*{ Fonds Monétaire international Rapport Annuel 1983 } * fonds_monétaire_international*socio=ac :*socio=nil rapport*socio=rien annuel*socio=te du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil pour l'exercice*socio=rien financier*socio=ec1 clos le 30 avril*socio=rien 1983. Chapitre*socio=rien 1 Évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Introduction*socio=rien. Dans la plupart*socio=rien des régions*socio=te du*socio=rien monde*socio=te, l'année*socio=rien 1982 a marqué *socio=rien un nouveau recul *socio=nil de l'activité_économique*socio=ec1. Toutefois, dans leur lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1, plusieurs des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont continué, cette année*socio=rien là, de faire des progrès*socio=uv1 qui ont eu des effets*socio=rien favorables*socio=uv4 sur*socio=rien les revenus*socio=ec1 réels*socio=ec2 des consommateurs*socio=ac; la baisse*socio=ec2 concomitante*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 a stimulé les activités*socio=rien des entreprises*socio=ac et réduit le coût*socio=ec1 *socio=rien du maintien des*socio=nil stocks*socio=ec1.*socio=nil Au*socio=nil début *socio=nil de 1983, l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te dans le domaine*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 semblait avoir suffisamment rétabli la confiance*socio=uv1 pour préparer la voie*socio=rien à l'essor*socio=rien de la production*socio=ec1 et des échanges*socio=ec1. En fait*socio=rien, des signes de redressement*socio=ec2 étaient d'ores et déjà perceptibles*socio=rien dans plusieurs pays_industrialisés*socio=ac, et notamment aux États-unis*socio=ac. C'est*socio=rien aux autorités*socio=et nationales*socio=te et à la *socio=ac communauté internationale *socio=nil qu'il incombe maintenant d'asseoir sur*socio=rien ces bases*socio=rien encore fragiles*socio=rien une reprise qui soit durable*socio=uv4. En 1982, pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis 1975, la production*socio=ec1 totale*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac a baissé et le chômage*socio=ec1 a atteint les niveaux*socio=rien les plus élevés*socio=uv4 qu'il ait enregistrés depuis la fin*socio=rien des années*socio=rien 30. Cette évolution*socio=te, survenue après*socio=rien deux années*socio=rien de croissance*socio=uv3 faible*socio=rien et irrégulière*socio=rien, a créé des conditions*socio=ec1 peu favorables*socio=uv4 à l'expansion*socio=ec2 des échanges_mondiaux*socio=ec1 qui, en volume*socio=rien, ont diminué de 2,5 % en 1982. La baisse*socio=ec2 des cours*socio=rien des *socio=rien produits primaires *socio=nil a eu pour effet*socio=rien de réduire encore les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 et, de ce fait*socio=rien, certains d'entre eux ont éprouvé des difficultés*socio=uv4 à s'acquitter de leurs obligations*socio=uv1 au *socio=rien titre du service_de_leur_dette*socio=ec1.*socio=nil En*socio=nil conséquence,*socio=nil les*socio=nil banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 *socio=nil ont réévalué la solvabilité*socio=ec1 de ces pays*socio=ac, et les flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1 se sont soudainement*socio=rien ralentis. Il était, dès lors*socio=rien, à craindre qu'une *socio=rien interruption du financement*socio=ec1 *socio=nil n'aboutisse à une contraction*socio=ec2 désordonnée de la demande*socio=ec1 mondiale*socio=te. Ce danger*socio=uv1 n'a pu être*socio=rien évité que par l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et prises*socio=rien, de concert*socio=uv1, par les autorités*socio=et des pays*socio=ac les plus directement intéressés, la communauté*socio=ac bancaire*socio=ec1 internationale*socio=ac et certaines*socio=rien institutions_internationales*socio=ac, notamment le Fonds*socio=ec1. La stagnation*socio=ec1 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te et les taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 de chômage*socio=ec1 qu'a entraînés la récession*socio=ec2 ont provoqué, en outre, une augmentation*socio=ec2 des pressions*socio=ec2 en *socio=rien faveur du protectionnisme*socio=et.*socio=nil *socio=nil Celles-ci constituent maintenant un*socio=rien obstacle*socio=uv3 de plus à une reprise de la croissance*socio=uv3 des échanges_mondiaux*socio=ec1 et compromettent l'accroissement*socio=ec2 escompté de la production*socio=ec1 et de la productivité*socio=uv3 économiques*socio=ec1 dans le monde*socio=te. Les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 ont particulièrement souffert de la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te. Devant*socio=rien l'atonie*socio=ec2 persistante*socio=rien de leurs principaux*socio=rien marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et la nouvelle*socio=rien détérioration*socio=uv4 substantielle*socio=rien de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1, ils n'ont eu d'autre ressource*socio=ec1 que d'intensifier leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et. Il en est*socio=rien résulté *socio=rien un nouveau ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 du*socio=rien produit_national_brut*socio=ec1 (PNB*socio=ec1) de ce groupe_de_pays*socio=ac et une baisse*socio=ec2 très sensible*socio=rien de son revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac. Même ceux de ces pays*socio=ac qui, jusqu'alors, n'avaient pas trop souffert du*socio=rien fléchissement*socio=ec2 de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 en raison*socio=rien de leur accès*socio=uv1 aux marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te ont été*socio=rien contraints*socio=uv2, à la fin*socio=rien de 1982, de faire un*socio=rien effort*socio=uv1 tout particulier*socio=rien d'ajustement*socio=et extérieur*socio=te. Les prêteurs*socio=ac internationaux*socio=te se montrant beaucoup plus circonspects, ces pays*socio=ac ont dû adopter des politiques*socio=et propres*socio=rien à convaincre leurs créanciers*socio=ac qu'ils étaient en mesure*socio=rien de ramener leurs obligations*socio=uv1 extérieures*socio=te à *socio=rien un niveau *socio=nil correspondant mieux à celui de leurs ressources*socio=ec1. Bien*socio=rien qu'elle se traduise, à court_terme*socio=te, par une contraction*socio=ec2 de la demande*socio=ec1, c'est*socio=rien l'adoption*socio=uv3 de politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1 prudentes*socio=uv2 qui offre*socio=rien les meilleures*socio=uv4 chances*socio=rien d'une expansion*socio=ec2 soutenable*socio=uv4 à moyen*socio=rien et à long_terme*socio=te. En outre, si elles sont adoptées à temps*socio=rien - et en particulier*socio=rien dans le cadre*socio=rien de programmes*socio=et permettant au pays*socio=ac en question*socio=rien d'accéder aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et à celles d'autres prêteurs*socio=ac -, ces politiques*socio=et peuvent, en fait*socio=rien, imposer moins de contraintes*socio=uv1 qu'il n'aurait été*socio=rien, sans cela, nécessaire*socio=rien. Devant*socio=rien la forte*socio=rien diminution*socio=ec2 de leurs *socio=ec1 recettes pétrolières,*socio=nil les*socio=nil *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil ont, eux aussi, procédé*socio=rien à une importante*socio=uv4 réévaluation*socio=ec1 de leur politique_budgétaire*socio=et et de leurs programmes*socio=et de développement*socio=uv3. S'il *socio=rien est vrai *socio=nil que la situation*socio=rien actuelle*socio=te est*socio=rien encore, à bien*socio=rien des égards*socio=rien, peu satisfaisante*socio=uv4, plusieurs éléments*socio=rien de nature*socio=rien très encourageante*socio=uv2 se dessinent néanmoins. Le plus important*socio=uv4 est*socio=rien le succès*socio=uv1 des efforts*socio=uv1 que les pays_industrialisés*socio=ac ont déployés pour réduire l'inflation*socio=ec1. Certes, les résultats*socio=rien obtenus dans ce domaine*socio=rien s'expliquent en partie*socio=rien par l'ampleur*socio=rien de la récession*socio=ec2 ainsi que la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et d'autres produits*socio=rien de base*socio=rien, mais ils sont dus, pour l'essentiel*socio=uv4, à l'efficacité*socio=uv3 des mesures*socio=et prises*socio=rien par les autorités*socio=et dans plusieurs pays*socio=ac clés*socio=rien. Devant*socio=rien la fermeté*socio=rien de plus en plus évidente*socio=rien des politiques*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont fortement baissé, en 1982, sur*socio=rien les principaux*socio=rien marchés_financiers*socio=ec1. La liquidation*socio=ec1 des stocks*socio=ec1 qui avait caractérisé la période*socio=te de récession*socio=ec2 semble arrivée*socio=rien à son terme*socio=rien, et le pouvoir_d'_achat*socio=ec1 réel*socio=rien de revenu*socio=ec1 des particuliers*socio=rien a bénéficié *socio=rien du recul *socio=nil de l'inflation*socio=ec1. Bien*socio=rien qu'elle ait quelques *socio=rien effets négatifs,*socio=nil la*socio=nil réduction*socio=ec2 des*socio=nil prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 *socio=nil intervenue récemment devrait, en définitive*socio=rien, contribuer à la reprise de l'activité_économique*socio=ec1 mondiale*socio=te. Pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien tiers_monde*socio=ac, les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 dépendent maintenant de façon*socio=rien cruciale*socio=uv4 des progrès*socio=uv1 de la reprise dans les pays_industrialisés*socio=ac. Il est*socio=rien donc vital*socio=uv4 qu'un*socio=rien redressement*socio=ec2 se produise au plus tôt dans ces pays*socio=ac, mais il est*socio=rien tout aussi indispensable*socio=uv4 que la croissance*socio=uv3 y soit durable*socio=uv4 sans, cependant, stimuler l'inflation*socio=ec1. L'une des conditions*socio=ec1 primordiales*socio=rien d'une reprise durable*socio=uv4 est*socio=rien que les politiques*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2 continuent d'être*socio=rien crédibles*socio=uv2; or*socio=ec1, leur crédibilité*socio=uv1 est*socio=rien encore douteuse, même dans plusieurs des pays_industrialisés*socio=ac où les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 ont été*socio=rien ramenés aux alentours*socio=rien de 5 %, voire à *socio=rien un niveau plus*socio=nil bas.*socio=nil *socio=nil En outre, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 élevé*socio=uv4 qui persiste dans certains autres pays_industrialisés*socio=ac ne permet pas d'espérer que la demande*socio=ec1 nominale*socio=rien augmentera plus rapidement qu'on ne le prévoit actuellement. La plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac doivent continuer à s'imposer une stricte*socio=rien discipline*socio=uv1 budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1. En fait*socio=rien, la situation*socio=rien actuelle*socio=te exige des pays_industrialisés*socio=ac qu'ils évitent de prendre toute mesure*socio=rien qui pourrait susciter des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 nocives*socio=rien. Dans cette optique*socio=rien, il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 de limiter*socio=rien l'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 à des taux*socio=ec1 qui permettent de renforcer la tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 observée récemment sur*socio=rien le plan*socio=rien de l'inflation*socio=ec1. Il est*socio=rien également indispensable*socio=uv4 de rétablir l'équilibre*socio=ec2 budgétaire*socio=et dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac et en particulier*socio=rien aux États-unis*socio=ac. La reprise économique*socio=ec1 ne pourra pas être*socio=rien durable*socio=uv4 si la demande*socio=ec1 publique*socio=et absorbe *socio=rien un volume excessif*socio=uv4 de*socio=nil crédit*socio=ec1 aux*socio=nil dépens*socio=uv2 *socio=nil de la demande*socio=ec1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et, et provoque, de ce fait*socio=rien, un*socio=rien envol des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Pour que la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 nominale*socio=rien se traduise par une augmentation*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et non par de nouvelles*socio=rien poussées inflationnistes*socio=ec2, il serait particulièrement souhaitable*socio=rien de réduire les rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 qui nuisent à l'efficacité*socio=uv3 de la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, sur*socio=rien le plan*socio=rien économique*socio=ec1. Parmi les plus importantes*socio=uv4 de ces rigidités*socio=uv3 - outre l'ampleur*socio=rien excessive*socio=uv4 des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et structurels*socio=ec2 dans certains pays*socio=ac -, on peut citer l'inflexibilité du*socio=rien processus*socio=te de formation*socio=et des salaires*socio=ec1, le mode*socio=rien actuel*socio=te de répartition*socio=uv3 du*socio=rien revenu*socio=ec1 entre les facteurs*socio=rien de production*socio=ec1 (en particulier*socio=rien l'étroitesse*socio=rien des marges bénéficiaires*socio=ac), l'insuffisance*socio=uv3 des incitations*socio=uv3 à l'épargne*socio=ec1 et à l'investissement*socio=ec1, enfin, dans certains cas*socio=rien, la régulation*socio=et inadéquate*socio=uv4 de l'activité_économique*socio=ec1. De plus, l'existence*socio=rien d'une aide*socio=uv1 directe*socio=rien et indirecte*socio=rien aux industries*socio=ec1 en déclin*socio=ec2 et, dans certains pays*socio=ac, le recours*socio=ec1 à un*socio=rien système_d'_enseignement*socio=et et de formation*socio=et qui ne répond pas entièrement aux besoins*socio=uv1 de l'économie*socio=ec1 entravent l'ajustement*socio=et dynamique*socio=uv4 à l'évolution*socio=te technologique*socio=ec1 et sociale*socio=et. Dans le domaine*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1, les pays*socio=ac doivent maintenir une étroite*socio=rien coopération*socio=uv1, à la fois*socio=rien pour réduire l'instabilité*socio=uv3 de ces taux*socio=ec1 et - objectif*socio=uv3 particulièrement important*socio=uv4, à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te - pour tirer avantage des progrès*socio=uv1 réalisés et prévus vers la convergence*socio=uv3 des politiques*socio=et et des conditions_économiques*socio=ec1 dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. La coopération_internationale*socio=uv3 est*socio=rien également indispensable*socio=uv4 pour affronter la situation*socio=rien internationale*socio=ac délicate*socio=rien que créent les problèmes*socio=uv4 de la dette*socio=ec1, pour fournir aux pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 *socio=rien faible un volume suffisant d'*socio=nil aide_publique_au_développement*socio=et *socio=nil et pour éviter le recours*socio=ec1 à des *socio=et politiques_commerciales protectionnistes,*socio=nil *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac comme dans les pays_en_développement*socio=uv3. Les restrictions*socio=et imposées par les pays_industrialisés*socio=ac aux importations*socio=ec1 en provenance*socio=rien des pays*socio=ac du*socio=rien tiers_monde*socio=ac sont particulièrement préjudiciables*socio=et à l'économie*socio=ec1 de ces derniers*socio=rien. A court_terme*socio=te, il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 que les *socio=ac pays débiteurs *socio=nil puissent continuer d'avoir accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te pour être*socio=rien en mesure*socio=rien d'assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 extérieure*socio=te et de maintenir leurs importations*socio=ec1 à *socio=rien un niveau adéquat*socio=uv2.*socio=nil *socio=nil A plus long_terme*socio=te, l'imposition*socio=et de restrictions*socio=et aux exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 frappe le plus durement ceux de ces pays*socio=ac qui ont adopté la politique*socio=et de croissance*socio=uv3 ouverte*socio=uv4 sur*socio=rien l'extérieur*socio=te et de libéralisation*socio=et de l'économie*socio=ec1 interne*socio=te que préconise le Fonds*socio=ec1. Nombre*socio=rien d'entre eux ont emprunté à l'étranger*socio=te pour financer un*socio=rien développement*socio=uv3 industriel*socio=ec1 axé sur*socio=rien l'exportation*socio=ec1. Ils n'ont toutefois pas l'assurance*socio=ec1 que leurs produits*socio=rien continueront d'avoir accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 extérieurs*socio=te, et cette *socio=uv3 incertitude risque *socio=nil de compromettre gravement leur stratégie*socio=et de la croissance*socio=uv3. Les trois *socio=rien sections suivantes du présent chapitre donnent*socio=nil un *socio=nil aperçu de l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. La première*socio=rien traite des politiques*socio=et et des activités*socio=rien intérieures*socio=te dans les principaux*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac; la deuxième*socio=rien concerne plus particulièrement les échanges*socio=ec1 et les paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te, à la *socio=rien fois du point de*socio=nil vue mondial*socio=te *socio=nil et dans l'optique*socio=rien de chacun des principaux*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac. Enfin, s'appuyant sur*socio=rien ce tableau*socio=rien d'ensemble*socio=rien, la *socio=rien troisième section présente une*socio=nil analyse*socio=ec2 des*socio=nil problèmes*socio=uv4 de*socio=nil politique_économique*socio=ec1 *socio=nil qui se posent à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te. Politiques*socio=et et activités*socio=rien intérieures*socio=te. pays_industrialisés*socio=ac. Orientation*socio=et générale*socio=rien des politiques*socio=et. Devant*socio=rien la persistance*socio=te de la récession*socio=ec2 et la montée du*socio=rien chômage*socio=ec1, les autorités*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac ont redoublé d'efforts*socio=uv1, en 1982, pour créer les conditions*socio=ec1 nécessaires*socio=rien à la reprise d'une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 soutenue. Elles ont généralement reconnu que des stimulants*socio=ec2 à court_terme*socio=te ne pourraient résoudre de façon*socio=rien durable*socio=uv4 les problèmes*socio=uv4 engendrés par la prolongation*socio=rien de la récession*socio=ec2, notamment le chômage*socio=ec1, et qu'elles devaient s'employer résolument à réduire l'inflation*socio=ec1 et à supprimer les rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2. Les politiques*socio=et ont donc été*socio=rien centrées sur*socio=rien des objectifs*socio=uv3 à long_terme*socio=te, encore que le souci*socio=rien de ne pas exacerber les difficultés*socio=uv4 *socio=rien du moment *socio=nil ait amené la plupart*socio=rien des pays*socio=ac à faire preuve*socio=ec2 d'une certaine*socio=rien souplesse*socio=uv3 dans la conduite*socio=rien de leur politique*socio=et financière*socio=ec1. Dans le communiqué de presse*socio=et reproduit à l'appendice*socio=rien III qu'il a publié à l'issue*socio=rien de sa réunion*socio=rien de Toronto*socio=ac, en septembre*socio=rien 1982, le comité_intérimaire*socio=ac a reconnu que "la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv3 d'expansion*socio=ec2 régulière*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et de réduction*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1 passe par la réduction*socio=ec2 durable*socio=uv4 de l'inflation*socio=ec1 et des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2, et par celle des *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux et*socio=nil réels*socio=ec2 *socio=nil et d'autres obstacles*socio=uv3". A l'issue*socio=rien de la réunion*socio=rien qu'il a tenue à Washington*socio=ac, en février*socio=rien 1983, le Comité*socio=ac a réaffirmé sa conviction*socio=uv1 "que la maîtrise*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien, une *socio=rien condition nécessaire *socio=nil - mais non suffisante*socio=rien - d'une croissance*socio=uv3 soutenable*socio=uv4 à *socio=rien moyen terme"*socio=nil .*socio=nil Certains*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil ont d'ores et déjà réussi remarquablement à réduire leur taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 et à jeter les bases*socio=rien d'une amélioration*socio=uv1 durable*socio=uv4 de leurs résultats*socio=rien économiques*socio=ec1. Cette amélioration*socio=uv1 est*socio=rien manifeste dans plusieurs d'entre eux et s'étendra probablement à d'autres pays*socio=ac au cours*socio=rien de l'année*socio=rien 1983. Cependant, les progrès*socio=uv1 vers une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 ont été*socio=rien irréguliers et, dans certains pays*socio=ac, des taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 d'inflation*socio=ec1 font encore obstacle*socio=uv3 au rétablissement*socio=rien de conditions*socio=ec1 favorables*socio=uv4 à la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv3 plus lointains en matière*socio=rien de croissance*socio=uv3 et d'emploi*socio=ec1. Comme on l'a noté dans les *socio=rien précédents rapports annuels*socio=te,*socio=nil c'*socio=nil est *socio=nil à la politique_monétaire*socio=et que la plupart*socio=rien des pays*socio=ac ont surtout *socio=rien fait appel *socio=nil pour lutter contre l'inflation*socio=ec1 au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil raison *socio=nil en étant essentiellement que les politiques_budgétaires*socio=et tendent à être*socio=rien moins restrictives*socio=uv4 dans leur application*socio=rien que dans leur conception*socio=et initiale*socio=rien. La politique_budgétaire*socio=et n'ayant pas fourni un*socio=rien appui*socio=uv1 suffisant*socio=rien, le resserrement*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 a dû être*socio=rien plus rigoureux*socio=uv4 et l'accès*socio=uv1 au *socio=ec1 crédit bancaire plus*socio=nil restrictif*socio=uv4 *socio=nil qu'ils ne l'auraient été*socio=rien normalement. La pression*socio=ec2 qui en est*socio=rien résultée sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 a provoqué, au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil une montée sans précédent*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Ces taux*socio=ec1 ont, à leur tour*socio=rien, entraîné une distorsion*socio=uv3 de la structure*socio=ec1 de la demande*socio=ec1 et aggravé la récession*socio=ec2. Les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil se sont assouplies depuis le milieu*socio=rien de 1982, mais il n'est*socio=rien pas douteux*socio=uv2 qu'elles étaient, jusqu'alors, beaucoup plus restrictives*socio=uv4 qu'à la fin*socio=rien des années*socio=rien 70. Certes, la situation*socio=rien a évolué de façon*socio=rien très différente*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, mais cette orientation*socio=et dans *socio=rien un sens restrictif*socio=uv4 est *socio=nil mise en évidence*socio=rien par l'évolution*socio=te tendancielle*socio=ec2 des taux_de_croissance*socio=ec1 des principaux*socio=rien *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil et des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Le taux*socio=ec1 composite*socio=rien pondéré de l'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens étroit *socio=nil (Ml) dans les sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, qui s'établissait en moyenne*socio=rien à 10 % par an*socio=rien pendant la période*socio=te 1976-78, est*socio=rien tombé à 6,5 % durant 1979-81. S'il a atteint 8,5 % en 1982, c'est*socio=rien essentiellement à cause*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac, qui est*socio=rien peut-être en partie*socio=rien due aux modifications*socio=rien d'ordre*socio=rien institutionnel*socio=et apportées au système_financier*socio=ec1 américain*socio=ac. Le taux*socio=ec1 composite*socio=rien calculé de *socio=rien façon analogue *socio=nil pour la croissance*socio=uv3 de la masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens large *socio=nil (M2), qui semble moins influencé par les changements*socio=uv3 institutionnels*socio=et, fait*socio=rien apparaître un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 annuelle*socio=te, ramenée de 12 % à 10 %, en moyenne*socio=rien, entre 1976-78 et 1979-81, puis à 9,5 % en 1982. Comme on vient de l'indiquer, les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil se sont généralement assouplies au cours*socio=rien de l'année*socio=rien dernière*socio=rien dans plusieurs des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, en partie*socio=rien parce que la croissance*socio=uv3, plus faible*socio=rien que prévu, de leur PNB*socio=ec1 nominal*socio=rien a eu pour effet*socio=rien que les objectifs*socio=uv3 fixés pour la croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil et des agrégats*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 sont devenus moins restrictifs*socio=uv4. Dans certains de ces pays*socio=ac, *socio=rien un phénomène est *socio=nil allé à l'encontre*socio=rien de cette tendance*socio=ec2; il semble, en effet*socio=rien, que la demande*socio=ec1 de monnaie*socio=ec1 y ait augmenté (même si l'on tient compte*socio=ec1 de l'effet*socio=rien de la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1), non seulement *socio=rien du fait d'*socio=nil innovations*socio=uv3 d'*socio=nil ordre institutionnel*socio=et,*socio=nil *socio=nil mais aussi parce que la récession*socio=ec2 avait suscité des incertitudes*socio=uv3 quant aux préférences*socio=uv4 pour la liquidité*socio=ec1. Dans les pays*socio=ac où ces facteurs*socio=rien ont joué un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 - aux États-unis*socio=ac, par exemple*socio=rien - les autorités*socio=et ont pris des dispositions*socio=et pour faire face*socio=rien à ces variations*socio=rien d'origine*socio=rien exogène*socio=rien de la demande*socio=ec1 de monnaie*socio=ec1 en permettant aux *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil les plus touchés de dépasser, au moins temporairement*socio=rien, les fourchettes-objectifs qui avaient été*socio=rien fixées. Devant*socio=rien la gravité de la récession*socio=ec2, les autorités*socio=et de certains autres pays*socio=ac ont permis*socio=rien que la masse_monétaire*socio=ec1 augmente à des taux*socio=ec1 correspondant à la *socio=rien limite supérieure *socio=nil des fourchettes-objectifs. Ces diverses*socio=rien mesures*socio=et ont eu d'importantes*socio=uv4 répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien la masse_monétaire*socio=ec1 réelle*socio=ec2 et sur*socio=rien la vitesse*socio=rien de circulation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1. Pour les sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien pondéré de croissance*socio=uv3 annuelle*socio=te de l'agrégat*socio=ec1 *socio=rien MI réel *socio=nil (c'est-à-dire MI*socio=rien corrigé par le déflateur du*socio=rien PNB*socio=ec1) est*socio=rien tombé de 2,5 % à -2 % entre 1976-78 et 1979-81, puis est*socio=rien remonté à 2,5 % en 1982. Le taux*socio=ec1 correspondant pour M2, corrigé par le déflateur, est*socio=rien tombé de 4,5 % par an*socio=rien, pendant la période*socio=te 1976-78, à moins de 1,5 % durant 1979-81, puis il est*socio=rien remonté à 3,5 % en 1982. L'augmentation*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1 réelle*socio=ec2 observée récemment s'étant produite en période*socio=te de stagnation*socio=ec1 ou de baisse*socio=ec2 de la production*socio=ec1, la vitesse*socio=rien de circulation*socio=ec2 a marqué *socio=rien un net ralentissement*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil le plus important*socio=uv4, en fait*socio=rien, depuis plusieurs années*socio=rien. La manière*socio=rien dont la politique_monétaire*socio=et a été*socio=rien appliquée a évolué parallèlement aux modifications*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil intervenues au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Pendant la période*socio=te 1979-81, la politique_monétaire*socio=et était centrée avant tout sur*socio=rien l'importance*socio=rien de plus en plus grande*socio=rien que les autorités*socio=et accordaient au respect*socio=uv1 des objectifs*socio=uv3 quantitatifs*socio=rien fixés pour les principaux*socio=rien *socio=ec1 agrégats monétaires.*socio=nil *socio=nil Depuis quelque temps*socio=rien, toutefois, si l'on continue*socio=rien de reconnaître l'importance*socio=rien de ces agrégats*socio=ec1, il semble néanmoins difficile*socio=rien d'interpréter la signification*socio=uv3 des variations*socio=rien de leurs taux_de_croissance*socio=ec1, en particulier*socio=rien lorsque les conditions*socio=ec1 institutionnelles*socio=et et économiques*socio=ec1 sont en pleine*socio=rien évolution*socio=te. C'est*socio=rien pourquoi, dans plusieurs pays_industrialisés*socio=ac, les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 ont élargi la gamme*socio=rien des indicateurs*socio=ec1 qui leur permettent de surveiller étroitement l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien monétaire*socio=ec1 et, dans certains cas*socio=rien, ont ajusté les fourchettes*socio=rien -objectifs pour les *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil qu'elles utilisent comme indicateurs*socio=ec1. Elles ont néanmoins souligné que ces ajustements*socio=et dans l'application*socio=rien de leur politique*socio=et ne modifient en rien*socio=rien les objectifs*socio=uv3 anti-inflationnistes*socio=ec2 fondamentaux*socio=uv4 de cette politique*socio=et. Le recul*socio=rien de l'inflation*socio=ec1, la faiblesse*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 et l'assouplissement*socio=uv3 des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil dans plusieurs des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont entreiné une baisse*socio=ec2 très rapide*socio=rien des *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux *socio=nil durant la seconde moitié*socio=rien de 1982 (graphique*socio=rien 1). Il semble toutefois que les craintes*socio=uv1 suscitées par l'évolution*socio=te des conditions*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 (et en particulier*socio=rien les répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien ces marchés*socio=ec1 des importants*socio=uv4 déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et qui persistent dans certains pays*socio=ac) aient empêché cette baisse*socio=ec2 des taux*socio=ec1 de s'accentuer autant que le faisait prévoir l'évolution*socio=te de l'inflation*socio=ec1 et de l' activité_économique*socio=ec1 réelle*socio=ec2. Ainsi, pour autant que l'on puisse en juger, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 demeurent élevés*socio=uv4, notamment par rapport*socio=rien à ceux qui caractérisaient des phases*socio=te analogues*socio=rien de cycles*socio=te économiques*socio=ec1 antérieurs*socio=te. Dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, les *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux *socio=nil pour le court_terme*socio=te comme pour le long_terme*socio=te, qui atteignaient, en moyenne*socio=rien, 14-15 % en 1981, sont tombés à environ 13 % au milieu*socio=rien de l'année*socio=rien 1982. Ils ont ensuite très fortement baissé pendant le *socio=rien second semestre *socio=nil de 1982, avant de se stabiliser durant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1983. En valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2, toutefois, la baisse*socio=ec2 a probablement été*socio=rien beaucoup moins forte*socio=rien. Pour calculer les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 à partir des *socio=ec1 taux nominaux,*socio=nil *socio=nil il faut poser certaines*socio=rien hypothèses*socio=ec2 concernant les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 attendus qui, de par leur nature*socio=rien même, comportent *socio=rien un grand élément d'*socio=nil incertitude*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil En 1981, néanmoins - *socio=rien fait significatif *socio=nil -, les taux*socio=ec1 à court_terme*socio=te comme à long_terme*socio=te ont dépassé de près de 5 %, en moyenne*socio=rien, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1, mais, au début*socio=rien de 1983, l'écart*socio=ec2 n'était tombé qu'à environ 4 % pour les taux*socio=ec1 à court_terme*socio=te et avait même légèrement augmenté pour les taux*socio=ec1 à long_terme*socio=te. En outre, comme la situation*socio=rien fondamentale*socio=uv4 et l'orientation*socio=et des politiques*socio=et différaient considérablement*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, l'évolution*socio=te des conditions*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 *socio=rien est loin *socio=nil d'avoir été*socio=rien uniforme*socio=uv4. En 1980, par exemple*socio=rien, l'écart*socio=ec2 entre les moyennes*socio=rien annuelles*socio=te des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 à court_terme*socio=te des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac a atteint parfois près de 12 %. De tels écarts*socio=ec2 et la rapidité*socio=rien de leurs fluctuations*socio=ec2 ont parfois provoqué des mouvements*socio=ec2 perturbateurs*socio=rien de capitaux*socio=ec1 et suscité des pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 qui ont laissé aux autorités*socio=et peu de latitude*socio=rien dans le choix*socio=uv1 de leur politique_économique*socio=ec1. En 1982, toutefois, une convergence*socio=uv3 significative*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 à court_terme*socio=te a été*socio=rien observée dans les pays_industrialisés*socio=ac : le différentiel*socio=ec1 entre les *socio=ec1 taux moyens *socio=nil les plus élevés*socio=uv4 et les plus bas*socio=rien des sept pays*socio=ac les plus importants*socio=uv4 a été*socio=rien ramené à moins de 3,5 %. Les objectifs*socio=uv3 monétaires*socio=ec1 que poursuivent les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac et l'évolution*socio=te probable*socio=uv4 des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 donnent à penser que les tendances*socio=ec2, manifestes sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 depuis le *socio=rien début du second semestre *socio=nil de 1982, persisteront en 1983. Si l'on en juge*socio=et par le fait*socio=rien que les taux-objectifs de croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 agrégats monétaires nominaux ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil fixés, dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, à peu près aux mêmes niveaux*socio=rien qu'en 1982, et par les résultats*socio=rien déjà obtenus dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1, les liquidités*socio=ec1 réelles*socio=ec2 dont pourra disposer l'économie*socio=ec1 continueront d'être*socio=rien un*socio=rien peu plus abondantes*socio=rien que pendant la période*socio=te 1979-81. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil politique_budgétaire*socio=et des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac a*socio=nil été *socio=nil généralement dictée par le souci*socio=rien de réduire les déficits*socio=ec1 structurels*socio=ec2 et de permettre ainsi à la politique_monétaire*socio=et d'atténuer plus facilement l'inflation*socio=ec1 et les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2. Il se trouve, néanmoins, que les rigidités*socio=uv3 d'ordre*socio=rien structurel*socio=ec2 et les difficultés*socio=uv4 auxquelles s'est*socio=rien heurtée l'application*socio=rien de cette politique*socio=et ont, en fait*socio=rien, réduit considérablement*socio=rien le rôle*socio=et effectif*socio=rien de la politique_budgétaire*socio=et à cet égard*socio=rien. Par ailleurs*socio=rien, le ralentissement*socio=ec2 de l' activité_économique*socio=ec1 a entraîné une détérioration*socio=uv4 cyclique*socio=te de la situation*socio=rien financière*socio=ec1 de l'État*socio=ac. Les services_du_fonds*socio=ec1 estiment que l'incidence*socio=ec2 des changements*socio=uv3 nets*socio=rien intervenus en 1982 dans la position*socio=rien budgétaire*socio=et fondamentale*socio=uv4 des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac a été*socio=rien pratiquement neutre*socio=rien : en effet*socio=rien, l'impulsion*socio=ec2 expansionniste*socio=ec2 observée au Canada*socio=ac, aux États-unis*socio=ac et en Italie*socio=ac a été*socio=rien en *socio=rien grande partie *socio=nil neutralisée par la suppression*socio=rien des incitations*socio=uv3 dans les autres pays*socio=ac. Toutefois, l'aggravation*socio=ec2 de la récession*socio=ec2 a eu pour effet*socio=rien de porter le déficit*socio=ec1 *socio=rien effectif du budget*socio=ec1 des*socio=nil administrations_centrales*socio=ac du groupe*socio=ac *socio=nil des sept principaux*socio=rien pays*socio=ac d'environ 3,75 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 en 1981 à environ 4,75 % en 1982. Pour les quatre années*socio=rien qui se sont écoulées depuis 1978, les changements*socio=uv3 opérés dans l'orientation*socio=et de la politique_budgétaire*socio=et se sont traduits par une suppression*socio=rien d'incitations*socio=uv3 équivalant à environ 1 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 que, toutefois, l'évolution*socio=te cyclique*socio=te a plus que compensée; dans l'ensemble*socio=rien de ces pays*socio=ac, par conséquent*socio=rien, le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et effectif*socio=rien a augmenté d'un*socio=rien montant*socio=ec1 équivalant à environ 11% du*socio=rien PNB*socio=ec1. Les changements*socio=uv3 intervenus dans la position*socio=rien budgétaire*socio=et globale*socio=rien des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac recouvrent de très grands*socio=rien écarts*socio=ec2 entre l'évolution*socio=te du*socio=rien budget*socio=ec1 de chacun de ces pays*socio=ac. A l'une des extrémités, le Royaume-uni*socio=ac est*socio=rien parvenu, entre 1978 et 1982, à réduire son déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et d'un*socio=rien montant*socio=ec1 équivalant à environ 2,5 % de son PNB*socio=ec1, et cela malgré de fortes*socio=rien pressions*socio=ec2 cycliques*socio=te en sens*socio=rien inverse. Entre 1979 et 1982, le Japon*socio=ac a, lui aussi, amélioré sa situation*socio=rien budgétaire*socio=et, mais dans tous les autres pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac le déficit*socio=ec1 a augmenté. Calculées en fonction*socio=rien des budgets*socio=ec1 proposés - et, dans certains cas*socio=rien, approuvés -, les projections*socio=ec2 pour 1983 font apparaître une divergence*socio=uv1 entre l'orientation*socio=et budgétaire*socio=et au Canada*socio=ac et aux États-unis*socio=ac, d'une part*socio=rien, et dans la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac, d'autre part*socio=rien. Aux États-unis*socio=ac, il est*socio=rien probable*socio=uv4 que la nouvelle*socio=rien réduction*socio=ec2 de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 intervenue le 1er juillet*socio=rien 1983 provoquera une forte*socio=rien poussée expansionniste*socio=ec2. En revanche, on s'attend que les principaux*socio=rien pays*socio=ac d'Europe*socio=ac et le Japon*socio=ac décideront à nouveau*socio=rien de supprimer certaines*socio=rien mesures*socio=et d'incitation*socio=uv3 équivalant, en moyenne*socio=rien, à quelque 0,5 % du*socio=rien PNB*socio=ec1. Les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et sont préoccupants*socio=uv4 non seulement à cause*socio=rien de leur ampleur*socio=rien en valeur*socio=ec1 absolue*socio=rien, mais aussi de leur importance*socio=rien par rapport*socio=rien à l'épargne*socio=ec1 disponible*socio=rien. Selon les estimations*socio=ec2 des services_du_fonds*socio=ec1, la moyenne*socio=rien pondérée de la fraction*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 privée*socio=et brute*socio=rien que les administrations_centrales*socio=ac des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont absorbée en 1982 était de 23 %; cette moyenne*socio=rien dépasse de 50 % le chiffre correspondant pour 1979. Pour les pays*socio=ac pris séparément*socio=rien, la fraction*socio=rien la plus faible*socio=rien était de 12 % et la plus forte*socio=rien atteignait 56 %. Si la reprise se maintient, il faut s'attendre que la situation*socio=rien financière*socio=ec1 de ces divers pays*socio=ac se renforcera et, peut-être, que l'épargne*socio=ec1 nationale*socio=te dont elles pourront disposer augmentera. Toutefois, dans la plupart*socio=rien des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, le déficit*socio=ec1 actuel*socio=te est*socio=rien en *socio=rien grande partie d'*socio=nil ordre structurel*socio=ec2.*socio=nil Le*socio=nil fait *socio=nil qu'au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil une assez *socio=rien faible partie *socio=nil seulement des incitations*socio=uv3 budgétaires*socio=et ait été*socio=rien supprimée, à *socio=rien un moment *socio=nil où, dans la plupart*socio=rien des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, la politique_monétaire*socio=et était très restrictive*socio=uv4, montre bien*socio=rien les difficultés*socio=uv4 auxquelles se heurtent ces pays*socio=ac lorsqu'il s'agit de réorienter leur politique_budgétaire*socio=et vers des objectifs*socio=uv3 anti-inflationnistes*socio=ec2. Certains d'entre eux ont jugé essentiel*socio=uv4 de réduire l'impôt*socio=et pour encourager l' activité_économique*socio=ec1, l'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1, et il s'est*socio=rien révélé plus facile*socio=rien d'abaisser les impôts*socio=et que de comprimer les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et. L'importance*socio=rien relative*socio=rien de plus en plus grande*socio=rien, dans les dépenses*socio=ec1 budgétaires*socio=et, des programmes*socio=et de subvention*socio=ec1 et des programmes_sociaux*socio=et - dont le coût*socio=ec1 tend à augmenter indépendamment de toute action*socio=ec1 directe*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=et - compromet l'efficacité*socio=uv3 des efforts*socio=uv1 pour freiner la croissance*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1. Il en est*socio=rien de même des paiements*socio=ec1 d'intérêt*socio=uv1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1 nationale*socio=te.*socio=nil C'*socio=nil est *socio=nil essentiellement à ces catégories*socio=rien de dépenses*socio=ec1, plutôt qu'aux achats*socio=ec1 directs*socio=rien de biens*socio=ec1 et de services*socio=et, qu'est*socio=rien due la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 du*socio=rien *socio=ec1 ratio dépenses publiques*socio=et totales*socio=rien/*socio=nil PNB *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 60. Production*socio=ec1 et demande*socio=ec1. Après*socio=rien une longue*socio=rien période*socio=te de croissance*socio=uv3 lente*socio=rien ou négative*socio=rien, il semble que la très nette*socio=rien diminution*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 et des taux_d'_intérêt*socio=ec1 enregistrée dans les pays_industrialisés*socio=ac depuis le milieu*socio=rien de 1982 ait amélioré sensiblement les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1. La production*socio=ec1 a commencé à augmenter aux États-unis*socio=ac vers la fin*socio=rien de 1982, et les indicateurs*socio=ec1 de la croissance*socio=uv3 réelle*socio=ec2 se sont affermis au deuxième*socio=rien trimestre*socio=te de 1983; les perspectives*socio=te sont maintenant plus favorables*socio=uv4 dans certains autres pays*socio=ac aussi. En raison*socio=rien notamment de la politique*socio=et financière*socio=ec1 restrictive*socio=uv4 que les autorités*socio=et ont adoptée pour contenir une nouvelle*socio=rien poussée des *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil durant 1979-80, le PNB*socio=ec1 global*socio=te réel*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac n'a augmenté que d'environ 1,25 % par an*socio=rien en 1980 et 1981 (tableau*socio=rien 1). On s'attendait à une reprise dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac en 1982, mais il se trouve que la production*socio=ec1 a, en fait*socio=rien, diminué cette année-là de 0,25 %. Les stocks*socio=ec1 ont été*socio=rien réduits plus rapidement qu'on ne l'avait prévu et les investissements*socio=ec1 fixes des entreprises*socio=ac, comme les dépenses*socio=ec1 des consommateurs*socio=ac, ont été*socio=rien moins importants*socio=uv4 qu'on ne s'y attendait. Durant cette même période*socio=te, les conditions_économiques*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 se sont détériorées, et ces pays*socio=ac ont été*socio=rien contraints*socio=uv2 de réduire considérablement*socio=rien leurs importations*socio=ec1. Le ralentissement*socio=ec2 prolongé de l'activité_économique*socio=ec1, qui semble maintenant avoir pris fin*socio=rien, était dû à plusieurs facteurs*socio=rien. Le plus important*socio=uv4 est*socio=rien la difficulté*socio=uv4 inhérente*socio=rien de rétablir la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 après*socio=rien une longue*socio=rien période*socio=te d'anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 de la part*socio=rien des agents*socio=ac économiques*socio=ec1. Après*socio=rien avoir monté en flèche en 1973-74, l'inflation*socio=ec1, qui demeure élevée*socio=uv4 dans *socio=rien bon nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil a*socio=nil été *socio=nil encore attisée par la deuxième*socio=rien vague de hausses des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 intervenue en 1979-80. A l'époque*socio=te, toutefois, les autorités*socio=et de la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac n'ignoraient pas que, si elles voulaient rétablir une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 soutenable*socio=uv4, elles devaient prendre des mesures*socio=et énergiques*socio=ec1 pour limiter*socio=rien les *socio=rien effets secondaires sur les*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil de la poussée inflationniste*socio=ec2 initiale*socio=rien. Dans *socio=rien un climat d'*socio=nil anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 *socio=nil profondément enracinées et de rigidités*socio=uv3 connexes*socio=rien à caractère*socio=rien structurel*socio=ec2, les politiques*socio=et de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 ont aggravé sensiblement le marasme*socio=uv4 économique*socio=ec1. Dans une optique*socio=rien à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil on admet cependant que le processus*socio=te de désinflation*socio=ec2, si pénible*socio=rien qu'il fût, est*socio=rien une *socio=rien condition préalable indispensable*socio=uv4 *socio=nil à une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 soutenable*socio=uv4. La faiblesse*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 qui persistait dans le monde*socio=te s'est*socio=rien intensifiée en 1982 dans la plupart*socio=rien des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, comme dans les autres. Toutefois, l'évolution*socio=te ne s'est*socio=rien pas produite au même moment*socio=rien ni avec la même intensité*socio=rien dans tous les pays_industrialisés*socio=ac. Ainsi, les fluctuations*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 présentent une courbe assez différente*socio=rien dans les *socio=ac pays européens,*socio=nil *socio=nil d'une part*socio=rien, et aux États-unis*socio=ac et au Canada*socio=ac, d'autre part*socio=rien; le Japon*socio=ac, quant à lui, a réussi à maintenir une croissance*socio=uv3 de sa production*socio=ec1 assez régulière*socio=ec2, quoique modeste*socio=rien par rapport*socio=rien à ses niveaux*socio=rien records*socio=ec2. Aux États-unis*socio=ac, la production*socio=ec1 totale*socio=rien a diminué de 1,75 % en 1982, sa baisse*socio=ec2 étant particulièrement marquée au début*socio=rien de l'année*socio=rien. Toutefois, les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 de ce pays*socio=ac se sont améliorés considérablement*socio=rien depuis quelque temps*socio=rien, sous l'effet*socio=rien d'une forte*socio=rien expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 dans les *socio=rien secteurs du logement*socio=ec1 *socio=nil et de l'automobile*socio=ec1 et d'une augmentation*socio=ec2 assez substantielle*socio=rien de la *socio=ec1 production industrielle *socio=nil pendant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1983. Une évolution*socio=te analogue*socio=rien s'est*socio=rien produite au Canada*socio=ac, où la production*socio=ec1 avait encore plus diminué qu'aux États-unis*socio=ac en 1982, mais où elle a, aussi, remonté plus rapidement pendant l'année*socio=rien en cours*socio=rien. En revanche, la production*socio=ec1 totale*socio=rien des principaux*socio=rien *socio=ac pays européens,*socio=nil *socio=nil qui avait baissé en 1981, a peu augmenté en 1982; les taux_de_croissance*socio=ec1 plus élevés*socio=uv4 enregistrés en France*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac ont compensé la diminution*socio=ec2 du*socio=rien PNB*socio=ec1 réel*socio=rien en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et en Italie*socio=ac. Toutefois, l'activité_économique*socio=ec1 s'est*socio=rien ralentie en Europe*socio=ac continentale*socio=te à mesure*socio=rien que l'année*socio=rien avançait, et, pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983, les signes d'une reprise économique*socio=ec1 y étaient moins manifestes qu'aux États-unis*socio=ac et au Canada*socio=ac. Dans les petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1 en 1982, par rapport*socio=rien à 1981, a été*socio=rien moins marqué que dans les sept grands*socio=rien, mais, ces deux années-là, le taux_de_croissance*socio=ec1 de ce groupe_de_pays*socio=ac a *socio=rien été inférieur *socio=nil à 1 %. Le taux*socio=ec1 ne semble pas s'être*socio=rien amélioré de *socio=rien façon appréciable au*socio=nil cours des*socio=nil premiers mois *socio=nil de 1983. Les tendances*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 générale*socio=rien dans les sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac pendant les *socio=rien dernières années *socio=nil sont indiquées au graphique*socio=rien 2, qui montre également l'évolution*socio=te de la *socio=ec1 production industrielle.