*{ Fonds Monétaire international Rapport Annuel 1986 } Chapitre*socio=rien I Évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te INTRODUCTION*socio=rien L'année*socio=rien 1985 et le début*socio=rien de l'année*socio=rien 1986 ont été*socio=rien une période*socio=te indécise pour l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Certes, l'inflation*socio=ec1 a encore cédé *socio=rien du terrain,*socio=nil la*socio=nil production*socio=ec1 mondiale*socio=te *socio=nil a progressé à une allure*socio=rien, il *socio=rien est vrai,*socio=nil *socio=nil modérée et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont nettement diminué. Mais, en même temps*socio=rien, le ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 a été*socio=rien plus marqué que prévu dans les pays_industrialisés*socio=ac, surtout aux États-unis*socio=ac, le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te a été*socio=rien peu actif*socio=ec1, les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et se sont intensifiées, les prix*socio=ec1 réels*socio=ec2 des *socio=rien produits primaires ont*socio=nil considérablement *socio=nil baissé et les pays_en_développement*socio=uv3 n'ont pas réussi à allier croissance*socio=uv3 et ajustement*socio=et de leurs économies*socio=ec1. Au début*socio=rien de 1986, plusieurs facteurs*socio=rien s'étaient combinés pour améliorer les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1. Les *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux sur*socio=rien les*socio=nil marchés internationaux*socio=te *socio=nil étaient tombés à leur niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien depuis huit ans*socio=rien, une structure*socio=ec1 plus viable*socio=uv4 des taux_de_change*socio=ec1 avait été*socio=rien établie et diverses*socio=rien actions*socio=ec1 avaient été*socio=rien lancées en vue*socio=rien de coordonner les politiques_économiques*socio=et et de s'attaquer avec des moyens*socio=ec1 renforcés au problème*socio=uv4 de la dette*socio=ec1. Le taux_de_croissance*socio=ec1 de 3 % de la production*socio=ec1 mondiale*socio=te enregistré en 1985 *socio=rien marque un ralentissement*socio=ec2 considérable par*socio=nil rapport au*socio=nil taux*socio=ec1 *socio=nil de 41/,2 % réalisé l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Sans doute*socio=rien s'attendait-on de façon*socio=rien très générale*socio=rien à une modération*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2, mais le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien beaucoup plus accusé que prévu aux États-unis*socio=ac, où son taux*socio=ec1 est*socio=rien tombé à 21/1 % en 1985, contre 61/-2 '% en 1984. Les progrès*socio=uv1 supplémentaires*socio=rien ont *socio=rien été rares sur le*socio=nil front du chômage*socio=ec1 *socio=nil et, dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac d'Europe*socio=ac, le nombre*socio=rien déjà élevé*socio=uv4 des chômeurs*socio=ac a encore augmenté. L'affaiblissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac a entraîné une nette*socio=rien décélération*socio=ec2 de la progression*socio=ec2 des échanges_mondiaux*socio=ec1 et, étant donné en outre l'abondance*socio=uv2 de l'offre*socio=ec1, une forte*socio=rien chute des prix*socio=ec1 réels*socio=ec2 des *socio=rien produits primaires.*socio=nil Par*socio=nil suite,*socio=nil les*socio=nil recettes*socio=ec1 d'*socio=nil exportation*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil ont stagné et leurs ratios*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1, qui avaient commencé à fléchir en 1984, ont à nouveau*socio=rien augmenté en 1985 pour atteindre des niveaux*socio=rien sans précédent*socio=rien. La conjoncture*socio=ec2 extérieure*socio=te leur étant ainsi devenue moins favorable*socio=uv4, la production*socio=ec1 par habitant*socio=ac des pays_en_développement*socio=uv3 qui, après*socio=rien plusieurs années*socio=rien de baisse*socio=ec2, avait fini par augmenter en 1984, n'a progressé que modérément en 1985. La poursuite*socio=rien de la désinflation*socio=ec2 *socio=rien est un résultat plus*socio=nil satisfaisant.*socio=nil *socio=nil Dans les pays_industrialisés*socio=ac, grâce*socio=rien en partie*socio=rien à la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et des autres *socio=rien produits primaires,*socio=nil le*socio=nil taux*socio=ec1 moyen de*socio=nil hausse du déflateur*socio=nil du PNB*socio=ec1 a*socio=nil été *socio=nil ramené à moins de 4 % en 1985, et à *socio=rien un niveau *socio=nil encore plus bas*socio=rien dans les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1986. L'inflation*socio=ec1 a également reculé dans la majorité*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3. Elle s'est*socio=rien, il *socio=rien est vrai,*socio=nil *socio=nil nettement accélérée dans certains des plus grands*socio=rien d'entre eux, où les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 ont été*socio=rien particulièrement vives: toutefois, plusieurs de ces pays*socio=ac à forte*socio=rien inflation*socio=ec1 ont maintenant pris des mesures*socio=et énergiques*socio=ec1 pour juguler la hausse*socio=rien de leurs prix*socio=ec1. Un*socio=rien autre aspect*socio=rien positif*socio=uv4 de l'évolution*socio=te observée en 1985 réside dans la convergence*socio=uv3 des taux_de_croissance*socio=ec1, surtout de ceux des pays_industrialisés*socio=ac. Par suite*socio=rien, les variations*socio=rien des soldes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te ont été*socio=rien en général*socio=rien beaucoup moins accusées en 1985 que durant les trois *socio=rien années précédentes.*socio=nil *socio=nil Néanmoins, les déséquilibres*socio=uv3 des transactions_courantes*socio=te sont restés sérieux*socio=uv4, surtout entre les trois pays*socio=ac les plus importants*socio=uv4. Au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1985 et au début*socio=rien de 1986, des initiatives*socio=rien constructives*socio=uv2 ont *socio=rien été prises *socio=nil pour remédier à ces déséquilibres*socio=uv3 en vue*socio=rien de réduire les risques*socio=uv3 et les incertitudes*socio=uv3 qui assombrissaient les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 mondiales*socio=te. L'une des premières*socio=rien a été*socio=rien l'accord*socio=et conclu, le 22 septembre*socio=rien 1985, entre les pays*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Cinq*socio=rien (États-unis*socio=ac, France*socio=ac, Japon*socio=ac, République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et Royaume-uni*socio=ac) lors*socio=rien d'une réunion*socio=rien à l'hôtel Plaza*socio=et de new_york*socio=ac. Tout en reconnaissant l'ouvre déjà accomplie pour faire converger les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 favorables*socio=uv4 des pays*socio=ac participants*socio=rien, cet accord*socio=et exprimait l'intention*socio=rien de ces pays*socio=ac de parvenir à assurer une croissance*socio=ec1 plus rapide*socio=rien et plus équilibrée ainsi que des relations*socio=rien entre les taux_de_change*socio=ec1 qui reflètent mieux les réalités*socio=ec2 économiques*socio=ec1 profondes*socio=rien. À la suite*socio=rien de cet accord*socio=et, plusieurs pays*socio=ac ont décidé d'effectuer des interventions*socio=et coordonnées sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et entrepris, au début*socio=rien de 1986, de faire baisser leurs taux_d'_intérêt*socio=ec1 de manière*socio=rien concertée. *socio=rien Lors du sommet_économique*socio=et *socio=nil tenu à Tokyo*socio=ac en mai*socio=rien 1986, les chefs*socio=ac d'État*socio=ac et de gouvernement*socio=ac des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont réaffirmé, avec une force*socio=uv1 accrue, leur engagement*socio=uv1 de coordonner leurs politiques_économiques*socio=et. Par ailleurs*socio=rien, le Congrès*socio=ac des États-unis*socio=ac a adopté le "Balanced Budget*socio=ec1 and Emergency Déficit*socio=ec1 Control Act" (connu sous le nom*socio=rien de "loi*socio=et Grammrudman-hollings"), qui a rendu nettement plus plausible*socio=uv4 une réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et de ce pays*socio=ac. À elles toutes, ces décisions*socio=et ont conduit à une amélioration*socio=uv1 de la configuration*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 et à une baisse*socio=ec2 prononcée des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Enfin, dans le *socio=rien domaine du financement*socio=ec1 *socio=nil et de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, les États-unis*socio=ac ont pris une initiative*socio=rien importante*socio=uv4 en proposant d'encourager les *socio=ec1 flux financiers *socio=nil vers les pays_en_développement*socio=uv3 pour faciliter un*socio=rien ajustement*socio=et de leurs économies*socio=ec1 axé sur*socio=rien la croissance*socio=uv3. La baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1986 a, elle aussi, influé de *socio=rien manière sensible sur les*socio=nil perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 internationales*socio=te.*socio=nil Cette*socio=nil baisse*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil dont l'ampleur*socio=rien *socio=rien est comparable *socio=nil à celle des hausses de 1979-80, a des effets*socio=rien complexes qui devraient varier *socio=rien considérablement suivant les*socio=nil secteurs *socio=nil et les pays*socio=ac. La chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 a contribué à faire encore diminuer les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 et les taux_d'_intérêt*socio=ec1, et elle devrait entraîner *socio=rien un net raffermissement*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te dans les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil Ces*socio=nil perspectives*socio=te *socio=nil ont dopé les marchés_financiers*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac, qui ont été*socio=rien extrêmement actifs*socio=ec1 durant les *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1985 et au début*socio=rien de 1986. En revanche, la chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 désavantage en *socio=rien général considérablement les*socio=nil *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil étant donné la très *socio=rien forte part *socio=nil de leurs recettes*socio=ec1 budgétaires*socio=et et de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 qu'ils tirent du*socio=rien pétrole*socio=ec1. Les difficultés*socio=uv4 auxquelles ces pays*socio=ac étaient déjà confrontés en 1985 sont aujourd'hui sérieusement aggravées par l'obligation*socio=uv1 où ils se trouvent d'ajuster leurs dépenses*socio=ec1 en fonction*socio=rien de la diminution*socio=ec2 de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1. Le *socio=rien reste du présent chapitre du Rapport annuel*socio=te est *socio=nil consacré à un*socio=rien exposé plus détaillé de l'évolution*socio=te récente*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Il servira de base*socio=rien à l'analyse*socio=ec2 des politiques*socio=et et des *socio=rien activités du Fonds*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil présentée au chapitre*socio=rien 2. ACTIVITÉS*socio=rien ET politiques_économiques*socio=et INTÉRIEURES*socio=te pays_industrialisés*socio=ac Contexte*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1. Depuis quelques années*socio=rien, la politique_économique*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien axée sur*socio=rien le rétablissement*socio=rien des conditions*socio=ec1 d'une croissance*socio=uv3 soutenue sans inflation*socio=ec1. À cette fin*socio=rien, les gouvernements*socio=ac des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac se sont efforcés de réduire progressivement*socio=rien les taux_de_croissance*socio=ec1 de certains *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil et de limiter*socio=rien la part*socio=rien des ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 et financières*socio=ec1 absorbée par le secteur_public*socio=et. Parallèlement, ils se sont employés*socio=rien à améliorer le fonctionnement*socio=rien des marchés*socio=ec1 grâce*socio=rien à diverses*socio=rien réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. Inaugurée au début*socio=rien des années*socio=rien 80, cette ligne*socio=rien d'action*socio=ec1 générale*socio=rien a continué de caractériser la politique_économique*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac en 1985 et au début*socio=rien de 1986. C'est*socio=rien sur*socio=rien le plan*socio=rien de la maîtrise*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 que cette stratégie*socio=et a été*socio=rien le plus efficace*socio=uv4. En 1985, après*socio=rien déjà quatre *socio=rien années successives de*socio=nil baisse*socio=ec2,*socio=nil le*socio=nil taux*socio=ec1 moyen de*socio=nil hausse du déflateur*socio=nil du PNB*socio=ec1 des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil pris en groupe*socio=ac a de nouveau*socio=rien diminué et, pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis 1967, il s'est*socio=rien établi à moins de 4 %. Au début*socio=rien de 1986, l'inflation*socio=ec1 mesurée par cet indicateur*socio=ec2 était encore plus faible*socio=rien. En ce qui concerne les autres grands*socio=rien objectifs*socio=uv3, tels que l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et la restructuration*socio=et de l'économie*socio=ec1, les résultats*socio=rien ont été*socio=rien plus inégaux*socio=uv2, souvent à cause*socio=rien de dérapages*socio=uv4 dans la mise en application*socio=rien des principes*socio=ec2 définis*socio=rien par les pouvoirs_publics*socio=et. Les performances*socio=uv3 économiques*socio=ec1, comme les *socio=ec1 conditions financières,*socio=nil *socio=nil ont sensiblement différé suivant*socio=rien les pays*socio=ac; et ces disparités*socio=uv1 ont parfois engendré des mouvements*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 et des balances_des_paiements*socio=ec1 porteurs*socio=rien de situations*socio=rien intenables*socio=uv2. Toutefois, depuis la fin*socio=rien de 1985, *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil initiatives importantes*socio=uv4 ont*socio=nil été prises *socio=nil pour réduire les déséquilibres*socio=uv3 financiers*socio=ec1 et assurer une meilleure*socio=uv4 coordination*socio=uv3 et une plus grande*socio=rien cohérence*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et des divers pays*socio=ac. L'amélioration*socio=uv1 de la configuration*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 à laquelle ces décisions*socio=et ont contribué, conjuguée*socio=rien à l'effondrement*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 au début*socio=rien de 1986, a renforcé les perspectives*socio=te de croissance*socio=ec1 équilibrée et sans inflation*socio=ec1 pour 1986 et au-delà. C'est*socio=rien dans le domaine*socio=rien de la politique_budgétaire*socio=et que les divergences*socio=uv1 entre les principaux*socio=rien pays*socio=ac ont été*socio=rien le plus marquées ces *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Si l'on se réfère à des indicateurs*socio=ec1 *socio=rien comparables sur le*socio=nil plan international*socio=te,*socio=nil la*socio=nil République*socio=ac fédérale*socio=et d'*socio=nil Allemagne*socio=ac *socio=nil et le Japon*socio=ac sont ceux de ces pays*socio=ac dont les efforts*socio=uv1 de rééquilibrage*socio=uv3 du*socio=rien budget*socio=ec1 ont été*socio=rien les plus efficaces*socio=uv4: malgré une situation*socio=rien cyclique*socio=te défavorable*socio=uv4, tous deux ont réussi à réduire sensiblement leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et depuis le début*socio=rien de la décennie*socio=te (tableau*socio=rien 1 ). En France*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac, après*socio=rien avoir enregistré *socio=rien un certain accroissement*socio=ec2 au*socio=nil début *socio=nil de la décennie*socio=te, le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et a eu tendance*socio=ec2 à se stabiliser en 1983-84, tandis qu'au Canada*socio=ac, en Italie*socio=ac et aux États-unis*socio=ac, il s'est*socio=rien nettement creusé ou est*socio=rien demeuré élevé*socio=uv4. On retrouve ce même *socio=rien schéma général *socio=nil en 1985, les positions*socio=rien budgétaires*socio=et structurelles*socio=ec2 - mesurées par l'impulsion*socio=ec2 donnée par le budget*socio=ec1 (tableau*socio=rien 1) - évoluant dans le sens*socio=rien d'un*socio=rien accroissement*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 dans les trois pays*socio=ac cités en dernier*socio=rien, et de sa réduction*socio=ec2 ou de sa stabilisation*socio=et dans les quatre autres. En définitive*socio=rien, en 1985 le déficit*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac des sept principaux*socio=rien pays*socio=ac pris en groupe*socio=ac a représenté le même pourcentage*socio=rien de leur PNB*socio=ec1 global*socio=te qu'en 1984, soit 3,5 %. Toutefois, cette évolution*socio=te en moyenne*socio=rien annuelle*socio=te ne tient pas compte*socio=ec1 de l'incidence*socio=ec2 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil faits *socio=nil intervenus dans le courant*socio=rien de 1985 et au début*socio=rien de 1986, qui ont accru la probabilité*socio=ec2 d'actions*socio=ec1 plus énergiques*socio=ec1 pour assainir les finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Le plus important*socio=uv4 est*socio=rien l'adoption*socio=uv3 par les États-unis*socio=ac d'un*socio=rien plan*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil visant à éliminer le déficit*socio=ec1 du*socio=rien budget*socio=ec1 fédéral*socio=et. De son côté*socio=rien, le Canada*socio=ac a mis à exécution*socio=rien son programme*socio=et de redressement*socio=ec2 budgétaire*socio=et, annoncé en novembre*socio=rien 1984, et il est*socio=rien parvenu à réduire un*socio=rien peu son déficit*socio=ec1 en 1985. Comme la France*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac restent fidèles à une politique*socio=et de rigueur*socio=uv3 budgétaire*socio=et et que la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac a au contraire*socio=rien pris des mesures*socio=et d'allégement*socio=ec2 de la fiscalité*socio=et, il semble que certaines*socio=rien des divergences*socio=uv1 d'orientation*socio=et des politiques_budgétaires*socio=et que l'on observait auparavant soient en train*socio=rien de s'atténuer, voire de s'inverser. Les tendances*socio=ec2 divergentes*socio=uv2 des situations*socio=rien budgétaires*socio=et ces *socio=rien dernières années *socio=nil tiennent pour beaucoup au fait*socio=rien que les divers pays*socio=ac n'ont pas aussi bien*socio=rien réussi les uns que les autres à limiter*socio=rien la part*socio=rien des ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 absorbée par le secteur_public*socio=et (tableau*socio=rien 2). Au cours*socio=rien de la période*socio=te écoulée depuis 1979, la part*socio=rien des dépenses*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac, transferts*socio=ec1 y compris, dans le PNB*socio=ec1 a augmenté dans la plupart*socio=rien des principaux*socio=rien pays*socio=ac. On constate néanmoins des différences*socio=uv1 sensibles*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. L'Allemagne*socio=ac et le Japon*socio=ac sont, à partir de 1983, revenus*socio=ec1 complètement ou en *socio=rien partie sur leur*socio=nil tendance*socio=ec2 *socio=nil à accroître la *socio=rien dimension relative du secteur_public*socio=et *socio=nil et, en 1985, la part*socio=rien des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et dans leur PNB*socio=ec1 se retrouvait à peu près au même niveau*socio=rien qu'en 1979. Dans les cinq*socio=rien autres pays*socio=ac, cette part*socio=rien a enregistré au cours*socio=rien des six années*socio=rien des augmentations*socio=ec2 allant de 31/2 à 13 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien. En 1985, elle a diminué dans la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac, grâce*socio=rien aux effets*socio=rien des politiques*socio=et de rigueur*socio=uv3 budgétaire*socio=et, mais elle a continué d'augmenter aux États-unis*socio=ac et en Italie*socio=ac. Les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil se sont nettement détendues dans les pays_industrialisés*socio=ac durant l'année*socio=rien 1985 et les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1986. Cette évolution*socio=te est*socio=rien à attribuer au jeu*socio=rien combiné de plusieurs facteurs*socio=rien: la diminution*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1, le ralentissement*socio=ec2 cyclique*socio=te de la croissance*socio=uv3 aux États-unis*socio=ac et l'état*socio=rien d'esprit*socio=rien des opérateurs*socio=ac sur*socio=rien le marché*socio=ec1, qui croyaient de plus en plus à une réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et des États-unis*socio=ac. En outre, comme les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 avaient donné des preuves*socio=ec2 plus convaincantes*socio=rien de leur volonté*socio=uv1 de maîtriser*socio=rien l'inflation*socio=ec1, elles ont pu réagir à l'affaiblissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 en assouplissant un*socio=rien peu leur politique_monétaire*socio=et, même au prix*socio=ec1 d'un*socio=rien dépassement*socio=ec2 des objectifs*socio=uv3 de croissance*socio=uv3 monétaire*socio=ec1. Dans les sept principaux*socio=rien pays*socio=ac pris collectivement*socio=rien, la masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens étroit *socio=nil (Ml) a augmenté de 10 9o' en 1985, soit de 21h points*socio=rien de plus qu'en 1984; l'accélération*socio=ec2 de sa croissance*socio=uv3 est*socio=rien encore plus prononcée en *socio=rien glissement du quatrième trimestre*socio=te *socio=nil de 1984 au quatrième*socio=rien trimestre*socio=te de 1985 (tableau*socio=rien 3). L'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens large s'*socio=nil est *socio=nil également accélérée pour passer en moyenne*socio=rien annuelle*socio=te de 7,9 % en 1984 à 9,0 % en 1985, et ce alors que la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PNB*socio=ec1 nominal*socio=rien s'est*socio=rien ralentie pour tomber de 9,0 % en 1984 à 6,6 1% en 1985. La baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te a été*socio=rien particulièrement forte*socio=rien aux États-unis*socio=ac (graphique*socio=rien 1 ); à la fin*socio=rien de 1985, les taux*socio=ec1 américains*socio=ac avaient diminué de 31h points*socio=rien de pourcentage*socio=rien par rapport*socio=rien à leur maximum*socio=rien atteint en 1984, et ils ont continué à fléchir dans les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1986. Dans les autres principaux*socio=rien pays*socio=ac, étant donné l'importance*socio=rien accordée aux considérations*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 dans la conduite*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te ont d'abord*socio=rien moins baissé qu'aux États-unis*socio=ac, voire légèrement augmenté. Les écarts*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te se sont donc nettement rétrécis, ou même dans certains cas*socio=rien ont changé de sens*socio=rien, durant l'année*socio=rien 1985. Quant aux taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te, leur baisse*socio=ec2 en 1985 et au début*socio=rien de 1986 a été*socio=rien encore plus forte*socio=rien que celle des taux*socio=ec1 à court_terme*socio=te. Par suite*socio=rien, la courbe de rendement*socio=ec1 s'est*socio=rien nettement aplatie dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, singulièrement aux États-unis*socio=ac. Cette évolution*socio=te semble traduire *socio=rien un net revirement des*socio=nil anticipations*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil qu'on peut attribuer à l'absence*socio=rien de *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac ainsi qu'à une plus grande*socio=rien confiance*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac financiers*socio=ec1 dans la réussite*socio=uv1 des efforts*socio=uv1 faits*socio=rien par les États-unis*socio=ac et par les autres principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac pour réduire leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et. Les politiques*socio=et structurelles*socio=ec2 sont demeurées *socio=rien un volet important*socio=uv4 *socio=nil de la stratégie*socio=et économique*socio=ec1. Ces politiques*socio=et ont pour but*socio=rien d'améliorer le fonctionnement*socio=rien des marchés_du_travail*socio=ec1, des biens*socio=ec1 et des services*socio=et financiers*socio=ec1, afin de favoriser une allocation*socio=et plus rationnelle*socio=uv4 des ressources*socio=ec1 et de renforcer la capacité*socio=uv3 de réaction*socio=rien de l'offre*socio=ec1. Les moyens*socio=ec1 utilisés à ces fins*socio=rien comprennent, entre autres, la déréglementation*socio=et, la privatisation*socio=et d'entreprises*socio=ac publiques*socio=et ainsi que des mesures*socio=et spécifiques*socio=rien visant à améliorer le fonctionnement*socio=rien des marchés_du_travail*socio=ec1. Ces politiques*socio=et ont effectivement*socio=rien abouti à des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 dans certains domaines*socio=rien, comme en témoignent*socio=rien notamment la libéralisation*socio=et très étendue des marchés_financiers*socio=ec1, la déréglementation*socio=et d'importants*socio=uv4 *socio=rien segments du secteur des*socio=nil transports*socio=ec1 *socio=nil et des télécommunications*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac et la modification*socio=rien des systèmes*socio=rien d'indexation*socio=ec1 des salaires*socio=ec1 dans plusieurs *socio=ac pays européens.*socio=nil *socio=nil Pourtant, les efforts*socio=uv1 de restructuration*socio=et ont aussi subi des échecs. Dans certains pays*socio=ac, les dépenses*socio=ec1 de subventions*socio=ec1 publiques*socio=et ont moins diminué qu'on ne L'espérait et, dans une *socio=rien bonne partie *socio=nil de l'Europe*socio=ac, les marchés_du_travail*socio=ec1 continuent de se caractériser par des rigidités*socio=uv3 qui entravent le retour*socio=rien à *socio=rien un haut niveau d'*socio=nil emploi*socio=ec1.*socio=nil Force*socio=uv1 est *socio=nil donc de reconnaître que les résultats*socio=rien des politiques_économiques*socio=et menées ces *socio=rien dernières années ont*socio=nil été inégaux*socio=uv2.*socio=nil *socio=nil Cependant, *socio=rien un certain nombre de*socio=nil décisions*socio=et ont*socio=nil été prises,*socio=nil au*socio=nil second semestre *socio=nil de 1985 et au début*socio=rien de 1986, qui promettent une amélioration*socio=uv1 sensible*socio=rien de la coordination*socio=uv3 et de la cohérence*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et des principaux*socio=rien pays*socio=ac. Ces décisions*socio=et modifient nettement l'éclairage*socio=rien de la scène*socio=rien économique*socio=ec1 et elles avaient déjà commencé à exercer *socio=rien un effet favorable*socio=uv4 sur le*socio=nil climat économique*socio=ec1 au*socio=nil premier semestre *socio=nil de 1986. Il s'agit notamment de l'accord*socio=et conclu le 22 septembre*socio=rien 1985 entre les pays*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Cinq*socio=rien en vue*socio=rien de rétablir les taux_de_change*socio=ec1 des grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1 à des niveaux*socio=rien plus en rapport*socio=rien avec les réalités*socio=ec2 économiques*socio=ec1 profondes*socio=rien (accord de new_york*socio=ac); de l'adoption*socio=uv3 par le Congrès*socio=ac des États-unis*socio=ac, en décembre*socio=rien 1985, de la "loi*socio=et Gramm-rudman-hollings", qui stipule les réductions*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 fédéral*socio=et à réaliser pour chacun des exercices*socio=rien 1986 à 1991 afin de ramener le budget*socio=ec1 à l'équilibre*socio=ec2 en 1991; et de la réduction*socio=ec2 coordonnée, en mars*socio=rien, puis à nouveau*socio=rien en avril*socio=rien 1986, des taux*socio=ec1 d'escompte officiels*socio=et de plusieurs des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. En outre, *socio=rien lors du sommet_économique*socio=et *socio=nil tenu à Tokyo*socio=ac en mai*socio=rien 1986, les sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont pris l'engagement*socio=uv1 de renforcer la coordination*socio=uv3 de leurs politiques_économiques*socio=et. Ces initiatives*socio=rien ont contribué à atténuer certaines*socio=rien des graves*socio=uv4 incertitudes*socio=uv3 qui avaient jeté le *socio=rien doute sur les*socio=nil chances *socio=nil d'une croissance*socio=uv3 soutenue. en particulier*socio=rien, la perspective*socio=rien d'une reprise en main*socio=rien par les États-unis*socio=ac de leurs déficits*socio=ec1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et des transactions_courantes*socio=te, conjuguée*socio=rien à la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, a encore calmé les réflexes inflationnistes*socio=ec2. Par suite*socio=rien, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court*socio=rien et à long_terme*socio=te ont de nouveau*socio=rien baissé au début*socio=rien de 1986. En avril*socio=rien 1986, les *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux à*socio=nil court_terme*socio=te *socio=nil dans les cinq*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac les plus importants*socio=uv4 avaient été*socio=rien ramenés à environ 6,5 %, leur niveau*socio=rien le plus faible*socio=rien depuis 1972. Corrigés des hausses des prix*socio=ec1, les taux*socio=ec1 à court*socio=rien comme à long_terme*socio=te étaient tombés à leur plus *socio=rien bas niveau *socio=nil depuis le début*socio=rien de 1981 (graphique*socio=rien 1). Activité*socio=rien intérieure*socio=te. Après*socio=rien la vive expansion*socio=ec2 de 1984, le rythme*socio=ec2 moyen*socio=rien de l'activité_économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac s'est*socio=rien modéré en 1985. Ce ralentissement*socio=ec2 est*socio=rien en *socio=rien grande partie imputable*socio=uv2 *socio=nil à la forte*socio=rien décélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 aux États-unis*socio=ac. Le rythme*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 a aussi légèrement faibli au Canada*socio=ac et au Japon*socio=ac, mais il a peu changé dans les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac. En définitive*socio=rien, le PNB*socio=ec1 réel*socio=rien global*socio=te des pays_industrialisés*socio=ac a augmenté de 3 5% en 1985, soit à un*socio=rien taux*socio=ec1 à peu près comparable*socio=rien au taux_de_croissance*socio=ec1 estimé de la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4, mais *socio=rien bien inférieur au*socio=nil taux*socio=ec1 *socio=nil de 4,7 % enregistré en 1984 (tableau*socio=rien 4). Aux États-unis*socio=ac, l'affaiblissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3, tombée de 6,4 % en 1984 à 2,7 % seulement en 1985, s'explique surtout par la forte*socio=rien diminution*socio=ec2 de la constitution*socio=rien de stocks*socio=ec1, les producteurs*socio=ac et les détaillants*socio=ac, qui s'attendaient à un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 des ventes*socio=ec1 finales*socio=rien, ayant ajusté leurs stocks*socio=ec1 en conséquence*socio=rien. Toutefois, la poursuite*socio=rien de la détérioration*socio=uv4 du*socio=rien solde*socio=ec1 extérieur*socio=te, due à la vigueur*socio=uv3 du*socio=rien dollar*socio=ec1 et à l'écart*socio=ec2 cumulé de croissance*socio=uv3 entre les États-unis*socio=ac et leurs partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1, en est*socio=rien aussi en partie*socio=rien responsable*socio=uv2. Contrairement à la constitution*socio=rien des stocks*socio=ec1 et aux exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien, la demande*socio=ec1 finale*socio=rien a continué de progresser à une allure*socio=rien relativement vive en raison*socio=rien de la baisse*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 des ménages*socio=ac et de la rapide*socio=rien augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 de défense_nationale*socio=et. L'investissement*socio=ec1 fixe a lui aussi continué de s'accroître, bien*socio=rien que plus lentement qu'en 1984. Au Canada*socio=ac et au Japon*socio=ac, la croissance*socio=uv3 ne s'est*socio=rien que légèrement ressentie de l'affaiblissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 aux États-unis*socio=ac. Dans ces deux pays*socio=ac, le PNB*socio=ec1 réel*socio=rien a augmenté de 41/2 % en 1985, soit un*socio=rien peu moins seulement qu'en 1984 (5 5% ). Au Japon*socio=ac, où la contribution*socio=uv1 *socio=rien du secteur extérieur*socio=te *socio=nil a diminué au cours*socio=rien de l'année*socio=rien 1985, la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 a reposé de plus en plus sur*socio=rien une accélération*socio=ec2 de la progression*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, particulièrement de l'investissement*socio=ec1 des entreprises*socio=ac. Au Canada*socio=ac, la rapide*socio=rien croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 a été*socio=rien principalement d'origine*socio=rien intérieure*socio=te, la consommation*socio=ec1 et l'investissement_privés*socio=et, notamment la construction*socio=ec1 de logements*socio=ec1, ayant été*socio=rien les deux éléments*socio=rien moteurs de l'expansion*socio=ec2. Le rythme*socio=ec2 de la reprise est*socio=rien resté modeste*socio=rien dans la plupart*socio=rien des principaux*socio=rien pays*socio=ac d'Europe*socio=ac, où une certaine*socio=rien accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la consommation_privée*socio=et a été*socio=rien contrebalancée par un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la progression*socio=ec2 des investissements*socio=ec1 et un*socio=rien fléchissement*socio=ec2 de la contribution*socio=uv1 des exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien. En France*socio=ac, en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et en Italie*socio=ac, la production*socio=ec1 a augmenté plus lentement qu'en 1984, dans une *socio=rien large mesure à*socio=nil cause du manque de*socio=nil dynamisme*socio=uv3 persistant *socio=nil de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Toutefois, après*socio=rien le repli*socio=rien provoqué par la rigueur*socio=uv3 inhabituelle*socio=rien de l'hiver*socio=rien 1984-85, la demande*socio=ec1 et l'activité*socio=rien se sont nettement redressées en France*socio=ac et en Allemagne*socio=ac au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1985. Le Royaume-uni*socio=ac a enregistré un*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1 globale*socio=rien relativement élevé*socio=uv4 en 1985 (3,3 ?% ). Cependant, comme ce résultat*socio=rien a été*socio=rien influencé par la reprise, au début*socio=rien de 1985, de la production*socio=ec1 dans les charbonnages, en grève*socio=ec1 depuis *socio=rien un an,*socio=nil la*socio=nil tendance*socio=ec2 sous-jacente *socio=nil a peut-être *socio=rien été un *socio=nil peu plus faible*socio=rien que ne l'indique ce taux_de_croissance*socio=ec1 global*socio=te. Dans les autres pays_industrialisés*socio=ac, la tendance*socio=ec2 générale*socio=rien à une accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a été*socio=rien plus que compensée par un*socio=rien affaiblissement*socio=ec2 de l'incidence*socio=ec2 exercée sur*socio=rien l'expansion*socio=ec2 par la constitution*socio=rien de stocks*socio=ec1 et par les exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien. La croissance*socio=uv3 du*socio=rien PNB*socio=ec1 réel*socio=rien global*socio=te de ce groupe*socio=ac s'est*socio=rien donc un*socio=rien peu ralentie, passant de 3,3 % en 1984 à 3,0 % en 1985. Les taux_de_croissance*socio=ec1 enregistrés par ces pays*socio=ac pris individuellement s'échelonnent entre 1/2 % pour l'Irlande*socio=ac et 4-V4 70 pour l'Australie*socio=ac. Avec la poursuite*socio=rien de la reprise en 1985, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 moyen*socio=rien a légèrement diminué en cours*socio=rien d'année*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac et l'emploi*socio=ec1 total*socio=rien y a augmenté d'environ 1 1/2 % entre 1984 et 1986. Pourtant, ce n'est*socio=rien que dans le cas*socio=rien de l'amérique_du_nord*socio=ac que l'on peut parler d'une nette*socio=rien amélioration*socio=uv1 de la *socio=rien situation du marché_du_travail*socio=ec1 *socio=nil depuis le creux*socio=ec2 de la récession*socio=ec2 atteint en 1982. En Europe*socio=ac, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 n'a cessé d'augmenter tous les ans*socio=rien depuis 1979, et en 1985 il s'établissait à 11 %, soit le *socio=rien double du niveau *socio=nil enregistré six ans*socio=rien plus tôt. Le marché_du_travail*socio=ec1 s'est*socio=rien mieux comporté au Japon*socio=ac, où sa structure*socio=ec1 *socio=rien est un peu*socio=nil différente;*socio=nil *socio=nil néanmoins, en 1985, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 y restait encore de 21/2 7c; ce taux*socio=ec1, bien*socio=rien que légèrement inférieur*socio=rien à celui de 1984, demeure à *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4 par*socio=nil rapport *socio=nil à sa tendance*socio=ec2 passée (graphique*socio=rien 2). L'évolution*socio=te du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 en 1985 et au début*socio=rien de 1986 comporte pourtant *socio=rien un aspect *socio=nil plus encourageant, en ce sens*socio=rien que la création_d'_emplois*socio=ec1 a enfin commencé à se redresser en Europe*socio=ac et que le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 semble y avoir atteint son maximum*socio=rien, ayant même diminué dans plusieurs pays*socio=ac. Cette augmentation*socio=ec2 de l'emploi*socio=ec1 paraît attribuable*socio=rien, du*socio=rien moins en partie*socio=rien, à la modération*socio=ec2 depuis quelques années*socio=rien des hausses des salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2, qui a rendu moins avantageux*socio=rien de substituer du*socio=rien capital*socio=ec1 au travail*socio=rien. Au Canada*socio=ac et aux États*socio=ac Unis, l'emploi*socio=ec1 a continué d'augmenter rapidement en 1985, malgré le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1. L'Espagne*socio=ac, la France*socio=ac et l'Irlande*socio=ac sont les seuls*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac à avoir connu de nouvelles*socio=rien réductions*socio=ec2 des *socio=rien effectifs employés,*socio=nil *socio=nil encore ces réductions*socio=ec2 ont-elles été*socio=rien nettement moindres*socio=rien que les *socio=rien années précédentes.*socio=nil Au*socio=nil début *socio=nil de 1986, les indicateurs*socio=ec1 des *socio=rien résultats effectifs des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil n'avaient pas encore eu le temps*socio=rien de réagir à l'amélioration*socio=uv1 *socio=rien du climat économique*socio=ec1 *socio=nil décrite plus haut*socio=rien. Aux États-unis*socio=ac, après*socio=rien s'être*socio=rien accélérée au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1986, atteignant 3,8 % en taux*socio=ec1 annuel*socio=te, la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PNB*socio=ec1 *socio=rien réel est *socio=nil retombée à un*socio=rien taux*socio=ec1 annuel*socio=te de 0,6 '% au deuxième*socio=rien trimestre*socio=te sous l'effet*socio=rien de la réduction*socio=ec2 de la constitution*socio=rien des stocks*socio=ec1 et d'une nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien. La croissance*socio=ec1 s'est*socio=rien légèrement raffermie au Royaume-uni*socio=ac et en Italie*socio=ac au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1986; cependant, en France*socio=ac, la progression*socio=ec2 du*socio=rien PNB*socio=ec1 réel*socio=rien s'est*socio=rien ralentie, et le Japon*socio=ac et la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac ont vu leur PNB*socio=ec1 réel*socio=rien diminuer au premier*socio=rien trimestre*socio=te, en partie*socio=rien sous l'influence de *socio=rien facteurs temporaires,*socio=nil *socio=nil mais aussi parce que les *socio=rien conséquences négatives *socio=nil de l'appréciation*socio=uv3 de leur monnaie*socio=ec1 se sont fait*socio=rien sentir un*socio=rien peu plus tôt que les effets*socio=rien positifs*socio=uv4 de l'amélioration*socio=uv1 de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 et de la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Néanmoins, dans ces deux pays*socio=ac, de même que dans la plupart*socio=rien des autres pays_industrialisés*socio=ac, divers indicateurs*socio=ec1, notamment les indicateurs*socio=ec1 concernant les ventes*socio=ec1 au détail*socio=rien, tendaient à faire penser que l'accroissement*socio=ec2 des revenus*socio=ec1 réels*socio=ec2 commençait à stimuler la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et que l' activité_économique*socio=ec1 retrouverait donc probablement plus de souffle dans la suite*socio=rien de l'année*socio=rien. Inflation*socio=ec1. Comme on l'a déjà noté, le *socio=rien recul continu *socio=nil de l'inflation*socio=ec1 depuis environ six *socio=rien ans est *socio=nil l'une des plus *socio=rien grandes victoires *socio=nil de la stratégie*socio=et économique*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac (graphique*socio=rien 3). Le nouveau*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 observé en 1985 et au début*socio=rien de 1986, alors que la reprise était en cours*socio=rien depuis plus de trois ans*socio=rien, distingue la *socio=te phase cyclique actuelle des*socio=nil phases d'*socio=nil expansion*socio=ec2 des*socio=nil années*socio=rien *socio=nil 60 et 70. Auparavant, les phases*socio=te d'expansion*socio=ec2 se caractérisaient par une tendance*socio=ec2 inquiétante*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 à franchir des paliers*socio=rien sans cesse plus élevés*socio=uv4. En 1985, au contraire*socio=rien, le taux*socio=ec1 de *socio=rien hausse du déflateur*socio=nil composite du PNB*socio=ec1 des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac est *socio=nil tombé à 3,8 %, son niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien depuis la fin*socio=rien des années*socio=rien 60. En outre, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 a continué de se ralentir en glissement*socio=rien annuel*socio=te durant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1986, et cette décélération*socio=ec2, qui recouvre des baisses absolues des prix*socio=ec1 sur*socio=rien une *socio=rien base mensuelle *socio=nil dans plusieurs pays*socio=ac, tend à indiquer que l'inflation*socio=ec1 devrait encore céder *socio=rien du terrain cette*socio=nil année.*socio=nil L'*socio=nil évolution*socio=te récente des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac s'est*socio=rien aussi caractérisée par *socio=rien un nouveau rétrécissement*socio=ec2 des*socio=nil écarts*socio=ec2 d'*socio=nil inflation*socio=ec1 *socio=nil entre les divers pays*socio=ac. L'écart*socio=ec2 type*socio=rien des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 nationaux*socio=te a été*socio=rien ramené d'environ 3 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien en 1984 à 21/,2 points*socio=rien en 1985, soit à la moitié*socio=rien de ce qu'il était en 1980. Cette évolution*socio=te tient en *socio=rien grande partie *socio=nil à l'amélioration*socio=uv1 des résultats*socio=rien de plusieurs pays*socio=ac où sévissait auparavant une forte*socio=rien inflation*socio=ec1. Entre 1983 et 1985, par exemple*socio=rien, la France*socio=ac est*socio=rien parvenue à réduire de 31/-2 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien le taux*socio=ec1 d'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien déflateur du*socio=rien PIB*socio=ec1 et l'Italie*socio=ac est*socio=rien parvenue à le réduire de 6 points*socio=rien. Les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 ont aussi nettement diminué dans les autres pays_industrialisés*socio=ac, tout en restant en général*socio=rien plus élevés*socio=uv4 que dans les principaux*socio=rien pays*socio=ac. Divers facteurs*socio=rien, intérieurs*socio=te et extérieurs*socio=te, ont contribué à freiner l'inflation*socio=ec1 ces *socio=rien dernières années.