*{ Fonds Monétaire international Rapport Annuel 1992 } fonds_monétaire_international*socio=ac: Rapport*socio=rien annuel*socio=te du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac pour l'exercice*socio=rien clos le 30 avril*socio=rien 1992. Vers un*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 mondial*socio=te. Les mutations*socio=ec2 spectaculaires*socio=rien que l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te a connues au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1991 / 92 représentent à la *socio=rien fois un défi*socio=uv2 *socio=nil et une chance*socio=rien pour les responsables*socio=uv2 internationaux*socio=te. Nombreux*socio=rien sont les pays*socio=ac qui, de par le monde*socio=te et notamment en europe_de_l'_est*socio=ac et dans l'ex-urss*socio=ac, ont engagé ou continuent de mener des politiques*socio=et dont l'objectif*socio=uv3 est*socio=rien d'instaurer l'économie_de_marché*socio=ec1 et de faciliter leur intégration*socio=uv1 au système*socio=rien mondial*socio=te. Cette transformation*socio=ec2 est*socio=rien vitale*socio=uv4 pour leur propre*socio=rien santé*socio=et économique*socio=ec1, mais aussi pour celle de la *socio=ac communauté internationale,*socio=nil *socio=nil car dans un*socio=rien monde*socio=te interdépendant*socio=uv4 comme le *socio=te monde actuel,*socio=nil *socio=nil chacun ne peut que bénéficier *socio=rien du fait *socio=nil que de nouveaux*socio=rien pays*socio=ac apportent une contribution*socio=uv1 positive*socio=uv4 à la croissance*socio=uv3 mondiale*socio=te. Beaucoup de pays_industrialisés*socio=ac ont dû faire face*socio=rien aux conséquences*socio=rien de la récession*socio=ec2 en s'efforçant de favoriser la reprise par des mesures*socio=et compatibles*socio=rien avec une croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil Parallèlement, de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 ont mené, avec l'appui*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac, des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 destinées*socio=rien à leur permettre de retrouver une balance_des_paiements*socio=ec1 viable*socio=uv4 et une croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2. Le FMI*socio=ac a été*socio=rien au coeur*socio=rien de beaucoup de ces changements*socio=uv3 au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien écoulé. C'est*socio=rien ainsi qu'il a pris une part*socio=rien très active*socio=uv4 aux efforts*socio=uv1 déployés par la *socio=ac communauté internationale *socio=nil pour faciliter la transformation*socio=ec2 des économies*socio=ec1 planifiées de l'ex-urss*socio=ac et de l' europe_de_l'_est*socio=ac. Son action*socio=ec1 a consisté pour l'essentiel*socio=uv4 à aider ces pays*socio=ac à mettre *socio=rien sur pied une*socio=nil stratégie*socio=et de*socio=nil transition*socio=ec2 *socio=nil vers le marché*socio=ec1 qui leur soit propre*socio=rien et qui réponde à leurs besoins*socio=uv1 spécifiques*socio=rien. Pour ce faire, il lui a fallu redéployer très largement ses effectifs*socio=rien, recruter du*socio=rien personnel*socio=ac supplémentaire*socio=rien et créer *socio=rien un nouveau Département*socio=ac *socio=nil chargé de suivre les États*socio=ac de l'ex-urss*socio=ac. Il a *socio=rien été nécessaire *socio=nil aussi de modifier temporairement*socio=rien le calendrier*socio=te normal*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec les pays_membres*socio=ac et d'ajourner l'analyse*socio=ec2 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil questions économiques*socio=ec1 générales *socio=nil et leur examen*socio=ec2 par le conseil_d'_administration*socio=ac. La signature*socio=rien de l'Accord*socio=et d'association*socio=ac spéciale*socio=rien entre le FMI*socio=ac et ce qui était encore l'union_soviétique*socio=ac en octobre*socio=rien 1991 a marqué l'ouverture*socio=uv3 des relations*socio=rien entre le FMI*socio=ac et l'URSS*socio=ac, qui a pu bénéficier sans plus tarder des conseils*socio=ac de politique_économique*socio=ec1 et de l'assistance*socio=uv1 *socio=rien technique du FMI*socio=ac;*socio=nil après *socio=nil la dissolution de l'union_soviétique*socio=ac, ces conseils*socio=ac et cette assistance*socio=uv1 ont été*socio=rien apportés aux différents*socio=rien États*socio=ac. L'étape*socio=te suivante*socio=rien a consisté à examiner chacun d'eux en vue*socio=rien de leur admission*socio=uv1 au FMI*socio=ac et à déterminer leur quote-part*socio=ec1. Au 4 mai*socio=rien 1992, le conseil_des_gouverneurs*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac avait adopté les résolutions relatives*socio=rien à l'admission*socio=uv1 des quinze États*socio=ac issus de l'ex-urss*socio=ac; au le, juin*socio=rien 1992, sept d'entre eux - Arménie*socio=ac, Estonie*socio=ac, Géorgie*socio=ac, Kirghizistan*socio=ac, Lettonie, Lituanie et Russie*socio=ac - étaient devenus membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac. Dès lors*socio=rien qu'ils ont acquis*socio=uv2 le statut*socio=et d'État*socio=ac membre*socio=ac, ils ont le droit*socio=uv1 de bénéficier régulièrement de ses conseils*socio=ac de politique_économique*socio=ec1, de son assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et d'aides*socio=uv1 à la balance_des_paiements*socio=ec1 pour appuyer leurs programmes*socio=et de réforme*socio=et macro-économique*socio=ec1 et structurelle*socio=ec2. L'Albanie*socio=ac est*socio=rien devenue membre*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac en octobre*socio=rien 1991 et la Lituanie en avril*socio=rien 1992. La République*socio=ac des îles*socio=rien Marshall*socio=et et la Suisse*socio=ac les ont suivies en mai*socio=rien 1992. Avec l'adhésion*socio=uv1 attendue des autres États*socio=ac de l'ex-urss*socio=ac, des républiques*socio=ac de Croatie*socio=ac, de Slovénie*socio=ac et de Bosnie*socio=ac Herzégovine ainsi que des États*socio=ac fédérés*socio=rien de Micronésie et de Saint-marin, le FMI*socio=ac s'achemine vers l'universalité*socio=uv1. L'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. La croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te a légèrement ralenti en 1991, ce qui s'explique à la fois*socio=rien par le recul*socio=rien de la production*socio=ec1 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac,*socio=nil *socio=nil sa chute brutale*socio=rien en europe_de_l'_est*socio=ac et dans l'ex-urss*socio=ac et sa stagnation*socio=ec1 au Moyen-orient*socio=ac, suite*socio=rien au conflit*socio=uv1 qui a déchiré la région*socio=te. Dans les pays_en_développement*socio=uv3, toutefois, elle a été*socio=rien en moyenne*socio=rien de 3 1/4%, soit à peine moins qu'en 1990. Les résultats*socio=rien ont été*socio=rien particulièrement encourageants*socio=uv4 en Asie*socio=ac et dans l' hémisphère_occidental*socio=te, où la production*socio=ec1 a augmenté respectivement de 5 3/4% et de 2 3/4%, alors qu'elle n'a enregistré qu'une progression*socio=ec2 modeste*socio=rien - de 1 1/2% - en Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te. En europe_de_l'_est*socio=ac et dans l'ex-urss*socio=ac, où s'est*socio=rien engagée une transformation*socio=ec2 économique*socio=ec1 sans précédent*socio=rien, la baisse*socio=ec2 initiale*socio=rien de la production*socio=ec1 a été*socio=rien plus forte*socio=rien que prévu. Cependant, les premiers*socio=rien signes *socio=rien concrets du passage *socio=nil à l'économie_de_marché*socio=ec1 sont désormais perceptibles*socio=rien en europe_de_l'_est*socio=ac, et les États*socio=ac de l'ex-urss*socio=ac s'engagent à leur tour*socio=rien dans la voie*socio=rien des réformes*socio=et. La hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 s'est*socio=rien modérée dans les pays_industrialisés*socio=ac où l'atonie*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 des biens*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1 observée presque partout lui a permis*socio=rien de tomber de près de 5% en 1990 à 4 1/2% en 1991. L'inflation*socio=ec1 a été*socio=rien freinée dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, mais elle est*socio=rien montée en flèche dans l'ex-urss*socio=ac. Les transferts*socio=ec1 liés au conflit*socio=uv1 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et l'amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 entraînée par la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 ont largement contribué à ramener le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, qui approchait de 100 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1990, aux alentours*socio=rien de 25 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1991. Pour ce qui *socio=rien est du groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil le*socio=nil déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant est passé *socio=nil quant à lui de 8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1990 à 85 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1991, détérioration*socio=uv4 imputable*socio=uv2 pour moitié*socio=rien à peu près aux transferts*socio=ec1 intervenus dans le cadre*socio=rien de la guerre*socio=et du*socio=rien Golfe*socio=te. La dette*socio=ec1 extérieure*socio=te totale*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 a augmenté de plus de 4% et représente désormais environ 1.500 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Son aggravation*socio=ec2 très nette*socio=rien en Asie*socio=ac et au Moyen-orient*socio=ac et celle, beaucoup plus limitée, observée dans l'hémisphère_occidental*socio=te, expliquent ce résultat*socio=rien. 1 - Vue*socio=rien d'ensemble*socio=rien. L'activité_économique*socio=ec1 mondiale*socio=te a enregistré *socio=rien un léger recul *socio=nil en 1991 (tableau*socio=rien 1) sous l'effet*socio=rien *socio=rien conjugué du ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 dans les pays_industrialisés*socio=ac - en particulier*socio=rien de la baisse*socio=ec2 de la production*socio=ec1 au Canada*socio=ac, aux États-unis*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac -, de sa forte*socio=rien contraction*socio=ec2 en europe_de_l'_est*socio=ac et dans l'ex-urss*socio=ac et de sa stagnation*socio=ec1 au Moyen-orient*socio=ac, suite*socio=rien au conflit*socio=uv1 qu'a connu la région*socio=te. Les pays_en_développement*socio=uv3 d'Afrique*socio=ac, d'Asie*socio=ac et de l'hémisphère_occidental*socio=te ont enregistré en revanche une plus forte*socio=rien croissance*socio=uv3 en 1991 qu'en 1990. La fragilité*socio=uv1 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te dans de *socio=rien nombreux domaines *socio=nil a légèrement freiné l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 international*socio=te en volume*socio=rien par rapport*socio=rien à 1990. L'inflation*socio=ec1 a diminué en 1991 et au début*socio=rien de 1992, suite*socio=rien à la baisse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 par rapport*socio=rien à la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 dans la plupart*socio=rien des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Après*socio=rien la crise*socio=uv2 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac en 1990, la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien de la demande*socio=ec1 et l'accroissement*socio=ec2 des approvisionnements*socio=ec1 en pétrole*socio=ec1 ont entraîné une baisse*socio=ec2 des *socio=rien cours sur les*socio=nil *socio=ec1 marchés pétroliers mondiaux*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil prix des*socio=nil produits*socio=rien de*socio=nil base*socio=rien *socio=nil autres que les combustibles*socio=ec1 ont poursuivi leur repli*socio=rien en 1991 en *socio=rien raison du fléchissement*socio=ec2 *socio=nil de la demande*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac et de l'augmentation*socio=ec2 des stocks*socio=ec1 de *socio=rien nombreux produits (*socio=nil graphique *socio=nil 1). Le tassement*socio=rien de la demande_globale*socio=ec1 et le relâchement*socio=ec2 des tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 se sont accompagnés d'une forte*socio=rien baisse*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 de l'euromarché interbancaire*socio=ec1 de Londres*socio=ac (LIBOR) en 1991, qui s'est*socio=rien prolongée au début*socio=rien de 1992. Malgré le très net*socio=rien ralentissement*socio=ec2 intervenu dans la majorité*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PIB*socio=ec1 a été*socio=rien de 3 1/4% en moyenne*socio=rien dans les pays_en_développement*socio=uv3 en 1991, soit un*socio=rien chiffre à peu près égal*socio=rien à celui de 1990, alors que l'inflation*socio=ec1 a été*socio=rien réduite de moitié*socio=rien pour dépasser légèrement 40%. Si la croissance*socio=uv3 a pu se maintenir en dépit*socio=rien de la morosité*socio=uv1 de la conjoncture*socio=ec2 dans les pays_industrialisés*socio=ac, c'est*socio=rien en *socio=rien partie grâce *socio=nil à la réduction*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1 et aux réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 engagées dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac. Cette meilleure*socio=uv4 mise en oeuvre*socio=rien des politiques_économiques*socio=et a permis*socio=rien en effet*socio=rien de dynamiser la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te en raffermissant la confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac et des investisseurs*socio=ac dans les perspectives*socio=te à *socio=rien moyen terme d'*socio=nil un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil en*socio=nil particulier *socio=nil dans l' hémisphère_occidental*socio=te. En outre, la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 mondiaux*socio=te a allégé le service*socio=et souvent très lourd*socio=rien de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te et certains pays*socio=ac ont assisté*socio=rien à *socio=rien un début *socio=nil de reprise des entrées de capitaux*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Le processus*socio=te de transformation*socio=ec2 économique*socio=ec1 qui s'est*socio=rien engagé en europe_de_l'_est*socio=ac et dans l'ex-urss*socio=ac est*socio=rien d'une ampleur*socio=rien et d'une portée*socio=rien sans précédent*socio=rien. La baisse*socio=ec2 plus importante*socio=uv4 que prévu de la production*socio=ec1 durant les premières*socio=rien étapes*socio=te de la réforme*socio=et s'explique en partie*socio=rien par les profondes*socio=rien distorsions*socio=uv3 héritées *socio=rien du système antérieur*socio=te.*socio=nil *socio=nil Si les statistiques*socio=ec2 officielles*socio=et ne rendent sans doute*socio=rien pas parfaitement compte*socio=ec1 de l'essor*socio=rien du*socio=rien secteur_privé*socio=et, on estime*socio=rien cependant que la production*socio=ec1 a diminué de 20% dans ces deux régions*socio=te depuis 1989, et de plus de 35% dans certains pays*socio=ac. Le processus*socio=te de réforme*socio=et se poursuit néanmoins, et divers signes montrent que la transition*socio=ec2 vers l'économie_de_marché*socio=ec1 *socio=rien est bien *socio=nil engagée en europe_de_l'_est*socio=ac et que l'activité*socio=rien a cessé de se contracter dans certains pays*socio=ac. À l'inverse, bien*socio=rien que le *socio=ac gouvernement russe *socio=nil ait adopté un*socio=rien très important*socio=uv4 programme*socio=et de réforme*socio=et économique*socio=ec1 au début*socio=rien de 1992, d'importantes*socio=uv4 mesures*socio=et d'ajustement*socio=et macro-économique*socio=ec1 et des réformes_systémiques*socio=ec2 doivent encore être*socio=rien mises en oeuvre*socio=rien en Russie*socio=ac et dans les autres États*socio=ac de l'ex-urss*socio=ac. 2 - Évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 et politiques_économiques*socio=et. pays_industrialisés*socio=ac. La croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien tombée de 2 1/2% en 1990 à moins de 1% en 1991 (tableau*socio=rien 1), suite*socio=rien à la récession*socio=ec2 en amérique_du_nord*socio=ac, au Royaume-uni*socio=ac et dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil petits pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil et à la décélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 au Japon*socio=ac et en Allemagne*socio=ac, où il était certes difficile*socio=rien de confirmer les taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 de 1990. La conjoncture*socio=ec2 maussade des pays_industrialisés*socio=ac s'est*socio=rien accompagnée d'une vague d'assainissement*socio=uv3 des positions*socio=rien financières*socio=ec1 dans le secteur_privé*socio=et, d'une nouvelle*socio=rien diminution*socio=ec2 de la confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac dans la plupart*socio=rien des grandes*socio=rien économies*socio=ec1 (notamment aux États-unis*socio=ac), *socio=rien du maintien de*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 relativement*socio=nil élevés*socio=uv4 en*socio=nil Allemagne*socio=ac *socio=nil et dans le reste*socio=rien de l'Europe*socio=ac ainsi que d'un*socio=rien très net*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la formation*socio=et de capital*socio=ec1 fixe au Japon*socio=ac. Le manque*socio=rien de dynamisme*socio=uv3 de l'activité*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac a entraîné une *socio=rien hausse du taux*socio=ec1 de*socio=nil chômage*socio=ec1 moyen,*socio=nil qui*socio=nil est passé *socio=nil de 6 1/4 en 1990 à 7% en 1991. La production*socio=ec1 a diminué de près de 3/4% aux États-unis*socio=ac en 1991, car la stagnation*socio=ec1 des dépenses*socio=ec1 des ménages*socio=ac, le recul*socio=rien de la formation*socio=et de capital*socio=ec1 fixe et la diminution*socio=ec2 des stocks*socio=ec1 n'ont été*socio=rien que partiellement compensés par la progression*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien. La demande*socio=ec1 a repris au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1992 et le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien a augmenté de près de 3% en rythme*socio=ec2 annuel*socio=te. La récession*socio=ec2 a été*socio=rien toutefois plus forte*socio=rien au Canada*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac qu'aux États-unis*socio=ac, car les *socio=ec2 tensions inflationnistes *socio=nil plus aiguës des années*socio=rien 1989-90 appelaient des réponses*socio=rien plus vigoureuses*socio=rien. La croissance*socio=uv3 a ralenti au Japon*socio=ac et dans les provinces*socio=ac occidentales de l'Allemagne*socio=ac en 1991 et, à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien, la production*socio=ec1 correspondait au niveau*socio=rien estimé des PNB*socio=ec1 potentiels*socio=uv4 des deux pays*socio=ac (graphique*socio=rien 2). La perte*socio=ec2 de vitesse*socio=rien de l'économie*socio=ec1 japonaise*socio=ac s'explique avant tout par la baisse*socio=ec2 très *socio=rien sensible du