*socio=nil Ce*socio=nil graphique*socio=rien *socio=nil met en relief*socio=rien l'incidence*socio=ec2 généralement très forte*socio=rien de l'évolution*socio=te conjoncturelle*socio=te sur*socio=rien le secteur*socio=rien industriel*socio=ec1 et révèle qu'en raison*socio=rien des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 médiocres*socio=uv2 des trois *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil *socio=ec1 production industrielle *socio=nil dans ces pays*socio=ac (sauf au Japon*socio=ac) est*socio=rien très inférieure*socio=rien aux volumes*socio=rien records*socio=ec2 qu'elle avait atteints précédemment : pour l'ensemble*socio=rien des sept pays*socio=ac, elle a diminué en 1982 de 4 % par rapport*socio=rien à 1979. La faiblesse*socio=ec2 de la production*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac montre qu'il *socio=rien est difficile *socio=nil de procéder à l'ajustement*socio=et économique*socio=ec1 lorsque les efforts*socio=uv1 visant à comprimer la demande*socio=ec1 se heurtent à des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 profondément enracinées. Il faut *socio=rien un certain temps *socio=nil pour que la politique*socio=et anti-inflationniste*socio=ec2 devienne crédible*socio=uv2 et incite les agents*socio=ac économiques*socio=ec1 à modifier leurs anticipations*socio=uv3. Pendant cette période*socio=te, la croissance*socio=uv3 de la demande_globale*socio=ec1 se ralentit, et ce ralentissement*socio=ec2 prend davantage la forme*socio=rien d'une décélération*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 réelle*socio=ec2 que d'une baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1. Pour le groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac, le taux_d'_expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te réelle*socio=ec2 est*socio=rien tombé de 3,75 % par an*socio=rien, en moyenne*socio=rien, durant la période*socio=te 1977-79, à 0,25 % par an*socio=rien pendant les années*socio=rien 1980-82. Jusqu'à la fin*socio=rien de 1981, l'incidence*socio=ec2 de cette diminution*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a été*socio=rien atténuée par l'augmentation*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te - en particulier*socio=rien dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil mais aussi dans les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. En 1982, toutefois, ce phénomène*socio=rien favorable*socio=uv4 à la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 dans le monde*socio=te industrialisé a été*socio=rien éliminé par l'effondrement*socio=ec2 du*socio=rien marché*socio=ec1 international*socio=te du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et les *socio=uv4 graves difficultés financières*socio=ec1 *socio=nil auxquelles faisaient face*socio=rien plusieurs grands*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. Le ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te globale*socio=rien enregistré, ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac provient essentiellement de la forte*socio=rien décélération*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et (voir tableau*socio=rien ci-après). Celle-ci a pour *socio=rien cause principale l'*socio=nil incidence*socio=ec2 *socio=nil de l'inflation*socio=ec1 et des politiques*socio=et financières*socio=ec1 restrictives*socio=uv4 sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 du*socio=rien revenu*socio=ec1 réel*socio=rien dont disposent les ménages*socio=ac. Le revenu*socio=ec1 *socio=rien du travail *socio=nil a subi le contrecoup*socio=te de la montée du*socio=rien chômage*socio=ec1 et des faibles*socio=rien hausses du*socio=rien salaire*socio=ec1 réel*socio=ec2 de la main-d'_oeuvre*socio=ac employée*socio=rien. Par ailleurs*socio=rien, le taux*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 est*socio=rien resté élevé*socio=uv4 dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, et les *socio=et mesures budgétaires favorables*socio=uv4 *socio=nil à l'accroissement*socio=ec2 du*socio=rien revenu*socio=ec1 dont disposent les ménages*socio=ac (allégements*socio=ec2 d'impôts*socio=et et transferts_sociaux*socio=et) n'ont pas eu beaucoup d'effet*socio=rien, sauf aux États-unis*socio=ac. La faiblesse*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années *socio=nil a généralement découragé la formation*socio=et de capital*socio=ec1 fixe, qui, par ailleurs*socio=rien, a souffert de la persistance*socio=te de coûts*socio=ec1 de production*socio=ec1 et de taux_d'_intérêt*socio=ec1 élevés*socio=uv4. En valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2, l'investissement*socio=ec1 fixe brut*socio=rien a diminué chaque année*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac, durant toute la période*socio=te quadriennale 1979-82. La constitution*socio=rien de stocks*socio=ec1 a, elle aussi, souffert des médiocres*socio=uv2 perspectives*socio=te des ventes*socio=ec1 finales*socio=rien et du*socio=rien coût*socio=ec1 élevé*socio=uv4 du*socio=rien stockage*socio=ec1. De ce fait*socio=rien, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 globale*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac n'a même pas atteint celle, déjà très lente*socio=rien, de la demande*socio=ec1 finale*socio=rien. Inflation*socio=ec1. En 1982 et durant la *socio=rien première moitié *socio=nil de 1983, la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 a donné de *socio=rien nouveaux résultats encourageants*socio=uv4 *socio=nil qui s'ajoutent aux progrès*socio=uv1 déjà réalisés en 1981. Les pays_industrialisés*socio=ac n'ont pas tous réussi à faire reculer l'inflation*socio=ec1 dans les mêmes proportions*socio=rien et, dans plusieurs d'entre eux, elle atteint encore des *socio=rien niveaux inquiétants.*socio=nil Des*socio=nil causes *socio=nil éphémères - l'évolution*socio=te des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et des aliments*socio=ec1 de base*socio=rien, par exemple*socio=rien - expliquent aussi en partie*socio=rien le ralentissement*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1. Il convient, néanmoins, de noter que, dans *socio=rien bon nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil indicateurs*socio=ec1 de*socio=nil *socio=ec2 pressions inflationnistes fondamentales*socio=uv4 *socio=nil - le taux_d'_accroissement*socio=ec2 des charges*socio=rien salariales*socio=ec1 ou le déflateur du*socio=rien PNB*socio=ec1, par exemple*socio=rien - sont tombés à leur niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien depuis dix ans*socio=rien. Mesurée par l'augmentation*socio=ec2 moyenne*socio=rien pondérée des indices des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1, l'inflation*socio=ec1 dans le groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac, qui avait plafonné à 13 % environ durant le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1980, a été*socio=rien ramenée progressivement*socio=rien à un*socio=rien taux*socio=ec1 annuel*socio=te de 5 % au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1983 (graphique*socio=rien 3). Ce progrès*socio=uv1 est*socio=rien dû à plusieurs facteurs*socio=rien. Tout d'abord*socio=rien, comme on l'a mentionné plus haut*socio=rien, l'activité_économique*socio=ec1 s'est*socio=rien de plus en plus ralentie au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac. La *socio=rien situation générale *socio=nil et la montée du*socio=rien chômage*socio=ec1 ont incité les travailleurs*socio=ac à faire plus volontiers*socio=rien des concessions*socio=uv1 en matière*socio=rien de salaire*socio=ec1. En outre, le coût*socio=ec1 de l'énergie*socio=ec1 et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont plutôt baissé qu'augmenté pendant une *socio=rien bonne partie *socio=nil de 1982 et au début*socio=rien de 1983. De ce fait*socio=rien, la hausse*socio=rien de l'indice_des_prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 s'est*socio=rien ralentie; cette décélération*socio=ec2, en réduisant les ajustements*socio=et de salaires*socio=ec1 au *socio=rien titre du coût_de_la_vie*socio=ec1 *socio=nil et en encourageant la révision*socio=rien en baisse*socio=ec2 des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2, a exercé une influence modératrice sur*socio=rien la structure*socio=ec1 des accords*socio=et salariaux*socio=ec1. Par ailleurs*socio=rien, il est*socio=rien de plus en plus difficile*socio=rien de mettre en doute*socio=rien la fermeté*socio=rien des politiques*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2. La modération*socio=ec2 des accords*socio=et salariaux*socio=ec1 conclus dans le secteur*socio=rien publie a eu une incidence*socio=ec2 *socio=rien directe sur le*socio=nil coût*socio=ec1 des*socio=nil services_publics*socio=et *socio=nil et a influé sur*socio=rien les négociations*socio=et salariales*socio=ec1 dans le secteur_privé*socio=et; le resserrement*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 a été*socio=rien, pour les chefs*socio=ac d'entreprise*socio=ac, une raison*socio=rien de plus d'exercer un*socio=rien contrôle*socio=uv3 sur*socio=rien l'évolution*socio=te de leurs coûts*socio=ec1 et notamment des *socio=ec1 coûts salariaux.*socio=nil *socio=nil Le plus souvent, le déflateur du*socio=rien PNB*socio=ec1 ne retient pas autant l'attention*socio=rien *socio=rien du grand *socio=nil publie que l'indice_des_prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1; ses variations*socio=rien sont néanmoins un*socio=rien indicateur*socio=ec2 plus *socio=rien sûr du taux*socio=ec1 d'*socio=nil inflation*socio=ec1 tendanciel*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil En tant que *socio=rien mesure globale des*socio=nil coûts*socio=ec1 de*socio=nil production*socio=ec1 unitaires intérieurs*socio=te (*socio=nil bénéfices*socio=ec1 *socio=nil compris), le déflateur du*socio=rien PNB*socio=ec1 n'est*socio=rien directement touché ni par l'évolution*socio=te du*socio=rien coût*socio=ec1 des produits*socio=rien importés ni par les fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1. Pour le groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac, le taux_d'_accroissement*socio=ec2 moyen*socio=rien pondéré du*socio=rien déflateur du*socio=rien PNB*socio=ec1 *socio=rien est passé *socio=nil de 7,5 % en 1978 à 9 % seulement en 1980, ce qui montre à quel point*socio=rien ces pays*socio=ac ont réussi à limiter*socio=rien les *socio=rien effets secondaires sur les*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil de la vague de hausses des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 de 1979-80. Toutefois, le recul*socio=rien de l'inflation*socio=ec1, mesuré par le déflateur du*socio=rien PNB*socio=ec1, a *socio=rien été un *socio=nil peu plus lent*socio=rien. Le taux*socio=ec1 d'augmentation*socio=ec2 est*socio=rien tombé à 8,5 % en 1981 et à 7,25 % en 1982. La relation*socio=rien entre les variations*socio=rien pondérées de l'indice_des_prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 et les *socio=rien variations correspondantes du déflateur*socio=nil du PNB*socio=ec1 *socio=nil dans les sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil est *socio=nil illustrée au graphique*socio=rien 4. L'indice_des_prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 a augmenté à peu près au même taux*socio=ec1 que le déflateur du*socio=rien PNB*socio=ec1 en 1978, mais sa hausse*socio=rien s'est*socio=rien considérablement*socio=rien accélérée en 1979 et 1980, en raison*socio=rien essentiellement de la montée des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien importés. L' indice_des_prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 s'est*socio=rien ensuite accru beaucoup plus lentement que le déflateur du*socio=rien PNB*socio=ec1 jusqu'à la fin*socio=rien de 1981 et, depuis lors*socio=rien, ils ont progressé, l'un*socio=rien et l'autre, à peu près au même rythme*socio=ec2. En ce qui concerne l'évolution*socio=te de l'inflation*socio=ec1 dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, c'est*socio=rien au Japon*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac que la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te a été*socio=rien le plus faible*socio=rien pendant les *socio=rien dernières années.*socio=nil Au*socio=nil Japon*socio=ac,*socio=nil *socio=nil le déflateur du*socio=rien PNB*socio=ec1 a continué d'augmenter de 2 à 3 % par an*socio=rien, et en Allemagne*socio=ac, de 4 à 5 %. Il est*socio=rien donc probable*socio=uv4 que, dans ces pays*socio=ac, les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 se maintiennent à ces niveaux*socio=rien relativement bas*socio=rien. Les États-unis*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac ont tous deux réussi à réduire l'inflation*socio=ec1 de façon*socio=rien très substantielle*socio=rien au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années.*socio=nil Les*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil réalisés au Royaume-uni*socio=ac sont particulièrement remarquables*socio=uv4, le taux*socio=ec1 d'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien déflateur du*socio=rien PNB*socio=ec1 ayant été*socio=rien ramené de près de 20 % en 1980 à environ 5 % au début*socio=rien de 1983. Aux États-unis*socio=ac, mesurée par ce déflateur, l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien tombée de plus de 9 % en 1980 à moins de 5 % durant l'année*socio=rien qui s'est*socio=rien achevée le 31 mars*socio=rien 1983. Le Canada*socio=ac est*socio=rien parvenu, lui aussi, à freiner sensiblement la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 depuis le milieu*socio=rien de 1982, mais il est*socio=rien probable*socio=uv4 que ces résultats*socio=rien ne se répercuteront pleinement sur*socio=rien les anticipations*socio=uv3 que s'ils se maintiennent assez longtemps. Les deux autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, la France*socio=ac et l'Italie*socio=ac, ont eu plus de difficulté*socio=uv4 à juguler les forces*socio=uv1 inflationnistes*socio=ec2. En 1982, le déflateur du*socio=rien PNB*socio=ec1 a encore augmenté, dans ces deux pays*socio=ac, à des taux*socio=ec1 proches*socio=rien des niveaux*socio=rien records*socio=ec2 qu'ils avaient atteints récemment. La France*socio=ac a adopté, l'année*socio=rien dernière*socio=rien, une politique*socio=et des revenus*socio=ec1, et l'Italie*socio=ac a modifié récemment les dispositions*socio=et relatives*socio=rien à l'indexation*socio=ec1 des salaires*socio=ec1. Néanmoins, autant que l'on puisse en juger, les *socio=ec2 pressions inflationnistes demeuraient*socio=nil fortes*socio=rien *socio=nil dans ces deux pays*socio=ac au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983. A quelques exceptions*socio=rien près, les progrès*socio=uv1 enregistrés dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 ont été*socio=rien moins sensibles*socio=rien dans les petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac que dans le groupe*socio=ac des sept pays*socio=ac les plus importants*socio=uv4. Sur*socio=rien une base*socio=rien annuelle*socio=te, la *socio=rien hausse moyenne pondérée*socio=nil du déflateur*socio=nil du PNB*socio=ec1 *socio=nil dans ces pays*socio=ac s'est*socio=rien, en fait*socio=rien, accélérée d'environ 0,5 % entre 1981 et 1982. Au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1982 et au début*socio=rien de 1983, la tendance*socio=ec2 semblait plus favorable*socio=uv4, mais l'écart*socio=ec2 entre les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 dans les grands*socio=rien et dans les petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac s'est*socio=rien néanmoins accusé. Chômage*socio=ec1. La sous-utilisation*socio=rien des *socio=ec1 ressources économiques s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil accentuée, *socio=rien conséquence directe *socio=nil de la faible*socio=rien croissance*socio=uv3 enregistrée dans les pays_industrialisés*socio=ac au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années.*socio=nil Le*socio=nil chômage*socio=ec1 *socio=nil et les graves*socio=uv4 répercussions*socio=ec2 qu'il a sur*socio=rien le plan*socio=rien social*socio=et sont un*socio=rien problème*socio=uv4 qui se pose avec de plus en plus d'urgence*socio=rien. Dans l'ensemble*socio=rien des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, le nombre*socio=rien des chômeurs*socio=ac *socio=rien est passé *socio=nil de 5 % de la population_active*socio=ac globale*socio=rien en 1979 à environ 9 % au milieu*socio=rien de 1983. En fait*socio=rien, sauf au Japon*socio=ac, les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac se sont situés récemment aux environs*socio=rien ou au-dessus de 10 %. Seul*socio=rien le Japon*socio=ac, où le taux_de_croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1 a été*socio=rien plus satisfaisant*socio=rien et où la sécurité*socio=uv1 de l'emploi*socio=ec1 est*socio=rien de tradition*socio=uv1, a pu éviter des licenciements*socio=ec1 massifs*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac; mais, même dans ce pays*socio=ac, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 a augmenté, passant de 2 % en 1979 à 2,75 % au milieu*socio=rien de 1983. L'accroissement*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1 s'est*socio=rien particulièrement accéléré en 1982, en raison*socio=rien essentiellement de la *socio=ec2 baisse réelle *socio=nil de la production*socio=ec1 globale*socio=rien intervenue cette année-là dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Comme il était à prévoir, c'est*socio=rien dans les pays*socio=ac où l'activité_économique*socio=ec1 était la plus faible*socio=rien (Canada*socio=ac, États-unis*socio=ac et République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac) qu'il a été*socio=rien le plus sensible*socio=rien. En décembre*socio=rien 1982, dans ces trois pays*socio=ac, les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 dépassaient d'au moins 2 % les niveaux*socio=rien atteints *socio=rien un an *socio=nil plus tôt. Depuis lors*socio=rien, ils ont toutefois eu tendance*socio=ec2 à baisser aux États-unis*socio=ac et au Canada*socio=ac et à augmenter moins rapidement dans les autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. La montée du*socio=rien chômage*socio=ec1 observée récemment s'est*socio=rien produite malgré le ralentissement*socio=ec2 du*socio=rien taux_d'_accroissement*socio=ec2 de la population_active*socio=ac dans le groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac. Ce taux*socio=ec1 diminue régulièrement depuis 1979, tombant de 1,75 % cette année-là à moins de 1 % en 1982. Les causes*socio=rien de cette décélération*socio=ec2 sont à la fois*socio=rien démographiques*socio=ec1 et économiques*socio=ec1: ce sont, d'une part*socio=rien, le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la population*socio=ac en âge*socio=rien de travailler, et, d'autre part*socio=rien, les *socio=rien effets négatifs *socio=nil de la récession*socio=ec2 sur*socio=rien les taux*socio=ec1 de participation*socio=uv3. Le *socio=rien résultat net *socio=nil de ces deux facteurs*socio=rien étant que le nombre*socio=rien des personnes*socio=ac en quête d'emploi*socio=ec1 a diminué, les taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 de chômage*socio=ec1 enregistrés au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années *socio=nil ne peuvent que sous-estimer la contraction*socio=ec2 qui s'est*socio=rien produite sur*socio=rien le marché*socio=ec1 de l'emploi*socio=ec1. Le nombre*socio=rien des *socio=ac personnes employées *socio=nil dans les principaux*socio=rien *socio=ac pays_ industrialisés *socio=nil dont le taux_d'_accroissement*socio=ec2 diminuait depuis trois ans*socio=rien a, en fait*socio=rien, baissé en 1982 (de 1 %). Dans plusieurs pays*socio=ac (République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, France*socio=ac et Royaume-uni*socio=ac), le nombre*socio=rien de *socio=ac personnes employées *socio=nil avaient d'ores et déjà diminué en 1980 ou en 1981, si bien*socio=rien que le *socio=rien nombre total des*socio=nil travailleurs*socio=ac *socio=nil qui ont perdu leur emploi*socio=ec1 a *socio=rien été substantiel *socio=nil (au Royaume-uni*socio=ac, le volume*socio=rien de l'emploi*socio=ec1 a diminué de plus de 8 % entre 1979 et 1982). Le Japon*socio=ac est*socio=rien le seul*socio=rien pays*socio=ac où le nombre*socio=rien de *socio=ac personnes employées *socio=nil ait augmenté durant cette période*socio=te. C'est*socio=rien à la fois*socio=rien dans l'étendue et dans la structure*socio=ec1 du*socio=rien chômage*socio=ec1 que se reflète la gravité de la récession*socio=ec2. Les jeunes*socio=ac et les minorités*socio=ac ont connu des taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 sans précédent*socio=rien; proportionnellement, toutefois, certaines*socio=rien des hausses les plus importantes*socio=uv4 ont été*socio=rien enregistrées par des catégories*socio=rien telles que les chefs*socio=ac de famille*socio=uv1 de *socio=rien sexe masculin,*socio=nil *socio=nil pour lesquels le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 est*socio=rien généralement beaucoup plus bas*socio=rien et plus stable*socio=uv4 que la moyenne*socio=rien. Par ailleurs*socio=rien, la gamme*socio=rien des professions*socio=ec1 où le chômage*socio=ec1 est*socio=rien élevé*socio=uv4 s'est*socio=rien élargie, la récession*socio=ec2 étant loin*socio=rien d'être*socio=rien limitée aux activités*socio=rien de nature*socio=rien conjoncturelle*socio=te, comme celles *socio=rien du secteur manufacturier*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil En outre, la durée*socio=te moyenne*socio=rien des périodes*socio=te de chômage*socio=ec1 s'est*socio=rien considérablement*socio=rien allongée. Si le problème*socio=uv4 que constitue actuellement le chômage*socio=ec1 est*socio=rien en très *socio=rien grande partie de*socio=nil nature conjoncturelle*socio=te,*socio=nil *socio=nil il vient se greffer sur*socio=rien une *socio=ec2 augmentation tendancielle du*socio=rien chômage*socio=ec1 *socio=nil apparue dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac depuis la fin*socio=rien des années*socio=rien 60 (graphique*socio=rien 5). Les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 ont eu tendance*socio=ec2 à augmenter par paliers*socio=rien pendant toute cette période*socio=te, les régressions conjoncturelles*socio=te provoquant une montée rapide*socio=rien de ce taux*socio=ec1 qui n'a pas été*socio=rien entièrement inversée par la phase*socio=te *socio=rien ascendante suivante.*socio=nil Cette*socio=nil tendance*socio=ec2 a*socio=nil été *socio=nil particulièrement marquée dans les *socio=ac pays européens,*socio=nil *socio=nil peut-être en raison*socio=rien de la *socio=rien forte hausse des*socio=nil salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2 *socio=nil qui s'y est*socio=rien produite au début*socio=rien des années*socio=rien 70. De ce fait*socio=rien, les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1, qui, dans ces pays*socio=ac, étaient généralement inférieurs*socio=rien à ceux des États-unis*socio=ac ou du*socio=rien Canada*socio=ac, n'en différaient plus guère en 1982; cette année-là, c'est*socio=rien le Royaume-uni*socio=ac qui, parmi les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, a enregistré le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 le plus élevé*socio=uv4. pays_en_développement*socio=uv3 : *socio=ac groupe_des_pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Les 12 pays*socio=ac qui forment ce groupe*socio=ac sont loin*socio=rien de présenter des caractéristiques*socio=rien uniformes*socio=uv4. Ils diffèrent les uns des autres par leur niveau*socio=rien de revenu*socio=ec1, leur population*socio=ac, les facteurs*socio=rien dont ils sont dotés, enfin par leur degré*socio=rien de développement*socio=uv3, et ce sont ces différences*socio=uv1 qui ont déterminé la façon*socio=rien dont leur économie*socio=ec1 s'est*socio=rien comportée, face*socio=rien à l'évolution*socio=te récente*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Néanmoins, ces pays*socio=ac ont tous été*socio=rien durement touchés par la baisse*socio=ec2 des *socio=ec1 recettes pétrolières,*socio=nil *socio=nil qui a commencé en 1981 et s'est*socio=rien accélérée en 1982. Il s'explique, au premier_chef*socio=rien, par un*socio=rien fléchissement*socio=ec2 sensible*socio=rien de la demande_globale*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1, lui-même causé principalement par la récession*socio=ec2 prolongée et par le changement*socio=uv3 *socio=rien considérable du prix*socio=ec1 relatif du pétrole*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil fléchissement*socio=ec2 *socio=nil de la demande*socio=ec1 a eu des répercussions*socio=ec2 *socio=rien démesurées sur les*socio=nil principaux *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil cependant que la production*socio=ec1 continuait d'augmenter dans d'autres pays*socio=ac pétroliers*socio=ec1. L'incidence*socio=ec2 des pressions*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 qui s'exerçaient sur*socio=rien les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 a été*socio=rien aggravée par le fait*socio=rien que les prix*socio=ec1 effectifs*socio=rien à l'exportation*socio=ec1 ont commencé à se replier, eux aussi, après*socio=rien le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1981. Au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1983, la faiblesse*socio=ec2 *socio=rien persistante du marché*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 *socio=nil a provoqué une réduction*socio=ec2 encore plus sensible*socio=rien des prix*socio=ec1 - notamment le prix*socio=ec1 de référence*socio=rien de l' organisation_des_pays_exportateurs_de_pétrole*socio=ac, qui a été*socio=rien abaissé de 15 %. Cette évolution*socio=te s'est*socio=rien traduite par un*socio=rien affaiblissement*socio=ec2 de la situation*socio=rien budgétaire*socio=et et de la situation*socio=rien de la balance_des_paiements*socio=ec1 dans nombre*socio=rien de *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ce sont les pays*socio=ac dont la situation*socio=rien financière*socio=ec1 était la plus forte*socio=rien qui ont le plus contribué à la réduction*socio=ec2 de la production*socio=ec1, mais presque tous les pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac y ont participé. Même dans ceux d'entre eux dont la situation*socio=rien financière*socio=ec1 était forte*socio=rien, la chute des recettes*socio=ec1 a été*socio=rien telle qu'ils ont dû adopter une ferme*socio=ec2 politique*socio=et d'ajustement*socio=et. Dès 1982, les deux tiers*socio=rien de l'accroissement*socio=ec2 des *socio=ec1 recettes pétrolières réelles*socio=ec2 *socio=nil entre 1978 et 1980 s'étaient résorbés, alors que, pendant la période*socio=te 1975-78, les recettes*socio=ec1 réelles*socio=ec2 avaient diminué de 14 % seulement. Au début*socio=rien de 1983, les prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 ont de nouveau*socio=rien baissé et le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 s'est*socio=rien encore contracté; les *socio=ec1 recettes pétrolières des*socio=nil *socio=ac pays exportateurs *socio=nil sont donc tombées, au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983, à *socio=rien un niveau inférieur,*socio=nil en*socio=nil valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 *socio=nil (c'est-à-dire après*socio=rien ajustement*socio=et en fonction*socio=rien des prix*socio=ec1 de leurs importations*socio=ec1), à celui qu'elles atteignaient avant le *socio=rien deuxième renchérissement du pétrole*socio=ec1,*socio=nil soit*socio=nil cinq ans *socio=nil plus tôt. Dans l'intervalle*socio=te, les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et les importations*socio=ec1 ont augmenté sensiblement; il a donc fallu prendre d'énergiques*socio=ec1 mesures*socio=et d'ajustement*socio=et pour atténuer les contrecoups de cette baisse*socio=ec2 des recettes*socio=ec1. Tous les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil ont alors réorienté leur politique_budgétaire*socio=et dans *socio=rien un sens restrictif*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil afin de remédier aux déséquilibres*socio=uv3 croissants*socio=rien de leur situation*socio=rien financière*socio=ec1 intérieure*socio=te et extérieure*socio=te. L'augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et, qui atteignait en moyenne*socio=rien plus de 25 % en 1980 et avait été*socio=rien ramenée à *socio=rien un niveau *socio=nil estimé à 20 % en 1981, a été*socio=rien contenue encore davantage et n'était plus que de 5 % en 1982. Cette politique*socio=et de compression*socio=et s'étant intensifiée dans le courant*socio=rien de l'année*socio=rien, il y a lieu*socio=rien de croire que les dépenses*socio=ec1 de ces pays*socio=ac pendant le *socio=rien second semestre *socio=nil de 1982 et le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983 ont été*socio=rien en *socio=rien moyenne un *socio=nil peu plus faibles*socio=rien que l'année*socio=rien précédente*socio=rien. La politique_monétaire*socio=et et la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 au crédit*socio=ec1 ont été*socio=rien généralement réorientées dans le même sens*socio=rien que la politique_budgétaire*socio=et, mais de façon*socio=rien moins marquée. Lorsque les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et augmentaient très rapidement (en 1980), l'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens large atteignait*socio=nil un taux*socio=ec1 *socio=nil estimé à 30 %, en moyenne*socio=rien, dans le *socio=ac groupe_des_pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil taux_d'_expansion*socio=ec2 est*socio=rien *socio=nil tombé à 15 % en 1982 et a encore diminué au *socio=rien cours du premier semestre *socio=nil de 1983. Dans les secteurs*socio=rien non pétroliers*socio=ec1 de ces pays*socio=ac, l'activité_économique*socio=ec1 a naturellement subi le contrecoup*socio=te des changements*socio=uv3 d'orientation*socio=et que l'on vient de mentionner. Ces changements*socio=uv3 ont toutefois *socio=rien été un *socio=nil peu moins marqués que ceux qui s'étaient produits*socio=rien au lendemain*socio=te de la première*socio=rien flambée des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 en 1973-74. De ce fait*socio=rien, et sous le coup*socio=rien de la diversification*socio=ec2 économique*socio=ec1 de plus en plus grande*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil fluctuations*socio=ec2 *socio=nil de l'activité_économique*socio=ec1 de ces secteurs*socio=rien ont été*socio=rien moins prononcées ces *socio=rien dernières années *socio=nil qu'au milieu*socio=rien des années*socio=rien 70. L'expansion*socio=ec2 annuelle*socio=te du*socio=rien PNB*socio=ec1 non pétrolier*socio=ec1 a été*socio=rien, en moyenne*socio=rien, d'environ 5 % en 1980 et 1981, puis est*socio=rien retombée à environ 3,5 % en 1982. L'ampleur*socio=rien de la *socio=rien hausse initiale du taux_de_croissance*socio=ec1 *socio=nil et de la baisse*socio=ec2 qui a suivi aurait été*socio=rien plus prononcée si l'on n'avait pas inclus les chiffres concernant la *socio=ac République islamique d'*socio=nil Iran,*socio=nil pays *socio=nil qui intervient pour une part*socio=rien relativement importante*socio=uv4 dans la production*socio=ec1 non pétrolière*socio=ec1 des pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac et dont l'évolution*socio=te a été*socio=rien influencée par les perturbations*socio=ec2 économiques*socio=ec1 de 1980-81 et par la reprise survenue ensuite. Si l'on tient compte*socio=ec1 de la production*socio=ec1 *socio=rien du secteur pétrolier*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil on constate, en revanche, que le PNB*socio=ec1 global*socio=te des *socio=ac pays exportateurs *socio=nil a diminué durant chacune des trois années*socio=rien de la période*socio=te 1980-82. La baisse*socio=ec2 *socio=rien du volume *socio=nil de la production*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 a été*socio=rien en moyenne*socio=rien d'environ 15 % par an*socio=rien pendant ces trois années*socio=rien mais elle s'est*socio=rien en fait*socio=rien accélérée durant cette période*socio=te. Cette baisse*socio=ec2, jointe au ralentissement*socio=ec2 du*socio=rien rythme*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 dans le secteur*socio=rien non pétrolier*socio=ec1, s'est*socio=rien traduite par une contraction*socio=ec2 (de près de 5 % en 1982) de la production*socio=ec1 totale*socio=rien. La faiblesse*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil accompagnée d'une réduction*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1. Ainsi mesurée, l'inflation*socio=ec1 a augmenté pendant les années*socio=rien 1979-81, non seulement parce que, dans l'ensemble*socio=rien, la politique_économique*socio=ec1 est*socio=rien devenue plus expansionniste*socio=ec2, mais aussi en raison*socio=rien de *socio=rien facteurs propres *socio=nil à chacun de ces pays*socio=ac. Dès 1982, toutefois, les *socio=rien effets du resserrement*socio=ec2 *socio=nil de la politique_économique*socio=ec1 se sont fait*socio=rien sentir davantage dans les 12 pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac et le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 est*socio=rien tombé à moins de 10 % dans ces pays*socio=ac, contre près de 13 % l'année*socio=rien précédente*socio=rien. La relative*socio=rien stabilisation*socio=et des prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 *socio=rien est un autre*socio=nil facteur *socio=nil qui a contribué à la diminution*socio=ec2 des pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les prix*socio=ec1. Selon les estimations*socio=ec2, les prix*socio=ec1 des importations*socio=ec1, exprimés en dollars*socio=ec1 EU, auraient légèrement diminué alors que la monnaie*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil ne s'est*socio=rien guère, voire nullement, dépréciée par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1. pays_en_développement*socio=uv3 : groupe_des_pays*socio=ac non pétroliers*socio=ec1. Bien*socio=rien que différant les uns des autres par leur *socio=ec1 structure économique,*socio=nil les*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers *socio=nil ont presque tous été*socio=rien gravement touchés par l'intensification*socio=ec2 de la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te, en 1982. L'affaiblissement*socio=ec2 de leurs principaux*socio=rien marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et la baisse*socio=ec2 continue*socio=rien des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien ont provoqué un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 marqué de la croissance*socio=uv3 de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, exprimées en DTS, et une baisse*socio=ec2 pure*socio=rien et simple*socio=rien de ces recettes*socio=ec1 si on les exprime en dollars*socio=ec1 EU Devant*socio=rien cette diminution*socio=ec2 de leurs recettes*socio=ec1 en devises*socio=ec1, il leur a fallu adopter des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et prévoyant une nouvelle*socio=rien compression*socio=et de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, à *socio=rien un moment *socio=nil où le niveau*socio=rien de l' activité_économique*socio=ec1 était d'ores et déjà déprimé. Pour ceux de ces pays*socio=ac qui avaient déjà contracté des emprunts*socio=ec1 *socio=rien massifs sur les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te,*socio=nil le*socio=nil problème*socio=uv4 *socio=nil lié à la contraction*socio=ec2 de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 a été*socio=rien aggravé par le fait*socio=rien qu'il leur était de plus en plus difficile*socio=rien d'avoir accès*socio=uv1 à ces sources*socio=rien de financement*socio=ec1. Les prêteurs*socio=ac ont décidé d'établir si les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil étaient en mesure*socio=rien d'assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1, et cette réévaluation*socio=ec1 s'est*socio=rien traduite par un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 marqué des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1982, surtout vers les pays*socio=ac dont l'effort*socio=uv1 d'ajustement*socio=et avait été*socio=rien jugé insuffisant*socio=uv4 par les banques*socio=ac. Cela étant, les pays_en_développement*socio=uv3 ont presque tous été*socio=rien contraints*socio=uv2 d'intensifier leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et, dans bien*socio=rien des cas*socio=rien au détriment*socio=uv2 de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1. L'expansion*socio=ec2 de la production*socio=ec1 réelle*socio=ec2 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 s'est*socio=rien encore ralentie en 1982, et son taux*socio=ec1 est*socio=rien tombé à 1,5 % environ pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac (tableau*socio=rien 2). C'était la *socio=rien quatrième année de*socio=nil suite *socio=nil que la croissance*socio=uv3 se ralentissait dans ces pays*socio=ac; en 1978, le taux*socio=ec1 était de plus de 6 %, c'est-à-dire un*socio=rien rythme*socio=ec2 à peu près normal*socio=rien par rapport*socio=rien aux normes*socio=et habituelles*socio=rien, mais il est*socio=rien tombé à 2,5 % en 1981, puis à 1,5 % en 1982. Cette forte*socio=rien décélération*socio=ec2 s'explique, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil par*socio=nil un fléchissement*socio=ec2 *socio=nil encore plus marqué du*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec1 dans quelques-uns des grands*socio=rien pays*socio=ac - notamment l'Argentine*socio=ac, le Brésil*socio=ac et le Mexique*socio=ac -, qui avaient tous bénéficié d'une croissance*socio=ec1 dynamique*socio=uv4 en 1978 mais qui ont dû, plus récemment, adopter des mesures*socio=et restrictives*socio=uv4 pour rétablir l'équilibre*socio=ec2 intérieur*socio=te et extérieur*socio=te. Toutefois, le ralentissement*socio=ec2 a été*socio=rien beaucoup plus généralisé, comme l'indiquent les statistiques*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 ventilées par sous-groupes_de_pays*socio=ac (classification*socio=ec2 analytique*socio=ec2) et par *socio=te régions géographiques.*socio=nil *socio=nil En 1982, le taux_de_croissance*socio=ec1 dans chacune des principales*socio=rien régions*socio=te et pour chacun des sous-groupes_de_pays*socio=ac considérés au tableau*socio=rien 2 a été*socio=rien nettement inférieur*socio=rien à celui de 1978. Comme on l'a déjà indiqué, le ralentissement*socio=ec2 généralisé de la croissance*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 tient, pour une *socio=rien bonne part,*socio=nil *socio=nil à la décélération*socio=ec2 sensible*socio=rien de la croissance*socio=uv3 de leurs exportations*socio=ec1, en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2. Pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac, l'augmentation*socio=ec2 annuelle*socio=te *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 de*socio=nil marchandises*socio=ec1 est *socio=nil tombée de 9 % en 1976-80 à 6 % en 1981, puis à moins de 1 % en 1982. Ce recul*socio=rien correspond essentiellement à celui du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, en général*socio=rien. Il se peut toutefois que la diminution*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 ait aussi eu pour cause*socio=rien la résistance*socio=rien de plus en plus manifeste que les pays_industrialisés*socio=ac - eux-mêmes généralement aux prises*socio=rien avec une baisse*socio=ec2 de leur *socio=ec1 production industrielle *socio=nil - opposent à l'élargissement*socio=ec2 des *socio=ec1 débouchés commerciaux *socio=nil de certains pays_en_développement*socio=uv3 parmi les plus avancés, notamment de ceux qui font *socio=rien partie du groupe*socio=ac des*socio=nil principaux exportateurs*socio=ac de*socio=nil produits *socio=nil manufacturés. Quant aux pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac, le ralentissement*socio=ec2 de leurs exportations*socio=ec1 - dont le taux_de_croissance*socio=ec1 annuelle*socio=te est*socio=rien tombé, en effet*socio=rien, de 12 % en 1976-80 (rythme*socio=ec2 qui dénote un*socio=rien accroissement*socio=ec2 notable*socio=rien et soutenu de leur *socio=rien part du marché*socio=ec1)*socio=nil *socio=nil à -2,5 % en 1982 (indice qui indique une diminution*socio=ec2) - s'explique principalement, certes, par la *socio=rien nature particulière *socio=nil de leurs produits*socio=rien d'exportation*socio=ec1 et par les caractéristiques*socio=rien des marchés*socio=ec1 sur*socio=rien lesquels ils les écoulent; toutefois, dans certains *socio=rien cas précis,*socio=nil *socio=nil il peut avoir été*socio=rien provoqué en partie*socio=rien par la montée du*socio=rien protectionnisme*socio=et. Étant donné que les exportations*socio=ec1 comptent pour près d'un*socio=rien sixième*socio=rien de la production*socio=ec1 globale*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=ec1 (en volume*socio=rien) de leurs exportations*socio=ec1 est*socio=rien, dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil directement*socio=nil responsable*socio=uv2 *socio=nil de la baisse*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec1 de leur production*socio=ec1 totale*socio=rien. Cela dit, l'incidence*socio=ec2 que l'évolution*socio=te internationale*socio=ac a sur*socio=rien ces pays*socio=ac va bien*socio=rien au-delà de ses *socio=rien effets sur le*socio=nil volume *socio=nil de leurs exportations*socio=ec1. En réalité*socio=ec2, les fluctuations*socio=ec2 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 et des taux_d'_intérêt*socio=ec1 internationaux*socio=te ont probablement eu sur*socio=rien la croissance*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 des répercussions*socio=ec2 beaucoup plus néfastes*socio=rien que la seule*socio=rien contraction*socio=ec2 *socio=rien du volume *socio=nil de leurs exportations*socio=ec1. La hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 de leurs importations*socio=ec1 et celle des taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont eu pour effet*socio=rien de détourner vers l'étranger*socio=te une *socio=rien partie du pouvoir_d'_achat*socio=ec1 *socio=nil de ces pays*socio=ac, tandis que la chute des cours*socio=rien de leurs produits*socio=rien de base*socio=rien réduisait radicalement les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 qu'ils pouvaient en attendre. *socio=rien Du fait *socio=nil de ces fluctuations*socio=ec2 des prix*socio=ec1 attribuables*socio=rien à des causes*socio=rien extérieures*socio=te, une part*socio=rien importante*socio=uv4 des ressources*socio=ec1 nationales*socio=te s'est*socio=rien détournée du*socio=rien circuit de la dépense*socio=ec1. Pour les pays*socio=ac qui sont des importateurs*socio=ac nets*socio=rien de pétrole*socio=ec1, les ressources*socio=ec1 ainsi détournées auraient, selon les estimations*socio=ec2, augmenté d'un*socio=rien montant*socio=ec1 estimé à 85 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 environ (soit plus de 5 % de leur produit_intérieur_brut*socio=ec1 global*socio=te) de 1978 à 1982 (voir la section*socio=rien ci-après concernant le commerce*socio=ec1 et les paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te). Pour faire face*socio=rien aux difficultés*socio=uv4 que leur imposait l'évolution*socio=te défavorable*socio=uv4 de la situation*socio=rien extérieure*socio=te, les pays_en_développement*socio=uv3 ont dû à la fois*socio=rien prendre des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et et accroître fortement leurs emprunts*socio=ec1 à l'étranger*socio=te. Cependant, comme la reprise continuait à tarder dans le monde*socio=te industrialisé, l'endettement*socio=ec1, alourdi par ces nouveaux*socio=rien emprunts*socio=ec1, atteignait *socio=rien un niveau *socio=nil généralement considéré comme insoutenable*socio=uv4. De ce fait*socio=rien, les entrées de capitaux*socio=ec1 (y compris les transferts_officiels*socio=et), qui étaient progressivement*socio=rien passées*socio=te de l'équivalent*socio=rien d'environ 4 % du*socio=rien produit_intérieur_brut*socio=ec1 (PIB*socio=ec1) en 1978 à plus de 5 % en 1981, sont tombées à moins de 3 % en 1982. Les difficultés*socio=uv4 de paiements*socio=ec1 que cette réduction*socio=ec2 des prêts*socio=ec1 avait brusquement créées dans certains de ces pays*socio=ac ont obligé ceux-ci à prendre des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et plus énergiques*socio=ec1 et à ralentir encore la croissance*socio=uv3 de leur production*socio=ec1 déjà en perte*socio=ec2 de vitesse*socio=rien. Dans ces pays*socio=ac, l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 s'est*socio=rien ralentie encore plus que celle de la production*socio=ec1. Pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac, le taux_de_croissance*socio=ec1 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2, n'a cessé de baisser: de plus de 6 % en 1978 (c'est-à-dire un*socio=rien taux*socio=ec1 correspondant à celui de la croissance*socio=ec1 du*socio=rien PIB*socio=ec1), il est*socio=rien tombé à 1,5 % en 1981 (niveau*socio=rien très inférieur*socio=rien à celui de la croissance*socio=ec1 du*socio=rien PIB*socio=ec1), puis est*socio=rien devenu nul*socio=rien en 1982. Cette évolution*socio=te dénote que, dans les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, les dépenses*socio=ec1 par habitant*socio=ac ont baissé en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 en 1981 et en 1982, phénomène*socio=rien sans précédent*socio=rien dans la période*socio=te d'après-guerre*socio=te. Pour avoir une vue*socio=rien plus générale*socio=rien de l'absorption*socio=rien intérieure*socio=te dans ces pays*socio=ac, il suffit d'examiner le graphique*socio=rien 6, qui montre, pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac, la courbe de croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1, des exportations*socio=ec1 et de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Outre la décélération*socio=ec2 manifeste de chacun de ces éléments*socio=rien depuis quatre ans*socio=rien, le *socio=rien graphique fait *socio=nil ressortir à quel point*socio=rien ces pays*socio=ac se sont efforcés, ou - par suite*socio=rien des contraintes*socio=uv1 financières*socio=ec1 - ont été*socio=rien obligés, de ramener la croissance*socio=uv3 de leur demande*socio=ec1 intérieure*socio=te à un*socio=rien taux*socio=ec1 *socio=rien bien inférieur *socio=nil à celui de la production*socio=ec1, ce qui a évidemment freiné encore la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 elle-même. L'évolution*socio=te à peu près parallèle*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et des exportations*socio=ec1 à partir de 1980 contraste nettement avec la tendance*socio=ec2 observée pendant la plus *socio=rien grande partie des*socio=nil années *socio=nil 70. Les accélérations et ralentissements de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te étaient alors habituellement contrebalancés, du*socio=rien moins dans leur incidence*socio=ec2 sur*socio=rien le PIB*socio=ec1, par les *socio=rien variations du rythme*socio=ec2 de*socio=nil croissance*socio=uv3 des*socio=nil exportations*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui, si elles ne faisaient pas contrepoids à ces mouvements*socio=ec2, n'avaient, en tout cas*socio=rien, pas pour effet*socio=rien de les accentuer. Ce n'est*socio=rien qu'en 1976 que les taux_d'_accroissement*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 et de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te ont évolué parallèlement. En revanche, les variations*socio=rien de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et des exportations*socio=ec1 sont allées dans le même sens*socio=rien (en baisse*socio=ec2) durant chacune des trois années*socio=rien qui ont suivi 1979, et ont, par conséquent*socio=rien, freiné encore davantage la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1. Ce changement*socio=uv3 dans la relation*socio=rien entre l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et celle de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te tient sans doute*socio=rien en *socio=rien grande partie *socio=nil à la persistance*socio=te de la faiblesse*socio=ec2 actuelle*socio=te de l' activité_économique*socio=ec1 mondiale*socio=te. Dans le passé*socio=rien, les fluctuations*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te étaient d'assez courte*socio=rien durée*socio=te (deux ans*socio=rien environ *socio=rien du sommet au*socio=nil bas *socio=nil de la courbe et vice*socio=uv3 versa) et la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 ne réagissait à ces fluctuations*socio=ec2 qu'avec *socio=rien un certain décalage.*socio=nil La*socio=nil production*socio=ec1 globale *socio=nil suivait donc une courbe de croissance*socio=uv3 plus régulière*socio=ec2 que la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te ou les exportations*socio=ec1. Or*socio=ec1, sous le coup*socio=rien de la présente*socio=rien récession*socio=ec2 et en raison*socio=rien notamment de la persistance*socio=te, voire de l'intensification*socio=ec2, de la faiblesse*socio=ec2 économique*socio=ec1 dans le monde*socio=te industrialisé, les pays_en_développement*socio=uv3 ont été*socio=rien amenés à prendre des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et prévoyant une contraction*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, au *socio=rien moment précis *socio=nil où les conditions*socio=ec1 extérieures*socio=te étaient le moins favorables*socio=uv4. C'est*socio=rien à ce phénomène*socio=rien qu'il faut probablement attribuer le lien*socio=rien beaucoup plus étroit*socio=rien, déjà signalé dans le Rapport*socio=rien de l'année*socio=rien dernière*socio=rien, entre les taux_de_croissance*socio=ec1 enregistrés ces *socio=rien dernières années *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac et dans les pays_en_développement*socio=uv3. Cette correspondance des taux_de_croissance*socio=ec1 s'explique aussi par le fait*socio=rien que les pays_en_développement*socio=uv3 ont dû réduire considérablement*socio=rien leurs importations*socio=ec1 en raison*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 prolongée de leur position*socio=rien extérieure*socio=te. Dans bien*socio=rien des cas*socio=rien, cette réduction*socio=ec2 s'est*socio=rien étendue à des importations*socio=ec1 qui étaient nécessaires*socio=rien au processus*socio=te de production*socio=ec1 et a eu de graves*socio=uv4 conséquences*socio=rien pour le niveau*socio=rien de la production*socio=ec1 courante*socio=te et potentielle*socio=uv4. L'évolution*socio=te récente*socio=rien de la situation*socio=rien a assombri les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 de tous les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, encore que la gravité de son incidence*socio=ec2 et le moment*socio=rien où elle s'est*socio=rien fait*socio=rien sentir varient considérablement*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. Il faut, à cet égard*socio=rien, faire une *socio=rien nette distinction *socio=nil entre les pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac non pétrolier*socio=ec1 selon qu'ils sont importateurs*socio=ac nets*socio=rien ou exportateurs*socio=ac nets*socio=rien de pétrole*socio=ec1. Dans les premiers*socio=rien, les pressions*socio=ec2 susmentionnées avaient déjà provoqué, en 1980 et en 1981, un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 assez prononcé de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 - dont le taux*socio=ec1 était tombé à environ 2 % en 1981. La nouvelle*socio=rien décélération*socio=ec2 qui s'est*socio=rien produite en 1982 a donc été*socio=rien relativement modérée (environ 0,5 %). Les *socio=ac pays exportateurs nets*socio=rien de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil en revanche, bénéficiaient d'une position*socio=rien extérieure*socio=te plus ferme*socio=ec2 qui leur a permis*socio=rien de maintenir un*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec1 supérieur*socio=rien à 6 % jusqu'à la fin*socio=rien de 1981. En 1982, toutefois, la faiblesse*socio=ec2 *socio=rien persistante du marché*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 *socio=nil et l'arrêt*socio=rien presque total*socio=rien, au *socio=rien second semestre,*socio=nil des*socio=nil prêts*socio=ec1 internationaux*socio=te *socio=nil provenant de sources*socio=rien privées*socio=et ont ralenti la croissance*socio=uv3 de leur production*socio=ec1, dont le taux*socio=ec1 est*socio=rien tombé à moins de 1 %. L'écart*socio=ec2 entre les *socio=rien différents moments *socio=nil où s'est*socio=rien produit*socio=rien le ralentissement*socio=ec2 économique*socio=ec1 dans les divers pays*socio=ac est*socio=rien illustré au graphique*socio=rien 7; la *socio=rien partie supérieure du graphique présente *socio=nil les indices du*socio=rien PIB*socio=ec1 réel*socio=rien pour chacun des groupes_de_pays*socio=ac (classification*socio=ec2 analytique*socio=ec2). Ce *socio=rien graphique fait *socio=nil ressortir l'incidence*socio=ec2 particulièrement marquée de l'évolution*socio=te récente*socio=rien de la *socio=rien situation sur les*socio=nil *socio=ac pays exportateurs nets*socio=rien de*socio=nil pétrole*socio=ec1 et*socio=nil sur*socio=rien les*socio=nil principaux*socio=rien exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés, mais il montre aussi que, dans une optique*socio=rien temporelle plus large*socio=rien, la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien beaucoup plus tenace*socio=rien dans ces pays*socio=ac que dans les pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 faible*socio=rien ou à revenu*socio=ec1 moyen*socio=rien qui sont exportateurs*socio=ac de *socio=rien produits primaires.