*{ Fonds Monétaire international Rapport Annuel 1987 } fonds_monétaire_international*socio=ac. Rapport*socio=rien annuel*socio=te du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac pour l'exercice*socio=rien clos le 30 avril*socio=rien 1987. Chapitre*socio=rien 1 Évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Introduction*socio=rien. La situation*socio=rien économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 internationale*socio=ac s'est*socio=rien sensiblement modifiée en 1986 et au début*socio=rien de 1987. La croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 a ralenti dans les pays_industrialisés'*socio=ac, le prix*socio=ec1 réel*socio=rien des *socio=rien produits primaires *socio=nil a continué de baisser, les déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te se sont accentués malgré l'ajustement*socio=et en cours*socio=rien des *socio=ec1 balances commerciales réelles*socio=ec2,*socio=nil les*socio=nil pressions*socio=ec2 et*socio=nil initiatives*socio=rien protectionnistes*socio=et *socio=nil se sont multipliées et la situation*socio=rien financière*socio=ec1 extérieure*socio=te de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 s'est*socio=rien encore aggravée. Cette évolution*socio=te jette de l'ombre sur*socio=rien les éléments*socio=rien plus positifs*socio=uv4 de la situation*socio=rien : les nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 réalisés dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1, la croissance*socio=ec1 assez rapide*socio=rien de la production*socio=ec1 dans beaucoup de pays_en_développement*socio=uv3 non pétroliers*socio=ec1, le *socio=rien repli continu des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil mesures*socio=et prises en*socio=nil vue *socio=nil de renforcer la coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac et, pour les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1, une configuration*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 qui enfin reflète davantage les traits*socio=rien fondamentaux*socio=uv4 de la réalité*socio=ec2 économique*socio=ec1. En 1986, la production*socio=ec1 mondiale*socio=te a presque autant augmenté (3 1/4% environ) qu'en 1985, mais cette croissance*socio=uv3 qui marquait la *socio=rien quatrième année *socio=nil de reprise depuis la récession*socio=ec2 de 1982 n'a pas fait*socio=rien preuve*socio=ec2 de tout le dynamisme*socio=uv3 escompté. L'écart*socio=ec2 s'explique surtout par l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac où la croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1 réelle*socio=ec2 a diminué, tombant de 3 1/4% en 1985 à 2 3/4% en 1986,, *socio=rien du quatrième trimestre*socio=te *socio=nil de 1985 au dernier*socio=rien trimestre*socio=te de 1986, le taux_de_croissance*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac n'a été*socio=rien que de 2 1/4%. Ce *socio=rien résultat est fort décevant au*socio=nil regard des*socio=nil avantages *socio=nil que laissaient entrevoir la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et des *socio=rien produits primaires,*socio=nil l'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil de la configuration*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 et la détente*socio=rien de la situation*socio=rien monétaire*socio=ec1. Apparemment, cela tient en partie*socio=rien au fait*socio=rien que les gains*socio=ec1 réalisés par les pays_industrialisés*socio=ac au titre*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1 ont mis assez de temps*socio=rien à se répercuter sur*socio=rien la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, alors que la réduction*socio=ec2 correspondante*socio=rien des importations*socio=ec1 réelles*socio=ec2 nettes*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, et par conséquent*socio=rien la diminution*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 réelles*socio=ec2 nettes*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, a été*socio=rien comparativement rapide*socio=rien. En outre, les pays*socio=ac n'ont pas réagi de façon*socio=rien uniforme*socio=uv4 aux mouvements*socio=ec2 prononcés des taux_de_change*socio=ec1 entre le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1985 et le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1987, ce qui a aussi contribué au ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=ec1 : l'effet*socio=rien de freinage*socio=rien s'est*socio=rien fait*socio=rien sentir plus vite dans les pays*socio=ac dont la monnaie*socio=ec1 s'est*socio=rien appréciée que l'effet*socio=rien stimulateur dans ceux dont la monnaie*socio=ec1 s'est*socio=rien dépréciée. Ces ajustements*socio=et asymétriques*socio=rien à l'évolution*socio=te, dans *socio=rien un sens *socio=nil comme dans l'autre, des prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien semblent avoir quelque peu modéré la demande*socio=ec1 et ralenti l'activité_économique*socio=ec1 à court_terme*socio=te. La croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3 n'a presque pas varié. L'accélération*socio=ec2 modérée de la croissance*socio=uv3 globale*socio=rien, qui est*socio=rien passée de 3,3 % en 1985 à 4,0 % en 1986, masque la diversité*socio=uv1 des tendances*socio=ec2 d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. À la suite*socio=rien de l'ajustement*socio=et réel*socio=rien dicté par la baisse*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, la production*socio=ec1 des grands*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil a reculé, alors que celle des pays_en_développement*socio=uv3 d'Asie*socio=ac et de l' hémisphère_occidental*socio=te non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1 se renforçait légèrement, grâce*socio=rien, entre autres, à l'amélioration*socio=uv1 de leur compétitivité*socio=uv3. Dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac, la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 a ralenti et le revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac a diminué. L'aggravation*socio=ec2 persistante*socio=rien des déséquilibres*socio=uv3 *socio=te extérieurs courants,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=rien *socio=nil entre les trois principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac - États-unis*socio=ac, Japon*socio=ac et République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac - *socio=rien est un sujet de*socio=nil préoccupations*socio=uv4 *socio=nil de plus en plus vives. À cause*socio=rien de la menace*socio=uv1 du*socio=rien protectionnisme*socio=et et des perturbations*socio=ec2 qu'ils risquent de provoquer sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1, ces déséquilibres*socio=uv3 pourraient avoir *socio=rien un effet *socio=nil déstabilisateur et, s'ils devaient persister pendant une longue*socio=rien période*socio=te, de graves*socio=uv4 conséquences*socio=rien pour la croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Soucieux*socio=rien de parer à ces dangers*socio=uv1, les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont pris *socio=rien un certain nombre de*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil visant à renforcer la coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et dans le but*socio=rien de promouvoir une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 plus équilibrée et de réduire les déséquilibres*socio=uv3 des soldes*socio=ec1 courants*socio=te. Après*socio=rien l'Accord*socio=et du*socio=rien Plaza*socio=et de septembre*socio=rien 1985, qui insistait sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'une configuration*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 qui soit davantage en rapport*socio=rien avec les données fondamentales*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1, la Déclaration*socio=et économique*socio=ec1 de Tokyo*socio=ac de mai*socio=rien 1986 a demandé un*socio=rien renforcement*socio=ec2 sensible*socio=rien de la *socio=et surveillance multilatérale *socio=nil par le recours*socio=ec1 à des *socio=ec1 indicateurs économiques.*socio=nil *socio=nil Plus récemment, l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et de février*socio=rien 1987 est*socio=rien venu accentuer encore les efforts*socio=uv1 visant à coordonner les politiques_économiques*socio=et. en particulier*socio=rien, les pays*socio=ac excédentaires*socio=ec2 s'engageaient par cet accord*socio=et à renforcer la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et à comprimer leurs excédents*socio=ec1 extérieurs*socio=te tout en maintenant la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1,, de leur côté*socio=rien, les pays*socio=ac déficitaires*socio=ec2 s'engageaient à promouvoir une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 soutenue, marquée par de faibles*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1, tout en redressant leurs déséquilibres*socio=uv3 intérieurs*socio=te et en réduisant leurs déficits*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Dans ces conditions*socio=ec1, les pays*socio=ac participants*socio=rien se sont déclarés prêts*socio=ec1 à favoriser la stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 autour des niveaux*socio=rien où ils se situaient alors, après*socio=rien le réajustement*socio=ec2 considérable*socio=rien qui s'était opéré depuis l'Accord*socio=et du*socio=rien Plaza*socio=et. Ces intentions*socio=rien ont ensuite été*socio=rien réaffirmées par les chefs*socio=ac d'État*socio=ac et de gouvernement*socio=ac des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac dans la Déclaration*socio=et économique*socio=ec1 *socio=rien du sommet *socio=nil de Venise, en juin*socio=rien 1987 (voir encadré). Autre sujet*socio=rien qui demeure préoccupant*socio=rien, la situation*socio=rien financière*socio=ec1 extérieure*socio=te de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 s'est*socio=rien encore aggravée en 1986. Dans certains cas*socio=rien, cela tient, entre autres, aux dérapages*socio=uv4 dans l'application*socio=rien des politiques*socio=et d'ajustement*socio=et. En outre, pour de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, l'environnement*socio=et extérieur*socio=te a été*socio=rien nettement moins favorable*socio=uv4. Ainsi, l'interruption*socio=rien des flux*socio=ec1 nets*socio=rien de prêts*socio=ec1 internationaux*socio=te privés*socio=et vers les pays_en_développement*socio=uv3, due en partie*socio=rien à la lenteur*socio=rien des négociations*socio=et qui ont précédé la conclusion*socio=rien de quelques-uns des principaux*socio=rien accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et, a entraîné une nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 des emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te de ces pays*socio=ac en 1986 par rapport*socio=rien à l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Cette diminution*socio=ec2 a eu lieu*socio=rien, alors même que la dégradation*socio=uv3 exceptionnelle*socio=uv4 des ternies de l'échange*socio=ec1 de certains pays_en_développement*socio=uv3 occasionnait des pertes*socio=ec2 de revenu*socio=ec1 qui ont atteint l'équivalent*socio=rien de 100 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac du*socio=rien tiers_monde*socio=ac. Pour couvrir le déficit*socio=ec1 de financement*socio=ec1 qui en est*socio=rien résulté, ces pays*socio=ac ont à la fois*socio=rien puisé dans leurs réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 et comprimé leurs importations*socio=ec1 nettes*socio=rien, ce qui a eu pour effet*socio=rien d'abaisser le niveau_de_vie*socio=uv1 dans beaucoup d'entre eux et de freiner la croissance*socio=uv3 dans les pays_industrialisés*socio=ac. Malgré le très *socio=rien faible niveau des*socio=nil emprunts*socio=ec1 *socio=nil et la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1, les *socio=ec1 ratios dette et*socio=nil service_de_la_dette/*socio=nil exportations *socio=nil ont continué de se dégrader, en raison*socio=rien surtout de la diminution*socio=ec2 des prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1. Quelques *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil ainsi qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil faible revenu*socio=ec1 d'*socio=nil Afrique*socio=ac au*socio=nil sud*socio=te du Sahara*socio=ac *socio=nil se sont trouvés dans une situation*socio=rien économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 particulièrement difficile*socio=rien. Étant donné l'évolution*socio=te contrastée de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te au cours*socio=rien des *socio=rien derniers mois,*socio=nil *socio=nil il importe avant tout de mettre en place*socio=rien des politiques_économiques*socio=et propres*socio=rien à assurer une croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2, la stabilité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et la résorption*socio=ec2 progressive*socio=rien des déséquilibres*socio=uv3 de paiements*socio=ec1 entre les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. en particulier*socio=rien, une action*socio=ec1 résolue s'impose pour réduire le déficit*socio=ec1 *socio=et budgétaire fédéral des*socio=nil États-unis*socio=ac,*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil il faut aussi que les pays_industrialisés*socio=ac fortement excédentaires*socio=ec2, notamment le Japon*socio=ac et la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, favorisent un*socio=rien rythme*socio=ec2 d'expansion*socio=ec2 suffisant*socio=rien de leur demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Il se peut aussi que plusieurs autres pays_industrialisés*socio=ac et quelques nouveaux*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 disposent d'une certaine*socio=rien marge de manoeuvre*socio=rien, dans le cadre*socio=rien de leur politique_économique*socio=ec1, pour promouvoir une expansion*socio=ec2 plus rapide*socio=rien de leurs importations*socio=ec1. Dans les pays_en_développement*socio=uv3 endettés, il convient de renforcer les mesures*socio=et visant à mobiliser l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te et à la retenir dans ces pays*socio=ac afin de favoriser l'ajustement*socio=et et la croissance*socio=uv3. En même temps*socio=rien, il faut que tous les pays*socio=ac opèrent des réformes*socio=et d'ordre*socio=rien structurel*socio=ec2 qui permettent d'éliminer les rigidités*socio=uv3 du*socio=rien marché*socio=ec1 et d'améliorer l'efficience*socio=uv3 économique*socio=ec1 tout en encourageant la résistance*socio=rien au protectionnisme*socio=et. Le *socio=rien reste du présent chapitre est *socio=nil consacré à un*socio=rien exposé plus détaillé de l'évolution*socio=te récente*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, qui servira de base*socio=rien à l'analyse*socio=ec2 des politiques*socio=et et des *socio=rien activités du Fonds*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil présentée au chapitre*socio=rien 2. Activités*socio=rien et politiques_économiques*socio=et intérieures*socio=te. pays_industrialisés*socio=ac. *socio=rien Cadre général *socio=nil de la politique_économique*socio=ec1. Au cours*socio=rien des dix-huit *socio=rien derniers mois,*socio=nil l'*socio=nil orientation*socio=et *socio=nil tout autant que le contenu de la politique_économique*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac ont été*socio=rien sensiblement modifiés. Ces modifications*socio=rien reflètent l'intensification*socio=ec2 des efforts*socio=uv1 visant à coordonner les politiques_économiques*socio=et des principaux*socio=rien pays*socio=ac,, on peut en outre considérer qu'elles s'inscrivent dans le *socio=rien prolongement direct *socio=nil de la stratégie*socio=et économique*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme *socio=nil qui dicte l'orientation*socio=et des politiques*socio=et depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80. L'un*socio=rien des buts*socio=et fondamentaux*socio=uv4 de cette stratégie*socio=et est*socio=rien de ramener l'inflation*socio=ec1 à *socio=rien un niveau acceptable*socio=uv2,*socio=nil objectif*socio=uv3 qu'*socio=nil un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont d'ailleurs*socio=rien quasiment atteint. Plus récemment, on a accordé une plus *socio=rien large place aux*socio=nil considérations de*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil et de balance_des_paiements*socio=ec1, ainsi qu'à la nécessité*socio=uv1 de soutenir l'activité_économique*socio=ec1 sans compromettre les progrès*socio=uv1 réalisés dans la maîtrise*socio=rien de l'inflation*socio=ec1. Il en est*socio=rien résulté une réorientation*socio=et des politiques_économiques*socio=et : *socio=rien détente notable des*socio=nil politiques_monétaires*socio=et *socio=nil et, dans certains pays*socio=ac où le rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et a déjà fait*socio=rien quelques progrès*socio=uv1, assouplissement*socio=uv3 des politiques_budgétaires*socio=et. En même temps*socio=rien, les pays*socio=ac dont les finances*socio=ec1 publiques*socio=et ou les paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te font apparaître un*socio=rien déficit*socio=ec1 élevé*socio=uv4 ont resserré leur politique_budgétaire*socio=et. Le renforcement*socio=ec2 de la coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et des principaux*socio=rien pays*socio=ac a eu *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil effets bénéfiques*socio=uv1.*socio=nil La*socio=nil réorientation*socio=et *socio=nil et le *socio=rien nouveau dosage des*socio=nil politiques_économiques*socio=et *socio=nil ont contribué à une répartition*socio=uv3 plus viable*socio=uv4 de la croissance*socio=uv3 entre les pays*socio=ac. Les changements*socio=uv3 de politique_économique*socio=ec1 ont en outre favorisé*socio=rien le *socio=rien réalignement sensible des*socio=nil principaux taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil qui a eu *socio=rien lieu après l'*socio=nil Accord*socio=et du Plaza*socio=et *socio=nil et appuyé les efforts*socio=uv1 déployés pendant les mois*socio=rien qui ont précédé et suivi l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et, en vue*socio=rien de stabiliser les taux_de_change*socio=ec1. De plus, bien*socio=rien que les déséquilibres*socio=uv3 des soldes*socio=ec1 courants*socio=te aient continué à s'aggraver en 1986, notamment entre les trois principaux*socio=rien pays*socio=ac, l'adaptation*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et préconisée par l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et devrait déboucher à *socio=rien moyen terme sur une*socio=nil réduction*socio=ec2 sensible des*socio=nil déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te.*socio=nil L'*socio=nil évolution*socio=te récente *socio=nil de la situation*socio=rien budgétaire*socio=et aux États-unis*socio=ac *socio=rien est un élément important*socio=uv4 *socio=nil de la nouvelle*socio=rien configuration*socio=et des *socio=et politiques_ économiques.*socio=nil *socio=nil Depuis l'adoption*socio=uv3 par le Congrès*socio=ac des États-unis*socio=ac du*socio=rien " Balanced Budget*socio=ec1 and Emergency Deficit Control Act " (connu sous le nom*socio=rien de Loi*socio=et Gramm-rudman-hollings) en décembre*socio=rien 1985, la situation*socio=rien budgétaire*socio=et s'est*socio=rien considérablement*socio=rien améliorée, même si la loi*socio=et n'a pas été*socio=rien appliquée dans toute son étendue, comme elle devait l'être*socio=rien à l'origine*socio=rien. Il subsiste quelques incertitudes*socio=uv3 quant au rythme*socio=ec2 auquel le déficit*socio=ec1 sera réduit et aux moyens*socio=ec1 à prendre pour y parvenir, mais les estimations*socio=ec2 actuelles*socio=te concernant le déficit*socio=ec1 du*socio=rien budget*socio=ec1 fédéral*socio=et pour l'exercice*socio=rien 1986 / 87 laissent entrevoir une nette*socio=rien amélioration*socio=uv1 par rapport*socio=rien aux tendances*socio=ec2 précédentes*socio=rien. Le gouvernement*socio=ac des États-unis*socio=ac a l'intention*socio=rien de réduire encore le déficit*socio=ec1 dans de *socio=rien fortes proportions au*socio=nil cours *socio=nil de l'exercice*socio=rien 1987 / 88. Des modifications*socio=rien ont été*socio=rien apportées également à la politique_budgétaire*socio=et des autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Ainsi, au Japon*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, deux pays*socio=ac qui compriment régulièrement leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et depuis le début*socio=rien de la décennie*socio=te, la politique_budgétaire*socio=et a été*socio=rien assouplie en 1986. Les mesures*socio=et ou les intentions*socio=rien annoncées à la suite*socio=rien de l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et en février*socio=rien 1987 semblent indiquer que la politique_budgétaire*socio=et des deux pays*socio=ac prendra une tournure*socio=rien expansionniste*socio=ec2 à court_terme*socio=te. De plus, la politique_budgétaire*socio=et est*socio=rien devenue moins restrictive*socio=uv4 au Royaume-uni*socio=ac et elle l'_est*socio=te devenue également - au niveau*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac - en France*socio=ac. En revanche, le Canada*socio=ac et l'Italie*socio=ac ont sensiblement resserré leur politique_budgétaire*socio=et, à la suite*socio=rien d'une forte*socio=rien aggravation*socio=ec2 de leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et pendant la *socio=rien première moitié *socio=nil de la décennie*socio=te (tableau*socio=rien 1). Dans certains petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac - en Australie*socio=ac, au Danemark*socio=ac, en Espagne*socio=ac et en Suède*socio=ac -, les contraintes*socio=uv1 de balance_des_paiements*socio=ec1, les *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil et les objectifs*socio=uv3 de rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et ont amené les autorités*socio=et à resserrer notablement*socio=rien leur politique_budgétaire*socio=et. La rigueur*socio=uv3 budgétaire*socio=et a aussi prévalu en Norvège*socio=ac où la situation*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et s'est*socio=rien néanmoins sensiblement détériorée en raison*socio=rien de la baisse*socio=ec2 des redevances*socio=ec1 et des recettes*socio=ec1 fiscales*socio=et provenant *socio=rien du secteur *socio=nil de l'énergie*socio=ec1. Dans l'ensemble*socio=rien, l'évolution*socio=te budgétaire*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac laisse à penser que l'impulsion*socio=ec2 donnée par le budget*socio=ec1 a légèrement diminué en 1986, contrairement à ce qui s'était passé*socio=rien de 1982 à 1985, période*socio=te où la politique_budgétaire*socio=et avait eu *socio=rien un effet généralement*socio=nil expansionniste*socio=ec2 sur l'*socio=nil économie*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil En 1986, l'évolution*socio=te monétaire*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac a fait*socio=rien ressortir que l'éventail*socio=rien des considérations*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 évoquées plus haut*socio=rien s'est*socio=rien élargi. La maîtrise*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 a continué certes d'être*socio=rien un*socio=rien objectif*socio=uv3 primordial*socio=uv4, mais l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te budgétaires*socio=et ainsi que l'amélioration*socio=uv1 *socio=rien ininterrompue du comportement des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil ont fourni une certaine*socio=rien marge de manoeuvre*socio=rien aux autorités*socio=et monétaires*socio=ec1, en particulier*socio=rien lorsqu'elles jugeaient que, avec le recul*socio=rien des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 ou sous l'effet*socio=rien de la déréglementation*socio=et et de l'innovation*socio=uv3 financières*socio=ec1, la vitesse*socio=rien de circulation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 avait changé. Ainsi, la croissance*socio=uv3 de la masse_monétaire*socio=ec1 a été*socio=rien assez rapide*socio=rien en 1986 dans la plupart*socio=rien des principaux*socio=rien pays*socio=ac, malgré *socio=rien un net ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PNB*socio=ec1 nominal*socio=rien, notamment en chiffres annuels*socio=te (un*socio=rien quatrième*socio=rien trimestre*socio=te par rapport*socio=rien à l'autre) (tableau*socio=rien 2). En 1986 et au début*socio=rien de 1987, la conduite*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et a été*socio=rien dictée dans une *socio=rien large mesure *socio=nil par des considérations*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 et des préoccupations*socio=uv4 quant au rythme*socio=ec2 de croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1. Ces considérations*socio=rien expliquent en partie*socio=rien les deux séries d'abaissement*socio=rien concerté des taux*socio=ec1 d'escompte auxquelles ont participé plusieurs grands*socio=rien pays*socio=ac au début*socio=rien de 1986. Par la suite*socio=rien, soucieux*socio=rien de soutenir son activité_économique*socio=ec1 et de stabiliser le *socio=ec1 taux yen/*socio=nil dollar,*socio=nil le*socio=nil Japon*socio=ac *socio=nil a décidé d'abaisser son taux*socio=ec1 d'escompte de 50 points*socio=rien de *socio=rien base supplémentaires *socio=nil et l'a ramené ainsi à 3 % le 31 octobre*socio=rien 1986, tout en annonçant l'entente*socio=et conclue avec les États-unis*socio=ac sur*socio=rien la coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et des deux pays*socio=ac,, une nouvelle*socio=rien réduction*socio=ec2 de 2,5 % a été*socio=rien décidée le 20 février*socio=rien 1987 (avec entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 le 23 février*socio=rien), avant l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et. Cet abaissement*socio=rien des taux*socio=ec1 d'escompte a favorisé*socio=rien le mouvement*socio=ec2 de baisse*socio=ec2 général*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 qui s'est*socio=rien poursuivi jusqu'aux *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1987. L'année*socio=rien dernière*socio=rien, l'incertitude*socio=uv3 qui planait sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 a suscité une hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te au Royaume-uni*socio=ac, en France*socio=ac et dans plusieurs petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Ces mouvements*socio=ec2 de hausse*socio=rien se sont toutefois inversés par la suite*socio=rien. A compter de 1984 (graphique*socio=rien 1), les différentiels*socio=ec1 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont eu tendance*socio=ec2 à s'amenuiser en faveur*socio=rien des titres*socio=rien non américains*socio=ac, mais cette tendance*socio=ec2 s'est*socio=rien interrompue au début*socio=rien de 1987, après*socio=rien que les principaux*socio=rien pays*socio=ac eurent décidé de stabiliser les taux_de_change*socio=ec1. Les pressions*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 qui n'ont cessé de s'exercer sur*socio=rien le dollar_eu*socio=ec1 aux mois*socio=rien de mars*socio=rien et d'avril*socio=rien 1987 se sont accompagnées d'interventions*socio=et *socio=rien massives sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil En même temps*socio=rien, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 se sont mis à monter aux États-unis*socio=ac, alors qu'ils continuaient à baisser dans la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac. Cette évolution*socio=te a eu en outre pour effet*socio=rien d'inverser la tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 du*socio=rien LIBOR (taux*socio=ec1 de l'euromarché interbancaire*socio=ec1 de Londres*socio=ac) sur*socio=rien les dépôts*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 EU à six mois*socio=rien,, à la fin*socio=rien d'avril*socio=rien 1987, ce taux*socio=ec1 était de 7,3 %, soit *socio=rien un niveau supérieur *socio=nil à celui *socio=rien du quatrième trimestre*socio=te *socio=nil de 1986 (6,1%), mais très inférieur*socio=rien à celui de 1984 (11,3%). Tous les pays_industrialisés*socio=ac poursuivent leurs efforts*socio=uv1 pour améliorer le fonctionnement*socio=rien des marchés*socio=ec1 afin d'assurer une meilleure*socio=uv4 répartition*socio=uv3 des ressources*socio=ec1. Outre la déréglementation*socio=et des marchés_financiers*socio=ec1, *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont mis en oeuvre*socio=rien ou annoncé des programmes*socio=et de privatisation*socio=et des entreprises*socio=ac publiques*socio=et. Les gouvernements*socio=ac se sont en outre attachés à éliminer les distorsions*socio=uv3 dues à la nature*socio=rien des *socio=et régimes fiscaux,*socio=nil ,*socio=nil de*socio=nil vastes*socio=rien programmes de*socio=nil réforme fiscale *socio=nil sont ainsi en cours*socio=rien d'application*socio=rien ou envisagés dans plusieurs pays*socio=ac. Cependant, malgré la liste de plus en plus longue*socio=rien des progrès*socio=uv1 réalisés dans le cadre*socio=rien de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, il reste*socio=rien encore beaucoup à faire, tant pour atténuer les rigidités*socio=uv3 du*socio=rien marché*socio=ec1 de la main-d'_oeuvre*socio=ac - notamment en Europe*socio=ac - que pour démanteler les obstacles*socio=uv3 au commerce*socio=ec1 - dans tous les pays*socio=ac. À cet égard*socio=rien, les subventions*socio=ec1 dont bénéficient l'agriculture*socio=ec1 et *socio=rien certaines branches *socio=nil de l'industrie*socio=ec1 continuent d'entraver considérablement*socio=rien la répartition*socio=uv3 efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1 dans les différents*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac et à l'échelle*socio=rien mondiale*socio=te. Activité*socio=rien intérieure*socio=te. En chiffres annuels*socio=te (au quatrième*socio=rien trimestre*socio=te) la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PNB*socio=ec1 réel*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien descendue à 2 1/4 % en 1986, c'est-à-dire à son taux*socio=ec1 le plus faible*socio=rien depuis le début*socio=rien, en 1982, de la reprise en cours*socio=rien (tableau*socio=rien 3). Ce ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=ec1 *socio=rien est attribuable en*socio=nil premier lieu *socio=nil à l'asymétrie*socio=ec2 des réactions*socio=rien que les variations*socio=rien prononcées des termes_de_l'_échange*socio=ec1 et des taux_de_change*socio=ec1 en 1986 ont suscitées dans les différents*socio=rien pays*socio=ac. en particulier*socio=rien, la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et des *socio=rien produits primaires *socio=nil ayant vite entraîné une forte*socio=rien contraction*socio=ec2 des importations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3, les exportations*socio=ec1 réelles*socio=ec2 nettes*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac ont grandement diminué. En revanche, les gains*socio=ec1 consécutifs*socio=rien à l'amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 ont eu des effets*socio=rien assez modérés sur*socio=rien la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te des pays_industrialisés*socio=ac. De plus, la baisse*socio=ec2 des *socio=ec1 prix pétroliers a*socio=nil été*socio=rien préjudiciable*socio=et aux*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil et a nui aux régions*socio=te dotées d'un*socio=rien secteur*socio=rien énergétique*socio=ec1 important*socio=uv4. Enfin, l'activité_économique*socio=ec1 s'est*socio=rien apparemment contractée plus vite dans les pays*socio=ac dont la monnaie*socio=ec1 s'est*socio=rien appréciée qu'elle ne s'est*socio=rien renforcée dans ceux dont la monnaie*socio=ec1 a subi le sort*socio=rien inverse. D'après*socio=rien les chiffres *socio=rien provisoires du premier semestre *socio=nil de 1987, il semblerait que la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 se soit poursuivie à un*socio=rien rythme*socio=ec2 relativement modéré dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac. Aux États-unis*socio=ac, la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien ralentie et, malgré le rythme*socio=ec2 soutenu des dépenses*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 et de la construction*socio=ec1 de logements*socio=ec1, son taux*socio=ec1 est*socio=rien descendu à 2 1/4 % (base*socio=rien annuelle*socio=te) en 1986,, cette baisse*socio=ec2 s'explique par la diminution*socio=ec2 des investissements*socio=ec1 en capital*socio=ec1 fixe et de la constitution*socio=rien de stocks*socio=ec1 dans le secteur*socio=rien des entreprises*socio=ac ainsi que par la léthargie*socio=uv3 persistante*socio=rien des exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien. Si l'investissement*socio=ec1 en capital*socio=ec1 fixe a diminué, c'est*socio=rien dans une *socio=rien large mesure *socio=nil parce qu'il y a eu réduction*socio=ec2 des investissements*socio=ec1 dans l'industrie*socio=ec1 pétrolière*socio=ec1, au lendemain*socio=te de la chute du*socio=rien prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, et que les *socio=rien premiers effets contraignants*socio=uv2 *socio=nil de la *socio=et réforme fiscale *socio=nil se sont fait*socio=rien sentir sur*socio=rien l'investissement*socio=ec1 des entreprises*socio=ac. Pendant les *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1986, les dépenses*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 ont fléchi et le solde*socio=ec1 extérieur*socio=te réel*socio=rien a commencé à s'améliorer. La demande*socio=ec1 intérieure*socio=te *socio=rien finale est demeurée*socio=nil faible au*socio=nil premier trimestre*socio=te *socio=nil de 1987, mais la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 a repris, sous l'effet*socio=rien d'une forte*socio=rien progression*socio=ec2 des stocks*socio=ec1 et d'un*socio=rien net*socio=rien redressement*socio=ec2 du*socio=rien solde*socio=ec1 extérieur*socio=te réel*socio=rien. Au Canada*socio=ac, les pertes*socio=ec2 dues à la détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, le fléchissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te et l'important*socio=uv4 rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et ont eu sur*socio=rien l'activité_économique*socio=ec1 *socio=rien un effet de*socio=nil freinage *socio=nil qui s'est*socio=rien soldé, là aussi, par *socio=rien un net ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 en 1986. Au Japon*socio=ac, la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 a fortement ralenti en 1986, *socio=rien du fait *socio=nil surtout de la baisse*socio=ec2 accentuée des exportations*socio=ec1 réelles*socio=ec2 nettes*socio=rien, la première*socio=rien depuis 1979. L'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te s'est*socio=rien légèrement accélérée, car les gains*socio=ec1 résultant*socio=rien de l'amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, et équivalant à plus de 2% du*socio=rien PNB*socio=ec1, ne se sont répercutés sur*socio=rien la demande*socio=ec1 que progressivement*socio=rien. L'expansion*socio=ec2 de la consommation*socio=ec1 publique*socio=et et de la construction*socio=ec1 de logements*socio=ec1 s'est*socio=rien nettement accélérée, mais la consommation_privée*socio=et a été*socio=rien relativement modérée par rapport*socio=rien à celle des autres pays_industrialisés*socio=ac. Globalement, la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PNB*socio=ec1 *socio=rien réel est *socio=nil descendue à 2 1/2 % en 1986, contre 4 3/4% en 1985,, entre le quatrième*socio=rien trimestre*socio=te de 1985 et le trimestre*socio=te correspondant de 1986, la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 est*socio=rien tombée à 2 % seulement. Dans les principaux*socio=rien pays*socio=ac d'Europe*socio=ac, la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien plus faible*socio=rien que prévu,, elle s'est*socio=rien maintenue dans l'ensemble*socio=rien au même niveau*socio=rien que l'année*socio=rien précédente*socio=rien (2 1/2% environ). C'est*socio=rien en Italie*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac que la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien la plus forte*socio=rien. En République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et en France*socio=ac, le *socio=ec1 taux_de_croissance économique a*socio=nil *socio=rien été similaire *socio=nil ou légèrement inférieur*socio=rien à la moyenne*socio=rien des autres pays_industrialisés*socio=ac. L'amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, l'assouplissement*socio=uv3 de la politique_budgétaire*socio=et dans certains pays*socio=ac, le recul*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 et la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 sont autant de facteurs*socio=rien qui ont contribué à une accélération*socio=ec2 sensible*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te dans chacun des principaux*socio=rien *socio=ac pays européens,*socio=nil les*socio=nil taux*socio=ec1 d'*socio=nil augmentation*socio=ec2 annuelle*socio=te ayant*socio=nil été*socio=rien *socio=nil de l'ordre*socio=rien de 3 à 4%. Cette expansion*socio=ec2 plus rapide*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a toutefois été*socio=rien en *socio=rien grande partie *socio=nil neutralisée, dans tous ces pays*socio=ac, par le repli*socio=rien accentué des exportations*socio=ec1 réelles*socio=ec2 nettes*socio=rien. Les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 ont aussi *socio=rien été décevants *socio=nil dans les petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, où la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PNB*socio=ec1 *socio=rien réel est *socio=nil tombée à 2 1/4 % en 1986 après*socio=rien avoir atteint près de 3 % l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Là encore, ce recul*socio=rien tient surtout à la diminution*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien et s'est*socio=rien produit*socio=rien nonobstant une légère*socio=rien accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Dans la plupart*socio=rien des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, le taux_de_croissance*socio=ec1 a varié entre 1 1/2 et 2 1/2 %. Il a été*socio=rien d'au moins 3% au Danemark*socio=ac, en Espagne*socio=ac et en Norvège*socio=ac, mais la croissance*socio=uv3 a sensiblement ralenti en Australie*socio=ac, par suite*socio=rien notamment d'une nette*socio=rien détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1. En Irlande*socio=ac et en Nouvelle-zélande*socio=ac, le niveau*socio=rien de production*socio=ec1 a légèrement baissé. Bien*socio=rien que la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 ait quelque peu ralenti, le rythme*socio=ec2 de création_d'_emplois*socio=ec1 s'est*socio=rien légèrement accéléré dans les pays_industrialisés*socio=ac, atteignant 1,6 % en 1986, contre 1,4 % en 1985. Parmi les principaux*socio=rien pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac, c'est*socio=rien au Canada*socio=ac et aux États-unis*socio=ac que, cette année*socio=rien encore, l'expansion*socio=ec2 de l'emploi*socio=ec1 a été*socio=rien le plus marquée. Cependant, elle s'est*socio=rien accélérée en Europe*socio=ac également, en partie*socio=rien au moins parce que la période*socio=te d'adaptation*socio=uv3 aux perturbations*socio=ec2 passées*socio=te est*socio=rien terminée et que la progression*socio=ec2 des salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2 a tendance*socio=ec2 à ralentir. Les vastes*socio=rien programmes*socio=et d'embauche*socio=ec1 et de formation_professionnelle*socio=et mis en place*socio=rien par quelques pays*socio=ac, notamment la France*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac, ont contribué, eux aussi à l'amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien de l'emploi*socio=ec1. En ce qui concerne les petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, l'emploi*socio=ec1 a progressé de 2,4 % en Espagne*socio=ac, après*socio=rien avoir fortement reculé pendant presque dix ans*socio=rien, et d'environ 3 1/2% en Australie*socio=ac. L'Irlande*socio=ac et la Finlande*socio=ac sont les seuls*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac où l'emploi*socio=ec1 a régressé en 1986. La bonne*socio=rien tenue de l'emploi*socio=ec1 en 1986 est*socio=rien certes encourageante*socio=uv2 mais elle a été*socio=rien neutralisée par l'arrivée*socio=rien sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1 d'un*socio=rien nombre*socio=rien accru de travailleurs*socio=ac à la recherche*socio=ec2 d'un*socio=rien premier*socio=rien emploi*socio=ec1,, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 global*socio=te des pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien donc resté à 8 %. Étant donné que, dans l'ensemble*socio=rien, les pressions*socio=ec2 démographiques*socio=ec1 qui s'exerçaient sur*socio=rien les marchés_du_travail*socio=ec1 ont commencé à se résorber, cette accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la population_active*socio=ac est*socio=rien entièrement attribuable*socio=rien à la progression*socio=ec2 des taux*socio=ec1 de participation*socio=uv3, qui semble avoir *socio=rien fait suite *socio=nil à l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te d'évolution*socio=te de l'emploi*socio=ec1. Pour l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac d'Europe*socio=ac, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 est*socio=rien resté inchangé*socio=rien (à 10,7% en 1986). En revanche, il a poursuivi son mouvement*socio=ec2 de baisse*socio=ec2 aux États-unis*socio=ac, où il est*socio=rien descendu à 6,3 % au début*socio=rien de 1987, soit presque quatre points*socio=rien de moins que dans les principaux*socio=rien *socio=ac pays européens (*socio=nil graphique*socio=rien *socio=nil 2). Dans sept pays*socio=ac d'Europe*socio=ac - France*socio=ac, Italie*socio=ac, Royaume-uni*socio=ac, Belgique*socio=ac, Irlande*socio=ac, Pays-bas*socio=ac et Espagne*socio=ac -, les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 sont restés supérieurs*socio=rien ou égaux*socio=rien à 10%. Au Japon*socio=ac, à la suite*socio=rien des difficultés*socio=uv4 *socio=rien du secteur manufacturier*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil chômage*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil accru régulièrement et a atteint 2,9% au début*socio=rien de 1987, taux*socio=ec1 exceptionnellement élevé*socio=uv4 pour ce pays*socio=ac. Inflation*socio=ec1. Le *socio=rien recul sensible *socio=nil de l'inflation*socio=ec1 et l'atténuation*socio=ec2 marquée des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 depuis 1980 sont parmi les résultats*socio=rien les plus satisfaisants*socio=uv4 de la stratégie*socio=et économique*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme *socio=nil adoptée par les pays_industrialisés*socio=ac. La hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 a ralenti chaque année*socio=rien pendant la période*socio=te d'expansion*socio=ec2 en cours*socio=rien, phénomène*socio=rien qui tranche nettement avec l'ascension*socio=ec1 persistante*socio=rien des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 qui a caractérisé les reprises économiques*socio=ec1 des années*socio=rien 60 et des années*socio=rien 70. En 1986, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 dans le groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac n'a été*socio=rien que de 2,3% ,, ce taux*socio=ec1, le plus faible*socio=rien depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 60, représente moins d'un*socio=rien *socio=rien cinquième du taux*socio=ec1 *socio=nil de 1980. Dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil *socio=nil on peut attribuer la nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 qu'un*socio=rien *socio=rien grand nombre d'*socio=nil indicateurs*socio=ec1 de*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil ont enregistrée en 1986 à la chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et à la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien non pétroliers*socio=ec1. Pendant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1987, ces effets*socio=rien favorables*socio=uv4 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 ont commencé à s'estomper et, dès lors*socio=rien, on a observé dans plusieurs pays*socio=ac une certaine*socio=rien remontée des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 (graphique*socio=rien 3). Cependant, les pressions*socio=ec2 exercées par les coûts*socio=ec1 intérieurs*socio=te sont demeurées tout à fait*socio=rien modérées. Grâce*socio=rien à l'orientation*socio=et systématiquement anti-inflationniste*socio=ec2 des politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec1 et aux effets*socio=rien bénéfiques*socio=uv1 des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 opérées plus tôt, notamment sur*socio=rien les marchés_du_travail*socio=ec1, l'inflation*socio=ec1 suit depuis quelques années*socio=rien une tendance*socio=ec2 sous-jacente*socio=rien favorable*socio=uv4,, cependant, l'évolution*socio=te des prix*socio=ec1 en 1986 a *socio=rien été dominée,*socio=nil *socio=nil on l'a vu, par la chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et d'autres produits*socio=rien de base*socio=rien. Pour l'ensemble*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, les prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 ont diminué de quelque 12 % en 1986, le Japon*socio=ac enregistrant une baisse*socio=ec2 particulièrement prononcée de près de 36%. Les pays_industrialisés*socio=ac ont presque tous bénéficié de cette réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 importée. Cependant, les prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 ont été*socio=rien plus touchés dans certains pays*socio=ac que dans d'autres en raison*socio=rien des variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 et aussi parce que les effets*socio=rien de cette réduction*socio=ec2 se sont fait*socio=rien sentir avec plus ou moins de rapidité*socio=rien et d'intensité*socio=rien selon l'orientation*socio=et de la politique_économique*socio=ec1 dans les différents*socio=rien pays*socio=ac et la nature*socio=rien de leur cadre*socio=rien institutionnel*socio=et. Dans plusieurs pays*socio=ac, par exemple*socio=rien, la *socio=rien hausse du déflateur*socio=nil implicite du PNB*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil accélérée en 1986, car les entreprises*socio=ac (de production*socio=ec1 et de distribution*socio=rien) ont relevé leurs marges bénéficiaires*socio=ac. Exprimés en dollars*socio=ec1 EU, les prix*socio=ec1 mondiaux*socio=te du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et les cours*socio=rien des autres produits*socio=rien de base*socio=rien ont commencé à remonter à la fin*socio=rien de 1986 et au début*socio=rien de 1987. Cependant, les effets*socio=rien différés des variations*socio=rien antérieures*socio=te des termes_de_l'_échange*socio=ec1 ont continué d'influer favorablement sur*socio=rien les prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des pays*socio=ac pendant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1987. De même, les pressions*socio=ec2 intérieures*socio=te qui s'exerçaient sur*socio=rien les prix*socio=ec1 se sont encore atténuées en 1986, de façon*socio=rien toutefois moins sensible*socio=rien que les *socio=rien années précédentes.