*{ Fonds Monétaire international Rapport Annuel 1988 } Chapitre*socio=rien 1*socio=nil Évolution*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te 1 INTRODUCTION*socio=rien La production*socio=ec1 mondiale*socio=te et les échanges_commerciaux*socio=ec1 ont continué à se développer pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de 1987 et au début*socio=rien de 1988. En même temps*socio=rien, les variations*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 et l'aménagement*socio=et des politiques_économiques*socio=et des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont commencé à avoir des effets*socio=rien de plus en plus *socio=rien sensibles sur les*socio=nil déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te.*socio=nil *socio=nil Dans les pays_en_développement*socio=uv3, la croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien des exportations*socio=ec1 a permis*socio=rien de renforcer les positions*socio=rien extérieures*socio=te et de faire baisser les *socio=ec1 ratios dette/*socio=nil exportations.*socio=nil *socio=nil Cependant, en dépit*socio=rien de ces aspects*socio=rien positifs*socio=uv4, la situation*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te n'incite guère à la complaisance. Il reste*socio=rien encore beaucoup à faire, en effet*socio=rien, pour rétablir tant le crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te des pays*socio=ac lourdement endettés que la croissance*socio=uv3 dans l'ensemble*socio=rien du*socio=rien monde*socio=te en développement*socio=uv3. En outre, les déséquilibres*socio=uv3 demeurent importants*socio=uv4 dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac; aussi faut-il renforcer la dynamique*socio=uv4 de l'ajustement*socio=et en continuant à traduire dans les faits*socio=rien les engagements*socio=et pris dans le *socio=rien cadre du processus*socio=te de*socio=nil coordination*socio=uv3 des*socio=nil politiques_économiques*socio=et *socio=nil (voir encadré). Le *socio=ec1 Fonds monétaire,*socio=nil *socio=nil quant à lui, devrait continuer à appuyer et à promouvoir cette coordination*socio=uv3. La production*socio=ec1 réelle*socio=ec2 des pays_industrialisés*socio=ac a augmenté de plus de 3 % en 1987, soit un*socio=rien peu plus vite qu'en 1986. La vitalité*socio=uv1 dont avait fait*socio=rien preuve*socio=ec2 la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 pendant le *socio=rien second semestre *socio=nil de l'année*socio=rien s'est*socio=rien maintenue au début*socio=rien de 1988 et a largement neutralisé l'effet*socio=rien de freinage*socio=rien causé par les pertes*socio=ec2 de richesse*socio=ec1 consécutives*socio=rien à la chute *socio=rien du cours des*socio=nil actions*socio=ec1 en*socio=nil octobre *socio=nil 1987. Pendant ce temps*socio=rien, l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien demeurée faible*socio=rien, ce qui *socio=rien est remarquable après cinq années d'*socio=nil expansion*socio=ec2.*socio=nil Bien *socio=nil que la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 se soit légèrement accélérée, l'inflation*socio=ec1 tendancielle*socio=ec2 des pays_industrialisés*socio=ac, mesurée par les déflateurs du*socio=rien PNB*socio=ec1, a été*socio=rien d'environ 3 % en moyenne*socio=rien l'an*socio=rien dernier*socio=rien. En outre, les importants*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont commencé à se résorber en termes*socio=rien réels*socio=ec2, même s'ils demeurent préoccupants*socio=uv4. Aux États-unis*socio=ac par exemple*socio=rien, les exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien de biens*socio=ec1 et de services*socio=et ont progressé, en volume*socio=rien, de 0,2 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 en 1987, tandis que les excédents*socio=ec1 de la balance_courante*socio=ec1 du*socio=rien japon*socio=ac et de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac diminuaient respectivement de 0,7 % et de 1,1 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 en termes*socio=rien réels*socio=ec2. Enfin, le dynamisme*socio=uv3 économique*socio=ec1 relatif*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac s'est*socio=rien accompagné d'une forte*socio=rien expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, qui s'est*socio=rien accru, en volume*socio=rien, d'environ 51/2 % en 1987. Dans le monde*socio=te en développement*socio=uv3, l'évolution*socio=te récente*socio=rien de l'économie*socio=ec1 a été*socio=rien plus contrastée; certes, les tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les balances_de_paiements*socio=ec1 se sont quelque peu atténuées en 1987 et la production*socio=ec1 réelle*socio=ec2 a continué à s'accroître, mais les résultats*socio=rien ont été*socio=rien très inégaux*socio=uv2 d'un*socio=rien groupe_de_pays*socio=ac à l'autre. De nombreux*socio=rien pays*socio=ac ont bénéficié d'une vigoureuse*socio=rien croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1, qui s'est*socio=rien accompagnée d'une remontée *socio=rien partielle du prix*socio=ec1 des*socio=nil exportations*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil De ce fait*socio=rien, les *socio=ec1 ratios dette/*socio=nil exportations *socio=nil ont nettement baissé en 1987. Les positions*socio=rien *socio=te extérieures courantes *socio=nil se sont aussi sensiblement redressées puisqu'elles ont été*socio=rien à peu près équilibrées pour les pays_en_développement*socio=uv3 en tant que groupe*socio=ac, alors que leur déficit*socio=ec1 avait été*socio=rien de 41 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986. Cependant, malgré l'amélioration*socio=uv1 de l'environnement*socio=et extérieur*socio=te, le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien de croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 est*socio=rien tombé à 3,4 % en 1987, contre 4,2 % en 1986. Cette évolution*socio=te s'explique en partie*socio=rien par la stagnation*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui ont continué d'adapter*socio=rien leur économie*socio=ec1 à la baisse*socio=ec2 de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 survenue en 1986. De plus, la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 de certains grands*socio=rien pays*socio=ac non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1 a ralenti. Si l' activité_économique*socio=ec1 a été*socio=rien particulièrement vigoureuse*socio=rien dans les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés, en revanche, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 est*socio=rien restée inférieure*socio=rien au taux*socio=ec1 de d'accroissement*socio=ec2 démographique*socio=ec1 dans les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac, aggravant ainsi l'érosion*socio=ec2 régulière*socio=ec2 du*socio=rien niveau_de_vie*socio=uv1 que ces pays*socio=ac subissent presque chaque année*socio=rien depuis 1980. Dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, un*socio=rien des éléments*socio=rien particulièrement préoccupants*socio=uv4 a été*socio=rien la nette*socio=rien intensification*socio=ec2 des *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil causée, en partie*socio=rien, par les *socio=rien effets conjugués des*socio=nil *socio=ec1 dépréciations monétaires *socio=nil et de politiques*socio=et financières*socio=ec1 relativement laxistes. Sur*socio=rien le plan*socio=rien de l'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te, la *socio=rien situation continue *socio=nil d'exiger une approche fondée *socio=rien sur un esprit de*socio=nil coopération*socio=uv1.*socio=nil Bien *socio=nil que, on l'a vu, les *socio=ec1 ratios endettement/*socio=nil exportations *socio=nil aient diminué en 1987, la dette*socio=ec1 continue*socio=rien de représenter, dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, une charge*socio=rien sensiblement plus lourde*socio=rien qu'avant l'éclatement*socio=rien de la crise*socio=uv2 de la dette*socio=ec1 en 1982, et la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 n'est*socio=rien toujours pas satisfaisante*socio=uv4. Si l'on veut accomplir de nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 vers la solution*socio=rien des problèmes*socio=uv4 posés par l'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te et assurer le retour*socio=rien de taux_de_croissance*socio=ec1 plus élevés*socio=uv4 dans les pays_en_développement*socio=uv3, il faudra que les pays*socio=ac endettés améliorent leur politique_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te, que l'environnement*socio=et extérieur*socio=te reste*socio=rien favorable*socio=uv4 et que les financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te soient suffisants*socio=rien. S'agissant de la stratégie*socio=et en matière*socio=rien de dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, il convient de distinguer entre les petits*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 et les pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien lourdement endettés. La facilité d'ajustement*socio=et du*socio=rien *socio=ec1 Fonds monétaire (*socio=nil FAS)*socio=nil *socio=nil et la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FAS*socio=ec1 renforcée), qui vient d'être*socio=rien créée, ont, été*socio=rien conçues spécialement pour soutenir l'ajustement*socio=et et pour aider les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 à améliorer leurs perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3. Les autres créanciers*socio=ac officiels*socio=et - notamment la banque_mondiale*socio=ac - ont aussi un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 à jouer dans l'octroi*socio=rien d'aide*socio=uv1 à ces pays*socio=ac, en particulier*socio=rien à ceux qui prennent des mesures*socio=et pour renforcer l'efficacité*socio=uv3 de l'allocation*socio=et des ressources*socio=ec1. Les solutions*socio=rien aux problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 des pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien lourdement endettés, qui ont emprunté surtout auprès de sources*socio=rien privées*socio=et, doivent tenir compte*socio=ec1 des réalités*socio=ec2 du*socio=rien marché*socio=ec1. Étant donné que l'accès*socio=uv1 de ces pays*socio=ac à de nouveaux*socio=rien financements*socio=ec1 est*socio=rien souvent limité par le poids*socio=rien de la dette*socio=ec1 qu'ils ont déjà contractée, les innovations*socio=uv3 récentes*socio=rien apportées au système*socio=rien de financement*socio=ec1 "à la carte*socio=rien" sont autant de progrès*socio=uv1 importants*socio=uv4 vers l'amélioration*socio=uv1 du*socio=rien crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te de ces pays*socio=ac. Cependant, les flux*socio=ec1 de financements_privés*socio=ec1 ne reprendront que dans la mesure*socio=rien où ces pays*socio=ac montreront qu'ils sont capables*socio=rien d'assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 aux conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 et de mettre en ouvre des politiques*socio=et qui s'attaquent aux questions*socio=rien de fond*socio=rien que sont l'adaptabilité*socio=uv3 et l'efficacité*socio=uv3 de leur économie*socio=ec1. De leur côté*socio=rien, les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 et les autres prêteurs*socio=ac privés*socio=et doivent continuer à accroître le nombre*socio=rien des *socio=rien options offertes en*socio=nil matière de*socio=nil financements*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil afin que les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et bien*socio=rien conçus ne manquent pas de bénéficier d'un*socio=rien soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1 suffisant*socio=rien. Pour promouvoir les politiques*socio=et d'ajustement*socio=et axées sur*socio=rien la croissance*socio=uv3, le *socio=ec1 Fonds monétaire *socio=nil a continué d'adapter*socio=rien ses différents*socio=rien mécanismes*socio=et et facilités, et ses instruments*socio=et. en particulier*socio=rien, la facilité de financement*socio=ec1 compensatoire*socio=et et de financement*socio=ec1 pour imprévus*socio=uv4 a été*socio=rien créée pour aider à préserver la dynamique*socio=uv4 de l'ajustement*socio=et en cas*socio=rien d'événements*socio=rien extérieurs*socio=te défavorables*socio=uv4. Des décisions*socio=et ont aussi *socio=rien été prises *socio=nil pour faire du*socio=rien mécanisme*socio=et élargi de crédit*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 un*socio=rien instrument*socio=et mieux à même de promouvoir l'ajustement*socio=et macroéconomique*socio=ec1 global*socio=te à *socio=rien moyen terme *socio=nil ainsi que les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 et d'agir comme catalyseur*socio=ec2 de financements*socio=ec1 provenant d'autres sources*socio=rien. Le *socio=rien reste du présent chapitre est *socio=nil consacré à un*socio=rien exposé plus détaillé de l'évolution*socio=te récente*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, qui servira de base*socio=rien à l'analyse*socio=ec2 des politiques*socio=et et *socio=rien activités du Fonds*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil présentée au chapitre*socio=rien 2. POLITIQUES*socio=et ET activités_économiques*socio=ec1 INTÉRIEURES*socio=te *socio=rien CADRE GÉNÉRAL *socio=nil DE LA politique_économique*socio=ec1 pays_industrialisés*socio=ac Depuis qu'a été*socio=rien lancé le processus*socio=te de coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et, les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont accompli d'importants*socio=uv4 progrès*socio=uv1 vers l'encouragement*socio=uv4 d'une croissance*socio=ec1 soutenue dans des conditions*socio=ec1 de faible*socio=rien inflation*socio=ec1, la réduction*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te et une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1. Les réunions*socio=rien à intervalles*socio=rien réguliers*socio=ec2 du*socio=rien Groupe*socio=ac des Sept pour discuter, sur*socio=rien la base*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 économiques*socio=ec1, des politiques*socio=et et des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 constituent un*socio=rien progrès*socio=uv1 considérable*socio=rien. Il en est*socio=rien résulté des changements*socio=uv3 dans l'orientation*socio=et et dans le dosage*socio=rien des politiques_économiques*socio=et nationales*socio=te, qui ont rendu le climat*socio=rien plus propice*socio=rien à une croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Particulièrement*socio=nil importants*socio=uv4 ont*socio=nil été l'*socio=nil accélération*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te dans les principaux*socio=rien pays*socio=ac excédentaires*socio=ec2 et son ralentissement*socio=ec2 aux États-unis*socio=ac. Cette modification*socio=rien de la structure*socio=ec1 de la demande*socio=ec1 a amplifié l'effet*socio=rien, sur*socio=rien les échanges_commerciaux*socio=ec1 réels*socio=ec2, *socio=rien du réalignement substantiel des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil qui s'est*socio=rien opéré depuis 1985. Cependant, il demeure nécessaire*socio=rien de coordonner avec fermeté*socio=rien les politiques_économiques*socio=et. En effet*socio=rien, même si les déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te ont commencé à diminuer en termes*socio=rien réels*socio=ec2, ils sont encore élevés*socio=uv4. Par ailleurs*socio=rien, l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 semble indiquer que les investisseurs*socio=ac sont restés sceptiques quant à la rapidité*socio=rien et à l'ampleur*socio=rien de l'ajustement*socio=et. Indépendamment de la forte*socio=rien instabilité*socio=uv3 *socio=rien du cours des*socio=nil actions*socio=ec1 *socio=nil vers la fin*socio=rien de 1987 et au début*socio=rien de 1988, une certaine*socio=rien fébrilité a été*socio=rien constatée sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 immédiatement après*socio=rien la crise*socio=uv2 boursière*socio=ec1 d'octobre*socio=rien 1987. Dans l'ensemble*socio=rien, toutefois, les taux_de_change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 ont été*socio=rien généralement stables*socio=uv4. L'évolution*socio=te de la situation*socio=rien monétaire*socio=ec1 a favorisé*socio=rien l'ajustement*socio=et nécessaire*socio=rien des taux_de_croissance*socio=ec1 relatifs*socio=rien des dépenses*socio=ec1 intérieures*socio=te tout en aidant à maintenir l'inflation*socio=ec1 à *socio=rien un niveau peu*socio=nil élevé*socio=uv4 *socio=nil dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. La réduction*socio=ec2, équivalente*socio=rien à 2 % du*socio=rien PNB*socio=ec1, du*socio=rien déficit*socio=ec1 du*socio=rien budget*socio=ec1 fédéral*socio=et des États-unis*socio=ac pendant l'exercice*socio=rien 1987 est*socio=rien l'un*socio=rien des accomplissements les plus importants*socio=uv4 de la période*socio=te. Sur*socio=rien la base*socio=rien des comptes*socio=ec1 nationaux*socio=te, la réduction*socio=ec2 représente, pour l'année*socio=rien civile*socio=ac, 1,4 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 (tableau*socio=rien 1). En outre, l'ensemble*socio=rien des mesures*socio=et adoptées en décembre*socio=rien 1987 pour réduire le déficit*socio=ec1 a aidé à contenir celui-ci pendant l'exercice*socio=rien 1988 et contribuera aussi à la rigueur*socio=uv3 budgétaire*socio=et pendant l'exercice*socio=rien 1989. De plus, l'engagement*socio=uv1 ferme*socio=ec2 a été*socio=rien pris de réduire le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et au cours*socio=rien des années*socio=rien à venir, encore que des incertitudes*socio=uv3 subsistent quant au rythme*socio=ec2 du*socio=rien rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et. Le japon*socio=ac a pour sa part*socio=rien adopté en 1987 toute une série de mesures*socio=et destinées*socio=rien à stimuler la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, comme il s'y était engagé par l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et. En République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et a légèrement augmenté en 1987, en raison*socio=rien surtout *socio=rien du manque *socio=nil à gagner lié à l'abaissement*socio=rien des impôts*socio=et, au ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 du*socio=rien revenu*socio=ec1 nominal*socio=rien et à l'évolution*socio=te des bénéfices*socio=ec1 comptables*socio=rien transférés par la Bundesbank. Au Canada*socio=ac, en France*socio=ac et en Italie*socio=ac, les efforts*socio=uv1 visant à limiter*socio=rien le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et se sont poursuivis, tandis qu'au Royaume-uni*socio=ac le rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et et la croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien des recettes*socio=ec1 fiscales*socio=et due au dynamisme*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 ont abouti à un*socio=rien excédent*socio=ec1 du*socio=rien budget*socio=ec1 global*socio=te et, partant, à un*socio=rien besoin*socio=uv1 d'emprunt*socio=ec1 *socio=rien négatif du secteur_public*socio=et,*socio=nil compte*socio=ec1 *socio=nil tenu, entre autres, *socio=rien du produit *socio=nil de la privatisation*socio=et de certaines*socio=rien entreprises*socio=ac publiques*socio=et, Dans quelques petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, à savoir*socio=rien l'Australie*socio=ac, la Belgique*socio=ac, l'Espagne*socio=ac, la Nouvelle-zélande*socio=ac et la Suède*socio=ac, la situation*socio=rien budgétaire*socio=et s'est*socio=rien aussi nettement redressée en 1987. Par contre, dans plusieurs autres, elle s'est*socio=rien aggravée pour *socio=rien diverses raisons:*socio=nil manque de*socio=nil dynamisme*socio=uv3 *socio=nil de l' activité_économique*socio=ec1 (Danemark*socio=ac), baisse*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 provenant des exportations*socio=ec1 de gaz*socio=ec1 et de pétrole*socio=ec1 (Pays-bas*socio=ac et Norvège*socio=ac) ou réorientation*socio=et de la politique_économique*socio=ec1 dans *socio=rien un sens expansionniste*socio=ec2 (*socio=nil Autriche*socio=ac et*socio=nil Finlande*socio=ac)*socio=nil .*socio=nil Les*socio=nil *socio=et mesures budgétaires,*socio=nil *socio=nil dont le rôle*socio=et s'est*socio=rien accru, ont été*socio=rien complétées par des politiques_monétaires*socio=et d'accompagnement*socio=rien dans le *socio=rien cadre du processus*socio=te de*socio=nil coordination*socio=uv3 des*socio=nil politiques_économiques*socio=et.*socio=nil De*socio=nil crainte*socio=uv1 *socio=nil que l'inflation*socio=ec1 ne s'accélère et pour des considérations*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1, les États-unis*socio=ac ont laissé les taux_d'_intérêt*socio=ec1 monter légèrement au milieu*socio=rien de 1987 (graphique*socio=rien 1). Dans l'ensemble*socio=rien, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te ont aussi augmenté au japon*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, mais les écarts*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 se sont néanmoins sensiblement accrus en faveur*socio=rien des avoirs*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1. Bien*socio=rien que le comportement*socio=rien de la masse_monétaire*socio=ec1 soit resté difficile*socio=rien à interpréter dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, l'évolution*socio=te des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil semble tout de même confirmer que la situation*socio=rien monétaire*socio=ec1 s'est*socio=rien resserrée aux États-unis*socio=ac par rapport*socio=rien à celle des autres pays*socio=ac (tableau*socio=rien 2). Pendant les jours*socio=rien qui ont suivi la crise*socio=uv2 boursière*socio=ec1 d'octobre*socio=rien 1987, les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 ont agi rapidement et de concert*socio=uv1 pour assurer des liquidités*socio=ec1 suffisantes*socio=rien mais elles en ont ensuite résorbé la plus *socio=rien grande partie *socio=nil lorsque la crise*socio=uv2 s'est*socio=rien estompée. Dans leur déclaration*socio=et du*socio=rien 22 décembre*socio=rien, les pays*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Sept sont convenus que leurs politiques_monétaires*socio=et devraient continuer à avoir comme objectifs*socio=uv3 d'assurer des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil permettant d'obtenir*socio=rien une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 forte*socio=rien dans la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1, ainsi que de contribuer à la stabilité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1. Pendant le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1988, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 américains*socio=ac, tant à long_terme*socio=te qu'à court_terme*socio=te, sont restés légèrement inférieurs*socio=rien à leur niveau*socio=rien d'avant la crise*socio=uv2 boursière*socio=ec1. Cependant, comme les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont aussi baissé dans les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac, un*socio=rien écart*socio=ec2 appréciable*socio=rien s'est*socio=rien maintenu pour les 'taux*socio=ec1 à court_terme*socio=te entre les avoir s*socio=rien en dollars*socio=ec1 d'une part*socio=rien, et les avoirs*socio=ec1 libellés dans les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac d'autre part*socio=rien; par rapport*socio=rien aux avoirs*socio=ec1 libellés en yen*socio=ec1, l'écart*socio=ec2 s'est*socio=rien nettement amenuisé *socio=rien après octobre *socio=nil 1987 (graphique*socio=rien 11). Pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de 1987, les marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 ont été*socio=rien caractérisés par une accentuation*socio=ec2 des courbes de rendement*socio=ec1, les investisseurs*socio=ac hésitant*socio=rien davantage à risquer des placements*socio=ec1 à plus long_terme*socio=te. Les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 ont aussi occupé une *socio=rien place prépondérante *socio=nil dans la politique_économique*socio=ec1. en particulier*socio=rien, la *socio=et réforme fiscale *socio=nil a nettement progressé dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac où les taux*socio=ec1 marginaux*socio=rien d'imposition*socio=et ont été*socio=rien abaissés et où les bases*socio=rien d'imposition*socio=et ont été*socio=rien élargies. De même, *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont déréglementé leurs marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 et de produits*socio=rien. En outre, la privatisation*socio=et des entreprises*socio=ac publiques*socio=et a eu pour but*socio=rien d'accroître la concurrence*socio=ec1 et l'efficacité*socio=uv3 tout en contribuant au rééquilibrage*socio=uv3 du*socio=rien budget*socio=ec1. Bien*socio=rien que des mesures*socio=et aient été*socio=rien aussi prises*socio=rien pour réduire les rigidités*socio=uv3 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de la main-d'_ouvre*socio=et, il semblerait, compte*socio=ec1 tenu des augmentations*socio=ec2 de salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2 relativement élevées*socio=uv4 consenties en 1987 dans quelques pays*socio=ac d'Europe*socio=ac, que de nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 s'imposent si l'on veut faire reculer le chômage*socio=ec1. Plusieurs pays*socio=ac ont entrepris de réformer leur politique*socio=et de soutien*socio=uv3 à l'agriculture*socio=ec1, non seulement pour réduire la charge*socio=rien qu'elle représente pour les finances*socio=ec1 publiques*socio=et et améliorer l'allocation*socio=et des ressources*socio=ec1, mais aussi pour éliminer les distorsions*socio=uv3 qu'elle provoque sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te. Toutes ces mesures*socio=et ont contribué à la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv3 intérieurs*socio=te, en particulier*socio=rien à une utilisation*socio=rien plus efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1, à *socio=rien un comportement plus*socio=nil acceptable*socio=uv2 des*socio=nil prix*socio=ec1,*socio=nil au*socio=nil recul du chômage*socio=ec1 *socio=nil et à une meilleure*socio=uv4 adaptabilité*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 aux imprévus*socio=uv4. Plus récemment, l'attention*socio=rien s'est*socio=rien *socio=rien portée sur les*socio=nil moyens*socio=ec1 *socio=nil de faire contribuer plus directement les politiques*socio=et structurelles*socio=ec2 à la résorption*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te. Par exemple*socio=rien, la série de négociations_commerciales_multilatérales*socio=et de l'uruguay_round*socio=et a pour but*socio=rien de libéraliser les échanges_commerciaux*socio=ec1, tant dans les *socio=rien secteurs traditionnels *socio=nil que dans de *socio=rien nouveaux domaines *socio=nil comme les produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 et les services*socio=et. Le japon*socio=ac, en particulier*socio=rien, a engagé plusieurs réformes*socio=et et en envisage d'autres pour promouvoir la restructuration*socio=et de l'économie*socio=ec1 et stimuler la demande*socio=ec1 intérieure'. pays_en_développement*socio=uv3 Face*socio=rien à la faiblesse*socio=ec2 de leurs prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1, au montant*socio=ec1 élevé*socio=uv4 de leurs obligations*socio=uv1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1 extérieure*socio=te *socio=nil et au quasi-tarissement des financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te privés*socio=et, la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 se sont surtout efforcés ces *socio=rien dernières années *socio=nil de rééquilibrer leur position*socio=rien extérieure*socio=te. Grâce*socio=rien à ces efforts*socio=uv1, et aussi à une certaine*socio=rien amélioration*socio=uv1 de l'environnement*socio=et extérieur*socio=te, le groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 a enregistré en 1987 son premier*socio=rien excédent*socio=ec1 au titre*socio=rien des paiements*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants *socio=nil depuis 1980. Dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil déséquilibres*socio=uv3 -*socio=nil intérieurs*socio=te et*socio=nil extérieurs*socio=te *socio=nil - apparus à la suite*socio=rien de la chute des *socio=ec1 prix pétroliers *socio=nil en 1986 ont continué à représenter un*socio=rien obstacle*socio=uv3 de taille à l'ajustement*socio=et. Étant donné que les recettes*socio=ec1 provenant de la production*socio=ec1 et de l'exportation*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 représentent une *socio=rien part appréciable des*socio=nil recettes*socio=ec1 budgétaires*socio=et totales *socio=nil de ces pays*socio=ac, la situation*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et s'était fortement détériorée en 1986, bien*socio=rien que les autorités*socio=et aient immédiatement comprimé les dépenses*socio=ec1. Pour éliminer ces déséquilibres*socio=uv3, le contrôle*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 a continué à être*socio=rien renforcé et les autorités*socio=et se sont efforcées d'accroître les recettes*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1. De cette manière*socio=rien, et grâce*socio=rien à une remontée partielle*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et de la plupart*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil ont sensiblement diminué en 1987. La plupart*socio=rien des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien *socio=ac Sahara exportateurs de*socio=nil *socio=rien produits primaires *socio=nil ont eux aussi intensifié leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et en 1987. Leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1, qui se détériorent de façon*socio=rien presque continuelle*socio=te depuis près de *socio=rien vingt ans,*socio=nil *socio=nil ont continué à se dégrader en 1987, malgré la remontée *socio=rien du cours *socio=nil de certains produits*socio=rien de base*socio=rien. Dans ces pays*socio=ac, non seulement la croissance*socio=uv3, en volume*socio=rien, des exportations*socio=ec1 a été*socio=rien relativement faible*socio=rien, mais elle s'est*socio=rien accompagnée d'un*socio=rien *socio=rien nouveau recul du pouvoir_d'_achat*socio=ec1 *socio=nil de ces exportations*socio=ec1, qui a baissé de 9 % entre 1980 et 1987. Cette évolution*socio=te, ainsi que le montant*socio=ec1 limité des financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te disponibles*socio=rien et le niveau*socio=rien relativement faible*socio=rien des réserves*socio=ec1 de change*socio=ec1, ont entraîné un*socio=rien resserrement*socio=ec2 des politiques_budgétaires*socio=et et monétaires*socio=ec1. Par ailleurs*socio=rien, pour améliorer l'efficacité*socio=uv3 économique*socio=ec1 et augmenter leur potentiel*socio=uv4 de croissance*socio=uv3, nombre*socio=rien de pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac ont commencé - ou continué - à appliquer des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 destinées*socio=rien à accroître le rôle*socio=et des forces_du_marché*socio=ec1 dans l'allocation*socio=et des ressources*socio=ec1. Pour les pays_en_développement*socio=uv3 de l'hémisphère_occidental*socio=te, l'environnement*socio=et extérieur*socio=te a évolué dans *socio=rien un sens plus*socio=nil favorable*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil améliorant ainsi les chances*socio=rien de voir la croissance*socio=uv3 s'accélérer de nouveau*socio=rien au cours*socio=rien de la période*socio=te à venir. *socio=rien Du fait *socio=nil qu'une part*socio=rien assez importante*socio=uv4 de leur dette*socio=ec1 extérieure*socio=te est*socio=rien assortie de taux_d'_intérêt*socio=ec1 variables*socio=rien, les pays*socio=ac de cette région*socio=te ont davantage profité que d'autres de la baisse*socio=ec2 des taux*socio=ec1 qui s'est*socio=rien opérée dans les pays_industrialisés*socio=ac depuis 1982. En outre, tant les prix*socio=ec1 que le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 ont remonté en 1987, permettant une certaine*socio=rien diminution*socio=ec2 des *socio=ec1 ratios dette/*socio=nil exportations *socio=nil et une atténuation*socio=ec2 des contraintes*socio=uv1 extérieures*socio=te qui pesaient sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1. Cependant, comme en témoignent*socio=rien les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 élevés*socio=uv4 dans nombre*socio=rien des pays*socio=ac de la région*socio=te, la mise en ouvre des politiques_économiques*socio=et a continué à se heurter à des difficultés*socio=uv4 qui ont largement entravé le retour*socio=rien à une croissance*socio=uv3 plus forte*socio=rien et l'amélioration*socio=uv1 du*socio=rien crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te de ces pays*socio=ac. Pour s'attaquer à l'inflation*socio=ec1, *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'entre eux (par exemple*socio=rien l'Argentine*socio=ac et le Brésil*socio=ac) ont adopté ces *socio=rien dernières années de*socio=nil vastes programmes*socio=et de*socio=nil stabilisation*socio=et *socio=nil qui allient *socio=et mesures budgétaires et*socio=nil monétaires*socio=ec1 classiques*socio=rien *socio=nil à des approches plus "hétérodoxes*socio=rien", notamment contrôles*socio=et des salaires*socio=ec1 et des prix*socio=ec1, désindexation et *socio=rien établissement du taux_de_change*socio=ec1 par*socio=nil rapport *socio=nil à une autre unité*socio=rien de référence*socio=rien. jusqu'à présent*socio=rien, ces programmes*socio=et ont produit*socio=rien des résultats*socio=rien contrastés mais il *socio=rien est évident *socio=nil que leur succès*socio=uv1 dépendra avant tout de l'orientation*socio=et des politiques_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et. Là où ces politiques*socio=et sont restées trop expansionnistes*socio=ec2 pour permettre une baisse*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1, les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 persistent et le contrôle*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et des salaires*socio=ec1 n'a abouti, dans le meilleur*socio=uv4 des cas*socio=rien, qu'à une diminution*socio=ec2 *socio=rien temporaire du taux*socio=ec1 d'*socio=nil inflation*socio=ec1.