus haute*socio=rien priorité*socio=uv4 à la poursuite*socio=rien de ses *socio=rien travaux sur la*socio=nil Huitième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et *socio=nil et à faire rapport*socio=rien au Comité*socio=ac avant la *socio=rien prochaine réunion *socio=nil de celui-ci, espérant qu'il sera possible*socio=rien, d'ici là, de parvenir à un*socio=rien accord*socio=et sur*socio=rien les *socio=rien principaux aspects *socio=nil de la révision*socio=rien. 5 - Le Comité*socio=ac a examiné la question*socio=rien de l'allocation*socio=et de DTS pendant la quatrième*socio=rien période*socio=te de base*socio=rien qui a commencé le le,7 janvier*socio=rien 1982. Il prend note de la déclaration*socio=et du*socio=rien directeur_général*socio=ac, où celui-ci l'informe qu'il ne peut, pour le moment*socio=rien, présenter de *socio=rien proposition relative *socio=nil à ces allocations*socio=et, faute d'un*socio=rien appui*socio=uv1 suffisant*socio=rien. L'étude*socio=ec2 de cette question*socio=rien au *socio=rien sein du Comité*socio=ac *socio=nil a montré que, bien*socio=rien qu'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil se soient prononcés en faveur*socio=rien d'une nouvelle*socio=rien allocation*socio=et, l'appui*socio=uv1 requis*socio=uv4 pour cette allocation*socio=et fait*socio=rien encore défaut*socio=rien. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre activement l'examen*socio=ec2 de cette question*socio=rien et de redoubler d'efforts*socio=uv1 en vue*socio=rien d'aboutir à une convergence*socio=uv3 de vues*socio=rien qui permette au directeur_général*socio=ac de soumettre le plus tôt possible*socio=rien une proposition*socio=rien concernant les allocations*socio=et de DTS pendant l'actuelle*socio=te période*socio=te de base*socio=rien, conformément aux dispositions*socio=et des statuts*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1. 6 - Le Comité*socio=ac exprime ses *socio=rien remerciements chaleureux au*socio=nil Gouvernement*socio=ac *socio=nil et au *socio=ac peuple finlandais *socio=nil pour leur accueil*socio=rien et pour l'excellente*socio=uv4 organisation*socio=ec1 de cette réunion*socio=rien, qu'il a vivement appréciés. Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu de tenir sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Toronto*socio=ac,*socio=nil Canada*socio=ac,*socio=nil *socio=nil les 3 et 4 septembre*socio=rien 1982. Comité*socio=ac ministériel*socio=et mixte des conseils_des_gouverneurs_de_la_banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 pour le transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 aux pays_en_développement*socio=uv3 (Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3). Dix-septième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 27 et 28 septembre*socio=rien 1981. 1 - Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa dix-septième réunion*socio=rien à Washington*socio=ac, DC, les 27 et 28 septembre*socio=rien 1981. M.. Manuel*socio=rien Ulloa Elias, premier_ministre*socio=ac et Ministre*socio=ac de l'économie*socio=ec1, des finances*socio=ec1 et du*socio=rien commerce*socio=ec1 du*socio=rien Pérou*socio=ac, a assuré la présidence*socio=rien par intérim*socio=rien. 2 - Le Comité*socio=ac a examiné la situation*socio=rien et les perspectives*socio=te du*socio=rien développement*socio=uv3 dans le monde*socio=te sur*socio=rien la *socio=rien base du Rapport sur le*socio=nil développement*socio=uv3 *socio=nil dans le monde*socio=te, 1981. 3 - Le Comité*socio=ac exprime sa profonde*socio=rien préoccupation*socio=uv4 devant*socio=rien les *socio=uv4 graves problèmes économiques*socio=ec1 *socio=nil auxquels la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, et spécialement les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, continuent de se heurter et devant*socio=rien les perspectives*socio=te toujours médiocres*socio=uv2 qui s'offrent à eux à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil 4 - Le Comité*socio=ac note la *socio=rien lenteur décevante *socio=nil de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac qui, avec les coûts*socio=ec1 importants*socio=uv4 de l'énergie*socio=ec1, l'inflation*socio=ec1 et le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1, a eu *socio=rien un effet profond sur les*socio=nil résultats *socio=nil enregistrés par les pays_en_développement*socio=uv3. Ces derniers*socio=rien ont eu à lutter contre un*socio=rien environnement*socio=et *socio=ec1 économique externe difficile*socio=rien.*socio=nil Le*socio=nil cas*socio=rien *socio=nil de plusieurs pays_en_développement*socio=uv3 étudiés dans le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement*socio=uv3 *socio=nil dans le monde*socio=te montre que, même lorsque les conditions*socio=ec1 extérieures*socio=te sont favorables*socio=uv4, le développement*socio=uv3 *socio=rien reste difficile.