*{ Fonds Monétaire international Rapport Annuel 1985 } fonds_monétaire_international*socio=ac. Rapport*socio=rien annuel*socio=te du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac pour l'exercice*socio=rien clos le 30 avril*socio=rien 1985. Évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Introduction*socio=rien. Au milieu*socio=rien de 1985, la reprise économique*socio=ec1, amorcée environ deux ans*socio=rien et demi*socio=rien plus tôt, se poursuivait sur*socio=rien sa lancée dans les pays_industrialisés*socio=ac. Bien*socio=rien que d'ampleur*socio=rien inégale*socio=uv2 suivant*socio=rien les pays*socio=ac, cette reprise a permis*socio=rien au monde*socio=te industrialisé d'atteindre en 1984 son plus fort*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1 depuis près de dix ans*socio=rien, tout en continuant à faire reculer l'inflation*socio=ec1. En outre, il semble bien*socio=rien que les pays_en_développement*socio=uv3 aient eux aussi commencé à connaître les bienfaits*socio=uv2 de la reprise. En effet*socio=rien, grâce*socio=rien à l'amélioration*socio=uv1 de la conjoncture*socio=ec2 extérieure*socio=te et à une plus *socio=rien grande fermeté *socio=nil dans l'application*socio=rien des politiques*socio=et d'ajustement*socio=et, les taux_de_croissance*socio=ec1 intérieure*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 se sont relevés tandis que leurs déficits*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te ont en général*socio=rien continué de diminuer. Toutefois, malgré ces progrès*socio=uv1, de *socio=uv4 sérieux problèmes *socio=nil subsistent. Le chômage*socio=ec1 reste*socio=rien élevé*socio=uv4, voire s'est*socio=rien aggravé, dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac. Les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et continuent de s'intensifier. Dans plusieurs grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, le déséquilibre*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et demeure une source*socio=rien d'incertitudes*socio=uv3 et de préoccupations*socio=uv4; et cet état*socio=rien de choses*socio=rien a contribué, avec d'autres facteurs*socio=rien, à créer une configuration*socio=et des balances*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te qui risque*socio=uv3 de s'avérer intenable à long_terme*socio=te. Dans les pays_en_développement*socio=uv3, la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1, malgré son progrès*socio=uv1 récent*socio=rien, reste*socio=rien sensiblement inférieure*socio=rien à sa moyenne*socio=rien à long_terme*socio=te et varie considérablement*socio=rien selon les régions*socio=te; en outre, la situation*socio=rien financière*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac reste extrêmement*socio=nil vulnérable*socio=uv2 par*socio=nil suite du poids écrasant *socio=nil de leur dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. En 1984, comme en 1983, la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 a été*socio=rien entraînée par l'expansion*socio=ec2 rapide*socio=rien de la demande*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac. Toutefois, à la fin*socio=rien de 1984 et au début*socio=rien de 1985, l'activité_économique*socio=ec1 était retombée à un*socio=rien rythme*socio=ec2 plus modéré aux États-unis*socio=ac; par contre, la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 avait tendance*socio=ec2 à reprendre dans d'autres pays*socio=ac. En conséquence*socio=rien, bien*socio=rien que le taux*socio=ec1 global*socio=te d'expansion*socio=ec2 ait été*socio=rien moins rapide*socio=rien, la reprise semble avoir *socio=rien été répartie de*socio=nil façon plus*socio=nil égale *socio=nil entre les différents*socio=rien pays*socio=ac. Cependant, malgré cette propagation*socio=rien de la reprise, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 en Europe*socio=ac n'a pas encore atteint un*socio=rien rythme*socio=ec2 suffisant*socio=rien pour commencer à faire baisser le chômage*socio=ec1. La poursuite*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 dans les pays_industrialisés*socio=ac ne s'est*socio=rien pas accompagnée d'une intensification*socio=ec2 notable*socio=rien des pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les prix*socio=ec1. En fait*socio=rien, le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien pondéré d'inflation*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac pour 1984 a encore diminué de trois quarts*socio=rien de point*socio=rien de pourcentage*socio=rien, chiffre certes inférieur*socio=rien aux baisses moyennes*socio=rien de près de deux points*socio=rien par an*socio=rien enregistrées les deux *socio=rien années précédentes,*socio=nil *socio=nil mais qui représente néanmoins *socio=rien un résultat *socio=nil encourageant si l'on tient compte*socio=ec1 de la forte*socio=rien expansion*socio=ec2 de la production*socio=ec1. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur*socio=rien les avoirs*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1 EU ont augmenté jusqu'au milieu*socio=rien de 1984, avant de reprendre plus tard dans l'année*socio=rien une courbe descendante*socio=ec2 qui, au milieu*socio=rien de 1985, avait ramené les taux*socio=ec1 à court_terme*socio=te à leur niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien depuis la fin*socio=rien des années*socio=rien 70. Néanmoins, en termes*socio=rien réels*socio=ec2, et dans une perspective*socio=rien historique*socio=te, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 sont restés élevés*socio=uv4. Les fluctuations*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 du*socio=rien dollar*socio=ec1 E. U. ne semblent pas avoir été*socio=rien étroitement liées à l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Ces derniers*socio=rien ont été*socio=rien caractérisés, pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de l'année*socio=rien 1984 et les *socio=rien premières semaines *socio=nil de 1985, par une reprise de la *socio=rien hausse du dollar_eu*socio=ec1 Ce*socio=nil mouvement*socio=ec2 s'*socio=nil est en*socio=nil partie inversé*socio=nil après février *socio=nil 1985 et, dans les mois*socio=rien qui ont suivi, le dollar*socio=ec1 s'est*socio=rien nettement déprécié. Néanmoins, en juin*socio=rien 1985 il dépassait de 9,3 % son niveau*socio=rien de juin*socio=rien 1984, en *socio=rien termes effectifs réels*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Par la suite*socio=rien de la vigueur*socio=uv3 du*socio=rien dollar*socio=ec1, d'une part*socio=rien, et de l'évolution*socio=te de la *socio=rien position relative des*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil dans le cycle*socio=te économique*socio=ec1, d'autre part*socio=rien, le déficit*socio=ec1 des paiements_courants*socio=ec1 des États-unis*socio=ac (y compris les transferts_officiels*socio=et) a augmenté pour atteindre environ 102 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1984, alors qu'au Japon*socio=ac l'excédent*socio=ec1 s'est*socio=rien élevé*socio=uv4 à 35 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. La croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien des importations*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac en 1984 a eu *socio=rien un effet bénéfique *socio=nil à la *socio=rien fois sur la*socio=nil situation extérieure*socio=te et*socio=nil sur la*socio=nil croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 intérieure*socio=te de*socio=nil nombreux pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil Le*socio=nil déficit*socio=ec1 des*socio=nil paiements_courants*socio=ec1 des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil dont les exportations*socio=ec1 ne sont pas principalement pétrolières*socio=ec1 (" pays*socio=ac non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1 ") ne représente plus que 9 % de leurs exportations*socio=ec1, soit deux *socio=rien cinquièmes du niveau *socio=nil atteint il y a trois ans*socio=rien. C'est*socio=rien la proportion*socio=rien la plus faible*socio=rien depuis que l'on a commencé à établir des statistiques*socio=ec2 comparables*socio=rien vers 1965-66. La croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 interne*socio=te de ces pays*socio=ac, stimulée par une forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 de leurs exportations*socio=ec1, a également augmenté, atteignant près de 4 1/2 %, soit le meilleur*socio=uv4 résultat*socio=rien des *socio=rien cinq dernières années.*socio=nil *socio=nil Dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil performances*socio=uv3 économiques*socio=ec1 *socio=nil ont continué de souffrir de la faiblesse*socio=ec2 du*socio=rien *socio=ec1 marché pétrolier international*socio=te;*socio=nil *socio=nil mais là aussi le taux_de_croissance*socio=ec1 s'est*socio=rien nettement redressé en 1984. Certes, le progrès*socio=uv1 *socio=rien est bien modeste *socio=nil comparé au recul*socio=rien des *socio=rien années précédentes.*socio=nil Le*socio=nil faible niveau *socio=nil de la production*socio=ec1 globale*socio=rien et la persistance*socio=te d'un*socio=rien taux*socio=ec1 élevé*socio=uv4 de croissance*socio=uv3 démographique*socio=ec1 ont entraîné une diminution*socio=ec2 sensible*socio=rien de l'absorption*socio=rien par habitant*socio=ac dans les pays_en_développement*socio=uv3 pendant la période*socio=te 1981-83; et, même pendant la reprise de 1984, *socio=rien un grand nombre *socio=nil de ces pays*socio=ac (surtout parmi les *socio=ac pays africains à*socio=nil faible*socio=rien revenu*socio=ec1)*socio=nil *socio=nil n'ont pas eu leur part*socio=rien des progrès*socio=uv1 qui apparaissent dans les statistiques*socio=ec2 globales*socio=rien. Le redressement*socio=ec2 des paiements_courants*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 a entraîné une détente*socio=rien de leur position*socio=rien financière*socio=ec1 extérieure*socio=te, sans pour autant rendre moins urgente*socio=uv4 la nécessité*socio=uv1 d'une concertation*socio=uv1 pour faire face*socio=rien aux problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre *socio=nil d'entre eux. Pendant l'année*socio=rien 1984 et les quatre *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1985, les accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et entre les pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et leurs créanciers*socio=ac, y compris les accords*socio=et pluriannuels, ont porté au *socio=rien total sur *socio=nil environ 112 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 de dettes*socio=ec1. Ces accords*socio=et ont reporté le paiement*socio=ec1 d'environ 25 1/2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil pour 1984 (somme*socio=rien équivalant à 4 1/2 % de leurs exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et). Il faut se donner pour objectifs*socio=uv3 essentiels*socio=uv4 pour la période*socio=te à venir *socio=rien un nouveau renforcement*socio=ec2 *socio=nil de l'investissement*socio=ec1 et de la production*socio=ec1 intérieurs*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3, le rééquilibrage*socio=uv3 de leur position*socio=rien extérieure*socio=te et la réduction*socio=ec2 de l'importance*socio=rien relative*socio=rien de leur dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. Pour y réussir, il faudra à la fois*socio=rien que ces pays*socio=ac mènent avec détermination*socio=rien une politique*socio=et d'ajustement*socio=et bien*socio=rien conçue et que les pays_industrialisés*socio=ac parviennent à réduire les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 et à mettre leurs économies*socio=ec1 sur*socio=rien une trajectoire*socio=ec2 d'expansion*socio=ec2 soutenue sans inflation*socio=ec1 ni protectionnisme*socio=et. La reprise économique*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac a été*socio=rien facilitée par *socio=rien un climat de*socio=nil raffermissement*socio=ec2 *socio=nil de la confiance*socio=uv1 et une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1, qui doivent beaucoup à l'orientation*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil donnée à leur politique_économique*socio=ec1. Pour consolider les progrès*socio=uv1 accomplis et les élargir, il importe de parfaire l'application*socio=rien de cette stratégie*socio=et sur*socio=rien les points*socio=rien où elle laisse encore à désirer. A cet égard*socio=rien, il est*socio=rien surtout trois domaines*socio=rien où une action*socio=ec1 plus résolue s'impose. Il faut rééquilibrer les finances*socio=ec1 publiques*socio=et dans les pays*socio=ac où l'absorption*socio=rien par l'État*socio=ac d'une *socio=rien forte proportion des*socio=nil ressources*socio=ec1 *socio=nil a des effets*socio=rien indésirables*socio=uv4 ou accapare une part*socio=rien excessive*socio=uv4 de l'épargne*socio=ec1 mondiale*socio=te; éliminer les rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 qui empêchent une répartition*socio=uv3 efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1 et entravent la création_d'_emplois*socio=ec1; et, enfin, résister fermement aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et. Certes, une action*socio=ec1 efficace*socio=uv4 dans ces trois domaines*socio=rien créerait un*socio=rien environnement*socio=et international*socio=te plus favorable*socio=uv4 à l'ajustement*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3, mais c'est*socio=rien avant tout à ces pays*socio=ac eux-mêmes qu'incombe la responsabilité*socio=uv1 de ces ajustements*socio=et. Le meilleur*socio=uv4 moyen*socio=rien pour eux de consolider l'amélioration*socio=uv1 récente*socio=rien de leur position*socio=rien extérieure*socio=te est*socio=rien de conduire avec prudence*socio=uv1 leurs politiques*socio=et de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 et de taux_de_change*socio=ec1, et de procéder à des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 en vue*socio=rien de stimuler, par une action*socio=ec1 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 ou par d'autres mesures*socio=et d'incitation*socio=uv3, l'investissement*socio=ec1 et la production*socio=ec1 dans le secteur*socio=rien des biens*socio=ec1 entrant dans le commerce*socio=ec1 international*socio=te. A cet égard*socio=rien, *socio=rien un point particulièrement*socio=nil inquiétant est *socio=nil la flambée de l'inflation*socio=ec1 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil Elle*socio=nil est le*socio=nil symptôme de*socio=nil déséquilibres*socio=uv3 de*socio=nil nature financière*socio=ec1 et*socio=nil réelle*socio=ec2 *socio=nil que ces pays*socio=ac doivent corriger s'ils veulent retrouver une croissance*socio=uv3 satisfaisante*socio=uv4 et poursuivre le redressement*socio=ec2 de la balance*socio=ec1 de leurs transactions_courantes*socio=te. Il convient en outre de prêter attention*socio=rien à certains *socio=rien domaines spécifiques *socio=nil où la situation*socio=rien et la politique_économiques*socio=ec1 des divers pays*socio=ac sont interdépendantes*socio=uv4. Le maintien*socio=rien d'un*socio=rien régime*socio=et de liberté*socio=uv1 des échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te est*socio=rien d'une importance*socio=rien vitale*socio=uv4 pour les pays_en_développement*socio=uv3; il constitue la clé*socio=rien des efforts*socio=uv1 visant à conjuguer développement*socio=uv3 et stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1. Si l'on veut régler les problèmes*socio=uv4 de dette*socio=ec1 à la satisfaction*socio=uv3 de tous, il faut poursuivre la coopération*socio=uv1 entre *socio=ac pays débiteurs,*socio=nil pays créditeurs et*socio=nil institutions_internationales.*socio=nil *socio=nil En même temps*socio=rien, l'aide_publique_au_développement*socio=et demeure essentielle*socio=uv4 pour beaucoup de pays_en_développement*socio=uv3 les_plus_pauvres*socio=uv2; cette aide*socio=uv1, qui a tendance*socio=ec2 à se stabiliser depuis quelques années*socio=rien, sera plus facile*socio=rien à mobiliser si, d'une part*socio=rien, les *socio=ac pays donateurs *socio=nil améliorent leurs résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 et si, d'autre part*socio=rien, les *socio=ac pays bénéficiaires *socio=nil font la preuve*socio=ec2 qu'ils savent l'utiliser de manière*socio=rien efficace*socio=uv4. Enfin, un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des investissements*socio=ec1 directs*socio=rien serait d'un*socio=rien grand*socio=rien secours pour les pays_en_développement*socio=uv3, ce qui exigera de toutes les parties*socio=rien intéressées un*socio=rien effort*socio=uv1 pour éliminer les obstacles*socio=uv3 à ces flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. Activités*socio=rien et politiques_économiques*socio=et intérieures*socio=te. pays_industrialisés*socio=ac. Orientation*socio=et des politiques_économiques*socio=et. Depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80, les gouvernements*socio=ac des pays_industrialisés*socio=ac se donnent pour objectif*socio=uv3 prioritaire*socio=uv4 de créer les conditions*socio=ec1 d'une croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2 et durable*socio=uv4 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil A cette fin*socio=rien, les autorités*socio=et se sont efforcées de mettre en oeuvre*socio=rien une politique*socio=et de discipline*socio=uv1 financière*socio=ec1 tout en adoptant des mesures*socio=et spécifiques*socio=rien en vue*socio=rien d'améliorer le fonctionnement*socio=rien structurel*socio=ec2 de leur économie*socio=ec1. Pour *socio=rien un certain nombre de*socio=nil grands pays_industrialisés*socio=ac,*socio=nil ces*socio=nil efforts*socio=uv1 *socio=nil se sont traduits par une réduction*socio=ec2 progressive*socio=rien des taux_de_croissance*socio=ec1 fixés pour certains *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil et par l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et visant à réduire la part*socio=rien des *socio=ec1 ressources financières et*socio=nil réelles*socio=ec2 *socio=nil absorbée par le secteur_public*socio=et. En 1984, la politique_monétaire*socio=et est*socio=rien restée guidée par le souci*socio=rien de lutter contre l'inflation*socio=ec1. Dans les pays*socio=ac où des objectifs*socio=uv3 précis*socio=rien sont fixés à la croissance*socio=uv3 monétaire*socio=ec1, celle-ci s'est*socio=rien maintenue dans la fourchette-objectif ou ne s'en est*socio=rien éloignée que de peu. Cependant, dans son application*socio=rien à court_terme*socio=te, la politique_monétaire*socio=et a varié selon les pays*socio=ac, en fonction*socio=rien de la situation*socio=rien qui leur était propre*socio=rien. Ainsi, certains pays*socio=ac se sont efforcés de maintenir la croissance*socio=uv3 de leurs *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil à la *socio=rien limite inférieure *socio=nil de la fourchette-objectif, souvent afin de freiner les *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil dues à l'évolution*socio=te de leur monnaie*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Dans d'autres pays*socio=ac, la politique_monétaire*socio=et a été*socio=rien modulée en *socio=rien fonction du niveau *socio=nil de l' activité_économique*socio=ec1, mais seulement dans la mesure*socio=rien où cela ne mettait pas en cause*socio=rien les progrès*socio=uv1 durement acquis*socio=uv2 dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 et contre les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2. En 1984, la situation*socio=rien monétaire*socio=ec1 a été*socio=rien plus stable*socio=uv4 qu'elle ne l'avait été*socio=rien depuis plusieurs années*socio=rien. Les *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil pris comme objectifs*socio=uv3 sont revenus*socio=ec1 à une relation*socio=rien plus normale*socio=rien avec la croissance*socio=uv3 *socio=rien nominale du produit_national_brut*socio=ec1 (*socio=nil PNB*socio=ec1)*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil ce qui a facilité les efforts*socio=uv1 déployés par les autorités*socio=et pour ralentir progressivement*socio=rien l'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1. La croissance*socio=uv3 de la masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens étroit *socio=nil et au *socio=rien sens large *socio=nil pour le groupe*socio=ac des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien passée de taux*socio=ec1 de l'ordre*socio=rien de 9 à 10 % par an*socio=rien en 1982 et 1983 à des taux*socio=ec1 respectifs*socio=rien de 6,5 % et 7,9 % en 1984. Cette décélération*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 a été*socio=rien compensée par une reprise de l'augmentation*socio=ec2 tendancielle*socio=ec2 de la vitesse*socio=rien de circulation*socio=ec2 - revenu*socio=ec1 des *socio=ec1 agrégats monétaires,*socio=nil *socio=nil qui a assuré des liquidités*socio=ec1 suffisantes*socio=rien pour répondre à une certaine*socio=rien accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PNB*socio=ec1. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 sont demeurés élevés*socio=uv4 mais, sauf aux États-unis*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac, ils ont dans l'ensemble*socio=rien moins varié qu'au cours*socio=rien des *socio=rien années précédentes.*socio=nil Au*socio=nil Japon*socio=ac *socio=nil et dans la plupart*socio=rien des grands*socio=rien *socio=ac pays européens,*socio=nil les*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 à*socio=nil court_terme*socio=te *socio=nil sont restés en général*socio=rien stables*socio=uv4 pendant toute l'année*socio=rien 1984 et le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1985. Quant aux taux*socio=ec1 à long_terme*socio=te, ils ont marqué une légère*socio=rien tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 (graphique*socio=rien 1). Toutefois, au Royaume-uni*socio=ac, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont sensiblement monté au cours*socio=rien des *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1985 en réaction*socio=rien à l'affaiblissement*socio=ec2 temporaire*socio=rien de la livre sterling*socio=ec1. Aux États-unis*socio=ac, la forte*socio=rien demande*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 provoquée à la fois*socio=rien par le déficit*socio=ec1 du*socio=rien gouvernement_fédéral*socio=ac et par la vigoureuse*socio=rien reprise de l'activité_économique*socio=ec1 a entraîné une hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 entre le *socio=rien second semestre *socio=nil de 1983 et la *socio=rien fin du premier semestre *socio=nil de 1984. Au *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1984 et au début*socio=rien de 1985, avec le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 aux États-unis*socio=ac, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 sont retombés au *socio=rien niveau minimum *socio=nil atteint en 1983, et même plus bas*socio=rien par la suite*socio=rien. Il *socio=rien est impossible *socio=nil de mesurer avec précision*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2, car ils dépendent des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 à prévoir qui, par définition*socio=rien, ne sont pas directement mesurables et qui sont d'autant plus incertains*socio=uv4 que la durée*socio=te des créances*socio=ec1 *socio=rien est longue.*socio=nil *socio=nil Cependant, si l'on admet que les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 à prévoir correspondent à peu près aux taux*socio=ec1 actuels*socio=te, il apparaît que, exception*socio=rien faite de la *socio=rien hausse temporaire des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 aux*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil mentionnée plus haut*socio=rien, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 à court_terme*socio=te comme à long_terme*socio=te sont restés proches*socio=rien de leur niveau*socio=rien de 1983 pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de l'année*socio=rien 1984, puis ont légèrement baissé à la fin*socio=rien de 1984 et au début*socio=rien de 1985 (graphique*socio=rien 1). Au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1985, les taux*socio=ec1 à court_terme*socio=te corrigés de l'inflation*socio=ec1 ont été*socio=rien en moyenne*socio=rien de 5 % dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, tandis que le taux*socio=ec1 à long_terme*socio=te correspondant était d'environ 6 1/2 %. Ces rendements*socio=ec1 sont très supérieurs*socio=rien au *socio=rien niveau moyen des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 au*socio=nil cours *socio=nil des deux décennies*socio=te précédentes*socio=rien. Depuis la fin*socio=rien des années*socio=rien 70, les gouvernements*socio=ac de la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac s'efforcent de limiter*socio=rien la part*socio=rien des dépenses*socio=ec1 de l'État*socio=ac dans le PNB*socio=ec1, et de réduire le déficit*socio=ec1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et afin de faire baisser les taux_d'_intérêt*socio=ec1 et d'augmenter la part*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 disponible*socio=rien pour les investissements*socio=ec1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et. Cependant, dans bien*socio=rien des cas*socio=rien, il leur a *socio=rien été difficile *socio=nil de mettre pleinement ces intentions*socio=rien à exécution*socio=rien. C'est*socio=rien ainsi qu'en *socio=rien pourcentage du PNB*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil déficit_global*socio=ec1 *socio=nil de l'administration_centrale*socio=ac des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac a augmenté chaque année*socio=rien de 1979 à 1983, à *socio=rien cause du ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de l'activité_économique*socio=ec1, de l'alourdissement*socio=ec2 du*socio=rien service_ de_la_dette*socio=ec1 publique*socio=et et de dérapages*socio=uv4 dans l'application*socio=rien des mesures*socio=et de réduction*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 de l'État*socio=ac. Le déficit_global*socio=ec1 a légèrement baissé en 1984, mais uniquement*socio=rien à cause*socio=rien de l'accélération*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1. Si l'on fait*socio=rien la part*socio=rien des facteurs*socio=rien cycliques*socio=te, on ne constate guère de changement*socio=uv3 dans le déficit_global*socio=ec1 des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac : la poursuite*socio=rien d'une politique*socio=et de *socio=rien stimulation vigoureuse *socio=nil dans les pays*socio=ac d'amérique_du_nord*socio=ac a, en effet*socio=rien, été*socio=rien compensée par les mesures*socio=et de freinage*socio=rien adoptées dans les grands*socio=rien *socio=ac pays européens (*socio=nil tableau*socio=rien *socio=nil 1 ). Les rapports*socio=rien annuels*socio=te précédents*socio=rien ont déjà *socio=rien fait mention *socio=nil de cette divergence*socio=uv1 entre l'orientation*socio=et de la politique_budgétaire*socio=et des États-unis*socio=ac et celle de la plupart*socio=rien des autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. On estime*socio=rien qu'entre 1979 et 1984, l'impulsion*socio=ec2 expansionniste*socio=ec2 de la politique_budgétaire*socio=et aux États-unis*socio=ac a été*socio=rien de l'ordre*socio=rien de 3 % du*socio=rien PNB*socio=ec1; au contraire*socio=rien, la politique_budgétaire*socio=et des administrations_centrales*socio=ac des autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac pris ensemble*socio=rien a exercé *socio=rien un effet de*socio=nil freinage global*socio=te représentant *socio=nil environ 1 1/2 % du*socio=rien PNB*socio=ec1. Les réorientations*socio=et les plus marquantes*socio=rien de la politique_budgétaire*socio=et ont été*socio=rien observées au Royaume-uni*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, où l'effet*socio=rien de freinage*socio=rien a été*socio=rien respectivement de 5 3/4 % et de 3 1/2 % du*socio=rien PNB*socio=ec1. Si l'on juge*socio=et de la politique_budgétaire*socio=et d'après*socio=rien les comptes*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac, on arrive à des résultats*socio=rien à peu près similaires*socio=rien, avec cependant *socio=rien un effet de*socio=nil freinage *socio=nil encore plus net*socio=rien dans certains pays*socio=ac, notamment au Japon*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac. Comme on vient de l'indiquer, la politique*socio=et de réduction*socio=ec2 de la part*socio=rien des dépenses*socio=ec1 de l'État*socio=ac dans le PNB*socio=ec1 n'a pas échappé à de *socio=uv4 sérieux dérapages.*socio=nil *socio=nil Entre 1979 et 1983, la part*socio=rien des dépenses*socio=ec1 totales*socio=rien de l'État*socio=ac (y compris les transferts_sociaux*socio=et et les paiements_d'_intérêts*socio=ec1) dans la production*socio=ec1 totale*socio=rien a augmenté en moyenne*socio=rien de 4v2 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien dans les sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. En général*socio=rien, les dépenses*socio=ec1 de l'État*socio=ac en biens*socio=ec1 et services*socio=et ont augmenté à peine plus vite que le PNB*socio=ec1 au cours*socio=rien de cette période*socio=te (au Japon*socio=ac et en Allemagne*socio=ac fédérale*socio=et, elles ont même augmenté plus lentement), mais les transferts_sociaux*socio=et et les paiements_d'_intérêts*socio=ec1 ont *socio=rien fait un bond spectaculaire.*socio=nil *socio=nil En 1984, la *socio=rien part moyenne des*socio=nil dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et *socio=nil dans le PNB*socio=ec1 a légèrement diminué, d'environ trois quarts*socio=rien de point*socio=rien de pourcentage*socio=rien. La baisse*socio=ec2 a été*socio=rien particulièrement marquée au Japon*socio=ac et aux États-unis*socio=ac, où la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 a *socio=rien été supérieure *socio=nil à la moyenne*socio=rien. La part*socio=rien des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et dans le PNB*socio=ec1 a également diminué en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, mais elle a au contraire*socio=rien continué d'augmenter dans les quatre autres grands*socio=rien pays*socio=ac. Les rapports*socio=rien annuels*socio=te précédents*socio=rien ont mis en lumière*socio=rien l'origine*socio=rien complexe des problèmes*socio=uv4 économiques*socio=ec1 que connaissent les pays_industrialisés*socio=ac et la nécessité*socio=uv1 d'y répondre par une action*socio=ec1 sur*socio=rien tous les fronts*socio=rien qui *socio=rien sorte du cadre des*socio=nil politiques*socio=et financières*socio=ec1 classiques,*socio=nil *socio=nil Dans cet esprit*socio=rien, *socio=rien un certain nombre de*socio=nil gouvernements*socio=ac,*socio=nil *socio=nil notamment en Europe*socio=ac, ont entrepris de compléter leur stratégie*socio=et monétaire*socio=ec1 et budgétaire*socio=et en modifiant ou supprimant *socio=rien bon nombre des*socio=nil *socio=et dispositions institutionnelles *socio=nil qui entravent l'ajustement*socio=et des salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2, rendent l'embauche*socio=ec1 et le licenciement*socio=ec1 plus coûteux*socio=ec2 pour les entreprises*socio=ac et affaiblissent la motivation*socio=uv3 au travail*socio=rien. Les mesures*socio=et prises*socio=rien dans ce sens*socio=rien ont consisté le plus souvent à corriger les systèmes*socio=rien d'indexation*socio=ec1 automatique*socio=rien des revenus*socio=ec1 sur*socio=rien les prix*socio=ec1, à exclure certains postes*socio=rien, comme l'énergie*socio=ec1 et les impôts*socio=et indirects*socio=rien, des indices de prix*socio=ec1 servant à calculer l'augmentation*socio=ec2 des salaires*socio=ec1 et à allonger le délai*socio=rien entre deux revalorisations salariales*socio=ec1. D'autres moyens*socio=ec1 d'action*socio=ec1 ont aussi été*socio=rien utilisés : *socio=rien abaissement du salaire*socio=ec1 minimum,*socio=nil limitation*socio=uv3 *socio=nil de l'indemnisation*socio=ec1 du*socio=rien chômage*socio=ec1, développement*socio=uv3 des programmes*socio=et de formation_professionnelle*socio=et, réduction*socio=ec2 des subventions*socio=ec1, déréglementation*socio=et et " privatisation*socio=et " de certaines*socio=rien entreprises*socio=ac publiques*socio=et. Production*socio=ec1 et demande*socio=ec1. En 1984, l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 s'est*socio=rien sensiblement renforcée dans le monde*socio=te industrialisé, et la production*socio=ec1 a enregistré sa plus forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 depuis 1976. Comme le montre le graphique*socio=rien 2, en 1983 et au début*socio=rien de 1984 l'expansion*socio=ec2 a été*socio=rien entraînée par le dynamisme*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac. Toutefois, à partir *socio=rien du second semestre *socio=nil de 1984, la répartition*socio=uv3 de la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien quelque peu modifiée : la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 s'est*socio=rien nettement ralentie aux États-unis*socio=ac tandis qu'elle semble s'être*socio=rien maintenue à un*socio=rien taux*socio=ec1 d'environ 2 1/2 % en moyenne*socio=rien dans les grands*socio=rien *socio=ac pays européens.*socio=nil *socio=nil Pendant les deux *socio=rien premières années *socio=nil de la reprise, la production*socio=ec1 a progressé nettement plus vite aux États-unis*socio=ac que dans les autres pays_industrialisés*socio=ac (tableau*socio=rien 2). En 1984, le PNB*socio=ec1 réel*socio=rien a augmenté de 6,8 % aux États-unis*socio=ac, sous l'impulsion*socio=ec2 d'une forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 des investissements*socio=ec1 fixes des entreprises*socio=ac et des dépenses*socio=ec1 de construction*socio=ec1 de logements*socio=ec1. Cette croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien en *socio=rien grande partie *socio=nil effectuée au *socio=rien cours du premier semestre *socio=nil de 1984; en effet*socio=rien, l'augmentation*socio=ec2 de toutes les principales*socio=rien composantes*socio=ec1 de la demande*socio=ec1 s'est*socio=rien ralentie au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1984 et au début*socio=rien de 1985. Si la décélération*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a été*socio=rien due en partie*socio=rien à la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 entre le milieu*socio=rien de 1983 et le milieu*socio=rien de 1984, la cause*socio=rien essentielle*socio=uv4 du*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 totale*socio=rien a été*socio=rien la détérioration*socio=uv4 de la balance_des_paiements*socio=ec1. Parmi les autres principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, c'est*socio=rien au Japon*socio=ac et au Canada*socio=ac que la production*socio=ec1 a augmenté le plus rapidement en 1984. Au Japon*socio=ac, l'expansion*socio=ec2 de la production*socio=ec1 s'est*socio=rien nettement accélérée en 1984, grâce*socio=rien aux *socio=rien effets conjugués,*socio=nil *socio=nil d'une part*socio=rien, de l'augmentation*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te liée à l'accroissement*socio=ec2 rapide*socio=rien des investissements*socio=ec1 fixes du*socio=rien secteur_privé*socio=et et à la reprise du*socio=rien stockage*socio=ec1 et, d'autre part*socio=rien, d'un*socio=rien nouveau*socio=rien renforcement*socio=ec2 du*socio=rien solde*socio=ec1 extérieur*socio=te. Au Canada*socio=ac, la production*socio=ec1 a augmenté de 5 '7o en 1984, sous l'impulsion*socio=ec2 d'une forte*socio=rien amélioration*socio=uv1 du*socio=rien solde*socio=ec1 extérieur*socio=te, mais également par suite*socio=rien d'une reprise notable*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te *socio=rien finale résultant *socio=nil de l'augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et de la stabilisation*socio=et des investissements*socio=ec1 des entreprises*socio=ac après*socio=rien une période*socio=te de déclins accentués. Dans les grands*socio=rien pays*socio=ac d'Europe*socio=ac, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 est*socio=rien restée plus faible*socio=rien qu'au Japon*socio=ac et en amérique_du_nord*socio=ac en 1984, mais son rythme*socio=ec2 a néanmoins été*socio=rien plus rapide*socio=rien qu'en 1983. Les exportations*socio=ec1 de ces pays*socio=ac vers les États-unis*socio=ac ont beaucoup contribué à leur croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 en 1984 et au début*socio=rien de 1985. De plus, la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te s'est*socio=rien accélérée, par la suite*socio=rien essentiellement de la reprise des stockages. Les investissements*socio=ec1 fixes totaux*socio=rien se sont aussi nettement accrus au Royaume-uni*socio=ac et en Italie*socio=ac. Néanmoins, le rythme*socio=ec2 de la reprise dans les principaux*socio=rien *socio=ac pays européens n'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil pas encore assez rapide*socio=rien pour faire baisser le chômage*socio=ec1. Dans le groupe*socio=ac des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, la situation*socio=rien économique*socio=ec1 s'est*socio=rien également améliorée en 1984; pour ces pays*socio=ac, le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien pondéré d'accroissement*socio=ec2 de la production*socio=ec1 *socio=rien est passé *socio=nil de 1 1/2 % en 1983 à 3 1/4 % en 1984. Cette accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 est*socio=rien due en partie*socio=rien au renversement*socio=rien de la tendance*socio=ec2 des investissements*socio=ec1 fixes : ceux-ci ont augmenté de près de 3 1/2 % en 1984, après*socio=rien une baisse*socio=ec2 de plus de 2 % en 1983. Cependant, dans *socio=rien bon nombre *socio=nil de ces pays*socio=ac, c'est*socio=rien la balance*socio=ec1 extérieure*socio=te qui est*socio=rien restée le principal*socio=rien moteur*socio=uv3 de la croissance*socio=uv3. Plusieurs pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac, dont l'Australie*socio=ac, la Nouvelle-zélande*socio=ac, le Danemark*socio=ac, l'Irlande*socio=ac et la Norvège*socio=ac, ont enregistré des taux_de_croissance*socio=ec1 assez élevés*socio=uv4 en 1984, mais la plupart*socio=rien des autres sont loin*socio=rien d'avoir réussi à résorber leur capacité*socio=uv3 de production*socio=ec1 excédentaire*socio=rien. L'un*socio=rien des facteurs*socio=rien essentiels*socio=uv4 de la reprise actuelle*socio=te tient à la vigueur*socio=uv3 des investissements*socio=ec1 fixes dans les pays_industrialisés*socio=ac. Les investissements*socio=ec1 ont commencé à augmenter au début*socio=rien de 1983 et, depuis lors*socio=rien, ils constituent la composante*socio=rien la plus dynamique*socio=uv4 de la demande*socio=ec1. De plus, comme le montre le tableau*socio=rien 3, ils ont progressé dans presque tous les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac : en effet*socio=rien, en 1984, la formation*socio=et de capital*socio=ec1 fixe a augmenté rapidement non seulement dans les pays*socio=ac à forte*socio=rien croissance*socio=uv3 comme les États-unis*socio=ac et le Japon*socio=ac, mais aussi dans certains pays*socio=ac où la reprise restait relativement faible*socio=rien. Aux États-unis*socio=ac, l'accroissement*socio=ec2 des investissements*socio=ec1 a été*socio=rien dû à la mise en place*socio=rien d'importants*socio=uv4 avantages*socio=rien fiscaux*socio=et, à la vigueur*socio=uv3 de la demande*socio=ec1, à la modération*socio=ec2 des salaires*socio=ec1 et à l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te de profit*socio=ec1 pour les entreprises*socio=ac. En Europe*socio=ac, il a également été*socio=rien lié à l'amélioration*socio=uv1 des marges bénéficiaires*socio=ac, mais peut-être aussi à la substitution*socio=rien de capital*socio=ec1 au travail*socio=rien provoquée par les hausses antérieures*socio=te des coûts*socio=ec1 de main-d'_oeuvre*socio=ac. Les *socio=rien nouveaux créneaux technologiques*socio=ec1 *socio=nil et la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont, semble-t-il, contribué eux aussi à stimuler les investissements*socio=ec1 des entreprises*socio=ac. Cette augmentation*socio=ec2 des investissements*socio=ec1, conjuguée*socio=rien à une expansion*socio=ec2 à peu près de même ampleur*socio=rien de la consommation*socio=ec1 des ménages*socio=ac, a permis*socio=rien d'atteindre des taux_de_croissance*socio=ec1 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te *socio=rien finale comparables *socio=nil à ceux que l'on avait pu observer au cours*socio=rien de la reprise qui avait suivi la récession*socio=ec2 de 1974-75. Cependant, dans le cas*socio=rien de la phase*socio=te de reprise actuelle*socio=te, la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 a été*socio=rien beaucoup plus inégalement répartie*socio=rien entre les divers pays*socio=ac. Aux États-unis*socio=ac, la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a augmenté à un*socio=rien rythme*socio=ec2 particulièrement rapide*socio=rien, alors que dans la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac les composantes*socio=ec1 intérieures*socio=te de la demande*socio=ec1 n'ont enregistré qu'une augmentation*socio=ec2 modeste*socio=rien. Certes, les évolutions*socio=te des balances_des_paiements*socio=ec1 ont contribué à propager la reprise et, donc, à atténuer l'inégalité*socio=uv1 d'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1. Néanmoins, malgré l'augmentation*socio=ec2 sensible*socio=rien des déséquilibres*socio=uv3 des paiements_courants*socio=ec1, il subsiste d'importantes*socio=uv4 disparités*socio=uv1 de croissance*socio=uv3 du*socio=rien PNB*socio=ec1. Emploi*socio=ec1 et chômage*socio=ec1. Au total*socio=rien, l'emploi*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac a nettement augmenté depuis le début*socio=rien de la reprise, mais le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 n'a diminué que dans quelques pays*socio=ac. En 1984, l'emploi*socio=ec1 a progressé dans plus de la moitié*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac et, pour l'ensemble*socio=rien de ces pays*socio=ac, il s'est*socio=rien accru de près de 2 % par rapport*socio=rien à 1983. Toutefois, comme, en même temps*socio=rien, divers facteurs*socio=rien démographiques*socio=ec1 ont joué dans le sens*socio=rien d'une augmentation*socio=ec2 de la population_active*socio=ac, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 n'a diminué que de 1/2 point*socio=rien de pourcentage*socio=rien en moyenne*socio=rien; encore ce fléchissement*socio=ec2 est-il plus qu'expliqué par la baisse*socio=ec2 de 2 *socio=rien points du taux*socio=ec1 de*socio=nil chômage*socio=ec1 aux*socio=nil États-unis*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Pendant toute l'année*socio=rien 1984, le nombre*socio=rien des sans-emploi*socio=ac n'a cessé d'augmenter dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil notamment dans la plupart*socio=rien des *socio=ac pays européens (*socio=nil graphique*socio=rien *socio=nil 3). Ainsi, au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1985, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 dépassait 10 % en France*socio=ac, en Italie*socio=ac, au Royaume-uni*socio=ac et dans l'ensemble*socio=rien des petits*socio=rien *socio=ac pays_industrialisés européens.