*socio=nil Sur le*socio=nil plan intérieur*socio=te,*socio=nil *socio=nil le plus important*socio=uv4 a été*socio=rien le *socio=rien strict maintien *socio=nil d'une orientation*socio=et anti-inflationniste*socio=ec2 de la politique*socio=et gouvernementale*socio=ac en général*socio=rien, et de la politique_monétaire*socio=et en particulier*socio=rien. Dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 ont réussi à freiner la croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil et à créer des conditions*socio=ec1 propres*socio=rien à décourager de manière*socio=rien durable*socio=uv4 l'inflation*socio=ec1 et les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2. En outre, plusieurs pays*socio=ac ont supprimé ou modifié le système*socio=rien d'indexation*socio=ec1 des salaires*socio=ec1. Par suite*socio=rien, la hausse*socio=rien des coûts*socio=ec1 de main*socio=rien d'ouvre dans les *socio=ec1 industries manufacturières s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil nettement ralentie, passant de 11,5 1% en 1980 à 5,2 % en 1985 pour l'ensemble*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac. Dans le même temps*socio=rien, la reprise cyclique*socio=te de 1983-84 s'est*socio=rien accompagnée d'un*socio=rien progrès*socio=uv1 rapide*socio=rien de la productivité*socio=uv3 du*socio=rien travail*socio=ec1, si bien*socio=rien qu'entre 1982 et 1984 les coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien de main-d'_ouvre*socio=et sont restés pratiquement stables*socio=uv4 dans les *socio=ec1 industries manufacturières,*socio=nil *socio=nil leur permettant ainsi d'accroître nettement leur rentabilité*socio=ec1. En 1985, les gains*socio=ec1 de productivité*socio=uv3 ont été*socio=rien plus lents*socio=rien: les coûts*socio=ec1 *socio=rien unitaires clé main-d'_ouvre*socio=et *socio=nil ont donc légèrement augmenté (de 2 % ), mais en laissant pourtant subsister une certaine*socio=rien marge d'amélioration*socio=uv1 supplémentaire*socio=rien de la rentabilité*socio=ec1. La faiblesse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et des autres *socio=rien produits primaires *socio=nil a elle aussi contribué pour beaucoup au ralentissement*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac. De 1982 à 1985, les termes_de_l'_échange*socio=ec1 de ces pays*socio=ac ont enregistré tous les ans*socio=rien des améliorations*socio=uv1, représentant*socio=rien au *socio=rien total un gain*socio=ec1 *socio=nil de près de 5 '%. La chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1986 a eu une forte*socio=rien incidence*socio=ec2 sur*socio=rien le niveau*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1, encore que ses effets*socio=rien ne se soient pas toujours fait*socio=rien tout de suite*socio=rien pleinement sentir et qu'ils aient été*socio=rien atténués dans certains pays*socio=ac qui ont pris des mesures*socio=et pour empêcher que la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 soit intégralement répercutée sur*socio=rien les consommateurs*socio=ac. En moyenne*socio=rien, les prix*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 des importations*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac ont baissé de 111,2 '% en 1985 par rapport*socio=rien à 1984. Les prix*socio=ec1 en monnaies*socio=ec1 nationales*socio=te ont légèrement monté ( 11/4 % ), mais ont quand même eu *socio=rien un effet modérateur*socio=nil sensible sur l'*socio=nil inflation*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Avec la dépréciation*socio=ec2 *socio=rien considérable du dollar*socio=ec1 par*socio=nil rapport *socio=nil à son *socio=rien niveau du début *socio=nil de 1985, le jeu*socio=rien combiné des effets*socio=rien des modifications*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 et *socio=rien du faible niveau des*socio=nil prix*socio=ec1 des*socio=nil produits de*socio=nil base *socio=nil tendait, au début*socio=rien de 1986, à pousser fortement à la baisse*socio=ec2 les prix*socio=ec1 en monnaies*socio=ec1 nationales*socio=te des importations*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac. pays_en_développement*socio=uv3 Contexte*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1. Depuis l'éclatement*socio=rien de la crise*socio=uv2 de la dette*socio=ec1 en 1982, la politique_économique*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des pays_en_ développement*socio=uv3 *socio=rien est conditionnée *socio=nil par la nécessité*socio=uv1 d'adapter*socio=rien la marche*socio=rien de leur économie*socio=ec1 à de sévères*socio=uv4 contraintes*socio=uv1 financières*socio=ec1 extérieures*socio=te. Ainsi ont-ils été*socio=rien forcés de comprimer fortement leurs importations*socio=ec1 et de freiner vigoureusement la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te jusqu'à ce que l'amélioration*socio=uv1 de leurs résultats*socio=rien à l'exportation*socio=ec1, en particulier*socio=rien en 1984, ait rendu possible*socio=rien une reprise de la croissance*socio=uv3 intérieure*socio=te. Avec la modération*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 dans les pays_industrialisés*socio=ac en 1985, les pays_en_développement*socio=uv3 ont dû une fois*socio=rien encore faire face*socio=rien à une dégradation*socio=uv3 de leur environnement*socio=et extérieur*socio=te et adapter*socio=rien leur politique_économique*socio=ec1 en conséquence*socio=rien; le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans le monde*socio=te industrialisé a en effet*socio=rien entraîné une forte*socio=rien décélération*socio=ec2 de la progression*socio=ec2 des échanges_mondiaux*socio=ec1 et une quasistagnation des exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. Parallèlement, les prix*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil ont brutalement baissé, en raison*socio=rien de la relative*socio=rien faiblesse*socio=ec2 de l' activité_économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac, de l'abondance*socio=uv2 exceptionnelle*socio=uv4 de l'offre*socio=ec1 de ces produits*socio=rien, notamment celle de - produits*socio=rien agricoles*socio=ec1, et de la montée du*socio=rien protectionnisme*socio=et dans les pays*socio=ac où ils trouvent leurs principaux*socio=rien débouchés*socio=ec1. Dès lors*socio=rien, les pays_en_développement*socio=uv3 se sont trouvés dans une situation*socio=rien d'autant plus difficile*socio=rien que les prêteurs*socio=ac privés*socio=et ont continué à se montrer peu disposés à reprendre leurs prêts*socio=ec1. (Les problèmes*socio=uv4 de financement*socio=ec1 et d'endettement*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 sont analysés plus loin*socio=rien, aux pages*socio=rien 30-33. ) La dégradation*socio=uv3 de la conjoncture*socio=ec2 extérieure*socio=te a rendu encore plus délicat*socio=rien le dilemme*socio=rien auquel étaient confrontés les gouvernements*socio=ac des pays_en_développement*socio=uv3. Les exportations*socio=ec1 ne pouvant plus guère soutenir l' activité_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te, les gouvernements*socio=ac de nombreux*socio=rien pays*socio=ac semblent avoir jugé plus difficilement acceptable*socio=uv2 d'appliquer une politique*socio=et de rigueur*socio=uv3 budgétaire*socio=et. En conséquence*socio=rien, après*socio=rien avoir été*socio=rien ramenés de 5,1 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1983 à 4,3 % en 1984, les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et des administrations_centrales*socio=ac des pays_en_développement*socio=uv3 sont restés globalement inchangés*socio=rien en 1985; mais ils se sont sensiblement accrus dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil À la fin*socio=rien de 1985, beaucoup de ces pays*socio=ac souffraient encore de sérieux*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 intérieurs*socio=te et, bien*socio=rien qu'ayant auparavant nettement amélioré leur balance_des_paiements_courants*socio=ec1, ils n'avaient toujours pas retrouvé un*socio=rien crédit*socio=ec1 international*socio=te satisfaisant*socio=rien. Les divers pays_en_développement*socio=uv3 ont plus ou moins modifié leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et en 1985, selon, principalement, le degré*socio=rien d'ajustement*socio=et déjà réalisé. D'une *socio=rien façon générale,*socio=nil les*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil dont les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et ont augmenté sont essentiellement ceux qui avaient déjà réussi à améliorer de *socio=rien manière notable leur*socio=nil position extérieure*socio=te *socio=nil et qui disposaient donc au moins d'une certaine*socio=rien marge de manouvre pour la conduite*socio=rien de leur politique_économique*socio=ec1. Beaucoup de pays*socio=ac n'ayant pas éprouvé récemment de difficultés*socio=uv4 à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 et ayant pris assez tôt des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et efficaces*socio=uv4 ont été*socio=rien en mesure*socio=rien de compenser l'affaiblissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te en 1985 en adoptant une politique_économique*socio=ec1 qui a aidé à soutenir la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Par exemple*socio=rien, les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés ont légèrement augmenté en 1985. En revanche, les pays*socio=ac qui n'avaient pas déjà fait*socio=rien des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et suffisants*socio=rien ont été*socio=rien contraints*socio=uv2, devant*socio=rien la détérioration*socio=uv4 de la conjoncture*socio=ec2 extérieure*socio=te en 1985, d'intensifier leur politique*socio=et d'ajustement*socio=et et de réduire encore leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et et leurs importations*socio=ec1. De nombreux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil *socio=rien produits primaires *socio=nil se sont trouvés dans ce cas*socio=rien. Leurs difficultés*socio=uv4 budgétaires*socio=et ont pris *socio=rien un tour particulièrement*socio=nil aigu *socio=nil en 1985, car la stagnation*socio=ec1 du*socio=rien pouvoir_d'_achat*socio=ec1 de leurs exportations*socio=ec1 a entraîné une diminution*socio=ec2 parallèle*socio=rien de leurs recettes*socio=ec1 budgétaires*socio=et, fortement tributaires*socio=rien de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 de produits*socio=rien de base*socio=rien. En 1985, la position*socio=rien extérieure*socio=te de ces pays*socio=ac était telle que malgré cette faiblesse*socio=ec2 de leurs recettes_publiques*socio=et, ils ont dû réduire leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et d'en moyenne*socio=rien 1/2 % de leur PIB*socio=ec1. Dans la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, la politique*socio=et de la monnaie*socio=ec1 et du*socio=rien crédit*socio=ec1 est*socio=rien depuis *socio=rien un certain temps axée*socio=nil sur une*socio=nil réduction*socio=ec2 progressive des*socio=nil *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil *socio=nil À cette fin*socio=rien, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont en *socio=rien général été *socio=nil relevés de manière*socio=rien à assurer ou à maintenir des taux*socio=ec1 réels*socio=ec2 positifs*socio=uv4 sur*socio=rien les instruments*socio=et de prêt*socio=ec1 ou d'emprunt*socio=ec1. Ont *socio=rien fait exception *socio=nil à ce mouvement*socio=ec2 de désinflation*socio=ec2 *socio=rien un petit nombre de*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil inflation*socio=ec1 élevée*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil où, jusqu'à une époque*socio=te récente*socio=rien, l'accroissement*socio=ec2 des besoins*socio=uv1 financiers*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et s'est*socio=rien traduit par une accélération*socio=ec2 du*socio=rien rythme*socio=ec2 d'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1. En tout état*socio=rien de cause*socio=rien, dans la quasi-totalité*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, le secteur_privé*socio=et s'est*socio=rien vu restreindre son accès*socio=uv1 au crédit*socio=ec1. N'ayant qu'un*socio=rien accès*socio=uv1 limité aux sources*socio=rien extérieures*socio=te de financement*socio=ec1, ou se refusant à y faire trop largement appel*socio=rien, *socio=rien un grand nombre de*socio=nil gouvernements*socio=ac *socio=nil ont recouru davantage au crédit*socio=ec1 intérieur*socio=te pour financer les déficits*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et. La croissance*socio=uv3 *socio=rien du volume des*socio=nil crédits*socio=ec1 *socio=nil accordés au secteur_privé*socio=et a donc tendu à se ralentir, même dans les pays*socio=ac où le déficit*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et était maintenu dans des limites*socio=rien raisonnables*socio=uv4. Après*socio=rien avoir en général*socio=rien relâché leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et intérieur*socio=te durant une *socio=rien bonne partie *socio=nil de l'année*socio=rien 1985, les pays_en_développement*socio=uv3 sont peu à peu revenus*socio=ec1 à une politique*socio=et plus ferme*socio=ec2 à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien et au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1986. Cette réorientation*socio=et répondait d'ailleurs*socio=rien en partie*socio=rien à une nécessité*socio=uv1, car la détérioration*socio=uv4 de l'environnement*socio=et extérieur*socio=te imposait un*socio=rien renforcement*socio=ec2 des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et. Il faut aussi signaler qu'au cours*socio=rien de cette période*socio=te, plusieurs pays*socio=ac (notamment l'Argentine*socio=ac, la Bolivie*socio=ac, le Brésil*socio=ac et Israël*socio=ac) se sont employés*socio=rien avec beaucoup plus d'énergie*socio=ec1 à juguler leur inflation*socio=ec1. Les mesures*socio=et prises*socio=rien par ces pays*socio=ac ont marqué une rupture*socio=ec2 bienvenue*socio=rien avec les politiques*socio=et plus accommodantes*socio=uv4 qu'ils appliquaient auparavant. Sans doute*socio=rien les tendances*socio=ec2 récentes*socio=rien à adopter une politique_économique*socio=ec1 plus résolue ont-elles amélioré d'une *socio=rien façon générale les*socio=nil perspectives*socio=te de*socio=nil croissance*socio=uv3 des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil cependant, ces perspectives*socio=te diffèrent sensiblement suivant*socio=rien les pays*socio=ac, en particulier*socio=rien selon qu'ils sont importateurs*socio=ac ou exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1. Les *socio=rien événements récents *socio=nil ont desserré les contraintes*socio=uv1 extérieures*socio=te qui pesaient sur*socio=rien la plupart*socio=rien des *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans leur cas*socio=rien, la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 internationaux*socio=te et l'allégement*socio=ec2 considérable*socio=rien des factures pétrolières*socio=ec1 devraient se traduire par une augmentation*socio=ec2 du*socio=rien revenu*socio=ec1 réel*socio=rien qui leur permettrait ainsi de consolider leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et. Néanmoins, même pour ces pays*socio=ac, les perspectives*socio=te demeurent médiocres*socio=uv2, surtout pour ceux qui sont le plus lourdement endettés. Pour les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil ainsi que pour *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ayant avec eux des liens*socio=rien commerciaux*socio=ec1 et financiers*socio=ec1 étroits*socio=rien, les évolutions*socio=te récentes*socio=rien ont eu au total*socio=rien pour effet*socio=rien d'aggraver sérieusement les dilemmes*socio=rien auxquels ils étaient déjà confrontés en 1985. Comme beaucoup d'entre eux avaient déjà réduit fortement leurs dépenses*socio=ec1 budgétaires*socio=et et leurs importations*socio=ec1 ces *socio=rien dernières années,*socio=nil il*socio=nil risque*socio=uv3 *socio=nil de leur *socio=rien être difficile *socio=nil de les comprimer encore davantage en 1986 pour pallier leurs lourdes pertes*socio=ec2 sur*socio=rien leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1. Activité*socio=rien intérieure*socio=te. En 1985, la détérioration*socio=uv4 de la conjoncture*socio=ec2 internationale*socio=ac a nettement ralenti la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 et lui a fait*socio=rien perdre une *socio=rien bonne part *socio=nil de la *socio=rien vitesse acquise *socio=nil en 1984. Pour le groupe*socio=ac considéré dans son ensemble*socio=rien, la production*socio=ec1 globale*socio=rien n'a augmenté que de 31/4 '% en 1985, contre 41/4 '% en 1984 (tableau*socio=rien 5), Les taux_de_croissance*socio=ec1 des divers sous-groupes_de_pays_en_développement*socio=ac ont varié, pour une part*socio=rien en *socio=rien fonction du degré *socio=nil de gravité de leurs difficultés*socio=uv4 extérieures*socio=te. Les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil sont ceux qui se sont trouvés dans la situation*socio=rien la plus épineuse en 1985, *socio=rien du fait *socio=nil que le pouvoir_d'_achat*socio=ec1 réel*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 a baissé de 8 %. Par suite*socio=rien, leur PIB*socio=ec1 global*socio=te réel*socio=rien a stagné. Les pays*socio=ac non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1 ont été*socio=rien beaucoup mieux partagés: le pouvoir_d'_achat*socio=ec1 réel*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 n'a, il *socio=rien est vrai,*socio=nil *socio=nil augmenté que de 21/2 '% (contre 1311,2 % en 1984) mais, grâce*socio=rien à un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des composantes*socio=ec1 intérieures*socio=te de la demande*socio=ec1, leur PIB*socio=ec1 réel*socio=rien s'est*socio=rien accru globalement de 4`1/4 %. Comme on l'a déjà noté, la marge de manouvre dont les pays*socio=ac ont disposé pour limiter*socio=rien les effets*socio=rien exercés sur*socio=rien leur activité*socio=rien intérieure*socio=te par la détérioration*socio=uv4 de la conjoncture*socio=ec2 mondiale*socio=te a dépendu largement de la plus ou moins grande*socio=rien solidité*socio=uv3 de leur position*socio=rien extérieure*socio=te. Ayant considérablement*socio=rien renforcé leur balance_des_paiements_courants*socio=ec1 les *socio=rien années précédentes,*socio=nil les*socio=nil *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés ont été*socio=rien en mesure*socio=rien de laisser une augmentation*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te compenser certains des *socio=rien effets du ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de leurs exportations*socio=ec1. En revanche, la situation*socio=rien extérieure*socio=te des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil *socio=rien produits primaires *socio=nil demeurait en général*socio=rien précaire*socio=uv2, de sorte*socio=rien que, lorsque leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 ont diminué, ces pays*socio=ac n'ont guère eu d'autre solution*socio=rien que de limiter*socio=rien l'absorption*socio=rien intérieure*socio=te. L'interaction*socio=rien des facteurs*socio=rien intérieurs*socio=te et extérieurs*socio=te dans la détermination*socio=rien de la production*socio=ec1 apparaît aussi dans l'inégalité*socio=uv1 des résultats*socio=rien des différents*socio=rien groupes*socio=ac régionaux*socio=te de pays_en_développement*socio=uv3. Les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac - dont beaucoup sont exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés - ont vu la croissance*socio=uv3 de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 diminuer, en termes*socio=rien réels*socio=ec2, de 13 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien en 1985, dans une *socio=rien large mesure à*socio=nil cause du ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la progression*socio=ec2 en volume*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1. Pourtant, comme au départ*socio=rien leur position*socio=rien extérieure*socio=te était relativement solide*socio=rien, ils ont pu se permettre de laisser la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te progresser dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil *socio=nil et leur production*socio=ec1 a augmenté de 6 5c, ce qui représente une belle*socio=rien réussite*socio=uv1, comparée à leurs résultats*socio=rien passés*socio=te aussi bien*socio=rien qu'à la croissance*socio=uv3 enregistrée dans les autres régions*socio=te. Dans celles-ci, en effet*socio=rien, la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 a été*socio=rien en général*socio=rien beaucoup plus faible*socio=rien. Les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 du*socio=rien groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 européens*socio=ac, qui comprend également plusieurs *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés, se sont ralenties à peu près autant que celles des pays*socio=ac d'Asie*socio=ac. Mais, comme les ratios*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1 de ces pays*socio=ac étaient plus élevés*socio=uv4 et leur position*socio=rien extérieure*socio=te plus fragile*socio=rien, leur marge de manouvre a été*socio=rien plus étroite*socio=rien et leur production*socio=ec1 n'a augmenté en moyenne*socio=rien que de 21/4 1% en 1985. La croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 s'est*socio=rien aussi ralentie en 1985 dans de très nombreux*socio=rien pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te. Sans doute*socio=rien le taux_de_croissance*socio=ec1 moyen*socio=rien pondéré de cette région*socio=te est-il passé*socio=rien de 3,2 % en 1984 à 3,7 % en 1985; mais cette accélération*socio=ec2 *socio=rien est attribuable *socio=nil à l'expansion*socio=ec2 enregistrée au Brésil*socio=ac, et en *socio=rien grande partie *socio=nil induite par l'action*socio=ec1 gouvernementale*socio=ac. La baisse*socio=ec2 de 1 1/4 *socio=rien point du taux_de_croissance*socio=ec1 médian *socio=nil de la région*socio=te est*socio=rien plus représentative*socio=uv des résultats*socio=rien obtenus par la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac. Les pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac et des Caraïbes*socio=ac, qui sont le plus souvent exportateurs*socio=ac de *socio=rien produits primaires,*socio=nil ont*socio=nil été victimes*socio=ac *socio=nil d'une *socio=uv4 sérieuse détérioration *socio=nil de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 en 1985. En outre, le volume*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 a diminué *socio=rien du fait du tassement *socio=nil de l'activité_économique*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac - leur principal*socio=rien marché*socio=ec1. Bien*socio=rien qu'ayant considérablement*socio=rien réduit leur déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te les *socio=rien années précédentes,*socio=nil ces*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil souffraient encore de sérieux*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 intérieurs*socio=te, dont témoignaient l'ampleur*socio=rien du*socio=rien déficit*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et et la rapide*socio=rien accélération*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 dans plusieurs d'entre eux. Même ceux qui avaient pris des mesures*socio=et pour corriger ces déséquilibres*socio=uv3 ont dû souvent passer par *socio=rien un freinage *socio=nil de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, qui a accentué la baisse*socio=ec2 d'activité_économique*socio=ec1 engendrée par l'évolution*socio=te extérieure*socio=te. Au Moyen-orient*socio=ac, la production*socio=ec1 a enregistré en 1985 une baisse*socio=ec2 de 11/4 %, en *socio=rien grande partie imputable*socio=uv2 *socio=nil à la diminution*socio=ec2 continue*socio=rien des *socio=ec1 recettes pétrolières *socio=nil de la région*socio=te. Pour l'ensemble*socio=rien de la région*socio=te, le pouvoir_d'_achat*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 a diminué de 9 %. De son côté*socio=rien, la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te est*socio=rien restée déprimée à cause*socio=rien des compressions*socio=et de *socio=rien nombreuses catégories de*socio=nil dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et *socio=nil imposées par la diminution*socio=ec2 ininterrompue*socio=rien des *socio=ec1 recettes pétrolières *socio=nil et, dans les pays*socio=ac non pétroliers*socio=ec1, à *socio=rien cause du fléchissement*socio=ec2 des*socio=nil recettes*socio=ec1 au*socio=nil titre des*socio=nil envois de*socio=nil fonds*socio=ec1 privés*socio=et *socio=nil et des transferts_officiels*socio=et en provenance*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans les *socio=ac pays africains *socio=nil considérés dans leur ensemble*socio=rien, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 est*socio=rien demeurée très faible*socio=rien, et le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien de la région*socio=te n'a augmenté que de 2 1% en 1985. Toutefois, à l'intérieur*socio=te de la région*socio=te, la production*socio=ec1 a évolué de *socio=rien façon différente suivant les*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Elle a diminué - ou est*socio=rien restée très déprimée - dans les deux plus grands*socio=rien d'entre eux, le Nigéria et l'afrique_du_sud*socio=ec1; dans le premier*socio=rien à cause*socio=rien des incidences*socio=ec2 des changements*socio=uv3 intervenus sur*socio=rien le *socio=ec1 marché pétrolier *socio=nil et, dans le second*socio=rien, par suite*socio=rien de l'application*socio=rien de mesures*socio=et visant à maîtriser*socio=rien les *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil et à redresser la balance_des_paiements_courants*socio=ec1. La production*socio=ec1 a cependant suivi une évolution*socio=te un*socio=rien peu plus favorable*socio=uv4 dans les autres pays*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac: le taux_d'_expansion*socio=ec2 du*socio=rien PIB*socio=ec1 y *socio=rien est passé *socio=nil de 21/4 % en 1984 à 21/2 '% en 1985. Cette amélioration*socio=uv1 ne doit évidemment rien*socio=rien aux recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, qui ont considérablement*socio=rien diminué en termes*socio=rien réels*socio=ec2: elle est*socio=rien essentiellement due au redressement*socio=ec2 de la *socio=ec1 production agricole,*socio=nil *socio=nil très déprimée en 1984 et beaucoup plus favorisée*socio=rien par les conditions*socio=ec1 atmosphériques en 1985. Les chiffres relatifs*socio=rien aux taux_de_croissance*socio=ec1 du*socio=rien PIB*socio=ec1 ne rendent que très imparfaitement compte*socio=ec1 de la faiblesse*socio=ec2 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. La forte*socio=rien diminution*socio=ec2 de l'absorption*socio=rien intérieure*socio=te réelle*socio=ec2, surtout corrigée de la croissance*socio=uv3 démographique*socio=ec1, donne une idée*socio=rien plus juste*socio=rien de ce qu'a été*socio=rien en réalité*socio=ec2 la baisse*socio=ec2 du*socio=rien niveau_de_vie*socio=uv1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 ces *socio=rien dernières années (*socio=nil graphique *socio=nil 4). Si l'on mesure*socio=rien sommairement le niveau_de_vie*socio=uv1 moyen*socio=rien par l'absorption*socio=rien réelle*socio=ec2 par habitant*socio=ac, il apparaît que l'Asie*socio=ac est*socio=rien la seule*socio=rien région*socio=te du*socio=rien monde*socio=te en développement*socio=uv3 où cet indicateur*socio=ec2 du*socio=rien bien-être*socio=uv1 économique*socio=ec1 a progressé régulièrement durant toute la *socio=rien première moitié des*socio=nil années *socio=nil 80. Toutes les autres régions*socio=te n'ont pas été*socio=rien en mesure*socio=rien de résister aux tensions*socio=ec2 créées par la détérioration*socio=uv4 des conditions*socio=ec1 extérieures*socio=te et par des situations*socio=rien intenables*socio=uv2 des balances_des_paiements*socio=ec1. La baisse*socio=ec2 du*socio=rien niveau_de_vie*socio=uv1 a été*socio=rien particulièrement forte*socio=rien en Afrique*socio=ac et dans l'hémisphère_occidental*socio=te. Il faut en outre rappeler qu'au début*socio=rien des années*socio=rien 80 le niveau_de_vie*socio=uv1 dépassait à peine le minimum*socio=rien vital*socio=uv4 dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac de l'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac. Dans les pays*socio=ac du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac, le niveau_de_vie*socio=uv1 s'était considérablement*socio=rien élevé*socio=uv4 à la suite*socio=rien des hausses des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 de 1979-80 mais, depuis 1982, il a été*socio=rien en déclinant en raison*socio=rien des sévères*socio=uv4 compressions*socio=et de dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et imposées par la décrue des *socio=ec1 recettes pétrolières.*socio=nil *socio=nil Ce qu'il y a peut-être de plus inquiétant*socio=rien dans l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 depuis quelques années*socio=rien, c'est*socio=rien la faiblesse*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 (graphique*socio=rien 5). Cet état*socio=rien de choses*socio=rien s'est*socio=rien maintenu en 1985. La réduction*socio=ec2 des investissements*socio=ec1 ces *socio=rien dernières années *socio=nil a constitué la *socio=rien principale contrepartie intérieure*socio=te *socio=nil de l'ajustement*socio=et du*socio=rien compte*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te, et elle a touché aussi bien*socio=rien le secteur_public*socio=et que le secteur_privé*socio=et. Dans le secteur_public*socio=et, étant donné la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 des paiements_d'_intérêts*socio=ec1 au titre*socio=rien de la dette*socio=ec1 publique*socio=et et la difficulté*socio=uv4 politique*socio=et de réduire *socio=rien certaines catégories de*socio=nil dépenses*socio=ec1 courantes*socio=te,*socio=nil c'*socio=nil est essentiellement*socio=nil sur les*socio=nil dépenses*socio=ec1 d'*socio=nil équipement*socio=ec1 *socio=nil qu'ont porté les économies*socio=ec1 budgétaires*socio=et de ces *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Dans le secteur_privé*socio=et, les investissements*socio=ec1 ont souvent été*socio=rien victimes*socio=ac de l'accroissement*socio=ec2 de la part*socio=rien prélevée par le secteur_public*socio=et sur*socio=rien l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te et également de la baisse*socio=ec2 de confiance*socio=uv1 dans leur rentabilité*socio=ec1. Ainsi que le montre le graphique*socio=rien 5, c'est*socio=rien en Afrique*socio=ac, en Europe*socio=ac et dans l' hémisphère_occidental*socio=te que la formation*socio=et brute*socio=rien de capital*socio=ec1 a le plus diminué. Certains signes font espérer que ce déclin*socio=ec2 touche à son terme*socio=rien dans les deux dernières*socio=rien de ces régions*socio=te; mais un*socio=rien redressement*socio=ec2 rigoureux*socio=uv4 des investissements*socio=ec1 n'en reste*socio=rien pas moins indispensable*socio=uv4 si l'on veut que les taux_de_croissance*socio=ec1 du*socio=rien PNB*socio=ec1 s'améliorent de façon*socio=rien durable*socio=uv4. Les dépenses*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 ont en *socio=rien général été *socio=nil plus soutenues en Asie*socio=ac. Le ralentissement*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 en 1985 s'est*socio=rien accompagné d'une nouvelle*socio=rien détérioration*socio=uv4 de la *socio=rien situation du marché_du_travail*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Toutefois, peut-être parce qu'ils ont réagi avec retard*socio=rien, les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 recensés ne paraissent pas avoir monté. Dans l'hémisphère_occidental*socio=te, par exemple*socio=rien, les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 dans les grandes*socio=rien villes*socio=te ont en fait*socio=rien fléchi en 1985 (de 1/2 point*socio=rien de pourcentage*socio=rien en moyenne*socio=rien), alors qu'ils y avaient augmenté de 3 à 5 points*socio=rien au total*socio=rien entre 1981 et 1984. Néanmoins, dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, l'affaiblissement*socio=ec2 de la - croissance*socio=uv3 a manifestement aggravé les problèmes*socio=uv4 de chômage*socio=ec1 et de sous-emploi*socio=ec1 engendrés par des circonstances*socio=rien extérieures*socio=te défavorables*socio=uv4 et la rapide*socio=rien croissance*socio=uv3 démographique*socio=ec1. De plus, la baisse*socio=ec2 continue*socio=rien des *socio=ec1 recettes pétrolières des*socio=nil *socio=ac pays producteurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 a*socio=nil considérablement*socio=rien *socio=nil réduit les possibilités*socio=rien d'emploi*socio=ec1 pour les travailleurs*socio=ac en provenance*socio=rien des pays*socio=ac voisins*socio=rien. Bien*socio=rien que 1985 ait été*socio=rien à maints égards*socio=rien une *socio=rien année décevante *socio=nil pour les pays_en_développement*socio=uv3, divers faits*socio=rien intervenus vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien et au début*socio=rien de 1986 ont un*socio=rien peu éclairci leur horizon*socio=rien. Dans le cas*socio=rien des *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil la chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 devrait servir à soutenir la croissance*socio=uv3 du*socio=rien revenu*socio=ec1 réel*socio=rien. *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil Afrique*socio=ac *socio=nil et d'amérique_centrale*socio=ac ont bénéficié d'un*socio=rien atout*socio=rien encore plus important*socio=uv4 avec la *socio=rien forte hausse des*socio=nil prix*socio=ec1 du café*socio=ec1 *socio=nil au tout début*socio=rien de 1986. En outre, la quasi-totalité*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 tireront profit*socio=ec1 de la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te et de l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 dans le monde*socio=te industrialisé. En sens*socio=rien inverse, toutefois, force*socio=uv1 est*socio=rien de reconnaître que les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil ont subi de lourdes pertes*socio=ec2 de revenu*socio=ec1 réel*socio=rien, qui vont réduire leurs possibilités*socio=rien de croissance*socio=uv3. Les pertes*socio=ec2 de revenu*socio=ec1 des *socio=ac pays producteurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 auront*socio=nil vraisemblablement*socio=rien d'*socio=nil importants*socio=uv4 *socio=rien effets indirects sur les*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui ont des *socio=rien liens étroits *socio=nil (par le *socio=rien biais du commerce*socio=ec1,*socio=nil des*socio=nil envois de*socio=nil fonds*socio=ec1 de*socio=nil travailleurs*socio=ac *socio=nil ou de transferts_officiels*socio=et) avec les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil La*socio=nil baisse*socio=ec2 du*socio=rien prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 *socio=nil devrait donc avoir une incidence*socio=ec2 notable*socio=rien, bien*socio=rien qu'inégalement répartie*socio=rien, sur*socio=rien le monde*socio=te en développement*socio=uv3. Inflation*socio=ec1. A considérer l'évolution*socio=te de l'inflation*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 ces *socio=rien dernières années,*socio=nil on*socio=nil est *socio=nil frappé par la disparité*socio=uv1 croissante*socio=rien entre les résultats*socio=rien de la majorité*socio=rien de ces pays*socio=ac, où elle s'est*socio=rien ralentie, et ceux d'un*socio=rien *socio=rien petit nombre *socio=nil d'autres pays*socio=ac, où la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 s'est*socio=rien accélérée pour atteindre des taux*socio=ec1 extrêmement élevés*socio=uv4. On peut mesurer approximativement l'inflation*socio=ec1 dans le pays_en_développement*socio=uv3 "typique*socio=rien" par le taux*socio=ec1 médian*socio=rien d'inflation*socio=ec1: celui-ci a suivi une tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 à partir de 1980 et, *socio=rien après un léger mouvement*socio=ec2 de*socio=nil hausse *socio=nil en 1984, il a de nouveau*socio=rien fléchi en 1985 (tableau*socio=rien 6). Le caractère*socio=rien très général*socio=rien de l'amélioration*socio=uv1 en 1985 ressort clairement *socio=rien du fait *socio=nil qu'elle s'observe dans la plupart*socio=rien des groupements régionaux*socio=te. Néanmoins, avec 81/2 % en 1985, le taux*socio=ec1 médian*socio=rien d'inflation*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 reste*socio=rien beaucoup plus élevé*socio=uv4 que dans les pays_industrialisés*socio=ac. Contrairement au taux*socio=ec1 médian*socio=rien, le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien pondéré d'inflation*socio=ec1 a augmenté pour atteindre près de 40 % en 1985. Cette évolution*socio=te s'explique principalement par les hausses de prix*socio=ec1 très fortes*socio=rien et sans cesse plus rapides*socio=rien enregistrées en Argentine*socio=ac, en Bolivie*socio=ac, au Brésil*socio=ac, en Israël*socio=ac et au Pérou*socio=ac. Le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 composite*socio=rien de ce groupe_de_pays*socio=ac, qui était de 105 % en moyenne*socio=rien en 1981-82 et qui avait bondi à 250 % en 1984, a encore augmenté en 1985 pour s'établir à 300 %. La hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 s'est*socio=rien également accélérée dans *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'autres pays*socio=ac, de l' hémisphère_occidental*socio=te notamment, où l'interaction*socio=rien de politiques*socio=et financières*socio=ec1 accommodantes*socio=uv4, de dépréciations*socio=ec1 des monnaies*socio=ec1 et de systèmes*socio=rien d'indexation*socio=ec1 a exacerbé les *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil *socio=nil Pourtant, depuis le milieu*socio=rien de l'année*socio=rien 1985, plusieurs des pays*socio=ac où l'inflation*socio=ec1 était la plus forte*socio=rien ont mis en ouvre tout *socio=rien un ensemble de*socio=nil mesures*socio=et,*socio=nil *socio=nil y compris des réformes*socio=et monétaires*socio=ec1, afin de maîtriser*socio=rien rapidement leur inflation*socio=ec1. Certes, ces efforts*socio=uv1 ne produiront des résultats*socio=rien durables*socio=uv4 à long_terme*socio=te qu'autant que les gouvernements*socio=ac les poursuivront avec persévérance*socio=uv1; il reste*socio=rien qu'au début*socio=rien de 1986 ils avaient déjà fait*socio=rien diminuer de *socio=rien façon impressionnante les*socio=nil taux*socio=ec1 de*socio=nil hausse des*socio=nil prix*socio=ec1 d'*socio=nil un mois sur *socio=nil l'autre. COMMERCE*socio=ec1 ET PAIEMENTS*socio=ec1 *socio=te INTERNATIONAUX PERSPECTIVES MONDIALES Commerce*socio=ec1 mondial.*socio=nil *socio=nil L'une des plus graves*socio=uv4 *socio=rien conséquences du tassement *socio=nil de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac en 1985 a été*socio=rien d'entraîner une évolution*socio=te *socio=rien décevante du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil recettes*socio=ec1 d'*socio=nil exportation*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 ont*socio=nil été *socio=nil particulièrement touchées, les prix*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires *socio=nil étant spécialement bas*socio=rien. Étant donné la persistance*socio=te de leurs difficultés*socio=uv4 de financement*socio=ec1, les pays_en_développement*socio=uv3 se sont trouvés contraints*socio=uv2 de réduire le volume*socio=rien de leurs importations*socio=ec1. Le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, tombée à environ 3 % en termes*socio=rien réels*socio=ec2 en 1985, a été*socio=rien plus accusé qu'on ne s'y attendait, vu la forte*socio=rien accélération*socio=ec2 des échanges*socio=ec1 en 1983 et 1984 (tableau*socio=rien 7). Cette décélération*socio=ec2 s'explique essentiellement par les *socio=te évolutions cycliques *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac et, en particulier*socio=rien, par le renversement*socio=rien de la tendance*socio=ec2 des stocks*socio=ec1 dans beaucoup d'entre eux. La constitution*socio=rien de stocks*socio=ec1, qui a un*socio=rien important*socio=uv4 contenu d'importations*socio=ec1, avait compté pour bien*socio=rien plus *socio=rien du quart *socio=nil dans la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac en 1984. En 1985, sa contribution*socio=uv1 à la croissance*socio=uv3 est*socio=rien au contraire*socio=rien, devenue nettement négative*socio=rien. Par suite*socio=rien, les importations*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac, qui avaient augmenté de 121/-2 % en 1984, se sont accrues de moins de 5 % en 1985. Ce ralentissement*socio=ec2 a pesé pour une part*socio=rien spécialement *socio=rien forte sur les*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil dont les exportations*socio=ec1 ont augmenté de moins de 1 % en 1985, après*socio=rien avoir progressé de 7 ?% en 1984. De surcroît*socio=rien, un*socio=rien autre *socio=rien élément est *socio=nil venu jouer au désavantage des pays_en_ développement*socio=uv3, à savoir*socio=rien la reprise de la détérioration*socio=uv4 des prix*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires par*socio=nil rapport *socio=nil à ceux des produits*socio=rien manufacturés. Avec le vif*socio=rien redressement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac en 1983 et au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1984, les prix*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires *socio=nil s'étaient raffermis par rapport*socio=rien à ceux des produits*socio=rien manufacturés. En fait*socio=rien, au milieu*socio=rien de 1984, les prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien des *socio=rien produits primaires non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil avaient retrouvé les mêmes valeurs*socio=ec1 qu'au début*socio=rien de la récession*socio=ec2 mondiale*socio=te en 1980. Par la suite*socio=rien, toutefois, ces gains*socio=ec1 ont été*socio=rien plus qu'annulés, le rythme*socio=ec2 de la reprise s'étant affaibli dans les pays_industrialisés*socio=ac et l'offre*socio=ec1 de *socio=rien nombreux produits primaires *socio=nil ayant augmenté. Au quatrième*socio=rien trimestre*socio=te de 1985, les prix*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil se situaient, en termes*socio=rien réels*socio=ec2, à 23 % au-dessous *socio=rien du niveau *socio=nil qu'ils atteignaient 18 mois*socio=rien plus tôt (graphique*socio=rien 6). Les prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 ont suivi une évolution*socio=te un*socio=rien peu différente*socio=rien. Par rapport*socio=rien aux prix*socio=ec1 des produits*socio=rien manufacturés, le prix*socio=ec1 *socio=rien moyen du brut *socio=nil en 1985 n'était en *socio=rien moyenne inférieur *socio=nil que de 5 '% à son niveau*socio=rien de 1984. Mais, au début*socio=rien de 1986, les prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 ont commencé à s'effondrer, et au deuxième*socio=rien trimestre*socio=te ils avaient baissé de non moins de 50 '% par rapport*socio=rien à leur *socio=rien niveau moyen *socio=nil en 1985. L'ampleur*socio=rien de la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 a*socio=nil été largement*socio=nil inattendue*socio=uv4:*socio=nil *socio=nil elle semble avoir tenu à une *socio=rien conjonction inhabituelle de*socio=nil facteurs *socio=nil jouant à la *socio=rien fois du côté *socio=nil de l'offre*socio=ec1 et *socio=rien du côté *socio=nil de la demande*socio=ec1. *socio=rien Du côté *socio=nil de la demande*socio=ec1, le *socio=rien principal facteur a*socio=nil été,*socio=nil *socio=nil comme on vient de le dire, le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans les pays_industrialisés*socio=ac et les déstockages qui y ont été*socio=rien liés. Pourtant, la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 - qui a *socio=rien été égale ou*socio=nil supérieure *socio=nil à celles qu'on avait observées durant les phases*socio=te les plus sévères*socio=uv4 de récession*socio=ec2 internationale*socio=ac - a été*socio=rien trop accentuée pour pouvoir*socio=et s'expliquer simplement par la décélération*socio=ec2 relativement modeste*socio=rien de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 mondiale*socio=te en 1985. Il semble donc probable*socio=uv4 qu'elle s'explique aussi pour une *socio=rien bonne part *socio=nil par des facteurs*socio=rien jouant *socio=rien du côté *socio=nil de l'offre*socio=ec1. Il ressort des données *socio=rien disponibles sur l'*socio=nil offre*socio=ec1 *socio=nil que des stocks*socio=ec1 de produits*socio=rien de base*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien volume inhabituel avaient*socio=nil été *socio=nil constitués à la suite*socio=rien d'accroissements*socio=ec2 annuels*socio=te consécutifs*socio=rien des productions*socio=ec1 battant tous les records*socio=ec2 atteints depuis au moins 25 ans*socio=rien. L'importance*socio=rien du*socio=rien rôle*socio=et joué par l'évolution*socio=te de l'offre*socio=ec1 est*socio=rien encore confirmée par le fait*socio=rien que les plus fortes*socio=rien baisses des prix*socio=ec1 ont été*socio=rien enregistrées pour les produits*socio=rien dont l'offre*socio=ec1 avait le plus augmenté (par exemple*socio=rien, les produits*socio=rien agricoles*socio=ec1) et les plus faibles*socio=rien, pour ceux dont l'offre*socio=ec1 tendait à se contracter (par exemple*socio=rien, les métaux*socio=ec1). L'une des causes*socio=rien de la pléthore des produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 tient au subventionnement de la *socio=ec1 production agricole dans*socio=nil *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Il faut y ajouter la clémence*socio=rien des conditions*socio=ec1 atmosphériques, le renforcement*socio=ec2 des actions*socio=ec1 visant à encourager la production*socio=ec1 de *socio=rien produits primaires *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=uv3 et les réactions*socio=rien à retardement de l'offre*socio=ec1 aux niveaux*socio=rien élevés*socio=uv4 des prix*socio=ec1 réels*socio=ec2 des *socio=rien produits primaires *socio=nil à la fin*socio=rien des années*socio=rien 70. En se combinant, ces évolutions*socio=te des prix*socio=ec1 et celles *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 *socio=nil ont abouti à une forte*socio=rien divergence*socio=uv1 entre la croissance*socio=uv3, en termes*socio=rien réels*socio=ec2, des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac et celle des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. En 1985, le pouvoir_d'_achat*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 a augmenté de plus de 5 % pour les pays_industrialisés*socio=ac, et diminué de 1 11-2 '% pour les pays_en_développement*socio=uv3. Si ces derniers*socio=rien n'avaient pas été*socio=rien soumis à de sévères*socio=uv4 contraintes*socio=uv1 financières*socio=ec1, un*socio=rien tel état*socio=rien de choses*socio=rien aurait pu provoquer de *socio=rien profondes modifications *socio=nil dans la configuration*socio=et mondiale*socio=te des soldes*socio=ec1 des paiements_courants*socio=ec1. En l'occurrence*socio=rien, cependant, les contraintes*socio=uv1 financières*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 étaient telles que cette configuration*socio=et a très peu changé. En fait*socio=rien, l'ajustement*socio=et a revêtu la forme*socio=rien d'une disparité*socio=uv1 accusée des taux_de_croissance*socio=ec1 des importations*socio=ec1 des deux groupes_de_pays*socio=ac, les importations*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac augmentant de 4y,, % et celles des pays_en_développement*socio=uv3 pris collectivement*socio=rien, diminuant de 1 % (tableau*socio=rien 8). Ces mouvements*socio=ec2 globaux*socio=te dissimulent naturellement des différences*socio=uv1 considérables*socio=rien de résultats*socio=rien entre les divers pays*socio=ac à l'intérieur*socio=te de chacun de ces deux grands*socio=rien groupes*socio=ac. Par exemple*socio=rien, la stabilité*socio=uv3 *socio=rien relative du solde*socio=ec1 global*socio=te des*socio=nil transactions_courantes*socio=te des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil en 1985 masque une détérioration*socio=uv4 de la répartition*socio=uv3 de ce solde*socio=ec1 entre les États-unis*socio=ac, d'une part*socio=rien, et les autres pays_industrialisés*socio=ac - en particulier*socio=rien le Japon*socio=ac et la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac -, d'autre part*socio=rien. On reviendra plus *socio=rien loin sur les*socio=nil évolutions*socio=te intragroupes*socio=ac *socio=nil et autres. L'effondrement*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 au début*socio=rien de 1986 a introduit une toute nouvelle*socio=rien donne dans le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te. Malgré la pression*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 qui s'exerçait sur*socio=rien les prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 depuis 1981, le prix*socio=ec1 réel*socio=rien de ce produit*socio=rien était demeuré relativement stable*socio=uv4 en 1984 et en 1985. Toutefois, cette stabilité*socio=uv3 apparente n'avait pu, dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil être *socio=nil obtenue que parce que l'Arabie*socio=ac Saoudite*socio=ac était restée disposée à soutenir le prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 en faisant en quelque *socio=rien sorte office *socio=nil de "balancier" au sein*socio=rien de l'Organisation*socio=ac des *socio=ac pays producteurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 (*socio=nil OPEP)*socio=nil .