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac estime *socio=nil donc qu'il convient d'encourager les pays_industrialisés*socio=ac qui s'efforcent de freiner l'inflation*socio=ec1, de réduire le chômage*socio=ec1 et de retrouver leurs taux_de_croissance*socio=ec1 tout en intensifiant la poursuite*socio=rien d'une politique*socio=et de libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3. Le Comité*socio=ac affirme à nouveau*socio=rien que, dans un*socio=rien monde*socio=te interdépendant*socio=uv4, il existe de *socio=rien fortes interactions *socio=nil entre les politiques_économiques*socio=et des différents*socio=rien pays*socio=ac et que chacun d'entre eux doit donc tenir compte*socio=ec1 des répercussions*socio=ec2 de sa politique*socio=et sur*socio=rien les autres. 5 - Le Comité*socio=ac souligne l'importance*socio=rien des efforts*socio=uv1 entrepris par les pays_en_développement*socio=uv3 pour mettre en oeuvre*socio=rien des politiques*socio=et d'ajustement*socio=et appropriées et engage les pays*socio=ac développés*socio=uv4, les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 à*socio=nil capitaux*socio=ec1 excédentaires*socio=ec2 *socio=nil et les plus avancés parmi les pays_en_développement*socio=uv3 à appuyer l'ajustement*socio=et et le développement*socio=uv3 par des efforts*socio=uv1 financiers*socio=ec1 et techniques*socio=rien. Le Comité*socio=ac réaffirme qu'il faut prendre des mesures*socio=et pour augmenter le flux*socio=ec1 de l' aide_publique_au_développement*socio=et à destination*socio=rien des *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=rien les*socio=nil pays à*socio=nil faible*socio=rien revenu*socio=ec1;*socio=nil *socio=nil il note le communiqué d'Ottawa*socio=ac, qui a reconnu l'importance*socio=rien des efforts*socio=uv1 des pays_en_développement*socio=uv3 eux-mêmes et a pris acte*socio=et *socio=rien du fait *socio=nil que les pays_industrialisés*socio=ac se sont engagés à maintenir l'aide_publique_au_développement*socio=et à *socio=rien un niveau substantiel *socio=nil et, dans de *socio=rien nombreux cas,*socio=nil *socio=nil à l'augmenter, et à s'efforcer de mieux faire comprendre son importance*socio=rien par l'opinion*socio=ac publique*socio=et. 6 - Le Comité*socio=ac note qu'il importe de maintenir des flux*socio=ec1 suffisants*socio=rien de *socio=ec1 capitaux commerciaux *socio=nil et autres vers les pays_en_développement*socio=uv3. 7 - Rappelant l'appui*socio=uv1 qu'il a apporté, lors*socio=rien de la *socio=rien réunion du Gabon*socio=ac,*socio=nil *socio=nil à l'augmentation*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 de la banque_mondiale*socio=ac et au *socio=rien rétablissement du pouvoir*socio=et d'*socio=nil engagement*socio=uv1 *socio=nil de l'IDA*socio=ac, le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 se félicite de l'accord*socio=et intervenu récemment au sujet*socio=rien des méthodes*socio=ec2 provisoires*socio=rien de calcul*socio=rien de la valeur*socio=ec1 du*socio=rien capital*socio=ec1 de la BIRD*socio=ac, accord grâce*socio=rien auquel il est*socio=rien maintenant possible*socio=rien d'ouvrir les souscriptions*socio=et à l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale du capital*socio=ec1 pour*socio=nil un montant*socio=ec1 *socio=nil de 40 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Le Comité*socio=ac prie instamment tous les États*socio=ac de verser au plus tôt leurs souscriptions*socio=et conformément à la résolution*socio=uv1 sur*socio=rien l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale du capital*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il réinvite en outre la BIRD*socio=ac et PIDA*socio=rien à étudier le programme*socio=et maximum*socio=rien de prêts*socio=ec1 et de crédits*socio=ec1 qu'elles auront la capacité*socio=uv3 de financer pour l'exercice*socio=rien 1982, en tenant compte*socio=ec1 des besoins*socio=uv1 de la situation*socio=rien. 8 - Le Comité*socio=ac prend note également que les États-unis*socio=ac ayant notifié officiellement*socio=et leur intention*socio=rien de verser la totalité*socio=rien de leur contribution*socio=uv1, à savoir*socio=rien 3,24 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, la Sixième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 de PIDA*socio=rien va maintenant pouvoir*socio=et entrer en vigueur*socio=uv3. L'IDA*socio=ac étant une source*socio=rien essentielle*socio=uv4 d'aide*socio=uv1 libérale*socio=et aux pays_en_développement*socio=uv3 les plus démunis*socio=uv2, le Comité*socio=ac prie instamment tous les donateurs*socio=ac de capitaux*socio=ec1 de résoudre les questions*socio=rien en suspens*socio=rien pour que les niveaux*socio=rien d'engagement*socio=uv1 prévus puissent être*socio=rien maintenus. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 en outre à la banque_mondiale*socio=ac de commencer le plus tôt possible*socio=rien à préparer la prochaine*socio=rien reconstitution*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 de PIDA*socio=rien. 9 - Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a également examiné quels seraient les nouveaux*socio=rien besoins*socio=uv1 des banques*socio=ac régionales*socio=te de développement*socio=uv3 dans la conjoncture*socio=ec2 des années*socio=rien 80 et comment elles envisageaient de reconstituer leurs ressources*socio=ec1 ordinaires*socio=rien et celles obtenues à des conditions*socio=ec1 libérales*socio=et pour y faire face*socio=rien. Il prie instamment les gouvernements*socio=ac des pays_membres*socio=ac de rechercher promptement les moyens*socio=ec1 de financer de façon*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 ces besoins*socio=uv1 futurs*socio=te de capital*socio=ec1 tout en honorant les engagements*socio=et déjà pris. Le Comité*socio=ac pense par ailleurs*socio=rien que les banques*socio=ac régionales*socio=te de développement*socio=uv3 devraient accroître leurs efforts*socio=uv1 en faveur*socio=rien de l'intégration*socio=uv1 régionale*socio=te. 10 - Les délibérations*socio=et du*socio=rien Comité*socio=ac concernant la situation*socio=rien énergétique*socio=ec1 ont mis en lumière*socio=rien la *socio=rien nature globale du problème*socio=uv4 *socio=nil et l'intérêt*socio=uv1, pour la *socio=ac collectivité internationale,*socio=nil *socio=nil d'une approche générale*socio=rien de cette question*socio=rien englobant les économies*socio=ec1 d'énergie*socio=ec1 et la mise en valeur*socio=ec1 des sources*socio=rien d'énergie*socio=ec1, aussi *socio=rien bien traditionnelles que*socio=nil nouvelles.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil réaffirme l'importance*socio=rien des *socio=ec1 investissements énergétiques *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=uv3 et invite la banque_mondiale*socio=ac et les banques*socio=ac régionales*socio=te de développement*socio=uv3 à continuer de rechercher les meilleurs*socio=uv4 moyens*socio=ec1 de mobiliser les ressources*socio=ec1 publiques*socio=et et privées*socio=et nécessaires*socio=rien pour accroître leurs opérations*socio=rien de prêt*socio=ec1 dans cet important*socio=uv4 secteur*socio=rien. A cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac se félicite des conclusions*socio=rien de la Conférence*socio=ac de Nairobi*socio=ac sur*socio=rien l'énergie*socio=ec1, selon lesquelles il existe une demande*socio=ec1 importante*socio=uv4 et croissante*socio=rien d'aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 et d'assistance*socio=uv1 de préinvestissement*socio=ec1 pour la mise en valeur*socio=ec1 de *socio=ec1 ressources énergétiques nouvelles*socio=rien et*socio=nil renouvelables*socio=rien *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=uv3, et accueille favorablement la recommandation*socio=et exhortant toutes les parties*socio=rien intéressées à accélérer l'examen*socio=ec2 de solutions*socio=rien qui permettraient d'augmenter le financement*socio=ec1 dans le secteur*socio=rien énergétique*socio=ec1, y compris les moyens*socio=ec1 étudiés à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te par la banque_mondiale*socio=ac, tels que la création*socio=uv4 d'une filiale*socio=ac énergie*socio=ec1, un*socio=rien accroissement*socio=ec2 du*socio=rien cofinancement*socio=ec1, des garanties et d'autres moyens*socio=ec1. 11 - L'étude*socio=ec2 sur*socio=rien l'Afrique*socio=ac, préparée par la banque_mondiale*socio=ac à la demande*socio=ec1 des *socio=ac gouverneurs africains,*socio=nil *socio=nil a suscité *socio=rien un grand intérêt*socio=uv1 au*socio=nil Comité*socio=ac du développement*socio=uv3.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil note avec une *socio=rien profonde inquiétude *socio=nil qu'au cours*socio=rien des deux dernières*socio=rien décennies*socio=te, la production*socio=ec1 par habitant*socio=ac a augmenté plus lentement dans les pays*socio=ac situés au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac que dans toute autre région*socio=te du*socio=rien monde*socio=te, et que les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 pour les années*socio=rien 80 sont extrêmement sombres, puisqu'on prévoit que, sauf dans le cas*socio=rien où se vérifieraient les hypothèses*socio=ec2 les plus optimistes*socio=uv2, le revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac diminuera dans cette *socio=rien partie du continent*socio=ac qui*socio=nil compte*socio=ec1 *socio=nil déjà les deux tiers*socio=rien des pays*socio=ac les moins avancés. Un*socio=rien potentiel*socio=uv4 de croissance*socio=uv3 y existe cependant et peut être*socio=rien mis en valeur*socio=ec1 par un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des flux*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 vers cette région*socio=te, par une amélioration*socio=uv1 substantielle*socio=rien de leurs possibilités*socio=rien d'exportation*socio=ec1 et par des ajustements*socio=et appropriés des politiques_économiques*socio=et intérieures*socio=te, et une utilisation*socio=rien efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1. Ce programme*socio=et exigera une attention*socio=rien et des ressources*socio=ec1 accrues de la part*socio=rien de la *socio=ac collectivité internationale,*socio=nil *socio=nil sous des formes*socio=rien adaptées aux besoins*socio=uv1 de développement*socio=uv3 de l'Afrique*socio=ac. 12 - Le Comité*socio=ac est*socio=rien reconnaissant de l'établissement*socio=rien *socio=rien du rapport *socio=nil et note qu'il constitue une *socio=rien bonne