*{ Fonds Monétaire international Rapport Annuel 1994 } fonds_monétaire_international*socio=ac. Rapport*socio=rien annuel*socio=te du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac pour l'exercice*socio=rien clos le 30 avril*socio=rien 1994. L'attachement*socio=uv1 réaffirmé à la stratégie*socio=et de croissance*socio=uv3 fondée sur*socio=rien la coopération*socio=uv1. Au *socio=rien moment du cinquantième anniversaire *socio=nil de la conférence*socio=rien de bretton_woods*socio=et qui donna naissance*socio=rien au fonds_monétaire_international*socio=ac, les *socio=rien opérations du FMI*socio=ac *socio=nil pour le compte*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac atteignent *socio=rien un niveau très*socio=nil élevé*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil tandis que le Fonds*socio=ec1 continue*socio=rien de se mesurer aux défis*socio=uv2 d'une économie*socio=ec1 mondiale*socio=te en mutation*socio=ec2. Il s'est*socio=rien en particulier*socio=rien attelé à une *socio=rien énorme tâche *socio=nil en aidant *socio=rien un grand nombre de*socio=nil nouveaux pays_membres*socio=ac *socio=nil à opérer une transition*socio=ec2 historique*socio=te à l'économie_de_marché*socio=ec1. Durant l'exercice*socio=rien 1993 / 94, des progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien ont été*socio=rien réalisés dans le contexte*socio=rien de la stratégie*socio=et de croissance*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme fondée*socio=nil sur la*socio=nil coopération*socio=uv1,*socio=nil *socio=nil que le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac avait adoptée lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1993 (Rapport*socio=rien annuel*socio=te 1993). À sa réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1993, le comité_intérimaire*socio=ac a réaffirmé son attachement*socio=uv1 à cette stratégie*socio=et et noté avec satisfaction*socio=uv3 *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil évolutions*socio=te *socio=nil dans ce sens*socio=rien: de faibles*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 dans de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 en Europe*socio=ac, la détermination*socio=rien de rééquilibrer les budgets*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme en*socio=nil amérique_du_nord*socio=ac *socio=nil et dans plusieurs pays*socio=ac d'Europe*socio=ac, les mesures*socio=et visant à consolider la reprise de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te au japon*socio=ac et la réaction*socio=rien favorable*socio=uv4 des marchés_financiers*socio=ec1 à ces évolutions*socio=te. À sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1994, le comité_intérimaire*socio=ac a de nouveau*socio=rien salué les progrès*socio=uv1 réalisés dans l'application*socio=rien de la stratégie*socio=et de croissance*socio=uv3 et les mesures*socio=et prises*socio=rien par le FMI*socio=ac en vue*socio=rien d'intensifier sa surveillance*socio=et de la politique_économique*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. Parallèlement, il a noté que l'aboutissement*socio=rien du*socio=rien cycle*socio=te des négociations_commerciales_multilatérales*socio=et d'Uruguay*socio=ac avait donné une forte*socio=rien impulsion*socio=ec2 au commerce*socio=ec1 mondial*socio=te et rendu les conditions*socio=ec1 plus favorables*socio=uv4 à la croissance*socio=uv3 dans les pays_membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac. Le FMI*socio=ac s'est*socio=rien rapproché encore plus de l'universalité*socio=uv1 lorsque la Micronésie est*socio=rien devenue membre*socio=ac en juin*socio=rien 1993 et l'Érythrée en juillet*socio=rien 1994. Le *socio=ec1 Fonds compte à*socio=nil présent*socio=rien 179*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil et les formalités*socio=et d'adhésion*socio=uv1 sont en cours*socio=rien pour la République*socio=ac fédérative*socio=et de Yougoslavie*socio=ac (Serbie*socio=ac et Monténégro*socio=ac) et la République*socio=ac de Bosnie-herzégovine*socio=ac. Le FMI*socio=ac a mené ses activités*socio=rien dans le contexte*socio=rien d'une amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. *socio=rien Un aspect particulièrement*socio=nil positif*socio=uv4 *socio=nil de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 a été*socio=rien la poursuite*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 vigoureuse*socio=rien dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, en particulier*socio=rien ceux qui ont procédé*socio=rien à des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 et appliqué des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 judicieuses*socio=uv4. Le *socio=rien réalignement du franc*socio=ec1 *socio=nil CFA en janvier*socio=rien 1994, qui a été*socio=rien accompagné de réformes*socio=et économiques*socio=ec1 appuyées par le FMI*socio=ac, devrait favoriser la reprise de la croissance*socio=uv3 dans les pays*socio=ac concernés. Dans les pays_industrialisés*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée faible*socio=rien, bien*socio=rien que la croissance*socio=uv3 ait légèrement diminué, tandis que les écarts*socio=ec2 conjoncturels*socio=te sont restés prononcés. *socio=rien Un certain nombre *socio=nil d'entre eux ont réalisé des progrès*socio=uv1 appréciables*socio=rien dans l'assainissement*socio=uv3 de leurs finances*socio=ec1 publiques*socio=et à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil mais les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et sont restés excessivement lourds*socio=rien pour beaucoup de pays*socio=ac. Bien*socio=rien que la production*socio=ec1 globale*socio=rien ait continué à diminuer dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2, la contraction*socio=ec2 a été*socio=rien moins forte*socio=rien qu'en 1992-93. Dans bien*socio=rien des cas*socio=rien, le processus*socio=te de réforme*socio=et a progressé avec l'appui*socio=uv1 du*socio=rien M, notamment dans le cadre*socio=rien de la facilité pour la *socio=ec2 transformation systémique *socio=nil (FTS). À sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1994 également, le comité_intérimaire*socio=ac a souligné qu'il était important*socio=uv4 d'apporter un*socio=rien soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1 adéquat*socio=uv2 aux pays*socio=ac en train*socio=rien de se convertir à l'économie_de_marché*socio=ec1, et il a encouragé le FMI*socio=ac à continuer de jouer un*socio=rien rôle*socio=et central*socio=rien dans ce processus*socio=te, y compris en élargissant au besoin*socio=uv1 l'accès*socio=uv1 à ses propres*socio=rien ressources*socio=ec1. Il a souligné que le caractère*socio=rien monétaire*socio=ec1 et le rôle*socio=et de catalyseur*socio=ec2 du*socio=rien FMI*socio=ac doivent être*socio=rien préservés, et il a appelé les créanciers*socio=ac et donateurs*socio=ac potentiels*socio=uv4, tant multilatéraux*socio=et que bilatéraux*socio=et, à se joindre au FNII pour fournir des concours adéquats*socio=uv2 en *socio=rien temps opportun.*socio=nil Au*socio=nil sujet *socio=nil d'une éventuelle*socio=te allocation*socio=et de DTS, le comité_intérimaire*socio=ac a demandé au Conseil*socio=ac d'administration' de poursuivre ses *socio=rien travaux sur les*socio=nil questions relatives *socio=nil aux DTS et de soumettre ses recommandations*socio=et à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac en*socio=nil octobre *socio=nil 1994. Le FMI*socio=ac a continué de donner des conseils*socio=ac en matière*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 et de l'assistance*socio=uv1 financière*socio=ec1 et technique*socio=rien à une *socio=rien grande partie *socio=nil de ses membres*socio=ac. Les tirages*socio=ec1 (achats*socio=ec1) sur*socio=rien les ressources*socio=ec1 *socio=rien générales du FMI*socio=ac *socio=nil en 1993 / 94 ont atteint 5,2 milliards*socio=rien de DTS au total*socio=rien, soit à peu près le même niveau*socio=rien qu'en 1992 / 93. Les tirages*socio=ec1 les plus importants*socio=uv4 ont été*socio=rien effectués par la Russie*socio=ac (2,2 milliards*socio=rien de DTS), l' afrique_du_sud*socio=ec1 et l'Argentine*socio=ac (0,6 milliard*socio=rien de DTS pour chacune), la Pologne*socio=ac (0,4 milliard*socio=rien de DTS) et l'Inde*socio=ac (0,2 milliard*socio=rien de DTS). Les achats*socio=ec1 au titre*socio=rien des accords*socio=et de confirmation*socio=et et des accords*socio=et élargis sont tombés de 5,0 milliards*socio=rien de DTS à 1,8 milliard*socio=rien de DTS, mais cette baisse*socio=ec2 a été*socio=rien compensée par une augmentation*socio=ec2 des achats*socio=ec1 au titre*socio=rien de la facilité de financement*socio=ec1 compensatoire*socio=et et de financement*socio=ec1 pour imprévus*socio=uv4 (FFCI) et de la FTS, qui ont atteint respectivement 0,7 milliard*socio=rien de DTS et 2,7 milliards*socio=rien de DTS. Les décaissements*socio=ec1 au titre*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 (FAS*socio=ec1) et de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FASR*socio=ec1) se sont chiffrés à 0,7 milliard*socio=rien de DTS, montant*socio=ec1 légèrement supérieur*socio=rien à celui de 1992 / 93. Les remboursements*socio=ec1 (rachats*socio=ec1) se sont élevés*socio=uv4 à 4,3 milliards*socio=rien de DTS en 1993 / 94, contre 4,1 milliards*socio=rien de DTS en 1992 / 93. Le FMI*socio=ac est*socio=rien intervenu directement pour soutenir les efforts*socio=uv1 de réforme*socio=et structurelle*socio=ec2 et de stabilisation*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3 les_plus_pauvres*socio=uv2. En décembre*socio=rien 1993, constatant que la FASR*socio=ec1 avait donné au FNU les moyens*socio=ec1 de venir en aide*socio=uv1 à ces pays_membres*socio=ac gravement démunis*socio=uv2, le Conseil*socio=ac a décidé d'élargir et de proroger l'application*socio=rien du*socio=rien Compte*socio=ec1 de fiducie*socio=ec1 de la FASR*socio=ec1. Les opérations*socio=rien dans le *socio=rien cadre du Compte*socio=ec1 de*socio=nil fiducie*socio=ec1 *socio=nil de la FASR*socio=ec1 élargie ont commencé en février*socio=rien 1994. Le montant*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 *socio=rien supplémentaires devant être *socio=nil mobilisées sous forme*socio=rien de prêts*socio=ec1 pour l'élargissement*socio=ec2 du*socio=rien compte*socio=ec1 est*socio=rien de 5 milliards*socio=rien de DTS, ce qui, ajouté aux accords*socio=et de prêt*socio=ec1 de 5,1 milliards*socio=rien de DTS approuvés pour le financement*socio=ec1 des opérations*socio=rien de la FASR*socio=ec1 avant l'élargissement*socio=ec2, porterait à 10,1 milliards*socio=rien de DTS le total*socio=rien des ressources*socio=ec1 prêtées aux fins*socio=rien des *socio=rien opérations du Compte*socio=ec1 de*socio=nil fiducie*socio=ec1 *socio=nil de la FASR*socio=ec1. Les nouveaux*socio=rien engagements*socio=et de prêts*socio=ec1 au Compte*socio=ec1 de fiducie*socio=ec1 de la FASR*socio=ec1 s'élèvent actuellement à 4,6 milliards*socio=rien de DTS, et les nouveaux*socio=rien *socio=et engagements bilatéraux *socio=nil à des fins*socio=rien de bonification à 1,3 milliard*socio=rien de DTS. De nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien réalisés dans le cadre*socio=rien de la stratégie*socio=et fondée sur*socio=rien la coopération*socio=uv1 en matière*socio=rien d'arriérés avec le règlement*socio=et d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil cas *socio=nil d'arriérés dans le courant*socio=rien de l'année*socio=rien et, pour la *socio=rien deuxième année consécutive,*socio=nil *socio=nil l'encours des obligations*socio=uv1 envers le FMI*socio=ac a légèrement diminué. Au 30 avril*socio=rien 1994, neuf*socio=rien pays_membres*socio=ac étaient en situation*socio=rien d'arriérés prolongés envers le FMI*socio=ac, contre douze *socio=rien un an *socio=nil plus tôt. À la même date, cinq*socio=rien pays_membres*socio=ac étaient irrecevables à utiliser les ressources*socio=ec1 *socio=rien générales du FMI*socio=ac:*socio=nil *socio=nil le Libéria, la Somalie*socio=ac, le Soudan*socio=ac, le Zaïre*socio=ac et la Zambie*socio=ac. Le 9 août*socio=rien 1993, les droits_de_vote*socio=et du*socio=rien Soudan*socio=ac au FMI*socio=ac et ses droits*socio=uv1 connexes*socio=rien ont été*socio=rien suspendus. C'était la *socio=rien première fois *socio=nil que le FMI*socio=ac appliquait cette mesure*socio=rien corrective supplémentaire*socio=rien prévue par le troisième*socio=rien amendement*socio=et des statuts*socio=et. Le 8 avril*socio=rien 1994, une plainte a été*socio=rien formulée en vertu*socio=rien de la section*socio=rien 2 c) de l'article*socio=rien XXVI des statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, ce qui a déclenché une procédure*socio=et pouvant aboutir au retrait obligatoire*socio=uv2 du*socio=rien Soudan*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac. Les droits_de_vote*socio=et et les droits*socio=uv1 *socio=rien connexes du Zaïre*socio=ac ont*socio=nil été *socio=nil suspendus à compter du*socio=rien 2 juin*socio=rien 1994. La portée*socio=rien et le volume*socio=rien des activités*socio=rien d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien ont continué d'aller croissant*socio=rien, les nouveaux*socio=rien *socio=ac États membres *socio=nil étant de plus en plus nombreux*socio=rien à faire appel*socio=rien aux services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans ce domaine*socio=rien. Le Conseil*socio=ac a procédé*socio=rien à un*socio=rien examen*socio=ec2 des travaux*socio=rien d'assistance*socio=uv1 *socio=rien technique du FMI*socio=ac en*socio=nil février *socio=nil 1994, tenant compte*socio=ec1 à la fois*socio=rien de la demande*socio=ec1 croissante*socio=rien d'assistance*socio=uv1 et des fortes*socio=rien contraintes*socio=uv1 budgétaires*socio=et qui limitent le volume*socio=rien des prestations*socio=et. Il a été*socio=rien reconnu que l'efficacité*socio=uv3 de l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien dépendait principalement du*socio=rien volontarisme des pays*socio=ac dans l'application*socio=rien des réformes*socio=et et l'ajustement*socio=et de leur politique_économique*socio=ec1. Le suivi efficace*socio=uv4 de l'application*socio=rien des conseils*socio=ac donnés par les missions d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et une meilleure*socio=uv4 coordination*socio=uv3 des programmes*socio=et d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien des différentes*socio=rien institutions_internationales*socio=ac jouent également un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 à cet égard*socio=rien. Pendant l'exercice*socio=rien, les *socio=rien effectifs du FMI*socio=ac *socio=nil ont augmenté de 5 % pour atteindre 2.610 années-hommes, le plus gros*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 étant allée aux départements chargés des pays*socio=ac en transition*socio=ec2 vers l' économie_de_marché*socio=ec1. L'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Principales*socio=rien évolutions*socio=te. L'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te a enregistré une modeste*socio=rien reprise, l'augmentation*socio=ec2 de la production*socio=ec1 totale*socio=rien ayant progressé d'un*socio=rien niveau*socio=rien de 1,8 % en 1992 à 2,3 % en 1993 - résultat*socio=rien dû en *socio=rien grande partie *socio=nil à la forte*socio=rien croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3. Dans les pays_industrialisés*socio=ac, l'expansion*socio=ec2 a légèrement fléchi sur*socio=rien la même période*socio=te, tombant de 1,6 % en 1992 à 1,2 % en 1993, tandis que le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 a progressé d'un*socio=rien demi-point de pourcentage*socio=rien. La croissance*socio=uv3 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, qui avait atteint 4,5 % en 1992, est*socio=rien retombée à 2,4 %. Le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac en 1993 masque *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil évolutions*socio=te encourageantes*socio=uv4 *socio=nil dans quelques-unes des principales*socio=rien économies*socio=ec1. Aux États-unis*socio=ac, la reprise est*socio=rien à *socio=rien présent solidement *socio=nil établie. Elle s'est*socio=rien aussi affermie au Canada*socio=ac, tandis qu'au Royaume-uni*socio=ac la demande*socio=ec1 des ménages*socio=ac a alimenté *socio=rien un renversement *socio=nil de la conjoncture*socio=ec2. Au Japon*socio=ac, la *socio=ec1 production industrielle *socio=nil déclinant, l'activité_économique*socio=ec1 est*socio=rien restée faible*socio=rien. La *socio=rien situation est *socio=nil de même restée déprimée en Europe*socio=ac continentale*socio=te. La croissance*socio=uv3 enregistrée en 1993 par l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 reflète une amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, bien*socio=rien qu'il existe des disparités*socio=uv1 considérables*socio=rien entre les différentes*socio=rien régions*socio=te. La croissance*socio=uv3 a progressé en Asie*socio=ac, dans l' hémisphère_occidental*socio=te et, légèrement, en Afrique*socio=ac. Au Moyen-orient*socio=ac, elle a retrouvé un*socio=rien rythme*socio=ec2 plus soutenable*socio=uv4. En 1993, la situation*socio=rien économique*socio=ec1 s'est*socio=rien en moyenne*socio=rien améliorée dans la plupart*socio=rien des économies_en_transition*socio=ec1 d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te, ainsi que dans les *socio=ac pays baltes.*socio=nil *socio=nil La chute de la production*socio=ec1 s'est*socio=rien poursuivie dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac issus de l'ex-urss*socio=ac. En Russie*socio=ac le PIB*socio=ec1 a baissé de 11 1/2 %sur*socio=rien l'année*socio=rien, en dépit*socio=rien des tentatives*socio=rien visant à enrayer sa chute. L'inflation*socio=ec1 mondiale*socio=te a ralenti, en *socio=rien grande partie à*socio=nil cause *socio=nil de la chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1. Dans de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, elle est*socio=rien tombée aux niveaux*socio=rien à peu près les plus bas*socio=rien des trente *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Elle a progressé dans le groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3, *socio=rien du fait *socio=nil des hausses enregistrées en Asie*socio=ac et dans les économies_en_transition*socio=ec1. La situation*socio=rien monétaire*socio=ec1 s'est*socio=rien détendue, d'une *socio=rien façon générale,*socio=nil *socio=nil en 1993 et au début*socio=rien de 1994. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 sont restés relativement bas*socio=rien aux États-unis*socio=ac au cours*socio=rien de l'année*socio=rien 1993, quoiqu'ils aient progressé au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1994. En Europe*socio=ac, les *socio=ec1 conditions monétaires ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil graduellement assouplies, tandis que le japon*socio=ac a maintenu son taux*socio=ec1 d'escompte officiel*socio=et à *socio=rien un niveau historiquement bas.*socio=nil Le*socio=nil solde*socio=ec1 global*socio=te des*socio=nil transactions_courantes*socio=te des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil a basculé d'un*socio=rien déficit*socio=ec1 de 43 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1992 à un*socio=rien excédent*socio=ec1 de 12 milliards*socio=rien en 1993. Toutefois le déficit*socio=ec1 s'est*socio=rien creusé aux États-unis*socio=ac, à mesure*socio=rien que leur croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 s'accélérait relativement à celle des *socio=ac pays partenaires,*socio=nil *socio=nil en revanche, l'excédent*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te du*socio=rien Japon*socio=ac a progressé, tandis que les pays*socio=ac de l' union_européenne*socio=et (UE*socio=ac) sont passés*socio=te d'un*socio=rien déficit*socio=ec1 modéré en 1992 à un*socio=rien solde*socio=ec1 à peu près équilibré en 1993. Parmi les pays_en_développement*socio=uv3, les soldes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te ont eu tendance*socio=ec2 à se détériorer en 1993, *socio=rien du fait *socio=nil de l'expansion*socio=ec2 rapide*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et des importations*socio=ec1, de la croissance*socio=uv3 toujours faible*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac et d'évolutions*socio=te défavorables*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1. On observe une augmentation*socio=ec2 d'environ 30 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU des financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te nets*socio=rien reçus par les pays_en_développement*socio=uv3, ce qui est*socio=rien en partie*socio=rien dû à l'accroissement*socio=ec2 marqué des flux*socio=ec1 de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te à destination*socio=rien de l'Asie*socio=ac. activité_économique*socio=ec1 et emploi*socio=ec1. L'activité_économique*socio=ec1 mondiale*socio=te a été*socio=rien soutenue en 1993 par la persistance*socio=te d'une forte*socio=rien croissance*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3 (tableau*socio=rien 1). La croissance*socio=uv3 a légèrement fléchi dans les pays_industrialisés*socio=ac et les écarts*socio=ec2 conjoncturels*socio=te y sont restés prononcés. La production*socio=ec1 globale*socio=rien des pays*socio=ac en transition*socio=ec2 a continué de décroître, mais à un*socio=rien rythme*socio=ec2 beaucoup plus modéré qu'en 1992, et plusieurs économies*socio=ec1 ont enregistré une croissance*socio=uv3 positive*socio=uv4. Le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te a connu une modeste*socio=rien expansion*socio=ec2 de 2 1/2%, niveau*socio=rien très inférieur*socio=rien à celui de 1992 dû à la faiblesse*socio=ec2 de l'activité*socio=rien au japon*socio=ac et dans les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac continentale*socio=te. Il s'explique en partie*socio=rien également par la sous-déclaration momentanée des *socio=ec1 flux commerciaux *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac d'Europe*socio=ac due à la modification*socio=rien des *socio=et procédures douanières au*socio=nil sein*socio=rien *socio=nil de l' union_européenne*socio=et. La croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac a légèrement ralenti en 1993, tombant à 1 1/4 % (graphique*socio=rien 1), et le chômage*socio=ec1 a progressé, passant de 7 3/4% à 8 1/4 %. Aux États-unis*socio=ac, la reprise de l'activité*socio=rien, initialement très hésitante*socio=rien, s'est*socio=rien assurément confirmée au cours*socio=rien de l'année*socio=rien. Le taux*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien des capacités*socio=uv3 de production*socio=ec1 a atteint 83 % fin*socio=rien 1993, la durée*socio=te hebdomadaire *socio=rien moyenne du travail reste supérieure aux*socio=nil précédents records*socio=ec2 *socio=nil enregistrés depuis la deuxième*socio=rien guerre*socio=et mondiale*socio=te, l'emploi*socio=ec1 dans l'industrie*socio=ec1 a commencé de progresser de façon*socio=rien plus soutenue, et la baisse*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1 s'est*socio=rien poursuivie. La reprise s'est*socio=rien également affermie au Canada*socio=ac, soutenue par la vigueur*socio=uv3 de l'investissement*socio=ec1 et de la demande*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1. Au Royaume-uni*socio=ac, la demande*socio=ec1 des consommateurs*socio=ac a alimenté *socio=rien un retournement *socio=nil de la conjoncture*socio=ec2 grâce*socio=rien à la baisse*socio=ec2 du*socio=rien ratio*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1 des ménages*socio=ac et à la diminution*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1. L'Australie*socio=ac et la Nouvelle-zélande*socio=ac ont également vu leur situation*socio=rien économique*socio=ec1 s'améliorer considérablement*socio=rien en 1993 sous l'effet*socio=rien de la progression*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et extérieure*socio=te, et les premiers*socio=rien signes de reprise sont apparus dans les pays*socio=ac nordiques*socio=te. Au Japon*socio=ac, l'activité_économique*socio=ec1 a été*socio=rien freinée par les répercussions*socio=ec2 de la baisse*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 des actifs*socio=ec1 ainsi que par la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien de l'investissement*socio=ec1, la vigueur*socio=uv3 du*socio=rien yen*socio=ec1 et le manque*socio=rien de confiance*socio=uv1 ambiant. En conséquence*socio=rien, la production*socio=ec1 intérieure*socio=te a stagné en 1993, année*socio=rien où ont été*socio=rien enregistrés les *socio=rien pires résultats *socio=nil depuis le premier*socio=rien choc*socio=ec2 pétrolier*socio=ec1. Bien*socio=rien que les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1994 aient apporté quelques signes d'amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1, la reprise est*socio=rien demeurée incertaine*socio=uv4. Sur*socio=rien le *socio=ac continent européen,*socio=nil l'*socio=nil économie*socio=ec1 est*socio=rien restée*socio=nil léthargique*socio=rien *socio=nil en 1993 et au début*socio=rien de 1994, malgré l'assouplissement*socio=uv3 graduel*socio=te de la politique_monétaire*socio=et. En Allemagne*socio=ac, l'activité_économique*socio=ec1 est*socio=rien restée amorphe *socio=rien du fait du manque de*socio=nil confiance*socio=uv1 des*socio=nil consommateurs*socio=ac *socio=nil provoqué par l'incertitude*socio=uv3 des perspectives*socio=te de l'emploi*socio=ec1, la hausse*socio=rien des contributions*socio=uv1 sociales*socio=et et des taxes*socio=et sur*socio=rien le carburant*socio=rien, les compressions*socio=et des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et l'atonie*socio=ec2 persistante*socio=rien de la croissance*socio=uv3 chez les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 européens*socio=ac. En France*socio=ac, le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien a diminué en 1993, et on a observé une forte*socio=rien poussée du*socio=rien chômage*socio=ec1 qui a atteint environ 12 % de la population_active*socio=ac. La production*socio=ec1 italienne*socio=ac, bien*socio=rien que vigoureusement tirée par les exportations*socio=ec1, a elle aussi diminué, la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te ayant fléchi sous l'effet*socio=rien de plus faibles*socio=rien augmentations*socio=ec2 de salaires*socio=ec1, de la hausse*socio=rien des impôts*socio=et résultant*socio=rien de la *socio=et réforme fiscale *socio=nil et de la poursuite*socio=rien des compressions*socio=et d'emplois*socio=ec1. Se ressentant de cette conjoncture*socio=ec2 maussade, la production*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des plus petites*socio=rien économies*socio=ec1 industrialisés d'Europe*socio=ac a également enregistré des reculs, quoique d'envergure*socio=rien *socio=rien bien moindre *socio=nil qu'en 1992. Mais vers le milieu*socio=rien de 1994, les signes de reprise économique*socio=ec1 se sont faits*socio=rien plus nombreux*socio=rien. La croissance*socio=uv3 soutenue observée en 1993 dans les pays_en_développement*socio=uv3 est*socio=rien révélatrice de l'amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien pour nombre*socio=rien d'entre eux ainsi que de l'importance*socio=rien grandissante*socio=rien de leurs interactions*socio=rien économiques*socio=ec1. La part*socio=rien des exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 destinées*socio=rien à d'autres pays_en_développement*socio=uv3 a régulièrement progressé. De plus, l'expansion*socio=ec2 de l'activité*socio=rien dans *socio=rien un grand nombre *socio=nil de ces économies*socio=ec1 a contribué à compenser la médiocre*socio=uv2 croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac: depuis 1990, dans le total*socio=rien des exportations*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac, la part*socio=rien de celles destinées*socio=rien aux pays_en_développement*socio=uv3 a considérablement*socio=rien augmenté (graphique*socio=rien 2). Malgré la forte*socio=rien croissance*socio=uv3 enregistrée par l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, on observe d'une région*socio=te à l'autre des disparités*socio=uv1 substantielles*socio=rien entre les résultats*socio=rien obtenus en 1993. Au Moyen-orient*socio=ac, la croissance*socio=uv3 est*socio=rien revenue à un*socio=rien rythme*socio=ec2 plus soutenable*socio=uv4, après*socio=rien l'emballement*socio=rien de la production*socio=ec1 qui avait suivi la fin*socio=rien de la crise*socio=uv2 en 1992. Parmi les pays_en_développement*socio=uv3 d'Asie*socio=ac, la croissance*socio=uv3 a atteint 13 1/2 % en Chine*socio=ac, malgré les efforts*socio=uv1 des autorités*socio=et pour contenir cette expansion*socio=ec2 dont le rythme*socio=ec2 était trop rapide*socio=rien pour être*socio=rien soutenable*socio=uv4. L'activité_économique*socio=ec1 est*socio=rien restée modérée en Inde*socio=ac, s'est*socio=rien renforcée en République*socio=ac de Corée*socio=ac et a connu une expansion*socio=ec2 relativement vigoureuse*socio=rien en Indonésie*socio=ac, en Malaisie*socio=ac, au Pakistan*socio=ac, à Singapour*socio=ac, dans la *socio=ac province chinoise de*socio=nil Taiwan *socio=nil et en Thaïlande*socio=ac. Dans l' hémisphère_occidental*socio=te, la croissance*socio=uv3 a atteint 3 1/2 % en 1993, principalement sous l'effet*socio=rien *socio=rien du revirement conjoncturel*socio=te au*socio=nil Brésil*socio=ac *socio=nil et d'une croissance*socio=uv3 relativement robuste*socio=rien en Argentine*socio=ac, au Chili*socio=ac et au Pérou*socio=ac. Au Venezuela*socio=ac, l'incertitude*socio=uv3 politique*socio=et et la chute de l'investissement*socio=ec1 ont contribué à une baisse*socio=ec2 de la production*socio=ec1, tandis qu'au Mexique*socio=ac, les efforts*socio=uv1 de restructuration*socio=et des industries*socio=ec1 de transformation*socio=ec2 ainsi que la nécessité*socio=uv1 de réduire l'inflation*socio=ec1 ont concouru à un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 marqué de l'activité*socio=rien. En Afrique*socio=ac, l'activité_économique*socio=ec1 n'a que légèrement progressé en 1993, en raison*socio=rien des conséquences*socio=rien de la sécheresse*socio=et, des incertitudes*socio=uv3 persistantes*socio=rien liées, dans certains États*socio=ac, au processus*socio=te de transformation*socio=ec2 politique*socio=et, ainsi que de problèmes*socio=uv4 propres*socio=rien à certains pays*socio=ac, tels que la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, les pénuries*socio=ec2 de devises*socio=ec1 et les difficultés*socio=uv4 qu'elles entraînent dans l'approvisionnement*socio=ec1 en intrants importés. L' activité_économique*socio=ec1 a diminué de près de 2 % en 1993 dans les pays*socio=ac de la zone*socio=te franc*socio=ec1 CFA. Le franc*socio=ec1 CFA a été*socio=rien dévalué de 50 % et le franc*socio=ec1 comorien de 33 % en janvier*socio=rien 1994, ce qui offre*socio=rien la perspective*socio=rien d'une plus vigoureuse*socio=rien reprise de la croissance*socio=uv3 (voir encadré 1). L'expansion*socio=ec2 a progressé jusqu'à atteindre 3 1/2% dans les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac qui, à la fin*socio=rien de 1993, bénéficiaient d'accords*socio=et avec le Fonds*socio=ec1 au titre*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 (FAS*socio=ec1) ou de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FASR*socio=ec1). La conjoncture*socio=ec2 économique*socio=ec1 s'est*socio=rien améliorée en 1993 dans les *socio=ac pays baltes *socio=nil et dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac en transition*socio=ec2 d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te. La reprise s'est*socio=rien poursuivie en Albanie*socio=ac, en Pologne*socio=ac et en Slovénie*socio=ac, et un*socio=rien redressement*socio=ec2 s'est*socio=rien amorcé en Hongrie*socio=ac et dans la *socio=ac République tchèque.*socio=nil *socio=nil En revanche la production*socio=ec1 a décliné en Bulgarie*socio=ac *socio=rien du fait de*socio=nil contraintes*socio=uv1 financières*socio=ec1 *socio=nil et des répercussions*socio=ec2 défavorables*socio=uv4 de l'embargo*socio=et sur*socio=rien les échanges*socio=ec1 avec la République*socio=ac fédérative*socio=et de Yougoslavie*socio=ac (Serbie*socio=ac/Monténégro*socio=ac), tout comme dans la *socio=ac République slovaque après*socio=rien *socio=nil la dissolution de la Tchécoslovaquie*socio=ac. Le chômage*socio=ec1 est*socio=rien demeuré en général*socio=rien dans une fourchette*socio=rien comprise entre 10 et 16 %, sauf dans la *socio=ac République tchèque *socio=nil où il s'est*socio=rien stabilisé à moins de 5 %. À l'exception*socio=rien *socio=rien notable du *socio=nil Turkménistan, les économies*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des pays*socio=ac issus de l'ex-urss*socio=ac ont enregistré de nouvelles*socio=rien baisses considérables*socio=rien de leur production*socio=ec1 en 1993, en raison*socio=rien des perturbations*socio=ec2 persistantes*socio=rien des échanges*socio=ec1 entre États*socio=ac, de l'absence*socio=rien de politiques*socio=et de stabilisation*socio=et et de conflits*socio=uv1 armés dans plusieurs pays*socio=ac. Le PIB*socio=ec1 de la Russie*socio=ac aurait chuté de 11 1/2% au cours*socio=rien de l'année*socio=rien, selon les estimations*socio=ec2, dans le contexte*socio=rien d'une inflation*socio=ec1 toujours forte*socio=rien. Inflation*socio=ec1 et prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil l'*socio=nil inflation*socio=ec1 *socio=nil a reculé dans les pays_industrialisés*socio=ac, et dans nombre*socio=rien d'entre eux elle est*socio=rien tombé au-dessous de niveaux*socio=rien qui n'avaient pas été*socio=rien observés depuis les années*socio=rien 60. en particulier*socio=rien, L'Australie*socio=ac, le Canada*socio=ac, le Danemark*socio=ac, L'Irlande*socio=ac, le Japon*socio=ac, la Finlande*socio=ac, la France*socio=ac, l'Islande*socio=ac, les Pays-bas*socio=ac et la Nouvelle-zélande*socio=ac ont tous enregistré en 1993 des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 (mesurés par le déflateur du*socio=rien PIB*socio=ec1) inférieurs*socio=rien à 2 %. Aux États-unis*socio=ac, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 est*socio=rien demeurée inchangée*socio=rien, autour de 3 %, et dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac d'Europe*socio=ac, la détente*socio=rien des pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 s'est*socio=rien poursuivie, en raison*socio=rien des politiques*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2 et de l'existence*socio=rien d'importantes*socio=uv4 marges de capacité*socio=uv3 inutilisée*socio=rien. Le *socio=rien niveau moyen *socio=nil de l'inflation*socio=ec1 a atteint 46 % dans les pays_en_développement*socio=uv3, bien*socio=rien que la moitié*socio=rien d'entre eux ait affiché un*socio=rien taux*socio=ec1 inférieur*socio=rien ou égal*socio=rien à 7 %. L'inflation*socio=ec1 a diminué dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac sous l'effet*socio=rien de la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien et *socio=rien du bon comportement des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil dans les pays*socio=ac de la zone*socio=te franc*socio=ec1. Elle a aussi régressé dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac australe*socio=ac avec la fin*socio=rien de la grave*socio=uv4 sécheresse*socio=et qui y avait sévi. Grâce*socio=rien au succès*socio=uv1 des politiques_économiques*socio=et mises en oeuvre*socio=rien, l'inflation*socio=ec1 a également diminué dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac d'Amérique*socio=ac; toutefois, le Brésil*socio=ac constitue une exception*socio=rien d'importance*socio=rien. En Asie*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 a augmenté et atteint 9 1/2 % en moyenne*socio=rien, avec une forte*socio=rien poussée en Chine*socio=ac. Au Moyen-orient*socio=ac et en Europe*socio=ac, en dépit*socio=rien des faibles*socio=rien taux*socio=ec1 enregistrés dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, le *socio=rien niveau moyen *socio=nil de l'inflation*socio=ec1 s'est*socio=rien maintenu autour de 24 %, principalement à cause*socio=rien des taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 enregistrés en Turquie*socio=ac, en *socio=ac République islamique d'*socio=nil Iran *socio=nil et dans d'autres pays*socio=ac plus petits*socio=rien de la région*socio=te. Les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 n'ont réalisé que de modestes*socio=rien progrès*socio=uv1 en 1993 dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1, à l'exception*socio=rien des *socio=ac pays baltes *socio=nil où le taux*socio=ec1 *socio=rien mensuel est *socio=nil tombé à des *socio=rien niveaux égaux ou*socio=nil inférieurs *socio=nil à 5 % environ. L'inflation*socio=ec1 a augmenté dans la *socio=ac République slovaque,*socio=nil *socio=nil dans la *socio=ac République tchèque *socio=nil et en Roumanie*socio=ac, bien*socio=rien que cette évolution*socio=te soit en partie*socio=rien due à des relèvements*socio=ec2 des impôts*socio=et indirects*socio=rien. Les résultats*socio=rien ont été*socio=rien beaucoup moins encourageants*socio=uv4 en Russie*socio=ac, où la faiblesse*socio=ec2 de l'encadrement*socio=rien du*socio=rien crédit*socio=ec1 s'est*socio=rien traduite par des hausses de prix*socio=ec1 supérieures*socio=rien à 20 % par mois*socio=rien pendant l'année*socio=rien 1993. La plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac issus de l'ex-urss*socio=ac ont été*socio=rien également caractérisés par une inflation*socio=ec1 très élevée*socio=uv4. Une nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 a contribué à une diminution*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 mondiale*socio=te moyenne*socio=rien en 1993. Le comportement*socio=rien des *socio=ec1 marchés pétroliers *socio=nil a reflété l'atonie*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac, l'augmentation*socio=ec2 continue*socio=rien de l'offre*socio=ec1 et l'incertitude*socio=uv3 quant au moment*socio=rien où l'Iraq reviendrait sur*socio=rien le marché*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1. À l'exception*socio=rien des métaux*socio=ec1 et des minéraux*socio=ec1, les prix*socio=ec1 exprimés en dollars*socio=ec1 des matières_premières*socio=ec1 autres que les combustibles*socio=ec1 se sont en général*socio=rien stabilisés, puis ont progressé au *socio=rien cours du second semestre du fait *socio=nil de la diminution*socio=ec2, liée aux conditions*socio=ec1 climatiques*socio=rien, de l'offre*socio=ec1 de certains produits*socio=rien et de l'affectation*socio=ec1 de certaines*socio=rien capacités*socio=uv3 de production*socio=ec1 à d'autres usages*socio=rien. Les prix*socio=ec1 des matières_premières*socio=ec1 autres que les combustibles*socio=ec1 n'en étaient pas moins très inférieurs*socio=rien, à la fin*socio=rien de 1993, aux sommets*socio=rien qu'ils avaient atteints en 1988. Marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 et des changes*socio=ec1. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 sont restés relativement bas*socio=rien aux États-unis*socio=ac pendant toute l'année*socio=rien 1993. Au début*socio=rien de 1994, la reprise économique*socio=ec1 s'accélérant, le conseil_des_gouverneurs*socio=ac du*socio=rien système_fédéral*socio=et de réserve*socio=ec1 a relevé au total*socio=rien de 3/4 de point*socio=rien de pourcentage*socio=rien, en trois étapes*socio=te - en février*socio=rien, en mars*socio=rien, puis en avril*socio=rien - l'objectif*socio=uv3 fixé pour le taux*socio=ec1 des federal funds, le portant à 3 3/4%. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1, en particulier*socio=rien les taux*socio=ec1 longs*socio=rien, ont également augmenté. À la mi-mai, le Conseil*socio=ac du*socio=rien système_fédéral*socio=et de réserve*socio=ec1 a relevé le taux*socio=ec1 d'escompte et le taux*socio=ec1 des federal funds de 50 points*socio=rien de base*socio=rien. Au Japon*socio=ac, le taux*socio=ec1 d'escompte officiel*socio=et a été*socio=rien ramené en septembre*socio=rien 1993 à 1 3/4 %son plus *socio=rien bas niveau historique*socio=te,*socio=nil *socio=nil et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1, tant à court_terme*socio=te qu'à long_terme*socio=te, ont continué à baisser toute l'année*socio=rien. En Europe*socio=ac, les *socio=ec1 conditions monétaires ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil graduellement assouplies en 1993 et au début*socio=rien de 1994. La Bundesbank a ramené son taux*socio=ec1 d'escompte à 5 3/4% au cours*socio=rien de l'année*socio=rien 1993, en le réduisant de 2 points*socio=rien et demi*socio=rien; en mai*socio=rien 1994, de nouvelles*socio=rien réductions*socio=ec2 l'ont abaissé à 4 1/2%. Sur*socio=rien le marché*socio=ec1, taux*socio=ec1 longs*socio=rien et taux*socio=ec1 courts*socio=rien ont baissé jusqu'à fin*socio=rien 1993, mais début*socio=rien 1994 les taux*socio=ec1 longs*socio=rien se sont relevés, les taux*socio=ec1 courts*socio=rien continuant à décliner. Dans les autres *socio=ac pays européens,*socio=nil les*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil ont en général*socio=rien suivi l'évolution*socio=te des taux*socio=ec1 allemands*socio=ac. Sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif nominal du dollar_éu*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil apprécié de 3 1/2 % environ entre *socio=rien fin avril *socio=nil 1993 et *socio=rien fin avril *socio=nil 1994. Au cours*socio=rien de cette période*socio=te, des appréciations*socio=uv3 allant de 4 à 8 % ont été*socio=rien enregistrées par rapport*socio=rien au *socio=ec1 deutsche mark,*socio=nil au*socio=nil franc français*socio=rien,*socio=nil *socio=nil à la lire italienne*socio=ac et à la livre sterling*socio=ec1, en fonction*socio=rien des positions*socio=rien cycliques*socio=te relatives*socio=rien et des variations*socio=rien des écarts*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 favorables*socio=uv4 à la devise*socio=ec1 des États-unis*socio=ac. Celle-ci s'est*socio=rien également appréciée de 9 % par rapport*socio=rien au dollar_canadien*socio=ec1. De février*socio=rien à mi-août 1993, la *socio=rien hausse du yen*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil poursuivie, la monnaie*socio=ec1 japonaise*socio=ac s'appréciant de 25 % par rapport*socio=rien au dollar_éu*socio=ec1 et de 20 à 35 % relativement aux quatre principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac. Cette appréciation*socio=uv3 a été*socio=rien partiellement annulée à la fin*socio=rien de 1993, mais le yen*socio=ec1 s'est*socio=rien de nouveau*socio=rien affermi durant les quatre *socio=rien premier mois *socio=nil de 1994, atteignant un*socio=rien taux*socio=ec1 record*socio=ec2 de 102,50 yen*socio=ec1 pour un*socio=rien dollar*socio=ec1 *socio=rien fin avril.*socio=nil La*socio=nil diminution*socio=ec2 des*socio=nil écarts*socio=ec2 de*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 favorables*socio=uv4 aux*socio=nil actifs*socio=ec1 *socio=nil libellés dans les monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac a contribué à la *socio=rien fermeté du yen*socio=ec1,*socio=nil l'*socio=nil importance *socio=nil de l'excédent*socio=ec1 commercial*socio=ec1 ainsi que les tensions*socio=ec2 connexes*socio=rien dans les relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 avec les États-unis*socio=ac semblent avoir également joué un*socio=rien rôle*socio=et dans l'ascension*socio=ec1 de cette monnaie*socio=ec1 relativement au dollar*socio=ec1. En Europe*socio=ac, après*socio=rien les fortes*socio=rien perturbations*socio=ec2 qui avaient secoué le système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac (SME*socio=ec1) *socio=rien du milieu *socio=nil de 1992 à *socio=rien fin juillet *socio=nil 1993, les tensions*socio=ec2 se sont nettement apaisées à la suite*socio=rien de l'élargissement*socio=ec2, en août*socio=rien 1993, des bandes de fluctuation*socio=ec2 du*socio=rien mécanisme*socio=et de change*socio=ec1. *socio=rien Après un fléchissement*socio=ec2 initial,*socio=nil les*socio=nil monnaies*socio=ec1 *socio=nil de plusieurs pays*socio=ac participant*socio=rien au mécanisme*socio=et se sont peu à peu raffermies jusqu'à remonter au-dessus de leurs planchers d'intervention*socio=et antérieurs*socio=te par rapport*socio=rien au *socio=ec1 deutsche mark,*socio=nil *socio=nil alors même que les écarts*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 avec l'Allemagne*socio=ac se rétrécissaient. À l'extérieur*socio=te du*socio=rien mécanisme*socio=et de change*socio=ec1 du*socio=rien SME*socio=ec1, la livre sterling*socio=ec1 s'est*socio=rien raffermie de manière*socio=rien significative*socio=uv4 par rapport*socio=rien au *socio=ec1 deutsche mark après*socio=rien le*socio=nil début*socio=rien *socio=nil de l'année*socio=rien 1993, compensant la dépréciation*socio=ec2 marquée qui avait suivi sa sortie du*socio=rien mécanisme*socio=et, quoique la réduction*socio=ec2 du*socio=rien taux_d'_intérêt*socio=ec1 en février*socio=rien 1994 ait entraîné *socio=rien un certain fléchissement*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Le markka finlandais*socio=ac a recouvré le tiers*socio=rien environ *socio=rien du terrain *socio=nil perdu au cours*socio=rien des six mois*socio=rien qui ont suivi la décision*socio=et de laisser flotter cette devise*socio=ec1, son amélioration*socio=uv1 fin*socio=rien 1993 *socio=rien résultant du raffermissement*socio=ec2 *socio=nil de la confiance*socio=uv1, de l'apparition*socio=rien de signes de reprise et de la perspective*socio=rien d'une baisse*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1. Le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif nominal *socio=nil de la *socio=ac couronne suédoise s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil déprécié d'environ 12 % au cours*socio=rien de l'année*socio=rien 1993, mais s'est*socio=rien quelque peu redressé début*socio=rien 1994. Soldes*socio=ec1, financement*socio=ec1 et dette*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Le solde*socio=ec1 global*socio=te des transactions_courantes*socio=te des pays_industrialisés*socio=ac a basculé d'un*socio=rien déficit*socio=ec1 de 43 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1992 à un*socio=rien excédent*socio=ec1 de 12 milliards*socio=rien en 1993, avec des *socio=rien variations considérables *socio=nil selon les régions*socio=te. Parmi les pays_industrialisés*socio=ac, le caractère*socio=rien asynchrone des fluctuations*socio=ec2 cycliques*socio=te de l'économie*socio=ec1, stimulant la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 dans les pays*socio=ac en phase*socio=te de reprise et la comprimant dans les économies*socio=ec1 en récession*socio=ec2, a joué un*socio=rien rôle*socio=et décisif*socio=rien dans l'évolution*socio=te de la structure*socio=ec1 des échanges*socio=ec1, de même que les variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 effectifs*socio=rien réels*socio=ec2. Aux États-unis*socio=ac, le déficit*socio=ec1 du*socio=rien compte*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te s'est*socio=rien profondément creusé en 1993 à mesure*socio=rien que la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 américaine*socio=ac s'accélérait par rapport*socio=rien à celle des *socio=ac pays partenaires.*socio=nil *socio=nil Par contre, l'excédent*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te japonaises*socio=ac a progressé en 1993, et les pays*socio=ac de l' union_européenne*socio=et (UE*socio=ac) sont passés*socio=te d'un*socio=rien déficit_global*socio=ec1 de 68 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1992 à un*socio=rien solde*socio=ec1 proche de l'équilibre*socio=ec2 en 1993. Dans les pays_en_développement*socio=uv3, le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te a eu tendance*socio=ec2 à se détériorer en 1993, en raison*socio=rien des niveaux*socio=rien plus élevés*socio=uv4 de la demande*socio=ec1 et de l'activité*socio=rien dans ces pays*socio=ac que dans les pays_industrialisés*socio=ac, d'évolutions*socio=te défavorables*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 dues au manque*socio=rien de tonus du*socio=rien prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien, et de variations*socio=rien adverses des taux_de_change*socio=ec1. Le financement*socio=ec1 extérieur*socio=te net*socio=rien a augmenté d'environ 27 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 ÉU en 1993, pour atteindre 148 milliards*socio=rien, en partie*socio=rien à cause*socio=rien de la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 (16 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) des flux*socio=ec1 de financement*socio=ec1 vers l'Asie*socio=ac; d'autres régions*socio=te ont également reçu des financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te plus importants*socio=uv4 en 1993. Le solde*socio=ec1 global*socio=te des transactions_courantes*socio=te des pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te est*socio=rien devenu déficitaire*socio=ec2 en 1993, principalement sous l'effet*socio=rien du*socio=rien renforcement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et du*socio=rien grossissement des entrées de capitaux_privés*socio=ec1. En revanche, et malgré une notable*socio=rien appréciation*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien réel du rouble*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil solde*socio=ec1 des*socio=nil transactions_courantes*socio=te *socio=nil de la Russie*socio=ac, déficitaire*socio=ec2 en 1992, est*socio=rien devenu excédentaire*socio=rien en 1993, évolution*socio=te qui traduit la faiblesse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, la réduction*socio=ec2 des subventions*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 et le volume*socio=rien limité des financements*socio=ec1. Les mesures*socio=et globales*socio=rien de l'endettement*socio=ec1 et de la charge*socio=rien de la dette*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 se sont améliorées en 1993 (voir graphiques*socio=rien 3 et 4). Cette tendance*socio=ec2 globale*socio=rien favorable*socio=uv4 reflète les évolutions*socio=te constatées en Asie*socio=ac, au Moyen-orient*socio=ac et en Europe*socio=ac, et dans l'hémisphère_occidental*socio=te, où tant le montant*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 que les ratios*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 se situent bien*socio=rien en dessous des sommets*socio=rien atteints vers le milieu*socio=rien des années*socio=rien 80. En Afrique*socio=ac, cependant, en partie*socio=rien à cause*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, les ratios*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1 ont augmenté et les baisses antérieures*socio=te des ratios*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 ont été*socio=rien partiellement ou totalement annulées. L'assistance*socio=uv1 extérieure*socio=te a aidé de nombreux*socio=rien pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1 extérieure*socio=te; les transferts_officiels*socio=et ont représenté environ 80 % des paiements*socio=ec1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1 *socio=nil en 1993. Entre mai*socio=rien 1993 et juin*socio=rien 1994, les créanciers*socio=ac *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac *socio=nil ont conclu des accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et de dette*socio=ec1 avec l'Algérie*socio=ac, le Bénin, la Bulgarie*socio=ac, le burkina_faso*socio=ac, le Cameroun*socio=ac, le Congo*socio=ac, le costa_rica*socio=ac, la côte_d'_ivoire*socio=ac, l'Équateur*socio=ac, le Gabon*socio=ac, le Guyana*socio=ac, la Jordanie*socio=ac, le Kenya, le Niger*socio=ac, le Pérou*socio=ac, la République*socio=ac Centrafricaine, la Russie*socio=ac, le Sénégal et le Viêt-nam. Les initiatives*socio=rien en matière*socio=rien de dette*socio=ec1 prises*socio=rien dans le contexte*socio=rien de la dévaluation*socio=ec2 du*socio=rien franc*socio=ec1 CFA comprennent notamment une proposition*socio=rien de la France*socio=ac d'annuler, pour les États*socio=ac de la zone*socio=te franc*socio=ec1 CFA, les dettes*socio=ec1 des pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 correspondant à des prêts*socio=ec1 au titre*socio=rien de l'aide*socio=uv1 au développement*socio=uv3 et de réduire de moitié*socio=rien celles des pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien. Les banques*socio=ac *socio=ec1 commerciales créancières *socio=nil ont conclu des accords*socio=et de réduction*socio=ec2 de dette*socio=ec1 et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 avec la Bolivie*socio=ac (mai*socio=rien 1993), le Brésil*socio=ac (avril*socio=rien 1994) et la Jordanie*socio=ac (décembre*socio=rien 1993). L'Équateur*socio=ac a accepté une liste de conditions*socio=ec1 soumise par les banques*socio=ac créancières*socio=ec1 en juin*socio=rien 1994. En juin*socio=rien 1994 également, on prévoyait que les accords*socio=et avec la Bulgarie*socio=ac, la Pologne*socio=ac et la République*socio=ac Dominicaine seraient conclus dans le courant*socio=rien de l'année*socio=rien. Les négociations*socio=et se poursuivaient entre le Panama*socio=ac et le Pérou*socio=ac et leurs comités*socio=ac de restructuration*socio=et respectifs*socio=rien. Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Le conseil_d'_administration*socio=ac et le comité_intérimaire*socio=ac procèdent régulièrement à l'examen*socio=ec2 de l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et des politiques_économiques*socio=et, en se fondant sur*socio=rien les *socio=rien rapports sur les*socio=nil Perspectives*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te réalisés par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Ces rapports*socio=rien contiennent des analyses*socio=ec2 détaillées des perspectives*socio=te à court*socio=rien et à *socio=rien moyen terme *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et des divers groupes_de_pays*socio=ac, et fournissent le cadre*socio=rien de *socio=rien référence nécessaire *socio=nil à l'évaluation*socio=ec2 de l'interaction*socio=rien des politiques_économiques*socio=et des pays_membres*socio=ac. Au cours*socio=rien de la période*socio=te couverte par le *socio=rien présent Rapport annuel*socio=te,*socio=nil le*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil a tenu, en septembre*socio=rien 1993 et en avril*socio=rien 1994, deux séances*socio=rien de discussions*socio=et sur*socio=rien les Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. *socio=rien Un grand nombre de*socio=nil sujets a*socio=nil été *socio=nil abordé à chaque séance*socio=rien. En septembre*socio=rien 1993, les administrateurs*socio=ac ont traité*socio=rien de la nécessité*socio=uv1 urgente*socio=uv4 d'aller plus avant dans l'effort*socio=uv1 global*socio=te de croissance*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme fondé*socio=nil sur la*socio=nil coopération*socio=uv1,*socio=nil *socio=nil qui avait été*socio=rien lancé par le comité_intérimaire*socio=ac lors*socio=rien de sa séance*socio=rien d'avril*socio=rien 1993 afin de renforcer la confiance*socio=uv1 et les perspectives*socio=te d'expansion*socio=ec2 mondiale*socio=te durable*socio=uv4 et non inflationniste*socio=ec2. En avril*socio=rien 1994, les administrateurs*socio=ac ont notamment discuté des progrès*socio=uv1 *socio=rien récents sur le*socio=nil plan *socio=nil de la politique_économique*socio=ec1 dans de *socio=rien nombreuses parties du *socio=nil globe, des signes annonciateurs de la fin*socio=rien de la récession*socio=ec2 économique*socio=ec1 mondiale*socio=te qui avait commencé en 1990 - même si la conjoncture*socio=ec2 demeure déprimée dans nombre*socio=rien de pays_industrialisés*socio=ac et de pays*socio=ac en transition*socio=ec2 - et des défis*socio=uv2 que les pouvoirs_publics*socio=et auront à relever dans la période*socio=te à venir. Situation*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. En septembre*socio=rien 1993, examinant les obstacles*socio=uv3 qui s'opposaient à la reprise et les risques*socio=uv3 pour l'ensemble*socio=rien *socio=rien du système *socio=nil d'une période*socio=te de *socio=ec1 stagnation économique *socio=nil prolongée, les administrateurs*socio=ac ont distingué parmi ceux-ci la prolifération*socio=rien des tendances*socio=ec2 protectionnistes*socio=et qui a accompagné la *socio=rien hausse du chômage*socio=ec1 *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac depuis la fin*socio=rien des années*socio=rien 80. Ils ont insisté sur*socio=rien le rôle*socio=et essentiel*socio=uv4 que jouent le commerce*socio=ec1 et les forces*socio=uv1 concurrentielles*socio=ec2 dans le processus*socio=te de croissance*socio=uv3 de tous les pays*socio=ac. Le libre-échange*socio=et a amélioré les perspectives*socio=te d'expansion*socio=ec2 des pays_en_développement*socio=uv3 et des économies*socio=ec1 en cours*socio=rien de libéralisation*socio=et, tout en stimulant la productivité*socio=uv3 et la croissance*socio=uv3 du*socio=rien monde*socio=te industrialisé, en l'ouvrant aux *socio=ec2 pressions concurrentielles.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont salué en avril*socio=rien 1994 l'heureuse*socio=rien *socio=rien issue du cycle*socio=te des*socio=nil négociations*socio=et commerciales*socio=ec1 *socio=nil de l'Uruguay*socio=ac, en soulignant que celle-ci donnera une impulsion*socio=ec2 nouvelle*socio=rien au commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, permettra *socio=rien un usage plus*socio=nil efficient*socio=uv4 des*socio=nil ressources*socio=ec1 *socio=nil et contribuera à renforcer la confiance*socio=uv1 des entreprises*socio=ac et des consommateurs*socio=ac du*socio=rien monde*socio=te entier*socio=rien (voir encadré 2). Les administrateurs*socio=ac ont reconnu l'importance*socio=rien d'un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des échanges*socio=ec1 en tant que moteur*socio=uv3 de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 et du*socio=rien développement*socio=uv3 de tous les pays*socio=ac. À cet égard*socio=rien, ils ont souligné qu'une diminution*socio=ec2 *socio=rien du niveau de*socio=nil protection*socio=et des*socio=nil secteurs agricoles*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et en particulier*socio=rien une baisse*socio=ec2 des subventions*socio=ec1 à l'agriculture*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac, contribuerait réduire les distorsions*socio=uv3 qui affectent la production*socio=ec1 et les *socio=ec1 échanges agricoles mondiaux*socio=te.*socio=nil Nombreux*socio=rien *socio=nil sont les administrateurs*socio=ac qui ont vu dans le succès*socio=uv1 des négociations*socio=et du*socio=rien cycle*socio=te de l'Uruguay*socio=ac l'étape*socio=te la plus importante*socio=uv4 pour l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3, tant dans l'immédiat*socio=rien qu'à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de leur discussion*socio=et d'avril*socio=rien 1994, les administrateurs*socio=ac ont pris note des progrès*socio=uv1 encourageants*socio=uv4 sur*socio=rien plusieurs *socio=rien points du programme*socio=et défini *socio=nil par le comité_intérimaire*socio=ac en avril*socio=rien 1993. Plusieurs pays*socio=ac avaient annoncé des programmes*socio=et d'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et; en Europe*socio=ac, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 avaient sensiblement baissé et les tensions*socio=ec2 au *socio=rien sein du SME*socio=ec1 *socio=nil s'étaient relâchées; le japon*socio=ac avait pris des mesures*socio=et supplémentaires*socio=rien pour stimuler son économie*socio=ec1; dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac d' amérique_latine*socio=ac et d'Asie*socio=ac, les efforts*socio=uv1 de réforme*socio=et et de stabilisation*socio=et avaient suscité une croissance*socio=uv3 vigoureuse*socio=rien et soutenue; la nouvelle*socio=rien facilité pour la *socio=ec2 transformation systémique *socio=nil (FTS) du*socio=rien FMI*socio=ac soutenait le processus*socio=te de réforme*socio=et dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac en transition*socio=ec2, et les premiers*socio=rien signes de redémarrage*socio=ec2 commençaient à apparaître dans certains d'entre eux. Au vu de ces évolutions*socio=te, les administrateurs*socio=ac ont été*socio=rien dans l'ensemble*socio=rien d'accord*socio=rien avec les projections*socio=ec2 des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac qui annonçaient, dans les Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te publiées en mai*socio=rien 1994, un*socio=rien renforcement*socio=ec2 graduel*socio=te de l'activité*socio=rien et du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondiaux*socio=te. Mais nombre*socio=rien d'entre eux ont également insisté sur*socio=rien les *socio=uv4 problèmes cruciaux,*socio=nil au*socio=nil niveau*socio=rien *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, qui continuaient de faire obstacle*socio=uv3 à une croissance*socio=uv3 vigoureuse*socio=rien et durable*socio=uv4 dans les pays*socio=ac les plus divers. De nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac étaient caractérisés par une *socio=rien forte sous-utilisation des*socio=nil ressources*socio=ec1,*socio=nil un chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4,*socio=nil d'*socio=nil importants*socio=uv4 déficits*socio=ec1 publics*socio=et,*socio=nil des*socio=nil ratios*socio=ec1 d'*socio=nil endettement*socio=ec1 public*socio=et croissants *socio=nil et des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te en hausse*socio=rien, en *socio=rien dépit du faible niveau d'*socio=nil inflation*socio=ec1 *socio=nil observé ou anticipé dans la plupart*socio=rien d'entre eux; dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 parmi les_plus_pauvres*socio=uv2, les niveaux_de_vie*socio=uv1 s'effondraient en raison*socio=rien d'évolutions*socio=te extérieures*socio=te défavorables*socio=uv4 ou d'efforts*socio=uv1 de réforme*socio=et insuffisants*socio=uv4; et pour finir, *socio=rien seul un petit nombre de*socio=nil pays*socio=ac en*socio=nil transition*socio=ec2 *socio=nil présentait les signes d'une reprise significative*socio=uv4, tandis que dans beaucoup d'autres la stabilisation*socio=et financière*socio=ec1 restait encore à accomplir. Au cours*socio=rien des discussions*socio=et de septembre*socio=rien 1993, *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont accueilli avec satisfaction*socio=uv3 l'évaluation*socio=ec2 par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac des tendances*socio=ec2 mondiales*socio=te des dépenses*socio=ec1 militaires*socio=et ainsi que leur analyse*socio=ec2 des avantages*socio=rien potentiels*socio=uv4 que présente*socio=rien pour tous les pays*socio=ac - en particulier*socio=rien pour les pays_en_développement*socio=uv3 - la réduction*socio=ec2 de ces dépenses*socio=ec1. Ils ont encouragé les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac à continuer de chercher à déterminer quels sont les meilleurs*socio=uv4 moyens*socio=ec1 pour les pays*socio=ac de tirer parti*socio=et de ces avantages*socio=rien (voir encadré 3). Le cycle*socio=te de l'Uruguay*socio=ac. Après*socio=rien 97 mois*socio=rien de négociations*socio=et complexes, 125 participants*socio=ac ont conclu le huitième*socio=rien cycle*socio=te de négociations_commerciales_multilatérales*socio=et en signant les Accords*socio=et du*socio=rien cycle*socio=te de l'Uruguay*socio=ac à Marrakech, au Maroc*socio=ac, le 15 avril*socio=rien 1994. Ils ont ce faisant amélioré l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1, étendu la *socio=rien portée du système commercial*socio=ec1 multilatéral*socio=et *socio=nil à la quasi-totalité*socio=rien des échanges*socio=ec1, renforcé ses règles*socio=et et sa discipline*socio=uv1 ainsi que son mécanisme*socio=et de règlement*socio=et des conflits*socio=uv1. Enfin, *socio=rien dernier point *socio=nil mais non le moindre*socio=rien, ils ont inscrit*socio=rien le système*socio=rien multilatéral*socio=et des échanges*socio=ec1 dans la pérennité en fondant l'organisation_mondiale_du_commerce*socio=ac (OMC*socio=ac), cinquante *socio=rien ans après la*socio=nil reconnaissance*socio=uv1 *socio=nil par la conférence*socio=rien de bretton_woods*socio=et de la nécessité*socio=uv1 d'une telle organisation*socio=ec1. L'OMC*socio=ac offrira, entre autres, une instance*socio=rien permanente*socio=te pour les négociations*socio=et commerciales*socio=ec1. Ainsi, bien*socio=rien qu'il ait peut-être constitué le dernier*socio=rien des cycles*socio=te de négociations*socio=et commerciales*socio=ec1 mondiales*socio=te, le cycle*socio=te de l'Uruguay*socio=ac représente une première*socio=rien en ceci que presque tous les pays*socio=ac participants*socio=rien y ont joué un*socio=rien rôle*socio=et actif*socio=ec1 - qu'ils soient développés*socio=uv4, en développement*socio=uv3, ou en transition*socio=ec2. Voilà qui n'avait rien*socio=rien d'évident*socio=rien lorsque le cycle*socio=te avait été*socio=rien amorcé à Punta del Este, en 1986: de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 hésitaient alors à s'engager dans des négociations*socio=et aussi vastes*socio=rien et aussi complexes, et le mode*socio=rien de fonctionnement*socio=rien des économies*socio=ec1 à planification*socio=et centrale*socio=rien limitait considérablement*socio=rien leur participation*socio=uv3 effective*socio=rien. Néanmoins, avec le temps*socio=rien, et plus particulièrement à mesure*socio=rien que les politiques_économiques*socio=et ont convergé vers *socio=rien un mode d'*socio=nil allocation*socio=et des*socio=nil ressources*socio=ec1 fondé*socio=nil sur le*socio=nil marché*socio=ec1,*socio=nil leurs*socio=nil participation*socio=uv3 aux*socio=nil négociations*socio=et du cycle*socio=te a*socio=nil considérablement *socio=nil augmenté. C'est*socio=rien ce qui explique l'afflux*socio=ec1 de demandes*socio=et d'adhésion*socio=uv1 à l' accord_général*socio=et sur*socio=rien les *socio=et tarifs douaniers *socio=nil et le commerce*socio=ec1 (GATT*socio=ac). Au moment*socio=rien de la signature*socio=rien de l'Acte*socio=et final*socio=rien des Accords*socio=et du*socio=rien cycle*socio=te de l'Uruguay*socio=ac, le nombre*socio=rien des Parties*socio=rien Contractantes*socio=ec1 au GATT*socio=ac était passé*socio=rien à 123, et des groupes_de_travail*socio=ac avaient été*socio=rien mis en place*socio=rien pour l'adhésion*socio=uv1 de 21 pays*socio=ac ou territoires*socio=te supplémentaires*socio=rien. Ce mouvement*socio=ec2 d'adhésion*socio=uv1 universelle*socio=uv2 au système*socio=rien commercial*socio=ec1 multilatéral*socio=et traduit la reconnaissance*socio=uv1, premièrement, *socio=rien du fait *socio=nil que les règles*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 multilatéral*socio=et et la libéralisation*socio=et mondiale*socio=te des échanges*socio=ec1 donnent *socio=rien un point d'*socio=nil ancrage essentiel*socio=uv4 aux*socio=nil efforts*socio=uv1 de*socio=nil réforme*socio=et économique*socio=ec1 de*socio=nil nombreux pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et deuxièmement, de l'importance*socio=rien du*socio=rien rôle*socio=et qu'elles jouent en améliorant le climat*socio=rien de l'investissement*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1 en général*socio=rien, et la qualité*socio=rien des décisions*socio=et d'investissement*socio=ec1 en particulier*socio=rien. Au fil*socio=rien des négociations*socio=et, il est*socio=rien devenu de plus en plus évident*socio=rien que la politique_commerciale*socio=et n'était plus seulement limitée à des questions*socio=rien de frontières*socio=te, mais faisait *socio=rien partie intégrante *socio=nil de la politique_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te des pays*socio=ac. L'OMC*socio=ac s'est*socio=rien trouvée ainsi chargée d'un*socio=rien vaste*socio=rien programme*socio=et. Les "nouveaux*socio=rien domaines*socio=rien" proposés à son attention*socio=rien - compte*socio=ec1 dûment tenu de la nécessité*socio=uv1 d'éviter qu'ils ne deviennent la proie*socio=ac d'intérêts*socio=uv1 protectionnistes*socio=et - comprennent le commerce*socio=ec1 et l'environnement*socio=et, la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 et des *socio=rien aspects relatifs au*socio=nil commerce*socio=ec1 *socio=nil relevant d'autres domaines*socio=rien, tels que les normes*socio=et d'emploi*socio=ec1. L'élargissement*socio=ec2 *socio=rien du domaine *socio=nil couvert, ainsi que l'intégration*socio=uv1 totale*socio=rien des secteurs*socio=rien de l'agriculture*socio=ec1, des textiles*socio=ec1 et de l'habillement*socio=rien dans le système*socio=rien multilatéral*socio=et des échanges*socio=ec1, l'inclusion*socio=rien des services*socio=et, des aspects*socio=rien commerciaux*socio=ec1 de l'investissement*socio=ec1 et de la protection*socio=et de la propriété*socio=ec1 intellectuelle*socio=rien, tout indique qu'entre les activités*socio=rien de l'OMC*socio=ac et celles du*socio=rien FMI*socio=ac, la synergie*socio=uv3 sera vaste*socio=rien et profonde*socio=rien. Les Accords*socio=et ne définissent*socio=rien pas seulement les relations*socio=rien entre le FMI*socio=ac et l'OMC*socio=ac dans le domaine*socio=rien de compétence*socio=uv3 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 (c'est-à-dire les *socio=rien questions relatives aux*socio=nil changes*socio=ec1)*socio=nil *socio=nil pour ce qui *socio=rien est du commerce*socio=ec1 des*socio=nil biens*socio=ec1 *socio=nil -comme le faisaient les accords*socio=et du*socio=rien GATT*socio=ac - et *socio=rien du nouvel accord_général*socio=et sur le*socio=nil commerce*socio=ec1 des*socio=nil services*socio=et,*socio=nil *socio=nil mais visent à définir*socio=rien une relation*socio=rien plus générale*socio=rien dans l'accord*socio=et instituant l'OMC*socio=ac. Ce dernier*socio=rien comporte *socio=rien un paragraphe enjoignant*socio=nil spécifiquement l'*socio=nil OMC*socio=ac *socio=nil de coopérer avec le fonds_monétaire_international*socio=ac et la banque_mondiale*socio=ac et ses institutions*socio=ac affiliées*socio=rien "en vue*socio=rien de rendre plus cohérente*socio=rien l'élaboration*socio=rien des politiques_économiques*socio=et au niveau*socio=rien mondial*socio=te". Étant donné les *socio=rien liens existant *socio=nil entre la politique_commerciale*socio=et et *socio=rien un grand nombre de*socio=nil questions de*socio=nil politique*socio=et intérieure*socio=te,*socio=nil la*socio=nil coopération*socio=uv1 *socio=nil des trois institutions*socio=ac est*socio=rien indispensable*socio=uv4 pour éviter les chevauchements*socio=rien, les conflits*socio=uv1 d'attribution*socio=rien et les avis*socio=rien contradictoires*socio=uv2 dans l'élaboration*socio=rien des politiques*socio=et. Comment assurer la complémentarité*socio=rien des fonctions*socio=rien et des responsabilités*socio=uv1 de manière*socio=rien appropriée et effective*socio=rien, voilà un*socio=rien des sujets*socio=rien qui seront abordés d'ici l'entrée*socio=rien en fonctions*socio=rien de l'OMC*socio=ac, actuellement prévue pour le 1er janvier*socio=rien 1995. L'OMC*socio=ac assurera aussi la surveillance*socio=et permanente*socio=te des politiques_commerciales*socio=et de ses membres*socio=ac, instituée à *socio=rien titre provisoire *socio=nil en 1989 sous l'égide*socio=rien du*socio=rien Conseil*socio=ac du*socio=rien GATT*socio=ac en attendant la *socio=rien conclusion du cycle*socio=te *socio=nil de l'Uruguay*socio=ac. Dans quelle mesure*socio=rien la surveillance*socio=et des politiques_commerciales*socio=et exercée par l'OMC*socio=ac pourra-t-elle contribuer à la surveillance*socio=et générale*socio=rien des politiques_économiques*socio=et assurée par le FMI*socio=ac? La *socio=rien question reste ouverte*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Dans l'état*socio=rien actuel*socio=te des choses*socio=rien, la surveillance*socio=et dans le cadre*socio=rien de L'OMC*socio=ac - tant par son caractère*socio=rien public*socio=et que par les intervalles*socio=rien assez longs*socio=rien prévus entre les examens*socio=ec2 des politiques_commerciales*socio=et - tous les deux ans*socio=rien pour les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, tous les quatre ans*socio=rien pour les autres et tous les six ans*socio=rien pour les pays_en_développement*socio=uv3 - diffère de la *socio=rien pratique du FMI*socio=ac en*socio=nil matière de*socio=nil surveillance*socio=et.*socio=nil La*socio=nil libéralisation*socio=et *socio=nil et la stabilité*socio=uv3 accrue de l'environnement*socio=et commercial*socio=ec1 qu'annoncent les accords*socio=et du*socio=rien cycle*socio=te de l'Uruguay*socio=ac sont porteurs*socio=rien de gains*socio=ec1 potentiels*socio=uv4 considérables*socio=rien, encore que difficiles*socio=rien à évaluer, pour le commerce*socio=ec1 et les revenus*socio=ec1 mondiaux*socio=te. Ils ne seront pas distribués uniformément entre les participants*socio=ac, car ceux qui sauront tirer parti*socio=et des *socio=rien nouvelles possibilités *socio=nil qu'offrent: les marchés*socio=ec1 en bénéficieront davantage. On a pu entendre dire que certains pays*socio=ac risquent &être*socio=rien "globalement perdants*socio=rien" *socio=rien du fait *socio=nil de l'érosion*socio=ec2 de leur accès*socio=uv1 préférentiel*socio=ec1 au marché*socio=ec1, ce qui conduirait à une hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 de leurs *socio=ec1 importations alimentaires.*socio=nil *socio=nil Mais en fait*socio=rien il est*socio=rien probable*socio=uv4 que tous les pays*socio=ac bénéficieront globalement du*socio=rien cycle*socio=te de l'Uruguay*socio=ac, grâce*socio=rien à l'élargissement*socio=ec2 de l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 et des possibilités*socio=rien d'exportations*socio=ec1. Les occasions*socio=rien de diversifier les exportations*socio=ec1 et les marchés*socio=ec1 qu'offrent la stabilité*socio=uv3 accrue de l'environnement*socio=et commercial*socio=ec1 et l'ouverture*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 du*socio=rien monde*socio=te entier*socio=rien sont capitales*socio=et pour la poursuite*socio=rien. et la réussite*socio=uv1 des efforts*socio=uv1 de réforme*socio=et économique*socio=ec1. Pour les pays*socio=ac dont le commerce*socio=ec1 reposait jusque-là sur*socio=rien d'imprévisibles*socio=uv4 préférences*socio=uv4 d'accès*socio=uv1 à *socio=rien un nombre *socio=nil restreint de marchés*socio=ec1, les *socio=rien nouvelles possibilités *socio=nil de s'intégrer plus complètement au marché*socio=ec1 mondial*socio=te devraient s'avérer profitables*socio=uv4. Quant aux importateurs*socio=ac nets*socio=rien de produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1, la progressivité*socio=rien de la réforme*socio=et agricole*socio=ec1 dans les pays*socio=ac qui subventionnent leurs exportations*socio=ec1 devrait leur donner le temps*socio=rien de s'adapter*socio=rien et *socio=rien un bon motif *socio=nil de reconstituer leur *socio=ec1 production alimentaire nationale*socio=te.*socio=nil *socio=nil Il s'agit donc de faire en sorte*socio=rien que, les intérêts*socio=uv1 établis se mobilisant pour défendre leurs positions*socio=rien, les effets*socio=rien positifs*socio=uv4 du*socio=rien Cycle*socio=te ne soient pas neutralisés par de nouvelles*socio=rien incertitudes*socio=uv3. Une coopération*socio=uv1 efficace*socio=uv4 entre les institutions*socio=ac de bretton_woods*socio=et et l'OMC*socio=ac devrait contribuer à préserver ce qui a été*socio=rien accompli. Le FMI*socio=ac a depuis longtemps reconnu que l'accomplissement de ses propres*socio=rien missions était *socio=rien indissociable du fonctionnement satisfaisant d'*socio=nil un *socio=et mécanisme multilatéral *socio=nil visant à éliminer les obstacles*socio=uv3 au commerce*socio=ec1 mondial*socio=te. Ainsi, le Conseil*socio=ac déclarait déjà dans le Rapport*socio=rien annuel*socio=te de 1947: "On ne peut surestimer l'importance*socio=rien qu'aura pour le Fonds*socio=ec1 le succès*socio=uv1 de l' organisation_internationale*socio=ac du*socio=rien commerce*socio=ec1" La mise en oeuvre*socio=rien de politiques_commerciales*socio=et et financières*socio=ec1 plus efficaces*socio=uv4 au niveau*socio=rien mondial*socio=te dépend toutefois de la cohérence*socio=uv3 des politiques*socio=et retenues*socio=rien au niveau*socio=rien national*socio=te. Il incombera au FMI*socio=ac, à la banque_mondiale*socio=ac et à l'OMC*socio=ac - dans leurs domaines*socio=rien de compétence*socio=uv3 respectifs*socio=rien - de veiller à ce que les politiques*socio=et soient cohérentes*socio=rien et soutenables*socio=uv4 au niveau*socio=rien national*socio=te et international*socio=te et à ce qu'elles ne soient pas compromises par l'incohérence*socio=rien des politiques*socio=et dans d'autres domaines*socio=rien. politiques_économiques*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac. *socio=rien Lors du débat*socio=et d'*socio=nil avril 1994*socio=nil sur la*socio=nil situation *socio=nil et les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac, les administrateurs*socio=ac ont souligné la persistance*socio=te de l'écart*socio=ec2 entre les situations*socio=rien conjoncturelles*socio=te de deux groupes_de_pays*socio=ac: dans l'un*socio=rien - comprenant entre autres, l'Australie*socio=ac, le Canada*socio=ac, les États-unis*socio=ac, les pays*socio=ac nordiques*socio=te, la Nouvelle-zélande*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac - , la reprise était visiblement*socio=rien en cours*socio=rien ou déjà bien*socio=rien établie; dans l'autre - notamment en Europe*socio=ac continentale*socio=te et au Japon*socio=ac -, la baisse*socio=ec2 conjoncturelle*socio=te avait cessé, mais les perspectives*socio=te de reprise demeuraient précaires*socio=uv2. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac craignaient par conséquent*socio=rien que le redémarrage*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 en Europe*socio=ac et au japon*socio=ac ne se fasse que lentement, et que la reprise en Europe*socio=ac ne dépende lourdement de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te. Il *socio=rien est inévitable *socio=nil que les disparités*socio=uv1 conjoncturelles*socio=te entre les pays_industrialisés*socio=ac entraîne l'élargissement*socio=ec2 de l'écart*socio=ec2 entre leurs soldes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te, phénomène*socio=rien qui devrait s'inverser à mesure*socio=rien que ces situations*socio=rien s'harmonisent. Bien*socio=rien que d'importants*socio=uv4 excédents*socio=ec1 ou déficits*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te puissent être*socio=rien le signe de politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 ou structurelles*socio=ec2 inappropriées, il n'y a pas lieu*socio=rien de s'inquiéter de l'existence*socio=rien d'excédents*socio=ec1 ou de déficits*socio=ec1 modérés, dans la mesure*socio=rien où ceux-ci résultent des efforts*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac visant à répartir efficacement leurs actifs*socio=ec1 de portefeuille*socio=ec1 entre divers pays*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont rappelé avec insistance*socio=rien que la politique_commerciale*socio=et ne devrait pas être*socio=rien fondée sur*socio=rien des échanges*socio=ec1 bilatéraux*socio=et et les soldes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te, et que les différends*socio=uv2 commerciaux*socio=ec1 bilatéraux*socio=et devraient être*socio=rien réglés rapidement et conformément aux principes*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 multilatéral*socio=et. Chômage*socio=ec1. Le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 du*socio=rien chômage*socio=ec1 dans de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien au coeur*socio=rien des préoccupations*socio=uv4 des administrateurs*socio=ac. Ils avaient noté en septembre*socio=rien 1993 que bien*socio=rien que la *socio=rien hausse du chômage*socio=ec1 *socio=nil fût d'origine*socio=rien conjoncturelle*socio=te, cette tendance*socio=ec2 pourrait s'avérer difficile*socio=rien à inverser et aboutir à une *socio=rien nouvelle hausse du chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac sont*socio=nil revenus*socio=ec1 sur cette*socio=nil question en*socio=nil avril *socio=nil 1994 et ont observé que si le chômage*socio=ec1 n'était pas ramené à des niveaux*socio=rien tolérables aussi rapidement que le permettaient les objectifs*socio=uv3 fixés en matière*socio=rien d'inflation*socio=ec1, non seulement les coûts_humains*socio=ec et économiques*socio=ec1 seraient considérables*socio=rien, mais la cohésion*socio=uv1 du*socio=rien tissu_social*socio=et serait menacée, les politiques*socio=et des gouvernements*socio=ac perdraient leur crédibilité*socio=uv1 et les objectifs*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme de*socio=nil performance*socio=uv3 budgétaire*socio=et *socio=nil et de croissance*socio=uv3 seraient compromis*socio=uv1. Les rigidités*socio=uv3 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 sont parmi les *socio=rien principales causes *socio=nil de la persistance*socio=te de niveaux*socio=rien élevés*socio=uv4 de chômage*socio=ec1 et ont contribué à la progression*socio=ec2 marquée du*socio=rien chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2 au cours*socio=rien des deux décennies*socio=te précédentes*socio=rien. Il est*socio=rien donc nécessaire*socio=rien de procéder à des réformes*socio=et *socio=rien globales du marché_du_travail*socio=ec1 *socio=nil afin de réduire de façon*socio=rien significative*socio=uv4 la composante*socio=rien structurelle*socio=ec2 de ce chômage*socio=ec1 *socio=rien massif Bien *socio=nil que cette nécessité*socio=uv1 ait été*socio=rien reconnue par les autorités*socio=et de tous les pays*socio=ac et que quelques réformes*socio=et aient été*socio=rien réalisées ou mises en chantier*socio=rien, il restait beaucoup à faire pour susciter dans le public*socio=et un*socio=rien consensus*socio=uv1 en faveur*socio=rien des réformes*socio=et ainsi que pour améliorer le fonctionnement*socio=rien des marchés_du_travail*socio=ec1. Bien*socio=rien que les priorités*socio=uv4 dans la réforme*socio=et du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 diffèrent d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre selon les caractéristiques*socio=rien des marchés*socio=ec1 nationaux*socio=te, les administrateurs*socio=ac ont convenu de la nécessité*socio=uv1 d'améliorer l'éducation*socio=et et la formation*socio=et afin de relever les niveaux*socio=rien de qualification*socio=uv3 et de productivité*socio=uv3, en particulier*socio=rien ceux des travailleurs*socio=ac les plus menacés par le chômage*socio=ec1. Il serait également nécessaire*socio=rien de procéder à une réforme*socio=et des réglementations*socio=et qui découragent l'embauche*socio=ec1 ou empêchent les salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2 de refléter la productivité*socio=uv3 des travailleurs*socio=ac débutants ou non qualifiés*socio=uv4. Les programmes*socio=et de *socio=et prestations sociales *socio=nil ne devraient pas décourager le travail*socio=rien et la recherche*socio=ec2 d'un*socio=rien emploi*socio=ec1. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont reconnu qu'en protégeant les bénéficiaires*socio=ac familiers *socio=rien du système à*socio=nil un coût*socio=ec1 élevé*socio=uv4 *socio=nil pour la collectivité*socio=ac, les *socio=et régimes sociaux *socio=nil contribuent fréquemment aux inégalités*socio=uv1 sociales*socio=et. Il s'ensuit que les réformes*socio=et du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 devraient s'accompagner d'ajustements*socio=et des régimes*socio=et de fiscalité*socio=et et de transferts*socio=ec1 qui répondent aux exigences*socio=ec2 sociales*socio=et. politiques_monétaires*socio=et. À la réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1993, les administrateurs*socio=ac ont jugé en *socio=rien général compréhensible la*socio=nil décision*socio=et des*socio=nil membres*socio=ac du SME*socio=ec1 *socio=nil d'élargir temporairement*socio=rien les bandes de fluctuation*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1, étant donné les difficultés*socio=uv4 auxquelles étaient confrontés de nombreux*socio=rien *socio=ac pays européens.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs *socio=nil ont étudié de manière*socio=rien approfondie la genèse de cette longue*socio=rien crise*socio=uv2 et les *socio=rien principales implications *socio=nil de l'élargissement*socio=ec2 des bandes pour la politique_économique*socio=ec1. Ils ont observé que les tensions*socio=ec2 auxquelles étaient soumises les économies*socio=ec1 nationales*socio=te - tensions*socio=ec2 provoquées par les exigences*socio=ec2 contradictoires*socio=uv2 des politiques*socio=et intérieures*socio=te, avivées par d'intenses*socio=rien pressions*socio=ec2 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 - étaient devenues insupportables*socio=rien ainsi qu'excessivement coûteuses*socio=ec2, sous forme*socio=rien de pertes*socio=ec2, présentes*socio=rien et à venir, d'emplois*socio=ec1 et de production*socio=ec1. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont estimé que la crise*socio=uv2 du*socio=rien SME*socio=ec1, au cours*socio=rien de l'année*socio=rien précédente*socio=rien, avait joué *socio=rien un grand rôle*socio=et *socio=nil dans l'érosion*socio=ec2 de la confiance*socio=uv1 des entreprises*socio=ac et des consommateurs*socio=ac en Europe*socio=ac. Bien*socio=rien qu'il fût encore trop tôt pour mesurer pleinement l'incidence*socio=ec2 de l'élargissement*socio=ec2 des bandes de fluctuation*socio=ec2, la réaction*socio=rien des autorités*socio=et aux événements*socio=rien de juillet*socio=rien 1993, ainsi que les mesures*socio=et *socio=rien graduelles prises *socio=nil depuis, avaient apaisé les tensions*socio=ec2 et on pouvait observer les signes d'un*socio=rien retour*socio=rien de la confiance*socio=uv1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des valeurs*socio=ec1. Quoique les administrateurs*socio=ac aient estimé possible*socio=rien, dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac participant*socio=rien au mécanisme*socio=et de change*socio=ec1 du*socio=rien SME*socio=ec1, de réduire fortement les taux_d'_intérêt*socio=ec1, beaucoup d'entre eux ont recommandé de n'assouplir qu'avec prudence*socio=uv1 les *socio=ec1 conditions monétaires en*socio=nil Europe*socio=ac,*socio=nil eu*socio=nil égard*socio=rien *socio=nil à la nécessité*socio=uv1 de maintenir la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et de continuer à progresser vers la convergence*socio=uv3 et l'union_monétaire*socio=et. Certains administrateurs*socio=ac, jugeant la politique*socio=et de taux_d'_intérêt*socio=ec1 de certains *socio=ac pays européens trop*socio=nil prudente*socio=uv2 *socio=nil et leur politique_monétaire*socio=et inutilement restrictive*socio=uv4, ont recommandé d'utiliser plus hardiment la marge de *socio=rien manoeuvre offerte *socio=nil par l'élargissement*socio=ec2 des bandes. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont préconisé l'usage*socio=rien de divers indicateurs*socio=ec1 pour évaluer la pertinence*socio=rien des politiques_monétaires*socio=et. La convergence*socio=uv3 des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 et des objectifs*socio=uv3 de politique*socio=et intérieure*socio=te a été*socio=rien considérée comme *socio=rien un préalable essentiel*socio=uv4 au*socio=nil retour *socio=nil à des marges de fluctuation*socio=ec2 plus étroites*socio=rien au *socio=rien sein du mécanisme*socio=et de*socio=nil change*socio=ec1 du SME*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Selon de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac, le *socio=rien faible niveau d'*socio=nil activité *socio=nil et la baisse*socio=ec2 probable*socio=uv4 de l'inflation*socio=ec1 en Allemagne*socio=ac y rendaient possibles*socio=rien de nouvelles*socio=rien réductions*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 officiels*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont été*socio=rien d'avis*socio=rien que la priorité*socio=uv4 absolue*socio=rien devait être*socio=rien donnée dans tous les pays*socio=ac à des mesures*socio=et d'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et crédibles*socio=uv2 et durables*socio=uv4, qui permettront un*socio=rien assouplissement*socio=uv3 des conditions*socio=ec1 du*socio=rien *socio=ec1 marché monétaire *socio=nil sans mettre en péril*socio=rien la crédibilité*socio=uv1 durement gagnée de l'attachement*socio=uv1 à la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1. Lors*socio=rien de la réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1994, les administrateurs*socio=ac ont convenu que la politique_monétaire*socio=et avait pour *socio=rien tâche première *socio=nil de maintenir la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 là où ils avaient été*socio=rien stabilisés, et de continuer à réduire l'inflation*socio=ec1 là où elle était encore trop élevée*socio=uv4. Ils ont observé qu'il était possible*socio=rien dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac de réduire encore les taux_d'_intérêt*socio=ec1 officiels*socio=et pour soutenir l'activité_économique*socio=ec1 et ont pleinement approuvé les substantielles*socio=rien réductions*socio=ec2 effectuées au cours*socio=rien de l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Selon certains administrateurs*socio=ac, le japon*socio=ac pouvait envisager de procéder à une nouvelle*socio=rien diminution*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 d'escompte officiel*socio=et. Il était possible*socio=rien, dans certains pays*socio=ac d'Europe*socio=ac continentale*socio=te où la reprise n'était pas encore bien*socio=rien assurée, d'abaisser encore les taux*socio=ec1 courts*socio=rien sans nuire à la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1. Les avis*socio=rien divergeaient toutefois quant à l'ampleur*socio=rien et au rythme*socio=ec2 souhaitables*socio=rien de ces réductions*socio=ec2. Plusieurs administrateurs*socio=ac, faisant remarquer que les *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil s'apaisaient en Allemagne*socio=ac et que beaucoup de ses partenaires*socio=ac disposaient, depuis l'élargissement*socio=ec2 des bandes du*socio=rien mécanisme*socio=et de change*socio=ec1, d'une plus *socio=rien grande latitude *socio=nil pour harmoniser leurs taux_d'_intérêt*socio=ec1 avec leur situation*socio=rien intérieure*socio=te, craignaient que le rythme*socio=ec2 par trop modéré de la baisse*socio=ec2 des taux*socio=ec1 en Allemagne*socio=ac et dans les autres pays*socio=ac du*socio=rien continent*socio=ac ne brise l'élan*socio=rien de la reprise économique*socio=ec1. *socio=rien Un certain nombre *socio=nil d'autres administrateurs*socio=ac estimaient que le maintien*socio=rien de la crédibilité*socio=uv1 des objectifs*socio=uv3 de stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et, dans certains pays*socio=ac, de stabilité*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1, justifiait la prudence*socio=uv1 et la progressivité*socio=rien de l'assouplissement*socio=uv3 des *socio=ec1 conditions monétaires.*socio=nil *socio=nil Tous, cependant, ont convenu de la nécessité*socio=uv1 de durcir ces conditions*socio=ec1 suffisamment tôt au cours*socio=rien de la phase*socio=te d'expansion*socio=ec2 à venir, pour éviter des relèvements*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 plus importants*socio=uv4 et plus abrupts par la suite*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont jugé opportunes*socio=rien les mesures*socio=et de resserrement*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 prises*socio=rien par le système_fédéral*socio=et de réserve*socio=ec1, étant donné que, quoique les hausses de prix*socio=ec1 aient été*socio=rien modérées aux États-unis*socio=ac, la marge de sous-utilisation*socio=rien des capacités*socio=uv3 avait été*socio=rien rapidement résorbée. Ils ont vivement recommandé que les États-unis*socio=ac prennent le cas*socio=rien échéant des mesures*socio=et supplémentaires*socio=rien afin d'assurer la poursuite*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 à de *socio=rien faibles niveaux d'*socio=nil inflation*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Selon certains administrateurs*socio=ac, la fixation*socio=ec1 d'objectifs*socio=uv3 explicites*socio=rien en matière*socio=rien d'inflation*socio=ec1 a permis*socio=rien à quelques pays*socio=ac qui n'avaient pu maintenir l'ancrage*socio=rien de leurs taux_de_change*socio=ec1 et pour lesquels les objectifs*socio=uv3 monétaires*socio=ec1 s'étaient révélés insuffisamment fiables*socio=rien, d'inscrire plus aisément leur politique_monétaire*socio=et dans *socio=rien un cadre à*socio=nil moyen terme.*socio=nil Le*socio=nil Canada*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil Finlande*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil Nouvelle-zélande*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil Royaume-uni*socio=ac *socio=nil et la Suède*socio=ac ont été*socio=rien cités à ce titre*socio=rien. D'autres administrateurs*socio=ac ont estimé quant à eux qu'il fallait acquérir davantage d'expérience*socio=ec2 en matière*socio=rien de ciblage*socio=uv3 de l'inflation*socio=ec1 avant de pouvoir*socio=et juger de ses mérites*socio=rien. Tous ont cependant convenu que les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 devaient faire appel*socio=rien à une *socio=rien large gamme d'*socio=nil indicateurs*socio=ec1 *socio=nil dans la *socio=rien conduite quotidienne *socio=nil de la politique_monétaire*socio=et. Évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1. En ce qui concerne la montée récente*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te, plusieurs administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien remarquer, en avril*socio=rien 1994, que les effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 entre marchés*socio=ec1 nationaux*socio=te, ainsi que les facteurs*socio=rien communs*socio=uv4 agissant sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien de ces marchés*socio=ec1, avaient eu tendance*socio=ec2 à se traduire par une évolution*socio=te concomitante*socio=rien des rendements*socio=ec1 dans la même direction*socio=et. Il *socio=rien est vraisemblable qu'*socio=nil un *socio=nil de ces facteurs*socio=rien communs*socio=uv4 a été*socio=rien l'amélioration*socio=uv1 relative*socio=rien réelle*socio=ec2 ou prévue de la croissance*socio=uv3 des pays_industrialisés*socio=ac. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont émis l'opinion*socio=uv1, à propos*socio=rien de la *socio=rien dernière hausse des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 à*socio=nil long_terme*socio=te,*socio=nil *socio=nil que les marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 avaient peut-être réagi avec excès*socio=ec2, aussi bien*socio=rien en les baissant en 1993, qu'en les relevant ensuite. Certains participants*socio=ac ont souligné que la hausse*socio=rien était au moins en partie*socio=rien imputable*socio=uv2 à la correction*socio=ec2 des taux*socio=ec1 antérieurs*socio=te qui étaient trop bas*socio=rien. Selon *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 *socio=nil semblaient avoir augmenté dans certains pays*socio=ac où la reprise était solidement*socio=rien établie, ce qui pouvait expliquer les décalages*socio=rien et les différences*socio=uv1 d'amplitude*socio=ec1 dans l'évolution*socio=te récente*socio=rien des taux*socio=ec1 longs*socio=rien. Étant donné les *socio=rien liens étroits *socio=nil qui existent entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 des différents*socio=rien pays*socio=ac, plusieurs administrateurs*socio=ac ont suggéré de resserrer la coordination*socio=uv3 des politiques_monétaires*socio=et, en particulier*socio=rien entre les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Évolution*socio=te des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Dans les deux discussions*socio=et qu'ils ont consacrées aux Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, les administrateurs*socio=ac ont abondamment traité*socio=rien des questions*socio=rien budgétaires*socio=et. En septembre*socio=rien 1993, ils ont remarqué que les analyses*socio=ec2 budgétaires*socio=et *socio=rien du rapport des*socio=nil services*socio=et du FMI*socio=ac (*socio=nil Perspectives*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, octobre*socio=rien 1993) plaidaient avec force*socio=uv1 pour le renforcement*socio=ec2 à *socio=rien moyen terme des*socio=nil efforts*socio=uv1 d'*socio=nil assainissement*socio=uv3 des*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et.*socio=nil Plusieurs*socio=nil administrateurs*socio=ac ont*socio=nil fait *socio=nil valoir que l'estimation*socio=ec2 des disparités*socio=uv1 cycliques*socio=te des recettes*socio=ec1 et des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et de leur sensibilité*socio=ec2 à la conjoncture*socio=ec2 comporte inévitablement une certaine*socio=rien marge d'incertitude*socio=uv3, et ils ont préconisé la poursuite*socio=rien des *socio=rien travaux sur cette*socio=nil question,*socio=nil *socio=nil ainsi que sur*socio=rien les engagements*socio=et nets*socio=rien au titre*socio=rien des retraites*socio=ec1 non capitalisées. Toutefois, la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont noté que les estimations*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 structurels*socio=ec2 et l'analyse*socio=ec2 *socio=rien du rapport *socio=nil entre les politiques_budgétaires*socio=et en vigueur*socio=uv3 et la capacité*socio=uv3 de soutenir les niveaux*socio=rien d'endettement*socio=ec1 montraient bien*socio=rien l'envergure*socio=rien du*socio=rien problème*socio=uv4, tout en fournissant un*socio=rien utile*socio=uv4 cadre*socio=rien analytique*socio=ec2. En dépit*socio=rien des efforts*socio=uv1 d'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, les déficits*socio=ec1 structurels*socio=ec2 des budgets*socio=ec1 de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac atteignaient des niveaux*socio=rien élevés*socio=uv4, dont les conséquences*socio=rien seraient coûteuses*socio=ec2 si l'équilibre*socio=ec2 n'était pas rétabli. Les administrateurs*socio=ac ont également fait*socio=rien valoir qu'en allégeant la charge*socio=rien pesant sur*socio=rien la politique_monétaire*socio=et, les efforts*socio=uv1 de réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 contribueraient à rendre plus efficace*socio=uv4 la coordination*socio=uv3 des politiques*socio=et et à améliorer la stabilité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 et des changes*socio=ec1. Le Conseil*socio=ac a accueilli favorablement le train*socio=rien de *socio=et mesures budgétaires *socio=nil adopté par le gouvernement*socio=ac des États-unis*socio=ac, mais il a signalé que des mesures*socio=et additionnelles*socio=ec2 seraient nécessaires*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil pour réduire la dette*socio=ec1 publique*socio=et, accroître l'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 nationaux*socio=te, et donner plus de souplesse*socio=uv3 à la politique_budgétaire*socio=et. Il a fait*socio=rien l'éloge*socio=rien du*socio=rien Canada*socio=ac pour ses efforts*socio=uv1 de réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 et remarqué qu'en dépit*socio=rien de la récession*socio=ec2, la situation*socio=rien fondamentale*socio=uv4 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et avait continué de s'améliorer. Le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et structurel*socio=ec2 a également été*socio=rien réduit en Italie*socio=ac, mais l'évolution*socio=te tendancielle*socio=ec2 du*socio=rien *socio=ec1 ratio dette /*socio=nil PIB *socio=nil n'était pas soutenable*socio=uv4 à terme*socio=rien. La situation*socio=rien budgétaire*socio=et s'est*socio=rien dégradée en Allemagne*socio=ac, en France*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac, en partie*socio=rien pour des raisons*socio=rien conjoncturelles*socio=te, mais des mesures*socio=et correctives*socio=ec2 sont indispensables*socio=uv4. Bien*socio=rien que les perspectives*socio=te des finances*socio=ec1 publiques*socio=et se soient améliorées en Allemagne*socio=ac, les administrateurs*socio=ac ont appelé les autorités*socio=et allemandes*socio=ac à faire preuve*socio=ec2 de vigilance*socio=rien en maîtrisant les dépenses*socio=ec1 relatives*socio=rien à l'unification*socio=et ainsi qu'en réduisant les subventions*socio=ec1, afin de limiter*socio=rien le recours*socio=ec1 à un*socio=rien alourdissement*socio=ec2 des impôts*socio=et. Au cours*socio=rien de leur discussion*socio=et d'avril*socio=rien 1994, les administrateurs*socio=ac ont remarqué que dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et atteignaient *socio=rien un niveau insoutenable*socio=uv4 *socio=nil et que les possibilités*socio=rien d'adoption*socio=uv3 de *socio=et mesures budgétaires expansionnistes*socio=ec2 *socio=nil à l'appui*socio=uv1 de la reprise étaient très réduites dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien croissance*socio=uv3. De surcroît*socio=rien, la dette*socio=ec1 publique*socio=et ayant fortement augmenté au cours*socio=rien des années*socio=rien 80 et 90, il faudrait procéder à *socio=rien moyen terme à*socio=nil un assainissement*socio=uv3 énergique*socio=ec1 des*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et *socio=nil dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac. C'est*socio=rien en réduisant l'incertitude*socio=uv3 quant aux *socio=ec1 conditions financières futures*socio=te,*socio=nil au*socio=nil moyen*socio=rien de*socio=nil programmes*socio=et spécifiques*socio=rien d'*socio=nil assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et à*socio=nil *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil que la politique*socio=et de finances*socio=ec1 publiques*socio=et pourrait le mieux aider la reprise. De tels programmes*socio=et avaient contribué en 1993 à faire baisser les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te en Allemagne*socio=ac, aux États-unis*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac. Cependant, dans ces pays*socio=ac comme dans presque tous les pays_industrialisés*socio=ac, des efforts*socio=uv1 supplémentaires*socio=rien seraient nécessaires*socio=rien pour améliorer l'épargne*socio=ec1 nationale*socio=te et les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont observé que l'accélération*socio=ec2 de la reprise aux États-unis*socio=ac offrait la possibilité*socio=rien de poursuivre l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Cet assainissement*socio=uv3, associé*socio=rien à un*socio=rien financement*socio=ec1 judicieux*socio=uv4 de la réforme*socio=et de la *socio=et santé publique,*socio=nil *socio=nil contribuerait à apaiser les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 à long_terme*socio=te et à enrayer la hausse*socio=rien des taux*socio=ec1 longs*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont constaté que les progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien dans l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et réalisés par le japon*socio=ac au cours*socio=rien des années*socio=rien 80 lui avaient permis*socio=rien, face*socio=rien à une récession*socio=ec2 prolongée, de prendre des mesures*socio=et de relance*socio=uv3 appréciables*socio=rien pour soutenir l'activité_économique*socio=ec1. Ils ont accueilli favorablement le *socio=rien dernier train de*socio=nil *socio=et mesures budgétaires *socio=nil proposé en février*socio=rien 1994, ainsi que les intentions*socio=rien exprimées par les autorités*socio=et au sujet*socio=rien des *socio=et réformes fiscales *socio=nil à venir. Certains signes indiquaient que le creux*socio=ec2 de la récession*socio=ec2 était passé*socio=rien, et les dernières*socio=rien mesures*socio=et prises*socio=rien devraient avoir pour effet*socio=rien de raffermir la confiance*socio=uv1 et de stimuler la reprise. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac,*socio=nil quoique*socio=nil conscients*socio=uv2 *socio=nil de la nécessité*socio=uv1 pour le japon*socio=ac de reprendre, une fois*socio=rien surmontées les difficultés*socio=uv4 présentes*socio=rien, ses efforts*socio=uv1 d'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et, ont observé que les marges présentes*socio=rien et prévues de sous-utilisation*socio=rien des capacités*socio=uv3 étaient très importantes*socio=uv4, et ont appelé les autorités*socio=et à poursuivre la relance*socio=uv3 budgétaire*socio=et jusqu'à ce que la reprise soit clairement en cours*socio=rien. politiques_économiques*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3. Évolution*socio=te du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont constaté en avril*socio=rien 1994 que l'expansion*socio=ec2 *socio=rien du volume du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te *socio=nil en 1993 était entièrement imputable*socio=uv2 à la vigueur*socio=uv3 de l'activité_économique*socio=ec1 du*socio=rien monde*socio=te en développement*socio=uv3, qui constituait l'un*socio=rien des aspects*socio=rien les plus encourageants*socio=uv4 des tendances*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te ces *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil À cet égard*socio=rien, ils avaient déjà noté en septembre*socio=rien 1993 que les marchés*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 avaient procuré des débouchés*socio=ec1 aux exportations*socio=ec1 de tous les pays*socio=ac du*socio=rien monde*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont vu dans l'intégration*socio=uv1 croissante*socio=rien des économies*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 *socio=rien un facteur important*socio=uv4 *socio=nil de la vigueur*socio=uv3 de la croissance*socio=uv3 de leurs échanges*socio=ec1. Ils ont d'autre part*socio=rien reconnu que l'intégration*socio=uv1 de ces économies*socio=ec1 les unes aux autres était allée de pair*socio=rien avec leur intégration*socio=uv1 dans le système*socio=rien commercial*socio=ec1 multilatéral*socio=et. Perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3. Dans leurs deux discussions*socio=et sur*socio=rien les Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, les administrateurs*socio=ac ont souligné les disparités*socio=uv1 considérables*socio=rien entre les *socio=ec1 taux_de_croissance économique d'*socio=nil un*socio=rien pays*socio=ac *socio=nil à l'autre. À leur réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1993, ils avaient accueilli avec satisfaction*socio=uv3 la vigoureuse*socio=rien croissance*socio=uv3 de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, tout en mettant en garde*socio=rien contre l'accumulation*socio=ec2 de pressions*socio=ec2 excessives*socio=uv4 de la demande*socio=ec1 dans certains d'entre eux, particulièrement en Chine*socio=ac. En avril*socio=rien 1994, ils ont de nouveau*socio=rien constaté une forte*socio=rien croissance*socio=uv3 dans les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac orientale*socio=te et en Chine*socio=ac. Les performances*socio=uv3 de ces pays*socio=ac, ont-ils déclaré, illustraient les bienfaits*socio=uv2 d'une gestion*socio=ec2 macro-économique*socio=ec1 bien*socio=rien conçue et de politiques_commerciales*socio=et orientées vers l'extérieur*socio=te, et méritaient d'être*socio=rien étudiées plus avant par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Les énergiques*socio=ec1 efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et consentis par de nombreux*socio=rien pays*socio=ac de l'hémisphère_occidental*socio=te ont là aussi été*socio=rien couronnés de succès*socio=uv1, et des signes favorables*socio=uv4 commençaient d'apparaître dans certains pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, mais dans bien*socio=rien d'autres pays_en_développement*socio=uv3, la croissance*socio=uv3 demeurait insuffisante*socio=uv4. On pouvait s'attendre à ce que la dévaluation*socio=ec2 du*socio=rien franc*socio=ec1 CFA et du*socio=rien franc*socio=ec1 comorien, en janvier*socio=rien 1994, ainsi que les politiques*socio=et en cours*socio=rien d'adoption*socio=uv3 dans le cadre*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac dans les pays*socio=ac de la zone*socio=te franc*socio=ec1 CFA ainsi qu'aux Comores facilite le retour*socio=rien de la croissance*socio=uv3 dans ces pays*socio=ac (voir encadré 1). Plusieurs administrateurs*socio=ac se sont inquiétés de ce que la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 avait eu une incidence*socio=ec2 *socio=rien négative sur les*socio=nil perspectives*socio=te de*socio=nil croissance*socio=uv3 à*socio=nil court_terme*socio=te *socio=nil dans les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Certains ont également déploré que la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 ait été*socio=rien compensée dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac par un*socio=rien relèvement*socio=ec2 des taxes*socio=et sur*socio=rien les produits*socio=rien pétroliers*socio=ec1. Cherchant à expliquer le faible*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec1 enregistré par de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, les administrateurs*socio=ac ont observé que lorsqu'un*socio=rien pays*socio=ac ne parvient pas à réaliser son potentiel*socio=uv4 économique*socio=ec1, il n'y a rarement qu'une *socio=rien seule raison,*socio=nil *socio=nil encore qu'un*socio=rien environnement*socio=et extérieur*socio=te défavorable*socio=uv4 ait joué un*socio=rien rôle*socio=et décisif*socio=rien dans beaucoup de cas*socio=rien. Tous les administrateurs*socio=ac ont cependant fait*socio=rien valoir que des politiques_économiques*socio=et intérieures*socio=te inadéquates*socio=uv4 étaient la *socio=rien cause première *socio=nil de la stagnation*socio=ec1 ou du*socio=rien déclin*socio=ec2 des niveaux_de_vie*socio=uv1. Au nombre*socio=rien des obstacles*socio=uv3 à la croissance*socio=ec1 qui sont étroitement liés, les suivants*socio=rien ont été*socio=rien cités: absence*socio=rien d'environnement*socio=et économique*socio=ec1 stable*socio=uv4 pour la prise*socio=rien de décisions*socio=et dans les secteurs_public*socio=et et privé*socio=et, taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 élevés*socio=uv4 et instables*socio=uv4, sous-développement*socio=ec et distorsions*socio=uv3 des marchés_financiers*socio=ec1, degré*socio=rien excessif*socio=uv4 d'intervention*socio=et de l'État*socio=ac dans l'économie*socio=ec1, niveaux*socio=rien élevés*socio=uv4 de subventions*socio=ec1 et de protection*socio=et contre la concurrence*socio=ec1 étrangère*socio=te, taux_de_change*socio=ec1 surévalués, *socio=ec1 croissance démographique rapide*socio=rien et*socio=nil mauvaise*socio=rien gestion*socio=ec2 des*socio=nil affaires_publiques*socio=et.*socio=nil *socio=nil En outre, ces obstacles*socio=uv3 ont également découragé les *socio=rien apports nécessaires de*socio=nil capitaux_privés*socio=ec1 *socio=nil et d'aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 officielle*socio=et, et aggravé l'incidence*socio=ec2 d'évolutions*socio=te défavorables*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 sur*socio=rien des économies*socio=ec1 insuffisamment diversifiées. Le Conseil*socio=ac a remarqué qu'en ce qui concerne le rôle*socio=et de l'État*socio=ac dans l'économie*socio=ec1, l'expérience*socio=ec2 des pays*socio=ac d'Asie*socio=ac orientale*socio=te méritait d'être*socio=rien étudiée. Bien*socio=rien que *socio=rien certaines formes "*socio=nil intervention*socio=et étatique*socio=ac puissent*socio=nil être *socio=nil justifiées, par exemple*socio=rien en matière*socio=rien d'investissements*socio=ec1 dans l'infrastructure*socio=ec1 et les ressources_humaines*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont mis en garde*socio=rien contre les distorsions*socio=uv3 qu'entraîne l'intervention*socio=et excessive*socio=uv4 de l'État*socio=ac dans l' activité_économique*socio=ec1. Ils ont signalé que dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, l'encadrement*socio=rien de l'agriculture*socio=ec1 a souvent conduit à une baisse*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et ralenti le développement*socio=uv3. Les administrateurs*socio=ac ont noté que l'essentiel*socio=uv4 des *socio=ec1 flux financiers à*socio=nil destination*socio=rien des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil consistait en capitaux_privés*socio=ec1, ce qui constituait une évolution*socio=te positive*socio=uv4. Il importe toutefois de faire en sorte*socio=rien que ces capitaux*socio=ec1 soient investis efficacement, de manière*socio=rien à limiter*socio=rien le risque*socio=uv3 de brusques pertes*socio=ec2 de confiance*socio=uv1 des marchés*socio=ec1. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont demandé que le Fonds*socio=ec1 approfondisse ses études*socio=ec2 des flux*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 et du*socio=rien contrôle*socio=uv3 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, et envisage notamment les moyens*socio=ec1 de renforcer son rôle*socio=et pour encourager la convertibilité*socio=ec1 au titre*socio=rien des opérations*socio=rien en capital*socio=ec1. En analysant, en septembre*socio=rien 1993, le rôle*socio=et de l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te et extérieure*socio=te dans le processus*socio=te de croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3, les administrateurs*socio=ac ont indiqué que c'est*socio=rien l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te, et non extérieure*socio=te, qui constitue la source*socio=rien de fonds*socio=ec1 la plus fiable*socio=rien et la plus importante*socio=uv4 pour l'investissement*socio=ec1 et le développement*socio=uv3. Les réformes*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 *socio=nil et les mesures*socio=et de stabilisation_macro-économiques*socio=ec1 ont stimulé l'épargne*socio=ec1 privée*socio=et, qui constitue l'essentiel*socio=uv4 de l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te. Parallèlement, de nombreux*socio=rien pays*socio=ac ont pris des mesures*socio=et pour renforcer la contribution*socio=uv1 du*socio=rien secteur_public*socio=et à l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te et réduire les ponctions*socio=ec1 qu'il exerce sur*socio=rien l'épargne*socio=ec1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et. Perspectives*socio=te des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Le Conseil*socio=ac a porté son attention*socio=rien, en septembre*socio=rien 1993, sur*socio=rien la situation*socio=rien toujours critique*socio=uv2 de nombreux*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, dont le revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac a baissé au cours*socio=rien des dix ou *socio=rien vingt dernières années.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont souligné que l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te de ces pays*socio=ac exigerait d'énergiques*socio=ec1 programmes*socio=et d'ajustement*socio=et appuyés par des opérations*socio=rien de réduction*socio=ec2 de dette*socio=ec1 considérables*socio=rien et *socio=rien un volume *socio=nil accru d'aide*socio=uv1 officielle*socio=et concessionnelle*socio=ec1, notamment dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien dispositif*socio=et succédant à la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2. Il a été*socio=rien également noté que la reprise des allocations*socio=et de DTS pourrait apporter une contribution*socio=uv1 importante*socio=uv4 à cet égard*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont reconnu l'efficacité*socio=uv3 globale*socio=rien de la stratégie*socio=et adoptée en matière*socio=rien de dette*socio=ec1 et se sont réjouis des progrès*socio=uv1 en cours*socio=rien dans la résolution*socio=uv1 des difficultés*socio=uv4 relatives*socio=rien à l'endettement*socio=ec1, mais ils ont indiqué que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac parmi les_plus_pauvres*socio=uv2 restaient aux prises*socio=rien avec des situations*socio=rien très difficiles*socio=rien à cet égard*socio=rien. Bien*socio=rien que les financements_privés*socio=ec1 spontanés*socio=rien aient continué de refluer vers *socio=rien un ensemble de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil dont l'économie*socio=ec1 est*socio=rien en progrès*socio=uv1 et qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil aient retrouvé l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1, les résultats*socio=rien ont été*socio=rien inégaux*socio=uv2 d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, ce qui fait*socio=rien ressortir la nécessité*socio=uv1 de politiques_économiques*socio=et bien*socio=rien conçues et de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 qui réduisent les risques*socio=uv3 pour les investisseurs*socio=ac étrangers*socio=te et accroissent la transparence*socio=uv3 et l'efficacité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1. Quant aux pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2, leurs perspectives*socio=te d'attirer des capitaux_privés*socio=ec1 à des conditions*socio=ec1 convenables*socio=rien restant lointaines, ils continueront de dépendre des financements*socio=ec1 officiels*socio=et de sources*socio=rien bilatérales*socio=et et multilatérales*socio=et. En avril*socio=rien 1994, tout en saluant le début*socio=rien des opérations*socio=rien de la FASR*socio=ec1 élargie et le large*socio=rien soutien*socio=uv3 apporté à cette facilité par les pays_membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac - notamment l'appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 accordé par de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 -, les administrateurs*socio=ac ont réaffirmé qu'il importait d'augmenter l'assistance*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1 à de nombreux*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Nombre*socio=rien d'entre eux ont aussi insisté sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1, pour ces pays*socio=ac, d'opérations*socio=rien de réduction*socio=ec2 du*socio=rien stock*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 par les créanciers*socio=ac *socio=et bilatéraux officiels,*socio=nil *socio=nil certains soulignant également que ces réductions*socio=ec2 ou annulations devraient être*socio=rien plus importantes*socio=uv4 encore dans les cas*socio=rien particulièrement difficiles*socio=rien (voir également infra: Flux*socio=ec1 de financement*socio=ec1 et endettement*socio=ec1). Politiques*socio=et des économies_en_transition*socio=ec1. En septembre*socio=rien 1993, les administrateurs*socio=ac ont accueilli avec satisfaction*socio=uv3 les premiers*socio=rien signes de reprise économique*socio=ec1 dans plusieurs des pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te, en particulier*socio=rien en Hongrie*socio=ac, en Pologne*socio=ac et dans la *socio=ac République tchèque.