*socio=nil *socio=nil Dans presque tous les pays_industrialisés*socio=ac, le chômage*socio=ec1 est*socio=rien naturellement en partie*socio=rien conjoncturel*socio=te, mais, spécialement dans beaucoup de *socio=ac pays européens,*socio=nil les*socio=nil fortes*socio=rien rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 *socio=nil ne font que l'aggraver. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil plupart des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil ont dû adapter*socio=rien leur économie*socio=ec1 au profond*socio=rien bouleversement de l'emploi*socio=ec1 lié à la restructuration*socio=et nécessaire*socio=rien de leur industrie*socio=ec1. Or*socio=ec1, dans beaucoup d'entre eux, ce processus*socio=te d'ajustement*socio=et a été*socio=rien freiné par la rigidité*socio=uv3 *socio=rien du système salarial*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil par des réglementations*socio=et garantissant une certaine*socio=rien sécurité*socio=uv1 de l'emploi*socio=ec1 et par le manque*socio=rien de mobilité*socio=uv3 de la main-d'_oeuvre*socio=ac. Dans la plupart*socio=rien des *socio=ac pays européens,*socio=nil les*socio=nil licenciements*socio=ec1 *socio=nil ont cessé ou ont nettement diminué au cours*socio=rien de l'année*socio=rien 1984. Cependant, l'emploi*socio=ec1 en Europe*socio=ac semble réagir plus lentement que d'habitude*socio=rien à la reprise de la production*socio=ec1, sans doute*socio=rien parce que les *socio=ac entreprises européennes *socio=nil en sont encore à réorganiser de manière*socio=rien rationnelle*socio=uv4 l'utilisation*socio=rien de leur main-d'_oeuvre*socio=ac. Dans les principaux*socio=rien *socio=ac pays européens,*socio=nil *socio=nil de même d'ailleurs*socio=rien que dans les petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac pris en groupe*socio=ac, la croissance*socio=uv3 de la productivité*socio=uv3 s'est*socio=rien moins vite ralentie, au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil que celle de la production*socio=ec1; la raison*socio=rien en est*socio=rien probablement que les entreprises*socio=ac ajustent leurs effectifs*socio=rien en fonction*socio=rien des coûts*socio=ec1 relatifs*socio=rien des facteurs*socio=rien de production*socio=ec1. Aux États-unis*socio=ac, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 a nettement diminué en 1983 et au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1984, mais il s'est*socio=rien stabilisé ensuite à un*socio=rien peu plus de 7 %. Cette stabilité*socio=uv3 *socio=rien relative du chômage*socio=ec1 aux*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil depuis le milieu*socio=rien de 1984 résulte *socio=rien du jeu *socio=nil combiné de deux facteurs*socio=rien : le ralentissement*socio=ec2 du*socio=rien rythme*socio=ec2 de création_d'_emplois*socio=ec1 et la reprise de la croissance*socio=uv3 de la population_active*socio=ac. Néanmoins, l'emploi*socio=ec1 a continué d'y progresser rapidement, de 1,7 % environ au cours*socio=rien des douze mois*socio=rien ayant pris fin*socio=rien en mai*socio=rien 1985. Au Canada*socio=ac, l'emploi*socio=ec1 a également augmenté à un*socio=rien rythme*socio=ec2 rapide*socio=rien, de 4 % entre mai*socio=rien 1984 et mai*socio=rien 1985. Toutefois, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 y reste*socio=rien de 10 1/2 % environ. Au Japon*socio=ac, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 est*socio=rien resté pratiquement inchangé*socio=rien, à 2 3/4 % environ, entre le début*socio=rien de la reprise et la fin*socio=rien de 1984, parce que les entreprises*socio=ac ont commencé par réutiliser la main-d'_oeuvre*socio=ac en surnombre qu'elles avaient gardée pendant la récession*socio=ec2. Dernièrement, toutefois, leurs effectifs*socio=rien ont cessé d'être*socio=rien pléthoriques*socio=rien et l'augmentation*socio=ec2 de la production*socio=ec1 a entraîné des créations*socio=rien d'emplois*socio=ec1 et fait*socio=rien baisser le chômage*socio=ec1. Inflation*socio=ec1. L'accélération*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 en 1984 n'a pas sensiblement ranimé les *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac. Dans ces pays*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 a continué de ralentir en 1984 et au *socio=rien cours du premier semestre *socio=nil de 1985. Mesuré par la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 moyen*socio=rien pondéré a été*socio=rien de 3,5 % pour la période*socio=te de douze mois*socio=rien qui s'est*socio=rien achevée en mars*socio=rien 1985 (graphique*socio=rien 4). Le taux*socio=ec1 d'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien déflateur implicite*socio=rien pondéré du*socio=rien PNB*socio=ec1 a suivi une courbe descendante*socio=ec2 analogue*socio=rien au cours*socio=rien de la reprise, passant de 9 % en moyenne*socio=rien pour 1980-81 à moins de 5 % pour 1983 et à un*socio=rien peu plus de 4 % pour 1984. En outre, le recul*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 a *socio=rien été général *socio=nil : certains pays*socio=ac qui avaient naguère *socio=rien du mal *socio=nil à réduire leur taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 ont remporté des *socio=rien résultats notables *socio=nil dans leur effort*socio=uv1 de stabilisation*socio=et des prix*socio=ec1 en 1984 et au début*socio=rien de 1985 (tableau*socio=rien 2). Parmi les principaux*socio=rien pays*socio=ac, c'est*socio=rien en Italie*socio=ac que la baisse*socio=ec2 *socio=rien absolue du taux*socio=ec1 d'*socio=nil inflation*socio=ec1 a*socio=nil été *socio=nil la plus marquée au cours*socio=rien de cette période*socio=te, bien*socio=rien que le niveau*socio=rien des prix*socio=ec1 ait continué à y augmenter plus rapidement que dans les autres grands*socio=rien pays*socio=ac. La France*socio=ac a elle aussi nettement freiné son inflation*socio=ec1. Au Canada*socio=ac, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 est*socio=rien tombé à moins de 3 % en 1984; quant aux États-unis*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac, ils ont consolidé les progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien réalisés dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 à partir de 1980. La République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et le Japon*socio=ac ont réussi, comme ils le font depuis *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil années,*socio=nil *socio=nil à maintenir leur taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 à *socio=rien un niveau nettement*socio=nil inférieur *socio=nil à celui des autres principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. En définitive*socio=rien, *socio=rien prises ensemble,*socio=nil ces*socio=nil diverses évolutions*socio=te *socio=nil ont eu pour effet*socio=rien de rétrécir nettement les écarts*socio=ec2 d'inflation*socio=ec1 entre les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Dans les petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 est*socio=rien resté supérieur*socio=rien de 2 1/2 à 3 points*socio=rien à celui des grands*socio=rien pays*socio=ac. Seuls*socio=rien les Pays-bas*socio=ac et la Suisse*socio=ac ont enregistré un*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 inférieur*socio=rien à la moyenne*socio=rien des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Néanmoins, dans les pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 a suivi en général*socio=rien une courbe descendante*socio=ec2 et, dans la plupart*socio=rien d'entre eux, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 s'est*socio=rien ralentie en 1984. La politique_monétaire*socio=et a joué un*socio=rien rôle*socio=et déterminant*socio=rien dans cette baisse*socio=ec2 généralisée de l'inflation*socio=ec1. A force*socio=uv1 d'agir avec ténacité pour contenir, voire réduire, le taux_d'_expansion*socio=ec2 des *socio=ec1 agrégats monétaires,*socio=nil les*socio=nil pouvoirs_publics*socio=et *socio=nil ont réussi à amener les agents*socio=ac économiques*socio=ec1 à anticiper des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 plus bas*socio=rien qu'auparavant, du*socio=rien moins pour le court_terme*socio=te. Par la suite*socio=rien de cet infléchissement*socio=ec2 des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2, mais aussi de la persistance*socio=te d'une importante*socio=uv4 surcapacité*socio=uv de production*socio=ec1, de l'introduction*socio=rien d'une plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3 dans le processus*socio=te de détermination*socio=rien des salaires*socio=ec1 et de l'exemple*socio=rien donné par le freinage*socio=rien des hausses de traitements*socio=rien dans le secteur_public*socio=et, les majorations*socio=rien salariales*socio=ec1 ont continué de se modérer dans les autres secteurs*socio=rien de l'économie*socio=ec1. En 1984, le taux_d'_accroissement*socio=ec2 des coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac a de nouveau*socio=rien nettement diminué, grâce*socio=rien à la fois*socio=rien à la modération*socio=ec2 des augmentations*socio=ec2 de salaires*socio=ec1 et à un*socio=rien progrès*socio=uv1 notable*socio=rien de la productivité*socio=uv3 du*socio=rien travail*socio=ec1. En fait*socio=rien, les coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac dans les *socio=ec1 industries manufacturières *socio=nil sont restés pratiquement inchangés*socio=rien en 1984. Le progrès*socio=uv1 rapide*socio=rien de la productivité*socio=uv3 au cours*socio=rien de la reprise a été*socio=rien évidemment dû en partie*socio=rien à des facteurs*socio=rien conjoncturels*socio=te. Cependant, il y a tout lieu*socio=rien de penser qu'il tient aussi à des causes*socio=rien plus durables*socio=uv4, par exemple*socio=rien : les importantes*socio=uv4 innovations*socio=uv3 technologiques*socio=ec1 générées par l'électronique*socio=rien, le jeu*socio=rien des facteurs*socio=rien démographiques*socio=ec1 qui tendent à faire augmenter l'expérience*socio=ec2 professionnelle*socio=ec1 moyenne*socio=rien de la population_active*socio=ac, la réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 et la stabilisation*socio=et des prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien des facteurs*socio=rien de production*socio=ec1. La hausse*socio=rien relativement modérée du*socio=rien coût*socio=ec1 des matières_premières*socio=ec1 importées a aussi largement contribué à la désinflation*socio=ec2 dans les pays_industrialisés*socio=ac. Les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien se sont ressentis *socio=rien du niveau élevé*socio=uv4 des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te *socio=nil et de l'abondance*socio=uv2 relative*socio=rien de l'offre*socio=ec1 pour *socio=rien un certain nombre de*socio=nil produits essentiels*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil De plus, il se peut que, grâce*socio=rien au progrès*socio=uv1 technique*socio=rien, la production*socio=ec1 nécessaire*socio=rien pour répondre à la structure*socio=ec1 de la demande*socio=ec1 dans la phase*socio=te de reprise actuelle*socio=te exige une consommation*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 moindre*socio=rien que dans les phases*socio=te de redressement*socio=ec2 antérieures*socio=te. Par ailleurs*socio=rien, les prix*socio=ec1 exprimés en dollars*socio=ec1 EU ont aussi subi les effets*socio=rien de la montée du*socio=rien dollar*socio=ec1 au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Toujours est-il que le coût*socio=ec1 des matières_premières*socio=ec1 a moins augmenté au cours*socio=rien de cette reprise qu'on aurait pu s'y attendre en se fiant à l'observation*socio=ec2 passée. Les prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 EU (variations*socio=rien des prix*socio=ec1 en DTS entre parenthèses*socio=rien) ont baissé de plus de 12 % ( - 9 % ) en 1983 et de 2 % ( + 2 % ) en 1984. L'indice_des_prix*socio=ec1 des autres produits*socio=rien de base*socio=rien a augmenté d'un*socio=rien peu moins de 8 % ( + 11 %) en 1983 et de 2 1/2 % seulement ( + 6 1/2 % ) en 1984. Avec le ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 dans les pays_industrialisés*socio=ac au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1984 et au début*socio=rien de 1985, les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien ont commencé à s'affaiblir plus nettement et, pour les six *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1985, l'indice_des_prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien non pétroliers*socio=ec1 était inférieur*socio=rien de 13 % ( - 7 % ) à son niveau*socio=rien de la période*socio=te correspondante*socio=rien de 1984. pays_en_développement*socio=uv3. Évolution*socio=te générale*socio=rien. En 1984, la reprise de la demande*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac ainsi que la poursuite*socio=rien de la mise en oeuvre*socio=rien de politiques*socio=et d'ajustement*socio=et dans les pays_en_développement*socio=uv3 ont entraîné une nette*socio=rien accélération*socio=ec2 du*socio=rien rythme*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 dans ces derniers*socio=rien pays*socio=ac. Après*socio=rien deux ans*socio=rien de croissance*socio=uv3 très faible*socio=rien ( 1 1/2 % par an*socio=rien), le produit_intérieur_brut*socio=ec1 (PIB*socio=ec1) réel*socio=rien de ce groupe*socio=ac a augmenté de 3 3/4 % en 1984. Dans les pays*socio=ac dont les exportations*socio=ec1 ne sont pas principalement pétrolières*socio=ec1 (pays*socio=ac non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1), la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien encore plus forte*socio=rien, de près de 4 1/2 %. Les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui comptent pour *socio=rien un tiers *socio=nil environ dans la production*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3, ont connu une croissance*socio=uv3 moins dynamique*socio=uv4 (2 % ), à cause*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien de la demande*socio=ec1 mondiale*socio=te pour leur *socio=rien principal produit d'*socio=nil exportation*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Pourtant, même dans ces pays*socio=ac, les résultats*socio=rien de 1984 représentent une amélioration*socio=uv1 considérable*socio=rien par rapport*socio=rien aux baisses du*socio=rien PIB*socio=ec1 réel*socio=rien constatées au cours*socio=rien des deux *socio=rien années précédentes (*socio=nil tableau *socio=nil 4). Cette amélioration*socio=uv1 des résultats*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 est*socio=rien également manifeste quand on classe*socio=rien ces pays*socio=ac en fonction*socio=rien de critères*socio=rien financiers*socio=ec1. Ainsi, les principaux*socio=rien *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil ont enregistré une expansion*socio=ec2 de 3 % de leur PIB*socio=ec1 réel*socio=rien, qui a plus que compensé la baisse*socio=ec2 de 1983. Les pays*socio=ac qui éprouvaient précédemment des difficultés*socio=uv4 à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1, et dont certains font aussi *socio=rien partie du groupe*socio=ac des*socio=nil principaux *socio=ac pays emprunteurs,*socio=nil *socio=nil ont enregistré en 1984 un*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec1 de 2 %, qui a permis*socio=rien à leur PIB*socio=ec1 réel*socio=rien de retrouver son niveau*socio=rien de 1981. Le *socio=rien principal facteur *socio=nil de la reprise de l'activité_économique*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 a été*socio=rien le redressement*socio=ec2 considérable*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1. Les exportations*socio=ec1 ont été*socio=rien particulièrement dynamiques*socio=uv4 dans les pays*socio=ac non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1, où elles ont progressé de 6 % en volume*socio=rien en 1983 et de 12 % en 1984. L'ampleur*socio=rien de ces augmentations*socio=ec2 s'explique principalement par la croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien des achats*socio=ec1 de leurs partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 du*socio=rien monde*socio=te industrialisé, en particulier*socio=rien des États-unis*socio=ac. Toutefois, cette croissance*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 ne suffit pas à expliquer la vigueur*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1 en 1983-84; en effet*socio=rien, pendant la même période*socio=te, ces pays*socio=ac ont également réussi à accroître leurs parts*socio=rien de marché*socio=ec1. La croissance*socio=ec1 de leurs exportations*socio=ec1 peut donc être*socio=rien attribuée pour une *socio=rien bonne part aux*socio=nil mesures*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et,*socio=nil *socio=nil y compris des *socio=rien modifications du taux_de_change*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qu'ils ont eux-mêmes prises*socio=rien au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil La reprise lancée par les exportations*socio=ec1 s'est*socio=rien peu à peu étendue à l'ensemble*socio=rien de l'économie*socio=ec1 nationale*socio=te. Dans les pays*socio=ac non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1, la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 Intérieure*socio=te, qui s'était progressivement*socio=rien ralentie, tombant de plus de 6 % en 1978 à moins de 1 % en 1982, a repris de la vigueur*socio=uv3 au cours*socio=rien des deux *socio=rien années suivantes *socio=nil et atteint près de 3 % en 1984 (graphique*socio=rien 5), Cette reprise de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te s'explique sans doute*socio=rien en *socio=rien grande partie *socio=nil par la hausse*socio=rien des revenus*socio=ec1 réels*socio=ec2 liée à l'expansion*socio=ec2 des exportations*socio=ec1, mais elle a également été*socio=rien stimulée par une évolution*socio=te plus favorable*socio=uv4 (ou, du*socio=rien moins, beaucoup moins défavorable*socio=uv4) des termes_de_l'_échange*socio=ec1. Ainsi, pour les pays*socio=ac non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1, les termes_de_l'_échange*socio=ec1 se sont améliorés en 1983-84 de 1 1/2 % par an*socio=rien environ, alors qu'ils avaient baissé de 4 % par an*socio=rien en moyenne*socio=rien au cours*socio=rien de la période*socio=te 1978-82. Par la suite*socio=rien, l'évolution*socio=te des termes_de_l'_échange*socio=ec1, qui contribuait naguère à détourner de la dépense*socio=ec1 intérieure*socio=te *socio=rien un volume important*socio=uv4 de*socio=nil ressources*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil exerce aujourd'hui *socio=rien un léger effet de*socio=nil stimulation sur la*socio=nil dépense*socio=ec1 nationale*socio=te.*socio=nil Un autre*socio=nil élément positif*socio=uv4 *socio=nil tient à ce que la *socio=rien part du revenu*socio=ec1 intérieur*socio=te *socio=nil absorbée par le paiement*socio=ec1 des intérêts*socio=uv1 de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te est*socio=rien restée stable*socio=uv4 depuis 1982. Entre 1978 et 1982, la *socio=rien part du revenu*socio=ec1 national*socio=te *socio=nil absorbée par le service*socio=et de cette dette*socio=ec1 avait plus que doublé à cause*socio=rien de la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 internationaux*socio=te et de l'augmentation*socio=ec2 rapide*socio=rien des emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te, ce qui freinait considérablement*socio=rien la formation*socio=et du*socio=rien revenu*socio=ec1. La détente*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 internationaux*socio=te constatée depuis 1982 a atténué cet effet*socio=rien de freinage*socio=rien. L'amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 en 1984, ou du*socio=rien moins l'atténuation*socio=ec2 de leurs difficultés*socio=uv4, apparaît encore plus clairement si l'on considère l'évolution*socio=te de leurs importations*socio=ec1 et de leurs investissements*socio=ec1. Ces deux catégories*socio=rien de dépenses*socio=ec1 (qui se recoupent) avaient été*socio=rien fortement réduites au cours*socio=rien de la première*socio=rien phase*socio=te du*socio=rien processus*socio=te d'ajustement*socio=et. Pour l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1, les importations*socio=ec1 ont baissé de 5 1/2 % en volume*socio=rien en 1982 et n'ont augmenté que de 1 1/2 % en moyenne*socio=rien annuelle*socio=te en 1983. De même, les dépenses*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 ont diminué en volume*socio=rien chaque année*socio=rien de 1981 à 1983. En 1984, la situation*socio=rien extérieure*socio=te étant devenue à peu près soutenable*socio=uv4 pour l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac (voir ci-après), ils ont commencé a pouvoir*socio=et, en contrepartie*socio=rien de l'accroissement*socio=ec2 de leurs exportations*socio=ec1, absorber davantage d'importations*socio=ec1, et celles-ci ont augmenté d'environ 6 % en volume*socio=rien. Les investissements*socio=ec1 n'ont pas fait*socio=rien preuve*socio=ec2 du*socio=rien même dynamisme*socio=uv3, mais la tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 de la formation*socio=et de capital*socio=ec1 semble avoir été*socio=rien enrayée en 1984. Si la production*socio=ec1 et la demande*socio=ec1 ont ainsi progressé en 1984 dans les pays_en_développement*socio=uv3, il convient néanmoins de faire deux réserves*socio=ec1 importantes*socio=uv4. Premièrement, le développement*socio=uv3 de l'activité*socio=rien qui ressort des statistiques*socio=ec2 globales*socio=rien masque en fait*socio=rien une grande*socio=rien inégalité*socio=uv1 dans la répartition*socio=uv3 de la croissance*socio=uv3. Certains grands*socio=rien pays*socio=ac (principalement la Chine*socio=ac et l'Inde*socio=ac), certes, ont continué de connaître une croissance*socio=uv3 supérieure*socio=rien à la moyenne*socio=rien, mais l'expansion*socio=ec2 est*socio=rien en général*socio=rien restée inférieure*socio=rien à la moyenne*socio=rien dans le groupe*socio=ac, plus nombreux*socio=rien, des petits*socio=rien pays*socio=ac. Ainsi le taux_de_croissance*socio=ec1 médian*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 n'a été*socio=rien que de 2,8 en 1984, contre une moyenne*socio=rien pondérée de 3,7 De plus, l'accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=ec1 en 1983 et 1984 est*socio=rien nettement moins marquée si l'on considère la médiane*socio=rien. Ces données générales*socio=rien qui font apparaître une répartition*socio=uv3 inégale*socio=uv2 de la croissance*socio=uv3 sont confirmées par l'analyse*socio=ec2 de la situation*socio=rien des divers groupes*socio=ac régionaux*socio=te de pays_en_développement*socio=uv3 (voir ci-après). Deuxièmement, les progrès*socio=uv1 réalisés en 1984 restent modestes*socio=rien si on les replace dans une perspective*socio=rien historique*socio=te, et ils sont loin*socio=rien de compenser la baisse*socio=ec2 du*socio=rien niveau_de_vie*socio=uv1 au cours*socio=rien des *socio=rien années précédentes.*socio=nil En*socio=nil effet,*socio=nil *socio=nil en 1984, la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien très inférieure*socio=rien à la moyenne*socio=rien de la période*socio=te 1967-76, au cours*socio=rien de laquelle le monde*socio=te avait pourtant connu une grave*socio=uv4 phase*socio=te de récession*socio=ec2. De plus, même avec la reprise de l'activité*socio=rien en 1984, la production*socio=ec1 par habitant*socio=ac pour la même année*socio=rien n'a pas dépassé son niveau*socio=rien de 1980. D'autre part*socio=rien, les pays_en_développement*socio=uv3 ont dû orienter vers l'exportation*socio=ec1 une part*socio=rien de leur production*socio=ec1 plus importante*socio=uv4 qu'en 1980, afin de compenser les mouvements*socio=ec2 défavorables*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 et la hausse*socio=rien des charges*socio=rien financières*socio=ec1 et d'apporter à la balance*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te les redressements structurels*socio=ec2 nécessaires*socio=rien pour améliorer leur cote*socio=ec1 de crédit*socio=ec1. En moyenne*socio=rien, donc, l'absorption*socio=rien par habitant*socio=ac a diminué considérablement*socio=rien pendant les quatre années*socio=rien écoulées. La baisse*socio=ec2 de niveau_de_vie*socio=uv1 a été*socio=rien particulièrement grave*socio=uv4 dans les pays*socio=ac lourdement endettés de l'hémisphère_occidental*socio=te : pour l'ensemble*socio=rien de ces pays*socio=ac, l'absorption*socio=rien moyenne*socio=rien par habitant*socio=ac en 1984 a *socio=rien été inférieure *socio=nil de 20 % environ à son niveau*socio=rien de 1980. La région*socio=te d'Afrique*socio=ac a été*socio=rien gravement touchée elle aussi, car, même si l'absorption*socio=rien par habitant*socio=ac y a un*socio=rien peu moins diminué que dans l'hémisphère_occidental*socio=te, ce déclin*socio=ec2 est*socio=rien venu réduire encore un*socio=rien niveau_de_vie*socio=uv1 déjà très inférieur*socio=rien à la moyenne*socio=rien des autres régions*socio=te en développement*socio=uv3. Le léger*socio=rien raffermissement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien en 1984 a coïncidé avec *socio=rien un net changement*socio=uv3 d'*socio=nil orientation*socio=et *socio=nil de la politique_budgétaire*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3. A cet égard*socio=rien, le fait*socio=rien le plus *socio=rien significatif est la*socio=nil réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et global*socio=te des*socio=nil administrations_centrales*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui, *socio=rien après être passé *socio=nil de 1 1/4 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1980 à 5 1/2 % en 1983, est*socio=rien retombé à 4 1/2 % en 1984. Cette réorientation*socio=et de la politique_budgétaire*socio=et semble avoir été*socio=rien très générale*socio=rien, puisque le déficit*socio=ec1 médian*socio=rien des administrations_centrales*socio=ac est*socio=rien tombé de 6 3/4 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1983 à 5 1/4 % en 1984. Comme il fallait s'y attendre, l'amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien budgétaire*socio=et a été*socio=rien particulièrement prononcée dans les pays*socio=ac qui avaient déjà éprouvé des difficultés*socio=uv4 à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1. La plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac avaient reçu une assistance*socio=uv1 financière*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 à l'appui*socio=uv1 de programmes*socio=et d'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et. Néanmoins, *socio=rien un certain nombre *socio=nil de ceux qui avaient échappé à des problèmes*socio=uv4 de service_de_la_dette*socio=ec1 ont eux aussi réduit leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et. Grâce*socio=rien en partie*socio=rien à cette réduction*socio=ec2 de la désépargne *socio=rien nette du secteur_public*socio=et,*socio=nil le*socio=nil taux*socio=ec1 d'*socio=nil épargne*socio=ec1 global*socio=te du groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 s'*socio=nil est également*socio=nil un *socio=nil peu relevé en 1984. Au cours*socio=rien des *socio=rien années précédentes,*socio=nil ce*socio=nil taux*socio=ec1 *socio=nil avait eu tendance*socio=ec2 à diminuer dans la mesure*socio=rien où beaucoup de pays*socio=ac avaient *socio=rien du mal *socio=nil à freiner la consommation*socio=ec1, malgré la nécessité*socio=uv1 de réduire le déficit*socio=ec1 de leurs paiements_courants*socio=ec1. En fait*socio=rien, si entre 1981 et 1984 l'absorption*socio=rien par habitant*socio=ac a diminué, la consommation*socio=ec1 par habitant*socio=ac est*socio=rien restée à peu près inchangée*socio=rien (pour l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, mais pas pour tous les sous-groupes*socio=ac et toutes les régions*socio=te). Il semble donc que, dans l'ensemble*socio=rien, l'ajustement*socio=et extérieur*socio=te ait été*socio=rien dû principalement à une forte*socio=rien réduction*socio=ec2 de l'investissement*socio=ec1. Le taux*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 est*socio=rien tombé de 26 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1981 à 23 % en 1984, baisse*socio=ec2 qui fait*socio=rien peser une menace*socio=uv1 sur*socio=rien les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 à long_terme*socio=te. Heureusement, la reprise de la croissance*socio=uv3 et la diminution*socio=ec2 de la désépargne des administrations_centrales*socio=ac en 1984 ont exercé *socio=rien un effet positif*socio=uv4 sur l'*socio=nil épargne*socio=ec1 globale,*socio=nil de*socio=nil sorte *socio=nil qu'il est*socio=rien maintenant moins nécessaire*socio=rien de réduire les investissements*socio=ec1; d'ailleurs*socio=rien, ceux-ci semblent être*socio=rien stabilisés en termes*socio=rien réels*socio=ec2. L'amélioration*socio=uv1 de la production*socio=ec1 réelle*socio=ec2 des pays_en_développement*socio=uv3 en 1984 n'est*socio=rien pas allée de pair*socio=rien avec un*socio=rien progrès*socio=uv1 *socio=rien comparable sur le*socio=nil front des*socio=nil prix*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 moyen*socio=rien pondéré, qui était déjà passé*socio=rien de 25-27 % en 1980-82 à 33 % en 1983, s'est*socio=rien encore accru, pour atteindre près de 38 % en 1984 (tableau*socio=rien 5). Toutefois, cette tendance*socio=ec2 est*socio=rien imputable*socio=uv2 en *socio=rien grande partie *socio=nil à des hausses atypiques des prix*socio=ec1 dans quelques pays*socio=ac. En effet*socio=rien, le taux*socio=ec1 médian*socio=rien d'inflation*socio=ec1, qui avait atteint 14 1/2 % en 1980, s'est*socio=rien stabilisé à environ 10 % depuis 1982. On peut toutefois s'inquiéter du*socio=rien peu de progrès*socio=uv1 accompli dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 durant les deux ou trois années*socio=rien écoulées, au cours*socio=rien desquelles les pays_industrialisés*socio=ac ont, eux, réussi globalement à réduire leur taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 de plus *socio=rien du tiers.*socio=nil En*socio=nil général,*socio=nil les*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui ont eu le plus de mal*socio=rien à maîtriser*socio=rien leur inflation*socio=ec1 sont ceux qui ont connu de *socio=uv4 graves problèmes d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil et de service_de_la_dette*socio=ec1. Normalement, l'ajustement*socio=et extérieur*socio=te exige une restructuration*socio=et des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te relatifs*socio=rien, qui passe en partie*socio=rien par la dépréciation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 et par la diminution*socio=ec2 ou la suppression*socio=rien des subventions*socio=ec1. Ces mesures*socio=et entraînent une pression*socio=ec2 à la *socio=rien hausse sur les*socio=nil prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te *socio=nil et, si cette tendance*socio=ec2 n'est*socio=rien pas enrayée par des politiques*socio=et financières*socio=ec1 suffisamment restrictives*socio=uv4 ou par une modification*socio=rien des mécanismes*socio=et d'indexation*socio=ec1 ou bien*socio=rien encore par cette double*socio=rien action*socio=ec1, elle risque*socio=uv3 d'engendrer une spirale*socio=rien inflationniste*socio=ec2. D'une manière*socio=rien plus générale*socio=rien, l'application*socio=rien d'une politique*socio=et financière*socio=ec1 assez accommodante pour permettre au taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 de s'installer à ces niveaux*socio=rien élevés*socio=uv4 est*socio=rien souvent le symptôme*socio=rien de désajustements plus profonds*socio=rien, auxquels il faut s'attaquer si l'on veut consolider les ajustements*socio=et déjà réalisés. *socio=te Évolution régionale.*socio=nil *socio=nil Peut-être précisément parce que la reprise de la production*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 a été*socio=rien surtout d'origine*socio=rien externe*socio=ec1, elle a été*socio=rien très générale*socio=rien et a touché toutes les grandes*socio=rien *socio=te régions géographiques *socio=nil et toutes les catégories*socio=rien de *socio=ac pays exportateurs (*socio=nil tableau*socio=rien *socio=nil 4). Pourtant, si l'on se place*socio=rien dans une perspective*socio=rien historique*socio=te, c'est*socio=rien seulement en Asie*socio=ac que l'on peut considérer comme satisfaisant*socio=rien le taux_d'_accroissement*socio=ec2 de la production*socio=ec1. En effet*socio=rien, dans les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac, le PIB*socio=ec1 augmenté de 6 1/2 % en 1984 après*socio=rien avoir déjà progressé de plus de 7 % en 1983. Par contre, dans toutes les autres grandes*socio=rien régions*socio=te, la croissance*socio=ec1 du*socio=rien PIB*socio=ec1 a été*socio=rien comprise entre 2 et 2 1/2 % en 1984, pourcentage*socio=rien qui représente sans *socio=rien doute un grand progrès*socio=uv1 par*socio=nil rapport *socio=nil à 1983, mais qui ne dépasse guère dans le meilleur*socio=uv4 des cas*socio=rien le *socio=ec1 taux_de_croissance démographique.*socio=nil Cette*socio=nil inégalité*socio=uv1 de*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil entre les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac et le *socio=rien reste du monde*socio=te en*socio=nil développement*socio=uv3 est *socio=nil encore plus marquée quand on considère l'évolution*socio=te de la production*socio=ec1 en plus longue*socio=rien période*socio=te (graphique*socio=rien 6). En effet*socio=rien, si le taux_de_croissance*socio=ec1 des pays*socio=ac d'Asie*socio=ac a été*socio=rien en moyenne*socio=rien de plus de 6 % par an*socio=rien pendant les quatre *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil il ressort des estimations*socio=ec2 que la production*socio=ec1 dans les pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te a enregistré une baisse*socio=ec2 en *socio=rien termes absolus *socio=nil et a donc diminué encore davantage par habitant*socio=ac. La *socio=rien situation est *socio=nil à peu près la même en Afrique*socio=ac et au Moyen-orient*socio=ac, où les gains*socio=ec1 marginaux*socio=rien de production*socio=ec1 ont *socio=rien été bien inférieurs au*socio=nil *socio=ec1 taux_de_croissance démographique.*socio=nil *socio=nil Dans les pays_en_développement*socio=uv3 d'Europe*socio=ac, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 a en général*socio=rien suivi l'augmentation*socio=ec2 de la population*socio=ac, mais, vu la nécessité*socio=uv1 pour ces pays*socio=ac d'améliorer la situation*socio=rien de leur balance_des_paiements*socio=ec1, l'absorption*socio=rien par habitant*socio=ac y est*socio=rien probablement restée étale lorsqu'elle n'a pas baissé. Cette disparité*socio=uv1 des taux_de_croissance*socio=ec1 s'explique notamment par de fortes*socio=rien différences*socio=uv1 entre ces pays*socio=ac, en ce qui concerne leur position*socio=rien extérieure*socio=te, leur cote*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 et leur accès*socio=uv1 à des financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te, le degré*socio=rien de stabilité*socio=uv3 de leurs prix*socio=ec1 et leur capacité*socio=uv3 de tirer parti*socio=et de la reprise du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te. Les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac, dont les exportations*socio=ec1 comprennent souvent une part*socio=rien importante*socio=uv4 de produits*socio=rien manufacturés, sont ceux qui ont su le mieux réaménager leurs prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien, maîtriser*socio=rien l'inflation*socio=ec1 dès le *socio=rien début du processus*socio=te d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil et relancer leurs exportations*socio=ec1. Il en va ainsi non seulement des *socio=ac pays exportateurs d'*socio=nil Asie de*socio=nil l'_est*socio=te et*socio=nil du*socio=rien Sud-est*socio=te,*socio=nil *socio=nil mais aussi des grands*socio=rien pays*socio=ac, en particulier*socio=rien, la Chine*socio=ac, où les réformes*socio=et opérées par les pouvoirs_publics*socio=et ont stimulé à la fois*socio=rien l'agriculture*socio=ec1 et l'industrie*socio=ec1, a connu deux *socio=rien années successives de*socio=nil croissance*socio=uv3 rapide sans*socio=nil hausse des*socio=nil prix*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil D'autre part*socio=rien, elle s'est*socio=rien davantage ouverte*socio=uv4 au commerce*socio=ec1 international*socio=te et aux investissements*socio=ec1 étrangers*socio=te. En outre, l'Asie*socio=ac compte*socio=ec1 relativement peu de pays*socio=ac ayant de *socio=uv4 graves difficultés d'*socio=nil ajustement*socio=et extérieur*socio=te *socio=nil ou de service_de_la_dette*socio=ec1. Par conséquent*socio=rien, les gouvernements*socio=ac ont pu y mener en 1984 des politiques*socio=et financières*socio=ec1 neutres*socio=rien ou seulement un*socio=rien peu restrictives*socio=uv4. Par exemple*socio=rien, les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et, qui y étaient déjà inférieurs*socio=rien à la moyenne*socio=rien des autres régions*socio=te, n'ont guère varié entre 1983 et 1984. Grâce*socio=rien à cette quasi-neutralité des politiques*socio=et financières*socio=ec1 et à une augmentation*socio=ec2 de 14 % des exportations*socio=ec1, la croissance*socio=uv3 de ces pays*socio=ac est*socio=rien restée très vigoureuse*socio=rien en 1984. Les pays_en_développement*socio=uv3 d'Europe*socio=ac, qui sont également très tributaires*socio=rien des exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés, ont enregistré une reprise tout aussi dynamique*socio=uv4 de leurs exportations*socio=ec1 en 1983 et 1984. Toutefois, plusieurs d'entre eux, handicapés*socio=ac par un*socio=rien ratio*socio=ec1 de service_de_la_dette*socio=ec1 plus lourd*socio=rien que celui de nombreux*socio=rien pays*socio=ac d'Asie*socio=ac et par une position*socio=rien extérieure*socio=te plus fragile*socio=rien, ont eu *socio=rien du mal à*socio=nil maîtriser leur*socio=nil inflation*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ainsi, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 global*socio=te de ces pays*socio=ac *socio=rien est passé *socio=nil de 23 % en 1983, chiffre déjà fort*socio=rien peu satisfaisant*socio=rien, à 28 % en 1984. En même temps*socio=rien, et malgré la vigueur*socio=uv3 de leurs exportations*socio=ec1, la croissance*socio=uv3 n'y a enregistré qu'une légère*socio=rien reprise - de 2 1/2 % - , *socio=rien juste suffisante *socio=nil pour lui permettre de retrouver un*socio=rien taux*socio=ec1 égal*socio=rien à celui de 1981 et 1982. Mais, de toutes les régions*socio=te, c'est*socio=rien l'hémisphère_occidental*socio=te dont la situation*socio=rien contraste le plus vivement avec celle de l'Asie*socio=ac. Au début*socio=rien des années*socio=rien 80, beaucoup des pays*socio=ac de cette région*socio=te avaient déjà une lourde*socio=rien dette*socio=ec1 et des ratios*socio=ec1 de service_de_la_dette*socio=ec1 très élevés*socio=uv4 ainsi que des comptes*socio=ec1 extérieurs*socio=te fortement déséquilibrés. En 1981, les déficits*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te représentaient en moyenne*socio=rien 32 % de leurs exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et, contre 11 % seulement en Asie*socio=ac. Les problèmes*socio=uv4 de paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te auxquels ils se sont ainsi trouvés confrontés ont obligé les gouvernements*socio=ac à adopter des politiques*socio=et très restrictives*socio=uv4, notamment à réduire fortement les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et les programmes*socio=et d'investissement*socio=ec1, si bien*socio=rien que l'absorption*socio=rien intérieure*socio=te a diminué dans une *socio=rien mesure considérable.