base de*socio=nil dialogue*socio=uv1 *socio=nil entre les *socio=ac gouvernements africains,*socio=nil la*socio=nil collectivité internationale des*socio=nil donateurs *socio=nil et les institutions_financières*socio=ac multilatérales*socio=et. Il prie instamment la banque_mondiale*socio=ac de jouer le rôle*socio=et d'un*socio=rien chef_de_file*socio=uv dans ce dialogue*socio=uv1, afin de favoriser une action*socio=ec1 commune*socio=uv2 des *socio=ac gouvernements africains,*socio=nil des*socio=nil donateurs *socio=nil et des institutions_internationales*socio=ac, en vue*socio=rien d'accélérer la croissance*socio=uv3 et le développement*socio=uv3 grâce*socio=rien à une assistance*socio=uv1 financière*socio=ec1 et technique*socio=rien efficace*socio=uv4, à des réorientations*socio=et appropriées des politiques*socio=et et à un*socio=rien élargissement*socio=ec2 des programmes*socio=et d'investissements*socio=ec1. En outre, il demande*socio=ec1 à la banque_mondiale*socio=ac d'accroître ses opérations*socio=rien, ses services*socio=et consultatifs*socio=uv2 techniques*socio=rien et ses autres mesures*socio=et d'appui*socio=uv1 aux pays_membres*socio=ac situés au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac, sans perdre de vue*socio=rien les besoins*socio=uv1 des autres pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. 13 - Le Comité*socio=ac, ayant examiné la suite*socio=rien donnée aux questions*socio=rien de développement*socio=uv3 à l'étude*socio=ec2, réaffirme que les recommandations*socio=et *socio=rien spécifiques du Programme*socio=et d'*socio=nil action*socio=ec1 immédiate du Groupe*socio=ac des*socio=nil Vingt-quatre *socio=nil et de la Commission*socio=ac Brandt quant aux mesures*socio=et à prendre pour renforcer les flux*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 vers les pays_en_développement*socio=uv3 méritent toute l'attention*socio=rien de la Banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Il prend note que le Fonds*socio=ec1 et la Banque*socio=ac ont tous deux examiné soigneusement et, dans certains cas*socio=rien, mis en oeuvre*socio=rien les recommandations*socio=et du*socio=rien Programme*socio=et d'action*socio=ec1 *socio=rien immédiate du Groupe*socio=ac des*socio=nil Vingt-quatre *socio=nil et de la Commission*socio=ac Brandt. Le Comité*socio=ac engage le Fonds*socio=ec1 et la Banque*socio=ac à continuer de prendre dûment en considération*socio=rien ces recommandations*socio=et et notamment les suggestions*socio=rien faites lors*socio=rien de la *socio=rien réunion du Gabon*socio=ac au*socio=nil sujet du lien *socio=nil avec le DTS et d'autres questions*socio=rien, en arrêtant leurs politiques*socio=et. 14 - Le Comité*socio=ac prend note des *socio=rien travaux du Groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ec2 sur les*socio=nil flux*socio=ec1 d'*socio=nil aide*socio=uv1 non*socio=nil libérale*socio=et *socio=nil qui, avec l'appui*socio=uv1 de la banque_mondiale*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1, a continué à analyser les propositions*socio=rien visant à augmenter, grâce*socio=rien à une plus *socio=rien grande utilisation du cofinancement*socio=ec1 *socio=nil et à d'autres formes*socio=rien de coopération*socio=uv1 avec des institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te, la capacité*socio=uv3 de financement*socio=ec1 des institutions*socio=ac multilatérales*socio=et de développement*socio=uv3, en particulier*socio=rien celle de la banque_mondiale*socio=ac, les directives*socio=et concernant *socio=rien un système multilatéral*socio=et *socio=nil de garantie partielle*socio=rien, et l'évolution*socio=te récente*socio=rien et les perspectives*socio=te à court_terme*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1. Le Comité*socio=ac attend avec intérêt*socio=uv1 le *socio=rien rapport final du Groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ec2 *socio=nil qu'il a l'intention*socio=rien d'examiner au cours*socio=rien de sa réunion*socio=rien à Helsinki au printemps*socio=rien de 1982. 15 - Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 instamment qu'en application*socio=rien de la décision*socio=et qu'il a *socio=rien prise lors *socio=nil de sa réunion*socio=rien au Gabon*socio=ac, les consultations*socio=uv1 concernant la composition*socio=rien et le mandat*socio=rien d'un*socio=rien groupe*socio=ac chargé d'étudier le sujet*socio=rien important*socio=uv4 que constitue l'aide*socio=uv1 libérale*socio=et soient menées à bien*socio=rien de façon*socio=rien que le groupe*socio=ac puisse commencer ses travaux*socio=rien aussi rapidement que possible*socio=rien et, en tout état*socio=rien de cause*socio=rien, avant la réunion*socio=rien d'Helsinki au printemps*socio=rien de 1982. 