*socio=nil *socio=nil Dans les pays*socio=ac qui avaient adopté des politiques_budgétaires*socio=et et monétaires*socio=ec1 appropriées, la production*socio=ec1 avait remonté et les prix*socio=ec1 commençaient à se stabiliser. Les administrateurs*socio=ac se sont félicités des progrès*socio=uv1 accomplis dans la *socio=ec2 transformation structurelle *socio=nil par la plupart*socio=rien des pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te et ont fait*socio=rien valoir l'importance*socio=rien du*socio=rien secteur_privé*socio=et, en expansion*socio=ec2 rapide*socio=rien, dans le regain*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1. Des relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 ouvertes*socio=rien, aussi bien*socio=rien entre les économies_en_transition*socio=ec1 qu'avec les pays_industrialisés*socio=ac, revêtent à leurs yeux*socio=rien une importance*socio=rien cruciale*socio=uv4 pour le processus*socio=te de réforme*socio=et. Faisant observer que la transformation*socio=ec2 *socio=rien du secteur des*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil était une composante*socio=rien essentielle*socio=uv4 des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, ils ont cependant reconnu que la réforme*socio=et des entreprises*socio=ac s'était révélée plus difficile*socio=rien que prévu. Ils ont jugé que la privatisation*socio=et constituait *socio=rien un élément nécessaire,*socio=nil *socio=nil mais non suffisant*socio=rien, du*socio=rien processus*socio=te de restructuration*socio=et des entreprises*socio=ac. Il fallait peut-être ajouter une gestion*socio=ec2 efficace*socio=uv4 et des contraintes*socio=uv1 budgétaires*socio=et fermes*socio=rien à la liste des ingrédients requis*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac ont aussi exprimé leur préoccupation*socio=uv4 face*socio=rien aux perspectives*socio=te à court_terme*socio=te de la plupart*socio=rien des pays*socio=ac issus de l'ex-urss*socio=ac. La situation*socio=rien de la majorité*socio=rien d'entre eux exigeait une action*socio=ec1 plus énergique*socio=ec1 des pouvoirs_publics*socio=et. Ils ont estimé que l'absence*socio=rien de stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 et la lenteur*socio=rien de la transformation*socio=ec2 *socio=rien du secteur des*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil faisaient sérieusement obstacle*socio=uv3 à la réforme*socio=et économique*socio=ec1 et à l'indispensable*socio=uv4 reprise de l'activité*socio=rien. Dans la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac, la forte*socio=rien inflation*socio=ec1 a compromis*socio=uv1 l'aptitude*socio=rien du*socio=rien système_des_prix*socio=ec1 à allouer efficacement les ressources*socio=ec1. La *socio=uv4 création excessive de*socio=nil crédit*socio=ec1 *socio=nil et des politiques_budgétaires*socio=et insoutenables*socio=uv2 ont déclenché une spirale*socio=rien inflationniste*socio=ec2, et les administrateurs*socio=ac ont exhorté les autorités*socio=et à s'attaquer plus énergiquement à ces problèmes*socio=uv4. En avril*socio=rien 1994, les administrateurs*socio=ac ont de *socio=rien nouveau fait *socio=nil valoir que l'expérience*socio=ec2 des pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te, des *socio=ac pays baltes,*socio=nil *socio=nil de la Russie*socio=ac, des autres pays*socio=ac issus de l'ex-urss*socio=ac et de l'Asie*socio=ac montre clairement aussi bien*socio=rien les avantages*socio=rien de politiques*socio=et de stabilisation*socio=et et de réforme*socio=et soutenues que les coûts*socio=ec1 de l'adoption*socio=uv3 trop tardive*socio=rien de mesures*socio=et indispensables*socio=uv4. Il *socio=rien est intéressant *socio=nil de constater que c'est*socio=rien surtout dans les pays*socio=ac qui ont jugulé l'inflation*socio=ec1 et qui persévèrent dans l'application*socio=rien de réformes*socio=et d'envergure*socio=rien que la croissance*socio=uv3 a repris. En revanche, l'économie*socio=ec1 a continué à se contracter dans la majorité*socio=rien des autres pays*socio=ac en transition*socio=ec2. Dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac issus de l'ex-urss*socio=ac, la production*socio=ec1 a sensiblement régressé en raison*socio=rien de perturbations*socio=ec2 persistantes*socio=rien des échanges_commerciaux*socio=ec1 entre pays*socio=ac, de l'absence*socio=rien de politiques*socio=et de stabilisation*socio=et, et de conflits*socio=uv1 armés dans certains pays*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont aussi noté qu'en dépit*socio=rien des progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien enregistrés dans certaines*socio=rien économies_en_transition*socio=ec1, il restait encore beaucoup à faire. Dans bien*socio=rien des pays*socio=ac, la reprise économique*socio=ec1 était gravement entravée par une inflation*socio=ec1 élevée*socio=uv4 et de lourds*socio=rien déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et. Les crédits*socio=ec1 et les subventions*socio=ec1 aux entreprises*socio=ac, ainsi que la réapparition*socio=rien d'importants*socio=uv4 arriérés de paiements*socio=ec1 interentreprises avaient ralenti le processus*socio=te de transformation*socio=ec2 et entravé la réponse*socio=rien de l'offre*socio=ec1 aux réformes*socio=et des prix*socio=ec1. La stabilisation_macro-économique*socio=ec1 exigeait de poursuivre sans relâche la restructuration*socio=et des entreprises*socio=ac et d'autres réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, et de maîtriser*socio=rien les pressions*socio=ec2 sectorielles*socio=rien pour l'octroi*socio=rien de crédits*socio=ec1 et de subventions*socio=ec1. La privatisation*socio=et et la *socio=et réforme fiscale *socio=nil ont progressé dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil La*socio=nil poursuite du processus*socio=te de*socio=nil transition*socio=ec2 *socio=nil dépendra de façon*socio=rien cruciale*socio=uv4 de l'existence*socio=rien d'un*socio=rien cadre*socio=rien juridique*socio=et stable*socio=uv4 et de la réforme*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1.*socio=nil Des*socio=nil filets*socio=et de*socio=nil protection_sociale*socio=et bien *socio=nil ciblés, de manière*socio=rien à protéger les catégories*socio=rien les plus vulnérables*socio=uv2, seraient aussi très utiles*socio=uv4 pour alléger le fardeau*socio=uv4 social*socio=et de la transition*socio=ec2 à un*socio=rien coût*socio=ec1 budgétaire*socio=et acceptable*socio=uv2, et pourraient contribuer à préserver le soutien*socio=uv3 d'un*socio=rien vaste*socio=rien public*socio=et au processus*socio=te de transition*socio=ec2. À la mi-avril 1994, les administrateurs*socio=ac ont examiné les besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te des économies_en_transition*socio=ec1 (voir encadré 4). Marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1. En mai*socio=rien 1993, le conseil_d'_administration*socio=ac a passé*socio=rien en revue l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1. La discussion*socio=et a été*socio=rien centrée sur*socio=rien trois phénomènes*socio=rien interdépendants*socio=uv4 qui pourraient *socio=rien être lourds de*socio=nil conséquences *socio=nil pour le fonctionnement*socio=rien futur*socio=te de ces marchés*socio=ec1: les problèmes*socio=uv4 bancaires*socio=ec1 récemment survenus dans plusieurs pays_industrialisés*socio=ac, les risques*socio=uv3 systémiques*socio=ec2 liés à la croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien et ininterrompue*socio=rien des activités*socio=rien hors bilan*socio=rien des banques*socio=ac, en *socio=rien particulier sur le*socio=nil marché*socio=ec1 en*socio=nil plein essor des*socio=nil produits *socio=nil dérivés, et l'évolution*socio=te de l'accès*socio=uv1 des pays_en_développement*socio=uv3 aux marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1. Beaucoup de pays*socio=ac ont enregistré de brusques gonflements des entrées nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 ces *socio=rien dernières années.*socio=nil Le*socio=nil Conseil*socio=ac s'*socio=nil est penché*socio=nil sur cette*socio=nil question lors d'*socio=nil un séminaire*socio=ac *socio=nil consacré aux causes*socio=rien de ces afflux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, aux mesures*socio=et à prendre à leur égard*socio=rien et à l'expérience*socio=ec2 récente*socio=rien de six pays_membres*socio=ac dans ce domaine*socio=rien. Problèmes*socio=uv4 bancaires*socio=ec1 récents*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac, constatant la fréquence*socio=rien et la distribution*socio=rien géographique*socio=te très étendue de la dégradation*socio=uv3 des *socio=ec1 bilans bancaires,*socio=nil *socio=nil ont estimé qu'il convenait de se pencher sur*socio=rien cette question*socio=rien. La résolution*socio=uv1 de ces problèmes*socio=uv4 pourrait entraîner des coûts*socio=ec1 non négligeables*socio=rien pour les contribuables*socio=ac, et la fragilisation du*socio=rien système_financier*socio=ec1 pourrait avoir des conséquences*socio=rien contraignantes*socio=uv2 pour l'orientation*socio=et et l'efficacité*socio=uv3 des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont noté que les grands*socio=rien systèmes_bancaires*socio=ec1 étaient en pleine*socio=rien adaptation*socio=uv3 structurelle*socio=ec2 à un*socio=rien environnement*socio=et en évolution*socio=te, et que les problèmes*socio=uv4 bancaires*socio=ec1 actuels*socio=te étaient dans une *socio=rien certaine mesure imputables*socio=uv2 *socio=nil à cette adaptation*socio=uv3. Bien*socio=rien qu'il n'existe pas de *socio=rien solution unique applicable *socio=nil à la diversité*socio=uv1 des situations*socio=rien macro-économiques*socio=ec1, des structures*socio=ec1 institutionnelles*socio=et et des rythmes de libéralisation*socio=et, de nombreuses*socio=rien crises*socio=uv2 bancaires*socio=ec1 récentes*socio=rien présentent *socio=rien un profil identique.*socio=nil Les*socio=nil innovations*socio=uv3 des*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 *socio=nil et la libéralisation*socio=et financière*socio=ec1 des années*socio=rien 80 ont créé sur*socio=rien de nombreux*socio=rien marchés_financiers*socio=ec1 une vive concurrence*socio=ec1 pour des profits*socio=ec1 qui étaient jusqu'alors l'apanage*socio=rien des *socio=ec1 marchés bancaires cartellisés*socio=rien.*socio=nil *socio=nil Confrontées au rétrécissement*socio=ec2 potentiel*socio=rien de leurs opérations*socio=rien, de nombreuses*socio=rien banques*socio=ac ont réagi à cet environnement*socio=et plus âpre*socio=rien en étendant la gamme*socio=rien de leurs activités*socio=rien, dans le but*socio=rien de maintenir leurs bénéfices*socio=ec1 et de défendre leurs parts*socio=rien de marché*socio=ec1. Cette stratégie*socio=et a été*socio=rien encouragée par les garanties implicites*socio=uv3 et explicites*socio=rien de l'État*socio=ac qui couvraient en pratique*socio=rien l'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien risque*socio=uv3. En conséquence*socio=rien, au cours*socio=rien des années*socio=rien qui ont suivi la libéralisation*socio=et des années*socio=rien 80, les opérations*socio=rien des banques*socio=ac ont connu une rapide*socio=rien expansion*socio=ec2, la concentration*socio=ec2 des prêts*socio=ec1 dans des catégories*socio=rien à risque*socio=uv3 unique*socio=rien a augmenté (en particulier*socio=rien dans l'immobilier*socio=ec1, aux dépens*socio=uv2 des prêts*socio=ec1 aux clients*socio=ac industriels*socio=ec1 traditionnels*socio=rien), et les activités*socio=rien des banques*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 hors cote*socio=ec1 des produits*socio=rien dérivés ont proliféré. Cependant les administrateurs*socio=ac ont souligné que la concurrence*socio=ec1 accrue n'a pas été*socio=rien la *socio=rien seule cause *socio=nil de l'attitude*socio=uv3 plus désinvolte des banques*socio=ac en matière*socio=rien de gains*socio=ec1 et de prise*socio=rien de risques*socio=uv3. Des facteurs*socio=rien conjoncturels*socio=te ont également joué leur rôle*socio=et dans la genèse des problèmes*socio=uv4 bancaires*socio=ec1 actuels*socio=te - en particulier*socio=rien la *socio=rien forte composante immobilière*socio=ec *socio=nil de leurs activités*socio=rien de prêt*socio=ec1. Des politiques_monétaires*socio=et accommodantes*socio=uv4 avaient gonflé le prix*socio=ec1 des actifs*socio=ec1; avec le ralentissement*socio=ec2 généralisé de l'activité_économique*socio=ec1 qui a suivi, ces prix*socio=ec1 excessifs*socio=uv4 ont commencé à retomber. Ainsi que l'avaient remarqué plusieurs administrateurs*socio=ac au cours*socio=rien de la discussion*socio=et des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te d'avril*socio=rien 1993, cette expérience*socio=ec2 a montré que les responsables*socio=uv2 de la politique_monétaire*socio=et se devaient d'accorder toute l'attention*socio=rien voulue aux variations*socio=rien de prix*socio=ec1 des actifs*socio=ec1. Selon la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac, l'un*socio=rien des principaux*socio=rien enseignements*socio=et à tirer des problèmes*socio=uv4 bancaires*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien que la libéralisation*socio=et financière*socio=ec1 devrait être*socio=rien accompagnée - et si possible*socio=rien précédée, selon certains - par un*socio=rien renforcement*socio=ec2 *socio=rien du cadre réglementaire*socio=et *socio=nil et de surveillance*socio=et. Cet enseignement*socio=et est*socio=rien également applicable*socio=rien aux pays_en_développement*socio=uv3, et n'est*socio=rien pas sans conséquences*socio=rien pour les conseils*socio=ac donnés par le FMI*socio=ac en ce qui concerne le rythme*socio=ec2 et l'enchaînement*socio=te des réformes*socio=et financières*socio=ec1. Plusieurs administrateurs*socio=ac, se référant aux pays_industrialisés*socio=ac qui ont réussi à éviter ces problèmes*socio=uv4 bancaires*socio=ec1, ont pensé que l'étude*socio=ec2 de leur cas*socio=rien pourrait offrir de précieux*socio=rien enseignements*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont souligné l'importance*socio=rien des mesures*socio=et préventives*socio=rien et salué les progrès*socio=uv1 réalisés dans le renforcement*socio=ec2 de l'assise financière*socio=ec1 des activités*socio=rien de banque*socio=ac et de négoce en *socio=ec1 valeurs mobilières *socio=nil dans certains pays*socio=ac; ils ont également réaffirmé leur appui*socio=uv1 aux efforts*socio=uv1 déployés au niveau*socio=rien international*socio=te en vue*socio=rien d'harmoniser les conditions*socio=ec1 de la concurrence*socio=ec1 en coordonnant l'application*socio=rien des initiatives*socio=rien de réglementation*socio=et et de surveillance*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont passé*socio=rien en revue diverses*socio=rien approches visant à faire face*socio=rien aux difficultés*socio=uv4 des systèmes_bancaires*socio=ec1 et noté qu'elles devaient être*socio=rien adaptées à chaque cas*socio=rien. Plusieurs d'entre eux préconisent la fermeture*socio=ec1 rapide*socio=rien des établissements*socio=ac en cessation*socio=uv3 de paiement*socio=ec1, tout en reconnaissant qu'une telle mesure*socio=rien pourrait *socio=rien être difficile *socio=nil à prendre étant donné ses effets*socio=rien systémiques*socio=ec2 potentiels*socio=uv4. Nombre*socio=rien d'administrateurs*socio=ac sont d'avis*socio=rien qu'en laissant *socio=rien du temps aux*socio=nil établissements*socio=ac en*socio=nil difficulté*socio=uv4 *socio=nil pour qu'ils retrouvent leur santé*socio=et financière*socio=ec1, on risque*socio=uv3 de retarder l'ajustement*socio=et et de compromettre l'incitation*socio=uv3 à réduire les capacités*socio=uv3, diminuer les coûts*socio=ec1 et maîtriser*socio=rien les risques*socio=uv3 *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1.*socio=nil Plusieurs*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil estiment toutefois qu'étant donné le rôle*socio=et spécial*socio=rien des banques*socio=ac dans le secteur*socio=rien financier*socio=ec1, et à défaut*socio=rien d'une meilleure*socio=uv4 solution*socio=rien, une telle action*socio=ec1, à condition*socio=rien d'être*socio=rien rigoureusement contrôlée, pourrait *socio=rien être possible.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil sont pour la plupart*socio=rien opposés au recours*socio=rien à des écarts*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 excessivement importants*socio=uv4 pour alléger les difficultés*socio=uv4 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac contestent également l'injection directe*socio=rien de capital*socio=ec1 par l'État*socio=ac dans les établissements*socio=ac en difficulté*socio=uv4, mesure*socio=rien que nombre*socio=rien d'entre eux considèrent exclusivement comme une solution*socio=rien de *socio=rien dernier recours,*socio=nil *socio=nil à n'utiliser que pour éviter des *socio=ec2 perturbations systémiques.*socio=nil *socio=nil De l'avis*socio=rien général*socio=rien, toute recapitalisation officielle*socio=et de cette sorte*socio=rien devrait être*socio=rien subordonnée à une réduction*socio=ec2 des capacités*socio=uv3, à une diminution*socio=ec2 des coûts*socio=ec1 et à une augmentation*socio=ec2 de la productivité*socio=uv3. En outre, les banques*socio=ac solvables*socio=ec2 ne devraient pas être*socio=rien désavantagées par ces mesures*socio=et. Expansion*socio=ec2 des activités*socio=rien hors bilan*socio=rien. Sur*socio=rien les principaux*socio=rien marchés_financiers*socio=ec1, la croissance*socio=uv3 des produits*socio=rien dérivés hors cote*socio=ec1 constitue l'évolution*socio=te la plus remarquable*socio=rien des *socio=rien cinq dernières années.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont reconnu que ces activités*socio=rien remplissent une fonction*socio=rien utile*socio=uv4 de couverture*socio=ec1 des risques*socio=uv3 de prix*socio=ec1 et accroissent la liquidité*socio=ec1 des instruments*socio=et sous-jacents*socio=rien. Toutefois ils voient également dans l'expansion*socio=ec2 exponentielle de ces marchés*socio=ec1 et dans la participation*socio=uv3 croissante*socio=rien des banques*socio=ac aux *socio=rien activités du marché*socio=ec1 hors*socio=nil cote*socio=ec1 une*socio=nil source potentielle*socio=uv4 de*socio=nil risque*socio=uv3 systémique*socio=ec2.*socio=nil La*socio=nil croissance*socio=uv3 des*socio=nil marchés*socio=ec1 *socio=nil dérivés a intensifié les interactions*socio=rien et les effets*socio=rien d'entraînement entre les marchés_financiers*socio=ec1, ce qui pourrait faciliter la propagation*socio=rien d'éventuelles*socio=te perturbations*socio=ec2 à l'ensemble*socio=rien du*socio=rien système_financier*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont salué les *socio=rien initiatives prises *socio=nil par les autorités*socio=et de plusieurs pays*socio=ac, sous les *socio=rien auspices du Comité*socio=ac *socio=nil de Bâle, pour renforcer la surveillance*socio=et *socio=rien du niveau des*socio=nil engagements*socio=et hors*socio=nil bilan des*socio=nil banques*socio=ac.*socio=nil Plusieurs*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont déclaré en conclusion*socio=rien que l'orientation*socio=et d'une plus *socio=rien large part *socio=nil de l'activité*socio=rien hors cote*socio=ec1 vers les marchés*socio=ec1 organisés pourrait aussi *socio=rien être un moyen *socio=nil de réduire les risques*socio=uv3. Accès*socio=uv1 des pays_en_développement*socio=uv3 aux marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont noté en avril*socio=rien 1994 que les flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1 représentaient une part*socio=rien importante*socio=uv4 des *socio=ec1 flux financiers à*socio=nil destination*socio=rien des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil De l'avis*socio=rien général*socio=rien, il s'agit là d'une évolution*socio=te positive*socio=uv4, particulièrement dans le cas*socio=rien de pays*socio=ac qui jouissent de perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 vigoureuse*socio=rien et où l'action*socio=ec1 des pouvoirs_publics*socio=et s'exerce dans *socio=rien un cadre stable*socio=uv4.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont néanmoins fait*socio=rien valoir l'importance*socio=rien de politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 bien*socio=rien conçues pour assurer l'investissement*socio=ec1 efficace*socio=uv4 de ces capitaux*socio=ec1 importés et limiter*socio=rien le risque*socio=uv3 de brusques revirements*socio=te des marchés*socio=ec1. Étant donné l'importance*socio=rien *socio=rien du comportement des*socio=nil flux*socio=ec1 de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil et des comptes*socio=ec1 d'opérations*socio=rien en capital*socio=ec1, il y aurait lieu*socio=rien d'approfondir les études*socio=ec2 de ces flux*socio=ec1 et des contrôles*socio=et auxquels ils sont soumis, et notamment d'examiner le rôle*socio=et que le FMI*socio=ac peut jouer pour encourager la convertibilité*socio=ec1 au titre*socio=rien des opérations*socio=rien en capital*socio=ec1. En septembre*socio=rien 1993, certains administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir que, à mesure*socio=rien que les problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 étaient résolus et que les pays_en_développement*socio=uv3 retrouvaient l'accès*socio=uv1 aux financements*socio=ec1 spontanés*socio=rien, il importait de réaffirmer le principe*socio=ec2 fondamental*socio=uv2 dont dépend l'harmonie*socio=uv1 des relations*socio=rien internationales*socio=te, à savoir*socio=rien que les *socio=ec1 contrats financiers doivent*socio=nil être*socio=rien *socio=nil honorés. Les administrateurs*socio=ac ont ajouté que, si jusqu'à présent*socio=rien l'accent*socio=rien a été*socio=rien mis sur*socio=rien les relations*socio=rien des pays*socio=ac avec les créanciers*socio=ac *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac *socio=nil et les banques*socio=ac *socio=ec1 commerciales créancières,*socio=nil *socio=nil il fallait donner toute l'attention*socio=rien voulue à la normalisation*socio=uv3 des relations*socio=rien avec tous les créanciers*socio=ac, et notamment les fournisseurs*socio=ac sans garantie et les créanciers*socio=ac *socio=et bilatéraux officiels non*socio=nil membres*socio=ac *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac.*socio=nil Afflux*socio=ec1 de*socio=nil capitaux*socio=ec1:*socio=nil les*socio=nil leçons*socio=ec2 *socio=nil de l'expérience*socio=ec2. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil de*socio=nil nombreux pays*socio=ac *socio=nil ont enregistré de brusques afflux*socio=ec1 nets*socio=rien de capitaux*socio=ec1. Bien*socio=rien que ces apports*socio=rien en masse*socio=ec1 puissent être*socio=rien profitables*socio=uv4 aux pays*socio=ac qui les reçoivent, ils peuvent aussi menacer la stabilité*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1. La réponse*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=et dans les États*socio=ac qui souhaitent tirer parti*socio=et de tels afflux*socio=ec1 doit donc être*socio=rien mesurée et permettre la croissance*socio=uv3 de l'investissement*socio=ec1 et l'expansion*socio=ec2 de l'activité*socio=rien que ces capitaux*socio=ec1 donnent les moyens*socio=ec1 de financer tout en maîtrisant leurs effets*socio=rien déstabilisateurs*socio=ec2. Au cours*socio=rien d'un*socio=rien séminaire*socio=ac qui s'est*socio=rien tenu en juillet*socio=rien 1993, le Conseil*socio=ac a commenté une étude*socio=ec2 des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac sur*socio=rien les causes*socio=rien de ces afflux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, débattu des mesures*socio=et traditionnellement prescrites*socio=rien pour les absorber et examiné l'expérience*socio=ec2 récente*socio=rien de six pays*socio=ac dans ce domaine*socio=rien (le Chili*socio=ac, la Colombie*socio=ac, l'Égypte*socio=ac, l'Espagne*socio=ac, le Mexique*socio=ac et la Thaïlande*socio=ac). Les afflux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 allègent les contraintes*socio=uv1 financières*socio=ec1 extérieures*socio=te, font pression*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1 intérieurs*socio=te et permettent la croissance*socio=uv3 de l'investissement*socio=ec1 et de l' activité_économique*socio=ec1. Néanmoins, des afflux*socio=ec1 trop importants*socio=uv4 peuvent alimenter des évolutions*socio=te révélatrices de surchauffe et d'instabilité*socio=uv3, et devenir*socio=rien par conséquent*socio=rien une source*socio=rien de préoccupation*socio=uv4 pour les pouvoirs_publics*socio=et. Ces évolutions*socio=te préoccupantes*socio=rien peuvent être*socio=rien une détérioration*socio=uv4 du*socio=rien compte*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te, des pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 des biens*socio=ec1, de l'immobilier*socio=ec1 et des *socio=ec1 actifs financiers et*socio=nil sur*socio=rien le*socio=nil taux_de_change réel*socio=rien,*socio=nil *socio=nil et une position*socio=rien de vulnérabilité*socio=uv1 face*socio=rien à *socio=rien un renversement soudain des*socio=nil flux*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il n'existe pas de modèle*socio=rien de politique*socio=et à adopter face*socio=rien aux afflux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, car leur incidence*socio=ec2 ou l'étendue de leurs effets*socio=rien varie d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. La matérialisation de ces effets*socio=rien et leur potentiel*socio=uv4 déstabilisateur dépendent des causes*socio=rien des afflux*socio=ec1. Les pouvoirs_publics*socio=et doivent donc commencer par identifier ces causes*socio=rien avant de mettre au point*socio=rien une réponse*socio=rien appropriée. Les observations*socio=ec2 dans les six pays*socio=ac couverts par l'étude*socio=ec2 ont permis*socio=rien d'identifier trois *socio=rien grandes causes:*socio=nil des*socio=nil changements*socio=uv3 de*socio=nil politique*socio=et structurelle*socio=ec2 ou*socio=nil budgétaire*socio=et *socio=nil entraînant une amélioration*socio=uv1 *socio=rien du climat *socio=nil de l'investissement*socio=ec1, un*socio=rien resserrement*socio=ec2 de la politique*socio=et du*socio=rien crédit*socio=ec1 intérieur*socio=te qui engendre une hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 intérieurs*socio=te, visant habituellement à réduire une inflation*socio=ec1 chronique*socio=rien, enfin, des changements*socio=uv3 de *socio=rien situation sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 extérieurs*socio=te.*socio=nil *socio=nil Ces trois causes*socio=rien étaient présentes*socio=rien dans chacun des pays*socio=ac étudiés, mais dans des proportions*socio=rien très diverses*socio=rien. Plus les modifications*socio=rien des politiques*socio=et structurelle*socio=ec2 et budgétaire*socio=et ont joué un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 dans l'attraction*socio=rien des capitaux*socio=ec1, plus ceux-ci ont eu des effets*socio=rien bénéfiques*socio=uv1 sur*socio=rien l'investissement*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3. Le rôle*socio=et des pouvoirs_publics*socio=et dans ces conditions*socio=ec1 se résume essentiellement à améliorer la capacité*socio=uv3 d'absorption*socio=rien de l'économie*socio=ec1. Lorsque les capitaux*socio=ec1 ont surtout été*socio=rien attirés par le resserrement*socio=ec2 du*socio=rien crédit*socio=ec1 intérieur*socio=te, ils n'ont eu que peu ou pas d'effet*socio=rien sur*socio=rien l'investissement*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3, et la baisse*socio=ec2 espérée de l'inflation*socio=ec1 ne s'est*socio=rien pas produite. Une politique*socio=et déséquilibrée associant resserrement*socio=ec2 du*socio=rien crédit*socio=ec1 détente*socio=rien de la politique_budgétaire*socio=et et taux_de_change*socio=ec1 fixe a peu de chances*socio=rien d'être*socio=rien durable*socio=uv4. Lorsque les entrées de capitaux*socio=ec1 sont dues avant tout à des influences extérieures*socio=te, telles qu'une baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 ou une récession*socio=ec2 à l'étranger*socio=te, il se peut qu'elles soient de courte*socio=rien durée*socio=te et *socio=rien un renversement des*socio=nil flux*socio=ec1 est *socio=nil à craindre, particulièrement si les capitaux*socio=ec1 importés financent la consommation*socio=ec1 plutôt que l'investissement*socio=ec1. Dans ce cas*socio=rien, l'action*socio=ec1 des pouvoirs_publics*socio=et doit s'attacher à contenir ou à neutraliser les entrées de capitaux*socio=ec1. Deux risques*socio=uv3 majeurs*socio=rien: surchauffe et appréciation*socio=uv3. Les gouvernements*socio=ac des six pays*socio=ac étudiés ont vu dans les afflux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, en dépit*socio=rien de leurs *socio=rien nombreux effets bénéfiques*socio=uv1,*socio=nil un choc*socio=ec2 de*socio=nil grande ampleur *socio=nil qui ne pouvait être*socio=rien ignoré sans conséquences*socio=rien graves*socio=uv4. Les pouvoirs_publics*socio=et étaient surtout préoccupés par la notable*socio=rien appréciation*socio=uv3 réelle*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te et par le brusque *socio=rien creusement du déficit*socio=ec1 des*socio=nil transactions_courantes*socio=te.*socio=nil En*socio=nil théorie*socio=ec2,*socio=nil d'*socio=nil après l'*socio=nil étude*socio=ec2 *socio=nil citée, la réponse*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=et devrait être*socio=rien modulée selon les causes*socio=rien de l'afflux*socio=ec1; en pratique*socio=rien, l'incertitude*socio=uv3 quant à ces causes*socio=rien a conduit chaque pays*socio=ac à réagir, du*socio=rien moins dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil *socio=nil en limitant sa vulnérabilité*socio=uv1 en cas*socio=rien de renversement*socio=rien des flux*socio=ec1 et en contenant le risque*socio=uv3 de surchauffe, d'appréciation*socio=uv3 réelle*socio=ec2 excessive*socio=uv4 et d'une croissance*socio=uv3 insoutenable*socio=uv4 de la consommation*socio=ec1. Face*socio=rien à un*socio=rien afflux*socio=ec1 persistant*socio=rien de capitaux*socio=ec1, quelle qu'en soit la cause*socio=rien, l'austérité*socio=uv3 budgétaire*socio=et constitue peut-être le *socio=rien seul moyen *socio=nil de prévenir la surchauffe et d'éviter une appréciation*socio=uv3 réelle*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1. À défaut*socio=rien d'ajustement*socio=et budgétaire*socio=et substantiel*socio=rien, la plupart*socio=rien des pays*socio=ac seront contraints*socio=uv2 d'accepter une certaine*socio=rien appréciation*socio=uv3 réelle*socio=ec2 de leur monnaie*socio=ec1. La meilleure*socio=uv4 manière*socio=rien de s'en accommoder consisterait à procéder à une appréciation*socio=uv3 nominale*socio=rien, qui présente*socio=rien aussi l'avantage d'aider à contenir l'inflation*socio=ec1. Cependant, dans les pays*socio=ac étudiés, le recours*socio=ec1 à la politique*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 pour maîtriser*socio=rien les effets*socio=rien des afflux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 a été*socio=rien limité par la crainte*socio=uv1 qu'une appréciation*socio=uv3 nominale*socio=rien n'engendre des appréciations*socio=uv3 réelles*socio=ec2 plus importantes*socio=uv4 que celles qui se seraient produites spontanément*socio=rien. À défaut*socio=rien, une solution*socio=rien de rechange pour les pouvoirs_publics*socio=et est*socio=rien la stérilisation*socio=rien - qu'on peut définir*socio=rien au *socio=rien sens étroit *socio=nil comme l'échange*socio=ec1 de devises*socio=ec1 étrangères*socio=te contre des obligations*socio=uv1, au lieu*socio=rien d'argent*socio=ec1. La stérilisation*socio=rien a l'avantage d'être*socio=rien facile*socio=rien à mettre en oeuvre*socio=rien rapidement et de permettre souvent d'isoler l'économie*socio=ec1, pour de courtes*socio=rien périodes*socio=te, de certains effets*socio=rien préjudiciables*socio=et de brusques afflux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. Cependant, dans les pays*socio=ac étudiés, la stérilisation*socio=rien n'a pas été*socio=rien aussi efficace*socio=uv4 pour réduire l'inflation*socio=ec1 et prévenir l'appréciation*socio=uv3 réelle*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1. De surcroît*socio=rien, les pays*socio=ac qui ont opéré la stérilisation*socio=rien la plus rigoureuse*socio=uv4 sont ceux qui ont le moins bénéficié des effets*socio=rien favorables*socio=uv4 des entrées de capitaux*socio=ec1 sur*socio=rien l'investissement*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil la*socio=nil stérilisation totale n'*socio=nil est *socio=nil pas praticable très longtemps. Tous les pays*socio=ac pratiquent la *socio=rien stérilisation partielle au*socio=nil sens large,*socio=nil *socio=nil en ceci qu'ils restreignent la croissance*socio=uv3 des actifs*socio=ec1 intérieurs*socio=te nets*socio=rien de la banque_centrale*socio=ac lorsque la demande*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 est*socio=rien satisfaite par les entrées de capitaux*socio=ec1. L'expérience*socio=ec2 des pays*socio=ac étudiés donne à penser qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil indicateurs*socio=ec1 *socio=nil pourraient servir à déterminer le degré*socio=rien voulu de stérilisation*socio=rien au *socio=rien sens large,*socio=nil par*socio=nil exemple le*socio=nil niveau des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 intérieurs*socio=te par*socio=nil rapport aux*socio=nil taux*socio=ec1 extérieurs*socio=te,*socio=nil le*socio=nil taux_d'_accroissement*socio=ec2 des*socio=nil réserves*socio=ec1 *socio=nil et le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. Bien*socio=rien que la réaction*socio=rien aux afflux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 ait surtout porté sur*socio=rien la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1, les politiques*socio=et micro-économiques*socio=ec1 ont aussi joué leur rôle*socio=et. Les obstacles*socio=uv3 aux entrées de capitaux*socio=ec1, telles que les coefficients*socio=ec1 de réserves_obligatoires*socio=ec1, le contrôle*socio=uv3 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, ainsi que les impôts*socio=et, semblent avoir ralenti les afflux*socio=ec1 pour de courtes*socio=rien périodes*socio=te. De même que la stérilisation*socio=rien, ces entraves*socio=uv4 sont faciles*socio=rien à mettre en place*socio=rien rapidement, mais en interdisant l'entrée*socio=rien des capitaux*socio=ec1, elles empêchent toute contribution*socio=uv1 même future*socio=te des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 à l'investissement*socio=ec1 et à la croissance*socio=uv3. réforme*socio=et structurelle*socio=ec2. En atténuant la contrainte*socio=uv1 extérieure*socio=te, les afflux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 donnent une *socio=rien occasion idéale *socio=nil de remédier aux *socio=ec2 faiblesses structurelles,*socio=nil *socio=nil de progresser vers la convertibilité*socio=ec1 au titre*socio=rien des opérations*socio=rien en capital*socio=ec1, et de procéder à la réforme*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans les pays*socio=ac étudiés, les *socio=ec2 faiblesses structurelles *socio=nil - particulièrement dans le secteur*socio=rien financier*socio=ec1 - avaient *socio=rien un effet contraignant*socio=uv2 sur la*socio=nil capacité*socio=uv3 *socio=nil de l'économie*socio=ec1 d'absorber efficacement les entrées de capitaux*socio=ec1 et sur*socio=rien la latitude*socio=rien que les pouvoirs_publics*socio=et pouvaient laisser au secteur_privé*socio=et quant à l'emploi*socio=ec1 de ces capitaux*socio=ec1. Dans les pays*socio=ac où la réforme*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 *socio=nil et la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 étaient déjà en cours*socio=rien au moment*socio=rien où les capitaux*socio=ec1 ont afflué, ceux-ci ont été*socio=rien absorbés beaucoup plus efficacement. Le *socio=rien nombre grandissant de*socio=nil programmes*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil qui suscitent actuellement des afflux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 tend à prouver qu'il importe de donner la priorité*socio=uv4 à la réforme*socio=et structurelle*socio=ec2 au début*socio=rien de ces programmes*socio=et. Prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien autres que les combustibles*socio=ec1. L'évolution*socio=te du*socio=rien prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de *socio=rien base est *socio=nil d'une *socio=rien grande importance *socio=nil pour les membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac, en particulier*socio=rien pour les pays_en_développement*socio=uv3 lourdement tributaires*socio=rien des exportations*socio=ec1 de ces produits*socio=rien. Aussi, la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 réels*socio=ec2 des produits*socio=rien de base*socio=rien autres que les combustibles*socio=ec1 depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80 est-elle très préoccupante*socio=uv4. Au début*socio=rien de 1994, le Conseil*socio=ac a examiné de *socio=rien multiples aspects *socio=nil de cette question*socio=rien, notamment les causes*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 des cours*socio=rien, les perspectives*socio=te d'évolution*socio=te, le rôle*socio=et de l'État*socio=ac dans la stabilisation*socio=et des prix*socio=ec1, et l'utilisation*socio=rien d'instruments*socio=et financiers*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 pour limiter*socio=rien le risque*socio=uv3 relatif*socio=rien au prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien. Les prix*socio=ec1 réels*socio=ec2 des produits*socio=rien de base*socio=rien autres que les combustibles*socio=ec1 ont presque continuellement diminué depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80 et restent déprimés aujourd'hui (voir graphique*socio=rien 5). Lors*socio=rien d'un*socio=rien débat*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac en mars*socio=rien 1994, il a été*socio=rien reconnu que cette question*socio=rien était particulièrement importante*socio=uv4 pour les pays_en_développement*socio=uv3 et qu'elle avait des incidences*socio=ec2 *socio=rien considérables sur les*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil et les *socio=rien activités du FMI*socio=ac.