*socio=nil *socio=nil A partir de données sur*socio=rien le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien de chaque région*socio=te, le graphique*socio=rien 7 présente*socio=rien sous un*socio=rien autre angle*socio=rien l'évolution*socio=te des taux_de_croissance*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. Dans chaque région*socio=te, il s'est*socio=rien *socio=rien produit un certain ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1, mais les pays*socio=ac qui ont dû assumer plus que leur part*socio=rien de l'ajustement*socio=et sont ceux de l'hémisphère_occidental*socio=te, où la production*socio=ec1 s'est*socio=rien effectivement*socio=rien ralentie en 1981 et en 1982. *socio=rien Un aspect inquiétant *socio=nil de l'évolution*socio=te retracée par ce *socio=rien graphique est le*socio=nil comportement du taux_de_croissance*socio=ec1 des*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil Afrique*socio=ac;*socio=nil en*socio=nil effet,*socio=nil ce*socio=nil taux*socio=ec1 est demeuré*socio=nil faible *socio=nil presque tout au long*socio=rien de la dernière*socio=rien décennie*socio=te. Dans les *socio=ac pays africains,*socio=nil le*socio=nil *socio=rien niveau du revenu*socio=ec1 *socio=nil en chiffres *socio=rien absolus est *socio=nil généralement plus bas*socio=rien que dans les autres pays*socio=ac et le *socio=ec1 taux_de_croissance démographique y*socio=nil est*socio=rien *socio=nil généralement plus élevé*socio=uv4; si elle *socio=rien est lente,*socio=nil l'*socio=nil expansion*socio=ec2 *socio=nil de la production*socio=ec1 y a donc des répercussions*socio=ec2 particulièrement graves*socio=uv4 sur*socio=rien les conditions_de_vie*socio=uv1. Malgré la faiblesse*socio=ec2 marquée de l'activité_économique*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 en 1982, l'inflation*socio=ec1 des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 (sur*socio=rien la base*socio=rien d'une moyenne*socio=rien pondérée) s'est*socio=rien maintenue pour la *socio=rien troisième année de*socio=nil suite à*socio=nil un niveau *socio=nil qui dépasse 30 % (tableau*socio=rien 3). On a constaté, en outre, que la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 a eu tendance*socio=ec2 à s'accélérer pendant les *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1982 et au début*socio=rien de 1983. Le médiocre*socio=uv2 comportement*socio=rien des prix*socio=ec1 s'explique essentiellement par les tendances*socio=ec2 observées dans la région*socio=te de l'hémisphère_occidental*socio=te où, en raison*socio=rien surtout de l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 des pays*socio=ac les plus importants*socio=uv4, le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien pondéré de l'inflation*socio=ec1 a augmenté à un*socio=rien rythme*socio=ec2 qui s'est*socio=rien considérablement*socio=rien accéléré durant chacune des quatre *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil On obtient *socio=rien un tableau *socio=nil quelque peu différent*socio=rien des *socio=ec2 tendances inflationnistes *socio=nil à partir des *socio=rien variations du taux*socio=ec1 médian d'*socio=nil inflation*socio=ec1 *socio=nil (c'est-à-dire le taux*socio=ec1 qui est*socio=rien à la *socio=rien fois inférieur *socio=nil à celui de l'inflation*socio=ec1 dans une moitié*socio=rien des pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac et supérieur*socio=rien à celui de l'inflation*socio=ec1 dans l'autre moitié*socio=rien). Dans les pays_en_développement*socio=uv3, le taux*socio=ec1 médian*socio=rien d'inflation*socio=ec1 a diminué peu à peu ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil tombant d'environ 15 % en 1980 à 11,5 % en 1982. Il *socio=rien est intéressant *socio=nil de noter que cette baisse*socio=ec2 a été*socio=rien le plus prononcée dans les pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te *socio=rien du fait *socio=nil que les quelques grands*socio=rien pays*socio=ac où l'inflation*socio=ec1 s'est*socio=rien accélérée sont moins nombreux*socio=rien que ceux où elle s'est*socio=rien ralentie. Dans les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac, le taux*socio=ec1 médian*socio=rien d'inflation*socio=ec1 a diminué sensiblement au cours*socio=rien des trois *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil mais les progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien moins marqués dans les autres régions*socio=te. La persistance*socio=te de taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 d'inflation*socio=ec1 dans les pays_en_ développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 tient notamment à la politique*socio=et financière*socio=ec1 d'accompagnement*socio=rien que ces pays*socio=ac appliquent depuis plusieurs années*socio=rien. Pour l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac, le taux_d'_expansion*socio=ec2 annuelle*socio=te de la masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens large est passé *socio=nil de 30-35 % pendant les années*socio=rien 1976-80 à plus de 40 % en 1981 et en 1982. Les taux_d'_expansion*socio=ec2 du*socio=rien crédit*socio=ec1 intérieur*socio=te, qui ont augmenté encore plus vite, se situaient dans la fourchette*socio=rien de 50 à 55 % en 1981 et 1982. Les pressions*socio=ec2 qui se sont exercées, de ce fait*socio=rien, sur*socio=rien les prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te et la nécessité*socio=uv1 d'intensifier les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et extérieur*socio=te ont amené nombre*socio=rien de pays_en_développement*socio=uv3 à dévaluer leur monnaie*socio=ec1 davantage ou plus rapidement que par le passé*socio=rien. Une telle action*socio=ec1, qui doit permettre à la longue*socio=rien d'établir un*socio=rien meilleur*socio=uv4 équilibre*socio=ec2 entre l'offre_et_la_demande*socio=ec1 de biens*socio=ec1 faisant l'objet*socio=rien d'échanges*socio=ec1, a pour *socio=rien effet initial *socio=nil d'élever le niveau*socio=rien des prix*socio=ec1 et de donner, pour l'inflation*socio=ec1, des statistiques*socio=ec2 officielles*socio=et moins favorables*socio=uv4. Toute l'importance*socio=rien que revêt ce f acteur*socio=ac pour les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 peut se mesurer au fait*socio=rien que le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien pondéré de la dépréciation*socio=ec2 de leurs monnaies*socio=ec1 par rapport*socio=rien au dollar_eu*socio=ec1, qui était de 8,5 % en 1978-79, a plus que triplé (26 %) en 1981-82. Dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil l'*socio=nil expansion*socio=ec2 *socio=nil accélérée de la masse_monétaire*socio=ec1 et du*socio=rien crédit*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 reflète une détérioration*socio=uv4 de leur5 résultats*socio=rien budgétaires*socio=et. Pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac, le défi*socio=uv2. cit budgétaire*socio=et moyen*socio=rien, qui correspondait à 3 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 di 1976 à 1980, a dépassé 4 % en 1981-82. A cet égard*socio=rien, il es particulièrement préoccupant*socio=rien de noter à quel point*socio=rien cette détérioration*socio=uv4 est*socio=rien due à la progression*socio=ec2 accélérée de dépenses*socio=ec1, tendance*socio=ec2 qu'il sera inévitablement difficile*socio=rien d'inverser. Il y a donc lieu*socio=rien de s'inquiéter de l'évolution*socio=te de la politique*socio=et financière*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. Il faut cependant reconnaître que certains d'entre eux ont adopté une politique*socio=et plus rigoureuse*socio=uv4, en particulier*socio=rien pendant les deux ou trois semestres*socio=rien qui ont précédé la mi-1983. Cette tendance*socio=ec2 se traduit peut-être surtout par la baisse*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 médian*socio=rien de croissance*socio=uv3 monétaire*socio=ec1, qui est*socio=rien tombé de 19-20 % dans chacune des années*socio=rien de la période*socio=te 1977-81 à environ 15 % en 1982. A en juger par les plans*socio=rien adoptés pour 1983, les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 projettent, dans l'ensemble*socio=rien, de resserrer leur politique*socio=et financière*socio=ec1 cette année-là. Ces déclarations*socio=et d'intention*socio=rien doivent naturellement être*socio=rien interprétées avec prudence*socio=uv1, mais l'importance*socio=rien de la réorientation*socio=et envisagée et le fait*socio=rien que les plans*socio=rien sont souvent dictés par des contraintes*socio=uv1 financières*socio=ec1 ou incorporés dans les programmes*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 donnent à penser qu'il se produit*socio=rien actuellement *socio=rien un profond changement*socio=uv3 *socio=nil dans l'orientation*socio=et des politiques*socio=et financières*socio=ec1 de bien*socio=rien des pays*socio=ac. Il n'est*socio=rien pas étonnant*socio=rien que l'évolution*socio=te des politiques*socio=et ait suivi *socio=rien un cours très*socio=nil différent *socio=nil dans les nombreux*socio=rien pays*socio=ac qui forment le groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. Pour certains d'entre eux, ces différences*socio=uv1 sont le reflet*socio=rien des divergences*socio=uv1 de la conjoncture*socio=ec2 économique*socio=ec1, mais pour d'autres, elles résultent de politiques*socio=et choisies délibérément. Étant donné les différences*socio=uv1 observées dans l'orientation*socio=et des politiques*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, on est*socio=rien naturellement amené à se demander si ces différences*socio=uv1 vont se refléter également dans leurs résultats*socio=rien économiques*socio=ec1. C'est*socio=rien là une *socio=rien question fort *socio=nil complexe, qui ne se prête*socio=rien guère à des *socio=rien réponses catégoriques.*socio=nil *socio=nil Il convient, cependant, de noter que, d'après*socio=rien une étude*socio=ec2 des services_du_fonds*socio=ec1 1, les pays*socio=ac qui ont appliqué au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années une*socio=nil politique*socio=et financière*socio=ec1 *socio=nil visant à contenir l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et à préserver leur compétitivité*socio=uv3 extérieure*socio=te ont généralement obtenu dans le domaine*socio=rien des opérations_courantes*socio=te de meilleurs*socio=uv4 résultats*socio=rien que ceux qui n'ont pas effectué d'ajustement*socio=et -, en outre, ils n'ont pas provoqué pour autant une baisse*socio=ec2 disproportionnée de leurs taux_de_croissance*socio=ec1. Il semble donc que les pays*socio=ac qui ont adopté dès le début*socio=rien une politique*socio=et judicieuse*socio=uv4 ont été*socio=rien mieux à même de faire face*socio=rien au cours*socio=rien défavorable*socio=uv4 des événements*socio=rien des quatre ou *socio=rien cinq dernières années *socio=nil que les pays*socio=ac dont la politique*socio=et a été*socio=rien dictée par une conception*socio=et moins rigoureuse*socio=uv4 de la discipline*socio=uv1 financière*socio=ec1. Commerce*socio=ec1 et paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te. *socio=rien Situation générale.*socio=nil Les*socio=nil changements*socio=uv3 *socio=nil intervenus en 1982 dans les courants*socio=te d' échanges_mondiaux*socio=ec1 et dans la structure*socio=ec1 des balances_des_paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te tiennent essentiellement à la persistance*socio=te et à l'aggravation*socio=ec2 de la récession*socio=ec2 dans le monde*socio=te, à l'atténuation*socio=ec2 des pressions*socio=ec2 qu'exerce la demande*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 mondial*socio=te du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et au ralentissement*socio=ec2 assez brusque du*socio=rien flux*socio=ec1 des *socio=ec1 crédits bancaires privés*socio=et à*socio=nil destination*socio=rien des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil L'*socio=nil incidence*socio=ec2 *socio=nil de la récession*socio=ec2 s'est*socio=rien traduite par la réduction*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil importations*socio=ec1 des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac,*socio=nil *socio=nil mais elle est*socio=rien particulièrement manifeste dans la forte*socio=rien baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien exportés par les pays_en_développement*socio=uv3 et dans la *socio=uv4 grave détérioration *socio=nil de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1. Le tassement*socio=rien de la demande*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 *socio=rien est attribuable *socio=nil non seulement à la faiblesse*socio=ec2 conjoncturelle*socio=te générale*socio=rien de l'activité_économique*socio=ec1, mais aussi aux efforts*socio=uv1 que les pays*socio=ac ont déployés, après*socio=rien le *socio=rien renchérissement du pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil pour économiser l'énergie*socio=ec1 et pour trouver des combustibles*socio=ec1 de remplacement*socio=rien. La contraction*socio=ec2 des *socio=ec1 prêts bancaires internationaux*socio=te *socio=nil a contribué, pour une *socio=rien bonne part,*socio=nil *socio=nil à la très forte*socio=rien baisse*socio=ec2, en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2, des importations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. Jointe à *socio=rien un léger recul,*socio=nil en*socio=nil valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2,*socio=nil des*socio=nil importations*socio=ec1 des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil et à un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 sensible*socio=rien de la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil cette*socio=nil baisse*socio=ec2 *socio=nil a entraîné une diminution*socio=ec2 *socio=rien du volume du commerce*socio=ec1 international*socio=te,*socio=nil la*socio=nil première *socio=nil qui ait été*socio=rien enregistrée, d'une année*socio=rien à l'autre, depuis 1975. Les soldes*socio=ec1 extérieurs*socio=te qui ont été*socio=rien le plus fortement et visiblement*socio=rien touchés par ces divers facteurs*socio=rien sont ceux des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil L'*socio=nil excédent*socio=ec1 courant*socio=rien des*socio=nil pays *socio=nil de ce groupe*socio=ac, déjà réduit de moitié*socio=rien en 1981 par rapport*socio=rien au niveau*socio=rien qu'il avait atteint après*socio=rien sa montée en flèche des deux *socio=rien années précédentes,*socio=nil *socio=nil a entièrement disparu en 1982 (tableau*socio=rien 4). Le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 a nettement diminué en 1982, malgré la baisse*socio=ec2 sensible*socio=rien de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1. Toutefois, le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te enregistrées du*socio=rien groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac n'a guère changé : si l'on exclut les transferts_officiels*socio=et, il est*socio=rien resté proche de zéro*socio=rien. Pour les raisons*socio=rien données dans World Economic Outlook de mai*socio=rien 1983 (pages*socio=rien 161-67), il semble probable*socio=uv4 que les recettes*socio=ec1 nettes*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac et des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil nettement sous-estimées dans les statistiques*socio=ec2 établies par les services*socio=et des divers pays*socio=ac. Il faut donc interpréter avec beaucoup de prudence*socio=uv1 les données relatives*socio=rien aux soldes*socio=ec1 globaux*socio=te des différents*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac. Les fluctuations*socio=ec2 des soldes*socio=ec1 courants*socio=te depuis 1981 se sont accompagnées, bien*socio=rien entendu, de *socio=rien variations proportionnelles *socio=nil dans les *socio=ec1 flux financiers,*socio=nil *socio=nil et notamment d'un*socio=rien profond*socio=rien changement*socio=uv3 des sources*socio=rien d'où proviennent les fonds*socio=ec1 des marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te. Depuis la mi-1982, la transformation*socio=ec2 des structures*socio=ec1 de financement*socio=ec1 est*socio=rien aussi caractérisée par la baisse*socio=ec2 *socio=rien du pourcentage des*socio=nil capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te *socio=nil acheminés par le système_bancaire*socio=ec1 privé*socio=et. Les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui, en 1979 et 1980, étaient la *socio=rien principale source nette de*socio=nil fonds*socio=ec1 *socio=nil acheminés essentiellement par le système_bancaire*socio=ec1, sont devenus en 1982 des *socio=rien utilisateurs nets des*socio=nil *socio=ec1 ressources bancaires internationales*socio=te *socio=nil (par des retraits de dépôts*socio=ec1 effectués antérieurement*socio=rien plutôt que par l'emprunt*socio=ec1, encore que certains pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac aient sensiblement accru le montant*socio=ec1 net*socio=rien de leurs emprunts*socio=ec1). En revanche, les pays_industrialisés*socio=ac, dont les emprunts*socio=ec1 sur*socio=rien le *socio=ec1 marché bancaire international*socio=te *socio=nil avaient atteint un*socio=rien montant*socio=ec1 supérieur*socio=rien à celui qu'atteignaient leurs dépôts*socio=ec1 en 1979 et l'avait presque égalé en 1980, ont repris, ces deux *socio=rien dernières années,*socio=nil leur*socio=nil rôle*socio=et plus*socio=nil traditionnel de*socio=nil principaux fournisseurs*socio=ac de*socio=nil fonds*socio=ec1 aux*socio=nil *socio=ec1 marchés bancaires.*socio=nil Leurs*socio=nil placements *socio=rien nets sur ces*socio=nil marchés*socio=ec1 *socio=nil ont dépassé 40 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1981 et en 1982. Pour se procurer les capitaux*socio=ec1 importés dont ils ont normalement besoin*socio=uv1, les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, pris en groupe*socio=ac, ont continué d'avoir recours*socio=rien aux banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te; le montant*socio=ec1 de leurs emprunts*socio=ec1 à ces banques*socio=ac a été*socio=rien très supérieur*socio=rien à celui des dépôts*socio=ec1 qu'ils leur ont confiés. Ils ont toutefois cessé d'emprunter aux banques_privées*socio=ac à partir *socio=rien du troisième trimestre*socio=te *socio=nil de 1982 et, cette année-là, le total*socio=rien de leurs emprunts*socio=ec1 n'a représenté que la moitié*socio=rien environ de celui de 1981. La forte*socio=rien diminution*socio=ec2 des *socio=ec1 prêts bancaires nets*socio=rien aux*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers *socio=rien est attribuable au*socio=nil fait *socio=nil que les milieux*socio=rien bancaires*socio=ec1 internationaux*socio=te se sont progressivement*socio=rien rendu compte*socio=ec1 des graves*socio=uv4 répercussions*socio=ec2 que la persistance*socio=te inattendue*socio=uv4 de la récession*socio=ec2 avait sur*socio=rien les principaux*socio=rien emprunteurs*socio=ac du*socio=rien tiers_monde*socio=ac et que ceux-ci risquaient de ne plus être*socio=rien en mesure*socio=rien d'assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1. Il était devenu manifeste que les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 de certains de ces pays*socio=ac étaient loin*socio=rien de correspondre aux prévisions*socio=ec2 sur*socio=rien lesquelles se fondait leur politique*socio=et et que l'encours et le service_de_leur_dette*socio=ec1 leur imposaient des obligations*socio=uv1 beaucoup trop lourdes, étant donné leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 effectives*socio=rien; extrêmement préoccupés par cet état*socio=rien de choses*socio=rien, les prêteurs*socio=ac ont donc hésité à consentir de nouveaux*socio=rien crédits*socio=ec1 à certains des plus gros*socio=rien emprunteurs*socio=ac. De ce fait*socio=rien, le crédit*socio=ec1 a presque cessé de s'accrditre, ce qui a créé une situation*socio=rien encore plus lourde*socio=rien de conséquences*socio=rien : l'impossibilité*socio=rien pour les principaux*socio=rien emprunteurs*socio=ac de "reconduire" leur dette*socio=ec1 ou de refinancer leurs emprunts*socio=ec1 exigibles risquait, en effet*socio=rien, de provoquer une grave*socio=uv4 crise*socio=uv2 de confiance*socio=uv1 et de contracter encore la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 financée par l'emprunt*socio=ec1, au détriment*socio=uv2 à la *socio=rien fois du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te *socio=nil et des perspectives*socio=te globales*socio=rien d'une reprise économique*socio=ec1. Dans ces circonstances*socio=rien, plusieurs des principaux*socio=rien *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil ont demandé l'aide*socio=uv1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1, et d'importants*socio=uv4 crédits*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien ont été*socio=rien mis à leur disposition*socio=et. Ces crédits*socio=ec1 ne provenaient pas seulement du*socio=rien Fonds*socio=ec1, mais aussi de banques_privées*socio=ac et d'autres sources*socio=rien, aux termes*socio=rien d'ententes*socio=et de coopération*socio=uv1 conclues entre les autorités*socio=et des pays*socio=ac directement intéressés (emprunteurs*socio=ac ou prêteurs*socio=ac), la communauté*socio=ac bancaire*socio=ec1 privée*socio=et et d'autres institutions_internationales*socio=ac. Ces arrangements*socio=et, dont on trouvera une description*socio=rien plus détaillée au *socio=rien chapitre suivant,*socio=nil *socio=nil ont, apparemment, permis*socio=rien d'éviter une interruption*socio=rien des flux*socio=ec1 internationaux*socio=te de crédit*socio=ec1 qui aurait eu de graves*socio=uv4 conséquences*socio=rien et d'atténuer considérablement*socio=rien les tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1. Les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil qui ont souscrit à ces ententes*socio=et, et principalement le Mexique*socio=ac, le Brésil*socio=ac et l'Argentine*socio=ac, ont tous adopté de vastes*socio=rien programmes*socio=et qui ont été*socio=rien élaborés en étroite*socio=rien collaboration*socio=uv1 avec le Fonds*socio=ec1 et qui visaient à rétablir une situation*socio=rien des paiements*socio=ec1 satisfaisante*socio=uv4 et durable*socio=uv4. Ces ententes*socio=et doivent donner aux pays*socio=ac signataires*socio=rien l'assurance*socio=ec1 que, dans le cadre*socio=rien des programmes*socio=et convenus, ils bénéficieront de crédits*socio=ec1 suffisants*socio=rien pour leur permettre de procéder à un*socio=rien ajustement*socio=et méthodique*socio=rien et progressif*socio=rien. Bien*socio=rien que le montant*socio=ec1 global*socio=te des emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 ait quelque peu diminué en 1982 et semble avoir continué à baisser en 1983, la situation*socio=rien de la dette*socio=ec1 demeure précaire*socio=uv2 dans maints pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac. La chute des taux_d'_intérêt*socio=ec1, en 1982, a, sans *socio=rien nul doute,*socio=nil *socio=nil facilité les choses*socio=rien, mais, jusqu'à présent*socio=rien, son incidence*socio=ec2 sur*socio=rien les soldes*socio=ec1 courants*socio=te a été*socio=rien neutralisée par l'augmentation*socio=ec2 persistante*socio=rien de l'encours de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. En outre, l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1 depuis 1980 a, pour nombre*socio=rien de pays*socio=ac, effectivement*socio=rien alourdi la charge*socio=rien de leur dette*socio=ec1 libellée en cette monnaie*socio=ec1. En 1982, certains d'entre eux n'ont pu se procurer le financement*socio=ec1 extérieur*socio=te dont ils avaient besoin*socio=uv1 qu'en puisant dans leurs réserves*socio=ec1 ou en utilisant des crédits*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. De par leur nature*socio=rien même, ces sources*socio=rien de financement*socio=ec1 sont limitées. Le montant*socio=ec1 des nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec1 que peuvent obtenir*socio=rien les pays_en_développement*socio=uv3 et l'accroissement*socio=ec2 qui s'ensuivrait du*socio=rien service_de_leur_dette*socio=ec1 sont strictement limités dans les circonstances*socio=rien actuelles*socio=te; ces pays*socio=ac devront donc ajuster davantage la situation*socio=rien de leur solde*socio=ec1 courant*socio=rien. Ces ajustements*socio=et seront inévitablement difficiles*socio=rien et le demeureront tant que leurs marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 n'auront pas recouvré *socio=rien un certain dynamisme*socio=uv3.*socio=nil Quelques*socio=nil pays*socio=ac du *socio=ac groupe_des_pays exportateurs *socio=nil d( pétrole*socio=ec1 éprouvent maintenant des difficultés*socio=uv4 de balanci des paiements*socio=ec1 assez analogues*socio=rien à celles auxquelles s*socio=rien heurtent, depuis *socio=rien un certain temps *socio=nil déjà, maints pays*socio=ac e développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. Certes, la plupart*socio=rien des pai exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 n'ont pas un*socio=rien endettement*socio=ec1 extérieur aussi lourd*socio=rien que celui des principaux*socio=rien emprunteurs*socio=ac d groupe_des_pays*socio=ac non pétroliers*socio=ec1, mais certains d'entre et ont déjà contracté des emprunts*socio=ec1 considérables*socio=rien et o financé une partie*socio=rien de leurs récents*socio=rien déficits_courants*socio=ec1 utilisant des *socio=ec1 avoirs financiers extérieurs*socio=te *socio=nil qu'ils avaient accumulés précédemment. *socio=rien Seul un petit nombre *socio=nil de ( pays*socio=ac possèdent un*socio=rien stock*socio=ec1 d'avoirs*socio=ec1 assez important*socio=uv4 pc leur permettre de recourir pendant *socio=rien un certain temps cette*socio=nil forme de*socio=nil financement*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans le groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac, les variatii des soldes*socio=ec1 courants*socio=te individuels*socio=uv2 ont été*socio=rien plus marquées 1982 que celles du*socio=rien solde*socio=ec1 du*socio=rien groupe*socio=ac. Comme on le verri après*socio=rien de façon*socio=rien plus détaillée, les mouvements*socio=ec2 très *socio=rien négatifs du solde*socio=ec1 des*socio=nil États-unis*socio=ac,*socio=nil *socio=nil de la France*socio=ac et du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac ont correspondu, grosso modo, aux mouvements*socio=ec2 positifs*socio=uv4 des soldes*socio=ec1 des quatre autres principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, notamment ceux de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et du*socio=rien Canada*socio=ac (tableau*socio=rien 8). La *socio=rien fermeté du dollar*socio=ec1 *socio=nil E. U. est*socio=rien, sans *socio=rien nul doute,*socio=nil le*socio=nil trait dominant*socio=uv2 *socio=nil de l'évolution*socio=te du*socio=rien marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1 depuis le début*socio=rien de 1982. Le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif nominal *socio=nil de cette monnaie*socio=ec1, qui avait déjà augmenté sensiblement en 1981 a continué de monter pendant presque toute l'année*socio=rien 1982. Il s'est*socio=rien replié à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien, mais son fléchissement*socio=ec2 s'est*socio=rien en *socio=rien grande partie *socio=nil résorbé durant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1983; en mai*socio=rien, le taux*socio=ec1 effectif*socio=rien de la monnaie*socio=ec1 américaine*socio=ac dépassait d'environ 15 % le niveau*socio=rien qu'il atteignait à la fin*socio=rien de 1981. Depuis la fin*socio=rien de 1981, l'appréciation*socio=uv3 *socio=rien effective du dollar*socio=ec1 *socio=nil a eu pour *socio=rien principale contrepartie *socio=nil les chutes cumulatives*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 extérieure*socio=te (nominale*socio=rien) des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac, et surtout de la livre sterling*socio=ec1, du*socio=rien franc*socio=ec1 français*socio=rien et de la lire italienne*socio=ac. Le yen*socio=ec1 s'est*socio=rien, lui aussi, très nettement déprécié durant les dix *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1982, mais il s'est*socio=rien ensuite redressé vigoureusement. Au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983, son taux*socio=ec1 *socio=rien effectif est *socio=nil resté à peu près au niveau*socio=rien où il était à la fin*socio=rien de 1981. Au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983, le *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil se trouvait, par rapport*socio=rien au dollar_eu*socio=ec1, à *socio=rien un niveau *socio=nil sensiblement plus bas*socio=rien qu'à la fin*socio=rien de 1981, mais son taux*socio=ec1 effectif*socio=rien avait néanmoins augmenté. pays_industrialisés*socio=ac. Évolution*socio=te des soldes*socio=ec1 courants*socio=te. Le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te enregistrées des pays_industrialisés*socio=ac, qui était largement déficitaire*socio=ec2 en 1980, a presque retrouvé le point*socio=rien d'équilibre*socio=ec2 en 1981 et n'a guère varié en 1982 (tableau*socio=rien 4). Étant donné l'asymétrie*socio=ec2 importante*socio=uv4 et croissante*socio=rien des balances_globales*socio=ec1 des paiements*socio=ec1, ces pays*socio=ac ont probablement bénéficié d'un*socio=rien important*socio=uv4 montant*socio=ec1 net*socio=rien de recettes*socio=ec1 non enregistrées et leur position*socio=rien a, en fait*socio=rien, été*socio=rien sensiblement excédentaire*socio=rien tant en 1981 qu'en 1982. L'amélioration*socio=uv1 de la position*socio=rien extérieure*socio=te globale*socio=rien des *socio=ac pays_ industrialisés *socio=nil depuis 1980 tient avant tout à la baisse*socio=ec2 *socio=rien du volume et*socio=nil du prix*socio=ec1 *socio=nil de leurs importations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1. Sous l'effet*socio=rien de la récession*socio=ec2 et du*socio=rien fléchissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 qu'a provoqué le renchérissement*socio=rien de ce produit*socio=rien, le volume*socio=rien des importations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac a diminué de 24,5 % entre 1980 et 1982. Les prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, qui, en 1981, dépassaient de 10 %, en moyenne*socio=rien, ceux de 1980, se sont mis à baisser après*socio=rien les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1981 et sont tombés, en 1982, à *socio=rien un niveau *socio=nil qui (en dollars*socio=ec1) était inférieur*socio=rien de 5 %, en moyenne*socio=rien, à celui de l'année*socio=rien précédente*socio=rien. En conséquence*socio=rien, la facture pétrolière*socio=ec1 du*socio=rien groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac qui avait diminué de 13 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1981 a enregistré en 1982 une réduction*socio=ec2 nette*socio=rien de quelque 40 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. La valeur*socio=ec1 totale*socio=rien des importations*socio=ec1 d'autres marchandises*socio=ec1 a également baissé en raison*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 et *socio=rien du nouveau repli *socio=nil concomitant des cours*socio=rien mondiaux*socio=te des produits*socio=rien de base*socio=rien en 1982. Toutefois, l'affaiblissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 dans les pays*socio=ac du*socio=rien tiers_monde*socio=ac a provoqué une forte*socio=rien chute *socio=rien du volume *socio=nil et de la valeur*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac et a, de ce fait*socio=rien, neutralisé l'incidence*socio=ec2 de ces *socio=rien facteurs sur la*socio=nil situation des*socio=nil balances_des_paiements*socio=ec1.*socio=nil Plusieurs*socio=nil changements*socio=uv3 notables *socio=nil se sont produits*socio=rien en 1982 dans la position*socio=rien des soldes*socio=ec1 courants*socio=te des pays_industrialisés*socio=ac. Aux États-unis*socio=ac, les transactions_courantes*socio=te enregistrées (y compris les transferts_officiels*socio=et), qui étaient légèrement excédentaires*socio=ec2 en 1980 et en 1981, se sont soldées par un*socio=rien déficit*socio=ec1 de 11 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1982. En revanche, le solde*socio=ec1 courant*socio=rien de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et celui du*socio=rien Japon*socio=ac, qui étaient largement déficitaires*socio=ec2 en 1980, sont devenus légèrement excédentaires*socio=ec2 en 1982; pour ces deux pays*socio=ac, le mouvement*socio=ec2 positif*socio=uv4 a été*socio=rien de l'ordre*socio=rien de 15 à 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pendant cette période*socio=te de deux ans*socio=rien. Au début*socio=rien de 1983, le déficit*socio=ec1 des États-unis*socio=ac était légèrement moins élevé*socio=uv4 qu'à la fin*socio=rien de 1982, mais, nonobstant la reprise vigoureuse*socio=rien qui se manifeste dans ce pays*socio=ac, l'érosion*socio=ec2 qui affaiblit depuis deux ans*socio=rien sa position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 donne à penser que le déficit*socio=ec1 pourrait augmenter de nouveau*socio=rien dans le courant*socio=rien de 1983. Au Japon*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, la position*socio=rien extérieure*socio=te s'est*socio=rien encore raffermie durant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1983 (graphique*socio=rien 8). Un*socio=rien autre phénomène*socio=rien important*socio=uv4 qui marque*socio=rien l'évolution*socio=te des soldes*socio=ec1 courants*socio=te des principaux*socio=rien pays*socio=ac est*socio=rien l'affaiblissement*socio=ec2 de la position*socio=rien de la France*socio=ac et du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac. Au Royaume-uni*socio=ac, cet affaiblissement*socio=ec2 représente une érosion*socio=ec2 partielle*socio=rien de l'excédent*socio=ec1 exceptionnellement élevé*socio=uv4 enregistré en 1981, et n'a donc pas *socio=rien été un sujet d'*socio=nil inquiétude.*socio=nil En*socio=nil France*socio=ac,*socio=nil *socio=nil toutefois, la détérioration*socio=uv4 de la position*socio=rien extérieure*socio=te, qui s'est*socio=rien soldée par un*socio=rien déficit*socio=ec1 courant*socio=rien équivalant à près de 2 % du*socio=rien PNB*socio=ec1, a été*socio=rien particulièrement préoccupante*socio=uv4 et a incité les autorités*socio=et à prendre une série de mesures*socio=et correctives*socio=ec2 visant à redresser la *socio=rien situation du solde*socio=ec1 courant.*socio=nil *socio=nil Dans les deux autres pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac - le Canada*socio=ac et l'Italie*socio=ac -, la position*socio=rien courante*socio=te s'est*socio=rien légèrement améliorée en 1982 : le Canada*socio=ac a enregistré *socio=rien un léger excédent*socio=ec1 *socio=nil et l'Italie*socio=ac est*socio=rien parvenue à réduire encore un*socio=rien déficit*socio=ec1 qui avait atteint des *socio=rien proportions alarmantes.*socio=nil *socio=nil Néanmoins, la position*socio=rien de l'Italie*socio=ac demeure précaire*socio=uv2, et les autorités*socio=et de ce pays*socio=ac, comme celles de la France*socio=ac, ont adopté des mesures*socio=et pour améliorer leur position*socio=rien extérieure*socio=te en 1983. Le groupe*socio=ac des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac a nettement amélioré son solde*socio=ec1 extérieur*socio=te en 1981 et en 1982. Dans certains de ces pays*socio=ac, cette amélioration*socio=uv1 est*socio=rien due à l'application*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2, visant notamment à favoriser les économies*socio=ec1 d'énergie*socio=ec1. Dans plusieurs pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac, toutefois, le déficit*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et est*socio=rien encore considérable*socio=rien et certains d'entre eux n'ont guère réussi à enrayer l'inflation*socio=ec1 des prix*socio=ec1 et des salaires*socio=ec1. Les pays*socio=ac ou ces problèmes*socio=uv4 existent depuis longtemps ont d'autant plus de difficulté*socio=uv4 à résorber leurs déficits_courants*socio=ec1. La position*socio=rien conjoncturelle*socio=te d'un*socio=rien pays*socio=ac par rapport*socio=rien à celle de ses partenaires*socio=ac et concurrents*socio=ac commerciaux*socio=ec1 *socio=rien est un autre*socio=nil facteur important*socio=uv4 *socio=nil qui a une profonde*socio=rien incidence*socio=ec2 sur*socio=rien l'évolution*socio=te de son solde*socio=ec1 courant*socio=rien. Ainsi, l'excédent*socio=ec1 enregistré par les États-unis*socio=ac au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1982 était lié à la faiblesse*socio=ec2 relative*socio=rien de sa demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1, qu'expliquait probablement la gravité de la récession*socio=ec2 dans ce pays*socio=ac. En revanche, la plupart*socio=rien des *socio=ac pays européens *socio=nil ont maintenu durant cette période*socio=te *socio=rien un niveau assez*socio=nil élevé*socio=uv4 d'*socio=nil activité,*socio=nil *socio=nil ce qui a contribué à la faiblesse*socio=ec2 de leur solde*socio=ec1 courant*socio=rien. Toutefois, à la fin*socio=rien de 1982 et au début*socio=rien de 1983, les positions*socio=rien conjoncturelles*socio=te relatives*socio=rien se sont légèrement déplacées: l'activité*socio=rien a eu tendance*socio=ec2 à reprendre davantage aux États-unis*socio=ac qu'en Europe*socio=ac; la position*socio=rien extérieure*socio=te des États-unis*socio=ac a donc été*socio=rien très faible*socio=rien durant cette période*socio=te, malgré une forte*socio=rien réduction*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 de leurs importations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1. Les fluctuations*socio=ec2 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 et de la compétitivité*socio=uv3 ces *socio=rien dernières années,*socio=nil en*socio=nil particulier *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac les plus importants*socio=uv4, sont des phénomènes*socio=rien qui ont peut-être eu une incidence*socio=ec2 plus profonde*socio=rien encore que l'évolution*socio=te de la conjoncture*socio=ec2. Les facteurs*socio=rien de compétitivité*socio=uv3 ont toutefois tendance*socio=ec2 à n'influer sur*socio=rien les positions*socio=rien des balances_des_paiements*socio=ec1 qu'après*socio=rien *socio=rien un long décalage;*socio=nil *socio=nil il n'est*socio=rien donc pas toujours indiqué d'établir *socio=rien un lien *socio=nil entre l'évolution*socio=te des soldes*socio=ec1 courants*socio=te et les variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 et des coûts*socio=ec1 intérieurs*socio=te qui précèdent immédiatement. Le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien réel du dollar_eu*socio=ec1 *socio=nil a augmenté presque sans arrêt*socio=rien entre le *socio=rien second semestre *socio=nil de 1980 et la fin*socio=rien de 1982. Évaluée en fonction*socio=rien des coûts*socio=ec1 *socio=rien unitaires relatifs *socio=nil de la main-d'_oeuvre*socio=ac dans le secteur*socio=rien manufacturier*socio=ec1, une fois*socio=rien que les coûts*socio=ec1 sont normalisés et corrigés des variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1, l'appréciation*socio=uv3 réelle*socio=ec2 du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1 a été*socio=rien d'environ 16 % pour chacune de ces deux années*socio=rien (graphique*socio=rien 9). Les variations*socio=rien de la compétitivité*socio=uv3 ne se répercutent qu'avec *socio=rien un certain retard sur les*socio=nil flux*socio=ec1 des*socio=nil paiements*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et c'est*socio=rien peut-être pour cette raison*socio=rien que le solde*socio=ec1 courant*socio=rien des États-unis*socio=ac est*socio=rien demeuré excédentaire*socio=rien en 1981 et pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1982. Toutefois, à la fin*socio=rien de 1982 et au début*socio=rien de 1983, la perte*socio=ec2 cumulée de compétitivité*socio=uv3 se reflétait nettement dans la position*socio=rien de la balance_des_paiements*socio=ec1 des États-unis*socio=ac. Pour l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien 1982, le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 a baissé de 12 %. Contrairement aux États-unis*socio=ac, le Japon*socio=ac a vu sa position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 s'améliorer sensiblement durant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de 1982; ce phénomène*socio=rien venait d'ailleurs*socio=rien confirmer une tendance*socio=ec2 qui s'affirmait depuis le début*socio=rien de 1981. Le graphique*socio=rien 9 montre que la variation*socio=rien de la compétitivité*socio=uv3 a cependant été*socio=rien moins prononcée au Japon*socio=ac qu'aux États-unis*socio=ac. Comme le Japon*socio=ac a mieux maintenu le rythme*socio=ec2 de sa production*socio=ec1 que les autres pays_industrialisés*socio=ac et comme une *socio=rien fraction croissante *socio=nil de ses exportations*socio=ec1 a fait*socio=rien l'objet*socio=rien de certaines*socio=rien restrictions*socio=et, l'amélioration*socio=uv1 de son solde*socio=ec1 courant*socio=rien en 1982, par rapport*socio=rien à 1981, a été*socio=rien relativement faible*socio=rien et s'explique essentiellement par l'évolution*socio=te du*socio=rien solde*socio=ec1 au titre*socio=rien des services*socio=et. La compétitivité*socio=uv3 du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac s'est*socio=rien notablement*socio=rien modifiée, elle aussi, au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil De 1978 à 1980, la position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 *socio=rien du secteur manufacturier*socio=ec1 *socio=nil de ce pays*socio=ac s'est*socio=rien gravement érodée, phénomène*socio=rien qui s'explique par l'incidence*socio=ec2 qu'ont exercée sur*socio=rien l'évolution*socio=te du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 de la livre sterling*socio=ec1 le resserrement*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 et la mise en production*socio=ec1 des gisements pétrolifères de la *socio=rien mer du Nord*socio=te *socio=nil durant une période*socio=te de *socio=rien renchérissement rapide du pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Toutefois, la position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac s'est*socio=rien affermie sensiblement depuis le début*socio=rien de 1981, et c'est*socio=rien peut-être, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil en*socio=nil raison *socio=nil de ce raffermissement*socio=ec2 que le Royaume-uni*socio=ac est*socio=rien parvenu, à la fin*socio=rien de 1982 et au début*socio=rien de 1983, à stabiliser sa part*socio=rien des marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, qui s'amenuisait depuis plusieurs années*socio=rien. Les facteurs*socio=rien d'ordre*socio=rien concurrentiel*socio=ec2 ont eu également une profonde*socio=rien incidence*socio=ec2 sur*socio=rien le solde*socio=ec1 courant*socio=rien des pays*socio=ac qui maintiennent des marges communes*socio=uv2 de fluctuation*socio=ec2 dans le *socio=rien cadre du mécanisme*socio=et de*socio=nil change*socio=ec1 du système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac (*socio=nil SME*socio=ec1)*socio=nil .*socio=nil En*socio=nil France*socio=ac *socio=nil et en Italie*socio=ac, les coûts*socio=ec1 intérieurs*socio=te ont augmenté à un*socio=rien rythme*socio=ec2 rapide*socio=rien alors que la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac obtenait de meilleurs*socio=uv4 résultats*socio=rien dans sa lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1; toutefois, ces divergences*socio=uv1 d'évolution*socio=te n'ont pas toujours été*socio=rien entièrement compensées par les *socio=rien variations du taux_de_change*socio=ec1 effectif *socio=nil dans ces pays*socio=ac. De ce fait*socio=rien, la compétitivité*socio=uv3 des deux premiers*socio=rien pays*socio=ac, et en particulier*socio=rien celle de l'Italie*socio=ac, a diminué, du*socio=rien moins jusqu'à ces *socio=rien derniers temps.*socio=nil *socio=nil Néanmoins, les réalignements*socio=ec1 récents*socio=rien de leur cours-pivot au *socio=rien sein du SME*socio=ec1 *socio=nil ont sensiblement amélioré leur position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 et devraient leur permettre de réduire leur déficit*socio=ec1 courant*socio=rien. La baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, qui a influé sur*socio=rien la situation*socio=rien des soldes*socio=ec1 courants*socio=te en 1982 et qui le fera davantage encore en 1983, a eu des effets*socio=rien très différents*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. Ces différences*socio=uv1 tiennent essentiellement aux *socio=rien degrés variables de*socio=nil dépendance*socio=uv1 *socio=nil à l'égard*socio=rien de l'énergie*socio=ec1 importée, mais aussi, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil *socio=nil à l'incidence*socio=ec2 que les compressions*socio=et de dépenses*socio=ec1 opérées par les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil ont eue sur*socio=rien leurs importations*socio=ec1 en provenance*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac. Le Japon*socio=ac et la plupart*socio=rien des pays*socio=ac d'Europe*socio=ac continentale*socio=te importent une très *socio=rien grande partie *socio=nil de l'énergie*socio=ec1 dont ils ont besoin*socio=uv1; ce sont donc eux qui ont le plus bénéficié de la chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1. En outre, certains de ces pays*socio=ac sont parvenus à réduire notablement*socio=rien le volume*socio=rien de la consommation*socio=ec1 d'énergie*socio=ec1 par unité*socio=rien de production*socio=ec1. La baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 a eu des *socio=rien effets un *socio=nil peu moins marqués sur*socio=rien le solde*socio=ec1 courant*socio=rien des autres pays_industrialisés*socio=ac; les États-unis*socio=ac, qui consomment d'assez grandes*socio=rien quantités de pétrole*socio=ec1, sont partiellement à l'abri*socio=rien des effets*socio=rien des fluctuations*socio=ec2 de prix*socio=ec1 sur*socio=rien leur balance_des_paiements*socio=ec1, leur *socio=ec1 production pétrolière *socio=nil étant assez importante*socio=uv4. Au Canada*socio=ac, pays*socio=ac qui produit*socio=rien suffisamment de pétrole*socio=ec1 pour subvenir à ses propres*socio=rien besoins*socio=uv1, l'évolution*socio=te des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 n'a pour ainsi dire pas eu .d'incidence*socio=ec2 *socio=rien directe sur le*socio=nil solde*socio=ec1 courant;*socio=nil au*socio=nil Royaume-uni*socio=ac,*socio=nil exportateur*socio=ec1 net,*socio=nil la*socio=nil baisse*socio=ec2 des*socio=nil prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 *socio=nil a en fait*socio=rien tu tendance*socio=ec2 à affaiblir la balance_commerciale*socio=ec1. Évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1. Les taux_de_change*socio=ec1 des trois principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 (le dollar_eu*socio=ec1, le *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil et le yen*socio=ec1) ont continué d'être*socio=rien sujets*socio=rien à d'importantes*socio=uv4 fluctuations*socio=ec2 en 1982 et durant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983. Le taux*socio=ec1 *socio=rien effectif nominal du dollar_eu*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui avait augmenté de 11 % en 198 1, avait encore augmenté de 17 % à la fin*socio=rien de novembre*socio=rien 1982. Il a baissé de 5,5 07o pendant les deux *socio=rien mois suivants,*socio=nil *socio=nil mais s'est*socio=rien redressé par la suite*socio=rien. A la fin*socio=rien de juin*socio=rien 1983, il était d'à peine 2 1% inférieur*socio=rien au niveau*socio=rien record*socio=ec2 atteint en novembre*socio=rien (graphique*socio=rien 10). En revanche, le yen*socio=ec1 s'est*socio=rien déprécié de 13 117o, en valeur*socio=ec1 *socio=rien effective nominale,*socio=nil *socio=nil durant les dix *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1982. Cette tendance*socio=ec2 s'est*socio=rien ensuite inversée et le yen*socio=ec1 s'est*socio=rien apprécié d'à peu près 17 % d'octobre*socio=rien 1982 à mai*socio=rien 1983. Le *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil a évolué entre ces deux extrêmes*socio=rien : il a généralement baissé par rapport*socio=rien au dollar_eu*socio=ec1, mais, en valeur*socio=ec1 *socio=rien effective nominale,*socio=nil *socio=nil il a eu tendance*socio=ec2 à s'apprécier modérément durant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de 1982 et le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983. Les causes*socio=rien de ces fluctuations*socio=ec2 sont complexes; il faut les rechercher dans la courbe d'évolution*socio=te qu'a suivie l'économie*socio=ec1 ces *socio=rien dernières années *socio=nil et qui fera l'objet*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=ec2 détaillé au *socio=rien chapitre suivant.*socio=nil *socio=nil Toutefois, il convient de noter que les principales*socio=rien fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 n'étaient pas liées systématiquement aux variations*socio=rien des coûts*socio=ec1 ou des prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien. Aux États-unis*socio=ac, la hausse*socio=rien des coûts*socio=ec1 et des prix*socio=ec1 s'est*socio=rien très fortement ralentie pendant cette période*socio=te, mais le taux*socio=ec1 tendanciel*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien demeuré à *socio=rien un niveau supérieur *socio=nil à celui de l'inflation*socio=ec1 au Japon*socio=ac et n'a guère différé de celui de l'inflation*socio=ec1 en Allemagne*socio=ac. Les fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 durant cette période*socio=te semblent avoir été*socio=rien liées plus étroitement à l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 qu'aux variations*socio=rien concomitantes des soldes*socio=ec1 courants*socio=te. Les opérations*socio=rien en capital*socio=ec1 de ces trois pays*socio=ac ont subi l'influence d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil facteurs,*socio=nil *socio=nil notamment celle des différentiels*socio=ec1 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 et des changements*socio=uv3 d'ordre*socio=rien structurel*socio=ec2 intervenus aux États-unis*socio=ac et au Japon*socio=ac. Les perspectives*socio=te plus favorables*socio=uv4 qui s'ouvrent à l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac en *socio=rien raison du recul *socio=nil de l'inflation*socio=ec1, *socio=rien du traitement fiscal*socio=et privilégié *socio=nil accordé aux dépenses*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 et de l'instabilité*socio=uv3 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 et politique*socio=et dans d'autres régions*socio=te du*socio=rien monde*socio=te ont, sans *socio=rien nul doute,*socio=nil *socio=nil contribué au mouvement*socio=ec2 net*socio=rien de fonds*socio=ec1 vers les États-unis*socio=ac ces *socio=rien derniers temps.