*{ Fonds Monétaire international Rapport Annuel 1995 } fonds_monétaire_international*socio=ac.*socio=nil Rapport annuel*socio=te du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil pour l'exercice*socio=rien clos le 30 avril*socio=rien 1995. Vue*socio=rien d'ensemble*socio=rien. Cinquantenaire, réponse*socio=rien à la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 et *socio=rien réflexion sur le*socio=nil rôle*socio=et du FMI*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Le cinquantenaire de la Conférence*socio=ac de bretton_woods*socio=et et de la *socio=rien naissance du fonds_monétaire_international*socio=ac a*socio=nil été *socio=nil marqué par une augmentation*socio=ec2 sensible*socio=rien de l'activité*socio=rien du*socio=rien FMI*socio=ac sur*socio=rien tous les fronts*socio=rien. Cet anniversaire*socio=rien, commémoré au cours*socio=rien d'une année*socio=rien de *socio=rien travail intense *socio=nil pour l'institution*socio=ac, a été*socio=rien l'occasion*socio=rien de dresser le bilan*socio=rien de l'évolution*socio=te du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te, d'en examiner les conséquences*socio=rien pour le volume*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac à l'avenir*socio=te et de réfléchir, à l'intérieur*socio=te et à l'extérieur*socio=te de l'institution*socio=ac, aux réponses*socio=rien qu'appelle cette évolution*socio=te. La crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 mexicaine*socio=ac, qui a été*socio=rien à plus d'un*socio=rien titre*socio=rien l'événement*socio=rien majeur*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée, a entraîné une *socio=rien réaction rapide et*socio=nil massive du FMI*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1 *socio=nil accordé au Mexique*socio=ac - d'un*socio=rien montant*socio=ec1 initial*socio=rien de 5,3 milliards*socio=rien de DTS, qui pourrait toutefois être*socio=rien porté à 12,1 milliards*socio=rien de DTS, soit environ 18 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 - est*socio=rien le plus élevé*socio=uv4 jamais consenti à un*socio=rien *socio=ac État membre.*socio=nil *socio=nil Mais, et c'est*socio=rien peut-être encore plus important*socio=uv4 pour les *socio=rien activités du FMI*socio=ac à*socio=nil moyen terme,*socio=nil l'*socio=nil opération de*socio=nil soutien*socio=uv3 au*socio=nil Mexique*socio=ac *socio=nil a eu aussi pour effet*socio=rien de relancer le débat*socio=et sur*socio=rien le rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac - et singulièrement sur*socio=rien la mission*socio=et de surveillance*socio=et et l'adéquation*socio=uv1 des ressources*socio=ec1 de l'institution*socio=ac - dans un*socio=rien monde*socio=te caractérisé par l'intégration*socio=uv1 des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 et leur extrême*socio=uv4 sensibilité*socio=ec2. Par ailleurs*socio=rien, l'évolution*socio=te du*socio=rien rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans l'assistance*socio=uv1 aux pays*socio=ac en transition*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 dirigée au marché*socio=ec1 s'est*socio=rien poursuivie; l'institution*socio=ac a approuvé, en effet*socio=rien, des accords*socio=et importants*socio=uv4 en faveur*socio=rien de la Russie*socio=ac et de lukraine, pour un*socio=rien montant*socio=ec1 total*socio=rien d'environ 6,0 milliards*socio=rien de DTS. Elle a fourni également une assistance*socio=uv1 supplémentaire*socio=rien à l'Argeritine, élargi son soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1 à *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil et relevé l'accès*socio=uv1 de tous les *socio=ac États membres *socio=nil à ses ressources*socio=ec1. Comme la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac et d'autres événements*socio=rien l'ont clairement démontré, la surveillance*socio=et des politiques*socio=et de change*socio=ec1 des *socio=ac États membres est*socio=rien au*socio=nil coeur*socio=rien *socio=nil même des responsabilités*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Il s'en acquitte à la fois*socio=rien en organisant des consultations*socio=uv1 régulières*socio=ec2 avec chaque *socio=ac État membre *socio=nil et en examinant leurs politiques_économiques*socio=et dans une optique*socio=rien internationale*socio=ac, ce qu'il fait*socio=rien notamment lors*socio=rien de la préparation*socio=rien des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te publiées deux fois*socio=rien l'an*socio=rien. La Déclaration*socio=et de Madrid sur*socio=rien la coopération*socio=uv1 en vue*socio=rien de renforcer l'expansion*socio=ec2 mondiale*socio=te (voir appendice*socio=rien VI), adoptée par le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac en octobre*socio=rien 1994, a donné *socio=rien un nouvel élan *socio=nil à son action*socio=ec1 dans ce domaine*socio=rien. Dans cette Déclaration*socio=et, le comité_intérimaire*socio=ac a pris note avec satisfaction*socio=uv3 de l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et souligné que l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 de l'accord*socio=et commercial*socio=ec1 de l'uruguay_round*socio=et intensifiera encore l'intégration*socio=uv1 économique*socio=ec1 de tous les pays*socio=ac. D'autre part*socio=rien, le Comité*socio=ac a averti que de graves*socio=uv4 défis*socio=uv2 devaient encore être*socio=rien relevés : soutenir la croissance*socio=uv3, réduire le chômage*socio=ec1 et prévenir une