16 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que le communiqué *socio=rien du sommet d'*socio=nil Ottawa*socio=ac *socio=nil indique que les pays*socio=ac concernés sont prêts*socio=ec1 à participer aux *socio=rien travaux préliminaires en*socio=nil vue *socio=nil d'établir un*socio=rien processus*socio=te mutuellement acceptable*socio=uv2 de négociations*socio=et globales*socio=rien dans des circonstances*socio=rien présentant des perspectives*socio=te de progrès*socio=uv1 significatifs*socio=uv4. Il réaffirme son désir*socio=rien de jouer un*socio=rien rôle*socio=et très actif*socio=ec1, en ce qui concerne les questions*socio=rien relevant de sa compétence*socio=uv3, dans ce processus*socio=te. 17 - Le Comité*socio=ac prend note de la *socio=rien prochaine réunion au*socio=nil sommet *socio=nil à Cancùn et exprime l'espoir*socio=uv1 qu'elle aboutira à des résultats*socio=rien constructifs*socio=uv2 et positifs*socio=uv4. 18 - Le Comité*socio=ac, ayant pris note des vues*socio=rien et des recommandations*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et du*socio=rien Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac, approuve le *socio=rien rapport sur l'*socio=nil évaluation*socio=ec2 des*socio=nil travaux du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3 *socio=nil et son rapport*socio=rien annuel*socio=te. Il autorise le Président*socio=ac à transmettre ces deux documents*socio=rien aux conseils_des_gouverneurs*socio=ac. 19 - Le Comité*socio=ac note qu'en application*socio=rien de la décision*socio=et qu'il a *socio=rien prise antérieurement sur le*socio=nil rapport du Groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ec2 sur l'*socio=nil investissement_privé*socio=et étranger*socio=te,*socio=nil la*socio=nil banque_mondiale*socio=ac *socio=nil a maintenant terminé son plan*socio=rien d'étude*socio=ec2 des incidences*socio=ec2 quantitatives*socio=rien et qualitatives*socio=rien tant des mesures*socio=et visant à encourager les investissements*socio=ec1 étrangers*socio=te que des critères*socio=rien de rentabilité*socio=ec1 sur*socio=rien les investissements*socio=ec1 directs*socio=rien et la composition*socio=rien des échanges*socio=ec1. Étant donné le potentiel*socio=uv4 que représentent les investissements_directs_étrangers*socio=ec1 et le rôle*socio=et qu'ils peuvent jouer dans la promotion*socio=uv3 du*socio=rien développement*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3, le Comité*socio=ac engage la banque_mondiale*socio=ac à mener cette étude*socio=ec2 à bien*socio=rien, afin qu'il puisse l'examiner en temps*socio=rien voulu. 20 - Le Comité*socio=ac convient de tenir sa *socio=rien prochaine réunion *socio=nil à Helsinki les 13 et 14 mai*socio=rien 1982, en réponse*socio=rien à une invitation*socio=rien que lui a adressée le *socio=ac Gouvernement finlandais.*socio=nil Dix-huitième*socio=nil réunion*socio=rien,*socio=nil *socio=nil Helsinki, 13 et 14 mai*socio=rien 1982. 1 - Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa dix-huitième réunion*socio=rien à Helsinki les 13 et 14 mai*socio=rien 1982, sous la présidence*socio=rien de M.. Manuel*socio=rien Ulloa Elias, premier_ministre*socio=ac et Ministre*socio=ac de l'économie*socio=ec1, des finances*socio=ec1 et du*socio=rien commerce*socio=ec1 du*socio=rien Pérou*socio=ac, qui, au début*socio=rien de la réunion*socio=rien, a été*socio=rien choisi à l'unanimité*socio=uv1 comme nouveau*socio=rien Président*socio=ac pour remplacer M.. David Ibarra Mufioz, celui-ci ayant démissionné de ce poste*socio=rien. 2 - Cherchant des solutions*socio=rien aux nombreuses*socio=rien difficultés*socio=uv4 qui accablent actuellement les économies*socio=ec1 tant des pays*socio=ac développés*socio=uv4 que des pays_en_développement*socio=uv3, le Comité*socio=ac a longuement examiné quelques-unes des questions*socio=rien qui se posent. Il note avec inquiétude*socio=rien que les perspectives*socio=te à *socio=rien moyen terme *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, et en particulier*socio=rien leurs conséquences*socio=rien pour les pays_en_développement*socio=uv3, demeurent peu favorables*socio=uv4. La situation*socio=rien et les perspectives*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 les_plus_pauvres*socio=uv2 sont particulièrement sombres car l'économie*socio=ec1 de ces pays*socio=ac risque*socio=uv3 de stagner et, dans certains cas*socio=rien, de régresser dans les *socio=rien prochaines années.*socio=nil Devant cet*socio=nil état de*socio=nil choses,*socio=nil *socio=nil les deux groupes_de_pays*socio=ac devront redoubler d'efforts*socio=uv1 pour s'adapter*socio=rien au *socio=rien nouveau contexte international*socio=te en*socio=nil vue *socio=nil de faciliter la reprise d'une croissance*socio=uv3 soutenable*socio=uv4. Le Comité*socio=ac souligne qu'il *socio=rien est nécessaire,*socio=nil en*socio=nil particulier,*socio=nil *socio=nil d'accroître les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 extérieurs*socio=te à des conditions*socio=ec1 appropriées destinés aux pays_en_développement*socio=uv3, surtout les moins développés*socio=uv4 d'entre eux. Il convient également de réexaminer et de renforcer le rôle*socio=et des institutions*socio=ac multilatérales*socio=et de développement*socio=uv3 pour leur permettre de maximiser leur contribution*socio=uv1 à la solution*socio=rien des problèmes*socio=uv4 que soulève la crise*socio=uv2 actuelle*socio=te. 3 - C'est*socio=rien dans ce contexte*socio=rien