*socio=nil Au*socio=nil Japon*socio=ac,*socio=nil *socio=nil en revanche, l'investissement*socio=ec1 intérieur*socio=te a été*socio=rien plutôt faible*socio=rien par rapport*socio=rien au volume*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil ouvrant ainsi la voie*socio=rien à d'importants*socio=uv4 investissements*socio=ec1 à l'étranger*socio=te. En outre, la *socio=et réglementation officielle a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil assouplie de manière*socio=rien à autoriser ces sorties de fonds*socio=ec1; par ailleurs*socio=rien, il se peut que les *socio=ac entreprises japonaises *socio=nil aient cherché à éviter certains effets*socio=rien des *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil qui frappaient leurs exportations*socio=ec1 en établissant des installations*socio=rien à l'étranger*socio=te. Cette évolution*socio=te semble avoir contribué à la pression*socio=ec2 sensible*socio=rien qui s'est*socio=rien exercée durant cette période*socio=te en *socio=rien faveur du dollar*socio=ec1 *socio=nil et au détriment*socio=uv2 du*socio=rien yen*socio=ec1. Les taux_de_change*socio=ec1 ont, sans *socio=rien nul doute,*socio=nil *socio=nil subi fortement le contrecoup*socio=te de l'incidence*socio=ec2 que les différentiels*socio=ec1 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont eue sur*socio=rien l'attrait*socio=rien relatif*socio=rien des avoirs*socio=ec1 libellés en différentes*socio=rien monnaies*socio=ec1. Toutefois, la *socio=rien façon exacte *socio=nil dont les variations*socio=rien de ces différentiels*socio=ec1 agissent sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 dépend aussi des conditions*socio=ec1 *socio=rien du moment;*socio=nil *socio=nil il se peut, en effet*socio=rien, que, pendant une période*socio=te donnée, l'incidence*socio=ec2 de ces variations*socio=rien soit neutralisée par celle qu'ont d'autres *socio=rien facteurs sur la*socio=nil valeur*socio=ec1 des*socio=nil monnaies*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ainsi, pendant une *socio=rien bonne partie *socio=nil de l'année*socio=rien 1982, on pouvait difficilement expliquer l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 par le *socio=rien seul comportement des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Pendant cette période*socio=te, le rendement*socio=ec1 des titres*socio=rien libellés en dollars*socio=ec1 a eu tendance*socio=ec2 à baisser davantage que celui des avoirs*socio=ec1 en *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil ou en yen*socio=ec1. On aurait donc pu penser que ce phénomène*socio=rien provoquerait un*socio=rien affaiblissement*socio=ec2 du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1 Toutefois, le différentiel*socio=ec1 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 est*socio=rien demeuré favorable*socio=uv4 au dollar*socio=ec1 et, par conséquent*socio=rien, il *socio=rien est possible *socio=nil qu'il se soit produit*socio=rien continuellement des modifications*socio=rien de portefeuille*socio=ec1 au profit*socio=ec1 de cette monnaie*socio=ec1, d'autant plus que le recul*socio=rien relativement rapide*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac a probablement renforcé l'attrait*socio=rien que présente*socio=rien le dollar_eu*socio=ec1 en tant que valeur*socio=ec1 sûre*socio=rien à long_terme*socio=te. Les *socio=et interventions officielles sur*socio=rien les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1 *socio=nil n'ont pas eu d'incidence*socio=ec2 marquée sur*socio=rien les fluctuations*socio=ec2 relatives*socio=rien des trois principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 en 1982, sauf peut-être celles du*socio=rien Japon*socio=ac. Comme le yen*socio=ec1 s'est*socio=rien déprécié cette année-là, les autorités*socio=et japonaises*socio=ac ont décidé de freiner la baisse*socio=ec2 en réduisant les réserves_internationales*socio=ec1 de yen*socio=ec1. Les autorités*socio=et américaines*socio=ac, quant à elles, sont intervenues à de *socio=rien rares occasions *socio=nil et dans de *socio=rien faibles proportions;*socio=nil *socio=nil si le montant*socio=ec1 net*socio=rien des avoirs*socio=ec1 officiels*socio=et de réserve*socio=ec1 des États-unis*socio=ac augmenté substantiellement en 1982, c'est*socio=rien pour d'autres raisons*socio=rien. La position*socio=rien de réserve*socio=ec1 nette*socio=rien de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac n'a guère varié au cours*socio=rien de l'année*socio=rien. La livre sterling*socio=ec1 est*socio=rien une autre grande*socio=rien monnaie*socio=ec1 qui a connu récemment de profondes*socio=rien fluctuations*socio=ec2 en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2. A la suite*socio=rien d'une dépréciation*socio=ec2 de 9 % de sa valeur*socio=ec1 *socio=rien effective nominale *socio=nil en 1981, la livre est*socio=rien demeurée très stable*socio=uv4 durant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de 1982. Puis, d'octobre*socio=rien 1982 à mars*socio=rien 1983, elle s'est*socio=rien dépréciée de plus de 14 %. En avril*socio=rien et mai*socio=rien, elle a reconquis une *socio=rien partie du terrain *socio=nil perdu; à mi-juin, sa dépréciation*socio=ec2 nette*socio=rien par rapport*socio=rien au sommet*socio=rien atteint pendant le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1981 était de 17-18 %. La dépréciation*socio=ec2 de la livre au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années s'*socio=nil est *socio=nil accompagnée d'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien normalisés de la maind'oeuvre*socio=rien, dont le taux*socio=ec1 a été*socio=rien ramené à *socio=rien un niveau égal au*socio=nil niveau moyen *socio=nil enregistré pour les autres pays_industrialisés*socio=ac; en outre, elle a résorbé une *socio=rien bonne partie *socio=nil (environ 50 %) de l'appréciation*socio=uv3 réelle*socio=ec2 considérable*socio=rien intervenue entre 1978 et le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1981. Si la livre sterling*socio=ec1 a eu tendance*socio=ec2 à baisser ces deux *socio=rien dernières années,*socio=nil c'*socio=nil est *socio=nil peut-être en raison*socio=rien de l'affaiblissement*socio=ec2 du*socio=rien marché*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et par suite*socio=rien des difficultés*socio=uv4 d'ordre*socio=rien concurrentiel*socio=ec2 auxquelles se sont heurtées les *socio=ec1 industries manufacturières britanniques*socio=ac *socio=nil lorsque la livre s'est*socio=rien appréciée, en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2, il y a deux ans*socio=rien. De surcroît*socio=rien, il s'est*socio=rien produit*socio=rien des sorties ininterrompues de capitaux*socio=ec1, les institutions*socio=ac ayant peu à peu tiré parti*socio=et de l'abrogation, en 1979, des restrictions*socio=et imposées aux mouvements_des_capitaux*socio=ec1. Si, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, le volume*socio=rien des interventions*socio=et des autorités*socio=et britanniques*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 a été*socio=rien assez faible*socio=rien pendant les 18 *socio=rien derniers mois,*socio=nil *socio=nil il a parfois été*socio=rien assez important*socio=uv4, en particulier*socio=rien à la fin*socio=rien de 1982 et au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983, les autorités*socio=et voulant ralentir la dépréciation*socio=ec2 de la livre et son redressement*socio=ec2 ultérieur*socio=te. Les dévaluations*socio=ec2 successives*socio=rien que les pays*socio=ac nordiques*socio=te ont opérées d'août*socio=rien à octobre*socio=rien 1982 sont un*socio=rien autre *socio=rien fait notable *socio=nil de l'évolution*socio=te sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Ces dévaluations*socio=ec2 ont été*socio=rien de 6 % pour la couronne*socio=ac norvégienne, de 10 % pour le markka finlandais*socio=ac et de 16 % pour la *socio=ac couronne suédoise.*socio=nil Bien*socio=rien *socio=nil que ces ajustements*socio=et aient été*socio=rien généralement considérés comme justifiés, étant donné les pressions*socio=ec2 dont ces monnaies*socio=ec1 avaient été*socio=rien l'objet*socio=rien sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, l'ampleur*socio=rien de la dévaluation*socio=ec2 suédoise*socio=ac a néanmoins suscité quelque inquiétude*socio=rien. Les cours-pivots des devises*socio=ec1 du*socio=rien SME*socio=ec1 ont été*socio=rien réalignés à trois reprises au cours*socio=rien des 18 *socio=rien derniers mois.*socio=nil Après la*socio=nil dévaluation*socio=ec2 du franc*socio=ec1 belge*socio=ac *socio=nil et celle de la *socio=ac couronne danoise en*socio=nil février*socio=rien *socio=nil 1982, le franc*socio=ec1 français*socio=rien et la lire italienne*socio=ac ont été*socio=rien dévalués en juin*socio=rien, tandis que le *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil et le florin*socio=ec1 néerlandais*socio=ac étaient réévalués. Après*socio=rien ces réalignements*socio=ec1, les cours-pivots ont de *socio=rien nouveau fait l'*socio=nil objet de*socio=nil pressions*socio=ec2 en*socio=nil octobre *socio=nil 1982, à la suite*socio=rien des dévaluations*socio=ec2 déjà mentionnées auxquelles ont procédé*socio=rien les pays*socio=ac nordiques*socio=te. Ces pressions*socio=ec2 se sont dissipées sans qu'il soit nécessaire*socio=rien de procéder à un*socio=rien autre réalignement*socio=rien, mais elles ont reparu en mars*socio=rien 1983. Tous les cours-pivots ont alors été*socio=rien modifiés : le franc*socio=ec1 français*socio=rien, la lire italienne*socio=ac et la livre irlandaise*socio=ac ont été*socio=rien dévalués et les cinq*socio=rien autres monnaies*socio=ec1 réévaluées par rapport*socio=rien à l'Ecu. Toutefois, le franc*socio=ec1 belge*socio=ac et le franc*socio=ec1 luxembourgeois, dont la réévaluation*socio=ec1 par rapport*socio=rien à l'Ecu avait *socio=rien été modeste,*socio=nil *socio=nil se sont dépréciés en valeur*socio=ec1 effective*socio=rien. Les tensions*socio=ec2 qui sont apparues au *socio=rien sein du SME*socio=ec1 *socio=nil pendant cette période*socio=te ont été*socio=rien généralement moins fortes*socio=rien qu'en 1981, sauf pendant la période*socio=te qui a précédé immédiatement le réalignement*socio=rien de mars*socio=rien 1983. Les pressions*socio=ec2 qui se sont alors exercées sur*socio=rien les cours-pivots ont eu pour *socio=rien cause immédiate les*socio=nil élections*socio=et *socio=nil qui ont eu lieu*socio=rien simultanément en France*socio=ac et en Allemagne*socio=ac, mais la raison*socio=rien fondamentale*socio=uv4 de ce phénomène*socio=rien a été*socio=rien l'absence*socio=rien continue*socio=rien de convergence*socio=uv3 des situations*socio=rien et des politiques_économiques*socio=et au *socio=rien sein du SME*socio=ec1 *socio=nil dans les pays*socio=ac à forte*socio=rien inflation*socio=ec1 et ceux où l'inflation*socio=ec1 *socio=rien est faible.*socio=nil L'*socio=nil adoption*socio=uv3 de*socio=nil nouvelles mesures*socio=et *socio=nil visant à assurer une plus grande*socio=rien convergence*socio=uv3 dans les années*socio=rien à venir a donc été*socio=rien considérée un*socio=rien important*socio=uv4 élément*socio=rien positif*socio=uv4. pays_en_développement*socio=uv3 : *socio=ac groupe_des_pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil En 1980, les opérations_courantes*socio=te enregistrées des 12 pays*socio=ac qui forment le *socio=ac groupe_des_pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil s'étaient soldées par un*socio=rien excédent*socio=ec1 record*socio=ec2 de 114 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1; toutefois, cet excédent*socio=ec1, attribuable*socio=rien à la *socio=rien deuxième grande *socio=nil vague de hausses des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 pendant la dernière*socio=rien décennie*socio=te, s'est*socio=rien contracté rapidement au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années.*socio=nil En*socio=nil effet,*socio=nil il*socio=nil est d'*socio=nil abord *socio=nil tombé à 65 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1981, puis a entièrement disparu en 1982, en dépit*socio=rien d'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 marqué de la croissance*socio=uv3 des paiements*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1. La très forte*socio=rien diminution*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil - d'un*socio=rien tiers*socio=rien environ au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années -*socio=nil est le*socio=nil principal facteur *socio=nil qui explique la contraction*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1; une certaine*socio=rien tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 du*socio=rien prix*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 y a également contribué en 1982. Étant donné la chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1983, l'incidence*socio=ec2 *socio=rien du facteur prix*socio=ec1 *socio=nil devrait neutraliser celle *socio=rien du facteur volume *socio=nil et provoquer, de ce fait*socio=rien, une autre réduction*socio=ec2 sensible*socio=rien de la valeur*socio=ec1 (en dollars*socio=ec1 E.U des exportations*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil pour l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien. Les pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac devraient donc voir leurs *socio=ec1 recettes pétrolières *socio=nil diminuer, en termes*socio=rien réels*socio=ec2, par rapport*socio=rien à celles de 1978, même si, au niveau*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1, ils ont conservé la *socio=rien majeure partie des*socio=nil gains*socio=ec1 importants*socio=uv4 *socio=nil qu'ils avaient réalisés à la *socio=rien suite du renchérissement du pétrole*socio=ec1 *socio=nil en 1979-80. Entre 1979 et 1982, l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=rien est passé *socio=nil d'une forte*socio=rien expansion*socio=ec2 à une contraction*socio=ec2 soudaine*socio=rien, complétant ainsi le deuxième*socio=rien cycle*socio=te caractérisé par une telle alternance au cours*socio=rien de la dernière*socio=rien décennie*socio=te. Toutefois, la phase*socio=te de contraction*socio=ec2 *socio=rien du dernier cycle*socio=te a*socio=nil été différente à*socio=nil bien des*socio=nil égards *socio=nil de celle qui a suivi l'expansion*socio=ec2 de 1974, où l'excédent*socio=ec1 avait atteint, en termes*socio=rien réels*socio=ec2, une *socio=rien ampleur analogue *socio=nil à celle de 1980. La *socio=rien disparition récente *socio=nil de l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien de ce groupe_de_pays*socio=ac s'est*socio=rien produite beaucoup plus rapidement que la précédente*socio=rien et s'explique par *socio=rien un ensemble de*socio=nil facteurs très*socio=nil différents.*socio=nil *socio=nil Pendant les années*socio=rien 1975-78, l'excédent*socio=ec1 s'est*socio=rien résorbé progressivement*socio=rien sous l'effet*socio=rien essentiellement d'une expansion*socio=ec2 forte*socio=rien et soutenue des importations*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil et de leurs paiements*socio=ec1 au titre*socio=rien de services*socio=et internationaux*socio=te; le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 a diminué de moins de 4 % au cours*socio=rien de cette période*socio=te et le pouvoir_d'_achat*socio=ec1 réel*socio=rien des *socio=ec1 recettes pétrolières *socio=rien totales du groupe*socio=ac sur le*socio=nil marché*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil n'a guère diminué. En revanche, la disparition*socio=rien de l'excédent*socio=ec1 intervenue depuis 1980 s'explique essentiellement par la chute *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil et, à *socio=rien un moindre degré,*socio=nil *socio=nil par l'augmentation*socio=ec2 des importations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et. La contraction*socio=ec2 considérable*socio=rien et prolongée *socio=rien du volume des*socio=nil *socio=ec1 exportations pétrolières du*socio=rien groupe*socio=ac s'*socio=nil est*socio=rien,*socio=nil en*socio=nil fait*socio=rien,*socio=nil *socio=nil amorcée en 1980 et a été*socio=rien provoquée principalement par le fléchissement*socio=ec2 de la consommation*socio=ec1 mondiale*socio=te de pétrole*socio=ec1, ininterrompu depuis 1979. Ce fléchissement*socio=ec2 peut, quant à lui, être*socio=rien attribué à la réaction*socio=rien des *socio=rien utilisateurs finals d'*socio=nil énergie*socio=ec1 devant la*socio=nil hausse du prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1,*socio=nil aux*socio=nil variations des*socio=nil prix*socio=ec1 relatifs *socio=nil des autres sources*socio=rien d'énergie*socio=ec1 et à la récession*socio=ec2 qui paralyse l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. En outre, la demande*socio=ec1 portant sur*socio=rien le pétrole*socio=ec1 que vendent les 12 principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs *socio=nil de ce produit*socio=rien a diminué non seulement parce que les livraisons*socio=rien de pétrole*socio=ec1 provenant d'autres sources*socio=rien n'ont cessé d'augmenter - en partie*socio=rien sous l'effet*socio=rien de la *socio=rien hausse du prix*socio=ec1 réel du pétrole*socio=ec1 *socio=nil -, mais aussi parce que, après*socio=rien le milieu*socio=rien de 1981, les stocks*socio=ec1 mondiaux*socio=te de pétrole*socio=ec1 ont *socio=rien été considérablement *socio=nil réduits. Dans la plupart*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil l'*socio=nil accroissement*socio=ec2 des*socio=nil recettes*socio=ec1 d'*socio=nil exportation*socio=ec1 après*socio=rien *socio=nil 1978 a moins fortement influé sur*socio=rien les paiements*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 et sur*socio=rien les autres paiements_courants*socio=ec1 que ne l'avait fait*socio=rien la progression*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 de 1974. Néanmoins, comme les politiques*socio=et financières*socio=ec1 de certains pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac ont pris *socio=rien un tour plus*socio=nil expansionniste*socio=ec2 au*socio=nil deuxième semestre *socio=nil de 1979 et en 1980, la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 a augmenté. Les importations*socio=ec1 se sont accrues, en termes*socio=rien réels*socio=ec2, de 15 % en 1980 et de 20 % en 1981. Toutefois, le resserrement*socio=ec2 des politiques*socio=et financières*socio=ec1 qu'a suscité la chute persistante*socio=rien des exportations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 a inversé ce mouvement*socio=ec2 d'accélération*socio=ec2. La croissance*socio=uv3 *socio=rien du volume des*socio=nil importations*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil freinée aussi par un*socio=rien durcissement*socio=ec2 des restrictions*socio=et dans *socio=rien un petit nombre de*socio=nil *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil a fléchi d'environ 5 % en 1982. A la fin*socio=rien de 1982 ou au début*socio=rien de 1983, les importations*socio=ec1 ont effectivement*socio=rien baissé dans plusieurs *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil Ces*socio=nil variations*socio=rien *socio=nil de la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 sont réparties*socio=rien de façon*socio=rien assez inégale*socio=uv2 dans les divers pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac, selon l'ampleur*socio=rien du*socio=rien fléchissement*socio=ec2 de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et la gravité de leurs difficultés*socio=uv4 financières*socio=ec1. Ainsi, le fléchissement*socio=ec2 des importations*socio=ec1 a été*socio=rien assez prononcé dans certains pays*socio=ac, mais la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 s'est*socio=rien affaiblie moins sensiblement dans d'autres, en particulier*socio=rien dans les petits*socio=rien pays*socio=ac qui ont une *socio=rien forte position de*socio=nil réserve*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans l'intervalle*socio=te, la croissance*socio=uv3 des paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te nets*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil au*socio=nil titre*socio=rien des*socio=nil services*socio=et *socio=nil et des transferts_privés*socio=et, qui avait été*socio=rien soutenue et rapide*socio=rien entre 1974 et la fin*socio=rien de 1980, s'est*socio=rien aussi ralentie en 1981 et en 1982. Les paiements*socio=ec1 versés en 1982 à des entreprises*socio=ac et à des consultants*socio=ac étrangers*socio=te ainsi que les envois*socio=rien de fonds*socio=ec1 des travailleurs*socio=ac étrangers*socio=te ont diminué en raison*socio=rien de retards*socio=rien généralisés dans l'exécution*socio=rien des programmes*socio=et de développement*socio=uv3. La *socio=rien position relative *socio=nil de chaque pays*socio=ac au *socio=rien sein du *socio=ac groupe_des_pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 a*socio=nil été*socio=rien très*socio=nil différente*socio=rien ces*socio=nil *socio=rien dernières années,*socio=nil aussi*socio=nil bien *socio=nil pendant la phase*socio=te d'expansion*socio=ec2 que pendant la phase*socio=te de contraction*socio=ec2 de l'excédent_global*socio=te. L'expansion*socio=ec2 de l'excédent_global*socio=te entre 1978 et 1980 s'explique essentiellement par les augmentations*socio=ec2 intervenues dans les pays*socio=ac dont le solde*socio=ec1 courant*socio=rien avait été*socio=rien jusqu'alors régulièrement excédentaire*socio=rien. Ces pays*socio=ac ont non seulement contribué à la *socio=rien majeure partie *socio=nil de l'accroissement*socio=ec2 des *socio=ec1 recettes pétrolières au*socio=nil cours*socio=rien *socio=nil de cette période*socio=te, mais ils ont aussi absorbé la plus *socio=rien grande part *socio=nil de l'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien revenu*socio=ec1 provenant de l'investissement*socio=ec1. Comme l'excédent*socio=ec1 diminue depuis 1980, ce sont ces mêmes pays*socio=ac qui ont subi l'essentiel*socio=uv4 du*socio=rien contrecoup*socio=te de la contraction*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 mondiale*socio=te de pétrole*socio=ec1. Parmi les autres *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil nombreux*socio=rien *socio=nil sont ceux qui ont éprouvé des difficultés*socio=uv4 de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te en 1982; certains d'entre eux ont profondément réaménagé leur politique*socio=et financière*socio=ec1 et économique*socio=ec1 pour freiner la croissance*socio=uv3 de leurs emprunts*socio=ec1 à l'étranger*socio=te; ils ont, notamment, adopté des mesures*socio=et rigoureuses*socio=uv4 pour réduire leurs paiements*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 et les autres paiements*socio=ec1 en devises*socio=ec1. Toutefois, les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil presque tous en mesure*socio=rien d'accumuler des avoirs*socio=ec1 extérieurs*socio=te officiels*socio=et de 1979 à 1981, c'est-à-dire pendant les années*socio=rien où leurs excédents*socio=ec1 courants*socio=te étaient considérables*socio=rien; ils ont donc financé la plus *socio=rien grande partie des*socio=nil déficits*socio=ec1 *socio=nil apparus en 1982 en puisant dans leurs réserves*socio=ec1 et sont parvenus, de ce fait*socio=rien, à limiter*socio=rien leur recours*socio=ec1 aux emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te. En général*socio=rien, si on compare son accroissement*socio=ec2 à celui de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, l'endettement*socio=ec1 des pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac (il a atteint, au total*socio=rien, quelque 70 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 EU pendant la période*socio=te qui va de 1974 à la fin*socio=rien de 1982) n'a pas beaucoup augmenté. Comme on l'a déjà mentionné, la *socio=rien majeure partie *socio=nil de la détérioration*socio=uv4 du*socio=rien solde*socio=ec1 *socio=rien courant du groupe*socio=ac *socio=nil en 1982 a été*socio=rien absorbée par les pays*socio=ac où la position*socio=rien des paiements_courants*socio=ec1 était forte*socio=rien et qui étaient dotés d'importantes*socio=uv4 réserves*socio=ec1; ce phénomène*socio=rien a considérablement*socio=rien atténué les difficultés*socio=uv4 de financement*socio=ec1 auxquelles se sont heurtés récemment les pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac. pays_en_développement*socio=uv3 : groupe_des_pays*socio=ac non pétroliers*socio=ec1. La période*socio=te qui s'est*socio=rien écoulée depuis la *socio=rien préparation du Rapport annuel*socio=te *socio=nil de 1982 a été*socio=rien caractérisée par une faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 dans la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, et par une forte*socio=rien réduction*socio=ec2 des entrées nettes*socio=rien de crédits_privés*socio=et dans les pays*socio=ac qui avaient déjà contracté des emprunts*socio=ec1 *socio=rien massifs sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des*socio=nil capitaux*socio=ec1.*socio=nil Cette*socio=nil évolution*socio=te *socio=nil a limité l'accès*socio=uv1 des pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac aux ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 extérieures*socio=te et réduit, du*socio=rien même coup*socio=rien, leur aptitude*socio=rien à poursuivre leur développement*socio=uv3 économique*socio=ec1. Dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil les*socio=nil difficultés*socio=uv4 financières*socio=ec1 extérieures*socio=te *socio=nil auxquelles ils se heurtent actuellement sont *socio=rien attribuables fondamentalement *socio=nil à la persistance*socio=te et à la gravité inattendues*socio=rien de la récession*socio=ec2 qui paralyse l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. L'incidence*socio=ec2 défavorable*socio=uv4 de la récession*socio=ec2 sur*socio=rien les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 n'a fait*socio=rien qu'exacerber les répercussions*socio=ec2 qu'ont eues, sur*socio=rien la balance_des_paiements*socio=ec1, les hausses antérieures*socio=te des prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 et le niveau*socio=rien extrêmement élevé*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 pratiqués sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te, ces *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Certains des principaux*socio=rien *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil ont réagi tardivement à la détérioration*socio=uv4 de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et à l'amenuisement*socio=ec2 des moyens*socio=ec1 dont ils disposaient pour assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1, ce qui a eu pour effet*socio=rien d'aggraver leurs difficultés*socio=uv4. Le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 en 1981-82 a augmenté considérablement*socio=rien et de façon*socio=rien imprévue le fardeau*socio=uv4 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1; cet alourdissement*socio=ec2 s'explique par un*socio=rien accroissement*socio=ec2 du*socio=rien coût*socio=ec1 non seulement des nouveaux*socio=rien emprunts*socio=ec1, mais aussi de toutes les dettes*socio=ec1 antérieures*socio=te - et celles-ci représentent *socio=rien un pourcentage élevé*socio=uv4 *socio=nil de l'encours total*socio=rien - qui étaient assorties de taux_d'_intérêt*socio=ec1 variables*socio=rien, conformément à la formule*socio=rien que les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 utilisent depuis quelques années*socio=rien dans la plupart*socio=rien de leurs prêts*socio=ec1 internationaux*socio=te. Puisqu'il s'est*socio=rien produit*socio=rien avec *socio=rien un décalage relativement*socio=nil court *socio=nil et à *socio=rien un moment *socio=nil où de fortes*socio=rien pressions*socio=ec2 s'exerçaient déjà sur*socio=rien le solde*socio=ec1 courant*socio=rien, l'alourdissement*socio=ec2 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 a favorisé*socio=rien l'apparition*socio=rien d'un*socio=rien cercle*socio=rien vicieux*socio=uv4 en créant des besoins*socio=uv1 d'emprunt*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien et en provoquant, de ce fait*socio=rien, une nouvelle*socio=rien augmentation*socio=ec2 des paiements*socio=ec1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil En outre, pendant la période*socio=te 1979-81, *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1,*socio=nil en*socio=nil particulier les*socio=nil principaux débiteurs*socio=ac,*socio=nil *socio=nil ont eu recours*socio=rien, dans des proportions*socio=rien exceptionnellement élevées*socio=uv4, au financement*socio=ec1 à court_terme*socio=te; la part*socio=rien des engagements*socio=et à court_terme*socio=te dans le total*socio=rien de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te est*socio=rien donc devenue assez importante*socio=uv4, et il s'est*socio=rien opéré une plus grande*socio=rien concentration*socio=ec2 des obligations*socio=uv1 exigibles au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1.*socio=nil En*socio=nil termes nominaux*socio=ec1 *socio=nil (en dollars*socio=ec1 EU), l'encours total*socio=rien de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 (y compris les engagements*socio=et à court_terme*socio=te) a augmenté, selon les estimations*socio=ec2, de 17-19 % par an*socio=rien pendant la période*socio=te 1979-81, et atteignait 555 milliards*socio=rien (le dollars*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1981, contre 336 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 trois ans*socio=rien auparavant. En 1979 et en 1980, la valeur*socio=ec1, en dollars*socio=ec1 EU, des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et services*socio=et s'est*socio=rien accrue encore plus rapidement et le rapport*socio=rien entre la dette*socio=ec1 et les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 est*socio=rien tombé de 127 % à la fin*socio=rien de 1978 à 109 % à la fin*socio=rien de 1980. En 1981, toutefois, ce *socio=rien rapport est *socio=nil remonté à 120 %, car la récession*socio=ec2 économique*socio=ec1 et l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1 ont ralenti la croissance*socio=uv3 de la valeur*socio=ec1 (en dollars*socio=ec1) des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1. En 1982, le rapport*socio=rien entre la dette*socio=ec1 et les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 a de nouveau*socio=rien augmenté : il *socio=rien est passé *socio=nil à près de 137 %, malgré un*socio=rien très net*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la dette*socio=ec1 nominale*socio=rien (dont le taux*socio=ec1 est*socio=rien tombé à environ 10 %). A la fin*socio=rien de 1982, la dette*socio=ec1 à long_terme*socio=te envers des banques*socio=ac et d'autres créanciers_privés*socio=et représentait environ la moitié*socio=rien de la dette*socio=ec1 totale*socio=rien, c'est-à-dire *socio=rien un pourcentage égal *socio=nil à celui de la fin*socio=rien de 1978. Cependant, la proportion*socio=rien de a dette*socio=ec1 à court_terme*socio=te (la quasi-totalité*socio=rien de la dette*socio=ec1 contractée envers des créanciers_privés*socio=et) est*socio=rien passée, au cours*socio=rien de cette période*socio=te, de moins de 15 % à 18,5 %, tandis que la *socio=rien part représentant la*socio=nil dette*socio=ec1 à*socio=nil long_terme*socio=te *socio=nil envers des créanciers*socio=ac officiels*socio=et tombait de 35 % à 31,5 %. L'augmentation*socio=ec2 relative*socio=rien de la composante*socio=rien à court_terme*socio=te aurait été*socio=rien sensiblement plus forte*socio=rien si, à la fin*socio=rien de 1982, certains des principaux*socio=rien emprunteurs*socio=ac n'avaient pas négocié des accords*socio=et prévoyant le *socio=rien réaménagement du calendrier*socio=te d'*socio=nil amortissement*socio=ec1 *socio=nil de leur dette*socio=ec1. La répartition*socio=uv3 géographique*socio=te de la dette*socio=ec1 est*socio=rien très inégale*socio=uv2; c'est*socio=rien ce qui ressort des profondes*socio=rien différences*socio=uv1, d'une région*socio=te à l'autre, entre les *socio=ec1 ratios dette/*socio=nil recettes d'*socio=nil exportation,*socio=nil *socio=nil qui sont nettement supérieurs*socio=rien à la moyenne*socio=rien dans l'hémisphère_occidental*socio=te, mais lui sont très inférieurs*socio=rien en Asie*socio=ac. Dans les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 de l' hémisphère_occidental*socio=te, la dette*socio=ec1, à la fin*socio=rien de 1982, équivalait à 246 % des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 (contre 211 %, à la fin*socio=rien de 1978), tandis qu'en Asie*socio=ac le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien correspondant était de 81 % (contre 78 % quatre ans*socio=rien auparavant). L'écart*socio=ec2 entre les *socio=ec1 ratios moyens *socio=nil des trois autres régions*socio=te et la *socio=rien moyenne globale *socio=nil observée en 1982 est*socio=rien beaucoup moins important*socio=uv4. En Afrique*socio=ac, toutefois, le ratio*socio=ec1, qui, en 1978, était très inférieur*socio=rien à la moyenne*socio=rien pour l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, est*socio=rien maintenant très supérieur*socio=rien à cette moyenne*socio=rien. Ce changement*socio=uv3 tient principalement à la diminution*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac et non à l'expansion*socio=ec2 des emprunts*socio=ec1 aux conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1, qui est*socio=rien demeurée relativement faible*socio=rien. *socio=rien Un certain nombre des*socio=nil principaux *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil de ce groupe*socio=ac sont situés dans l'hémisphère_occidental*socio=te, et cette concentration*socio=ec2 explique quelques-unes de ces différences*socio=uv1 impressionnantes*socio=rien entre les régions*socio=te. En revanche, les autres emprunteurs*socio=ac importants*socio=uv4 du*socio=rien groupe*socio=ac sont répartis dans les autres régions*socio=te. L'inégalité*socio=uv1 de la répartition*socio=uv3 de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 est*socio=rien illustrée de façon*socio=rien plus générale*socio=rien au tableau*socio=rien 9; la *socio=rien première colonne *socio=nil indique, par catégories*socio=rien de dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, les montants*socio=ec1 que doivent les 20 pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac dont la dette*socio=ec1 envers des créanciers_privés*socio=et est*socio=rien le plus élevée*socio=uv4. Le tableau*socio=rien indique également, en pourcentage*socio=rien, le rapport*socio=rien entre ces montants*socio=ec1 et les engagements*socio=et de tous les pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac (pour chacune des catégories*socio=rien de dette*socio=ec1). A la fin*socio=rien de 1982, la dette*socio=ec1 des 20 principaux*socio=rien *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil représentait 73 % de la dette*socio=ec1 *socio=rien totale du groupe*socio=ac *socio=nil et leur dette*socio=ec1 à court_terme*socio=te, environ 88 % *socio=rien du total *socio=nil de cette catégorie*socio=rien. Ces mêmes pays*socio=ac n'ont fourni, en 1982, que la moitié*socio=rien des exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et services*socio=et du*socio=rien groupe*socio=ac tout entier*socio=rien et, selon les estimations*socio=ec2, leur PIB*socio=ec1 ne représentait qu'un*socio=rien peu plus de la *socio=rien moitié du PIB*socio=ec1 global*socio=te *socio=nil estimé. Cette observation*socio=ec2 fait*socio=rien ressortir que les difficultés*socio=uv4 auxquelles se heurtent la majorité*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 en matière*socio=rien de dette*socio=ec1 sont nettement moins graves*socio=uv4 que ne semblent l'indiquer les statistiques*socio=ec2 sur*socio=rien les agrégats*socio=ec1 ou sur*socio=rien les moyennes*socio=rien, car ces statistiques*socio=ec2 sont dominées*socio=uv2 par les données relatives*socio=rien aux principaux*socio=rien *socio=ac pays emprunteurs.*socio=nil *socio=nil Nonobstant cette considération*socio=rien, il ne fait*socio=rien aucun doute*socio=rien qu'en attirant l'attention*socio=rien du*socio=rien grand_public*socio=et sur*socio=rien certains cas*socio=rien où les problèmes*socio=uv4 de dette*socio=ec1 étaient graves*socio=uv4, on a restreint l'accès*socio=uv1 de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 au crédit*socio=ec1 privé*socio=et. Le tableau*socio=rien 9 met en *socio=rien relief un autre*socio=nil groupe_de_pays*socio=ac *socio=nil où le profil*socio=rien de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te diffère en général*socio=rien très sensiblement de celui que présente*socio=rien, en moyenne*socio=rien, la dette*socio=ec1 globale*socio=rien. Les pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 faible*socio=rien empruntent peu sur*socio=rien les marchés_privés*socio=et, mais le montant*socio=ec1 des emprunts*socio=ec1 à long_terme*socio=te effectués par certains pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac dans le cadre*socio=rien de l' aide_publique_au_développement*socio=et est*socio=rien généralement très élevé*socio=uv4 par rapport*socio=rien à leurs exportations*socio=ec1. Bien*socio=rien que les pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 faible*socio=rien (à l'exclusion*socio=uv1 de la Chine*socio=ac et de l'Inde*socio=ac) fournissent seulement 4 % *socio=rien du total des*socio=nil exportations*socio=ec1 de*socio=nil biens*socio=ec1 et*socio=nil services*socio=et *socio=nil de l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, leur part*socio=rien dans la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te à long_terme*socio=te du*socio=rien groupe*socio=ac est*socio=rien de 10,5 %, comme l'indique la *socio=rien deuxième colonne du tableau.*socio=nil Les*socio=nil nombreux pays*socio=ac *socio=nil qui constituent le groupe*socio=ac résiduel inscrit*socio=rien à la *socio=rien troisième colonne du tableau *socio=nil réalisent, à l'exportation*socio=ec1, 46 % des recettes*socio=ec1 totales*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 et leur PIB*socio=ec1 représente environ 38 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 global*socio=te de ce groupe*socio=ac. Toutefois, la part*socio=rien de ces pays*socio=ac dans la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te *socio=rien totale du groupe*socio=ac *socio=nil à la fin*socio=rien de 1982 n'était que de 18 % et leur part*socio=rien dans les emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te à court_terme*socio=te ne dépassait pas 9 %. Les comparaisons*socio=rien qui précèdent font ressortir implicitement la très grande*socio=rien diversité*socio=uv1 des *socio=ec1 ratios dette/*socio=nil exportations;*socio=nil *socio=nil à certains égards*socio=rien, ces différences*socio=uv1 ont changé, certes, avec l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil mais elles ne sont pas *socio=rien un phénomène nouveau.*socio=nil Au*socio=nil contraire,*socio=nil *socio=nil elles s'insèrent généralement dans le prolongement*socio=rien d'une tendance*socio=ec2 bien*socio=rien établie, comme l'illustre le graphique*socio=rien 11. Ce graphique*socio=rien retrace l'évolution*socio=te des rapports*socio=rien entre la dette*socio=ec1 et les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 au cours*socio=rien de la dernière*socio=rien décennie*socio=te, d'abord*socio=rien pour tous les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, puis pour certains groupes*socio=ac restreints : les 20 principaux*socio=rien *socio=ac pays emprunteurs,*socio=nil les*socio=nil pays_membres à*socio=nil revenu*socio=ec1 faible*socio=rien *socio=nil (à l'exception*socio=rien de la Chine*socio=ac et de l'Inde*socio=ac), enfin les autres pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1; l'évolution*socio=te est*socio=rien retracée tant *socio=rien du point de*socio=nil vue du montant*socio=ec1 total *socio=nil de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te que du*socio=rien montant*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 envers des créanciers_privés*socio=et. Il apparaît clairement dans ce graphique*socio=rien que les transactions*socio=ec1 des principaux*socio=rien *socio=ac pays emprunteurs ont*socio=nil été*socio=rien la*socio=nil cause*socio=rien fondamentale*socio=uv4 *socio=nil de la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 relative*socio=rien de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te depuis 1980 et tout spécialement des engagements*socio=et à l'égard*socio=rien de créanciers_privés*socio=et (après*socio=rien ajustement*socio=et au moyen*socio=rien des coefficients*socio=ec1 de *socio=rien pondération relatifs des*socio=nil différents groupes*socio=ac)*socio=nil .*socio=nil *socio=nil Par son ampleur*socio=rien même, l'accroissement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années *socio=nil - sans compter la *socio=rien forte proportion des*socio=nil crédits*socio=ec1 *socio=nil obtenus auprès de sources*socio=rien privées*socio=et à *socio=rien un moment *socio=nil où les taux_d'_intérêt*socio=ec1 étaient exceptionnellement élevés*socio=uv4 - a contribué à l'alourdissement*socio=ec2 considérable*socio=rien des déficits_courants*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 et augmenté, de ce fait*socio=rien, leurs besoins*socio=uv1 globaux*socio=te de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te. Selon les estimations*socio=ec2, les paiements*socio=ec1 au titre*socio=rien de l'intérêt*socio=uv1 (notamment sur*socio=rien la dette*socio=ec1 à court_terme*socio=te) sont passés*socio=te d'un*socio=rien peu moins de 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1978 à près de 60 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1982; ils ont donc absorbé cette année-là plus de 13 % des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 du*socio=rien groupe*socio=ac, contre moins de 7,5 % en 1978. En outre, si l'on tient compte*socio=ec1 des paiements*socio=ec1 au titre*socio=rien de l'amortissement*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 à long_terme*socio=te, le montant*socio=ec1 total*socio=rien des flux*socio=ec1 de devises*socio=ec1 disponibles*socio=rien, absorbé par les paiements*socio=ec1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil a représenté près *socio=rien du quart des*socio=nil recettes*socio=ec1 d'*socio=nil exportation*socio=ec1 *socio=nil en 1982. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil dette*socio=ec1 à*socio=nil court_terme*socio=te *socio=nil - dont la *socio=rien totalité est remboursable dans*socio=nil un an *socio=nil - s'est*socio=rien généralement maintenue à *socio=rien un niveau *socio=nil équivalant à près d'un*socio=rien cinquième*socio=rien des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1; à ce rythme*socio=ec2, il *socio=rien est difficile *socio=nil de ne pas penser aux perturbations*socio=ec2 qui pourraient se produire si les pays*socio=ac éprouvaient des difficultés*socio=uv4 à refinancer leurs obligations*socio=uv1 exigibles. En outre, les ratios*socio=ec1 susmentionnés*socio=rien sont tous des *socio=ec1 ratios moyens *socio=nil pour l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 et les obligations*socio=uv1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1 *socio=nil de certains d'entre eux ont été*socio=rien nettement supérieures*socio=rien à cette moyenne*socio=rien. Depuis longtemps, la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te des pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te est*socio=rien très élevée*socio=uv4 par rapport*socio=rien à leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et revêt, en *socio=rien majeure partie,*socio=nil la*socio=nil forme d'*socio=nil engagements*socio=et *socio=nil contractés aux conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 envers des institutions_financières_privées*socio=ac. De surcroît*socio=rien, l'expansion*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 ces *socio=rien dernières années a*socio=nil été *socio=nil particulièrement prononcée dans cette région*socio=te. Le rapport*socio=rien entre les paiements*socio=ec1 au titre*socio=rien de l'intérêt*socio=uv1 et les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 a dépassé 30 % en 1982 (contre 15 % en 1978) et le ratio*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 a atteint 54 %, en dépit*socio=rien des importants*socio=uv4 *socio=rien réaménagements du calendrier*socio=te *socio=nil de la dette*socio=ec1 intervenus en fin*socio=rien d'année*socio=rien. Les problèmes*socio=uv4 de liquidités*socio=ec1 que suscite le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 de ces ratios*socio=ec1 se sont aggravés *socio=rien du fait *socio=nil que la part*socio=rien de la dette*socio=ec1 à court_terme*socio=te dans le total*socio=rien des engagements*socio=et extérieurs*socio=te a aussi été*socio=rien plus élevée*socio=uv4 dans l'hémisphère_occidental*socio=te (22,5 % à la fin*socio=rien de 1982) que dans les autres régions*socio=te. Étant donné que plusieurs grands*socio=rien pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac ont rééchelonné leurs paiements*socio=ec1 au titre*socio=rien de l'amortissement*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 à long_terme*socio=te, on s'attend à une très forte*socio=rien baisse*socio=ec2, en 1983, *socio=rien du rapport *socio=nil entre le total*socio=rien des paiements*socio=ec1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1 *socio=nil et les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 dans cette région*socio=te. Bien*socio=rien qu'il n'apparaisse pas directement dans les ratios*socio=ec1 d'amortissement*socio=ec1 en question*socio=rien, le *socio=rien réaménagement du calendrier*socio=te *socio=nil de la dette*socio=ec1 à court_terme*socio=te permettra d'atténuer les pressions*socio=ec2 qui s'exercent sur*socio=rien les principaux*socio=rien *socio=ac pays emprunteurs d'*socio=nil amérique_latine;*socio=nil la*socio=nil légère*socio=rien baisse*socio=ec2 des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil atténuera, elle aussi, ces pressions*socio=ec2. Cependant, si ces pays*socio=ac veulent être*socio=rien en mesure*socio=rien d'assurer à *socio=rien moyen terme le*socio=nil service_de_leur_dette*socio=ec1,*socio=nil il*socio=nil est essentiel*socio=uv4 *socio=nil que leurs paiements*socio=ec1 à ce titre*socio=rien continuent d'être*socio=rien échelonnés au lieu*socio=rien d'être*socio=rien concentrés sur*socio=rien une courte*socio=rien période*socio=te. Les ratios*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 qui contrastent le plus vivement avec ceux des pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te sont les ratios*socio=ec1 des pays*socio=ac d'Asie*socio=ac. Bien*socio=rien que les pays_en_développement*socio=uv3 asiatiques*socio=ac aient eu de plus en plus recours*socio=rien aux institutions_financières_privées*socio=ac pour se procurer des crédits*socio=ec1 extérieurs*socio=te pendant la dernière*socio=rien décennie*socio=te, une fraction*socio=rien relativement importante*socio=uv4 de leur dette*socio=ec1 globale*socio=rien revêt toujours la forme*socio=rien d'emprunts*socio=ec1 à long_terme*socio=te, contractés envers des créanciers*socio=ac officiels*socio=et et assujettis à un*socio=rien calendrier*socio=te d'amortissement*socio=ec1 qui impose des paiements*socio=ec1 annuels*socio=te relativement faibles*socio=rien. C'est*socio=rien pourquoi, dans cette région*socio=te, le *socio=rien rapport moyen *socio=nil entre les paiements*socio=ec1 d'intérêt*socio=uv1 et les paiements*socio=ec1 au titre*socio=rien de l'amortissement*socio=ec1 à long_terme*socio=te, d'une part*socio=rien, et les exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et, d'autre part*socio=rien, n'a été*socio=rien que de 10 % en 1982. Ce *socio=rien pourcentage est presque*socio=nil égal *socio=nil à celui de 1978, en dépit*socio=rien d'un*socio=rien accroissement*socio=ec2 assez sensible*socio=rien de la composante*socio=rien intérêt*socio=uv1. En 1982, les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 sont parvenus à compenser une partie*socio=rien de la forte*socio=rien diminution*socio=ec2 du*socio=rien financement*socio=ec1 extérieur*socio=te que leur accordent*socio=rien les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 étrangères*socio=te sans avoir à procéder immédiatement à un*socio=rien ajustement*socio=et radical*socio=rien de leur solde*socio=ec1 courant*socio=rien, mais ils l'ont fait*socio=rien au prix*socio=ec1 d'un*socio=rien affaiblissement*socio=ec2 considérable*socio=rien de leur position*socio=rien de liquidité*socio=ec1 internationale*socio=ac. Certains pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac n'ont pas hésité à puiser dans leurs propres*socio=rien réserves*socio=ec1 qui étaient assez abondantes*socio=rien; beaucoup d'autres ont effectué des tirages*socio=ec1 sur*socio=rien la liquidité*socio=ec1 conditionnelle*socio=rien que le Fonds*socio=ec1 met à leur disposition*socio=et. L'utilisation*socio=rien nette*socio=rien des concours du*socio=rien Fonds*socio=ec1 par les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 s'est*socio=rien élevée*socio=uv4 à environ 6,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pendant l'année*socio=rien écoulée; le recours*socio=ec1 à d'autres emprunts*socio=ec1 officiels*socio=et aux fins*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec1 - principalement sous forme*socio=rien de "prêts-relais", associés*socio=rien à des accords*socio=et conclus peu après*socio=rien le début*socio=rien de 1983 et prévoyant des tirages*socio=ec1 sur*socio=rien les ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 - a porté le montant*socio=ec1 total*socio=rien de l'utilisation*socio=rien nette*socio=rien des ressources*socio=ec1 liées aux réserves*socio=ec1 à près de 11 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1982 (tableau*socio=rien 10). Pendant les trois années*socio=rien qui ont précédé le début*socio=rien de la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te (1977-79), le recours*socio=ec1 à ces ressources*socio=ec1 a représenté moins de 0,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 par an*socio=rien. L'utilisation*socio=rien des crédits*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 a continué d'être*socio=rien exceptionnellement importante*socio=uv4 pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983. Une partie*socio=rien de ces crédits*socio=ec1, toutefois, a été*socio=rien compensée par le remboursement*socio=ec1 de prêts-relais que la banque_des_règlements_internationaux*socio=ac et les principales*socio=rien banques_centrales*socio=ac du*socio=rien monde*socio=te industrialisé avaient octroyés pendant le *socio=rien second semestre *socio=nil de 1982. Il paraît peu probable*socio=uv4 que les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, pris en groupe*socio=ac, pourront, en 1983, puiser aussi abondamment dans leurs réserves*socio=ec1 qu'ils l'ont fait*socio=rien en 1982 (7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 EU). Il semble, au contraire*socio=rien, que maints pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac doivent renforcer leur position*socio=rien de réserve*socio=ec1, car le ratio*socio=ec1 moyen*socio=rien réserves*socio=ec1/ importations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et services*socio=et, qui était d'environ 17 % à la fin*socio=rien de 1982, est*socio=rien anormalement faible*socio=rien. Depuis le début*socio=rien de la récession*socio=ec2 actuelle*socio=te, ce rapport*socio=rien se maintient aux alentours*socio=rien de 16-17 %, contre 19 % en 1975 et 22-26 % pendant les années*socio=rien qui séparent les deux récessions*socio=ec2. Les différences*socio=uv1 de ces ratios*socio=ec1 d'une région*socio=te à l'autre sont frappantes. Il convient de noter en particulier*socio=rien que le *socio=ec1 ratio réserves/*socio=nil importations est*socio=rien extrêmement*socio=nil faible*socio=rien *socio=nil (seulement 6 % à la fin*socio=rien de 1982) dans les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac qui font *socio=rien partie du groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ce chiffre fait*socio=rien ressortir que les pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac ont presque entièrement épuisé leurs avoirs*socio=ec1 liquides officiels*socio=et en devises*socio=ec1 et témoigne*socio=rien, par conséquent*socio=rien, des pressions*socio=ec2 qui se sont exercées dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac au moment*socio=rien où ceux-ci s'efforçaient de soutenir le rythme*socio=ec2 de leurs importations*socio=ec1 en dépit*socio=rien d'une contraction*socio=ec2 prolongée de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, d'un*socio=rien accès*socio=uv1 limité aux marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te privés*socio=et et du*socio=rien plafonnement*socio=uv4 de l' aide_publique_au_développement*socio=et mise à leur disposition*socio=et. Selon les statistiques*socio=ec2 de balance_des_paiements*socio=ec1 des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac ( afrique_du_sud*socio=ec1 exclue*socio=rien), le montant*socio=ec1 des apports*socio=rien de ressources*socio=ec1 au titre*socio=rien des transferts_officiels*socio=et et des prêts*socio=ec1 à long_terme*socio=te octroyés par des sources*socio=rien officielles*socio=et a été*socio=rien à peu près le même - environ 8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 - en 1982 qu'en 1979, bien*socio=rien que les prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 aient augmenté. C'est*socio=rien l'Afrique*socio=ac qui a le plus grand*socio=rien besoin*socio=uv1 de recevoir *socio=rien un volume adéquat*socio=uv2 d'*socio=nil aide*socio=uv1 publique*socio=et.