résurgence*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 dans des pays_industrialisés*socio=ac, entretenir et consolider la croissance*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3 en appliquant des programmes*socio=et énergiques*socio=ec1 d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et structurelle*socio=ec2, intégrer les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 à l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et les engager fermement *socio=rien sur un sentier de*socio=nil croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Il a souligné que les *socio=rien bons résultats *socio=nil obtenus récemment par de nombreuses*socio=rien économies*socio=ec1 en développement*socio=uv3 témoignaient à nouveau*socio=rien de la validité*socio=rien d'une stratégie*socio=et qui consiste à appliquer avec fermeté*socio=rien de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et macro-économique*socio=ec1 et de réforme*socio=et structurelle*socio=ec2. Enfin, le comité_intérimaire*socio=ac a exhorté les autres pays*socio=ac à adopter une stratégie*socio=et non moins énergique*socio=ec1 pour connaître une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 soutenue et assurer leur stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 interne*socio=te et externe*socio=ec1. Lors*socio=rien de son examen*socio=ec2 biennal*socio=rien de la surveillance*socio=et au début*socio=rien de 1995, le conseil_d'_administration*socio=ac a procédé*socio=rien à une analyse*socio=ec2 approfondie des aspects*socio=rien analytiques*socio=ec2 et opérationnels*socio=rien de cette fonction*socio=rien. Il a révisé les directives*socio=et relatives*socio=rien aux principes*socio=ec2 et procédures*socio=et qui s'appliquent à la surveillance*socio=et afin de tenir compte*socio=ec1 explicitement des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 dans l'exercice*socio=rien de sa mission*socio=et. Le Conseil*socio=ac a également examiné le rapport*socio=rien d'un*socio=rien expert extérieur*socio=te sur*socio=rien les origines*socio=rien de la crise*socio=uv2 économique*socio=ec1 qui a frappé le Mexique*socio=ac en *socio=rien décembre dernier *socio=nil avant de débattre*socio=rien des leçons*socio=ec2 que le FMI*socio=ac peut tirer de cette crise*socio=uv2, et de la réponse*socio=rien qui lui a été*socio=rien apportée, dans l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et. Le Conseil*socio=ac a retenu*socio=rien, entre autres, qu'il importe que les *socio=ac États membres *socio=nil communiquent rapidement leurs données au FMI*socio=ac et que ce dernier*socio=rien s'emploie à assurer la continuité*socio=uv1 du*socio=rien dialogue*socio=uv1 sur*socio=rien la politique_économique*socio=ec1 de chaque *socio=ac État membre,*socio=nil *socio=nil y compris après*socio=rien l'achèvement*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et qu'il appuie, et qu'il *socio=rien est souhaitable *socio=nil que le Conseil*socio=ac évalue en toute franchise l'action*socio=ec1 des *socio=ac États membres.*socio=nil *socio=nil Dans le communiqué publié à l'issue*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1995, le comité_intérimaire*socio=ac a fait*socio=rien le point*socio=rien de l'évolution*socio=te du*socio=rien rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans un*socio=rien environnement*socio=et caractérisé par une mondialisation*socio=ec2 et une intégration*socio=uv1 croissantes*socio=rien des marchés*socio=ec1 des biens*socio=ec1, des services*socio=et et des capitaux*socio=ec1. Après*socio=rien avoir conclu que ce nouvel*socio=rien environnement*socio=et requiert de tous les *socio=ac États membres une*socio=nil discipline*socio=uv1 plus*socio=nil stricte*socio=rien,*socio=nil le*socio=nil Comité est*socio=rien *socio=nil convenu qu'il importe de renforcer la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac de *socio=rien façon symétrique *socio=nil et en tenant compte*socio=ec1 des enseignements*socio=et de la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac. Suite*socio=rien à l'examen*socio=ec2 de la surveillance*socio=et par le Conseil*socio=ac et à la *socio=rien réunion du comité_intérimaire*socio=ac en*socio=nil avril dernier,*socio=nil le*socio=nil FMI*socio=ac *socio=nil a entrepris d'améliorer le dialogue*socio=uv1 avec les *socio=ac États membres *socio=nil et d'accroître l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et. Pour ce faire, il a pris diverses*socio=rien mesures*socio=et visant à instaurer un*socio=rien dialogue*socio=uv1 plus étroit*socio=rien et plus continu*socio=rien avec les *socio=ac États membres,*socio=nil *socio=nil notamment en se montrant sincère*socio=rien dans son évaluation*socio=ec2 des risques*socio=uv3 que peuvent entraîner leurs politiques_économiques*socio=et comme dans ses recommandations*socio=et visant à réduire ces risques*socio=uv3; veiller à ce que les *socio=ac États membres *socio=nil communiquent leurs données au FMI*socio=ac en temps*socio=rien voulu pour permettre de déceler, à un*socio=rien stade*socio=te précoce*socio=rien, les tensions*socio=ec2 qui se créent; encourager la *socio=rien publication rapide *socio=nil de données complètes par les *socio=ac États membres *socio=nil afin d'assurer une plus grande*socio=rien transparence*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et; accorder davantage d'attention*socio=rien à la politique*socio=et financière*socio=ec1 des *socio=ac États membres *socio=nil et à la solidité*socio=uv3 de leur