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont exprimé une *socio=rien certaine inquiétude *socio=nil quant aux perspectives*socio=te d'évolution*socio=te des prix*socio=ec1, étant donné que le *socio=rien dernier affaissement des*socio=nil prix*socio=ec1 des*socio=nil produits de*socio=nil base *socio=nil autres que les combustibles*socio=ec1 semblait appelé à durer et était principalement déterminé par l'offre*socio=ec1. Malgré les signes d'un*socio=rien modeste*socio=rien redressement*socio=ec2 à court_terme*socio=te, il est*socio=rien peu probable*socio=uv4 que les prix*socio=ec1 retrouvent leurs *socio=rien niveaux du début des*socio=nil années *socio=nil 80 dans un*socio=rien avenir*socio=te proche. En outre, étant donné l'instabilité*socio=uv3 de ces prix*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont convenu qu'une reprise à brève*socio=rien échéance*socio=te devrait être*socio=rien accueillie avec prudence*socio=uv1 et n'annoncerait probablement pas une amélioration*socio=uv1 durable*socio=uv4. Bien*socio=rien que la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien soit largement imputable*socio=uv2 à l'offre*socio=ec1, de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac pensent que la demande*socio=ec1 ne reçoit pas toute l'attention*socio=rien voulue. Il importe, à leur avis*socio=rien, de prêter une *socio=rien attention particulière aux*socio=nil effets néfastes des*socio=nil subventions*socio=ec1 aux*socio=nil *socio=ec1 productions alimentaires *socio=nil accordées dans les pays_industrialisés*socio=ac sur*socio=rien les prix*socio=ec1 et les recettes*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 pour les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil *socio=rien produits primaires.*socio=nil Financement*socio=ec1 et*socio=nil détermination *socio=nil de la stratégie*socio=et appropriée. Les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien autres que les combustibles*socio=ec1, par leur nature*socio=rien et leur *socio=rien comportement face aux*socio=nil chocs*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil ont des incidences*socio=ec2 importantes*socio=uv4 sur*socio=rien le type*socio=rien de financement*socio=ec1 fourni aux pays_membres*socio=ac et sur*socio=rien la détermination*socio=rien des mesures*socio=et à prendre. Les administrateurs*socio=ac ont étudié *socio=rien différents facteurs,*socio=nil *socio=nil comme l'instabilité*socio=uv3 accrue du*socio=rien prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien, la persistance*socio=te de chocs*socio=ec2 et la difficulté*socio=uv4 qu'il y a à distinguer rapidement un*socio=rien choc*socio=ec2 momentané d'un*socio=rien choc*socio=ec2 durable*socio=uv4. Un*socio=rien financement*socio=ec1 compensatoire*socio=et est*socio=rien tout indiqué pour amortir un*socio=rien choc*socio=ec2 temporaire*socio=rien; en revanche, un*socio=rien choc*socio=ec2 plus durable*socio=uv4 exige une approche plus conditionnelle*socio=rien et orientée vers l'ajustement*socio=et. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir que l'instabilité*socio=uv3 *socio=rien croissante du prix*socio=ec1 des*socio=nil produits de*socio=nil base *socio=nil justifiait que l'on continue*socio=rien d'accorder l'attention*socio=rien voulue aux mesures*socio=et de prévoyance visant à protéger les programmes*socio=et bénéficiant de l'appui*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Le rôle*socio=et de l'État*socio=ac. Au *socio=rien cours du débat*socio=et sur le*socio=nil rôle*socio=et *socio=nil que peut jouer l'État*socio=ac pour stabiliser les prix*socio=ec1 et aider à régulariser le revenu*socio=ec1 des petits*socio=rien producteurs*socio=ac de produits*socio=rien de base*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont reconnu que certaines*socio=rien politiques*socio=et de stabilisation*socio=et par l'État*socio=ac sont efficaces*socio=uv4. Ils ont néanmoins convenu pour la plupart*socio=rien que les *socio=et interventions officielles ont*socio=nil tendance*socio=ec2 *socio=nil à créer des distorsions*socio=uv3 et qu'avec le temps*socio=rien les objectifs*socio=uv3 des dispositifs*socio=et de stabilisation*socio=et peuvent *socio=rien devenir confus et*socio=nil contradictoires*socio=uv2.*socio=nil Il*socio=nil est *socio=nil à leur avis*socio=rien préférable*socio=uv4 que les agents*socio=ac économiques*socio=ec1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et apprennent à interpréter les signaux*socio=rien que donnent les prix*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1. Selon *socio=rien certaines indications,*socio=nil les*socio=nil agents*socio=ac privés*socio=et *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=uv3 savent mieux qu'on ne le pense généralement assumer le risque*socio=uv3 de prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien et trouver les moyens*socio=ec1 de régulariser la consommation*socio=ec1. Il a été*socio=rien également noté, cependant, qu'une démarche*socio=rien totalement non interventionniste n'est*socio=rien pas toujours indiquée - tel est*socio=rien, par exemple*socio=rien, le cas*socio=rien des pays*socio=ac qui n'ont pas accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 du*socio=rien crédit*socio=ec1. Dans ces conditions*socio=ec1, plusieurs administrateurs*socio=ac se sont déclarés favorables*socio=uv4 à l'utilisation*socio=rien de dispositifs*socio=et de sécurité*socio=uv1 pour protéger les producteurs*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac se sont aussi félicités des réductions*socio=ec2 des *socio=ec1 subventions agricoles *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac, qui doivent être*socio=rien appliquées aux termes*socio=rien de l'accord*socio=et issu du*socio=rien cycle*socio=te de l'Uruguay*socio=ac. Utilisation*socio=rien d'instruments*socio=et financiers*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1. Les budgets*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 tirent souvent des recettes*socio=ec1 considérables*socio=rien des exportations*socio=ec1 de *socio=rien produits primaires.*socio=nil *socio=nil Ainsi que l'a remarqué le Conseil*socio=ac, l'instabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien a contribué à celle des recettes*socio=ec1 budgétaires*socio=et de plusieurs pays_en_développement*socio=uv3. En outre, lorsqu'un*socio=rien choc*socio=ec2 temporaire*socio=rien au niveau*socio=rien des prix*socio=ec1 n'est*socio=rien pas identifié comme tel, des erreurs*socio=uv4 coûteuses*socio=ec2 peuvent être*socio=rien commises sur*socio=rien le plan*socio=rien des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et, qui sont difficiles*socio=rien à rectifier. Les instruments*socio=et financiers*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 permettent à un*socio=rien pays*socio=ac de limiter*socio=rien le risque*socio=uv3 de prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien ainsi que l'incertitude*socio=uv3 et les perturbations*socio=ec2 macro-économiques*socio=ec1 qui l'accompagnent, et de réduire les répercussions*socio=ec2 de l'instabilité*socio=uv3 sur*socio=rien les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir que l'accès*socio=uv1 aux instruments*socio=et cotés sur*socio=rien le marché*socio=ec1, tels que les achats*socio=ec1 d'options*socio=rien et de contrats*socio=ec1 à terme*socio=rien normalisés, contribuait grandement à limiter*socio=rien le risque*socio=uv3 de prix*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires.*socio=nil *socio=nil Toutefois divers obstacles*socio=uv3 juridiques*socio=et, financiers*socio=ec1 et techniques*socio=rien peuvent restreindre l'accès*socio=uv1 des agents*socio=ac privés*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3 à ces marchés*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont donc salué l'initiative*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil organisations_internationales*socio=ac *socio=nil qui apportent leur assistance*socio=uv1 technique*socio=rien aux pays_en_développement*socio=uv3 dans le domaine*socio=rien de la gestion*socio=ec2 du*socio=rien risque*socio=uv3 lié aux *socio=rien produits primaires.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont conclu que les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien de*socio=nil base*socio=rien *socio=nil pourraient réduire leur vulnérabilité*socio=uv1 face*socio=rien à l'instabilité*socio=uv3 et à la baisse*socio=ec2 continuelle*socio=te des prix*socio=ec1 de ces produits*socio=rien en transformant davantage les *socio=rien produits primaires *socio=nil et en diversifiant leur production*socio=ec1. Il ne faudrait pas, cependant, que cette diversification*socio=ec2 absorbe les ressources*socio=ec1 nécessaires*socio=rien à la production*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires,*socio=nil *socio=nil si c'est*socio=rien là que réside l'avantage_comparatif*socio=ec2 du*socio=rien pays*socio=ac. Le FMI*socio=ac en 1993 / 94. Surveillance*socio=et. Le FMI*socio=ac a de vastes*socio=rien responsabilités*socio=uv1 dans le *socio=rien fonctionnement du système_ monétaire*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il en assure le contrôle*socio=uv3 en offrant aux pays_membres*socio=ac une instance*socio=rien où ils peuvent se consulter et examiner les questions*socio=rien économiques*socio=ec1 d'intérêt*socio=uv1 mondial*socio=te ainsi que les politiques_économiques*socio=et des différents*socio=rien pays*socio=ac. Son action*socio=ec1 et les buts*socio=et vers lesquels elle tend lui sont dictés par le mandat*socio=rien que lui confèrent les statuts*socio=et, aux termes*socio=rien desquels "le Fonds*socio=ec1 exerce une ferme*socio=ec2 surveillance*socio=et sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des *socio=ac États membres *socio=nil et adopte des principes*socio=ec2 spécifiques*socio=rien pour guider les *socio=ac États membres *socio=nil en ce qui concerne ces politiques*socio=et". Le FMI*socio=ac s'acquitte de ce mandat*socio=rien en étudiant*socio=ac les questions*socio=rien monétaires*socio=ec1 internationales*socio=te et en analysant les politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et les politiques*socio=et structurelles*socio=ec2 connexes*socio=rien des pays_membres*socio=ac sous tous leurs aspects*socio=rien, étant donné que ces politiques*socio=et déterminent ensemble*socio=rien la conduite*socio=rien de la politique*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. La *socio=rien présente section *socio=nil décrit la façon*socio=rien dont le FMI*socio=ac a répondu aux *socio=rien grandes questions *socio=nil qui se sont posées dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et dans les différents*socio=rien pays_membres*socio=ac durant l'exercice*socio=rien 1993 / 94. La *socio=rien première partie *socio=nil donne une vue*socio=rien d'ensemble*socio=rien des responsabilités*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac en matière*socio=rien de surveillance*socio=et, suivie de résumés des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac.*socio=nil La*socio=nil deuxième partie *socio=nil résume la discussion*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac sur*socio=rien les méthodes*socio=ec2 d'évaluation*socio=ec2 de la compatibilité*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 avec les données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4. La *socio=rien troisième partie *socio=nil retrace les débats*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac relevant d'une autre fonction*socio=rien importante*socio=uv4 du*socio=rien FMI*socio=ac, qui consiste a suivre l'évolution*socio=te des liquidités*socio=ec1 internationales*socio=te et à gérer le système*socio=rien des DTS. En réponse*socio=rien à la demande*socio=ec1 formulée par le comité_intérimaire*socio=ac en avril*socio=rien 1993, le conseil_d'_administration*socio=ac a étudié la question*socio=rien d'une allocation*socio=et de DTS eu égard*socio=rien à la fois*socio=rien au besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te d'augmenter les avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 et aux effets*socio=rien potentiels*socio=uv4 d'une allocation*socio=et sur*socio=rien le plan*socio=rien économique*socio=ec1 et monétaire*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont également exprimé leur point*socio=rien de *socio=rien vue sur une*socio=nil question connexe *socio=nil - à savoir*socio=rien le caractère*socio=rien apparemment inéquitable*socio=uv2 de la répartition*socio=uv3 des allocations*socio=et de DTS - et ils se sont penchés sur*socio=rien le cas*socio=rien des pays_membres*socio=ac qui n'ont jamais reçu d'allocation*socio=et de DTS ou n'ont pas participé à toutes les allocations*socio=et. La surveillance*socio=et du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 mondial*socio=te par le FMI*socio=ac vise à favoriser la croissance*socio=ec1 équilibrée du*socio=rien commerce*socio=ec1 international*socio=te et la stabilité*socio=uv3 d'un*socio=rien système*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 ordonné. Au niveau*socio=rien de chaque pays*socio=ac, elle encourage l'adoption*socio=uv3 de politiques_économiques*socio=et compatibles*socio=rien avec les obligations*socio=uv1 des pays_membres*socio=ac aux termes*socio=rien des statuts*socio=et - compte*socio=ec1 dûment tenu *socio=rien du point de*socio=nil vue *socio=nil de la *socio=ac communauté internationale *socio=nil - de manière*socio=rien à établir les bases*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 non inflationniste*socio=ec2 et soutenue. L'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et peut aider à identifier promptement les questions*socio=rien et problèmes*socio=uv4 à résoudre, ce qui permet d'adopter des mesures*socio=et correctives*socio=ec2 appropriées et d'éviter ainsi des périodes*socio=te de tensions*socio=ec2. Avec les transformations*socio=ec2 spectaculaires*socio=rien qui ont marqué l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil il*socio=nil est *socio=nil devenu d'autant plus crucial*socio=rien que le FMI*socio=ac s'acquitte efficacement de ses responsabilités*socio=uv1 de surveillance*socio=et. Certaines*socio=rien de ces transformations*socio=ec2 méritent d'être*socio=rien notées tout particulièrement: premièrement, la croissance*socio=ec1 rapide*socio=rien et l'internationalisation*socio=te des marchés*socio=ec1 des capitaux_privés*socio=ec1, qui ont rendu le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te plus vulnérable*socio=uv2 face*socio=rien aux déséquilibres*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac et à toute distorsion*socio=uv3 entre les taux_de_change*socio=ec1 et les données macro-économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4; deuxièmement, les grands*socio=rien mouvements*socio=ec2 d'intégration*socio=uv1 régionale*socio=te et monétaire*socio=ec1 dans maintes *socio=rien parties du monde*socio=te,*socio=nil *socio=nil notamment dans le contexte*socio=rien de l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 de l'Europe*socio=ac; troisièmement, la convertibilité*socio=ec1 des avoirs*socio=ec1 au titre*socio=rien des transactions_courantes*socio=te et les réformes*socio=et axées sur*socio=rien le marché*socio=ec1 dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil Ces*socio=nil changements*socio=uv3 sans*socio=nil précédent *socio=nil ont entraîné des responsabilités*socio=uv1 accrues pour le FMI*socio=ac: le rapide*socio=rien accroissement*socio=ec2 *socio=rien du nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil en a fait*socio=rien une institution*socio=ac universelle*socio=uv2, et le FMI*socio=ac aide*socio=uv1 *socio=rien un nombre record*socio=ec2 de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil par ses conseils*socio=ac de politique_économique*socio=ec1, son assistance*socio=uv1 financière*socio=ec1 et technique*socio=rien et ses programmes*socio=et de formation*socio=et. Les principes*socio=ec2 et procédures*socio=et qui régissent l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et par le FMI*socio=ac sont décrits dans *socio=rien un document *socio=nil intitulé "Surveillance*socio=et des politiques*socio=et de change*socio=ec1", qui a été*socio=rien approuvé par le conseil_d'_administration*socio=ac en 1977 (voir le Rapport*socio=rien annuel*socio=te 1977, pages*socio=rien 116-118). Ce document*socio=rien énonce les principes*socio=ec2 qui régissent la conduite*socio=rien des politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac et la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac sur*socio=rien ces politiques*socio=et. Le Conseil*socio=ac est*socio=rien tenu de les revoir tous les deux ans*socio=rien - ou plus souvent si le besoin*socio=uv1 s'en fait*socio=rien sentir - pour déterminer s'il *socio=rien est opportun *socio=nil de les modifier. La dernière*socio=rien revue de ces principes*socio=ec2 a eu lieu*socio=rien en janvier*socio=rien 1993, et le Conseil*socio=ac a conclu qu'ils restaient dans l'ensemble*socio=rien appropriés. Un*socio=rien résumé des délibérations*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac sur*socio=rien cette question*socio=rien figure dans le Rapport*socio=rien annuel*socio=te 1993. Les administrateurs*socio=ac se sont alors déclarés généralement favorables*socio=uv4 à un*socio=rien renforcement*socio=ec2 de la conduite*socio=rien des opérations*socio=rien de surveillance*socio=et par le FMI*socio=ac, notamment avec l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et visant à adapter*socio=rien les procédures*socio=et en vigueur*socio=uv3 pour que la surveillance*socio=et gagne en continuité*socio=uv1, en souplesse*socio=uv3 et en pertinence*socio=rien. À sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1993, le comité_intérimaire*socio=ac a souscrit à la *socio=rien position du Conseil*socio=ac *socio=nil et souligné l'importance*socio=rien d'une surveillance*socio=et efficace*socio=uv4 par le FMI*socio=ac des politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. De nouveau*socio=rien à sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1994, le comité_intérimaire*socio=ac a réitéré son soutien*socio=uv3 à une intensification*socio=ec2 des activités*socio=rien de surveillance*socio=et. Le FMI*socio=ac s'acquitte de ses responsabilités*socio=uv1 en matière*socio=rien de surveillance*socio=et principalement de deux façons*socio=rien: dans le cadre*socio=rien de consultations*socio=uv1 bilatérales*socio=et ordinaires*socio=rien - généralement annuelles*socio=te - avec les différents*socio=rien pays_membres*socio=ac, connues sous le nom*socio=rien de consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV puisqu'elles sont prescrites*socio=rien par l'article*socio=rien IV des statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, et sous forme*socio=rien de *socio=et discussions multilatérales *socio=nil dans le contexte*socio=rien des études*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te qui sont en général*socio=rien effectuées deux fois*socio=rien par an*socio=rien. Les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV sont centrées *socio=rien sur un examen*socio=ec2 systématique *socio=nil de l'évolution*socio=te et de la politique_économique*socio=ec1 du*socio=rien *socio=ac pays membre *socio=nil concerné et des effets*socio=rien de cette *socio=rien dernière sur le*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil et la balance_des_paiements*socio=ec1. Les politiques*socio=et structurelles*socio=ec2 sont aussi examinées dans la mesure*socio=rien où elles ont *socio=rien un rapport *socio=nil avec l'évolution*socio=te et les politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil il a été*socio=rien davantage tenu compte*socio=ec1 dans le contexte*socio=rien de la surveillance*socio=et des considérations*socio=rien &ordre*socio=rien régional*socio=te, social*socio=et (la pauvreté*socio=uv1) ou industriel*socio=ec1, du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 et de l'environnement*socio=et, dans la mesure*socio=rien où ces questions*socio=rien ont une incidence*socio=ec2 significative*socio=uv4 sur*socio=rien les politiques*socio=et et les résultats*socio=rien macro-économiques*socio=ec1 (l'encadré 5 explique l'intérêt*socio=uv1 que le FMI*socio=ac porte*socio=rien aux questions*socio=rien touchant à l'environnement*socio=et). Les évaluations*socio=ec2 dans le contexte*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV donnent une analyse*socio=ec2 complète de l'évolution*socio=te récente*socio=rien et des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 sur*socio=rien le plan*socio=rien intérieur*socio=te et extérieur*socio=te et de leur incidence*socio=ec2 sur*socio=rien la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil Les*socio=nil études*socio=ec2 des*socio=nil perspectives*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te donnent au conseil_d'_administration*socio=ac *socio=rien un cadre *socio=nil qui lui permet d'examiner les politiques*socio=et des pays_membres*socio=ac dans une optique*socio=rien multilatérale*socio=et, de suivre l'évolution*socio=te *socio=rien du système *socio=nil dans son ensemble*socio=rien et d'analyser la situation*socio=rien économique*socio=ec1 mondiale*socio=te, et enfin d'évaluer les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 internationale*socio=ac sur*socio=rien la base*socio=rien de différentes*socio=rien hypothèses*socio=ec2 concernant les politiques_économiques*socio=et. Pour donner plus de continuité*socio=uv1 et de souplesse*socio=uv3 au processus*socio=te de surveillance*socio=et, les administrateurs*socio=ac examinent également *socio=rien un large éventail de*socio=nil questions spécifiques aux*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil et aux systèmes*socio=rien dans le cadre*socio=rien de séances*socio=rien consacrées à l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 et des marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te. Ces séances*socio=rien informelles*socio=uv2 et confidentielles ont lieu*socio=rien à peu près toutes les six semaines*socio=rien et complètent les discussions*socio=et consacrées aux perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et aux consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Elles permettent d'identifier, dès qu'elles se dessinent, les nouvelles*socio=rien tendances*socio=ec2 et tensions*socio=ec2 sous-jacentes*socio=rien, et donnent aux fonctionnaires*socio=ac et aux administrateurs*socio=ac l'occasion*socio=rien d'examiner des questions*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 très diverses*socio=rien. D'importantes*socio=uv4 questions*socio=rien de cette nature*socio=rien peuvent être*socio=rien ainsi portées rapidement à l'attention*socio=rien du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac, assurant une jonction cruciale*socio=uv4 entre les discussions*socio=et sur*socio=rien les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV Le directeur_général*socio=ac assiste périodiquement avec d'autres hauts_fonctionnaires*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac aux *socio=rien réunions du Groupe*socio=ac *socio=nil des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac sur*socio=rien les questions*socio=rien touchant au *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil *socio=nil Comme plusieurs administrateurs*socio=ac l'ont noté au moment*socio=rien de l'examen*socio=ec2 de la surveillance*socio=et en janvier*socio=rien 1993, l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et dépend surtout en dernier*socio=rien ressort, de la qualité*socio=rien et de la pertinence*socio=rien de l'analyse*socio=ec2 effectuée par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Les études*socio=ec2 que ceux-ci réalisent *socio=rien sur un large éventail de*socio=nil questions économiques*socio=ec1 et*socio=nil monétaires*socio=ec1 *socio=nil servent de soutien*socio=uv3 à leurs *socio=rien activités opérationnelles.*socio=nil L'*socio=nil évolution*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 internationale*socio=ac et de la *socio=rien situation respective des*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil détermine dans une *socio=rien large mesure l'*socio=nil orientation*socio=et des*socio=nil activités de*socio=nil recherche*socio=ec2 du FMI*socio=ac *socio=nil (l'encadré 6 présente*socio=rien une vue*socio=rien d'ensemble*socio=rien de ces activités*socio=rien). De même, la disponibilité*socio=rien de données de *socio=rien base est vitale*socio=uv4 *socio=nil pour une analyse*socio=ec2 approfondie de la politique_économique*socio=ec1 et de l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1. L'encadré 7 évoque certains des développements*socio=rien intervenus durant l'année*socio=rien passée dans le domaine*socio=rien des statistiques*socio=ec2. Depuis quelques années*socio=rien, le FMI*socio=ac accorde une *socio=rien importance croissante,*socio=nil *socio=nil dictée par l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, aux considérations*socio=rien d'ordre*socio=rien régional*socio=te dans l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et. Les questions*socio=rien régionales*socio=te sont abordées au cours*socio=rien des discussions*socio=et relatives*socio=rien aux consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV si le pays*socio=ac a sur*socio=rien la région*socio=te ou, inversement, si la région*socio=te (ou une institution*socio=ac régionale*socio=te) a sur*socio=rien le pays*socio=ac des effets*socio=rien dont il convient de tenir compte*socio=ec1 dans l'analyse*socio=ec2 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1. La situation*socio=rien régionale*socio=te est*socio=rien généralement considérée sous l'angle*socio=rien de comparaisons*socio=rien des variables*socio=ec2 macro-économiques*socio=ec1 entre les différents*socio=rien pays*socio=ac, telles que l'évolution*socio=te des prix*socio=ec1 et des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et la taille des administrations_publiques*socio=ac. L'évolution*socio=te régionale*socio=te est*socio=rien aussi examinée, dans les cas*socio=rien appropriés, là où les mouvements*socio=ec2 de biens*socio=ec1 et de capitaux*socio=ec1 par-delà les frontières*socio=te sont relativement libres*socio=uv2 et lorsqu'il y a pleine*socio=rien convertibilité*socio=ec1 des monnaies*socio=ec1 d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. Dans les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec les différents*socio=rien pays_membres*socio=ac de l'union_européenne*socio=et, les politiques_économiques*socio=et sont souvent examinées dans le contexte*socio=rien de l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 et des politiques*socio=et des autres membres*socio=ac de l'Union*socio=uv1. Pour se tenir au courant*socio=rien de la situation*socio=rien dans l'union_européenne*socio=et, les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac ont aussi eu des entretiens*socio=rien informels*socio=uv2 avec la *socio=ac Commission européenne *socio=nil et l'Institut*socio=ac monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac. Les *socio=rien rapports sur certains*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil Afrique*socio=ac *socio=nil couvrent habituellement des questions*socio=rien régionales*socio=te relevant, par exemple*socio=rien, de la zone*socio=te monétaire*socio=ec1 de l'Afrique*socio=ac centrale*socio=rien, de l'accord*socio=et monétaire*socio=ec1 commun*socio=uv2, de l'union_monétaire*socio=et ouest-africaine*socio=te et de la zone*socio=te franc*socio=ec1 CFA, ou concernant des initiatives*socio=rien en matière*socio=rien de commerce*socio=ec1 et de paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te en Afrique*socio=ac orientale*socio=te et australe. Au Moyen-orient*socio=ac, les entretiens*socio=rien peuvent porter sur*socio=rien les relations*socio=rien entre un*socio=rien pays*socio=ac et, par exemple*socio=rien, le Conseil*socio=ac de coopération*socio=uv1 du*socio=rien Golfe*socio=te. Parmi les autres questions*socio=rien traitées, on peut citer l'intégration*socio=uv1 régionale*socio=te, comme l'accord_de_libre-échange_nord-américain*socio=et, ou des projets*socio=et d'intégration*socio=uv1 régionale*socio=te, comme une association*socio=ac de libre-échange*socio=et entre les nations*socio=ac de l'Asie*socio=ac du*socio=rien Sud-est*socio=te. Durant l'année*socio=rien écoulée, le conseil_d'_administration*socio=ac a surveillé l'application*socio=rien des programmes*socio=et économiques*socio=ec1 de deux pays*socio=ac - le Bangladesh*socio=ac et la Gambie - conformément à la procédure*socio=et révisée de surveillance*socio=et accentuée. La surveillance*socio=et accentuée établit entre le FMI*socio=ac et le *socio=ac pays membre *socio=rien un lien plus*socio=nil étroit *socio=nil que d'ordinaire*socio=rien dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, mais moins étroit*socio=rien que dans le cas*socio=rien des accords*socio=et avec le FMI*socio=ac. La procédure*socio=et de surveillance*socio=et accentuée a été*socio=rien instituée en 1985, en vue*socio=rien de faciliter les accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et pluriannuel avec les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, et a été*socio=rien révisée au moment*socio=rien de l'examen*socio=ec2 de la surveillance*socio=et en 1993. Les *socio=rien principaux aspects *socio=nil de la procédure*socio=et révisée sont les suivants*socio=rien. Un*socio=rien *socio=ac pays membre demande*socio=ec1 au*socio=nil FMI *socio=nil de surveiller l'application*socio=rien de ses politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2, habituellement au moment*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Le conseil_d'_administration*socio=ac donne suite*socio=rien à la demande*socio=ec1 selon les circonstances*socio=rien, en tenant compte*socio=ec1 notamment, des antécédents*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac en matière*socio=rien d'ajustement*socio=et et de la vigueur*socio=uv3 de son programme*socio=et économique*socio=ec1. Toutefois, l'approbation*socio=uv1 du*socio=rien recours*socio=ec1 à la procédure*socio=et ne veut pas dire que le FMI*socio=ac approuve le programme*socio=et du*socio=rien *socio=ac pays membre *socio=nil ou son application*socio=rien. L'application*socio=rien de la procédure*socio=et est*socio=rien approuvée jusqu'aux consultations*socio=uv1 suivantes*socio=rien avec le *socio=ac pays membre au*socio=nil titre*socio=rien *socio=nil de l'article*socio=rien IV (ou pour une période*socio=te de douze mois*socio=rien); le pays*socio=ac peut alors demander à ce que l'application*socio=rien de la procédure*socio=et soit prorogée. Le Conseil*socio=ac est*socio=rien tenu de procéder à un*socio=rien examen*socio=ec2 de l'avancement*socio=uv3 du*socio=rien programme*socio=et à mi-période, quels que soient les résultats*socio=rien enregistrés par le pays*socio=ac dans le *socio=rien cadre du programme*socio=et.*socio=nil La*socio=nil procédure*socio=et de*socio=nil surveillance*socio=et *socio=nil accentuée peut être*socio=rien appliquée dans plusieurs cas*socio=rien. Par exemple*socio=rien, un*socio=rien pays*socio=ac peut y recourir pour obtenir*socio=rien plus facilement des concours financiers*socio=ec1 extérieurs*socio=te, en particulier*socio=rien s'il a obtenu de *socio=rien bons résultats économiques*socio=ec1 *socio=nil et qu'il a cessé d'utiliser les ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Il est*socio=rien aussi possible*socio=rien d'y recourir dans certains cas*socio=rien où il n'y a pas de *socio=rien lien direct *socio=nil avec la mobilisation*socio=uv3 de ressources*socio=ec1 extérieures*socio=te, mais où le pays*socio=ac en mesure*socio=rien de justifier de *socio=rien bons résultats *socio=nil cherche à renforcer la confiance*socio=uv1 dans sa politique*socio=et d'ajustement*socio=et, à l'intérieur*socio=te et à l'étranger*socio=te. En décembre*socio=rien 1993, les administrateurs*socio=ac ont approuvé la demande*socio=ec1 de suivi du*socio=rien programme*socio=et du*socio=rien Bangladesh*socio=ac pour 1993 / 94 conformément à la procédure*socio=et de surveillance*socio=et accentuée. Cette demande*socio=ec1 a été*socio=rien approuvée au vu des *socio=rien bons résultats *socio=nil obtenus par les autorités*socio=et dans le cadre*socio=rien d'accords*socio=et avec le FMI*socio=ac et afin de donner confiance*socio=uv1 aux bailleurs_de_fonds*socio=ec1 dans le fait*socio=rien que le Bangladesh*socio=ac continuerait d'appliquer des politiques_économiques*socio=et avisées. Les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer que le programme*socio=et pour 1993/94 permettrait au pays*socio=ac de consolider les gains*socio=ec1 réalisés les années*socio=rien antérieures*socio=te dans le domaine*socio=rien macro-économique*socio=ec1 et, s'il était pleinement appliqué, de progresser dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil domaines structurels*socio=ec2 importants*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil La revue du*socio=rien programme*socio=et à mi-période a eu lieu*socio=rien en avril*socio=rien 1994. En décembre*socio=rien 1993 également, les administrateurs*socio=ac ont approuvé la demande*socio=ec1 de suivi, jusqu'en juin*socio=rien 1994, du*socio=rien programme*socio=et de la Gambie pour 1993/94 dans le cadre*socio=rien des procédures*socio=et de surveillance*socio=et accentuée. La Gambie avait appliqué ses réformes*socio=et avec succès*socio=uv1 jusqu'en 1991 dans le cadre*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2, puis dans le *socio=rien cadre du programme*socio=et des*socio=nil autorités*socio=et *socio=nil pour 1992/93. Cependant, la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 s'était ralentie en raison*socio=rien des mauvaises*socio=rien conditions*socio=ec1 climatiques*socio=rien qui avaient été*socio=rien suivies de graves*socio=uv4 perturbations*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 de réexportation liées à la situation*socio=rien dans la région*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont loué les autorités*socio=et pour leur *socio=rien réaction rapide et*socio=nil décisive*socio=uv4 *socio=nil à ces chocs*socio=ec2 exogènes*socio=rien avec l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et visant à réduire les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et, à intensifier l'effort*socio=uv1 de recouvrement*socio=ec1 de recettes*socio=ec1 et à contenir les pressions*socio=ec2 au niveau*socio=rien de la demande*socio=ec1. Lorsqu'ils ont procédé*socio=rien à l'examen*socio=ec2 de la surveillance*socio=et en 1993, les administrateurs*socio=ac ont exprimé la crainte*socio=uv1 que l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et n'ait été*socio=rien compromise par l'intermittence du*socio=rien processus*socio=te résultant*socio=rien de la *socio=rien modification temporaire des*socio=nil cycles*socio=te de*socio=nil consultations*socio=uv1 *socio=nil (décidée en 1991-92 face*socio=rien au surcroît*socio=rien de travail*socio=rien occasionné par la tâche*socio=rien sans précédent*socio=rien que représentait l'admission*socio=uv1 d'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil nouveaux pays_membres*socio=ac au*socio=nil FMI*socio=ac)*socio=nil *socio=nil et de la procédure*socio=et de consultations*socio=uv1 à cycle*socio=te doublé. Les administrateurs*socio=ac ont par ailleurs*socio=rien noté que la procédure*socio=et de consultations*socio=uv1 à cycle*socio=te double*socio=rien n'avait pas produit*socio=rien les économies*socio=ec1 de temps*socio=rien que le Conseil*socio=ac et les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac en attendaient. De plus, ils étaient préoccupés par les retards*socio=rien excessifs*socio=uv4 intervenus dans les consultations*socio=uv1 avec certains pays_membres*socio=ac. Le conseil_d'_administration*socio=ac a donc décidé en mai*socio=rien 1993 de mettre fin*socio=rien à la procédure*socio=et à cycle*socio=te double*socio=rien et de revenir au cycle*socio=te de consultations*socio=uv1 de douze mois*socio=rien pour les pays_membres*socio=ac auxquels elle avait été*socio=rien appliquée. Le Conseil*socio=ac a par ailleurs*socio=rien décidé d'adopter de nouvelles*socio=rien procédures*socio=et pour la conduite*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Selon ces nouvelles*socio=rien procédures*socio=et, il est*socio=rien prévu que le conseil_d'_administration*socio=ac procédera chaque année*socio=rien pour la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, et au minimum*socio=rien tous les deux ans*socio=rien, à un*socio=rien examen*socio=ec2 approfondi des rapports*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac pour les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Cependant, dans les cas*socio=rien où les rapports*socio=rien ne semblent pas soulever de questions*socio=rien importantes*socio=uv4 *socio=rien du point de*socio=nil vue des*socio=nil responsabilités*socio=uv1 du FMI*socio=ac en*socio=nil matière de*socio=nil surveillance*socio=et *socio=nil et où les administrateurs*socio=ac souscrivent au rapport*socio=rien dans son ensemble*socio=rien, le Conseil*socio=ac pourrait se limiter*socio=rien à un*socio=rien examen*socio=ec2 sommaire*socio=rien qui consisterait essentiellement à approuver les *socio=rien grandes lignes *socio=nil de l'évaluation*socio=ec2 effectuée par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Dans ce cas*socio=rien, les consultations*socio=uv1 seraient conclues par un*socio=rien résumé abrégé. Depuis l'abolition*socio=uv3 de la procédure*socio=et de consultations*socio=uv1 à cycle*socio=te double*socio=rien en mai*socio=rien 1993, les consultations*socio=uv1 avec 169 pays_membres*socio=ac - *socio=rien sur un total *socio=nil de 178 - ont lieu*socio=rien selon le cycle*socio=te normal*socio=rien de douze mois*socio=rien. Pour neuf*socio=rien pays*socio=ac, les consultations*socio=uv1 ont lieu*socio=rien selon le cycle*socio=te plus long*socio=rien de 18 ou 24 mois*socio=rien. Durant l'année*socio=rien passée, les pays_membres*socio=ac ont fait*socio=rien des progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien dans un*socio=rien autre domaine*socio=rien qui relève*socio=rien de la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac, à savoir*socio=rien la convertibilité*socio=ec1 des avoirs*socio=ec1 résultant*socio=rien de transactions_courantes*socio=te et l'acceptation*socio=uv1 des obligations*socio=uv1 découlant de l'article*socio=rien VIII (voir encadré 8). Dans le contexte*socio=rien de l'examen*socio=ec2 de la surveillance*socio=et, les administrateurs*socio=ac ont noté que de nombreux*socio=rien pays_membres*socio=ac se prévalaient des dispositions*socio=et transitoires*socio=rien de l'article*socio=rien XIV pendant de longues*socio=rien périodes*socio=te et ils sont convenus que ces pays*socio=ac devaient prendre des mesures*socio=et appropriées pour lever les restrictions*socio=et de change*socio=ec1 qui restaient en vigueur*socio=uv3 et accepter les obligations*socio=uv1 découlant de l'article*socio=rien VIII. Ils ont souligné l'importance*socio=rien d'un*socio=rien plus ferme*socio=ec2 attachement*socio=uv1 de la part*socio=rien des pays_membres*socio=ac à la convertibilité*socio=ec1 des monnaies*socio=ec1 au titre*socio=rien des transactions_courantes*socio=te. À cet égard*socio=rien, la *socio=ac communauté internationale *socio=nil voit dans l'acceptation*socio=uv1 des obligations*socio=uv1 découlant de l'article*socio=rien VIII une preuve*socio=ec2 importante*socio=uv4 de la convertibilité*socio=ec1 de la monnaie*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac qui les accepte. Consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, qui ont ordinairement lieu*socio=rien une fois*socio=rien par an*socio=rien, suivent une procédure*socio=et bien*socio=rien