*socio=nil Les*socio=nil *socio=ec1 ratios réserves /*socio=nil importations *socio=nil ont aussi nettement diminué en Europe*socio=ac et dans l'hémisphère_occidental*socio=te; dans ces deux régions*socio=te, ils s'établissaient en moyenne*socio=rien à 10 % et 13,5 %, respectivement, à la fin*socio=rien de 1982. Toutefois, la plupart*socio=rien des pays*socio=ac de ces régions*socio=te sont mieux en mesure*socio=rien que les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac de faire face*socio=rien aux pressions*socio=ec2 inhérentes*socio=rien à une telle situation*socio=rien et d'opérer les ajustements*socio=et qu'impose la pénurie*socio=ec2 de réserves*socio=ec1 liquides. Certes, les prélèvements*socio=ec1 effectués sur*socio=rien les réserves*socio=ec1 et l'utilisation*socio=rien des crédits*socio=ec1 liés aux réserves*socio=ec1 ont permis*socio=rien aux pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 de s'adapter*socio=rien à la baisse*socio=ec2 (environ 35 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) des entrées nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 entre 1981 et 1982, mais la nécessité*socio=uv1 de reconstituer les réserves*socio=ec1 aura généralement pour effet*socio=rien d'acerditre le degré*socio=rien de l'ajustement*socio=et qu'il faudra effectuer en 1983. Les pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac devront donc comprimer leur déficit*socio=ec1 courant*socio=rien dans des proportions*socio=rien encore plus fortes*socio=rien que ne semble l'indiquer le ralentissement*socio=ec2, d'ores et déjà prévu, des entrées de capitaux*socio=ec1. Le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien de ce groupe_de_pays*socio=ac est*socio=rien tombé de 108 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 EU en 1981 à 87 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1982, c'est-à-dire une compression*socio=et d'environ 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Selon les projections*socio=ec2 présentées au tableau*socio=rien 4, leur déficit*socio=ec1 diminuera d'environ 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1983 et s'établira à 68 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. A ce niveau*socio=rien, le déficit*socio=ec1 représenterait environ 14 % des exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et services*socio=et de ce groupe_de_pays*socio=ac, contre *socio=rien un niveau record*socio=ec2 *socio=nil de 23 % en 1981; fi serait donc du*socio=rien même ordre*socio=rien de grandeur*socio=rien que celui qui avait été*socio=rien enregistré entre les deux dernières*socio=rien récessions*socio=ec2 mondiales*socio=te. Avant d'émettre *socio=rien un jugement sur la*socio=nil signification*socio=uv3 *socio=nil que peut avoir la diminution*socio=ec2 de l'ampleur*socio=rien *socio=rien relative du déficit*socio=ec1 courant,*socio=nil *socio=nil il convient de formuler au moins deux réserves*socio=ec1. La première*socio=rien a trait*socio=rien à la distribution*socio=rien des déséquilibres*socio=uv3 au *socio=rien sein du groupe*socio=ac;*socio=nil *socio=nil la seconde se rapporte à la structure*socio=ec1 des variations*socio=rien des opérations_courantes*socio=te et aux conséquences*socio=rien implicites*socio=uv3 qu'entreine l'examen*socio=ec2 de certaines*socio=rien composantes*socio=ec1 du*socio=rien solde*socio=ec1 courant*socio=rien. L'une des caractéristiques*socio=rien de la réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 (estimée à 40 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 EU entre 1981 et 1983) est*socio=rien son degré*socio=rien de concentration*socio=ec2 dans les soldes*socio=ec1 d'un*socio=rien nombre*socio=rien relativement limité de grands*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 qui ont lancé d'importants*socio=uv4 programmes*socio=et de stabilisation*socio=et intérieure*socio=te et extérieure*socio=te. Cette caractéristique*socio=rien ressort de la comparaison*socio=rien entre deux groupes*socio=ac de ratios*socio=ec1 : les *socio=ec1 ratios moyens pondérés*socio=nil déficits_courants/*socio=nil exportations de*socio=nil biens et*socio=nil services*socio=et,*socio=nil *socio=nil d'une part*socio=rien, et les ratios*socio=ec1 *socio=rien médians correspondants,*socio=nil *socio=nil d'autre part*socio=rien (graphique*socio=rien 12). Les moyennes*socio=rien pondérés relatives*socio=rien à un*socio=rien groupe_de_pays*socio=ac sont généralement dominées*socio=uv2 par les résultats*socio=rien des principaux*socio=rien pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac, tandis que les ratios*socio=ec1 médians*socio=rien reflètent peut-être mieux les résultats*socio=rien qu'obtiennent normalement la plupart*socio=rien des pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac. Au cours*socio=rien des six *socio=rien dernières années,*socio=nil l'*socio=nil ampleur relative du déficit*socio=ec1 courant médian des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil a augmenté davantage que la moyenne*socio=rien pondérée de leur déficit*socio=ec1 et se maintient à *socio=rien un niveau plus*socio=nil élevé*socio=uv4 *socio=nil que cette moyenne*socio=rien depuis 1981. Comme l'indique le graphique*socio=rien, l'écart*socio=ec2 est*socio=rien particulièrement prononcé dans les régions*socio=te d'Afrique*socio=ac et d'Asie*socio=ac. Il est*socio=rien donc permis*socio=rien de conclure que de *socio=rien nombreux petits pays*socio=ac,*socio=nil en*socio=nil particulier *socio=nil ceux qui sont situés dans ces deux régions*socio=te, ont obtenu moins de succès*socio=uv1 jusqu'à présent*socio=rien que les grands*socio=rien pays*socio=ac dans leurs efforts*socio=uv1 pour limiter*socio=rien la croissance*socio=uv3 de leur déficit*socio=ec1 courant*socio=rien par rapport*socio=rien à leurs exportations*socio=ec1 (en partie*socio=rien peut-être sous l'effet*socio=rien d'une évolution*socio=te moins favorable*socio=uv4 de leurs exportations*socio=ec1). Quel que soient les ajustements*socio=et auxquels doivent encore procéder les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 pour rétablir un*socio=rien équilibre*socio=ec2 durable*socio=uv4 du*socio=rien solde*socio=ec1 courant*socio=rien, il *socio=rien est clair *socio=nil - et c'est*socio=rien ce qui ressort d'un*socio=rien examen*socio=ec2 de chaque composante*socio=rien de ce solde*socio=ec1 - que ces pays*socio=ac sont déjà parvenus à réaliser un*socio=rien ajustement*socio=et très sensible*socio=rien. Dans de *socio=rien nombreux cas,*socio=nil cet*socio=nil ajustement*socio=et n'*socio=nil est *socio=nil pas encore suffisant*socio=rien pour compenser la diminution*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 de financement*socio=ec1 disponibles*socio=rien, mais il est*socio=rien néanmoins nettement supérieur*socio=rien à celui que semble indiquer à *socio=rien première vue la*socio=nil réduction*socio=ec2 du déficit_global*socio=ec1 *socio=nil depuis 1981, année*socio=rien où il avait atteint *socio=rien un niveau record*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil A cet égard*socio=rien - et c'est*socio=rien *socio=rien un point *socio=nil qu'il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 de souligner -, ces pays*socio=ac se heurtent depuis quelques années*socio=rien à une situation*socio=rien économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 extérieure*socio=te qui leur est*socio=rien généralement peu favorable*socio=uv4 et leur évolution*socio=te a été*socio=rien profondément entravée par certains facteurs*socio=rien importants*socio=uv4 qui, pour la plupart*socio=rien, échappaient presque entièrement à leur contrôle*socio=uv3. Il *socio=rien est évident *socio=nil que, *socio=rien du point de*socio=nil vue du volume des*socio=nil échanges*socio=ec1,*socio=nil la*socio=nil récession*socio=ec2 mondiale*socio=te *socio=nil a rabattu le dynamisme*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et gravement affaibli les cours*socio=rien des *socio=rien produits primaires *socio=nil exportés. Dans l'intervalle*socio=te, la *socio=rien hausse persistante des*socio=nil prix*socio=ec1 des*socio=nil produits *socio=nil importés par les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 avait déjà contribué à la détérioration*socio=uv4 prolongée de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 (1982 étant la *socio=rien cinquième année de*socio=nil détérioration*socio=uv4 consécutive)*socio=nil .*socio=nil *socio=nil Enfin, la montée en flèche des taux_d'_intérêt*socio=ec1, qui a suivi l'adoption*socio=uv3, en 1979, de politiques_monétaires*socio=et généralement restrictives*socio=uv4 dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac a imposé de façon*socio=rien imprévue et pour une longue*socio=rien période*socio=te un*socio=rien pesant fardeau*socio=uv4 à ce groupe_de_pays*socio=ac dont les paiements*socio=ec1 étaient déjà grevés par d'importantes*socio=uv4 obligations*socio=uv1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Comme on l'a indiqué précédemment, l'incidence*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 a été*socio=rien aggravée par le fait*socio=rien que les emprunts*socio=ec1 effectués pendant la dernière*socio=rien décennie*socio=te ont pris de plus en plus la forme*socio=rien d'obligations*socio=uv1 qui sont assorties de taux_d'_intérêt*socio=ec1, fréquemment ajustés en fonction*socio=rien des taux*socio=ec1 pratiqués sur*socio=rien les *socio=ec1 marchés monétaires internationaux*socio=te.*socio=nil *socio=nil Il se peut que ce *socio=rien facteur particulier *socio=nil ait des répercussions*socio=ec2 moins graves*socio=uv4 en 1983 qu'en 1982, mais il continue*socio=rien néanmoins d'avoir une incidence*socio=ec2 défavorable*socio=uv4, comme l'indique la comparaison*socio=rien entre la situation*socio=rien actuelle*socio=te et celle des années*socio=rien antérieures*socio=te à 1979. En ce qui concerne les pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1, la détérioration*socio=uv4 de leur solde*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te entre 1978 et 1981 est*socio=rien, dans son intégralité*socio=rien, essentiellement attribuable*socio=rien aux trois facteurs*socio=rien que l'on vient d'évoquer. A vrai*socio=rien dire, si l'on tient compte*socio=ec1 non seulement de la détérioration*socio=uv4 de leur *socio=ec1 balance_commerciale pétrolière *socio=nil et de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 non pétroliers*socio=ec1, mais aussi du*socio=rien montant*socio=ec1 considérable*socio=rien par lequel l'augmentation*socio=ec2 de leurs paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te au titre*socio=rien de l'intérêt*socio=uv1 a dépassé le produit*socio=rien de l'intérêt*socio=uv1 qu'ils ont perçu sur*socio=rien leurs réserves*socio=ec1 et leurs autres *socio=ec1 avoirs financiers *socio=nil à l'étranger*socio=te, on obtient une dégradation*socio=uv3 totale*socio=rien de près de 80 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour les trois années*socio=rien en question*socio=rien, alors que l'accroissement*socio=ec2 cumulé de leur déficit*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te pendant cette période*socio=te n'a été*socio=rien que de 53 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. On peut considérer que l'écart*socio=ec2 entre ces deux chiffres, dû aux variations*socio=rien d'autres composantes*socio=ec1 du*socio=rien solde*socio=ec1 *socio=rien courant du groupe*socio=ac,*socio=nil *socio=nil donne une idée*socio=rien approximative des ajustements*socio=et que ces pays*socio=ac avaient effectués dès 1981 pour compenser partiellement l'incidence*socio=ec2 défavorable*socio=uv4 des facteurs*socio=rien extérieurs*socio=te susmentionnés*socio=rien. Étant donné que le *socio=ec1 déficit commercial pétrolier *socio=nil a légèrement diminué en 1982 et au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983, que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont eu tendance*socio=ec2 à baisser et que la détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 s'est*socio=rien amenuisée, les trois facteurs*socio=rien en question*socio=rien ont eu une incidence*socio=ec2 défavorable*socio=uv4, certes, par rapport*socio=rien à ce qui s'est*socio=rien produit*socio=rien dans le passé*socio=rien, mais, tout compte*socio=ec1 fait*socio=rien, cette incidence*socio=ec2 ne s'est*socio=rien pas sensiblement accentuée entre 1981 et 1983. La *socio=rien variation effective du solde*socio=ec1 courant *socio=nil pendant cette période*socio=te s'explique donc par d'autres éléments*socio=rien qui sont plus directement sensibles*socio=rien à l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien au *socio=rien sein du groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil et à l'influence des politiques*socio=et adoptées par ce groupe_de_pays*socio=ac. Pour illustrer d'une autre façon*socio=rien dans quelle mesure*socio=rien les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 peuvent procéder aux ajustements*socio=et qui leur permettront de s'adapter*socio=rien aux changements*socio=uv3 extérieurs*socio=te qui ont une forte*socio=rien incidence*socio=ec2 sur*socio=rien leur solde*socio=ec1 courant*socio=rien, il suffit d'examiner, sur*socio=rien une plus longue*socio=rien période*socio=te, les données relatives*socio=rien aux composantes*socio=ec1 de ces soldes*socio=ec1 dans l'optique*socio=rien qui vient d'être*socio=rien décrite. Le graphique*socio=rien 13, qui présente*socio=rien une ventilation*socio=rien de ce genre*socio=rien (au moyen*socio=rien d'estimations*socio=ec2 distinctes*socio=rien pour la *socio=ec1 balance_commerciale pétrolière,*socio=nil les*socio=nil paiements_d'_intérêts nets*socio=rien *socio=nil et les variations*socio=rien cycliques*socio=te des termes_de_l'_échange*socio=ec1 non pétroliers*socio=ec1), retrace l'évolution*socio=te de ces composantes*socio=ec1 jusqu'à la période*socio=te 1973-75, période*socio=te de récession*socio=ec2 qui a été*socio=rien caractérisée, en outre, par le *socio=rien renchérissement du pétrole*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil changements*socio=uv3 *socio=nil intervenus pendant cette période*socio=te, en particulier*socio=rien, ont eu des *socio=rien effets profonds et*socio=nil durables*socio=uv4 sur les*socio=nil soldes*socio=ec1 courants*socio=te des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1;*socio=nil *socio=nil à la fin*socio=rien des années*socio=rien 70, la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac avaient déjà réussi à opérer, à cet égard*socio=rien, des ajustements*socio=et importants*socio=uv4. Toutefois, les ajustements*socio=et qui ont été*socio=rien effectués dans ces circonstances*socio=rien diffèrent considérablement*socio=rien d'un*socio=rien sous-groupe de pays*socio=ac à l'autre et les différences*socio=uv1 sont perceptibles*socio=rien non seulement pour les années*socio=rien 70, mais aussi pour les toutes *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil comme l'indiquent les *socio=rien diverses parties du graphique *socio=nil 13 qui sont consacrées à plusieurs sous-groupes_de_pays*socio=ac (classification*socio=ec2 analytique*socio=ec2). Certains pays_en_développement*socio=uv3 qui font *socio=rien partie du groupe_des_pays*socio=ac *socio=nil dits "non pétroliers*socio=ec1" sont, en fait*socio=rien, des producteurs*socio=ac et des exportateurs*socio=ac nets*socio=rien de pétrole*socio=ec1; les hausses du*socio=rien prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, celles *socio=rien du milieu des*socio=nil années *socio=nil 70 comme celles des *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil ont eu tendance*socio=ec2, cela va de soi*socio=rien, à améliorer leur solde*socio=ec1 courant*socio=rien. De 1976 à la fin*socio=rien de 1981, les *socio=ac pays exportateurs nets*socio=rien de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil ont bénéficié d'une amélioration*socio=uv1 de leur *socio=ec1 balance_commerciale pétrolière;*socio=nil *socio=nil toutefois, au lieu*socio=rien de profiter de cette amélioration*socio=uv1 pour réduire le montant*socio=ec1 global*socio=te de leur déficit*socio=ec1 courant*socio=rien et celui de leurs emprunts*socio=ec1 à l'étranger*socio=te, ils ont préféré utiliser l'apport*socio=rien de ressources*socio=ec1, principalement pour accroître leurs importations*socio=ec1 nettes*socio=rien de biens*socio=ec1 et services*socio=et non pétroliers*socio=ec1 et pour maintenir le taux*socio=ec1 de leurs investissements*socio=ec1 intérieurs*socio=te à *socio=rien un niveau plus*socio=nil élevé*socio=uv4 *socio=nil qu'ils n'auraient pu le faire normalement. Certains de ces pays*socio=ac sont devenus d'importants*socio=uv4 emprunteurs*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 extérieurs*socio=te, car ils se sont fondés sur*socio=rien la perspective*socio=rien d'un*socio=rien accroissement*socio=ec2 de leurs *socio=ec1 recettes pétrolières futures*socio=te *socio=nil pour promouvoir l'accélération*socio=ec2 du*socio=rien développement*socio=uv3 de leur secteur*socio=rien non pétrolier*socio=ec1. L'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te les a toutefois amenés à modifier profondément ces programmes*socio=et et, de ce fait*socio=rien, à limiter*socio=rien les importations*socio=ec1 y afférentes*socio=rien. Bien*socio=rien que la hausse*socio=rien des coûts*socio=ec1 les aient incités à réduire leurs importations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1, les *socio=ac pays importateurs nets*socio=rien de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil n'ont pas réussi, après*socio=rien 1975, à résorber sensiblement l'accroissement*socio=ec2 qu'avait accusé leur *socio=ec1 déficit pétrolier global*socio=te au*socio=nil cours*socio=rien des*socio=nil *socio=rien années précédentes.*socio=nil *socio=nil Ils ont été*socio=rien obligés, toutefois, de réduire le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te qui était apparu et dont le niveau*socio=rien ne pouvait être*socio=rien soutenu; ils y sont parvenus - comme l'indique le pointillé au graphique*socio=rien 13 - en améliorant de *socio=rien façon appréciable le*socio=nil solde*socio=ec1 *socio=nil de toutes les transactions*socio=ec1, sauf celles qui appartiennent aux trois catégories*socio=rien dominées*socio=uv2 par l'influence de facteurs*socio=rien extérieurs*socio=te. Les gains*socio=ec1 nets*socio=rien de ce solde*socio=ec1 résiduel ont plafonné à la fin*socio=rien des armés 70; ce phénomène*socio=rien indique que le déficit_global*socio=ec1 courant*socio=rien était redescendu à *socio=rien un niveau assez*socio=nil bas *socio=nil (par rapport*socio=rien aux exportations*socio=ec1 actuelles*socio=te de biens*socio=ec1 et de services*socio=et) pour *socio=rien être financièrement soutenable*socio=uv4.*socio=nil La*socio=nil deuxième *socio=nil vague de hausses des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te et la montée des taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont toutefois modifié la situation*socio=rien; une autre série d'ajustements*socio=et et d'adaptations*socio=uv3 s'est*socio=rien donc amorcée, comme l'indique le pointillé de la *socio=rien partie supérieure droite*socio=et du graphique *socio=nil 13 (et comme on l'a déjà mentionné en analysant l'évolution*socio=te intervenue pendant les années*socio=rien 1979-83). L'ajustement*socio=et a revêtu *socio=rien diverses formes :*socio=nil réorientation*socio=et des*socio=nil politiques*socio=et de*socio=nil régulation*socio=et *socio=nil de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, modification*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1, incitations*socio=uv3 à l'exportation*socio=ec1, restrictions*socio=et variées*socio=rien aux importations*socio=ec1 et aux opérations*socio=rien de change*socio=ec1, enfin différentes*socio=rien mesures*socio=et dictées par la *socio=rien situation particulière *socio=nil de chaque pays*socio=ac. Maints pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac ont tardé certes à prendre des mesures*socio=et et d'autres devront adopter des mesures*socio=et supplémentaires*socio=rien, mais la *socio=rien variation globale *socio=nil (le graphique*socio=rien la décrit en pourcentage*socio=rien des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1) de la structure*socio=ec1 du*socio=rien solde*socio=ec1 courant*socio=rien de ces pays*socio=ac a été*socio=rien assez marquée pendant la dernière*socio=rien décennie*socio=te pour permettre de penser qu'ils pourront, à l'avenir*socio=te, procéder aux ajustements*socio=et qui s'imposent. Les résultats*socio=rien sont particulièrement impressionnants*socio=rien dans le cas*socio=rien des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés (graphique*socio=rien 13, partie*socio=rien droite*socio=et *socio=rien du milieu)*socio=nil ;*socio=nil *socio=nil ils ont accru rapidement leurs *socio=ec1 débouchés commerciaux sur*socio=rien le*socio=nil marché mondial*socio=te,*socio=nil *socio=nil ce qui leur a permis*socio=rien, du*socio=rien moins jusqu'à ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil de faire face*socio=rien à la *socio=rien hausse du prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 *socio=nil et à celle du*socio=rien coût*socio=ec1 de leurs emprunts*socio=ec1, tout en maintenant leur position*socio=rien extérieure*socio=te globale*socio=rien. Pour les pays*socio=ac de ce sous-groupe en particulier*socio=rien, la plus grave*socio=uv4 menace*socio=uv1 semble être*socio=rien l'intensification*socio=ec2 des pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et suscitée par la récession*socio=ec2. Si cette menace*socio=uv1 ne se dissipe pas, Us*socio=ac risquent de ne pouvoir*socio=et continuer à progresser aussi rapidement que pendant la dernière*socio=rien décennie*socio=te. La *socio=rien partie inférieure droite*socio=et du graphique *socio=nil 13 décrit la situation*socio=rien extrêmement difficile*socio=rien dans laquelle se sont trouvés les pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 faible*socio=rien pendant la seconde moitié*socio=rien des années*socio=rien 70 et au début*socio=rien de années*socio=rien 80. En effet*socio=rien, ils ont dû neutraliser l'incidence*socio=ec2 des facteurs*socio=rien extérieurs*socio=te défavorables*socio=uv4, que le graphique*socio=rien retrace sommairement, en réduisant de *socio=rien façon considérable leur*socio=nil absorption nette de*socio=nil ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 en*socio=nil provenance *socio=nil de l'étranger*socio=te. La substitution*socio=rien qui s'est*socio=rien dès lors*socio=rien opérée dans le solde*socio=ec1 global*socio=te de leurs opérations_courantes*socio=te a été*socio=rien extrêmement importante*socio=uv4 par rapport*socio=rien à leurs propres*socio=rien recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1; de ce fait*socio=rien, elle a fortement assombri leurs perspectives*socio=te d'évolution*socio=te non seulement en ce qui concerne la reprise de la croissance*socio=uv3 et du*socio=rien développement*socio=uv3, mais aussi le maintien*socio=rien, à son niveau*socio=rien pourtant déjà faible*socio=rien, du*socio=rien revenu*socio=ec1 réel*socio=rien par habitant*socio=ac. Le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien de ce sous-groupe de pays*socio=ac est*socio=rien encore beaucoup plus élevé*socio=uv4 par rapport*socio=rien aux recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 que celui d'aucun autre groupe_de_pays_en_développement*socio=uv3, car l'aide*socio=uv1 publique*socio=et, assortie de conditions*socio=ec1 libérales*socio=et, joue un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 - dans le financement*socio=ec1 de leurs importations*socio=ec1. Les pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 faible*socio=rien ne peuvent espérer une atténuation*socio=ec2 des pressions*socio=ec2 auxquelles ils sont actuellement soumis que si les prix*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires *socio=nil se raffermissent et s'il *socio=rien est possible *socio=nil d'augmenter, en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2, l'aide_publique_au_développement*socio=et. L'une des caractéristiques*socio=rien des ajustements*socio=et que les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 ont opérés jusqu'à présent*socio=rien dans leur solde*socio=ec1 *socio=rien courant est la*socio=nil mesure *socio=nil dans laquelle ils ont réduit leurs importations*socio=ec1. Cette réduction*socio=ec2 était inévitable*socio=rien, certes, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, étant donné la nature*socio=rien de la situation*socio=rien extérieure*socio=te, mais elle a eu pour effet*socio=rien, bien*socio=rien entendu, de limiter*socio=rien les ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 dont ils disposent pour leur développement*socio=uv3. (Elle a eu, en outre, une incidence*socio=ec2 défavorable*socio=uv4 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac, comme on l'a noté précédemment, et elle a contribué, par conséquent*socio=rien, à un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac). La croissance*socio=uv3 réelle*socio=ec2 des importations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, qui avait été*socio=rien en moyenne*socio=rien de 8,5 % par an*socio=rien entre 1977 et la fin*socio=rien de 1979, a été*socio=rien ramenée rapidement mais progressivement*socio=rien à 2,5 % en 1981 et a cédé la place*socio=rien à une baisse*socio=ec2 de près de 8 % en 1982. Pour de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, et en particulier*socio=rien pour le groupe_des_pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 faible*socio=rien, la reprise escomptée en 1983 ne sera pas assez vigoureuse*socio=rien pour que le volume*socio=rien des importations*socio=ec1 retrouve son niveau*socio=rien de 1979. De toutes les régions*socio=te, c'est*socio=rien l'hémisphère_occidental*socio=te qui a réduit le plus radicalement le volume*socio=rien de ses importations*socio=ec1 en 1982, en raison*socio=rien des difficultés*socio=uv4 particulièrement graves*socio=uv4 auxquelles se sont heurtés certains grands*socio=rien pays*socio=ac de cette région*socio=te. Pour l'ensemble*socio=rien de l'hémisphère_occidental*socio=te, comme l'indique le graphique*socio=rien 14, le niveau*socio=rien des importations*socio=ec1 réelles*socio=ec2 en 1982 a été*socio=rien à peine supérieur*socio=rien à celui *socio=rien du milieu des*socio=nil années *socio=nil 70. Les importations*socio=ec1 réelles*socio=ec2 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 d'Europe*socio=ac et d'Afrique*socio=ac ont diminué moins rapidement en 1982; elles se sont maintenues à *socio=rien un niveau plus*socio=nil élevé*socio=uv4 *socio=nil que ceux *socio=rien du milieu des*socio=nil années *socio=nil 70 mais inférieur*socio=rien à ceux de 1979. Le volume*socio=rien des importations*socio=ec1 a cessé de s'accroître en 1982 même en Asie*socio=ac et au Moyen-orient*socio=ac, régions*socio=te où les tendances*socio=ec2 ont été*socio=rien le plus fermes*socio=rien pendant la *socio=rien majeure partie *socio=nil de la dernière*socio=rien décennie*socio=te. Le graphique*socio=rien 14 met aussi en évidence*socio=rien d'autres différences*socio=uv1 régionales*socio=te prononcées dans l'évolution*socio=te du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te pendant les années*socio=rien 70 et au début*socio=rien des années*socio=rien 80. Il illustre clairement, par exemple*socio=rien, la croissance*socio=uv3 persistante*socio=rien et exceptionnellement *socio=rien rapide du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 *socio=nil effectuées par les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 d'Asie*socio=ac ainsi que les *socio=rien résultats décevants des*socio=nil exportations*socio=ec1 des*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil Afrique*socio=ac,*socio=nil *socio=nil pris en groupe*socio=ac. Il convient de noter, dans la *socio=rien partie inférieure du graphique,*socio=nil le*socio=nil degré de*socio=nil détérioration*socio=uv4 des*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 des*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil Afrique*socio=ac *socio=nil et de l'hémisphère_occidental*socio=te depuis 1977. Un*socio=rien autre phénomène*socio=rien qui mérite*socio=rien d'être*socio=rien signalé est*socio=rien la stabilité*socio=uv3 relative*socio=rien, depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 70, des termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 d'Asie*socio=ac et d'Europe*socio=ac, apparemment due à la structure*socio=ec1 plus diversifiée de leurs exportations*socio=ec1. Problèmes*socio=uv4 de politique_économique*socio=ec1. Les *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil se sont atténuées en 1982 et au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983; les responsables*socio=uv2 de la politique_économique*socio=ec1 peuvent donc s'attaquer maintenant à divers problèmes*socio=uv4 qu'il leur a été*socio=rien parfois impossible*socio=rien d'aborder ces *socio=rien dernières années.*socio=nil L'*socio=nil un *socio=nil des plus importants*socio=uv4 est*socio=rien la nature*socio=rien de l'ajustement*socio=et qu'ils devront opérer sur*socio=rien le plan*socio=rien de l'action*socio=ec1 pour soutenir la reprise économique*socio=ec1 qui se manifeste dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac,*socio=nil en*socio=nil particulier aux*socio=nil États-unis*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et pour faire en sorte*socio=rien qu'elle se généralise. Par ailleurs*socio=rien, les difficultés*socio=uv4 auxquelles les pays_en_développement*socio=uv3 se heurtent en matière*socio=rien de dette*socio=ec1 et la montée du*socio=rien protectionnisme*socio=et qui fait*socio=rien obstacle*socio=uv3 à l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te pour leurs exportations*socio=ec1 ont mis en évidence*socio=rien de nouveaux*socio=rien problèmes*socio=uv4 qui appellent l'attention*socio=rien immédiate*socio=rien des responsables*socio=uv2 de la politique_économique*socio=ec1. En outre, on se préoccupe à nouveau*socio=rien des facteurs*socio=rien qui, à long_terme*socio=te, entravent la croissance*socio=uv3, notamment les rigidités*socio=uv3 qui subsistent sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des biens*socio=ec1 et *socio=rien du travail *socio=nil ainsi que le niveau*socio=rien peu élevé*socio=uv4 des taux*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 et d'investissement*socio=ec1. Cependant, l'inquiétude*socio=rien que suscite l'inflation*socio=ec1 *socio=rien est loin d'*socio=nil être *socio=nil dissipée. Dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac tant industrialisés qu'en développement*socio=uv3, l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien encore virulente*socio=uv2 et même là où les *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil se sont atténuées, il est*socio=rien toujours possible*socio=rien de les voir se raviver. Même s'il trahit avant tout l'existence*socio=rien de problèmes*socio=uv4 budgétaires*socio=et, le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 auquel se trouvent les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te partout dans le monde*socio=te industrialisé n'en reste*socio=rien pas moins un*socio=rien signe de la persistance*socio=te des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2. Le souci*socio=rien de consolider les progrès*socio=uv1 accomplis dans la voie*socio=rien d'une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 demeure donc l'une des principales*socio=rien préoccupations*socio=uv4 qui influent sur*socio=rien l'élaboration*socio=rien des politiques*socio=et en matière*socio=rien de reprise économique*socio=ec1 et de croissance*socio=uv3 à long_terme*socio=te. Dans la déclaration*socio=et qu'ils ont formulée à Williamsburg, en mai*socio=rien 1983, sur*socio=rien la reprise économique*socio=ec1, les dirigeants*socio=ac des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont reconnu qu'il était nécessaire*socio=rien de réduire l'inflation*socio=ec1 et de la maintenir à *socio=rien un niveau peu*socio=nil élevé*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil tout en relevant le défi*socio=uv2 que pose le démarrage*socio=rien de la reprise sur*socio=rien une *socio=rien base concrète et*socio=nil durable*socio=uv4.*socio=nil La*socio=nil présente section est *socio=nil consacrée principalement aux problèmes*socio=uv4 de politique*socio=et intérieure*socio=te; les questions*socio=rien se rapportant aux taux_de_change*socio=ec1 et au *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil sont, pour l'essentiel*socio=uv4, examinées au *socio=rien chapitre suivant.*socio=nil Les*socio=nil moyens*socio=ec1 *socio=nil de favoriser une reprise durable*socio=uv4. La tâche*socio=rien la plus urgente*socio=uv4 est*socio=rien, sans *socio=rien nul doute,*socio=nil *socio=nil de faire en sorte*socio=rien que la reprise, d'ores et déjà perceptible*socio=rien dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac,*socio=nil revête*socio=nil un caractère durable*socio=uv4 *socio=nil et non inflationniste*socio=ec2 et qu'elle se généralise dans le *socio=rien reste du monde*socio=te.*socio=nil *socio=nil Pour ce faire, il importe de tenir compte*socio=ec1 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 particulière*socio=rien dans laquelle se trouvent non seulement les pays_industrialisés*socio=ac, mais aussi les pays_en_développement*socio=uv3. En ce qui concerne les pays_industrialisés*socio=ac, nul*socio=rien n'ignore que, dans *socio=rien bon nombre *socio=nil d'entre eux, y compris la France*socio=ac, l'Italie*socio=ac et plusieurs autres petits*socio=rien pays*socio=ac, le taux*socio=ec1 de l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien encore élevé*socio=uv4 et que les déficits*socio=ec1 extérieurs*socio=te sont assez importants*socio=uv4. Les autorités*socio=et de ces pays*socio=ac appliquent à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te des politiques*socio=et d'ajustement*socio=et qui ont pour objet*socio=rien de réduire l'inflation*socio=ec1 et de rétablir l'équilibre*socio=ec2 extérieur*socio=te en comprimant le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et et en ralentissant l'expansion*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 et du*socio=rien crédit*socio=ec1. Ces politiques*socio=et devraient permettre à la longue*socio=rien de créer à nouveau*socio=rien des conditions*socio=ec1 favorables*socio=uv4 à une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4, mais, à court_terme*socio=te, elles limiteront probablement les possibilités*socio=rien de reprise économique*socio=ec1. En revanche, dans les cinq*socio=rien autres principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac - le Canada*socio=ac, le Japon*socio=ac, les États-unis*socio=ac, la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac -, la situation*socio=rien s'est*socio=rien améliorée davantage et se révèle déjà plus propice*socio=rien à une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4; ces pays*socio=ac ont donc élargi, bien*socio=rien qu'à des degrés*socio=rien divers, les possibilités*socio=rien d'expansion*socio=ec2 de leur économie*socio=ec1. Toutefois, même les pays*socio=ac dont la *socio=rien position est relativement*socio=nil forte *socio=nil continuent de se heurter, en matière*socio=rien de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1, à de *socio=uv4 graves problèmes *socio=nil qu'ils devront résoudre s'ils souhaitent déclencher la reprise et maintenir son élan*socio=rien. Dans la mesure*socio=rien où l'on s'attend qu'ils subsisteront, même après*socio=rien une phase*socio=te assez prolongée de reprise, les importants*socio=uv4 déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et peuvent contribuer à la persistance*socio=te de taux_d'_intérêt*socio=ec1 relativement élevés*socio=uv4 même si l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien en baisse*socio=ec2. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 élevés*socio=uv4, quant à eux, affaiblissent le processus*socio=te de reprise dans le secteur_privé*socio=et et compromettent ses chances*socio=rien de survie*socio=uv1, notamment parce qu'ils entravent la formation*socio=et de capital*socio=ec1 et tendent à déséquilibrer*socio=uv la composition*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Compte*socio=ec1 tenu de ces écueils*socio=rien, les autorités*socio=et d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont décidé de poursuivre leurs efforts*socio=uv1 en vue*socio=rien de réduire leurs déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et. En République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, au Japon*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac, la composante*socio=rien structurelle*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 a été*socio=rien réduite en 1981 et 1982 et cette tendance*socio=ec2 devrait se poursuivre en 1983 et 1984. Les autorités*socio=et continueront de consolider le budget*socio=ec1 non seulement en comprimant les dépenses*socio=ec1 et en procédant à des *socio=et réformes législatives *socio=nil qui leur permettront de réduire progressivement*socio=rien le rôle*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=et, mais aussi en freiner la croissance*socio=uv3 des paiements*socio=ec1 de transfert*socio=ec1. Tout en poursuivant cette politique_budgétaire*socio=et prudente*socio=uv2, les autorités*socio=et ont l'intention*socio=rien de favoriser une baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te et de stimuler ainsi la relance*socio=uv3 de l'investissement*socio=ec1 dans le secteur_privé*socio=et. A cet égard*socio=rien, il leur faudra - et le défi*socio=uv2 est*socio=rien de taille - procéder à la consolidation*socio=uv3 budgétaire*socio=et qui s'impose à long_terme*socio=te sans s'exposer, dans l'immédiat*socio=rien, à réduire la demande_globale*socio=ec1 et à paralyser temporairement*socio=rien la reprise naissante*socio=rien par une compression*socio=et trop rapide*socio=rien des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et. Les autorités*socio=et des États-unis*socio=ac sont fermement résolues à réduire la composante*socio=rien structurelle*socio=ec2 de leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et, mais, jusqu'à présent*socio=rien, elles ne sont pas parvenues à réaliser des progrès*socio=uv1 dans cette voie*socio=rien. Depuis qu'il a pris ses fonctions*socio=rien au début*socio=rien de 1981, le gouvernement*socio=ac des États-unis*socio=ac applique un*socio=rien programme*socio=et permettant d'abaisser le taux*socio=ec1 d'imposition*socio=et du*socio=rien revenu*socio=ec1 des particuliers*socio=rien, d'assouplir les barèmes*socio=rien d'amortissement*socio=ec1 applicables*socio=rien aux entreprises*socio=ac et d'accorder d'autres avantages*socio=rien fiscaux*socio=et propres*socio=rien à stimuler J'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1. La croissance*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 fédérales*socio=ac a été*socio=rien freinée mais le ralentissement*socio=ec2 n'a pas été*socio=rien assez marqué pour compenser la diminution*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 fiscales*socio=et, provoquée par les nouvelles*socio=rien mesures*socio=et; il est*socio=rien donc apparu un*socio=rien important*socio=uv4 déficit*socio=ec1 structurel*socio=ec2. Ce déficit*socio=ec1, le Rapport*socio=rien annuel*socio=te de l'an*socio=rien dernier*socio=rien le présentait déjà comme le principal*socio=rien problème*socio=uv4 de politique_économique*socio=ec1 qui se pose aux États-unis*socio=ac; or*socio=ec1, il s'est*socio=rien considérablement*socio=rien alourdi pendant l'exercice*socio=rien 1983. On est*socio=rien encore fondé à croire que si les États-unis*socio=ac modifiaient le dosage*socio=rien de leurs politiques*socio=et en adoptant des mesures*socio=et qui leur permettraient de prévenir un*socio=rien déficit*socio=ec1 chronique*socio=rien à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil sans toutefois changer leurs objectifs*socio=uv3 d'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1, ce réaménagement*socio=rien aurait tendance*socio=ec2 à faire baisser les *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux et*socio=nil réels*socio=ec2 *socio=nil et à créer des conditions*socio=ec1 nettement plus favorables*socio=uv4 à une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 durable*socio=uv4. Étant donné l'orientation*socio=et de la politique_budgétaire*socio=et dans les autres pays*socio=ac dont la *socio=rien position est relativement*socio=nil forte,*socio=nil la*socio=nil réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et des*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil représenterait, en outre, un*socio=rien pas important*socio=uv4 vers la convergence*socio=uv3 tant souhaitée des conditions_économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 au *socio=rien sein du groupe*socio=ac des*socio=nil principaux pays_industrialisés*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Pour ce qui est*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et, les principales*socio=rien innovations*socio=uv3 financières*socio=ec1 intervenues ces *socio=rien dernières années *socio=nil dans plusieurs pays_industrialisés*socio=ac ont rendu temporairement*socio=rien plus difficile*socio=rien l'évaluation*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 adéquat*socio=uv2 de croissance*socio=uv3 à long_terme*socio=te de chaque *socio=ec1 agrégat monétaire.*socio=nil Ces*socio=nil *socio=rien nouvelles techniques,*socio=nil *socio=nil qui ont accru la mobilité*socio=uv3 des fonds*socio=ec1 entre les comptes*socio=ec1 assortis de divers degrés*socio=rien de liquidité*socio=ec1, ont toutefois intensifié l'instabilité*socio=uv3 des *socio=ec1 agrégats monétaires à*socio=nil court_terme*socio=te.*socio=nil Ces*socio=nil difficultés*socio=uv4 ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil exacerbées par l'ampleur*socio=rien des diverses*socio=rien perturbations*socio=ec2 qui ont altéré la demande*socio=ec1 de monnaies*socio=ec1 ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil notamment la grave*socio=uv4 récession*socio=ec2 et la *socio=rien forte hausse,*socio=nil *socio=nil puis la chute, des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1. C'est*socio=rien pourquoi il n'est*socio=rien pas étonnant*socio=rien que les variations*socio=rien de la vitesse*socio=rien de circulation*socio=ec2 des *socio=ec1 agrégats monétaires aient*socio=nil été*socio=rien *socio=nil généralement accentuées et atypiques. Dans ces conditions*socio=ec1, les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 ont décidé, pour la plupart*socio=rien, d'appliquer leur politique_monétaire*socio=et d'une façon*socio=rien à la fois*socio=rien souple*socio=uv4 et pragmatique*socio=uv4 sans cesser néanmoins d'utiliser les *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil comme des variables-objectifs. *socio=rien Du fait *socio=nil de cette approche, les réserves*socio=ec1 fournies au secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des pays*socio=ac considérés pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983 avaient pour une *socio=rien bonne part un caractère d'*socio=nil accompagnement.*socio=nil Cette*socio=nil situation,*socio=nil *socio=nil justifiée peut-être par les événements*socio=rien, n'est*socio=rien pas sans présenter certains risques*socio=uv3. Le fait*socio=rien que les *socio=ec1 taux_de_croissance monétaire relativement*socio=nil élevés*socio=uv4 *socio=nil n'ont pas provoqué une nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 sensible*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 pourrait bien*socio=rien dénoter que l'on a presque atteint le point*socio=rien où la persistance*socio=te de taux*socio=ec1 aussi élevés*socio=uv4 risque*socio=uv3 de raviver les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2. Ce bref*socio=rien aperçu a mis en évidence*socio=rien non seulement la complexité*socio=rien, mais aussi la diversité*socio=uv1 des défis*socio=uv2 que doivent actuellement relever les *socio=rien cinq principaux pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil dont la *socio=rien position est relativement*socio=nil forte.*socio=nil *socio=nil Il ne fait*socio=rien aucun doute*socio=rien que ces pays*socio=ac souhaiteraient tous favoriser une expansion*socio=ec2 continue*socio=rien de leur activité_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te et que, pour chacun d'eux, la baisse*socio=ec2 durable*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=rien est un élément important*socio=uv4 *socio=nil de ce processus*socio=te. Pour que la reprise se poursuive, il convient, toutefois, d'appliquer une politique_économique*socio=ec1 prudente*socio=uv2. Les *socio=ec1 taux_de_croissance monétaire *socio=nil ont déjà fortement augmenté, même si l'on tient compte*socio=ec1 des effets*socio=rien des innovations*socio=uv3 financières*socio=ec1. A l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, une expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 trop rapide*socio=rien ferait probablement monter les taux_d'_intérêt*socio=ec1, au lieu*socio=rien de les faire descendre. Tout compte*socio=ec1 fait*socio=rien, pour réduire les taux_d'_intérêt*socio=ec1, les autorités*socio=et doivent s'efforcer de convaincre les agents*socio=ac économiques*socio=ec1 que les déficit*socio=ec1 budgétaires*socio=et actuels*socio=te vont diminuer sensiblement au cours*socio=rien des *socio=rien prochaines années *socio=nil et qu'ainsi il n'y aura pas incompatibilité*socio=rien entre l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 privé*socio=et et le désir*socio=rien des autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 de contenir la croissance*socio=uv3 de la monnaie*socio=ec1. C'est*socio=rien de cette considération*socio=rien que s'inspirent les recommandations*socio=et formulées dans l'annexe*socio=rien de la récente*socio=rien déclaration*socio=et de Williamsburg sur*socio=rien la reprise économique*socio=ec1, lorsqu'elles précisent que les autorités*socio=et nationales*socio=te devraient s'efforcer, de préférence*socio=rien en s'imposant une certaine*socio=rien discipline*socio=uv1 en ce qui concerne les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et, de réduire les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et structurels*socio=ec2 et de tenir compte*socio=ec1 des répercussions*socio=ec2 de la politique_budgétaire*socio=et sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1 et sur*socio=rien la croissance*socio=uv3. La poursuite*socio=rien de cette politique*socio=et permettrait, dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil *socio=nil non seulement de faire démarrer la reprise au plus tôt, mais aussi d'en assurer la continuité*socio=uv1. La reprise économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac serait à l'avantage des pays_en_développement*socio=uv3 qui pourraient, par la suite*socio=rien, l'accélérer en favorisant l'expansion*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac. Comme l'indique le *socio=rien chapitre suivant,*socio=nil *socio=nil il y a bien*socio=rien des chances*socio=rien pour que cet effet*socio=rien se produise, notamment parce que les variations*socio=rien cycliques*socio=te de l' activité_économique*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac ont une forte*socio=rien incidence*socio=ec2 sur*socio=rien les exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. Les répercussions*socio=ec2, toutefois, se feront sentir pour l'essentiel*socio=uv4 avec *socio=rien un décalage considérable *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=uv3 et, par ricochet, dans les pays_industrialisés*socio=ac. Et, qui plus est*socio=rien, leur ampleur*socio=rien sera largement fonction*socio=rien des politiques*socio=et appliquées non seulement par les pays_industrialisés*socio=ac, mais aussi par les pays_en_développement*socio=uv3. en particulier*socio=rien, ce processus*socio=te se déroulera de façon*socio=rien plus efficace*socio=uv4 si les tendances*socio=ec2 protectionnistes*socio=et actuelles*socio=te sont freinées, voire inversées. La nécessité*socio=uv1 pour les pays_industrialisés*socio=ac de maintenir une *socio=et politique_commerciale libérale *socio=nil à l'égard*socio=rien des importations*socio=ec1 en provenance*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, notamment des importations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés et agricoles*socio=ec1, est*socio=rien particulièrement cruciale*socio=uv4 à cet égard*socio=rien. Le processus*socio=te sera également plus efficace*socio=uv4 si les taux_d'_intérêt*socio=ec1 baissent dans les pays_industrialisés*socio=ac. Tant qu'ils demeureront à leur niveau*socio=rien actuel*socio=te, les possibilités*socio=rien d'expansion*socio=ec2 seront limitées dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 parce qu'ils devront utiliser une *socio=rien grande partie *socio=nil de leurs ressources*socio=ec1 en devises*socio=ec1 pour payer*socio=rien l'intérêt*socio=uv1 sur*socio=rien leur dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. En outre, dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, les possibilités*socio=rien d'une reprise économique*socio=ec1 seront largement fonction*socio=rien de la fermeté*socio=rien avec laquelle les autorités*socio=et mettront en oeuvre*socio=rien les vastes*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et qu'elles ont récemment adoptés en vue*socio=rien de réduire les graves*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 internes*socio=te et externes*socio=ec1 dont souffre leur économie*socio=ec1. Si l'ajustement*socio=et fondamental*socio=uv2 prévu dans ces programmes*socio=et n'est*socio=rien pas opéré, il est*socio=rien peu probable*socio=uv4 qu'une reprise économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac parvienne à rétablir l'équilibre*socio=ec2 extérieur*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 ou à restaurer leur réputation*socio=uv1 de solvabilité*socio=ec1. Il est*socio=rien absolument indispensable*socio=uv4 que ces pays*socio=ac et que maints pays_industrialisés*socio=ac opèrent de nouveaux*socio=rien ajustements*socio=et intérieurs*socio=te et extérieurs*socio=te s'ils veulent participer sans_réserve*socio=ec1 à la reprise économique*socio=ec1 mondiale*socio=te. La régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 a un*socio=rien rôle*socio=et central*socio=rien à jouer dans l'ajustement*socio=et que souhaitent opérer les pays_en_développement*socio=uv3. La nécessité*socio=uv1, pour maints pays*socio=ac, de poursuivre et de consolider les progrès*socio=uv1 déjà accomplis dans la réduction*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 extérieurs*socio=te continuera de limiter*socio=rien la capacité*socio=uv3 d'absorption*socio=rien intérieure*socio=te. Il faut toutefois que la plus *socio=rien grande partie du poids *socio=nil de l'ajustement*socio=et retombe sur*socio=rien la consommation*socio=ec1, et non sur*socio=rien l'investissement*socio=ec1 productif*socio=uv4, si l'on veut éviter que le taux_de_croissance*socio=ec1 de l'économie*socio=ec1 ne se ralentisse au-delà du*socio=rien court_terme*socio=te. A cet égard*socio=rien, la politique_budgétaire*socio=et revêt une *socio=rien importance particulière *socio=nil parce que le niveau*socio=rien et la répartition*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et ont une incidence*socio=ec2 considérable*socio=rien non seulement sur*socio=rien le volume*socio=rien global*socio=te, mais aussi sur*socio=rien la composition*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. En outre, l'existence*socio=rien d'un*socio=rien important*socio=uv4 déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et, qui ne peut être*socio=rien financé sans une croissance*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 excessive*socio=uv4, engendre un*socio=rien processus*socio=te inflationniste*socio=ec2 qui entrave*socio=ec2 l'ensemble*socio=rien du*socio=rien processus*socio=te d'ajustement*socio=et. C'est*socio=rien pourquoi les tendances*socio=ec2 budgétaires*socio=et qui se manifestent dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil ne peuvent manquer de susciter une *socio=rien certaine inquiétude.