secteur*socio=rien financier*socio=ec1, étant donné le risque*socio=uv3 qu'il y a à trop dépendre d'apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 susceptibles*socio=rien de s'inverser facilement; cibler plus étroitement la surveillance*socio=et sur*socio=rien les *socio=ac États membres *socio=nil dont les difficultés*socio=uv4 économiques*socio=ec1 ou la politique_économique*socio=ec1 risquent d'avoir des répercussions*socio=ec2 importantes*socio=uv4 sur*socio=rien la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil L'*socio=nil examen*socio=ec2 *socio=nil de la surveillance*socio=et a aussi permis*socio=rien au Conseil*socio=ac d'aborder le problème*socio=uv4 de l'ouverture*socio=uv3 de l'institution*socio=ac, et en particulier*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de trouver *socio=rien un juste milieu *socio=nil entre, d'une part*socio=rien, le maintien*socio=rien de la relation*socio=rien confidentielle qui existe entre le FMI*socio=ac et les *socio=ac États membres *socio=nil et, de l'autre, les avantages*socio=rien d'une plus grande*socio=rien transparence*socio=uv3 des politiques*socio=et et des *socio=rien opérations du FMI*socio=ac.*socio=nil C'*socio=nil est *socio=nil dans le cadre*socio=rien de ce processus*socio=te d'ouverture*socio=uv3 progressive*socio=rien que le Conseil*socio=ac a décidé de rendre publiques*socio=et, sous_réserve*socio=ec1 de l'approbation*socio=uv1 des *socio=ac États membres *socio=nil concernés, les informations*socio=rien contenues dans les *socio=rien rapports sur l'*socio=nil évolution*socio=te récente *socio=nil de leur économie*socio=ec1 et d'autres documents*socio=rien de référence*socio=rien utilisés pour les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Le soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1 que le FMI*socio=ac a été*socio=rien invité à apporter au Mexique*socio=ac ainsi qu'à d'autres pays_en_développement*socio=uv3 ou en transition*socio=ec2 a entraîné une ponction*socio=ec1 exceptionnelle*socio=uv4 sur*socio=rien les ressources*socio=ec1 de l'institution*socio=ac. Les tirages*socio=ec1 sur*socio=rien le Compte*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 *socio=rien générales du FMI*socio=ac *socio=nil se sont élevés*socio=uv4 à 10,6 milliards*socio=rien de DTS en 1994/95, soit environ le *socio=rien double du *socio=nil chiffre de 1993 / 94. Sur*socio=rien ce total*socio=rien, 7,6 milliards*socio=rien de DTS ont été*socio=rien accordés au titre*socio=rien d'accords*socio=et de confirmation*socio=et, 1,6 milliard*socio=rien de DTS pour financer des accords*socio=et élargis, 0,3 milliard*socio=rien de DTS pour la facilité de financement*socio=ec1 Compensatoire*socio=et et de financement*socio=ec1 pour imprévus*socio=uv4 (FFCI) et 1,1 milliard*socio=rien de DTS pour la facilité de *socio=ec2 transformation systémique *socio=nil (FTS). En outre, 0,6 milliard*socio=rien de DTS ont été*socio=rien décaissés au titre*socio=rien de l'aide*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1 apportée dans le cadre*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 (FAS*socio=ec1) et de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FASR*socio=ec1). En octobre*socio=rien 1994, le conseil_d'_administration*socio=ac a relevé de 68 % à 100 % de la quote-part*socio=ec1, pour une période*socio=te de trois ans*socio=rien, la limite*socio=rien annuelle*socio=te d'accès*socio=uv1 des *socio=ac États membres au*socio=nil Compte*socio=ec1 des*socio=nil ressources*socio=ec1 *socio=rien générales du FMI*socio=ac.*socio=nil La*socio=nil limite cumulée*socio=nil reste inchangée,*socio=nil *socio=nil à 300 % de la quote-part*socio=ec1. Ces limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 peuvent toutefois être*socio=rien dépassées dans des circonstances*socio=rien exceptionnelles*socio=uv4, comme cela a été*socio=rien le cas*socio=rien pour le Mexique*socio=ac. Ce relèvement*socio=ec2 de la limite*socio=rien annuelle*socio=te d'accès*socio=uv1 vise à donner aux *socio=ac États membres susceptibles*socio=rien *socio=nil de connaître de *socio=uv4 graves difficultés financières*socio=ec1 l'*socio=nil assurance*socio=ec1 *socio=nil que le FMI*socio=ac sera en mesure*socio=rien de répondre rapidement, et par une aide*socio=uv1 appropriée, à la mise en oeuvre*socio=rien de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et économique*socio=ec1 vigoureux*socio=rien. Si la liquidité*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac a été*socio=rien en *socio=rien général suffisante *socio=nil durant l'exercice*socio=rien, elle devrait diminuer très sensiblement au cours*socio=rien des deux *socio=rien prochaines années,*socio=nil *socio=nil car les *socio=ec1 ressources financières du*socio=rien FMI*socio=ac *socio=nil continueront de faire l'objet*socio=rien d'une forte*socio=rien demande*socio=ec1. La *socio=rien Dixième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et,*socio=nil *socio=nil qui s'est*socio=rien achevée en décembre*socio=rien 1994, n'a pas débouché*socio=ec1 sur*socio=rien la recommandation*socio=et d'un*socio=rien relèvement*socio=ec2 de celles-ci, mais il a été*socio=rien convenu de suivre la liquidité*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac, et les événements*socio=rien ultérieurs*socio=te ont mis en lumière*socio=rien l'importance*socio=rien de ce suivi pour les années*socio=rien à venir. Les *socio=rien travaux sur la*socio=nil Onzième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et *socio=nil s'inscriront dans le cadre*socio=rien de l'examen*socio=ec2 du*socio=rien rôle*socio=et futur*socio=te du*socio=rien FMI*socio=ac par le conseil_d'_administration*socio=ac. Le conseil_d'_administration*socio=ac a poursuivi sa *socio=rien réflexion sur une*socio=nil nouvelle allocation*socio=et *socio=nil de DTS et a débattu du*socio=rien besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te d'accroître les réserves_internationales*socio=ec1, des conséquences*socio=rien économiques*socio=ec1 et monétaires*socio=ec1 d'une nouvelle*socio=rien allocation*socio=et, de l'avenir*socio=te du*socio=rien DTS en tant qu'actif*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 et de la nécessité*socio=uv1 de tenir compte*socio=ec1 de la situation*socio=rien des nouveaux*socio=rien *socio=ac États membres *socio=nil qui n'ont pas participé aux allocations*socio=et précédentes*socio=rien. Dans son communiqué d'avril*socio=rien 1995, le comité_intérimaire*socio=ac a noté que les conditions*socio=ec1 d'un*socio=rien accord*socio=et sur*socio=rien une allocation*socio=et n'étaient pas réunies, mais il a demandé au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre ses *socio=rien travaux sur cette*socio=nil question.*socio=nil *socio=nil Il a aussi invité le FMI*socio=ac à engager, avec la participation*socio=uv3 d'experts*socio=ac extérieurs*socio=te, une *socio=rien vaste réflexion sur le*socio=nil rôle*socio=et *socio=nil et les *socio=rien fonctions du *socio=nil DTS dans un*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te en mutation*socio=ec2. Le conseil_d'_administration*socio=ac examinera en outre les questions*socio=rien liées aux emprunts*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac auprès d'États*socio=ac membres*socio=ac, et en particulier*socio=rien le rôle*socio=et des Accords*socio=et généraux*socio=rien d'emprunt*socio=ec1 (AGE), aux termes*socio=rien desquels onze pays_industrialisés*socio=ac ou banques_centrales*socio=ac s'engagent à prêter au FMI*socio=ac un*socio=rien montant*socio=ec1 maximum*socio=rien de 17 milliards*socio=rien de DTS, auxquels s'ajoutent 1,5 milliard*socio=rien de DTS au titre*socio=rien d'un*socio=rien accord*socio=et associé*socio=rien avec l'Arabie*socio=ac Saoudite*socio=ac. Par ailleurs*socio=rien, étant donné qu'il importe de continuer à apporter une aide*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1 aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de la FASR*socio=ec1, le FMI*socio=ac étudiera les *socio=rien options propres *socio=nil à assurer de manière*socio=rien permanente*socio=te le financement*socio=ec1 et l'adaptation*socio=uv3 de la FASR*socio=ec1. Le nombre*socio=rien de pays*socio=ac ayant accumulé des arriérés de paiements*socio=ec1 de six mois*socio=rien ou plus envers le FMI*socio=ac est*socio=rien tombé à huit en 1994 / 95, depuis que Haïti a procédé*socio=rien au règlement*socio=et de ses impayés*socio=ec1. L'encours des arriérés a légèrement augmenté - 3,0 milliards*socio=rien de DTS au 30 avril*socio=rien 1995, contre 2,9 milliards*socio=rien de DTS un*socio=rien au plus tôt - car quelques *socio=ac États membres *socio=nil déjà en situation*socio=rien d'impayés*socio=ec1 ne se sont pas acquittés de leurs obligations*socio=uv1 arrivées à échéance*socio=te. À mesure*socio=rien que l'économie_de_marché*socio=ec1 gagne *socio=rien du terrain *socio=nil et que les politiques*socio=et d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 se généralisent, les *socio=ac États membres *socio=nil ont davantage besoin*socio=uv1 de l'assistance*socio=uv1 *socio=rien technique du FMI*socio=ac.*socio=nil L'*socio=nil activité du FMI*socio=ac *socio=nil dans ce domaine*socio=rien a progressé de 75 % au cours*socio=rien des *socio=rien cinq dernières années,*socio=nil *socio=nil et plus de la moitié*socio=rien de cette assistance*socio=uv1 bénéficie à l'Afrique*socio=ac et aux pays*socio=ac en transition*socio=ec2 d'Europe*socio=ac et d'Asie*socio=ac. En 1994 / 95, le FMI*socio=ac s'est*socio=rien attaché aussi à coordonner les efforts*socio=uv1 déployés pour fournir rapidement des conseils*socio=ac économiques*socio=ec1 et opérationnels*socio=rien afin d'aider à la reconstruction*socio=uv3 d'économies*socio=ec1 gravement touchées par des conflits*socio=uv1 civils ou des crises*socio=uv2 politiques*socio=et. Au début*socio=rien de 1995, il a été*socio=rien décidé de limiter*socio=rien le plus possible*socio=rien l'augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 administratives*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. La politique*socio=et d'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et adoptée, qui prévoit notamment une compression*socio=et des effectifs*socio=rien dans l'ensemble*socio=rien des services*socio=et, sera poursuivie en 1995 / 96. Le budget*socio=ec1 administratif*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac pour l'exercice*socio=rien 1995 / 96 est*socio=rien en diminution*socio=ec2 de 2,7 % en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1, et les effectifs*socio=rien budgétaires*socio=et ont été*socio=rien réduits de quarante unités*socio=rien. Le FMI*socio=ac comptait 179 *socio=ac États membres *socio=nil au 30 avril*socio=rien 1995. À cette date, deux États*socio=ac issus de l'ex-république*socio=ac *socio=et fédérative socialiste de*socio=nil Yougoslavie*socio=ac *socio=nil - la République*socio=ac fédérative*socio=et de Yougoslavie*socio=ac (Serbie*socio=ac / Monténégro*socio=ac) et