*socio=nil *socio=nil Pour l'ensemble*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, le taux*socio=ec1 d'augmentation*socio=ec2 des salaires*socio=ec1 *socio=rien horaires du secteur manufacturier*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui avait été*socio=rien de 5,6 % en 1985, est*socio=rien tombé à 4,0% en 1986. Ce freinage*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 par les salaires*socio=ec1 s'est*socio=rien opéré un*socio=rien peu partout, mais les réductions*socio=ec2 les plus marquées observées dans le groupe*socio=ac des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, ont eu lieu*socio=rien aux États-unis*socio=ac, au Japon*socio=ac, en France*socio=ac et en Italie*socio=ac. Cependant, en *socio=rien raison du ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 de la productivité*socio=uv3, notamment dans les trois plus grands*socio=rien pays*socio=ac, les coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac dans tous les secteurs*socio=rien économiques*socio=ec1 ont augmenté, pour le groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac, de 3,5 %, taux*socio=ec1 à peine inférieur*socio=rien à celui de 1985 (3,9%), la hausse*socio=rien des coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac *socio=rien du secteur manufacturier*socio=ec1 *socio=nil a légèrement ralenti, tombant de 1,9% en 1985 à 1,4 % en 1986. Dans l'ensemble*socio=rien, cette *socio=te évolution intérieure et*socio=nil extérieure *socio=nil a entraîné non seulement *socio=rien un nouveau recul *socio=nil de l'inflation*socio=ec1 dans le groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac, mais aussi une plus grande*socio=rien convergence*socio=uv3 des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1. Parmi les grands*socio=rien pays*socio=ac, la France*socio=ac et l'Italie*socio=ac, où la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 avait été*socio=rien relativement forte*socio=rien pendant la *socio=rien première moitié des*socio=nil années *socio=nil 80, ont vu s'opérer des réductions*socio=ec2 particulièrement prononcées de leur taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1. Au Japon*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, les progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien moins nets*socio=rien. Bien*socio=rien que le dollar*socio=ec1 se soit déprécié, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 a aussi continué à se ralentir aux États-unis*socio=ac en 1986,, cela tient essentiellement à la chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te et au fait*socio=rien que la *socio=rien hausse du prix*socio=ec1 des*socio=nil importations*socio=ec1 américaines*socio=ac a*socio=nil été *socio=nil relativement modérée, ce qui semblerait indiquer que, soucieux*socio=rien de conserver leur *socio=rien part du marché*socio=ec1 américain*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=te *socio=nil ont comprimé leurs marges bénéficiaires*socio=ac. Cependant, au début*socio=rien de 1987, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac s'est*socio=rien de nouveau*socio=rien accélérée sous l'effet*socio=rien de la montée des prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1. Les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 ont baissé dans les petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac aussi mais, en général*socio=rien, moins que dans les grands*socio=rien pays*socio=ac. En Autriche*socio=ac, en Belgique*socio=ac, aux Pays-bas*socio=ac et en Suisse*socio=ac, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 a été*socio=rien moins forte*socio=rien qu'elle ne l'a été*socio=rien, en moyenne*socio=rien, dans les grands*socio=rien pays*socio=ac. L'inflation*socio=ec1 a généralement reculé dans les autres petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, mais elle est*socio=rien demeurée supérieure*socio=rien à celle des grands*socio=rien pays*socio=ac. L'Australie*socio=ac et la Norvège*socio=ac sont les seuls*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac où l'inflation*socio=ec1 s'est*socio=rien aggravée l'année*socio=rien dernière*socio=rien. pays_en_développement*socio=uv3. Orientation*socio=et de la politique_économique*socio=ec1. En 1986, les pays_en_développement*socio=uv3 ont apporté des ajustements*socio=et très variés à leur politique_économique*socio=ec1 mais, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, ils semblent l'avoir fait*socio=rien surtout pour s'adapter*socio=rien à l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 extérieure*socio=te qui, pour nombre*socio=rien d'entre eux, a été*socio=rien défavorable*socio=uv4. L'aspect*socio=rien le plus néfaste*socio=rien de cette évolution*socio=te a été*socio=rien la détérioration*socio=uv4 considérable*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1 de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, consécutive*socio=rien à la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et des autres produits*socio=rien de base*socio=rien par rapport*socio=rien à ceux des produits*socio=rien manufacturés. La diminution*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 qui en est*socio=rien résultée a entraîné non seulement une aggravation*socio=ec2 des positions*socio=rien *socio=te extérieures courantes *socio=nil mais aussi une contraction*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 budgétaires*socio=et qui, dans la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac, sont largement tributaires*socio=rien des impôts*socio=et prélevés sur*socio=rien les recettes*socio=ec1 provenant des échanges*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Ces difficultés*socio=uv4 ont été*socio=rien accentuées par des contraintes*socio=uv1 d'ordre*socio=rien financier*socio=ec1,, en effet*socio=rien, les flux*socio=ec1 nets*socio=rien de prêts*socio=ec1 internationaux*socio=te privés*socio=et en direction*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3, qui, depuis l'éclatement*socio=rien de la crise*socio=uv2 de l'endettement*socio=ec1 en 1982, diminuaient à vive allure*socio=rien, se sont taris en 1986. Bien*socio=rien qu'ils aient été*socio=rien en partie*socio=rien compensés par la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te et la forte*socio=rien expansion*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil ventes*socio=ec1 aux*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil facteurs négatifs *socio=nil l'ont souvent emporté. Ils ont provoqué une aggravation*socio=ec2 des contraintes*socio=uv1 de change*socio=ec1 qui ont obligé *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil à intensifier leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et à limiter*socio=rien la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui ont été*socio=rien le plus durement touchés par la détérioration*socio=uv4 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 extérieure*socio=te, la diminution*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 due à la baisse*socio=ec2 des *socio=ec1 prix pétroliers *socio=nil a entraîné des coupes sombres dans les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et les importations*socio=ec1, surtout dans les pays*socio=ac dont la capacité*socio=uv3 d'emprunt*socio=ec1 était limitée ou qui n'étaient guère en mesure*socio=rien de liquider des actifs*socio=ec1 étrangers*socio=te. En dépit*socio=rien des efforts*socio=uv1 déployés par ces pays*socio=ac pour s'accommoder de la contraction*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, leur situation*socio=rien budgétaire*socio=et s'est*socio=rien fortement dégradée. En raison*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien, nombre*socio=rien de *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil *socio=rien produits primaires *socio=nil ont vu diminuer, eux aussi, leurs recettes*socio=ec1 budgétaires*socio=et liées aux exportations*socio=ec1 et vu se dégrader, par conséquent*socio=rien, leur situation*socio=rien budgétaire*socio=et. Dans l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, le déficit*socio=ec1 des administrations_centrales*socio=ac est*socio=rien donc passé*socio=rien de l'équivalent*socio=rien de 4,5 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1985 à 6,2% en 1986. Cependant, les facteurs*socio=rien extérieurs*socio=te n'ont pas eu que des conséquences*socio=rien défavorables*socio=uv4 en 1986 pour les pays_en_développement*socio=uv3. Ainsi, pour les pays*socio=ac dont une *socio=rien grande partie *socio=nil de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te est*socio=rien assortie de taux_d'_intérêt*socio=ec1 variables*socio=rien, la baisse*socio=ec2 des taux*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te a allégé le poids*socio=rien des dépenses*socio=ec1 dans les comptes*socio=ec1 budgétaires*socio=et. De plus, pour les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil et, en particulier*socio=rien, pour ceux qui exportent des produits*socio=rien manufacturés en *socio=rien grande quantité,*socio=nil *socio=nil la chute des *socio=ec1 prix pétroliers *socio=nil a atténué les contraintes*socio=uv1 extérieures*socio=te et leur a donné plus de latitude*socio=rien dans le choix*socio=uv1 d'une orientation*socio=et pour leur politique_économique*socio=ec1. Plusieurs pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac, notamment certains pays*socio=ac d'Asie*socio=ac exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés, ont pu, grâce*socio=rien à la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, mais aussi à leurs *socio=rien bons résultats *socio=nil dans le secteur*socio=rien des exportations*socio=ec1, assouplir dans une *socio=rien certaine mesure la*socio=nil politique_budgétaire*socio=et restrictive*socio=uv4 *socio=nil qu'ils suivaient depuis quelques années*socio=rien et améliorer leur crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te en constituant des réserves*socio=ec1 et en remboursant leurs dettes*socio=ec1. Cependant, plusieurs autres pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1, qui ont aussi bénéficié de l'allégement*socio=ec2 des contraintes*socio=uv1 extérieures*socio=te et budgétaires*socio=et, n'ont pas saisi cette occasion*socio=rien pour consolider leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et. Souvent, ces pays*socio=ac ont mis en place*socio=rien des mesures*socio=et empreintes de discipline*socio=uv1 budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1 mais, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, ils n'ont obtenu que des résultats*socio=rien médiocres*socio=uv2 par suite*socio=rien de dérapages*socio=uv4 dans la mise en oeuvre*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1. Ainsi, l'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien revenu*socio=ec1 réel*socio=rien provenant *socio=rien du secteur extérieur*socio=te *socio=nil a servi à stimuler la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, en particulier*socio=rien la consommation*socio=ec1. Maints pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 se sont heurtés à un*socio=rien environnement*socio=et extérieur*socio=te en *socio=rien général difficile,*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil comme ils n'avaient guère de latitude*socio=rien dans le choix*socio=uv1 d'une orientation*socio=et pour leur politique_économique*socio=ec1, ils ont dû adopter des mesures*socio=et correctives*socio=ec2. Étant donné que ces pays*socio=ac sont des exportateurs*socio=ac de *socio=rien produits primaires,*socio=nil la*socio=nil plupart *socio=nil d'entre eux ont vu diminuer fortement leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et les recettes*socio=ec1 budgétaires*socio=et qui en découlent. En même temps*socio=rien, *socio=rien du fait *socio=nil que, pour l'essentiel*socio=uv4, leur dette*socio=ec1 extérieure*socio=te est*socio=rien assortie de conditions*socio=ec1 libérales*socio=et et de taux*socio=ec1 fixes, ils n'ont guère bénéficié de la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te. Par conséquent*socio=rien, leur situation*socio=rien budgétaire*socio=et s'est*socio=rien aggravée en dépit*socio=rien d'efforts*socio=uv1 qu'ils ont déployés pour comprimer les dépenses*socio=ec1. La baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et celle du*socio=rien prix*socio=ec1 des *socio=ec1 denrées alimentaires,*socio=nil favorisée*socio=rien *socio=nil par l'amélioration*socio=uv1 des conditions*socio=ec1 climatiques*socio=rien, ont permis*socio=rien à ces pays*socio=ac de démanteler le dispositif*socio=et de contrôle*socio=uv3 des prix*socio=ec1. Dans l'ensemble*socio=rien, la mise en oeuvre*socio=rien des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 - notamment les efforts*socio=uv1 qui visaient à remédier à la surévaluation*socio=ec2 des monnaies*socio=ec1 et qui, dans certains pays*socio=ac, s'étaient relâchés les *socio=rien années précédentes *socio=nil - semble avoir été*socio=rien intensifiée en 1986. La mise en oeuvre*socio=rien de ces trains de mesures*socio=et, destinés à donner aux forces_du_marché*socio=ec1 et au secteur_privé*socio=et un*socio=rien rôle*socio=et plus important*socio=uv4 dans le développement*socio=uv3 économique*socio=ec1, était, dans certains cas*socio=rien, la *socio=rien condition sine *socio=nil qua non de l'octroi*socio=rien d'une aide*socio=uv1 publique*socio=et supplémentaire*socio=rien. Les politiques_monétaire*socio=et et de crédit*socio=ec1 menées par les pays_en_développement*socio=uv3 ont continué d'être*socio=rien axées sur*socio=rien l'atténuation*socio=ec2 des *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil Le*socio=nil ralentissement très*socio=nil net*socio=rien *socio=nil de la croissance*socio=uv3 de la monnaie*socio=ec1 au *socio=rien sens large,*socio=nil *socio=nil observé en 1986 pour l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, tient essentiellement au succès*socio=uv1 des vastes*socio=rien mesures*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2 mises en place*socio=rien par *socio=rien un petit groupe_de_pays*socio=ac à*socio=nil forte inflation*socio=ec1 *socio=nil (notamment l'Argentine*socio=ac, la Bolivie*socio=ac, le Brésil*socio=ac et Israël*socio=ac). La contraction*socio=ec2 du*socio=rien crédit*socio=ec1 *socio=te intérieur global disponible*socio=rien *socio=nil a continué de peser lourdement sur*socio=rien le secteur_privé*socio=et, car l'interruption*socio=rien des flux*socio=ec1 nets*socio=rien de financement*socio=ec1 international*socio=te privé*socio=et vers les pays_en_développement*socio=uv3 et, dans bien*socio=rien des cas*socio=rien, le souci*socio=rien de limiter*socio=rien le recours*socio=ec1 aux emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te a obligé les gouvernements*socio=ac à faire appel*socio=rien aux sources*socio=rien d'emprunt*socio=ec1 intérieures*socio=te pour se procurer les financements*socio=ec1 dont ils avaient besoin*socio=uv1. Activité*socio=rien intérieure*socio=te. En raison*socio=rien des circonstances*socio=rien extérieures*socio=te difficiles*socio=rien auxquelles de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 devaient faire face*socio=rien et des mesures*socio=et qu'ils ont dû prendre pour s'y adapter*socio=rien, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 est*socio=rien restée assez faible*socio=rien dans beaucoup de ces pays*socio=ac en 1986. En outre, à cause*socio=rien de la forte*socio=rien érosion*socio=ec2 du*socio=rien pouvoir_d'_achat*socio=ec1 des exportations*socio=ec1, l'augmentation*socio=ec2 de la production*socio=ec1 n'a pas suffi à empêcher la baisse*socio=ec2 *socio=rien sensible du niveau_de_vie*socio=uv1 dans*socio=nil nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Pour l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PIB*socio=ec1, qui était de 3 1/4 % en 1985, est*socio=rien remontée à 4 % l'année*socio=rien dernière*socio=rien en raison*socio=rien principalement d'un*socio=rien renforcement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans quelques-uns des grands*socio=rien pays*socio=ac d'Asie*socio=ac et de l' hémisphère_occidental*socio=te (tableau*socio=rien 4). Les résultats*socio=rien généralement médiocres*socio=uv2 s'expliquent surtout par la récession*socio=ec2 qui a frappé les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil où les termes_de_l'_échange*socio=ec1 se sont dégradés de 47 % en 1986. L'effet*socio=rien de contraction*socio=ec2 de la chute des prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 n'a été*socio=rien que légèrement atténué par la progression*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 *socio=nil et par le redémarrage*socio=ec2 de la production*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1,, aussi les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et les importations*socio=ec1 ont-elles été*socio=rien fortement comprimées. De ce fait*socio=rien, la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a considérablement*socio=rien fléchi et la production*socio=ec1 est*socio=rien restée stationnaire*socio=ec2. En dehors du*socio=rien *socio=ac groupe_des_pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1,*socio=nil la*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil de la production*socio=ec1 a été*socio=rien plus soutenue. Dans ces autres pays*socio=ac, les pertes*socio=ec2 de revenu*socio=ec1 réel*socio=rien provoquées par la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien ont été*socio=rien en *socio=rien grande partie *socio=nil compensées par la contraction*socio=ec2 de la facture pétrolière*socio=ec1 et la réduction*socio=ec2 des paiements_d'_intérêts*socio=ec1 au titre*socio=rien de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te,, de plus, le tassement*socio=rien des exportations*socio=ec1 de *socio=rien produits primaires *socio=nil survenu dans certains pays*socio=ac a été*socio=rien largement compensé par l'essor*socio=rien des exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 manufacturés et de services*socio=et qui s'est*socio=rien produit*socio=rien dans d'autres. C'est*socio=rien ainsi que, globalement, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 dans les pays*socio=ac non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1 a été*socio=rien en moyenne*socio=rien de près de 5 3/4 % en 1986, soit un*socio=rien progrès*socio=uv1 de 1 point*socio=rien de pourcentage*socio=rien par rapport*socio=rien à 1985. L'environnement*socio=et extérieur*socio=te auquel de nombreux*socio=rien pays*socio=ac ont dû faire face*socio=rien a varié d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre et les mesures*socio=et qu'il leur a fallu prendre pour s'y adapter*socio=rien ont revêtu, par conséquent*socio=rien, des *socio=rien formes diverses,*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil cela explique en partie*socio=rien les résultats*socio=rien obtenus en matière*socio=rien de production*socio=ec1 par les principaux*socio=rien groupes*socio=ac régionaux*socio=te de pays_en_développement*socio=uv3. À ce *socio=rien double point de*socio=nil vue,*socio=nil la*socio=nil situation des*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil Asie*socio=ac a*socio=nil été particulièrement*socio=nil favorable*socio=uv4.*socio=nil Un certain nombre *socio=nil d'entre eux, notamment les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés dont la monnaie*socio=ec1 est*socio=rien rattachée au dollar_eu*socio=ec1, ont vu s'accroître en 1986 le volume*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 grâce*socio=rien aux progrès*socio=uv1 de leur compétitivité*socio=uv3 extérieure*socio=te. Cette impulsion*socio=ec2 d'origine*socio=rien externe*socio=ec1 donnée à la production*socio=ec1 et à la demande*socio=ec1 a amplifié l'effet*socio=rien expansionniste*socio=ec2 qu'ont eu la progression*socio=ec2 du*socio=rien revenu*socio=ec1 réel*socio=rien, due à la baisse*socio=ec2 des *socio=ec1 prix pétroliers *socio=nil et des taux_d'_intérêt*socio=ec1, et l'assouplissement*socio=uv3 de la politique_budgétaire*socio=et. L'influence expansionniste*socio=ec2 de ces facteurs*socio=rien s'est*socio=rien traduite par une accélération*socio=ec2 du*socio=rien rythme*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 des pays*socio=ac de la région*socio=te (à l'exception*socio=rien de la Chine*socio=ac), qui *socio=rien est passé *socio=nil de 3 3/4 % en 1985 à 5 3/4 % en 1986. La croissance*socio=uv3 a quelque peu ralenti en Chine*socio=ac, mais elle a continué d'être*socio=rien supérieure*socio=rien à celle de l'ensemble*socio=rien de la région*socio=te. Pour les *socio=ac pays européens *socio=nil qui font partie*socio=rien de la catégorie*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, les effets*socio=rien généralement favorables*socio=uv4 des facteurs*socio=rien externes*socio=ec1 et internes*socio=te ont permis*socio=rien à la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1, qui avait ralenti en 1985, de s'accélérer en 1986. Les produits*socio=rien manufacturés et les services*socio=et représentent une part*socio=rien importante*socio=uv4 des exportations*socio=ec1 de ces pays*socio=ac qui, de ce fait*socio=rien, ont vu s'améliorer le pouvoir_d'_achat*socio=ec1 de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 tout en bénéficiant d'une diminution*socio=ec2 des paiements_d'_intérêts*socio=ec1 au titre*socio=rien de leur dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, relativement élevée*socio=uv4, envers les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1. Cependant, plusieurs de ces pays*socio=ac, dont la position*socio=rien extérieure*socio=te était plus faible*socio=rien et le ratio*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1 plus élevé*socio=uv4 que cela n'était le cas*socio=rien pour de nombreux*socio=rien pays*socio=ac d'Asie*socio=ac, ont été*socio=rien dans l'impossibilité*socio=rien de relâcher leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et de laisser la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te s'accroître davantage. C'est*socio=rien pourquoi, ils ont cherché à améliorer leur crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te en comprimant la demande*socio=ec1 afin de pouvoir*socio=et accumuler des réserves*socio=ec1 et rembourser leur dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. Pour l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 est*socio=rien montée à 4 1/2 % en 1986, mais les résultats*socio=rien sont loin*socio=rien d'avoir été*socio=rien uniformes*socio=uv4 pour toute la région*socio=te. Étant donné que leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 avaient diminué et qu'ils n'étaient guère à même de puiser dans leurs réserves*socio=ec1 ou d'emprunter à l'étranger*socio=te, les quatre pays*socio=ac de la région*socio=te qui exportent des combustibles*socio=ec1 (Equateur, Mexique*socio=ac, Trinité - et - Tobago*socio=ac et Venezuela*socio=ac) ont été*socio=rien obligés de resserrer leur politique_économique*socio=ec1,, en conséquence*socio=rien, pour ces quatre pays*socio=ac, le taux_de_croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1 a *socio=rien été négatif.*socio=nil *socio=nil Les autres pays*socio=ac de la région*socio=te ont connu *socio=rien un sort plus*socio=nil favorable*socio=uv4.*socio=nil Au*socio=nil Brésil*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil production*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil accrue de 8 % sous l'effet*socio=rien d'une montée en flèche de la consommation*socio=ec1 réelle*socio=ec2, et, en Argentine*socio=ac, elle a enregistré une vigoureuse*socio=rien reprise après*socio=rien la baisse*socio=ec2 observée en 1985. Pour les autres pays*socio=ac de la région*socio=te, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 a été*socio=rien en moyenne*socio=rien de 3 1/2 %, ce qui représente un*socio=rien progrès*socio=uv1 de 2 points*socio=rien par rapport*socio=rien à l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Pour *socio=rien un certain nombre *socio=nil de ces *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil *socio=rien produits primaires,*socio=nil l'*socio=nil incidence*socio=ec2 *socio=nil de la faiblesse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 a été*socio=rien atténuée par les économies*socio=ec1 réalisées sur*socio=rien la facture pétrolière*socio=ec1, par le dynamisme*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 non traditionnelles*socio=rien, par la diminution*socio=ec2 des paiements*socio=ec1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1 *socio=nil ainsi que par l'augmentation*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et des *socio=ec1 revenus agricoles,*socio=nil *socio=nil due aux abondantes*socio=rien récoltes et au niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des *socio=rien cours du café*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans les pays*socio=ac du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac, la baisse*socio=ec2 brutale*socio=rien des *socio=ec1 recettes pétrolières *socio=nil n'a pas permis*socio=rien d'accroître beaucoup la production*socio=ec1. Pour l'ensemble*socio=rien de la région*socio=te, les recettes*socio=ec1 réelles*socio=ec2 à l'exportation*socio=ec1 ont chuté de 39 % . Bien*socio=rien qu'il ait été*socio=rien en partie*socio=rien atténué par des prélèvements*socio=ec1 sur*socio=rien les avoirs*socio=ec1 extérieurs*socio=te, le manque*socio=rien à gagner des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil de cette région*socio=te a suscité une intensification*socio=ec2 des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et, de ce fait*socio=rien, une compression*socio=et de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et des importations*socio=ec1. Les autres pays*socio=ac de la région*socio=te ont subi le contrecoup*socio=te de cette évolution*socio=te qui s'est*socio=rien traduite notamment, pour eux, par une baisse*socio=ec2 des envois*socio=rien de fonds*socio=ec1 des travailleurs*socio=ac émigrés et une diminution*socio=ec2 des transferts_officiels*socio=et que ces pays*socio=ac recevaient de leurs voisins*socio=rien exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1. En Afrique*socio=ac, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 est*socio=rien descendue à moins de 1 % en 1986 (contre 2% en 1985), mais, là encore, la situation*socio=rien a varié considérablement*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. Ainsi, dans les pays*socio=ac de la région*socio=te qui exportent des combustibles*socio=ec1, la production*socio=ec1 s'est*socio=rien considérablement*socio=rien repliée à cause*socio=rien des difficultés*socio=uv4 *socio=rien du secteur pétrolier*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil De même, dans plusieurs petits*socio=rien pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, la production*socio=ec1 a sinon diminué du*socio=rien moins continué à végéter de façon*socio=rien alarmante en raison*socio=rien des pertes*socio=ec2 de revenu*socio=ec1 importantes*socio=uv4 qu'ils ont subies par suite*socio=rien de la dégradation*socio=uv3 de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 due à la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 auxquels ils peuvent vendre leurs produits*socio=rien à l'étranger*socio=te. Quoi qu'il en soit, la persistance*socio=te de graves*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 économiques*socio=ec1 n'a guère permis*socio=rien de relâcher les efforts*socio=uv1 de redressement*socio=ec2 et, de ce fait*socio=rien, la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te est*socio=rien demeurée léthargique*socio=rien dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac. Ce tableau*socio=rien généralement sombre comporte toutefois quelques touches de lumière*socio=rien. en particulier*socio=rien, la production*socio=ec1 s'est*socio=rien redressée dans les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac qui ont bénéficié d'une *socio=rien hausse temporaire *socio=nil mais très forte*socio=rien des *socio=rien cours du café*socio=ec1 au*socio=nil début *socio=nil de l'année*socio=rien, de l'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien revenu*socio=ec1 réel*socio=rien occasionnée par la baisse*socio=ec2 de la facture pétrolière*socio=ec1 ainsi que de la reprise de la *socio=ec1 production agricole *socio=nil provoquée par la modification*socio=rien des politiques*socio=et de prix*socio=ec1 et l'amélioration*socio=uv1 des conditions*socio=ec1 climatiques*socio=rien. À l'aune de l'évolution*socio=te de la consommation*socio=ec1 intérieure*socio=te réelle*socio=ec2, qui *socio=rien est un meilleur*socio=uv4 indicateur*socio=ec2 du niveau_de_vie*socio=uv1 national*socio=te au*socio=nil sens *socio=nil où on l'entend généralement, les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 obtenus par les pays_en_développement*socio=uv3 sont beaucoup plus faibles*socio=rien que ne le laisseraient supposer les statistiques*socio=ec2 relatives*socio=rien à la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PIB*socio=ec1. A l'exception*socio=rien de l'Asie*socio=ac, où les niveaux_de_vie*socio=uv1 progressent assez régulièrement depuis 1980, la consommation*socio=ec1 réelle*socio=ec2 par habitant*socio=ac dans une *socio=rien bonne partie du tiers_monde*socio=ac *socio=nil n'a pas encore regagné le terrain*socio=rien perdu au début*socio=rien des années*socio=rien 80 (graphique*socio=rien 4). La baisse*socio=ec2 des niveaux_de_vie*socio=uv1 a été*socio=rien à la fois*socio=rien prononcée et générale*socio=rien dans les pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te et en Afrique*socio=ac, car les pays*socio=ac de ces régions*socio=te se sont efforcés de remédier à leurs déséquilibres*socio=uv3 intérieurs*socio=te et extérieurs*socio=te face*socio=rien à un*socio=rien environnement*socio=et extérieur*socio=te souvent défavorable*socio=uv4. La nette*socio=rien amélioration*socio=uv1 constatée dans les pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te depuis 1985 semble tenir surtout au raffermissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te dans quelques grands*socio=rien pays*socio=ac et masque la léthargie*socio=uv3 continue*socio=rien de l'activité_économique*socio=ec1 dans *socio=rien un nombre bien plus*socio=nil grand de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil de la région*socio=te. La baisse*socio=ec2 *socio=rien persistante du niveau_de_vie*socio=uv1 *socio=nil dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac suscite de *socio=uv4 graves préoccupations *socio=nil étant donné que dans cette région*socio=te les taux*socio=ec1 extrêmement faibles*socio=rien de la consommation*socio=ec1 réelle*socio=ec2 (en *socio=rien termes absolus)*socio=nil *socio=nil coïncident avec des *socio=ec1 taux_de_croissance démographiques élevés*socio=uv4.*socio=nil Au*socio=nil Moyen-orient*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil niveaux_de_vie*socio=uv1 *socio=nil régressent régulièrement depuis 1982 - encore que, dans certains pays*socio=ac, ils étaient élevés*socio=uv4 avant de se replier - en raison*socio=rien de la compression*socio=et des dépenses*socio=ec1 budgétaires*socio=et et des importations*socio=ec1 nécessitée par la chute des *socio=ec1 recettes pétrolières.*socio=nil En*socio=nil baisse*socio=ec2 dans*socio=nil *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac du tiers_monde*socio=ac *socio=nil pendant la *socio=rien première moitié des*socio=nil années *socio=nil 80, la part*socio=rien de l'investissement*socio=ec1 dans les dépenses*socio=ec1 globales*socio=rien a eu tendance*socio=ec2 à se stabiliser en 1986. En *socio=rien pourcentage du PIB*socio=ec1,*socio=nil l'*socio=nil investissement*socio=ec1 *socio=nil avait augmenté à la fin*socio=rien des années*socio=rien 60 et au début*socio=rien des années*socio=rien 70, mais il était resté assez stable*socio=uv4 pendant la *socio=rien deuxième moitié des*socio=nil années *socio=nil 70. Pendant les années*socio=rien 80, toutefois, il est*socio=rien devenu difficile*socio=rien pour ces pays*socio=ac d'emprunter à l'étranger*socio=te et c'est*socio=rien l'investissement*socio=ec1, plutôt que la consommation*socio=ec1, qui a supporté de façon*socio=rien disproportionnée le poids*socio=rien de l'ajustement*socio=et, surtout dans les pays*socio=ac lourdement endettés. Comme le montre le graphique*socio=rien 5, c'est*socio=rien dans les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac, dans les pays_en_développement*socio=uv3 d'Europe*socio=ac et dans les pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te - autrement dit dans les régions*socio=te où les ratios*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1 sont les plus élevés*socio=uv4 - que le recul*socio=rien de la formation*socio=et brute*socio=rien de capital*socio=ec1 a été*socio=rien le plus marqué ces *socio=rien dernières années.*socio=nil Bien *socio=nil que la part*socio=rien de l'investissement*socio=ec1 dans le PIB*socio=ec1 de ces trois régions*socio=te ait légèrement remonté en 1986 et que l'efficacité*socio=uv3 de ces investissements*socio=ec1 se soit améliorée, des augmentations*socio=ec2 nettement plus importantes*socio=uv4 sont nécessaires*socio=rien pour renforcer le *socio=uv4 potentiel productif des*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil notamment des pays*socio=ac de ces régions*socio=te. Inflation*socio=ec1. Les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 enregistrés en 1986 par les pays_en_développement*socio=uv3 ont ceci de positif*socio=uv4 que l'inflation*socio=ec1 a fortement reculé dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil où le taux*socio=ec1 de hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 avait atteint des niveaux*socio=rien extrêmement élevés*socio=uv4 les *socio=rien années précédentes.*socio=nil De*socio=nil vastes programmes*socio=et de*socio=nil stabilisation*socio=et des*socio=nil prix*socio=ec1 ont*socio=nil été *socio=nil mis en place*socio=rien dans *socio=rien un certain nombre *socio=nil de ces pays*socio=ac aux prises*socio=rien avec une inflation*socio=ec1 virulente*socio=uv2, plus particulièrement en Argentine*socio=ac, en Bolivie*socio=ac, au Brésil*socio=ac et en Israël*socio=ac. Par conséquent*socio=rien, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 annuel*socio=te composite*socio=rien pour ces quatre pays*socio=ac a été*socio=rien ramené de près de 320 % en 1985 à 125 % en 1986. *socio=rien Du fait,*socio=nil en*socio=nil grande partie,*socio=nil du recul *socio=nil de l'inflation*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 moyen*socio=rien pour l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 est*socio=rien tombé à 30% en 1986,, cette baisse*socio=ec2 mettait fin*socio=rien au mouvement*socio=ec2 de hausse*socio=rien ininterrompu qui avait porté le taux*socio=ec1 à *socio=rien un niveau record*socio=ec2 *socio=nil de plus de 40% en 1985 (tableau*socio=rien 5). Dans les autres pays_en_développement*socio=uv3, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 a aussi ralenti, en général*socio=rien, mais de façon*socio=rien moins prononcée, car, dans ces pays*socio=ac, les *socio=ec2 pressions inflationnistes sous-jacentes*socio=rien avaient*socio=nil été*socio=rien *socio=nil plus modérées. Ce ralentissement*socio=ec2, dû à la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des *socio=ec1 denrées alimentaires,*socio=nil du*socio=rien pétrole *socio=nil et des autres produits*socio=rien de base*socio=rien, s'est*socio=rien traduit par une diminution*socio=ec2 d'un*socio=rien demi-point de *socio=rien pourcentage du taux*socio=ec1 d'*socio=nil inflation*socio=ec1 médian des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil qui*socio=nil est un indicateur*socio=ec2 *socio=nil plus fidèle de l'évolution*socio=te de l'inflation*socio=ec1 dans un*socio=rien pays*socio=ac " type*socio=rien ". En dépit*socio=rien de ces progrès*socio=uv1, les résultats*socio=rien obtenus sur*socio=rien le front*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 par les pays_en_développement*socio=uv3 en 1986 ont été*socio=rien quelque peu décevants*socio=rien au regard*socio=rien de ceux des pays_industrialisés*socio=ac qui, ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil sont parvenus à contenir régulièrement la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1. En outre, les taux*socio=ec1 mensuels*socio=rien d'augmentation*socio=ec2 des prix*socio=ec1 de certains pays*socio=ac à forte*socio=rien inflation*socio=ec1 se sont, dans l'ensemble*socio=rien, remis à monter à la fin*socio=rien de 1986 et au début*socio=rien de 1987 en *socio=rien raison du *socio=nil déplafonnement des prix*socio=ec1 et des dérapages*socio=uv4 dans la mise en oeuvre*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1. Les *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil se sont intensifiées dans *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'autres pays*socio=ac également à cause*socio=rien des difficultés*socio=uv4 qu'ils ont éprouvées à limiter*socio=rien de façon*socio=rien efficace*socio=uv4 leurs besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 intérieur*socio=te pour les rendre plus compatibles*socio=rien avec les ajustements*socio=et de prix*socio=ec1 et de taux_de_change*socio=ec1. Échanges*socio=ec1 et paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te. Perspectives*socio=te globales*socio=rien. Commerce*socio=ec1 mondial*socio=te. De par l'ampleur*socio=rien exceptionnelle*socio=uv4 qu'ils ont atteinte en 1986, les mouvements*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 et ceux des prix*socio=ec1 *socio=rien relatifs du pétrole*socio=ec1 *socio=nil et des autres *socio=rien produits primaires *socio=nil ont grandement influé sur*socio=rien le volume*socio=rien des échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te. en particulier*socio=rien, la diminution*socio=ec2 brutale*socio=rien des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil et d'autres *socio=rien produits primaires *socio=nil a obligé ces pays*socio=ac à comprimer leurs importations*socio=ec1. Par contre, la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 a eu pour effet*socio=rien d'accroître la demande*socio=ec1 de produits*socio=rien exportés par les pays_en_développement*socio=uv3, à la fois*socio=rien directement, parce que ces produits*socio=rien devenaient moins coûteux*socio=ec2 au regard*socio=rien de ceux d'autres pays*socio=ac, et indirectement*socio=rien, en accroissant le revenu*socio=ec1 et la demande*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac. D'ailleurs*socio=rien, il semble que la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1 ait eu une incidence*socio=ec2 généralement favorable*socio=uv4 sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 international*socio=te,, en effet*socio=rien, les exportations*socio=ec1 des États-unis*socio=ac ont commencé à se redresser et les fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=te ont pu, pendant *socio=rien un certain temps *socio=nil au moins, protéger, voire accroître, leurs débouchés*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des États-unis*socio=ac en réduisant leurs marges bénéficiaires*socio=ac. En outre, grâce*socio=rien à la dépréciation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 américaine*socio=ac, la compétitivité*socio=uv3 de certains nouveaux*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 dont la monnaie*socio=ec1 est*socio=rien rattachée au dollar*socio=ec1 a fortement progressé. Les exportations*socio=ec1 de ces pays*socio=ac sont ainsi montées en flèche. Globalement, les forces*socio=uv1 positives*socio=uv4 ont prévalu et l'expansion*socio=ec2 *socio=rien du volume du commerce*socio=ec1 international*socio=te est *socio=nil passée de 3 % seulement en 1985 à près de 5% en 1986 (tableau*socio=rien 6) et ce malgré le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 mondiale*socio=te. L'évolution*socio=te du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te a été*socio=rien marquée en particulier*socio=rien par la chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1986. Malgré une certaine*socio=rien remontée au *socio=rien deuxième semestre,*socio=nil les*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil à l'exportation*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 n'ont été*socio=rien en moyenne*socio=rien que de 13,40 dollars*socio=ec1 EU le baril*socio=ec1 en 1986, c'est-à-dire à peu près la *socio=rien moitié du niveau *socio=nil de l'année*socio=rien précédente*socio=rien (graphique*socio=rien 6). En termes*socio=rien réels*socio=ec2, les prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 en 1986 ont *socio=rien été inférieurs *socio=nil d'environ 15% à ceux de 1978. La baisse*socio=ec2 brutale*socio=rien des *socio=ec1 prix pétroliers *socio=nil en 1986 a été*socio=rien la conséquence*socio=rien de la réorientation*socio=et, à la fin*socio=rien de 1985, de la politique*socio=et menée par les pays_membres*socio=ac de l'organisation_des_pays_exportateurs_de_pétrole*socio=ac (OPEP*socio=ac),, au lieu*socio=rien d'avoir, comme auparavant, pour objectif*socio=uv3 prioritaire*socio=uv4, de défendre les prix*socio=ec1 officiels*socio=et, ils ont préféré accroître, sur*socio=rien le marché*socio=ec1 mondial*socio=te du*socio=rien pétrole*socio=ec1, la part*socio=rien de l'OPEP*socio=ac qui avait diminué sensiblement pendant la *socio=rien première moitié des*socio=nil années *socio=nil 80. Or*socio=ec1, en augmentant leur production*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1, les pays_membres*socio=ac de l'OPEP*socio=ac ont créé, à court_terme*socio=te, un*socio=rien excédent*socio=ec1 de l'offre*socio=ec1 sur*socio=rien les *socio=ec1 marchés pétroliers internationaux*socio=te *socio=nil et, de ce fait*socio=rien, les prix*socio=ec1 ont fortement baissé. Cependant, devant*socio=rien l'ampleur*socio=rien de cette baisse*socio=ec2 et la profonde*socio=rien instabilité*socio=uv3 du*socio=rien marché*socio=ec1, les *socio=ac pays producteurs *socio=nil ont multiplié les appels*socio=rien en faveur*socio=rien d'une réduction*socio=ec2 concertée de la production*socio=ec1,, ces appels*socio=rien n'ont pas *socio=rien été vains *socio=nil et, à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien, les *socio=ec1 prix pétroliers *socio=nil s'étaient partiellement redressés. L'un*socio=rien des aspects*socio=rien importants*socio=uv4 de cette action*socio=ec1 concertée est*socio=rien que plusieurs pays*socio=ac qui sont d'importants*socio=uv4 producteurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 mais ne font pas partie*socio=rien de l'OPEP*socio=ac ont bien*socio=rien voulu aider à limiter*socio=rien la production*socio=ec1 et à stabiliser les prix*socio=ec1. En décembre*socio=rien 1986, les membres*socio=ac de l'OPEP*socio=ac sont convenus de nouveaux*socio=rien quotas de production*socio=ec1 qui supposaient une réduction*socio=ec2 de quelque 7% à 9 % de leur production*socio=ec1 par rapport*socio=rien au *socio=rien niveau effectif *socio=nil de la fin*socio=rien de 1986. Ils ont aussi convenu de rétablir le système*socio=rien de prix*socio=ec1 officiels*socio=et à l'exportation*socio=ec1, déterminés par rapport*socio=rien à un*socio=rien prix*socio=ec1 de référence*socio=rien de 18 dollars*socio=ec1 EU le baril*socio=ec1. Au cours*socio=rien des *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1987, les prix*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 au comptant se sont stabilisés autour de ce niveau*socio=rien. La faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien des prix*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil a eu, elle aussi, une incidence*socio=ec2 très prononcée sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te en 1986. Exprimés en dollar_eu*socio=ec1, les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien étaient relativement stables*socio=uv4 depuis la fin*socio=rien de 1985, mais la dépréciation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 américaine*socio=ac a entraîné une augmentation*socio=ec2 d'environ 18 % des prix*socio=ec1, en dollars*socio=ec1, à l'exportation*socio=ec1 des produits*socio=rien manufacturés. Par rapport*socio=rien à ces prix*socio=ec1, ceux des produits*socio=rien de base*socio=rien non pétroliers*socio=ec1 ont donc baissé de 16 % en 1986, après*socio=rien s'être*socio=rien repliés de 14% en 1985. Au début*socio=rien de 1987, les prix*socio=ec1 réels*socio=ec2 des produits*socio=rien de base*socio=rien étaient tombés à *socio=rien un niveau inférieur *socio=nil de 40 % au maximum*socio=rien atteint au milieu*socio=rien de 1984 et de 25 % au minimum*socio=rien enregistré à la fin*socio=rien de 1982 (graphique*socio=rien 7). L'atonie*socio=ec2 prolongée et généralisée des marchés*socio=ec1 de produits*socio=rien peut être*socio=rien attribuée à la fois*socio=rien à des éléments*socio=rien qui relèvent de l'offre*socio=ec1 et de la demande*socio=ec1 à court_terme*socio=te et à des facteurs*socio=rien structurels*socio=ec2 plus profondément enracinés. Ce sont peut-être les facteurs*socio=rien opérant à court_terme*socio=te qui ont le plus influé sur*socio=rien l'évolution*socio=te récente*socio=rien des prix*socio=ec1. Dans le cas*socio=rien des produits*socio=rien agricoles*socio=ec1, l'existence*socio=rien de conditions*socio=ec1 culturales favorables*socio=uv4 dans les principales*socio=rien régions*socio=te productrices*socio=ac et la *socio=rien réaction tardive des*socio=nil producteurs*socio=ac aux*socio=nil augmentations*socio=ec2 de*socio=nil prix*socio=ec1 antérieures*socio=te *socio=nil ont contribué au renforcement*socio=ec2 de l'offre*socio=ec1. La faiblesse*socio=ec2 relative*socio=rien de la demande*socio=ec1, dont témoigne*socio=rien le manque*socio=rien de dynamisme*socio=uv3 de la *socio=ec1 production industrielle,*socio=nil *socio=nil a aussi joué un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4. Dans les pays_industrialisés*socio=ac, la *socio=ec1 production industrielle *socio=nil n'a progressé que de 1 % en 1986, ce qui a freiné la demande*socio=ec1 de métaux*socio=ec1 et de certaines*socio=rien *socio=ec1 matières_premières agricoles.*socio=nil Par*socio=nil ailleurs*socio=rien,*socio=nil la*socio=nil désinflation*socio=ec2 des*socio=nil *socio=rien dernières années *socio=nil a probablement eu pour effet*socio=rien de réduire la demande*socio=ec1 de *socio=rien produits primaires *socio=nil à des fins*socio=rien spéculatives*socio=ec2. Il y a lieu*socio=rien de croire que la faiblesse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien tient non seulement à des facteurs*socio=rien concernant le court_terme*socio=te, mais aussi à des éléments*socio=rien d'ordre*socio=rien structurel*socio=ec2 dont les effets*socio=rien se font sentir à long_terme*socio=te. En ce qui concerne l'offre*socio=ec1, le progrès*socio=uv1 technologique*socio=ec1 et la diffusion*socio=rien des *socio=rien techniques nouvelles *socio=nil ont généralement eu pour résultat*socio=rien d'accroître l'offre*socio=ec1, en particulier*socio=rien celle de produits*socio=rien agricoles*socio=ec1. Ainsi, dans certains pays_en_développement*socio=uv3, la production*socio=ec1 de céréales*socio=ec1 vivrières a non seulement atteint le niveau*socio=rien d'autosuffisance*socio=uv, mais elle a aussi permis*socio=rien, ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil de dégager des excédents*socio=ec1 pour l'exportation*socio=ec1. De plus, la politique_agricole*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac a favorisé*socio=rien la surproduction en mettant les producteurs*socio=ac locaux*socio=te à l'abri*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 étrangère*socio=te et en relevant les prix*socio=ec1 nationaux*socio=te par rapport*socio=rien aux cours*socio=rien mondiaux*socio=te. Les changements*socio=uv3 d'ordre*socio=rien structurel*socio=ec2 ont eu aussi une incidence*socio=ec2 importante*socio=uv4 sur*socio=rien l'évolution*socio=te de la demande*socio=ec1. en particulier*socio=rien, les pays_industrialisés*socio=ac ont décidé d'accorder désormais la priorité*socio=uv4 non plus à l'industrie*socio=ec1 lourde*socio=rien mais à l'industrie*socio=ec1 légère*socio=rien et aux services*socio=et, ce qui a généralement eu pour effet*socio=rien de réduire la demande*socio=ec1 de *socio=rien produits primaires.*socio=nil Cette*socio=nil réorientation*socio=et *socio=nil de l'activité*socio=rien a été*socio=rien renforcée par la mise au point*socio=rien de produits*socio=rien de remplacement*socio=rien synthétiques et de nouveaux*socio=rien matériaux*socio=ec1 ainsi que par le recours*socio=ec1 accru au recyclage*socio=et et à la conservation*socio=uv3 des métaux*socio=ec1. Il *socio=rien est possible *socio=nil également que la baisse*socio=ec2 récente*socio=rien des *socio=ec1 prix pétroliers *socio=nil ait réduit la demande*socio=ec1 de certains produits*socio=rien non pétroliers*socio=ec1 qui peuvent être*socio=rien facilement remplacés par des dérivés du*socio=rien pétrole*socio=ec1. Étant donné la *socio=rien place prépondérante *socio=nil que le pétrole*socio=ec1 et d'autres *socio=rien produits primaires *socio=nil occupent dans les ventes*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 aux pays_industrialisés*socio=ac, la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 de ces produits*socio=rien s'est*socio=rien traduite par une *socio=uv4 détérioration exceptionnelle des*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_ développement*socio=uv3 *socio=nil (près de 17 % pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac). Ce sont les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil qui ont absorbé presque entièrement les contrecoups de cette dégradation*socio=uv3. Dans le groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac, la *socio=rien majeure partie des*socio=nil gains*socio=ec1 ont*socio=nil été *socio=nil réalisés par le Japon*socio=ac, la France*socio=ac, la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et l'Italie*socio=ac, pays*socio=ac qui ont vu en outre leur monnaie*socio=ec1 s'apprécier. Le processus*socio=te d'ajustement*socio=et déclenché par les amples*socio=rien mouvements*socio=ec2 décrits l'année*socio=rien dernière*socio=rien par les prix*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires *socio=nil et les taux_de_change*socio=ec1 a eu pour corollaire qu'une part*socio=rien importante*socio=uv4 des gains*socio=ec1 réalisés grâce*socio=rien à l'amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 ont été*socio=rien neutralisés par les changements*socio=uv3 intervenus dans la structure*socio=ec1 des *socio=ec1 flux commerciaux réels*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil (Le processus*socio=te d'ajustement*socio=et de la balance_des_paiements*socio=ec1 est*socio=rien décrit plus en détail*socio=rien dans les *socio=rien sections suivantes)*socio=nil .