*socio=nil *socio=nil En 1984, les effets*socio=rien faavorables de l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 et de la rationalisation*socio=uv3 de la structure*socio=ec1 des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te ont commencé à se faire sentir et, parallèlement à la reprise de la demande*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac, ces pays*socio=ac ont pu augmenter rapidement leurs exportations*socio=ec1. Toutefois, comme ils ont dû consacrer au renforcement*socio=ec2 de leur position*socio=rien financière*socio=ec1 extérieure*socio=te une *socio=rien bonne part *socio=nil de l'accroissement*socio=ec2 de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te y est*socio=rien restée relativement peu soutenue. Par la suite*socio=rien, la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PIB*socio=ec1 réel*socio=rien n'a été*socio=rien que de 2 1/2 % en moyenne*socio=rien, ce qui n'a pas suffi à faire augmenter le revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac, mais représente néanmoins un*socio=rien progrès*socio=uv1 notable*socio=rien par rapport*socio=rien aux baisses de 1983 (3 % en moyenne*socio=rien). Sur*socio=rien le front*socio=rien de l'inflation*socio=ec1, les résultats*socio=rien ont été*socio=rien encore plus décevants*socio=rien dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil grands pays*socio=ac *socio=nil de l'hémisphère_occidental*socio=te. Dans plusieurs de ces pays*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 a marqué une forte*socio=rien accélération*socio=ec2, due aux *socio=rien effets conjugués de*socio=nil politiques*socio=et financières*socio=ec1 accommodantes*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil de la dépréciation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1, et des mécanismes*socio=et d'ajustement*socio=et quasi automatiques*socio=rien des coûts*socio=ec1 et salaires*socio=ec1. Pour l'ensemble*socio=rien de la région*socio=te, le taux*socio=ec1 médian*socio=rien d'inflation*socio=ec1, qui était de 9 % en 1983, est*socio=rien monté à environ 12 % en 1984, mais le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien pondéré a *socio=rien fait un bond,*socio=nil *socio=nil passant de 100 % à 120 %. Dans la région*socio=te du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac, également, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 a dans l'ensemble*socio=rien été*socio=rien assez faible*socio=rien ces toutes *socio=rien dernières années;*socio=nil la*socio=nil raison *socio=nil en tient en partie*socio=rien à la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et *socio=rien du volume des*socio=nil *socio=ec1 exportations pétrolières,*socio=nil *socio=nil mais aussi aux hostilités*socio=uv1 qui continuent dans plusieurs de ces pays*socio=ac. Les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien de cette région*socio=te ont diminué d'environ 43 % entre 1980 et 1984, après*socio=rien avoir augmenté de près de 100 % de 1978 à 1980. Les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil ont maintenu leurs dépenses*socio=ec1 et leurs importations*socio=ec1 à *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4 *socio=nil en 1981 et 1982, mais la baisse*socio=ec2 continuelle*socio=te de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 les a obligés à réduire graduellement les unes et les autres à partir de 1983. En raison*socio=rien surtout du*socio=rien peu d'activité*socio=rien *socio=rien du secteur pétrolier*socio=ec1,*socio=nil la*socio=nil production*socio=ec1 réelle*socio=ec2 *socio=nil de la région*socio=te a diminué entre 1979 et 1983, et n'a progressé que de 2 1/4 % en 1984. Cependant, la production*socio=ec1 des pays*socio=ac non pétroliers*socio=ec1 et des secteurs*socio=rien non pétroliers*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil nettement plus soutenue. En outre, l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien relativement bien*socio=rien maîtrisée dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac de la région*socio=te. En Israël*socio=ac, toutefois, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 s'est*socio=rien fortement accélérée par suite*socio=rien de l'aggravation*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et et *socio=rien du jeu d'*socio=nil un système d'*socio=nil indexation*socio=ec1 *socio=nil généralisé. Peut-être l'aspect*socio=rien le plus préoccupant*socio=rien de l'évolution*socio=te de la production*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 en 1984 réside-t-il dans la *socio=rien lenteur persistante *socio=nil de l'activité_économique*socio=ec1 en Afrique*socio=ac. Dans les pays*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac, la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien particulièrement faible*socio=rien, s'établissant à un*socio=rien taux*socio=ec1 de 1 1/2 %, très inférieur*socio=rien à l'accroissement*socio=ec2 de la population*socio=ac dans la région*socio=te. Qui plus est*socio=rien, cette *socio=rien mauvaise année *socio=nil succède à trois années*socio=rien de croissance*socio=uv3 très faible*socio=rien ( 1 % par an*socio=rien), de sorte*socio=rien qu'en 1984 le revenu*socio=ec1 réel*socio=rien par habitant*socio=ac dans cette région*socio=te avait diminué de 5 à 10 '7o par rapport*socio=rien à son niveau*socio=rien, déjà très bas*socio=rien, de 1980. La diminution*socio=ec2 de l'absorption*socio=rien réelle*socio=ec2 par habitant*socio=ac a probablement été*socio=rien encore plus accentuée : en effet*socio=rien, les pays*socio=ac de cette région*socio=te ont dû exporter une *socio=rien forte proportion du supplément de*socio=nil production*socio=ec1 *socio=nil réalisé au cours*socio=rien de cette période*socio=te pour arrêter la saignée opérée sur*socio=rien les comptes*socio=ec1 extérieurs*socio=te par la détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, l'alourdissement*socio=ec2 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 et l'augmentation*socio=ec2 des *socio=ec1 importations alimentaires *socio=nil imposée par la sécheresse*socio=et qui a sévi dans une *socio=rien grande partie du continent*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Même si les concours financiers*socio=ec1 extérieurs*socio=te ont été*socio=rien moins réduits pour l'Afrique*socio=ac que pour d'autres régions*socio=te (puisque, dans son cas*socio=rien, ils revêtent surtout la forme*socio=rien de dons*socio=ec1 et de crédits*socio=ec1 officiels*socio=et), la position*socio=rien extérieure*socio=te des *socio=ac pays africains *socio=nil a néanmoins été*socio=rien très tendue, ainsi qu'en témoigne*socio=rien la contraction*socio=ec2 de leurs importations*socio=ec1 entre 1980 et 1984. Les difficultés*socio=uv4 des *socio=ac pays africains *socio=nil ont des causes*socio=rien complexes dont certaines*socio=rien sont indépendantes*socio=uv2 de leur volonté*socio=uv1, par exemple*socio=rien la sécheresse*socio=et qui y sévit depuis plusieurs années*socio=rien. Cependant, ils ont eu d'autant plus de mal*socio=rien à opérer les ajustements*socio=et nécessaires*socio=rien pour faire face*socio=rien à ces circonstances*socio=rien défavorables*socio=uv4 que leurs résultats*socio=rien à l'exportation*socio=ec1 ont été*socio=rien médiocres*socio=uv2 : les exportations*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien de la région*socio=te n'ont augmenté que de 1 1/2 % en volume*socio=rien par an*socio=rien tout au long*socio=rien de la période*socio=te 1967-84. Cette croissance*socio=uv3 extrêmement lente*socio=rien des exportations*socio=ec1 s'est*socio=rien poursuivie en 1984, malgré l'expansion*socio=ec2 relativement *socio=rien forte du commerce*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil Elle*socio=nil est *socio=nil due en partie*socio=rien à la composition*socio=rien par *socio=rien produits du commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=nil de l'Afrique*socio=ac, qui est*socio=rien elle-même dictée dans une *socio=rien grande mesure *socio=nil par les ressources_naturelles*socio=ec1 de la région*socio=te et par son stade*socio=te de développement*socio=uv3. De plus, les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien sont restés bas*socio=rien, et la reprise a *socio=rien été lente *socio=nil dans les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac qui sont les clients*socio=ac traditionnels*socio=rien de l'Afrique*socio=ac. Néanmoins, il apparaît de plus en plus que les politiques*socio=et menées par les gouvernements*socio=ac en matière*socio=rien de finances*socio=ec1, de taux_de_change*socio=ec1 et de *socio=ec1 structures économiques *socio=nil ont eu aussi une part*socio=rien de responsabilité*socio=uv1 dans les problèmes*socio=uv4 de l'Afrique*socio=ac, surtout dans la mesure*socio=rien où elles ont entraîné des distorsions*socio=uv3 dans le secteur*socio=rien agricole*socio=ec1. S'ils veulent améliorer les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 de leurs économies*socio=ec1, les *socio=ac gouvernements africains *socio=nil devront réorienter leur stratégie*socio=et de développement*socio=uv3 de manière*socio=rien à encourager les exportations*socio=ec1 et la production*socio=ec1 *socio=rien du secteur agricole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et poursuivre avec ténacité la réforme*socio=et de leur politique*socio=et financière*socio=ec1 entreprise*socio=ac depuis 1983. En outre, pour que ces pays*socio=ac puissent enfin connaître une croissance*socio=uv3 forte*socio=rien et durable*socio=uv4, il faudra aussi que leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 s'améliorent et qu'ils puissent avoir plus largement accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Commerce*socio=ec1 et paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te. En 1984, le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te a pris *socio=rien un vif essor *socio=nil sous l'impulsion*socio=ec2 de la reprise économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac. Les importations*socio=ec1 de ces pays*socio=ac ont enregistré une progression*socio=ec2 de 12 %, à laquelle ont contribué principalement mais non exclusivement les États-unis*socio=ac. Cette poussée de la demande*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac a entraîné un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1 d'environ 12 % en volume*socio=rien. Les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil moins favorisés. Par suite*socio=rien des économies*socio=ec1 d'énergie*socio=ec1, *socio=rien du remplacement du pétrole*socio=ec1 *socio=nil par d'autres sources*socio=rien d'énergie*socio=ec1 et de l'accroissement*socio=ec2 de la production*socio=ec1 d'énergie*socio=ec1 des différents*socio=rien pays*socio=ac consécutif*socio=rien aux hausses du*socio=rien prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 pendant les années*socio=rien 70 et au début*socio=rien des années*socio=rien 80, les pays_industrialisés*socio=ac et les pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 n'ont guère augmenté leurs *socio=ec1 achats pétroliers.*socio=nil *socio=nil Néanmoins, en volume*socio=rien, les ventes*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil ont tout de même légèrement progressé, après*socio=rien quatre années*socio=rien de déclin*socio=ec2 prononcé (tableau*socio=rien 6). Malgré le dynamisme*socio=uv3 des échanges*socio=ec1, les prix*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te n'ont guère changé en 1984. Le prix*socio=ec1 moyen*socio=rien en DTS des biens*socio=ec1 échangés a augmenté de 2 1/4 %, après*socio=rien avoir baissé de 1 1/4 % l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Toutefois, les prix*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 ont diminué en 1984, comme les trois *socio=rien années précédentes,*socio=nil par*socio=nil suite *socio=nil de la forte*socio=rien et *socio=rien persistante hausse du dollar_eu*socio=ec1 Les*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil à l'exportation*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 ont continué à baisser pour les produits*socio=rien manufacturés et pour le pétrole*socio=ec1. En revanche, ceux des autres *socio=rien produits primaires *socio=nil ont augmenté d'environ 2 1/2 % d'une *socio=rien année sur *socio=nil l'autre de sorte*socio=rien que les termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1 se sont améliorés pour la *socio=rien deuxième année de*socio=nil suite.*socio=nil Cette*socio=nil évolution*socio=te,*socio=nil conjuguée *socio=nil à la forte*socio=rien croissance*socio=uv3 *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1,*socio=nil a*socio=nil permis *socio=nil à ces pays*socio=ac, pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis 1980, d'augmenter de *socio=rien manière sensible leurs*socio=nil importations*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il ne faut pourtant pas perdre de vue*socio=rien que l'amélioration*socio=uv1 des termes_de_ l'_échange*socio=ec1 de ces pays*socio=ac en 1983 et 1984 n'est*socio=rien que modeste*socio=rien, comparée à leur détérioration*socio=uv4 des *socio=rien années précédentes.*socio=nil *socio=nil En outre, les prix*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil ont atteint *socio=rien un maximum au*socio=nil milieu *socio=nil de l'année*socio=rien 1984 et ont enregistré ensuite un*socio=rien très net*socio=rien fléchissement*socio=ec2. Celui-ci est*socio=rien évidemment imputable*socio=uv2 en partie*socio=rien à une *socio=rien nouvelle hausse du dollar_eu*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil mais les prix*socio=ec1 ont également baissé en termes*socio=rien de DTS. En 1984, la reprise de l'activité_économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac a entraîné certains changements*socio=uv3 - en partie*socio=rien cycliques*socio=te - dans la configuration*socio=et mondiale*socio=te des soldes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. Abstraction*socio=rien faite des transferts_officiels*socio=et, la balance*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te du*socio=rien groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien passée d'un*socio=rien *socio=ec2 équilibre approximatif à*socio=nil un*socio=rien déficit*socio=ec1 *socio=nil de 34 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (tableau*socio=rien 7). Cette détérioration*socio=uv4 est*socio=rien plus qu'expliquée par l'augmentation*socio=ec2 de 58 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 du*socio=rien déficit*socio=ec1 de la balance*socio=ec1 des États-unis*socio=ac. La situation*socio=rien des balances*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des autres pays_industrialisés*socio=ac s'est*socio=rien en général*socio=rien renforcée, surtout au Japon*socio=ac et dans les petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. La poursuite*socio=rien de la reprise dans les pays_industrialisés*socio=ac et les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et soutenus des pays_en_développement*socio=uv3 ont permis*socio=rien à ce dernier*socio=rien groupe_de_pays*socio=ac de redresser encore sa position*socio=rien extérieure*socio=te. Le déficit_global*socio=ec1 de ces pays*socio=ac a été*socio=rien ramené de 71 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1983 à 44 milliards*socio=rien en 1984. Si l'on exclut les pays*socio=ac du*socio=rien *socio=ac Moyen-orient exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil déficit*socio=ec1 des*socio=nil transactions_courantes*socio=te des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 est*socio=rien *socio=nil tombé de 113 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1981 à 38 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1984 - ce qui, en pourcentage*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et, représente leur déficit*socio=ec1 le plus faible*socio=rien depuis *socio=rien vingt ans.*socio=nil *socio=nil En 1984, cette réduction*socio=ec2 de leurs déficits*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants,*socio=nil conjuguée*socio=rien *socio=nil à une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 de l'offre*socio=ec1 de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te, a permis*socio=rien à ces pays*socio=ac de recommencer à augmenter leurs importations*socio=ec1 et d'accumuler un*socio=rien montant*socio=ec1 important*socio=uv4 de réserves*socio=ec1. Il n'en reste*socio=rien pas moins que les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3 ont été*socio=rien inégaux*socio=uv2 et que la position*socio=rien extérieure*socio=te de beaucoup d'entre eux demeure précaire*socio=uv2. Le redressement*socio=ec2 des soldes*socio=ec1 extérieurs*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 n'a pas totalement compensé la détérioration*socio=uv4 de ceux des pays_industrialisés*socio=ac. Par suite*socio=rien, l'écart*socio=ec2 statistique*socio=ec2 apparaissant dans la balance*socio=ec1 mondiale*socio=te des transactions_courantes*socio=te, qui avait été*socio=rien ramené de 96 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1982 à 64 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1983, a de nouveau*socio=rien augmenté pour atteindre environ 70 milliards*socio=rien en 1984. Le Fonds*socio=ec1 a constitué un*socio=rien groupe_de_travail*socio=ac international*socio=te chargé d'identifier les *socio=rien causes principales *socio=nil de cet *socio=ec2 écart statistique *socio=nil et de présenter des recommandations*socio=et sur*socio=rien les moyens*socio=ec1 d'améliorer les statistiques*socio=ec2 de la balance_des_paiements*socio=ec1. L'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 en 1984 et au début*socio=rien de 1985 a *socio=rien été dominée *socio=nil par la *socio=rien fermeté persistante du dollar_eu*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil même si au milieu*socio=rien de l'année*socio=rien 1985 le dollar*socio=ec1 avait reperdu la moitié*socio=rien environ de la hausse*socio=rien qu'il avait enregistrée en 1984. Entre décembre*socio=rien 1983 et avril*socio=rien 1985, le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif nominal du dollar_eu*socio=ec1 *socio=nil a augmenté de 17 '7o (graphique*socio=rien 7). Au cours*socio=rien de la même période*socio=te, le *socio=ec1 deutsche mark s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil déprécié de 2 % en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et la livre sterling*socio=ec1, de 5 1/2 %; quant au yen*socio=ec1, il n'a en moyenne*socio=rien guère bougé. Le dollar_eu*socio=ec1 a donc continué d'attirer sur*socio=rien lui l'attention*socio=rien du*socio=rien monde*socio=te entier*socio=rien, étant donné que sa valeur*socio=ec1 effective*socio=rien réelle*socio=ec2 en *socio=rien est arrivée *socio=nil à dépasser de 30 à 45 % environ sa valeur*socio=ec1 moyenne*socio=rien au cours*socio=rien des dix *socio=rien premières années de*socio=nil flottement*socio=ec1 *socio=nil généralisé malgré la rapide*socio=rien détérioration*socio=uv4 du*socio=rien solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des États-unis*socio=ac. On reviendra plus longuement sur*socio=rien ce phénomène*socio=rien et ses causes*socio=rien au chapitre*socio=rien II. pays_industrialisés*socio=ac. L'aggravation*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 courant*socio=rien des États-unis*socio=ac et l'augmentation*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 du*socio=rien Japon*socio=ac constituent les aspects*socio=rien les plus importants*socio=uv4 de l'évolution*socio=te des balances_des_paiements*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac en 1984 et dans les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1985 (graphique*socio=rien 8). Après*socio=rien avoir été*socio=rien à peu près en équilibre*socio=ec2, ou légèrement excédentaire*socio=rien, de 1979 à la fin*socio=rien de 1981, la balance*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des États-unis*socio=ac est*socio=rien devenue déficitaire*socio=ec2 en 1982; ce déficit*socio=ec1 a ensuite continué de s'accroître, pour atteindre plus de 100 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (environ 2 3/4 % du*socio=rien PNB*socio=ec1) en 1984. Les données sur*socio=rien la balance_commerciale*socio=ec1 pour le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1985 semblent indiquer que le déficit*socio=ec1 s'est*socio=rien encore accentué au cours*socio=rien de cette période*socio=te. Au Japon*socio=ac, au contraire*socio=rien, l'excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=rien courant est passé *socio=nil de 7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1982 à 21 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1983 et à 35 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1984. L'apparition*socio=rien d'un*socio=rien important*socio=uv4 déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des États-unis*socio=ac a été*socio=rien liée à une croissance*socio=uv3 relativement rapide*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. De 1982 à 1984, la progression*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te en termes*socio=rien réels*socio=ec2 a été*socio=rien presque deux fois*socio=rien plus rapide*socio=rien (14 %) aux États-unis*socio=ac que dans aucun autre des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Parallèlement - et c'est*socio=rien au moins aussi important*socio=uv4 - , au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil ont vu diminuer considérablement*socio=rien leur part*socio=rien des marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 (d'environ *socio=rien un quart *socio=nil entre 1980 et 1984) et augmenter sensiblement la pénétration*socio=rien des importations*socio=ec1 sur*socio=rien leur marché*socio=ec1 intérieur*socio=te (d'environ *socio=rien un cinquième au*socio=nil cours *socio=nil de ces quatre années*socio=rien, si l'on prend comme mesure*socio=rien le ratio*socio=ec1 *socio=rien du volume des*socio=nil importations*socio=ec1 au*socio=nil PNB*socio=ec1 réel)*socio=nil .*socio=nil Cette*socio=nil double évolution*socio=te est principalement*socio=nil imputable*socio=uv2 *socio=nil à l'incidence*socio=ec2 exercée sur*socio=rien la compétitivité*socio=uv3 des États-unis*socio=ac par la très forte*socio=rien appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1 depuis 1980. De son côté*socio=rien, la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 japonais*socio=ac est*socio=rien essentiellement attribuable*socio=rien à la sensibilité*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 japonaises*socio=ac à l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 à l'étranger*socio=te, en particulier*socio=rien aux États-unis*socio=ac et, à *socio=rien un degré moindre,*socio=nil *socio=nil à l'évolution*socio=te des prix*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires,*socio=nil notamment*socio=nil du pétrole*socio=ec1,*socio=nil au*socio=nil cours *socio=nil des quelques *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil En 1984, les importations*socio=ec1 du*socio=rien Japon*socio=ac ont en fait*socio=rien progressé de 11 % , mais la poussée de ses exportations*socio=ec1 a été*socio=rien encore plus vigoureuse*socio=rien ( 16 % ). Étant donné le redéploiement*socio=rien de l'industrie*socio=ec1 japonaise*socio=ac axé sur*socio=rien les produits*socio=rien de haute*socio=rien technologie*socio=ec1, le Japon*socio=ac s'est*socio=rien trouvé particulièrement bien*socio=rien placé pour développer ses exportations*socio=ec1, malgré les pressions*socio=ec2 de plus en plus fortes*socio=rien exercées par d'autres pays_industrialisés*socio=ac en vue*socio=rien d'obtenir*socio=rien qu'il limite*socio=rien volontairement ses exportations*socio=ec1 de certains produits*socio=rien. Les interventions*socio=et sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 ayant été*socio=rien limitées, les importantes*socio=uv4 modifications*socio=rien des soldes*socio=ec1 respectifs*socio=rien des transactions_courantes*socio=te du*socio=rien Japon*socio=ac et des États-unis*socio=ac se sont accompagnées de changements*socio=uv3 de même ampleur*socio=rien et de *socio=rien sens contraire *socio=nil dans les mouvements_de_capitaux_privés*socio=et. Pour le Japon*socio=ac, le changement*socio=uv3 a surtout porté sur*socio=rien les capitaux*socio=ec1 à long_terme*socio=te : les *socio=ac résidents japonais *socio=nil ont acheté davantage de valeurs*socio=ec1 étrangères*socio=te alors que les achats*socio=ec1 nets*socio=rien de titres*socio=rien japonais*socio=ac par des non-résidents*socio=ac ont diminué. Dans le cas*socio=rien des États-unis*socio=ac, le principal*socio=rien changement*socio=uv3 a été*socio=rien le ralentissement*socio=ec2 des acquisitions*socio=ec1 nettes*socio=rien d'avoirs*socio=ec1 étrangers*socio=te par des *socio=ac résidents américains;*socio=nil *socio=nil ces sorties sont tombées de 108 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1982 à 12 1/2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1984. La République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac n'a que légèrement augmenté son excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien en 1984, malgré des circonstances*socio=rien assez propices*socio=rien. Ses exportations*socio=ec1 en volume*socio=rien ont considérablement*socio=rien augmenté, par suite*socio=rien de la croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien de ses marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, de ses gains*socio=ec1 de compétitivité*socio=uv3 et de la structure*socio=ec1 favorable*socio=uv4 de ses exportations*socio=ec1. Parallèlement, les importations*socio=ec1 allemandes*socio=ac ont été*socio=rien freinées par la persistance*socio=te d'une croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 inférieure*socio=rien à la moyenne*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac. En revanche, la dépréciation*socio=ec2 *socio=rien continue du *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil en 1984 a entraîné une détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 qui a limité l'accroissement*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien. Par ailleurs*socio=rien, dans le *socio=rien courant du premier semestre *socio=nil de 1984, l'expansion*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 a été*socio=rien entravée par la grève*socio=ec1 des métallurgistes*socio=rien. En France*socio=ac, le déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te a été*socio=rien ramené de 12 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1982 à 4 1/2 % milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1983, pour devenir*socio=rien pratiquement nul*socio=rien en 1984. Cette amélioration*socio=uv1 résulte essentiellement de l'adoption*socio=uv3 de politiques*socio=et visant à freiner la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te en France*socio=ac, à une époque*socio=te où au contraire*socio=rien la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 s'accélérait à l'étranger*socio=te. La demande*socio=ec1 intérieure*socio=te totale*socio=rien en termes*socio=rien réels*socio=ec2 a légèrement décliné entre 1982 et 1984, alors que dans les autres pays_industrialisés*socio=ac elle a augmenté de plus de 8 % en moyenne*socio=rien. Au cours*socio=rien des quatre *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil France*socio=ac est *socio=nil devenue plus compétitive*socio=uv4, en particulier*socio=rien vis-à-vis des États-unis*socio=ac et du*socio=rien Canada*socio=ac; les taux_de_change*socio=ec1 bilatéraux*socio=et réels*socio=ec2 du*socio=rien franc*socio=ec1 par rapport*socio=rien au *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil et aux monnaies*socio=ec1 des autres pays_membres*socio=ac du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac ont été*socio=rien relativement stables*socio=uv4. En 1984, la balance*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te de l'Italie*socio=ac est*socio=rien retombée dans un*socio=rien déficit*socio=ec1 qui a épongé dans une *socio=rien large mesure le*socio=nil redressement*socio=ec2 *socio=nil opéré au cours*socio=rien de l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Ce revirement*socio=rien s'explique principalement par la reprise de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te qui a été*socio=rien nettement plus rapide*socio=rien que dans les autres grands*socio=rien pays*socio=ac d'Europe*socio=ac continentale*socio=te. En outre, bien*socio=rien qu'au cours*socio=rien des toutes *socio=rien dernières années l'*socio=nil Italie*socio=ac *socio=nil ait gagné en compétitivité*socio=uv3 par rapport*socio=rien aux pays*socio=ac d'amérique_du_nord*socio=ac, les différentiels*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 ont progressivement*socio=rien affaibli sa position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 vis-à-vis de ses principaux*socio=rien partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 européens*socio=ac. Le solde*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=rien courant du Royaume-uni*socio=ac s'*socio=nil est *socio=nil également détérioré : l'excédent*socio=ec1 de 3 1/2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 qu'il avait dégagé en 1983 a presque disparu en 1984. Cette détérioration*socio=uv4 s'explique sans doute*socio=rien dans une *socio=rien large mesure *socio=nil par les effets*socio=rien de la longue*socio=rien grève*socio=ec1 des mineurs*socio=rien. En outre, si la tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 des parts*socio=rien de marchés*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1 du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac a, semble-t-il, été*socio=rien enrayée, ses importations*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1 ont été*socio=rien stimulées par le dynamisme*socio=uv3 relatif*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. En définitive*socio=rien, malgré les gains*socio=ec1 importants*socio=uv4 de compétitivité*socio=uv3 réalisés ces quatre *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil position extérieure*socio=te du Royaume-uni*socio=ac continue *socio=nil de se ressentir des pertes*socio=ec2 de compétitivité*socio=uv3 antérieures*socio=te (encore plus fortes*socio=rien). Au cours*socio=rien des quatre années*socio=rien écoulées, la détérioration*socio=uv4 de la compétitivité*socio=uv3 du*socio=rien Canada*socio=ac par rapport*socio=rien aux *socio=ac pays européens *socio=nil et au Japon*socio=ac a été*socio=rien à peu près comparable*socio=rien à celle des États-unis*socio=ac. Toutefois, étant donné la *socio=rien forte part des*socio=nil échanges*socio=ec1 du Canada*socio=ac *socio=nil qui se font avec les États-unis*socio=ac, l'appréciation*socio=uv3 effective*socio=rien en termes*socio=rien réels*socio=ec2 du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1 a été*socio=rien assez modeste*socio=rien. D'autre part*socio=rien, comme la récession*socio=ec2 au Canada*socio=ac a été*socio=rien relativement grave*socio=uv4, la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te y a été*socio=rien, ces trois *socio=rien dernières années,*socio=nil inférieure *socio=nil à la moyenne*socio=rien de celle de ses principaux*socio=rien partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. Le Canada*socio=ac a donc réalisé de bonnes*socio=rien performances*socio=uv3 commerciales*socio=ec1 et sa balance*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te a dégagé *socio=rien un léger excédent*socio=ec1 *socio=nil pour chacune des trois années*socio=rien considérées. La balance*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te du*socio=rien groupe*socio=ac des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac a enregistré un*socio=rien redressement*socio=ec2 de 7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1984 et s'est*socio=rien soldée par un*socio=rien excédent*socio=ec1 pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis 1973. C'est*socio=rien en Espagne*socio=ac que l'amélioration*socio=uv1 a été*socio=rien la plus marquée, puisque la balance*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te est*socio=rien passée d'un*socio=rien déficit*socio=ec1 de 2 1/4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1983 à un*socio=rien excédent*socio=ec1 de 2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1984. Cette évolution*socio=te s'explique par un*socio=rien déclin*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te réelle*socio=ec2, à une époque*socio=te où la demande*socio=ec1 s'accélérait ailleurs*socio=rien, et par les effets*socio=rien à retardement de la dépréciation*socio=ec2 de 20 % du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 effectif' réel*socio=rien de la peseta*socio=ec1 (calculé sur*socio=rien la base*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1) pendant les quatre *socio=rien années précédentes.*socio=nil La*socio=nil Finlande*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil Norvège*socio=ac *socio=nil et la Suède*socio=ac ont également enregistré une amélioration*socio=uv1 appréciable*socio=rien, qui varie entre 1 1/2 % et plus de 2 % du*socio=rien PNB*socio=ec1, sous l'influence notamment de la dépréciation*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien réels*socio=ec2 intervenue précédemment. La balance*socio=ec1 *socio=te extérieure courante *socio=nil de la Suède*socio=ac, déficitaire*socio=ec2 en 1983, est*socio=rien devenue excédentaire*socio=rien en 1984, et celle de la Finlande*socio=ac a retrouvé l'équilibre*socio=ec2; l'excédent*socio=ec1 de la Norvège*socio=ac *socio=rien est passé *socio=nil de 3 1/2 % à environ 6 % du*socio=rien PNB*socio=ec1. La Nouvelle-zélande*socio=ac est*socio=rien celui des pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac qui a enregistré la plus forte*socio=rien détérioration*socio=uv4 de sa balance*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te : son déficit*socio=ec1 *socio=rien est passé *socio=nil de 4 1/2 % à près de 7 % du*socio=rien PNB*socio=ec1. pays_en_développement*socio=uv3. En 1984, les pays_en_développement*socio=uv3 ont réussi à continuer à réduire leur déséquilibre*socio=uv3 extérieur*socio=te. La croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 a été*socio=rien l'élément*socio=rien moteur*socio=uv3 de l'ajustement*socio=et intervenu en 1984, beaucoup de ces pays*socio=ac avant profité des possibilités*socio=rien que leur offrait l'essor*socio=rien de la demande*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac. L'expansion*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 a permis*socio=rien de réduire le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien et de financer une modeste*socio=rien augmentation*socio=ec2 des importations*socio=ec1, la première*socio=rien depuis 1981. Si l'on exclut les pays*socio=ac pour lesquels on ne dispose pas de chiffres complets sur*socio=rien la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te ou dont la dette*socio=ec1 *socio=rien est faible par*socio=nil rapport *socio=nil à leurs actifs*socio=ec1 extérieurs*socio=te (c'est-à-dire les huit principaux*socio=rien pays*socio=ac du*socio=rien *socio=ac Moyen-orient exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1)*socio=nil ,*socio=nil le*socio=nil groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil a réduit son recours*socio=rien à l'emprunt*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 à peu près dans une mesure*socio=rien correspondant à la diminution*socio=ec2 de son déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. La croissance*socio=uv3 de sa dette*socio=ec1 s'est*socio=rien donc considérablement*socio=rien ralentie. Le *socio=ec1 ratio dette/*socio=nil exportations *socio=nil a fléchi pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis plusieurs années*socio=rien et la structure*socio=ec1 des échéances*socio=te de la dette*socio=ec1 s'est*socio=rien améliorée, principalement grâce*socio=rien à la continuation d'importantes*socio=uv4 opérations*socio=rien de rééchelonnement*socio=et. On relève*socio=rien aussi d'autres facteurs*socio=rien positifs*socio=uv4, notamment le ralentissement*socio=ec2 des fuites*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, la reconstitution*socio=ec2 des réserves_officielles*socio=et (pour un*socio=rien montant*socio=ec1 record*socio=ec2 de 22 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) et la réduction*socio=ec2 des arriérés de paiements*socio=ec1. Évolution*socio=te des soldes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. Grâce*socio=rien à leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et énergiques*socio=ec1 et également à l'amélioration*socio=uv1 de l'environnement*socio=et extérieur*socio=te, les pays_en_développement*socio=uv3 ont réussi à réduire encore sensiblement leur déficit_global*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. Ce déficit*socio=ec1, qui était de l'ordre*socio=rien de 100 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1982, est*socio=rien retombé à 44 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1984, soit à peu près 6 1/4 % des exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et (tableau*socio=rien 7 ). Cette tendance*socio=ec2 générale*socio=rien cache, cependant, des divergences*socio=uv1 d'évolution*socio=te entre les divers groupes_de_pays_en_développement*socio=uv3, notamment entre ceux qui sont fortement tributaires*socio=rien des exportations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 et les autres (graphique*socio=rien 9). Excédentaires*socio=ec2 pendant la période*socio=te allant de 1979 à 1981, les balances*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil sont devenues ensuite déficitaires*socio=ec2. Au début*socio=rien, les excédents*socio=ec1 accumulés au cours*socio=rien des *socio=rien années précédentes ont*socio=nil permis *socio=nil à ces pays*socio=ac d'aborder de façon*socio=rien plus progressive*socio=rien le processus*socio=te d'ajustement*socio=et, mais la baisse*socio=ec2 continuelle*socio=te *socio=rien du volume *socio=nil et des prix*socio=ec1 de leurs exportations*socio=ec1 a fini par les contraindre à une forte*socio=rien compression*socio=et de leurs importations*socio=ec1, qui a enrayé la dégradation*socio=uv3 de leur solde*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien. Parmi les pays*socio=ac non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1, il en est*socio=rien beaucoup pour lesquels l'année*socio=rien 1984 a été*socio=rien la troisième*socio=rien où la gestion*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 a *socio=rien été dominée *socio=nil par les impératifs*socio=uv4 de l'ajustement*socio=et. Faute de pouvoir*socio=et s'appuyer sur*socio=rien des excédents*socio=ec1 courants*socio=te accumulés pendant plusieurs années*socio=rien, ces pays*socio=ac ont dû entreprendre leur effort*socio=uv1 d'ajustement*socio=et avant les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1.*socio=nil Leur*socio=nil déficit_global*socio=ec1 est*socio=rien *socio=nil tombé de 91 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1981 (soit 23 % des exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et) à 38 milliards*socio=rien seulement en 1984 (9 % des exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et). L'amélioration*socio=uv1 du*socio=rien solde*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 a progressivement*socio=rien changé de nature*socio=rien, à mesure*socio=rien que la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 se substituait à la compression*socio=et des importations*socio=ec1 en tant que moteur*socio=uv3 de l'ajustement*socio=et. Pour l'ensemble*socio=rien de la période*socio=te 1981-83, l'ajustement*socio=et a davantage été*socio=rien opéré par une réduction*socio=ec2 des importations*socio=ec1 que par une poussée des exportations*socio=ec1 dans quatre *socio=te zones géographiques *socio=rien sur cinq.*socio=nil *socio=nil Toutefois, en 1984, le rôle*socio=et respectif*socio=rien de ces deux facteurs*socio=rien s'est*socio=rien trouvé inversé. L'expansion*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 a alors été*socio=rien le *socio=rien principal déterminant *socio=nil de l'ajustement*socio=et en Asie*socio=ac, en Europe*socio=ac et dans l' hémisphère_occidental*socio=te; en Afrique*socio=ac, la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 a également repris, bien*socio=rien que dans une *socio=rien moindre mesure *socio=nil et à partir d'un*socio=rien niveau*socio=rien plus bas*socio=rien; et ce n'est*socio=rien qu'au Moyen-orient*socio=ac que la compression*socio=et des importations*socio=ec1 est*socio=rien resté l'élément*socio=rien *socio=rien directeur du processus*socio=te d'*socio=nil ajustement*socio=et.