*socio=nil *socio=nil Non seulement le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et y demeure excessif*socio=uv4, mais la réduction*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et s'y est*socio=rien opérée de façon*socio=rien disproportionnée aux dépens*socio=uv2 de l'investissement*socio=ec1 productif*socio=uv4. Il est*socio=rien donc indispensable*socio=uv4 que ces pays*socio=ac s'efforcent d'établir sans plus tarder si leurs programmes*socio=et de dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et sont adéquats*socio=uv2. Il importe, en outre, que le taux_de_change*socio=ec1, au même titre*socio=rien que les prix*socio=ec1 et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 intérieurs*socio=te, puisse s'ajuster de manière*socio=rien à refléter les changements*socio=uv3 intervenus dans la conjoncture*socio=ec2 économique*socio=ec1. Cet ajustement*socio=et est*socio=rien important*socio=uv4 non seulement *socio=rien du point de*socio=nil vue des*socio=nil perspectives*socio=te de*socio=nil croissance*socio=uv3 à*socio=nil long_terme*socio=te des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil comme on l'indiquera plus loin*socio=rien, mais aussi parce que ces variables*socio=ec2 jouent un*socio=rien rôle*socio=et fondamental*socio=uv2 à court_terme*socio=te, en tant que complément*socio=rien des politiques*socio=et de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1. A cet égard*socio=rien, la flexibilité*socio=uv3 nettement plus grande*socio=rien qui a caractérisé l'évolution*socio=te du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 l'*socio=nil an dernier est un indice*socio=nil favorable*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil mais, à lui seul*socio=rien, il ne suffit pas. Les modifications*socio=rien de prix*socio=ec1 que laisse supposer un*socio=rien ajustement*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 doivent se répercuter par l'intermédiaire*socio=rien de chaque agent*socio=ac économique*socio=ec1 pour favoriser les changements*socio=uv3 qui s'imposent dans la structure*socio=ec1 de la production*socio=ec1 et de la consommation*socio=ec1. Dans bien*socio=rien des cas*socio=rien, cette condition*socio=rien n'est*socio=rien pas remplie parce qu'un*socio=rien système*socio=rien complexe de restrictions*socio=et commerciales*socio=ec1 extérieures*socio=te et intérieures*socio=te limite*socio=rien et fausse*socio=rien la relation*socio=rien qui existe entre les prix*socio=ec1 pratiqués sur*socio=rien le marché*socio=ec1 mondial*socio=te et ceux qui sont en vigueur*socio=uv3 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 intérieur*socio=te. Il importe de favoriser un*socio=rien ajustement*socio=et des taux_d'_intérêt*socio=ec1 qui soit *socio=rien fonction du taux*socio=ec1 d'*socio=nil inflation*socio=ec1 *socio=nil et de la demande*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 parce qu'un*socio=rien tel ajustement*socio=et peut stimuler l'épargne*socio=ec1 - en particulier*socio=rien l'épargne*socio=ec1 financière*socio=ec1 - et contribuer à l'expansion*socio=ec2 et à l'efficacité*socio=uv3 de l'investissement*socio=ec1. La croissance*socio=uv3 à long_terme*socio=te. Outre les problèmes*socio=uv4 que pose la régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 et qui viennent d'être*socio=rien examinés, les pays_industrialisés*socio=ac et les pays_en_développement*socio=uv3 se heurtent actuellement à des difficultés*socio=uv4 structurelles*socio=ec2 qui exigent des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et immédiats*socio=rien et soutenus. Il convient de signaler ces difficultés*socio=uv4 structurelles*socio=ec2, car il est*socio=rien de plus en plus évident*socio=rien que la plupart*socio=rien d'entre elles subsisteront en dépit*socio=rien de la reprise économique*socio=ec1 et, dans certains cas*socio=rien, elles deviendront peut-être plus difficiles*socio=rien à surmonter à mesure*socio=rien que la situation*socio=rien s'améliorera. pays_industrialisés*socio=ac. L'une des *socio=rien principales caractéristiques *socio=nil de la stratégie*socio=et économique*socio=ec1 adoptée par de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ces *socio=rien dernières années a*socio=nil été son*socio=nil orientation*socio=et à*socio=nil long_terme*socio=te.*socio=nil *socio=nil Plusieurs des modifications*socio=rien qu'ils ont apportées à leur politique*socio=et ont été*socio=rien dictées, en particulier*socio=rien, par la nécessité*socio=uv1 de stimuler l'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1, d'atténuer les rigidités*socio=uv3 qui subsistaient sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des biens*socio=ec1 et *socio=rien du travail,*socio=nil *socio=nil enfin d'encourager les innovations*socio=uv3 technologiques*socio=ec1. Ces modifications*socio=rien avaient principalement pour but*socio=rien d'accroître la productivité*socio=uv3, d'accélérer la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 et de réduire le chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2. Si ces objectifs*socio=uv3 n'ont pas été*socio=rien atteints, c'est*socio=rien peut-être dans une *socio=rien large mesure *socio=nil parce que les autorités*socio=et ont dû accorder la priorité*socio=uv4 à la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1. Étant donné que les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 étaient profondément enracinées, le resserrement*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 a déclenché une grave*socio=uv4 récession*socio=ec2 qui, comme chacun le sait, a eu une incidence*socio=ec2 prépondérante*socio=rien et défavorable*socio=uv4 *socio=rien sur un grand nombre de*socio=nil variables*socio=ec2 économiques*socio=ec1 *socio=nil que les politiques*socio=et de croissance*socio=uv3 à long_terme*socio=te cherchaient précisément à modifier. Cependant, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 a déjà baissé dans de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac et le *socio=rien moment est *socio=nil donc venu pour les autorités*socio=et nationales*socio=te d'examiner leurs politiques*socio=et à long_terme*socio=te et d'établir si ces politiques*socio=et ont une portée*socio=rien qui leur permettra d'atteindre leurs objectifs*socio=uv3. A cet égard*socio=rien, il est*socio=rien peut-être utile*socio=uv4 de formuler *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil observations*socio=ec2 *socio=nil concernant deux problèmes*socio=uv4 connexes*socio=rien : le *socio=rien faible niveau *socio=nil de l'épargne*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1 et le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 du*socio=rien chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2. Nombreux*socio=rien sont les pays*socio=ac qui n'ont pas ménagé les efforts*socio=uv1 pour stimuler l'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 ces *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Ils ont adopté diverses*socio=rien *socio=et mesures budgétaires propres*socio=rien *socio=nil à accroître l'épargne*socio=ec1 des particuliers*socio=rien et à renforcer les incitations*socio=uv3 au travail*socio=rien. Il convient de citer notamment l'exemple*socio=rien des États-unis*socio=ac, de la Suède*socio=ac et du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac qui ont fortement réduit le taux*socio=ec1 marginal*socio=rien de l'impôt*socio=et, en particulier*socio=rien pour les tranches *socio=rien supérieures du barème fiscal*socio=et.*socio=nil Les*socio=nil mesures*socio=et financières*socio=ec1 *socio=nil ont revêtu, elles aussi, une *socio=rien grande importance *socio=nil à cet égard*socio=rien. La libéralisation*socio=et de la réglementation*socio=et du*socio=rien système_financier*socio=ec1, en particulier*socio=rien aux États-unis*socio=ac, a permis*socio=rien aux petits*socio=rien épargnants*socio=ac de bénéficier pleinement de la forte*socio=rien poussée des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 sur*socio=rien les *socio=ec1 marchés monétaires.*socio=nil *socio=nil Parmi les autres mesures*socio=et touchant plus directement le secteur*socio=rien des entreprises*socio=ac, il convient de noter la libéralisation*socio=et des barèmes*socio=rien d'amortissement*socio=ec1. Néanmoins, les efforts*socio=uv1 que les autorités*socio=et ont déployés pour stimuler l'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 ont donné des résultats*socio=rien limités non seulement parce que les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et n'ont pas été*socio=rien comprimés, mais aussi en raison*socio=rien des effets*socio=rien à court_terme*socio=te de la politique*socio=et d'austérité*socio=uv3 monétaire*socio=ec1. Il ne fait*socio=rien aucun doute*socio=rien que le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et est*socio=rien dû en partie*socio=rien à la récession*socio=ec2, mais il *socio=rien est clair *socio=nil qu'il s'explique aussi par d'autres facteurs*socio=rien. Même après*socio=rien ajustement*socio=et pour tenir compte*socio=ec1 *socio=rien du niveau anormalement*socio=nil faible *socio=nil de l'activité_économique*socio=ec1, les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et restent très élevés*socio=uv4 dans de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Dans certains d'entre eux - notamment la Belgique*socio=ac, le Danemark*socio=ac, les États-unis*socio=ac, l'Irlande*socio=ac, l'Italie*socio=ac et la Suède*socio=ac -, ces déficits*socio=ec1 structurels*socio=ec2 sont presque aussi importants*socio=uv4 que le flux*socio=ec1 normal*socio=rien d'épargne*socio=ec1 privée*socio=et nette*socio=rien. Il se peut qu'une fois*socio=rien le processus*socio=te de reprise amorcé, des déficits*socio=ec1 structurels*socio=ec2 d'une telle ampleur*socio=rien évincent du*socio=rien marché*socio=ec1 l' investissement_privé*socio=et, car ils ont absorbé toute l'épargne*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien que les mesures*socio=et d'incitation*socio=uv3 adoptées récemment avaient permis*socio=rien de mobiliser. Les pays*socio=ac qui sont aux prises*socio=rien avec d'importants*socio=uv4 déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et structurels*socio=ec2 doivent donc intensifier leurs efforts*socio=uv1 pour les réduire. Les mesures*socio=et qui seront adoptées à cet effet*socio=rien devront tenir compte*socio=ec1 non seulement des préférences*socio=uv4 sociales*socio=et des pays*socio=ac en question*socio=rien, mais aussi de la nécessité*socio=uv1 d'accroître l'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1. En outre, le niveau*socio=rien des bénéfices*socio=ec1 est*socio=rien encore déprimé et entrave*socio=ec2, de ce fait*socio=rien, les efforts*socio=uv1 que déploient les autorités*socio=et pour stimuler l'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1. Dans ce cas*socio=rien aussi, la récession*socio=ec2 explique une *socio=rien partie du problème*socio=uv4 *socio=nil mais elle n'en est*socio=rien pas la *socio=rien seule cause.*socio=nil Un facteur important*socio=uv4 est le*socio=nil changement*socio=uv3 *socio=nil intervenu dans la répartition*socio=uv3 du*socio=rien revenu*socio=ec1 en *socio=rien faveur du travail au*socio=nil cours *socio=nil des 15 *socio=rien dernières années,*socio=nil en*socio=nil particulier *socio=nil dans les *socio=ac pays européens *socio=nil et au Japon*socio=ac. Par exemple*socio=rien, en France*socio=ac, en Italie*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, la *socio=rien part du revenu*socio=ec1 du capital*socio=ec1 *socio=nil dans le revenu*socio=ec1 total*socio=rien (valeur_ajoutée*socio=ec1) provenant *socio=rien du secteur manufacturier*socio=ec1 est *socio=nil tombée d'environ 40 % en 1968-69, c'est-à-dire au moment*socio=rien où l' activité_économique*socio=ec1 atteignait son sommet*socio=rien cyclique*socio=te, à moins de 35 % au *socio=rien moment du sommet *socio=nil de 1979. En 1982, elle a encore diminué dans ces trois pays*socio=ac, bien*socio=rien que, selon toute vraisemblance*socio=rien, cette nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 ait été*socio=rien provoquée essentiellement par la récession*socio=ec2. Il *socio=rien est clair *socio=nil que la répartition*socio=uv3 du*socio=rien revenu*socio=ec1 fait*socio=rien intervenir des considérations*socio=rien complexes d'ordre*socio=rien éthique*socio=uv et social*socio=et. Cependant, la *socio=rien principale modification *socio=nil de la répartition*socio=uv3 du*socio=rien revenu*socio=ec1 au cours*socio=rien des 15 *socio=rien dernières années *socio=nil a eu tendance*socio=ec2 à réduire le taux*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 global*socio=te parce que la propension*socio=ec1 marginale*socio=rien à épargner est*socio=rien normalement plus faible*socio=rien dans le *socio=rien cas du revenu*socio=ec1 du travail *socio=nil que dans celui du*socio=rien revenu*socio=ec1 du*socio=rien capital*socio=ec1. Les entreprises*socio=ac, de leur côté*socio=rien, se sont trouvées dans une situation*socio=rien qui a ralenti leurs investissements*socio=ec1 et elles ont été*socio=rien moins promptes à acerditre leur capacité*socio=uv3 de production*socio=ec1. Pour tenter de résoudre le problème*socio=uv4 que pose le chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2, les autorités*socio=et ont adopté de nombreuses*socio=rien mesures*socio=et économiques*socio=ec1 ces *socio=rien dernières années;*socio=nil *socio=nil elles ont eu recours*socio=rien notamment à des programmes*socio=et de formation_professionnelle*socio=et et d'incitation*socio=uv3 à l'emploi*socio=ec1 mais, en dépit*socio=rien de ces efforts*socio=uv1, la *socio=rien situation continue *socio=nil de se détériorer. L'aggravation*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2 a peut-être été*socio=rien due en partie*socio=rien aux importants*socio=uv4 changements*socio=uv3 intervenus dans le volume*socio=rien et la composition*socio=rien de la main-d'_oeuvre*socio=ac, notamment l'accroissement*socio=ec2 de la participation*socio=uv3 féminine*socio=ac, mais elle s'explique aussi par les variations*socio=rien des avantages_comparatifs*socio=ec2 au niveau*socio=rien international*socio=te, qui ont provoqué le déclin*socio=ec2 rapide*socio=rien de certaines*socio=rien industries*socio=ec1 traditionnelles*socio=rien. Tout aussi important*socio=uv4, toutefois, a été*socio=rien le changement*socio=uv3 qui est*socio=rien intervenu dans la répartition*socio=uv3 du*socio=rien revenu*socio=ec1 et qui vient d'être*socio=rien évoqué, au moins dans les *socio=ac pays européens.*socio=nil *socio=nil A la longue*socio=rien, la *socio=rien hausse sensible du coût*socio=ec1 relatif *socio=nil de la main-d'_oeuvre*socio=ac a provoqué un*socio=rien fléchissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 de main-d'_oeuvre*socio=ac. Parmi les autres facteurs*socio=rien qui peuvent avoir revêtu une *socio=rien grande importance *socio=nil dans certains cas*socio=rien, il convient de mentionner le manque*socio=rien de formation*socio=et adéquate*socio=uv2, l'application*socio=rien de taux*socio=ec1 de salaires*socio=ec1 minimums*socio=rien excessifs*socio=uv4 et le niveau*socio=rien relativement élevé*socio=uv4 des prestations*socio=et de chômage*socio=ec1. Il est*socio=rien extrêmement difficile*socio=rien, certes, de s'attaquer à ces problèmes*socio=uv4, mais ne pas le faire, c'est*socio=rien s'exposer à subir des coûts_sociaux*socio=et et économiques*socio=ec1 extrêmement lourds*socio=rien. pays_en_développement*socio=uv3. En 1982 et au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983, la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te a soulevé dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 des difficultés*socio=uv4 qui, par leur gravité, ont suscité une réévaluation*socio=ec1 approfondie non seulement de leurs politiques*socio=et de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1, mais aussi de leur stratégie*socio=et de croissance*socio=uv3 à long_terme*socio=te. Cette réévaluation*socio=ec1 est*socio=rien devenue impérieuse*socio=rien dès le moment*socio=rien où l'on s'est*socio=rien rendu compte*socio=ec1 que, même après*socio=rien le démarrage*socio=rien de la reprise économique*socio=ec1, il s'écoulerait probablement *socio=rien un certain temps *socio=nil avant que les taux_de_croissance*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac ne retrouvent les niveaux*socio=rien élevés*socio=uv4 des années*socio=rien 60 et *socio=rien du début des*socio=nil années *socio=nil 70. Cette *socio=rien perspective est lourde de*socio=nil conséquences *socio=nil tant pour le taux_de_croissance*socio=ec1 des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 que pour le niveau*socio=rien de l' aide_publique_au_développement*socio=et et des crédits*socio=ec1 des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1. En outre, l'efficacité*socio=uv3 avec laquelle l'aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 est*socio=rien utilisée, non seulement en ce qui concerne la répartition*socio=uv3 sectorielle*socio=rien des nouveaux*socio=rien investissements*socio=ec1, mais aussi la nature*socio=rien des projets*socio=et ou de la formation*socio=et de capital*socio=ec1 auxquels les fonds*socio=ec1 octroyés sont affectés, est*socio=rien une question*socio=rien qui préoccupe de plus en plus les *socio=ac organismes donateurs.*socio=nil La*socio=nil banque_mondiale *socio=nil et les autres organisations*socio=ac se sont efforcées ces *socio=rien dernières années *socio=nil d'accroître la part*socio=rien de l'aide*socio=uv1 qui doit permettre de développer le secteur*socio=rien agricole*socio=ec1 et de réaliser des projets*socio=et dont bénéficient directement les couches*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 de la population*socio=ac. Le secteur*socio=rien énergétique*socio=ec1 *socio=rien est un secteur qui*socio=nil est *socio=nil considéré, lui aussi, comme hautement prioritaire*socio=uv4. La façon*socio=rien dont les projets*socio=et de développement*socio=uv3 sont conçus, mis en route*socio=et et gérés fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'une surveillance*socio=et de plus en plus étroite*socio=rien : par exemple*socio=rien, selon un*socio=rien mouvement*socio=ec2 d'opinion*socio=uv1 assez généralisé à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, il est*socio=rien préférable*socio=uv4 de réaliser de petits*socio=rien projets*socio=et dont l'organisation*socio=ec1 et la mise en oeuvre*socio=rien dépendent, pour une *socio=rien bonne part,*socio=nil des*socio=nil bénéficiaires*socio=ac *socio=nil eux-mêmes, même si l'on admet qu'il est*socio=rien parfois nécessaire*socio=rien d'exécuter de vastes*socio=rien projets*socio=et en raison*socio=rien, notamment, des économies*socio=ec1 d'échelle*socio=rien. Par ailleurs*socio=rien - et c'est*socio=rien *socio=rien un point *socio=nil encore plus important*socio=uv4 - les pays_en_développement*socio=uv3 se rendent compte*socio=ec1 de plus en plus que le niveau*socio=rien auquel un*socio=rien pays*socio=ac peut porter la croissance*socio=uv3 de sa production*socio=ec1 au moyen*socio=rien de la main-d'_oeuvre*socio=ac et des ressources_naturelles*socio=ec1 dont il dispose ne dépend pas seulement de son stock*socio=ec1 de capital*socio=ec1. Il est*socio=rien également fonction*socio=rien de l'efficacité*socio=uv3 avec laquelle tous les facteurs*socio=rien de production*socio=ec1 sont utilisés dans les *socio=rien différentes lignes de*socio=nil production*socio=ec1 *socio=nil ainsi que de certains aspects*socio=rien moins tangibles*socio=rien de l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1, telle que l'intensité*socio=rien des efforts*socio=uv1 et la qualité*socio=rien de la gestion*socio=ec2. Lorsqu'on examine les différents*socio=rien moyens*socio=ec1 d'accroître la production*socio=ec1, en particulier*socio=rien dans les pays_en_développement*socio=uv3 et pendant une période*socio=te où les ressources*socio=ec1 extérieures*socio=te sont rares*socio=rien, il convient de mettre l'accent*socio=rien sur*socio=rien l'efficacité*socio=uv3 de la répartition*socio=uv3 et de la gestion*socio=ec2 de ces ressources*socio=ec1 rares*socio=rien. A l'évidence*socio=rien, certains des éléments*socio=rien les moins tangibles*socio=rien qui influent sur*socio=rien la productivité*socio=uv3 - la santé*socio=et et la formation*socio=et de la population_active*socio=ac, par exemple*socio=rien - sont eux-mêmes le résultat*socio=rien d'un*socio=rien processus*socio=te de développement*socio=uv3 à long_terme*socio=te. Il y a, toutefois, d'autres *socio=rien éléments sur *socio=nil lesquels les autorités*socio=et peuvent avoir une profonde*socio=rien influence à court_terme*socio=te si elles adoptent des mesures*socio=et qui favorisent une meilleure*socio=uv4 répartition*socio=uv3 des ressources*socio=ec1 soit en offrant des incitations*socio=uv3 adéquates*socio=uv2 au niveau*socio=rien des prix*socio=ec1, soit en veillant, le cas*socio=rien échéant, à décentraliser certains services*socio=et et, parfois même, à confier au secteur_privé*socio=et des activités*socio=rien qui relevaient auparavant de l'administration_centrale*socio=ac. A cet égard*socio=rien, l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien fournie par l'étranger*socio=te peut souvent revêtir autant d'importance*socio=rien que le financement*socio=ec1 extérieur*socio=te des investissements*socio=ec1. Les pays_en_développement*socio=uv3 sont, en outre, de plus en plus convaincus qu'ils peuvent eux-mêmes faire beaucoup pour tirer un*socio=rien meilleur*socio=uv4 parti*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te que dans le passé*socio=rien. Les *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil adoptées par les pays_industrialisés*socio=ac ont certainement ralenti la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3, en particulier*socio=rien leurs exportations*socio=ec1 de *socio=ec1 denrées alimentaires *socio=nil et de produits*socio=rien manufacturés, mais il y a aussi *socio=rien un degré élevé*socio=uv4 de*socio=nil protection*socio=et effective *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=uv3 et cette protection*socio=et nuit à leur secteur*socio=rien d'exportation*socio=ec1 parce qu'elle favorise les industries*socio=ec1 de substitution*socio=rien des importations*socio=ec1 et entrave*socio=ec2 les échanges*socio=ec1 entre les pays_en_développement*socio=uv3 eux-mêmes. Les autorités*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac sont amenées à prendre des décisions*socio=et stratégiques*socio=uv4 difficiles*socio=rien pour adapter*socio=rien leurs structures*socio=ec1 à l'évolution*socio=te de l'avantage_comparatif*socio=ec2; les choix*socio=uv1 que doivent faire les autorités*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3 sont tout aussi pénibles*socio=rien et ardus. Même dans les cas*socio=rien où les *socio=rien principales activités *socio=nil sont entre les *socio=rien mains du secteur_privé*socio=et,*socio=nil le*socio=nil secteur_public*socio=et *socio=nil a souvent un*socio=rien rôle*socio=et *socio=rien complémentaire crucial *socio=nil à jouer. A cet égard*socio=rien, il est*socio=rien particulièrement difficile*socio=rien de déterminer quels sont les domaines*socio=rien dans lesquels les pays_en_développement*socio=uv3 pourraient avoir un*socio=rien avantage_comparatif*socio=ec2 et à quel moment*socio=rien il serait opportun*socio=rien de tirer parti*socio=et de cet avantage potentiel*socio=rien. Un*socio=rien pays*socio=ac est*socio=rien parfois tenté de se spécialiser immédiatement dans la fabrication*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés plus élaborés sans passer par les stades*socio=te intermédiaires*socio=rien de développement*socio=uv3. S'il se lance prématurément*socio=rien dans des activités*socio=rien à *socio=rien forte intensité de*socio=nil capital*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qu'il devra protéger par la suite*socio=rien à grands*socio=rien frais*socio=ec1, ou s'il utilise des techniques*socio=rien avancées qu'il n'est*socio=rien pas en mesure*socio=rien d'appliquer de façon*socio=rien efficace*socio=uv4 étant donné le niveau*socio=rien de compétence*socio=uv3 de la main-d'_oeuvre*socio=ac et des cadres*socio=rien dont il disposera pendant plusieurs années*socio=rien à venir, il s'expose à gaspiller des ressources*socio=ec1 rares*socio=rien. Lorsqu'il s'agit notamment des pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 faible*socio=rien, il est*socio=rien peut-être préférable*socio=uv4 de définir*socio=rien l' avantage_comparatif*socio=ec2 potentiel*socio=rien seulement dans l'optique*socio=rien *socio=rien du moyen terme.*socio=nil Cette*socio=nil optique *socio=nil permettrait de mesurer de façon*socio=rien adéquate*socio=uv2 les possibilités*socio=rien qu'offrent le secteur*socio=rien agricole*socio=ec1 - en particulier*socio=rien pour la production*socio=ec1 de *socio=ec1 denrées alimentaires *socio=nil - et la fabrication*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés plus simples*socio=rien, n'exigeant*socio=rien pas de la main-d'_oeuvre*socio=ac et du*socio=rien personnel*socio=ac d'encadrement*socio=rien *socio=rien disponibles un effort*socio=uv1 *socio=nil qu'ils ne peuvent fournir. Les pays*socio=ac du*socio=rien tiers_monde*socio=ac doivent, en outre, faire en sorte*socio=rien que leurs politiques*socio=et de développement*socio=uv3 économique*socio=ec1 soient adaptées aux problèmes*socio=uv4 que pose l'ampleur*socio=rien du*socio=rien chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2. Les taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 de croissance*socio=uv3 démographique*socio=ec1 et l'exode*socio=te rural*socio=te massif*socio=rien ont *socio=rien fait du chômage*socio=ec1 chronique un problème*socio=uv4 particulier aux*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil Toutefois, comme ce fut le cas*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac, le problème*socio=uv4 s'est*socio=rien encore aggravé ces *socio=rien dernières années.*socio=nil Le*socio=nil chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2 s'*socio=nil est *socio=nil nettement atténué dans les pays*socio=ac qui ont pu favoriser la croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien des *socio=ec1 industries manufacturières *socio=nil (pour réduire le chômage*socio=ec1 urbain*socio=te), lancer des campagnes*socio=et de planification*socio=et familiale*socio=uv2 (pour contenir l'expansion*socio=ec2 de la main-d'_oeuvre*socio=ac) et mettre au point*socio=rien des programmes*socio=et de développement*socio=uv3 agricole*socio=ec1 (pour ralentir l'allure*socio=rien de l'exode*socio=te rural*socio=te). Dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, toutefois, les pays_en_développement*socio=uv3 ont obtenu peu de succès*socio=uv1 dans ces domaines*socio=rien et les pressions*socio=ec2 sociales*socio=et causées par le chômage*socio=ec1 ont provoqué un*socio=rien gaspillage*socio=uv3 des ressources*socio=ec1 budgétaires*socio=et pour accroître l'emploi*socio=ec1 dans le secteur*socio=rien publie, nonobstant son caractère*socio=rien peu productif*socio=uv4. La récession*socio=ec2 mondiale*socio=te a exacerbé ces difficultés*socio=uv4 en ralentissant l' activité_économique*socio=ec1 de ces pays*socio=ac, spécialement dans le secteur*socio=rien des exportations*socio=ec1 et dans l'industrie*socio=ec1 manufacturière*socio=ec1. Enfin, si l'on considère que vraisemblablement*socio=rien la croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 prêts bancaires internationaux*socio=te *socio=nil sera tout au plus modérée au cours*socio=rien des *socio=rien prochaines années *socio=nil et que l'aide_publique_au_développement*socio=et sera assez faible*socio=rien en termes*socio=rien réels*socio=ec2, il se peut que l'adoption*socio=uv3 de politiques*socio=et propres*socio=rien à attirer les investissements_directs_étrangers*socio=ec1 joue un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 dans la stratégie*socio=et du*socio=rien développement*socio=uv3 d'un*socio=rien *socio=rien bon nombre de*socio=nil pays*socio=ac du tiers_monde*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Outre qu'il n'est*socio=rien pas une source*socio=rien d'endettement*socio=ec1, l' investissement_direct*socio=ec1 présente*socio=rien l'avantage d'être*socio=rien directement lié à la formation*socio=et de capital*socio=ec1 productif*socio=uv4 et de faire *socio=rien partie intégrante d'*socio=nil un *socio=nil tout qui comprend le transfert*socio=ec1 de technologies*socio=ec1 et de compétences*socio=uv3. A cet égard*socio=rien, il faut toutefois se soucier de prévenir les effets*socio=rien sociaux*socio=et défavorables*socio=uv4 et veiller à ce que les transferts*socio=ec1 de technologie*socio=ec1 soient adéquats*socio=uv2. En somme*socio=rien, une croissance*socio=uv3 plus rapide*socio=rien de l'investissement_direct*socio=ec1, spécialement dans les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, pourrait contribuer à l'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 dont ces pays*socio=ac (et, à vrai*socio=rien dire, l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te) ont indéniablement besoin*socio=uv1. La situation*socio=rien économique*socio=ec1 de la mi-1983 est*socio=rien une *socio=rien situation difficile *socio=nil tant pour les pays*socio=ac développés*socio=uv4 que pour les pays_en_développement*socio=uv3. Aux pays*socio=ac développés*socio=uv4 incombe la tâche*socio=rien peu aisée d'appliquer des politiques*socio=et qui favorisent une reprise non inflationniste*socio=ec2 et par conséquent*socio=rien durable*socio=uv4. Les pays_en_développement*socio=uv3, quant à eux, subissent encore les contrecoups de facteurs*socio=rien extérieurs*socio=te défavorables*socio=uv4 - activité_économique*socio=ec1 faible*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac et taux_d'_intérêt*socio=ec1 extrêmement élevés*socio=uv4 sur*socio=rien leur dette*socio=ec1 extérieure*socio=te - qui risquent de compromettre leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et. Ceux des pays_en_développement*socio=uv3 qui ont considérablement*socio=rien accru leur endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années *socio=nil sont maintenant contraints*socio=uv2 d'assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 tout en s'adaptant à la forte*socio=rien diminution*socio=ec2, depuis quelque temps*socio=rien, du*socio=rien flux*socio=ec1 des nouveaux*socio=rien *socio=ec1 prêts bancaires.*socio=nil Ces*socio=nil problèmes*socio=uv4 *socio=nil ne peuvent être*socio=rien résolus convenablement sans une étroite*socio=rien coopération*socio=uv1 au niveau*socio=rien international*socio=te. La coopération*socio=uv1 *socio=rien est nécessaire *socio=nil tout d'abord*socio=rien pour contenir la montée du*socio=rien protectionnisme*socio=et qui menace*socio=uv1 d'entraver la reprise économique*socio=ec1 mondiale*socio=te et d'empêcher les pays_en_développement*socio=uv3 d'améliorer leur position*socio=rien extérieure*socio=te. Elle *socio=rien est nécessaire *socio=nil également pour stimuler les flux*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 libérale*socio=et - bilatérale*socio=et et multilatérale*socio=et - vers les pays_en_développement*socio=uv3, notamment vers les pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 faible*socio=rien qui ont un*socio=rien accès*socio=uv1 limité aux marchés_financiers*socio=ec1 mondiaux*socio=te et dont les exportations*socio=ec1 ont été*socio=rien très gravement touchées par la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te. Enfin, la coopération*socio=uv1 de tous les pays_membres*socio=ac est*socio=rien indispensable*socio=uv4 pour que le Fonds*socio=ec1 puisse continuer d'aider les nombreux*socio=rien pays*socio=ac qui appliquent à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te de vastes*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et visant à rétablir progressivement*socio=rien les bases*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4. Chapitre*socio=rien II : Évolution*socio=te du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Surveillance*socio=et exercée sur*socio=rien les politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1. Aux termes*socio=rien de ses statuts*socio=et, le Fonds*socio=ec1 doit exercer une surveillance*socio=et sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te afin d'en assurer le fonctionnement*socio=rien efficace*socio=uv4. L'article*socio=rien IV, section*socio=rien 3 b), prévoit que de Fonds*socio=ec1 exerce une ferme*socio=ec2 surveillance*socio=et sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des *socio=ac États membres *socio=nil et adopte des principes*socio=ec2 spécifiques*socio=rien pour guider les *socio=ac États membres *socio=nil en ce qui concerne ces politiques*socio=et". Ces principes*socio=ec2, qui sont énoncés dans une décision*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac adoptée en 19778, ont été*socio=rien révisés en 1980 et 1982 et le seront à nouveau*socio=rien d'ici le 1er avril*socio=rien 1984 au plus tard. Il ressort de ces principes*socio=ec2 que le Fonds*socio=ec1 doit exercer une surveillance*socio=et sur*socio=rien la politique*socio=et de tous les pays_membres*socio=ac, quel que soit le régime*socio=et des change*socio=ec1 qu'ils appliquent. En général*socio=rien, le Fonds*socio=ec1 exerce cette surveillance*socio=et en procédant avant tout à un*socio=rien examen*socio=ec2 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 globale*socio=rien d'un*socio=rien *socio=ac pays membre *socio=nil afin de déterminer si la politique*socio=et qu'il applique est*socio=rien adéquate*socio=uv2 non seulement en ce qui concerne le maintien*socio=rien d'une position*socio=rien extérieure*socio=te soutenable*socio=uv4, mais aussi au regard*socio=rien de l'incidence*socio=ec2 que cette politique*socio=et peut avoir sur*socio=rien l'économie*socio=ec1 d'autres pays_membres*socio=ac. La nécessité*socio=uv1 d'amorcer des entretiens*socio=rien avec un*socio=rien *socio=ac pays membre en*socio=nil cas*socio=rien de*socio=nil difficulté*socio=uv4 peut*socio=nil être*socio=rien *socio=nil dictée par une ou plusieurs circonstances*socio=rien : fluctuations*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 qui semblent sans rapport*socio=rien avec la situation*socio=rien économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 fondamentale*socio=uv4, intervention*socio=et massive*socio=rien et prolongée dans le même *socio=rien sens sur le*socio=nil marché*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1,*socio=nil niveau insoutenable*socio=uv4 des*socio=nil emprunts*socio=ec1 *socio=nil ou des prêts*socio=ec1 officiels*socio=et ou quasi officiels*socio=et, modifications*socio=rien apportées aux restrictions*socio=et ou aux stimulants*socio=ec2 afférents*socio=rien à des transactions*socio=ec1 ou paiements_courants*socio=ec1, enfin application*socio=rien de politiques*socio=et financières*socio=ec1 intérieures*socio=te qui favorisent ou freinent de manière*socio=rien anormale les mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Questions*socio=rien liées à l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et. A l'instar*socio=rien des *socio=rien années précédentes,*socio=nil les*socio=nil fluctuations*socio=ec2 amples et*socio=nil persistantes des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil entre les monnaies*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac ont été*socio=rien, en 1982 et pendant la *socio=rien première moitié *socio=nil de 1983, au centre*socio=rien des préoccupations*socio=uv4 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 dans l'exercice*socio=rien de sa surveillance*socio=et. En outre, l'apparition*socio=rien, dans certains pays_en_développement*socio=uv3, de *socio=uv4 graves difficultés *socio=nil concernant le service_de_la_dette*socio=ec1 a amené le Fonds*socio=ec1 à examiner, encore plus attentivement que par le passé*socio=rien, les politiques*socio=et que ces pays*socio=ac appliquent en matière*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 et d'ajustement*socio=et pour établir si elles sont adaptées à la situation*socio=rien. Par ailleurs*socio=rien, la tendance*socio=ec2 de plus en plus marquée des pays*socio=ac à recourir au protectionnisme*socio=et dans leurs relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 et à imposer des restrictions*socio=et aux *socio=ec1 transactions financières *socio=nil a conféré une *socio=rien importance particulière *socio=nil à la surveillance*socio=et qu'exerce le Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien les politiques*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac et des pays_en_développement*socio=uv3. Les problèmes*socio=uv4 liés à la variabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 entre les monnaies*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac sont demeurés l'une des principales*socio=rien préoccupations*socio=uv4 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Ce sont toutefois les fluctuations*socio=ec2 prononcées des taux_de_change*socio=ec1 entre les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 qui ont été*socio=rien l'aspect*socio=rien le plus préoccupant*socio=rien de cette situation*socio=rien. Comme on l'a déjà indiqué, ramener le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 d'un*socio=rien niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 à *socio=rien un faible niveau,*socio=nil c'*socio=nil est *socio=nil procéder à un*socio=rien ajustement*socio=et qui peut être*socio=rien lui-même momentanément à l'origine*socio=rien de fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1, mais il n'est*socio=rien pas douteux*socio=uv2 qu'en fin*socio=rien de compte*socio=ec1 la stabilisation*socio=et des conditions_économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 est*socio=rien l'une des conditions*socio=ec1 préalables*socio=rien à la mise en place*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 stable*socio=uv4 et efficace*socio=uv4. C'est*socio=rien pour cette raison*socio=rien, et aussi pour des motifs*socio=rien d'ordre*socio=rien national*socio=te, que le Fonds*socio=ec1 n'a cessé d'inciter vivement les pays*socio=ac à persévérer dans l'application*socio=rien de leurs politiques*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2 et à les renforcer le cas*socio=rien échéant. Le Fonds*socio=ec1 a, en outre, demandé instamment aux pays*socio=ac d'adopter *socio=rien un ensemble de*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil qui tiennent dûment compte*socio=ec1 de l'interdépendance*socio=uv3 des politiques*socio=et et de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 des autres pays*socio=ac. Deux problèmes*socio=uv4 ont été*socio=rien en particulier*socio=rien évoqués. D'une part*socio=rien, comme le souligne la *socio=rien première partie du présent chapitre,*socio=nil l'*socio=nil ampleur des*socio=nil fluctuations*socio=ec2 des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 réels*socio=ec2 *socio=nil s'explique peut-être dans une *socio=rien certaine mesure *socio=nil par le fait*socio=rien que l'importance*socio=rien relative*socio=rien accordée par les principaux*socio=rien pays*socio=ac à l'austérité*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 et budgétaire*socio=et varie d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. Il faut naturellement s'attendre à ce que le dosage*socio=rien des mesures*socio=et adoptées par les pays*socio=ac en cause*socio=rien diffère selon leur situation*socio=rien économique*socio=ec1 et leurs objectifs*socio=uv3 sur*socio=rien le plan*socio=rien social*socio=et; il importe, néanmoins, que ces pays*socio=ac tiennent compte*socio=ec1 des répercussions*socio=ec2 de la ligne*socio=rien de conduite*socio=rien qu'ils ont adoptée sur*socio=rien la situation*socio=rien des autres pays*socio=ac. D'autre part*socio=rien, les effets*socio=rien des politiques*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2 sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 ont été*socio=rien aggravés par la *socio=rien lenteur du rythme*socio=ec2 d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil de l'économie*socio=ec1, surtout sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de l'emploi*socio=ec1. C'est*socio=rien la raison*socio=rien pour laquelle le Fonds*socio=ec1, prenant en compte*socio=ec1 la situation*socio=rien de chaque pays*socio=ac, a souvent préconisé l'application*socio=rien de mesures*socio=et de soutien*socio=uv3, telles que des politiques*socio=et de revenus*socio=ec1 ou des politiques*socio=et visant à atténuer les rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1. Le manque*socio=rien de convergence*socio=uv3 des conditions_économiques*socio=ec1 parmi les pays*socio=ac qui s'efforcent de maintenir des *socio=ec1 taux_de_change nominaux stables*socio=uv4 *socio=nil a posé, au niveau*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1, un*socio=rien problème*socio=uv4 tout différent*socio=rien. *socio=rien Un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil rattachent leur monnaie*socio=ec1 à une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1 ou à an*socio=rien groupe*socio=ac de monnaies*socio=ec1 alors que d'autres participent à un*socio=rien mécanisme*socio=et de coopération*socio=uv1. En pratique*socio=rien, ces pays*socio=ac décident dans quelle mesure*socio=rien il *socio=rien est souhaitable d'*socio=nil adapter leur*socio=nil politique*socio=et nationale*socio=te *socio=nil à celle des pays*socio=ac dont la monnaie*socio=ec1 est*socio=rien utilisée comme monnaie*socio=ec1 de référence*socio=rien; en outre, ils ajustent parfois le taux_de_change*socio=ec1 de leur monnaie*socio=ec1 pour contrebalancer les effets*socio=rien de toute différence*socio=rien qui subsiste entre leurs situations*socio=rien économiques*socio=ec1 respectives*socio=rien. Toutefois, il est*socio=rien particulièrement difficile*socio=rien pour un*socio=rien pays*socio=ac de procéder avec succès*socio=uv1 à de tels ajustements*socio=et lorsque sa situation*socio=rien économique*socio=ec1 fondamentale*socio=uv4 et ses politiques*socio=et sous-jacentes*socio=rien diffèrent radicalement de celles des pays*socio=ac auxquels son taux_de_change*socio=ec1 est*socio=rien rattaché. Il peut se faire que les marchés*socio=ec1 s'attendent à des ajustements*socio=et périodiques*socio=te dans *socio=rien un sens *socio=nil et que, sous le coup*socio=rien des pressions*socio=ec2 à caractère*socio=rien spéculatif*socio=uv2 qui en résultent, un*socio=rien pays*socio=ac soit contraint à opérer de fréquents*socio=rien ajustements*socio=et ou à procéder à une certaine*socio=rien régulation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. C'est*socio=rien pourquoi, le Fonds*socio=ec1 a souligné l'importance*socio=rien que revêt la convergence*socio=uv3 de l'ensemble*socio=rien des situations*socio=rien économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 en tant que condition*socio=rien indispensable*socio=uv4 au fonctionnement*socio=rien harmonieux*socio=uv2 des régimes*socio=et de change*socio=ec1 considérés. Le Fonds*socio=ec1 doit également établir si les pays_membres*socio=ac ont utilisé les politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 pour *socio=rien obtenir un avantage*socio=nil concurrentiel*socio=ec2.*socio=nil Toute*socio=nil dépréciation*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1 réel d'*socio=nil un pays*socio=ac *socio=nil renforce, au moins temporairement*socio=rien, la position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 de ce pays*socio=ac. Une dévaluation*socio=ec2 ne tombe sous le coup*socio=rien de la surveillance*socio=et que si elle semble entraîner une *socio=rien modification injustifiée *socio=nil de la compétitivité*socio=uv3, c'est-à-dire si elle paraît excessive*socio=uv4 par rapport*socio=rien à la perte*socio=ec2 de compétitivité*socio=uv3 subie dans le passé*socio=rien ainsi qu'à l'importance*socio=rien des déséquilibres*socio=uv3 actuels*socio=te et de ceux qui sont en perspective*socio=rien. Toutefois, depuis quelques années*socio=rien, il est*socio=rien particulièrement difficile*socio=rien d'établir si les ajustements*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 sont appropriés, car les petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac réagissent aux politiques*socio=et d'austérité*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 adoptées par les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Les pays*socio=ac qui étaient alors obligés d'ajuster leur balance_des_paiements*socio=ec1 ont dû s'efforcer d'accrditre leur part*socio=rien des échanges*socio=ec1 à *socio=rien un moment *socio=nil où diminuait le *socio=rien volume du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te.*socio=nil En*socio=nil général,*socio=nil maints*socio=nil petits pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil ont donc été*socio=rien contraints*socio=uv2 à dévaluer le taux_de_change*socio=ec1 de leur monnaie*socio=ec1, en valeur*socio=ec1 nominale*socio=rien comme en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2. Les dévaluations*socio=ec2 monétaires*socio=ec1 ont *socio=rien un certain nombre de*socio=nil répercussions*socio=ec2 *socio=nil qui peuvent *socio=rien être néfastes *socio=nil et que le Fonds*socio=ec1 a demandé aux pays_membres*socio=ac de ne pas perdre de vue*socio=rien. Principalement, les dévaluations*socio=ec2 risquent de faire retomber une *socio=rien grande part du fardeau*socio=uv4 *socio=nil de l'ajustement*socio=et sur*socio=rien d'autres petits*socio=rien pays*socio=ac qui sont de proches*socio=rien partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac qui dévalue sa monnaie*socio=ec1. Il est*socio=rien donc indispensable*socio=uv4 de faire en sorte*socio=rien que les dévaluations*socio=ec2 n'aient pas des proportions*socio=rien telles qu'elles entreinent une modification*socio=rien non justifiée de la compétitivité*socio=uv3. De plus, les dévaluations*socio=ec2 peuvent compromettre la stabilité*socio=uv3 intérieure*socio=te d'un*socio=rien pays*socio=ac en renforçant les *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil Ces*socio=nil pressions *socio=nil sont particulièrement vives lorsque les salaires*socio=ec1 sont automatiquement ajustés en fonction*socio=rien des variations*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1, même si celles-ci sont dues aux variations*socio=rien des prix*socio=ec1 des biens*socio=ec1 importés. Dans l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et qui lui incombe, le Fonds*socio=ec1 a *socio=rien fait face,*socio=nil *socio=nil pendant cette période*socio=te, à un*socio=rien autre *socio=uv4 problème important *socio=nil lié, cette fois*socio=rien, à la nécessité*socio=uv1, pour certains pays_en_développement*socio=uv3 aux prises*socio=rien avec des difficultés*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te, de procéder à un*socio=rien ajustement*socio=et. Dans ce contexte*socio=rien, le Fonds*socio=ec1 a souligné qu'il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 de maintenir les taux_de_change*socio=ec1 à *socio=rien un niveau adéquat*socio=uv2.