*socio=nil *socio=nil Ainsi, le solde*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien global*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 ne s'est*socio=rien détérioré que de 23 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 EU environ, alors que les pertes*socio=ec2 de revenu*socio=ec1 dues à la dégradation*socio=uv3 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 ont été*socio=rien quatre fois*socio=rien plus élevées*socio=uv4. En même temps*socio=rien, le solde*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac a fait*socio=rien apparaître une amélioration*socio=uv1 de près de 32 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 EU, ce qui veut dire que la discordance statistique*socio=ec2 globale*socio=rien au titre*socio=rien des transactions_courantes*socio=te s'est*socio=rien contractée d'environ 7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (tableau*socio=rien 7). Malgré cette réduction*socio=ec2, qui semble tenir en partie*socio=rien à la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1, il subsiste au niveau*socio=rien global*socio=te une discordance considérable*socio=rien qui continue*socio=rien de susciter des inquiétudes*socio=rien, car elle compromet la qualité*socio=rien des statistiques*socio=ec2 et des analyses*socio=ec2 de balance_des_paiements*socio=ec1 (voir encadré). Marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1. Les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 entre les marchés_financiers*socio=ec1 des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont continué de se développer à vive allure*socio=rien en 1986, mais les mouvements_de_fonds*socio=ec1 entre les pays_industrialisés*socio=ac et les pays_en_développement*socio=uv3 sont restés stationnaires. Les obligations*socio=uv1 internationales*socio=te émises par des pays_en_développement*socio=uv3 sont tombées de 9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1985 à 5 milliards*socio=rien en 1986 et seuls*socio=rien les pays_en_développement*socio=uv3 qui jouissaient d'une excellente*socio=uv4 réputation*socio=uv1 de solvabilité*socio=ec1 ont été*socio=rien en mesure*socio=rien d'effectuer ce type*socio=rien de placements*socio=ec1. Les *socio=ec1 prêts bancaires nets*socio=rien aux*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil (autres que les centres*socio=rien offshore), qui avaient déjà représenté un*socio=rien montant*socio=ec1 relativement faible*socio=rien (10 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 EU) en 1985, sont devenus négatifs*socio=rien en 1986, car les remboursements*socio=ec1 ont dépassé de 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 le montant*socio=ec1 des nouveaux*socio=rien emprunts*socio=ec1. Dans ces conditions*socio=ec1, les déficits*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil qui étaient passés*socio=te de 24 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1985 à 46 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986, ont été*socio=rien financés surtout au moyen*socio=rien de prêts*socio=ec1 officiels*socio=et et de flux*socio=ec1 de financement*socio=ec1 non générateurs*socio=rien d'endettement*socio=ec1. À d'autres égards*socio=rien, les marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te ont été*socio=rien passablement actifs*socio=ec1,, cette activité*socio=rien a été*socio=rien suscitée principalement par les déséquilibres*socio=uv3 importants*socio=uv4 des transactions_courantes*socio=te et des finances*socio=ec1 publiques*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac, par la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et par les changements*socio=uv3 d'ordre*socio=rien structurel*socio=ec2 qui ont eu *socio=rien lieu sur les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 nationaux*socio=te et*socio=nil internationaux*socio=te.*socio=nil *socio=nil En outre, l'expansion*socio=ec2 des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec1 internationales*socio=te entre pays_industrialisés*socio=ac s'est*socio=rien faite davantage par recours*socio=rien aux marchés*socio=ec1 des titres*socio=rien que par recours*socio=rien aux *socio=ec1 prêts bancaires.*socio=nil Le*socio=nil total*socio=rien des*socio=nil prêts internationaux*socio=te (*socio=nil émissions*socio=rien d'*socio=nil obligations*socio=uv1 plus*socio=nil prêts bancaires)*socio=nil s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil accru de 70% en 1986, contre une augmentation*socio=ec2 de 40 % en 1985. Sur*socio=rien le montant*socio=ec1 net*socio=rien des *socio=ec1 prêts bancaires et*socio=nil obligataires *socio=nil en 1986 (déduction*socio=ec1 faite des dépôts*socio=ec1 de banque*socio=ac à banque*socio=ac), environ 46 % représentaient des *socio=rien opérations sur les*socio=nil *socio=ec1 marchés obligataires,*socio=nil *socio=nil contre 42% en 1985 et 26 % pendant la période*socio=te 1980-84. Comme c'est*socio=rien le cas*socio=rien depuis plusieurs années*socio=rien, le développement*socio=uv3 rapide*socio=rien des flux*socio=ec1 entre les principaux*socio=rien marchés_financiers*socio=ec1 s'est*socio=rien accompagné de profonds*socio=rien changements*socio=uv3 d'ordre*socio=rien structurel*socio=ec2, provoqués par la libéralisation*socio=et financière*socio=ec1 et l'utilisation*socio=rien de plus en plus répandue de techniques*socio=rien de financement*socio=ec1 ingénieuses*socio=rien. Cette libéralisation*socio=et a été*socio=rien dictée, en partie*socio=rien, par le souci*socio=rien d'intensifier la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 nationaux*socio=te de façon*socio=rien à améliorer l'efficacité*socio=uv3 de leur fonctionnement*socio=rien. De fait*socio=rien, le mouvement*socio=ec2 de libéralisation*socio=et et d'innovation*socio=uv3 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 a généralement eu pour effet*socio=rien d'en accroître l'efficacité*socio=uv3 en réduisant sensiblement les coûts*socio=ec1 de l'intermédiation*socio=ec1, en facilitant les opérations*socio=rien d'arbitrage*socio=et entre les marchés*socio=ec1 de différents*socio=rien pays*socio=ac et entre les différents*socio=rien instruments*socio=et, et en assurant une meilleure*socio=uv4 répartition*socio=uv3 des risques*socio=uv3 entre les opérateurs*socio=ac. Liquidité*socio=ec1 internationale*socio=ac. Les réserves_internationales*socio=ec1 détenues*socio=rien par les pays*socio=ac se sont accrues en 1986, mais l'accumulation*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 s'est*socio=rien opérée de façon*socio=rien très inégale*socio=uv2 et, dans certains groupes_de_pays_en_développement*socio=uv3, les réserves*socio=ec1 ont fortement diminué. Globalement, les réserves*socio=ec1 autres que l'or*socio=ec1 ont augmenté de 15 milliards*socio=rien de DTS. C'est*socio=rien la composante*socio=rien devises*socio=ec1 qui est*socio=rien à l'origine*socio=rien de la totalité*socio=rien de cette augmentation*socio=ec2 : en effet*socio=rien, les réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 se sont accrues d'environ 25 milliards*socio=rien de DTS. Cependant, la valeur*socio=ec1 du*socio=rien stock*socio=ec1 de réserves_internationales*socio=ec1 n'a augmenté que de 17 milliards*socio=rien de DTS, car les pertes*socio=ec2 de valeur*socio=ec1 dues à la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1 par rapport*socio=rien au DTS se sont chiffrées à 8 milliards*socio=rien de DTS (tableau*socio=rien 8). L'accroissement*socio=ec2 total*socio=rien des réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 s'explique entièrement par l'augmentation*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac qui a été*socio=rien (après*socio=rien réévaluation*socio=ec1) de 24 milliards*socio=rien de DTS en 1986, contre 3 milliards*socio=rien de DTS en 1985. En effet*socio=rien, les réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 ont diminué de 7 milliards*socio=rien de DTS en 1986, après*socio=rien avoir baissé de 4 milliards*socio=rien de DTS en 1985. La forte*socio=rien progression*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac a principalement pour cause*socio=rien l'intervention*socio=et des gouvernements*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 afin de freiner la baisse*socio=ec2 du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1 La diminution*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, que masque le montant*socio=ec1 élevé*socio=uv4 des réserves*socio=ec1 accumulées par *socio=rien un petit nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil vient de ce que ces pays*socio=ac ont dû financer leurs importants*socio=uv4 déficits*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants à*socio=nil *socio=rien un moment *socio=nil où il leur était très difficile*socio=rien d'emprunter des réserves*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1. L'accroissement*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 en 1986 a entraîné une hausse*socio=rien des *socio=ec1 ratios réserves *socio=nil autres que l'or*socio=ec1 / importations*socio=ec1, aussi bien*socio=rien au niveau*socio=rien mondial*socio=te que pour *socio=rien certaines grandes catégories de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil La*socio=nil hausse *socio=nil de ces ratios*socio=ec1 s'inscrit*socio=rien dans le prolongement*socio=rien d'une tendance*socio=ec2 qui se poursuit depuis 1981, abstraction*socio=rien faite d'une pause en 1985. Dans les pays_industrialisés*socio=ac, les avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 autres que l'or*socio=ec1 ont augmenté un*socio=rien peu plus vite que les importations*socio=ec1 et le *socio=ec1 ratio réserves/*socio=nil importations *socio=nil de ce groupe_de_pays*socio=ac *socio=rien est passé *socio=nil de 16 % en 1981 à 19% en 1986. En 1985-86, le dollar_eu*socio=ec1 s'est*socio=rien déprécié par rapport*socio=rien aux autres principales*socio=rien monnaies*socio=ec1,, les interventions*socio=et qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil grands pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil ont alors effectuées sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 ont contribué à l'accumulation*socio=ec2 de réserves*socio=ec1, ce qui a eu pour effet*socio=rien de stabiliser le *socio=ec1 ratio réserves/*socio=nil importations des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil en 1985 et de provoquer une nette*socio=rien augmentation*socio=ec2 de ce ratio*socio=ec1 en 1986. Dans les pays_en_développement*socio=uv3, le *socio=ec1 ratio réserves *socio=nil autres que l'or*socio=ec1 / importations*socio=ec1 *socio=rien est passé *socio=nil de 26% en 1981 à 33 % en 1985, puis à 36% en 1986. Cette augmentation*socio=ec2, qui s'explique dans une *socio=rien certaine mesure *socio=nil par la vigoureuse*socio=rien reconstitution*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 entre 1982 et 1984 ainsi que par la baisse*socio=ec2, en 1985 - 86, de la valeur*socio=ec1 des importations*socio=ec1 en DTS, s'est*socio=rien produite malgré l'incidence*socio=ec2 nettement négative*socio=rien des changements*socio=uv3 de valeur*socio=ec1 survenus en 1985-86. Étant donné que le poids*socio=rien des avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1 EU dans les réserves*socio=ec1 autres que l'or*socio=ec1 est*socio=rien plus grand*socio=rien, en particulier*socio=rien dans les pays_en_ développement*socio=uv3, que le *socio=rien poids relatif du dollar*socio=ec1 *socio=nil dans le *socio=rien panier du *socio=nil DTS, la valeur*socio=ec1 en DTS d'un*socio=rien stock*socio=ec1 de réserves*socio=ec1 donné tend à s'accroître lorsque le dollar*socio=ec1 s'apprécie, comme ce fut le cas*socio=rien en 1983 - 84, et à décroître lorsque le dollar*socio=ec1 se déprécie, comme il le fit en 1985 - 86. Bien*socio=rien que, pour l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, le *socio=ec1 ratio réserves/*socio=nil importations *socio=nil ait augmenté, pour les pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac qui importent des capitaux*socio=ec1 et qui ont depuis peu des difficultés*socio=uv4 à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, ce ratio*socio=ec1 est*socio=rien descendu de 29 % en 1985 à 26 % en 1986, comme la valeur*socio=ec1 en DTS de leurs réserves*socio=ec1 autres que l'or*socio=ec1 diminuait d'environ *socio=rien un quart.*socio=nil *socio=nil En 1986, la composition*socio=rien des réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 a continué de se diversifier, moins vite toutefois que les *socio=rien années précédentes.*socio=nil *socio=nil Dans cette composante*socio=rien, la proportion*socio=rien des réserves*socio=ec1 identifiées libellées en dollars*socio=ec1, qui avoisinait 80% au milieu*socio=rien des années*socio=rien 70, était de 67 % à la fin*socio=rien de 1986. Au cours*socio=rien des dix *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil on a assisté*socio=rien à une baisse*socio=ec2 sensible*socio=rien de la *socio=rien part du dollar_eu*socio=ec1 *socio=nil dans les réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 identifiées avec, en parallèle*socio=rien, une augmentation*socio=ec2 de la part*socio=rien des réserves*socio=ec1 libellées en *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil (de 11 % en 1978 à 15 % en 1986) et en yen*socio=ec1 (de 3 % en 1978 à 7 % en 1986). La diminution*socio=ec2 de la *socio=rien part relative des*socio=nil réserves*socio=ec1 *socio=nil libellées en dollars*socio=ec1 a été*socio=rien plus accentuée dans les pays_industrialisés*socio=ac (dont les avoirs*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 sont passés*socio=te de 86 '7o des réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 identifiées en 1978 à 71 % en 1986) que dans les pays_en_développement*socio=uv3 (pour lesquels les chiffres sont respectivement de 63 % et 60 %). pays_industrialisés*socio=ac. Évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1. Au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée, les rapports*socio=rien de change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 ont continué à progresser vers une représentation*socio=uv3 plus fidèle de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 fondamentale*socio=uv4 des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Poursuivant une dépréciation*socio=ec2 qu'il avait entamée à la fin*socio=rien de février*socio=rien 1985, le dollar*socio=ec1 a perdu 13% de sa valeur*socio=ec1 effective*socio=rien au cours*socio=rien de 1986, avant de se replier encore davantage au début*socio=rien de 1987. Quant aux autres principales*socio=rien monnaies*socio=ec1, elles se sont appréciées au cours*socio=rien de 1986 en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil à deux exceptions*socio=rien près : la livre sterling*socio=ec1 et le dollar_canadien*socio=ec1 (graphique*socio=rien 8). Pendant les quatre *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1987, le dollar_eu*socio=ec1 s'est*socio=rien déprécié de 8 % en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil tandis que le yen*socio=ec1 et le *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil gagnaient environ 8% et 2%, respectivement. Ces variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 ont presque entièrement contrebalancé les gains*socio=ec1 qu'avait enregistrés, pendant la *socio=rien première moitié *socio=nil de la présente*socio=rien décennie*socio=te, la valeur*socio=ec1 effective*socio=rien réelle*socio=ec2 du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1 (mesurée par les coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien normalisés relatifs*socio=rien de la main-d'_oeuvre*socio=ac). Entre le début*socio=rien de 1985 - époque*socio=te à laquelle le dollar*socio=ec1 avait atteint son *socio=rien niveau maximum *socio=nil - et avril*socio=rien 1987, le dollar_eu*socio=ec1 a perdu quelque 35 %, en *socio=rien termes effectifs réels*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil et à peu près autant en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de la même période*socio=te, le *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil a retrouvé, en s'appréciant de 20 %, la valeur*socio=ec1 effective*socio=rien réelle*socio=ec2 qu'il avait en 1980. Quant au yen*socio=ec1, il valait, en avril*socio=rien 1987, 31 % de plus que deux ans*socio=rien auparavant, en *socio=rien termes effectifs réels*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil et dépassait de presque autant son *socio=rien niveau moyen *socio=nil de 1980. En *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1,*socio=nil l'*socio=nil appréciation*socio=uv3 du yen*socio=ec1 a*socio=nil été un *socio=nil peu plus marquée, car au Japon*socio=ac le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 a été*socio=rien plus faible*socio=rien que le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien pour le groupe*socio=ac de ses principaux*socio=rien partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. En avril*socio=rien 1987, les taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien réels*socio=ec2 du*socio=rien franc*socio=ec1 français*socio=rien, de la livre sterling*socio=ec1 et du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1 étaient encore inférieurs*socio=rien à leur niveau*socio=rien de 1980, mais celui de la lire italienne*socio=ac avait retrouvé le niveau*socio=rien qu'il avait atteint cette année-là. Le repli*socio=rien de la livre sterling*socio=ec1 et du*socio=rien franc*socio=ec1 français*socio=rien depuis 1980 a été*socio=rien moins prononcé en *socio=rien termes effectifs réels*socio=ec2 *socio=nil qu'en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1, car les coûts*socio=ec1 ont augmenté plus rapidement au Royaume-uni*socio=ac et en France*socio=ac qu'ailleurs*socio=rien. La dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1 par rapport*socio=rien à la plupart*socio=rien des autres principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 depuis l'Accord*socio=et du*socio=rien Plaza*socio=et semble notamment résulter des efforts*socio=uv1 déployés par les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac pour coordonner leurs politiques*socio=et et, par conséquent*socio=rien, de la convergence*socio=uv3 de leurs situations*socio=rien économiques*socio=ec1. Dans la période*socio=te qui a suivi l'Accord*socio=et du*socio=rien Plaza*socio=et de septembre*socio=rien 1985, le dollar_eu*socio=ec1 a continué à se déprécier *socio=rien du fait *socio=nil que le *socio=ac gouvernement japonais avait*socio=nil temporairement*socio=rien *socio=nil resserré sa politique_monétaire*socio=et et que les autorités*socio=et des États-unis*socio=ac s'étaient engagées à réduire le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et américain*socio=ac, selon un*socio=rien calendrier*socio=te fixé par la loi*socio=et Gramm-rudman-hollings. L'effondrement*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 au début*socio=rien de 1986 a peut-être aussi contribué au *socio=rien recul du dollar_eu*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil dans, la mesure*socio=rien où il a eu pour conséquence*socio=rien d'exercer des pressions*socio=ec2 à la *socio=rien hausse sur les*socio=nil monnaies*socio=ec1 des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui, comme le Japon*socio=ac ou *socio=rien un certain nombre de*socio=nil *socio=ac pays européens,*socio=nil *socio=nil sont relativement plus tributaires*socio=rien que les États-unis*socio=ac des importations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1. En outre, les écarts*socio=ec2 entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te ont généralement évolué en faveur*socio=rien des autres pays_industrialisés*socio=ac au cours*socio=rien de 1986, tandis qu'aux États-unis*socio=ac les taux_d'_intérêt*socio=ec1 accusaient une forte*socio=rien baisse*socio=ec2. Pendant les quatre *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1987, les écarts*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont de *socio=rien nouveau favorisé les*socio=nil actifs*socio=ec1 *socio=nil libellés en dollars*socio=ec1 EU (graphique*socio=rien 9),, cela n'a cependant pas empêché le dollar*socio=ec1 de continuer à baisser. Pendant le *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1986, des pressions*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 se sont exercées sur*socio=rien le yen*socio=ec1 *socio=rien du fait *socio=nil que l'économie*socio=ec1 japonaise*socio=ac donnait des signes de plus en plus précis*socio=rien d'essoufflement*socio=ec1 et que les prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 augmentaient. L'incidence*socio=ec2 de ces facteurs*socio=rien a été*socio=rien renforcée par la déclaration*socio=et que les ministres*socio=ac des finances*socio=ec1 des États-unis*socio=ac et du*socio=rien Japon*socio=ac ont signée conjointement à la fin*socio=rien d'octobre*socio=rien,, dans ce document*socio=rien, où le Japon*socio=ac annonçait une réduction*socio=ec2 de son taux*socio=ec1 d'escompte, les deux pays*socio=ac affirmaient en outre leur volonté*socio=uv1 de coopérer sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et les États-unis*socio=ac s'engageaient à réduire le déficit*socio=ec1 *socio=et budgétaire fédéral,*socio=nil *socio=nil comme le prescrivait la loi*socio=et Gramm-rudman-hollings. Pendant la même période*socio=te, le *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil subissait en revanche une forte*socio=rien pression*socio=ec2 à la hausse*socio=rien. Ce redressement*socio=ec2 du*socio=rien *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil peut notamment être*socio=rien attribué à la nette*socio=rien augmentation*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, à une nouvelle*socio=rien réduction*socio=ec2 du*socio=rien différentiel*socio=ec1 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 par rapport*socio=rien aux taux*socio=ec1 des États-unis*socio=ac et à l'anticipation*socio=ec1 d'ajustement*socio=et de parités*socio=ec1 au *socio=rien sein du système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac (*socio=nil SME*socio=ec1)*socio=nil .*socio=nil Au*socio=nil début *socio=nil de 1987, le dollar_eu*socio=ec1 a continué à se déprécier fortement par rapport*socio=rien aux principales*socio=rien monnaies*socio=ec1, ce qui témoignait sans doute*socio=rien de la réaction*socio=rien des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 face*socio=rien à l'absence*socio=rien d'amélioration*socio=uv1 de la balance_commerciale*socio=ec1 des États-unis*socio=ac. Le dollar*socio=ec1 s'est*socio=rien ensuite raffermi, au lendemain*socio=te d'une nouvelle*socio=rien déclaration*socio=et conjointe*socio=rien des ministres*socio=ac des finances*socio=ec1 des États-unis*socio=ac et du*socio=rien Japon*socio=ac. Cette évolution*socio=te a été*socio=rien confortée par les signes d'un*socio=rien début*socio=rien d'ajustement*socio=et des *socio=ec1 balances commerciales réelles*socio=ec2 des*socio=nil principaux*socio=rien pays*socio=ac.*socio=nil En*socio=nil concluant*socio=rien l'*socio=nil Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et du*socio=rien 22*socio=nil février*socio=rien *socio=nil 1987, les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont déclaré que les taux_de_change*socio=ec1 avaient désormais été*socio=rien ramenés dans des bandes de fluctuations*socio=ec2 compatibles*socio=rien dans l'ensemble*socio=rien avec les données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4, compte*socio=ec1 tenu *socio=rien du fait *socio=nil que les pays*socio=ac excédentaires*socio=ec2 s'étaient engagés à mener des politiques*socio=et propres*socio=rien à renforcer leur demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, tout en maintenant la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1, et les pays*socio=ac déficitaires*socio=ec2, à réduire leur déséquilibre*socio=uv3 intérieur*socio=te et leur déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te. Reconnaissant, par ailleurs*socio=rien, que de *socio=rien nouvelles variations importantes*socio=uv4 *socio=nil de leurs monnaies*socio=ec1 risqueraient de nuire à la croissance*socio=ec1 et de compromettre les perspectives*socio=te d'ajustement*socio=et, ils ont décidé de coopérer étroitement pour promouvoir la stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 autour des niveaux*socio=rien actuels*socio=te. Après*socio=rien une période*socio=te de quasi-stabilité au lendemain*socio=te de l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et, le dollar_eu*socio=ec1 a été*socio=rien soumis à de nouvelles*socio=rien pressions*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 et à la *socio=rien fin avril *socio=nil il s'était encore déprécié de 4 %. Contrairement aux monnaies*socio=ec1 des autres grands*socio=rien *socio=ac pays européens et*socio=nil du*socio=rien Japon,*socio=nil *socio=nil la livre sterling*socio=ec1 a perdu de sa valeur*socio=ec1 effective*socio=rien au cours*socio=rien de 1986,, entre le milieu*socio=rien de 1985 et le mois*socio=rien de décembre*socio=rien 1986, elle s'est*socio=rien en effet*socio=rien dépréciée d'environ 18 %, en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et d'un*socio=rien peu moins, en termes*socio=rien réels*socio=ec2. Ce repli*socio=rien de la livre sterling*socio=ec1 en 1986 s'explique par la chute brutale*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et, pour ce qui *socio=rien est du deuxième semestre,*socio=nil *socio=nil par l'accroissement*socio=ec2 rapide*socio=rien de M3 en sterling*socio=ec1, ainsi que par la diminution*socio=ec2 du*socio=rien solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te et du*socio=rien solde*socio=ec1 des opérations*socio=rien en capitaux*socio=ec1 à long_terme*socio=te. Si la livre sterling*socio=ec1 s'est*socio=rien vivement redressée au début*socio=rien de 1987, c'est*socio=rien peut-être parce que le marché*socio=ec1 s'attendait à un*socio=rien fléchissement*socio=ec2 des besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et, que les *socio=rien cours du pétrole*socio=ec1 *socio=nil se sont redressés et que les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 sont demeurés relativement bons*socio=rien. À la suite*socio=rien de la réduction*socio=ec2, au début*socio=rien de 1987, du*socio=rien taux*socio=ec1 de base*socio=rien par les principales*socio=rien *socio=ac banques britanniques,*socio=nil l'*socio=nil écart*socio=ec2 *socio=nil entre les *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux à*socio=nil court_terme*socio=te,*socio=nil *socio=nil qui favorisait les actifs*socio=ec1 libellés en livres sterling*socio=ec1 plutôt qu'en dollars*socio=ec1 EU, a été*socio=rien ramené, à la *socio=rien fin avril *socio=nil 1987, à quelque 3 1/4 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien. Au cours*socio=rien de 1986, le dollar_canadien*socio=ec1 s'est*socio=rien lui aussi déprécié, accusant une baisse*socio=ec2 d'environ 5 %, en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1,*socio=nil bien *socio=nil qu'il se soit légèrement apprécié par rapport*socio=rien au dollar_eu*socio=ec1. L'écart*socio=ec2 entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te en faveur*socio=rien des actifs*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac par rapport*socio=rien aux placements*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 EU, s'était nettement élargi au début*socio=rien de 1986, mais, à la fin*socio=rien d'avril*socio=rien 1987, il n'était plus que de *socio=rien un point de*socio=nil pourcentage.*socio=nil *socio=nil Depuis le réalignement*socio=rien de juillet*socio=rien 1985 (qui avait modifié la *socio=rien position relative *socio=nil de la lire italienne*socio=ac), les *socio=rien cours pivots des*socio=nil monnaies*socio=ec1 participant au*socio=nil mécanisme*socio=et de*socio=nil change*socio=ec1 du SME*socio=ec1 ont*socio=nil été *socio=nil réajustés à trois reprises. Le 6 avril*socio=rien 1986, les *socio=rien cours pivots du *socio=ec1 deutsche mark,*socio=nil du*socio=rien florin néerlandais*socio=ac et*socio=nil du*socio=rien franc *socio=nil belgo-luxembourgeois ont été*socio=rien relevés, tandis que celui du*socio=rien franc*socio=ec1 français*socio=rien était abaissé, afin que la compétitivité*socio=uv3 de la France*socio=ac soit renforcée au *socio=rien sein du SME*socio=ec1.*socio=nil Lors du deuxième réalignement,*socio=nil *socio=nil le 4 août*socio=rien 1986, le *socio=rien cours pivot *socio=nil de la livre irlandaise*socio=ac a été*socio=rien abaissé de 8 %. Les autorités*socio=et irlandaises avaient demandé ce changement*socio=uv3 pour compenser la détérioration*socio=uv4 de la compétitivité*socio=uv3 extérieure*socio=te de l'Irlande*socio=ac, surtout par rapport*socio=rien au Royaume-uni*socio=ac et aux États-unis*socio=ac. Enfin, un*socio=rien autre réalignement*socio=rien a été*socio=rien opéré le 12 janvier*socio=rien 1987: les *socio=rien cours pivots du *socio=ec1 deutsche mark et*socio=nil du*socio=rien florin néerlandais*socio=ac *socio=nil ont alors été*socio=rien relevés de 3 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien et celui du*socio=rien franc*socio=ec1 belgo-luxembourgeois, de 2 points*socio=rien, par rapport*socio=rien aux autres monnaies*socio=ec1 du*socio=rien SME*socio=ec1. Ce *socio=rien dernier réalignement a*socio=nil été *socio=nil opéré notamment en vue*socio=rien de remédier aux tensions*socio=ec2 que la faiblesse*socio=ec2 *socio=rien persistante du dollar_eu*socio=ec1 *socio=nil avait suscitées au *socio=rien sein du SME*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil À l'exception*socio=rien de la *socio=ac couronne danoise,*socio=nil les*socio=nil monnaies*socio=ec1 des*socio=nil pays nordiques*socio=te *socio=nil sont liées à des paniers de devises*socio=ec1 dont *socio=rien fait partie le*socio=nil dollar_eu*socio=ec1,*socio=nil ,*socio=nil ces*socio=nil liens *socio=nil ont généralement favorisé*socio=rien la stabilité*socio=uv3 de leur taux_de_change*socio=ec1 effectif*socio=rien, contrairement à ce qui s'est*socio=rien produit*socio=rien pour les autres monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac qui se sont appréciées après*socio=rien le début*socio=rien de 1985. La Norvège*socio=ac a, de surcroît*socio=rien, dévalué sa monnaie*socio=ec1 d'environ 11 %, en mai*socio=rien 1986, afin de compenser une perte*socio=ec2 de compétitivité*socio=uv3 et d'aider son économie*socio=ec1 à s'adapter*socio=rien à la chute des *socio=ec1 recettes pétrolières.*socio=nil L'*socio=nil Espagne*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui a cherché, par sa politique*socio=et, à stabiliser le taux_de_change*socio=ec1 de sa monnaie*socio=ec1 par rapport*socio=rien à l'Unité*socio=rien de compte*socio=ec1 européenne*socio=ac (Écu), mais qui s'est*socio=rien trouvée aux prises*socio=rien avec un*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 plus élevé*socio=uv4 que celui de ses partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1, a vu la peseta*socio=ec1 s'apprécier en 1986 de 4%, en *socio=rien termes effectifs réels*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Quant au franc*socio=ec1 suisse*socio=ac, son évolution*socio=te suit de près celle du*socio=rien *socio=ec1 deutsche mark depuis*socio=nil février*socio=rien *socio=nil 1985, et sa valeur*socio=ec1 *socio=rien effective nominale s'*socio=nil est *socio=nil accrue de 15 %, se rapprochant ainsi de son *socio=rien niveau moyen *socio=nil de 1980. Parmi les monnaies*socio=ec1 des autres pays_industrialisés*socio=ac, le dollar*socio=ec1 australien*socio=rien et le dollar*socio=ec1 néo-zélandais ont subi des ajustements*socio=et particulièrement importants*socio=uv4. Au cours*socio=rien de 1986 et, surtout pendant le troisième*socio=rien trimestre*socio=te, le dollar*socio=ec1 australien*socio=rien s'est*socio=rien fortement déprécié en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1 et*socio=nil réels*socio=ec2,*socio=nil du fait *socio=nil notamment de la persistance*socio=te d'un*socio=rien déficit*socio=ec1 courant*socio=rien élevé*socio=uv4 et *socio=rien du nouveau fléchissement*socio=ec2 des*socio=nil cours des*socio=nil produits de*socio=nil base.*socio=nil *socio=nil À la *socio=rien fin du premier trimestre*socio=te *socio=nil de 1987, le dollar*socio=ec1 australien*socio=rien, qui s'était pourtant redressé dans une *socio=rien certaine mesure au*socio=nil cours *socio=nil des six *socio=rien mois précédents,*socio=nil *socio=nil valait environ 30 % de moins qu'il ne valait deux ans*socio=rien auparavant, c'est-à-dire lorsqu'il a atteint son plus *socio=rien récent sommet.*socio=nil La*socio=nil dépréciation*socio=ec2 *socio=nil de quelque 10 % du*socio=rien dollar*socio=ec1 néo-zélandais au *socio=rien cours du troisième trimestre*socio=te *socio=nil de 1986 a été*socio=rien partiellement rattrapée pendant le quatrième*socio=rien trimestre*socio=te et le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif réel s'*socio=nil est *socio=nil apprécié au cours*socio=rien de 1986, en raison*socio=rien d'un*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 nettement plus élevé*socio=uv4 en Nouvelle-zélande*socio=ac qu'ailleurs*socio=rien. Évolution*socio=te des balances_des_paiements*socio=ec1. Le solde*socio=ec1 global*socio=te des transactions_courantes*socio=te des pays_industrialisés*socio=ac a progressé de près de 32 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986, grâce*socio=rien à une amélioration*socio=uv1 sensible*socio=rien cumulée des termes_de_l'_échange*socio=ec1, qui a largement compensé la réduction*socio=ec2 de leurs exportations*socio=ec1 vers les pays_en_développement*socio=uv3. Cette amélioration*socio=uv1 n'a cependant pas été*socio=rien ressentie par tous les pays*socio=ac de manière*socio=rien uniforme*socio=uv4. Il est*socio=rien à noter, en particulier*socio=rien, que le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien des États-unis*socio=ac s'est*socio=rien creusé de 25 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, alors qu'au Japon*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac les excédents*socio=ec1 courants*socio=te ont augmenté de 37 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 et de 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, respectivement. Le Royaume-uni*socio=ac et le Canada*socio=ac, tous deux exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1, ont accusé une détérioration*socio=uv4 du*socio=rien solde*socio=ec1 courant*socio=rien, à l'inverse de la France*socio=ac et de l'Italie*socio=ac, dont la situation*socio=rien s'est*socio=rien à cet égard*socio=rien améliorée, Le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, exception*socio=rien faite des États-unis*socio=ac, a d'ailleurs*socio=rien évolué, dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil *socio=nil parallèlement à celui de leurs *socio=ec1 transactions pétrolières.*socio=nil *socio=nil Malgré la baisse*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 effective*socio=rien réelle*socio=ec2 du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1 et la chute des *socio=ec1 prix pétroliers,*socio=nil le*socio=nil déficit courant*socio=rien des*socio=nil États-unis*socio=ac s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil accentué en 1986 et a atteint *socio=rien un niveau *socio=nil équivalant à 3,3% du*socio=rien PNB*socio=ec1, contre 2,9 % en 1985 (graphique*socio=rien 10). Cette aggravation*socio=ec2 reflète l'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 au titre*socio=rien des transactions*socio=ec1 sur*socio=rien marchandises*socio=ec1. Certes, la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 a réduit de quelque 15 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 le déficit*socio=ec1 des *socio=ec1 échanges pétroliers des*socio=nil États-unis*socio=ac,*socio=nil *socio=nil mais cette réduction*socio=ec2 n'a cependant pas suffi pour compenser l'accroissement*socio=ec2 du*socio=rien *socio=ec1 déficit commercial,*socio=nil hors*socio=nil pétrole.*socio=nil Les*socio=nil gains importants*socio=uv4 de*socio=nil compétitivité*socio=uv3 *socio=nil réalisés par les États-unis*socio=ac depuis le début*socio=rien de 1985 ont favorisé*socio=rien une nette*socio=rien reprise des exportations*socio=ec1, en volume*socio=rien : 8% en 1986, selon les estimations*socio=ec2. Le volume*socio=rien des importations*socio=ec1 a néanmoins continué à augmenter rapidement (près de 15% en 1986), même si la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te s'est*socio=rien ralentie, et si le dollar_eu*socio=ec1 s'est*socio=rien déprécié. On trouvera plus loin*socio=rien une analyse*socio=ec2 de certaines*socio=rien des raisons*socio=rien pour lesquelles le rythme*socio=ec2 de croissance*socio=ec1 des importations*socio=ec1 s'est*socio=rien maintenu aux États-unis*socio=ac, et pour lesquelles le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien de ce pays*socio=ac semble insensible*socio=rien à l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1. Au Japon*socio=ac, l'excédent*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te s'est*socio=rien encore accru en 1986, atteignant *socio=rien un niveau *socio=nil équivalant à 4,3 % du*socio=rien PNB*socio=ec1, contre 3,7 % en 1985. Cette évolution*socio=te s'explique principalement par la nette*socio=rien amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, consécutive*socio=rien à la chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, et par la vive appréciation*socio=uv3 du*socio=rien yen*socio=ec1, en termes*socio=rien réels*socio=ec2. Globalement, les termes_de_l'_échange*socio=ec1 ont en effet*socio=rien progressé de 34% ( 14 %, si l'on exclut le pétrole*socio=ec1). L'effet*socio=rien bénéfique*socio=rien de ces résultats*socio=rien a néanmoins été*socio=rien atténué, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil *socio=nil par la détérioration*socio=uv4 sensible*socio=rien des exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien en termes*socio=rien réels*socio=ec2. L'expansion*socio=ec2 (7 1/4% ) *socio=rien du volume des*socio=nil importations*socio=ec1 a*socio=nil été *socio=nil particulièrement soutenue bien*socio=rien que la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te ne se soit accélérée que modérément,, les exportations*socio=ec1, en revanche, ont accusé une baisse*socio=ec2 de 2 1/4% en volume*socio=rien. Malgré tout, et notamment *socio=rien du fait *socio=nil que le niveau*socio=rien des exportations*socio=ec1 a dépassé de loin*socio=rien celui des importations*socio=ec1, ces variations*socio=rien de volume*socio=rien n'ont pas été*socio=rien d'une *socio=rien ampleur suffisante *socio=nil pour contrebalancer l'amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1. Le solde*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac a suivi une évolution*socio=te comparable*socio=rien à celle du*socio=rien solde*socio=ec1 du*socio=rien Japon*socio=ac. Les termes_de_l'_échange*socio=ec1 allemands*socio=ac se sont nettement améliorés, que l'on tienne compte*socio=ec1 ou non du*socio=rien pétrole*socio=ec1, et l'excédent*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te a atteint l'équivalent*socio=rien de près de 4% du*socio=rien PNB*socio=ec1 en 1986, contre 2,4% en 1985. Globalement, les termes_de_l'_échange*socio=ec1 ont progressé de plus de 15% (plus de 7% si l'on exclut le pétrole*socio=ec1). Il *socio=rien est vrai *socio=nil que, grâce*socio=rien à la chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, le déficit*socio=ec1 des *socio=ec1 échanges pétroliers s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil réduit de plus de 8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, mais l'accroissement*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 au titre*socio=rien des autres transactions*socio=ec1 sur*socio=rien marchandises*socio=ec1 a été*socio=rien, lui aussi, particulièrement sensible*socio=rien. Comme la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te s'est*socio=rien nettement accélérée et que la compétitivité*socio=uv3 de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac s'est*socio=rien fortement détériorée, le volume*socio=rien des importations*socio=ec1 de marchandises*socio=ec1 a augmenté beaucoup plus vite que celui des exportations*socio=ec1 (6% contre 1 % ),, cela n'a pourtant pas suffi à contrebalancer l'amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1. Le fait*socio=rien que les transactions_courantes*socio=te des trois principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac sont toujours caractérisées par de graves*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3, malgré les *socio=rien profondes modifications des*socio=nil rapports de*socio=nil change*socio=ec1 *socio=nil depuis le début*socio=rien de 1985, constitue pour de nombreux*socio=rien observateurs*socio=ac *socio=rien un sujet de*socio=nil préoccupation*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Il y a lieu*socio=rien de croire que le volume*socio=rien des échanges*socio=ec1 ne s'adapte que progressivement*socio=rien aux variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 réels*socio=ec2. La lenteur*socio=rien de ce processus*socio=te exerce tout d'abord*socio=rien des effets*socio=rien pervers sur*socio=rien les *socio=ec1 balances commerciales *socio=nil (l'effet*socio=rien de la courbe en J), à cause*socio=rien de l'important*socio=uv4 décalage*socio=rien dans le temps*socio=rien entre l'ajustement*socio=et des volumes*socio=rien échangés et celui des prix*socio=ec1. Cependant, même s'il faut parfois attendre trois ans*socio=rien ou plus, avant que les ajustements*socio=et de prix*socio=ec1 soient entièrement répercutés sur*socio=rien les volumes*socio=rien, il convient de noter que ce processus*socio=te était déjà bien*socio=rien engagé en 1986, comme en témoignent*socio=rien les importantes*socio=uv4 variations*socio=rien des *socio=ec1 balances commerciales réelles*socio=ec2.*socio=nil Un*socio=rien autre*socio=nil élément*socio=rien *socio=nil qui peut aider à expliquer pourquoi les déséquilibres*socio=uv3 des transactions_courantes*socio=te sont aussi *socio=rien tenaces est la*socio=nil persistance*socio=te d'*socio=nil écarts*socio=ec2 *socio=nil prononcés entre les niveaux*socio=rien de croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 dans les trois principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Certes, l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te s'est*socio=rien accélérée au cours*socio=rien de 1986 en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et au Japon*socio=ac et elle a ralenti aux États-unis*socio=ac mais, globalement, il s'est*socio=rien créé depuis 1982 un*socio=rien écart*socio=ec2 sensible*socio=rien en faveur*socio=rien des États-unis*socio=ac. Cet écart*socio=ec2 peut être*socio=rien attribué notamment au fait*socio=rien que ces trois pays*socio=ac ont adopté des politiques_budgétaires*socio=et divergentes*socio=uv2 pendant la période*socio=te considérée, ce qui explique en *socio=rien grande partie l'*socio=nil apparition de*socio=nil profonds déséquilibres*socio=uv3 des*socio=nil transactions_courantes*socio=te.*socio=nil Il*socio=nil est par*socio=nil ailleurs important*socio=uv4 *socio=nil de noter qu'avant la récente*socio=rien dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1 et l'appréciation*socio=uv3 *socio=rien concomitante du yen*socio=ec1 et*socio=nil du *socio=ec1 deutsche mark,*socio=nil *socio=nil c'est-à-dire avant le début*socio=rien de 1985, l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 était très fortement marquée dans l'autre sens*socio=rien. Ce sont principalement les transactions*socio=ec1 privées*socio=ac qui ont contrebalancé, dans les mouvements_de_capitaux*socio=ec1 des trois principaux*socio=rien pays*socio=ac, les importants*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 des soldes*socio=ec1 courants*socio=te,, néanmoins, les banques_centrales*socio=ac ont aussi nettement accru leurs achats*socio=ec1 d'actifs*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1, particulièrement depuis le début*socio=rien de 1987. En 1986, le montant*socio=ec1 des entrées officielles*socio=et de capitaux*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac a dépassé 32 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1,, l'année*socio=rien précédente*socio=rien, il y avait eu des sorties de quelque 2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Les réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 du*socio=rien Japon*socio=ac se sont accrues de près de 16 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986, soit l'équivalent*socio=rien d'environ 18% de l'excédent*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. En République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, l'accroissement*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 nettes*socio=rien en devises*socio=ec1, plus modeste*socio=rien en 1986 (un*socio=rien peu plus de 1 1/2 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1), s'est*socio=rien accéléré au cours*socio=rien des *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1987,, pendant le premier*socio=rien trimestre*socio=te de l'année*socio=rien, les réserves*socio=ec1 se sont en effet*socio=rien gonflées de plus de 8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Outre le Japon*socio=ac et la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, plusieurs autres pays*socio=ac ont, eux aussi, vu leurs réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 augmenter sensiblement par rapport*socio=rien à l'année*socio=rien dernière*socio=rien. En 1986, le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac était à peu près en équilibre*socio=ec2, alors qu'il avait fait*socio=rien apparaître un*socio=rien excédent*socio=ec1 équivalant à 1% du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1985. Cette variation*socio=rien s'explique principalement par la chute des *socio=ec1 recettes pétrolières nettes*socio=rien,*socio=nil *socio=nil dont l'ampleur*socio=rien *socio=rien est égale *socio=nil à celle de la baisse*socio=ec2 du*socio=rien solde*socio=ec1 courant*socio=rien global*socio=te. La balance_commerciale*socio=ec1 hors pétrole*socio=ec1 s'est*socio=rien elle aussi détériorée, malgré la dépréciation*socio=ec2 de la livre sterling*socio=ec1, en *socio=rien termes effectifs réels*socio=ec2,*socio=nil ,*socio=nil la*socio=nil détérioration*socio=uv4 *socio=nil a néanmoins été*socio=rien largement compensée par une nouvelle*socio=rien amélioration*socio=uv1 du*socio=rien solde*socio=ec1 net*socio=rien au titre*socio=rien des invisibles*socio=rien, en particulier*socio=rien celle du*socio=rien revenu*socio=ec1 des investissements*socio=ec1 et des recettes*socio=ec1 provenant des services*socio=et financiers*socio=ec1. Au Canada*socio=ac, le solde*socio=ec1 courant*socio=rien, en recul*socio=rien lui aussi en 1986, a fait*socio=rien apparaître un*socio=rien déficit*socio=ec1 équivalant à 1 3/4 % du*socio=rien PNB*socio=ec1, après*socio=rien avoir atteint une position*socio=rien de quasi-équilibre*socio=uv3 l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Cela s'explique dans une *socio=rien large mesure *socio=nil par la diminution*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 commercial*socio=ec1 au titre*socio=rien des marchandises*socio=ec1, *socio=rien du fait *socio=nil de la détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 et *socio=rien du tassement *socio=nil de la demande*socio=ec1 étrangère*socio=te pour les produits*socio=rien canadiens*socio=ac. La chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 a entraîné une réduction*socio=ec2 de près de 2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 de l'excédent*socio=ec1 de la *socio=ec1 balance_commerciale pétrolière.