la République*socio=ac de Bosnie*socio=ac - Herzégovine - n'avaient pas encore réglé les dispositions*socio=et de leur succession*socio=rien à l'ex-yougoslavie*socio=ac en qualité*socio=rien de membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac. L'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Principales*socio=rien évolutions*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. L'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te a enregistré une forte*socio=rien reprise en 1994. La production*socio=ec1 totale*socio=rien affiche une hausse*socio=rien de 3 3/4%, qui s'inscrit*socio=rien dans le prolongement*socio=rien de la tendance*socio=ec2 observée durant les deux dernières*socio=rien décennies*socio=te et marque*socio=rien une nette*socio=rien amélioration*socio=uv1 par rapport*socio=rien aux résultats*socio=rien médiocres*socio=uv2 de la période*socio=te 1990-93 (graphique*socio=rien 1). L'activité_économique*socio=ec1 est*socio=rien restée soutenue dans la *socio=rien majeure partie du monde*socio=te en*socio=nil développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil et elle s'est*socio=rien redressée aussi dans les pays_industrialisés*socio=ac; l'expansion*socio=ec2 s'est*socio=rien encore accélérée en amérique_du_nord*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac, et la reprise est*socio=rien désormais bien*socio=rien établie dans les pays*socio=ac de l'Europe*socio=ac continentale*socio=te (tableau*socio=rien 1 ). La croissance*socio=uv3 vigoureuse*socio=rien observée dans les pays_industrialisés*socio=ac comme dans les pays_en_développement*socio=uv3 et l'essor*socio=rien de la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 ont entraîné un*socio=rien gonflement*socio=ec2 de plus de 9 % *socio=rien du volume du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te *socio=nil en 1994, soit un*socio=rien chiffre largement supérieur*socio=rien aux 5 1/2 % affichés, en moyenne*socio=rien, au cours*socio=rien des deux dernières*socio=rien décennies*socio=te. Le commerce*socio=ec1 entre pays_en_développement*socio=uv3 s'est*socio=rien fortement accru grâce*socio=rien à la libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 et à l'intensification*socio=ec2 des liens*socio=rien économiques*socio=ec1 et financiers*socio=ec1 intra-régionaux. Si les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 vers les pays_en_développement*socio=uv3 sont demeurés très élevés*socio=uv4, ils accusent néanmoins *socio=rien un léger tassement *socio=nil qui s'explique, pour l'essentiel*socio=uv4, par le ralentissement*socio=ec2 dés*socio=rien entrées de capitaux*socio=ec1 dans les pays*socio=ac de l' hémisphère_occidental*socio=te, du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et de l'Europe*socio=ac. À la fin*socio=rien de 1994, l'Acte*socio=et final*socio=rien de l'uruguay_round*socio=et avait été*socio=rien ratifié par des pays*socio=ac représentant*socio=rien plus de 90 % des échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te de biens*socio=ec1 et de services*socio=et; il prévoyait, entre autres dispositions*socio=et, la création*socio=uv4 de l' organisation_mondiale_du_commerce*socio=ac (OMC*socio=ac). En 1994, le ralentissement*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 s'est*socio=rien confirmé dans les pays_industrialisés*socio=ac, et les niveaux*socio=rien atteints dans nombreux*socio=rien d'entre eux sont plus proches*socio=rien de la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 qu'ils ne l'ont jamais été*socio=rien ces trente *socio=rien dernières années.*socio=nil L'*socio=nil inflation*socio=ec1 *socio=nil a légèrement augmenté dans les pays_en_développement*socio=uv3 et, si elle est*socio=rien restée élevée*socio=uv4 dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac en transition*socio=ec2 en dépit*socio=rien des progrès*socio=uv1 de la stabilisation*socio=et ici ou là, elle a très sensiblement ralenti pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac par rapport*socio=rien à 1993. Les prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 ont en moyenne*socio=rien diminué, tandis que ceux des produits*socio=rien de base*socio=rien autres que les combustibles*socio=ec1 ont bénéficié d'une reprise cyclique*socio=te prononcée qui explique en partie*socio=rien la légère*socio=rien amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 non exportateurs*socio=ac de combustibles*socio=ec1. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te ont fortement augmenté dans les pays_industrialisés*socio=ac, en début*socio=rien d'année*socio=rien surtout, sous l'effet*socio=rien conjugué*socio=rien d'une amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3, des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 et de l'accroissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 induit par la reprise de l'activité*socio=rien mondiale*socio=te. Dans quelques pays*socio=ac, les *socio=rien inquiétudes du marché*socio=ec1 *socio=nil concernant les perspectives*socio=te d'inflation*socio=ec1, les déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et ou les incertitudes*socio=uv3 politiques*socio=et ont entraîné une *socio=rien forte hausse des*socio=nil primes*socio=ec1 de*socio=nil risque*socio=uv3 sur les*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil et sensiblement accru les tensions*socio=ec2 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1. D'autre part*socio=rien, le ralentissement*socio=ec2 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 vers les pays_en_développement*socio=uv3 a provoqué une correction*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien de nombreux*socio=rien *socio=ec1 marchés boursiers émergents*socio=ec2;*socio=nil *socio=nil ces deux évolutions*socio=te se sont accentuées suite*socio=rien à la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 mexicaine*socio=ac de *socio=rien décembre dernier.