*{ Fonds Monétaire international Rapport Annuel 1993 } fonds_monétaire_international*socio=ac.*socio=nil Rapport annuel*socio=te du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil pour l'exercice*socio=rien clos le 30 avril*socio=rien 1993. Vers *socio=rien un ordre monétaire*socio=ec1 universel*socio=uv2:*socio=nil le*socio=nil FMI*socio=ac relève le*socio=nil défi*socio=uv2.*socio=nil *socio=nil En 1992 / 93, le FMI*socio=ac a dû faire face*socio=rien à de nouveaux*socio=rien défis*socio=uv2. Il a réagi promptement pour répondre aux besoins*socio=uv1 urgents*socio=rien, et de plus en plus divers, de ses pays_membres*socio=ac, en les conseillant dans la conduite*socio=rien de leur politique_économique*socio=ec1 et en leur fournissant son assistance*socio=uv1 financière*socio=ec1 et technique*socio=rien. De ce fait*socio=rien, ses activités*socio=rien se sont encore étendues et intensifiées et, pour la *socio=rien première fois,*socio=nil l'*socio=nil institution*socio=ac a*socio=nil été *socio=nil près d'obtenir*socio=rien l'adhésion*socio=uv1 universelle*socio=uv2 que ses fondateurs*socio=rien s'étaient fixée pour but*socio=rien il y a près de cinquante ans*socio=rien. En effet*socio=rien, au cours*socio=rien de cet exercice*socio=rien, le nombre*socio=rien des pays_membres*socio=ac *socio=rien est passé *socio=nil de 157 à 177 et, à la date de sa clôture, trois demandes*socio=et d'adhésion*socio=uv1 étaient encore à l'étude*socio=ec2. (Un*socio=rien de ces trois pays*socio=ac, les États*socio=ac fédérés*socio=rien de Micronésie, est*socio=rien devenu membre*socio=ac en juin*socio=rien 1993). Le FMI*socio=ac a mené ses activités*socio=rien dans *socio=rien un contexte économique*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil marqué par des difficultés*socio=uv4 persistantes*socio=rien. Si l'activité_économique*socio=ec1 mondiale*socio=te a connu dans son ensemble*socio=rien une légère*socio=rien reprise, celle-ci a *socio=rien été inférieure *socio=nil à ce que l'on attendait et l'on observe toujours, dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, une croissance*socio=uv3 faible*socio=rien ou négative*socio=rien, conjuguée*socio=rien à de *socio=rien hauts niveaux de*socio=nil chômage*socio=ec1 *socio=nil et au maintien*socio=rien des obstacles*socio=uv3 structurels*socio=ec2 à la croissance*socio=uv3. Parmi les pays_industrialisés*socio=ac, si les États-unis*socio=ac et le Canada*socio=ac ont donné les signes d'une reprise graduelle*socio=te, la croissance*socio=uv3 a baissé au Japon*socio=ac, et la plupart*socio=rien des *socio=ac pays européens *socio=nil ont connu la stagnation*socio=ec1 ou le déclin*socio=ec2 de leur économie*socio=ec1. Malgré les résultats*socio=rien peu satisfaisants*socio=uv4 des pays_industrialisés*socio=ac, la situation*socio=rien économique*socio=ec1 s'est*socio=rien éclaircie dans beaucoup de pays_en_développement*socio=uv3 d'Asie*socio=ac - en particulier*socio=rien les nouvelles*socio=rien *socio=ec1 économies industrielles d'*socio=nil Asie*socio=ac du*socio=rien Sud-est*socio=te *socio=nil -, au Moyen-orient*socio=ac et dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te. Par contre, la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 s'est*socio=rien encore affaiblie dans une *socio=rien grande partie *socio=nil de l'Afrique*socio=ac. Étant donné les problèmes*socio=uv4 qui continuent d'affecter l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac a publié, le 30 avril*socio=rien 1993, une déclaration*socio=et appelant à un*socio=rien effort*socio=uv1 universel*socio=uv2 de coopération*socio=uv1 afin de rehausser la confiance*socio=uv1 et de raffermir les perspectives*socio=te d'expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4 et non inflationniste*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Le Comité*socio=ac ajoutait que la nécessité*socio=uv1 immédiate*socio=rien et pressante*socio=rien de mener à *socio=rien bon terme les*socio=nil *socio=et négociations multilatérales *socio=nil de l'uruguay_round*socio=et s'imposait pour l'essor*socio=rien de la prospérité*socio=uv1 mondiale*socio=te. Le Comité*socio=ac soulignait le rôle*socio=et *socio=rien crucial du FMI*socio=ac comme*socio=nil institution*socio=ac pivot du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil *socio=nil Il faisait remarquer que, face*socio=rien aux défis*socio=uv2 lancés par une économie*socio=ec1 mondiale*socio=te de plus en plus intégrée, la surveillance*socio=et efficace*socio=uv4 que le FMI*socio=ac exerce sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1 et les politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 était encore plus essentielle*socio=uv4. Il s'engageait à approuver les mesures*socio=et décidées par le conseil_d'_administration*socio=ac pour renforcer cette surveillance*socio=et, y compris au plan*socio=rien régional*socio=te, afin de déceler et de résoudre au plus vite les problèmes*socio=uv4 qui risquent de créer des tensions*socio=ec2 au sein*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et une fâcheuse instabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1. Pendant cette année*socio=rien, le FMI*socio=ac a aussi continué de jouer un*socio=rien rôle*socio=et déterminant*socio=rien dans l'entreprise*socio=ac de *socio=rien grande envergure *socio=nil qui consiste à soutenir la transformation*socio=ec2 des anciennes économies*socio=ec1 à planification*socio=et centrale*socio=rien en systèmes*socio=rien de libre_marché*socio=ec1. Plusieurs accords*socio=et ont été*socio=rien approuvés, l'un*socio=rien portant sur*socio=rien la première*socio=rien tranche de crédit*socio=ec1 pour la Fédération*socio=et de Russie*socio=ac et les autres sur*socio=rien les tranches supérieures*socio=rien pour les trois *socio=ac États baltes et*socio=nil *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac d'*socio=nil Europe*socio=ac centrale et*socio=nil orientale*socio=te *socio=nil dont l'économie*socio=ec1 est*socio=rien en transition*socio=ec2. Conscient*socio=uv2 des *socio=uv4 problèmes exceptionnels *socio=nil auxquels se heurtent les économies_en_transition*socio=ec1, le FMI*socio=ac a créé en avril*socio=rien 1993 la facilité pour la *socio=ec2 transformation systémique *socio=nil (FTS). Cette facilité est*socio=rien destinée à fournir un*socio=rien financement*socio=ec1 aux pays_membres*socio=ac qui connaissent des difficultés*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 dans la mesure*socio=rien où leurs dispositifs*socio=et de commerce*socio=ec1 et de paiements*socio=ec1 ont été*socio=rien gravement perturbés par le passage*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien commercial*socio=ec1 fondé principalement sur*socio=rien des prix*socio=ec1 hors marché*socio=ec1 à *socio=rien un système multilatéral*socio=et axé*socio=nil sur le*socio=nil marché*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Elle s'applique aux pays_membres*socio=ac qui se trouvent aux premiers*socio=rien stades*socio=te de la transition*socio=ec2 et qui n'ont pas encore pu mettre au point*socio=rien des programmes*socio=et que le FMI*socio=ac pourrait soutenir dans le cadre*socio=rien de ses mécanismes*socio=et de prêt*socio=ec1 existants*socio=rien. Les *socio=ac pays bénéficiaires *socio=nil s'engageront à adopter rapidement des politiques*socio=et qui pourraient par la *socio=rien suite être *socio=nil appuyées dans le cadre*socio=rien d'accords*socio=et de confirmation*socio=et, du*socio=rien mécanisme*socio=et élargi de crédit*socio=ec1 ou de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FASR*socio=ec1). En mai*socio=rien 1993, en liaison*socio=rien avec un*socio=rien accord*socio=et de confirmation*socio=et avec le FMI*socio=ac, le Kirghizistan*socio=ac a fait*socio=rien le premier*socio=rien achat*socio=ec1 (pour un*socio=rien montant*socio=ec1 de 16 millions*socio=rien de DTS) dans le cadre*socio=rien de cette facilité. Et, au début*socio=rien de juillet*socio=rien, la Russie*socio=ac a effectué un*socio=rien achat*socio=ec1 de 1.078 millions*socio=rien de DTS. Parmi les pays_en_développement*socio=uv3, certains ont vu s'améliorer leur situation*socio=rien économique*socio=ec1 grâce*socio=rien à leurs efforts*socio=uv1 déterminés d'ajustement*socio=et en vue*socio=rien de promouvoir la croissance*socio=uv3 et de mettre en place*socio=rien des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 d'envergure*socio=rien, souvent avec le soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1 et *socio=rien technique du FMI*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Beaucoup d'autres, toutefois, demeurent dans une situation*socio=rien économique*socio=ec1 difficile*socio=rien et doivent encore procéder à d'importants*socio=uv4 ajustements*socio=et de leur politique_économique*socio=ec1. La FASR*socio=ec1 a démontré l'efficacité*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1 qu'elle apporte aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 dans la mise en oeuvre*socio=rien de vastes*socio=rien programmes*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurels*socio=ec2 afin de renforcer la position*socio=rien de leur balance_des_paiements*socio=ec1, de favoriser la croissance*socio=uv3 et d'attirer des financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Constatant l'efficacité*socio=uv3 et l'importance*socio=rien de ce soutien*socio=uv3 concessionnel*socio=ec1, le Conseil*socio=ac a décidé en avril*socio=rien 1993 qu'un*socio=rien mécanisme*socio=et succédant à la FASR*socio=ec1 devait être*socio=rien mis en place*socio=rien rapidement afin d'assurer la continuité*socio=uv1 après*socio=rien la date-butoir de novembre*socio=rien 1993 fixée pour les engagements*socio=et dans le cadre*socio=rien de la facilité en vigueur*socio=uv3. D'autre part*socio=rien, pour faire face*socio=rien aux besoins*socio=uv1 d'une économie*socio=ec1 mondiale*socio=te en expansion*socio=ec2, une importante*socio=uv4 augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et au FMI*socio=ac *socio=rien est entrée en*socio=nil vigueur*socio=uv3 en*socio=nil novembre *socio=nil 1992. Cette augmentation*socio=ec2, à laquelle s'ajoutaient les quotes-parts*socio=et des nouveaux*socio=rien pays_membres*socio=ac, a accru le total*socio=rien des quotes-parts*socio=et au FMI*socio=ac de près de 60%, les portant à 144,6 milliards*socio=rien de DTS à la fin*socio=rien d'avril*socio=rien 1993, contre 91,2 milliards*socio=rien à la fin*socio=rien d'avril*socio=rien 1992. Les quotes-parts*socio=et initiales*socio=rien des pays*socio=ac qui sont devenus membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac depuis le 30 avril*socio=rien 1992 comptent pour 6,2 milliards*socio=rien de DTS dans cette augmentation*socio=ec2. En conséquence*socio=rien de l'accroissement*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et, la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac a été*socio=rien réexaminée par le Conseil*socio=ac en octobre*socio=rien 1992, et de *socio=rien nouvelles limites d'*socio=nil accès*socio=uv1 ont*socio=nil été *socio=nil établies qui visent à maintenir dans l'ensemble*socio=rien les possibilités*socio=rien d'accès*socio=uv1 des pays_membres*socio=ac. En octobre*socio=rien 1992, le Conseil*socio=ac a renouvelé les Accords*socio=et généraux*socio=rien d'emprunt*socio=ec1 pour une période*socio=te de *socio=rien cinq ans *socio=nil à compter du*socio=rien 26 décembre*socio=rien 1993 et approuvé un*socio=rien amendement*socio=et à ces accords*socio=et pour tenir compte*socio=ec1 de l'adhésion*socio=uv1 de la Suisse*socio=ac au FMI*socio=ac. En 1992 / 93, le Conseil*socio=ac a examiné à deux reprises l'éventualité*socio=te d'une allocation*socio=et de DTS et les problèmes*socio=uv4 qui s'y rattachent. Lors*socio=rien d'une réunion*socio=rien qu'il a tenue en avril*socio=rien 1993, le Conseil*socio=ac a étudié le besoin*socio=uv1 à long_terme*socio=te de compléter les avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 existants*socio=rien, l'ampleur*socio=rien d'une éventuelle*socio=te allocation*socio=et de DTS et les *socio=rien questions relatives *socio=nil à une redistribution*socio=et des DTS après*socio=rien allocation*socio=et. Toutefois, cette réunion*socio=rien n'a pas fait*socio=rien ressortir le large*socio=rien soutien*socio=uv3 nécessaire*socio=rien à une nouvelle*socio=rien allocation*socio=et. À la fin*socio=rien de ce mois*socio=rien, le comité_intérimaire*socio=ac a lui aussi procédé*socio=rien à un*socio=rien échange_de_vues*socio=uv3 sur*socio=rien la question*socio=rien d'une allocation*socio=et de DTS. Dans son communiqué, il a chargé le Conseil*socio=ac d'évaluer la nécessité*socio=uv1 à long_terme*socio=te de compléter les réserves*socio=ec1 mondiales*socio=te existantes*socio=rien, les effets*socio=rien économiques*socio=ec1 et monétaires*socio=ec1 que pourrait avoir une allocation*socio=et et l'avenir*socio=te du*socio=rien DTS en tant qu'instrument*socio=et: de réserve*socio=ec1. Le Comité*socio=ac a aussi demandé qu'un*socio=rien *socio=rien rapport sur ces*socio=nil travaux *socio=nil lui soit soumis à sa *socio=rien prochaine réunion en*socio=nil septembre *socio=nil 1993. La stratégie*socio=et de coopération*socio=uv1 visant à aider les pays_membres*socio=ac à progresser dans l'élimination*socio=ec2 de leurs impayés*socio=ec1 au titre*socio=rien d'obligations*socio=uv1 envers le FMI*socio=ac continue*socio=rien d'être*socio=rien mise en oeuvre*socio=rien et le niveau*socio=rien de ces arriérés a baissé en 1992/93 pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis 1982, un*socio=rien *socio=ac pays membre *socio=nil ayant même pu éliminer tous ses arriérés de longue*socio=rien date envers le FMI*socio=ac. Le troisième*socio=rien amendement*socio=et aux statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac est*socio=rien également entré en vigueur*socio=uv3 au cours*socio=rien de l'année*socio=rien. Il autorise la suspension*socio=rien des droits_de_vote*socio=et et droits*socio=uv1 connexes*socio=rien d'un*socio=rien *socio=ac pays membre *socio=nil qui persiste à ne pas remplir ses obligations*socio=uv1 en vertu*socio=rien des statuts*socio=et, en particulier*socio=rien à ne pas régler ses impayés*socio=ec1 au titre*socio=rien d'obligations*socio=uv1 financières*socio=ec1. Le FMI*socio=ac a encore amplifié et intensifié ses activités*socio=rien d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et de formation*socio=et pour répondre aux besoins*socio=uv1 créés par l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien du nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac.*socio=nil En*socio=nil août *socio=nil 1992, un*socio=rien Secrétariat*socio=ac de l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien a été*socio=rien créé au FMI*socio=ac pour centraliser ces activités*socio=rien et coordonner les services*socio=et d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien dans le *socio=rien cadre du FMI*socio=ac *socio=nil et avec les autres institutions*socio=ac. Enfin, l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien du nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil et l'intensification*socio=ec2 des opérations*socio=rien financières*socio=ec1 ont nécessité*socio=uv1 l'accroissement*socio=ec2 de l'effectif*socio=rien permanent*socio=rien de l'institution*socio=ac, qui *socio=rien est passé *socio=nil à plus de 2.100 personnes*socio=ac, et la réorganisation*socio=uv3 de certains départements opérationnels*socio=rien pour les adapter*socio=rien aux besoins*socio=uv1 nouveaux*socio=rien des pays_membres*socio=ac. L'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Situation*socio=rien économique*socio=ec1. Une légère*socio=rien reprise de l'activité_économique*socio=ec1 mondiale*socio=te a été*socio=rien observée en 1992 avec une modeste*socio=rien expansion*socio=ec2 de 1 3/4% qui a *socio=rien fait suite *socio=nil à une croissance*socio=uv3 de 1/2% en 1991. Les pays_industrialisés*socio=ac ont enregistré une *socio=rien faible hausse *socio=nil de leur taux_de_croissance*socio=ec1 (qui a atteint 1 1/2% l'expansion*socio=ec2 s'est*socio=rien encore ralentie dans maints pays_en_développement*socio=uv3 d'Afrique*socio=ac, et les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te et de l'ex - union_soviétique*socio=ac en train*socio=rien de se convertir à l'économie_de_marché*socio=ec1 ont accusé d'importantes*socio=uv4 pertes*socio=ec2 à la production*socio=ec1. Dans le même temps*socio=rien, les pays_en_développement*socio=uv3 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et d'Asie*socio=ac ainsi que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac de l' hémisphère_occidental*socio=te ont enregistré une croissance*socio=uv3 plus vigoureuse*socio=rien, qui a contribué à une augmentation*socio=ec2 de 6 '/'() du*socio=rien PIB*socio=ec1 *socio=rien réel du groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil L'*socio=nil accélération*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 dans les pays_industrialisés*socio=ac et la poursuite*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 des échanges*socio=ec1 intra-régionaux, particulièrement en Asie*socio=ac, se sont traduites par une croissance*socio=uv3 plus rapide*socio=rien des échanges_mondiaux*socio=ec1, qui a atteint 4 1/2%. L'inflation*socio=ec1 a continué à baisser dans le monde*socio=te entier*socio=rien en 1992, la demande*socio=ec1 restant à *socio=rien un niveau inférieur au*socio=nil potentiel*socio=uv4 de*socio=nil production*socio=ec1 *socio=nil et les pressions*socio=ec2 exercées sur*socio=rien les prix*socio=ec1 perdant de leur vigueur*socio=uv3 sur*socio=rien les *socio=ec1 marchés pétroliers mondiaux*socio=te.*socio=nil *socio=nil Dans les pays_industrialisés*socio=ac, le taux*socio=ec1 de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 est*socio=rien descendu à 3 1/4%; dans certains cas*socio=rien, il est*socio=rien tombé à son niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien depuis les années*socio=rien 60. S'il *socio=rien est vrai *socio=nil que, pour les pays_en_développement*socio=uv3, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 est*socio=rien resté en *socio=rien moyenne inférieur *socio=nil à 40% dans presque la moitié*socio=rien d'entre eux, il est*socio=rien tombé au-dessous de 9%. Cette baisse*socio=ec2 a pu être*socio=rien observée dans maints pays*socio=ac d'Asie*socio=ac et de l'hémisphère_occidental*socio=te, ainsi que du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac. En raison*socio=rien de la morosité*socio=uv1 de la conjoncture*socio=ec2 mondiale*socio=te, les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil se sont généralement encore assouplies en 1992 et au début*socio=rien de 1993. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 ont continué à baisser aux États-unis*socio=ac. En comparaison*socio=rien, les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil sont restées rigoureuses*socio=uv4 en Europe*socio=ac pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de 1992 avant de s'assouplir quelque peu à l'automne*socio=rien et de plus en plus au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1993. Pour l'ensemble*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, le déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te *socio=rien est passé *socio=nil de 27 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1991 à 46 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1992, en dépit*socio=rien d'une amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1. Ce déficit*socio=ec1 s'est*socio=rien fortement accru aux États-unis*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac, tandis que l'excédent*socio=ec1 du*socio=rien Japon*socio=ac n'a cessé d'augmenter pour atteindre un*socio=rien montant*socio=ec1 record*socio=ec2 en dollars*socio=ec1 ÉU Dans les pays_en_développement*socio=uv3, le déficit_global*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te s'est*socio=rien légèrement contracté pour tomber à 64 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1992, la normalisation*socio=uv3 des transactions*socio=ec1 extérieures*socio=te au Moyen-orient*socio=ac ayant été*socio=rien contrebalancée par la *socio=rien hausse du déficit*socio=ec1 des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil d'autres régions*socio=te, notamment de l'hémisphère_occidental*socio=te. En pourcentage*socio=rien des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, le total*socio=rien de la dette*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 est*socio=rien tombé de 124% en 1991 à 116% en 1992. Cependant, de nombreux*socio=rien pays*socio=ac ont continué à faire face*socio=rien à des problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1, et *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil accords*socio=et de*socio=nil restructuration*socio=et *socio=nil de la dette*socio=ec1, portant sur*socio=rien des montants*socio=ec1 considérables*socio=rien, ont été*socio=rien conclus dans le courant*socio=rien de l'année*socio=rien. activité_économique*socio=ec1 et emploi*socio=ec1. L'activité_économique*socio=ec1 mondiale*socio=te a enregistré une croissance*socio=uv3 de 1 3/4% en 1992 (tableau*socio=rien 1). Cette modeste*socio=rien expansion*socio=ec2 tient au manque*socio=rien de vigueur*socio=uv3 de la reprise dans les pays_industrialisés*socio=ac, au ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 d'Afrique*socio=ac et à de nouvelles*socio=rien pertes*socio=ec2 importantes*socio=uv4 à la production*socio=ec1 dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 vers *socio=rien un système d'*socio=nil économie_de_marché*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil En revanche, les pays_en_développement*socio=uv3 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et d'Asie*socio=ac ont enregistré une croissance*socio=uv3 plus vigoureuse*socio=rien en 1992, de même qu'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil de l'hémisphère_occidental*socio=te. Sous l'effet*socio=rien de l'accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans les pays_industrialisés*socio=ac et de la *socio=rien poursuite du développement*socio=uv3 des*socio=nil échanges*socio=ec1 *socio=nil intra-régionaux, notamment en Asie*socio=ac, l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te est*socio=rien passée à 4 1/4% en 1992. Dans les pays_industrialisés*socio=ac, la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 s'est*socio=rien accélérée pour atteindre 1 1/2% en 1992. Bien*socio=rien que les États-unis*socio=ac et le Canada*socio=ac aient commencé à sortir de la récession*socio=ec2, la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien fortement ralentie au et dans maints pays*socio=ac d'Europe*socio=ac, en raison*socio=rien de la faible*socio=rien confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac et des entreprises*socio=ac et sous l'effet*socio=rien des mesures*socio=et prises*socio=rien par les ménages*socio=ac et les entreprises*socio=ac en vue*socio=rien de réduire le niveau*socio=rien excessif*socio=uv4 de leurs dettes*socio=ec1 à la suite*socio=rien de la forte*socio=rien baisse*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 des actifs*socio=ec1. L'activité_économique*socio=ec1 en Europe*socio=ac a par *socio=rien ailleurs été *socio=nil freinée par le maintien*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te à *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4 *socio=nil et par des tensions*socio=ec2 *socio=rien considérables sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1.*socio=nil En*socio=nil conséquence,*socio=nil le*socio=nil taux*socio=ec1 de*socio=nil chômage*socio=ec1 *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac *socio=rien est passé *socio=nil de 7% en 1991 à 7 3/4% en 1992 (graphique*socio=rien 1). La reprise de l'activité*socio=rien aux États-unis*socio=ac, peu vigoureuse*socio=rien durant la *socio=rien première moitié *socio=nil de 1992, s'est*socio=rien affermie au cours*socio=rien des *socio=rien mois suivants (*socio=nil graphique *socio=nil 2). Elle a été*socio=rien peu marquée par rapport*socio=rien aux reprises précédentes*socio=rien, ce qui est*socio=rien principalement attribuable*socio=rien aux ajustements*socio=et de bilan*socio=rien opérés dans le secteur_privé*socio=et pour réduire le niveau*socio=rien de la dette*socio=ec1, à la faible*socio=rien croissance*socio=uv3 de l'emploi*socio=ec1 et à la confiance*socio=uv1 chancelante. Le Canada*socio=ac a lui aussi enregistré une reprise au-dessous de la normale*socio=rien, en *socio=rien partie du fait *socio=nil de ses liens*socio=rien d'interdépendance*socio=uv3 avec les États-unis*socio=ac, mais aussi par suite*socio=rien de la restructuration*socio=et et de la compression*socio=et des coûts*socio=ec1 que les entreprises*socio=ac ont continué à opérer. Par contre, la production*socio=ec1 a baissé au Royaume-uni*socio=ac pour la *socio=rien deuxième année consécutive,*socio=nil *socio=nil car le maintien*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4 *socio=nil pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de 1992 et la restructuration*socio=et financière*socio=ec1 en cours*socio=rien ont continué de freiner la demande*socio=ec1. Au début*socio=rien de 1993, l'expansion*socio=ec2 en amérique_du_nord*socio=ac s'est*socio=rien consolidée et le secteur*socio=rien industriel*socio=ec1 du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac a donné des signes encourageants*socio=uv4 de reprise à la suite*socio=rien de la réduction*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et de la dépréciation*socio=ec2 de la livre sterling*socio=ec1. Au Japon*socio=ac, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 s'est*socio=rien sensiblement ralentie en 1992, les dépenses*socio=ec1 privées*socio=et ayant reculé par suite*socio=rien des ajustements*socio=et de stocks*socio=ec1 et d'une baisse*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 des actifs*socio=ec1. En raison*socio=rien d'une détérioration*socio=uv4 de la conjoncture*socio=ec2 au , les bénéfices*socio=ec1 se sont fortement contractés, la *socio=rien situation du marché_du_travail*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil nettement détendue, la confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac est*socio=rien demeurée faible*socio=rien et le secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1 a enregistré un*socio=rien accroissement*socio=ec2 marqué *socio=rien du volume des*socio=nil prêts*socio=ec1 non*socio=nil productifs*socio=uv4.*socio=nil En*socio=nil Allemagne*socio=ac occidentale*socio=te,*socio=nil la*socio=nil croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil fortement ralentie pour s'établir à 1 1/2%, en partie*socio=rien sous l'effet*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 élevés*socio=uv4 associés*socio=rien à la politique*socio=et de rigueur*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 requise*socio=uv4 pour contenir l'inflation*socio=ec1 et de la politique_budgétaire*socio=et expansionniste*socio=ec2 consécutive*socio=rien à l'unification*socio=et. Dans le même temps*socio=rien, le *socio=rien secteur du bâtiment*socio=ec1 *socio=nil et des travaux_publics*socio=et en Allemagne*socio=ac orientale*socio=te a soutenu l'activité_économique*socio=ec1, mais le secteur*socio=rien industriel*socio=ec1 est*socio=rien resté faible*socio=rien en raison*socio=rien de la *socio=rien hausse rapide des*socio=nil salaires*socio=ec1 par*socio=nil rapport *socio=nil à la productivité*socio=uv3. D'autres *socio=ac pays européens *socio=nil ont aussi ressenti les effets*socio=rien de la rigueur*socio=uv3 des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil et de la dégradation*socio=uv3 *socio=rien générale du climat économique*socio=ec1.*socio=nil En*socio=nil France*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil contribution*socio=uv1 des*socio=nil exportations*socio=ec1 *socio=nil à la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien en partie*socio=rien neutralisée par l'atonie*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te liée au *socio=rien faible degré de*socio=nil confiance*socio=uv1 des*socio=nil consommateurs*socio=ac *socio=nil et à la montée du*socio=rien chômage*socio=ec1. En Italie*socio=ac également, où la faiblesse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a pourtant été*socio=rien en partie*socio=rien compensée par une amélioration*socio=uv1 de la compétitivité*socio=uv3 (due à l'élimination*socio=ec2 de l'indexation*socio=ec1 des salaires*socio=ec1 et au retrait de la lire du*socio=rien mécanisme*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac - SME*socio=ec1), la croissance*socio=ec1 a diminué. En outre, la situation*socio=rien économique*socio=ec1 est*socio=rien restée médiocre*socio=uv2 dans de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac plus petits*socio=rien en raison*socio=rien de la morosité*socio=uv1 *socio=rien générale du climat économique*socio=ec1 *socio=nil - qui a affaibli les principaux*socio=rien marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 - et de l'existence*socio=rien de déséquilibres*socio=uv3 intérieurs*socio=te d'ordre*socio=rien budgétaire*socio=et et financier*socio=ec1. Dans les pays_en_développement*socio=uv3, le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien a augmenté de 6% en 1992. Le *socio=rien faible niveau des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 des*socio=nil obligations*socio=uv1 extérieures*socio=te *socio=nil libellées en dollars*socio=ec1 ÉU et le *socio=rien volume considérable *socio=nil des entrées de capitaux*socio=ec1 dans certains cas*socio=rien ont partiellement compensé les effets*socio=rien de la dégradation*socio=uv3 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 pour les exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien de base*socio=rien et de la faiblesse*socio=ec2 générale*socio=rien de la demande*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac. Les résultats*socio=rien relativement bons*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien nombre croissant de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 peuvent*socio=nil être *socio=nil imputés aux efforts*socio=uv1 soutenus de stabilisation*socio=et et de réforme*socio=et déployés dans le cadre*socio=rien de stratégies*socio=et économiques*socio=ec1 d'ouverture*socio=uv3 sur*socio=rien l'extérieur*socio=te. Pour beaucoup d'autres pays_en_développement*socio=uv3, la situation*socio=rien économique*socio=ec1 est*socio=rien demeurée précaire*socio=uv2, et le niveau_de_vie*socio=uv1 a continué de baisser dans bien*socio=rien des pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2. La croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 dans le groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 a été*socio=rien stimulée par la forte*socio=rien reprise de l'activité*socio=rien au Moyen-orient*socio=ac après*socio=rien la crise*socio=uv2 de 1990-91 et par une augmentation*socio=ec2 du*socio=rien taux_d'_expansion*socio=ec2 en Asie*socio=ac, qui *socio=rien est passé *socio=nil à 8% - par suite*socio=rien d'une *socio=rien hausse considérable *socio=nil de la production*socio=ec1 en Chine*socio=ac et de l'accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans des pays*socio=ac comme le Bangladesh*socio=ac, l'Inde*socio=ac et le Pakistan*socio=ac, qui avaient adopté des politiques*socio=et financières*socio=ec1 et des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 bien*socio=rien conçues. Dans l'hémisphère_occidental*socio=te, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 s'est*socio=rien ralentie sous l'effet*socio=rien d'une baisse*socio=ec2 sensible*socio=rien de la production*socio=ec1 au Brésil*socio=ac liée aux difficultés*socio=uv4 présentées par la mise en oeuvre*socio=rien d'une politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 appropriée. Dans cette région*socio=te (hormis le Brésil*socio=ac), la croissance*socio=uv3 a atteint en moyenne*socio=rien 4 1/4%, car l'Argentine*socio=ac, le Chili*socio=ac, l'Uruguay*socio=ac et le Venezuela*socio=ac, ainsi que des pays*socio=ac plus petits*socio=rien, ont enregistré un*socio=rien taux_d'_expansion*socio=ec2 de 7 '/o ou plus. En Afrique*socio=ac, l'évolution*socio=te défavorable*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, la persistance*socio=te des effets*socio=rien de la sécheresse*socio=et dans le Sud*socio=te du*socio=rien continent*socio=ac et les perturbations*socio=ec2 causées par les conflits*socio=uv1 qui ont éclaté dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont limité la croissance*socio=uv3 à 3/4% en 1992. L'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 dans les pays*socio=ac bénéficiant d'accords*socio=et au titre*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 du*socio=rien FMI*socio=ac (FAS*socio=ec1) et de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FASR*socio=ec1) a *socio=rien été supérieure *socio=nil à la moyenne*socio=rien régionale*socio=te. Pour les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 qui ont renoncé à la planification*socio=et centrale*socio=rien, la situation*socio=rien économique*socio=ec1 demeure *socio=rien difficile après la*socio=nil contraction*socio=ec2 déjà*socio=nil forte *socio=nil de la production*socio=ec1 en 1990-91. Celle-ci a de nouveau*socio=rien diminué en 1992 dans les économies_en_transition*socio=ec1 d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien, à l'exception*socio=rien de la Pologne*socio=ac, quoique à un*socio=rien rythme*socio=ec2 sensiblement plus lent*socio=rien. Dans l'ex - République*socio=ac fédérative*socio=et tchèque*socio=ac et slovaque*socio=ac, en Hongrie*socio=ac et en Pologne*socio=ac, on a observé une reprise de l'activité*socio=rien dans le secteur_privé*socio=et et à l'exportation*socio=ec1. La production*socio=ec1 a poursuivi sa forte*socio=rien régression*socio=ec2 dans d'autres pays*socio=ac où certains *socio=rien éléments clés *socio=nil de l'effort*socio=uv1 de réforme*socio=et et de stabilisation*socio=et n'ont pas encore été*socio=rien pleinement mis en oeuvre*socio=rien. Dans l'ex - République*socio=ac *socio=et socialiste fédérative de*socio=nil Yougoslavie*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil perturbations*socio=ec2 *socio=nil causées par la *socio=rien division du pays*socio=ac *socio=nil et la poursuite*socio=rien des conflits*socio=uv1 régionaux*socio=te ont entraîné une forte*socio=rien réduction*socio=ec2 de la production*socio=ec1. En Russie*socio=ac et dans la plupart*socio=rien des autres États*socio=ac issus de l' ex-union_soviétique*socio=ac, la situation*socio=rien économique*socio=ec1 s'est*socio=rien détériorée. D'après*socio=rien les estimations*socio=ec2, le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien pour la région*socio=te a fléchi de près de 20% en 1992, mais, dans certains États*socio=ac, les pertes*socio=ec2 à la production*socio=ec1 ont été*socio=rien plus grandes*socio=rien. Outre les problèmes*socio=uv4 liés à la transformation*socio=ec2 de ces pays*socio=ac en économies_de_marché*socio=ec1, la poursuite*socio=rien de l'effondrement*socio=ec2 de la production*socio=ec1 tient aux difficultés*socio=uv4 à mettre en oeuvre*socio=rien des politiques*socio=et de stabilisation_macro-économique*socio=ec1, aux troubles politiques*socio=et et aux incertitudes*socio=uv3 entourant le processus*socio=te de réforme*socio=et même. En outre, les perturbations*socio=ec2 subies par les systèmes*socio=rien de commerce*socio=ec1 et de paiements*socio=ec1 ont contribué à la baisse*socio=ec2 de la production*socio=ec1 dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2. Évolution*socio=te des prix*socio=ec1. L'inflation*socio=ec1 mondiale*socio=te a continué de fléchir dans le monde*socio=te en 1992 et au début*socio=rien de 1993, la demande*socio=ec1 étant restée bien*socio=rien au-dessous du*socio=rien potentiel*socio=uv4 de production*socio=ec1 dans de nombreuses*socio=rien régions*socio=te. Ce recul*socio=rien a *socio=rien été favorisé *socio=nil par l'atténuation*socio=ec2 des pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 observée sur*socio=rien les *socio=ec1 marchés pétroliers mondiaux*socio=te en*socio=nil *socio=rien raison du niveau élevé*socio=uv4 *socio=nil de la production*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1, de la lenteur*socio=rien de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 et de la faible*socio=rien demande*socio=ec1 de fuel domestique en raison*socio=rien des températures particulièrement clémentes qui ont été*socio=rien enregistrées en Europe*socio=ac et en amérique_du_nord*socio=ac. Les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien autres que les combustibles*socio=ec1 ont accusé une nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 due au niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 de la production*socio=ec1, à l'arrivée*socio=rien sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 en provenance*socio=rien des économies_en_transition*socio=ec1 et au niveau*socio=rien généralement faible*socio=rien de la demande*socio=ec1 mondiale*socio=te de produits*socio=rien de base*socio=rien. En 1992, le taux*socio=ec1 de hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 est*socio=rien tombé à 3 1/4% dans les pays_industrialisés*socio=ac; dans certains cas*socio=rien, il est*socio=rien descendu à son niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien depuis les années*socio=rien 60 - en *socio=rien partie grâce *socio=nil à l'élimination*socio=ec2 des rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 et à la crédibilité*socio=uv1 des engagements*socio=et pris en vue*socio=rien de réduire davantage l'inflation*socio=ec1. Ramenée au-dessous de 2% au et au Canada*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée à 3% aux États-unis*socio=ac et elle est*socio=rien tombée à 4 1/2% dans les pays*socio=ac de la *socio=ac Communauté européenne *socio=nil (CE). Pour ce qui est*socio=rien des grands*socio=rien *socio=ac pays européens,*socio=nil la*socio=nil hausse*socio=rien des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil à la consommation*socio=ec1 a été*socio=rien de 2 3/4% en France*socio=ac, 3 3/4% au Royaume-uni*socio=ac, 4 1/2% en Allemagne*socio=ac et 5 1/4% en Italie*socio=ac. *socio=rien Un certain nombre des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac plus*socio=nil petits *socio=nil ont ramené leur taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 à moins de 2% en 1992. En 1992, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 *socio=rien moyen est resté*socio=nil inférieur *socio=nil à 40% dans les pays_en_développement*socio=uv3, dont presque la moitié*socio=rien ont enregistré un*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 de moins de 9% (graphique*socio=rien 3). En *socio=rien partie grâce *socio=nil à des politiques*socio=et financières*socio=ec1 prudentes*socio=uv2, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 a baissé dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac d'Asie*socio=ac et dans bien*socio=rien des pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te, à l'exception*socio=rien *socio=rien notable du Brésil*socio=ac,*socio=nil *socio=nil où l'aggravation*socio=ec2 du*socio=rien déséquilibre*socio=uv3 budgétaire*socio=et a porté les prix*socio=ec1 à *socio=rien un niveau *socio=nil environ dix fois*socio=rien plus élevé*socio=uv4. En Afrique*socio=ac, le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 moyen*socio=rien a augmenté, notamment à cause*socio=rien de la sécheresse*socio=et dans la partie*socio=rien australe du*socio=rien continent*socio=ac, quoique les prix*socio=ec1 aient évolué en mieux dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil Au*socio=nil Moyen-orient*socio=ac *socio=nil et dans les pays_en_développement*socio=uv3 d'Europe*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 a légèrement augmenté pour s'établir en moyenne*socio=rien à 26 1/2%. Dans le cas*socio=rien des pays*socio=ac en transition*socio=ec2, l'inflation*socio=ec1 a évolué très différemment d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre en 1992. À la suite*socio=rien de la libéralisation*socio=et des prix*socio=ec1 opérée par étapes*socio=te successives*socio=rien, l'inflation*socio=ec1 a été*socio=rien maîtrisée dans l'ex-tchécoslovaquie et elle a sensiblement baissé en Hongrie*socio=ac et en Pologne*socio=ac. Bien*socio=rien qu'ayant considérablement*socio=rien diminué en Bulgarie*socio=ac, elle est*socio=rien restée élevée*socio=uv4 dans ce pays*socio=ac ainsi qu'en Roumanie*socio=ac, et l'hyper-inflation a prévalu dans la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de l'ex-république*socio=ac *socio=et socialiste fédérative de*socio=nil Yougoslavie*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Dans l'ex-union_soviétique*socio=ac, toutefois, l'inflation*socio=ec1 a *socio=rien fait un bond *socio=nil à 1.300%. La libération*socio=uv3 des prix*socio=ec1 en Russie*socio=ac a tout d'abord*socio=rien provoqué une montée en flèche au début*socio=rien de 1992, après*socio=rien quoi l'augmentation*socio=ec2 mensuelle*socio=rien a été*socio=rien beaucoup plus faible*socio=rien jusqu'en août*socio=rien. Cependant, vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien, les politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1 laxistes ont entraîné une forte*socio=rien accélération*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1, qui s'est*socio=rien aussi considérablement*socio=rien accrue dans d'autres pays*socio=ac de la région*socio=te. Évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 et des changes*socio=ec1. En raison*socio=rien de la morosité*socio=uv1 de la conjoncture*socio=ec2 mondiale*socio=te, les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil se sont en général*socio=rien encore assouplies en 1992 et au début*socio=rien de 1993, et le *socio=ec1 taux interbancaire *socio=nil à six *socio=rien mois offert à*socio=nil Londres*socio=ac *socio=nil (LIBOR) a sensiblement reculé. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 ont continué à baisser aux États-unis*socio=ac, où le système_fédéral*socio=et de réserve*socio=ec1 a laissé le taux*socio=ec1 des "federal funds" évoluer en baisse*socio=ec2 et a ramené le taux*socio=ec1 d'escompte à 3%. Le taux*socio=ec1 d'escompte officiel*socio=et a été*socio=rien également abaissé au en plusieurs étapes*socio=te, de 4 1/2% au début*socio=rien de 1992 à 2 1/2% en février*socio=rien 1993, et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 tant à court_terme*socio=te qu'à long_terme*socio=te ont eux aussi sensiblement fléchi. En Europe*socio=ac, par comparaison*socio=rien, la politique*socio=et de rigueur*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 a été*socio=rien maintenue pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de 1992; elle a été*socio=rien quelque peu assouplie à l'automne*socio=rien et de plus en plus durant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1993. À la mi-juillet 1992, la Deutsche*socio=ec1 Bundesbank a porté le taux*socio=ec1 d'escompte au niveau*socio=rien record*socio=ec2 de 8 3/4%, en réponse*socio=rien à l'accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 et de la hausse*socio=rien de l'inflation*socio=ec1. Vers la fin*socio=rien de l'été*socio=rien, toutefois, la situation*socio=rien économique*socio=ec1 s'est*socio=rien détériorée en Allemagne*socio=ac, et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 ont baissé; les taux_d'_intérêt*socio=ec1 officiels*socio=et ont été*socio=rien quelque peu réduits à la mi-septembre dans le contexte*socio=rien de la crise*socio=uv2 du*socio=rien marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Au début*socio=rien de 1993, face*socio=rien à de nouveaux*socio=rien signes de récession*socio=ec2 économique*socio=ec1 et à l'amorce apparente d'un*socio=rien affaiblissement*socio=ec2 des *socio=ec2 pressions inflationnistes,*socio=nil *socio=nil la Bundesbank a encore réduit le taux*socio=ec1 d'escompte pour le ramener en plusieurs étapes*socio=te à 7 1/4%, et elle a abaissé le taux*socio=ec1 Lombard à 8 1/2%. Les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil dans les autres pays*socio=ac participant*socio=rien au mécanisme*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 ont suivi une évolution*socio=te très analogue*socio=rien à celle qui a été*socio=rien observée en Allemagne*socio=ac et ont été*socio=rien dominées*socio=uv2 par la crise*socio=uv2 qui a éclaté sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1 européen*socio=ac à la mi-septembre. Au début*socio=rien de 1993, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont généralement reculé *socio=rien du fait *socio=nil de l'atténuation*socio=ec2 des *socio=ec2 pressions inflationnistes;*socio=nil cette*socio=nil baisse *socio=nil a à la fois*socio=rien traduit et *socio=rien favorisé un relâchement*socio=ec2 des*socio=nil tensions*socio=ec2 au*socio=nil sein du mécanisme*socio=et des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1.*socio=nil Sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil dollar_éu*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil apprécié en 1992 de 6 1/2% par rapport*socio=rien au *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil et au franc*socio=ec1 français*socio=rien et d'environ 25% par rapport*socio=rien à la livre sterling*socio=ec1 et à la lire italienne*socio=ac; il s'est*socio=rien apprécié de 1/2% par rapport*socio=rien au yen*socio=ec1. La valeur*socio=ec1 du*socio=rien dollar*socio=ec1 a toutefois fluctué au cours*socio=rien de l'année*socio=rien : après*socio=rien avoir gagné 7% (en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1)*socio=nil *socio=nil jusqu'au début*socio=rien de mars*socio=rien, il avait perdu environ 10% au début*socio=rien de septembre*socio=rien et s'était à nouveau*socio=rien apprécié de presque 14% à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. Les remous*socio=rien qui ont perturbé le mécanisme*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 à partir de la mi-septembre 1992 ont abouti au retrait de la lire et de la livre sterling*socio=ec1 du*socio=rien mécanisme*socio=et et à une série de 'quatre réalignements*socio=ec1 (deux dépréciations*socio=ec1 de la peseta*socio=ec1 espagnole*socio=ac, une de l'escudo portugais et une de la livre irlandaise*socio=ac) jusqu'à la fin*socio=rien d'avril*socio=rien 1993. Les trois monnaies*socio=ec1 nordiques*socio=te qui avaient été*socio=rien rattachées à l'unité*socio=rien monétaire*socio=ec1 européenne*socio=ac (écu) ont dû revenir au régime*socio=et de flottement*socio=ec1. À la *socio=rien suite du *socio=nil retrait, en septembre*socio=rien 1992, de la livre sterling*socio=ec1 et de la lire italienne*socio=ac du*socio=rien mécanisme*socio=et des taux_de_change*socio=ec1, les deux monnaies*socio=ec1 se sont dépréciées en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil À la mi-avril 1993, elles s'étaient dépréciées respectivement de 14 et de 23%. Dans le même temps*socio=rien, le dollar*socio=ec1 et le yen*socio=ec1 se sont sensiblement appréciés - de 10% et 17% respectivement. Pendant les quatre *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1993, les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 ont été*socio=rien caractérisés par plusieurs grandes*socio=rien tendances*socio=ec2 : persistance*socio=te des tensions*socio=ec2 au *socio=rien sein du mécanisme*socio=et des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 au*socio=nil début *socio=nil de la période*socio=te, suivie d'un*socio=rien relâchement*socio=ec2 marqué après*socio=rien la mi-février; appréciation*socio=uv3 du*socio=rien yen*socio=ec1 par rapport*socio=rien aux monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac et *socio=rien nouvelle hausse record*socio=ec2 par*socio=nil rapport au*socio=nil dollar*socio=ec1 *socio=nil à la mi-avril; poursuite*socio=rien de l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar*socio=ec1 par rapport*socio=rien aux monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac - bien*socio=rien au-delà du*socio=rien taux*socio=ec1 enregistré avant la crise*socio=uv2 du*socio=rien marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1 européen*socio=ac - en dépit*socio=rien d'une certaine*socio=rien tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 en avril*socio=rien. Soldes*socio=ec1, financement*socio=ec1 et dette*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Le déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des pays_industrialisés*socio=ac s'est*socio=rien globalement alourdi, passant de 27 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1991 à 46 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1992, en dépit*socio=rien d'une amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1. Le déficit*socio=ec1 des États-unis*socio=ac s'est*socio=rien fortement accru en raison*socio=rien de l'accélération*socio=ec2 de la reprise économique*socio=ec1 et *socio=rien du fait *socio=nil que les transferts*socio=ec1 liés au conflit*socio=uv1 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac, qui avaient réduit le déficit*socio=ec1 en 1991, ont cessé. Il s'est*socio=rien aussi considérablement*socio=rien creusé au Royaume-uni*socio=ac, où la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 s'est*socio=rien ralentie et les importations*socio=ec1 sont remontées à des niveaux*socio=rien plus conformes*socio=uv4 à la norme*socio=et historique*socio=te. L'excédent*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te du*socio=rien a augmenté régulièrement en 1992 et atteint *socio=rien un niveau record*socio=ec2 en*socio=nil dollars*socio=ec1;*socio=nil cette*socio=nil augmentation*socio=ec2 *socio=nil tient au ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, à la baisse*socio=ec2 des cours*socio=rien mondiaux*socio=te des produits*socio=rien de base*socio=rien et à l'effet*socio=rien sur*socio=rien les prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 de l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien yen*socio=ec1 en 1991-92. La France*socio=ac a elle aussi enregistré un*socio=rien excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien en 1992 en raison*socio=rien de la vigueur*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 et de la faiblesse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Pour l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, le déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te s'est*socio=rien légèrement contracté pour s'établir à 64 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1992, car la normalisation*socio=uv3 des transactions*socio=ec1 extérieures*socio=te au Moyen-orient*socio=ac a été*socio=rien contrebalancée par l'aggravation*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 dans d'autres régions*socio=te, notamment dans l'hémisphère_occidental*socio=te. Le financement*socio=ec1 extérieur*socio=te net*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 s'est*socio=rien accru de 8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour s'établir à 112 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 par suite*socio=rien d'une forte*socio=rien croissance*socio=uv3 des apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 nets*socio=rien au Moyen-orient*socio=ac et des investissements*socio=ec1 de portefeuille*socio=ec1 dans l' hémisphère_occidental*socio=te (graphique*socio=rien 4). Le déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te s'est*socio=rien creusé dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2, quoiqu'il ait évolué très différemment selon les pays*socio=ac. Le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te s'est*socio=rien fortement contracté dans les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien, où il a été*socio=rien ramené à 11/2 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1, principalement *socio=rien du fait *socio=nil de la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 à destination*socio=rien de l'Europe*socio=ac occidentale*socio=te; il s'est*socio=rien en revanche aggravé dans les États*socio=ac issus de l'ex-union_soviétique*socio=ac en *socio=rien raison du recul des*socio=nil exportations*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil notamment de pétrole*socio=ec1. Les apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 extérieurs*socio=te nets*socio=rien aux pays*socio=ac en transition*socio=ec2 d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien sont passés*socio=te à 43/4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1992 (graphique*socio=rien 5). (Voir l'encadré 1 concernant les discordances statistiques*socio=ec2 dans les soldes*socio=ec1 mondiaux*socio=te des transactions_courantes*socio=te et des transactions*socio=ec1 en capital*socio=ec1). Le total*socio=rien de la dette*socio=ec1 (non compris les crédits*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac) des pays_en_développement*socio=uv3, en pourcentage*socio=rien des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, a été*socio=rien ramené de 124% en 1991 à 116% en 1992. Cependant, de nombreux*socio=rien pays*socio=ac ont continué de se heurter à de *socio=uv4 graves problèmes d'*socio=nil endettement*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil notamment en Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te, où ils sont restés en butte à des termes_de_l'_échange*socio=ec1 défavorables*socio=uv4 parmi d'autres conditions*socio=ec1 adverses, notamment la sécheresse*socio=et. D'importants*socio=uv4 accords*socio=et ont été*socio=rien conclus en 1992, aux fins*socio=rien de la restructuration*socio=et d'un*socio=rien montant*socio=ec1 total*socio=rien de 35 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 de dette*socio=ec1 envers les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 et d'une réduction*socio=ec2 nette*socio=rien des arriérés de 15 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 - pour une part*socio=rien importante*socio=uv4 dans l'hémisphère_occidental*socio=te. Deux des principaux*socio=rien accords*socio=et de restructuration*socio=et ont porté sur*socio=rien la dette*socio=ec1 des Philippines*socio=ac et celle de l'Argentine*socio=ac et ont été*socio=rien financés l'un*socio=rien et l'autre en *socio=rien partie grâce *socio=nil à l'allocation*socio=et par le FMI*socio=ac d'un*socio=rien montant*socio=ec1 d'environ 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 à l'appui*socio=uv1 de programmes*socio=et de réduction*socio=ec2 de la dette*socio=ec1. Le Brésil*socio=ac est*socio=rien parvenu à un*socio=rien accord*socio=et sur*socio=rien les conditions*socio=ec1 d'un*socio=rien plan*socio=rien global*socio=te de restructuration*socio=et de sa dette*socio=ec1 envers les banques*socio=ac, qui a été*socio=rien récemment soumis aux créanciers*socio=ac. Parmi les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, la Bolivie*socio=ac et l'Ouganda*socio=ac ont accompli des progrès*socio=uv1 appréciables*socio=rien dans la restructuration*socio=et de leur dette*socio=ec1. Des progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien réalisés dans la restructuration*socio=et de la dette*socio=ec1 *socio=et officielle bilatérale.*socio=nil Entre*socio=nil juillet*socio=rien *socio=nil 1992 et mai*socio=rien 1993, les créanciers*socio=ac *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac *socio=nil ont décidé d'accorder un*socio=rien allégement*socio=ec2 de dette*socio=ec1 à des *socio=ec1 conditions concessionnelles *socio=nil améliorées à dix pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Des accords*socio=et ont aussi été*socio=rien conclus avec cinq*socio=rien pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien et, en avril*socio=rien 1993, les créanciers*socio=ac *socio=et officiels bilatéraux *socio=nil sont parvenus à un*socio=rien accord*socio=et de rééchelonnement*socio=et avec la Fédération*socio=et de Russie*socio=ac, portant sur*socio=rien quelque 15 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 d'arriérés et de paiements*socio=ec1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1 *socio=nil de l' ex-union_soviétique*socio=ac arrivant à échéance*socio=te jusqu'à la fin*socio=rien de 1993. Évolution*socio=te de la politique_commerciale*socio=et. Le FMI*socio=ac s'intéresse aux questions*socio=rien de politique_commerciale*socio=et au titre*socio=rien de sa mission*socio=et de surveillance*socio=et, de même que dans le cadre*socio=rien des programmes*socio=et de réforme*socio=et macro-économique*socio=ec1 et structurelle*socio=ec2 de ses pays_membres*socio=ac. Le conseil_d'_administration*socio=ac examine la politique_commerciale*socio=et à l'échelle*socio=rien mondiale*socio=te à l'occasion*socio=rien de l'étude*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et à partir d'analyses*socio=ec2 périodiques*socio=te plus détaillées effectuées par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac - dont la dernière*socio=rien en date remonte à novembre*socio=rien 1991 (Rapport*socio=rien annuel*socio=te 1992, pages*socio=rien 77-82). Trois sujets*socio=rien ont dominé*socio=uv2 les débats*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac et les *socio=rien travaux du comité_intérimaire*socio=ac sur les*socio=nil questions commerciales*socio=ec1 l'*socio=nil incapacité*socio=uv3 persistante des*socio=nil États*socio=ac parties aux*socio=nil négociations_commerciales_multilatérales*socio=et *socio=nil de l'uruguay_round*socio=et de parvenir à un*socio=rien accord*socio=et, les facteurs*socio=rien influant sur*socio=rien les relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 tant dans les pays_industrialisés*socio=ac que dans les pays_en_développement*socio=uv3, et les problèmes*socio=uv4 spécifiques*socio=rien des pays*socio=ac en transition*socio=ec2 vers *socio=rien un système de*socio=nil marché*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans la déclaration*socio=et qu'il a faite en avril*socio=rien 1993, le comité_intérimaire*socio=ac a souligné la nécessité*socio=uv1 immédiate*socio=rien et pressante*socio=rien de mener à *socio=rien bonne fin les*socio=nil négociations*socio=et *socio=nil de l'uruguay_round*socio=et (encadré 2). Relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 entre les pays_industrialisés*socio=ac. En 1992 / 93, la persistance*socio=te des incertitudes*socio=uv3 quant à l'issue*socio=rien de l' uruguay_round*socio=et a assombri l'évolution*socio=te de la politique_commerciale*socio=et dans les pays_industrialisés*socio=ac. Les relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 entre ces pays*socio=ac ont été*socio=rien marquées par la récurrence des tensions*socio=ec2, avec en toile de fond*socio=rien une situation*socio=rien caractérisée par la présence*socio=rien de déséquilibres*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1, d'obstacles*socio=uv3 structurels*socio=ec2 à la croissance*socio=uv3 et d'un*socio=rien niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 de chômage*socio=ec1. Les frictions*socio=ec2 se sont intensifiées dans plusieurs secteurs*socio=rien encore protégés*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 étrangère*socio=te par l'existence*socio=rien de restrictions*socio=et aux échanges*socio=ec1, de subventions*socio=ec1 ou d'accords*socio=et de commerce*socio=ec1 réglementé. Il en est*socio=rien résulté une montée des différends*socio=uv2 commerciaux*socio=ec1, au *socio=rien sein du GATT*socio=ac *socio=nil comme à l'extérieur*socio=te, qui, au cours*socio=rien des douze mois*socio=rien considérés, ont alimenté diverses*socio=rien confrontations entre pays*socio=ac. La persistance*socio=te des déséquilibres*socio=uv3 commerciaux*socio=ec1 entre les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac a intensifié les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et. Quant aux relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 avec les pays_en_développement*socio=uv3, elles ont été*socio=rien dominées*socio=uv2 de plus en plus, surtout dans le cas*socio=rien des pays*socio=ac d'Asie*socio=ac et de l' hémisphère_occidental*socio=te, par des questions*socio=rien telles que la protection*socio=et des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien et les normes*socio=et en matière*socio=rien d'environnement*socio=et et de main-d'_oeuvre*socio=ac. De plus, certains grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont continué de faire la *socio=rien part belle,*socio=nil *socio=nil dans leur politique_commerciale*socio=et, à l'application*socio=rien de droits*socio=uv1 antidumping et de droits*socio=uv1 compensateurs*socio=uv3, aux incitations*socio=uv3 à l'auto-limitation des exportations*socio=ec1, voire aux menaces*socio=uv4 de sanctions*socio=et, attitude*socio=uv3 qui a conduit les pays_en_développement*socio=uv3 à réagir, entre autres, par un*socio=rien renforcement*socio=ec2 de leurs dispositions*socio=et antidumping. En attendant la conclusion*socio=rien de l'uruguay_round*socio=et, les pays_industrialisés*socio=ac - à quelques exceptions*socio=rien près (Australie*socio=ac, Nouvelle-zélande*socio=ac et Suède*socio=ac) - se sont de *socio=rien manière générale *socio=nil limités, dans leur effort*socio=uv1 d'ouverture*socio=uv3 de leurs marchés*socio=ec1, à faire avancer leurs objectifs*socio=uv3 d'intégration*socio=uv1 régionale*socio=te. En 1992, la CE a pris certaines*socio=rien mesures*socio=et de réforme*socio=et de la politique_agricole*socio=et commune*socio=uv2. L'uruguay_round*socio=et. Les négociations*socio=et de l'uruguay_round*socio=et sont suspendues, dans les faits*socio=rien, depuis le début*socio=rien de 1992, dans l'attente d'un*socio=rien accord*socio=et entre les principaux*socio=rien partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 sur*socio=rien des questions*socio=rien aussi épineuses que les subventions*socio=ec1 des *socio=ec1 exportations agricoles,*socio=nil le*socio=nil niveau*socio=rien des*socio=nil subventions nationales*socio=te en*socio=nil général*socio=rien *socio=nil et l'élargissement*socio=ec2 de l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1. Des progrès*socio=uv1 notables*socio=rien ont cependant été*socio=rien accomplis dans plusieurs domaines*socio=rien, parmi lesquels la mise au clair*socio=rien de *socio=rien certaines parties du Projet*socio=et d'*socio=nil acte*socio=et final,*socio=nil *socio=nil présenté à la fin*socio=rien de 1991. Le Projet*socio=et d' accord_général*socio=et sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 des services*socio=et, notamment, a *socio=rien été considérablement *socio=nil clarifié. L'essentiel*socio=uv4 des problèmes*socio=uv4 qui subsistent concernent les éventuelles*socio=te exclusions*socio=uv1 et les dispositions*socio=et applicables*socio=rien aux "bénéficiaires*socio=ac indus" de services*socio=et au cas*socio=rien où les mesures*socio=et de libéralisation*socio=et ne seraient pas suffisantes*socio=rien. Hormis un*socio=rien ou deux points*socio=rien en suspens*socio=rien, l'accord*socio=et s'est*socio=rien *socio=rien fait sur la*socio=nil protection*socio=et des*socio=nil droits_de_propriété*socio=et intellectuelle.*socio=nil Une*socio=nil procédure*socio=et de*socio=nil règlement*socio=et des*socio=nil différends*socio=uv2 plus*socio=nil efficace*socio=uv4 a*socio=nil été *socio=nil mise en oeuvre*socio=rien à *socio=rien titre provisoire *socio=nil et des modifications*socio=rien plus importantes*socio=uv4 seront apportées lorsque les accords*socio=et issus de l'uruguay_round*socio=et entreront en vigueur*socio=uv3. Les modalités*socio=rien d'un*socio=rien cadre*socio=rien permettant d'intégrer ces accords*socio=et à l' accord_général*socio=et sur*socio=rien les *socio=et tarifs douaniers *socio=nil et le commerce*socio=ec1 ont été*socio=rien étoffées et précisées. Et il y a aujourd'hui consensus*socio=uv1 sur*socio=rien la vocation*socio=rien de structure*socio=ec1 *socio=rien mère du *socio=et dispositif institutionnel unique*socio=rien *socio=nil qui en résultera pour tous les échanges*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et, ainsi que pour la propriété*socio=ec1 intellectuelle*socio=rien. Il y a aussi de plus *socio=rien grandes chances *socio=nil que l'objectif*socio=uv3 de réduction*socio=ec2 d'un*socio=rien tiers*socio=rien des *socio=et tarifs douaniers,*socio=nil proposé*socio=nil lors*socio=rien *socio=nil de l'examen*socio=ec2 à mi-parcours, soit atteint. Les questions*socio=rien restant à résoudre concernent l'amélioration*socio=uv1 de certaines*socio=rien règles*socio=et, notamment en matière*socio=rien de lutte*socio=uv1 anti-dumping et de droits*socio=uv1 compensateurs*socio=uv3 ainsi que la reconnaissance*socio=uv1 *socio=rien du lien *socio=nil entre le commerce*socio=ec1 et l'environne ment. La décision*socio=et prise*socio=rien par le gouvernement*socio=ac des États-unis*socio=ac de solliciter le renouvellement*socio=uv4 du*socio=rien pouvoir*socio=et de négociation*socio=et accélérée, pour une durée*socio=te qui permette la conclusion*socio=rien d'un*socio=rien accord*socio=et global*socio=te avant la fin*socio=rien de 1993, laisse de nouveau*socio=rien espérer que les incertitudes*socio=uv3 vont se dissiper et que les chances*socio=rien de développement*socio=uv3 des *socio=ec1 échanges_ commerciaux offertes*socio=rien *socio=nil par l'uruguay_round*socio=et ne seront pas gaspillées. politique_commerciale*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3. Au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil politique_commerciale*socio=et de*socio=nil nombreux pays_en_développement*socio=uv3 a*socio=nil été *socio=nil placée sous le signe d'un*socio=rien effort*socio=uv1 de libéralisation*socio=et et de rationalisation*socio=uv3 des régimes*socio=et de change*socio=ec1 et de commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te, déployé dans le cadre*socio=rien de programmes*socio=et globaux*socio=te d'ajustement*socio=et macro-économique*socio=ec1 et structurel*socio=ec2, souvent menés avec l'appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac ou de la banque_mondiale*socio=ac. Dans bien*socio=rien des cas*socio=rien, cet effort*socio=uv1 a permis*socio=rien une diminution*socio=ec2 ou une *socio=rien suppression progressives des*socio=nil restrictions*socio=et quantitatives *socio=nil qui ont été*socio=rien remplacées par des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac, ainsi qu'une réduction*socio=ec2 du*socio=rien montant*socio=ec1 et *socio=rien du nombre des*socio=nil droits*socio=uv1 de*socio=nil douane*socio=ac existants.*socio=nil *socio=nil Parmi les pays*socio=ac qui ont agi récemment dans ce sens*socio=rien, on peut citer le Brésil*socio=ac, l'Équateur*socio=ac, le Guatemala*socio=ac, l'Inde*socio=ac, le Mali, la Tanzanie et le Zimbabwe*socio=ac. En Afrique*socio=ac, de ombreux pays*socio=ac ont entrepris de libéraliser leur régime*socio=et commercial*socio=ec1 et d'en accroître la transparence*socio=uv3 - même s'il reste*socio=rien beaucoup à faire dans certains cas*socio=rien. En Asie*socio=ac, les pays*socio=ac engagés de longue*socio=rien date dans une politique*socio=et de libéralisation*socio=et gradualiste ont poursuivi leur action*socio=ec1, tandis que d'autres ont commencé à se dégager de la tendance*socio=ec2 à l'auto-centrisme. Les pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac ont amplifié leur mouvement*socio=ec2 de libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3, amorcé dans les années*socio=rien 80 : ils ont encore réduit la dispersion*socio=rien des *socio=et tarifs douaniers *socio=nil et, conformément aux obligations*socio=uv1 découlant de leur acceptation*socio=uv1 d'un*socio=rien nombre*socio=rien accru de règles*socio=et du*socio=rien GATT*socio=ac et de codes*socio=et issus du*socio=rien tokyo_round*socio=et, ils procèdent actuellement à la mise en *socio=rien oeuvre du système tarifaire*socio=et *socio=nil harmonisé. Toutefois, certains secteurs*socio=rien pour lesquels les marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te sont particulièrement faussés, comme l'agriculture*socio=ec1, continuent d'opposer de la résistance*socio=rien à la libéralisation*socio=et. Cette situation*socio=rien, conjuguée*socio=rien à l'aggravation*socio=ec2 des frictions*socio=ec2 qui caractérisent les relations*socio=rien commerciales*socio=ec1, a conduit les pays_en_développement*socio=uv3 à recourir plus fréquemment à l'application*socio=rien de mesures*socio=et de sauvegarde*socio=et, de droits*socio=uv1 antidumping et de droits*socio=uv1 d'entrée*socio=rien variables*socio=rien, afin de protéger leur industrie*socio=ec1 nationale*socio=te d'une concurrence*socio=ec1 étrangère*socio=te "déloyale*socio=uv2". Bien*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, de plus en plus conscients*socio=uv2 des avantages*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien multilatéral*socio=et d'échanges*socio=ec1 stable*socio=uv4 et libéral*socio=et, ont cherché à favoriser la *socio=rien conclusion rapide *socio=nil de l'uruguay_round*socio=et, de manière*socio=rien à pouvoir*socio=et disposer d'un*socio=rien ensemble*socio=rien de règles*socio=et commerciales*socio=ec1 stables*socio=uv4 et prévisibles*socio=uv4, et à s'assurer de l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 qui les intéressent - *socio=ec1 industrie textile,*socio=nil agriculture et*socio=nil services*socio=et *socio=nil - ainsi qu'à faciliter la recherche*socio=ec2 de solutions*socio=rien multilatérales*socio=et, plutôt que bilatérales*socio=et, aux tensions*socio=ec2 présentes*socio=rien dans d'autres domaines*socio=rien. Parallèlement à leur effort*socio=uv1 unilatéral de libéralisation*socio=et, les pays_en_développement*socio=uv3 ont manifesté de plus en plus le désir*socio=rien de s'intégrer dans le système*socio=rien multilatéral*socio=et d'échanges*socio=ec1. On en a pour preuve*socio=ec2 la multiplication*socio=rien des nouvelles*socio=rien adhésions au GATT*socio=ac: en 1992/93, plusieurs pays*socio=ac - la Dominique, le Mali, le Mozambique*socio=ac, la Namibie, Sainte-lucie et le Swaziland - en sont devenus membres*socio=ac; pour *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'autres pays*socio=ac, le processus*socio=te d'adhésion*socio=uv1 est*socio=rien en cours*socio=rien; d'autres encore ont obtenu le statut*socio=et d'observateur*socio=ac. Durant les seize mois*socio=rien qui ont pris fin*socio=rien en avril*socio=rien 1993, le FMI*socio=ac a participé aux consultations*socio=uv1 que le Comité*socio=ac des restrictions*socio=et à l'importation*socio=ec1 (balance_des_paiements*socio=ec1) du*socio=rien GATT*socio=ac a tenues avec le Bangladesh*socio=ac, l'Égypte*socio=ac, l'Inde*socio=ac, le Pakistan*socio=ac, les Philippines*socio=ac, la Pologne*socio=ac, Sri Lanka, la Tunisie et la Turquie*socio=ac. Libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 dans les économies_en_transition*socio=ec1. Les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te ont poursuivi l'action*socio=ec1 engagée à la fin*socio=rien des années*socio=rien 80 en vue*socio=rien de libéraliser et de réorienter leurs régimes*socio=et de change*socio=ec1 et de commerce*socio=ec1 en les faisant reposer sur*socio=rien les lois_du_marché*socio=ec2. Ils ont parfois dû, cependant, appliquer provisoirement des surtaxes*socio=et à l'importation*socio=ec1 pour alléger les pressions*socio=ec2 de la transition*socio=ec2, notamment pour remédier à des problèmes*socio=uv4 budgétaires*socio=et ou de balance_des_paiements*socio=ec1. Leurs difficultés*socio=uv4 pour définir*socio=rien une base*socio=rien de recettes*socio=ec1 intérieures*socio=te adéquate*socio=uv2 et aménager des systèmes*socio=rien efficaces*socio=uv4 de recouvrement*socio=ec1 des impôts*socio=et se révèlent comme un*socio=rien obstacle*socio=uv3 à la poursuite*socio=rien de la libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3. Certains d'entre eux - la Hongrie*socio=ac, la Pologne*socio=ac et la Roumanie*socio=ac - renégocient actuellement leurs protocoles d'adhésion*socio=uv1 au GATT*socio=ac pour sanctionner leurs réformes*socio=et orientées vers le marché*socio=ec1, et plusieurs autres ont demandé à y être*socio=rien admis. De même, la recherche*socio=ec2 d'une intégration*socio=uv1 plus étroite*socio=rien avec la CE et l'Association*socio=ac européenne*socio=ac de libre-échange*socio=et (AELE) - amorcée par le biais*socio=rien d'accords*socio=et d'association*socio=ac ou de libre_échange*socio=et - *socio=rien est un *socio=nil des axes de la *socio=et stratégie politique et*socio=nil économique*socio=ec1 *socio=nil qu'ont adoptée les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te et les *socio=ac États baltes *socio=nil pour assurer *socio=rien un ancrage irréversible *socio=nil de leur économie*socio=ec1 à l'Ouest*socio=te. Ces accords*socio=et prévoient l'élimination*socio=ec2 progressive*socio=rien, sur*socio=rien plusieurs années*socio=rien, des obstacles*socio=uv3 aux échanges*socio=ec1 pour la plupart*socio=rien des produits*socio=rien industriels*socio=ec1. Or*socio=ec1, certains secteurs*socio=rien à *socio=rien fort potentiel exportateur*socio=ec1,*socio=nil essentiels*socio=uv4 *socio=nil pour les économies*socio=ec1 d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te - agriculture*socio=ec1, textiles*socio=ec1 et acier*socio=ec1 notamment - sont encore soumis à des barrières*socio=ec2 non négligeables*socio=rien (quoique temporaires*socio=rien dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil cas)*socio=nil *socio=nil à l'entrée*socio=rien sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 communautaires*socio=ac. C'est*socio=rien pourquoi la CE a pris très récemment des initiatives*socio=rien en vue*socio=rien d'accélérer l'accès*socio=uv1 préférentiel*socio=ec1 au marché*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de ses accords*socio=et d'association*socio=ac avec ces pays*socio=ac. Elle a en outre signé des accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 et des accords*socio=et de coopération*socio=uv1 