*socio=nil Les*socio=nil termes_de_l'_échange *socio=nil pour les marchandises*socio=ec1 autres que le pétrole*socio=ec1 se sont eux aussi détériorés, à cause*socio=rien de la baisse*socio=ec2 des *socio=ec1 prix agricoles *socio=nil et de la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1. Le solde*socio=ec1 courant*socio=rien de la France*socio=ac, dont la position*socio=rien était celle de quasi-équilibre*socio=uv3 en 1985, a fait*socio=rien apparaître un*socio=rien excédent*socio=ec1 de 3,4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (soit l'équivalent*socio=rien d'environ 0,5% du*socio=rien PNB*socio=ec1). C'est*socio=rien la chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te qui explique cette progression*socio=ec2 puisque la facture pétrolière*socio=ec1 nette*socio=rien a diminué de 6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 et que l'excédent*socio=ec1 des échanges_commerciaux*socio=ec1, hors pétrole*socio=ec1, s'est*socio=rien réduit. L'accélération*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te est*socio=rien la *socio=rien cause principale *socio=nil de la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil importations*socio=ec1 *socio=nil (7%), tandis que la stagnation*socio=ec1 des exportations*socio=ec1, en volume*socio=rien, s'explique en *socio=rien grande partie *socio=nil par le fait*socio=rien que la part*socio=rien de la France*socio=ac a continué à régresser sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te. Le solde*socio=ec1 courant*socio=rien de l'Italie*socio=ac s'est*socio=rien redressé en 1986 : un*socio=rien excédent*socio=ec1 de 4,1 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (soit 0,7 % du*socio=rien PNB*socio=ec1) a *socio=rien fait place au*socio=nil déficit*socio=ec1 *socio=nil de 3,6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (ou 1% du*socio=rien PNB*socio=ec1) enregistré en 1985. Il *socio=rien est vrai *socio=nil que ce rétablissement*socio=rien peut être*socio=rien attribué principalement à la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, mais la balance_commerciale*socio=ec1 hors pétrole*socio=ec1 et le solde*socio=ec1 au titre*socio=rien des invisibles*socio=rien se sont aussi améliorés. Parmi les soldes*socio=ec1 courants*socio=te des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, c'est*socio=rien celui de la Norvège*socio=ac qui a subi la plus *socio=rien forte variation:*socio=nil l'*socio=nil excédent*socio=ec1 *socio=nil de 1985, équivalant à plus de 5% du*socio=rien PNB*socio=ec1, a *socio=rien fait place,*socio=nil *socio=nil en 1986, à un*socio=rien déficit*socio=ec1 égal*socio=rien à 6 1/2% du*socio=rien PNB*socio=ec1. Ce glissement*socio=rien tient à la forte*socio=rien détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 (due dans une *socio=rien large mesure *socio=nil à la chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et du*socio=rien gaz_naturel*socio=ec1) et à l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien sensible du volume des*socio=nil importations*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil transactions_courantes*socio=te *socio=nil de l'Australie*socio=ac sont restées fortement déficitaires*socio=ec2 en 1986 (9,9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, soit près de 6% du*socio=rien PNB*socio=ec1). L'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien de la Suisse*socio=ac s'est*socio=rien accru de 2,1 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, chiffre correspondant à près de 5 1/4 % du*socio=rien PNB*socio=ec1, en raison*socio=rien surtout de l'amélioration*socio=uv1 du*socio=rien solde*socio=ec1 au titre*socio=rien des invisibles*socio=rien. Dans la plupart*socio=rien des autres petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, le solde*socio=ec1 extérieur*socio=te s'est*socio=rien amélioré,, l'exemple*socio=rien le plus frappant est*socio=rien celui de la Belgique*socio=ac, où l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien s'est*socio=rien accru de 3,1 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, pour atteindre l'équivalent*socio=rien de 3 % du*socio=rien PNB*socio=ec1. Les Pays-bas*socio=ac et l'Espagne*socio=ac ont aussi dégagé en 1986 un*socio=rien excédent*socio=ec1 courant*socio=rien important*socio=uv4, respectivement de 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (2,9% du*socio=rien PNB*socio=ec1) et de 4,2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (1,8% du*socio=rien PNB*socio=ec1). pays_en_développement*socio=uv3. taux_de_change*socio=ec1. Les politiques*socio=et de change*socio=ec1 ont gardé en 1986 une place*socio=rien importante*socio=uv4 dans les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et de stabilisation*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3. *socio=rien Bon nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui se trouvaient dans une situation*socio=rien extérieure*socio=te difficile*socio=rien ont en *socio=rien effet procédé *socio=nil à une forte*socio=rien dévaluation*socio=ec2 de leur monnaie*socio=ec1, en vue*socio=rien de consolider leur balance_des_paiements*socio=ec1 et d'améliorer leur compétitivité*socio=uv3 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te. Dans beaucoup d'autres pays*socio=ac, toutefois, la monnaie*socio=ec1 s'est*socio=rien effectivement*socio=rien dépréciée en 1986, parce qu'elle était rattachée au dollar_eu*socio=ec1. Aussi l'indice composite*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien réels*socio=ec2 des pays_en_développement*socio=uv3 a-t-il reculé de quelque 14% en 1986, après*socio=rien une *socio=ec2 dépréciation réelle du*socio=rien même*socio=nil ordre*socio=rien *socio=nil en 1985. Pendant ces deux années*socio=rien, l'indice a subi la plus *socio=rien forte variation *socio=nil qu'il ait jamais enregistrée en 24 mois*socio=rien depuis sa création*socio=uv4, au milieu*socio=rien des années*socio=rien 70. L'assouplissement*socio=uv3 de la politique*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 se manifeste en outre par l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien du nombre des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil qui ont adopté un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 flottant depuis le début*socio=rien de la période*socio=te considérée. Le Ghana*socio=ac et la Guinée (dont la monnaie*socio=ec1 était auparavant rattachée au dollar_eu*socio=ec1) ainsi que le Nigeria*socio=ac (qui avait adopté un*socio=rien régime*socio=et de flottement*socio=ec1 dirigé) ont opté pour un*socio=rien régime*socio=et de flottement*socio=ec1 indépendant*socio=rien, tandis que la Chine*socio=ac et Madagascar*socio=ac (où le taux_de_change*socio=ec1 était établi par référence*socio=rien à *socio=rien un panier de*socio=nil monnaies*socio=ec1)*socio=nil *socio=nil ont adopté un*socio=rien régime*socio=et prévoyant une plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3, selon la classification*socio=ec2 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Les indices des taux_de_change*socio=ec1 réels*socio=ec2 des cinq*socio=rien groupes*socio=ac régionaux*socio=te de pays*socio=ac (graphique*socio=rien 11 ) font ressortir l'importance*socio=rien de l'action*socio=ec1 sur*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1 dans l'effort*socio=uv1 d'ajustement*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3. Au sein*socio=rien de chaque région*socio=te, c'est*socio=rien principalement dans les pays*socio=ac où l'ajustement*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 était le plus urgent*socio=uv4, ou dans ceux dont les monnaies*socio=ec1 étaient liées au dollar_eu*socio=ec1, que s'est*socio=rien produite une *socio=ec2 dépréciation réelle.*socio=nil *socio=nil Parmi les pays*socio=ac où l'urgence*socio=rien de l'ajustement*socio=et se faisait particulièrement sentir, figurent les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil qui avaient amorcé l'application*socio=rien d'une politique*socio=et de redressement*socio=ec2 ou intensifié sa mise en oeuvre*socio=rien au lendemain*socio=te de la chute vertigineuse des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et des pertes*socio=ec2 considérables*socio=rien de recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 réelles*socio=ec2 que cette chute avait provoquées. L'ajustement*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1, qui constituait bien*socio=rien souvent l'un*socio=rien des *socio=rien éléments principaux *socio=nil de cette politique*socio=et, visait à remédier aux distorsions*socio=uv3 relatives*socio=rien des prix*socio=ec1 et à stimuler la production*socio=ec1 de biens*socio=ec1 exportables*socio=ec2 en favorisant un*socio=rien élargissement*socio=ec2 de la base*socio=rien des exportations*socio=ec1. Cela a entraîné en 1986 une baisse*socio=ec2 sensible*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien réels*socio=ec2 et nominaux*socio=ec1 des pays*socio=ac du*socio=rien *socio=ac Moyen-orient exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1.*socio=nil Trois*socio=nil pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil de l'hémisphère_occidental*socio=te - l'Équateur*socio=ac, le Mexique*socio=ac et le Venezuela*socio=ac - ont eu de plus en plus recours*socio=rien, eux aussi, à des mesures*socio=et correctives*socio=ec2 en matière*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1. *socio=rien Un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil Asie*socio=ac,*socio=nil du Moyen-orient*socio=ac *socio=nil et de l' hémisphère_occidental*socio=te ont vu leur monnaie*socio=ec1 se déprécier en *socio=rien termes effectifs réels*socio=ec2,*socio=nil du fait *socio=nil de ses liens*socio=rien avec le dollar_eu*socio=ec1, lui-même en baisse*socio=ec2. Certains de ces pays*socio=ac, particulièrement les exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés d'Asie*socio=ac du*socio=rien Sud-est*socio=te, ont enregistré une progression*socio=ec2 sensible*socio=rien de leurs parts*socio=rien de marché*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1, en laissant leur monnaie*socio=ec1 se déprécier avec le dollar*socio=ec1, par rapport*socio=rien à celles de leurs autres partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1, tout en maintenant, voire améliorant, leur position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 face*socio=rien aux États-unis*socio=ac. Nombreux*socio=rien sont les *socio=ac pays africains *socio=nil qui, eux aussi, ont pris des mesures*socio=et importantes*socio=uv4 afin de remédier au désalignement*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 de leur monnaie*socio=ec1 et d'unifier des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 multiples*socio=rien. Ainsi, le programme*socio=et d'ajustement*socio=et que le Nigeria*socio=ac a adopté en 1986 et qui bénéficiait de l'appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 reposait précisément sur*socio=rien la *socio=rien profonde modification du taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil qui s'est*socio=rien opérée à la suite*socio=rien de l'instauration*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien de vente*socio=ec1 de devises*socio=ec1 aux enchères*socio=ec. Dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil *socio=ac pays africains,*socio=nil la*socio=nil dépréciation*socio=ec2 *socio=nil de la monnaie*socio=ec1 n'a pas eu *socio=rien un effet trop*socio=nil inflationniste*socio=ec2 sur les*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil à la consommation*socio=ec1, car les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1 ont baissé - en raison*socio=rien de la reprise de la *socio=ec1 production agricole,*socio=nil elle-même*socio=nil favorisée*socio=rien *socio=nil par le retour*socio=rien de conditions*socio=ec1 atmosphériques moins rigoureuses*socio=uv4 - de même d'ailleurs*socio=rien que les prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1,, il a donc été*socio=rien plus facile*socio=rien d'agir sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1. Dans le même temps*socio=rien, cette dépréciation*socio=ec2, en poussant vers le haut*socio=rien les prix*socio=ec1 aux producteurs*socio=ac pour les produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 exportables*socio=ec2, a encouragé les agriculteurs*socio=ac à accroître la production*socio=ec1 de cultures*socio=et marchandes*socio=ec1. Les prix*socio=ec1 aux producteurs*socio=ac ont aussi augmenté dans les *socio=ac pays africains *socio=nil où le taux_de_change*socio=ec1 est*socio=rien établi par référence*socio=rien au franc*socio=ec1 français*socio=rien, bien*socio=rien que la parité*socio=ec1 de leur monnaie*socio=ec1 avec le franc*socio=ec1 ait été*socio=rien maintenue. Évolution*socio=te des soldes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. Le solde*socio=ec1 global*socio=te des transactions_courantes*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 s'est*socio=rien grandement détérioré en 1986, alors que les déficits*socio=ec1 s'étaient régulièrement atténués au cours*socio=rien des trois *socio=rien années précédentes (*socio=nil tableau *socio=nil 7 et graphique*socio=rien 12). Le *socio=rien recul considérable des*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 *socio=nil (17 %), dû principalement à la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 mais aussi à la faiblesse*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien et au renchérissement*socio=rien des produits*socio=rien manufacturés, a entraîné une dégradation*socio=uv3 du*socio=rien solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te sur*socio=rien marchandises*socio=ec1 : entre 1985 et 1986, l'excédent*socio=ec1 s'est*socio=rien rétréci, tombant de 45 milliards*socio=rien à 7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 seulement. Cette contraction*socio=ec2 n'a été*socio=rien que partiellement compensée par une diminution*socio=ec2 de 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 des paiements_d'_intérêts*socio=ec1, ainsi que par un*socio=rien accroissement*socio=ec2 de 13 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 des excédents*socio=ec1 au titre*socio=rien des autres transactions*socio=ec1 invisibles*socio=rien. Le déficit_global*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te a presque doublé entre 1985 et 1986, passant de 24 à 46 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Ce sont les pays_en_développement*socio=uv3 exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1 qui ont été*socio=rien le plus durement touchés. Ces pays*socio=ac, dont les termes_de_l'_échange*socio=ec1 ont reculé de 47 % (ce qui équivaut à une perte*socio=ec2 d'une centaine*socio=rien de milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) ont réussi, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil *socio=nil à amortir les contre-coups de cette détérioration*socio=uv4 en procédant à des ajustements*socio=et importants*socio=uv4 de leurs *socio=ec1 flux commerciaux *socio=nil et de leurs dépenses*socio=ec1 intérieures*socio=te. Le solde*socio=ec1 courant*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil n'en a pas moins diminué de 40 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en *socio=rien un an *socio=nil : le léger*socio=rien excédent*socio=ec1 dégagé en 1985 a *socio=rien fait place en*socio=nil effet à*socio=nil un déficit*socio=ec1 *socio=nil de 37 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986. Les autres pays_en_développement*socio=uv3 sont en revanche parvenus, pour la *socio=rien cinquième année de*socio=nil suite,*socio=nil *socio=nil à réduire le déficit*socio=ec1 de leurs transactions_courantes*socio=te, lequel a baissé de 9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986. À l'intérieur*socio=te de ce vaste*socio=rien groupe_de_pays*socio=ac, ce sont les exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés qui, grâce*socio=rien à la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 importé, à l'amélioration*socio=uv1 de leur compétitivité*socio=uv3 et à la fermeté*socio=rien de la demande*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac, ont le plus profité de cette évolution*socio=te positive*socio=uv4. Leur solde*socio=ec1 courant*socio=rien, de déficitaire*socio=ec2 qu'il était en 1985 (4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1), est*socio=rien devenu excédentaire*socio=rien de 13 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Pour ce qui est*socio=rien des autres pays_en_développement*socio=uv3, dont la plupart*socio=rien exportent principalement des *socio=rien produits primaires *socio=nil (surtout agricoles*socio=ec1), la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 dont ils ont profité a été*socio=rien contrebalancée par la faiblesse*socio=ec2 des cours*socio=rien des produits*socio=rien de *socio=rien base sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te *socio=nil et par le renchérissement*socio=rien des importations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés. Ces pays*socio=ac ont vu leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 se dégrader légèrement certes, mais ils sont néanmoins parvenus, en ajustant le volume*socio=rien de leurs échanges*socio=ec1, à maintenir leur déficit*socio=ec1 courant*socio=rien à 22 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, c'est-à-dire à peu près au même niveau*socio=rien qu'en 1985. Une partie*socio=rien de l'ajustement*socio=et effectué en 1986 par les pays_en_développement*socio=uv3 a été*socio=rien opéré au moyen*socio=rien d'une augmentation*socio=ec2 *socio=rien sensible du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 *socio=nil (8 1/2% en 1986), lequel avait à peine progressé en 1985. La *socio=rien variation globale *socio=nil masque toutefois des évolutions*socio=te divergentes*socio=uv2 dans les différents*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac. C'est*socio=rien ainsi que les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil ont accru leurs exportations*socio=ec1 de 11%: cet accroissement*socio=ec2 représente surtout des ventes*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 qui sont venues se substituer à une partie*socio=rien de la production*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac qui avait cessé d'être*socio=rien rentable*socio=ec2, étant donné la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1. Une *socio=rien bonne partie *socio=nil de ces gains*socio=ec1 ont été*socio=rien réalisés par les pays*socio=ac dont les marchés*socio=ec1 s'étaient nettement rétrécis,, les principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac ont ainsi augmenté le volume*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 de quelque 16%. Les exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés ont également accru sensiblement leurs parts*socio=rien de marché*socio=ec1, principalement grâce*socio=rien à une amélioration*socio=uv1 de leur compétitivité*socio=uv3 : le taux_de_croissance*socio=ec1 de leurs exportations*socio=ec1 a été*socio=rien de 13 1/2%, chiffre qui doit être*socio=rien comparé à une augmentation*socio=ec2 de 4 1/2 % de la capacité*socio=uv3 d'absorption*socio=rien des marchés*socio=ec1 des *socio=ac pays importateurs.*socio=nil *socio=nil Quant aux exportateurs*socio=ac de *socio=rien produits primaires,*socio=nil leur*socio=nil situation a*socio=nil été moins*socio=nil favorable*socio=uv4 *socio=nil : à cause*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te, la valeur*socio=ec1 de leurs exportations*socio=ec1 est*socio=rien restée stationnaire*socio=ec2, et leur volume*socio=rien a diminué. Globalement, l'accroissement*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 *socio=nil n'a pas suffi à compenser la détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1,, aussi le pouvoir_d'_achat*socio=ec1 des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 a-t-il baissé de 9 1/2% en 1986, alors qu'il avait progressé d'environ 7% par an*socio=rien, en moyenne*socio=rien, entre 1970 et 1984 et qu'il avait légèrement diminué en 1985. Étant donné les contraintes*socio=uv1 qui continuent à peser sur*socio=rien les financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te, il a fallu ajuster sensiblement le volume*socio=rien des importations*socio=ec1, lequel, *socio=rien après être resté*socio=nil inchangé *socio=nil en 1985, a reculé de 2 1/2 % en 1986. Les pays*socio=ac où la réduction*socio=ec2 des importations*socio=ec1 a été*socio=rien la plus forte*socio=rien (21%) sont les exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1. Les pays*socio=ac non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1 ont en revanche bénéficié d'une augmentation*socio=ec2 de 9% du*socio=rien pouvoir_d'_achat*socio=ec1 de leurs exportations*socio=ec1 en 1986, ce qui leur a permis*socio=rien de consolider leur solde*socio=ec1 courant*socio=rien, tout en augmentant de 4 1/2 % le volume*socio=rien de leurs importations*socio=ec1. Pour l'essentiel*socio=uv4, cette augmentation*socio=ec2 s'est*socio=rien produite dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés, mais les exportateurs*socio=ac de *socio=rien produits primaires *socio=nil ont pu, eux aussi, accroître modérément leurs importations*socio=ec1. Ce n'est*socio=rien qu'en Asie*socio=ac et en Europe*socio=ac, toutefois, que le volume*socio=rien des importations*socio=ec1 a été*socio=rien plus élevé*socio=uv4 en 1986 qu'en 1984. Les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac, pour la *socio=rien cinquième année de*socio=nil suite,*socio=nil *socio=nil et ceux du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac, pour la *socio=rien quatrième année successive,*socio=nil *socio=nil ont vu baisser leurs importations*socio=ec1, en termes*socio=rien réels*socio=ec2, tandis que les achats*socio=ec1 à l'étranger*socio=te restaient très déprimés dans les pays*socio=ac de l' hémisphère_occidental*socio=te. Dans ces trois régions*socio=te, le niveau*socio=rien des importations*socio=ec1 ne représentait en 1986 que les deux tiers*socio=rien de ce qu'il était en 1981, en prix*socio=ec1 constants*socio=te (graphique*socio=rien 13). L'effondrement*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 a provoqué une nette*socio=rien détérioration*socio=uv4 de la position*socio=rien extérieure*socio=te des huit principaux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac (les pays_en_développement*socio=uv3 exportateurs*socio=ac de capitaux*socio=ec1). Ces pays*socio=ac ont en effet*socio=rien accusé un*socio=rien déficit*socio=ec1 courant*socio=rien de 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986, soit davantage qu'en 1983 et 1984, perdant ainsi le terrain*socio=rien gagné en 1985. Les pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de capitaux*socio=ec1, en revanche, ont réussi à contenir leur déficit*socio=ec1 courant*socio=rien à *socio=rien un niveau comparable *socio=nil à celui qu'ils avaient enregistré au cours*socio=rien des deux *socio=rien années précédentes *socio=nil (26 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1). Il *socio=rien est vrai *socio=nil que cette stabilité*socio=uv3 tient en partie*socio=rien à une moins *socio=uv4 grave détérioration des*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil de ce groupe*socio=ac (8 %, contre 53% dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec1)*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil mais ce *socio=rien phénomène témoigne *socio=nil aussi de la diminution*socio=ec2 du*socio=rien montant*socio=ec1 de financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te disponibles*socio=rien. Les contraintes*socio=uv1 de financement*socio=ec1 ont touché principalement les pays*socio=ac qui avaient le plus emprunté auprès de sources*socio=rien appliquant les conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 (pays*socio=ac emprunteurs*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1). Ces pays*socio=ac ont globalement enregistré *socio=rien un faible excédent*socio=ec1 *socio=nil en 1985 - 86, alors qu'ils avaient accusé un*socio=rien déficit*socio=ec1 courant*socio=rien de quelque 73 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1981 - 82. En revanche, la situation*socio=rien des emprunteurs*socio=ac auprès de créanciers*socio=ac officiels*socio=et ne s'est*socio=rien guère modifiée depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80. En 1986, le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien de ce groupe_de_pays*socio=ac représentait encore l'équivalent*socio=rien de quelque 23% de leurs exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et, contre environ 30% en 1981-82,, on constate donc que les financements*socio=ec1 d'origine*socio=rien officielle*socio=et sont à la fois*socio=rien plus stables*socio=uv4 que les autres et moins sensibles*socio=rien à l'évolution*socio=te des taux_d'_intérêt*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 (l'encours de la dette*socio=ec1 a continué à croître et, de ce fait*socio=rien, les paiements_d'_intérêts*socio=ec1 totaux*socio=rien ont légèrement augmenté). Financement*socio=ec1 et endettement*socio=ec1. *socio=rien Du point de*socio=nil vue du financement*socio=ec1,*socio=nil l'*socio=nil année *socio=nil 1986 a été*socio=rien caractérisée par une évolution*socio=te contrastée, en *socio=rien grande partie à*socio=nil cause des*socio=nil tendances*socio=ec2 *socio=nil opposées observées dans deux groupes_de_pays*socio=ac : les huit *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec1 du*socio=rien Moyen-orient,*socio=nil *socio=nil d'une part*socio=rien, qui ont financé la détérioration*socio=uv4 de leur solde*socio=ec1 courant*socio=rien surtout en vendant des avoirs*socio=ec1 extérieurs*socio=te, et les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés d'Asie*socio=ac du*socio=rien Sud-est*socio=te, d'autre part*socio=rien, qui ont accumulé des réserves*socio=ec1, grâce*socio=rien à l'amélioration*socio=uv1 sensible*socio=rien de leur solde*socio=ec1 courant*socio=rien. Ces deux phénomènes*socio=rien atypiques se compensent toutefois presque entièrement l'un*socio=rien l'autre et, si l'on considère les pays_en_développement*socio=uv3 dans leur ensemble*socio=rien, les estimations*socio=ec2 du*socio=rien financement*socio=ec1 cadrent assez bien*socio=rien avec l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac et*socio=nil groupes_de_pays*socio=ac *socio=nil qui ont éprouvé des difficultés*socio=uv4 à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1. Dans ce contexte*socio=rien, l'examen*socio=ec2 de la *socio=rien situation fait apparaître*socio=nil un nouveau resserrement*socio=ec2 des*socio=nil contraintes*socio=uv1 de*socio=nil financement*socio=ec1 *socio=nil en 1986, ce qui a amené les pays_en_développement*socio=uv3 à comprimer encore leur recours*socio=ec1 aux ressources*socio=ec1 extérieures*socio=te dont le montant*socio=ec1 est*socio=rien tombé de 80 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1985 à 77 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986 (tableau*socio=rien 9). Dans le passé*socio=rien, ce type*socio=rien de compression*socio=et s'était effectuée principalement par une réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 au titre*socio=rien des marchandises*socio=ec1, des services*socio=et et des transferts_privés*socio=et. En 1986, toutefois, malgré un*socio=rien ajustement*socio=et *socio=rien réel substantiel,*socio=nil la*socio=nil détérioration*socio=uv4 des*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 *socio=nil a pris une telle ampleur*socio=rien que cette solution*socio=rien était, dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil exclue,*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil comme nous l'avons noté plus haut*socio=rien, en effet*socio=rien, le déficit*socio=ec1 combiné des pays_en_développement*socio=uv3 s'est*socio=rien encore creusé de 23 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Ce resserrement*socio=ec2 des financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te a donc donné lieu*socio=rien, non pas à *socio=rien un nouvel ajustement*socio=et des*socio=nil transactions_courantes*socio=te,*socio=nil *socio=nil mais à un*socio=rien gonflement*socio=ec2 des arriérés de paiements*socio=ec1 (qui se sont accrus de quelque 9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) et surtout à un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 très marqué de l'accumulation*socio=ec2 d'avoirs*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Globalement, le montant*socio=ec1 net*socio=rien des créances*socio=ec1 de l'étranger*socio=te a augmenté en 1986 de 15 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, et les réserves*socio=ec1 (avant *socio=ec1 réévaluation comptable)*socio=nil *socio=nil de 7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, contre une augmentation*socio=ec2 moyenne*socio=rien de 39 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 et 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, respectivement, en 1984-85. L'importance*socio=rien cruciale*socio=uv4 que les acquisitions*socio=ec1 nettes*socio=rien d'actifs*socio=ec1 extérieurs*socio=te ont revêtue en 1986 dans l'ensemble*socio=rien des opérations*socio=rien d'ajustement*socio=et et de financement*socio=ec1 des pays*socio=ac s'explique notamment par le *socio=rien volume considérable des*socio=nil avoirs*socio=ec1 *socio=nil de certains des pays*socio=ac qui ont vu se détériorer leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1. Les achats*socio=ec1 nets*socio=rien d'actifs*socio=ec1 effectués par les pays*socio=ac qui sont habituellement des exportateurs*socio=ac de capitaux*socio=ec1 ont atteint en moyenne*socio=rien 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1984 - 85 (contre *socio=rien un maximum *socio=nil de 90 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1980),, or*socio=ec1, en 1986, ce groupe_de_pays*socio=ac a effectivement*socio=rien vendu des avoirs*socio=ec1 extérieurs*socio=te équivalant à quelque 14 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (principalement en réduisant leurs réserves_officielles*socio=et), afin de ne pas avoir à trop comprimer le volume*socio=rien de leurs importations*socio=ec1. Les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil ont toutefois ralenti eux aussi leurs acquisitions*socio=ec1 d'actifs*socio=ec1 extérieurs*socio=te, qui sont tombées d'une moyenne*socio=rien de 37 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1984 - 85 à 29 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986. Dans le cas*socio=rien de ces pays*socio=ac, néanmoins, c'est*socio=rien au secteur_privé*socio=et que l'on peut attribuer la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de ce changement*socio=uv3. Les réserves_officielles*socio=et ont été*socio=rien reconstituées à hauteur*socio=rien de 10 à 20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, chaque année*socio=rien, entre 1983 et 1986, tandis que les sorties de capitaux_privés*socio=ec1 (compte*socio=ec1 tenu des erreurs*socio=uv4 et omissions, puisque l'on suppose que leur montant*socio=ec1 correspond à celui des fuites*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1) ont été*socio=rien ramenées de quelque 18 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 par an*socio=rien en 1984 - 85 à 10 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986. Cette réduction*socio=ec2 a été*socio=rien ressentie dans un*socio=rien assez *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil aussi*socio=nil bien *socio=nil ceux qui ont récemment éprouvé des difficultés*socio=uv4 de service_de_la_dette*socio=ec1 que les autres. Ce qui frappe le plus dans l'évolution*socio=te des sources*socio=rien de financement*socio=ec1 au cours*socio=rien des années*socio=rien 80, c'est*socio=rien le ralentissement*socio=ec2 des prêts*socio=ec1 accordés par le secteur_privé*socio=et aux pays_en_développement*socio=uv3. Le montant*socio=ec1 net*socio=rien des prêts*socio=ec1 que les pays_en_développement*socio=uv3 considérés dans leur ensemble*socio=rien ont obtenu aux conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 avait atteint *socio=rien un maximum *socio=nil de 87 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1981,, il est*socio=rien tombé à 19 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1985, puis à 10 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 seulement en 1986. Or*socio=ec1, dans le cas*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil recours*socio=ec1 *socio=nil à cette source*socio=rien de financement*socio=ec1 est*socio=rien demeuré relativement stable*socio=uv4 (3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986, ce qui *socio=rien est comparable *socio=nil à la moyenne*socio=rien pour la période*socio=te 1981 - 85),, le plus gros*socio=rien de l'ajustement*socio=et a donc été*socio=rien assumé par les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil qui ont récemment éprouvé des difficultés*socio=uv4 à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1. Le volume*socio=rien des prêts*socio=ec1 accordés spontanément*socio=rien à ces pays*socio=ac est*socio=rien en effet*socio=rien tombé de 60 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1981 à 24 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1982,, depuis 1981, les remboursements*socio=ec1 nets*socio=rien effectués par ce groupe_de_pays*socio=ac se sont élevés*socio=uv4 en moyenne*socio=rien à 12 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 par an*socio=rien. Quelques crédits*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien avaient été*socio=rien accordés en 1983-84, dans le cadre*socio=rien de programmes*socio=et élaborés en concertation*socio=uv1 mais, en 1986, ces prêts*socio=ec1 n'ont totalisé que 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1,, ce groupe_de_pays*socio=ac a donc dû effectuer des remboursements*socio=ec1 nets*socio=rien globaux*socio=te d'un*socio=rien montant*socio=ec1 total*socio=rien de 6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 à des créanciers_privés*socio=et. Les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil n'ayant pas éprouvé récemment de difficultés*socio=uv4 de service_de_la_dette*socio=ec1 ont été*socio=rien en mesure*socio=rien de mobiliser des fonds*socio=ec1 dont le montant*socio=ec1 a atteint en moyenne*socio=rien 17 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 entre 1983 et 1986, avec toutefois des fluctuations*socio=ec2 considérables*socio=rien à l'intérieur*socio=te de cette période*socio=te. Les investissements*socio=ec1 directs*socio=rien privés*socio=et dans les pays_en_développement*socio=uv3 ont totalisé 11 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986, c'est-à-dire un*socio=rien peu moins seulement que la moyenne*socio=rien pour la période*socio=te 1983 - 85. Dans les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil montant*socio=ec1 des*socio=nil flux*socio=ec1 officiels*socio=et de*socio=nil financements*socio=ec1 (*socio=nil transferts_officiels*socio=et,*socio=nil engagements*socio=et *socio=nil qui constituent des réserves*socio=ec1 pour des autorités*socio=et étrangères*socio=te et emprunts*socio=ec1 à long_terme*socio=te auprès de sources*socio=rien officielles*socio=et) a recommencé à augmenter et est*socio=rien remonté à 52 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986, après*socio=rien le creux*socio=ec2 de 44 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 enregistré en 1985,, une *socio=rien bonne partie *socio=nil de cette augmentation*socio=ec2 s'explique par des accords*socio=et de financement*socio=ec1 exceptionnel*socio=uv4. Cette reprise des flux*socio=ec1 officiels*socio=et est*socio=rien notamment due aux *socio=rien bons résultats *socio=nil qu'a donnés l'un*socio=rien des volets*socio=rien de la stratégie*socio=et renforcée en matière*socio=rien d'endettement*socio=ec1, laquelle a été*socio=rien lancée en 1985. C'est*socio=rien ainsi que la banque_mondiale*socio=ac a accru le total*socio=rien des prêts*socio=ec1 qu'elle accorde aux pays*socio=ac lourdement endettés, et l'a porté à peu près au niveau*socio=rien prévu par cette stratégie*socio=et (pour ce qui est*socio=rien des prêts_privés*socio=et, en revanche, les objectifs*socio=uv3 sont loin*socio=rien d'avoir été*socio=rien atteints en 1986). L'accroissement*socio=ec2 des prêts*socio=ec1 officiels*socio=et a été*socio=rien partiellement contrebalancé par des remboursements*socio=ec1 nets*socio=rien au Fonds*socio=ec1 (quelque 2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) du*socio=rien groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 dans son ensemble*socio=rien en 1986,, ces remboursements*socio=ec1 représentaient principalement des rachats*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=rien petit nombre *socio=nil d'assez grands*socio=rien pays*socio=ac ayant bénéficié d'accords*socio=et avec le Fonds*socio=ec1 au début*socio=rien des années*socio=rien 80. En 1986, la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te totale*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 s'est*socio=rien encore creusée de 9% pour atteindre, en dollars*socio=ec1, 1. 100 milliards*socio=rien, soit l'équivalent*socio=rien de 169% de leurs exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et, contre 120% en 1982 (tableau*socio=rien 10). Cet accroissement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1 peut néanmoins être*socio=rien attribué, pour une *socio=rien bonne part,*socio=nil *socio=nil à la faiblesse*socio=ec2 du*socio=rien dollar_eu*socio=ec1,, l'augmentation*socio=ec2 sous-jacente*socio=rien de 4% des engagements*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3 (sans tenir compte*socio=ec1 de l'effet*socio=rien des réévaluations*socio=ec1 comptables*socio=rien) est*socio=rien à rapprocher de l'accroissement*socio=ec2 moyen*socio=rien de 6%, entre 1983 - 85, et de 19% dans les années*socio=rien qui ont immédiatement précédé la crise*socio=uv2 de l'endettement*socio=ec1. Les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil qui ont récemment éprouvé des difficultés*socio=uv4 à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 ont vu le fardeau*socio=uv4 de leur endettement*socio=ec1 s'alourdir sensiblement en 1986, après*socio=rien trois années*socio=rien de stabilité*socio=uv3 relative*socio=rien. Le *socio=ec1 ratio dette /*socio=nil exportations *socio=nil a atteint 301%, *socio=rien du fait *socio=nil de l'augmentation*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 nominale*socio=rien de la dette*socio=ec1 ainsi que de la faiblesse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien exportés. Dans les petits*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, dont les trois quarts*socio=rien sont situés en Afrique*socio=ac, le ratio*socio=ec1 a été*socio=rien en moyenne*socio=rien de 412 %. Une analyse*socio=ec2 du*socio=rien ratio*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 fait*socio=rien également apparaître *socio=rien un certain nombre de*socio=nil disparités*socio=uv1 importantes*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Pour les *socio=ac pays emprunteurs *socio=nil à des créanciers*socio=ac officiels*socio=et et ayant récemment éprouvé des difficultés*socio=uv4 de service_de_la_dette*socio=ec1, le ratio*socio=ec1 *socio=rien est passé *socio=nil de 30% en 1985 à 42% en 1986, alors que, dans les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil considérés globalement, il augmentait en moyenne*socio=rien de 2 points*socio=rien, pour atteindre l'équivalent*socio=rien de 27% des exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et. Ce dernier*socio=rien accroissement*socio=ec2 est*socio=rien toutefois entièrement attribuable*socio=rien aux paiements*socio=ec1 relatifs*socio=rien à l'amortissement*socio=ec1 de la dette*socio=ec1. *socio=rien Du fait *socio=nil de la chute des taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te, le ratio*socio=ec1 des paiements_d'_intérêts*socio=ec1 a baissé de près de *socio=rien un point de*socio=nil pourcentage et*socio=nil est *socio=nil tombé à 13 1/4%, son niveau*socio=rien le plus faible*socio=rien depuis *socio=rien cinq ans.*socio=nil *socio=nil Selon les estimations*socio=ec2 des coûts*socio=ec1 *socio=rien sous-jacents du service_de_la_dette*socio=ec1 *socio=nil (avant rééchelonnement*socio=et), la *socio=rien charge nominale *socio=nil assumée à ce titre*socio=rien par les pays*socio=ac ayant récemment éprouvé des difficultés*socio=uv4 de service_de_la_dette*socio=ec1 est*socio=rien trois fois*socio=rien et *socio=rien demie supérieure *socio=nil à celle des autres *socio=ac pays importateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil En couvrant le tiers*socio=rien, en moyenne*socio=rien, des paiements*socio=ec1 exigibles en 1986, les accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et de la dette*socio=ec1 ont néanmoins grandement aidé à atténuer la pression*socio=ec2 exercée sur*socio=rien les finances*socio=ec1 publiques*socio=et de ces pays*socio=ac. En *socio=rien dépit du caractère concessionnel*socio=ec1 des*socio=nil prêts*socio=ec1 *socio=nil qui leur sont octroyés, les petits*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 ont vu leur endettement*socio=ec1 croître à un*socio=rien tel point*socio=rien que le ratio*socio=ec1 du*socio=rien service_de_leur_dette*socio=ec1 a d'ores et déjà atteint *socio=rien un niveau presque*socio=nil égal *socio=nil à celui des pays*socio=ac les plus endettés parmi les emprunteurs*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1. Il est*socio=rien donc d'autant plus important*socio=uv4 d'accroître l'élément*socio=rien concessionnel*socio=ec1 des financements*socio=ec1 accordés à ces pays*socio=ac, pour y relancer la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1. Chapitre*socio=rien 2: Politiques*socio=et et *socio=rien activités du Fonds*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil *socio=ec1 Fonds monétaire s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil vu confier par ses Statuts*socio=et, une gamme*socio=rien étendue de responsabilités*socio=uv1 qui vont *socio=rien du général *socio=nil - par exemple*socio=rien, exercer un*socio=rien contrôle*socio=uv3 sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te pour assurer son *socio=rien bon fonctionnement *socio=nil - au plus concret - par exemple*socio=rien, fournir une assistance*socio=uv1 financière*socio=ec1 temporaire*socio=rien aux pays_membres*socio=ac qui se heurtent à des difficultés*socio=uv4 de paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Le *socio=rien présent chapitre donne*socio=nil un *socio=nil aperçu des principales*socio=rien politiques*socio=et et activités*socio=rien que le Fonds*socio=ec1 a menées dans le cadre*socio=rien de ces responsabilités*socio=uv1 fondamentales*socio=uv4 au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien clos le 30 avril*socio=rien 1987,, l'analyse*socio=ec2 porte*socio=rien principalement sur*socio=rien les *socio=rien faits saillants *socio=nil représentatifs de la réaction*socio=rien et des efforts*socio=uv1 d'adaptation*socio=uv3 de l'institution*socio=ac face*socio=rien aux mutations*socio=ec2 de la situation*socio=rien internationale*socio=ac. Les sujets*socio=rien qui seront abordés dans ce chapitre*socio=rien sont la surveillance*socio=et exercée par le Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien les dispositions*socio=et de change*socio=ec1 et la politique_économique*socio=ec1 de ses pays_membres*socio=ac, la situation*socio=rien de l'endettement*socio=ec1, la conception*socio=et des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et appuyés par des concours du*socio=rien Fonds*socio=ec1, le niveau*socio=rien des réserves_internationales*socio=ec1, et enfin les politiques*socio=et et activités*socio=rien financières*socio=ec1 de l'institution*socio=ac. Surveillance*socio=et. L'une des *socio=rien fonctions primordiales du Fonds*socio=ec1 est *socio=nil d'exercer une ferme*socio=ec2 surveillance*socio=et sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. Cette fonction*socio=rien lui échoit en vertu*socio=rien de l'article*socio=rien IV, section*socio=rien 3 b) de ses Statuts*socio=et et il s'en acquitte conformément aux principes*socio=ec2 et procédures*socio=et énoncés dans le document*socio=rien intitulé " Surveillance*socio=et des politiques*socio=et de change*socio=ec1 ". Sur*socio=rien le plan*socio=rien des procédures*socio=et, la surveillance*socio=et s'exerce principalement par deux moyens*socio=ec1 : d'une part*socio=rien, les consultations*socio=uv1 périodiques*socio=te au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec chaque *socio=ac pays membre *socio=nil et, d'autre part*socio=rien, le tour*socio=rien d'horizon*socio=rien plus général*socio=rien des courants*socio=te d'évolution*socio=te et des politiques_économiques*socio=et effectué lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te auquel le conseil_d'_administration*socio=ac procède régulièrement. En outre, le Conseil*socio=ac entreprend, par intervalles*socio=rien, une étude*socio=ec2 approfondie de *socio=rien certaines questions *socio=nil liées à la surveillance*socio=et. La *socio=rien présente section *socio=nil donne tout d'abord*socio=rien un*socio=rien aperçu des débats*socio=et consacrés par le conseil_d'_administration*socio=ac à deux *socio=rien aspects généraux *socio=nil de la surveillance*socio=et qui ont été*socio=rien examinés au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée : d'une part*socio=rien, l'utilisation*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 en vue*socio=rien de promouvoir la coopération*socio=uv1 - au plan*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1, *socio=rien point sur *socio=nil lequel le Fonds*socio=ec1 a axé une *socio=rien bonne partie *socio=nil de ses travaux*socio=rien dans le domaine*socio=rien de la *socio=et surveillance multilatérale,*socio=nil *socio=nil et, d'autre part*socio=rien, les préoccupations*socio=uv4 qui suscitent au sein*socio=rien de l'institution*socio=ac les politiques_commerciales*socio=et, et notamment le protectionnisme*socio=et. Cette section*socio=rien traite ensuite de divers points*socio=rien de procédures*socio=et qui ont été*socio=rien évoqués au conseil_d'_administration*socio=ac lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 annuel*socio=te de l'application*socio=rien de la surveillance*socio=et et, enfin, des questions*socio=rien qui ont été*socio=rien soulevées lors*socio=rien des examens*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et lors*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV menées dans le courant*socio=rien de 1986-87. L'utilisation*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien clos le 30 avril*socio=rien 1987, le conseil_d'_administration*socio=ac a fait*socio=rien porter ses délibérations*socio=et à deux reprises sur*socio=rien l'utilisation*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 des politiques*socio=et et résultats*socio=rien économiques*socio=ec1,, c'est*socio=rien le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te qui, en avril*socio=rien 1986, avait demandé au conseil_d'_administration*socio=ac d'examiner cette question*socio=rien en l'invitant à étudier la possibilité*socio=rien de formuler " *socio=rien un ensemble d'*socio=nil indicateurs*socio=ec1 objectifs*socio=uv3 *socio=nil qui permettrait d'apprécier les mesures*socio=et adoptées ainsi que les résultats*socio=rien obtenus dans une optique*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil ". Le Comité*socio=ac avait alors précisé que ces indicateurs*socio=ec1 pourraient " permettre une discussion*socio=et plus approfondie des déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te, de l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 et de l'interaction*socio=rien des politiques_économiques*socio=et nationales*socio=te des pays_membres*socio=ac [et] aider à déterminer si les politiques*socio=et de certains pays*socio=ac doivent faire l'objet*socio=rien de discussion*socio=et" . En formulant cette demande*socio=ec1, le Comité*socio=ac laissait à entendre qu'il conviendrait pour la *socio=ac communauté internationale *socio=nil d'aider à promouvoir la coopération*socio=uv1 sur*socio=rien le plan*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 sans porter atteinte à la souplesse*socio=uv3 du*socio=rien régime*socio=et des *socio=ec1 taux_de_change flottants.