*socio=nil Une*socio=nil fois *socio=nil levé le contrôle*socio=uv3 des prix*socio=ec1, l'inflation*socio=ec1 a repris de plus belle*socio=rien, aidée en cela par l'accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la masse_monétaire*socio=ec1. Les *socio=ac pays asiatiques exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés ont bénéficié de l'environnement*socio=et extérieur*socio=te relativement favorable*socio=uv4 de ces *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Quelques-unes des nouvelles*socio=rien *socio=ec1 économies industrielles *socio=nil ont même enregistré d'importants*socio=uv4 *socio=ec1 excédents commerciaux *socio=nil ainsi qu'une forte*socio=rien accumulation*socio=ec2 de réserves*socio=ec1 et ont été*socio=rien en mesure*socio=rien de réduire leur endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te. Dans ces économies*socio=ec1, la politique_économique*socio=ec1 a été*socio=rien réorientée dans *socio=rien un sens plus*socio=nil expansionniste*socio=ec2 *socio=nil afin de contenir les excédents*socio=ec1. Par contre, la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac d'Asie*socio=ac ont continué d'appliquer en 1987 une politique_économique*socio=ec1 prudente*socio=uv2 qui a largement contribué aux résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 satisfaisants*socio=uv4 qu'ils ont obtenus. *socio=rien Un grand nombre *socio=nil d'entre eux ont réduit leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et tout en contenant l'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1 et en appliquant des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. En Inde*socio=ac, bien*socio=rien que l'aide*socio=uv1 d'urgence*socio=rien aux régions*socio=te frappées par la sécheresse*socio=et ait représenté des dépenses*socio=ec1 considérables*socio=rien, la situation*socio=rien budgétaire*socio=et s'est*socio=rien améliorée, tandis que la politique_monétaire*socio=et aidait à limiter*socio=rien les effets*socio=rien inflationnistes*socio=ec2 des pénuries*socio=ec2. Les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 ont continué en Chine*socio=ac, ce qui a favorisé*socio=rien la poursuite*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien de la production*socio=ec1. Cependant, cette vitalité*socio=uv1 de l'économie*socio=ec1 s'est*socio=rien accompagnée d'une intensification*socio=ec2 des *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil ACTIVITÉ*socio=rien INTÉRIEURE*socio=te pays_industrialisés*socio=ac *socio=rien Après un ralentissement*socio=ec2 *socio=nil en 1986, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 du*socio=rien groupe_des_pays_industrialisés*socio=ac s'est*socio=rien nettement redressée en 1987, *socio=rien cinquième année *socio=nil de la reprise qui a débuté en 1983 (tableau*socio=rien 3). En glissement*socio=rien d'un*socio=rien quatrième*socio=rien trimestre*socio=te au quatrième*socio=rien trimestre*socio=te suivant*socio=rien, la vitalité*socio=uv1 économique*socio=ec1 de ces pays*socio=ac est*socio=rien particulièrement frappante*socio=rien. En effet*socio=rien, sur*socio=rien cette base*socio=rien, le PNB*socio=ec1 réel*socio=rien a progressé de près de 4 %, contre une augmentation*socio=ec2 de 2,3 % en 1986. En moyenne*socio=rien annuelle*socio=te, la croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 s'est*socio=rien renforcée, passant de 2,7 % en 1986 à 3,3 % en 1987. Ces résultats*socio=rien sont légèrement meilleurs*socio=uv4 qu'on ne le prévoyait en début*socio=rien dl année*socio=rien, car les *socio=rien fortes variations des*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 *socio=nil et des taux_de_change*socio=ec1 survenues en 1985 et 1986 ont produit*socio=rien des effets*socio=rien positifs*socio=uv4 qui ont peu à peu neutralisé les conséquences*socio=rien largement négatives*socio=rien qu'elles avaient eues à court_terme*socio=te. Ce décalage*socio=rien tient au fait*socio=rien que les pays*socio=ac ont réagi de façon*socio=rien asymétrique selon que les variations*socio=rien prononcées des rapports*socio=rien de compétitivité*socio=uv3 et de prix*socio=ec1 leur étaient favorables*socio=uv4 ou non, l'ajustement*socio=et étant beaucoup plus rapide*socio=rien dans le *socio=rien premier cas *socio=nil que dans le second*socio=rien. Un*socio=rien autre élément*socio=rien positif*socio=uv4 a peut-être influencé la demande*socio=ec1 pendant le cycle*socio=te économique*socio=ec1 en cours*socio=rien et surtout pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de 1987: il s'agit de la vitalité*socio=uv1 des *socio=ec1 marchés boursiers *socio=nil qui a fortement accru la richesse*socio=ec1 des ménages*socio=ac. Depuis le début*socio=rien de la reprise, il semblerait que l'augmentation*socio=ec2 de la richesse*socio=ec1 due à la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et à la réalisation*socio=uv1 d'importants*socio=uv4 gains*socio=ec1 en capital*socio=ec1, tant sur*socio=rien les *socio=ec1 avoirs financiers que*socio=nil sur*socio=rien les*socio=nil biens réels*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil ait stimulé la croissance*socio=uv3 relativement rapide*socio=rien de la consommation*socio=ec1. De ce fait*socio=rien, les *socio=ec1 ratios épargne/*socio=nil revenu des*socio=nil ménages*socio=ac *socio=nil ont sensiblement diminué et cette tendance*socio=ec2 s'est*socio=rien poursuivie dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac en 1987. Il se peut que l'impulsion*socio=ec2 donnée par les plus-values*socio=ec1 ait été*socio=rien freinée, voire inversée, dans certains pays*socio=ac par la crise*socio=uv2 boursière*socio=ec1 *socio=rien du mois d'*socio=nil octobre *socio=nil mais d'autres composantes*socio=ec1 de la demande*socio=ec1, en particulier*socio=rien les investissements*socio=ec1 des entreprises*socio=ac et les exportations*socio=ec1, ont continué à alimenter la croissance*socio=uv3. En outre, l'accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 peut aussi s'expliquer par les mesures*socio=et économiques*socio=ec1 qui ont *socio=rien été prises,*socio=nil *socio=nil notamment les *socio=et mesures budgétaires *socio=nil adoptées par le japon*socio=ac en mai*socio=rien 1987. Le dynamisme*socio=uv3 économique*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac considérés en tant que groupe*socio=ac masque un*socio=rien changement*socio=uv3 majeur*socio=rien quant à l'évolution*socio=te de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 dans les différents*socio=rien pays*socio=ac. S'ajoutant aux *socio=rien variations sensibles des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 réels*socio=ec2 *socio=nil qui sont intervenues depuis 1985, ce changement*socio=uv3 a largement contribué au renversement*socio=rien de la tendance*socio=ec2 antérieure*socio=te - à savoir*socio=rien l'aggravation*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te des trois principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Aux États-unis*socio=ac, la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te est*socio=rien tombée à 3 % en 1987, soit son taux*socio=ec1 le plus faible*socio=rien depuis 1982. Le resserrement*socio=ec2 sensible*socio=rien de la politique_budgétaire*socio=et a freiné la croissance*socio=uv3 de la consommation*socio=ec1 tant publique*socio=et que privée*socio=et. En outre, la chute des valeurs*socio=ec1 boursières*socio=ec à la fin*socio=rien de 1987 a contribué à une compression*socio=et des dépenses*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 pendant le quatrième*socio=rien trimestre*socio=te. Cependant, étant donné que les exportations*socio=ec1 ont fortement progressé et que la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1 s'est*socio=rien ralentie, la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PNB*socio=ec1 réel*socio=rien s'est*socio=rien maintenue autour de 3 %, comme en 1985 et 1986, et est*socio=rien restée assez forte*socio=rien pour faire reculer encore le chômage*socio=ec1. C'était la *socio=rien première fois *socio=nil depuis 1980 que les États-unis*socio=ac enregistraient une amélioration*socio=uv1 de leurs exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien réelles*socio=ec2. Dans la plupart*socio=rien des autres pays_industrialisés*socio=ac, la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a continué à s'accroître plus vite que la production*socio=ec1. Cette évolution*socio=te représente non seulement la contrepartie*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien réelles*socio=ec2 des États-unis*socio=ac, mais encore, ce qui est*socio=rien plus important*socio=uv4, le brusque revirement*socio=rien de la situation*socio=rien extérieure*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3. Dans plusieurs pays*socio=ac - notamment au japon*socio=ac, au Royaume-uni*socio=ac, en Italie*socio=ac et au Canada*socio=ac -, la vitalité*socio=uv1 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a amplement compensé l'affaiblissement*socio=ec2 de l'impulsion*socio=ec2 donnée par le secteur*socio=rien extérieur*socio=te, de sorte*socio=rien que la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 s'est*socio=rien soit sensiblement accélérée, soit maintenue à un*socio=rien taux*socio=ec1 relativement élevé*socio=uv4. En France*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, cependant, bien*socio=rien que la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te ait continué à s'accroître à un*socio=rien rythme*socio=ec2 beaucoup plus soutenu que pendant la période*socio=te 1983-85, la détérioration*socio=uv4 du*socio=rien solde*socio=ec1 extérieur*socio=te réel*socio=rien a été*socio=rien tellement prononcée que la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 est*socio=rien demeurée comparativement faible*socio=rien, quand elle n'a pas ralenti. En ce qui concerne les petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, la production*socio=ec1 a augmenté de 5,2 % en Espagne*socio=ac et l'économie*socio=ec1 australienne, qui avait ralenti en 1986, a opéré *socio=rien un net redressement*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Cependant, dans plusieurs autres pays*socio=ac, l'activité*socio=rien a baissé, en raison*socio=rien de pertes*socio=ec2 de compétitivité*socio=uv3 ou de l'application*socio=rien de politiques*socio=et financières*socio=ec1 d'austérité*socio=uv3 liées aux contraintes*socio=uv1 de balance_des_paiements*socio=ec1 ou aux préoccupations*socio=uv4 de voir renaître l'inflation*socio=ec1. Pour l'ensemble*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, la croissance*socio=uv3 relativement forte*socio=rien de la production*socio=ec1 s'est*socio=rien accompagnée en 1987 d'une progression*socio=ec2 de l'emploi*socio=ec1 sans commune*socio=uv2 mesure*socio=rien avec l'augmentation*socio=ec2 de la population_active*socio=ac. Comme les *socio=rien années précédentes,*socio=nil les*socio=nil conséquences *socio=nil de l'accroissement*socio=ec2 de la production*socio=ec1 pour le marché_du_travail*socio=ec1 n'ont pas été*socio=rien ressenties de la même façon*socio=rien dans tous les pays*socio=ac (graphique*socio=rien 2). En amérique_du_nord*socio=ac, la demande*socio=ec1 de main-d'_ouvre*socio=et est*socio=rien restée vive *socio=rien du fait,*socio=nil *socio=nil notamment, que l'augmentation*socio=ec2 des salaires*socio=ec1 s'est*socio=rien poursuivie tout en restant modérée. C'est*socio=rien ainsi que le chômage*socio=ec1 a continué à reculer sensiblement au Canada*socio=ac et aux États-unis*socio=ac; dans ce dernier*socio=rien pays*socio=ac, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 est*socio=rien tombé à 5,4 % pendant le deuxième*socio=rien trimestre*socio=te de 1988, ce qui représente une diminution*socio=ec2 d'environ 5 points*socio=rien par rapport*socio=rien au *socio=rien pire moment *socio=nil de la récession*socio=ec2 en 1982. Au japon*socio=ac également, la forte*socio=rien accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 a entraîné *socio=rien un renversement *socio=nil de la tendance*socio=ec2 à la *socio=rien hausse du chômage*socio=ec1 *socio=nil observée en 1986. En Europe*socio=ac, l'élément*socio=rien le plus encourageant a été*socio=rien la forte*socio=rien baisse*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 au Royaume-uni*socio=ac; au milieu*socio=rien de 1988, il était de 81/2 %, ce qui représente *socio=rien un recul *socio=nil de 3 points*socio=rien en deux ans*socio=rien. Dans la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac d'Europe*socio=ac, les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 ont continué à monter ou sont restés relativement élevés*socio=uv4. pays_en_développement*socio=uv3 Si la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 en tant que groupe*socio=ac a *socio=rien été semblable *socio=nil en 1987 à celle des pays_industrialisés*socio=ac, les résultats*socio=rien des secteurs*socio=rien productifs*socio=uv4 ont *socio=rien été un *socio=nil peu moins bons*socio=rien qu'en 1986 et en deçà des prévisions*socio=ec2 *socio=rien du début *socio=nil de l'année*socio=rien. Il importe aussi de noter que, en *socio=rien raison du fort accroissement*socio=ec2 démographique*socio=ec1 *socio=nil et de la faiblesse*socio=ec2 des revenus*socio=ec1, un*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec1 de 31/2 %, qui pourrait être*socio=rien considéré comme assez élevé*socio=uv4 pour un*socio=rien pays_industrialisé*socio=ac, est*socio=rien relativement faible*socio=rien pour un*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 (tableau*socio=rien 4). Dans l'ensemble*socio=rien, les niveaux_de_vie*socio=uv1 n'ont que légèrement progressé et, dans la plupart*socio=rien des régions*socio=te, ils sont restés nettement inférieurs*socio=rien aux niveaux*socio=rien qu'ils avaient atteints au début*socio=rien de la décennie*socio=te (graphique*socio=rien 3). Les progrès*socio=uv1 réalisés dans ce domaine*socio=rien par les pays*socio=ac du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac à la suite*socio=rien de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 de 1979-80 sont maintenant entièrement effacés. En Afrique*socio=ac, où les niveaux_de_vie*socio=uv1 moyens*socio=ec1 ont diminué de plus de 20 % depuis 1981, la *socio=rien situation est particulièrement*socio=nil critique*socio=uv2.*socio=nil Le*socio=nil ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 constaté en 1987 dans les pays_en_développement*socio=uv3 tient à divers *socio=rien facteurs transitoires,*socio=nil *socio=nil encore que dans plusieurs régions*socio=te la croissance*socio=uv3 se soit heurtée à des obstacles*socio=uv3 ancrés de façon*socio=rien plus durable*socio=uv4 dans la structure*socio=ec1 de l'économie*socio=ec1. L' activité_économique*socio=ec1 a marqué le pas dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui ont continué à adapter*socio=rien leur économie*socio=ec1 à la forte*socio=rien chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 survenue l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Bien*socio=rien que les prix*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 aient partiellement remonté en 1987, le prix*socio=ec1 des importations*socio=ec1 a fortement augmenté, de sorte*socio=rien qu'en 1987 les termes_de_l'_échange*socio=ec1 de ces pays*socio=ac étaient encore inférieurs*socio=rien de près de 40 % à leur niveau*socio=rien de trois ans*socio=rien plus tôt. Au Moyen-orient*socio=ac, l'effet*socio=rien de freinage*socio=rien donné à l'économie*socio=ec1 par l'application*socio=rien de politiques_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et restrictives*socio=uv4 dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil étendu aux autres pays*socio=ac de la région*socio=te; il en est*socio=rien résulté une baisse*socio=ec2 de 1/2 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 réel*socio=rien global*socio=te de la région*socio=te en 1987. En Asie*socio=ac, la production*socio=ec1 globale*socio=rien a augmenté de 6,8 % - autant qu'en 1986 - malgré un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 causé par la sécheresse*socio=et en Inde*socio=ac, où la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PIB*socio=ec1 est*socio=rien tombée de 41/2 % en 1986 à 2 % en 1987. La forte*socio=rien croissance*socio=uv3 des pays*socio=ac d'Asie*socio=ac *socio=rien est attribuable en*socio=nil grande partie aux*socio=nil résultats *socio=nil obtenus par les *socio=ec1 économies exportatrices de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés: Chine*socio=ac, Corée*socio=ac, *socio=ac Hong Kong,*socio=nil Singapour *socio=nil et Taïwan (Province*socio=ac de Chine*socio=ac). Grâce*socio=rien à la croissance*socio=ec1 rapide*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et au dynamisme*socio=uv3 *socio=rien persistant du secteur des*socio=nil exportations*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil lui-même dû à la haute*socio=rien compétitivité*socio=uv3 des produits*socio=rien et aux gains*socio=ec1 de productivité*socio=uv3, ces économies*socio=ec1 ont enregistré des taux_de_croissance*socio=ec1 du*socio=rien PIB*socio=ec1 réel*socio=rien allant de 8 % dans le cas*socio=rien de Singapour*socio=ac à 12 % dans celui de la Corée*socio=ac. Dans l'hémisphère_occidental*socio=te, le taux_de_croissance*socio=ec1 du*socio=rien PIB*socio=ec1 réel*socio=rien global*socio=te a diminué de 11/2 point*socio=rien en 1987. Ce recul*socio=rien s'explique surtout par le net*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 au Brésil*socio=ac dû à la baisse*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 et à l'érosion*socio=ec2 des salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2 par *socio=rien suite du retour en*socio=nil force*socio=uv1 *socio=nil de l'inflation*socio=ec1. L'activité_économique*socio=ec1 a aussi ralenti en Argentine*socio=ac mais, dans la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac de la région*socio=te, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 a été*socio=rien assez soutenue ou s'est*socio=rien accélérée. S'agissant des pays*socio=ac de la région*socio=te exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1, l' activité_économique*socio=ec1 a redémarré au Mexique*socio=ac *socio=rien après un net repli *socio=nil en 1986, grâce*socio=rien en particulier*socio=rien à l'essor*socio=rien des exportations*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1. En outre, la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 a sensiblement ralenti dans les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac classés dans la catégorie*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3. Bien*socio=rien que les exportations*socio=ec1 aient fortement progressé dans quelques pays*socio=ac, notamment au Portugal*socio=ac, les pays*socio=ac d'europe_de_l'_est*socio=ac ont, quant à eux, moins pu profiter de l'amélioration*socio=uv1 de l'environnement*socio=et extérieur*socio=te. En outre, dans plusieurs d'entre eux, les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et ont été*socio=rien intensifiés pour contenir les déficits*socio=ec1 extérieurs*socio=te et réduire l'inflation*socio=ec1. L'activité_économique*socio=ec1 est*socio=rien également restée faible*socio=rien dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac. Comme en 1986, le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien de l'ensemble*socio=rien de la région*socio=te a progressé d'un*socio=rien peu plus de 2 % en 1987. Pour les pays*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 est*socio=rien tombée de 3,6 % en 1986 à 2,3 % en 1987, en raison*socio=rien d'une nouvelle*socio=rien détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 et de la faible*socio=rien croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1. La production*socio=ec1 a continué à diminuer dans la majorité*socio=rien des pays*socio=ac de la région*socio=te exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1, sauf, *socio=rien exception notable,*socio=nil *socio=nil en Tunisie où l'augmentation*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1 semble avoir contribué à une forte*socio=rien reprise de la croissance*socio=uv3. Nombre*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 dont les résultats*socio=rien en matière*socio=rien de production*socio=ec1 n'ont pas été*socio=rien satisfaisants*socio=uv4 ont comme caractéristique*socio=rien commune*socio=uv2 que la *socio=rien part du revenu*socio=ec1 national*socio=te *socio=nil consacrée à la formation*socio=et de capital*socio=ec1 y a baissé et que, souvent, les taux_de_croissance*socio=ec1 de la productivité*socio=uv3 y sont peu élevés*socio=uv4. Même si, dans certains cas*socio=rien, le ratio*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 avait été*socio=rien élevé*socio=uv4 au point*socio=rien d'être*socio=rien insoutenable*socio=uv4, l'ampleur*socio=rien de ce recul*socio=rien suscite de profondes*socio=rien préoccupations*socio=uv4. *socio=rien Du fait *socio=nil que les financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te sont limités et qu'il est*socio=rien très difficile*socio=rien de mobiliser des fonds*socio=ec1 localement*socio=rien, à cause*socio=rien notamment de la fuite*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1, la part*socio=rien de l'investissement*socio=ec1 dans les dépenses*socio=ec1 globales*socio=rien a fortement diminué dans toutes les régions*socio=te au début*socio=rien des années*socio=rien 80, sauf au Moyen-orient*socio=ac (graphique*socio=rien 4). La baisse*socio=ec2 a été*socio=rien particulièrement prononcée en Afrique*socio=ac et dans l' hémisphère_occidental*socio=te; dans ces régions*socio=te, en effet*socio=rien, il n'y a guère eu de reprise au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années *socio=nil et les ratios*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 sont restés inférieurs*socio=rien d'environ 25 % à 35 % par rapport*socio=rien à ce qu'ils étaient au début*socio=rien de la décennie*socio=te. INFLATION*socio=ec1 pays_industrialisés*socio=ac *socio=rien Après être *socio=nil descendue à environ 1 % seulement (sur*socio=rien douze mois*socio=rien) à la fin*socio=rien de 1986, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 a repris en 1987 dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac pour atteindre quelque 3 % au début*socio=rien de 1988 (graphique*socio=rien 5). Étant donné que le recul*socio=rien marqué de l'inflation*socio=ec1 ces *socio=rien dernières années a*socio=nil été l'*socio=nil un des*socio=nil principaux *socio=nil accomplissements de la stratégie*socio=et économique*socio=ec1 menée depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80, on s'est*socio=rien inquiété de ce que le raffermissement*socio=ec2 des prix*socio=ec1 observé au cours*socio=rien de 1987 ne soit le signe d'un*socio=rien retour*socio=rien à une inflation*socio=ec1 plus élevée*socio=uv4. Or*socio=ec1, tant la hausse*socio=rien exceptionnellement faible*socio=rien des prix*socio=ec1 en 1986 que l'accélération*socio=ec2 constatée en 1987 s'expliquent en *socio=rien grande partie *socio=nil par la chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et des autres produits*socio=rien de base*socio=rien survenue en 1985-86 et par leur remontée partielle*socio=rien en 1987. Il semblerait, d'après*socio=rien les indicateurs*socio=ec1 mesurant l'inflation*socio=ec1 d'origine*socio=rien locale*socio=te - les déflateurs du*socio=rien PNB*socio=ec1 par exemple*socio=rien -, que le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 tendanciel*socio=ec2 des pays_industrialisés*socio=ac ait continué à fléchir en 1987, tombant en dessous de 3 % pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis 1963 (tableau*socio=rien 3). En outre, les rémunérations*socio=ec1 horaires*socio=rien dans le secteur*socio=rien manufacturier*socio=ec1 n'ont progressé que de 3 % en 1987, ce qui représente une régression*socio=ec2 d'un*socio=rien point*socio=rien par rapport*socio=rien à 1986, et les coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien de main-d'_ouvre*socio=et dans ce secteur*socio=rien ont diminué d'un*socio=rien quart*socio=rien de point*socio=rien (contre une augmentation*socio=ec2 de 1,5 % en 1986) sous l'effet*socio=rien d'une forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 de la productivité*socio=uv3. Si la situation*socio=rien a été*socio=rien relativement favorable*socio=uv4 dans l'ensemble*socio=rien, la convergence*socio=uv3 observée depuis 1980 entre les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac semble avoir cessé en 1987, et elle s'est*socio=rien même inversée dans certains cas*socio=rien. Le risque*socio=uv3 d'un*socio=rien retour*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac semble s'être*socio=rien accru depuis 1986, étant donné, entre autres, l'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien des capacités*socio=uv3 de production*socio=ec1 et la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1. Cependant, si la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 s'est*socio=rien accentuée en 1987, pour atteindre 4,5 % en fin*socio=rien d'année*socio=rien (graphique*socio=rien 6), par contre, les autres indicateurs*socio=ec1 mesurant l'inflation*socio=ec1, en particulier*socio=rien le déflateur du*socio=rien PNB*socio=ec1, les rémunérations*socio=ec1 horaires*socio=rien et la croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 agrégats monétaires,*socio=nil *socio=nil ont continué a évoluer dans *socio=rien un sens très*socio=nil favorable*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Dans plusieurs autres pays*socio=ac, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1, due en partie*socio=rien à la croissance*socio=uv3 relativement rapide*socio=rien de la production*socio=ec1, est*socio=rien restée *socio=rien un sujet de*socio=nil préoccupation*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Ainsi, au Canada*socio=ac, par exemple*socio=rien, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 a augmenté en 1987. Les salaires*socio=ec1 et les prix*socio=ec1 ont continué à augmenter légèrement plus vite en Italie*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac que chez leurs partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1, encore que la progression*socio=ec2 ait été*socio=rien beaucoup plus faible*socio=rien qu'au début*socio=rien des années*socio=rien 80. Au japon*socio=ac et en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, les prix*socio=ec1 sont restés fondamentalement*socio=rien stables*socio=uv4 en 1987, grâce*socio=rien notamment à la baisse*socio=ec2 *socio=rien sensible du prix*socio=ec1 des*socio=nil importations*socio=ec1 consécutive *socio=nil à la forte*socio=rien appréciation*socio=uv3 de la monnaie*socio=ec1 de ces pays*socio=ac depuis 1985, alors qu'en France*socio=ac l'inflation*socio=ec1 a continué à baisser et à se rapprocher ainsi de la moyenne*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac. Dans plusieurs petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, à savoir*socio=rien l'Autriche*socio=ac, la Belgique*socio=ac, les Pays-bas*socio=ac et la Suisse*socio=ac, les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 ont été*socio=rien ramenés à de très *socio=rien bas niveaux,*socio=nil *socio=nil avec l'aide*socio=uv1, là encore, de la diminution*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des importations*socio=ec1. pays_en_développement*socio=uv3 Dans l'ensemble*socio=rien, les pays_en_développement*socio=uv3 ont beaucoup moins bien*socio=rien réussi que les pays_industrialisés*socio=ac à contenir les *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil La*socio=nil moyenne*socio=rien *socio=nil pondérée des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 y a atteint près de 40 % en 1987, contre 30 % environ en 1986 (tableau*socio=rien 5). Dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil cette*socio=nil augmentation*socio=ec2 est attribuable *socio=nil à la nouvelle*socio=rien poussée inflationniste*socio=ec2 survenue dans plusieurs pays*socio=ac à forte*socio=rien inflation*socio=ec1 qui avaient remporté des succès*socio=uv1 importants*socio=uv4, encore que transitoires*socio=rien, en 1986 en matière*socio=rien de stabilisation*socio=et des prix*socio=ec1. Cependant, l'inflation*socio=ec1 s'est*socio=rien aussi accélérée dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil où les prix*socio=ec1 avaient monté plus modérément par le passé*socio=rien. L'accélération*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 a été*socio=rien particulièrement prononcée dans l' hémisphère_occidental*socio=te. Dans certains des grands*socio=rien pays*socio=ac de la région*socio=te à forte*socio=rien inflation*socio=ec1, la mise en ouvre des programmes*socio=et de stabilisation*socio=et a subi des contretemps*socio=rien en raison*socio=rien surtout des dérapages*socio=uv4 des politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1. De même, l'inflation*socio=ec1 s'est*socio=rien aggravée dans les pays*socio=ac de la région*socio=te exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1, *socio=rien du fait en*socio=nil partie *socio=nil qu'ils ont eu *socio=rien du mal à*socio=nil limiter les*socio=nil répercussions*socio=ec2 sur les*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil et les coûts*socio=ec1 intérieurs*socio=te de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 des importations*socio=ec1 et des exportations*socio=ec1, consécutive*socio=rien aux dépréciations*socio=ec1 de leur monnaie*socio=ec1. C'est*socio=rien le même mécanisme*socio=et qui a joué dans d'autres régions*socio=te où les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 ont augmenté, la politique_monétaire*socio=et tendant à assurer des liquidités*socio=ec1 suffisantes*socio=rien pour amortir les mouvements*socio=ec2 de prix*socio=ec1 dus aux ajustements*socio=et de taux_de_change*socio=ec1. Dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil Afrique*socio=ac,*socio=nil *socio=nil toutefois, la fermeté*socio=rien de la politique*socio=et financière*socio=ec1 ainsi que l'augmentation*socio=ec2 de l'offre*socio=ec1 de *socio=ec1 denrées alimentaires consécutive*socio=rien *socio=nil à l'amélioration*socio=uv1 des conditions*socio=ec1 climatiques*socio=rien ont permis*socio=rien de contenir dans une *socio=rien certaine mesure les*socio=nil *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil En*socio=nil Asie*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil taux*socio=ec1 d'*socio=nil inflation*socio=ec1 moyen*socio=rien,*socio=nil inférieur*socio=rien *socio=nil à 9 %, est*socio=rien resté nettement en retrait par rapport*socio=rien à ceux des autres régions*socio=te. Cela dit, dans plusieurs pays*socio=ac d'Asie*socio=ac, le dynamisme*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 et le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 du*socio=rien taux*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien des capacités*socio=uv3 de production*socio=ec1 ont entraîné une hausse*socio=rien de l'inflation*socio=ec1. ÉCHANGES*socio=ec1 ET PAIEMENTS*socio=ec1 *socio=te INTERNATIONAUX PERSPECTIVES GLOBALES*socio=rien Commerce*socio=ec1 mondial Le*socio=nil *socio=rien volume du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te *socio=nil a progressé d'environ 53/4 % en 1987, soit une légère*socio=rien accélération*socio=ec2 par rapport*socio=rien à 1986 (tableau*socio=rien 6). Les prix*socio=ec1 réels*socio=ec2 des *socio=rien principaux produits de*socio=nil base *socio=nil ont remonté ou se sont stabilisés, de sorte*socio=rien que les termes_de_l'_échange*socio=ec1 des grands*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac n'ont que peu changé, alors qu'ils avaient enregistré d'amples*socio=rien mouvements*socio=ec2 en 1986. Dans l'ensemble*socio=rien, le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te a évolué dans *socio=rien un sens plutôt*socio=nil favorable*socio=uv4 *socio=nil à la plupart*socio=rien des pays*socio=ac et ces derniers*socio=rien ont donc pu améliorer constamment leurs positions*socio=rien extérieures*socio=te, abaisser leurs *socio=ec1 ratios dette/*socio=nil exportations *socio=nil et, dans certains cas*socio=rien, augmenter sensiblement leurs importations*socio=ec1 (graphique*socio=rien 7). Particulièrement encourageants*socio=uv4 ont été*socio=rien les progrès*socio=uv1 réalisés dans la réduction*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 commerciaux*socio=ec1 tendanciels*socio=ec des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. L'expansion*socio=ec2 relativement *socio=rien rapide du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te *socio=nil masque toutefois certains changements*socio=uv3 importants*socio=uv4 qui sont survenus dans la structure*socio=ec1 des échanges*socio=ec1, sous l'effet*socio=rien tant de l'aménagement*socio=et récent*socio=rien des politiques_économiques*socio=et que des amples*socio=rien ajustements*socio=et de taux_de_change*socio=ec1. En ce qui concerne la demande*socio=ec1, la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien tombée de 8,8 % en 1986 à 6,7 % en 1987, en raison*socio=rien surtout du*socio=rien ralentissement*socio=ec2 marqué de la progression*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil achats*socio=ec1 *socio=nil effectués par les États-unis*socio=ac; ce ralentissement*socio=ec2 n'a été*socio=rien qu'en partie*socio=rien compensé par la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 des importations*socio=ec1 du*socio=rien japon*socio=ac et de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac. Les importations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1 ont continué de se contracter mais celles des autres pays_en_développement*socio=uv3 se sont au contraire*socio=rien accrues de 8,9 %, soit le taux_d'_expansion*socio=ec2 le plus élevé*socio=uv4 enregistré depuis 1978. Ce redressement*socio=ec2 est*socio=rien dû essentiellement à la vitalité*socio=uv1 de la demande*socio=ec1 d'achats*socio=ec1 à l'étranger*socio=te dans les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés et à l'accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1 dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil de l' hémisphère_occidental*socio=te exportateurs*socio=ac de *socio=rien produits primaires.*socio=nil Grâce *socio=nil à l'augmentation*socio=ec2 en volume*socio=rien et en valeur*socio=ec1 de leurs exportations*socio=ec1, ces derniers*socio=rien pays*socio=ac ont été*socio=rien en mesure*socio=rien de faire face*socio=rien à une croissance*socio=uv3 plus forte*socio=rien de leurs importations*socio=ec1 tout en continuant à rééquilibrer leur position*socio=rien extérieure*socio=te. La structure*socio=ec1 de l'offre*socio=ec1 a, elle aussi, subi de profonds*socio=rien changements*socio=uv3. Aux États-unis*socio=ac, la forte*socio=rien croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 - qui, en volume*socio=rien, ont progressé de près 12 % en 1987 - représente à elle seule*socio=rien la moitié*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac. En revanche, les volumes*socio=rien exportés sont restés essentiellement au même niveau*socio=rien au Japon*socio=ac pour la *socio=rien deuxième année consécutive,*socio=nil *socio=nil alors qu'en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac ils ont continué à s'accroître, mais beaucoup moins rapidement qu'en 1984-85. Dans le groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3, les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil ont vu leurs ventes*socio=ec1 à l'étranger*socio=te stagner après*socio=rien qu'elles eurent enregistré une reprise en 1986 (tableau*socio=rien 6). Cette stagnation*socio=ec1 s'explique par les changements*socio=uv3 de la politique*socio=et des principaux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 en*socio=nil matière*socio=rien de*socio=nil production*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Par contre, pour les pays_en_développement*socio=uv3 non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1, les volumes*socio=rien exportés ont à nouveau*socio=rien enregistré une forte*socio=rien progression*socio=ec2, en particulier*socio=rien pour ce qui est*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés. Au sein*socio=rien de ce groupe*socio=ac, ce sont encore les nouvelles*socio=rien *socio=ec1 économies industrielles d'*socio=nil Asie*socio=ac *socio=nil qui ont accru le plus leurs parts*socio=rien de marché*socio=ec1. Mais la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 s'est*socio=rien aussi renforcée pour beaucoup d'autres pays_en_développement*socio=uv3, y compris de nombreux*socio=rien pays*socio=ac lourdement endettés. Dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac, la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 est*socio=rien restée faible*socio=rien, en raison*socio=rien en partie*socio=rien des limites*socio=rien imposées par l'appareil*socio=rien productif*socio=uv4. Comme en 1986, l'évolution*socio=te des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 a fortement influé sur*socio=rien les mouvements_des_prix*socio=ec1 *socio=rien relatifs du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te.*socio=nil Après *socio=nil avoir diminué de moitié*socio=rien en 1986, le prix*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 moyen*socio=rien en dollars*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 est*socio=rien remonté de 28 % en 1987 (graphique*socio=rien 8). En termes*socio=rien réels*socio=ec2, toutefois, les prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 faisant l'objet*socio=rien d'échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te ne se sont redressés que de 14 % environ en 1987 et sont restés inférieurs*socio=rien de près de 10 % à leur niveau*socio=rien de 1975. Les amples*socio=rien fluctuations*socio=ec2 des prix*socio=ec1 internationaux*socio=te du*socio=rien pétrole*socio=ec1 au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années ont*socio=nil été *socio=nil dues surtout à de *socio=rien profondes modifications des*socio=nil politiques*socio=et de*socio=nil production*socio=ec1 des*socio=nil *socio=ac pays exportateurs,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=rien des*socio=nil pays_membres *socio=nil de l'organisation_des_pays_exportateurs_de_pétrole*socio=ac (OPEP*socio=ac). À la fin*socio=rien de 1986, l'OPEP*socio=ac a fixé de nouveaux*socio=rien quotas de production*socio=ec1 pour ses membres*socio=ac ainsi qu'un*socio=rien nouveau*socio=rien prix*socio=ec1 officiel*socio=et à l'exportation*socio=ec1. Il en est*socio=rien résulté une nette*socio=rien remontée des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 de la mi-1986 à la mi-1987. Pendant le *socio=rien second semestre *socio=nil de 1987, cependant, la production*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil de l'OPEP*socio=ac s'est*socio=rien mi*socio=rien se à dépasser largement les quotas fixés et les prix*socio=ec1 ont recommencé à fléchir. Bien*socio=rien que les quotas de production*socio=ec1 et les prix*socio=ec1 en vigueur*socio=uv3 aient été*socio=rien confirmés lors*socio=rien d'une réunion*socio=rien de l'OPEP*socio=ac à la fin*socio=rien de 1987, le marché*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 a continué à donner des signes de faiblesse*socio=ec2 et les prix*socio=ec1 sont descendus à environ 15 dollars*socio=ec1 le baril*socio=ec1 pendant le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1988, contre une moyenne*socio=rien de 16,91 dollars*socio=ec1 le baril*socio=ec1 en 1987. Les cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien non pétroliers*socio=ec1 exportés par les pays_en_développement*socio=uv3 ont nettement remonté au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1987 et au début*socio=rien de 1988. Ce redressement*socio=ec2 a *socio=rien fait suite *socio=nil à une *socio=ec2 baisse cumulative *socio=nil de 14 % sur*socio=rien la période*socio=te 1984-86 (graphique*socio=rien 9), due pour l'essentiel*socio=uv4 à l'influence temporaire*socio=rien de certaines*socio=rien composantes*socio=ec1 de l'offre*socio=ec1. Dans ces conditions*socio=ec1, par suite*socio=rien de l'atonie*socio=ec2 générale*socio=rien qui a caractérisé l'ensemble*socio=rien des marchés*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien pendant la plus *socio=rien grande partie des*socio=nil années *socio=nil 80, les prix*socio=ec1 réels*socio=ec2 des produits*socio=rien de base*socio=rien non pétroliers*socio=ec1 étaient encore inférieurs*socio=rien d'environ 30 % en 1987 à leur niveau*socio=rien de 1980. Les cours*socio=rien des *socio=ec1 matières_premières agricoles *socio=nil et des métaux*socio=ec1 ont accusé une hausse*socio=rien particulièrement sensible*socio=rien en 1987 et au début*socio=rien de 1988, hausse*socio=rien due au *socio=rien faible niveau des*socio=nil stocks*socio=ec1 *socio=nil et à l'accroissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 de *socio=ec1 biens industriels intermédiaires*socio=rien *socio=nil dont s'est*socio=rien accompagnée l'intensification*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac. Ces prix*socio=ec1 sont remontés à leur *socio=rien niveau du début *socio=nil de la décennie*socio=te. Les hausses de prix*socio=ec1 ont été*socio=rien beaucoup plus modestes*socio=rien pour les *socio=ec1 denrées alimentaires,*socio=nil *socio=nil dont les stocks*socio=ec1 étaient abondants*socio=rien, et pour les boissons*socio=ec1, dont les prix*socio=ec1 ont continué à diminuer pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de 1987 avant de remonter vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. La baisse*socio=ec2 du*socio=rien prix*socio=ec1 des boissons*socio=ec1 a pour une *socio=rien bonne part *socio=nil neutralisé la progression*socio=ec2 enregistrée à la fin*socio=rien de 1985 et au début*socio=rien de 1986 qui avait été*socio=rien causée par les pénuries*socio=ec2 dues au *socio=rien mauvais temps.*socio=nil Marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des*socio=nil capitaux*socio=ec1 Le*socio=nil volume des*socio=nil *socio=ec1 prêts bancaires internationaux*socio=te s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil accru pendant les trois premiers*socio=rien trimestres*socio=te de 1987 pour atteindre 723 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, soit environ deux cinquièmes*socio=rien de plus que pendant la période*socio=te correspondante*socio=rien de 1986. Les *socio=ec1 flux bancaires entre*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil ont représenté un*socio=rien peu plus de la moitié*socio=rien de cette augmentation*socio=ec2 globale*socio=rien; en effet*socio=rien, ils ont atteint 527 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1987, dont 463 milliards*socio=rien sous forme*socio=rien de prêts*socio=ec1 interbancaires*socio=ec2. Les opérations*socio=rien avec les *socio=ac institutions japonaises *socio=nil ont représenté environ deux tiers*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 globale*socio=rien des activités*socio=rien bancaires*socio=ec1 entre pays_industrialisés*socio=ac. Cette progression*socio=ec2 *socio=rien est attribuable en*socio=nil partie *socio=nil à la rapide*socio=rien expansion*socio=ec2 des opérations*socio=rien effectuées avec le marché*socio=ec1 extraterritorial japonais*socio=ac (ouvert*socio=rien en décembre*socio=rien 1986). Les *socio=ec1 créances bancaires sur*socio=rien les*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil hormis celles des centres*socio=rien extraterritoriaux, se sont accrues de 17 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1987, contre une réduction*socio=ec2 nette*socio=rien de 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Cette augmentation*socio=ec2 comprend des décaissements*socio=ec1 pour un*socio=rien montant*socio=ec1 de 5,6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 - sous forme*socio=rien de prêts*socio=ec1 concertés, dont un*socio=rien montant*socio=ec1 (brut*socio=rien) de 4,4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour le Mexique*socio=ac et un*socio=rien montant*socio=ec1 de 1,3 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour l'Argentine*socio=ac - et l'accumulation*socio=ec2 par certains pays_en_développement*socio=uv3 de 4,2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 d'arriérés au titre*socio=rien de paiements_d'_intérêts*socio=ec1. Par contre, les dépôts*socio=ec1 nets*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 ont atteint au total*socio=rien 34 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, contre un*socio=rien retrait global*socio=te de 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986. Cette forte*socio=rien progression*socio=ec2, sensible*socio=rien dans toutes les régions*socio=te mais en particulier*socio=rien à Taïwan (Province*socio=ac de Chine*socio=ac), au Mexique*socio=ac et dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 du*socio=rien Moyen-orient,*socio=nil *socio=nil reflète une accumulation*socio=ec2 d'environ 24 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 de réserves_officielles*socio=et par les pays_en_développement*socio=uv3. Les flux*socio=ec1 nets*socio=rien en provenance*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 vers les banques*socio=ac internationales*socio=te se sont élevés*socio=uv4 à 17 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, alors que l'année*socio=rien précédente*socio=rien on avait observé un*socio=rien flux*socio=ec1 *socio=rien net négligeable *socio=nil dans l'autre sens*socio=rien. Contrairement aux *socio=ec1 prêts bancaires internationaux*socio=te,*socio=nil *socio=nil qui ont augmenté, les *socio=rien nouvelles émissions d'*socio=nil obligations*socio=uv1 internationales*socio=te *socio=nil ont diminué en 1987 pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis le début*socio=rien de la décennie*socio=te, tombant de 22 % pour s'établir à 177 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, alors qu'elles avaient progressé de 35 % pour s'inscrire à 227 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986. La baisse*socio=ec2 des *socio=rien nouvelles émissions *socio=nil de notes à taux*socio=ec1 variable*socio=rien, consécutive*socio=rien à l'effondrement*socio=ec2 du*socio=rien marché*socio=ec1 des notes perpétuelles à taux*socio=ec1 variable*socio=rien survenu en décembre*socio=rien 1986, explique à hauteur*socio=rien d'environ 80 % le recul*socio=rien - de 50 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 - des *socio=rien nouvelles émissions.