établie: une mission*socio=et des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac visite le pays*socio=ac, rassemble les données économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 pertinentes*socio=rien, et a des entretiens*socio=rien avec les représentants*socio=ac des autorités*socio=et nationales*socio=te sur*socio=rien l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 et sur*socio=rien les politiques*socio=et en vigueur*socio=uv3. À leur retour*socio=rien au siège*socio=rien, les membres*socio=ac de la mission*socio=et préparent *socio=rien un rapport,*socio=nil *socio=nil qui sert de base*socio=rien aux discussions*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac. Le directeur_général*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac, en sa qualité*socio=rien de Président*socio=ac du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac, effectue la synthèse*socio=rien des points*socio=rien de vue*socio=rien émis par les administrateurs*socio=ac, et l'évaluation*socio=ec2 de la situation*socio=rien par le Conseil*socio=ac, ainsi établie, est*socio=rien alors transmise aux autorités*socio=et du*socio=rien pays*socio=ac concerné. On trouvera au tableau*socio=rien 2 la liste des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV que le FMI*socio=ac a conclues en 1993 / 94. La section*socio=rien ci-après contient une *socio=rien brève description des*socio=nil consultations*socio=uv1 concernant*socio=nil un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil tant industrialisés qu'en développement*socio=uv3. On y trouvera en outre des *socio=rien considérations générales sur les*socio=nil petits pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil ainsi que sur*socio=rien les économies_en_transition*socio=ec1 et les pays_en_développement*socio=uv3. Dans chacun de ces groupes*socio=ac, les pays*socio=ac ont été*socio=rien choisis en fonction*socio=rien de leur importance*socio=rien dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te ou dans l'économie*socio=ec1 de leur région*socio=te. Pour chacun de ces pays*socio=ac, le Rapport*socio=rien annuel*socio=te présente*socio=rien pour la *socio=rien première fois *socio=nil - outre les conclusions*socio=rien résumées des discussions*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac - une récapitulation des évolutions*socio=te macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 marquantes*socio=rien, et *socio=rien un tableau *socio=nil des données dont disposait le Conseil*socio=ac lors*socio=rien des consultations*socio=uv1. Les révisions ultérieures*socio=te des données n'ont pas *socio=rien été prises en*socio=nil compte*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil sauf dans les quelques cas*socio=rien indiqués. Principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. France*socio=ac. En novembre*socio=rien 1993, les administrateurs*socio=ac ont examiné le rapport*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac pour les consultations*socio=uv1 de 1993 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec la France*socio=ac, qui ont coïncidé avec la fin*socio=rien de la plus grave*socio=uv4 contraction*socio=ec2 qu'ait subie l'économie*socio=ec1 française*socio=ac depuis la seconde guerre*socio=et mondiale*socio=te. Ce ralentissement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien était dû à plusieurs facteurs*socio=rien, notamment au renversement*socio=rien conjoncturel*socio=te des effets*socio=rien de la relance*socio=uv3 budgétaire*socio=et engendrée par l'unification*socio=et allemande*socio=ac, aux politiques*socio=et de rigueur*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 mises en place*socio=rien pour maintenir la stabilité*socio=uv3 des taux*socio=ec1 au *socio=rien sein du mécanisme*socio=et de*socio=nil change*socio=ec1 du SME*socio=ec1,*socio=nil en*socio=nil particulier vis-à-vis*socio=nil du deutschemark*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil à l'affaiblissement*socio=ec2 de la confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac et, dans une *socio=rien moindre mesure,*socio=nil *socio=nil à la baisse*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 des actifs*socio=ec1 et aux problèmes*socio=uv4 de bilan*socio=rien des entreprises*socio=ac (tableau*socio=rien 6). Au cours*socio=rien de l'année*socio=rien qui a précédé les discussions*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac, les gains*socio=ec1 de compétitivité*socio=uv3 précédemment acquis*socio=uv2 grâce*socio=rien à la stratégie*socio=et de désinflation*socio=ec2 suivie dans le *socio=rien cadre du mécanisme*socio=et de*socio=nil change*socio=ec1 du SME*socio=ec1 ont*socio=nil été *socio=nil partiellement, mais brutalement annulés. La sortie de la livre sterling*socio=ec1 et de la lire italienne*socio=ac du*socio=rien mécanisme*socio=et de change*socio=ec1 en septembre*socio=rien 1992, et leur dépréciation*socio=ec2, ainsi que la dépréciation*socio=ec2 de la peseta*socio=ec1 espagnole*socio=ac, de l'escudo portugais et de la livre irlandaise*socio=ac ont entraîné, pour la France*socio=ac, une perte*socio=ec2 de compétitivité*socio=uv3 considérable*socio=rien par rapport*socio=rien à ses partenaires*socio=ac du*socio=rien SME*socio=ec1. Le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien n'a crû que de 1,4 % en 1992, la croissance*socio=uv3 devenant négative*socio=rien au quatrième*socio=rien trimestre*socio=te de 1992 et au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1993. Le PIB*socio=ec1 a cessé de baisser au deuxième*socio=rien trimestre*socio=te de 1993, donnant à penser que la récession*socio=ec2 touchait à son terme*socio=rien. Le chômage*socio=ec1 a augmenté durant toute l'année*socio=rien 1992, et, en août*socio=rien 1993, il représentait 11,7 % de la population_active*socio=ac, les jeunes*socio=ac étant particulièrement touchés. L'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée modérée: en septembre*socio=rien 1993, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 sur*socio=rien douze mois*socio=rien s'établissait à 2,3 %. Le déficit*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac devait atteindre 6 % environ du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1993, selon les projections*socio=ec2, au lieu*socio=rien des 2 % observés en 1991. Entre septembre*socio=rien 1992 et juillet*socio=rien 1993, la politique*socio=et des taux_d'_intérêt*socio=ec1 a été*socio=rien largement mise à contribution*socio=uv1, et avec succès*socio=uv1, pour maintenir la parité*socio=ec1 de change*socio=ec1 du*socio=rien franc*socio=ec1 avec le *socio=ec1 deutsche mark,*socio=nil en*socio=nil harmonie*socio=uv1 *socio=nil avec les données fondamentales*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1. Néanmoins, en juillet*socio=rien 1993, les tensions*socio=ec2 grandissant*socio=rien au *socio=rien sein du mécanisme*socio=et de*socio=nil change*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil banques_centrales*socio=ac *socio=nil ne parvinrent pas, malgré leur intervention*socio=et massive*socio=rien, à maintenir les monnaies*socio=ec1 à l'intérieur*socio=te de leurs marges de fluctuation*socio=ec2. Le 2 août*socio=rien 1993, les seuils d'intervention*socio=et obligatoire*socio=uv2 au *socio=rien sein du mécanisme*socio=et ont*socio=nil été *socio=nil portés à 15 % de part*socio=rien et d'autre des taux*socio=ec1 pivots*socio=rien bilatéraux*socio=et en vigueur*socio=uv3. Depuis lors*socio=rien, la Banque*socio=ac de France*socio=ac a procédé*socio=rien à une baisse*socio=ec2 prudente*socio=uv2, mais régulière*socio=ec2, de ses taux_d'_intérêt*socio=ec1. Au cours*socio=rien des discussions*socio=et, les administrateurs*socio=ac ont observé que la stratégie*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil suivie par la politique_économique*socio=ec1 française*socio=ac au cours*socio=rien de la décennie*socio=te écoulée, fondée sur*socio=rien une orientation*socio=et résolument anti-inflationniste*socio=ec2 et sur*socio=rien la prudence*socio=uv1 budgétaire*socio=et, avait permis*socio=rien au pays*socio=ac d'engranger des gains*socio=ec1 *socio=rien substantiels sur les*socio=nil plans *socio=nil de la compétitivité*socio=uv3 et de l'inflation*socio=ec1. Au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil toutefois, la croissance*socio=uv3 avait marqué le pas, le chômage*socio=ec1 s'était amplifié et la situation*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, après*socio=rien les progrès*socio=uv1 accomplis au cours*socio=rien de la décennie*socio=te précédente*socio=rien, s'était à nouveau*socio=rien dégradée. Les administrateurs*socio=ac ont donc exprimé leur inquiétude*socio=rien quant aux perspectives*socio=te de reprise, en particulier*socio=rien en ce qui concerne le chômage*socio=ec1. Quant aux *socio=rien questions relatives *socio=nil à l'élargissement*socio=ec2 des bandes de fluctuation*socio=ec2 du*socio=rien mécanisme*socio=et de change*socio=ec1 du*socio=rien SME*socio=ec1 et à ses conséquences*socio=rien pour la politique_monétaire*socio=et, les administrateurs*socio=ac ont noté que le franc*socio=ec1 ne s'était déprécié que modérément depuis juillet*socio=rien 1993 et que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te étaient légèrement supérieurs*socio=rien aux taux*socio=ec1 allemands*socio=ac. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont approuvé l'approche monétaire*socio=ec1 prudente*socio=uv2 adoptée par les autorités*socio=et françaises*socio=ac, convaincus qu'une réduction*socio=ec2 plus rapide*socio=rien des taux*socio=ec1 ne stimulerait guère davantage la reprise de la croissance*socio=uv3 et pouvait même, en risquant de susciter des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 et la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te, exercer une influence contraire*socio=rien. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac partageaient le point*socio=rien de vue*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac selon lequel des taux_d'_intérêt*socio=ec1 intérieurs*socio=te trop élevés*socio=uv4 peuvent paraître intenables*socio=uv2 et par là nuire à la crédibilité*socio=uv1 de la politique_monétaire*socio=et. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont par conséquent*socio=rien suggéré que les autorités*socio=et testent davantage le marché*socio=ec1 en vue*socio=rien d'abaisser les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te. D'autres ont préconisé une réduction*socio=ec2 beaucoup plus rapide*socio=rien de ces taux*socio=ec1, parallèlement à une politique*socio=et plus souple*socio=uv4 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1. À leur avis*socio=rien, des taux_d'_intérêt*socio=ec1 plus bas*socio=rien - et donc une crédibilité*socio=uv1 accrue *socio=rien du dosage des*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil - pourraient mettre l'économie*socio=ec1 sur*socio=rien la voie*socio=rien de la croissance*socio=uv3 et de la convergence*socio=uv3 en réduisant le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et et le chômage*socio=ec1 et en créant des conditions*socio=ec1 propices*socio=rien aux réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac se sont montrés particulièrement préoccupés par l'évolution*socio=te récente*socio=rien et prévisible*socio=uv4 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. En raison*socio=rien de la situation*socio=rien conjoncturelle*socio=te défavorable*socio=uv4 et de l'accroissement*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 structurel*socio=ec2, le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et s'était considérablement*socio=rien creusé au cours*socio=rien de l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont accueilli favorablement le budget*socio=ec1 1994, préparé dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et pluriannuel qui prévoit de ramener le déficit*socio=ec1 de l'administration_centrale*socio=ac à *socio=rien un niveau égal ou*socio=nil inférieur *socio=nil à 2,5 % du*socio=rien PNB*socio=ec1 en 1997. Tandis que certains administrateurs*socio=ac trouvaient les hypothèses*socio=ec2 de *socio=rien base du programme*socio=et exagérément*socio=nil optimistes*socio=uv2,*socio=nil un certain nombre *socio=nil de leurs collègues se sont demandé si son objectif*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme *socio=nil était assez ambitieux*socio=uv2, compte*socio=ec1 tenu des pressions*socio=ec2 à plus long_terme*socio=te que certains facteurs*socio=rien comme le vieillissement*socio=ec2 de la population*socio=ac vont exercer sur*socio=rien les dépenses*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac. En outre, étant donné que d'importants*socio=uv4 déficits*socio=ec1 étaient apparus dans les régimes*socio=et d'assurance-maladie*socio=et et d'assurance-chômage*socio=et les administrateurs*socio=ac ont pressé les autorités*socio=et de ramener à *socio=rien moyen terme le*socio=nil système de*socio=nil sécurité_sociale*socio=et *socio=nil à l'équilibre*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac se sont aussi inquiétés de l'importance*socio=rien et de la persistance*socio=te du*socio=rien chômage*socio=ec1, causées par de *socio=uv4 graves problèmes structurels*socio=ec2 sur*socio=rien le*socio=nil marché_du_travail*socio=ec1 *socio=nil dus aux charges*socio=rien sociales*socio=et excessives*socio=uv4, au niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 du*socio=rien salaire*socio=ec1 minimum*socio=rien, au manque*socio=rien de formation*socio=et, ainsi qu'à diverses*socio=rien *socio=et restrictions administratives *socio=nil appliquées aux pratiques*socio=et d'embauche*socio=ec1. Ils ont encouragé les autorités*socio=et à accroître la souplesse*socio=uv3 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1, à réduire les indemnités*socio=ec1 de chômage*socio=ec1, et à remplacer la part*socio=rien patronale*socio=ac des cotisations*socio=ec1 sociales*socio=et par un*socio=rien impôt*socio=et général*socio=rien assis sur*socio=rien tous les revenus*socio=ec1. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont également recommandé l'assouplissement*socio=uv3 des salaires*socio=ec1 des jeunes*socio=ac. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont encouragé les autorités*socio=et à résister avec plus de fermeté*socio=rien aux pressions*socio=ec2 des groupes_d'_intérêt*socio=ac et à défendre plus énergiquement les principes*socio=ec2 du*socio=rien libre-échange*socio=et. Ils les ont appelées à prendre l'initiative*socio=rien pour ouvrir les marchés*socio=ec1 de l'UE*socio=ac aux biens*socio=ec1 provenant d'autres pays*socio=ac, y compris ceux d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te. Pour conclure, les administrateurs*socio=ac ont félicité la France*socio=ac pour la vigueur*socio=uv3 de son aide_publique_au_développement*socio=et et pour ses efforts*socio=uv1 de réduction*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Canada*socio=ac. Les consultations*socio=uv1 de 1994 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec le Canada*socio=ac se sont déroulées sur*socio=rien le fond*socio=rien d'une reprise lente*socio=rien mais progressivement*socio=rien plus assurée de l'activité_économique*socio=ec1. Le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien, qui avait régressé en 1991 et avait augmenté de moins de 1 % en 1992, a progressé de 2,4 % en 1993. Mais, par rapport*socio=rien aux retournements précédents*socio=rien de la conjoncture*socio=ec2, le rythme*socio=ec2 de la reprise actuelle*socio=te est*socio=rien resté lent*socio=rien, et, pendant toute l'année*socio=rien qui a précédé les discussions*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac, l'activité*socio=rien est*socio=rien demeurée médiocre*socio=uv2 dans certains secteurs*socio=rien de l'économie*socio=ec1 (tableau*socio=rien 9). Le manque*socio=rien de vigueur*socio=uv3 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 et la faible*socio=rien croissance*socio=uv3 des revenus*socio=ec1 ont pesé sur*socio=rien le niveau*socio=rien de confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac et freiné les dépenses*socio=ec1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et. Le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 a continué de croître après*socio=rien la fin*socio=rien de la récession*socio=ec2 de 1990 / 91 et est*socio=rien demeuré, à partir *socio=rien du début *socio=nil de 1992, supérieur*socio=rien à 11 %. En effet*socio=rien, l'accroissement*socio=ec2 de l'intensité*socio=rien capitalistique et la restructuration*socio=et industrielle*socio=ec1 ont augmenté la productivité*socio=uv3 plus rapidement que l'emploi*socio=ec1. La poursuite*socio=rien de la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 a stimulé l'investissement*socio=ec1. En 1993, les autorités*socio=et ont assoupli les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil pour la *socio=rien troisième année consécutive,*socio=nil l'*socio=nil inflation*socio=ec1 *socio=nil se maintenant autour de l'hypothèse*socio=ec2 basse*socio=rien de la *socio=rien fourchette retenue comme*socio=nil objectif*socio=uv3 *socio=nil en 1991 par l' administration_centrale*socio=ac et par la banque_du_canada*socio=ac. À partir de février*socio=rien 1994, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 se sont relevés en réaction*socio=rien à la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac et aux pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et des capitaux*socio=ec1. L'excédent*socio=ec1 du*socio=rien commerce*socio=ec1 des marchandises*socio=ec1 a doublé sur*socio=rien les deux années*socio=rien 1992 - 93, les exportations*socio=ec1 réelles*socio=ec2 ayant enregistré une forte*socio=rien croissance*socio=uv3 grâce*socio=rien à la reprise de l'activité*socio=rien aux États-unis*socio=ac, aux gains*socio=ec1 de compétitivité*socio=uv3 engendrés par les mesures*socio=et de réduction*socio=ec2 des coûts*socio=ec1 prises*socio=rien par les entreprises*socio=ac et à la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1. Le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif nominal *socio=nil de celui-ci a diminué de 15 % environ sur*socio=rien 1992 - 93, soit une baisse*socio=ec2 proche de 20 % compte*socio=ec1 tenu de l'inflation*socio=ec1. Lors*socio=rien de leur examen*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac, les administrateurs*socio=ac ont approuvé les propositions*socio=rien de réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et contenues dans le budget*socio=ec1 présenté en février*socio=rien 1994, y voyant*socio=rien une étape*socio=te nécessaire*socio=rien vers l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Ils ont souligné qu'il importait d'appliquer énergiquement le programme*socio=et de *socio=et mesures budgétaires,*socio=nil *socio=nil qui vise à ramener le déficit*socio=ec1 du*socio=rien budget*socio=ec1 à 3 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1996 / 97, contre *socio=rien un niveau *socio=nil estimé à 6 1/2% du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1993 / 94. Les administrateurs*socio=ac ont toutefois observé que, même si l'objectif*socio=uv3 de 3 % est*socio=rien atteint, le taux*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1 par rapport*socio=rien au PIB*socio=ec1 n'en restera pas moins très élevé*socio=uv4. Eu égard*socio=rien à ce *socio=rien fort niveau d'*socio=nil endettement*socio=ec1 *socio=nil et à l'effet*socio=rien perturbateur que la situation*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et semble exercer sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et des capitaux*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont instamment invité les autorités*socio=et à intensifier leurs efforts*socio=uv1 d'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et, en tirant tout le parti*socio=et possible*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 pour accélérer la réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 et celle du*socio=rien taux*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1 par rapport*socio=rien au PIB*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont noté avec préoccupation*socio=uv4 le fort*socio=rien taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2 au Canada*socio=ac, mais ont estimé encourageants*socio=uv4 les plans*socio=rien qu'ont préparés les autorités*socio=et en vue*socio=rien &une réforme*socio=et d'ensemble*socio=rien *socio=rien du système d'*socio=nil assurance-chômage*socio=et *socio=nil et des programmes_sociaux*socio=et. Ils sont convenus qu'il faudrait coordonner ces réformes*socio=et avec les provinces*socio=ac et que ces réformes*socio=et devraient par ailleurs*socio=rien avoir pour effet*socio=rien de réduire l'incidence*socio=ec2 défavorable*socio=uv4 *socio=rien du système d'*socio=nil assurance-chômage*socio=et sur l'*socio=nil économie*socio=ec1 *socio=nil et contribuer à dégager des économies*socio=ec1 budgétaires*socio=et au niveau*socio=rien tant provincial*socio=te que fédéral*socio=et de l'administration*socio=ec1. Tout en reconnaissant le coût*socio=ec1 à court_terme*socio=te *socio=rien du point de*socio=nil vue *socio=nil de l' activité_économique*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont félicité les autorités*socio=et de leur succès*socio=uv1 dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 et ils sont tombés d'accord*socio=uv1 que cette réussite*socio=uv1 avait jeté les bases*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4. Ils ont affirmé que si le Canada*socio=ac renforçait ses efforts*socio=uv1 &assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et, il serait mieux à même d'atteindre les objectifs*socio=uv3 de sa politique_monétaire*socio=et. Le recours*socio=ec1 à des objectifs*socio=uv3 explicites*socio=rien en matière*socio=rien d'inflation*socio=ec1 avait, selon eux, aidé à préciser l'engagement*socio=uv1 pris par les autorités*socio=et en faveur*socio=rien d'un*socio=rien cadre*socio=rien de politique_monétaire*socio=et stable*socio=uv4, même si, de toute évidence*socio=rien, c'est*socio=rien le maintien*socio=rien de la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 lors*socio=rien de la phase*socio=te *socio=rien ascendante du cycle*socio=te économique*socio=ec1 *socio=nil qui constituera la *socio=rien véritable épreuve de*socio=nil crédibilité*socio=uv1 *socio=nil pour ces objectifs*socio=uv3. pays_en_développement*socio=uv3. Argentine*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac se sont réunis en juillet*socio=rien 1993 pour discuter des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec l'Argentine*socio=ac et de la cinquième*socio=rien revue de son accord élargi avec le FMI*socio=ac. L'Argentine*socio=ac avait alors fait*socio=rien des progrès*socio=uv1 *socio=rien considérables sur la*socio=nil voie *socio=nil de la stabilisation*socio=et et de la réforme*socio=et structurelle*socio=ec2 depuis l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 de la loi*socio=et sur*socio=rien la convertibilité*socio=ec1 en mars*socio=rien 1991. Les finances*socio=ec1 publiques*socio=et avaient été*socio=rien consolidées, l'économie*socio=ec1 libéralisée et le processus*socio=te de privatisation*socio=et s'était accéléré. Ces succès*socio=uv1 ont suscité d'importants*socio=uv4 apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 qui ont soutenu une forte*socio=rien reprise de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et l'essor*socio=rien de l' activité_économique*socio=ec1, le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien augmentant d'environ 9 % par an*socio=rien en 1991 et 1992 et de 4 % en 1993, d'après*socio=rien les projections*socio=ec2 qui ont été*socio=rien ensuite révisées à 6 % (tableau*socio=rien 24). Cette phase*socio=te ascendante*socio=rien s'est*socio=rien poursuivie durant les quatre *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1993, la plupart*socio=rien des indicateurs*socio=ec1 marquant*socio=rien une augmentation*socio=ec2 par rapport*socio=rien à la période*socio=te correspondante*socio=rien de l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Les apports*socio=rien de capitaux_privés*socio=ec1 ont continué à un*socio=rien rythme*socio=ec2 soutenu, grâce*socio=rien au maintien*socio=rien des différentiels*socio=ec1 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 et au regain*socio=ec2 de confiance*socio=uv1 à la suite*socio=rien d'une brève*socio=rien période*socio=te de spéculation*socio=ec1 sur*socio=rien le peso*socio=ec1 en novembre*socio=rien 1992, à la *socio=rien maîtrise continue des*socio=nil dépenses*socio=ec1 *socio=nil dans le secteur_public*socio=et et à la conclusion*socio=rien de l'opération*socio=rien de réduction*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 et de son service*socio=et avec les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 créditrices*socio=ac en avril*socio=rien 1993. Dans le domaine*socio=rien budgétaire*socio=et, l'excédent*socio=ec1 primaire*socio=rien des *socio=rien opérations du secteur_public*socio=et non*socio=nil financier*socio=ec1 *socio=nil a atteint l'équivalent*socio=rien de 2,2 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1993. Le fort*socio=rien accroissement*socio=ec2 des dépôts*socio=ec1, imputable*socio=uv2 à la monétisation rapide*socio=rien et à la réduction*socio=ec2 des avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 des banques*socio=ac en mars*socio=rien et avril*socio=rien 1993, a permis*socio=rien une expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens large *socio=nil de 60 % en taux*socio=ec1 annuel*socio=te ainsi qu'un*socio=rien accroissement*socio=ec2 sensible*socio=rien de la capacité*socio=uv3 de prêt*socio=ec1 des banques*socio=ac durant les quatre *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1993. Ces facteurs*socio=rien ont maintenu l'effet*socio=rien d'attraction*socio=rien *socio=rien rapide du crédit*socio=ec1 au*socio=nil secteur_privé*socio=et *socio=nil qui avait caractérisé les deux *socio=rien années précédentes.*socio=nil Le*socio=nil taux*socio=ec1 *socio=nil de monétisation est*socio=rien toutefois resté inférieur*socio=rien aux niveaux*socio=rien historiques*socio=te. La *socio=rien première émission sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 intérieur*socio=te et*socio=nil internationaux*socio=te d'*socio=nil actions*socio=ec1 *socio=nil de la société*socio=ac pétrolière*socio=ec1 d'État*socio=ac YPF, équivalant à 58 % *socio=rien du total des*socio=nil actions*socio=ec1 avec*socio=nil droit_de_vote*socio=et,*socio=nil *socio=nil a eu lieu*socio=rien en juillet*socio=rien 1993. Le produit*socio=rien de cette vente*socio=ec1, de plus de 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, a servi à réduire encore l'endettement*socio=ec1 de l'État*socio=ac, et l'incidence*socio=ec2 sur*socio=rien la masse_monétaire*socio=ec1 de l'injection dans l'économie*socio=ec1 des recettes*socio=ec1 nettes*socio=rien provenant de l'étranger*socio=te a été*socio=rien stérilisée. Les administrateurs*socio=ac ont loué les autorités*socio=et pour les progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien réalisés dans le *socio=rien cadre du programme*socio=et *socio=nil et ils ont souligné que la priorité*socio=uv4 devait alors être*socio=rien donnée à l'accroissement*socio=ec2 de l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te, ce qui permettrait de mieux maîtriser*socio=rien la demande_globale*socio=ec1 afin d'améliorer la position*socio=rien des transactions_courantes*socio=te et de réduire le recours*socio=ec1 aux apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 pour financer l'investissement*socio=ec1. Notant que la consolidation*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et de l'épargne*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et devait jouer un*socio=rien rôle*socio=et de *socio=rien premier plan *socio=nil dans la stratégie*socio=et du*socio=rien gouvernement*socio=ac, les administrateurs*socio=ac ont estimé qu'il était essentiel*socio=uv4 de continuer à améliorer l'administration*socio=ec1 de l'impôt*socio=et, en particulier*socio=rien dans le domaine*socio=rien des taxes*socio=et de sécurité_sociale*socio=et, et à contenir les dépenses*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont d'autre part*socio=rien invité instamment les autorités*socio=et à poursuivre leurs réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, et se sont déclarés déçus que l'approbation*socio=uv1 de la réforme*socio=et *socio=rien du système de*socio=nil sécurité_sociale*socio=et ait*socio=nil été *socio=nil retardée. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont jugé la politique_monétaire*socio=et trop facile*socio=rien et pressé les autorités*socio=et de freiner l'expansion*socio=ec2, par trop rapide*socio=rien, du*socio=rien crédit*socio=ec1. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont noté que si l'inflation*socio=ec1 était restée supérieure*socio=rien aux niveaux*socio=rien enregistrés dans les pays_industrialisés*socio=ac, elle avait toutefois diminué sensiblement depuis que le *socio=rien rattachement du peso*socio=ec1 au*socio=nil dollar_éu*socio=ec1 *socio=nil avait donné *socio=rien un point d'*socio=nil ancrage au*socio=nil taux_de_change*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont déclarés préoccupés par la *socio=rien hausse du taux_de_change*socio=ec1 effectif réel du peso*socio=ec1 après le*socio=nil passage *socio=nil de la loi*socio=et sur*socio=rien la convertibilité*socio=ec1, mais ils ont noté que les mesures*socio=et de déréglementation*socio=et, le comportement*socio=rien des salaires*socio=ec1 et les modifications*socio=rien apportées à la fiscalité*socio=et avaient compensé dans une *socio=rien large mesure la*socio=nil perte*socio=ec2 de*socio=nil compétitivité*socio=uv3 internationale*socio=ac.*socio=nil Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont noté les effets*socio=rien positifs*socio=uv4 du*socio=rien régime*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 fixe sur*socio=rien la discipline*socio=uv1 monétaire*socio=ec1 et budgétaire*socio=et et les revendications*socio=uv1 salariales*socio=ec1, et ils ont insisté sur*socio=rien l'importance*socio=rien *socio=rien du maintien *socio=nil de sa crédibilité*socio=uv1. À cet égard*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont souligné qu'il était essentiel*socio=uv4 de prendre des mesures*socio=et pour réduire les rigidités*socio=uv3 dans l'économie*socio=ec1, en particulier*socio=rien de procéder à une réforme*socio=et de la législation*socio=et *socio=rien du travail *socio=nil afin de faciliter la mobilité*socio=uv3 de la main_d'_oeuvre*socio=ac et d'assouplir les conditions*socio=ec1 de l'emploi*socio=ec1. taux_de_change*socio=ec1 et données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4. Lors*socio=rien d'un*socio=rien séminaire*socio=ac en mars*socio=rien 1994, le Conseil*socio=ac a discuté d'une étude*socio=ec2 des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac consacrée aux méthodes*socio=ec2 d'évaluation*socio=ec2 de la compatibilité*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 avec les données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4. L'objet*socio=rien de cette étude*socio=ec2 était de mettre à jour*socio=rien et de développer les travaux*socio=rien déjà effectués au FMI*socio=ac sur*socio=rien l'évaluation*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 - question*socio=rien qui continue*socio=rien de faire *socio=rien partie intégrante des*socio=nil activités de*socio=nil surveillance*socio=et du FMI*socio=ac *socio=nil dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, des *socio=rien rapports sur les*socio=nil Perspectives*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et les marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te (International*socio=te Capital*socio=ec1 Markets), ainsi que des *socio=rien séances du Conseil*socio=ac *socio=nil consacrées à l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 et des marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont estimé que cette étude*socio=ec2 offrait une récapitulation utile*socio=uv4 des principales*socio=rien méthodes*socio=ec2 qui permettent d'évaluer la relation*socio=rien entre les données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 et le taux_de_change*socio=ec1. Ces administrateurs*socio=ac ont été*socio=rien d'accord*socio=uv1 avec les auteurs*socio=rien pour penser que la méthode*socio=ec2 fondée sur*socio=rien l'équilibre*socio=ec2 macro-économique*socio=ec1, prônée par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, a l'avantage d'établir de *socio=rien manière systématique la*socio=nil relation *socio=nil entre le taux_de_change*socio=ec1 et les données fondamentales*socio=uv4, ce qui donne *socio=rien un cadre *socio=nil séduisant pour évaluer l'évolution*socio=te du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1. Cette approche suppose l'identification*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 compatibles*socio=rien avec des équilibres intérieur*socio=te et extérieur*socio=te à *socio=rien moyen terme,*socio=nil définis *socio=nil respectivement comme suit: *socio=rien un niveau de*socio=nil production*socio=ec1 *socio=nil correspondant au plein_emploi*socio=uv3 des capacités*socio=uv3 dans le contexte*socio=rien d'un*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 faible*socio=rien et stable*socio=uv4, et un*socio=rien équilibre*socio=ec2 des *socio=te transactions_courantes extérieures *socio=nil issu de niveaux*socio=rien soutenables*socio=uv4 d'épargne*socio=ec1 et d'investissement*socio=ec1 nationaux*socio=te. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont cependant attiré l'attention*socio=rien sur*socio=rien les problèmes*socio=uv4 que soulève l'application*socio=rien de cette approche de l'équilibre*socio=ec2 intérieur*socio=te et extérieur*socio=te, notamment la difficulté*socio=uv4 de s'accorder sur*socio=rien une définition*socio=rien de l'équilibre*socio=ec2 macro-économique*socio=ec1 et de la maintenir sur*socio=rien une longue*socio=rien période*socio=te alors que les économies*socio=ec1 nationales*socio=te et l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te subissent des *socio=ec2 transformations structurelles.*socio=nil *socio=nil Il a été*socio=rien noté que dans certains pays*socio=ac les soldes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te et les taux_de_change*socio=ec1 étaient caractérisés par de fortes*socio=rien fluctuations*socio=ec2 sur*socio=rien de longues*socio=rien périodes*socio=te, d'où la difficulté*socio=uv4 de définir*socio=rien l'équilibre*socio=ec2 macro-économique*socio=ec1 d'un*socio=rien pays*socio=ac à *socio=rien un moment *socio=nil donné. Aussi, la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont-ils fait*socio=rien valoir que cette méthode*socio=ec2 ne pouvait pas permettre d'estimer avec précision*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1 compatible*socio=rien avec les données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4, étant donné que les incertitudes*socio=uv3 inhérentes*socio=rien aux calculs*socio=rien de base*socio=rien impliquent une certaine*socio=rien marge d'erreur*socio=uv4 dans les estimations*socio=ec2. Au vu de ces considérations*socio=rien, quelques administrateurs*socio=ac se sont déclarés sceptiques quant à l'utilité*socio=rien, sur*socio=rien le *socio=rien plan pratique,*socio=nil des*socio=nil méthodes*socio=ec2 *socio=nil présentées dans l'étude*socio=ec2. En outre, plusieurs administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer qu'il est*socio=rien souvent plus important*socio=uv4 d'identifier les causes*socio=rien de tel ou tel aspect*socio=rien de l'évolution*socio=te d'une économie*socio=ec1 pour établir *socio=rien un diagnostic correct du comportement du taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil et prescrire la politique*socio=et appropriée que de savoir*socio=rien exactement ce que le taux_de_change*socio=ec1 d'équilibre*socio=ec2 macro-économique*socio=ec1 devrait être*socio=rien. On ne peut donc pas évaluer le taux_de_change*socio=ec1 isolément; il faut le considérer sous les multiples*socio=rien facettes de la situation*socio=rien macro-économique*socio=ec1 dans son ensemble*socio=rien. De l'avis*socio=rien de certains administrateurs*socio=ac, le message*socio=rien à cet *socio=rien égard est *socio=nil que la surveillance*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 passe manifestement par la surveillance*socio=et macro-économique*socio=ec1. Enfin, si l'approche de l'équilibre*socio=ec2 macro-économique*socio=ec1 est*socio=rien généralement considérée comme la principale*socio=rien méthode*socio=ec2 d'évaluation*socio=ec2 de la compatibilité*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 avec les données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4, elle doit être*socio=rien complétée par d'autres méthodes*socio=ec2, reposant par *socio=rien exemple sur les*socio=nil indicateurs*socio=ec1 *socio=nil de la compétitivité*socio=uv3 internationale*socio=ac et la parité*socio=ec1 des pouvoirs*socio=et d'achat*socio=ec1; ces mesures*socio=et restent utiles*socio=uv4 dans maintes circonstances*socio=rien et permettent de mettre en lumière*socio=rien des relations*socio=rien économiques*socio=ec1 clés*socio=rien. Dans l'ensemble*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir que l'évaluation*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 doit reposer sur*socio=rien tous les éléments*socio=rien d'information*socio=rien disponibles*socio=rien et que l'interprétation*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 obtenus par la méthode*socio=ec2 de l'équilibre*socio=ec2 macro-économique*socio=ec1 fait*socio=rien intervenir une *socio=rien part considérable de*socio=nil jugement.