*socio=nil activité_économique*socio=ec1 et*socio=nil emploi*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil La reprise de l'activité_économique*socio=ec1 mondiale*socio=te s'est*socio=rien confortée en 1994 après*socio=rien le ralentissement*socio=ec2 de 1990-93. Dans les pays_industrialisés*socio=ac, où la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien en moyenne*socio=rien de 3 %, la reprise s'est*socio=rien confirmée en Europe*socio=ac continentale*socio=te, même si les marges de capacité*socio=uv3 disponibles*socio=rien restaient *socio=rien considérables sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil biens*socio=ec1 et*socio=nil du travail *socio=nil de la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac au début*socio=rien de 199s (graphique*socio=rien 2). Aux États-unis*socio=ac, au Canada*socio=ac, au Royaume-uni*socio=ac, en Australie*socio=ac et en Nouvelle-zélande*socio=ac, où la phase*socio=te d'expansion*socio=ec2 a démarré plus tôt et où la croissance*socio=uv3 était la plus soutenue, la vigueur*socio=uv3 de l'activité*socio=rien a permis*socio=rien une *socio=rien nouvelle hausse du taux*socio=ec1 d'*socio=nil utilisation des*socio=nil capacités*socio=uv3 de*socio=nil production*socio=ec1 *socio=nil et le chômage*socio=ec1 a reculé. Au Japon*socio=ac, où la reprise n'a été*socio=rien que médiocre*socio=uv2, la sous-utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 s'est*socio=rien encore accentuée (graphique*socio=rien 3), Aux États-unis*socio=ac, l'expansion*socio=ec2 diversifiée et tirée par la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te s'est*socio=rien poursuivie. L'investissement*socio=ec1 des entreprises*socio=ac, particulièrement soutenu en 1994, a plus que compensé la baisse*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien. La croissance*socio=uv3 du*socio=rien PIB*socio=ec1 réel*socio=rien a ralenti au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1995, mais le chômage*socio=ec1 est*socio=rien tombé à 5,5%, et le taux*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien des capacités*socio=uv3 a atteint son niveau*socio=rien le plus élevé*socio=uv4 depuis 1979. Au Canada*socio=ac, la reprise a conservé un*socio=rien rythme*socio=ec2 rapide*socio=rien, car les exportateurs*socio=ac ont bénéficié du*socio=rien dynamisme*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te et de la faiblesse*socio=ec2 du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1, tandis que le renchérissement*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien a aidé les branches*socio=rien dont l'activité*socio=rien repose très largement sur*socio=rien ces ressources*socio=ec1. L'activité_économique*socio=ec1 s'est*socio=rien aussi accélérée au Royaume-uni*socio=ac, où l'essor*socio=rien des exportations*socio=ec1 a plus que compensé le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la consommation*socio=ec1 entraîné par une majoration*socio=rien des impôts*socio=et. En Australie*socio=ac et en Nouvelle-zélande*socio=ac, c'est*socio=rien la vigueur*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te qui a donné *socio=rien un coup *socio=nil de fouet à la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1. Sur*socio=rien le *socio=ac continent européen,*socio=nil *socio=nil la reprise a été*socio=rien plus vive qu'on ne le prévoyait en général*socio=rien. En Allemagne*socio=ac, la croissance*socio=uv3 a d'abord*socio=rien été*socio=rien tirée par les exportations*socio=ec1 grâce*socio=rien à la reprise de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te et aux gains*socio=ec1 de compétitivité*socio=uv3 dégagés par les restructurations*socio=et industrielles*socio=ec1 et la baisse*socio=ec2 des coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien de main-d'_ouvre*socio=et. La reprise s'est*socio=rien progressivement*socio=rien diversifiée, l'investissement*socio=ec1 fixe des entreprises*socio=ac se renforçant vers la fin*socio=rien de 1994. De même, la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien affermie en France*socio=ac, où la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et extérieure*socio=te a confirme sa progression*socio=ec2 alors que le chômage*socio=ec1 a amorcé *socio=rien un repli eu*socio=nil fin d'*socio=nil année.