*socio=nil Le*socio=nil rôle*socio=et *socio=nil qui échoit au Fonds*socio=ec1 dans ce processus*socio=te est*socio=rien non seulement de mettre ses connaissances*socio=ec2 techniques*socio=rien au service*socio=et de ses pays_membres*socio=ac, mais également de les encourager à tenir pleinement compte*socio=ec1 de l'évolution*socio=te de leurs partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 ainsi que de l'influence réciproque*socio=rien de leur politique_économique*socio=ec1 et de la situation*socio=rien de l'économie*socio=ec1 dans les autres pays*socio=ac du*socio=rien monde*socio=te. Les indicateurs*socio=ec1 doivent servir à vérifier et à analyser *socio=rien après coup les*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil adoptées ainsi que les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 obtenus,, ils doivent permettre en outre de définir*socio=rien des objectifs*socio=uv3 économiques*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme *socio=nil et de déterminer si la politique_économique*socio=ec1 de tel ou tel *socio=ac pays membre *socio=nil doit faire l'objet*socio=rien de discussions*socio=et. Par ses *socio=rien travaux sur les*socio=nil indicateurs*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil Fonds*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil efforcé d'aider les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac à assurer une coordination*socio=uv3 efficace*socio=uv4 de leurs politiques_économiques*socio=et, comme ils en ont plusieurs fois*socio=rien exprimé le souhait*socio=rien. La mise au point*socio=rien de ces instruments*socio=et avait été*socio=rien vivement recommandée par les chefs*socio=ac d'État*socio=ac ou de gouvernement*socio=ac des Sept dans la déclaration*socio=et économique*socio=ec1 publiée à l'issue*socio=rien *socio=rien du sommet de*socio=nil Tokyo*socio=ac de*socio=nil mai *socio=nil 1986. Plus récemment, la déclaration*socio=et diffusée à l'issue*socio=rien *socio=rien du sommet *socio=nil de Venise de juin*socio=rien 1987 précisait que : Les chefs*socio=ac d'État*socio=ac et de gouvernement*socio=ac approuvent ce qui a été*socio=rien convenu par le Groupe*socio=ac des sept ministres*socio=ac des finances*socio=ec1 pour renforcer, avec l'aide*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac, la surveillance*socio=et de leurs économies*socio=ec1 en utilisant des *socio=ec1 indicateurs économiques,*socio=nil *socio=nil qui comprennent les taux_de_change*socio=ec1. en particulier*socio=rien : - l'engagement*socio=uv1 pris par chaque pays*socio=ac d'élaborer des objectifs*socio=uv3 et des projections*socio=ec2 à *socio=rien moyen terme *socio=nil pour son économie*socio=ec1, et celui pris par le Groupe*socio=ac d'élaborer des objectifs*socio=uv3 et des projections*socio=ec2 qui soient mutuellement cohérents*socio=rien tant individuellement que collectivement*socio=rien,, - l'utilisation*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 de performance*socio=uv3 pour examiner et évaluer les tendances*socio=ec2 économiques*socio=ec1 en cours*socio=rien et pour déterminer s'il y a des divergences*socio=uv1 importantes*socio=uv4 par rapport*socio=rien à la trajectoire*socio=ec2 prévue qui nécessitent d'envisager des mesures*socio=et correctives*socio=ec2. Les débats*socio=et que le conseil_d'_administration*socio=ac a consacrés à cette question*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien clos le 30 avril*socio=rien 1987 ont débouché*socio=ec1 *socio=rien sur un certain nombre de*socio=nil conclusions *socio=nil quant aux possibilités*socio=rien d'application*socio=rien des indicateurs*socio=ec1 dans les activités*socio=rien de surveillance*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Premièrement, la surveillance*socio=et - et par conséquent*socio=rien le recours*socio=ec1 aux indicateurs*socio=ec1 - doit avoir pour objet*socio=rien primordial*socio=uv4 de déterminer si les soldes*socio=ec1 des paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te sont cohérents*socio=rien et compatibles*socio=rien au niveau*socio=rien international*socio=te dans une optique*socio=rien à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil À cet égard*socio=rien, l'analyse*socio=ec2 doit être*socio=rien axée sur*socio=rien la viabilité*socio=uv3 des politiques*socio=et et des tendances*socio=ec2 économiques*socio=ec1 actuelles*socio=te. C'est*socio=rien pourquoi il faut, dans chaque pays*socio=ac, suivre l'évolution*socio=te des variables*socio=ec2 économiques*socio=ec1 à la lumière*socio=rien de ses répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et sur*socio=rien les flux*socio=ec1 de balance_des_paiements*socio=ec1, tout autant que de ses *socio=rien conséquences possibles *socio=nil pour l'économie*socio=ec1 nationale*socio=te. Deuxièmement, il faut se garder de trop attendre des indicateurs*socio=ec1 ainsi formulés. En dernier*socio=rien ressort, rien*socio=rien ne peut remplacer l'analyse*socio=ec2 minutieuse, la discipline*socio=uv1 monétaire*socio=ec1 internationale*socio=ac, l'esprit*socio=rien de discernement*socio=rien et l'engagement*socio=uv1 politique*socio=et. L'utilisation*socio=rien plus systématique*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 ne doit pas déboucher *socio=rien sur un *socio=nil réglage de précision*socio=rien des politiques*socio=et et il ne faut pas non plus s'attendre à ce que les variations*socio=rien des indicateurs*socio=ec1 déclenchent automatiquement l'adoption*socio=uv3 de certaines*socio=rien mesures*socio=et, ou provoquent *socio=rien certaines réactions *socio=nil mécaniques. Troisièmement, il importe d'établir *socio=rien un cadre analytique*socio=ec2 précis *socio=nil qui permette d'identifier le rôle*socio=et des divers indicateurs*socio=ec1 dans l'analyse*socio=ec2 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 mondiale*socio=te et en particulier*socio=rien dans la transmission*socio=rien des effets*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 d'un*socio=rien pays*socio=ac à un*socio=rien autre. De *socio=rien façon générale,*socio=nil il*socio=nil est bon *socio=nil d'accorder une *socio=rien importance particulière *socio=nil à l'interaction*socio=rien des variations*socio=rien des soldes*socio=ec1 des paiements_courants*socio=ec1 et de celles qu'elles impliquent, en contrepartie*socio=rien, non seulement au niveau*socio=rien des soldes*socio=ec1 budgétaires*socio=et, mais aussi au niveau*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 et de l' investissement_privé*socio=et intérieurs*socio=te, tout en veillant à ne pas déduire de cette identité*socio=ac l'existence*socio=rien d'une relation*socio=rien de cause*socio=rien à effet*socio=rien. Comme prévu, il convient d'accorder plus d'importance*socio=rien au rapport*socio=rien entre le niveau*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 et celui de l'investissement*socio=ec1 tant dans l'étude*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, que dans les autres activités*socio=rien de surveillance*socio=et. Étant donné qu'il *socio=rien est difficile *socio=nil de se prononcer de façon*socio=rien ferme*socio=ec2 sur*socio=rien ces interactions*socio=rien, il *socio=rien est nécessaire *socio=nil d'examiner attentivement les *socio=rien nombreux facteurs *socio=nil - notamment la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et le taux_de_change*socio=ec1 - qui influent sur*socio=rien l'épargne*socio=ec1, l'investissement*socio=ec1 et les soldes*socio=ec1 des paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Quatrièmement, l'analyse*socio=ec2 détaillée de l'interaction*socio=rien des politiques_économiques*socio=et doit porter en *socio=rien premier lieu sur les*socio=nil politiques*socio=et des*socio=nil grands pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil et doit être*socio=rien effectuée dans l'optique*socio=rien globale*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Il importe d'examiner les répercussions*socio=ec2 que les tendances*socio=ec2 d'évolution*socio=te constatées chez les grands*socio=rien pays*socio=ac peuvent avoir dans les divers groupes_de_pays*socio=ac *socio=rien du reste du monde*socio=te *socio=nil et de veiller à ce que l'évolution*socio=te prévue dans les grands*socio=rien pays*socio=ac n'ait pas de retombées*socio=rien regrettables sur*socio=rien les plus petits*socio=rien. Dans l'analyse*socio=ec2 générale*socio=rien des perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 mondiales*socio=te, il n'est*socio=rien pas moins nécessaire*socio=rien de prendre en considération*socio=rien la politique*socio=et et les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac et des plus grands*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, et particulièrement d'en faire ressortir les éventuelles*socio=te conséquences*socio=rien pour leurs partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. Cinquièmement, *socio=rien lors du choix*socio=uv1 des*socio=nil variables*socio=ec2 *socio=nil qui seront retenues*socio=rien comme indicateurs*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4, il importe de s'attacher à sélectionner des données qui soient mesurables, disponibles*socio=rien en temps*socio=rien voulu, relativement faciles*socio=rien à interpréter et comparables*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. En outre, bien*socio=rien que l'évaluation*socio=ec2 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 mondiale*socio=te exige que l'on analyse*socio=rien toute la gamme*socio=rien des données disponibles*socio=rien, il convient de limiter*socio=rien le nombre*socio=rien des indicateurs*socio=ec1 eux-mêmes. Toutes ces considérations*socio=rien plaident en faveur*socio=rien de l'élaboration*socio=rien, dans *socio=rien un premier temps,*socio=nil *socio=nil d'une liste restreinte d'indicateurs*socio=ec1 qui pourrait être*socio=rien modifiée, par la suite*socio=rien, en fonction*socio=rien des acquis*socio=uv2 de l'expérience*socio=ec2 et de l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien. En tout état*socio=rien de cause*socio=rien, l'examen*socio=ec2 approfondi de la viabilité*socio=uv3 fondamentale*socio=uv4 de la politique_économique*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac exigera toujours une liste d'indicateurs*socio=ec1 bien*socio=rien plus longue*socio=rien. Certes, la liste des indicateurs*socio=ec1 de base*socio=rien pourrait être*socio=rien limitée aux variables*socio=rien fondamentales*socio=uv4 représentatives*socio=uv2 des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 et des politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec1, mais une liste plus complète devra comprendre également des *socio=ec2 variables structurelles,*socio=nil *socio=nil notamment celles qui sont pertinentes*socio=rien dans le domaine*socio=rien de la libéralisation*socio=et des échanges_commerciaux*socio=ec1. Sixièmement, on peut utilement*socio=rien classer les indicateurs*socio=ec1 en trois catégories*socio=rien : les indicateurs*socio=ec1 des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1, ceux de la politique_économique*socio=ec1 et les variables*socio=ec2 intermédiaires*socio=rien qui relient politique*socio=et et résultats*socio=rien. Parmi les indicateurs*socio=ec1 de résultats*socio=rien, il y aurait par exemple*socio=rien le taux_de_croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 et la balance_des_paiements*socio=ec1 (particulièrement le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te). Les indicateurs*socio=ec1 de la politique_économique*socio=ec1 comprendraient notamment le taux_d'_expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1, le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et et peut-être aussi des indicateurs*socio=ec1 représentatifs des politiques*socio=et structurelles*socio=ec2,, le choix*socio=uv1 des variables*socio=ec2 dans ce *socio=rien domaine est *socio=nil toutefois plus difficile*socio=rien que dans celui des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1, car les modalités*socio=rien d'application*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 diffèrent d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. Au nombre*socio=rien des variables*socio=ec2 intermédiaires*socio=rien importantes*socio=uv4 à retenir figuraient, par exemple*socio=rien, le taux_d'_intérêt*socio=ec1, le taux_de_change*socio=ec1, ainsi que le niveau*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1. Le conseil_d'_administration*socio=ac est*socio=rien par ailleurs*socio=rien convenu que le suivi des indicateurs*socio=ec1 nécessiterait la tenue de discussions*socio=et permettant d'évaluer la compatibilité*socio=rien multilatérale*socio=et des politiques*socio=et et des projections*socio=ec2 des pays_membres*socio=ac et en particulier*socio=rien d'identifier les aspects*socio=rien qui pourraient être*socio=rien jugés préoccupants*socio=uv4 *socio=rien du point de*socio=nil vue international*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil discussions*socio=et *socio=nil visant à faire mieux cadrer les politiques_économiques*socio=et avec les objectifs*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme auraient*socio=nil lieu *socio=nil pendant les *socio=rien réunions du conseil_d'_administration*socio=ac et*socio=nil du comité_intérimaire*socio=ac *socio=nil à l'occasion*socio=rien de l'examen*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Par la suite*socio=rien, l'étude*socio=ec2 sur*socio=rien les Perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 mondiales*socio=te et les rapports*socio=rien de consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV permettraient de mesurer la performance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 en comparant les *socio=rien résultats effectivement *socio=nil obtenus avec les projections*socio=ec2. À sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1987, le Comité*socio=ac a lui aussi débattu de l'utilisation*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 aux fins*socio=rien de la surveillance*socio=et. Le Comité*socio=ac a jugé extrêmement utile*socio=uv4 l'application*socio=rien par le Fonds*socio=ec1 d'indicateurs*socio=ec1 et il a noté que dans l'étude*socio=ec2 sur*socio=rien les Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te les politiques_économiques*socio=et mises en oeuvre*socio=rien doivent être*socio=rien examinées dans l'optique*socio=rien d'une évolution*socio=te des variables*socio=ec2 économiques*socio=ec1 qui pourrait être*socio=rien considérée comme souhaitable*socio=rien et durable*socio=uv4. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac ont invité le conseil_d'_administration*socio=ac à étudier les moyens*socio=ec1 par lesquels les principes*socio=ec2 et procédures*socio=et en vigueur*socio=uv3 pour la surveillance*socio=et qu'exerce le Fonds*socio=ec1 pourraient être*socio=rien adaptés de façon*socio=rien à incorporer l'emploi*socio=ec1 d'indicateurs*socio=ec1,, ils l'ont invité également à examiner comment il serait possible*socio=rien d'élargir l'utilisation*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 économiques*socio=ec1. Le Comité*socio=ac a précisé que le conseil_d'_administration*socio=ac devrait faire porter ses travaux*socio=rien principalement sur*socio=rien une série limitée d'indicateurs*socio=ec1 clés*socio=rien et sur*socio=rien une évaluation*socio=ec2 de l'interaction*socio=rien, au plan*socio=rien international*socio=te, des politiques*socio=et et des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 des différents*socio=rien pays*socio=ac à la lumière*socio=rien de divers scénarios*socio=rien à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Le*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil s'emploie actuellement à donner suite*socio=rien à cette demande*socio=ec1, qui a été*socio=rien réaffirmée avec plus de vigueur*socio=uv3 au sommet*socio=rien de Venise. politique_commerciale*socio=et. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien qui vient de se terminer, le conseil_d'_administration*socio=ac a abordé une autre *socio=rien question inhérente *socio=nil à l'exercice*socio=rien de surveillance*socio=et : l'évolution*socio=te de la politique_commerciale*socio=et. La résurgence*socio=ec2 de pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil avec les conséquences*socio=rien que cela entraîne pour l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, est*socio=rien pour le Fonds*socio=ec1 une source*socio=rien de vives préoccupations*socio=uv4. Étant donné que l'un*socio=rien des objectifs*socio=uv3 fondamentaux*socio=uv4 assignés au Fonds*socio=ec1 est*socio=rien de faciliter l'expansion*socio=ec2 et l'accroissement*socio=ec2 harmonieux*socio=uv2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 international*socio=te, le conseil_d'_administration*socio=ac a été*socio=rien amené à entreprendre une analyse*socio=ec2 approfondie des divers arguments*socio=ec2 qu'on avance*socio=rien pour justifier le protectionnisme*socio=et. Cette analyse*socio=ec2 l'a incité à raffermir encore, dans le cadre*socio=rien de sa politique*socio=et, le soutien*socio=uv3 des mesures*socio=et propres*socio=rien à favoriser la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1. Certes, les marchés*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac sont encore relativement ouverts*socio=rien aux échanges*socio=ec1 de biens*socio=ec1 manufacturés, mais les *socio=rien dernières années ont*socio=nil été *socio=nil marquées par une montée *socio=rien inquiétante du protectionnisme*socio=et *socio=nil dans ces pays*socio=ac, et il *socio=rien est clair *socio=nil que si elles s'intensifient, les restrictions*socio=et commerciales*socio=ec1 auront des conséquences*socio=rien sérieuses*socio=uv4 et nocives*socio=rien. Le Fonds*socio=ec1 est*socio=rien particulièrement préoccupé par les *socio=rien effets nuisibles *socio=nil que les *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil actuellement appliquées ont sur*socio=rien les pays_en_développement*socio=uv3, car il n'est*socio=rien que plus difficile*socio=rien aux pays*socio=ac lourdement endettés d'accroître leurs exportations*socio=ec1 si les pays_industrialisés*socio=ac s'entourent de barrières*socio=ec2 protectionnistes*socio=et. Le protectionnisme*socio=et est*socio=rien onéreux*socio=uv4 pour les pays*socio=ac dont les produits*socio=rien sont visés, mais il coûte souvent cher*socio=rien aussi aux pays*socio=ac qui y ont recours*socio=rien, spécialement aux consommateurs*socio=ac. Il ne joue donc manifestement pas à l'avantage *socio=rien du système commercial*socio=ec1 mondial*socio=te,*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil il ne répond pas non plus en général*socio=rien à l'intérêt*socio=uv1 national*socio=te, encore qu'il puisse profiter à certains secteurs*socio=rien de l'économie*socio=ec1. En outre, la protection*socio=et n'a pas nécessairement pour effet*socio=rien de réduire le déficit*socio=ec1 *socio=rien courant du pays*socio=ac *socio=nil qui y *socio=rien fait appel.*socio=nil L'*socio=nil imposition*socio=et de*socio=nil restrictions*socio=et amène les*socio=nil partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 *socio=nil à user de représailles qui font baisser le volume*socio=rien des échanges*socio=ec1, mais n'agissent guère sur*socio=rien les déséquilibres*socio=uv3 du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te. L'effet*socio=rien des restrictions*socio=et n'est*socio=rien pas clair*socio=rien, même si l'on suppose qu'elles ne donnent pas lieu*socio=rien à des représailles, car elles peuvent entraîner une appréciation*socio=uv3 en termes*socio=rien réels*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac, ce qui en *socio=rien soi est préjudiciable*socio=et *socio=nil à la balance_commerciale*socio=ec1. En régime*socio=et de *socio=ec1 taux_de_change flottants,*socio=nil *socio=nil et à supposer que le revenu*socio=ec1 réel*socio=rien diminue en raison*socio=rien de la perte*socio=ec2 d'avantages*socio=rien inhérents*socio=rien au commerce*socio=ec1 international*socio=te, le niveau*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 nationale*socio=te pourrait baisser, ce qui affaiblirait le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. La protection*socio=et ne peut réduire un*socio=rien déséquilibre*socio=uv3 que si elle stimule l'épargne*socio=ec1 publique*socio=et ou privée*socio=et ou *socio=rien bien fait *socio=nil baisser l'investissement*socio=ec1, et (pour des politiques_budgétaires*socio=et et monétaires*socio=ec1 données) il n'y a pas *socio=rien vraiment lieu *socio=nil d'espérer un*socio=rien tel résultat*socio=rien. On ne peut donc justifier une intensification*socio=ec2 de la protection*socio=et par l'existence*socio=rien d'un*socio=rien problème*socio=uv4 de paiements_courants*socio=ec1. De *socio=rien façon générale,*socio=nil les*socio=nil *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil n'ont pas eu pour effet*socio=rien d'accroître le niveau*socio=rien global*socio=te de l'emploi*socio=ec1,, par ailleurs*socio=rien, les mesures*socio=et de libéralisation*socio=et ne provoquent pas nécessairement une poussée du*socio=rien chômage*socio=ec1, si l'on se donne *socio=rien un certain délai d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil et si le taux_de_change*socio=ec1 se situe à *socio=rien un niveau *socio=nil approprié. Néanmoins, les coûts*socio=ec1 de l'ajustement*socio=et risquent d'être*socio=rien élevés*socio=uv4 dans certains cas*socio=rien et la suppression*socio=rien des barrières*socio=ec2 tarifaires*socio=et peut entraîner un*socio=rien accroissement*socio=ec2 sensible*socio=rien de la charge*socio=rien fiscale*socio=et. Il ne faut donc pas sous-estimer la difficulté*socio=uv4 que présente*socio=rien la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te - surtout pour les pays_en_développement*socio=uv3. Le *socio=rien haut degré de*socio=nil protection*socio=et *socio=nil dont bénéficient l'agriculture*socio=ec1, l'industrie*socio=ec1 du*socio=rien vêtement*socio=ec1 et celle du*socio=rien textile*socio=ec1 dans de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien particulièrement préoccupant*socio=rien. Certes, une telle protection*socio=et n'est*socio=rien justifiable par aucun argument convaincant*socio=rien, mais dans certains pays*socio=ac l'ajustement*socio=et de ces *socio=rien secteurs présente des*socio=nil problèmes*socio=uv4 particuliers.*socio=nil *socio=nil Il importe que les pays_industrialisés*socio=ac viennent à bout*socio=rien des rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 afin de réduire les pressions*socio=ec2 qui vont dans le sens*socio=rien de la protection*socio=et de ces secteurs*socio=rien d'activité*socio=rien. La menace*socio=uv1 d'une recrudescence*socio=ec2 du*socio=rien protectionnisme*socio=et ne fait*socio=rien que renforcer les arguments*socio=ec2 qui militent en faveur*socio=rien de politiques*socio=et propres*socio=rien à assurer une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 réels*socio=ec2, surtout dans le cas*socio=rien des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Il semble que des variations*socio=rien prononcées des taux_de_change*socio=ec1 aient puissamment contribué à l'apparition*socio=rien de graves*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 commerciaux*socio=ec1 et au développement*socio=uv3 des pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et tant dans les pays_industrialisés*socio=ac que dans les pays_en_développement*socio=uv3. Ces pressions*socio=ec2 ne font que rendre plus impérieuse*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'intensifier la coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et entre les grands*socio=rien pays*socio=ac. Pour ce qui *socio=rien est du protectionnisme*socio=et *socio=nil pratiqué par les pays_en_développement*socio=uv3, il a été*socio=rien reconnu que, dans ces pays*socio=ac, il serait peut-être utile*socio=uv4 pour des raisons*socio=rien d'ordre*socio=rien budgétaire*socio=et d'imposer des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac et des taxes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 de taux*socio=ec1 modérés. Ce genre*socio=rien de mesures*socio=et risquent néanmoins d'avoir des effets*socio=rien restrictifs*socio=uv4 sur*socio=rien les échanges_commerciaux*socio=ec1,, de *socio=rien façon générale,*socio=nil *socio=nil il serait préférable*socio=uv4 d'élaborer des *socio=et régimes fiscaux *socio=nil qui n'aient d'effets*socio=rien discriminatoires*socio=uv2 ni au détriment*socio=uv2 des importations*socio=ec1 ni au détriment*socio=uv2 des exportations*socio=ec1. Il importe de noter que les politiques*socio=et tournées vers l'extérieur*socio=te ont eu apparemment une incidence*socio=ec2 favorable*socio=uv4 sur*socio=rien le taux_de_croissance*socio=ec1 global*socio=te. Les mêmes considérations*socio=rien valent pour la protection*socio=et des industries*socio=ec1 naissantes*socio=rien dans les pays_en_développement*socio=uv3. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil la*socio=nil protection*socio=et des*socio=nil industries*socio=ec1 naissantes,*socio=nil *socio=nil si tant est*socio=rien qu'elle se justifie, ne doit pas privilégier indûment les ventes*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 intérieur*socio=te et doit être*socio=rien structurée de façon*socio=rien à *socio=rien être temporaire,*socio=nil *socio=nil faute de quoi elle risque*socio=uv3 de prendre *socio=rien un caractère permanent.*socio=nil Pour*socio=nil un pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil qui a besoin*socio=uv1 de renforcer la situation*socio=rien de son solde*socio=ec1 courant*socio=rien, il vaut souvent mieux ajuster le taux_de_change*socio=ec1 qu'ériger des barrières*socio=ec2 tarifaires*socio=et ou non tarifaires*socio=et. Dans des conditions*socio=ec1 particulières*socio=rien, on peut faire valoir, certes, que l'imposition*socio=et temporaire*socio=rien de restrictions*socio=et *socio=rien est un moindre mal *socio=nil - une solution*socio=rien préférable*socio=uv4, par exemple*socio=rien, à une dévaluation*socio=ec2 qui risquerait d'amorcer l'enroulement d'une spirale*socio=rien salaires*socio=ec1 - prix*socio=ec1 que les pouvoirs_publics*socio=et ne s'estiment pas en mesure*socio=rien de contenir comme il convient -, mais le Fonds*socio=ec1 a toujours eu et continue*socio=rien d'avoir pour politique*socio=et générale*socio=rien de s'opposer à ce que de nouvelles*socio=rien restrictions*socio=et soient appliquées par les pays*socio=ac aux prises*socio=rien avec des difficultés*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 et de faire de la réduction*socio=ec2 des restrictions*socio=et l'un*socio=rien des objectifs*socio=uv3 des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et qu'il soutient. En vue*socio=rien de mieux concrétiser l'attachement*socio=uv1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 au principe*socio=ec2 de l'ouverture*socio=uv3 *socio=rien du système des*socio=nil échanges_commerciaux*socio=ec1,*socio=nil il*socio=nil est *socio=nil davantage tenu compte*socio=ec1 dans l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et des mesures*socio=et de protection*socio=et aussi bien*socio=rien que des mesures*socio=et de libéralisation*socio=et. Il a été*socio=rien décidé en particulier*socio=rien que les rapports*socio=rien établis dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec les pays_industrialisés*socio=ac comme avec les pays_en_développement*socio=uv3 devaient traiter plus en détail*socio=rien des questions*socio=rien commerciales*socio=ec1. De façon*socio=rien plus générale*socio=rien, le conseil_d'_administration*socio=ac a noté avec une vive satisfaction*socio=uv3 les progrès*socio=uv1 réalisés dans les négociations*socio=et commerciales*socio=ec1 de l'uruguay_round*socio=et, qui devraient permettre de renforcer et de libéraliser le *socio=rien système du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te.*socio=nil Examen*socio=ec2 *socio=nil de l'application*socio=rien de la surveillance*socio=et. Conformément aux procédures*socio=et relatives*socio=rien à la surveillance*socio=et, le conseil_d'_administration*socio=ac est*socio=rien tenu de réexaminer chaque année*socio=rien l'application*socio=rien générale*socio=rien de la surveillance*socio=et. Le plus récent*socio=rien de ces réexamens, qui s'est*socio=rien achevé le 4 mars*socio=rien 1987, a été*socio=rien consacré principalement à l'étude*socio=ec2 de plusieurs propositions*socio=rien tendant à modifier les procédures*socio=et d'application*socio=rien. Ces propositions*socio=rien concernaient 1 ) la *socio=rien simplification du processus*socio=te de*socio=nil consultation*socio=uv1,*socio=nil *socio=nil 2) l'utilisation*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 aux fins*socio=rien des consultations*socio=uv1 tenues avec chaque pays*socio=ac au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV et 3) *socio=rien diverses questions relatives au*socio=nil caractère *socio=nil confidentiel des *socio=rien documents du Fonds*socio=ec1.*socio=nil Fréquence des*socio=nil consultations*socio=uv1.*socio=nil Le*socio=nil nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui éprouvaient des difficultés*socio=uv4 à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 a fortement augmenté au début*socio=rien des années*socio=rien 80,, aussi les principes*socio=ec2 directeurs*socio=ac concernant les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV et adoptés en 1983 ont-ils eu pour effet*socio=rien d'accroître la fréquence*socio=rien de ces consultations*socio=uv1. Selon ces principes*socio=ec2, les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV devraient avoir lieu*socio=rien chaque année*socio=rien avec les pays_membres*socio=ac dont les programmes*socio=et supposent l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1, avec ceux qui ont une balance_des_paiements*socio=ec1 dont la viabilité*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme *socio=nil suscite de graves*socio=uv4 doutes, et avec ceux dont l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 a une incidence*socio=ec2 *socio=rien sensible sur *socio=nil d'autres pays*socio=ac. Pour les autres pays_membres*socio=ac, on a jugé que le laps*socio=rien de temps*socio=rien entre deux consultations*socio=uv1 pouvait aller jusqu'à 24 mois*socio=rien. Depuis 1983, des consultations*socio=uv1 ont été*socio=rien tenues chaque année*socio=rien avec au moins 80 % des pays_membres*socio=ac (contre 57 % seulement en 1982). À la fin*socio=rien de 1986, le cycle*socio=te normal*socio=rien de 12 mois*socio=rien entre deux consultations*socio=uv1 était le cycle*socio=te appliqué à 85 % des pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Le Fonds*socio=ec1 ne peut exercer sa fonction*socio=rien de surveillance*socio=et de manière*socio=rien efficace*socio=uv4 que s'il tient fréquemment des consultations*socio=uv1 avec ses pays_membres*socio=ac. La tendance*socio=ec2 à tenir des consultations*socio=uv1 de plus en plus fréquentes*socio=rien a toutefois sensiblement accru la charge*socio=rien de *socio=rien travail du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil et des services_du_fonds*socio=ec1,, c'est*socio=rien pourquoi on a formulé ces *socio=rien dernières années plusieurs*socio=nil recommandations*socio=et *socio=nil visant à alléger cette charge*socio=rien. À l'issue*socio=rien de l'examen*socio=ec2 de l'application*socio=rien de la surveillance*socio=et, le conseil_d'_administration*socio=ac a décidé que les règles*socio=et de procédure*socio=et en vigueur*socio=uv3 pour les consultations*socio=uv1 annuelles*socio=te normales*socio=rien devaient être*socio=rien maintenues, mais qu'il convenait de passer en revue l'application*socio=rien des principes*socio=ec2 directeurs*socio=ac en vue*socio=rien de déterminer s'il fallait ménager*socio=rien des intervalles*socio=rien plus longs*socio=rien entre deux consultations*socio=uv1 ou adopter une procédure*socio=et de consultations*socio=uv1 simplifiée. En juin*socio=rien 1987, le conseil_d'_administration*socio=ac a examiné *socio=rien diverses propositions précises en*socio=nil vue *socio=nil de réduire la charge*socio=rien de travail*socio=rien qu'imposent les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Une première*socio=rien série de propositions*socio=rien préconisait une interprétation*socio=ec2 plus restrictive*socio=uv4 des principes*socio=ec2. Il était proposé, par exemple*socio=rien, d'adopter une nouvelle*socio=rien interprétation*socio=ec2 *socio=rien du critère *socio=nil " d'incidence*socio=ec2 sensible*socio=rien " pour qu'il s'applique non plus aux 25 pays_membres*socio=ac dont les quotes-parts*socio=et au Fonds*socio=ec1 sont les plus élevées*socio=uv4, mais seulement aux 20 premiers*socio=rien pays*socio=ac par ordre*socio=rien d'importance*socio=rien (des quotes-parts*socio=et). Par ailleurs*socio=rien, il a été*socio=rien proposé d'adopter, pour certains pays*socio=ac, des modalités*socio=rien de consultations*socio=uv1 simplifiées prévoyant des consultations*socio=uv1 complètes au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV tous les deux ans*socio=rien et une procédure*socio=et intermédiaire*socio=rien simplifiée dans l'intervalle*socio=te. Si les modalités*socio=rien d'application*socio=rien des principes*socio=ec2 directeurs*socio=ac concernant les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV étaient ainsi modifiées, le nombre*socio=rien de consultations*socio=uv1 complètes tenues chaque année*socio=rien diminuerait : au lieu*socio=rien de 130-135 en moyenne*socio=rien ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil il n'y en aurait plus que 115 à 120. La procédure*socio=et intermédiaire*socio=rien simplifiée qui a été*socio=rien proposée aurait trois caractéristiques*socio=rien distinctives. Premièrement, elle ne donnerait en général*socio=rien pas lieu*socio=rien à une discussion*socio=et au conseil_d'_administration*socio=ac. Le *socio=ac pays membre,*socio=nil un*socio=rien administrateur *socio=nil ou le directeur_général*socio=ac pourrait toutefois demander qu'une discussion*socio=et ait lieu*socio=rien s'il estimait que *socio=rien certaines questions de*socio=nil fond devraient*socio=nil être *socio=nil portées à l'attention*socio=rien du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac. Deuxièmement, cette procédure*socio=et simplifiée permettrait à tout le moins de maintenir la fréquence*socio=rien des contacts*socio=rien entre les services_du_fonds*socio=ec1 et les autorités*socio=et du*socio=rien *socio=ac pays membre *socio=nil ainsi que celle des comptes*socio=ec1 rendus au conseil_d'_administration*socio=ac. Troisièmement, les services_du_fonds*socio=ec1 pourraient présenter des rapports*socio=rien plus succincts à l'occasion*socio=rien des consultations*socio=uv1 intermédiaires*socio=rien. Tout en étant assez étendue et suffisamment approfondie, l'analyse*socio=ec2 présentée dans ces rapports*socio=rien devrait permettre de concilier deux objectifs*socio=uv3 : simplifier les procédures*socio=et au niveau*socio=rien des entretiens*socio=rien avec les pays*socio=ac et de la préparation*socio=rien des rapports*socio=rien, mais aussi donner un*socio=rien aperçu suffisamment détaillé de l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien et des politiques_économiques*socio=et pour qu'il soit possible*socio=rien de formuler des évaluations*socio=ec2 et des recommandations*socio=et franches*socio=rien et précises*socio=rien. S'il n'y avait aucune question*socio=rien de fond*socio=rien ni aucun changement*socio=uv3 significatif*socio=rien à signaler, le champ*socio=rien de l'analyse*socio=ec2 et des entretiens*socio=rien pourrait être*socio=rien limité, notamment dans les domaines*socio=rien où les orientations*socio=et fondamentales*socio=uv4 de la politique*socio=et sont en *socio=rien général définies *socio=nil pour des périodes*socio=te assez longues*socio=rien. Dans ces domaines*socio=rien, il suffirait de procéder à une analyse*socio=ec2 et à un*socio=rien examen*socio=ec2 plus détaillés à l'occasion*socio=rien des consultations*socio=uv1 bisannuelles complètes. On peut s'attendre à ce que les modalités*socio=rien d'application*socio=rien de la nouvelle*socio=rien procédure*socio=et évoluent à l'usage*socio=rien et qu'elles soient modulées en fonction*socio=rien de la situation*socio=rien de chaque *socio=ac pays membre.*socio=nil L'*socio=nil utilisation*socio=rien d'*socio=nil indicateurs*socio=ec1 *socio=nil dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Lors*socio=rien des précédentes*socio=rien revues de l'application*socio=rien de la surveillance*socio=et et notamment lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 annuel*socio=te de 1986, qui a été*socio=rien centré sur*socio=rien les *socio=rien diverses propositions *socio=nil présentées par les *socio=rien suppléants du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix et du*socio=rien Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien pour renforcer la surveillance*socio=et, il a été*socio=rien jugé capital*socio=ec1 que l'analyse*socio=ec2 soit quantifiée et effectuée dans une optique*socio=rien à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Cet*socio=nil impératif*socio=uv4 a*socio=nil été de*socio=nil nouveau souligné*socio=nil lors du dernier réexamen*socio=et *socio=nil de la surveillance*socio=et. Si les principaux*socio=rien instruments*socio=et de la politique_économique*socio=ec1 ne sont pas analysés dans *socio=rien un cadre raisonnablement*socio=nil précis *socio=nil et quantifié, il n'est*socio=rien pas possible*socio=rien de déterminer absolument si les politiques*socio=et sont compatibles*socio=rien (tant au niveau*socio=rien national*socio=te qu'avec celles des autres pays_membres*socio=ac) et soutenables*socio=uv4. Il se pourrait qu'une évaluation*socio=ec2 plus *socio=rien précise du caractère soutenable*socio=uv4 à*socio=nil moyen terme des*socio=nil politiques_économiques*socio=et *socio=nil et une plus *socio=rien grande importance *socio=nil accordée à cette question*socio=rien permettent de déceler plus tôt d'éventuelles*socio=te incompatibilités. Si les rapports*socio=rien des services_du_fonds*socio=ec1 comportent des évaluations*socio=ec2 plus précises*socio=rien et quantifiées, cela aura pour effet*socio=rien non seulement de clarifier le contenu analytique*socio=ec2 de ces rapports*socio=rien, mais également de relier plus étroitement les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV et l'examen*socio=ec2 de l'interaction*socio=rien des politiques*socio=et dans le cadre*socio=rien multilatéral*socio=et de l'étude*socio=ec2 sur*socio=rien les Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. La mise au point*socio=rien d'un*socio=rien cadre*socio=rien d'analyse*socio=rien chiffré permettrait non seulement de rassembler des données utiles*socio=uv4 pour l'étude*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, mais aussi de mieux jauger la politique_économique*socio=ec1 de chaque pays*socio=ac, ainsi que les modifications*socio=rien qui y sont apportées, à la lumière*socio=rien des précédentes*socio=rien évaluations*socio=ec2 multilatérales*socio=et de l'interaction*socio=rien des politiques*socio=et nationales*socio=te. La présentation*socio=rien de plans*socio=rien d'action*socio=ec1 à court*socio=rien et à *socio=rien moyen terme *socio=nil plus détaillés et quantifiés dans le contexte*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV devrait de ce fait*socio=rien aider à déterminer si la politique*socio=et de chacun *socio=rien est cohérente et*socio=nil viable*socio=uv4 *socio=nil tant sous l'angle*socio=rien national*socio=te que dans une optique*socio=rien multilatérale*socio=et. Ces vues*socio=rien ont reçu l'approbation*socio=uv1 du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac à sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1987, et le Comité*socio=ac a invité le conseil_d'_administration*socio=ac à développer l'utilisation*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 aux fins*socio=rien de l'analyse*socio=ec2 à laquelle le Fonds*socio=ec1 procède dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 régulières*socio=ec2 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV et pour la formulation*socio=rien des avis*socio=rien qu'il donne à cette occasion*socio=rien en matière*socio=rien de politique_économique*socio=ec1. Le caractère*socio=rien confidentiel des *socio=rien documents du Fonds*socio=ec1.*socio=nil Lors *socio=nil de son examen*socio=ec2 de l'application*socio=rien de la surveillance*socio=et, le conseil_d'_administration*socio=ac a confirmé que les règles*socio=et relatives*socio=rien à la diffusion*socio=rien des rapports*socio=rien des services_du_fonds*socio=ec1 - y compris tous les rapports*socio=rien de consultations*socio=uv1 et *socio=rien documents relatifs aux*socio=nil demandes*socio=et d'*socio=nil utilisation des*socio=nil ressources*socio=ec1 *socio=nil présentées par les pays_membres*socio=ac - sont claires*socio=rien. Ces rapports*socio=rien sont confidentiels*socio=uv2 et, sauf autorisation*socio=et *socio=rien expresse du conseil_d'_administration*socio=ac,*socio=nil *socio=nil ils ne peuvent être*socio=rien publiés, même par le *socio=ac pays membre *socio=nil auquel le *socio=rien rapport est *socio=nil consacré. La diffusion*socio=rien des rapports*socio=rien des services_du_fonds*socio=ec1 à des *socio=ac banques créditrices *socio=nil n'a a été*socio=rien autorisée qu'à titre*socio=rien exceptionnel*socio=uv4 par le conseil_d'_administration*socio=ac dans le cas*socio=rien des pays*socio=ac auxquels s'applique la procédure*socio=et de surveillance*socio=et accentuée. La surveillance*socio=et en 1986 / 87. Les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Le Fonds*socio=ec1 exerce ses activités*socio=rien de *socio=et surveillance multilatérale *socio=nil en s'appuyant sur*socio=rien l'étude*socio=ec2 périodique*socio=te des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, cadre*socio=rien d'analyse*socio=rien global*socio=te dans lequel le Fonds*socio=ec1 examine les perspectives*socio=te d'évolution*socio=te à court*socio=rien et à *socio=rien moyen terme *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et de l'économie*socio=ec1 de chacun de ses pays_membres*socio=ac. Outre qu'elle fournit *socio=rien un cadre général *socio=nil pour l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et par le biais*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, cette étude*socio=ec2 sert de base*socio=rien à l'évaluation*socio=ec2 systématique*socio=rien non seulement des retombées*socio=rien que peuvent avoir à *socio=rien moyen terme les*socio=nil politiques_économiques*socio=et *socio=nil menées par les pays_industrialisés*socio=ac, mais aussi des perspectives*socio=te sur*socio=rien le front*socio=rien de l'endettement*socio=ec1. Les *socio=rien temps forts *socio=nil de ce processus*socio=te sont les discussions*socio=et sur*socio=rien les *socio=te perspectives mondiales *socio=nil et les problèmes*socio=uv4 de politique_économique*socio=ec1, auxquelles procèdent deux fois*socio=rien par an*socio=rien d'abord*socio=rien le conseil_d'_administration*socio=ac, puis le comité_intérimaire*socio=ac. *socio=rien Du fait *socio=nil de l'importance*socio=rien qu'ont pris les indicateurs*socio=ec1, on a accordé une attention*socio=rien accrue au volet*socio=rien " surveillance*socio=et " de l'étude*socio=ec2 sur*socio=rien les Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, notamment en ce qui concerne l'interaction*socio=rien des politiques_économiques*socio=et des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. L'approche méthodologique a été*socio=rien modifiée : le *socio=ec1 ratio épargne/*socio=nil investissement est*socio=rien devenu*socio=nil *socio=rien un élément d'*socio=nil appréciation*socio=uv3 plus*socio=nil courant *socio=nil pour juger de la compatibilité*socio=rien des politiques*socio=et au niveau*socio=rien international*socio=te, une plus *socio=rien grande importance est *socio=nil accordée aux relations*socio=rien entre les flux*socio=ec1 et les stocks*socio=ec1 en tant que cause*socio=rien potentielle*socio=uv4 de déséquilibres*socio=uv3, enfin, il *socio=rien est procédé *socio=nil à une évaluation*socio=ec2 plus explicite*socio=rien de la durabilité*socio=uv3 des tendances*socio=ec2 perçues, ainsi que des facteurs*socio=rien qui pourraient *socio=rien être sources de*socio=nil tensions*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Ainsi qu'il a été*socio=rien indiqué dans l'introduction*socio=rien au chapitre*socio=rien 1, les discussions*socio=et que le conseil_d'_administration*socio=ac et le comité_intérimaire*socio=ac ont tenues au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée sur*socio=rien la situation*socio=rien et les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 ont fait*socio=rien ressortir le caractère*socio=rien relativement contrasté des *socio=rien événements récents *socio=nil et des perspectives*socio=te d'évolution*socio=te dans ce domaine*socio=rien. On a pu discerner *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil aspects positifs*socio=uv4 *socio=nil : la production*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac a certes été*socio=rien plus faible*socio=rien que prévu, mais n'en a pas moins continué de croître à un*socio=rien rythme*socio=ec2 modéré, de sorte*socio=rien que l'actuelle*socio=te phase*socio=te de reprise est*socio=rien l'une des plus longues*socio=rien des quarante *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil De plus, en 1986, l'inflation*socio=ec1 et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont sensiblement baissé dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac et en développement*socio=uv3, et l'ajustement*socio=et de la configuration*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 des grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1, qui était devenu nécessaire*socio=rien et avait été*socio=rien amorcé en 1985, s'est*socio=rien poursuivi. Autre fait*socio=rien positif*socio=uv4, les pays_en_développement*socio=uv3 exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 se sont adaptés, sans trop de heurts, à l'évolution*socio=te défavorable*socio=uv4 de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1. Pour ce qui est*socio=rien des *socio=rien aspects négatifs,*socio=nil *socio=nil il convient de noter le ralentissement*socio=ec2 du*socio=rien rythme*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 dans les pays_industrialisés*socio=ac, qui est*socio=rien tombé à *socio=rien un niveau inférieur *socio=nil à celui des taux_de_croissance*socio=ec1 potentiels*socio=uv4, phénomène*socio=rien jugé d'autant plus préoccupant*socio=rien qu'il n'est*socio=rien pas sans avoir une incidence*socio=ec2 sur*socio=rien la persistance*socio=te de taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 élevés*socio=uv4 et sur*socio=rien la situation*socio=rien de l'endettement*socio=ec1. De plus, la gestion*socio=ec2 de cette situation*socio=rien a été*socio=rien encore compliquée *socio=rien du fait *socio=nil que les *socio=ec1 ratios dette/*socio=nil exportations *socio=nil ont continué d'augmenter, que les flux*socio=ec1 de financements_privés*socio=ec1 se sont amenuisés et que la reprise d'une croissance*socio=uv3 satisfaisante*socio=uv4 dans les pays_en_développement*socio=uv3 se fait*socio=rien encore attendre. Enfin, et c'est*socio=rien peut-être là le facteur*socio=rien le plus inquiétant*socio=rien, les déséquilibres*socio=uv3 des soldes*socio=ec1 courants*socio=te des trois plus grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont atteint des proportions*socio=rien insoutenables*socio=uv2 et ont causé une instabilité*socio=uv3 fort*socio=rien peu *socio=rien souhaitable sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1 et*socio=nil sur les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans ce contexte*socio=rien, le conseil_d'_administration*socio=ac et le comité_intérimaire*socio=ac ont mis l'accent*socio=rien, au cours*socio=rien de leurs débats*socio=et relatifs*socio=rien à la politique*socio=et générale*socio=rien, sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'affermir les fondements*socio=uv4 d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4. Il a été*socio=rien généralement convenu qu'il importe à cet effet*socio=rien d'adopter *socio=rien un ensemble de*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil qui permettent à la fois*socio=rien de rétablir entre les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac une configuration*socio=et de balance_des_paiements*socio=ec1 plus soutenable*socio=uv4 et de parvenir à une croissance*socio=uv3 soutenue, plus harmonieuse*socio=uv2 et non inflationniste*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Pour obtenir*socio=rien ce résultat*socio=rien, il paraît essentiel*socio=uv4 de réorienter la politique_économique*socio=ec1 sur*socio=rien quatre fronts*socio=rien. Premièrement, il faut s'employer énergiquement à réduire le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et des États-unis*socio=ac. A cet égard*socio=rien, les mesures*socio=et que les autorités*socio=et américaines*socio=ac se sont engagées à prendre de par l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et ont été*socio=rien jugées appropriées, mais le *socio=ac gouvernement américain a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil invité à rechercher avec le Congrès*socio=ac les compromis*socio=uv1 nécessaires*socio=rien pour atteindre les objectifs*socio=uv3 déclarés. Deuxièmement, il importe que les autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, et plus particulièrement les pays*socio=ac excédentaires*socio=ec2 où le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 est*socio=rien peu élevé*socio=uv4, mènent des politiques*socio=et propres*socio=rien à stimuler leur demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Cela est*socio=rien en *socio=rien effet nécessaire *socio=nil pour faciliter la correction*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te, pour faire contrepoids au peu de dynamisme*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te aux États-unis*socio=ac, pour aider à faire baisser les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 élevés*socio=uv4, pour atténuer les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et et pour faciliter la gestion*socio=ec2 de l'endettement*socio=ec1 international*socio=te. Dans ce contexte*socio=rien, les projets*socio=et de budget*socio=ec1 pour 1987 qui ont été*socio=rien élaborés à la fin*socio=rien de 1986 n'ont pas paru pleinement compatibles*socio=rien avec le rythme*socio=ec2 souhaité de la demande*socio=ec1, et il a été*socio=rien noté avec satisfaction*socio=uv3 que, par l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et, la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et le Japon*socio=ac se sont engagés à assouplir leur politique_budgétaire*socio=et. Troisièmement, il *socio=rien est vrai *socio=nil que la poursuite*socio=rien de politiques_monétaires*socio=et souples*socio=uv4 a aidé dans le passé*socio=rien et pourrait peut-être encore servir à soutenir la demande*socio=ec1 à l'avenir*socio=te, mais les possibilités*socio=rien d'assouplir encore ces politiques*socio=et sont limitées par la nécessité*socio=uv1 d'éviter la résurgence*socio=ec2 de *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil *socio=nil Quatrièmement, il importe de s'attaquer de façon*socio=rien plus résolue que par le passé*socio=rien aux contraintes*socio=uv1 d'ordre*socio=rien structurel*socio=ec2 qui entravent la production*socio=ec1 - notamment au *socio=rien niveau du commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te,*socio=nil sur le*socio=nil marché*socio=ec1 *socio=nil de l'emploi*socio=ec1 et sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 - de façon*socio=rien à favoriser la croissance*socio=uv3 à faire renaître la confiance*socio=uv1 et à stimuler la dépense*socio=ec1 dans le secteur_privé*socio=et. Il a été*socio=rien jugé que, venant se conjuguer aux ajustements*socio=et déjà apportés aux taux_de_change*socio=ec1, ces politiques*socio=et permettront vraisemblablement*socio=rien de réduire à la longue*socio=rien les déséquilibres*socio=uv3 importants*socio=uv4 et intenables*socio=uv2 des paiements_courants*socio=ec1 et de favoriser une croissance*socio=ec1 mondiale*socio=te au profil*socio=rien plus harmonieux*socio=uv2. Dans l'immédiat*socio=rien, toutefois, étant donné cette nouvelle*socio=rien articulation*socio=ec2 des politiques_économiques*socio=et, on pourrait considérer, pour reprendre les termes*socio=rien de l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et, que les monnaies*socio=ec1 se trouvent dans des bandes de fluctuation*socio=ec2 globalement compatibles*socio=rien avec les données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4. Puisque de *socio=rien nouvelles variations *socio=nil prononcées des taux_de_change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 pourraient nuire à la croissance*socio=ec1 et compromettre les perspectives*socio=te d'ajustement*socio=et, on a souligné l'importance*socio=rien d'une période*socio=te de stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 pour permettre aux marchés*socio=ec1 d'assimiler les profonds*socio=rien changements*socio=uv3 qui sont intervenus. C'est*socio=rien pourquoi il convient que les gouvernements*socio=ac s'engagent à " coopérer étroitement pour promouvoir la stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 autour des niveaux*socio=rien actuels*socio=te " (Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et, paragraphe*socio=rien 10). La dégradation*socio=uv3 de l'environnement*socio=et économique*socio=ec1 mondial*socio=te a *socio=rien été lourde de*socio=nil conséquences *socio=nil pour les pays_en_développement*socio=uv3 - ses manifestations*socio=rien les plus graves*socio=uv4 ont été*socio=rien la détérioration*socio=uv4 marquée des termes_de_l'_échange*socio=ec1 de beaucoup de ces pays*socio=ac, la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien des cours*socio=rien des *socio=rien produits primaires *socio=nil autres que le pétrole*socio=ec1, le tarissement des flux*socio=ec1 nets*socio=rien de capitaux_privés*socio=ec1 et le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans les pays_industrialisés*socio=ac - et elle a ravivé les inquiétudes*socio=rien quant à la situation*socio=rien de ces pays*socio=ac et aux perspectives*socio=te qui s'offrent à la stratégie*socio=et en matière*socio=rien d'endettement*socio=ec1. Il a été*socio=rien jugé que cette stratégie*socio=et avait été*socio=rien efficace*socio=uv4 en ce sens*socio=rien que ses objectifs*socio=uv3 immédiats*socio=rien avaient été*socio=rien atteints. On a toutefois fait*socio=rien observer qu'il subsiste nombre*socio=rien de *socio=uv4 problèmes graves,*socio=nil *socio=nil comme en témoignent*socio=rien la *socio=rien hausse persistante des*socio=nil ratios*socio=ec1 d'*socio=nil endettement*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil difficultés*socio=uv4 *socio=nil que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac éprouvent à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 et la faiblesse*socio=ec2 des taux_de_croissance*socio=ec1 de leur PIB*socio=ec1 réel*socio=rien. Il importe de s'attacher en toute priorité*socio=uv4 à promouvoir une expansion*socio=ec2 plus rapide*socio=rien dans les pays_en_développement*socio=uv3, ce qui exigera des efforts*socio=uv1 conjugués*socio=rien et solidaires de toutes les parties*socio=rien intéressées. Trois éléments*socio=rien sont particulièrement importants*socio=uv4. Il faut premièrement que les pays_en_développement*socio=uv3 raffermissent leur politique_économique*socio=ec1 nationale*socio=te - notamment en ce qui concerne l'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 intérieurs*socio=te, mais aussi par des mesures*socio=et propres*socio=rien à développer l'appareil*socio=rien productif*socio=uv4 et à juguler l'inflation*socio=ec1 - et ouvrent la voie*socio=rien à une utilisation*socio=rien plus efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1 et à une croissance*socio=uv3 plus rapide*socio=rien. Deuxièmement, il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 de créer un*socio=rien environnement*socio=et économique*socio=ec1 international*socio=te favorable*socio=uv4, où une croissance*socio=uv3 satisfaisante*socio=uv4 de la demande*socio=ec1 dans les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac irait de pair*socio=rien avec l'ouverture*socio=uv3 plus large*socio=rien de leurs marchés*socio=ec1. Troisièmement, il demeure indispensable*socio=uv4 d'étayer les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 en leur apportant un*socio=rien appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 en *socio=rien temps opportun *socio=nil et à des conditions*socio=ec1 appropriées. Tous les créanciers*socio=ac ont leur rôle*socio=et à jouer pour ce qui est*socio=rien de fournir ces ressources*socio=ec1. Il y a lieu*socio=rien de s'inquiéter de la lenteur*socio=rien avec laquelle les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 ont parfois mis *socio=rien sur pied *socio=nil et déployé leurs financements*socio=ec1 concertés, et il importe que les banques*socio=ac envisagent de *socio=rien nouvelles techniques *socio=nil qui permettraient d'accélérer la mobilisation*socio=uv3 de concours financiers*socio=ec1 assortis de conditions*socio=ec1 appropriées en faveur*socio=rien des pays*socio=ac endettés. Le recours*socio=ec1 à des *socio=rien nouvelles techniques *socio=nil de cette sorte*socio=rien s'est*socio=rien amorcé dans le cadre*socio=rien des accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et qui ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien de négociations*socio=et pendant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1987. Dans le cas*socio=rien des petits*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 doivent être*socio=rien étayées par de nouveaux*socio=rien *socio=ec1 financements concessionnels.