rythme*socio=ec2 de*socio=nil formation*socio=et de*socio=nil capital*socio=ec1 *socio=nil fixe, qui est*socio=rien tombé à 3 1/2 après*socio=rien avoir *socio=rien été supérieur *socio=nil à 10% par an*socio=rien, en moyenne*socio=rien, pendant la période*socio=te 1987-90. Dans l'ouest*socio=te de l'Allemagne*socio=ac, la croissance*socio=uv3 *socio=rien rapide du premier trimestre*socio=te *socio=nil de 1991 a été*socio=rien suivie d'un*socio=rien *socio=rien recul du PNB*socio=ec1 réel *socio=nil pendant le reste*socio=rien de l'année*socio=rien en raison*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 limitée de la demande*socio=ec1, contrainte*socio=uv1 à la fois*socio=rien par la faiblesse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te, le maintien*socio=rien d'une certaine*socio=rien rigueur*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 et l'alourdissement*socio=ec2 des impôts*socio=et pour financer l'unification*socio=et. Selon les estimations*socio=ec2, l' activité_économique*socio=ec1 a diminué de près de 25% dans les provinces*socio=ac orientales de l'Allemagne*socio=ac, alors que la production*socio=ec1 a augmenté de 1 1/4% pour l'Allemagne*socio=ac unifiée en 1991. La France*socio=ac, où les taux_d'_intérêt*socio=ec1 relativement élevés*socio=uv4 ont baissé en 1991, a connu une croissance*socio=uv3 modérée; en effet*socio=rien l'expansion*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 s'est*socio=rien ralentie et la formation*socio=et de capital*socio=ec1 fixe a baissé et seules*socio=rien les exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien ont un*socio=rien peu soutenu l'expansion*socio=ec2. Enfin, la croissance*socio=uv3 est*socio=rien tombée à 1 1/2% en Italie*socio=ac, car la forte*socio=rien contraction*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien et le *socio=rien haut niveau des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil ont contribué à ralentir les dépenses*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1. L'activité*socio=rien est*socio=rien restée très incertaine*socio=uv4 en 1991 dans la majorité*socio=rien des petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Dans deux d'entre eux (Australie*socio=ac et Suède*socio=ac), la récession*socio=ec2 s'explique par les ajustements*socio=et économiques*socio=ec1 majeurs*socio=rien auxquels il a fallu procéder pour corriger les politiques*socio=et relativement expansionnistes*socio=ec2 menées durant la période*socio=te de déréglementation*socio=et financière*socio=ec1 des années*socio=rien 80. En Norvège*socio=ac, l'activité*socio=rien a été*socio=rien limitée (compte*socio=ec1 non tenu *socio=rien du secteur pétrolier*socio=ec1)*socio=nil *socio=nil par la situation*socio=rien financière*socio=ec1 difficile*socio=rien des secteurs*socio=rien financier*socio=ec1 et non financier*socio=ec1. En Suisse*socio=ac, c'est*socio=rien la poursuite*socio=rien de la rigueur*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 pour remédier aux dérapages*socio=uv4 antérieurs*socio=te qui a provoqué la baisse*socio=ec2 de la production*socio=ec1. La croissance*socio=uv3 est*socio=rien restée positive*socio=uv4 en Autriche*socio=ac, en Belgique*socio=ac et au Danemark*socio=ac où les retombées*socio=rien positives*socio=uv4 de la demande*socio=ec1 allemande*socio=ac ont amorti l'impact*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 élevés*socio=uv4, mais où le chômage*socio=ec1 a progressé; en revanche, elle a sensiblement ralenti en Espagne*socio=ac, aux Pays-bas*socio=ac et au Portugal*socio=ac, non sans demeurer suffisamment vigoureuse*socio=rien toutefois pour stabiliser le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 en Espagne*socio=ac et le réduire aux Pays-bas*socio=ac et au Portugal*socio=ac. La situation*socio=rien monétaire*socio=ec1 internationale*socio=ac en 1991 reflète les *socio=rien positions différentes *socio=nil des trois grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac dans le *socio=te cycle conjoncturel.*socio=nil *socio=nil Pour soutenir l'activité*socio=rien aux États-unis*socio=ac à *socio=rien un moment *socio=nil où les *socio=ec2 tensions inflationnistes *socio=nil s'apaisaient, la Réserve*socio=ec1 fédérale*socio=et a abaissé le taux*socio=ec1 d'escompte et le taux*socio=ec1 des "federal funds" d'environ 3 points*socio=rien en 1991, ce qui a porté le taux*socio=ec1 d'escompte à son niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien depuis 1964. La Banque*socio=ac du*socio=rien Japon*socio=ac a abaissé son taux*socio=ec1 d'escompte de 6% à 4 1/2% durant l'année*socio=rien pour tenir compte*socio=ec1 du*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 ainsi que de l'évolution*socio=te des prix*socio=ec1, de la masse_monétaire*socio=ec1 et des taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1; le taux*socio=ec1 de l'argent*socio=ec1 au jour*socio=rien le jour*socio=rien a également diminué de plus de 2 points*socio=rien. La Banque*socio=ac du*socio=rien Japon*socio=ac a abaissé à nouveau*socio=rien son taux*socio=ec1 d'escompte à 3 3/4% en avril*socio=rien 1992, et la Réserve*socio=ec1 fédérale*socio=et a diminué légèrement le taux*socio=ec1 des "federal funds". En revanche, à la fin*socio=rien de 1991, la Deutsche*socio=ec1 Bundesbank avait porté son taux*socio=ec1 d'escompte et le taux*socio=ec1 Lombard de ses avances *socio=rien sur titres *socio=nil à des niveaux*socio=rien très élevés*socio=uv4 - 8% et 9 3/4%, respectivement - pour faire face*socio=rien à une inflation*socio=ec1 dépassant 4%, aux fortes*socio=rien pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les salaires*socio=ec1 et à l'expansion*socio=ec2 de l'agrégat*socio=ec1 monétaire*socio=ec1 large*socio=rien (M3), qui l'a porté aux *socio=rien limites supérieures *socio=nil de la fourchette-objectif avant de s'accélérer encore au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1992. La médiocrité*socio=uv1 de la croissance*socio=uv3 et l'atonie*socio=ec2 de plus en plus accusée du*socio=rien marché*socio=ec1 de l'emploi*socio=ec1 n'ont pas empêché la plupart*socio=rien des autres *socio=ac pays européens participant*socio=rien au*socio=nil mécanisme*socio=et de*socio=nil change*socio=ec1 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 européen (*socio=nil SME*socio=ec1)*socio=nil *socio=nil de relever eux aussi leurs taux_d'_intérêt*socio=ec1. 'Toutefois, le Royaume-uni*socio=ac a considérablement*socio=rien abaissé les taux*socio=ec1 de base*socio=rien bancaires*socio=ec1 en 1.991, et à nouveau*socio=rien au *socio=rien début du mois de*socio=nil mai *socio=nil 1992 où ils sont tombés à 10%. Globalement, le déficit*socio=ec1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac (sur*socio=rien la base*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac) *socio=rien est passé *socio=nil de 1 1/2% du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1990 à 2 1/2% en 1991. En amérique_du_nord*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac, la dégradation*socio=uv3 de la situation*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et résulte essentiellement *socio=rien du recul *socio=nil de l'activité_économique*socio=ec1. En France*socio=ac, le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et s'est*socio=rien quelque peu creusé en *socio=rien raison du ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3, mais il est*socio=rien demeuré relativement faible*socio=rien par rapport*socio=rien au PIB*socio=ec1. L'unification*socio=et de l'Allemagne*socio=ac a entraîné une forte*socio=rien aggravation*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 de ses administrations_publiques*socio=ac, qui a atteint 3 1/4% du*socio=rien PNB*socio=ec1 en 1991, mais ce chiffre est*socio=rien resté néanmoins inférieur*socio=rien aux prévisions*socio=ec2 budgétaires*socio=et *socio=rien initiales du fait de*socio=nil dépenses*socio=ec1 plus*socio=nil faibles *socio=nil et de recettes*socio=ec1 plus importantes*socio=uv4 que prévu. En Italie*socio=ac, le déficit*socio=ec1 *socio=rien est passé *socio=nil de 11% du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1990 à 10 1/4% du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1991; cependant, le besoin*socio=uv1 de financement*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et est*socio=rien resté quasiment inchangé*socio=rien à 10 3/4% du*socio=rien PIB*socio=ec1. En dépit*socio=rien des amples*socio=rien fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 entre la *socio=rien dernière semaine de*socio=nil décembre *socio=nil 1990 et la *socio=rien semaine correspondante *socio=nil de 1991, la *socio=rien variation nette des*socio=nil principales monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac a*socio=nil été faible *socio=nil vis-à-vis de la monnaie*socio=ec1 américaine*socio=ac, par rapport*socio=rien à laquelle le yen*socio=ec1 a gagné toutefois environ 7%. L'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar*socio=ec1 E.U. vis-à-vis de la plupart*socio=rien des grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1 au cours*socio=rien des *socio=rien cinq premiers mois *socio=nil de 1992 tient cependant en partie*socio=rien à la révision*socio=rien en baisse*socio=ec2 des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 en Europe*socio=ac et à la concrétisation*socio=rien de plus en plus nette*socio=rien de la reprise aux États-unis*socio=ac. Entre la fin*socio=rien de 1991 et la fin*socio=rien de mai*socio=rien 1992, la monnaie*socio=ec1 américaine*socio=ac s'est*socio=rien appréciée de 7% environ par rapport*socio=rien au *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil et de 2% par rapport*socio=rien au yen*socio=ec1. La hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 est*socio=rien retombée à 4 1/2% pour l'ensemble*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac en 1991, car la stagnation*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des biens*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1 s'est*socio=rien confirmée presque partout. Cette atténuation*socio=ec2 des pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les capacités*socio=uv3 de production*socio=ec1 a contribué aussi à modérer les hausses de salaire*socio=ec1 et à abaisser les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien. Dans l'ouest*socio=te de l'Allemagne*socio=ac, cependant, l'inflation*socio=ec1 a atteint 3 1/2% en 1991 en raison*socio=rien non seulement du*socio=rien relèvement*socio=ec2 des impôts*socio=et indirects*socio=rien au *socio=rien second semestre *socio=nil de l'année*socio=rien, mais aussi de la tension*socio=ec2 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 et de l'excédent*socio=ec1 de demande*socio=ec1 suscité par l'unification*socio=et. L'inflation*socio=ec1 a aussi reculé, globalement, dans les petits*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, mais elle s'est*socio=rien maintenue à *socio=rien un niveau relativement*socio=nil élevé*socio=uv4 dans*socio=nil un petit nombre *socio=nil d'entre eux, ce qui explique qu'elle soit restée supérieure*socio=rien de 1 point*socio=rien au taux*socio=ec1 moyen*socio=rien d'inflation*socio=ec1 des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac (graphique*socio=rien 3). La décélération*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 s'est*socio=rien poursuivie dans la plupart*socio=rien des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac durant les quatre *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1992, les prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 ayant dépassé en moyenne*socio=rien de 3% environ leurs niveaux*socio=rien de 1991 pour la même période*socio=te. Le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, qui atteignait près de 100 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1990, a été*socio=rien ramené aux alentours*socio=rien de 25 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1991. Ce recul*socio=rien tient avant tout à des *socio=rien facteurs transitoires *socio=nil tels que les transferts*socio=ec1 liés à la guerre*socio=et du*socio=rien Golfe*socio=te et l'amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 entraînée par la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1. La résorption*socio=ec2 très *socio=rien nette du déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant aux*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil et au Royaume-uni*socio=ac s'explique en *socio=rien grande partie *socio=nil par la *socio=rien situation différente *socio=nil de ces deux pays*socio=ac dans le *socio=te cycle conjoncturel *socio=nil et par les transferts*socio=ec1 dont ils ont bénéficié de la part*socio=rien de l'Allemagne*socio=ac, du*socio=rien Japon*socio=ac et des pays*socio=ac du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac à la suite*socio=rien de la guerre*socio=et du*socio=rien Golfe*socio=te. La France*socio=ac a enregistré une évolution*socio=te similaire*socio=rien, alors que l'excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=rien courant du Japon*socio=ac *socio=nil a très sensiblement augmenté sous l'effet*socio=rien conjugué*socio=rien d'une amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, d'une forte*socio=rien baisse*socio=ec2 des importations*socio=ec1 d'or*socio=ec1 aux fins*socio=rien d'investissement*socio=ec1 et d'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1 en volume*socio=rien, dû notamment à la progression*socio=ec2 modérée de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. En Allemagne*socio=ac, la nette*socio=rien progression*socio=ec2 des importations*socio=ec1 et la contraction*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 pour répondre à la demande*socio=ec1 en provenance*socio=rien des provinces*socio=ac orientales ont donné lieu*socio=rien à *socio=rien un retournement spectaculaire *socio=nil de la position*socio=rien extérieure*socio=te du*socio=rien pays*socio=ac qui, d'excédentaire*socio=rien en 1990, est*socio=rien devenue déficitaire*socio=ec2 en 1991. pays_en_développement*socio=uv3. Si la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 réelle*socio=ec2 s'est*socio=rien un*socio=rien peu accélérée, en moyenne*socio=rien, dans les pays_en_développement*socio=uv3 d'Afrique*socio=ac en 1991, elle est*socio=rien demeurée assez faible*socio=rien en raison*socio=rien de la détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, des contraintes*socio=uv1 financières*socio=ec1 existantes*socio=rien et de désordres civils et de *socio=rien catastrophes naturelles (*socio=nil tableau *socio=nil 1 et graphique*socio=rien 4). Certains pays*socio=ac ont enregistré une croissance*socio=uv3 modérée ou négative*socio=rien faute d'avoir appliqué une politique_économique*socio=ec1 appropriée. Ailleurs*socio=rien, toutefois, la mise en oeuvre*socio=rien de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 et l'application*socio=rien persistante*socio=rien de politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 prudentes*socio=uv2 ont soutenu la croissance*socio=uv3: tel a été*socio=rien le cas*socio=rien, en particulier*socio=rien, des pays*socio=ac qui appliquent des programmes*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac au titre*socio=rien de ses facilités d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 (FAS*socio=ec1 et FASR*socio=ec1), où la croissance*socio=uv3 *socio=rien moyenne est *socio=nil restée à peu près inchangée*socio=rien aux environs*socio=rien de 2 1/2%. Dans l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te, la production*socio=ec1 n'a augmenté que de 1 1/2% et le PIB*socio=ec1 par habitant*socio=ac a continué de s'effriter. Dans la zone*socio=te franc*socio=ec1, l'activité_économique*socio=ec1 (mesurée en moyenne*socio=rien pondérée) a diminué, car la croissance*socio=uv3 vigoureuse*socio=rien de quatre *socio=ac États membres *socio=nil et celle, faible*socio=rien ou modérée, de trois autres n'ont pas suffit à compenser le très *socio=rien net recul *socio=nil accusé dans deux grands*socio=rien pays*socio=ac et la stagnation*socio=ec1 observée dans quelques autres. L'accélération*socio=ec2 de la création*socio=uv4 monétaire*socio=ec1, l'ajustement*socio=et des prix*socio=ec1 administrés*socio=rien et la dépréciation*socio=ec2 des monnaies*socio=ec1 liée aux fortes*socio=rien détériorations des termes_de_l'_échange*socio=ec1 ont porté l'inflation*socio=ec1 de 16% en 1990 à 22% en 1991 (graphique*socio=rien 5) en Afrique*socio=ac (compte*socio=ec1 non tenu du*socio=rien Zaïre*socio=ac, qui a souffert d'une hyper-inflation l'année*socio=rien passée). L'inflation*socio=ec1 est*socio=rien montée en flèche, par ailleurs*socio=rien, dans divers pays*socio=ac en proie*socio=ac à des troubles civils, alors que plusieurs de ceux qui ont entrepris un*socio=rien programme*socio=et d'ajustement*socio=et ont pu la faire reculer. Enfin, elle a *socio=rien été faible ou*socio=nil négligeable *socio=nil dans tous les *socio=ac États africains *socio=nil de la zone*socio=te franc*socio=ec1, où les prix*socio=ec1 ont même parfois diminué; en moyenne*socio=rien pondérée, l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien tombée de 1 1/2% en 1990 à 1/2% en 1991. En Asie*socio=ac, la production*socio=ec1 réelle*socio=ec2 a augmenté de 5 3/4%, d'après*socio=rien les estimations*socio=ec2, en 1991. Le dynamisme*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et l'expansion*socio=ec2 *socio=rien rapide du commerce*socio=ec1 régional*socio=te *socio=nil ont contribué à amortir les *socio=rien retombées négatives d'*socio=nil événements *socio=nil tels que la crise*socio=uv2 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac, la conjoncture*socio=ec2 maussade des marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 que constituent les pays_industrialisés*socio=ac et les *socio=rien catastrophes naturelles *socio=nil qui ont frappé le Bangladesh*socio=ac, la Chine*socio=ac et les Philippines*socio=ac. Bien*socio=rien que plusieurs pays*socio=ac d'Asie*socio=ac aient souffert de la crise*socio=uv2 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac, ses retombées*socio=rien ont été*socio=rien atténuées par les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 et les politiques*socio=et financières*socio=ec1 prudentes*socio=uv2 adoptées au Bangladesh*socio=ac, au Pakistan*socio=ac et à Sri Lanka. L'Inde*socio=ac et les Philippines*socio=ac, qui accusaient déjà des déséquilibres*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1 graves*socio=uv4 avant la crise*socio=uv2, n'ont pas fait*socio=rien preuve*socio=ec2 de la même capacité*socio=uv3 d'adaptation*socio=uv3. L'Inde*socio=ac et la Mongolie*socio=ac ont subi le contrecoup*socio=te des événements*socio=rien qui ont secoué l'ex-urss*socio=ac et ont dû faire face*socio=rien au surplus*socio=ec1 à une pénurie*socio=ec2 de