*socio=nil *socio=nil Comme on l'a fait*socio=rien observer précédemment, il apparaît assez clairement que les pays_en_développement*socio=uv3 qui ont généralement veillé à ce que leur taux_de_change*socio=ec1 ne s'apprécie pas de façon*socio=rien excessive*socio=uv4 se sont mieux adaptés que beaucoup d'autres pays_en_développement*socio=uv3 à l'évolution*socio=te de moins en moins favorable*socio=uv4 de l'environnement*socio=et économique*socio=ec1 extérieur*socio=te depuis quelques années*socio=rien. En revanche, les pays*socio=ac dont les taux_de_change*socio=ec1 réels*socio=ec2 ont eu tendance*socio=ec2 à s'apprécier ont obtenu, sur*socio=rien le plan*socio=rien des échanges*socio=ec1 et de la croissance*socio=ec1, des résultats*socio=rien relativement moins satisfaisants*socio=uv4 que ceux de l'ensemble*socio=rien. Certes, on peut invoquer de *socio=rien nombreuses raisons *socio=nil pour expliquer l'écart*socio=ec2 entre les résultats*socio=rien obtenus, mais la plus importante*socio=uv4 semble avoir trait*socio=rien à la différence*socio=rien entre les stratégies*socio=et de croissance*socio=ec1 et les politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1. Le Fonds*socio=ec1 a également fait*socio=rien valoir que l'amélioration*socio=uv1 des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 exige que soient mises en oeuvre*socio=rien des politiques*socio=et financières*socio=ec1 nationales*socio=te qui appuient de façon*socio=rien adéquate*socio=uv2 les ajustements*socio=et des taux_de_change*socio=ec1. L'austérité*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 est*socio=rien une mesure*socio=rien indispensable*socio=uv4 dans les pays*socio=ac où le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 est*socio=rien élevé*socio=uv4; en outre, l'évolution*socio=te en hausse*socio=rien des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et depuis *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil années,*socio=nil *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac comme dans les pays_en_développement*socio=uv3, est*socio=rien une tendance*socio=ec2 générale*socio=rien qu'il importe d'inverser. Dans maints pays*socio=ac, les déficits_courants*socio=ec1 résultent en partie*socio=rien des importants*socio=uv4 déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et structurels*socio=ec2 qui ont absorbé *socio=rien un pourcentage démesuré *socio=nil de l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te. Les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et ont donc contribué directement et indirectement*socio=rien à l'accroissement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te; de ce fait*socio=rien, le service_de_la_dette*socio=ec1 s'est*socio=rien, lui aussi, alourdi et a eu pour effet*socio=rien de perpétuer, tout en l'augmentant, le déficit*socio=ec1 des opérations_courantes*socio=te. Devant*socio=rien l'ampleur*socio=rien des problèmes*socio=uv4 d'ajustement*socio=et qui se posent aux pays_en_ développement*socio=uv3, le Fonds*socio=ec1 a incité les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 à fournir des crédits*socio=ec1 suffisants*socio=rien pour financer les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et qui bénéficient de son appui*socio=uv1, car une brusque contraction*socio=ec2 du*socio=rien flux*socio=ec1 des *socio=ec1 prêts bancaires nets*socio=rien (*socio=nil analogue*socio=rien *socio=nil à celle qui a eu lieu*socio=rien pendant le *socio=rien second semestre *socio=nil de 1982) ne peut qu'accroître les difficultés*socio=uv4 qu'éprouvent les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 à maintenir un*socio=rien équilibre*socio=ec2 approprié entre le financement*socio=ec1 et l'ajustement*socio=et. Ces difficultés*socio=uv4 sont particulièrement graves*socio=uv4 pour les exportateurs*socio=ac nets*socio=rien de pétrole*socio=ec1 et les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés, c'est-à-dire pour les deux sous-groupes_de_pays_en_développement*socio=ac non pétroliers*socio=ec1 qui font le plus appel*socio=rien au financement_privé*socio=et. Le Fonds*socio=ec1 a, par ailleurs*socio=rien, invité instamment les pays_industrialisés*socio=ac à ouvrir plus largement leurs marchés*socio=ec1 intérieurs*socio=te aux produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 et industriels*socio=ec1 exportés par les pays_en_développement*socio=uv3. La montée du*socio=rien protectionnisme*socio=et ne manque*socio=rien évidemment pas de préoccuper le Fonds*socio=ec1 non seulement en raison*socio=rien des problèmes*socio=uv4 d'ajustement*socio=et qui se posent aux pays_en_développement*socio=uv3, mais aussi au regard*socio=rien des responsabilités*socio=uv1 générales*socio=rien qui lui incombent en matière*socio=rien de surveillance*socio=et. Au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil de*socio=nil nombreux pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil et en développement*socio=uv3 ont érigé différents*socio=rien types de barrières*socio=ec2 commerciales*socio=ec1. La prolifération*socio=rien de ces mesures*socio=et, qu'elles prennent la forme*socio=rien de contingents*socio=ec2 unilatéraux, d'accords*socio=et bilatéraux*socio=et ou de limites*socio=rien que s'imposent "volontairement" les *socio=ac pays exportateurs,*socio=nil *socio=nil influe directement sur*socio=rien la répartition*socio=uv3 globale*socio=rien des ressources*socio=ec1, l'efficacité*socio=uv3 des ajustements*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 et sur*socio=rien l'efficacité*socio=uv3 *socio=rien du système multilatéral*socio=et d'*socio=nil échanges*socio=ec1 ouvert.*socio=nil Au*socio=nil sens *socio=nil le plus large*socio=rien, les restrictions*socio=et aux échanges*socio=ec1 sont de graves*socio=uv4 obstacles*socio=uv3 au *socio=rien déroulement du processus*socio=te d'*socio=nil ajustement*socio=et global*socio=te,*socio=nil *socio=nil car elles freinent les échanges*socio=ec1 de biens*socio=ec1 opérés sur*socio=rien la base*socio=rien de leurs coûts*socio=ec1 comparatifs et diffèrent les modifications*socio=rien structurelles*socio=ec2 indispensables*socio=uv4 dans les pays*socio=ac qui les imposent. En raison*socio=rien des contraintes*socio=uv1 extérieures*socio=te rigoureuses*socio=uv4 auxquelles se heurtent maints pays_en_développement*socio=uv3, la possibilité*socio=rien de réduite sensiblement les restrictions*socio=et commerciales*socio=ec1 dépendra dans une *socio=rien large mesure *socio=nil de l'initiative*socio=rien dont les pays_industrialisés*socio=ac pourront faire preuve*socio=ec2 dans ce domaine*socio=rien. A cet égard*socio=rien, il faut se féliciter de l'engagement*socio=uv1 qu'ont pris les parties*socio=rien contractantes*socio=ec1 à l'accord_général*socio=et sur*socio=rien les *socio=et tarifs douaniers *socio=nil et le commerce*socio=ec1 (GATT*socio=ac) au cours*socio=rien de la réunion*socio=rien ministérielle*socio=et de novembre*socio=rien 1982; les parties*socio=rien se sont alors engagées "à résister aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et dans la formulation*socio=rien et la mise en oeuvre*socio=rien de leurs politiques_commerciales*socio=et nationales*socio=te et dans leurs projets*socio=et de législation*socio=et" et "d'éviter des mesures*socio=et qui limiteraient ou fausseraient le commerce*socio=ec1 international*socio=te". Les ministres*socio=ac ont, en outre, adopté un*socio=rien programme*socio=et de travail*socio=rien détaillé qui sera réalisé dans le *socio=rien cadre du GATT*socio=ac *socio=nil et dont l'un*socio=rien des objectifs*socio=uv3 est*socio=rien "d'assurer la mise en *socio=rien oeuvre effective des*socio=nil dispositions*socio=et du GATT*socio=ac *socio=nil et en particulier*socio=rien de celles qui concernent les pays_en_voie_de_développement*socio=uv3, de manière*socio=rien à promouvoir le rôle*socio=et dynamique*socio=uv4 des pays_en_voie_de_développement*socio=uv3 dans le commerce*socio=ec1 international*socio=te ". Il faut, à présent*socio=rien, que les autorités*socio=et s'efforcent de traduire ces intentions*socio=rien en actions*socio=ec1 concrètes*socio=rien qui permettent de progresser dans l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien environnement*socio=et commercial*socio=ec1 de libre-échange*socio=et dont bénéficieront les pays_industrialisés*socio=ac et les pays_en_développement*socio=uv3. A cette fin*socio=rien, le Fonds*socio=ec1 a renforcé sa collaboration*socio=uv1 avec le GATT*socio=ac et accorde une plus *socio=rien grande place *socio=nil à ces questions*socio=rien dans toutes ses activités*socio=rien de surveillance*socio=et. Procédures*socio=et relatives*socio=rien à l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et. La *socio=rien situation difficile *socio=nil dans laquelle se trouve l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et les tensions*socio=ec2 qui se manifestent au *socio=rien sein du système_financier*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil font ressortir davantage la nécessité*socio=uv1 d'appliquer de façon*socio=rien efficace*socio=uv4 les procédures*socio=et de surveillance*socio=et. Lors*socio=rien de son évaluation*socio=ec2 la plus récente*socio=rien de la mise en oeuvre*socio=rien de la surveillance*socio=et, le Fonds*socio=ec1 a donc pris des dispositions*socio=et pour mieux adapter*socio=rien les procédures*socio=et actuelles*socio=te de surveillance*socio=et et pour en renforcer, de ce fait*socio=rien, l'efficacité*socio=uv3. Les efforts*socio=uv1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 dans ce domaine*socio=rien ont principalement pour objectif*socio=uv3 d'assurer *socio=rien un traitement uniforme*socio=uv4 *socio=nil à tous les pays_membres*socio=ac et d'encourager la mise en oeuvre*socio=rien de politiques*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 compatibles*socio=rien avec une stratégie*socio=et d'ajustement*socio=et global*socio=te à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Les*socio=nil consultations*socio=uv1 au*socio=nil titre *socio=nil de l'article*socio=rien IV demeurent le principal*socio=rien mécanisme*socio=et dont dispose le Fonds*socio=ec1 pour exercer une surveillance*socio=et sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. Dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, le Fonds*socio=ec1 procède à un*socio=rien examen*socio=ec2 et à une analyse*socio=ec2 de l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 sur*socio=rien lesquels il s'appuie ensuite pour évaluer les politiques*socio=et des pays_membres*socio=ac dans l'optique*socio=rien de chaque pays*socio=ac pris isolément et dans celle *socio=rien du fonctionnement *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. En raison*socio=rien de leur rôle*socio=et capital*socio=ec1, il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 que les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV aient lieu*socio=rien à intervalles*socio=rien réguliers*socio=ec2 et que l'analyse*socio=ec2 effectuée à cette occasion*socio=rien soit détaillée. en_principe*socio=ec2, les consultations*socio=uv1 doivent avoir lieu*socio=rien chaque année*socio=rien mais, en pratique*socio=rien, il s'est*socio=rien révélé impossible*socio=rien de respecter rigoureusement un*socio=rien *socio=te cycle annuel de*socio=nil consultation*socio=uv1 *socio=nil pour tous les pays_membres*socio=ac. Devant*socio=rien la nécessité*socio=uv1 reconnue d'accroître la fréquence*socio=rien des consultations*socio=uv1, les procédures*socio=et ont été*socio=rien quelque peu adaptées cette année*socio=rien. Le *socio=te cycle annuel *socio=nil sera appliqué de façon*socio=rien plus stricte*socio=rien à la plupart*socio=rien des pays_membres*socio=ac, notamment à ceux dont les politiques*socio=et ont une incidence*socio=ec2 importante*socio=uv4 sur*socio=rien d'autres pays*socio=ac, à ceux dont les programmes*socio=et bénéficient d'une aide*socio=uv1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1, enfin à ceux pour lesquels il y a lieu*socio=rien de douter sérieusement que la situation*socio=rien de leur balance_des_paiements*socio=ec1 soit soutenable*socio=uv4. A l'issue*socio=rien de chaque consultation*socio=uv1, on fixera la date à laquelle le conseil_d'_administration*socio=ac devra normalement terminer l'examen*socio=ec2 relatif*socio=rien à la consultation*socio=uv1 suivante*socio=rien. Quant aux pays_membres*socio=ac auxquels s'applique le *socio=te cycle annuel de*socio=nil consultations*socio=uv1,*socio=nil l'*socio=nil intervalle *socio=nil entre deux consultations*socio=uv1 sera limité à douze mois*socio=rien et comportera *socio=rien un délai de*socio=nil grâce *socio=nil de trois mois*socio=rien au-delà de la date spécifiée. Pour les autres pays_membres*socio=ac, un*socio=rien intervalle*socio=te de plus de douze mois*socio=rien pourra être*socio=rien proposé, mais le délai*socio=rien ne pourra, en aucun cas*socio=rien, dépasser deux ans*socio=rien. Le conseil_d'_administration*socio=ac sera tenu informé, par des rapports*socio=rien périodiques*socio=te, de tout retard*socio=rien dans le *socio=rien déroulement du calendrier*socio=te des*socio=nil consultations*socio=uv1.*socio=nil L'*socio=nil analyse*socio=ec2 *socio=nil effectuée dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV est*socio=rien constamment mise à jour*socio=rien, ce qui permet de l'approfondir et de lui conserver son caractère*socio=rien d'actualité*socio=uv3. L'examen*socio=ec2 de 1983 a fait*socio=rien ressortir la nécessité*socio=uv1 d'accorder plus de place*socio=rien à la politique_commerciale*socio=et et de procéder, en ce qui concerne la gestion*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, à une analyse*socio=ec2 prospective*socio=rien qui soit compatible*socio=rien avec l'analyse*socio=ec2 économique*socio=ec1 globale*socio=rien présentée dans les Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, une analyse*socio=ec2 plus complète de l'incidence*socio=ec2 que les mesures*socio=et commerciales*socio=ec1 prises*socio=rien par un*socio=rien *socio=ac pays membre *socio=nil exercent non seulement sur*socio=rien son processus*socio=te d'ajustement*socio=et et sur*socio=rien son taux_de_change*socio=ec1, mais aussi sur*socio=rien l'évolution*socio=te de ses partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 constituera une base*socio=rien utile*socio=uv4 pour les *socio=rien entretiens du Fonds*socio=ec1 *socio=nil avec ce *socio=ac pays membre.*socio=nil Le*socio=nil Fonds*socio=ec1 ne*socio=nil ménage aucun*socio=nil effort*socio=uv1 *socio=nil pour que les rapports*socio=rien rédigés dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV consacrent une plus *socio=rien large place *socio=nil à l'évolution*socio=te de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te et aux politiques*socio=et qui s'y rapportent, tout en fournissant dans la *socio=rien mesure du possible,*socio=nil une*socio=nil analyse*socio=ec2 prospective des*socio=nil possibilités pour*socio=nil un pays*socio=ac *socio=nil d'assurer le service*socio=et de sa dette*socio=ec1. Cette analyse*socio=ec2 ne doit pas s'appliquer uniquement*socio=rien aux pays*socio=ac qui ont recours*socio=rien aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 mais doit devenir*socio=rien une procédure*socio=et normale*socio=rien dans les consultations*socio=uv1 avec les pays_membres*socio=ac qui contractent d'importants*socio=uv4 emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Le succès*socio=uv1 de ces efforts*socio=uv1 est*socio=rien lié à la mise en place*socio=rien, par le Bureau*socio=ac des statistiques*socio=ec2 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 (en coopération*socio=uv1 avec la banque_des_règlements_internationaux*socio=ac), d'une *socio=rien vaste banque_de_données sur le*socio=nil système_bancaire*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil et la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. En outre, dans le *socio=rien cadre du programme*socio=et d'*socio=nil assistance*socio=uv1 technique du Département*socio=ac des*socio=nil banques_centrales*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil bénéficieront de plus en plus d'une assistance*socio=uv1 technique*socio=rien en matière*socio=rien de dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. Les *socio=rien activités précitées *socio=nil permettront aux services_du_fonds*socio=ec1 d'établir une analyse*socio=ec2 plus détaillée de la gestion*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV et d'informer rapidement le conseil_d'_administration*socio=ac des difficultés*socio=uv4 de paiement*socio=ec1 auxquelles chaque *socio=ac pays membre risque*socio=uv3 *socio=nil de se heurter. Selon les procédures*socio=et de surveillance*socio=et en vigueur*socio=uv3, le Fonds*socio=ec1 doit être*socio=rien informé, dans *socio=rien un délai maximum *socio=nil de trois jours*socio=rien, des modifications*socio=rien que les pays_membres*socio=ac apportent à leur régime*socio=et des changes*socio=ec1. Environ 80 % des notifications reçues par le conseil_d'_administration*socio=ac en 1982 ont respecté ce délai*socio=rien. Toute modification*socio=rien importante*socio=uv4 d'un*socio=rien régime*socio=et des changes*socio=ec1 doit être*socio=rien normalement suivie, à *socio=rien bref délai,*socio=nil *socio=nil de son évaluation*socio=ec2 par les services_du_fonds*socio=ec1, Ceux-ci préparent, en outre, tous les trois mois*socio=rien, à l'intention*socio=rien du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac, *socio=rien un document *socio=nil qui résume les *socio=rien faits nouveaux *socio=nil intervenus dans l'évolution*socio=te des régimes*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac au *socio=rien cours du trimestre*socio=te précédent.*socio=nil Les*socio=nil modifications des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil ou des politiques*socio=et de change*socio=ec1 font aussi l'objet*socio=rien d'entretiens*socio=rien non officiels*socio=et entre le Fonds*socio=ec1 et les autorités*socio=et des divers pays*socio=ac. De plus, les politiques_économiques*socio=et des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac sont examinées lors*socio=rien de missions spéciales*socio=rien effectuées par les services_du_fonds*socio=ec1 de même que par le conseil_d'_administration*socio=ac dans le cadre*socio=rien de l'étude*socio=ec2 sur*socio=rien les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Les décisions*socio=et passées*socio=te, qui se rapportent aux procédures*socio=et de surveillance*socio=et, prescrivent deux autres types d'entretiens*socio=rien d'un*socio=rien caractère*socio=rien plus formel*socio=rien. Le *socio=rien premier type d'*socio=nil entretiens est *socio=nil évoqué au paragraphe*socio=rien V des Procédures*socio=et de surveillance*socio=et adoptées en 1977; selon les dispositions*socio=et de ce paragraphe*socio=rien, le directeur_général*socio=ac, s'il estime*socio=rien que la politique*socio=et de change*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=ac pays membre n'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil peut-être pas conforme*socio=uv4 aux principes*socio=ec2 qui s'appliquent aux taux_de_change*socio=ec1, doit aborder la question*socio=rien officieusement et confidentiellement avec ce *socio=ac pays membre,*socio=nil *socio=nil puis faire part*socio=rien au conseil_d'_administration*socio=ac de ses conclusions*socio=rien. Le *socio=rien second type d'*socio=nil entretiens *socio=nil s'insère dans les procédures*socio=et de surveillance*socio=et supplémentaires*socio=rien qui ont été*socio=rien adoptées par le conseil_d'_administration*socio=ac en janvier*socio=rien 1979; conformément à ces procédures*socio=et, le directeur_général*socio=ac est*socio=rien autorisé à entamer, officieusement et confidentiellement, des entretiens*socio=rien avec un*socio=rien *socio=ac pays membre *socio=nil s'il estime*socio=rien qu'une modification*socio=rien apportée aux dispositions*socio=et de change*socio=ec1 ou aux politiques*socio=et de change*socio=ec1 dudit pays*socio=ac ou que le *socio=rien comportement du taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil de sa monnaie*socio=ec1 peuvent revêtir une *socio=rien certaine importance *socio=nil pour d'autres pays_membres*socio=ac ou avoir de profondes*socio=rien répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien leur économie*socio=ec1. Si, après*socio=rien ces *socio=rien premiers entretiens,*socio=nil il*socio=nil estime *socio=nil que la *socio=rien question est d'*socio=nil importance,*socio=nil le*socio=nil directeur_général*socio=ac *socio=nil peut engager et diriger des consultations*socio=uv1 spéciales*socio=rien avec ledit *socio=ac pays membre.*socio=nil C'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil ce qui s'est*socio=rien produit*socio=rien en 1982, lorsque la Suède*socio=ac a dévalué sa monnaie*socio=ec1; le conseil_d'_administration*socio=ac a d'abord*socio=rien procédé*socio=rien à un*socio=rien examen*socio=ec2 préliminaire*socio=rien des mesures*socio=et adoptées par la Suède*socio=ac, puis des consultations*socio=uv1 spéciales*socio=rien ont eu lieu*socio=rien entre les services_du_fonds*socio=ec1 et les autorités*socio=et suédoises. *socio=rien Un rapport détaillé*socio=nil sur la*socio=nil dévaluation*socio=ec2 a*socio=nil été *socio=nil ensuite examiné par le conseil_d'_administration*socio=ac. À la suite*socio=rien de l'examen*socio=ec2 des procédures*socio=et de surveillance*socio=et, qui a eu lieu*socio=rien en mars*socio=rien 1983, le conseil_d'_administration*socio=ac a décidé d'instaurer, à *socio=rien titre expérimental,*socio=nil un système *socio=nil selon lequel il sera informé, à intervalles*socio=rien réguliers*socio=ec2, de toute *socio=rien modification notable des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 effectifs réels*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Il a adopté cette décision*socio=et après*socio=rien avoir dûment pris en considération*socio=rien l'importance*socio=rien que revêtent les taux_de_change*socio=ec1 réels*socio=ec2 dans le processus*socio=te d'ajustement*socio=et et la nécessité*socio=uv1 pour le Fonds*socio=ec1 d'exercer sur*socio=rien les modifications*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 une surveillance*socio=et qui soit uniforme*socio=uv4 pour tous les pays_membres*socio=ac, indépendamment de leurs dispositions*socio=et de change*socio=ec1. Cette procédure*socio=et vient compléter le système*socio=rien selon lequel les modifications*socio=rien apportées par les pays_membres*socio=ac au taux_de_change*socio=ec1 nominal*socio=rien de leur monnaie*socio=ec1 sont notifiées au Fonds*socio=ec1. On projette, en outre, d'établir, à intervalles*socio=rien réguliers*socio=ec2, des rapports*socio=rien qui seront soumis au conseil_d'_administration*socio=ac et dans lesquels les services_du_fonds*socio=ec1 examineront les variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien réels*socio=ec2 au cours*socio=rien de la période*socio=te la plus récente*socio=rien, tout en accordant une *socio=rien attention spéciale *socio=nil à celles qui sont particulièrement importantes*socio=uv4. Les analyses*socio=ec2 détaillées de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 mondiale*socio=te et *socio=rien du système des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui sont présentées dans l'étude*socio=ec2 intitulée Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, viennent compléter les procédures*socio=et de surveillance*socio=et appliquées à chaque pays*socio=ac. Dans ces analyses*socio=ec2, les services_du_fonds*socio=ec1 s'attachent essentiellement à définir*socio=rien une méthode*socio=ec2 d'approche générale*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil en ce qui concerne les problèmes*socio=uv4 d'ajustement*socio=et intérieur*socio=te et extérieur*socio=te; ils accordent*socio=rien, en outre, une *socio=rien attention particulière aux*socio=nil conséquences *socio=nil que peuvent avoir sur*socio=rien l'ajustement*socio=et global*socio=te les politiques*socio=et des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac et l'évolution*socio=te de leur situation*socio=rien économique*socio=ec1. Les *socio=rien rapports sur les*socio=nil perspectives*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te contiennent régulièrement des études*socio=ec2 spéciales*socio=rien consacrées à des questions*socio=rien d'actualité*socio=uv3. En plus des rapports*socio=rien périodiques*socio=te sur*socio=rien l'évolution*socio=te récente*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te, de la politique_commerciale*socio=et, des restrictions*socio=et de change*socio=ec1 et des restrictions*socio=et commerciales*socio=ec1, les services_du_fonds*socio=ec1 ont préparé, à l'intention*socio=rien du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac, des études*socio=ec2 consacrées à certains aspects*socio=rien de la surveillance*socio=et; ils ont notamment soumis à son examen*socio=ec2 des études*socio=ec2 relatives*socio=rien aux politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3, à l'optique*socio=rien dans laquelle le Fonds*socio=ec1 aborde l'examen*socio=ec2 des économies*socio=ec1 planifiées, à l'incidence*socio=ec2 de la situation*socio=rien énergétique*socio=ec1 sur*socio=rien les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil aux*socio=nil politiques*socio=et de*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=uv3, enfin aux problèmes*socio=uv4 que pose le service_de_la_dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. Dispositions*socio=et de change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. Les pays_membres*socio=ac ont tendance*socio=ec2 à adopter des régimes*socio=et des changes*socio=ec1 plus souples*socio=uv4; ce phénomène*socio=rien, auquel faisait déjà allusion*socio=rien le *socio=rien précédent Rapport annuel*socio=te,*socio=nil s'*socio=nil est *socio=nil accentué en 1982 et pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983. En 1982, six pays*socio=ac ont modifié leur régime*socio=et des changes*socio=ec1, adoptant ou abandonnant le régime*socio=et de rattachement*socio=rien. Cinq*socio=rien d'entre eux ont opté pour des dispositions*socio=et comportant une plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3; le *socio=rien sixième est revenu*socio=ec1 à*socio=nil un système *socio=nil se référant à une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1, tout en procédant à une forte*socio=rien dévaluation*socio=ec2 de sa monnaie*socio=ec1 et en s'efforçant d'unifier des pratiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 multiples*socio=rien. Deux autres pays*socio=ac, qui avaient auparavant limité la flexibilité*socio=uv3 de leur taux_de_change*socio=ec1 par rapport*socio=rien à une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1, ont décidé d'opter pour une gestion*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 sur*socio=rien une base*socio=rien souple*socio=uv4; *socio=rien un troisième *socio=nil a abandonné tout régime*socio=et de gestion*socio=ec2 et laisse à présent*socio=rien son taux_de_change*socio=ec1 flotter de façon*socio=rien indépendante*socio=uv2. Cinq*socio=rien autres pays*socio=ac ont légèrement réduit la flexibilité*socio=uv3 de leur régime*socio=et, mais deux d'entre eux l'ont fait*socio=rien tout en simplifiant leurs pratiques*socio=et de changes*socio=ec1 multiples*socio=rien. Pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983, deux pays*socio=ac ont augmenté la flexibilité*socio=uv3 dont est*socio=rien assorti leur régime*socio=et des changes*socio=ec1 et deux autres, qui établissaient leur taux_de_change*socio=ec1 par rapport*socio=rien au dollar_eu*socio=ec1 ou au DTS, ont remplacé ces unités*socio=rien de référence*socio=rien par un*socio=rien groupe*socio=ac de monnaies*socio=ec1 reflétant la structure*socio=ec1 de leurs échanges*socio=ec1. Sur*socio=rien les deux pays*socio=ac qui ont décidé d'opter pour un*socio=rien régime*socio=et de gestion*socio=ec2 comportant une plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3, l'un*socio=rien a abandonné le régime*socio=et de référence*socio=rien à une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1 et l'autre, le régime*socio=et qui limitait la flexibilité*socio=uv3 de son taux_de_change*socio=ec1 par rapport*socio=rien à une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1. A la fin*socio=rien de juin*socio=rien 1983, les monnaies*socio=ec1 de 54 pays_membres*socio=ac étaient rattachées à une *socio=rien seule unité monétaire*socio=ec1 *socio=nil (36 au dollar_eu*socio=ec1, 13 au franc*socio=ec1 français*socio=rien, 2 au rand sud-africain, 1 à la roupie indienne*socio=ac, 1 à la livre sterling*socio=ec1 et 1 à la peseta*socio=ec1 espagnole*socio=ac). Par ailleurs*socio=rien, 14 monnaies*socio=ec1 étaient rattachées au DTS et 25 à d'autres groupes*socio=ac de monnaies*socio=ec1. En tout, par conséquent*socio=rien, 93 pays_membres*socio=ac établissent le taux*socio=ec1 de leur monnaie*socio=ec1 par rapport*socio=rien à une "unité*socio=rien de référence*socio=rien" quelconque. Dix-sept*socio=rien maintiennent des régimes*socio=et de change*socio=ec1 comportant une "flexibilité*socio=uv3 limitée". Dans 9 pays*socio=ac de ce dernier*socio=rien groupe*socio=ac, le régime*socio=et en vigueur*socio=uv3 *socio=rien fait partie *socio=nil de la sous-catégorie "Régimes*socio=et comportant une flexibilité*socio=uv3 limitée par rapport*socio=rien à une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1" (dans ces *socio=rien neuf cas,*socio=nil *socio=nil il s'agit du*socio=rien dollar*socio=ec1 E.U,), étant donné que leurs taux_de_change*socio=ec1 fluctuent à l'intérieur*socio=te de marges ne dépassant pas 2,25 % par rapport*socio=rien à une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1 identifiable d'un*socio=rien autre *socio=ac pays membre;*socio=nil *socio=nil les 8 autres pays*socio=ac (voir le tableau*socio=rien 13) sont des pays*socio=ac qui maintiennent un*socio=rien régime*socio=et de coopération*socio=uv1 monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sein du SME*socio=ec1.*socio=nil Trente-cinq*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil ont adopté des régimes*socio=et de change*socio=ec1 comportant une "plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3"; sur*socio=rien ce nombre*socio=rien, 5 ajustent leur taux_de_change*socio=ec1 en fonction*socio=rien d'un*socio=rien ensemble*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1, 22 appliquent un*socio=rien régime*socio=et de flottement*socio=ec1 dirigé et 8, un*socio=rien régime*socio=et de flottement*socio=ec1 indépendant*socio=rien. Appendice*socio=rien III: Communiques de presse*socio=et et communiques du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac et du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3. Communiqués de presse*socio=et. comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Dix-neuvième réunion*socio=rien, Toronto*socio=ac, 4 et 5 septembre*socio=rien 1982. 1- Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa dix-neuvième réunion*socio=rien à Toronto*socio=ac (Ontario*socio=ac), le 4 septembre*socio=rien 1982, sous la présidence*socio=rien de M.. Allan J.. Maceachen, vice-premier_ministre*socio=ac et Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 du*socio=rien Canada*socio=ac. M.. Jacques de Larosière, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, a participé à cette réunion*socio=rien, à laquelle ont assisté*socio=rien également des observateurs*socio=ac d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil organisations_internationales*socio=ac et*socio=nil régionales*socio=te,*socio=nil *socio=nil ainsi que de la Suisse*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac a examiné les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et les mesures*socio=et de politique_économique*socio=ec1 qu'appellent les *socio=uv4 graves problèmes *socio=nil auxquels doivent faire face*socio=rien la plupart*socio=rien des pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Il est*socio=rien parvenu à la conclusion*socio=rien que, ces problèmes*socio=uv4 ayant des racines profondes*socio=rien, l'ajustement*socio=et des déséquilibres*socio=uv3, tant intérieurs*socio=te qu'extérieurs*socio=te, sera nécessairement une oeuvre*socio=rien de *socio=rien longue haleine.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil se déclare vivement préoccupé par la stagnation*socio=ec1 de la production*socio=ec1 et des échanges_mondiaux*socio=ec1, les taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 et *socio=rien croissants du chômage*socio=ec1 *socio=nil et les pressions*socio=ec2 internes*socio=te de plus en plus intenses*socio=rien en faveur*socio=rien de *socio=et mesures protectionnistes.*socio=nil Bien*socio=rien *socio=nil que plusieurs grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac aient réalisé de nets*socio=rien progrès*socio=uv1 dans ce domaine*socio=rien, l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien encore trop élevée*socio=uv4 dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac. Le Comité*socio=ac reconnaît que la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv3 d'expansion*socio=ec2 régulière*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et de réduction*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1 passe par la réduction*socio=ec2 durable*socio=uv4 de l'inflation*socio=ec1 et des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2, et par celle des *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux et*socio=nil réels*socio=ec2 *socio=nil et d'autres obstacles*socio=uv3. Le Comité*socio=ac reconnaît également l'importance*socio=rien des politiques*socio=et structurelles*socio=ec2 et des programmes*socio=et spéciaux*socio=rien ayant pour objet*socio=rien d'encourager la production*socio=ec1 et l'emploi*socio=ec1. Le Comité*socio=ac prend note avec satisfaction*socio=uv3 de la récente*socio=rien baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1, due en partie*socio=rien au ralentissement*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1. Il estime*socio=rien toutefois qu'il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 de progresser encore, de façon*socio=rien décisive*socio=uv4, vers une stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 sans laquelle - tout particulièrement dans les pays*socio=ac où les hausses sont relativement vives - il ne pourra y avoir ni baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1, ni relance*socio=uv3 de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1, ni convergence*socio=uv3 des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1, ni, par conséquent*socio=rien, stabilisation*socio=et des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Compte*socio=ec1 tenu de ces objectifs*socio=uv3, le Comité*socio=ac souligne qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil que les politiques_budgétaires*socio=et étayent davantage les politiques_monétaires*socio=et, pour qu'une modération*socio=ec2 adéquate*socio=uv2 de la croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil ne perturbe pas trop la production*socio=ec1 et l'emploi*socio=ec1. Plus précisément, le Comité*socio=ac exhorte les autorités*socio=et des pays_membres*socio=ac à réduire durablement leurs déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et : de ce fait*socio=rien, elles rendront crédible*socio=uv2 leur ferme*socio=ec2 résolution*socio=uv1 de poursuivre une politique*socio=et anti-inflationniste*socio=ec2, d'atténuer les pressions*socio=ec2 qui s'exercent sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 du*socio=rien crédit*socio=ec1 et d'abaisser les taux_d'_intérêt*socio=ec1, et elles laisseront intactes*socio=rien les disponibilités*socio=rien à *socio=rien moyen terme en*socio=nil ressources*socio=ec1 destinées au*socio=nil financement*socio=ec1 des*socio=nil investissements_privés*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil exhorte aussi les pays*socio=ac à s'efforcer de réduire les rigidités*socio=uv3 qui caractérisent actuellement les conventions_collectives*socio=ec1 et les politiques*socio=et de fixation*socio=ec1 des prix*socio=ec1. Il admet que, selon la situation*socio=rien dans laquelle se trouve leur pays*socio=ac, les autorités*socio=et pourraient compléter utilement*socio=rien des politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1 appropriées en s'efforçant de susciter entre les partenaires_sociaux*socio=et un*socio=rien consensus*socio=uv1 sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de modérer la hausse*socio=rien des traitements*socio=rien et des salaires*socio=ec1 aux fins*socio=rien de stimuler l'emploi*socio=ec1. A ce propos*socio=rien, le Comité*socio=ac souligne qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil d'accroître l'épargne*socio=ec1, de rétablir les marges bénéficiaires*socio=ac et d'encourager les investissements*socio=ec1. Le Comité*socio=ac déplore qu'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil se trouvent actuellement dans une *socio=rien situation pénible.*socio=nil *socio=nil Il note que, dans ces pays*socio=ac, le net*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la *socio=ec1 croissance économique *socio=nil et l'augmentation*socio=ec2 des déficits_courants*socio=ec1 peuvent être*socio=rien imputés en *socio=rien grande partie *socio=nil à des *socio=rien éléments exogènes,*socio=nil à*socio=nil savoir la*socio=nil récession*socio=ec2 internationale*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil *socio=uv4 grave détérioration des*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 *socio=nil et la hausse*socio=rien sans précédent*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te du*socio=rien crédit*socio=ec1. Il souligne, toutefois, que les problèmes*socio=uv4 auxquels *socio=rien bon nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil font actuellement face*socio=rien résultent également de politiques*socio=et financières*socio=ec1 par trop expansionnistes*socio=ec2, qui sont à l'origine*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 et d'une mauvaise*socio=rien répartition*socio=uv3 des ressources*socio=ec1, ainsi que de déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te. Il remarque que de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 s'efforcent actuellement de corriger les déséquilibres*socio=uv3 de leur économie*socio=ec1, mais que des progrès*socio=uv1 sont indispensables*socio=uv4. A cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac note que deux *socio=rien aspects particuliers des*socio=nil finances*socio=ec1 extérieures*socio=te des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil le préoccupent vivement. Le premier*socio=rien a trait*socio=rien à la nécessité*socio=uv1 d'assurer aux pays_en_développement*socio=uv3, et avant tout aux pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 faible*socio=rien qui ne disposent que d'un*socio=rien accès*socio=uv1 limité aux marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te, *socio=rien un volume d'*socio=nil aide*socio=uv1 *socio=nil accru et davantage de prêts*socio=ec1 assortis de conditions*socio=ec1 libérales*socio=et. Le second*socio=rien concerne la progression*socio=ec2 récente*socio=rien de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te qui, dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, atteint des niveaux*socio=rien rarement enregistrés. Le Comité*socio=ac souligne en outre qu'à *socio=rien un moment *socio=nil où l'accès*socio=uv1 aux *socio=ec1 flux financiers privés*socio=et devient*socio=nil malaisé*socio=rien,*socio=nil *socio=nil il importe que ces pays*socio=ac prennent des mesures*socio=et réalistes*socio=uv4 en vue*socio=rien d'ajuster leur économie*socio=ec1 aux circonstances*socio=rien de l'heure*socio=rien. Dans ses débats*socio=et, le Comité*socio=ac a fait*socio=rien ressortir l'étroite*socio=rien interdépendance*socio=uv3 qui caractérise l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et, de nouveau*socio=rien, s'est*socio=rien déclaré convaincu qu'il est*socio=rien urgent*socio=uv4 de renforcer la coopération_internationale*socio=uv3. Les marchés_financiers*socio=ec1 étant perturbés par des déséquilibres*socio=uv3 de paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te et des problèmes*socio=uv4 d'ajustement*socio=et persistants*socio=rien, le Comité*socio=ac exhorte de nouveau*socio=rien tous les pays_membres*socio=ac à s'efforcer de résoudre leurs problèmes*socio=uv4 en tenant dûment compte*socio=ec1 des intérêts*socio=uv1 de leurs partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 et de la communauté*socio=ac économique*socio=ec1 mondiale*socio=te dans son ensemble*socio=rien. A cet égard*socio=rien, il formule*socio=rien une mise en garde*socio=rien : les *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil ne sont que des expédients, qui vont à l'encontre*socio=rien des gains*socio=ec1 de productivité*socio=uv3 et entravent la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1, et qui, en outre, réduisent à néant*socio=rien les possibilités*socio=rien d'accroître les échanges_ mondiaux*socio=ec et d'en faire profiter davantage la communauté*socio=ac des nations*socio=ac. Le Comité*socio=ac note en outre qu'il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 que tous les pays*socio=ac, sans distinction*socio=rien, aient, et continuent d'avoir, accès*socio=uv1 aux marchés_financiers*socio=ec1. 3 - Le Comité*socio=ac reconnaît que, dans le cadre*socio=rien des problèmes*socio=uv4 particulièrement aigus*socio=rien auxquels se heurte aujourd'hui l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, le Fonds*socio=ec1 a un*socio=rien rôle*socio=et capital*socio=ec1 à jouer dans l'ajustement*socio=et des balances_des_paiements*socio=ec1; il souligne que le Fonds*socio=ec1 doit assumer sa fonction*socio=rien de surveillance*socio=et avec efficacité*socio=uv3 et impartialité*socio=uv1. Il estime*socio=rien essentiel*socio=uv4 que tous les *socio=ac États membres *socio=nil coopèrent pleinement, afin que soit couronnée de succès*socio=uv1 l'action*socio=ec1 entreprise*socio=ac par le Fonds*socio=ec1 en faveur*socio=rien d'une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 internationale*socio=ac. A cet égard*socio=rien, il prend note avec satisfaction*socio=uv3 de la déclaration*socio=et d'"Engagement*socio=uv1 monétaire*socio=ec1 international*socio=te" portant sur*socio=rien les responsabilités*socio=uv1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 en matière*socio=rien de surveillance*socio=et et les efforts*socio=uv1 que l'institution*socio=ac déploie pour promouvoir la stabilité*socio=uv3 qui a été*socio=rien formulée en *socio=rien juin dernier au*socio=nil sommet *socio=nil de Versailles. 4 - Le Comité*socio=ac a examiné divers aspects*socio=rien de la *socio=rien Huitième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et;*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil prend note des progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien réalisés par le conseil_d'_administration*socio=ac en ce qui concerne l'accroissement*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1; il se félicite de l'accord*socio=et qui s'est*socio=rien dégagé au Conseil*socio=ac sur*socio=rien la méthode*socio=ec2 de calcul*socio=rien des quotes-parts*socio=et pour la *socio=rien Huitième révision générale.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a étudié tout particulièrement les deux *socio=rien grandes questions *socio=nil que sont l'augmentation*socio=ec2 globale*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et sa répartition*socio=uv3 entre les pays_membres*socio=ac. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac s'accordent*socio=rien largement à reconnaître qu'il est*socio=rien urgent*socio=uv4 d'augmenter les quotes-parts*socio=et de *socio=rien façon substantielle *socio=nil dans le cadre*socio=rien de la *socio=rien Huitième révision générale.*socio=nil *socio=nil Il rappelle qu'à son avis*socio=rien les quotes-parts*socio=et devraient demeurer la *socio=rien principale source financière*socio=ec1 du Fonds*socio=ec1 *socio=nil et qu'il conviendrait donc que la révision*socio=rien permette de les augmenter suffisamment pour que le FMI*socio=ac soit en mesure*socio=rien de s'acquitter de ses fonctions*socio=rien avec efficacité*socio=uv3 au cours*socio=rien des années*socio=rien 80. Le Comité*socio=ac rappelle aussi que l'augmentation*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de la *socio=rien Huitième révision générale *socio=nil devrait permettre de mieux harmoniser les quotes-parts*socio=et des pays_membres*socio=ac avec leur *socio=rien situation relative *socio=nil dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, compte*socio=ec1 dûment tenu de la nécessité*socio=uv1 d'assurer un*socio=rien équilibre*socio=ec2 approprié entre les divers groupes_de_pays*socio=ac. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 également au conseil_d'_administration*socio=ac d'évaluer dans quelle mesure*socio=rien les arrangements*socio=et en vigueur*socio=uv3 permettent de faire face*socio=rien à des tensions*socio=ec2 majeures*socio=rien dans le système_financier*socio=ec1 international*socio=te. Le Comité*socio=ac exhorte le conseil_d'_administration*socio=ac à accorder *socio=rien un rang de*socio=nil *socio=uv4 priorité élevé *socio=nil à la poursuite*socio=rien de ses *socio=rien travaux sur la*socio=nil Huitième révision générale,*socio=nil de*socio=nil façon *socio=nil que les questions*socio=rien encore en *socio=rien suspens sur l'*socio=nil ampleur *socio=nil et la répartition*socio=uv3 de l'augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et soient résolues d'ici à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac en*socio=nil avril *socio=nil 1983. 5 - Le Comité*socio=ac a considéré *socio=rien diverses questions *socio=nil concernant le droit*socio=uv1 de tirage*socio=ec1 spécial*socio=rien, et notamment celle des allocations*socio=et de DTS pour la quatrième*socio=rien période*socio=te de base*socio=rien, qui a commencé le 1er janvier*socio=rien 1982. Le directeur_général*socio=ac a fait*socio=rien connaître au Comité*socio=ac qu'il n'a pas été*socio=rien en mesure*socio=rien de formuler une *socio=rien proposition relative *socio=nil à ces allocations*socio=et, le large*socio=rien appui*socio=uv1 requis*socio=uv4 par les Statuts*socio=et faisant défaut*socio=rien. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre ses efforts*socio=uv1, afin d'harmoniser les points*socio=rien de vue*socio=rien, et de permettre ainsi au directeur_général*socio=ac de formuler dans les meilleurs*socio=uv4 délais*socio=rien une proposition*socio=rien concernant les allocations*socio=et de DTS au titre*socio=rien de la période*socio=te de base*socio=rien en cours*socio=rien, conformément aux dispositions*socio=et des statuts*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Le Comité*socio=ac note que le conseil_d'_administration*socio=ac a entrepris d'examiner en profondeur*socio=rien divers aspects*socio=rien de l'utilisation*socio=rien et du*socio=rien rôle*socio=et du*socio=rien DTS et des avoirs*socio=ec1 libellés en DTS dans le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te, et encourage le Conseil*socio=ac à poursuivre cet examen*socio=ec2 avec diligence*socio=rien. 6 - Le Comité*socio=ac exprime ses *socio=rien remerciements chaleureux au*socio=nil *socio=ac gouvernement canadien,*socio=nil aux*socio=nil autorités*socio=et *socio=nil de l'Ontario*socio=ac, ainsi qu'à la ville*socio=te et à la population*socio=ac de Toronto*socio=ac, pour leur accueil*socio=rien et pour l'excellente*socio=uv4 organisation*socio=ec1 de cette réunion*socio=rien, qu'il a vivement appréciés. 7 - Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu de tenir sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil D.C., les 27 et 28 avril*socio=rien 1983. *socio=rien Vingtième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil 10 et 11 février*socio=rien 1983. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa *socio=rien vingtième réunion *socio=nil les 10 et 11 février*socio=rien 1983, à Washington*socio=ac, D. C., sous la présidence*socio=rien de Sir*socio=rien Geoffrey Howe, Chancelier de l'Echiquier du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac. M.. J.. de Larosière, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, a participé à la réunion*socio=rien, à laquelle ont assisté*socio=rien les observateurs*socio=ac d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil organisations_internationales*socio=ac et*socio=nil régionales*socio=te,*socio=nil *socio=nil ainsi que de la Suisse*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac a examiné les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et les mesures*socio=et qu'appellent les difficiles*socio=rien problèmes*socio=uv4 avec lesquels sont aux prises*socio=rien la plupart*socio=rien des pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Le Comité*socio=ac note la révision*socio=rien en baisse*socio=ec2 dont les estimations*socio=ec2 des taux_de_croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1 et de l'inflation*socio=ec1 ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien depuis sa *socio=rien précédente réunion *socio=nil tenue en septembre*socio=rien 1982. Le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 du*socio=rien chômage*socio=ec1 et la faiblesse*socio=ec2 de l'investissement*socio=ec1 et du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te suscitent une vive inquiétude*socio=rien, compte*socio=ec1 tenu des signes limités de redressement*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1, Cependant, le Comité*socio=ac se félicite des nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 réalisés par certains des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac dans leur lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1, ainsi que de la réduction*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 que ces progrès*socio=uv1 ont facilitée - évolution*socio=te permettant de poser les bases*socio=rien d'un*socio=rien redressement*socio=ec2 durable*socio=uv4 de l' activité_économique*socio=ec1. Convaincu que la maîtrise*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien une *socio=rien condition nécessaire *socio=nil - mais non suffisante*socio=rien - d'une croissance*socio=uv3 soutenable*socio=uv4 à *socio=rien moyen terme,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil invite instamment les gouvernements*socio=ac à éviter que leurs efforts*socio=uv1 en faveur*socio=rien d'une reprise durable*socio=uv4 de l'activité_économique*socio=ec1 comportent des mesures*socio=et risquant de provoquer une recrudescence*socio=ec2 des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2. L'importance*socio=rien d'une réduction*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac a*socio=nil été *socio=nil également soulignée. Par ailleurs*socio=rien, le Comité*socio=ac fait*socio=rien observer que des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 élevés*socio=uv4, compromettant le processus*socio=te de reprise économique*socio=ec1, pourraient résulter des anticipations*socio=uv3 du*socio=rien marché*socio=ec1 quant aux besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 de l'État*socio=ac. De l'avis*socio=rien du*socio=rien Comité*socio=ac, la situation*socio=rien actuelle*socio=te de plusieurs grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac où l'inflation*socio=ec1 reste*socio=rien relativement élevée*socio=uv4 exige qu'ils maintiennent des politiques_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et restrictives*socio=uv4 et appliquent d'une manière*socio=rien efficace*socio=uv4 les politiques*socio=et de revenu*socio=ec1 déjà mises en place*socio=rien. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien, cependant, que les perspectives*socio=te d'une reprise économique*socio=ec1 dans ceux des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac qui ont obtenu les meilleurs*socio=uv4 résultats*socio=rien en ce qui concerne le ralentissement*socio=ec2 et la maîtrise*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 se sont améliorées. Ces résultats*socio=rien, et la réduction*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 qu'ils ont permise, ont jeté les bases*socio=rien d'un*socio=rien accroissement*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 réel*socio=rien d'activité*socio=rien, dans le *socio=rien cadre du maintien de*socio=nil politiques_monétaire*socio=et et*socio=nil budgétaire*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2.