*socio=nil Le*socio=nil Moyen-orient*socio=ac constitue*socio=nil un cas particulier *socio=nil dans la mesure*socio=rien où, pour ajuster leur solde*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien, les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 de la région*socio=te n'ont guère eu d'autre moyen*socio=rien que de réduire leurs importations*socio=ec1; si l'on exclut ces pays*socio=ac, le Moyen-orient*socio=ac a suivi une évolution*socio=te semblable*socio=rien à celle des autres régions*socio=te. La reprise économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac a aidé les pays_en_développement*socio=uv3 à plus d'un*socio=rien titre*socio=rien. L'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 a considérablement*socio=rien accru les possibilités*socio=rien d'exportation*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. La croissance*socio=uv3 en volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 des pays*socio=ac non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1, qui s'était ralentie au point*socio=rien de devenir*socio=rien presque nulle*socio=rien en 1982, s'est*socio=rien ensuite fortement accélérée pour atteindre 12 % en 1984, soit près *socio=rien du double *socio=nil de la moyenne*socio=rien en longue*socio=rien période*socio=te. La reprise a également aidé les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil : la baisse*socio=ec2 de leurs exportations*socio=ec1 en volume*socio=rien s'est*socio=rien atténuée en 1983 et a *socio=rien fait place *socio=nil à une légère*socio=rien augmentation*socio=ec2 en 1984, la première*socio=rien depuis 1979. Le raffermissement*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 a également eu une forte*socio=rien influence sur*socio=rien les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien non pétroliers*socio=ec1, Après*socio=rien avoir diminué d'environ 25 % en dollars*socio=ec1 EU en 1981-82, l'indice_des_prix*socio=ec1 de ces produits*socio=rien a augmenté de 10 1/2 % au total*socio=rien pour la période*socio=te 1983-84. Cependant, les hausses de prix*socio=ec1 ont été*socio=rien assez inégales suivant*socio=rien les produits*socio=rien (graphique*socio=rien 10). Les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien tropicaux*socio=te destinés à la préparation*socio=rien de boissons*socio=ec1, des *socio=ec1 matières_premières agricoles *socio=nil et des *socio=ec1 denrées alimentaires,*socio=nil *socio=nil qui avaient beaucoup monté au cours*socio=rien de l'année*socio=rien 1983, se sont stabilisés au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1984 et ont ensuite nettement baissé. L'indice_des_prix*socio=ec1 des métaux*socio=ec1 n'a enregistré qu'une brève*socio=rien et modeste*socio=rien reprise au début*socio=rien de 1983, avant de reprendre son mouvement*socio=ec2 de baisse*socio=ec2; à la fin*socio=rien de 1984, les prix*socio=ec1 des métaux*socio=ec1 étaient inférieurs*socio=rien de 5 % au niveau*socio=rien atteint au creux*socio=ec2 de la récession*socio=ec2. Ce sont les producteurs*socio=ac de cuivre*socio=ec1, de minerai de fer*socio=rien et d'étain*socio=ec1 qui ont été*socio=rien les plus touchés. Le fléchissement*socio=ec2 de leurs prix*socio=ec1 s'explique par plusieurs facteurs*socio=rien, notamment l'existence*socio=rien de capacités*socio=uv3 excédentaires*socio=ec2 et de stocks*socio=ec1 importants*socio=uv4 à la fin*socio=rien de 1982, la substitution*socio=rien d'autres matériaux*socio=ec1 aux métaux*socio=ec1 par les utilisateurs*socio=rien et une augmentation*socio=ec2 de la *socio=rien part prise *socio=nil dans l'offre*socio=ec1 par les producteurs*socio=ac à bas*socio=rien prix*socio=ec1 de revient. Les mouvements_des_prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien ont joué un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 dans l'évolution*socio=te des termes_de_l'_échange*socio=ec1 en 1983-84. Sur*socio=rien une base*socio=rien annuelle*socio=te, les termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays*socio=ac non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1 ont enregistré une amélioration*socio=uv1 de 2 1/2 % en 1983 et de 1/2 % en 1984, ce qui ne s'était pas vu depuis 1977. Toutefois, ils accusaient encore en 1984 une dégradation*socio=uv3 de 15 % par rapport*socio=rien à 1977. Les termes_de_l'_échange*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil sont restés stables*socio=uv4 en 1984, après*socio=rien s'être*socio=rien détériorés en 1982-83, entre 1977 et 1984, ils se sont améliorés d'environ 60 % au total*socio=rien. Par ailleurs*socio=rien, la baisse*socio=ec2 des *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux a*socio=nil *socio=rien été propice aux*socio=nil efforts*socio=uv1 d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil menés par les pays_en_développement*socio=uv3. Bien*socio=rien que le LIBOR se soit quelque peu affermi en 1984, il restait encore inférieur*socio=rien de 4 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien à sa moyenne*socio=rien de 1981-82. La reprise économique*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac a été*socio=rien capitale*socio=uv2 pour les pays*socio=ac à la recherche*socio=ec2 d'un*socio=rien ajustement*socio=et entraîné par les exportations*socio=ec1, comme le montre le graphique*socio=rien 11. Entre 1980 et 1984, les achats*socio=ec1 des États-unis*socio=ac aux pays_en_développement*socio=uv3 d'Asie*socio=ac et d'Europe*socio=ac ont progressé de quelque 80 %, cette poussée s'étant d'ailleurs*socio=rien largement concentrée sur*socio=rien la période*socio=te 1983-84. En revanche, les importations*socio=ec1 des autres pays_industrialisés*socio=ac en provenance*socio=rien de ces régions*socio=te ont comparativement peu augmenté. On retrouve le même modèle*socio=rien d'évolution*socio=te, mais avec une croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 plus modérée pour les pays*socio=ac de l' hémisphère_occidental*socio=te. A l'inverse, les ventes*socio=ec1 de l'Afrique*socio=ac et du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac à l'étranger*socio=te ont été*socio=rien en diminuant, et plus aux États-unis*socio=ac qu'ailleurs*socio=rien, mais ceci tient exclusivement à la faiblesse*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 vers les États-unis*socio=ac des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil de ces deux régions*socio=te. Si la reprise économique*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac a offert*socio=rien à de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 la possibilité*socio=rien d'un*socio=rien ajustement*socio=et entraîné par les exportations*socio=ec1, elle a eu à cet égard*socio=rien des effets*socio=rien assez inégaux*socio=uv2 (graphique*socio=rien 11 ), qui reflètent dans une *socio=rien large mesure la*socio=nil composition par*socio=nil produits *socio=nil de l'accroissement*socio=ec2 des importations*socio=ec1 américaines*socio=ac. Les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés ont obtenu des résultats*socio=rien remarquables*socio=uv4, les achats*socio=ec1 des États-unis*socio=ac à ce groupe_de_pays*socio=ac ayant doublé entre 1980 et 1984; les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil *socio=rien produits primaires agricoles*socio=ec1 *socio=nil ont eux aussi bénéficié d'une augmentation*socio=ec2 de 40 % des achats*socio=ec1 des États-unis*socio=ac. En revanche, entre 1980 et 1984, les États-unis*socio=ac ont réduit d'un*socio=rien tiers*socio=rien leurs importations*socio=ec1 en provenance*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil et d'un*socio=rien dixième*socio=rien leurs achats*socio=ec1 aux *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil minéraux*socio=ec1 *socio=nil et à ceux qui sont essentiellement tributaires*socio=rien d'exportations*socio=ec1 de services*socio=et ou de transferts_privés*socio=et. Les groupes_de_pays*socio=ac qui n'ont pas bénéficié directement de la reprise américaine*socio=ac ont dû continuer d'ajuster leur solde*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien en comprimant leurs importations*socio=ec1. C'est*socio=rien en particulier*socio=rien le cas*socio=rien de certains *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil aspects*socio=rien intérieurs*socio=te *socio=nil de l'ajustement*socio=et ont également été*socio=rien importants*socio=uv4. Les pays_en_développement*socio=uv3 ont eux-mêmes facilité l'ajustement*socio=et de leur situation*socio=rien extérieure*socio=te en prenant des mesures*socio=et destinées*socio=rien à freiner la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, à stimuler l'épargne*socio=ec1 et à améliorer l'allocation*socio=et des ressources*socio=ec1 (y compris en adoptant des politiques*socio=et de taux_d'_intérêt*socio=ec1 et de taux_de_change*socio=ec1 plus conformes*socio=uv4 à la logique*socio=uv4 du*socio=rien marché*socio=ec1). Comme, en général*socio=rien, les mesures*socio=et de freinage*socio=rien de la demande*socio=ec1 agissent plus rapidement que les mesures*socio=et tendant à stimuler l'offre*socio=ec1, la phase*socio=te initiale*socio=rien de l'ajustement*socio=et s'est*socio=rien davantage caractérisée par une compression*socio=et des importations*socio=ec1 que par une expansion*socio=ec2 des exportations*socio=ec1. Cependant, les mesures*socio=et d'ajustement*socio=et prises*socio=rien en vue*socio=rien d'accroître l'offre*socio=ec1 ont permis*socio=rien aux pays_en_développement*socio=uv3 de mieux tirer parti*socio=et de la reprise de la demande*socio=ec1 mondiale*socio=te, ce qui a également contribué à accroître le rôle*socio=et de l'expansion*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 dans l'ajustement*socio=et des soldes*socio=ec1 courants*socio=te. On peut juger des résultats*socio=rien des mesures*socio=et axées sur*socio=rien l'offre*socio=ec1 d'après*socio=rien l'évolution*socio=te de la part*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 dans les importations*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac : la part*socio=rien de l'Asie*socio=ac a augmenté de 2,6 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien entre 1980 et 1984, celle de l'hémisphère_occidental*socio=te de 1 point*socio=rien et celle de l'Europe*socio=ac d'un*socio=rien quart*socio=rien de point*socio=rien; le Moyen-orient*socio=ac (exclusion*socio=uv1 faite des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1)*socio=nil *socio=nil a conservé sa part*socio=rien de marché*socio=ec1, mais celle de l'Afrique*socio=ac (abstraction*socio=rien faite de l'Algérie*socio=ac et du*socio=rien Nigeria*socio=ac) a régressé d'un*socio=rien demi-point. Financement*socio=ec1 et dette*socio=ec1. Les emprunts*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1, après*socio=rien déduction*socio=ec1 des amortissements, avaient atteint en 1981 le niveau*socio=rien record*socio=ec2 de 84 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 environ, avant de diminuer considérablement*socio=rien à partir *socio=rien du milieu *socio=nil de 1982 (tableau*socio=rien 8). Les prêts*socio=ec1 à long_terme*socio=te de sources*socio=rien officielles*socio=et et les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 non générateurs*socio=rien d'endettement*socio=ec1 se sont maintenus à *socio=rien un niveau relativement*socio=nil stable*socio=uv4 *socio=nil (environ 50 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 par an*socio=rien), mais, dans *socio=rien un premier temps,*socio=nil les*socio=nil banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 *socio=nil ont fortement réduit leurs prêts*socio=ec1. Cette réduction*socio=ec2 a provoqué, dans les pays*socio=ac à balance_des_paiements*socio=ec1 *socio=rien structurellement faible,*socio=nil une*socio=nil grave*socio=uv4 crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 débouchant*socio=nil sur l'*socio=nil accumulation*socio=ec2 *socio=nil d'arriérés, des rééchelonnements*socio=et de dettes*socio=ec1, un*socio=rien recours*socio=ec1 intensif*socio=rien aux crédits*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et d'importantes*socio=uv4 ponctions*socio=ec1 sur*socio=rien les réserves*socio=ec1. Avec le redressement*socio=ec2 du*socio=rien solde*socio=ec1 courant*socio=rien des pays*socio=ac endettés, les problèmes*socio=uv4 de financement*socio=ec1 de ces derniers*socio=rien ont toutefois perdu de leur acuité*socio=rien. Bien*socio=rien que des rééchelonnements*socio=et de *socio=rien grande ampleur *socio=nil aient encore *socio=rien été nécessaires *socio=nil en 1984, le recours*socio=ec1 aux crédits*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 a diminué, l'encours des arriérés a régressé et les pays_en_développement*socio=uv3 ont pu augmenter leurs réserves*socio=ec1 d'un*socio=rien montant*socio=ec1 record*socio=ec2 de 22 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. La baisse*socio=ec2 des prêts_privés*socio=et nets*socio=rien aux pays_en_développement*socio=uv3 a été*socio=rien le fait*socio=rien le plus marquant*socio=rien de l'évolution*socio=te financière*socio=ec1 en 1981-84. Elle s'est*socio=rien déclenchée lorsque les créanciers*socio=ac ont été*socio=rien convaincus que les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil auraient d'extrêmes*socio=rien difficultés*socio=uv4 à faire face*socio=rien à leurs engagements*socio=et extérieurs*socio=te si les déficits_courants*socio=ec1 des années*socio=rien 1980-81 restaient inchangés*socio=rien. De ce fait*socio=rien, les emprunteurs*socio=ac ont vu pratiquement se tarir les sources*socio=rien privées*socio=et de nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec1. Les pays*socio=ac qui finançaient surtout leur déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te par des emprunts*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 (les *socio=ac pays emprunteurs sur*socio=rien les*socio=nil marchés*socio=ec1)*socio=nil *socio=nil ont emprunté 125 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (net*socio=rien) auprès des banques*socio=ac et autres sources*socio=rien privées*socio=et en 1981-82, mais 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 seulement en 1983-84. En fait*socio=rien, les problèmes*socio=uv4 de financement*socio=ec1 de ces pays*socio=ac ont été*socio=rien encore plus graves*socio=uv4 que ces chiffres ne l'indiquent. S'ils ont pu enregistrer une *socio=rien entrée nette de*socio=nil capitaux_privés*socio=ec1 *socio=nil en 1983-84, c'est*socio=rien *socio=rien uniquement grâce *socio=nil aux quelque 23-24 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 de prêts*socio=ec1 qui leur ont été*socio=rien accordés dans le cadre*socio=rien de *socio=ec1 montages financiers *socio=nil liés au réaménagement*socio=rien de leur dette*socio=ec1. La forte*socio=rien contraction*socio=ec2 du*socio=rien montant*socio=ec1 des nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec1 aux *socio=ac pays emprunteurs sur*socio=rien les*socio=nil marchés*socio=ec1,*socio=nil conjuguée*socio=rien aux*socio=nil fuites*socio=ec1 de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil qui se sont produites dans beaucoup de ces pays*socio=ac, a entraîné dans de très *socio=rien nombreux cas de*socio=nil *socio=uv4 graves difficultés de*socio=nil service_de_la_dette*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Celles-ci étaient d'ailleurs*socio=rien souvent davantage liées à des *socio=uv4 problèmes fondamentaux *socio=nil qu'à la réduction*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil nouveaux prêts*socio=ec1.*socio=nil L'*socio=nil application de*socio=nil politiques*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et mal *socio=nil conçues, face*socio=rien à la détérioration*socio=uv4 de l'environnement*socio=et extérieur*socio=te, avait aggravé les distorsions*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et les déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et au cours*socio=rien de la *socio=te période antérieure *socio=nil à 1982. Ces distorsions*socio=uv3 ont entravé le processus*socio=te d'ajustement*socio=et de la situation*socio=rien des paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te et entraîné un*socio=rien alourdissement*socio=ec2 des déficits_courants*socio=ec1 et un*socio=rien accroissement*socio=ec2 rapide*socio=rien de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. Les pays*socio=ac qui ont dû interrompre le service*socio=et normal*socio=rien de leur dette*socio=ec1 entre 1981 et 1984 ont enregistré des déficits_courants*socio=ec1 représentant*socio=rien en *socio=rien moyenne un tiers *socio=nil de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 en 1981, alors que leurs ratios*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1 et de service_de_la_dette*socio=ec1 étaient déjà considérables*socio=rien (tableau*socio=rien 9). En revanche, les *socio=ac pays emprunteurs sur*socio=rien les*socio=nil marchés*socio=ec1 *socio=nil qui ont pu continuer d'assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 avaient des déficits*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te et des ratios*socio=ec1 de service_de_la_dette*socio=ec1 beaucoup plus faibles*socio=rien. L'instabilité*socio=uv3 qui caractérise l'évolution*socio=te *socio=rien récente du financement*socio=ec1 extérieur*socio=te des*socio=nil *socio=ac pays emprunteurs sur*socio=rien les*socio=nil marchés*socio=ec1 *socio=nil contraste vivement avec la stabilité*socio=uv3 *socio=rien relative du financement*socio=ec1 extérieur*socio=te des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui s'adressent essentiellement à des sources*socio=rien officielles*socio=et (les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil à des créanciers*socio=ac officiels*socio=et). Les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 destinés à ce dernier*socio=rien groupe*socio=ac sont moins sensibles*socio=rien aux jugements portés sur*socio=rien la solvabilité*socio=ec1 des pays*socio=ac, puisqu'ils consistent essentiellement en prêts*socio=ec1 à long_terme*socio=te de sources*socio=rien officielles*socio=et et en flux*socio=ec1 non générateurs*socio=rien d'endettement*socio=ec1 (principalement transferts_officiels*socio=et et investissements*socio=ec1 directs*socio=rien). Ces particularités*socio=rien de financement*socio=ec1 expliquent dans une *socio=rien large mesure *socio=nil pourquoi l'ajustement*socio=et des soldes*socio=ec1 courants*socio=te est*socio=rien moins marqué dans le cas*socio=rien des emprunteurs*socio=ac à des créanciers*socio=ac officiels*socio=et que dans celui des emprunteurs*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1. Les déficits*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des premiers*socio=rien n'ont guère diminué, passant de 50 % des exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et en 1981 à 46 % en 1984 (tableau*socio=rien 10). Par la suite*socio=rien de leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et, les pays_en_développement*socio=uv3 ont réussi à redresser tant le solde*socio=ec1 de leurs opérations*socio=rien en capital*socio=ec1 que le solde*socio=ec1 de leurs transactions_courantes*socio=te. En fait*socio=rien, les sorties de capitaux*socio=ec1 - qui consistent pour l'essentiel*socio=uv4 en fuites*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 - ont régressé comparativement plus que le déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te entre 1981 et 1984. Le ralentissement*socio=ec2 des sorties de capitaux*socio=ec1, qui sont tombées de 37 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1981 à 9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1984 (tableau*socio=rien 8), est*socio=rien largement attribuable*socio=rien à l'amélioration*socio=uv1 de la gestion*socio=ec2 financière*socio=ec1 et de la politique*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 des pays*socio=ac endettés. En 1984, la baisse*socio=ec2 des sorties de capitaux*socio=ec1, conjuguée*socio=rien au redressement*socio=ec2 du*socio=rien solde*socio=ec1 courant*socio=rien et à une stabilisation*socio=et des entrées de capitaux*socio=ec1, a permis*socio=rien de réduire le recours*socio=ec1 au financement*socio=ec1 exceptionnel*socio=uv4 et de reconstituer les réserves_officielles*socio=et. L'utilisation*socio=rien des crédits*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 a diminué de moitié*socio=rien en 1984, le montant*socio=ec1 des arriérés a légèrement baissé et les réserves*socio=ec1 se sont accrues de 22 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (tableau*socio=rien 8). En 1983-84, il était devenu impératif*socio=uv4 pour de nombreux*socio=rien pays*socio=ac d'augmenter leurs réserves*socio=ec1. A la fin*socio=rien de 1982, le stock*socio=ec1 médian*socio=rien des réserves*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 (à l'exclusion*socio=uv1 des huit principaux*socio=rien pays*socio=ac du*socio=rien *socio=ac Moyen-orient exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1)*socio=nil *socio=nil ne représentait plus que *socio=rien cinq semaines d'*socio=nil importations*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil alors qu'il était supérieur*socio=rien à deux mois*socio=rien d'importations*socio=ec1 à la fin*socio=rien des années*socio=rien 70. Malgré le récent*socio=rien *socio=ec2 accroissement record des*socio=nil réserves*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil stock*socio=ec1 médian*socio=rien des*socio=nil réserves*socio=ec1 *socio=nil de ces pays*socio=ac ne dépassait toujours pas six semaines*socio=rien d'importations*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1984. La situation*socio=rien était particulièrement précaire*socio=uv2 pour les pays*socio=ac de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac : à la fin*socio=rien de 1984, le stock*socio=ec1 total*socio=rien de leurs réserves*socio=ec1 se chiffrait à 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 seulement, tandis que le stock*socio=ec1 médian*socio=rien n'excédait pas trois semaines*socio=rien d'importations*socio=ec1. Ce niveau*socio=rien dangereusement bas*socio=rien explique que ces pays*socio=ac soient très vulnérables*socio=uv2 aux difficultés*socio=uv4 de liquidités*socio=ec1 dès qu'un*socio=rien élément*socio=rien de leur situation*socio=rien évolue dans *socio=rien un sens défavorable*socio=uv4.*socio=nil Le*socio=nil tableau 10*socio=nil fait *socio=nil également ressortir certaines*socio=rien différences*socio=uv1 régionales*socio=te dans l'évolution*socio=te du*socio=rien financement*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. C'est*socio=rien dans l'hémisphère_occidental*socio=te que les besoins*socio=uv1 d'emprunt*socio=ec1 ont été*socio=rien les plus amputés, par suite*socio=rien à la fois*socio=rien de la présence*socio=rien dans cette région*socio=te d'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil *socio=ac pays emprunteurs sur*socio=rien les*socio=nil marchés*socio=ec1 *socio=nil ayant des difficultés*socio=uv4 de service_de_la_dette*socio=ec1 et des fuites*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 dont ont souffert de nombreux*socio=rien pays*socio=ac de la région*socio=te. La réduction*socio=ec2 des besoins*socio=uv1 d'emprunt*socio=ec1 en Asie*socio=ac, en Afrique*socio=ac et en Europe*socio=ac est*socio=rien également le résultat*socio=rien de la politique*socio=et pratiquée par les *socio=ac pays emprunteurs sur*socio=rien les*socio=nil marchés*socio=ec1 *socio=nil dans ces régions*socio=te. Il y a lieu*socio=rien de noter que, dans le contexte*socio=rien d'une politique*socio=et conçue pour rétablir leur crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te, les pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te et les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac ont modéré la réduction*socio=ec2 qu'ils imposaient à leurs besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 en empruntant pour accroître leurs réserves*socio=ec1. Dans les pays_en_développement*socio=uv3, le taux_de_croissance*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, exprimée en dollars*socio=ec1 EU, a baissé de *socio=rien façon spectaculaire au*socio=nil début des*socio=nil années *socio=nil 80, tombant de 18 1/2 % par an*socio=rien en 1980-81 à 5 1/4 % par an*socio=rien en 1983-84. Cette décélération*socio=ec2 résulte de la compression*socio=et du*socio=rien besoin*socio=uv1 global*socio=te de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3, de l'effet*socio=rien des fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 sur*socio=rien la valeur*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 de l'encours de la dette*socio=ec1 libellée en d'autres monnaies*socio=ec1 et de l'importance*socio=rien croissante*socio=rien des flux*socio=ec1 non générateurs*socio=rien d'endettement*socio=ec1 dans le financement*socio=ec1 du*socio=rien déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. Bien*socio=rien que les flux*socio=ec1 non générateurs*socio=rien d'endettement*socio=ec1 aient diminué d'environ 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 entre 1981 et 1984, leur part*socio=rien dans le financement*socio=ec1 du*socio=rien déficit*socio=ec1 *socio=rien courant est *socio=nil passée d'environ *socio=rien un quart *socio=nil à près de deux tiers*socio=rien. Bien*socio=rien que l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1 a eu tendance*socio=ec2 à retarder l'augmentation*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 exprimée en dollars*socio=ec1, elle a probablement eu, en définitive*socio=rien, *socio=rien un effet négatif sur la*socio=nil capacité*socio=uv3 des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil endettés à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1. L'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar*socio=ec1 a réduit d'environ 11 % la valeur*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 entre 1980 et 1984, mais elle a probablement affecté davantage encore les prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 en dollars*socio=ec1. Toutes autres choses*socio=rien étant égales*socio=rien d'ailleurs*socio=rien, l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 entre 1980 et 1984 aurait donc eu pour effet*socio=rien d'accroître le *socio=ec1 ratio dette /*socio=nil exportations *socio=nil de la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3. Le ratio*socio=ec1 global*socio=te dette*socio=ec1 / exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 a été*socio=rien ramené de 158 % en 1983 à 151 % en 1984, malgré l'incidence*socio=ec2 défavorable*socio=uv4 de l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar*socio=ec1. C'est*socio=rien la *socio=rien première fois *socio=nil depuis 1980 que ce ratio*socio=ec1 diminue. Il reste*socio=rien néanmoins très élevé*socio=uv4 si on le compare aux ratios*socio=ec1 passés*socio=te. En outre, les ratios*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 accusent de fortes*socio=rien disparités*socio=uv1 selon les régions*socio=te : le ratio*socio=ec1 de l'hémisphère_occidental*socio=te a atteint le *socio=rien niveau extraordinaire *socio=nil de 280 % en 1984; le Moyen-orient*socio=ac non pétrolier*socio=ec1 et l'Afrique*socio=ac ont également enregistré des ratios*socio=ec1 élevés*socio=uv4, de 176 % et de 162 % respectivement, tous deux en augmentation*socio=ec2 en 1984; pour leur part*socio=rien, l'Europe*socio=ac (127 %) et l'Asie*socio=ac (86 % ) ont réussi à faire baisser en 1984 leurs ratios*socio=ec1 qui étaient déjà relativement bas*socio=rien. Les politiques*socio=et d'ajustement*socio=et pratiquées en 1982-84 se sont accompagnées d'efforts*socio=uv1 pour améliorer le profil*socio=rien des échéances*socio=te de la dette*socio=ec1. Les pays*socio=ac endettés ont ramené leur endettement*socio=ec1 à court_terme*socio=te de 155 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1982 à 126 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1984. Celui-ci représentait, en 1984, 15 1/4 % de la dette*socio=ec1 totale*socio=rien, soit *socio=rien un niveau très*socio=nil inférieur *socio=nil à la moyenne*socio=rien de 20 1/2 % de la période*socio=te 1980-82. La réduction*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 à court_terme*socio=te des pays*socio=ac de l' hémisphère_occidental*socio=te - de 31 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1982-84 - a plus qu'expliqué cette évolution*socio=te. Le refinancement*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 à long_terme*socio=te venant à échéance*socio=te a également posé des problèmes*socio=uv4 de gestion*socio=ec2. Pour sa plus *socio=rien grande partie,*socio=nil la*socio=nil dette*socio=ec1 à*socio=nil long_terme*socio=te *socio=nil venant à échéance*socio=te, soit plus de 90 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, a été*socio=rien refinancée sur*socio=rien une base*socio=rien volontaire*socio=uv4. Cependant, par suite*socio=rien des énormes*socio=rien difficultés*socio=uv4 de liquidités*socio=ec1 que connaissaient certains pays*socio=ac, un*socio=rien montant*socio=ec1 record*socio=ec2 de remboursements*socio=ec1 échus en 1983 et 1984, de l'ordre*socio=rien de 40 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, a dû être*socio=rien réaménagé dans le cadre*socio=rien d'accords*socio=et *socio=et officiels multilatéraux.*socio=nil *socio=nil A cet égard*socio=rien, la négociation*socio=et d'accords*socio=et de réechelonnement pluriannuels a exercé une influence potentiellement stabilisatrice. En 1984, ces accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et pluriannuels n'ont porté en_principe*socio=ec2 que sur*socio=rien la dette*socio=ec1 d'un*socio=rien nombre*socio=rien limité de pays*socio=ac vis-à-vis des banques*socio=ac, mais, au début*socio=rien de 1985, un*socio=rien accord*socio=et analogue*socio=rien concernant les prêts*socio=ec1 accordés par de sources*socio=rien officielles*socio=et a été*socio=rien négocié pour un*socio=rien pays*socio=ac. Les ratios*socio=ec1 de service_de_la_dette*socio=ec1 ont fléchi sous les *socio=rien effets conjugués des*socio=nil accords*socio=et de*socio=nil rééchelonnement*socio=et,*socio=nil *socio=nil de la baisse*socio=ec2 des *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux sur*socio=rien la*socio=nil dette à*socio=nil intérêt*socio=uv1 variable*socio=rien *socio=nil et de l'expansion*socio=ec2 vigoureuse*socio=rien des exportations*socio=ec1 en 1984. Le ratio*socio=ec1 de service_de_la_dette*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 est*socio=rien tombé de 24 1/2 % en 1982 à 22 1/2 % environ en 1983-84. Pour se faire une *socio=rien idée du coût*socio=ec1 *socio=nil que représente le service_de_la_dette*socio=ec1 pour *socio=rien un volume d'*socio=nil endettement*socio=ec1 *socio=nil donné, il est*socio=rien également important*socio=uv4 de considérer le ratio*socio=ec1 des paiements_d'_intérêts*socio=ec1 aux exportations*socio=ec1. Ce ratio*socio=ec1 est*socio=rien tombé de 14 1/4 % en 1982 à 13 % en 1984, mais il reste*socio=rien élevé*socio=uv4 par rapport*socio=rien au niveau*socio=rien atteint dans *socio=rien un passé récent.*socio=nil En*socio=nil effet,*socio=nil *socio=nil il était inférieur*socio=rien à 6 % en 1977. La baisse*socio=ec2 *socio=rien globale du ratio*socio=ec1 de*socio=nil service_de_la_dette*socio=ec1 au*socio=nil cours *socio=nil des deux *socio=rien dernières années *socio=nil masque cependant certaines*socio=rien disparités*socio=uv1 régionales*socio=te. En Afrique*socio=ac, le ratio*socio=ec1 de service_de_la_dette*socio=ec1 a augmenté de 7 1/2 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien entre 1982 et 1984, pour s'établir à 28 1/4 %. Il aurait encore été*socio=rien plus élevé*socio=uv4 sans les accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et conclus avec certains pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac. Les ratios*socio=ec1 de service_de_la_dette*socio=ec1 de l'Europe*socio=ac et du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac non pétrolier*socio=ec1 ont aussi augmenté, quoique dans une *socio=rien moindre mesure,*socio=nil *socio=nil et dépassent maintenant légèrement la moyenne*socio=rien des pays*socio=ac endettés, se situant respectivement à 26 1/4 % et à 24 3/4 %. Le ratio*socio=ec1 de l'Asie*socio=ac est*socio=rien retombé au-dessous de 11 % en 1984, soit le niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien de toutes les régions*socio=te considérées. Le principal*socio=rien changement*socio=uv3 a concerné l'hémisphère_occidental*socio=te : dans cette région*socio=te, le ratio*socio=ec1 moyen*socio=rien de service_de_la_dette*socio=ec1 est*socio=rien tombé de 51 1/2 % en 1982 à 39 1/2 % en 1984. Cette amélioration*socio=uv1 est*socio=rien essentiellement due au fait*socio=rien que le ratio*socio=ec1 amortissements de la dette*socio=ec1/exportations*socio=ec1 a pratiquement diminué de moitié*socio=rien sous l'effet*socio=rien des rééchelonnements*socio=et, mais aussi à la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et à la progression*socio=ec2 des exportations*socio=ec1. Cependant, le ratio*socio=ec1 de service_de_la_dette*socio=ec1 de cette région*socio=te demeure deux fois*socio=rien plus élevé*socio=uv4 que le ratio*socio=ec1 moyen*socio=rien des pays*socio=ac endettés et il augmentera à court_terme*socio=te à mesure*socio=rien que les accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et existants*socio=rien viendront à expiration*socio=rien et que la dette*socio=ec1 qui a fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'un*socio=rien rééchelonnement*socio=et antérieur*socio=te devra être*socio=rien remboursée. Il est*socio=rien aussi préoccupant*socio=rien de constater que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 et d'autres pays*socio=ac qui ne sont pas à même d'obtenir*socio=rien des *socio=ec1 prêts bancaires *socio=nil se heurtent à des difficultés*socio=uv4 de service_de_la_dette*socio=ec1. Les pays*socio=ac qui empruntent principalement auprès de sources*socio=rien officielles*socio=et bénéficient en général*socio=rien d'un*socio=rien financement*socio=ec1 moins coûteux*socio=ec2 que ceux qui empruntent sur*socio=rien les marchés*socio=ec1. Cependant, leur endettement*socio=ec1 est*socio=rien maintenant tellement important*socio=uv4 que leur ratio*socio=ec1 de service_de_la_dette*socio=ec1 *socio=rien est fort élevé*socio=uv4 bien *socio=nil qu'ils bénéficient de conditions*socio=ec1 plus avantageuses*socio=rien que celles du*socio=rien marché*socio=ec1. En Asie*socio=ac (à l'exclusion*socio=uv1 de la Chine*socio=ac et de l'Inde*socio=ac), les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil à des créanciers*socio=ac officiels*socio=et ont enregistré en 1984 un*socio=rien *socio=ec1 ratio dette /*socio=nil exportations *socio=nil de 382 %, tandis qu'en Afrique*socio=ac ce ratio*socio=ec1 a atteint 333 %. Ceci correspond à un*socio=rien ratio*socio=ec1 de service_de_la_dette*socio=ec1 de 21 % et de 26 % respectivement pour les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac et d'Afrique*socio=ac emprunteurs*socio=ac à des créanciers*socio=ac officiels*socio=et. Certains pays*socio=ac n'ont pas été*socio=rien en mesure*socio=rien d'assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 et, par suite*socio=rien des rééchelonnements*socio=et, ont compromis*socio=uv1 leur accès*socio=uv1 à de nouveaux*socio=rien *socio=ec1 crédits commerciaux.*socio=nil Ces*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil tout autant que les *socio=ac pays emprunteurs sur*socio=rien les*socio=nil marchés*socio=ec1 *socio=nil qui ont attiré l'attention*socio=rien mondiale*socio=te entre 1982 et 1984, se heurtent maintenant à de graves*socio=uv4 contraintes*socio=uv1 financières*socio=ec1. Problèmes*socio=uv4 de politique_économique*socio=ec1. Bien*socio=rien qu'en 1984 la reprise économique*socio=ec1 se soit accélérée dans les pays_industrialisés*socio=ac et que ses effets*socio=rien se soient de plus en plus propagés dans les pays_en_développement*socio=uv3, les problèmes*socio=uv4 auxquels les autorités*socio=et de ces deux groupes_de_pays*socio=ac ont dû faire face*socio=rien sont restés difficiles*socio=rien et complexes. *socio=rien Du fait *socio=nil dans une *socio=rien large mesure *socio=nil de l'allure*socio=rien inégale*socio=uv2 de la reprise et de la divergence*socio=uv1 des positions*socio=rien des différents*socio=rien pays*socio=ac au sortir des perturbations*socio=ec2 économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 des *socio=rien années précédentes,*socio=nil la*socio=nil situation économique*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil caractérisée par la diversité*socio=uv1 exceptionnelle*socio=uv4 des questions*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 à résoudre par chaque pays*socio=ac. Dans les pays_industrialisés*socio=ac, cette diversité*socio=uv1 a été*socio=rien davantage le reflet*socio=rien de problèmes*socio=uv4 liés à la mise en oeuvre*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 que de différences*socio=uv1 dans la stratégie*socio=et fondamentale*socio=uv4. La presque totalité*socio=rien des pays*socio=ac appartenant au groupe*socio=ac industrialisé ont adopté une stratégie*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil destinée à rétablir la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4. Cependant, les différences*socio=uv1 dans la modulation*socio=rien de cette stratégie*socio=et et dans les caractéristiques*socio=rien structurelles*socio=ec2 des pays*socio=ac se sont traduites par des écarts*socio=ec2 d'inflation*socio=ec1 persistants*socio=rien, des soldes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te assez disparates*socio=rien, une situation*socio=rien budgétaire*socio=et très inégale*socio=uv2 et une évolution*socio=te tout à fait*socio=rien divergente*socio=uv4 des marchés*socio=ec1 de l'emploi*socio=ec1. Dans les pays_en_développement*socio=uv3, la diversité*socio=uv1 des problèmes*socio=uv4 de politique_économique*socio=ec1 auxquels ceux-ci sont actuellement confrontés tient d'abord*socio=rien et surtout au fait*socio=rien que les programmes*socio=et d'a ' justement mis en oeuvre*socio=rien pour faire face*socio=rien à la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te et à leur endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te présentent des différences*socio=uv1 sensibles*socio=rien tant en ce qui concerne leur échelonnement*socio=rien dans le temps*socio=rien que leur efficacité*socio=uv3. D'une *socio=rien façon générale,*socio=nil les*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil dont les autorités*socio=et ont pris sans tarder des mesures*socio=et énergiques*socio=ec1 devant*socio=rien l'affaiblissement*socio=ec2 de leur situation*socio=rien extérieure*socio=te en 1980-82 ont été*socio=rien mieux en mesure*socio=rien de profiter de la relance*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te qui s'est*socio=rien amorcée en 1983. En revanche, les pays*socio=ac qui avaient tardé à mettre en oeuvre*socio=rien une politique*socio=et de redressement*socio=ec2 ont dû opérer des ajustements*socio=et plus profonds*socio=rien et plus perturbateurs*socio=rien. D'autres facteurs*socio=rien importants*socio=uv4 ont contribué à différencier la nature*socio=rien des problèmes*socio=uv4 de politique_économique*socio=ec1 auxquels étaient confrontés les pays_en_développement*socio=uv3; entre autres, la composition*socio=rien de leurs échanges_commerciaux*socio=ec1 et l'origine*socio=rien de leur financement*socio=ec1 extérieur*socio=te, ainsi que les fortes*socio=rien disparités*socio=uv1 des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 et d'endettement*socio=ec1. Maintien*socio=rien de la croissance*socio=uv3 dans les pays_industrialisés*socio=ac. Le rétablissement*socio=rien de la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 et le renforcement*socio=ec2 des mesures*socio=et destinées*socio=rien à encourager l'investissement*socio=ec1 et l'activité*socio=rien productive*socio=uv4 constituent les éléments*socio=rien essentiels*socio=uv4 de la stratégie*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil adoptée par la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac. Il a été*socio=rien reconnu que le meilleur*socio=uv4 moyen*socio=rien d'atteindre ces objectifs*socio=uv3 était de ralentir progressivement*socio=rien la croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 agrégats monétaires,*socio=nil *socio=nil d'amputer les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et et de modifier certains règlements*socio=et ou impôts*socio=et qui découragent l'investissement*socio=ec1 ou l'expansion*socio=ec2 de l'emploi*socio=ec1. La politique_monétaire*socio=et est*socio=rien le domaine*socio=rien dans lequel les mesures*socio=et mises en oeuvre*socio=rien ont donné les résultats*socio=rien les plus proches*socio=rien des objectifs*socio=uv3 fixés par les autorités*socio=et. L'inflation*socio=ec1 a régressé dans tout_le_monde*socio=te industrialisé, quoique certains pays*socio=ac aient encore à accomplir d'importants*socio=uv4 progrès*socio=uv1. Sur*socio=rien d'autres plans*socio=rien, beaucoup reste*socio=rien à faire pour améliorer la mise en oeuvre*socio=rien de la stratégie*socio=et d'ensemble*socio=rien. Dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et *socio=nil et le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et ont dépassé les objectifs*socio=uv3 et doivent donc être*socio=rien réduits. Certains pays*socio=ac doivent supprimer leurs rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 afin d'aligner leur politique_économique*socio=ec1 sur*socio=rien la stratégie*socio=et à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Aux*socio=nil États-unis*socio=ac,*socio=nil *socio=nil où l'expansion*socio=ec2 de l'investissement*socio=ec1 intérieur*socio=te et de l'emploi*socio=ec1 a de *socio=rien loin été *socio=nil la plus forte*socio=rien en 1983 et 1984, la principale*socio=rien difficulté*socio=uv4 a été*socio=rien d'assurer une transition*socio=ec2 sans heurt*socio=rien entre la rapide*socio=rien poussée conjoncturelle*socio=te observée au début*socio=rien de la reprise et une croissance*socio=uv3 stable*socio=uv4 caractérisée par une composition*socio=rien équilibrée de la demande*socio=ec1. En 1984 et au début*socio=rien de 1985, il semble que cette transition*socio=ec2 soit menacée par deux grands*socio=rien déséquilibres*socio=uv3, d'ailleurs*socio=rien connexes*socio=rien, qui caractérisent l'économie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac : le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et du*socio=rien gouvernement_fédéral*socio=ac et le déficit*socio=ec1 des transactions*socio=ec1 *socio=te extérieures courantes.