avec l'Albanie*socio=ac et la Slovénie*socio=ac. Les *socio=ac Républiques tchèque et*socio=nil slovaque,*socio=nil *socio=nil quant à elles, ont formé une union*socio=uv1 douanière*socio=et et conclu un*socio=rien accord*socio=et de libre-échange*socio=et avec la Hongrie*socio=ac et la Pologne*socio=ac. Le volume*socio=rien des échanges*socio=ec1 entre les États*socio=ac issus de l'ex-union_soviétique*socio=ac, et entre ceux-ci et le *socio=rien reste du monde*socio=te,*socio=nil *socio=nil a continué de chuter entre 1992 et le début*socio=rien de 1993. C'est*socio=rien là une situation*socio=rien qui à la fois*socio=rien reflète et aggrave l'affaissement*socio=rien de l'activité_économique*socio=ec1 dans l'ensemble*socio=rien de l'ex-urss*socio=ac. Les *socio=ac États baltes *socio=nil et ceux de l'ex-urss*socio=ac ont accompli des progrès*socio=uv1 inégaux*socio=uv2 dans la réforme*socio=et de leurs régimes*socio=et de commerce*socio=ec1 et de paiements*socio=ec1. Ce sont les *socio=ac États baltes *socio=nil qui ont obtenu ici les meilleurs*socio=uv4 résultats*socio=rien, dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien plan*socio=rien global*socio=te de réforme*socio=et économique*socio=ec1 mené avec le soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Soucieux*socio=rien de renforcer leur intégration*socio=uv1 avec l'Europe*socio=ac occidentale*socio=te, ces pays*socio=ac ont également conclu des *socio=et accords bilatéraux de*socio=nil libre-échange *socio=nil avec la Norvège*socio=ac, la Suède*socio=ac et la Finlande*socio=ac, complétés par la signature*socio=rien de conventions*socio=et commerciales*socio=ec1 et d'accords*socio=et de coopération*socio=uv1 avec la CE. Mais, parmi les États*socio=ac issus de l'ex-urss*socio=ac, certains ont eu plus de difficultés*socio=uv4 à réorienter leur régime*socio=et de commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te. Contingents*socio=ec2 d'exportation*socio=ec1, licences*socio=et, taxes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 et restrictions*socio=et de paiements*socio=ec1, explicites*socio=rien et implicites*socio=uv3, sont autant de moyens*socio=ec1 qu'ils ont mis en oeuvre*socio=rien pour tenter de soutenir le contrôle*socio=uv3 des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te (en particulier*socio=rien dans le secteur*socio=rien des *socio=rien produits primaires)*socio=nil *socio=nil et de limiter*socio=rien les effets*socio=rien défavorables*socio=uv4 de l'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1. Tout en assurant en général*socio=rien l'absence*socio=rien de restrictions*socio=et quantitatives*socio=rien et en maintenant leurs droits*socio=uv1 de douane*socio=ac - destinés principalement à accroître les recettes_publiques*socio=et - à des niveaux*socio=rien modérés dans l'ensemble*socio=rien, ces pays*socio=ac ont adopté différents*socio=rien dispositifs*socio=et transitoires*socio=rien de paiement*socio=ec1 qui ont entravé la libéralisation*socio=et effective*socio=rien des importations*socio=ec1. Ils ont *socio=rien été nombreux *socio=nil à recourir au troc (y compris avec des pays*socio=ac situés en dehors de la zone*socio=te de l'ex-urss*socio=ac) ou à des accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 intergouvernementaux, dans le but*socio=rien de préserver *socio=rien un volume minimum d'*socio=nil échanges*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil d'assurer leur approvisionnement*socio=ec1 en matières_premières*socio=ec1 essentielles*socio=uv4 ou de contenir la détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1. Certains d'entre eux, toutefois, ont engagé des réformes*socio=et visant à mieux adapter*socio=rien leurs régimes*socio=et d'échanges*socio=ec1 et de paiements*socio=ec1 aux principes*socio=ec2 du*socio=rien marché*socio=ec1 : ils ont notamment élargi le rôle*socio=et des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 en développant la convertibilité*socio=ec1 aux fins*socio=rien des transactions_courantes*socio=te, en réduisant les taxes*socio=et implicites*socio=uv3 à l'exportation*socio=ec1 et en unifiant les taux_de_change*socio=ec1. Plusieurs États*socio=ac de l'ex-union_soviétique*socio=ac - Arménie*socio=ac, Bélarus, Estonie*socio=ac, Kazakhstan*socio=ac, Lettonie, Lituanie, Moldova*socio=ac, Turkménistan et Ukraine*socio=ac - ont obtenu le statut*socio=et d'observateur*socio=ac auprès du*socio=rien GATT*socio=ac, première*socio=rien étape*socio=te dans la voie*socio=rien d'une éventuelle*socio=te adhésion*socio=uv1. La Fédération*socio=et de Russie*socio=ac, pour sa part*socio=rien, a repris le siège*socio=rien d'observateur*socio=ac autrefois occupé par l'union_soviétique*socio=ac. Accords*socio=et régionaux*socio=te de commerce*socio=ec1. La tendance*socio=ec2 à l'intégration*socio=uv1 régionale*socio=te s'est*socio=rien accélérée en 1992, tant dans le monde*socio=te industrialisé que dans les pays_en_développement*socio=uv3. Cette accélération*socio=ec2 résulte du*socio=rien renforcement*socio=ec2 des accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 en place*socio=rien, d'une part*socio=rien, mais aussi de l'impasse*socio=rien dans laquelle se trouve l' uruguay_round*socio=et - qui a intensifié la crainte*socio=uv1 d'actions*socio=ec1 défensives*socio=ec2 unilatérales*socio=et en matière*socio=rien d'échanges*socio=ec1 et accentué la nécessité*socio=uv1 d'une consolidation*socio=uv3 du*socio=rien pouvoir*socio=et de négociation*socio=et des blocs commerciaux*socio=ec1 les uns par rapport*socio=rien aux autres, compte*socio=ec1 tenu notamment de l'entrée*socio=rien *socio=rien sur scène du marché_unique*socio=ec1 européen*socio=ac *socio=nil et de l'accord_de_libre-échange_nord-américain*socio=et (ALENA*socio=et). En Europe*socio=ac, le marché_unique*socio=ec1, qui a vu le jour*socio=rien en janvier*socio=rien 1993, implique la poursuite*socio=rien de la libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 de biens*socio=ec1, de services*socio=et et de facteurs*socio=rien de production*socio=ec1, et de l'harmonisation*socio=uv3 des normes*socio=et au sein*socio=rien de la Communauté*socio=ac. À la fin*socio=rien de 1992, la quasi-totalité*socio=rien des mesures*socio=et afférentes*socio=rien au marché_unique*socio=ec1, à l'exception*socio=rien de *socio=rien certaines propositions *socio=nil encore à l'étude*socio=ec2, avaient été*socio=rien adoptées par le conseil_des_communautés_européennes*socio=ac, et les *socio=ac États membres *socio=nil sont en train*socio=rien d'achever l'ajustement*socio=et des législations*socio=et nationales*socio=te à certaines*socio=rien des nouvelles*socio=rien règles*socio=et de la CE. Le marché_unique*socio=ec1 constitue l'une des initiatives*socio=rien les plus importantes*socio=uv4 qui aient *socio=rien été prises en*socio=nil Europe*socio=ac *socio=nil pour stimuler les échanges*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3 depuis la création*socio=uv4 de la CE. L'harmonisation*socio=uv3 des normes*socio=et techniques*socio=rien et de contrôle*socio=uv3, alliée*socio=rien à un*socio=rien accès*socio=uv1 élargi aux marchés*socio=ec1, exposera les entreprises*socio=ac à de plus fortes*socio=rien *socio=ec2 pressions concurrentielles,*socio=nil aussi*socio=nil bien*socio=rien *socio=nil à l'intérieur*socio=te qu'à l'extérieur*socio=te de la CE, ce qui devrait les inciter à accroître leur efficacité*socio=uv3 et à renforcer leur faculté*socio=rien d'adaptation*socio=uv3. La création*socio=uv4 du*socio=rien marché_unique*socio=ec1 sanctionne l'importance*socio=rien cruciale*socio=uv4 de la libre*socio=uv2 concurrence*socio=ec1 internationale*socio=ac en tant que moteur*socio=uv3 du*socio=rien développement*socio=uv3 des échanges_commerciaux*socio=ec1 et de la croissance*socio=uv3 des revenus*socio=ec1. La mise en *socio=rien oeuvre du programme*socio=et du marché_unique*socio=ec1 a*socio=nil favorisé les*socio=nil échanges*socio=ec1 *socio=nil intra-régionaux (ouverture*socio=uv3 qui, pour le commerce*socio=ec1 de certains services*socio=et, a aussi bénéficié à des pays*socio=ac tiers*socio=rien); elle a aussi accru la transparence*socio=uv3 et renforcé la sécurité*socio=uv1 offerte*socio=rien par le cadre*socio=rien juridique*socio=et dans de *socio=rien nombreux secteurs *socio=nil tant pour les producteurs*socio=ac de la CE que pour ceux d'autres pays*socio=ac. Cette libéralisation*socio=et ne s'est*socio=rien toutefois pas toujours accompagnée d'un*socio=rien démantèlement*socio=et immédiat*socio=rien des barrières*socio=ec2 de protection*socio=et en place*socio=rien contre la concurrence*socio=ec1 étrangère*socio=te dans des *socio=rien secteurs sensibles *socio=nil comme l'automobile*socio=ec1, l'acier*socio=ec1, l'industrie*socio=ec1 textile*socio=ec1, les charbonnages ou la *socio=ec1 construction navale;*socio=nil *socio=nil dans le cas*socio=rien des importations*socio=ec1 de bananes, on constate même une extension*socio=rien des restrictions*socio=et aux échanges*socio=ec1 avec des pays*socio=ac tiers*socio=rien. Par ailleurs*socio=rien, les pays*socio=ac de la CE et de l'AELE (Suisse*socio=ac exceptée) ont signé un*socio=rien accord*socio=et établissant un*socio=rien Espace*socio=te économique*socio=ec1 européen*socio=ac qui les regroupera au sein*socio=rien d'un*socio=rien marché_unique*socio=ec1, accord qui pourrait prendre effet*socio=rien dans le courant*socio=rien de cette année*socio=rien s'il est*socio=rien ratifié par les organes*socio=ac législatifs*socio=et des États*socio=ac signataires*socio=rien. La plupart*socio=rien des pays*socio=ac de l'AELE ont en outre déclaré leur intention*socio=rien de devenir*socio=rien membres*socio=ac à *socio=rien part entière *socio=nil de la CE. Comme il a déjà été*socio=rien mentionné, les pays*socio=ac de la CE et de FAELE se sont liés par différents*socio=rien accords*socio=et régionaux*socio=te de commerce*socio=ec1 avec plusieurs pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te, lesquels ont conclu des accords*socio=et analogues*socio=rien entre eux. Et les *socio=ac États baltes,*socio=nil *socio=nil qui ont conclu des accords*socio=et de libre-échange*socio=et avec certains *socio=ac États membres *socio=nil de FAELE et des accords*socio=et de coopération*socio=uv1 avec la CE, envisagent de se constituer eux aussi en espace*socio=te de libre-échange*socio=et. Dans l'hémisphère_occidental*socio=te, en 1992, les organes*socio=ac exécutifs du*socio=rien Canada*socio=ac, du*socio=rien Mexique*socio=ac et des États-unis*socio=ac ont conclu l'ALENA*socio=et, qui doit être*socio=rien ratifié par les *socio=et instances législatives *socio=nil de ces pays*socio=ac. Cet accord*socio=et vise une expansion*socio=ec2 progressive*socio=rien des flux*socio=ec1 de biens*socio=ec1, d'investissements*socio=ec1 et de services*socio=et entre les États*socio=ac parties*socio=rien; les restrictions*socio=et quantitatives*socio=rien à l'encontre*socio=rien de pays*socio=ac tiers*socio=rien n'ont pas été*socio=rien intensifiées; toutefois, le risque*socio=uv3 que les parties*socio=rien à cet accord*socio=et se distancent des États*socio=ac non membres*socio=ac pour les échanges*socio=ec1 et les investissements*socio=ec1 dans certains *socio=rien secteurs précis (*socio=nil automobile*socio=ec1,*socio=nil *socio=ec1 industrie textile,*socio=nil services*socio=et)*socio=nil n'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil pas à exclure. En amérique_centrale*socio=ac et méridionale*socio=te, le mouvement*socio=ec2 d'intégration*socio=uv1 s'est*socio=rien intensifié, entraînant à la *socio=rien fois un renforcement*socio=ec2 *socio=nil des blocs existants*socio=rien - marché_commun*socio=ec1 du*socio=rien Sud*socio=te (MERCOSUR*socio=et), Régime*socio=et de préférence*socio=rien commerciale*socio=ec1 pour les pays*socio=ac andins et Communauté*socio=ac des Caraïbes*socio=ac (Caricom) notamment - et la constitution*socio=rien de nouveaux*socio=rien regroupements*socio=ac de taille plus modeste*socio=rien. D'autres *socio=rien parties du monde*socio=te *socio=nil ont manifesté un*socio=rien intérêt*socio=uv1 croissant*socio=rien pour l'intégration*socio=uv1 régionale*socio=te. Les pays_membres*socio=ac de l'Association*socio=ac des nations*socio=ac de l'Asie*socio=ac du*socio=rien Sud-est*socio=te (ASEAN) ont conclu un*socio=rien accord*socio=et de libre-échange*socio=et, tandis que l'Organisation*socio=ac de coopération*socio=uv1 économique*socio=ec1 s'élargissait à certains États*socio=ac d'Asie*socio=ac centrale*socio=rien. En Afrique*socio=ac, enfin, la Zone*socio=te d'échanges*socio=ec1 préférentiels*socio=et pour les États*socio=ac de l'Afrique*socio=ac de l'_est*socio=te et de l'Afrique*socio=ac australe*socio=ac (PTA), la Communauté*socio=ac de développement*socio=uv3 de l'Afrique*socio=ac australe*socio=ac (CDAA), l'Union*socio=uv1 douanière*socio=et et économique*socio=ec1 de l'Afrique*socio=ac centrale*socio=rien (UDEAC) et la Communauté*socio=ac économique*socio=ec1 des États*socio=ac de l'Afrique*socio=ac de l'Ouest*socio=te (Ecowas) examinent les moyens*socio=ec1 de rendre cette intégration*socio=uv1 plus efficace*socio=uv4. échanges_commerciaux*socio=ec1 et environnement*socio=et. Les rapports*socio=rien entre échanges*socio=ec1 et environnement*socio=et deviennent *socio=rien un aspect important*socio=uv4 *socio=nil et complexe des relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te. Trois thèmes*socio=rien dominent désormais le débat*socio=et : 1) l'impact*socio=rien sur*socio=rien l'environnement*socio=et de la croissance*socio=uv3 en général*socio=rien et des échanges_commerciaux*socio=ec1 en particulier*socio=rien; 2) l'incidence*socio=ec2 sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 internationale*socio=ac des disparités*socio=uv1 dans les normes*socio=et de protection*socio=et de l'environnement*socio=et et la *socio=rien question du recours*socio=ec1 *socio=nil à des restrictions*socio=et aux échanges*socio=ec1 pour compenser ces disparités*socio=uv1; 3) l'intérêt*socio=uv1 qu'il y aurait à prendre certaines*socio=rien mesures*socio=et, notamment coercitives, pour favoriser la découverte de solutions*socio=rien concertées aux problèmes*socio=uv4 environnementaux*socio=et à l'échelle*socio=rien mondiale*socio=te. L'interaction*socio=rien entre réglementation*socio=et commerciale*socio=ec1 et environnement*socio=et a été*socio=rien mise en relief*socio=rien dans plusieurs cas*socio=rien qui ont suscité un*socio=rien intérêt*socio=uv1 croissant*socio=rien pour la question*socio=rien au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Citons à titre*socio=rien d'exemple*socio=rien les mesures*socio=et prises*socio=rien par les États-unis*socio=ac à l'encontre*socio=rien des méthodes*socio=ec2 de capture préjudiciables*socio=et au dauphin dans la pêche*socio=ec1 au thon, l'étiquetage*socio=rien des bois*socio=rien tropicaux*socio=te imposé par l'Autriche*socio=ac et, plus récemment, la possibilité*socio=rien d'assujettir l'ALENA*socio=et à un*socio=rien renforcement*socio=ec2 des normes*socio=et en matière*socio=rien d'environnement*socio=et et à des dispositions*socio=et visant à assurer leur *socio=rien application effective.*socio=nil *socio=nil En 1991, le GATT*socio=ac a ressuscité son groupe_de_travail*socio=ac sur*socio=rien les mesures*socio=et relatives*socio=rien à l'environnement*socio=et et le commerce*socio=ec1 international*socio=te, qui a examiné trois sujets*socio=rien : 1) comparaison*socio=rien entre les dispositions*socio=et concernant les échanges_commerciaux*socio=ec1 prévues par les *socio=et accords multilatéraux existants*socio=rien en*socio=nil matière*socio=rien d'*socio=nil environnement *socio=nil et les principes*socio=ec2 du*socio=rien GATT*socio=ac; 2) transparence*socio=uv3 des *socio=et mesures réglementaires nationales*socio=te relatives*socio=rien *socio=nil à l'environnement*socio=et susceptibles*socio=rien d'influer sur*socio=rien les échanges*socio=ec1; et 3) *socio=rien effets sur les*socio=nil échanges*socio=ec1 de*socio=nil nouvelles obligations*socio=uv1 en*socio=nil matière *socio=nil d'empaquetage et d'étiquetage*socio=rien. La conférence_des_nations_unies*socio=ac sur*socio=rien l'environnement_et_le_développement*socio=uv3, en juin*socio=rien 1992, a reconnu que l'effort*socio=uv1 mené au plan*socio=rien international*socio=te pour assurer un*socio=rien développement*socio=uv3 durable*socio=uv4 supposait l'existence*socio=rien de marchés*socio=ec1 ouverts*socio=rien, et elle a identifié les questions*socio=rien liant environnement*socio=et et commerce*socio=ec1 à débattre*socio=rien dans l'avenir*socio=te. Certaines*socio=rien de ces questions*socio=rien, notamment les aspects*socio=rien d'un*socio=rien développement*socio=uv3 durable*socio=uv4 relatifs*socio=rien aux échanges*socio=ec1 et leur dimension*socio=rien environnementale*socio=et, pourraient faire partie*socio=rien des futurs*socio=te *socio=rien travaux du GATT*socio=ac.*socio=nil Perspectives*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Le conseil_d'_administration*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac et le comité_intérimaire*socio=ac, dans *socio=rien un deuxième temps,*socio=nil *socio=nil procèdent régulièrement à l'examen*socio=ec2 de l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et des politiques_économiques*socio=et, en se fondant sur*socio=rien l'étude*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, qui est*socio=rien effectuée par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et qui contient une analyse*socio=ec2 détaillée des perspectives*socio=te à court*socio=rien et à *socio=rien moyen terme *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, ainsi que de celles des différents*socio=rien pays*socio=ac et groupes_de_pays*socio=ac. En lui donnant le contexte*socio=rien mondial*socio=te dont il a besoin*socio=uv1 pour exercer ses fonctions*socio=rien de surveillance*socio=et sur*socio=rien la politique_économique*socio=ec1 de ses pays_membres*socio=ac, cette étude*socio=ec2 aide*socio=uv1 le FMI*socio=ac a identifier les domaines*socio=rien où des tensions*socio=ec2 pourraient naître entre les pays*socio=ac si leurs politiques_économiques*socio=et n'étaient pas modifiées. Elle permet également aux pays_membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac de suivre de *socio=rien manière systématique la*socio=nil situation *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et d'analyser l'incidence*socio=ec2 de leurs politiques_économiques*socio=et *socio=rien respectives sur le*socio=nil système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil L'*socio=nil étude*socio=ec2 des*socio=nil Perspectives*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te est*socio=rien normalement effectuée deux fois*socio=rien l'an*socio=rien, au printemps*socio=rien et à l'automne*socio=rien. Toutefois, si la situation*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te connaît d'importants*socio=uv4 changements*socio=uv3 dans l'intervalle*socio=te, le conseil_d'_administration*socio=ac peut décider de procéder à des discussions*socio=et supplémentaires*socio=rien. C'est*socio=rien ce qu'il a fait*socio=rien en décembre*socio=rien 1992, afin de réévaluer les perspectives*socio=te et les politiques_économiques*socio=et, en particulier*socio=rien dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, à la suite*socio=rien de l'affaiblissement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien qui a touché nombre*socio=rien de grandes*socio=rien économies*socio=ec1 et d'une période*socio=te de forte*socio=rien agitation sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et des capitaux*socio=ec1 liée à la crise*socio=uv2 qui a secoué le mécanisme*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 en septembre*socio=rien 1992. Dans le cadre*socio=rien de leurs débats*socio=et en septembre*socio=rien et décembre*socio=rien 1992 et en avril*socio=rien 1993, les administrateurs*socio=ac ont examiné *socio=rien un large éventail de*socio=nil questions *socio=nil touchant a l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, depuis les liens*socio=rien entre échanges_commerciaux*socio=ec1 et croissance*socio=uv3, les perspectives*socio=te de reprise dans le monde*socio=te industrialisé et les efforts*socio=uv1 de stabilisation*socio=et et de réforme*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3 jusqu'aux progrès*socio=uv1 accomplis par les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te dans leur transition*socio=ec2 à l'économie_de_marché*socio=ec1. On trouvera ci-après le résumé de ces débats*socio=et. Situation*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Au cours*socio=rien de débats*socio=et antérieurs*socio=te sur*socio=rien l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, les administrateurs*socio=ac avaient à diverses*socio=rien reprises souligné l'importance*socio=rien d'une orientation*socio=et à *socio=rien moyen terme des*socio=nil politiques_économiques*socio=et,*socio=nil *socio=nil de même que la nécessité*socio=uv1 de veiller à ce que leurs objectifs*socio=uv3 immédiats*socio=rien soient compatibles*socio=rien avec la stratégie*socio=et de croissance*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme *socio=nil que les pays*socio=ac menaient depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80. Cette stratégie*socio=et a notamment pour but*socio=rien d'assurer *socio=rien un haut niveau de*socio=nil stabilité*socio=uv3 des*socio=nil prix*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil c'est-à-dire le maintien*socio=rien d'un*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 faible*socio=rien et stable*socio=uv4 qui ne fausse*socio=rien pas les décisions*socio=et économiques*socio=ec1, de favoriser l'épargne*socio=ec1, notamment par la réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, et d'éliminer les obstacles*socio=uv3 à une affectation*socio=ec1 plus efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1 et à *socio=rien un niveau d'*socio=nil emploi*socio=ec1 élevé*socio=uv4 au*socio=nil moyen de*socio=nil réformes*socio=et structurelles*socio=ec2.*socio=nil Lors *socio=nil de leurs discussions*socio=et d'avril*socio=rien 1993, les administrateurs*socio=ac se sont accordés à considérer que, par-delà le climat*socio=rien d'incertitude*socio=uv3 *socio=rien du moment,*socio=nil les*socio=nil performances*socio=uv3 *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te pourraient se trouver notablement*socio=rien améliorées à *socio=rien moyen terme *socio=nil par une *socio=rien stricte application *socio=nil de cette stratégie*socio=et de croissance*socio=uv3 et l'adoption*socio=uv3 d'une approche concertée et coordonnée, dans laquelle chaque pays*socio=ac jouerait un*socio=rien rôle*socio=et, soulignant à ce propos*socio=rien l'intérêt*socio=uv1 qu'ils verraient à un*socio=rien renforcement*socio=ec2 de la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac pour mettre en relief*socio=rien les apports*socio=rien économiques*socio=ec1 mutuels*socio=uv2 d'une telle coopération*socio=uv1. Les administrateurs*socio=ac avaient déjà, en septembre*socio=rien et décembre*socio=rien 1992, souligné la nécessité*socio=uv1 d'actions*socio=ec1 concertées qui réduiraient l'incertitude*socio=uv3 et renforceraient la confiance*socio=uv1, ainsi que l'importance*socio=rien d'un*socio=rien respect*socio=uv1 réel*socio=rien des principes*socio=ec2 fondamentaux*socio=uv4 de la stratégie*socio=et de croissance*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil De*socio=nil fait,*socio=nil *socio=nil ils ont convenu, *socio=rien lors du débat*socio=et de*socio=nil décembre *socio=nil 1992 qui a *socio=rien fait suite *socio=nil à la crise*socio=uv2 au *socio=rien sein du mécanisme*socio=et des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil que cette stratégie*socio=et n'avait pas échoué, mais qu'elle n'avait pas été*socio=rien intégralement mise en oeuvre*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont donc, ce même mois*socio=rien de décembre*socio=rien, exhorté les pays_industrialisés*socio=ac à faire montre d'un*socio=rien *socio=rien nouvel esprit de*socio=nil coopération*socio=uv1 *socio=nil en s'efforçant de coordonner leurs politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et leurs politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 dans l'intérêt*socio=uv1 de tous, précisant qu'ils considéraient l'appui*socio=uv1 à apporter à la transformation*socio=ec2 des anciennes économies*socio=ec1 planifiées et la *socio=rien poursuite parallèle *socio=nil de l'aide*socio=uv1 au développement*socio=uv3 des nations*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 comme *socio=rien un double objectif*socio=uv3 essentiel*socio=uv4 *socio=nil de cette coopération*socio=uv1. En avril*socio=rien 1993, les administrateurs*socio=ac se sont déclarés très préoccupés de constater que les performances*socio=uv3 globales*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te demeuraient faibles*socio=rien et que les projections*socio=ec2 de nombreux*socio=rien pays*socio=ac en matière*socio=rien de production*socio=ec1 avaient fait*socio=rien l'objet*socio=rien de sensibles*socio=rien révisions à la baisse*socio=ec2. Ils s'inquiétaient particulièrement de la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac, où une réévaluation*socio=ec1 constante*socio=rien des effets*socio=rien de la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des actifs*socio=ec1 et les ajustements*socio=et qui en ont résulté sur*socio=rien les politiques*socio=et de prêt*socio=ec1 et sur*socio=rien les dépenses*socio=ec1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et de beaucoup d'entre eux, l'incidence*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 toujours élevés*socio=uv4 en Europe*socio=ac et au Canada*socio=ac, et la montée de l'incertitude*socio=uv3 liée aux *socio=rien remous sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1 européens*socio=ac *socio=nil ont conduit à ajuster de nouveau*socio=rien en baisse*socio=ec2 les prévisions*socio=ec2 de croissance*socio=uv3. Les administrateurs*socio=ac ont constaté des signes bienvenus de reprise en amérique_du_nord*socio=ac, mais une détérioration*socio=uv4 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 en Europe*socio=ac et au . Certains avaient même le sentiment*socio=rien que les projections*socio=ec2 pour l'Europe*socio=ac et le Japon*socio=ac, bien*socio=rien que déjà révisées en baisse*socio=ec2, ne tenaient pas pleinement compte*socio=ec1 des tendances*socio=ec2 actuelles*socio=te à la récession*socio=ec2. Des inquiétudes*socio=rien ont été*socio=rien en outre exprimées face*socio=rien à la poussée des pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et, entraînée par les divergences*socio=uv1 conjoncturelles*socio=te, les déséquilibres*socio=uv3 croissants*socio=rien des balances_courantes*socio=ec1 et la montée, ou la persistance*socio=te à *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4,*socio=nil du chômage*socio=ec1.*socio=nil échanges_commerciaux*socio=ec1.*socio=nil Autre*socio=nil thème *socio=nil fréquemment évoqué lors*socio=rien des trois séries de discussions*socio=et sur*socio=rien les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te qui ont eu lieu*socio=rien en 1992-93 : la nécessité*socio=uv1 de mener à *socio=rien bonne fin les*socio=nil négociations*socio=et commerciales*socio=ec1 *socio=nil de l' uruguay_round*socio=et. En avril*socio=rien 1993, le Conseil*socio=ac a insisté sur*socio=rien l'importance*socio=rien capitale*socio=uv2 du*socio=rien commerce*socio=ec1, vu comme l'un*socio=rien des moteurs d'une croissance*socio=uv3 qu'il juge*socio=et essentielle*socio=uv4 dans la *socio=rien situation présente *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Il a souligné le *socio=rien rapport étroit *socio=nil entre des régimes*socio=et de commerce*socio=ec1 et de change*socio=ec1 libéraux*socio=et et la prospérité*socio=uv1 économique*socio=ec1. Il s'est*socio=rien tout particulièrement félicité *socio=rien du puissant effort*socio=uv1 de*socio=nil libéralisation*socio=et de*socio=nil nombreux pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil considéré comme *socio=rien un facteur clé *socio=nil de leur *socio=rien bon niveau de*socio=nil croissance*socio=uv3 des*socio=nil dernières années.*socio=nil *socio=nil Il a également observé que beaucoup de pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te avaient fait*socio=rien de la libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 un*socio=rien axe majeur*socio=rien de la transition*socio=ec2 vers l'économie_de_marché*socio=ec1. Et constatant la multiplication*socio=rien des accords*socio=et régionaux*socio=te de commerce*socio=ec1, certains administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir que de tels accords*socio=et ne favoriseraient la prospérité*socio=uv1 économique*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac qu'accompagnés d'une réduction*socio=ec2 multilatérale*socio=et des barrières*socio=ec2 commerciales*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac se sont déclarés soucieux*socio=rien de voir que les *socio=rien apports considérables du libre-échange*socio=et *socio=nil paraissaient aujourd'hui menacés, soulignant que la conclusion*socio=rien longtemps attendue de l'uruguay_round*socio=et constituait une nécessité*socio=uv1 pressante*socio=rien, car non seulement l'échec*socio=uv1 répété des tentatives*socio=rien pour mener à bien*socio=rien ces négociations*socio=et privait le monde*socio=te des bénéfices*socio=ec1 d'un*socio=rien développement*socio=uv3 des échanges*socio=ec1, mais il s'assortissait d'une forte*socio=rien montée de tensions*socio=ec2 commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te potentiellement dangereuses pour l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Prenant note de la *socio=rien prolifération récente d'*socio=nil accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 bilatéraux*socio=et *socio=nil et de dispositifs*socio=et de réglementation*socio=et des échanges*socio=ec1, il a exprimé sa crainte*socio=uv1 que l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 et en transition*socio=ec2 ne s'en trouve notablement*socio=rien restreint, et il a exhorté tous les pays*socio=ac à lutter contre l'auto-centrisme, dénonçant les effets*socio=rien profondément néfastes*socio=rien qu'il aurait, dans l'immédiat*socio=rien et à longue*socio=rien échéance*socio=te, sur*socio=rien la prospérité*socio=uv1 mondiale*socio=te. Il a aussi fait*socio=rien valoir que, dans ces circonstances*socio=rien, l'échec*socio=uv1 de l'uruguay_round*socio=et ne reviendrait pas à maintenir le statu_quo*socio=rien, mais équivaudrait à faire un*socio=rien pas en arrière. Il a donc demandé au comité_intérimaire*socio=ac d'insister avec vigueur*socio=uv3 sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 immédiate*socio=rien et pressante*socio=rien de faire rapidement aboutir les négociations*socio=et d'Uruguay*socio=ac. politiques_économiques*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac. *socio=rien Lors du débat*socio=et d'*socio=nil avril *socio=nil 1993, les administrateurs*socio=ac ont dans l'ensemble*socio=rien convenu que les pays_industrialisés*socio=ac devaient prendre des mesures*socio=et efficaces*socio=uv4 pour consolider la croissance*socio=uv3, réduire l'instabilité*socio=uv3 des marchés_financiers*socio=ec1 et calmer les tensions*socio=ec2 commerciales*socio=ec1, tout en préservant les acquis*socio=uv2 de la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1. Il a préconisé la mise en oeuvre*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et sérieux*socio=uv4 de rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et à *socio=rien moyen terme aux*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil et, en Europe*socio=ac et au Japon*socio=ac, une action*socio=ec1 visant à contenir les tendances*socio=ec2 à la récession*socio=ec2 et à favoriser la reprise. Les progrès*socio=uv1 accomplis par certains pays_industrialisés*socio=ac pour juguler l'inflation*socio=ec1 ont été*socio=rien attribués en partie*socio=rien à une politique_monétaire*socio=et rigoureuse*socio=uv4 et à une plus forte*socio=rien crédibilité*socio=uv1 de l'action*socio=ec1 menée. Le fait*socio=rien que certains pays*socio=ac aient pu baisser leurs taux_d'_intérêt*socio=ec1 sans soulever la crainte*socio=uv1 d'un*socio=rien réveil de l'inflation*socio=ec1 a été*socio=rien vu comme *socio=rien un résultat capital*socio=ec1 *socio=nil d'une volonté*socio=uv1 marquée de discipline*socio=uv1 monétaire*socio=ec1. Cette baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 est*socio=rien considérée comme essentielle*socio=uv4 pour réamorcer la croissance*socio=uv3. En raison*socio=rien de la modération*socio=ec2 des *socio=ec2 tensions inflationnistes,*socio=nil *socio=nil des signes de ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 et de la faiblesse*socio=ec2 prononcée de son économie*socio=ec1, l'Allemagne*socio=ac a été*socio=rien jugée bien*socio=rien placée pour prendre l'initiative*socio=rien en ce domaine*socio=rien. Cela devrait assurer une réduction*socio=ec2 durable*socio=uv4 de l'inflation*socio=ec1 dans ce pays*socio=ac et permettrait un*socio=rien assouplissement*socio=uv3 sensible*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil qui, de l'avis*socio=rien de la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac, servirait à la fois*socio=rien les objectifs*socio=uv3 de l'Allemagne*socio=ac et les intérêts*socio=uv1 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te sans nuire à la crédibilité*socio=uv1 de l'engagement*socio=uv1 pris par les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 de ramener l'inflation*socio=ec1 à un*socio=rien très *socio=rien bas niveau.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac ont*socio=nil été *socio=nil généralement d'avis*socio=rien que la politique_monétaire*socio=et actuelle*socio=te des États-unis*socio=ac était de nature*socio=rien à favoriser la reprise. En décembre*socio=rien 1992, les administrateurs*socio=ac ont relevé que les dérèglements au *socio=rien sein du mécanisme*socio=et des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil avaient suscité une crise*socio=uv2 de confiance*socio=uv1. La plupart*socio=rien d'entre eux ont pensé que ces tensions*socio=ec2 tenaient essentiellement au manque*socio=rien de convergence*socio=uv3 des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 et des situations*socio=rien budgétaires*socio=et, qui s'est*socio=rien traduit par des divergences*socio=uv1 de plus en plus marquées des paramètres*socio=rien économiques*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4, y compris des positions*socio=rien concurrentielles*socio=ec2 relatives*socio=rien des pays*socio=ac. Une autre cause*socio=rien fondamentale*socio=uv4 a été*socio=rien l'existence*socio=rien d'une divergence*socio=uv1 conjoncturelle*socio=te entre l'Allemagne*socio=ac, où une politique*socio=et de rigueur*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 s'imposait pour faire face*socio=rien aux *socio=ec2 tensions inflationnistes résultant*socio=rien *socio=nil de la politique*socio=et de finances*socio=ec1 publiques*socio=et expansionniste*socio=ec2 liée à l'unification*socio=et, et la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac d'Europe*socio=ac, où la situation*socio=rien économique*socio=ec1 était généralement peu favorable*socio=uv4 et où les taux_d'_intérêt*socio=ec1 élevés*socio=uv4, nécessaires*socio=rien dans le *socio=rien contexte du mécanisme*socio=et des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil pendant cette période*socio=te, ne paraissaient pas adaptés aux besoins*socio=uv1 intérieurs*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont convenu à l'époque*socio=te que des initiatives*socio=rien devraient *socio=rien être prises sur plusieurs*socio=nil fronts *socio=nil pour rétablir la confiance*socio=uv1 et pour apaiser les tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 et empêcher leur réapparition*socio=rien. Une plus grande*socio=rien convergence*socio=uv3 des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 et des performances*socio=uv3 budgétaires*socio=et, comme le prévoyait le traité*socio=rien de Maastricht*socio=et constituait une *socio=uv4 exigence fondamentale.*socio=nil Certains*socio=nil administrateurs*socio=ac,*socio=nil *socio=nil tout en considérant la contrainte*socio=uv1 du*socio=rien mécanisme*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 comme *socio=rien un élément important*socio=uv4 *socio=nil de l'action*socio=ec1 des pays*socio=ac pour améliorer cette convergence*socio=uv3, ont souligné que des *socio=ec1 réalignements monétaires périodiques*socio=te pourraient*socio=nil être*socio=rien requis*socio=uv4 *socio=nil tant que celle-ci restait insuffisante*socio=uv4, tandis que d'autres faisaient valoir les avantages*socio=rien de la discipline*socio=uv1 qu'impose une adhésion*socio=uv1 crédible*socio=uv2 à des taux_de_change*socio=ec1 stables*socio=uv4. Enfin, une meilleure*socio=uv4 coordination*socio=uv3 des politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1 a été*socio=rien jugée essentielle*socio=uv4 pour alléger les tensions*socio=ec2 sur*socio=rien le système*socio=rien. Revenant sur*socio=rien cette question*socio=rien en avril*socio=rien 1993, plusieurs administrateurs*socio=ac ont relevé que les pressions*socio=ec2 au *socio=rien sein du SME*socio=ec1 *socio=nil s'étaient allégées, mais que la persistance*socio=te de tensions*socio=ec2 - quoique faiblissantes - entre certaines*socio=rien monnaies*socio=ec1 transparaissait dans les primes*socio=ec1 de taux_d'_intérêt*socio=ec1, plus élevées*socio=uv4 dans les autres pays*socio=ac qu'en Allemagne*socio=ac. En mai*socio=rien, la peseta*socio=ec1 et l'escudo ont été*socio=rien dévalués, mais les tensions*socio=ec2 et les primes*socio=ec1 ont diminué ou disparu pour les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 faisant *socio=rien partie du mécanisme*socio=et des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont également constaté que le Royaume-uni*socio=ac et l'Italie*socio=ac n'avaient connu qu'une hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 modérée après*socio=rien le retrait de leur monnaie*socio=ec1 du*socio=rien mécanisme*socio=et des taux_de_change*socio=ec1. De l'avis*socio=rien des administrateurs*socio=ac, ces évolutions*socio=te ont démontré l'importance*socio=rien capitale*socio=uv2 d'un*socio=rien renforcement*socio=ec2 de la coopération*socio=uv1 en matière*socio=rien de politique_monétaire*socio=et en Europe*socio=ac. Plusieurs d'entre eux ont encouragé les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac à poursuivre les travaux*socio=rien engagés en vue*socio=rien de déterminer si les indicateurs*socio=ec1 nationaux*socio=te des *socio=ec1 conditions monétaires,*socio=nil *socio=nil de l' activité_économique*socio=ec1 et de l'inflation*socio=ec1 devraient être*socio=rien complétés, et de quelle manière*socio=rien, par des indicateurs*socio=ec1 globaux*socio=te pour l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac adhérant au mécanisme*socio=et des taux_de_change*socio=ec1. Ils ont également invité les autorités*socio=et de tous les pays*socio=ac à tirer les enseignements*socio=et qui s'imposent du*socio=rien cycle*socio=te de hausses du*socio=rien prix*socio=ec1 des actifs*socio=ec1 observées depuis la fin*socio=rien des années*socio=rien 80. En effet*socio=rien, les évolutions*socio=te du*socio=rien marché*socio=ec1 des actifs*socio=ec1 ont été*socio=rien coûteuses*socio=ec2 pour l'économie*socio=ec1 réelle*socio=ec2, et l'on découvre rétrospectivement qu'elles sont autant dues aux réglementations*socio=et qu'aux politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1. Il est*socio=rien donc essentiel*socio=uv4, pour éviter que de tels problèmes*socio=uv4 ne se reproduisent, de renforcer le suivi des évolutions*socio=te et d'accorder l'attention*socio=rien voulue aux variations*socio=rien des prix*socio=ec1 des actifs*socio=ec1 dans la mise en oeuvre*socio=rien de ces politiques*socio=et. Le Conseil*socio=ac a unanimement demandé que soit relancé, dans le cadre*socio=rien de leur stratégie*socio=et à *socio=rien moyen terme,*socio=nil l'*socio=nil effort*socio=uv1 d'*socio=nil assainissement*socio=uv3 des*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil - notamment aux États-unis*socio=ac, au Canada*socio=ac, en Allemagne*socio=ac, en Italie*socio=ac, au Royaume-uni*socio=ac et dans quelques autres plus petits*socio=rien pays*socio=ac. L'inefficacité*socio=uv3 de cet effort*socio=uv1, en effet*socio=rien, représentait aux yeux*socio=rien des administrateurs*socio=ac un*socio=rien échec*socio=uv1 majeur*socio=rien dans la mise en oeuvre*socio=rien de ce qui constitue *socio=rien un élément clé *socio=nil de la stratégie*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil et s'est*socio=rien révélée de surcroît*socio=rien une entrave*socio=ec2 incontournable*socio=uv pour la politique_économique*socio=ec1 durant la période*socio=te de ralentissement*socio=ec2 de 1992-93. La persistance*socio=te de déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et structurels*socio=ec2 a été*socio=rien également perçue comme un*socio=rien problème*socio=uv4 crucial*socio=rien, face*socio=rien à la nécessité*socio=uv1 d'atténuer la pénurie*socio=ec2 potentielle*socio=uv4 d'épargne*socio=ec1 mondiale*socio=te à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil de réduire le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 et de développer l'investissement*socio=ec1 et la création_d'_emplois*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac se sont félicités de la volonté*socio=uv1 du*socio=rien gouvernement*socio=ac des États-unis*socio=ac de s'attaquer au problème*socio=uv4 du*socio=rien déficit*socio=ec1 et de consolider l'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1, jugeant que le plan*socio=rien économique*socio=ec1 américain*socio=ac de février*socio=rien 1993 était un*socio=rien pas important*socio=uv4 dans ce sens*socio=rien. Cependant, les administrateurs*socio=ac ont *socio=rien été nombreux *socio=nil à noter que, même si ce programme*socio=et était promulgué et appliqué dans son intégralité*socio=rien, le déficit*socio=ec1 *socio=et budgétaire fédéral structurel*socio=ec2 *socio=nil serait encore supérieur*socio=rien à 3% du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1998, c'est-à-dire au même niveau*socio=rien qu'à la fin*socio=rien des années*socio=rien 80. Compte*socio=ec1 tenu, d'autre part*socio=rien, des dépenses*socio=ec1 que risque*socio=uv3 d'entraîner le plan*socio=rien de réforme*socio=et du*socio=rien système_de_santé*socio=et en préparation*socio=rien, beaucoup ont estimé que des mesures*socio=et supplémentaires*socio=rien devraient *socio=rien être prises *socio=nil pour assurer un*socio=rien rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et suffisant*socio=rien à *socio=rien moyen terme.*socio=nil La*socio=nil plupart des*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil avaient le sentiment*socio=rien que, les mécanismes*socio=et naturels*socio=rien de la reprise étant à l'oeuvre*socio=rien aux États-unis*socio=ac, la relance*socio=uv3 par les finances*socio=ec1 publiques*socio=et n'était plus aussi nécessaire*socio=rien qu'elle avait pu le paraître auparavant. Le Conseil*socio=ac a souligné que la *socio=rien poursuite du rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et en*socio=nil Allemagne*socio=ac,*socio=nil *socio=nil notamment par la compression*socio=et des dépenses*socio=ec1 et des subventions*socio=ec1, permettrait d'atténuer les déséquilibres*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1 et faciliterait la réduction*socio=ec2 nécessaire*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Au Royaume-uni*socio=ac et en Italie*socio=ac, la compression*socio=et *socio=rien du volumineux déficit*socio=ec1 des*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et est indispensable*socio=uv4.*socio=nil En*socio=nil France*socio=ac,*socio=nil *socio=nil où, malgré d'assez bonnes*socio=rien performances*socio=uv3 ces *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil situation budgétaire*socio=et fondamentale*socio=uv4 *socio=nil se dégrade à nouveau*socio=rien, un*socio=rien effort*socio=uv1 de rééquilibrage*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme *socio=nil s'impose aussi. Au Japon*socio=ac, en revanche, le maintien*socio=rien d'un*socio=rien niveau*socio=rien adéquat*socio=uv2 de mesures*socio=et de relance*socio=uv3 budgétaire*socio=et *socio=rien est nécessaire à*socio=nil court_terme*socio=te,*socio=nil *socio=nil étant donné que la récession*socio=ec2 risque*socio=uv3 de se prolonger et que les *socio=rien effets du plan *socio=nil annoncé en août*socio=rien 1992 n'ont pas été*socio=rien à la hauteur*socio=rien de ce que l'on escomptait. (Le parlement*socio=ac a voté la rallonge budgétaire*socio=et requise*socio=uv4 à ce titre*socio=rien en décembre*socio=rien 1992, et les effets*socio=rien de ce plan*socio=rien n'ont commencé à se faire sentir qu'au début*socio=rien de 1993). Les administrateurs*socio=ac ont accueilli avec satisfaction*socio=uv3 les mesures*socio=et de relance*socio=uv3 annoncées par les autorités*socio=et japonaises*socio=ac en avril*socio=rien 1993, et ils ont invité les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac à en analyser l'incidence*socio=ec2 au plus tôt. Ils ont également salué les performances*socio=uv3 budgétaires*socio=et *socio=rien enviables du Japon*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui ont permis*socio=rien à celui-ci de prendre de telles mesures*socio=et sans porter atteinte à la crédibilité*socio=uv1 de ses objectifs*socio=uv3 budgétaires*socio=et à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Revenant*socio=nil sur un thème *socio=nil déjà abordé lors*socio=rien de discussions*socio=et antérieures*socio=te sur*socio=rien les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, les administrateurs*socio=ac ont évoqué l'absence*socio=rien de réformes*socio=et adéquates*socio=uv2 des structures*socio=ec1 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 qui, conjuguée*socio=rien à *socio=rien différents facteurs conjoncturels*socio=te,*socio=nil est *socio=nil à l'origine*socio=rien du*socio=rien chômage*socio=ec1 massif*socio=rien qui touche de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, notamment d'Europe*socio=ac. Les rigidités*socio=uv3 des marchés_du_travail*socio=ec1 européens*socio=ac ont maintenu le chômage*socio=ec1 à *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil contribué à l'érosion*socio=ec2 de la confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac et à un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des demandes*socio=et de subventions*socio=ec1 des entreprises*socio=ac, et pesé sur*socio=rien la politique_commerciale*socio=et des gouvernements*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac craignaient que les augmentations*socio=ec2 cycliques*socio=te du*socio=rien chômage*socio=ec1 ne puissent s'annuler en totalité*socio=rien à mesure*socio=rien que les économies*socio=ec1 se consolideront. Ils ont souligné que les politiques*socio=et de maintien*socio=rien des revenus*socio=ec1 devraient céder plus largement le pas à des mesures*socio=et favorisant la mobilité*socio=uv3 de la main_d'_oeuvre*socio=ac, l'amélioration*socio=uv1 de la formation*socio=et et du*socio=rien reclassement, et l'assouplissement*socio=uv3 de l'échelle*socio=rien des salaires*socio=ec1. politiques_économiques*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3. En avril*socio=rien 1993, les administrateurs*socio=ac ont relevé que les pays_en_développement*socio=uv3 restaient nombreux*socio=rien à faire preuve*socio=ec2 de *socio=rien résistance face *socio=nil à la faiblesse*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 dans le monde*socio=te industrialisé. Cette force*socio=uv1 relative*socio=rien leur vient pour une *socio=rien large part des*socio=nil efforts*socio=uv1 *socio=nil soutenus de stabilisation*socio=et et de réforme*socio=et qu'ils ont déployés, appuyés par des apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1, le *socio=rien bas niveau des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 internationaux*socio=te *socio=nil et des accords*socio=et de restructuration*socio=et de la dette*socio=ec1. Lors*socio=rien de son examen*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te de septembre*socio=rien 1992, les administrateurs*socio=ac ont salué les progrès*socio=uv1 que de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 ont accomplis dans la libéralisation*socio=et des marchés_financiers*socio=ec1, laquelle, alliée*socio=rien à *socio=rien un perfectionnement du cadre réglementaire*socio=et,*socio=nil *socio=nil leur a permis*socio=rien de mobiliser l'épargne*socio=ec1 et de gagner en efficacité*socio=uv3. Certains administrateurs*socio=ac ont relevé que l'amélioration*socio=uv1 des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 de certains d'entre eux était liée à *socio=rien un renversement *socio=nil de l'exode*socio=te des capitaux*socio=ec1, doublé d'entrées de capitaux*socio=ec1 substantielles*socio=rien, qui à la *socio=rien fois témoignent *socio=nil d'une confiance*socio=uv1 accrue dans les capacités*socio=uv3 de ces pays*socio=ac et leur ouvrent de meilleures*socio=uv4 perspectives*socio=te économiques*socio=ec1. Un*socio=rien tel accroissement*socio=ec2 des entrées de capitaux*socio=ec1 suppose cependant des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et pour éviter la surchauffe. En avril*socio=rien 1993, plusieurs administrateurs*socio=ac ont observé, de fait*socio=rien, que dans certains des pays_en_développement*socio=uv3 où la politique*socio=et d'ajustement*socio=et donnait de *socio=rien bons résultats,*socio=nil en*socio=nil Asie*socio=ac *socio=nil et dans l'hémisphère_occidental*socio=te notamment, les apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 avaient contribué à une accentuation*socio=ec2 des signes de surchauffe. Un*socio=rien durcissement*socio=ec2 de l'action*socio=ec1 budgétaire*socio=et pourrait *socio=rien être nécessaire *socio=nil dans ces pays*socio=ac pour favoriser l'investissement*socio=ec1, de même qu'un*socio=rien resserrement*socio=ec2 de la politique_monétaire*socio=et pour contenir les *socio=ec2 tensions inflationnistes *socio=nil et permettre une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4. Un*socio=rien relèvement*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 pourrait aussi s'avérer utile*socio=uv4 dans certains cas*socio=rien. En septembre*socio=rien 1992, examinant les politiques_économiques*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3, les administrateurs*socio=ac avaient également pris note de la diminution*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et intervenue dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, et souligné la nécessité*socio=uv1 de poursuivre l'effort*socio=uv1 de rééquilibrage*socio=uv3, notamment en assurant la réduction*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 et des subventions*socio=ec1 improductives*socio=ec2 dans des domaines*socio=rien tels que le secteur*socio=rien militaire*socio=et - prescription*socio=rien jugée tout aussi pertinente*socio=rien pour certains pays_industrialisés*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont accueilli avec satisfaction*socio=uv3 le démantèlement*socio=et ou la réduction*socio=ec2 des barrières*socio=ec2 commerciales*socio=ec1 dans beaucoup de pays_en_développement*socio=uv3, d'amérique_latine*socio=ac en particulier*socio=rien. Une autre évolution*socio=te positive*socio=uv4 a été*socio=rien l'amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien de la dette*socio=ec1 du*socio=rien monde*socio=te en développement*socio=uv3 et les progrès*socio=uv1 réalisés dans la restructuration*socio=et de la dette*socio=ec1 par les banques*socio=ac. Certains *socio=ac pays débiteurs *socio=nil ont retrouvé l'accès*socio=uv1 aux marchés_financiers_privés*socio=et. Mais, en avril*socio=rien 1993, les administrateurs*socio=ac ont noté qu'en dépit*socio=rien de toutes ces évolutions*socio=te prometteuses, les écarts*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 avaient eu tendance*socio=ec2 à se creuser ces *socio=rien dernières années *socio=nil entre les pays_en_développement*socio=uv3. De surcroît*socio=rien, beaucoup n'avaient pas *socio=rien été capables *socio=nil d'améliorer notablement*socio=rien leur situation*socio=rien économique*socio=ec1. Plusieurs administrateurs*socio=ac se sont dits préoccupés par les *socio=rien mauvais résultats persistants de*socio=nil nombreux pays*socio=ac d'*socio=nil Afrique*socio=ac,*socio=nil *socio=nil où l'importance*socio=rien de l'endettement*socio=ec1 et le coefficient*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 continuent de freiner la croissance*socio=uv3. L'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te de ces pays*socio=ac suppose que les réformes*socio=et entreprises*socio=ac soient appuyées par une assistance*socio=uv1 financière*socio=ec1 appropriée, y compris des allégements*socio=ec2 de dette*socio=ec1 et l'octroi*socio=rien de toute aide*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1 pouvant être*socio=rien obtenue au titre*socio=rien de la FASR*socio=ec1, ou de la facilité appelée à la remplacer. En décembre*socio=rien 1992, certains administrateurs*socio=ac avaient attiré l'attention*socio=rien sur*socio=rien le fait*socio=rien que, malgré la poursuite*socio=rien des réformes*socio=et pour stimuler la croissance*socio=uv3, les pays_en_développement*socio=uv3 finiraient par subir le contrecoup*socio=te *socio=rien du manque de*socio=nil vigueur*socio=uv3 *socio=nil de l'économie*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac. Se référant à une étude*socio=ec2 des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, les administrateurs*socio=ac avaient noté, en avril*socio=rien 1993, que les pays_en_développement*socio=uv3 les plus performants avaient certains points*socio=rien communs*socio=uv4, parmi lesquels des taux*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 sensiblement plus élevés*socio=uv4 que les autres, *socio=rien un volume d'*socio=nil investissement*socio=ec1 supérieur en*socio=nil ressources*socio=ec1 aussi*socio=nil bien physiques qu'*socio=nil humaines*socio=uv2,*socio=nil des*socio=nil investissements*socio=ec1 plus*socio=nil rentables*socio=ec2 *socio=nil et une croissance*socio=uv3 globale*socio=rien plus forte*socio=rien de la productivité*socio=uv3. Ces traits*socio=rien communs*socio=uv4 sont le résultat*socio=rien de réformes*socio=et fondamentales*socio=uv4 qui ont renforcé la stabilité*socio=uv3 et la solidité*socio=uv3 de leur situation*socio=rien économique*socio=ec1. Ces pays*socio=ac ont par ailleurs*socio=rien pris des mesures*socio=et visant à réduire ou à éliminer les distorsions*socio=uv3 structurelles*socio=ec2, en particulier*socio=rien dans le domaine*socio=rien des échanges*socio=ec1 et le secteur*socio=rien financier*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont toutefois insisté, au vu des expériences*socio=ec2 récentes*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac, sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'accompagner la libéralisation*socio=et financière*socio=ec1 des mécanismes*socio=et de contrôle*socio=uv3 voulus. Politiques*socio=et des économies_en_transition*socio=ec1. Au cours*socio=rien de leurs discussions*socio=et d'avril*socio=rien 1993, les administrateurs*socio=ac se sont déclarés encouragés par les progrès*socio=uv1 non négligeables*socio=rien accomplis par certains pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te dans leur transition*socio=ec2 vers le marché*socio=ec1. L'effort*socio=uv1 de stabilisation*socio=et et de réforme*socio=et structurelle*socio=ec2 engagé par ces pays*socio=ac commençait manifestement à porter ses fruits*socio=rien. Dans plusieurs d'entre eux, le processus*socio=te de privatisation*socio=et était déjà bien*socio=rien avancé et des *socio=et réformes budgétaires importantes*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil allant de la modification*socio=rien des systèmes*socio=rien d'imposition*socio=et à l'extension*socio=rien des filets*socio=et de protection_sociale*socio=et, étaient en cours*socio=rien d'introduction*socio=rien. Des réformes*socio=et monétaires*socio=ec1 et budgétaires*socio=et dans l'ensemble*socio=rien appropriées avaient permis*socio=rien une amélioration*socio=uv1 de la stabilité*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1 et, dans certains pays*socio=ac, une remontée de la production*socio=ec1 s'amorçait. Cependant, il importait que le rythme*socio=ec2 de la transition*socio=ec2 vers le marché*socio=ec1 se maintienne. De grands*socio=rien pas avaient *socio=rien été faits *socio=nil dans la voie*socio=rien de la privatisation*socio=et et dans l'établissement*socio=rien de droits*socio=uv1 patrimoniaux*socio=rien, mais une *socio=rien bonne partie *socio=nil de la capacité*socio=uv3 de production*socio=ec1, notamment dans les grandes*socio=rien entreprises*socio=ac, restait entre les mains*socio=rien de l'État*socio=ac. Il était donc nécessaire*socio=rien et urgent*socio=uv4 d'achever au moins l'insertion*socio=uv3 de ces entreprises*socio=ac sur*socio=rien le marché*socio=ec1. L'avenir*socio=te immédiat*socio=rien était nettement plus sombre, par contre, dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac issus de l'ex-union_soviétique*socio=ac, où une nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 de la production*socio=ec1 était à prévoir sur*socio=rien le court_terme*socio=te. Particulièrement préoccupants*socio=uv4 étaient l'inflation*socio=ec1, qui sévissait dans certains d'entre eux, et les problèmes*socio=uv4 qui en découlent, à savoir*socio=rien la création*socio=uv4 de crédit*socio=ec1 excessive*socio=uv4 par les banques_centrales*socio=ac, l'existence*socio=rien de déficits*socio=ec1 publics*socio=et massifs*socio=rien et le subventionnement des entreprises*socio=ac publiques*socio=et déficitaires*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac se sont également déclarés préoccupés de ce que l'insuffisance*socio=uv3 de l'effort*socio=uv1 de stabilisation*socio=et risquait d'intensifier les tendances*socio=ec2 à l'hyperinflation et, partant, de faire dérailler l'ensemble*socio=rien du*socio=rien processus*socio=te de réforme*socio=et. Les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 déjà engagées par les pays*socio=ac de l' ex-union_soviétique*socio=ac ont consisté à amorcer la privatisation*socio=et, à refondre le système_financier*socio=ec1 et à établir *socio=rien un cadre juridique*socio=et *socio=nil approprié. Mais les avancées réalisées dans ces domaines*socio=rien sont inégales d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. Les administrateurs*socio=ac ont indiqué que les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 et la stabilité*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1 étaient étroitement liées et se renforçaient mutuellement, soulignant qu'il était essentiel*socio=uv4 de faire de plus grands*socio=rien pas dans cette *socio=rien double voie *socio=nil si l'on voulait voir la production*socio=ec1 repartir et le niveau_de_vie*socio=uv1 s'élever de nouveau*socio=rien. La coopération_internationale*socio=uv3, a aussi affirmé le Conseil*socio=ac, est*socio=rien vitale*socio=uv4 pour soutenir la dynamique*socio=uv4 de la réforme*socio=et dans les économies_en_transition*socio=ec1, en particulier*socio=rien dans les États*socio=ac issus de l'ancienne*socio=rien union_soviétique*socio=ac, où les relations*socio=rien monétaires*socio=ec1, financières*socio=ec1 et commerciales*socio=ec1 doivent être*socio=rien établies sur*socio=rien de *socio=rien nouvelles bases.*socio=nil Une*socio=nil assistance*socio=uv1 tant*socio=nil financière*socio=ec1 que*socio=nil technique des*socio=nil gouvernements*socio=ac *socio=nil et des organisations_internationales*socio=ac, y compris dans le cadre*socio=rien de la nouvelle*socio=rien facilité pour la *socio=ec2 transformation systémique du*socio=rien FMI*socio=ac *socio=nil (FTS), serait *socio=rien un apport capital*socio=ec1 *socio=nil à cet égard*socio=rien. Les échanges_commerciaux*socio=ec1 et les investissements*socio=ec1 directs*socio=rien privés*socio=et revêtent une tout aussi *socio=rien grande importance.*socio=nil *socio=nil Toutefois, le développement*socio=uv3 des *socio=rien activités du secteur_privé*socio=et *socio=nil suppose de nouvelles*socio=rien réformes*socio=et dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2, de même qu'une libéralisation*socio=et de l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac. À l'occasion*socio=rien *socio=rien du tour d'*socio=nil horizon de*socio=nil septembre *socio=nil 1992, les administrateurs*socio=ac ont *socio=rien été nombreux *socio=nil à souligner la nécessité*socio=uv1 de concevoir politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1, réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 et cadre*socio=rien institutionnel*socio=et comme *socio=rien un ensemble complet d'*socio=nil éléments *socio=nil se renforçant mutuellement. Ils ont souligné qu'il fallait non pas freiner la stabilisation_macro-économique*socio=ec1 pour l'adapter*socio=rien au rythme*socio=ec2 lent*socio=rien des réformes_systémiques*socio=ec2, mais accélérer les *socio=ec2 transformations structurelles et*socio=nil systémiques,*socio=nil au*socio=nil contraire*socio=rien,*socio=nil *socio=nil pour assurer une reprise plus rapide*socio=rien et plus durable*socio=uv4 de la croissance*socio=uv3. Une telle stratégie*socio=et, comme plusieurs administrateurs*socio=ac l'ont précisé sur*socio=rien la base*socio=rien d'expériences*socio=ec2 antérieures*socio=te, permettrait en outre l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et *socio=rien transitoires bien *socio=nil ciblées qui favorisent l'adaptation*socio=uv3 d'entreprises*socio=ac viables*socio=uv4 aux conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1. Le FMI*socio=ac en 1992 / 93. Surveillance*socio=et. L'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien écoulé a eu d'importantes*socio=uv4 conséquences*socio=rien pour les, pays_membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac et pour l'élaboration*socio=rien des politiques*socio=et de l'institution*socio=ac. Ce fut une période*socio=te de mutation*socio=ec2 presque sans égale*socio=rien pour l'économie*socio=ec1 internationale*socio=ac, qui a produit*socio=rien les changements*socio=uv3 les plus marquants*socio=rien auxquels le FMI*socio=ac a dû faire face*socio=rien ces *socio=rien dernières années.*socio=nil Au*socio=nil premier plan *socio=nil de ces changements*socio=uv3 figure l'accroissement*socio=ec2 *socio=rien du nombre des*socio=nil pays_membres*socio=ac du FMI*socio=ac,*socio=nil qui*socio=nil est *socio=nil devenu une institution*socio=ac presque universelle*socio=uv2. A citer parmi les autres facteurs*socio=rien qui ont eu des répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien les *socio=rien travaux du FMI*socio=ac *socio=nil : le nombre*socio=rien de pays*socio=ac qui opèrent une transition*socio=ec2 difficile*socio=rien à l'économie_de_marché*socio=ec1, dont les États*socio=ac issus de l'ancienne*socio=rien union_soviétique*socio=ac; le nombre*socio=rien record*socio=ec2 de pays*socio=ac qui bénéficient de l'aide*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac sous *socio=rien diverses formes -*socio=nil conseils*socio=ac en*socio=nil matière *socio=nil (le politique_économique*socio=ec1, assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et concours financiers*socio=ec1; ceux qui ont pris des mesures*socio=et en vue*socio=rien d'éliminer les restrictions*socio=et appliquées aux paiements*socio=ec1 et transferts*socio=ec1 afférents*socio=rien aux transactions*socio=ec1 *socio=te internationales courantes *socio=nil et d'ouvrir leur économie*socio=ec1; enfin, les vastes*socio=rien efforts*socio=uv1 d'intégration*socio=uv1 régionale*socio=te en cours*socio=rien, dont témoigne*socio=rien l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 de la *socio=ac Communauté européenne *socio=nil parmi d'autres accords*socio=et régionaux*socio=te de commerce*socio=ec1 (voir ci-dessus la partie*socio=rien consacrée à cette question*socio=rien). Toutes ces évolutions*socio=te ont présenté autant de défis*socio=uv2 et de possibilités*socio=rien d'envergure*socio=rien pour le FMI*socio=ac en tant qu'institution*socio=ac chargée de surveiller le *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil *socio=nil Dans ces conditions*socio=ec1, le rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac a continué d'évoluer de manière*socio=rien à permettre à l'institution*socio=ac de répondre de manière*socio=rien constructive*socio=uv2 aux besoins*socio=uv1 de ses membres*socio=ac. Organe*socio=ac *socio=rien directeur du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te,*socio=nil le*socio=nil FMI*socio=ac offre *socio=nil à ses membres*socio=ac une instance*socio=rien permanente*socio=te pour examiner la politique_économique*socio=ec1 des différents*socio=rien pays*socio=ac et l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Les statuts*socio=et disposent que le FMI*socio=ac doit exercer "une ferme*socio=ec2 surveillance*socio=et sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des *socio=ac États membres"*socio=nil *socio=nil et adopter "des principes*socio=ec2 spécifiques*socio=rien pour guider les *socio=ac États membres *socio=nil en ce qui concerne ces politiques*socio=et". La surveillance*socio=et comprend l'analyse*socio=ec2 de la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 et des politiques*socio=et structurelles*socio=ec2 connexes*socio=rien appliquées par les pays_membres*socio=ac sous tous leurs aspects*socio=rien, car elles sont le fondement*socio=uv4 de la politique*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1. La surveillance*socio=et a pour double*socio=rien objectif*socio=uv3 d'évaluer les politiques*socio=et appliquées dans un*socio=rien pays*socio=ac tout en l'encourageant à en adopter de nouvelles*socio=rien qui soient de nature*socio=rien à favoriser le fonctionnement*socio=rien harmonieux*socio=uv2 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. En conséquence*socio=rien, le FMI*socio=ac exerce sa surveillance*socio=et à la *socio=rien fois sur le*socio=nil plan bilatéral*socio=et,*socio=nil *socio=nil en analysant la politique_économique*socio=ec1 de chaque pays*socio=ac, et sur*socio=rien le plan*socio=rien multilatéral*socio=et, en examinant les conséquences*socio=rien des politiques_économiques*socio=et nationales*socio=te pour le *socio=rien fonctionnement du système mondial*socio=te *socio=nil dans son ensemble*socio=rien. Le FMI*socio=ac s'acquitte de sa fonction*socio=rien de surveillance*socio=et par divers moyens*socio=ec1, dont les deux principaux*socio=rien sont, dans une optique*socio=rien internationale*socio=ac, l'étude*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et les consultations*socio=uv1 avec chaque *socio=ac pays membre,*socio=nil *socio=nil qui sont décrites dans la *socio=rien présente section.*socio=nil *socio=nil À l'appui*socio=uv1 de ces activités*socio=rien s'ajoute le suivi de l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et des capitaux*socio=ec1. Outre ces examens*socio=ec2 assurés par le conseil_d'_administration*socio=ac, le directeur_général*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac peut participer aux délibérations*socio=et du*socio=rien Groupe*socio=ac des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. En traitant des politiques_économiques*socio=et appliquées dans les différents*socio=rien pays*socio=ac du*socio=rien groupe*socio=ac et au *socio=rien sein du groupe*socio=ac *socio=nil et en appelant l'attention*socio=rien sur*socio=rien l'interaction*socio=rien de ces politiques*socio=et au niveau*socio=rien international*socio=te, il aide*socio=uv1 les autorités*socio=et nationales*socio=te des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac à tenir compte*socio=ec1 des conséquences*socio=rien internationales*socio=te de leurs politiques*socio=et respectives*socio=rien. Examen*socio=ec2 biennal*socio=rien de la surveillance*socio=et. Les principes*socio=ec2 et procédures*socio=et de surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac sont décrits dans *socio=rien un document *socio=nil intitulé "Surveillance*socio=et des politiques*socio=et de change*socio=ec1", qui a été*socio=rien approuvé par le conseil_d'_administration*socio=ac en 1977 (voir le Rapport*socio=rien annuel*socio=te 1977, pages*socio=rien 116-118). Ce document*socio=rien établit les principes*socio=ec2 régissant*socio=rien la conduite*socio=rien des politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac et la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac sur*socio=rien ces politiques*socio=et. Il *socio=rien est prescrit aux*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil de s'abstenir de manipuler les taux_de_change*socio=ec1 ou le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te pour empêcher l'ajustement*socio=et effectif*socio=rien de leur balance_des_paiements*socio=ec1 ou s'assurer un*socio=rien avantage compétitif*socio=uv4 inéquitable*socio=uv2 sur*socio=rien d'autres pays_membres*socio=ac, d'intervenir, le cas*socio=rien échéant, sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1 pour contrecarrer des perturbations*socio=ec2 et de tenir compte*socio=ec1, dans leurs politiques*socio=et d'intervention*socio=et, des intérêts*socio=uv1 des autres pays_membres*socio=ac. Selon les principes*socio=ec2 en vigueur*socio=uv3, la surveillance*socio=et des politiques*socio=et de change*socio=ec1 doit être*socio=rien adaptée aux besoins*socio=uv1 de l'ajustement_international*socio=ec1 à mesure*socio=rien qu'ils se manifestent, et le FMI*socio=ac doit évaluer les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac dans le cadre*socio=rien d'une analyse*socio=ec2 détaillée de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 générale*socio=rien et de la stratégie*socio=et en matière*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 des pays*socio=ac en question*socio=rien. Le document*socio=rien donne également une liste de cas*socio=rien pouvant indiquer qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil de tenir des discussions*socio=et avec un*socio=rien *socio=ac pays membre :*socio=nil intervention*socio=et massive*socio=rien *socio=nil prolongée dans le même *socio=rien sens sur le*socio=nil marché*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1;*socio=nil niveau insoutenable*socio=uv4 d'*socio=nil emprunts*socio=ec1 officiels*socio=et *socio=nil ou quasi officiels*socio=et, ou niveau*socio=rien excessif*socio=uv4 sur*socio=rien une longue*socio=rien période*socio=te de prêts*socio=ec1 officiels*socio=et ou quasi officiels*socio=et à court_terme*socio=te à des fins*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec1; adoption*socio=uv3, forte*socio=rien intensification*socio=ec2 ou maintien*socio=rien prolongé, aux fins*socio=rien de la balance_des_paiements*socio=ec1, de restrictions*socio=et ou d'incitations*socio=uv3 aux transactions*socio=ec1 ou paiements_courants*socio=ec1, ou adoption*socio=uv3 ou *socio=rien modification substantielle,*socio=nil *socio=nil à des fins*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec1, de restrictions*socio=et ou d'incitations*socio=uv3 aux mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Tous les deux ans*socio=rien, le conseil_d'_administration*socio=ac revoit les principes*socio=ec2 et procédures*socio=et de surveillance*socio=et pour déterminer si, compte*socio=ec1 tenu de l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien économique*socio=ec1, il *socio=rien est nécessaire *socio=nil de les modifier. Le Conseil*socio=ac a procédé*socio=rien à son dernier*socio=rien examen*socio=ec2 de la surveillance*socio=et au début*socio=rien de 1993, à la lumière*socio=rien de l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. L'examen*socio=ec2 précédent*socio=rien avait eu lieu*socio=rien en 1991 (Rapport*socio=rien annuel*socio=te 1991, pages*socio=rien 15 à 17). *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac ont*socio=nil fait *socio=nil observer à cette occasion*socio=rien l'importance*socio=rien que revêtent pour le FMI*socio=ac dans l'exercice*socio=rien de ses fonctions*socio=rien de surveillance*socio=et, les changements*socio=uv3 intervenus dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac et les pays_en_développement*socio=uv3, l'évolution*socio=te des groupements régionaux*socio=te et l'adhésion*socio=uv1 au FMI*socio=ac de nombreux*socio=rien pays*socio=ac dont l'économie*socio=ec1 était auparavant planifiée. Les administrateurs*socio=ac se sont accordés à penser que, si les principes*socio=ec2 de la surveillance*socio=et répondent dans l'ensemble*socio=rien toujours aux besoins*socio=uv1, *socio=rien un nouveau renforcement*socio=ec2 du processus*socio=te *socio=nil s'impose. Cela aiderait le FMI*socio=ac à jouer son rôle*socio=et qui est*socio=rien de favoriser l'application*socio=rien de politiques_économiques*socio=et cohérentes*socio=rien et d'encourager les autorités*socio=et nationales*socio=te, en particulier*socio=rien celles des pays_industrialisés*socio=ac, à tenir dûment compte*socio=ec1 des opinions*socio=ec2 de la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs *socio=nil se sont donc mis d'accord*socio=uv1 sur*socio=rien plusieurs mesures*socio=et visant à adapter*socio=rien les procédures*socio=et de surveillance*socio=et actuelles*socio=te pour que celle-ci gagne en continuité*socio=uv1, en souplesse*socio=uv3 et en à propos*socio=rien (voir ci-dessous). Dans sa déclaration*socio=et publiée le 30 avril*socio=rien 1993, le comité_intérimaire*socio=ac a approuvé les mesures*socio=et convenues par le conseil_d'_administration*socio=ac pour renforcer la surveillance*socio=et et décidé de collaborer plus étroitement avec le FMI*socio=ac en tant qu'institution*socio=ac *socio=rien pivot du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil Cadre analytique*socio=ec2.*socio=nil Lors *socio=nil de leur examen*socio=ec2 *socio=rien du début *socio=nil de 1993, les administrateurs*socio=ac, évoquant les mutations*socio=ec2 sans précédent*socio=rien de l'environnement*socio=et économique*socio=ec1 international*socio=te qui ont constitué un*socio=rien défi*socio=uv2 pour le FMI*socio=ac dans le cadre*socio=rien de sa mission*socio=et de surveillance*socio=et du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te, se sont penchés *socio=rien sur un certain nombre de*socio=nil questions d'*socio=nil ordre analytique*socio=ec2 inhérentes *socio=nil à la capacité*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac d'exercer sa fonction*socio=rien de surveillance*socio=et de façon*socio=rien efficace*socio=uv4 et utile*socio=uv4. La nécessité*socio=uv1 de renforcer la surveillance*socio=et, ainsi que l'a reconnu le conseil_d'_administration*socio=ac, est*socio=rien devenue plus pressante*socio=rien en raison*socio=rien des tensions*socio=ec2 - présentes*socio=rien et potentielles*socio=uv4 - dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et le système*socio=rien des changes*socio=ec1. Certaines*socio=rien de ces tensions*socio=ec2 proviennent de la transformation*socio=ec2 des systèmes_économiques*socio=ec1, d'autres des divergences*socio=uv1 entre les politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et les positions*socio=rien cycliques*socio=te des différents*socio=rien pays_membres*socio=ac. L'élaboration*socio=rien et la mise en oeuvre*socio=rien des politiques_économiques*socio=et des pays_membres*socio=ac et les répercussions*socio=ec2 qu'elles ont sur*socio=rien le plan*socio=rien international*socio=te influent fortement sur*socio=rien la stabilité*socio=uv3 *socio=rien du système de*socio=nil change*socio=ec1.*socio=nil Cela*socio=nil est particulièrement*socio=nil vrai *socio=nil en ce qui concerne les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, puisque leurs politiques_économiques*socio=et ont les plus *socio=rien vastes retombées sur l'*socio=nil économie*socio=ec1 mondiale*socio=te *socio=nil et la stabilité*socio=uv3 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. En conséquence*socio=rien, en examinant les moyens*socio=ec1 de renforcer l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et, il faut tenir compte*socio=ec1 de la *socio=ec2 transformation systémique *socio=nil qu'a récemment connue l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, ainsi que de l'évolution*socio=te des politiques*socio=et et des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac, en particulier*socio=rien des plus grands*socio=rien d'entre eux. Au cours*socio=rien des dernières*socio=rien décennies*socio=te, la part*socio=rien de l'amérique_du_nord*socio=ac et de l'Europe*socio=ac dans la production*socio=ec1 et les échanges_mondiaux*socio=ec1 s'est*socio=rien contractée, tandis que celle de l'Asie*socio=ac et de la région*socio=te du*socio=rien Pacifique*socio=te augmentait fortement. Simultanément, les monnaies*socio=ec1 des trois principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont commencé à jouer un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4. Étant donné non seulement cette évolution*socio=te des rapports_de_force*socio=et économique*socio=ec1 et du*socio=rien rôle*socio=et joué par les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1, mais aussi l'intégration*socio=uv1 croissante*socio=rien des marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1, la situation*socio=rien monétaire*socio=ec1 pourrait devenir*socio=rien plus instable*socio=uv4 si les politiques*socio=et et les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac étaient marqués par des divergences*socio=uv1 significatives*socio=rien. Comme l'ont fait*socio=rien remarquer les administrateurs*socio=ac, l'expansion*socio=ec2 et l'internationalisation*socio=te sur*socio=rien une *socio=rien grande échelle des*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil capitaux_privés*socio=ec1 *socio=nil ont rendu le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te plus vulnérable*socio=uv2 face*socio=rien aux déséquilibres*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac et aux discordances éventuelles*socio=te entre les taux_de_change*socio=ec1 et les paramètres*socio=rien macro-économiques*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4. Par ailleurs*socio=rien, les efforts*socio=uv1 visant à accroître la stabilité*socio=uv3 *socio=rien du système de*socio=nil change*socio=ec1 *socio=nil ne peuvent, à leur avis*socio=rien, être*socio=rien dissociés de ceux qui ont pour objectif*socio=uv3 la mise en oeuvre*socio=rien de politiques_économiques*socio=et propices*socio=rien à la stabilité*socio=uv3 et à la convergence*socio=uv3 des *socio=ec1 conditions macro-économiques intérieures*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil mouvement*socio=ec2 d'*socio=nil intégration*socio=uv1 régionale*socio=te et*socio=nil monétaire au*socio=nil sein*socio=rien *socio=nil de certains groupes_de_pays*socio=ac s'est*socio=rien poursuivi. L'une de ses manifestations*socio=rien les plus *socio=rien notables est le*socio=nil Traité de*socio=nil Maastricht*socio=et *socio=nil conclu en décembre*socio=rien 1991 entre les pays*socio=ac de la CE. Parmi les autres initiatives*socio=rien d'intégration*socio=uv1 économique*socio=ec1, il convient de noter l'Accord*socio=et de libre-échange*socio=et entre les États-unis*socio=ac et le Canada*socio=ac, l'accord_de_libre-échange_nord-américain*socio=et (ALENA*socio=et) et les propositions*socio=rien à long_terme*socio=te visant à étendre la liberté*socio=uv1 des échanges*socio=ec1 à l'ensemble*socio=rien de l'hémisphère*socio=te. Le désir*socio=rien d'une plus grande*socio=rien intégration*socio=uv1 s'est*socio=rien également manifesté sur*socio=rien d'autres continents*socio=ac, par exemple*socio=rien, dans le cadre*socio=rien de l' union_monétaire*socio=et ouest-africaine*socio=te (UMOA). En ce qui concerne la transition*socio=ec2 à l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1, la convergence*socio=uv3 économique*socio=ec1 entre les pays_membres*socio=ac participant*socio=rien au mécanisme*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 (MTC) du*socio=rien SME*socio=ec1 ne s'est*socio=rien pas opérée assez rapidement pour éviter les turbulences*socio=ec2 qui ont secoué le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1 en septembre*socio=rien 1992. Celles-ci, ainsi que les déséquilibres*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1 qui en sont l'origine*socio=rien, ont soulevé d'importantes*socio=uv4 questions*socio=rien pour ce qui est*socio=rien de la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac Plusieurs administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer le rôle*socio=et limité joué par ce dernier*socio=rien pendant la crise*socio=uv2 qu'ont traversée les marchés*socio=ec1 européens*socio=ac des devises*socio=ec1. Ils ont souligné que les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et les déséquilibres*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1 qui les ont engendrées préoccupaient vivement la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil *socio=nil De l'avis*socio=rien des administrateurs*socio=ac, celle-ci doit avoir l'assurance*socio=ec1 que les conséquences*socio=rien à l'échelle*socio=rien internationale*socio=ac des décisions*socio=et de politique_économique*socio=ec1 adoptées au niveau*socio=rien régional*socio=te sont dûment prises*socio=rien en considération*socio=rien dans le processus*socio=te d'élaboration*socio=rien des politiques*socio=et. D'où la nécessité*socio=uv1 pour le FMI*socio=ac d'exercer ses fonctions*socio=rien de surveillance*socio=et avec promptitude*socio=uv1 et efficacité*socio=uv3. Il incombe aux pays_industrialisés*socio=ac en particulier*socio=rien, et il y va de leur intérêt*socio=uv1, d'intensifier leurs efforts*socio=uv1 pour donner à leurs politiques_économiques*socio=et et financières*socio=ec1 une orientation*socio=et propice*socio=rien à une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 durable*socio=uv4 dans *socio=rien un climat de*socio=nil stabilité*socio=uv3 des*socio=nil prix*socio=ec1 raisonnable*socio=uv4 *socio=nil - non seulement pour des raisons*socio=rien internes*socio=te, mais aussi pour éviter des retombées*socio=rien fâcheuses sur*socio=rien les autres pays*socio=ac et prévenir la réapparition*socio=rien des tensions*socio=ec2 qui ont été*socio=rien à l'origine*socio=rien des perturbations*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Les efforts*socio=uv1 de réforme*socio=et dans les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et d' europe_de_l'_est*socio=ac, ainsi que dans les États*socio=ac issus de l'ancienne*socio=rien union_soviétique*socio=ac ont *socio=rien un certain nombre de*socio=nil conséquences *socio=nil en ce qui concerne la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac. tant donné 1 , augmentation*socio=ec2 *socio=rien du nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac du FMI*socio=ac *socio=nil et, par conséquent*socio=rien, de la demande*socio=ec1 de conseils*socio=ac de politique_économique*socio=ec1 et d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien dont il fait*socio=rien l'objet*socio=rien, l'institution*socio=ac a besoin*socio=uv1 de ressources*socio=ec1 considérablement*socio=rien accrues pour s'acquitter de ses fonctions*socio=rien de surveillance*socio=et. En outre, la transformation*socio=ec2 des pays*socio=ac à planification*socio=et centrale*socio=rien en économies_de_marché*socio=ec1 exige de vastes*socio=rien réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, ce qui suppose des consultations*socio=uv1 et une coordination*socio=uv3 plus étroites*socio=rien entre le FMI*socio=ac, la banque_mondiale*socio=ac et les autres institutions*socio=ac participant*socio=rien au processus*socio=te de transformation*socio=ec2. Enfin, étant donné les liens*socio=rien régionaux*socio=te étroits*socio=rien qui unissaient ces pays*socio=ac dans le passé*socio=rien, dans l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et, le FMI*socio=ac doit traiter les *socio=rien questions relatives aux*socio=nil pratiques*socio=et de*socio=nil change*socio=ec1 *socio=nil et aux politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 dans *socio=rien un contexte régional*socio=te aussi*socio=nil bien *socio=nil que dans l'optique*socio=rien de l'intégration*socio=uv1 de ces pays*socio=ac dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Une surveillance*socio=et plus efficace*socio=uv4. Comme il a déjà été*socio=rien indiqué, lors*socio=rien de leur examen*socio=ec2 de 1993, les administrateurs*socio=ac se sont mis d'accord*socio=uv1 *socio=rien sur un certain nombre de*socio=nil mesures*socio=et propres *socio=nil à accroître l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et. Aucun ensemble*socio=rien de directives*socio=et et procédures*socio=et de surveillance*socio=et, ont-ils toutefois souligné, ne peut donner des résultats*socio=rien pleinement satisfaisants*socio=uv4 si les pays_membres*socio=ac ne sont pas tous disposés à prendre dûment en considération*socio=rien le point*socio=rien de vue*socio=rien de la *socio=ac communauté internationale *socio=nil dans l'élaboration*socio=rien et la mise en oeuvre*socio=rien de leur politique_économique*socio=ec1. Plusieurs d'entre eux ont insisté sur*socio=rien le fait*socio=rien que la qualité*socio=rien et la pertinence*socio=rien de l'analyse*socio=ec2 des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac déterminent dans une très *socio=rien large mesure l'*socio=nil efficacité*socio=uv3 *socio=nil de la surveillance*socio=et exercée par l'institution*socio=ac. La qualité*socio=rien dépend non seulement de la pertinence*socio=rien de l'analyse*socio=ec2, mais aussi de la fiabilité*socio=uv1 des. bases*socio=rien de données macro-économiques*socio=ec1 sur*socio=rien laquelle elle repose et de l'application*socio=rien des normes*socio=et internationales*socio=te régissant*socio=rien l'établissement*socio=rien des statistiques*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que la surveillance*socio=et ne peut être*socio=rien pleinement efficace*socio=uv4 que si les pays_membres*socio=ac communiquent au FMI*socio=ac les données de *socio=rien base nécessaires *socio=nil à une analyse*socio=ec2 détaillée des politiques_économiques*socio=et et des facteurs*socio=rien influant sur*socio=rien les résultats*socio=rien macro-économiques*socio=ec1. Les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac ont donc aussi été*socio=rien invités à signaler ouvertement les cas*socio=rien où les carences des données permettent difficilement d'analyser la politique_économique*socio=ec1 et de donner des conseils*socio=ac en la matière*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac espèrent que tous les pays_membres*socio=ac coopéreront dans l'application*socio=rien des procédures*socio=et de surveillance*socio=et améliorées de manière*socio=rien à rendre l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac plus efficace*socio=uv4 et plus impartiale. La direction*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac informera les administrateurs*socio=ac des résultats*socio=rien de l'application*socio=rien des nouvelles*socio=rien procédures*socio=et d'ici à janvier*socio=rien 1995, *socio=rien lors du prochain réexamen*socio=et *socio=nil de la politique*socio=et de surveillance*socio=et. Continuité*socio=uv1 de la surveillance*socio=et. Les administrateurs*socio=ac se sont accordés à penser que l'un*socio=rien des principaux*socio=rien moyens*socio=ec1 de renforcer la surveillance*socio=et serait de l'exercer de façon*socio=rien plus continue*socio=rien, en particulier*socio=rien pour ce qui est*socio=rien des questions*socio=rien systémiques*socio=ec2 et régionales*socio=te. C'est*socio=rien pourquoi ils ont appuyé la proposition*socio=rien visant à élargir la portée*socio=rien des séances*socio=rien de travail*socio=rien consacrées à l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et des marchés*socio=ec1 en incluant une *socio=rien large gamme de*socio=nil questions relatives aux*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil et au système*socio=rien en général*socio=rien. Cela permettrait d'intégrer davantage ces séances*socio=rien aux autres *socio=rien travaux du FMI*socio=ac,*socio=nil *socio=nil tels que l'étude*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec les différents*socio=rien pays_membres*socio=ac. Ces séances*socio=rien demeureraient confidentielles, informelles*socio=uv2 et centrées sur*socio=rien des *socio=rien points précis,*socio=nil *socio=nil et elles pourraient aider à déceler les tendances*socio=ec2 et tensions*socio=ec2 naissantes*socio=rien dans l'économie*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac en général*socio=rien et sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 en particulier*socio=rien. Elles donneraient au conseil_d'_administration*socio=ac l'occasion*socio=rien de donner des conseils*socio=ac en matière*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 et de recommander, s'il juge*socio=et bon*socio=rien de le faire, la reprise de contact*socio=rien avec les autorités*socio=et nationales*socio=te ou les groupes_de_pays*socio=ac. De plus, ces séances*socio=rien permettraient de porter à l'attention*socio=rien du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac en temps*socio=rien voulu des questions*socio=rien importantes*socio=uv4 relatives*socio=rien aux pays*socio=ac et d'assurer ainsi le relais*socio=rien entre la période*socio=te des consultations*socio=uv1 ordinaires*socio=rien et celle des discussions*socio=et sur*socio=rien les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Par ailleurs*socio=rien, les administrateurs*socio=ac se sont montrés favorables*socio=uv4 aux propositions*socio=rien visant à améliorer la surveillance*socio=et en multipliant, de façon*socio=rien sélective*socio=uv4, les contacts*socio=rien informels*socio=uv2 pour assurer le suivi des questions*socio=rien de *socio=rien fond après les*socio=nil consultations*socio=uv1 au*socio=nil titre *socio=nil de l'article*socio=rien IV Ces contacts*socio=rien seraient fondés sur*socio=rien des communications*socio=ec1 du*socio=rien directeur_général*socio=ac sur*socio=rien des *socio=rien points particuliers,*socio=nil *socio=nil qui appelleraient, le cas*socio=rien échéant, une réponse*socio=rien de la *socio=rien part du *socio=ac pays membre.*socio=nil Des*socio=nil discussions*socio=et supplémentaires*socio=rien *socio=nil avec des hauts_fonctionnaires*socio=ac ou la direction*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac pourraient s'en suivre, y compris dans le cadre*socio=rien de missions dans le *socio=ac pays membre.*socio=nil Le*socio=nil résultat*socio=rien *socio=nil de ces discussions*socio=et de suivi ne ferait normalement pas l'objet*socio=rien d'un*socio=rien rapport*socio=rien écrit au Conseil*socio=ac, mais les administrateurs*socio=ac ont pensé qu'il pourrait être*socio=rien utile*socio=uv4 de leur soumettre *socio=rien un rapport *socio=nil oral. Plusieurs administrateurs*socio=ac espéraient que cette forme*socio=rien de suivi renforcerait le dialogue*socio=uv1 sur*socio=rien les questions*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 entre le FMI*socio=ac et ses membres*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac sont convenus de modifier la procédure*socio=et de surveillance*socio=et pour faciliter les consultations*socio=uv1 "ad_hoc*socio=rien". Le directeur_général*socio=ac engagerait des discussions*socio=et qui pourraient aboutir à des consultations*socio=uv1 ad_hoc*socio=rien dès lors*socio=rien qu'à son avis*socio=rien une évolution*socio=te importante*socio=uv4 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 est*socio=rien de nature*socio=rien à influer sur*socio=rien la politique*socio=et de change*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=ac pays membre *socio=nil ou le *socio=rien comportement du taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil de sa monnaie*socio=ec1. Dans certains cas*socio=rien, *socio=rien un bref rapport des*socio=nil services*socio=et du FMI*socio=ac,*socio=nil fondé*socio=nil sur les*socio=nil discussions*socio=et *socio=nil avec les autorités*socio=et, pourrait être*socio=rien soumis au Conseil*socio=ac. Ce rapport*socio=rien pourrait être*socio=rien examiné à la demande*socio=ec1 d'un*socio=rien administrateur*socio=ac ou du*socio=rien directeur_général*socio=ac. De l'avis*socio=rien de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac, le FMI*socio=ac devait participer de plus près aux délibérations*socio=et pouvant influer sur*socio=rien le *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil *socio=nil Ils ont souligné que des efforts*socio=uv1 devraient *socio=rien être faits en*socio=nil vue *socio=nil de conférer un*socio=rien plus grand*socio=rien rôle*socio=et au directeur_général*socio=ac ou à d'autres hauts_fonctionnaires*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac dans les réunions*socio=rien importantes*socio=uv4 qui regroupent des pays_membres*socio=ac en dehors de l'institution*socio=ac, où se discute l'orientation*socio=et de leur politique_économique*socio=ec1 et des questions*socio=rien cruciales*socio=uv4 touchant le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. À cet égard*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont souligné qu'il importait de veiller à ce que dans toutes les *socio=et discussions bilatérales *socio=nil avec des autorités*socio=et nationales*socio=te, en particulier*socio=rien dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, un*socio=rien dialogue*socio=uv1 fructueux*socio=rien s'établisse à *socio=rien un niveau de*socio=nil responsabilité*socio=uv1 suffisamment*socio=nil élevé*socio=uv4.*socio=nil Surveillance*socio=et *socio=nil accentuée. Pour aider une plus grande*socio=rien diversité*socio=uv1 de pays_membres*socio=ac dans l'élaboration*socio=rien et le contrôle*socio=uv3 de leur politique_économique*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac sont convenus, lors*socio=rien de leur examen*socio=ec2 de la surveillance*socio=et de 1993, de revoir les procédures*socio=et de surveillance*socio=et accentuée. Ces procédures*socio=et, instituées en 1985 en vue*socio=rien de faciliter les accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et pluriannuel entre certains pays_membres*socio=ac et les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, établissent entre le FMI*socio=ac et le *socio=ac pays membre des*socio=nil liens*socio=rien plus*socio=nil étroits*socio=rien *socio=nil que d'ordinaire*socio=rien dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 périodiques*socio=te au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, mais moins étroits*socio=rien que dans le cas*socio=rien des accords*socio=et avec le FMI*socio=ac. Selon les procédures*socio=et révisées de surveillance*socio=et accentuée, les autorités*socio=et demanderaient au FMI*socio=ac de surveiller leurs politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 dans le contexte*socio=rien de leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et en cours*socio=rien. Le conseil_d'_administration*socio=ac donnerait suite*socio=rien à la demande*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac cas*socio=rien par cas*socio=rien, en tenant compte*socio=ec1 notamment de leurs antécédents*socio=ec1 et de la vigueur*socio=uv3 de leur programme*socio=et économique*socio=ec1, sans toutefois que le conseil_d'_administration*socio=ac ait à approuver ou appuyer le programme*socio=et en tant que tel. Le suivi comprendrait un*socio=rien examen*socio=ec2 à mi-parcours de l'avancement*socio=uv3 du*socio=rien programme*socio=et indépendamment des *socio=rien résultats effectivement *socio=nil obtenus; à défaut*socio=rien, les administrateurs*socio=ac seraient informés de l'absence*socio=rien d'examen*socio=ec2 avec des explications*socio=rien. Les rapports*socio=rien pour les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV (modifiés, le cas*socio=rien échéant) et les rapports*socio=rien semestriels*socio=te soumis au conseil_d'_administration*socio=ac pourraient être*socio=rien mis à la disposition*socio=et des créanciers*socio=ac. Le Conseil*socio=ac approuverait l'application*socio=rien de ces procédures*socio=et jusqu'aux consultations*socio=uv1 suivantes*socio=rien au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec le pays*socio=ac ou pour une période*socio=te de 12 mois*socio=rien. Ces procédures*socio=et seraient réexaminées par le Conseil*socio=ac au bout*socio=rien de deux ans*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac sont convenus que les procédures*socio=et révisées de surveillance*socio=et accentuée pourraient s'appliquer au dispositif*socio=et en place*socio=rien de suivi des résultats*socio=rien postérieurs à l'application*socio=rien d'accords*socio=et au titre*socio=rien de la FASR*socio=ec1. Ils envisageaient de recourir à ces procédures*socio=et dans plusieurs cas*socio=rien, par exemple*socio=rien, lorsque des pays_membres*socio=ac demandent un*socio=rien suivi pour les aider à obtenir*socio=rien des concours financiers*socio=ec1 extérieurs*socio=te, en particulier*socio=rien les pays*socio=ac qui ont obtenu de *socio=rien bons résultats économiques*socio=ec1 *socio=nil et n'utilisent plus les ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Il serait aussi possible*socio=rien d'y recourir dans certains cas*socio=rien où il n'y a pas de *socio=rien lien direct *socio=nil avec la mobilisation*socio=uv3 d'aide*socio=uv1 extérieure*socio=te, mais où le *socio=ac pays membre en*socio=nil mesure*socio=rien *socio=nil de justifier de *socio=rien bons résultats économiques*socio=ec1 *socio=nil cherche à donner une confiance*socio=uv1 accrue, à l'intérieur*socio=te et à l'étranger*socio=te, dans la persistance*socio=te de ses efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et. Procédures*socio=et des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. En faisant le *socio=rien point sur la*socio=nil modification temporaire des*socio=nil cycles*socio=te de*socio=nil consultations*socio=uv1,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont exprimé la crainte*socio=uv1 que, dans certains cas*socio=rien, l'intermittence du*socio=rien processus*socio=te de surveillance*socio=et ait pu nuire à la qualité*socio=rien et à l'efficacité*socio=uv3 des conseils*socio=ac donnés par le FMI*socio=ac en matière*socio=rien de politique_économique*socio=ec1. De même, ils étaient préoccupés par les retards*socio=rien excessifs*socio=uv4 intervenus dans les consultations*socio=uv1 avec certains pays_membres*socio=ac. Parmi ces pays*socio=ac, les uns appliquaient des accords*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et les autres avaient connu un*socio=rien changement*socio=uv3 de gouvernement*socio=ac ou quelque événement*socio=rien important*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac ont donc réexaminé les *socio=te cycles actuels des*socio=nil consultations*socio=uv1 au*socio=nil titre*socio=rien *socio=nil de l'article*socio=rien IV et en particulier*socio=rien la procédure*socio=et dite "à cycle*socio=te double*socio=rien", en vue*socio=rien de donner plus de continuité*socio=uv1 et de souplesse*socio=uv3 au processus*socio=te de surveillance*socio=et. La procédure*socio=et à cycle*socio=te *socio=rien double est un système de*socio=nil consultations*socio=uv1 *socio=nil modifié qui prévoit, tous les deux ans*socio=rien, un*socio=rien examen*socio=ec2 de la *socio=rien situation du pays*socio=ac *socio=nil par le Conseil*socio=ac et, dans l'intervalle*socio=te, une procédure*socio=et simplifiée. Ce système*socio=rien a été*socio=rien institué en 1987 en vue*socio=rien de réduire la charge*socio=rien de *socio=rien travail du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil et des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac tout en préservant la qualité*socio=rien de la surveillance*socio=et. Adoptée initialement pour 23 pays*socio=ac, la procédure*socio=et à cycle*socio=te double*socio=rien a été*socio=rien appliquée à 31 pays*socio=ac au total*socio=rien. Le bilan*socio=rien de son application*socio=rien a toutefois montré qu'elle n'avait pas toujours répondu aux besoins*socio=uv1 de continuité*socio=uv1 et d'impartialité*socio=uv1 du*socio=rien processus*socio=te de surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. De plus, elle ne semble pas avoir produit*socio=rien les économies*socio=ec1 de temps*socio=rien que le Conseil*socio=ac et les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac en attendaient. Le conseil_d'_administration*socio=ac a donc souscrit, en avril*socio=rien 1993, à la *socio=rien proposition du directeur_général*socio=ac *socio=nil d'éliminer la procédure*socio=et à cycle*socio=te double*socio=rien. En conséquence*socio=rien, à l'exception*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien petit nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil avec lesquels les consultations*socio=uv1 ont *socio=rien lieu suivant un cycle*socio=te *socio=nil de 18 ou 24 mois*socio=rien, toutes les consultations*socio=uv1 se tiendront selon le cycle*socio=te normal*socio=rien de 12 mois*socio=rien et les rapports*socio=rien de consultations*socio=uv1 seront examinés tous les ans*socio=rien par le Conseil*socio=ac. En outre, certaines*socio=rien étapes*socio=te de la procédure*socio=et applicable*socio=rien aux discussions*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac seront simplifiées. Mesures*socio=et diverses*socio=rien. Lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 biennal*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont noté que le FMI*socio=ac devait accroître la promptitude*socio=uv1 et l'efficacité*socio=uv3 de sa surveillance*socio=et de l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 des régions*socio=te (voir l'encadré 4). Dans la mesure*socio=rien où des institutions*socio=ac régionales*socio=te, avaient assumé des responsabilités*socio=uv1 dans l'élaboration*socio=rien de politiques*socio=et relevant de la compétence*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac, qui étaient précédemment la *socio=rien seule prérogative des*socio=nil pays_membres*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac ont*socio=nil été d'*socio=nil avis *socio=nil qu'il était nécessaire*socio=rien d'avoir des contacts*socio=rien avec ces institutions*socio=ac. Telle est*socio=rien l'approche adoptée par le FMI*socio=ac pour *socio=rien un certain nombre de*socio=nil régions*socio=te,*socio=nil *socio=nil dont la CE. Les administrateurs*socio=ac ont vivement engagé les pays_membres*socio=ac qui se prévalent des dispositions*socio=et transitoires*socio=rien de l'article*socio=rien XIV à accepter les obligations*socio=uv1 découlant de l'article*socio=rien V111 (voir l'encadré 5). Parmi les autres mesures*socio=et destinées*socio=rien à accroître l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et, les administrateurs*socio=ac ont accueilli favorablement la plus grande*socio=rien concision des rapports*socio=rien préparés par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et la poursuite*socio=rien des efforts*socio=uv1 de sélectivité et de définition*socio=rien des *socio=rien points traités.*socio=nil Consultations*socio=uv1 au*socio=nil titre *socio=nil de l'article*socio=rien IV. À intervalles*socio=rien réguliers*socio=ec2, les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac rencontrent les autorités*socio=et des pays_membres*socio=ac afin de rassembler des données, de passer en revue l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 et de tenir des discussions*socio=et sur*socio=rien la politique_économique*socio=ec1. Les informations*socio=rien ainsi recueillies forment la base*socio=rien des rapports*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac qui sont examinés par le Conseil*socio=ac. Les consultations*socio=uv1 entre les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et les pays_membres*socio=ac ont lieu*socio=rien conformément à l'article*socio=rien IV des statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et, comme on l'a vu plus haut*socio=rien, elles constituent pour l'institution*socio=ac le *socio=rien principal moyen *socio=nil d'exercer sa fonction*socio=rien de surveillance*socio=et *socio=rien sur un plan bilatéral*socio=et.*socio=nil Différents indicateurs*socio=ec1 relatifs aux*socio=nil consultations*socio=uv1 au*socio=nil titre *socio=nil de l'article*socio=rien IV des dix *socio=rien dernières années *socio=nil sont présentés au graphique*socio=rien 6 et la ventilation*socio=rien des consultations*socio=uv1 par catégorie*socio=rien de pays_membres*socio=ac figure au graphique*socio=rien 7. Le tableau*socio=rien 2 donne la liste des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV conclues par le FMI*socio=ac en 1992 / 93. Les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV donnent au FMI*socio=ac l'occasion*socio=rien d'évaluer la politique_économique*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. Étant donné que ces consultations*socio=uv1 ont lieu*socio=rien à intervalles*socio=rien réguliers*socio=ec2, elles sont particulièrement utiles*socio=uv4 pour identifier rapidement les problèmes*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 et aider le pays*socio=ac touché à prendre sans délai*socio=rien les mesures*socio=et qui s'imposent pour y remédier. Les consultations*socio=uv1 sont axées sur*socio=rien la politique*socio=et de change*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac, dans le contexte*socio=rien de sa politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 et des politiques*socio=et structurelles*socio=ec2 connexes*socio=rien. Elles ont aussi pour objet*socio=rien de déterminer si ces politiques*socio=et sont propices*socio=rien à une stabilité*socio=uv3 raisonnable*socio=uv4 des prix*socio=ec1, à des positions*socio=rien extérieures*socio=te soutenables*socio=uv4 et à une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 ordonnée. pays_industrialisés*socio=ac. France*socio=ac. Malgré un*socio=rien environnement*socio=et extérieur*socio=te défavorable*socio=uv4, la performance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 française*socio=ac est*socio=rien restée meilleure*socio=uv4 à bien*socio=rien des égards*socio=rien que celle des autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. C'est*socio=rien ce que les administrateurs*socio=ac ont conclu de leur examen*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 française*socio=ac d'octobre*socio=rien 1992. Citant l'approche judicieuse*socio=uv4 adoptée par les autorités*socio=et en ce qui concerne la désinflation*socio=ec2 et les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 à *socio=rien moyen terme *socio=nil et leur politique*socio=et sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1, ils ont fait*socio=rien observer que les tendances*socio=ec2 récessionnistes avaient été*socio=rien évitées, que le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 avait été*socio=rien réduit et que la balance_commerciale*socio=ec1 s'était améliorée. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont noté que le *socio=ec1 taux_de_croissance économique avait*socio=nil considérablement*socio=rien *socio=nil baissé en 1991 et que le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 avait augmenté, atteignant 10% au milieu*socio=rien de 1992. Certains administrateurs*socio=ac craignaient que les perspectives*socio=te d'amélioration*socio=uv1 de la croissance*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1 dans l'avenir*socio=te proche ne se soient dégradées sous l'effet*socio=rien des ajustements*socio=et récents*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et des taux_de_change*socio=ec1 ainsi que du*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 prévu chez les principaux*socio=rien partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. Il n'y avait pas lieu*socio=rien pour autant de modifier la stratégie*socio=et économique*socio=ec1, mais les administrateurs*socio=ac ont encouragé les autorités*socio=et à demeurer *socio=rien vigilantes sur le*socio=nil front budgétaire*socio=et.*socio=nil Par*socio=nil ailleurs,*socio=nil *socio=nil ils leur ont recommandé d'accélérer les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, en *socio=rien particulier sur le*socio=nil marché_du_travail*socio=ec1,*socio=nil de*socio=nil manière *socio=nil à ce que des progrès*socio=uv1 rapides*socio=rien puissent être*socio=rien accomplis dans la lutte*socio=uv1 contre le chômage*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont reconnu que les manques à percevoir en recettes*socio=ec1 fiscales*socio=et, liés à la conjoncture*socio=ec2, avaient creusé le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et. Plusieurs d'entre eux ont admis que le déficit*socio=ec1 prévu d'après*socio=rien le projet_de_loi*socio=et de finances*socio=ec1 pour 1993 n'était pas excessivement élevé*socio=uv4, mais d'autres ont souligné que la réduction*socio=ec2 *socio=rien systématique du déficit*socio=ec1 *socio=nil était l'un*socio=rien des éléments*socio=rien essentiels*socio=uv4 de la stratégie*socio=et économique*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme *socio=nil et que les dérapages*socio=uv4 intervenus par rapport*socio=rien aux objectifs*socio=uv3 de réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 devraient être*socio=rien entièrement compensés dès que les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 s'amélioreraient. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont suggéré d'intensifier les efforts*socio=uv1 de privatisation*socio=et pour contenir la dette*socio=ec1 publique*socio=et et rendre l'économie*socio=ec1 plus efficiente*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac se sont dans l'ensemble*socio=rien prononcés en faveur*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et à *socio=rien moyen terme des*socio=nil autorités*socio=et,*socio=nil fondée*socio=nil sur la*socio=nil désinflation*socio=ec2 *socio=nil et le maintien*socio=rien de la parité*socio=ec1 du*socio=rien franc*socio=ec1 par rapport*socio=rien au *socio=ec1 deutsche mark.*socio=nil *socio=nil Ils ont jugé encourageante*socio=uv2 la tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te, malgré l'instabilité*socio=uv3 du*socio=rien marché*socio=ec1. On pouvait s'attendre à ce que les primes*socio=ec1 de risque*socio=uv3 sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1 des avoirs*socio=ec1 libellés en francs*socio=ec1 recommencent à baisser une fois*socio=rien que la stabilité*socio=uv3 serait revenue sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont loué les autorités*socio=et pour avoir réussi à défendre le franc*socio=ec1 contre les *socio=ec2 pressions spéculatives *socio=nil à l'automne*socio=rien 1992. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont indiqué qu'une politique*socio=et des taux_d'_intérêt*socio=ec1 plus souple*socio=uv4 serait souhaitable*socio=rien pour renforcer la *socio=rien position du franc*socio=ec1 *socio=nil à l'intérieur*socio=te de la bande étroite*socio=rien de fluctuation*socio=ec2 du*socio=rien MTC. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que la persistance*socio=te de taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 élevés*socio=uv4 était due à des rigidités*socio=uv3 de longue*socio=rien date sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1, en particulier*socio=rien celles qui sont liées à la législation*socio=et sur*socio=rien le salaire*socio=ec1 minimum*socio=rien, à la générosité*socio=uv1 des indemnités*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 et à l'écart*socio=ec2 important*socio=uv4 entre les *socio=ec1 coûts salariaux bruts*socio=rien *socio=nil et les salaires*socio=ec1 nets*socio=rien. Ils ont préconisé l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et supplémentaires*socio=rien fondées sur*socio=rien les lois_du_marché*socio=ec2 pour améliorer le *socio=rien fonctionnement du marché_du_travail*socio=ec1 *socio=nil et renforcer les programmes*socio=et de formation_professionnelle*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont invité la France*socio=ac à libéraliser davantage son régime*socio=et commercial*socio=ec1 et à jouer un*socio=rien rôle*socio=et prépondérant*socio=rien dans la conclusion*socio=rien de l'uruguay_round*socio=et. Ils ont loué la France*socio=ac pour son ferme*socio=ec2 attachement*socio=uv1 à l' aide_publique_au_développement*socio=et. Canada*socio=ac. La croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 du*socio=rien Canada*socio=ac en 1992 a été*socio=rien nettement plus lente*socio=rien que prévu, ont constaté les administrateurs*socio=ac au cours*socio=rien de l'examen*socio=ec2 qu'ils ont effectué en mars*socio=rien 1993. La demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a *socio=rien été faible *socio=nil et l'emploi*socio=ec1 a diminué. L'inflation*socio=ec1 s'est*socio=rien considérablement*socio=rien ralentie et les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil se sont régulièrement assouplies jusqu'en septembre*socio=rien, mois*socio=rien pendant lequel les turbulences*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 ont exercé des pressions*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 et provoqué de fortes*socio=rien hausses des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te. En fin*socio=rien d'année*socio=rien, l'économie*socio=ec1 reprenait vigueur*socio=uv3 et la stabilité*socio=uv3 était revenue sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont noté qu'en dépit*socio=rien de la morosité*socio=uv1, les autorités*socio=et avaient, par les mesures*socio=et qu'elles avaient prises*socio=rien, jeté les bases*socio=rien d'une reprise économique*socio=ec1 durable*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac ont loué les autorités*socio=et pour leurs efforts*socio=uv1 en vue*socio=rien d'atteindre leurs objectifs*socio=uv3 budgétaires*socio=et, malgré le manque*socio=rien à percevoir en recettes*socio=ec1 et l'augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 dus au ralentissement*socio=ec2 conjoncturel*socio=te. Bien*socio=rien que préoccupés par la *socio=rien forte révision en*socio=nil hausse des*socio=nil estimations*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 *socio=et budgétaire fédéral *socio=nil pour 1992 / 93, les administrateurs*socio=ac ont considéré que les *socio=et mesures budgétaires *socio=nil adoptées étaient de nature*socio=rien à limiter*socio=rien le déficit*socio=ec1 tout en redonnant confiance*socio=uv1 aux investisseurs*socio=ac et aux consommateurs*socio=ac face*socio=rien à la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien de l'économie*socio=ec1. Ils ont souligné qu'il fallait pousser plus avant le rééquilibrage*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et pour que l'objectif*socio=uv3 d'équilibre*socio=ec2 à *socio=rien moyen terme puisse*socio=nil être *socio=nil réalisé, même si la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 était vigoureuse*socio=rien au cours*socio=rien des *socio=rien prochaines années.*socio=nil *socio=nil En outre, ils sont convenus que ce rééquilibrage*socio=uv3 était nécessaire*socio=rien à l'échelon*socio=rien des provinces*socio=ac comme au niveau*socio=rien fédéral*socio=et et qu'il faudrait l'accélérer à mesure*socio=rien que l'activité*socio=rien reprendrait. Les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer que l'accroissement*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien avait été*socio=rien lié à une chute *socio=rien rapide du taux*socio=ec1 d'*socio=nil épargne*socio=ec1 nationale*socio=te,*socio=nil imputable*socio=uv2 en*socio=nil particulier aux*socio=nil opérations du secteur *socio=nil publie, notamment au niveau*socio=rien des provinces*socio=ac. Il *socio=rien est vrai *socio=nil que pour améliorer nettement la position*socio=rien *socio=te extérieure courante,*socio=nil *socio=nil il fallait prendre des mesures*socio=et propres*socio=rien à renforcer l'épargne*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et, mais les administrateurs*socio=ac ont noté que la compétitivité*socio=uv3 du*socio=rien Canada*socio=ac s'était sensiblement améliorée grâce*socio=rien à la plus forte*socio=rien productivité*socio=uv3 de la main-d'_oeuvre*socio=ac, à la faiblesse*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 et au rythme*socio=ec2 modéré de progression*socio=ec2 des salaires*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont reconnu que la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 était la plus importante*socio=uv4 contribution*socio=uv1 que la politique_monétaire*socio=et puisse apporter à la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 et ils ont fait*socio=rien l'éloge*socio=rien des autorités*socio=et pour avoir atteint leurs objectifs*socio=uv3 de réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1. Leur détermination*socio=rien à assurer la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 a gagné en crédibilité*socio=uv1, ce qui a aidé à limiter*socio=rien les fluctuations*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te pendant la période*socio=te de perturbation*socio=ec2 des marchés_financiers*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1992. Cette crédibilité*socio=uv1 devrait aussi permettre d'assouplir davantage la politique_monétaire*socio=et sans menacer la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 ou le *socio=rien bon ordre des*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Canada*socio=ac *socio=nil applique depuis longtemps *socio=rien un système de*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 souple*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil ce qui a aidé l'économie*socio=ec1 à s'ajuster aux chocs*socio=ec2 extérieurs*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer que, si les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 avaient retrouvé leur stabilité*socio=uv3, l'ampleur*socio=rien des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et et extérieurs*socio=te pouvait faire renaître des tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1. Par ailleurs*socio=rien, étant donné que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 au Canada*socio=ac étaient restés nettement supérieurs*socio=rien à ceux des États-unis*socio=ac et que le Canada*socio=ac avait obtenu de meilleurs*socio=uv4 résultats*socio=rien que son voisin*socio=rien en matière*socio=rien d'inflation*socio=ec1, la meilleure*socio=uv4 chose*socio=rien à faire pour les autorités*socio=et était de s'efforcer d'améliorer les anticipations*socio=uv3 en poursuivant le rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et et en appliquant une politique_monétaire*socio=et de stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac se sont félicités des mesures*socio=et de réforme*socio=et structurelle*socio=ec2 prises*socio=rien par les autorités*socio=et, notamment la taxe*socio=et sur*socio=rien les produits*socio=rien et services*socio=et et l'effort*socio=uv1 de *socio=rien grande envergure *socio=nil visant à accroître l'efficacité*socio=uv3 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ils ont déclaré que des mesures*socio=et telles que le durcissement*socio=ec2 des conditions*socio=ec1 permettant de bénéficier d'indemnités*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 et le développement*socio=uv3 des programmes*socio=et de recyclage*socio=et des salariés*socio=ac devraient donner plus de souplesse*socio=uv3 au marché_du_travail*socio=ec1, et ils ont instamment invité les autorités*socio=et à continuer d'améliorer leur politique*socio=et dans ce sens*socio=rien. De l'avis*socio=rien général*socio=rien, la poursuite*socio=rien de l'application*socio=rien de l'accord*socio=et de libre-échange*socio=et entre le Canada*socio=ac et les États-unis*socio=ac et la ratification*socio=et de l'ALENA*socio=et rendraient l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac plus efficiente*socio=uv4 à long_terme*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont souligné combien il était important*socio=uv4 que le Canada*socio=ac soutienne activement l'uruguay_round*socio=et, tout en notant qu'il devait libéraliser davantage ses échanges*socio=ec1, en particulier*socio=rien dans le secteur*socio=rien agricole*socio=ec1, où il fallait aussi réduire les subventions*socio=ec1. Ils ont fait*socio=rien l'éloge*socio=rien du*socio=rien Canada*socio=ac pour l'aide*socio=uv1 au développement*socio=uv3 qu'il a fournie, mais ont pris note avec regret de l'intention*socio=rien du*socio=rien gouvernement*socio=ac de réduire le montant*socio=ec1 prévu de cette aide*socio=uv1 dans le cadre*socio=rien de ses mesures*socio=et d'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1. L'examen*socio=ec2 en Conseil*socio=ac de l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1 s'est*socio=rien déroulé parallèlement à la crise*socio=uv2 monétaire*socio=ec1 qu'a traversée le SME*socio=ec1 en septembre*socio=rien 1992. Ces remous*socio=rien monétaires*socio=ec1 étaient d'une *socio=rien importance particulière compte*socio=ec1 tenu*socio=nil du contexte *socio=nil dans lequel ils se sont produits*socio=rien - celui d'une croissance*socio=uv3 et d'une intégration*socio=uv1 des marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 à l'échelle*socio=rien du*socio=rien globe de plus en plus marquées et irréversibles. Cette intégration*socio=uv1, qui n'en est*socio=rien qu'à ses débuts*socio=rien, a des conséquences*socio=rien pour le rôle*socio=et de surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te et les effets*socio=rien au niveau*socio=rien mondial*socio=te des décisions*socio=et prises*socio=rien à l'échelon*socio=rien national*socio=te et régional*socio=te. En général*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont été*socio=rien d'avis*socio=rien que les changements*socio=uv3 structurels*socio=ec2 qui ont eu lieu*socio=rien ces dix *socio=rien dernières années sur les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te ont*socio=nil été positifs*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil entraînant dans leur sillage*socio=rien des gains*socio=ec1 d'efficacité*socio=uv3 non négligeables*socio=rien pour l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Cependant, la capacité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 privés*socio=et de mobiliser à *socio=rien bref délai un volume de*socio=nil ressources*socio=ec1 nettement*socio=nil supérieur *socio=nil à celui dont peuvent disposer les banques_centrales*socio=ac a créé de *socio=uv4 sérieuses difficultés *socio=nil pour les responsables*socio=uv2 de la politique_économique*socio=ec1 aux niveaux*socio=rien régional*socio=te et national*socio=te. Dans un*socio=rien environnement*socio=et pareil*socio=rien, les imperfections*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 ne pardonnent pas. Les administrateurs*socio=ac ont souligné qu'il importait de corriger plus rapidement les déséquilibres*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1, de suivre de plus près l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 pour s'assurer qu'ils correspondent aux données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 et d'améliorer la coordination*socio=uv3 monétaire*socio=ec1. Ce sont là des domaines*socio=rien qui sont au *socio=rien centre du rôle*socio=et de*socio=nil surveillance*socio=et du FMI*socio=ac *socio=nil - en particulier*socio=rien, la communication*socio=ec1 rapide*socio=rien, directe*socio=rien et franche*socio=rien aux autorités*socio=et compétentes*socio=uv4 *socio=rien du point de*socio=nil vue *socio=nil de l'institution*socio=ac sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 et les politiques*socio=et sous-jacentes*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont mis l'accent*socio=rien sur*socio=rien le fait*socio=rien qu'un*socio=rien renforcement*socio=ec2 de la fonction*socio=rien de surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac pourrait contribuer de façon*socio=rien décisive*socio=uv4 à faire prendre conscience*socio=uv1 aux responsables*socio=uv2 de la politique_économique*socio=ec1 des répercussions*socio=ec2 mondiales*socio=te des décisions*socio=et prises*socio=rien aux niveaux*socio=rien national*socio=te et régional*socio=te. Selon plusieurs administrateurs*socio=ac, la crise*socio=uv2 de septembre*socio=rien 1992 au *socio=rien sein du *socio=nil MTC a donné une leçon*socio=ec2 sur*socio=rien les limites*socio=rien de la discipline*socio=uv1 que les marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 pouvaient imposer aux politiques*socio=et des pouvoirs_publics*socio=et. Cette discipline*socio=uv1 est*socio=rien non seulement loin*socio=rien d'être*socio=rien infaillible*socio=rien, mais elle n'est*socio=rien pas non plus forcément appliquée de façon*socio=rien harmonieuse*socio=uv2 ou cohérente*socio=rien. En cette période*socio=te de turbulences*socio=ec2 monétaires*socio=ec1, des *socio=ec2 attaques spéculatives ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil lancées non seulement contre les monnaies*socio=ec1 qui reposaient sur*socio=rien des données économiques*socio=ec1 relativement précaires*socio=uv2, mais aussi contre celles qui étaient foncièrement plus fortes*socio=rien. Il y avait sans *socio=rien doute lieu,*socio=nil *socio=nil a-t-on noté, d'élargir la définition*socio=rien des données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 au-delà des *socio=ec1 indicateurs macro-économiques traditionnels*socio=rien *socio=nil pour y englober l'évaluation*socio=ec2 par le marché*socio=ec1 de la volonté*socio=uv1 politique*socio=et des autorités*socio=et de donner à leurs objectifs*socio=uv3 de taux_de_change*socio=ec1 la priorité*socio=uv4 *socio=rien absolue sur les*socio=nil exigences*socio=ec2 intérieures*socio=te *socio=nil de la politique_monétaire*socio=et, Néanmoins, une politique*socio=et judicieuse*socio=uv4 et la solidité*socio=uv3 des paramètres*socio=rien fondamentaux*socio=uv4 restent la meilleure*socio=uv4 protection*socio=et contre les crises*socio=uv2 de change*socio=ec1 dans un*socio=rien régime*socio=et de taux*socio=ec1 fixes comme de *socio=ec1 taux flottants.*socio=nil La*socio=nil crise*socio=uv2 a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil notamment annoncée par la série de "jeux*socio=rien de convergence*socio=uv3", qui a mis en lumière*socio=rien le manque*socio=rien de convergence*socio=uv3 des conditions_économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 des pays*socio=ac participant*socio=rien au MTC. Pendant la période*socio=te 1987-91, les placements*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 dans les monnaies*socio=ec1 les mieux rémunérées du*socio=rien MTC ont atteint un*socio=rien montant*socio=ec1 global*socio=te considérable*socio=rien. Ces afflux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 ont été*socio=rien favorisés par le fait*socio=rien que les investisseurs*socio=ac internationaux*socio=te s'attendaient de moins en moins à de *socio=rien nouvelles variations des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil à l'approche de l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1, rendant ainsi possible*socio=rien des sorties massives*socio=rien de capitaux*socio=ec1 dès que des incertitudes*socio=uv3 se faisaient jour*socio=rien. En l'occurrence*socio=rien, l'hypothèse*socio=ec2 de la fixité totale*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 ne pouvait pas se défendre alors que, de toute évidence*socio=rien, la convergence*socio=uv3 n'était pas suffisamment profonde*socio=rien ni durable*socio=uv4 parmi les pays*socio=ac faisant *socio=rien partie du SME*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et l'on a assisté*socio=rien à des ventes*socio=ec1 massives*socio=rien de certaines*socio=rien monnaies*socio=ec1, qui ont précipité la crise*socio=uv2. Les administrateurs*socio=ac ont noté qu'une grande*socio=rien diversité*socio=uv1 de participants*socio=ac du*socio=rien secteur_privé*socio=et ont été*socio=rien mêlés à la crise*socio=uv2, parmi lesquels des banques*socio=ac, des maisons*socio=rien de titres*socio=rien, des investisseurs*socio=ac institutionnels*socio=et, des sociétés*socio=ac de placements*socio=ec1 dites "hedge funds" et des compagnies*socio=ac. Néanmoins, comme l'ont noté les administrateurs*socio=ac, les marchés*socio=ec1 ont relativement bien*socio=rien fonctionné pendant la crise*socio=uv2 : aucun des grands*socio=rien établissements*socio=ac financiers*socio=ec1 n'a fait*socio=rien faillite*socio=ec1 et les principaux*socio=rien marchés*socio=ec1 d'actifs*socio=ec1 n'ont pas fait*socio=rien l'objet*socio=rien de grippage prolongé. En outre, la crise*socio=uv2 a été*socio=rien circonscrite aux *socio=ec1 marchés monétaires européens*socio=ac.*socio=nil Certains*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont attribué cette stabilité*socio=uv3 relative*socio=rien aux améliorations*socio=uv1 apportées aux dispositifs*socio=et de maîtrise*socio=rien des risques*socio=uv3 après*socio=rien le krach boursier*socio=ec1 de 1987. Ils ont toutefois lancé une mise en garde*socio=rien contre tout excès*socio=ec2 d'optimisme*socio=uv1 et souligné qu'il importait de continuer d'améliorer ces dispositifs*socio=et, puisqu'il n'était pas garanti*socio=rien que l'absence*socio=rien de contagion*socio=ec2 qui avait caractérisé la crise*socio=uv2 du*socio=rien MTC se répéterait forcément à l'avenir*socio=te. Lorsqu'ils ont évalué la tactique appliquée par les autorités*socio=et pour défendre les parités*socio=ec1 du*socio=rien MTC pendant la crise*socio=uv2, les administrateurs*socio=ac ont noté que l'efficacité*socio=uv3 d'une intervention*socio=et dépendait *socio=rien du degré de*socio=nil coordination*socio=uv3 *socio=nil entre les participants*socio=ac ainsi que de la qualité*socio=rien de l'intervention*socio=et. La crise*socio=uv2 avait clairement fait*socio=rien ressortir les limites*socio=rien de la technique*socio=rien de stérilisation*socio=rien lorsque les marchés*socio=ec1 sont convaincus que certains taux_de_change*socio=ec1 ne sont pas en rapport*socio=rien avec les données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 et que la coordination*socio=uv3 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 est*socio=rien assujettie à des contraintes*socio=uv1 rigoureuses*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac ont toutefois signalé que, dans le contexte*socio=rien d'une économie*socio=ec1 vigoureuse*socio=rien et d'une coopération*socio=uv1 monétaire*socio=ec1 étroite*socio=rien, l'intervention*socio=et pouvait encore jouer un*socio=rien rôle*socio=et d'appoint*socio=rien pour contrecarrer les désordres à court_terme*socio=te sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir que le secteur*socio=rien officiel*socio=et ne pouvait guère emprunter aux marchés_privés*socio=et pour corriger les déséquilibres*socio=uv3 entre ses ressources*socio=ec1 et celles des participants*socio=ac à ces marchés*socio=ec1. Mais selon d'autres, la *socio=rien simple apparence *socio=nil d'une insuffisance*socio=uv3 des réserves*socio=ec1 peut suffire pour déclencher une attaque*socio=rien spéculative*socio=ec2 contre une monnaie*socio=ec1. À leur avis*socio=rien, une augmentation*socio=ec2 des réserves*socio=ec1 ou des lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 officielles*socio=et - notamment au moyen*socio=rien d'une nouvelle*socio=rien facilité à court_terme*socio=te du*socio=rien FMI*socio=ac - mériterait d'être*socio=rien prise*socio=rien en considération*socio=rien. Quelques-uns d'entre eux ont mentionné que le DTS pourrait jouer un*socio=rien rôle*socio=et dans ce domaine*socio=rien. La crise*socio=uv2 du*socio=rien mécanisme*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 a permis*socio=rien de dégager une autre leçon*socio=ec2 : une *socio=ec1 action énergique sur*socio=rien les*socio=nil taux_d'_intérêt *socio=nil pour défendre des taux*socio=ec1 fixes est*socio=rien beaucoup plus efficace*socio=uv4 lorsque les économies*socio=ec1 sont foncièrement vigoureuses*socio=rien et que les exigences*socio=ec2 intérieures*socio=te et extérieures*socio=te des politiques_monétaires*socio=et concordent. Or*socio=ec1, ces conditions*socio=ec1 n'étaient pas réunies pendant la crise*socio=uv2 dans *socio=rien bon nombre des*socio=nil pays*socio=ac participant *socio=nil au MTC. D'après*socio=rien plusieurs administrateurs*socio=ac, l'efficacité*socio=uv3 de la politique*socio=et des taux_d'_intérêt*socio=ec1 comme instrument*socio=et de gestion*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 suppose que les autorités*socio=et parviennent à convaincre le marché*socio=ec1 que leur attachement*socio=uv1 au taux_de_change*socio=ec1 a la priorité*socio=uv4 sur*socio=rien les autres objectifs*socio=uv3 de la politique_monétaire*socio=et. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil considèrent l'indépendance*socio=uv1 de la banque_centrale*socio=ac comme *socio=rien un moyen *socio=nil de renforcer la crédibilité*socio=uv1 de l'attachement*socio=uv1 à un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 donné. Cependant, la capacité*socio=uv3 des autorités*socio=et de convaincre le marché*socio=ec1 qu'elles poursuivent des politiques*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2 judicieuses*socio=uv4 est*socio=rien peut-être encore plus importante*socio=uv4 que les *socio=et dispositions institutionnelles.*socio=nil *socio=nil À l'unanimité*socio=uv1, les administrateurs*socio=ac se sont déclarés favorables*socio=uv4 à l'ouverture*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 et opposés au *socio=rien recours temporaire au*socio=nil contrôle*socio=uv3 des*socio=nil capitaux*socio=ec1 en*socio=nil cas de*socio=nil crise*socio=uv2 des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ils ont toutefois conscience*socio=uv1 du*socio=rien risque*socio=uv3 que l'instabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 présente*socio=rien pour les banques*socio=ac et les autres institutions*socio=ac et estiment que les banques*socio=ac devraient avoir *socio=rien un volume de*socio=nil capitaux*socio=ec1 suffisant *socio=nil pour assurer la contrepartie*socio=rien des positions*socio=rien de change*socio=ec1. Ils ont pris note des efforts*socio=uv1 du*socio=rien Comité*socio=ac de Bâle sur*socio=rien le contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1, qui était en train*socio=rien d'élaborer des propositions*socio=rien visant à étendre le champ*socio=rien d'application*socio=rien des normes*socio=et de fonds*socio=ec1 propres*socio=rien des banques*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont examiné les moyens*socio=ec1 possibles*socio=rien d'empêcher de futures*socio=te crises*socio=uv2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, ainsi que *socio=rien diverses solutions *socio=nil permettant d'améliorer le système*socio=rien des changes*socio=ec1 actuel*socio=te. Dans le *socio=rien cas du *socio=nil MTC, nombre*socio=rien d'administrateurs*socio=ac ont estimé qu'un*socio=rien moyen*socio=rien d'éviter les crises*socio=uv2 à l'avenir*socio=te consisterait à opérer fréquemment des ajustements*socio=et limités des taux_de_change*socio=ec1 à l'intérieur*socio=te de la bande de fluctuation*socio=ec2 du*socio=rien MTC tout en continuant à progresser vers la convergence*socio=uv3. D'autres ont estimé que des améliorations*socio=uv1 considérables*socio=rien pourraient être*socio=rien apportées dans le contexte*socio=rien des règles*socio=et en vigueur*socio=uv3 avec une action*socio=ec1 plus *socio=rien rapide sur les*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1,*socio=nil un *socio=nil suivi de ces taux*socio=ec1 visant à assurer leur concordance*socio=rien avec les données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 et une meilleure*socio=uv4 coordination*socio=uv3 des politiques_monétaires*socio=et. La liquidité*socio=ec1 internationale*socio=ac et le DTS. L'un*socio=rien des principaux*socio=rien buts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac est*socio=rien de faciliter l'expansion*socio=ec2 et l'accroissement*socio=ec2 harmonieux*socio=uv2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 international*socio=te en améliorant le *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil La*socio=nil liquidité*socio=ec1 internationale*socio=ac *socio=nil et le niveau*socio=rien des réserves_internationales*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac sont d'importantes*socio=uv4 composantes*socio=ec1 de ce système*socio=rien. Le DTS, qui *socio=rien est un *socio=nil avoir de réserve*socio=ec1 international*socio=te, a été*socio=rien créé afin de compléter les réserves*socio=ec1 existantes*socio=rien, le cas*socio=rien échéant. Pendant l'exercice*socio=rien, le Conseil*socio=ac a examiné à deux reprises la situation*socio=rien de la liquidité*socio=ec1 internationale*socio=ac sous l'angle*socio=rien des positions*socio=rien de réserves*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac pour déterminer s'il était nécessaire*socio=rien de procéder à une nouvelle*socio=rien allocation*socio=et de DTS. *socio=rien Lors du premier examen*socio=ec2,*socio=nil en*socio=nil juin *socio=nil 1992, la discussion*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac a principalement porté sur*socio=rien trois points*socio=rien : le besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te de compléter les réserves*socio=ec1 et l'opportunité*socio=uv3 d'une allocation*socio=et de DTS pendant la sixième*socio=rien période*socio=te de base*socio=rien (1992-96); la question*socio=rien de l'utilisation*socio=rien de DTS sur*socio=rien une période*socio=te prolongée et les propositions*socio=rien visant à établir *socio=rien un rapport entre*socio=nil allocation*socio=et,*socio=nil redistribution*socio=et *socio=nil et conditionnalité. En évaluant le besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te de compléter les réserves*socio=ec1, de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir qu'il peut exister un*socio=rien besoin*socio=uv1 global*socio=te sans que tous - ou presque tous - les pays*socio=ac aient besoin*socio=uv1 d'accroître leurs réserves*socio=ec1. Inversement, ce n'est*socio=rien pas parce que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac ou des groupes_de_pays*socio=ac ont besoin*socio=uv1 d'accroître leurs réserves*socio=ec1 qu'il existe forcément un*socio=rien besoin*socio=uv1 global*socio=te de compléter les réserves*socio=ec1. En outre, en cas*socio=rien de besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te, une allocation*socio=et de DTS pourrait être*socio=rien effectuée, même si ce besoin*socio=uv1 pouvait être*socio=rien satisfait autrement. D'après*socio=rien ces administrateurs*socio=ac, il était particulièrement urgent*socio=uv4 d'accroître les réserves_internationales*socio=ec1 des pays*socio=ac qui se heurtaient à de graves*socio=uv4 contraintes*socio=uv1 dans ce domaine*socio=rien. Le *socio=rien faible niveau des*socio=nil réserves*socio=ec1 *socio=nil dans les États*socio=ac issus de l'ancienne*socio=rien URSS*socio=ac, les petits*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 et les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te pourrait avoir des conséquences*socio=rien très défavorables*socio=uv4, non seulement pour les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 de ces pays*socio=ac, mais aussi pour l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. D'autres administrateurs*socio=ac ne partageaient toutefois pas l'opinion*socio=uv1 qu'il existait un*socio=rien besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te d'accroître les réserves*socio=ec1 et estimaient qu'une allocation*socio=et n'était pas justifiée, cela pour trois raisons*socio=rien. Premièrement, *socio=rien bon nombre des*socio=nil pays*socio=ac auxquels*socio=nil est imputable*socio=uv2 l'*socio=nil essentiel*socio=uv4 du commerce*socio=ec1 *socio=nil et des *socio=ec1 flux financiers mondiaux*socio=te *socio=nil ne semblent avoir aucune difficulté*socio=uv4 à satisfaire leur demande*socio=ec1 croissante*socio=rien de réserves*socio=ec1. De plus, étant donné que le ratio*socio=ec1 des réserves*socio=ec1, or*socio=ec1 exclu*socio=rien, aux importations*socio=ec1 a augmenté pour de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, il ne semble pas que le mécanisme*socio=et de création*socio=uv4 de réserves*socio=ec1 ait fonctionné de façon*socio=rien anormale. Deuxièmement, ces administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir que le, *socio=rien faible niveau des*socio=nil réserves*socio=ec1 de*socio=nil nombreux pays*socio=ac *socio=nil tient souvent au fait*socio=rien que les politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 sont mal*socio=rien adaptées; il faudrait remédier à cet état*socio=rien de choses*socio=rien au moyen*socio=rien d'ajustements*socio=et des politiques*socio=et appuyés par des prêts*socio=ec1 conditionnels*socio=rien plutôt qu'au moyen*socio=rien d'une action*socio=ec1 globale*socio=rien telle qu'une allocation*socio=et de DTS. Enfin, le recours*socio=ec1 au système*socio=rien des DTS pour s'attaquer à un*socio=rien problème*socio=uv4 régional*socio=te pourrait altérer les propriétés*socio=ec du*socio=rien DTS en tant qu'avoir de réserve*socio=ec1. Maints administrateurs*socio=ac ont souligné qu'il importait d'utiliser le système*socio=rien des DTS pour créer de véritables*socio=rien réserves*socio=ec1. Il a été*socio=rien noté à cet égard*socio=rien que de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 ne conservaient qu'une fraction*socio=rien relativement faible*socio=rien de leurs allocations*socio=et cumulatives*socio=ec2 de DTS. Des vues*socio=rien divergentes*socio=uv2 ont été*socio=rien exprimées quant à l'utilité*socio=rien de mesures*socio=et visant à réduire l'utilisation*socio=rien nette*socio=rien de DTS pendant une période*socio=te prolongée, mais l'application*socio=rien d'un*socio=rien taux_d'_intérêt*socio=ec1 de pénalisation à cet effet*socio=rien n'a pas recueilli de suffrages. De l'avis*socio=rien général*socio=rien, une allocation*socio=et limitée de DTS ne constitue pas une menace*socio=uv1 pour la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 mondiaux*socio=te dans les circonstances*socio=rien actuelles*socio=te. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont approuvé des propositions*socio=rien visant à redistribuer les DTS après*socio=rien une allocation*socio=et. Ils ont fait*socio=rien valoir que les bienfaits*socio=uv2 d'une allocation*socio=et de DTS pourraient être*socio=rien renforcés si cette redistribution*socio=et avait pour effet*socio=rien d'acheminer les réserves*socio=ec1 vers les pays*socio=ac qui en ont le plus besoin*socio=uv1. Ils ont aussi souligné la nécessité*socio=uv1 d'accroître à la fois*socio=rien les ressources*socio=ec1 conditionnelles*socio=rien et les réserves*socio=ec1 propres*socio=rien des pays*socio=ac qui appliquent des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2. D'autres administrateurs*socio=ac ont toutefois indiqué que ces *socio=rien propositions relatives *socio=nil à une redistribution*socio=et n'étaient pas compatibles*socio=rien avec l'objectif*socio=uv3 *socio=rien du système *socio=nil des DTS, qui, selon eux, est*socio=rien de répondre à long_terme*socio=te au besoin*socio=uv1 croissant*socio=rien de réserves*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien des pays_membres*socio=ac. En outre, certains administrateurs*socio=ac étaient opposés à l'octroi*socio=rien de liquidités*socio=ec1 conditionnelles*socio=rien par l'intermédiaire*socio=rien *socio=rien du système *socio=nil des DTS et estimaient que les besoins*socio=uv1 de liquidités*socio=ec1 de cette nature*socio=rien devaient être*socio=rien satisfaits par le relèvement*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et. Le large*socio=rien appui*socio=uv1 nécessaire*socio=rien à une allocation*socio=et de DTS n'a pas été*socio=rien recueilli, mais les administrateurs*socio=ac se sont en général*socio=rien accordés à penser qu'il fallait continuer à surveiller l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien au cas*socio=rien où une allocation*socio=et se révélerait nécessaire*socio=rien. Le second*socio=rien examen*socio=ec2, qui a eu lieu*socio=rien en avril*socio=rien 1993, a été*socio=rien centré sur*socio=rien le besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te qui détermine la prise*socio=rien en considération*socio=rien d'une allocation*socio=et de DTS. À cet égard*socio=rien, les administrateurs*socio=ac qui étaient favorables*socio=uv4 à une allocation*socio=et *socio=rien lors du premier examen*socio=ec2 *socio=nil ont souligné que l'évaluation*socio=ec2 du*socio=rien besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te faisait intervenir certains éléments*socio=rien d'appréciation*socio=uv3 et que l'on ne pouvait donc pas s'en remettre uniquement*socio=rien aux statistiques*socio=ec2 relatives*socio=rien à l'évolution*socio=te des réserves*socio=ec1, notamment à leur répartition*socio=uv3. Ces administrateurs*socio=ac ont noté que le niveau*socio=rien des réserves*socio=ec1 de plusieurs pays*socio=ac était très faible*socio=rien et que les réserves*socio=ec1, or*socio=ec1 non compris, de 40% des pays_membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac représentaient dix semaines*socio=rien d'importations*socio=ec1 au plus et nettement moins en *socio=rien pourcentage du total *socio=nil de leurs transactions*socio=ec1 *socio=te extérieures courantes.*socio=nil La*socio=nil plupart*socio=rien des*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil sont convenus que les *socio=ec1 coûts économiques et*socio=nil financiers *socio=nil de la constitution*socio=rien de réserves*socio=ec1 par l'emprunt*socio=ec1 étaient très élevés*socio=uv4 pour *socio=rien bon nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil même pour ceux dont la surface financière*socio=ec1 était suffisante*socio=rien. Ils considéraient que si le FMI*socio=ac n'aidait pas directement ses membres*socio=ac à constituer leurs réserves*socio=ec1, le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te risquerait d'être*socio=rien perturbé. Le fait*socio=rien que 38 pays*socio=ac qui étaient devenus membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac n'avaient pas reçu d'allocation*socio=et de DTS soulevait la question*socio=rien de l'équité*socio=uv1. D'autres administrateurs*socio=ac qui, lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 précédent*socio=rien, ne pensaient pas qu'un*socio=rien complément*socio=rien de réserves*socio=ec1 était justifié, étaient moins convaincus qu'une allocation*socio=et de DTS produirait l'effet*socio=rien souhaité en aidant les pays_membres*socio=ac démunis*socio=uv2 de réserves*socio=ec1 à en constituer. Ils ont fait*socio=rien observer que les ressources*socio=ec1 *socio=rien conditionnelles disponibles *socio=nil par l'intermédiaire*socio=rien des facilités du*socio=rien FMI*socio=ac répondraient peut-être mieux aux besoins*socio=uv1 à *socio=rien moyen terme *socio=nil et ils craignaient dans une *socio=rien certaine mesure *socio=nil qu'une future*socio=te allocation*socio=et de DTS n'affaiblisse la détermination*socio=rien de ces pays*socio=ac à appliquer de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et de réforme*socio=et économique*socio=ec1 et d'ajustement*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont unanimement reconnu que si l'un*socio=rien des objectifs*socio=uv3 des statuts*socio=et était de faire du*socio=rien DTS le principal*socio=rien avoir de réserve*socio=ec1 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te, cela ne constituait pas *socio=rien un critère *socio=nil pour procéder à une allocation*socio=et. Ils étaient nombreux*socio=rien à penser que cet objectif*socio=uv3 ne pouvait être*socio=rien atteint sans accélérer le rythme*socio=ec2 des allocations*socio=et de DTS à l'avenir*socio=te et ils ont souligné que le *socio=rien seul recours aux*socio=nil monnaies*socio=ec1 de*socio=nil réserve*socio=ec1 *socio=nil ne serait pas compatible*socio=rien avec cet objectif*socio=uv3. Tout compte*socio=ec1 fait*socio=rien, la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac se sont déclarés convaincus de l'existence*socio=rien d'un*socio=rien besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te et ils pouvaient donc approuver une allocation*socio=et de DTS. D'autres étaient toutefois d'avis*socio=rien qu'il existait d'autres moyens*socio=ec1 de créer des liquidités*socio=ec1 internationales*socio=te pour répondre aux besoins*socio=uv1 de nombreux*socio=rien pays_membres*socio=ac et que pour une partie*socio=rien des pays_membres*socio=ac l'octroi*socio=rien de liquidités*socio=ec1 conditionnelles*socio=rien, au lieu*socio=rien de liquidités*socio=ec1 inconditionnelles, pourrait être*socio=rien une solution*socio=rien plus appropriée. En conséquence*socio=rien, alors que la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac estimaient que le FMI*socio=ac devait être*socio=rien prêt*socio=ec1 à satisfaire une *socio=rien petite fraction *socio=nil de l'augmentation*socio=ec2 prévue de la demande*socio=ec1 de réserves*socio=ec1 pendant la sixième*socio=rien période*socio=te de base*socio=rien, par exemple*socio=rien 10%, l'appui*socio=uv1 *socio=rien général nécessaire *socio=nil à une allocation*socio=et de DTS n'a pas été*socio=rien recueilli. La décision*socio=et de continuer à examiner l'opportunité*socio=uv3 d'une allocation*socio=et a été*socio=rien étayée par le comité_intérimaire*socio=ac, qui, lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1993, a demandé au conseil_d'_administration*socio=ac d'évaluer le besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te d'accroître les avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 existants*socio=rien, ainsi que les effets*socio=rien économiques*socio=ec1 et monétaires*socio=ec1 éventuels*socio=te d'une allocation*socio=et de DTS et l'avenir*socio=te du*socio=rien DTS en tant qu'avoir de réserve*socio=ec1. Le Comité*socio=ac a demandé qu'un*socio=rien *socio=rien rapport sur ces*socio=nil travaux *socio=nil lui soit soumis lors*socio=rien de sa *socio=rien prochaine réunion en*socio=nil septembre *socio=nil 1993. APPENDICE*socio=rien V: Communiqués de presse*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac et du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3. comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 International*socio=te. Trente-neuvième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 20-21 septembre*socio=rien 1992. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa trente-neuvième réunion*socio=rien à Washington*socio=ac les 20 et 21 septembre*socio=rien 1992, sous la présidence*socio=rien de M.. Carlos Solchaga, Ministre*socio=ac de l'économie*socio=ec1 et des finances*socio=ec1 de l'Espagne*socio=ac. Le Comité*socio=ac souhaite chaleureusement la bienvenue*socio=rien aux nombreux*socio=rien pays*socio=ac qui sont récemment devenus membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac. 2 - Dans les pays_industrialisés*socio=ac, la reprise est*socio=rien en cours*socio=rien, mais elle demeure léthargique*socio=rien et inégale*socio=uv2, le chômage*socio=ec1 atteint *socio=rien un niveau *socio=nil intolérable et les tensions*socio=ec2 apparues récemment sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 accroissent l'incertitude*socio=uv3. L'inflation*socio=ec1 et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont fléchi de manière*socio=rien significative*socio=uv4 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac fait *socio=nil observer que les récentes*socio=rien turbulences*socio=ec2 observées sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 montrent combien il importe de renforcer la coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et, d'appliquer avec fermeté*socio=rien la stratégie*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil et de poursuivre les efforts*socio=uv1 déployés pour parvenir à la convergence*socio=uv3 économique*socio=ec1 en Europe*socio=ac. Le Comité*socio=ac accueille avec satisfaction*socio=uv3 les mesures*socio=et prises*socio=rien récemment en vue*socio=rien d'atténuer les tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 et note que les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac sont résolus à coopérer étroitement et à prendre les mesures*socio=et appropriées supplémentaires*socio=rien qui s'imposent afin de renforcer la croissance*socio=uv3 sans raviver l'inflation*socio=ec1 et de contribuer à une stabilité*socio=uv3 plus grande*socio=rien des monnaies*socio=ec1. Compte*socio=ec1 tenu des répercussions*socio=ec2 internationales*socio=te de leurs actions*socio=ec1, les pays*socio=ac clés*socio=rien doivent coopérer étroitement à la mise en oeuvre*socio=rien de mesures*socio=et visant à affermir la confiance*socio=uv1 et à réaliser un*socio=rien meilleur*socio=uv4 équilibre*socio=ec2 entre leurs politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1, facilitant ainsi une réduction*socio=ec2 des écarts*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1. Dans ces conditions*socio=ec1, le Comité*socio=ac réaffirme l'importance*socio=rien de politiques*socio=et visant à assurer une reprise plus rapide*socio=rien dans *socio=rien un climat propice *socio=nil à une croissance*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme plus*socio=nil forte,*socio=nil viable*socio=uv4 *socio=nil et non inflationniste*socio=ec2. Les politiques_monétaires*socio=et et budgétaires*socio=et devraient avoir pour objectif*socio=uv3 de faire baisser durablement les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te en réduisant les emprunts*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et et en atténuant encore les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2. Des mesures*socio=et vigoureuses*socio=rien doivent *socio=rien être prises *socio=nil pour supprimer les rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 qui entravent la croissance*socio=uv3 de l'emploi*socio=ec1 et de la productivité*socio=uv3. Une *socio=rien conclusion rapide et*socio=nil satisfaisante*socio=uv4 des*socio=nil négociations*socio=et *socio=nil de l'uruguay_round*socio=et apporterait une contribution*socio=uv1 inestimable*socio=rien à cet effort*socio=uv1. L'existence*socio=rien de marchés*socio=ec1 plus libres*socio=uv2 et d'un*socio=rien environnement*socio=et commercial*socio=ec1 stable*socio=uv4 est*socio=rien indispensable*socio=uv4 pour régénérer la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 mondiale*socio=te et pour assurer la réussite*socio=uv1 des efforts*socio=uv1 de réforme*socio=et déployés par les pays_en_développement*socio=uv3 et par les économies_en_transition*socio=ec1. Il *socio=rien est inquiétant *socio=nil que les entraves*socio=uv4 au commerce*socio=ec1 se soient renforcées depuis l'ouverture*socio=uv3 des négociations*socio=et de l'uruguay_round*socio=et dans les pays_industrialisés*socio=ac. 3 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que de nombreux*socio=rien pays_en_ développement*socio=uv3 appliquent de façon*socio=rien suivie et avec succès*socio=uv1 des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 bien*socio=rien conçues. Il en a résulté un*socio=rien renforcement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3, le recul*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 et la hausse*socio=rien des revenus*socio=ec1 par habitant*socio=ac, malgré la faiblesse*socio=ec2 de la conjoncture*socio=ec2 internationale*socio=ac au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée. Ces résultats*socio=rien se sont accompagnés dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac du retour de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil qui avaient fui et d'apports*socio=rien considérables*socio=rien d'investissements*socio=ec1 étrangers*socio=te. Il importe que les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et de ces pays*socio=ac se poursuivent et que d'autres pays*socio=ac suivent cet exemple*socio=rien. Le Comité*socio=ac appelle de ses voeux*socio=rien la mise en *socio=rien place rapide *socio=nil d'une aide*socio=uv1 internationale*socio=ac destinée à atténuer les conséquences*socio=rien désastreuses*socio=uv4 de la grave*socio=uv4 sécheresse*socio=et qui sévit en *socio=ac Afrique australe et*socio=nil orientale*socio=te.*socio=nil *socio=nil 4 - Le Comité*socio=ac se félicite des progrès*socio=uv1 qu'accomplissent actuellement les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te dans la réforme*socio=et de leur économie*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de programmes*socio=et soutenus par le Fonda Des progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien aussi obtenus dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 et il semblerait que la forte*socio=rien contraction*socio=ec2 de la production*socio=ec1 arrive à son terme*socio=rien. Cette amélioration*socio=uv1 est*socio=rien induite par l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien secteur_privé*socio=et et la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1, Cela dit, l'atonie*socio=ec2 prolongée de l'activité*socio=rien dans certains pays*socio=ac souligne la nécessité*socio=uv1 de poursuivre promptement les réformes*socio=et de stabilisation*socio=et. De fait*socio=rien, toutes les anciennes économies*socio=ec1 planifiées doivent agir énergiquement pour renforcer les disciplines*socio=rien budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1, parallèlement à l'accélération*socio=ec2 des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, à la mise en place*socio=rien d'institutions*socio=ac et à la privatisation*socio=et et à des mesures*socio=et visant à encourager l'accroissement*socio=ec2 des investissements*socio=ec1 aussi bien*socio=rien intérieurs*socio=te qu'étrangers*socio=te. Nombre*socio=rien des États*socio=ac issus de l'ex-urss*socio=ac ont déployé de grands*socio=rien efforts*socio=uv1 pour libérer les prix*socio=ec1 et préparer *socio=rien un cadre propice *socio=nil à l'économie*socio=ec1 ouverte*socio=uv4 et axée sur*socio=rien le marché*socio=ec1. Le Comité*socio=ac se félicite des premiers*socio=rien accords*socio=et avec le Fonds*socio=ec1 qu'ont négociés la Fédération*socio=et de Russie*socio=ac et les *socio=ac pays baltes.*socio=nil La*socio=nil construction*socio=ec1 d'*socio=nil un*socio=rien système_économique*socio=ec1 entièrement*socio=nil nouveau*socio=rien *socio=nil représente toutefois un*socio=rien défi*socio=uv2 qui exige à la fois*socio=rien de la persévérance*socio=uv1 et une aide*socio=uv1 extérieure*socio=te, tant technique*socio=rien que financière*socio=ec1. Les possibilités*socio=rien d'accès*socio=uv1 au financement*socio=ec1 extérieur*socio=te dépendront de la vigueur*socio=uv3 de l'effort*socio=uv1 d'ajustement*socio=et de chaque pays*socio=ac, Le Comité*socio=ac attire particulièrement l'attention*socio=rien sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de la réforme*socio=et et de la coopération*socio=uv1 monétaires*socio=ec1, que ce soit dans le contexte*socio=rien de la zone*socio=te rouble*socio=ec1 ou de *socio=rien nouvelles unités monétaires*socio=ec1.*socio=nil L'*socio=nil établissement de*socio=nil systèmes de*socio=nil paiements*socio=ec1 *socio=nil et de règlements*socio=et efficaces*socio=uv4 internes*socio=te et inter-états devrait être*socio=rien pour eux une priorité*socio=uv4. D'une manière*socio=rien plus générale*socio=rien, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 à ces États*socio=ac de créer *socio=rien un climat de*socio=nil coopération*socio=uv1 propice *socio=nil à la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 et à la liberté*socio=uv1 des échanges_commerciaux*socio=ec1, conformément aux principes*socio=ec2 de multi-latéralisme des institutions*socio=ac de bretton_woods*socio=et dont ils sont membres*socio=ac. 5 - Le Comité*socio=ac note que le *socio=rien nombre croissant de*socio=nil programmes*socio=et vigoureux de*socio=nil stabilisation*socio=et *socio=nil et de réforme*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3 et des pays*socio=ac en transition*socio=ec2 vers l'économie_de_marché*socio=ec1 rend particulièrement pressante*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'un*socio=rien appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 international*socio=te bien*socio=rien ciblé. Il invite les pays_membres*socio=ac à appuyer ces efforts*socio=uv1 dans toute la mesure*socio=rien de leurs moyens*socio=ec1. 6 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 les preuves*socio=ec2 de nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 accomplis dans le cadre*socio=rien de la stratégie*socio=et de la dette*socio=ec1. Cependant, *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil n'ont pas encore trouvé de *socio=rien solution définitive *socio=nil à leurs problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1. Le Comité*socio=ac félicite le Club*socio=rien de Paris*socio=ac d'avoir accordé des allégements*socio=ec2 de dette*socio=ec1 plus larges*socio=rien aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et vigoureux*socio=rien et de se tenir prêt*socio=ec1 à envisager une réduction*socio=ec2 de l'encours de la dette*socio=ec1 après*socio=rien une période*socio=te d'ajustement*socio=et appropriée. Par ailleurs*socio=rien, le Comité*socio=ac engage le Club*socio=rien de Paris*socio=ac à tenir compte*socio=ec1, cas*socio=rien par cas*socio=rien, de la *socio=rien situation particulière *socio=nil de certains pays*socio=ac hautement endettés à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien de la tranche inférieure*socio=rien. Il félicite également les pays*socio=ac qui, dans des conditions*socio=ec1 souvent difficiles*socio=rien, ont continué d'assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1. 7 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 la prorogation jusqu'à novembre*socio=rien 1993 de la période*socio=te d'engagement*socio=uv1 de ressources*socio=ec1 au titre*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FASR*socio=ec1) du*socio=rien FMI*socio=ac. Il se félicite en outre de l'intention*socio=rien du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac de faire le bilan*socio=rien des programmes*socio=et de la FASR*socio=ec1 et d'examiner les options*socio=rien, ainsi que les modalités*socio=rien de fonctionnement*socio=rien, d'une facilité qui succéderait éventuellement à la FASR*socio=ec1. Il souhaite vivement que ces travaux*socio=rien soient achevés en *socio=rien temps opportun avant*socio=nil novembre *socio=nil 1993. 8 - Le Comité*socio=ac constate avec une *socio=rien profonde inquiétude *socio=nil que le projet*socio=et de troisième*socio=rien amendement*socio=et aux statuts*socio=et et l'augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et dans le cadre*socio=rien de la *socio=rien Neuvième révision générale *socio=nil ne sont pas encore entrés en vigueur*socio=uv3 bien*socio=rien que le nombre*socio=rien des *socio=ac États membres *socio=nil ayant accepté l'amendement*socio=et ou consenti à l'augmentation*socio=ec2 ne cesse de s'accroître. Il invite instamment les *socio=ac États membres *socio=nil qui ne l'ont pas encore fait*socio=rien à accomplir dès que possible*socio=rien ces formalités*socio=et, afin de doter le FMI*socio=ac de liquidités*socio=ec1 suffisantes*socio=rien pour maintenir le concours financier*socio=ec1 qu'il accorde au titre*socio=rien de la balance_des_paiements*socio=ec1 à l'appui*socio=uv1 de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et. 9 - Le Comité*socio=ac prend note des *socio=rien travaux du conseil_d'_administration*socio=ac sur le*socio=nil rôle*socio=et du *socio=nil DTS dans l'offre*socio=ec1 de liquidités*socio=ec1 internationales*socio=te et lui demande*socio=ec1 de continuer à étudier cette question*socio=rien. 10 - Le Comité*socio=ac décide de tenir sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac *socio=nil le 30 avril*socio=rien 1993. Quarantième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 30 avril*socio=rien 1993. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa quarantième réunion*socio=rien à Washington*socio=ac le 30 avril*socio=rien 1993, sous la présidence*socio=rien de M.. Carlos Solchaga, Ministre*socio=ac de l'économie*socio=ec1 et des finances*socio=ec1 de l'Espagne*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac a centré ses *socio=rien travaux sur les*socio=nil perspectives*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et sur*socio=rien les *socio=uv4 graves difficultés *socio=nil que laisse présager à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te la faiblesse*socio=ec2 générale*socio=rien de l'activité_économique*socio=ec1. Les *socio=rien événements récents *socio=nil ont mis en évidence*socio=rien la dimension*socio=rien planétaire*socio=te des problèmes*socio=uv4 auxquels est*socio=rien confrontée une économie*socio=ec1 mondiale*socio=te de plus en plus intégrée. Au cours*socio=rien de ses délibérations*socio=et, le Comité*socio=ac, qui, puisqu'il représente tous les pays_membres*socio=ac du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac, a désormais vocation*socio=rien universelle*socio=uv2, a souligné qu'il était résolu à relever les défis*socio=uv2 actuels*socio=te et à saisir les opportunités*socio=uv3 qui se présentent dans *socio=rien un cadre de*socio=nil concertation*socio=uv1 mondiale*socio=te.*socio=nil *socio=nil Dans cet état*socio=rien d'esprit*socio=rien, il a adopté la déclaration*socio=et ci-jointe sur*socio=rien la coopération*socio=uv1 au service*socio=et d'une expansion*socio=ec2 mondiale*socio=te durable*socio=uv4. 3 - Le Comité*socio=ac décide de tenir sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac *socio=nil le 26 septembre*socio=rien 1993. Pièce*socio=rien jointe: Déclaration*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac sur*socio=rien la coopération*socio=uv1 au service*socio=et d'une expansion*socio=ec2 mondiale*socio=te durable*socio=uv4. 1 - La *socio=rien majeure partie *socio=nil de l'Europe*socio=ac est*socio=rien en stagnation*socio=ec1 ou en déclin*socio=ec2 économique*socio=ec1, la reprise s'esquisse tout juste*socio=rien au Japon*socio=ac et le rétablissement*socio=rien s'opère à pas fort*socio=rien mesurés aux États-unis*socio=ac, c'est*socio=rien dire que 1993 sera la *socio=rien troisième année consécutive de*socio=nil croissance*socio=uv3 généralement*socio=nil médiocre*socio=uv2 *socio=nil pour les pays_industrialisés*socio=ac. Bien*socio=rien que, globalement, les résultats*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 aient été*socio=rien encourageants*socio=uv4, le revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac continue*socio=rien à baisser dans *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'entre eux et, à l'expérience*socio=ec2, il apparaît que le processus*socio=te de transition*socio=ec2 à l' économie_de_marché*socio=ec1 est*socio=rien complexe et exige énormément de persévérance*socio=uv1 et de soutien*socio=uv3. Néanmoins, il y a maintenant *socio=rien un certain nombre de*socio=nil courants*socio=te d'*socio=nil évolution*socio=te positifs*socio=uv4 *socio=nil qui, canalisés de manière*socio=rien coordonnée et concertée, peuvent être*socio=rien les moteurs du*socio=rien redressement*socio=ec2 économique*socio=ec1 mondial*socio=te, tant à court*socio=rien qu'à *socio=rien moyen terme.*socio=nil C'*socio=nil est *socio=nil pourquoi nous sommes d'avis*socio=rien qu'il *socio=rien est temps *socio=nil d'unir nos forces*socio=uv1 en un*socio=rien effort*socio=uv1 universel*socio=uv2 de coopération*socio=uv1 afin de rehausser la confiance*socio=uv1 et de raffermir les perspectives*socio=te d'expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4 et non inflationniste*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Les pays_membres*socio=ac et les institutions*socio=ac multilatérales*socio=et sont invités à redoubler d'efforts*socio=uv1 pour appliquer et soutenir des politiques*socio=et qui se renforcent mutuellement, suivant*socio=rien les grands*socio=rien axes définis*socio=rien ci-après. 2 - Dans l'intérêt*socio=uv1 du*socio=rien monde*socio=te entier*socio=rien, qui est*socio=rien aussi notre intérêt*socio=uv1 à tous, il est*socio=rien une nécessité*socio=uv1 immédiate*socio=rien et pressante*socio=rien : mener à *socio=rien bon terme les*socio=nil négociations*socio=et *socio=nil de l'uruguay_round*socio=et. L'essor*socio=rien de la prospérité*socio=uv1 mondiale*socio=te en dépend. Si les négociations*socio=et restaient dans l'impasse*socio=rien, cela ne signifierait pas que l'on *socio=rien reste sur place,*socio=nil *socio=nil mais que l'on risque*socio=uv3 de voir s'inverser le mouvement*socio=ec2 de libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 qui a grandement contribué à la croissance*socio=uv3. Les pays*socio=ac intéressés, sans exception*socio=rien, ne ménageront donc aucun effort*socio=uv1 pour accélérer les négociations*socio=et afin de parvenir très prochainement à un*socio=rien accord*socio=et. Entre-temps*socio=rien, tous les pays_membres*socio=ac s'engagent à ne pas céder à l'auto-centrisme. 3 - Les *socio=rien fort bons résultats économiques*socio=ec1 *socio=nil qu'obtiennent depuis quelque temps*socio=rien de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 et leur ouverture*socio=uv3 de plus en plus large*socio=rien au commerce*socio=ec1 international*socio=te sont des éléments*socio=rien positifs*socio=uv4 qui aident à combattre*socio=rien les effets*socio=rien de la lourdeur*socio=rien de la conjoncture*socio=ec2 économique*socio=ec1 mondiale*socio=te. Il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 que les pays_en_développement*socio=uv3 continuent le déploiement de programmes*socio=et intensifiés d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et, afin de recueillir les bienfaits*socio=uv2 d'une saine*socio=uv2 politique_économique*socio=ec1, à savoir*socio=rien une croissance*socio=uv3 plus vigoureuse*socio=rien, afin aussi de pouvoir*socio=et investir davantage dans la mise en valeur*socio=ec1 de leurs ressources_humaines*socio=ec1 et dans la lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1, et contribuer encore plus au rétablissement*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Ces efforts*socio=uv1 doivent être*socio=rien appuyés par la *socio=ac communauté internationale,*socio=nil au*socio=nil moyen*socio=rien *socio=nil d'une aide*socio=uv1 technique*socio=rien et financière*socio=ec1, y compris, le cas*socio=rien échéant, un*socio=rien allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1. 4 - Des progrès*socio=uv1 continuels et décisifs*socio=rien dans la transformation*socio=ec2 des économies*socio=ec1 naguère planifiées, tel est*socio=rien l'un*socio=rien des *socio=rien éléments clés *socio=nil de notre effort*socio=uv1 concerté de croissance*socio=uv3. À cette fin*socio=rien, il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 de fournir une aide*socio=uv1 accrue, tant financière*socio=ec1 que technique*socio=rien, à tous les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 qui raffermissent leur processus*socio=te d'élaboration*socio=rien des politiques*socio=et, créent les mécanismes*socio=et appropriés à une coopération*socio=uv1 économique*socio=ec1 mutuelle*socio=uv2 et mettent en oeuvre*socio=rien les programmes*socio=et de mesures*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et de réformes*socio=et nécessaires*socio=rien pour établir *socio=rien un système d'*socio=nil économie_de_marché*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il sera en outre essentiel*socio=uv4 qu'ils aient plus largement accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 étrangers*socio=te. 5 - La responsabilité*socio=uv1 d'affermir les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 incombe au premier_chef*socio=rien aux pays_industrialisés*socio=ac. Les actions*socio=ec1 concertées déjà engagées renforcent la confiance*socio=uv1 et préviendront une dégradation*socio=uv3 de la situation*socio=rien. Nous accueillons avec satisfaction*socio=uv3 les programmes*socio=et de rééquilibrage*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et annoncés dans les pays*socio=ac d' amérique_du_nord*socio=ac et dans d'autres pays_industrialisés*socio=ac, qui accroîtront l'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 sur*socio=rien le plan*socio=rien national*socio=te et faciliteront la décrue des taux_d'_intérêt*socio=ec1; les mesures*socio=et économiques*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien annoncées par le *socio=ac gouvernement japonais,*socio=nil *socio=nil qui raffermiront la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et aideront à réduire l'important*socio=uv4 déséquilibre*socio=uv3 des comptes*socio=ec1 extérieurs*socio=te, et l'initiative*socio=rien de croissance*socio=uv3 européenne*socio=ac ainsi que la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 en Europe*socio=ac, qui sera *socio=rien un élément important*socio=uv4 *socio=nil de reprise économique*socio=ec1. Les conditions*socio=ec1 qui devraient permettre de poursuivre la réduction*socio=ec2 progressive*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 sans qu'il y ait à craindre une recrudescence*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 continueront vraisemblablement*socio=rien à évoluer de manière*socio=rien de plus en plus propice*socio=rien dans la période*socio=te à venir. 6 - Une reprise durable*socio=uv4, largement répartie*socio=rien, donnera le *socio=rien champ nécessaire *socio=nil afin d'opérer le rééquilibrage*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et indispensable*socio=uv4 pour que l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te augmente dans les pays_industrialisés*socio=ac qui accusent de lourds*socio=rien déficits*socio=ec1 structurels*socio=ec2. À cet effet*socio=rien, ces pays*socio=ac entendent se tenir fermement à une stratégie*socio=et à *socio=rien moyen terme de*socio=nil réduction*socio=ec2 des*socio=nil déficits*socio=ec1 *socio=nil qui aura *socio=rien un effet extrêmement*socio=nil positif*socio=uv4 sur les*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1,*socio=nil l'*socio=nil investissement_privé*socio=et *socio=nil et la création_d'_emplois*socio=ec1, ainsi que sur*socio=rien la mobilisation*socio=uv3 de l'épargne*socio=ec1 indispensable*socio=uv4 pour favoriser la croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3. Des mesures*socio=et structurelles*socio=ec2 visant à améliorer l'affectation*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 et le fonctionnement*socio=rien des marchés*socio=ec1 ne sont pas moins essentielles*socio=uv4 pour que le rythme*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 s'accélère. Nous avons conscience*socio=uv1, en particulier*socio=rien, que pour faire baisser sensiblement et durablement le chômage*socio=ec1, dont le niveau*socio=rien actuel*socio=te est*socio=rien intolérable, notamment en Europe*socio=ac, il faudra prendre des mesures*socio=et énergiques*socio=ec1 afin d'assouplir le fonctionnement*socio=rien des marchés_du_travail*socio=ec1. 7 - Bien*socio=rien que, globalement, les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 se soient améliorés, nombre*socio=rien de pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, en Afrique*socio=ac notamment, demeurent dans une situation*socio=rien économique*socio=ec1 difficile*socio=rien et ont encore *socio=rien un long processus*socio=te d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil à accomplir. Le FMI*socio=ac est*socio=rien encouragé à poursuivre ses efforts*socio=uv1 pour aider à la mise en oeuvre*socio=rien de stratégies*socio=et d'ajustement*socio=et axées sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 et à catalyser des financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te, au moyen*socio=rien de son *socio=ec1 guichet concessionnel *socio=nil pour les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Nous invitons donc le conseil_d'_administration*socio=ac à terminer d'ici à la fin*socio=rien de novembre*socio=rien 1993 ses *socio=rien travaux sur un mécanisme*socio=et de*socio=nil financement*socio=ec1 *socio=nil qui succédera à la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2. Nous engageons vivement le conseil_d'_administration*socio=ac à examiner dans les plus *socio=rien brefs délais *socio=nil toutes les possibilités*socio=rien qui s'offrent pour le financement*socio=ec1 de ce nouveau*socio=rien mécanisme*socio=et. 8 - Nous constatons avec satisfaction*socio=uv3 que le FMI*socio=ac sait réagir promptement face*socio=rien aux situations*socio=rien exceptionnelles*socio=uv4 dans lesquelles se trouvent *socio=rien un certain nombre *socio=nil de ses pays_membres*socio=ac *socio=rien du fait du vaste mouvement*socio=ec2 de*socio=nil transition*socio=ec2 *socio=nil à des systèmes*socio=rien d'économie_de_marché*socio=ec1. La nouvelle*socio=rien Facilité pour la *socio=ec2 transformation systémique *socio=nil permettra au FMI*socio=ac de favoriser cette métamorphose historique*socio=te en y jouant le rôle*socio=et essentiel*socio=uv4 qui est*socio=rien le sien. Nous sommes sûrs*socio=rien qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ne tarderont pas à remplir les conditions*socio=ec1 requises*socio=uv4 pour faire appel*socio=rien à cette facilité, ce qui permettra au FMI*socio=ac de leur fournir d'autres ressources*socio=ec1 à l'aide*socio=uv1 de ses mécanismes*socio=et de financement*socio=ec1 habituels*socio=rien. 9 - Nous avons eu un*socio=rien échange_de_vues*socio=uv3 sur*socio=rien l'opportunité*socio=uv3 d'une allocation*socio=et de DTS dans les circonstances*socio=rien actuelles*socio=te et nous chargeons le conseil_d'_administration*socio=ac d'évaluer la nécessité*socio=uv1 à long_terme*socio=te d'ajouter aux réserves*socio=ec1 mondiales*socio=te existantes*socio=rien les effets*socio=rien économiques*socio=ec1 et monétaires*socio=ec1 que pourrait avoir une allocation*socio=et et l'avenir*socio=te du*socio=rien DTS en tant qu'instrument*socio=et de réserve*socio=ec1. Nous demandons au conseil_d'_administration*socio=ac de présenter *socio=rien un rapport sur ces*socio=nil travaux *socio=nil à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 10 - Chacun de nous est*socio=rien prêt*socio=ec1 à jouer son rôle*socio=et dans l'effort*socio=uv1 universel*socio=uv2 de coopération*socio=uv1 visant à favoriser la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1, dont les *socio=rien grandes lignes *socio=nil sont décrites dans cette déclaration*socio=et, et nous suivrons attentivement l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien pour veiller à ce que la reprise se confirme. À cet effet*socio=rien, nous allons aussi renforcer notre collaboration*socio=uv1 avec le FMI*socio=ac, institution*socio=ac *socio=rien pivot du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil *socio=nil Il importe d'autant plus que celui-ci exerce une surveillance*socio=et efficace*socio=uv4 sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1 et les politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac, pour nous aider à relever les défis*socio=uv2 auxquels nous sommes confrontés *socio=rien du fait *socio=nil que l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te est*socio=rien de plus en plus intégrée. Nous approuvons les mesures*socio=et dont le conseil_d'_administration*socio=ac a décidé pour renforcer cette surveillance*socio=et, y compris au plan*socio=rien régional*socio=te, afin de déceler et de résoudre au plus vite les problèmes*socio=uv4 qui risquent de créer des tensions*socio=ec2 au sein*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et une fâcheuse instabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1. Quarante-quatrième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 21 septembre*socio=rien 1992. 1 - Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa quarante-quatrième réunion*socio=rien le 21 septembre*socio=rien 1992 à Washington*socio=ac sous la présidence*socio=rien de M.. Alejandro Foxley, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 du*socio=rien Chili*socio=ac. Après*socio=rien avoir passé*socio=rien en revue la situation*socio=rien économique*socio=ec1 internationale*socio=ac, le Comité*socio=ac a centré ses débats*socio=et sur*socio=rien les moyens*socio=ec1 d'accroître les ressources*socio=ec1 consacrées au développement*socio=uv3. Le Comité*socio=ac a souhaité la bienvenue*socio=rien aux pays*socio=ac devenus membres*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et de la Banque*socio=ac depuis sa *socio=rien dernière réunion.*socio=nil Objectifs*socio=uv3 du développement*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil 2 - Les ministres*socio=ac ont rappelé qu'ils s'étaient mis d'accord*socio=uv1, lors*socio=rien de leur réunion*socio=rien de Bangkok*socio=ac, sur*socio=rien les objectifs*socio=uv3 du*socio=rien développement*socio=uv3 pour les années*socio=rien 90, à savoir*socio=rien la réduction*socio=ec2 de la pauvreté*socio=uv1 et la réalisation*socio=uv1 d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4, des mesures*socio=et de protection*socio=et de l'environnement*socio=et étant essentielles*socio=uv4 à la réalisation*socio=uv1 de ces deux objectifs*socio=uv3. Ils ont examiné les ressources*socio=ec1 nécessaires*socio=rien pour atteindre ces objectifs*socio=uv3, ainsi que les mesures*socio=et qui permettraient d'en accroître le volume*socio=rien et l'efficacité*socio=uv3. Ressources*socio=ec1 intérieures*socio=te. 3 - Notant que la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 financent la *socio=rien majeure partie *socio=nil de leur investissement*socio=ec1 au moyen*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te, tant publique*socio=et que privée*socio=et, ils concluent que l'objectif*socio=uv3 le plus prioritaire*socio=uv4 est*socio=rien de faire en sorte*socio=rien que les pays_en_développement*socio=uv3, lorsque c'est*socio=rien possible*socio=rien, accroissent le volume*socio=rien de cette épargne*socio=ec1 et l'utilisent d'une façon*socio=rien plus efficace*socio=uv4. Cela exigera l'adoption*socio=uv3 et la poursuite*socio=rien de politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 appropriées; une réduction*socio=ec2 des programmes*socio=et in-économiques et non productifs*socio=uv4; et des systèmes_financiers*socio=ec1 et bancaires*socio=ec1 efficaces*socio=uv4. Commerce*socio=ec1 international*socio=te. 4 - Les ministres*socio=ac sont convenus qu'un*socio=rien système*socio=rien d'échanges_commerciaux*socio=ec1 internationaux*socio=te beaucoup plus ouvert*socio=rien présenterait des avantages*socio=rien pour l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac, mais revêt la plus *socio=rien haute importance *socio=nil pour les pays_en_développement*socio=uv3. Dans le contexte*socio=rien des flux*socio=ec1 de ressources*socio=ec1, les pays_en_développement*socio=uv3 doivent accroître les recettes*socio=ec1 tirées du*socio=rien commerce*socio=ec1 afin de financer leurs importations*socio=ec1 et le service_de_leur_dette*socio=ec1 et de promouvoir une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 durable*socio=uv4 sur*socio=rien le plan*socio=rien intérieur*socio=te. Des possibilités*socio=rien d'exportation*socio=ec1 accrues rendront également les pays_en_développement*socio=uv3 plus intéressants*socio=rien aux yeux*socio=rien des investisseurs*socio=ac. Les ministres*socio=ac insistent donc à *socio=rien nouveau sur la*socio=nil nécessité*socio=uv1 *socio=nil d'aboutir rapidement à un*socio=rien accord*socio=et sur*socio=rien les questions*socio=rien en suspens*socio=rien dans le cadre*socio=rien de l' uruguay_round*socio=et, soulignant que cela déboucherait *socio=rien sur un système commercial*socio=ec1 plus*socio=nil large,*socio=nil plus*socio=nil libéral*socio=et *socio=nil et plus stable*socio=uv4, et permettrait à beaucoup de pays_en_développement*socio=uv3 d'avoir davantage accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1. Ils sont convenus que les arrangements*socio=et commerciaux*socio=ec1 régionaux*socio=te doivent privilégier la création*socio=uv4 plutôt que le détournement d'échanges*socio=ec1, ce qui est*socio=rien conforme*socio=uv4 aux principes*socio=ec2 multilatéraux*socio=et et devrait garantir des *socio=ec1 débouchés commerciaux *socio=nil pour les pays_en_développement*socio=uv3. Investissement*socio=ec1 étranger*socio=te. 5 - Pour la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, les recettes*socio=ec1 tirées du*socio=rien commerce*socio=ec1 doivent être*socio=rien complétées par des ressources*socio=ec1 extérieures*socio=te. Pour *socio=rien un nombre croissant *socio=nil d'entre eux, ces ressources*socio=ec1 proviennent aujourd'hui, pour une *socio=rien bonne part,*socio=nil d'*socio=nil investisseurs*socio=ac étrangers*socio=te privés*socio=et *socio=nil sous la forme*socio=rien d' investissements_directs_étrangers*socio=ec1 (IDE). Les ministres*socio=ac prennent note *socio=rien du récent accroissement*socio=ec2 des*socio=nil investissements*socio=ec1 de*socio=nil portefeuille*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil tout en reconnaissant que ceux-ci ont *socio=rien un impact différent *socio=nil de celui des IDE en raison*socio=rien de leur degré*socio=rien de liquidité*socio=ec1 supérieur*socio=rien. Ayant envisagé les mesures*socio=et nécessaires*socio=rien pour attirer davantage de flux*socio=ec1 privés*socio=et, les ministres*socio=ac concluent que les mesures*socio=et qui favorisent l'investissement*socio=ec1 intérieur*socio=te auront aussi pour effet*socio=rien probable*socio=uv4 d'attirer les investisseurs*socio=ac étrangers*socio=te et de permettre le rapatriement*socio=rien des capitaux*socio=ec1 enfuis. Ils concluent en outre que le maintien*socio=rien de la stabilité*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1 et la mise en place*socio=rien d'un*socio=rien climat*socio=rien favorable*socio=uv4 à l'entreprise*socio=ac sont essentiels*socio=uv4, que ce soit pour attirer davantage d'investissements*socio=ec1 ou pour accroître le nombre*socio=rien de pays*socio=ac bénéficiant d'apports*socio=rien extérieurs*socio=te. Principes*socio=ec2 directeurs*socio=ac pour le traitement*socio=rien de l'investissement*socio=ec1 étranger*socio=te. 6 - Des mesures*socio=et supplémentaires*socio=rien peuvent *socio=rien être nécessaires *socio=nil pour attirer l'investissement*socio=ec1 étranger*socio=te. La mise en place*socio=rien et le maintien*socio=rien d'un*socio=rien cadre*socio=rien juridique*socio=et adéquat*socio=uv2 peuvent jouer un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 à cet égard*socio=rien. Ayant de ce fait*socio=rien examiné avec intérêt*socio=uv1 les principes*socio=ec2 directeurs*socio=ac qui doivent être*socio=rien publiés sous peu, accompagnés d'un*socio=rien *socio=rien commentaire explicatif,*socio=nil les*socio=nil ministres*socio=ac *socio=nil attirent l'attention*socio=rien des pays_membres*socio=ac à ce sujet*socio=rien. Ces principes*socio=ec2 directeurs*socio=ac ont été*socio=rien établis à la demande*socio=ec1 du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 dans le but*socio=rien de promouvoir des normes*socio=et internationales*socio=te justes*socio=uv et équitables*socio=uv2 pour le *socio=rien traitement général *socio=nil de tous les investissements_directs_étrangers*socio=ec1 en l'absence*socio=rien de *socio=rien traités applicables,*socio=nil *socio=nil et ils devraient être*socio=rien particulièrement utiles*socio=uv4 aux pays_en_développement*socio=uv3. Les ministres*socio=ac s'attendent à ce que ces principes*socio=ec2 directeurs*socio=ac constituent une étape*socio=te importante*socio=uv4 dans la mise en *socio=rien place progressive de*socio=nil pratiques*socio=et internationales*socio=te,*socio=nil *socio=nil et espèrent qu'ils faciliteront de nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 par le biais*socio=rien de traités*socio=rien bilatéraux*socio=et et d'autres instruments*socio=et analogues*socio=rien. Ils notent également les *socio=rien activités connexes entreprises*socio=ac *socio=nil par d'autres instances*socio=et en vue*socio=rien de la mise au point*socio=rien de principes*socio=ec2 de *socio=rien conduite applicables aux*socio=nil investisseurs*socio=ac étrangers*socio=te.*socio=nil Prêts*socio=ec1 *socio=nil émanant des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 et des marchés*socio=ec1. 7 - Les ministres*socio=ac se félicitent de l'accès*socio=uv1 croissant*socio=rien de certains pays_en_développement*socio=uv3 aux marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1, surtout dans le cas*socio=rien des pays*socio=ac qui mettent en oeuvre*socio=rien des réformes*socio=et économiques*socio=ec1 durables*socio=uv4 et qui ont conclu des accords*socio=et sur*socio=rien l'encours et le service_de_leur_dette*socio=ec1 avec les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1. Ils jugent possible*socio=rien une certaine*socio=rien augmentation*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil apports des*socio=nil banques*socio=ac *socio=nil pour le financement*socio=ec1 du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te et de projets*socio=et, mais font observer qu'il est*socio=rien peu probable*socio=uv4 que les prêts*socio=ec1 des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 aux pays_en_développement*socio=uv3 atteindront de nouveau*socio=rien leurs niveaux*socio=rien antérieurs*socio=te, Ils constatent que la Banque*socio=ac interaméricaine*socio=te de développement*socio=uv3 et d'autres banques*socio=ac régionales*socio=te contribuent activement à promouvoir des réformes*socio=et efficaces*socio=uv4 en matière*socio=rien d'investissement*socio=ec1, ce qui est*socio=rien indispensable*socio=uv4 pour maintenir un*socio=rien environnement*socio=et financier*socio=ec1 stable*socio=uv4. Ils estiment que les institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te doivent continuer de promouvoir une mobilisation*socio=uv3 rationnelle*socio=uv4 des ressources*socio=ec1 en encourageant des réformes*socio=et efficaces*socio=uv4 en matière*socio=rien d'investissement*socio=ec1, des mesures*socio=et de privatisation*socio=et et des réformes*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Notant l'amélioration*socio=uv1 des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 obtenus par les pays_en_développement*socio=uv3 après*socio=rien l'application*socio=rien de mesures*socio=et de réduction*socio=ec2 de l'encours et du*socio=rien service_de_leur_dette*socio=ec1, les ministres*socio=ac insistent donc pour que les négociations*socio=et engagées entre d'autres pays*socio=ac et leurs banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 aboutissent en temps*socio=rien voulu. Augmentation*socio=ec2 des flux*socio=ec1 non concessionnels*socio=ec1. 8 - Les ministres*socio=ac sont convenus d'examiner, lors*socio=rien de leur *socio=rien prochaine réunion,*socio=nil les*socio=nil possibilités *socio=nil qu'il y a d'accroître les flux*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 privées*socio=et et d'améliorer l'accès*socio=uv1 des pays_en_développement*socio=uv3 aux prêts*socio=ec1 et aux prises*socio=rien de participation*socio=uv3 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te. Les membres*socio=ac sont d'accord*socio=uv1 sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de réunir en temps*socio=rien voulu des *socio=rien informations précises sur les*socio=nil stocks*socio=ec1 *socio=nil et les flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1 vers les pays_en_développement*socio=uv3, et d'en évaluer les implications*socio=rien. Ils demandent à la Banque*socio=ac et au Fonds*socio=ec1 de préparer à cette *socio=rien fin un document conjoint,*socio=nil *socio=nil qui examinera en outre le rôle*socio=et joué par les institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te pour promouvoir et catalyser ces flux*socio=ec1, ainsi que l'étendue des moyens*socio=ec1 que continuent éventuellement d'utiliser les pays_en_développement*socio=uv3 et les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 pour entraver les flux*socio=ec1 de ressources*socio=ec1. Dette*socio=ec1. 9 - Les ministres*socio=ac reconnaissent que les efforts*socio=uv1 entrepris par *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 doivent*socio=nil être *socio=nil appuyés par des mesures*socio=et de rééchelonnement*socio=et et, dans certains cas*socio=rien, de réduction*socio=ec2 de l'encours et du*socio=rien service_de_leur_dette*socio=ec1, que ce soit au niveau*socio=rien public*socio=et ou privé*socio=et. Ils se félicitent des progrès*socio=uv1 réalisés par la stratégie*socio=et de la dette*socio=ec1 internationale*socio=ac, et notamment des accords*socio=et conclus cette année*socio=rien avec l'Argentine*socio=ac, la Bolivie*socio=ac et le Brésil*socio=ac, entre autres pays*socio=ac. Des accords*socio=et de ce type*socio=rien ont déjà été*socio=rien conclus avec 12 pays*socio=ac, représentant*socio=rien plus de 90% de la dette*socio=ec1 contractée par les principaux*socio=rien *socio=ac pays débiteurs *socio=nil à l'égard*socio=rien des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1. Les ministres*socio=ac demandent instamment au Club*socio=rien de Paris*socio=ac de reconnaître, au cas*socio=rien par cas*socio=rien, la *socio=rien situation particulière *socio=nil de certains pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien de la tranche inférieure*socio=rien lourdement endettés. Ils accueillent aussi avec satisfaction*socio=uv3 les mesures*socio=et renforcées d'allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 prises*socio=rien en faveur*socio=rien des pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 par le Club*socio=rien de Paris*socio=ac, observant que ce dernier*socio=rien a convenu de prendre en compte*socio=ec1 l'encours de la dette*socio=ec1, dans certaines*socio=rien conditions*socio=ec1, après*socio=rien une période*socio=te de trois à quatre ans*socio=rien. Ils invitent le Club*socio=rien de Paris*socio=ac à poursuivre son examen*socio=ec2 de la stratégie*socio=et de la dette*socio=ec1. Ils reconnaissent qu'il convient encore de soutenir les pays*socio=ac lourdement endettés qui, en prenant des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et énergiques*socio=ec1, ont évité un*socio=rien rééchelonnement*socio=et. Aide*socio=uv1 bilatérale*socio=et. 10 - Les pays_en_développement*socio=uv3 les_plus_pauvres*socio=uv2 continueront à avoir besoin*socio=uv1 d'une aide*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1 considérable*socio=rien pendant de *socio=rien nombreuses années.*socio=nil Un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac supplémentaires *socio=nil ont récemment pris place*socio=rien parmi les bénéficiaires*socio=ac potentiels*socio=uv4 d'une aide*socio=uv1, et de nouveaux*socio=rien impératifs*socio=uv4, surtout dans le domaine*socio=rien de l'environnement*socio=et, sont venus s'ajouter aux besoins*socio=uv1 existants*socio=rien. Le Comité*socio=ac observe que la banque_mondiale*socio=ac et le fonds_monétaire_international*socio=ac estiment qu'un*socio=rien volume*socio=rien accru de ressources*socio=ec1 extérieures*socio=te, venant s'ajouter aux efforts*socio=uv1 entrepris par les pays_en_développement*socio=uv3, sera vital*socio=uv4 pour faire face*socio=rien à ces besoins*socio=uv1. Les ministres*socio=ac invitent par conséquent*socio=rien les donateurs*socio=ac bilatéraux*socio=et à renforcer leur aide*socio=uv1 lorsque la situation*socio=rien le permet, en particulier*socio=rien au profit*socio=ec1 des pays*socio=ac qui appliquent des politiques*socio=et appropriées en s'adressant spécialement aux donateurs*socio=ac qui consacrent encore moins de 0,7%. de leur PIB*socio=ec1 à leurs programmes*socio=et d' aide*socio=uv1 et en notant avec satisfaction*socio=uv3 l'effort*socio=uv1 de ceux dont l'aide*socio=uv1 est*socio=rien nettement supérieure*socio=rien à ce niveau*socio=rien. Ils insistent sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 pour les donateurs*socio=ac comme pour les bénéficiaires*socio=ac de veiller à la qualité*socio=rien et à l'efficacité*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1 et de faire en sorte*socio=rien que l'aide*socio=uv1 aille pour une plus *socio=rien large part *socio=nil à l'amélioration*socio=uv1 des conditions_de_vie*socio=uv1 des pauvres*socio=uv2 et aux pays*socio=ac les plus démunis*socio=uv2 et à ceux qui se sont résolument engagés à réduire la pauvreté*socio=uv1. Flux*socio=ec1 multilatéraux*socio=et. 11 - Les ministres*socio=ac reconnaissent la nécessité*socio=uv1 d'un*socio=rien effort*socio=uv1 multilatéral*socio=et en parallèle*socio=rien à ceux entrepris par les donateurs*socio=ac bilatéraux*socio=et. Ils notent la poursuite*socio=rien des négociations*socio=et relatives*socio=rien à la Dixième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac. Ils prient instamment les délégués*socio=ac à l'IDA*socio=ac de faire sensiblement avancer ces négociations*socio=et lors*socio=rien de leur réunion*socio=rien de novembre*socio=rien 1992 afin de parvenir, d'ici à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien, à un*socio=rien accord*socio=et sur*socio=rien une substantielle*socio=rien reconstitution*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac. Ils estiment que l'on devrait continuer à envisager un*socio=rien "Supplément*socio=rien Terre*socio=ec1" pour l'environnement*socio=et. Ils notent avec satisfaction*socio=uv3 la prorogation jusqu'à novembre*socio=rien 1993 de la période*socio=te d'engagement*socio=uv1 de ressources*socio=ec1 au titre*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FASR*socio=ec1) du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Ils se félicitent en outre de l'intention*socio=rien du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac de faire le bilan*socio=rien des programmes*socio=et de la FASR*socio=ec1 et d'examiner les options*socio=rien ainsi que les modalités*socio=rien de fonctionnement*socio=rien, qui succéderaient éventuellement à la FASR*socio=ec1. Ils souhaitent vivement que ces travaux*socio=rien soient achevés en *socio=rien temps opportun avant*socio=nil novembre *socio=nil 1993. Ils accueillent avec satisfaction*socio=uv3 les assurances*socio=ec1 données par la Banque*socio=ac, selon laquelle l'assise financière*socio=ec1 actuelle*socio=te de la BIRD*socio=ac *socio=rien est suffisante *socio=nil pour lui permettre de maintenir et d'accroître le volume*socio=rien des prêts*socio=ec1 en faveur*socio=rien de ses *socio=ac pays_membres emprunteurs actuels*socio=te,*socio=nil *socio=nil tout en apportant un*socio=rien appui*socio=uv1 substantiel*socio=rien aux réformes*socio=et économiques*socio=ec1 et aux efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et des pays*socio=ac de l'ancienne*socio=rien union_soviétique*socio=ac. Les ministres*socio=ac sont convenus d'étudier l'efficacité*socio=uv3 des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec1 de la Banque*socio=ac lors*socio=rien d'une future*socio=te réunion*socio=rien. Environnement*socio=et. 12 - Les ministres*socio=ac se félicitent *socio=rien du vaste consensus*socio=uv1 auquel*socio=nil est *socio=nil parvenue la conférence_des_nations_unies*socio=ac sur*socio=rien l'environnement_et_le_développement*socio=uv3 (CNUED*socio=ac). Ils sont conscients*socio=uv2 des besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 liés à Action*socio=ec1 21. Ils remarquent en outre que la CNUED*socio=ac a demandé qu'un*socio=rien financement*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien soit fourni par l'entremise*socio=rien des institutions*socio=ac existantes*socio=rien, dont le Fonds*socio=ec1 pour l'environnement*socio=et mondial*socio=te, qui sera restructuré selon des modalités*socio=rien convenues entre les participants*socio=ac. Les ministres*socio=ac prient instamment la banque_mondiale*socio=ac de contribuer pleinement à donner suite*socio=rien aux résultats*socio=rien de la CNUED*socio=ac en collaboration*socio=uv1 avec les autres institutions*socio=ac *socio=rien du système des*socio=nil nations_unies*socio=ac *socio=nil et les banques*socio=ac régionales*socio=te, et lui demandent de faire rapport*socio=rien au Comité*socio=ac à sa réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1993. Sécheresse*socio=et, famine et guerre*socio=et. 13 - Le Comité*socio=ac note avec beaucoup d'inquiétude*socio=rien les problèmes*socio=uv4 posés par la sécheresse*socio=et en *socio=ac Afrique australe et*socio=nil orientale*socio=te,*socio=nil la*socio=nil grave*socio=uv4 *socio=nil famine qui frappe la Somalie*socio=ac, les inondations affectant l'ensemble*socio=rien du*socio=rien sous-continent indien*socio=ac, ainsi que les difficultés*socio=uv4 que connaissent plusieurs pays*socio=ac affectés par la guerre*socio=et. Ils se félicitent de l'action*socio=ec1 coordonnée actuellement entreprise*socio=ac à l'échelon*socio=rien international*socio=te pour atténuer les souffrances humaines*socio=uv2 dans beaucoup de ces régions*socio=te, et demandent à tous les gouvernements*socio=ac et organismes*socio=ac concernés de coopérer activement afin non seulement de surmonter les problèmes*socio=uv4 qui se posent dans l'immédiat*socio=rien, mais aussi de jeter les bases*socio=rien d'un*socio=rien redressement*socio=ec2 et d'un*socio=rien développement*socio=uv3 futurs*socio=te. *socio=rien Fin du mandat du Président*socio=ac du Comité*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 14 - Le Comité*socio=ac tient à faire part*socio=rien de sa profonde*socio=rien reconnaissance*socio=uv1 envers M.. Alejandro Foxley pour les éminents*socio=rien services*socio=et qu'il a rendus en sa qualité*socio=rien de Président*socio=ac durant ces deux *socio=rien dernières années,*socio=nil Réunion de*socio=nil printemps.*socio=nil *socio=nil 15 - Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu de se réunir de nouveau*socio=rien à Washington*socio=ac le 1er mai*socio=rien 1993. Quarante-cinquième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 24 septembre*socio=rien 1992. À sa quarante-cinquième réunion*socio=rien qui s'est*socio=rien tenue le 24 septembre*socio=rien 1992 à Washington*socio=ac, le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a choisi pour Président*socio=ac, M.. Ricardo Hausmann, Ministre*socio=ac d'État*socio=ac et Directeur*socio=rien de CORDIPLAN (Venezuela*socio=ac). Quarante-sixième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 1er mai*socio=rien 1993. 1 - Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa quarante-sixième réunion*socio=rien le 1er mai*socio=rien 1993 à Washington*socio=ac, sous la présidence*socio=rien de M.. Ricardo Hausmann, du*socio=rien Venezuela*socio=ac. Le Comité*socio=ac a *socio=rien fait part *socio=nil de ses profonds*socio=rien regrets à la *socio=rien suite du décès*socio=nil brutal du Président*socio=ac *socio=nil Ranasinghe Prernadasa, et adressé ses condoléances au gouvernement*socio=ac et au peuple*socio=ac de Sri Lanka. 2 - Le Comité*socio=ac a consacré la *socio=rien majeure partie *socio=nil de cette réunion*socio=rien à l'étude*socio=ec2 des moyens*socio=ec1 propres*socio=rien à encourager les flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1, dans le cadre*socio=rien de son *socio=ec2 examen régulier du*socio=rien transfert*socio=ec1 de*socio=nil ressources*socio=ec1 aux*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil réaffirme sa conviction*socio=uv1 qu'un*socio=rien niveau*socio=rien d'investissement*socio=ec1 élevé*socio=uv4 dans le secteur_privé*socio=et *socio=rien est un facteur important*socio=uv4 de*socio=nil croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 durable*socio=uv4 *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=uv3. Il reconnaît que cet investissement*socio=ec1 provient en majorité*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te de ces pays*socio=ac. Les apports*socio=rien de capitaux_privés*socio=ec1 étrangers*socio=te et l' aide_publique_au_développement*socio=et ont un*socio=rien rôle*socio=et complémentaire*socio=rien mais crucial*socio=rien à jouer. Les apports*socio=rien de capitaux_privés*socio=ec1 étrangers*socio=te se sont concentrés, pour l'essentiel*socio=uv4, dans *socio=rien un petit nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Il s'agit maintenant pour la *socio=ac communauté internationale *socio=nil de faire en sorte*socio=rien que ce nombre*socio=rien augmente le plus rapidement possible*socio=rien. 3 - Le Comité*socio=ac note que c'est*socio=rien aux pays_d'_accueil*socio=ac qu'il incombe principalement d'instaurer *socio=rien un climat de*socio=nil nature *socio=nil à attirer l'investissement*socio=ec1 étranger*socio=te. Cela nécessitera une situation*socio=rien politique*socio=et stable*socio=uv4 et des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 rationnelles*socio=uv4; un*socio=rien secteur_privé*socio=et local*socio=te à la fois*socio=rien sain*socio=uv2, dynamique*socio=uv4 et compétitif*socio=uv4; *socio=rien un cadre juridique*socio=et et*socio=nil institutionnel*socio=et *socio=nil qui encourage les investissements*socio=ec1 sans aucune discrimination*socio=uv1; un*socio=rien régime*socio=et de change*socio=ec1 libéral*socio=et; un*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 souple*socio=uv4; de meilleures*socio=uv4 capacités*socio=uv3 de gestion*socio=ec2 dans le secteur_public*socio=et; et la mise en place*socio=rien des infrastructures*socio=et matérielles et humaines*socio=uv2 nécessaires*socio=rien. Le fait*socio=rien d'assurer dans les meilleurs*socio=uv4 délais*socio=rien le service_de_la_dette*socio=ec1 rassurera les investisseurs*socio=ac. Une réduction*socio=ec2 de l'encours de la dette*socio=ec1, le cas*socio=rien échéant, pour les pays*socio=ac engagés dans des réformes*socio=et, y contribuera également. Étant donné qu'une *socio=rien bonne partie des*socio=nil investissements*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=uv3, sont consacrés aux industries*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, l'ouverture*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te est*socio=rien indispensable*socio=uv4. Une fois*socio=rien que ces mesures*socio=et seront en place*socio=rien, ce qui pourra demander *socio=rien du temps *socio=nil dans certains pays*socio=ac, les capitaux*socio=ec1 auront tendance*socio=ec2 à aller naturellement vers les entreprises*socio=ac rentables*socio=ec2. 4 - Là où subsistent des facteurs*socio=rien institutionnels*socio=et et réglementaires*socio=et faisant inutilement obstacle*socio=uv3 à l'apport*socio=rien de ces capitaux*socio=ec1, le Comité*socio=ac prie les pays_industrialisés*socio=ac et les institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te de faire tout ce qui est*socio=rien en leur pouvoir*socio=et pour les éliminer, et pour catalyser des volumes*socio=rien d'investissement*socio=ec1 accrus. La SFI*socio=ac, en particulier*socio=rien, pourra y contribuer en s'employant davantage à soutenir les investissements*socio=ec1 dans les pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 qui ont moins accès*socio=uv1 aux capitaux_privés*socio=ec1. investissements_directs_étrangers*socio=ec1. 5 - Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que les investissements_directs_étrangers*socio=ec1 sont la forme*socio=rien de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te privé*socio=et la plus valable*socio=rien, dans la mesure*socio=rien où ils permettent aux *socio=ac pays bénéficiaires *socio=nil d'avoir accès*socio=uv1 aux connaissances*socio=ec2 techniques*socio=rien, aux compétences*socio=uv3 gestionnelles et aux vastes*socio=rien marchés*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac. *socio=rien Du fait *socio=nil qu'ils évoluent en fonction*socio=rien des besoins*socio=uv1 perçus du*socio=rien marché*socio=ec1, ils sont beaucoup plus efficaces*socio=uv4 que les apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 dirigés par l'État*socio=ac. Ils présentent moins de risques*socio=uv3 pour la situation*socio=rien budgétaire*socio=et du*socio=rien pays_d'_accueil*socio=ac ou pour la position*socio=rien de sa balance_des_paiements*socio=ec1. Le Comité*socio=ac se félicite des mesures*socio=et prises*socio=rien par la plupart*socio=rien des pays_d'_accueil*socio=ac pour attirer l' investissement_direct_étranger*socio=ec1, en réduisant la discrimination*socio=uv1 à l'encontre*socio=rien des investisseurs*socio=ac étrangers*socio=te. Il invite par ailleurs*socio=rien les pays_industrialisés*socio=ac et les institutions_internationales*socio=ac à jouer le rôle*socio=et qui leur revient en fournissant un*socio=rien appui*socio=uv1 technique*socio=rien, des prêts*socio=ec1 dans le secteur*socio=rien des investissements*socio=ec1, des informations*socio=rien plus complètes, des garanties et, le cas*socio=rien échéant, un*socio=rien appui*socio=uv1 financier*socio=ec1. Investissements*socio=ec1 de portefeuille*socio=ec1. 6 - Le Comité*socio=ac se félicite de la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 des investissements*socio=ec1 de portefeuille*socio=ec1 (actions*socio=ec1 et obligations*socio=uv1) observée ces *socio=rien dernières années *socio=nil dans plusieurs pays_en_développement*socio=uv3. Les investissements*socio=ec1 de portefeuille*socio=ec1 étrangers*socio=te ajouteront à la souplesse*socio=uv3 et à la complexité*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec1 locaux*socio=te. Il convient de renforcer encore ces marchés*socio=ec1. Le Groupe*socio=ac de la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 doivent continuer d'appuyer leur développement*socio=uv3 par des conseils*socio=ac sur*socio=rien les orientations*socio=et à suivre, un*socio=rien appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 et une assistance*socio=uv1 technique*socio=rien. Le Comité*socio=ac invite les pays_industrialisés*socio=ac comme les pays_en_développement*socio=uv3 à éliminer plus rapidement les facteurs*socio=rien réglementaires*socio=et et autres qui continuent de faire obstacle*socio=uv3 aux flux*socio=ec1 de portefeuille*socio=ec1, particulièrement en favorisant une participation*socio=uv3 accrue des investisseurs*socio=ac institutionnels*socio=et. Marchés*socio=ec1 des obligations*socio=uv1. 7 - Le Comité*socio=ac se réjouit également des efforts*socio=uv1 de réforme*socio=et entrepris par plusieurs pays_en_développement*socio=uv3, ce qui leur a permis*socio=rien de rétablir la confiance*socio=uv1 et d'avoir pour la *socio=rien première fois *socio=nil ou de nouveau*socio=rien accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 international*socio=te des obligations*socio=uv1 et autres instruments*socio=et financiers*socio=ec1. Il encourage les gouvernements*socio=ac des pays*socio=ac "d'origine*socio=rien" à examiner et à tenter d'éliminer les facteurs*socio=rien qui continuent de bloquer l'accès*socio=uv1 des pays_en_développement*socio=uv3 emprunteurs*socio=ac considérés comme solvables*socio=ec2 à leurs marchés*socio=ec1 des titres*socio=rien. Prêts*socio=ec1 des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1. 8 - Le Comité*socio=ac reconnaît que les prêts*socio=ec1 des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 ne sont pas toujours une forme*socio=rien adéquate*socio=uv2 de financement*socio=ec1 du*socio=rien développement*socio=uv3 à long_terme*socio=te, ou qu'ils ne sont pas toujours disponibles*socio=rien ou appropriés pour les pays*socio=ac qui connaissent de graves*socio=uv4 déficits*socio=ec1 au niveau*socio=rien de leur balance_des_paiements*socio=ec1. Cependant, la solution*socio=rien positive*socio=uv4 apportée aux problèmes*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 de *socio=rien bon nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 à*socio=nil revenu*socio=ec1 intermédiaire a*socio=nil permis aux*socio=nil prêts*socio=ec1 des*socio=nil banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 *socio=nil d'augmenter légèrement. Le Comité*socio=ac encourage les pays_industrialisés*socio=ac qui ne l'ont pas encore fait*socio=rien à examiner leurs mécanismes*socio=et et *socio=et dispositions réglementaires de*socio=nil façon*socio=rien régulière*socio=ec2 *socio=nil et, ce faisant, à étudier les possibilités*socio=rien qui existent de réduire les contraintes*socio=uv1 pesant sur*socio=rien les financements*socio=ec1 en matière*socio=rien d'échanges*socio=ec1 ou de projets*socio=et destinés aux pays_en_développement*socio=uv3, sans pour cela amoindrir le contrôle*socio=uv3 prudentiel*socio=uv2 approprié. Il prend note du*socio=rien rôle*socio=et joué par le programme*socio=et de cofinancement*socio=ec1 élargi de la banque_mondiale*socio=ac à l'appui*socio=uv1 des prêts*socio=ec1. Développement*socio=uv3 du*socio=rien secteur_privé*socio=et. 9 - Le Comité*socio=ac a par ailleurs*socio=rien examiné *socio=rien un rapport complémentaire du Groupe*socio=ac *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac sur*socio=rien sa stratégie*socio=et de développement*socio=uv3 du*socio=rien secteur_privé*socio=et, qui contribue également à attirer davantage d'investissements*socio=ec1 étrangers*socio=te. Il se félicite de l'apparition*socio=rien &une nouvelle*socio=rien génération*socio=ac de prêts*socio=ec1, par l'intermédiaire*socio=rien desquels la banque_mondiale*socio=ac soutient les réformes*socio=et au plan*socio=rien des politiques*socio=et, des réglementations*socio=et et *socio=rien du cadre juridique*socio=et destinées *socio=nil à améliorer l'environnement*socio=et quotidien*socio=rien dans lequel opèrent les entreprises*socio=ac. Il rend hommage*socio=rien au travail*socio=rien déjà entrepris ou en cours*socio=rien, tout en appelant l'ensemble*socio=rien du*socio=rien Groupe*socio=ac de la Banque*socio=ac à réaliser des progrès*socio=uv1 encore plus marqués en soutenant les petites*socio=rien et moyennes*socio=rien industries*socio=ec1 et l'esprit*socio=rien d'entreprise*socio=uv3 chez les femmes*socio=ac, en encourageant le secteur_privé*socio=et dans les pays_en_développement*socio=uv3, surtout les_plus_pauvres*socio=uv2, et en appuyant les réformes*socio=et *socio=rien sous-jacentes nécessaires *socio=nil dans le secteur_public*socio=et. Flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 publics*socio=et. 10 - Le Comité*socio=ac reconnaît que l'aide_publique_au_développement*socio=et demeure essentielle*socio=uv4 pour les pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 et ceux qui ne sont pas en mesure*socio=rien d'attirer des capitaux_privés*socio=ec1 suffisants*socio=rien à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te. Il se félicite, par conséquent*socio=rien, de l'achèvement*socio=rien des négociations*socio=et relatives*socio=rien à IDA-10, et invite les *socio=ac pays donateurs *socio=nil à mener à bien*socio=rien le processus*socio=te de ratification*socio=et, de façon*socio=rien qu'il n'y ait pas d'interruption*socio=rien dans les engagements*socio=et. Il prie en outre la Banque*socio=ac d'accorder encore plus d'importance*socio=rien à la lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1 et au développement*socio=uv3 écologiquement viable*socio=uv4. Il note avec satisfaction*socio=uv3 les progrès*socio=uv1 rapides*socio=rien accomplis dans l'étude*socio=ec2 des *socio=rien modalités opérationnelles *socio=nil d'une facilité appelée à succéder à la FASR*socio=ec1, le mécanisme*socio=et concessionnel*socio=ec1 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 destiné à ses pays_membres*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2, il insiste pour que ce travail*socio=rien soit mené à bien*socio=rien d'ici à novembre*socio=rien 1993, et prie le Fonds*socio=ec1 d'explorer toutes les options*socio=rien en matière*socio=rien de financement*socio=ec1. Il prend également note *socio=rien du fait *socio=nil que l'examen*socio=ec2 de la phase*socio=te pilote du*socio=rien Fonds*socio=ec1 pour l'environnement*socio=et mondial*socio=te, les discussions*socio=et relatives*socio=rien à sa restructuration*socio=et et les négociations*socio=et en vue*socio=rien de la reconstitution*socio=ec2 de ses ressources*socio=ec1 sont sur*socio=rien le point*socio=rien de débuter; il est*socio=rien convenu de l'importance*socio=rien d'une *socio=rien issue fructueuse *socio=nil d'ici à décembre*socio=rien 1993. Il observe que d'autres négociations*socio=et sont en cours*socio=rien afin de reconstituer les *socio=ec1 ressources concessionnelles *socio=nil d'autres organisations*socio=ac multilatérales*socio=et, et espère qu'elles pourront aboutir aussi tôt que possible*socio=rien. Il invite les pays_industrialisés*socio=ac à envisager des moyens*socio=ec1 *socio=rien supplémentaires propres *socio=nil à accroître les flux*socio=ec1 de crédits*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 bénéficiant d'un*socio=rien soutien_public*socio=et. Enfin, il souligne le fait*socio=rien que les flux*socio=ec1 d' aide_publique_au_développement*socio=et continuent de stagner, en dépit*socio=rien des besoins*socio=uv1 accrus, et invite les *socio=ac pays donateurs *socio=nil à faire tout leur possible*socio=rien pour accroître leur aide*socio=uv1 lorsque les circonstances*socio=rien le permettent, en particulier*socio=rien si cette aide*socio=uv1 est*socio=rien encore inférieure*socio=rien à 0,7% du*socio=rien PNB*socio=ec1. Les ministres*socio=ac soulignent par ailleurs*socio=rien l'importance*socio=rien vitale*socio=uv4 qu'il y a à ce que l'APD*socio=et ait l'impact*socio=rien voulu en matière*socio=rien de développement*socio=uv3. Ils exhortent tous les *socio=ac pays donateurs et*socio=nil bénéficiaires *socio=nil à redoubler d'efforts*socio=uv1 pour améliorer la qualité*socio=rien et l'efficacité*socio=uv3 de l'assistance*socio=uv1. Les ministres*socio=ac félicitent la banque_mondiale*socio=ac de l'effort*socio=uv1 entrepris pour procéder à une évaluation*socio=ec2 franche*socio=rien et critique*socio=uv2 des résultats*socio=rien de ses propres*socio=rien projets*socio=et, et insistent sur*socio=rien l'importance*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et d'action*socio=ec1 énergique*socio=ec1. Ils engagent en outre tous les organismes*socio=ac de développement*socio=uv3 qui ne l'ont pas encore fait*socio=rien à mener des efforts*socio=uv1 similaires*socio=rien pour améliorer l'impact*socio=rien de leur aide*socio=uv1 sur*socio=rien le *socio=rien plan du développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil et à axer en priorité*socio=uv4 leurs opérations*socio=rien dans ce *socio=rien domaine sur les*socio=nil pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 *socio=nil et ceux pour lesquels l'aide*socio=uv1 peut être*socio=rien la plus efficace*socio=uv4. Commerce*socio=ec1 international*socio=te. 11 - Le Comité*socio=ac *socio=rien fait part *socio=nil de la préoccupation*socio=uv4 croissante*socio=rien que lui inspirent les *socio=rien retards persistants *socio=nil pris par les négociations*socio=et de l' uruguay_round*socio=et et le risque*socio=uv3 de les voir échouer. Un*socio=rien échec*socio=uv1 pourrait aisément déboucher non pas sur*socio=rien le *socio=rien maintien du statu_quo,*socio=nil mais*socio=nil sur le*socio=nil déclin*socio=ec2 *socio=nil inexorable accompagnant un*socio=rien protectionnisme*socio=et croissant*socio=rien. Cela serait extrêmement grave*socio=uv4 pour la croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et en particulier*socio=rien pour les pays_en_développement*socio=uv3, la conséquence*socio=rien étant une réduction*socio=ec2 progressive*socio=rien des marchés*socio=ec1 de leurs produits*socio=rien d'exportation*socio=ec1 et, partant, une baisse*socio=ec2 du*socio=rien niveau_de_vie*socio=uv1 de leur population*socio=ac. La volonté*socio=uv1 qu'ont les pays_en_développement*socio=uv3 de libéraliser encore les échanges_commerciaux*socio=ec1 et d'entreprendre des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 s'en trouverait amoindrie. En revanche, un*socio=rien accord*socio=et rapide*socio=rien sera à l'avantage de l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 à tous les pays*socio=ac de résister vigoureusement aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et. Il exhorte toutes les parties*socio=rien à assurer une *socio=rien conclusion rapide et*socio=nil positive*socio=uv4 *socio=nil de l'uruguay_round*socio=et d'ici à la fin*socio=rien de 1993, et à faire en sorte*socio=rien qu'il soit suivi d'effets*socio=rien dès que possible*socio=rien. *socio=rien Prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil 12 - Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu de se réunir de nouveau*socio=rien à Washington*socio=ac le 27 septembre*socio=rien 1993, date à laquelle ses débats*socio=et seront centrés sur*socio=rien deux sujets*socio=rien, à savoir*socio=rien : les réformes*socio=et à long_terme*socio=te de la politique_sociale*socio=et et les filets*socio=et de sécurité*socio=uv1 à court_terme*socio=te; et l'expérience*socio=ec2 de l'ajustement*socio=et dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 et leurs besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1. Il examinera en outre les mesures*socio=et prises*socio=rien ou en cours*socio=rien pour donner suite*socio=rien aux suggestions*socio=rien faites lors*socio=rien de la réunion*socio=rien d'aujourd'hui.