*socio=nil Or*socio=ec1,*socio=nil à*socio=nil mesure*socio=rien *socio=nil que le temps*socio=rien passait, cet arrangement*socio=et était devenu de plus en plus fragile*socio=rien pour plusieurs raisons*socio=rien: 1 ) la perte*socio=ec2 progressive*socio=rien de parts*socio=rien de marché*socio=ec1 par l'OPEP*socio=ac au profit*socio=ec1 de producteurs*socio=ac non membres*socio=ac de cette organisation*socio=ac; 2) la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien, aux prix*socio=ec1 en vigueur*socio=uv3, de la demande*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1; et 3) les besoins*socio=uv1 croissants*socio=rien de devises*socio=ec1 de pays_membres*socio=ac de l'OPEP*socio=ac - dont *socio=rien un certain nombre *socio=nil avalent des déficits*socio=ec1 considérables*socio=rien des transactions_courantes*socio=te. Dans ces conditions*socio=ec1, l'Arabie*socio=ac Saoudite*socio=ac a décidé en septembre*socio=rien 1985 de ne plus servir de "balancier" et, lors*socio=rien de la réunion*socio=rien qu'elle a tenue du*socio=rien 7 au 9 décembre*socio=rien 1985, l'OPEP*socio=ac a décidé d'obtenir*socio=rien et de préserver pour l'OPEP*socio=ac une part*socio=rien équitable*socio=uv2 du*socio=rien marché*socio=ec1 mondial*socio=te du*socio=rien pétrole*socio=ec1... " L'augmentation*socio=ec2 de la production*socio=ec1 de l'OPEP*socio=ac qui s'en est*socio=rien suivie et les déstockages des *socio=ac pays consommateurs *socio=nil n'ont pas tardé à faire sentir leurs *socio=rien effets sur les*socio=nil prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ceux-ci ont brutalement chuté au cours*socio=rien des quatre *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1986, passant d'un*socio=rien prix*socio=ec1 moyen*socio=rien de l'ordre*socio=rien de 26,50 dollars*socio=ec1 É.U. le baril*socio=ec1 au quatrième*socio=rien trimestre*socio=te de 1985 à un*socio=rien prix*socio=ec1 nettement inférieur*socio=rien de 15 dollars*socio=ec1 É.U. le baril*socio=ec1 au deuxième*socio=rien trimestre*socio=te de 1986 (graphique*socio=rien 7). L'évolution*socio=te future*socio=te des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 est*socio=rien évidemment très incertaine*socio=uv4; mais il *socio=rien est clair *socio=nil que s'ils restaient de l'ordre*socio=rien de 15 dollars*socio=ec1 ÉU le baril*socio=ec1, il en résulterait d'importantes*socio=uv4 conséquences*socio=rien pour le commerce*socio=ec1 et les paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te en 1986 et au-delà. Pour les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil considérés dans leur ensemble*socio=rien, la chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 à *socio=rien un niveau aussi*socio=nil faible représente*socio=nil un gain*socio=ec1 annuel*socio=te de*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 *socio=nil d'environ 90 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU, équivalant à 6 % de leurs importations*socio=ec1 et à près de 1 1% de leur PIB*socio=ec1. Cette amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, conjuguée*socio=rien à la diminution*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 et des taux_d'_intérêt*socio=ec1, a nettement élargi l'horizon*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te dans les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil cas*socio=rien des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=rien est bien différent.*socio=nil *socio=nil Pour ces pays*socio=ac, ainsi que pour d'autres pays*socio=ac ayant des *socio=rien liens étroits *socio=nil avec eux, les résultats*socio=rien déjà décevants*socio=rien de 1985 risquent fort*socio=rien d'être*socio=rien suivis de résultats*socio=rien encore plus médiocres*socio=uv2 en 1986. La perte*socio=ec2 de recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 encourue par ces pays*socio=ac se chiffrerait à environ 70 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU', ce qui représente à peu près le tiers*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 et 8 % de leur PIB*socio=ec1 - c'est-à-dire une perte*socio=ec2 proportionnellement très supérieure*socio=rien au gain*socio=ec1 des *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil De plus, ces pertes*socio=ec2 initiales*socio=rien devraient être*socio=rien amplifiées par les *socio=rien effets secondaires résultant des*socio=nil ajustements*socio=et *socio=nil à opérer sous forme*socio=rien de compressions*socio=et des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et, de baisses des taux_de_change*socio=ec1 et de réduction*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et. Marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te. Le montant*socio=ec1 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac vers les pays_en_développement*socio=uv3 est*socio=rien resté à peu près stagnant en 1985. Sans doute*socio=rien, le volume*socio=rien des obligations*socio=uv1 internationales*socio=te émises par des pays_en_développement*socio=uv3 est-il passé*socio=rien de 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1984 à 10 mi*socio=rien - liards de dollars*socio=ec1 ÉU en 1985; mais *socio=rien seul un petit nombre des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil - ceux dont la *socio=rien signature est *socio=nil la plus prisée - a été*socio=rien en mesure*socio=rien de placer des émissions*socio=rien de ce genre*socio=rien. Le montant*socio=ec1 net*socio=rien des *socio=ec1 prêts bancaires,*socio=nil *socio=nil qui constituent pour les pays_en_développement*socio=uv3 la source*socio=rien la plus courante*socio=te de fonds*socio=ec1 aux conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1, est*socio=rien tombé à 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1985, contre 14 milliards*socio=rien en 1984 et 51 milliards*socio=rien en 1982. Beaucoup des pays_en_développement*socio=uv3 les plus endettés ont eu à effectuer des remboursements*socio=ec1 supérieurs*socio=rien au montant*socio=ec1 de leurs emprunts*socio=ec1 nouveaux*socio=rien, de sorte*socio=rien que l'encours des *socio=ec1 crédits bancaires *socio=nil en leur faveur*socio=rien a diminué. Les pays_en_développement*socio=uv3 n'ayant qu'un*socio=rien accès*socio=uv1 limité aux sources*socio=rien de financement*socio=ec1 aux conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1, leurs déficits*socio=ec1 des paiements_courants*socio=ec1 ont dû par la force*socio=uv1 des *socio=rien choses être *socio=nil maintenus à *socio=rien un bas niveau *socio=nil en 1985. Ces déficits*socio=ec1 ont été*socio=rien presque exclusivement financés par des prêts*socio=ec1 off, ciels*socio=rien et par des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 non générateurs*socio=rien de dettes*socio=ec1. Si les apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 aux pays_en_développement*socio=uv3 ont été*socio=rien peu soutenus, à d'autres égards*socio=rien les marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te ont au *socio=rien contraire été extrêmement*socio=nil actif*socio=ec1 *socio=nil -, et le volume*socio=rien global*socio=te des transactions*socio=ec1 y a atteint des niveaux*socio=rien records*socio=ec2. Les mesures*socio=et de l'activité*socio=rien financière*socio=ec1 internationale*socio=ac dont on dispose varient beaucoup selon les opérations*socio=rien qu'elles recouvrent. Mais toutes font ressortir des taux_d'_expansion*socio=ec2 de l'ordre*socio=rien de 30 % ou plus pour 1985. La rapide*socio=rien progression*socio=ec2 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 entre pays_industrialisés*socio=ac, qui dure depuis déjà plusieurs années*socio=rien, s'explique en partie*socio=rien par l'accroissement*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 entre leurs balances*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. Mais, en 1985, la baisse*socio=ec2 rapide*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te y a aussi contribué, en incitant les emprunteurs*socio=ac à faire refinancer une *socio=rien forte proportion des*socio=nil emprunts*socio=ec1 *socio=nil qu'ils avaient contractés à des taux_d'_intérêt*socio=ec1 fixes. D'une façon*socio=rien plus générale*socio=rien, l'introduction*socio=rien de *socio=rien nouvelles techniques d'*socio=nil emprunt*socio=ec1 *socio=nil et la libéralisation*socio=et des marchés_financiers*socio=ec1 de très nombreux*socio=rien pays*socio=ac ont conduit beaucoup de grandes*socio=rien sociétés*socio=ac et d'emprunteurs*socio=ac souverains*socio=et à chercher à se financer par émission*socio=rien de titres*socio=rien au lieu*socio=rien de passer par les *socio=ec1 filières bancaires *socio=nil classiques2. C'est*socio=rien ainsi que la part*socio=rien des prêts*socio=ec1 consortiaux dans les transactions*socio=ec1 effectuées sur*socio=rien le marché_financier*socio=ec1 international*socio=te a été*socio=rien ramenée d'environ 58 % en 1982 et 23 1% en 1984 à moins de 14 '% en 1985; la part*socio=rien des obligations*socio=uv1 et des facilités d'émission*socio=rien d'effets*socio=rien a augmenté de *socio=rien façon correspondante *socio=nil pour atteindre 84 '% en 1985. Le développement*socio=uv3 rapide*socio=rien des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1 depuis plusieurs *socio=rien années est attribuable *socio=nil pour une part*socio=rien au vaste*socio=rien mouvement*socio=ec2 de libéralisation*socio=et et d'innovation*socio=uv3 financières*socio=ec1 intervenu dans les pays_industrialisés*socio=ac. Les mesures*socio=et de libéralisation*socio=et ont *socio=rien été prises *socio=nil à des *socio=rien époques différentes *socio=nil et n'ont pas toutes la même portée*socio=rien; mais elles ont souvent consisté, entre autres choses*socio=rien, à déplafonner les taux_d'_intérêt*socio=ec1, à permettre l'utilisation*socio=rien de nouveaux*socio=rien instruments*socio=et financiers*socio=ec1, à autoriser les institutions_financières*socio=ac à effectuer des opérations*socio=rien qui leur étaient jusqu'alors interdites, à permettre aux institutions_financières*socio=ac étrangères*socio=te d'opérer sur*socio=rien certains marchés*socio=ec1 intérieurs*socio=te, et à abolir ou assouplir les restrictions*socio=et aux mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Les structures*socio=ec1 institutionnelles*socio=et et réglementaires*socio=et des marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 des divers pays*socio=ac sont encore très différenciées, mais les récents*socio=rien programmes*socio=et de libéralisation*socio=et, conjugués*socio=rien à la croissance*socio=uv3 tendancielle*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 des euromonnaies*socio=ec1, ont nettement accru leur degré*socio=rien d'intégration*socio=uv1. Liquidités*socio=ec1 internationales*socio=te. Le processus*socio=te de reconstitution*socio=ec2 des avoirs*socio=ec1 en liquidités*socio=ec1 internationales*socio=te dans lequel beaucoup de pays*socio=ac s'étaient engagés durant les années*socio=rien 1983 et 1984 s'est*socio=rien fortement ralenti en 1985. Compte*socio=ec1 non tenu des effets*socio=rien des réévaluations*socio=ec1 *socio=rien comptables sur les*socio=nil avoirs*socio=ec1 de*socio=nil réserve*socio=ec1 existants,*socio=nil les*socio=nil réserves*socio=ec1 mondiales*socio=te en*socio=nil devises*socio=ec1 *socio=nil n'ont augmenté que de 7 milliards*socio=rien de DTS, alors qu'elles s'étaient accrues de 37 milliards*socio=rien de DTS en 1984 (tableau*socio=rien 9). Entre 1984 et 1985, le rythme*socio=ec2 d'accumulation*socio=ec2 de réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 (hors réévaluations*socio=ec1 comptables*socio=rien) est*socio=rien tombé de 21 milliards*socio=rien de DTS à 3 milliards*socio=rien de DTS pour les pays_en_développement*socio=uv3, et de 16 milliards*socio=rien de DTS à 4 milliards*socio=rien de DTS pour les pays_industrialisés*socio=ac. L'évolution*socio=te des réserves*socio=ec1 a donc été*socio=rien assez similaire*socio=rien dans les deux groupes_de_pays*socio=ac, mais elle a répondu à des *socio=rien raisons différentes.*socio=nil Les*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil ont dû ralentir leur rythme*socio=ec2 d'accumulation*socio=ec2 de réserves*socio=ec1 afin de faire face*socio=rien à des circonstances*socio=rien extérieures*socio=te défavorables*socio=uv4, à *socio=rien un moment *socio=nil où beaucoup d'entre eux étaient dans l'impossibilité*socio=rien d'emprunter à des conditions*socio=ec1 acceptables*socio=uv2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1. Plusieurs grands*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 qui avaient réussi à accumuler des réserves*socio=ec1 en 1983-84 les ont utilisées pour financer leur déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te en 1985. De leur côté*socio=rien, les pays_industrialisés*socio=ac, à l'exception*socio=rien des États-unis*socio=ac, ont eu en général*socio=rien une balance*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te excédentaire*socio=rien. En tout état*socio=rien de cause*socio=rien, ils avaient facilement accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 du*socio=rien crédit*socio=ec1. Dans leur cas*socio=rien, le ralentissement*socio=ec2 de l'accumulation*socio=ec2 de réserves*socio=ec1 est*socio=rien donc plutôt imputable*socio=uv2 aux interventions*socio=et des banques_centrales*socio=ac visant d'abord*socio=rien à limiter*socio=rien la hausse*socio=rien de la valeur*socio=ec1 de change*socio=ec1 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1, puis à favoriser sa baisse*socio=ec2. L'affaiblissement*socio=ec2 du*socio=rien rythme*socio=ec2 d'accumulation*socio=ec2 de nouvelles*socio=rien réserves*socio=ec1 s'est*socio=rien combiné aux pertes*socio=ec2 de change*socio=ec1 sur*socio=rien les avoirs*socio=ec1 existants*socio=rien en dollars*socio=ec1 ÉU liées à la baisse*socio=ec2 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 par rapport*socio=rien au DTS, si bien*socio=rien que la valeur*socio=ec1 en DTS des réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 a en fait*socio=rien diminué en 1985. Les réserves*socio=ec1 totales*socio=rien, or*socio=ec1 exclu*socio=rien, sont passées*socio=te de 406 milliards*socio=rien de DTS à la fin*socio=rien de 1984 à 404 milliards*socio=rien de DTS à la fin*socio=rien de 1985. Ce fléchissement*socio=ec2, qui résulte de réévaluations*socio=ec1 comptables*socio=rien, s'est*socio=rien exclusivement concentré sur*socio=rien les pays_en_développement*socio=uv3. L'amoindrissement*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 mondiales*socio=te en 1985 se reflète dans la baisse*socio=ec2 des ratios*socio=ec1 des réserves*socio=ec1 (or*socio=ec1 exclu*socio=rien) aux importations*socio=ec1, pour le monde*socio=te dans son ensernblé et pour certains des grands*socio=rien sous-groupes_de_pays*socio=ac. Cette baisse*socio=ec2 rompt avec la tendance*socio=ec2 à la hausse*socio=rien de ces ratios*socio=ec1 qu'on observait depuis 1981. En 1983 et, surtout, en 1984, beaucoup de pays_en_développement*socio=uv3 avaient réussi, grâce*socio=rien à leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et, à améliorer de *socio=rien façon notable leur*socio=nil position de*socio=nil paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te.*socio=nil *socio=nil Ces deux années*socio=rien ont donc été*socio=rien marquées par une reconstitution*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 ainsi que, dans certains cas*socio=rien, par une réduction*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 de leurs importations*socio=ec1. Les effets*socio=rien des réévaluations*socio=ec1 comptables*socio=rien ont aussi contribué au changement*socio=uv3 de tendance*socio=ec2 du*socio=rien *socio=ec1 ratio réserves/*socio=nil importations.*socio=nil *socio=nil Étant donné que la *socio=rien part du dollar_éu*socio=ec1 *socio=nil dans les réserves*socio=ec1 *socio=rien est supérieure *socio=nil à son poids*socio=rien dans le panier*socio=rien de monnaies*socio=ec1 servant à déterminer la valeur*socio=ec1 du*socio=rien DTS, la valeur*socio=ec1 en DTS d'un*socio=rien stock*socio=ec1 donné de réserves*socio=ec1 tend à augmenter quand le dollar*socio=ec1 monte, et à diminuer quand il baisse*socio=ec2. Sous l'influence de ces facteurs*socio=rien, en 1984 les ratios*socio=ec1 de réserves*socio=ec1 (or*socio=ec1 exclu*socio=rien) aux importations*socio=ec1 de presque tous les grands*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac étaient égaux*socio=rien ou supérieurs*socio=rien à leur valeur*socio=ec1 à la fin*socio=rien des années*socio=rien 70. En 1985, en revanche, ils ont tendu soit à se stabiliser, soit, surtout parmi les pays_en_développement*socio=uv3, à diminuer. La diversification*socio=ec2 de la composition*socio=rien en monnaies*socio=ec1 des réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 s'est*socio=rien accélérée durant l'année*socio=rien 1985, La proportion*socio=rien des avoirs*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1 ÉU dans les réserves*socio=ec1 identifiées en devises*socio=ec1, qui était approximativement de 80 % au milieu*socio=rien des années*socio=rien 70, a été*socio=rien ramenée à 71 % à la fin*socio=rien de 1984 et à 65 c% à la fin*socio=rien de 1985. Cette diminution*socio=ec2 de la part*socio=rien des avoirs*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 ÉU dans les réserves*socio=ec1 identifiées en devises*socio=ec1 a eu pour contrepartie*socio=rien une augmentation*socio=ec2 de la proportion*socio=rien des réserves*socio=ec1 libellées en *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil ( 16 % en 1985 contre 9 % en 1977) et en yen*socio=ec1 (8 % en 1985 contre 3 % en 1977). La proportion*socio=rien des réserves*socio=ec1 libellées en dollars*socio=ec1 ÉU a diminué davantage dans le cas*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac (où elle est*socio=rien tombée de 89 % en 1977 à 65 % en 1985) que dans celui des pays_en_développement*socio=uv3 (où elle n'a baissé que de 71 % en 1977 à 66 % en 1985). En 1985, les avoirs*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1 ÉU ont, pour la *socio=rien première fois,*socio=nil *socio=nil tenu une plus *socio=rien grande place *socio=nil dans les réserves*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 que dans celles des pays_industrialisés*socio=ac. pays_industrialisés*socio=ac Évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1. Au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée, une très nette*socio=rien amélioration*socio=uv1 a été*socio=rien obtenue dans les rapports*socio=rien de chang e des grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1, qui correspondent désormais de façon*socio=rien plus étroite*socio=rien à la situation*socio=rien économique*socio=ec1 fondamentale*socio=uv4 des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. A la fin*socio=rien de février*socio=rien 1985, après*socio=rien plus de quatre ans*socio=rien d'appréciation*socio=uv3 pratiquement ininterrompue*socio=rien, le dollar_éu*socio=ec1 a commencé à fléchir vis-à-vis de la plupart*socio=rien des autres grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1. Ce recul*socio=rien était lié a certaines*socio=rien évolutions*socio=te nouvelles*socio=rien constatées dans les principaux*socio=rien pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac, qui ont abouti à une plus grande*socio=rien convergence*socio=uv3 non seulement des taux_d'_intérêt*socio=ec1, mais aussi des résultats*socio=rien obtenus sur*socio=rien le plan*socio=rien de la production*socio=ec1 et de l'inflation*socio=ec1. Le mouvement*socio=ec2 en baisse*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 américaine*socio=ac, après*socio=rien une *socio=rien brève interruption au*socio=nil cours *socio=nil de l'été*socio=rien, s'est*socio=rien accéléré à la suite*socio=rien de la *socio=rien réunion du 22*socio=nil septembre *socio=nil tenue par les ministres*socio=ac des finances*socio=ec1 et les gouverneurs*socio=ac de banques_centrales*socio=ac des pays*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Cinq*socio=rien. Toutes les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 ont marqué une *socio=rien avance considérable par*socio=nil rapport au*socio=nil dollar_éu*socio=ec1 au*socio=nil cours *socio=nil de la période*socio=te de douze mois*socio=rien se terminant à la fin*socio=rien d'avril*socio=rien 1986, à l'exception*socio=rien du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1, qui s'est*socio=rien déprécié de 1 %. En *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil dollar_éu*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil déprécié de 20 % au cours*socio=rien de cette période*socio=te, alors que le yen*socio=ec1 s'appréciait de 27 % et le *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil de 10 % (graphique*socio=rien 8). Au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1986, ces mouvements*socio=ec2 avaient ramené les taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien réels*socio=ec2 (calculés d'après*socio=rien les coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien normalisés de la main-d'_ouvre*socio=et) du*socio=rien yen*socio=ec1 et du*socio=rien *socio=ec1 deutsche mark aux*socio=nil niveaux*socio=rien *socio=nil enregistrés pendant le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1981, peu après*socio=rien l'appréciation*socio=uv3 soutenue amorcée par le dollar*socio=ec1 E. U. Les taux*socio=ec1 effectifs*socio=rien réels*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1 E. U. et de la lire italienne*socio=ac se sont néanmoins maintenus à *socio=rien un niveau plus*socio=nil élevé*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil et ceux du*socio=rien franc*socio=ec1 français*socio=rien et de la livre sterling*socio=ec1 à *socio=rien un niveau *socio=nil légèrement plus faible*socio=rien, que *socio=rien cinq ans *socio=nil auparavant. La valeur*socio=ec1 du*socio=rien dollar*socio=ec1, en *socio=rien termes effectifs réels*socio=ec2,*socio=nil était*socio=nil supérieure *socio=nil de 18 % à celle *socio=rien du premier trimestre*socio=te *socio=nil de 198 1, l'écart*socio=ec2 étant à peu près le même que celui indiqué par son taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif nominal *socio=nil (en hausse*socio=rien de 20 % ). En revanche, l'appréciation*socio=uv3 réelle*socio=ec2 de 11 % de la lire italienne*socio=ac depuis le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1981 s'est*socio=rien produite malgré une dépréciation*socio=ec2 nominale*socio=rien de quelque 30 %, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 en Italie*socio=ac ayant en effet*socio=rien dépassé de plus de 40 '% la moyenne*socio=rien observée chez ses partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 au cours*socio=rien de cette période*socio=te. Suivant*socio=rien une évolution*socio=te parallèle*socio=rien, la *socio=ec2 dépréciation réelle *socio=nil de la livre sterling*socio=ec1 a *socio=rien été inférieure *socio=nil à sa dépréciation*socio=ec2 nominale*socio=rien pendant la même période*socio=te, en raison*socio=rien des hausses de prix*socio=ec1 au Royaume-uni*socio=ac qui ont été*socio=rien plus fortes*socio=rien qu'à l'étranger*socio=te. L'appréciation*socio=uv3 soutenue de la plupart*socio=rien des grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1 vis-à-vis du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 en 1985 et au début*socio=rien de 1986 est*socio=rien due en partie*socio=rien à un*socio=rien mouvement*socio=ec2 convergent de la croissance*socio=uv3, de l'inflation*socio=ec1 et des *socio=ec1 conditions financières *socio=nil dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. en particulier*socio=rien, les écarts*socio=ec2 entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 des actifs*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1 E. U. et des actifs*socio=ec1 en d'autres monnaies*socio=ec1 se sont fortement rétrécis à la fin*socio=rien de 1984 et au cours*socio=rien de l'année*socio=rien 1985, essentiellement en raison*socio=rien de la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac qui s'est*socio=rien amorcée pendant le *socio=rien second semestre *socio=nil de 1984. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 américains*socio=ac à court_terme*socio=te ont régulièrement diminué, tombant de plus de 11 % en juillet*socio=rien 1984 à moins de 7 % en avril*socio=rien 1986. En conséquence*socio=rien, les écarts*socio=ec2 par rapport*socio=rien aux actifs*socio=ec1 libellés en yen*socio=ec1 et en *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil sont dans les deux cas*socio=rien tombés de plus de 5 % à moins de 2 %, bien*socio=rien que cette diminution*socio=ec2 n'ait nullement *socio=rien été constante au*socio=nil cours *socio=nil de la période*socio=te. Les écarts*socio=ec2 entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 à court_terme*socio=te, qui avaient été*socio=rien favorables*socio=uv4 aux actifs*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1 ÉU pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de la période*socio=te 1981-84, ont aussi commencé à s'amoindrir depuis lors*socio=rien et, en avril*socio=rien 1986, étaient en fait*socio=rien favorables*socio=uv4 aux actifs*socio=ec1 libellés en d'autres monnaies*socio=ec1 (graphique*socio=rien 9). Les écarts*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te en faveur*socio=rien des États-unis*socio=ac ont aussi diminué de *socio=rien façon spectaculaire au*socio=nil cours *socio=nil de la période*socio=te - devenant même négatifs*socio=rien pour plusieurs pays*socio=ac -, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te aux États-unis*socio=ac ayant baissé encore plus rapidement que ceux des effets*socio=rien à court_terme*socio=te. Les taux*socio=ec1 des obligations*socio=uv1 à long_terme*socio=te émises par le gouvernement*socio=ac des États-unis*socio=ac, qui dépassaient ceux de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et du*socio=rien Japon*socio=ac de quelque 6 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien vers le milieu*socio=rien de 1984, ne leur étaient supérieurs*socio=rien que de 2 points*socio=rien environ en avril*socio=rien 1986. La baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te aux États-unis*socio=ac et la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 ont probablement été*socio=rien influencées aussi, du*socio=rien moins à partir *socio=rien du milieu *socio=nil de 1985, par la perspective*socio=rien d'une politique_budgétaire*socio=et plus restrictive*socio=uv4 aux États-unis*socio=ac, que laissait pressentir la résolution*socio=uv1 budgétaire*socio=et du*socio=rien Congrès*socio=ac approuvée au mois*socio=rien d'août*socio=rien et la promulgation en décembre*socio=rien de la "Joi Gramm-rudman-hollings " sur*socio=rien l'équilibre*socio=ec2 budgétaire*socio=et. Face*socio=rien à cette perspective*socio=rien de modération*socio=ec2 budgétaire*socio=et aux États-unis*socio=ac, l'orientation*socio=et - effective*socio=rien et projetée - de la politique_budgétaire*socio=et des autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien restée pour l'essentiel*socio=uv4 inchangée*socio=rien. L'inversion*socio=rien subite*socio=rien de l'évolution*socio=te tendancielle*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1 E. U. observée à la fin*socio=rien de février*socio=rien 1985 a pu aussi être*socio=rien provoquée par une modification*socio=rien de l'opinion*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac concernant l'avenir*socio=te du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1. Selon cette interprétation*socio=ec2 des faits*socio=rien, L'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar*socio=ec1 au début*socio=rien de 1985 aurait été*socio=rien le résultat*socio=rien de *socio=ec2 pressions spéculatives,*socio=nil *socio=rien du fait *socio=nil desquelles le taux_de_change*socio=ec1 a été*socio=rien essentiellement ou entièrement déterminé sur*socio=rien de courtes*socio=rien périodes*socio=te par des "prophéties*socio=rien se réalisant d'elles-mêmes" émises par les opérateurs*socio=ac sur*socio=rien le marché*socio=ec1, sans qu'entrent en jeu*socio=rien les déterminants*socio=rien fondamentaux*socio=uv4. La forte*socio=rien appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 par rapport*socio=rien au *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil et au yen*socio=ec1 au cours*socio=rien de cette période*socio=te, en dépit*socio=rien d'écarts*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 de plus en plus faibles*socio=rien, était en effet*socio=rien anormale. On a aussi fait*socio=rien valoir que les États-unis*socio=ac, *socio=rien du fait *socio=nil de l'évolution*socio=te des circonstances*socio=rien dans le *socio=rien reste du monde*socio=te,*socio=nil *socio=nil ont parfois bénéficié d'une demande*socio=ec1 d'actifs*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 recherchés comme "valeur*socio=ec1 refuge*socio=uv3". Si tel est*socio=rien le cas*socio=rien, et selon l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien risque*socio=uv3 chez les investisseurs*socio=ac, cette préférence*socio=rien pourrait *socio=rien être un autre*socio=nil facteur *socio=nil expliquant les mouvements*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 dont ne peut aisément rendre compte*socio=ec1 l'évolution*socio=te des taux_d'_intérêt*socio=ec1. L'instabilité*socio=uv3 à court_terme*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 correspond bien*socio=rien à la présence*socio=rien de ces éléments*socio=rien spéculatifs*socio=uv2 dans la demande*socio=ec1 de différentes*socio=rien monnaies*socio=ec1. L'annonce qui a suivi la *socio=rien réunion du Groupe*socio=ac des*socio=nil Cinq *socio=nil tenue en septembre*socio=rien 1985 a largement contribué à renforcer la *socio=rien première modification des*socio=nil points de*socio=nil vue *socio=nil concernant ce qui constituait - pour le dollar_éu*socio=ec1 - un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 durable*socio=uv4. Elle soulignait qu'une nouvelle*socio=rien appréciation*socio=uv3 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 vis-à-vis du*socio=rien dollar*socio=ec1 était souhaitable*socio=rien pour que les rapports*socio=rien de change*socio=ec1 correspondent davantage aux modifications*socio=rien qu'avaient déjà subies - ou que pourraient subir - les politiques*socio=et et les situations*socio=rien économiques*socio=ec1, et faisait savoir*socio=rien que les cinq*socio=rien pays*socio=ac entendaient coopérer dans le but*socio=rien de faciliter ce réalignement*socio=rien. Les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 ont immédiatement réagi à cette annonce. En outre, les *socio=rien effets sur les*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil ont continué à se faire sentir au cours*socio=rien des semaines*socio=rien et des *socio=rien mois suivants,*socio=nil *socio=nil lorsque des mesures*socio=et concrètes*socio=rien sont venues confirmer que les gouvernements*socio=ac avaient réellement modifié leur point*socio=rien de vue*socio=rien concernant les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Menée par le Groupe*socio=ac des Cinq*socio=rien en coopération*socio=uv1 avec d'autres pays_industrialisés*socio=ac, cette politique*socio=et d'intervention*socio=et sur*socio=rien le marché*socio=ec1 a consisté à effectuer des ventes*socio=ec1 simultanées de dollars*socio=ec1 E. U., qui ont dépassé 10 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 entre le 23 septembre*socio=rien et la fin*socio=rien d'octobre*socio=rien. En outre, les autorités*socio=et Japonaises*socio=ac ont consenti temporairement*socio=rien à un*socio=rien resserrement*socio=ec2 considérable*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil entre la fin*socio=rien d'octobre*socio=rien et la fin*socio=rien de novembre*socio=rien, provoquant ainsi une *socio=rien hausse clés *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux à*socio=nil court_terme*socio=te *socio=nil allant jusqu'à 2 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien. Pendant la période*socio=te qui a suivi immédiatement l'annonce du*socio=rien Groupe*socio=ac des Cinq*socio=rien, la variation*socio=rien la plus considérable*socio=rien a été*socio=rien celle du*socio=rien taux*socio=ec1 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 par rapport*socio=rien au yen*socio=ec1: le yen*socio=ec1 s'est*socio=rien apprécié de 11 % vis-à-vis du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 entre le 22 et le 30 septembre*socio=rien 1985, et de 44 '% entre le 22 septembre*socio=rien 1985 et le 30 avril*socio=rien 1986. Ces chiffres font contraste avec une appréciation*socio=uv3 de 7 % entre le mois*socio=rien de mars*socio=rien et le 22 septembre*socio=rien 1985. L'appréciation*socio=uv3 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 de l'Europe*socio=ac continentale*socio=te par rapport*socio=rien au dollar_éu*socio=ec1 a été*socio=rien elle aussi plus marquée après*socio=rien la *socio=rien réunion du Groupe*socio=ac des*socio=nil Cinq *socio=nil qu'elle ne l'avait été*socio=rien auparavant, mais n'a pas atteint les proportions*socio=rien de la poussée du*socio=rien yen*socio=ec1. Les deux monnaies*socio=ec1 faisant exception*socio=rien à la tendance*socio=ec2 susdite*socio=rien ont été*socio=rien le dollar_canadien*socio=ec1 et la livre sterling*socio=ec1. Bien*socio=rien que les deux monnaies*socio=ec1 se soient d'abord*socio=rien appréclées après*socio=rien la *socio=rien réunion du Groupe*socio=ac des*socio=nil Cinq *socio=nil le 22 septembre*socio=rien, elles ont marqué *socio=rien un recul depuis*socio=nil lors.*socio=nil L'*socio=nil incertitude*socio=uv3 *socio=nil entourant les prix*socio=ec1 mondiaux*socio=te du*socio=rien pétrole*socio=ec1 a pu être*socio=rien l'un*socio=rien des *socio=rien principaux facteurs responsables*socio=uv2 *socio=nil de la tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 effective*socio=rien de la livre sterling*socio=ec1. Bien*socio=rien que démenties à maintes reprises par les autorités*socio=et britanniques*socio=ac, les rumeurs*socio=rien concernant la possibilité*socio=rien d'une adhésion*socio=uv1 du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac au mécanisme*socio=et de change*socio=ec1 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac (SME*socio=ec1), à *socio=rien un cours pivot inférieur au*socio=nil cours du marché*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil ont pu aussi influer sur*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1. Au Canada*socio=ac, l'ampleur*socio=rien du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et, les difficultés*socio=uv4 financières*socio=ec1 de trois petites*socio=rien *socio=ac banques canadiennes,*socio=nil l'*socio=nil évolution*socio=te du*socio=rien prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et*socio=nil un*socio=rien affaiblissement*socio=ec2 *socio=nil de la balance*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te semblent avoir été*socio=rien les *socio=rien principaux facteurs défavorables*socio=uv4 au*socio=nil dollar_canadien*socio=ec1.*socio=nil En*socio=nil janvier *socio=nil 1986, au moment*socio=rien de la forte*socio=rien baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 mondiaux*socio=te du*socio=rien pétrole*socio=ec1, le dollar_canadien*socio=ec1 et la livre sterling*socio=ec1 ont tous deux fortement baissé vis-à-vis du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 Au début*socio=rien de février*socio=rien, le dollar_canadien*socio=ec1 était tombé au niveau*socio=rien sans précédent*socio=rien de 0,69 dollar_éu*socio=ec1, bien*socio=rien qu'il ait amorcé par la suite*socio=rien une légère*socio=rien reprise attribuable*socio=rien en partie*socio=rien à une intervention*socio=et substantielle*socio=rien de la banque_du_canada*socio=ac. Entre septembre*socio=rien 1985 et avril*socio=rien 1986, la valeur*socio=ec1 *socio=rien effective nominale du dollar_canadien*socio=ec1 *socio=nil a diminué de 8 '% et celle de la livre sterling*socio=ec1, de près de 7 %. Le système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac a été*socio=rien relativement stable*socio=uv4 en 1985 malgré, d'une part*socio=rien, les différences*socio=uv1 constantes*socio=rien - encore que de moins en moins considérables*socio=rien - qui ont caractérisé l'évolution*socio=te des prix*socio=ec1 dans les pays*socio=ac participant*socio=rien au Système*socio=rien, et, d'autre part*socio=rien, la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1 E. U. *socio=rien Un réalignement *socio=nil a eu lieu*socio=rien en juillet*socio=rien 1985, qui n'a en fait*socio=rien changé que la position*socio=rien de la lire italienne*socio=ac sur*socio=rien la grille des parités*socio=ec1, sans modifier les positions*socio=rien bilatérales*socio=et relatives*socio=rien des autres monnaies*socio=ec1. On s'attendait en général*socio=rien à ce qu'un*socio=rien fléchissement*socio=ec2 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 s'accompagne d'une augmentation*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 de *socio=ec1 deutsche mark plus*socio=nil forte*socio=rien *socio=nil que pour les autres monnaies*socio=ec1 du*socio=rien SME*socio=ec1, étant donné l'importance*socio=rien de la monnaie*socio=ec1 allemande*socio=ac comme monnaie*socio=ec1 véhiculaire pour le commerce*socio=ec1 et les investissements*socio=ec1. On avait donc pensé que la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1 exercerait des pressions*socio=ec2 à la *socio=rien hausse sur le*socio=nil *socio=ec1 deutsche mark au*socio=nil *socio=rien sein du SME*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil *socio=ec1 deutsche mark s'*socio=nil est*socio=rien effectivement*socio=rien *socio=nil apprécié par rapport*socio=rien aux autres monnaies*socio=ec1 du*socio=rien SME*socio=ec1 *socio=rien après août *socio=nil 1985, mais aucun indice n'a révélé de tensions*socio=ec2 majeures*socio=rien au *socio=rien sein du système,*socio=nil *socio=nil même au début*socio=rien de 1986, lorsque la monnaie*socio=ec1 allemande*socio=ac a atteint le sommet*socio=rien de la bande étroite*socio=rien (graphique*socio=rien 10). *socio=rien Un réalignement des*socio=nil cours pivots au*socio=nil sein du SME*socio=ec1 *socio=nil a eu lieu*socio=rien au *socio=rien début du mois d'*socio=nil avril *socio=nil 1986 à la demande*socio=ec1 des autorités*socio=et françaises*socio=ac. Il s'agissait *socio=rien du premier réalignement important*socio=uv4 depuis*socio=nil mars *socio=nil 1983, alors que l'on compte*socio=ec1 sept réalignements*socio=ec1 au cours*socio=rien des quatre années*socio=rien qui ont immédiatement suivi la création*socio=uv4 du*socio=rien SME*socio=ec1 en mars*socio=rien 1979. Ce réalignement*socio=rien, entré en vigueur*socio=uv3 le 7 avril*socio=rien 1986, comprenait une appréciation*socio=uv3 de 3 1% des *socio=rien cours pivots du *socio=ec1 deutsche mark et*socio=nil du*socio=rien florin néerlandais*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et de 1 '% pour le franc*socio=ec1 belge*socio=ac et la *socio=ac couronne danoise,*socio=nil *socio=nil ainsi qu'une dépréciation*socio=ec2 de 3 % *socio=rien du cours pivot du franc*socio=ec1 français.*socio=nil Les*socio=nil cours pivots bilatéraux*socio=et *socio=nil de la lire italienne*socio=ac et de la livre irlandaise*socio=ac sont restés inchangés*socio=rien. Par suite*socio=rien de ces modifications*socio=rien, les pertes*socio=ec2 de compétitivité*socio=uv3 (mesurées en coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien normalisés de la maind'ouvre) du*socio=rien franc*socio=ec1 français*socio=rien par rapport*socio=rien au *socio=ec1 deutsche mark,*socio=nil au*socio=nil florin néerlandais*socio=ac,*socio=nil au*socio=nil franc belge*socio=ac *socio=nil et à la *socio=ac couronne danoise,*socio=nil *socio=nil qui avaient été*socio=rien enregistrées entre le *socio=rien précédent réalignement de*socio=nil mars *socio=nil 1983 et le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1986, se sont fortement amoindries. Évolution*socio=te des balances_de_paiements*socio=ec1. Le déficit*socio=ec1 enregistré des transactions_courantes*socio=te des pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien tombé à 54 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1985, contre 64 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1984 (tableau*socio=rien 10). En interprétant ces chiffres, il faut se souvenir que les statistiques*socio=ec2 relatives*socio=rien aux comptes*socio=ec1 globaux*socio=te des balances_des_paiements*socio=ec1 font apparaître un*socio=rien écart*socio=ec2 considérable*socio=rien et variable*socio=rien de quelque 76 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU au total*socio=rien en 1985, correspondant aux recettes*socio=ec1 nettes*socio=rien non enregistrées. Compte*socio=ec1 tenu des informations*socio=rien - pourtant limitées - dont on dispose sur*socio=rien l'origine*socio=rien statistique*socio=ec2 de cet écart*socio=ec2, et de l'importance*socio=rien relative*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac dans les courants*socio=te d' échanges_mondiaux*socio=ec1, il *socio=rien est possible *socio=nil que la position*socio=rien fondamentale*socio=uv4 de l'ensemble*socio=rien de ces pays*socio=ac ait été*socio=rien beaucoup plus forte*socio=rien que ne le laissent entendre les chiffres enregistrés'. Le renforcement*socio=ec2 de la balance*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des pays_industrialisés*socio=ac au cours*socio=rien de l'année*socio=rien passée est*socio=rien dû autant à l'évolution*socio=te des échanges*socio=ec1 de marchandises*socio=ec1 qu'à celle des services*socio=et. La réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 enregistré au titre*socio=rien des marchandises*socio=ec1 s'est*socio=rien produite malgré une croissance*socio=uv3 en volume*socio=rien des importations*socio=ec1 plus forte*socio=rien que celle des exportations*socio=ec1 et s'explique donc entièrement par une amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, qui a été*socio=rien de 1 %. L'excédent*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac au titre*socio=rien des services*socio=et et des transferts_privés*socio=et a augmenté de 9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, après*socio=rien une forte*socio=rien diminution*socio=ec2 en 1984, tandis que les paiements*socio=ec1 nets*socio=rien au titre*socio=rien des transferts_officiels*socio=et ont continué à progresser, augmentant de 31/2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1985. L'écart*socio=ec2 entre l'évolution*socio=te des transactions_courantes*socio=te en République*socio=ac féd,érale d'Allemagne*socio=ac et au Japon*socio=ac, d'une part*socio=rien, et aux États-unis*socio=ac, d'autre part*socio=rien, a persisté en 1985. L'Allemagne*socio=ac et le Japon*socio=ac ont vu l'excédent*socio=ec1 de leurs transactions_courantes*socio=te croître d'un*socio=rien montant*socio=ec1 très légèrement inférieur*socio=rien à 1 '% de leurs PNB*socio=ec1 respectifs*socio=rien, et atteindre respectivement 2,1 % et 3,7 % de ce dernier*socio=rien. En contrepartie*socio=rien, les États-unis*socio=ac ont enregistré un*socio=rien déficit*socio=ec1 de leurs transactions_courantes*socio=te équivalant à 3,0 % environ de leur PNB*socio=ec1 en 1985, soit une augmentation*socio=ec2, en *socio=rien pourcentage du PNB*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil de 0, 1 0% par rapport*socio=rien à 1984. Lejapon et la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac ont enregistré une amélioration*socio=uv1 de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 en 1985, qui a contribué au renforcement*socio=ec2 de leurs balances*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. Ces variations*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1 sont attribuables*socio=rien, dans l'ensemble*socio=rien, aux changements*socio=uv3 des prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien entres les *socio=rien produits primaires *socio=nil et les produits*socio=rien manufacturés mentionnés plus haut*socio=rien. Les variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 de ces pays*socio=ac ont été*socio=rien assez faibles*socio=rien en moyenne*socio=rien entre 1984 et 1985 et n'y ont pas beaucoup contribué. En revanche, les termes_de_l'_échange*socio=ec1 des États-unis*socio=ac se sont un*socio=rien peu dégradés en cours*socio=rien d'année*socio=rien et ont contribué à la légère*socio=rien augmentation*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des États-unis*socio=ac. L'évolution*socio=te des balances_courantes*socio=ec1 reflète aussi l'influence des variations*socio=rien de la compétitivité*socio=uv3 internationale*socio=ac et de la demande*socio=ec1 dans les différents*socio=rien pays*socio=ac. Les effets*socio=rien liés à la compétitivité*socio=uv3, toutefois, ne se font sentir qu'avec *socio=rien un décalage *socio=nil d'au moins deux ou trois ans*socio=rien. Le fléchissement*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1 vis-à-vis de la plupart*socio=rien des autres grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1, qui a commencé en 1985, n'avait donc pas encore eu beaucoup d'effet*socio=rien au début*socio=rien de 1986 sur*socio=rien le *socio=rien volume du commerce*socio=ec1 *socio=nil entre les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Les *socio=rien variations du volume des*socio=nil échanges*socio=ec1 *socio=nil des trois principaux*socio=rien pays*socio=ac en 1985 semblent même avoir continué à refléter l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar*socio=ec1 survenue les *socio=rien années précédentes,*socio=nil *socio=nil ainsi qu'une augmentation*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te plus rapide*socio=rien aux États-unis*socio=ac qu'en Allemagne*socio=ac et au Japon*socio=ac. On notera en particulier*socio=rien que, malgré un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 considérable*socio=rien de la croissance*socio=uv3 aux États-unis*socio=ac en 1985 par rapport*socio=rien à 1984, les importations*socio=ec1 américaines*socio=ac ont augmenté de 4,5 % en volume*socio=rien en 1985, et que les exportations*socio=ec1 n'ont augmenté que de 0,8 %. Les échanges_commerciaux*socio=ec1 du*socio=rien Japon*socio=ac ont marqué une tendance*socio=ec2 opposée, les importations*socio=ec1 tombant de 0,3 '% et les exportations*socio=ec1 augmentant de 4,7 %. La croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac - de 6,4 1% - a été*socio=rien elle aussi un*socio=rien peu plus rapide*socio=rien que celle des importations*socio=ec1, qui ont progressé de 4,5 Olo. Les délais*socio=rien de réaction*socio=rien des volumes*socio=rien d'échanges_commerciaux*socio=ec1, combinés à l'effet*socio=rien plus passé*socio=rien d'un*socio=rien excédent*socio=ec1 de 2,6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1984 à un*socio=rien déficit*socio=ec1 de 0,4 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1985, soit *socio=rien un renversement *socio=nil équivalant à 0,9 % du*socio=rien PNB*socio=ec1. Ce résultat*socio=rien semble attribuable*socio=rien pour une *socio=rien large part *socio=nil à une détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 die 1,6 % environ - *socio=rien conséquence du rôle*socio=et important*socio=uv4 *socio=nil joué par le Canada*socio=ac dans l'exportation*socio=ec1 des produits*socio=rien pri immédiat*socio=rien des variations*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 des échanges*socio=ec1, donnent lieu*socio=rien aux *socio=rien effets bien *socio=nil connus de courbe enj sur*socio=rien les balances*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. Pendant la période*socio=te couverte par le *socio=rien présent rapport,*socio=nil ces*socio=nil facteurs *socio=nil ont contribué à accroître de manière*socio=rien significative*socio=uv4 les déséquilibres*socio=uv3 de ces balances*socio=ec1, exprimées en dollars*socio=ec1 ÉU, bien*socio=rien qu'il ait semblé probable*socio=uv4 que les variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 qui étaient intervenues auraient finalement tendance*socio=ec2 à les réduire. On peut *socio=rien obtenir sur l'*socio=nil évolution*socio=te des*socio=nil transactions_courantes*socio=te une*socio=nil vue d'*socio=nil ensemble *socio=nil qui complète celle fournie par l'analyse*socio=ec2 des variations*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1, de la compétitivité*socio=uv3 et des revenus*socio=ec1, en examinant l'évolution*socio=te de leurs contreparties*socio=ec1 sur*socio=rien le plan*socio=rien des positions*socio=rien financières*socio=ec1 intérieures*socio=te. Par définition*socio=rien, la balance*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te *socio=rien est égale *socio=nil à la somme*socio=rien de la position*socio=rien financière*socio=ec1 *socio=rien nette du secteur_privé*socio=et *socio=nil et de la position*socio=rien financière*socio=ec1 *socio=rien nette du secteur_public*socio=et.