*socio=nil *socio=nil A cet égard*socio=rien, la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 peut se révéler très utile*socio=uv4, ne serait-ce que parce que l'utilisation*socio=rien de cette facilité peut encourager les créanciers*socio=ac et les donateurs*socio=ac officiels*socio=et à octroyer des concours supplémentaires*socio=rien. Enfin, tout au long*socio=rien de l'année*socio=rien, les débats*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac sur*socio=rien divers sujets*socio=rien en rapport*socio=rien avec la *socio=et surveillance multilatérale ont*socio=nil permis*socio=rien *socio=nil de souligner combien il importe, dans le climat*socio=rien économique*socio=ec1 actuel*socio=te, de renforcer la coopération_internationale*socio=uv3. Le fait*socio=rien que les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont réaffirmé leur détermination*socio=rien à coordonner leurs politiques_économiques*socio=et et que le Fonds*socio=ec1 participe à ce processus*socio=te par le soutien*socio=uv3 technique*socio=rien qu'il y apporte et par la présence*socio=rien de son directeur_général*socio=ac aux réunions*socio=rien internationales*socio=te est*socio=rien considéré comme une étape*socio=te positive*socio=uv4 dans la voie*socio=rien d'une solution*socio=rien aux problèmes*socio=uv4 qui se posent à l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. La coopération*socio=uv1 au niveau*socio=rien international*socio=te est*socio=rien également jugée indispensable*socio=uv4 pour faire face*socio=rien à la situation*socio=rien de l'endettement*socio=ec1, laquelle soulève nombre*socio=rien de difficultés*socio=uv4 et exige que toutes les parties*socio=rien intéressées conviennent de leur responsabilité*socio=uv1 commune*socio=uv2 pour qu'il soit possible*socio=rien d'arriver à des solutions*socio=rien satisfaisantes*socio=uv4. Enfin, l'ouverture*socio=uv3 *socio=rien du système commercial*socio=ec1 *socio=nil ne pourra être*socio=rien préservée et la situation*socio=rien de l'endettement*socio=ec1 ne pourra être*socio=rien gérée de manière*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 que si les membres*socio=ac de la *socio=ac communauté internationale *socio=nil luttent de concert*socio=uv1 contre les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et. Étant donné le climat*socio=rien économique*socio=ec1 actuel*socio=te, il faut pour le moins que tous les pays*socio=ac s'abstiennent de toute action*socio=ec1 qui risquerait d'aviver les tensions*socio=ec2 commerciales*socio=ec1. De façon*socio=rien plus générale*socio=rien, il importe de prendre sans tarder des mesures*socio=et précises*socio=rien pour réduire les restrictions*socio=et et les subventions*socio=ec1, surtout dans le secteur*socio=rien agricole*socio=ec1, et pour favoriser, du*socio=rien même coup*socio=rien, le processus*socio=te d'ajustement*socio=et. Consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Il *socio=rien est vrai *socio=nil que la *socio=et surveillance multilatérale *socio=nil exercée par le Fonds*socio=ec1 donne aux pays_membres*socio=ac l'occasion*socio=rien de passer en revue les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 et les problèmes*socio=uv4 de politique*socio=et *socio=rien générale intéressant l'*socio=nil ensemble *socio=nil de la communauté*socio=ac mondiale*socio=te, tout en fournissant *socio=rien un cadre d'*socio=nil analyse *socio=nil pour juger de l'évolution*socio=te intervenue dans tel ou tel pays*socio=ac, mais c'est*socio=rien essentiellement par le biais*socio=rien de la *socio=et surveillance bilatérale *socio=nil que le Fonds*socio=ec1 exerce un*socio=rien ferme*socio=ec2 contrôle*socio=uv3 sur*socio=rien la politique*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 de chacun de ses pays_membres*socio=ac. La *socio=et surveillance bilatérale *socio=nil prend plusieurs formes*socio=rien, notamment celle d'avis*socio=rien d'information*socio=rien, système*socio=rien qui permet de porter à l'attention*socio=rien du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac toute modification*socio=rien importante*socio=uv4 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif réel d'*socio=nil un *socio=ac pays membre.*socio=nil Quarante-deux*socio=nil avis*socio=rien d'*socio=nil information*socio=rien *socio=nil de cette nature*socio=rien ont été*socio=rien émis durant l'exercice*socio=rien clos le 30 avril*socio=rien 1987. Les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV entre le Fonds*socio=ec1 et chacun de ses pays_membres*socio=ac constituent toutefois son principal*socio=rien instrument*socio=et de surveillance*socio=et. Ainsi qu'il a été*socio=rien indiqué précédemment, ces consultations*socio=uv1 se tiennent normalement chaque année*socio=rien, mais elles peuvent avoir lieu*socio=rien plus fréquemment dans *socio=rien certaines circonstances,*socio=nil *socio=nil ou n'être*socio=rien tenues qu'une fois*socio=rien tous les deux ans*socio=rien, par exemple*socio=rien avec les petits*socio=rien pays*socio=ac dont la position*socio=rien extérieure*socio=te est*socio=rien viable*socio=uv4. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien clos le 30 avril*socio=rien 1987, le Fonds*socio=ec1 a tenu 124 séries de consultations*socio=uv1 avec au total*socio=rien 81 % de ses pays_membres*socio=ac. Les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV ont principalement pour objet*socio=rien d'examiner la politique_économique*socio=ec1 suivie par les pays_membres*socio=ac et d'évaluer l'incidence*socio=ec2 de cette politique*socio=et sur*socio=rien leur taux_de_change*socio=ec1 et leur position*socio=rien extérieure*socio=te, et par *socio=rien conséquent sur l'*socio=nil évolution*socio=te *socio=nil des autres pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Ces évaluations*socio=ec2 requièrent immanquablement une analyse*socio=ec2 approfondie de l'évolution*socio=te récente*socio=rien et prévisible*socio=uv4 de la situation*socio=rien intérieure*socio=te et extérieure*socio=te de chaque pays*socio=ac, en particulier*socio=rien dans les domaines*socio=rien budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1, et dans celui de la balance_des_paiements*socio=ec1. Cependant, il y a des différences*socio=uv1 considérables*socio=rien entre les pays_membres*socio=ac, qu'il s'agisse de leur niveau*socio=rien d'endettement*socio=ec1, de leur rythme*socio=ec2 d'inflation*socio=ec1, de leur situation*socio=rien extérieure*socio=te, de leur stade*socio=te de développement*socio=uv3 ou de leur système*socio=rien social*socio=et,, il s'ensuit que l'analyse*socio=ec2 est*socio=rien forcément modulée en fonction*socio=rien de ces *socio=rien différents éléments.*socio=nil Par*socio=nil ailleurs,*socio=nil *socio=nil l'axe de l'analyse*socio=ec2 a eu tendance*socio=ec2 à se déplacer au fil*socio=rien des ans*socio=rien. Depuis quelques années*socio=rien, l'analyse*socio=ec2 porte*socio=rien plus précisément sur*socio=rien la solvabilité*socio=ec1 des pays*socio=ac à *socio=rien moyen terme,*socio=nil le*socio=nil secteur des*socio=nil entreprises*socio=ac publiques*socio=et,*socio=nil l'*socio=nil intermédiation*socio=ec1 financière*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil programmes*socio=et d'*socio=nil investissement*socio=ec1,*socio=nil la*socio=nil politique_commerciale*socio=et *socio=nil et les autres politiques*socio=et d'ordre*socio=rien structurel*socio=ec2. Elle reste*socio=rien toutefois centrée sur*socio=rien les conséquences*socio=rien que l'évolution*socio=te de chaque pays*socio=ac entraîne pour l'ensemble*socio=rien de la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil Ces*socio=nil répercussions*socio=ec2 sont*socio=nil bien*socio=rien *socio=nil entendu plus ou moins fonction*socio=rien de la taille de l'économie*socio=ec1 du*socio=rien *socio=ac pays membre,*socio=nil *socio=nil et une *socio=rien importance particulière est *socio=nil accordée aux pays*socio=ac dont l'évolution*socio=te interne*socio=te influe puissamment sur*socio=rien celle des autres pays_membres*socio=ac. L'économie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac *socio=rien est entrée *socio=nil dans la *socio=rien cinquième année *socio=nil de l'une de ses phases*socio=te d'expansion*socio=ec2 les plus durables*socio=uv4 de l'après-guerre*socio=te. Cette bonne*socio=rien performance*socio=uv3 a contribué à la reprise mondiale*socio=te et l'expansion*socio=ec2 a continué de s'accompagner d'une progression*socio=ec2 modérée des salaires*socio=ec1 et des prix*socio=ec1. Cependant, les déséquilibres*socio=uv3 qui étaient apparus au début*socio=rien de la reprise - en particulier*socio=rien les importants*socio=uv4 déficits*socio=ec1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et des paiements_courants*socio=ec1 extérieurs*socio=te - sont devenus de plus en plus préoccupants*socio=uv4, et il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 d'y remédier pour maintenir le rythme*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 et la bonne*socio=rien tenue des prix*socio=ec1. La façon*socio=rien la plus efficace*socio=uv4 pour les États-unis*socio=ac de réduire ces déséquilibres*socio=uv3 est*socio=rien de mettre résolument en oeuvre*socio=rien des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et budgétaire*socio=et, comme l'a réaffirmé l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et. Un*socio=rien tel rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et risque*socio=uv3 certes d'affaiblir la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te à court_terme*socio=te, mais il entraînerait une réduction*socio=ec2 durable*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2, améliorerait les perspectives*socio=te en matière*socio=rien d'investissement*socio=ec1 et de *socio=ec1 croissance économique à*socio=nil long_terme*socio=te *socio=nil dans le monde*socio=te entier*socio=rien, enfin il permettrait d'établir, pour les soldes*socio=ec1 courants*socio=te des grands*socio=rien pays*socio=ac, une configuration*socio=et plus soutenable*socio=uv4 et de créer ainsi des conditions*socio=ec1 propices*socio=rien à une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1. Dans la formulation*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et, il importe de tenir compte*socio=ec1 de divers facteurs*socio=rien, notamment de la triple nécessité*socio=uv1 de préserver les gains*socio=ec1 réalisés sur*socio=rien l'inflation*socio=ec1 face*socio=rien aux pressions*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 qui s'exercent sur*socio=rien le dollar_eu*socio=ec1, de maintenir l'essor*socio=rien de l' activité_économique*socio=ec1 et de gérer la situation*socio=rien de l'endettement*socio=ec1. Le meilleur*socio=uv4 moyen*socio=rien d'atténuer un*socio=rien éventuel*socio=te conflit*socio=uv1 entre ces objectifs*socio=uv3 serait d'engager une *socio=ec1 action énergique sur*socio=rien le*socio=nil plan*socio=rien budgétaire*socio=et,*socio=nil *socio=nil et de mener une politique_monétaire*socio=et axée principalement sur*socio=rien des objectifs*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil En*socio=nil matière de*socio=nil commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te,*socio=nil la*socio=nil politique*socio=et américaine*socio=ac *socio=nil a donné des résultats*socio=rien mitigés et il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 de résister fermement aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et. Au Japon*socio=ac, l'économie*socio=ec1 traverse actuellement, en raison*socio=rien de l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien yen*socio=ec1, une période*socio=te d'ajustement*socio=et pénible*socio=rien que la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 rend légèrement moins ardue*socio=rien. La diminution*socio=ec2 sensible*socio=rien des exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien réelles*socio=ec2 a entraîné un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 marqué de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1, en particulier*socio=rien dans le secteur*socio=rien manufacturier*socio=ec1 tourné vers l'exportation*socio=ec1. Par contre, la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te s'est*socio=rien raffermie sous l'effet*socio=rien de l'amélioration*socio=uv1 notable*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1, de la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et des mesures*socio=et adoptées en vue*socio=rien de stimuler cette demande*socio=ec1. Malgré la diminution*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien réelles*socio=ec2, le solde*socio=ec1 courant*socio=rien extérieur*socio=te est*socio=rien demeuré fortement excédentaire*socio=rien en raison*socio=rien de *socio=rien puissants effets de*socio=nil type *socio=nil courbe en J et de la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1. Au début*socio=rien de 1987, on s'attendait à ce que la faiblesse*socio=ec2 *socio=rien du secteur extérieur*socio=te *socio=nil persisterait pendant quelque temps*socio=rien et d'aucuns craignaient qu'elle ne gagne d'autres secteurs*socio=rien de l'économie*socio=ec1. Étant donné ce mouvement*socio=ec2 de *socio=rien repli persistant *socio=nil de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te et la nécessité*socio=uv1 de corriger l'important*socio=uv4 excédent*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te, il faudra, semble-t-il, que la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te se développe rapidement pour que la croissance*socio=uv3 s'accélère et se rapproche du*socio=rien potentiel*socio=uv4 d'expansion*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1. Ces considérations*socio=rien donnent à entendre qu'au Japon*socio=ac la politique_budgétaire*socio=et devra être*socio=rien mise en oeuvre*socio=rien de manière*socio=rien à ne pas accentuer la faiblesse*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1, mais au contraire*socio=rien de façon*socio=rien à en tenir compte*socio=ec1. À cet égard*socio=rien, l'annonce en mai*socio=rien 1987 d'un*socio=rien *socio=et programme budgétaire *socio=nil de 6 billions de yen*socio=ec1 (soit 1,8% du*socio=rien PNB*socio=ec1) *socio=rien est un événement d'*socio=nil importance,*socio=nil *socio=nil car ce programme*socio=et devrait donner une impulsion*socio=ec2 sensible*socio=rien à la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. La croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te sera aussi vraisemblablement*socio=rien stimulée par les efforts*socio=uv1 d'étroite*socio=rien collaboration*socio=uv1 qui seront déployés en vue*socio=rien de favoriser la stabilité*socio=uv3 des changes*socio=ec1, conformément à l'engagement*socio=uv1 pris dans l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et. À cette fin*socio=rien, les autorités*socio=et ont progressivement*socio=rien assoupli leur politique_monétaire*socio=et bien*socio=rien que la croissance*socio=uv3 de la masse_monétaire*socio=ec1 ait eu tendance*socio=ec2 à s'accélérer. La stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 devrait aider à rétablir la confiance*socio=uv1 et à encourager la restructuration*socio=et de l'industrie*socio=ec1 qui a été*socio=rien différée en raison*socio=rien des fluctuations*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1. À cet égard*socio=rien, il importe également de renforcer la sensibilité*socio=ec2 des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te aux événements*socio=rien extérieurs*socio=te, car, pour relancer la croissance*socio=uv3, il sera essentiel*socio=uv4 de faire en sorte*socio=rien que les gains*socio=ec1 réalisés dans le *socio=rien passé sur le*socio=nil plan des*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 *socio=nil engendrent une croissance*socio=uv3 vigoureuse*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Enfin, il *socio=rien est nécessaire,*socio=nil *socio=nil pour continuer à progresser, de mettre en oeuvre*socio=rien tout *socio=rien un ensemble de*socio=nil réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 *socio=nil concernant notamment la réglementation*socio=et relative*socio=rien à l'emploi*socio=ec1 des terres*socio=ec1, la déréglementation*socio=et financière*socio=ec1, les *socio=ec1 subventions agricoles,*socio=nil le*socio=nil régime_fiscal*socio=et *socio=nil et l'accès*socio=uv1 des étrangers*socio=te aux marchés*socio=ec1 intérieurs*socio=te. L'évolution*socio=te économique*socio=ec1 de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac a *socio=rien été considérablement *socio=nil influencée, elle aussi, par des facteurs*socio=rien extérieurs*socio=te. Des progrès*socio=uv1 *socio=rien sensibles sur le*socio=nil plan des*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 *socio=nil ont dans *socio=rien un premier temps entraîné*socio=nil un regain*socio=ec2 d'*socio=nil activité *socio=nil marqué, mais par suite*socio=rien d'un*socio=rien fléchissement*socio=ec2 considérable*socio=rien des exportations*socio=ec1 réelles*socio=ec2 nettes*socio=rien, le taux_de_croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1 est*socio=rien à la longue*socio=rien tombé en dessous de son *socio=rien niveau potentiel.*socio=nil Cette*socio=nil dépendance*socio=uv1 *socio=nil de l'économie*socio=ec1 à l'égard*socio=rien de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te est*socio=rien une source*socio=rien de préoccupation*socio=uv4 et, vu qu'il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 dans une optique*socio=rien à long_terme*socio=te de réduire l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien, il importe de mettre en oeuvre*socio=rien des politiques*socio=et qui permettent de réorienter l'économie*socio=ec1 de façon*socio=rien à la rendre moins tributaire*socio=rien de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te. À cet effet*socio=rien, les autorités*socio=et allemandes*socio=ac ont réorienté la politique_budgétaire*socio=et : elles ne s'attachent plus tant à amenuiser le déficit*socio=ec1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et qu'à réduire l'impôt*socio=et et à réformer le système_fiscal*socio=et, et se résignent à cette fin*socio=rien à laisser les déficits*socio=ec1 se creuser. Il était prévu de mettre en *socio=rien place un train massif de*socio=nil mesures*socio=et de*socio=nil *socio=et réforme fiscale *socio=nil en 1990,, étant donné toutefois qu'il importe de maintenir à *socio=rien un niveau suffisant le*socio=nil taux_de_croissance*socio=ec1 *socio=nil de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, il a été*socio=rien décidé d'avancer la mise en oeuvre*socio=rien de certaines*socio=rien mesures*socio=et, qui entraîneront un*socio=rien allégement*socio=ec2 fiscal*socio=et supplémentaire*socio=rien de 5 milliards*socio=rien de *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil en plus de celui qui était prévu en 1988. Il se pourrait toutefois que la situation*socio=rien évolue de telle manière*socio=rien qu'il soit souhaitable*socio=rien de procéder avant l'heure*socio=rien à la *socio=et réforme fiscale *socio=nil actuellement prévue pour 1990. Une telle politique*socio=et serait plus efficace*socio=uv4 si elle s'accompagnait d'un*socio=rien ensemble*socio=rien de mesures*socio=et visant à réduire les subventions*socio=ec1 et à améliorer la structure*socio=ec1 des marchés*socio=ec1. La politique_monétaire*socio=et a été*socio=rien menée avec souplesse*socio=uv3 : en effet*socio=rien, la Deutsche*socio=ec1 Bundesbank a entrepris d'abaisser les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te bien*socio=rien que le rythme*socio=ec2 d'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1 ait *socio=rien été bien supérieur *socio=nil à l'ordre*socio=rien de grandeur*socio=rien annoncé. Sur*socio=rien ce terrain*socio=rien, comme dans d'autres domaines*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1, les pouvoirs_publics*socio=et se sont conformés dans toutes leurs actions*socio=ec1 récentes*socio=rien à l'engagement*socio=uv1 qu'ils ont pris par l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et de rechercher une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 tout en soutenant la croissance*socio=ec1 de la demande*socio=ec1. La France*socio=ac est*socio=rien à mi-chemin du*socio=rien processus*socio=te visant à doter son économie*socio=ec1 d'un*socio=rien ensemble*socio=rien de structures*socio=ec1 grâce*socio=rien auxquelles son taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 serait plus en rapport*socio=rien que par le passé*socio=rien avec ceux de ses partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1, et les décisions*socio=et économiques*socio=ec1 seraient plus directement fonction*socio=rien d'un*socio=rien ensemble*socio=rien de prix*socio=ec1 déterminés par le jeu*socio=rien de la concurrence*socio=ec1. Les progrès*socio=uv1 réalisés jusqu'à présent*socio=rien sont remarquables*socio=uv4, notamment en ce qui concerne l'inflation*socio=ec1, la rentabilité*socio=ec1 des entreprises*socio=ac et l'éventail*socio=rien des mesures*socio=et de libéralisation*socio=et qui ont été*socio=rien adoptées. Ces acquis*socio=uv2 peuvent toutefois ne pas être*socio=rien durables*socio=uv4, et la situation*socio=rien extérieure*socio=te demeure vulnérable*socio=uv2. Il importe donc de continuer à agir avec prudence*socio=uv1 en matière*socio=rien de finances*socio=ec1 publiques*socio=et. La politique_budgétaire*socio=et en particulier*socio=rien doit être*socio=rien conforme*socio=uv4 au double*socio=rien engagement*socio=uv1 énoncé dans l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et, à savoir*socio=rien réduire le déficit*socio=ec1 du*socio=rien budget_de_l'_état*socio=ac et alléger la pression*socio=ec2 fiscale*socio=et générale*socio=rien de façon*socio=rien à favoriser l'expansion*socio=ec2 de l'investissement*socio=ec1 productif*socio=uv4 sans compromettre la situation*socio=rien des comptes*socio=ec1 extérieurs*socio=te. La prudence*socio=uv1 continue*socio=rien aussi d'être*socio=rien de rigueur*socio=uv3 sur*socio=rien le plan*socio=rien monétaire*socio=ec1, aussi bien*socio=rien pour consolider les progrès*socio=uv1 accomplis dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 que pour tenir les engagements*socio=et qui découlent de l'appartenance*socio=uv de la France*socio=ac au système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac. Au Royaume-uni*socio=ac, la reprise économique*socio=ec1 qui s'est*socio=rien amorcée en 1982 s'est*socio=rien poursuivie sans fléchir en 1987 et s'est*socio=rien accompagnée d'un*socio=rien *socio=rien recul sensible *socio=nil de l'inflation*socio=ec1. C'est*socio=rien là une performance*socio=uv3 remarquable*socio=rien qui, dans le cadre*socio=rien de la stratégie*socio=et financière*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme *socio=nil et sous l'effet*socio=rien de mesures*socio=et de réforme*socio=et structurelle*socio=ec2, est*socio=rien en outre allée de pair*socio=rien avec une amélioration*socio=uv1 de l'efficience*socio=uv3 et de la productivité*socio=uv3 de l'ensemble*socio=rien de l'économie*socio=ec1. Cependant, les salaires*socio=ec1 ont continué à augmenter dans des proportions*socio=rien relativement importantes*socio=uv4, ce qui a contribué à une croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien des dépenses*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 et à *socio=rien un certain affaiblissement*socio=ec2 *socio=nil de la position*socio=rien extérieure*socio=te. Aussi importe-t-il de donner *socio=rien un haut degré de*socio=nil priorité*socio=uv4 *socio=nil à des mesures*socio=et propres*socio=rien à freiner ces tendances*socio=ec2 d'évolution*socio=te et à confirmer les progrès*socio=uv1 réalisés dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1. Sur*socio=rien le plan*socio=rien de la politique_budgétaire*socio=et, il *socio=rien est nécessaire *socio=nil de réduire encore quelque peu le *socio=ec1 déficit financier du*socio=rien secteur_public*socio=et,*socio=nil *socio=nil ce qui ferait baisser les taux_d'_intérêt*socio=ec1 et stimulerait l'investissement_privé*socio=et. En ce qui concerne la politique_monétaire*socio=et, l'évaluation*socio=ec2 est*socio=rien compliquée *socio=rien du fait des*socio=nil variations assez*socio=nil imprévisibles*socio=uv4 *socio=nil de la vitesse*socio=rien de circulation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1, mais l'accumulation*socio=ec2 de liquidités*socio=ec1 au sein*socio=rien de l'économie*socio=ec1 restreint les possibilités*socio=rien d'assouplir la politique*socio=et en vigueur*socio=uv3. La persistance*socio=te de taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 élevés*socio=uv4 *socio=rien reste un problème*socio=uv4 délicat,*socio=nil *socio=nil mais c'est*socio=rien dans l'amélioration*socio=uv1 *socio=rien du fonctionnement des*socio=nil marchés_du_travail*socio=ec1 *socio=nil qu'il importe d'y chercher une solution*socio=rien. Sous l'effet*socio=rien combiné de facteurs*socio=rien extérieurs*socio=te favorables*socio=uv4 et de l'effort*socio=uv1 de rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et, l'Italie*socio=ac a pu réaliser en 1986 des progrès*socio=uv1 *socio=rien sensibles sur le*socio=nil plan *socio=nil de l'inflation*socio=ec1, renforcer la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 et redresser le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te de sa balance_des_paiements*socio=ec1 qui, précédemment déficitaire*socio=ec2, a enregistré cette année-là un*socio=rien excédent*socio=ec1 important*socio=uv4. Néanmoins, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 de l'Italie*socio=ac est*socio=rien resté supérieur*socio=rien à la moyenne*socio=rien de ceux de ses principaux*socio=rien partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1, sa compétitivité*socio=uv3 et le solde*socio=ec1 *socio=rien net réel *socio=nil de sa balance_commerciale*socio=ec1 se sont dégradés, enfin le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et demeure relativement élevé*socio=uv4. Il importe donc de profiter de l'amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 générale*socio=rien pour apporter aux politiques*socio=et les ajustements*socio=et qui permettront aux résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 de l'Italie*socio=ac, notamment sur*socio=rien le plan*socio=rien de l'inflation*socio=ec1, de se rapprocher davantage de ceux de ses principaux*socio=rien partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. Il convient d'axer les mesures*socio=et d'ajustement*socio=et sur*socio=rien les finances*socio=ec1 publiques*socio=et, en redoublant d'efforts*socio=uv1 pour parvenir à réduire le déficit*socio=ec1 dans les proportions*socio=rien fixées comme objectif*socio=uv3 pour 1987 et les *socio=rien années suivantes.*socio=nil *socio=nil Il faut aussi s'attaquer plus vigoureusement aux rigidités*socio=uv3 d'ordre*socio=rien structurel*socio=ec2, particulièrement celles du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1. Au Canada*socio=ac, l'expansion*socio=ec2 que connaît l'économie*socio=ec1 depuis le début*socio=rien de 1983 s'est*socio=rien caractérisée par des pressions*socio=ec2 remarquablement modérées des coûts*socio=ec1 et des prix*socio=ec1. Le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 a nettement diminué mais demeure élevé*socio=uv4 au regard*socio=rien des *socio=rien niveaux habituels.*socio=nil *socio=nil Depuis quelque temps*socio=rien, le fléchissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans les autres pays_industrialisés*socio=ac et *socio=rien un recul sur le*socio=nil plan des*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 *socio=nil contribuent au ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et à la détérioration*socio=uv4 de la position*socio=rien extérieure*socio=te. Le défi*socio=uv2 que doivent relever les autorités*socio=et canadiennes*socio=ac est*socio=rien donc de faire face*socio=rien à la situation*socio=rien sans compromettre les objectifs*socio=uv3 budgétaires*socio=et à *socio=rien moyen terme.*socio=nil En*socio=nil dépit des*socio=nil efforts*socio=uv1 *socio=nil déployés par les autorités*socio=et depuis la fin*socio=rien de 1984, le processus*socio=te de rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et n'a jusqu'à présent*socio=rien avancé que modérément et il importe que des progrès*socio=uv1 sensibles*socio=rien soient accomplis sur*socio=rien ce plan*socio=rien à brève*socio=rien échéance*socio=te pour que l'on puisse être*socio=rien raisonnablement sûr*socio=rien que la *socio=rien hausse du rapport *socio=nil entre la dette*socio=ec1 publique*socio=et et le PNB*socio=ec1 sera stoppée dans l'avenir*socio=te prévisible*socio=uv4. Étant donné l'incertitude*socio=uv3 qui entoure le comportement*socio=rien des *socio=ec1 agrégats monétaires,*socio=nil l'*socio=nil orientation*socio=et *socio=nil de la politique_monétaire*socio=et *socio=rien est définie *socio=nil à l'aide*socio=uv1 de divers indicateurs*socio=ec1, au nombre*socio=rien desquels le *socio=ec1 taux_de_change dollar_canadien -*socio=nil dollar_eu *socio=nil revêt une *socio=rien importance particulière.*socio=nil Cette*socio=nil méthode*socio=ec2 *socio=nil donne de *socio=rien bons résultats,*socio=nil *socio=nil mais il faut se garder des risques*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 tout en évitant de retarder les variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 réels*socio=ec2 que justifieraient les facteurs*socio=rien économiques*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4. Les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV tenues par le Fonds*socio=ec1 avec les autres pays_industrialisés*socio=ac et avec les pays_en_développement*socio=uv3 ont témoigné de la grande*socio=rien diversité*socio=uv1 des contraintes*socio=uv1 et des préoccupations*socio=uv4 auxquelles ont affaire*socio=ec1 les différents*socio=rien pays*socio=ac et de l'éventail*socio=rien des possibilités*socio=rien qui s'offrent à eux. Pour déterminer si l'orientation*socio=et de la politique_économique*socio=ec1 de ces pays*socio=ac était appropriée, le conseil_d'_administration*socio=ac a continué de centrer ses *socio=rien travaux sur deux*socio=nil grandes considérations *socio=nil : la viabilité*socio=uv3 de la position*socio=rien des paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te des pays_membres*socio=ac et la nécessité*socio=uv1 de juguler l'inflation*socio=ec1. Ces deux objectifs*socio=uv3 sont considérés comme des conditions*socio=ec1 indispensables*socio=uv4 pour que la production*socio=ec1 atteigne un*socio=rien rythme*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 satisfaisant*socio=rien et que le niveau_de_vie*socio=uv1 augmente non pas seulement à brève*socio=rien échéance*socio=te, mais aussi à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil Dans ce contexte*socio=rien, une *socio=rien importance particulière a*socio=nil été *socio=nil accordée à l'évolution*socio=te récente*socio=rien et prévisible*socio=uv4 de l'environnement*socio=et extérieur*socio=te, laquelle passe pour *socio=rien un facteur déterminant *socio=nil de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 des petits*socio=rien pays*socio=ac, dont la plupart*socio=rien ont une économie*socio=ec1 extrêmement ouverte*socio=uv4 et sont en général*socio=rien plus tributaires*socio=rien que les grands*socio=rien pays*socio=ac de l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 internationale*socio=ac. Les consultations*socio=uv1 devaient en outre aider à déterminer dans quelle mesure*socio=rien la politique*socio=et intérieure*socio=te de chaque pays*socio=ac permet d'atteindre les objectifs*socio=uv3 déclarés et d'examiner quelle part*socio=rien doivent y jouer les mesures*socio=et concernant les taux_de_change*socio=ec1, les finances*socio=ec1 publiques*socio=et nationales*socio=te, la politique*socio=et en matière*socio=rien de commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te et la réforme*socio=et structurelle*socio=ec2. Dans l'évaluation*socio=ec2 des politiques*socio=et de change*socio=ec1, on a généralement pris en compte*socio=ec1 la position*socio=rien et la structure*socio=ec1 de la balance_globale*socio=ec1 des paiements*socio=ec1 des pays*socio=ac et l'évolution*socio=te récente*socio=rien de l'indice du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif réel,*socio=nil lequel*socio=nil est un indicateur*socio=ec2 *socio=nil de leur compétitivité*socio=uv3 extérieure*socio=te. Au cours*socio=rien de la période*socio=te considérée, le taux_de_change*socio=ec1 réel*socio=rien des monnaies*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil a sensiblement diminué, soit parce que les autorités*socio=et de ces pays*socio=ac ont décidé d'abaisser la valeur*socio=ec1 de leur monnaie*socio=ec1 pour étayer les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et face*socio=rien à la dégradation*socio=uv3 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, dans le cadre*socio=rien d'une stratégie*socio=et à plus long_terme*socio=te visant à diversifier la base*socio=rien des exportations*socio=ec1, soit parce que les pays*socio=ac considérés maintenaient *socio=rien un rapport *socio=nil fixe entre leur monnaie*socio=ec1 et le dollar_eu*socio=ec1, lequel s'est*socio=rien sensiblement déprécié. Dans bien*socio=rien des cas*socio=rien, on a tenu compte*socio=ec1 particulièrement de ce que les dérapages*socio=uv4 dans la mise en oeuvre*socio=rien des politiques*socio=et financières*socio=ec1 nationales*socio=te risquaient de faire perdre une *socio=rien partie du terrain gagné*socio=nil sur le*socio=nil plan *socio=nil de la compétitivité*socio=uv3 extérieure*socio=te. Dans le cas*socio=rien de quelques pays*socio=ac dont le solde*socio=ec1 courant*socio=rien était fortement excédentaire*socio=rien, toutefois, on s'est*socio=rien demandé dans quelle mesure*socio=rien il était possible*socio=rien de laisser la monnaie*socio=ec1 s'apprécier afin d'atténuer les déséquilibres*socio=uv3 des soldes*socio=ec1 courants*socio=te au niveau*socio=rien global*socio=te. L'analyse*socio=ec2 de la politique*socio=et de change*socio=ec1 des pays*socio=ac qui ont recours*socio=rien à des pratiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 multiples*socio=rien a fait*socio=rien ressortir qu'il serait souhaitable*socio=rien de laisser le marché*socio=ec1 déterminer la valeur*socio=ec1 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 pour promouvoir les exportations*socio=ec1 et éliminer les subventions*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1. Une question*socio=rien qui a continué de revêtir une *socio=rien importance considérable est la*socio=nil nécessité*socio=uv1,*socio=nil *socio=nil pour tous les pays_membres*socio=ac, de poursuivre des politiques*socio=et financières*socio=ec1 non inflationnistes*socio=ec2 en contenant l'accroissement*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et, en réduisant les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et et en limitant le rythme*socio=ec2 d'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1. Certes, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 a baissé sensiblement dans les petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac et dans la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, mais leurs progrès*socio=uv1 dans ce domaine*socio=rien sont en général*socio=rien moins marqués que ceux des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, ce qui dénote pour une *socio=rien large part une*socio=nil évolution*socio=te moins*socio=nil dynamique*socio=uv4 sur le*socio=nil plan des*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et.*socio=nil *socio=nil Il a été*socio=rien maintes fois*socio=rien recommandé d'opérer la réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et dans le cadre*socio=rien d'une stratégie*socio=et d'ensemble*socio=rien visant à accroître la part*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1 intérieurs*socio=te et, par là même, à stimuler la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4. Nombreux*socio=rien sont les pays*socio=ac qui ont de *socio=rien grandes possibilités *socio=nil d'atteindre cet objectif*socio=uv3 en réduisant la contribution*socio=uv1 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et au PNB*socio=ec1. Surtout en ce qui concerne le monde*socio=te en développement*socio=uv3, il a toutefois *socio=rien été spécifiquement *socio=nil recommandé en outre d'élargir la base*socio=rien d'imposition*socio=et et de rendre les recettes*socio=ec1 budgétaires*socio=et moins vulnérables*socio=uv2 face*socio=rien aux contrecoups d'événements*socio=rien extérieurs*socio=te défavorables*socio=uv4. Sur*socio=rien le plan*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et, on a accordé une *socio=rien attention particulière au*socio=nil lien *socio=nil entre l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien crédit*socio=ec1 intérieur*socio=te et l'évolution*socio=te de la balance_des_paiements*socio=ec1, ainsi qu'à la nécessité*socio=uv1 de laisser les taux_d'_intérêt*socio=ec1 s'établir à *socio=rien un niveau *socio=nil qui soit en rapport*socio=rien avec la rareté des *socio=ec1 ressources financières de*socio=nil façon*socio=rien *socio=nil à favoriser l'acheminement*socio=rien des crédits*socio=ec1 vers les branches*socio=rien d'activités*socio=rien les plus productives*socio=uv4 et à freiner la fuite*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1. La nécessité*socio=uv1 de compléter la politique*socio=et de change*socio=ec1 et les politiques*socio=et financières*socio=ec1 par des mesures*socio=et d'ordre*socio=rien structurel*socio=ec2 efficaces*socio=uv4 est*socio=rien une autre question*socio=rien qui a continué de se voir accorder une haute*socio=rien priorité*socio=uv4. Bien*socio=rien qu'un*socio=rien *socio=rien nombre croissant de*socio=nil pays*socio=ac aient*socio=nil procédé avec*socio=nil succès*socio=uv1 *socio=nil à des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, concernant en particulier*socio=rien la libéralisation*socio=et des marchés_financiers*socio=ec1 et la politique_industrielle*socio=et, il est*socio=rien manifeste qu'il reste*socio=rien beaucoup à faire pour remédier aux déficiences*socio=uv3 qui font obstacle*socio=uv3 à la répartition*socio=uv3 efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1. Pour ce qui est*socio=rien des marchés_du_travail*socio=ec1, *socio=rien diverses sortes de*socio=nil mesures*socio=et ont*socio=nil été *socio=nil préconisées : desserrement de la grille des salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2, réduction*socio=ec2 des taxes*socio=et sur*socio=rien les salaires*socio=ec1, assouplissement*socio=uv3 de la politique*socio=et d'embauche*socio=ec1 et des conditions*socio=ec1 d'emploi*socio=ec1, efforts*socio=uv1 de recyclage*socio=et, amélioration*socio=uv1 de la mobilité*socio=uv3 de la main-d'_oeuvre*socio=ac et mesures*socio=et de lutte*socio=uv1 contre le chômage*socio=ec1 des jeunes*socio=ac. Par ailleurs*socio=rien, la déréglementation*socio=et, la privatisation*socio=et, la *socio=et réforme fiscale *socio=nil et la réduction*socio=ec2 ou la suppression*socio=rien des subventions*socio=ec1 ont été*socio=rien largement recommandées comme moyens*socio=ec1 de stimuler la productivité*socio=uv3 et l'offre*socio=ec1 globale*socio=rien. Comme il a déjà été*socio=rien indiqué, le conseil_d'_administration*socio=ac a accordé beaucoup d'attention*socio=rien, dans ses délibérations*socio=et, aux politiques_commerciales*socio=et et il a souligné combien il importe de résister aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et et de démanteler les restrictions*socio=et en vigueur*socio=uv3. Ces questions*socio=rien ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=ec2 particulièrement attentif*socio=rien étant donné que pour parvenir à mettre en oeuvre*socio=rien une stratégie*socio=et d'ajustement*socio=et axée sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 et fondée sur*socio=rien le principe*socio=ec2 des avantages_comparatifs*socio=ec2, les pays_en_développement*socio=uv3 doivent avoir des débouchés*socio=ec1 *socio=rien suffisants sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Dans ce domaine*socio=rien, il a été*socio=rien recommandé notamment de procéder à une réduction*socio=ec2 générale*socio=rien des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac, de libéraliser le système*socio=rien des licences*socio=et à l'importation*socio=ec1 et de supprimer progressivement*socio=rien les contingentements et les autres obstacles*socio=uv3 non tarifaires*socio=et aux échanges*socio=ec1. Une attention*socio=rien toute particulière*socio=rien a été*socio=rien accordée à la nécessité*socio=uv1 de libéraliser le commerce*socio=ec1 international*socio=te des produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 et de réduire les subventions*socio=ec1 à l'agriculture*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac afin d'améliorer les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 fournisseurs*socio=ac de *socio=rien produits primaires.*socio=nil Appendice *socio=nil IV : Communiqués de presse*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac et du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3. comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Communiqués de presse*socio=et. *socio=rien Vingt-septième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 28-29*socio=nil septembre *socio=nil 1986. Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa *socio=rien vingt-septième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil DC, les 28 et 29 septembre*socio=rien 1986, sous la présidence*socio=rien de M.. H.. Onno Ruding, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 des Pays-bas*socio=ac. M.. J.. de Larosière, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, a participé à la réunion*socio=rien. En outre, *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil observateurs*socio=ac d'*socio=nil organisations_internationales*socio=ac ou*socio=nil régionales*socio=te,*socio=nil *socio=nil ainsi que de la Suisse*socio=ac, y ont assisté*socio=rien. Le Comité*socio=ac note que l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 observée depuis sa *socio=rien précédente réunion est *socio=nil quelque peu contrastée. Durant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de l'année*socio=rien, le rythme*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 a été*socio=rien plus lent*socio=rien que prévu dans les pays_industrialisés*socio=ac, ce qui a contribué à la faiblesse*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te et à une nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 des cours*socio=rien des *socio=rien produits primaires,*socio=nil *socio=nil lesquels se situaient déjà à *socio=rien un bas niveau.