*socio=nil Les*socio=nil nouvelles émissions d'*socio=nil obligations*socio=uv1 *socio=nil liées à des actions*socio=ec1, qui avaient été*socio=rien la composante*socio=rien la plus dynamique*socio=uv4 des *socio=ec1 marchés obligataires internationaux*socio=te *socio=nil pendant les trois premiers*socio=rien trimestres*socio=te, ont cessé après*socio=rien la chute sans précédent*socio=rien des cours*socio=rien boursiers*socio=ec1 en octobre*socio=rien 1987 (voir encadré ci après*socio=rien). Les emprunts*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac ont représenté 86 % *socio=rien du total des*socio=nil nouvelles émissions d'*socio=nil obligations*socio=uv1 internationales*socio=te,*socio=nil *socio=nil alors que les *socio=rien nouvelles émissions d'*socio=nil obligations*socio=uv1 des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil sont tombées à 4,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1987, soit leur plus *socio=rien bas niveau *socio=nil depuis 1983. La répartition*socio=uv3 par devises*socio=ec1 des émissions*socio=rien d'obligations*socio=uv1 s'est*socio=rien nettement modifiée en 1987 au détriment*socio=uv2 du*socio=rien dollar*socio=ec1, dont la *socio=rien part est *socio=nil passée de 55 % *socio=rien du total *socio=nil en 1986 à 35 % en 1987, et au profit*socio=ec1 du*socio=rien yen*socio=ec1 et du*socio=rien franc*socio=ec1 suisse*socio=ac, dont les *socio=rien parts respectives sont*socio=nil passées*socio=te *socio=nil de 10 % en 1986 à 15 % en 1987. En outre, la proportion*socio=rien d'émissions*socio=rien d'obligations*socio=uv1 à l'extérieur*socio=te libellées en unités*socio=rien monétaires*socio=ec1 européennes*socio=ac (Écus) a atteint 4 % en 1987, contre 3 % en 1986. Liquidité*socio=ec1 internationale*socio=ac En 1987, les réserves*socio=ec1 autres que l'or*socio=ec1 ont enregistré une augmentation*socio=ec2 de 88 milliards*socio=rien de DTS, due à une accumulation*socio=ec2 de réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 (119 milliards*socio=rien de DTS) qui a amplement compensé la baisse*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 en DTS des avoirs*socio=ec1 existants*socio=rien (28 milliards*socio=rien de DTS) consécutive*socio=rien à la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1 par rapport*socio=rien au DTS (tableau*socio=rien 7). Les réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac se sont accrues de 74 milliards*socio=rien de DTS, après*socio=rien avoir augmenté de 23 milliards*socio=rien de DTS en 1986 et de 3 milliards*socio=rien de DTS en 1985. Cette progression*socio=ec2 *socio=rien est attribuable *socio=nil pour l'essentiel*socio=uv4 aux interventions*socio=et massives*socio=rien des banques_centrales*socio=ac de certains de ces pays*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Les réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 ont augmenté de 17 milliards*socio=rien de DTS en 1987, alors qu'elles avaient diminué de 7 milliards*socio=rien de DTS en 1986 et de 4 milliards*socio=rien de DTS en 19851. Les ratios*socio=ec1 des réserves*socio=ec1 autres que l'or*socio=ec1 aux importations*socio=ec1 ont augmenté constamment depuis 1982, hormis une pause en 1985, tant dans les pays_industrialisés*socio=ac que dans les pays_en_développement*socio=uv3. Pendant les années*socio=rien 198587, ce ratio*socio=ec1 a progressé dans tous les grands*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac en dépit*socio=rien des effets*socio=rien fortement négatifs*socio=rien de la baisse*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1, dont le *socio=rien poids est important*socio=uv4 *socio=nil dans le *socio=rien panier du *socio=nil DTS. Dans les pays_industrialisés*socio=ac, le ratio*socio=ec1 des réserves*socio=ec1 autres que l'or*socio=ec1 aux importations*socio=ec1 *socio=rien est passé *socio=nil de 17 % à la fin*socio=rien de 1982 à 25 % à la fin*socio=rien 1987, soit son plus *socio=rien haut niveau *socio=nil depuis 1972. Pendant les années*socio=rien 1985-87, ces ratios*socio=ec1 ont augmenté le plus vite pendant les périodes*socio=te d'intervention*socio=et *socio=rien massive sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1 *socio=nil par certains des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Dans les pays_en_développement*socio=uv3, ce ratio*socio=ec1 *socio=rien est passé *socio=nil de 26 % en 1982 à 42 % en 1987, soit son plus *socio=rien haut niveau *socio=nil depuis 1970. Toutefois, cette progression*socio=ec2 n'a pas toujours été*socio=rien due dans les mêmes proportions*socio=rien aux accumulations de réserves*socio=ec1 d'une part*socio=rien, et aux variations*socio=rien de la valeur*socio=ec1 en DTS des importations*socio=ec1 d'autre part*socio=rien. Ainsi, de 1982 à 1984, ce ratio*socio=ec1 a augmenté sous l'effet*socio=rien d'une reconstitution*socio=ec2 vigoureuse*socio=rien des réserves*socio=ec1, alors qu 1 en 1985 et 1986, les avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 ont diminué. Cependant, le ratio*socio=ec1 de leurs réserves*socio=ec1 autres que l'or*socio=ec1 aux importations*socio=ec1 n'en a pas moins progressé, la baisse*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 en DTS de leurs importations*socio=ec1 ayant été*socio=rien encore plus prononcée. Alors que depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 70 la composition*socio=rien en monnaies*socio=ec1 des réserves*socio=ec1 de change*socio=ec1 s'est*socio=rien considérablement*socio=rien diversifiée, l'accumulation*socio=ec2 par certains pays_industrialisés*socio=ac de réserves*socio=ec1 libellées en dollars*socio=ec1 en 1986 et 1987 a entraîné une augmentation*socio=ec2 de la part*socio=rien de cette monnaie*socio=ec1 dans les réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1. La *socio=rien part estimative des*socio=nil avoirs*socio=ec1 en*socio=nil dollars*socio=ec1 *socio=nil dans le total*socio=rien des réserves*socio=ec1 de change*socio=ec1 identifiées est*socio=rien tombée de 76 % *socio=rien du total *socio=nil de ces réserves*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1978 à 64 % à la fin*socio=rien de 1985, mais elle est*socio=rien ensuite remontée pour atteindre 67 % à la fin*socio=rien 19874. Par contre, la proportion*socio=rien d'avoirs*socio=ec1 libellés en *socio=ec1 deutsche mark est*socio=rien *socio=nil passée de 11 % à la fin*socio=rien de 1978 à 15 % à la fin*socio=rien de 1987, et celle des avoirs*socio=ec1 libellés en yen*socio=ec1, de 3 % à 7 % dans le même temps*socio=rien. Les pays_industrialisés*socio=ac ont davantage diversifié leurs réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1 que les pays_en_développement*socio=uv3. La *socio=rien part du dollar*socio=ec1 *socio=nil dans le portefeuille*socio=ec1 de réserves*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien descendue à 71 % à la fin*socio=rien de 1987, alors qu'elle était de 86 % à la fin*socio=rien de 1978'. Cependant, elle n'a que légèrement baissé dans les pays_en_développement*socio=uv3 où elle est*socio=rien passée de 63 % à 59 % pendant la même période*socio=te. taux_de_change*socio=ec1 Au début*socio=rien de 1988, les pressions*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 s'exerçant sur*socio=rien le dollar*socio=ec1 se sont sensiblement atténuées, avant de laisser la place*socio=rien, au milieu*socio=rien de l'année*socio=rien, à un*socio=rien mouvement*socio=ec2 de hausse*socio=rien. Cette évolution*socio=te récente*socio=rien reflète les changements*socio=uv3 intervenus par rapport*socio=rien aux trois *socio=rien années précédentes *socio=nil dans les données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4, par suite*socio=rien des efforts*socio=uv1 déployés par les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac pour intensifier la coordination*socio=uv3 de leurs politiques_économiques*socio=et. Comme ils s'y étaient engagés par l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et de février*socio=rien 1987, ces pays*socio=ac ont accordé une importance*socio=rien accrue à la modification*socio=rien de leurs politiques*socio=et structurelle*socio=ec2 et budgétaire*socio=et de base*socio=rien, en vue*socio=rien de réduire les déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te, et sont convenus de promouvoir une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1, compte*socio=ec1 tenu de l'important*socio=uv4 réalignement*socio=rien intervenu depuis l'Accord*socio=et du*socio=rien Plaza*socio=et de septembre*socio=rien 1985. Les mesures*socio=et prises*socio=rien ensuite pour stabiliser les taux_de_change*socio=ec1 ont donné lieu*socio=rien à *socio=rien un certain resserrement*socio=ec2 *socio=nil de la situation*socio=rien monétaire*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac - qu'il s'agisse des écarts*socio=ec2 entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ou des taux*socio=ec1 relatifs*socio=rien d'accroissement*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1 - ainsi qu'à une forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil interventions*socio=et des*socio=nil autorités*socio=et sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1 internationaux*socio=te.*socio=nil L'*socio=nil Accord*socio=et du Louvre*socio=et a*socio=nil ouvert une*socio=nil période*socio=te de*socio=nil stabilité*socio=uv3 relative sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil à telle enseigne qu'entre les mois*socio=rien de mai*socio=rien et d'août*socio=rien 1987, les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien le dollar*socio=ec1 se sont même inversées. Toutefois, en raison*socio=rien notamment *socio=rien du fait *socio=nil que, *socio=rien mois après mois,*socio=nil le*socio=nil *socio=ec1 déficit commercial des*socio=nil États-unis*socio=ac restait*socio=nil important*socio=uv4 *socio=nil et que la mise en ouvre de nouvelles*socio=rien réductions*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et de l'administration_fédérale*socio=ac demeurait incertaine*socio=uv4, la valeur*socio=ec1 du*socio=rien dollar*socio=ec1 s'est*socio=rien progressivement*socio=rien effritée au fil*socio=rien de l'année*socio=rien (graphique*socio=rien 11). Les pressions*socio=ec2 qui ont continué de s'exacerber après*socio=rien la chute *socio=rien du cours des*socio=nil actions*socio=ec1 *socio=nil le 19 octobre*socio=rien ont entraîné une dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1 de près de 7 % en novembre*socio=rien et décembre*socio=rien. Les sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, dans une déclaration*socio=et publiée le 22 décembre*socio=rien, ont réaffirmé leurs intentions*socio=rien et engagements*socio=et en matière*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 et ont à nouveau*socio=rien souligné qu'il était de leur intérêt*socio=uv1 commun*socio=uv2 d'assurer des taux_de_change*socio=ec1 plus stables*socio=uv4. Le dollar*socio=ec1, après*socio=rien avoir encore baissé au cours*socio=rien de la semaine*socio=rien qui a suivi cette déclaration*socio=et, a regagné *socio=rien du terrain au*socio=nil début de*socio=nil janvier *socio=nil 1988, grâce*socio=rien notamment a une intervention*socio=et massive*socio=rien des autorités*socio=et monétaires*socio=ec1. Pendant le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1988, la monnaie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac s'est*socio=rien de nouveau*socio=rien à peu près stabilisée, les résultats*socio=rien - publiés mensuellement - du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te américain*socio=ac s'étant en effet*socio=rien améliorés. Entre l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et de février*socio=rien 1987 et le mois*socio=rien d'avril*socio=rien 1988, le dollar*socio=ec1 a perdu quelque 13 % en *socio=rien termes effectifs réels*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil comme en témoignent*socio=rien les évolutions*socio=te des coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien de la main-d'_ouvre*socio=et (graphique*socio=rien 12). À cette dernière*socio=rien date, la monnaie*socio=ec1 américaine*socio=ac avait enregistré une *socio=ec2 dépréciation cumulative *socio=nil d'environ 12 % par rapport*socio=rien au maximum*socio=rien atteint au début*socio=rien de 1985, son taux_de_change*socio=ec1 réel*socio=rien se retrouvant ainsi près de son niveau*socio=rien de 1978. le plus bas*socio=rien qu'elle ait atteint depuis la dernière*socio=rien guerre*socio=et. Cette année*socio=rien encore, c'est*socio=rien l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien yen*socio=ec1 qui a principalement représenté la contrepartie*socio=rien de la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1; en avril*socio=rien 1988, la monnaie*socio=ec1 japonaise*socio=ac s'échangeait au taux*socio=ec1 de 125 yen*socio=ec1 pour un*socio=rien dollar*socio=ec1, contre 153 yen*socio=ec1 pour un*socio=rien dollar*socio=ec1 à l'époque*socio=te de l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et. En *socio=rien termes effectifs réels*socio=ec2,*socio=nil le*socio=nil yen*socio=ec1 *socio=nil a gagné 13 % pendant cette période*socio=te, portant à 39 % son taux*socio=ec1 cumulatif*socio=ec2 d'appréciation*socio=uv3 depuis le début*socio=rien de 1985. La livre sterling*socio=ec1 a, elle aussi, été*socio=rien périodiquement soumise à des pressions*socio=ec2 à la hausse*socio=rien, au cours*socio=rien de l'année*socio=rien considérée, elle s'est*socio=rien appréciée non seulement par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1 mais également par rapport*socio=rien aux autres monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac. Cette fermeté*socio=rien de la monnaie*socio=ec1 britannique*socio=ac s'est*socio=rien accentuée en mars*socio=rien et avril*socio=rien 1988, époque*socio=te pendant laquelle elle s'est*socio=rien échangée à près de 3,15 deutsclie mark*socio=ec1 pour une livre, soit 6 % de plus que douze mois*socio=rien auparavant. En *socio=rien termes effectifs réels*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil la livre s'est*socio=rien appréciée de 18 % entre février*socio=rien 1987 et avril*socio=rien 1988, regagnant le terrain*socio=rien perdu pendant les années*socio=rien 1985 et 1986. Le dollar_canadien*socio=ec1 s'est*socio=rien aussi modérément apprécié en 1987 et au début*socio=rien de 1988, à la *socio=rien fois face au*socio=nil dollar*socio=ec1 *socio=nil É.U. et en *socio=rien termes effectifs réels*socio=ec2;*socio=nil *socio=nil en 1985 et 1986, au contraire*socio=rien, son évolution*socio=te avait *socio=rien été parallèle *socio=nil à celle de la monnaie*socio=ec1 américaine*socio=ac et il s'était sensiblement déprécié en termes*socio=rien réels*socio=ec2. Au cours*socio=rien de 1987, les monnaies*socio=ec1 des pays*socio=ac participant*socio=rien au mécanisme*socio=et de change*socio=ec1 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac (SME*socio=ec1),ont, elles aussi, poursuivi leur appréciation*socio=uv3 par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1. Cependant, étant donné l'importance*socio=rien du*socio=rien commerce*socio=ec1 intracommunautaire, leurs taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien réels*socio=ec2 sont restés à peu près stables*socio=uv4. C'est*socio=rien ainsi qu'entre février*socio=rien 1987 et avril*socio=rien 1988, par exemple*socio=rien, la valeur*socio=ec1 du*socio=rien *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil au comptant s'est*socio=rien accrue de 9 % par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1 mais de 1/2 % seulement en *socio=rien termes effectifs réels*socio=ec2 *socio=nil (son appréciation*socio=uv3 *socio=ec2 réelle cumulative *socio=nil depuis le début*socio=rien de 1985 atteignant donc 20 %). Bien*socio=rien que, de temps*socio=rien à autre, certaines*socio=rien tensions*socio=ec2 soient apparues au *socio=rien sein du SME*socio=ec1,*socio=nil en*socio=nil particulier en*socio=nil périodes*socio=te de*socio=nil faiblesse*socio=ec2 du dollar*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 réel *socio=nil de la lire n'a guère varié en 1987 et au début*socio=rien de 1988; pendant la même période*socio=te, celui du*socio=rien franc*socio=ec1 français*socio=rien a légèrement baissé. C'est*socio=rien en janvier*socio=rien 1987 qu'a eu lieu*socio=rien le *socio=rien dernier réalignement du SME*socio=ec1 *socio=nil (les cours-pivots bilatéraux*socio=et ont été*socio=rien réévalués de 3 % pour le *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil et le florin*socio=ec1 néerlandais*socio=ac et de 2 % pour le franc*socio=ec1 belgoluxembourgeois). La stabilité*socio=uv3 relative*socio=rien des monnaies*socio=ec1 du*socio=rien SNIE *socio=rien petit être en*socio=nil partie *socio=nil attribuée aux interventions*socio=et sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, à la stabilité*socio=uv3 du*socio=rien dollar*socio=ec1 et à une série d'ajustements*socio=et coordonnés des taux_d'_intérêt*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien accord*socio=et récemment conclu en vue*socio=rien de renforcer les mécanismes*socio=et *socio=rien opérationnels du Système.*socio=nil C'*socio=nil est *socio=nil ainsi que pendant les *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1987 et conformément à cet accord*socio=et, plusieurs ajustements*socio=et sont intervenus à la *socio=rien fois sur le*socio=nil niveau des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 et*socio=nil sur les*socio=nil écarts*socio=ec2 *socio=nil entre ces taux*socio=ec1. Ces ajustements*socio=et, qui visaient à soutenir le dollar*socio=ec1 tout en atténuant les tensions*socio=ec2 au sein*socio=rien dit SME*socio=ec1, ont provoqué une baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 partout en Europe*socio=ac. En accord avec cette politique*socio=et, le taux*socio=ec1 d'escompté de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac a été*socio=rien ramené à 21/2 % au début*socio=rien de décembre*socio=rien, tombant ainsi au niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien de l'histoire*socio=te récente*socio=rien de ce pays*socio=ac. Les monnaies*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont elles aussi été*socio=rien plus stables*socio=uv4 en 1987 qu'au Cours*socio=rien des *socio=rien années précédentes.*socio=nil En*socio=nil Europe*socio=ac,*socio=nil en*socio=nil raison des*socio=nil liens *socio=nil qui les rattachent, plus ou moins officiellement*socio=et, aux monnaies*socio=ec1 des plus grands*socio=rien pays*socio=ac, en particulier*socio=rien au *socio=ec1 deutsche mark,*socio=nil ces*socio=nil monnaies *socio=nil se sont encore appréciées par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1. Mais comme les taux_de_change*socio=ec1 entre les monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac n'ont guère évolué, les mouvements*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien réels*socio=ec2 ont généralement *socio=rien été faibles (*socio=nil tableau *socio=nil 8). Dans les pays_en_développement*socio=uv3, la dépréciation*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 s'est*socio=rien quelque peu ralentie en 1987, après*socio=rien deux années*socio=rien d'ajustements*socio=et accélérés (graphique*socio=rien 13). Ce *socio=rien phénomène est attribuable,*socio=nil *socio=nil dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil au*socio=nil fait *socio=nil que la baisse*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1, auquel de nombreuses*socio=rien monnaies*socio=ec1 sont rattachées, a été*socio=rien moins rapide*socio=rien. Il est*socio=rien cependant vrai*socio=rien, d'une manière*socio=rien plus générale*socio=rien, qu'après*socio=rien une période*socio=te pendant laquelle le taux_de_change*socio=ec1 a joué un*socio=rien rôle*socio=et crucial*socio=rien dans les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et de stabilisation*socio=et, la nécessité*socio=uv1 d'une nouvelle*socio=rien dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 réel*socio=rien se fait*socio=rien désormais moins sentir dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3. Dans certains pays*socio=ac, en particulier*socio=rien dans l' hémisphère_occidental*socio=te, la forte*socio=rien accélération*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 n'a pas été*socio=rien intégralement répercutée sur*socio=rien les *socio=ec1 taux_de_change nominaux;*socio=nil *socio=nil de ce fait*socio=rien, il y a eu appréciation*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 réels*socio=ec2 et érosion*socio=ec2 des gains*socio=ec1 de compétitivité*socio=uv3 antérieurs*socio=te. En 1987, les pays_en_développement*socio=uv3 ont également eu tendance*socio=ec2 à adopter des régimes*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 moins flexibles*socio=uv4. Enfin, *socio=rien certaines nouvelles *socio=ec1 économies industrielles d'*socio=nil Asie*socio=ac,*socio=nil *socio=nil ayant une *socio=rien forte position extérieure*socio=te *socio=nil et cherchant à contenir - puis à réduire leurs excédents*socio=ec1 extérieurs*socio=te, ont commencé à laisser leurs monnaies*socio=ec1 s'apprécier en termes*socio=rien réels*socio=ec2. ÉVOLUTION*socio=te DES balances_des_paiements*socio=ec1 Le déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des pays_industrialisés*socio=ac s'est*socio=rien élargi, passant de 16 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986 à 43 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1987 (tableau*socio=rien 9), soit l'équivalent*socio=rien de 0,3 % de leur PNB*socio=ec1 global*socio=te. À l'opposé, la position*socio=rien des paiements_courants*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3, déficitaire*socio=ec2 de 41 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986, s'est*socio=rien trouvée à peu près en équilibre*socio=ec2 en 1987. Il en est*socio=rien donc résulté, implicitement, une diminution*socio=ec2 de quelque 13 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 de la discordance statistique*socio=ec2 mise en évidence*socio=rien dans la balance*socio=ec1 mondiale*socio=te des paiements_courants*socio=ec1, diminution*socio=ec2 due en partie*socio=rien aux fortes*socio=rien fluctuations*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 en 1986 et 1987. Ces ajustements*socio=et globaux*socio=te masquent toutefois des tendances*socio=ec2 nettement différenciées entre les pays*socio=ac et groupes_de_pays*socio=ac, qui s'expliquent par l'évolution*socio=te contrastée tant des importations*socio=ec1 et des exportations*socio=ec1, en volume*socio=rien, que des termes_de_l'_échange*socio=ec1. Par ailleurs*socio=rien, une analyse*socio=ec2 des balances_courantes*socio=ec1, fondée sur*socio=rien les seuls*socio=rien *socio=ec1 montants nominaux *socio=nil et exprimés en dollars*socio=ec1, conduit à une appréciation*socio=uv3 *socio=rien du degré d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil réalisé au cours*socio=rien de l'année*socio=rien qui peut conduire à des erreurs*socio=uv4 de jugement*socio=rien; exprimés en d'autres monnaies*socio=ec1 ou rapportés au revenu*socio=ec1, les soldes*socio=ec1 accusent des changements*socio=uv3 plus significatifs*socio=uv4. pays_industrialisés*socio=ac Même si, en volume*socio=rien, les États-unis*socio=ac ont nettement accru leurs exportations*socio=ec1 (de 12 % par rapport*socio=rien à 1986) et ralenti leurs importations*socio=ec1 (en augmentation*socio=ec2 de 5 % en 1987, contre 15 % en 1986), le déficit*socio=ec1 de leurs transactions_courantes*socio=te s'est*socio=rien aggravé, atteignant 154 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1987, contre 139 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986. Cette détérioration*socio=uv4 *socio=rien est attribuable *socio=nil à la fois*socio=rien à l'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 des *socio=ec1 échanges pétroliers,*socio=nil *socio=nil elle-même due à la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 importé en 1987, venant après*socio=rien leur chute brutale*socio=rien en 1986, et à l'élargissement*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 des échanges*socio=ec1 non pétroliers*socio=ec1, dont les termes*socio=rien se sont à nouveau*socio=rien détériorés. Le solde*socio=ec1 de la balance*socio=ec1 des services*socio=et a par ailleurs*socio=rien accusé une baisse*socio=ec2 de quelque 6,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, *socio=rien du fait *socio=nil de l'accroissement*socio=ec2 des intérêts*socio=uv1 et dividendes*socio=ec1 versés au titre*socio=rien des créances*socio=ec1 étrangères*socio=te sur*socio=rien les États-unis*socio=ac. Le déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te a atteint 3,4 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 en 1987, contre 3,3 % en 1986. À la fin*socio=rien de 1987 et au début*socio=rien de 1988, ce pourcentage*socio=rien a néanmoins semblé devoir*socio=rien se réduire, à mesure*socio=rien que se faisaient sentir les conséquences*socio=rien des *socio=rien nouveaux rapports de*socio=nil compétitivité*socio=uv3 sur le*socio=nil volume des*socio=nil échanges*socio=ec1 (*socio=nil graphique *socio=nil 14). Au japon*socio=ac, l'excédent*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te, mesuré en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1 et libellé en dollars*socio=ec1, est*socio=rien resté quasiment stable*socio=uv4 (87 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1987, contre 86 milliards*socio=rien en 1986). Le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 a certes enregistré une *socio=rien légère hausse,*socio=nil *socio=nil tandis que celui des importations*socio=ec1 (non pétrolières*socio=ec1) croissait de 11 % (après*socio=rien avoir augmenté de 12 % en 1986). La légère*socio=rien amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, dont le japon*socio=ac a bénéficié cette année*socio=rien encore, a cependant plus que compensé l'ajustement*socio=et en *socio=rien volume du commerce*socio=ec1 des*socio=nil marchandises*socio=ec1 *socio=nil et la légère*socio=rien dégradation*socio=uv3 de la balance*socio=ec1 des services*socio=et et des transferts*socio=ec1. De même, en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, les exportations*socio=ec1 ont continué à progresser en volume*socio=rien, mais moins rapidement que les importations*socio=ec1 (le volume*socio=rien des importations*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1 s'est*socio=rien accru de 7 %). Les termes_de_l'_échange*socio=ec1 de ce pays*socio=ac se sont toutefois modérément améliorés en ce qui concerne les marchandises*socio=ec1, ce qui a donné lieu*socio=rien à une augmentation*socio=ec2 de 14 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 de son *socio=ec1 excédent commercial,*socio=nil *socio=nil contrebalancée en partie*socio=rien seulement par un*socio=rien accroissement*socio=ec2 de 8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 du*socio=rien déficit*socio=ec1 au titre*socio=rien des services*socio=et et des transferts*socio=ec1. Exprimé en dollars*socio=ec1, l'excédent*socio=ec1 de la balance_courante*socio=ec1 de l'Allemagne*socio=ac est*socio=rien donc passé*socio=rien de 39 à 45 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 entre 1986 et 1987. On ne saurait cependant avoir une *socio=rien idée juste *socio=nil de la position*socio=rien extérieure*socio=te du*socio=rien japon*socio=ac et de la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac si l'on se contente de raisonner sur*socio=rien la base*socio=rien d'une unité*socio=rien de compte*socio=ec1 qui, comme le dollar*socio=ec1, s'est*socio=rien sensiblement dépréciée au cours*socio=rien de l'année*socio=rien. Lorsqu'on exprime en *socio=rien pourcentage du PNB*socio=ec1 les*socio=nil balances_des_paiements*socio=ec1 *socio=nil des deux principaux*socio=rien pays*socio=ac excédentaires*socio=ec2, c'est*socio=rien un*socio=rien tout autre tableau*socio=rien que l'on voit apparaître. L'excédent*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te du*socio=rien japon*socio=ac a en effet*socio=rien reculé entre 1986 et 1987, tombant de 4,4 % à 4,0 % du*socio=rien PNB*socio=ec1, tout comme celui de l'Allemagne*socio=ac, qui a rétrogadé, de 4,2 % à 3,9 % du*socio=rien PNB*socio=ec1, au cours*socio=rien de la même période*socio=te. Dans les deux cas*socio=rien, et plus particulièrement au japon*socio=ac, la tendance*socio=ec2 fondamentale*socio=uv4 à la diminution*socio=ec2 des excédents*socio=ec1 a été*socio=rien très marquée, tout au long*socio=rien de l'année*socio=rien. Si les déséquilibres*socio=uv3 restent profonds*socio=rien, l'évolution*socio=te observée en 1987 semble indiquer que les changements*socio=uv3 apportés aux politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec1 et la modification*socio=rien des rapports*socio=rien de compétitivité*socio=uv3 ont manifestement commencé à porter leurs fruits*socio=rien, comme le confirme d'ailleurs*socio=rien le fait*socio=rien que la tendance*socio=ec2 à l'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 de la balance_courante*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, en *socio=rien proportion du PNB*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil semble depuis peu s'infléchir. S'il *socio=rien est vrai *socio=nil qu'en 1987 l'ampleur*socio=rien des ajustements*socio=et des balances_courantes*socio=ec1 en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1 a généralement été*socio=rien plus faible*socio=rien dans les autres pays_industrialisés*socio=ac que dans les trois plus grandes*socio=rien économies*socio=ec1, il n'en reste*socio=rien pas moins que certains changements*socio=uv3 importants*socio=uv4 sont intervenus en termes*socio=rien réels*socio=ec2. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil les*socio=nil positions des*socio=nil paiements*socio=ec1 *socio=nil ont eu tendance*socio=ec2 à se détériorer. C'est*socio=rien en France*socio=ac que le phénomène*socio=rien a été*socio=rien le plus prononcé puisque l'excédent*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te de 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986 a cédé la place*socio=rien à un*socio=rien déficit*socio=ec1 de 4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1987, ce qui constitue *socio=rien un recul *socio=nil équivalant à 0,9 % du*socio=rien PIB*socio=ec1. Cette dégradation*socio=uv3 peut être*socio=rien attribuée au fait*socio=rien que la croissance*socio=uv3 en volume*socio=rien des importations*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1 (en hausse*socio=rien de 7 % en 1987, malgré *socio=rien un léger ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te) est*socio=rien restée trop vigoureuse*socio=rien pour pouvoir*socio=et être*socio=rien compensée par la modeste*socio=rien reprise des exportations*socio=ec1. Les termes_de_l'_échange*socio=ec1 français*socio=rien, qui avaient contribué à renforcer la position*socio=rien des paiements_courants*socio=ec1 en 1985 et 1986, n'ont guère évolué en 1987. La balance_des_paiements*socio=ec1 de l'Italie*socio=ac s'est*socio=rien nettement affaiblie en 1987: les transactions_courantes*socio=te ont évolué vers *socio=rien un léger déficit*socio=ec1 *socio=nil alors qu'elles s'étaient soldées *socio=rien un an *socio=nil auparavant par un*socio=rien excédent*socio=ec1 de 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (équivalant à 0,4 % du*socio=rien PNB*socio=ec1). Cet affaiblissement*socio=ec2, que la nouvelle*socio=rien amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 italiens n'a pu empêcher, s'explique par l'accélération*socio=ec2 rapide*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 des importations*socio=ec1 en volume*socio=rien (près de 11 % en 1987, contre 8 % en 1986, et même de 121/2 % si l'on ne tient pas compte*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1). Les importations*socio=ec1 ont été*socio=rien stimulées par la vigueur*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, elle-même due à la forte*socio=rien croissance*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 et à la reprise des dépenses*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1, alors que les exportations*socio=ec1 n'augmentaient, en volume*socio=rien, qu'à un*socio=rien rythme*socio=ec2 relativement modéré. Le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac s'est*socio=rien, lui aussi, détérioré: l'équilibre*socio=ec2 approximatif*socio=ec2 enregistré en 1986 a *socio=rien fait place à*socio=nil un déficit*socio=ec1 *socio=nil de 21/2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1987 (soit 0,3 % du*socio=rien PIB*socio=ec1). C'est*socio=rien dans le secteur*socio=rien non pétrolier*socio=ec1 que le changement*socio=uv3 a été*socio=rien le plus sensible*socio=rien; les importations*socio=ec1, bénéficiant d'une demande*socio=ec1 intérieure*socio=te qui demeurait active*socio=uv4, ont fortement augmenté en volume*socio=rien, un*socio=rien peu plus même que les exportations*socio=ec1, lesquelles ont profité en partie*socio=rien des dépréciations*socio=ec1 antérieures*socio=te de la livre sterling*socio=ec1. L'excédent*socio=ec1 des *socio=ec1 échanges pétroliers *socio=nil n'a que légèrement progressé pour atteindre 7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, l'accroissement*socio=ec2 moindre*socio=rien des volumes*socio=rien exportés ayant été*socio=rien plus que compensé par la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1. La nouvelle*socio=rien augmentation*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 de la balance*socio=ec1 des services*socio=et du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac a, dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil été *socio=nil contrebalancée par l'aggravation*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 au titre*socio=rien des transferts_officiels*socio=et. Contrairement aux principaux*socio=rien *socio=ac pays européens,*socio=nil le*socio=nil Canada *socio=nil a vu le déficit*socio=ec1 de sa balance_courante*socio=ec1 se réduire très légèrement en *socio=rien pourcentage du PNB*socio=ec1.*socio=nil En*socio=nil volume,*socio=nil *socio=nil si le taux_d'_accroissement*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 a augmenté par rapport*socio=rien à 1986, il est*socio=rien néanmoins resté en deçà du*socio=rien rythme*socio=ec2 d'augmentation*socio=ec2 des importations*socio=ec1; cet effet*socio=rien de volume*socio=rien a cependant été*socio=rien compensé, en *socio=rien grande partie,*socio=nil *socio=nil par une amélioration*socio=uv1 modérée des termes_de_l'_échange*socio=ec1. Quant aux petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, le déficit*socio=ec1 de leur balance_courante*socio=ec1 a totalisé 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1987, contre 1 milliard*socio=rien en 1986, ce qui représente une augmentation*socio=ec2 équivalant à 0,2 % de leur PNB*socio=ec1 global*socio=te. La position*socio=rien extérieure*socio=te de l'Espagne*socio=ac s'est*socio=rien détériorée, en raison*socio=rien de la vigueur*socio=uv3 soutenue de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te; l'excédent*socio=ec1 des paiements_courants*socio=ec1 est*socio=rien en effet*socio=rien tombé à 0,3 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 en 1987, alors qu'il représentait 2,2 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 en 1986. En volume*socio=rien, les importations*socio=ec1 se sont accrues de 22 % en 1987, annulant par là même, et au-delà, l'amélioration*socio=uv1 sensible*socio=rien des résultats*socio=rien à l'exportation*socio=ec1 (les exportations*socio=ec1 en volume*socio=rien ayant augmenté de 7 %, alors qu'elles avaient baissé de 4 % en 1986). L'excédent*socio=ec1 de la balance_courante*socio=ec1 des Pays-bas*socio=ac a, lui aussi, accusé une forte*socio=rien diminution*socio=ec2 (représentant*socio=rien l'équivalent*socio=rien de 1, 1 % du*socio=rien PNB*socio=ec1), la détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 ayant annulé l'amélioration*socio=uv1 de la balance*socio=ec1 extérieure*socio=te en termes*socio=rien réels*socio=ec2. La Norvège*socio=ac, le Danemark*socio=ac et l'Irlande*socio=ac, en revanche, ont nettement consolidé la position*socio=rien de leur balance_courante*socio=ec1 entre 1986 et 1987. C'est*socio=rien ainsi qu'en Norvège*socio=ac le déficit*socio=ec1 a été*socio=rien ramené de 6,5 % à 5 % du*socio=rien PNB*socio=ec1, grâce*socio=rien notamment à la remontée des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1, qui s'est*socio=rien ajoutée à la forte*socio=rien réduction*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 due à la compression*socio=et des dépenses*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 et d'investissement*socio=ec1. Au Danemark*socio=ac, le déficit*socio=ec1 a été*socio=rien ramené de 5,2 % à 2,9 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 entre 1986 et 1987, *socio=rien du fait du recul *socio=nil de la consommation*socio=ec1 et des investissements*socio=ec1. La demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a été*socio=rien réduite en Irlande*socio=ac, mais dans des *socio=rien proportions moindres;*socio=nil l'*socio=nil amélioration*socio=uv1 sensible *socio=nil de la balance*socio=ec1 extérieure*socio=te réelle*socio=ec2 a permis*socio=rien de transformer le déficit*socio=ec1 de la balance_courante*socio=ec1 - qui équivalait à 3,2 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 en 1986 - en un*socio=rien excédent*socio=ec1 correspondant à 1,5 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 en 1987. L'Australie*socio=ac a, elle aussi, enregistré une diminution*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 de ses transactions_courantes*socio=te, lequel a été*socio=rien ramené de 6,1 % à 4,6 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 entre 1986 et 1987. Cet ajustement*socio=et, qui correspond essentiellement à une forte*socio=rien amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 et à une excellente*socio=uv4 réaction*socio=rien des exportations*socio=ec1 aux gains*socio=ec1 de compétitivité*socio=uv3 enregistrés en 1985 et 1986, s'est*socio=rien produit*socio=rien malgré la reprise de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. pays_en_développement*socio=uv3 L'élargissement*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 des paiements_courants*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac pris en groupe*socio=ac a pour contrepartie*socio=rien une amélioration*socio=uv1 de 41 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 de la balance_courante*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 en 1987. Cette consolidation*socio=uv3 de la position*socio=rien extérieure*socio=te du*socio=rien groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 représente un*socio=rien ajustement*socio=et équivalant à 1,4 % de leur PIB*socio=ec1 global*socio=te (soit 6,3 % de leurs exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et). Il convient cependant de noter que ce sont surtout les pays*socio=ac autres que les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien minéraux*socio=ec1 *socio=nil qui en ont bénéficié. Dans l'ensemble*socio=rien. le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 s'est*socio=rien accru de 81/2 % en 1987 et leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 se sont quelque peu améliorés, après*socio=rien la *socio=uv4 grave détérioration *socio=nil qu'ils avaient subie en 1985 et 1986 (près de 20 %). Le volume*socio=rien des importations*socio=ec1, qui avait fortement reculé en 1985 et 1986, s'est*socio=rien un*socio=rien peu redressé. Quant à la balance*socio=ec1 des services*socio=et, son déficit*socio=ec1 s'est*socio=rien légèrement élargi en 1987, *socio=rien du fait *socio=nil de l'évolution*socio=te des taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te et de l'augmentation*socio=ec2 continue*socio=rien de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te nette*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3. C'est*socio=rien le rétablissement*socio=rien marqué de la position*socio=rien extérieure*socio=te des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil qui explique en *socio=rien grande partie la*socio=nil réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 des*socio=nil paiements_courants*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 (*socio=nil graphique *socio=nil 15). La balance_courante*socio=ec1 de ce groupe_de_pays*socio=ac avait perdu 32 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (soit 20 % de leurs exportations*socio=ec1) en 1986, *socio=rien du fait *socio=nil de la réduction*socio=ec2 de moitié*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 la même année*socio=rien. Comme ces prix*socio=ec1 ont regagné une *socio=rien partie du terrain l'*socio=nil année suivante,*socio=nil les*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 des*socio=nil *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil se sont améliorés de 12 % en 1987 (alors qu'ils s'étaient détériorés de 49 % en 1986). Ces pays*socio=ac ont également continué d'appliquer les politiques*socio=et financières*socio=ec1 restrictives*socio=uv4 qu'ils avaient adoptées l'année*socio=rien précédente*socio=rien. C'est*socio=rien ce qui explique la légère*socio=rien baisse*socio=ec2 de leur PNB*socio=ec1 estimé, ainsi que la nouvelle*socio=rien diminution*socio=ec2, de 11 %, *socio=rien du volume *socio=nil de leurs importations*socio=ec1 (après*socio=rien la chute de 22 % enregistrée en 1986). Cet effort*socio=uv1 d'ajustement*socio=et vigoureux*socio=rien a permis*socio=rien aux *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil de ramener le déficit*socio=ec1 de leur balance_courante*socio=ec1 à 4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 seulement en 1987. Les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil n'ont pas été*socio=rien les seuls*socio=rien à avoir réussi à ajuster leur balance_courante*socio=ec1. Les pays_en_développement*socio=uv3 non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1 ont, eux aussi, consolidé les progrès*socio=uv1 qu'ils avaient réalisés chaque année*socio=rien depuis 1981 en vue*socio=rien de renforcer leur position*socio=rien de paiements_courants*socio=ec1. Alors qu'ils avaient accusé un*socio=rien déficit_global*socio=ec1 de 9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986, ils ont en effet*socio=rien enregistré un*socio=rien excédent*socio=ec1 de 4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1987, ce qui correspond a un*socio=rien ajustement*socio=et équivalant à 2,6 % de leurs exportations*socio=ec1. Cependant, à la différence*socio=rien des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui ont continué de comprimer leurs importations*socio=ec1 et où la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 ne s'est*socio=rien pas accélérée, les pays*socio=ac non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1 ont surtout profité de la forte*socio=rien poussée de leurs exportations*socio=ec1 en volume*socio=rien (12 %) pour améliorer leur position*socio=rien de paiements*socio=ec1 et ce en dépit*socio=rien d'une augmentation*socio=ec2 marquée *socio=rien du volume *socio=nil de leurs importations*socio=ec1 (près de 9 %). Les ternies de l'échange*socio=ec1 du*socio=rien groupe_des_pays*socio=ac non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1, après*socio=rien s'être*socio=rien détériorés pendant deux années*socio=rien de suite*socio=rien, sont restés à peu près stables*socio=uv4 en 1987. Si les résultats*socio=rien des balances_courantes*socio=ec1 se sont améliorés presque partout en 1987, une analyse*socio=ec2 détaillée fait*socio=rien toutefois apparaître d'importantes*socio=uv4 disparités*socio=uv1 régionales*socio=te. Pour les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac, l'excédent*socio=ec1 a été*socio=rien de presque 21 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, contre 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986, alors qu'en moyenne*socio=rien, c'est*socio=rien un*socio=rien déficit*socio=ec1 annuel*socio=te de Il milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 qui avait été*socio=rien enregistré pendant la période*socio=te 1980-85. Ce renversement*socio=rien de tendance*socio=ec2 - qui s'explique par le fait*socio=rien qu'à 161/2 %, après*socio=rien une augmentation*socio=ec2 de près de 18 % en 1986, le taux_d'_accroissement*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 est resté*socio=nil élevé*socio=uv4 *socio=nil en 1987 - s'est*socio=rien produit*socio=rien malgré un*socio=rien gonflement*socio=ec2 important*socio=uv4 *socio=rien du volume des*socio=nil importations*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil *socio=ac pays asiatiques *socio=nil ont également profité d'améliorations*socio=uv1 sensibles*socio=rien de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1. L'excédent*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des quatre nouvelles*socio=rien *socio=ec1 économies industrielles d'*socio=nil Asie*socio=ac (*socio=nil Hong*socio=ac Kong*socio=ac,*socio=nil Corée*socio=ac,*socio=nil Singapour*socio=ac *socio=nil et Taïwan (Province*socio=ac de Chine*socio=ac" a atteint 30 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1987, ce qui correspond à quelque 11 % de leur PNB*socio=ec1 global*socio=te. Le déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des autres *socio=ac pays asiatiques a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil ramené de 18 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986 à 9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1987, soit un*socio=rien ajustement*socio=et équivalant à 10 % de leurs exportations*socio=ec1. Après*socio=rien le déficit*socio=ec1 de 2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 qu'avait accusé, globalement, la balance_courante*socio=ec1 des *socio=ac pays européens en*socio=nil développement*socio=uv3 *socio=nil en 1986, c'est*socio=rien *socio=rien un léger excédent*socio=ec1 *socio=nil qui a été*socio=rien dégagé en 1987. La dégradation*socio=uv3 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 n'a pas été*socio=rien suffisamment grave*socio=uv4 pour annuler l'augmentation*socio=ec2 de 8 % *socio=rien du volume *socio=nil de leurs exportations*socio=ec1; quant aux importations*socio=ec1, elles ont gagné 51/2 %, en volume*socio=rien. La remontée partielle*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et la réduction*socio=ec2 des importations*socio=ec1 de certains *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 ont*socio=nil permis*socio=rien,*socio=nil *socio=nil dans les pays*socio=ac *socio=rien du Moyen Orient*socio=ac,*socio=nil *socio=nil de ramener le déficit*socio=ec1 de la balance_courante*socio=ec1 de 18 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (15 % des exportations*socio=ec1) en 1986 à 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (4 % des exportations*socio=ec1) en 1987. Le déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des *socio=ac pays africains *socio=nil a également baissé, tombant de 9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986 à 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1987 (soit un*socio=rien ajustement*socio=et équivalant à 6,1 % de leurs exportations*socio=ec1); ce résultat*socio=rien s'explique principalement par la poursuite*socio=rien de la compression*socio=et des importations*socio=ec1 (celles-ci ont reculé de 5 % en volume*socio=rien en 1987, après*socio=rien avoir chuté de 11 % en 1986). Il n'en reste*socio=rien pas moins que, pour ce qui est*socio=rien des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac au sud*socio=te du*socio=rien Sahara*socio=ac (à l'exclusion*socio=uv1 du*socio=rien Nigéria et de l'afrique_du_sud*socio=ec1), le déficit*socio=ec1 de la balance_courante*socio=ec1 s'est*socio=rien aggravé pour atteindre 61/2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1987, soit 23 % de leurs exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et, contre 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 19861. S'il *socio=rien est vrai *socio=nil qu'en volume*socio=rien, le niveau*socio=rien des exportations*socio=ec1 et des importations*socio=ec1 de ce groupe_de_pays*socio=ac n'a guère changé, leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1 se sont à nouveau*socio=rien détériorés - de 6 % - après*socio=rien la chute de 16 % déjà enregistrée en 1986. Le déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te a lui aussi reculé entre 1986 et 1987, tombant de 17 à 111/2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, soit un*socio=rien ajustement*socio=et équivalant à 61/2 % de leurs exportations*socio=ec1. C'est*socio=rien au renforcement*socio=ec2 de leurs *socio=ec1 balances commerciales réelles*socio=ec2 *socio=nil qu'ils doivent cette sensible*socio=rien amélioration*socio=uv1; les ternies de l'échange*socio=ec1 de cette région*socio=te se sont légèrement détériorés. Les diverses*socio=rien tendances*socio=ec2 régionales*socio=te reflètent, dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil des*socio=nil différences*socio=uv1 *socio=nil dans la structure*socio=ec1 des échanges*socio=ec1. C'est*socio=rien ainsi que les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés, situés pour la plupart*socio=rien en Asie*socio=ac et en Europe*socio=ac, ont continué à bénéficier de la demande*socio=ec1 soutenue d'importations*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac, ainsi que de la reprise des importations*socio=ec1, en volume*socio=rien, dans les pays_en_développement*socio=uv3 non producteurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1. Le volume*socio=rien global*socio=te de leurs exportations*socio=ec1, qui avait progressé de 131/2 % en 1986, s'est*socio=rien encore accru de près de 16 %. Par ailleurs*socio=rien, la bonne*socio=rien tenue des prix*socio=ec1 mondiaux*socio=te des produits*socio=rien manufacturés (qui ont augmenté de 121/2 %, en dollars*socio=ec1, en 1987, après*socio=rien avoir gagné 18 % en 1986) a favorisé*socio=rien une amélioration*socio=uv1 - modérée - de leurs termes_de_l'_échange*socio=ec1. Dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil *socio=rien produits primaires non*socio=nil pétroliers*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 *socio=nil se sont en revanche détériorés pour la *socio=rien troisième année consécutive,*socio=nil *socio=nil malgré la hausse*socio=rien des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien en fin*socio=rien d'année*socio=rien. Le recul*socio=rien cumulatif*socio=ec2 a été*socio=rien de 9 % et a annulé les *socio=rien bons résultats en*socio=nil termes réels*socio=ec2 *socio=nil que ces pays*socio=ac ont continué d'enregistrer à l'exportation*socio=ec1 (en *socio=ec2 augmentation régulière chaque*socio=nil année*socio=rien *socio=nil depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80, le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 *socio=nil a encore gagné 101/2 % en 1987). *socio=rien Bon nombre de*socio=nil *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil *socio=rien produits primaires non*socio=nil pétroliers*socio=ec1 *socio=nil sont situés en Afrique*socio=ac et dans l' hémisphère_occidental*socio=te, régions*socio=te qui ont continué à connaître des difficultés*socio=uv4 de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te particulièrement graves*socio=uv4. FINANCEMENT*socio=ec1 ET ENDETTEMENT*socio=ec1 En matière*socio=rien de financement*socio=ec1, la situation*socio=rien fondamentale*socio=uv4 des pays_en_développement*socio=uv3 n'a guère changé de 1986 à 1987, en dépit*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil évolutions*socio=te *socio=nil qu'il convient de relever. Les besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te, qui avaient totalisé 75 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986, ont légèrement augmenté pour atteindre 77 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 198î (tableau*socio=rien 10), l'accroissement*socio=ec2 des flux*socio=ec1 non générateurs*socio=rien d'endettement*socio=ec1 avant correspondu à la stabilisation*socio=et de l'encours des arriérés (lesquels s'établissaient, d'après*socio=rien les estimations*socio=ec2, à 52 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1987) et à l'augmentation*socio=ec2 des remboursements*socio=ec1 nets*socio=rien au Fonds*socio=ec1. À la fin*socio=rien de 1987, quelque 56 pays*socio=ac étaient en situation*socio=rien d'arriérés de paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te, contre 58 à la fin*socio=rien de 1986; ce nombre*socio=rien, qui était de 39 à la fin*socio=rien de 1~8l, était en constante*socio=rien augmentation*socio=ec2 depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80. Le montant*socio=ec1 net*socio=rien des nouveaux*socio=rien crédits*socio=ec1 accordés par les banques*socio=ac et par les autres prêteurs*socio=ac privés*socio=et est*socio=rien resté faible*socio=rien (8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 seulement), tandis que les flux*socio=ec1 nets*socio=rien des créanciers*socio=ac officiels*socio=et se maintenaient aux alentours*socio=rien de 34 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. L'amélioration*socio=uv1 sensible*socio=rien de la position*socio=rien des paiements_courants*socio=ec1 du*socio=rien groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3, s'ajoutant à la légère*socio=rien augmentation*socio=ec2 des financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te, a permis*socio=rien à ces pays*socio=ac d'enregistrer une nette*socio=rien reprise de l'accumulation*socio=ec2 de leurs réserves*socio=ec1 (il convient cependant de noter que ce phénomène*socio=rien a été*socio=rien concentré dans *socio=rien un petit nombre d'*socio=nil économies*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil principalement à Taiwan*socio=ac (Province*socio=ac de Chine*socio=ac". L'acquisition*socio=rien d'avoirs*socio=ec1 extérieurs*socio=te autres que des réserves*socio=ec1, qui mesure*socio=rien, dans certains pays*socio=ac, la fuite*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1, a continué à se ralentir. Comme en 1986, ces évolutions*socio=te globales*socio=rien masquent une très grande*socio=rien diversité*socio=uv1 de situations*socio=rien entre les divers groupes_de_pays_en_développement*socio=uv3. C'est*socio=rien ainsi qu'en matière*socio=rien de financement*socio=ec1, les deux catégories*socio=rien de pays*socio=ac qui avaient le mieux réussi l'ajustement*socio=et de leur balance_courante*socio=ec1 - les exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1 et les exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés - se trouvaient en 1987 dans une situation*socio=rien tout à *socio=rien fait différente *socio=nil de celle des autres pays_en_développement*socio=uv3 (pour la plupart*socio=rien, exportateurs*socio=ac de *socio=rien produits primaires)*socio=nil .*socio=nil *socio=nil En 1986, les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil combustibles*socio=ec1 *socio=nil avaient dû puiser dans leurs réserves*socio=ec1 brutes*socio=rien à hauteur*socio=rien d'environ 18 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, en raison*socio=rien de la chute brutale*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 en début*socio=rien d'année*socio=rien. L'ajustement*socio=et important*socio=uv4 du*socio=rien solde*socio=ec1 de leurs transactions_courantes*socio=te en 1987 a permis*socio=rien à ce groupe_de_pays*socio=ac de reconstituer une *socio=rien grande partie des*socio=nil réserves*socio=ec1 *socio=nil ainsi dépensées, tandis que le montant*socio=ec1 net*socio=rien de leurs emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te était ramené à 81/2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Quant aux *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés, ils ont pu, grâce*socio=rien à la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 de leur balance_courante*socio=ec1, accumuler encore davantage d'avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 (ceux-ci représentaient à peu près 21 semaines*socio=rien d'importations*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1987), tout en ramenant leurs besoins*socio=uv1 de financements*socio=ec1 nets*socio=rien a hauteur*socio=rien de 14 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. S'agissant du*socio=rien financement*socio=ec1 extérieur*socio=te, !es autres pays_en_développement*socio=uv3, en revanche, n'ont guère vu s'améliorer leur situation*socio=rien, déjà difficile*socio=rien en 1986. Le déficit*socio=ec1 de leurs transactions_courantes*socio=te s'est*socio=rien creusé pour atteindre 21 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1; leurs réserves*socio=ec1 sont restées à *socio=rien un niveau *socio=nil équivalant à 13 semaines*socio=rien d'importations*socio=ec1 seulement; et leurs emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te nets*socio=rien - de 19 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 - ont à peine dépassé le faible*socio=rien montant*socio=ec1 enregistré en 1986. Si les financements*socio=ec1 à long_terme*socio=te fournis par les prêteurs*socio=ac officiels*socio=et n'ont jamais été*socio=rien aussi importants*socio=uv4 depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80 (atteignant 24 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1), en ce qui concerne les créanciers_privés*socio=et, le total*socio=rien des remboursements*socio=ec1 est*socio=rien demeuré supérieur*socio=rien à celui des prêts*socio=ec1 (et ce malgré les *socio=rien conséquences notables du rééchelonnement*socio=et *socio=nil de la dette*socio=ec1). Les arriérés ne se sont plus accumulés qu'à hauteur*socio=rien de 2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, après*socio=rien une *socio=ec2 augmentation record *socio=nil de 6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986. Il est*socio=rien frappant de constater combien les flux*socio=ec1 de financements*socio=ec1 officiels*socio=et (non compris les crédits*socio=ec1 (lu Fonds*socio=ec1) à destination*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 sont restés stables*socio=uv4, d'autant plus que les concours privés*socio=et ont, quant à eux, fortement diminué. Corrigés des fortes*socio=rien fluctuations*socio=ec2 imputables*socio=uv2 aux opérations*socio=rien à court_terme*socio=te entre les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1, dont l'objet*socio=rien était de permettre les importants*socio=uv4 ajustements*socio=et financiers*socio=ec1 des années*socio=rien 1982 et 1983, les flux*socio=ec1 officiels*socio=et vers les *socio=ac pays importateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil se sont inscrits*socio=rien, pendant la période*socio=te 1980-85, dans une fourchette*socio=rien comprise entre 27 et 33 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 par an*socio=rien. En 1986 et 1987, les décaissements*socio=ec1 se sont élevés*socio=uv4 en moyenne*socio=rien à 361/,-, milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, en raison*socio=rien de l'approche plus coordonnée adoptée, en matière*socio=rien de flux*socio=ec1 de financements*socio=ec1, à la suite*socio=rien de l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et de la banque_mondiale*socio=ac à Séoul*socio=ac en octobre*socio=rien 1985. Le Fonds*socio=ec1 a grandement contribué à faciliter l'ajustement*socio=et extérieur*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3, dès que se sont fait*socio=rien sentir les *socio=rien premières conséquences *socio=nil de la crise*socio=uv2 de la dette*socio=ec1. Les crédits*socio=ec1 *socio=rien nets du Fonds*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui s'élevaient en moyenne*socio=rien à 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 par an*socio=rien pendant la période*socio=te 1978-80, se sont accrus pour atteindre un*socio=rien montant*socio=ec1 annuel*socio=te moyen*socio=rien de 71/2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pendant la période*socio=te 1981-84. Comme les concours du*socio=rien Fonds*socio=ec1 sont, par nature*socio=rien, temporaires*socio=rien et que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac ont réussi à réduire leurs besoins*socio=uv1 de financements*socio=ec1, les flux*socio=ec1 nets*socio=rien ont fini par s*socio=rien 1 inverser, de sorte*socio=rien que pendant les années*socio=rien 1985-87, ce sont les pays_en_développement*socio=uv3 qui ont effectué des versements*socio=ec1 nets*socio=rien au FMI*socio=ac de quelque 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 par an*socio=rien, en moyenne*socio=rien. Compte*socio=ec1 tenu des efforts*socio=uv1 que déploie le Fonds*socio=ec1 pour encourager les pays_en_développement*socio=uv3 à entreprendre un*socio=rien ajustement*socio=et plus vigoureux*socio=rien - dont témoignent*socio=rien, par exemple*socio=rien, la mise en ouvre de programmes*socio=et en faveur*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de la FAS*socio=ec1 et de la FAS*socio=ec1 renforcée et la réadaptation*socio=uv3 du*socio=rien mécanisme*socio=et élargi de crédit*socio=ec1 -, les décaissements*socio=ec1 bruts*socio=rien devraient à nouveau*socio=rien s'accroître rapidement en 1988 et en 1989. Si l'on considère les chiffres globalement, rien*socio=rien ne laisse espérer une reprise des flux*socio=ec1 de financements_privés*socio=ec1 en faveur*socio=rien des *socio=ac pays cri développement*socio=uv3,*socio=nil après*socio=rien *socio=nil la chute brutale*socio=rien intervenue pendant les années*socio=rien 1982-84. Il *socio=rien est vrai *socio=nil que, comme on l'a indiqué plus haut*socio=rien, les prêts*socio=ec1 non officiels*socio=et accordés aux *socio=ac pays importateurs de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil ont atteint un*socio=rien montant*socio=ec1 de 9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1987 (alors qu'ils avaient été*socio=rien pratiquement inexistants*socio=rien en 1986); néanmoins, cette augmentation*socio=ec2 est*socio=rien exclusivement attribuable*socio=rien a l'accroissement*socio=ec2 des décaissements*socio=ec1 au titre*socio=rien d'accords*socio=et de financements*socio=ec1 concertés; les flux*socio=ec1 nets*socio=rien correspondant à des prêts*socio=ec1 spontanés*socio=rien sont. quant à eux, restés négatifs*socio=rien. C'est*socio=rien surtout dans les pays*socio=ac ayant éprouvé des difficultés*socio=uv4 de service_de_la_dette*socio=ec1 que les prêts_privés*socio=et ont reculé après*socio=rien 1981: les remboursements*socio=ec1 nets*socio=rien de ce groupe_de_pays*socio=ac aux créanciers*socio=ac non officiels*socio=et ont. en effet*socio=rien totalisé en moyenne*socio=rien 4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 par an*socio=rien pendant la période*socio=te 1983-86, alors que, pendant la période*socio=te 1979-82, les apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 s'étaient élevés*socio=uv4 à 36 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 par an*socio=rien, en moyenne*socio=rien. Grâce*socio=rien aux accords*socio=et de financements*socio=ec1 concertés, 8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 par an*socio=rien ont pu être*socio=rien accordés en moyenne*socio=rien pendant les années*socio=rien 1983-86, ce qui signifie que, pendant cette période*socio=te, les remboursements*socio=ec1 ont été*socio=rien chaque *socio=rien année supérieurs *socio=nil de 12 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, en moyenne*socio=rien, aux *socio=rien apports spontanés.*socio=nil *socio=nil En 1987, les remboursements*socio=ec1 nets*socio=rien des pays*socio=ac ayant eu récemment des difficultés*socio=uv4 de service_de_la_dette*socio=ec1 aux créanciers_privés*socio=et n'ont plus été*socio=rien que de 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 mais, selon toute vraisemblance*socio=rien, les flux*socio=ec1 devraient rester négatifs*socio=rien, du*socio=rien moins dans le court_terme*socio=te. C'est*socio=rien sans doute*socio=rien en partie*socio=rien parce qu'il s'est*socio=rien présenté moins d'occasions*socio=rien d'accorder des crédits*socio=ec1 à des *socio=ec1 conditions commerciales *socio=nil dans les pays*socio=ac N'ayant pas eu récemment de difficultés*socio=uv4 à servir leur dette*socio=ec1 que le montant*socio=ec1 des transferts*socio=ec1 négatifs*socio=rien de ressources*socio=ec1 a diminué en 1987; les prêts_privés*socio=et accordés à ce groupe_de_pays*socio=ac ont en effet*socio=rien baissé, tombant de 16 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1986 à 11 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1987, *socio=rien du fait *socio=nil de l'amélioration*socio=uv1 de la position*socio=rien de leurs paiements_courants*socio=ec1. Exprimée en dollars*socio=ec1, la valeur*socio=ec1 totale*socio=rien de l'encours de la dette*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 s'est*socio=rien accrue de 10,4 % en 1987, pour atteindre 1.217 milliards*socio=rien (le dollars*socio=ec1 (tableau*socio=rien 11), montant*socio=ec1 équivalant à 39 % de leur PIB*socio=ec1 global*socio=te. Pour les deux tiers*socio=rien, cette augmentation*socio=ec2 en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1 provient, selon les estimations*socio=ec2, de l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 et de son *socio=rien effet sur la*socio=nil valeur*socio=ec1 *socio=nil exprimée en dollars*socio=ec1 des dettes*socio=ec1 libellées en d'autres monnaies*socio=ec1; en fait*socio=rien, l'endettement*socio=ec1 s'est*socio=rien accru à un*socio=rien *socio=ec2 rythme tendanciel *socio=nil d'environ 4 %, soit à peu près au même taux*socio=ec1 qu'en 1985 et en 1986. Grâce*socio=rien, entre autres facteurs*socio=rien, à une assez "S*socio=rien forte*socio=rien croissance*socio=uv3 de leurs exportations*socio=ec1, les pays_en_développement*socio=uv3 ont pu ramener leur *socio=ec1 ratio dette/*socio=nil exportations *socio=nil de 169 en 1986 à 158 en 1987. Ce ratio*socio=ec1 n'en est*socio=rien pas moins resté nettement supérieur*socio=rien à ce qu'il était en 1980, dans toutes les régions*socio=te, et singulièrement en Afrique*socio=ac et dans l'hémisphère_occidental*socio=te, où il a atteint des niveaux*socio=rien particulièrement élevés*socio=uv4 par rapport*socio=rien au passé*socio=rien. Cette aggravation*socio=ec2 *socio=rien est frappante *socio=nil dans les pays*socio=ac qui ont eu récemment des difficultés*socio=uv4 de service_de_la_dette*socio=ec1, compte*socio=ec1 tenu surtout *socio=rien du fait *socio=nil que la croissance*socio=uv3 de l'endettement*socio=ec1 nominal*socio=rien y a *socio=rien été du même*socio=nil ordre *socio=nil que dans les pays*socio=ac n'ayant pas eu de telles difficultés*socio=uv4 (graphique*socio=rien 16). De nombreux*socio=rien pays*socio=ac restent entravés dans leur développement*socio=uv3 économique*socio=ec1 par l'obstacle*socio=uv3 majeur*socio=rien que constitue le fardeau*socio=uv4 de l'endettement*socio=ec1. Cela est*socio=rien particulièrement vrai*socio=rien des petits*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 et des pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien lourdement endettés. Il n'en reste*socio=rien pas moins vrai*socio=rien que le ratio*socio=ec1 global*socio=te du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 a été*socio=rien ramené de 22 % en 1986 à 20 % en 1987. Outre l'augmentation*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, ce sont les opérations*socio=rien de restructuration*socio=et de la dette*socio=ec1 qui expliquent en partie*socio=rien cette amélioration*socio=uv1; en 1987, ces opérations*socio=rien ont en *socio=rien effet permis *socio=nil d'alléger le fardeau*socio=uv4 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 d'un*socio=rien montant*socio=ec1 équivalant à 91/2 % environ des exportations*socio=ec1. (C'est*socio=rien ainsi que les remboursements*socio=ec1 annuels*socio=te moyens*socio=ec1 ont baissé de 40 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 par an*socio=rien pendant la période*socio=te 1983-86 et de plus de 70 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1987.) Là encore, la situation*socio=rien varie considérablement*socio=rien d'un*socio=rien groupe_de_pays_en_développement*socio=uv3 à l'autre. Les pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te ont continué à devoir*socio=rien faire face*socio=rien à des paiements*socio=ec1 particulièrement élevés*socio=uv4 au *socio=rien titre du service_de_leur_dette*socio=ec1 *socio=nil (le ratio*socio=ec1 du*socio=rien service_de_leur_dette*socio=ec1 a atteint 38 % en 1987); en effet*socio=rien, c'est*socio=rien aux conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 qu'ils ont contracté une *socio=rien grande partie *socio=nil de leurs emprunts*socio=ec1. Pour ce qui est*socio=rien, en revanche, des petits*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, dont beaucoup sont situés en Afrique*socio=ac, c'est*socio=rien plutôt l'ampleur*socio=rien de leur endettement*socio=ec1 par rapport*socio=rien à leurs résultats*socio=rien à l'exportation*socio=ec1 qui rend le service_de_leur_dette*socio=ec1 singulièrement préoccupant*socio=rien. Il *socio=rien est intéressant *socio=nil de noter que, tout au long*socio=rien des années*socio=rien 80, les pays_en_développement*socio=uv3 importateurs*socio=ac de capitaux*socio=ec1 qui avaient récemment éprouvé des difficultés*socio=uv4 de service_de_la_dette*socio=ec1 ont dépensé, pour servir leur dette*socio=ec1, une part*socio=rien de leurs exportations*socio=ec1 à peu près deux fois*socio=rien plus élevée*socio=uv4 que les pays*socio=ac du*socio=rien même groupe*socio=ac n'ayant pas eu récemment de difficultés*socio=uv4 dans ce domaine*socio=rien (en 1987, le ratio*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 était respectivement, pour chacun de ces deux groupes_de_pays*socio=ac, de 30 % et de 17 %). Chapitre*socio=rien 2 Politiques*socio=et et *socio=rien activités du Fonds*socio=ec1 SURVEILLANCE*socio=et *socio=nil L'une des *socio=rien principales fonctions du Fonds*socio=ec1 *socio=nil es d'être*socio=rien, pour ses pays_membres*socio=ac, une institution*socio=ac permanente*socio=te leur permettant d'examiner la politiqu( économique*socio=ec1 menée par chacun d'eux, ainsi que h fonctionnement*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te dans son ensemble*socio=rien. À cet égard*socio=rien, le Fonds*socio=ec1 s'est*socio=rien vu confier un*socio=rien( responsabilité*socio=uv1 précise*socio=rien qui consiste à exercer une surveillance*socio=et ferme*socio=ec2 sur*socio=rien les politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 de ses pays_membres*socio=ac. La *socio=rien première partie *socio=nil de ce chapitre*socio=rien traite des procédures*socio=et que le Fonds*socio=ec1 emploie pour s'acquitter de sa tâche*socio=rien de surveillance*socio=et et présente*socio=rien les vues*socio=rien qu'il a exprimées sur*socio=rien les principales*socio=rien évolutions*socio=te économiques*socio=ec1 de l'année*socio=rien écoulée. Les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et l'interaction*socio=rien des politiques_économiques*socio=et nationales*socio=te sont examinées, à intervalles*socio=rien réguliers*socio=ec2, par le conseil_d'_administration*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1, puis par le comité_intérimaire*socio=ac". Ces examens*socio=ec2 s'appuient sur*socio=rien le rapport*socio=rien établi par les services_du_fonds*socio=ec1 sur*socio=rien les Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, dans lequel sont analysées de façon*socio=rien approfondie les perspectives*socio=te d'évolution*socio=te économique*socio=ec1 à court*socio=rien et à *socio=rien moyen terme *socio=nil de l'ensemble*socio=rien du*socio=rien monde*socio=te, de divers pays_membres*socio=ac et de différents*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac. Outre qu'elle définit*socio=rien le *socio=rien contexte général *socio=nil dans lequel le Fonds*socio=ec1 exerce sa surveillance*socio=et lors*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV qu'il tient, à intervalles*socio=rien réguliers*socio=ec2, avec les différents*socio=rien pays_membres*socio=ac, l'étude*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te fournit une base*socio=rien d'analyse*socio=ec2 pour déceler, à la source*socio=rien, les conflits*socio=uv1 et les tensions*socio=ec2 que pourrait engendrer, entre différents*socio=rien pays*socio=ac, le maintien*socio=rien de certaines*socio=rien politiques_économiques*socio=et. Elle sert en outre de cadre*socio=rien au suivi et à l'analyse*socio=ec2 d'autres questions*socio=rien, par exemple*socio=rien la situation*socio=rien de l'endettement*socio=ec1. À l'occasion*socio=rien, si l'environnement*socio=et économique*socio=ec1 mondial*socio=te *socio=rien subit un bouleversement*socio=nil majeur *socio=nil dans le temps*socio=rien qui s'écoule entre les discussions*socio=et consacrées périodiquement aux perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, le conseil_d'_administration*socio=ac peut décider de se réunir spécialement pour en délibérer. C'est*socio=rien ainsi qu'il a tenu en janvier*socio=rien 1988 une *socio=rien réunion supplémentaire *socio=nil afin d'analyser les retombées*socio=rien internationales*socio=te du*socio=rien brusque effondrement*socio=ec2 *socio=rien du cours des*socio=nil actions*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui s'était produit*socio=rien en octobre*socio=rien 1987. Par ailleurs*socio=rien, le conseil_d'_administration*socio=ac examine, à intervalles*socio=rien réguliers*socio=ec2, les facteurs*socio=rien qui déterminent les tendances*socio=ec2 observées sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Tandis que l'étude*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te donne aux pays_membres*socio=ac l'occasion*socio=rien de passer en revue les perspectives*socio=te et les politiques_économiques*socio=et intéressant*socio=rien l'ensemble*socio=rien de la communauté*socio=ac mondiale*socio=te, c'est*socio=rien essentiellement au moyen*socio=rien des consultations*socio=uv1 qu'il tient avec chacun de ses pays_membres*socio=ac que le Fonds*socio=ec1 exerce sa surveillance*socio=et sur*socio=rien les politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1. Par ailleurs*socio=rien, *socio=rien un système *socio=nil de suivi permet de porter à l'attention*socio=rien du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac toute variation*socio=rien importante*socio=uv4 des taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien réels*socio=ec2 des pays_membres*socio=ac. Avec la plupart*socio=rien des pays_membres*socio=ac, les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV se tiennent une fois*socio=rien par an*socio=rien. Elles ont principalement pour objet*socio=rien d'examiner l'évolution*socio=te et la politique_économiques*socio=ec1 de chacun des pays*socio=ac en question*socio=rien et d'évaluer en particulier*socio=rien l'incidence*socio=ec2 de cette politique*socio=et sur*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1 et sur*socio=rien les comptes*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Ces évaluations*socio=ec2 requièrent une analyse*socio=ec2 approfondie de l'évolution*socio=te - récente*socio=rien et prévisible*socio=uv4 - de l'économie*socio=ec1 réelle*socio=ec2, ainsi que des comptes*socio=ec1 budgétaires*socio=et et monétaires*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac et de sa balance_des_paiements*socio=ec1. Les questions*socio=rien plus particulièrement abordées durant les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV varient en fonction*socio=rien des *socio=rien caractéristiques propres au*socio=nil *socio=ac pays membre *socio=nil considéré et de la conjoncture*socio=ec2 économique*socio=ec1 mondiale*socio=te. Depuis quelques années*socio=rien, au vu des grands*socio=rien déséquilibres*socio=uv3 apparus dans les positions*socio=rien de paiements*socio=ec1, tant des pays_industrialisés*socio=ac que des pays_en_développement*socio=uv3, ainsi que des difficultés*socio=uv4 éprouvées en matière*socio=rien d'endettement*socio=ec1 par de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, une *socio=rien attention croissante a*socio=nil été *socio=nil accordée à la viabilité*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme des*socio=nil positions de*socio=nil balance_des_paiements*socio=ec1 des*socio=nil pays_membres*socio=ac,*socio=nil au*socio=nil rétablissement *socio=nil - à *socio=rien moyen terme *socio=nil également - de leur crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te et à la façon*socio=rien dont les mesures*socio=et structurelles*socio=ec2 peuvent améliorer leurs résultats*socio=rien économiques*socio=ec1. L'analyse*socio=ec2 *socio=rien finale reste *socio=nil toutefois centrée sur*socio=rien les conséquences*socio=rien que l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 de chaque pays*socio=ac et sa politique_économique*socio=ec1 entraînent pour l'ensemble*socio=rien de la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil LA*socio=nil SITUATION*socio=rien ÉCONOMIQUE*socio=ec1 INTERNATIONALE Lors*socio=rien des*socio=nil discussions*socio=et *socio=nil qu'ils ont tenues durant l'exercice*socio=rien clos le 30 avril*socio=rien 1988 sur*socio=rien les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, le conseil_d'_administration*socio=ac et le comité_intérimaire*socio=ac ont estimé que l'on peut s'attendre à ce que l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac se poursuive en 1988 et 1989, mais probablement à un*socio=rien rythme*socio=ec2 plus modéré qu'en 1987. On relève*socio=rien toutefois certains signes d'évolution*socio=te moins encourageants*socio=uv4, tels le récent*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3 et la persistance*socio=te de difficultés*socio=uv4 en matière*socio=rien d'endettement*socio=ec1 dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil lourdement endettés. Dans une perspective*socio=rien à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil autrement dit à l'horizon*socio=rien de la fin*socio=rien 1992, le conseil_d'_administration*socio=ac et le comité_intérimaire*socio=ac ont noté qu'il subsiste *socio=rien un certain nombre de*socio=nil graves*socio=uv4 incertitudes*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil Malgré certains signes que les déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te des plus grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac commencent à diminuer en termes*socio=rien réels*socio=ec2, ces déséquilibres*socio=uv3 demeurent plus amples*socio=rien qu'il ne paraît soutenable*socio=uv4 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Compte*socio=ec1 *socio=nil tenu de ces préoccupations*socio=uv4, les discussions*socio=et tenues au Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien l'action*socio=ec1 à mener ont continué à faire ressortir la nécessité*socio=uv1 de poursuivre les mesures*socio=et de redressement*socio=ec2 des politiques_économiques*socio=et, dans l'esprit*socio=rien de l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et et des déclarations*socio=et ultérieures*socio=te du*socio=rien Groupe*socio=ac des Sept (voir chapitre*socio=rien 1, encadré, pages*socio=rien 2 et 3). Il a été*socio=rien généralement admis qu'il serait contre-indiqué, à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, de compter sur*socio=rien de nouveaux*socio=rien ajustements*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 pour remédier aux déséquilibres*socio=uv3 qui subsistent. En revanche, de l'avis*socio=rien général*socio=rien, la coordination*socio=uv3 plus étroite*socio=rien des politiques_économiques*socio=et intérieures*socio=te devrait jouer un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 dans la promotion*socio=uv3 du*socio=rien processus*socio=te d'ajustement_international*socio=ec1. C'est*socio=rien là, semble-t-il, le meilleur*socio=uv4 moyen*socio=rien de veiller à ce que les *socio=rien fortes variations des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil intervenues depuis 1985 reflètent bien*socio=rien les *socio=rien variations correspondantes des*socio=nil positions de*socio=nil paiements*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il a été*socio=rien généralement reconnu que les pays*socio=ac qui enregistrent des déficits*socio=ec1 de paiements*socio=ec1 insoutenables*socio=uv2 devraient entreprendre de restreindre l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et, à cet effet*socio=rien, doser de façon*socio=rien appropriée les mesures*socio=et d'ordre*socio=rien budgétaire*socio=et, monétaire*socio=ec1 et structurel*socio=ec2 pour stimuler l'épargne*socio=ec1 nationale*socio=te et encourager une allocation*socio=et efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1. Il faut que les pays*socio=ac excédentaires*socio=ec2, quant à eux, fassent en sorte*socio=rien que la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te continue*socio=rien de croître à un*socio=rien rythme*socio=ec2 satisfaisant*socio=rien et qu'ils libèrent leur économie*socio=ec1 des obstacles*socio=uv3 internes*socio=te à son expansion*socio=ec2. Lors*socio=rien des discussions*socio=et sur*socio=rien la politique_économique*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac dans le contexte*socio=rien de l'étude*socio=ec2 sur*socio=rien les Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, il a été*socio=rien noté que les politiques*socio=et de gestion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 ont leurs limites*socio=rien et qu'il importe de se garder de tout "réglage de précision*socio=rien>~. Les aménagements*socio=et apportés à la politique_monétaire*socio=et et à la politique_budgétaire*socio=et doivent donc prendre en compte*socio=ec1 les objectifs*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme,*socio=nil à*socio=nil savoir *socio=nil établir - et maintenir - une position*socio=rien budgétaire*socio=et solide*socio=rien, freiner l'accroissement*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et créer un*socio=rien environnement*socio=et financier*socio=ec1 stable*socio=uv4. Une attention*socio=rien accrue a été*socio=rien accordée au rôle*socio=et que peuvent jouer les réformes*socio=et microéconomiques*socio=ec1 dans l'amélioration*socio=uv1 des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 globaux*socio=te et dans le renforcement*socio=ec2 des moyens*socio=ec1 dont disposent les différents*socio=rien pays*socio=ac pour s'adapter*socio=rien aux mutations*socio=ec2 conjoncturelles*socio=te et remédier aux déséquilibres*socio=uv3 de paiements*socio=ec1. Pour ce qui est*socio=rien des tendances*socio=ec2 économiques*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3, le conseil_d'_administration*socio=ac et le comité_intérimaire*socio=ac ont noté que 1987 avait été*socio=rien une année*socio=rien quelque peu décevante*socio=rien, marquée par un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 et par une recrudescence*socio=ec2 assez générale*socio=rien de l'inflation*socio=ec1. La hausse*socio=rien des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien constatée en fin*socio=rien d'année*socio=rien laisse, semble-t-il, présager une croissance*socio=uv3 plus forte*socio=rien, mais il faudra accroître les investissements*socio=ec1 intérieurs*socio=te et en rehausser la qualité*socio=rien pour tirer convenablement parti*socio=et de toute amélioration*socio=uv1 de l'environnement*socio=et extérieur*socio=te. Les pays_en_développement*socio=uv3 devront donc redoubler d'efforts*socio=uv1 pour réduire les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et, mieux rémunérer l'épargne*socio=ec1 et maintenir les taux_de_change*socio=ec1 à *socio=rien un niveau réaliste*socio=uv4 *socio=nil afin de décourager la fuite*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1. En outre, il est*socio=rien essentiel*socio=uv4, pour promouvoir l'expansion*socio=ec2, que l'épargne*socio=ec1 soit orientée vers des investissements*socio=ec1 véritablement*socio=rien productifs*socio=uv4, de façon*socio=rien à inverser le mouvement*socio=ec2 de baisse*socio=ec2 de la productivité*socio=uv3 observé dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac durant la dernière*socio=rien décennie*socio=te. À cette fin*socio=rien, il sera nécessaire*socio=rien dans bien*socio=rien des cas*socio=rien de rationaliser la structure*socio=ec1 des prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien et de veiller à mettre en place*socio=rien une infrastructure*socio=ec1 publique*socio=et adéquate*socio=uv2 pour soutenir les activités*socio=rien de production*socio=ec1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et. Les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 sont donc tout aussi essentielles*socio=uv4 à l'ajustement*socio=et intérieur*socio=te et extérieur*socio=te dans les pays_en_développement*socio=uv3 que dans le monde*socio=te industrialisé. Outre les améliorations*socio=uv1 indispensables*socio=uv4 sur*socio=rien le plan*socio=rien des politiques_économique*socio=ec1 intérieures*socio=te, il a été*socio=rien souligné que la stabilité*socio=uv3 de l'environnement*socio=et international*socio=te a une importance*socio=rien vitale*socio=uv4 pour les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. Ces pays*socio=ac demeurent vulnérables*socio=uv2 face*socio=rien aux *socio=rien réactions négatives des*socio=nil marchés*socio=ec1 *socio=nil ou aux poussées de protectionnisme*socio=et qui pourraient se produire si les pays_industrialisés*socio=ac ne continuent pas d'apporter à leur politique_économique*socio=ec1 les aménagements*socio=et nécessaires*socio=rien. Les chances*socio=rien de croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3 dépendent aussi au plus *socio=rien haut point *socio=nil de leurs relations*socio=rien avec leurs créanciers*socio=ac extérieurs*socio=te. Certains indicateurs*socio=ec1 donnent à penser que la situation*socio=rien de l'endettement*socio=ec1 s'est*socio=rien améliorée en 1987; par exemple*socio=rien, la forte*socio=rien progression*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 a permis*socio=rien à la fois*socio=rien une reprise de la croissance*socio=uv3 de leurs importations*socio=ec1 et la première*socio=rien baisse*socio=ec2 significative*socio=uv4 des *socio=ec1 ratios dette/*socio=nil exportations *socio=nil depuis que la crise*socio=uv2 de la dette*socio=ec1 a éclaté en 1982. Cependant, la situation*socio=rien des pays*socio=ac les plus endettés demeure difficile*socio=rien. Les discussions*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac sur*socio=rien le système_financier*socio=ec1 international*socio=te ont fait*socio=rien ressortir l'importance*socio=rien que revêtent la *socio=et surveillance multilatérale *socio=nil et la recherche*socio=ec2 de solutions*socio=rien dans *socio=rien un esprit de*socio=nil coopération*socio=uv1 face aux*socio=nil défis*socio=uv2 *socio=nil que doit relever l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. L'intensifiication de la coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et entre les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac qui s'est*socio=rien amorcée à la suite*socio=rien de l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et est*socio=rien essentielle*socio=uv4 pour favoriser la stabilité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 et pour promouvoir la croissance*socio=uv3 dans l'ensemble*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, ainsi que l'a réaffirmé le Groupe*socio=ac des Sept dans sa déclaration*socio=et du*socio=rien 22 décembre*socio=rien 1987 et dans son communiqué du*socio=rien 13 avril*socio=rien 1988. Dans le même temps*socio=rien, il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 de redoubler d'efforts*socio=uv1 pour empêcher une recrudescence*socio=ec2 du*socio=rien protectionnisme*socio=et, qui constituerait une approche vouée à l'échec*socio=uv1 - et fatale*socio=rien - des problèmes*socio=uv4 commerciaux*socio=ec1 internationaux*socio=te. CONSULTATIONS*socio=uv1 AU TITRE*socio=rien DE L'ARTICLE*socio=rien IV Ainsi qu'il a été*socio=rien indiqué précédemment, les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV donnent au Fonds*socio=ec1 l'occasion*socio=rien de passer en revue la politique*socio=et et "évolution*socio=te économiques*socio=ec1 de ses différents*socio=rien pays_membres*socio=ac et de formuler des observations*socio=ec2 à ce sujet*socio=rien. Les paragraphes*socio=rien qui suivent donnent *socio=rien un bref *socio=nil aperçu des *socio=rien principales conclusions des*socio=nil consultations*socio=uv1 *socio=nil qui ont été*socio=rien tenues au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV durant l'année*socio=rien écoulée, s'agissant tout d'abord*socio=rien des grands*socio=rien pays*socio=ac qui influent le plus puissamment sur*socio=rien l'environnement*socio=et économique*socio=ec1 mondial*socio=te, puis de divers aspects*socio=rien des consultations*socio=uv1 avec différents*socio=rien autres groupes_de_pays*socio=ac. - En France*socio=ac, les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 témoignent*socio=rien d'une amélioration*socio=uv1 notable*socio=rien depuis quelques *socio=rien années sur différents plans:*socio=nil réduction*socio=ec2 *socio=nil de l'inflation*socio=ec1, modération*socio=ec2 des *socio=ec1 coûts salariaux,*socio=nil rétablissement*socio=rien *socio=nil de la rentabilité*socio=ec1 des entreprises*socio=ac et redressement*socio=ec2 des comptes*socio=ec1 budgétaires*socio=et. Les autorités*socio=et ont en outre entrepris *socio=rien un certain nombre de*socio=nil réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 importantes*socio=uv4 *socio=nil pour rehausser l'efficacité*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1. Ces réformes*socio=et ont consisté, entre autres, à libéraliser très largement le système_financier*socio=ec1, à supprimer la quasi-totalité*socio=rien des contrôles*socio=et des changes*socio=ec1, des prix*socio=ec1 et du*socio=rien crédit*socio=ec1, à éliminer diverses*socio=rien entraves*socio=uv4 administratives*socio=et au fonctionnement*socio=rien souple*socio=uv4 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 et à mener à *socio=rien bon terme la*socio=nil privatisation*socio=et d'*socio=nil un certain nombre d'*socio=nil entreprises*socio=ac publiques*socio=et.*socio=nil *socio=nil Il subsiste toutefois des sujets*socio=rien de préoccupation*socio=uv4: le chômage*socio=ec1 est*socio=rien élevé*socio=uv4, l'industrie*socio=ec1 française*socio=ac a perdu des parts*socio=rien de marché*socio=ec1 tant à l'intérieur*socio=te qu'à l'étranger*socio=te et le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te est*socio=rien redevenu déficitaire*socio=ec2. Étant donné l'affaiblissement*socio=ec2 de la position*socio=rien des paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te, il *socio=rien reste nécessaire *socio=nil de mener une politique*socio=et de rigueur*socio=uv3 financière*socio=ec1, de modération*socio=ec2 salariale*socio=ec1 et de réforme*socio=et structurelle*socio=ec2. Les autorités*socio=et ont pris des mesures*socio=et en ce sens*socio=rien, qui visent à réduire le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et de l'administration_centrale*socio=ac et le poids*socio=rien de l'impôt*socio=et. Pour ce qui est*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et, le passage*socio=rien de l'encadrement*socio=rien du*socio=rien crédit*socio=ec1 à *socio=rien un système de*socio=nil régulation*socio=et *socio=nil de l'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 par le jeu*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 s'est*socio=rien opéré avec succès*socio=uv1. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont été*socio=rien abaissés de 1/4 de point*socio=rien de pourcentage*socio=rien à la *socio=rien fin du mois de*socio=nil mai *socio=nil 1988 mais ils demeurent élevés*socio=uv4 en termes*socio=rien réels*socio=ec2. - Au Canada*socio=ac, l'expansion*socio=ec2 que connaît l'économie*socio=ec1 depuis le début*socio=rien de 1983 s'est*socio=rien poursuivie avec vigueur*socio=uv3 mais le fait*socio=rien que les pressions*socio=ec2 des coûts*socio=ec1 et des prix*socio=ec1 se sont intensifiées a suscité une préoccupation*socio=uv4 grandissante*socio=rien. Des progrès*socio=uv1 substantiels*socio=rien ont été*socio=rien accomplis ces *socio=rien dernières années *socio=nil dans le sens*socio=rien d'une réduction*socio=ec2 du*socio=rien déséquilibre*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Néanmoins, le déficit*socio=ec1 du*socio=rien budget*socio=ec1 fédéral*socio=et demeure élevé*socio=uv4 et il faut prendre de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et pour opérer effectivement*socio=rien le redressement*socio=ec2 budgétaire*socio=et prévu à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Les*socio=nil autorités*socio=et canadiennes*socio=ac *socio=nil reconnaissent que le meilleur*socio=uv4 moyen*socio=rien pour la politique_monétaire*socio=et de contribuer à une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 soutenue est*socio=rien qu'elle continue*socio=rien à se fixer pour objectif*socio=uv3 prioritaire*socio=uv4 la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1. Les mesures*socio=et qu'elles ont prises*socio=rien en 1987 pour freiner l'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1 face*socio=rien à la *socio=rien hausse rapide du taux*socio=ec1 d'*socio=nil utilisation des*socio=nil ressources*socio=ec1 *socio=nil et à certains signes d'un*socio=rien début*socio=rien de recrudescence*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 étaient appropriées et ont aidé à renforcer la confiance*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1 dans le dollar_canadien*socio=ec1. Il y a lieu*socio=rien de se féliciter des efforts*socio=uv1 que le gouvernement*socio=ac continue*socio=rien de déployer pour améliorer l'efficacité*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 en limitant les interventions*socio=et du*socio=rien secteur_public*socio=et dans l' activité_économique*socio=ec1 et en réduisant les obstacles*socio=uv3 au libre*socio=uv2 jeu*socio=rien des forces_du_marché*socio=ec1. Il *socio=rien est possible *socio=nil qu'à longue*socio=rien échéance*socio=te la vaste*socio=rien *socio=et réforme fiscale *socio=nil dont la mise en ouvre a commencé en 1987 ait pour *socio=rien résultat fort positif*socio=uv4 un accroissement*socio=ec2 *socio=nil de la production*socio=ec1. L'accord*socio=et de libre_échange*socio=et avec les États-unis*socio=ac, dont la procédure*socio=et de ratification*socio=et est*socio=rien en cours*socio=rien, devrait aussi favoriser à long_terme*socio=te l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 du*socio=rien Canada*socio=ac. Les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV que le Fonds*socio=ec1 a tenues avec les autres pays_industrialisés*socio=ac et avec les pays_en_développement*socio=uv3 ont fait*socio=rien ressortir la grande*socio=rien diversité*socio=uv1 des situations*socio=rien auxquelles sont confrontés les différents*socio=rien pays_membres*socio=ac. Pour déterminer quelle orientation*socio=et il convient de donner à la politique_économique*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac, le conseil_d'_administration*socio=ac a continué d'insister sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'appliquer des politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec1 bien*socio=rien conçues, mais il a accordé de plus en plus d'importance*socio=rien aux réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, à la mise en ouvre de politiques*socio=et soutenables*socio=uv4 à *socio=rien moyen terme *socio=nil et à la libéralisation*socio=et *socio=rien nécessaire du commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te.*socio=nil *socio=nil - Dans nombre*socio=rien de petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, il reste*socio=rien essentiel*socio=uv4 de prendre des mesures*socio=et pour accroître la mobilité*socio=uv3 de la main-d'_ouvre*socio=et, assouplir le mode*socio=rien de détermination*socio=rien des salaires*socio=ec1 (notamment en modifiant ou en suspendant leur indexation*socio=ec1) et réformer le système_fiscal*socio=et. Une *socio=rien importance croissante *socio=nil a aussi été*socio=rien accordée aux efforts*socio=uv1 visant à déréglementer les marchés_financiers*socio=ec1 intérieurs*socio=te et à libéraliser les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1. Par ailleurs*socio=rien, la concurrence*socio=ec1 s'est*socio=rien avivée sur*socio=rien toute une gamme*socio=rien de marchés*socio=ec1 de *socio=rien produits du fait *socio=nil de la révision*socio=rien des politiques*socio=et relatives*socio=rien à *socio=rien certaines branches d'*socio=nil activité,*socio=nil *socio=nil notamment les transports*socio=ec1, les télécommunications*socio=ec1 et l'énergie*socio=ec1. Les consultations*socio=uv1 tenues au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec les petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont en général*socio=rien mis en relief*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de redoubler d'efforts*socio=uv1 pour éliminer les rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2, tout en poursuivant des politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec1 stables*socio=uv4. - L'éventail*socio=rien des mesures*socio=et requises*socio=uv4 pour rehausser les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 est*socio=rien étendu et dépend pour une très *socio=rien large part *socio=nil de la *socio=rien situation particulière *socio=nil de chaque pays*socio=ac. Au cours*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, l'accent*socio=rien a été*socio=rien mis le plus souvent sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de réduire le déficit*socio=ec1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et les contraintes*socio=uv1 administratives*socio=et, d'améliorer l'efficacité*socio=uv3 des entreprises*socio=ac publiques*socio=et, de supprimer les distorsions*socio=uv3 de prix*socio=ec1 en favorisant davantage le jeu*socio=rien de l'offre*socio=ec1 et de la demande*socio=ec1, et de déréglementer progressivement*socio=rien les marchés*socio=ec1 des biens*socio=ec1, *socio=rien du travail *socio=nil et des capitaux*socio=ec1. Les autres volets*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 qui méritent fréquemment une *socio=rien attention particulière *socio=nil sont les réformes*socio=et visant à rationaliser le svstème fiscal*socio=et, la réorientation*socio=et des dépenses*socio=ec1 dans le sens*socio=rien d'une réduction*socio=ec2 *socio=rien du niveau des*socio=nil subventions*socio=ec1 publiques*socio=et,*socio=nil les*socio=nil réformes*socio=et du système_financier*socio=ec1 *socio=nil (consistant notamment à laisser le jeu*socio=rien des forces_du_marché*socio=ec1 déterminer davantage les taux_d'_intérêt*socio=ec1), les mesures*socio=et qui accroissent le rôle*socio=et des marchés*socio=ec1 dans la détermination*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1, et la suppression*socio=rien des restrictions*socio=et de change*socio=ec1 et de commerce*socio=ec1. Dans les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec les pays_en_développement*socio=uv3, l'accent*socio=rien continue*socio=rien d'être*socio=rien mis avec force*socio=uv1 sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de poursuivre des politiques*socio=et financières*socio=ec1 non inflationnistes*socio=ec2. À cette fin*socio=rien, il est*socio=rien recommandé non seulement de contenir le rythme*socio=ec2 d'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1, mais aussi de réduire les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et, notamment en limitant l'accroissement*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et la hausse*socio=rien des salaires*socio=ec1, étant entendu qu'à cet égard*socio=rien la politique*socio=et salariale*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et doit donner exemple*socio=rien. L'objectlif premier*socio=rien des consultations*socio=uv1 avec les pays_en_développement*socio=uv3 reste*socio=rien dans bien*socio=rien des cas*socio=rien de déterminer si la politique*socio=et de change*socio=ec1 est*socio=rien appropriée. L'analyse*socio=ec2 de cette politique*socio=et est*socio=rien pragmatique*socio=uv4. Elle prend essentiellement en compte*socio=ec1 l'évolution*socio=te du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif réel *socio=nil et ses *socio=rien conséquences immédiates et*socio=nil prévisibles*socio=uv4 *socio=nil pour la balance_des_paiements*socio=ec1 et pour la diversification*socio=ec2 de la base*socio=rien d'exportations*socio=ec1. Cette analyse*socio=ec2 est*socio=rien souvent complétée par l'examen*socio=ec2 d'indicateurs*socio=ec1 plus généraux*socio=rien de la compétitivité*socio=uv3, tels que la rentabilité*socio=ec1 de certains produits*socio=rien et de certains secteurs*socio=rien, l'ensemble*socio=rien des pressions*socio=ec2 exercées par les salaires*socio=ec1 et par les coûts*socio=ec1, l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 de change*socio=ec1 parallèles*socio=rien et le rapport*socio=rien entre le *socio=rien niveau du taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil et le degré*socio=rien de libéralité du*socio=rien régime*socio=et de change*socio=ec1 et de commerce*socio=ec1. De *socio=rien façon générale,*socio=nil les*socio=nil politiques*socio=et de*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil semblent avoir été*socio=rien plus appropriées en 1987/88 que précédemment. Les taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien réels*socio=ec2 de nombre*socio=rien d'entre eux qui, au début*socio=rien des années*socio=rien 80, se situaient à des niveaux*socio=rien apparemment incompatibles*socio=uv4 avec une position*socio=rien viable*socio=uv4 de la balance_des_paiements*socio=ec1 sont par la suite*socio=rien revenus*socio=ec1 à des niveaux*socio=rien plus propices*socio=rien à la compétitivité*socio=uv3 internationale*socio=ac et à une expansion*socio=ec2 entraînée par les exportations*socio=ec1. Par ailleurs*socio=rien, l'adoption*socio=uv3 de dispositions*socio=et de change*socio=ec1 plus souples*socio=uv4 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 s'*socio=nil est *socio=nil accompagnée d'une libéralisation*socio=et des contrôles*socio=et des changes*socio=ec1 et du*socio=rien commerce*socio=ec1, notamment d'un*socio=rien recours*socio=ec1 moindre*socio=rien aux pratiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 multiples*socio=rien. Dans certains cas*socio=rien où la compétitivité*socio=uv3 donnait lieu*socio=rien à *socio=rien certaines inquiétudes,*socio=nil *socio=nil mais où une *socio=rien importance particulière *socio=nil était attachée à l'effet*socio=rien stabilisateur *socio=rien du maintien d'*socio=nil un rapport *socio=nil fixe entre la monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te et une autre unité*socio=rien monétaire*socio=ec1, il a été*socio=rien jugé préférable*socio=uv4 d'éviter une dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 et de centrer les efforts*socio=uv1 sur*socio=rien le resserrement*socio=ec2 de la politique*socio=et financière*socio=ec1 et la modération*socio=ec2 des salaires*socio=ec1. politique_commerciale*socio=et Les questions*socio=rien de politique_commerciale*socio=et sont *socio=rien un aspect important*socio=uv4 *socio=nil de la surveillance*socio=et exercée par le Fonds*socio=ec1 et elles sont abordées tant dans l'étude*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te que durant les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Le Fonds*socio=ec1 s'attache à souligner combien il importe de résister aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et et de démanteler les restrictions*socio=et actuellement en vigueur*socio=uv3. Cette libéralisation*socio=et est*socio=rien jugée importante*socio=uv4 dans les pays*socio=ac industrialises, à la fois*socio=rien pour y ai-néliorer l'allocation*socio=et des ressources*socio=ec1 et pour favoriser la création*socio=uv4 d'un*socio=rien environnement*socio=et plus propice*socio=rien à l'ajustement*socio=et et à la croissance*socio=uv3 dans le *socio=rien reste du monde*socio=te.*socio=nil *socio=nil À cet égard*socio=rien, la nécessité*socio=uv1 de libéraliser les *socio=ec1 échanges agricoles a*socio=nil fait*socio=rien l'*socio=nil objet*socio=rien *socio=nil d'une *socio=rien attention particulière.*socio=nil Pour*socio=nil bien des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil la*socio=nil réduction*socio=ec2 des*socio=nil subventions*socio=ec1 *socio=nil et la libéralisation*socio=et du*socio=rien régime*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 sont considérées comme des impératifs*socio=uv4 pour leur permettre d'améliorer leurs résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 et de mener à bien*socio=rien une politique*socio=et d'ajustement*socio=et axée sur*socio=rien la croissance*socio=uv3. Outre qu'il a abordé les questions*socio=rien de politique_commerciale*socio=et lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, le conseil_d'_administration*socio=ac a aussi fait*socio=rien à deux reprises *socio=rien un tour d'*socio=nil horizon complet *socio=nil de l'évolution*socio=te et des problèmes*socio=uv4 en la matière*socio=rien durant l'exercice*socio=rien clos le 30 avril*socio=rien 1988. Les discussions*socio=et ont porté sur*socio=rien les récentes*socio=rien tendances*socio=ec2 en matière*socio=rien de protection*socio=et - ainsi que sur*socio=rien les causes*socio=rien et les conséquences*socio=rien de cette dernière*socio=rien -, sur*socio=rien les perspectives*socio=te de réforme*socio=et commerciale*socio=ec1 dans le contexte*socio=rien des *socio=et négociations multilatérales *socio=nil de l'uruguay_round*socio=et et sur*socio=rien le rôle*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 dans le *socio=rien domaine du commerce*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil Cette*socio=nil analyse*socio=ec2 *socio=nil a amené le Conseil*socio=ac à réaffirmer son ferme*socio=ec2 appui*socio=uv1 aux mesures*socio=et de libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1, étant donné en particulier*socio=rien que ces mesures*socio=et sont propres*socio=rien à favoriser une expansion*socio=ec2 équilibrée des échanges_mondiaux*socio=ec1, à soutenir la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1, et à faciliter la gestion*socio=ec2 des problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1. Dans les années*socio=rien 80, les poussées protectionnistes*socio=et ont été*socio=rien avivées par les déséquilibres*socio=uv3 macroéconomiques*socio=ec1 - entre autres la persistance*socio=te des *socio=ec1 déficits commerciaux,*socio=nil *socio=nil le mésalignement des taux_de_change*socio=ec1, les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 élevés*socio=uv4 dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, ainsi que les difficultés*socio=uv4 qu'ont entraînées pour certains secteurs*socio=rien les fluctuations*socio=ec2 des avantages_comparatifs*socio=ec2. Les récentes*socio=rien *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil ont pour caractéristique*socio=rien préoccupante*socio=uv4 d'imposer souvent des obstacles*socio=uv3 non tarifaires*socio=et de manière*socio=rien discriminatoire*socio=uv2. En outre, les conflits*socio=uv1 commerciaux*socio=ec1 sont devenus plus fréquents*socio=rien et il a *socio=rien été fait *socio=nil plus largement usage*socio=rien de représailles pour amener les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 à modifier leurs pratiques*socio=et. À la suite*socio=rien de l'abaissement*socio=rien des *socio=et tarifs douaniers *socio=nil auquel ont abouti les séries successives*socio=rien de négociations_commerciales_multilatérales*socio=et, les obstacles*socio=uv3 non tarifaires*socio=et semblent être*socio=rien devenus des instruments*socio=et de protection*socio=et au moins aussi importants*socio=uv4 que les droits*socio=uv1 de douane*socio=ac. La limitation*socio=uv3 volontaire*socio=uv4 des exportations*socio=ec1, qui revient à convenir bilatéralement de dispositions*socio=et visant à limiter*socio=rien le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1, est*socio=rien une forme*socio=rien courante*socio=te d'obstacle*socio=uv3 non tarifaire*socio=et qui est*socio=rien en général*socio=rien opposée aux fournisseurs*socio=ac les plus concurrentiels*socio=ec2. Les régimes*socio=et de *socio=et licences discrétionnaires *socio=nil font souvent peser les restrictions*socio=et à l'importation*socio=ec1 sur*socio=rien les produits*socio=rien qui concurrencent la production*socio=ec1 nationale*socio=te. Les obstacles*socio=uv3 non tarifaires*socio=et réduisent la transparence*socio=uv3 *socio=rien du système des*socio=nil échanges_mondiaux*socio=ec1 *socio=nil parce que leur existence*socio=rien n'est*socio=rien pas toujours dévoilée et que leur incidence*socio=ec2 sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=rien est difficile *socio=nil à mesurer. Le commerce*socio=ec1 international*socio=te des produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 a longtemps été*socio=rien gravement fausse*socio=rien par les systèmes*socio=rien de soutien*socio=uv3 à l'agriculture*socio=ec1 qui existent dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac et par les autres formes*socio=rien d'intervention*socio=et des pouvoirs_publics*socio=et. Ces subventions*socio=ec1 aux producteurs*socio=ac ont causé une surproduction, qui a fait*socio=rien baisser les termes_de_l'_échange*socio=ec1 des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 *socio=nil et qui a créé des distorsions*socio=uv3 dans la répartition*socio=uv3 géographique*socio=te de la production*socio=ec1. Les réformes*socio=et de la politique_agricole*socio=et récemment entreprises*socio=ac par *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil sont bienvenues mais on ne peut s'attendre à ce qu'en soi*socio=rien elles réduisent beaucoup le déséquilibre*socio=uv3 entre la demande*socio=ec1 et l'offre*socio=ec1 mondiales*socio=te, à moins qu'elles ne soient suivies d'autres mesures*socio=et. Une tendance*socio=ec2 à la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 est*socio=rien récemment apparue chez les pays_en_développement*socio=uv3, souvent dans le contexte*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et appuyés par le Fonds*socio=ec1 et la banque_mondiale*socio=ac. *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui ont adopté un*socio=rien régime*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 plus souple*socio=uv4 ont aussi éliminé les principales*socio=rien restrictions*socio=et commerciales*socio=ec1; plusieurs pays*socio=ac ont remplacé leur système*socio=rien de contingents*socio=ec2 par des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac qui sont devenus le principal*socio=rien instrument*socio=et de protection*socio=et. Néanmoins, les barrières*socio=ec2 protectionnistes*socio=et restent élevées*socio=uv4 dans les pays_en_développement*socio=uv3 et, pour venir à bout*socio=rien de leurs problèmes*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 et de service_de_la_dette*socio=ec1, certains pays_en_développement*socio=uv3 ont eu de plus en plus souvent recours*socio=rien à des accords*socio=et d'échanges*socio=ec1 compensés. Dans l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et, le Fonds*socio=ec1 insiste sur*socio=rien la complémentarité*socio=rien de la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 et de l'ajustement*socio=et macroéconomique*socio=ec1. Il *socio=rien est vraisemblable *socio=nil que les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et persisteront à moins que ne soient adoptées des politiques*socio=et visant à remédier aux causes*socio=rien fondamentales*socio=uv4 de ces pressions*socio=ec2. Pour atténuer les tensions*socio=ec2 commerciales*socio=ec1, il importe de corriger méthodiquement les déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et et extérieurs*socio=te. À cette fin*socio=rien, il serait bon*socio=rien aussi que les pays_industrialisés*socio=ac mettent en ouvre des mesures*socio=et structurelles*socio=ec2 qui visent à réduire les capacités*socio=uv3 de production*socio=ec1 excédentaires*socio=ec2 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil secteurs industriels*socio=ec1 *socio=nil ainsi que de l'agriculture*socio=ec1. Il va de soi*socio=rien que les déséquilibres*socio=uv3 macroéconomiques*socio=ec1 et le mésalignement des taux_de_change*socio=ec1 ne justifient pas l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et de protection*socio=et. De fait*socio=rien, les restrictions*socio=et commerciales*socio=ec1 et les obstacles*socio=uv3 internes*socio=te aux mouvements*socio=ec2 des facteurs*socio=rien de production*socio=ec1 tendent a aggraver les difficultés*socio=uv4 qui résultent de l'application*socio=rien de politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec1 inappropriées. Grâce*socio=rien aux contacts*socio=rien qu'il entretient avec ses pays_membres*socio=ac, le Fonds*socio=ec1 fait*socio=rien ressortir les avantages*socio=rien de la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 a la fois*socio=rien pour le pays*socio=ac qui y procède et pour ses partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. Par exemple*socio=rien, si les pays_en_développement*socio=uv3 avaient plus librement accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac, ils seraient mieux à même d'assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 et, par ailleurs*socio=rien, il leur serait plus facile*socio=rien de mobiliser le soutien*socio=uv3 politique*socio=et interne*socio=te dont ils ont besoin*socio=uv1 pour appuyer leurs efforts*socio=uv1 de libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1. Cela aiderait en outre les pays_industrialisés*socio=ac à réduire l'inflation*socio=ec1 chez eux et favoriserait l'expansion*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 à *socio=rien destination du monde*socio=te en*socio=nil développement*socio=uv3.*socio=nil Bien *socio=nil qu'il ne participe pas directement aux négociations*socio=et de l' uruguay_round*socio=et, le Fonds*socio=ec1 joue un*socio=rien rôle*socio=et constructif*socio=uv2 par les efforts*socio=uv1 qu'il déploie pour promouvoir un*socio=rien environnement*socio=et international*socio=te stable*socio=uv4 et par la surveillance*socio=et qu'il exerce sur*socio=rien la politique*socio=et de change*socio=ec1 et la politique*socio=et macroéconomique*socio=ec1 de ses pays_membres*socio=ac. En outre, le Fonds*socio=ec1 invite instamment les pays*socio=ac à honorer les engagements*socio=et pris par la déclaration*socio=et de Punta del Este de n'imposer aucune nouvelle*socio=rien restriction*socio=et et de démanteler celles qui existent; il a insisté sur*socio=rien le fait*socio=rien qu'il importe d'éviter de recourir à des *socio=et mesures bilatérales discriminatoires*socio=uv2.*socio=nil *socio=nil Dans ce domaine*socio=rien, le Fonds*socio=ec1 poursuit une politique*socio=et de coopération*socio=uv1 active*socio=uv4 avec l'accord_général*socio=et sur*socio=rien les tarifs*socio=et et le commerce*socio=ec1 (GATT*socio=ac). 45 ASPECTS*socio=rien ANALYTIQUES*socio=ec2 DE LA SURVEILLANCE*socio=et Pour que la surveillance*socio=et exercée par le Fonds*socio=ec1 soit efficace*socio=uv4, il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 de lui donner une base*socio=rien analytique*socio=ec2 qui permette de cerner les problèmes*socio=uv4 et les préoccupations*socio=uv4 sans cesse différents*socio=rien des pays_membres*socio=ac. Depuis plusieurs années*socio=rien, les *socio=et autorités gouvernementales *socio=nil ont pour *socio=rien souci premier *socio=nil de rehausser la cohérence*socio=uv3 mutuelle*socio=uv2 de leurs politiques_économiques*socio=et dans un*socio=rien monde*socio=te caractérisé par une grande*socio=rien mobilité*socio=uv3 des capitaux*socio=ec1 et par la variabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1. À cette fin*socio=rien, bien*socio=rien des efforts*socio=uv1 ont été*socio=rien déployés pour mettre au point*socio=rien des indicateurs*socio=ec1 de résultats*socio=rien et des politiques_économiques*socio=et qui puissent étayer le processus*socio=te de coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et à l'échelle*socio=rien internationale*socio=ac (voir encadré ci-contre). Tant le comité_intérimaire*socio=ac que le conseil_d'_administration*socio=ac ont pris part*socio=rien au développement*socio=uv3 des indicateurs*socio=ec1. En septembre*socio=rien 1987, le comité_intérimaire*socio=ac a approuvé l'utilisation*socio=rien accrue d'indicateurs*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de la surveillance*socio=et et l'optique*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil dans laquelle se situait l'analyse*socio=ec2, et il a insisté sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de poursuivre l'étude*socio=ec2 de la mise au point*socio=rien de critères*socio=rien qui pourraient servir à déterminer le caractère*socio=rien durable*socio=uv4 et souhaitable*socio=rien de l'évolution*socio=te d'une batterie limitée de variables*socio=ec2 économiques*socio=ec1 clés*socio=rien. Le conseil_d'_administration*socio=ac a examiné les questions*socio=rien liées aux indicateurs*socio=ec1 à deux reprises, en juillet*socio=rien 1987 et en janvier*socio=rien 1988. Les discussions*socio=et de juillet*socio=rien 1987 ont porté sur*socio=rien les problèmes*socio=uv4 spécifiques*socio=rien que pose la mise en ouvre de l'approche par les indicateurs*socio=ec1, et notamment sur*socio=rien les moyens*socio=ec1 d'élaborer une procédure*socio=et de suivi des *socio=ec1 indicateurs économiques,*socio=nil de*socio=nil façon*socio=rien *socio=nil à favoriser le dialogue*socio=uv1 et à permettre de mieux coordonner les politiques_économiques*socio=et. L'étude*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, dont les résultats*socio=rien sont examinés par le conseil_d'_administration*socio=ac et par le comité_intérimaire*socio=ac, a été*socio=rien considérée comme *socio=rien un élément essentiel*socio=uv4 *socio=nil de ce processus*socio=te. Il a été*socio=rien convenu que cette étude*socio=ec2 doit fournir une évaluation*socio=ec2 quantitative*socio=rien des conséquences*socio=rien des politiques*socio=et en vigueur*socio=uv3 pour l'évolution*socio=te des variables*socio=ec2 économiques*socio=ec1 clés*socio=rien. Cette évaluation*socio=ec2 doit s'inscrire dans une optique*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil et, le cas*socio=rien échéant, présenter divers scénarios*socio=rien reposant sur*socio=rien des hypothèses*socio=ec2 différentes*socio=rien en ce qui concerne les politiques_économiques*socio=et et les réactions*socio=rien des marchés*socio=ec1. En janvier*socio=rien 1988, le conseil_d'_administration*socio=ac a discuté de l'utilisation*socio=rien des indices des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien en tant qu'indicateurs*socio=ec1 potentiellement significatifs*socio=uv4 de l'évolution*socio=te future*socio=te des prix*socio=ec1. Parce que les variations*socio=rien des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien préfigurent souvent celles des prix' à la consommation*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac, ce signal*socio=rien d'alerte avancée peut compléter les autres indicateurs*socio=ec1 en permettant de déceler sans délai*socio=rien les fluctuations*socio=ec2 des courants*socio=te inflationnistes*socio=ec2 mondiaux*socio=te. Néanmoins, la fiabilité*socio=uv1 de ces rapports*socio=rien n'a pas encore été*socio=rien testée de façon*socio=rien approfondie. En outre, étant donné que l'inflation*socio=ec1 des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 a été*socio=rien beaucoup moins fluctuante que celle des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien, on ne peut supposer que la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 est*socio=rien nécessairement liée à la stabilité*socio=uv3 des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien. À sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1987, le comité_intérimaire*socio=ac a engagé le conseil_d'_administration*socio=ac à poursuivre ses *socio=rien travaux sur les*socio=nil indicateurs*socio=ec1 *socio=nil dans le contexte*socio=rien de l'étude*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te comme dans celui des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. À cet égard*socio=rien, il a été*socio=rien considéré que les politiques*socio=et effectivement*socio=rien suivies devraient être*socio=rien comparées à une évolution*socio=te estimée souhaitable*socio=rien et soutenable*socio=uv4 des variables*socio=ec2 économiques*socio=ec1. Dans la mesure*socio=rien où les évaluations*socio=ec2 multilatérales*socio=et antérieures*socio=te des politiques_économiques*socio=et auraient permis*socio=rien d'identifier les causes*socio=rien potentielles*socio=uv4 de tensions*socio=ec2 dans les politiques*socio=et en vigueur*socio=uv3, les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV seraient *socio=rien un élément crucial des*socio=nil discussions*socio=et *socio=nil qui seraient tenues ensuite en vue*socio=rien de favoriser l'adoption*socio=uv3 de politiques_économiques*socio=et plus satisfaisantes*socio=uv4. Une *socio=rien attention considérable est *socio=nil désormais consacrée aux indicateurs*socio=ec1 dans les consultations*socio=uv1 avec les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, de façon*socio=rien à renforcer l'analyse*socio=ec2 des politiques*socio=et nationales*socio=te en la plaçant en regard*socio=rien des évaluations*socio=ec2 multilatérales*socio=et des interactions*socio=rien des politiques_économiques*socio=et qui sont effectuées dans le cadre*socio=rien de l'étude*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Les indicateurs*socio=ec1 peuvent également jouer un*socio=rien rôle*socio=et utile*socio=uv4 dans les consultations*socio=uv1 avec les pays*socio=ac autres que les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Cependant, si l'on a recours*socio=rien plus systématiquement à *socio=rien un cadre d'*socio=nil évaluation*socio=ec2 commun*socio=uv2,*socio=nil *socio=nil il importe de veiller à retenir la structure*socio=ec1 analytique*socio=ec2 la mieux adaptée à la *socio=rien situation particulière *socio=nil de chaque *socio=ac pays membre *socio=nil et de s'assurer de la pertinence*socio=rien des rapports*socio=rien des services_du_fonds*socio=ec1 pour les autorités*socio=et des pays*socio=ac directement intéressés. *socio=rien QUESTIONS RELATIVES AUX*socio=nil PROCÉDURES*socio=et Les*socio=nil procédures*socio=et de*socio=nil surveillance*socio=et *socio=nil adoptées par le conseil_d'_administration*socio=ac en 1977 stipulent que 46 INDICATEURS*socio=ec1 ET COOPÉRATION*socio=uv1 ÉCONOMIQUES*socio=ec1 Depuis 1986, le Fonds*socio=ec1 s'emploie activement à développer l'utilisation*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1, en vue*socio=rien de promouvoir la coopération*socio=uv1 au plan*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 tout en conservant la souplesse*socio=uv3, *socio=rien du système des*socio=nil *socio=ec1 taux_de_change flottants.*socio=nil *socio=nil Dans la déclaration*socio=et économique*socio=ec1 de Tokyo*socio=ac la même année*socio=rien, les chefs*socio=ac d'État*socio=ac et de gouvernement*socio=ac des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ayant participé à ce sommet*socio=rien ont demandé à leurs ministres*socio=ac des finances*socio=ec1 "d'examiner collectivement*socio=rien leurs objectifs*socio=uv3 et prévisions*socio=ec2 économiques*socio=ec1" respectifs*socio=rien, au moins une fois*socio=rien par an*socio=rien, en utilisant des indicateurs*socio=ec1 spécifiés et "en accordant une *socio=rien attention particulière *socio=nil à leur compatibilité*socio=rien mutuelle*socio=uv2". Les indicateurs*socio=ec1 spécifiés étaient: les taux_de_croissance*socio=ec1 du*socio=rien PNB*socio=ec1, les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1, les taux_d'_intérêt*socio=ec1, les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1, les ratios*socio=ec1 du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et, les balances_courantes*socio=ec1 et les *socio=ec1 balances commerciales,*socio=nil les*socio=nil taux_de_croissance des*socio=nil agrégats monétaires,*socio=nil les*socio=nil réserves *socio=nil et les taux_de_change*socio=ec1. Il était noté que le directeur_général*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 prendrait part*socio=rien à l'examen*socio=ec2 des indicateurs*socio=ec1 auquel procéderaient les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Par la suite*socio=rien, le Fonds*socio=ec1 a commencé à utiliser plus systématiquement des indicateurs*socio=ec1 aux fins*socio=rien de l'analyse*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. À sa réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1986, le comité_intérimaire*socio=ac a accueilli "avec satisfaction*socio=uv3 l'accord*socio=et auquel sont parvenus les participants*socio=ac au sommet*socio=rien de Tokyo*socio=ac d'utiliser des indicateurs*socio=ec1 dans l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et, dans le cadre*socio=rien des efforts*socio=uv1 tendant à renforcer la coopération*socio=uv1 économique*socio=ec1 internationale*socio=ac". Il a également appuyé l'usage*socio=rien accru, dans la dernière*socio=rien analyse*socio=ec2 consacrée aux Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, d'indicateurs*socio=ec1 de politiques*socio=et et de résultats*socio=rien économiques*socio=ec1". Le Comité*socio=ac a souligné dans ce communiqué que "les indicateurs*socio=ec1 devraient être*socio=rien axés essentiellement sur*socio=rien les points*socio=rien d'interaction*socio=rien entre les économies*socio=ec1 nationales*socio=te, en particulier*socio=rien les développements*socio=rien qui influent sur*socio=rien la viabilité*socio=uv3 des positions*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec1 et sur*socio=rien les politiques*socio=et qui les sous-tendent". Ces orientations*socio=et ont été*socio=rien précisées au cours*socio=rien de l'année*socio=rien suivante*socio=rien: à l'issue*socio=rien de leur réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1987, les membres*socio=ac du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac déclaraient que "les politiques_économiques*socio=et effectivement*socio=rien menées doivent être*socio=rien examinées dans le contexte*socio=rien d'une évolution*socio=te des variables*socio=ec2 économiques*socio=ec1 qui pourrait être*socio=rien considérée comme souhaitable*socio=rien et durable*socio=uv4". À cette fin*socio=rien, le conseil_d'_administration*socio=ac était "invité à centrer ses *socio=rien travaux sur *socio=nil une série limitée d'indicateurs*socio=ec1 clés*socio=rien et à évaluer les interactions*socio=rien, au plan*socio=rien international*socio=te, des politiques*socio=et et des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 des différents*socio=rien pays*socio=ac à la lumière*socio=rien de divers scénarios*socio=rien à *socio=rien moyen terme"*socio=nil .*socio=nil Les*socio=nil chefs*socio=ac d'*socio=nil État*socio=ac *socio=nil et de gouvernement*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Sept ont souscrit à l'utilisation*socio=rien des *socio=ec1 indicateurs économiques aux*socio=nil fins*socio=rien *socio=nil de la surveillance*socio=et dans un*socio=rien communiqué publié à l'issue*socio=rien *socio=rien du Sommet *socio=nil de Venise de juin*socio=rien 1987. Aux termes*socio=rien de ce communiqué, le Fonds*socio=ec1 était appelé à aider les pays*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Sept à renforcer la surveillance*socio=et de leurs économies*socio=ec1 en utilisant des *socio=ec1 indicateurs économiques,*socio=nil *socio=nil y compris les taux_de_change*socio=ec1; il était souligné que le Fonds*socio=ec1 pouvait aider à promouvoir l'utilisation*socio=rien constructive*socio=uv2 des indicateurs*socio=ec1 "pour examiner et évaluer les tendances*socio=ec2 économiques*socio=ec1 en cours*socio=rien et pour déterminer s'il y a des divergences*socio=uv1 importantes*socio=uv4 par rapport*socio=rien à la trajectoire*socio=ec2 prévue qui nécessitent d'envisager des mesures*socio=et correctrices". À l'issue*socio=rien de sa réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1987, le comité_intérimaire*socio=ac a déclaré qu'il accueillait avec satisfaction*socio=uv3 l'utilisation*socio=rien plus grande*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 et de scénarios*socio=rien à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil Il a engagé le conseil_d'_administration*socio=ac à "continuer d'étudier la mise au point*socio=rien de critères*socio=rien qui pourraient servir à déterminer le caractère*socio=rien durable*socio=uv4 et souhaitable*socio=rien de l'évolution*socio=te d'une batterie limitée de variables*socio=ec2 économiques*socio=ec1 clés*socio=rien". À sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1988, le comité_intérimaire*socio=ac a noté avec satisfaction*socio=uv3 les progrès*socio=uv1 accomplis vers une utilisation*socio=rien accrue d'indicateurs*socio=ec1 économiques*socio=ec1; il a rappelé qu'il convient d'analyser ces indicateurs*socio=ec1 dans une optique*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil et a encouragé le conseil_d'_administration*socio=ac à poursuivre ses travaux*socio=rien dans ce domaine*socio=rien. Il convient de noter à cet égard*socio=rien qu'il a été*socio=rien décidé récemment d'ajouter un*socio=rien indicateur*socio=ec2 des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien aux indicateurs*socio=ec1 utilisés dans l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et par les pays*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Sept. celui-ci doit passer en revue chaque année*socio=rien l'application*socio=rien générale*socio=rien de la surveillance*socio=et. Le dernier*socio=rien réexamen*socio=et à ce titre*socio=rien a eu lieu*socio=rien le 22 avril*socio=rien 1988. L'un*socio=rien des sujets*socio=rien abordés à cette occasion*socio=rien a été*socio=rien la fréquence*socio=rien des consultations*socio=uv1. Il a par *socio=rien ailleurs été *socio=nil décidé qu'il suffirait à l'avenir*socio=te de procéder à un*socio=rien réexamen*socio=et de l'application*socio=rien générale*socio=rien de la surveillance*socio=et une fois*socio=rien tous les deux ans*socio=rien 12. Selon les principes*socio=ec2 directeurs*socio=ac concernant les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV qui ont été*socio=rien adoptés en 1983, celles-ci devraient avoir lieu*socio=rien chaque année*socio=rien avec *socio=rien certaines catégories de*socio=nil pays_membres*socio=ac,*socio=nil à*socio=nil savoir:*socio=nil *socio=nil ceux dont l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 a "une incidence*socio=ec2 sensible*socio=rien" sur*socio=rien les autres pays*socio=ac (il a été*socio=rien précisé ultérieurement qu'il faut entendre par là les 25 pays*socio=ac dont les quotes-parts*socio=et au Fonds*socio=ec1 sont les plus élevées*socio=uv4); ceux qui mettent en ouvre des programmes*socio=et prévoyant l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1; enfin, ceux qui ont une balance_des_paiements*socio=ec1 dont la viabilité*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme *socio=nil suscite des doutes considérables*socio=rien. Pour les autres pays_membres*socio=ac, le laps*socio=rien de temps*socio=rien entre deux consultations*socio=uv1 pourrait alleriusqu'à deux ans*socio=rien. Parce que dans bien*socio=rien des cas*socio=rien l'évolution*socio=te de l'environnement*socio=et extérieur*socio=te et de la balance_des_paiements*socio=ec1 laissait présager des difficultés*socio=uv4, le nombre*socio=rien des consultations*socio=uv1 tenues chaque année*socio=rien au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV a fortement augmenté, atteignant le chiffre record*socio=ec2 de 131 consultations*socio=uv1 (couvrant 85 % des pays_membres*socio=ac) en 1985 avant de diminuer légèrement en 1986, à 125 consultations*socio=uv1 (couvrant 81 % des pays_membres*socio=ac). Il en est*socio=rien résulté *socio=rien un fort accroissement*socio=ec2 *socio=nil de la charge*socio=rien de *socio=rien travail du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil et des services_du_fonds*socio=ec1, ce qui a amené le Conseil*socio=ac à réviser les principes*socio=ec2 directeurs*socio=ac concernant les consultations*socio=uv1 en juillet*socio=rien 1987. Cette révision*socio=rien visait à économiser les ressources*socio=ec1 consacrées au processus*socio=te de consultations*socio=uv1, sans pour autant compromettre l'exercice*socio=rien d'une surveillance*socio=et efficace*socio=uv4 dont la responsabilité*socio=uv1 incombe au Fonds*socio=ec1. Après*socio=rien avoir examiné plusieurs *socio=rien propositions précises *socio=nil et, tout en soulignant que des consultations*socio=uv1 régulières*socio=ec2 sont importantes*socio=uv4 pour l'exercice*socio=rien efficace*socio=uv4 de la surveillance*socio=et, le conseil_d'_administration*socio=ac a adopté deux modifications*socio=rien aux principes*socio=ec2 directeurs*socio=ac de 1983. La première*socio=rien prévoit, pour certains pays*socio=ac, des modalités*socio=rien de consultations*socio=uv1 modifiées, à savoir*socio=rien des consultations*socio=uv1 complètes tous les deux ans*socio=rien et une procédure*socio=et intermédiaire*socio=rien simplifiée dans l'intervalle*socio=te. Cette procédure*socio=et de consultations*socio=uv1 "à double*socio=rien cycle*socio=te" permettra de maintenir la fréquence*socio=rien des contacts*socio=rien entre les services_du_fonds*socio=ec1 et les autorités*socio=et du*socio=rien *socio=ac pays membre,*socio=nil *socio=nil et le conseil_d'_administration*socio=ac continuera d'être*socio=rien informé régulièrement de l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 de ces pays*socio=ac et de la politique_économique*socio=ec1 qu'ils appliquent. Cependant, les rapports*socio=rien des services_du_fonds*socio=ec1 pour les consultations*socio=uv1 intermédiaires*socio=rien ne seront soumis au conseil_d'_administration*socio=ac que pour information*socio=rien et ne devront pas en_principe*socio=ec2 y donner lieu*socio=rien à discussions*socio=et. Le *socio=ac pays membre,*socio=nil un*socio=rien administrateur *socio=nil ou le directeur_général*socio=ac peuvent toutefois en demander une discussion*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac. Les rapports*socio=rien établis à l'occasion*socio=rien des consultations*socio=uv1 intermédiaires*socio=rien simplifiées continueront de fournir des données complètes et une analyse*socio=ec2 approfondie sur*socio=rien les questions*socio=rien de fond*socio=rien et comporteront en particulier*socio=rien une évaluation*socio=ec2 de la viabilité*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme *socio=nil de la balance_des_paiements*socio=ec1 du*socio=rien *socio=ac pays membre,*socio=nil *socio=nil ainsi qu'un*socio=rien énoncé clair*socio=rien des recommandations*socio=et en matière*socio=rien d'action*socio=ec1. À l'époque*socio=te où cette décision*socio=et a été*socio=rien adoptée, il a été*socio=rien convenu que cette procédure*socio=et serait appliquée à 23 pays_membres*socio=ac. La seconde modification*socio=rien restreint l'application*socio=rien *socio=rien du critère *socio=nil "d'incidence*socio=ec2 sensible*socio=rien" aux 20 (et non plus 25) pays_membres*socio=ac dont les quotes-parts*socio=et au Fonds*socio=ec1 sont les plus élevées*socio=uv4. En même temps*socio=rien, toutefois, il a été*socio=rien souligné à nouveau*socio=rien qu'il convient de conserver le cycle*socio=te normal*socio=rien de 12 mois*socio=rien pour les consultations*socio=uv1 avec les pays*socio=ac qui ont une forte*socio=rien influence à l'échelle*socio=rien régionale*socio=te, ou qui sont des concurrents*socio=ac importants*socio=uv4 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te ou régionaux*socio=te de certains produits*socio=rien ou services*socio=et. Grâce*socio=rien à ces modifications*socio=rien des procédures*socio=et de surveillance*socio=et et à *socio=rien un nouvel allongement *socio=nil de l'intervalle*socio=te moyen*socio=rien entre deux consultations*socio=uv1, la charge*socio=rien de *socio=rien travail du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil et des services_du_fonds*socio=ec1 s'est*socio=rien déjà allégée. C'est*socio=rien ainsi que le nombre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV tenues en 1987 est*socio=rien tombé à 115 (couvrant 75 % des pays_membres*socio=ac). Lors*socio=rien de son dernier*socio=rien réexamen*socio=et de l'application*socio=rien de la surveillance*socio=et, le conseil_d'_administration*socio=ac a recommandé que la procédure*socio=et des consultations*socio=uv1 "à double*socio=rien cycle*socio=te" soit étendue à un*socio=rien plus *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Pour réduire davantage la charge*socio=rien de *socio=rien travail du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil et des services_du_fonds*socio=ec1, il a été*socio=rien envisagé d'user de plus de souplesse*socio=uv3 pour définir*socio=rien l'intervalle*socio=te entre les consultations*socio=uv1 ordinaires*socio=rien et de fixer, le cas*socio=rien échéant, cet intervalle*socio=te à 15 mois*socio=rien lorsqu'il n'est*socio=rien pas jugé essentiel*socio=uv4 de s'en tenir strictement au cycle*socio=te de 12 mois*socio=rien. Appendice*socio=rien IV Communiqués de presse*socio=et *socio=rien du Comité' intérimaire*socio=ac et*socio=nil du Comité*socio=ac -*socio=nil du développement*socio=uv3 comité_intérimaire*socio=ac du conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur le*socio=nil système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil COMMUNIQUÉS DE PRESSE*socio=et *socio=rien Vingt-neuvième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 27-28*socio=nil septembre *socio=nil 1987 1. Le comité_intérimaire*socio=ac *socio=rien du conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_ international*socio=ac *socio=nil a tenu sa *socio=rien vingt-neuvième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac *socio=nil les 27 et 28 septembre*socio=rien 1987 sous la présidence*socio=rien de M H Onno Ruding, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 des Pays-bas*socio=ac. M Michel Camdessus, directeur_général*socio=ac du*socio=rien *socio=ec1 Fonds monétaire,*socio=nil *socio=nil a participé à la réunion*socio=rien, à laquelle ont en outre *socio=rien assisté un certain nombre d'*socio=nil observateurs*socio=ac représentant des*socio=nil organisations_internationales*socio=ac et*socio=nil régionales*socio=te *socio=nil ainsi que la Suisse*socio=ac. 2. Examinant les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac ont noté certains éléments*socio=rien positifs*socio=uv4 dans la situation*socio=rien actuelle*socio=te. La phase*socio=te d'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 approche de la fin*socio=rien de sa *socio=rien cinquième année,*socio=nil *socio=nil les signes de tension*socio=ec2 conjoncturelle*socio=te sont rares*socio=rien, l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée modérée, des progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien réalisés dans la réduction*socio=ec2 en termes*socio=rien réels*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et et des déséquilibres*socio=uv3 de paiements*socio=ec1 entre les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, et la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1 a repris. Néanmoins, à plusieurs autres égards*socio=rien, les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 ne sont pas à la hauteur*socio=rien des attentes*socio=rien, le chômage*socio=ec1 demeurant élevé*socio=uv4 dans de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. La persistance*socio=te, dans certains d'entre eux, d'importants*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 des soldes*socio=ec1 courants*socio=te *socio=rien est un sujet de*socio=nil préoccupation*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil En outre, les cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien, bien*socio=rien qu'ils se soient légèrement redressés ces *socio=rien derniers temps,*socio=nil *socio=nil sont toujours faibles*socio=rien en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 par rapport*socio=rien aux niveaux*socio=rien enregistrés dans le passé*socio=rien; la situation*socio=rien de la dette*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien lourdement endettés continue*socio=rien d'être*socio=rien difficile*socio=rien; et le sort*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, en particulier*socio=rien de ceux dont le revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac est*socio=rien en baisse*socio=ec2, *socio=rien reste un sujet de*socio=nil profonde préoccupation*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Dans les efforts*socio=uv1 visant à remédier à ces problèmes*socio=uv4, l'importance*socio=rien *socio=rien du maintien *socio=nil d'une approche coordonnée et animée d'un*socio=rien esprit*socio=rien de coopération*socio=uv1 a été*socio=rien soulignée. L'amélioration*socio=uv1 de la coopération*socio=uv1 économique*socio=ec1 et monétaire*socio=ec1 dans le groupe*socio=ac des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac a été*socio=rien accueillie avec satisfaction*socio=uv3. La solution*socio=rien des difficultés*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 continue*socio=rien à dépendre au plus *socio=rien haut point *socio=nil à la fois*socio=rien d'un*socio=rien ajustement*socio=et durable*socio=uv4, axé sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 dans les *socio=ac pays débiteurs,*socio=nil *socio=nil de l'accès*socio=uv1 de ces pays*socio=ac au financement*socio=ec1 extérieur*socio=te et de l'application*socio=rien par les pays_industrialisés*socio=ac de mesures*socio=et propres*socio=rien à assurer la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 mondiale*socio=te ainsi que des marchés*socio=ec1 ouverts*socio=rien et croissants*socio=rien. *socio=rien Du fait *socio=nil de sa fonction*socio=rien en matière*socio=rien de surveillance*socio=et, le Fonds*socio=ec1 a une responsabilité*socio=uv1 majeure*socio=rien dans l'action*socio=ec1 en faveur*socio=rien de cette combinaison*socio=rien de politiques*socio=et qui se renforcent mutuellement. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac prennent note avec satisfaction*socio=uv3 de la récente*socio=rien réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et des États-unis*socio=ac. Ce progrès*socio=uv1 devra se poursuivre en 1988 et au-delà afin de faciliter l'ajustement*socio=et ext rieur sans nuire à la formation*socio=et de capital*socio=ec1. À cet égard*socio=rien, ils accueillent avec satisfaction*socio=uv3 la décision*socio=et du*socio=rien Président*socio=ac des États-unis*socio=ac de signer une loi*socio=et qui prévoit de poursuivre le déroulement*socio=rien de ce processus*socio=te en 1988. Il importe en même temps*socio=rien que la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te dépasse celle du*socio=rien PNB*socio=ec1 dans les pays*socio=ac dont l'excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te est*socio=rien élevé*socio=uv4, qui connaissent la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et dont les déficits*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac ne sont pas trop grands*socio=rien. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac soulignent en outre que certaines*socio=rien économies*socio=ec1 récemment industrialisées devraientiouer lin*socio=ec1 rôle*socio=et plus important*socio=uv4 dans le processus*socio=te d'ajustement*socio=et global*socio=te. De plus, tout en reconnaissant les efforts*socio=uv1 déployés par *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil les*socio=nil membres*socio=ac du Comité*socio=ac *socio=nil invitent instamment les pays_en_développement*socio=uv3 qui doivent engager ou poursuivre l'ajustement*socio=et à intensifier leurs efforts*socio=uv1 pour établir et maintenir la stabilité*socio=uv3 économique*socio=ec1 intérieure*socio=te, accroître l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te mobilisée en faveur*socio=rien de l'investissement*socio=ec1, améliorer l'efficacité*socio=uv3 de l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 et suivre des stratégies*socio=et de croissance*socio=uv3 tournées vers l'extérieur*socio=te. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac soulignent qu'il importe de veiller à ce qu'il y ait des flux*socio=ec1 de financements*socio=ec1 suffisants*socio=rien en provenance*socio=rien des créanciers_privés*socio=et, des pays_industrialisés*socio=ac et des institutions_financières*socio=ac multilatérales*socio=et. Le Comité*socio=ac prend note des répercussions*socio=ec2 défavorables*socio=uv4 que les hausses des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 ont sur*socio=rien l'économie*socio=ec1 des pays*socio=ac lourdement endettés. 3. Passant en revue l'environnement*socio=et extérieur*socio=te, les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac expriment leur préoccupation*socio=uv4 devant*socio=rien les tendances*socio=ec2 récentes*socio=rien à l'intensification*socio=ec2 des restrictions*socio=et aux échanges*socio=ec1 et à l'accroissement*socio=ec2 des subventions*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1. Ils font observer que ce type*socio=rien de mesure*socio=rien suscite des incertitudes*socio=uv3, entrave*socio=ec2 l'allocation*socio=et efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1, abaisse les niveaux_de_vie*socio=uv1, fait*socio=rien obstacle*socio=uv3 à l'efficacité*socio=uv3 de l'ajustement*socio=et, nuit à la résolution*socio=uv1 de la question*socio=rien de l'endettement*socio=ec1 et conduit à une dégradation*socio=uv3 au plan*socio=rien international*socio=te des perspectives*socio=te d'emploi*socio=ec1. En outre, ces mesures*socio=et provoquent souvent des représailles. Le Comité*socio=ac note que les déséquilibres*socio=uv3 macroéconomiques*socio=ec1 ont renforcé les appels*socio=rien au protectionnisme*socio=et, tout en compliquant l'élimination*socio=ec2 des rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 dont procèdent souvent les tensions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et. Le Comité*socio=ac souligne que ces déséquilibres*socio=uv3 ne devraient pas et ne peuvent pas *socio=rien être traités au*socio=nil moyen de*socio=nil restrictions*socio=et au*socio=nil commerce*socio=ec1;*socio=nil *socio=nil il insiste sur*socio=rien le fait*socio=rien qu'en remédiant aux facteurs*socio=rien à l'origine*socio=rien de ces déséquilibres*socio=uv3, on favoriserait l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien climat propice au*socio=nil renforcement*socio=ec2 d'*socio=nil un système d'*socio=nil échanges_commerciaux*socio=ec1 de*socio=nil type ouvert et*socio=nil multilatéral*socio=et *socio=nil et à l'amélioration*socio=uv1 *socio=rien du niveau général du bien-être*socio=uv1.*socio=nil Le*socio=nil Fonds*socio=ec1 *socio=nil devrait, dans ses *socio=rien propres opérations,*socio=nil *socio=nil faire tout son possible*socio=rien pour appuyer l'Agétac (GATT*socio=ac). Le Comité*socio=ac réaffirme l'importance*socio=rien d'obtenir*socio=rien rapidement des résultats*socio=rien dans les négociations*socio=et de l'"uruguay_round*socio=et" afin de faire avancer de façon*socio=rien décisive*socio=uv4 la libéralisation*socio=et des échanges_commerciaux*socio=ec1, notamment en ce qui concerne les produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 et les services*socio=et. 4. Le Comité*socio=ac accueille avec satisfaction*socio=uv3 l'utilisation*socio=rien plus grande*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de la surveillance*socio=et et de la plus récente*socio=rien étude*socio=ec2 sur*socio=rien les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Dans l'ensemble*socio=rien, les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac estiment que l'optique*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil de l'analyse*socio=ec2 et l'utilisation*socio=rien de *socio=rien différents scénarios à*socio=nil moyen terme,*socio=nil faisant*socio=nil appel *socio=nil à des indicateurs*socio=ec1 clés*socio=rien, aident à faire ressortir l'interaction*socio=rien au plan*socio=rien international*socio=te des politiques_économiques*socio=et et de l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1. Ils engagent le conseil_d'_administration*socio=ac à poursuivre ses travaux*socio=rien dans ce domaine*socio=rien, dans le contexte*socio=rien de l'étude*socio=ec2 sur*socio=rien les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, et à continuer d'étudier la mise au point*socio=rien de critères*socio=rien qui pourraient servir à déterminer le caractère*socio=rien durable*socio=uv4 et souhaitable*socio=rien de l'évolution*socio=te d'une batterie limitée de variables*socio=ec2 économiques*socio=ec1 clés*socio=rien. Le Comité*socio=ac note l'importance*socio=rien de la stabilité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et prend note avec satisfaction*socio=uv3 des progrès*socio=uv1 réalisés depuis l'accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et. 5. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac, ayant considéré les résultats*socio=rien inégaux*socio=uv2 de l'ajustement*socio=et dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac endettés et pris note des incertitudes*socio=uv3 de la conjoncture*socio=ec2 économique*socio=ec1 internationale*socio=ac, sont convenus qu'en dépit*socio=rien des progrès*socio=uv1 sensibles*socio=rien accomplis dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil domaines,*socio=nil une*socio=nil solution satisfaisante*socio=uv4 du problème*socio=uv4 *socio=nil de l'endettement*socio=ec1 demandera vraisemblablement*socio=rien plus de temps*socio=rien qu'on ne l'avait prévu initialement. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac soulignent qu'il importe de continuer à analyser les problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 cas*socio=rien par cas*socio=rien, et ils font observer que cette approche est*socio=rien la seule*socio=rien qui permette de moduler les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et les flux*socio=ec1 de financements*socio=ec1 en fonction*socio=rien de la *socio=rien situation particulière *socio=nil de chaque pays*socio=ac. Tout en notant la contribution*socio=uv1 qu'apporterait une amélioration*socio=uv1 de l'environnement*socio=et économique*socio=ec1 et commercial*socio=ec1 international*socio=te, ils soulignent l'importance*socio=rien primordiale*socio=rien de l'application*socio=rien, par les pays*socio=ac lourdement endettés, de politiques*socio=et visant à rétablir l'équilibre*socio=ec2 macroéconomique*socio=ec1 et la confiance*socio=uv1 à l'intérieur*socio=te, ainsi qu'à améliorer les perspectives*socio=te d'expansion*socio=ec2, de façon*socio=rien à renforcer le crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te de ces pays*socio=ac, à susciter le retour*socio=rien de capitaux_privés*socio=ec1 et à faciliter le rétablissement*socio=rien de *socio=rien relations normales entre*socio=nil débiteurs*socio=ac et*socio=nil créanciers*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Ils font en outre observer que des initiatives*socio=rien unilatérales*socio=et présentent de grands*socio=rien risques*socio=uv3 pour toutes les parties*socio=rien. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac réaffirment le rôle*socio=et central*socio=rien que le Fonds*socio=ec1 doit continuer de jouer dans l'aide*socio=uv1 à la mise au point*socio=rien par les pays*socio=ac endettés de stratégies*socio=et d'ajustement*socio=et appropriées axées sur*socio=rien la croissance*socio=uv3, ainsi que dans la mobilisation*socio=uv3 de financements*socio=ec1. La nécessité*socio=uv1 de maintenir une coopération*socio=uv1 étroite*socio=rien entre le Fonds*socio=ec1 et la Banque*socio=ac, en particulier*socio=rien dans leurs concours en faveur*socio=rien de l'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2, a aussi été*socio=rien soulignée. L'expansion*socio=ec2 des prêts*socio=ec1 des banques*socio=ac internationales*socio=te de développement*socio=uv3 a été*socio=rien considérée comme *socio=rien un élément *socio=nil encourageant, tout comme l'a été*socio=rien l'attitude*socio=uv3 plus ouverte*socio=uv4 des organismes*socio=ac de crédit*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 à l'égard*socio=rien des pays*socio=ac appliquant des politiques_économiques*socio=et saines*socio=uv2. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac notent avec satisfaction*socio=uv3 la diversification*socio=ec2 accrue des formules*socio=rien de financement*socio=ec1 récemment négociées entre créanciers*socio=ac et débiteurs*socio=ac. La forme*socio=rien que prennent ces financements*socio=ec1 et les conditions*socio=ec1 dont ils sont assortis doivent à leur tour*socio=rien refléter la situation*socio=rien et les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 de chaque pays*socio=ac, afin de favoriser la normalisation*socio=uv3 de leur position*socio=rien de paiements*socio=ec1 et le rétablissement*socio=rien de *socio=ec1 taux_de_croissance économique plus*socio=nil satisfaisants*socio=uv4.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil considère qu'un*socio=rien nouvel*socio=rien élargissement*socio=ec2 de la gamme*socio=rien des options*socio=rien convenues d'un*socio=rien commun*socio=uv2 accord et orientées sur*socio=rien le marché*socio=ec1 peut contribuer à la conclusion*socio=rien en temps*socio=rien voulu des *socio=ec1 montages financiers *socio=nil et au rétablissement*socio=rien des relations*socio=rien entre débiteurs*socio=ac et créanciers*socio=ac. A cet égard*socio=rien, il convient particulièrement de noter la création*socio=uv4 non seulement de *socio=rien diverses formes de*socio=nil nouveaux titres *socio=nil et de nouveaux*socio=rien instruments*socio=et financiers*socio=ec1, mais aussi celle de formules*socio=rien qui n'engendrent pas *socio=rien un supplément de*socio=nil dette*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Cependant, le Comité*socio=ac exprime de nouveau*socio=rien sa préoccupation*socio=uv4 devant*socio=rien l'apparente lenteur*socio=rien avec laquelle l'application*socio=rien de politiques*socio=et d'ajustement*socio=et saines*socio=uv2 par certains pays*socio=ac lourdement endettés - en particulier*socio=rien quelques uns des petits*socio=rien pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien - aboutit à la reconnaissance*socio=uv1 du*socio=rien renforcement*socio=ec2 de leur crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te. Il souligne que les retards*socio=rien dans l'octroi*socio=rien par les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 de financements*socio=ec1 suffisants*socio=rien risquent de compromettre l'exécution*socio=rien opportune*socio=rien de ces politiques*socio=et. Étant donné la situation*socio=rien critique*socio=uv2 dans laquelle se trouvent *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil faible revenu*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil note qu'il est*socio=rien de plus en plus largement admis dans la *socio=ac communauté internationale *socio=nil qu'une assistance*socio=uv1 exceptionnelle*socio=uv4 *socio=rien est nécessaire *socio=nil et, dans ce contexte*socio=rien, il constate avec satisfaction*socio=uv3 que lors*socio=rien de récents*socio=rien rééchelonnements*socio=et au Club*socio=rien de Paris*socio=ac, certains de ces pays*socio=ac déployant des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et se sont vu accorder des périodes*socio=te de grâce*socio=rien et de remboursement*socio=ec1 plus longues*socio=rien. Il fait*socio=rien observer en outre que l'on envisage la possibilité*socio=rien d'appliquer des taux_d'_intérêt*socio=ec1 plus faibles*socio=rien à des dettes*socio=ec1 officielles*socio=et existantes*socio=rien des pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2. Le Comité*socio=ac accueille favorablement le fait*socio=rien que certains *socio=ac pays créanciers *socio=nil ont converti en dons*socio=ec1 des dettes*socio=ec1 officielles*socio=et des pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 et pris, en faveur*socio=rien de ces pays*socio=ac, des mesures*socio=et ayant des *socio=rien effets analogues;*socio=nil *socio=nil il encourage les autres créanciers*socio=ac officiels*socio=et à suivre leur exemple*socio=rien. Par ailleurs*socio=rien, il engage les créanciers_privés*socio=et à continuer à rechercher des solutions*socio=rien réalistes*socio=uv4 en ce qui concerne les difficultés*socio=uv4 de service_de_la_dette*socio=ec1 et les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et de ces pays*socio=ac. En outre, le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 le soutien*socio=uv3 de plus en plus marqué que les donateurs*socio=ac à titre*socio=rien bilatéral*socio=et et multilatéral*socio=et apportent aux réformes*socio=et économiques*socio=ec1. 6. Le Comité*socio=ac note que la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 (FAS*socio=ec1) du*socio=rien Fonds*socio=ec1 ainsi que les documents-cadre de politique_économique*socio=ec1 préparés conjointement avec la banque_mondiale*socio=ac en liaison*socio=rien avec la FAS*socio=ec1 ont aidé à concevoir des programmes*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 et à en suivre l'application*socio=rien dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac réaffirment qu'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 ne peut être*socio=rien obtenue dans ces pays*socio=ac qu'au moyen*socio=rien de programmes*socio=et globaux*socio=te de réforme*socio=et macroéconomique*socio=ec1 et structurelle*socio=ec2, et que ces programmes*socio=et ne peuvent réussir que s'ils s'accompagnent de financements*socio=ec1 suffisants*socio=rien et d'une amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 mondiale*socio=te. Le Comité*socio=ac rappelle que lors*socio=rien de sa *socio=rien précédente réunion *socio=nil il avait exprimé l'espoir*socio=uv1 que les accords*socio=et relatifs*socio=rien à la FAS*socio=ec1 permettraient de mobiliser des concours financiers*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien. Dans cette optique*socio=rien, le Comité*socio=ac exprime son ferme*socio=ec2 soutien*socio=uv3 en faveur*socio=rien de l'initiative*socio=rien du*socio=rien directeur_général*socio=ac visant à accroître substantiellement les ressources*socio=ec1 prêtables au titre*socio=rien de programmes*socio=et appuyés par la FAS*socio=ec1, et note la complémentarité*socio=rien entre cette initiative*socio=rien et celles qui ont déjà *socio=rien été prises *socio=nil ou qui sont envisagées dans d'autres instances*socio=et internationales*socio=te, particulièrement dans le groupe*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac. Le Comité*socio=ac accueille favorablement les progrès*socio=uv1 réalisés jusqu'à présent*socio=rien dans la recherche*socio=ec2 de dispositifs*socio=et financiers*socio=ec1 permettant de mobiliser des ressources*socio=ec1 à l'échelle*socio=rien prévue, conformément à la nature*socio=rien monétaire*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au directeur_général*socio=ac et au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre avec toute la *socio=rien rapidité possible les*socio=nil consultations*socio=uv1 *socio=nil avec les contributeurs éventuels*socio=te de manière*socio=rien à conclure ces discussions*socio=et d'ici à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. 7. Le Comité*socio=ac note que le Comité*socio=ac plénier chargé de la *socio=rien Neuvième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et *socio=nil a commencé ses travaux*socio=rien par l'examen*socio=ec2 des *socio=rien calculs préliminaires de*socio=nil quotes-parts*socio=et *socio=nil et des *socio=rien questions relatives au*socio=nil volume des*socio=nil ressources*socio=ec1 du Fonds*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil engage les administrateurs*socio=ac à poursuivre leurs *socio=rien travaux sur la*socio=nil Neuvième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et *socio=nil afin d'être*socio=rien en mesure*socio=rien de formuler des recommandations*socio=et appropriées le moment*socio=rien venu. 8. Le Comité*socio=ac a examiné la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et les *socio=rien limites régissant l'*socio=nil accès*socio=uv1 aux*socio=nil ressources*socio=ec1 *socio=nil de l'institution*socio=ac en 1988. Il réaffirme le *socio=rien caractère temporaire *socio=nil de la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi et note que cette politique*socio=et et les limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 y afférentes*socio=rien doivent faire l'objet*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=ec2 avant la fin*socio=rien de 1987. Prenant note *socio=rien du fait qu'*socio=nil un grand nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac font*socio=nil face *socio=nil en 1987 à une situation*socio=rien extérieure*socio=te difficile*socio=rien et qu'il est*socio=rien à prévoir que de substantiels*socio=rien déséquilibres*socio=uv3 de paiements*socio=ec1 demeureront en 1988, les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac sont convenus de maintenir la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi et de conserver les limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 actuelles*socio=te en 1988. Le Comité*socio=ac fait*socio=rien en outre observer que, lors*socio=rien d'un*socio=rien récent*socio=rien examen*socio=ec2, le conseil_d'_administration*socio=ac a conclu que la position*socio=rien de liquidité*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 restait satisfaisante*socio=uv4 et ne constituait pas un*socio=rien obstacle*socio=uv3 au maintien*socio=rien de ces limites*socio=rien. En ce qui concerne son examen*socio=ec2 des limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 applicables*socio=rien aux mécanismes_spéciaux*socio=rien du*socio=rien Fonds*socio=ec1, le Comité*socio=ac fait*socio=rien observer que le conseil_d'_administration*socio=ac poursuit l'examen*socio=ec2 du*socio=rien mécanisme*socio=et de financement*socio=ec1 compensatoire*socio=et; il engage le conseil_d'_administration*socio=ac à achever son examen*socio=ec2 avant la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac *socio=nil et il est*socio=rien d'accord*socio=rien sur*socio=rien le fait*socio=rien que, pour le moment*socio=rien, les limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 applicables*socio=rien aux mécanismes_spéciaux*socio=rien devraient être*socio=rien maintenues. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de prendre, avant la fin*socio=rien de l'année*socio=rien, les mesures*socio=et nécessaires*socio=rien pour donner suite*socio=rien à l'accord*socio=et auquel est*socio=rien parvenu le Comité*socio=ac. 9. Le Comité*socio=ac a pris connaissance*socio=ec2 d'un*socio=rien *socio=rien rapport du directeur_général*socio=ac sur la*socio=nil question *socio=nil d'une reprise des allocations*socio=et de DTS. La plupart*socio=rien des membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac réaffirment qu'il existe un*socio=rien besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te de compléter les avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 existants*socio=rien et que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac ont besoin*socio=uv1 de réserves*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien. Ils mettent l'accent*socio=rien sur*socio=rien les coûts*socio=ec1 pour les pays_membres*socio=ac et les risques*socio=uv3 pour le fonctionnement*socio=rien efficace*socio=uv4 *socio=rien du système international*socio=te,*socio=nil *socio=nil qui sont liés à la constitution*socio=rien d'avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 au moyen*socio=rien d'emprunts*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te du*socio=rien crédit*socio=ec1 ou par l'accumulation*socio=ec2 d'excédents*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants.*socio=nil *socio=nil Certains autres membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac restent toutefois d'avis*socio=rien qu'il n'a pas encore été*socio=rien démontré que la *socio=rien condition préalable *socio=nil à une allocation*socio=et de DTS est*socio=rien remplie, c'est-à-dire qu'il existe un*socio=rien besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre son examen*socio=ec2 de la question*socio=rien d'une allocation*socio=et de DTS et note par ailleurs*socio=rien avec satisfaction*socio=uv3 que le conseil_d'_administration*socio=ac a l'intention*socio=rien de poursuivre l'examen*socio=ec2 *socio=rien du fonctionnement du *socio=nil DTS en vue*socio=rien de renforcer l'attrait*socio=rien de cet avoir en tant qu'instrument*socio=et de réserve*socio=ec1. 10. Le Comité*socio=ac accueille avec satisfaction*socio=uv3 la décision*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac de procéder à un*socio=rien examen*socio=ec2 complet*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et des arrangements*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 qui les appuient dans le cadre*socio=rien de stratégies*socio=et axées sur*socio=rien la croissance*socio=uv3. Cet examen*socio=ec2 sera aussi l'occasion*socio=rien de déterminer s'il y a lieu*socio=rien de redéfinir la politique*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 en matière*socio=rien de conditionnalité à la lumière*socio=rien non seulement des changements*socio=uv3 intervenus dans la situation*socio=rien à laquelle les pays_membres*socio=ac font face*socio=rien depuis le dernier*socio=rien examen*socio=ec2 complet*socio=rien en 1978-79, mais aussi de l'importance*socio=rien accrue accordée à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te à l'ajustement*socio=et axé sur*socio=rien la croissance*socio=uv3. L'un*socio=rien des aspects*socio=rien essentiels*socio=uv4 de cet examen*socio=ec2 sera l'évaluation*socio=ec2 du*socio=rien rôle*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 lorsqu'il s'agit de répondre aux besoins*socio=uv1 de balance_des_paiements*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac, aussi bien*socio=rien au moyen*socio=rien de ses propres*socio=rien ressources*socio=ec1 que de financements*socio=ec1 obtenus d'autres sources*socio=rien. À cet égard*socio=rien, il a été*socio=rien souligné que la nature*socio=rien coopérative du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et la nécessité*socio=uv1 de préserver le *socio=rien caractère temporaire *socio=nil de ses concours exigent que les pays_membres*socio=ac continuent de donner la priorité*socio=uv4 absolue*socio=rien au règlement*socio=et de leurs obligations*socio=uv1, notamment financières*socio=ec1, envers l'institution*socio=ac. Le Comité*socio=ac prend note avec satisfaction*socio=uv3 *socio=rien du récent rapport du Groupe*socio=ac des*socio=nil Vingt-quatre sur le*socio=nil rôle*socio=et du Fonds*socio=ec1 dans*socio=nil un ajustement*socio=et *socio=nil allant de pair*socio=rien avec la croissance*socio=uv3, lequel complète les *socio=rien précédents rapports du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix et du*socio=rien Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien. Il note que le conseil_d'_administration*socio=ac a commencé à examiner les analyses*socio=ec2 et recommandations*socio=et contenues dans ces documents*socio=rien et lui demande*socio=ec1 de préparer *socio=rien un rapport sur l'*socio=nil état d'*socio=nil avancement*socio=uv3 *socio=nil de ses travaux*socio=rien, rapport*socio=rien qui sera examiné à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 11. Le Comité*socio=ac décide de tenir sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil le 14 avril*socio=rien 1988. Trentième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 14-15 avril*socio=rien 1988 ' 1. Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa trentième réunion*socio=rien à Washington*socio=ac, les 14 et 15 avril*socio=rien 1988 sous la présidence*socio=rien de M H Onno Ruding, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 des Pays-bas*socio=ac. M Michel Camdessus, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, a participé à la réunion*socio=rien, à laquelle ont en outre assisté*socio=rien des observateurs*socio=ac *socio=rien représentant un certain nombre d'*socio=nil organisations_internationales*socio=ac et*socio=nil régionales*socio=te *socio=nil ainsi que la Suisse*socio=ac. 2. Examinant l'évolution*socio=te et les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, le Comité*socio=ac a noté que l'activité_économique*socio=ec1 semble avoir été*socio=rien relativement soutenue dans les pays_industrialisés*socio=ac en dépit*socio=rien de la baisse*socio=ec2 des *socio=ec1 marchés boursiers d'*socio=nil octobre*socio=rien dernier*socio=rien.*socio=nil *socio=nil On peut s'attendre à ce que l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 se poursuive de façon*socio=rien régulière*socio=ec2 et à un*socio=rien rythme*socio=ec2 modéré. Par ailleurs*socio=rien, l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée faible*socio=rien, et des progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien réalisés dans la réduction*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 de paiements*socio=ec1. Il a été*socio=rien noté qu'en 1987 le *socio=ec1 ratio dette/*socio=nil exportations *socio=nil a baissé par rapport*socio=rien à 1986 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil et que le redressement*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 a été*socio=rien dû au raffermissement*socio=ec2 des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien et à une amélioration*socio=uv1 de la compétitivité*socio=uv3. Le Comité*socio=ac fait*socio=rien observer qu'en dépit*socio=rien de ces courants*socio=te d'évolution*socio=te, il reste*socio=rien encore d'importants*socio=uv4 défis*socio=uv2 à relever. Dans le monde*socio=te industrialisé, il subsiste de graves*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 des paiements*socio=ec1 et le chômage*socio=ec1, en Europe*socio=ac surtout, se situe encore à *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Dans le monde*socio=te en développement*socio=uv3, les progrès*socio=uv1 accomplis dans les efforts*socio=uv1 visant à redonner de l'essor*socio=rien à l'investissement*socio=ec1 et à la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 ont été*socio=rien insuffisants*socio=uv4, et le fardeau*socio=uv4 de l'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te demeure un*socio=rien grave*socio=uv4 sujet*socio=rien de préoccupation*socio=uv4. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac soulignent qu'il importe d'appliquer des politiques*socio=et résolues dans *socio=rien un esprit de*socio=nil coopération*socio=uv1 *socio=nil pour relever ces défis*socio=uv2 de façon*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 et limiter*socio=rien le plus possible*socio=rien le risque*socio=uv3 d'obtenir*socio=rien des résultats*socio=rien moins favorables*socio=uv4 que ne le laissent entrevoir les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1. Pour remédier aux déséquilibres*socio=uv3 des paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te entre les pays_industrialisés*socio=ac, les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac insistent sur*socio=rien l'importance*socio=rien de politiques*socio=et propres*socio=rien à favoriser les modifications*socio=rien qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil d'apporter aux taux*socio=ec1 sous-jacents*socio=rien de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1. Les États-unis*socio=ac devraient continuer à renforcer la position*socio=rien budgétaire*socio=et et favoriser l'épargne*socio=ec1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et. En Europe*socio=ac et au japon*socio=ac, il importe de compléter des politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec1 judicieuses*socio=uv4 par des politiques*socio=et structurelles*socio=ec2 - visant notamment à réduire sensiblement les subventions*socio=ec1 et à atténuer les rigidités*socio=uv3 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 intérieurs*socio=te. De façon*socio=rien plus générale*socio=rien, des politiques*socio=et structurelles*socio=ec2 bien*socio=rien conçues pourraient grandement faciliter le *socio=rien déroulement du processus*socio=te d'*socio=nil ajustement*socio=et.*socio=nil *socio=nil Il a par *socio=rien ailleurs été *socio=nil noté que *socio=rien certaines nouvelles *socio=ec1 économies industrielles d'*socio=nil Asie*socio=ac *socio=nil ont connu une expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 remarquable*socio=rien et sont désormais largement excédentaires*socio=ec2. Elles devraient contribuer puissamment à la réduction*socio=ec2 des déséquilibres_globaux*socio=ec2 en combinant judicieusement des modifications*socio=rien dans leur politique*socio=et de gestion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 et la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te. En ce qui concerne les moyens*socio=ec1 de raffermir la croissance*socio=uv3 des pays*socio=ac endettés et de rehausser leur crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te, les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac soulignent qu'il importe de persévérer dans les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3. Les pays*socio=ac endettés devraient veiller à adopter des politiques*socio=et propres*socio=rien à accroître l'investissement*socio=ec1 intérieur*socio=te et à en améliorer la qualité*socio=rien, à décourager les fuites*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 et à maintenir la compétitivité*socio=uv3 extérieure*socio=te. Dans cette entreprise*socio=ac, les mesures*socio=et macroéconomiques*socio=ec1 devraient s'accompagner de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. Dans beaucoup de pays*socio=ac, il est*socio=rien encore nécessaire*socio=rien de redoubler d'efforts*socio=uv1 pour réduire le déficit*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et et porter les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à des niveaux*socio=rien plus réalistes*socio=uv4. En outre, il faudra dans bien*socio=rien des cas*socio=rien procéder à des réformes*socio=et dans des domaines*socio=rien tels que les prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien, les investissements*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et, ainsi que l'enseignement*socio=et et la formation*socio=et, pour que l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 soit plus efficace*socio=uv4. Il importe d'appliquer avec continuité*socio=uv1 des politiques_économiques*socio=et intérieures*socio=te vigoureuses*socio=rien pour attirer les concours financiers*socio=ec1 de l'étranger*socio=te, et ces deux éléments*socio=rien devraient se renforcer mutuellement. 3. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac soulignent que la coordination*socio=uv3 des actions*socio=ec1 est*socio=rien importante*socio=uv4 pour améliorer les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1. A cet égard*socio=rien, ils prennent note avec satisfaction*socio=uv3 des progrès*socio=uv1 qui ont été*socio=rien accomplis, dans le cadre*socio=rien de la surveillance*socio=et que le Fonds*socio=ec1 est*socio=rien chargé d'exercer sur*socio=rien la politique_économique*socio=ec1 de ses pays_membres*socio=ac, vers une utilisation*socio=rien accrue d'indicateurs*socio=ec1 économiques*socio=ec1 dans une optique*socio=rien à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil encourage le conseil_d'_administration*socio=ac à continuer de développer l'utilisation*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 et de réexaminer périodiquement le *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil membres*socio=ac du Comité*socio=ac *socio=nil soulignent qu'il importe d'améliorer le *socio=rien fonctionnement du système de*socio=nil façon *socio=nil à faciliter le déroulement*socio=rien sans à-coups du*socio=rien processus*socio=te d'ajustement*socio=et et à rehausser, sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et des capitaux*socio=ec1, les perspectives*socio=te de stabilité*socio=uv3 qu'une coordination*socio=uv3 multilatérale*socio=et plus active*socio=uv4 des politiques*socio=et tend actuellement à raffermir. 4. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac notent avec satisfaction*socio=uv3 les progrès*socio=uv1 accomplis jusqu'à présent*socio=rien dans les négociations_commerciales_multilatérales*socio=et de l' uruguay_round*socio=et et soulignent qu'il faut poursuivre les travaux*socio=rien qui doivent mener au réexamen*socio=et à mi-parcours prévu en *socio=rien décembre prochain,*socio=nil aux*socio=nil fins *socio=nil de parvenir à *socio=rien un système d'*socio=nil échanges_commerciaux*socio=ec1 multilatéraux*socio=et plus*socio=nil ouvert.*socio=nil *socio=nil Ils font observer qu'il importe de respecter les engagements*socio=et pris de n'imposer aucune *socio=rien nouvelle mesure restrictive*socio=uv4 *socio=nil ("Standstill") et de démanteler celles qui contreviennent aux accords*socio=et existants*socio=rien ("Rollback"). Ils soulignent à nouveau*socio=rien que les *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil vont à l'encontre*socio=rien des objectifs*socio=uv3 recherchés et n'ont guère de chances*socio=rien de réduire sensiblement les déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te, mais portent en germe le risque*socio=uv3 grave*socio=uv4 d'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 généralisé de la croissance*socio=uv3. Le Fonds*socio=ec1 devrait continuer en collaboration*socio=uv1 avec le GATT*socio=ac à favoriser l'atténuation*socio=ec2 des tensions*socio=ec2 commerciales*socio=ec1. 5. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac font observer qu'il y a eu quelques éléments*socio=rien positifs*socio=uv4 dans l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien de l'endettement*socio=ec1 international*socio=te, mais ils soulignent que des efforts*socio=uv1 de coopération*socio=uv1 vigoureux*socio=rien demeurent essentiels*socio=uv4. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac soulignent qu'il importe de continuer à analyser les problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 cas*socio=rien par cas*socio=rien, et ils font observer que cette approche est*socio=rien la seule*socio=rien qui permette de moduler les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et l~s*socio=rien flux*socio=ec1 de financements*socio=ec1 en fonction*socio=rien de la *socio=rien situation particulière *socio=nil de chaque pays*socio=ac. Il importe de ménager*socio=rien des marchés*socio=ec1 ouverts*socio=rien et en expansion*socio=ec2 pour les exportations*socio=ec1 des *socio=ac pays débiteurs *socio=nil et de veiller à ce qu'il y ait, en temps*socio=rien voulu, des concours financiers*socio=ec1 suffisants*socio=rien de la part*socio=rien des créanciers*socio=ac pour faciliter la poursuite*socio=rien de politiques*socio=et d'ajustement*socio=et axées sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 dans les *socio=ac pays débiteurs.*socio=nil *socio=nil Analysant la stratégie*socio=et en matière*socio=rien de dette*socio=ec1 extérieure*socio=te pour les pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien lourdement endettés, le Comité*socio=ac reconnaît que, pour susciter *socio=rien un courant *socio=nil ininterrompu d'assistance*socio=uv1 à l'appui*socio=uv1 de leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et, les *socio=ac pays débiteurs doivent*socio=nil pouvoir*socio=et *socio=nil démontrer que les politiques*socio=et qu'ils appliquent produisent des résultats*socio=rien positifs*socio=uv4. Le Comité*socio=ac note en outré que si les *socio=ac pays débiteurs *socio=nil tardent à obtenir*socio=rien les financements*socio=ec1 dont ils ont besoin*socio=uv1, leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et leur réputation*socio=uv1 de solvabilité*socio=ec1 en souffrent, et cela est*socio=rien particulièrement vrai*socio=rien des plus petits*socio=rien pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que le Fonds*socio=ec1 devrait continuer à appuyer les initiatives*socio=rien inspirées par le marché*socio=ec1 qui sont spontanément*socio=rien convenues entre débiteurs*socio=ac et créanciers*socio=ac et qui sont propres*socio=rien à rouvrir un*socio=rien accès*socio=uv1 normal*socio=rien aux financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te dans *socio=rien un délai raisonnable*socio=uv4.*socio=nil Le*socio=nil cas *socio=nil échéant, des programmes*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil appuyés par le Fonds*socio=ec1 pourraient favoriser la mise en ouvre plus régulière*socio=ec2 des mesures*socio=et, car ils rendraient moins nécessaires*socio=rien les renégociations répétées de dette*socio=ec1 et rehausseraient l'aptitude*socio=rien des pays*socio=ac à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1. Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 les progrès*socio=uv1 qui ont été*socio=rien réalisés récemment dans la mise au point*socio=rien de l'approche dite "des options*socio=rien à la carte*socio=rien", car c'est*socio=rien le signe de l'adaptabilité*socio=uv3 de la stratégie*socio=et actuelle*socio=te. Dans ce contexte*socio=rien, il y a particulièrement lieu*socio=rien de se féliciter de l'apparition*socio=rien de techniques*socio=rien de financement*socio=ec1 qui permettent de répondre à la fois*socio=rien au souci*socio=rien des banques*socio=ac de limiter*socio=rien leurs engagements*socio=et sur*socio=rien des pays*socio=ac lourdement endettés et aux préoccupations*socio=uv4 des débiteurs*socio=ac face*socio=rien à l'augmentation*socio=ec2 excessive*socio=uv4 de leur endettement*socio=ec1. Ces techniques*socio=rien procèdent d'approches telles que la conversion*socio=ec2 des dettes*socio=ec1 en prises*socio=rien de participation*socio=uv3 et d'autres formes*socio=rien d'échange*socio=ec1 de titres*socio=rien de dette*socio=ec1 - récemment utilisées par le Mexique*socio=ac et la Bolivie*socio=ac qui pourraient avoir pour effet*socio=rien de réduire le stock*socio=ec1 existant*socio=rien de la dette*socio=ec1 et d'améliorer les chances*socio=rien que les remboursements*socio=ec1 soient effectués. Il reste*socio=rien que ces techniques*socio=rien ne pourraient en général*socio=rien produire leurs effets*socio=rien qu'au bout*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain temps *socio=nil et que, dans l'intervalle*socio=te, les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et soutenus doivent être*socio=rien appuyés par des *socio=rien apports suffisants de*socio=nil financements*socio=ec1 supplémentaires.*socio=nil Les*socio=nil membres*socio=ac du Comité*socio=ac *socio=nil sont toutefois convenus qu'il s'agit là de progrès*socio=uv1 dans la bonne*socio=rien direction*socio=et qui méritent d'être*socio=rien appuyés comme il convient par les autorités*socio=et. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que, lorsque les pays*socio=ac entreprennent de vigoureux*socio=rien efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et à *socio=rien moyen terme,*socio=nil les*socio=nil créanciers*socio=ac officiels*socio=et,*socio=nil *socio=nil quant à eux, pourraient envisager d'adapter*socio=rien leurs politiques*socio=et à ce programme*socio=et. Le Comité*socio=ac souligne qu'il importe de redoubler d'efforts*socio=uv1 pour surmonter les obstacles*socio=uv3 solidement*socio=rien enracinés qui s'opposent à une croissance*socio=uv3 soutenue dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Il accueille avec satisfaction*socio=uv3 la décision*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac de créer la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FAS*socio=ec1 renforcée) et note que, grâce*socio=rien aux accords*socio=et qui ont été*socio=rien conclus récemment avec *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil contributeurs, la FAS*socio=ec1 renforcée ne tardera pas à *socio=rien devenir opérationnelle.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil prie instamment les autres pays*socio=ac qui sont en mesure*socio=rien de le faire de s'engager à apporter leur contribution*socio=uv1 à la FAS*socio=ec1 renforcée aussitôt que possible*socio=rien. Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'autres initiatives*socio=rien récemment prises*socio=rien en vue*socio=rien d'accroître les ressources*socio=ec1 à la disposition*socio=et des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1; il s'agit notamment du*socio=rien programme*socio=et spécial*socio=rien d'aide*socio=uv1 à l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te, qui a été*socio=rien lancé par la banque_mondiale*socio=ac en faveur*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 lourdement endettés, de la reconstitution*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 africain de développement*socio=uv3 et de l'allongement*socio=rien de la période*socio=te retenue*socio=rien pour les rééchelonnements*socio=et consentis par les créanciers*socio=ac officiels*socio=et. Le Comité*socio=ac souligne qu'il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 que les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 mettent au point*socio=rien des programmes*socio=et efficaces*socio=uv4 de réforme*socio=et structurelle*socio=ec2 et d'ajustement*socio=et macroéconomique*socio=ec1 qui pourraient être*socio=rien appuyés à l'aide*socio=uv1 de ce surcroît*socio=rien de ressources*socio=ec1. Le Comité*socio=ac note que, comme le fardeau*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 existante*socio=rien continuera de peser lourdement sur*socio=rien certains de ces pays*socio=ac, il reste*socio=rien indispensable*socio=uv4 de veiller à ce que de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et soient appuyés en temps*socio=rien voulu par des *socio=rien apports suffisants d'*socio=nil aide*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1.*socio=nil Un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont par *socio=rien ailleurs fait *socio=nil observer qu'il faudrait continuer à examiner avec soin*socio=rien la possibilité*socio=rien d'abaisser les taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur*socio=rien l'encours de la dette*socio=ec1 officielle*socio=et des pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2. Le Comité*socio=ac réaffirme que le Fonds*socio=ec1 doit continuer déjouer un*socio=rien rôle*socio=et central*socio=rien dans la stratégie*socio=et en matière*socio=rien de dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, grâce*socio=rien à l'assistance*socio=uv1 qu'il fournit à ses pays_membres*socio=ac dans la mise au point*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et efficaces*socio=uv4, au soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1 qu'il leur apporte par l'intermédiaire*socio=rien de ses différents*socio=rien mécanismes*socio=et, en servant d'agent*socio=ac de catalyse pour les *socio=ec1 flux financiers en*socio=nil provenance*socio=rien *socio=nil d'autres sources*socio=rien et en favorisant l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien meilleur*socio=uv4 environnement*socio=et économique*socio=ec1 international*socio=te. À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac juge*socio=et opportun*socio=rien l'actuel*socio=te effort*socio=uv1 de réadaptation*socio=uv3 des mécanismes*socio=et et instruments*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1, notamment les modifications*socio=rien qu'il est*socio=rien proposé d'apporter au mécanisme*socio=et élargi de crédit*socio=ec1, la révision*socio=rien dont fait*socio=rien l'objet*socio=rien le mécanisme*socio=et de financement*socio=ec1 compensatoire*socio=et et la mise au point*socio=rien de mécanismes*socio=et pour aléas*socio=rien extérieurs*socio=te. Cependant, il ne faut pas s'attendre à ce que le Fonds*socio=ec1 assume, avec la banque_mondiale*socio=ac, le rôle*socio=et financier*socio=ec1 qui devrait échoir aux bailleurs_de_fonds*socio=ec1 privés*socio=et et aux autres créanciers*socio=ac officiels*socio=et. La contribution*socio=uv1 de toutes les autres parties*socio=rien à la stratégie*socio=et demeure essentielle*socio=uv4 à la solution*socio=rien des difficultés*socio=uv4 actuelles*socio=te en matière*socio=rien d'endettement*socio=ec1. 6. Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 les efforts*socio=uv1 que continue*socio=rien de déployer le conseil_d'_administration*socio=ac pour améliorer la conception*socio=et et l'application*socio=rien des programmes*socio=et établis dans le cadre*socio=rien des mécanismes*socio=et de financement*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac attache de l'importance*socio=rien aux débats*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac sur*socio=rien les moyens*socio=ec1 d'accroître l'efficacité*socio=uv3 du*socio=rien mécanisme*socio=et élargi de crédit*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1, auquel il serait *socio=rien fait recours au*socio=nil cas par*socio=nil cas *socio=nil pour appuyer de vastes*socio=rien programmes*socio=et à *socio=rien moyen terme d'*socio=nil ajustement*socio=et macroéconomique*socio=ec1 *socio=nil et de réforme*socio=et structurelle*socio=ec2 et pour servir de catalyseur*socio=ec2 aux financements*socio=ec1 en provenance*socio=rien d'autres sources*socio=rien. Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu que, sur*socio=rien la base*socio=rien de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et, le Fonds*socio=ec1 devrait, si cela est*socio=rien justifié, mettre davantage de ressources*socio=ec1 à la disposition*socio=et des pays*socio=ac en accroissant l'accès*socio=uv1 effectif*socio=rien dans les limites*socio=rien actuelles*socio=te et que, dans des cas*socio=rien exceptionnels*socio=uv4, l'accès*socio=uv1 effectif*socio=rien pourrait dépasser ces limites*socio=rien. Le Comité*socio=ac fait*socio=rien observer que, dans la conjoncture*socio=ec2 actuelle*socio=te, des mesures*socio=et vigoureuses*socio=rien s'imposeront souvent dès la phase*socio=te initiale*socio=rien. Il reconnaît en outre qu'il pourrait être*socio=rien justifié de permettre que la durée*socio=te des accords*socio=et élargis initialement fixée à trois ans*socio=rien soit portée*socio=rien à quatre ans*socio=rien lorsque cela faciliterait le déploiement soutenu des politiques*socio=et dans *socio=rien un cadre à*socio=nil moyen terme,*socio=nil *socio=nil et il approuve les modifications*socio=rien des *socio=rien modalités du mécanisme*socio=et *socio=nil élargi de crédit*socio=ec1 qui auraient pour effet*socio=rien de réduire le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien de commission*socio=ac et d'allonger l'échéance*socio=te des achats*socio=ec1. Tout en notant que les accords*socio=et de confirmation*socio=et restent le *socio=rien mode normal d'*socio=nil assistance*socio=uv1 financière*socio=ec1 du Fonds*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil invite le conseil_d'_administration*socio=ac à achever au plus tôt le réexamen*socio=et du*socio=rien mécanisme*socio=et élargi de crédit*socio=ec1 et à adopter les décisions*socio=et *socio=rien nécessaires sur les*socio=nil modifications *socio=nil qui ont été*socio=rien convenues. 7. Le Comité*socio=ac prend note avec satisfaction*socio=uv3 *socio=rien du rapport du directeur_général*socio=ac sur la*socio=nil révision du mécanisme*socio=et de*socio=nil financement*socio=ec1 compensatoire*socio=et et*socio=nil sur les*socio=nil récents travaux du conseil_d'_administration*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui s'est*socio=rien attaché à déterminer comment intégrer au mieux dans les programmes*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 des mécanismes*socio=et pour aléas*socio=rien extérieurs*socio=te qui pourraient aider à maintenir le rythme*socio=ec2 de l'ajustement*socio=et face*socio=rien à des chocs*socio=ec2 extérieurs*socio=te défavorables*socio=uv4. Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu qu'il importe de conserver les caractéristiques*socio=rien essentielles*socio=uv4 du*socio=rien mécanisme*socio=et de financement*socio=ec1 compensatoire*socio=et et que les concours fournis par le Fonds*socio=ec1, pour permettre aux pays*socio=ac de faire face*socio=rien au déficit*socio=ec1 de leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et à des aléas*socio=rien extérieurs*socio=te, devraient être*socio=rien accordés par l'intermédiaire*socio=rien d'un*socio=rien unique*socio=rien mécanisme*socio=et, avec un*socio=rien plafond*socio=ec1 d'accès*socio=uv1 global*socio=te équivalant à 105 % de la quote-part*socio=ec1. À l'intérieur*socio=te de cette *socio=rien limite globale,*socio=nil l'*socio=nil élément de*socio=nil financement*socio=ec1 compensatoire*socio=et *socio=nil et l'élément*socio=rien de financement*socio=ec1 pour imprévus*socio=uv4 seraient l'un*socio=rien et l'autre assujettis à un*socio=rien plafond*socio=ec1 de 40 % de la quote-part*socio=ec1, et une tranche optionnelle de 25 % de la quote-part*socio=ec1 serait disponible*socio=rien pour compléter l'un*socio=rien ou l'autre élément*socio=rien au *socio=rien gré du *socio=ac pays membre.*socio=nil L'*socio=nil élément*socio=rien de*socio=nil financement*socio=ec1 pour*socio=nil imprévus*socio=uv4 *socio=nil serait utilisé en liaison*socio=rien avec un*socio=rien programme*socio=et d'ajustement*socio=et appuyé par le Fonds*socio=ec1. Le Comité*socio=ac invite le conseil_d'_administration*socio=ac, d'une part*socio=rien, à achever le plus vite possible*socio=rien la *socio=rien révision du mécanisme*socio=et de*socio=nil financement*socio=ec1 compensatoire*socio=et *socio=nil et la mise au point*socio=rien des *socio=rien modalités opérationnelles du nouveau mécanisme*socio=et *socio=nil qui combine financement*socio=ec1 compensatoire*socio=et et financement*socio=ec1 pour imprévus*socio=uv4 et, d'autre part*socio=rien, à suivre le fonctionnement*socio=rien de ce nouveau*socio=rien mécanisme*socio=et. 8. Le Comité*socio=ac note que, comme il l'en avait prié à sa réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1987, le conseil_d'_administration*socio=ac a procédé*socio=rien récemment à un*socio=rien réexamen*socio=et détaillé de la conditionnalité. À cette fin*socio=rien, il a entrepris une étude*socio=ec2 approfondie des problèmes*socio=uv4 que posent la conception*socio=et de programmes*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 et le suivi de l'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2, ainsi que de questions*socio=rien d'ordre*socio=rien *socio=rien technique afférentes *socio=nil au suivi des programmes*socio=et. Le Comité*socio=ac réaffirme sa conviction*socio=uv1 que l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 doit être*socio=rien étroitement liée aux progrès*socio=uv1 qui sont accomplis dans la mise en ouvre de politiques*socio=et propres*socio=rien à rétablir la viabilité*socio=uv3 de la balance_des_paiements*socio=ec1 et une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 soutenable*socio=uv4. Le Comité*socio=ac note en outre qu'au vu des aspects*socio=rien structurels*socio=ec2 que comportent les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et appuyés par le Fonds*socio=ec1, il faut que le Fonds*socio=ec1 et la banque_mondiale*socio=ac continuent de travailler en étroite*socio=rien collaboration*socio=uv1, étant entendu que chaque institution*socio=ac doit jouer un*socio=rien rôle*socio=et prédominant dans les domaines*socio=rien qui ressortent plus particulièrement de sa compétence*socio=uv3. À propos*socio=rien de la conditionnalité, le Comité*socio=ac réaffirme que le Fonds*socio=ec1 est*socio=rien, par nature*socio=rien, une institution*socio=ac fondée sur*socio=rien la coopération*socio=uv1 et souligne qu'il importe de préserver le *socio=rien caractère temporaire *socio=nil de l'utilisation*socio=rien de ses ressources*socio=ec1. Les pays_membres*socio=ac devraient continuer d'attacher la plus haute*socio=rien priorité*socio=uv4 à s'acquitter de leurs obligations*socio=uv1 financières*socio=ec1 et autres envers l'institution*socio=ac. Le non-respect de ces obligations*socio=uv1 nuit à la réputation*socio=uv1 financière*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac qui ont des impayés*socio=ec1 et impose aux autres pays_membres*socio=ac une charge*socio=rien excessive*socio=uv4. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac d'examiner la question*socio=rien des impayés*socio=ec1 au titre*socio=rien d'obligations*socio=uv1 financières*socio=ec1 envers le Fonds*socio=ec1 et de présenter *socio=rien un rapport,*socio=nil *socio=nil à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac,*socio=nil sur les*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil qui permettraient de réduire et en définitive*socio=rien d'éliminer les arriérés de paiements*socio=ec1. 9. Le Comité*socio=ac a eu communication*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=rien rapport du directeur_général*socio=ac sur l'*socio=nil état d'*socio=nil avancement*socio=uv3 des*socio=nil travaux *socio=nil concernant les questions*socio=rien soulevées dans les *socio=rien rapports du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix et du*socio=rien Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien. Il prend note des progrès*socio=uv1 qui ont été*socio=rien accomplis dans l'examen*socio=ec2 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil questions *socio=nil soulevées dans ces rapports*socio=rien, à savoir*socio=rien notamment la stratégie*socio=et en matière*socio=rien de dette*socio=ec1. la conception*socio=et des programmes*socio=et, la conditionnalité, le renforcement*socio=ec2 de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 et d'autres politiques*socio=et régissant*socio=rien l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre activement l'examen*socio=ec2 des questions*socio=rien soulevées dans ces rapports*socio=rien. 10. Le Comité*socio=ac note que le Comité*socio=ac plénier du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac pour la *socio=rien Neuvième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et a*socio=nil procédé *socio=nil à l'examen*socio=ec2 des *socio=rien principales questions d'*socio=nil orientation*socio=et *socio=nil liées au réajustement*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et. Le Comité*socio=ac note également que le conseil_d'_administration*socio=ac n'a pas pu achever ses travaux*socio=rien à temps*socio=rien pour soumettre ses recommandations*socio=et au conseil_des_gouverneurs*socio=ac avant le 31 mars*socio=rien 1988, date qui marquait le terme*socio=rien de la période*socio=te de *socio=rien cinq ans *socio=nil qui s'est*socio=rien écoulée depuis l'achèvement*socio=rien de la *socio=rien dernière révision des*socio=nil quotes-parts*socio=et.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil constate que les gouverneurs*socio=ac votent actuellement sur*socio=rien une résolution*socio=uv1 aux termes*socio=rien de laquelle la *socio=rien Neuvième révision *socio=nil serait poursuivie et le conseil_d'_administration*socio=ac serait prié de soumettre au conseil_des_gouverneurs*socio=ac des recommandations*socio=et appropriées le 30 avril*socio=rien 1989 au plus tard. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de lui faire *socio=rien rapport sur cette*socio=nil question *socio=nil à sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil 11. Le Comité*socio=ac note que le conseil_d'_administration*socio=ac a poursuivi l'examen*socio=ec2 de la question*socio=rien de la reprise des allocations*socio=et de DTS. À ce stade*socio=te, il ne s'est*socio=rien pas dégagé le large*socio=rien soutien*socio=uv3 requis*socio=uv4 aux termes*socio=rien des Statuts*socio=et pour permettre au directeur_général*socio=ac de proposer la reprise des allocations*socio=et de DTS avant la fin*socio=rien de la cinquième*socio=rien période*socio=te de base*socio=rien, qui va de 1988 à 199 1. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de continuer à suivre de près l'évolution*socio=te de la liquidité*socio=ec1 internationale*socio=ac et de revenir sur*socio=rien la question*socio=rien des allocations*socio=et de DTS et d'étudier le moyen*socio=rien d'accroître l'utilité*socio=rien du*socio=rien DTS pour tous les pays_membres*socio=ac. Comité*socio=ac ministériel*socio=et conjoint*socio=rien des conseils_des_gouverneurs_de_la_banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien le transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 aux pays_en_développement*socio=uv3 (Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3) COMMUNIQUÉS DE PRESSE*socio=et Trente-deuxième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 28 septembre*socio=rien 1987 1. Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 s'est*socio=rien réuni à Washington*socio=ac, le 28 septembre*socio=rien 1987, sous la présidence*socio=rien de Son Excellence*socio=uv3 M BTG Chidzero, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1, de la planification*socio=et économique*socio=ec1 et du*socio=rien développement*socio=uv3 du*socio=rien Zimbabwe*socio=ac. 2. Le Comité*socio=ac s'est*socio=rien penché essentiellement sur*socio=rien les trois problèmes*socio=uv4 suivants*socio=rien: Les propositions*socio=rien d'action*socio=ec1 en faveur*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 traversant des *socio=uv4 difficultés exceptionnelles,*socio=nil *socio=nil et particulièrement des pays*socio=ac très endettés d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te. Les programmes*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 dans les pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien lourdement endettés. Le rôle*socio=et de la banque_mondiale*socio=ac et le volume*socio=rien de ressources*socio=ec1 dont elle a besoin*socio=uv1. 3. Les discussions*socio=et du*socio=rien Comité*socio=ac ont surtout porté sur*socio=rien les moyens*socio=ec1 de revitaliser la croissance*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3. Des progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien accomplis, mais il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 de renforcer les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil reconnaît que, dans l'ensemble*socio=rien, les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3 restent compromises par la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien, la croissance*socio=uv3 modeste*socio=rien des pays*socio=ac industriels*socio=ec1, la montée du*socio=rien protectionnisme*socio=et, le lourd*socio=rien fardeau*socio=uv4 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 et l'insuffisance*socio=uv3 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Il constate en outre que la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 a *socio=rien un effet défavorable*socio=uv4 sur l'*socio=nil économie*socio=ec1 des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil et surtout sur*socio=rien celle des pays*socio=ac lourdement endettés. Le Comité*socio=ac souligne à quel point*socio=rien il est*socio=rien important*socio=uv4 qu'une amélioration*socio=uv1 des politiques*socio=et des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 stimule l' activité_économique*socio=ec1 globale*socio=rien. Il recommande vivement à tous les pays*socio=ac de libéraliser leurs régimes*socio=et commerciaux*socio=ec1, surtout pour élargir l'accès*socio=uv1 des pays_en_développement*socio=uv3 aux marchés*socio=ec1. À cet égard*socio=rien, il encourage les pays*socio=ac développés*socio=uv4 à examiner de près l'impact*socio=rien que leur politique_industrielle*socio=et peut avoir sur*socio=rien les pays_en_développement*socio=uv3. 4. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac se déclarent gravement préoccupés par les *socio=uv4 difficultés exceptionnelles *socio=nil auxquelles sont confrontés *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil faible revenu*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil surtout les pays*socio=ac très endettés d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te, et sont convenus qu'il faut passer d'urgence*socio=rien à l'action*socio=ec1. Le Comité*socio=ac appuie donc les propositions*socio=rien faites récemment par la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 en vue*socio=rien de rétablir la croissance*socio=uv3 dans ces pays*socio=ac par des apports*socio=rien financiers*socio=ec1 plus appropriés et la poursuite*socio=rien des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et. Les membres*socio=ac notent avec satisfaction*socio=uv3 que ces propositions*socio=rien offrent aux donateurs*socio=ac et aux créanciers*socio=ac toute une gamme*socio=rien de mesures*socio=et qu'ils pourraient adopter pour aider les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Ils demandent instamment au Fonds*socio=ec1 et à la Banque*socio=ac de renforcer les efforts*socio=uv1 qu'ils déploient conjointement pour prêter assistance*socio=uv1 à ces pays*socio=ac. Ils notent en outre qu'une amélioration*socio=uv1 des modalités*socio=rien de coordination*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1 renforcerait l'efficacité*socio=uv3 des efforts*socio=uv1 de développement*socio=uv3 de ces pays*socio=ac. 5. Le Comité*socio=ac appuie énergiquement la proposition*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac tendant à accroître les décaissements*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac en faveur*socio=rien de ces pays*socio=ac et espère que l'accord*socio=et relatif*socio=rien à IDA-8*socio=ac entrera prochainement en vigueur*socio=uv3, afin que les ressources*socio=ec1 dont l'IDA*socio=ac a besoin*socio=uv1 d'urgence*socio=rien à cette fin*socio=rien soient mises rapidement à sa disposition*socio=et. Il encourage les donateurs*socio=ac à accroître le flux*socio=ec1 des *socio=ec1 ressources concessionnelles *socio=nil dans le cadre*socio=rien d'opérations*socio=rien de cofinancement*socio=ec1 avec la Banque*socio=ac. 6. Les membres*socio=ac souscrivent pleinement à l'initiative*socio=rien du*socio=rien directeur_général*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 visant à accroître sensiblement les ressources*socio=ec1 de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 (FAS*socio=ec1) afin d'appuyer des programmes*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3. Certains pays*socio=ac se sont déjà engagés à verser des montants*socio=ec1 précis*socio=rien à cette fin*socio=rien. Le Comité*socio=ac a insisté sur*socio=rien le fait*socio=rien que les ressources*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien de la FAS*socio=ec1 devaient s'inscrire dans la perspective*socio=rien d'un*socio=rien accroissement*socio=ec2 véritable*socio=rien des *socio=ec1 ressources concessionnelles *socio=nil mises à la disposition*socio=et des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Le Comité*socio=ac invite la *socio=ac communauté internationale -*socio=nil pays développés*socio=uv4 et*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil - à parvenir aussitôt que possible*socio=rien à un*socio=rien accord*socio=et pour qu'une FAS*socio=ec1 renforcée puisse *socio=rien devenir opérationnelle.*socio=nil *socio=nil Il conviendrait que les débats*socio=et à ce sujet*socio=rien s'achèvent avant la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. 7. Les membres*socio=ac sont d'avis*socio=rien que les besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 devraient être*socio=rien satisfaits en *socio=rien grande partie *socio=nil par une aide*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1 assortie de conditions*socio=ec1 adéquates*socio=uv2. Ils notent qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont converti en dons*socio=ec1 leurs prêts*socio=ec1 d' aide_publique_au_développement*socio=et à ces pays*socio=ac. Ils prient instamment les pays*socio=ac développés*socio=uv4 donateurs*socio=ac qui ne l'ont pas encore fait*socio=rien de suivre cet exemple*socio=rien ou de prendre d'autres mesures*socio=et dans ce sens*socio=rien. Le Comité*socio=ac se félicite de la décision*socio=et prise*socio=rien récemment par le Club*socio=rien de Paris*socio=ac de prolonger les différés d'amortissement*socio=ec1 et les échéances*socio=te en, faveur*socio=rien des pays*socio=ac à très faible*socio=rien revenu*socio=ec1 lourdement endettés. Le Comité*socio=ac examine également plusieurs propositions*socio=rien d'allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 qui consistent à réduire les taux_d'_intérêt*socio=ec1 pour ces pays*socio=ac, à condition*socio=rien qu'ils poursuivent des politiques*socio=et d'ajustement*socio=et appropriées. Il note que, pour certains de ces pays*socio=ac, le recours*socio=ec1 constant*socio=rien à des rééchelonnements*socio=et assortis de *socio=ec1 taux_d'_intérêt commerciaux *socio=nil ne constitue pas une solution*socio=rien réaliste*socio=uv4 aux difficultés*socio=uv4 auxquelles ils sont confrontés. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac demandent instamment aux donateurs*socio=ac de trouver les moyens*socio=ec1 de renforcer l'élément*socio=rien de concession*socio=uv1 de leur appui*socio=uv1, afin d'appuyer les efforts*socio=uv1 déployés par ce groupe_de_pays*socio=ac. 8. Ayant examiné les programmes*socio=et axés sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 dans les pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien lourdement endettés, le Comité*socio=ac note que certains pays*socio=ac ont accompli des progrès*socio=uv1 mais conclut qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil d'examiner périodiquement la stratégie*socio=et de la dette*socio=ec1 afin d'améliorer les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 et de développement*socio=uv3. Les membres*socio=ac soulignent l'importance*socio=rien cruciale*socio=uv4 que revêtent les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et efficaces*socio=uv4 de ces pays*socio=ac et reconnaissent que ces efforts*socio=uv1 pourraient être*socio=rien sensiblement facilités si les grands*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 remédiaient à leurs déséquilibres*socio=uv3, ce qui améliorerait l'environnement*socio=et économique*socio=ec1 extérieur*socio=te. Le Comité*socio=ac souligne la nécessité*socio=uv1 d'accroître les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 à des conditions*socio=ec1 qui soient adaptées à la situation*socio=rien des paiements*socio=ec1 et aux conditions_économiques*socio=ec1 propres*socio=rien à chaque pays*socio=ac. 9. Le Comité*socio=ac souligne que la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 ont un*socio=rien rôle*socio=et décisif*socio=rien à jouer pour accroître les flux*socio=ec1 de financement*socio=ec1, ainsi que pour mobiliser des ressources*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien et offrir des conseils*socio=ac de politique_économique*socio=ec1. Notant que les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 ont réduit leurs prêts*socio=ec1, le Comité*socio=ac encourage la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 à contribuer à promouvoir un*socio=rien "menu" d'options*socio=rien, et notamment à diversifier les instruments*socio=et financiers*socio=ec1 pour que les créanciers*socio=ac et les banques*socio=ac puissent les trouver attrayants*socio=rien. Le Comité*socio=ac souhaiterait voir un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des flux*socio=ec1 d'investissements*socio=ec1 directs*socio=rien privés*socio=et à destination*socio=rien des pays*socio=ac endettés, ce qui accroîtrait le volume*socio=rien des ressources*socio=ec1 non génératrices*socio=rien de dette*socio=ec1 disponibles*socio=rien pour le financement*socio=ec1 du*socio=rien développement*socio=uv3. La société_financière_internationale*socio=ac (SFI*socio=ac) devrait jouer un*socio=rien rôle*socio=et de plus en plus actif*socio=ec1 à cet égard*socio=rien, et notamment agir en tant qu'intermédiaire*socio=rien dans les swaps de dette*socio=ec1. La création*socio=uv4 dans les meilleurs*socio=uv4 délais*socio=rien de l'Agence*socio=ac multilatérale*socio=et de garantie des investissements*socio=ec1 (AMGI*socio=ac) irait également dans ce sens*socio=rien. 10. Le Comité*socio=ac prend note des délibérations*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac sur*socio=rien les modalités*socio=rien d'une augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale du capital*socio=ec1 *socio=nil (AGC). Compte*socio=ec1 tenu du*socio=rien rôle*socio=et financier*socio=ec1 de plus en plus important*socio=uv4 joué par la Banque*socio=ac pour aider à répondre aux besoins*socio=uv1 des pays_en_développement*socio=uv3, le Comité*socio=ac appuie pleinement une augmentation*socio=ec2 *socio=rien substantielle du capital*socio=ec1 *socio=nil de la Banque*socio=ac, d'un*socio=rien montant*socio=ec1 suffisant*socio=rien pour soutenir un*socio=rien programme*socio=et de prêt*socio=ec1 en expansion*socio=ec2 pendant une période*socio=te d'une longueur*socio=rien appropriée. Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu qu'une augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale du capital*socio=ec1 est nécessaire *socio=nil de toute urgence*socio=rien et demande*socio=ec1 instamment aux administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac de mener rapidement à bien*socio=rien leurs délibérations*socio=et à ce sujet*socio=rien afin que les nouvelles*socio=rien souscriptions*socio=et au capital*socio=ec1 de la Banque*socio=ac puissent commencer à être*socio=rien versées aussitôt que possible*socio=rien. Tout en étant en faveur*socio=rien d'une augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale du capital*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil souligne que cette augmentation*socio=ec2 ne saurait tenir lieu*socio=rien d'un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des flux*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 privées*socio=et. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 que la Banque*socio=ac lui prépare *socio=rien un rapport sur cette*socio=nil question *socio=nil pour sa *socio=rien réunion du printemps *socio=nil 1988. 11. Le Comité*socio=ac a de nouveau*socio=rien tiré profit*socio=ec1 de l'exposé du*socio=rien directeur_général*socio=ac du*socio=rien GATT*socio=ac sur*socio=rien les problèmes*socio=uv4 commerciaux*socio=ec1 *socio=te internationaux actuels,*socio=nil *socio=nil et en *socio=rien particulier sur l'*socio=nil avancement*socio=uv3 des*socio=nil négociations*socio=et *socio=nil de l'uruguay_round*socio=et. Les membres*socio=ac se félicitent de ce qui a déjà été*socio=rien accompli, mais ils soulignent qu'il est*socio=rien important*socio=uv4 de veiller au respect*socio=uv1 des engagements*socio=et concernant le statu_quo*socio=rien et le démantèlement*socio=et. Le Comité*socio=ac souligne aussi l'importance*socio=rien de la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te pour la stratégie*socio=et globale*socio=rien de la dette*socio=ec1 et du*socio=rien développement*socio=uv3. Il insiste sur*socio=rien le rôle*socio=et des négociations*socio=et de l'uruguay_round*socio=et dans la libéralisation*socio=et et dans l'élimînation des distorsions*socio=uv3 qui entravent les échanges*socio=ec1 tant de produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 que de *socio=ec1 biens industriels.*socio=nil *socio=nil 12. Rappelant qu'il a demandé précédemment *socio=rien un rapport sur l'*socio=nil adéquation*socio=uv1 des*socio=nil transferts*socio=ec1 de*socio=nil ressources*socio=ec1 *socio=nil à tous les pays_en_développement*socio=uv3, le Comité*socio=ac décide d'examiner cette question*socio=rien cruciale*socio=uv4 à sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil Il a été*socio=rien saisi d'un*socio=rien *socio=rien rapport du Président*socio=ac *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac sur*socio=rien le programme*socio=et de la Banque*socio=ac pour l'environnement*socio=et et convient de poursuivre ses travaux*socio=rien à ce sujet*socio=rien en avril*socio=rien 1988. La Banque*socio=ac est*socio=rien priée d'établir *socio=rien un document *socio=nil pour ce débat*socio=et en tenant compte*socio=ec1 des éléments*socio=rien contenus dans le rapport*socio=rien de la *socio=ac Commission Brundtland *socio=nil qui présentent un*socio=rien intérêt*socio=uv1 particulier*socio=rien pour le Comité*socio=ac. Dans l'intervalle*socio=te, il demande*socio=ec1 à la Banque*socio=ac de donner suite*socio=rien aux *socio=rien initiatives sur *socio=nil lesquelles ses membres*socio=ac se sont mis d'accord*socio=uv1 à la réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1987. À nouveau*socio=rien, le Comité*socio=ac prie la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 d'établir une étude*socio=ec2 approfondie de l'effet*socio=rien de la politique_industrielle*socio=et des pays*socio=ac développés*socio=uv4 sur*socio=rien les pays_en_développement*socio=uv3 pour que le Comité*socio=ac puisse examiner cette question*socio=rien aussitôt que possible*socio=rien. Les autres points*socio=rien importants*socio=uv4 étudiés par le Comité*socio=ac sont les moyens*socio=ec1 de remédier aux problèmes*socio=uv4 des produits*socio=rien de base*socio=rien et les effets*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et de développement*socio=uv3 sur*socio=rien la pauvreté*socio=uv1. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 à son Président*socio=ac d'établir un*socio=rien programme*socio=et de travail*socio=rien afin que ces questions*socio=rien soient abordées à des réunions*socio=rien futures*socio=te du*socio=rien Comité*socio=ac, compte*socio=ec1 tenu des vues*socio=rien de ses membres*socio=ac. 13. Le Comité*socio=ac désigne M Yves Fortin (Canada*socio=ac) pour succéder à son *socio=ac Secrétaire exécutif actuel*socio=te,*socio=nil *socio=nil M Fritz Fischer (République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac), à compter du*socio=rien 16 novembre*socio=rien 1987. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac tiennent à manifester à M Fischer leur vive appréciation*socio=uv3 pour les services*socio=et inestimables*socio=rien que celui-ci a rendus au Comité*socio=ac et lui expriment leurs voeux*socio=rien de prospérité*socio=uv1 pour l'avenir*socio=te. 14. Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu de se réunir de nouveau*socio=rien à Washington*socio=ac, le 15 avril*socio=rien 1988. Trente-troisième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 15 avril*socio=rien 1988 1. Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 s'est*socio=rien réuni à Washington*socio=ac, le 15 avril*socio=rien 1988, sous la présidence*socio=rien de l'Honorable*socio=rien B.T.G. Chidzero, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1, de la planification*socio=et économique*socio=ec1 et du*socio=rien développement*socio=uv3 du*socio=rien Zimbabwe'. 2. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac ont examiné les deux *socio=rien thèmes généraux suivants l'*socio=nil adéquation*socio=uv1 des*socio=nil transferts*socio=ec1 de*socio=nil ressources*socio=ec1 *socio=nil à tous les pays_en_développement*socio=uv3, et notamment les problèmes*socio=uv4 des pays*socio=ac endettés; l'environnement_et_le_développement*socio=uv3, en particulier*socio=rien le rôle*socio=et de la banque_mondiale*socio=ac. 3. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac se sont félicités des faits*socio=rien positifs*socio=uv4 intervenus depuis la *socio=rien dernière réunion,*socio=nil à*socio=nil savoir:*socio=nil la*socio=nil prise d'*socio=nil effet pleine et*socio=nil entière d'*socio=nil IDA-8*socio=ac;*socio=nil la*socio=nil création*socio=uv4 *socio=nil de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 du*socio=rien FMI*socio=ac; le *socio=rien lancement du Programme*socio=et d'*socio=nil assistance*socio=uv1 spéciale *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac destiné aux *socio=ac pays africains à*socio=nil faible*socio=rien revenu*socio=ec1 *socio=nil fortement endettés; l'accord*socio=et donné par le Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac à l'augmentation*socio=ec2 de 74,8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 du*socio=rien capital*socio=ec1 de la banque_mondiale*socio=ac, approuvée sans délai*socio=rien par de nombreux*socio=rien gouverneurs*socio=ac; l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 de la Convention*socio=et portant création*socio=uv4 de l'Agence*socio=ac multilatérale*socio=et de garantie des investissements*socio=ec1 (AMGI*socio=ac); les progrès*socio=uv1 réalisés par de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 sur*socio=rien la voie*socio=rien de l'ajustement*socio=et. 4. En dépit*socio=rien de ces faits*socio=rien encourageants*socio=uv4, les membres*socio=ac sont convenus qu'un*socio=rien volume*socio=rien accru de *socio=ec1 flux financiers *socio=nil vers les pays_en_développement*socio=uv3 était nécessaire*socio=rien pour faire face*socio=rien aux impératifs*socio=uv4 de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1, de la lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1, de la conservation*socio=uv3 de l'environnement*socio=et et de l'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2, et pour surmonter les difficultés*socio=uv4 liées à la dette*socio=ec1. Un*socio=rien environnement*socio=et économique*socio=ec1 mondial*socio=te plus favorable*socio=uv4 est*socio=rien également nécessaire*socio=rien. Ils sont également convenus que le flux*socio=ec1 de ressources*socio=ec1, qui *socio=rien est négatif *socio=nil dans le cas*socio=rien de certains pays*socio=ac, pourrait être*socio=rien renforcé si les pays_industrialisés*socio=ac tout comme les pays_en_développement*socio=uv3 mettaient en ouvre les politiques*socio=et et les mesures*socio=et appropriées. Une aide*socio=uv1 mieux coordonnée, un*socio=rien renforcement*socio=ec2 continu*socio=rien des institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te, de meilleures*socio=uv4 perspectives*socio=te en ce qui concerne les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien et une diminution*socio=ec2 des *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil contribueraient à un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des flux*socio=ec1 de ressources*socio=ec1. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac ont demandé instamment que les pourparlers de l'uruguay_round*socio=et débouchent sans tarder sur*socio=rien une libéralisation*socio=et plus poussée des échanges*socio=ec1, et ils ont jugé important*socio=uv4 d'organiser une *socio=rien réunion intérimaire au*socio=nil niveau ministériel*socio=et.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a convenu qu'il était indispensable*socio=uv4 que les pays_en_développement*socio=uv3 mettent en ouvre des politiques_économiques*socio=et appropriées, et notamment qu'ils redoublent d'efforts*socio=uv1 pour mobiliser des ressources*socio=ec1 internes*socio=te. La SFI*socio=ac a été*socio=rien encouragée à jouer un*socio=rien rôle*socio=et encore plus actif*socio=ec1 afin de soutenir les pays_en_développement*socio=uv3 et d'y promouvoir l'investissement_privé*socio=et. 5. Le Comité*socio=ac a demandé aux gouverneurs*socio=ac qui ne l'avaient pas encore fait*socio=rien d'approuver le plus tôt possible*socio=rien la résolution*socio=uv1 relative*socio=rien à l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale du capital*socio=ec1 *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac et à tous les gouvernements*socio=ac de s'employer sans tarder à souscrire le capital*socio=ec1 nécessaire*socio=rien. Il a souligné combien était important*socio=uv4 le fait*socio=rien que le Conseil*socio=ac de la Banque*socio=ac examine actuellement la question*socio=rien de l'évaluation*socio=ec2 du*socio=rien capital*socio=ec1 de la Banque*socio=ac et celle *socio=rien du nombre de*socio=nil voix des*socio=nil petits pays_membres*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 6. Le Comité*socio=ac a également invité les pays*socio=ac qui ne l'avaient pas encore fait*socio=rien à apporter une contribution*socio=uv1 à la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Ses membres*socio=ac ont demandé instamment aux pays*socio=ac admis à bénéficier des ressources*socio=ec1 de la facilité de continuer à exécuter ou d'adopter des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et *socio=ec1 économique énergiques susceptibles*socio=rien d'*socio=nil être*socio=rien *socio=nil soutenus par la facilité renforcée. 7. Le Comité*socio=ac a reconnu que des efforts*socio=uv1 supplémentaires*socio=rien s'imposaient pour alléger le fardeau*socio=uv4 que doivent supporter de nombreux*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 surendettés*socio=ec2 et pour soutenir leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et, et il a demandé instamment aux créanciers*socio=ac et aux débiteurs*socio=ac d'envisager des mesures*socio=et à cette fin*socio=rien, et notamment, lorsque cela *socio=rien est possible,*socio=nil un abaissement des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil dans le cadre*socio=rien des rééchelonnements*socio=et de la dette*socio=ec1 officielle*socio=et, ou d'autres mesures*socio=et allant dans le même sens*socio=rien. Il a pris note des recommandations*socio=et formulées dans le *socio=rien récent rapport du Groupe*socio=ac consultatif*socio=uv2 du secrétaire_général*socio=ac des*socio=nil Nations-unies*socio=ac sur les*socio=nil flux*socio=ec1 de*socio=nil financement*socio=ec1 en*socio=nil faveur *socio=nil de l'Afrique*socio=ac. Pour tenter de résoudre les problèmes*socio=uv4 spécifiques*socio=rien aux pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, les donateurs*socio=ac ont été*socio=rien invités instamment à prendre le plus tôt possible*socio=rien les mesures*socio=et nécessaires*socio=rien pour cofinancer, comme ils s'y sont engagés, les mesures*socio=et d'ajustement*socio=et au *socio=rien titre du Programme*socio=et d'*socio=nil assistance*socio=uv1 spéciale *socio=nil de la Banque*socio=ac, et effectuer des décaissements*socio=ec1 afin d'assurer autant que possible*socio=rien des flux*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien aux pays*socio=ac qui sont - ou seront - admis à bénéficier du*socio=rien Programme*socio=et. Le Comité*socio=ac s'est*socio=rien félicité de l'augmentation*socio=ec2 récente*socio=rien des ressources*socio=ec1 de la banque_africaine_de_développement*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1. 8. Le Comité*socio=ac a examiné le problème*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 dans les pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien fortement endettés sous l'angle*socio=rien des transferts*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 et de la nécessité*socio=uv1 d'assurer une croissance*socio=uv3 soutenue grâce*socio=rien aux programmes*socio=et d'ajustement*socio=et. Il a réaffirmé son soutien*socio=uv3 à une stratégie*socio=et au cas*socio=rien par cas*socio=rien fondée sur*socio=rien les mécanismes*socio=et du*socio=rien marché*socio=ec1. Des programmes*socio=et *socio=ec1 économiques énergiques *socio=nil sont certes indispensables*socio=uv4, mais les contraintes*socio=uv1 de ressources*socio=ec1 continuent à poser un*socio=rien *socio=uv4 grave problème.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a pris note de certains faits*socio=rien encourageants*socio=uv4 survenus depuis sa *socio=rien dernière réunion *socio=nil en ce qui concerne les progrès*socio=uv1 de l'approche dite des "options*socio=rien à la carte*socio=rien", et notamment de l'apparition*socio=rien de *socio=rien nouvelles formules de*socio=nil financement*socio=ec1 *socio=nil et de techniques*socio=rien librement convenues inspirées par le marché*socio=ec1 et réduisant le volume*socio=rien de la dette*socio=ec1. En collaborant étroitement, la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 ont été*socio=rien encouragés à poursuivre leurs efforts*socio=uv1 en vue*socio=rien de faciliter l'évolution*socio=te de l'approche des "options*socio=rien à la carte*socio=rien" au cas*socio=rien par cas*socio=rien et à jouer ainsi un*socio=rien rôle*socio=et de catalyseur*socio=ec2 pour soutenir financièrement*socio=rien une stratégie*socio=et de la dette*socio=ec1 orientée vers la croissance*socio=uv3. Le Comité*socio=ac a décidé de continuer à examiner la question*socio=rien de la stratégie*socio=et de la dette*socio=ec1 afin d'améliorer les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 et de développement*socio=uv3. 9. Le Comité*socio=ac a reconnu que des apports*socio=rien accrus et des *socio=ec1 ressources concessionnelles de*socio=nil meilleure*socio=uv4 qualité*socio=rien étaient*socio=nil nécessaires*socio=rien aux*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil faible*socio=rien revenu,*socio=nil *socio=nil y compris 'Ceux qui ne sont pas sérieusement endettés, pour tenter de résoudre les problèmes*socio=uv4 liés à la lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1, assurer une croissance*socio=uv3 et un*socio=rien développement*socio=uv3 soutenus et appuyer les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et selon les besoins*socio=uv1. Il a également été*socio=rien reconnu qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil revenu*socio=ec1 intermédiaire *socio=nil de la tranche inférieure*socio=rien non mentionnés plus haut*socio=rien faisaient face*socio=rien à de *socio=uv4 sérieuses difficultés économiques*socio=ec1,*socio=nil dont*socio=nil un*socio=rien endettement*socio=ec1 important,*socio=nil *socio=nil et qu'ils méritaient par conséquent*socio=rien l'attention*socio=rien de la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil *socio=nil 10. Les membres*socio=ac ont procédé*socio=rien à des échanges_de_vues*socio=uv3 sur*socio=rien les importantes*socio=uv4 questions*socio=rien abordées dans le rapport*socio=rien Brundtland*socio=ac et se sont félicités des progrès*socio=uv1 réalisés par la banque_mondiale*socio=ac dans le cadre*socio=rien de son programme*socio=et relatif*socio=rien à l'environnement*socio=et. La croissance*socio=uv3, le développement*socio=uv3 et la conservation*socio=uv3 de l'environnement*socio=et doivent être*socio=rien considérés comme des concepts*socio=rien et des objectifs*socio=uv3 opérationnels*socio=rien liés entre eux. Il a été*socio=rien généralement convenu que de nombreux*socio=rien problèmes*socio=uv4 d'environnement*socio=et dépassaient le cadre*socio=rien des *socio=te frontières nationales *socio=nil et qu'ils appelaient de ce fait*socio=rien des mesures*socio=et appropriées de la part*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac comme des pays_en_développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac a en particulier*socio=rien pris note *socio=rien du lien étroit existant *socio=nil entre la dégradation*socio=uv3 de l'environnement*socio=et et la pauvreté*socio=uv1, et reconnu que des ressources*socio=ec1 importantes*socio=uv4 étaient nécessaires*socio=rien pour aider les pays*socio=ac à faire face*socio=rien à ces *socio=uv4 problèmes interdépendants.*socio=nil La*socio=nil Banque*socio=ac a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil encouragée à présenter, lors*socio=rien d'une future*socio=te réunion*socio=rien, de *socio=rien nouvelles suggestions *socio=nil quant aux meilleurs*socio=uv4 moyens*socio=ec1 de lutter contre la pauvreté*socio=uv1 et de résoudre les problèmes*socio=uv4 d'environnement*socio=et, en particulier*socio=rien dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Il a été*socio=rien demandé d'établir pour la *socio=rien prochaine réunion un rapport sur l'*socio=nil état d'*socio=nil avancement*socio=uv3 du programme*socio=et *socio=nil de la Banque*socio=ac relatif*socio=rien à l'environnement*socio=et. 11. Le Comité*socio=ac a décidé de se réunir à nouveau*socio=rien à Berlin-ouest*socio=ac le 26 septembre*socio=rien 1988. RÉCENTS*socio=rien ACCORDS*socio=et SUR*socio=rien L'ÉCONOMIE*socio=ec1 INTERNATIONALE*socio=ac ET DÉCLARATIONS*socio=et DU*socio=rien GROUPE*socio=ac DES SEPT Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et. Les ministres*socio=ac des finances*socio=ec1 et les gouverneurs*socio=ac des banques_centrales*socio=ac de six grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac (Canada*socio=ac, États-unis*socio=ac, France*socio=ac, Japon*socio=ac, République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et Royaume-uni*socio=ac), lors*socio=rien d'une réunion*socio=rien qui s'est*socio=rien tenue le 22 février*socio=rien 1987 au Palais du*socio=rien Louvre*socio=et à Paris*socio=ac, sont convenus d'intensifier leurs efforts*socio=uv1 de coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et, afin de promouvoir une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 plus équilibrée et de réduire les déséquilibres*socio=uv3 actuels*socio=te. Dans leur communiqué (connu sous le nom*socio=rien d'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et), ils ont noté que des progrès*socio=uv1 avaient été*socio=rien réalisés en vue*socio=rien d'atteindre une croissance*socio=uv3 soutenable*socio=uv4 sans inflation*socio=ec1. Aux termes*socio=rien de leur déclaration*socio=et, "les pays*socio=ac en excédent*socio=ec1 se sont engagés à suivre des politiques*socio=et destinées*socio=rien à renforcer leur demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et à réduire leurs excédents*socio=ec1 extérieurs*socio=te". Dans le même temps*socio=rien, "les pays*socio=ac en déficit*socio=ec1 se sont engagés... à encourager une croissance*socio=uv3 régulière*socio=ec2 et non inflationniste*socio=ec2, tout en réduisant leurs déséquilibres*socio=uv3 intérieurs*socio=te et leurs déficits*socio=ec1 extérieurs*socio=te". Ils sont par ailleurs*socio=rien convenus de coopérer pour "promouvoir la stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 autour des niveaux*socio=rien actuels*socio=te". Déclaration*socio=et économique*socio=ec1 de Venise. Lors*socio=rien de leur treizième sommet_économique*socio=et, qui s'est*socio=rien tenu à Venise, en Italie*socio=ac, du*socio=rien 8 au 10 juin*socio=rien 1987, les chefs*socio=ac d'État*socio=ac ou de gouvernement*socio=ac des sept plus grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac (Canada*socio=ac, États-unis*socio=ac, France*socio=ac, Italie*socio=ac, japon*socio=ac, République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac et Royaume-uni*socio=ac) sont convenus de renforcer les dispositions*socio=et existantes*socio=rien en matière*socio=rien de *socio=et surveillance multilatérale *socio=nil et de coordination*socio=uv3 économique*socio=ec1. Dans le communiqué qu'ils ont publié à l'issue*socio=rien de leur réunion*socio=rien, ils sont convenus de renforcer, avec l'aide*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac, la surveillance*socio=et de leurs économies*socio=ec1 en utilisant des *socio=ec1 indicateurs économiques.*socio=nil Ce*socio=nil renforcement*socio=ec2 *socio=nil implique 1) "J'engagement*socio=uv1 pris par chaque pays*socio=ac d'élaborer des objectifs*socio=uv3 et des projections*socio=ec2 à *socio=rien moyen terme *socio=nil pour son économie*socio=ec1" ainsi que celui, pris par le groupe*socio=ac, "d'élaborer des objectifs*socio=uv3 et des projections*socio=ec2 qui soient mutuellement cohérents*socio=rien" et 2) "l'utilisation*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 de performance*socio=uv3 pour examiner et évaluer les tendances*socio=ec2 économiques*socio=ec1 en cours*socio=rien et pour déterminer s'il existe des divergences*socio=uv1 importantes*socio=uv4 par rapport*socio=rien à la trajectoire*socio=ec2 prévue, qui nécessitent d'envisager des mesures*socio=et correctrices". Déclarations*socio=et du*socio=rien Groupe*socio=ac des Sept. Dans le contexte*socio=rien des engagements*socio=et pris au titre*socio=rien de ces deux accords*socio=et, les ministres*socio=ac et les gouverneurs*socio=ac des banques_centrales*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Sept ont publié, au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1987/88, *socio=rien un certain nombre de*socio=nil déclarations*socio=et *socio=nil concernant l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et la nécessité*socio=uv1 d'intensifier la coordination*socio=uv3 de leurs politiques_économiques*socio=et. Dans une déclaration*socio=et publiée le 26 septembre*socio=rien 1987, avant l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te du*socio=rien Fonds*socio=ec1 à Washington*socio=ac, les ministres*socio=ac et les gouverneurs*socio=ac des banques_centrales*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Sept se sont félicités de la stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 qui avait été*socio=rien observée depuis l'Accord*socio=et du*socio=rien Louvre*socio=et et dont leurs politiques*socio=et et leurs résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 avaient bénéficié. Ils ont fait*socio=rien remarquer qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil résultats *socio=uv4 favorables importants *socio=nil commençaient à apparaître, en particulier*socio=rien la réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 du*socio=rien budget*socio=ec1 fédéral*socio=et aux États-unis*socio=ac, l'application*socio=rien rapide*socio=rien des mesures*socio=et supplémentaires*socio=rien de dépenses*socio=ec1 et de réduction*socio=ec2 des impôts*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 au japon*socio=ac, la diminution*socio=ec2 - plus marquée que prévu - de l'imposition*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac à compter de janvier*socio=rien 1988, ainsi que le recul*socio=rien des déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te en termes*socio=rien réels*socio=ec2, encore que ceux-ci demeurent élevés*socio=uv4. Les ministres*socio=ac et les gouverneurs*socio=ac ont par ailleurs*socio=rien noté que les importants*socio=uv4 *socio=ec1 excédents commerciaux *socio=nil qu'enregistrent *socio=rien certaines nouvelles *socio=ec1 économies industrielles *socio=nil continuaient à être*socio=rien ~