*socio=nil Le*socio=nil premier*socio=rien,*socio=nil *socio=nil tout en stimulant la demande*socio=ec1 et la production*socio=ec1 à court_terme*socio=te, risque*socio=uv3, en l'absence*socio=rien de mesures*socio=et correctives*socio=ec2, d'écarter du*socio=rien marché*socio=ec1 les investissements*socio=ec1 productifs*socio=uv4 privés*socio=et qui sont nécessaires*socio=rien pour assurer la croissance*socio=uv3 à long_terme*socio=te. En attendant, ses *socio=rien effets sur l'*socio=nil équilibre*socio=ec2 *socio=nil entre l'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 dans l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac ont contribué - avec d'autres facteurs*socio=rien - à la dégradation*socio=uv3 de la balance_courante*socio=ec1 des États-unis*socio=ac. Le déplacement*socio=rien de la demande*socio=ec1, qui se détourne de plus en plus de l'offre*socio=ec1 intérieure*socio=te au profit*socio=ec1 de l'offre*socio=ec1 étrangère*socio=te, ralentit encore la progression*socio=ec2 de l'investissement*socio=ec1 intérieur*socio=te et encourage les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et. L'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et énergiques*socio=ec1 destinées*socio=rien à remédier au déficit*socio=ec1 du*socio=rien budget*socio=ec1 fédéral*socio=et, au moyen*socio=rien par exemple*socio=rien de l'amputation effective*socio=rien des dépenses*socio=ec1 envisagée par les autorités*socio=et, contribuerait de façon*socio=rien décisive*socio=uv4 à soutenir l'expansion*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Une*socio=nil réduction*socio=ec2 des*socio=nil besoins*socio=uv1 d'*socio=nil emprunt*socio=ec1 du gouvernement*socio=ac *socio=nil pourrait préparer la vole à une baisse*socio=ec2 durable*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et aider à un*socio=rien fléchissement*socio=ec2 ordonné du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 du*socio=rien dollar*socio=ec1. A long_terme*socio=te, une utilisation*socio=rien plus productive*socio=uv4 de l'épargne*socio=ec1 nationale*socio=te et une amélioration*socio=uv1 de la compétitivité*socio=uv3 du*socio=rien pays*socio=ac sur*socio=rien le marché*socio=ec1 mondial*socio=te développeraient considérablement*socio=rien les perspectives*socio=te d'une expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4 de l'activité_économique*socio=ec1, atténuant par la même occasion*socio=rien les pressions*socio=ec2 en faveur*socio=rien d'une *socio=et politique_commerciale protectionniste.*socio=nil *socio=nil Dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac d'Europe*socio=ac, les problèmes*socio=uv4 de politique_économique*socio=ec1 se posent en des termes*socio=rien assez différents*socio=rien de ceux des États-unis*socio=ac. D'une *socio=rien façon générale,*socio=nil ces*socio=nil pays*socio=ac ont*socio=nil fait *socio=nil davantage de progrès*socio=uv1 dans le redressement*socio=ec2 de leurs déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et, mais la reprise qui a *socio=rien fait suite *socio=nil à la récession*socio=ec2 *socio=rien du début des*socio=nil années *socio=nil 80 y est*socio=rien beaucoup moins avancée. Bien*socio=rien que le chômage*socio=ec1 soit un*socio=rien problème*socio=uv4 majeur*socio=rien pour la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac, il n'est*socio=rien pas sûr*socio=rien que les efforts*socio=uv1 faits*socio=rien pour le réduire par une *socio=ec2 gestion expansionniste *socio=nil de la demande*socio=ec1 soient viables*socio=uv4 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil Si les employeurs*socio=ac du*socio=rien secteur_privé*socio=et ne sont guère disposés à accroître leur demande*socio=ec1 de main-d'_oeuvre*socio=ac à long_terme*socio=te, c'est*socio=rien davantage en considération*socio=rien de facteurs*socio=rien fondamentaux*socio=uv4 qu'en raison*socio=rien d'une insuffisance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 finale*socio=rien. Le meilleur*socio=uv4 moyen*socio=rien de réduire sensiblement le chômage*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac consiste donc à procéder à des ajustements*socio=et structurels*socio=ec2 et à des *socio=et réformes institutionnelles en*socio=nil vue*socio=rien *socio=nil d'assurer une plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des facteurs*socio=rien et des biens*socio=ec1. Il est*socio=rien peu probable*socio=uv4 que cette stratégie*socio=et d'encouragement*socio=uv4 de l'investissement*socio=ec1 et d'expansion*socio=ec2 des possibilités*socio=rien d'emploi*socio=ec1 aboutisse à des *socio=rien résultats spectaculaires dans*socio=nil un avenir*socio=te immédiat,*socio=nil *socio=nil mais elle devrait permettre des progrès*socio=uv1 substantiels*socio=rien et durables*socio=uv4 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil La*socio=nil correction*socio=ec2 des*socio=nil *socio=ec2 faiblesses structurelles des*socio=nil économies*socio=ec1 européennes*socio=ac *socio=nil encouragerait la formation*socio=et de capital*socio=ec1 et contribuerait ainsi à amorcer une évolution*socio=te plus viable*socio=uv4 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te et des taux_de_change*socio=ec1. Il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 de supprimer les rigidités*socio=uv3 qui maintiennent les *socio=ec1 coûts salariaux à*socio=nil *socio=rien un niveau anormalement*socio=nil élevé*socio=uv4 *socio=nil si l'on veut accroître les chances*socio=rien d'une amélioration*socio=uv1 durable*socio=uv4 du*socio=rien marché*socio=ec1 de l'emploi*socio=ec1. Ceci suppose non seulement un*socio=rien aménagement*socio=et des accords*socio=et d'indexation*socio=ec1 irréalistes*socio=uv4 et une modération*socio=ec2 généralisée des revendications*socio=uv1 salariales*socio=ec1 des syndicats*socio=ac (ainsi qu'une résistance*socio=rien des employeurs*socio=ac confrontés à des revendications*socio=uv1 excessives*socio=uv4), mais aussi la réduction*socio=ec2 des différents*socio=rien coûts*socio=ec1 annexes*socio=rien de l'emploi*socio=ec1 qui n'entrent pas nécessairement dans les salaires*socio=ec1 versés aux travailleurs*socio=ac. Il semble que certaines*socio=rien pratiques*socio=et ou réglementations*socio=et destinées*socio=rien initialement (dans un*socio=rien environnement*socio=et économique*socio=ec1 radicalement différent*socio=rien de ce qu'il est*socio=rien aujourd'hui) à assurer la sécurité*socio=uv1 de l'emploi*socio=ec1 ont actuellement pour effet*socio=rien pervers d'empêcher les chômeurs*socio=ac d'accéder à un*socio=rien emploi.. Un*socio=rien réexamen*socio=et critique*socio=uv2 de la réglementation*socio=et relative*socio=rien au salaire*socio=ec1 minimum*socio=rien et des prélèvements*socio=ec1 obligatoires*socio=uv2 liés à l'emploi*socio=ec1 serait aussi opportun*socio=rien lorsque le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des *socio=ec1 coûts salariaux *socio=nil encourage excessivement les économies*socio=ec1 de main-d'_oeuvre*socio=ac. La reprise économique*socio=ec1 au Japon*socio=ac, bien*socio=rien que sensiblement plus forte*socio=rien qu'en Europe*socio=ac, a été*socio=rien dans *socio=rien un premier temps *socio=nil davantage encore tributaire*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. L'important*socio=uv4 accroissement*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te au Japon*socio=ac depuis 1982 est*socio=rien symptomatique des tensions*socio=ec2 qui affectent l'économie*socio=ec1 internationale*socio=ac. Cet accroissement*socio=ec2 s'est*socio=rien accompagné d'un*socio=rien excès*socio=ec2 de l'épargne*socio=ec1 par rapport*socio=rien à l'investissement*socio=ec1. Les causes*socio=rien de ce déséquilibre*socio=uv3 de l'épargne*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1 sont certes complexes, mais certains facteurs*socio=rien, tant extérieurs*socio=te qu'intérieurs*socio=te, ont eu une influence déterminante*socio=rien. L'un*socio=rien deux a été*socio=rien la croissance*socio=ec1 exceptionnellement rapide*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te aux États-unis*socio=ac, qui s'est*socio=rien doublée d'une vigoureuse*socio=rien appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1 Un*socio=rien autre *socio=rien élément décisif a*socio=nil été le*socio=nil niveau très*socio=nil élevé*socio=uv4 des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te,*socio=nil *socio=nil qui a provoqué d'importantes*socio=uv4 sorties de capitaux_privés*socio=ec1 à long_terme*socio=te et qui, conjointement à des *socio=rien considérations relatives au*socio=nil taux_de_change*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil a imposé de sérieuses*socio=uv4 contraintes*socio=uv1 à la gestion*socio=ec2 de la politique_monétaire*socio=et. Pour ce qui est*socio=rien des facteurs*socio=rien intérieurs*socio=te, l'évolution*socio=te démographique*socio=ec1 a contribué à maintenir l'épargne*socio=ec1 à *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4 au*socio=nil Japon*socio=ac,*socio=nil *socio=nil tandis que la stabilisation*socio=et de la situation*socio=rien budgétaire*socio=et a permis*socio=rien de réduire sensiblement la désépargne du*socio=rien secteur_public*socio=et. Dans le même temps*socio=rien, la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, n'a pas, malgré son affermissement*socio=ec2, généré une expansion*socio=ec2 de l'investissement*socio=ec1 suffisante*socio=rien pour absorber le surcroît*socio=rien d'épargne*socio=ec1. Il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 que le renforcement*socio=ec2 récent*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te au Japon*socio=ac se poursuive à un*socio=rien rythme*socio=ec2 satisfaisant*socio=rien. Si la reprise a été*socio=rien plus marquée au Japon*socio=ac qu'en Europe*socio=ac, c'est*socio=rien notamment en *socio=rien raison du fait *socio=nil que l'économie*socio=ec1 japonaise*socio=ac est*socio=rien plus flexible*socio=uv4 dans la redistribution*socio=et des ressources*socio=ec1 entre industries*socio=ec1. Cette expérience*socio=ec2, comme celle des États-unis*socio=ac, semble démontrer les avantages*socio=rien de la flexibilité*socio=uv3 lorsque les circonstances*socio=rien exigent d'importants*socio=uv4 ajustements*socio=et structurels*socio=ec2. Dans *socio=rien un domaine,*socio=nil *socio=nil toutefois, le marché*socio=ec1 japonais*socio=ac souffre sans doute*socio=rien d'une certaine*socio=rien rigidité*socio=uv3. Les pratiques*socio=et et réglementations*socio=et commerciales*socio=ec1 traditionnelles*socio=rien donnent parfois l'impression*socio=rien d'entraver la distribution*socio=rien des importations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés. Certes, les difficultés*socio=uv4 auxquelles se heurtent les sociétés*socio=ac étrangères*socio=te désireuses de pénétrer sur*socio=rien le marché*socio=ec1 japonais*socio=ac s'expliquent dans une *socio=rien certaine mesure *socio=nil par les déficiences*socio=uv3 de leur propre*socio=rien gestion*socio=ec2, mais les *socio=rien initiatives prises *socio=nil par les autorités*socio=et japonaises*socio=ac dans ce domaine*socio=rien n'en sont pas moins bienvenues et la poursuite*socio=rien de leurs efforts*socio=uv1 pourrait à la fois*socio=rien profiter aux *socio=ac consommateurs japonais *socio=nil et aider à contrecarrer certains projets*socio=et envisagés par d'autres pays*socio=ac en vue*socio=rien de limiter*socio=rien les exportations*socio=ec1 japonaises*socio=ac. Il *socio=rien est évident *socio=nil que la plupart*socio=rien des grands*socio=rien problèmes*socio=uv4 qui viennent d'être*socio=rien évoqués intéressent tous les pays_industrialisés*socio=ac - même si ceux-ci les abordent sous des perspectives*socio=te différentes*socio=rien - et d'ailleurs*socio=rien aussi, dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil les*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil On s'accorde en général*socio=rien à reconnaître que le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1 et l'ampleur*socio=rien du*socio=rien déficit*socio=ec1 courant*socio=rien des États-unis*socio=ac sont indésirables*socio=uv4 et insoutenables*socio=uv2. Ils ont pourtant contribué à soutenir les exportations*socio=ec1 des autres pays*socio=ac pendant la reprise et leur baisse*socio=ec2 aurait des effets*socio=rien inverses. C'est*socio=rien une des raisons*socio=rien pour lesquelles l'ajustement*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 et de la structure*socio=ec1 des paiements*socio=ec1 doit être*socio=rien opéré de façon*socio=rien aussi ordonnée que possible*socio=rien. Comme l'impulsion*socio=ec2 donnée au *socio=rien reste du monde*socio=te *socio=nil par la reprise économique*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac s'atténue, il devient essentiel*socio=uv4 que d'autres pays*socio=ac, en particulier*socio=rien ceux qui ont réussi à opérer un*socio=rien ajustement*socio=et appréciable*socio=rien, poursuivent leurs efforts*socio=uv1 pour consolider leurs performances*socio=uv3 économiques*socio=ec1 à un*socio=rien rythme*socio=ec2 satisfaisant*socio=rien. Une réduction*socio=ec2 importante*socio=uv4 des entrées de capitaux*socio=ec1 étrangers*socio=te aux États-unis*socio=ac dégagerait des ressources*socio=ec1 pour d'autres emprunteurs*socio=ac potentiels*socio=uv4, en particulier*socio=rien les pays_en_développement*socio=uv3, pour autant que ceux-ci poursuivent leur effort*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et que la demande*socio=ec1 et l'offre*socio=ec1 intérieures*socio=te de crédit*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac soient mieux équilibrées, ce qui permettrait *socio=rien un repli des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Toutefois, si les placements*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1 EU devenaient moins attractifs pour les étrangers*socio=te et si dans le même temps*socio=rien la demande*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, y compris celle du*socio=rien gouvernement_fédéral*socio=ac, restait très supérieure*socio=rien à l'épargne*socio=ec1 privée*socio=et du*socio=rien pays*socio=ac, les pressions*socio=ec2 à la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac et sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te aggraveraient les difficultés*socio=uv4 de service_de_la_dette*socio=ec1 de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 et fermeraient à d'autres l'accès*socio=uv1 au crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te. Une hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 découragerait aussi les dépenses*socio=ec1 d'investissement_privé*socio=et dans presque tous les pays*socio=ac. Ces arguments*socio=ec2 d'ordre*socio=rien international*socio=te viennent renforcer les considérations*socio=rien nationales*socio=te qui appuient les efforts*socio=uv1 déployés par les autorités*socio=et des États-unis*socio=ac en vue*socio=rien de réduire leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et. Ajustement*socio=et axé sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3. Les pays_en_développement*socio=uv3 les mieux en mesure*socio=rien de profiter de la reprise dans le monde*socio=te industrialisé en 1984 et pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1985 ont été*socio=rien en général*socio=rien ceux qui avaient procédé*socio=rien sans tarder à des ajustements*socio=et au cours*socio=rien de la récession*socio=ec2 précédente*socio=rien. Ces pays*socio=ac, situés pour la plupart*socio=rien en Asie*socio=ac, n'ont pas eu à faire face*socio=rien à une *socio=rien interruption soudaine et*socio=nil massive du flux*socio=ec1 des*socio=nil ressources*socio=ec1 disponibles.*socio=nil *socio=nil Sans avoir *socio=rien été du *socio=nil tout à l'abri*socio=rien des effets*socio=rien de la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te, ils sont parvenus à rétablir assez rapidement, même en 1983, une saine*socio=uv2 progression*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et des exportations*socio=ec1. Comme leurs obligations*socio=uv1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1 *socio=nil étaient relativement modérées, ils ont pu consacrer l'essentiel*socio=uv4 de leurs recettes*socio=ec1 croissantes*socio=rien d'exportation*socio=ec1 à l'augmentation*socio=ec2 de leurs achats*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 immédiatement utilisables*socio=uv4. Leurs autorités*socio=et, bien*socio=rien que confrontées à la nécessité*socio=uv1 persistante*socio=rien de contenir la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 nominale*socio=rien dans les limites*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien potentiel*socio=uv4 de production*socio=ec1, connaissent actuellement moins de conflits*socio=uv1 d'objectifs*socio=uv3 à court_terme*socio=te que la majorité*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3. En général*socio=rien, les problèmes*socio=uv4 de politique_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te dans ces pays*socio=ac consistent à maintenir la discipline*socio=uv1 financière*socio=ec1 qui leur a bien*socio=rien réussi Jusqu'à présent*socio=rien. La *socio=rien vigilance reste de*socio=nil rigueur*socio=uv3 face aux*socio=nil pressions*socio=ec2 à*socio=nil courte vue en*socio=nil faveur *socio=nil de l'assouplissement*socio=uv3 de la politique_budgétaire*socio=et ou monétaire*socio=ec1, mais ]il est*socio=rien évidemment beaucoup moins difficile*socio=rien de rester vigilant*socio=rien que d'imposer de nouveaux*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et importants*socio=uv4. Pour ces pays*socio=ac, la propagation*socio=rien de *socio=et mesures protectionnistes sur*socio=rien leurs*socio=nil marchés*socio=ec1 extérieurs*socio=te est*socio=rien *socio=nil une plus dangereuse*socio=rien menace*socio=uv1. *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil qui ont *socio=rien fort bien *socio=nil réussi à allier croissance*socio=uv3 intérieure*socio=te rapide*socio=rien et stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 extérieure*socio=te ont largement compté sur*socio=rien la progression*socio=ec2 de leurs exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés pour soutenir leur développement*socio=uv3 économique*socio=ec1. Leur expérience*socio=ec2 montre combien il importe, pour tous les pays*socio=ac, que les décisions*socio=et de politique_commerciale*socio=et tiennent dûment compte*socio=ec1 de la bonne*socio=rien orientation*socio=et des échanges_mondiaux*socio=ec1 et de l'efficacité*socio=uv3 à long_terme*socio=te de l'allocation*socio=et des ressources*socio=ec1. D'autres pays_en_développement*socio=uv3 se trouvent dans une situation*socio=rien moins favorable*socio=uv4 et subissent des contraintes*socio=uv1 beaucoup plus fortes*socio=rien que les pays*socio=ac dont il vient d'être*socio=rien question*socio=rien. Bien*socio=rien que leurs déficits*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te aient en *socio=rien général considérablement *socio=nil diminué au cours*socio=rien des quelques *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil réorientation*socio=et *socio=nil de l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 intérieures*socio=te qui doit permettre *socio=rien un retour *socio=nil à des niveaux*socio=rien de production*socio=ec1 satisfaisants*socio=uv4 n'est*socio=rien pas encore achevée. L'ajustement*socio=et extérieur*socio=te s'est*socio=rien trop souvent accompagné d'une baisse*socio=ec2 de l'investissement*socio=ec1 et de taux*socio=ec1 inchangés*socio=rien d'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te. Dans de *socio=rien nombreux cas,*socio=nil la*socio=nil phase*socio=te initiale *socio=nil de l'ajustement*socio=et à une *socio=rien moindre disponibilité des*socio=nil ressources*socio=ec1 extérieures*socio=te est *socio=nil déjà terminée. La reprise conjoncturelle*socio=te internationale*socio=ac suscite un*socio=rien renouveau*socio=uv3 de croissance*socio=uv3 des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 en même temps*socio=rien que s'ouvre quelque peu la possibilité*socio=rien d'une progression*socio=ec2 des importations*socio=ec1 plus proche de celle des exportations*socio=ec1. Pour la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac, le principal*socio=rien problème*socio=uv4 de politique_économique*socio=ec1 consiste à définir*socio=rien les moyens*socio=ec1 d'accélérer le développement*socio=uv3, compte*socio=ec1 tenu des contraintes*socio=uv1 imposées par l'environnement*socio=et extérieur*socio=te et par la nécessité*socio=uv1 d'assurer ou de maintenir la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 intérieure*socio=te. Comme la situation*socio=rien budgétaire*socio=et de ces pays*socio=ac reste*socio=rien très déficitaire*socio=ec2, ce qui tend à encourager une expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 excessive*socio=uv4 et à alimenter l'inflation*socio=ec1, l'application*socio=rien directe*socio=rien de *socio=et mesures budgétaires de*socio=nil relance*socio=uv3 *socio=nil ne constituerait pas, en général*socio=rien, *socio=rien un moyen efficace*socio=uv4 *socio=nil de promouvoir la croissance*socio=uv3. A défaut*socio=rien d'entrées de capitaux*socio=ec1 extérieurs*socio=te du*socio=rien même ordre*socio=rien de grandeur*socio=rien qu'avant la récession*socio=ec2, la reprise de l'investissement*socio=ec1 nécessitera une augmentation*socio=ec2 de l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te. Dans les pays_en_développement*socio=uv3, la modération*socio=ec2 budgétaire*socio=et, surtout lorsqu'elle résulte d'une compression*socio=et de la consommation*socio=ec1 publique*socio=et, est*socio=rien le plus souvent le meilleur*socio=uv4 moyen*socio=rien d'accroître la part*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 dans le revenu*socio=ec1 national*socio=te. Elle peut, pour autant qu'elle s'accompagne d'une politique_monétaire*socio=et prudente*socio=uv2 et de taux_d'_intérêt*socio=ec1 réalistes*socio=uv4, rétablir ou créer des conditions*socio=ec1 internes*socio=te propices*socio=rien à une planification*socio=et et à une *socio=ec1 croissance économiques *socio=nil ordonnées, en particulier*socio=rien si elle est*socio=rien soutenue par des taux_de_change*socio=ec1 réalistes*socio=uv4 et par des mécanismes*socio=et de formation*socio=et des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te qui ne faussent pas le jeu*socio=rien des forces_du_marché*socio=ec1, La création*socio=uv4 de cet environnement*socio=et intérieur*socio=te contribuerait à son tour*socio=rien, bien*socio=rien plus que tout autre facteur*socio=rien, à la reprise de l'expansion*socio=ec2 et à l'accès*socio=uv1 aux ressources*socio=ec1 extérieures*socio=te, tant financières*socio=ec1 que réelles*socio=ec2. Pour *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil cette*socio=nil perspective a*socio=nil été *socio=nil sérieusement compromise par leur incapacité*socio=uv3 à contrôler l'inflation*socio=ec1. Les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 en progression*socio=ec2 rapide*socio=rien - à trois chiffres parfois - que l'on a pu observer dans plusieurs pays_en_développement*socio=uv3, sont préjudiciables*socio=et à la viabilité*socio=uv3 des ajustements*socio=et opérés jusqu'à présent*socio=rien et mettent en question*socio=rien les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 a *socio=rien moyen terme.*socio=nil Des*socio=nil taux*socio=ec1 d'*socio=nil inflation*socio=ec1 *socio=nil de cet ordre*socio=rien ne peuvent être*socio=rien que nuisibles*socio=rien à l'effort*socio=uv1 de développement*socio=uv3. Ils faussent les prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien, obscurcissent l'information*socio=rien économique*socio=ec1, découragent l'épargne*socio=ec1, incitent à des activités*socio=rien spéculatives*socio=ec2 au détriment*socio=uv2 des activités*socio=rien productives*socio=uv4, favorisent la fuite*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 et provoquent des changements*socio=uv3 de préférences*socio=uv4 dans la composition*socio=rien des portefeuilles*socio=ec1 au détriment*socio=uv2 des avoirs*socio=ec1 libellés en monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te et au profit*socio=ec1 des avoirs*socio=ec1 en monnaies*socio=ec1 étrangères*socio=te, changements*socio=uv3 qui limitent à leur tour*socio=rien l'efficacité*socio=uv3 de la politique_monétaire*socio=et. Or*socio=ec1, il *socio=rien est évident *socio=nil que ces pays*socio=ac ne peuvent se permettre ni la mauvaise*socio=rien allocation*socio=et de leurs ressources*socio=ec1 ni le gaspillage*socio=uv3 qui s'ensuivent. Il est*socio=rien donc indispensable*socio=uv4 de rétablir la santé*socio=et financière*socio=ec1 de leur économie*socio=ec1. Malgré des *socio=rien situations différentes,*socio=nil le*socio=nil niveau élevé*socio=uv4 des*socio=nil taux*socio=ec1 d'*socio=nil inflation*socio=ec1 *socio=nil dans ces pays*socio=ac est*socio=rien surtout imputable*socio=uv2 à la maîtrise*socio=rien inadéquate*socio=uv4 des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil dont l'évolution*socio=te a suivi celle des prix*socio=ec1. Dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, une maîtrise*socio=rien adéquate*socio=uv2 de l'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1 et du*socio=rien crédit*socio=ec1 par les autorités*socio=et compétentes*socio=uv4 exigerait une politique_budgétaire*socio=et plus réaliste*socio=uv4, en particulier*socio=rien compte*socio=ec1 tenu des contraintes*socio=uv1 qu'exerce le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des intérêts*socio=uv1 sur*socio=rien la dette*socio=ec1 publique*socio=et. Même dans ces conditions*socio=ec1, il faudrait, dans certains cas*socio=rien, modifier radicalement les méthodes*socio=ec2 de détermination*socio=rien des *socio=ec1 revenus nominaux.*socio=nil Les*socio=nil chances*socio=rien de*socio=nil succès*socio=uv1 *socio=nil de la politique*socio=et de modération*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 resteront extrêmement limitées si les salaires*socio=ec1 et les autres revenus*socio=ec1 ne sont pas fixés de façon*socio=rien à éviter la perpétuation des *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil *socio=nil Parmi les pays*socio=ac qui ont tardé à opérer les ajustements*socio=et rendus nécessaires*socio=rien par l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 internationale*socio=ac après*socio=rien la récession*socio=ec2 *socio=rien du début des*socio=nil années *socio=nil 80, figurent surtout les pays*socio=ac qui avaient massivement emprunté sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 au cours*socio=rien de la précédente*socio=rien décennie*socio=te pour accélérer leur développement*socio=uv3. Certains d'entre eux, une fois*socio=rien engagés dans la récession*socio=ec2, ont maintenu le rythme*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te en recourant davantage encore à des emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te assortis des taux_d'_intérêt*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1. Ils l'ont fait*socio=rien au prix*socio=ec1, entre autres, d'une forte*socio=rien réduction*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 et d'une compression*socio=et particulièrement draconienne des importations*socio=ec1 au moment*socio=rien où l'ajustement*socio=et est*socio=rien finalement devenu *socio=rien inévitable du fait *socio=nil de la réticence*socio=uv3 des créanciers*socio=ac à continuer leurs prêts*socio=ec1. Ces pays*socio=ac vont maintenant traverser une longue*socio=rien période*socio=te pendant laquelle leur accès*socio=uv1 aux ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 extérieures*socio=te sera limité par la nécessité*socio=uv1 d'assurer le service_de_la_dette*socio=ec1. Cette contrainte*socio=uv1, quoique douloureuse*socio=rien, est*socio=rien indispensable*socio=uv4 pour parvenir à rétablir un*socio=rien accès*socio=uv1 normal*socio=rien au financement*socio=ec1 extérieur*socio=te. En même temps*socio=rien, les autorités*socio=et de ces pays*socio=ac doivent affronter de délicats*socio=rien problèmes*socio=uv4 de renégociation de la dette*socio=ec1 et de gestion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Bien*socio=rien que les perspectives*socio=te d'une expansion*socio=ec2 équilibrée des exportations*socio=ec1 comme des importations*socio=ec1 soient meilleures*socio=uv4, maintenant que la phase*socio=te de compression*socio=et des importations*socio=ec1 de l'ajustement*socio=et est*socio=rien généralement terminée, il faudra pendant longtemps encore freiner la croissance*socio=uv3 de l'absorption*socio=rien intérieure*socio=te. De fortes*socio=rien pressions*socio=ec2 vont certainement s'exercer en vue*socio=rien d'une accélération*socio=ec2 de la reprise de la consommation*socio=ec1 intérieure*socio=te, de sorte*socio=rien qu'il sera peut-être difficile*socio=rien aux autorités*socio=et de maintenir la discipline*socio=uv1 requise*socio=uv4 dans leurs programmes*socio=et financiers*socio=ec1. Toutefois, compte*socio=ec1 tenu de l'ampleur*socio=rien des déséquilibres*socio=uv3 qui doivent être*socio=rien corrigés, la fermeté*socio=rien et la patience sont la seule*socio=rien attitude*socio=uv3 réaliste*socio=uv4 à adopter pendant ce processus*socio=te d'assainissement*socio=uv3 économique*socio=ec1. Pour un*socio=rien autre groupe*socio=ac important*socio=uv4 de pays_en_développement*socio=uv3, le recours*socio=ec1 à l'emprunt*socio=ec1 extérieur*socio=te aux conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 a été*socio=rien relativement limité. Le financement*socio=ec1 extérieur*socio=te que ces pays*socio=ac ont utilisé a eu essentiellement pour origine*socio=rien des sources*socio=rien officielles*socio=et, bilatérales*socio=et et multilatérales*socio=et et, à la *socio=rien différence du flux*socio=ec1 des*socio=nil financements*socio=ec1 obtenus*socio=nil sur les*socio=nil marchés*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil flux*socio=ec1 *socio=nil de ces ressources*socio=ec1 s'est*socio=rien assez bien*socio=rien maintenu. Il a cependant été*socio=rien insuffisant*socio=uv4 eu égard*socio=rien aux besoins*socio=uv1 de ces pays*socio=ac - dont la plupart*socio=rien sont des petits*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac. Il s'agit, en majorité*socio=rien, d'exportateurs*socio=ac de *socio=rien produits primaires,*socio=nil *socio=nil dont les prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 et les termes_de_l'_échange*socio=ec1 se sont gravement détériorés au cours*socio=rien de la récession*socio=ec2 et dont les économies*socio=ec1 n'étaient pas suffisamment solides*socio=uv4 pour résister à une forte*socio=rien compression*socio=et des importations*socio=ec1. Dans de *socio=rien nombreux cas,*socio=nil cette*socio=nil compression*socio=et *socio=nil n'a pu être*socio=rien évitée ou limitée que grâce*socio=rien aux tirages*socio=ec1 sur*socio=rien le Fonds*socio=ec1. Dans *socio=rien un certain nombre *socio=nil de ces pays*socio=ac, les autorités*socio=et ont eu des difficultés*socio=uv4 à appliquer des programmes*socio=et qui leur permettraient de continuer à bénéficier des crédits*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. De nombreux*socio=rien gouvernements*socio=ac ont eu *socio=rien du mal *socio=nil à établir le consensus*socio=uv1 nécessaire*socio=rien et à dégager des ressources*socio=ec1 administratives*socio=et pour parvenir à une modération*socio=ec2 durable*socio=uv4 des politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1. Cependant, des politiques*socio=et financières*socio=ec1 inflationnistes*socio=ec2, qui empêchent une croissance*socio=uv3 intérieure*socio=te réelle*socio=ec2 et affaiblissent la position*socio=rien extérieure*socio=te, ne sauraient satisfaire les besoins*socio=uv1 - incontestablement pressants*socio=uv4 - des populations*socio=ac de ces pays*socio=ac. Dans certains cas*socio=rien, les *socio=rien effets conjugués *socio=nil d'une situation*socio=rien inflationniste*socio=ec2, de contrôles*socio=et des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te et de taux_de_change*socio=ec1 irréalistes*socio=uv4 ont entravé l'efficacité*socio=uv3 du*socio=rien mécanisme*socio=et des prix*socio=ec1 dans l'allocation*socio=et des ressources*socio=ec1. Les autorités*socio=et doivent avoir pour préoccupation*socio=uv4 majeure*socio=rien de restructurer les relations*socio=rien de prix*socio=ec1 de sorte*socio=rien que l'utilisation*socio=rien efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1 potentiellement disponibles*socio=rien se trouve facilitée et non pas entravée. Sans l'ajustement*socio=et auquel contribue cette restructuration*socio=et, l'utilisation*socio=rien efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1 intérieures*socio=te et de l' aide_publique_au_développement*socio=et sera difficile*socio=rien à assurer et l'augmentation*socio=ec2 de cette dernière*socio=rien, pourtant *socio=rien bien nécessaire,*socio=nil risque*socio=uv3 d'*socio=nil être *socio=nil sérieusement compromise. Ce sont surtout les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 de Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac qui ont besoin*socio=uv1 de cette aide*socio=uv1. a dette*socio=ec1 et le service_de_la_dette*socio=ec1 représentent pour eux une charge*socio=rien très élevée*socio=uv4, en particulier*socio=rien si on la rapporte u revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac. En outre, la sécheresse*socio=et persistante*socio=rien qui sévit dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac de cette région*socio=te y, a encore aggravé la situation*socio=rien en réduisant la capacité*socio=uv3 d'exportation*socio=ec1 et en gonflant les besoins*socio=uv1 d'importation*socio=ec1. cependant, s'il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 que la *socio=ac communauté internationale *socio=nil reconnaisse la détresse*socio=rien de ces pays*socio=ac et y ,réponde, il est*socio=rien au moins aussi important*socio=uv4 que ces pays*socio=ac mettent en oeuvre*socio=rien des politiques*socio=et propres*socio=rien à améliorer l'allocation*socio=et de leurs ressources*socio=ec1 rares*socio=rien. coopération_internationale*socio=uv3. Dans les observations*socio=ec2 qui viennent d'être*socio=rien formulées, l'interdépendance*socio=uv3 forte*socio=rien et croissante*socio=rien qui existe entre les pays*socio=ac a été*socio=rien soulignée à plusieurs reprises, explicitement ou implicitement. Il existe aussi, de toute évidence*socio=rien, des *socio=rien relations étroites *socio=nil et complexes entre les différents*socio=rien problèmes*socio=uv4 de politique_économique*socio=ec1 qui ont été*socio=rien examinés. Dès lors*socio=rien, il est*socio=rien plus important*socio=uv4 que jamais que le Fonds*socio=ec1 exerce sa surveillance*socio=et et serve d'instance*socio=rien de consultation*socio=uv1 internationale*socio=ac pour toute une série de problèmes*socio=uv4 de politique_économique*socio=ec1. Le respect*socio=uv1 dû aux intérêts*socio=uv1 légitimes*socio=uv2 des autres pays*socio=ac doit animer le processus*socio=te de prise*socio=rien de décision*socio=et au niveau*socio=rien national*socio=te pour que, dans *socio=rien un système interdépendant*socio=uv4,*socio=nil l'*socio=nil assistance*socio=uv1 mutuelle*socio=uv2 *socio=nil puisse exercer ses bienfaits*socio=uv2 potentiels*socio=uv4. Le Fonds*socio=ec1 *socio=rien fait office d'*socio=nil agent*socio=ac *socio=nil ou d'intermédiaire*socio=rien dans quelques-unes des formes*socio=rien les plus importantes*socio=uv4 de la coopération*socio=uv1 financière*socio=ec1 internationale*socio=ac et collabore étroitement dans cet effort*socio=uv1 avec la banque_mondiale*socio=ac. Il a fourni directement aux pays*socio=ac qui ont entrepris des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et une aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 considérable*socio=rien et a joué un*socio=rien rôle*socio=et d'agent*socio=ac de catalyse dans l'octroi*socio=rien d'importantes*socio=uv4 ressources*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien par les prêteurs*socio=ac privés*socio=et et officiels*socio=et pour des pays*socio=ac qui se trouvaient ans*socio=rien des circonstances*socio=rien très variées*socio=rien. A cet égard*socio=rien, le Fonds*socio=ec1 peut apporter un*socio=rien concours particulièrement utile*socio=uv4 n exposant aux créanciers*socio=ac la nature*socio=rien et les implications*socio=rien des ajustements*socio=et économiques*socio=ec1 entrepris par les pays_membres*socio=ac, et en indiquant les *socio=ec1 conditions financières globales*socio=rien auxquelles*socio=nil un*socio=rien programme*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil doit répondre pour être*socio=rien viable*socio=uv4. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil l'*socio=nil utilisation nette des*socio=nil ressources*socio=ec1 du Fonds*socio=ec1 *socio=nil a atteint *socio=rien un niveau sans*socio=nil précédent.*socio=nil Déduction*socio=ec1 *socio=nil faite des rachats*socio=ec1, les pays_membres*socio=ac ont obtenu plus de 26 milliards*socio=rien de DTS au cours*socio=rien des quatre *socio=rien dernières années civiles*socio=et,*socio=nil *socio=nil mais c'est*socio=rien en 1983 que le flux*socio=ec1 annuel*socio=te de ces ressources*socio=ec1 a été*socio=rien le plus élevé*socio=uv4, atteignant 10 1/2 milliards*socio=rien de DTS. Si l'on considère les achats*socio=ec1 nets*socio=rien, *socio=rien un certain ralentissement*socio=ec2 s'*socio=nil est *socio=nil déjà amorcé en 1984, ce qui s'explique en *socio=rien grande partie *socio=nil par l'amélioration*socio=uv1 générale*socio=rien de la position*socio=rien de paiements*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3, ainsi que par le début*socio=rien d'importants*socio=uv4 rachats*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien des accords*socio=et conclus au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil lorsque le volume*socio=rien des tirages*socio=ec1 était considérable*socio=rien. Les tirages*socio=ec1 nets*socio=rien diminuent encore en 1985, les obligations*socio=uv1 de rachat*socio=ec1 continuant d'augmenter, alors que le nombre*socio=rien de pays*socio=ac qui ont besoin*socio=uv1 de nouveaux*socio=rien tirages*socio=ec1 importants*socio=uv4 et qui sont admis à en bénéficier diminue. Toutefois, il est*socio=rien probable*socio=uv4 que le Fonds*socio=ec1 restera attentif*socio=rien au maintien*socio=rien et au suivi des programmes*socio=et mis en oeuvre*socio=rien par des pays_membres*socio=ac dont les tirages*socio=ec1 dans les tranches de crédit*socio=ec1 ne seront pas remboursés avant plusieurs années*socio=rien. Ces activités*socio=rien, dont la plupart*socio=rien sont liées aux 29 accords*socio=et de confirmation*socio=et et accords*socio=et élargis en vigueur*socio=uv3 au milieu*socio=rien de 1985, sont décrites aux chapitres*socio=rien II et III. L'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV constitue un*socio=rien autre aspect*socio=rien des *socio=rien opérations du Fonds*socio=ec1 *socio=nil qui requiert une attention*socio=rien plus grande*socio=rien. Pour s'acquitter de cette tâche*socio=rien - qui est*socio=rien examinée de façon*socio=rien approfondie au chapitre*socio=rien II -, le Fonds*socio=ec1 doit porter plus particulièrement son *socio=rien attention sur les*socio=nil implications économiques*socio=ec1 et*socio=nil financières*socio=ec1 internationales*socio=te des*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil et des situations*socio=rien des pays_membres*socio=ac. Compte*socio=ec1 tenu de l'interdépendance*socio=uv3 croissante*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec1 et des marchés*socio=ec1 des biens*socio=ec1 et des services*socio=et, il est*socio=rien devenu de plus en plus utile*socio=uv4, lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 de la politique_économique*socio=ec1 des grands*socio=rien pays*socio=ac, de considérer l'impact*socio=rien exercé sur*socio=rien les autres pays*socio=ac et les réactions*socio=rien de ces derniers*socio=rien. Le Fonds*socio=ec1 peut faire en sorte*socio=rien que ces considérations*socio=rien soient prises*socio=rien en compte*socio=ec1, par ses analyses*socio=ec2 et par les possibilités*socio=rien d'entretiens*socio=rien qu'il peut offrir avec les pays_membres*socio=ac soit séparément*socio=rien, soit lors*socio=rien des débats*socio=et plus généraux*socio=rien au conseil_d'_administration*socio=ac et au comité_intérimaire*socio=ac. Bien*socio=rien que le Fonds*socio=ec1 lui-même ne puisse dispenser l' aide_publique_au_développement*socio=et, il se rend compte*socio=ec1 qu'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac en*socio=nil détresse ont*socio=nil un besoin*socio=uv1 extrême*socio=uv4 *socio=nil d'une aide*socio=uv1 plus importante*socio=uv4, en particulier*socio=rien, à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac. Sans ce surcroît*socio=rien d'aide*socio=uv1, ces pays*socio=ac ne pourront réaliser les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 fondamentales*socio=uv4 nécessaires*socio=rien pour passer de la dépendance*socio=uv1 à l'égard*socio=rien de l'aide*socio=uv1 à une participation*socio=uv3 pleine*socio=rien et entière*socio=rien à la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 et des marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te. Conscient*socio=uv2 *socio=rien du fait *socio=nil qu'il est*socio=rien dans l'intérêt*socio=uv1 de la *socio=ac communauté internationale *socio=nil d'aider ces pays*socio=ac à opérer cette transition*socio=ec2, le Fonds*socio=ec1 a vivement encouragé les pays_industrialisés*socio=ac à augmenter leurs contributions*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'aide_publique_au_développement*socio=et. C'est*socio=rien sans doute*socio=rien dans le *socio=rien domaine du commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=nil que la coopération_internationale*socio=uv3 est*socio=rien le plus gravement menacée, alors qu'il serait urgent*socio=uv4 de la renforcer. Pratiquement dans tout_le_monde*socio=te industrialisé, les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et se sont considérablement*socio=rien aggravées pendant la récession*socio=ec2 internationale*socio=ac *socio=rien du début des*socio=nil années *socio=nil 80. Elles se sont encore développées*socio=uv4 sous l'effet*socio=rien *socio=rien du manque de*socio=nil dynamisme*socio=uv3 *socio=nil de la demande*socio=ec1, de l'utilisation*socio=rien assez faible*socio=rien des capacités*socio=uv3 de production*socio=ec1 et du*socio=rien chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4 qui subsistent dans d'importants*socio=uv4 secteurs*socio=rien de la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac. Si le progrès*socio=uv1 de la reprise conjoncturelle*socio=te a déjà rendu moins convaincants*socio=rien les arguments*socio=ec2 en faveur*socio=rien d'actions*socio=ec1 protectionnistes*socio=et dans plusieurs pays*socio=ac importants*socio=uv4, il n'a pas encore enrayé la prolifération*socio=rien des revendications*socio=uv1 reflétant l'intérêt*socio=uv1 étroit*socio=rien de certains producteurs*socio=ac et groupes*socio=ac de travailleurs*socio=ac qui réclament l'intervention*socio=et du*socio=rien gouvernement*socio=ac pour les protéger de la concurrence*socio=ec1 extérieure*socio=te. Suite*socio=rien à ces pressions*socio=ec2, de *socio=rien nombreux nouveaux obstacles*socio=uv3 aux*socio=nil échanges*socio=ec1 ont*socio=nil été *socio=nil dressés afin de protéger certains secteurs*socio=rien ou des industries*socio=ec1 spécifiques*socio=rien, et le recours*socio=ec1 aux contingents*socio=ec2 et aux limitations*socio=uv3 " volontaires*socio=uv4 " des exportations*socio=ec1 s'est*socio=rien intensifié. Le développement*socio=uv3 du*socio=rien bilatéralisme *socio=rien est un aspect *socio=nil regrettable de ces accords*socio=et. On constate en outre une *socio=rien généralisation progressive des*socio=nil subventions*socio=ec1 aux*socio=nil industries*socio=ec1 en*socio=nil perte*socio=ec2 de*socio=nil vitesse.