*socio=nil La*socio=nil transition*socio=ec2 *socio=nil vers une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 des taux_de_croissance*socio=ec1 réelle*socio=ec2 serait également facilitée par une action*socio=ec1 résolue destinée à réduire les rigidités*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 et les déséquilibres*socio=uv3 structurels*socio=ec2. Le Comité*socio=ac déplore la montée des pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et qui se produit*socio=rien depuis *socio=rien un an *socio=nil ou deux. Il souligne l'importance*socio=rien primordiale*socio=rien qu'il y a non seulement à résister à ces pressions*socio=ec2, mais aussi à les réduire. Le fait*socio=rien que les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 se trouvent dans une situation*socio=rien qui n'est*socio=rien pas satisfaisante*socio=uv4 préoccupe particulièrement le Comité*socio=ac, qui note que leur taux_de_croissance*socio=ec1 - après*socio=rien s'être*socio=rien chiffré à environ 6 % en moyenne*socio=rien dans les années*socio=rien 60 et au début*socio=rien des années*socio=rien 70 - est*socio=rien tombé à seulement 2,5 % au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années *socio=nil et ne devrait pas, selon les prévisions*socio=ec2, s'améliorer sensiblement en 1983. Le Comité*socio=ac note également que le modeste*socio=rien accroissement*socio=ec2 récent*socio=rien de la production*socio=ec1, dont les taux*socio=ec1 ont été*socio=rien à peine suffisants*socio=rien pour lui permettre de suivre le rythme*socio=ec2 rapide*socio=rien de la *socio=ec1 croissance démographique,*socio=nil s'*socio=nil inscrit*socio=rien *socio=nil dans le contexte*socio=rien d'une détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, de la stagnation*socio=ec1 des marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, de taux_d'_intérêt*socio=ec1 élevés*socio=uv4 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1 et de tensions*socio=ec2 en ce qui concerne le financement*socio=ec1 des déficits*socio=ec1 de paiements_courants*socio=ec1. D'où la nécessité*socio=uv1 d'une forte*socio=rien compression*socio=et des importations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, qui s'est*socio=rien effectuée au prix*socio=ec1 d'une réduction*socio=ec2 de l'investissement*socio=ec1 et de la croissance*socio=uv3. Notant l'ampleur*socio=rien de l'ajustement*socio=et extérieur*socio=te qu'ont déjà réalisé *socio=rien un grand nombre des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil et les incertitudes*socio=uv3 qui persistent en ce qui concerne le financement*socio=ec1 du*socio=rien déficit*socio=ec1 des paiements_courants*socio=ec1 dans la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac, le Comité*socio=ac attache une *socio=rien grande importance au*socio=nil maintien d'*socio=nil un volume suffisant *socio=nil de l' aide_publique_au_développement*socio=et et des apports*socio=rien bancaires*socio=ec1 privés*socio=et, et se félicite du*socio=rien rôle*socio=et spécial*socio=rien que le Fonds*socio=ec1 a joué récemment à cet égard*socio=rien. D'une façon*socio=rien plus générale*socio=rien, le Comité*socio=ac souligne l'importance*socio=rien accrue que revêt, dans la conjoncture*socio=ec2 actuelle*socio=te, le rôle*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 pour fournir une aide*socio=uv1 de balance_des_paiements*socio=ec1 aux pays_membres*socio=ac qui mettent en oeuvre*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et, et pour exercer une ferme*socio=ec2 surveillance*socio=et sur*socio=rien les politiques*socio=et pratiquées, ainsi que la nécessité*socio=uv1 de doter le Fonds*socio=ec1 des moyens*socio=ec1 lui permettant de jouer ce rôle*socio=et. 3 - Le Comité*socio=ac, notant les progrès*socio=uv1 réalisés par le conseil_d'_administration*socio=ac en ce qui concerne les *socio=rien diverses questions relatives *socio=nil à la *socio=rien Huitième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et,*socio=nil *socio=nil a porté une *socio=rien attention particulière aux*socio=nil questions *socio=nil restées en suspens*socio=rien et exprime sa satisfaction*socio=uv3 d'avoir pu parvenir à l'accord*socio=et *socio=rien suivant sur la*socio=nil question des*socio=nil quotes-parts*socio=et *socio=nil : a) Le total*socio=rien des quotes-parts*socio=et au Fonds*socio=ec1 devrait être*socio=rien porté dans le cadre*socio=rien de la *socio=rien Huitième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et *socio=nil d'environ 61,03 milliards*socio=rien de DTS à 90 milliards*socio=rien de DTS (soit l'équivalent*socio=rien de 98,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 environ). b) Quarante pour cent*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 globale*socio=rien devraient être*socio=rien répartis entre tous les pays_membres*socio=ac proportionnellement à leur quote-part*socio=ec1 actuelle*socio=te, et le reste*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2, soit 60 %, devrait être*socio=rien réparti sous forme*socio=rien d'ajustements*socio=et sélectifs*socio=uv4 proportionnels*socio=rien à la part*socio=rien de chaque *socio=ac pays membre *socio=nil dans le total*socio=rien des quotes-parts*socio=et calculées, c'est-à-dire les quotes-parts*socio=et qui reflètent approximativement la *socio=rien position relative *socio=nil de chaque *socio=ac pays membre *socio=nil dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. c) Vingt-cinq*socio=rien pour cent*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 de la quote-part*socio=ec1 de chaque *socio=ac pays membre devraient*socio=nil être*socio=rien *socio=nil versés en DTS ou en monnaies*socio=ec1 utilisables*socio=uv4 d'autres pays_membres*socio=ac. Le Comité*socio=ac envisage la possibilité*socio=rien d'un*socio=rien ajustement*socio=et spécial*socio=rien des quotes-parts*socio=et les moins élevées*socio=uv4, c'est-à-dire celles qui sont actuellement inférieures*socio=rien à 10 millions*socio=rien de DTS. Il est*socio=rien convenu de renvoyer cette question*socio=rien au conseil_d'_administration*socio=ac afin qu'il l'examine sans tarder dans le cadre*socio=rien de la mise en oeuvre*socio=rien de la principale*socio=rien décision*socio=et. 4 - La question*socio=rien des limites*socio=rien à l'accès*socio=uv1 aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 a été*socio=rien soulevée au *socio=rien sein du Comité*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui prend note que le conseil_d'_administration*socio=ac examinera cette question*socio=rien avant le 30 juin*socio=rien 1983. Le Comité*socio=ac invite le conseil_d'_administration*socio=ac à prendre note des opinions*socio=ec2 exprimées au *socio=rien sein du Comité*socio=ac *socio=nil par ceux qui sont en *socio=rien faveur du maintien des*socio=nil plafonds*socio=ec1 actuels*socio=te *socio=nil exprimés en pourcentage*socio=rien de la quote-part*socio=ec1 et aussi par ceux qui soulignent la nécessité*socio=uv1 de prendre en considération*socio=rien l'évolution*socio=te de la liquidité*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Il invite également le directeur_général*socio=ac à présenter *socio=rien un rapport sur cette*socio=nil question *socio=nil à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 5 - Le Comité*socio=ac note que les ministres*socio=ac des finances*socio=ec1 et les gouverneurs*socio=ac des banques_centrales*socio=ac des participants*socio=ac aux Accords*socio=et généraux*socio=rien d'emprunt*socio=ec1 (AGE) ont récemment décidé d'appuyer un*socio=rien accroissement*socio=ec2 du*socio=rien montant*socio=ec1 total*socio=rien des engagements*socio=et de crédit*socio=ec1 pris en vertu*socio=rien desdits accords*socio=et, dont le montant*socio=ec1 total*socio=rien serait porté à 17 milliards*socio=rien de DTS, soit l'équivalent*socio=rien de 19 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 environ, et de mettre les ressources*socio=ec1 résultant*socio=rien de ces accords*socio=et à la disposition*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 pour financer également les achats*socio=ec1 des pays*socio=ac non participants*socio=rien lorsque le Fonds*socio=ec1 aura à faire face*socio=rien à une insuffisance*socio=uv3 de ressources*socio=ec1 due à une situation*socio=rien exceptionnelle*socio=uv4 menaçant*socio=rien la stabilité*socio=uv3 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. A cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac se félicite de ce que la Suisse*socio=ac ait l'intention*socio=rien de participer en tant que membre*socio=ac à *socio=rien part entière *socio=nil aux dits accords*socio=et par l'intermédiaire*socio=rien de la *socio=ac banque_nationale suisse *socio=nil et avec un*socio=rien engagement*socio=uv1 de crédit*socio=ec1 de 1.020 millions*socio=rien de DTS. Le Comité*socio=ac se félicite également de l'intention*socio=rien de l'Arabie*socio=ac Saoudite*socio=ac de fournir des ressources*socio=ec1 au Fonds*socio=ec1, en association*socio=ac avec les AGE et aux mêmes fins*socio=rien que celles des AGE. Il note avec satisfaction*socio=uv3 les progrès*socio=uv1 qui sont réalisés dans la mise au point*socio=rien des modalités*socio=rien de cette association*socio=ac. 6 - Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac demandent au conseil_d'_administration*socio=ac d'adopter, avant *socio=rien fin février *socio=nil 1983, les décisions*socio=et et autres mesures*socio=et nécessaires*socio=rien pour donner effet*socio=rien au consensus*socio=uv1 qui s'est*socio=rien dégagé au *socio=rien sein du Comité*socio=ac.*socio=nil *socio=nil En outre, ils sont convenus d'inviter instamment les gouvernements*socio=ac des pays*socio=ac qu'ils représentent à agir sans tarder pour faire en sorte*socio=rien que les projets*socio=et d'accroissement*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 se matérialisent avant la fin*socio=rien de 1983. 7 - Le Comité*socio=ac a examiné de nouveau*socio=rien la question*socio=rien d'une allocation*socio=et de DTS au cours*socio=rien de la période*socio=te de base*socio=rien actuelle*socio=te (quatrième*socio=rien période*socio=te), qui a commencé le le" janvier*socio=rien 1982. Notant l'évolution*socio=te intervenue depuis la réunion*socio=rien qu'il a tenue à Toronto*socio=ac, le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu que la question*socio=rien devrait être*socio=rien réexaminée le plus tôt possible*socio=rien. En conséquence*socio=rien, il demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de procéder à l'analyse*socio=ec2 des tendances*socio=ec2 les plus récentes*socio=rien de la croissance*socio=uv3, de l'inflation*socio=ec1 et de la liquidité*socio=ec1 internationale*socio=ac, afin de permettre au directeur_général*socio=ac de déterminer, au plus tard d'ici à la *socio=rien prochaine réunion du comité_intérimaire*socio=ac,*socio=nil *socio=nil s'il serait possible*socio=rien de présenter une proposition*socio=rien de nouvelle*socio=rien allocation*socio=et de DTS susceptible*socio=rien de recueillir *socio=rien un large appui*socio=uv1 *socio=nil de la part*socio=rien des pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1. 8 - Le Comité*socio=ac décide de tenir sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil D.C., le 25 septembre*socio=rien 1983. Comité*socio=ac ministériel*socio=et mixte des conseils_des_gouverneurs_de_la_banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 pour le transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 aux pays_en_développement*socio=uv3 (Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3). Communiqué de presse*socio=et. Dix-neuvième réunion*socio=rien, Toronto*socio=ac, 5 septembre*socio=rien 1982. 1 - Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa dix-neuvième réunion*socio=rien à Toronto*socio=ac, Canada*socio=ac, le 5 septembre*socio=rien 1982, sous la présidence*socio=rien de M.. Manuel*socio=rien Ulloa Effas, premier_ministre*socio=ac et Ministre*socio=ac de l'économie*socio=ec1, des finances*socio=ec1 et du*socio=rien commerce*socio=ec1 du*socio=rien Pérou*socio=ac. 2 - Le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement*socio=uv3 *socio=nil dans le monde*socio=te, 1982, qui passe en revue l'évolution*socio=te et les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, a constitué pour le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3, auquel il a été*socio=rien soumis, un*socio=rien important*socio=uv4 document*socio=rien de référence*socio=rien, très utile*socio=uv4 pour ses délibérations*socio=et. 3 - Le Comité*socio=ac exprime sa *socio=rien profonde inquiétude devant la*socio=nil situation économique*socio=ec1 mondiale*socio=te,*socio=nil *socio=nil qui demeure critique*socio=uv2, et la détérioration*socio=uv4 des perspectives*socio=te de développement*socio=uv3 de la communauté*socio=ac des nations*socio=ac, au cours*socio=rien de l'année*socio=rien dernière*socio=rien. Les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 étant actuellement sombres, les pays_en_développement*socio=uv3 doivent faire face*socio=rien aux *socio=uv4 graves problèmes *socio=nil que représentent la réduction*socio=ec2 de l'aide*socio=uv1, la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien des prix*socio=ec1 des matières_premières*socio=ec1, la détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, l'intensification*socio=ec2 des tendances*socio=ec2 au protectionnisme*socio=et et le fait*socio=rien que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 élevés*socio=uv4 et les incertitudes*socio=uv3 concernant l'attitude*socio=uv3 des marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te rendent aléatoires leurs possibilités*socio=rien d'emprunt*socio=ec1 auprès des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1. Le Comité*socio=ac prend également note avec satisfaction*socio=uv3 de la récente*socio=rien tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Les taux_de_croissance*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 en 1981 et 1982 sont les taux*socio=ec1 les plus faibles*socio=rien enregistrés depuis plusieurs décennies*socio=te : ils ne dépassent pas la moitié*socio=rien environ de ceux des années*socio=rien 70, et, pour nombre*socio=rien de pays_en_développement*socio=uv3, signifient une exceptionnelle*socio=uv4 baisse*socio=ec2 du*socio=rien revenu*socio=ec1 réel*socio=rien par habitant*socio=ac. Cette situation*socio=rien préoccupante*socio=uv4 exige des pays_industrialisés*socio=ac comme des pays_en_développement*socio=uv3 qu'ils intensifient leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et pour rétablir l'équilibre*socio=ec2 et la vigueur*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Les pays_industrialisés*socio=ac devraient, avant tout, assainir leur économie*socio=ec1 et la remettre sur*socio=rien la voie*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 soutenue, continuer d'assurer *socio=rien un climat libéral*socio=et au*socio=nil commerce*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil et aux mouvements_de_capitaux*socio=ec1 et maintenir, et si possible*socio=rien accroître, les flux*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 à destination*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 les_plus_pauvres*socio=uv2. Quant aux pays_en_développement*socio=uv3, ils devraient, tout d'abord*socio=rien, accroître leur épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te et leurs investissements*socio=ec1, utiliser de façon*socio=rien plus efficace*socio=uv4 les capitaux*socio=ec1 dont ils disposent, renforcer d'une *socio=rien façon générale la*socio=nil gestion*socio=ec2 *socio=nil de leur économie*socio=ec1, accorder une plus *socio=rien grande importance *socio=nil à l'agriculture*socio=ec1 et une *socio=rien attention spéciale aux*socio=nil programmes*socio=et de*socio=nil lutte*socio=uv1 *socio=nil contre la pauvreté*socio=uv1. 4 - C'est*socio=rien en raison*socio=rien de tous ces facteurs*socio=rien que le Comité*socio=ac s'est*socio=rien consacré essentiellement à la *socio=rien question du transfert*socio=ec1 des*socio=nil ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 *socio=nil vers les pays_en_développement*socio=uv3. 5 - Le Comité*socio=ac a pris note des *socio=rien résultats concrets *socio=nil qu'a obtenus l'IDA*socio=ac depuis sa création*socio=uv4 en 1960. L'étude*socio=ec2 intitulée IDA*socio=ac, étude*socio=ec2 rétrospective*socio=rien, préparée par les services*socio=et de la Banque*socio=ac et de l'IDA*socio=ac, montre que l'IDA*socio=ac est*socio=rien maintenant une institution*socio=ac multilatérale*socio=et qui joue un*socio=rien rôle*socio=et très important*socio=uv4 et très efficace*socio=uv4 dans la promotion*socio=uv3 du*socio=rien développement*socio=uv3 dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Le Comité*socio=ac note que, bien*socio=rien que des progrès*socio=uv1 sensibles*socio=rien aient été*socio=rien réalisés, les pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 continuent d'avoir désespérément besoin*socio=uv1 d'une aide*socio=uv1 additionnelle*socio=ec2 et que l'IDA*socio=ac continue*socio=rien de mériter l'appui*socio=uv1 inconditionnel des bailleurs_de_fonds*socio=ec1 traditionnels*socio=rien et des nouveaux*socio=rien donateurs*socio=ac. 6 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que, soucieux*socio=rien d'essayer de résoudre la pénurie*socio=ec2 de ressources*socio=ec1 à laquelle *socio=rien fait face l'*socio=nil IDA*socio=ac *socio=nil à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, les donateurs*socio=ac sont intervenus pour éviter une baisse*socio=ec2 *socio=rien brutale du volume annuel*socio=te des*socio=nil crédits*socio=ec1 IDA*socio=ac *socio=nil pendant les exercices*socio=rien 1983 et 1984. Il se félicite de la réponse*socio=rien de la plupart*socio=rien des *socio=ac pays donateurs *socio=nil à la demande*socio=ec1 qui leur a été*socio=rien faite de verser en 1983 le solde*socio=ec1 de leur contribution*socio=uv1 à IDA-6. A cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 qu'après*socio=rien sa *socio=rien dernière réunion,*socio=nil *socio=nil tenue à Helsinki en *socio=rien mai dernier,*socio=nil *socio=nil les sept principaux*socio=rien donateurs*socio=ac ont souligné - à la réunion*socio=rien au sommet*socio=rien de Versailles - la nécessité*socio=uv1, d'une part*socio=rien, de dispositions*socio=et *socio=rien spéciales temporaires *socio=nil permettant de résoudre les problèmes*socio=uv4 que pose le financement*socio=ec1 d'IDA-6 et, d'autre part*socio=rien, de l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 anticipée d'IDA-7*socio=ac. Il se félicite des nouvelles*socio=rien encourageantes*socio=uv4 qu'il a apprises récemment, selon lesquelles 22 *socio=ac pays donateurs *socio=nil ont convenu de verser intégralement le solde*socio=ec1 de leur contribution*socio=uv1 à IDA-6. Il exhorte le *socio=rien petit nombre de*socio=nil donateurs*socio=ac *socio=nil qui ne l'ont pas encore fait*socio=rien à faire de même. La plupart*socio=rien des donateurs*socio=ac ont non seulement accepté d'honorer leurs obligations*socio=uv1 au titre*socio=rien d'IDA-6 dans le délai*socio=rien de trois ans*socio=rien prévu initialement, sans insister sur*socio=rien l'application*socio=rien du*socio=rien principe*socio=ec2 de la proportionnalité des contributions*socio=uv1, mais aussi convenu, en_principe*socio=ec2, de fournir, pour l'exercice*socio=rien 1984, un*socio=rien montant*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 additionnelles*socio=ec2 qui pourrait atteindre *socio=rien un tiers *socio=nil de leur contribution*socio=uv1 initiale*socio=rien à IDA-6 soit par l'intermédiaire*socio=rien d'un*socio=rien fonds*socio=ec1 parallèle*socio=rien, soit par le biais*socio=rien d'un*socio=rien compte*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac *socio=rien devant être *socio=nil établi pour l'exercice*socio=rien 1984. Le Comité*socio=ac a pris note de l'importance*socio=rien que ces donateurs*socio=ac attachent à un*socio=rien accroissement*socio=ec2 du*socio=rien pouvoir*socio=et d'engagement*socio=uv1 de l'IDA*socio=ac pour l'exercice*socio=rien 1984. L'espoir*socio=uv1 a été*socio=rien exprimé que, devant*socio=rien les dispositions*socio=et spéciales*socio=rien qu'ont prises*socio=rien les autres donateurs*socio=ac pour maintenir le flux*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 annuelles*socio=te de l'IDA*socio=ac à des niveaux*socio=rien qui ne soient pas inférieurs*socio=rien à celui qu'exige le programme*socio=et de l'Association*socio=ac, le Congrès*socio=ac des États-unis*socio=ac prendra les mesures*socio=et nécessaires*socio=rien pour porter le troisième*socio=rien versement*socio=ec1 de ce pays*socio=ac au niveau*socio=rien fixé par le gouvernement*socio=ac, et faire en sorte*socio=rien que la contribution*socio=uv1 des États-unis*socio=ac à IDA-6 soit versée intégralement dans *socio=rien un délai *socio=nil de quatre ans*socio=rien. 7 - Le Comité*socio=ac se félicite que les donateurs*socio=ac se soient mis d'accord*socio=uv1 pour ouvrir les pourparlers officiels*socio=et sur*socio=rien IDA-7*socio=ac avant la fin*socio=rien de l'année*socio=rien civile*socio=ac 1982 et engagent les *socio=ac gouvernements donateurs *socio=nil à terminer, si possible*socio=rien, les négociations*socio=et d'ici aux prochaines*socio=rien assemblées*socio=ac annuelles*socio=te de la Banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1, afin que les organes*socio=ac législatifs*socio=et puissent prendre les mesures*socio=et nécessaires*socio=rien à la *socio=rien prompte entrée en*socio=nil vigueur*socio=uv3 d'*socio=nil IDA-7*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac est conscient*socio=uv2 des*socio=nil contraintes*socio=uv1 budgétaires*socio=et *socio=nil que connaissent les pays_industrialisés*socio=ac, mais il espère fermement qu'il sera possible*socio=rien de convenir d'une reconstitution*socio=ec2 d'un*socio=rien montant*socio=ec1 approprié à la *socio=rien situation difficile devant *socio=nil laquelle se trouvent les pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 et à leurs besoins*socio=uv1 croissants*socio=rien d'aide*socio=uv1 libérale*socio=et. 8 - Dans le domaine*socio=rien des flux*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 non libérale*socio=et aux pays_en_développement*socio=uv3, le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que les opérations*socio=rien de cofinancement*socio=ec1 réalisées par la Banque*socio=ac avec *socio=rien différentes sources *socio=nil se sont considérablement*socio=rien accrues depuis quelques années*socio=rien. En 1982, ces opérations*socio=rien ont porté sur*socio=rien 7,4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, dont 3,2 milliards*socio=rien en provenance*socio=rien de sources*socio=rien privées*socio=et, contre une moyenne*socio=rien annuelle*socio=te d'environ 200 millions*socio=rien au cours*socio=rien de la *socio=rien deuxième moitié des*socio=nil années *socio=nil 70. 9 - La banque_mondiale*socio=ac étudie actuellement la possibilité*socio=rien d'introduire de nouveaux*socio=rien mécanismes*socio=et en vue*socio=rien de faire du*socio=rien cofinancement*socio=ec1 *socio=rien un moyen plus*socio=nil efficace*socio=uv4 *socio=nil d'attirer des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien, vu la *socio=rien situation difficile *socio=nil qui règne sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, et de prolonger l'échéance*socio=te de ces capitaux*socio=ec1. Le Comité*socio=ac souscrit, lorsqu'ils sont appropriés, aux efforts*socio=uv1 que la banque_mondiale*socio=ac et les banques*socio=ac régionales*socio=te déploient pour procurer aux pays_en_développement*socio=uv3, par voie*socio=rien de cofinancement*socio=ec1, des flux*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 additionnelles*socio=ec2 de toute provenance*socio=rien, à des conditions*socio=ec1 adaptées à la situation*socio=rien des *socio=ac pays emprunteurs et*socio=nil acceptables*socio=uv2 *socio=nil par eux. Ces efforts*socio=uv1 ne doivent altérer en rien*socio=rien le caractère*socio=rien d'institution*socio=ac de développement*socio=uv3 de ces banques*socio=ac. Le Comité*socio=ac souligne qu'il convient de considérer que le cofinancement*socio=ec1 avec des institutions_privées*socio=et est*socio=rien destiné à compléter, et non à remplacer, une expansion*socio=ec2 des prêts*socio=ec1 de la Banque*socio=ac et que les instruments*socio=et utilisés pour accroître le cofinancement*socio=ec1 avec des sources*socio=rien privées*socio=et doivent être*socio=rien constamment soumis à réexamen*socio=et. Par ailleurs*socio=rien, il engage la banque_mondiale*socio=ac à poursuivre son examen*socio=ec2 des *socio=rien différentes propositions *socio=nil présentées et à faire part*socio=rien de sa décision*socio=et au Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 à sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil 10 - Le Comité*socio=ac note que les administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac ont adopté des changements*socio=uv3 dans les méthodes*socio=ec2 d'emprunt*socio=ec1 de la Banque*socio=ac et dans sa politique*socio=et en matière*socio=rien de taux*socio=ec1 prêteur*socio=ac. Le Conseil*socio=ac a approuvé un*socio=rien programme*socio=et de prêts*socio=ec1 de 11,2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour l'exercice*socio=rien 1983. Tout en continuant à donner la priorité*socio=uv4 à ses emprunts*socio=ec1 traditionnels*socio=rien à moyen*socio=rien et à long_terme*socio=te, la Banque*socio=ac a été*socio=rien autorisée à lancer un*socio=rien programme*socio=et prudent*socio=uv2 et dont l'exécution*socio=rien sera suivie de près, pour emprunter à concurrence*socio=ec1 de 1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 sous forme*socio=rien d'instruments*socio=et à court_terme*socio=te pendant l'exercice*socio=rien 1983, et a adopté un*socio=rien taux*socio=ec1 prêteur*socio=ac variable*socio=rien fondé *socio=rien sur un pool*socio=ec1 d'*socio=nil emprunts*socio=ec1.*socio=nil Cette*socio=nil mesure *socio=nil permettra à la Banque*socio=ac de disposer d'une plus grande*socio=rien marge de manoeuvre*socio=rien pour trouver des fonds*socio=ec1 *socio=rien sur un marché*socio=ec1 *socio=nil beaucoup plus vaste*socio=rien et lèvera une contrainte*socio=uv1 entravant l'expansion*socio=ec2 envisagée de son programme*socio=et de prêts*socio=ec1. Le Comité*socio=ac souscrit à la décision*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac de réexaminer cette pratique*socio=rien de façon*socio=rien approfondie avant la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien courant*socio=rien. Il invite le Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac de la BIRD*socio=ac et ceux d'autres banques_multilatérales_de_développement*socio=ac à poursuivre leur étude*socio=ec2 des possibilités*socio=rien d'expansion*socio=ec2, en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2, des prêts*socio=ec1 qui seront accordés aux pays_en_développement*socio=ac dans un*socio=rien avenir*socio=te immédiat*socio=rien et par la suite*socio=rien. 11 - L'importante*socio=uv4 question*socio=rien des prêts*socio=ec1 en *socio=rien faveur du développement*socio=uv3 énergétique*socio=ec1 a*socio=nil été *socio=nil étudiée par le Comité*socio=ac à Helsinki. Le Comité*socio=ac n'a pas pu, dans le *socio=rien bref laps de*socio=nil temps *socio=nil dont il disposait, identifier de nouvelles*socio=rien approches ou de nouveaux*socio=rien mécanismes*socio=et de financement*socio=ec1 recueillant *socio=rien un large appui*socio=uv1 *socio=nil auprès des pays_membres*socio=ac qui verseraient la *socio=rien majeure partie du capital*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil réaffirme l'importance*socio=rien des *socio=ec1 investissements énergétiques *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=uv3, note que les ressources*socio=ec1 dont la Banque*socio=ac dispose pour les prêts*socio=ec1 dans le secteur*socio=rien de l'énergie*socio=ec1 sont limitées et demande*socio=ec1 instamment aux administrateurs*socio=ac d'achever l'examen*socio=ec2 des questions*socio=rien dont ils ont été*socio=rien saisis à Helsinki et de faire rapport*socio=rien à sa *socio=rien prochaine réunion au*socio=nil Comité*socio=ac sur ce*socio=nil point.*socio=nil *socio=nil 12 - Poursuivant l'examen*socio=ec2 des rapports*socio=rien qui lui ont été*socio=rien présentés à ses *socio=rien réunions précédentes,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a examiné deux rapports*socio=rien établis l'un*socio=rien par la Banque*socio=ac et l'autre par le Fonds*socio=ec1, présentant les mesures*socio=et qui ont *socio=rien été prises *socio=nil par les deux institutions*socio=ac dans leur domaine*socio=rien de compétence*socio=uv3 pour donner suite*socio=rien aux recommandations*socio=et visant à accroître le flux*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 en faveur*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 contenues dans le programme*socio=et d'action*socio=ec1 *socio=rien immédiate du Groupe*socio=ac des*socio=nil Vingt-quatre *socio=nil et dans le rapport*socio=rien de la Commission*socio=ac Brandt. Le Comité*socio=ac constate que la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 ont déjà appliqué quelques-unes des recommandations*socio=et qui les concernent et continuent à examiner les autres questions*socio=rien qui ont trait*socio=rien aux *socio=rien travaux du Comité*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 13 - Le Comité*socio=ac prend note des problèmes*socio=uv4 qui se posent aux petits*socio=rien États*socio=ac insulaires ou sans accès*socio=uv1 à la mer*socio=rien et reconnaît qu'il est*socio=rien urgent*socio=uv4 d'étudier des mécanismes*socio=et et des méthodes*socio=ec2 d'ajustement*socio=et adaptés à la *socio=rien situation spécifique *socio=nil de ces États*socio=ac. 14 - Après*socio=rien examen*socio=ec2, le Comité*socio=ac approuve également le Rapport*socio=rien annuel*socio=te sur*socio=rien ses travaux*socio=rien pendant la période*socio=te allant de juillet*socio=rien 1981 à juin*socio=rien 1982 et permet qu'il soit présenté au conseil_des_gouverneurs*socio=ac. 15 - Le Comité*socio=ac exprime ses vifs remerciements*socio=rien au *socio=ac gouvernement canadien *socio=nil pour l'hospitalité*socio=rien chaleureuse*socio=rien qui lui a été*socio=rien réservée et pour l'excellente*socio=uv4 organisation*socio=ec1 de la réunion*socio=rien. 16- Le Comité*socio=ac convient de tenir sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil D.C., le 29 avril*socio=rien 1983. *socio=rien Vingtième réunion,*socio=nil Toronto*socio=ac,*socio=nil 8*socio=nil septembre *socio=nil 1982. Au cours*socio=rien de sa *socio=rien vingtième réunion *socio=nil qui s'est*socio=rien tenue à Toronto*socio=ac, Canada*socio=ac, le 8 septembre*socio=rien 1982, le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a choisi comme président*socio=ac M.. Ghulam*socio=ac Ishaq Khan, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1, du*socio=rien commerce*socio=ec1, *socio=rien du plan *socio=nil et de la coordination*socio=uv3 du*socio=rien Pakistan*socio=ac. Vingt*socio=rien et *socio=rien unième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil 28 et 29 avril*socio=rien 1983. 1 - Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa vingt*socio=rien et *socio=rien unième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil D.C., les 28 et 29 avril*socio=rien 1983, sous la présidence*socio=rien de M.. Ghulam*socio=ac Ishaq Khan, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1, du*socio=rien commerce*socio=ec1 et de la coordination*socio=uv3 économique*socio=ec1 du*socio=rien Pakistan*socio=ac. 2 - Une version*socio=rien abrégée et mise à jour*socio=rien de la note sur*socio=rien les Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, distribuée à l'occasion*socio=rien de la *socio=rien réunion du comité_intérimaire*socio=ac en*socio=nil février dernier,*socio=nil et*socio=nil devant *socio=nil constituer le document*socio=rien de base*socio=rien des présents*socio=rien débats*socio=et, a été*socio=rien remise aux membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac avant l'ouverture*socio=uv3 de la réunion*socio=rien. 3 - Le Comité*socio=ac note avec une *socio=rien profonde inquiétude *socio=nil que la situation*socio=rien économique*socio=ec1 mondiale*socio=te est*socio=rien restée très difficile*socio=rien depuis sa *socio=rien réunion précédente à*socio=nil Toronto*socio=ac,*socio=nil Canada*socio=ac,*socio=nil en*socio=nil septembre dernier.*socio=nil Les*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil riches comme les pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 ont chèrement payé*socio=rien le prix*socio=ec1 de la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te prolongée, qui *socio=rien est entrée *socio=nil dans sa *socio=rien quatrième année consécutive,*socio=nil *socio=nil mais les conséquences*socio=rien en ont été*socio=rien particulièrement lourdes pour les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 dont les perspectives*socio=te d'avenir*socio=te à court*socio=rien et *socio=rien moyen terme restent*socio=nil incertaines*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil En 1982, le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te a accusé un*socio=rien déclin*socio=ec2 spectaculaire*socio=rien dont les pays_en_développement*socio=uv3 ont eu à supporter une part*socio=rien disproportionnée; les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien non pétroliers*socio=ec1 sont tombés à leur niveau*socio=rien le plus faible*socio=rien depuis trente ans*socio=rien et les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 ne donnent pas encore de signes de forte*socio=rien progression*socio=ec2. La situation*socio=rien s'est*socio=rien trouvée encore aggravée par le déclin*socio=ec2 de l'aide_publique_au_développement*socio=et (APD*socio=et) en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2, le ralentissement*socio=ec2 des flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1 et l'alourdissement*socio=ec2 du*socio=rien fardeau*socio=uv4 de la dette*socio=ec1. Le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 a atteint *socio=rien un niveau inacceptable*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil qui, outre ses effets*socio=rien sociaux*socio=et et politiques*socio=et, tend à renforcer les tendances*socio=ec2 et les pressions*socio=ec2 en faveur*socio=rien de politiques*socio=et et de *socio=et pratiques protectionnistes.*socio=nil Les*socio=nil taux_de_croissance*socio=ec1 *socio=nil ont baissé dans les pays_industrialisés*socio=ac aussi bien*socio=rien que dans les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1; ces derniers*socio=rien enregistrent à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te les taux_de_croissance*socio=ec1 les plus faibles*socio=rien depuis des décennies*socio=te et qui s'accompagnent, dans *socio=rien un grand nombre *socio=nil d'entre eux, d'une *socio=ec2 diminution réelle du*socio=rien revenu*socio=ec1 par*socio=nil habitant*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 4 - Les problèmes*socio=uv4 économiques*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 ont été*socio=rien notés dans la déclaration*socio=et économique*socio=ec1 *socio=rien du sommet des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil non alignés ( new_delhi*socio=ac) et lors*socio=rien de la *socio=rien cinquième réunion ministérielle*socio=et du Groupe*socio=ac *socio=nil des 77 (Buenos Aires), et seront à nouveau*socio=rien examinés à la réunion*socio=rien de l'Organisation*socio=ac de coopération*socio=uv1 et de développement*socio=uv3 économiques*socio=ec1 (OCDE*socio=ac), à Paris*socio=ac, ainsi que lors*socio=rien de la réunion*socio=rien au sommet*socio=rien qui se tiendra bientôt à Williamsburg et de la *socio=rien sixième session *socio=nil de la conférence_des_nations_unies*socio=ac sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 et le développement*socio=uv3. 5 - Toutefois, ces *socio=rien temps derniers,*socio=nil quelques*socio=nil tendances*socio=ec2 favorables*socio=uv4 *socio=nil sont apparues : l'inflation*socio=ec1 s'est*socio=rien ralentie, particulièrement dans quelques-uns des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont diminué bien*socio=rien qu'ils restent élevés*socio=uv4 en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 et les prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 ont baissé; simultanément, les prix*socio=ec1 de certains produits*socio=rien de base*socio=rien ont commencé à augmenter; tous ces facteurs*socio=rien jouent un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 dans l'économie*socio=ec1 de tous les pays*socio=ac. D'autre part*socio=rien, la reprise économique*socio=ec1 qui s'amorce dans plusieurs pays_industrialisés*socio=ac jouera un*socio=rien rôle*socio=et très important*socio=uv4 si elle se poursuit et se renforce. Le Comité*socio=ac souligne la nécessité*socio=uv1 pour les pays_industrialisés*socio=ac de poursuivre des politiques*socio=et visant à promouvoir une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 et non inflationniste*socio=ec2. 6 - C'est*socio=rien dans ce contexte*socio=rien que le Comité*socio=ac a délibéré assez longuement sur*socio=rien quelques questions*socio=rien et sur*socio=rien des mesures*socio=et qui, si elles sont adoptées, contribueront à résoudre les problèmes*socio=uv4 auxquels sont confrontées à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te les économies*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac et des pays_en_développement*socio=uv3. 7 - Le Comité*socio=ac, compte*socio=ec1 tenu de l'évolution*socio=te de la demande*socio=ec1 et de l'offre*socio=ec1 globale*socio=rien de capitaux*socio=ec1 extérieurs*socio=te, a examiné tout d'abord*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'une révision*socio=rien des programmes*socio=et de prêts*socio=ec1 des institutions*socio=ac multilatérales*socio=et de développement*socio=uv3 (IMD) pour les années*socio=rien à venir et les conséquences*socio=rien d'une telle *socio=rien révision sur leurs*socio=nil besoins*socio=uv1 en*socio=nil capitaux*socio=ec1.*socio=nil Cet*socio=nil examen*socio=ec2 s'*socio=nil inscrit *socio=nil dans le droit*socio=uv1 fil*socio=rien des déclarations*socio=et faites par le Comité*socio=ac lors*socio=rien des deux *socio=rien réunions précédentes,*socio=nil *socio=nil dans lesquelles il exhortait la banque_mondiale*socio=ac et autres IMD à poursuivre l'examen*socio=ec2 des possibilités*socio=rien d'accroître, en termes*socio=rien réels*socio=ec2, leurs prêts*socio=ec1 aux pays_en_développement*socio=uv3. Étant donné l'importance*socio=rien *socio=rien considérable du maintien *socio=nil et de l'accroissement*socio=ec2 des apports*socio=rien financiers*socio=ec1 aux pays_en_développement*socio=uv3, le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que le Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac a récemment approuvé un*socio=rien programme*socio=et d'assistance*socio=uv1 spéciale*socio=rien destiné à répondre aux besoins*socio=uv1 financiers*socio=ec1 actuels*socio=te de ces pays*socio=ac. Le Comité*socio=ac invite la Banque*socio=ac à présenter des propositions*socio=rien qui, en tenant dûment compte*socio=ec1 des considérations*socio=rien de prudence*socio=uv1 financière*socio=ec1, permettraient d'accroître le programme*socio=et de prêts*socio=ec1 de la Banque*socio=ac. Le Comité*socio=ac note l'intention*socio=rien de la direction*socio=et de la Banque*socio=ac de proposer un*socio=rien accroissement*socio=ec2 de 5 % par an*socio=rien en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 à partir de 1985. Conformément à la politique*socio=et et à la *socio=rien pratique traditionnelles *socio=nil de la Banque*socio=ac, le Comité*socio=ac exhorte également la direction*socio=et de la Banque*socio=ac à soumettre au Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac une *socio=rien proposition spécifique d'*socio=nil augmentation*socio=ec2 sélective*socio=uv4 du capital*socio=ec1 après la*socio=nil Huitième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et au*socio=nil Fonds*socio=ec1 *socio=nil et, en conformité*socio=uv3 avec cette dernière*socio=rien, d'ici à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 8 - Le Comité*socio=ac, en se fondant sur*socio=rien les documents*socio=rien fournis par les banques*socio=ac régionales*socio=te et le Fonds*socio=ec1 international*socio=te de développement*socio=uv3 agricole*socio=ec1 (FIDA*socio=rien), prend note des besoins*socio=uv1 en ressources*socio=ec1 de ces institutions*socio=ac et demande*socio=ec1 instamment aux gouvernements*socio=ac des pays_membres*socio=ac d'adopter les mesures*socio=et nécessaires*socio=rien pour faire face*socio=rien aux engagements*socio=et déjà pris. Le Comité*socio=ac est*socio=rien d'avis*socio=rien que les pays_membres*socio=ac doivent rechercher les moyens*socio=ec1 de financer les besoins*socio=uv1 en capitaux*socio=ec1 ordinaires*socio=rien de ces institutions*socio=ac et de reconstituer leurs ressources*socio=ec1 en capitaux*socio=ec1 assorties de conditions*socio=ec1 libérales*socio=et, afin qu'elles puissent continuer de jouer le rôle*socio=et important*socio=uv4 qui leur *socio=rien est dévolu *socio=nil dans les efforts*socio=uv1 de développement*socio=uv3 de leurs pays_membres*socio=ac. 9 - Reconnaissant que les pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 ont été*socio=rien les plus gravement touchés par la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te, le Comité*socio=ac rappelle l'importance*socio=rien cruciale*socio=uv4 qu'il attache au financement*socio=ec1 par l' association_internationale_de_développement*socio=ac (IDA*socio=ac) des programmes*socio=et de développement*socio=ac des pays_en_développement*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Les retards*socio=rien subis par la Sixième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac, et leurs *socio=rien effets sur le*socio=nil pouvoir*socio=et d'*socio=nil engagement*socio=uv1 *socio=nil de l'Association*socio=ac, le fait*socio=rien que cette reconstitution*socio=ec2 a été*socio=rien finalement étalée sur*socio=rien quatre ans*socio=rien et la diminution*socio=ec2 consécutive*socio=rien des engagements*socio=et annuels*socio=te projetés par l'IDA*socio=ac, alors même que le monde*socio=te traverse une récession*socio=ec2 prolongée, ont déjà eu de graves*socio=uv4 répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien les pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, et en *socio=rien particulier sur les*socio=nil nations*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 *socio=nil de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac et d'autres régions*socio=te; cette situation*socio=rien, combinée aux réductions*socio=ec2 des flux*socio=ec1 globaux*socio=te d'APD*socio=et en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2, exige le maintien*socio=rien à des niveaux*socio=rien raisonnables*socio=uv4 de l'aide*socio=uv1 assortie de conditions*socio=ec1 libérales*socio=et, face*socio=rien à des besoins*socio=uv1 accrus. En conséquence*socio=rien, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 instamment aux États-unis*socio=ac qu'ils versent la totalité*socio=rien de leur troisième*socio=rien tranche de 945 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1 au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1983 et qu'ils versent le solde*socio=ec1 de leur contribution*socio=uv1 à la Sixième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1984, faisant valoir que l'absence*socio=rien de versements*socio=ec1 aurait de graves*socio=uv4 conséquences*socio=rien pour la sauvegarde*socio=et des niveaux*socio=rien futurs*socio=te de l'aide*socio=uv1 assortie de conditions*socio=ec1 libérales*socio=et. 10 - Dans le même ordre*socio=rien d'idées*socio=rien, le Comité*socio=ac prend note que les difficultés*socio=uv4 économiques*socio=ec1 extrêmement sérieuses*socio=uv4 auxquelles se heurtent les pays_en_développement*socio=uv3 les_plus_pauvres*socio=uv2 exigent de la part*socio=rien des *socio=ac pays donateurs un*socio=rien effort*socio=uv1 majeur*socio=rien *socio=nil afin que la Septième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 de l'Association*socio=ac (IDA-7*socio=ac) tienne compte*socio=ec1 de la nécessité*socio=uv1 de satisfaire les besoins*socio=uv1 d'une communauté*socio=ac élargie de bénéficiaires*socio=ac et *socio=rien du fait *socio=nil qu'il *socio=rien est souhaitable *socio=nil de rendre positifs*socio=uv4 les taux_de_croissance*socio=ec1 négatifs*socio=rien enregistrés dans les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil de l'IDA*socio=ac les plus durement touchés. En conséquence*socio=rien, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 instamment que les négociations*socio=et relatives*socio=rien à IDA-7*socio=ac s'achèvent dans les meilleurs*socio=uv4 *socio=rien délais possibles *socio=nil pour que la Septième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 entre en vigueur*socio=uv3 au plus tard le 1er juillet*socio=rien 1984, ce qui évitera *socio=rien un nouveau déficit*socio=ec1 de*socio=nil financement*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil 11 - Le Comité*socio=ac, après*socio=rien avoir examiné l'augmentation*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3, *socio=rien fait part *socio=nil de ses préoccupations*socio=uv4 devant*socio=rien l'acuité*socio=rien du*socio=rien problème*socio=uv4 que le service_de_la_dette*socio=ec1 pose à *socio=rien un grand nombre *socio=nil de ces pays*socio=ac. Tout en notant la contribution*socio=uv1 substantielle*socio=rien des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 à la résolution*socio=uv1 des *socio=uv4 graves problèmes d'*socio=nil endettement*socio=ec1 *socio=nil auxquels se sont heurtés, au cours*socio=rien des *socio=rien derniers mois,*socio=nil certains*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 à*socio=nil revenu*socio=ec1 intermédiaire,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil souligne qu'il importe d'éviter une réduction*socio=ec2 *socio=rien brutale du niveau des*socio=nil *socio=ec1 prêts bancaires internationaux*socio=te aux*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil Il accueille avec satisfaction*socio=uv3 les efforts*socio=uv1 déployés dans les principaux*socio=rien *socio=ac pays créanciers *socio=nil par le Fonds*socio=ec1 et d'autres institutions*socio=ac afin de s'assurer qu'une réduction*socio=ec2 de l'offre*socio=ec1 de *socio=ec1 crédits bancaires privés*socio=et *socio=nil ne s'oppose pas à un*socio=rien ajustement*socio=et méthodique*socio=rien et sans à-coups de l'économie*socio=ec1 interne*socio=te des *socio=ac pays débiteurs.*socio=nil Bien*socio=rien *socio=nil qu'il note avec satisfaction*socio=uv3 que les sources*socio=rien bilatérales*socio=et et multilatérales*socio=et de fonds*socio=ec1 ont réagi promptement aux *socio=rien situations critiques,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil n'en met pas moins l'accent*socio=rien sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de maintenir et d'accroître les *socio=ec1 flux financiers en*socio=nil provenance*socio=rien de*socio=nil sources*socio=rien publiques*socio=et *socio=nil et à destination*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3. Il note aussi l'importance*socio=rien pour les *socio=ac pays emprunteurs de*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil permettant de suivre de près et avec attention*socio=rien la situation*socio=rien de leur dette*socio=ec1 extérieure*socio=te et d'appliquer en permanence*socio=rien des politiques_économiques*socio=et et des politiques*socio=et de gestion*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 saines*socio=uv2; il se félicite en outre des efforts*socio=uv1 déployés conjointement par la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 pour accroître leur aide*socio=uv1 aux pays_membres*socio=ac dans les domaines*socio=rien des statistiques*socio=ec2 relatives*socio=rien à la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te et de la gestion*socio=ec2 de la dette*socio=ec1. Le Comité*socio=ac encourage la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 à poursuivre l'examen*socio=ec2 de l'importante*socio=uv4 question*socio=rien des flux*socio=ec1 nets*socio=rien de capitaux*socio=ec1 aux pays_en_développement*socio=uv3. 12 - Le Comité*socio=ac a porté son *socio=rien attention sur une*socio=nil question d'*socio=nil importance croissante,*socio=nil à*socio=nil savoir les*socio=nil relations *socio=nil entre le commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te et le développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac reconnaît l'interdépendance*socio=uv3 des économies*socio=ec1 dans le contexte*socio=rien mondial*socio=te et l'importance*socio=rien vitale*socio=uv4 d'une reprise économique*socio=ec1 mondiale*socio=te pour accrditre les recettes*socio=ec1 en devises*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. L'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te a fourni et peut continuer de fournir une contribution*socio=uv1 sensible*socio=rien à la croissance*socio=uv3 et au développement*socio=uv3 économiques*socio=ec1 tant des pays_industrialisés*socio=ac que des pays_en_développement*socio=uv3. A ce sujet*socio=rien, le Comité*socio=ac se félicite de l'intensification*socio=ec2 des efforts*socio=uv1 déployés par la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 pour promouvoir *socio=rien un système d'*socio=nil échanges_mondiaux*socio=ec1 ouvert et*socio=nil dynamique*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil tout en restant sensibles*socio=rien aux besoins*socio=uv1 spéciaux*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 instamment aux deux institutions*socio=ac de collaborer avec le GATT*socio=ac ( accord_général*socio=et sur*socio=rien les *socio=et tarifs douaniers *socio=nil et le commerce*socio=ec1) pour suivre attentivement, dans leurs *socio=rien domaines respectifs de*socio=nil compétence*socio=uv3,*socio=nil les*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil réalisés, y compris, notamment, l'élimination*socio=ec2 des barrières*socio=ec2 au commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te. Il exhorte également les gouvernements*socio=ac à résister aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et et à accélérer leurs efforts*socio=uv1, aussi bien*socio=rien au niveau*socio=rien national*socio=te que dans les instances*socio=et internationales*socio=te appropriées, afin de libéraliser les échanges_commerciaux*socio=ec1, et demande*socio=ec1 en particulier*socio=rien aux gouvernements*socio=ac des pays_industrialisés*socio=ac de s'abstenir d'adopter des mesures*socio=et restrictives*socio=uv4 ou de négocier des accords*socio=et qui limiteraient leurs importations*socio=ec1 en provenance*socio=rien de pays_en_développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac exhorte la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 à poursuivre leur collaboration*socio=uv1 avec d'autres organisations*socio=ac en vue*socio=rien de continuer à étudier, dans leurs *socio=rien domaines respectifs de*socio=nil compétence*socio=uv3,*socio=nil les*socio=nil relations *socio=nil entre les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, le commerce*socio=ec1 et le développement*socio=uv3, et à le tenir informé des résultats*socio=rien de ces travaux*socio=rien. 13 - Le Comité*socio=ac note que, depuis sa réunion*socio=rien de Toronto*socio=ac, la Banque*socio=ac a adopté *socio=rien un ensemble de*socio=nil nouveaux instruments*socio=et de*socio=nil cofinancement*socio=ec1 *socio=nil visant à accroître la participation*socio=uv3 des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 aux projets*socio=et de la banque_mondiale*socio=ac. La nouvelle*socio=rien structure*socio=ec1 de participation*socio=uv3 a pour objectif*socio=uv3 d'offrir aux pays_en_développement*socio=uv3 emprunteurs*socio=ac de *socio=rien nouveaux avantages,*socio=nil *socio=nil notamment des échéances*socio=te plus longues*socio=rien et des *socio=ec1 flux financiers *socio=nil accrus. En outre, le Comité*socio=ac se félicite des accords*socio=et de cofinancement*socio=ec1 conclus entre la Banque*socio=ac et des bailleurs*socio=ac de fonds_publics*socio=et. Ces dispositions*socio=et seront d'une *socio=rien importance particulière *socio=nil pour les pays_membres*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 emprunteurs*socio=ac de la Banque*socio=ac. 14 - Le Comité*socio=ac a brièvement examiné la question*socio=rien des prêts*socio=ec1 pour la mise en valeur*socio=ec1 des *socio=ec1 ressources énergétiques.*socio=nil *socio=nil Toutefois, l'examen*socio=ec2 approfondi de cette *socio=rien question est *socio=nil différé jusqu'à la remise au Comité*socio=ac de l'étude*socio=ec2 globale*socio=rien que prépare la Banque*socio=ac, étude*socio=ec2 qui tiendra compte*socio=ec1 de l'évolution*socio=te récente*socio=rien de la situation*socio=rien et des perspectives*socio=te d'avenir*socio=te dans ce domaine*socio=rien. Ce point*socio=rien fera l'objet*socio=rien d'un*socio=rien rapport*socio=rien qui sera soumis au Comité*socio=ac à sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil