*{ Fonds Monétaire international Rapport Annuel 1984 } fonds_monétaire_international*socio=ac.*socio=nil Rapport annuel*socio=te du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil pour l'exercice*socio=rien financier*socio=ec1 clos le 30 avril*socio=rien 1984. Évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Introduction*socio=rien. Le bilan*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te est*socio=rien nettement meilleur*socio=uv4 pour l'année*socio=rien 1983 et les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1984 qu'il ne l'était depuis quelques années*socio=rien. Les États-unis*socio=ac et le Canada*socio=ac ont connu une expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 vigoureuse*socio=rien, qui semble bien*socio=rien avoir commencé de se propager à d'autres pays*socio=ac du*socio=rien monde*socio=te industrialisé. L'inflation*socio=ec1 a de nouveau*socio=rien cédé *socio=rien du terrain *socio=nil dans les sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, pour tomber à son niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien depuis 15 ans*socio=rien. Par ailleurs*socio=rien, les pays_en_développement*socio=uv3 sont parvenus à réduire encore leur déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. Il n'en reste*socio=rien pas moins que de *socio=uv4 graves problèmes *socio=nil ont continué de se poser. Hormis quelques pays*socio=ac d'Asie*socio=ac, les pays_en_développement*socio=uv3 n'ont en général*socio=rien pas été*socio=rien en mesure*socio=rien de redonner de l'élan*socio=rien à leur développement*socio=uv3 économique*socio=ec1. Le financement*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 de ceux qui avaient le plus emprunté a continué de nécessiter l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et exceptionnelles*socio=uv4. Enfin, la persistance*socio=te de niveaux*socio=rien élevés*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1, qui ont recommencé à monter dans les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1984, n'a pas été*socio=rien sans présenter des risques*socio=uv3 pour l'élargissement*socio=ec2 et la poursuite*socio=rien de la reprise. L'aspect*socio=rien le plus encourageant de l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 en 1983 est*socio=rien sans doute*socio=rien le redémarrage*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans les pays_industrialisés*socio=ac. Aux États-unis*socio=ac et au Canada*socio=ac, la reprise s'est*socio=rien amorcée à la fin*socio=rien de 1982 et, dès le milieu*socio=rien de l'année*socio=rien 1983, son rythme*socio=ec2 s'était déjà considérablement*socio=rien accéléré. Elle s'est*socio=rien d'abord*socio=rien manifestée sur*socio=rien trois fronts*socio=rien : la construction*socio=ec1 de logements*socio=ec1, la constitution*socio=rien de stocks*socio=ec1 et le secteur*socio=rien des biens*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 durables*socio=uv4; aux États-unis*socio=ac, elle s'est*socio=rien étendue aux investissements*socio=ec1 productifs*socio=uv4 vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. Dans les autres pays_industrialisés*socio=ac, la reprise a été*socio=rien plus hésitante*socio=rien et, sauf au Royaume-uni*socio=ac, elle a commencé un*socio=rien peu plus tard. Néanmoins, au début*socio=rien de l'année*socio=rien 1984, la tendance*socio=ec2 à l'amélioration*socio=uv1 paraissait assez solidement*socio=rien établie, sans pourtant être*socio=rien assez forte*socio=rien - sauf aux États-unis*socio=ac et au Canada*socio=ac -pour réduire sérieusement le chômage*socio=ec1 très élevé*socio=uv4 qui sévissait dans beaucoup de pays*socio=ac. La reprise économique*socio=ec1 s'est*socio=rien accompagnée d'un*socio=rien nouveau*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1. Le taux*socio=ec1 de *socio=rien hausse moyen pondéré*socio=nil du déflateur*socio=nil du produit_national_brut*socio=ec1 (*socio=nil PNB*socio=ec1)*socio=nil *socio=nil des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac était descendu au-dessous de 5 % en 1983, contre plus de 9 % en 1980. Cette poursuite*socio=rien de l'amélioration*socio=uv1 des *socio=rien résultats sur le*socio=nil front des*socio=nil prix*socio=ec1 est *socio=nil allée de pair*socio=rien avec une nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983. Mais, au *socio=rien second semestre *socio=nil de la même année*socio=rien, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont cessé de diminuer, pour se stabiliser à *socio=rien un niveau très*socio=nil élevé*socio=uv4 par*socio=nil rapport au*socio=nil taux*socio=ec1 d'*socio=nil inflation*socio=ec1 *socio=nil enregistré à l'époque*socio=te. Ils ont très nettement remonté dans les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1984, surtout aux États-unis*socio=ac, bien*socio=rien que le *socio=ec2 rythme tendanciel d'*socio=nil inflation*socio=ec1 *socio=nil soit demeuré modéré. Ce *socio=rien haut niveau des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil a rendu d'autant plus difficiles*socio=rien aux pays_en_développement*socio=uv3 l'ajustement*socio=et de leur situation*socio=rien extérieure*socio=te et la relance*socio=uv3 de leur développement*socio=uv3. Ces pays*socio=ac avaient été*socio=rien durement éprouvés par la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te. Leurs marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 étaient restés stagnants et leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 s'étaient détériorés. La situation*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre *socio=nil d'entre eux avait été*socio=rien aggravée par le retard*socio=rien qu'ils avaient mis à adopter les mesures*socio=et d'ajustement*socio=et appropriées ainsi que par les *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil renforcées auxquelles certains de leurs partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 ont eu recours*socio=rien pour essayer de sauver l'emploi*socio=ec1 chez eux. Ayant contracté une *socio=rien forte proportion *socio=nil de leurs emprunts*socio=ec1 à l'étranger*socio=te à des taux_d'_intérêt*socio=ec1 variables*socio=rien, les pays_en_développement*socio=uv3 se sont heurtés à de *socio=uv4 graves difficultés *socio=nil pour financer leurs obligations*socio=uv1 extérieures*socio=te lorsque les taux_d'_intérêt*socio=ec1 se sont réorientés en *socio=rien hausse sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil déficit*socio=ec1 des*socio=nil transactions_courantes*socio=te des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil a beaucoup diminué après*socio=rien 1981, mais il était déjà trop tard pour éviter la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 qui s'est*socio=rien déclarée parmi les pays*socio=ac lourdement endettés au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1982. Cette crise*socio=uv2 n'a pas tardé à provoquer une très forte*socio=rien réduction*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil nouveaux prêts*socio=ec1 offerts *socio=nil de leur propre*socio=rien chef*socio=ac par les banques*socio=ac aux pays_en_développement*socio=uv3. Dès lors*socio=rien, les pays_en_développement*socio=uv3 (les importateurs*socio=ac comme les exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1) n'ont plus eu d'autre ressource*socio=ec1 que d'intensifier leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et extérieur*socio=te. En 1983, le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien global*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 est*socio=rien tombé à son plus *socio=rien bas niveau *socio=nil depuis dix ans*socio=rien en proportion*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et services*socio=et. Pour beaucoup de ces pays*socio=ac, toutefois, cette amélioration*socio=uv1 n'a pas suffi à assurer le rétablissement*socio=rien d'un*socio=rien financement*socio=ec1 normal*socio=rien de leur dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. Force*socio=uv1 a donc été*socio=rien d'organiser à nouveau*socio=rien en 1983 et au début*socio=rien de 1984 *socio=rien un grand nombre de*socio=nil rééchelonnements*socio=et de*socio=nil dettes*socio=ec1 *socio=nil et de programmes*socio=et de nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec1 concertés entre banques*socio=ac. La réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 a été*socio=rien aidée en 1983 par une légère*socio=rien amélioration*socio=uv1 de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 et un*socio=rien accroissement*socio=ec2 *socio=rien du volume *socio=nil de leurs exportations*socio=ec1 vers les pays_industrialisés*socio=ac. Néanmoins, ces éléments*socio=rien positifs*socio=uv4 de l'évolution*socio=te extérieure*socio=te récente*socio=rien ne doivent pas faire méconnaître les difficultés*socio=uv4 auxquelles les pays_en_développement*socio=uv3 ont dû faire face*socio=rien pour opérer les ajustements*socio=et nécessaires*socio=rien. Cet ajustement*socio=et a, en effet*socio=rien, impliqué une profonde*socio=rien réorganisation*socio=uv3 de leur modèle*socio=rien d'absorption*socio=rien, qu'ils n'ont essentiellement pu réaliser jusqu'à une époque*socio=te récente*socio=rien que moyennant une compression*socio=et massive*socio=rien de leurs importations*socio=ec1. Les mesures*socio=et qu'ils ont dû prendre à cette fin*socio=rien ont porté *socio=rien un coup sévère*socio=uv4 *socio=nil à leur croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1. Même si le taux_de_croissance*socio=ec1 a différé sensiblement d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, il reste*socio=rien que le taux_de_croissance*socio=ec1 *socio=rien moyen du groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil n'a été*socio=rien que de 1 1/2 % en 1983 : cela faisait ainsi trois ans*socio=rien d'affilée que la croissance*socio=ec1 de leur production*socio=ec1 était inférieure*socio=rien à celle de leur population*socio=ac. Comme durant ces trois années*socio=rien ils ont dû aussi affecter une proportion*socio=rien fortement accrue de leurs ressources*socio=ec1 au secteur*socio=rien extérieur*socio=te, afin de compenser l'évolution*socio=te défavorable*socio=uv4 de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 et d'améliorer leur solde*socio=ec1 extérieur*socio=te, il *socio=rien est évident *socio=nil que le niveau_de_vie*socio=uv1 a sérieusement baissé dans beaucoup de ces pays*socio=ac. Améliorer les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 est*socio=rien donc l'un*socio=rien des objectifs*socio=uv3 les plus urgents*socio=rien vers lesquels doit tendre la politique_économique*socio=ec1 internationale*socio=ac. Mais cet objectif*socio=uv3 ne peut être*socio=rien atteint que si la reprise présentement en cours*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac se poursuit et s'élargit, et si l'on peut régler de façon*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 le problème*socio=uv4 posé à de nombreux*socio=rien *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil par la *socio=rien lourde charge du service_de_leur_dette*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans les pays_industrialisés*socio=ac, la reprise économique*socio=ec1 a été*socio=rien facilitée par la plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 qu'ils sont parvenus à rétablir ces *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Il importera donc qu'ils maintiennent une ligne*socio=rien d'action*socio=ec1 monétaire*socio=ec1 propre*socio=rien à préserver le progrès*socio=uv1 accompli dans ce sens*socio=rien. En même temps*socio=rien, si l'on veut que l'expansion*socio=ec2 actuellement en cours*socio=rien puisse se poursuivre de façon*socio=rien équilibrée, diverses*socio=rien mesures*socio=et d'adaptation*socio=uv3 devront *socio=rien être prises.*socio=nil D'*socio=nil abord,*socio=nil les*socio=nil politiques_budgétaires*socio=et devront*socio=nil être *socio=nil agencées de manière*socio=rien à réduire le plus possible*socio=rien le conflit*socio=uv1 entre la demande*socio=ec1 publique*socio=et et la demande_privée*socio=et de crédit*socio=ec1. Sinon, des pressions*socio=ec2 à la hausse*socio=rien continueront à s'exercer sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1, ce qui compromettra et la stabilité*socio=uv3 de la reprise et la réussite*socio=uv1 des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3. En outre, il faudra mener une action*socio=ec1 concertée pour éliminer les rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 qui entravent le *socio=rien bon fonctionnement *socio=nil de l'économie*socio=ec1 dans beaucoup de pays_industrialisés*socio=ac. Si l'on ne s'attaque*socio=rien pas énergiquement à ces rigidités*socio=uv3, en particulier*socio=rien à celles qui subsistent sur*socio=rien les marchés_du_travail*socio=ec1, les chances*socio=rien d'un*socio=rien retour*socio=rien à des niveaux*socio=rien plus *socio=rien normaux du chômage*socio=ec1 *socio=nil en seront amoindries. Il faudra aussi résister fermement aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et, tant pour promouvoir la restructuration*socio=et et la croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 que pour permettre aux pays*socio=ac endettés d'assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 extérieure*socio=te et d'apporter à leur situation*socio=rien extérieure*socio=te les ajustements*socio=et qui s'imposent. Beaucoup de ces pays*socio=ac endettés ont, avec les encouragements*socio=uv4 de la *socio=ac communauté internationale,*socio=nil *socio=nil fondé leur stratégie*socio=et économique*socio=ec1 sur*socio=rien le développement*socio=uv3 d'un*socio=rien secteur*socio=rien exportateur*socio=ec1 dynamique*socio=uv4. Tout ce qui menacerait de les priver des débouchés*socio=ec1 suffisants*socio=rien à leurs exportations*socio=ec1 entraverait la mise en oeuvre*socio=rien de ces stratégies*socio=et de croissance*socio=uv3 tournées vers l'extérieur*socio=te. Ce sont, naturellement, les pays_en_développement*socio=uv3 eux-mêmes qui doivent assumer le principal*socio=rien rôle*socio=et dans leur ajustement*socio=et en continuant d'appliquer des politiques*socio=et propres*socio=rien à rétablir la stabilité*socio=uv3 de leur économie*socio=ec1 intérieure*socio=te et à donner une assise financière*socio=ec1 solide*socio=rien au redémarrage*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1. Il est*socio=rien d'ailleurs*socio=rien à noter que les pays*socio=ac qui ont su s'adapter*socio=rien à temps*socio=rien à l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 internationale*socio=ac ont en général*socio=rien obtenu de meilleurs*socio=uv4 résultats*socio=rien que ceux qui ont temporisé davantage. Il n'en reste*socio=rien pas moins qu'une augmentation*socio=ec2 de l'aide_publique_au_développement*socio=et sera d'une importance*socio=rien cruciale*socio=uv4, en particulier*socio=rien pour permettre aux pays*socio=ac qui n'ont pas accès*socio=uv1 à des crédits*socio=ec1 aux conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 de participer dans une *socio=rien juste mesure *socio=nil à l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1. Politiques*socio=et et activités*socio=rien intérieures*socio=te. pays_industrialisés*socio=ac. Orientation*socio=et générale*socio=rien des politiques*socio=et. Durant toute l'année*socio=rien 1983 et le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1984, la politique*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac a continué d'être*socio=rien dominée*socio=rien par le souci*socio=rien de rétablir l'assise économique*socio=ec1 nécessaire*socio=rien pour étayer une croissance*socio=uv3 soutenue, sans recrudescence*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1. Dans cette optique*socio=rien à *socio=rien moyen terme,*socio=nil ces*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil sont en général*socio=rien restés fidèles à une politique*socio=et de discipline*socio=uv1 financière*socio=ec1 permettant au secteur_privé*socio=et de prendre les décisions*socio=et économiques*socio=ec1 nécessaires*socio=rien dans *socio=rien un climat plus*socio=nil stable*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Dans la pratique*socio=rien, toutefois, cette politique*socio=et a généralement été*socio=rien appliquée avec plus de cohérence*socio=uv3 et d'efficacité*socio=uv3 dans le domaine*socio=rien de la monnaie*socio=ec1 et du*socio=rien crédit*socio=ec1 que dans celui des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Dans la plupart*socio=rien des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, la politique_monétaire*socio=et a visé à freiner la croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil et à maîtriser*socio=rien ainsi l'inflation*socio=ec1 de façon*socio=rien durable*socio=uv4. Cette stratégie*socio=et a été*socio=rien mise en oeuvre*socio=rien avec souplesse*socio=uv3, eu égard*socio=rien à *socio=rien un certain nombre de*socio=nil facteurs *socio=nil qui ont introduit *socio=rien un nouvel élément d'*socio=nil incertitude*socio=uv3 *socio=nil dans la tendance*socio=ec2 foncière*socio=ec1 de la relation*socio=rien entre la masse_monétaire*socio=ec1 et le PNB*socio=ec1 nominal*socio=rien. Divers changements*socio=uv3 institutionnels*socio=et ont en effet*socio=rien modifié la demande*socio=ec1 de monnaie*socio=ec1, et le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 a rendu plus difficile*socio=rien d'extrapoler à la période*socio=te plus récente*socio=rien les rapports*socio=rien observés dans le passé*socio=rien entre la vitesse*socio=rien de circulation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 et les taux_d'_intérêt*socio=ec1. De plus, la demande*socio=ec1 de monnaie*socio=ec1 a parfois enregistré des *socio=rien variations temporaires *socio=nil et réversibles, par exemple*socio=rien, au moment*socio=rien où l'on prévoyait *socio=rien un réalignement au*socio=nil sein du système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac (*socio=nil SME*socio=ec1)*socio=nil .*socio=nil En*socio=nil conséquence,*socio=nil au*socio=nil début *socio=nil de 1983, les autorités*socio=et ont laissé l'expansion*socio=ec2 des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil dépasser la *socio=rien limite supérieure *socio=nil de la fourchette-objectif dans plusieurs pays*socio=ac importants*socio=uv4, notamment aux États-unis*socio=ac, au Royaume-uni*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac. Par la suite*socio=rien, toutefois, la politique_monétaire*socio=et a été*socio=rien plus restrictive*socio=uv4 et, au cours*socio=rien des *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1984, la croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 agrégats monétaires est*socio=rien *socio=nil restée à l'intérieur*socio=te des fourchettes-objectifs, dans ces trois pays*socio=ac, en tombant même parfois au-dessous de leur *socio=rien limite inférieure.*socio=nil *socio=nil Pour les sept grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac pris dans leur ensemble*socio=rien, le taux_d'_expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1, tant au *socio=rien sens étroit *socio=nil qu'au *socio=rien sens large,*socio=nil est *socio=nil resté, à peu de choses*socio=rien près, le même en 1983 qu'en 1982. Ml a augmenté de 81/2 % comme en 1982 et M, de 9 %, contre 9 1/2 l'année*socio=rien précédente*socio=rien. (L'évolution*socio=te du*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec1 des agrégats*socio=ec1 pris comme objectifs*socio=uv3 dans les trois plus grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien retracée au graphique*socio=rien 1). La situation*socio=rien monétaire*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac s'est*socio=rien quelque peu modifiée en cours*socio=rien d'année*socio=rien. Au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983, l'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1 a *socio=rien été suffisante *socio=nil pour alimenter la reprise de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 tout en permettant aux taux_d'_intérêt*socio=ec1 de continuer à baisser. Toutefois, dans la suite*socio=rien de l'année*socio=rien, avec l'intensification*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 dans le secteur_privé*socio=et et le ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1, la *socio=rien situation est *socio=nil devenue beaucoup plus tendue. Comme, en outre, le besoin*socio=uv1 de financement*socio=ec1 de l'État*socio=ac est*socio=rien resté considérable*socio=rien, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 se sont nettement réorientés en hausse*socio=rien dans certains pays*socio=ac, surtout dans ceux où la reprise conjoncturelle*socio=te était la plus forte*socio=rien. La moyenne*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac qui, d'un*socio=rien sommet*socio=rien de l'ordre*socio=rien de 15 % en 1981 était tombée à 91/4 % au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983, était remontée à 9 3/4 % au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1984. Les taux*socio=ec1 à long_terme*socio=te ont suivi une évolution*socio=te présentant *socio=rien un profil assez*socio=nil analogue,*socio=nil *socio=nil mais en accusant en général*socio=rien, jusqu'à tout récemment, des variations*socio=rien de moindre*socio=rien amplitude*socio=ec1 (graphique*socio=rien 2). La *socio=rien hausse récente des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil a ceci de particulier*socio=rien qu'elle ne s'est*socio=rien pas produite en réponse*socio=rien à des signes manifestes de réveil de l'inflation*socio=ec1. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 ont donc probablement augmenté encore davantage. Pour évaluer les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 à moyen*socio=rien et à long_terme*socio=te, il faut faire des hypothèses*socio=ec2 sur*socio=rien les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2, qui sont par définition*socio=rien très aléatoires. Néanmoins, il est*socio=rien à noter qu'en moyenne*socio=rien dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, l'écart*socio=ec2 entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 (à long*socio=rien comme à court_terme*socio=te) et le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 de l'époque*socio=te était plus important*socio=uv4 dans les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1984 qu'en 1981. La *socio=rien hausse récente des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 a*socio=nil été *socio=nil particulièrement prononcée et persistante*socio=rien dans deux pays*socio=ac : aux États-unis*socio=ac où, au printemps*socio=rien de 1984, les rendements*socio=ec1 à court*socio=rien comme à long_terme*socio=te dépassaient d'environ 2 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien leur niveau*socio=rien des *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1983 (graphique*socio=rien 2), et au Canada*socio=ac, dont les marchés_financiers*socio=ec1 sont en *socio=rien relations étroites *socio=nil avec ceux des États-unis*socio=ac. Depuis quelques années*socio=rien, la politique_budgétaire*socio=et de la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien conçue en fonction*socio=rien de deux grands*socio=rien objectifs*socio=uv3 : stabiliser et, si possible*socio=rien, réduire la *socio=rien part du produit national*socio=te qui*socio=nil est *socio=nil absorbée par les administrations_publiques*socio=ac et améliorer la structure*socio=ec1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Dans la pratique*socio=rien, toutefois, la réalisation*socio=uv1 de ces objectifs*socio=uv3 s'est*socio=rien heurtée à toute une série de difficultés*socio=uv4. La longue*socio=rien phase*socio=te de récession*socio=ec2 que viennent de traverser ces pays*socio=ac a eu pour effet*socio=rien de réduire les recettes_publiques*socio=et par rapport*socio=rien aux dépenses*socio=ec1 et donc de perpétuer et d'accroître le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et. De plus, dans *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'entre eux, les coupes prévues dans les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et n'ont pas été*socio=rien pleinement réalisées et *socio=rien certaines catégories de*socio=nil dépenses*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil notamment les transferts_sociaux*socio=et, ont augmenté plus rapidement qu'on ne l'avait escompté. En revanche, les résultats*socio=rien des allégements*socio=ec2 fiscaux*socio=et ont en *socio=rien général été plus*socio=nil proches des*socio=nil prévisions*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil En outre, la *socio=rien suite ininterrompue des*socio=nil lourds déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et *socio=nil enregistrés dans les années*socio=rien de récession*socio=ec2 a fait*socio=rien augmenter la dette*socio=ec1 publique*socio=et à une époque*socio=te où justement les taux_d'_intérêt*socio=ec1 étaient élevés*socio=uv4 : les budgets*socio=ec1 se sont ainsi trouvés grevés d'un*socio=rien supplément*socio=rien important*socio=uv4 de dépenses*socio=ec1 incompressibles*socio=rien qui a affaibli d'autant la situation*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Exprimés en *socio=rien fonction du PNB*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil paiements_d'_intérêts*socio=ec1 des*socio=nil administrations_publiques*socio=ac des*socio=nil principaux pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil représentent aujourd'hui en moyenne*socio=rien près de 2 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien de plus qu'en 1979. Ils se chiffrent à 9 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 en Italie*socio=ac, à 7 % au Canada*socio=ac et à environ 3 à 5 % dans les autres pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac. Au total*socio=rien, le déficit_global*socio=ec1 des administrations_centrales*socio=ac des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac atteignait plus de 5 1/2 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 en 1983, soit près de 1 point*socio=rien de pourcentage*socio=rien de plus qu'en 1982 et presque 2 points*socio=rien de plus que le niveau*socio=rien le plus élevé*socio=uv4 des années*socio=rien 70. On ne peut imputer l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien globale du déficit*socio=ec1 *socio=nil de ce groupe*socio=ac en 1983 à des facteurs*socio=rien conjoncturels*socio=te, puisque l'incidence*socio=ec2 de l'aggravation*socio=ec2 du*socio=rien marasme*socio=uv4 économique*socio=ec1 dans certains *socio=ac pays européens a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil plus ou moins compensée par les effets*socio=rien budgétaires*socio=et favorables*socio=uv4 de la rapide*socio=rien croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 dans les pays*socio=ac d'amérique_du_nord*socio=ac. Après*socio=rien correction*socio=ec2 de l'influence des facteurs*socio=rien conjoncturels*socio=te, il apparaît que cette augmentation*socio=ec2 du*socio=rien déficit_global*socio=ec1 a été*socio=rien en *socio=rien grande partie la*socio=nil conséquence des*socio=nil allégements*socio=ec2 *socio=nil de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 accordés aux États-unis*socio=ac et non compensés par une réduction*socio=ec2 correspondante*socio=rien des dépenses*socio=ec1, ainsi que d'un*socio=rien certain*socio=rien dérapage*socio=uv4, temporaire*socio=rien et accidentel*socio=rien, intervenu au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983 dans la réalisation*socio=uv1 du*socio=rien programme*socio=et britannique*socio=ac de rééquilibrage*socio=uv3 des finances*socio=ec1 de l'État*socio=ac. Les grands*socio=rien pays*socio=ac de l'Europe*socio=ac continentale*socio=te et le Japon*socio=ac ont légèrement amélioré la situation*socio=rien structurelle*socio=ec2 de leur budget*socio=ec1 et quelques petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont pris des mesures*socio=et de redressement*socio=ec2 budgétaire*socio=et de plus *socio=rien vaste portée.*socio=nil *socio=nil En remontant un*socio=rien peu plus loin*socio=rien dans le temps*socio=rien, on peut dire que les quatre années*socio=rien écoulées ont été*socio=rien marquées par une très nette*socio=rien divergence*socio=uv1 entre l'orientation*socio=et de la politique_budgétaire*socio=et aux États-unis*socio=ac et son orientation*socio=et dans les autres principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac (tableau*socio=rien 1). On estime*socio=rien que, de 1979 à 1983, l'impulsion*socio=ec2 expansionniste*socio=ec2 donnée par la politique_budgétaire*socio=et aux États-unis*socio=ac a représenté près de 2 % du*socio=rien PNB*socio=ec1. Dans tous les autres principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, la politique_budgétaire*socio=et a au contraire*socio=rien eu *socio=rien un effet de*socio=nil freinage,*socio=nil *socio=nil atteignant jusqu'à 3 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 au Royaume-uni*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac. C'est*socio=rien en partie*socio=rien ce qui explique qu'entre 1979 et 1983 le déficit*socio=ec1 fédéral*socio=et des États-unis*socio=ac ait augmenté d'un*socio=rien montant*socio=ec1 équivalant à 4 1/2 % du*socio=rien PNB*socio=ec1, alors que l'accroissement*socio=ec2 correspondant a été*socio=rien de moins de 1 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 dans les autres principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Si l'on en juge*socio=et par les *socio=et programmes budgétaires *socio=nil déjà annoncés ou approuvés, ce divorce*socio=rien entre l'évolution*socio=te budgétaire*socio=et aux États-unis*socio=ac, d'une part*socio=rien, et dans les autres pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac, d'autre part*socio=rien, semble destiné à persister durant toute l'année*socio=rien 1984. On s'attend que le déficit*socio=ec1 fédéral*socio=et des États-unis*socio=ac diminue légèrement durant l'année*socio=rien civile*socio=ac en cours*socio=rien, mais moins que ne l'impliqueraient normalement les effets*socio=rien de la reprise. En revanche, en dehors des États-unis*socio=ac, l'action*socio=ec1 des pouvoirs_publics*socio=et jouera probablement dans le sens*socio=rien d'une nouvelle*socio=rien réduction*socio=ec2 modérée des déficits*socio=ec1; avec la reprise de l' activité_économique*socio=ec1, les autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac devraient donc enregistrer une baisse*socio=ec2 de leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis plusieurs années*socio=rien. Il reste*socio=rien toutefois évident*socio=rien que dans la quasi-totalité*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac les administrations_publiques*socio=ac continuent d'absorber une *socio=rien forte proportion *socio=nil de l'épargne*socio=ec1 privée*socio=et. Même au Japon*socio=ac, où le niveau*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 privée*socio=et est*socio=rien élevé*socio=uv4, il ne faut pas moins aujourd'hui *socio=rien du huitième *socio=nil de l'épargne*socio=ec1 privée*socio=et brute*socio=rien pour financer le déficit*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac. Cette *socio=rien proportion est *socio=nil beaucoup plus forte*socio=rien dans les autres principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac où, dans certains cas*socio=rien, elle s'élève à près de 50 %. Tous ces ratios*socio=ec1 - et surtout ceux des États-unis*socio=ac et du*socio=rien Canada*socio=ac - dépassent les niveaux*socio=rien auxquels ils se situaient habituellement par le passé*socio=rien dans chacun de ces pays*socio=ac, et il sera indispensable*socio=uv4 de les réduire sensiblement à mesure*socio=rien que la reprise prendra de la vigueur*socio=uv3, si l'on veut que les entreprises*socio=ac privées*socio=et aient de quoi financer l'expansion*socio=ec2 souhaitée de leurs investissements*socio=ec1 productifs*socio=uv4. Production*socio=ec1 et demande*socio=ec1. Au milieu*socio=rien de 1984, le monde*socio=te industrialisé considéré dans son ensemble*socio=rien était bien*socio=rien engagé dans sa seconde année*socio=rien de reprise, après*socio=rien trois dures années*socio=rien de récession*socio=ec2. La *socio=ec1 production industrielle *socio=nil dépassait d'environ 15 % aux États-unis*socio=ac et de plus de 10 % au Japon*socio=ac le niveau*socio=rien atteint *socio=rien un an *socio=nil plus tôt (graphique*socio=rien 3). Au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1984, la *socio=ec1 production industrielle des*socio=nil cinq*socio=rien plus*socio=nil importants*socio=uv4 pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil pris en groupe*socio=ac avait augmenté en moyenne*socio=rien de plus de 11 % par rapport*socio=rien au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1983. Au cours*socio=rien de l'année*socio=rien 1983, et surtout au *socio=rien premier semestre,*socio=nil le*socio=nil mouvement*socio=ec2 d'*socio=nil expansion*socio=ec2 dynamique*socio=uv4 du PNB*socio=ec1 a*socio=nil été *socio=nil essentiellement l'apanage*socio=rien des États-unis*socio=ac et du*socio=rien Canada*socio=ac (tableau*socio=rien 2). La poursuite*socio=rien d'une croissance*socio=ec1 modérée de la production*socio=ec1 au Japon*socio=ac, où son rythme*socio=ec2 était resté plus soutenu que dans la plupart*socio=rien des autres pays_industrialisés*socio=ac tout au long*socio=rien de la période*socio=te de récession*socio=ec2, a aussi eu une incidence*socio=ec2 positive*socio=uv4 sur*socio=rien le taux_de_croissance*socio=ec1 *socio=rien moyen du groupe*socio=ac.*socio=nil *socio=nil En outre, des progrès*socio=uv1 d'une *socio=rien certaine ampleur ont*socio=nil été *socio=nil enregistrés en 1983 par le Royaume-uni*socio=ac et la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, ainsi que par deux petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac : la Finlande*socio=ac et la Norvège*socio=ac. Toutefois, dans le *socio=rien reste du monde*socio=te *socio=nil industrialisé, le PNB*socio=ec1 ne s'est*socio=rien accru que dans une mesure*socio=rien très limitée et, dans quelques pays*socio=ac, dont l'Italie*socio=ac et l'Australie*socio=ac, la production*socio=ec1 a même diminué par rapport*socio=rien à 1982. L'élan*socio=rien donné par les États-unis*socio=ac à la reprise conjoncturelle*socio=te qui s'est*socio=rien amorcée durant l'année*socio=rien 1983 est*socio=rien d'abord*socio=rien venu d'un*socio=rien redémarrage*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 de consommation_privée*socio=et et d'un*socio=rien mouvement*socio=ec2 de *socio=rien renversement du cycle*socio=te des*socio=nil stocks*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Déjà améliorés par les allégements*socio=ec2 de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 des personnes*socio=ac physiques*socio=rien, les revenus*socio=ec1 réels*socio=ec2 et le pouvoir_d'_achat*socio=ec1 se sont trouvés encore accrus par la nette*socio=rien diminution*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 et parcelle, également sensible*socio=rien, des taux_d'_intérêt*socio=ec1 par rapport*socio=rien à leurs niveaux*socio=rien de 1982. Cette double*socio=rien évolution*socio=te a porté les ménages*socio=ac à plus d'optimisme*socio=uv1 et augmenté leur richesse*socio=ec1 nette*socio=rien. Les réflexes de prudence*socio=uv1 qu'ils avaient acquis*socio=uv2 durant les années*socio=rien antérieures*socio=te de forte*socio=rien inflation*socio=ec1 se sont apparemment émoussés. Ces divers facteurs*socio=rien ont encore stimulé la demande*socio=ec1 de biens*socio=ec1 de consommation*socio=ec1, en particulier*socio=rien la demande*socio=ec1 de logements*socio=ec1, d'automobiles*socio=ec1 et d'autres biens*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 durables*socio=uv4. En réponse*socio=rien à cet essor*socio=rien de la demande*socio=ec1, la *socio=ec1 production industrielle *socio=nil a augmenté rapidement et la tendance*socio=ec2 précédente*socio=rien à réduire les stocks*socio=ec1 s'est*socio=rien affaiblie et progressivement*socio=rien inversée à mesure*socio=rien que les entreprises*socio=ac reprenaient de plus en plus confiance*socio=uv1 en l'avenir*socio=te. Ce sont ainsi les composantes*socio=ec1 de la demande*socio=ec1, liées à la consommation_privée*socio=et, qui ont enregistré la plus forte*socio=rien expansion*socio=ec2 aux États-unis*socio=ac et au Canada*socio=ac, mais on a pu aussi y observer des signes encourageants*socio=uv4 d'extension*socio=rien de la reprise aux investissements*socio=ec1 productifs*socio=uv4, surtout aux États-unis*socio=ac. Dans ce pays*socio=ac, la formation*socio=et de capital*socio=ec1 fixe des entreprises*socio=ac a fait*socio=rien preuve*socio=ec2 d'un*socio=rien puissant*socio=rien dynamisme*socio=uv3, d'autant plus remarquable*socio=rien que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 sont restés élevés*socio=uv4 durant toute la période*socio=te de reprise. Les raisons*socio=rien de cette vigueur*socio=uv3 ne sont pas parfaitement claires*socio=rien, mais on peut sans doute*socio=rien l'attribuer aux avantages*socio=rien fiscaux*socio=et accordés à l'investissement*socio=ec1 et au fait*socio=rien qu'une *socio=rien partie du stock*socio=ec1 de*socio=nil capital*socio=ec1 existant *socio=nil n'était plus adaptée à la structure*socio=ec1 de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 qui se dessine aujourd'hui. Dans les autres pays_industrialisés*socio=ac, l'expansion*socio=ec2 a tardé davantage à prendre de l'essor*socio=rien; toutefois, la reprise y apparaissait mieux affirmée au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1983 et dans les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1984. L'augmentation*socio=ec2 des importations*socio=ec1 nettes*socio=rien des États-unis*socio=ac et du*socio=rien Canada*socio=ac a donné une vive impulsion*socio=ec2 à la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 dans d'autres pays_industrialisés*socio=ac. Tel a été*socio=rien particulièrement le cas*socio=rien pour le Japon*socio=ac, encore que dans ce pays*socio=ac la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te semble maintenant avoir *socio=rien un effet *socio=nil d'entraînement plus *socio=rien fort sur la*socio=nil croissance*socio=uv3 du PNB*socio=ec1.*socio=nil Au*socio=nil Royaume-uni*socio=ac *socio=nil et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, ainsi que dans plusieurs des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, le ralentissement*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 et la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 paraissent avoir entraîné une nouvelle*socio=rien diminution*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 et encouragé un*socio=rien redémarrage*socio=ec2 de l'investissement*socio=ec1. En France*socio=ac où, durant la période*socio=te 1981 - 82, le rythme*socio=ec2 de l' activité_économique*socio=ec1 était resté un*socio=rien peu plus soutenu que dans la plupart*socio=rien des autres *socio=ac pays européens,*socio=nil *socio=nil la reprise a été*socio=rien relativement faible*socio=rien en 1983. La nécessité*socio=uv1 de combattre*socio=rien l'inflation*socio=ec1 et de réduire le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et a limité les possibilités*socio=rien d'accroissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. De ce fait*socio=rien, le produit_intérieur_brut*socio=ec1 (PIB*socio=ec1) n'a augmenté que de 1/2 % en 1983 par rapport*socio=rien à 1982, et la croissance*socio=uv3 n'a pas manifesté de tendance*socio=ec2 à s'accélérer avant la fin*socio=rien de 1983 et dans les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1984. En Italie*socio=ac aussi, l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 s'est*socio=rien ressentie de la nécessité*socio=uv1 d'améliorer la balance_des_paiements*socio=ec1 et, plus encore, les *socio=rien résultats sur le*socio=nil front des*socio=nil prix*socio=ec1.*socio=nil Après *socio=nil avoir fortement baissé au cours*socio=rien de l'année*socio=rien 1982, la production*socio=ec1 s'y est*socio=rien redressée lentement en 1983 mais, pour l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien, elle a *socio=rien été inférieure d'*socio=nil un *socio=nil peu plus de 1 % à son niveau*socio=rien de 1982. Les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 enregistrés par les petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac en 1983 et au début*socio=rien de 1984 ont été*socio=rien très différents*socio=rien de l'un*socio=rien à l'autre. En moyenne*socio=rien, toutefois, ils sont restés un*socio=rien peu moins favorables*socio=uv4 que ceux des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac pris en groupe*socio=ac. *socio=rien Du fait *socio=nil de la persistance*socio=te dans beaucoup de ces petits*socio=rien pays*socio=ac d'une forte*socio=rien inflation*socio=ec1 et d'une *socio=rien situation faible *socio=nil de la balance_des_paiements*socio=ec1, leur PNB*socio=ec1 global*socio=te n'a augmenté en moyenne*socio=rien que de 1,9 % en 1983. Ce taux*socio=ec1 dénotait un*socio=rien progrès*socio=uv1 par rapport*socio=rien aux taux*socio=ec1 médiocres*socio=uv2 des deux *socio=rien années précédentes,*socio=nil *socio=nil mais il n'en reste*socio=rien pas moins que la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1, observée en 1983 dans ce groupe_de_pays*socio=ac, a *socio=rien été bien inférieure *socio=nil à l'accroissement*socio=ec2 estimé de leur potentiel*socio=uv4 de production*socio=ec1. Dans les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1984, le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien de croissance*socio=uv3 des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien resté en *socio=rien retard sur *socio=nil celui des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, et le chômage*socio=ec1 s'est*socio=rien encore aggravé dans la plupart*socio=rien d'entre eux. Toutefois, on a commencé à déceler ici et là les signes d'une certaine*socio=rien accélération*socio=ec2 du*socio=rien rythme*socio=ec2 d'activité_économique*socio=ec1; et durant cette période*socio=te, quelques-uns de ces pays*socio=ac ont créé le socle économique*socio=ec1 nécessaire*socio=rien pour améliorer leurs gains*socio=ec1 de croissance*socio=uv3 à mesure*socio=rien que leurs principaux*socio=rien partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 avanceront dans le processus*socio=te de reprise. La plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac ayant, en effet*socio=rien, des *socio=rien liens étroits *socio=nil avec l'Europe*socio=ac industrialisée, la structure*socio=ec1 régionale*socio=te de la reprise conjoncturelle*socio=te dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac a jusqu'ici joué au désavantage de la majorité*socio=rien d'entre eux, mais ce désavantage peut s'atténuer à mesure*socio=rien que la reprise s'élargira. Emploi*socio=ec1 et chômage*socio=ec1. Sauf aux États-unis*socio=ac et au Canada*socio=ac, la croissance*socio=uv3 ne s'est*socio=rien en général*socio=rien pas suffisamment accélérée en 1983 pour ranimer vraiment*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1. Le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien de chômage*socio=ec1 était plus élevé*socio=uv4 en 1983 qu'en 1982 dans tous les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, à l'exception*socio=rien des États-unis*socio=ac, ainsi que dans la plupart*socio=rien des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Au total*socio=rien, sur*socio=rien les 21 pays_industrialisés*socio=ac, il en était 8 - dont, pour la *socio=rien première fois,*socio=nil le*socio=nil Danemark*socio=ac *socio=nil et l'Australie*socio=ac - où le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 moyen*socio=rien dépassait 10 % de la population_active*socio=ac en 19832 et, pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac, la moyenne*socio=rien annuelle*socio=te atteignait 8 3/4 %. Vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien, toutefois, une amélioration*socio=uv1 se dessinait de plus en plus nettement. Le chômage*socio=ec1 a continué de baisser rapidement aux États-unis*socio=ac et au Canada*socio=ac et le nombre*socio=rien des chômeurs*socio=ac a paru cesser d'augmenter dans plusieurs autres pays*socio=ac. Au cours*socio=rien des *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1984, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 a encore diminué de façon*socio=rien très sensible*socio=rien aux États-unis*socio=ac et il a baissé ou s'est*socio=rien au moins stabilisé dans plusieurs autres pays*socio=ac. Malgré tout, les États-unis*socio=ac sont le seul*socio=rien pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac où, au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1984, la croissance*socio=uv3 de l'emploi*socio=ec1 a été*socio=rien assez forte*socio=rien pour l'emporter largement sur*socio=rien celle de la population_active*socio=ac. Les entreprises*socio=ac y ont réagi plus rapidement que d'habitude*socio=rien à la reprise conjoncturelle*socio=te de la demande*socio=ec1 et de la production*socio=ec1, en embauchant du*socio=rien personnel*socio=ac supplémentaire*socio=rien : la longueur*socio=rien même de la récession*socio=ec2 les avait, en effet*socio=rien, obligées à renoncer largement à garder leur main-d'_oeuvre*socio=ac en surnombre comme elles l'avaient généralement fait*socio=rien durant les phases*socio=te de récession*socio=ec2 antérieures*socio=te. Au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1984, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac s'établissait à moins de 8 %, en baisse*socio=ec2 de plus de 1/2 point*socio=rien de pourcentage*socio=rien par rapport*socio=rien au trimestre*socio=te précédent*socio=rien, et de 2 1/2 points*socio=rien par rapport*socio=rien au trimestre*socio=te correspondant de 1983. En revanche, le chômage*socio=ec1 s'est*socio=rien encore aggravé dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil *socio=ac pays européens.*socio=nil *socio=nil Même dans ceux où la situation*socio=rien de l'emploi*socio=ec1 semblait se stabiliser, le chômage*socio=ec1 est*socio=rien resté très élevé*socio=uv4 durant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1984. Il touchait environ 12 1/2 % de la population_active*socio=ac au Royaume-uni*socio=ac et ce taux*socio=ec1 était encore supérieur*socio=rien (d'au moins 15 % ) en Belgique*socio=ac, en Irlande*socio=ac, aux Pays-bas*socio=ac et en Espagne*socio=ac. La persistance*socio=te de taux*socio=ec1 aussi élevés*socio=uv4 de chômage*socio=ec1 semble *socio=rien devoir être *socio=nil imputée non seulement au manque*socio=rien de vigueur*socio=uv3 de la conjoncture*socio=ec2 dans ces pays*socio=ac, mais aussi aux rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 de leur marché_du_travail*socio=ec1. Dans les *socio=ac pays européens,*socio=nil les*socio=nil *socio=ec1 coûts salariaux *socio=nil continuent à absorber une plus *socio=rien forte proportion *socio=nil de la valeur_ajoutée*socio=ec1 que ce n'était ordinairement le cas*socio=rien dans les années*socio=rien 60 et au début*socio=rien des années*socio=rien 70. Par ailleurs*socio=rien, les employeurs*socio=ac hésitent à embaucher du*socio=rien personnel*socio=ac supplémentaire*socio=rien en raison*socio=rien des difficultés*socio=uv4 auxquelles ils se heurteraient pour le licencier si la situation*socio=rien de la demande*socio=ec1 venait à changer. Prix*socio=ec1 et coûts*socio=ec1. L'action*socio=ec1 concertée menée par les pouvoirs_publics*socio=et en vue*socio=rien de maîtriser*socio=rien les *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil a porté de *socio=rien nouveaux fruits *socio=nil en 1983. La hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 s'est*socio=rien nettement ralentie dans tous les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac et dans la plupart*socio=rien des petits*socio=rien pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac. Dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil dont les États-unis*socio=ac, le Royaume-uni*socio=ac, les Pays-bas*socio=ac et la Nouvelle-zélande*socio=ac, le taux*socio=ec1 de *socio=rien hausse du déflateur*socio=nil du PNB*socio=ec1 *socio=nil a diminué de plus de moitié*socio=rien, de 1981 à 1983. Pour l'ensemble*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, le taux*socio=ec1 de *socio=rien hausse du déflateur*socio=nil du PNB*socio=ec1 *socio=nil était tombé à 5 % en 1983, contre 7 % en 1982 et 81/2-9 % en 1981 et en 1980 (tableau*socio=rien 2). Certains des facteurs*socio=rien à l'origine*socio=rien de ce ralentissement*socio=ec2 avaient largement fini de produire leurs effets*socio=rien au milieu*socio=rien de l'année*socio=rien 1983; les *socio=rien variations trimestrielles *socio=nil de ce déflateur ne font donc plus apparaître, depuis quelque temps*socio=rien, une aussi nette*socio=rien tendance*socio=ec2 à l'amélioration*socio=uv1; cependant, aux États-unis*socio=ac, cet indicateur*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 a encore diminué au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1984. Dans ces pays*socio=ac, l'indice_des_prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 a suivi, au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil un mouvement*socio=ec2 *socio=nil à peu près analogue*socio=rien, mais de moindre*socio=rien amplitude*socio=ec1, à cause*socio=rien surtout de la plus grande*socio=rien instabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1. Tout en demeurant forte*socio=rien, la dispersion*socio=rien des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 a eu tendance*socio=ec2 à se réduire un*socio=rien peu au cours*socio=rien de l'année*socio=rien 1983 et des *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1984. Le Canada*socio=ac et la France*socio=ac, où la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 était restée obstinément rapide*socio=rien durant la période*socio=te 1979 - 82, ont finalement réussi à remporter une *socio=rien certaine victoire sur l'*socio=nil inflation*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil On peut en dire autant de plusieurs des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, notamment l'Irlande*socio=ac, la Nouvelle-zélande*socio=ac et la Norvège*socio=ac. Au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1984, la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac avaient réussi à ramener à moins de deux chiffres le taux*socio=ec1 de hausse*socio=rien de leurs prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1. Parmi tous les facteurs*socio=rien qui ont contribué à réduire aussi fortement le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien d'inflation*socio=ec1, le principal*socio=rien a été*socio=rien la ténacité avec laquelle la plupart*socio=rien des gouvernements*socio=ac ont poursuivi leur stratégie*socio=et anti-inflationniste*socio=ec2, en *socio=rien dépit du prix*socio=ec1 *socio=nil qu'elle coûtait dans l'immédiat*socio=rien en termes*socio=rien de chômage*socio=ec1 et de pertes*socio=ec2 de production*socio=ec1. en particulier*socio=rien, le resserrement*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 a limité la possibilité*socio=rien pour les entreprises*socio=ac privées*socio=et d'accéder aux demandes*socio=et d'augmentation*socio=ec2 de salaires*socio=ec1 ou de répercuter la hausse*socio=rien de leurs *socio=ec1 coûts salariaux sur*socio=rien leurs*socio=nil prix de*socio=nil vente.*socio=nil Les*socio=nil anticipations*socio=uv3 *socio=nil nettement plus optimistes*socio=uv2 quant à l'inflation*socio=ec1, l'ampleur*socio=rien du*socio=rien chômage*socio=ec1 et l'existence*socio=rien d'une surcapacité*socio=uv de production*socio=ec1 considérable*socio=rien ont incité les intéressés à faire preuve*socio=ec2 de plus de souplesse*socio=uv3 dans la négociation*socio=et des conventions*socio=et salariales*socio=ec1. Aussi a-t-on pu observer une modération*socio=ec2 notable*socio=rien des relèvements*socio=ec2 de salaires*socio=ec1 en 1982 et en 1983. En outre, les aménagements*socio=et apportés par plusieurs pays*socio=ac à leurs systèmes*socio=rien d'indexation*socio=ec1, jusqu'alors très rigides*socio=uv4, ont contribué dans une *socio=rien large mesure *socio=nil à y ralentir la hausse*socio=rien des salaires*socio=ec1 et des prix*socio=ec1. En 1983, l'incidence*socio=ec2 exercée sur*socio=rien les coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac par le freinage*socio=rien de la hausse*socio=rien des traitements*socio=rien et salaires*socio=ec1 a été*socio=rien renforcée par une accélération*socio=ec2 des gains*socio=ec1 de productivité*socio=uv3. *socio=rien Après être *socio=nil longtemps restée très modeste*socio=rien, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 par heure-homme de travail*socio=rien s'est*socio=rien fortement accélérée dans les *socio=ec1 industries manufacturières *socio=nil et, dans l'ensemble*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, le PNB*socio=ec1 global*socio=te par *socio=rien personne employée *socio=nil a augmenté en moyenne*socio=rien deux fois*socio=rien plus rapidement qu'au cours*socio=rien de la période*socio=te 1980 - 82. Cette évolution*socio=te de la productivité*socio=uv3 est*socio=rien d'autant plus remarquable*socio=rien que, durant la période*socio=te de récession*socio=ec2, les employeurs*socio=ac, soucieux*socio=rien de réduire leurs coûts*socio=ec1, avaient procédé*socio=rien à des compressions*socio=et d'effectifs*socio=rien d'une ampleur*socio=rien exceptionnelle*socio=uv4; ils avaient donc une marge de manoeuvre*socio=rien beaucoup plus étroite*socio=rien que durant les phases*socio=te de reprise conjoncturelle*socio=te précédentes*socio=rien pour accroître la productivité*socio=uv3 en utilisant plus complètement leur personnel*socio=ac resté en place*socio=rien. On ne peut déterminer avec certitude*socio=rien les causes*socio=rien de cette accélération*socio=ec2, souhaitable*socio=rien, des progrès*socio=uv1 de productivité*socio=uv3 en 1983, mais on peut avancer quelques explications*socio=rien plausibles. L'une des principales*socio=rien tient sans doute*socio=rien à ce que la capacité*socio=uv3 des *socio=rien installations existantes a*socio=nil été *socio=nil utilisée plus à plein*socio=rien. Il semble aussi probable*socio=uv4 que la rapide*socio=rien mise hors service*socio=et des installations*socio=rien et outillages obsolètes*socio=ec2 durant les années*socio=rien de faiblesse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 et de montée des coûts*socio=ec1 a eu pour effet*socio=rien d'améliorer la qualité*socio=rien et de rajeunir l'âge*socio=rien moyen*socio=rien de la capacité*socio=uv3 restant en service*socio=et. L'arrivée*socio=rien à *socio=rien un âge plus*socio=nil mûr *socio=nil de la population_active*socio=ac peut aussi avoir eu une incidence*socio=ec2 favorable*socio=uv4 sur*socio=rien la productivité*socio=uv3 dans les pays*socio=ac où l'entrée*socio=rien sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1 d'une *socio=rien forte proportion de*socio=nil jeunes*socio=ac *socio=nil issus de la génération*socio=ac de l'immédiat*socio=rien après-guerre*socio=te avait abaissé, pendant les dix *socio=rien dernières années *socio=nil environ, le *socio=rien niveau moyen d'*socio=nil expérience*socio=ec2 professionnelle*socio=ec1 des*socio=nil effectifs.*socio=nil *socio=nil Quels que soient les rôles*socio=et respectifs*socio=rien de ces divers facteurs*socio=rien ou d'autres aussi importants*socio=uv4, il *socio=rien est évident *socio=nil que l'accélération*socio=ec2 récente*socio=rien des progrès*socio=uv1 de la productivité*socio=uv3 a contribué pour beaucoup à ralentir la hausse*socio=rien des coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien et des prix*socio=ec1 de vente*socio=ec1 des *socio=rien produits finals.*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil La*socio=nil récession*socio=ec2 *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac a été*socio=rien largement responsable*socio=uv2 des *socio=uv4 sérieuses difficultés économiques*socio=ec1 et*socio=nil financières*socio=ec1 *socio=nil auxquelles la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 ont été*socio=rien confrontés ces *socio=rien dernières années,*socio=nil et*socio=nil du ralentissement*socio=ec2 corrélatif*socio=nil du rythme*socio=ec2 *socio=nil de leur croissance*socio=uv3. Cette récession*socio=ec2 a été*socio=rien d'une *socio=rien longueur inhabituelle à*socio=nil cause,*socio=nil en*socio=nil partie,*socio=nil *socio=nil de la *socio=rien résistance tenace des*socio=nil anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 *socio=nil héritées de la *socio=te période antérieure *socio=nil et suscitées par des politiques*socio=et accommodantes*socio=uv4. La faiblesse*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 s'est*socio=rien traduite par une réduction*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 des produits*socio=rien exportés par les pays_en_développement*socio=uv3 et par une nouvelle*socio=rien détérioration*socio=uv4 de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1. En outre, la récession*socio=ec2 a en général*socio=rien conduit à un*socio=rien renforcement*socio=ec2 des *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac et freiné par là même la croissance*socio=uv3 des débouchés*socio=ec1 aux exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés des pays_en_développement*socio=uv3. Les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 sont*socio=nil loin*socio=rien *socio=nil d'avoir été*socio=rien épargnés : l'atonie*socio=ec2 de la demande_globale*socio=ec1, les efforts*socio=uv1 visant à économiser l'énergie*socio=ec1, la réduction*socio=ec2 des stocks*socio=ec1, ainsi que le *socio=rien remplacement du pétrole*socio=ec1 *socio=nil par d'autres combustibles*socio=ec1 et la diversification*socio=ec2 des sources*socio=rien d'approvisionnement*socio=ec1 sont autant de facteurs*socio=rien qui se sont conjugués*socio=rien pour faire fortement diminuer le volume*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 et, finalement aussi, le prix*socio=ec1 de ce produit*socio=rien. Dans le cas*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil les*socio=nil tensions*socio=ec2 *socio=nil créées par cette *socio=te évolution extérieure défavorable*socio=uv4 ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil exacerbées par l'application*socio=rien de politiques*socio=et financières*socio=ec1 intérieures*socio=te malencontreuses*socio=rien dans les années*socio=rien qui ont immédiatement suivi la vague de hausses des *socio=ec1 prix pétroliers *socio=nil de 1979 - 80. En adoptant des politiques*socio=et inflationnistes*socio=ec2 de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 et en recourant de façon*socio=rien excessive*socio=uv4 à des emprunts*socio=ec1 à l'étranger*socio=te ou à des systèmes*socio=rien de restriction*socio=et des importations*socio=ec1 et de contrôle*socio=uv3 des changes*socio=ec1, au lieu*socio=rien de prendre les mesures*socio=et d'ajustement*socio=et qui s'imposaient, plusieurs de ces pays*socio=ac se sont condamnés à perdre de leur compétitivité*socio=uv3 internationale*socio=ac et à voir s'aggraver le déséquilibre*socio=uv3 de leur balance_des_paiements*socio=ec1. En fragilisant encore les pays_en_développement*socio=uv3, engagés depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 70 dans un*socio=rien processus*socio=te d'augmentation*socio=ec2 rapide*socio=rien de leur dette*socio=ec1, contractée pour une *socio=rien bonne part *socio=nil à des taux_d'_intérêt*socio=ec1 variables*socio=rien, la faiblesse*socio=ec2 de leurs recettes*socio=ec1 en devises*socio=ec1 les a rendus particulièrement vulnérables*socio=uv2, face*socio=rien à la *socio=rien forte hausse des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil qui s'est*socio=rien produite sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te après*socio=rien 1980. La persistance*socio=te de cet état*socio=rien de choses*socio=rien a contribué à faire fuir les capitaux*socio=ec1 hors de ces pays*socio=ac et à provoquer, après*socio=rien le milieu*socio=rien de 1982, un*socio=rien tarissement généralisé des flux*socio=ec1 de nouveaux*socio=rien financements_privés*socio=ec1. Dès lors*socio=rien, ces pays*socio=ac ont été*socio=rien contraints*socio=uv2 de comprimer leurs importations*socio=ec1, d'adopter des mesures*socio=et de modération*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et d'accepter un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de leur croissance*socio=uv3. croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1. En 1983, comme en 1981 et en 1982, la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 est*socio=rien restée faible*socio=rien dans la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 - faible*socio=rien par rapport*socio=rien à celle des années*socio=rien 60 et 70 mais, aussi et surtout, par rapport*socio=rien à leur croissance*socio=uv3 démographique*socio=ec1 et à leurs besoins*socio=uv1 de développement*socio=uv3. Après*socio=rien avoir atteint près de 6 % en 1977, le taux_de_croissance*socio=ec1 moyen*socio=rien pondéré de l'ensemble*socio=rien de ces pays*socio=ac n'avait déjà pas cessé de diminuer ensuite, et il était tombé à moins de 1 % en 1982 et en 1983 (tableau*socio=rien 3). Le taux_de_croissance*socio=ec1 moyen*socio=rien pondéré du*socio=rien groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 est*socio=rien resté de 1 1/2 % en 1983, à peu près au même niveau*socio=rien qu'en 1982. Le taux_de_croissance*socio=ec1 par habitant*socio=ac, qui était de l'ordre*socio=rien de 3 % par an*socio=rien durant la *socio=rien majeure partie des*socio=nil années *socio=nil 60 et 70, est*socio=rien devenu presque nul*socio=rien en 1981, et négatif*socio=rien en 1982 et en 1983. De plus, les contraintes*socio=uv1 de l'ajustement*socio=et extérieur*socio=te ont obligé ces pays*socio=ac, au cours*socio=rien des trois années*socio=rien écoulées, à consacrer une *socio=rien part supplémentaire appréciable *socio=nil de leur production*socio=ec1 réelle*socio=ec2 à leurs exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien, à la fois*socio=rien pour compenser la détérioration*socio=uv4 de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 et pour réduire le déficit*socio=ec1 de leurs transactions_courantes*socio=te. Le volume*socio=rien des ressources*socio=ec1 disponibles*socio=rien pour la consommation*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 y a donc nettement moins augmenté que la production*socio=ec1, dont font état*socio=rien les statistiques*socio=ec2. Tributaire*socio=rien comme elle l'_est*socio=te de l'évolution*socio=te *socio=rien du secteur pétrolier*socio=ec1,*socio=nil la*socio=nil production*socio=ec1 globale des*socio=nil *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil en décroissant à partir de 1980. Elle a à nouveau*socio=rien fléchi en 1983, bien*socio=rien que dans une mesure*socio=rien relativement faible*socio=rien. Toutefois, abstraction*socio=rien faite de la *socio=ec1 production pétrolière,*socio=nil la*socio=nil croissance*socio=uv3 est*socio=rien restée*socio=nil positive*socio=uv4 *socio=nil dans les autres secteurs*socio=rien de l'économie*socio=ec1 de ces pays*socio=ac, mais en accusant un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 qui l'a ramenée à 2 % en 1983, contre un*socio=rien taux*socio=ec1 moyen*socio=rien de 5 % sur*socio=rien la période*socio=te 1978-81. Cette décélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 a eu *socio=rien un caractère *socio=nil très généralisé, et le taux*socio=ec1 médian*socio=rien d'accroissement*socio=ec2 de la production*socio=ec1 a diminué dans chacune des *socio=rien cinq dernières années (*socio=nil tableau *socio=nil 3). Les seuls*socio=rien groupes*socio=ac régionaux*socio=te qui semblent avoir à peu près échappé à ce mouvement*socio=ec2 sont les pays*socio=ac non pétroliers*socio=ec1 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et ceux d'Asie*socio=ac (graphique*socio=rien 4). Dans cette dernière*socio=rien région*socio=te, l'économie*socio=ec1 des deux plus grands*socio=rien pays*socio=ac, la Chine*socio=ac et l'Inde*socio=ac, ainsi que celle d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil petits pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil a évolué en sens*socio=rien inverse de la tendance*socio=ec2 observée dans une *socio=rien bonne partie du reste du monde*socio=te.*socio=nil *socio=nil Comme déjà dit, la sévère*socio=uv4 baisse*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 a tenu pour une *socio=rien grande part *socio=nil à la forte*socio=rien diminution*socio=ec2 *socio=rien du volume *socio=nil et des prix*socio=ec1 de leurs exportations*socio=ec1, elle-même liée à la récession*socio=ec2 dans les pays_industrialisés*socio=ac. La croissance*socio=uv3 du*socio=rien PNB*socio=ec1 réel*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, qui avait été*socio=rien de 4 % en 1978, a été*socio=rien presque nulle*socio=rien en 1982; or*socio=ec1, cette baisse*socio=ec2 s'est*socio=rien accompagnée d'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 encore plus marqué de l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te. en particulier*socio=rien, les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 ont vu le taux_de_croissance*socio=ec1 en volume*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 tomber de 10 % en 1978 à 1 1/4 % en 1982, avant de le voir remonter à 5 1/4 % en 1983. Le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 depuis le début*socio=rien de la récession*socio=ec2 a été*socio=rien particulièrement prononcé dans le cas*socio=rien des principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés, en raison*socio=rien de la petite*socio=rien décélération*socio=ec2 (et, en 1982, de la baisse*socio=ec2 effective*socio=rien) *socio=rien du volume *socio=nil de leurs exportations*socio=ec1. Leur dépendance*socio=uv1 à l'égard*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés a en effet*socio=rien rendu ces pays*socio=ac vulnérables*socio=uv2 face*socio=rien à la montée des tendances*socio=ec2 protectionnistes*socio=et dans les pays_industrialisés*socio=ac et, de plus, l'ampleur*socio=rien de leur endettement*socio=ec1 international*socio=te a exigé de leur *socio=rien part un effort*socio=uv1 d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil particulièrement résolu à une époque*socio=te où le montant*socio=ec1 des prêts*socio=ec1 étrangers*socio=te diminuait. Les petits*socio=rien pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 faible*socio=rien (c'est-à-dire exclusion*socio=uv1 faite de la Chine*socio=ac et de l'Inde*socio=ac) sont relativement moins sensibles*socio=rien à l'influence de l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 mondiale*socio=te; de ce fait*socio=rien, leur taux_de_croissance*socio=ec1 - au demeurant faible*socio=rien - s'est*socio=rien d'abord*socio=rien moins ressenti de la récession*socio=ec2 internationale*socio=ac, restant de l'ordre*socio=rien de 3 1/2 % par an*socio=rien durant la période*socio=te 1980 - 82. En 1983, cependant, ce taux*socio=ec1 est*socio=rien tombé à 2 1/2 %, en partie*socio=rien à cause*socio=rien des conditions*socio=ec1 atmosphériques défavorables*socio=uv4 qui ont sévi dans plusieurs de ces pays*socio=ac, notamment en Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te. Assez normalement, la faiblesse*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 dans le monde*socio=te industrialisé a entraîné une nette*socio=rien dégradation*socio=uv3 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1. La seconde vague de hausses des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 de 1979 - 80 avait déjà fait*socio=rien augmenter la facture de leurs importations*socio=ec1. Par la suite*socio=rien, leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 ont été*socio=rien amputées par la forte*socio=rien baisse*socio=ec2 des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien autres que le pétrole*socio=ec1, intervenue en 1981 et en 1982. Cette baisse*socio=ec2 peut s'analyser comme le contrecoup*socio=te de la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te, de la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 (qui augmentait le coût*socio=ec1 de stockage*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien) et de l'incidence*socio=ec2 de la vigueur*socio=uv3 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 libellés dans cette monnaie*socio=ec1. De plus, les récoltes exceptionnelles*socio=uv4 de céréales*socio=ec1 et de coton*socio=ec1 ont poussé à la baisse*socio=ec2 les cours*socio=rien de ces *socio=rien produits sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te.*socio=nil L'*socio=nil atonie*socio=ec2 des*socio=nil marchés*socio=ec1 d'*socio=nil exportation*socio=ec1 de*socio=nil bon nombre des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 s'*socio=nil est conjuguée aux*socio=nil niveaux très*socio=nil élevés*socio=uv4 des*socio=nil *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux en*socio=nil vigueur*socio=uv3 sur*socio=rien les*socio=nil marchés_financiers internationaux*socio=te,*socio=nil *socio=nil pour entraîner une rapide*socio=rien montée des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2, mesurés par les taux*socio=ec1 des dépôts*socio=ec1 en eurodollars corrigés de l'évolution*socio=te des prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 de ces pays*socio=ac. Le taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=rien réel est *socio=nil devenu de plus en plus positif*socio=uv4 en 1980 et en 1981, et il n'a que légèrement diminué en 1982 et en 1983, l'affaiblissement*socio=ec2 des prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 ayant compensé l'incidence*socio=ec2 de la baisse*socio=ec2 des *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux.*socio=nil La*socio=nil *socio=rien charge du service_de_la_dette*socio=ec1 *socio=nil de ces pays*socio=ac a encore été*socio=rien accrue en *socio=rien termes relatifs *socio=nil par l'appréciation*socio=uv3 *socio=rien continue du dollar_éu*socio=ec1 La*socio=nil hausse du dollar*socio=ec1 au*socio=nil regard *socio=nil des autres monnaies*socio=ec1 tend, en effet*socio=rien, à faire augmenter la valeur*socio=ec1 des paiements*socio=ec1 à régler en dollars*socio=ec1 (comme les paiements_d'_intérêts*socio=ec1 sur*socio=rien les emprunts*socio=ec1 en dollars*socio=ec1) par rapport*socio=rien aux paiements*socio=ec1 (par exemple*socio=rien, pour les exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3) qui restent plus étroitement en rapport*socio=rien avec l'évolution*socio=te de la valeur*socio=ec1 moyenne*socio=rien des diverses*socio=rien monnaies*socio=ec1. Pour opérer l'ajustement*socio=et exigé par l'alourdissement*socio=ec2 de la *socio=rien charge du service_de_leur_dette*socio=ec1 *socio=nil et le montant*socio=ec1 limité de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, beaucoup de pays*socio=ac ont dû recourir essentiellement à une réduction*socio=ec2 de leurs importations*socio=ec1. D'aussi fortes*socio=rien compressions*socio=et des importations*socio=ec1 ne vont pas sans provoquer des perturbations*socio=ec2 dans l'économie*socio=ec1 intérieure*socio=te d'un*socio=rien pays*socio=ac ni sans entamer sa capacité*socio=uv3 de produire des biens*socio=ec1 destinés à la consommation*socio=ec1 et à l'investissement*socio=ec1 intérieurs*socio=te. Elles peuvent aussi limiter*socio=rien sa capacité*socio=uv3 d'exportation*socio=ec1 dans la mesure*socio=rien où les importations*socio=ec1 ainsi sacrifiées sont nécessaires*socio=rien à la production*socio=ec1 de biens*socio=ec1 exportables*socio=ec2. Dans l'un*socio=rien et l'autre cas*socio=rien, la courbe de croissance*socio=uv3 du*socio=rien produit_intérieur_brut*socio=ec1 réel*socio=rien s'infléchit vers le bas*socio=rien. Si décevante*socio=rien qu'elle soit *socio=rien du point de*socio=nil vue *socio=nil de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3, l'année*socio=rien 1983 leur a néanmoins apporté quelques éléments*socio=rien d'espoir*socio=uv1 pour 1984 et les *socio=rien années suivantes.*socio=nil en*socio=nil particulier,*socio=nil la*socio=nil récession*socio=ec2 *socio=nil a commencé à desserrer son étreinte dans les pays_industrialisés*socio=ac. Bien*socio=rien qu'ayant contribué aux problèmes*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 des pays*socio=ac dont la position*socio=rien extérieure*socio=te dépend, directement ou indirectement*socio=rien, des *socio=ec1 recettes pétrolières,*socio=nil la*socio=nil baisse*socio=ec2 des*socio=nil prix du*socio=rien pétrole *socio=nil a généralement allégé le fardeau*socio=uv4 de l'ajustement*socio=et pour beaucoup d'autres pays_en_développement*socio=uv3. La légère*socio=rien remontée des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien s'est*socio=rien traduite par *socio=rien un début d'*socio=nil amélioration*socio=uv1 *socio=nil de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 et leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 ont commencé à augmenter plus rapidement en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2. Pour les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil la*socio=nil longue*socio=rien phase*socio=te de*socio=nil diminution*socio=ec2 *socio=nil de la demande*socio=ec1 pour leur *socio=rien principal produit d'*socio=nil exportation*socio=ec1 *socio=nil a semblé près de toucher à sa fin*socio=rien. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 sont en général*socio=rien restés au-dessous des niveaux*socio=rien atteints en 1981, encore qu'ils soient demeurés très élevés*socio=uv4 en termes*socio=rien réels*socio=ec2 et aient manifesté une tendance*socio=ec2 à remonter au *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1983 et au début*socio=rien de 1984. Peut-on voir là les prémices d'une accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3? La réponse*socio=rien dépendra en partie*socio=rien de la mesure*socio=rien dans laquelle la tendance*socio=ec2 à l'amélioration*socio=uv1 de l'environnement*socio=et extérieur*socio=te se poursuivra. Mais elle dépendra avant tout de la détermination*socio=rien avec laquelle ces pays*socio=ac s'emploieront eux-mêmes à prendre toutes les mesures*socio=et qui s'imposent dans des domaines*socio=rien tels que la *socio=et réforme budgétaire,*socio=nil l'*socio=nil encadrement*socio=rien du*socio=rien crédit*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil et les taux_de_change*socio=ec1, l'encouragement*socio=uv4 de l'activité*socio=rien du*socio=rien secteur_privé*socio=et et la fixation*socio=ec1 des prix*socio=ec1 des entreprises*socio=ac publiques*socio=et. La reprise dans ces pays*socio=ac dépendra enfin de leurs possibilités*socio=rien d'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 en expansion*socio=ec2 du*socio=rien monde*socio=te industrialisé ainsi que de la mesure*socio=rien dans laquelle les apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te, publics*socio=et et privés*socio=et, en leur faveur*socio=rien seront rétablis et accrus. Inflation*socio=ec1. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil on n'a pas observé dans les pays_en_développement*socio=uv3 les mêmes signes de ralentissement*socio=ec2 général*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 que dans les pays_industrialisés*socio=ac. Au lieu*socio=rien, comme l'ont fait*socio=rien ceux-ci, de poursuivre avec persévérance*socio=uv1 des politiques*socio=et de lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 qui ont efficacement aidé à maîtriser*socio=rien les pressions*socio=ec2 exercées sur*socio=rien les coûts*socio=ec1 et les prix*socio=ec1, de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 ont tout au contraire*socio=rien appliqué en général*socio=rien des politiques*socio=et financières*socio=ec1 accommodantes*socio=uv4; celles-ci sont largement responsables*socio=uv2 des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 élevés*socio=uv4 qu'ils enregistrent depuis quelques années*socio=rien. Tel a été*socio=rien particulièrement le cas*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 : pour ce groupe_de_pays*socio=ac, le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien pondéré de hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 *socio=rien est passé *socio=nil de 32 % par an*socio=rien dans la période*socio=te 1980 - 82 à 44 % en 1983 (tableau*socio=rien 4). Il convient toutefois de noter ici que les résultats*socio=rien médiocres*socio=uv2 de quelques grands*socio=rien pays*socio=ac pèsent d'un*socio=rien poids*socio=rien très lourd*socio=rien dans cette moyenne*socio=rien pondérée; celle-ci tend donc à donner une idée*socio=rien exagérée de ce qu'a été*socio=rien la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 dans la majorité*socio=rien de ces pays*socio=ac. Le taux*socio=ec1 médian*socio=rien d'inflation*socio=ec1, plus représentatif*socio=uv2 de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 dans le pays_en_développement*socio=uv3 typique*socio=rien, est*socio=rien, lui, tombé de 15 % en 1980 à 11 % en 1982, et il est*socio=rien resté inchangé*socio=rien en 1983. Si l'on considère la structure*socio=ec1 des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 dans les différents*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, on constate que, depuis de *socio=rien nombreuses années,*socio=nil la*socio=nil hausse des*socio=nil prix*socio=ec1 est *socio=nil mieux maîtrisée en Asie*socio=ac que dans les autres régions*socio=te. La raison*socio=rien en tient sans doute*socio=rien en partie*socio=rien au fait*socio=rien qu'au cours*socio=rien des années*socio=rien 70 et au début*socio=rien des années*socio=rien 80, de nombreux*socio=rien pays*socio=ac d'Asie*socio=ac ont adopté des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et qui comportaient des mesures*socio=et visant à discipliner l'évolution*socio=te budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1, à corriger les distorsions*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et à réduire les restrictions*socio=et aux échanges*socio=ec1 extérieurs*socio=te. L'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et de ce genre*socio=rien dans les autres régions*socio=te n'est*socio=rien pas toujours intervenue aussi à temps*socio=rien. En outre, les autres groupes*socio=ac régionaux*socio=te comprennent tous un*socio=rien ou plusieurs pays*socio=ac de *socio=rien dimension appréciable ayant*socio=nil un taux*socio=ec1 d'*socio=nil inflation*socio=ec1 exceptionnellement*socio=nil élevé*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil ce qui tend à gonfler la moyenne*socio=rien de la région*socio=te sans nécessairement altérer le taux*socio=ec1 médian*socio=rien. Dans ces pays*socio=ac à forte*socio=rien inflation*socio=ec1, il existe souvent de nombreux*socio=rien mécanismes*socio=et d'indexation*socio=ec1, qui ajoutent à la difficulté*socio=uv4 de maîtriser*socio=rien l'inflation*socio=ec1, lorsque celle-ci s'accélère, surtout dans les cas*socio=rien où un*socio=rien ajustement*socio=et extérieur*socio=te s'impose. Il en va tout spécialement ainsi de la région*socio=te de l'hémisphère_occidental*socio=te. Cette région*socio=te a continué d'être*socio=rien celle où l'inflation*socio=ec1 était la plus forte*socio=rien, avec un*socio=rien taux*socio=ec1 moyen*socio=rien pondéré qui a bondi de 78 % en 1982 à 123 % en 1983. Or*socio=ec1, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 médian*socio=rien de cette région*socio=te n'a que légèrement augmenté entre ces deux années*socio=rien, pour passer de 9 1/2 % en 1982 à 11 1/2 % en 1983, les seuls*socio=rien pays*socio=ac à connaître des problèmes*socio=uv4 vraiment*socio=rien sérieux*socio=uv4 d'inflation*socio=ec1 ayant été*socio=rien l'Argentine*socio=ac, la Bolivie*socio=ac, le Brésil*socio=ac et le Mexique*socio=ac. De même, c'est*socio=rien la persistance*socio=te d'une forte*socio=rien inflation*socio=ec1 en Israël*socio=ac qui explique, pour une *socio=rien bonne part,*socio=nil l'*socio=nil augmentation*socio=ec2 *socio=nil de la moyenne*socio=rien pondérée du*socio=rien groupe_des_pays*socio=ac non pétroliers*socio=ec1 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac. Dans le groupe*socio=ac des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil taux*socio=ec1 de*socio=nil hausse*socio=rien des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil à la consommation*socio=ec1 a diminué ces deux *socio=rien dernières années;*socio=nil cette*socio=nil baisse*socio=ec2 est attribuable en*socio=nil partie *socio=nil à la faiblesse*socio=ec2 de l' activité_économique*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac après*socio=rien 1981, elle-même liée à la compression*socio=et de plus en plus sévère*socio=uv4 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et. Le ralentissement*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 dans ce groupe*socio=ac a également été*socio=rien dû à la diminution*socio=ec2 des prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 (exprimés en dollars*socio=ec1) et au maintien*socio=rien d'approvisionnements*socio=ec1 abondants*socio=rien dans la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac. Néanmoins, les *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil sont demeurées fortes*socio=rien dans quelques-uns d'entre eux. Mesures*socio=et d'ajustement*socio=et. Afin d'améliorer leurs chances*socio=rien de parvenir à la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 intérieure*socio=te et extérieure*socio=te, de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 appliquent aujourd'hui des programmes*socio=et comportant des actions*socio=ec1 dans des domaines*socio=rien tels que finances*socio=ec1 publiques*socio=et, politique_monétaire*socio=et et bancaire*socio=ec1, taux_de_change*socio=ec1 et libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te. Ces efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 portent également sur*socio=rien la politique*socio=et de subventions*socio=ec1 et de prix*socio=ec1, la gestion*socio=ec2 des entreprises*socio=ac publiques*socio=et, ainsi que sur*socio=rien le montant*socio=ec1 et la répartition*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 de développement*socio=uv3. Ces programmes*socio=et d'ajustement*socio=et devraient finir par atténuer les *socio=ec2 pressions inflationnistes,*socio=nil *socio=nil mais leur *socio=rien premier résultat *socio=nil a parfois été*socio=rien de faire augmenter les prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te par le jeu*socio=rien d'ajustements*socio=et visant à corriger les distorsions*socio=uv3 des prix*socio=ec1. D'une façon*socio=rien très générale*socio=rien, les politiques*socio=et financières*socio=ec1 menées ces *socio=rien dernières années *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=uv3 ont abouti à une accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la masse_monétaire*socio=ec1 et du*socio=rien crédit*socio=ec1, induite par des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et excessifs*socio=uv4. La marge de *socio=rien manoeuvre disponible *socio=nil pour réduire les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et a été*socio=rien limitée par la baisse*socio=ec2 des recettes_publiques*socio=et due à l'affaiblissement*socio=ec2 de l' activité_économique*socio=ec1, à la stagnation*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 et à la difficulté*socio=uv4 d'élargir l'assiette*socio=rien fiscale*socio=et en périodes*socio=te de récession*socio=ec2. Par ailleurs*socio=rien, les gouvernements*socio=ac ont *socio=rien été retenus *socio=nil d'aller très loin*socio=rien dans la compression*socio=et des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et par des considérations*socio=rien sociales*socio=et et politiques*socio=et ainsi que par la crainte*socio=uv1 de retarder le développement*socio=uv3 économique*socio=ec1 en réduisant de *socio=rien façon notable les*socio=nil dépenses*socio=ec1 d'*socio=nil équipement*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Depuis 1982, toutefois, de nombreux*socio=rien pays*socio=ac appliquent une politique_budgétaire*socio=et plus résolument orientée vers la rigueur*socio=uv3. De ce fait*socio=rien, le *socio=rien rapport moyen du déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et au*socio=nil PIB*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil a légèrement diminué en 1983 pour se trouver ramené à 4 1/2 %, *socio=rien après être passé *socio=nil de 3 1/2 en 1977 - 81 à 4 3/4 % en 1982. Cette amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien budgétaire*socio=et a *socio=rien permis un ralentissement*socio=ec2 du rythme*socio=ec2 d'*socio=nil expansion*socio=ec2 du crédit*socio=ec1 intérieur*socio=te.*socio=nil *socio=nil De 67 % en 1982, le taux_de_croissance*socio=ec1 du*socio=rien crédit*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 est*socio=rien tombé à 50 % en 1983. En revanche, le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien de croissance*socio=uv3 de la masse_monétaire*socio=ec1 a un*socio=rien peu augmenté *socio=rien du fait *socio=nil que l'incidence*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 de la balance_des_paiements*socio=ec1 est*socio=rien devenue moins négative*socio=rien. Dans le cas*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil la*socio=nil diminution*socio=ec2 *socio=nil de leurs *socio=ec1 recettes pétrolières *socio=nil et quelquefois aussi la nécessité*socio=uv1 de modérer les *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil ont rendu indispensable*socio=uv4 l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et sérieuses*socio=uv4 d'ajustement*socio=et. Les pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac ont presque tous pris des mesures*socio=et visant à réduire considérablement*socio=rien les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et beaucoup se sont en même temps*socio=rien efforcés d'accroître leurs recettes*socio=ec1 intérieures*socio=te non pétrolières*socio=ec1. Malgré tout, la chute des recettes*socio=ec1 rapportées par le secteur*socio=rien pétrolier*socio=ec1 a entraîné un*socio=rien alourdissement*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et global*socio=te de ce groupe*socio=ac, qui l'a porté d'une moyenne*socio=rien de 5 1/4 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1982 à 9 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1983. Pour beaucoup de pays_en_développement*socio=uv3, l'ajustement*socio=et extérieur*socio=te a impliqué une réduction*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1, qu'il s'agisse d'une réduction*socio=ec2 pure*socio=rien et simple*socio=rien, délibérément décidée par les pouvoirs_publics*socio=et, ou d'une réduction*socio=ec2 indirecte*socio=rien, induite par l'application*socio=rien de politiques_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et restrictives*socio=uv4 et par l'enchérissement ou la raréfaction*socio=uv3 des crédits*socio=ec1. Le cas*socio=rien le plus manifeste à cet *socio=rien égard est *socio=nil celui des pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te et d'Afrique*socio=ac où, de *socio=rien manière générale,*socio=nil la*socio=nil part *socio=nil de l'investissement*socio=ec1 dans le PIB*socio=ec1 total*socio=rien a diminué ces *socio=rien dernières années.*socio=nil Cet*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil a sans *socio=rien doute été préjudiciable*socio=et *socio=nil à la croissance*socio=uv3 future*socio=te, mais il faut le replacer dans le contexte*socio=rien de l'accélération*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 qui était intervenue dans beaucoup de ces pays*socio=ac au cours*socio=rien des années*socio=rien 70. Durant les *socio=rien années du milieu *socio=nil de la décennie*socio=te 70, en effet*socio=rien, la relative*socio=rien facilité d'accès*socio=uv1 aux crédits*socio=ec1 internationaux*socio=te privés*socio=et comportant des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 faibles*socio=rien ou négatifs*socio=rien a encouragé une augmentation*socio=ec2 rapide*socio=rien de ces dépenses*socio=ec1 dans *socio=rien bon nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil de l'hémisphère_occidental*socio=te. La même évolution*socio=te s'est*socio=rien produite, en moins accentuée, dans les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac, où elle a *socio=rien été favorisée *socio=nil par l'accroissement*socio=ec2 des apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 publics*socio=et assortis de conditions*socio=ec1 libérales*socio=et. Bien*socio=rien que l'expansion*socio=ec2 des investissements*socio=ec1 se soit généralement accompagnée d'une augmentation*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et des exportations*socio=ec1, la facilité d'accès*socio=uv1 aux crédits*socio=ec1 étrangers*socio=te a probablement incité certains pays*socio=ac à porter le montant*socio=ec1 de leurs importations*socio=ec1 à des niveaux*socio=rien impossibles à maintenir à long_terme*socio=te et à s'abstenir de réduire la consommation*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 comme ils auraient été*socio=rien contraints*socio=uv2 de le faire autrement. En outre, la possibilité*socio=rien d'emprunter à des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 négatifs*socio=rien a peut-être *socio=rien été cause de*socio=nil distorsions*socio=uv3 *socio=nil dans l'affectation*socio=ec1 des ressources*socio=ec1. Toutefois, si au milieu*socio=rien de la décennie*socio=te 70 le *socio=rien bas niveau des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 *socio=nil a provoqué une expansion*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 qui s'est*socio=rien finalement révélée impossible*socio=rien à soutenir, la hausse*socio=rien enregistrée ensuite par ces taux*socio=ec1 a eu l'effet*socio=rien exactement inverse. La forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 du*socio=rien coût*socio=ec1 *socio=rien réel du crédit*socio=ec1 *socio=nil a eu pour conséquence*socio=rien de rétrécir le champ*socio=rien des possibilités*socio=rien d'investissement*socio=ec1 *socio=rien attrayantes du point de*socio=nil vue économique*socio=ec1 *socio=nil et de faire baisser le taux*socio=ec1 de rémunération*socio=ec1 réel*socio=rien (compte*socio=ec1 tenu de l'enchérissement du*socio=rien crédit*socio=ec1) de tous les investissements*socio=ec1. Elle a eu une incidence*socio=ec2 particulièrement forte*socio=rien pour les investissements*socio=ec1 passés*socio=te, financés sur*socio=rien des emprunts*socio=ec1 à taux_d'_intérêt*socio=ec1 variables*socio=rien. Ces investissements*socio=ec1 ont, en effet*socio=rien, cessé de répondre aux critères*socio=rien de viabilité*socio=uv3 économique*socio=ec1, étant donné les taux*socio=ec1 de rendement*socio=ec1 réels*socio=ec2 plus élevés*socio=uv4 désormais nécessaires*socio=rien pour compenser l'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien coût*socio=ec1 réel*socio=rien des emprunts*socio=ec1. Par ailleurs*socio=rien, au début*socio=rien des années*socio=rien 80, les crédits*socio=ec1 extérieurs*socio=te ont dû *socio=rien être employés *socio=nil autrement qu'au milieu*socio=rien de la décennie*socio=te 70. Durant la *socio=rien majeure partie des*socio=nil années *socio=nil 70, bien*socio=rien qu'une *socio=rien certaine partie des*socio=nil emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te ait*socio=nil été *socio=nil utilisée pour couvrir l'augmentation*socio=ec2 des coûts*socio=ec1 de l'énergie*socio=ec1, les entrées croissantes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 avaient en général*socio=rien servi à financer l'absorption*socio=rien d'un*socio=rien volume*socio=rien de plus en plus important*socio=uv4 de ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 en provenance*socio=rien de l'étranger*socio=te. Au cours*socio=rien de la période*socio=te 1980 - 82, tant qu'ils ont eu facilement accès*socio=uv1 à des crédits*socio=ec1 extérieurs*socio=te - au demeurant devenus très dispendieux*socio=rien -, les pays_en_développement*socio=uv3 ont dû, au lieu*socio=rien de les employer pour financer une augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 intérieures*socio=te, en réserver l'essentiel*socio=uv4 pour régler les paiements*socio=ec1 accrus au *socio=rien titre du service*socio=et *socio=nil de la lourde*socio=rien dette*socio=ec1 qu'ils avaient accumulée durant les *socio=rien années précédentes *socio=nil et pour financer les déficits*socio=ec1 extérieurs*socio=te résultant*socio=rien de la détérioration*socio=uv4 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 mondiale*socio=te. En outre, les *socio=rien premières années *socio=nil 80 ont vu se tasser les apports*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac au titre*socio=rien de l'aide*socio=uv1 aux pays_en_développement*socio=uv3. Les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, qui sont très fortement tributaires*socio=rien d'emprunts*socio=ec1 à des conditions*socio=ec1 libérales*socio=et, ne pouvaient donc plus augmenter leurs dépenses*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 ni même les maintenir aux *socio=rien niveaux existants *socio=nil sans amputer une consommation*socio=ec1 déjà faible*socio=rien. Par-delà les effets*socio=rien exercés sur*socio=rien l'investissement*socio=ec1 par l'enchérissement et la raréfaction*socio=uv3 du*socio=rien crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te, la formation*socio=et du*socio=rien capital*socio=ec1 intérieur*socio=te dans les pays_en_développement*socio=uv3 a été*socio=rien entravée à court_terme*socio=te par les politiques_économiques*socio=et qu'il leur a fallu appliquer pour rétablir de manière*socio=rien durable*socio=uv4 la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1. Au nom*socio=rien de la rigueur*socio=uv3 budgétaire*socio=et, ils ont dû opérer des coupes dans les dépenses*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1 *socio=rien du secteur *socio=nil publie, et la politique*socio=et de restriction*socio=et monétaire*socio=ec1 a eu pour effet*socio=rien de limiter*socio=rien le volume*socio=rien des *socio=ec1 crédits bancaires *socio=nil accordés au secteur_privé*socio=et. Dans certains cas*socio=rien, les ressources*socio=ec1 libérées par le secteur*socio=rien publie ont été*socio=rien rapidement réabsorbées grâce*socio=rien à une expansion*socio=ec2 des activités*socio=rien d' investissement_privées*socio=et mais, en général*socio=rien, ce genre*socio=rien de réemploi*socio=et des *socio=ec1 ressources demande *socio=rien du temps.*socio=nil Commerce*socio=ec1 et*socio=nil paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te.*socio=nil *socio=nil Avec le progrès*socio=uv1 de la reprise économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac, le *socio=rien volume du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te *socio=nil a commencé à augmenter fortement en 1983 et la longue*socio=rien phase*socio=te de détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 a pris fin*socio=rien (tableaux*socio=rien 5 et 6). Entre le dernier*socio=rien trimestre*socio=te de 1982 et le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1984, les importations*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac ont augmenté à un*socio=rien rythme*socio=ec2 annuel*socio=te de plus de 9 % en termes*socio=rien réels*socio=ec2. Exprimés en dollars*socio=ec1 ÉU, les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien autres que le pétrole*socio=ec1 ont monté de 20 % entre novembre*socio=rien 1982 - où ils avaient atteint un*socio=rien creux*socio=ec2 - et mai*socio=rien 1984. Par conséquent*socio=rien, en 1983, les termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 qui sont importateurs*socio=ac nets*socio=rien de pétrole*socio=ec1 ont enregistré une amélioration*socio=uv1, estimée à 2 % par rapport*socio=rien à 1982, après*socio=rien s'être*socio=rien détériorés d'environ 20 % sur*socio=rien les *socio=rien cinq années précédentes.*socio=nil *socio=nil En revanche, les termes_de_l'_échange*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil ont subi une dégradation*socio=uv3 en 1983, mais celle-ci n'a annulé qu'une *socio=rien faible partie des*socio=nil gains*socio=ec1 *socio=nil enregistrés au cours*socio=rien de la période*socio=te 1979 - 81. Le principal*socio=rien changement*socio=uv3 intervenu en 1983 dans la structure*socio=ec1 du*socio=rien solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te par grands*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac réside dans une nouvelle*socio=rien et importante*socio=uv4 réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, qui a diminué de 26 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour se trouver ramené à 56 milliards*socio=rien (tableau*socio=rien 7). Comme le solde*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien resté à peu près en équilibre*socio=ec2 et celui des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil modérément*socio=nil déficitaire*socio=ec2,*socio=nil l'*socio=nil amélioration*socio=uv1 *socio=nil de la situation*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 a eu principalement pour contrepartie*socio=rien une réduction*socio=ec2 de l'"asymétrie*socio=ec2 statistique*socio=ec2" *socio=rien négative du solde*socio=ec1 mondial*socio=te *socio=nil dans son ensemble*socio=rien. L'ampleur*socio=rien et les *socio=rien fortes variations *socio=nil de ce poste*socio=rien résiduel doivent inciter à n'interpréter qu'avec précaution*socio=rien les variations*socio=rien des balances_des_paiements*socio=ec1 enregistrées, encore que le biais*socio=rien qu'il introduit n'enlève probablement pas leur valeur*socio=ec1 aux conclusions*socio=rien tirées des *socio=rien grandes lignes de*socio=nil tendance*socio=ec2 *socio=nil que l'on peut dégager. La reprise du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te en 1983 a permis*socio=rien aux pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 de recommencer à augmenter leurs importations*socio=ec1 dans les *socio=rien derniers mois *socio=nil de l'année*socio=rien, tout en parvenant à réduire de nouveau*socio=rien de *socio=rien façon notable leur*socio=nil déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant.*socio=nil *socio=nil Celui-ci a été*socio=rien ramené à l'équivalent*socio=rien de 12 1/2 % de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, soit le chiffre le plus bas*socio=rien depuis dix ans*socio=rien. Les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui étaient passés*socio=te d'un*socio=rien excédent*socio=ec1 record*socio=ec2 de plus de 110 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1980 à un*socio=rien déficit*socio=ec1 d'ampleur*socio=rien modeste*socio=rien en 1982, ont réussi à stabiliser leur situation*socio=rien en 1983. Mais, eux, n'y sont parvenus que moyennant une forte*socio=rien compression*socio=et de leurs importations*socio=ec1, car les prix*socio=ec1 comme le volume*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 ont continué à diminuer. Malgré l'amélioration*socio=uv1 de la balance_des_paiements*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, *socio=rien bon nombre *socio=nil d'entre eux ont continué de connaître de *socio=uv4 graves difficultés extérieures*socio=te.*socio=nil La*socio=nil réticence*socio=uv3 des*socio=nil banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 *socio=nil à accorder de nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec1 à beaucoup des pays*socio=ac les plus lourdement endettés a pris des *socio=rien proportions critiques au*socio=nil second semestre *socio=nil de 1982, et cette attitude*socio=uv3 est*socio=rien restée une donnée *socio=rien centrale du comportement des*socio=nil marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te du crédit*socio=ec1 *socio=nil en 1983 et au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1984. *socio=rien Bon nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil ont donc dû recourir à des moyens*socio=ec1 exceptionnels*socio=uv4 de financement*socio=ec1 de la balance_des_paiements*socio=ec1, notamment à un*socio=rien rééchelonnement*socio=et de leur dette*socio=ec1 existante*socio=rien et à l'octroi*socio=rien de nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec1 concertés entre des banques*socio=ac regroupées en consortiums*socio=ac. Ces opérations*socio=rien ont en *socio=rien général été *socio=nil organisées dans le contexte*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et de la balance_des_paiements*socio=ec1, bénéficiant de l'appui*socio=uv1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. En ce qui concerne les pays_industrialisés*socio=ac, le fait*socio=rien dominant*socio=uv2 de l'année*socio=rien écoulée a résidé dans la vigueur*socio=uv3 *socio=rien persistante du dollar*socio=ec1 *socio=nil et l'alourdissement*socio=ec2 *socio=rien considérable du déficit*socio=ec1 des*socio=nil transactions_courantes*socio=te des*socio=nil États-unis*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Entre la fin*socio=rien de 1982 et le milieu*socio=rien de 1984, le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif réel du dollar_éu*socio=ec1 *socio=nil a encore augmenté de 5 % après*socio=rien s'être*socio=rien déjà apprécié de 31 % durant les deux *socio=rien années précédentes.*socio=nil La*socio=nil valeur*socio=ec1 du yen*socio=ec1 *socio=nil ayant peu varié, la contrepartie*socio=rien de la *socio=rien hausse du dollar*socio=ec1 *socio=nil se retrouve principalement dans l'évolution*socio=te des monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac. Ce sont le franc*socio=ec1 français*socio=rien, la lire italienne*socio=ac et la livre sterling*socio=ec1 qui ont le plus baissé par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1. Celui-ci a surtout dû sa force*socio=uv1 aux évolutions*socio=te qui ont influé sur*socio=rien les mouvements_de_capitaux*socio=ec1, et en particulier*socio=rien à l'important*socio=uv4 différentiel*socio=ec1 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 avantageant les placements*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1, aux effets*socio=rien des allégements*socio=ec2 fiscaux*socio=et et de la rapide*socio=rien *socio=ec1 croissance économique sur*socio=rien le*socio=nil rendement des*socio=nil actions *socio=nil et autres investissements*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac, et enfin à l'attrait*socio=rien que présentaient les marchés_financiers*socio=ec1 américains*socio=ac en tant que "refuge*socio=uv3" pour les capitaux*socio=ec1 étrangers*socio=te. Le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des États-unis*socio=ac a, lui, continué de se dégrader : il a enregistré un*socio=rien déficit*socio=ec1 de 42 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (transferts_officiels*socio=et compris), en 1983 et, à en juger par les chiffres des *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1984, ce déficit*socio=ec1 risque*socio=uv3 fort*socio=rien de doubler pour l'année*socio=rien en cours*socio=rien. pays_industrialisés*socio=ac. Évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1. La hausse*socio=rien de la valeur*socio=ec1 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 en 1983 se situait dans le sillage*socio=rien de la longue*socio=rien phase*socio=te d'ascension*socio=ec1 qu'il avait entamée au troisième*socio=rien trimestre*socio=te de 1980. Après*socio=rien s'être*socio=rien déjà apprécié de 30 % en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1 *socio=nil entre cette époque*socio=te et décembre*socio=rien 1982, le dollar*socio=ec1 a encore monté de 9 1/2 % entre décembre*socio=rien 1982 et janvier*socio=rien 1984. Il a baissé ensuite de 4 % de janvier*socio=rien à mars*socio=rien 1984 mais a eu tendance*socio=ec2 à remonter dans les quelques *socio=rien mois suivants.*socio=nil Au*socio=nil premier trimestre*socio=te *socio=nil de 1984, la valeur*socio=ec1 effective*socio=rien réelle*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1 (calculée sur*socio=rien la base*socio=rien des coûts*socio=ec1 *socio=rien unitaires relatifs *socio=nil normalisés de main-d'_oeuvre*socio=ac dans les *socio=ec1 industries manufacturières,*socio=nil *socio=nil corrigés des variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1) dépassait de plus de 25 % son *socio=rien niveau moyen *socio=nil de la période*socio=te 1973 - 82, c'est-à-dire des dix *socio=rien premières années de*socio=nil flottement*socio=ec1 *socio=nil généralisé des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1. La poursuite*socio=rien de l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar*socio=ec1 en 1983 dénote le maintien*socio=rien d'une vive préférence*socio=rien des opérateurs*socio=ac sur*socio=rien le marché*socio=ec1 pour les placements*socio=ec1 libellés dans cette monnaie*socio=ec1. Cette *socio=rien forte préférence des*socio=nil investisseurs*socio=ac *socio=nil tient probablement, entre autres raisons*socio=rien, à leur espoir*socio=uv1 d'obtenir*socio=rien des rendements*socio=ec1 relativement élevés*socio=uv4 des *socio=ec1 investissements financiers et*socio=nil physiques*socio=rien aux*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil et à l'impression*socio=rien de sécurité*socio=uv1 que leur donnait le système_financier*socio=ec1 des États-unis*socio=ac dans un*socio=rien monde*socio=te toujours plein*socio=rien d'incertitudes*socio=uv3. La reprise de l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac et son accélération*socio=ec2 en 1983, conjuguées*socio=rien à la persistance*socio=te d'un*socio=rien lourd*socio=rien déficit*socio=ec1 du*socio=rien budget*socio=ec1 fédéral*socio=et, ont fini par mettre *socio=rien un terme au*socio=nil mouvement*socio=ec2 de*socio=nil baisse*socio=ec2 *socio=nil que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 suivaient aux États-unis*socio=ac depuis 1981. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court*socio=rien comme à long_terme*socio=te ont commencé à remonter au milieu*socio=rien de 1983, ce qui a tendu à faire évoluer les différentiels*socio=ec1 par rapport*socio=rien à la plupart*socio=rien des autres grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1 à l'avantage des avoirs*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1 ÉU S'attendant à voir durer les facteurs*socio=rien structurels*socio=ec2 à l'origine*socio=rien de ces niveaux*socio=rien élevés*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1, les investisseurs*socio=ac étrangers*socio=te ont été*socio=rien par là même incités à exporter une masse*socio=ec1 importante*socio=uv4 de capitaux*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac, qui a permis*socio=rien d'y satisfaire la forte*socio=rien demande*socio=ec1 nette*socio=rien d'épargne*socio=ec1 et en même temps*socio=rien contribué à la *socio=rien hausse du dollar*socio=ec1 *socio=nil et à la détérioration*socio=uv4 du*socio=rien solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des États-unis*socio=ac. Par ailleurs*socio=rien, le regain*socio=ec2 de vigueur*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac en 1983 a fait*socio=rien naître l'espoir*socio=uv1 d'obtenir*socio=rien des rendements*socio=ec1 relativement élevés*socio=uv4 pour les investissements*socio=ec1 physiques*socio=rien, surtout au regard*socio=rien de ceux que l'on pouvait attendre dans les pays*socio=ac où la reprise économique*socio=ec1 demeurait très hésitante*socio=rien. L'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, publique*socio=et et privée*socio=et, de crédit*socio=ec1, conjuguée*socio=rien aux problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre *socio=nil des plus grands*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, a conduit les *socio=ac banques américaines privées*socio=et *socio=nil à réduire fortement le montant*socio=ec1 de leurs prêts*socio=ec1 à l'étranger*socio=te. Peut-être est-ce là aussi *socio=rien un facteur *socio=nil qui a contribué à la force*socio=uv1 du*socio=rien dollar*socio=ec1, dans la mesure*socio=rien où les emprunteurs*socio=ac ont eu plus de difficultés*socio=uv4 à se procurer des dollars*socio=ec1 à convertir en d'autres monnaies*socio=ec1 pour s'acquitter de leurs paiements*socio=ec1. C'est*socio=rien largement dans l'évolution*socio=te des monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac que se retrouve la contrepartie*socio=rien de la hausse*socio=rien de la valeur*socio=ec1 *socio=rien effective du dollar*socio=ec1 *socio=nil entre la fin*socio=rien de 1982 et le milieu*socio=rien de 1984 (graphique*socio=rien 5). De décembre*socio=rien 1982 à mai*socio=rien 1984, le *socio=ec1 deutsche mark s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil nettement déprécié par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1 (de 12 %) et plus encore par rapport*socio=rien au yen*socio=ec1 (de 17 %). En *socio=rien termes effectifs réels*socio=ec2,*socio=nil le*socio=nil *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil a baissé d'environ 5 1/2 % entre le quatrième*socio=rien trimestre*socio=te de 1982 et le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1984, où il s'est*socio=rien retrouvé à 11 1/2 % en dessous de sa moyenne*socio=rien pour les dix années*socio=rien 1973 - 82. Il se peut que la détente*socio=rien de la situation*socio=rien monétaire*socio=ec1 en Allemagne*socio=ac au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1983 ait favorisé*socio=rien le fléchissement*socio=ec2 du*socio=rien *socio=ec1 deutsche mark par*socio=nil rapport*socio=rien au*socio=nil dollar_éu *socio=nil et au yen*socio=ec1. Elle a fait*socio=rien tomber les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 allemands*socio=ac nettement en dessous *socio=rien du niveau des*socio=nil taux*socio=ec1 réels*socio=ec2 aux*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil et au Japon*socio=ac. En outre, les résultats*socio=rien commerciaux*socio=ec1 de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac sont restés assez médiocres*socio=uv2, eu égard*socio=rien à sa position*socio=rien conjoncturelle*socio=te relative*socio=rien, surtout si on les compare à ceux du*socio=rien Japon*socio=ac. En 1983, les autres monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac se sont en général*socio=rien dépréciées davantage que le *socio=ec1 deutsche mark par*socio=nil rapport*socio=rien au*socio=nil dollar.*socio=nil Au*socio=nil *socio=rien sein du SME*socio=ec1,*socio=nil la*socio=nil persistance*socio=te de*socio=nil différentiels*socio=ec1 d'*socio=nil inflation*socio=ec1 a*socio=nil été *socio=nil l'une des causes*socio=rien de vives poussées spéculatives*socio=ec2, qui ont amené les pays*socio=ac du*socio=rien SME*socio=ec1 à procéder à *socio=rien un réalignement général des*socio=nil cours pivots en*socio=nil mars *socio=nil 1983. Le *socio=ec1 deutsche mark,*socio=nil le*socio=nil florin néerlandais*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil franc belge*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil *socio=ac couronne danoise *socio=nil et le franc*socio=ec1 luxembourgeois ont été*socio=rien réévalués par rapport*socio=rien au franc*socio=ec1 français*socio=rien, à la lire italienne*socio=ac et à la livre irlandaise*socio=ac. Durant le reste*socio=rien de l'année*socio=rien, les monnaies*socio=ec1 sont en général*socio=rien restées stables*socio=uv4 au *socio=rien sein du SME*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil à ceci près que le franc*socio=ec1 belge*socio=ac est*socio=rien tombé au-dessous de son cours*socio=rien plancher en septembre*socio=rien et est*socio=rien demeuré au-dessous de ce plancher jusqu'à la *socio=rien fin mars *socio=nil 1984. Certaines*socio=rien pressions*socio=ec2 ont recommencé à s'exercer au *socio=rien sein du SME*socio=ec1 au*socio=nil mois de*socio=nil février *socio=nil 1984, durant lequel le *socio=ec1 deutsche mark s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil fortement apprécié par rapport*socio=rien au dollar_éu*socio=ec1; mais elles se sont apaisées en mars*socio=rien et avril*socio=rien, après*socio=rien que le dollar*socio=ec1 se fut réorienté en hausse*socio=rien par rapport*socio=rien au *socio=ec1 deutsche mark.*socio=nil *socio=nil La livre sterling*socio=ec1, qui ne fait*socio=rien toujours pas *socio=rien partie du SME*socio=ec1,*socio=nil s'*socio=nil est *socio=nil elle aussi repliée entre la fin*socio=rien de 1982 et le milieu*socio=rien de 1984 : elle a fléchi d'environ 6 % en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1 *socio=nil et d'à peu près 8 % en *socio=rien termes effectifs réels*socio=ec2.*socio=nil Cette*socio=nil baisse*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil qui était du*socio=rien même ordre*socio=rien que la dépréciation*socio=ec2 moyenne*socio=rien des monnaies*socio=ec1 du*socio=rien SME*socio=ec1, a probablement reflété l'érosion*socio=ec2 continuelle*socio=te de l'excédent*socio=ec1 de la balance_des_paiements*socio=ec1 britannique*socio=ac. Comparés à la plupart*socio=rien des monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac, le yen*socio=ec1 et le dollar_canadien*socio=ec1 ont fait*socio=rien preuve*socio=ec2 d'une *socio=rien relative fermeté par*socio=nil rapport au*socio=nil dollar_éu*socio=ec1 *socio=nil en 1983. Le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te du*socio=rien Japon*socio=ac s'est*socio=rien considérablement*socio=rien renforcé à partir *socio=rien du milieu *socio=nil de l'année*socio=rien 1980, et surtout l'année*socio=rien dernière*socio=rien. L'effet*socio=rien de ce renforcement*socio=ec2 sur*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1 du*socio=rien yen*socio=ec1 a été*socio=rien partiellement atténué par des sorties croissantes*socio=rien de capitaux*socio=ec1, mais n'en a pas moins été*socio=rien important*socio=uv4. Après*socio=rien avoir atteint son point*socio=rien le plus bas*socio=rien depuis quatre ans*socio=rien au quatrième*socio=rien trimestre*socio=te de 1982, le yen*socio=ec1 avait repris près de 10 % par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1 le trimestre*socio=te suivant*socio=rien. Par la suite*socio=rien, les fluctuations*socio=ec2 du*socio=rien *socio=ec1 taux_de_change yen/*socio=nil dollar_éu *socio=nil ont correspondu de près aux *socio=rien variations du différentiel*socio=ec1 de*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil entre le Japon*socio=ac et les États-unis*socio=ac : au total*socio=rien, le taux_de_change*socio=ec1 nominal*socio=rien yen*socio=ec1/dollar*socio=ec1 a peu varié jusqu'au mois*socio=rien de mars*socio=rien 1984, durant lequel le yen*socio=ec1 a pris 4 % par rapport*socio=rien au *socio=rien mois précédent.*socio=nil *socio=nil En 1983, les *socio=rien variations du taux_de_change*socio=ec1 des*socio=nil monnaies*socio=ec1 des*socio=nil petits pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil ont dans l'ensemble*socio=rien compensé les écarts*socio=ec2 entre leurs taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 intérieurs*socio=te et ceux des pays*socio=ac qui sont leurs principaux*socio=rien concurrents*socio=ac. Cependant, quelques pays*socio=ac ont *socio=rien fait exception *socio=nil à cette tendance*socio=ec2 générale*socio=rien. La Belgique*socio=ac et le Danemark*socio=ac - dont les monnaies*socio=ec1 s'étaient déjà dépréciées en termes*socio=rien réels*socio=ec2 en 1982 - ont réalisé de nouveaux*socio=rien gains*socio=ec1 de compétitivité*socio=uv3 en 1983, par suite*socio=rien, d'une part*socio=rien, de la dépréciation*socio=ec2 générale*socio=rien des monnaies*socio=ec1 du*socio=rien SME*socio=ec1 par rapport*socio=rien au dollar_éu*socio=ec1 et au yen*socio=ec1 et, d'autre part*socio=rien, de l'application*socio=rien de politiques*socio=et des revenus*socio=ec1 qui ont freiné la croissance*socio=uv3 des coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien normalisés de main-d'_oeuvre*socio=ac. A partir de la fin*socio=rien de 1982 jusqu'au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1983, les autorités*socio=et espagnoles ont laissé la peseta*socio=ec1 se déprécier en vue*socio=rien d'alléger les pressions*socio=ec2 qui s'exerçaient sur*socio=rien la balance_des_paiements*socio=ec1. Au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1983, la valeur*socio=ec1 effective*socio=rien réelle*socio=ec2 de la peseta*socio=ec1 était de 14 % inférieure*socio=rien à son *socio=rien niveau moyen *socio=nil de 1982 mais, en mars*socio=rien 1984, elle avait repris 4 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien. Après*socio=rien s'être*socio=rien nettement dépréciée en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1 et réels*socio=ec2 en 1981 et en 1982, la *socio=ac couronne suédoise est*socio=rien restée*socio=nil stable*socio=uv4 en*socio=nil valeur*socio=ec1 *socio=rien nominale effective *socio=nil durant l'année*socio=rien 1983, mais elle a eu tendance*socio=ec2 à s'apprécier quelque peu en termes*socio=rien réels*socio=ec2. En mars*socio=rien 1984, le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif réel *socio=nil de cette monnaie*socio=ec1 s'établissait à 4 % au-dessus de son *socio=rien niveau moyen *socio=nil de 1983, mais encore à 22 % en dessous de la moyenne*socio=rien de la période*socio=te 1978 - 80. Évolution*socio=te des soldes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. De même qu'en 1981 et en 1982, le solde*socio=ec1 global*socio=te des transactions_courantes*socio=te du*socio=rien groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac, transferts_officiels*socio=et non compris, est*socio=rien resté à peu près en équilibre*socio=ec2 en 1983. Il faut, toutefois, rappeler que la balance*socio=ec1 mondiale*socio=te des paiements*socio=ec1 laissait pour 1983 un*socio=rien écart*socio=ec2 de quelque 80 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 de recettes*socio=ec1 nettes*socio=rien non enregistrées. Or*socio=ec1, étant donné le poids*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac dans le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, il est*socio=rien, semble-t-il, probable*socio=uv4 qu'une *socio=rien bonne part *socio=nil de ces recettes*socio=ec1 nettes*socio=rien doit leur être*socio=rien imputée et que, par conséquent*socio=rien, la balance_des_paiements*socio=ec1 de ce groupe*socio=ac est*socio=rien en réalité*socio=ec2 demeurée assez largement excédentaire*socio=rien. La *socio=rien variation globale,*socio=nil assez*socio=nil faible,*socio=nil du solde*socio=ec1 des*socio=nil transactions_courantes*socio=te *socio=nil (enregistrées) de ce groupe*socio=ac au cours*socio=rien de la période*socio=te 1981 - 83 représente le *socio=rien résultat net de*socio=nil modifications des*socio=nil situations extérieures*socio=te respectives des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil le composant; ces modifications*socio=rien ont été*socio=rien importantes*socio=uv4, certes, mais se sont en *socio=rien grande partie *socio=nil annulées (graphique*socio=rien 6). Le solde*socio=ec1 courant*socio=rien des États-unis*socio=ac (transferts_officiels*socio=et compris) *socio=rien est passé d'*socio=nil un léger excédent*socio=ec1 *socio=nil en 1981 à un*socio=rien déficit*socio=ec1 élevé*socio=uv4 en 1983, tandis que, sur*socio=rien la même période*socio=te, l'excédent*socio=ec1 du*socio=rien Japon*socio=ac s'accroissait de *socio=rien façon substantielle *socio=nil et que le large*socio=rien déficit*socio=ec1 de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac faisait place*socio=rien à un*socio=rien excédent*socio=ec1 d'ampleur*socio=rien modeste*socio=rien. En 1983, comme les *socio=rien années précédentes,*socio=nil l'*socio=nil évolution*socio=te des*socio=nil soldes*socio=ec1 courants*socio=te des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac a*socio=nil été *socio=nil étroitement liée à celle de leur balance_commerciale*socio=ec1. De leur côté*socio=rien, les modifications*socio=rien assez sensibles*socio=rien des *socio=ec1 balances commerciales respectives*socio=rien *socio=nil de ces pays*socio=ac peuvent être*socio=rien attribuées à l'évolution*socio=te de la position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 et de la position*socio=rien conjoncturelle*socio=te relative*socio=rien de chacun d'entre eux, ainsi qu'à celle de la *socio=ec1 balance pétrolière.*socio=nil Le*socio=nil déficit *socio=nil de la *socio=ec1 balance pétrolière *socio=nil de l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac a diminué de 74 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1982 - 83 : cette amélioration*socio=uv1 a été*socio=rien due non seulement à la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 exprimés en dollars*socio=ec1 - de 7 % en 1982 et de 9 % en 1983 -, mais aussi à la diminution*socio=ec2 *socio=rien continue du volume des*socio=nil *socio=ec1 importations pétrolières.*socio=nil Le*socio=nil *socio=rien volume net des*socio=nil importations*socio=ec1 de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil a, toutefois, sensiblement moins régressé en 1983 que dans chacune des trois *socio=rien années précédentes *socio=nil (de 6 %, contre plus de 13 % en moyenne*socio=rien par an*socio=rien au cours*socio=rien de la période*socio=te 1980-82), *socio=rien du fait,*socio=nil en*socio=nil grande partie,*socio=nil *socio=nil de l'incidence*socio=ec2 exercée par la reprise économique*socio=ec1 sur*socio=rien la demande*socio=ec1 d'énergie*socio=ec1, Néanmoins, la *socio=ec1 balance pétrolière des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil a, dans la quasi-totalité*socio=rien des cas*socio=rien, fait*socio=rien apparaître une certaine*socio=rien amélioration*socio=uv1 en 1983. L'évolution*socio=te de la structure*socio=ec1, par pays*socio=ac, de la balance_commerciale*socio=ec1 non pétrolière*socio=ec1 du*socio=rien groupe*socio=ac industrialisé depuis le *socio=rien second semestre *socio=nil de 1982 a été*socio=rien fortement influencée par les différences*socio=uv1 considérables*socio=rien de taux_de_croissance*socio=ec1 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te entre ces pays*socio=ac eux-mêmes, d'une part*socio=rien, et entre les pays*socio=ac qui sont leurs principaux*socio=rien clients*socio=ac, d'autre part*socio=rien. Les *socio=rien amples variations *socio=nil enregistrées depuis quelques années*socio=rien par les taux_de_change*socio=ec1 réels*socio=ec2 ont, elles aussi, joué *socio=rien un grand rôle*socio=et *socio=nil dans l'orientation*socio=et des courants*socio=te commerciaux*socio=ec1 non pétroliers*socio=ec1, de par leurs *socio=rien effets sur la*socio=nil compétitivité*socio=uv3 internationale*socio=ac des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil de chaque pays*socio=ac (graphique*socio=rien 7). Ainsi, dans le cas*socio=rien des États-unis*socio=ac, l'amoindrissement*socio=ec2 de la compétitivité*socio=uv3 de leurs prix*socio=ec1 a contribué pour beaucoup à la *socio=uv4 grave détérioration *socio=nil de leur balance_commerciale*socio=ec1 (pétrole*socio=ec1 exclu*socio=rien) au cours*socio=rien des trois *socio=rien dernières années.*socio=nil La*socio=nil croissance*socio=uv3 en*socio=nil volume *socio=nil de leurs exportations*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1 a *socio=rien été inférieure *socio=nil à celle de leurs marchés*socio=ec1 dans chacune des trois années*socio=rien 1981-83. De plus, en 1983, le redémarrage*socio=ec2 en force*socio=uv1 de l'activité_économique*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac a eu pour conséquence*socio=rien de faire augmenter le volume*socio=rien de leurs importations*socio=ec1 trois fois*socio=rien plus vite que la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2. Une modification*socio=rien des prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac peut mettre plusieurs années*socio=rien pour produire tous ses *socio=rien effets sur le*socio=nil volume *socio=nil de ses échanges_commerciaux*socio=ec1; en revanche, une variation*socio=rien de sa position*socio=rien conjoncturelle*socio=te relative*socio=rien a en général*socio=rien une action*socio=ec1 immédiatement apparente. Par exemple*socio=rien, le retournement*socio=rien de la position*socio=rien conjoncturelle*socio=te relative*socio=rien des États-unis*socio=ac intervenu entre 1982 et 1983 a exercé une incidence*socio=ec2 *socio=rien notable sur la*socio=nil balance_commerciale*socio=ec1 *socio=nil de ce pays*socio=ac. En 1982, le fléchissement*socio=ec2 de l' activité_économique*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac y avait fait*socio=rien fortement baisser le volume*socio=rien des importations*socio=ec1, surtout des importations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1; inversement, en 1983 et au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1984, la reprise de l'activité_économique*socio=ec1, qui y a commencé plus tôt et y a été*socio=rien plus forte*socio=rien que dans la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac, a contribué à l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien rapide du volume des*socio=nil importations*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il se peut aussi que les États-unis*socio=ac aient été*socio=rien désavantagés*socio=uv4 par la structure*socio=ec1 géographique*socio=te de leur commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te. en particulier*socio=rien, ils ont été*socio=rien plus touchés que d'autres pays_industrialisés*socio=ac par la contraction*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 de plusieurs pays*socio=ac d' amérique_latine*socio=ac, car ils vendent à ces pays*socio=ac une plus *socio=rien forte proportion *socio=nil de leurs exportations*socio=ec1. La position*socio=rien extérieure*socio=te des États-unis*socio=ac a également été*socio=rien affaiblie par la diminution*socio=ec2, dans la période*socio=te 1981-83, de 10 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 de leur excédent*socio=ec1 au titre*socio=rien des services*socio=et, elle-même largement liée au fléchissement*socio=ec2 conjoncturel*socio=te des bénéfices*socio=ec1 et dividendes*socio=ec1 rapportés par leurs investissements*socio=ec1 directs*socio=rien à l'étranger*socio=te. Tout au contraire*socio=rien des États-unis*socio=ac, le Japon*socio=ac a considérablement*socio=rien renforcé la situation*socio=rien de son solde*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien en 1983, grâce*socio=rien aux gains*socio=ec1 de compétitivité*socio=uv3 réalisés auparavant, à la reprise de l'expansion*socio=ec2 de certains de ses marchés*socio=ec1 extérieurs*socio=te et au ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Le volume*socio=rien de ses exportations*socio=ec1 a progressé beaucoup plus rapidement que la demande*socio=ec1 étrangère*socio=te et celui de ses importations*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1 n'a augmenté que de 1 % - c'est-à-dire moins que la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et beaucoup moins que sa production*socio=ec1 totale*socio=rien. En outre, la *socio=ec1 balance pétrolière du*socio=rien Japon*socio=ac *socio=nil a continué de s'améliorer et, de ce fait*socio=rien, l'excédent*socio=ec1 total*socio=rien de ses transactions_courantes*socio=te ( transferts_officiels*socio=et compris) s'est*socio=rien trouvé porté de 14 à 21 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. *socio=rien Après être passé d'*socio=nil un déficit*socio=ec1 *socio=nil de 16 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1980 à un*socio=rien excédent*socio=ec1 de 3 1/2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1982, le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac est*socio=rien resté à peu près stable*socio=uv4 en 1983. Ce n'est*socio=rien qu'à la fin*socio=rien de 1983 et au début*socio=rien de 1984 que les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 de ce pays*socio=ac ont donné des signes visibles*socio=rien d'un*socio=rien renouveau*socio=uv3 de dynamisme*socio=uv3. La médiocrité*socio=uv1 des résultats*socio=rien obtenus par l'Allemagne*socio=ac à l'exportation*socio=ec1 en 1983 est*socio=rien probablement imputable*socio=uv2 en partie*socio=rien aux modifications*socio=rien des positions*socio=rien concurrentielles*socio=ec2 relatives*socio=rien des pays*socio=ac du*socio=rien SME*socio=ec1 à la *socio=rien suite du réalignement monétaire*socio=ec1 de*socio=nil mars *socio=nil 1983 et, surtout, aux effets*socio=rien de la politique*socio=et de rigueur*socio=uv3 adoptée par d'importants*socio=uv4 partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 de l'Allemagne*socio=ac pour accompagner ce réalignement*socio=rien. De plus, les importations*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1 de l'Allemagne*socio=ac ont beaucoup augmenté en 1983 (de 6 1/2 %) *socio=rien du fait,*socio=nil en*socio=nil partie,*socio=nil *socio=nil de la reprise de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, qui baissait depuis deux ans*socio=rien. La médiocrité*socio=uv1 des exportations*socio=ec1 de l'Allemagne*socio=ac et la *socio=rien forte hausse *socio=nil de ses importations*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1 au cours*socio=rien de la *socio=rien majeure partie *socio=nil de l'année*socio=rien 1983 ont été*socio=rien compensées par une diminution*socio=ec2 *socio=rien du volume *socio=nil de ses importations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1. L'amenuisement*socio=ec2 des excédents*socio=ec1 du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac et du*socio=rien Canada*socio=ac en 1983 s'explique surtout par l'évolution*socio=te de leur position*socio=rien conjoncturelle*socio=te. Dans ces deux pays*socio=ac, le rythme*socio=ec2 assez rapide*socio=rien de croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te s'est*socio=rien traduit par une détérioration*socio=uv4 de leur solde*socio=ec1 extérieur*socio=te en termes*socio=rien réels*socio=ec2. La baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 a exercé une incidence*socio=ec2 *socio=rien négative sur les*socio=nil recettes*socio=ec1 du Royaume-uni*socio=ac au*socio=nil titre *socio=nil de ses exportations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1, mais cet effet*socio=rien a été*socio=rien plus que compensé par l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien du volume net des*socio=nil exportations*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil facteur compétitivité*socio=uv3 n'*socio=nil est *socio=nil probablement pas non plus étranger*socio=te à l'érosion*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien de ces deux pays*socio=ac, surtout dans le *socio=rien cas du Canada*socio=ac *socio=nil dont la monnaie*socio=ec1 s'est*socio=rien constamment appréciée en *socio=rien termes effectifs réels*socio=ec2 ces*socio=nil dernières années.*socio=nil L'*socio=nil amélioration*socio=uv1 très*socio=nil remarquable *socio=nil de la situation*socio=rien des soldes*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants *socio=nil de la France*socio=ac et de l'Italie*socio=ac s'explique facilement par les mesures*socio=et d'ajustement*socio=et énergiques*socio=ec1 prises*socio=rien par ces deux pays*socio=ac à la *socio=rien suite du réalignement des*socio=nil monnaies*socio=ec1 du SME*socio=ec1 *socio=nil de 1983 ainsi que par les gains*socio=ec1 de compétitivité*socio=uv3 extérieure*socio=te que leur a valus ce réalignement*socio=rien. Grâce*socio=rien au freinage*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et à des mesures*socio=et visant directement à contenir la hausse*socio=rien des coûts*socio=ec1 de production*socio=ec1, ces pays*socio=ac ont réussi à améliorer leur solde*socio=ec1 courant*socio=rien (transferts_officiels*socio=et compris) de 6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour l'Italie*socio=ac et de 8 milliards*socio=rien pour la France*socio=ac, ce qui a laissé *socio=rien un léger excédent*socio=ec1 *socio=nil à la première*socio=rien et *socio=rien un faible déficit*socio=ec1 *socio=nil à la seconde. Le solde*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te des petits*socio=rien pays*socio=ac industrialises s'est*socio=rien amélioré de 11 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1983, après*socio=rien n'avoir fait*socio=rien apparaître que peu de changements*socio=uv3 en 1982. Cette amélioration*socio=uv1 correspond, à raison*socio=rien d'un*socio=rien peu moins de moitié*socio=rien, à une augmentation*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 commercial*socio=ec1 non pétrolier*socio=ec1 de ce groupe*socio=ac et, pour le reste*socio=rien, à une nouvelle*socio=rien réduction*socio=ec2 de son *socio=ec1 déficit pétrolier.*socio=nil Au*socio=nil cours*socio=rien *socio=nil des deux *socio=rien dernières années,*socio=nil plusieurs*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil de ce groupe*socio=ac, notamment la Belgique*socio=ac, le Danemark*socio=ac, l'Espagne*socio=ac, l'Irlande*socio=ac et la Suède*socio=ac, ont pris des mesures*socio=et visant à améliorer la compétitivité*socio=uv3 et la rentabilité*socio=ec1 de leur secteur*socio=rien industriel*socio=ec1 et à ramener à des proportions*socio=rien plus raisonnables*socio=uv4 les déficits*socio=ec1 excessivement lourds*socio=rien de leur secteur_public*socio=et : ces mesures*socio=et ont contribué à l'amélioration*socio=uv1 de leur balance_commerciale*socio=ec1 (pétrole*socio=ec1 exclu*socio=rien) l'année*socio=rien dernière*socio=rien. La dévaluation*socio=ec2 de la *socio=ac couronne suédoise *socio=nil à la fin*socio=rien de 1982 aidant, cette amélioration*socio=uv1 a été*socio=rien particulièrement prononcée dans le cas*socio=rien de la Suède*socio=ac. En 1983, la croissance*socio=uv3 en volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1 de ce groupe*socio=ac l'a emporté de 1 point*socio=rien de *socio=rien pourcentage sur *socio=nil celle de ses marchés*socio=ec1 extérieurs*socio=te, alors qu'il avait perdu des parts*socio=rien de marchés*socio=ec1 en 1982. Par ailleurs*socio=rien, la stagnation*socio=ec1 persistante*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a freiné l'augmentation*socio=ec2 de ses importations*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1. pays_en_développement*socio=uv3. Évolution*socio=te des soldes*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants.*socio=nil Le*socio=nil solde*socio=ec1 extérieur courant*socio=rien des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 s'*socio=nil est*socio=rien considérablement*socio=rien *socio=nil amélioré en 1983 : ce progrès*socio=uv1 était le fruit*socio=rien des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et qu'ils avaient dû adopter pour remédier à l'évolution*socio=te antérieure*socio=te désastreuse*socio=rien de la situation*socio=rien de leur paiement*socio=ec1, puis, après*socio=rien le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1982, pour faire face*socio=rien au tarissement des prêts*socio=ec1 aux conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1. Avec la vague de hausses des *socio=ec1 prix pétroliers *socio=nil de 1979 - 80, la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te et l'escalade des taux_d'_intérêt*socio=ec1, le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien de ces pays*socio=ac avait pris des *socio=rien proportions inquiétantes,*socio=nil *socio=nil atteignant 109 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1981, contre 30 milliards*socio=rien en 1977 (tableau*socio=rien 7). Ils avaient réussi à ramener ce déficit*socio=ec1 à 82 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1982, essentiellement au prix*socio=ec1 d'une compression*socio=et de leurs importations*socio=ec1 - *socio=rien seule possibilité *socio=nil que leur laissaient le manque*socio=rien de vigueur*socio=uv3 persistant*socio=rien de leurs marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et leurs difficultés*socio=uv4 croissantes*socio=rien d'accès*socio=uv1 à un*socio=rien financement*socio=ec1 extérieur*socio=te. Le volume*socio=rien des moyens*socio=ec1 de financement*socio=ec1 mis à leur disposition*socio=et a encore diminué en 1983, mais leurs exportations*socio=ec1 ont alors commencé à réagir à la reprise économique*socio=ec1 dans le monde*socio=te industrialisé. Ils sont ainsi parvenus à réduire encore leur déficit*socio=ec1 courant*socio=rien (à 56 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) sans nouvelle*socio=rien diminution*socio=ec2 du*socio=rien montant*socio=ec1 global*socio=te de leurs réserves*socio=ec1 et au prix*socio=ec1 seulement d'une légère*socio=rien réduction*socio=ec2 supplémentaire*socio=rien de leurs importations*socio=ec1. L'ajustement*socio=et du*socio=rien solde*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années a*socio=nil été *socio=nil tout aussi prononcé en *socio=rien termes relatifs.*socio=nil *socio=nil Exprimé en proportion*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et services*socio=et, leur déficit_global*socio=ec1 est*socio=rien tombé d'à peu près 24 % en 1981 à environ 12 1/2 % en 1983. Cet ajustement*socio=et a été*socio=rien plus ou moins accusé suivant*socio=rien les pays*socio=ac, mais parmi ceux qui ont le plus amélioré leur situation*socio=rien figurent quelques-uns des plus grands*socio=rien pays*socio=ac non pétroliers*socio=ec1, qui comptaient aussi parmi les plus gros*socio=rien emprunteurs*socio=ac. Le déficit_global*socio=ec1 des 25 plus gros*socio=rien emprunteurs*socio=ac (dont quatre font *socio=rien partie du groupe*socio=ac des*socio=nil principaux exportateurs*socio=ac de*socio=nil pétrole*socio=ec1)*socio=nil a*socio=nil été *socio=nil ramené de 80 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 à 40 milliards*socio=rien entre 1981 et 1983, tandis que, sur*socio=rien la même période*socio=te, celui des pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 faible*socio=rien, qui n'ont toujours eu qu'un*socio=rien accès*socio=uv1 très limité aux crédits*socio=ec1 assortis des conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1, ne s'est*socio=rien réduit que de 15 1/2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 à 13 milliards*socio=rien. Le cas*socio=rien des principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 a été*socio=rien à plusieurs *socio=rien égards différent *socio=nil de celui des autres pays_en_développement*socio=uv3. Leur excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien avait considérablement*socio=rien augmenté en 1980 pour atteindre 111 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1; mais ils ont ensuite dû faire face*socio=rien à une diminution*socio=ec2 massive*socio=rien de la demande*socio=ec1 de leurs exportations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1, résultant*socio=rien des mesures*socio=et d'économie*socio=ec1 d'énergie*socio=ec1 prises*socio=rien dans les *socio=ac pays consommateurs,*socio=nil *socio=nil de la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te, de la réduction*socio=ec2 des stocks*socio=ec1, *socio=rien du remplacement de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil par d'autres et de l'augmentation*socio=ec2 de la *socio=ec1 production pétrolière *socio=nil dans d'autres pays*socio=ac. En 1982, leur solde*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien était devenu déficitaire*socio=ec2 de 12 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Ce renversement*socio=rien de situation*socio=rien a essentiellement frappé ceux de ces pays*socio=ac dont la position*socio=rien extérieure*socio=te était depuis toujours la plus solide*socio=rien. Tous les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil ont réagi à la baisse*socio=ec2 de leurs *socio=ec1 recettes pétrolières *socio=nil en prenant des mesures*socio=et pour restreindre la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. En 1983, ces mesures*socio=et de restriction*socio=et avaient abouti à ralentir nettement la détérioration*socio=uv4 jusqu'alors rapide*socio=rien de la situation*socio=rien de leur solde*socio=ec1 courant*socio=rien. Le déficit_global*socio=ec1 des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil n'a donc augmenté que légèrement, pour s'établir à 16 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, malgré la baisse*socio=ec2 de 15 % du*socio=rien prix*socio=ec1 de *socio=rien référence du brut,*socio=nil *socio=nil décidée en mars*socio=rien 1983 par les membres*socio=ac de ]' organisation_des_pays_exportateurs_de_pétrole*socio=ac. Pour ajuster leur balance_des_paiements*socio=ec1, les pays_en_développement*socio=uv3, exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 aussi bien*socio=rien que non pétroliers*socio=ec1, ont essentiellement recouru à une compression*socio=et de leurs importations*socio=ec1. Les importations*socio=ec1 des pays*socio=ac non pétroliers*socio=ec1, par exemple*socio=rien, ont diminué en valeur*socio=ec1 de 61 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 entre 1981 et 1983, soit d'un*socio=rien montant*socio=ec1 supérieur*socio=rien à l'amélioration*socio=uv1 de 53 milliards*socio=rien enregistrée par leur solde*socio=ec1 *socio=rien courant sur *socio=nil la même période*socio=te. Le volume*socio=rien des importations*socio=ec1 de ces pays*socio=ac n'était pas plus élevé*socio=uv4 en 1983 qu'en 1979 (graphique*socio=rien 8). La réduction*socio=ec2 des importations*socio=ec1 au cours*socio=rien de ces deux *socio=rien dernières années *socio=nil a atteint des proportions*socio=rien très variables*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac et d'une région*socio=te à l'autre, suivant*socio=rien l'ampleur*socio=rien de l'ajustement*socio=et nécessaire*socio=rien, la rapidité*socio=rien avec laquelle les mesures*socio=et d'ajustement*socio=et ont *socio=rien été prises et*socio=nil suivant *socio=nil aussi l'efficacité*socio=uv3 de ces mesures*socio=et. Les pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te, qui comprennent trois des plus gros*socio=rien emprunteurs*socio=ac - Mexique*socio=ac, Brésil*socio=ac et Argentine*socio=ac -, sont ceux qui ont différé le plus longtemps leur ajustement*socio=et en choisissant d'augmenter plutôt leurs emprunts*socio=ec1 aux conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1, principalement à court_terme*socio=te. Lorsqu'après*socio=rien le mois*socio=rien d'août*socio=rien 1982, les trois pays*socio=ac susmentionnés*socio=rien - ainsi d'ailleurs*socio=rien que la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac - se sont vu pratiquement bloquer l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 du*socio=rien crédit*socio=ec1, les importations*socio=ec1 de cette région*socio=te ont accusé une chute particulièrement brutale*socio=rien. Elles ont baissé d'un*socio=rien cinquième*socio=rien en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 en 1982 et également en 1983 - les entrées nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 ayant diminué de 50 % dans chacune de ces deux années*socio=rien - pour se retrouver à 10 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1983, contre 42 milliards*socio=rien en 1981. De leur côté*socio=rien, les *socio=ac pays africains *socio=nil avaient déjà commencé à réduire leurs importations*socio=ec1 en 1981 et ils ont continué d'en faire autant jusqu'à la fin*socio=rien de 1983. Ils ont, en effet*socio=rien, eu à affronter une situation*socio=rien d'autant plus difficile*socio=rien que leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 se sont détériorés de 15 % entre 1980 et la fin*socio=rien de 1983, et que des sécheresses récurrentes ont ravagé de *socio=rien larges parties du continent*socio=ac *socio=nil africain, surtout en 1983. En revanche, la région*socio=te d'Asie*socio=ac a beaucoup mieux réussi à s'ajuster aux chocs*socio=ec2 extérieurs*socio=te. Les *socio=ac pays asiatiques *socio=nil ont à peine dû réduire le volume*socio=rien de leurs importations*socio=ec1 en 1982 et ils ont pu l'augmenter fortement en 1983. Ils doivent ce succès*socio=uv1 à la promptitude*socio=uv1 avec laquelle ils ont réagi à la raréfaction*socio=uv3 de l'offre*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 étrangers*socio=te. L'Inde*socio=ac, par exemple*socio=rien, avait lancé dès 1981 *socio=rien un vaste programme*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil bénéficiant de l'appui*socio=uv1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 au titre*socio=rien d'un*socio=rien accord*socio=et élargi. De même, la balance_des_paiements*socio=ec1 de la Chine*socio=ac s'est*socio=rien excellemment comportée ces *socio=rien dernières années,*socio=nil après *socio=nil que ce pays*socio=ac eut profondément réorienté et rééquilibré son programme*socio=et d'investissement*socio=ec1 financé sur*socio=rien fonds*socio=ec1 étrangers*socio=te. Il *socio=rien est vrai *socio=nil que la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 ont dû sacrifier les importations*socio=ec1 aux exigences*socio=ec2 de l'ajustement*socio=et, mais il convient aussi de noter que le pouvoir_d'_achat*socio=ec1 de leurs exportations*socio=ec1 a fait*socio=rien preuve*socio=ec2 d'une assez bonne*socio=rien tenue, eu égard*socio=rien à la longueur*socio=rien et à la sévérité*socio=uv3 de la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te (graphique*socio=rien 9). La valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 des pays*socio=ac non pétroliers*socio=ec1 (c'est-à-dire la valeur*socio=ec1 de leurs exportations*socio=ec1 ajustée au moyen*socio=rien de l'indice_des_prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1) n'a diminué que dans une *socio=rien faible mesure *socio=nil en 1982, et elle a augmenté de plus de 6 % en 1983, grâce*socio=rien à un*socio=rien accroissement*socio=ec2 de 5 % *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 *socio=nil et à une légère*socio=rien amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1. Pour *socio=rien bon nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil l'*socio=nil augmentation*socio=ec2 du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 *socio=nil en 1983 peut être*socio=rien considérée comme le fruit*socio=rien des mesures*socio=et prises*socio=rien dans le cadre*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2. Ces décisions*socio=et ont consisté, entre autres, à fixer le taux_de_change*socio=ec1 à *socio=rien un niveau plus*socio=nil réaliste*socio=uv4 *socio=nil et à adopter des dispositions*socio=et en faveur*socio=rien des exportations*socio=ec1 non traditionnelles*socio=rien, surtout des exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés. Ce genre*socio=rien de mesures*socio=et a joué un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 dans l'expansion*socio=ec2 relativement *socio=rien rapide du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 d'*socio=nil Asie*socio=ac *socio=nil et d'Europe*socio=ac. *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil sont cependant restés à l'écart*socio=ec2 de cette tendance*socio=ec2 ascendante*socio=rien des exportations*socio=ec1, principalement parmi les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil (dont le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 dépend beaucoup plus de l'évolution*socio=te de la demande*socio=ec1 que d'une action*socio=ec1 sur*socio=rien l'offre*socio=ec1) et dans la région*socio=te africaine, où la sécheresse*socio=et a fait*socio=rien baisser l'offre*socio=ec1 de produits*socio=rien de base*socio=rien agricoles*socio=ec1 et où les termes_de_l'_échange*socio=ec1 sont restés déprimés. La réduction*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil depuis 1981 a aussi tenu en partie*socio=rien au ralentissement*socio=ec2 marqué de l'accroissement*socio=ec2 du*socio=rien montant*socio=ec1 net*socio=rien de leurs paiements_d'_intérêts*socio=ec1 à l'étranger*socio=te. Après*socio=rien avoir presque triplé en valeur*socio=ec1 absolue*socio=rien entre 1979 et 1982, le montant*socio=ec1 net*socio=rien des paiements_d'_intérêts*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 est*socio=rien resté inchangé*socio=rien en 1983 et a en fait*socio=rien fléchi en proportion*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1. Cette stabilisation*socio=et a résulté à la *socio=rien fois du freinage *socio=nil de l'augmentation*socio=ec2 de leur dette*socio=ec1, lié à la crise*socio=uv2 de 1982, et de la baisse*socio=ec2 des *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux.*socio=nil *socio=nil Ces divers points*socio=rien seront développés*socio=uv4 plus loin*socio=rien. Bien*socio=rien qu'on ne dispose encore que d'informations*socio=rien fragmentaires, il y a lieu*socio=rien de penser que la *socio=rien situation du solde*socio=ec1 courant global*socio=te des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil a continué de s'améliorer en 1984. Les séries *socio=rien mensuelles relatives aux*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil font apparaître un*socio=rien accroissement*socio=ec2 progressif*socio=rien de leurs achats*socio=ec1 aux pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 par rapport*socio=rien à leurs exportations*socio=ec1 vers ces pays*socio=ac : on peut en inférer que la balance_commerciale*socio=ec1 entre ces deux groupes_de_pays*socio=ac s'est*socio=rien améliorée au profit*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. Ce redressement*socio=ec2 semble être*socio=rien, toutefois, réparti de façon*socio=rien inégale*socio=uv2, l'Asie*socio=ac en restant toujours la principale*socio=rien bénéficiaire*socio=ac. Les perspectives*socio=te d'évolution*socio=te future*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3, et en particulier*socio=rien celles des pays*socio=ac non pétroliers*socio=ec1 et des plus gros*socio=rien emprunteurs*socio=ac, demeurent lourdes d'incertitudes*socio=uv3. En *socio=rien premier lieu,*socio=nil la*socio=nil récente hausse des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil risquerait, si elle devait être*socio=rien durable*socio=uv4, de compromettre la reprise économique*socio=ec1 dans les pays*socio=ac fortement endettés, d'une part*socio=rien, en alourdissant la *socio=rien charge du service_de_leur_dette*socio=ec1 *socio=nil et, d'autre part*socio=rien, en réveillant les méfiances sur*socio=rien la qualité*socio=rien de leur signature*socio=rien et donc en affaiblissant leur capacité*socio=uv3 d'emprunt*socio=ec1. Si, de ce fait*socio=rien, les pays_en_développement*socio=uv3 devaient se trouver acculés une *socio=rien nouvelle fois *socio=nil à une réduction*socio=ec2 généralisée de leurs importations*socio=ec1, ce pourrait être*socio=rien le point*socio=rien de départ*socio=rien d'un*socio=rien engrenage gravement préjudiciable*socio=et, non seulement au développement*socio=uv3 de ces pays*socio=ac eux-mêmes, mais aussi à l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te et de la demande*socio=ec1 de produits*socio=rien exportés par les pays_industrialisés*socio=ac. Naturellement, dans la mesure*socio=rien où la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 reflète l'accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac, celle-ci aura en contrepartie*socio=rien des effets*socio=rien favorables*socio=uv4 sur*socio=rien les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. En *socio=rien second lieu,*socio=nil le*socio=nil problème*socio=uv4 actuel*socio=te *socio=nil de la dette*socio=ec1 ne pourra être*socio=rien résolu que si les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil se dotent progressivement*socio=rien de la capacité*socio=uv3 d'exportation*socio=ec1 nécessaire*socio=rien pour augmenter leurs recettes*socio=ec1 en devises*socio=ec1 et s'ils ont accès*socio=uv1 à des marchés*socio=ec1 en expansion*socio=ec2 suffisamment rapide*socio=rien pour pouvoir*socio=et absorber ce supplément*socio=rien d'exportations*socio=ec1. Le *socio=rien simple rappel *socio=nil de cette *socio=rien dernière condition *socio=nil suffit à montrer toute l'importance*socio=rien que revêtent pour les pays_en_développement*socio=uv3 une reprise économique*socio=ec1 soutenue et le maintien*socio=rien d'un*socio=rien climat*socio=rien d'échanges*socio=ec1 libéral*socio=et dans le monde*socio=te industrialisé. Financement*socio=ec1 et dette*socio=ec1. Comme déjà noté, c'est*socio=rien l'amoindrissement*socio=ec2 sensible*socio=rien de la propension*socio=ec1 des prêteurs*socio=ac privés*socio=et à accroître leurs créances*socio=ec1 *socio=rien nettes sur les*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil qui a fondamentalement*socio=rien déterminé l'évolution*socio=te du*socio=rien solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te et des opérations*socio=rien en capital*socio=ec1 de ces pays*socio=ac en 1983. Alors que, durant la période*socio=te 1980-81, ceux-ci avaient pu contracter d'importants*socio=uv4 emprunts*socio=ec1 nouveaux*socio=rien auprès de sources*socio=rien de financement*socio=ec1 privées*socio=et, la *socio=rien situation est *socio=nil devenue tout autre ensuite; et beaucoup de ces pays*socio=ac n'ont plus pu obtenir*socio=rien d'engagements*socio=et de prêts*socio=ec1 nouveaux*socio=rien que dans le cadre*socio=rien de *socio=ec1 montages financiers *socio=nil organisés en liaison*socio=rien avec des programmes*socio=et globaux*socio=te d'ajustement*socio=et, bénéficiant de l'appui*socio=uv1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Ce changement*socio=uv3 de climat*socio=rien financier*socio=ec1 a touché tous les pays*socio=ac qui empruntaient largement sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te. Même si les données présentées dans cette sous-section se rapportent le plus souvent aux pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, il faut se garder d'oublier que, vers 1982, plusieurs des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil se sont trouvés dans une *socio=rien situation analogue.*socio=nil Fondamentalement,*socio=nil le*socio=nil changement*socio=uv3 d'*socio=nil attitude*socio=uv3 des*socio=nil prêteurs*socio=ac est *socio=nil né des inquiétudes*socio=rien qui les ont saisis devant*socio=rien l'insuffisance*socio=uv3 des efforts*socio=uv1 faits*socio=rien par *socio=rien bon nombre de*socio=nil débiteurs*socio=ac *socio=nil pour ramener leur déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien à *socio=rien un niveau soutenable*socio=uv4.*socio=nil Trois*socio=nil raisons,*socio=nil *socio=nil qui se renforçaient mutuellement, motivaient ces inquiétudes*socio=rien : l'importance*socio=rien croissante*socio=rien de l'encours total*socio=rien de la dette*socio=ec1; la modification*socio=rien de la structure*socio=ec1 de ses échéances*socio=te; enfin le maintien*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à des niveaux*socio=rien élevés*socio=uv4, qui, conjugué*socio=rien au marasme*socio=uv4 persistant*socio=rien des marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, a fait*socio=rien fortement augmenter les ratios*socio=ec1 de service_de_la_dette*socio=ec1. Le rapide*socio=rien alourdissement*socio=ec2 de l'encours de la dette*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 reflétait l'ampleur*socio=rien qu'avait prise*socio=rien leur déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien, et qui avait elle-même été*socio=rien rendue possible*socio=rien par la facilité d'accès*socio=uv1 aux prêts_privés*socio=et. Entre 1979 et 1981, la dette*socio=ec1 globale*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 s'était accrue de 19 % en moyenne*socio=rien par an*socio=rien (tableau*socio=rien 8). L'endettement*socio=ec1 des quatre *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 largement*socio=nil emprunteurs *socio=nil à l'étranger*socio=te (Algérie*socio=ac, Indonésie*socio=ac, Nigeria*socio=ac et Venezuela*socio=ac) avait, lui aussi, augmenté rapidement au rythme*socio=ec2 moyen*socio=rien annuel*socio=te de 27 %, de 1976 à 1979. A la fin*socio=rien des années*socio=rien 70, la croissance*socio=uv3 de la dette*socio=ec1 s'était heureusement accompagnée d'une rapide*socio=rien expansion*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et des exportations*socio=ec1, mais il a cessé d'en être*socio=rien ainsi après*socio=rien 1980. De ce fait*socio=rien, le *socio=ec1 ratio dette/*socio=nil exportations était*socio=nil passé*socio=rien *socio=nil de 111 % en 1980 à 144 % en 1982. De son côté*socio=rien, le *socio=ec1 ratio dette /*socio=nil PIB,*socio=nil *socio=nil qui était resté à peu près stable*socio=uv4 aux alentours*socio=rien de 24 % à la fin*socio=rien des années*socio=rien 70, s'était élevé*socio=uv4 à 33 % en 1982. En outre, et c'est*socio=rien ce qui a encore avivé les inquiétudes*socio=rien des créanciers*socio=ac, une part*socio=rien exagérément forte*socio=rien de cette dette*socio=ec1 était née des emprunts*socio=ec1 de certains pays*socio=ac et de certaines*socio=rien régions*socio=te (graphique*socio=rien 10). Bien*socio=rien que leurs *socio=ec1 ratios dette /*socio=nil exportations et*socio=nil dette /*socio=nil PIB *socio=nil fussent déjà élevés*socio=uv4 en 1977, les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac et de l'hémisphère_occidental*socio=te ont continué d'appliquer des stratégies*socio=et d'emprunt*socio=ec1 qui ont encore accru ces ratios*socio=ec1. Ces deux régions*socio=te avaient laissé leurs *socio=ec1 ratios dette /*socio=nil exportations *socio=nil atteindre des niveaux*socio=rien très élevés*socio=uv4 en 1982 - 205 % pour l'Afrique*socio=ac et 274 % pour l'hémisphère_occidental*socio=te. Cette augmentation*socio=ec2 était particulièrement préoccupante*socio=uv4 dans le cas*socio=rien des pays*socio=ac de l' hémisphère_occidental*socio=te car, empruntant surtout à des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, ils ne s'en trouvaient que davantage à la merci*socio=rien d'accès*socio=uv1 de défiance*socio=rien. Le choix*socio=uv1, par les emprunteurs*socio=ac comme par les prêteurs*socio=ac, d'échéances*socio=te plus courtes*socio=rien pour les prêts*socio=ec1 nouveaux*socio=rien n'a fait*socio=rien qu'aggraver les problèmes*socio=uv4 posés par l'alourdissement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 en rendant les emprunteurs*socio=ac plus vulnérables*socio=uv2 en cas*socio=rien de sautes d'humeur*socio=rien du*socio=rien marché*socio=ec1. Entre 1977 et 1979, la dette*socio=ec1 à court_terme*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 était restée de l'ordre*socio=rien de 15 % *socio=rien du total *socio=nil de leur dette*socio=ec1, et elle était surtout liée à des opérations*socio=rien commerciales*socio=ec1. Toutefois, à la suite*socio=rien de la vague de hausses des *socio=ec1 prix pétroliers *socio=nil de 1979-80, certains pays_en_développement*socio=uv3 ont eu de plus en plus recours*socio=rien à des emprunts*socio=ec1 à court_terme*socio=te au lieu*socio=rien d'emprunts*socio=ec1 à long_terme*socio=te, moins faciles*socio=rien à obtenir*socio=rien. Leur dette*socio=ec1 à court_terme*socio=te a donc augmenté rapidement pour atteindre 20 % *socio=rien du total *socio=nil en 1982. L'affectation*socio=ec1 d'emprunts*socio=ec1 à court_terme*socio=te à des emplois*socio=ec1 à plus long_terme*socio=te a créé un*socio=rien déphasage sans cesse plus grave*socio=uv4 entre les dates d'échéance*socio=te des remboursements*socio=ec1 et le moment*socio=rien où les dépenses*socio=ec1 ainsi financées commençaient à devenir*socio=rien rentables*socio=ec2. Là encore, cette tendance*socio=ec2 a été*socio=rien particulièrement évidente*socio=rien dans la région*socio=te de l'hémisphère_occidental*socio=te: la dette*socio=ec1 à court_terme*socio=te de cette région*socio=te est*socio=rien passée de 13 % de sa dette*socio=ec1 totale*socio=rien en 1977 à plus de 23 % en 1982. Exprimée en proportion*socio=rien des importations*socio=ec1, elle représentait 92 % en 1982, contre 40 % en *socio=rien moyenne sur la*socio=nil période*socio=te *socio=nil 1977 - 79. Le *socio=rien troisième grand motif de*socio=nil préoccupation*socio=uv4 des*socio=nil créanciers*socio=ac *socio=nil tenait à l'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien coût*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 pour les emprunteurs*socio=ac. Entre 1978 et 1981, les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 ont vu le montant*socio=ec1 total*socio=rien de leurs paiements*socio=ec1 au *socio=rien titre du service_de_leur_dette*socio=ec1 *socio=nil s'accroître de 31 % en moyenne*socio=rien par an*socio=rien. La hausse*socio=rien de leurs paiements_d'_intérêts*socio=ec1 a été*socio=rien spécialement rapide*socio=rien et a eu une incidence*socio=ec2 particulièrement *socio=rien forte sur le*socio=nil ratio*socio=ec1 du service_de_la_dette*socio=ec1 *socio=nil (c'est-à-dire le rapport*socio=rien entre la somme*socio=rien des paiements_d'_intérêts*socio=ec1 et d'amortissements au titre*socio=rien de la dette*socio=ec1 à long_terme*socio=te, d'une part*socio=rien, et les recettes*socio=ec1 rapportées par les exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et services*socio=et, d'autre part*socio=rien) après*socio=rien que la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 eut commencé à se ralentir en 1980 (graphique*socio=rien 11). Trois facteurs*socio=rien expliquent les évolutions*socio=te des divers ratios*socio=ec1 du*socio=rien service_ de_la_dette*socio=ec1 retracées au graphique*socio=rien 11. D'abord*socio=rien, les paiements_d'_intérêts*socio=ec1 ont augmenté *socio=rien du simple fait *socio=nil de l'alourdissement*socio=ec2 du*socio=rien montant*socio=ec1 de la dette*socio=ec1, qui a presque doublé entre 1978 et 1982. En outre, les taux_d'_intérêt*socio=ec1, et surtout ceux des prêts_privés*socio=et, ont beaucoup monté après*socio=rien 1979. Les 25 plus gros*socio=rien emprunteurs*socio=ac, dont la dette*socio=ec1 est*socio=rien en *socio=rien majeure partie *socio=nil née d'emprunts*socio=ec1 aux conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1, payaient 12,1 % d'intérêt*socio=uv1 sur*socio=rien leurs emprunts*socio=ec1 en 1982, contre 7,3 % en 1978. Enfin, et c'est*socio=rien ce qui aide*socio=uv1 à expliquer la diminution*socio=ec2 du*socio=rien *socio=ec1 ratio amortissement/*socio=nil exportations,*socio=nil le*socio=nil recours *socio=nil par certains débiteurs*socio=ac, après*socio=rien 1979, à des emprunts*socio=ec1 à court_terme*socio=te à la place*socio=rien d'emprunts*socio=ec1 à longue*socio=rien échéance*socio=te, a eu tendance*socio=ec2, les *socio=rien années suivantes,*socio=nil *socio=nil à faire baisser le ratio*socio=ec1 d'amortissement*socio=ec1, tel qu'il est*socio=rien calculé par convention*socio=et. Cet effet*socio=rien, particulièrement apparent*socio=rien dans le cas*socio=rien de la région*socio=te de l' hémisphère_occidental*socio=te, masque le fait*socio=rien (au demeurant reconnu par les créanciers*socio=ac) que la reconduction de la dette*socio=ec1 à court_terme*socio=te peut soulever des problèmes*socio=uv4 tout aussi épineux que le refinancement*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 à long_terme*socio=te, qui figure au numérateur du*socio=rien ratio*socio=ec1 d'amortissement*socio=ec1. Au début*socio=rien des années*socio=rien 80, d'autres facteurs*socio=rien ont contribué à éroder la possibilité*socio=rien pour les pays_en_développement*socio=uv3 de continuer à financer le déficit*socio=ec1 considérable*socio=rien de leurs transactions_courantes*socio=te. En dépit*socio=rien d'importants*socio=uv4 emprunts*socio=ec1 à des bailleurs_de_fonds*socio=ec1 privés*socio=et, le rapport*socio=rien entre leurs réserves_officielles*socio=et et leurs paiements*socio=ec1 au titre*socio=rien des importations*socio=ec1 est*socio=rien allé en s'affaiblissant, et il n'était plus que de 17 % en 1982, contre 26 % en 1978. Autre signe inquiétant*socio=rien : des fuites*socio=ec1 massives*socio=rien de capitaux_privés*socio=ec1 ont commencé à se produire après*socio=rien 1979 et se sont poursuivies jusqu'à la fin*socio=rien de 1982. Outre qu'elles ont aggravé les difficultés*socio=uv4 financières*socio=ec1 de certains pays*socio=ac, ces sorties de capitaux*socio=ec1 ont largement contribué à ébranler la confiance*socio=uv1 des créanciers*socio=ac étrangers*socio=te. Ainsi qu'on l'a déjà dit, le jeu*socio=rien combiné de ces diverses*socio=rien évolutions*socio=te, s'ajoutant à la persistance*socio=te de tendances*socio=ec2 à la récession*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, a conduit les créanciers_privés*socio=et à réviser fondamentalement*socio=rien leur politique*socio=et de prêts*socio=ec1 au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1982. Dès lors*socio=rien, les créanciers*socio=ac officiels*socio=et et les institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te ont dû, de concert*socio=uv1 avec les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 et avec les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil eux-mêmes, entreprendre des efforts*socio=uv1 coordonnés en vue*socio=rien de rétablir des flux*socio=ec1 de financement*socio=ec1 stables*socio=uv4 pour les pays*socio=ac endettés. Essentiellement, ces efforts*socio=uv1 se sont articulés autour de deux axes : adoption*socio=uv3 de programmes*socio=et globaux*socio=te d'ajustement*socio=et de la balance_des_paiements*socio=ec1 et négociation*socio=et d'une série de "montages*socio=ec1 financiers*socio=ec1", comportant des réaménagements*socio=rien de dettes*socio=ec1 et, dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil cas,*socio=nil l'*socio=nil octroi de*socio=nil nouveaux prêts*socio=ec1 *socio=nil concertés entre banques*socio=ac. Ces montages*socio=ec1 ont sensiblement modifié la structure*socio=ec1 du*socio=rien financement*socio=ec1 des déficits*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants *socio=nil en 1983; de fait*socio=rien, ils ont compté pour à peu près la moitié*socio=rien dans les nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec1 consentis cette année-là par les banques*socio=ac aux pays_en_développement*socio=uv3. Ces dispositifs*socio=et ont permis*socio=rien de mettre en *socio=rien place un cadre efficace*socio=uv4 *socio=nil pour aider les *socio=ac pays débiteurs *socio=nil à intensifier leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et inciter les créanciers*socio=ac à infléchir leur attitude*socio=uv3 à l'égard*socio=rien de l'octroi*socio=rien de prêts*socio=ec1 nouveaux*socio=rien. Dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, le *socio=rien volet central *socio=nil de ces *socio=ec1 montages financiers *socio=nil a consisté à rééchelonner les échéances*socio=te d'une *socio=rien bonne part des*socio=nil remboursements*socio=ec1 de*socio=nil principal *socio=nil dus par un*socio=rien pays*socio=ac. Ces rééchelonnements*socio=et n'engendrent évidemment pas de nouvelles*socio=rien entrées de capitaux*socio=ec1, mais ils n'en ont pas moins joué un*socio=rien rôle*socio=et extrêmement important*socio=uv4 en atténuant les difficultés*socio=uv4 financières*socio=ec1 extérieures*socio=te de pays*socio=ac endettés qui auraient eu plus de peine à se faire accorder des prêts*socio=ec1 nouveaux*socio=rien. Le nombre*socio=rien des pays*socio=ac ayant entrepris de négocier un*socio=rien *socio=et rééchelonnement multilatéral *socio=nil de leur dette*socio=ec1 envers des créanciers*socio=ac officiels*socio=et *socio=rien est passé *socio=nil de 6 en 1982 au chiffre record*socio=ec2 de 16 en 1983. Les accords*socio=et de réaménagement*socio=rien de dettes*socio=ec1 entre pays_en_développement*socio=uv3 et banques*socio=ac créancières*socio=ec1 ont aussi atteint *socio=rien un sommet *socio=nil en 1983 : 17 pays*socio=ac (dont 2 non membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1) ont paraphé des accords*socio=et de réaménagement*socio=rien durant cette année-là. Grâce*socio=rien à ces accords*socio=et, les paiements*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 au *socio=rien titre du service_de_leur_dette*socio=ec1 à*socio=nil moyen et*socio=nil long_terme*socio=te ont*socio=nil été *socio=nil réduits de 8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1982 et de 19 milliards*socio=rien en 1983 par rapport*socio=rien à ce que ces pays*socio=ac auraient dû verser autrement. De plus, un*socio=rien montant*socio=ec1 important*socio=uv4 de leur dette*socio=ec1 à court_terme*socio=te envers les banques*socio=ac a été*socio=rien converti en dette*socio=ec1 à moyen*socio=rien ou long_terme*socio=te. Outre le rééchelonnement*socio=et de dettes*socio=ec1 existantes*socio=rien, *socio=rien un certain nombre de*socio=nil *socio=ec1 montages financiers *socio=nil comportaient des engagements*socio=et de prêts*socio=ec1 nouveaux*socio=rien souscrits par des créanciers*socio=ac officiels*socio=et aussi bien*socio=rien que privés*socio=et. C'est*socio=rien ainsi qu'a été*socio=rien décidé en 1983 l'octroi*socio=rien de quelque 15 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 de nouveaux*socio=rien *socio=ec1 crédits bancaires,*socio=nil *socio=nil principalement au bénéfice*socio=uv1 de pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te. Quoique *socio=rien bien supérieur *socio=nil à ce qui aurait pu être*socio=rien obtenu en l'absence*socio=rien de concertation*socio=uv1 entre banques*socio=ac, ce chiffre n'en traduisait pas moins un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 considérable*socio=rien des engagements*socio=et de prêts*socio=ec1 nouveaux*socio=rien par rapport*socio=rien à leur rythme*socio=ec2 de jadis. De fait*socio=rien, comme le montre le tableau*socio=rien 8, le montant*socio=ec1 net*socio=rien des emprunts*socio=ec1 obtenus par les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 de créanciers_privés*socio=et étrangers*socio=te (en *socio=rien majeure partie des*socio=nil banques*socio=ac)*socio=nil *socio=nil a diminué de moitié*socio=rien de 1981 à 1982 et à nouveau*socio=rien de près de moitié*socio=rien en 1983. Les autres apports*socio=rien financiers*socio=ec1 sont restés beaucoup plus stables*socio=uv4 que les prêts_privés*socio=et entre 1982 et 1983. Le volume*socio=rien des apports*socio=rien non générateurs*socio=rien de dettes*socio=ec1, c'est-à-dire les investissements*socio=ec1 directs*socio=rien et les dons*socio=ec1 officiels*socio=et, a légèrement diminué à cause*socio=rien de la morosité*socio=uv1 des investissements*socio=ec1 directs*socio=rien. En revanche, les entrées de capitaux*socio=ec1 officiels*socio=et à long_terme*socio=te se sont maintenues à *socio=rien un bon niveau.*socio=nil Pris*socio=nil ensemble,*socio=nil ces*socio=nil apports relativement*socio=nil stables*socio=uv4 *socio=nil ont financé à peu près les quatre *socio=rien cinquièmes du déficit_global*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil en 1983, contre environ la moitié*socio=rien seulement en 1982. L'aide*socio=uv1 fournie par le Fonds*socio=ec1 à l'appui*socio=uv1 des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3 s'est*socio=rien traduite par une *socio=rien utilisation croissante des*socio=nil crédits*socio=ec1 *socio=nil de cette institution*socio=ac en 1982 et en 1983. Après*socio=rien avoir déjà augmenté fortement en 1981, l'utilisation*socio=rien nette*socio=rien des crédits*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 s'est*socio=rien encore accrue pour atteindre 6,4 milliards*socio=rien de DTS en 1982 et 10,3 milliards*socio=rien de DTS en 1983. L'utilisation*socio=rien accrue des crédits*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 a permis*socio=rien aux pays_en_développement*socio=uv3 de compléter leur recours*socio=ec1 à des emprunts*socio=ec1 liés à des réserves*socio=ec1 en 1982, puis de financer une *socio=rien certaine partie du remboursement*socio=ec1 net *socio=nil de ces emprunts*socio=ec1 à court_terme*socio=te en 1983. Malgré tout, les arriérés de paiement*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 ont continué de s'accumuler en 1983, bien*socio=rien que plus lentement que l'année*socio=rien précédente*socio=rien. *socio=rien Après un brutal accroissement*socio=ec2 *socio=nil qui l'avait porté de moins de 7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1981 à 23 milliards*socio=rien à la fin*socio=rien de 1982, le montant*socio=ec1 total*socio=rien des arriérés de l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 s'est*socio=rien encore légèrement accru en 1983, pour se chiffrer à 27 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Leurs réserves*socio=ec1 brutes*socio=rien ont cependant augmenté de 0,8 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1983, alors qu'elles avaient diminué de 16,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1982. Le fait*socio=rien que les réserves_globales*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 ont pu augmenter légèrement alors même que les arriérés de paiement*socio=ec1 continuaient à s'accumuler tient surtout à ce que le processus*socio=te d'ajustement*socio=et était beaucoup plus avancé dans certains pays*socio=ac que dans d'autres. Ainsi que le montrent les graphiques*socio=rien 10 et 11, l'évolution*socio=te du*socio=rien financement*socio=ec1 du*socio=rien déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 en 1982 et 1983 s'est*socio=rien traduite par une nette*socio=rien brisure dans certaines*socio=rien des tendances*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 que l'on pouvait observer les *socio=rien années précédentes.*socio=nil Le*socio=nil taux_de_croissance*socio=ec1 *socio=nil de la dette*socio=ec1 globale*socio=rien de ces pays*socio=ac a été*socio=rien ramené de 18 % en 1981 à 13 % en 1982, puis à 6 % en 1983. En 1983, leur dette*socio=ec1 à court_terme*socio=te a enregistré une réduction*socio=ec2 de l'ordre*socio=rien de 23 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (au bénéfice*socio=uv1 essentiellement de l'hémisphère_occidental*socio=te) grâce*socio=rien, en partie*socio=rien, à des accords*socio=et de réaménagement*socio=rien de dettes*socio=ec1; sa part*socio=rien dans le total*socio=rien s'est*socio=rien ainsi retrouvée à 15 %, c'est-à-dire à *socio=rien un niveau *socio=nil proche de la moyenne*socio=rien à la fin*socio=rien des années*socio=rien 70. La *socio=rien charge du service_de_la_dette*socio=ec1 *socio=nil a fléchi, elle aussi, en 1983 : le ratio*socio=ec1 des paiements_d'_intérêts*socio=ec1 est*socio=rien tombé à 13,2 %, contre 14,3 % en 1982, et le ratio*socio=ec1 *socio=rien total du service_de_la_dette*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil à 21,6 %, contre 24,5 %. Le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la dette*socio=ec1 totale*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 s'explique par la raréfaction*socio=uv3 même de l'offre*socio=ec1 des crédits*socio=ec1 en leur faveur*socio=rien ainsi que par la forte*socio=rien réduction*socio=ec2 de leur déficit*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te. Mais la diminution*socio=ec2 de leur ratio*socio=ec1 de service_de_la_dette*socio=ec1 est*socio=rien, quant à elle, largement attribuable*socio=rien à l'incidence*socio=ec2 des accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et. Ceux-ci ont, en effet*socio=rien, réduit le ratio*socio=ec1 global*socio=te du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 de ces pays*socio=ac de 1,8 point*socio=rien de pourcentage*socio=rien en 1982 et de 4,1 points*socio=rien en 1983. Si les paiements*socio=ec1 dont les échéances*socio=te ont été*socio=rien repoussées avaient dû être*socio=rien réglés aux dates initialement prévues, leur ratio*socio=ec1 de service_de_la_dette*socio=ec1 serait passé*socio=rien de 21 % en 1981 à plus de 26 % en 1982 et n'aurait que très légèrement baissé en 1983, pour se situer à un*socio=rien peu moins de 26 %. La mise en place*socio=rien de *socio=rien nouvelles opérations de*socio=nil rééchelonnement*socio=et de*socio=nil dettes*socio=ec1 *socio=nil continuera de contenir la hausse*socio=rien des ratios*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 en 1984. De plus, créanciers*socio=ac et débiteurs*socio=ac ont aujourd'hui une vision*socio=ec2 plus proche qu'en 1982-83 de ce qu'ils peuvent respectivement offrir et demander. Les pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te, qui ont déjà bénéficié de la moitié*socio=rien des accords*socio=et de réaménagement*socio=rien de dettes*socio=ec1 en 1983, sont les tout premiers*socio=rien à avoir besoin*socio=uv1 de nouveaux*socio=rien rééchelonnements*socio=et en 1984, et des *socio=ec1 montages financiers *socio=nil sont déjà organisés en *socio=rien faveur du Mexique*socio=ac et*socio=nil du Brésil*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Toutefois, les pays*socio=ac de cette région*socio=te continuent de dépendre de manière*socio=rien cruciale*socio=uv4 de l'offre*socio=ec1 de prêts_privés*socio=et à des taux_d'_intérêt*socio=ec1 variables*socio=rien. La tendance*socio=ec2 à la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 observée dans les pays_industrialisés*socio=ac durant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1984 se répercutera sur*socio=rien le montant*socio=ec1 des intérêts*socio=uv1 qu'ils auront à payer*socio=rien pour assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1. Toutefois, comme on l'a déjà dit, dans la mesure*socio=rien où elle a été*socio=rien déterminée par l'accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1, cette hausse*socio=rien aura aussi fait*socio=rien augmenter les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. Problèmes*socio=uv4 de politique_économique*socio=ec1. L'année*socio=rien 1983 a été*socio=rien marquée par une accélération*socio=ec2 opportune*socio=rien de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac et une nouvelle*socio=rien réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, mais elle n'en laisse pas moins aux décideurs*socio=ac d'importants*socio=uv4 problèmes*socio=uv4 à résoudre. La reprise est*socio=rien inégale*socio=uv2 dans le monde*socio=te industrialisé et son élan*socio=rien pourrait *socio=rien fort bien être *socio=nil brisé par la réorientation*socio=et en hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1. La remontée des taux_d'_intérêt*socio=ec1 affaiblit aussi la position*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 lourdement endettés, qui doivent maintenant exploiter l'amélioration*socio=uv1 de leur balance_des_paiements*socio=ec1 pour relancer leur croissance*socio=uv3 et leur développement*socio=uv3 intérieurs*socio=te. Derrière ces deux grands*socio=rien problèmes*socio=uv4 se dresse le *socio=rien spectre du protectionnisme*socio=et,*socio=nil *socio=nil que l'on a vivement condamné en paroles*socio=rien sans mettre autant d'énergie*socio=ec1 à y résister dans les actes. L'analyse*socio=ec2 présentée dans cette *socio=rien section est centrée*socio=nil sur les*socio=nil aspects *socio=nil de ces problèmes*socio=uv4 qui touchent aux politiques_économiques*socio=et intérieures*socio=te et aux perspectives*socio=te d'évolution*socio=te des pays_membres*socio=ac. Les *socio=rien questions intéressant *socio=nil avant tout le *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil seront traitées au *socio=rien chapitre suivant.*socio=nil *socio=nil Soutenir la reprise dans les pays_industrialisés*socio=ac. Voici qu'aujourd'hui, après*socio=rien la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te *socio=rien du début des*socio=nil années *socio=nil 80, la reprise conjoncturelle*socio=te est*socio=rien en *socio=rien bonne voie *socio=nil dans plusieurs des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac et manifestement en train*socio=rien de se propager à d'autres. Il s'agit donc, essentiellement, de la maintenir avec *socio=rien fermeté sur le*socio=nil sentier *socio=nil qui mène progressivement*socio=rien, mais sûrement, au rétablissement*socio=rien de niveaux*socio=rien d'emploi*socio=ec1 convenables*socio=rien et d'une croissance*socio=uv3 régulière*socio=ec2 des revenus*socio=ec1 réels*socio=ec2. A cette fin*socio=rien, il importe que les gouvernements*socio=ac des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac restent fidèles aux grands*socio=rien principes*socio=ec2 de la stratégie*socio=et qu'ils avaient adoptée, voici plusieurs années*socio=rien, pour faire face*socio=rien à la coexistence sans précédent*socio=rien d'une forte*socio=rien inflation*socio=ec1 et d'une croissance*socio=uv3 faiblissante. Le progrès*socio=uv1 déjà réalisé vers le rétablissement*socio=rien d'un*socio=rien environnement*socio=et financier*socio=ec1 stable*socio=uv4 a joué un*socio=rien rôle*socio=et considérable*socio=rien dans la genèse de la phase*socio=te d'expansion*socio=ec2 actuelle*socio=te; et c'est*socio=rien dans une très *socio=rien large mesure *socio=nil de la continuation de ce progrès*socio=uv1 que dépendront la poursuite*socio=rien et l'élargissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2. Le processus*socio=te de restauration*socio=ec2 de la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 est*socio=rien encore très inégal et incomplet, et la confiance*socio=uv1 dans ses chances*socio=rien de continuation demeure encore fragile*socio=rien dans *socio=rien bon nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil Il*socio=nil est vrai *socio=nil que l'inflation*socio=ec1 s'est*socio=rien ralentie de *socio=rien façon spectaculaire *socio=nil dans presque tous les pays_industrialisés*socio=ac, mais il *socio=rien est vrai *socio=nil aussi qu'elle demeure exagérément forte*socio=rien dans quelques-uns d'entre eux et qu'il deviendra de plus en plus difficile*socio=rien de maintenir la tendance*socio=ec2 à la décélération*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à mesure*socio=rien que le rythme*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 s'accélérera. La remontée des taux_d'_intérêt*socio=ec1 dans plusieurs pays*socio=ac vient aussi rappeler, à point*socio=rien nommé, que la vitesse*socio=rien à laquelle on peut laisser la demande*socio=ec1 augmenter sans réveiller les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 *socio=rien est fort loin d'*socio=nil être *socio=nil illimitée. Si l'on veut consolider la reprise, le premier*socio=rien impératif*socio=uv4 est*socio=rien donc de continuer d'appliquer avec fermeté*socio=rien des politiques_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et axées sur*socio=rien le maintien*socio=rien d'un*socio=rien climat*socio=rien anti-inflationniste*socio=ec2. Le respect*socio=uv1 de cette priorité*socio=uv4 ne signifie cependant pas que tous les pays*socio=ac doivent mener des politiques_économiques*socio=et identiques, ni que chacun d'entre eux doive s'en tenir implacablement à *socio=rien un degré de*socio=nil rigueur*socio=uv3 bien *socio=nil déterminé. Etant donné la diversité*socio=uv1 de leurs caractéristiques*socio=rien et de leurs *socio=rien résultats récents,*socio=nil *socio=nil chacun devra utiliser ses instruments*socio=et d'action*socio=ec1 budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1 d'une manière*socio=rien souple*socio=uv4, en fonction*socio=rien de ses nécessités propres*socio=rien. Même si le maintien*socio=rien d'une discipline*socio=uv1 monétaire*socio=ec1 demeure d'une importance*socio=rien cruciale*socio=uv4 pour tous les pays_industrialisés*socio=ac, c'est*socio=rien dans ceux où le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 reste*socio=rien très supérieur*socio=rien à la *socio=rien moyenne du reste du monde*socio=te *socio=nil industrialisé que la rigueur*socio=uv3 devra être*socio=rien poussée le plus loin*socio=rien. Une *socio=rien bonne maîtrise *socio=nil de l'inflation*socio=ec1 aiderait ces pays*socio=ac à stimuler l'investissement*socio=ec1 intérieur*socio=te et à maintenir des positions*socio=rien concurrentielles*socio=ec2 internationales*socio=te propres*socio=rien qui permettraient à leurs entreprises*socio=ac nationales*socio=te de participer aux fruits*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 conjoncturelle*socio=te des marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te. Dans les pays*socio=ac où la discipline*socio=uv1 monétaire*socio=ec1 a déjà fait*socio=rien amplement la preuve*socio=ec2 de son efficacité*socio=uv3 pour freiner l'inflation*socio=ec1 et préparer le terrain*socio=rien à un*socio=rien redémarrage*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3, il faudra se garder de fournir à l'économie*socio=ec1 une trop forte*socio=rien dose de liquidités*socio=ec1 durant les premières*socio=rien phases*socio=te de la reprise. Certaines*socio=rien banques_centrales*socio=ac seront peut-être fortement tentées d'empêcher les taux_d'_intérêt*socio=ec1 de monter en assouplissant leur politique_monétaire*socio=et, mais il faut espérer qu'elles sauront résister à cette tentation*socio=rien. C'est*socio=rien, en effet*socio=rien, le manque*socio=rien de fermeté*socio=rien des politiques_monétaires*socio=et appliquées durant les phases*socio=te précédentes*socio=rien d'expansion*socio=ec2 conjoncturelle*socio=te qui a été*socio=rien l'une des *socio=rien principales causes *socio=nil de l'accélération*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 au cours*socio=rien d'une *socio=rien bonne partie *socio=nil des 15 *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Dans le climat*socio=rien actuel*socio=te des anticipations*socio=uv3, toute tentative*socio=rien visant à freiner l'évolution*socio=te des taux_d'_intérêt*socio=ec1 grâce*socio=rien à un*socio=rien assouplissement*socio=uv3 de la politique_monétaire*socio=et risquerait fort*socio=rien d'aboutir au *socio=rien résultat contraire,*socio=nil *socio=nil même à court_terme*socio=te, de par ses *socio=rien effets sur les*socio=nil anticipations*socio=uv3 du marché*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Étant donné les diverses*socio=rien innovations*socio=uv3 financières*socio=ec1 et modifications*socio=rien des réglementations*socio=et qui ont caractérisé ces quelques *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil il ne sera facile*socio=rien pour aucune des principales*socio=rien banques_centrales*socio=ac de juger des mesures*socio=et à prendre pour maintenir *socio=rien un degré *socio=nil approprié de rigueur*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 sans étouffer la reprise. Le plus souvent, elles se guident, pour mener leur action*socio=ec1, sur*socio=rien des objectifs*socio=uv3 indicatifs de l'expansion*socio=ec2 d'agrégats*socio=ec1 monétaires*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4; mais certaines*socio=rien d'entre elles se sont heurtées à de *socio=uv4 sérieuses difficultés d'*socio=nil ordre*socio=rien technique*socio=rien *socio=nil pour interpréter les relations*socio=rien mouvantes entre ces agrégats*socio=ec1 et d'autres variables*socio=ec2 économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 dans *socio=rien un contexte financier*socio=ec1 en*socio=nil rapide mutation*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Il se révèle utile*socio=uv4 depuis *socio=rien un an *socio=nil ou deux, et il sera probablement nécessaire*socio=rien dans l'avenir*socio=te de faire preuve*socio=ec2 de souplesse*socio=uv3, en laissant ces agrégats*socio=ec1 s'écarter des voies*socio=rien prévues ou en prenant en compte*socio=ec1 d'autres agrégats*socio=ec1 - et d'autres variables*socio=ec2 - tels que le taux_de_change*socio=ec1. Toutefois, cette souplesse*socio=uv3 devra être*socio=rien empreinte de prudence*socio=uv1. Si l'on veut que la publication*socio=rien d'objectifs*socio=uv3 monétaires*socio=ec1 officiels*socio=et *socio=rien reste un moyen efficace*socio=uv4 *socio=nil d'endiguer les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 et de réduire l'incertitude*socio=uv3 sur*socio=rien la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1, les dérapages*socio=uv4 hors des voies*socio=rien tracées ne devront être*socio=rien autorisés que dans les cas*socio=rien de force*socio=uv1 majeure*socio=rien. Depuis plusieurs années*socio=rien, l'existence*socio=rien de lourds*socio=rien déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et complique la gestion*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 et du*socio=rien crédit*socio=ec1 dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac. Dans quelques-uns d'entre eux, dont certains des plus grands*socio=rien, l'orientation*socio=et effective*socio=rien de la politique_budgétaire*socio=et a été*socio=rien, à d'importants*socio=uv4 égards*socio=rien, en contradiction*socio=uv1 avec l'objectif*socio=uv3 général*socio=rien de rétablissement*socio=rien de la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1. Les politiques_budgétaires*socio=et des différents*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont donc été*socio=rien moins homogènes*socio=uv4 entre elles que leurs politiques_monétaires*socio=et et, dans quelques-uns d'entre eux, ces deux principaux*socio=rien instruments*socio=et de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 ont été*socio=rien maniés en *socio=rien sens contraire.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil des quatre *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil trois des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac - le Japon*socio=ac, la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac - ont nettement réduit les composantes*socio=ec1 structurelles*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et de leur administration_centrale*socio=ac. Même si dans les deux *socio=ac pays européens *socio=nil elle a été*socio=rien en *socio=rien grande partie *socio=nil ou en totalité*socio=rien compensée par une évolution*socio=te en sens*socio=rien inverse des composantes*socio=ec1 sensibles*socio=rien aux influences conjoncturelles*socio=te, cette compression*socio=et a, dans les trois pays*socio=ac, apporté un*socio=rien soutien*socio=uv3 considérable*socio=rien à la politique*socio=et de rigueur*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 qu'ils appliquaient dans le même temps*socio=rien. En revanche, durant la même période*socio=te, le déficit*socio=ec1 de l' administration_centrale*socio=ac a augmenté aux États-unis*socio=ac, en Italie*socio=ac et au Canada*socio=ac, non seulement pour des raisons*socio=rien liées à l'évolution*socio=te défavorable*socio=uv4 de la position*socio=rien conjoncturelle*socio=te de ces pays*socio=ac, mais aussi à cause*socio=rien de modifications*socio=rien budgétaires*socio=et structurelles*socio=ec2, qui ont fait*socio=rien augmenter le besoin*socio=uv1 de financement*socio=ec1 de l'État*socio=ac. A moins qu'on ne prenne des mesures*socio=et pour accroître les recettes*socio=ec1 ou réduire les dépenses*socio=ec1 qu'impliquent les *socio=et programmes budgétaires en*socio=nil vigueur*socio=uv3,*socio=nil il*socio=nil est*socio=rien *socio=nil à prévoir que, dans ces trois pays*socio=ac, les emprunts*socio=ec1 de l'État*socio=ac auront tendance*socio=ec2 à absorber une proportion*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 privée*socio=et très supérieure*socio=rien à ce qu'elle était habituellement dans le passé*socio=rien. Même dans les pays*socio=ac qui ont réussi, durant les quelques *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil à améliorer la composante*socio=rien structurelle*socio=ec2 de leur solde*socio=ec1 budgétaire*socio=et, le déficit*socio=ec1 *socio=rien effectif reste élevé*socio=uv4.*socio=nil Au*socio=nil Japon*socio=ac,*socio=nil *socio=nil il s'agit là des *socio=rien séquelles du grave*socio=uv4 déséquilibre*socio=uv3 *socio=nil auquel en était arrivée*socio=rien la situation*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et avant l'adoption*socio=uv3 de la politique*socio=et de rigueur*socio=uv3 budgétaire*socio=et présentement en vigueur*socio=uv3. Au Royaume-uni*socio=ac, en Allemagne*socio=ac et en France*socio=ac, l'ampleur*socio=rien du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et actuel*socio=te est*socio=rien peut-être surtout le reflet*socio=rien de l'évolution*socio=te conjoncturelle*socio=te de ces pays*socio=ac. Etant donné les importants*socio=uv4 besoins*socio=uv1 d'emprunt*socio=ec1 de l'État*socio=ac liés à ces déséquilibres*socio=uv3, la demande*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 *socio=rien totale est demeurée*socio=nil forte *socio=nil dans tous ces pays*socio=ac, même en période*socio=te de relative*socio=rien mollesse de l'activité_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te : leurs marchés_financiers*socio=ec1 n'en sont aujourd'hui que plus sensibles*socio=rien aux pressions*socio=ec2 engendrées par la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac et au Canada*socio=ac. L'allure*socio=rien très vive de la reprise aux États-unis*socio=ac et au Canada*socio=ac offre*socio=rien à ces deux pays*socio=ac une occasion*socio=rien exceptionnelle*socio=uv4 d'opérer dans la structure*socio=ec1 de leur budget*socio=ec1 des ajustements*socio=et utiles*socio=uv4 et indispensables*socio=uv4, tout en évitant certaines*socio=rien des répercussions*socio=ec2 défavorables*socio=uv4 qui auraient risqué d'en résulter durant la période*socio=te de récession*socio=ec2. Indépendamment de la nécessité*socio=uv1 à long_terme*socio=te d'assurer une distribution*socio=rien mieux équilibrée de l'épargne*socio=ec1 entre secteur_privé*socio=et et secteur_public*socio=et, *socio=rien un certain freinage supplémentaire *socio=nil de la croissance*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et en valeur*socio=ec1 nominale*socio=rien peut être*socio=rien dès maintenant utile*socio=uv4 pour contenir la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te totale*socio=rien dans des limites*socio=rien raisonnables*socio=uv4. Vu la dimension*socio=rien de l'économie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac et l'ampleur*socio=rien des entrées de capitaux*socio=ec1 qu'ils attirent aujourd'hui, une réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 du*socio=rien budget*socio=ec1 fédéral*socio=et pourrait probablement faire augmenter de *socio=rien façon appréciable le*socio=nil volume des*socio=nil fonds*socio=ec1 disponibles *socio=nil pour les investissements_privés*socio=ec1, non seulement aux États-unis*socio=ac eux-mêmes, mais aussi dans le monde*socio=te entier*socio=rien. En Italie*socio=ac et en France*socio=ac, la reprise a beaucoup plus tardé à s'amorcer que dans les pays_industrialisés*socio=ac de l'amérique_du_nord*socio=ac. Néanmoins, comme l'inflation*socio=ec1 et la fragilité*socio=uv1 de leur situation*socio=rien extérieure*socio=te menacent de compromettre leurs perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3, la rigueur*socio=uv3 budgétaire*socio=et s'impose aussi dans ces pays*socio=ac - surtout en Italie*socio=ac, qui est*socio=rien celui des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac dont le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et est*socio=rien de loin*socio=rien le plus élevé*socio=uv4 par rapport*socio=rien au PNB*socio=ec1. En l'absence*socio=rien de discipline*socio=uv1 budgétaire*socio=et, la politique_monétaire*socio=et, aussi bien*socio=rien conçue qu'elle soit, ne peut donner que des résultats*socio=rien limités. Le Japon*socio=ac et la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, qui peuvent se prévaloir de taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 comparativement bas*socio=rien, d'une *socio=rien forte situation extérieure*socio=te *socio=nil et de progrès*socio=uv1 vers l'équilibre*socio=ec2 budgétaire*socio=et, ont peut-être moins besoin*socio=uv1 que les pays*socio=ac susmentionnés*socio=rien de s'employer sans attendre à réduire rapidement leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et. Néanmoins, le renforcement*socio=ec2 de l'investissement*socio=ec1 et de la croissance*socio=uv3 à plus long_terme*socio=te peut dépendre dans une *socio=rien large mesure *socio=nil d'une nouvelle*socio=rien avancée progressive*socio=rien dans cette voie*socio=rien. Pour le Royaume-uni*socio=ac, qui a, lui aussi, fait*socio=rien dans l'ensemble*socio=rien *socio=rien un gros effort*socio=uv1 de*socio=nil compression*socio=et *socio=nil de son déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et ces *socio=rien dernières années,*socio=nil le*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil dans ce sens*socio=rien doit demeurer *socio=rien un élément central *socio=nil de la stratégie*socio=et économique*socio=ec1 des pouvoirs_publics*socio=et, à la fois*socio=rien parce qu'il s'est*socio=rien interrompu en 1983 et parce que le freinage*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien plus récent*socio=rien et moins complet*socio=rien - et donc moins assuré - dans ce pays*socio=ac que dans les deux autres. La stratégie*socio=et générale*socio=rien suivie depuis 1979 par les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac avait aussi pour objectif*socio=uv3 d'atténuer ou d'éliminer diverses*socio=rien rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 que l'on considérait comme des obstacles*socio=uv3 à une affectation*socio=ec1 optimale*socio=uv4 et à un*socio=rien plein_emploi*socio=uv3 des ressources*socio=ec1 disponibles*socio=rien. A cette fin*socio=rien, *socio=rien un certain nombre de*socio=nil gouvernements*socio=ac *socio=nil ont adopté des mesures*socio=et visant - en plus de leur action*socio=ec1 sur*socio=rien le solde*socio=ec1 budgétaire*socio=et global*socio=te - à inciter davantage au travail*socio=rien, à l'épargne*socio=ec1 et à l'investissement*socio=ec1. Beaucoup ont apporté des aménagements*socio=et à leurs systèmes*socio=rien d'indexation*socio=ec1 des salaires*socio=ec1 et à leurs programmes*socio=et de transferts_sociaux*socio=et; les *socio=et réglementations publiques applicables*socio=rien aux*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil (spécialement ceux de l'énergie*socio=ec1), aux taux_d'_intérêt*socio=ec1 - dans certains cas*socio=rien - et à d'autres *socio=rien aspects du fonctionnement des*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil et des marchés_financiers*socio=ec1 ont été*socio=rien abolies ou assouplies. La plupart*socio=rien de ces mesures*socio=et avaient, pour l'essentiel*socio=uv4, le même objectif*socio=uv3 : laisser davantage, au jeu*socio=rien des forces_du_marché*socio=ec1, le soin*socio=rien de contenir les coûts*socio=ec1 et d'assurer une redistribution*socio=et plus efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1. Il apparaît essentiel*socio=uv4, surtout en Europe*socio=ac, d'introduire une plus grande*socio=rien souplesse*socio=uv3 dans la négociation*socio=et des conventions*socio=et salariales*socio=ec1 si l'on veut que les entreprises*socio=ac retrouvent des marges bénéficiaires*socio=ac et des incitations*socio=uv3 à investir suffisantes*socio=rien pour leur permettre d'absorber plus rapidement les membres*socio=ac de la population_active*socio=ac actuellement en chômage*socio=ec1. Depuis longtemps, la rigidité*socio=uv3 excessive*socio=uv4 des attitudes*socio=uv3 et des pratiques*socio=et adoptées en matière*socio=rien de fixation*socio=ec1 des taux*socio=ec1 de salaire*socio=ec1 tend à freiner le déplacement*socio=rien des travailleurs*socio=ac des industries*socio=ec1 en déclin*socio=ec2 vers les industries*socio=ec1 porteuses*socio=rien d'avenir*socio=te - et empêchent, par là même, tous les intéressés de voir pleinement les immenses*socio=rien potentialités qu'offrent ces dernières*socio=rien. Pour beaucoup d'entreprises*socio=ac européennes*socio=ac, les marges bénéficiaires*socio=ac qu'elles peuvent envisager, compte*socio=ec1 tenu de la structure*socio=ec1 existante*socio=rien des coûts*socio=ec1, semblent trop faibles*socio=rien pour justifier l'acceptation*socio=uv1 du*socio=rien risque*socio=uv3 et de l'effort*socio=uv1 qu'impliquent des investissements*socio=ec1 novateurs. Si les majorations*socio=rien des *socio=ec1 salaires nominaux *socio=nil étaient modulées avec plus de souplesse*socio=uv3 et plus de réalisme*socio=uv3 en fonction*socio=rien des gains*socio=ec1 de productivité*socio=uv3 et des objectifs*socio=uv3 nationaux*socio=te de stabilisation*socio=et des prix*socio=ec1, les chances*socio=rien d'accélération*socio=ec2 des investissements*socio=ec1 et de réduction*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1 s'en trouveraient accrues. Ajustement*socio=et et croissance*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3. Après*socio=rien la longue*socio=rien et pénible*socio=rien phase*socio=te de régression*socio=ec2 économique*socio=ec1 que les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 viennent de traverser, le premier*socio=rien impératif*socio=uv4 pour leurs gouvernements*socio=ac est*socio=rien d'y rétablir des taux*socio=ec1 convenables*socio=rien d'expansion*socio=ec2. Toutefois, ces pays*socio=ac ne peuvent escompter une expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4 avant d'avoir amélioré la situation*socio=rien de leur balance_des_paiements*socio=ec1 et la qualité*socio=rien de leur *socio=rien signature sur les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te.*socio=nil *socio=nil A la suite*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 de leur déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien, liée à la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 de 1979 - 80 et à la récession*socio=ec2 qui s'est*socio=rien amorcée en 1980 dans le monde*socio=te industrialisé, de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 ont cherché à amortir le choc*socio=ec2 de ces événements*socio=rien extérieurs*socio=te sur*socio=rien leur économie*socio=ec1 en procédant à des emprunts*socio=ec1 massifs*socio=rien aux conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 pour financer leur déficit*socio=ec1 accru. Ce genre*socio=rien de stratégie*socio=et aurait peut-être pu se justifier s'il y avait eu tout lieu*socio=rien de penser que ces perturbations*socio=ec2 de l'environnement*socio=et extérieur*socio=te étaient purement temporaires*socio=rien. Or*socio=ec1, en l'occurrence*socio=rien, la récession*socio=ec2 a duré longtemps, et la situation*socio=rien extérieure*socio=te des *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil a encore été*socio=rien affaiblie par les *socio=rien effets du maintien des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil à des niveaux*socio=rien élevés*socio=uv4 - résultant*socio=rien, lui-même, de la *socio=rien détermination nouvelle *socio=nil avec laquelle les pays_industrialisés*socio=ac ont *socio=rien fait front *socio=nil à la menace*socio=uv1 d'une *socio=ec2 intensification cumulative des*socio=nil anticipations*socio=uv3 inflationnistes.*socio=nil *socio=nil Avec le *socio=rien recul du temps,*socio=nil *socio=nil on peut dire qu'en différant l'ajustement*socio=et en 1979 - 81, ces pays*socio=ac se sont finalement condamnés à l'opérer dans des conditions*socio=ec1 plus difficiles*socio=rien. Face*socio=rien à la diminution*socio=ec2 brutale*socio=rien de l'offre*socio=ec1 de crédits*socio=ec1 étrangers*socio=te, beaucoup d'entre eux n'ont eu d'autre solution*socio=rien que de réduire fortement leur déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien. Vu la morosité*socio=uv1 de la demande*socio=ec1 dans le monde*socio=te industrialisé, la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1 pour les produits*socio=rien de base*socio=rien et les restrictions*socio=et limitant l'accès*socio=uv1 à certains marchés*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac, les pays_en_développement*socio=uv3 n'ont pu améliorer, comme il fallait, le solde*socio=ec1 de leurs transactions_courantes*socio=te qu'en comprimant leurs importations*socio=ec1. La perte*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 intérieure*socio=te qui va de pair*socio=rien avec une semblable*socio=rien compression*socio=et des importations*socio=ec1 dépend naturellement *socio=rien du degré de*socio=nil souplesse*socio=uv3 *socio=nil avec lequel les pays*socio=ac en question*socio=rien peuvent s'adapter*socio=rien au *socio=rien nouvel état de*socio=nil choses.*socio=nil Cette*socio=nil *socio=uv3 souplesse risque d'*socio=nil être*socio=rien *socio=nil limitée par les rigidités*socio=uv3 et distorsions*socio=uv3 qu'introduisent dans le mécanisme*socio=et d'allocation*socio=et des ressources*socio=ec1 certains facteurs*socio=rien tels que les taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 d'inflation*socio=ec1, les réglementations*socio=et des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te et des salaires*socio=ec1, le niveau*socio=rien peu réaliste*socio=uv4 des taux_de_change*socio=ec1 et d'intérêt*socio=uv1, enfin les systèmes*socio=rien de restriction*socio=et des importations*socio=ec1 et de contrôle*socio=uv3 des changes*socio=ec1. Dans les *socio=rien circonstances présentes,*socio=nil la*socio=nil suppression progressive de*socio=nil semblables obstacles*socio=uv3 *socio=nil à une utilisation*socio=rien plus complète et plus efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 doit être*socio=rien l'un*socio=rien des grands*socio=rien axes des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et économique*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. Freiner l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien une nécessité*socio=uv1 de fait*socio=rien car, s'il est*socio=rien en_principe*socio=ec2 possible*socio=rien d'en atténuer les répercussions*socio=ec2 *socio=rien nocives sur l'*socio=nil affectation*socio=ec1 des*socio=nil ressources*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil dans la pratique*socio=rien, les moyens*socio=ec1 à employer à cette fin*socio=rien sont rarement d'une totale*socio=rien efficacité*socio=uv3 et entravent souvent la réalisation*socio=uv1 du*socio=rien *socio=uv4 potentiel productif.*socio=nil *socio=nil Habituellement, plus la *socio=rien hausse du niveau général des*socio=nil prix*socio=ec1 est rapide,*socio=nil *socio=nil plus les fluctuations*socio=ec2 des prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien sont fortes*socio=rien. En même temps*socio=rien, il devient plus difficile*socio=rien de prévoir l'inflation*socio=ec1 future*socio=te, et une incertitude*socio=uv3 accrue *socio=rien pèse sur les*socio=nil décisions*socio=et d'*socio=nil épargne*socio=ec1 *socio=nil et d'investissement*socio=ec1 productif*socio=uv4. Les capitaux*socio=ec1 ont tendance*socio=ec2 à fuir à l'étranger*socio=te ou à se mettre à l'abri*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 dans des investissements*socio=ec1 non productifs*socio=uv4, ce qui ne fait*socio=rien que rendre plus malaisée la gestion*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1. En introduisant des distorsions*socio=uv3 dans les prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien, les mesures*socio=et de contrôle*socio=uv3 direct*socio=rien des prix*socio=ec1 ont, elles aussi, des *socio=rien effets néfastes sur l'*socio=nil économie*socio=ec1.*socio=nil Aux*socio=nil pertes*socio=ec2 de*socio=nil bien-être*socio=uv1 résultant *socio=nil d'une affectation*socio=ec1 peu rationnelle*socio=uv4 des ressources*socio=ec1 peuvent venir s'ajouter des charges*socio=rien pour le budget*socio=ec1 si l'on recourt à des subventions*socio=ec1 pour maintenir à de *socio=rien bas niveaux les*socio=nil prix*socio=ec1 finals *socio=nil de certains produits*socio=rien. Lorsqu'on utilise à cette même fin*socio=rien d'autres moyens*socio=ec1, comme des *socio=et réglementations administratives,*socio=nil *socio=nil on décourage la production*socio=ec1 et il se produit*socio=rien des pénuries*socio=ec2 qui favorisent l'apparition*socio=rien de "marchés*socio=ec1 noirs". La *socio=rien situation est particulièrement*socio=nil grave*socio=uv4 *socio=nil lorsque les produits*socio=rien subventionnés*socio=ec1 sont de ceux qui font l'objet*socio=rien d'échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te. En *socio=rien pareil cas,*socio=nil *socio=nil il peut *socio=rien être nécessaire *socio=nil de recourir à *socio=rien diverses formes *socio=nil de rationnement pour équilibrer l'offre_et_la_demande*socio=ec1 de devises*socio=ec1. La capacité*socio=uv3 de réaction*socio=rien de l'économie*socio=ec1 aux perturbations*socio=ec2 extérieures*socio=te se trouve réduite puisque sa propension*socio=ec1 à consommer des biens*socio=ec1 faisant l'objet*socio=rien d'échanges*socio=ec1 est*socio=rien artificiellement gonflée par rapport*socio=rien à sa capacité*socio=uv3 de produire des biens*socio=ec1 de ce genre*socio=rien. Deux prix*socio=ec1 ont une influence particulièrement profonde*socio=rien à la *socio=rien fois sur la*socio=nil capacité*socio=uv3 d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil d'une économie*socio=ec1 à court_terme*socio=te et sur*socio=rien sa capacité*socio=uv3 de croissance*socio=ec1 à long_terme*socio=te : le taux_de_change*socio=ec1 et le taux_d'_intérêt*socio=ec1. Un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 surévalué équivaut en fait*socio=rien, sous une forme*socio=rien déguisée, à une subvention*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 de biens*socio=ec1 faisant l'objet*socio=rien d'échanges*socio=ec1 et à un*socio=rien impôt*socio=et sur*socio=rien leur production*socio=ec1, avec toutes les conséquences*socio=rien défavorables*socio=uv4 qui viennent d'être*socio=rien exposées. Le maintien*socio=rien de taux_d'_intérêt*socio=ec1 artificiellement bas*socio=rien, surtout lorsqu'ils sont négatifs*socio=rien en termes*socio=rien réels*socio=ec2, affaiblit les incitations*socio=uv3 à l'épargne*socio=ec1 et provoque des sorties de capitaux*socio=ec1, limitant ainsi les investissements*socio=ec1 intérieurs*socio=te. Le rétablissement*socio=rien de taux_d'_intérêt*socio=ec1 et de taux_de_change*socio=ec1 plus appropriés aux exigences*socio=ec2 de la *socio=rien situation est l'*socio=nil un des*socio=nil éléments importants*socio=uv4 *socio=nil de la stratégie*socio=et économique*socio=ec1 appliquée en 1983 et en 1984 par plusieurs des pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 les plus lourdement endettés. Les mesures*socio=et qu'ils ont prises*socio=rien dans ce sens*socio=rien peuvent concourir pour beaucoup à redonner du*socio=rien dynamisme*socio=uv3 aux secteurs*socio=rien de leur économie*socio=ec1 produisant des biens*socio=ec1 qui font l'objet*socio=rien d'échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te. Elles stimuleront directement l'emploi*socio=ec1 et la production*socio=ec1 dans les branches*socio=rien exportatrices*socio=ec1 et concurrençant les importations*socio=ec1; en outre, par le jeu*socio=rien des effets*socio=rien de multiplicateur*socio=rien, elles devraient aider à faire augmenter la production*socio=ec1 dans l'ensemble*socio=rien de l'économie*socio=ec1. Imposer des restrictions*socio=et aux importations*socio=ec1 peut être*socio=rien parfois une nécessité*socio=uv1 inéluctable*socio=rien pour les pays*socio=ac dont la situation*socio=rien extérieure*socio=te est*socio=rien devenue particulièrement difficile*socio=rien. Toutefois, au-delà du*socio=rien très court_terme*socio=te, ces mesures*socio=et ont en général*socio=rien des conséquences*socio=rien fâcheuses non seulement pour le climat*socio=rien des échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te, mais aussi pour les pays*socio=ac qui les adoptent eux-mêmes. L'allocation*socio=et des rares*socio=rien ressources*socio=ec1 en devises*socio=ec1 exige, alors, la mise en place*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien administratif*socio=et, qui est*socio=rien coûteux*socio=ec2 en termes*socio=rien de ressources_humaines*socio=ec1, s'ajuste difficilement à l'évolution*socio=te des exigences*socio=ec2 économiques*socio=ec1 et se prête*socio=rien à des abus*socio=uv1. Ce sont naturellement les ajustements*socio=et opérés par les pays_en_ développement*socio=uv3 eux-mêmes qui peuvent et doivent jouer le rôle*socio=et principal*socio=rien dans le rétablissement*socio=rien d'un*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec1 satisfaisant*socio=rien de leur économie*socio=ec1; mais, de toute évidence*socio=rien, l'évolution*socio=te de leur environnement*socio=et économique*socio=ec1 extérieur*socio=te revêt aussi une importance*socio=rien cruciale*socio=uv4 à cet égard*socio=rien. Les efforts*socio=uv1 déployés par les pays_en_développement*socio=uv3 pour élargir leurs secteurs*socio=rien économiques*socio=ec1 produisant pour l'exportation*socio=ec1 ne seront couronnés de succès*socio=uv1 que si la croissance*socio=uv3 se maintient à *socio=rien un bon rythme*socio=ec2 *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac. Par ailleurs*socio=rien, comme on l'a déjà indiqué, une certaine*socio=rien réorientation*socio=et de la politique_économique*socio=ec1 dans plusieurs pays_industrialisés*socio=ac pourrait aider à contenir les taux_d'_intérêt*socio=ec1 et, par là même, permettre aux pays_en_développement*socio=uv3 de consacrer une plus *socio=rien forte part *socio=nil de leurs recettes*socio=ec1 en devises*socio=ec1 à l'achat*socio=ec1 des biens*socio=ec1 nécessaires*socio=rien à leur effort*socio=uv1 de développement*socio=uv3. Il importera aussi que ces pays*socio=ac puissent disposer de moyens*socio=ec1 de financement*socio=ec1 suffisants*socio=rien durant les étapes*socio=te qui leur restent à parcourir dans leur processus*socio=te d'ajustement*socio=et. Les échéances*socio=te auxquelles les *socio=ac pays débiteurs vont*socio=nil devoir*socio=rien faire*socio=nil face*socio=rien *socio=nil dans les années*socio=rien qui viennent sont très lourdes et excèdent de beaucoup ce qu'ils peuvent régler sur*socio=rien leurs recettes*socio=ec1 courantes*socio=te. Tant que les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil continueront d'appliquer des politiques*socio=et judicieuses*socio=uv4 d'ajustement*socio=et à *socio=rien moyen terme,*socio=nil il*socio=nil est normal,*socio=nil *socio=nil et même prudent*socio=uv2, pour les prêteurs*socio=ac de leur fournir de quoi leur permettre de maintenir des taux_de_croissance*socio=ec1 modérés pour la production*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 et, en même temps*socio=rien, d'allonger les délais*socio=rien de remboursement*socio=ec1 de leur dette*socio=ec1 existante*socio=rien. Pour ce qui est*socio=rien des pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 faible*socio=rien, qui ne peuvent espérer avoir plus qu'un*socio=rien accès*socio=uv1 limité aux crédits*socio=ec1 assortis des conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1, il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 de leur accorder une aide_publique_au_développement*socio=et suffisante*socio=rien si l'on veut qu'ils retrouvent tout le bénéfice*socio=uv1 de leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et dans un*socio=rien accroissement*socio=ec2 de leur potentiel*socio=uv4 de croissance*socio=uv3. Protectionnisme*socio=et. L'un*socio=rien des faits*socio=rien les plus préoccupants*socio=uv4 de ces *socio=rien dernières années est l'*socio=nil affermissement*socio=ec2 des*socio=nil tendances*socio=ec2 protectionnistes*socio=et.*socio=nil Les*socio=nil gouvernements*socio=ac *socio=nil de la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac se sont en général*socio=rien refusés à toute ingérence*socio=et ouverte*socio=uv4 dans les courants*socio=te commerciaux*socio=ec1; mais ils se sont montrés de plus en plus disposés à accéder aux demandes*socio=et d'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et spéciales*socio=rien dans tel ou tel cas*socio=rien. Ces mesures*socio=et n'ont pris qu'en *socio=rien certaines occasions la*socio=nil forme *socio=nil de contingentements directs*socio=rien; beaucoup plus souvent, les gouvernements*socio=ac ont usé de moyens*socio=ec1 indirects*socio=rien, notamment l'incitation*socio=uv3 à une "restriction*socio=et volontaire*socio=uv4 des exportations*socio=ec1" : un*socio=rien pays*socio=ac importateur*socio=ec1 *socio=rien amène un pays*socio=ac exportateur*socio=ec1 *socio=nil à restreindre ses exportations*socio=ec1 en lui faisant craindre l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et de restriction*socio=et plus sévères*socio=uv4. D'autres méthodes*socio=ec2 consistent à édicter des réglementations*socio=et qui compliquent à dessein*socio=rien les formalités*socio=et de passage*socio=rien en douane*socio=ac ou à faire jouer tous les rouages*socio=rien de la législation*socio=et nationale*socio=te sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 étrangère*socio=te "déloyale*socio=uv2". Les arguments*socio=ec2 qui militent à l'encontre*socio=rien du*socio=rien protectionnisme*socio=et sont bien*socio=rien connus et très généralement admis. Les mesures*socio=et de restriction*socio=et des importations*socio=ec1 affaiblissent la concurrence*socio=ec1 dans les *socio=ac pays importateurs,*socio=nil *socio=nil ce qui pousse à la hausse*socio=rien les prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 et retarde l'innovation*socio=uv3 technique*socio=rien. Elles ne constituent qu'une sauvegarde*socio=et limitée et temporaire*socio=rien pour l'emploi*socio=ec1 intérieur*socio=te. D'abord*socio=rien, les mesures*socio=et de protection*socio=et incitent à des mesures*socio=et de rétorsion, qui entraînent des pertes*socio=ec2 d'emplois*socio=ec1 dans les secteurs*socio=rien exportateurs*socio=ac. Même s'il n'en est*socio=rien pas ainsi, la réduction*socio=ec2 des importations*socio=ec1 d'un*socio=rien secteur*socio=rien de l'économie*socio=ec1 aura tendance*socio=ec2, toutes *socio=rien choses égales d'*socio=nil ailleurs,*socio=nil *socio=nil à faire monter le taux_de_change*socio=ec1 et, donc, à provoquer en *socio=rien contrepartie un affaiblissement*socio=ec2 *socio=nil de la balance_commerciale*socio=ec1 des secteurs*socio=rien non protégés*socio=rien. De plus, comme les *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil ont toujours une incidence*socio=ec2 sélective*socio=uv4, elles créent généralement des irrationalités dans l'affectation*socio=ec1 des ressources*socio=ec1, en détournant celles-ci des emplois*socio=ec1 les plus efficients*socio=uv4. Lorsque les facteurs*socio=rien de production*socio=ec1 ne sont pas employés*socio=rien d'une manière*socio=rien qui réponde au critère*socio=rien de l'avantage_comparatif*socio=ec2, il en résulte des conséquences*socio=rien défavorables*socio=uv4 non seulement pour le niveau*socio=rien de la production*socio=ec1 à court_terme*socio=te, mais aussi pour l'investissement*socio=ec1 et, donc, pour la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 à plus long_terme*socio=te. Dans les *socio=rien circonstances présentes,*socio=nil il*socio=nil est *socio=nil d'autant plus important*socio=uv4 de résister à la tentation*socio=rien protectionniste*socio=et que les pays*socio=ac fortement endettés doivent augmenter leurs recettes*socio=ec1 en devises*socio=ec1 pour s'acquitter de leurs obligations*socio=uv1 au *socio=rien titre du service_de_leur_dette*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Jusqu'ici, ces pays*socio=ac ont dû recourir à une compression*socio=et massive*socio=rien de leurs importations*socio=ec1 pour réduire le rapport*socio=rien entre leur déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien et leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1. Il *socio=rien est impensable *socio=nil qu'ils puissent indéfiniment continuer à comprimer de la sorte*socio=rien leurs importations*socio=ec1, du*socio=rien moins sans *socio=rien conséquences inacceptables *socio=nil pour leur développement*socio=uv3 économique*socio=ec1. Les pays_en_développement*socio=uv3 ne parviendront à retrouver le chemin*socio=rien d'un*socio=rien rapide*socio=rien relèvement*socio=ec2 du*socio=rien niveau_de_vie*socio=uv1 de leur population*socio=ac tout en améliorant de façon*socio=rien soutenue leur situation*socio=rien extérieure*socio=te qu'à condition*socio=rien d'avoir un*socio=rien accès*socio=uv1 suffisamment large*socio=rien aux marchés*socio=ec1 en expansion*socio=ec2 des pays_industrialisés*socio=ac. Cependant, les pays_en_développement*socio=uv3 doivent, eux-mêmes, résister à la tentation*socio=rien de recourir à des mesures*socio=et de restriction*socio=et des importations*socio=ec1 comme moyen*socio=rien d'ajustement*socio=et. On ne peut considérer l'ajustement*socio=et comme durable*socio=uv4 à *socio=rien moyen terme *socio=nil que s'il est*socio=rien fondé sur*socio=rien une meilleure*socio=uv4 affectation*socio=ec1 des ressources*socio=ec1, répondant au critère*socio=rien de l' avantage_comparatif*socio=ec2 international*socio=te et aux exigences*socio=ec2 de la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 intérieure*socio=te. Maintenant que la production*socio=ec1 et le commerce*socio=ec1 ont une fois*socio=rien encore repris un*socio=rien rythme*socio=ec2 d'expansion*socio=ec2 plus satisfaisant*socio=rien dans le monde*socio=te, le moment*socio=rien devrait *socio=rien être propice *socio=nil pour s'attaquer sérieusement aux tendances*socio=ec2 protectionnistes*socio=et qu'on avait laissé s'amplifier dans une ambiance*socio=rien de récession*socio=ec2. Lors*socio=rien de plusieurs réunions*socio=rien au niveau*socio=rien ministériel*socio=et, les participants*socio=ac ont souligné leur ferme*socio=ec2 détermination*socio=rien de résister aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et et de les infléchir. Deux de ces réunions*socio=rien se sont tenues très récemment : la *socio=rien réunion du comité_intérimaire*socio=ac d'*socio=nil avril *socio=nil 1984 et la réunion*socio=rien, au niveau*socio=rien ministériel*socio=et, de l'Organisation*socio=ac de coopération*socio=uv1 et de développement*socio=uv3 économiques*socio=ec1 de mai*socio=rien 1984. Il faut espérer que, dans l'année*socio=rien qui vient, les intentions*socio=rien exprimées en ces *socio=rien diverses occasions déboucheront*socio=nil sur des*socio=nil résultats plus*socio=nil concrets *socio=nil que ce ne paraît avoir été*socio=rien le cas*socio=rien jusqu'ici. Évolution*socio=te du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Les *socio=rien principales caractéristiques du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te en*socio=nil vigueur*socio=uv3 *socio=nil à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te et les aspects*socio=rien essentiels*socio=uv4 de son évolution*socio=te récente*socio=rien sont les deux *socio=rien sujets sur lesquels*socio=nil porte le*socio=nil présent chapitre.