*socio=nil L'*socio=nil aide*socio=uv1 sélective*socio=uv4 *socio=nil à la production*socio=ec1 et à l'emploi*socio=ec1 intérieurs*socio=te que ces mesures*socio=et peuvent apporter est*socio=rien évidemment limitée et temporaire*socio=rien, alors que le préjudice*socio=et causé par la distorsion*socio=uv3 de l'allocation*socio=et des ressources*socio=ec1 est*socio=rien en général*socio=rien plus durable*socio=uv4. Si la récente*socio=rien dérive devait se poursuivre, en violation du*socio=rien principe*socio=ec2 fondamental*socio=uv2 des avantages*socio=rien comparés sur*socio=rien lequel repose la saine*socio=uv2 expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 international*socio=te depuis la deuxième*socio=rien guerre*socio=et mondiale*socio=te, les fondations mêmes *socio=rien du système commercial*socio=ec1 multilatéral*socio=et *socio=nil qui a si bien*socio=rien servi le monde*socio=te au cours*socio=rien des quarante *socio=rien dernières années *socio=nil pourraient se trouver gravement compromises. Des mesures*socio=et visant à enrayer la *socio=rien propagation du protectionnisme*socio=et *socio=nil et à démanteler les barrières*socio=ec2 commerciales*socio=ec1 existantes*socio=rien faciliteraient le *socio=rien bon fonctionnement du processus*socio=te d'*socio=nil ajustement_international*socio=ec1.*socio=nil en*socio=nil particulier,*socio=nil *socio=nil elles permettraient d'assurer aux pays_en_développement*socio=uv3 l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 en expansion*socio=ec2 qui leur *socio=rien est nécessaire *socio=nil pour réaliser une croissance*socio=uv3 soutenue à *socio=rien moyen terme *socio=nil et apporter une solution*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 à leurs difficultés*socio=uv4 de service_de_la_dette*socio=ec1. Dans la situation*socio=rien actuelle*socio=te, une responsabilité*socio=uv1 particulière*socio=rien incombe aux pays_industrialisés*socio=ac, celle d'ouvrir la voie*socio=rien à la libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3. Cette action*socio=ec1, outre ses *socio=rien avantages directs *socio=nil manifestes, encouragerait l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et de libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 par les pays_en_développement*socio=uv3, ce qui améliorerait l'efficacité*socio=uv3 et la solidité*socio=uv3 de leur économie*socio=ec1. Cette évolution*socio=te aurait elle-même pour effet*socio=rien d'aider les pays_industrialisés*socio=ac à résister aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et intérieures*socio=te; elle faciliterait donc un*socio=rien renouveau*socio=uv3 de l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 et une augmentation*socio=ec2 de la productivité*socio=uv3 et du*socio=rien niveau_de_vie*socio=uv1 à l'échelle*socio=rien mondiale*socio=te. Il *socio=rien est évident *socio=nil qu'une action*socio=ec1 doit être*socio=rien engagée pour renforcer le système*socio=rien commercial*socio=ec1. Actuellement, les propositions*socio=rien concernant l'ouverture*socio=uv3 d'un*socio=rien nouveau*socio=rien cycle*socio=te de négociations*socio=et commerciales*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de l' accord_général*socio=et sur*socio=rien les *socio=et tarifs douaniers *socio=nil et le commerce*socio=ec1 laissent espérer une action*socio=ec1 multilatérale*socio=et constructive*socio=uv2. Il faudra cependant longtemps avant que ces négociations*socio=et portent leurs fruits*socio=rien. Pour rétablir la confiance*socio=uv1 dans le maintien*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien commercial*socio=ec1 ouvert*socio=rien, il est*socio=rien fondamental*socio=uv2 que les différents*socio=rien pays*socio=ac - et en particulier*socio=rien les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac - prennent les mesures*socio=et nécessaires*socio=rien pour respecter leurs engagements*socio=et de rejeter l'adoption*socio=uv3 de nouvelles*socio=rien *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil et de démanteler les barrières*socio=ec2 commerciales*socio=ec1 existantes*socio=rien. Évolution*socio=te du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. L'importance*socio=rien croissante*socio=rien des mouvements_internationaux_de_capitaux*socio=ec1 a continué de dominer l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et de la liquidité*socio=ec1 mondiale*socio=te. Face*socio=rien aux changements*socio=uv3 rapides*socio=rien des préférences*socio=uv4 en matière*socio=rien d'actifs*socio=ec1 causés par les divergences*socio=uv1 observées ou attendues des politiques*socio=et et résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac, les taux_de_change*socio=ec1 ont parfois enregistré d'amples*socio=rien variations*socio=rien en 1984 et 1985. *socio=rien Du coup,*socio=nil les*socio=nil positions concurrentielles*socio=ec2 relatives d'*socio=nil importants*socio=uv4 pays*socio=ac *socio=nil se sont trouvées modifiées dans *socio=rien un sens *socio=nil qui aggravait, au lieu*socio=rien de les réduire, les déséquilibres*socio=uv3 existants*socio=rien des courants*socio=te commerciaux*socio=ec1. De ce fait*socio=rien, les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et se sont accentuées, la conduite*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 a été*socio=rien rendue plus difficile*socio=rien et les tâches*socio=rien correspondant à l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et internationale*socio=ac se sont alourdies. Comme par le passé*socio=rien, les pays*socio=ac ayant une bonne*socio=rien cote*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 n'ont pas eu de difficulté*socio=uv4 à recourir aux crédits*socio=ec1 extraterritoriaux et ont pu ainsi financer leur balance_des_paiements*socio=ec1 et ajuster leurs réserves*socio=ec1 en fonction*socio=rien de leurs besoins*socio=uv1. Cependant, les réserves*socio=ec1 mondiales*socio=te n'ont pas augmenté depuis la fin*socio=rien de 1982, la dépréciation*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 en or*socio=ec1 s'équilibrant avec l'appréciation*socio=uv3 des réserves*socio=ec1 autres que l'or*socio=ec1. Les pays*socio=ac dont la balance_des_paiements*socio=ec1 était déficitaire*socio=ec2 et qui n'avaient qu'un*socio=rien accès*socio=uv1 limité aux marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te parce qu'ils n'étaient pas jugés suffisamment solvables*socio=ec2 ont eu certaines*socio=rien difficultés*socio=uv4 et ont dû supporter des coûts*socio=ec1 relativement élevés*socio=uv4 lorsqu'ils ont voulu maintenir leurs réserves*socio=ec1 à des niveaux*socio=rien qu'ils estimaient suffisants*socio=rien. Ces points*socio=rien seront examinés dans le *socio=rien présent chapitre,*socio=nil *socio=nil qui traitera successivement*socio=rien des *socio=rien questions relatives aux*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil et de celles qui se rapportent aux liquidités*socio=ec1 internationales*socio=te. Surveillance*socio=et. Comme le montrent les évolutions*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 au cours*socio=rien de ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil la discordance des stratégies*socio=et adoptées et des résultats*socio=rien enregistrés par les divers pays*socio=ac peut conduire à un*socio=rien désalignement*socio=uv3 de la configuration*socio=et des taux_de_change*socio=ec1. Par la surveillance*socio=et qu'il exerce sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1 de ses pays_membres*socio=ac, le Fonds*socio=ec1 s'attache à réduire cette discordance d'une manière*socio=rien qui soit compatible*socio=rien avec la réalisation*socio=uv1 d'une croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2 et durable*socio=uv4. Le Fonds*socio=ec1 encourage en outre ceux de ses pays_membres*socio=ac qui ont opté pour un*socio=rien régime*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 dirigé à suivre en la matière*socio=rien une politique*socio=et flexible*socio=uv4, en harmonie*socio=uv1 avec la nécessité*socio=uv1 d'assurer l'ajustement*socio=et de la balance_des_paiements*socio=ec1. Ces activités*socio=rien de surveillance*socio=et sont menées conformément aux principes*socio=ec2 et procédures*socio=et énoncés dans le document*socio=rien intitulé " Surveillance*socio=et des Politiques*socio=et de change*socio=ec1 ". Lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 annuel*socio=te de l'exercice*socio=rien général*socio=rien de la surveillance*socio=et des politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac auquel le conseil_d'_administration*socio=ac a procédé*socio=rien en mars*socio=rien 1985, celui-ci a de nouveau*socio=rien souligné la *socio=rien grande importance *socio=nil qu'il attache à la fonction*socio=rien de surveillance*socio=et Fonds*socio=ec1. Il a consacré une *socio=rien grande partie *socio=nil de ses débats*socio=et à l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et dans l'environnement*socio=et économique*socio=ec1 international*socio=te d'aujourd'hui. Le Conseil*socio=ac a noté l'importante*socio=uv4 fonction*socio=rien qu'a assurée la surveillance*socio=et, car elle a appelé l'attention*socio=rien des autorités*socio=et compétentes*socio=uv4 sur*socio=rien des *socio=uv4 problèmes essentiels *socio=nil et a permis*socio=rien que ces problèmes*socio=uv4 fassent l'objet*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=ec2 continu*socio=rien. Dans de *socio=rien nombreux cas,*socio=nil les*socio=nil décisions*socio=et prises *socio=nil par les autorités*socio=et des pays_membres*socio=ac ont clairement tenu compte*socio=ec1 des opinions*socio=ec2 de la *socio=ac communauté internationale,*socio=nil *socio=nil qui s'exprime par l'intermédiaire*socio=rien de la surveillance*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1. *socio=rien Sur un plan plus*socio=nil général,*socio=nil le*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil a toutefois relevé qu'il subsistait des divergences*socio=uv1 substantielles*socio=rien entre les politiques*socio=et effectivement*socio=rien suivies par certains pays_membres*socio=ac et celles qui étaient préconisées collectivement*socio=rien par les pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Il a également souligné que, s'il *socio=rien est vrai *socio=nil que le Fonds*socio=ec1 doit constamment s'efforcer d'affiner son analyse*socio=ec2 et d'améliorer ses procédures*socio=et, les *socio=uv4 problèmes fondamentaux *socio=nil sont d'un*socio=rien autre ordre*socio=rien; ils trouvent leur origine*socio=rien dans une volonté*socio=uv1 insuffisante*socio=uv4 de mettre en oeuvre*socio=rien des *socio=et stratégies gouvernementales *socio=nil dont la formulation*socio=rien tienne compte*socio=ec1 des impératifs*socio=uv4 de la *socio=rien compatibilité sur le*socio=nil plan international*socio=te.*socio=nil Un autre*socio=nil point sur *socio=nil lequel s'est*socio=rien arrêté le conseil_d'_administration*socio=ac lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 de 1985 est*socio=rien celui de l'impartialité*socio=uv1 de la surveillance*socio=et, qui a été*socio=rien considérée comme une condition*socio=rien essentielle*socio=uv4 de son efficacité*socio=uv3. Les administrateurs*socio=ac ont noté l'opinion*socio=uv1 selon laquelle le Fonds*socio=ec1 exerce une surveillance*socio=et beaucoup plus *socio=rien stricte sur les*socio=nil politiques*socio=et des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 déficitaires*socio=ec2 que*socio=nil sur *socio=nil celles des autres pays*socio=ac, mais ils l'ont considérée comme essentiellement imputable*socio=uv2 au fait*socio=rien que la *socio=rien fonction clé surveillance*socio=et *socio=nil était insuffisamment distinguée des autres *socio=rien fonctions du Fonds*socio=ec1 *socio=nil telles que la mise en oeuvre*socio=rien de la conditionnalité et le droit*socio=uv1 de regard*socio=rien qui lui est*socio=rien reconnu sur*socio=rien les restrictions*socio=et de change*socio=ec1. A l'exercice*socio=rien de ces autres fonctions*socio=rien correspondent des *socio=rien attributions particulières.*socio=nil Par*socio=nil exemple,*socio=nil le*socio=nil Fonds*socio=ec1 *socio=nil a l'obligation*socio=uv1 de veiller à ce que l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 qu'il fournit contribue à un*socio=rien ajustement*socio=et effectif*socio=rien et les pays_membres*socio=ac qui sollicitent son assistance*socio=uv1 financière*socio=ec1 doivent donc aménager leur politique_économique*socio=ec1 de manière*socio=rien à remplir les conditions*socio=ec1 pour bénéficier de cette assistance*socio=uv1, telles qu'elles s'expriment dans les critères*socio=rien formulés par le Fonds*socio=ec1. Il est*socio=rien alors inévitable*socio=rien que le Fonds*socio=ec1 ait davantage d'influence sur*socio=rien les politiques*socio=et des pays*socio=ac dont il appuie les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et que sur*socio=rien celles des autres pays*socio=ac. Il est*socio=rien cependant possible*socio=rien d'atténuer considérablement*socio=rien cette asymétrie*socio=ec2 en renforçant l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et exercée sur*socio=rien les politiques*socio=et de tous les pays_membres*socio=ac. En raison*socio=rien des répercussions*socio=ec2 profondes*socio=rien que le comportement*socio=rien des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac peut avoir sur*socio=rien le *socio=rien reste du monde*socio=te,*socio=nil une*socio=nil surveillance*socio=et plus*socio=nil efficace*socio=uv4 *socio=nil à l'égard*socio=rien de ces pays*socio=ac améliorerait le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te tout entier*socio=rien. Au cours*socio=rien de l'examen*socio=ec2, le Conseil*socio=ac a envisagé divers moyens*socio=ec1 d'améliorer l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et. Le comité_intérimaire*socio=ac a lui aussi examiné ces questions*socio=rien à sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1985. Dans ses conclusions*socio=rien, le Comité*socio=ac a demandé instamment que des mesures*socio=et soient prises*socio=rien pour renforcer la surveillance*socio=et exercée sur*socio=rien les politiques*socio=et de tous les pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Il a en outre insisté pour que soient étudiés, sans déroger au principe*socio=ec2 *socio=rien du traitement uniforme*socio=uv4 des*socio=nil pays_membres*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil moyens*socio=ec1 *socio=nil de rendre plus efficace*socio=uv4 la surveillance*socio=et des politiques*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac et en développement*socio=uv3 qui ont une incidence*socio=ec2 *socio=rien notable sur le*socio=nil fonctionnement *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Au moyen*socio=rien des consultations*socio=uv1 qu'il tient au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, de rencontres bilatérales*socio=et et de la participation*socio=uv3 du*socio=rien directeur_général*socio=ac à des réunions*socio=rien internationales*socio=te, le Fonds*socio=ec1 a fait*socio=rien connaître ses vues*socio=rien aux autorités*socio=et intéressées et mis en évidence*socio=rien les effets*socio=rien défavorables*socio=uv4 des insuffisances*socio=uv3 actuelles*socio=te des politiques_économiques*socio=et pour la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil *socio=nil En outre, le Fonds*socio=ec1 n'a pas hésité à se prononcer publiquement*socio=et sur*socio=rien ces problèmes*socio=uv4, en particulier*socio=rien dans ses publications*socio=rien et les déclarations*socio=et du*socio=rien directeur_général*socio=ac. Le Fonds*socio=ec1 a en particulier*socio=rien souligné que les répercussions*socio=ec2 défavorables*socio=uv4 des insuffisances*socio=uv3 de la politique_économique*socio=ec1 suivie dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac sont durement ressenties par les pays_en_développement*socio=uv3. Sans doute*socio=rien ceux-ci doivent-ils persister dans leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et, mais il *socio=rien est nécessaire *socio=nil que les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac améliorent leurs politiques*socio=et et contribuent ainsi au *socio=te processus global d'*socio=nil ajustement*socio=et.*socio=nil *socio=nil Les axes essentiels*socio=uv4 de la surveillance*socio=et. La *socio=rien réflexion sur l'*socio=nil efficacité*socio=uv3 *socio=nil de la surveillance*socio=et, sur*socio=rien ses faiblesses*socio=ec2 éventuelles*socio=te et sur*socio=rien les améliorations*socio=uv1 possibles*socio=rien doit reposer sur*socio=rien l'analyse*socio=ec2 des facteurs*socio=rien et des politiques*socio=et auxquels sont imputables*socio=uv2 l'apparition*socio=rien et la persistance*socio=te des *socio=uv4 graves problèmes *socio=nil que connaît l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Cette évaluation*socio=ec2 a *socio=rien été un aspect majeur *socio=nil de chaque examen*socio=ec2 annuel*socio=te de la surveillance*socio=et depuis que cette procédure*socio=et a été*socio=rien instituée en 1979, ainsi que de chaque débat*socio=et que le Conseil*socio=ac a depuis lors*socio=rien consacré aux perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Les *socio=rien principales conclusions *socio=nil qui se sont dégagées de ces examens*socio=ec2 et de ces débats*socio=et ont été*socio=rien présentées dans les rapports*socio=rien annuels*socio=te précédents*socio=rien. Néanmoins, en *socio=rien un moment *socio=nil où l'attention*socio=rien se concentre à *socio=rien nouveau sur les*socio=nil moyens*socio=ec1 *socio=nil d'améliorer l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et, il n'est*socio=rien pas inutile*socio=rien de reprendre l'ensemble*socio=rien de ces *socio=rien diverses conclusions *socio=nil et de les passer en revue à la lumière*socio=rien des évolutions*socio=te récentes*socio=rien. Ainsi qu'il ressort clairement de l'analyse*socio=ec2 qui précède, les mouvements*socio=ec2 prononcés des taux_de_change*socio=ec1 entre les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ne peuvent à *socio=rien première vue être *socio=nil imputés à *socio=rien un manque d'*socio=nil efficacité*socio=uv3 *socio=nil de la surveillance*socio=et. en particulier*socio=rien, certains de ces mouvements*socio=ec2 sont sans doute*socio=rien la *socio=rien conséquence normale des*socio=nil évolutions*socio=te *socio=nil survenues et des politiques*socio=et suivies dans le domaine*socio=rien économique*socio=ec1 - amplifiée peut-être par l'intégration*socio=uv1 plus étroite*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec1 nationaux*socio=te, qui est*socio=rien en *socio=rien soi un fait positif*socio=uv4 *socio=nil - plutôt que le résultat*socio=rien d'une mauvaise*socio=rien orientation*socio=et des politiques_économiques*socio=et ou d'un*socio=rien comportement*socio=rien capricieux des opérateurs*socio=ac privés*socio=et. Tout changement*socio=uv3 dans la réputation*socio=uv1 d'une monnaie*socio=ec1 en tant que " refuge*socio=uv3 sûr*socio=rien ", de même que dans les perspectives*socio=te concernant la rentabilité*socio=ec1 des placements*socio=ec1 dans telle ou telle monnaie*socio=ec1, peut aussi entraîner de *socio=rien fortes variations *socio=nil dans les taux_de_change*socio=ec1. La promptitude*socio=uv1 des marchés_financiers*socio=ec1 a réagir à des *socio=rien faits nouveaux,*socio=nil *socio=nil qui se conjugue au *socio=rien volume croissant des*socio=nil opérations financières*socio=ec1,*socio=nil introduit*socio=nil un élément d'*socio=nil instabilité*socio=uv3 *socio=nil dans l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1. Point*socio=rien plus important*socio=uv4 encore, étant donné que les marchés*socio=ec1 des biens*socio=ec1 et *socio=rien du travail,*socio=nil *socio=nil qui déterminent dans une *socio=rien grande mesure la*socio=nil tendance*socio=ec2 fondamentale*socio=uv4 du taux_de_change*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil réagissent beaucoup moins rapidement aux variations*socio=rien de prix*socio=ec1 que les marchés_financiers*socio=ec1, les taux_de_change*socio=ec1 s'écartent parfois fortement et pendant *socio=rien un laps de*socio=nil temps considérable *socio=nil de leur valeur*socio=ec1 tendancielle*socio=ec2. La tâche*socio=rien de la surveillance*socio=et commence lorsqu'il y a des raisons*socio=rien de penser qu'une évolution*socio=te économique*socio=ec1 inopportune*socio=rien, y compris *socio=rien certaines variations du taux_de_change*socio=ec1,*socio=nil est *socio=nil due à des politiques*socio=et inappropriées. A cet égard*socio=rien, le Fonds*socio=ec1 met depuis *socio=rien un certain temps l'*socio=nil accent sur la*socio=nil nécessité*socio=uv1 *socio=nil pour chaque pays*socio=ac de suivre une stratégie*socio=et qui soit à la fois*socio=rien stable*socio=uv4 et équilibrée. Une telle stratégie*socio=et doit être*socio=rien stable*socio=uv4 parce que la *socio=rien modification constante des*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil débouche inévitablement sur*socio=rien des ajustements*socio=et *socio=rien fréquents du taux_de_change*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil De plus, en l'absence*socio=rien de politiques*socio=et prévisibles*socio=uv4, les opinions*socio=ec2 relatives*socio=rien à la valeur*socio=ec1 tendancielle*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 pour le long_terme*socio=te peuvent être*socio=rien si fragiles*socio=rien que la monnaie*socio=ec1 risque*socio=uv3 de se trouver soumise à des effets*socio=rien spéculatifs*socio=uv2 auto-entretenus. A l'intérieur*socio=te de l'économie*socio=ec1 nationale*socio=te, de *socio=rien fréquentes modifications des*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil risquent de déstabiliser la production*socio=ec1 et les prix*socio=ec1 et, par là, de faire obstacle*socio=uv3 à *socio=rien un comportement rationnel*socio=uv4 des*socio=nil agents*socio=ac économiques*socio=ec1 privés*socio=et.*socio=nil La*socio=nil stratégie*socio=et des*socio=nil autorités*socio=et *socio=nil doit en outre être*socio=rien équilibrée parce que l'absence*socio=rien d'harmonisation*socio=uv3 et de coordination*socio=uv3 entre les divers instruments*socio=et dont elles disposent entraîne des tensions*socio=ec2 économiques*socio=ec1 qui risquent de se traduire par un*socio=rien gaspillage*socio=uv3 des ressources*socio=ec1 intérieures*socio=te et des déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te, Une *socio=rien combinaison mal *socio=nil équilibrée des mesures*socio=et de politique_économique*socio=ec1 a en tout cas*socio=rien peu de chances*socio=rien d'être*socio=rien stable*socio=uv4, car les pressions*socio=ec2 en faveur*socio=rien d'un*socio=rien changement*socio=uv3 de politique*socio=et ne pourront que s*socio=rien 1 accentuer à mesure*socio=rien que les effets*socio=rien défavorables*socio=uv4 de ces mesures*socio=et deviendront plus apparents*socio=rien. Nul*socio=rien ne conteste, en_principe*socio=ec2, qu'il *socio=rien est souhaitable *socio=nil de suivre une stratégie*socio=et stable*socio=uv4 et équilibrée. Le problème*socio=uv4 est*socio=rien que les autorités*socio=et hésitent souvent à s'engager concrètement dans cette vole. Vouloir*socio=rien, par exemple*socio=rien, éliminer les rigidités*socio=uv3 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des biens*socio=ec1 et *socio=rien du travail,*socio=nil c'*socio=nil est bien *socio=nil souvent s'exposer à l'impopularité, ne serait-ce que parce que les avantages*socio=rien et les coûts*socio=ec1 résultant*socio=rien de cette élimination*socio=ec2 risquent de se répartir inégalement entre des groupes*socio=ac sociaux*socio=et n'ayant pas la même puissance*socio=et sur*socio=rien le plan*socio=rien politique*socio=et. De même, la réduction*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, qui implique généralement l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et impopulaires, exige des choix*socio=uv1 budgétaires*socio=et difficiles*socio=rien - augmentation*socio=ec2 des impôts*socio=et ou réduction*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et, détermination*socio=rien des postes*socio=rien de recettes*socio=ec1 ou de dépenses*socio=ec1 qu'il convient de modifier. Ces questions*socio=rien débordent manifestement le domaine*socio=rien de l'efficacité*socio=uv3 économique*socio=ec1 et comportent des aspects*socio=rien politiques*socio=et importants*socio=uv4. En outre, il est*socio=rien dans bien*socio=rien des *socio=rien cas difficile de*socio=nil savoir quelles*socio=nil mesures*socio=et sont*socio=nil vraiment *socio=nil appropriées. Par exemple*socio=rien, *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil observateurs*socio=ac *socio=nil ont mis en évidence*socio=rien les effets*socio=rien qu'exercent sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 les variations*socio=rien des préférences*socio=uv4 internationales*socio=te en matière*socio=rien de monnaies*socio=ec1. On peut soutenir que les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 devraient s'adapter*socio=rien à ces variations*socio=rien lorsqu'elles sont sans rapport*socio=rien avec les déterminants*socio=rien fondamentaux*socio=uv4 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 plutôt que d'accepter d'amples*socio=rien fluctuations*socio=ec2 temporaires*socio=rien de la monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te qui perturberaient l'allocation*socio=et des ressources*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des biens*socio=ec1 et *socio=rien du travail.*socio=nil *socio=nil A la limite*socio=rien, une stratégie*socio=et monétaire*socio=ec1 stable*socio=uv4 peut être*socio=rien conçue comme une stratégie*socio=et qui laisse évoluer les *socio=ec1 agrégats monétaires en*socio=nil fonction*socio=rien des*socio=nil variations*socio=rien *socio=nil de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te de monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te. Mais il est*socio=rien souvent difficile*socio=rien, en pratique*socio=rien, de savoir*socio=rien si un*socio=rien mouvement*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 résulte d'une variation*socio=rien des préférences*socio=uv4 en matière*socio=rien de monnaies*socio=ec1 ou d'évolutions*socio=te plus fondamentales*socio=uv4. En outre, même lorsqu'il est*socio=rien établi qu'il s'agit d'une réorientation*socio=et des préférences*socio=uv4, une politique*socio=et d'accommodation n'est*socio=rien pas sans danger*socio=uv1; la décision*socio=et, par exemple*socio=rien, d'autoriser une expansion*socio=ec2 des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil pour répondre à la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te risque*socio=uv3 d'être*socio=rien mal*socio=rien interprétée par les agents*socio=ac économiques*socio=ec1 nationaux*socio=te et de renforcer les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2. Il pourrait donc *socio=rien être inconsidéré *socio=nil de la part*socio=rien des autorités*socio=et nationales*socio=te de vouloir*socio=rien accompagner systématiquement les variations*socio=rien des préférences*socio=uv4 internationales*socio=te. Par ailleurs*socio=rien, les mouvements*socio=ec2 de taux_de_change*socio=ec1, outre qu'ils signalent les variations*socio=rien de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te de monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te, sont parfois l'indice que des phénomènes*socio=rien intérieurs*socio=te restés jusqu'ici inaperçus, et résultant*socio=rien par exemple*socio=rien de modifications*socio=rien structurelles*socio=ec2 du*socio=rien système_financier*socio=ec1, justifient une remise en cause*socio=rien des objectifs*socio=uv3 monétaires*socio=ec1. Les interventions*socio=et sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, bien*socio=rien qu'elles soient parfois en elles-mêmes une source*socio=rien d'instabilité*socio=uv3, peuvent en *socio=rien certaines circonstances être utiles*socio=uv4 *socio=nil pour amortir, ou même arrêter, des mouvements_spéculatifs*socio=ec1, surtout s'il s'agit d'interventions*socio=et résolues, concertées entre les grands*socio=rien pays*socio=ac et correctement calculées de façon*socio=rien à être*socio=rien effectuées au *socio=rien moment opportun.*socio=nil C'*socio=nil est *socio=nil ainsi que l'intervention*socio=et concertée d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil grands pays_industrialisés*socio=ac en*socio=nil février *socio=nil 1985 semble avoir contribué à arrêter la poussée du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1 Toutefois, comme le groupe_de_travail*socio=ac sur*socio=rien les interventions*socio=et sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 l'a indiqué dans son rapport', de nombreuses*socio=rien observations*socio=ec2 donnent à penser que les interventions*socio=et stérilisées n'ont généralement pas d'effet*socio=rien durable*socio=uv4. En fin*socio=rien de compte*socio=ec1, tout effort*socio=uv1 sérieux*socio=uv4 pour parvenir à une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 doit reposer sur*socio=rien la mise en oeuvre*socio=rien de politiques_économiques*socio=et plus appropriées et compatibles*socio=rien à l'échelle*socio=rien internationale*socio=ac. Dans ce contexte*socio=rien, il convient de noter que les pays*socio=ac qui participent aux mécanismes*socio=et de change*socio=ec1 du*socio=rien SME*socio=ec1 sont dans une *socio=rien grande mesure *socio=nil parvenus à stabiliser les taux_de_change*socio=ec1 entre leurs monnaies*socio=ec1. Ce succès*socio=uv1 est*socio=rien essentiellement dû à la convergence*socio=uv3 de leurs politiques*socio=et intérieures*socio=te et de leurs résultats*socio=rien, les pays*socio=ac dont le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 était le plus élevé*socio=uv4 ayant accompli un*socio=rien important*socio=uv4 effort*socio=uv1 d'ajustement*socio=et pour rapprocher leur taux*socio=ec1 de celui des pays*socio=ac à inflation*socio=ec1 relativement faible*socio=rien. Néanmoins, il ne fait*socio=rien guère de doute*socio=rien que l'attachement*socio=uv1 des autorités*socio=et à la défense*socio=uv1 des *socio=rien cours pivots *socio=nil et les mécanismes*socio=et d'intervention*socio=et convenus ont contribué au succès*socio=uv1 *socio=rien du Système.*socio=nil Il*socio=nil est vrai *socio=nil que le SME*socio=ec1 ne pourrait aisément être*socio=rien élargi ou transposé ailleurs*socio=rien. Son succès*socio=uv1 - compte*socio=ec1 tenu des conditions*socio=ec1 dans lesquelles il fonctionne - peut cependant encourager ceux qui sont en quête d'une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1. La nécessité*socio=uv1 de réaliser un*socio=rien ajustement*socio=et en *socio=rien temps opportun *socio=nil s'impose tout autant aux pays_en_développement*socio=uv3 qu'aux pays*socio=ac développés*socio=uv4. Toute hésitation*socio=rien à prendre les mesures*socio=et appropriées entraîne une perte*socio=ec2 inutile*socio=rien de réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1, une détérioration*socio=uv4 de la structure*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te et, souvent, une forte*socio=rien accumulation*socio=ec2 d'arriérés de paiements*socio=ec1 vis-à-vis de l'étranger*socio=te. Les financements*socio=ec1 recherchés pour parer à une telle situation*socio=rien ne sont en général*socio=rien obtenus qu'à des conditions*socio=ec1 de taux*socio=ec1 et de durée*socio=te relativement défavorables*socio=uv4. Différer l'ajustement*socio=et, c'est*socio=rien aussi aggraver les distorsions*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 de la production*socio=ec1 intérieure*socio=te dues à des mécanismes*socio=et de formation*socio=et des prix*socio=ec1 inefficaces*socio=uv4 et à l'utilisation*socio=rien de mesures*socio=et directes*socio=rien de contrôle*socio=uv3. En outre, le maintien*socio=rien en application*socio=rien de politiques*socio=et inappropriées entraîne souvent *socio=rien un recul *socio=nil des entrées de capitaux_privés*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1 intérieur*socio=te. Lorsque l'ajustement*socio=et est*socio=rien enfin décidé, il est*socio=rien parfois nécessaire*socio=rien de prendre des mesures*socio=et radicales*socio=rien et rapides*socio=rien, et donc plus onéreuses à court_terme*socio=te pour la production*socio=ec1 et l'emploi*socio=ec1 et moins bénéfiques*socio=uv1 à *socio=rien moyen terme *socio=nil que si des politiques*socio=et plus résolues avaient été*socio=rien plus promptement mises en oeuvre*socio=rien. La réalisation*socio=uv1 de l'ajustement*socio=et en *socio=rien temps opportun *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=uv3 dépend beaucoup *socio=rien du dosage des*socio=nil différents instruments*socio=et de*socio=nil politique_économique*socio=ec1 *socio=nil dans le programme*socio=et d'ajustement*socio=et et *socio=rien du moment *socio=nil choisi pour leur mise en oeuvre*socio=rien. Le plus souvent, c'est*socio=rien lorsqu'un*socio=rien pays*socio=ac utilise plus de ressources*socio=ec1 qu'il n'en possède sur*socio=rien son propre*socio=rien territoire*socio=te que des problèmes*socio=uv4 d'ajustement*socio=et se posent. La nécessité*socio=uv1 de réduire la demande*socio=ec1 publique*socio=et et privée*socio=et de biens*socio=ec1 et de services*socio=et constitue normalement l'élément*socio=rien clé*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et. Il *socio=rien est évident *socio=nil que les politiques*socio=et de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 doivent tenir compte*socio=ec1 des conditions_sociales*socio=et et politiques*socio=et, aussi bien*socio=rien qu'économiques*socio=ec1, du*socio=rien pays*socio=ac. Elles doivent en outre être*socio=rien mises en oeuvre*socio=rien de façon*socio=rien à éviter, ou à minimiser, toute influence défavorable*socio=uv4 sur*socio=rien l'offre*socio=ec1 globale*socio=rien de biens*socio=ec1 et de services*socio=et, par exemple*socio=rien par le biais*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien impact négatif sur le*socio=nil niveau *socio=nil et l'efficacité*socio=uv3 de l'investissement_privé*socio=et qui risquerait d'annuler l'effet*socio=rien des mesures*socio=et d'expansion*socio=ec2 de l'offre*socio=ec1 contenues dans le programme*socio=et. Quant aux politiques*socio=et visant à augmenter la production*socio=ec1 intérieure*socio=te, elles devraient, dans toute la *socio=rien mesure possible,*socio=nil être *socio=nil conçues de façon*socio=rien à ne pas augmenter la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te globale*socio=rien afin de ne pas compromettre les buts*socio=et des politiques*socio=et de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 comprises dans le train*socio=rien de mesures*socio=et envisagées. Lorsque ces tâches*socio=rien - restriction*socio=et de la demande*socio=ec1 et augmentation*socio=ec2 de la production*socio=ec1 - doivent être*socio=rien accomplies simultanément au moyen*socio=rien d'une restructuration*socio=et des incitations*socio=uv3 du*socio=rien marché*socio=ec1, une modification*socio=rien de la structure*socio=ec1 des prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien sera souvent nécessaire*socio=rien. A court_terme*socio=te, un*socio=rien ajustement*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 qui intervient au moment*socio=rien voulu peut améliorer l'allocation*socio=et des rares*socio=rien ressources*socio=ec1 en devises*socio=ec1 à l'intérieur*socio=te de l'économie*socio=ec1. A plus long_terme*socio=te, les effets*socio=rien de cet ajustement*socio=et sur*socio=rien les prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien peuvent améliorer l'allocation*socio=et des *socio=ec1 ressources économiques en*socio=nil général*socio=rien *socio=nil en conférant aux ressources*socio=ec1 extérieures*socio=te une valeur*socio=ec1 qui reflète fidèlement leur rareté effective*socio=rien. Quand les *socio=ec1 salaires nominaux *socio=nil sont inflexibles et ne peuvent être*socio=rien aisément abaissés, une dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1, appuyée par des politiques_monétaires*socio=et restrictives*socio=uv4, peut réduire l'ampleur*socio=rien des *socio=et compressions budgétaires *socio=nil à opérer pour obtenir*socio=rien une amélioration*socio=uv1 donnée du*socio=rien solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. C'est*socio=rien ainsi que l'ajustement*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 peut contribuer à créer une situation*socio=rien plus favorable*socio=uv4 à la croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1 que si le même ajustement*socio=et extérieur*socio=te avait été*socio=rien obtenu au moyen*socio=rien d'une contraction*socio=ec2 budgétaire*socio=et plus considérable*socio=rien, le taux_de_change*socio=ec1 étant resté inchangé*socio=rien. Le choix*socio=uv1 des politiques*socio=et d'ajustement*socio=et doit être*socio=rien guidé par l'efficacité*socio=uv3 des différentes*socio=rien mesures*socio=et envisageables en tant que moyens*socio=ec1 de redresser le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te et d'encourager les entrées de capitaux*socio=ec1 à long_terme*socio=te. Comme les diverses*socio=rien mesures*socio=et que peuvent prendre les autorités*socio=et influencent ces éléments*socio=rien de l'ajustement*socio=et extérieur*socio=te à des rythmes et à des *socio=rien degrés différents,*socio=nil la*socio=nil combinaison optimale*socio=uv4 de*socio=nil politiques*socio=et à*socio=nil un moment donné*socio=nil est en*socio=nil partie *socio=nil déterminée par l'ampleur*socio=rien de l'ajustement*socio=et à opérer et par le moment*socio=rien où il intervient. De fait*socio=rien, un*socio=rien des avantages*socio=rien importants*socio=uv4 de l'ajustement*socio=et opéré en temps*socio=rien voulu est*socio=rien qu'il permet de faire appel*socio=rien à *socio=rien un éventail d'*socio=nil instruments*socio=et *socio=nil beaucoup plus large*socio=rien que lorsque les mesures*socio=et d'ajustement*socio=et s'imposent d'urgence*socio=rien. Un*socio=rien ajustement*socio=et opéré à temps*socio=rien peut donc aider les autorités*socio=et à articuler au mieux leur action*socio=ec1, assurant ainsi à la population*socio=ac une croissance*socio=uv3 de bien-être*socio=uv1 économique*socio=ec1 plus régulière*socio=ec2 à long_terme*socio=te qu'elle ne l'aurait été*socio=rien si l'ajustement*socio=et avait été*socio=rien initialement différé. Une politique*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 flexible*socio=uv4 peut accroître l'efficacité*socio=uv3 et l'efficience*socio=uv3 des autres mesures*socio=et qui visent à agir sur*socio=rien l'offre*socio=ec1, comme les politiques*socio=et de fixation*socio=ec1 des prix*socio=ec1 à la production*socio=ec1 ou la structure*socio=ec1 des investissements*socio=ec1 publics*socio=et. Comme on l'a souligné plus haut*socio=rien, le taux_de_change*socio=ec1 entrave*socio=ec2 souvent l'utilisation*socio=rien efficace*socio=uv4 de certains autres instruments*socio=et de la politique*socio=et de l'offre*socio=ec1. Par exemple*socio=rien, les prix*socio=ec1 à la production*socio=ec1 peuvent affecter l'offre*socio=ec1 intérieure*socio=te de cultures*socio=et d'exportation*socio=ec1; les autorités*socio=et compétentes*socio=uv4 se refusent souvent à décider des relèvements*socio=ec2 de prix*socio=ec1 nécessaires*socio=rien en l'absence*socio=rien d'une baisse*socio=ec2 *socio=rien concomitante du taux_de_change*socio=ec1 nominal,*socio=nil du fait *socio=nil que, pour un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 donné, la rentabilité*socio=ec1 des offices*socio=rien de commercialisation*socio=ec1 tendrait à se dégrader, du*socio=rien moins sur*socio=rien le court_terme*socio=te. En outre, le *socio=rien maintien du taux_de_change*socio=ec1 à*socio=nil un niveau *socio=nil inapproprié tend à perturber l'équilibre*socio=ec2 entre la consommation*socio=ec1 de biens*socio=ec1 intermédiaires*socio=rien d'origine*socio=rien intérieure*socio=te et l'utilisation*socio=rien des mêmes biens*socio=ec1 lorsqu'ils viennent de l'extérieur*socio=te. La flexibilité*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien nominal est particulièrement*socio=nil importante*socio=uv4 *socio=nil lorsque le déséquilibre*socio=uv3 extérieur*socio=te qu'il convient de corriger trouve sa cause*socio=rien essentielle*socio=uv4 dans des évolutions*socio=te financières*socio=ec1 intérieures*socio=te. C'est*socio=rien en général*socio=rien le cas*socio=rien, par exemple*socio=rien, dans les pays*socio=ac à forte*socio=rien inflation*socio=ec1, où le déséquilibre*socio=uv3 budgétaire*socio=et et l'expansion*socio=ec2 *socio=rien rapide du crédit*socio=ec1 intérieur*socio=te *socio=nil pèsent lourdement sur*socio=rien la balance_des_paiements*socio=ec1. En l'absence*socio=rien d'un*socio=rien ajustement*socio=et *socio=rien continu du taux_de_change*socio=ec1 nominal,*socio=nil le*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 effectif réel *socio=nil devient rapidement inapproprié, compromettant les perspectives*socio=te de développement*socio=uv3 économique*socio=ec1. Les ajustements*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 réel*socio=rien peuvent *socio=rien être un moyen particulièrement*socio=nil efficace*socio=uv4 *socio=nil de corriger les déséquilibres*socio=uv3 des paiements*socio=ec1 pour les pays*socio=ac qui produisent des biens*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 dont l'offre*socio=ec1 présente*socio=rien une élasticité*socio=ec2 relativement forte*socio=rien ou qui cherchent à diversifier leurs exportations*socio=ec1 et à les orienter vers des produits*socio=rien dont la demande*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 mondial*socio=te offre*socio=rien des perspectives*socio=te favorables*socio=uv4 à terme*socio=rien. Quelle que soit l'origine*socio=rien - internationale*socio=ac ou interne*socio=te - des perturbations*socio=ec2 qui imposent l'ajustement*socio=et extérieur*socio=te, l'ajustement*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien réel est le*socio=nil constat *socio=nil que les possibilités*socio=rien économiques*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac ont été*socio=rien modifiées par des *socio=rien circonstances nouvelles.