*socio=nil Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont estimé que l'étude*socio=ec2 n'attachait pas suffisamment d'importance*socio=rien au rôle*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 dans les fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1. Les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 exercent actuellement une influence *socio=rien prépondérante sur les*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil et ne sont plus *socio=rien un élément *socio=nil rapporté aux *socio=ec1 flux commerciaux,*socio=nil *socio=nil ont-ils déclaré. Une évolution*socio=te connexe*socio=rien réside dans le fait*socio=rien que les marchés*socio=ec1 semblent de plus en plus axés sur*socio=rien le futur*socio=te, et par conséquent*socio=rien, le rôle*socio=et des anticipations*socio=uv3 dans les mouvements_de_capitaux*socio=ec1 et les variations*socio=rien des *socio=ec1 taux_de_change demande à*socio=nil être*socio=rien *socio=nil étudié de plus près dans le contexte*socio=rien de l'évaluation*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1. Liquidité*socio=ec1 internationale*socio=ac et allocation*socio=et de DTS. L'un*socio=rien des principaux*socio=rien buts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac est*socio=rien de faciliter l'expansion*socio=ec2 et la croissance*socio=uv3 équilibrée du*socio=rien commerce*socio=ec1 international*socio=te La participation*socio=uv3 effective*socio=rien des pays_membres*socio=ac au *socio=rien système du commerce*socio=ec1 *socio=nil et des paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te exige des niveaux*socio=rien adéquats*socio=uv2 de réserves_internationales*socio=ec1. Le DTS *socio=rien est un actif*socio=ec1 de*socio=nil réserve*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil que le FMI*socio=ac peut créer dès lors*socio=rien qu'il établit l'existence*socio=rien d'un*socio=rien besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te d'ajouter aux réserves*socio=ec1 existantes*socio=rien. En réponse*socio=rien à la demande*socio=ec1 formulée dans la déclaration*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien 30 avril*socio=rien 1993, le conseil_d'_administration*socio=ac s'est*socio=rien réuni en juillet*socio=rien 1993 pour poursuivre son débat*socio=et sur*socio=rien la question*socio=rien d'une allocation*socio=et de DTS et les *socio=rien questions connexes,*socio=nil *socio=nil y compris celle d'une redistribution*socio=et à la suite*socio=rien de l'allocation*socio=et. Discutant du*socio=rien bien-fondé*socio=uv3 d'une allocation*socio=et éventuelle*socio=te, les administrateurs*socio=ac ont cherché à déterminer s'il existait un*socio=rien besoin*socio=uv1 mondial*socio=te d'augmenter les avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 existants*socio=rien et quels seraient les effets*socio=rien économiques*socio=ec1 et monétaires*socio=ec1 potentiels*socio=uv4 d'une éventuelle*socio=te allocation*socio=et. Le conseil_d'_administration*socio=ac a soumis le compte*socio=ec1 rendu de sa discussion*socio=et au comité_intérimaire*socio=ac en septembre*socio=rien 1993. La question*socio=rien d'une allocation*socio=et de DTS. Lors*socio=rien de leur discussion*socio=et de juillet*socio=rien 1993, la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac se sont déclarés favorables*socio=uv4 à une allocation*socio=et. Ceux qui percevaient l'existence*socio=rien d'un*socio=rien besoin*socio=uv1 mondial*socio=te à long_terme*socio=te se fondaient en *socio=rien partie sur des*socio=nil projections*socio=ec2 des*socio=nil services*socio=et du FMI*socio=ac *socio=nil selon lesquelles la demande*socio=ec1 de réserves*socio=ec1 était appelée à augmenter substantiellement durant la sixième*socio=rien période*socio=te de base*socio=rien (1992 à 1996) et sur*socio=rien le fait*socio=rien que de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 et pays*socio=ac en transition*socio=ec2 disposaient de très *socio=rien faibles niveaux de*socio=nil réserves*socio=ec1 en*socio=nil regard des*socio=nil normes*socio=et habituelles.*socio=nil Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont également invoqué les coûts*socio=ec1 relativement élevés*socio=uv4 pour la plupart*socio=rien des pays*socio=ac de l'acquisition*socio=rien de réserves*socio=ec1 par l'emprunt*socio=ec1 ou par la compression*socio=et de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et des importations*socio=ec1 nettes*socio=rien. Pour les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 et les pays*socio=ac en transition*socio=ec2, les *socio=ec1 coûts économiques et*socio=nil financiers *socio=nil de l'acquisition*socio=rien de réserves*socio=ec1 additionnelles*socio=ec2 dont ils avaient besoin*socio=uv1 à l'appui*socio=uv1 de leurs efforts*socio=uv1 de croissance*socio=uv3 et de transformation*socio=ec2 dépassaient substantiellement le coût*socio=ec1 d'opportunité*socio=uv3 économique*socio=ec1 de la création*socio=uv4 de réserves*socio=ec1 par une allocation*socio=et. D'autres administrateurs*socio=ac - représentant*socio=rien une minorité*socio=ac non *socio=rien négligeable du Conseil*socio=ac *socio=nil - qui n'étaient pas favorables*socio=uv4 à une allocation*socio=et, ne voyaient pas de preuve*socio=ec2 suffisamment convaincante*socio=rien d'un*socio=rien besoin*socio=uv1 mondial*socio=te à long_terme*socio=te d'ajouter aux avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 existants*socio=rien. Ils ont souligné que les ratios*socio=ec1 des réserves*socio=ec1 aux importations*socio=ec1 étaient alors relativement élevés*socio=uv4 pour le groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 et normaux*socio=rien pour les pays_industrialisés*socio=ac et que des pénuries*socio=ec2 de réserves*socio=ec1 dans tel ou tel pays*socio=ac ou groupe_de_pays*socio=ac ne constituaient pas un*socio=rien besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te. À leur avis*socio=rien, les crédits*socio=ec1 des marchés*socio=ec1 des capitaux_privés*socio=ec1 suffisaient en général*socio=rien pour satisfaire les besoins*socio=uv1 de réserves*socio=ec1 des pays*socio=ac qui suivaient des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 judicieuses*socio=uv4. En ce qui concerne les économies_en_transition*socio=ec1 et les pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 qui doivent procéder à un*socio=rien ajustement*socio=et, plusieurs administrateurs*socio=ac ont considéré que les ressources*socio=ec1 dont ils ont besoin*socio=uv1 sont de *socio=rien nature différente *socio=nil et qu'elles devraient provenir de la FTS, de la FASR*socio=ec1 et d'autres sources*socio=rien officielles*socio=et de financement*socio=ec1, sous_réserve*socio=ec1 de l'application*socio=rien de politiques*socio=et appropriées d'ajustement*socio=et macro-économique*socio=ec1 et de stabilisation*socio=et. À *socio=rien propos du rôle*socio=et *socio=nil et de l'avenir*socio=te du*socio=rien DTS en tant qu'actif*socio=ec1 de réserve*socio=ec1, il a été*socio=rien généralement convenu que, *socio=rien du point de*socio=nil vue aussi*socio=nil bien technique qu'*socio=nil opérationnel,*socio=nil *socio=nil le DTS était un*socio=rien actif*socio=ec1 à la *socio=rien fois bien *socio=nil conçu et compétitif*socio=uv4 qui répond à ses objectifs*socio=uv3. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont noté la concentration*socio=ec2 croissante*socio=rien des avoirs*socio=ec1 en DTS par rapport*socio=rien aux allocations*socio=et cumulatives*socio=ec2 dans *socio=rien un nombre *socio=nil relativement peu élevé*socio=uv4 de *socio=ac pays_membres créditeurs,*socio=nil *socio=nil ce qui s'explique non seulement par leur préférence*socio=rien en matière*socio=rien d'avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 mais aussi par la réticence*socio=uv3 de certains d'entre eux à se défaire de leurs DTS ou à les mettre à disposition*socio=et dans le cadre*socio=rien d'accords*socio=et bilatéraux*socio=et avec le FMI*socio=ac. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil estiment que la concentration*socio=ec2 croissante*socio=rien d'avoirs*socio=ec1 en DTS a abouti à une pénurie*socio=ec2 relative*socio=rien de DTS dans le système*socio=rien, qui a parfois causé certaines*socio=rien difficultés*socio=uv4 opérationnelles*socio=rien; en particulier*socio=rien, les *socio=rien utilisateurs nets *socio=nil de DTS ont eu des difficultés*socio=uv4 à reconstituer leurs avoirs*socio=ec1 en DTS aussi rapidement que leurs autres avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1. De l'avis*socio=rien général*socio=rien, dans un*socio=rien monde*socio=te où prédominent les régimes*socio=et de flottement*socio=ec1 dirigé des taux_de_change*socio=ec1, la détermination*socio=rien de la valeur*socio=ec1 du*socio=rien DTS selon la *socio=rien formule du panier standard*socio=nil reste *socio=nil appropriée. Allocation*socio=et de DTS et équité*socio=uv1. À la demande*socio=ec1 du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac en septembre*socio=rien 1993, le conseil_d'_administration*socio=ac s'est*socio=rien réuni à deux reprises, en mars*socio=rien et avril*socio=rien 1994, pour poursuivre son examen*socio=ec2 d'une éventuelle*socio=te allocation*socio=et de DTS et des *socio=rien questions connexes.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont penchés sur*socio=rien la question*socio=rien des pays_membres*socio=ac qui n'ont jamais reçu d'allocation*socio=et de DTS ou n'ont pas participé à toutes les allocation*socio=et de DTS depuis la première*socio=rien allocation*socio=et en janvier*socio=rien 1970. Ils ont envisagé trois *socio=rien solutions possibles:*socio=nil *socio=nil 1) une allocation*socio=et sélective*socio=uv4 destinée spécifiquement*socio=rien aux nouveaux*socio=rien membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac; 2) une réallocation de DTS avec l'annulation*socio=ec1 simultanée*socio=rien des DTS existants*socio=rien, combinée à une nouvelle*socio=rien allocation*socio=et proportionnelle*socio=rien aux quotes-parts*socio=et actuelles*socio=te des pays_membres*socio=ac; 3) une nouvelle*socio=rien allocation*socio=et pure*socio=rien et simple*socio=rien, d'un*socio=rien montant*socio=ec1 important*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac ont conclu qu'aux termes*socio=rien de ses statuts*socio=et, le FMI*socio=ac n'était pas actuellement habilité à procéder à une allocation*socio=et sélective*socio=uv4 de DTS aux nouveaux*socio=rien membres*socio=ac ou à effectuer une réallocation en annulant les DTS existants*socio=rien et en procédant à une nouvelle*socio=rien allocation*socio=et. Un*socio=rien amendement*socio=et aux statuts*socio=et serait nécessaire*socio=rien pour conférer cette autorité*socio=et au FMI*socio=ac, ce à quoi la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac n'étaient pas favorables*socio=uv4. Néanmoins, quelques administrateurs*socio=ac ont jugé souhaitable*socio=rien qu'un*socio=rien amendement*socio=et soit envisagé pour répondre spécifiquement*socio=rien à la question*socio=rien de l'équité*socio=uv1. Une allocation*socio=et traditionnelle*socio=rien de DTS à tous les participants*socio=ac réduirait le manque*socio=rien d'équité*socio=uv1 dans les ratios*socio=ec1 des allocations*socio=et cumulatives*socio=ec2 aux quotes-parts*socio=et des pays_membres*socio=ac. Presque tous les administrateurs*socio=ac ont été*socio=rien d'avis*socio=rien qu'en pratique*socio=rien, il n'y a pas de meilleure*socio=uv4 façon*socio=rien de remédier au problème*socio=uv4 de l'équité*socio=uv1 que d'offrir aux nouveaux*socio=rien membres*socio=ac une part*socio=rien appropriée *socio=rien du système *socio=nil des DTS au moyen*socio=rien d'une nouvelle*socio=rien allocation*socio=et. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont noté qu'une allocation*socio=et traditionnelle*socio=rien de 36 milliards*socio=rien de DTS porterait le ratio*socio=ec1 des allocations*socio=et aux quotes-parts*socio=et des nouveaux*socio=rien membres*socio=ac à 60% du*socio=rien ratio*socio=ec1 moyen*socio=rien pour les participants*socio=ac aux allocations*socio=et précédentes*socio=rien. Selon la proposition*socio=rien soumise, l'allocation*socio=et serait échelonnée sur*socio=rien une nouvelle*socio=rien période*socio=te de base*socio=rien de *socio=rien cinq ans *socio=nil (allant du*socio=rien 1er juillet*socio=rien 1994 au 30 juin*socio=rien 1999), la première*socio=rien allocation*socio=et s'élevant à 16 milliards*socio=rien de DTS, et étant suivie de quatre allocations*socio=et annuelles*socio=te de 5 milliards*socio=rien de DTS chacune. Mis à part*socio=rien la question*socio=rien de l'équité*socio=uv1, la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont continué de se déclarer favorables*socio=uv4 à une allocation*socio=et de DTS sur*socio=rien la base*socio=rien de la perception*socio=rien d'un*socio=rien besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te d'augmenter les réserves*socio=ec1. Cependant, *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil détenant une minorité*socio=ac non négligeable*socio=rien des voix*socio=rien attribuées étaient d'avis*socio=rien qu'une allocation*socio=et de DTS n'était pas non plus justifiée à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te soit parce qu'il n'existait pas, à leur avis*socio=rien, de besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te d'ajouter aux avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1, soit parce que la preuve*socio=ec2 d'un*socio=rien tel besoin*socio=uv1 n'avait pas été*socio=rien faite de manière*socio=rien satisfaisante*socio=uv4. Ces administrateurs*socio=ac ont souligné le rôle*socio=et que jouent les ressources*socio=ec1 *socio=rien conditionnelles du FMI*socio=ac *socio=nil pour satisfaire les besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 des économies_en_transition*socio=ec1, et ils ont fait*socio=rien valoir que les crédits*socio=ec1 des marchés*socio=ec1 des capitaux_privés*socio=ec1 étaient aptes à fournir des réserves*socio=ec1 en *socio=rien quantité suffisante aux*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui pratiquaient des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 bien*socio=rien conçues. Redistribution*socio=et postérieure à une allocation*socio=et de DTS. Tandis qu'un*socio=rien *socio=rien grand nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont déclarés favorables*socio=uv4 à une redistribution*socio=et postérieure à l'allocation*socio=et, lors*socio=rien de leur réunion*socio=rien de mars*socio=rien 1994, certains autres ne voyaient pas la nécessité*socio=uv1 d'envisager une telle formule*socio=rien dans le contexte*socio=rien d'une nouvelle*socio=rien allocation*socio=et de DTS. D'autres encore pensaient qu'une formule*socio=rien de redistribution*socio=et postérieure à l'allocation*socio=et soulèverait sur*socio=rien le *socio=rien plan pratique et*socio=nil juridique*socio=et des*socio=nil difficultés*socio=uv4 *socio=nil telles qu'elles excluaient de fait*socio=rien la participation*socio=uv3 de leur pays*socio=ac. Lors*socio=rien de leur discussion*socio=et d'avril*socio=rien 1994, la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont été*socio=rien d'accord*socio=uv1 pour ne pas continuer à envisager d'autres formules*socio=rien de redistribution*socio=et des DTS après*socio=rien l'allocation*socio=et. Certains se sont toutefois déclarés favorables*socio=uv4 à la mise au point*socio=rien de systèmes*socio=rien qui permettraient aux pays_membres*socio=ac de transférer plus facilement des ressources*socio=ec1, y compris des DTS nouvellement alloués, en vue*socio=rien de fournir des financements*socio=ec1 de balance_des_paiements*socio=ec1 aux pays_membres*socio=ac qui en ont besoin*socio=uv1 à l'appui*socio=uv1 de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et vigoureux*socio=rien. De l'avis*socio=rien de certains administrateurs*socio=ac, de tels systèmes*socio=rien aideraient à répartir les risques*socio=uv3 de prêts*socio=ec1 additionnels*socio=ec2 aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 et aux pays*socio=ac en transition*socio=ec2 entre le FMI*socio=ac et les *socio=ac pays créanciers participants.*socio=nil De*socio=nil nombreux*socio=rien administrateurs *socio=nil ont manifesté de l'intérêt*socio=uv1 pour le développement*socio=uv3 *socio=rien du concept des*socio=nil Comptes*socio=ec1 de*socio=nil fiducie*socio=ec1 pour*socio=nil cofinancement*socio=ec1 *socio=nil (CFC) qui seraient administrés*socio=rien par le FMI*socio=ac. Ces comptes*socio=ec1 ne seraient pas directement liés à une allocation*socio=et de DTS et ils pourraient être*socio=rien alimentés par les réserves*socio=ec1 existantes*socio=rien des pays_membres*socio=ac, par de nouvelles*socio=rien allocations*socio=et de DTS ou par des fonds*socio=ec1 d'autres sources*socio=rien. Les décaissements*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 des CFC seraient effectués dans les mêmes conditions*socio=ec1 que ceux de ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac, ce qui assurerait une conditionnalité appropriée. Bien*socio=rien que les *socio=rien modalités du fonctionnement *socio=nil de ces comptes*socio=ec1 demandent à être*socio=rien mises au point*socio=rien dans les détails*socio=rien, les grands*socio=rien principes*socio=ec2 qui les sous-tendent ont recueilli l'appui*socio=uv1 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac.*socio=nil Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac,*socio=nil *socio=nil dont plusieurs représentent des pays_en_développement*socio=uv3, ont indiqué qu'ils seraient prêts*socio=ec1 à envisager de fournir des ressources*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien des CFC. Cependant, plusieurs autres représentant*socio=rien des pays*socio=ac susceptibles*socio=rien de contribuer à ces comptes*socio=ec1 ont émis des doutes sur*socio=rien certains aspects*socio=rien de la formule*socio=rien proposée. En avril*socio=rien 1994, le comité_intérimaire*socio=ac a demandé au conseil_d'_administration*socio=ac de continuer à étudier les *socio=rien questions relatives *socio=nil aux DTS et de soumettre des recommandations*socio=et lors*socio=rien de la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac en*socio=nil octobre *socio=nil 1994. APPENDICE*socio=rien V : Communiqués de presse*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac et du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3. comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 International*socio=te. Quarante et *socio=rien unième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 26*socio=nil septembre *socio=nil 1993. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa quarante et *socio=rien unième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac *socio=nil le 26 septembre*socio=rien 1993 sous la présidence*socio=rien de M.. Philippe Maystadt, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 de la Belgique*socio=ac. Le Comité*socio=ac exprime ses remerciements*socio=rien au président*socio=ac sortant M.. Carlos Soichaga, ancien*socio=rien Ministre*socio=ac de l'économie*socio=ec1 et des finances*socio=ec1 de l'Espagne*socio=ac, pour la précieuse*socio=rien contribution*socio=uv1 qu'il a apportée aux *socio=rien travaux du Comité*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 2 - Le Comité*socio=ac exprime son *socio=rien inquiétude devant la*socio=nil faiblesse*socio=ec2 persistante *socio=nil de la croissance*socio=uv3 dans les pays_industrialisés*socio=ac ainsi que devant*socio=rien les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 de plus en plus élevés*socio=uv4 et les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et qui ne cessent de s'exercer. La reprise reste*socio=rien modérée en amérique_du_nord*socio=ac et ne s'est*socio=rien pas encore amorcée au japon*socio=ac et en Europe*socio=ac continentale*socio=te. Le Comité*socio=ac réaffirme donc son attachement*socio=uv1 à la stratégie*socio=et de coopération*socio=uv1 pour la croissance*socio=uv3 adoptée en avril*socio=rien 1993. Il prend note avec satisfaction*socio=uv3 de divers courants*socio=te d'évolution*socio=te qui s'accordent*socio=rien avec cette stratégie*socio=et et qui devraient contribuer à l'amélioration*socio=uv1 *socio=rien du climat économique*socio=ec1 *socio=nil : les faibles*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 auxquels sont parvenus de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac; la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 en Europe*socio=ac; la volonté*socio=uv1 d'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil affirmée en amérique_du_nord*socio=ac et dans plusieurs *socio=ac pays européens;*socio=nil les*socio=nil mesures*socio=et prises*socio=rien *socio=nil par le Japon*socio=ac en vue*socio=rien d'affermir la reprise de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te; enfin, la réaction*socio=rien favorable*socio=uv4 des marchés_financiers*socio=ec1 à cette évolution*socio=te d'ensemble*socio=rien. 3 - Le Comité*socio=ac considère qu'il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 de mener à *socio=rien bon terme les*socio=nil négociations*socio=et *socio=nil de l'uruguay_round*socio=et avant fin*socio=rien 1993 afin d'assurer le succès*socio=uv1 de la stratégie*socio=et de coopération*socio=uv1 et de restaurer la confiance*socio=uv1 dans les perspectives*socio=te d'avenir*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. À ce moment*socio=rien critique*socio=uv2 des négociations*socio=et, le Comité*socio=ac souligne que le commerce*socio=ec1 international*socio=te et les forces*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 ont une incidence*socio=ec2 *socio=rien déterminante sur les*socio=nil perspectives*socio=te de*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil de tous les pays*socio=ac et que la libéralisation*socio=et des échanges_commerciaux*socio=ec1 *socio=rien est créatrice d'*socio=nil emplois*socio=ec1 Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil attend de tous les pays*socio=ac qu'ils fassent preuve*socio=ec2 d'initiative*socio=rien et de hauteur*socio=rien de vue*socio=rien afin de résoudre les problèmes*socio=uv4 qui subsistent et de conclure les négociations*socio=et d'ici à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. Faute de quoi, on risquerait de renforcer les pressions*socio=ec2 en *socio=rien faveur du protectionnisme*socio=et,*socio=nil *socio=nil d'ébranler la confiance*socio=uv1 des milieux_d'_affaires*socio=ac et d'affaiblir la croissance*socio=uv3 dans tous les pays*socio=ac. 4 - Le Comité*socio=ac souligne que tous les pays_membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac doivent continuer à promouvoir sans relâche une vigoureuse*socio=rien reprise économique*socio=ec1 et une expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4. La poursuite*socio=rien des progrès*socio=uv1 dans la stabilisation*socio=et des prix*socio=ec1 et dans la réduction*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et donnerait une marge de manoeuvre*socio=rien qui permettrait de nouvelles*socio=rien baisses des taux_d'_intérêt*socio=ec1. À mesure*socio=rien que la reprise s'affirmera, il faudra que les pays_industrialisés*socio=ac continuent d'assainir leurs finances*socio=ec1 publiques*socio=et pour faire croître l'épargne*socio=ec1 et l'investissement_privé*socio=et. Il faudra aussi accorder une priorité*socio=uv4 plus élevée*socio=uv4 aux réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 dans les pays_industrialisés*socio=ac afin d'améliorer les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 à plus long_terme*socio=te; il s'agit d'assouplir les marchés_du_travail*socio=ec1, de réformer les systèmes*socio=rien de sécurité_sociale*socio=et et de *socio=et santé publique,*socio=nil *socio=nil et de favoriser l'ouverture*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 et la déréglementation*socio=et. Le Comité*socio=ac réaffirme son appui*socio=uv1 aux efforts*socio=uv1 que déploie le FMI*socio=ac pour exercer une surveillance*socio=et renforcée sur*socio=rien la politique_économique*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. 5 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 *socio=rien reste vigoureuse dans*socio=nil nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil grâce *socio=nil à l'application*socio=rien constante*socio=rien de politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 saines*socio=uv2 et à l'assouplissement*socio=uv3 progressif*socio=rien des rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2. Le Comité*socio=ac se félicite en particulier*socio=rien de la contribution*socio=uv1 significative*socio=uv4 que les pays_en_développement*socio=uv3 apportent à la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 mondiale*socio=te et à l'expansion*socio=ec2 des échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te *socio=rien du fait *socio=nil de leur politique*socio=et d'ouverture*socio=uv3. Les *socio=rien bons résultats *socio=nil que donne cette politique*socio=et devraient servir à encourager les pays_en_développement*socio=uv3 où la stabilisation_macro-économique*socio=ec1 et la réforme*socio=et structurelle*socio=ec2 n'ont pas progressé aussi rapidement. 6 - Le Comité*socio=ac se déclare toutefois particulièrement *socio=rien inquiet du sort *socio=nil de beaucoup des pays_en_développement*socio=uv3 les_plus_pauvres*socio=uv2, d'Afrique*socio=ac surtout. Pour que leur situation*socio=rien ait des chances*socio=rien de s'améliorer, il faudra de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et, des efforts*socio=uv1 soutenus pour réduire encore leur endettement*socio=ec1, qui est*socio=rien excessif*socio=uv4, et un*socio=rien accroissement*socio=ec2 sensible*socio=rien de l'aide*socio=uv1 extérieure*socio=te assortie de modalités*socio=rien concessionnelles*socio=ec1. Tous les *socio=ac États membres *socio=nil reconnaissent que la FAS*socio=ec1 renforcée a particulièrement encouragé la mise en oeuvre*socio=rien de réformes*socio=et efficaces*socio=uv4 dans ces pays*socio=ac; le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac,*socio=nil *socio=nil y compris des pays_en_développement*socio=uv3, se sont déclarés prêts*socio=ec1 à contribuer au financement*socio=ec1 de la nouvelle*socio=rien facilité. Il engage vivement le plus *socio=rien grand nombre possible *socio=nil de contributeurs parmi les pays_membres*socio=ac à donner au plus tôt des indications*socio=rien de leur participation*socio=uv3 et demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de mettre en place*socio=rien rapidement le dispositif*socio=et convenu, afin d'assurer la continuité*socio=uv1 avec les opérations*socio=rien de la FAS*socio=ec1 renforcée après*socio=rien le 30 novembre*socio=rien 1993. 7 - Le Comité*socio=ac se félicite des progrès*socio=uv1 que nombre*socio=rien de pays*socio=ac anciennement sous le régime*socio=et de la planification*socio=et centrale*socio=rien ont accomplis dans la voie*socio=rien de la stabilisation*socio=et économique*socio=ec1 et de la transition*socio=ec2 vers l' économie_de_marché*socio=ec1, et du*socio=rien rôle*socio=et de catalyseur*socio=ec2 que le FMI*socio=ac y a joué pour mobiliser l'appui*socio=uv1 de la communauté*socio=ac financière*socio=ec1 internationale*socio=ac. En Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te, on s'attend à ce que la production*socio=ec1, en baisse*socio=ec2 depuis plusieurs années*socio=rien, enregistre une croissance*socio=uv3 modérée en 1994 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Cependant, certains pays*socio=ac de cette région*socio=te continuent à connaître une inflation*socio=ec1 élevée*socio=uv4 et à voir baisser leur production*socio=ec1; les uns et les autres sont encouragés à préserver la discipline*socio=uv1 macro-économique*socio=ec1 et à poursuivre la réforme*socio=et de leurs structures*socio=ec1, notamment dans les domaines*socio=rien de la privatisation*socio=et et de la réorganisation*socio=uv3 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil tout en prévoyant des dispositifs*socio=et de protection_sociale*socio=et adéquats*socio=uv2 et bien*socio=rien ciblés. 8 - S'il *socio=rien est vrai *socio=nil que les privatisations*socio=et et d'autres réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 gagnent *socio=rien du terrain *socio=nil dans plusieurs pays*socio=ac de l'ex-urss*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 demeure élevée*socio=uv4 dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, et elle atteint des *socio=rien sommets périlleux *socio=nil dans quelques grands*socio=rien pays*socio=ac. Pour juguler l'inflation*socio=ec1 et favoriser le *socio=rien jeu normal des*socio=nil forces_du_marché*socio=ec1,*socio=nil il*socio=nil est essentiel*socio=uv4 *socio=nil que tous ces pays*socio=ac s'attaquent à leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et, mènent une politique_monétaire*socio=et appropriée, encouragent la réforme*socio=et de leur secteur*socio=rien financier*socio=ec1 et imposent une discipline*socio=uv1 financière*socio=ec1 à leurs entreprises*socio=ac. Le Comité*socio=ac reconnaît que la plupart*socio=rien des pays*socio=ac de la région*socio=te ont de *socio=uv4 graves difficultés de*socio=nil balance_des_paiements*socio=ec1 *socio=rien du fait *socio=nil de l'alignement des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te sur*socio=rien les prix*socio=ec1 mondiaux*socio=te et de la réduction*socio=ec2 des transferts*socio=ec1 à l'intérieur*socio=te de la zone*socio=te. Leurs chances*socio=rien de recevoir l'assistance*socio=uv1 financière*socio=ec1 internationale*socio=ac dont ils ont tant besoin*socio=uv1, notamment au titre*socio=rien de la facilité pour la *socio=ec2 transformation systémique du*socio=rien FMI*socio=ac,*socio=nil *socio=nil dépendent de l'adoption*socio=uv3 et de la mise en oeuvre*socio=rien soutenue de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et ainsi que de la conclusion*socio=rien d'accords*socio=et prévoyant une coopération*socio=uv1 financière*socio=ec1 efficace*socio=uv4 entre les pays*socio=ac de la région*socio=te, de façon*socio=rien à améliorer le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te et à réduire les risques*socio=uv3 de fuite*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 et de perturbation*socio=ec2 des échanges_commerciaux*socio=ec1. La libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te sera particulièrement importante*socio=uv4 pour promouvoir la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 des pays*socio=ac en transition*socio=ec2. 9 - Ayant examiné *socio=rien un rapport du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil qui traite d'une éventuelle*socio=te allocation*socio=et de DTS et de *socio=rien sujets connexes,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil de poursuivre ses *socio=rien travaux sur ces*socio=nil questions *socio=nil - en songeant particulièrement à la situation*socio=rien des *socio=rien nombreux nouveaux pays_membres*socio=ac *socio=nil qui n'ont pas bénéficié des précédentes*socio=rien allocations*socio=et de DTS - et de lui faire rapport*socio=rien à sa *socio=rien prochaine réunion,*socio=nil *socio=nil qui se tiendra à Washington*socio=ac le 25 avril*socio=rien 1994. Quarante-deuxième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 25 avril*socio=rien 1994. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa quarante-deuxième réunion*socio=rien à Washington*socio=ac le 25 avril*socio=rien 1994 sous la présidence*socio=rien de M.. Philippe Maystadt, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 de la Belgique*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac prend note avec satisfaction*socio=uv3 des progrès*socio=uv1 sensibles*socio=rien accomplis dans l'exécution*socio=rien de la stratégie*socio=et de coopération*socio=uv1 pour la croissance*socio=uv3 qu'il avait définie*socio=rien dans sa déclaration*socio=et d'avril*socio=rien 1993 ainsi que de l'intensification*socio=ec2 de la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac sur*socio=rien les politiques_économiques*socio=et de ses pays_membres*socio=ac. L'heureux*socio=rien aboutissement*socio=rien de l'uruguay_round*socio=et va donner *socio=rien un nouvel élan au*socio=nil commerce*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil et créer *socio=rien un climat plus*socio=nil propice *socio=nil à la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 dans le monde*socio=te entier*socio=rien. Il faut maintenant que tous les pays*socio=ac intéressés fassent en sorte*socio=rien que l'accord*socio=et soit ratifié au plus tôt. Le Comité*socio=ac se félicite de la création*socio=uv4 de l' organisation_mondiale_du_commerce*socio=ac et attend avec intérêt*socio=uv1 de voir se développer une étroite*socio=rien coopération*socio=uv1 avec la nouvelle*socio=rien organisation*socio=ec1. 3 - Les conditions*socio=ec1 sont devenues plus favorables*socio=uv4 à une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te : l'inflation*socio=ec1 *socio=rien reste faible *socio=nil dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac; quelques pays*socio=ac ont fait*socio=rien des progrès*socio=uv1 sensibles*socio=rien vers le rééquilibrage*socio=uv3 de leur budget*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme;*socio=nil le*socio=nil japon*socio=ac *socio=nil a pris des mesures*socio=et supplémentaires*socio=rien de soutien*socio=uv3; les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te ont baissé et les tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 se sont atténuées en Europe*socio=ac. Dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, la stabilisation*socio=et et les réformes*socio=et ont progressé, ce qui a permis*socio=rien à la croissance*socio=uv3 de rester vigoureuse*socio=rien. Dans plusieurs pays*socio=ac en transition*socio=ec2, le processus*socio=te de réforme*socio=et a avancé, avec l'appui*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac, notamment dans le cadre*socio=rien de la nouvelle*socio=rien facilité pour la *socio=ec2 transformation systémique *socio=nil (M). La récente*socio=rien dévaluation*socio=ec2 du*socio=rien franc*socio=ec1 CFA et les courageuses mesures*socio=et d'accompagnement*socio=rien prises*socio=rien dans le contexte*socio=rien de programmes*socio=et appuyés par le M devraient faciliter la reprise de la croissance*socio=uv3 dans les pays*socio=ac intéressés. 4 - Dans le monde*socio=te industrialisé, la reprise *socio=rien est bien *socio=nil engagée dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil tels que les États-unis*socio=ac, le Royaume-uni*socio=ac et le Canada*socio=ac. Des signes de reprise sont manifestes en Europe*socio=ac continentale*socio=te et au Japon*socio=ac. Tous ces pays*socio=ac devront prendre de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et pour assurer une reprise plus large*socio=rien et soutenue. Dans les pays*socio=ac où la reprise est*socio=rien encore hésitante*socio=rien, la poursuite*socio=rien des progrès*socio=uv1 vers la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 permettrait de nouvelles*socio=rien baisses prudentes*socio=uv2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te; au japon*socio=ac, la politique_budgétaire*socio=et soutient la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Dans les pays_industrialisés*socio=ac où la reprise *socio=rien est bien *socio=nil engagée, la politique_monétaire*socio=et devrait être*socio=rien menée de manière*socio=rien à soutenir la reprise à *socio=rien moyen terme *socio=nil et à prévenir la réapparition*socio=rien des *socio=ec2 tensions inflationnistes,*socio=nil *socio=nil et il importe par ailleurs*socio=rien de continuer à s'attaquer de façon*socio=rien décisive*socio=uv4 aux déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et, Dans tous les pays*socio=ac, il *socio=rien est nécessaire *socio=nil de mettre en oeuvre*socio=rien avec énergie*socio=ec1 des plans*socio=rien de rééquilibrage*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme des*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et *socio=nil pour renforcer l'épargne*socio=ec1 nationale*socio=te et améliorer les perspectives*socio=te de la croissance*socio=uv3 et de l'emploi*socio=ec1. La discipline*socio=uv1 monétaire*socio=ec1 et budgétaire*socio=et aidera en outre à atténuer les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te. Le problème*socio=uv4 économique*socio=ec1 et social*socio=et le plus pressant*socio=rien dans beaucoup de pays_industrialisés*socio=ac reste*socio=rien le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 du*socio=rien chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2. Il est*socio=rien donc essentiel*socio=uv4 de profiter de la reprise pour appliquer avec vigueur*socio=uv3 des réformes*socio=et du*socio=rien marché*socio=ec1 de l'emploi*socio=ec1 qui s'attaquent aux *socio=rien causes profondes du chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil 5 - Le Comité*socio=ac constate avec satisfaction*socio=uv3 que la croissance*socio=uv3 demeure vigoureuse*socio=rien dans nombre*socio=rien de pays_en_développement*socio=uv3 qui ont mis en oeuvre*socio=rien des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 bien*socio=rien conçues et appliqué des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 et il note que l'environnement*socio=et commercial*socio=ec1 plus ouvert*socio=rien leur offre*socio=rien des perspectives*socio=te favorables*socio=uv4. Il constate toutefois avec préoccupation*socio=uv4 les difficultés*socio=uv4 que connaissent les pays_en_développement*socio=uv3 où le taux*socio=ec1 de l'épargne*socio=ec1 et celui de l'investissement*socio=ec1 productif*socio=uv4 sont insuffisants*socio=uv4 et où l'affectation*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 est*socio=rien déficiente, ce qui entraîne une stagnation*socio=ec1, voire une baisse*socio=ec2 du*socio=rien niveau_de_vie*socio=uv1. Dans ces pays*socio=ac comme dans les autres pays_en_développement*socio=uv3, les obstacles*socio=uv3 à une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 doivent être*socio=rien réduits et la capacité*socio=uv3 d'adaptation*socio=uv3 aux chocs*socio=ec2 extérieurs*socio=te doit être*socio=rien renforcée grâce*socio=rien à l'application*socio=rien de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2, à un*socio=rien appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 adéquat*socio=uv2 de la *socio=ac communauté internationale *socio=nil et à de meilleurs*socio=uv4 débouchés*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac. Pour les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, une approche souple*socio=uv4 des réductions*socio=ec2 du*socio=rien stock*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 par les créanciers*socio=ac *socio=et officiels bilatéraux *socio=nil sera en outre nécessaire*socio=rien, et il faudra aussi que ces pays*socio=ac continuent à bénéficier d'une aide*socio=uv1 extérieure*socio=te concessionnelle*socio=ec1. 6 - Le Comité*socio=ac se félicite *socio=rien du lancement des*socio=nil opérations *socio=nil de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 qui, maintenant élargie et étendue, permettra de continuer à donner un*socio=rien appui*socio=uv1 concessionnel*socio=ec1 aux pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 qui entreprennent de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et de réformes*socio=et. Il prend note avec satisfaction*socio=uv3 *socio=rien du large appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 *socio=nil que les pays_membres*socio=ac, y compris nombre*socio=rien de pays_en_développement*socio=uv3, ont donné à cette initiative*socio=rien. 7 - L'application*socio=rien soutenue des politiques*socio=et de stabilisation*socio=et et de réforme*socio=et menées par *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac en*socio=nil transition*socio=ec2 porte ses*socio=nil fruits.