*socio=nil *socio=nil En d'autres termes*socio=rien, on peut décomposer, sans établir nécessairement de relation*socio=rien de cause*socio=rien à effet*socio=rien, les variations*socio=rien subies par les transactions_courantes*socio=te des trois principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années en*socio=nil évolutions*socio=te des*socio=nil positions budgétaires*socio=et *socio=nil et en *socio=rien variations du solde*socio=ec1 *socio=nil entre l'épargne*socio=ec1 et l'investissement_privés*socio=et, ces dernières*socio=rien ayant toutefois été*socio=rien relativement faibles*socio=rien au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années.*socio=nil En*socio=nil République*socio=ac fédérale*socio=et d'*socio=nil Allemagne*socio=ac *socio=nil et au Japon*socio=ac, les déficits*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac sont tombés de respectivement 21% du*socio=rien PIB*socio=ec1 et de 2 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 entre 1981 et 1985, tandis que ce déficit*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac augmentait de 21h % du*socio=rien PNB*socio=ec1 au cours*socio=rien de la même période*socio=te (graphique*socio=rien 11). Les variations*socio=rien de l'excédent*socio=ec1 de l'épargne*socio=ec1 privée*socio=et par rapport*socio=rien à l'investissement_privé*socio=et ont le plus souvent oscillé sans accuser de tendance*socio=ec2 très nette*socio=rien pendant cette période*socio=te. Les déséquilibres*socio=uv3 enregistrés dans les transactions_courantes*socio=te des autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont *socio=rien été bien moins*socio=nil considérables *socio=nil en 1985, à la fois*socio=rien en valeur*socio=ec1 absolue*socio=rien et en valeur*socio=ec1 relative*socio=rien, que ceux des trois pays*socio=ac principaux*socio=rien. La France*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac ont vu tous deux leur position*socio=rien se renforcer. Le Royaume-uni*socio=ac a enregistré une augmentation*socio=ec2 relativement forte*socio=rien - 4 ' 6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 E. U., soit 1, 1 '% du*socio=rien PNB*socio=ec1 - de son excédent*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te en 1985. Une partie*socio=rien de cette amélioration*socio=uv1 *socio=rien est attribuable *socio=nil à la cessation*socio=uv3 de la grève*socio=ec1 des mineurs*socio=rien. Les transactions_courantes*socio=te de la France*socio=ac sont passées*socio=te d'un*socio=rien léger*socio=rien déficit*socio=ec1 en 1984 à un*socio=rien *socio=ec2 équilibre approximatif *socio=nil en 1985. Ce redressement*socio=ec2 est*socio=rien dû en totalité*socio=rien à l'excédent*socio=ec1 au titre*socio=rien des services*socio=et. La balance_commerciale*socio=ec1 a peu changé, malgré une amélioration*socio=uv1 de 211,2 5o des termes_de_l'_échange*socio=ec1. L'Italle a enregistré une faible*socio=rien augmentation*socio=ec2 de son déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te, de 1,3 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU, soit 0,3 % du*socio=rien PNB*socio=ec1. L'amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 n'a été*socio=rien que de 1, 1 % et le déficit*socio=ec1 du*socio=rien *socio=ec1 commerce pétrolier *socio=nil n'a pas varié par rapport*socio=rien à 1984. En volume*socio=rien, les exportations*socio=ec1 comme les importations*socio=ec1 ont marqué des avances assez considérables*socio=rien, tandis que la valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 de la lire restait en moyenne*socio=rien presque inchangée*socio=rien. Le Canada*socio=ac a connu une détérioration*socio=uv4 un*socio=rien peu plus prononcée du*socio=rien solde*socio=ec1 de sa balance_courante*socio=ec1, qui est*socio=rien maires - ainsi qu'à une expansion*socio=ec2 de l'activité*socio=rien relativement plus rapide*socio=rien au Canada*socio=ac qu'à l'étranger*socio=te. Les soldes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des autres pays_industrialisés*socio=ac n'ont pas beaucoup varié en 1985, bien*socio=rien que, dans l'ensemble*socio=rien, on constate une légère*socio=rien amélioration*socio=uv1. Les *socio=rien principales exceptions *socio=nil sont la Suède*socio=ac, où la balance_courante*socio=ec1 est*socio=rien passée d'un*socio=rien léger*socio=rien excédent*socio=ec1 à un*socio=rien déficit*socio=ec1 de 1, 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 E. U., et le Danemark*socio=ac, où le déficit*socio=ec1 s'est*socio=rien accru de 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU, pour atteindre 2,7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU Pris en groupe*socio=ac, ces pays*socio=ac ont enregistré une légère*socio=rien détérioration*socio=uv4 de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 en 1985, tandis qu'en volume*socio=rien, leurs importations*socio=ec1 s'accroissaient à peu près au même rythme*socio=ec2 que leurs exportations*socio=ec1. Les excédents*socio=ec1 et les déficits*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des pays_industrialisés*socio=ac se reflètent très largement dans les mouvements*socio=ec2 nets*socio=rien des capitaux_privés*socio=ec1, *socio=rien du fait *socio=nil que les *socio=rien variations nettes des*socio=nil réserves*socio=ec1 ont*socio=nil été généralement*socio=nil faibles *socio=nil en 1985. La composition*socio=rien des mouvements_de_capitaux_privés*socio=et sortant du*socio=rien Japon*socio=ac pour entrer aux États-unis*socio=ac a suivi la même tendance*socio=ec2 que les *socio=rien années précédentes:*socio=nil les*socio=nil acquisitions*socio=ec1 de*socio=nil titres à*socio=nil long_terme*socio=te *socio=nil ont continué d'augmenter aux dépens*socio=uv2 des capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te et des autres catégories*socio=rien de capitaux*socio=ec1 à long_terme*socio=te. Aux États-unis*socio=ac, les entrées nettes*socio=rien au titre*socio=rien des investissements*socio=ec1 de portefeuille*socio=ec1 sont passées*socio=te de 29 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1984 à 64 milliards*socio=rien en 1985. Quant au solde*socio=ec1 des autres mouvements_de_capitaux*socio=ec1 à long_terme*socio=te, on observe une inversion*socio=rien de la position*socio=rien: les sorties nettes*socio=rien de 15 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1984 ont *socio=rien fait place *socio=nil à des entrées nettes*socio=rien de 9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1985. Au cours*socio=rien de la même période*socio=te, les entrées de capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te sont tombées de 45 à 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU pays_en_développement*socio=uv3 taux_de_change*socio=ec1. L'évolution*socio=te récente*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 présente*socio=rien deux caractéristiques*socio=rien importantes*socio=uv4. Premièrement, *socio=rien un nombre croissant *socio=nil de ces pays*socio=ac ont opté pour une politique*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 plus flexible*socio=uv4, qui constitue *socio=rien un élément important*socio=uv4 *socio=nil de leurs programmes*socio=et d'a justement et de stabilisation*socio=et. Deuxièmement, la baisse*socio=ec2 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 par rapport*socio=rien aux monnaies*socio=ec1 des autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac a fortement influé sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien - nominaux*socio=ec1 et réels*socio=ec2 - d'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil On peut citer à l'appui*socio=uv1 de la première*socio=rien observation*socio=ec2 le fait*socio=rien que, depuis l'époque*socio=te à laquelle a été*socio=rien rédigé le *socio=rien dernier Rapport annuel*socio=te,*socio=nil la*socio=nil Bolivie*socio=ac,*socio=nil *socio=nil la Gambie, la Sierra*socio=rien Leone et la Zambie*socio=ac sont venues s'ajouter à la liste des pays_en_développement*socio=uv3 - désormais au nombre*socio=rien de dix - qui, dans la classification*socio=ec2 du*socio=rien Fonds*socio=ec1, sont identifiés comme appliquant un*socio=rien régime*socio=et de flottement*socio=ec1 *socio=rien indépendant du taux_de_change'*socio=ec.*socio=nil *socio=nil Dans les pays*socio=ac qui ont décidé ces *socio=rien dernières années *socio=nil de laisser flotter leur monnaie*socio=ec1, les expériences*socio=ec2 faites préalablement avec d'autres régimes*socio=et de change*socio=ec1 ont *socio=rien été fort variées,*socio=nil *socio=nil allant de la flexibilité*socio=uv3 dirigée du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1, pour compenser les écarts*socio=ec2 entre taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1, à des systèmes*socio=rien de rattachement*socio=rien à une unité*socio=rien de référence*socio=rien, avec des modifications*socio=rien peu fréquentes*socio=rien par rapport*socio=rien à une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1 ou à *socio=rien un panier de*socio=nil monnaies*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil qui n'ont pas adopté un*socio=rien régime*socio=et de flottement*socio=ec1 indépendant*socio=rien (ils sont en fait*socio=rien largement majoritaires) se sont montrés davantage disposés à ajuster leur taux_de_change*socio=ec1 pour corriger les désalignements*socio=uv3 de prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien et améliorer ou préserver leur compétitivité*socio=uv3 extérieure*socio=te. Dans *socio=rien un contexte *socio=nil où les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac n'ont cessé de diminuer, la volonté*socio=uv1 d'appliquer des politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 plus flexibles*socio=uv4 a été*socio=rien particulièrement importante*socio=uv4 pour les pays_en_développement*socio=uv3 où l'inflation*socio=ec1 atteint des *socio=ec1 taux moyens ou*socio=nil élevés*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Étant donné l'interaction*socio=rien qui existe entre *socio=rien variations du taux_de_change*socio=ec1 et*socio=nil inflation*socio=ec1 *socio=nil dans les économies*socio=ec1 ouvertes*socio=rien, ces politiques*socio=et de gestion*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 doivent être*socio=rien soigneusement coordonnées dans le temps*socio=rien avec les grandes*socio=rien orientations*socio=et de la politique_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et. La "méthode*socio=ec2 de choc*socio=ec2" appliquée récemment à la désinflation*socio=ec2 par certains de ces pays*socio=ac dont le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 était très élevé*socio=uv4 pendant les *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1985 et au début*socio=rien de 1986 a entraîné *socio=rien un retour aux*socio=nil *socio=ec1 taux_de_change nominaux *socio=nil fixes. Dans le but*socio=rien de mieux coordonner leur politique_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et et de modifier le processus*socio=te des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2, les autorités*socio=et de certains de ces pays*socio=ac ont opté pour le blocage*socio=rien des prix*socio=ec1 et des salaires*socio=ec1, avec, comme important*socio=uv4 élément*socio=rien d'appoint*socio=rien, une stabilisation*socio=et de leurs *socio=ec1 taux_de_change nominaux.*socio=nil Le*socio=nil fléchissement*socio=ec2 du*socio=rien dollar par*socio=nil rapport*socio=rien aux*socio=nil monnaies *socio=nil des autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac a exercé sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 une influence qui se manifeste le plus clairement dans le cas*socio=rien des monnaies*socio=ec1 rattachées au dollar*socio=ec1 (graphique*socio=rien 12). Les taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien - nominaux*socio=ec1 et réels*socio=ec2 - des pays*socio=ac du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac, par exemple*socio=rien, ont fortement baissé pendant la période*socio=te considérée. Comme *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil appartenant à ce groupe*socio=ac sont des exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1 qui ont vu leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 diminuer à la suite*socio=rien de l'effondrement*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, cette évolution*socio=te devrait faciliter le processus*socio=te d'ajustement*socio=et des balances_de_paiements*socio=ec1. Le lien*socio=rien qui existe entre la forte*socio=rien baisse*socio=ec2 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 et le comportement*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 apparaît aussi dans d'autres régions*socio=te. La plupart*socio=rien des pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te et de l'Asie*socio=ac de l'_est*socio=te, par exemple*socio=rien, assignent traditionnellement une *socio=rien forte pondération au*socio=nil dollar_éu*socio=ec1 *socio=nil ou y rattachent leur monnaie*socio=ec1. De ce fait*socio=rien, malgré l'importance*socio=rien de la zone*socio=te commerciale*socio=ec1 du*socio=rien dollar*socio=ec1, *socio=rien un grand nombre *socio=nil - - tre eux ont enregistré une forte*socio=rien dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 *socio=rien effectif réel *socio=nil de leur monnaie*socio=ec1. La corrélation*socio=ec2 directe*socio=rien entre le *socio=rien comportement du dollar_éu*socio=ec1 *socio=nil et celui des taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien réels*socio=ec2 *socio=rien est un *socio=nil peu moins évidente*socio=rien dans lus pays_en_développement*socio=uv3 d'Afrique*socio=ac et d'Europe*socio=ac, notamment lorsoue l'évolution*socio=te de ces taux*socio=ec1 *socio=rien effectifs est *socio=nil considérée dans une perspective*socio=rien à long_terme*socio=te. Les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac s'étaient montrés auparavant disposés soit à poursuivre une politique*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 flexible*socio=uv4, soit à définir*socio=rien la valeur*socio=ec1 de leur monnaie*socio=ec1 par référence*socio=rien à *socio=rien un panier de*socio=nil monnaies*socio=ec1.*socio=nil Ces*socio=nil facteurs,*socio=nil *socio=nil notamment le second*socio=rien, ont aussi influé sur*socio=rien les résultats*socio=rien constatés pour l'Afrique*socio=ac avec, en plus, le fait*socio=rien que les rapports*socio=rien établis avec une seule*socio=rien monnaie*socio=ec1 autre que le dollar_éu*socio=ec1 - généralement le franc*socio=ec1 français*socio=rien - ont joué un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 dans l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien réels*socio=ec2. Évolution*socio=te des soldes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. Alors qu'il était déjà tombé de 84 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1982 à 32 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1984, le déficit_global*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 a encore baissé de 13 milliards*socio=rien en 1985 pour tomber à 19 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU Toutefois, cette dernière*socio=rien baisse*socio=ec2 a été*socio=rien concentrée dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 du*socio=rien Moyen-orient,*socio=nil *socio=nil qui ont pu, au moyen*socio=rien d'une forte*socio=rien compression*socio=et de leurs importations*socio=ec1, dégager *socio=rien un léger excédent*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil solde*socio=ec1 global*socio=te des*socio=nil transactions_courantes*socio=te *socio=nil des autres pays_en_développement*socio=uv3 a relativement peu varié entre 1984 et 1985 (graphique*socio=rien 13 et tableau*socio=rien 10). Leur déficit*socio=ec1 est*socio=rien resté pratiquement inchangé*socio=rien à 21 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU, équivalant à 4 '% de leurs exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et. Par ailleurs*socio=rien, les changements*socio=uv3 constatés dans les principaux*socio=rien sous-groupes*socio=ac des pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de capitaux*socio=ec1 sont tous liés à des variations*socio=rien importantes*socio=uv4 survenues dans *socio=rien un petit nombre de*socio=nil grands pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil notamment une amélioration*socio=uv1 de 4 milliards*socio=rien de, dollars*socio=ec1 ÉU de la balance_courante*socio=ec1 de l' afrique_du_sud*socio=ec1 et une détérioration*socio=uv4 de 13 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU de celle de la Chine*socio=ac. La stabilité*socio=uv3 des balances_courantes*socio=ec1 entre, 1984 et 1985 contraste nettement avec l'évolution*socio=te des quatre *socio=rien années précédentes,*socio=nil au*socio=nil cours *socio=nil desquelles les pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de capitaux*socio=ec1 avaient pu ramener leur déficit_global*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te d'un*socio=rien niveau*socio=rien sans *socio=rien précédent représentant *socio=nil 18v2 % des exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et en 1981 à 4 '% seulement en 1984. Cet ajustement*socio=et avait été*socio=rien imposé par la crise*socio=uv2 d'endettement*socio=ec1 de 1982 et par la contraction*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil prêts*socio=ec1 nets des*socio=nil créanciers_privés*socio=et *socio=nil qui en a été*socio=rien la conséquence*socio=rien. En 1984, toutefois, les déficits*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te avaient été*socio=rien ramenés à *socio=rien un niveau *socio=nil correspondant à peu près au volume*socio=rien plus faible*socio=rien des financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te disponibles*socio=rien et les pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac ont donc eu moins besoin*socio=uv1 de procéder à de nouvelles*socio=rien résorptions de leurs déficits*socio=ec1 en 1985. Certes, dans leur ensemble*socio=rien, les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil sont parvenus à réduire leurs déficits*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des trois quarts*socio=rien environ entre 1981 et 1984-85; toutefois, les résultats*socio=rien obtenus par les sous-groupes_de_pays*socio=ac accusent d'assez *socio=rien fortes variations *socio=nil autour de cette moyenne*socio=rien. Les pays*socio=ac qui ont eu essentiellement recours*socio=rien à des sources*socio=rien commerciales*socio=ec1 de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te (les *socio=ac pays emprunteurs sur*socio=rien les*socio=nil marchés*socio=ec1)*socio=nil *socio=nil ont enregistré des déficits*socio=ec1 très importants*socio=uv4 en 1981-82 (équivalant à 19 % de leurs exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et). Avec la quasi-disparition de ces sources*socio=rien extérieures*socio=te de financement*socio=ec1, ils ont ramené leur déficit_global*socio=ec1 à moins de 1 5/c des exportations*socio=ec1 en 1984 et ont dégagé un*socio=rien excédent*socio=ec1 en 1985. Les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil à des créanciers*socio=ac officiels*socio=et, par contre, étaient davantage tributaires*socio=rien de sources*socio=rien de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te relativement stables*socio=uv4 et le déficit*socio=ec1 de leurs transactions_courantes*socio=te, équivalant à 271/-2 % de leurs exportations*socio=ec1 en 1985, n'a été*socio=rien que très légèrement inférieur*socio=rien à ce qu'il était en 1982. Néanmoins, certains de ces emprunteurs*socio=ac ont vu aussi décroître le montant*socio=ec1 des prêts*socio=ec1 nets*socio=rien auxquels ils pouvaient prétendre en raison*socio=rien de problèmes*socio=uv4 liés au service_de_leur_dette*socio=ec1 qui ont limité leur accès*socio=uv1 aux crédits*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 officiellement*socio=et garantis*socio=rien. Les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac ont été*socio=rien particulièrement affectés par ce facteur*socio=rien, qui les a contraints*socio=uv2 à réduire le déficit*socio=ec1 de leurs transactions_courantes*socio=te de 50 1% entre 1982 et 1985. L'amélioration*socio=uv1 importante*socio=uv4 des soldes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te pendant la période*socio=te 1982-85 a été*socio=rien réalisée essentiellement au moyen*socio=rien d'un*socio=rien ajustement*socio=et de la balance_commerciale*socio=ec1. Les pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de capitaux*socio=ec1 avaient transformé un*socio=rien *socio=ec1 déficit commercial *socio=nil de 67 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1981 en un*socio=rien excédent*socio=ec1 de 16'h milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1984, qui est*socio=rien néanmoins retombé à 91/,2 milliards*socio=rien en 1985. La balance*socio=ec1 des services*socio=et est*socio=rien restée assez régulièrement déficitaire*socio=ec2 à 70 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU environ au cours*socio=rien de cette période*socio=te, tandis que les recettes*socio=ec1 nettes*socio=rien provenant des transferts*socio=ec1 sans contrepartie*socio=rien montraient la même stabilité*socio=uv3. Sur*socio=rien une base*socio=rien régionale*socio=te, c'est*socio=rien dans l'hémisphère_occidental*socio=te que l'évolution*socio=te des *socio=ec1 balances commerciales a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil le plus marquée. En 1984 et 1985, les *socio=ec1 excédents commerciaux *socio=nil y ont atteint en moyenne*socio=rien près de 35 % des exportations*socio=ec1. Les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac ont eux aussi enregistré en *socio=rien moyenne un léger *socio=ec1 excédent commercial au*socio=nil cours*socio=rien *socio=nil de ces deux années*socio=rien. Pour chacune de ces régions*socio=te, les *socio=ec1 excédents commerciaux témoignent*socio=rien *socio=nil de la *socio=rien forte proportion des*socio=nil recettes*socio=ec1 d'*socio=nil exportation*socio=ec1 nécessaires *socio=nil pour couvrir les paiements*socio=ec1 au titre*socio=rien des intérêts*socio=uv1. Dans les pays_en_développement*socio=uv3 européens*socio=ac, en revanche, les *socio=ec1 déficits commerciaux *socio=nil ont dépassé les déficits*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te *socio=rien du fait du volume important*socio=uv4 des*socio=nil recettes*socio=ec1 *socio=nil provenant d'envois*socio=rien de fonds*socio=ec1 privés*socio=et et du*socio=rien tourisme*socio=ec1. Quant aux *socio=ac pays asiatiques,*socio=nil les*socio=nil recettes*socio=ec1 au*socio=nil titre*socio=rien des*socio=nil services*socio=et *socio=nil et des transferts*socio=ec1 ont été*socio=rien à peu près égales*socio=rien aux paiements*socio=ec1 correspondants*socio=rien, intérêts*socio=uv1 compris. Les soldes*socio=ec1 des *socio=ec1 balances commerciales *socio=nil et des transactions_courantes*socio=te de la région*socio=te asiatique*socio=ac ont donc suivi une évolution*socio=te tout à *socio=rien fait analogue (*socio=nil graphique *socio=nil 13). La stabilité*socio=uv3 des soldes*socio=ec1 des *socio=ec1 balances commerciales *socio=nil et des transactions_courantes*socio=te de 1984 à 1985 masque une évolution*socio=te importante*socio=uv4 des taux_de_croissance*socio=ec1 des flux*socio=ec1 bruts*socio=rien fondamentaux*socio=uv4. Le taux_de_croissance*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3, qui avait atteint près de 7 '% en 1984, est*socio=rien retombé à Y4 1% seulement en 1985. Le ralentissement*socio=ec2 a *socio=rien été général,*socio=nil *socio=nil affectant la quasi-totalité*socio=rien des pays*socio=ac. Les niveaux*socio=rien les plus faibles*socio=rien ont été*socio=rien enregistrés par les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil dont les exportations*socio=ec1 ont diminué de près de 4 % en volume*socio=rien, face*socio=rien aux mesures*socio=et que continuent de prendre les autres pays*socio=ac pour économiser l'énergie*socio=ec1 et pour accroître leur *socio=ec1 production pétrolière.*socio=nil La*socio=nil croissance*socio=uv3 en*socio=nil volume*socio=rien des*socio=nil exportations des*socio=nil pays*socio=ac non*socio=nil exportateurs*socio=ac de*socio=nil combustibles est*socio=rien restée*socio=nil positive*socio=uv4 malgré*socio=nil un*socio=rien brusque*socio=nil ralentissement*socio=ec2 *socio=nil qui l'a ramenée de 11112 % en 1984 à 311-2 % en 1985. Ce *socio=rien recul est *socio=nil dû pour l'essentiel*socio=uv4 à des phénomènes*socio=rien conjoncturels*socio=te dans les pays_industrialisés*socio=ac, notamment au renversement*socio=rien de la tendance*socio=ec2 des stocks*socio=ec1. Toutefois, l'intensification*socio=ec2 des pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et dans les pays_industrialisés*socio=ac, conjuguée*socio=rien à la faiblesse*socio=ec2 inattendue*socio=uv4 des exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés par les pays_en_développement*socio=uv3, porte*socio=rien à croire que les barrières*socio=ec2 protectionnistes*socio=et y ont peut-être également contribué. Dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil l'*socio=nil effet défavorable*socio=uv4 *socio=nil exercé par le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 a*socio=nil été *socio=nil accentué par une détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1. Pour l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, les termes_de_l'_échange*socio=ec1 se sont détériorés de 21/4 % en 1985, mais les pays*socio=ac non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1, où la détérioration*socio=uv4 n'a été*socio=rien que de 1 %, se sont trouvés dans une meilleu re situation*socio=rien que les exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1, qui, eux, ont enregistré une baisse*socio=ec2 de 41/2 Comme indiqué précédemment, la coincidence de la stagnation*socio=ec1 des volumes*socio=rien d'exportations*socio=ec1 et de la détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 s'est*socio=rien traduite en 1985 par une diminution*socio=ec2 très *socio=rien nette du pouvoir_d'_achat*socio=ec1 réel des*socio=nil exportations*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil et, par conséquent*socio=rien, de leurs importations*socio=ec1. Celles-ci, dont le volume*socio=rien avait augmenté de 1:3/,, % en 1984, ont diminué de 1 % en 1985. La réduction*socio=ec2 a été*socio=rien particulièrement marquée dans les pays*socio=ac où les termes_de_l'_échange*socio=ec1 s'étaient détériorés. Les importations*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil sont tombées de près de 12 % et celles des exportateurs*socio=ac de *socio=rien produits primaires,*socio=nil *socio=nil de près de 5 %. En conséquence*socio=rien, en 1985, les importations*socio=ec1 à destination*socio=rien de l'Afrique*socio=ac ont *socio=rien été inférieures *socio=nil à leur niveau*socio=rien en 1980 de près d'un*socio=rien sixième*socio=rien et celles à destination*socio=rien de l'hémisphère_occidental*socio=te, de près d'un*socio=rien tiers*socio=rien. Les importations*socio=ec1 à destination*socio=rien de l'Europe*socio=ac et du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac ont pratiquement retrouvé leurs niveaux*socio=rien de 1980. Seule*socio=rien la région*socio=te asiatique*socio=ac a pu réaliser une augmentation*socio=ec2 substantielle*socio=rien et durable*socio=uv4 de ses importations*socio=ec1 au cours*socio=rien des *socio=rien cinq dernières années (*socio=nil graphique *socio=nil 14). Financement*socio=ec1 et endettement*socio=ec1. En 1985, les pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de capitaux*socio=ec1 ont maintenu le chiffre global*socio=te de leurs besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te à *socio=rien un niveau *socio=nil correspondant approximativement aux ressources*socio=ec1 extérieures*socio=te qu'ils ont été*socio=rien en mesure*socio=rien d'obtenir*socio=rien. Pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac, l'encours des arriérés a enregistré l'augmentation*socio=ec2 la plus faible*socio=rien depuis 1980, et l'utilisation*socio=rien nette*socio=rien des crédits*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 est*socio=rien tombée à son niveau*socio=rien le plus faible*socio=rien depuis six ans*socio=rien, devenant même légèrement négative*socio=rien. Mais l'équilibre*socio=ec2 réalisé en 1985 n'a pas *socio=rien été satisfaisant,*socio=nil *socio=nil car il reposait sur*socio=rien des niveaux*socio=rien d'absorption*socio=rien intérieure*socio=te trop faibles*socio=rien pour être*socio=rien durables*socio=uv4 - en particulier*socio=rien pour les investissements*socio=ec1 - dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil endettés, *socio=rien sur un volume important*socio=uv4 de*socio=nil financements*socio=ec1 *socio=nil concertés et *socio=rien sur un niveau de*socio=nil prêts*socio=ec1 spontanés *socio=nil dont la faiblesse*socio=ec2 augurait mal*socio=rien de l'avenir*socio=te. En matière*socio=rien de financement*socio=ec1, la situation*socio=rien dans laquelle se sont alors trouvés les pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de capitaux*socio=ec1 en 1985 est*socio=rien due à des facteurs*socio=rien qui ont affecté à la fois*socio=rien les sources*socio=rien et les *socio=rien utilisations du financement*socio=ec1 extérieur*socio=te.*socio=nil *socio=nil En ce qui concerne les sources*socio=rien, les emprunts*socio=ec1 nets*socio=rien auprès de créanciers_privés*socio=et ont at-_ teint *socio=rien un palier *socio=nil de 8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1985 et deux sources*socio=rien relativement stables*socio=uv4 de financement*socio=ec1 les flux*socio=ec1 non générateurs*socio=rien d'endettement*socio=ec1 et les emprunts*socio=ec1 à long_terme*socio=te auprès de créanciers*socio=ac officiels*socio=et - ont fourni un*socio=rien montant*socio=ec1 additionnel*socio=ec2 de 51 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU (tableau*socio=rien 11 ). Les emprunts*socio=ec1 à long_terme*socio=te auprès des créanciers*socio=ac officiels*socio=et ont baissé, en *socio=rien partie du fait des*socio=nil moindres besoins*socio=uv1 de*socio=nil financement*socio=ec1 exceptionnel*socio=uv4 *socio=nil et en partie*socio=rien parce que certains prêts*socio=ec1 officiels*socio=et ont été*socio=rien convertis en dons*socio=ec1, ce qui a contribué à augmenter les flux*socio=ec1 non générateurs*socio=rien d'endettement*socio=ec1. La stabilité*socio=uv3 des prêts*socio=ec1 nets*socio=rien accordés par les créanciers_privés*socio=et est*socio=rien probablement la résultante*socio=rien de deux considérations*socio=rien opposées. D'une part*socio=rien, les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 n'étaient plus disposées à prêter aux pays*socio=ac qui n'avaient pas retrouvé leur crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te, alors que les pays*socio=ac qui avaient une bonne*socio=rien cote*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 n'avaient en général*socio=rien pas besoin*socio=uv1 de nouveaux*socio=rien financements*socio=ec1 nets*socio=rien. D'autre part*socio=rien, bien*socio=rien que les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 aient peut-être souhaité réduire le montant*socio=ec1 de leurs prêts*socio=ec1 dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil ce dont témoignent*socio=rien les *socio=ec1 montages financiers *socio=nil concertés auxquels il a fallu recourir dans plusieurs cas*socio=rien, les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil eux-mêmes n'avaient pas opéré un*socio=rien ajustement*socio=et suffisant*socio=rien pour pouvoir*socio=et faire d'importants*socio=uv4 remboursements*socio=ec1 nets*socio=rien. Il n'y a donc eu ni prêts*socio=ec1 nets*socio=rien importants*socio=uv4 aux pays*socio=ac ayant une bonne*socio=rien cote*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 ni remboursements*socio=ec1 nets*socio=rien importants*socio=uv4 par les pays*socio=ac dont la position*socio=rien extérieure*socio=te était encore difficile*socio=rien. Le facteur*socio=rien qui a le plus influé sur*socio=rien les *socio=rien utilisations du financement*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=nil en 1985 a été*socio=rien la nouvelle*socio=rien diminution*socio=ec2 des avoirs*socio=ec1 extérieurs*socio=te acquis*socio=uv2 par les pays_en_développement*socio=uv3. Cette évolution*socio=te tient entièrement à la baisse*socio=ec2 des montants*socio=ec1 de réserves_officielles*socio=et acquis*socio=uv2 (non compris les augmentations*socio=ec2 dues aux réévaluations*socio=ec1 comptables*socio=rien) qui n'ont atteint que 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1985, *socio=rien conséquence du fait *socio=nil que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac 1 n'ont accordé qu'une faible*socio=rien priorité*socio=uv4 à la reconstitution*socio=ec2 de leurs réserves*socio=ec1 après*socio=rien l'augmentation*socio=ec2 de 30 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU enregistrée en 1983-84. Les acquisitions*socio=ec1 d'avoirs*socio=ec1 extérieurs*socio=te par le secteur_privé*socio=et ont augmenté en 1985, mais elles sont restées relativement modérées si l'on en juge*socio=et par des normes*socio=et récentes*socio=rien. Les sorties de capitaux*socio=ec1 appartenant aux résidents*socio=ac - y compris les capitaux*socio=ec1 enfuis - se sont élevées*socio=uv4 à quelque 19 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU, soit environ la *socio=rien moitié du niveau *socio=nil de 1982. L'acquisition*socio=rien d'avoirs*socio=ec1 extérieurs*socio=te par le secteur_privé*socio=et a été*socio=rien réduite par *socio=rien un certain nombre de*socio=nil facteurs,*socio=nil *socio=nil de la façon*socio=rien la plus constructive*socio=uv2 là ou les autorités*socio=et ont pris des mesures*socio=et pour accroître l'attrait*socio=rien des *socio=ec1 avoirs financiers intérieurs*socio=te par*socio=nil rapport*socio=rien aux*socio=nil avoirs extérieurs*socio=te,*socio=nil par*socio=nil exemple*socio=rien *socio=nil en relevant les taux_d'_intérêt*socio=ec1 intérieurs*socio=te ou en corrigeant une surévaluation*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1. Il subsiste néanmoins *socio=rien un nombre inquiétant de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil où la demande*socio=ec1 d'avoirs*socio=ec1 extérieurs*socio=te est*socio=rien restée forte*socio=rien dans le secteur_privé*socio=et et où elle n'a été*socio=rien contenue que par le manque*socio=rien de devises*socio=ec1 (graphique*socio=rien 15). Il est*socio=rien également significatif*socio=rien dans l'évolution*socio=te constatée en 1985 que les pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de capitaux*socio=ec1 aient eu moins recours*socio=rien à des sources*socio=rien exceptionnelles*socio=uv4 de financement*socio=ec1. L'utilisation*socio=rien nette*socio=rien des crédits*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 a été*socio=rien pratiquement nulle*socio=rien et les rééchelonnements*socio=et de dettes*socio=ec1 sont tombés de 37 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1984 à 32 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1985. Toutefois, comme ces chiffres l'indiquent, ces rééchelonnements*socio=et restent une source*socio=rien importante*socio=uv4 de fonds*socio=ec1 et les montants*socio=ec1 rééchelonnés sont encore considérables*socio=rien par rapport*socio=rien aux *socio=rien époques précédentes.*socio=nil Par*socio=nil ailleurs,*socio=nil les*socio=nil fonds*socio=ec1 obtenus*socio=nil grâce *socio=nil à des *socio=ec1 montages financiers *socio=nil concertés, bien*socio=rien qu'inférieurs*socio=rien à la moyenne*socio=rien annuelle*socio=te de 12 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU fournis en 1983-84, ont néanmoins atteint quelque 5 à 6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1985, chiffre équivalent*socio=rien aux trois quarts*socio=rien environ *socio=rien du total des*socio=nil crédits_privés*socio=et nets *socio=nil accordés aux pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de capitaux*socio=ec1. Malgré la réduction*socio=ec2 du*socio=rien recours*socio=ec1 aux arriérés et aux crédits*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 mentionnée précédemment, quelques pays_en_développement*socio=uv3 n'ont pu maintenir leurs besoins*socio=uv1 de crédit*socio=ec1 à *socio=rien un niveau *socio=nil finançable. Les arriérés ont continué à s'accumuler en Afrique*socio=ac de même que dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil minéraux*socio=ec1 *socio=nil et, pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis quelques années*socio=rien, des arriérés ont été*socio=rien constatés dans les pays*socio=ac non pétroliers*socio=ec1 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac. En outre, dans certains pays_en_développement*socio=uv3, l'utilisation*socio=rien nette*socio=rien des crédits*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 est*socio=rien restée très importante*socio=uv4 et les réserves*socio=ec1 ont subi de fortes*socio=rien diminutions*socio=ec2. Un*socio=rien autre élément*socio=rien de la situation*socio=rien n'a pas *socio=rien été satisfaisant *socio=nil en 1985. Il s'agit de la persistance*socio=te *socio=rien du faible niveau des*socio=nil mouvements_de_capitaux*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil total des*socio=nil emprunts*socio=ec1 nets *socio=nil par les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec1,*socio=nil par*socio=nil exemple*socio=rien,*socio=nil *socio=nil n'a représenté que l'équivalent*socio=rien de 7 % de leurs importations*socio=ec1 cette année-là. Cette étroitesse*socio=rien continuelle*socio=te de la situation*socio=rien en matière*socio=rien de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te, pour la *socio=rien quatrième année consécutive,*socio=nil n'*socio=nil est *socio=nil évidemment pas sans avoir des effets*socio=rien défavorables*socio=uv4 sur*socio=rien les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 à long_terme*socio=te des pays*socio=ac qui souffrent d'un*socio=rien manque*socio=rien de *socio=ec1 ressources financières.