*socio=nil *socio=nil Elle s'est*socio=rien également accélérée cil Italie*socio=ac, où les exportations*socio=ec1 ont été*socio=rien stimulées par la forte*socio=rien dépréciation*socio=ec2 de la lire et la reprise de l'activité*socio=rien chez les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1, et où la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a remplacé peu à peu les exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien comme principal*socio=rien moteur*socio=uv3 de la croissance*socio=uv3; le chômage*socio=ec1 est*socio=rien resté néanmoins élevé*socio=uv4. Dans les autres pays_industrialisés*socio=ac d'Europe*socio=ac, enfin, c'est*socio=rien aussi le dynamisme*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 qui a appuyé la croissance*socio=uv3. Au Japon*socio=ac, les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 ont été*socio=rien médiocres*socio=uv2 malgré le soutien*socio=uv3 de la politique_monétaire*socio=et et une relance*socio=uv3 budgétaire*socio=et énergique*socio=ec1 alliant, entre autres, d'importants*socio=uv4 investissements*socio=ec1 publics*socio=et et un*socio=rien allégement*socio=ec2 de l'imposition*socio=et des revenus*socio=ec1. La reprise a marqué le pas au quatrième*socio=rien trimestre*socio=te de 1994 suite*socio=rien à la contraction*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et au recul*socio=rien des exportations*socio=ec1 licites occasionné par l'appréciation*socio=uv3 sensible*socio=rien dit yen*socio=ec1 en termes*socio=rien réels*socio=ec2 ces *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Enfin, le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien n'a que légèrement progressé au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1995 en raison*socio=rien, notamment, du*socio=rien séisme de janvier*socio=rien, qui a perturbé temporairement*socio=rien la production*socio=ec1 et les transports*socio=ec1. La poursuite*socio=rien dune expansion*socio=ec2 rapide*socio=rien dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, en Asie*socio=ac et dans quelques *socio=ac pays latino-américains *socio=nil surtout, *socio=rien est un aspect particulièrement*socio=nil positif*socio=uv4 *socio=nil de l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te ces *socio=rien dernières années.*socio=nil Les*socio=nil bons résultats *socio=nil obtenus par ces pays*socio=ac sont le fruit*socio=rien de la détermination*socio=rien avec laquelle ils se sont lancés dans les réformes*socio=et et ont amélioré leur politique*socio=et macro-économique*socio=ec1, mais s'expliquent aussi par les entrées nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 considérables*socio=rien dont ils ont bénéficié. En 1994, la croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3 a été*socio=rien en moyenne*socio=rien de 6 1/4 %, contre 6 % en 1993. Ce résultat*socio=rien global*socio=te positif*socio=uv4 n'en masque pas moins des disparités*socio=uv1 substantielles*socio=rien d'une région*socio=te à l'autre (graphique*socio=rien 4). Ainsi, la croissance*socio=uv3 est*socio=rien restée soutenue en Asie*socio=ac, où elle a dépassé 8 % pour la troisième*socio=rien aimée consécutive*socio=rien La forte*socio=rien demande*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 a stimule l'activité*socio=rien en Corée*socio=ac, en Malaisie*socio=ac, aux Philippines*socio=ac et en Thaïlande*socio=ac. En Chine*socio=ac, la production*socio=ec1 a poursuivi sa progression*socio=ec2 et les *socio=ec2 tensions inflationnistes *socio=nil se sont exacerbées. La croissance*socio=uv3 a repris en Inde*socio=ac et au Pakistan*socio=ac (en dépit*socio=rien, dans ce dernier*socio=rien pays*socio=ac, d'une sécheresse*socio=et et d'un*socio=rien virus*socio=et qui ont affecté la production*socio=ec1 de coton*socio=ec1) et a été*socio=rien soutenue an*socio=rien Bangladesh*socio=ac. Dans les pays_en_développement*socio=uv3 de l'hémisphère_occidental*socio=te, la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien en moyenne*socio=rien à 4 1/2 % en 1994, contre 3 % environ en 1993. Le dynamisme*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, et notamment de l'investissement*socio=ec1, a stimulé l'activité*socio=rien en Argentine*socio=ac, au Brésil*socio=ac, au Pérou*socio=ac et en Uruguay*socio=ac. L'activité*socio=rien a légèrement progressé an*socio=rien Mexique*socio=ac et en Équateur*socio=ac, alors que la croissance*socio=uv3 a un*socio=rien peu ralenti au Chili*socio=ac. Au Venezuela*socio=ac, la production*socio=ec1 s'est*socio=rien contractée, car la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 a miné Il confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac et des entreprises*socio=ac. La croissance*socio=uv3 est*socio=rien tombée en deçà de 1 % dans les pays_en_développement*socio=uv3 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et d'Europe*socio=ac en 1994, cc qui s'explique essentiellement par l'évolution*socio=te observée en Turquie*socio=ac, où la grave*socio=uv4 crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 *socio=rien du premier semestre a*socio=nil fait *socio=nil chuter la production*socio=ec1. Dans les pays*socio=ac de la région*socio=te exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1, la conjoncture*socio=ec2 économique*socio=ec1 est*socio=rien restée morose en raison*socio=rien de la nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 en 1994. En Afrique*socio=ac, la situation*socio=rien économique*socio=ec1 est*socio=rien restée difficile*socio=rien malgré la hausse*socio=rien conjoncturelle*socio=te des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien. La production*socio=ec1 a progressé de moins de 3 %, et seuls*socio=rien quelques pays*socio=ac ont enregistré une *socio=rien hausse modeste du revenu*socio=ec1 par*socio=nil habitant*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Cependant, grâce*socio=rien aux progrès*socio=uv1 des réformes*socio=et et surtout de la libéralisation*socio=et des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 vigoureuse*socio=rien s'est*socio=rien confirmée dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac. Les pays*socio=ac de la zone*socio=te franc*socio=ec1 ont commencé à recueillir les fruits*socio=rien de l'ajustement*socio=et