*socio=nil *socio=nil Il y a lieu*socio=rien de noter en particulier*socio=rien que la croissance*socio=uv3 reprend dans les pays*socio=ac qui ont réduit leur taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 et persévéré dans l'application*socio=rien de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 majeures*socio=rien, y compris la mise en place*socio=rien de nouvelles*socio=rien institutions*socio=ac et la *socio=rien poursuite constante *socio=nil de la restructuration*socio=et des entreprises*socio=ac. Inversement, pour d'autres pays*socio=ac qui diffèrent l'application*socio=rien de programmes*socio=et économiques*socio=ec1 de *socio=rien grande envergure,*socio=nil les*socio=nil coûts*socio=ec1 *socio=nil de ces retards*socio=rien ne sont que trop évidents*socio=rien. Le Comité*socio=ac salue l'adoption*socio=uv3 par la Russie*socio=ac d'un*socio=rien programme*socio=et auquel le FMI*socio=ac a apporté son appui*socio=uv1 au moyen*socio=rien d'un*socio=rien deuxième*socio=rien tirage*socio=ec1 au titre*socio=rien de la FTS, et souligne qu'il importe que ce programme*socio=et soit exécuté avec fermeté*socio=rien de façon*socio=rien à ouvrir la voie*socio=rien à un*socio=rien programme*socio=et plus vaste*socio=rien qui pourrait être*socio=rien appuyé par un*socio=rien accord*socio=et de confirmation*socio=et. 8 - La transition*socio=ec2 à l'économie_de_marché*socio=ec1 dans laquelle s'est*socio=rien engagé un*socio=rien groupe*socio=ac de nombreux*socio=rien pays*socio=ac est*socio=rien une entreprise*socio=ac historique*socio=te qui mérite*socio=rien le soutien*socio=uv3 entier*socio=rien et concerté de la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil Le*socio=nil principe*socio=ec2 directeur*socio=rien *socio=nil doit rester le même : lorsqu'il y a des assurances*socio=ec1 d'une action*socio=ec1 vigoureuse*socio=rien, il y a un*socio=rien appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 adéquat*socio=uv2. Le Comité*socio=ac invite le FMI*socio=ac à continuer de jouer un*socio=rien rôle*socio=et central*socio=rien dans ce processus*socio=te, notamment en donnant aux pays*socio=ac, s'il le faut, plus largement accès*socio=uv1 à ses propres*socio=rien ressources*socio=ec1, suivant*socio=rien la vigueur*socio=uv3 des programmes*socio=et qu'ils adoptent. Il ne faut pas que cette entreprise*socio=ac porte*socio=rien atteinte au caractère*socio=rien monétaire*socio=ec1 et au rôle*socio=et catalyseur*socio=ec2 du*socio=rien M et le Comité*socio=ac appelle tous les créanciers*socio=ac et donateurs*socio=ac potentiels*socio=uv4, bilatéraux*socio=et et multilatéraux*socio=et, à continuer d'y participer et de l'appuyer, en fournissant en temps*socio=rien voulu une aide*socio=uv1 adéquate*socio=uv2, parallèlement à celle du*socio=rien FMI*socio=ac. 9 - Le Comité*socio=ac a examiné le *socio=rien rapport du directeur_général*socio=ac sur la*socio=nil question *socio=nil d'une allocation*socio=et de DTS, étudiant*socio=ac en particulier*socio=rien comment remédier à la situation*socio=rien des pays_membres*socio=ac qui n'ont pas pris part*socio=rien aux précédentes*socio=rien allocations*socio=et de DTS, et comment permettre aux pays*socio=ac qui en ont la possibilité*socio=rien de mobiliser les DTS dont ils disposent à l'appui*socio=uv1 des programmes*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre ses *socio=rien travaux sur les*socio=nil questions relatives *socio=nil au DTS et de formuler ses recommandations*socio=et à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 10 - Le Comité*socio=ac a discuté de ses futurs*socio=te travaux*socio=rien, en *socio=rien particulier sur les*socio=nil questions relatives *socio=nil à l'ensemble*socio=rien *socio=rien du système et*socio=nil sur le*socio=nil renforcement*socio=ec2 *socio=nil de sa contribution*socio=uv1 à l'exercice*socio=rien efficace*socio=uv4 de la surveillance*socio=et et à la coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et, Il demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac d'étudier ces questions*socio=rien et de lui faire rapport*socio=rien d'ici à la *socio=rien prochaine réunion,*socio=nil *socio=nil qui se tiendra à Madrid le 2 octobre*socio=rien 1994. Comité*socio=ac ministériel*socio=et conjoint*socio=rien des conseils_des_gouverneurs_de_la_banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien le transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 aux pays_en_développement*socio=uv3 (Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3). Quarante-septième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 27 septembre*socio=rien 1993. 1 - Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa Quarante-septième réunion*socio=rien le 27 septembre*socio=rien 1993 à Washington*socio=ac, sous la présidence*socio=rien de M.. Rudolf Hommes*socio=ac, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et du*socio=rien crédit*socio=ec1 public*socio=et de Colombie*socio=ac. Le Comité*socio=ac a adressé ses remerciements*socio=rien à son ancien*socio=rien Président*socio=ac, M.. Ricardo Hausmann, du*socio=rien Venezuela*socio=ac. Gaza et Cisjordanie*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac s'est*socio=rien félicité de la remarquable*socio=rien contribution*socio=uv1 qu'a apportée la banque_mondiale*socio=ac au processus*socio=te de paix*socio=uv1 engagé au Moyen-orient*socio=ac en préparant le terrain*socio=rien à un*socio=rien programme*socio=et coordonné d'appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 pour Gaza et la Cisjordanie*socio=ac. Économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. 3 - Le Comité*socio=ac a examiné l'impact*socio=rien des tendances*socio=ec2 récentes*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te sur*socio=rien les pays_en_développement*socio=uv3. Il a lancé de *socio=rien nouveau un appel *socio=nil pour qu'un*socio=rien *socio=rien nouvel élan *socio=nil soit donné à la croissance*socio=uv3 dans les pays_industrialisés*socio=ac et que l'uruguay_round*socio=et trouve une conclusion*socio=rien positive*socio=uv4 d'ici à la fin*socio=rien de 1993 sur*socio=rien la base*socio=rien d'un*socio=rien accord*socio=et complet*socio=rien et équilibré, cela étant essentiel*socio=uv4 aux perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 des pays_industrialisés*socio=ac comme des pays_en_développement*socio=uv3. Aussi prend-il note avec satisfaction*socio=uv3 de la déclaration*socio=et conjointe*socio=rien de M.. Sutherland, M.. Preston*socio=ac et M.. Camdessus, diffusée le matin*socio=rien de sa réunion*socio=rien. Résultats*socio=rien de l'ajustement*socio=et et besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. 4 - Le Comité*socio=ac reconnaît les difficultés*socio=uv4 rencontrées par beaucoup de pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 pour apporter à leur économie*socio=ec1 les ajustements*socio=et nécessaires*socio=rien à leur progrès*socio=uv1 économique*socio=ec1 et social*socio=et. Les *socio=rien raisons principales *socio=nil en sont les déficiences*socio=uv3 de leur *socio=rien situation initiale,*socio=nil le*socio=nil manque d'*socio=nil épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te,*socio=nil l'*socio=nil insuffisance*socio=uv3 des*socio=nil moyens*socio=ec1 institutionnels*socio=et et*socio=nil administratifs*socio=et,*socio=nil l'*socio=nil application de*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil inappropriées qui ne peuvent être*socio=rien corrigées *socio=rien du jour au*socio=nil lendemain*socio=te,*socio=nil et*socio=nil un environnement*socio=et extérieur*socio=te défavorable*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Dans la plupart*socio=rien des domaines*socio=rien, leurs progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien plus lents*socio=rien que ceux des pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien. Mais il ressort d'un*socio=rien *socio=rien bilan préliminaire *socio=nil que les pays*socio=ac persévérant dans l'application*socio=rien d'énergiques*socio=ec1 politiques*socio=et d'ajustement*socio=et obtiennent de meilleurs*socio=uv4 résultats*socio=rien que les autres, Dans ces pays-là, on constate de notables*socio=rien progrès*socio=uv1 vers la stabilisation_macro-économique*socio=ec1, l'adoption*socio=uv3 de politiques*socio=et d' ouverture_au_monde*socio=te extérieur*socio=te et vers la libération*socio=uv3 des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te, notamment dans le secteur*socio=rien de l'agriculture*socio=ec1. Cependant, même dans ces pays*socio=ac, les réformes*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 *socio=nil et des entreprises*socio=ac publiques*socio=et ont pris *socio=rien du retard,*socio=nil *socio=nil et l'investissement_privé*socio=et a considérablement*socio=rien tardé à réagir. C'est*socio=rien pourquoi les améliorations*socio=uv1 n'ont pas encore débouché*socio=ec1 sur*socio=rien une augmentation*socio=ec2 soutenue du*socio=rien revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac, et tous les pays*socio=ac ne sont pas parvenus dans la même mesure*socio=rien à faire reculer la pauvreté*socio=uv1 et à protéger l'environnement*socio=et. 5 - Le Comité*socio=ac constate avec satisfaction*socio=uv3 le consensus*socio=uv1 politique*socio=et grandissant*socio=rien dont font l'objet*socio=rien les stratégies*socio=et d'ajustement*socio=et axées sur*socio=rien la stabilisation*socio=et et l'ouverture*socio=uv3 au marché*socio=ec1, alliées*socio=rien à la valorisation*socio=uv3 des ressources_humaines*socio=ec1 et à la lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1. Il est*socio=rien persuadé que ces stratégies*socio=et finiront par donner de *socio=rien bons résultats *socio=nil si elles sont appliquées avec persévérance*socio=uv1 et appuyées par des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 propices*socio=rien à un*socio=rien développement*socio=uv3 viable*socio=uv4 et durable*socio=uv4. Il engage donc vivement les pays*socio=ac qui ne se sont pas encore engagés sur*socio=rien la voie*socio=rien de l'ajustement*socio=et à définir*socio=rien et appliquer leurs propres*socio=rien programmes*socio=et sur*socio=rien cette base*socio=rien. La conception*socio=et des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et de l'aide*socio=uv1 extérieure*socio=te doit refléter le contexte*socio=rien socio-politique et la capacité*socio=uv3 institutionnelle*socio=ac des pays*socio=ac en cause*socio=rien. Les meilleurs*socio=uv4 programmes*socio=et sont donc ceux que le pays*socio=ac a lui-même choisis et établis. La Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 (selon le cas*socio=rien) porteront une attention*socio=rien accrue, dans leurs relations*socio=rien avec les *socio=ac pays emprunteurs,*socio=nil aux*socio=nil effets*socio=rien *socio=nil que les mesures*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et d'ajustement*socio=et, et la façon*socio=rien dont elles sont échelonnées, ont sur*socio=rien la pauvreté*socio=uv1, l'emploi*socio=ec1, l'investissement*socio=ec1 et l'environnement*socio=et. Certaines*socio=rien des leçons*socio=ec2 de l'expérience*socio=ec2 de l'Asie*socio=ac de l'_est*socio=te pourraient être*socio=rien utiles*socio=uv4 aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 d'aujourd'hui, notamment au plan*socio=rien des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1, de l'orientation*socio=et de la production*socio=ec1 vers le marché*socio=ec1 extérieur*socio=te, de la valorisation*socio=uv3 des ressources_humaines*socio=ec1 et de la formation*socio=et d'une fonction_publique*socio=et qualifiée*socio=uv4. 6 - Dans de *socio=rien nombreux cas,*socio=nil les*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil faible revenu*socio=ec1 auront*socio=nil besoin*socio=uv1 *socio=nil de compléter leur épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te par des investissements*socio=ec1 étrangers*socio=te, par l'obtention*socio=rien en temps*socio=rien voulu d'une substantielle*socio=rien aide*socio=uv1 *socio=ec1 financière concessionnelle,*socio=nil *socio=nil et par des allégements*socio=ec2 appropriés de leur dette*socio=ec1 bilatérale*socio=et. Pour obtenir*socio=rien de l'extérieur*socio=te l'appui*socio=uv1 et les investissements*socio=ec1 dont ils ont besoin*socio=uv1, ils devront maintenir leur attachement*socio=uv1 à la réforme*socio=et économique*socio=ec1, à la lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1, à la défense*socio=uv1 de l'environnement*socio=et, à la participation*socio=uv3 de la population*socio=ac et à une bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et. Les bailleurs_de_fonds*socio=ec1 devraient orienter leur aide*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1 en priorité*socio=uv4 vers les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 engagés dans un*socio=rien effort*socio=uv1 d'ajustement*socio=et. Ils devraient mener à bien*socio=rien la ratification*socio=et d'IDA-10 (Dixième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 de l' association_internationale_de_développement*socio=ac) dans les meilleurs*socio=uv4 délais*socio=rien, convenir d'un*socio=rien éventail*socio=rien de contributeurs aussi large*socio=rien que possible*socio=rien à la facilité appelée à succéder à la FASR*socio=ec1, s'attacher à ce que celle-ci soit mise en oeuvre*socio=rien rapidement, et apporter de substantiels*socio=rien concours bilatéraux*socio=et au Programme*socio=et spécial*socio=rien d'assurance*socio=ec1 (PSA*socio=et). Réforme*socio=et de la sécurité_sociale*socio=et et filets*socio=et de protection_sociale*socio=et. 7 - Le Comité*socio=ac a considéré la nécessité*socio=uv1 persistante*socio=rien d'une aide_sociale*socio=et, que ce soit pour faire face*socio=rien aux risques*socio=uv3 de l'existence*socio=rien ou pour aider ceux auxquels les indispensables*socio=uv4 mesures*socio=et d'ajustement*socio=et portent atteinte. Dans bien*socio=rien des cas*socio=rien, les systèmes*socio=rien d'assurance*socio=ec1 existants*socio=rien imposent une charge*socio=rien insoutenable*socio=uv4 au budget_de_l'_état*socio=ac et à la compétitivité*socio=uv3 *socio=rien du secteur *socio=nil structuré, tandis que d'importants*socio=uv4 groupes*socio=ac de population*socio=ac restent sans protection*socio=et. Il sera peut-être nécessaire*socio=rien de revoir à présent*socio=rien les droits*socio=uv1 conférés par les *socio=rien systèmes existants.*socio=nil *socio=nil Dans beaucoup de pays*socio=ac, y compris les économies_en_transition*socio=ec1, *socio=rien un système faisant*socio=nil appel *socio=nil à la fois*socio=rien au secteur_public*socio=et et au secteur_privé*socio=et sera approprié, mais le dosage*socio=rien entre les deux variera selon les cas*socio=rien. Les institutions_internationales*socio=ac peuvent soutenir cet effort*socio=uv1 en continuant à fournir une assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et des conseils*socio=ac sur*socio=rien les orientations*socio=et à suivre. 8 - Outre ces *socio=rien systèmes classiques de*socio=nil sécurité_sociale*socio=et,*socio=nil les*socio=nil pays*socio=ac engagés*socio=nil sur la*socio=nil voie *socio=nil de l'ajustement*socio=et ou d'une *socio=ec2 transformation systémique *socio=nil pourraient avoir besoin*socio=uv1 de mettre en place*socio=rien des filets*socio=et de protection_sociale*socio=et *socio=rien supplémentaires bien *socio=nil conçus; intégrés à leurs stratégies*socio=et de lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1, ceux-ci pourraient porter, par exemple*socio=rien, sur*socio=rien des programmes*socio=et de travaux_publics*socio=et à fort*socio=rien coefficient*socio=ec1 de main-d'_oeuvre*socio=ac, des programmes*socio=et de nutrition*socio=rien, des *socio=ec1 subventions alimentaires *socio=nil ciblées, des activités*socio=rien de recyclage*socio=et au profit*socio=ec1 des travailleurs*socio=ac licenciés*socio=rien, et des "fonds*socio=ec1 sociaux*socio=et". Mais les gouvernements*socio=ac devraient éviter d'ouvrir de nouveaux*socio=rien droits*socio=uv1 à prestations*socio=et de longue*socio=rien durée*socio=te, qui risqueraient d'accroître ultérieurement les difficultés*socio=uv4 budgétaires*socio=et, La formule*socio=rien à retenir dépendra des données disponibles*socio=rien, des moyens*socio=ec1 administratifs*socio=et et des *socio=ec1 ressources financières.*socio=nil *socio=nil Il conviendrait, le cas*socio=rien échéant, de réaffecter les crédits*socio=ec1 budgétaires*socio=et afin de dégager des *socio=ec1 ressources financières *socio=nil à la fois*socio=rien pour la mise en place*socio=rien de filets*socio=et de protection*socio=et et pour d'autres dépenses*socio=ec1 sociales*socio=et au profit*socio=ec1 des pauvres*socio=uv2. L'aide*socio=uv1 à apporter par ce biais*socio=rien aux groupes*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 de la population*socio=ac pourrait exiger, de la part*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac et des bailleurs_de_fonds*socio=ec1, un*socio=rien appui*socio=uv1 technique*socio=rien et financier*socio=ec1 soutenu. Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 le rôle*socio=et constructif*socio=uv2 joué par la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1, dans leurs domaines*socio=rien de compétence*socio=uv3 respectifs*socio=rien, à l'appui*socio=uv1 des réformes*socio=et des systèmes*socio=rien de sécurité_ sociale*socio=et, ainsi que pour la mise en place*socio=rien et le financement*socio=ec1 de filets*socio=et de protection*socio=et dans le cadre*socio=rien de leurs opérations*socio=rien de prêts*socio=ec1 à l'ajustement*socio=et. Stratégie*socio=et de la banque_mondiale*socio=ac pour la promotion*socio=uv3 du*socio=rien rôle*socio=et de la femme dans le développement*socio=uv3. 9 - Le Comité*socio=ac accueille avec satisfaction*socio=uv3 le rapport*socio=rien concernant les efforts*socio=uv1 entrepris par la banque_mondiale*socio=ac pour intégrer les questions*socio=rien d'égalité*socio=uv1 des sexes*socio=rien dans sa stratégie*socio=et globale*socio=rien de développement*socio=uv3. Il se félicite des progrès*socio=uv1 réalisés et *socio=rien du fait *socio=nil que le Président*socio=ac s'est*socio=rien engagé à renforcer encore l'action*socio=ec1 de la Banque*socio=ac dans ce domaine*socio=rien. Il note que le Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac examinera la stratégie*socio=et retenue*socio=rien au printemps*socio=rien de 1994. Coût-efficacité*socio=ec1 de l'aide*socio=uv1. 10 - Le Comité*socio=ac estime*socio=rien qu'il est*socio=rien plus important*socio=uv4 que jamais d'accroître l'efficacité*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1 au développement*socio=uv3, il se félicite des mesures*socio=et que la banque_mondiale*socio=ac a prises*socio=rien récemment à cet effet*socio=rien, et se propose d'étudier cette question*socio=rien l'année*socio=rien prochaine*socio=rien. Afin que l'aide*socio=uv1 profite au maximum*socio=rien à ses bénéficiaires*socio=ac, il faut que les *socio=ac organismes donateurs *socio=nil et les institutions*socio=ac multilatérales*socio=et s'attachent à améliorer le rapport*socio=rien coût-efficacité*socio=ec1 de leurs interventions*socio=et. *socio=rien Prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil 11 - Le Comité*socio=ac tiendra sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac *socio=nil le 26 avril*socio=rien 1994, et examinera à cette occasion*socio=rien les questions*socio=rien de population*socio=ac et de migration*socio=ac. Quarante-huitième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 26 avril*socio=rien 1994. 1 - Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa quarante-huitième réunion*socio=rien le 26 avril*socio=rien 1994 à Washington*socio=ac, sous la présidence*socio=rien de M.. Rudolf Hommes*socio=ac, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et du*socio=rien crédit*socio=ec1 public*socio=et de Colombie*socio=ac. Flux*socio=ec1 de ressources*socio=ec1. 2 - Les ministres*socio=ac se félicitent de 1. progression*socio=ec2 des apports*socio=rien de ressources*socio=ec1 aux pays_en_développement*socio=uv3; l'année*socio=rien 1993 a établi *socio=rien un nouveau record*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Ils ont noté en particulier*socio=rien l'augmentation*socio=ec2 soutenue des flux*socio=ec1 privés*socio=et dont ont principalement bénéficié les pays*socio=ac à l'économie*socio=ec1 ouverte*socio=uv4 sur*socio=rien l'extérieur*socio=te et à la croissance*socio=uv3 plus rapide*socio=rien qui ont réussi leurs réformes*socio=et. De même, l'augmentation*socio=ec2 des apports*socio=rien publics*socio=et a consisté en *socio=rien grande partie en*socio=nil prêts*socio=ec1 non*socio=nil concessionnels*socio=ec1 *socio=nil à des pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien. L'aide_publique_au_développement*socio=et concessionnelle*socio=ec1 a essentiellement visé les pays*socio=ac plus pauvres*socio=uv2, bien*socio=rien que le total*socio=rien de ces apports*socio=rien n'ait augmenté que modérément en 1993 et que les perspectives*socio=te restent défavorables*socio=uv4. À cet égard*socio=rien, les Ministres*socio=ac notent avec satisfaction*socio=uv3 les progrès*socio=uv1 accomplis et les engagements*socio=et accrus pris la *socio=rien semaine dernière au*socio=nil cours *socio=nil de la *socio=rien réunion du programme_spécial_d'_assistance*socio=uv1 *socio=nil à l'Afrique*socio=ac, ainsi que la décision*socio=et récente*socio=rien d'élargir et de prolonger la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 du*socio=rien FMI*socio=ac. Population*socio=ac. 3 - Le Comité*socio=ac a examiné certaines*socio=rien des questions*socio=rien à l'ordre*socio=rien *socio=rien du jour *socio=nil de la conférence_des_nations_unies*socio=ac sur*socio=rien la population*socio=ac et le développement*socio=uv3, qui doit se tenir au Caire en septembre*socio=rien 1994. Les ministres*socio=ac ont souhaité la bienvenue*socio=rien au secrétaire_général*socio=ac de la Conférence*socio=ac, Mme*socio=rien Nafis Sadik, qui s'est*socio=rien adressée au Comité*socio=ac. 4 - Tendances*socio=ec2. La population*socio=ac mondiale*socio=te a augmenté de 1,7 milliard*socio=rien d'habitants*socio=ac au cours*socio=rien des deux dernières*socio=rien décennies*socio=te, Cette croissance*socio=uv3 a été*socio=rien presque exclusivement le fait*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3. La planète*socio=te compte*socio=ec1 aujourd'hui près de 5,7 milliards*socio=rien d'êtres_humains*socio=ac, dont 1 milliard*socio=rien environ vivent encore dans la pauvreté*socio=uv1. Bien*socio=rien que le taux_de_croissance*socio=ec1 se ralentisse aujourd'hui, l'augmentation*socio=ec2 sera encore de 2,8 milliards*socio=rien d'habitants*socio=ac d'ici à 2025, selon les projections*socio=ec2 "les plus probables*socio=uv4" des nations_unies*socio=ac. Cela veut dire que la population*socio=ac mondiale*socio=te doublera probablement en moins de cinquante ans*socio=rien. Les ministres*socio=ac reconnaissent que l'on ne peut ignorer les *socio=rien conséquences massives *socio=nil de ces changements*socio=uv3 sur*socio=rien le plan*socio=rien économique*socio=ec1, social*socio=et, politique*socio=et et environnemental*socio=et. 5 - Politiques*socio=et. Les ministres*socio=ac estiment que la mise au oeuvre*socio=rien d'une politique*socio=et démographique*socio=ec1 intégrée dans les pays_en_développement*socio=uv3 exige de prendre en compte*socio=ec1 l'interaction*socio=rien entre croissance*socio=uv3, population*socio=ac, réduction*socio=ec2 de la pauvreté*socio=uv1, santé*socio=et, investissement*socio=ec1 dans les ressources_humaines*socio=ec1 et dégradation*socio=uv3 de l'environnement*socio=et. Tous les couples et individus*socio=ac doivent avoir le droit*socio=uv1 de décider de manière*socio=rien libre*socio=uv2 et responsable*socio=uv2 *socio=rien du nombre *socio=nil de leurs enfants*socio=ac et de l'espacement de ces naissances*socio=rien. Le planning*socio=rien familial*socio=uv2 n'est*socio=rien que l'un*socio=rien des moyens*socio=ec1 disponibles*socio=rien et doit être*socio=rien considéré dans la plus *socio=rien vaste perspective *socio=nil de l'évolution*socio=te des structures*socio=ec1 sociales*socio=et et de l'attention*socio=rien accrue portée*socio=rien au rôle*socio=et des femmes*socio=ac. Les programmes*socio=et de population*socio=ac sont donc de plus en plus diversifiés, selon que la transition*socio=ec2 démographique*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac est*socio=rien plus ou moins avancée. En outre, l'expérience*socio=ec2 montre que les améliorations*socio=uv1 apportées aux perspectives*socio=te d'éducation*socio=et et d'emploi*socio=ec1 (en particulier*socio=rien pour les filles), aux conditions*socio=ec1 sanitaires*socio=uv2 et aux revenus*socio=ec1 tendent à réduire le taux*socio=ec1 de natalité*socio=et. Les modalités*socio=rien institutionnelles*socio=et de la fourniture*socio=ec1 de services*socio=et doivent dans certains *socio=rien cas être *socio=nil renforcées, et il faut les adapter*socio=rien aux conditions*socio=ec1 et aux besoins*socio=uv1 locaux*socio=te, en tirant le meilleur*socio=uv4 parti*socio=et de la présence*socio=rien d'organisations*socio=ac privées*socio=et et non gouvernementales*socio=et. Il faut aussi tenir le plus grand*socio=rien compte*socio=ec1 des traditions*socio=rien sociales*socio=et et culturelles*socio=et de chaque pays*socio=ac. 6 - Priorités*socio=uv4. Les ministres*socio=ac notent que les participants*socio=ac à la Conférence*socio=ac du*socio=rien Caire chercheront à donner des objectifs*socio=uv3 clairs*socio=rien et réalistes*socio=uv4 aux futures*socio=te politiques*socio=et démographiques*socio=ec1. Sans préjuger des conclusions*socio=rien de la conférence*socio=rien, ils sont d'avis*socio=rien que trois objectifs*socio=uv3 méritent une *socio=rien attention particulière *socio=nil : Premièrement, l'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 de scolarisation*socio=et primaire*socio=rien dans les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 en vue*socio=rien de généraliser l'enseignement*socio=et primaire*socio=rien. Deuxièmement, l'amélioration*socio=uv1 de l'accessibilité*socio=uv1 des services*socio=et de planning*socio=rien familial*socio=uv2 et des services_de_santé*socio=et connexes*socio=rien, ce qui, selon le FNUAP, exigera de doubler les investissements*socio=ec1 d'ici à l'an*socio=rien 2000. Troisièmement, la réduction*socio=ec2 des taux*socio=ec1 de mortalité*socio=et maternelle et infantile*socio=ac dans les pays_en_développement*socio=uv3. 7 - pays_en_développement*socio=uv3. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil le*socio=nil coût*socio=ec1 de*socio=nil pareil effort*socio=uv1 est abordable,*socio=nil *socio=nil comparé à celui d'autres grands*socio=rien programmes*socio=et de dépenses*socio=ec1. Beaucoup d'économies*socio=ec1 en développement*socio=uv3 peuvent le financer. Dans certains cas*socio=rien, les dépenses*socio=ec1 sont déjà couvertes par la contribution*socio=uv1 demandée aux utilisateurs*socio=rien. Cependant, les_plus_pauvres*socio=uv2 continueront à avoir besoin*socio=uv1 de l'aide*socio=uv1 de l'État*socio=ac, et cette aide*socio=uv1 est*socio=rien justifiée par les avantages*socio=rien qu'elle procurera. Les ministres*socio=ac sont d'avis*socio=rien que les pays_en_développement*socio=uv3 devraient envisager de compter ces trois objectifs*socio=uv3 parmi leurs priorités*socio=uv4 dans la répartition*socio=uv3 de leur budget*socio=ec1 total*socio=rien. 8 - Donateurs*socio=ac. Les pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 auront encore besoin*socio=uv1 d'être*socio=rien aidés. La contribution*socio=uv1 des donateurs*socio=ac bilatéraux*socio=et et multilatéraux*socio=et aux programmes*socio=et de population*socio=ac des pays_en_développement*socio=uv3 s'élève aujourd'hui à quelque 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 par an*socio=rien. Les ministres*socio=ac espèrent que beaucoup de donateurs*socio=ac bilatéraux*socio=et seront en mesure*socio=rien d'accroître la part*socio=rien de leur budget*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 allouée au secteur*socio=rien de la population*socio=ac, la moyenne*socio=rien étant maintenant de 1,25 %, et d'intensifier aussi leur appui*socio=uv1 aux secteurs*socio=rien de la santé*socio=et et de l'éducation*socio=et. 9 - La banque_mondiale*socio=ac. Au niveau*socio=rien multilatéral*socio=et, les ministres*socio=ac notent avec satisfaction*socio=uv3 l'augmentation*socio=ec2 de l'aide*socio=uv1 de la banque_mondiale*socio=ac aux secteurs*socio=rien sociaux*socio=et, dont la part*socio=rien dans le total*socio=rien de son portefeuille*socio=ec1 est*socio=rien passée de 6 % à 16 % au cours*socio=rien des *socio=rien cinq dernières années,*socio=nil *socio=nil Actuellement, la banque_mondiale*socio=ac alloue environ 1,8 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 par an*socio=rien au secteur*socio=rien population*socio=ac, santé*socio=et et nutrition*socio=rien, et 1,9 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 à l'éducation*socio=et. *socio=rien Un grand nombre des*socio=nil programmes*socio=et *socio=nil ainsi financés influencent directement la demande*socio=ec1 de services*socio=et de population*socio=ac. Une dizaine*socio=rien au moins des opérations*socio=rien approuvées chaque année*socio=rien comprennent d'importantes*socio=uv4 composantes*socio=ec1 visant directement le secteur*socio=rien de la population*socio=ac, et les 200 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1 qu'elles représentent vont essentiellement aux pays_en_développement*socio=uv3 les_plus_pauvres*socio=uv2. Les ministres*socio=ac se félicitent de ce que la Banque*socio=ac soit prête*socio=rien à répondre rapidement aux pays*socio=ac qui lui demandent d'accroître son aide*socio=uv1 dans ce domaine*socio=rien. Ils reconnaissent que les questions*socio=rien de population*socio=ac ne relèvent pas au premier_chef*socio=rien de la Banque*socio=ac, mais que, par le dialogue*socio=uv1 qu'elle entretient avec les pays_membres*socio=ac et grâce*socio=rien à l'ampleur*socio=rien de ses opérations*socio=rien, celle-ci est*socio=rien exceptionnellement bien*socio=rien placée pour encourager l'adoption*socio=uv3 de politiques*socio=et démographiques*socio=ec1, Ils invitent donc la Banque*socio=ac, d'autres donateurs*socio=ac, les autres institutions*socio=ac multilatérales*socio=et, comme le FNUAR, et les *socio=ac gouvernements emprunteurs *socio=nil à collaborer pleinement aux actions*socio=ec1 entreprises*socio=ac et à la mobilisation*socio=uv3 des *socio=ec1 ressources financières et*socio=nil institutionnelles*socio=et nécessaires*socio=rien;*socio=nil *socio=nil ils leur demandent aussi de réévaluer leurs efforts*socio=uv1 à la lumière*socio=rien des conclusions*socio=rien de la Conférence*socio=ac du*socio=rien Caire. 10 - Migration*socio=ac. Les ministres*socio=ac ont examiné la *socio=rien question connexe des*socio=nil migrations*socio=ac internationales*socio=te,*socio=nil *socio=nil et les conséquences*socio=rien sociales*socio=et, politiques*socio=et et financières*socio=ec1 de ces mouvements*socio=ec2 de population*socio=ac sur*socio=rien les pays_d'_accueil*socio=ac comme sur*socio=rien les pays*socio=ac d'origine*socio=rien. Ils constatent que la nature*socio=rien de ces problèmes*socio=uv4 est*socio=rien encore relativement mal*socio=rien connue et notent la nécessité*socio=uv1 de définir*socio=rien des politiques*socio=et pour faire face*socio=rien à ces problèmes*socio=uv4. Ils souhaitent que la question*socio=rien des migrations*socio=ac fasse l'objet*socio=rien de recherches*socio=ec2 accrues et orientées vers l'action*socio=ec1 et que les différentes*socio=rien institutions_internationales*socio=ac concernées développent leur collaboration*socio=uv1. Commerce*socio=ec1. 11 - *socio=rien Impact du uruguay_round*socio=et sur les*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil et les pays*socio=ac en transition*socio=ec2. Les ministres*socio=ac ont exprimé leur vive satisfaction*socio=uv3 devant*socio=rien l'heureux*socio=rien *socio=rien aboutissement du uruguay_round*socio=et *socio=nil et les accords*socio=et conclus à Marrakech et ils souhaitent que ces textes*socio=rien soient rapidement ratifiés et pleinement mis en oeuvre*socio=rien. Ces accords*socio=et réduisent le risque*socio=uv3 d'un*socio=rien retour*socio=rien au protectionnisme*socio=et qui aurait gravement porté préjudice*socio=et à beaucoup de pays_en_développement*socio=uv3 et de pays*socio=ac en transition*socio=ec2. Ils ouvrent la voie*socio=rien à une accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 dans l'ensemble*socio=rien du*socio=rien monde*socio=te. Tous les pays*socio=ac y gagneront. Pour en tirer le maximum*socio=rien d'avantages*socio=rien, les pays*socio=ac devront assurer la stabilité*socio=uv3 de leur situation*socio=rien macro-économique*socio=ec1 et intensifier leurs programmes*socio=et de réforme*socio=et structurelle*socio=ec2 et de libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1, tout en améliorant leur accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te. 12 - Les ministres*socio=ac notent que, pendant la période*socio=te de transition*socio=ec2 vers *socio=rien un nouveau système commercial*socio=ec1 mondial*socio=te,*socio=nil certains*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil pourraient souffrir de la perte*socio=ec2 de *socio=et régimes préférentiels ou*socio=nil *socio=rien du renchérissement *socio=nil de leurs importations*socio=ec1 de produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1, même si ces effets*socio=rien doivent ne se faire sentir que progressivement*socio=rien, leur laissant le temps*socio=rien de s'ajuster. Les ministres*socio=ac engagent vivement le Fonds*socio=ec1 et la Banque*socio=ac à tenir compte*socio=ec1 de ces éventuels*socio=te effets*socio=rien défavorables*socio=uv4 dans la conception*socio=et de leur stratégie*socio=et d'aide*socio=uv1 pour les pays*socio=ac concernés et dans l'appui*socio=uv1 opérationnel*socio=rien qu'ils leur apporteront. 13 - Les ministres*socio=ac se félicitent de la création*socio=uv4 de la nouvelle*socio=rien organisation_mondiale_du_commerce*socio=ac (OMC*socio=ac). Ils exhortent l'OMC*socio=ac, la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 à coopérer pleinement et, selon leurs compétences*socio=uv3 respectives*socio=rien, à aider les pays_en_développement*socio=uv3 ou en transition*socio=ec2 à tirer parti*socio=et des nouvelles*socio=rien opportunités*socio=uv3 du*socio=rien marché*socio=ec1. Ils espèrent aussi que tous ces pays*socio=ac adhéreront rapidement à la nouvelle*socio=rien organisation*socio=ec1 pour élargir les débouchés*socio=ec1 de leurs exportations*socio=ec1. Ils notent que le Fonds*socio=ec1 et la Banque*socio=ac ont entrepris des études*socio=ec2 plus approfondies de l'impact*socio=rien de l' uruguay_round*socio=et, des futures*socio=te politiques_commerciales*socio=et, et de leurs *socio=rien propres activités *socio=nil à venir dans le *socio=rien domaine du commerce*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil ministres*socio=ac *socio=nil reprendront leur examen*socio=ec2 de ces questions*socio=rien à leur *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil 14 - Produits*socio=rien de base*socio=rien. Les ministres*socio=ac ont également examiné les études*socio=ec2 récentes*socio=rien de la Banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien. Ils reconnaissent que, malgré les signes qui paraissent annoncer *socio=rien un léger redressement*socio=ec2 à*socio=nil court_terme*socio=te,*socio=nil les*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil ne reviendront probablement pas aux niveaux*socio=rien des années*socio=rien 70 et *socio=rien du début des*socio=nil année *socio=nil 80. Étant donné ces incertitudes*socio=uv3, ils jugent prudent*socio=uv2 ne pas supposer d'amélioration*socio=uv1 à long_terme*socio=te et sage de pécher par excès*socio=ec2 de prudence*socio=uv1. 15 - Les ministres*socio=ac estiment qu'il peut être*socio=rien approprié de prévoir des financements*socio=ec1 compensatoires*socio=et lorsque les mouvements_des_prix*socio=ec1 sont jugés temporaires*socio=rien. Mais, si l'on s'attend à une baisse*socio=ec2 permanente*socio=te, il ne faut pas, dans l'espoir*socio=uv1 d'une remontée des prix*socio=ec1, reporter la recherche*socio=ec2 de *socio=rien solutions du côté de*socio=nil mesures*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et.*socio=nil Les*socio=nil ministres*socio=ac *socio=nil estiment donc que les pays_en_développement*socio=uv3 devraient continuer à diversifier leurs économies*socio=ec1. Ces pays*socio=ac auront besoin*socio=uv1 d'un*socio=rien soutien*socio=uv3 durable*socio=uv4 de la banque_mondiale*socio=ac, du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et de la communauté*socio=ac des donateurs*socio=ac. Les ministres*socio=ac demandent à la banque_mondiale*socio=ac d'étudier des mesures*socio=et additionnelles*socio=ec2 dans le cadre*socio=rien de ses travaux*socio=rien d'aide*socio=uv1 à l'investissement*socio=ec1 dans ce domaine*socio=rien. L'instabilité*socio=uv3 persistante*socio=rien des prix*socio=ec1 exige aussi le maintien*socio=rien de dispositifs*socio=et d'action*socio=ec1 éventuelle*socio=te pour sauvegarder les programmes*socio=et aidés par le FMI*socio=ac. 16 - Les ministres*socio=ac notent que peu d'accords*socio=et internationaux*socio=te sur*socio=rien les produits*socio=rien de base*socio=rien sont parvenus à maintenir le niveau*socio=rien des prix*socio=ec1 face*socio=rien à une baisse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1, à une augmentation*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et à *socio=rien un abaissement des*socio=nil coûts*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil programmes*socio=et nationaux*socio=te de*socio=nil stabilisation*socio=et des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil ne donnent généralement pas de *socio=rien bons résultats *socio=nil lorsqu'on s'attend à de nouvelles*socio=rien baisses ou à la stagnation*socio=ec1 des prix*socio=ec1 à *socio=rien un faible niveau;*socio=nil *socio=nil ils tendent à créer des distorsions*socio=uv3 et exercent des pressions*socio=ec2 *socio=rien considérables sur les*socio=nil budgets*socio=ec1 publics*socio=et.*socio=nil *socio=nil Pour de nombreux*socio=rien pays*socio=ac et produits*socio=rien, les marchés*socio=ec1 d'instruments*socio=et financiers*socio=ec1 à terme*socio=rien donnent maintenant aux opérateurs*socio=ac privés*socio=et la possibilité*socio=rien de se protéger contre les fluctuations*socio=ec2 des prix*socio=ec1, malgré la persistance*socio=te de divers obstacles*socio=uv3 juridiques*socio=et, financiers*socio=ec1 et techniques*socio=rien. Les ministres*socio=ac se félicitent de l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien que la conférence_des_nations_unies*socio=ac sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 et le développement*socio=uv3 (CNUCED*socio=ac), la banque_mondiale*socio=ac et d'autres organismes*socio=ac apportent aux producteurs*socio=ac plus petits*socio=rien pour les aider à surmonter ces obstacles*socio=uv3 et à profiter des *socio=rien possibilités offertes *socio=nil par ces marchés*socio=ec1. Ils notent avec satisfaction*socio=uv3 que la Banque*socio=ac a entrepris l'étude*socio=ec2 de nouveaux*socio=rien mécanismes*socio=et de garantie qui permettraient à ces pays*socio=ac plus pauvres*socio=uv2 et moins solvables*socio=ec2 de recourir au marché*socio=ec1 pour se protéger des risques*socio=uv3. Banques*socio=ac de développement*socio=uv3. 17 - Le Comité*socio=ac a donné son accord_de_principe*socio=et à la création*socio=uv4 d'un*socio=rien petit*socio=rien groupe_de_travail*socio=ac pour étudier la contribution*socio=uv1 au développement*socio=ac des banques_multilatérales_de_développement*socio=ac, dont la banque_mondiale*socio=ac et les quatre principales*socio=rien banques*socio=ac régionales*socio=te. Ce groupe*socio=ac, dont le président*socio=ac, le mandat*socio=rien et les membres*socio=ac seront choisis après*socio=rien consultation*socio=uv1 des gouvernements*socio=ac, s'efforcera d'achever sa mission*socio=et d'ici au mois*socio=rien d'octobre*socio=rien 1995. Président*socio=ac. 18 - Le Comité*socio=ac a choisi comme nouveau*socio=rien Président*socio=ac M.. M'Hamed Sagou (Maroc*socio=ac) et chaleureusement remercié le Président*socio=ac sortant, M.. Rudolf Hommes*socio=ac (Colombie*socio=ac). *socio=rien Prochaine réunion.*socio=nil