*socio=nil La*socio=nil capacité*socio=uv3 *socio=nil d'agir sur*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif réel *socio=nil en de *socio=rien pareilles circonstances est un élément décisif *socio=nil de l'ajustement*socio=et. On peut donc dire que l'objectif*socio=uv3 normal*socio=rien d'un*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 doit être*socio=rien de maintenir son taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif réel à*socio=nil un niveau *socio=nil qui l'aide*socio=uv1 à réaliser son potentiel*socio=uv4 de croissance*socio=ec1 et une position*socio=rien soutenable*socio=uv4 du*socio=rien solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. Le taux_de_change*socio=ec1 nominal*socio=rien doit donc être*socio=rien modifié aussi souvent que nécessaire*socio=rien pour maintenir le taux*socio=ec1 *socio=rien effectif réel au*socio=nil niveau *socio=nil souhaité, compte*socio=ec1 tenu de la *socio=rien situation propre du pays*socio=ac,*socio=nil en*socio=nil particulier des*socio=nil moyens*socio=ec1 *socio=nil dont il dispose de recourir aux instruments*socio=et de la politique_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et pour maîtriser*socio=rien l'évolution*socio=te des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te. Le choix*socio=uv1 du*socio=rien régime*socio=et de change*socio=ec1 doit *socio=rien être fait de*socio=nil manière *socio=nil à assurer toute la flexibilité*socio=uv3 nécessaire*socio=rien. L'ajustement*socio=et extérieur*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 doit être*socio=rien soutenu par des *socio=rien apports suffisants de*socio=nil *socio=ec1 ressources financières *socio=nil appropriées. Outre la surveillance*socio=et qu'il exerce sur*socio=rien la politique*socio=et de change*socio=ec1 de ces pays_membres*socio=ac, le Fonds*socio=ec1 a continué d'encourager les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 à fournir des financements*socio=ec1 destinés à soutenir les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et qui bénéficient de son appui*socio=uv1. Il a en particulier*socio=rien accueilli avec satisfaction*socio=uv3 les *socio=rien exemples récents d'*socio=nil accords*socio=et de*socio=nil rééchelonnement*socio=et *socio=nil pluriannuels en faveur*socio=rien de pays*socio=ac qui ont déjà accompli des progrès*socio=uv1 notables*socio=rien dans leur effort*socio=uv1 d'ajustement*socio=et. Le Fonds*socio=ec1 a également souligné que l'impératif*socio=uv4 premier*socio=rien - en particulier*socio=rien pour les pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 - est*socio=rien d'accroître le volume*socio=rien de l'aide*socio=uv1 extérieure*socio=te et d'en rendre l'utilisation*socio=rien plus efficace*socio=uv4. Cela est*socio=rien particulièrement vrai*socio=rien pour les pays*socio=ac de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac qui sont gravement touchés par la sécheresse*socio=et actuelle*socio=te. Nombre*socio=rien de pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 sont aux prises*socio=rien avec des problèmes*socio=uv4 de service_de_la_dette*socio=ec1 alors même qu'une *socio=rien grande part *socio=nil de celle-ci a été*socio=rien contractée envers des créanciers*socio=ac officiels*socio=et. Le Fonds*socio=ec1 a souvent aidé au processus*socio=te de rééchelonnement*socio=et de la dette*socio=ec1 officielle*socio=et dans le *socio=rien cadre du Club de*socio=nil Paris*socio=ac en*socio=nil liaison *socio=nil avec les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et portant sur*socio=rien l'utilisation*socio=rien de ses ressources*socio=ec1. jusqu'ici, la plupart*socio=rien de ces rééchelonnements*socio=et ont été*socio=rien consentis sur*socio=rien une base*socio=rien annuelle*socio=te. Depuis peu, cependant, le Club*socio=rien de Paris*socio=ac a commencé à négocier des rééchelonnements*socio=et pluriannuels, en coopération*socio=uv1 étroite*socio=rien avec le Fonds*socio=ec1, lorsqu'il est*socio=rien établi que les *socio=ac pays débiteurs *socio=nil se sont effectivement*socio=rien engagés dans la vole de l'assainissement*socio=uv3 et qu'il y a tout lieu*socio=rien de penser qu'ils devraient s'y maintenir. En *socio=rien dernière analyse,*socio=nil un système commercial*socio=ec1 multilatéral*socio=et ouvert reste la*socio=nil condition *socio=nil la plus importante*socio=uv4 d'une amélioration*socio=uv1 progressive*socio=rien de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 internationale*socio=ac. Bien*socio=rien que l'on ait récemment observé certains éléments*socio=rien positifs*socio=uv4 à cet égard*socio=rien, on ne peut guère considérer que la tendance*socio=ec2 générale*socio=rien au protectionnisme*socio=et ait été*socio=rien enrayée et encore moins inversée. Le Fonds*socio=ec1 est*socio=rien extrêmement préoccupé de cette évolution*socio=te et a consacré une *socio=rien large part *socio=nil de ses *socio=rien travaux récents *socio=nil à la *socio=rien question du protectionnisme*socio=et *socio=nil et à la manière*socio=rien dont elle s'articule avec les problèmes*socio=uv4 qui se posent dans les domaines*socio=rien de la politique_budgétaire*socio=et et de l'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2. Il a aussi souligné l'importance*socio=rien de cette question*socio=rien dans toutes ses activités*socio=rien de surveillance*socio=et et a maintenu une étroite*socio=rien collaboration*socio=uv1 avec les parties*socio=rien contractantes*socio=ec1 à l' accord_général*socio=et sur*socio=rien les *socio=et tarifs douaniers *socio=nil et le commerce*socio=ec1. Procédures*socio=et. Les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV continuent d'être*socio=rien le principal*socio=rien instrument*socio=et par lequel le Fonds*socio=ec1 exerce sa surveillance*socio=et. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil efforts*socio=uv1 *socio=nil déployés par le Fonds*socio=ec1 pour faire en sorte*socio=rien que les consultations*socio=uv1 soient tenues à un*socio=rien *socio=ec2 rythme régulier *socio=nil avec tous les pays_membres*socio=ac ont été*socio=rien couronnés de succès*socio=uv1. Les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV se tiennent normalement chaque année*socio=rien, mais il *socio=rien est possible *socio=nil d'adopter un*socio=rien intervalle*socio=te plus long*socio=rien - allant jusqu'à deux ans*socio=rien - pour certains pays_membres*socio=ac et des cycles*socio=te plus courts*socio=rien peuvent être*socio=rien demandés dans *socio=rien certaines circonstances.*socio=nil Le*socio=nil *socio=te cycle annuel est*socio=rien toutefois*socio=nil obligatoire*socio=uv2 *socio=nil pour les pays*socio=ac dont l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 a une incidence*socio=ec2 *socio=rien notable sur *socio=nil les autres pays_membres*socio=ac, pour ceux qui exécutent des programmes*socio=et appuyés par le Fonds*socio=ec1 et pour ceux dont la balance_des_paiements*socio=ec1 est*socio=rien d'une viabilité*socio=uv3 incertaine*socio=uv4. Lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 de 1985 relatif*socio=rien à l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et, le conseil_d'_administration*socio=ac a déclaré qu'il y avait lieu*socio=rien de considérer que le *socio=rien premier critère était*socio=nil applicable *socio=nil au moins aux 25 pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 dont la quote-part*socio=ec1 était la plus importante*socio=uv4. Selon le *socio=rien nouveau système de*socio=nil détermination préalable *socio=nil institué en 1983, la durée*socio=te du*socio=rien cycle*socio=te de consultation*socio=uv1 ou la date des consultations*socio=uv1 *socio=rien suivantes est *socio=nil spécifiée à l'issue*socio=rien de chaque consultation*socio=uv1. En application*socio=rien de ce *socio=rien nouveau système,*socio=nil la*socio=nil fréquence des*socio=nil consultations*socio=uv1 *socio=nil a fortement augmenté ces deux *socio=rien dernières années;*socio=nil le*socio=nil Fonds*socio=ec1 *socio=nil a tenu des consultations*socio=uv1 avec 80 % des pays_membres*socio=ac tant en 1983 qu'en 1984. A la fin*socio=rien de 1984, quatre pays*socio=ac seulement n'avaient pas eu de consultations*socio=uv1 avec le Fonds*socio=ec1 depuis deux ans*socio=rien ou davantage, contre 6 à la fin*socio=rien de 1983 et 19 à la fin*socio=rien de 1982. Au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil analyses*socio=ec2 *socio=nil présentées dans les rapports*socio=rien des services_du_fonds*socio=ec1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV ont *socio=rien été considérablement *socio=nil élargies et adaptées aux exigences*socio=ec2 de la surveillance*socio=et. Une *socio=rien place croissante *socio=nil a en *socio=rien particulier été *socio=nil accordée aux interactions*socio=rien économiques*socio=ec1 internationales*socio=te et aux questions*socio=rien liées au commerce*socio=ec1 et au protectionnisme*socio=et. De plus, les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV ont mis l'accent*socio=rien sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'examiner avec les pays_membres*socio=ac les incidences*socio=ec2 à *socio=rien moyen terme *socio=nil de leur politique_économique*socio=ec1. Depuis 1983, les rapports*socio=rien de consultations*socio=uv1 relatifs*socio=rien à la quasi-totalité*socio=rien des pays*socio=ac dans lesquels l'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=rien est un *socio=uv4 problème important *socio=nil contiennent des projections*socio=ec2 à *socio=rien moyen terme *socio=nil de l'évolution*socio=te de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. Plus récemment, ces analyses*socio=ec2 à *socio=rien moyen terme ont*socio=nil été *socio=nil étoffées : la sensibilité*socio=ec2 des projections*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 à diverses*socio=rien hypothèses*socio=ec2 a été*socio=rien examinée, ainsi que l'évolution*socio=te de composantes*socio=ec1 importantes*socio=uv4 de la balance_des_paiements*socio=ec1. Même dans le cas*socio=rien des pays*socio=ac pour lesquels l'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te ne constitue pas un*socio=rien problème*socio=uv4 majeur*socio=rien, parmi lesquels de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, la nécessité*socio=uv1 d'analyser la cohérence*socio=uv3 interne*socio=te et les chances*socio=rien de succès*socio=uv1 de la stratégie*socio=et globale*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil adoptée par les autorités*socio=et a conduit les services_du_fonds*socio=ec1 à faire figurer des scénarios*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil dans les rapports*socio=rien établis pour les consultations*socio=uv1. La nécessité*socio=uv1 de l'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 *socio=rien est un autre*socio=nil centre d'*socio=nil intérêt*socio=uv1 majeur des*socio=nil activités de*socio=nil surveillance*socio=et.*socio=nil Cette*socio=nil nécessité*socio=uv1 *socio=nil a évidemment toujours été*socio=rien reconnue dans les *socio=rien relations du Fonds*socio=ec1 *socio=nil avec les pays_en_développement*socio=uv3. Mais ces questions*socio=rien ont pris une *socio=rien importance nouvelle *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac. Ce phénomène*socio=rien tient essentiellement à la concomitance de l'inflation*socio=ec1 et du*socio=rien marasme*socio=uv4 économique*socio=ec1 que l'on a pu observer il y a quelques années*socio=rien et, plus récemment, à la persistance*socio=te des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et et du*socio=rien chômage*socio=ec1 dans de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Ces derniers*socio=rien problèmes*socio=uv4 sont souvent étroitement imbriqués par suite*socio=rien des effets*socio=rien qu'exerce le ralentissement*socio=ec2 de l' activité_économique*socio=ec1 sur*socio=rien les recettes*socio=ec1 fiscales*socio=et et sur*socio=rien les aides_publiques*socio=et aux secteurs*socio=rien en difficulté*socio=uv4 et aux travailleurs*socio=ac sans emploi*socio=ec1. Parmi les innovations*socio=uv3 introduites dans les rapports*socio=rien des services_du_fonds*socio=ec1 en 1984, deux méritent d'être*socio=rien signalées. La *socio=rien première est l'*socio=nil inclusion,*socio=nil *socio=nil dans la plupart*socio=rien des *socio=rien rapports relatifs aux*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil d'*socio=nil un *socio=nil exposé concernant les *socio=rien relations du pays*socio=ac *socio=nil considéré avec la banque_mondiale*socio=ac, reprenant dans de *socio=rien nombreux cas les*socio=nil évaluations*socio=ec2 *socio=nil de la Banque*socio=ac sur*socio=rien le programme*socio=et d'investissement*socio=ec1 ou de développement*socio=uv3 et d'autres questions*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien étudiées par la Banque*socio=ac. La seconde est*socio=rien l'examen*socio=ec2 de l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 et des *socio=et mesures gouvernementales récentes*socio=rien *socio=nil en faisant référence*socio=rien aux conclusions*socio=rien des consultations*socio=uv1 précédentes*socio=rien. Les services_du_fonds*socio=ec1 ont en particulier*socio=rien pris soin*socio=rien d'examiner si le pays*socio=ac avait appliqué les recommandations*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac et si les évolutions*socio=te intervenues depuis lors*socio=rien justifiaient ces recommandations*socio=et. L'effort*socio=uv1 permanent*socio=rien déployé par le Fonds*socio=ec1 pour adapter*socio=rien la surveillance*socio=et l'a en outre conduit à mettre en place*socio=rien une procédure*socio=et nouvelle*socio=rien, généralement appelée " surveillance*socio=et accentuée ". Cette procédure*socio=et évolue encore et n'a été*socio=rien appliquée qu'à *socio=rien un petit nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil dans le cadre*socio=rien d'accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et pluriannuels. Lorsqu'elle a été*socio=rien appliquée, c'est*socio=rien le pays*socio=ac intéressé qui a pris l'initiative*socio=rien de demander au Fonds*socio=ec1 de suivre ses politiques*socio=et par des consultations*socio=uv1 plus fréquentes*socio=rien au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. La nouvelle*socio=rien procédure*socio=et a facilité pour plusieurs pays*socio=ac la négociation*socio=et d'accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et pluriannuels, qui avaient pour but*socio=rien de les aider à opérer la transition*socio=ec2 vers l'accès*socio=uv1 normal*socio=rien au *socio=ec1 financement bancaire.*socio=nil *socio=nil S'il *socio=rien est vrai *socio=nil que la surveillance*socio=et accentuée peut aider les banques*socio=ac dans leur évaluation*socio=ec2 des risques*socio=uv3, elle ne saurait en aucun cas*socio=rien se substituer aux évaluations*socio=ec2 économiques*socio=ec1 effectuées pour leur propre*socio=rien compte*socio=ec1 par les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, qui conservent pleinement la responsabilité*socio=uv1 de leurs propres*socio=rien décisions*socio=et de prêts*socio=ec1 sur*socio=rien la base*socio=rien de leurs propres*socio=rien appréciations*socio=uv3. La participation*socio=uv3 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 à des réunions*socio=rien multilatérales*socio=et regroupant des gouvernements*socio=ac et d'autres organisations_internationales*socio=ac demeure l'un*socio=rien des grands*socio=rien moyens*socio=ec1 d'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et. Le directeur_général*socio=ac a participé aux réunions*socio=rien des ministres*socio=ac des finances*socio=ec1 des *socio=rien cinq principaux pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil - rencontres particulièrement importantes*socio=uv4 pour l'examen*socio=ec2 des questions*socio=rien ayant trait*socio=rien à l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et à la coordination*socio=uv3 de la politique*socio=et internationale*socio=ac. Le Groupe*socio=ac des dix a aussi joué un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée comme instance*socio=rien de *socio=rien réflexion sur *socio=nil les approches nouvelles*socio=rien de la surveillance*socio=et. Le rapport*socio=rien des *socio=rien suppléants du Groupe*socio=ac *socio=nil des dix sur*socio=rien le *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te,*socio=nil *socio=nil qui a été*socio=rien rendu public*socio=et en juin*socio=rien 1985, renferme des conclusions*socio=rien concernant le renforcement*socio=ec2 de la surveillance*socio=et, ainsi que le fonctionnement*socio=rien des *socio=ec1 taux_de_change flottants,*socio=nil la*socio=nil gestion*socio=ec2 des*socio=nil liquidités internationales*socio=te *socio=nil et le rôle*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Le Groupe*socio=ac des vingt-quatre*socio=rien a examiné divers *socio=rien points intéressant l'*socio=nil exercice *socio=nil de la surveillance*socio=et, notamment ceux qui ont trait*socio=rien aux relations*socio=rien entre pays_industrialisés*socio=ac et pays_en_développement*socio=uv3. Le comité_intérimaire*socio=ac consacrera *socio=rien un premier examen*socio=ec2 *socio=nil à ces questions*socio=rien à sa *socio=rien prochaine réunion en*socio=nil octobre *socio=nil 1985. Les activités*socio=rien de surveillance*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 reposent *socio=rien sur un important*socio=uv4 travail d'*socio=nil analyse*socio=ec2.*socio=nil en*socio=nil particulier,*socio=nil le*socio=nil Fonds*socio=ec1 *socio=nil suit en permanence*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1 et les politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 de ses pays_membres*socio=ac. Depuis 1983, le conseil_d'_administration*socio=ac a été*socio=rien régulièrement avisé de toutes les *socio=rien modifications notables des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 effectifs réels*socio=ec2.*socio=nil Les*socio=nil avis d'*socio=nil information *socio=nil renferment généralement une évaluation*socio=ec2 des mouvements*socio=ec2 de taux_de_change*socio=ec1 communiqués. A ce jour*socio=rien, le Conseil*socio=ac n'a pas ouvert*socio=rien de débat*socio=et sur*socio=rien les avis*socio=rien reçus, mais ceux-ci ont souvent servi à nourrir les débats*socio=et sur*socio=rien la politique*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 lorsqu'un*socio=rien avis*socio=rien avait été*socio=rien diffusé peu de temps*socio=rien avant des *socio=rien réunions du Conseil*socio=ac *socio=nil ayant pour objet*socio=rien de conclure des consultations*socio=uv1 menées au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV ou d'examiner l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Ces nouvelles*socio=rien procédures*socio=et de suivi viennent compléter le *socio=rien système existant,*socio=nil *socio=nil mis en place*socio=rien en 1977, en vertu*socio=rien duquel un*socio=rien *socio=ac pays membre est*socio=rien *socio=nil tenu d'informer le Fonds*socio=ec1 dans *socio=rien un délai *socio=nil de trois jours*socio=rien de toute modification*socio=rien apportée à son régime*socio=et de change*socio=ec1. Encore plus importante*socio=uv4 pour les activités*socio=rien de surveillance*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 est*socio=rien la contribution*socio=uv1 apportée par les analyses*socio=ec2 économiques*socio=ec1 approfondies qui figurent dans les études*socio=ec2 sur*socio=rien les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Outre leur utilité*socio=rien pour l'examen*socio=ec2 des *socio=rien questions relatives aux*socio=nil interactions des*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil et des facteurs*socio=rien économiques*socio=ec1 à l'échelle*socio=rien mondiale*socio=te, les documents*socio=rien établis à cette occasion*socio=rien fournissent des prévisions*socio=ec2 à court_terme*socio=te et une perspective*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil qui servent de points*socio=rien de référence*socio=rien pour les *socio=rien travaux du Fonds*socio=ec1 sur des*socio=nil questions intéressant *socio=nil tel ou tel pays*socio=ac particulier*socio=rien. En 1984 et au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1985, l'un*socio=rien des *socio=rien grands thèmes des*socio=nil débats*socio=et relatifs aux*socio=nil perspectives*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te a été*socio=rien celui des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac et des *socio=rien conséquences susceptibles *socio=nil d'en découler pour les pays_en_développement*socio=uv3. Le but*socio=rien de l'analyse*socio=ec2 était de cerner dans leurs *socio=rien grandes lignes les*socio=nil politiques*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil qui sont requises*socio=uv4 dans l'un*socio=rien et dans l'autre groupe_de_pays*socio=ac. *socio=rien Modifications récentes des*socio=nil régimes*socio=et de*socio=nil change*socio=ec1 *socio=nil communiquées par les pays_membres*socio=ac. La tendance*socio=ec2 à l'assouplissement*socio=uv3 des régimes*socio=et de change*socio=ec1 s'est*socio=rien maintenue en 1984 et au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1985. Deux *socio=rien faits marquants *socio=nil ont caractérisé cette période*socio=te : l'adoption*socio=uv3 de régimes*socio=et de flottement*socio=ec1 indépendant*socio=rien par *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil et le recul*socio=rien de régimes*socio=et de " flexibilité*socio=uv3 limitée " - autrement dit de quasi-rattachement à une monnaie*socio=ec1 unique*socio=rien, qui était le dollar_eu*socio=ec1 dans tous les cas*socio=rien considérés - au profit*socio=ec1 de dispositifs*socio=et définissant*socio=rien la monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te par référence*socio=rien à *socio=rien un panier de*socio=nil monnaies*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et notamment par référence*socio=rien au DTS. Sur*socio=rien les quinze pays_membres*socio=ac qui ont modifié leur régime*socio=et de change*socio=ec1 en 1984 et pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1985, six ont adopté un*socio=rien régime*socio=et de flottement*socio=ec1 indépendant*socio=rien. El Salvador*socio=ac, qui avait défini*socio=rien sa monnaie*socio=ec1 par référence*socio=rien au dollar_eu*socio=ec1, a été*socio=rien reclassé dans les pays*socio=ac à régime*socio=et de flottement*socio=ec1 dirigé. Le Pérou*socio=ac *socio=rien est passé du flottement*socio=ec1 *socio=nil dirigé à un*socio=rien régime*socio=et prévoyant l'ajustement*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 en fonction*socio=rien d'un*socio=rien ensemble*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1. La Guyane*socio=ac, les Maldives et la Thaïlande*socio=ac, qui appliquaient jusqu'ici un*socio=rien régime*socio=et de flexibilité*socio=uv3 limitée par rapport*socio=rien au dollar_eu*socio=ec1, et le Malawi, dont la monnaie*socio=ec1 était rattachée au DTS, définissent*socio=rien désormais leur monnaie*socio=ec1 par référence*socio=rien à *socio=rien un panier de*socio=nil monnaies*socio=ec1 *socio=nil reflétant le *socio=rien poids relatif *socio=nil de leurs partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. La Sierra*socio=rien Leone et la Guinée équatoriale ont changé d'unité*socio=rien monétaire*socio=ec1 de référence*socio=rien, la première*socio=rien passant du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1 au DTS, alors que la seconde abandonnait la peseta*socio=ec1 espagnole*socio=ac pour se rattacher au franc*socio=ec1 français*socio=rien. En outre, deux nouveaux*socio=rien pays_membres*socio=ac ont informé le Fonds*socio=ec1 du*socio=rien régime*socio=et de change*socio=ec1 qu'ils avaient adopté : Saint-christophe-et-nevis a été*socio=rien classé dans le groupe_de_pays*socio=ac dont le taux_de_change*socio=ec1 est*socio=rien établi par référence*socio=rien au dollar_eu*socio=ec1 et le Mozambique*socio=ac dans le groupe_de_pays*socio=ac dont le taux_de_change*socio=ec1 est*socio=rien établi par référence*socio=rien à un*socio=rien autre panier*socio=rien que le DTS. A la suite*socio=rien de ces changements*socio=uv3, le nombre*socio=rien de pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 dont le régime*socio=et de change*socio=ec1 prévoit une " plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3 " a augmenté, passant de 38 à la fin*socio=rien de 1983 à 40 à la fin*socio=rien de juin*socio=rien 1985, et le nombre*socio=rien de pays_membres*socio=ac ayant adopté un*socio=rien régime*socio=et de " flottement*socio=ec1 indépendant*socio=rien " *socio=rien est passé *socio=nil de 8 à 14 au cours*socio=rien de cette période*socio=te de 18 mois*socio=rien. Un*socio=rien pays_industrialisé*socio=ac (la Nouvelle-zélande*socio=ac) et cinq*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 (Jamaïque*socio=ac, Ouganda*socio=ac, Philippines*socio=ac, République*socio=ac Dominicaine et Zaïre*socio=ac) ont officiellement*socio=et adopté un*socio=rien régime*socio=et de *socio=ec1 taux flottants sur*socio=rien des*socio=nil marchés des*socio=nil changes *socio=nil unifiés. Le nombre*socio=rien de pays*socio=ac qui définissent*socio=rien leur taux_de_change*socio=ec1 par référence*socio=rien à une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1 étrangère*socio=te est*socio=rien tombé de 51 à 50, alors que le nombre*socio=rien de ceux qui établissent la valeur*socio=ec1 de leur monnaie*socio=ec1 par référence*socio=rien à *socio=rien un panier est passé *socio=nil de 39 à 44. Le nombre*socio=rien des pays*socio=ac dont le régime*socio=et de change*socio=ec1 rentre dans la catégorie*socio=rien " flexibilité*socio=uv3 limitée " est*socio=rien tombé de 17 à 13. Entre décembre*socio=rien 1981, date d'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 *socio=rien du système actuel*socio=te de*socio=nil classification*socio=ec2,*socio=nil et*socio=nil juin *socio=nil 1985, la proportion*socio=rien de pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 dont le régime*socio=et de change*socio=ec1 prévoit une " plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3 ", y compris ceux qui participent au dispositif*socio=et de coopération*socio=uv1 du*socio=rien SME*socio=ec1, est*socio=rien passée de 28 % à 33 % et celle des pays_membres*socio=ac définissant*socio=rien leur taux_de_change*socio=ec1 par référence*socio=rien à une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1 (y compris ceux dont le régime*socio=et se caractérise par une flexibilité*socio=uv3 limitée vis-à-vis d'une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1) est*socio=rien tombée de 47 à 37 %. La proportion*socio=rien de pays_membres*socio=ac dont le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien est défini par*socio=nil référence a*socio=nil un panier est *socio=nil passée de 25 à 30 % pendant la même période*socio=te (la proportion*socio=rien des régimes*socio=et classés dans la sous-catégorie " panier*socio=rien de monnaies*socio=ec1 autre que le DTS " progressant de 16 à 22 % ). A la fin*socio=rien de juin*socio=rien 1985, 50 pays_membres*socio=ac définissaient leur taux_de_change*socio=ec1 par rapport*socio=rien à une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1, 12 par rapport*socio=rien au DTS et 32 par rapport*socio=rien à d'autres paniers; 40 pays_membres*socio=ac maintenaient un*socio=rien régime*socio=et de change*socio=ec1 prévoyant une " plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3 ", et 13, un*socio=rien régime*socio=et de " flexibilité*socio=uv3 limitée " (tableau*socio=rien 12). Communiques de presse*socio=et et communication*socio=ec1 du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac et du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3. comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Communiqués de presse*socio=et. *socio=rien Vingt-troisième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 22*socio=nil septembre *socio=nil 1984. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa *socio=rien vingt-troisième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil DC, le 22 septembre*socio=rien 1984, sous la présidence*socio=rien de M.. Willy De Clercq, vice-premier_ministre*socio=ac, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et Ministre*socio=ac du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te de la Belgique*socio=ac. M.. J.. de Larosière, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, a participé à la réunion*socio=rien, à laquelle ont également assisté*socio=rien les observateurs*socio=ac d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil organisations_internationales*socio=ac ou*socio=nil régionales*socio=te,*socio=nil *socio=nil ainsi que de la Suisse*socio=ac. 2 - Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac ont examiné les Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et ont exprimé leur satisfaction*socio=uv3 de voir la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac se poursuivre en 1984 au taux*socio=ec1 de 5 %, c'est-à-dire encore plus rapidement que prévu. Ils notent que l'investissement*socio=ec1 a été*socio=rien particulièrement vigoureux*socio=rien et que l'inflation*socio=ec1 a continué d'être*socio=rien maîtrisée. Le fait*socio=rien, toutefois, que les *socio=ac pays européens *socio=nil n'aient pas encore pleinement participé à la reprise et que le chômage*socio=ec1 y demeure très élevé*socio=uv4 *socio=rien est un sujet de*socio=nil préoccupation*socio=uv4.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac s'*socio=nil inquiète *socio=nil de voir que la situation*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 reste difficile.*socio=nil *socio=nil Néanmoins, dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil la*socio=nil perspective *socio=nil d'une nouvelle*socio=rien réduction*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te est*socio=rien jugée encourageante*socio=uv2, en particulier*socio=rien parce qu'elle est*socio=rien, de plus en plus, due à l'expansion*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 et qu'elle s'accompagne d'un*socio=rien retour*socio=rien à une croissance*socio=uv3 positive*socio=uv4 du*socio=rien revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien qu'il convient de continuer à appliquer une stratégie*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil pour soutenir la reprise dans les pays_industrialisés*socio=ac. Une telle stratégie*socio=et comprendrait, en particulier*socio=rien, une politique_monétaire*socio=et désinflationniste, de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et visant à améliorer la structure*socio=ec1 des budgets*socio=ec1 publics*socio=et et à réduire les déficits*socio=ec1 - essentiellement en comprimant les dépenses*socio=ec1 -, ainsi qu'une lutte*socio=uv1 résolue contre les rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2, y compris les *socio=et mesures protectionnistes,*socio=nil *socio=nil qui empêchent le fonctionnement*socio=rien efficace*socio=uv4 des marchés*socio=ec1. 3. Les problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 demeurent préoccupants*socio=uv4, mais le Comité*socio=ac estime*socio=rien que de nets*socio=rien progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien réalisés - notamment grâce*socio=rien à la reprise du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te - dans la mise en oeuvre*socio=rien de la stratégie*socio=et coordonnée que débiteurs*socio=ac et créanciers*socio=ac ont adoptée pour s'attaquer à ces problèmes*socio=uv4, dans le cadre*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et. Le Comité*socio=ac souligne le fait*socio=rien qu'une solution*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 des problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 continue*socio=rien d'exiger une collaboration*socio=uv1 étroite*socio=rien entre toutes les parties*socio=rien intéressées. A cet égard*socio=rien, il est*socio=rien important*socio=uv4 que la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 demeure suffisante*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac, que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 diminuent de *socio=rien façon substantielle par*socio=nil rapport *socio=nil à leurs niveaux*socio=rien actuels*socio=te et que les pays*socio=ac endettés, eux-mêmes, continuent d'appliquer avec détermination*socio=rien des politiques*socio=et d'ajustement*socio=et. Les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont la responsabilité*socio=uv1 particulière*socio=rien de mettre en oeuvre*socio=rien des politiques*socio=et qui suscitent une croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2 et celle d'ouvrir aux pays_en_développement*socio=uv3 un*socio=rien accès*socio=uv1 suffisant*socio=rien à leurs marchés*socio=ec1. Des financements*socio=ec1 appropriés continuent d'être*socio=rien nécessaires*socio=rien pour encourager et faciliter un*socio=rien ajustement*socio=et efficace*socio=uv4. Ce sont les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil eux-mêmes qui ont à fournir l'effort*socio=uv1 fondamental*socio=uv2, en persévérant dans l'application*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et économique*socio=ec1 qui renforcent la position*socio=rien de leurs comptes*socio=ec1 extérieurs*socio=te, posent les fondations d'une utilisation*socio=rien plus efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1 et, de ce fait*socio=rien, permettent à ces pays*socio=ac de rétablir leur crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te et à leur économie*socio=ec1 de recommencer à croître le plus rapidement possible*socio=rien. A cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac se félicite des initiatives*socio=rien qui favorisent des réaménagements*socio=rien pluriannuels de la dette*socio=ec1 dans les cas*socio=rien d'ajustement*socio=et effectif*socio=rien. Le Comité*socio=ac souligne également qu'il importe que le Fonds*socio=ec1 continue*socio=rien de jouer un*socio=rien rôle*socio=et dans la mise en oeuvre*socio=rien d'une stratégie*socio=et coordonnée de gestion*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. 4 - Le Comité*socio=ac exprime son *socio=rien inquiétude devant la*socio=nil persistance*socio=te du recours*socio=ec1 *socio=nil à des *socio=et mesures protectionnistes.*socio=nil *socio=nil Il note que, s'il n'est*socio=rien pas enrayé, le glissement*socio=rien vers le protectionnisme*socio=et compromettra les chances*socio=rien de reprise mondiale*socio=te et entravera le *socio=rien bon fonctionnement du système international*socio=te des*socio=nil échanges*socio=ec1 *socio=nil ainsi que celui des financements*socio=ec1 internationaux*socio=te. Le Comité*socio=ac se félicite donc de la détermination*socio=rien, exprimée récemment à la réunion*socio=rien au sommet*socio=rien, à Londres*socio=ac, des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac - dont la part*socio=rien dans les échanges_mondiaux*socio=ec1 est*socio=rien importante*socio=uv4 -, ainsi que dans d'autres instances*socio=et internationales*socio=te, de favoriser des politiques*socio=et d'ouverture*socio=uv3 commerciale*socio=ec1. Il se félicite, certes, des mesures*socio=et qu'ont prises*socio=rien, récemment, certains pays*socio=ac pour résister aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et, mais il demande*socio=ec1 à tous ses membres*socio=ac de transformer cette détermination*socio=rien en actions*socio=ec1 concrètes*socio=rien afin d'empêcher l'adoption*socio=uv3 de *socio=et mesures protectionnistes nouvelles*socio=rien *socio=nil et de démanteler celles qui sont en vigueur*socio=uv3. Le Comité*socio=ac attire l'attention*socio=rien sur*socio=rien le fait*socio=rien qu'un*socio=rien accès*socio=uv1 plus large*socio=rien des exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 aux marchés*socio=ec1 étrangers*socio=te permet d'apporter une contribution*socio=uv1 importante*socio=uv4 aux efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et de ces pays*socio=ac et à la solution*socio=rien à long_terme*socio=te du*socio=rien problème*socio=uv4 de la dette*socio=ec1. Le Comité*socio=ac insiste, en outre, sur*socio=rien l'importance*socio=rien que revêt une surveillance*socio=et internationale*socio=ac accrue et efficace*socio=uv4 des politiques_commerciales*socio=et. A cet égard*socio=rien, il estime*socio=rien que le Fonds*socio=ec1 devrait continuer à accorder une *socio=rien attention particulière au*socio=nil problème*socio=uv4 du protectionnisme*socio=et,*socio=nil aussi*socio=nil bien *socio=nil dans le cadre*socio=rien de sa fonction*socio=rien de surveillance*socio=et que pour appuyer les efforts*socio=uv1 du*socio=rien GATT*socio=ac et d'autres institutions*socio=ac qui ont des responsabilités*socio=uv1 dans ce domaine*socio=rien. 5 - Il a été*socio=rien convenu qu'à sa *socio=rien prochaine réunion le*socio=nil comité_intérimaire*socio=ac *socio=nil étudiera, dans une optique*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil et dans le contexte*socio=rien de l'environnement*socio=et financier*socio=ec1 mondial*socio=te et des moyens*socio=ec1 actuellement envisagés pour résoudre les problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1, *socio=rien certaines questions *socio=nil se rapportant aux efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et aux perspectives*socio=te de balance_des_paiements*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. Ces questions*socio=rien comprendront l'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te, les mouvements_de_capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te, les politiques_commerciales*socio=et et le rôle*socio=et de la surveillance*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 dans le règlement*socio=et de ces questions*socio=rien. A cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au directeur_général*socio=ac de faire établir, dans le cadre*socio=rien de la compétence*socio=uv3 du*socio=rien Fonds*socio=ec1, *socio=rien un document de*socio=nil référence *socio=nil qui sera examiné par le conseil_d'_administration*socio=ac, et de présenter au Comité*socio=ac, à sa *socio=rien prochaine réunion,*socio=nil un rapport *socio=nil qui servira de base*socio=rien à ses délibérations*socio=et sur*socio=rien ces questions*socio=rien. 6 - Le Comité*socio=ac a examiné la question*socio=rien de la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et des limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 aux ressources*socio=ec1 de cette institution*socio=ac en 1985. Il a été*socio=rien rappelé que la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi du*socio=rien Fonds*socio=ec1 *socio=rien est un mécanisme*socio=et à*socio=nil caractère temporaire *socio=nil et que cette politique*socio=et ainsi que les limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 qu'elle prévoit, de même que les limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 aux mécanismes_spéciaux*socio=rien du*socio=rien Fonds*socio=ec1, doivent être*socio=rien réexaminées avant la fin*socio=rien de 1984. Le Comité*socio=ac reconnaît que, malgré l'amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, maints pays_membres*socio=ac continuent à se heurter à de *socio=uv4 graves problèmes de*socio=nil paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te *socio=nil et que les perspectives*socio=te à *socio=rien moyen terme *socio=nil demeurent très incertaines*socio=uv4. Dans ces conditions*socio=ec1, le Comité*socio=ac convient qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil de poursuivre la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi et formule*socio=rien les conclusions*socio=rien ci-après sur*socio=rien les limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 pour 1985: a - Dans le cadre*socio=rien de la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi en 1985, l'accès*socio=uv1 doit être*socio=rien limité à 95 ou 115 % de la quote-part*socio=ec1 par an*socio=rien et à 280 ou 345 % de la quote-part*socio=ec1 sur*socio=rien trois années*socio=rien, ainsi qu'à un*socio=rien plafond*socio=ec1 cumulatif*socio=ec2 de 408 ou 450 % de la quote-part*socio=ec1. Ceci, en fonction*socio=rien de la gravité des problèmes*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 et de la vigueur*socio=uv3 de l'effort*socio=uv1 d'ajustement*socio=et. Comme c'est*socio=rien actuellement le cas*socio=rien, le conseil_d'_administration*socio=ac doit conserver la possibilité*socio=rien d'approuver, dans des cas*socio=rien exceptionnels*socio=uv4, des accords*socio=et de confirmation*socio=et et des accords*socio=et élargis portant sur*socio=rien des montants*socio=ec1 qui dépassent ces limites*socio=rien d'accès*socio=uv1. b - Les limites*socio=rien actuelles*socio=te d'accès*socio=uv1 aux mécanismes_spéciaux*socio=rien doivent être*socio=rien conservées. c - Comme c'est*socio=rien actuellement le cas*socio=rien, les limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 ne doivent pas être*socio=rien considérées comme des objectifs*socio=uv3. Ces limites*socio=rien, ainsi que la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi elle-même, doivent être*socio=rien réexaminées avant la fin*socio=rien de 1985, puis tous les ans*socio=rien par la suite*socio=rien, compte*socio=ec1 tenu de tous les *socio=rien facteurs pertinents,*socio=nil *socio=nil y compris notamment l'ampleur*socio=rien des problèmes*socio=uv4 de paiements*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac et l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien de liquidité*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de prendre, avant la fin*socio=rien de cette année*socio=rien, toutes les mesures*socio=et nécessaires*socio=rien pour mettre en oeuvre*socio=rien les conclusions*socio=rien qu'il a formulées. 