*socio=nil Conscient*socio=uv2 *socio=nil de ce fait*socio=rien, le Secrétaire*socio=ac au Trésor*socio=et des États-unis*socio=ac, Monsieur*socio=rien James A Baker III, a proposé à l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et de la banque_mondiale*socio=ac, tenue à Séoul*socio=ac, une initiative*socio=rien destinée à renforcer la stratégie*socio=et appliquée en matière*socio=rien d'endettement*socio=ec1. Cette initiative*socio=rien a été*socio=rien généralement bien*socio=rien accueillie parce qu'elle mettait l'accent*socio=rien sur*socio=rien la réalisation*socio=uv1 d'une trajectoire*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 plus élevée*socio=uv4, dans laquelle des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 plus importants*socio=uv4, provenant à la fois*socio=rien de sources*socio=rien privées*socio=et et de sources*socio=rien publiques*socio=et, se justifieraient par des réformes*socio=et économiques*socio=ec1 structurelles*socio=ec2 permettant une croissance*socio=uv3 plus rapide*socio=rien des exportations*socio=ec1 et de la production*socio=ec1. Pour appuyer cette action*socio=ec1, il a été*socio=rien demandé aux banques*socio=ac de développement*socio=uv3 - commerciales*socio=ec1 et multilatérales*socio=et - de fournir des crédits*socio=ec1 additionnels*socio=ec2 en 1986-88 et aux *socio=ac pays débiteurs,*socio=nil *socio=nil d'adopter des politiques*socio=et qui faciliteraient un*socio=rien ajustement*socio=et axé sur*socio=rien la croissance*socio=uv3, ou de les renforcer si elles étaient déjà appliquées. En raison*socio=rien de la croissance*socio=uv3 relativement lente*socio=rien des prêts*socio=ec1 en 1985, la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te - exprimée en dollars*socio=ec1 ÉU - des pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de capitaux*socio=ec1 n'a augmenté que de 71/2 % en 1985. Cette augmentation*socio=ec2 n'aurait d'ailleurs*socio=rien été*socio=rien que de 31/2 1% environ si la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 ne s'était pas répercutée sur*socio=rien la valeur*socio=ec1 de la composante*socio=rien de la dette*socio=ec1 libellée en d'autres monnaies*socio=ec1. Malgré cette progression*socio=ec2 lente*socio=rien de l'endettement*socio=ec1, le *socio=ec1 ratio endettement/*socio=nil exportations de*socio=nil biens *socio=nil et de services*socio=et des *socio=ac pays importateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil a atteint *socio=rien un nouveau maximum *socio=nil de 168 0% en 1985, *socio=rien du fait *socio=nil de la diminution*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1. En outre, les différences*socio=uv1 régionales*socio=te assez tranchées entre les coefficients*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1 se sont quelque peu accentuées en 1985 (tableau*socio=rien 12). Ces tendances*socio=ec2 divergentes*socio=uv2 d'une région*socio=te à l'autre recouvrent non seulement des différences*socio=uv1 dans le degré*socio=rien de maîtrise*socio=rien que les pays*socio=ac ont exercé sur*socio=rien leurs emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te, mais aussi des différences*socio=uv1 fondamentales*socio=uv4 dans l'importance*socio=rien que les débiteurs*socio=ac ont attachée aux stratégies*socio=et de développement*socio=uv3 axées sur*socio=rien les exportations*socio=ec1. Ces différences*socio=uv1 apparaissent aussi dans les ratios*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 des diverses*socio=rien régions*socio=te, bien*socio=rien que dans ce cas*socio=rien les écarts*socio=ec2 soient atténués par les *socio=rien effets du réaménagement des*socio=nil dettes*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil paiements*socio=ec1 au*socio=nil titre du service_de_la_dette*socio=ec1 *socio=nil ont augmenté de 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1985 pour atteindre 129 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU, portant le ratio*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 au niveau*socio=rien sans précédent*socio=rien de 23,8 %. Malgré cette augmentation*socio=ec2 des paiements*socio=ec1, la *socio=rien situation générale du service_de_la_dette*socio=ec1 *socio=nil en 1985 a été*socio=rien à certains égards*socio=rien moins difficile*socio=rien que les *socio=rien années précédentes:*socio=nil les*socio=nil paiements*socio=ec1 au*socio=nil titre des*socio=nil intérêts*socio=uv1 *socio=nil se sont stabilisés à 74 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU, par *socio=rien suite du retard *socio=nil avec lequel les baisses récentes*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 internationaux*socio=te ont exercé leurs effets*socio=rien. En outre, l'augmentation*socio=ec2 de 4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU au titre*socio=rien des paiements*socio=ec1 d'amortissement*socio=ec1 en 1985 est*socio=rien due en partie*socio=rien à une réduction*socio=ec2 des montants*socio=ec1 rééchelonnés, nouveau*socio=rien signe de l'atténuation*socio=ec2 générale*socio=rien des pressions*socio=ec2 financières*socio=ec1 en 1985. Il n'en demeure pas moins que la situation*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac reste critique*socio=uv2 sur le*socio=nil plan du service_de_la_dette*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil tout particulièrement en Afrique*socio=ac et dans l' hémisphère_occidental*socio=te. Chapitre*socio=rien 2 Politiques*socio=et et *socio=rien activités du Fonds*socio=ec1 Les*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil et les *socio=rien activités du fonds_monétaire_international*socio=ac *socio=nil répondent à des fonctions*socio=rien très diverses*socio=rien: le Fonds*socio=ec1 doit veiller au *socio=rien bon fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te,*socio=nil *socio=nil exercer sa surveillance*socio=et sur*socio=rien les politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 de ses pays_membres*socio=ac, suivre attentivement l'évolution*socio=te des liquidités*socio=ec1 internationales*socio=te et gérer le système*socio=rien des DTS; en outre, il fournit aux pays_membres*socio=ac qui se heurtent à des difficultés*socio=uv4 de paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te des concours temporaires*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec1 à des conditions*socio=ec1 appropriées, et il remplit diverses*socio=rien autres fonctions*socio=rien, entre autres d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien, qui visent à promouvoir une coopération*socio=uv1 efficace*socio=uv4 en matière*socio=rien de relations*socio=rien financières*socio=ec1 internationales*socio=te. Le *socio=rien présent chapitre *socio=nil passe en revue ces *socio=rien différentes fonctions;*socio=nil L'*socio=nil analyse*socio=ec2 est axée*socio=nil sur la*socio=nil façon *socio=nil dont le Fonds*socio=ec1 s'est*socio=rien efforcé de résoudre *socio=rien un certain nombre de*socio=nil *socio=uv4 problèmes fondamentaux *socio=nil auxquels se heurte l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. On trouvera dans une série d'appendices des *socio=rien informations complémentaires *socio=nil plus détaillées sur*socio=rien les *socio=rien activités du Fonds*socio=ec1,*socio=nil en*socio=nil particulier *socio=nil des données chiffrées sur*socio=rien ses opérations*socio=rien de prêt*socio=ec1 et d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et divers renseignements*socio=ec2 concernant son administration*socio=ec1. *socio=rien FONCTIONNEMENT DU système_monétaire*socio=ec1 INTERNATIONAL*socio=te Aux*socio=nil termes *socio=nil de l'article*socio=rien IV, section*socio=rien 3 a) de ses Statuts*socio=et, "Le Fonds*socio=ec1 contrôle*socio=uv3 le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te afin d'en assurer le fonctionnement*socio=rien effectif.. " Au début*socio=rien des années*socio=rien 80 on a constaté, non sans préoccupation*socio=uv4, que le *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil n'était pas aussi efficace*socio=uv4 qu'il aurait pu l'être*socio=rien. en particulier*socio=rien, les taux_de_change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 continuaient de faire preuve*socio=ec2 d'une variabilité*socio=uv3 considérable*socio=rien et l'appréciation*socio=uv3 *socio=rien persistante du dollar_éu*socio=ec1 par*socio=nil rapport *socio=nil à la plupart*socio=rien des autres grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1 aggravait les déséquilibres*socio=uv3 des *socio=ec1 balances commerciales *socio=nil et des balances*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. En outre, les pays*socio=ac lourdement endettés éprouvaient des difficultés*socio=uv4 considérables*socio=rien à assurer le service*socio=et de leurs obligations*socio=uv1 extérieures*socio=te, surtout à partir de 1982. En valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2, l'aide_publique_au_développement*socio=et est*socio=rien restée stationnaire*socio=ec2 cependant que les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et s'amplifiaient. De nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 n'étaient pas en. mesure*socio=rien de remédier à la dégradation*socio=uv3 de leur situation*socio=rien extérieure*socio=te à temps*socio=rien pour éviter que de graves*socio=uv4 perturbations*socio=ec2 ne viennent interrompre l'essor*socio=rien de leur développement*socio=uv3. En réponse*socio=rien à ces diverses*socio=rien préoccupations*socio=uv4, le Groupe*socio=ac des Dix et le Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien ont entrepris des études*socio=ec2 sur*socio=rien le *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te,*socio=nil *socio=nil puis soumis les conclusions*socio=rien de leurs travaux*socio=rien à l'examen*socio=ec2 du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac. Le rapport*socio=rien des *socio=rien suppléants du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix a été*socio=rien établi à la suite*socio=rien de la demande*socio=ec1 qui leur en avait été*socio=rien faite dans la déclaration*socio=et publiée à l'issue*socio=rien *socio=rien du sommet *socio=nil de Williamsburg en 1983. Ce rapport*socio=rien a été*socio=rien communique aux ministres*socio=ac et gouverneurs*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Dix et rendu public*socio=et en juin*socio=rien 1985. Il couvre quatre champs*socio=rien d'analyse*socio=rien principaux*socio=rien: le fonctionnement*socio=rien des *socio=ec1 taux_de_change flottants,*socio=nil le*socio=nil renforcement*socio=ec2 *socio=nil de la *socio=et surveillance multilatérale,*socio=nil la*socio=nil gestion*socio=ec2 des*socio=nil liquidités*socio=ec1 internationales*socio=te,*socio=nil *socio=nil et le rôle*socio=et du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac. Le Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien, quant à lui, a établi deux rapports*socio=rien. Le premier*socio=rien, intitulé "Programme*socio=et d'action*socio=ec1 révisé en vue*socio=rien d'une réforme*socio=et du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 et financier*socio=ec1 international*socio=te ", a été*socio=rien publié en septembre*socio=rien 1984. Le *socio=rien second rapport,*socio=nil *socio=nil qui reprend plus précisément les *socio=rien sujets traités *socio=nil par le *socio=rien rapport du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix, s'intitule "Le fonctionnement*socio=rien et l'amélioration*socio=uv1 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te"; il a été*socio=rien établi par un*socio=rien groupe_de_travail*socio=ac constitué à cette fin*socio=rien en mai*socio=rien 1985 par le Président*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien. Ce *socio=rien dernier rapport a*socio=nil été *socio=nil diffusé en août*socio=rien 1985. Il traite de chacun des points*socio=rien considérés dans le *socio=rien rapport du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix et aborde en outre les problèmes*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 et du*socio=rien transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 aux pays_en_développement*socio=uv3. Le *socio=rien rapport du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix et le *socio=rien second rapport du Groupe*socio=ac des*socio=nil Vingt-quatre ont*socio=nil été *socio=nil soumis au comité_intérimaire*socio=ac à sa réunion*socio=rien d'octobre*socio=rien 1985 à Séoul*socio=ac. Le Comité*socio=ac a pris note avec satisfaction*socio=uv3 des travaux*socio=rien qui avaient été*socio=rien entrepris et a demandé au conseil_d'_administration*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 d'examiner les deux rapports*socio=rien et de lui en rendre compte*socio=ec1 à sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil En*socio=nil réponse *socio=nil à cette demande*socio=ec1, le conseil_d'_administration*socio=ac a tenu une série de réunions*socio=rien au début*socio=rien de 1986 et a présenté ses conclusions*socio=rien au comité_intérimaire*socio=ac. Le Comité*socio=ac a lui-même procédé*socio=rien, à sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1986, à *socio=rien un premier échange_de_vues*socio=uv3 approfondi*socio=nil sur les*socio=nil diverses questions *socio=nil abordées dans les rapports*socio=rien. Le Groupe*socio=ac des Dix comme le Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien ont reconnu dans leurs rapports*socio=rien qu'il existe des liens*socio=rien réciproques*socio=uv2 étroits*socio=rien entre les divers problèmes*socio=uv4 que soulèvent le *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil et l'action*socio=ec1 menée par le Fonds*socio=ec1 face*socio=rien à ces problèmes*socio=uv4. Tout changement*socio=uv3 apporté au *socio=rien fonctionnement du système des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1,*socio=nil par*socio=nil exemple,*socio=nil *socio=nil que ce soit par des *socio=rien modifications du système *socio=nil lui-même ou par une amélioration*socio=uv1 des mécanismes*socio=et de coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et, se refléterait dans l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et. De façon*socio=rien plus générale*socio=rien, le rôle*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 en tant qu'institution*socio=ac *socio=rien centrale du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te sera*socio=nil fonction *socio=nil de la manière*socio=rien dont les pays_membres*socio=ac s'attendent à voir le système*socio=rien, dans son ensemble*socio=rien, fonctionner et évoluer. Les rapports*socio=rien ont souligné l'un*socio=rien et l'autre que la variabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1, tant sous forme*socio=rien d'instabilité*socio=uv3 à court_terme*socio=te que de désalignements*socio=uv3 à long_terme*socio=te, était préoccupante*socio=uv4. Le Groupe*socio=ac des Dix concluait que le système*socio=rien actuel*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 ne requiert pas de changements*socio=uv3 fondamentaux*socio=uv4, mais qu'il faudrait que les pays_membres*socio=ac renforcent leur coopération*socio=uv1, ce qui supposerait qu'ils soient fermement résolus à mettre en ouvre des politiques_économiques*socio=et intérieures*socio=te stables*socio=uv4 et à accorder plus de poids*socio=rien aux considérations*socio=rien internationales*socio=te dans l'élaboration*socio=rien de leur politique_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te. Par ailleurs*socio=rien, certains *socio=rien suppléants du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix étaient favorables*socio=uv4 à l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien de zones*socio=te objectifs*socio=uv3 pour les taux_de_change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1. Le Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien tenait pour sa part*socio=rien qu'un*socio=rien rang*socio=rien de priorité*socio=uv4 plus élevé*socio=uv4 et plus explicite*socio=rien devrait être*socio=rien accordé à la stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 et indiquait qu'à cet égard*socio=rien il pourrait être*socio=rien utile*socio=uv4 de fixer des zones*socio=te objectifs*socio=uv3 pour les taux_de_change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1. Au cours*socio=rien des débats*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac, il a été*socio=rien reconnu qu'une certaine*socio=rien flexibilité*socio=uv3 était essentielle*socio=uv4 au *socio=rien fonctionnement du système de*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil car c'est*socio=rien elle qui avait aidé à la fois*socio=rien à préserver *socio=rien un système d'*socio=nil échanges*socio=ec1 ouvert *socio=nil et à mieux armer le système_financier*socio=ec1 contre les perturbations*socio=ec2 d'origine*socio=rien extérieure*socio=te. Cependant, le flottement*socio=ec1 des taux_de_change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 s'est*socio=rien accompagné de problèmes*socio=uv4 non négligeables*socio=rien. D'importants*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 de balances_des_paiements*socio=ec1 sont apparus et les taux_de_change*socio=ec1 ont présenté une instabilité*socio=uv3 excessive*socio=uv4 à court_terme*socio=te et surtout des désalignements*socio=uv3 prononcés et persistants*socio=rien. De l'avis*socio=rien général*socio=rien, il ne serait possible*socio=rien d'améliorer le *socio=rien fonctionnement du système *socio=nil que si la volonté*socio=uv1 politique*socio=et de poursuivre des politiques*socio=et *socio=rien cohérentes sur le*socio=nil plan international*socio=te *socio=nil existait. À sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1986, le comité_intérimaire*socio=ac a fait*socio=rien sienne la *socio=rien conclusion du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil selon laquelle la flexibilité*socio=uv3 avec laquelle le système*socio=rien a fonctionné a permis*socio=rien à l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te de s'adapter*socio=rien à *socio=rien un certain nombre de*socio=nil perturbations*socio=ec2 importantes*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Il a reconnu par ailleurs*socio=rien que la variabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 et les désalignements*socio=uv3 qui étaient apparus à long_terme*socio=te demeuraient préoccupants*socio=uv4. Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu que, pour améliorer durablement le comportement*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1, il serait essentiel*socio=uv4 que soient menées des politiques_économiques*socio=et à la *socio=rien fois bien *socio=nil conçues et mutuellement compatibles*socio=rien et que les considérations*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 y jouent pleinement leur rôle*socio=et. Le Comité*socio=ac a demandé au conseil_d'_administration*socio=ac d'étudier la possibilité*socio=rien d'apporter au système*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 de *socio=rien nouvelles modifications *socio=nil qui accroîtraient leur stabilité*socio=uv3 et la compatibilité*socio=rien des politiques_économiques*socio=et sans pour autant priver le système*socio=rien de la flexibilité*socio=uv3 qui lui *socio=rien est nécessaire.*socio=nil Le*socio=nil Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix comme le Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien ont reconnu dans leurs rapports*socio=rien que la surveillance*socio=et *socio=rien est un élément crucial du rôle*socio=et du Fonds*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil mais qu'elle ne s'est*socio=rien pas jusqu'à présent*socio=rien exercée avec toute l'efficacité*socio=uv3 souhaitable*socio=rien. Les deux rapports*socio=rien contiennent *socio=rien un certain nombre de*socio=nil propositions *socio=nil visant à en améliorer l'efficacité*socio=uv3 tant sur*socio=rien la forme*socio=rien que sur*socio=rien le fond*socio=rien; le conseil_d'_administration*socio=ac puis le comité_intérimaire*socio=ac ont procédé*socio=rien à un*socio=rien examen*socio=ec2 approfondi de ces propositions*socio=rien. Celles-ci, de même que les débats*socio=et qu'elles ont suscités, sont analysées en détail*socio=rien dans la *socio=rien prochaine section du présent chapitre.*socio=nil *socio=nil En ce qui concerne les liquidités*socio=ec1 internationales*socio=te et le DTS, le Groupe*socio=ac des Dix et le Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien ont reconnu dans leurs rapports*socio=rien que la gestion*socio=ec2 *socio=rien du système actuel*socio=te de*socio=nil réserves_internationales*socio=ec1 *socio=nil n'avait pas été*socio=rien pleinement satisfaisante*socio=uv4, mais le Groupe*socio=ac des Dix a noté que le processus*socio=te de création*socio=uv4 des liquidités*socio=ec1 avait, par certains aspects*socio=rien, gagné en souplesse*socio=uv3. Cependant, l'expansion*socio=ec2 inégale*socio=uv2 du*socio=rien crédit*socio=ec1 international*socio=te ainsi que les *socio=rien fortes variations des*socio=nil conditions*socio=ec1 *socio=nil auxquelles les liquidités*socio=ec1 internationales*socio=te ont été*socio=rien accordées n'ont, à leur avis*socio=rien, pas toujours *socio=rien été propices à*socio=nil un ajustement*socio=et progressif *socio=nil dans le sens*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 soutenue et non inflationniste*socio=ec2. Les rapports*socio=rien contiennent *socio=rien diverses propositions *socio=nil visant à améliorer la gestion*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 mondiales*socio=te soit par le renforcement*socio=ec2 *socio=rien du système des*socio=nil liquidités*socio=ec1 internationales*socio=te en*socio=nil général,*socio=nil *socio=nil soit par une *socio=rien modification du rôle*socio=et particulier *socio=nil qu'y joue le DTS. Lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 de ces propositions*socio=rien, les membres*socio=ac du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac se sont accordés pour reconnaître que le *socio=rien fonctionnement du système actuel*socio=te de*socio=nil création*socio=uv4 de*socio=nil réserves_internationales*socio=ec1 avait*socio=nil fait preuve*socio=ec2 de*socio=nil certaines déficiences*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil À des périodes*socio=te d'expansion*socio=ec2 excessive*socio=uv4 des liquidités*socio=ec1 avaient succédé des périodes*socio=te de contraction*socio=ec2 non moins excessive*socio=uv4, de sorte*socio=rien que la croissance*socio=uv3 des stocks*socio=ec1 de réserves*socio=ec1 mondiales*socio=te avait été*socio=rien très irrégulière*socio=rien. Il a été*socio=rien également convenu qu'il faudrait améliorer la *socio=rien qualité du *socio=nil DTS et en faire un*socio=rien instrument*socio=et plus maniable. Le rôle*socio=et du*socio=rien DTS dans le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te a été*socio=rien examiné par le comité_intérimaire*socio=ac en avril*socio=rien 1986. Le Comité*socio=ac a estimé que le DTS, qui *socio=rien fait partie des*socio=nil réserves*socio=ec1 propres,*socio=nil *socio=nil peut jouer un*socio=rien rôle*socio=et utile*socio=uv4 à la fois*socio=rien en tant que composante*socio=rien des réserves_internationales*socio=ec1 et en tant qu'unité*socio=rien de compte*socio=ec1. Il a reconnu en outre que les DTS peuvent éventuellement constituer un*socio=rien " filet*socio=rien de sécurité*socio=uv1 " en cas*socio=rien d'événements*socio=rien imprévus*socio=uv4. Il a souligné le caractère*socio=rien monétaire*socio=ec1 du*socio=rien DTS, qui ne doit pas *socio=rien être un moyen *socio=nil de transférer des ressources*socio=ec1, et a recommandé que le conseil_d'_administration*socio=ac étudie les possibilités*socio=rien d'apporter aux caractéristiques*socio=rien monétaires*socio=ec1 de cet instrument*socio=et les améliorations*socio=uv1 qui accroîtraient son attrait*socio=rien et son utilité*socio=rien en tant que composante*socio=rien des *socio=ec1 réserves monétaires.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac s'*socio=nil est*socio=rien interrogé*socio=nil sur*socio=rien l'*socio=nil opportunité*socio=uv3 *socio=nil d'une nouvelle*socio=rien allocation*socio=et de DTS et a conclu que, bien*socio=rien que la plupart*socio=rien de ses membres*socio=ac soient en faveur*socio=rien d'une allocation*socio=et, le large*socio=rien soutien*socio=uv3 requis*socio=uv4 pour qu'une décision*socio=et soit adoptée en ce sens*socio=rien ne pouvait être*socio=rien recueilli pour le moment*socio=rien. Les propositions*socio=rien formulées dans les *socio=rien rapports du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix et du*socio=rien Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien à *socio=rien propos du rôle*socio=et du Fonds*socio=ec1 concernent*socio=nil un certain nombre de*socio=nil domaines spécifiques,*socio=nil *socio=nil entre autres la conditionnalité dont est*socio=rien assortie l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1, les politiques*socio=et relatives*socio=rien aux limites*socio=rien d'accès*socio=uv1, le problème*socio=uv4 de l'utilisation*socio=rien prolongée des ressources*socio=ec1 et des arriérés envers l'institution*socio=ac, la collaboration*socio=uv1 entre le Fonds*socio=ec1 et la banque_mondiale*socio=ac, la concessionnalité des financements*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1, et les quotes-parts*socio=et et les droits_de_vote*socio=et. Dans son rapport*socio=rien, le Groupe*socio=ac des Dix souligne le caractère*socio=rien " revolving " des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et la nécessité*socio=uv1 d'adopter sans retard*socio=rien des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et prompts et efficaces*socio=uv4 pour remédier aux difficultés*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1. Le Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien, en revanche, préconise dans son rapport*socio=rien des concours portant sur*socio=rien des montants*socio=ec1 plus importants*socio=uv4 et des programmes*socio=et s'étendant sur*socio=rien des périodes*socio=te plus longues*socio=rien, et recommande une réorientation*socio=et de la conditionnalité en vue*socio=rien d'accorder *socio=rien un rang de*socio=nil priorité*socio=uv4 plus*socio=nil élevé*socio=uv4 *socio=nil à l'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 axé sur*socio=rien la croissance*socio=uv3. Les deux groupes*socio=ac sont convenus qu'il était important*socio=uv4 de collaborer de façon*socio=rien efficace*socio=uv4 avec la banque_mondiale*socio=ac et qu'il était nécessaire*socio=rien de remédier aux problèmes*socio=uv4 de l'utilisation*socio=rien prolongée des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et des arriérés envers l'institution*socio=ac. Le comité_intérimaire*socio=ac a réaffirmé que le Fonds*socio=ec1 joue un*socio=rien rôle*socio=et majeur*socio=rien en aidant ses pays_membres*socio=ac à élaborer des politiques*socio=et d'ajustement*socio=et et en leur fournissant des financements*socio=ec1 de balance_des_paiements*socio=ec1. Dans ce contexte*socio=rien, le Comité*socio=ac a accueilli avec satisfaction*socio=uv3 les décisions*socio=et adoptées par le conseil_d'_administration*socio=ac qui portent création*socio=uv4 de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 décrite plus loin*socio=rien dans le *socio=rien présent chapitre.*socio=nil *socio=nil Dans le texte*socio=rien de ces décisions*socio=et, le conseil_d'_administration*socio=ac recommande que le Fonds*socio=ec1 et la banque_mondiale*socio=ac travaillent en collaboration*socio=uv1 étroite*socio=rien pour aider les pays_membres*socio=ac à définir*socio=rien le *socio=rien cadre général *socio=nil de leur politique_économique*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Le*socio=nil comité_intérimaire*socio=ac *socio=nil a souligné qu'en développant leur collaboration*socio=uv1, le Fonds*socio=ec1 et la Banque*socio=ac devront maintenir distincts*socio=rien les domaines*socio=rien de leurs responsabilités*socio=uv1 respectives*socio=rien, éviter une double*socio=rien conditionnalité et s'assurer que leurs recommandations*socio=et de politique_économique*socio=ec1 soient cohérentes*socio=rien. Les problèmes*socio=uv4 liés à la situation*socio=rien de l'endettement*socio=ec1 et au transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien chapitre distinct du rapport du Groupe*socio=ac des*socio=nil Vingt-quatre.*socio=nil *socio=nil Il y est*socio=rien noté que la situation*socio=rien de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 s'était dégradée pendant plusieurs années*socio=rien avant que divers *socio=rien facteurs exogènes *socio=nil se soient conjugués*socio=rien pour précipiter la crise*socio=uv2 au milieu*socio=rien de l'année*socio=rien 1982. L'impact*socio=rien de ces facteurs*socio=rien a été*socio=rien aggravé par les déficiences*socio=uv3 marquées des politiques*socio=et de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3. Par ailleurs*socio=rien, le durcissement*socio=ec2 de 'la réglementation*socio=et opéré par les organismes*socio=ac de supervision*socio=rien des banques*socio=ac des pays_industrialisés*socio=ac a influé sur*socio=rien le *socio=ec1 financement bancaire disponible*socio=rien.*socio=nil Le*socio=nil Fonds *socio=nil a continué de participer activement aux efforts*socio=uv1 déployés pour redresser la situation*socio=rien de l'endettement*socio=ec1, d'une part*socio=rien en engageant ses propres*socio=rien ressources*socio=ec1 à l'appui*socio=uv1 de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 et, d'autre part*socio=rien, en aidant à mobiliser d'autres sources*socio=rien de financements*socio=ec1. Le rôle*socio=et joué par le Fonds*socio=ec1 dans l'élaboration*socio=rien et dans la mise en ouvre de la stratégie*socio=et en matière*socio=rien de dette*socio=ec1 extérieure*socio=te est*socio=rien décrit de façon*socio=rien détaillée plus loin*socio=rien dans le *socio=rien présent chapitre.*socio=nil SURVEILLANCE*socio=et ASPECTS GÉNÉRAUX *socio=nil DE LA SURVEILLANCE*socio=et Conformément aux dispositions*socio=et adoptées *socio=rien lors du deuxième amendement*socio=et aux*socio=nil Statuts*socio=et,*socio=nil le*socio=nil Fonds*socio=ec1 *socio=nil " exerce une ferme*socio=ec2 surveillance*socio=et sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des *socio=ac États membres *socio=nil "'. Pour que le Fonds*socio=ec1 puisse s'acquitter de ses fonctions*socio=rien dans ce domaine*socio=rien, le conseil_d'_administration*socio=ac a adopté les principes*socio=ec2 et procédures*socio=et énoncés dans le document*socio=rien intitulé " Surveillance*socio=et des politiques*socio=et de change*socio=ec1 " 7. Aux termes*socio=rien de l'article*socio=rien IV, section*socio=rien 1 iii) des Statuts*socio=et, chaque *socio=ac État membre *socio=nil " évite de manipuler les taux_de_change*socio=ec1 ou le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te afin d'empêcher l'ajustement*socio=et effectif*socio=rien des balances_des_paiements*socio=ec1 ou de s'assurer des avantages*socio=rien compétitifs*socio=uv4 inéquitables vis-à-vis d'autres *socio=ac États membres...*socio=nil *socio=nil " La décision*socio=et relative*socio=rien à la surveillance*socio=et contient une énumération*socio=rien des *socio=rien faits susceptibles *socio=nil d'indiquer au Fonds*socio=ec1 la nécessité*socio=uv1 d'entamer des discussions*socio=et avec un*socio=rien *socio=ac État membre.*socio=nil *socio=nil Entrent dans cette catégorie*socio=rien toute intervention*socio=et prolongée sur*socio=rien une *socio=rien grande échelle *socio=nil et dans le même *socio=rien sens sur le*socio=nil marché*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil ainsi que certains types d'actions*socio=ec1 entreprises*socio=ac aux fins*socio=rien de la balance_des_paiements*socio=ec1, et plus précisément celles qui ont les *socio=rien résultats suivants:*socio=nil un niveau insoutenable*socio=uv4 des*socio=nil emprunts*socio=ec1 *socio=nil à des créanciers*socio=ac officiels*socio=et ou des prêts*socio=ec1 officiels*socio=et; l'adoption*socio=uv3, l'intensification*socio=ec2 ou le maintien*socio=rien prolongé de restrictions*socio=et aux transactions_courantes*socio=te ou aux entrées et sorties de capitaux*socio=ec1; et l'application*socio=rien d'une politique*socio=et financière*socio=ec1 intérieure*socio=te qui encourage ou décourage de manière*socio=rien anormale les mouvements_de_capitaux*socio=ec1. En outre, il *socio=rien est fait référence de*socio=nil façon précise *socio=nil à divers aspects*socio=rien plus généraux*socio=rien de la surveillance*socio=et dans le corps*socio=rien même des Statuts*socio=et. L'article*socio=rien IV, section*socio=rien 1, indique en particulier*socio=rien non seulement que chaque *socio=ac État membre *socio=nil doit éviter de manipuler les taux_de_change*socio=ec1, mais aussi qu'il doit s'engager à collaborer avec le Fonds*socio=ec1 et avec les autres *socio=ac États membres *socio=nil pour promouvoir *socio=rien un système stable*socio=uv4 de*socio=nil taux_de_change*socio=ec1;*socio=nil *socio=nil en outre, il doit s'efforcer d'orienter sa politique_économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 en vue*socio=rien d'encourager une *socio=ec1 croissance économique *socio=nil ordonnée dans une stabilité*socio=uv3 raisonnable*socio=uv4 des prix*socio=ec1, et chercher à promouvoir la stabilité*socio=uv3 en favorisant l'établissement*socio=rien de conditions*socio=ec1 de base*socio=rien, économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1, ordonnées. Sur*socio=rien le plan*socio=rien de la procédure*socio=et, la surveillance*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 s'exerce principalement par deux moyens*socio=ec1: d'une part*socio=rien, les consultations*socio=uv1 périodiques*socio=te au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec chaque *socio=ac pays membre *socio=nil et, d'autre part*socio=rien, le tour*socio=rien d'horizon*socio=rien plus général*socio=rien des évolutions*socio=te et des politiques_économiques*socio=et effectué dans une perspective*socio=rien multilatérale*socio=et lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te auquel procède périodiquement le conseil_d'_administration*socio=ac. Par ailleurs*socio=rien, le conseil_d'_administration*socio=ac examine, à l'occasion*socio=rien, de façon*socio=rien plus approfondie *socio=rien certaines questions *socio=nil liées à la surveillance*socio=et. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien écoulé, les *socio=rien inquiétudes persistantes *socio=nil suscitées par la situation*socio=rien de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 ont donné lieu*socio=rien à plusieurs séries de délibérations*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac portant sur*socio=rien cette question*socio=rien, et en *socio=rien particulier sur l'*socio=nil évolution*socio=te des*socio=nil financements*socio=ec1 tant*socio=nil officiels*socio=et que*socio=nil bancaires*socio=ec1,*socio=nil sur la*socio=nil structure*socio=ec1 des*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 et*socio=nil sur la*socio=nil stratégie*socio=et en*socio=nil matière de*socio=nil dette*socio=ec1.*socio=nil Par*socio=nil ailleurs,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont consacré plusieurs débats*socio=et aux questions*socio=rien commerciales*socio=ec1 et saisi ces occasions*socio=rien pour réaffirmer leur profonde*socio=rien préoccupation*socio=uv4 face*socio=rien à la persistance*socio=te des tendances*socio=ec2 protectionnistes*socio=et. PROPOSITIONS*socio=rien VISANT À AMÉLIORER LA SURVEILLANCE*socio=et Lorsque la décision*socio=et relative*socio=rien à la surveillance*socio=et a été*socio=rien adoptée en avril*socio=rien 1977, il a été*socio=rien admis qu'il n'était pas possible*socio=rien de prévoir *socio=rien un ensemble de*socio=nil directives*socio=et *socio=nil complètes qui puissent s'appliquer quelle que soit la situation*socio=rien. En conséquence*socio=rien, la décision*socio=et fixant les principes*socio=ec2 régissant*socio=rien la surveillance*socio=et a également prévu que ces principes*socio=ec2 seraient réexaminés tous les deux ans*socio=rien, voire plus fréquemment. Lors*socio=rien de chacun des réexamens qui ont eu lieu*socio=rien par la suite*socio=rien, le Conseil*socio=ac a réaffirmé qu'il importait de renforcer l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et. Le plus récent*socio=rien de ces réexamens, qui s'est*socio=rien achevé le 12 février*socio=rien 1986, a été*socio=rien consacré à l'étude*socio=ec2 de plusieurs propositions*socio=rien formulées récemment, en particulier*socio=rien dans les rapports*socio=rien établis par le Groupe*socio=ac des Dix et par le Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien, en vue*socio=rien d'améliorer le *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil et de renforcer la procédure*socio=et de surveillance*socio=et. Les *socio=rien rapports du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix et du*socio=rien Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien s'accordent*socio=rien *socio=rien sur un certain nombre de*socio=nil points fondamentaux*socio=uv4 *socio=nil concernant l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et: premièrement, la fonction*socio=rien de surveillance*socio=et est*socio=rien essentielle*socio=uv4 au rôle*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1; deuxièmement, la surveillance*socio=et doit être*socio=rien exercée de manière*socio=rien impartiale et symétrique*socio=rien; troisièmement, pour que la surveillance*socio=et soit symétrique*socio=rien, il faut qu'un*socio=rien suivi particulièrement étroit*socio=rien des politiques_économiques*socio=et des pays*socio=ac importants*socio=uv4 dans le système_financier*socio=ec1 international*socio=te soit assuré; quatrièmement, jusqu'à présent*socio=rien la surveillance*socio=et n'a pas influencé l'orientation*socio=et donnée aux politiques_économiques*socio=et nationales*socio=te ni encouragé l'établissement*socio=rien de conditions_économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 propices*socio=rien à la stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 avec toute l'efficacité*socio=uv3 souhaitable*socio=rien. Le conseil_d'_administration*socio=ac a fait*socio=rien siennes ces *socio=rien conclusions générales *socio=nil énoncées dans les deux rapports*socio=rien. Il a noté que les insuffisances*socio=uv3 qui y étaient relevées - en *socio=rien particulier sur le*socio=nil plan *socio=nil de l'impartialité*socio=uv1 et de l'efficacité*socio=uv3 - tenaient dans une *socio=rien large mesure aux*socio=nil bouleversements radicaux *socio=nil qui s'étaient produits*socio=rien dans l'environnement*socio=et économique*socio=ec1 et financier*socio=ec1 international*socio=te depuis l'adoption*socio=uv3 généralisée de *socio=ec1 taux_de_change flottants,*socio=nil *socio=nil mais aussi au fait*socio=rien que les différents*socio=rien pays*socio=ac semblaient avoir *socio=rien du mal *socio=nil à apprécier à sa juste*socio=rien valeur*socio=ec1 l'avantage qu'il peut y avoir à élaborer leur politique*socio=et intérieure*socio=te en fonction*socio=rien d'une série d'objectifs*socio=uv3 mutuellement *socio=rien compatibles sur le*socio=nil plan international*socio=te,*socio=nil Le*socio=nil sentiment *socio=nil que l'influence du*socio=rien Fonds*socio=ec1 s'exerce de façon*socio=rien asymétrique - au sens*socio=rien où la conditionnalité liée à l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 affecte profondément les pays_en_développement*socio=uv3, alors que la surveillance*socio=et n'a eu guère d'effets*socio=rien en *socio=rien pratique sur les*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui jouent un*socio=rien rôle*socio=et de *socio=rien premier plan *socio=nil dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te - s'est*socio=rien accentué depuis que plusieurs grands*socio=rien pays*socio=ac ont adopté des *socio=ec1 taux_de_change flottants.*socio=nil Le*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac estime*socio=rien essentiel*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil pour que la surveillance*socio=et soit efficace*socio=uv4, que tous les pays_membres*socio=ac acceptent de mettre en ouvre leur politique_économique*socio=ec1 de façon*socio=rien à tenir pleinement compte*socio=ec1 à la fois*socio=rien de leur interdépendance*socio=uv3 au *socio=rien sein du système_monétaire*socio=ec1 International*socio=te *socio=nil et de l'avantage que présente*socio=rien pour tous l'amélioration*socio=uv1 *socio=rien du fonctionnement du système.*socio=nil Il*socio=nil est *socio=nil également apparu au conseil_d'_administration*socio=ac que les défauts*socio=rien de *socio=rien fonctionnement du système *socio=nil étaient peut-être en partie*socio=rien imputables*socio=uv2 à la façon*socio=rien dont le mécanisme*socio=et de la surveillance*socio=et avait opéré. C'est*socio=rien pourquoi une *socio=rien attention particulière a*socio=nil été *socio=nil attachée à l'examen*socio=ec2 des divers moyens*socio=ec1 d'améliorer ce mécanisme*socio=et. *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil propositions *socio=nil examinées par le conseil_d'_administration*socio=ac ont porté plus particulièrement sur*socio=rien l'amélioration*socio=uv1 des procédures*socio=et d'application*socio=rien de la surveillance*socio=et. En *socio=rien premier lieu,*socio=nil *socio=nil il serait possible*socio=rien d'élargir le champ*socio=rien d'application*socio=rien de la surveillance*socio=et en y incorporant le principe*socio=ec2 plus général*socio=rien d'un*socio=rien contrôle*socio=uv3 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien la politique_économique*socio=ec1 de ses *socio=ac États membres,*socio=nil *socio=nil ce qui revient à reconnaître explicitement que les variations*socio=rien des taux_de_ change*socio=ec1 qui préoccupent la *socio=ac communauté internationale *socio=nil sont le plus souvent le *socio=rien résultat fortuit de*socio=nil politiques*socio=et intérieures*socio=te divergentes*socio=uv2 *socio=nil et inappropriées, et non le résultat*socio=rien délibéré d'une politique*socio=et visant à influer sur*socio=rien les conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1. En *socio=rien deuxième lieu,*socio=nil *socio=nil on pourrait recourir à des indicateurs*socio=ec1 - qui ne seraient pas nécessairement quantifiés ni rigides*socio=uv4, mais qui constitueraient des directives*socio=et plus systématiques*socio=uv4 que celles qui sont énoncées dans la décision*socio=et relative*socio=rien à la surveillance*socio=et - pour définir*socio=rien l'orientation*socio=et de la politique_économique*socio=ec1 et aider à détecter les éléments*socio=rien contradictoires*socio=uv2 ou s'écartant de la politique*socio=et appropriée. En *socio=rien troisième lieu,*socio=nil l'*socio=nil application *socio=nil de la procédure*socio=et actuelle*socio=te de surveillance*socio=et pourrait être*socio=rien renforcée dans le sens*socio=rien de certaines*socio=rien des propositions*socio=rien détaillées présentées dans les *socio=rien rapports du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix et du*socio=rien Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien. Ces propositions*socio=rien, qui sont résumées au tableau*socio=rien 13, peuvent être*socio=rien classées en trois *socio=rien grandes catégories:*socio=nil *socio=nil celles qui visent à améliorer l'analyse*socio=ec2 à la base*socio=rien de la surveillance*socio=et, celles qui visent à en renforcer le cadre*socio=rien multilatéral*socio=et, et celles qui sont destinées*socio=rien à élargir la portée*socio=rien des consultations*socio=uv1. En ce qui concerne la base*socio=rien analytique*socio=ec2 de la surveillance*socio=et, *socio=rien un certain nombre de*socio=nil propositions ont*socio=nil été *socio=nil accueillies de façon*socio=rien généralement favorable*socio=uv4. Il a été*socio=rien reconnu qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil d'élargir le champ*socio=rien d'application*socio=rien de la surveillance*socio=et à un*socio=rien plus *socio=rien grand nombre de*socio=nil domaines *socio=nil de la politique_économique*socio=ec1 et d'intégrer davantage l'évaluation*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 et des politiques*socio=et intérieures*socio=te dans *socio=rien un cadre d'*socio=nil analyse à*socio=nil moyen terme.*socio=nil *socio=nil Plus précisément, il convient de replacer l'analyse*socio=ec2 de l'évolution*socio=te du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 dans le contexte*socio=rien d'une évaluation*socio=ec2 d'ensemble*socio=rien des politiques_budgétaire*socio=et, monétaire*socio=ec1, commerciale*socio=ec1 et structurelle*socio=ec2. Il a en outre été*socio=rien considéré essentiel*socio=uv4 d'adopter *socio=rien un cadre à*socio=nil moyen terme *socio=nil pour déterminer si les politiques*socio=et suivies par les pays_membres*socio=ac sont cohérentes*socio=rien et soutenables*socio=uv4. À cet égard*socio=rien, la tenue de consultations*socio=uv1 périodiques*socio=te est*socio=rien utile*socio=uv4 car elle permet de déterminer si les données disponibles*socio=rien sont adéquates*socio=uv2 et de faire ressortir les *socio=rien principaux domaines *socio=nil dans lesquels des améliorations*socio=uv1 sont nécessaires*socio=rien. Il a été*socio=rien enfin souligné que les rapports*socio=rien des services_du_fonds*socio=ec1 pour les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV doivent fournir des évaluations*socio=ec2 franches*socio=rien des politiques*socio=et des pays_membres*socio=ac, indiquant clairement l'analyse*socio=ec2 qui sert de base*socio=rien aux appréciations*socio=uv3 portées; en cas*socio=rien de divergences*socio=uv1 entre les vues*socio=rien des services_du_fonds*socio=ec1 et les autorités*socio=et, les rapports*socio=rien doivent proposer de *socio=rien façon précise les*socio=nil modifications *socio=nil à apporter aux politiques*socio=et. Les propositions*socio=rien visant à renforcer le cadre*socio=rien multilatéral*socio=et de la surveillance*socio=et ont également recueilli *socio=rien un large soutien*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil Certes, l'étude*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te qui est*socio=rien effectuée deux fois*socio=rien par an*socio=rien sert de base*socio=rien à une évaluation*socio=ec2 d'ensemble*socio=rien des évolutions*socio=te et des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 internationale*socio=ac, mais il a été*socio=rien estimé que cet examen*socio=ec2 semestriel serait plus profitable*socio=uv4 s'il comportait une analyse*socio=ec2 plus explicite*socio=rien des interactions*socio=rien entre les économies*socio=ec1 des principaux*socio=rien pays*socio=ac. L'inclusion*socio=rien dans l'étude*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te d'un*socio=rien chapitre*socio=rien consacré spécialement à l'examen*socio=ec2 des répercussions*socio=ec2, au niveau*socio=rien international*socio=te, des politiques*socio=et nationales*socio=te et des évolutions*socio=te intervenues dans les principaux*socio=rien pays*socio=ac améliorerait le cadre*socio=rien d'analyse*socio=rien rnultilatéral des questions*socio=rien de politique_économique*socio=ec1. Pour renforcer l'efficacité*socio=uv3 des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, il a été*socio=rien d'abord*socio=rien proposé qu'à l'issue*socio=rien de certaines*socio=rien consultations*socio=uv1 le directeur_général*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 prenne contact*socio=rien directement avec le Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac intéressé. Cette procédure*socio=et pourrait être*socio=rien utile*socio=uv4 dans les cas*socio=rien où il semble particulièrement nécessaire*socio=rien d'avoir des entretiens*socio=rien à *socio=rien un haut niveau *socio=nil parce que les enjeux*socio=rien sont importants*socio=uv4 ou parce qu'il est*socio=rien urgent*socio=uv4 d'agir au niveau*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1. En *socio=rien deuxième lieu,*socio=nil *socio=nil on pourait donner *socio=rien un caractère plus*socio=nil continu au*socio=nil processus*socio=te de*socio=nil consultation*socio=uv1 *socio=nil en établissant des rapports*socio=rien de suivi sur*socio=rien les recommandations*socio=et de politique_économique*socio=ec1 faites par le Fonds*socio=ec1 au cours*socio=rien de consultations*socio=uv1. En *socio=rien troisième lieu,*socio=nil *socio=nil il serait possible*socio=rien d'élargir le registre des avis*socio=rien d'information*socio=rien actuellement utilisés pour suivre l'évolution*socio=te de divers *socio=rien éléments clés *socio=nil de l'économie*socio=ec1 entre deux consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. À l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, ces avis*socio=rien d'information*socio=rien servent uniquement*socio=rien à notifier des *socio=rien modifications substantielles des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 effectifs réels*socio=ec2 *socio=nil et des politiques_commerciales*socio=et. En *socio=rien quatrième lieu,*socio=nil *socio=nil on pourrait recourir davantage à la procédure*socio=et de surveillance*socio=et supplémentaire*socio=rien, qui permet au directeur_général*socio=ac d'engager officieusement et confidentiellement des discussions*socio=et avec un*socio=rien *socio=ac pays membre *socio=nil lorsqu'il estime*socio=rien qu'une *socio=rien modification du régime*socio=et des*socio=nil changes*socio=ec1 *socio=nil ou des politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 - ou que L'évolution*socio=te du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 de la monnaie*socio=ec1 de ce *socio=ac pays membre *socio=nil - peut être*socio=rien importante*socio=uv4, ou avoir des répercussions*socio=ec2 importantes*socio=uv4, pour d'autres pays_membres*socio=ac. Le comité_intérimaire*socio=ac a examiné, en avril*socio=rien 1986, ces *socio=rien diverses questions relatives *socio=nil à la surveillance*socio=et en même temps*socio=rien qu'un*socio=rien *socio=rien rapport du directeur_général*socio=ac sur les*socio=nil débats*socio=et préliminaires du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil à ce sujet*socio=rien. Le Comité*socio=ac a réaffirmé le rôle*socio=et primordial*socio=uv4 que la surveillance*socio=et exercée par le Fonds*socio=ec1 doit jouer dans le *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil La*socio=nil nécessité*socio=uv1 *socio=nil de renforcer le cadre*socio=rien multilatéral*socio=et de la surveillance*socio=et, qui avait été*socio=rien particulièrement soulignée dans les *socio=rien rapports du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix et du*socio=rien Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien, a également été*socio=rien au centre*socio=rien des préoccupations*socio=uv4 du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac dans son examen*socio=ec2 des moyens*socio=ec1 susceptibles*socio=rien d'améliorer la surveillance*socio=et. Le Comité*socio=ac a noté à cet égard*socio=rien que, dans l'étude*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, une importance*socio=rien accrue serait accordée à l'interaction*socio=rien des politiques_économiques*socio=et mises en ouvre par les pays_industrialisés*socio=ac, ce qui permettrait non seulement d'évaluer de façon*socio=rien plus précise*socio=rien les répercussions*socio=ec2, au niveau*socio=rien international*socio=te, des politiques*socio=et et des objectifs*socio=uv3 adoptés par les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, mais aussi de renforcer le développement*socio=uv3 des *socio=rien initiatives prises *socio=nil récemment pour améliorer la coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et entre ces pays*socio=ac. Le comité_intérimaire*socio=ac a demandé au conseil_d'_administration*socio=ac d'étudier les moyens*socio=ec1 d'adapter*socio=rien davantage ses examens*socio=ec2 périodiques*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te en vue*socio=rien de permettre une discussion*socio=et plus approfondie des déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te, de l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 et de l'interaction*socio=rien des politiques_économiques*socio=et nationales*socio=te. Le Comité*socio=ac a indiqué que l'élaboration*socio=rien d'un*socio=rien ensemble*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 objectifs*socio=uv3 portant sur*socio=rien les actions*socio=ec1 de politique_économique*socio=ec1 ainsi que sur*socio=rien les résultats*socio=rien obtenus, et établis dans une perspective*socio=rien à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil était une approche qui mériterait d'être*socio=rien étudiée plus à fond*socio=rien. Ces indicateurs*socio=ec1 pourraient aider à déterminer si les politiques_économiques*socio=et nationales*socio=te doivent faire l'objet*socio=rien de discussions*socio=et. Par la suite*socio=rien, les participants*socio=ac au sommet_économique*socio=et de Tokyo*socio=ac de mai*socio=rien 1986 ont réaffirmé l'engagement*socio=uv1 qu'ils avaient pris, en 1982, de coopérer avec le Fonds*socio=ec1 pour renforcer la *socio=et surveillance multilatérale,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=rien *socio=nil entre les pays*socio=ac dont les monnaies*socio=ec1 composent le panier*socio=rien qui sert à calculer la valeur*socio=ec1 du*socio=rien DTS. Ils ont demandé que, dans l'exercice*socio=rien de cette *socio=et surveillance multilatérale,*socio=nil *socio=nil et en concertation*socio=uv1 avec le directeur_général*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1, leurs prévisions*socio=ec2 de *socio=ec1 croissance économique *socio=nil soient examinées compte*socio=ec1 tenu d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil indicateurs*socio=ec1 *socio=nil tels que: taux_de_croissance*socio=ec1 du*socio=rien PNB*socio=ec1, taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1, taux_d'_intérêt*socio=ec1, taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1, ratios*socio=ec1 de déficit*socio=ec1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, *socio=ec1 balances commerciales et*socio=nil balances_des_paiements_courants,*socio=nil taux_d'_expansion*socio=ec2 monétaire,*socio=nil réserves et*socio=nil taux_de_change.