*socio=nil Par*socio=nil ailleurs,*socio=nil le*socio=nil chômage*socio=ec1 reste encore*socio=nil élevé*socio=uv4 *socio=nil dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, Plus récemment, toutefois, certains signes ont indiqué que l'activité_économique*socio=ec1 avait commencé à se redresser et que les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac seraient meilleurs*socio=uv4 au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1986 et en 1987, les effets*socio=rien décalés des baisses de taux_d'_intérêt*socio=ec1 et de l'amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 devant*socio=rien conduire à une augmentation*socio=ec2 en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 privées*socio=et. Le Comité*socio=ac accueille favorablement la nouvelle*socio=rien amélioration*socio=uv1 des résultats*socio=rien en matière*socio=rien de prix*socio=ec1 observée dans les pays_industrialisés*socio=ac, ainsi que les baisses de taux_d'_intérêt*socio=ec1 et les ajustements*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 intervenus entre les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 qui se sont traduits par une configuration*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 plus satisfaisante*socio=uv4. Il a le sentiment*socio=rien que ces développements*socio=rien contribueront à donner une assise plus solide*socio=rien à l'économie*socio=ec1 internationale*socio=ac. Néanmoins, le Comité*socio=ac est*socio=rien conscient*socio=uv2 que des incertitudes*socio=uv3 subsistent et estime*socio=rien que les bases*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 doivent être*socio=rien renforcées. Il faut que la réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 *socio=et budgétaire fédéral *socio=nil recherchée par les autorités*socio=et américaines*socio=ac se traduise dans les faits*socio=rien, que la progression*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te reprenne à un*socio=rien rythme*socio=ec2 suffisant*socio=rien en dehors des États-unis*socio=ac, en particulier*socio=rien dans les pays*socio=ac disposant d'une marge de manoeuvre*socio=rien par suite*socio=rien de leurs positions*socio=rien intérieures*socio=te et extérieures*socio=te relativement solides*socio=uv4, et que les déséquilibres*socio=uv3 *socio=te extérieurs courants *socio=nil soient réduits, ne serait-ce qu'en *socio=rien raison du fait *socio=nil qu'ils encouragent les *socio=et mesures protectionnistes,*socio=nil *socio=nil et que les obstacles*socio=uv3 d'ordre*socio=rien structurel*socio=ec2 à la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 soient surmontés. Le Comité*socio=ac note que les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 ont souffert gravement des baisses récentes*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et de la détérioration*socio=uv4 continue*socio=rien des prix*socio=ec1 des autres produits*socio=rien de base*socio=rien et que ces pays*socio=ac ont dû freiner à nouveau*socio=rien la croissance*socio=uv3 de leurs importations*socio=ec1 et de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Ainsi, après*socio=rien la reprise intervenue en 1984, le taux_d'_expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 s'est*socio=rien ralenti en 1985 et on s'attend qu'il diminuera encore en 1986. Les conséquences*socio=rien de l'évolution*socio=te récente*socio=rien ont été*socio=rien graves*socio=uv4 pour les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil et les *socio=ac pays exportateurs *socio=nil d'autres *socio=rien produits primaires *socio=nil qui ont souffert également de la stagnation*socio=ec1 ou *socio=rien du recul *socio=nil de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1. Le Comité*socio=ac fait*socio=rien observer qu'après*socio=rien avoir baissé en 1984, le *socio=ec1 ratio dette/*socio=nil exportations des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil endettés a augmenté en 1985 et qu'il s'accroîtra probablement à nouveau*socio=rien en 1986 pour dépasser le niveau*socio=rien qu'il atteignait au début*socio=rien de la crise*socio=uv2 de la dette*socio=ec1,, par contre, les baisses des taux_d'_intérêt*socio=ec1 internationaux*socio=te ont entraîné une certaine*socio=rien diminution*socio=ec2 de la charge*socio=rien que représente le service_de_la_dette*socio=ec1, bien*socio=rien que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 restent élevés*socio=uv4 en termes*socio=rien réels*socio=ec2. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac mettent en relief*socio=rien l'importance*socio=rien d'une application*socio=rien résolue de la stratégie*socio=et renforcée de dette*socio=ec1 extérieure*socio=te annoncée aux réunions*socio=rien de Séoul*socio=ac. Ils s'accordent*socio=rien pour penser qu'une solution*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 aux problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 auxquels se heurtent les pays*socio=ac endettés est*socio=rien subordonnée à trois conditions*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 : des mesures*socio=et efficaces*socio=uv4 de la part*socio=rien des pays*socio=ac endettés eux-mêmes, destinées*socio=rien à mobiliser l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te, à améliorer l'allocation*socio=et des ressources*socio=ec1 et à préserver la compétitivité*socio=uv3 extérieure*socio=te, des marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 présentant un*socio=rien développement*socio=uv3 et des possibilités*socio=rien d'accès*socio=uv1 satisfaisants*socio=uv4,, un*socio=rien appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 extérieur*socio=te suffisant*socio=rien en faveur*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et orientés vers la croissance*socio=uv3. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac soulignent le rôle*socio=et *socio=rien central du Fonds*socio=ec1 *socio=nil dans la promotion*socio=uv3 de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3, notamment en mettant à la disposition*socio=et des pays_membres*socio=ac une aide*socio=uv1 pour la conception*socio=et et le financement*socio=ec1 de ces programmes*socio=et, compte*socio=ec1 tenu de la *socio=rien situation propre *socio=nil à chaque pays*socio=ac endetté. Ils notent que la collaboration*socio=uv1 étroite*socio=rien entre le Fonds*socio=ec1 et la banque_mondiale*socio=ac a *socio=rien été un des*socio=nil éléments essentiels*socio=uv4 des*socio=nil efforts*socio=uv1 *socio=nil déployés pour appuyer l'utilisation*socio=rien efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1 et les réformes*socio=et économiques*socio=ec1 orientées vers la croissance*socio=uv3 dans les pays_membres*socio=ac. À cet égard*socio=rien, ils accueillent avec satisfaction*socio=uv3 l'expansion*socio=ec2 des engagements*socio=et de prêt*socio=ec1 de la banque_mondiale*socio=ac. La contribution*socio=uv1 actuelle*socio=te des deux institutions*socio=ac en tant que catalyseurs*socio=ec financiers*socio=ec1 a aussi été*socio=rien soulignée. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac accueillent favorablement le *socio=ec1 montage financier *socio=nil qui a été*socio=rien proposé pour le Mexique*socio=ac, qu'ils considèrent comme *socio=rien un exemple *socio=nil de la stratégie*socio=et renforcée en matière*socio=rien de dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, et espèrent qu'il pourra être*socio=rien rapidement mis *socio=rien sur pied.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil reconnaît l'allégement*socio=ec2 tangible*socio=rien de la dette*socio=ec1 publique*socio=et obtenu grâce*socio=rien aux rééchelonnements*socio=et accordés par le Club*socio=rien de Paris*socio=ac. À cet égard*socio=rien, il note avec satisfaction*socio=uv3 la souplesse*socio=uv3 accrue dont les organismes_publics*socio=ac de crédits*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac ont fait*socio=rien preuve*socio=ec2 en apportant à nouveau*socio=rien, ou en accroissant, leurs garanties en faveur*socio=rien de pays*socio=ac auxquels a été*socio=rien consenti un*socio=rien rééchelonnement*socio=et de la dette*socio=ec1 et qui procèdent aux ajustements*socio=et économiques*socio=ec1 nécessaires*socio=rien au rétablissement*socio=rien de leur crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te. Il note qu'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil les plus lourdement endettés ont réalisé des progrès*socio=uv1 sensibles*socio=rien dans le renforcement*socio=ec2 de leurs résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 intérieurs*socio=te et dans l'amélioration*socio=uv1 de leur capacité*socio=uv3 d'attirer des flux*socio=ec1 accrus de financement*socio=ec1. Néanmoins, si le *socio=rien volume récent des*socio=nil engagements*socio=et de*socio=nil prêt*socio=ec1 des*socio=nil banques_multilatérales_de_développement*socio=ac a*socio=nil été *socio=nil encourageant et si les crédits*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 bénéficiant d'un*socio=rien soutien_public*socio=et ont progressé sensiblement, les apports*socio=rien provenant d'autres sources*socio=rien de financement*socio=ec1, en particulier*socio=rien les prêts*socio=ec1 des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, ont diminué et il *socio=rien est nécessaire *socio=nil que ces sources*socio=rien de financement*socio=ec1 jouent un*socio=rien rôle*socio=et accru. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 aussi instamment que les flux*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1 aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 enregistrent un*socio=rien accroissement*socio=ec2. Le Comité*socio=ac exprime son *socio=rien inquiétude devant l'*socio=nil intensification*socio=ec2 des*socio=nil pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et *socio=nil et note que de nombreuses*socio=rien et *socio=rien difficiles questions de*socio=nil politique_commerciale*socio=et *socio=nil demandent à être*socio=rien examinées d'urgence*socio=rien. Il a *socio=rien été fait mention,*socio=nil en*socio=nil particulier,*socio=nil des*socio=nil effets néfastes des*socio=nil subventions*socio=ec1.*socio=nil L'*socio=nil accent a*socio=nil été *socio=nil également mis sur*socio=rien l'importance*socio=rien déterminante*socio=rien d'un*socio=rien environnement*socio=et commercial*socio=ec1 libéral*socio=et pour permettre une solution*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 aux problèmes*socio=uv4 actuels*socio=te d'endettement*socio=ec1 et les mutations_structurelles*socio=ec2 nécessaires*socio=rien tant dans les pays_industrialisés*socio=ac que dans les pays_en_développement*socio=uv3. En outre, il a été*socio=rien souligné qu'un*socio=rien système*socio=rien commercial*socio=ec1 multilatéral*socio=et, renforcé et plus ouvert*socio=rien, *socio=rien est nécessaire *socio=nil pour consolider la coopération_internationale*socio=uv3 et améliorer les perspectives*socio=te d'expansion*socio=ec2 à l'échelle*socio=rien mondiale*socio=te. Les principales*socio=rien *socio=ac nations commerçantes ont*socio=nil un*socio=rien rôle*socio=et spécial*socio=rien *socio=nil à jouer à cet égard*socio=rien en maintenant l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 et en faisant face*socio=rien avec souplesse*socio=uv3 aux problèmes*socio=uv4 de politique_commerciale*socio=et, mais les pays_en_développement*socio=uv3 devraient aussi résister aux pressions*socio=ec2 en faveur*socio=rien de politiques*socio=et axées vers l'intérieur*socio=te. Le Comité*socio=ac accueille très favorablement la récente*socio=rien *socio=et Déclaration ministérielle sur*socio=rien *socio=nil la série de négociations_commerciales_multilatérales*socio=et décidée en Uruguay*socio=ac, qui vise à mettre *socio=rien un terme au*socio=nil protectionnisme*socio=et *socio=nil et à inverser cette tendance*socio=ec2 ainsi qu'à instituer *socio=rien un système commercial*socio=ec1 multilatéral*socio=et plus*socio=nil ouvert,*socio=nil *socio=nil et par là à réaffirmer le rôle*socio=et de la politique_commerciale*socio=et comme moyen*socio=rien de faciliter une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 durable*socio=uv4. Eu égard*socio=rien aux difficultés*socio=uv4 de la tâche*socio=rien, le Comité*socio=ac presse*socio=et les gouvernements*socio=ac de ne ménager*socio=rien aucun effort*socio=uv1 pour garantir que la nouvelle*socio=rien série de négociations*socio=et sera menée à bien*socio=rien rapidement. Le Comité*socio=ac note les progrès*socio=uv1 réalisés jusqu'à présent*socio=rien en ce qui concerne le fonctionnement*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 et le renforcement*socio=ec2 de la collaboration*socio=uv1 entre le Fonds*socio=ec1 et la Banque*socio=ac dont témoignent*socio=rien les opérations*socio=rien de la facilité. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac soulignent la contribution*socio=uv1 que cette facilité peut apporter à l'ajustement*socio=et et à la croissance*socio=uv3 dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Ils sont convenus de l'opportunité*socio=uv3 d'accroître le rôle*socio=et de catalyseur*socio=ec2 de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 dans la mobilisation*socio=uv3 de ressources*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien concessionnelles*socio=ec1, aussi bien*socio=rien multilatérales*socio=et que bilatérales*socio=et, au bénéfice*socio=uv1 des pays*socio=ac qui peuvent les absorber le plus efficacement, sans affecter pour autant les montants*socio=ec1 de financement*socio=ec1 du*socio=rien développement*socio=uv3 à des conditions*socio=ec1 favorables*socio=uv4 dont pourront disposer les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 qui n'auront pas recours*socio=rien à cette facilité. Ils notent que le conseil_d'_administration*socio=ac doit réexaminer le fonctionnement*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 à la lumière*socio=rien de l'expérience*socio=ec2 acquise*socio=rien dans ce domaine*socio=rien. Le Comité*socio=ac a poursuivi ses échanges_de_vues*socio=uv3 sur*socio=rien les *socio=rien points relatifs au*socio=nil système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil dont traitent le *socio=rien rapport du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix et celui du*socio=rien Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien qui lui avaient été*socio=rien remis en octobre*socio=rien 1985. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 instamment au conseil_d'_administration*socio=ac d'examiner le plus tôt possible*socio=rien le rôle*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 auquel se réfèrent le *socio=rien rapport du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix et celui du*socio=rien Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien. Les discussions*socio=et du*socio=rien Comité*socio=ac ont été*socio=rien centrées sur*socio=rien l'utilisation*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 en matière*socio=rien de surveillance*socio=et et sur*socio=rien le rôle*socio=et *socio=rien potentiel du *socio=nil DTS. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac accueillent avec satisfaction*socio=uv3 l'accord*socio=et auquel sont parvenus les participants*socio=ac au sommet*socio=rien de Tokyo*socio=ac, d'utiliser des indicateurs*socio=ec1 dans l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et, dans le cadre*socio=rien des efforts*socio=uv1 tendant à renforcer la coopération*socio=uv1 économique*socio=ec1 internationale*socio=ac. Ils appuient également l'usage*socio=rien accru, dans la dernière*socio=rien analyse*socio=ec2 consacrée aux perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, d'indicateurs*socio=ec1 de politiques*socio=et et de résultats*socio=rien économiques*socio=ec1. Ils considèrent que cette analyse*socio=ec2 a utilement*socio=rien attiré l'attention*socio=rien sur*socio=rien d'éventuelles*socio=te incompatibilités des politiques*socio=et et projections*socio=ec2 économiques*socio=ec1 nationales*socio=te, notamment entre les principaux*socio=rien pays*socio=ac, dont les politiques*socio=et ont *socio=rien un impact considérable *socio=nil à l'échelle*socio=rien internationale*socio=ac. Les indicateurs*socio=ec1 devraient être*socio=rien axés essentiellement sur*socio=rien les points*socio=rien d'interaction*socio=rien entre les économies*socio=ec1 nationales*socio=te, en particulier*socio=rien les développements*socio=rien qui influent sur*socio=rien la viabilité*socio=uv3 des positions*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec1 et sur*socio=rien les politiques*socio=et qui les sous-tendent. D'une *socio=rien façon générale,*socio=nil il*socio=nil est *socio=nil convenu qu'une meilleure*socio=uv4 utilisation*socio=rien des indicateurs*socio=ec1 contribuerait utilement*socio=rien au renforcement*socio=ec2 des *socio=rien activités du Fonds*socio=ec1 en*socio=nil matière de*socio=nil surveillance*socio=et.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil de développer l'utilisation*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 dans le *socio=rien double contexte des*socio=nil consultations*socio=uv1 périodiques*socio=te *socio=nil avec chaque *socio=ac pays membre *socio=nil et de l'analyse*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, afin de faciliter l'évaluation*socio=ec2 et la coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et au plan*socio=rien multilatéral*socio=et. En ce qui concerne le rôle*socio=et du*socio=rien DTS dans le système*socio=rien des réserves_internationales*socio=ec1, le Comité*socio=ac note que le conseil_d'_administration*socio=ac a examiné divers *socio=rien aspects du système *socio=nil des DTS, notamment les *socio=rien propositions relatives aux*socio=nil ajustements*socio=et,*socio=nil après allocation*socio=et,*socio=nil *socio=nil de la répartition*socio=uv3 des DTS entre les pays_membres*socio=ac et aux techniques*socio=rien permettant d'améliorer la proportion*socio=rien des avoirs*socio=ec1 en DTS par rapport*socio=rien aux autres instruments*socio=et de réserve*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. Le Comité*socio=ac accueille favorablement l'augmentation*socio=ec2 substantielle*socio=rien des transferts*socio=ec1 volontaires*socio=uv4 de DTS entre pays_membres*socio=ac, laquelle a contribué à améliorer la liquidité*socio=ec1 et l'utilisation*socio=rien du*socio=rien DTS. Il estime*socio=rien que le DTS, qui *socio=rien fait partie des*socio=nil réserves*socio=ec1 propres,*socio=nil *socio=nil peut jouer un*socio=rien rôle*socio=et utile*socio=uv4 en tant que composante*socio=rien des réserves_internationales*socio=ec1 et comme unité*socio=rien de compte*socio=ec1. Il reconnaît également l'utilisation*socio=rien potentielle*socio=uv4 du*socio=rien DTS comme " filet*socio=rien de sécurité*socio=uv1 " en cas*socio=rien d'événements*socio=rien imprévus*socio=uv4. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre l'examen*socio=ec2 des propositions*socio=rien visant à renforcer la contribution*socio=uv1 du*socio=rien DTS à la création*socio=uv4 et à l'allocation*socio=et de liquidités*socio=ec1 internationales*socio=te. Le Comité*socio=ac prend note *socio=rien du rapport du directeur_général*socio=ac sur l'*socio=nil examen*socio=ec2 récent en*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil de la question*socio=rien d'une allocation*socio=et de DTS pendant la prochaine*socio=rien période*socio=te de base*socio=rien ( 1987-91 ). Bien*socio=rien qu'au cours*socio=rien de la discussion*socio=et, la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac se soient prononcés en faveur*socio=rien d'une allocation*socio=et de DTS, il n'a pas *socio=rien été possible *socio=nil de dégager le large*socio=rien appui*socio=uv1 requis*socio=uv4 par les Statuts*socio=et pour y procéder. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 instamment au Conseil*socio=ac de poursuivre l'examen*socio=ec2 de la question*socio=rien. À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac accueille favorablement l'intention*socio=rien du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac de continuer l'étude*socio=ec2 de la *socio=rien question du besoin*socio=uv1 global*socio=te à*socio=nil long_terme*socio=te *socio=nil d'ajouter aux réserves*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien des conditions*socio=ec1 actuelles*socio=te de *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te et*socio=nil du système des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il invite le Conseil*socio=ac à lui faire rapport*socio=rien, lors*socio=rien de sa *socio=rien prochaine réunion,*socio=nil sur les*socio=nil résultats *socio=nil de cet examen*socio=ec2 et sur*socio=rien les progrès*socio=uv1 réalisés au sujet*socio=rien d'une allocation*socio=et de DTS. Le Comité*socio=ac a examiné la question*socio=rien de la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi et des limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 en 1987. Il a été*socio=rien rappelé que l'accès*socio=uv1 élargi a *socio=rien un caractère temporaire *socio=nil et que cette politique*socio=et et les limites*socio=rien qui en régissent l'accès*socio=uv1, de même que les limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 aux mécanismes_spéciaux*socio=rien du*socio=rien Fonds*socio=ec1, doivent être*socio=rien réexaminées avant la fin*socio=rien de 1986. Le Comité*socio=ac note qu'en raison*socio=rien des incertitudes*socio=uv3 qui continuent de planer sur*socio=rien l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et de l'aggravation*socio=ec2 des difficultés*socio=uv4 de paiements*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac,*socio=nil il*socio=nil est nécessaire *socio=nil de maintenir la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi. Dans ces conditions*socio=ec1, il a été*socio=rien estimé que les limites*socio=rien actuelles*socio=te, qu'il s'agisse de la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi ou des mécanismes_spéciaux*socio=rien, doivent être*socio=rien maintenues en 1987. Le Comité*socio=ac note par ailleurs*socio=rien que le conseil_d'_administration*socio=ac a conclu, à l'issue*socio=rien de son examen*socio=ec2 récent*socio=rien de la liquidité*socio=ec1 et des besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1, que la position*socio=rien de liquidité*socio=ec1 de l'institution*socio=ac reste*socio=rien globalement satisfaisante*socio=uv4. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de prendre avant la fin*socio=rien de cette année*socio=rien les mesures*socio=et nécessaires*socio=rien pour donner effet*socio=rien à l'accord*socio=et auquel il est*socio=rien parvenu. Le Comité*socio=ac accueille favorablement l'offre*socio=ec1 faite parle Japon*socio=ac de mettre 3 milliards*socio=rien de DTS à la disposition*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1, pour renforcer la capacité*socio=uv3 de l'institution*socio=ac d'appuyer les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et des pays_membres*socio=ac. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac rendent un*socio=rien vibrant hommage*socio=rien à M.. J.. de Larosière pour la clairvoyance*socio=rien et le courage*socio=uv1 dont il a fait*socio=rien preuve*socio=ec2 à la direction*socio=et du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac. À l'unanimité*socio=uv1, ils expriment leur chaleureuse*socio=rien et profonde*socio=rien gratitude*socio=uv1 pour les qualités*socio=rien exceptionnelles*socio=uv4 qu'il a montrées dans ses fonctions*socio=rien de directeur_général*socio=ac ainsi que pour sa contribution*socio=uv1 inestimable*socio=rien à leurs travaux*socio=rien. Son action*socio=ec1 exemplaire et son dévouement*socio=uv1 inlassable en faveur*socio=rien de la promotion*socio=uv3 des objectifs*socio=uv3 du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac lui ont permis*socio=rien de jouer un*socio=rien rôle*socio=et décisif*socio=rien dans l'orientation*socio=et du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te à *socio=rien un moment d'*socio=nil importance vitale*socio=uv4 *socio=nil pour l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac sont convenus de tenir leur *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac *socio=nil le 9 avril*socio=rien 1987. *socio=rien Vingt-huitième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 9-10*socio=nil avril *socio=nil 1987. Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa *socio=rien vingt-huitième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil DC, les 9 et 10 avril*socio=rien 1987, sous la présidence*socio=rien de M.. H.. Onno Ruding, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 des Pays-bas*socio=ac. M.. Michel Camdessus, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, a participé à la réunion*socio=rien, à laquelle ont en outre *socio=rien assisté un certain nombre d'*socio=nil observateurs*socio=ac représentant des*socio=nil organisations_internationales*socio=ac et*socio=nil régionales*socio=te *socio=nil ainsi que la Suisse*socio=ac. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac ont profité de cette occasion*socio=rien pour accueillir chaleureusement M.. Camdessus à la *socio=rien première réunion *socio=nil à laquelle il participe en qualité*socio=rien de directeur_général*socio=ac et lui ont souhaité plein*socio=rien succès*socio=uv1 pour les années*socio=rien à venir dans l'accomplissement de son important*socio=uv4 mandat*socio=rien. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac notent que l'évolution*socio=te récente*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te a été*socio=rien contrastée. L'activité_économique*socio=ec1 a progressé modérément dans les pays_industrialisés*socio=ac pour la *socio=rien quatrième année consécutive *socio=nil et l'inflation*socio=ec1 a continué de reculer, mais de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, notamment les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil et d'autres *socio=rien produits primaires,*socio=nil *socio=nil ont enregistré de nouveau*socio=rien une forte*socio=rien détérioration*socio=uv4 de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1. En outre, une incertitude*socio=uv3 considérable*socio=rien a régné sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, les déséquilibres*socio=uv3 des paiements*socio=ec1 sont demeurés importants*socio=uv4, et les progrès*socio=uv1 accomplis par les pays_industrialisés*socio=ac dans la réduction*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1 n'ont été*socio=rien que limités. Il a été*socio=rien généralement convenu que la production*socio=ec1 continuera vraisemblablement*socio=rien de croître en 1987 à peu près au même rythme*socio=ec2 qu'en 1986. Il est*socio=rien probable*socio=uv4 que la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te augmentera plus rapidement en Europe*socio=ac et au Japon*socio=ac qu'aux États-unis*socio=ac, ce qui contribuera à une amélioration*socio=uv1 de la configuration*socio=et des balances_des_paiements*socio=ec1. Cependant, le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien des États-unis*socio=ac ainsi que les excédents*socio=ec1 enregistrés par le Japon*socio=ac et, dans une *socio=rien moindre mesure,*socio=nil *socio=nil par la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et certains autres pays*socio=ac sont actuellement trop élevés*socio=uv4 pour être*socio=rien soutenables*socio=uv4. Compte*socio=ec1 tenu de l'évolution*socio=te récente*socio=rien, les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac insistent sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de politiques*socio=et propres*socio=rien à favoriser une croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, la stabilité*socio=uv3 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et la réduction*socio=ec2 progressive*socio=rien des déséquilibres*socio=uv3 de paiements*socio=ec1 entre les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Dans ce contexte*socio=rien, ils accueillent avec satisfaction*socio=uv3 l'accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et auquel sont parvenus récemment les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac et l'engagement*socio=uv1 réaffirmé cette semaine*socio=rien par le Groupe*socio=ac des Sept de coopérer pour favoriser la stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1. Ils soulignent la nécessité*socio=uv1 d'une *socio=ec1 action énergique *socio=nil pour remédier au déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et des États-unis*socio=ac, et la nécessité*socio=uv1 pour les autres pays_industrialisés*socio=ac fortement excédentaires*socio=ec2 de veiller à ce que leur demande*socio=ec1 intérieure*socio=te progresse à un*socio=rien rythme*socio=ec2 approprié. Dans ce contexte*socio=rien, ils notent que certains autres pays_industrialisés*socio=ac et nouveaux*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 pourraient disposer, dans la conduite*socio=rien de leur politique_économique*socio=ec1, d'une marge de manoeuvre*socio=rien permettant d'encourager une croissance*socio=uv3 plus rapide*socio=rien des importations*socio=ec1. Le Comité*socio=ac souligne en outre l'importance*socio=rien de mesures*socio=et structurelles*socio=ec2 visant à éliminer les rigidités*socio=uv3 qui affectent les marchés*socio=ec1 et, par là même, à améliorer l'efficacité*socio=uv3 économique*socio=ec1 et à encourager la résistance*socio=rien au protectionnisme*socio=et. Le Comité*socio=ac a examiné la *socio=rien situation résultant *socio=nil de la forte*socio=rien dégradation*socio=uv3 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 qui entraîne un*socio=rien transfert*socio=ec1 aux pays*socio=ac développés*socio=uv4 d'un*socio=rien montant*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 de l'ordre*socio=rien de 100 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, et il note que beaucoup d'entre eux ont réagi en ajustant leur politique_économique*socio=ec1 de façon*socio=rien notamment à accroître le volume*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1. De ce fait*socio=rien, le taux_de_croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1 dans l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 a modérément augmenté, passant à quelque 3 1/2%,, si, en général*socio=rien, le PNB*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 est*socio=rien resté*socio=nil stationnaire*socio=ec2 *socio=nil ou a diminué, le rythme*socio=ec2 de croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1 des autres pays_en_développement*socio=uv3 s'est*socio=rien accéléré, passant à environ 5 1/2 %. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac notent que la situation*socio=rien de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 lourdement endettés demeure extrêmement difficile*socio=rien. Les flux*socio=ec1 de financements*socio=ec1 en provenance*socio=rien de sources*socio=rien privées*socio=et ont continué à diminuer durant l'année*socio=rien écoulée et, malgré la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1, les ratios*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 aux exportations*socio=ec1 se sont en général*socio=rien dégradés en raison*socio=rien de la diminution*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1. En 1987, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 devrait diminuer quelque peu. Le Comité*socio=ac accueille avec une vive satisfaction*socio=uv3 les améliorations*socio=uv1 intervenues récemment dans la coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et au niveau*socio=rien international*socio=te, surtout entre les grands*socio=rien pays*socio=ac. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac ont examiné les moyens*socio=ec1 par lesquels le processus*socio=te de coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et et de *socio=et surveillance multilatérale pourrait*socio=nil être*socio=rien *socio=nil renforcé par un*socio=rien élargissement*socio=ec2 de l'utilisation*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 économiques*socio=ec1. L'application*socio=rien, par le Fonds*socio=ec1, d'indicateurs*socio=ec1 dans son étude*socio=ec2 sur*socio=rien les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te a été*socio=rien jugée extrêmement utile*socio=uv4 pour mettre en évidence*socio=rien les interactions*socio=rien entre les économies*socio=ec1 nationales*socio=te et pour identifier les sources*socio=rien de tensions*socio=ec2 potentielles*socio=uv4. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac estiment que les politiques_économiques*socio=et effectivement*socio=rien menées doivent être*socio=rien examinées dans le contexte*socio=rien d'une évolution*socio=te des variables*socio=ec2 économiques*socio=ec1 qui pourrait être*socio=rien considérée comme souhaitable*socio=rien et durable*socio=uv4. Ils invitent le conseil_d'_administration*socio=ac à étudier les moyens*socio=ec1 par lesquels les principes*socio=ec2 et procédures*socio=et en vigueur*socio=uv3 pour la surveillance*socio=et qu'exerce le Fonds*socio=ec1 pourraient être*socio=rien adaptés de façon*socio=rien à incorporer l'emploi*socio=ec1 d'indicateurs*socio=ec1, à envisager de développer l'utilisation*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 et à soumettre au Comité*socio=ac, lors*socio=rien de sa *socio=rien prochaine réunion,*socio=nil un rapport *socio=nil concernant l'avancement*socio=uv3 des *socio=rien travaux sur ce*socio=nil point.*socio=nil *socio=nil A cet égard*socio=rien, le conseil_d'_administration*socio=ac est*socio=rien invité à centrer ses *socio=rien travaux sur *socio=nil une série limitée d'indicateurs*socio=ec1 clés*socio=rien et à évaluer les interactions*socio=rien, au plan*socio=rien international*socio=te, des politiques*socio=et et des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 des différents*socio=rien pays*socio=ac à la lumière*socio=rien de divers scénarios*socio=rien à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Ces*socio=nil indicateurs*socio=ec1 *socio=nil seraient conçus pour servir aussi bien*socio=rien à l'appréciation*socio=uv3 de l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, notamment de l'incidence*socio=ec2 qu'ont sur*socio=rien les pays_en_développement*socio=uv3 les politiques_économiques*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac, qu'à l'analyse*socio=ec2 à laquelle le Fonds*socio=ec1 procède dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 régulières*socio=ec2 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV et à la formulation*socio=rien des avis*socio=rien qu'il donne à cette occasion*socio=rien en matière*socio=rien de politique_économique*socio=ec1. Le Comité*socio=ac se déclare préoccupé par la recrudescence*socio=ec2 des *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil et souligne la nécessité*socio=uv1 d'y résister et de maintenir *socio=rien un système d'*socio=nil échanges*socio=ec1 ouvert,*socio=nil conditions*socio=ec1 essentielles*socio=uv4 *socio=nil à la préservation*socio=uv1 de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 mondiale*socio=te et au traitement*socio=rien des problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien qu'il importe que des actions*socio=ec1 spécifiques*socio=rien soient menées sans tarder en vue*socio=rien de réduire les restrictions*socio=et et de renforcer ainsi le processus*socio=te de l'ajustement*socio=et. Il souligne qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil que les pays_industrialisés*socio=ac ménagent de meilleurs*socio=uv4 débouchés*socio=ec1 aux exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. En outre, le Comité*socio=ac considère que, dans l'environnement*socio=et économique*socio=ec1 actuel*socio=te, tous les pays*socio=ac doivent pour le moins éviter toute action*socio=ec1 qui accroîtrait les tensions*socio=ec2 commerciales*socio=ec1 et rendrait difficiles*socio=rien les progrès*socio=uv1 vers la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1. À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac accueille avec satisfaction*socio=uv3 l'établissement*socio=rien récent*socio=rien, dans le *socio=rien cadre du GATT*socio=ac,*socio=nil *socio=nil de la structure*socio=ec1 de négociation*socio=et pour le nouveau*socio=rien cycle*socio=te de négociations*socio=et commerciales*socio=ec1 (uruguay_round*socio=et),, ce cadre*socio=rien de négociation*socio=et devrait permettre d'ouvrir la vole à des discussions*socio=et sur*socio=rien le fond*socio=rien entre gouvernements*socio=ac en vue*socio=rien de renforcer et de libéraliser le système*socio=rien commercial*socio=ec1. Le Comité*socio=ac note que la stratégie*socio=et en matière*socio=rien de dette*socio=ec1 extérieure*socio=te a pu, dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil *socio=nil atteindre ses objectifs*socio=uv3, grâce*socio=rien à la coopération*socio=uv1, sur*socio=rien le plan*socio=rien international*socio=te, des débiteurs*socio=ac, des créanciers*socio=ac et des institutions*socio=ac multilatérales*socio=et. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac notent qu'il subsiste toutefois beaucoup de *socio=uv4 graves problèmes.*socio=nil La*socio=nil faiblesse*socio=ec2 des*socio=nil cours*socio=rien des*socio=nil produits*socio=rien de*socio=nil base*socio=rien *socio=nil et le ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 mondiale*socio=te ont aggravé les difficultés*socio=uv4 financières*socio=ec1 de nombreux*socio=rien *socio=ac pays débiteurs.*socio=nil *socio=nil Il s'avère que les pays*socio=ac qui ont éprouvé des difficultés*socio=uv4 à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 ont besoin*socio=uv1 de plus de temps*socio=rien qu'on ne le pensait auparavant pour retrouver un*socio=rien accès*socio=uv1 normal*socio=rien aux marchés*socio=ec1, et les bailleurs_de_fonds*socio=ec1 privés*socio=et sont souvent réticents*socio=rien à fournir des concours financiers*socio=ec1 même lorsque des politiques_économiques*socio=et appropriées sont en place*socio=rien. Dans ce contexte*socio=rien, les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac réaffirment que le Fonds*socio=ec1 a un*socio=rien rôle*socio=et central*socio=rien à jouer en aidant les pays*socio=ac à élaborer des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et bien*socio=rien conçus et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3, dans l'octroi*socio=rien d'un*socio=rien appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 cas*socio=rien par cas*socio=rien et en contribuant à mobiliser des financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Ils notent en outre que l'action*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 doit continuer d'être*socio=rien pleinement appuyée par les autres parties*socio=rien à la stratégie*socio=et en matière*socio=rien de dette*socio=ec1. Le Comité*socio=ac souligne que trois éléments*socio=rien sont nécessaires*socio=rien pour ouvrir la voie*socio=rien à la solution*socio=rien des problèmes*socio=uv4 de service_de_la_dette*socio=ec1 et au *socio=rien rétablissement progressif de*socio=nil relations normales entre*socio=nil débiteurs*socio=ac et*socio=nil créanciers*socio=ac,*socio=nil à*socio=nil savoir :*socio=nil un environnement*socio=et économique*socio=ec1 mondial*socio=te favorable*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil dans lequel les *socio=ec1 conditions financières sont*socio=nil stables*socio=uv4 *socio=nil et qui permette aux *socio=ac pays débiteurs *socio=nil d'avoir accès*socio=uv1 à des marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 en expansion*socio=ec2,, la mise en oeuvre*socio=rien résolue des réformes*socio=et économiques*socio=ec1 nécessaires*socio=rien, dans les *socio=ac pays débiteurs,*socio=nil *socio=nil pour mobiliser l'épargne*socio=ec1 nationale*socio=te et la conserver dans le pays*socio=ac,, l'octroi*socio=rien en temps*socio=rien voulu, à l'appui*socio=uv1 de ces réformes*socio=et, de financements*socio=ec1 suffisants*socio=rien et assortis de conditions*socio=ec1 appropriées. À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac se déclare préoccupé par les retards*socio=rien qui interviennent dans la mise au point*socio=rien et l'exécution*socio=rien, par les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, de *socio=ec1 montages financiers *socio=nil concertés. Il note avec satisfaction*socio=uv3 que les banques*socio=ac *socio=ec1 commerciales créancières *socio=nil envisagent d'utiliser *socio=rien un éventail plus*socio=nil large de*socio=nil procédures*socio=et *socio=nil et de techniques*socio=rien de financement*socio=ec1 en fonction*socio=rien des besoins*socio=uv1 - par exemple*socio=rien la transformation*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 en prises*socio=rien de participations*socio=uv3, les obligations*socio=uv1 de sortie et la titralisation accrue - en vue*socio=rien d'accélérer la mobilisation*socio=uv3 des appuis*socio=uv1 financiers*socio=ec1 aux pays*socio=ac endettés. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac expriment la préoccupation*socio=uv4 que leur inspire particulièrement le sort*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Le Comité*socio=ac souligne qu'il *socio=rien est crucial *socio=nil que ces pays*socio=ac mettent en oeuvre*socio=rien de vastes*socio=rien réformes*socio=et qui, pour être*socio=rien pleinement efficaces*socio=uv4, nécessiteront des apports*socio=rien de financements*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien assortis de *socio=ec1 conditions concessionnelles.*socio=nil *socio=nil À cet égard*socio=rien, les progrès*socio=uv1 réalisés jusqu'à présent*socio=rien en ce qui concerne le fonctionnement*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 sont accueillis favorablement. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac notent que le conseil_d'_administration*socio=ac doit prochainement examiner le fonctionnement*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 et ils émettent l'espoir*socio=uv1 que les accords*socio=et approuvés au titre*socio=rien de cette facilité amèneront les donateurs*socio=ac bilatéraux*socio=et et multilatéraux*socio=et à fournir l'appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien dont les pays*socio=ac ont besoin*socio=uv1. Dans ce *socio=rien contexte général,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil invite en outre instamment les gouvernements*socio=ac des *socio=ac pays créanciers *socio=nil à étudier, en priorité*socio=uv4, les moyens*socio=ec1 d'accorder un*socio=rien allégement*socio=ec2 financier*socio=ec1 exceptionnel*socio=uv4 au titre*socio=rien des crédits*socio=ec1 officiels*socio=et dans les cas*socio=rien où cet allégement*socio=ec2 *socio=rien est nécessaire *socio=nil pour appuyer et encourager la mise en place*socio=rien de vastes*socio=rien réformes*socio=et économiques*socio=ec1 dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 lourdement endettés, particulièrement en Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac. L'étroite*socio=rien coopération*socio=uv1 entre le Fonds*socio=ec1 et la banque_mondiale*socio=ac a été*socio=rien notée avec satisfaction*socio=uv3. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac font observer que les prêts*socio=ec1 accrus des banques*socio=ac de développement*socio=uv3 multilatérales*socio=et ont joué un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 dans les apports*socio=rien de financements*socio=ec1 aux *socio=ac pays débiteurs.*socio=nil *socio=nil Ils prennent note avec satisfaction*socio=uv3 des efforts*socio=uv1 que le Club*socio=rien de Paris*socio=ac continue*socio=rien de déployer et des *socio=rien nouvelles initiatives *socio=nil qu'il a prises*socio=rien pour adapter*socio=rien les accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et à la situation*socio=rien de chaque pays*socio=ac, et soulignent qu'il importe que les organismes*socio=ac de crédit*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 fassent preuve*socio=ec2 de plus de souplesse*socio=uv3 en rétablissant ou en accroissant leurs garanties aux pays*socio=ac qui mettent en oeuvre*socio=rien de vastes*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et. Le Comité*socio=ac a examiné la question*socio=rien d'une allocation*socio=et de DTS pendant la période*socio=te de base*socio=rien actuelle*socio=te (qui est*socio=rien la cinquième*socio=rien). La plupart*socio=rien des membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac réaffirment qu'il existe un*socio=rien besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te de compléter les avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 existants*socio=rien et que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac ont besoin*socio=uv1 de réserves*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien. Ils mettent l'accent*socio=rien sur*socio=rien les coûts*socio=ec1 pour les pays_membres*socio=ac et les risques*socio=uv3 pour le fonctionnement*socio=rien efficace*socio=uv4 *socio=rien du système international*socio=te,*socio=nil *socio=nil qui sont liés à la constitution*socio=rien d'avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 au moyen*socio=rien d'emprunts*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te du*socio=rien crédit*socio=ec1 ou par l'accumulation*socio=ec2 d'excédents*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants.*socio=nil *socio=nil Certains autres membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac restent toutefois d'avis*socio=rien qu'il n'a pas encore été*socio=rien démontré que la *socio=rien condition préalable *socio=nil à une allocation*socio=et de DTS est*socio=rien remplie, c'est-à-dire qu'il existe un*socio=rien besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre son examen*socio=ec2 de la question*socio=rien d'une allocation*socio=et de DTS et note par ailleurs*socio=rien avec satisfaction*socio=uv3 que le conseil_d'_administration*socio=ac a l'intention*socio=rien de poursuivre l'examen*socio=ec2 *socio=rien du fonctionnement du *socio=nil DTS en vue*socio=rien de renforcer l'attrait*socio=rien de cet avoir en tant qu'instrument*socio=et de réserve*socio=ec1. Le Comité*socio=ac rappelle que dans son dernier*socio=rien communiqué il avait invité le conseil_d'_administration*socio=ac à examiner sans tarder le rôle*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 à la lumière*socio=rien des rapports*socio=rien établis par le Groupe*socio=ac des Dix et par le Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien. Il note avec satisfaction*socio=uv3 que le conseil_d'_administration*socio=ac a récemment consacré des discussions*socio=et approfondies à *socio=rien un certain nombre *socio=nil de ces questions*socio=rien, et poursuit notamment le réexamen*socio=et du*socio=rien mécanisme*socio=et de financement*socio=ec1 compensatoire*socio=et. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac d'examiner, au cours*socio=rien de ses délibérations*socio=et des *socio=rien prochains mois,*socio=nil toute*socio=nil nouvelle proposition *socio=nil concernant le rôle*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 incluse dans le *socio=rien prochain rapport du Groupe*socio=ac des*socio=nil Vingt-quatre,*socio=nil *socio=nil en plus des questions*socio=rien encore en suspens*socio=rien qu'avaient soulevées les *socio=rien précédents rapports du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix et du*socio=rien Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien. Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 l'importance*socio=rien accrue qui est*socio=rien accordée, dans les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et, à l'établissement*socio=rien de conditions*socio=ec1 propices*socio=rien à une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4, et il souligne qu'il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 que l'ajustement*socio=et soit opéré de manière*socio=rien à stimuler l'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 et à promouvoir l'utilisation*socio=rien efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1. Le Comité*socio=ac ajoute que la ferme*socio=ec2 volonté*socio=uv1 politique*socio=et de mener à bien*socio=rien de vastes*socio=rien programmes*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 *socio=rien est un élément essentiel*socio=uv4 *socio=nil à la réussite*socio=uv1 de ces programmes*socio=et, et il note que l'octroi*socio=rien de financements*socio=ec1 accrus à des conditions*socio=ec1 appropriées par les créanciers_privés*socio=et et officiels*socio=et, les donateurs*socio=ac et les institutions*socio=ac multilatérales*socio=et faciliterait ce processus*socio=te d'ajustement*socio=et. Le Comité*socio=ac souligne que tous ces facteurs*socio=rien sont indispensables*socio=uv4 pour faire en sorte*socio=rien que l'accès*socio=uv1 des pays_membres*socio=ac aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 soit compatible*socio=rien avec le caractère*socio=rien rotatif (" revolving ") de ces ressources*socio=ec1 et avec la capacité*socio=uv3 de l'institution*socio=ac de continuer à aider ses pays_membres*socio=ac par ses avis*socio=rien et son soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1. Le Comité*socio=ac invite le conseil_d'_administration*socio=ac à procéder, au cours*socio=rien de ses prochaines*socio=rien délibérations*socio=et, à un*socio=rien examen*socio=ec2 approfondi des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et des accords*socio=et approuvés par le Fonds*socio=ec1 à l'appui*socio=uv1 de ces programmes*socio=et, pour s'assurer qu'ils sont appropriés à la situation*socio=rien actuelle*socio=te des pays_membres*socio=ac. Le Comité*socio=ac prend note de la création*socio=uv4 par le conseil_d'_administration*socio=ac d'un*socio=rien Comité*socio=ac plénier chargé des *socio=rien travaux relatifs *socio=nil à la *socio=rien Neuvième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac est *socio=nil convenu de tenir sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac *socio=nil le 27 septembre*socio=rien 1987. Comité*socio=ac ministériel*socio=et conjoint*socio=rien des conseils_des_gouverneurs_de_la_banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien le transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 aux pays_en_développement*socio=uv3 (Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3). COMMUNIQUÉS DE PRESSE*socio=et. *socio=rien Vingt-neuvième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 29*socio=nil septembre *socio=nil 1986. Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa *socio=rien vingt-neuvième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil DC, le 29 septembre*socio=rien 1986, sous la présidence*socio=rien de M.. Ghulam*socio=ac Ishaq Khan. M.. Barber B.. Conable*socio=ac, Président*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac, M.. J.. de Larosière, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, et M.. Fritz Fischer, *socio=ac Secrétaire exécutif du*socio=rien Comité du*socio=rien développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil ont participé à cette réunion*socio=rien, à laquelle ont assisté*socio=rien des observateurs*socio=ac d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil organisations_internationales*socio=ac et*socio=nil régionales*socio=te,*socio=nil *socio=nil ainsi que de la Suisse*socio=ac. Le Comité*socio=ac a entendu le *socio=rien rapport du directeur_général*socio=ac du FMI*socio=ac sur l'*socio=nil examen*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil par le comité_intérimaire*socio=ac, des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et de l'évolution*socio=te du*socio=rien problème*socio=uv4 de l'endettement*socio=ec1. Le Comité*socio=ac a également entendu le compte*socio=ec1 rendu du*socio=rien directeur_général*socio=ac sur*socio=rien les progrès*socio=uv1 réalisés, avec l'aide*socio=uv1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1, par de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 dans le domaine*socio=rien de la promotion*socio=uv3 de l'ajustement*socio=et et de la croissance*socio=uv3. Étant donné qu'il importe de rétablir la croissance*socio=uv3 des pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien fortement endettés, le Comité*socio=ac réitère son soutien*socio=uv3 à l'approche générale*socio=rien visant à favoriser une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4, telle qu'elle a été*socio=rien adoptée à ses deux *socio=rien réunions précédentes.*socio=nil *socio=nil Il reconnaît cependant qu'en raison*socio=rien de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 actuelle*socio=te toutes les *socio=rien principales parties *socio=nil intéressées - pays*socio=ac endettés, pays_industrialisés*socio=ac, banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 et institutions_financières*socio=ac et de développement*socio=uv3 internationales*socio=te - doivent continuer à accroître fortement leurs efforts*socio=uv1. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 que la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 continuent de suivre l'exécution*socio=rien des programmes*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3, notamment l'existence*socio=rien de *socio=ec1 ressources financières suffisantes*socio=rien,*socio=nil *socio=nil et rendent compte*socio=ec1, aux *socio=rien prochaines réunions du Comité*socio=ac,*socio=nil des*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil accomplis. Le Comité*socio=ac se félicite *socio=rien du fait *socio=nil que de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 appliquent des programmes*socio=et de réformes*socio=et intérieures*socio=te qui sont la *socio=rien base sur *socio=nil laquelle repose l'action*socio=ec1 internationale*socio=ac concertée. Les pays*socio=ac fortement endettés doivent continuer d'appliquer, avec l'aide*socio=uv1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et de la Banque*socio=ac, des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3. Ces programmes*socio=et devraient leur permettre de compter moins sur*socio=rien le financement*socio=ec1 extérieur*socio=te générateur*socio=rien d'endettement*socio=ec1, encourager le retour*socio=rien des capitaux*socio=ec1 enfuis et promouvoir une plus grande*socio=rien participation*socio=uv3 au capital*socio=ec1 par les investisseurs*socio=ac nationaux*socio=te et étrangers*socio=te. La réussite*socio=uv1 de ces programmes*socio=et adoptés par les pays_en_développement*socio=uv3 est*socio=rien cependant tributaire*socio=rien des mesures*socio=et prises*socio=rien par les pays_industrialisés*socio=ac, notamment une meilleure*socio=uv4 coordination*socio=uv3 des politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec1, des réformes*socio=et de politique*socio=et intérieure*socio=te, la libéralisation*socio=et des échanges_commerciaux*socio=ec1 et de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 à long_terme*socio=te visant à assurer une croissance*socio=uv3 soutenue à un*socio=rien rythme*socio=ec2 plus élevé*socio=uv4. Les prêts*socio=ec1 nets*socio=rien globaux*socio=te accordés par les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 aux pays*socio=ac lourdement endettés sont restés jusqu'à présent*socio=rien nettement inférieurs*socio=rien aux prévisions*socio=ec2. Eu égard*socio=rien au rôle*socio=et crucial*socio=rien que les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 jouent dans l'application*socio=rien de la stratégie*socio=et concernant l'endettement*socio=ec1, le Comité*socio=ac souligne qu'il importe que ces banques*socio=ac fournissent, à l'appui*socio=uv1 de programmes*socio=et globaux*socio=te axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3, des flux*socio=ec1 additionnels*socio=ec2 *socio=rien nets substantiels,*socio=nil en*socio=nil montants*socio=ec1 adéquats*socio=uv2 *socio=nil et à des conditions*socio=ec1 appropriées. Le Comité*socio=ac accueille favorablement les *socio=rien initiatives prises *socio=nil par la banque_mondiale*socio=ac et le FMI*socio=ac dans nombre*socio=rien de pays*socio=ac fortement endettés. Les rôles*socio=et consultatifs*socio=uv2 et d'agent*socio=ac catalyseur*socio=ec2 de ces deux institutions*socio=ac ont été*socio=rien et continueront d'être*socio=rien utiles*socio=uv4 pour ce qui est*socio=rien de la conception*socio=et et de l'exécution*socio=rien de programmes*socio=et efficaces*socio=uv4. Le Comité*socio=ac prend note avec satisfaction*socio=uv3 de l'expansion*socio=ec2 considérable*socio=rien l'année*socio=rien dernière*socio=rien des prêts*socio=ec1 accordés par la banque_mondiale*socio=ac pour financer des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 et sectorielles*socio=rien dans ces pays*socio=ac, ce qui témoigne*socio=rien une fois*socio=rien de plus de l'aptitude*socio=rien de la Banque*socio=ac à apporter un*socio=rien soutien*socio=uv3 rapide*socio=rien et substantiel*socio=rien aux programmes*socio=et d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 et de développement*socio=uv3 des *socio=ac pays emprunteurs.*socio=nil Les*socio=nil membres du*socio=rien Comité *socio=nil ont demandé à la Banque*socio=ac de rédiger, et de lui soumettre, à une de ses *socio=rien prochaines réunions,*socio=nil un rapport sur l'*socio=nil impact *socio=nil de ces programmes*socio=et sur*socio=rien la pauvreté*socio=uv1. Le Comité*socio=ac convient qu'il est*socio=rien extrêmement important*socio=uv4 de faire en sorte*socio=rien que l'élan*socio=rien pris par la réforme*socio=et en cours*socio=rien dans ces pays*socio=ac soit maintenu et que l'ampleur*socio=rien et la portée*socio=rien des activités*socio=rien de la Banque*socio=ac devraient continuer à s'accroître pour lui permettre de soutenir ces efforts*socio=uv1. Les ministres*socio=ac réaffirment également l'importance*socio=rien qu'ils attachent au rôle*socio=et central*socio=rien de la Banque*socio=ac en tant qu'institution*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 dans le monde*socio=te,, elle continue*socio=rien d'avoir pour objectifs*socio=uv3 fondamentaux*socio=uv4 d'accélérer la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 et d'atténuer la pauvreté*socio=uv1, et le soutien*socio=uv3 d'activités*socio=rien d'investissements*socio=ec1 spécifiques*socio=rien devrait rester l'élément*socio=rien prédominant du*socio=rien programme*socio=et global*socio=te de prêt*socio=ec1 de la Banque*socio=ac. Étant donné cette nécessité*socio=uv1 croissante*socio=rien d'une participation*socio=uv3 de la Banque*socio=ac tant dans les pays*socio=ac fortement endettés que dans d'autres pays*socio=ac auxquels elle prête*socio=rien, le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que le programme*socio=et de prêt*socio=ec1 de la BIRD*socio=ac pour l'exercice*socio=rien en cours*socio=rien devrait passer à environ 15 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 par rapport*socio=rien à 11,4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pendant l'exercice*socio=rien 1985 et 13,2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pendant l'exercice*socio=rien 1986, le programme*socio=et devant*socio=rien continuer à augmenter au cours*socio=rien des *socio=rien prochains exercices *socio=nil conformément à la courbe de croissance*socio=uv3 approuvée par le Comité*socio=ac en avril*socio=rien 1986. Le Comité*socio=ac réitère sa conviction*socio=uv1 que la Banque*socio=ac devrait avoir les moyens*socio=ec1 d'augmenter ses prêts*socio=ec1 de qualité*socio=rien et ne pas être*socio=rien gênée par *socio=rien un manque de*socio=nil capitaux*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et note que le montant*socio=ec1 actuel*socio=te du*socio=rien capital*socio=ec1 social*socio=et de la Banque*socio=ac peut lui permettre de soutenir pour le *socio=rien moment un niveau maximum continu de*socio=nil prêts*socio=ec1 *socio=nil de l'ordre*socio=rien de 14,5 à 15 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 par an*socio=rien. Pour maintenir l'élan*socio=rien pris par les activités*socio=rien de réforme*socio=et et permettre la croissance*socio=uv3 des prêts*socio=ec1 de la BIRD*socio=ac prévue entre le *socio=rien présent exercice *socio=nil et la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1990, le Comité*socio=ac convient qu'il faudra procéder à une augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale substantielle du capital*socio=ec1 *socio=nil si les prêts*socio=ec1 de qualité*socio=rien se concrétisent comme prévu. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 instamment aux administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac de poursuivre leurs échanges_de_vues*socio=uv3 concernant les modalités*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale du capital*socio=ec1 *socio=nil afin de parvenir à un*socio=rien accord*socio=et et de permettre au programme*socio=et de prêts*socio=ec1 de la Banque*socio=ac de ne pas être*socio=rien freiné par *socio=rien un manque de*socio=nil capitaux*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil À cet égard*socio=rien, les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac reconnaissent que si les prêts*socio=ec1 de qualité*socio=rien se concrétisent comme prévu, il se pourrait que le programme*socio=et de l'exercice*socio=rien 1988 dépasse provisoirement le niveau*socio=rien de prêts*socio=ec1 soutenable*socio=uv4. Le Comité*socio=ac a également examiné les questions*socio=rien qui revêtent un*socio=rien intérêt*socio=uv1 particulier*socio=rien pour les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Il a été*socio=rien aidé dans cette tâche*socio=rien par la participation*socio=uv3 du*socio=rien Président*socio=ac du*socio=rien comité_d'_aide*socio=ac au développement*socio=uv3 (CAD*socio=ac) de l'OCDE*socio=ac. Le Comité*socio=ac a examiné les besoins*socio=uv1 de ressources*socio=ec1 de tous les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 et reconnaît l'importance*socio=rien que revêtent les apports*socio=rien d'aide_publique_au_développement*socio=et (APD*socio=et) pour une amélioration*socio=uv1 de leurs résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 et une croissance*socio=uv3 soutenue. Le Comité*socio=ac s'est*socio=rien inquiété *socio=rien du fait *socio=nil que, selon toute vraisemblance*socio=rien, les flux*socio=ec1 globaux*socio=te d'APD*socio=et augmenteront lentement et qu'ils ne seront toujours pas suffisants*socio=rien pour répondre aux besoins*socio=uv1 pressants*socio=uv4 des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Le Comité*socio=ac encourage les membres*socio=ac du*socio=rien CAD*socio=ac à faire *socio=rien un maximum d'*socio=nil efforts*socio=uv1,*socio=nil *socio=nil de toute urgence*socio=rien, pour accroître leur budget*socio=ec1 d'APD*socio=et, en particulier*socio=rien pour contribuer à faire face*socio=rien aux besoins*socio=uv1 des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2. Les membres*socio=ac soulignent également l'importance*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien multilatéral*socio=et dynamique*socio=uv4 d'assistance*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1, en *socio=rien particulier du fait *socio=nil qu'il est*socio=rien destiné à aider les pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2. Le Comité*socio=ac prend note des progrès*socio=uv1 accomplis jusqu'ici dans le fonctionnement*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 (FAS*socio=ec1) du*socio=rien Fonds*socio=ec1, notamment en ce qui concerne une collaboration*socio=uv1 plus étroite*socio=rien entre le Fonds*socio=ec1 et la Banque*socio=ac. Les ministres*socio=ac affirment que la double*socio=rien conditionnalité doit être*socio=rien évitée et que les deux institutions*socio=ac devraient s'efforcer de compléter la FAS*socio=ec1 par des ressources*socio=ec1 bilatérales*socio=et et multilatérales*socio=et additionnelles*socio=ec2. Le Comité*socio=ac accueille favorablement la déclaration*socio=et du*socio=rien Président*socio=ac des Suppléants*socio=rien de l'IDA*socio=ac, dans laquelle il a *socio=rien fait état des*socio=nil grands progrès*socio=uv1 *socio=nil accomplis dans les négociations*socio=et qui ont eu *socio=rien lieu du *socio=nil 23 au 25 septembre*socio=rien. Il encourage tous les pays*socio=ac qui versent une contribution*socio=uv1 à VIDA de parvenir à un*socio=rien accord*socio=et final*socio=rien de reconstitution*socio=ec2 portant *socio=rien sur un montant*socio=ec1 *socio=nil de 12 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ou plus. A ce sujet*socio=rien, les ministres*socio=ac invitent instamment tous les donateurs*socio=ac qui sont en mesure*socio=rien de le faire de verser des contributions*socio=uv1 volontaires*socio=uv4 additionnelles*socio=ec2. Le Comité*socio=ac espère que la négociation*socio=et globale*socio=rien de reconstitution*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 de FIDA*socio=rien sera achevée dès que possible*socio=rien, mais au plus tard en novembre*socio=rien 1986, de manière*socio=rien à permettre à IDA-8*socio=ac de prendre effet*socio=rien le 1er juillet*socio=rien 1987. Certains membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac se déclarent préoccupés par les répercussions*socio=ec2 que le raccourcissement*socio=ec2 des échéances*socio=te et les différences*socio=uv1 des conditions*socio=ec1 applicables*socio=rien aux *socio=ac pays emprunteurs durant*socio=nil IDA-8 *socio=nil pourraient avoir sur*socio=rien ces pays*socio=ac, et souhaitent que le caractère*socio=rien universel*socio=uv2 de l'Association*socio=ac soit préservé. Le Comité*socio=ac a examiné l'évolution*socio=te récente*socio=rien concernant les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te, y compris les résultats*socio=rien constructifs*socio=uv2 de la *socio=rien Session spéciale des*socio=nil nations_unies*socio=ac *socio=nil qui a notamment adopté le Programme*socio=et d'action*socio=ec1 pour la reprise économique*socio=ec1 et le développement*socio=uv3 de l'Afrique*socio=ac, 1986-90. Les ministres*socio=ac demandent instamment aux organismes*socio=ac multilatéraux*socio=et et bilatéraux*socio=et d'aider à mettre en oeuvre*socio=rien ce programme*socio=et. Les membres*socio=ac notent que, depuis le début*socio=rien de 1986, la situation*socio=rien économique*socio=ec1 difficile*socio=rien que connaissent nombre*socio=rien de pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 s'est*socio=rien quelque peu améliorée, et que cette amélioration*socio=uv1, bien*socio=rien que modeste*socio=rien, doit être*socio=rien accueillie avec satisfaction*socio=uv3. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac reconnaissent toutefois que ces améliorations*socio=uv1 n'indiquent pas *socio=rien un retournement *socio=nil de la tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 à long_terme*socio=te des *socio=ec1 indicateurs économiques et*socio=nil sociaux*socio=et.*socio=nil Les*socio=nil gouvernements*socio=ac des*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil Afrique*socio=ac *socio=nil continuent de progresser dans la voie*socio=rien des *socio=et réformes politiques,*socio=nil *socio=nil mais le manque*socio=rien de ressources*socio=ec1 de financement*socio=ec1 reste*socio=rien une contrainte*socio=uv1 importante*socio=uv4. Le Comité*socio=ac rappelle la conclusion*socio=rien à laquelle il était parvenu en avril*socio=rien 1986, à savoir*socio=rien que les pays_industrialisés*socio=ac devraient s'efforcer de réduire le déficit*socio=ec1 annuel*socio=te de *socio=ec1 ressources concessionnelles *socio=nil estimé à 2,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 - ressources*socio=ec1 dont auront besoin*socio=uv1 au cours*socio=rien des *socio=rien cinq prochaines années les*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te à*socio=nil faible revenu*socio=ec1 *socio=nil qui entreprennent d'importants*socio=uv4 efforts*socio=uv1 de réforme*socio=et,, les membres*socio=ac conviennent que des efforts*socio=uv1 supplémentaires*socio=rien seront nécessaires*socio=rien si cet objectif*socio=uv3 doit être*socio=rien atteint et ils demandent à la Banque*socio=ac de lui présenter *socio=rien un rapport dans*socio=nil un an sur les*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil accomplis dans ce domaine*socio=rien. Conformément au *socio=rien mandat du Comité*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil membres*socio=ac *socio=nil conviennent de la nécessité*socio=uv1 de continuer à examiner périodiquement l'évolution*socio=te du*socio=rien transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1, y compris des *socio=ec1 flux concessionnels,*socio=nil *socio=nil vers les pays_en_développement*socio=uv3. À ce sujet*socio=rien, la banque_mondiale*socio=ac a été*socio=rien invitée à préparer pour une *socio=rien prochaine réunion une*socio=nil étude*socio=ec2 des*socio=nil besoins*socio=uv1 en*socio=nil ressources*socio=ec1 extérieures*socio=te des*socio=nil pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 *socio=nil en dehors du*socio=rien continent*socio=ac africain et à poursuivre son examen*socio=ec2 périodique*socio=te de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 en Afrique*socio=ac ainsi que des besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 des pays*socio=ac de ce continent*socio=ac. Le Comité*socio=ac examine également l'importance*socio=rien que revêt le renforcement*socio=ec2 de la coordination*socio=uv3 des flux*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 afin d'accroître l'efficacité*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1 et de réduire les charges*socio=rien administratives*socio=et qui pèsent sur*socio=rien les *socio=ac pays bénéficiaires.*socio=nil Il*socio=nil est*socio=rien *socio=nil satisfait des mesures*socio=et qui ont déjà *socio=rien été prises *socio=nil par la *socio=ac communauté internationale *socio=nil (telles qu'elles sont résumées dans le rapport*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac sur*socio=rien l'amélioration*socio=uv1 de l'efficacité*socio=uv3 de la coordination*socio=uv3 de l'assistance*socio=uv1 en Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te, qui a été*socio=rien préparé à la demande*socio=ec1 du*socio=rien Comité*socio=ac) et il demande*socio=ec1 instamment à la Banque*socio=ac de continuer à prendre l'initiative*socio=rien de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et pour exercer son rôle*socio=et de leader dans le sens*socio=rien qui est*socio=rien indiqué dans le rapport*socio=rien, en renforçant notamment l'aptitude*socio=rien des *socio=ac pays bénéficiaires d'*socio=nil aide*socio=uv1 *socio=nil à jouer un*socio=rien rôle*socio=et central*socio=rien dans la coordination*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1 et en encourageant également la création*socio=uv4 de comités*socio=ac additionnels*socio=ec2 conjoints*socio=rien de surveillance*socio=et dans les *socio=ac pays bénéficiaires *socio=nil intéressés. Les ministres*socio=ac encouragent également la Banque*socio=ac à donner suite*socio=rien à la proposition*socio=rien qu'elle a faite selon laquelle les coûts*socio=ec1 de la coordination*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1 seraient partagés avec d'autres donateurs*socio=ac. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 à la Banque*socio=ac de lui présenter *socio=rien un rapport dans*socio=nil un an sur l'*socio=nil état d'*socio=nil avancement*socio=uv3 des*socio=nil travaux *socio=nil dans le domaine*socio=rien de la coordination*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1. Le Comité*socio=ac décide d'examiner à sa *socio=rien prochaine réunion la*socio=nil question *socio=nil de l'environnement*socio=et, de la croissance*socio=uv3 et du*socio=rien développement*socio=uv3, et notamment la portée*socio=rien des politiques*socio=et et l'expérience*socio=ec2 en matière*socio=rien de projets*socio=et, sur*socio=rien la base*socio=rien d'un*socio=rien rapport*socio=rien préparé par la banque_mondiale*socio=ac. Le Comité*socio=ac note que la Convention*socio=et portant création*socio=uv4 de l'Agence*socio=ac multilatérale*socio=et de garantie des investissements*socio=ec1 (AMGI*socio=ac) a été*socio=rien signée par 45 pays*socio=ac, dont 34 en développement*socio=uv3, et qu'un*socio=rien accord*socio=et préliminaire*socio=rien vient d'être*socio=rien conclu entre les pays*socio=ac *socio=rien signataires sur les*socio=nil modalités de*socio=nil fonctionnement *socio=nil et la politique*socio=et opérationnelle*socio=rien de l'AMGI*socio=ac. Les gouvernements*socio=ac intéressés sont invités instamment à signer la Convention*socio=et de l'AMGI*socio=ac et, s'ils l'ont déjà fait*socio=rien, à la ratifier dès que possible*socio=rien, de manière*socio=rien à ce que la nouvelle*socio=rien institution*socio=ac puisse commencer rapidement à atteindre ses objectifs*socio=uv3, dont la promotion*socio=uv3 de flux*socio=ec1 croissants*socio=rien d' investissements_privés*socio=ec1 vers les pays_en_développement*socio=uv3. Les membres*socio=ac expriment leur préoccupation*socio=uv4 devant*socio=rien les problèmes*socio=uv4 croissants*socio=rien qui se posent en matière*socio=rien de commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, problèmes*socio=uv4 qui ont des *socio=rien effets négatifs sur les*socio=nil perspectives*socio=te de*socio=nil croissance*socio=uv3 des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil et notamment la montée du*socio=rien protectionnisme*socio=et et la généralisation*socio=rien des subventions*socio=ec1 ou d'autres stimulants*socio=ec2 à la production*socio=ec1 et à l'exportation*socio=ec1 de produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 et d'autres produits*socio=rien. Le Comité*socio=ac note qu'en réponse*socio=rien à la demande*socio=ec1 qu'il avait présentée à la réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1986, la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 préparent *socio=rien un rapport sur les*socio=nil perspectives*socio=te des*socio=nil marchés*socio=ec1 de*socio=nil matières_premières*socio=ec1 *socio=nil et que ce rapport*socio=rien sera examiné à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac demande*socio=ec1 *socio=nil en outre que ce rapport*socio=rien examine également l'impact*socio=rien de la politique_agricole*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac sur*socio=rien les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac a été*socio=rien informé par le directeur_général*socio=ac du*socio=rien GATT*socio=ac de la décision*socio=et prise*socio=rien à Punta del Este (Uruguay*socio=ac) d'entamer une nouvelle*socio=rien série de *socio=et négociations multilatérales commerciales*socio=ec1 *socio=nil et accueille avec satisfaction*socio=uv3 cette décision*socio=et comme une étape*socio=te importante*socio=uv4 dans le renforcement*socio=ec2 et l'expansion*socio=ec2 *socio=rien du système commercial*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil souligne que la mise en *socio=rien oeuvre effective *socio=nil de l'engagement*socio=uv1 pris à Punta del Este de maintenir le statu_quo*socio=rien et de démanteler les barrières*socio=ec2 commerciales*socio=ec1 est*socio=rien essentielle*socio=uv4 à une réduction*socio=ec2 du*socio=rien protectionnisme*socio=et et au succès*socio=uv1 de la nouvelle*socio=rien série de négociations*socio=et. Les membres*socio=ac invitent le directeur_général*socio=ac du*socio=rien GATT*socio=ac à continuer à tenir le Comité*socio=ac informé des progrès*socio=uv1 des négociations*socio=et. Le Comité*socio=ac prend note d'un*socio=rien *socio=rien rapport du Président*socio=ac sur les*socio=nil modalités d'*socio=nil accord*socio=et de*socio=nil coopération*socio=uv1 *socio=nil visant à améliorer les *socio=rien effets du système_monétaire*socio=ec1 et*socio=nil financier*socio=ec1 sur la*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil et le développement*socio=uv3. Ce rapport*socio=rien avait été*socio=rien demandé par le Comité*socio=ac à sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1986. Les membres*socio=ac expriment leur vive reconnaissance*socio=uv1 au *socio=ac Président Ghulam *socio=nil Ishaq Khan qui a rendu d'éminents*socio=rien services*socio=et au Comité*socio=ac pendant des années*socio=rien. Son esprit*socio=rien novateur, son dynamisme*socio=uv3, sa clairvoyance*socio=rien et le sens*socio=rien de la mesure*socio=rien qu'il a montrés en dirigeant les *socio=rien travaux du Comité*socio=ac *socio=nil ont contribué sensiblement à l'efficacité*socio=uv3 du*socio=rien Comité*socio=ac en tant que forum*socio=ac où sont examinées d'importantes*socio=uv4 questions*socio=rien économiques*socio=ec1 internationales*socio=te auxquelles font face*socio=rien les pays*socio=ac tant développés*socio=uv4 qu'en développement*socio=uv3. Les membres*socio=ac tiennent à lui exprimer leur vive reconnaissance*socio=uv1 et leur profonde*socio=rien gratitude*socio=uv1 pour sa contribution*socio=uv1 à la promotion*socio=uv3 du*socio=rien développement*socio=uv3 et lui adressent leurs meilleurs*socio=uv4 voeux*socio=rien. Le Comité*socio=ac exprime sa vive reconnaissance*socio=uv1 à M.. de Larosière pour les talents*socio=uv3 remarquables*socio=uv4 et les qualités*socio=rien exceptionnelles*socio=uv4 de leader dont il a témoigné au cours*socio=rien des années*socio=rien où il a dirigé le fonds_monétaire_international*socio=ac. En des *socio=rien temps difficiles,*socio=nil *socio=nil il a aidé la *socio=ac communauté internationale *socio=nil à faire front*socio=rien aux exigences*socio=ec2 de la situation*socio=rien avec courage*socio=uv1, ingéniosité*socio=rien et persévérance*socio=uv1, et le Comité*socio=ac lui adresse*socio=rien ses meilleurs*socio=uv4 voeux*socio=rien. Le Comité*socio=ac convient de se réunir à nouveau*socio=rien à Washington*socio=ac, au cours*socio=rien de la *socio=rien deuxième semaine d'*socio=nil avril *socio=nil 1987. Trentième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 2 octobre*socio=rien 1986. À sa trentième réunion*socio=rien, qui s'est*socio=rien tenue le 2 octobre*socio=rien 1986 à Washington*socio=ac, DC, le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a choisi comme Président*socio=ac Son Excellence*socio=uv3 BTG Chidzero, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1, de la planification*socio=et économique*socio=ec1 et du*socio=rien développement*socio=uv3 du*socio=rien Zimbabwe*socio=ac. Trente et *socio=rien unième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 10*socio=nil avril *socio=nil 1987. Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa trente et *socio=rien unième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil le 10 avril*socio=rien 1987, sous la présidence*socio=rien de Son Excellence*socio=uv3 M.. BTG Chidzero, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1, de la planification*socio=et économique*socio=ec1 et du*socio=rien développement*socio=uv3 du*socio=rien Zimbabwe*socio=ac. M.. Barber B.. Conable*socio=ac, Président*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac, M.. Michel Camdessus, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, M.. Fritz Fischer, *socio=ac Secrétaire exécutif du*socio=rien Comité du*socio=rien développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil et M.. Svetozar Rikanovic, Président*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien, ont participé à cette réunion*socio=rien, à laquelle ont également assisté*socio=rien des observateurs*socio=ac d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil organisations_internationales*socio=ac et*socio=nil régionales*socio=te,*socio=nil *socio=nil ainsi que de la Suisse*socio=ac. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac ont eu le plaisir*socio=rien de souhaiter la bienvenue*socio=rien à M.. Camdessus, qui assistait pour la *socio=rien première fois *socio=nil à la réunion*socio=rien en tant que directeur_ général*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac, et lui ont présenté tous leurs voeux*socio=rien de réussite*socio=uv1 dans la tâche*socio=rien importante*socio=uv4 et difficile*socio=rien qu'il a assumée. Le Comité*socio=ac s'est*socio=rien principalement préoccupé des moyens*socio=ec1 de soutenir et de renforcer la croissance*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3 dans une conjoncture*socio=ec2 caractérisée par la faiblesse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien, la lenteur*socio=rien de la croissance*socio=uv3 dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 et l'incertitude*socio=uv3 des perspectives*socio=te d'accroissement*socio=ec2 des *socio=ec1 flux financiers extérieurs*socio=te.*socio=nil Ses*socio=nil membres*socio=ac *socio=nil soulignent une fois*socio=rien de plus que seuls*socio=rien les efforts*socio=uv1 concertés des pays*socio=ac développés*socio=uv4 et en développement*socio=uv3 permettront d'améliorer sensiblement les possibilités*socio=rien de soutenir et de stimuler la croissance*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3. Il est*socio=rien important*socio=uv4 d'offrir des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 plus prometteuses pour gagner et conserver l'adhésion*socio=uv1 de l'opinion*socio=ac publique*socio=et aux efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac notent que nombre*socio=rien de pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien lourdement endettés ont entrepris des programmes*socio=et énergiques*socio=ec1 d'ajustement*socio=et pour relancer leur croissance*socio=uv3, améliorer le niveau_de_vie*socio=uv1 de leur population*socio=ac et renforcer leur position*socio=rien des paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Pour *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'entre eux, la tâche*socio=rien s'est*socio=rien révélée difficile*socio=rien, leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 s'étant détériorés et les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 hésitant*socio=rien à fournir les *socio=rien apports nécessaires.*socio=nil L'*socio=nil initiative *socio=nil lancée par M.. Baker en 1985 a contribué à stimuler le processus*socio=te d'ajustement*socio=et dans la croissance*socio=uv3, mais des problèmes*socio=uv4 difficiles*socio=rien demeurent. Pour les résoudre, toutes les parties*socio=rien intéressées - les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, les *socio=ac gouvernements créanciers *socio=nil et les *socio=ac pays débiteurs *socio=nil - ont un*socio=rien rôle*socio=et à jouer. Le Comité*socio=ac réaffirme le rôle*socio=et central*socio=rien de la Banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 dans l'adoption*socio=uv3 de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et orientés vers la croissance*socio=uv3 et dans la mobilisation*socio=uv3 de ressources*socio=ec1 publiques*socio=et et privées*socio=et. Il demande*socio=ec1 aux deux institutions*socio=ac de continuer à étudier toute la gamme*socio=rien des mesures*socio=et additionnelles*socio=ec2 qui permettraient de raffiner et de renforcer l'application*socio=rien de programmes*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 et de présenter au Comité*socio=ac pour examen*socio=ec2 *socio=rien un rapport *socio=nil contenant éventuellement des recommandations*socio=et. Les ministres*socio=ac réaffirment leur volonté*socio=uv1 d'aider les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 dans leurs efforts*socio=uv1 de développement*socio=uv3 et d'ajustement*socio=et. Ils reconnaissent que beaucoup de ces pays*socio=ac, spécialement en Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te, sont aux prises*socio=rien avec de *socio=uv4 graves problèmes d'*socio=nil endettement*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ils insistent sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'accroître les *socio=ec1 flux concessionnels *socio=nil et conviennent que pour *socio=rien un grand nombre *socio=nil de ces pays*socio=ac des mesures*socio=et supplémentaires*socio=rien sont nécessaires*socio=rien pour qu'ils soient mieux à même d'assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 tout en entreprenant des programmes*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3. À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac se félicite de l'intention*socio=rien exprimée par les créanciers*socio=ac publics*socio=et au Club*socio=rien de Paris*socio=ac d'oeuvrer en vue*socio=rien d'un*socio=rien rééchelonnement*socio=et réaliste*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 des pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 qui entreprennent des programmes*socio=et énergiques*socio=ec1 d'ajustement*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 à la Banque*socio=ac et au Fonds*socio=ec1 de lui présenter, à sa *socio=rien prochaine session,*socio=nil des*socio=nil propositions d'*socio=nil action*socio=ec1 *socio=nil pour aider les pays*socio=ac dans une situation*socio=rien exceptionnellement difficile*socio=rien à résoudre leurs problèmes*socio=uv4 et tenant compte*socio=ec1 de l'évaluation*socio=ec2 de l'exécution*socio=rien du*socio=rien Programme*socio=et d'action*socio=ec1 des nations_unies*socio=ac pour le redressement*socio=ec2 économique*socio=ec1 et le développement*socio=uv3 de l'Afrique*socio=ac. Les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 doivent élargir la gamme*socio=rien des flux*socio=ec1 de ressources*socio=ec1, notamment les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, à la disposition*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3, ce qui aiderait beaucoup ceux-ci à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 et stimulerait sensiblement leur croissance*socio=uv3. Il est*socio=rien particulièrement important*socio=uv4 pour les pays_en_développement*socio=uv3 que le *socio=rien climat général soit*socio=nil favorable*socio=uv4 aux*socio=nil échanges*socio=ec1 de*socio=nil produits agricoles*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil ministres*socio=ac *socio=nil reconnaissent que les *socio=et politiques_agricoles protectionnistes *socio=nil sont l'une des *socio=rien principales causes de*socio=nil distorsions*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil y compris de la faiblesse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de *socio=rien base sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te,*socio=nil des*socio=nil excédents*socio=ec1 de*socio=nil production*socio=ec1 *socio=nil et d'hémorragie budgétaire*socio=et. Conscient*socio=uv2 que ces politiques*socio=et ont rendu plus difficiles*socio=rien les efforts*socio=uv1 de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, le Comité*socio=ac affirme que la levée des obstacles*socio=uv3 et des restrictions*socio=et aux *socio=ec1 échanges agricoles internationaux*socio=te *socio=nil et la réduction*socio=ec2 des mesures*socio=et de soutien*socio=uv3 intérieur*socio=te faciliteraient les efforts*socio=uv1 de développement*socio=uv3 et le processus*socio=te d'ajustement*socio=et. Le Comité*socio=ac souligne qu'il incombe aux pays*socio=ac industriels*socio=ec1 et aux pays_en_développement*socio=uv3 d'appliquer une politique*socio=et axée sur*socio=rien la croissance*socio=uv3, de façon*socio=rien à pouvoir*socio=et, les uns et les autres, résister au protectionnisme*socio=et et bénéficier des avantages*socio=rien découlant de la liberté*socio=uv1 des échanges*socio=ec1. Dans ce contexte*socio=rien, les ministres*socio=ac se félicitent de l'inclusion*socio=rien des produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 dans les négociations_commerciales_multilatérales*socio=et dites d'Uruguay*socio=ac, qui devraient permettre de parvenir à une plus grande*socio=rien libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 agricoles*socio=ec1 et à une discipline*socio=uv1 accrue dans le recours*socio=ec1 à toutes les subventions*socio=ec1 directes*socio=rien et indirectes*socio=rien en faveur*socio=rien de la production*socio=ec1 et de l'exportation*socio=ec1. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien également qu'il faut se préoccuper d'urgence*socio=rien de la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 des produits*socio=rien industriels*socio=ec1 et demande*socio=ec1 à la Banque*socio=ac et au Fonds*socio=ec1 d'établir *socio=rien un rapport sur les*socio=nil effets *socio=nil de la politique_industrielle*socio=et des pays*socio=ac développés*socio=uv4. Le directeur_général*socio=ac du*socio=rien GATT*socio=ac l'a informé de l'état*socio=rien actuel*socio=te des négociations*socio=et commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te et ses membres*socio=ac prennent note de la volonté*socio=uv1 exprimée par les gouvernements*socio=ac de freiner et de renverser la tendance*socio=ec2 à une escalade du*socio=rien protectionnisme*socio=et. Les ministres*socio=ac espèrent que des progrès*socio=uv1 rapides*socio=rien pourront être*socio=rien accomplis à cet égard*socio=rien pendant les négociations*socio=et du*socio=rien GATT*socio=ac et à l'occasion*socio=rien de *socio=rien diverses réunions internationales*socio=te,*socio=nil *socio=nil dont la *socio=rien réunion du conseil_ministériel*socio=ac *socio=nil de l'OCDE*socio=ac, le sommet_économique*socio=et de Venise et CNUCED*socio=ac VIL Le Comité*socio=ac prend note du*socio=rien marasme*socio=uv4 des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des produits*socio=rien de base*socio=rien et constate que, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, une amélioration*socio=uv1 sensible*socio=rien paraît peu probable*socio=uv4. Il reconnaît qu'une accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 mondiale*socio=te améliorerait ces perspectives*socio=te et que des actions*socio=ec1, dont l'aide*socio=uv1 des institutions*socio=ac multilatérales*socio=et, sont *socio=rien nécessaires sur de*socio=nil nombreux fronts,*socio=nil *socio=nil afin d'élargir la gamme*socio=rien des exportations*socio=ec1 des pays*socio=ac tributaires*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien et de compenser les fluctuations*socio=ec2 temporaires*socio=rien de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1. Il demande*socio=ec1 que la banque_mondiale*socio=ac, en coopération*socio=uv1 avec le FMI*socio=ac, prépare des options*socio=rien pour sa *socio=rien prochaine session.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil prend note de la tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 en faveur*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 et souligne combien il est*socio=rien important*socio=uv4 et urgent*socio=uv4 d'inverser cette tendance*socio=ec2. Ce déclin*socio=ec2 est*socio=rien particulièrement marqué dans le cas*socio=rien des flux*socio=ec1 de financement*socio=ec1 des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1. La *socio=rien situation reste décevante *socio=nil en ce qui concerne les investissements_privés*socio=ec1. Il importe de créer, dans les pays_en_développement*socio=uv3 comme dans les pays_industrialisés*socio=ac, des conditions*socio=ec1 plus propices*socio=rien à l'expansion*socio=ec2 des flux*socio=ec1 d' investissement_privés*socio=et et des autres mouvements_de_capitaux*socio=ec1. La SFI*socio=ac devrait jouer un*socio=rien rôle*socio=et complémentaire*socio=rien utile*socio=uv4 dans ce domaine*socio=rien. Les institutions_financières*socio=ac multilatérales*socio=et doivent continuer à intensifier leurs efforts*socio=uv1 afin de soutenir le processus*socio=te de croissance*socio=uv3 et d'ajustement*socio=et. Le Comité*socio=ac se félicite *socio=rien du récent accord*socio=nil sur la*socio=nil huitième reconstitution*socio=ec2 des*socio=nil ressources*socio=ec1 de*socio=nil FIDA,*socio=nil d'*socio=nil un montant*socio=ec1 *socio=nil de 12,4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 et remercie le *socio=ac groupe_de_pays donateurs de*socio=nil FIDA*socio=rien *socio=nil qui a rendu cet accord*socio=et possible*socio=rien, car ces *socio=ec1 flux concessionnels sont*socio=nil indispensables*socio=uv4 *socio=nil pour financer l'ajustement*socio=et, la croissance*socio=uv3 et la lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1 dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 instamment au conseil_des_gouverneurs*socio=ac de FIDA*socio=rien d'approuver sans tarder la résolution*socio=uv1 sur*socio=rien IDA*socio=ac 8. Il prend note des efforts*socio=uv1 déployés par la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 en vue*socio=rien d'aider les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 à mettre en oeuvre*socio=rien des programmes*socio=et visant à stimuler la croissance*socio=uv3 et à améliorer la balance_des_paiements*socio=ec1 en accordant des *socio=ec1 prêts concessionnels *socio=nil financés par les ressources*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac et la nouvelle*socio=rien facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2. Les ministres*socio=ac soulignent que des ressources*socio=ec1 plus importantes*socio=uv4 seront nécessaires*socio=rien pour compléter les programmes*socio=et financés aussi bien*socio=rien par la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 que par l'IDA*socio=ac en vue*socio=rien de soutenir les politiques*socio=et et les programmes*socio=et destinés à accélérer la croissance*socio=uv3 dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Les ministres*socio=ac sont invités à faire le bilan*socio=rien, lors*socio=rien d'une future*socio=te réunion*socio=rien, des efforts*socio=uv1 actuellement déployés par la Banque*socio=ac, le Fonds*socio=ec1 et les organismes*socio=ac bilatéraux*socio=et pour aider les pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 à exécuter des programmes*socio=et de croissance*socio=uv3. En réponse*socio=rien aux besoins*socio=uv1 de ses emprunteurs*socio=ac, la Banque*socio=ac est*socio=rien encouragée à accroître son programme*socio=et de prêt*socio=ec1 pour favoriser les efforts*socio=uv1 de croissance*socio=uv3 et de développement*socio=uv3. Comme il l'a fait*socio=rien en septembre*socio=rien 1986, le Comité*socio=ac lance *socio=rien un appel *socio=nil à la Banque*socio=ac pour maintenir l'élan*socio=rien pris par les activités*socio=rien de réforme*socio=et et permettre la croissance*socio=uv3 des prêts*socio=ec1 de la BIRD*socio=ac prévue entre le *socio=rien présent exercice *socio=nil et la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1990, et il convient qu'il faudra procéder à une augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale substantielle du capital*socio=ec1 *socio=nil si les prêts*socio=ec1 de qualité*socio=rien se concrétisent comme prévu. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 instamment aux administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac de poursuivre leurs échanges_de_vues*socio=uv3 concernant les modalités*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale du capital*socio=ec1 *socio=nil afin de parvenir à un*socio=rien accord*socio=et et de permettre au programme*socio=et de prêt*socio=ec1 de la Banque*socio=ac de ne pas être*socio=rien freiné par *socio=rien un manque de*socio=nil capitaux*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil À cet égard*socio=rien, les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac reconnaissent que si les prêts*socio=ec1 de qualité*socio=rien se concrétisent comme prévu, il se pourrait que le programme*socio=et de l'exercice*socio=rien 1988 dépasse provisoirement le niveau*socio=rien de prêts*socio=ec1 soutenable*socio=uv4. Le Comité*socio=ac décide d'examiner en septembre*socio=rien la question*socio=rien de savoir*socio=rien si les transferts*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 au profit*socio=ec1 de tous les pays_en_développement*socio=uv3 sont suffisants*socio=rien pour accélérer le rythme*socio=ec2 de leur développement*socio=uv3. Il demande*socio=ec1 qu'un*socio=rien rapport*socio=rien lui soit présenté à ce sujet*socio=rien pour faciliter ses débats*socio=et. Le Comité*socio=ac se déclare préoccupé des tendances*socio=ec2 à l'appauvrissement*socio=uv2 croissant*socio=rien et de la détérioration*socio=uv4 de la situation_sociale*socio=et que l'on constate dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil Les*socio=nil ministres*socio=ac *socio=nil demandent instamment qu'en concevant et en appliquant leurs réformes*socio=et de politique*socio=et générale*socio=rien les gouvernements*socio=ac et les institutions_internationales*socio=ac accordent*socio=rien une *socio=rien attention particulière *socio=nil à la protection*socio=et des groupes*socio=ac les plus vulnérables*socio=uv2. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac estiment qu'un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des flux*socio=ec1 et un*socio=rien ciblage*socio=uv3 plus précis*socio=rien de l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1, aussi bien*socio=rien intérieures*socio=te qu'extérieures*socio=te, contribueraient à atténuer les épreuves que subissent les pauvres*socio=uv2 dans le processus*socio=te d'ajustement*socio=et. Ils insistent sur*socio=rien l'importance*socio=rien d'un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des investissements*socio=ec1 dans les programmes*socio=et de lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1 et se félicitent des *socio=rien initiatives prises *socio=nil récemment par la Banque*socio=ac pour faire une plus *socio=rien large place aux*socio=nil questions de*socio=nil pauvreté*socio=uv1 *socio=nil dans ses opérations*socio=rien et pour renforcer l'appui*socio=uv1 accordé aux programmes*socio=et d' aide*socio=uv1 humanitaire*socio=uv des organisations_non_gouvernementales*socio=ac. Le Comité*socio=ac décide d'examiner cette question*socio=rien plus en *socio=rien détail lors *socio=nil d'une future*socio=te réunion*socio=rien, en se fondant sur*socio=rien les nouvelles*socio=rien études*socio=ec2 qui auront été*socio=rien faites par la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1. Le Comité*socio=ac affirme qu'il est*socio=rien important*socio=uv4 de protéger l'environnement*socio=et tout en recherchant des objectifs*socio=uv3 de croissance*socio=uv3 et de développement*socio=uv3. Ses membres*socio=ac soulignent que la *socio=rien poursuite simultanée d'*socio=nil objectifs*socio=uv3 *socio=nil dans ces divers domaines*socio=rien permet souvent d'obtenir*socio=rien des résultats*socio=rien plus efficaces*socio=uv4, car la pauvreté*socio=uv1 est*socio=rien une *socio=rien cause majeure de*socio=nil dégradation*socio=uv3 *socio=nil de l'environnement*socio=et et ce sont généralement les groupes*socio=ac les plus défavorisés*socio=rien qui en souffrent le plus. Le Comité*socio=ac se félicite des *socio=rien initiatives prises *socio=nil actuellement par la Banque*socio=ac pour accorder une importance*socio=rien accrue à la protection*socio=et de l'environnement*socio=et dans le cadre*socio=rien de ses opérations*socio=rien de prêt*socio=ec1 et pour aider ses emprunteurs*socio=ac à intégrer la gestion*socio=ec2 des ressources_naturelles*socio=ec1 à la planification*socio=et et à l'exécution*socio=rien de leurs activités*socio=rien de développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que des recherches*socio=ec2 complémentaires*socio=rien s'imposent à la lumière*socio=rien de ses débats*socio=et. À cet égard*socio=rien, il attend avec intérêt*socio=uv1 *socio=rien un nouveau rapport du Président*socio=ac *socio=nil à sa *socio=rien prochaine réunion *socio=nil et espère tirer profit*socio=ec1 des conclusions*socio=rien de la Commission*socio=ac mondiale*socio=te de l'environnement*socio=et et du*socio=rien développement*socio=uv3, dont le rapport*socio=rien sera publié prochainement.