*socio=nil La*socio=nil première partie donne*socio=nil un *socio=nil aperçu des régimes*socio=et et des politiques*socio=et adoptés, en matière*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1, par les pays_industrialisés*socio=ac et les pays_en_développement*socio=uv3 qui sont membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1; elle retrace ensuite l'évolution*socio=te de la surveillance*socio=et que le Fonds*socio=ec1 exerce sur*socio=rien ces politiques*socio=et. La *socio=rien deuxième partie *socio=nil étudie la question*socio=rien des liquidités*socio=ec1 internationales*socio=te, d'abord*socio=rien en analysant les *socio=rien variations récentes des*socio=nil réserves_officielles*socio=et internationales*socio=te,*socio=nil *socio=nil puis en décrivant l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te privés*socio=et du*socio=rien crédit*socio=ec1; elle examine enfin la situation*socio=rien des réserves_internationales*socio=ec1 et le rôle*socio=et que joue le Fonds*socio=ec1 en mettant des liquidités*socio=ec1 à la disposition*socio=et des pays_membres*socio=ac. taux_de_change*socio=ec1 et surveillance*socio=et. L'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 - et surtout la faiblesse*socio=ec2 de *socio=rien bon nombre des*socio=nil principales monnaies*socio=ec1 par*socio=nil rapport au*socio=nil dollar_éu*socio=ec1 *socio=nil - n'a cessé d'être*socio=rien une source*socio=rien de préoccupations*socio=uv4 en 1983 et au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1984. Les causes*socio=rien de cette tendance*socio=ec2 ne sont pas entièrement élucidées*socio=et mais il semble bien*socio=rien que les principales*socio=rien soient les divergences*socio=uv1 des conditions_économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1, en particulier*socio=rien la vigueur*socio=uv3 de la reprise économique*socio=ec1 américaine*socio=ac par rapport*socio=rien à celle des autres pays*socio=ac et la *socio=rien nouvelle hausse des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 aux*socio=nil États-unis*socio=ac.*socio=nil Au*socio=nil sein du système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac (*socio=nil SME*socio=ec1)*socio=nil ,*socio=nil la*socio=nil persistance*socio=te de*socio=nil taux*socio=ec1 d'*socio=nil inflation*socio=ec1 assez*socio=nil élevés*socio=uv4 dans*socio=nil nombre de*socio=nil pays*socio=ac a*socio=nil ouvert une*socio=nil nouvelle période*socio=te de*socio=nil tensions*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil qui a été*socio=rien suivie d'un*socio=rien réalignement*socio=rien des cours-pivots au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1983. Mais, depuis, les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et déployés par les pays*socio=ac à inflation*socio=ec1 relativement forte*socio=rien ont atténué les tensions*socio=ec2. La plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 ont vu leur déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien se comprimer sensiblement, en 1983, sous l'effet*socio=rien de l'action*socio=ec1 qu'ils ont menée et, dans une *socio=rien moindre mesure,*socio=nil *socio=nil de la reprise économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac. Cette action*socio=ec1 a souvent pris la forme*socio=rien d'une dévaluation*socio=ec2 significative*socio=uv4 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1, appuyée par un*socio=rien programme*socio=et détaillé qui visait à réduire le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et, à ralentir le rythme*socio=ec2 d'expansion*socio=ec2 du*socio=rien crédit*socio=ec1, à améliorer la répartition*socio=uv3 des investissements*socio=ec1 publics*socio=et et, de manière*socio=rien plus générale*socio=rien, à rétablir, pour les taux_d'_intérêt*socio=ec1 et les stimulants*socio=ec2 au niveau*socio=rien des prix*socio=ec1, *socio=rien un système *socio=nil approprié à la situation*socio=rien. Dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil toutefois, le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te a été*socio=rien comprimé par la mise en oeuvre*socio=rien de programmes*socio=et qui étaient fondés essentiellement sur*socio=rien la restriction*socio=et des importations*socio=ec1 et la réduction*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, en particulier*socio=rien celle de l'investissement*socio=ec1, mais ne prévoyaient aucun stimulant propre*socio=rien à réorienter les ressources*socio=ec1 de l'économie*socio=ec1 vers le secteur*socio=rien des exportations*socio=ec1. Une fois*socio=rien de plus, l'évolution*socio=te observée en 1983 et durant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1984 a fait*socio=rien ressortir que tout effort*socio=uv1 visant à stabiliser le système*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 doit être*socio=rien soutenu par une politique_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te qui aille dans le sens*socio=rien de la stabilisation*socio=et des conditions_économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 internes*socio=te, notamment dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Il importe à cet égard*socio=rien que l'orientation*socio=et générale*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 soit compatible*socio=rien avec le maintien*socio=rien d'un*socio=rien faible*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1. Mais cela ne suffit pas. Il importe aussi que la politique_monétaire*socio=et et la politique_budgétaire*socio=et s'étayent l'une l'autre pour que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ne soient pas soumis à des tensions*socio=ec2 injustifiées*socio=rien. Dans ses activités*socio=rien de surveillance*socio=et, le Fonds*socio=ec1 n'a cessé d'insister sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de réaliser cet équilibrage des politiques*socio=et. Par ailleurs*socio=rien, en ce qui concerne les nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 aux prises*socio=rien avec de *socio=uv4 graves problèmes d'*socio=nil ajustement*socio=et intérieur*socio=te et*socio=nil extérieur*socio=te,*socio=nil le*socio=nil Fonds*socio=ec1 *socio=nil a sans cesse souligné la nécessité*socio=uv1 pour ces pays*socio=ac de mettre en oeuvre*socio=rien une politique*socio=et d'ajustement*socio=et globale*socio=rien à long_terme*socio=te, qui soit propre*socio=rien à accroître les exportations*socio=ec1 et à restaurer les fondements*socio=uv4 d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4, sans compter, bien*socio=rien entendu, les mesures*socio=et à court_terme*socio=te, souvent inévitables*socio=rien, qui permettent de freiner la demande*socio=ec1. Surveillance*socio=et exercée sur*socio=rien les politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1. Cependant que la situation*socio=rien économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 mondiale*socio=te s'améliorait mais demeurait difficile*socio=rien, le Fonds*socio=ec1 a continué d'attacher beaucoup d'importance*socio=rien à l'exercice*socio=rien de sa fonction*socio=rien de surveillance*socio=et. L'un*socio=rien des *socio=rien aspects primordiaux *socio=nil de cette *socio=rien fonction est la*socio=nil nécessité*socio=uv1 *socio=nil de veiller à ce que, dans la définition*socio=rien de leur politique*socio=et de change*socio=ec1, les pays_membres*socio=ac soient guidés par les trois principes*socio=ec2 qu'énonce le document*socio=rien de 1977 intitulé "Surveillance*socio=et des politiques*socio=et de change*socio=ec1"; ce document*socio=rien prévoit que les pays_membres*socio=ac doivent : s'abstenir de manipuler les taux_de_change*socio=ec1 ou le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te; intervenir, le cas*socio=rien échéant, sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1 pour contrecarrer un*socio=rien désordre et tenir compte*socio=ec1, dans leurs politiques*socio=et d'intervention*socio=et, des intérêts*socio=uv1 des autres pays_membres*socio=ac. Toutefois, dans une optique*socio=rien plus vaste*socio=rien, les activités*socio=rien de surveillance*socio=et exercées par le Fonds*socio=ec1 visent les obligations*socio=uv1 qu'impose aux pays_membres*socio=ac la section*socio=rien 1 de l'article*socio=rien IV de ses statuts*socio=et. Cette section*socio=rien n'interdit pas seulement de manipuler les taux_de_change*socio=ec1; elle oblige, en outre, les pays_membres*socio=ac à collaborer avec le Fonds*socio=ec1 et avec les autres pays*socio=ac pour promouvoir *socio=rien un système stable*socio=uv4 de*socio=nil taux_de_change*socio=ec1.*socio=nil en*socio=nil particulier,*socio=nil *socio=nil elle mentionne expressément la nécessité*socio=uv1 pour chaque *socio=ac pays membre *socio=nil de donner à sa politique_économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 une orientation*socio=et qui contribue à une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 ordonnée dans une stabilité*socio=uv3 raisonnable*socio=uv4 des prix*socio=ec1, et de chercher à promouvoir la stabilité*socio=uv3 en favorisant des conditions*socio=ec1 de base*socio=rien ordonnées sur*socio=rien le plan*socio=rien économique*socio=ec1 et financier*socio=ec1. Dans cette optique*socio=rien plus large*socio=rien, la surveillance*socio=et englobe, outre la politique*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 et la politique*socio=et de balance_des_paiements*socio=ec1, les mesures*socio=et inspirées fondamentalement*socio=rien par des considérations*socio=rien intérieures*socio=te mais ayant des répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 et sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. En mars*socio=rien 1984, le conseil_d'_administration*socio=ac a procédé*socio=rien à son examen*socio=ec2 *socio=rien biennal du document *socio=nil de 1977 et à son examen*socio=ec2 annuel*socio=te de l'application*socio=rien de la surveillance*socio=et. Il a conclu que, si l'on en juge*socio=et par les résultats*socio=rien obtenus dans la mise en oeuvre*socio=rien de la surveillance*socio=et, il n'est*socio=rien pas nécessaire*socio=rien de procéder à une révision*socio=rien des principes*socio=ec2 et procédures*socio=et énoncés dans le document*socio=rien, mais que l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et doit néanmoins s'opérer de façon*socio=rien plus active*socio=uv4. A cet égard*socio=rien, le Conseil*socio=ac a souligné que, certes, l'évaluation*socio=ec2 des politiques*socio=et de change*socio=ec1 est*socio=rien une opération*socio=rien très complexe, mais qu'il appartient au Fonds*socio=ec1 de déterminer si les politiques*socio=et mises en oeuvre*socio=rien par un*socio=rien *socio=ac pays membre *socio=nil dans ce domaine*socio=rien sont adéquates*socio=uv2, indépendamment des dispositions*socio=et choisies par ce pays*socio=ac ou de l'appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 qu'il lui faut *socio=rien obtenir du Fonds*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Conseil*socio=ac *socio=nil a en outre souligné que, pour que les procédures*socio=et de surveillance*socio=et soient efficaces*socio=uv4, les pays_membres*socio=ac doivent appuyer dans l'ensemble*socio=rien et de façon*socio=rien active*socio=uv4 les *socio=rien positions prises *socio=nil par le Fonds*socio=ec1. L'examen*socio=ec2 de la surveillance*socio=et opéré en 1984 a aussi permis*socio=rien de noter que les difficultés*socio=uv4 qui ont entravé l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te ces *socio=rien dernières années *socio=nil tiennent dans une *socio=rien large mesure aux*socio=nil fortes fluctuations*socio=ec2 des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil entre les monnaies*socio=ec1 des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac et aux répercussions*socio=ec2 que la faiblesse*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 et le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac ont sur*socio=rien le *socio=rien reste du monde*socio=te.*socio=nil *socio=nil En outre - et cette opinion*socio=uv1 était assez générale*socio=rien -, ces phénomènes*socio=rien sont dus, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil *socio=nil à l'orientation*socio=et de la politique_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, qui n'a pas suffisamment favorisé*socio=rien la stabilisation*socio=et des conditions_économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 et n'a pas pris en compte*socio=ec1 les répercussions*socio=ec2 qu'elle risquait d'avoir sur*socio=rien l'économie*socio=ec1 des autres pays*socio=ac et sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. C'est*socio=rien pourquoi le conseil_d'_administration*socio=ac a conclu que le Fonds*socio=ec1 doit formuler *socio=rien un jugement sur les*socio=nil politiques_économiques*socio=et intérieures*socio=te *socio=nil qui sont nécessaires*socio=rien pour que le système*socio=rien fonctionne sans heurts et s'efforcer de persuader ses membres*socio=ac de les appliquer. Questions*socio=rien liées à l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et. Le rétablissement*socio=rien de la stabilité*socio=uv3 économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 intérieure*socio=te dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien demeuré l'une des *socio=uv4 préoccupations essentielles *socio=nil qui ont inspiré la mise en oeuvre*socio=rien de la surveillance*socio=et exercée par le Fonds*socio=ec1 en 1983 et pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1984. En raison*socio=rien de la nature*socio=rien même des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, il serait illusoire*socio=uv4 de penser qu'on puisse beaucoup progresser dans le sens*socio=rien d'une réduction*socio=ec2 de l'instabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 entre les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 tant que la situation*socio=rien économique*socio=ec1 intérieure*socio=te des divers pays*socio=ac demeurera fondamentalement*socio=rien instable*socio=uv4 à certains égards*socio=rien. L'inflation*socio=ec1, notamment, va toujours de pair*socio=rien avec l'instabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1, puisque les agents*socio=ac économiques*socio=ec1 ne savent pas exactement où se situera, dans l'avenir*socio=te, le niveau*socio=rien de l'inflation*socio=ec1, quelles seront ses répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien la balance_des_paiements*socio=ec1, quelles mesures*socio=et de redressement*socio=ec2 financier*socio=ec1 seront mises en oeuvre*socio=rien ni quels résultats*socio=rien elles permettront d'obtenir*socio=rien. Mais la stabilité*socio=uv3 des *socio=ec1 conditions financières implique*socio=nil bien*socio=rien *socio=nil plus que l'absence*socio=rien d'inflation*socio=ec1. Elle exige en outre que soit menée une politique_monétaire*socio=et dont les agents*socio=ac économiques*socio=ec1 pensent qu'elle les met à l'abri*socio=rien d'une résurgence*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1. Elle dépend enfin de la mise en oeuvre*socio=rien d'une politique_budgétaire*socio=et qui étaye convenablement l'action*socio=ec1 monétaire*socio=ec1 et soit compatible*socio=rien avec un*socio=rien financement*socio=ec1 de la formation*socio=et de capital*socio=ec1 privé*socio=et n'exerçant pas de pressions*socio=ec2 excessives*socio=uv4 sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2. La nécessité*socio=uv1 de rétablir la stabilité*socio=uv3 de la situation*socio=rien intérieure*socio=te n'est*socio=rien guère contestée, mais les autorités*socio=et responsables*socio=uv2 ne sont pas toujours du*socio=rien même *socio=rien avis sur les*socio=nil moyens*socio=ec1 *socio=nil à employer pour y parvenir dans les meilleures*socio=uv4 conditions*socio=ec1. Depuis quelques années*socio=rien, c'est*socio=rien surtout dans le domaine*socio=rien budgétaire*socio=et que les opinions*socio=ec2 ont tendance*socio=ec2 à différer. Au Japon*socio=ac, en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac, on a assigné à la politique_budgétaire*socio=et la tâche*socio=rien prioritaire*socio=uv4 de comprimer le déficit*socio=ec1, à tout le moins parce que c'était le meilleur*socio=uv4 moyen*socio=rien, estimait-on, de favoriser une baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et une reprise de l' investissement_privé*socio=et. Aux États-unis*socio=ac, en revanche, les autorités*socio=et ont jugé qu'il fallait avant tout adopter une politique_budgétaire*socio=et qui allège la pression*socio=ec2 fiscale*socio=et sur*socio=rien le secteur_privé*socio=et et que, s'il en résultait un*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et excessif*socio=uv4, on se devrait alors de comprimer les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et. Si cet allégement*socio=ec2 se révélait long*socio=rien et laborieux*socio=rien, il vaudrait encore mieux, selon les autorités*socio=et, s'accommoder pendant *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil années d'*socio=nil un déficit*socio=ec1 élevé*socio=uv4,*socio=nil par*socio=nil rapport aux*socio=nil niveaux habituels,*socio=nil *socio=nil que renoncer au programme*socio=et d'allégement*socio=ec2 de la fiscalité*socio=et. Les autorités*socio=et des divers pays*socio=ac ont en outre évalué différemment l'importance*socio=rien que revêt le réseau*socio=rien de relations*socio=rien qui existent entre le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 et le taux_de_change*socio=ec1. A cet égard*socio=rien, la principale*socio=rien difficulté*socio=uv4 tient au fait*socio=rien que ces relations*socio=rien sont souvent brouillées par divers facteurs*socio=rien, notamment par le niveau*socio=rien et la structure*socio=ec1 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et de la fiscalité*socio=et, par la mesure*socio=rien dans laquelle les investisseurs*socio=ac considèrent les titres*socio=rien représentatifs de la dette*socio=ec1 publique*socio=et comme des éléments*socio=rien de leur patrimoine*socio=et, par le rapport*socio=rien entre la dette*socio=ec1 publique*socio=et et le PNB*socio=ec1, enfin, par les anticipations*socio=uv3 des agents*socio=ac économiques*socio=ec1. Celles-ci sont importantes*socio=uv4 à plusieurs égards*socio=rien. Tout d'abord*socio=rien, elles influencent considérablement*socio=rien les répercussions*socio=ec2 qu'a l'expansion*socio=ec2 budgétaire*socio=et sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1. Par exemple*socio=rien, l'expansion*socio=ec2 budgétaire*socio=et peut provoquer une hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te, même lorsque la demande*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 émanant du*socio=rien secteur_privé*socio=et est*socio=rien relativement faible*socio=rien, si les agents*socio=ac économiques*socio=ec1 ont des raisons*socio=rien de penser que l'expansion*socio=ec2 persistera quand cette demande*socio=ec1 se redressera. De plus, les anticipations*socio=uv3 altèrent la relation*socio=rien qui existe entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 et les taux_de_change*socio=ec1. Lorsqu'on pense que l'expansion*socio=ec2 budgétaire*socio=et entraînera l'adoption*socio=uv3 d'une politique_monétaire*socio=et expansionniste*socio=ec2, on en vient souvent à conclure que l'inflation*socio=ec1 s'intensifiera probablement; étant donné ces anticipations*socio=uv3, le dosage*socio=rien des politiques*socio=et risque*socio=uv3 de provoquer une hausse*socio=rien des *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux *socio=nil accompagnée d'une baisse*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1. Si l'on croit, en revanche, que l'expansion*socio=ec2 budgétaire*socio=et se fera sans expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1, cette attitude*socio=uv3 peut contribuer à une hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 intérieurs*socio=te et à une appréciation*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1. Cette complexité*socio=rien des relations*socio=rien entre la politique_budgétaire*socio=et et le taux_de_change*socio=ec1 explique l'absence*socio=rien de corrélation*socio=ec2, dans le temps*socio=rien et d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, entre ces deux éléments*socio=rien. Elle explique aussi pourquoi, dans tel ou tel *socio=rien cas précis,*socio=nil il*socio=nil est souvent*socio=nil difficile aux*socio=nil autorités*socio=et des*socio=nil différents pays*socio=ac *socio=nil de s'entendre sur*socio=rien le rôle*socio=et que joue la politique_budgétaire*socio=et dans l'évolution*socio=te du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1. Sur*socio=rien le plan*socio=rien monétaire*socio=ec1, les problèmes*socio=uv4 ont *socio=rien un caractère essentiellement*socio=nil technique *socio=nil et ne sont guère liés à des différences*socio=uv1 fondamentales*socio=uv4 de points*socio=rien de vue*socio=rien. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil grands pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil ont tous de plus en plus tablé, essentiellement, sur*socio=rien la maîtrise*socio=rien de la croissance*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 pour élaborer la politique_monétaire*socio=et à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil Plus récemment, toutefois, les *socio=rien fortes variations *socio=nil de la vitesse*socio=rien de circulation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 ont obligé *socio=rien un certain nombre de*socio=nil banques_centrales*socio=ac *socio=nil à adopter une méthode*socio=ec2 souple*socio=uv4, faisant intervenir une marge d'appréciation*socio=uv3, pour déterminer l'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1. Les difficultés*socio=uv4 sont en *socio=rien partie temporaires,*socio=nil du fait *socio=nil qu'elles procèdent de la baisse*socio=ec2 assez soudaine*socio=rien des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 et des *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux *socio=nil qui a caractérisé les deux *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Il se peut, toutefois, qu'à certains égards*socio=rien, elles soient plus durables*socio=uv4, car elles sont liées au développement*socio=uv3 d'instruments*socio=et qui se substituent aisément aux *socio=ec1 balances monétaires *socio=nil - selon la *socio=rien définition classique du terme *socio=nil - ainsi qu'à la substitution*socio=rien de plus en plus grande*socio=rien qui s'opère entre les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 sur*socio=rien le plan*socio=rien international*socio=te. Pour cet ensemble*socio=rien de raisons*socio=rien, il est*socio=rien devenu particulièrement difficile*socio=rien de déterminer les taux_de_croissance*socio=ec1 qui conviennent pour les *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil et, par conséquent*socio=rien, de voir si tel ou tel mouvement*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 est*socio=rien dû à ce que le taux_d'_expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 est*socio=rien trop faible*socio=rien ou trop fort*socio=rien. Les difficultés*socio=uv4 qu'on éprouve à déceler les causes*socio=rien des problèmes*socio=uv4 que posent les taux_de_change*socio=ec1 et de ceux qu'engendre, par ailleurs*socio=rien, l'interdépendance*socio=uv3 des pays*socio=ac, ne sont que trop réelles*socio=ec2; il ne faut cependant pas en exagérer la complexité*socio=rien. Dans certains cas*socio=rien, les racines *socio=rien profondes du problème*socio=uv4 *socio=nil ne sont guère douteuses*socio=uv2, même s'il *socio=rien est difficile *socio=nil de donner une *socio=rien description précise des*socio=nil relations *socio=nil qui entrent en jeu*socio=rien. Il *socio=rien est clair *socio=nil alors qu'il incombe au Fonds*socio=ec1 d'exhorter le pays*socio=ac en cause*socio=rien à améliorer l'orientation*socio=et de sa politique*socio=et. Parfois, en distinguant clairement les divers problèmes*socio=uv4 qui se posent on peut en venir à atténuer les divergences*socio=uv1 de vues*socio=rien. De fait*socio=rien, lorsque les répercussions*socio=ec2 que certaines*socio=rien politiques*socio=et peuvent avoir sur*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1 ne sont pas pleinement perçues, la surveillance*socio=et ne sera efficace*socio=uv4 que si les parties*socio=rien en cause*socio=rien s'efforcent sérieusement et sans délai*socio=rien de s'acheminer vers une interprétation*socio=ec2 commune*socio=uv2 de ce qui se passe en réalité*socio=ec2. C'est*socio=rien pour cette raison*socio=rien que le Fonds*socio=ec1 s'attache tout particulièrement, depuis quelques années*socio=rien, à approfondir ses analyses*socio=ec2 dans ce domaine*socio=rien; et c'est*socio=rien aussi pour cela qu'il essaye de communiquer les résultats*socio=rien de ses travaux*socio=rien aux pays_membres*socio=ac, par les *socio=rien diverses publications *socio=nil qu'il édite, par les contacts*socio=rien informels*socio=uv2 de son directeur_général*socio=ac avec des représentants*socio=ac des pays_membres*socio=ac, par sa participation*socio=uv3 aux *socio=rien réunions du Groupe*socio=ac *socio=nil des dix et d'autres groupes_de_pays*socio=ac, enfin par les consultations*socio=uv1 régulières*socio=ec2 qui ont lieu*socio=rien dans le cadre*socio=rien de l'article*socio=rien IV de ses statuts*socio=et. Plus précisément, le Fonds*socio=ec1 n'a pas cessé, au cours*socio=rien des dix-huit *socio=rien derniers mois,*socio=nil *socio=nil de préconiser vivement l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et qui favorisent une convergence*socio=uv3 bénéfique*socio=rien des *socio=ec1 conditions financières *socio=nil entre les pays_industrialisés*socio=ac, membres*socio=ac de l'organisation*socio=ac. Les progrès*socio=uv1 que *socio=rien bon nombre *socio=nil de ces pays*socio=ac ont d'ores et déjà réalisés dans leurs efforts*socio=uv1 pour rétablir des *socio=ec1 taux_de_croissance économique durables*socio=uv4 *socio=nil et non inflationnistes*socio=ec2 sont encourageants*socio=uv4, non seulement en soi*socio=rien mais aussi en raison*socio=rien des répercussions*socio=ec2 salutaires qu'ils ont sur*socio=rien le système*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1. Si l'on parvenait à consolider et à accentuer ces progrès*socio=uv1 au cours*socio=rien des *socio=rien prochaines années,*socio=nil *socio=nil on verrait probablement se renforcer la stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 entre les monnaies*socio=ec1 des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, et s'atténuer non seulement les tensions*socio=ec2 qui nuisent aux relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 mais aussi les obstacles*socio=uv3 qui risquent de compromettre les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 des autres pays*socio=ac. Pourtant, la *socio=rien seule voie *socio=nil dans laquelle nombre*socio=rien de pays*socio=ac n'ont pas encore progressé jusqu'à *socio=rien présent est *socio=nil précisément celle où les gains*socio=ec1 contribuent directement le plus au fonctionnement*socio=rien sans *socio=rien heurt du système de*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil : celle qui mène à la mise en oeuvre*socio=rien d'une politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 équilibrée et cohérente*socio=rien, propre*socio=rien à réduire les stimulants*socio=ec2 qui incitent les opérateurs*socio=ac, en quête de rendements*socio=ec1 relativement élevés*socio=uv4, à transférer leurs *socio=ec1 actifs financiers *socio=nil d'une monnaie*socio=ec1 dans une autre. C'est*socio=rien uniquement*socio=rien en progressant dans cette voie*socio=rien que les pays*socio=ac pourront doter les marchés_financiers*socio=ec1 des moyens*socio=ec1 nécessaires*socio=rien pour former des anticipations*socio=uv3 stables*socio=uv4, fondées sur*socio=rien la conviction*socio=uv1 assez ferme*socio=ec2 que la politique*socio=et des autorités*socio=et et les résultats*socio=rien de l' activité_économique*socio=ec1 se maintiendront à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil L'autre question*socio=rien capitale*socio=uv2 qu'a soulevée l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et en 1983 et pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1984 est*socio=rien celle des *socio=uv4 graves problèmes économiques*socio=ec1 *socio=nil auxquels font face*socio=rien les pays_en_développement*socio=uv3. Le Fonds*socio=ec1 n'a cessé de souligner que ces problèmes*socio=uv4 procèdent en partie*socio=rien de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 peu satisfaisante*socio=uv4 qui règne dans les pays*socio=ac développés*socio=uv4. Au cours*socio=rien des dix-huit *socio=rien derniers mois,*socio=nil les*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil ont bénéficié de la vigoureuse*socio=rien expansion*socio=ec2 qu'ont connue l' activité_économique*socio=ec1 et les importations*socio=ec1 des États-unis*socio=ac. Dans l'ensemble*socio=rien, néanmoins, l'environnement*socio=et leur est*socio=rien demeuré défavorable*socio=uv4, notamment à *socio=rien cause du niveau élevé*socio=uv4 des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te et*socio=nil du niveau *socio=nil encore relativement faible*socio=rien de l' activité_économique*socio=ec1 dans maints pays_industrialisés*socio=ac. Une amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 fondamentale*socio=uv4 des pays*socio=ac développés*socio=uv4, notamment des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, atténuerait donc grandement les problèmes*socio=uv4 d'ajustement*socio=et qui se posent aux pays_en_développement*socio=uv3, en favorisant une augmentation*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 dont leurs exportations*socio=ec1 font l'objet*socio=rien et une réduction*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 dont est*socio=rien assortie leur dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. Le Fonds*socio=ec1 a souligné aussi que les pays_en_développement*socio=uv3 doivent encore intensifier leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et pour rétablir une position*socio=rien extérieure*socio=te durable*socio=uv4 et relancer le processus*socio=te de croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1. Ils ne peuvent pas se permettre d'attendre que la situation*socio=rien s'améliore dans les pays_industrialisés*socio=ac. En outre, dans de *socio=rien nombreux cas,*socio=nil les*socio=nil problèmes*socio=uv4 économiques*socio=ec1 *socio=nil peuvent aussi, à *socio=rien juste titre,*socio=nil être *socio=nil imputés aux politiques_économiques*socio=et intérieures*socio=te. Tout compte*socio=ec1 fait*socio=rien, les pays_en_développement*socio=uv3 n'ont qu'une *socio=rien seule issue *socio=nil : mettre en valeur*socio=ec1 les potentialités de leur économie*socio=ec1 afin de pouvoir*socio=et, compte*socio=ec1 tenu, comme il convient, des avantages_comparatifs*socio=ec2, accroître leurs exportations*socio=ec1 et remplacer par des produits*socio=rien d'origine*socio=rien nationale*socio=te certaines*socio=rien de leurs importations*socio=ec1, tout en accordant les incitations*socio=uv3 qui amèneront l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te à s'investir dans le pays*socio=ac plutôt qu'à l'étranger*socio=te et l'étranger*socio=te à investir ses capitaux*socio=ec1 dans le secteur*socio=rien productif*socio=uv4 de leur économie*socio=ec1. Pour y parvenir, il est*socio=rien tout aussi indispensable*socio=uv4, d'une part*socio=rien, de maîtriser*socio=rien l'évolution*socio=te de la demande_globale*socio=ec1 grâce*socio=rien à une politique_budgétaire*socio=et et une politique_monétaire*socio=et appropriées et, d'autre part*socio=rien, d'améliorer la répartition*socio=uv3 des ressources*socio=ec1 intérieures*socio=te grâce*socio=rien à une rationalisation*socio=uv3 de la structure*socio=ec1 des incitations*socio=uv3. D'un*socio=rien côté*socio=rien comme de l'autre, on peut attendre de la politique*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 qu'elle joue un*socio=rien rôle*socio=et capital*socio=ec1. L'évolution*socio=te observée dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil pendant les deux ou trois *socio=rien dernières années *socio=nil (notamment en Indonésie*socio=ac, au Mexique*socio=ac, en Ouganda*socio=ac, au Pakistan*socio=ac, en Somalie*socio=ac et en Turquie*socio=ac) a prouvé une fois*socio=rien de plus que la flexibilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1, si elle va de pair*socio=rien avec la suppression*socio=rien des dispositifs*socio=et réglementant les prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te et avec la mise en oeuvre*socio=rien de politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1 judicieuses*socio=uv4, peut contribuer au processus*socio=te d'ajustement*socio=et extérieur*socio=te, tant dans les pays_en_développement*socio=uv3 que dans les pays*socio=ac développés*socio=uv4. A cause*socio=rien des différences*socio=uv1 que présentent les *socio=ec1 structures économiques nationales*socio=te,*socio=nil cette*socio=nil contribution*socio=uv1 est*socio=rien plus*socio=nil importante*socio=uv4 *socio=nil dans certains pays*socio=ac que dans d'autres; et elle peut aussi, à certains égards*socio=rien, être*socio=rien limitée par la nature*socio=rien même du*socio=rien problème*socio=uv4 global*socio=te d'ajustement*socio=et qui se pose. Cependant, il est*socio=rien hors de doute*socio=rien que les taux_de_change*socio=ec1 ont une incidence*socio=ec2 sur*socio=rien le volume*socio=rien global*socio=te des produits*socio=rien, notamment manufacturés, que les pays_industrialisés*socio=ac achètent aux pays_en_développement*socio=uv3; il est*socio=rien hors de doute*socio=rien également que, dans tous les pays*socio=ac, la répartition*socio=uv3 des devises*socio=ec1 entre les agents*socio=ac économiques*socio=ec1 nationaux*socio=te est*socio=rien beaucoup plus efficace*socio=uv4 quand on laisse le prix*socio=ec1 de ces devises*socio=ec1 refléter leur véritable*socio=rien rareté; qu'un*socio=rien ajustement*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 facilite souvent l'abaissement*socio=rien de taux*socio=ec1 de salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2 qui se situent à *socio=rien un niveau trop*socio=nil élevé*socio=uv4;*socio=nil *socio=nil enfin, qu'un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 réaliste*socio=uv4 est*socio=rien en tout cas*socio=rien indispensable*socio=uv4 pour prévenir un*socio=rien exode*socio=te des capitaux*socio=ec1 nationaux*socio=te. Au demeurant, la restriction*socio=et des échanges_commerciaux*socio=ec1 et des opérations*socio=rien en devises*socio=ec1 *socio=rien est un procédé d'*socio=nil ajustement*socio=et plus*socio=nil coûteux*socio=ec2 à*socio=nil long_terme*socio=te,*socio=nil *socio=nil car elle a des répercussions*socio=ec2 *socio=rien négatives sur l'*socio=nil efficacité*socio=uv3 *socio=nil de la répartition*socio=uv3 des ressources*socio=ec1. La flexibilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 et la suppression*socio=rien de la réglementation*socio=et des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te ne doivent cependant pas être*socio=rien considérées comme des mesures*socio=et qu'on peut mettre en oeuvre*socio=rien indépendamment des autres. Il faut, par exemple*socio=rien, comprimer le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et si l'on veut mieux maîtriser*socio=rien l'expansion*socio=ec2 des *socio=ec1 agrégats monétaires.*socio=nil A*socio=nil défaut*socio=rien *socio=nil d'une régulation*socio=et convenable*socio=uv2 de la *socio=ec1 croissance monétaire,*socio=nil la*socio=nil flexibilité*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change *socio=nil rétablira certes l'équilibre*socio=ec2 de la balance_globale*socio=ec1 des paiements*socio=ec1, mais au prix*socio=ec1 d'une inflation*socio=ec1 effrénée, et peut-être même d'un*socio=rien effondrement*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 nationale*socio=te. C'est*socio=rien pour cela que, dans ses activités*socio=rien de surveillance*socio=et, le Fonds*socio=ec1 n'a cessé de souligner que l'amélioration*socio=uv1 des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 exige la mise en oeuvre*socio=rien d'une politique*socio=et financière*socio=ec1 intérieure*socio=te qui soutienne convenablement l'ajustement*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1. En raison*socio=rien de l'ampleur*socio=rien des problèmes*socio=uv4 auxquels font face*socio=rien maints pays_en_développement*socio=uv3, l'ajustement*socio=et exige aussi la mise en oeuvre*socio=rien d'une stratégie*socio=et à long_terme*socio=te qui vise à améliorer l'efficacité*socio=uv3 globale*socio=rien de l'appareil*socio=rien de production*socio=ec1, à accroître l'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et, à tirer parti*socio=et de l'évolution*socio=te de l'avantage_comparatif*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 nationale*socio=te. C'est*socio=rien là aussi *socio=rien un aspect capital*socio=ec1 des*socio=nil politiques*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil que le Fonds*socio=ec1, en coopération*socio=uv1 avec la banque_internationale_pour_la_reconstruction*socio=ac et le développement*socio=uv3, n'a cessé de préconiser dans les discussions*socio=et avec ses pays_membres*socio=ac. Tout au long*socio=rien de 1983 et *socio=rien du premier semestre *socio=nil de 1984, le Fonds*socio=ec1 n'a cessé d'encourager les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 à soutenir les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et qui bénéficient de son aide*socio=uv1 en leur apportant un*socio=rien concours financier*socio=ec1 convenable*socio=uv2. Bien*socio=rien souvent, la dette*socio=ec1 d'un*socio=rien pays*socio=ac, notamment sa dette*socio=ec1 envers les banques*socio=ac, est*socio=rien tellement lourde*socio=rien que les banques*socio=ac doivent absolument continuer à lui apporter leur soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1 pour que son programme*socio=et d'ajustement*socio=et ait suffisamment de chances*socio=rien de réussir. Chaque fois*socio=rien qu'un*socio=rien pays*socio=ac a démontré qu'il était vraiment*socio=rien disposé à procéder à l'ajustement*socio=et, les banques*socio=ac ont généralement adopté une attitude*socio=uv3 plus compréhensive et lui ont effectivement*socio=rien fourni les financements*socio=ec1 indispensables*socio=uv4. La *socio=rien situation est différente *socio=nil pour les petits*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 - maints *socio=ac pays africains,*socio=nil *socio=nil notamment - qui n'ont toujours qu'un*socio=rien accès*socio=uv1 limité aux marchés_financiers*socio=ec1 ou n'ont pas les moyens*socio=ec1 d'assumer les taux_d'_intérêt*socio=ec1 pratiqués sur*socio=rien ces marchés*socio=ec1; dans leur cas*socio=rien, le *socio=rien niveau du financement*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=nil dépend davantage de l'aide*socio=uv1 étrangère*socio=te proprement dite, et, de ce fait*socio=rien, lorsque le volume*socio=rien de cette aide*socio=uv1 n'augmente pas en termes*socio=rien réels*socio=ec2, le succès*socio=uv1 de leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et s'en trouve bien*socio=rien souvent compromis*socio=uv1. L'effet*socio=rien le plus préjudiciable*socio=et des problèmes*socio=uv4 économiques*socio=ec1 que pays*socio=ac développés*socio=uv4 et pays_en_développement*socio=uv3 connaissent depuis quelques *socio=rien années est sans*socio=nil doute la*socio=nil prolifération des*socio=nil restrictions*socio=et commerciales*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil notamment de celles qui prennent la forme*socio=rien d'obstacles*socio=uv3 non tarifaires*socio=et érigés à l'issue*socio=rien de *socio=et négociations bilatérales *socio=nil qui ont été*socio=rien menées en dehors du*socio=rien GATT*socio=ac. Cette montée du*socio=rien protectionnisme*socio=et est*socio=rien due à de *socio=rien multiples facteurs.*socio=nil *socio=nil Certains sont plus ou moins en rapport*socio=rien avec le refus d'accepter les conséquences*socio=rien d'une modification*socio=rien des avantages_comparatifs*socio=ec2. D'autres sont plus directement liés aux taux_de_change*socio=ec1 qui existent actuellement entre les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1, au désir*socio=rien de maints pays_en_développement*socio=uv3 de limiter*socio=rien la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 de leur monnaie*socio=ec1 en dépit*socio=rien de la persistance*socio=te d'une inflation*socio=ec1 virulente*socio=uv2, enfin, à la croyance*socio=uv1, dans les pays*socio=ac où sévit le chômage*socio=ec1, que la restriction*socio=et des importations*socio=ec1 peut protéger l'emploi*socio=ec1. Qu'elle soit ou non liée à des problèmes*socio=uv4 de taux_de_change*socio=ec1, la prolifération*socio=rien des obstacles_tarifaires*socio=et a maintenant atteint le stade*socio=te où elle compromet aussi bien*socio=rien l'efficacité*socio=uv3 des ajustements*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 que le fonctionnement*socio=rien même *socio=rien du système d'*socio=nil échanges_multilatéraux*socio=et.*socio=nil *socio=nil Comme l'a signalé le Rapport*socio=rien annuel*socio=te 1983, le Fonds*socio=ec1 a renforcé sa collaboration*socio=uv1 avec le GATT*socio=ac et, dans toutes ses activités*socio=rien de surveillance*socio=et, il accorde d'ores et déjà une plus *socio=rien grande place aux*socio=nil problèmes*socio=uv4 *socio=nil que pose le protectionnisme*socio=et. Pourtant, les résultats*socio=rien des efforts*socio=uv1 qu'on a déployés pour endiguer la montée du*socio=rien protectionnisme*socio=et ont été*socio=rien jusqu'ici très décevants*socio=rien. Non seulement rien*socio=rien de concret n'a *socio=rien été fait *socio=nil pour que soit rétabli *socio=rien progressivement un environnement*socio=et propice à*socio=nil un système ouvert d'*socio=nil échanges_multilatéraux*socio=et,*socio=nil *socio=nil mais en outre, dans la réalité*socio=ec2 des faits*socio=rien, les *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil se sont intensifiées. Cette évolution*socio=te a une incidence*socio=ec2 particulièrement *socio=rien inquiétante sur les*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil lourdement endettés envers l'étranger*socio=te : elle entrave*socio=ec2 leur processus*socio=te d'ajustement*socio=et. Pour rétablir une position*socio=rien extérieure*socio=te convenable*socio=uv2 tout en assurant une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 modérée, ces pays*socio=ac devront accroître leurs exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés et de produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 à un*socio=rien rythme*socio=ec2 rapide*socio=rien au cours*socio=rien des *socio=rien prochaines années.