*socio=nil LA*socio=nil SURVEILLANCE*socio=et *socio=nil EN 1985/86 Comme on L'a noté plus haut*socio=rien, l'étude*socio=ec2 périodique*socio=te des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te fournit le cadre*socio=rien d'analyse*socio=rien fondamental*socio=uv2 dans lequel le Fonds*socio=ec1 passe en revue la situation*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et celle *socio=rien du système des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1,*socio=nil de*socio=nil façon *socio=nil à évaluer ainsi les politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 de ses pays_membres*socio=ac dans *socio=rien un contexte international*socio=te.*socio=nil *socio=nil Depuis quelque temps*socio=rien, d'importantes*socio=uv4 innovations*socio=uv3 ont été*socio=rien apportées à cette analyse*socio=ec2 des services_du_fonds*socio=ec1: outre le chapitre*socio=rien déjà mentionné consacré spécialement à l'interaction*socio=rien, sur*socio=rien le plan*socio=rien international*socio=te, des politiques*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac, y sont également établis et présentés des scénarios*socio=rien d'évolution*socio=te à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Ces*socio=nil scénarios *socio=nil ont servi de base*socio=rien à un*socio=rien débat*socio=et sur*socio=rien le problème*socio=uv4 de l'endettement*socio=ec1 à l'échelle*socio=rien mondiale*socio=te et, de façon*socio=rien plus générale*socio=rien, à une évaluation*socio=ec2 systématique*socio=rien des répercussions*socio=ec2 que peuvent avoir à *socio=rien moyen terme un certain nombre de*socio=nil stratégies*socio=et de*socio=nil politique_économique*socio=ec1 *socio=nil dans les différents*socio=rien groupes_de_pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te par le conseil_d'_administration*socio=ac en septembre*socio=rien 1985 et à la *socio=rien réunion du comité_intérimaire*socio=ac *socio=nil qui s'est*socio=rien tenue ensuite, *socio=rien certaines inquiétudes ont*socio=nil été exprimées*socio=nil face au*socio=nil manque de*socio=nil dynamisme*socio=uv3 *socio=nil de l' activité_économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac, qui influait défavorablement sur*socio=rien l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te et sur*socio=rien les cours*socio=rien des *socio=rien produits primaires.*socio=nil *socio=nil En l'absence*socio=rien d'une augmentation*socio=ec2 sensible*socio=rien des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3, il deviendrait vraisemblablement*socio=rien beaucoup plus difficile*socio=rien de gérer la situation*socio=rien de l'endettement*socio=ec1 international*socio=te. Le *socio=rien sentiment général *socio=nil était que les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 d'ensemble*socio=rien étaient devenues de plus en plus incertaines*socio=uv4 au cours*socio=rien de l'année*socio=rien 1985 et que les projections*socio=ec2 laissaient entrevoir des risques*socio=uv3 de dégradation*socio=uv3 de la situation*socio=rien. En revanche, on jugeait très encourageants*socio=uv4 les progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien accomplis par les pays_industrialisés*socio=ac dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1. Le conseil_d'_administration*socio=ac et le comité_intérimaire*socio=ac ont approuvé les *socio=rien grandes lignes *socio=nil de la stratégie*socio=et de politique_économique*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac, en particulier*socio=rien l'intention*socio=rien qu'ils ont exprimée d'inscrire leurs politiques*socio=et dans une perspective*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil et de s'attacher à préserver la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1. L'accent*socio=rien a été*socio=rien mis tout particulièrement sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1, pour les pays*socio=ac dont les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et étaient excessifs*socio=uv4, de les réduire de *socio=rien façon sensible et*socio=nil durable*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil En outre, il a été*socio=rien souligné qu'il fallait élargir encore l'assise de l'expansion*socio=ec2 dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. À cet égard*socio=rien, on a estimé que les pays*socio=ac dont la position*socio=rien extérieure*socio=te était forte*socio=rien et qui avaient obtenu de *socio=rien bons résultats en*socio=nil matière d'*socio=nil inflation*socio=ec1 étaient*socio=nil bien *socio=nil placés pour contribuer à la croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Par ailleurs*socio=rien, il a été*socio=rien souligné que trois éléments*socio=rien fondamentaux*socio=uv4 étaient requis*socio=uv4 pour apporter une solution*socio=rien durable*socio=uv4 au problème*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 internationale*socio=ac: un*socio=rien accès*socio=uv1 suffisant*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 aux marchés*socio=ec1 en expansion*socio=ec2 du*socio=rien monde*socio=te industrialisé, l'adoption*socio=uv3 par les pays_en_développement*socio=uv3 eux-mêmes de mesures*socio=et d'ajustement*socio=et rigoureuses*socio=uv4, et la fourniture*socio=ec1 de financements*socio=ec1 appropriés pour faciliter le processus*socio=te d'ajustement*socio=et. Dans ce contexte*socio=rien comme dans d'autres, la persistance*socio=te de pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et a été*socio=rien considérée comme un*socio=rien problème*socio=uv4 majeur*socio=rien. Il a été*socio=rien souligné qu'il importait de résister aux pressions*socio=ec2 persistantes*socio=rien en faveur*socio=rien de restrictions*socio=et aux échanges_commerciaux*socio=ec1, mais il a été*socio=rien noté aussi que le *socio=rien seul moyen *socio=nil d'éliminer de façon*socio=rien durable*socio=uv4 la menace*socio=uv1 protectionniste*socio=et était d'améliorer le *socio=rien contexte général des*socio=nil politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec1.*socio=nil Au*socio=nil cours des*socio=nil mois *socio=nil qui ont précédé l'examen*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, au printemps*socio=rien de 1986, L'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 internationale*socio=ac a été*socio=rien marquée par *socio=rien un certain nombre de*socio=nil faits importants*socio=uv4:*socio=nil les*socio=nil prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 *socio=nil ont fortement baissé, le dollar*socio=ec1 E. U. s'est*socio=rien déprécié de façon*socio=rien régulière*socio=ec2, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont continué à baisser, les États-unis*socio=ac se sont montrés de plus en plus résolus à s'attaquer avec efficacité*socio=uv3 à leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et, et les principaux*socio=rien pays*socio=ac se sont attachés à mieux coordonner leur action*socio=ec1 pour venir à bout*socio=rien des problèmes*socio=uv4 liés aux taux_de_change*socio=ec1 et à la situation*socio=rien de l'endettement*socio=ec1 international*socio=te. Bien*socio=rien qu'en 1985 la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 se soit ralentie dans les pays_industrialisés*socio=ac et que les termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 se soient fortement détériorés, les évolutions*socio=te plus récentes*socio=rien que l'on vient d'évoquer ont contribué à une amélioration*socio=uv1 des perpsectives économiques*socio=ec1 pour la plupart*socio=rien des pays*socio=ac. Sur*socio=rien cette toile de fond*socio=rien, le conseil_d'_administration*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac et le comité_intérimaire*socio=ac ont noté *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil éléments spécifiques de*socio=nil nature *socio=nil à améliorer les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 dans la période*socio=te à venir. La réduction*socio=ec2 en cours*socio=rien et prévue du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et des États-unis*socio=ac a été*socio=rien accueillie favorablement, Pour ce qui est*socio=rien des pays*socio=ac où l'économie*socio=ec1 fonctionne en deçà de la capacité*socio=uv3 de production*socio=ec1 et où la balance_des_paiements*socio=ec1 est*socio=rien fortement excédentaire*socio=rien et l'inflation*socio=ec1 en *socio=rien grande partie *socio=nil résorbée, il a été*socio=rien noté qu'il serait peut-être possible*socio=rien d'appliquer à court_terme*socio=te des politiques*socio=et davantage axées sur*socio=rien la croissance*socio=uv3, sans pour autant porter atteinte à la crédibilité*socio=uv1 de l'orientation*socio=et donnée à la politique_économique*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme *socio=nil par les autorités*socio=et. On a pris note avec satisfaction*socio=uv3 de la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et émis l'espoir*socio=uv1 que, grâce*socio=rien à de nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 dans l'atténuation*socio=ec2 des pressions*socio=ec2 budgétaires*socio=et et la réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1, cette baisse*socio=ec2 se poursuivrait. Cette évolution*socio=te favoriserait la formation*socio=et de capital*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1, et allégerait la charge*socio=rien de la dette*socio=ec1 pour les pays_en_développement*socio=uv3. L'attention*socio=rien a également été*socio=rien attirée sur*socio=rien l'importance*socio=rien cruciale*socio=uv4 des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 visant à améliorer l'efficacité*socio=uv3 de l'allocation*socio=et des ressources*socio=ec1. Il a été*socio=rien noté en particulier*socio=rien que les pays_en_développement*socio=uv3 continuent de se heurter à *socio=rien un certain nombre de*socio=nil *socio=uv4 sérieuses difficultés.*socio=nil Les*socio=nil conditions_économiques*socio=ec1 exceptionnellement*socio=nil difficiles*socio=rien *socio=nil que connaissent plusieurs pays*socio=ac - notamment en Afrique*socio=ac - sont *socio=rien un sujet d'*socio=nil inquiétude particulière.*socio=nil *socio=nil En 1985, l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te a été*socio=rien très faible*socio=rien, les cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien ont considérablement*socio=rien baissé, les apports*socio=rien de financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te sont restés très restreints, les importations*socio=ec1 ont diminué en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac et la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 s'est*socio=rien ralentie. Certains progrès*socio=uv1 ont cependant été*socio=rien réalisés par les pays_en_développement*socio=uv3 dans la maîtrise*socio=rien de leurs problèmes*socio=uv4 économiques*socio=ec1. Dans l'ensemble*socio=rien, encore qu'il subsiste des *socio=rien exceptions notables,*socio=nil le*socio=nil taux*socio=ec1 d'*socio=nil inflation*socio=ec1 a*socio=nil été *socio=nil contenu et *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont adopté des politiques*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2 particulièrement courageuses. Les déficits*socio=ec1 des paiements_courants*socio=ec1 sont demeurés très en deçà des *socio=rien niveaux maximums *socio=nil qu'ils avaient atteints au début*socio=rien des années*socio=rien 80. Il reste*socio=rien toutefois beaucoup à accomplir et il a été*socio=rien jugé particulièrement important*socio=uv4 que soient menées des politiques*socio=et intérieures*socio=te efficaces*socio=uv4 de nature*socio=rien à promouvoir une croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2. Alors que l'examen*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te donne aux pays_membres*socio=ac la possibilité*socio=rien de passer en revue les perspectives*socio=te de croissance*socio=ec1 et les politiques*socio=et appliquées dans l'ensemble*socio=rien de la communauté*socio=ac économique*socio=ec1 mondiale*socio=te, ce sont les consultations*socio=uv1 périodiques*socio=te au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV qui constituent le principal*socio=rien instrument*socio=et par lequel le Fonds*socio=ec1 exerce sa surveillance*socio=et sur*socio=rien les politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 de ses pays_membres*socio=ac. Les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV se tiennent normalement chaque année*socio=rien, mais il *socio=rien est possible *socio=nil d'adopter un*socio=rien intervalle*socio=te plus long*socio=rien - allant jusqu'à deux ans*socio=rien - pour certains pays_membres*socio=ac, et des cycles*socio=te plus courts*socio=rien peuvent être*socio=rien demandés dans *socio=rien certaines circonstances.*socio=nil Le*socio=nil *socio=te cycle annuel est*socio=rien *socio=nil toutefois de rigueur*socio=uv3 pour les pays*socio=ac dont la politique_économique*socio=ec1 a une incidence*socio=ec2 *socio=rien notable sur *socio=nil les autres pays_membres*socio=ac, pour ceux qui ont obtenu du*socio=rien Fonds*socio=ec1 des accords*socio=et de confirmation*socio=et ou des accords*socio=et élargis et pour ceux dont la balance_des_paiements*socio=ec1 est*socio=rien d'une viabilité*socio=uv3 incertaine*socio=uv4. À la fin*socio=rien de 1985, il avait été*socio=rien spécifié que pour 127 pays*socio=ac l'intervalle*socio=te entre deux consultations*socio=uv1 serait la période*socio=te normale*socio=rien de 12 mois*socio=rien et, pour 19 autres, des périodes*socio=te plus longues*socio=rien allant de 16 à 24 mois*socio=rien. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1985/86, 124 séries de consultations*socio=uv1 ont été*socio=rien tenues avec *socio=rien un total *socio=nil de 83 '% des pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1. En outre, en 42 occasions*socio=rien, d'importantes*socio=uv4 modifications*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien réels*socio=ec2 ont été*socio=rien portées à l'attention*socio=rien du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac par le système*socio=rien des avis*socio=rien d'information*socio=rien. L'évolution*socio=te du*socio=rien processus*socio=te de consultations*socio=uv1 a entraîné au fil*socio=rien des ans*socio=rien des modifications*socio=rien tant dans l'axe des discussions*socio=et tenues par le conseil_d'_administration*socio=ac à l'issue*socio=rien de ces consultations*socio=uv1 avec les pays_membres*socio=ac que dans la teneur*socio=rien des rapports*socio=rien établis par les services_du_fonds*socio=ec1; une *socio=rien place croissante *socio=nil a en *socio=rien particulier été *socio=nil accordée aux interactions*socio=rien économiques*socio=ec1 internationales*socio=te et aux questions*socio=rien liées au commerce*socio=ec1 et au protectionnisme*socio=et, ainsi qu'aux mouvements_de_capitaux*socio=ec1. *socio=rien Un système de*socio=nil notification spéciale au*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac des*socio=nil faits nouveaux *socio=nil survenus dans le domaine*socio=rien des échanges_commerciaux*socio=ec1 a été*socio=rien mis au point*socio=rien afin de tenir les administrateurs*socio=ac informés, entre deux rapports*socio=rien de consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, des actions*socio=ec1 importantes*socio=uv4 de politique_commerciale*socio=et engagées par les principaux*socio=rien pays*socio=ac. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien écoulé, le Conseil*socio=ac a reçu deux notifications de cette nature*socio=rien. Les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV témoignent*socio=rien aussi de plus en plus de la nécessité*socio=uv1 d'examiner avec les pays_membres*socio=ac les conséquences*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil de leur politique_économique*socio=ec1. Les rapports*socio=rien de consultations*socio=uv1 relatifs*socio=rien à la quasi-totalité*socio=rien des pays*socio=ac dans lesquels l'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=rien est un *socio=uv4 problème important *socio=nil contiennent une analyse*socio=ec2 des perspectives*socio=te d'évolution*socio=te à *socio=rien moyen terme *socio=nil de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. De plus, la pratique*socio=rien consistant à y inclure des scénarios*socio=rien à *socio=rien moyen terme sur l'*socio=nil évolution*socio=te *socio=nil de la balance_des_paiements*socio=ec1 a été*socio=rien adoptée, même dans le cas*socio=rien des pays*socio=ac pour lesquels l'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te ne constitue pas un*socio=rien problème*socio=uv4 majeur*socio=rien - notamment de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Durant l'exercice*socio=rien, les faits*socio=rien et les politiques*socio=et qui ont marqué la vie*socio=uv1 économique*socio=ec1 des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien de plusieurs débats*socio=et au conseil_d'_administration*socio=ac, tant dans le contexte*socio=rien des consultations*socio=uv1 tenues avec les différents*socio=rien pays*socio=ac au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV qu'à l'occasion*socio=rien de l'examen*socio=ec2 semestriel des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Lors*socio=rien de ces débats*socio=et, le Conseil*socio=ac a pu donner son *socio=rien avis sur les*socio=nil politiques_économiques*socio=et *socio=nil appliquées dans les différents*socio=rien pays*socio=ac et sur*socio=rien leur interaction*socio=rien avec l'évolution*socio=te générale*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Depuis les *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1982, les États-unis*socio=ac sont parvenus à allier une reprise vigoureuse*socio=rien et *socio=rien un nouveau recul *socio=nil de l'inflation*socio=ec1, ce qui a contribué à promouvoir la reprise économique*socio=ec1 mondiale*socio=te et à faciliter les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3. À la longue*socio=rien, toutefois, de graves*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 sont apparus au sein*socio=rien de l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac, et l'expansion*socio=ec2 s'est*socio=rien ralentie. en particulier*socio=rien, *socio=rien du fait *socio=nil de leur ampleur*socio=rien, les déficits*socio=ec1 du*socio=rien gouvernement_fédéral*socio=ac sont devenus un*socio=rien problème*socio=uv4 pressant*socio=rien de politique_économique*socio=ec1. L'aggravation*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 *socio=et budgétaire fédéral *socio=nil a entraîné un*socio=rien accroissement*socio=ec2 important*socio=uv4 du*socio=rien déficit*socio=ec1 des paiements_courants*socio=ec1 américain*socio=ac. Les entrées de capitaux*socio=ec1 qu'exige le financement*socio=ec1 du*socio=rien déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te drainent l'épargne*socio=ec1 mondiale*socio=te de manière*socio=rien préoccupante*socio=uv4 et représentent une évolution*socio=te inquiétante*socio=rien de la position*socio=rien de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te des États-unis*socio=ac. Dans ces circonstances*socio=rien, il est*socio=rien particulièrement encourageant de constater que depuis quelque temps*socio=rien les autorités*socio=et américaines*socio=ac se montrent de plus en plus décidées à régler le problème*socio=uv4 budgétaire*socio=et. La politique_monétaire*socio=et appliquée aux États-unis*socio=ac a contribué, de façon*socio=rien décisive*socio=uv4, à faire baisser l'inflation*socio=ec1 qui avait atteint *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4 au*socio=nil début des*socio=nil années *socio=nil 80. Étant donné que le rythme*socio=ec2 d'inflation*socio=ec1 demeure modéré et que la production*socio=ec1 marque*socio=rien le pas depuis quelque temps*socio=rien, l'orientation*socio=et récemment donnée à la politique_monétaire*socio=et - par une expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 plus rapide*socio=rien accompagnée d'une réduction*socio=ec2 sensible*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 intérieurs*socio=te - paraît dans l'ensemble*socio=rien appropriée. L'importance*socio=rien que le gouvernement*socio=ac des États-unis*socio=ac accorde au jeu*socio=rien des forces_du_marché*socio=ec1 dans la détermination*socio=rien des politiques_économiques*socio=et est*socio=rien également appropriée. Enfin, il demeure essentiel*socio=uv4 que le *socio=ac gouvernement américain continue*socio=rien *socio=nil de résister fermement aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et. La Républi'que fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac applique depuis plusieurs années*socio=rien une politique_économique*socio=ec1 stable*socio=uv4 et cohérente*socio=rien qui lui a permis*socio=rien de ramener le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 à *socio=rien un niveau très*socio=nil faible.*socio=nil L'*socio=nil expansion*socio=ec2 *socio=nil de la production*socio=ec1 est*socio=rien toutefois demeurée relativement modeste*socio=rien et, jusqu'à *socio=rien un passé récent,*socio=nil *socio=nil elle restait fortement tributaire*socio=rien de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te. Diverses*socio=rien mesures*socio=et ont été*socio=rien adoptées pour réduire les rigidités*socio=uv3 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1, mais des progrès*socio=uv1 sont encore possibles*socio=rien dans ce domaine*socio=rien. Bien*socio=rien que l'orientation*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil de la politique*socio=et financière*socio=ec1 soit clairement appropriée et qu'il n'y ait pas lieu*socio=rien de stimuler davantage la demande*socio=ec1 à court_terme*socio=te, il a été*socio=rien avancé qu'il est*socio=rien peut-être possible*socio=rien, dans ce *socio=rien cadre général,*socio=nil *socio=nil d'envisager des mesures*socio=et qui visent à renforcer la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. La réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, qui, en *socio=rien pourcentage du PNB*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil a diminué de moitié*socio=rien depuis 1981, constitue un*socio=rien progrès*socio=uv1 considérable*socio=rien et peut permettre aux autorités*socio=et d'accorder désormais *socio=rien un rang de*socio=nil priorité*socio=uv4 plus*socio=nil élevé*socio=uv4 *socio=nil à la baisse*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 d'imposition*socio=et qu'à une nouvelle*socio=rien réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit_global*socio=ec1. A cet égard*socio=rien, il y a lieu*socio=rien de se féliciter de ce que le taux*socio=ec1 de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 ait été*socio=rien abaissé au début*socio=rien de 1986 et qu'un*socio=rien nouvel*socio=rien allégement*socio=ec2 fiscal*socio=et soit prévu en 1988. L'économie*socio=ec1 du*socio=rien Japon*socio=ac a continué d'obtenir*socio=rien de *socio=rien bons résultats *socio=nil en 1985. Bien*socio=rien que le taux_de_croissance*socio=ec1 n'ait pas été*socio=rien aussi élevé*socio=uv4 qu'en 1984, le volume*socio=rien de l'activité_économique*socio=ec1 a été*socio=rien à peu près conforme*socio=uv4 à son potentiel*socio=uv4 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Les*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil sont demeurés à peu près stables*socio=uv4. À terme*socio=rien, il *socio=rien est crucial *socio=nil pour la *socio=ac communauté internationale *socio=nil que le Japon*socio=ac poursuive son expansion*socio=ec2 vigoureuse*socio=rien, et il faudra tenir compte*socio=ec1 dans l'élaboration*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 *socio=rien du repli sensible *socio=nil de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te de produits*socio=rien Japonais*socio=ac provoqué par l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 en 1985 et durant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1986. Dans l'ensemble*socio=rien, les autorités*socio=et Japonaises*socio=ac ont toujours montré une certaine*socio=rien souplesse*socio=uv3 dans leur gestion*socio=ec2 budgétaire*socio=et, et cette approche reste*socio=rien appropriée dans les circonstances*socio=rien actuelles*socio=te, sous_réserve*socio=ec1 cependant de ne pas compromettre la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil Pendant les *socio=rien derniers mois *socio=nil de l'année*socio=rien 1985, les autorités*socio=et ont laissé s'opérer un*socio=rien durcissement*socio=ec2 sensible*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires de*socio=nil façon*socio=rien *socio=nil à consolider le raffermissement*socio=ec2 du*socio=rien yen*socio=ec1. Étant donné qu'une nette*socio=rien appréciation*socio=uv3 de la monnaie*socio=ec1 semble s'être*socio=rien confirmée au *socio=rien début du printemps *socio=nil de 1986, il est*socio=rien devenu possible*socio=rien d'orienter la politique_monétaire*socio=et du*socio=rien Japon*socio=ac de façon*socio=rien à favoriser une expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Malgré l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien yen*socio=ec1 observée en 1985 et pendant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1986, on peut s'attendre à ce que le Japon*socio=ac continue*socio=rien d'enregistrer à *socio=rien moyen terme d'*socio=nil importants*socio=uv4 excédents*socio=ec1 des*socio=nil paiements_courants*socio=ec1,*socio=nil du fait du rapport fondamental*socio=uv2 *socio=nil qui existe entre l'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 dans ce pays*socio=ac où le taux*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et demeure particulièrement élevé*socio=uv4. Les excédents*socio=ec1 Japonais*socio=ac ont permis*socio=rien de dégager de l'épargne*socio=ec1 pour le *socio=rien reste du monde*socio=te *socio=nil et ont ainsi aidé à contenir la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 internationaux*socio=te, mais il reste*socio=rien indispensable*socio=uv4 que le Japon*socio=ac et les autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac appliquent des politiques*socio=et appropriées et compatibles*socio=rien pour que se développent des relations*socio=rien économiques*socio=ec1 internationales*socio=te harmonieuses. A cet égard*socio=rien, les mesures*socio=et adoptées par le Japon*socio=ac en 1985 ainsi que les *socio=rien diverses initiatives *socio=nil amorcées en vue*socio=rien de libéraliser, privatiser et déréglementer l'économie*socio=ec1 devraient porter leurs fruits*socio=rien. Le programme*socio=et d'action*socio=ec1 annoncé par le Japon*socio=ac en 1985 laisse présager des progrès*socio=uv1 importants*socio=uv4 dans le sens*socio=rien d'une réduction*socio=ec2 des obstacles*socio=uv3 aux importations*socio=ec1 et devrait être*socio=rien mis en ouvre avec détermination*socio=rien. En France*socio=ac, de nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien réalisés dans la voie*socio=rien de la réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1, de l'amélioration*socio=uv1 de la rentabilité*socio=ec1 et du*socio=rien renforcement*socio=ec2 de la balance*socio=ec1 extérieure*socio=te. Le *socio=rien nouveau système de*socio=nil conventions*socio=et salariales*socio=ec1 *socio=nil a donné davantage de souplesse*socio=uv3 à l'économie*socio=ec1 et la modération*socio=ec2 de la progression*socio=ec2 des salaires*socio=ec1 a *socio=rien été un facteur essentiel*socio=uv4 *socio=nil dans les trois *socio=rien domaines précités.*socio=nil *socio=nil Pour réduire les rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2, les autorités*socio=et ont pris au deuxième*socio=rien trimestre*socio=te de 1986 des mesures*socio=et additionnelles*socio=ec2 qui visaient, entre autres, à alléger le contrôle*socio=uv3 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te et des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Ces mesures*socio=et devraient aider à rendre au marché*socio=ec1 son rôle*socio=et de stimulant et améliorer les perspectives*socio=te sur*socio=rien le plan*socio=rien de l'emploi*socio=ec1. La politique*socio=et des revenus*socio=ec1 ne peut continuer à porter des fruits*socio=rien qu'avec l'appui*socio=uv1 de mesures*socio=et financières*socio=ec1 suffisamment contraignantes*socio=uv2. Étant donné qu'il importe d'accroître la part*socio=rien des investissements_privés*socio=ec1 dans le PIB*socio=ec1, et que les impôts*socio=et et les cotisations*socio=ec1 de sécurité_sociale*socio=et constituent déjà une *socio=rien lourde charge,*socio=nil *socio=nil il convient de continuer à s'attacher en priorité*socio=uv4 à la réduction*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et. Au Royaume-uni', la production*socio=ec1 est*socio=rien en expansion*socio=ec2 continue*socio=rien depuis le milieu*socio=rien de 1981, ce qui traduit une transformation*socio=ec2 fondamentale*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1 depuis 1979 et s'explique par le fait*socio=rien que le gouvernement*socio=ac s'est*socio=rien attaché à maintenir sans défaillance*socio=rien la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 en suivant*socio=rien avec détermination*socio=rien une stratégie*socio=et financière*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme bien définie.*socio=nil *socio=nil En revanche, malgré la persistance*socio=te d'un*socio=rien chômage*socio=ec1 très élevé*socio=uv4, les coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien de main-d'_ouvre*socio=et ont continué d'augmenter plus rapidement que dans les autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, et cette hausse*socio=rien a même eu quelque tendance*socio=ec2 à s'accélérer. Il importe donc de prendre d'autres mesures*socio=et pour réduire les rigidités*socio=uv3 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1. Il est*socio=rien devenu difficile*socio=rien d'interpréter correctement la croissance*socio=ec1 des *socio=ec1 agrégats monétaires,*socio=nil *socio=nil peut-être en raison*socio=rien des changements*socio=uv3 intervenus dans la *socio=ec1 structure financière *socio=nil de l'économie*socio=ec1; dans ces conditions*socio=ec1, le taux_de_change*socio=ec1 peut parfois fournir d'utiles*socio=uv4 *socio=rien indications sur la*socio=nil situation monétaire*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil ratio*socio=ec1 des*socio=nil besoins*socio=uv1 d'*socio=nil emprunt*socio=ec1 du secteur_public*socio=et au*socio=nil PIB*socio=ec1 *socio=nil - corrigé des effets*socio=rien des *socio=rien facteurs temporaires *socio=nil - a à peine diminué; il importe donc particulièrement que la politique_budgétaire*socio=et soit suffisamment restrictive*socio=uv4 pour soutenir la confiance*socio=uv1 des marchés_financiers*socio=ec1 et, si possible*socio=rien, permettre une réduction*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1. En Italie*socio=ac, les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 se sont améliorés depuis 1984 grâce*socio=rien à la mise en ouvre de politiques*socio=et mieux coordonnées. Cependant, l'effort*socio=uv1 de rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et s'est*socio=rien quelque peu relâché récemment. Il demeure indispensable*socio=uv4, pour que l'Italie*socio=ac poursuive une croissance*socio=uv3 équilibrée à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil de réduire durablement le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et. Les autorités*socio=et italiennes*socio=ac ont appliqué une politique_monétaire*socio=et propre*socio=rien à favoriser le ralentissement*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1, et il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 de poursuivre dans cette voie*socio=rien. L'abandon*socio=rien des plafonds*socio=ec1 quantitatifs*socio=rien au *socio=ec1 crédit bancaire au*socio=nil profit d'*socio=nil un*socio=rien système*socio=rien *socio=nil tenant davantage compte*socio=ec1 de l'offre*socio=ec1 et de la demande*socio=ec1, et supposant des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 plus flexibles*socio=uv4 et plus positifs*socio=uv4, a eu des effets*socio=rien salutaires, tout comme l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et visant à réduire l'indexation*socio=ec1 des salaires*socio=ec1. Il demeure toutefois nécessaire*socio=rien d'éliminer d'urgence*socio=rien les autres rigidités*socio=uv3 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 et de continuer à contenir la progression*socio=ec2 des coûts*socio=ec1 de la main-d'_ouvre*socio=et. Au Canada*socio=ac, l'activité_économique*socio=ec1 a poursuivi une progression*socio=ec2 dynamique*socio=uv4 et la reprise n'a entraîné aucun mouvement*socio=ec2 sensible*socio=rien de hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 ou des coûts*socio=ec1. Il est*socio=rien encourageant de constater que l'expansion*socio=ec2 a été*socio=rien plus équilibrée puisque le redressement*socio=ec2 des investissements*socio=ec1 fixes des entreprises*socio=ac est*socio=rien allé de pair*socio=rien avec un*socio=rien taux*socio=ec1 élevé*socio=uv4 d'épargne*socio=ec1 des particuliers*socio=rien. Le principal*socio=rien défi*socio=uv2 que doivent relever les autorités*socio=et canadiennes*socio=ac est*socio=rien de parvenir à réduire durablement le chômage*socio=ec1 tout en continuant à se rapprocher de l'objectif*socio=uv3 de la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1. A cet effet*socio=rien, il serait nécessaire*socio=rien de redresser sensiblement la *socio=rien position du budget*socio=ec1 fédéral*socio=et *socio=nil et de mener une politique_monétaire*socio=et visant à consolider les progrès*socio=uv1 réalisés dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1, tout en poursuivant les efforts*socio=uv1 propres*socio=rien à accroître l'efficacité*socio=uv3 de l'affectation*socio=ec1 des ressources*socio=ec1, *socio=rien du type *socio=nil de ceux qui visent à libéraliser la détermination*socio=rien des prix*socio=ec1 de l'énergie*socio=ec1. Les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV tenues par le Fonds*socio=ec1 avec les autres pays_industrialisés*socio=ac et avec les pays_en_développement*socio=uv3 ont couvert des questions*socio=rien très variées*socio=rien et ont reflété la diversité*socio=uv1 des situations*socio=rien économiques*socio=ec1 dans lesquelles se trouvent les différents*socio=rien pays_membres*socio=ac. L'examen*socio=ec2 de ces questions*socio=rien par le conseil_d'_administration*socio=ac a continué d'être*socio=rien centré sur*socio=rien les nouveaux*socio=rien problèmes*socio=uv4 auxquels se heurtent les pays_membres*socio=ac et de traduire des préoccupations*socio=uv4 en rapport*socio=rien avec l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 internationale*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac se sont attachés tout particulièrement à déterminer si les politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1, les politiques*socio=et financières*socio=ec1 intérieures*socio=te et les politiques_commerciales*socio=et étaient appropriées, et ils ont également suivi de près les questions*socio=rien liées à l'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2. Dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, les *socio=rien facteurs clés *socio=nil mis en relief*socio=rien dans l'analyse*socio=ec2 des politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 ont été*socio=rien la position*socio=rien et la structure*socio=ec1 de la balance_globale*socio=ec1 des paiements*socio=ec1 et les tendances*socio=ec2 de l'indice du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif réel.*socio=nil *socio=nil Dans les pays_en_développement*socio=uv3 dont l'économie*socio=ec1 repose principalement *socio=rien sur un petit nombre de*socio=nil secteurs,*socio=nil l'*socio=nil analyse*socio=ec2 *socio=nil de ces indicateurs*socio=ec1 généraux*socio=rien a souvent été*socio=rien complétée par un*socio=rien examen*socio=ec2 de la compétitivité*socio=uv3 ou de la rentabilité*socio=ec1 de telle ou telle industrie*socio=ec1 productrice de biens*socio=ec1 susceptibles*socio=rien d'entrer dans le commerce*socio=ec1 international*socio=te. Une *socio=rien attention particulière *socio=nil a également été*socio=rien accordée aux restrictions*socio=et que comportaient les régimes*socio=et de change*socio=ec1 et de commerce*socio=ec1 et aux évolutions*socio=te des marchés*socio=ec1 de change*socio=ec1 parallèles*socio=rien. Dans les cas*socio=rien où des réserves*socio=ec1 ont été*socio=rien émises à propos*socio=rien de la politique*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1, c'est*socio=rien le plus souvent parce que les pays*socio=ac considérés maintenaient *socio=rien un rapport *socio=nil fixe entre leur monnaie*socio=ec1 et le dollar_éu*socio=ec1, alors que la devise*socio=ec1 américaine*socio=ac subissait des fluctuations*socio=ec2 considérables*socio=rien. Une *socio=rien grande importance *socio=nil a également été*socio=rien attachée à la réduction*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et. Dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, les déficits*socio=ec1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, qui s'étaient fortement aggravés à la fin*socio=rien des années*socio=rien 70, sont demeurés importants*socio=uv4. Lorsque le déficit*socio=ec1 était jugé excessif*socio=uv4, c'est*socio=rien le plus souvent une réduction*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 qui a été*socio=rien recommandée. L'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et complémentaires*socio=rien visant à accroître les recettes*socio=ec1 a par *socio=rien ailleurs été *socio=nil préconisée dans de *socio=rien nombreux cas.*socio=nil *socio=nil En quelques occasions*socio=rien, principalement dans les pays*socio=ac non industrialisés, des recommandations*socio=et spécifiques*socio=rien ont été*socio=rien faites en vue*socio=rien d'élargir l'assiette*socio=rien de l'impôt*socio=et, notamment par l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et visant à renforcer l'administration*socio=ec1 fiscale*socio=et et, dans les *socio=ac pays producteurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil à étendre la fiscalité*socio=et, plus particulièrement aux secteurs*socio=rien non pétroliers*socio=ec1. L'analyse*socio=ec2 des politiques_monétaires*socio=et a eu, comme les *socio=rien années précédentes,*socio=nil *socio=nil principalement pour objet*socio=rien, d'une part*socio=rien, de déterminer si l'orientation*socio=et de la politique*socio=et considérée était compatible*socio=rien avec l'objectif*socio=uv3 consistant à abaisser ou à contenir le rythme*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1, et, d'autre part*socio=rien, de mesurer l'incidence*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien crédit*socio=ec1 sur*socio=rien la balance_des_paiements*socio=ec1. Pour les pays_en_développement*socio=uv3 dont le taux_de_change*socio=ec1 est*socio=rien maintenu fixe ou n'est*socio=rien pas entièrement flexible*socio=uv4, l'analyse*socio=ec2 a été*socio=rien en général*socio=rien axée sur*socio=rien la progression*socio=ec2 du*socio=rien crédit*socio=ec1 plutôt que sur*socio=rien les *socio=ec1 agrégats monétaires.*socio=nil Une*socio=nil *socio=rien grande importance a*socio=nil été *socio=nil également attachée à l'allocation*socio=et des crédits*socio=ec1, notamment à la part*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien crédit*socio=ec1 qui était automatiquement absorbée par les besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et. *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil se sont vu recommander divers aménagements*socio=et d'ordre*socio=rien pratique*socio=rien ou institutionnel*socio=et au terme*socio=rien d'analyses*socio=ec2 de leurs statistiques*socio=ec2 monétaires*socio=ec1 et des instruments*socio=et de leur politique_monétaire*socio=et. Les mesures*socio=et préconisées consistaient à améliorer le degré*socio=rien d'actualité*socio=te et de précision*socio=rien des statistiques*socio=ec2, à élargir la gamme*socio=rien et l'efficacité*socio=uv3 des instruments*socio=et de politique_économique*socio=ec1 et à exercer un*socio=rien contrôle*socio=uv3 plus *socio=rien strict sur les*socio=nil activités de*socio=nil prêt*socio=ec1 des*socio=nil banques*socio=ac spécialisées*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Dans plusieurs cas*socio=rien où les taux_d'_intérêt*socio=ec1 sont fixés par les autorités*socio=et, certaines_réserves*socio=uv ont été*socio=rien émises quant au niveau*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Étant donné que depuis quelques années*socio=rien on discerne de mieux en mieux les incidences*socio=ec2 négatives*socio=rien qu'ont les rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 sur*socio=rien l' activité_économique*socio=ec1, l'emploi*socio=ec1 et le commerce*socio=ec1, l'accent*socio=rien a été*socio=rien mis davantage sur*socio=rien les questions*socio=rien structurelles*socio=ec2 dans l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et et, au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien écoulé, *socio=rien diverses questions *socio=nil de cet ordre*socio=rien ont été*socio=rien soulevées, à propos*socio=rien notamment des défauts*socio=rien de *socio=rien fonctionnement sur les*socio=nil marchés_du_travail*socio=ec1,*socio=nil des*socio=nil marchandises*socio=ec1 *socio=nil et des *socio=ec1 actifs financiers,*socio=nil C'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil ainsi que, pour ce qui est*socio=rien des marchés_du_travail*socio=ec1, *socio=rien diverses sortes de*socio=nil mesures*socio=et ont*socio=nil été *socio=nil recommandées: assouplissement*socio=uv3 de la politique*socio=et des salaires*socio=ec1, *socio=rien modification du système d'*socio=nil indexation*socio=ec1 des*socio=nil salaires*socio=ec1,*socio=nil réduction*socio=ec2 des*socio=nil taxes*socio=et assises sur les*socio=nil effectifs employés,*socio=nil ajustement*socio=et des*socio=nil salaires*socio=ec1 minimums,*socio=nil assouplissement*socio=uv3 *socio=nil de la politique*socio=et d'embauche*socio=ec1 ou de gestion*socio=ec2 de la main-d'_ouvre*socio=et et amélioration*socio=uv1 des incitations*socio=uv3 au travail*socio=rien ou de la mobilité*socio=uv3 de la main-d'_ouvre*socio=et. Une *socio=rien attention croissante *socio=nil a également été*socio=rien accordée depuis quelques années*socio=rien aux politiques_commerciales*socio=et. Il a été*socio=rien maintes fois*socio=rien souligné, au cours*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV tenues avec *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac tant*socio=nil développés*socio=uv4 *socio=nil qu'en développement*socio=uv3, combien il importe de résister aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et et, chaque fois*socio=rien que possible*socio=rien, de démanteler les restrictions*socio=et en vigueur*socio=uv3. L'attention*socio=rien a été*socio=rien attirée sur*socio=rien le fait*socio=rien que les pays_en_développement*socio=uv3 devraient avoir un*socio=rien accès*socio=uv1 suffisant*socio=rien aux marchés*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac pour réussir à mettre en ouvre une stratégie*socio=et d'ajustement*socio=et axée sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 et fondée sur*socio=rien le principe*socio=ec2 des avantages_comparatifs*socio=ec2. Dans ce domaine*socio=rien, il a été*socio=rien recomrnandé notamment de libéraliser le système*socio=rien des licences*socio=et ou de contrôles*socio=et à l'importation*socio=ec1, et de supprimer progressivement*socio=rien les contingentements et les autres obstacles*socio=uv3 non tarifaires*socio=et aux échanges*socio=ec1. Appendice*socio=rien IV Communiqués de presse*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac et du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te COMMUNIQUÉS DE PRESSE*socio=et *socio=rien Vingt-cinquième réunion,*socio=nil Séoul*socio=ac (*socio=nil Corée*socio=ac)*socio=nil ,*socio=nil 6-7*socio=nil octobre *socio=nil 1985 1. Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa *socio=rien vingt-cinquième réunion à*socio=nil Séoul*socio=ac (*socio=nil République*socio=ac de*socio=nil Corée*socio=ac)*socio=nil *socio=nil les 6 et 7 octobre*socio=rien 1985, sous la présidence*socio=rien de Monsieur*socio=rien H Onno Ruding, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 des Pays-bas*socio=ac. Monsieur*socio=rien J de Larosière, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, a participé à la réunion*socio=rien, à laquelle ont également assisté*socio=rien des observateurs*socio=ac d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil organisations_internationales*socio=ac et*socio=nil régionales*socio=te,*socio=nil *socio=nil ainsi que de la Suisse*socio=ac. 2. À l'issue*socio=rien de son examen*socio=ec2 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 mondiale*socio=te, le Comité*socio=ac note que des progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien réalisés *socio=rien sur un certain nombre de*socio=nil fronts:*socio=nil l'*socio=nil inflation*socio=ec1 *socio=nil a encore été*socio=rien réduite, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont continué à baisser, récemment des efforts*socio=uv1 ont été*socio=rien entrepris pour assurer un*socio=rien meilleur*socio=uv4 ajustement*socio=et des principaux*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 aux données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4, une plus grande*socio=rien convergence*socio=uv3 des *socio=ec1 taux_de_croissance économique des*socio=nil différents*socio=rien pays*socio=ac a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil constatée et les déficits*socio=ec1 de balance_des_paiements*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 ont été*socio=rien sensiblement réduits. Toutefois, le Comité*socio=ac reconnaît qu'au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1985, le rythme*socio=ec2 de la reprise économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac pris dans leur ensemble*socio=rien a ralenti plus qu'on ne le prévoyait et que le chômage*socio=ec1 est*socio=rien resté élevé*socio=uv4 tant dans les pays*socio=ac développés*socio=uv4 que dans les pays_en_développement*socio=uv3. On a constaté une baisse*socio=ec2 sensible*socio=rien des cours*socio=rien des *socio=rien produits primaires *socio=nil ainsi qu'un*socio=rien fléchissement*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et un*socio=rien affaiblissement*socio=ec2 des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3. Bien*socio=rien qu'un*socio=rien raffermissement*socio=ec2 de l' activité_économique*socio=ec1 soit attendu pour le *socio=rien second semestre *socio=nil de 1985 et pour 1986, il a été*socio=rien souligné qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil incertitudes*socio=uv3 *socio=nil subsistaient, notamment la persistance*socio=te de déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et élevés*socio=uv4 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil configuration*socio=et insoutenable*socio=uv4 des*socio=nil soldes*socio=ec1 des*socio=nil paiements_courants*socio=ec1,*socio=nil la*socio=nil faiblesse*socio=ec2 des*socio=nil cours des*socio=nil produits de*socio=nil base,*socio=nil la*socio=nil précarité*socio=uv1 *socio=nil de la position*socio=rien extérieure*socio=te d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil endettés, les rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 qui freinent la croissance*socio=uv3 dans de nombreuses*socio=rien économies*socio=ec1, et la recrudescence*socio=ec2 des pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et. 3. Le Comité*socio=ac souligne l'importance*socio=rien que revêtent la mise en ouvre de politiques_économiques*socio=et non inflationnistes*socio=ec2 compatibles*socio=rien avec une croissance*socio=uv3 soutenue dans les pays_industrialisés*socio=ac, et la reprise de la croissance*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3 liée aux efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et conjuguée*socio=rien à des flux*socio=ec1 de financements*socio=ec1 suffisants*socio=rien pour appuyer ces efforts*socio=uv1. Il a été*socio=rien généralement convenu que les politiques_budgétaires*socio=et et monétaires*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac doivent être*socio=rien élaborées dans une perspective*socio=rien à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil étant donné qu'il importe de réduire la ponction*socio=ec1 de l'État*socio=ac sur*socio=rien les ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 et financières*socio=ec1, et de consolider les progrès*socio=uv1 réalisés vers la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1. L'accent*socio=rien a été*socio=rien mis tout particulièrement sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'une réduction*socio=ec2 substantielle*socio=rien et soutenue des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et dans les pays*socio=ac où ces déficits*socio=ec1 sont excessifs*socio=uv4. En outre, la nécessité*socio=uv1 d'élargir encore l'assise de l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 mondiale*socio=te a été*socio=rien soulignée. À cet égard*socio=rien, les pays*socio=ac dont la position*socio=rien extérieure*socio=te *socio=rien est forte *socio=nil et dont les résultats*socio=rien en matière*socio=rien d'inflation*socio=ec1 sont bons*socio=rien sont, de l'avis*socio=rien du*socio=rien Comité*socio=ac, bien*socio=rien placés pour contribuer à la croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. En ce qui concerne les politiques_économiques*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3, le Comité*socio=ac considère qu'il importe tout particulièrement de mettre l'accent*socio=rien sur*socio=rien des actions*socio=ec1 susceptibles*socio=rien d'améliorer les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4, notamment l'établissement*socio=rien et le maintien*socio=rien d'une structure*socio=ec1 appropriée des prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien, la promotion*socio=uv3 de l'investissement*socio=ec1 et de l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te ainsi qu'une action*socio=ec1 vigoureuse*socio=rien pour réduire l'inflation*socio=ec1. De l'avis*socio=rien du*socio=rien Comité*socio=ac, les pays_industrialisés*socio=ac devraient appuyer des programmes*socio=et efficaces*socio=uv4 d'ajustement*socio=et de ce type*socio=rien par des mesures*socio=et destinées*socio=rien à encourager des *socio=rien apports suffisants de*socio=nil financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te.*socio=nil *socio=nil 4. En ce qui concerne la situation*socio=rien de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, le Comité*socio=ac note qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont appliqué une politique*socio=et prudente*socio=uv2 leur ayant permis*socio=rien de conserver un*socio=rien accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 et que certains autres ont apporté à leur politique_économique*socio=ec1 des aménagements*socio=et qui leur ont permis*socio=rien de renforcer leur position*socio=rien extérieure*socio=te. Plusieurs *socio=rien développements récents *socio=nil ont cependant eu *socio=rien un effet défavorable*socio=uv4 sur la*socio=nil position extérieure*socio=te des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil Au*socio=nil nombre *socio=nil de ces développements*socio=rien figurent le récent*socio=rien affaiblissement*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, la baisse*socio=ec2 des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien, des problèmes*socio=uv4 liés à la gestion*socio=ec2 des économies*socio=ec1 nationales*socio=te et des difficultés*socio=uv4 associées*socio=rien au rétablissement*socio=rien de l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. Pour que les pays*socio=ac endettés retrouvent un*socio=rien rythme*socio=ec2 de croissance*socio=ec1 à la fois*socio=rien soutenable*socio=uv4 et plus élevé*socio=uv4 - condition*socio=rien indispensable*socio=uv4 pour que le service_de_la_dette*socio=ec1 devienne plus tolérable - il *socio=rien reste nécessaire que*socio=nil certaines conditions*socio=ec1 *socio=nil soient réunies, notamment le maintien*socio=rien d'un*socio=rien rythme*socio=ec2 de croissance*socio=ec1 satisfaisant*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac, une combinaison*socio=rien de politiques_économiques*socio=et qui permette une nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1, un*socio=rien ajustement*socio=et efficace*socio=uv4 dans les pays_en_développement*socio=uv3 eux-mêmes, des flux*socio=ec1 de financements*socio=ec1 - publics*socio=et et bancaires*socio=ec1 - appropriés et une ferme*socio=ec2 résistance*socio=rien aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et. 5. Le Comité*socio=ac réaffirme le rôle*socio=et central*socio=rien que joue le Fonds*socio=ec1 pour promouvoir le processus*socio=te d'ajustement*socio=et, pour fournir des financements*socio=ec1 de balance_des_paiements*socio=ec1 et pour contribuer à mobiliser des *socio=ec1 ressources financières au*socio=nil profit des*socio=nil *socio=ac pays débiteurs.*socio=nil *socio=nil 6. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac sont unanimes à juger que le protectionnisme*socio=et constitue une menace*socio=uv1 majeure*socio=rien. Ils soulignent que, à défaut*socio=rien d'un*socio=rien rejet*socio=uv de toutes nouvelles*socio=rien *socio=et mesures protectionnistes,*socio=nil les*socio=nil perspectives*socio=te *socio=nil d'une reprise durable*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te seront compromises et la gestion*socio=ec2 de la position*socio=rien extérieure*socio=te des pays*socio=ac lourdement endettés sera rendue beaucoup plus difficile*socio=rien. Les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et compliquent aussi la tâche*socio=rien des pays*socio=ac qui sont en train*socio=rien de prendre des mesures*socio=et pour libéraliser leurs échanges*socio=ec1 et ouvrir leurs marchés*socio=ec1. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac déclarent que leurs gouvernements*socio=ac sont fermement résolus à préserver *socio=rien un système ouvert d'*socio=nil échanges_commerciaux*socio=ec1 *socio=nil dans lequel tous les pays*socio=ac auront effectivement*socio=rien accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te. Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 l'évolution*socio=te positive*socio=uv4 des discussions*socio=et au *socio=rien sein du GATT*socio=ac en*socio=nil vue *socio=nil de l'ouverture*socio=uv3 d'une nouvelle*socio=rien série de négociations*socio=et commerciales*socio=ec1. 7. Le Comité*socio=ac a examiné la question*socio=rien de la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et des limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 aux ressources*socio=ec1 de cette institution*socio=ac pour 1986. Il a été*socio=rien rappelé que l'accès*socio=uv1 élargi *socio=rien est un mécanisme*socio=et à*socio=nil caractère temporaire,*socio=nil *socio=nil et que cette politique*socio=et et les limites*socio=rien qu'elle prévoit, de même que les limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 aux mécanismes_spéciaux*socio=rien du*socio=rien Fonds*socio=ec1, doivent être*socio=rien réexaminées avant la fin*socio=rien de 1985. Le Comité*socio=ac reconnaît que, étant donné les incertitudes*socio=uv3 qui subsistent dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et les *socio=uv4 sérieuses difficultés de*socio=nil paiements*socio=ec1 *socio=nil auxquelles continuent de se heurter de nombreux*socio=rien pays_membres*socio=ac, il *socio=rien est nécessaire *socio=nil de reconduire la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi, en y apportant seulement de légers*socio=rien ajustements*socio=et pour l'année*socio=rien qui vient. Il a été*socio=rien convenu que les limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 pour 1986 seront les suivantes*socio=rien: a ) Dans le cadre*socio=rien de la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi, l'accès*socio=uv1 en 1986 sera soumis à des limites*socio=rien annuelles*socio=te de 90 ou 110 % de la quote-part*socio=ec1, à des limites*socio=rien triennales de 270 ou 330 % de la quote-part*socio=ec1, ainsi qu'à des limites*socio=rien cumulatives*socio=ec2 de 400 ou 440 % de la quote-part*socio=ec1, ceci en fonction*socio=rien de la gravité des besoins*socio=uv1 de balance_des_paiements*socio=ec1 et de la vigueur*socio=uv3 de l'effort*socio=uv1 d'ajustement*socio=et des pays_membres*socio=ac. Le conseil_d'_administration*socio=ac doit conserver la possibilité*socio=rien qu'il a actuellement d'approuver, dans des *socio=rien cas spéciaux,*socio=nil des*socio=nil accords*socio=et de*socio=nil confirmation*socio=et *socio=nil et des accords*socio=et élargis portant sur*socio=rien des montants*socio=ec1 qui dépassent ces limites*socio=rien. b) Les limites*socio=rien actuelles*socio=te d'accès*socio=uv1 au titre*socio=rien des mécanismes_spéciaux*socio=rien seront reconduites. Comme c'est*socio=rien actuellement le cas*socio=rien, les limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 ne doivent pas être*socio=rien considérées comme des objectifs*socio=uv3. Ces limites*socio=rien, ainsi que la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi, devront être*socio=rien réexaminées avant la fin*socio=rien de 1986, et chaque année*socio=rien par la suite*socio=rien, à la lumière*socio=rien de tous les *socio=rien facteurs pertinents,*socio=nil *socio=nil et notamment de l'ampleur*socio=rien des problèmes*socio=uv4 de paiement*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac et de l'évolution*socio=te de la position*socio=rien de liquidité*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de prendre, avant la fin*socio=rien de cette année*socio=rien, les mesures*socio=et nécessaires*socio=rien pour donner effet*socio=rien à l'accord*socio=et auquel il est*socio=rien parvenu. 8. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac ont eu, sur*socio=rien la question*socio=rien d'une allocation*socio=et de DTS au cours*socio=rien de l'actuelle*socio=te période*socio=te de base*socio=rien, une brève*socio=rien discussion*socio=et qui a permis*socio=rien de confirmer que les *socio=rien positions sur ce*socio=nil point *socio=nil ne s'étaient pas modifiées depuis leur *socio=rien dernière réunion *socio=nil et que, par conséquent*socio=rien, le soutien*socio=uv3 requis*socio=uv4 pour une telle allocation*socio=et n'était pas suffisant*socio=rien. Le Comité*socio=ac réaffirme que le DTS *socio=rien fait partie intégrante *socio=nil de la structure*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et est*socio=rien convenu de réexaminer la question*socio=rien à sa *socio=rien prochaine réunion *socio=nil à la lumière*socio=rien des développements*socio=rien qui seraient intervenus. Le Comité*socio=ac invite également le conseil_d'_administration*socio=ac à poursuivre, en priorité*socio=uv4, l'examen*socio=ec2 déjà prévu de tous les *socio=rien aspects du rôle*socio=et du *socio=nil DTS dans le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te et à lui soumettre, pour examen*socio=ec2 à sa *socio=rien prochaine réunion,*socio=nil un rapport sur l'*socio=nil état d'*socio=nil avancement*socio=uv3 *socio=nil de ses travaux*socio=rien. 9. Le Comité*socio=ac a examiné la question*socio=rien de l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 qui deviendront disponibles*socio=rien au cours*socio=rien de la période*socio=te 1985-91, à la *socio=rien suite du remboursement*socio=ec1 des*socio=nil prêts*socio=ec1 *socio=nil accordés par le *socio=ec1 Fonds fiduciaire.*socio=nil Il*socio=nil est*socio=rien *socio=nil parvenu aux *socio=rien conclusions suivantes:*socio=nil *socio=nil a) La totalité*socio=rien de ces ressources*socio=ec1 (soit environ 2,7 milliards*socio=rien de DTS), qui pourraient être*socio=rien complétées par des fonds*socio=ec1 provenant d'autres sources*socio=rien, devra servir à fournir une aide*socio=uv1 de balance_des_paiements*socio=ec1 additionnelle*socio=ec2 à des conditions*socio=ec1 libérales*socio=et aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 admis à bénéficier des ressources*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac, qui ont besoin*socio=uv1 d'une telle aide*socio=uv1 et qui se heurtent à des difficultés*socio=uv4 prolongées de balance_des_paiements*socio=ec1. À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac accueille avec satisfaction*socio=uv3 les déclarations*socio=et des représentants*socio=ac de la Chine*socio=ac et de l'Inde*socio=ac qui ont indiqué que leurs pays*socio=ac ne feraient pas usage*socio=rien de ce mécanisme*socio=et au cours*socio=rien de la période*socio=te 1985-91. b) Ces concours seront accordés à des pays*socio=ac mettant en ouvre des programmes*socio=et économiques*socio=ec1 de nature*socio=rien à favoriser l'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 et la croissance*socio=uv3 dans une perspective*socio=rien à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Ces*socio=nil programmes*socio=et économiques*socio=ec1 *socio=nil devront faire l'objet*socio=rien de revues périodiques*socio=te. Étant donné l'accent*socio=rien particulier*socio=rien mis sur*socio=rien l'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2, il importe que le Fonds*socio=ec1 agisse en étroite*socio=rien collaboration*socio=uv1 avec la banque_mondiale*socio=ac, tout en évitant la double*socio=rien conditionnalité. c) Les conditions*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 (telles que le taux_d'_intérêt*socio=ec1 et la période*socio=te de remboursement*socio=ec1) seront similaires*socio=rien à celles qui étaient applicables*socio=rien aux prêts*socio=ec1 du*socio=rien *socio=ec1 Fonds fiduciaire.*socio=nil *socio=nil ci) Ces dispositions*socio=et n'auraient pas d'effets*socio=rien défavorables*socio=uv4 sur*socio=rien la disponibilité*socio=rien d'aide*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1 au développement*socio=uv3 pour les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 qui n'utiliseraient pas les ressources*socio=ec1 provenant des remboursements*socio=ec1 du*socio=rien *socio=ec1 Fonds fiduciaire.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil engage vivement le conseil_d'_administration*socio=ac à conclure ses *socio=rien travaux sur cette*socio=nil question *socio=nil avant la *socio=rien prochaine réunion du comité_intérimaire*socio=ac,*socio=nil *socio=nil à la lumière*socio=rien des orientations*socio=et fournies par ce dernier*socio=rien. 10. Le Comité*socio=ac a procédé*socio=rien à un*socio=rien échange_de_vues*socio=uv3 préliminaire*socio=rien au sujet*socio=rien des *socio=rien rapports sur le*socio=nil système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil soumis par le Groupe*socio=ac des Dix et le Groupe*socio=ac Jes Vingt-quatre*socio=rien. Il a été*socio=rien convenu de demander au conseil_d'_administration*socio=ac d'examiner les questions*socio=rien soulevées dans ces rapports*socio=rien de façon*socio=rien à en faciliter l'examen*socio=ec2 approfondi par le Comité*socio=ac lors*socio=rien de sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil accueille avec satisfaction*socio=uv3 l'engagement*socio=uv1 de son Président*socio=ac de se tenir en rapport*socio=rien avec le Président*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 afin de voir dans quelle mesure*socio=rien des dispositions*socio=et pourraient *socio=rien être prises *socio=nil pour une coopération*socio=uv1 sur*socio=rien les questions*socio=rien concernant le développement*socio=uv3. 11. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac adressent leurs remerciements*socio=rien au gouvernement*socio=ac et au peuple*socio=ac de la République*socio=ac de Corée*socio=ac ainsi qu'à la ville*socio=te de Séoul*socio=ac pour leur *socio=rien chaleureuse hospitalité *socio=nil et pour l'excellente*socio=uv4 organisation*socio=ec1 de cette réunion*socio=rien. Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu de tenir sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac *socio=nil les 9 et 10 avril*socio=rien 1986. *socio=rien Vingt-sixième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil 9- 10 avril*socio=rien 1986 1. Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa *socio=rien vingt-sixième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac *socio=nil les 9 et 10 avril*socio=rien 1986, sous la présidence*socio=rien de Monsieur*socio=rien H Onno Ruding, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 des Pays-bas*socio=ac. Monsieur*socio=rien J de Larosière, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, a participé à la réunion*socio=rien. Monsieur*socio=rien Ghulam*socio=ac Ishaq Khan, Président*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3, a pris part*socio=rien à certaines*socio=rien des délibérations*socio=et. Ont également assisté*socio=rien à la réunion*socio=rien des observateurs*socio=ac d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil organisations_internationales*socio=ac et*socio=nil régionales*socio=te,*socio=nil *socio=nil ainsi que de la Suisse*socio=ac. 2. Le Comité*socio=ac a procédé*socio=rien à l'examen*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. L'attention*socio=rien a été*socio=rien attirée sur*socio=rien certains des *socio=rien principaux éléments *socio=nil qui ont marqué l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 d'ensemble*socio=rien depuis la *socio=rien dernière réunion du Comité*socio=ac:*socio=nil la*socio=nil détermination *socio=nil affermie des États-unis*socio=ac de réduire leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et, le nouvel*socio=rien ajustement*socio=et de la configuration*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1, la poursuite*socio=rien de la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te, les progrès*socio=uv1 continus*socio=te dans la réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 et la forte*socio=rien baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1. La baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 entre 1985 et 1986 représente un*socio=rien transfert*socio=ec1 de revenu*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 vers les pays_industrialisés*socio=ac de l'ordre*socio=rien de 60 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac estiment qu'en général*socio=rien ces éléments*socio=rien ont eu pour effet*socio=rien d'améliorer les perspectives*socio=te d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4. Il a toutefois été*socio=rien noté que la situation*socio=rien financière*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil affaiblie, ce qui a eu des répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien beaucoup d'autres pays_en_développement*socio=uv3. il importe de tirer tout le parti*socio=et possible*socio=rien de l'occasion*socio=rien offerte*socio=rien par cette évolution*socio=te des prix*socio=ec1 afin d'encourager une croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2. La réduction*socio=ec2 actuelle*socio=te et prévue du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et des États-unis*socio=ac a été*socio=rien accueillie avec satisfaction*socio=uv3. Pour ce qui est*socio=rien des pays*socio=ac où l'économie*socio=ec1 fonctionne en deçà de la capacité*socio=uv3 de production*socio=ec1 et où la balance_des_paiements*socio=ec1 est*socio=rien fortement excédentaire*socio=rien et l'inflation*socio=ec1 en *socio=rien grande partie *socio=nil résorbée, il a été*socio=rien noté qu'il y aurait peut-être lieu*socio=rien d'appliquer à court_terme*socio=te des politiques*socio=et davantage axées sur*socio=rien la croissance*socio=uv3, sans pour autant porter atteinte à la crédibilité*socio=uv1 des orientations*socio=et de la politique_économique*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Les*socio=nil membres*socio=ac du Comité*socio=ac *socio=nil prennent note avec satisfaction*socio=uv3 de la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et espèrent que, grâce*socio=rien à de nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 dans l'atténuation*socio=ec2 des pressions*socio=ec2 budgétaires*socio=et et la réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1, cette baisse*socio=ec2 se poursuivra, ce qui favoriserait la formation*socio=et de capital*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1, et allégerait la charge*socio=rien de la dette*socio=ec1 pour les pays_en_développement*socio=uv3. De l'avis*socio=rien du*socio=rien Comité*socio=ac, des politiques*socio=et structurelles*socio=ec2 visant à améliorer l'efficacité*socio=uv3 de l'allocation*socio=et des ressources*socio=ec1 demeurent d'une importance*socio=rien cruciale*socio=uv4. Le Comité*socio=ac note tout particulièrement que les pays_en_développement*socio=uv3 continuent de se heurter à *socio=rien un certain nombre de*socio=nil *socio=uv4 sérieuses difficultés.*socio=nil Les*socio=nil conditions_économiques*socio=ec1 exceptionnellement*socio=nil difficiles*socio=rien *socio=nil que connaissent les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, notamment en Afrique*socio=ac, demeurent *socio=rien un sujet d'*socio=nil inquiétude particulière.*socio=nil *socio=nil En 1985, l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te a été*socio=rien très faible*socio=rien, les cours*socio=rien des *socio=rien produits primaires ont*socio=nil considérablement *socio=nil baissé, les importations*socio=ec1 ont diminué en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac et la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 s'est*socio=rien ralentie. Certains progrès*socio=uv1 ont toutefois été*socio=rien réalisés par les pays_en_développement*socio=uv3 dans la maîtrise*socio=rien de leurs problèmes*socio=uv4 économiques*socio=ec1. Dans l'ensemble*socio=rien, encore qu'il subsiste des *socio=rien exceptions notables,*socio=nil le*socio=nil taux*socio=ec1 d'*socio=nil inflation*socio=ec1 a*socio=nil été *socio=nil contenu et *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont adopté des politiques*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2 particulièrement courageuses; les déficits*socio=ec1 des paiements_courants*socio=ec1 sont demeurés très en deçà des niveaux*socio=rien records*socio=ec2 qu'ils avaient atteints au début*socio=rien des années*socio=rien 80. Il reste*socio=rien toutefois beaucoup à accomplir et le Comité*socio=ac estime*socio=rien qu'il est*socio=rien particulièrement important*socio=uv4 que soient menées des politiques_économiques*socio=et intérieures*socio=te efficaces*socio=uv4, propres*socio=rien à promouvoir une croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2. 3. Le Comité*socio=ac accueille avec satisfaction*socio=uv3 les progrès*socio=uv1 en cours*socio=rien de réalisation*socio=uv1 dans le renforcement*socio=ec2 de la stratégie*socio=et actuelle*socio=te en matière*socio=rien de dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, selon l'orientation*socio=et proposée par les États-unis*socio=ac lors*socio=rien de la dernière*socio=rien Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te. La stratégie*socio=et doit continuer d'être*socio=rien adaptée aux *socio=rien cas particuliers *socio=nil et doit viser à promouvoir une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 dans les *socio=ac pays débiteurs *socio=nil et à permettre à ces derniers*socio=rien de rétablir, avec leurs créanciers*socio=ac, des *socio=rien relations normales *socio=nil dans le contexte*socio=rien d'une économie*socio=ec1 mondiale*socio=te en expansion*socio=ec2. Tout en reconnaissant qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil *socio=ac pays débiteurs *socio=nil ont réalisé des progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien malgré une conjoncture*socio=ec2 extérieure*socio=te difficile*socio=rien, le Comité*socio=ac note que les ratios*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 restent à des *socio=rien niveaux difficiles.*socio=nil *socio=nil Il souligne qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil que tous les *socio=ac pays débiteurs *socio=nil appliquent des politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 bien*socio=rien conçues, politiques*socio=et qui sont particulièrement importantes*socio=uv4 pour rétablir la confiance*socio=uv1 de la communauté*socio=ac financière*socio=ec1 et créer *socio=rien un climat plus*socio=nil propice *socio=nil à l'encouragement*socio=uv4 de l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te et des investissements*socio=ec1 productifs*socio=uv4 ainsi qu'au rapatriement*socio=rien des capitaux*socio=ec1 enfuis et aux flux*socio=ec1 d'investissements*socio=ec1 directs*socio=rien. Le Comité*socio=ac souligne également qu'il importe, pour assurer le succès*socio=uv1 de la stratégie*socio=et en matière*socio=rien de dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, que les pays_industrialisés*socio=ac appliquent des politiques_économiques*socio=et bien*socio=rien conçues. Il est*socio=rien important*socio=uv4 que ces pays*socio=ac maintiennent des marchés*socio=ec1 ouverts*socio=rien, libéralisent leurs échanges*socio=ec1 et poursuivent des politiques_économiques*socio=et visant à favoriser la croissance*socio=ec1, à réduire l'instabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 et, en particulier*socio=rien, à faire baisser davantage les taux_d'_intérêt*socio=ec1. Il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 de continuer à fournir un*socio=rien appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 concerté, de sources*socio=rien tant officielles*socio=et que privées*socio=et, aux *socio=ac pays débiteurs *socio=nil mettant en ouvre des politiques_économiques*socio=et bien*socio=rien conçues, notamment à ceux qui se ressentent le plus des effets*socio=rien de la baisse*socio=ec2 sensible*socio=rien qu'ont connue récemment les prix*socio=ec1 mondiaux*socio=te du*socio=rien pétrole*socio=ec1. Dans certains cas*socio=rien, de nouveaux*socio=rien *socio=ec1 prêts bancaires *socio=nil concertés à l'appui*socio=uv1 des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et économique*socio=ec1 sont nécessaires*socio=rien pour des montants*socio=ec1 et à des conditions*socio=ec1 appropriés à la situation*socio=rien et aux perspectives*socio=te d'évolution*socio=te de chaque pays*socio=ac. Cela permettrait, à terme*socio=rien, d'améliorer la qualité*socio=rien des créances*socio=ec1 existantes*socio=rien des banques*socio=ac. Dans les opérations*socio=rien de rééchelonnement*socio=et de la dette*socio=ec1 envers des créanciers*socio=ac officiels*socio=et, il est*socio=rien jugé essentiel*socio=uv4 de faire preuve*socio=ec2 de souplesse*socio=uv3 pour appuyer des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et bien*socio=rien conçus. En outre, le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que les organismes*socio=ac officiels*socio=et de crédit*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac commencent à reprendre ou à accroître, cas*socio=rien par cas*socio=rien, leurs opérations*socio=rien de garantie en faveur*socio=rien des pays*socio=ac dont la dette*socio=ec1 a été*socio=rien rééchelonnée et qui entreprennent les ajustements*socio=et de politique_économique*socio=ec1 nécessaires*socio=rien au rétablissement*socio=rien de leur crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te. Le Comité*socio=ac souligne qu'il importe que cette tendance*socio=ec2 se poursuive mais note que la reprise des opérations*socio=rien de garantie des crédits*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 ne doit pas se substituer à l'octroi*socio=rien par les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 de nouveaux*socio=rien financements*socio=ec1, là où cela se justifie. Le Comité*socio=ac réaffirme le rôle*socio=et central*socio=rien que joue le Fonds*socio=ec1 en fournissant à ses pays_membres*socio=ac de l'assistance*socio=uv1 et des financements*socio=ec1 en vue*socio=rien de l'élaboration*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 et en servant d'agent*socio=ac de catalyse financière*socio=ec1. Il fait*socio=rien également observer qu'il est*socio=rien davantage nécessaire*socio=rien de faire preuve*socio=ec2 de souplesse*socio=uv3 dans l'application*socio=rien, cas*socio=rien par cas*socio=rien, de la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Le Comité*socio=ac se félicite en outre du*socio=rien rôle*socio=et de plus en plus précieux*socio=rien que joue la banque_mondiale*socio=ac dans la stratégie*socio=et renforcée en matière*socio=rien de dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, en favorisant l'emploi*socio=ec1 efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1 et en fournissant une aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 à long_terme*socio=te. Il souligne l'importance*socio=rien d'une étroite*socio=rien collaboration*socio=uv1 entre la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 dans la mise en ouvre de cette stratégie*socio=et. 4. Le Comité*socio=ac a procédé*socio=rien à un*socio=rien échange_de_vues*socio=uv3 approfondi *socio=rien sur un certain nombre de*socio=nil questions *socio=nil se rapportant au système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Ces questions*socio=rien ont été*socio=rien étudiées dans les rapports*socio=rien soumis au Comité*socio=ac, à sa *socio=rien dernière réunion à*socio=nil Séoul*socio=ac,*socio=nil *socio=nil par le Groupe*socio=ac des Dix et par le Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien, ainsi que dans *socio=rien un rapport du directeur_général*socio=ac du fonds_monétaire_international*socio=ac sur les*socio=nil discussions*socio=et *socio=nil que le conseil_d'_administration*socio=ac a eues sur*socio=rien ces questions*socio=rien depuis lors*socio=rien. Les *socio=rien vues du Comité*socio=ac sur le*socio=nil système de*socio=nil taux_de_change*socio=ec1,*socio=nil la*socio=nil surveillance*socio=et *socio=nil et le rôle*socio=et du*socio=rien DTS sont exposées aux paragraphes*socio=rien 5, 6 et 7. 5. Pour ce qui *socio=rien est du système de*socio=nil taux_de_change*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac est *socio=nil convenu que la souplesse*socio=uv3 avec laquelle le système*socio=rien a fonctionné a permis*socio=rien à l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te de s'adapter*socio=rien à *socio=rien un certain nombre de*socio=nil perturbations*socio=ec2 importantes*socio=uv4;*socio=nil *socio=nil cependant, la variabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 et les désalignements*socio=uv3 durables*socio=uv4 qui se sont produits*socio=rien demeurent préoccupants*socio=uv4. Il a été*socio=rien convenu que pour améliorer durablement le comportement*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 il serait essentiel*socio=uv4 que soient menées des politiques_économiques*socio=et à la *socio=rien fois bien *socio=nil conçues et mutuellement compatibles*socio=rien et que les considérations*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 y jouent pleinement leur rôle*socio=et. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre ses travaux*socio=rien afin de déterminer s'il *socio=rien est possible *socio=nil d'apporter au système*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 des modifications*socio=rien qui permettraient d'accroître la stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 et d'assurer la compatibilité*socio=rien des politiques_économiques*socio=et sans pour autant priver le système*socio=rien de la souplesse*socio=uv3 qui lui *socio=rien est nécessaire.*socio=nil *socio=nil 6. Le Comité*socio=ac réaffirme le rôle*socio=et clé*socio=rien que doit jouer, dans le *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te,*socio=nil la*socio=nil surveillance*socio=et *socio=nil exercée par le Fonds*socio=ec1. Le Comité*socio=ac note que sont mises en ouvre plusieurs propositions*socio=rien présentées par le Groupe*socio=ac des Dix et par le Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien en vue*socio=rien de renforcer la surveillance*socio=et. Pour améliorer le cadre*socio=rien multilatéral*socio=et de surveillance*socio=et, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac d'étudier comment il serait possible*socio=rien d'adapter*socio=rien davantage le processus*socio=te des examens*socio=ec2 périodiques*socio=te de la situation*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, de façon*socio=rien à permettre une discussion*socio=et plus approfondie des déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te, de l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 et de l'interaction*socio=rien des politiques_économiques*socio=et nationales*socio=te des pays_membres*socio=ac. La formulation*socio=rien d'un*socio=rien ensemble*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 objectifs*socio=uv3, qui permettraient d'apprécier les mesures*socio=et adoptées ainsi que les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 obtenus dans une optique*socio=rien à *socio=rien moyen terme,*socio=nil est *socio=nil l'une des approches qui mériterait d'être*socio=rien étudiée plus à fond*socio=rien. Ces indicateurs*socio=ec1 pourraient aider à déterminer si les politiques*socio=et de certains pays*socio=ac doivent faire l'objet*socio=rien de discussions*socio=et. Le Comité*socio=ac note que dans l'étude*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te une plus *socio=rien grande importance *socio=nil sera accordée à l'interaction*socio=rien des politiques_économiques*socio=et mises en ouvre par les pays_industrialisés*socio=ac, ce qui permettra non seulement d'évaluer de façon*socio=rien plus précise*socio=rien les répercussions*socio=ec2, au niveau*socio=rien international*socio=te, des mesures*socio=et et des objectifs*socio=uv3 adoptés par les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, mais aussi de favoriser le développement*socio=uv3 des *socio=rien initiatives prises *socio=nil récemment pour améliorer la coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et entre ces pays*socio=ac. Le Comité*socio=ac souligne qu'il importe, dans ces *socio=et discussions multilatérales,*socio=nil *socio=nil de tenir compte*socio=ec1 des vues*socio=rien exprimées par tous les pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1. En outre, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au Fonds*socio=ec1 de poursuivre l'examen*socio=ec2 des idées*socio=rien présentées dans le *socio=rien rapport du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix et dans celui du*socio=rien Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien en ce qui concerne le renforcement*socio=ec2 du*socio=rien processus*socio=te de consultation*socio=uv1. 7. Le Comité*socio=ac prend note des progrès*socio=uv1 réalisés par le conseil_d'_administration*socio=ac dans l'examen*socio=ec2 *socio=rien du fonctionnement du système de*socio=nil réserves*socio=ec1 international*socio=te et*socio=nil du rôle*socio=et du *socio=nil DTS dans ce système*socio=rien au sein*socio=rien duquel les réserves*socio=ec1 empruntées tiennent une place*socio=rien aussi prépondérante*socio=rien, mais ne sont pas, à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, immédiatement disponibles*socio=rien pour *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui ont un*socio=rien accès*socio=uv1 limité aux marchés_financiers*socio=ec1. Il estime*socio=rien que le DTS, qui *socio=rien fait partie des*socio=nil réserves*socio=ec1 propres,*socio=nil *socio=nil peut jouer un*socio=rien rôle*socio=et utile*socio=uv4 à la fois*socio=rien en tant que composante*socio=rien des réserves_internationales*socio=ec1 et en tant qu'unité*socio=rien de compte*socio=ec1. Il reconnaît en outre que les DTS peuvent éventuellement constituer un*socio=rien " filet*socio=rien de sécurité*socio=uv1 " en cas*socio=rien d'événements*socio=rien imprévus*socio=uv4. Le Comité*socio=ac souligne le caractère*socio=rien monétaire*socio=ec1 du*socio=rien DTS, qui ne doit pas *socio=rien être un moyen *socio=nil de transférer des ressources*socio=ec1, et recommande que le conseil_d'_administration*socio=ac étudie les possibilités*socio=rien d'apporter aux caractéristiques*socio=rien monétaires*socio=ec1 de cet instrument*socio=et les améliorations*socio=uv1 qui accroîtraient son attrait*socio=rien et son utilité*socio=rien comme composante*socio=rien des *socio=ec1 réserves monétaires.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a examiné à nouveau*socio=rien la question*socio=rien des allocations*socio=et de DTS et a conclu que, bien*socio=rien que la plupart*socio=rien des pays_membres*socio=ac soient en faveur*socio=rien d'une allocation*socio=et, il n'y a pas, à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, le large*socio=rien soutien*socio=uv3 requis*socio=uv4 pour une telle allocation*socio=et. Le Comité*socio=ac invite instamment le conseil_d'_administration*socio=ac à poursuivre ses discussions*socio=et sur*socio=rien le rôle*socio=et du*socio=rien DTS dans le système_monétaire*socio=ec1 *socio=te international actuel et*socio=nil sur*socio=rien une*socio=nil allocation*socio=et *socio=nil de DTS, à la lumière*socio=rien des propositions*socio=rien, qui concernent les *socio=rien différentes possibilités *socio=nil d'assurer au DTS une part*socio=rien plus stable*socio=uv4 et plus équilibrée dans les réserves*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac et qui lui ont déjà été*socio=rien présentées par certains de ses membres*socio=ac, et à lui faire rapport*socio=rien, à sa *socio=rien prochaine réunion,*socio=nil sur l'*socio=nil état d'*socio=nil avancement*socio=uv3 *socio=nil de ces discussions*socio=et. 8. Le Comité*socio=ac réaffirme que le Fonds*socio=ec1 joue un*socio=rien rôle*socio=et clé*socio=rien en aidant ses pays_membres*socio=ac à élaborer des politiques*socio=et d'ajustement*socio=et et en leur fournissant des financements*socio=ec1 de balance_des_paiements*socio=ec1. À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac accueille avec satisfaction*socio=uv3 les décisions*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac portant création*socio=uv4 de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 ( FAS*socio=ec1), qui doit permettre d'apporter aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 aux prises*socio=rien avec des difficultés*socio=uv4 prolongées de balance_des_paiements*socio=ec1 une aide*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1 à l'appui*socio=uv1 de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et macroéconomiques*socio=ec1 et structurels*socio=ec2 à *socio=rien moyen terme,*socio=nil de*socio=nil façon *socio=nil à promouvoir leur croissance*socio=uv3 et la viabilité*socio=uv3 de leur balance_des_paiements*socio=ec1. Cette nouvelle*socio=rien facilité de financement*socio=ec1 exige une collaboration*socio=uv1 étroite*socio=rien entre le Fonds*socio=ec1 et la banque_mondiale*socio=ac en vue*socio=rien, d'une part*socio=rien, d'aider les pays_membres*socio=ac à élaborer leur *socio=rien propre cadre *socio=nil détaillé de politique*socio=et générale*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil qui servira de base*socio=rien à l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 de la FAS*socio=ec1 et, d'autre part*socio=rien, d'assurer à ces pays*socio=ac des apports*socio=rien de ressources*socio=ec1 extérieures*socio=te supplémentaires*socio=rien en provenance*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac, d'autres organismes*socio=ac de financement*socio=ec1 et de *socio=ac pays donateurs.*socio=nil *socio=nil En développant leur collaboration*socio=uv1, le Fonds*socio=ec1 et la Banque*socio=ac devront maintenir distincts*socio=rien les domaines*socio=rien de leurs responsabilités*socio=uv1 respectives*socio=rien, éviter une double*socio=rien conditionnalité et veiller à ce que leurs recommandations*socio=et concernant la politique_économique*socio=ec1 soient compatibles*socio=rien. 9. À sa *socio=rien prochaine réunion,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac compte*socio=ec1 *socio=nil poursuivre l'étude*socio=ec2 des questions*socio=rien soulevées dans le *socio=rien rapport du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix et dans celui du*socio=rien Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien. Cet examen*socio=ec2 sera fondé sur*socio=rien le résultat*socio=rien des travaux*socio=rien que mènera le conseil_d'_administration*socio=ac au cours*socio=rien des *socio=rien prochains mois sur ces*socio=nil questions,*socio=nil compte*socio=ec1 *socio=nil tenu des orientations*socio=et qui lui ont été*socio=rien fournies par le Comité*socio=ac. 10. Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu de tenir sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac *socio=nil le 28 septembre*socio=rien 1986. Comité*socio=ac ministériel*socio=et conjoint*socio=rien des conseils_des_gouverneurs_de_la_banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien le transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 aux pays_en_développement*socio=uv3 (Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3) COMMUNIQUÉS DE PRESSE*socio=et *socio=rien Vingt-septième réunion,*socio=nil Séoul*socio=ac (*socio=nil Corée*socio=ac)*socio=nil ,*socio=nil 7*socio=nil octobre *socio=nil 1985 1. Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa *socio=rien vingt-septième réunion à*socio=nil Séoul*socio=ac (*socio=nil Corée*socio=ac)*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil le 7 octobre*socio=rien 1985, sous la présidence*socio=rien de Son Excellence*socio=uv3 Ghulam*socio=ac Ishaq Khan. Monsieur*socio=rien AW Clausen, Président*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac, Monsieur*socio=rien J de Larosière, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, et Monsieur*socio=rien Fritz Fischer, *socio=ac Secrétaire exécutif du*socio=rien Comité du*socio=rien développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil ont participé à cette réunion*socio=rien, à laquelle ont également assisté*socio=rien les observateurs*socio=ac d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil organisations_internationales*socio=ac *socio=nil ainsi que de la Suisse*socio=ac. 2. Le Comité*socio=ac a entendu *socio=rien un rapport du directeur_général*socio=ac du FMI*socio=ac sur les*socio=nil débats*socio=et *socio=nil que le comité_intérimaire*socio=ac a consacrés aux perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. 