que le Comité*socio=ac a procédé*socio=rien pour la *socio=rien première fois *socio=nil à une étude*socio=ec2 approfondie de la situation*socio=rien des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec1 des institutions*socio=ac multilatérales*socio=et de développement*socio=uv3 et des difficultés*socio=uv4 qui entravent la reconstitution*socio=ec2 de leurs ressources*socio=ec1, tant ordinaires*socio=rien qu'assorties de conditions*socio=ec1 libérales*socio=et. 4 - Le Comité*socio=ac note l'importance*socio=rien cruciale*socio=uv4 que revêtent les ressources*socio=ec1 à des conditions*socio=ec1 libérales*socio=et, en particulier*socio=rien celles de l'IDA*socio=ac, dans la stratégie*socio=et et les programmes*socio=et de développement*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 instamment que la proportion*socio=rien de l'aide*socio=uv1 allant aux pays_en_développement*socio=uv3 les_plus_pauvres*socio=uv2 soit augmentée. Il craint que, si de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et ne sont pas prises*socio=rien, la réduction*socio=ec2 du*socio=rien pouvoir*socio=et d'engagement*socio=uv1 de PIDA*socio=rien qui est*socio=rien à prévoir pendant la période*socio=te de la Sixième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 n'ait de graves*socio=uv4 répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien les économies*socio=ec1 des pays*socio=ac qui reçoivent cette aide*socio=uv1. Une telle réduction*socio=ec2 briserait le rythme*socio=ec2 des efforts*socio=uv1 et des programmes*socio=et de développement*socio=uv3, fruit*socio=rien de l'action*socio=ec1 persévérante menée par ces pays*socio=ac depuis plusieurs années*socio=rien. 5 - Le Comité*socio=ac estime*socio=rien qu'il est*socio=rien important*socio=uv4 et nécessaire*socio=rien de résoudre la crise*socio=uv2 que traverse actuellement l'IDA*socio=ac et de prendre des mesures*socio=et pour résoudre les problèmes*socio=uv4 pendant les exercices*socio=rien 1982 et 1983 et par la suite*socio=rien. A cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac se félicite de l'initiative*socio=rien qu'ont prise*socio=rien certains donateurs*socio=ac de libérer l'intégralité*socio=rien de la deuxième*socio=rien tranche de leur contribution*socio=uv1 à IDA-VI. Il note l'importance*socio=rien qu'attachent *socio=rien un certain nombre de*socio=nil donateurs*socio=ac *socio=nil à la recherche*socio=ec2 de moyens*socio=ec1 permettant de limiter*socio=rien la réduction*socio=ec2 actuelle*socio=te et future*socio=te du*socio=rien pouvoir*socio=et d'engagement*socio=uv1 de l'IDA*socio=ac pendant les exercices*socio=rien 1982-84. Plusieurs solutions*socio=rien qui fourniraient des ressources*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien ont été*socio=rien proposées, notamment l'abandon*socio=rien ou l'assouplissement*socio=uv3 des dispositions*socio=et relatives*socio=rien à la proportionnalité qui figurent dans la résolution*socio=uv1 de l'IDA*socio=ac, ainsi que la création*socio=uv4 d'un*socio=rien fonds*socio=ec1 spécial*socio=rien. Le Comité*socio=ac se félicite des progrès*socio=uv1 réalisés dans l'examen*socio=ec2 de ces solutions*socio=rien par les représentants*socio=ac des *socio=ac pays donateurs,*socio=nil au*socio=nil cours*socio=rien des*socio=nil réunions*socio=rien non*socio=nil officielles*socio=et *socio=nil qu'ils ont tenues la *socio=rien semaine dernière,*socio=nil *socio=nil car ils permettront de mettre au point*socio=rien des programmes*socio=et d'action*socio=ec1 spécifiques*socio=rien qui puissent aboutir prochainement à la mise en place*socio=rien de mécanismes*socio=et opérationnels*socio=rien afin que les niveaux*socio=rien d'engagement*socio=uv1 prévus initialement puissent être*socio=rien maintenus dans toute la *socio=rien mesure du possible.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac estime *socio=nil également que les discussions*socio=et devraient se poursuivre rapidement afin que la Septième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 de l'IDA*socio=ac puisse, si possible*socio=rien, commencer comme prévu pendant l'exercice*socio=rien 1984. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 que des cofinancements supplémentaires*socio=rien à des conditions*socio=ec1 libérales*socio=et soient fournis pour les projets*socio=et de l'IDA*socio=ac. 6 - Le Comité*socio=ac, tout en tenant compte*socio=ec1 des considérations*socio=rien liées aux contraintes*socio=uv1 budgétaires*socio=et, demande*socio=ec1 instamment aux gouvernements*socio=ac d'accélérer leurs souscriptions*socio=et à l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale du capital*socio=ec1 *socio=nil et de libérer aussi rapidement que possible*socio=rien la fraction*socio=rien en monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te de ces souscriptions*socio=et. En outre, le Comité*socio=ac prend note des discussions*socio=et en cours*socio=rien concernant les techniques*socio=rien d'emprunt*socio=ec1 de la Banque*socio=ac et sa politique*socio=et de taux*socio=ec1 prêteur*socio=ac, et demande*socio=ec1 aux administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac de prendre rapidement des décisions*socio=et sur*socio=rien ces points*socio=rien afin de rendre plus souple*socio=uv4 le financement*socio=ec1 de la Banque*socio=ac, non seulement pour maintenir le coût*socio=ec1 de ses emprunts*socio=ec1 à *socio=rien un niveau aussi*socio=nil bas que*socio=nil possible,*socio=nil *socio=nil mais aussi pour assurer que la croissance*socio=uv3 projetée des prêts*socio=ec1 pourra être*socio=rien financée à des conditions*socio=ec1 raisonnables*socio=uv4. Il demande*socio=ec1 aux administrateurs*socio=ac de poursuivre l'étude*socio=ec2 d'une expansion*socio=ec2 éventuelle*socio=te, en termes*socio=rien réels*socio=ec2, des prêts*socio=ec1 de la Banque*socio=ac. 7 - Le Comité*socio=ac réaffirme l'importance*socio=rien que revêtent les *socio=ec1 investissements énergétiques *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=uv3, en particulier*socio=rien dans les_plus_pauvres*socio=uv2 d'entre eux, et note avec satisfaction*socio=uv3 que le programme*socio=et de prêts*socio=ec1 à l'énergie*socio=ec1 de la Banque*socio=ac s'est*socio=rien développé*socio=rien rapidement et représente maintenant 25 % *socio=rien du total *socio=nil de ses prêts*socio=ec1, contre seulement 15 % en 1977. Toutefois, ce programme*socio=et est*socio=rien parvenu à *socio=rien un point *socio=nil tel que toute nouvelle*socio=rien augmentation*socio=ec2 aurait pour effet*socio=rien de réduire les prêts*socio=ec1 à d'autres secteurs*socio=rien prioritaires*socio=uv4, ce que le Comité*socio=ac ne juge*socio=et pas souhaitable*socio=rien. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 donc aux administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac d'explorer les moyens*socio=ec1 qui permettraient à la Banque*socio=ac de prendre des dispositions*socio=et pour obtenir*socio=rien des financements*socio=ec1 pour un*socio=rien programme*socio=et élargi d'investissements*socio=ec1 énergétiques*socio=ec1, notamment une filiale*socio=ac énergie*socio=ec1, un*socio=rien fonds*socio=ec1 spécial*socio=rien ou des accords*socio=et de cofinancement*socio=ec1. *socio=rien Un rapport intérimaire doit*socio=nil être *socio=nil soumis au Comité*socio=ac à sa réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1982. 8 - Le Comité*socio=ac, se fondant sur*socio=rien les données communiquées par les banques*socio=ac régionales*socio=te, prend note de leurs besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 et recommande aux gouvernements*socio=ac des *socio=ac États membres *socio=nil de rechercher rapidement les moyens*socio=ec1 qui permettront à la fois*socio=rien de financer les besoins*socio=uv1 futurs*socio=te de ressources*socio=ec1 ordinaires*socio=rien et libérales*socio=et des banques*socio=ac régionales*socio=te à *socio=rien un niveau *socio=nil approprié et d'honorer les engagements*socio=et déjà pris. Le Comité*socio=ac soutient sans_réserve*socio=ec1 les banques*socio=ac régionales*socio=te dans les efforts*socio=uv1 qu'elles déploient pour jouer le rôle*socio=et de catalyseur*socio=ec2 et pour développer leurs programmes*socio=et de cofinancement*socio=ec1. 9 - Le Comité*socio=ac remercie le Groupe*socio=ac d'étude*socio=ec2 sur*socio=rien les flux*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 non libérale*socio=et pour son *socio=rien précieux rapport *socio=nil et prend note de ses *socio=rien conclusions générales *socio=nil et de ses recommandations*socio=et. Il demande*socio=ec1 aux administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac et aux banques*socio=ac régionales*socio=te d'examiner les recommandations*socio=et du*socio=rien Groupe*socio=ac d'étude*socio=ec2 en tenant compte*socio=ec1 de leurs *socio=rien conséquences sur le*socio=nil plan juridique*socio=et et*socio=nil sur le*socio=nil plan des*socio=nil procédures*socio=et,*socio=nil *socio=nil et de rendre compte*socio=ec1 de leurs délibérations*socio=et au Comité*socio=ac, en temps*socio=rien voulu. En outre, le Comité*socio=ac *socio=rien estime souhaitable *socio=nil que des dispositions*socio=et appropriées soient prises*socio=rien pour que l'évolution*socio=te future*socio=te des flux*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 non libérale*socio=et soit réexaminée périodiquement. Il décide de rendre public*socio=et le *socio=rien rapport du Groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ec2 sur les*socio=nil flux*socio=ec1 d'*socio=nil aide*socio=uv1 non*socio=nil libérale*socio=et.*socio=nil *socio=nil 10 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que la banque_mondiale*socio=ac est*socio=rien parvenue à développer sensiblement ses opérations*socio=rien de cofinancement*socio=ec1. Il approuve les efforts*socio=uv1 entrepris par la BIRD*socio=ac et l'IDA*socio=ac, selon le cas*socio=rien, pour obtenir*socio=rien, de tous les bailleurs_de_fonds*socio=ec1, une augmentation*socio=ec2 des cofinancements à des conditions*socio=ec1 satisfaisantes*socio=uv4 pour les emprunteurs*socio=ac et jugées acceptables*socio=uv2 par ces derniers*socio=rien; il demande*socio=ec1 aux administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac d'étudier les *socio=rien diverses propositions relatives au*socio=nil cofinancement*socio=ec1 *socio=nil dont ils seront saisis et de faire *socio=rien rapport sur ces*socio=nil propositions,*socio=nil si*socio=nil possible *socio=nil à la *socio=rien réunion du Comité*socio=ac *socio=nil qui aura lieu*socio=rien en septembre*socio=rien 1982. 