*socio=nil Or*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil ils ne le pourront que si les tendances*socio=ec2 protectionnistes*socio=et actuelles*socio=te sont renversées. Procédures*socio=et relatives*socio=rien à l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et. Le Fonds*socio=ec1 exerce ses activités*socio=rien de surveillance*socio=et aussi *socio=rien bien sur le*socio=nil plan multilatéral*socio=et *socio=nil que dans le cadre*socio=rien de consultations*socio=uv1 avec les différents*socio=rien pays_membres*socio=ac. Ces activités*socio=rien s'appuient sur*socio=rien une surveillance*socio=et permanente*socio=te de l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 et des régimes*socio=et des changes*socio=ec1. L'étude*socio=ec2 sur*socio=rien les perspectives*socio=te d'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te demeure le *socio=rien principal cadre *socio=nil de la *socio=et surveillance multilatérale.*socio=nil Les*socio=nil *socio=rien documents sur les*socio=nil perspectives*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te sont élaborés au moins deux fois*socio=rien par an*socio=rien et présentent une analyse*socio=ec2 détaillée de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et *socio=rien du système de*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil qui sert de fondement*socio=uv4 aux examens*socio=ec2, par le conseil_d'_administration*socio=ac et par le comité_intérimaire*socio=ac, des questions*socio=rien capitales*socio=et concernant la surveillance*socio=et, y compris celles qui sont liées aux effets*socio=rien globaux*socio=te de la politique_économique*socio=ec1 des principaux*socio=rien pays*socio=ac. Depuis quelques années*socio=rien, ces documents*socio=rien sont davantage axés sur*socio=rien une perspective*socio=rien à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil On a notamment construit des scénarios*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil qui font ressortir les mesures*socio=et nécessaires*socio=rien pour réaliser une reprise non inflationniste*socio=ec2 durable*socio=uv4 dans les pays_industrialisés*socio=ac et permettent d'analyser les problèmes*socio=uv4 que l'ajustement*socio=et et la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te posent aux pays_en_développement*socio=uv3. En outre, les services_du_fonds*socio=ec1 préparent, pour le conseil_d'_administration*socio=ac, des documents*socio=rien concernant des *socio=rien aspects particuliers *socio=nil de la surveillance*socio=et. Parmi les documents*socio=rien de ce genre*socio=rien rédigés en 1983 et pendant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1984, on peut citer : "Issues*socio=rien in the*socio=rien Assessment of Exchange Rates of Industrial Countries" et "The*socio=rien Exchange Rate System*socio=rien: Lessons of the*socio=rien Past and *socio=rien Options for the Future*socio=te"*socio=nil *socio=nil 15. La *socio=et surveillance multilatérale *socio=nil s'exerce aussi dans le cadre*socio=rien d'activités*socio=rien qui permettent à des représentants*socio=ac de la direction*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 de participer aux *socio=rien diverses réunions multilatérales*socio=et *socio=nil organisées par les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Le directeur_général*socio=ac prend souvent part*socio=rien aux réunions*socio=rien des ministres*socio=ac et des gouverneurs*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des dix et, depuis le sommet_économique*socio=et de 1982, aux réunions*socio=rien périodiques*socio=te des ministres*socio=ac des cinq*socio=rien pays*socio=ac dont les monnaies*socio=ec1 entrent dans le *socio=rien panier définissant *socio=nil le DTS. Chaque fois*socio=rien, le directeur_général*socio=ac, après*socio=rien avoir passé*socio=rien en revue l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 récente*socio=rien, a souligné la nécessité*socio=uv1, pour ces pays*socio=ac, de coopérer afin de mettre en oeuvre*socio=rien des politiques*socio=et qui puissent faire converger les tendances*socio=ec2 vers une réduction*socio=ec2 durable*socio=uv4 de l'inflation*socio=ec1, une progression*socio=ec2 de l'emploi*socio=ec1 et une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 durable*socio=uv4. Dans une optique*socio=rien plus large*socio=rien, il a fait*socio=rien valoir que les principaux*socio=rien pays*socio=ac doivent, lorsqu'ils définissent*socio=rien les *socio=rien grandes lignes *socio=nil de leur politique_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te, prendre en considération*socio=rien, comme il convient, les répercussions*socio=ec2 de leurs décisions*socio=et sur*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1 et la situation*socio=rien économique*socio=ec1 des autres pays*socio=ac. Le Fonds*socio=ec1 a continué d'accorder une *socio=rien attention spéciale au*socio=nil problème*socio=uv4 *socio=nil de l'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te dans ses activités*socio=rien de *socio=et surveillance multilatérale *socio=nil en 1983 et au cours*socio=rien des *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1984. L'importance*socio=rien que revêt ce problème*socio=uv4 a été*socio=rien mise en évidence*socio=rien par le nombre*socio=rien de réunions*socio=rien que le conseil_d'_administration*socio=ac a consacrées à des questions*socio=rien concernant les politiques*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 dans le contexte*socio=rien des difficultés*socio=uv4 que soulève le service_de_la_dette*socio=ec1 extérieure*socio=te et dans celui de l'évolution*socio=te des marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te. Les services_du_fonds*socio=ec1 ont mis en *socio=rien oeuvre un certain nombre de*socio=nil projets*socio=et *socio=nil qui permettent de suivre de plus près l'évolution*socio=te de l'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te et d'en présenter une analyse*socio=ec2 plus pénétrante au moyen*socio=rien de données encore plus détaillées. Depuis janvier*socio=rien 1984, le Fonds*socio=ec1 publie, dans Statistiques*socio=ec2 financières*socio=ec1 internationales*socio=te de *socio=rien nouveaux tableaux de*socio=nil statistiques*socio=ec2 bancaires*socio=ec1 internationales*socio=te.*socio=nil En*socio=nil raison *socio=nil de la gravité du*socio=rien problème*socio=uv4 de la dette*socio=ec1, la coopération*socio=uv1 avec les créanciers*socio=ac officiels*socio=et et privés*socio=et s'est*socio=rien intensifiée. Des représentants*socio=ac des services_du_fonds*socio=ec1 coopèrent étroitement avec les créanciers*socio=ac officiels*socio=et au rééchelonnement*socio=et de dettes*socio=ec1 extérieures*socio=te dans le *socio=rien cadre du Club de*socio=nil Paris*socio=ac *socio=nil et les demandes*socio=et présentées par les pays*socio=ac à cet égard*socio=rien ne sont prises*socio=rien en considération*socio=rien que s'ils appliquent un*socio=rien programme*socio=et d'ajustement*socio=et bénéficiant de l'appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 dans les tranches supérieures*socio=rien de crédit*socio=ec1. Au demeurant, lorsque les apports*socio=rien privés*socio=et se tarissent et qu'un*socio=rien pays*socio=ac cherche à obtenir*socio=rien, des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, *socio=rien un ensemble *socio=nil de concours financiers*socio=ec1, le Fonds*socio=ec1 estime*socio=rien, dans bien*socio=rien des cas*socio=rien, qu'il lui faut jouer un*socio=rien rôle*socio=et plus actif*socio=ec1 et demande*socio=ec1 aux créanciers*socio=ac, tant officiels*socio=et que privés*socio=et, de confirmer que, dans le programme*socio=et d'ajustement*socio=et en question*socio=rien, les hypothèses*socio=ec2 concernant le financement*socio=ec1 extérieur*socio=te sont bel*socio=rien et bien*socio=rien réalistes*socio=uv4. A cet égard*socio=rien, les services_du_fonds*socio=ec1 sont toujours prêts*socio=ec1, lorsque le pays*socio=ac débiteur le leur demande*socio=ec1, à étudier, de concert*socio=uv1 avec les institutions_financières_privées*socio=ac ou avec les organismes*socio=ac officiels*socio=et, les perspectives*socio=te d'évolution*socio=te des paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te du*socio=rien pays*socio=ac en cause*socio=rien. Les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV sont le principal*socio=rien mécanisme*socio=et que le Fonds*socio=ec1 utilise pour exercer la *socio=et surveillance bilatérale.*socio=nil Les*socio=nil règles fondamentales*socio=uv4 *socio=nil qui régissent le déroulement*socio=rien de ces consultations*socio=uv1 n'ont pas été*socio=rien modifiées ces *socio=rien dernières années *socio=nil mais les modalités*socio=rien d'application*socio=rien évoluent constamment selon les questions*socio=rien envisagées. L'éventail*socio=rien des sujets*socio=rien abordés s'est*socio=rien élargi, particulièrement en ce qui concerne l'interdépendance*socio=uv3 des pays*socio=ac, la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te et le protectionnisme*socio=et. Les rapports*socio=rien rédigés dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 avec les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac comportent maintenant une section*socio=rien consacrée aux répercussions*socio=ec2 internationales*socio=te de leur politique_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te. En outre, les rapports*socio=rien mettent de plus en plus l'accent*socio=rien sur*socio=rien l'élaboration*socio=rien de scénarios*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil en ce qui concerne l'évolution*socio=te de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. Cette analyse*socio=ec2, qui contient souvent une étude*socio=ec2 de sensibilité*socio=ec2 à l'égard*socio=rien des principales*socio=rien hypothèses*socio=ec2, est*socio=rien d'ores et déjà considérée comme un*socio=rien instrument*socio=et qui devrait figurer parmi ceux qu'on utilise pour établir si la situation*socio=rien des paiements*socio=ec1 de n'importe quel pays*socio=ac est*socio=rien soutenable*socio=uv4, quel que puisse être*socio=rien l'état*socio=rien de sa dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. Les rapports*socio=rien mettent aussi de plus en plus l'accent*socio=rien sur*socio=rien les questions*socio=rien de politique_commerciale*socio=et. L'examen*socio=ec2 des procédures*socio=et de surveillance*socio=et qui a eu lieu*socio=rien en 1984 a tout particulièrement insisté sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de prendre en compte*socio=ec1 dans les rapports*socio=rien de consultations*socio=uv1, les *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil que les pays_membres*socio=ac adoptent et les subventions*socio=ec1 qu'ils accordent*socio=rien à l'exportation*socio=ec1 en raison*socio=rien de leur participation*socio=uv3 à une union*socio=uv1 douanière*socio=et ou à un*socio=rien autre dispositif*socio=et régional*socio=te. Il faut en outre chiffrer, dans la *socio=rien mesure du possible,*socio=nil les*socio=nil *socio=ec1 coûts économiques des*socio=nil *socio=et mesures protectionnistes prises*socio=rien *socio=nil par chaque pays*socio=ac ou groupe_de_pays*socio=ac depuis les précédentes*socio=rien consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, et étudier, le cas*socio=rien échéant, l'incidence*socio=ec2 de ces mesures*socio=et sur*socio=rien le processus*socio=te d'ajustement*socio=et de l'économie*socio=ec1 intérieure*socio=te. De surcroît*socio=rien, les services_du_fonds*socio=ec1 devront à l'avenir*socio=te tenir davantage compte*socio=ec1, dans l'évaluation*socio=ec2 des politiques*socio=et mises en oeuvre*socio=rien, des suites*socio=rien qui ont pu être*socio=rien données aux conclusions*socio=rien formulées dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 précédentes*socio=rien. La périodicité*socio=te des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV et le moment*socio=rien où elles interviennent revêtent une *socio=rien importance considérable.*socio=nil en_principe*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil elles doivent avoir lieu*socio=rien tous les ans*socio=rien; en fait*socio=rien, il n'a pas même *socio=rien été possible au*socio=nil début des*socio=nil années *socio=nil 80, de respecter les directives*socio=et qui avaient été*socio=rien adoptées, c'est-à-dire tenir chaque année*socio=rien des consultations*socio=uv1 avec les trois quarts*socio=rien des pays_membres*socio=ac. En raison*socio=rien de ce dérapage*socio=uv4, le conseil_d'_administration*socio=ac a décidé, lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 des procédures*socio=et de surveillance*socio=et qui a eu lieu*socio=rien en 1983, qu'il faudrait appliquer le *socio=te cycle annuel des*socio=nil consultations*socio=uv1 de*socio=nil manière*socio=rien plus*socio=nil rigoureuse*socio=uv4 *socio=nil à la plupart*socio=rien des pays_membres*socio=ac, notamment ceux dont la politique_économique*socio=ec1 a une incidence*socio=ec2 importante*socio=uv4 sur*socio=rien les autres pays*socio=ac, ceux dont les programmes*socio=et bénéficient d'une aide*socio=uv1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et ceux pour lesquels il y a tout lieu*socio=rien de douter que la position*socio=rien des paiements*socio=ec1 soit viable*socio=uv4 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil Il a en outre été*socio=rien décidé qu'à l'issue*socio=rien de chaque consultation*socio=uv1, on fixerait la date à laquelle le conseil_d'_administration*socio=ac devrait normalement terminer l'examen*socio=ec2 relatif*socio=rien à la suivante*socio=rien. Ces aménagements*socio=et de la procédure*socio=et ont permis*socio=rien d'accélérer notablement*socio=rien la fréquence*socio=rien des consultations*socio=uv1 depuis dix-huit mois*socio=rien, et la proportion*socio=rien des pays_membres*socio=ac avec lesquels le Fonds*socio=ec1 a tenu des consultations*socio=uv1 a atteint 80 % en 1983. Cette amélioration*socio=uv1 *socio=rien du champ *socio=nil couvert a été*socio=rien particulièrement marquée pour les pays*socio=ac qui mettent en *socio=rien oeuvre un programme*socio=et *socio=nil bénéficiant de l'appui*socio=uv1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 : ils ont tous fait*socio=rien l'objet*socio=rien de consultations*socio=uv1 en 1983 ou pendant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1984. Une autre décision*socio=et a *socio=rien été prise lors *socio=nil de l'examen*socio=ec2 de 1983 et appliquée dans le courant*socio=rien de la même année*socio=rien : elle prévoyait la mise en place*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien qui permet au conseil_d'_administration*socio=ac d'être*socio=rien tenu au courant*socio=rien de toutes les *socio=rien modifications notables des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 effectifs réels*socio=ec2.*socio=nil Ce*socio=nil système *socio=nil complète les procédures*socio=et de notification*socio=rien des *socio=ec1 taux_de_change nominaux,*socio=nil *socio=nil qui demeurent en vigueur*socio=uv3. Actuellement, il s'applique à tous les pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1, sauf trente-cinq. Pour ces derniers*socio=rien, il est*socio=rien encore difficile*socio=rien, faute de données *socio=rien valables sur les*socio=nil prix*socio=ec1 ou*socio=nil sur *socio=nil d'autres variables*socio=ec2, de calculer un*socio=rien indice du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif réel *socio=nil qui soit significatif*socio=rien, mais le Fonds*socio=ec1 s'efforce d'élargir le plus possible*socio=rien le champ*socio=rien couvert par le système*socio=rien. Selon ce système*socio=rien, le conseil_d'_administration*socio=ac est*socio=rien tenu informé, par notification*socio=rien, de toute variation*socio=rien importante*socio=uv4 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif réel d'*socio=nil un pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil intervenue depuis son dernier*socio=rien examen*socio=ec2 de la politique*socio=et des changes*socio=ec1 de ce pays*socio=ac. Cette notification*socio=rien, après*socio=rien avoir succinctement retracé l'évolution*socio=te du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 du*socio=rien *socio=ac pays membre en*socio=nil cause*socio=rien,*socio=nil *socio=nil celle de ses coûts*socio=ec1 et de ses prix*socio=ec1, expose comment ces phénomènes*socio=rien sont liés aux variations*socio=rien de sa balance_des_paiements*socio=ec1 et aux autres changements*socio=uv3 intervenus dans son économie*socio=ec1. Régimes*socio=et des changes*socio=ec1. Le système*socio=rien international*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 a continué, ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil d'évoluer dans le sens*socio=rien d'une plus grande*socio=rien souplesse*socio=uv3 des dispositifs*socio=et. L'un*socio=rien des *socio=rien principaux traits *socio=nil de cette évolution*socio=te a été*socio=rien la tendance*socio=ec2 à substituer *socio=rien diverses formules de*socio=nil flottement*socio=ec1 *socio=nil dirigé aux régimes*socio=et définissant*socio=rien la monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te par rapport*socio=rien à une unité*socio=rien de référence*socio=rien, notamment par rapport*socio=rien à une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1. Cette tendance*socio=ec2 à délaisser le rattachement*socio=rien plus ou moins étroit*socio=rien à une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1 s'est*socio=rien aussi caractérisée par l'utilisation*socio=rien de plus en plus fréquente*socio=rien, comme référence*socio=rien, d'un*socio=rien groupe*socio=ac composite*socio=rien de monnaies*socio=ec1 - notamment le DTS -, ce qui a permis*socio=rien d'atténuer les fluctuations*socio=ec2 à court_terme*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien. Sur*socio=rien les dix-huit pays_membres*socio=ac qui ont modifié leur régime*socio=et des changes*socio=ec1 en 1983 et pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1984, cinq*socio=rien ont cessé de définir*socio=rien leur monnaie*socio=ec1 par rapport*socio=rien à une unité*socio=rien donnée (c'était une référence*socio=rien de facto, pour l'un*socio=rien d'entre eux) et ont adopté un*socio=rien régime*socio=et plus souple*socio=uv4. Un*socio=rien autre *socio=ac pays membre,*socio=nil *socio=nil qui limitait auparavant la flexibilité*socio=uv3 de son taux_de_change*socio=ec1 par rapport*socio=rien au dollar_éu*socio=ec1, a adopté un*socio=rien régime*socio=et de flottement*socio=ec1 dirigé. Quatre pays*socio=ac qui rattachaient jusque-là leur monnaie*socio=ec1 au dollar_éu*socio=ec1 la rattachent maintenant à un*socio=rien groupe*socio=ac composite*socio=rien de monnaies*socio=ec1 (deux d'entre eux ont choisi pour cela le DTS). Trois autres ont abandonné la référence*socio=rien au DTS et substitué à ce *socio=rien dernier un ensemble composite de*socio=nil monnaies*socio=ec1 *socio=nil qui reflète mieux la structure*socio=ec1 particulière*socio=rien de leurs échanges*socio=ec1 extérieurs*socio=te. *socio=rien Un seul *socio=ac pays membre *socio=nil a renoncé à un*socio=rien régime*socio=et des changes*socio=ec1 plus flexible*socio=uv4 et décidé de définir*socio=rien sa monnaie*socio=ec1 par rapport*socio=rien à celle d'un*socio=rien autre membre*socio=ac. Les pays_en_développement*socio=uv3 ont davantage utilisé le différentiel*socio=ec1 de taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1, seul*socio=rien ou combiné à d'autres facteurs*socio=rien, comme indicateur*socio=ec2 de l'ajustement*socio=et automatique*socio=rien ou quasi automatique*socio=rien d'un*socio=rien régime*socio=et des changes*socio=ec1 comportant par ailleurs*socio=rien la référence*socio=rien à une unité*socio=rien extérieure*socio=te. A la *socio=rien fin du premier trimestre*socio=te *socio=nil de 1984, huit pays_membres*socio=ac avaient incorporé dans leur dispositif*socio=et des changes*socio=ec1 un*socio=rien mécanisme*socio=et d'ajustement*socio=et périodique*socio=te visant à maintenir leur compétitivité*socio=uv3 internationale*socio=ac en fonction*socio=rien d'un*socio=rien indicateur*socio=ec2 de ce genre*socio=rien; cinq*socio=rien autres pays_membres*socio=ac ont mis en *socio=rien oeuvre un tel*socio=nil mécanisme*socio=et,*socio=nil *socio=nil en 1983 et au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1984, dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et soutenu par l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Somme*socio=rien toute, le nombre*socio=rien de pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 ayant un*socio=rien "régime*socio=et prévoyant une plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3" *socio=rien est passé *socio=nil de 33, fin*socio=rien 1982, à 38, *socio=rien fin juin *socio=nil 1984 (le *socio=ec1 Fonds compte,*socio=nil au*socio=nil total*socio=rien,*socio=nil 146*socio=nil pays_membres*socio=ac)*socio=nil *socio=nil 16. Pendant la même période*socio=te, le nombre*socio=rien de pays*socio=ac dont le taux_de_change*socio=ec1 est*socio=rien établi par référence*socio=rien à une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1 est*socio=rien descendu de 56 à 51 et celui des pays*socio=ac dont la monnaie*socio=ec1 est*socio=rien rattachée à un*socio=rien groupe*socio=ac de monnaies*socio=ec1 est*socio=rien monté de 38 à 39. Le nombre*socio=rien de régimes*socio=et s'inscrivant*socio=rien dans la *socio=rien catégorie intermédiaire *socio=nil ("flexibilité*socio=uv3 limitée") est*socio=rien descendu de 18 à 17. Depuis l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3, fin*socio=rien 1981, de la classification*socio=ec2 actuelle*socio=te, la proportion*socio=rien des pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 dont le régime*socio=et prévoit "une plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3" est*socio=rien passée de 21 % à 26 % et celles des pays*socio=ac se référant à un*socio=rien groupe*socio=ac de monnaies*socio=ec1, de 25 % à 27 %. La référence*socio=rien au DTS est*socio=rien néanmoins devenue moins fréquente*socio=rien - 7 1/2 % *socio=rien du nombre des*socio=nil membres*socio=ac du Fonds*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil contre 10 % - *socio=rien du fait *socio=nil qu'on lui a préféré des groupes*socio=ac de monnaies*socio=ec1 plus étroitement adaptés à la structure*socio=ec1 des échanges*socio=ec1 extérieurs*socio=te de chaque pays*socio=ac en cause*socio=rien. *socio=rien Fin juin *socio=nil 1984, le taux_de_change*socio=ec1 de la monnaie*socio=ec1 de 51 pays_membres*socio=ac était défini*socio=rien par rapport*socio=rien à une seule*socio=rien autre monnaie*socio=ec1 : 33 par rapport*socio=rien au dollar_éu*socio=ec1, 13 par rapport*socio=rien au franc*socio=ec1 français*socio=rien, 2 par rapport*socio=rien au rand sud-africain, 3 respectivement par rapport*socio=rien à la roupie indienne*socio=ac, la livre sterling*socio=ec1 et la peseta*socio=ec1 espagnole*socio=ac (tableau*socio=rien 10). A la même date, le taux_de_change*socio=ec1 de 11 monnaies*socio=ec1 était établi par rapport*socio=rien au DTS et celui de 28 autres, par rapport*socio=rien à un*socio=rien autre groupe*socio=ac de monnaies*socio=ec1. Au total*socio=rien, 90 pays_membres*socio=ac figuraient dans la catégorie*socio=rien des pays*socio=ac qui "rattachent" leur monnaie*socio=ec1 à une unité*socio=rien quelconque. La catégorie*socio=rien "flexibilité*socio=uv3 limitée" comptait 17 membres*socio=ac. Dans la sous-catégorie "par rapport*socio=rien à une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1", on comptait 9 monnaies*socio=ec1, dont le taux_de_change*socio=ec1 pouvait fluctuer à l'intérieur*socio=te d'une marge maximale*socio=rien de 2 1/4 % par rapport*socio=rien à la monnaie*socio=ec1 d'un*socio=rien seul*socio=rien autre *socio=ac pays membre *socio=nil (le dollar_éu*socio=ec1 dans tous les cas*socio=rien, en l'occurrence*socio=rien); les 8 monnaies*socio=ec1 de l'autre sous-catégorie ("dispositif*socio=et de coopération*socio=uv1 monétaire*socio=ec1") étaient celles des pays*socio=ac participant*socio=rien au SME*socio=ec1. Enfin, 38 pays_membres*socio=ac avaient un*socio=rien "régime*socio=et prévoyant une plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3" : 6 modulaient leur taux_de_change*socio=ec1 en fonction*socio=rien d'un*socio=rien ensemble*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1, 24 avaient un*socio=rien régime*socio=et de flottement*socio=ec1 dirigé et 8 un*socio=rien régime*socio=et de flottement*socio=ec1 indépendant*socio=rien. Communiques de presse*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac et du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. *socio=rien Vingt-et-unième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 25*socio=nil septembre *socio=nil 1983. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa vingt*socio=rien et *socio=rien unième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil DC, le 25 septembre*socio=rien 1983, sous la présidence*socio=rien de M.. Willy De Clercq, vice-premier_ministre*socio=ac, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et Ministre*socio=ac du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te de la Belgique*socio=ac. 2 - Examinant les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que la reprise économique*socio=ec1 a commencé aux États-unis*socio=ac et au Canada*socio=ac et semble s'amorcer dans *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'autres pays*socio=ac industriels*socio=ec1. Il note également avec satisfaction*socio=uv3 que l'inflation*socio=ec1 a ralenti et estime*socio=rien que ce ralentissement*socio=ec2 a contribué d'une manière*socio=rien importante*socio=uv4 à la reprise de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1. En conséquence*socio=rien, dans la situation*socio=rien actuelle*socio=te, la politique_économique*socio=ec1 doit avoir pour objectif*socio=uv3 le renforcement*socio=ec2 de la reprise, par voie*socio=rien de consolidation*socio=uv3 des progrès*socio=uv1 déjà obtenus en vue*socio=rien d'assurer un*socio=rien environnement*socio=et économique*socio=ec1 et financier*socio=ec1 plus stable*socio=uv4. *socio=rien Un élément crucial *socio=nil de cette stratégie*socio=et est*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de mieux maîtriser*socio=rien les politiques_budgétaires*socio=et et monétaires*socio=ec1. De l'avis*socio=rien du*socio=rien Comité*socio=ac, une expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 excessive*socio=uv4 doit être*socio=rien évitée et les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et structurels*socio=ec2 restent trop élevés*socio=uv4 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Une plus *socio=rien grande maîtrise des*socio=nil déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et structurels*socio=ec2 *socio=nil de même que la poursuite*socio=rien des efforts*socio=uv1 résolus en vue*socio=rien de réduire les rigidités*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 et les déséquilibres*socio=uv3 structurels*socio=ec2 contribueraient à une évolution*socio=te plus stable*socio=uv4 et plus durable*socio=uv4 de la croissance*socio=uv3 réelle*socio=ec2. Le Comité*socio=ac a passé*socio=rien en revue la *socio=rien situation difficile *socio=nil à laquelle sont confrontés les pays_en_développement*socio=uv3 et constate que les difficultés*socio=uv4 financières*socio=ec1 extérieures*socio=te les ont contraints*socio=uv2 à freiner sensiblement la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Il note avec une *socio=rien inquiétude particulière *socio=nil que les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 de ces pays*socio=ac en 1983 laissent à nouveau*socio=rien prévoir des taux*socio=ec1 inférieurs*socio=rien à ceux de la croissance*socio=uv3 démographique*socio=ec1 - ce qui constitue une révision*socio=rien en baisse*socio=ec2 des chiffres soumis au Comité*socio=ac lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien de février*socio=rien. Le Comité*socio=ac fait*socio=rien observer que les déficits*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 ont déjà enregistré une forte*socio=rien réduction*socio=ec2. Néanmoins, le problème*socio=uv4 que pose le service_de_la_dette*socio=ec1 revêt encore une *socio=rien acuité considérable pour*socio=nil nombre *socio=nil de ces pays*socio=ac et de nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 devront être*socio=rien réalisés avant que la position*socio=rien extérieure*socio=te de ces pays*socio=ac puisse être*socio=rien considérée comme viable*socio=uv4. En conséquence*socio=rien, il convient d'encourager la poursuite*socio=rien de la mise en oeuvre*socio=rien de politiques*socio=et d'ajustement*socio=et réalistes*socio=uv4 et d'assurer des apports*socio=rien adéquats*socio=uv2 de capitaux*socio=ec1 sous forme*socio=rien d' aide_publique_au_développement*socio=et et de *socio=ec1 crédits bancaires privés*socio=et.*socio=nil *socio=nil En ce qui concerne ces apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1, il serait nécessaire*socio=rien de mettre au point*socio=rien des dispositifs*socio=et de financement*socio=ec1 coordonnés se renforçant mutuellement et comportant à la fois*socio=rien des *socio=ec1 crédits bancaires privés*socio=et *socio=nil et des prêts*socio=ec1 des organisations*socio=ac multilatérales*socio=et et des gouvernements*socio=ac. 3 - Le Comité*socio=ac exprime sa vive préoccupation*socio=uv4 devant*socio=rien la recrudescence*socio=ec2 des tendances*socio=ec2 au protectionnisme*socio=et. Il invite tous les pays_membres*socio=ac à résister à la prolifération*socio=rien de *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil et à abolir le plus tôt possible*socio=rien celles en vigueur*socio=uv3. Il souligne la nécessité*socio=uv1 d'adopter des mesures*socio=et tendant à promouvoir *socio=rien un système multilatéral*socio=et de*socio=nil commerce*socio=ec1 *socio=nil et de paiement*socio=ec1 ouvert*socio=rien, qui est*socio=rien de l'intérêt*socio=uv1 de tous les pays_membres*socio=ac, développés*socio=uv4 aussi bien*socio=rien qu'en voie*socio=rien de développement*socio=uv3. A cet égard*socio=rien, il attire notamment l'attention*socio=rien sur*socio=rien le fait*socio=rien que tous les pays*socio=ac, en particulier*socio=rien les pays_en_développement*socio=uv3 qui sont lourdement endettés, ont besoin*socio=uv1 d'avoir un*socio=rien accès*socio=uv1 adéquat*socio=uv2 aux marchés*socio=ec1, afin de faciliter le service_de_leur_dette*socio=ec1 extérieure*socio=te et, en même temps*socio=rien, de pouvoir*socio=et financer *socio=rien un volume raisonnable*socio=uv4 d'*socio=nil importations*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil note avec plaisir*socio=rien que le Fonds*socio=ec1 a intensifié sa collaboration*socio=uv1 avec le GATT*socio=ac et attache une importance*socio=rien accrue à la *socio=rien question du protectionnisme*socio=et *socio=nil dans l'exercice*socio=rien de ses attributions*socio=rien en matière*socio=rien de surveillance*socio=et. D'une manière*socio=rien plus générale*socio=rien, le Comité*socio=ac réaffirme que les *socio=rien activités du Fonds*socio=ec1 *socio=nil dans le domaine*socio=rien de la surveillance*socio=et doivent être*socio=rien maintenues et renforcées. 4 - Le Comité*socio=ac souligne la *socio=rien grande importance *socio=nil que revêt, dans la situation*socio=rien actuelle*socio=te, le rôle*socio=et que joue le Fonds*socio=ec1 en fournissant de l'aide*socio=uv1 au titre*socio=rien de la balance_des_paiements*socio=ec1 aux pays_membres*socio=ac qui entreprennent de mettre en oeuvre*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et, rôle*socio=et dont le Fonds*socio=ec1 ne peut s'acquitter d'une manière*socio=rien efficace*socio=uv4 que s'il dispose de *socio=ec1 ressources financières suffisantes*socio=rien.*socio=nil *socio=nil A cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac s'inquiète*socio=rien de la situation*socio=rien de plus en plus difficile*socio=rien dans laquelle se trouve la liquidité*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et de la perspective*socio=rien d'une réduction*socio=ec2 de l'aide*socio=uv1 pouvant être*socio=rien fournie par le Fonds*socio=ec1, faute de s'assurer rapidement de ressources*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien. Compte*socio=ec1 tenu de ce qui précède, le Comité*socio=ac appuie vigoureusement les efforts*socio=uv1 du*socio=rien directeur_général*socio=ac pour effectuer de nouveaux*socio=rien emprunts*socio=ec1 auprès de prêteurs*socio=ac officiels*socio=et, afin de combler l'écart*socio=ec2 croissant*socio=rien entre les montants*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 empruntées engagés par le Fonds*socio=ec1 et les montants*socio=ec1 dont il peut disposer au titre*socio=rien des lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 existantes*socio=rien, et exprime l'espoir*socio=uv1 de voir aboutir sans tarder les négociations*socio=et relatives*socio=rien à ces emprunts*socio=ec1. Devant*socio=rien la gravité persistante*socio=rien des problèmes*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 de nombreux*socio=rien pays_membres*socio=ac, il est*socio=rien essentiel*socio=uv4, pour assurer de nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 sur*socio=rien la voie*socio=rien de l'ajustement*socio=et et, par conséquent*socio=rien, une croissance*socio=uv3 reposant sur*socio=rien des bases*socio=rien saines*socio=uv2, que le Fonds*socio=ec1 dispose de ressources*socio=ec1 adéquates*socio=uv2. En conséquence*socio=rien, le Comité*socio=ac souligne l'importance*socio=rien critique*socio=uv2 de l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 avant la fin*socio=rien de l'année*socio=rien, conformément au calendrier*socio=te prescrit*socio=rien par le conseil_des_gouverneurs*socio=ac, des augmentations*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et dans le cadre*socio=rien de la *socio=rien Huitième révision générale *socio=nil et des Accords*socio=et généraux*socio=rien d'emprunt*socio=ec1 révisés et élargis qui ont été*socio=rien approuvés en *socio=rien mars dernier.*socio=nil *socio=nil Réaffirmant son point*socio=rien de vue*socio=rien selon lequel les souscriptions*socio=et de quotes-parts*socio=et des pays_membres*socio=ac doivent être*socio=rien la *socio=rien source principale du financement*socio=ec1 du Fonds*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et rappelant que les nouvelles*socio=rien quotes-parts*socio=et ne pourront entrer en vigueur*socio=uv3 tant que les augmentations*socio=ec2 n'auront pas été*socio=rien acceptées par les pays_membres*socio=ac représentant*socio=rien au moins 70 % *socio=rien du total des*socio=nil quotes-parts*socio=et,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil exprime sa préoccupation*socio=uv4 devant*socio=rien le fait*socio=rien que, jusqu'à présent*socio=rien, les pays*socio=ac qui ont donné leur consentement*socio=rien ne représentent que 29,2 % *socio=rien du total des*socio=nil quotes-parts*socio=et.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac demande*socio=ec1 *socio=nil à tous les pays_membres*socio=ac qui n'ont pas encore fait*socio=rien connaître leur consentement*socio=rien de prendre d'urgence*socio=rien toutes les dispositions*socio=et nécessaires*socio=rien à cet effet*socio=rien. 5 - Le Comité*socio=ac a examiné la question*socio=rien de l'accès*socio=uv1 aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 après*socio=rien que l'augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et en vertu*socio=rien de la *socio=rien Huitième révision générale *socio=nil aura pris effet*socio=rien, tout en faisant observer le *socio=rien caractère temporaire *socio=nil et rotatif des crédits*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 en matière*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec1. Les conclusions*socio=rien auxquelles il est*socio=rien parvenu sont exposées dans les *socio=rien paragraphes suivants.*socio=nil Quelques*socio=nil membres*socio=ac du Comité*socio=ac *socio=nil déclarent qu'ils ne sont pas d'accord*socio=rien avec toutes les *socio=rien conclusions relatives aux*socio=nil plafonds*socio=ec1 d'*socio=nil accès*socio=uv1.*socio=nil *socio=nil a - Tout en notant que l'ajustement*socio=et semble s'effectuer, le Comité*socio=ac reconnaît que les besoins*socio=uv1 de nombreux*socio=rien pays_membres*socio=ac en matière*socio=rien de financement*socio=ec1 temporaire*socio=rien des balances_des_paiements*socio=ec1 *socio=rien du type *socio=nil fourni par le Fonds*socio=ec1 sont élevés*socio=uv4 par rapport*socio=rien à leur quote-part*socio=ec1 et pourraient le rester. En conséquence*socio=rien, il conclut que la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi, qui revêt *socio=rien un caractère temporaire,*socio=nil devrait*socio=nil être *socio=nil maintenue en 1984, conformément aux dispositions*socio=et des alinéas b, c, et d, ci-après. b - Les plafonds*socio=ec1 d'accès*socio=uv1 et la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi seront revus chaque année*socio=rien afin d'examiner l'avenir*socio=te de cette politique*socio=et, notamment sa cessation*socio=uv3, sa réduction*socio=ec2 graduelle*socio=te ou sa prolongation*socio=rien, compte*socio=ec1 tenu de tous les facteurs*socio=rien à prendre en considération*socio=rien, y compris l'ampleur*socio=rien des problèmes*socio=uv4 de paiements*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac et l'évolution*socio=te de la position*socio=rien de liquidité*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. c - L'accès*socio=uv1 aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 au titre*socio=rien de cette politique*socio=et, durant la période*socio=te supplémentaire*socio=rien spécifiée à l'alinéa*socio=rien a) sera soumis à des plafonds*socio=ec1 annuels*socio=te de 102 ou 125 % de la quote-part*socio=ec1, à des plafonds*socio=ec1 trisannuels de 306 ou 375 % de la quote-part*socio=ec1 et à des plafonds*socio=ec1 cumulatifs*socio=rien de 408 ou 500 % de la quote-part*socio=ec1, en fonction*socio=rien de la gravité des besoins*socio=uv1 de balance_des_paiements*socio=ec1 et de la vigueur*socio=uv3 de l'effort*socio=uv1 d'ajustement*socio=et. Ces plafonds*socio=ec1 seraient examinés périodiquement, à l'occasion*socio=rien du*socio=rien réexamen*socio=et de la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi elle-même. Comme c'est*socio=rien le cas*socio=rien à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, le conseil_d'_administration*socio=ac conserverait la possibilité*socio=rien d'approuver, dans des circonstances*socio=rien exceptionnelles*socio=uv4, des accords*socio=et de confirmation*socio=et ou des accords*socio=et élargis pour des montants*socio=ec1 supérieurs*socio=rien aux plafonds*socio=ec1 d'accès*socio=uv1. d - Comme c'est*socio=rien le cas*socio=rien à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, les plafonds*socio=ec1 d'accès*socio=uv1 annuels*socio=te et trisannuels ne seraient pas considérés comme des objectifs*socio=uv3; dans le cadre*socio=rien de ces plafonds*socio=ec1, le montant*socio=ec1 dont pourrait disposer un*socio=rien pays*socio=ac serait déterminé en fonction*socio=rien de la *socio=rien situation du pays*socio=ac *socio=nil considéré, selon des critères*socio=rien établis à cette fin*socio=rien par le conseil_d'_administration*socio=ac. e - S'agissant de la question*socio=rien de l'accès*socio=uv1 aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 au titre*socio=rien des mécanismes_spéciaux*socio=rien après*socio=rien l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 de la *socio=rien Huitième révision générale,*socio=nil certains*socio=nil membres*socio=ac du Comité*socio=ac *socio=nil préféreraient le maintien*socio=rien des plafonds*socio=ec1 actuels*socio=te. D'autres préféreraient un*socio=rien chiffre moins élevé*socio=uv4, allant de 68 à 85 %. En conséquence*socio=rien, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac d'examiner la question*socio=rien et de parvenir le plus tôt possible*socio=rien à une conclusion*socio=rien. Ces plafonds*socio=ec1 devraient être*socio=rien revus à chaque réexamen*socio=et de la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi. f - Dans la mise en oeuvre*socio=rien de sa politique*socio=et en matière*socio=rien d'accès*socio=uv1 à ses ressources*socio=ec1, le Fonds*socio=ec1 devrait être*socio=rien particulièrement attentif*socio=rien à la situation*socio=rien très difficile*socio=rien des pays_membres*socio=ac à quote-part*socio=ec1 peu élevée*socio=uv4 et à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. g - Le Comité*socio=ac invite le conseil_d'_administration*socio=ac à prendre, dès que possible*socio=rien, les mesures*socio=et nécessaires*socio=rien pour mettre en oeuvre*socio=rien les conclusions*socio=rien auxquelles le Comité*socio=ac est*socio=rien parvenu. 6 - Le Comité*socio=ac examine à nouveau*socio=rien la question*socio=rien d'une allocation*socio=et de DTS pendant la période*socio=te de base*socio=rien en cours*socio=rien, c'est-à-dire la quatrième*socio=rien, laquelle a commencé le 1er janvier*socio=rien 1982. La plupart*socio=rien des membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac sont d'avis*socio=rien que les tendances*socio=ec2 récentes*socio=rien de la situation*socio=rien de la liquidité*socio=ec1 internationale*socio=ac et la conjoncture*socio=ec2 économique*socio=ec1 mondiale*socio=te ont renforcé les arguments*socio=ec2 en faveur*socio=rien d'une allocation*socio=et pendant la période*socio=te en cours*socio=rien, tandis que d'autres membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac estiment que ce n'est*socio=rien pas encore le cas*socio=rien. Le Comité*socio=ac convient que les débats*socio=et sur*socio=rien cette question*socio=rien, qui pourraient aboutir à une *socio=rien proposition du directeur_général*socio=ac recueillant*socio=nil un large appui*socio=uv1 *socio=nil parmi les membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1, devraient être*socio=rien poursuivis en priorité*socio=uv4. 7 - Le Comité*socio=ac décide de tenir sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil DC, au printemps*socio=rien de 1984. *socio=rien Vingt-deuxième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 12*socio=nil avril *socio=nil 1984. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa *socio=rien vingt-deuxième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil DC, le 12 avril*socio=rien 1984, sous la présidence*socio=rien de M.. Willy De Clercq, vice-premier_ministre*socio=ac, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et Ministre*socio=ac du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te de la Belgique*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac a examiné les mesures*socio=et de politique_économique*socio=ec1 qui s'imposent dans les circonstances*socio=rien actuelles*socio=te pour améliorer les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 de tous les pays_membres*socio=ac. Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que la reprise de l' activité_économique*socio=ec1 est*socio=rien en cours*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac à un*socio=rien rythme*socio=ec2 plus rapide*socio=rien que prévu. Il constate cependant que les effets*socio=rien de cette reprise sur*socio=rien l'emploi*socio=ec1 sont jusqu'à *socio=rien présent modestes,*socio=nil *socio=nil sauf aux États-unis*socio=ac et au Canada*socio=ac. Il se félicite de la réduction*socio=ec2 sensible*socio=rien des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil mais exprime sa profonde*socio=rien préoccupation*socio=uv4 des conséquences*socio=rien éventuelles*socio=te que la *socio=rien hausse récente des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 directeurs*socio=ac,*socio=nil déjà*socio=nil élevés*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil pourrait entraîner. Ayant examiné la situation*socio=rien économique*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3, le Comité*socio=ac accueille favorablement le fait*socio=rien qu'en moyenne*socio=rien les taux_de_croissance*socio=ec1 de ces pays*socio=ac paraissent tendre à la hausse*socio=rien. Il estime*socio=rien cependant que la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien de ces taux*socio=ec1, surtout par habitant*socio=ac, comporte des risques*socio=uv3 pour leurs politiques_économiques*socio=et et leur impose des contraintes*socio=uv1. Il regrette que, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 n'aient pas encore fléchi. Au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée, le volume*socio=rien des échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te a considérablement*socio=rien augmenté et une certaine*socio=rien amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 a également été*socio=rien enregistrée. Le Comité*socio=ac se félicite de cette évolution*socio=te, bien*socio=rien qu'elle n'ait pas suffi à compenser la détérioration*socio=uv4 des échanges*socio=ec1 subie par ces pays*socio=ac au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a examiné l'évolution*socio=te des balances_de_paiements*socio=ec1 et les variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 y afférentes*socio=rien dans le contexte*socio=rien de l'interaction*socio=rien entre les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et, le niveau*socio=rien des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et, les positions*socio=rien des paiements_courants*socio=ec1, les taux_d'_intérêt*socio=ec1, les politiques_monétaires*socio=et et la répartition*socio=uv3 de l'épargne*socio=ec1 dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Pour ce qui est*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, le Comité*socio=ac estime*socio=rien que des politiques_monétaires*socio=et et budgétaires*socio=et prudentes*socio=uv2 doivent s'inscrire dans une perspective*socio=rien à *socio=rien moyen terme;*socio=nil *socio=nil ceci permettrait de préserver et d'améliorer la bonne*socio=rien tenue des prix*socio=ec1 enregistrée récemment, en faisant place*socio=rien à une reprise des investissements*socio=ec1 et en l'encourageant, tout en assurant le maintien*socio=rien de la demande_globale*socio=ec1. A cet égard*socio=rien, il serait utile*socio=uv4 et urgent*socio=uv4 de réduire les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac par*socio=nil rapport *socio=nil à leur PNB*socio=ec1. Il reconnaît que de profondes*socio=rien réformes*socio=et de structure*socio=ec1 sont nécessaires*socio=rien pour améliorer les conditions*socio=ec1 de l'offre*socio=ec1 dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, notamment par la discipline*socio=uv1 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et la réduction*socio=ec2 des rigidités*socio=uv3 sur*socio=rien les marchés_du_travail*socio=ec1 et des capitaux*socio=ec1. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que, dans l'immédiat*socio=rien, le défi*socio=uv2 le plus important*socio=uv4 auquel les pays_en_développement*socio=uv3 doivent faire *socio=rien face sur le*socio=nil plan *socio=nil de la politique_économique*socio=ec1 consiste à maintenir et, si nécessaire*socio=rien, à renforcer les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et. Ces efforts*socio=uv1 commencent déjà, dans nombre*socio=rien d'entre eux, à porter leurs fruits*socio=rien. La réduction*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1 en 1982-83 en est*socio=rien la preuve*socio=ec2, encore que cette réduction*socio=ec2 soit due en *socio=rien grande partie *socio=nil à une compression*socio=et des importations*socio=ec1. Le Comité*socio=ac reconnaît que les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et requièrent non seulement *socio=rien un système plus*socio=nil ouvert des*socio=nil échanges*socio=ec1 *socio=nil et des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, mais aussi une coopération*socio=uv1 continue*socio=rien dans le domaine*socio=rien financier*socio=ec1 des gouvernements*socio=ac et de la communauté*socio=ac bancaire*socio=ec1 internationale*socio=ac, si l'on veut éviter que cette compression*socio=et des importations*socio=ec1 persiste, qu'elle limite*socio=rien le potentiel*socio=uv4 de croissance*socio=uv3 des *socio=ac pays débiteurs *socio=nil et crée éventuellement une instabilité*socio=uv3 sociale*socio=et et politique*socio=et. Le Comité*socio=ac reconnaît également que l'ajustement*socio=et économique*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 est*socio=rien fortement tributaire*socio=rien des dons*socio=ec1 et des prêts*socio=ec1 assortis de conditions*socio=ec1 libérales*socio=et. Le rôle*socio=et de ces dons*socio=ec1 et prêts*socio=ec1, de même que celui de meilleures*socio=uv4 politiques_économiques*socio=et, devrait s'accroître. A cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac prend note de la détresse*socio=rien des *socio=ac pays africains au*socio=nil sud*socio=te du*socio=rien Sahara *socio=nil dont les problèmes*socio=uv4 ont été*socio=rien exacerbés par des calamités naturelles*socio=rien et appellent une action*socio=ec1 concertée de la part*socio=rien de la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil Le*socio=nil Comité *socio=nil souligne l'interdépendance*socio=uv3 étroite*socio=rien qui existe entre pays*socio=ac développés*socio=uv4 et pays_en_développement*socio=uv3 et l'influence cruciale*socio=uv4 que les politiques_économiques*socio=et de chacun de ces groupes_de_pays*socio=ac ont sur*socio=rien les économies*socio=ec1 de l'autre groupe*socio=ac. Le Comité*socio=ac se déclare profondément préoccupé par la montée du*socio=rien protectionnisme*socio=et, sachant qu'elle entrave*socio=ec2 l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1, les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et des pays*socio=ac développés*socio=uv4 comme ceux des pays_en_développement*socio=uv3, la maîtrise*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 et l'amélioration*socio=uv1 des conditions_de_vie*socio=uv1 dans le monde*socio=te entier*socio=rien. Il note également que les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et qui se manifestent dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac sont particulièrement préoccupantes*socio=rien, compte*socio=ec1 tenu *socio=rien du poids important*socio=uv4 *socio=nil de ces pays*socio=ac dans le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te. Le Comité*socio=ac se félicite de l'attention*socio=rien accrue portée*socio=rien au problème*socio=uv4 du*socio=rien protectionnisme*socio=et dans les activités*socio=rien de surveillance*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1, ce qui devrait permettre d'étayer les efforts*socio=uv1 déployés par le GATT*socio=ac et par d'autres institutions*socio=ac compétentes*socio=uv4 pour promouvoir *socio=rien un système commercial*socio=ec1 ouvert.*socio=nil L'*socio=nil amélioration*socio=uv1 des*socio=nil possibilités d'*socio=nil échange*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil notamment pour les pays*socio=ac lourdement endettés, permettra d'asseoir la reprise économique*socio=ec1 sur*socio=rien des bases*socio=rien plus larges*socio=rien et de renforcer le système_financier*socio=ec1 international*socio=te. Le Comité*socio=ac recommande instamment aux pays_membres*socio=ac de prendre des mesures*socio=et en vue*socio=rien de libéraliser le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, et d'examiner dans le, cadre*socio=rien de leurs gouvernements*socio=ac respectifs*socio=rien les moyens*socio=ec1 de concrétiser la formulation*socio=rien d'un*socio=rien engagement*socio=uv1 clair*socio=rien et pratique*socio=rien qui aurait pour effet*socio=rien d'enrayer la tendance*socio=ec2 actuelle*socio=te et de préparer la voie*socio=rien à *socio=rien un recul du protectionnisme*socio=et.*socio=nil *socio=nil De l'avis*socio=rien du*socio=rien Comité*socio=ac, ceci permettrait de donner *socio=rien un sens *socio=nil concret aux engagements*socio=et antiprotectionnistes pris récemment par *socio=rien un certain nombre de*socio=nil gouvernements*socio=ac *socio=nil dans plusieurs instances*socio=et internationales*socio=te et, par là, de renforcer la confiance*socio=uv1 dans l'objectif*socio=uv3 commun*socio=uv2 qui est*socio=rien de favoriser *socio=rien un système de*socio=nil commerce*socio=ec1 multilatéral*socio=et ouvert.*socio=nil *socio=nil 3 - Tout en reconnaissant les progrès*socio=uv1 déjà réalisés pour résoudre parla coopération*socio=uv1 le problème*socio=uv4 de l'endettement*socio=ec1 international*socio=te, le Comité*socio=ac attire l'attention*socio=rien sur*socio=rien les *socio=uv4 graves difficultés *socio=nil auxquelles continuent de se heurter *socio=rien bon nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac.*socio=nil *socio=nil A cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac souligne que le problème*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 reste*socio=rien grave*socio=uv4. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 élevés*socio=uv4 continuent d'imposer des contraintes*socio=uv1 aux possibilités*socio=rien qu'ont ces pays*socio=ac d'assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 et compromettent leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et. Le Comité*socio=ac reconnaît que, pour résoudre ces difficultés*socio=uv4 de façon*socio=rien satisfaisante*socio=uv4, il faudra que toutes les parties*socio=rien concernées, continuent de coopérer étroitement. Avant tout, *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil devront porter leurs efforts*socio=uv1 sur*socio=rien l'assainissement*socio=uv3 de leurs paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Ils n'y parviendront que si tous les pays_membres*socio=ac persévèrent afin d'assurer une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 non inflationniste*socio=ec2 soutenue et de promouvoir *socio=rien un système de*socio=nil commerce*socio=ec1 ouvert *socio=nil et l'efficacité*socio=uv3 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, sans perdre de vue*socio=rien les besoins*socio=uv1 particuliers*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3. A cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac insiste sur*socio=rien le rôle*socio=et vital*socio=uv4 que le Fonds*socio=ec1 joue et devrait continuer à jouer dans ces domaines*socio=rien. 4 - Le Comité*socio=ac se félicite de l'amélioration*socio=uv1 considérable*socio=rien de la liquidité*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1, grâce*socio=rien à l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 de l'augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et au titre*socio=rien de la *socio=rien Huitième révision générale *socio=nil et de celle des AGE auxquels la *socio=ac banque_nationale suisse *socio=nil participe maintenant à *socio=rien part entière.*socio=nil *socio=nil Il se félicite également qu'un*socio=rien accord*socio=et d'emprunt*socio=ec1 ait été*socio=rien conclu avec l'Arabie*socio=ac Saoudite*socio=ac en association*socio=ac avec les AGE. Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que de nouveaux*socio=rien accords*socio=et d'emprunt*socio=ec1 sont sur*socio=rien le point*socio=rien d'être*socio=rien conclus par le Fonds*socio=ec1 pour un*socio=rien montant*socio=ec1 de 6 milliards*socio=rien de DTS, en vue*socio=rien d'appuyer la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi du*socio=rien Fonds*socio=ec1. 5 - Le Comité*socio=ac réitère également la préoccupation*socio=uv4 qu'il a exprimée en *socio=rien septembre dernier *socio=nil quant aux besoins*socio=uv1 spécifiques*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien quote-part*socio=ec1 et à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 en ce qui concerne l'accès*socio=uv1 aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. 6 - Le Comité*socio=ac a de nouveau*socio=rien examiné la question*socio=rien d'une allocation*socio=et de DTS pendant la période*socio=te de base*socio=rien en cours*socio=rien (la quatrième*socio=rien) dans le contexte*socio=rien de la situation*socio=rien de la liquidité*socio=ec1 internationale*socio=ac et de la conjoncture*socio=ec2 économique*socio=ec1 mondiale*socio=te. La plupart*socio=rien des membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac sont convaincus qu'une allocation*socio=et de DTS est*socio=rien de plus en plus justifiée, faisant valoir qu'à leur avis*socio=rien elle serait tout à fait*socio=rien conforme*socio=uv4, dans les circonstances*socio=rien actuelles*socio=te, aux dispositions*socio=et des statuts*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et renforcerait tant l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te que le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Toutefois, d'autres membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac continuent à penser que la démonstration*socio=ec2 d'une pénurie*socio=ec2 globale*socio=rien de liquidités*socio=ec1 n'a pas été*socio=rien faite. Lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien, le Comité*socio=ac n'a pu parvenir à une conclusion*socio=rien. Il a cependant été*socio=rien convenu que le conseil_d'_administration*socio=ac devrait poursuivre d'urgence*socio=rien l'étude*socio=ec2 des questions*socio=rien y afférentes*socio=rien avant la *socio=rien prochaine réunion du comité_intérimaire*socio=ac *socio=nil et que le directeur_général*socio=ac présenterait *socio=rien un nouveau rapport,*socio=nil *socio=nil à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac,*socio=nil sur les*socio=nil résultats des*socio=nil débats*socio=et du conseil_d'_administration*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 7 - Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu de tenir sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil le 22 septembre*socio=rien 1984. Comité*socio=ac ministériel*socio=et mixte des conseils_des_gouverneurs_de_la_banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 pour le transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 aux pays_en_développement*socio=uv3 (Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3). *socio=rien Vingt-deuxième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 26*socio=nil septembre *socio=nil 1983. 1 - Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa *socio=rien vingt-deuxième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil DC, le 26 septembre*socio=rien 1983, sous la présidence*socio=rien de M.. Ghulam*socio=ac Ishaq Khan, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1, du*socio=rien commerce*socio=ec1 et de la coordination*socio=uv3 économique*socio=ec1 du*socio=rien Pakistan*socio=ac. 2 - Les débats*socio=et du*socio=rien Comité*socio=ac se sont inscrits*socio=rien dans le contexte*socio=rien des *socio=rien thèmes traités *socio=nil par le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement*socio=uv3 *socio=nil dans le monde*socio=te, 1983 de la banque_mondiale*socio=ac et par les Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te du*socio=rien FMI*socio=ac. *socio=rien Un rapport du Président*socio=ac *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac met en lumière*socio=rien certains problèmes*socio=uv4 *socio=rien particuliers du développement*socio=uv3.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil prend note des débats*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac sur*socio=rien la situation*socio=rien économique*socio=ec1 mondiale*socio=te et convient que, même si la reprise économique*socio=ec1 s'est*socio=rien amorcée aux États-unis*socio=ac et semble en *socio=rien bonne voie dans*socio=nil un certain nombre *socio=nil d'autres pays_industrialisés*socio=ac, la situation*socio=rien confrontant les pays_en_développement*socio=uv3 reste*socio=rien préoccupante*socio=uv4, et que les difficultés*socio=uv4 financières*socio=ec1 extérieures*socio=te ont contraint ces derniers*socio=rien pays*socio=ac à réduire de *socio=rien façon sensible leur*socio=nil demande*socio=ec1 intérieure*socio=te.*socio=nil Particulièrement*socio=nil préoccupante*socio=uv4 est *socio=nil apparue la perspective*socio=rien pour 1983 d'enregistrer à *socio=rien nouveau un *socio=ec1 taux_de_croissance économique des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 en*socio=nil *socio=rien général inférieur *socio=nil à la *socio=ec1 croissance démographique.*socio=nil *socio=nil 3 - Le défi*socio=uv2 à relever maintenant est*socio=rien le suivant*socio=rien : comment assurer une reprise durable*socio=uv4, plus vigoureuse*socio=rien et généralisée dans un*socio=rien environnement*socio=et non inflationniste*socio=ec2? La reprise dans les pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien une *socio=rien condition nécessaire,*socio=nil *socio=nil mais non suffisante*socio=rien, pour rétablir le rythme*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3. A cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac a examiné la question*socio=rien des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 assortis de conditions*socio=ec1 libérales*socio=et et non libérales*socio=et, d'origine*socio=rien publique*socio=et ou privée*socio=et, vers les pays_en_développement*socio=uv3. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac reconnaissent en particulier*socio=rien la nécessité*socio=uv1, conformément aux politiques*socio=et et pratiques*socio=et antérieures*socio=te, de prendre sans tarder des mesures*socio=et en vue*socio=rien d'une augmentation*socio=ec2 sélective*socio=uv4 du*socio=rien capital*socio=ec1 de la banque_mondiale*socio=ac après*socio=rien la *socio=rien Huitième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et au*socio=nil Fonds*socio=ec1 *socio=nil et parallèlement à celle-ci. Une augmentation*socio=ec2 se situant entre 3 milliards*socio=rien et 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 a été*socio=rien débattue. La plupart*socio=rien des membres*socio=ac sont en faveur*socio=rien d'une augmentation*socio=ec2 sélective*socio=uv4 du*socio=rien capital*socio=ec1 égale*socio=rien à environ 8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 et demandent que les administrateurs*socio=ac mettent au point*socio=rien les modalités*socio=rien de cette augmentation*socio=ec2 en vue*socio=rien de la soumettre au conseil_des_gouverneurs*socio=ac avant la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. 4 - Le Comité*socio=ac se félicite également de l'intention*socio=rien exprimée par la direction*socio=et de la banque_mondiale*socio=ac de formuler des propositions*socio=rien concernant le rôle*socio=et futur*socio=te de la Banque*socio=ac et les implications*socio=rien de ce rôle*socio=et pour ce qui est*socio=rien des besoins*socio=uv1 en capitaux*socio=ec1 à plus long_terme*socio=te, notamment la nécessité*socio=uv1 d'une augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale du capital*socio=ec1.*socio=nil Ces*socio=nil questions *socio=nil seront examinées par le Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac au cours*socio=rien des *socio=rien prochains mois.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a invité le Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac à faire *socio=rien rapport sur ces*socio=nil débats*socio=et *socio=nil à la *socio=rien réunion du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3 de*socio=nil septembre *socio=nil 1984. 5 - Les besoins*socio=uv1 des pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, tributaires*socio=rien de l'aide_publique_au_développement*socio=et (APD*socio=et) ont été*socio=rien examinés, ainsi que l'état*socio=rien d'avancement*socio=uv3 des négociations*socio=et relatives*socio=rien à IDA*socio=ac 7. Aucun progrès*socio=uv1 n'a été*socio=rien réalisé au cours*socio=rien des négociations*socio=et *socio=rien récentes relatives à*socio=nil IDA*socio=ac *socio=nil 7, qui se sont tenues le 24 septembre*socio=rien 1983. Cette *socio=rien situation est *socio=nil regrettable étant donné que l'impérative nécessité*socio=uv1 de conclure lesdites négociations*socio=et d'ici à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien a été*socio=rien unanimement acceptée. Les ministres*socio=ac reconnaissent qu'un*socio=rien accord*socio=et devra intervenir *socio=rien sur un montant*socio=ec1 réaliste*socio=uv4 d'*socio=nil IDA*socio=ac *socio=nil 7 et que ce montant*socio=ec1 devra prendre en compte*socio=ec1, d'une part*socio=rien, les besoins*socio=uv1 d'un*socio=rien nombre*socio=rien accru de pays*socio=ac pouvant bénéficier de l'aide*socio=uv1 de l'IDA*socio=ac et aux prises*socio=rien avec des conditions_économiques*socio=ec1 extrêmement graves*socio=uv4 et, d'autre part*socio=rien, les contraintes*socio=uv1 budgétaires*socio=et des *socio=ac pays donateurs.*socio=nil *socio=nil 6 - La situation*socio=rien économique*socio=ec1 difficile*socio=rien et les perspectives*socio=te de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac ont été*socio=rien examinées sur*socio=rien la base*socio=rien des analyses*socio=ec2 de *socio=rien rapports récents *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac. Il est*socio=rien noté que des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et sont en cours*socio=rien dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil de cette région*socio=te. Étant donné la baisse*socio=ec2 grave*socio=uv4 du*socio=rien revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac qu'ont connue ces pays*socio=ac, et afin de contribuer à soutenir et à généraliser le processus*socio=te de réforme*socio=et de la politique_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te, les ministres*socio=ac indiquent leur accord sur*socio=rien l'importance*socio=rien prioritaire*socio=uv4 attachée à l'accroissement*socio=ec2 de la part*socio=rien de l'aide*socio=uv1 libérale*socio=et extérieure*socio=te que reçoivent ces pays*socio=ac. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 instamment à la banque_mondiale*socio=ac de continuer à porter une *socio=rien attention particulière aux*socio=nil problèmes*socio=uv4 *socio=nil de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac. 7 - Le Comité*socio=ac indique son accord sur*socio=rien l'importance*socio=rien de mesures*socio=et d'encouragement*socio=uv4 en faveur*socio=rien de l'investissement_direct*socio=ec1 privé*socio=et, en particulier*socio=rien dans les pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2, et note que la direction*socio=et de la Banque*socio=ac a l'intention*socio=rien de proposer une expansion*socio=ec2 du*socio=rien programme*socio=et d'investissements*socio=ec1 de la société_ financière_internationale*socio=ac (SFI*socio=ac) durant les exercices*socio=rien 1984 à 1988 en augmentant de 750 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1 son capital*socio=ec1. Le montant*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 apportés par le Groupe*socio=ac de la Banque*socio=ac au secteur_privé*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3 s'en trouverait accru. La proposition*socio=rien sera examinée par les administrateurs*socio=ac au cours*socio=rien des tout *socio=rien prochains mois.*socio=nil *socio=nil 8 - Le Comité*socio=ac a examiné *socio=rien un rapport sur l'*socio=nil avancement*socio=uv3 des*socio=nil projets*socio=et *socio=nil de mise en valeur*socio=ec1 des *socio=ec1 ressources énergétiques et*socio=nil sur*socio=rien le*socio=nil rôle*socio=et *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac dans l'aide*socio=uv1 à la mobilisation*socio=uv3 à cette fin*socio=rien de fonds*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien. Il prend note de la nécessité*socio=uv1 croissante*socio=rien dans laquelle se trouvent les pays_en_développement*socio=uv3 de disposer de fonds*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien pour mettre en valeur*socio=ec1 ces ressources*socio=ec1. 9 - Le Comité*socio=ac a également examiné de *socio=rien brefs rapports *socio=nil de la Banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 faisant le *socio=rien point sur le*socio=nil commerce*socio=ec1 *socio=nil et la promotion*socio=uv3 du*socio=rien développement*socio=uv3, question*socio=rien dont il avait commencé l'examen*socio=ec2 à sa *socio=rien réunion précédente en*socio=nil avril *socio=nil 1983. Il décide d'en poursuivre l'étude*socio=ec2 à sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil Dans l'entre-temps*socio=rien, le Comité*socio=ac invite instamment toutes les *socio=ac nations commerçantes *socio=nil à moins s'en remettre au protectionnisme*socio=et. 10 - Le Comité*socio=ac approuve le *socio=rien texte provisoire *socio=nil de son Rapport*socio=rien annuel*socio=te d'activités*socio=rien pour l'exercice*socio=rien juillet*socio=rien 1982/juin*socio=rien 1983, en vue*socio=rien de sa présentation*socio=rien au conseil_des_gouverneurs*socio=ac. 11 - Le Président*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac d'étude*socio=ec2 sur*socio=rien les flux*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 libérale*socio=et créé en 1982 par le Comité*socio=ac pour étudier les problèmes*socio=uv4 touchant au volume*socio=rien, à la qualité*socio=rien et à l'utilisation*socio=rien efficace*socio=uv4 des flux*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 libérale*socio=et a présenté un*socio=rien compte*socio=ec1 rendu verbal sur*socio=rien l'avancement*socio=uv3 des travaux*socio=rien. 12 - Le Comité*socio=ac a décidé de tenir sa *socio=rien prochaine réunion au*socio=nil printemps *socio=nil de 1984. *socio=rien Vingt-troisième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 13*socio=nil avril *socio=nil 1984. 1 - Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa *socio=rien vingt-troisième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil DC, le 13 avril*socio=rien 1984, sous la présidence*socio=rien de M.. Ghulam*socio=ac Ishaq Khan, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1, du*socio=rien commerce*socio=ec1 et de la coordination*socio=uv3 économique*socio=ec1 du*socio=rien Pakistan*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac a examiné la situation*socio=rien de l'IDA*socio=ac ainsi que les liens*socio=rien entre le commerce*socio=ec1 et le développement*socio=uv3 dans le contexte*socio=rien des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, telles qu'elles sont présentées dans le *socio=rien document du Fonds*socio=ec1 *socio=nil et le *socio=rien rapport du Président*socio=ac *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac. Il note que, même si la situation*socio=rien économique*socio=ec1 mondiale*socio=te est*socio=rien plus encourageante*socio=uv2 qu'il y a *socio=rien un an,*socio=nil *socio=nil il faut, pour assurer une croissance*socio=uv3 soutenue et son extension*socio=rien aux pays_en_développement*socio=uv3, appliquer des politiques*socio=et plus efficaces*socio=uv4, aussi bien*socio=rien dans les pays*socio=ac développés*socio=uv4 que dans les pays_en_développement*socio=uv3, accroître les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 d'origine*socio=rien privée*socio=et et publique*socio=et, et améliorer les perspectives*socio=te commerciales*socio=ec1. 3 - Les ministres*socio=ac rappellent qu'à leur *socio=rien dernière réunion la*socio=nil plupart des*socio=nil membres*socio=ac *socio=nil s'étaient mis d'accord*socio=uv1 sur*socio=rien une Augmentation*socio=ec2 sélective*socio=uv4 du*socio=rien capital*socio=ec1 d'environ 8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour la banque_mondiale*socio=ac. Au cours*socio=rien des négociations*socio=et portant sur*socio=rien cette augmentation*socio=ec2, un*socio=rien accord*socio=et a été*socio=rien conclu sur*socio=rien les contributions*socio=uv1 relatives*socio=rien des principaux*socio=rien donateurs*socio=ac à IDA*socio=ac 7. Le Comité*socio=ac prend note de l'accord*socio=et conclu entre la plupart*socio=rien des principaux*socio=rien actionnaires*socio=ac sur*socio=rien le rang*socio=rien des pays*socio=ac en *socio=rien fonction du nombre de*socio=nil parts *socio=nil souscrites au capital*socio=ec1 de la BIRD*socio=ac, ce qui a facilité l'accord*socio=et sur*socio=rien la Septième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 de l'IDA*socio=ac. Si les membres*socio=ac sont préoccupés par le fait*socio=rien que les mesures*socio=et relatives*socio=rien à IDA*socio=ac 7 et à l'Augmentation*socio=ec2 sélective*socio=uv4 du*socio=rien capital*socio=ec1 n'ont pas encore *socio=rien été prises,*socio=nil *socio=nil ils trouvent encourageant que les principaux*socio=rien actionnaires*socio=ac soient prêts*socio=ec1 à essayer de résoudre aussi rapidement que possible*socio=rien les problèmes*socio=uv4 en suspens*socio=rien. Les ministres*socio=ac demandent instamment aux actionnaires*socio=ac de faire tout leur possible*socio=rien pour obtenir*socio=rien les approbations voulues afin que les résolutions fixant les modalités*socio=rien de la Septième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 et de l'Augmentation*socio=ec2 sélective*socio=uv4 du*socio=rien capital*socio=ec1 puissent être*socio=rien examinées par les Conseils*socio=ac des administrateurs*socio=ac et approuvées par les gouverneurs*socio=ac à temps*socio=rien pour permettre l'adoption*socio=uv3 des *socio=et mesures législatives nécessaires*socio=rien *socio=nil à l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 d'IDA*socio=ac 7 au 1er juillet*socio=rien 1984. 4 - Tous les donateurs*socio=ac, sauf un*socio=rien, expriment leur préoccupation*socio=uv4 devant*socio=rien les répercussions*socio=ec2 d'une reconstitution*socio=ec2 de 9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, montant*socio=ec1 très inférieur*socio=rien au niveau*socio=rien de 12 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en faveur*socio=rien duquel la plupart*socio=rien d'entre eux s'étaient prononcés. Tous les membres*socio=ac, sauf un*socio=rien, soulignent l'insuffisance*socio=uv3 de cette reconstitution*socio=ec2 de 9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, qui représente une forte*socio=rien baisse*socio=ec2 en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 par rapport*socio=rien à IDA*socio=ac 6. La plupart*socio=rien des membres*socio=ac demandent que la direction*socio=et et les donateurs*socio=ac de l'IDA*socio=ac prennent d'urgence*socio=rien des mesures*socio=et pour mobiliser jusqu'à 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 sous la forme*socio=rien d'un*socio=rien Fonds*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien qui serait disponible*socio=rien au 1er juillet*socio=rien 1984 et prient instamment tous les donateurs*socio=ac de participer à ce fonds*socio=ec1 sur*socio=rien la base*socio=rien d'un*socio=rien partage*socio=uv1 équitable*socio=uv2 des charges*socio=rien. 5 - Le Comité*socio=ac a hâte de recevoir, à sa *socio=rien prochaine réunion,*socio=nil les*socio=nil suggestions *socio=nil que la direction*socio=et de la banque_mondiale*socio=ac soumettra concernant le rôle*socio=et futur*socio=te de cette institution*socio=ac et les besoins*socio=uv1 de capitaux*socio=ec1 que cela entraînera à plus long_terme*socio=te, compte*socio=ec1 tenu de la nécessité*socio=uv1 d'une Augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale du capital*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil se félicite des progrès*socio=uv1 réalisés dans la préparation*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et d'investissement*socio=ec1 élargi pour la société_financière_internationale*socio=ac (SFI*socio=ac) grâce*socio=rien à l'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien capital*socio=ec1 de 750 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1 proposée par la direction*socio=et et demande*socio=ec1 que le conseil_d'_administration*socio=ac de la SFI*socio=ac approuve rapidement cette augmentation*socio=ec2. 6 - Passant en revue les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, le Comité*socio=ac prend note des difficultés*socio=uv4 auxquelles les pays_en_développement*socio=uv3 continuent de se heurter malgré la reprise que connaissent de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que la reprise de l'activité_économique*socio=ec1 est*socio=rien en cours*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac à un*socio=rien rythme*socio=ec2 plus rapide*socio=rien que prévu. Il constate cependant que les effets*socio=rien de cette reprise sur*socio=rien l'emploi*socio=ec1 sont jusqu'à *socio=rien présent modestes,*socio=nil *socio=nil sauf aux États-unis*socio=ac et au Canada*socio=ac. Il se félicite de la réduction*socio=ec2 sensible*socio=rien des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil mais exprime sa profonde*socio=rien préoccupation*socio=uv4 devant*socio=rien les conséquences*socio=rien éventuelles*socio=te que la *socio=rien hausse récente des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 directeurs*socio=ac,*socio=nil déjà*socio=nil élevés*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil pourrait entraîner. Ayant examiné la situation*socio=rien économique*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3, le Comité*socio=ac accueille favorablement le fait*socio=rien qu'en moyenne*socio=rien les taux_de_croissance*socio=ec1 de ces pays*socio=ac paraissent tendre à la hausse*socio=rien. Il estime*socio=rien cependant que la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien de ces taux*socio=ec1, surtout par habitant*socio=ac, comporte des risques*socio=uv3 pour leurs politiques_économiques*socio=et et leur impose des contraintes*socio=uv1. Il regrette que, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 n'aient pas encore fléchi. 7 - Le Comité*socio=ac accorde une *socio=rien attention spéciale *socio=nil à la situation*socio=rien critique*socio=uv2 des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac. Il s'inquiète*socio=rien des sombres perspectives*socio=te qui s'offrent à cette région*socio=te, comme en témoignent*socio=rien la régression*socio=ec2 continue*socio=rien des revenus*socio=ec1 par habitant*socio=ac dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil *socio=ac pays africains,*socio=nil l'*socio=nil affaiblissement*socio=ec2 des*socio=nil positions*socio=rien des*socio=nil paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te,*socio=nil la*socio=nil baisse*socio=ec2 des*socio=nil prix*socio=ec1 des*socio=nil produits*socio=rien de*socio=nil base*socio=rien,*socio=nil l'*socio=nil alourdissement*socio=ec2 *socio=nil de la dette*socio=ec1 et, alors même que la population*socio=ac augmente rapidement, une crise*socio=uv2 de la *socio=ec1 production alimentaire qui*socio=nil est*socio=rien *socio=nil proche de la famine. Cette *socio=rien situation inquiétante a*socio=nil été *socio=nil aggravée par une sécheresse*socio=et sévère*socio=uv4 et persistante*socio=rien qui s'est*socio=rien maintenant étendue à l'Afrique*socio=ac australe*socio=ac, créant d'énormes*socio=rien problèmes*socio=uv4 sur*socio=rien le plan*socio=rien humain*socio=uv1 et économique*socio=ec1. Le Comité*socio=ac est*socio=rien d'avis*socio=rien qu'il faut de toute urgence*socio=rien accroître l'aide*socio=uv1 libérale*socio=et, aussi bien*socio=rien bilatérale*socio=et que multilatérale*socio=et, afin de régler le problème*socio=uv4 immédiat*socio=rien que posent la fourniture*socio=ec1 et la distribution*socio=rien des *socio=ec1 denrées alimentaires *socio=nil et d'appuyer les politiques*socio=et intérieures*socio=te visant à améliorer les perspectives*socio=te de développement*socio=uv3 à long_terme*socio=te de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac. 8 - Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 déclare une fois*socio=rien encore que l'Afrique*socio=ac doit continuer de recevoir une haute*socio=rien priorité*socio=uv4 dans l'affectation*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac. Il note toutefois qu'avec une reconstitution*socio=ec2 de 9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, il sera difficile*socio=rien de fournir des ressources*socio=ec1 suffisantes*socio=rien à l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac, compte*socio=ec1 tenu des besoins*socio=uv1 des autres pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Le Comité*socio=ac se félicite de ce que la direction*socio=et de la Banque*socio=ac et de l'IDA*socio=ac s'est*socio=rien engagée à préparer, pour la *socio=rien réunion du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3 de*socio=nil septembre *socio=nil 1984, un*socio=rien programme*socio=et pour l'Afrique*socio=ac qui guidera la Banque*socio=ac et la *socio=ac communauté internationale sur*socio=rien les*socio=nil moyens*socio=ec1 *socio=nil d'aider cette région*socio=te à résoudre ses *socio=uv4 graves problèmes humains*socio=uv2,*socio=nil sociaux*socio=et et*socio=nil économiques*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil 9 - Le Comité*socio=ac s'est*socio=rien longuement entretenu des liens*socio=rien qui existent entre le commerce*socio=ec1, les finances*socio=ec1 et le développement*socio=uv3, en se fondant sur*socio=rien les documents*socio=rien de base*socio=rien préparés par les services*socio=et de la Banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Tout en notant avec satisfaction*socio=uv3 que les exportations*socio=ec1 ont commencé à se redresser, le Comité*socio=ac exprime sa *socio=uv4 grave préoccupation devant*socio=rien *socio=nil la montée *socio=rien constante du protectionnisme*socio=et,*socio=nil *socio=nil qui rend encore plus *socio=rien difficile un processus*socio=te d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil ordonné dans tous les pays*socio=ac, aussi bien*socio=rien développés*socio=uv4 qu'en développement*socio=uv3. En outre, pour les pays_en_développement*socio=uv3 lourdement endettés qui dépendent de l'ouverture*socio=uv3 des marchés*socio=ec1, le protectionnisme*socio=et a aggravé encore les problèmes*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1, si bien*socio=rien qu'il leur est*socio=rien encore plus difficile*socio=rien d'assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 de façon*socio=rien ordonnée. Le renforcement*socio=ec2 des barrières*socio=ec2 commerciales*socio=ec1 retarde également les ajustements*socio=et de structure*socio=ec1 qui sont si nécessaires*socio=rien tant dans les pays*socio=ac développés*socio=uv4 que dans les pays_en_développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac souligne que l'élargissement*socio=ec2 des possibilités*socio=rien d'échange*socio=ec1, y compris des prix*socio=ec1 plus rémunérateurs*socio=ec1 pour les produits*socio=rien de base*socio=rien, favorisera de façon*socio=rien cruciale*socio=uv4 l'extension*socio=rien de la reprise économique*socio=ec1 mondiale*socio=te et contribuera à restaurer les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 et de développement*socio=uv3 à long_terme*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3. La libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 et l'amélioration*socio=uv1 des politiques_économiques*socio=et intérieures*socio=te dans tous les pays*socio=ac, ajoutées à un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 extérieurs*socio=te destinés aux pays_en_développement*socio=uv3, sont autant de mesures*socio=et qui se renforcent mutuellement et qui permettront d'accélérer la croissance*socio=uv3 de ces derniers*socio=rien. 10 - Le Comité*socio=ac invite tous les gouvernements*socio=ac à intensifier leurs efforts*socio=uv1 pour chercher des solutions*socio=rien efficaces*socio=uv4 aux problèmes*socio=uv4 actuels*socio=te afférents*socio=rien aux relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te, en tenant compte*socio=ec1 des besoins*socio=uv1 particuliers*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac se félicite de l'intérêt*socio=uv1 croissant*socio=rien manifesté par les gouvernements*socio=ac à l'idée*socio=rien de lancer une nouvelle*socio=rien série de négociations_commerciales_multilatérales*socio=et sous l'égide*socio=rien du*socio=rien GATT*socio=ac, organisation*socio=ac qui devra continuer de jouer un*socio=rien rôle*socio=et central*socio=rien dans les efforts*socio=uv1 déployés pour établir *socio=rien un système commercial*socio=ec1 plus*socio=nil ouvert.*socio=nil Ces*socio=nil négociations*socio=et *socio=nil devraient porter sur*socio=rien le démantèlement*socio=et des obstacles*socio=uv3 non tarifaires*socio=et et autres entraves*socio=uv4 aux échanges*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien qu'il pourrait étayer ces efforts*socio=uv1 en encourageant plus activement les gouvernements*socio=ac à résister aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et et à libéraliser les échanges*socio=ec1. Par conséquent*socio=rien, il invite les membres*socio=ac, lors*socio=rien des *socio=rien prochaines réunions,*socio=nil *socio=nil à examiner les progrès*socio=uv1 réalisés en vue*socio=rien d'améliorer les possibilités*socio=rien d'échange*socio=ec1, notamment au profit*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. Il invite également le directeur_général*socio=ac du*socio=rien GATT*socio=ac à présenter, aux *socio=rien prochaines réunions du Comité*socio=ac,*socio=nil son*socio=nil évaluation*socio=ec2 des*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil réalisés dans le renforcement*socio=ec2 *socio=rien du système commercial*socio=ec1 multilatéral*socio=et *socio=nil et dans la libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 avec les pays_en_développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 instamment à la Banque*socio=ac et au Fonds*socio=ec1 de poursuivre leurs efforts*socio=uv1 pour promouvoir *socio=rien un système commercial*socio=ec1 mondial*socio=te ouvert *socio=nil et en expansion*socio=ec2. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien qu'en continuant d'examiner les liens*socio=rien entre le commerce*socio=ec1 et la promotion*socio=uv3 du*socio=rien développement*socio=uv3, il peut appuyer de *socio=rien façon constante l'*socio=nil oeuvre entreprise*socio=ac *socio=nil par le GATT*socio=ac et la CNUCED*socio=ac et, de cette façon*socio=rien, contribuer à assurer la cohérence*socio=uv3 et l'harmonisation*socio=uv3 des mesures*socio=et prises*socio=rien dans les domaines*socio=rien financier*socio=ec1 et commercial*socio=ec1 internationaux*socio=te. 11 - Le Comité*socio=ac se déclare satisfait des progrès*socio=uv1 accomplis jusqu'à présent*socio=rien parla *socio=ac communauté internationale *socio=nil pour essayer de résoudre le problème*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. Il demande*socio=ec1 au *socio=ec1 Fonds monétaire *socio=nil et à la Banque*socio=ac de poursuivre l'examen*socio=ec2 de ce problème*socio=uv4. 12 - Le Comité*socio=ac prend également note de l'étude*socio=ec2 sur*socio=rien la promotion*socio=uv3 des investissements*socio=ec1 et les critères*socio=rien de performance*socio=uv3 entreprise*socio=ac par la banque_mondiale*socio=ac sur*socio=rien la recommandation*socio=et du*socio=rien Groupe*socio=ac d'étude*socio=ec2 sur*socio=rien l'investissement*socio=ec1 étranger*socio=te privé*socio=et direct*socio=rien. Cette étude*socio=ec2 permettra de mieux comprendre l'impact*socio=rien et le choix*socio=uv1 des politiques*socio=et touchant aux investissements_privés*socio=ec1 directs*socio=rien internationaux*socio=te. 13 - Le Comité*socio=ac nomme M.. Fritz Fischer pour succéder à M.. Kastoft, *socio=ac Secrétaire exécutif actuel*socio=te,*socio=nil *socio=nil à compter du*socio=rien 1er juillet*socio=rien 1984, et tient à bien*socio=rien marquer sa gratitude*socio=uv1 pour les services*socio=et qu'il a rendus.