3. Le Comité*socio=ac a poursuivi l'examen*socio=ec2, commencé en avril*socio=rien, des perspectives*socio=te de prêt*socio=ec1 de la BIRD*socio=ac et de leur incidence*socio=ec2 sur*socio=rien ses besoins*socio=uv1 en ressources*socio=ec1. Le Comité*socio=ac se déclare partisan*socio=et d'un*socio=rien élargissement*socio=ec2 du*socio=rien rôle*socio=et que joue la Banque*socio=ac en aidant les pays_en_développement*socio=uv3 à mettre en ouvre des politiques*socio=et visant à promouvoir l'efficacité*socio=uv3 et à mobiliser l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te, tout en continuant à s'ajuster à un*socio=rien environnement*socio=et économique*socio=ec1 extérieur*socio=te défavorable*socio=uv4. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que tous les pays*socio=ac doivent s'acheminer le plus rapidement possible*socio=rien vers une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 soutenue. Le Comité*socio=ac constate également qu'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil lourdement endettés ont fait*socio=rien des progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien dans leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et, mais que de *socio=uv4 sérieuses difficultés *socio=nil restent à surmonter. Dans ce contexte*socio=rien, le Comité*socio=ac souligne que l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3 dépend d'une croissance*socio=uv3 soutenue dans les pays_industrialisés*socio=ac, de marchés*socio=ec1 ouverts*socio=rien ainsi que d'une stabilité*socio=uv3 accrue sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et d'une baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu d'autre part*socio=rien qu'il existe d'autres facteurs*socio=rien essentiels*socio=uv4 dans ce processus*socio=te, à savoir*socio=rien l'adoption*socio=uv3 par les pays_en_développement*socio=ac de mesures*socio=et portant sur*socio=rien tous les aspects*socio=rien de l'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 et du*socio=rien développement*socio=ac, la fourniture*socio=ec1 d'un*socio=rien volume*socio=rien important*socio=uv4 de nouvelles*socio=rien ressources*socio=ec1 nettes*socio=rien par les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 et la participation*socio=uv3 accrue des banques_multilatérales_de_développement*socio=ac et du*socio=rien FMI*socio=ac. Il est*socio=rien indispensable*socio=uv4, pour réaliser l'objectif*socio=uv3 de croissance*socio=uv3 visé, d'intégrer étroitement ces facteurs*socio=rien dans *socio=rien un cadre homogène*socio=uv4.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac est *socio=nil convenu que, dans ces conditions*socio=ec1, la banque_mondiale*socio=ac a un*socio=rien rôle*socio=et de plus en plus important*socio=uv4 à jouer dans la restauration*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 et il demande*socio=ec1 à la direction*socio=et de la Banque*socio=ac de préparer, pour examen*socio=ec2 a sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien, *socio=rien un rapport sur les*socio=nil meilleurs*socio=uv4 moyens*socio=ec1 *socio=nil d'assurer une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 dans ces pays*socio=ac. 4. Le Comité*socio=ac a examiné la réponse*socio=rien faite par la direction*socio=et de la Banque*socio=ac à sa demande*socio=ec1 d'établissement*socio=rien de projections*socio=ec2 des prêts*socio=ec1 de la Banque*socio=ac *socio=rien sur cinq ans,*socio=nil notamment*socio=nil un programme*socio=et *socio=nil triennal de prêt*socio=ec1 (exercices*socio=rien 86-88), d'un*socio=rien montant*socio=ec1 de 40-45 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, qui passerait à *socio=rien un niveau annuel*socio=te *socio=nil de 16,5 à 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour l'exercice*socio=rien 90. Le Comité*socio=ac exprime son appui*socio=uv1 vigoureux*socio=rien à une expansion*socio=ec2 *socio=rien substantielle du programme*socio=et de*socio=nil prêt*socio=ec1 *socio=nil de la Banque*socio=ac pour permettre à celle-ci de répondre de façon*socio=rien plus efficace*socio=uv4 aux besoins*socio=uv1 des *socio=ac pays_membres emprunteurs *socio=nil et de stimuler le flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 provenant d'autres sources*socio=rien. 5. Le Comité*socio=ac a examiné les conséquences*socio=rien, sur*socio=rien le plan*socio=rien des ressources*socio=ec1 de la Banque*socio=ac, de l'élargissement*socio=ec2 du*socio=rien programme*socio=et de prêt*socio=ec1 proposé par la direction*socio=et. Les ministres*socio=ac sont convenus que la Banque*socio=ac devrait avoir les moyens*socio=ec1 d'augmenter ses prêts*socio=ec1 de *socio=rien haute qualité *socio=nil et ne pas être*socio=rien gênée par *socio=rien un manque de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil ou par une capacité*socio=uv3 d'emprunt*socio=ec1 inadéquate*socio=uv4 pour répondre à la demande*socio=ec1 future*socio=te. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 à la direction*socio=et d'entamer des discussions*socio=et avec le Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac sur*socio=rien les solutions*socio=rien à proposer pour permettre à la Banque*socio=ac de faire face*socio=rien à ses besoins*socio=uv1 en ressources*socio=ec1 pendant les *socio=rien cinq prochaines années,*socio=nil *socio=nil et notamment sur*socio=rien une éventuelle*socio=te augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale du capital*socio=ec1 *socio=nil et de présenter lors*socio=rien de la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3 un rapport sur l'*socio=nil état d'*socio=nil avancement*socio=uv3 *socio=nil de ces discussions*socio=et. 6. Le *socio=rien rapport du Groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ec2 sur les*socio=nil flux*socio=ec1 d'*socio=nil aide*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil composé de représentants*socio=ac de 18 pays_en_développement*socio=uv3 et industrialisés, a été*socio=rien présenté au Comité*socio=ac par le Président*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac, Monsieur*socio=rien John P Lewis. Après*socio=rien avoir exprimé ses remerciements*socio=rien pour la préparation*socio=rien de cet important*socio=uv4 document*socio=rien, le Comité*socio=ac souligne le consensus*socio=uv1 qui s'en dégage quant à l'efficacité*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1, son volume*socio=rien et la faveur*socio=rien dont elle jouit dans l'opinion*socio=ac publique*socio=et. Le Comité*socio=ac rappelle *socio=rien un point *socio=nil convenu en *socio=rien avril dernier,*socio=nil à*socio=nil savoir *socio=nil que pour les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, l'augmentation*socio=ec2 des flux*socio=ec1 d'APD*socio=et constitue la plus haute*socio=rien priorité*socio=uv4, et il appuie le *socio=rien rapport du Groupe*socio=ac d'*socio=nil étude*socio=ec2.*socio=nil Il*socio=nil demande*socio=ec1 *socio=nil instamment à tous les gouvernements*socio=ac intéressés de tenir compte*socio=ec1 de ce rapport*socio=rien et de ses suggestions*socio=rien. Il demande*socio=ec1 à la banque_mondiale*socio=ac de jouer le rôle*socio=et de chef_de_file*socio=uv dans la mise en ouvre des recommandations*socio=et du*socio=rien Groupe*socio=ac d'étude*socio=ec2 et de faire *socio=rien rapport sur les*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil réalisés en la matière*socio=rien aux *socio=rien prochaines réunions du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil 7. Dans ce contexte*socio=rien, qui met l'accent*socio=rien sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'accroître les flux*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 vers les pays*socio=ac pauvres*socio=uv2, le Comité*socio=ac a entendu *socio=rien un rapport sur L'*socio=nil examen*socio=ec2 *socio=nil à mi-parcours d'IDA-VII, présenté par le Président*socio=ac des délégués*socio=ac de l'IDA*socio=ac, faisant suite*socio=rien à leur *socio=rien réunion du 5*socio=nil octobre *socio=nil 1985. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 instamment qu'une huitième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 adéquate*socio=uv2 des ressources*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac se matérialise d'ici à septembre*socio=rien 1986, conformément au calendrier*socio=te établi par les délégués*socio=ac. 8. Le Comité*socio=ac prend note *socio=rien du rapport du directeur_général*socio=ac du FMI*socio=ac sur les*socio=nil débats*socio=et constructifs*socio=uv2 *socio=nil concernant l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 provenant de la dissolution du*socio=rien *socio=ec1 Fonds fiduciaire du*socio=rien FMI*socio=ac *socio=nil qui se sont déroulés au *socio=rien sein du comité_intérimaire*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Il se félicite des initiatives*socio=rien proposées, selon lesquelles l'utilisation*socio=rien de ces ressources*socio=ec1 serait focalisée sur*socio=rien les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 connaissant des difficultés*socio=uv4 prolongées de balance_des_paiements*socio=ec1 pour appuyer des programmes*socio=et visant à promouvoir l'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 et la croissance*socio=uv3 dans *socio=rien un cadre à*socio=nil moyen terme.*socio=nil *socio=nil À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac souligne l'importance*socio=rien d'une collaboration*socio=uv1 plus étroite*socio=rien entre le Fonds*socio=ec1 et la Banque*socio=ac, tout en évitant la double*socio=rien conditionnalité. 9. Le Comité*socio=ac a poursuivi son examen*socio=ec2 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 particulièrement difficile*socio=rien des pays*socio=ac de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te. Il se félicite de l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3, le 1 el juillet*socio=rien 1985, du*socio=rien Fonds*socio=ec1 spécial*socio=rien d'aide*socio=uv1 à l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te créé par la banque_mondiale*socio=ac, avec un*socio=rien montant*socio=ec1 prévu de plus de 1,2 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 de contributions*socio=uv1, et note avec satisfaction*socio=uv3 que plusieurs crédits*socio=ec1 ont déjà été*socio=rien accordés par ledit Fonds*socio=ec1 au cours*socio=rien de ses trois *socio=rien premiers mois d'*socio=nil existence.*socio=nil *socio=nil 10. Le Comité*socio=ac note avec *socio=rien grande inquiétude l'*socio=nil augmentation*socio=ec2 du nombre des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te qui sont confrontés à de *socio=uv4 sérieux problèmes d'*socio=nil endettement*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et plus généralement à des problèmes*socio=uv4 de ressources*socio=ec1. Il se félicite qu'un*socio=rien consensus*socio=uv1 se dégage selon lequel l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 résultant*socio=rien de la dissolution du*socio=rien *socio=ec1 Fonds fiduciaire du*socio=rien FMI*socio=ac *socio=nil pourrait contribuer à résoudre ces problèmes*socio=uv4. Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu, d'autre part*socio=rien, que le redressement*socio=ec2 économique*socio=ec1 et la reprise de la croissance*socio=uv3 du*socio=rien revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac dans ces pays*socio=ac exigent la poursuite*socio=rien des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et de *socio=rien vaste portée,*socio=nil *socio=nil y compris des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, ainsi que des *socio=ec1 flux concessionnels supplémentaires*socio=rien.*socio=nil *socio=nil Dans ce contexte*socio=rien, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 instamment à la banque_mondiale*socio=ac et au FMI*socio=ac de renforcer encore leur coopération*socio=uv1 dans la mise au point*socio=rien de conseils*socio=ac avisés et compatibles*socio=rien en matière*socio=rien de mesures*socio=et destinées*socio=rien à réduire la pauvreté*socio=uv1 et à promouvoir la croissance*socio=uv3 dans ces pays*socio=ac. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 également à la direction*socio=et de la banque_mondiale*socio=ac de préparer une étude*socio=ec2 consacrée aux problèmes*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 et des ressources*socio=ec1 dans les pays*socio=ac de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te qu'il examinera lors*socio=rien de sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil 11. Le Comité*socio=ac a été*socio=rien informé des *socio=rien derniers événements relatifs aux*socio=nil questions de*socio=nil commerce*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil par le directeur_général*socio=ac du*socio=rien GATT*socio=ac. Le Comité*socio=ac lance de *socio=rien nouveau un appel *socio=nil à tous les gouvernements*socio=ac pour qu'ils résistent au protectionnisme*socio=et et prend note avec satisfaction*socio=uv3 de l'accord*socio=et unanime qui s'est*socio=rien fait*socio=rien au cours*socio=rien des *socio=rien récents entretiens *socio=nil qui se sont déroulés au GATT*socio=ac à propos*socio=rien de la préparation*socio=rien d'une nouvelle*socio=rien série de négociations_commerciales_multilatérales*socio=et. Il invite le directeur_général*socio=ac du*socio=rien GATT*socio=ac à continuer à le tenir informé de l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien. 12. Les ministres*socio=ac notent que, conformément au consensus*socio=uv1 qui s'est*socio=rien dégagé à la *socio=rien réunion du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3 *socio=nil au moins d'avril*socio=rien, les Administrateurs*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac ont préparé le projet*socio=et de Convention*socio=et portant création*socio=uv4 de l'Agence*socio=ac multilatérale*socio=et de gara n-tie des investissements*socio=ec1 (AMGI*socio=ac ), dont l'objectif*socio=uv3 est*socio=rien d'encourager les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 et de technologie*socio=ec1 à des fins*socio=rien productives*socio=uv4 vers les pays_en_développement*socio=uv3. La plupart*socio=rien des membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac notent avec satisfaction*socio=uv3 que le texte*socio=rien de la Convention*socio=et a été*socio=rien transmis au conseil_des_gouverneurs_de_la_banque*socio=ac avec la recommandation*socio=et que cette Convention*socio=et soit maintenant présentée à la signature*socio=rien des gouvernements*socio=ac intéressés. La plupart*socio=rien des membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac expriment l'espoir*socio=uv1 de voir la Convention*socio=et signée et ratifiée par les pays_membres*socio=ac intéressés dans un*socio=rien proche avenir*socio=te afin de permettre à l'Agence*socio=ac de commencer ses opérations*socio=rien dans les meilleurs*socio=uv4 délais*socio=rien. 13. Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 prend note des échanges_de_vues*socio=uv3 préliminaires*socio=rien qui se sont déroulés au *socio=rien sein du comité_intérimaire*socio=ac *socio=nil et qui ont porté sur*socio=rien les rapports*socio=rien concernant le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te préparés par le Groupe*socio=ac des Dix et par le Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien. Il accueille avec satisfaction*socio=uv3 l'engagement*socio=uv1 qu'a pris le Président*socio=ac du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac de se tenir en rapport*socio=rien avec le Président*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 afin de voir dans quelle mesure*socio=rien des dispositions*socio=et pourraient *socio=rien être prises *socio=nil pour une coopération*socio=uv1 sur*socio=rien les questions*socio=rien concernant le développement*socio=uv3. 14. Les ministres*socio=ac expriment au peuple*socio=ac et au gouvernement*socio=ac mexicains leurs plus vives condoléances à la *socio=rien suite du tragique *socio=nil tremblement de terre*socio=ec1 qui a provoqué tant de souffrances et de pertes*socio=ec2 de vies humaines*socio=uv2. Ils lancent *socio=rien un appel *socio=nil à la *socio=ac communauté internationale *socio=nil afin qu'elle soutienne vigoureusement les efforts*socio=uv1 visant à atténuer les conséquences*socio=rien de ce désastre*socio=rien. 15. Le Comité*socio=ac remercie le *socio=ac gouvernement coréen *socio=nil de son *socio=rien hospitalité chaleureuse *socio=nil et de l'excellente*socio=uv4 organisation*socio=ec1 de la réunion*socio=rien. 16. Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu de se réunir à nouveau*socio=rien à Washington*socio=ac, les 10 et 11 avril*socio=rien 1986, pour une session*socio=rien prolongée. *socio=rien Vingt-huitième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil 10- 11 avril*socio=rien 1986 1. Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa *socio=rien vingt-huitième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil DC, les 10 et 11 avril*socio=rien 1986, sous la présidence*socio=rien de Son Excellence*socio=uv3 Ghulam*socio=ac Ishaq Khan. Monsieur*socio=rien AW Clausen, Président*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac, MJ de Larosière, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, et Monsieur*socio=rien Fritz Fischer, *socio=ac Secrétaire exécutif du*socio=rien Comité du*socio=rien développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil ont participé à cette réunion*socio=rien, à laquelle ont également assisté*socio=rien des observateurs*socio=ac d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil organisations_internationales*socio=ac et*socio=nil régionales*socio=te,*socio=nil *socio=nil ainsi que de la Suisse*socio=ac. 2. Le Comité*socio=ac a entendu le *socio=rien rapport du directeur_général*socio=ac du FMI*socio=ac sur l'*socio=nil examen*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil par le comité_intérimaire*socio=ac, des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te ainsi que de la situation*socio=rien et de la stratégie*socio=et en matière*socio=rien de dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, et fait*socio=rien siennes les *socio=rien conclusions du comité_intérimaire*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 3. Le Comité*socio=ac a examiné les progrès*socio=uv1 accomplis dans la recherche*socio=ec2 de solutions*socio=rien aux problèmes*socio=uv4 des pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien les plus lourdement endettés depuis sa réunion*socio=rien de Séoul*socio=ac et l'annonce de l'initiative*socio=rien de Monsieur*socio=rien Baker, Secrétaire*socio=ac au Trésor*socio=et des États-unis*socio=ac. À ce propos*socio=rien, le Comité*socio=ac a examiné le document*socio=rien d'information*socio=rien que la banque_mondiale*socio=ac a préparé à sa demande*socio=ec1 sur*socio=rien ce sujet*socio=rien, et il a approuvé l'approche *socio=rien générale définie *socio=nil pour permettre aux pays*socio=ac lourdement endettés de connaître une croissance*socio=uv3 soutenue. Le Comité*socio=ac a entendu avec grand*socio=rien intérêt*socio=uv1 le compte*socio=ec1 rendu des progrès*socio=uv1 réalisés ces *socio=rien derniers mois par*socio=nil un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil dans la conception*socio=et Je tels programmes*socio=et et demande*socio=ec1 instamment à toutes les *socio=rien principales parties *socio=nil intéressées - pays*socio=ac endettés, pays_industrialisés*socio=ac, banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 et institutions_financières*socio=ac et de développement*socio=uv3 internationales*socio=te - de redoubler d'efforts*socio=uv1 afin que les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et à *socio=rien moyen terme axés*socio=nil sur la*socio=nil croissance*socio=uv3 puissent*socio=nil être *socio=nil élaborés et mis en ouvre dès que possible*socio=rien. 4. Le Comité*socio=ac reconnaît que ces pays*socio=ac se heurtent à des problèmes*socio=uv4 profondément enracinés qui ne pourront être*socio=rien résolus rapidement, car la charge*socio=rien que fait*socio=rien peser l'encours de leur dette*socio=ec1 sur*socio=rien leurs finances*socio=ec1 publiques*socio=et et sur*socio=rien leur balance_des_paiements*socio=ec1 compromet leurs perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 de même que leurs chances*socio=rien de rétablir leur crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te. Le Comité*socio=ac souligne la nécessité*socio=uv1 d'un*socio=rien *socio=rien recul du protectionnisme*socio=et.*socio=nil Il*socio=nil est *socio=nil convenu qu'une solution*socio=rien durable*socio=uv4 au problème*socio=uv4 de l'endettement*socio=ec1 passe non seulement par une croissance*socio=uv3 et un*socio=rien ajustement*socio=et soutenus dans les pays_en_développement*socio=uv3, mais aussi par l'adoption*socio=uv3, dans les pays_industrialisés*socio=ac, de politiques*socio=et favorisant un*socio=rien fléchissement*socio=ec2 plus marqué des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2, l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 international*socio=te, l'amélioration*socio=uv1 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien, une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 extérieurs*socio=te. À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac exhorte les pays_industrialisés*socio=ac à redoubler d'efforts*socio=uv1 afin de supprimer ces obstacles*socio=uv3 à une solution*socio=rien durable*socio=uv4 aux problèmes*socio=uv4 de l'endettement*socio=ec1. 5. Le Comité*socio=ac souligne que même si les pays_en_développement*socio=uv3 adoptent de profondes*socio=rien réformes*socio=et de leurs politiques_économiques*socio=et et si les pays_industrialisés*socio=ac enregistrent des taux*socio=ec1 satisfaisants*socio=uv4 de croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2, la reprise de la croissance*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3 nécessitera *socio=rien un apport net massif de*socio=nil capitaux*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil y compris le rapatriement*socio=rien des capitaux*socio=ec1 enfuis. Elle dépendra essentiellement de la création*socio=uv4 de conditions*socio=ec1 incitant les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 et tous les autres bailleurs_de_fonds*socio=ec1 à fournir en *socio=rien temps opportun un volume *socio=nil approprié de ressources*socio=ec1. 6. À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac souligne l'importance*socio=rien des organismes*socio=ac de crédit*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1, qui sont une source*socio=rien de financement*socio=ec1 essentielle*socio=uv4, et fait*socio=rien siennes les *socio=rien conclusions du comité_intérimaire*socio=ac *socio=nil à ce sujet*socio=rien. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac se félicitent de l'intention*socio=rien manifestée par la banque_mondiale*socio=ac de travailler en collaboration*socio=uv1 plus étroite*socio=rien avec toutes les parties*socio=rien intéressées, pour encourager les organismes*socio=ac de crédit*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 à accorder en *socio=rien temps opportun un soutien*socio=uv3 suffisant aux*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui entreprennent des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3, afin d'aider à assurer le succès*socio=uv1 de ces programmes*socio=et. 7. Le Comité*socio=ac exhorte en outre les gouvernements*socio=ac des *socio=ac pays créanciers *socio=nil à faire en sorte*socio=rien que les règlements*socio=et et directives*socio=et imposés par leurs autorités*socio=et bancaires*socio=ec1 n'empêchent pas la conclusion*socio=rien d'accords*socio=et de financement*socio=ec1 qui permettent d'accroître, sous_réserve*socio=ec1 de considérations*socio=rien de prudence*socio=uv1, les flux*socio=ec1 en provenance*socio=rien des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 vers les pays*socio=ac ayant entrepris d'importants*socio=uv4 programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et de croissance*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac estime *socio=nil qu'en de telles circonstances*socio=rien, de nouveaux*socio=rien flux*socio=ec1 de *socio=ec1 crédits bancaires internationaux*socio=te *socio=nil peuvent contribuer à améliorer la qualité*socio=rien de l'encours des crédits*socio=ec1. 8. Le Comité*socio=ac reconnaît en outre le rôle*socio=et que joue le secteur_privé*socio=et dans le développement*socio=uv3 ainsi que la nécessité*socio=uv1 d'accroître les flux*socio=ec1 d'investissements*socio=ec1 étrangers*socio=te vers les pays_en_développement*socio=uv3. À cet égard*socio=rien, les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac notent que 19 pays*socio=ac - dont 4 pays_industrialisés*socio=ac - ont déjà signé la Convention*socio=et portant création*socio=uv4 de l'Agence*socio=ac multilatérale*socio=et de garantie des investissements*socio=ec1 (AMGI*socio=ac). Le Comité*socio=ac invite les autres gouvernements*socio=ac intéressés à signer et ratifier cette convention*socio=et afin qu'elle puisse entrer en vigueur*socio=uv3 aussitôt que possible*socio=rien. 9. Le Comité*socio=ac souligne à nouveau*socio=rien le consensus*socio=uv1 qui s'est*socio=rien dégagé à Séoul*socio=ac sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1, pour la banque_mondiale*socio=ac et le FMI*socio=ac, de renforcer leur participation*socio=uv3 à la conception*socio=et, au financement*socio=ec1 et au suivi des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que ce renforcement*socio=ec2 indiquerait de façon*socio=rien plus convaincante*socio=rien que les pays*socio=ac lourdement endettés prennent des mesures*socio=et appropriées pour relancer leur croissance*socio=uv3 et rétablir leur crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te. Le Comité*socio=ac souligne qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil que la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1, en développant leur collaboration*socio=uv1, maintiennent distincts*socio=rien les domaines*socio=rien de leurs responsabilités*socio=uv1 respectives*socio=rien et évitent une double*socio=rien conditionnalité. 10. Le Comité*socio=ac, conscient*socio=uv2 de la mission*socio=et mondiale*socio=te de la Banque*socio=ac à l'égard*socio=rien du*socio=rien développement*socio=uv3, de la croissance*socio=uv3 et de l'atténuation*socio=ec2 de la pauvreté*socio=uv1, réitère son soutien*socio=uv3 vigoureux*socio=rien à une augmentation*socio=ec2 *socio=rien substantielle du programme*socio=et de*socio=nil prêts*socio=ec1 *socio=nil de la Banque*socio=ac. Il note que, depuis la réunion*socio=rien qu'il a tenue à Séoul*socio=ac, la direction*socio=et de la Banque*socio=ac a relevé ses projections*socio=ec2 de prêts*socio=ec1 pour les exercices*socio=rien 1986 à 1988, qui se situent à présent*socio=rien dans une fourchette*socio=rien de 40 à 50 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, et qu'elle prévoit actuellement que le volume*socio=rien des prêts*socio=ec1 pour l'exercice*socio=rien 1990 pourrait atteindre 21,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Le Comité*socio=ac exprime avec vigueur*socio=uv3 son appui*socio=uv1 aux mesures*socio=et prises*socio=rien par la Banque*socio=ac pour aider les pays*socio=ac lourdement endettés à élaborer des programmes*socio=et crédibles*socio=uv2 axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3. Il se félicite de la progression*socio=ec2 des décaissements*socio=ec1 nets*socio=rien des prêts*socio=ec1 de la Banque*socio=ac à ces pays*socio=ac et de la perspective*socio=rien d'une augmentation*socio=ec2 sensible*socio=rien en 1986 des prêts*socio=ec1 qui leur seront consentis au titre*socio=rien de leurs programmes*socio=et d'ajustement*socio=et. Le Comité*socio=ac exhorte la Banque*socio=ac à prendre de nouvelles*socio=rien dispositions*socio=et afin de renforcer son aptitude*socio=rien à jouer un*socio=rien rôle*socio=et de *socio=rien premier plan *socio=nil à l'appui*socio=uv1 de programmes*socio=et visant l'ajustement*socio=et et la croissance*socio=uv3 ainsi que de projets*socio=et d'investissement*socio=ec1 dans le monde*socio=te entier*socio=rien. 11. Les ministres*socio=ac rappellent qu'ils sont convenus à Séoul*socio=ac que la Banque*socio=ac devrait avoir les moyens*socio=ec1 d'augmenter ses prêts*socio=ec1 de *socio=rien haute qualité *socio=nil et ne pas être*socio=rien gênée par *socio=rien un manque de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil ou par une capacité*socio=uv3 d'emprunt*socio=ec1 inadéquate*socio=uv4 pour répondre à la demande*socio=ec1 future*socio=te. Le Comité*socio=ac accueille avec satisfaction*socio=uv3 les efforts*socio=uv1 supplémentaires*socio=rien que fournit la Banque*socio=ac pour promouvoir des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3, efforts*socio=uv1 qui se sont accompagnés de l'augmentation*socio=ec2 de ses engagements*socio=et financiers*socio=ec1 à l'appui*socio=uv1 de ces programmes*socio=et. Le Comité*socio=ac souligne que la banque_mondiale*socio=ac, ainsi que le FMI*socio=ac et les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, joue un*socio=rien rôle*socio=et essentiel*socio=uv4 à l'appui*socio=uv1 de programmes*socio=et détaillés d'ajustement*socio=et. Il note que si les autres participants*socio=ac continuent à s'acquitter de leurs obligations*socio=uv1 concernant les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et, la Banque*socio=ac pourrait se voir sollicitée, au titre*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1987, pour *socio=rien un volume de*socio=nil prêts*socio=ec1 *socio=nil dépassant la capacité*socio=uv3 que lui confère le capital*socio=ec1 dont elle dispose actuellement. Le Comité*socio=ac prend note avec satisfaction*socio=uv3 du*socio=rien débat*socio=et qui doit s'engager prochainement au *socio=rien sein du Conseil*socio=ac *socio=nil de la Banque*socio=ac sur*socio=rien plusieurs *socio=rien questions relatives au*socio=nil calcul des*socio=nil besoins*socio=uv1 futurs*socio=te de*socio=nil capital*socio=ec1,*socio=nil notamment*socio=nil sur la*socio=nil détermination *socio=nil de la valeur*socio=ec1 du*socio=rien capital*socio=ec1 de la BIRD*socio=ac. Les ministres*socio=ac sont convenus que le Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac devra s'efforcer de résoudre au plus tôt ces questions*socio=rien afin qu'un*socio=rien accord*socio=et sur*socio=rien une augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale du capital*socio=ec1 puisse*socio=nil être *socio=nil conclu rapidement. À cet égard*socio=rien, et à la lumière*socio=rien de ces éléments*socio=rien encourageants*socio=uv4, le Comité*socio=ac souligne qu'il est*socio=rien important*socio=uv4 de continuer à suivre de près les progrès*socio=uv1 réalisés par la Banque*socio=ac dans la satisfaction*socio=uv3 de ses besoins*socio=uv1 en capital*socio=ec1 et qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil d'assurer qu'elle dispose d'un*socio=rien capital*socio=ec1 suffisant*socio=rien. Les ministres*socio=ac demandent à la banque_mondiale*socio=ac d'établir *socio=rien un rapport d'*socio=nil activité *socio=nil qui sera examiné à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac *socio=nil et qui portera sur*socio=rien le programme*socio=et de prêts*socio=ec1 de la Banque*socio=ac et aura pour objet*socio=rien de déterminer si son capital*socio=ec1 demeure suffisant*socio=rien. 12. Le Comité*socio=ac a pris connaissance*socio=ec2 *socio=rien du dernier rapport *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac, établi sur*socio=rien sa demande*socio=ec1 sur*socio=rien les *socio=uv4 graves difficultés que*socio=nil continue*socio=rien *socio=nil de connaître l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te, et est*socio=rien convenu qu'une action*socio=ec1 concertée s'impose de toute urgence*socio=rien pour faire face*socio=rien aux problèmes*socio=uv4 de cette région*socio=te. Le Comité*socio=ac réaffirme qu'il soutient avec vigueur*socio=uv3 le Programme*socio=et d'action*socio=ec1 concertée approuvé à sa réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1984. Il demande*socio=ec1 en outre qu'une étude*socio=ec2 des perspectives*socio=te relatives*socio=rien aux marchés*socio=ec1 des matières_premières*socio=ec1 soit préparée pour une *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 13. Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 l'engagement*socio=uv1 de plus en plus marqué des *socio=ac gouvernements africains *socio=nil vis-à-vis d'une réforme*socio=et de leurs politiques_économiques*socio=et, dont témoignent*socio=rien les exemples*socio=rien, présentés dans le rapport*socio=rien de la Banque*socio=ac, de mesures*socio=et d'ajustement*socio=et en cours*socio=rien d'application*socio=rien. Certains *socio=rien résultats prometteurs *socio=nil apparaissent déjà. Le Comité*socio=ac souligne que, compte*socio=ec1 tenu notamment de la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien et de la *socio=rien lourde charge *socio=nil qu'imposent les obligations*socio=uv1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil programmes*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et à*socio=nil moyen terme axés*socio=nil sur la*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil ne pourront être*socio=rien menés à *socio=rien bonne fin *socio=nil que si les apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 extérieurs*socio=te augmentent. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac notent que la Banque*socio=ac estime*socio=rien à 2,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 par an les flux*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien de *socio=ec1 ressources concessionnelles *socio=nil qui seront nécessaires*socio=rien, au cours*socio=rien des *socio=rien cinq années *socio=nil à venir, pour aider à satisfaire les besoins*socio=uv1 financiers*socio=ec1 des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac exhortent les pays_industrialisés*socio=ac à ne ménager*socio=rien aucun effort*socio=uv1 pour combler ce déficit*socio=ec1 en fournissant *socio=rien un surcroît d'*socio=nil aide_publique_au_développement*socio=et,*socio=nil *socio=nil par les voies*socio=rien bilatérale*socio=et et multilatérale*socio=et, aux pays*socio=ac de la région*socio=te qui entreprennent d'importants*socio=uv4 programmes*socio=et de réformes*socio=et. La plupart*socio=rien des ministres*socio=ac sont convenus en outre que les *socio=ac pays donateurs *socio=nil ne devront pas être*socio=rien bénéficiaires*socio=ac nets*socio=rien des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 officiels*socio=et provenant des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac qui entreprennent des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et. 14. Les ministres*socio=ac sont convenus également qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil d'améliorer encore l'efficacité*socio=uv3 des flux*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 à l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te et notent les suggestions*socio=rien présentées par la banque_mondiale*socio=ac en vue*socio=rien de renforcer la coordination*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1 entre les donateurs*socio=ac. Le Comité*socio=ac réaffirme que la responsabilité*socio=uv1 principale*socio=rien de la coordination*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1 incombe à chaque *socio=ac gouvernement bénéficiaire.*socio=nil *socio=nil À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 instamment à la Banque*socio=ac de prendre l'initiative*socio=rien en ce qui concerne l'amélioration*socio=uv1 de la coordination*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1 et de travailler en collaboration*socio=uv1 étroite*socio=rien avec les gouvernements*socio=ac intéressés ainsi qu'avec le PNUD*socio=ac, l'OCDE*socio=ac/CAD*socio=ac, la *socio=ac Communauté européenne *socio=nil et les autres parties*socio=rien intéressées. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 à la Banque*socio=ac de lui rendre compte*socio=ec1 à sa *socio=rien prochaine réunion des*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil accomplis en ce qui concerne tous les aspects*socio=rien de la coordination*socio=uv3, notamment pour ce qui est*socio=rien de l'établissement*socio=rien de meilleurs*socio=uv4 mécanismes*socio=et de suivi. 15. Le Comité*socio=ac a entendu un*socio=rien compte*socio=ec1 rendu des progrès*socio=uv1 réalisés dans le cadre*socio=rien des négociations*socio=et actuelles*socio=te relatives*socio=rien à la reconstitution*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac. Les ministres*socio=ac soulignent l'importance*socio=rien particulière*socio=rien de l'IDA*socio=ac pour le succès*socio=uv1 des programmes*socio=et de développement*socio=uv3 des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 du*socio=rien monde*socio=te entier*socio=rien. Les ministres*socio=ac sont presque unanimes à exprimer fermement l'espoir*socio=uv1 que la huitième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac atteindra le montant*socio=ec1 de 12 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Ce montant*socio=ec1 permettrait de maintenir, en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2, le volume*socio=rien des *socio=ec1 ressources concessionnelles actuellement*socio=nil disponibles*socio=rien au*socio=nil titre*socio=rien *socio=nil d'IDA-VII et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 spécial*socio=rien d'aide*socio=uv1 à l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te, et permettrait également à l'IDA*socio=ac de poursuivre l'action*socio=ec1 qu'elle mène pour atténuer la pauvreté*socio=uv1 et promouvoir le développement*socio=uv3 économique*socio=ec1 et d'apporter l'appui*socio=uv1 nécessaire*socio=rien, de concert*socio=uv1 avec le FMI*socio=ac, aux pays*socio=ac admis à bénéficier de son aide*socio=uv1 qui entreprennent des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3. Les ministres*socio=ac exhortent les donateurs*socio=ac à faire tout leur possible*socio=rien pour parvenir, dans les *socio=rien prochains mois,*socio=nil à*socio=nil un consensus*socio=uv1 sur les*socio=nil questions *socio=nil non encore réglées relatives*socio=rien à la prochaine*socio=rien reconstitution*socio=ec2, notamment sur*socio=rien celles *socio=rien du juste partage*socio=uv1 des*socio=nil charges *socio=nil et de l'affectation*socio=ec1 équitable*socio=uv2 des ressources*socio=ec1, et forment le voeu*socio=rien que les négociations*socio=et aboutissent avant la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac,*socio=nil en*socio=nil septembre.*socio=nil *socio=nil 16. Le Comité*socio=ac se félicite de la décision*socio=et prise*socio=rien récemment par le conseil_d'_administration*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac de créer une facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 ( FAS*socio=ec1) au titre*socio=rien de laquelle le Fonds*socio=ec1 consentira aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 aux prises*socio=rien avec des difficultés*socio=uv4 tenaces*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec1 une aide*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1 à l'appui*socio=uv1 de programmes*socio=et macroéconomiques*socio=ec1 et de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil note que cette nouvelle*socio=rien facilité nécessitera une coordination*socio=uv3 étroite*socio=rien entre le Fonds*socio=ec1 et la banque_mondiale*socio=ac afin d'aider les pays_membres*socio=ac admis à en bénéficier à élaborer *socio=rien un cadre de*socio=nil politique*socio=et générale à*socio=nil moyen terme.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil exprime l'espoir*socio=uv1 qu'aux ressources*socio=ec1 offertes*socio=rien au titre*socio=rien de cette facilité viendront s'ajouter celles qui proviendront d'une aide*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1 - bilatérale*socio=et et multilatérale*socio=et - supplémentaire*socio=rien, à l'appui*socio=uv1 de programmes*socio=et convenus. Les ministres*socio=ac réaffirment que ces dispositions*socio=et n'auront pas d'effets*socio=rien défavorables*socio=uv4 sur*socio=rien la disponibilité*socio=rien d'aide*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1 au développement*socio=uv3 pour les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 qui n'utiliseraient pas les ressources*socio=ec1 provenant des remboursements*socio=ec1 des prêts*socio=ec1 du*socio=rien *socio=ec1 Fonds fiduciaire.*socio=nil *socio=nil 17. Le Comité*socio=ac reconnaît que les flux*socio=ec1 de *socio=ec1 ressources concessionnelles *socio=nil revêtent une importance*socio=rien cruciale*socio=uv4 pour le succès*socio=uv1 des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et de croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3 les_plus_pauvres*socio=uv2. A cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac prend note avec satisfaction*socio=uv3 des *socio=rien nouveaux rapports *socio=nil présentés par la Banque*socio=ac sur*socio=rien la suite*socio=rien donnée aux conclusions*socio=rien formulées par le Groupe*socio=ac d'étude*socio=ec2 sur*socio=rien les flux*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1. Dans le cadre*socio=rien des efforts*socio=uv1 déployés pour qu'il soit donné suite*socio=rien à ces conclusions*socio=rien, notamment à celles qui concernent l'accroissement*socio=ec2 des flux*socio=ec1 d'aide_publique_au_développement*socio=et, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 à la banque_mondiale*socio=ac d'établir pour sa *socio=rien prochaine réunion un rapport *socio=nil contenant des prévisions*socio=ec2 *socio=rien du volume *socio=nil de l'APD*socio=et pour la période*socio=te 1986-1990. 18. Les ministres*socio=ac prennent note des délibérations*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac sur*socio=rien les questions*socio=rien soulevées dans les *socio=rien rapports récents du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix et du*socio=rien Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien. Les ministres*socio=ac rappellent en outre qu'aux réunions*socio=rien de Séoul*socio=ac le Président*socio=ac du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac et le Président*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 ont pris l'engagement*socio=uv1 de rester en contact*socio=rien afin de voir dans quelle mesure*socio=rien des dispositions*socio=et pourraient *socio=rien être prises *socio=nil pour une coopération*socio=uv1 sur*socio=rien les questions*socio=rien concernant le développement*socio=uv3. Prenant note de son intervention*socio=et à la *socio=rien réunion du comité_intérimaire*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil ministres*socio=ac *socio=nil ' demandent au Président*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3, une fois*socio=rien qu'il aura tenu d'autres consultations*socio=uv1 avec le Président*socio=ac du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac, de leur rendre compte*socio=ec1, à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil de la façon*socio=rien dont il conçoit les modalités*socio=rien d'accords*socio=et de coopération*socio=uv1 en vue*socio=rien d'améliorer les *socio=rien effets du système_monétaire*socio=ec1 et*socio=nil financier*socio=ec1 sur la*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil et le développement*socio=uv3. 19. Le Comité*socio=ac a été*socio=rien informé par le directeur_général*socio=ac du*socio=rien GATT*socio=ac de l'évolution*socio=te récente*socio=rien des questions*socio=rien concernant le commerce*socio=ec1 international*socio=te et des progrès*socio=uv1 réalisés par le Comité*socio=ac *socio=rien préparatoire du GATT*socio=ac *socio=nil dans la définition*socio=rien de l'ordre*socio=rien *socio=rien du jour du nouveau cycle*socio=te *socio=nil proposé de négociations*socio=et commerciales*socio=ec1. Le Comité*socio=ac réitère son appel*socio=rien à tous les gouvernements*socio=ac pour qu'ils résistent au protectionnisme*socio=et, et invite les gouvernements*socio=ac à entamer sans tarder la nouvelle*socio=rien série de négociations*socio=et sous les *socio=rien auspices du GATT*socio=ac *socio=nil afin d'ouvrir plus largement les marchés*socio=ec1 et de renforcer le système*socio=rien d'échanges_commerciaux*socio=ec1. Les ministres*socio=ac expriment l'espoir*socio=uv1 que les Parties*socio=rien contractantes*socio=ec1 tiendront compte*socio=ec1, lors*socio=rien de ces négociations*socio=et commerciales*socio=ec1, des mesures*socio=et de libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 adoptées par les pays_en_développement*socio=uv3 dans le cadre*socio=rien de leurs politiques*socio=et d'ajustement*socio=et et de croissance*socio=uv3. Le Comité*socio=ac invite le directeur_général*socio=ac du*socio=rien GATT*socio=ac à continuer de le tenir informé de l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien. 20. Le Comité*socio=ac exprime sa profonde*socio=rien gratitude*socio=uv1 à Monsieur*socio=rien AW Clausen, Président*socio=ac de la Banque*socio=ac, à l'occasion*socio=rien de son départ*socio=rien, pour le soutien*socio=uv3 énergique*socio=ec1 et les encouragements*socio=uv4 qu'il a apportés aux *socio=rien travaux du Comité*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et pour son importante*socio=uv4 contribution*socio=uv1, au cours*socio=rien des *socio=rien cinq années *socio=nil de son mandat*socio=rien, à la *socio=rien cause du progrès*socio=uv1 économique*socio=ec1 et*socio=nil social*socio=et des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil Grâce *socio=nil à l'esprit*socio=rien novateur et au dévouement*socio=uv1 dont il a fait*socio=rien preuve*socio=ec2 dans la conduite*socio=rien des affaires*socio=ec1 de la Banque*socio=ac, à une époque*socio=te où l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te était en butte à de *socio=uv4 graves difficultés,*socio=nil l'*socio=nil institution*socio=ac *socio=nil se trouve aujourd'hui en mesure*socio=rien de jouer le rôle*socio=et plus large*socio=rien qui lui a été*socio=rien confié à *socio=rien juste titre.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac adresse ses*socio=nil meilleurs*socio=uv4 voeux à*socio=nil Monsieur *socio=nil Clausen. 21. Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu de se réunir à nouveau*socio=rien le 29 septembre*socio=rien 1986 à Washington*socio=ac, DC.