devises*socio=ec1. Les économies*socio=ec1 en croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien - Chine*socio=ac, Corée*socio=ac, *socio=ac Hong Kong,*socio=nil Indonésie,*socio=nil Malaisie,*socio=nil Singapour,*socio=nil Province chinoise de*socio=nil Taiwan et*socio=nil Thaïlande *socio=nil - ont continué d'enregistrer de meilleurs*socio=uv4 résultats*socio=rien que les autres pays*socio=ac de la région*socio=te; ce sont elles qui ont assuré l'essentiel*socio=uv4 de l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 régional*socio=te. L'inflation*socio=ec1 a été*socio=rien de 9 1/2% pour l'ensemble*socio=rien de l'Asie*socio=ac en 1991, soit à peu près son niveau*socio=rien de l'année*socio=rien précédente*socio=rien (graphique*socio=rien 5). Cependant, si la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 a été*socio=rien modérée dans plusieurs pays*socio=ac, elle s'est*socio=rien accélérée dans ceux qui ont répercuté avec retard*socio=rien la *socio=rien hausse temporaire des*socio=nil prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 *socio=nil et qui ont connu de fortes*socio=rien pressions*socio=ec2 de la demande*socio=ec1. L'inflation*socio=ec1 a continué de s'aggraver dans les sept économies*socio=ec1 en croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien sous l'effet*socio=rien conjugué*socio=rien des contraintes*socio=uv1 de production*socio=ec1 et des pénuries*socio=ec2 de main-d'_oeuvre*socio=ac consécutives*socio=rien à la *socio=rien hausse rapide *socio=nil de la consommation*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1 durant la longue*socio=rien période*socio=te d'expansion*socio=ec2 soutenue des années*socio=rien 80. La crise*socio=uv2 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac a entraîné une forte*socio=rien chute de la production*socio=ec1 en Iraq et au Koweït*socio=ac, ce qui a réduit pratiquement à zéro*socio=rien la croissance*socio=uv3 de la région*socio=te en 1991. Si la majorité*socio=rien des pays*socio=ac ont enregistré en fait*socio=rien une stagnation*socio=ec1 ou une légère*socio=rien baisse*socio=ec2 de la production*socio=ec1, des signes de reprise sont apparus après*socio=rien la fin*socio=rien des hostilités*socio=uv1. C'est*socio=rien en *socio=ac Arabie Saoudite *socio=nil que l'expansion*socio=ec2 a été*socio=rien la plus vigoureuse*socio=rien, puisque la production*socio=ec1 a augmenté d'environ 10% en 1991 après*socio=rien avoir progressé de 11% en 1990. La croissance*socio=uv3 est*socio=rien restée forte*socio=rien dans la *socio=ac République islamique d'*socio=nil Iran,*socio=nil *socio=nil où le PIB*socio=ec1 hors combustibles*socio=ec1 avait déjà enregistré une hausse*socio=rien de près de 10% en 1990. L'inflation*socio=ec1 observée au Moyen-orient*socio=ac en 1991 est*socio=rien imputable*socio=uv2 en *socio=rien grande partie *socio=nil à la crise*socio=uv2, qui a creusé les déficits*socio=ec1 de finances*socio=ec1 publiques*socio=et et occasionné une pénurie*socio=ec2 de biens*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 dans certains pays*socio=ac. La situation*socio=rien économique*socio=ec1 s'est*socio=rien améliorée dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac de l' hémisphère_occidental*socio=te en 1991, car les programmes*socio=et de réformes*socio=et lancés dans les années*socio=rien 1988-91 sont aujourd'hui bien*socio=rien engagés et certains pays*socio=ac ont bénéficié de la stratégie*socio=et internationale*socio=ac de la dette*socio=ec1. Malgré la faible*socio=rien croissance*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien a progressé de 2 3/4% en 1991 après*socio=rien n'avoir pratiquement pas changé en 1990 et, pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis 1988, le PIB*socio=ec1 par habitant*socio=ac est*socio=rien en hausse*socio=rien. L'essor*socio=rien remarquable*socio=rien de la consommation*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1 s'explique par le renforcement*socio=ec2 de la confiance*socio=uv1, la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te, les vagues de privatisations*socio=et et la reprise des entrées de capitaux_privés*socio=ec1. Il a débouché*socio=ec1 sur*socio=rien une aggravation*socio=ec2 *socio=rien sensible du déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant,*socio=nil *socio=nil mais celle-ci a été*socio=rien plus que compensée par l'augmentation*socio=ec2 des entrées de capitaux*socio=ec1 - y compris des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 non générateurs*socio=rien d'endettement*socio=ec1 - de sorte*socio=rien que les réserves_officielles*socio=et se sont fortement accrues. L'amélioration*socio=uv1 des politiques_économiques*socio=et menées dans la région*socio=te a *socio=rien permis un net recul *socio=nil de l'inflation*socio=ec1, puisque le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien a été*socio=rien ramené de plus de 600% en 1990 à 160% environ en 1991 pour l'ensemble*socio=rien de l'hémisphère_occidental*socio=te, et le taux*socio=ec1 médian*socio=rien de 13% à 8%. En Argentine*socio=ac, au Pérou*socio=ac et au Nicaragua*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 traditionnellement élevée*socio=uv4 a considérablement*socio=rien ralenti durant l'année*socio=rien. Ailleurs*socio=rien, cependant, l'afflux*socio=ec1 considérable*socio=rien de capitaux*socio=ec1 extérieurs*socio=te - phénomène*socio=rien qui avait disparu depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80 - a rendu le contrôle*socio=uv3 de la liquidité*socio=ec1 plus difficile*socio=rien et alimenté les tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les prix*socio=ec1. L'europe_de_l'_est*socio=ac et les États*socio=ac de l'ex-urss*socio=ac. La contraction*socio=ec2 de la production*socio=ec1 amorcée en europe_de_l'_est*socio=ac en 1989 s'est*socio=rien accentuée en 1991 dans la *socio=rien majeure partie *socio=nil de la région*socio=te. Ce mouvement*socio=ec2, qui a touché plus particulièrement l'Albanie*socio=ac, la Bulgarie*socio=ac, la Roumanie*socio=ac, la Tchécoslovaquie*socio=ac et la Yougoslavie*socio=ac, résulte de la combinaison*socio=rien de plusieurs facteurs*socio=rien : la détérioration*socio=uv4 très nette*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1 dans la région*socio=te suite*socio=rien à l'adoption*socio=uv3 des prix*socio=ec1 mondiaux*socio=te pour le commerce*socio=ec1 inter-régional, l'effondrement*socio=ec2 des échanges*socio=ec1 entre les anciens*socio=rien membres*socio=ac du*socio=rien conseil_d'_assistance_économique_mutuelle*socio=uv2 (CAÉM), le démantèlement*socio=et de l'ancien*socio=rien appareil*socio=rien de commande centralisé, le piétinement de certaines*socio=rien réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 importantes*socio=uv4 dans divers pays*socio=ac de l'_est*socio=te, les troubles sociaux*socio=et en Albanie*socio=ac et la guerre*socio=et civile*socio=ac yougoslave. Le processus*socio=te de réforme*socio=et a modifié de manière*socio=rien radicale la structure*socio=ec1 et le niveau*socio=rien des prix*socio=ec1. L'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée en moyenne*socio=rien élevée*socio=uv4 dans la région*socio=te, mais l'évolution*socio=te des prix*socio=ec1 diffère d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. Maîtrisée en Tchécoslovaquie*socio=ac au milieu*socio=rien de 1991, elle a aussi nettement ralenti en Hongrie*socio=ac durant le *socio=rien second semestre;*socio=nil *socio=nil elle a resurgi en Pologne*socio=ac à la fin*socio=rien de 1991 et au début*socio=rien de 1992 après*socio=rien le *socio=rien vigoureux coup de*socio=nil frein *socio=nil donné au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1990 et au début*socio=rien de 1991; elle a augmenté enfin en Bulgarie*socio=ac et en Roumanie*socio=ac, où la détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 s'est*socio=rien conjuguée*socio=rien à un*socio=rien excès*socio=ec2 de liquidités*socio=ec1 et à une forte*socio=rien dépréciation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 imputable*socio=uv2 à la pénurie*socio=ec2 de devises*socio=ec1. La plupart*socio=rien des pays*socio=ac ont libéralisé leur système*socio=rien de commerce*socio=ec1 et de change*socio=ec1, entrepris de se doter d'un*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 à deux niveaux*socio=rien et préparé ou adopté des lois*socio=et de privatisation*socio=et, et tous ont mis en *socio=rien place un dispositif*socio=et de*socio=nil protection_sociale*socio=et *socio=nil prévoyant le versement*socio=ec1 d'allocations*socio=et de chômage*socio=ec1. En Bulgarie*socio=ac, en Pologne*socio=ac et en Roumanie*socio=ac, toutefois, des réformes*socio=et importantes*socio=uv4 telles que les privatisations*socio=et de grandes*socio=rien entreprises*socio=ac ont été*socio=rien retardées et, en Pologne*socio=ac surtout, les signes de dérapage*socio=uv4 des politiques*socio=et de stabilisation*socio=et risquent de remettre en cause*socio=rien les premiers*socio=rien acquis*socio=uv2. Le *socio=rien recul spectaculaire *socio=nil de la production*socio=ec1 dans les *socio=ac États baltes *socio=nil en 1991 et au début*socio=rien de 1992 s'explique en *socio=rien grande partie *socio=nil par la perturbation*socio=ec2 des échanges*socio=ec1 avec les autres États*socio=ac de l'ex-urss*socio=ac. La libération*socio=uv3 de la majorité*socio=rien des prix*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac et, au début*socio=rien de 1992, en Russie*socio=ac, jointe à la facturation*socio=ec aux cours*socio=rien mondiaux*socio=te des produits*socio=rien énergétiques*socio=ec1 importés de Russie*socio=ac, a entraîné une *socio=rien hausse ponctuelle du niveau des*socio=nil prix*socio=ec1.*socio=nil En*socio=nil dépit du fléchissement*socio=ec2 *socio=nil de l'activité_économique*socio=ec1, les budgets*socio=ec1 des trois pays*socio=ac ont été*socio=rien excédentaires*socio=ec2 en 1991, car l'accélération*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 a gonflé les recettes_publiques*socio=et plus vite qu'elle n'a alourdi les dépenses*socio=ec1 et, dans le cas*socio=rien de la Lettonie, *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil impôts*socio=et ont*socio=nil été *socio=nil introduits à *socio=rien titre temporaire.*socio=nil En*socio=nil Russie*socio=ac *socio=nil et dans les autres États*socio=ac de l'ex-urss*socio=ac, le *socio=rien léger tassement *socio=nil de la production*socio=ec1 en 1990 a été*socio=rien suivi d'un*socio=rien recul*socio=rien beaucoup plus marqué en 1991, dû aux graves*socio=uv4 perturbations*socio=ec2 de l'offre*socio=ec1 occasionnées par la dislocation *socio=rien du système *socio=nil de commande centralisé, la pénurie*socio=ec2 de plus en plus grave*socio=uv4 de devises*socio=ec1 fortes*socio=rien et l'effondrement*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 entre ces États*socio=ac et avec les autres membres*socio=ac de l'ex-caém. La diminution*socio=ec2 de la production*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 et la médiocrité*socio=uv1 générale*socio=rien des récoltes ont contribué elles aussi à ce déclin*socio=ec2. Les estimations*socio=ec2 disponibles*socio=rien font état*socio=rien d'une forte*socio=rien accélération*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 dans l'ex-urss*socio=ac entre 1990 et 1991. En outre, les prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 ont été*socio=rien libérés dans tous les États*socio=ac en janvier*socio=rien 1992. En Russie*socio=ac, où près de 90% des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 et de 80% des prix*socio=ec1 à la production*socio=ec1 échappent désormais à tout contrôle*socio=uv3 administratif*socio=et, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 a atteint quelque 490% pour les trois *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1992, tendance*socio=ec2 que l'on retrouve d'ailleurs*socio=rien dans les autres États*socio=ac de l'ex-urss*socio=ac. Outre la libération*socio=uv3 des prix*socio=ec1, le *socio=ac gouvernement russe *socio=nil a adopté *socio=rien un certain nombre de*socio=nil réformes*socio=et importantes*socio=uv4 au*socio=nil début *socio=nil de 1992, telles que la mise en place*socio=rien d'une taxe*socio=et sur*socio=rien la valeur_ajoutée*socio=ec1, la réforme*socio=et *socio=rien du système de*socio=nil change*socio=ec1 *socio=nil - en particulier*socio=rien la forte*socio=rien dévaluation*socio=ec2 du*socio=rien rouble*socio=ec1 utilisé pour les échanges_commerciaux*socio=ec1 - et l'ouverture*socio=uv3, par décret*socio=et présidentiel, du*socio=rien droit*socio=uv1 de s'engager dans des activités*socio=rien commerciales*socio=ec1. Les réformes*socio=et complémentaires*socio=rien annoncées à la fin*socio=rien de février*socio=rien 1992 s'ordonnent autour des axes suivants*socio=rien: nouvelle*socio=rien libéralisation*socio=et de la majorité*socio=rien des prix*socio=ec1 encore contrôlés - ceux de l'énergie*socio=ec1, notamment, qui devraient être*socio=rien alignés sur*socio=rien les cours*socio=rien mondiaux*socio=te d'ici à la fin*socio=rien de 1993; majoration*socio=rien très sensible*socio=rien des impôts*socio=et - en *socio=rien particulier sur le*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil et le gaz*socio=ec1, compression*socio=et des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et (sauf en ce qui concerne la protection_sociale*socio=et) de façon*socio=rien à ce que le budget*socio=ec1 soit à peu près équilibré d'ici à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien et poursuite*socio=rien de la réforme*socio=et *socio=rien du système de*socio=nil change*socio=ec1 *socio=nil afin de parvenir, par étapes*socio=te, à un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 unifié rattaché à une unité*socio=rien de référence*socio=rien. Financement*socio=ec1 et endettement*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3, de l'europe_de_l'_est*socio=ac et de l'ex-urss*socio=ac. Le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, de l' europe_de_l'_est*socio=ac et de l'ex-urss*socio=ac *socio=rien est passé *socio=nil de 30 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1990 à 94 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1991, et de 8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 à 85 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 si l'on exclut l'europe_de_l'_est*socio=ac et l'ex-urss*socio=ac. Ensemble*socio=rien, les transferts*socio=ec1 du*socio=rien Koweït*socio=ac et de l'Arabie*socio=ac Saoudite*socio=ac vers les États-unis*socio=ac, la France*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac dans le cadre*socio=rien de la guerre*socio=et du*socio=rien Golfe*socio=te et la réduction*socio=ec2 des *socio=ec1 excédents commerciaux des*socio=nil pays*socio=ac du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac *socio=nil expliquent pour moitié*socio=rien environ la dégradation*socio=uv3 observée. L'autre *socio=rien moitié est imputable*socio=uv2 *socio=nil à la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 des importations*socio=ec1 en Asie*socio=ac - en particulier*socio=rien dans les sept économies*socio=ec1 en croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien - et dans l'hémisphère_occidental*socio=te en réponse*socio=rien à la demande*socio=ec1 soutenue de biens*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1 et à la libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3. La détérioration*socio=uv4 très nette*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1 et l'effondrement*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 vers l'ex-urss*socio=ac et l'_est*socio=ac de l'Allemagne*socio=ac sont les *socio=rien principales raisons du creusement du déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil de l'europe_de_l'_est*socio=ac, qui *socio=rien est passé *socio=nil de 1 1/2 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1990 à environ 7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1991. Encore la dégradation*socio=uv3 du*socio=rien déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien a-t-elle été*socio=rien limitée par la sévère*socio=uv4 compression*socio=et des importations*socio=ec1. Le recul*socio=rien des exportations*socio=ec1 et le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des paiements*socio=ec1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1 *socio=nil ont obligé également les autorités*socio=et à comprimer de façon*socio=rien draconienne les importations*socio=ec1 dans l'ex-urss*socio=ac en 1991 et ont débouché*socio=ec1 finalement sur*socio=rien une forte*socio=rien baisse*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien de ce groupe_de_pays*socio=ac, qui est*socio=rien tombé de 21 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, selon les estimations*socio=ec2, en 1990 à environ 2 1/2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1991. Les flux*socio=ec1 nets*socio=rien de *socio=ec1 ressources financières (*socio=nil transferts_officiels*socio=et,*socio=nil investissements_directs_étrangers et*socio=nil emprunts extérieurs*socio=te nets*socio=rien)*socio=nil *socio=nil vers les pays_en_développement*socio=uv3 n'ont que modestement progressé pour atteindre 112 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1991, car les transferts_officiels*socio=et en *socio=rien provenance du Moyen-orient*socio=ac *socio=nil ont largement compensé la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 des emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te en Asie*socio=ac, notamment en Corée*socio=ac et en Thaïlande*socio=ac. Les flux*socio=ec1 nets*socio=rien de *socio=ec1 ressources financières *socio=nil ont légèrement progressé aussi en europe_de_l'_est*socio=ac et dans l'ex-urss*socio=ac, où ils sont passés*socio=te à 12 1/4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1991. *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont entrepris de restructurer leur dette*socio=ec1 en 1991. Le Club*socio=rien de Paris*socio=ac a conclu avec la Pologne*socio=ac et l'Égypte*socio=ac des accords*socio=et prévoyant de réduire de moitié*socio=rien, par étapes*socio=te successives*socio=rien, le stock*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 en valeur*socio=ec1 actualisée nette*socio=rien, alors que la Bulgarie*socio=ac a signé de son côté*socio=rien divers *socio=et accords bilatéraux de*socio=nil rééchelonnement.*socio=nil Le*socio=nil Club*socio=rien de*socio=nil Paris*socio=ac est*socio=rien *socio=nil convenu par ailleurs*socio=rien d'accorder des concessions*socio=uv1 plus larges*socio=rien dans le cadre*socio=rien des *socio=et accords bilatéraux de*socio=nil restructuration *socio=nil de la dette*socio=ec1 passés*socio=te avec les pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. La plupart*socio=rien des options*socio=rien proposées dans ce *socio=rien nouveau cadre *socio=nil consistent à réduire de 50% la valeur*socio=ec1 actualisée nette*socio=rien des paiements*socio=ec1 consolidés au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1 bilatérale*socio=et non*socio=nil concessionnelle*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Le Bénin et le Nicaragua*socio=ac sont les premiers*socio=rien à avoir bénéficié de ces nouvelles*socio=rien conditions*socio=ec1. D'autres accords*socio=et de restructuration*socio=et de la dette*socio=ec1, dont *socio=rien diverses opérations de*socio=nil réduction*socio=ec2 *socio=nil de la dette*socio=ec1 appuyées par les prêteurs*socio=ac officiels*socio=et, ont été*socio=rien conclus en 1991 avec les banques*socio=ac *socio=ec1 commerciales créancières du*socio=rien Mozambique*socio=ac,*socio=nil du*socio=rien Niger*socio=ac et*socio=nil du*socio=rien Nigeria*socio=ac.*socio=nil Les*socio=nil Philippines*socio=ac *socio=nil ont signé pour leur *socio=rien part un accord*socio=et préliminaire de*socio=nil restructuration*socio=et *socio=nil de la dette*socio=ec1 et le Paraguay a réduit sa dette*socio=ec1 auprès des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 en effectuant une série de rachats*socio=ec1 de créances*socio=ec1 qui lui ont permis*socio=rien de bénéficier de la décote*socio=ec2 de sa dette*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1. La dette*socio=ec1 extérieure*socio=te totale*socio=rien (compte*socio=ec1 non tenu de l'utilisation*socio=rien des crédits*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac) de l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 s'est*socio=rien alourdie de plus de 4% en 1991, pour atteindre 1.513 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (graphique*socio=rien 6). Elle a en effet*socio=rien fortement progressé en Asie*socio=ac et au Moyen-orient*socio=ac, et beaucoup plus modestement dans les pays_en_développement*socio=uv3 de l' hémisphère_occidental*socio=te. En revanche, la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te totale*socio=rien des pays*socio=ac d' europe_de_l'_est*socio=ac a diminué de 3 3/4% en 1991 et n'est*socio=rien plus que de 105 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, et celle de l'ex-urss*socio=ac est*socio=rien demeurée à peu près étale à 60 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. La part*socio=rien de la dette*socio=ec1 officielle*socio=et dans la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te totale*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, de l'europe_de_l'_est*socio=ac et de l'ex-urss*socio=ac a légèrement augmenté et atteint aujourd'hui 44%. Le recul*socio=rien des emprunts*socio=ec1, l'amélioration*socio=uv1 des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 et les opérations*socio=rien de réduction*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 ont permis*socio=rien de ramener le *socio=ec1 ratio dette /*socio=nil PIB des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil de 39% en 1986 à 32% en 1991. Cependant, l'amélioration*socio=uv1 n'a été*socio=rien que marginale*socio=rien dans les pays*socio=ac de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te et dans *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'autres petits*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Le ratio*socio=ec1 global*socio=te du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 pour les pays_en_développement*socio=uv3, l'europe_de_l'_est*socio=ac et l'ex-urss*socio=ac est*socio=rien tombé quant à lui de 20 en 1986 à 14 1/2% en 1991. Ce *socio=rien recul est imputable*socio=uv2 *socio=nil avant tout à la baisse*socio=ec2 de ce ratio*socio=ec1 - de 45% en 1986 à 31% en 1991 - dans quinze pays*socio=ac lourdement endettés dont plusieurs ont bénéficié de l'initiative*socio=rien proposée par le Secrétaire*socio=ac du*socio=rien Trésor*socio=et des États-unis*socio=ac, M.. Nicholas Brady*socio=et. En revanche, il n'a guère diminué dans les petits*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, en particulier*socio=rien en Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te. En europe_de_l'_est*socio=ac, le ratio*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 a été*socio=rien ramené de 21 1/2% en 1986 à 18 1/2 en 1991, alors qu'il *socio=rien est passé *socio=nil dans le même temps*socio=rien de 6% à 16 1/2% dans l'ex-urss*socio=ac. Communiqués de presse*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac et du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3. comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 International*socio=te. Trente-septième réunion*socio=rien, Thaïlande*socio=ac, 13-14 octobre*socio=rien 1991. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac s'est*socio=rien réuni à Bangkok*socio=ac (Thaïlande*socio=ac), les 13 et 14 octobre*socio=rien 1991, sous la présidence*socio=rien de M.. Carlos Solchaga, Ministre*socio=ac de l'économie*socio=ec1 et des finances*socio=ec1 de l'Espagne*socio=ac. M.. Michel Camdessus, directeur_général*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, a participé à la réunion*socio=rien, à laquelle ont assisté*socio=rien également *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil observateurs*socio=ac.*socio=nil Une*socio=nil délégation*socio=ac *socio=nil de l'union_soviétique*socio=ac a été*socio=rien invitée à assister à certaines*socio=rien des discussions*socio=et. 2 - Le Comité*socio=ac observe qu'après*socio=rien le ralentissement*socio=ec2 prononcé de la croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te enregistré cette année*socio=rien, on s'attend pour 1992 à une reprise modérée. Le ralentissement*socio=ec2 récent*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 semble devoir*socio=rien se confirmer, améliorant ainsi les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 soutenue à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Les*socio=nil politiques_monétaires*socio=et et*socio=nil budgétaires*socio=et des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil devraient continuer de privilégier les objectifs*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme d'*socio=nil expansion*socio=ec2 *socio=nil soutenue de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et de stabilisation*socio=et progressive*socio=rien des prix*socio=ec1, et établir les bases*socio=rien d'un*socio=rien abaissement*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2. Des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, notamment des mesures*socio=et visant à réduire les restrictions*socio=et aux échanges*socio=ec1 et à améliorer le fonctionnement*socio=rien des marchés_du_travail*socio=ec1, s'imposent pour accroître l'efficacité*socio=uv3 économique*socio=ec1 et, dans beaucoup de pays*socio=ac, pour réduire le chômage*socio=ec1 qui persiste à *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4.*socio=nil La*socio=nil poursuite du processus*socio=te de*socio=nil rééquilibrage*socio=uv3 des*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et *socio=nil favoriserait une hausse*socio=rien de l'épargne*socio=ec1, une augmentation*socio=ec2 de l' investissement_privé*socio=et et de la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4, ainsi qu'un*socio=rien allégement*socio=ec2 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 des pays*socio=ac lourdement endettés. L'augmentation*socio=ec2 de l'épargne*socio=ec1 mondiale*socio=te est*socio=rien rendue encore plus nécessaire*socio=rien par les nouvelles*socio=rien demandes*socio=et de ressources*socio=ec1 liées à l'effort*socio=uv1 de reconstruction*socio=uv3 au Moyen-orient*socio=ac, à l'unification*socio=et de l'Allemagne*socio=ac, à la transformation*socio=ec2 économique*socio=ec1 de l'europe_de_l'_est*socio=ac et aux perspectives*socio=te de réforme*socio=et en URSS*socio=ac. Il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 que ce surcroît*socio=rien de demande*socio=ec1 soit satisfait au moyen*socio=rien d'une réduction*socio=ec2 de l'absorption*socio=rien d'épargne*socio=ec1 par les États*socio=ac et une augmentation*socio=ec2 de l'épargne*socio=ec1 privée*socio=et. La réévaluation*socio=ec1 des dépenses*socio=ec1 consacrées à la défense*socio=uv1 et aux subventions*socio=ec1 pourrait jouer un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 à cet égard*socio=rien. 3 - Le Comité*socio=ac unanime s'inquiète*socio=rien *socio=rien du retard *socio=nil pris par les négociations*socio=et de l'uruguay_round*socio=et et des risques*socio=uv3 qui en découlent pour l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Le Comité*socio=ac souligne que la libéralisation*socio=et *socio=rien du système commercial*socio=ec1 *socio=nil contribuera de manière*socio=rien importante*socio=uv4 à la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 mondiale*socio=te et, partant, à la *socio=rien solution du problème*socio=uv4 *socio=nil de la dette*socio=ec1. L'échec*socio=uv1 de l'uruguay_round*socio=et pourrait mettre sérieusement en péril*socio=rien le *socio=rien système du commerce*socio=ec1 *socio=nil et des paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te, dont les institutions*socio=ac multilatérales*socio=et font *socio=rien partie intégrante,*socio=nil *socio=nil ainsi que les réformes*socio=et économiques*socio=ec1 orientées vers l'extérieur*socio=te que soutiennent le Fonds*socio=ec1 et la banque_mondiale*socio=ac et dans le cadre*socio=rien desquelles de nombreux*socio=rien pays*socio=ac ont entrepris un*socio=rien démantèlement*socio=et unilatéral des obstacles*socio=uv3 au commerce*socio=ec1. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 donc instamment à tous les gouvernements*socio=ac de donner au plan*socio=rien politique*socio=et la priorité*socio=uv4 absolue*socio=rien à l'aboutissement*socio=rien rapide*socio=rien de l' uruguay_round*socio=et afin de réaliser les gains*socio=ec1 d'efficacité*socio=uv3 dont dépend l'avenir*socio=te de la croissance*socio=uv3. 4 - Le Comité*socio=ac réaffirme son soutien*socio=uv3 à la stratégie*socio=et internationale*socio=ac de la dette*socio=ec1. Il est*socio=rien encouragé par les progrès*socio=uv1 réalisés par *socio=rien un nombre croissant de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil dans la voie*socio=rien d'un*socio=rien rétablissement*socio=rien de la viabilité*socio=uv3 de leurs comptes*socio=ec1 extérieurs*socio=te et d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4. C'est*socio=rien la preuve*socio=ec2 de l'efficacité*socio=uv3 des politiques*socio=et d'ajustement*socio=et pour la croissance*socio=uv3 appuyées par la *socio=ac communauté internationale *socio=nil et des instruments*socio=et élaborés pour aider les pays_membres*socio=ac à surmonter leurs problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1, notamment par la réduction*socio=ec2 de l'encours et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 envers les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1. Le Comité*socio=ac se réjouit de voir se dessiner une tendance*socio=ec2 au rapatriement*socio=rien des capitaux*socio=ec1 et à la reprise des flux*socio=ec1 d'investissement_direct*socio=ec1 privés*socio=et et d'assister, dans certains cas*socio=rien, au redémarrage*socio=ec2 des financements*socio=ec1 spontanés*socio=rien par les marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. Il souligne qu'il est*socio=rien important*socio=uv4 que tous les pays*socio=ac appliquant avec constance*socio=rien des politiques_économiques*socio=et saines*socio=uv2 continuent de bénéficier en temps*socio=rien voulu d'un*socio=rien soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1 adéquat*socio=uv2. À cet égard*socio=rien, il conviendrait de continuer à étudier, en vue*socio=rien de l'allonger le cas*socio=rien échéant, la liste des pays*socio=ac pouvant bénéficier de la FAS*socio=ec1 renforcée. L'aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 directe*socio=rien des créanciers*socio=ac bilatéraux*socio=et et la restructuration*socio=et de la dette*socio=ec1 officielle*socio=et demeurent essentielles*socio=uv4. En ce qui concerne les pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 et les plus endettés, le Comité*socio=ac reconnaît la nécessité*socio=uv1 d'accorder des conditions*socio=ec1 de restructuration*socio=et plus concessionnelles*socio=ec1 à l'appui*socio=uv1 d'une *socio=ec1 action économique judicieuse*socio=uv4.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac demande au*socio=nil Club*socio=rien de*socio=nil Paris*socio=ac *socio=nil de poursuivre ses discussions*socio=et sur*socio=rien le meilleur*socio=uv4 moyen*socio=rien de mettre en oeuvre*socio=rien promptement des mesures*socio=et supplémentaires*socio=rien d'allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1, cas*socio=rien par cas*socio=rien, qui aillent bien*socio=rien au-delà de l'allégement*socio=ec2 déjà accordé en application*socio=rien des conditions*socio=ec1 de Toronto*socio=ac. Le Comité*socio=ac invite aussi instamment les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 à apporter leur appui*socio=uv1 aux pays*socio=ac engagés dans de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et de réforme*socio=et économique*socio=ec1 qui ont continué d'assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 en dépit*socio=rien d'un*socio=rien contexte*socio=rien extérieur*socio=te très difficile*socio=rien. Il invite également toutes les parties*socio=rien en présence*socio=rien à s'attacher à normaliser au plus vite leurs relations*socio=rien financières*socio=ec1 lorsque la restructuration*socio=et de la *socio=ec1 dette bancaire est*socio=rien le*socio=nil complément*socio=rien indispensable*socio=uv4 des*socio=nil efforts*socio=uv1 d'*socio=nil ajustement*socio=et vigoureux*socio=rien *socio=nil déployés dans ces pays*socio=ac. 5 - Le Comité*socio=ac se réjouit grandement de constater que les pays*socio=ac d' europe_de_l'_est*socio=ac restent déterminés à stabiliser et à réformer leur économie*socio=ec1 selon les principes*socio=ec2 du*socio=rien marché*socio=ec1 en dépit*socio=rien des difficultés*socio=uv4 supplémentaires*socio=rien créées par l'effondrement*socio=ec2 des échanges*socio=ec1 dans l'ancienne*socio=rien zone*socio=te du*socio=rien CAEM*socio=ac. Le Comité*socio=ac réaffirme qu'il importe que ces pays*socio=ac procèdent rapidement aux *socio=et réformes institutionnelles et*socio=nil structurelles*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil y compris à l'ouverture*socio=uv3 de leurs économies*socio=ec1. Le Comité*socio=ac félicite le FMI*socio=ac pour la promptitude*socio=uv1 et l'efficacité*socio=uv3 de sa réponse*socio=rien aux changements*socio=uv3 en europe_de_l'_est*socio=ac et pour le rôle*socio=et qu'il a joué, en collaboration*socio=uv1 avec la banque_mondiale*socio=ac, la BERD, le Groupe*socio=ac des Vingt-quatre*socio=rien et le Club*socio=rien de Paris*socio=ac, dans l'organisation*socio=ec1 des concours apportés à cette région*socio=te en 1991. Dans les *socio=rien prochaines années,*socio=nil les*socio=nil efforts*socio=uv1 d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil consentis par ces pays*socio=ac devront continuer d'être*socio=rien appuyés activement et en temps*socio=rien utile*socio=uv4 par des financements*socio=ec1 suffisants*socio=rien, les capitaux_privés*socio=ec1 jouant un*socio=rien rôle*socio=et de plus en plus important*socio=uv4. Une amélioration*socio=uv1 de leur accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien aussi indispensable*socio=uv4 à la réorientation*socio=et et au redressement*socio=ec2 de ces économies*socio=ec1. 6 - Le Comité*socio=ac accueille favorablement l'intention*socio=rien des autorités*socio=et en URSS*socio=ac d'intensifier le recours*socio=ec1 aux mécanismes*socio=et du*socio=rien marché*socio=ec1 et d'intégrer l'économie*socio=ec1 au système*socio=rien multilatéral*socio=et d'échanges*socio=ec1 et de paiements*socio=ec1. Étant donné la situation*socio=rien actuelle*socio=te du*socio=rien pays*socio=ac, le Comité*socio=ac accueille chaleureusement la signature*socio=rien de l'accord*socio=et d'association*socio=ac spéciale*socio=rien entre l'URSS*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 qui constitue une étape*socio=te vers le statut*socio=et d'État*socio=ac membre*socio=ac. Le *socio=rien large éventail de*socio=nil compétences*socio=uv3 désormais*socio=nil disponible au*socio=nil titre *socio=nil de cette association*socio=ac aidera les autorités*socio=et à progresser dans la stabilisation*socio=et économique*socio=ec1 et les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 qui s'imposent d'urgence*socio=rien afin de surmonter la crise*socio=uv2 actuelle*socio=te et de réunir les conditions*socio=ec1 d'une transformation*socio=ec2 réussie de l'économie*socio=ec1. 7 - Le Comité*socio=ac a fait*socio=rien le point*socio=rien des progrès*socio=uv1 enregistrés en ce qui concerne le consentement*socio=rien des *socio=ac États membres *socio=nil à l'augmentation*socio=ec2 de leur quote-part*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de la *socio=rien Neuvième révision générale *socio=nil et l'acceptation*socio=uv1 *socio=rien du troisième amendement*socio=et aux*socio=nil statuts*socio=et du Fonds*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil exhorte les *socio=ac États membres *socio=nil qui ne l'ont pas encore fait*socio=rien à accomplir les formalités*socio=et requises*socio=uv4 avant la fin*socio=rien de cette année*socio=rien. 8 - Le Comité*socio=ac exprime sa gratitude*socio=uv1 au Royaume et au peuple*socio=ac de Thaïlande*socio=ac pour leur *socio=rien chaleureuse hospitalité.*socio=nil *socio=nil Il décide de tenir sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac le*socio=nil lundi 27*socio=nil avril *socio=nil 1992. Trente-huitième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 27-28 avril*socio=rien 1992. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa trente-huitième réunion*socio=rien à Washington*socio=ac, les 27 et 28 avril*socio=rien 1992, sous la présidence*socio=rien de M.. Carlos Solchaga, Ministre*socio=ac de l'économie*socio=ec1 et des finances*socio=ec1 de l'Espagne*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac note que la croissance*socio=uv3 globale*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac devrait normalement *socio=rien être faible cette*socio=nil année,*socio=nil *socio=nil parce que la récession*socio=ec2 s'est*socio=rien révélée être*socio=rien plus tenace*socio=rien que prévu dans plusieurs pays*socio=ac, et que la croissance*socio=uv3 a ralenti dans d'autres. Toutefois, il apparaît maintenant qu'un*socio=rien redressement*socio=ec2 s'amorce, tandis que l'inflation*socio=ec1 reste*socio=rien modérée et que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 sont plus faibles*socio=rien. Le Comité*socio=ac souligne qu'il importe de mener une politique_économique*socio=ec1 qui soutienne la reprise, en poursuivant fermement et de façon*socio=rien concertée, de manière*socio=rien à renforcer la confiance*socio=uv1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et, les objectifs*socio=uv3 de la stratégie*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil qui vise à obtenir*socio=rien une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 soutenue et la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1. Des progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien accomplis dans cette voie*socio=rien. La politique_économique*socio=ec1 doit en outre tenir compte*socio=ec1 de la convergence*socio=uv3 indispensable*socio=uv4 à l'unification*socio=et économique*socio=ec1 et monétaire*socio=ec1 de l'Europe*socio=ac et des pressions*socio=ec2 sur*socio=rien l'épargne*socio=ec1 mondiale*socio=te résultant*socio=rien de la transformation*socio=ec2 des pays*socio=ac à économie*socio=ec1 planifiée, pressions*socio=ec2 qui s'ajoutent aux besoins*socio=uv1 que continuent de connaître les pays_en_développement*socio=uv3. Pour parvenir de *socio=rien façon certaine *socio=nil à la reprise et à une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4, il faut adopter des politiques_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et appropriées, prendre des mesures*socio=et propres*socio=rien à corriger les distorsions*socio=uv3 d'ordre*socio=rien structurel*socio=ec2 et à accroître la productivité*socio=uv3 de l'investissement*socio=ec1 et aussi redoubler d'efforts*socio=uv1 pour éliminer les dépenses*socio=ec1 improductives*socio=ec2 et réduire les déficits*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et, ce qui faciliterait une diminution*socio=ec2 durable*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 à long_terme*socio=te. 3 - L'aboutissement*socio=rien rapide*socio=rien des négociations*socio=et de l'uruguay_round*socio=et aiderait à soutenir la reprise et la croissance*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil Tous les pays*socio=ac ont à gagner au succès*socio=uv1 de ces négociations*socio=et, tous auraient à y perdre en cas*socio=rien d'échec*socio=uv1; l'ouverture*socio=uv3 de débouchés*socio=ec1 plus larges*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac revêt une *socio=rien importance particulière *socio=nil pour les pays_en_développement*socio=uv3 et pour ceux qui passent à l'économie_de_marché*socio=ec1. Il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 qu'un*socio=rien accord*socio=et intervienne sans tarder pour rétablir le dynamisme*socio=uv3 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te et pour maintenir la crédibilité*socio=uv1 *socio=rien du système multilatéral*socio=et.*socio=nil Il*socio=nil est impératif*socio=uv4 *socio=nil que les négociations*socio=et réussissent. 4 - Le Comité*socio=ac accueille avec satisfaction*socio=uv3 les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et qu'appliquent de plus en plus les pays_en_développement*socio=uv3, ainsi que les signes d'une amélioration*socio=uv1 des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 qui en découlent pour ces pays*socio=ac en 1991-92. Il importe de maintenir la dynamique*socio=uv4 des efforts*socio=uv1 ainsi déployés pour soutenir la croissance*socio=uv3 et relever les niveaux_de_vie*socio=uv1, avec le soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1 de la *socio=ac communauté internationale,*socio=nil *socio=nil y compris en faveur*socio=rien de pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 du*socio=rien FMI*socio=ac. La grave*socio=uv4 sécheresse*socio=et prolongée en *socio=ac Afrique australe,*socio=nil *socio=nil et ses conséquences*socio=rien, suscite de *socio=rien grandes inquiétudes.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac lance*socio=nil un appel en*socio=nil faveur *socio=nil d'une action*socio=ec1 afin d'en atténuer les effets*socio=rien et de préserver les courageux efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et qu'accomplissent les pays*socio=ac de cette région*socio=te. Le Comité*socio=ac accueille avec satisfaction*socio=uv3 les signes d'une amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien de la dette*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3, témoignage*socio=rien des progrès*socio=uv1 réalisés dans le cadre*socio=rien de la stratégie*socio=et de la dette*socio=ec1. Il accueille également avec satisfaction*socio=uv3 l'allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 plus important*socio=uv4 que les créanciers*socio=ac *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac *socio=nil mettent en oeuvre*socio=rien au profit*socio=ec1 des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, l'avancement*socio=uv3 des négociations*socio=et de plusieurs accords*socio=et de restructuration*socio=et de la dette*socio=ec1 envers les banques*socio=ac et le *socio=rien rétablissement progressif *socio=nil des entrées spontanées*socio=rien de capitaux_privés*socio=ec1 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil Il note par ailleurs*socio=rien que les créanciers*socio=ac *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac *socio=nil continuent d'examiner, cas*socio=rien par cas*socio=rien, la *socio=rien situation particulière *socio=nil de certains pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien de la tranche inférieure*socio=rien. 5 - Le Comité*socio=ac fait*socio=rien l'éloge*socio=rien des efforts*socio=uv1 de réforme*socio=et des pays*socio=ac dont l'économie*socio=ec1 était précédemment planifiée et accueille favorablement les *socio=rien premières initiatives *socio=nil courageuses qu'ont prises*socio=rien les États*socio=ac de l' ex-union_soviétique*socio=ac en vue*socio=rien d'édifier des systèmes_économiques*socio=ec1 axés sur*socio=rien le marché*socio=ec1. Des signes de progrès*socio=uv1 commencent à apparaître dans plusieurs pays*socio=ac d' europe_de_l'_est*socio=ac, entre autres le recul*socio=rien de l'inflation*socio=ec1, l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien secteur_privé*socio=et et l'accès*socio=uv1 à de nouveaux*socio=rien *socio=ec1 débouchés commerciaux extérieurs*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil efforts*socio=uv1 de*socio=nil réforme*socio=et *socio=nil doivent se poursuivre et, dans plusieurs pays*socio=ac, des mesures*socio=et devraient *socio=rien être prises *socio=nil rapidement afin d'éviter que le déséquilibre*socio=uv3 grandissant*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et ne sape le terrain*socio=rien gagné. Les vastes*socio=rien mesures*socio=et de libération*socio=uv3 des prix*socio=ec1 déjà adoptées dans les États*socio=ac de l'ex-union_soviétique*socio=ac doivent s'appuyer sur*socio=rien des politiques*socio=et financières*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 fermes*socio=rien. Les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et insoutenables*socio=uv2, y compris celles *socio=rien du domaine militaire*socio=et,*socio=nil doivent*socio=nil être *socio=nil réduites davantage et la privatisation*socio=et des grandes*socio=rien entreprises*socio=ac publiques*socio=et, ou tout au moins leur assujettissement aux lois_du_marché*socio=ec2, doit être*socio=rien réalisée avec vigueur*socio=uv3 et au *socio=rien début du processus*socio=te de*socio=nil réforme*socio=et.*socio=nil *socio=nil Il importe aussi que les *socio=et réformes juridiques et*socio=nil institutionnelles soient*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil sans tarder afin de créer des conditions*socio=ec1 propices*socio=rien aux *socio=rien activités du secteur_privé*socio=et,*socio=nil *socio=nil y compris la privatisation*socio=et des terres*socio=ec1, et aux flux*socio=ec1 d'investissements*socio=ec1 étrangers*socio=te. De plus, il est*socio=rien vital*socio=uv4 de faire en sorte*socio=rien que le commerce*socio=ec1 entre ces États*socio=ac ne comporte pas de restrictions*socio=et et que la politique_économique*socio=ec1 au sein*socio=rien de la zone*socio=te rouble*socio=ec1 soit coordonnée de manière*socio=rien efficace*socio=uv4 afin de circonscrire le plus possible*socio=rien les perturbations*socio=ec2 économiques*socio=ec1. 6 - Le Comité*socio=ac accueille avec une grande*socio=rien satisfaction*socio=uv3 l'approbation*socio=uv1 donnée par le conseil_des_gouverneurs_du_fonds*socio=ac et par celui de la banque_mondiale*socio=ac aux modalités*socio=rien d'admission*socio=uv1 des États*socio=ac de l' ex-union_soviétique*socio=ac. Il sera essentiel*socio=uv4 de mettre en oeuvre*socio=rien promptement de rigoureux*socio=uv4 programmes*socio=et de stabilisation*socio=et et de réforme*socio=et élaborés avec le FMI*socio=ac afin d'aider à mobiliser le *socio=rien volume considérable de*socio=nil ressources*socio=ec1 intérieures*socio=te et*socio=nil extérieures*socio=te indispensable*socio=uv4 *socio=nil à une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4. Le Comité*socio=ac engage la *socio=ac communauté internationale *socio=nil à soutenir ces programmes*socio=et par une assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et par des concours financiers*socio=ec1 appropriés et à contribuer au financement*socio=ec1 d'un*socio=rien fonds*socio=ec1 de stabilisation*socio=et du*socio=rien rouble*socio=ec1 pourvu que les conditions*socio=ec1 en soient remplies. Il accueille avec satisfaction*socio=uv3 le fait*socio=rien que les parties*socio=rien aux Accords*socio=et généraux*socio=rien d'emprunt*socio=ec1 sont prêtes*socio=rien à appuyer l'activation desdits accords*socio=et pour ajouter *socio=rien un complément aux*socio=nil ressources*socio=ec1 du FMI*socio=ac *socio=nil destiné à financer ce fonds*socio=ec1. 7 - Le Comité*socio=ac, préoccupé de ce que l'augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et au titre*socio=rien de la *socio=rien Neuvième révision générale *socio=nil n'ait pas encore pris effet*socio=rien, demande*socio=ec1 à tous les pays_membres*socio=ac qui ne l'ont pas encore fait*socio=rien d'accomplir d'urgence*socio=rien les formalités*socio=et nécessaires*socio=rien. Il engage le conseil_d'_administration*socio=ac à continuer à étudier les questions*socio=rien de liquidité*socio=ec1 internationale*socio=ac et le rôle*socio=et du*socio=rien DTS et à lui faire rapport*socio=rien à sa *socio=rien prochaine réunion,*socio=nil *socio=nil qui se tiendra à Washington*socio=ac le 20 septembre*socio=rien 1992. Comité*socio=ac ministériel*socio=et conjoint*socio=rien des conseils_des_gouverneurs_de_la_banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien le transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 aux pays_en_développement*socio=uv3 (Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3). Quarante-deuxième réunion*socio=rien, Bangkok*socio=ac, 14 octobre*socio=rien 1991. 1 - Le Comité*socio=ac a tenu sa quarante-deuxième réunion*socio=rien à Bangkok*socio=ac le 14 octobre*socio=rien 1991, sous la présidence*socio=rien de M.. Alejandro Foxley, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 du*socio=rien Chili*socio=ac. Le Comité*socio=ac a accueilli le nouveau*socio=rien Président*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac, M.. Lewis T.. Preston*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac a centré ses débats*socio=et sur*socio=rien deux *socio=rien questions connexes *socio=nil : les priorités*socio=uv4 du*socio=rien développement*socio=uv3 pour les années*socio=rien 90 et ce qu'elles impliquent pour le Groupe*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac, et le développement*socio=uv3 des ressources_humaines*socio=ec1. I - Les priorités*socio=uv4 du*socio=rien développement*socio=uv3 pour les années*socio=rien 90. a - Application*socio=rien d'une stratégie*socio=et concertée. 3 - Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu que les objectifs*socio=uv3 prioritaires*socio=uv4 en matière*socio=rien de développement*socio=uv3 pour les années*socio=rien 90 sont la réduction*socio=ec2 de la pauvreté*socio=uv1 et la réalisation*socio=uv1 d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4; une action*socio=ec1 visant à protéger l'environnement*socio=et est*socio=rien essentielle*socio=uv4 à la réalisation*socio=uv1 de ces deux objectifs*socio=uv3. Le Comité*socio=ac accueille avec satisfaction*socio=uv3 le vaste*socio=rien consensus*socio=uv1 parmi les membres*socio=ac et les institutions*socio=ac sur*socio=rien ces objectifs*socio=uv3, qui sont clairement énoncés dans les *socio=rien récents Rapports sur le*socio=nil développement*socio=uv3 *socio=nil dans le monde*socio=te. Le Comité*socio=ac considère que la *socio=rien principale tâche *socio=nil pour les années*socio=rien 90 est*socio=rien maintenant la poursuite*socio=rien de ces objectifs*socio=uv3. Le Comité*socio=ac reconnaît que les flux*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 sont essentiels*socio=uv4 à cet effet*socio=rien, et il demande*socio=ec1 à la Banque*socio=ac de préparer, en collaboration*socio=uv1 avec le Fonds*socio=ec1, une étude*socio=ec2 complète des perspectives*socio=te d'évolution*socio=te de ces flux*socio=ec1 ainsi que du*socio=rien rôle*socio=et du*socio=rien Groupe*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac, de l'application*socio=rien de saines*socio=uv2 politiques_économiques*socio=et et de réformes*socio=et judicieuses*socio=uv4 des investissements*socio=ec1. Il est*socio=rien convenu que la réalisation*socio=uv1 de ces objectifs*socio=uv3 dépendra de plusieurs facteurs*socio=rien interdépendants*socio=uv4 : la complémentarité*socio=rien des rôles*socio=et de l'État*socio=ac et du*socio=rien secteur_privé*socio=et; la richesse*socio=ec1 en ressources_humaines*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 et la vigueur*socio=uv3 de leurs institutions*socio=ac; la création*socio=uv4 de conditions*socio=ec1 favorables*socio=uv4 au *socio=rien jeu du marché*socio=ec1 *socio=nil pour le développement*socio=uv3; les politiques_économiques*socio=et appliquées tant par les pays_en_développement*socio=uv3 que par les pays_industrialisés*socio=ac; enfin, la disponibilité*socio=rien de *socio=ec1 ressources financières intérieures*socio=te.*socio=nil *socio=nil b - Rôle*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3. 4 - Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac reconnaissent qu'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 ont*socio=nil fait des*socio=nil progrès*socio=uv1 appréciables *socio=nil dans la réforme*socio=et de leur économie*socio=ec1. Malgré ces progrès*socio=uv1, et en particulier*socio=rien si l'insuffisance*socio=uv3 actuelle*socio=te de ressources*socio=ec1 persiste, ces gouvernements*socio=ac seront soumis à de fortes*socio=rien pressions*socio=ec2 pour procéder à de nouvelles*socio=rien réformes*socio=et économiques*socio=ec1 afin de mobiliser les ressources*socio=ec1 intérieures*socio=te, d'attirer des investissements_directs_étrangers*socio=ec1 et d'utiliser les capitaux*socio=ec1 de manière*socio=rien plus efficace*socio=uv4. Les membres*socio=ac considèrent que des réformes*socio=et qui reposent sur*socio=rien la libre*socio=uv2 détermination*socio=rien des prix*socio=ec1 en l'absence*socio=rien de toute distorsion*socio=uv3, une politique*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te ouverte*socio=uv4, des politiques*socio=et d'investissement*socio=ec1 transparentes*socio=uv4 et non discriminatoires*socio=uv2 et *socio=rien un cadre financier*socio=ec1,*socio=nil juridique*socio=et et*socio=nil réglementaire*socio=et *socio=nil approprié, avec l'appui*socio=uv1 de systèmes_politiques*socio=et et administratifs*socio=et efficaces*socio=uv4 et responsables*socio=uv2, peuvent contribuer à la création*socio=uv4 de conditions*socio=ec1 stables*socio=uv4 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1. Ils notent que des *socio=et réformes budgétaires *socio=nil dégageraient des ressources*socio=ec1 qui aideraient à financer des programmes*socio=et de réduction*socio=ec2 de la pauvreté*socio=uv1 et des investissements*socio=ec1 essentiels*socio=uv4 dans le domaine*socio=rien social*socio=et. Ils sont également convenus que l'apaisement des tensions*socio=ec2 dans le monde*socio=te et dans beaucoup de régions*socio=te devrait aider les pays_en_développement*socio=uv3 à réduire les dépenses*socio=ec1 d'armement excessives*socio=uv4 et improductives*socio=ec2. Ils reconnaissent que les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et pourraient présenter des problèmes*socio=uv4 à court_terme*socio=te pour les pays_en_développement*socio=uv3, en particulier*socio=rien les_plus_pauvres*socio=uv2 et les plus lourdement endettés, et pourraient exiger la mise en place*socio=rien de dispositifs*socio=et de sécurité*socio=uv1 appropriés. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 à la Banque*socio=ac et au Fonds*socio=ec1 de chercher à déterminer quelle serait la meilleure*socio=uv4 façon*socio=rien pour eux d'appuyer les efforts*socio=uv1 de réforme*socio=et des pays*socio=ac en cours*socio=rien d'ajustement*socio=et. c - Le rôle*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac. 5 - Les membres*socio=ac reconnaissent que la réforme*socio=et économique*socio=ec1 entreprise*socio=ac par les pays_en_développement*socio=uv3 devrait être*socio=rien complétée par une amélioration*socio=uv1 des politiques_commerciales*socio=et, énergétiques*socio=ec1, industrielles*socio=ec1 et agricoles*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac; ils notent qu'un*socio=rien élargissement*socio=ec2 de l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te est*socio=rien essentiel*socio=uv4 aux pays_en_développement*socio=uv3 et dans l'intérêt*socio=uv1 des producteurs*socio=ac et des consommateurs*socio=ac des pays_industrialisés*socio=ac. Ils notent également que les distorsions*socio=uv3 dans le domaine*socio=rien des échanges*socio=ec1 sont plus préjudiciables*socio=et aux pays_en_développement*socio=uv3 qu'il y a dix ans*socio=rien et réduisent sensiblement les avantages*socio=rien procurés par l' aide_publique_au_développement*socio=et (APD*socio=et). C'est*socio=rien pourquoi ils sont préoccupés par le retard*socio=rien que continuent de prendre les négociations*socio=et de l'uruguay_round*socio=et. Ils accueillent avec satisfaction*socio=uv3 la volonté*socio=uv1 exprimée par les dirigeants*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Sept réunis au sommet*socio=rien de Londres*socio=ac d'intervenir les uns auprès des autres si les divergences*socio=uv1 ne peuvent être*socio=rien aplanies qu'au plus *socio=rien haut niveau.*socio=nil Les*socio=nil membres*socio=ac *socio=nil s'engagent à convaincre les autres ministres*socio=ac de leurs pays*socio=ac respectifs*socio=rien de la nécessité*socio=uv1 de parvenir à un*socio=rien accord*socio=et global*socio=te qui réduirait considérablement*socio=rien les barrières*socio=ec2 commerciales*socio=ec1 et comprendrait des règles*socio=et visant à créer un*socio=rien environnement*socio=et stable*socio=uv4 et prévisible*socio=uv4 pour le commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te, à favoriser un*socio=rien accroissement*socio=ec2 de l'investissement*socio=ec1 et à élargir les débouchés*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 exportateurs*socio=ac. Ils ont insisté sur*socio=rien l'impérieuse*socio=rien nécessité*socio=uv1 de parvenir à un*socio=rien accord*socio=et au niveau*socio=rien politique*socio=et bien*socio=rien avant la fin*socio=rien de 1991. 6 - Les membres*socio=ac notent également que l'allégement*socio=ec2 des tensions*socio=ec2 internationales*socio=te pourrait permettre aux pays_industrialisés*socio=ac, dans des circonstances*socio=rien appropriées, d'affecter davantage de ressources*socio=ec1 au titre*socio=rien de l'APD*socio=et tout en réduisant leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et. En tout état*socio=rien de cause*socio=rien, le Comité*socio=ac espère que les pays_industrialisés*socio=ac pourront soutenir de manière*socio=rien adéquate*socio=uv2 les vigoureux*socio=rien efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et déployés par les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te sans détourner l'APD*socio=et des pays*socio=ac qui en bénéficient traditionnellement. Le Comité*socio=ac insiste aussi fortement pour que tous les efforts*socio=uv1 soient faits*socio=rien pour accroître les flux*socio=ec1 d'APD*socio=et là où cela *socio=rien est nécessaire.*socio=nil *socio=nil À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac invite les *socio=ac pays donateurs,*socio=nil *socio=nil et en particulier*socio=rien ceux dont l'assistance*socio=uv1 reste*socio=rien en deçà de l'objectif*socio=uv3 d'un*socio=rien ratio*socio=ec1 APD*socio=et / PNB*socio=ec1 de 0,7% à redoubler d'efforts*socio=uv1 afin d'accroître le transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 aux pays_en_développement*socio=uv3. 7 - Les membres*socio=ac reconnaissent que les nations*socio=ac créancières*socio=ec1 pourraient aider à résoudre certains des problèmes*socio=uv4 du*socio=rien monde*socio=te en développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac accueille avec satisfaction*socio=uv3 l'accord*socio=et auquel le Groupe*socio=ac des Sept est*socio=rien parvenu lors*socio=rien de son *socio=rien récent sommet de*socio=nil Londres*socio=ac sur la*socio=nil nécessité*socio=uv1 d'*socio=nil un *socio=ec2 allégement additionnel,*socio=nil cas*socio=rien par*socio=nil cas*socio=rien,*socio=nil en*socio=nil faveur*socio=rien des*socio=nil pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 *socio=nil et les plus endettés, bien*socio=rien au-delà de l'allégement*socio=ec2 déjà accordé conformément aux conditions*socio=ec1 de Toronto*socio=ac. Il invite le Club*socio=rien de Paris*socio=ac à poursuivre ses pourparlers sur*socio=rien la recherche*socio=ec2 *socio=rien du moyen *socio=nil le plus efficace*socio=uv4 d'appliquer promptement ces nouvelles*socio=rien mesures*socio=et d'allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1. 8 - Les membres*socio=ac accueillent aussi avec satisfaction*socio=uv3 les mesures*socio=et prises*socio=rien récemment par plusieurs des principaux*socio=rien débiteurs*socio=ac en vue*socio=rien de régulariser leurs relations*socio=rien avec les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, et ils engagent vivement ces débiteurs*socio=ac à poursuivre la réduction*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 en faisant appel*socio=rien au marché*socio=ec1, ce qui les aidera à rétablir des *socio=rien relations normales entre*socio=nil débiteurs*socio=ac et*socio=nil créanciers*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Ils notent que, si la stratégie*socio=et de la dette*socio=ec1 internationale*socio=ac à l'intention*socio=rien des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 a donné des *socio=rien résultats appréciables,*socio=nil les*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil dans ce sens*socio=rien restent lents*socio=rien dans certains cas*socio=rien plus complexes et toutes les parties*socio=rien concernées doivent poursuivre leurs efforts*socio=uv1. De nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 à cet égard*socio=rien atténueraient les difficultés*socio=uv4 liées aux ressources*socio=ec1 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil *socio=ac pays débiteurs à*socio=nil revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien.*socio=nil Les*socio=nil membres *socio=nil espèrent que davantage de pays*socio=ac pourront bientôt bénéficier du*socio=rien programme*socio=et, et regagner ainsi accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1. Ils notent toutefois que le *socio=rien maintien du crédit*socio=ec1 extérieur*socio=te est généralement*socio=nil préférable*socio=uv4 *socio=nil à la réduction*socio=ec2 de la dette*socio=ec1. Cependant, pour certains pays*socio=ac, la réduction*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 *socio=rien est un élément important*socio=uv4 du rétablissement *socio=nil de la solvabilité*socio=ec1 telle que la définit*socio=rien la stratégie*socio=et de la dette*socio=ec1. Le Comité*socio=ac reconnaît donc la nécessité*socio=uv1 de continuer d'apporter un*socio=rien soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1, avec les conseils*socio=ac de la Banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1, aux pays*socio=ac lourdement endettés qui appliquent des politiques*socio=et appropriées axées sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 et continuent d'éviter de recourir au rééchelonnement*socio=et de la dette*socio=ec1 même s'ils se trouvent dans des conditions*socio=ec1 difficiles*socio=rien. 9 - Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 à la Banque*socio=ac et au Fonds*socio=ec1 de préparer conjointement, pour sa *socio=rien prochaine réunion,*socio=nil un nouveau rapport sur les*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil réalisés dans l'application*socio=rien de la stratégie*socio=et de la dette*socio=ec1, qui traite à la fois*socio=rien des créanciers*socio=ac officiels*socio=et et des créanciers*socio=ac bancaires*socio=ec1 privés*socio=et et qui tienne compte*socio=ec1 des *socio=rien nouveaux éléments *socio=nil apparus dans le *socio=rien domaine du contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil d - Les conséquences*socio=rien pour la Banque*socio=ac et pour le Fonds*socio=ec1. 10 - Considérant ce qui découle des priorités*socio=uv4 convenues pour les *socio=rien opérations du Groupe*socio=ac *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac, le Comité*socio=ac se félicite de la décision*socio=et prise*socio=rien par le conseil_d'_administration*socio=ac de la SFI*socio=ac de recommander une augmentation*socio=ec2 du*socio=rien capital*socio=ec1 de 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1, qu'il a demandé aux gouverneurs*socio=ac d'approuver avant la fin*socio=rien de 1991. Les membres*socio=ac prennent note des intentions*socio=rien de la SFI*socio=ac de renforcer sa contribution*socio=uv1 au développement*socio=uv3 et son rôle*socio=et de catalyseur*socio=ec2 dans les pays_en_développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac invite instamment la SFI*socio=ac à utiliser ses ressources*socio=ec1 de façon*socio=rien à maximiser la participation*socio=uv3 du*socio=rien secteur_privé*socio=et. Il accueille avec satisfaction*socio=uv3 les mesures*socio=et déjà appliquées pour accroître la collaboration*socio=uv1 entre la SFI*socio=ac et le *socio=rien reste du Groupe*socio=ac *socio=nil de la Banque*socio=ac. 11 - Le Comité*socio=ac s'accorde sur*socio=rien l'importance*socio=rien du*socio=rien secteur_privé*socio=et parmi les priorités*socio=uv4 du*socio=rien Groupe*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac. Il confirme la nécessité*socio=uv1 d'intensifier l'application*socio=rien *socio=rien du Plan d'*socio=nil action*socio=ec1 global*socio=te *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac pour le développement*socio=uv3 du*socio=rien secteur_privé*socio=et, adopté en 1989, en le situant dans le contexte*socio=rien des objectifs*socio=uv3 établis de la Banque*socio=ac qu'il sert à renforcer. Le Comité*socio=ac note qu'en suivant*socio=rien cette politique*socio=et la Banque*socio=ac tiendrait dûment compte*socio=ec1 de la complémentarité*socio=rien des secteurs_public*socio=et et privé*socio=et analysée dans le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement*socio=uv3 *socio=nil dans le monde*socio=te 1991. Les membres*socio=ac considèrent que, *socio=rien du fait *socio=nil de cette politique*socio=et, le Groupe*socio=ac se trouve maintenant en *socio=rien bonne position *socio=nil pour soutenir les pays_membres*socio=ac qui commencent à se tourner vers le marché*socio=ec1. Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu d'examiner régulièrement ces dispositions*socio=et à partir de sa *socio=rien réunion du printemps *socio=nil de 1993 et demande*socio=ec1 que la Banque*socio=ac lui fournisse *socio=rien un rapport sur les*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil réalisés à cette date. 12 - Le Comité*socio=ac note que des flux*socio=ec1 adéquats*socio=uv2 de ressources*socio=ec1 hautement concessionnelles*socio=ec1 continueront d'être*socio=rien nécessaires*socio=rien pour aider les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Les membres*socio=ac reconnaissent que les ressources*socio=ec1 résultant*socio=rien de la Neuvième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 de PIDA*socio=rien seront épuisées au milieu*socio=rien de 1993. C'est*socio=rien pourquoi le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que des discussions*socio=et informelles*socio=uv2 sur*socio=rien la Dixième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 ont déjà commencé, et il demande*socio=ec1 à la Banque*socio=ac de lui fournir à sa *socio=rien prochaine réunion un rapport sur l'*socio=nil état d'*socio=nil avancement*socio=uv3 des*socio=nil négociations*socio=et *socio=nil de l'IDA*socio=ac. Il suggère en outre qu'une décision*socio=et soit prise*socio=rien sans tarder sur*socio=rien la proposition*socio=rien visant à permettre un*socio=rien appui*socio=uv1 de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 à certains pays*socio=ac autres que ceux qui sont déjà admis à en bénéficier. 13 - Le Comité*socio=ac note que la BIRD*socio=ac dispose maintenant d'une marge substantielle*socio=rien de ressources*socio=ec1 prêtables, mais que les nouveaux*socio=rien engagements*socio=et de prêts*socio=ec1 ont été*socio=rien relativement constants*socio=te en valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 ces *socio=rien dernières années.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil engage vivement les pays*socio=ac où des politiques*socio=et ou des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 inadéquats*socio=rien limitent le volume*socio=rien des prêts*socio=ec1 qu'ils obtiennent de la banque_mondiale*socio=ac à améliorer leurs résultats*socio=rien pour qu'ils puissent profiter des ressources*socio=ec1 que la Banque*socio=ac pourrait mettre à leur disposition*socio=et et de l'effet*socio=rien de catalyse qui en résulterait avec la mobilisation*socio=uv3 d'autres sources*socio=rien de financement*socio=ec1. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac notent que, même si les engagements*socio=et augmentaient plus rapidement, le solde*socio=ec1 net*socio=rien des transferts*socio=ec1 aux pays_en_développement*socio=uv3 demeurerait globalement négatif*socio=rien, signe de la maturité*socio=uv1 de la Banque*socio=ac comme institution*socio=ac de prêt*socio=ec1. Ils insistent toutefois sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de maintenir des transferts*socio=ec1 nets*socio=rien positifs*socio=uv4 aux pays*socio=ac engagés sur*socio=rien la voie*socio=rien de l'ajustement*socio=et, afin d'alimenter le processus*socio=te du*socio=rien développement*socio=uv3. Il se félicite que la Banque*socio=ac lui ait donné l'assurance*socio=ec1 que son aide*socio=uv1 à l'Europe*socio=ac orientale*socio=te et centrale*socio=rien pouvait coexister avec le maintien*socio=rien de celle qu'elle apporte à ses emprunteurs*socio=ac traditionnels*socio=rien pour des programmes*socio=et et investissements*socio=ec1 de qualité*socio=rien. 14 - Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac reconnaissent la nécessité*socio=uv1 pour le Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac et la direction*socio=et de la Banque*socio=ac d'envisager une série d'arbitrages*socio=et pour traduire en opérations*socio=rien les objectifs*socio=uv3 convenus. Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que, de plus de plus, ceux-ci trouvent place*socio=rien dans les directives*socio=et et les procédures*socio=et de la Banque*socio=ac et qu'ils sont ainsi utilisés dans l'affectation*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 en personnel*socio=ac et de la capacité*socio=uv3 de prêt*socio=ec1 de la BIRD*socio=ac et de l'IDA*socio=ac. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac soulignent que le problème*socio=uv4, pour la Banque*socio=ac, est*socio=rien maintenant de concevoir des stratégies*socio=et d'aide*socio=uv1 et des opérations*socio=rien de prêts*socio=ec1 adaptées aux besoins*socio=uv1 et à la situation*socio=rien des pays*socio=ac. Le Comité*socio=ac approuve le changement*socio=uv3 récent*socio=rien intervenu dans la physionomie*socio=rien des prêts*socio=ec1 et dans les projections*socio=ec2 pour les trois *socio=rien prochaines années,*socio=nil *socio=nil qui voient augmenter la part*socio=rien de la valorisation*socio=uv3 des ressources_humaines*socio=ec1. Il reconnaît que les *socio=rien diverses opérations de*socio=nil prêts*socio=ec1 *socio=nil continueront à être*socio=rien dictées par les priorités*socio=uv4 des pays*socio=ac et par les perspectives*socio=te d'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 de ces prêts*socio=ec1, de sorte*socio=rien qu'il serait mal*socio=rien venu de fixer des objectifs*socio=uv3 *socio=rien quantitatifs précis *socio=nil à l'ensemble*socio=rien de l'institution*socio=ac. 15 - Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac notent qu'au cours*socio=rien de la dernière*socio=rien décennie*socio=te, le Groupe*socio=ac de la Banque*socio=ac a renforcé son rôle*socio=et consultatif*socio=uv2, ce qui améliore l'efficacité*socio=uv3 et la qualité*socio=rien de ses activités*socio=rien de prêt*socio=ec1. Ils se félicitent que la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 collaborent davantage dans la fourniture*socio=ec1 de conseils*socio=ac et d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien aux pays*socio=ac et dans la coordination*socio=uv3 de leurs concours financiers*socio=ec1. Le Comité*socio=ac insiste sur*socio=rien le fait*socio=rien que ces conseils*socio=ac doivent être*socio=rien adaptés à la situation*socio=rien des divers emprunteurs*socio=ac et coordonnés avec l'appui*socio=uv1 et l'expérience*socio=ec2 des autres organismes_internationaux*socio=ac afin d'exploiter l'avantage_comparatif*socio=ec2 de chacun, de maximiser leur impact*socio=rien et d'éviter les répétitions inutiles*socio=rien. 16 - Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac constatent une augmentation*socio=ec2 *socio=rien sensible du nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui demandent l'aide*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac et note que, si beaucoup de pays_membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 ont déjà *socio=rien fait savoir *socio=nil qu'ils consentaient à l'augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et au Fonds*socio=ec1 et au troisième*socio=rien amendement*socio=et des statuts*socio=et, la majorité*socio=rien d'entre eux ne l'ont pas encore fait*socio=rien. Ils engagent ces pays*socio=ac à agir avant la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. II. Valorisation*socio=uv3 des ressources_humaines*socio=ec1 (VRH). Reprenant la conclusion*socio=rien de la Banque*socio=ac sur*socio=rien ce point*socio=rien, le Comité*socio=ac réaffirme que la VRH est*socio=rien au coeur*socio=rien de toute stratégie*socio=et visant à faire reculer la pauvreté*socio=uv1 et à stimuler la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 et reconnaît, ainsi qu'il est*socio=rien dit dans le *socio=rien Rapport sur le*socio=nil développement*socio=uv3 *socio=nil dans le monde*socio=te 1991, qu'un*socio=rien investissement*socio=ec1 massif*socio=rien dans la personne_humaine*socio=ac se justifie, non seulement *socio=rien du point de*socio=nil vue humain*socio=uv1,*socio=nil *socio=nil mais aussi d'un*socio=rien point*socio=rien de vue*socio=rien rigoureusement économique*socio=ec1. Afin d'atteindre ces objectifs*socio=uv3, le Comité*socio=ac pense qu'une action*socio=ec1 synergique s'impose au niveau*socio=rien des gouvernements*socio=ac des divers pays_en_développement*socio=uv3, de l'ensemble*socio=rien de la communauté*socio=ac des bailleurs_de_fonds*socio=ec1 et des institutions*socio=ac de bretton_woods*socio=et. a - Le rôle*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3. Reconnaissant que les pays_en_développement*socio=uv3 ont des besoins*socio=uv1 différents*socio=rien, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 à leurs gouvernements*socio=ac de revoir leurs propres*socio=rien stratégies*socio=et de VRH et de veiller à ce qu'il y ait en *socio=rien place un cadre législatif*socio=et et*socio=nil réglementaire*socio=et *socio=nil approprié pour intégrer les politiques*socio=et à long_terme*socio=te de VRH avec les politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1, les facteurs*socio=rien démographiques*socio=ec1 et l'infrastructure*socio=ec1 de développement*socio=uv3. Il engage ces gouvernements*socio=ac à prévoir, dans leur budget*socio=ec1, des crédits*socio=ec1 accrus pour la VRH comme complément*socio=rien indispensable*socio=uv4 à l'investissement*socio=ec1 en capital*socio=ec1 fixe. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac appellent l'attention*socio=rien sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de concentrer de plus en plus les budgets*socio=ec1 de VRH sur*socio=rien les services*socio=et humains*socio=uv2 de base*socio=rien, en particulier*socio=rien dans le domaine*socio=rien des soins_de_santé*socio=et, y compris les politiques*socio=et de population*socio=ac, et d'élargir l'accès*socio=uv1 à l'enseignement*socio=et primaire*socio=rien, à l'intention*socio=rien des filles aussi bien*socio=rien que des garçons, étant donné la rentabilité*socio=ec1 à long_terme*socio=te exceptionnellement élevée*socio=uv4 dans ce domaine*socio=rien. Le Comité*socio=ac recommande d'accompagner l'expansion*socio=ec2 de la VRH d'un*socio=rien égal*socio=rien effort*socio=uv1 pour améliorer la qualité*socio=rien des services*socio=et. Enfin, il appelle l'attention*socio=rien de ces gouvernements*socio=ac sur*socio=rien les avantages*socio=rien qu'il peut y avoir à diversifier les sources*socio=rien de financement*socio=ec1 et à associer le secteur_privé*socio=et et les organisations_non_gouvernementales*socio=ac à la fourniture*socio=ec1 des services*socio=et, même lorsque les gouvernements*socio=ac eux-mêmes doivent conserver la *socio=rien haute main sur leur*socio=nil prestation*socio=et.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac demande*socio=ec1 *socio=nil également à la banque_mondiale*socio=ac de continuer, dans le cadre*socio=rien de son dialogue*socio=uv1 de concertation*socio=uv1 avec eux, à examiner les politiques*socio=et de VRH des pays_en_développement*socio=uv3 et de présenter, dans les futures*socio=te publications*socio=rien, *socio=rien un bilan *socio=nil synoptique des progrès*socio=uv1 accomplis qui aidera bailleurs_de_fonds*socio=ec1 et bénéficiaires*socio=ac à suivre l'évolution*socio=te des tendances*socio=ec2. b - La valorisation*socio=uv3 des ressources_humaines*socio=ec1 et les pays*socio=ac industriels*socio=ec1. Notant toutes les possibilités*socio=rien qui s'offrent de soutenir l'action*socio=ec1 internationale*socio=ac dans ce domaine*socio=rien, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 à la communauté*socio=ac des bailleurs_de_fonds*socio=ec1 en général*socio=rien d'accorder *socio=rien un degré élevé*socio=uv4 de*socio=nil priorité*socio=uv4 *socio=nil à l'investissement*socio=ec1 de VRH. Les membres*socio=ac notent que, dans ce domaine*socio=rien, l'aide*socio=uv1 liée n'est*socio=rien généralement pas un*socio=rien instrument*socio=et approprié. Le Comité*socio=ac appelle l'attention*socio=rien sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'équilibrer le soutien*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 de capital*socio=ec1 et des dépenses*socio=ec1 de fonctionnement*socio=rien et demande*socio=ec1 instamment que les dons*socio=ec1 et les prêts*socio=ec1 accordés pour des projets*socio=et de VRH soient structurés de telle manière*socio=rien que les projets*socio=et puissent continuer à se financer eux-mêmes une fois*socio=rien que l'appui*socio=uv1 extérieur*socio=te a pris fin*socio=rien. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac sont convenus que la forte*socio=rien rentabilité*socio=ec1 d'un*socio=rien investissement*socio=ec1 de VRH bien*socio=rien conçu mérite*socio=rien une certaine*socio=rien augmentation*socio=ec2 ou redistribution*socio=et *socio=rien du total *socio=nil de l'aide_publique_au_développement*socio=et. Le Comité*socio=ac encourage les bailleurs_de_fonds*socio=ec1 à mettre en commun*socio=uv2 leur expérience*socio=ec2 et, là où cela *socio=rien est possible,*socio=nil *socio=nil à concentrer leurs efforts*socio=uv1 dans les domaines*socio=rien où leur propre*socio=rien expertise*socio=uv3 est*socio=rien la plus grande*socio=rien. c - Le rôle*socio=et des institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te. Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que la VRH prend une place*socio=rien de plus en plus grande*socio=rien dans les opérations*socio=rien de prêt*socio=ec1 et de conseil*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac. Il se félicite que la Banque*socio=ac envisage d'accroître ses prêts*socio=ec1 de VRH qui, d'environ 6% au début*socio=rien des années*socio=rien 80, passeraient aux alentours*socio=rien de 15% *socio=rien du total des*socio=nil prêts*socio=ec1 *socio=nil de la Banque*socio=ac en moyenne*socio=rien au cours*socio=rien des exercices*socio=rien 1992 / 94. Il note avec satisfaction*socio=uv3 que les soins_de_santé*socio=et primaires*socio=rien représentent maintenant environ 3,5% *socio=rien du total *socio=nil de la Banque*socio=ac et que l'enseignement*socio=et primaire*socio=rien en représente environ 2 1/2%. Il est*socio=rien convaincu que c'est*socio=rien là une réorientation*socio=et tout à fait*socio=rien justifiée et souhaitable*socio=rien. Il approuve la stratégie*socio=et de la banque_mondiale*socio=ac, qui est*socio=rien de concentrer ses efforts*socio=uv1 sur*socio=rien l'aide*socio=uv1 aux grands*socio=rien programmes*socio=et de réforme*socio=et et de développement*socio=uv3; d'utiliser au maximum*socio=rien les ressources*socio=ec1 locales*socio=te et de s'adapter*socio=rien aux conditions*socio=ec1 locales*socio=te; d'encourager, le cas*socio=rien échéant, par l'effet*socio=rien d'amorce de ses propres*socio=rien prêts*socio=ec1, bailleurs_de_fonds*socio=ec1 et bénéficiaires*socio=ac à financer un*socio=rien plus *socio=rien fort pourcentage des*socio=nil dépenses*socio=ec1 *socio=nil récurrentes; de chercher à mieux évaluer l'impact*socio=rien des prêts*socio=ec1 de VRH de manière*socio=rien à influencer les futures*socio=te décisions*socio=et de dépenses*socio=ec1 des emprunteurs*socio=ac et des bailleurs_de_fonds*socio=ec1 ainsi que de la banque_mondiale*socio=ac; et, dans les limites*socio=rien des contraintes*socio=uv1 que lui impose son budget*socio=ec1 de fonctionnement*socio=rien, de maintenir à titre*socio=rien hautement prioritaire*socio=uv4 ses propres*socio=rien investissements*socio=ec1 en personnel*socio=ac compétent dans le domaine*socio=rien de la VRH. Le Comité*socio=ac encourage également le FMI*socio=ac à continuer à mettre davantage l'accent*socio=rien sur*socio=rien les aspects*socio=rien sociaux*socio=et de l'ajustement*socio=et. d - Le rôle*socio=et des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac est*socio=rien de plus en plus conscient*socio=uv2 que, dans beaucoup de pays*socio=ac, des contraintes*socio=uv1 structurelles*socio=ec2 et autres empêchent les femmes*socio=ac de jouer pleinement leur rôle*socio=et dans le processus*socio=te du*socio=rien développement*socio=uv3. Il a examiné, sur*socio=rien la question*socio=rien, *socio=rien un rapport d'*socio=nil activité *socio=nil de la Banque*socio=ac où il était montré que, de plus en plus maintenant, avec le solide*socio=rien appui*socio=uv1 de beaucoup de *socio=ac pays bénéficiaires *socio=nil et tout en demeurant dûment sensible*socio=rien aux facteurs*socio=rien sociaux*socio=et et culturels, le Groupe*socio=ac de la Banque*socio=ac prend en considération*socio=rien, dans la conception*socio=et de ses prêts*socio=ec1 à l'appui*socio=uv1 de réformes*socio=et et dans ses activités*socio=rien de conseil*socio=rien, les problèmes*socio=uv4 relatifs*socio=rien au rôle*socio=et des femmes*socio=ac dans le développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac se déclare satisfait des efforts*socio=uv1 qui ont été*socio=rien accomplis depuis la *socio=rien dernière fois *socio=nil qu'il s'est*socio=rien saisi de la question*socio=rien et il engage la Banque*socio=ac à continuer, par l'intermédiaire*socio=rien de ses *socio=ec2 études économiques et*socio=nil sectorielles*socio=rien *socio=nil ainsi que par ses opérations*socio=rien de prêt*socio=ec1, à insister sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de faire appliquer ses objectifs*socio=uv3 en la matière*socio=rien. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 qu'un*socio=rien *socio=rien nouveau rapport d'*socio=nil activité *socio=nil lui soit soumis sur*socio=rien la question*socio=rien dans deux ans*socio=rien. Le futur*socio=te programme*socio=et de travail*socio=rien. Le Comité*socio=ac décide qu'à l'avenir*socio=te il examinera chaque année*socio=rien l'impact*socio=rien de la politique*socio=et des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 sur*socio=rien le processus*socio=te du*socio=rien développement*socio=uv3 en prenant chaque année*socio=rien pour *socio=rien thème un sujet particulier.*socio=nil *socio=nil À sa *socio=rien prochaine réunion,*socio=nil cet*socio=nil examen*socio=ec2 *socio=nil sera consacré principalement aux problèmes*socio=uv4 d'ordre*socio=rien commercial*socio=ec1 et s'appuiera sur*socio=rien une *socio=ec2 étude analytique conjointe*socio=rien *socio=nil de la Banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1. A cette réunion*socio=rien, le Comité*socio=ac examinera aussi, à partir d'une *socio=ec2 étude analytique *socio=nil qui sera établie par la Banque*socio=ac en consultation*socio=uv1 avec le Fonds*socio=ec1, l'interaction*socio=rien des politiques*socio=et de l'environnement*socio=et et du*socio=rien développement*socio=uv3 en vue*socio=rien de la conférence_des_nations_unies*socio=ac sur*socio=rien l' environnement_et_le_développement*socio=uv3 prévu pour juin*socio=rien 1992. Le Comité*socio=ac a décidé de se réunir à nouveau*socio=rien à Washington*socio=ac le 28 avril*socio=rien 1992. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac ont adressé au gouvernement*socio=ac du*socio=rien Royaume de Thaïlande*socio=ac leurs *socio=rien sincères remerciements *socio=nil pour la chaleur*socio=rien de son hospitalité*socio=rien et pour l'excellente*socio=uv4 qualité*socio=rien des dispositions*socio=et qui ont *socio=rien été prises en*socio=nil vue *socio=nil de la *socio=rien réunion du Comité*socio=ac à*socio=nil Bangkok*socio=ac.*socio=nil Quarante-troisième*socio=nil réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 28*socio=nil avril *socio=nil 1992. Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa quarante-troisième réunion*socio=rien à Washington*socio=ac le 28 avril*socio=rien 1992, sous la présidence*socio=rien de M.. Alejandro Foxley, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 du*socio=rien Chili*socio=ac. Commerce*socio=ec1 international*socio=te. Le premier*socio=rien examen*socio=ec2 annuel*socio=te de l'interdépendance*socio=uv3 des politiques*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac et des pays_en_développement*socio=uv3 effectué par le Comité*socio=ac était axé sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 international*socio=te. Les ministres*socio=ac estiment que l'aboutissement*socio=rien rapide*socio=rien et satisfaisant*socio=rien de l'uruguay_round*socio=et revêt une très *socio=rien grande importance *socio=nil pour le monde*socio=te entier*socio=rien. En cas*socio=rien d'échec*socio=uv1, les progrès*socio=uv1 ralentiraient dans les domaines*socio=rien où des accords*socio=et provisoires*socio=rien ont déjà été*socio=rien négociés, les *socio=et mesures protectionnistes *socio=nil risqueraient de s'intensifier et le système*socio=rien commercial*socio=ec1 mondial*socio=te serait moins souple*socio=uv4 et moins à même de s'adapter*socio=rien à l'évolution*socio=te des circonstances*socio=rien. Ils demandent donc instamment à tous les participants*socio=ac de reconnaître l'importance*socio=rien que revêtent ces négociations*socio=et au plan*socio=rien international*socio=te et d'oeuvrer avec diligence*socio=rien pour qu'elles débouchent sur*socio=rien une réduction*socio=ec2 sensible*socio=rien des barrières*socio=ec2 commerciales*socio=ec1. Les ministres*socio=ac louent les efforts*socio=uv1 appréciables*socio=rien qu'ont *socio=rien faits un grand nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil pour entreprendre des réformes*socio=et commerciales*socio=ec1 et ouvrir leurs marchés*socio=ec1, ainsi que les mesures*socio=et importantes*socio=uv4 que beaucoup sont prêts*socio=ec1 à prendre à cet égard*socio=rien dans le *socio=rien cadre du cycle*socio=te *socio=nil de l'Uruguay*socio=ac. Pour compléter ces mesures*socio=et, ils encouragent les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 à accélérer le rythme*socio=ec2 de leurs efforts*socio=uv1 de libéralisation*socio=et. Les négociations*socio=et d'Uruguay*socio=ac ne pourront aboutir que si tous les participants*socio=ac font dès à présent*socio=rien connaître leurs engagements*socio=et en matière*socio=rien de libéralisation*socio=et. Ils encouragent tous les pays_en_développement*socio=uv3 à tirer pleinement parti*socio=et des *socio=rien possibilités nouvelles de*socio=nil débouchés*socio=ec1 *socio=nil que l' uruguay_round*socio=et va créer. Ils soulignent l'importance*socio=rien que revêt pour les pays_en_développement*socio=uv3 l'existence*socio=rien de marchés*socio=ec1 ouverts*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac. Ces derniers*socio=rien devraient, quant à eux, maximiser ces *socio=rien possibilités nouvelles *socio=nil d'entrer sur*socio=rien leurs marchés*socio=ec1. La Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 devraient évaluer régulièrement l'impact*socio=rien de l'évolution*socio=te des courants*socio=te d'échanges_mondiaux*socio=ec1 sur*socio=rien les pays_en_développement*socio=uv3 et publier le résultat*socio=rien de ces évaluations*socio=ec2. Ils devraient appuyer les efforts*socio=uv1 entrepris par les pays_en_développement*socio=uv3 en leur offrant, lorsque c'est*socio=rien nécessaire*socio=rien, une assistance*socio=uv1 technique*socio=rien, des conseils*socio=ac et un*socio=rien concours financier*socio=ec1 appropriés pour les aider à entrer sur*socio=rien de nouveaux*socio=rien marchés*socio=ec1. La poursuite*socio=rien de la libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 pourrait également nécessiter l'appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 d'autres organismes*socio=ac multilatéraux*socio=et et donateurs*socio=ac bilatéraux*socio=et. La Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 continueront de collaborer avec le GATT*socio=ac pour promouvoir des politiques_commerciales*socio=et ouvertes*socio=rien. Tout en reconnaissant la nécessité*socio=uv1 de limiter*socio=rien les dommages*socio=ec2 potentiels*socio=uv4 pour l'environnement*socio=et, les ministres*socio=ac sont d'avis*socio=rien que ces préoccupations*socio=uv4 légitimes*socio=uv2 ne devraient être*socio=rien invoquées par aucun pays*socio=ac pour justifier de nouvelles*socio=rien barrières*socio=ec2 aux échanges*socio=ec1 ou celles qui existent déjà. Ces préoccupations*socio=uv4 n'autorisent pas l'imposition*socio=et de *socio=et politiques environnementales au*socio=nil pays*socio=ac exportateur*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil sauf lorsque la *socio=ac communauté internationale le*socio=nil juge*socio=et nécessaire*socio=rien.*socio=nil Les*socio=nil ministres *socio=nil prennent note de l'évaluation*socio=ec2 préliminaire*socio=rien de l'impact*socio=rien qu'aura probablement l'uruguay_round*socio=et sur*socio=rien certains groupes_de_pays_en_développement*socio=uv3, et notamment sur*socio=rien ceux qui sont importateurs*socio=ac nets*socio=rien de produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1 ou ceux dont l'accès*socio=uv1 préférentiel*socio=ec1 serait érodé, et ils demandent instamment à la Banque*socio=ac et au Fonds*socio=ec1 de considérer les mérites*socio=rien d'une aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 transitoire*socio=rien en faveur*socio=rien de ces pays*socio=ac. Les ministres*socio=ac notent également l'émergence*socio=ec2, dans maintes régions*socio=te du*socio=rien monde*socio=te, d'arrangements*socio=et commerciaux*socio=ec1 régionaux*socio=te, tendance*socio=ec2 qui risque*socio=uv3 de s'accroître si l'uruguay_round*socio=et échoue. Ces arrangements*socio=et devraient *socio=rien être ouverts sur l'*socio=nil extérieur*socio=te;*socio=nil *socio=nil ils devraient privilégier la création*socio=uv4 et non le détournement d'échanges*socio=ec1 et ne devraient pas ralentir le processus*socio=te tendant à une *socio=et libéralisation multilatérale plus*socio=nil large*socio=rien des*socio=nil échanges*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac demande*socio=ec1 *socio=nil à la Banque*socio=ac et au Fonds*socio=ec1 de préparer *socio=rien un rapport d'*socio=nil activité sur les*socio=nil questions commerciales*socio=ec1 *socio=nil pour leur réunion*socio=rien de septembre*socio=rien et, une fois*socio=rien que l'uruguay_round*socio=et sera achevé, *socio=rien un rapport sur *socio=nil ce que son résultat*socio=rien implique pour ces deux institutions*socio=ac. Environnement*socio=et. Le Comité*socio=ac a examiné l'interaction*socio=rien des politiques*socio=et d'environnement*socio=et et de développement*socio=uv3 ainsi que les *socio=rien travaux préparatoires *socio=nil de la conférence_des_nations_unies*socio=ac sur*socio=rien l'environnement_et_le_développement*socio=uv3 qui se tiendra à rio_de_janeiro*socio=ac en juin*socio=rien 1992. Les ministres*socio=ac approuvent la *socio=rien conclusion du prochain Rapport sur le*socio=nil développement*socio=uv3 *socio=nil dans le monde*socio=te 1992 de la banque_mondiale*socio=ac, selon laquelle la poursuite*socio=rien, voire l'accélération*socio=ec2, de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 et du*socio=rien développement*socio=uv3 humain*socio=uv1 peuvent *socio=rien être compatibles *socio=nil avec une amélioration*socio=uv1 *socio=rien du milieu naturel,*socio=nil *socio=nil mais la recherche*socio=ec2 de solutions*socio=rien aux problèmes*socio=uv4 d'environnement*socio=et qui se posent à l'échelle*socio=rien nationale*socio=te et mondiale*socio=te exigera de profondes*socio=rien réformes*socio=et des orientations*socio=et, des programmes*socio=et et des institutions*socio=ac. Au niveau*socio=rien national*socio=te, les pays_en_développement*socio=uv3 doivent avoir une triple stratégie*socio=et. Premièrement, il faut qu'ils exploitent vigoureusement les corrélations positives*socio=uv4 du*socio=rien développement*socio=uv3 durable*socio=uv4 et de l'environnement*socio=et en adoptant des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 saines*socio=uv2 tendant à promouvoir la croissance*socio=uv3 et à réduire la pauvreté*socio=uv1. La lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1 contribue à la préservation*socio=uv1 de l'environnement*socio=et. Deuxièmement, ce type*socio=rien de mesures*socio=et doit être*socio=rien complété par une structure*socio=ec1 d'incitations*socio=uv3 propre*socio=rien à décourager l'utilisation*socio=rien abusive des ressources_naturelles*socio=ec1; les pays_en_développement*socio=uv3 auront besoin*socio=uv1 d'un*socio=rien appui*socio=uv1 extérieur*socio=te pour les transferts*socio=ec1 de technologie*socio=ec1 et le renforcement*socio=ec2 des capacités*socio=uv3 dans le domaine*socio=rien de l'environnement*socio=et. À l'échelon*socio=rien national*socio=te, une action*socio=ec1 directe*socio=rien s'impose dans les secteurs*socio=rien prioritaires*socio=uv4 suivants*socio=rien : eau*socio=ec1 propre*socio=rien et assainissement*socio=uv3, qualité*socio=rien de l'air*socio=rien, sol*socio=rien, eau*socio=ec1 et productivité*socio=uv3 agricole*socio=ec1, et habitats naturels*socio=rien. Troisièmement, il convient d'inciter les populations*socio=ac et les institutions*socio=ac (dans le secteur_public*socio=et comme dans le secteur_privé*socio=et) à adopter *socio=rien un comportement moins*socio=nil préjudiciable*socio=et *socio=nil à l'environnement*socio=et - en faisant jouer, chaque fois*socio=rien que c'est*socio=rien possible*socio=rien, les mécanismes*socio=et du*socio=rien marché*socio=ec1 qui ont l'avantage de réduire les dommages*socio=ec2 causés à l'environnement*socio=et de la manière*socio=rien la plus efficace*socio=uv4 et la plus économique*socio=ec1 possible*socio=rien. Les ministres*socio=ac reconnaissent qu'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil continueront d'avoir besoin*socio=uv1 d'une aide*socio=uv1 accrue de l'extérieur*socio=te pour s'attaquer à ces problèmes*socio=uv4 d'environnement*socio=et nationaux*socio=te. Ils sont convenus qu'un*socio=rien appui*socio=uv1 officiel*socio=et devrait être*socio=rien fourni par l'intermédiaire*socio=rien des institutions*socio=ac de développement*socio=uv3 existantes*socio=rien qui ont renforcé les moyens*socio=ec1 dont elles disposent pour mener des activités*socio=rien dans le domaine*socio=rien de l'environnement*socio=et. Les bailleurs_de_fonds*socio=ec1 et donateurs*socio=ac existants*socio=rien peuvent contribuer en augmentant le volume*socio=rien de leur aide*socio=uv1, en partie*socio=rien à des *socio=ec1 conditions concessionnelles.*socio=nil Les*socio=nil Groupes*socio=ac consultatifs*socio=uv2 *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac et les tables *socio=rien rondes du PNUD*socio=ac *socio=nil peuvent aider à coordonner cette aide*socio=uv1 et à intégrer les stratégies*socio=et par pays*socio=ac aux plans*socio=rien d'action*socio=ec1 environnementaux*socio=et. Les ministres*socio=ac sont convenus qu'il y a lieu*socio=rien d'envisager un*socio=rien "Supplément*socio=rien spécial*socio=rien pour la Terre*socio=ec1" à la Dixième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 de l' association_internationale_de_développement*socio=ac (IDA-10). Au niveau*socio=rien planétaire*socio=te, les ministres*socio=ac admettent que certains problèmes*socio=uv4 transcendent les *socio=te frontières nationales *socio=nil et appellent des solutions*socio=rien négociées à l'échelon*socio=rien international*socio=te. Ils reconnaissent qu'en l'absence*socio=rien de *socio=ec2 preuves scientifiques concluantes*socio=rien,*socio=nil toute*socio=nil stratégie*socio=et de*socio=nil précaution*socio=rien *socio=nil visant à prévenir le risque*socio=uv3 de changements*socio=uv3 climatiques*socio=rien exige *socio=rien un vaste consensus*socio=uv1 international*socio=te,*socio=nil *socio=nil de même que la nécessité*socio=uv1 de préserver la diversité*socio=uv1 biologique. Ils notent les progrès*socio=uv1 initiaux*socio=rien accomplis dans les *socio=rien opérations du Fonds*socio=ec1 *socio=nil pour l'environnement*socio=et mondial*socio=te, lequel devrait, selon eux, jouer un*socio=rien rôle*socio=et de *socio=rien premier plan,*socio=nil *socio=nil en tant que mécanisme*socio=et de financement*socio=ec1 multilatéral*socio=et, pour fournir des *socio=ec1 ressources financières nouvelles*socio=rien et*socio=nil additionnelles*socio=ec2 *socio=nil permettant de financer, sous forme*socio=rien de dons*socio=ec1 et de *socio=ec1 prêts concessionnels,*socio=nil *socio=nil les surcoûts liés à la réalisation*socio=uv1 d'objectifs*socio=uv3 convenus au plan*socio=rien de l'environnement*socio=et mondial*socio=te. Le FEM devrait encourager l'adhésion*socio=uv1 de tous les pays*socio=ac. Ses modalités*socio=rien d'administration*socio=ec1 interne*socio=te devraient permettre la représentation*socio=uv3 et la participation*socio=uv3 effectives*socio=rien de tous les pays*socio=ac. Ils demandent aux participants*socio=ac au FEM de prendre rapidement des décisions*socio=et sur*socio=rien le champ*socio=rien d'application*socio=rien, les modalités*socio=rien d'administration*socio=ec1 et le financement*socio=ec1 futurs*socio=te du*socio=rien FEM. Les ministres*socio=ac accueillent également avec satisfaction*socio=uv3 le bilan*socio=rien, présenté dans deux *socio=rien rapports successifs,*socio=nil des*socio=nil activités *socio=nil menées par la Banque*socio=ac dans le domaine*socio=rien de l'environnement*socio=et, ainsi que les *socio=rien activités connexes du Fonds*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ils notent les progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien que le Groupe*socio=ac de la Banque*socio=ac a accomplis pour intégrer les préoccupations*socio=uv4 d'environnement*socio=et dans ses programmes*socio=et existants*socio=rien, la priorité*socio=uv4 que la Banque*socio=ac accorde à ces préoccupations*socio=uv4 dans la conception*socio=et de ses programmes*socio=et de prêt*socio=ec1, son assistance*socio=uv1 technique*socio=rien, son dialogue*socio=uv1 de politique*socio=et générale*socio=rien avec les pays_en_développement*socio=uv3 et ses travaux*socio=rien de recherche*socio=ec2. Ils appuient les efforts*socio=uv1 réalisés par la Banque*socio=ac pour aider les emprunteurs*socio=ac et les bailleurs_de_ fonds*socio=ec1 à élaborer et à appliquer des programmes*socio=et respectueux*socio=uv2 de l'environnement*socio=et, et notamment à préparer sans délai*socio=rien des études*socio=ec2 d'impact*socio=rien sur*socio=rien l'environnement*socio=et et des plans*socio=rien d'action*socio=ec1 environnementaux*socio=et. Ils demandent qu'un*socio=rien rapport*socio=rien d'activité*socio=rien soit préparé pour la réunion*socio=rien de *socio=rien septembre sur les*socio=nil résultats *socio=nil de la Conférence*socio=ac de Rio et les mesures*socio=et prévues pour y donner suite*socio=rien. Transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1. Le Président*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac a fait*socio=rien le bilan*socio=rien, comme d'habitude*socio=rien, des perspectives*socio=te d'évolution*socio=te des flux*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 destinés aux pays_en_développement*socio=uv3. Les ministres*socio=ac se déclarent préoccupés par le fait*socio=rien que le volume*socio=rien de l'aide_publique_au_développement*socio=et n'a pas augmenté depuis l'an*socio=rien dernier*socio=rien, et sont convenus, comme on le leur a demandé, d'étudier plus à fond*socio=rien tous les flux*socio=ec1 et transferts*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 à leur réunion*socio=rien de septembre*socio=rien, en vue*socio=rien d'examiner la pénurie*socio=ec2 de *socio=ec1 ressources financières *socio=nil pour le développement*socio=uv3 et de formuler des *socio=rien propositions concrètes.*socio=nil économies_en_transition*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil note les changements*socio=uv3 historiques*socio=te qui sont survenus depuis leur *socio=rien dernière réunion *socio=nil et accueillent chaleureusement les États*socio=ac de l'ancienne*socio=rien union_soviétique*socio=ac au sein*socio=rien des deux institutions*socio=ac. Le Président*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac a de nouveau*socio=rien donné l'assurance*socio=ec1 que la BIRD*socio=ac pourrait prêter aux nouveaux*socio=rien membres*socio=ac (et aux pays*socio=ac d'Europe*socio=ac orientale*socio=te et centrale*socio=rien) sans que cela compromette son aptitude*socio=rien à prêter aux autres pays_en_ développement*socio=uv3 actionnaires*socio=ac de la Banque*socio=ac. Les ministres*socio=ac appuient les opérations*socio=rien que le Fonds*socio=ec1 mène ou prévoit de mener dans ce domaine*socio=rien, et notent que l'acceptation*socio=uv1 *socio=rien rapide du nouveau relèvement*socio=ec2 des*socio=nil quotes-parts*socio=et *socio=nil permettrait à celui-ci d'intensifier ce type*socio=rien d'activités*socio=rien. Ils reconnaissent la nécessité*socio=uv1 d'une coordination*socio=uv3 étroite*socio=rien entre la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 et avec les autres organisations_internationales*socio=ac. Ils reconnaissent également l'importance*socio=rien que revêt l'intégration*socio=uv1 rapide*socio=rien de ces pays*socio=ac dans le système*socio=rien mondial*socio=te d'échanges*socio=ec1 et le GATT*socio=ac, et la nécessité*socio=uv1 pour ces pays*socio=ac de libéraliser leur propre*socio=rien régime*socio=et commercial*socio=ec1. Ils invitent les *socio=ac pays donateurs *socio=nil à fournir des fonds*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien dans ce domaine*socio=rien sans pour autant prélever sur*socio=rien les ressources*socio=ec1 destinées*socio=rien à d'autres bénéficiaires*socio=ac. IDA- 10 et FASR*socio=ec1. Le Comité*socio=ac a été*socio=rien informé de l'état*socio=rien actuel*socio=te des négociations*socio=et relatives*socio=rien à IDA-10. Les ministres*socio=ac reconnaissent que les ressources*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac sont maintenant beaucoup plus sollicitées à cause*socio=rien des besoins*socio=uv1 croissants*socio=rien des pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 qui ont traditionnellement bénéficié des *socio=ec1 crédits concessionnels *socio=nil de l'Association*socio=ac, à cause*socio=rien des pays*socio=ac nouvellement éligibles et des membres*socio=ac nouveaux*socio=rien et potentiels*socio=uv4 du*socio=rien Groupe*socio=ac de la Banque*socio=ac, et à cause*socio=rien de l'importance*socio=rien accrue que revêtent les problèmes*socio=uv4 d'environnement*socio=et. Ils insistent une fois*socio=rien encore sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1, dans les opérations*socio=rien de l'IDA*socio=ac, de mieux cibler l'action*socio=ec1 sur*socio=rien la réduction*socio=ec2 de la pauvreté*socio=uv1. Tout en étant conscients*socio=uv2 des contraintes*socio=uv1 budgétaires*socio=et auxquelles sont soumis nombre*socio=rien de donateurs*socio=ac, les ministres*socio=ac reconnaissent la nécessité*socio=uv1 pour les délégués*socio=ac à l'IDA*socio=ac de parvenir à un*socio=rien accord*socio=et, avant la fin*socio=rien de 1992, sur*socio=rien une Dixième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 de l'IDA*socio=ac, de préférence*socio=rien à *socio=rien un niveau sensiblement*socio=nil supérieur *socio=nil à celui de IDA-9*socio=ac. Ils notent que la Banque*socio=ac soumettra *socio=rien un nouveau rapport d'*socio=nil activité au*socio=nil moment *socio=nil de sa réunion*socio=rien de septembre*socio=rien. Ils accueillent avec satisfaction*socio=uv3 l'élargissement*socio=ec2 récent*socio=rien de la liste des pays*socio=ac admis à bénéficier de la FASR*socio=ec1 et les opérations*socio=rien menées par le Fonds*socio=ec1 à l'appui*socio=uv1 des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et de ces pays*socio=ac. Il importe de maintenir la dynamique*socio=uv4 des efforts*socio=uv1 ainsi déployés pour soutenir la croissance*socio=uv3 et relever les niveaux_de_vie*socio=uv1, avec le soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1 de la *socio=ac communauté internationale,*socio=nil *socio=nil y compris en faveur*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2. Pauvreté*socio=uv1. Le Comité*socio=ac a reçu *socio=rien un rapport d'*socio=nil activité sur *socio=nil la mise en oeuvre*socio=rien de la stratégie*socio=et adoptée par la Banque*socio=ac pour lutter contre la pauvreté*socio=uv1 et les *socio=rien travaux connexes du Fonds*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil ministres*socio=ac *socio=nil regrettent qu'à cause*socio=rien de la détérioration*socio=uv4 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1, il y aura, selon la Banque*socio=ac, à la *socio=rien fin du siècle *socio=nil plus de 50 millions*socio=rien de plus de pauvres*socio=uv2 qu'en 1985, alors qu'ils avaient espéré une très forte*socio=rien réduction*socio=ec2. Les ministres*socio=ac réaffirment leur opinion*socio=uv1 selon laquelle la réduction*socio=ec2 de la pauvreté*socio=uv1 doit rester, dans le contexte*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 soutenable*socio=uv4, la priorité*socio=uv4 *socio=rien principale du Groupe*socio=ac *socio=nil de la Banque*socio=ac. Tous les efforts*socio=uv1 doivent *socio=rien être faits *socio=nil pour tenir compte*socio=ec1 de cette priorité*socio=uv4, au niveau*socio=rien de chaque pays*socio=ac, dans la conception*socio=et des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec1 et la préparation*socio=rien de bilans*socio=ec1 de la pauvreté*socio=uv1, et pour allouer à cette fin*socio=rien le personnel*socio=ac qualifié*socio=uv4 nécessaire*socio=rien. Ils notent que le Fonds*socio=ec1 prend Minent en compte*socio=ec1 l'impact*socio=rien sur*socio=rien les pauvres*socio=uv2 des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et que les pays_membres*socio=ac entreprennent avec son appui*socio=uv1 et qu'il les aide*socio=uv1 à intégrer des filets*socio=et de protection_sociale*socio=et dans leurs programmes*socio=et de réforme*socio=et. Sécheresse*socio=et en *socio=ac Afrique australe et*socio=nil orientale*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil ministres *socio=nil notent avec beaucoup d'inquiétude*socio=rien les effets*socio=rien de la grave*socio=uv4 sécheresse*socio=et qui sévit en *socio=ac Afrique australe et*socio=nil orientale*socio=te,*socio=nil *socio=nil et exhortent les bailleurs_de_fonds*socio=ec1 ainsi que la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 à apporter le maximum*socio=rien d'appui*socio=uv1 aux efforts*socio=uv1 que les nations_unies*socio=ac coordonnent pour atténuer les effets*socio=rien de la sécheresse*socio=et. Investissement*socio=ec1 étranger*socio=te. Suite*socio=rien à la proposition*socio=rien faite par la France*socio=ac à la réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1991, le Comité*socio=ac a reçu *socio=rien un rapport d'*socio=nil activité sur l'*socio=nil étude*socio=ec2 *socio=nil que prépare actuellement le Groupe*socio=ac de la Banque*socio=ac sur*socio=rien le cadre*socio=rien juridique*socio=et régissant*socio=rien l' investissement_direct_étranger*socio=ec1. Les ministres*socio=ac accueillent favorablement les travaux*socio=rien en préparation*socio=rien, lesquels serviront de base*socio=rien à l'examen*socio=ec2 de directives*socio=et visant à aider tous les pays*socio=ac à créer un*socio=rien environnement*socio=et accueillant pour l' investissement_direct_étranger*socio=ec1. Ils sont convenus de revenir sur*socio=rien cette question*socio=rien à leur réunion*socio=rien de septembre*socio=rien afin d'examiner les directives*socio=et proposées. Dette*socio=ec1. Le Comité*socio=ac a passé*socio=rien en revue l'évolution*socio=te récente*socio=rien de la gestion*socio=ec2 internationale*socio=ac de la dette*socio=ec1. Les ministres*socio=ac notent les progrès*socio=uv1 qui continuent d'être*socio=rien faits*socio=rien, dans le cadre*socio=rien de la stratégie*socio=et internationale*socio=ac de la dette*socio=ec1, pour revigorer les efforts*socio=uv1 de réforme*socio=et des *socio=ac pays débiteurs.*socio=nil *socio=nil Ils reconnaissent cependant que, pour *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil lourdement endettés, le poids*socio=rien excessif*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 continue*socio=rien de poser un*socio=rien *socio=uv4 grave problème.*socio=nil *socio=nil Ils se félicitent des accords*socio=et récents*socio=rien conclus avec les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, le plus récemment par l'Argentine*socio=ac, accords*socio=et qui couvrent neuf*socio=rien pays*socio=ac et plus de 60% des *socio=ec1 dettes commerciales des*socio=nil principaux*socio=rien *socio=ac pays débiteurs.*socio=nil Les*socio=nil ministres *socio=nil encouragent toutes les parties*socio=rien concernées à conclure en temps*socio=rien voulu des accords*socio=et avec les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1. Ils saluent la décision*socio=et tendant à reconduire pour deux autres années*socio=rien le Fonds*socio=ec1 de désendettement*socio=ec2 de l'IDA*socio=ac. Les ministres*socio=ac notent que pour les pays*socio=ac surendettés*socio=ec2 qui ont réussi à ajuster leur économie*socio=ec1, la rentrée sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 s'est*socio=rien accélérée en 1991. Ils notent que les pays*socio=ac qui avaient évité un*socio=rien rééchelonnement*socio=et de la dette*socio=ec1 ont généralement maintenu leur accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1, mais le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu que leurs efforts*socio=uv1 méritent un*socio=rien appui*socio=uv1 soutenu. Ils se félicitent du*socio=rien consensus*socio=uv1 auquel est*socio=rien parvenu le Club*socio=rien de Paris*socio=ac *socio=rien sur un nouveau traitement *socio=nil de la dette*socio=ec1, dont un*socio=rien allégement*socio=ec2 de 50%, pour les pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 et les plus endettés qui mènent actuellement des politiques*socio=et d'ajustement*socio=et appropriées. Les membres*socio=ac notent que le Club*socio=rien de Paris*socio=ac a accepté, dans certaines*socio=rien conditions*socio=ec1, de considérer l'encours de la dette*socio=ec1, après*socio=rien une période*socio=te de trois à quatre ans*socio=rien. Ils reconnaissent que, si elle *socio=rien est nécessaire *socio=nil dans certains cas*socio=rien, la réduction*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 signifie que certains créanciers*socio=ac ne seront pas en mesure*socio=rien d'accorder de nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec1 aux pays*socio=ac concernés. Les ministres*socio=ac ont envisagé l'impact*socio=rien des pratiques*socio=et actuelles*socio=te de comptabilité*socio=ec1, de fiscalité*socio=et et de contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1 sur*socio=rien la volonté*socio=uv1 des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 de conclure des accords*socio=et de réduction*socio=ec2 de la dette*socio=ec1, et notent que ces pratiques*socio=et n'ont pas vraiment*socio=rien constitué un*socio=rien obstacle*socio=uv3. Ils sont convenus d'étudier plus à fond*socio=rien si ces pratiques*socio=et limitent sérieusement les nouveaux*socio=rien concours. Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu de se réunir de nouveau*socio=rien à Washington*socio=ac le 21 septembre*socio=rien 1992, date à laquelle, comme il a déjà été*socio=rien décidé, il examinera des *socio=rien rapports sur le*socio=nil transfert*socio=ec1 de*socio=nil ressources*socio=ec1 aux*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 et*socio=nil sur le*socio=nil cadre juridique*socio=et régissant l'*socio=nil investissement*socio=ec1 étranger*socio=te.*socio=nil