7 - Le Comité*socio=ac a de nouveau*socio=rien examiné la question*socio=rien d'une allocation*socio=et de DTS compte*socio=ec1 tenu de la situation*socio=rien de la liquidité*socio=ec1 internationale*socio=ac et de celle de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. A cet égard*socio=rien, il prend note de la déclaration*socio=et du*socio=rien directeur_général*socio=ac sur*socio=rien les délibérations*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac à ce sujet*socio=rien. La plupart*socio=rien des membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac réaffirment avec vigueur*socio=uv3 qu'il existe un*socio=rien besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te d'ajouter aux avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 existants*socio=rien et qu'une allocation*socio=et de DTS, dans la situation*socio=rien actuelle*socio=te, serait pleinement conforme*socio=uv4 aux dispositions*socio=et des statuts*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et renforcerait l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, ainsi que le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Certains membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac, toutefois, continuent de penser que l'existence*socio=rien d'une pénurie*socio=ec2 globale*socio=rien de liquidités*socio=ec1 n'a pas été*socio=rien prouvée. Selon eux, les problèmes*socio=uv4 auxquels ont à faire face*socio=rien certains pays*socio=ac dont les réserves*socio=ec1 sont insuffisantes*socio=uv4 doivent être*socio=rien résolus par un*socio=rien ajustement*socio=et des politiques_économiques*socio=et et par l'octroi*socio=rien d'un*socio=rien financement*socio=ec1 conditionnel*socio=rien. Le Comité*socio=ac n'a adopté aucune conclusion*socio=rien au cours*socio=rien de la *socio=rien présente réunion,*socio=nil *socio=nil mais il reconnaît que cette question*socio=rien doit continuer de faire l'objet*socio=rien d'une étude*socio=ec2 approfondie. En conséquence*socio=rien, il invite instamment le conseil_d'_administration*socio=ac à poursuivre l'examen*socio=ec2 des questions*socio=rien en cause*socio=rien. La majorité*socio=rien des membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac sont convenus qu'il faut continuer de s'efforcer de dégager *socio=rien un large consensus*socio=uv1 sur la*socio=nil question *socio=nil d'une allocation*socio=et de DTS au cours*socio=rien de la présente*socio=rien période*socio=te de base*socio=rien. 8 - Le Comité*socio=ac convient de tenir sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil DC, en avril*socio=rien 1985. *socio=rien Vingt-quatrième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 17-19*socio=nil avril *socio=nil 1985. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa *socio=rien vingt-quatrième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil DC, du*socio=rien 17 au 19 avril*socio=rien 1985, sous la présidence*socio=rien de M.. H.. Onno Ruding, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 des Pays-bas*socio=ac. M.. J.. de Larosière, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, a participé à la réunion*socio=rien, à laquelle ont également assisté*socio=rien les observateurs*socio=ac d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil organisations_internationales*socio=ac et*socio=nil régionales*socio=te,*socio=nil *socio=nil ainsi que de la Suisse*socio=ac. 2 - Comme il a été*socio=rien convenu en *socio=rien septembre dernier,*socio=nil le*socio=nil comité_intérimaire*socio=ac *socio=nil a consacré, au cours*socio=rien de cette réunion*socio=rien, l'essentiel*socio=uv4 de ses travaux*socio=rien à l'examen*socio=ec2, dans une optique*socio=rien à *socio=rien moyen terme,*socio=nil de*socio=nil certaines questions *socio=nil se rapportant aux efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et aux perspectives*socio=te de balance_des_paiements*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. Ces questions*socio=rien comprenaient l'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te, les mouvements_internationaux_de_capitaux*socio=ec1, les politiques_commerciales*socio=et ainsi que le rôle*socio=et de la surveillance*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 dans l'approche de ces questions*socio=rien. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac ont procédé*socio=rien à un*socio=rien échange_de_vues*socio=uv3 constructif*socio=uv2 en vue*socio=rien de parvenir à un*socio=rien accord*socio=et sur*socio=rien d'éventuelles*socio=te mesures*socio=et permettant de renforcer les dispositions*socio=et et les ententes_internationales*socio=et dans tous ces domaines*socio=rien. 3 - Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac se félicitent de la reprise persistante*socio=rien de l' activité_économique*socio=ec1 mondiale*socio=te et *socio=rien du fait *socio=nil que l'inflation*socio=ec1 a généralement continué de se ralentir. Les pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, pris en groupe*socio=ac, ont amélioré sensiblement leurs exportations*socio=ec1 et la position*socio=rien de leurs paiements_courants*socio=ec1. En moyenne*socio=rien, le revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac de ces pays*socio=ac a recommencé à augmenter. Tout en notant que la reprise, au demeurant encore inégale*socio=uv2 dans les différents*socio=rien pays*socio=ac, doit, selon les prévisions*socio=ec2, demeurer soutenue, le Comité*socio=ac attire l'attention*socio=rien sur*socio=rien les *socio=rien faits suivants *socio=nil : dans maints pays_en_développement*socio=uv3, la croissance*socio=ec1 n'atteint pas encore un*socio=rien rythme*socio=ec2 acceptable*socio=uv2; les cours*socio=rien de leurs produits*socio=rien de base*socio=rien et leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 ne se sont pas redressés; dans quelques pays_industrialisés*socio=ac, les déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et et les déséquilibres*socio=uv3 des transactions_courantes*socio=te persistent et se sont même accentués; le *socio=rien niveau du chômage*socio=ec1 est *socio=nil encore très élevé*socio=uv4 dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac;*socio=nil *socio=nil enfin, les taux_de_change*socio=ec1 sont toujours erratiques. Le Comité*socio=ac note la *socio=rien détresse persistante *socio=nil de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac, qui demeure l'un*socio=rien des *socio=rien principaux sujets de*socio=nil préoccupation*socio=uv4 *socio=nil de la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil *socio=nil 4 - Le Comité*socio=ac note que les perspectives*socio=te à *socio=rien moyen terme *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te dépendront de l'évolution*socio=te des échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te, des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et des taux_de_change*socio=ec1. A cet égard*socio=rien, il souligne qu'il incombe tout particulièrement aux grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac de suivre des politiques*socio=et propres*socio=rien à favoriser une croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2 durable*socio=uv4 et à permettre aux pays_en_développement*socio=uv3 d'accroître leurs débouchés*socio=ec1. Plus particulièrement, le Comité*socio=ac attire l'attention*socio=rien sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de prendre des mesures*socio=et dans les *socio=rien domaines suivants *socio=nil : a - La tendance*socio=ec2 au protectionnisme*socio=et, qu'il importe de renverser au plus tôt, et le système*socio=rien d'échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te, qu'il faudra s'efforcer de libéraliser. b - Les déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et, dont l'ampleur*socio=rien demeure préoccupante*socio=uv4 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Il convient que ces pays*socio=ac adoptent des mesures*socio=et pour réduire le recours*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et à l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te aussi bien*socio=rien qu'extérieure*socio=te, et, de ce fait*socio=rien, atténuer la pression*socio=ec2 sur*socio=rien les *socio=ec1 ressources financières,*socio=nil *socio=nil ce qui pourrait avoir pour effet*socio=rien de faire baisser les taux_d'_intérêt*socio=ec1 et stimuler la croissance*socio=uv3. A cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac s'est*socio=rien félicité de l'annonce récente*socio=rien par le gouvernement*socio=ac des États-unis*socio=ac des dispositions*socio=et envisagées pour réduire sensiblement son déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et. c - Les marchés_du_travail*socio=ec1, les marchés_financiers*socio=ec1 et les marchés*socio=ec1 des produits*socio=rien, dont le fonctionnement*socio=rien devrait être*socio=rien amélioré par des mesures*socio=et visant à éliminer les rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2. d - La stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1, qu'il est*socio=rien tout aussi important*socio=uv4 de chercher à accroître. En jetant les bases*socio=rien d'une expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4 de la production*socio=ec1 et des échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te, ces mesures*socio=et favoriseraient la progression*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 et faciliteraient la mise en oeuvre*socio=rien, par les *socio=ac pays débiteurs,*socio=nil des*socio=nil mesures*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil qui s'imposent. 5 - Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu que de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 ont accompli des progrès*socio=uv1 dans la maîtrise*socio=rien des difficultés*socio=uv4 que soulève le service_de_leur_dette*socio=ec1, progrès*socio=uv1 qui ont, sans *socio=rien nul doute,*socio=nil été *socio=nil facilités par la vigueur*socio=uv3 de la reprise économique*socio=ec1, en particulier*socio=rien aux États-unis*socio=ac. Le Comité*socio=ac note, toutefois, que nombre*socio=rien de pays*socio=ac restent aux prises*socio=rien avec de *socio=uv4 graves problèmes d'*socio=nil endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=nil qui ont été*socio=rien aggravés par l'évolution*socio=te des taux_d'_intérêt*socio=ec1 dont le niveau*socio=rien a baissé, certes, mais demeure très élevé*socio=uv4, Ces problèmes*socio=uv4 ne pourront être*socio=rien réglés de façon*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 que par la poursuite*socio=rien d'efforts*socio=uv1 soutenus, résolus et coordonnés par les *socio=ac pays créanciers *socio=nil comme par les *socio=ac pays débiteurs,*socio=nil *socio=nil Il faudra également, dans la recherche*socio=ec2 d'une solution*socio=rien, continuer de tenir compte*socio=ec1 de la *socio=rien situation particulière *socio=nil de chaque pays*socio=ac. Plusieurs pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 continuent d'éprouver de *socio=uv4 graves difficultés *socio=nil à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1, bien*socio=rien qu'il s'agisse, pour l'essentiel*socio=uv4, de dettes*socio=ec1 envers des créanciers*socio=ac officiels*socio=et. 6 - Dans les *socio=ac pays débiteurs,*socio=nil l'*socio=nil ajustement*socio=et est*socio=rien essentiel*socio=uv4 *socio=nil et, en fait*socio=rien, inévitable*socio=rien. *socio=rien Vingt-quatrième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 23*socio=nil septembre *socio=nil 1984. 1 - Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa *socio=rien vingt-quatrième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil DC, le 23 septembre*socio=rien 1984, sous la présidence*socio=rien de M.. Ghulam*socio=ac Ishaq Khan, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1, du*socio=rien commerce*socio=ec1 et de la coordination*socio=uv3 économique*socio=ec1 du*socio=rien Pakistan*socio=ac. M.. A.. W.. Clausen, Président*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac, M.. J.. de Larosière, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, et M.. Fritz Fischer, *socio=ac Secrétaire exécutif du*socio=rien Comité du*socio=rien développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil ont participé à la réunion*socio=rien, à laquelle assistaient également des représentants*socio=ac de plusieurs organisations_internationales*socio=ac et régionales*socio=te, ainsi que de la Suisse*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac a entendu les déclarations*socio=et de son Président*socio=ac, du*socio=rien directeur_général*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac, du*socio=rien Président*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac et du*socio=rien Président*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des *socio=rien vingt-quatre sur les*socio=nil perspectives*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. 3 - Le Comité*socio=ac se félicite que les négociations*socio=et sur*socio=rien une augmentation*socio=ec2 sélective*socio=uv4 de 8,4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 du*socio=rien capital*socio=ec1 de la Banque*socio=ac et sur*socio=rien une augmentation*socio=ec2 de 650 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1 du*socio=rien capital*socio=ec1 de la société_ financière_internationale*socio=ac aient abouti. Il note avec inquiétude*socio=rien que les efforts*socio=uv1 déployés récemment par la direction*socio=et de VIDA et les donateurs*socio=ac pour mobiliser des ressources*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien pour IDA-7*socio=ac sont jusqu'ici restés infructueux et demande*socio=ec1 que, conformément à la *socio=rien proposition du Canada*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil situation *socio=nil soit réexaminée. 4 - Le Comité*socio=ac a examiné le rapport*socio=rien intitulé " Programme*socio=et d'action*socio=ec1 concertée pour un*socio=rien développement*socio=uv3 stable*socio=uv4 de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac ", préparé à son intention*socio=rien par les services*socio=et de la Banque*socio=ac. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac expriment à nouveau*socio=rien leur *socio=rien inquiétude devant *socio=nil la gravité de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac et ils notent que de nombreux*socio=rien *socio=ac gouvernements africains *socio=nil ne ménagent aucun effort*socio=uv1 pour redresser et restructurer leur économie*socio=ec1. Le Comité*socio=ac conclut que l'on voit se dégager un*socio=rien consensus*socio=uv1 sur*socio=rien le diagnostic*socio=rien des problèmes*socio=uv4 économiques*socio=ec1 de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac et sur*socio=rien les remèdes*socio=rien à appliquer. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac sont d'avis*socio=rien, en outre, que l'on ne peut plus temporiser. Le Comité*socio=ac appuie vigoureusement le programme*socio=et d'action*socio=ec1 proposé dans le rapport*socio=rien, soulignant que son application*socio=rien exigera les efforts*socio=uv1 concertés et soutenus des gouvernements*socio=ac des *socio=ac pays africains,*socio=nil des*socio=nil bailleurs_de_fonds*socio=ec1 bilatéraux*socio=et *socio=nil et des organisations_internationales*socio=ac. Le Comité*socio=ac invite les donateurs*socio=ac à fournir une aide*socio=uv1 au développement*socio=uv3 tant bilatérale*socio=et que multilatérale*socio=et sous des formes*socio=rien plus souples*socio=uv4, mieux adaptées aux besoins*socio=uv1 de l'Afrique*socio=ac, et il engage la banque_mondiale*socio=ac à jouer un*socio=rien rôle*socio=et de *socio=rien premier plan *socio=nil dans le renforcement*socio=ec2 de la coordination*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1. A cet égard*socio=rien, il invite également la Banque*socio=ac à étudier avec les donateurs*socio=ac diverses*socio=rien méthodes*socio=ec2 visant à mobiliser les ressources*socio=ec1 nécessaires*socio=rien à l'exécution*socio=rien du*socio=rien programme*socio=et envisagé. Il est*socio=rien demandé à cette organisation*socio=ac de faire *socio=rien rapport sur l'*socio=nil état d'*socio=nil avancement*socio=uv3 *socio=nil de l'application*socio=rien de ce programme*socio=et à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil 5 - S'agissant des liens*socio=rien entre le commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te et la promotion*socio=uv3 du*socio=rien développement*socio=uv3, le Comité*socio=ac a pu entendre un*socio=rien exposé du*socio=rien directeur_général*socio=ac du*socio=rien GATT*socio=ac, M.. Arthur Dunkel. Le Comité*socio=ac convient qu'il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 de maintenir ouverts*socio=rien les marchés*socio=ec1 vers lesquels les pays_en_développement*socio=uv3 exportent et de renforcer la discipline*socio=uv1 et les règles*socio=et commerciales*socio=ec1 multilatérales*socio=et pour les aider dans leurs efforts*socio=uv1 actuels*socio=te d'ajustement*socio=et et pour résoudre à long_terme*socio=te le problème*socio=uv4 de la dette*socio=ec1. Le Comité*socio=ac invite à l'adoption*socio=uv3 immédiate*socio=rien de mesures*socio=et concrètes*socio=rien contre le protectionnisme*socio=et. Il prend note de l'avancement*socio=uv3 du*socio=rien programme*socio=et de *socio=rien travail du GATT*socio=ac *socio=nil et se félicite qu'il soit tenu compte*socio=ec1 du*socio=rien rôle*socio=et que pourrait jouer, dans la libéralisation*socio=et et le renforcement*socio=ec2 *socio=rien du système commercial*socio=ec1,*socio=nil une*socio=nil nouvelle *socio=nil série de négociations_commerciales_multilatérales*socio=et sous l'égide*socio=rien du*socio=rien GATT*socio=ac, à laquelle tous les pays*socio=ac, aussi bien*socio=rien développés*socio=uv4 qu'en développement*socio=uv3, pourraient participer et dont tous pourraient tirer profit*socio=ec1. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac insistent également sur*socio=rien la contribution*socio=uv1 que l' investissement_privé*socio=et peut apporter au commerce*socio=ec1 et au développement*socio=uv3. 6 - Le Comité*socio=ac prend note des débats*socio=et engagés à la banque_mondiale*socio=ac sur*socio=rien le rôle*socio=et futur*socio=te de cette organisation*socio=ac et sur*socio=rien la contribution*socio=uv1 qu'elle peut apporter aux efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 des pays_en_développement*socio=uv3 et à la reprise de l'investissement*socio=ec1 et de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1. Le Comité*socio=ac attend avec intérêt*socio=uv1 à sa *socio=rien prochaine réunion les*socio=nil suggestions *socio=nil que la direction*socio=et de la banque_mondiale*socio=ac fera concernant le rôle*socio=et futur*socio=te de l'organisation*socio=ac et ses *socio=rien implications sur les*socio=nil besoins*socio=uv1 financiers*socio=ec1 à*socio=nil long_terme*socio=te,*socio=nil compte*socio=ec1 *socio=nil tenu de la nécessité*socio=uv1 d'une augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale du capital*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il insiste pour que des progrès*socio=uv1 suffisants*socio=rien soient réalisés dans cette voie*socio=rien au cours*socio=rien des *socio=rien prochains mois *socio=nil pour que la question*socio=rien puisse être*socio=rien analysée en *socio=rien profondeur lors *socio=nil de la réunion*socio=rien qui se tiendra au printemps*socio=rien de 1985. 7 - Il a été*socio=rien convenu qu'au cours*socio=rien d'une réunion*socio=rien plus longue*socio=rien au printemps*socio=rien de 1985, le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 étudiera, dans une perspective*socio=rien à moyen*socio=rien et à long_terme*socio=te et dans le cadre*socio=rien des démarches*socio=rien actuelles*socio=te visant à résoudre les problèmes*socio=uv4 de la dette*socio=ec1, les difficultés*socio=uv4 structurelles*socio=ec2 et de développement*socio=uv3 auxquelles se heurtent les pays_en_développement*socio=uv3 dans leurs efforts*socio=uv1 pour réaliser une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 saine*socio=uv2. Ces difficultés*socio=uv4 comprennent, entre autres, l'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te, le protectionnisme*socio=et, les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien, les taux_d'_intérêt*socio=ec1, la structure*socio=ec1 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 et les obstacles*socio=uv3 aux flux*socio=ec1 d'investissements*socio=ec1 directs*socio=rien et de prises*socio=rien de participation*socio=uv3. A cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au directeur_général*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et au Président*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac de faire établir en collaboration*socio=uv1 étroite*socio=rien, conformément à leurs mandats*socio=et et à leurs domaines*socio=rien de compétence*socio=uv3 respectifs*socio=rien, des documents*socio=rien de référence*socio=rien qui seront soumis au Comité*socio=ac à sa *socio=rien prochaine réunion,*socio=nil après avoir*socio=nil été *socio=nil examinés par leur conseil_d'_administration*socio=ac. *socio=rien Vingt-cinquième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 26*socio=nil septembre *socio=nil 1984. A sa *socio=rien vingt-cinquième réunion,*socio=nil *socio=nil tenue le 26 septembre*socio=rien 1984 à Washington*socio=ac, DC, le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a reconduit M.. Ghulam*socio=ac Ishaq Khan, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1, du*socio=rien commerce*socio=ec1 et de la coordination*socio=uv3 économique*socio=ec1 du*socio=rien Pakistan*socio=ac, dans ses fonctions*socio=rien de Président*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac. *socio=rien Vingt-sixième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 18-19*socio=nil avril *socio=nil 1985. 1 - Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa *socio=rien vingt-sixième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil DC, les 18 et 19 avril*socio=rien 1985, sous la présidence*socio=rien de Son Excellence*socio=uv3 Ghulam*socio=ac Ishaq Khan. M.. J, de Larosière, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, M.. A.. W.. Clausen, Président*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac, et M.. Fritz Fischer, *socio=ac Secrétaire exécutif du*socio=rien Comité du*socio=rien développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil ont participé à la réunion*socio=rien, à laquelle ont également assisté*socio=rien les observateurs*socio=ac d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil organisations_internationales*socio=ac,*socio=nil *socio=nil ainsi que de la Suisse*socio=ac. 2 - Comme il l'avait décidé à sa *socio=rien précédente réunion,*socio=nil en*socio=nil septembre *socio=nil 1984, le Comité*socio=ac a tenu une réunion*socio=rien plus longue*socio=rien que de coutume, organisée de façon*socio=rien à permettre à ses membres*socio=ac d'avoir un*socio=rien dialogue*socio=uv1 constructif*socio=uv2 sur*socio=rien les aspects*socio=rien structurels*socio=ec2 et les problèmes*socio=uv4 de développement*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Une *socio=rien grande partie des*socio=nil séances *socio=nil ont eu *socio=rien un caractère informel*socio=uv2.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a entendu *socio=rien un rapport sur les*socio=nil débats*socio=et *socio=nil que le comité_intérimaire*socio=ac venait de consacrer aux perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et de balance_des_paiements*socio=ec1 et aux efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 et des pays_en_développement*socio=uv3. Il a brièvement examiné dans une optique*socio=rien à moyen*socio=rien et à long_terme*socio=te le cadre*socio=rien de la croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3. 3 - Le Comité*socio=ac estime*socio=rien encourageant le renforcement*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te constaté depuis deux ans*socio=rien, qui s'est*socio=rien traduit par la fin*socio=rien de la récession*socio=ec2 dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 et la reprise de la croissance*socio=uv3 dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac souligne que l'ajustement*socio=et doit se poursuivre dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 comme dans les pays_en_développement*socio=uv3, dans les limites*socio=rien de ce qui est*socio=rien politiquement*socio=et et socialement tolérable, et que beaucoup de problèmes*socio=uv4 restent à régler avant que les progrès*socio=uv1 déjà accomplis puissent déboucher sur*socio=rien une croissance*socio=uv3 soutenue et une amélioration*socio=uv1 des niveaux_de_vie*socio=uv1 dans le long_terme*socio=te. Les mesures*socio=et à prendre pour atteindre ce but*socio=rien constituaient les points*socio=rien de l'ordre*socio=rien *socio=rien du jour *socio=nil de cette *socio=rien réunion du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil 4 - Souscrivant aux conclusions*socio=rien auxquelles le comité_intérimaire*socio=ac est*socio=rien parvenu et aux recommandations*socio=et qu'il a formulées, le Comité*socio=ac se félicite des progrès*socio=uv1 que de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 endettés ont accomplis dans la voie*socio=rien d'un*socio=rien retour*socio=rien à des *socio=rien relations normales *socio=nil avec leurs créanciers*socio=ac, mais il note qu'un*socio=rien nombre*socio=rien important*socio=uv4 de pays*socio=ac éprouvent encore des difficultés*socio=uv4, aggravées par les taux_d'_intérêt*socio=ec1 élevés*socio=uv4, à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1. Pour rétablir le crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te de ces pays*socio=ac et normaliser leurs relations*socio=rien avec leurs créanciers*socio=ac, il faudra, d'une manière*socio=rien adaptée à chaque cas*socio=rien, poursuivre des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et appuyés par des *socio=ec1 flux financiers *socio=nil assortis de conditions*socio=ec1 appropriées, par un*socio=rien meilleur*socio=uv4 accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 et, le cas*socio=rien échéant, par des accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et portant sur*socio=rien plusieurs années*socio=rien. Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu que toutes les parties*socio=rien concernées doivent coopérer à cette fin*socio=rien. 5 - Les perspectives*socio=te d'ajustement*socio=et et de croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3 sont étroitement liées à l'expansion*socio=ec2 des échanges_ mondiaux*socio=ec. La libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 *socio=rien fait partie d'*socio=nil un effort*socio=uv1 *socio=nil coordonné en vue*socio=rien de créer un*socio=rien meilleur*socio=uv4 environnement*socio=et économique*socio=ec1. Lorsqu'il a examiné les questions*socio=rien ayant trait*socio=rien aux politiques_commerciales*socio=et et à leur évolution*socio=te, le Comité*socio=ac a pu entendre un*socio=rien exposé de M.. Arthur Dunkel, directeur_général*socio=ac du*socio=rien GATT*socio=ac. Celui-ci s'est*socio=rien également référé à *socio=rien un rapport *socio=nil établi par un*socio=rien groupe*socio=ac d'étude*socio=ec2 sous les *socio=rien auspices du GATT*socio=ac *socio=nil et intitulé " politique_commerciale*socio=et et prospérité*socio=uv1 : des propositions*socio=rien d'action*socio=ec1 ". Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac constatent avec regret que, malgré quelques initiatives*socio=rien limitées, la reprise mondiale*socio=te qui se dessine n'a pas encore affaibli les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et; celles-ci semblent en fait*socio=rien s'accroître. La prolifération*socio=rien et la persistance*socio=te des barrières*socio=ec2 non tarifaires*socio=et, spécialement celles qui sont appliquées de façon*socio=rien discriminatoire*socio=uv2, ont des *socio=rien effets néfastes sur le*socio=nil système multilatéral*socio=et d'*socio=nil échanges*socio=ec1 *socio=nil et nuit aux perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 de tous les pays*socio=ac. 6 - Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 à tous les pays*socio=ac de se conformer*socio=rien sans tarder à leur engagement*socio=uv1 de lever toutes les mesures*socio=et incompatibles*socio=uv4 avec le GATT*socio=ac ou non fondées sur*socio=rien des *socio=rien disciplines spécifiques du GATT*socio=ac,*socio=nil *socio=nil étant donné que ces mesures*socio=et ont en particulier*socio=rien pour effet*socio=rien de restreindre les exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 vers les *socio=ec1 marchés commerciaux.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil souligne également qu'il faut renforcer le rôle*socio=et central*socio=rien que le GATT*socio=ac joue en promouvant *socio=rien un système d'*socio=nil échanges*socio=ec1 ouvert *socio=nil et en veillant au fonctionnement*socio=rien efficace*socio=uv4 de règles*socio=et et disciplines*socio=rien commerciales*socio=ec1 multilatérales*socio=et. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 également aux gouvernements*socio=ac de résister au protectionnisme*socio=et et, dans la *socio=rien mesure du possible,*socio=nil *socio=nil de réduire les barrières*socio=ec2 qui font actuellement obstacle*socio=uv3 aux échanges*socio=ec1. Le Comité*socio=ac souscrit à l'idée*socio=rien d'entreprendre, en priorité*socio=uv4, de sérieux*socio=uv4 efforts*socio=uv1 pour mener à son terme*socio=rien le programme*socio=et de *socio=rien travail du GATT*socio=ac *socio=nil de 1982, qui *socio=rien est inachevé.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil note que cela pourrait jeter les bases*socio=rien d'une participation*socio=uv3 générale*socio=rien de tous les pays*socio=ac à la série de négociations*socio=et commerciales*socio=ec1 qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont décidé d'engager sous les *socio=rien auspices du GATT*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Il note également que le fait*socio=rien que des mesures*socio=et soient prises*socio=rien rapidement pour améliorer l'accès*socio=uv1 des pays_en_développement*socio=uv3 aux marchés*socio=ec1 encouragerait une participation*socio=uv3 générale*socio=rien. Le Comité*socio=ac invite le directeur_général*socio=ac du*socio=rien GATT*socio=ac à le tenir au courant*socio=rien de l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien, Il réaffirme les compétences*socio=uv3 *socio=rien respectives du GATT*socio=ac *socio=nil et de la CNUCED*socio=ac. 7 - Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu qu'il faut appuyer les efforts*socio=uv1 que les pays_en_développement*socio=uv3 font pour s'ajuster et retrouver le chemin*socio=rien de la croissance*socio=uv3 par une augmentation*socio=ec2 *socio=rien du volume global*socio=te des*socio=nil flux*socio=ec1 de*socio=nil capitaux*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil 8 - En ce qui concerne les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu que l'accroissement*socio=ec2 des flux*socio=ec1 d'APD*socio=et mérite*socio=rien la priorité*socio=uv4 la plus élevée*socio=uv4. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 une *socio=rien nouvelle fois *socio=nil à la direction*socio=et de l' association_internationale_de_développement*socio=ac de procéder à un*socio=rien examen*socio=ec2 à mi-parcours d'IDA-7*socio=ac. Il demande*socio=ec1 à la direction*socio=et et aux administrateurs*socio=ac d'entreprendre l'examen*socio=ec2 d'une *socio=rien vaste gamme de*socio=nil formules *socio=nil qui permettraient de faire face*socio=rien aux besoins*socio=uv1 futurs*socio=te de pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 en ressources*socio=ec1 assorties de conditions*socio=ec1 libérales*socio=et, y compris l'IDA*socio=ac. 9 - Le Comité*socio=ac se félicite de la promptitude*socio=uv1 des mesures*socio=et prises*socio=rien par la Banque*socio=ac pour étudier avec des donateurs*socio=ac divers moyens*socio=ec1 de mobiliser des ressources*socio=ec1 en faveur*socio=rien de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac, comme il l'avait demandé à sa réunion*socio=rien de septembre*socio=rien. L'accord*socio=et auquel les donateurs*socio=ac sont parvenus au *socio=rien sujet du Fonds*socio=ec1 spécial d'*socio=nil aide*socio=uv1 *socio=nil à l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac, à l'appui*socio=uv1 de réformes*socio=et intérieures*socio=te, doit être*socio=rien salué comme un*socio=rien succès*socio=uv1 important*socio=uv4. Le Comité*socio=ac prend note avec satisfaction*socio=uv3 de l'accord*socio=et intervenu sur*socio=rien les modalités*socio=rien de *socio=rien fonctionnement du Fonds*socio=ec1 spécial.*socio=nil *socio=nil Il souligne l'importance*socio=rien d'un*socio=rien prompt*socio=rien décaissement*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 spécial*socio=rien. Le Comité*socio=ac remercie ceux qui ont fourni des ressources*socio=ec1 au Fonds*socio=ec1 spécial*socio=rien et exhorte les autres donateurs*socio=ac qui ne l'ont pas encore fait*socio=rien à y contribuer, directement ou indirectement*socio=rien. Le Comité*socio=ac note toutefois que le Fonds*socio=ec1 spécial*socio=rien ne peut avoir qu'un*socio=rien rôle*socio=et d'agent*socio=ac catalyseur*socio=ec2, étant donné l'importance*socio=rien du*socio=rien financement*socio=ec1 nécessaire*socio=rien pour satisfaire les besoins*socio=uv1 énormes*socio=rien de la région*socio=te et il encourage les donateurs*socio=ac à accroître leurs efforts*socio=uv1 pour fournir des flux*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien de ressources*socio=ec1 libérales*socio=et par des voies*socio=rien bilatérales*socio=et et multilatérales*socio=et. il se félicite, par ailleurs*socio=rien, de la *socio=rien façon impressionnante *socio=nil dont les gouvernements*socio=ac et le secteur_privé*socio=et ont réagi devant*socio=rien les besoins*socio=uv1 de secours d'urgence*socio=rien de la région*socio=te. 10 - Le Comité*socio=ac a également étudié le *socio=rien rapport intérimaire *socio=nil de la Banque*socio=ac sur*socio=rien " L'exécution*socio=rien du*socio=rien programme*socio=et d'action*socio=ec1 concertée en Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac " et se félicite des progrès*socio=uv1 déjà accomplis dans la *socio=rien voie du renforcement*socio=ec2 des*socio=nil mécanismes*socio=et de*socio=nil coordination*socio=uv3 *socio=nil de l'aide*socio=uv1 et de l'élargissement*socio=ec2 des programmes*socio=et d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien qu'il faut s'occuper d'urgence*socio=rien des problèmes*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac, et notamment des *socio=uv4 graves difficultés,*socio=nil *socio=nil accentuées par une baisse*socio=ec2 importante*socio=uv4 des prix*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires,*socio=nil *socio=nil que leur pose le service_de_leur_dette*socio=ec1. Il insiste sur*socio=rien le fait*socio=rien que les créanciers*socio=ac officiels*socio=et doivent tenir compte*socio=ec1, dans leurs actions*socio=ec1, de la nature*socio=rien à long_terme*socio=te des problèmes*socio=uv4 de ces pays*socio=ac et encourager les débiteurs*socio=ac à poursuivre des politiques*socio=et appropriées et les donateurs*socio=ac à fournir une aide*socio=uv1 adéquate*socio=uv2. Le Comité*socio=ac exhorte toutes les parties*socio=rien concernées à étudier les moyens*socio=ec1 d'introduire cette approche élargie selon la méthode*socio=ec2 *socio=rien du cas par*socio=nil cas.*socio=nil *socio=nil 11 - Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu que les investissements*socio=ec1 directs*socio=rien et les prises*socio=rien de participation*socio=uv3 d'origine*socio=rien privée*socio=et peuvent fournir des contributions*socio=uv1 utiles*socio=uv4 au développement*socio=uv3. il *socio=rien est possible *socio=nil de favoriser ce type*socio=rien de flux*socio=ec1 en améliorant la politique*socio=et des pouvoirs_publics*socio=et à l'égard*socio=rien des investissements*socio=ec1 étrangers*socio=te à la fois*socio=rien dans les pays_en_développement*socio=uv3 et dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1. A cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac prend note de la proposition*socio=rien que la banque_mondiale*socio=ac met actuellement au point*socio=rien en vue*socio=rien de la création*socio=uv4 d'une Agence*socio=ac multilatérale*socio=et de garantie des investissements*socio=ec1 (AMGI*socio=ac), qui s'efforcerait d'améliorer le climat*socio=rien de l'investissement*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 en accordant des garanties contre les risques*socio=uv3 non commerciaux*socio=ec1 et en fournissant des services*socio=et promotionnels. Le Comité*socio=ac encourage la Banque*socio=ac à poursuivre les discussions*socio=et afin d'amener les gouvernements*socio=ac à s'entendre pour créer l'Agence*socio=ac sur*socio=rien une base*socio=rien volontaire*socio=uv4. 12 - Le Comité*socio=ac prend également note de l'importance*socio=rien des crédits*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 bénéficiant d'une garantie officielle*socio=et. Ses membres*socio=ac sont convenus que les pays_en_développement*socio=uv3 et les organismes*socio=ac de crédit*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 devraient, avec la coopération*socio=uv1 de la banque_mondiale*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1, prendre des mesures*socio=et pour renforcer les effets*socio=rien des crédits*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 sur*socio=rien le développement*socio=uv3. 13 - Le Comité*socio=ac a étudié le rôle*socio=et futur*socio=te de la banque_mondiale*socio=ac en tenant compte*socio=ec1 des incertitudes*socio=uv3 qui planent sur*socio=rien les *socio=ec1 flux commerciaux à*socio=nil destination*socio=rien des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil et de l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 mondiale*socio=te. Il prend note des débats*socio=et que les administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac ont consacrés à ce sujet*socio=rien au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée et souscrit au large*socio=rien consensus*socio=uv1 qui s'en est*socio=rien dégagé et dont les *socio=rien grandes lignes *socio=nil sont indiquées dans le document*socio=rien de travail*socio=rien préparé à l'intention*socio=rien du*socio=rien Comité*socio=ac. sous_réserve*socio=ec1 de la nécessité*socio=uv1 du*socio=rien respect*socio=uv1 de certaines*socio=rien normes*socio=et de prêt*socio=ec1 et d'une politique*socio=et financière*socio=ec1 prudente*socio=uv2, le Comité*socio=ac souhaite une expansion*socio=ec2 du*socio=rien programme*socio=et de prêt*socio=ec1 de la Banque*socio=ac qui permette à celle-ci de répondre de façon*socio=rien plus efficace*socio=uv4 aux besoins*socio=uv1 de ses *socio=ac pays_membres emprunteurs *socio=nil et de stimuler les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 en provenance*socio=rien d'autres sources*socio=rien. Dans cette perspective*socio=rien, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 à la direction*socio=et de la Banque*socio=ac de lui présenter à sa *socio=rien prochaine réunion,*socio=nil à*socio=nil Séoul*socio=ac,*socio=nil un rapport *socio=nil contenant ses projections*socio=ec2 de prêts*socio=ec1 pour les *socio=rien cinq prochaines années *socio=nil et évaluant les ressources*socio=ec1 qu'elles supposent, de façon*socio=rien à essayer de parvenir sans tarder à un*socio=rien consensus*socio=uv1 sur*socio=rien les futurs*socio=te besoins*socio=uv1 financiers*socio=ec1 de la Banque*socio=ac, y compris la possibilité*socio=rien d'une augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale du capital*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil 14 - Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que ses délibérations*socio=et ont été*socio=rien constructives*socio=uv2, instructives et productives*socio=uv4 et est*socio=rien convenu de poursuivre le processus*socio=te amorcé à cette *socio=rien réunion lors *socio=nil de celles qui suivront.