11 - A la suite*socio=rien des débats*socio=et qui se sont déroulés au Gabon*socio=ac, en mai*socio=rien 1981, et à Washington*socio=ac, en septembre*socio=rien 1981, au *socio=rien sujet du Programme*socio=et *socio=nil indicatif d'action*socio=ec1 pour l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac, le Comité*socio=ac a étudié la teneur*socio=rien des entretiens*socio=rien qui ont eu lieu*socio=rien ultérieurement avec la CEE*socio=et, les organisations*socio=ac d'aide*socio=uv1 de l'OPEP*socio=ac, les donateurs*socio=ac bilatéraux*socio=et, la banque_africaine_de_développement*socio=ac et le Groupe*socio=ac des *socio=ac gouverneurs africains.*socio=nil Ces*socio=nil entretiens*socio=rien *socio=nil portaient essentiellement sur*socio=rien les questions*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 et les problèmes*socio=uv4 financiers*socio=ec1 auxquels sont confrontés les pays*socio=ac situés au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 instamment à la banque_mondiale*socio=ac de prendre rapidement des mesures*socio=et pour aider les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac à formuler des programmes*socio=et d'action*socio=ec1 spécifiques*socio=rien et, compte*socio=ec1 tenu du*socio=rien Mémorandum*socio=et de Dakar en date du*socio=rien 3 mars*socio=rien 1982, présenté à sa réunion*socio=rien, de poursuivre son dialogue*socio=uv1 avec les *socio=ac pays donateurs,*socio=nil de*socio=nil façon*socio=rien *socio=nil à accroître les flux*socio=ec1 réels*socio=ec2 d'aide*socio=uv1 qui sont nécessaires*socio=rien pour appuyer ces programmes*socio=et d'action*socio=ec1. 12 - Le Comité*socio=ac rappelle qu'il a examiné, au cours*socio=rien de *socio=rien réunions précédentes,*socio=nil le*socio=nil Programme*socio=et d'*socio=nil action*socio=ec1 immédiate du Groupe*socio=ac des*socio=nil Vingt-quatre *socio=nil et les recommandations*socio=et de la Commission*socio=ac Brandt. Le Fonds*socio=ec1 et la Banque*socio=ac ont examiné et, dans certains cas*socio=rien, appliqué les recommandations*socio=et qui les concernaient. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 aux deux institutions*socio=ac de présenter, à la *socio=rien réunion du Comité*socio=ac *socio=nil qui aura lieu*socio=rien en septembre*socio=rien 1982, *socio=rien un rapport sur la*socio=nil suite *socio=nil donnée aux recommandations*socio=et qui présentent un*socio=rien intérêt*socio=uv1 particulier*socio=rien pour les *socio=rien travaux du Comité*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 13 - Au Gabon*socio=ac, le Comité*socio=ac a pris la décision*socio=et de principe*socio=ec2 de créer un*socio=rien Groupe*socio=ac d'étude*socio=ec2 chargé de poursuivre et d'élargir l'examen*socio=ec2 des problèmes*socio=uv4 concernant le volume*socio=rien, la qualité*socio=rien et l'utilisation*socio=rien efficace*socio=uv4 des flux*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 libérale*socio=et, dans le court_terme*socio=te comme dans le long_terme*socio=te. En application*socio=rien de la décision*socio=et et des directives*socio=et du*socio=rien Comité*socio=ac, le *socio=ac Secrétaire exécutif du*socio=rien Comité,*socio=nil *socio=nil à la demande*socio=ec1 du*socio=rien Président*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac, a entamé des consultations*socio=uv1 approfondies concernant la création*socio=uv4 d'un*socio=rien Groupe*socio=ac d'étude*socio=ec2 sur*socio=rien les flux*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 libérale*socio=et. Le Comité*socio=ac se félicite de l'issue*socio=rien favorable*socio=uv4 de ses consultations*socio=uv1 relatives*socio=rien au *socio=rien mandat du Groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil à sa composition*socio=rien et à sa présidence*socio=rien. L'approbation*socio=uv1 par le Comité*socio=ac des résultats*socio=rien de ces consultations*socio=uv1 doit maintenant permettre aux 18 membres*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac d'étude*socio=ec2 qui représentent les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 donateurs*socio=ac, les pays*socio=ac de l'OPEP*socio=ac et les pays_en_développement*socio=uv3 d'entamer leurs travaux*socio=rien, sous la présidence*socio=rien de John P.. Lewis, professeur*socio=ac à l'Université*socio=et de Princeton. 14 - Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac tiennent à remercier tout particulièrement M.. David Ibarra Mufioz *socio=rien du précieux *socio=nil concours qu'il leur a apporté. 15 - Le Comité*socio=ac remercie vivement le Gouvernement*socio=ac de la Finlande*socio=ac de sa *socio=rien chaleureuse hospitalité *socio=nil et de l'excellente*socio=uv4 organisation*socio=ec1 de la réunion*socio=rien.