monétaire*socio=ec1 opéré au début*socio=rien de 1994 : leurs possibilités*socio=rien d'investissement*socio=ec1 et d'exportation*socio=ec1 se sont améliorées et les flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1 ont repris. La croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien affermie pour s'établir à 3 1/2 % dans les *socio=ac pays africains *socio=nil qui appliquaient un*socio=rien accord*socio=et au titre*socio=rien de la FAS*socio=ec1 ou de la FASR*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1994. Elle a repris aussi, à un*socio=rien rythme*socio=ec2 modéré, en afrique_du_sud*socio=ec1 où l'on a noté des signes d'affermissement*socio=ec2 de la stabilité*socio=uv3 et de la confiance*socio=uv1. La production*socio=ec1 a considérablement*socio=rien augmenté an*socio=rien Maroc*socio=ac après*socio=rien deux années*socio=rien de sécheresse*socio=et, alors que l'activité*socio=rien s'est*socio=rien de nouveau*socio=rien contractée en Algérie*socio=ac (où la sécheresse*socio=et persistante*socio=rien a été*socio=rien préjudiciable*socio=et à la *socio=ec1 production agricole)*socio=nil *socio=nil et a souffert *socio=rien du creusement des*socio=nil déséquilibres*socio=uv3 financiers*socio=ec1 au*socio=nil Nigeria*socio=ac.*socio=nil La*socio=nil situation économique*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil améliorée aussi dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac en transition*socio=ec2 de l'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te, y compris les *socio=ac États baltes,*socio=nil bien*socio=rien *socio=nil que le niveau*socio=rien de l'activité*socio=rien ait continué de diminuer, à un*socio=rien rythme*socio=ec2 plus lent*socio=rien toutefois que les *socio=rien années précédentes.*socio=nil La*socio=nil croissance*socio=uv3 s'*socio=nil est *socio=nil accélérée en Pologne*socio=ac, en Roumanie*socio=ac, en *socio=ac République slovaque *socio=nil et en Slovénie*socio=ac, et est*socio=rien restée soutenue en Albanie*socio=ac. Elle a démarré dans les *socio=ac États baltes *socio=nil et les autres pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te, à l'exception*socio=rien du*socio=rien Bélarus, de la Moldova*socio=ac et de l'Ukraine*socio=ac, où la production*socio=ec1 s'est*socio=rien encore contractée. En dehors de la *socio=ac République tchèque *socio=nil et des *socio=ac États baltes,*socio=nil le*socio=nil chômage*socio=ec1 déclaré*socio=nil est*socio=rien *socio=nil resté en général*socio=rien élevé*socio=uv4, se maintenant dans une fourchette*socio=rien de 10 % à 20 %. À l'exception*socio=rien de l'Arménie*socio=ac et de la Mongolie*socio=ac, les pays*socio=ac transcaucasiens et d'Asie*socio=ac centrale*socio=rien ont enregistré une baisse*socio=ec2 continue*socio=rien de leur production*socio=ec1; de même, le PIB*socio=ec1 constaté s'est*socio=rien contracté à nouveau*socio=rien en Russie*socio=ac. Dans tous ces pays*socio=ac, cependant, le *socio=rien niveau effectif *socio=nil de l'activité_économique*socio=ec1 est*socio=rien sans doute*socio=rien plus élevé*socio=uv4 que ne l'indiquent les statistiques*socio=ec2 officielles*socio=et, qui ne sont pas encore parfaitement adaptées aux nouvelles*socio=rien *socio=ec1 structures économiques.*socio=nil Prix *socio=nil à la consommation*socio=ec1 et prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien. *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil ont enregistré, en 1994, un*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 correspondant à une stabilité*socio=uv3 raisonnable*socio=uv4 des prix*socio=ec1. Au Japon*socio=ac, en France*socio=ac, au Canada*socio=ac, au Danemark*socio=ac, en Finlande*socio=ac, en Islande*socio=ac, en Nouvelle-zélande*socio=ac, en Norvège*socio=ac et en Suisse*socio=ac, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 a *socio=rien été inférieure *socio=nil à 2 %. Aux États-unis*socio=ac, en Allemagne*socio=ac, au Royaume-uni*socio=ac, en Australie*socio=ac, en Autriche*socio=ac, en Belgique*socio=ac, en Irlande*socio=ac, au Luxembourg*socio=ac, aux Pays-bas*socio=ac et en Suède*socio=ac, elle a été*socio=rien contenue entre 2 % et 3 %. Les excellents résultats*socio=rien obtenus par les pays_industrialisés*socio=ac sur*socio=rien le front*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 constituent le résultat*socio=rien le plus positif*socio=uv4 de la stratégie*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil menée depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80. La détermination*socio=rien des autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 à lutter contre l'inflation*socio=ec1 a été*socio=rien mise en évidence*socio=rien par le resserrement*socio=ec2 préventif*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et en 1994 dans les pays*socio=ac les plus avancés dans le cycle*socio=te. Dans les pays*socio=ac où la reprise venait de démarrer, l'existence*socio=rien de marges de capacité*socio=uv3 considérables*socio=rien a aidé à contenir les *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil Les*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil ont enregistré une inflation*socio=ec1 médiane*socio=rien de 10 % en 1994. Compte*socio=ec1 tenu des nivaux très élevés*socio=uv4 atteints clins *socio=rien un petit nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil l'*socio=nil inflation*socio=ec1 moyenne est *socio=nil passée quant à elle de 43 % en 1993 à 48 % en 1994. Si tous les groupes*socio=ac régionaux*socio=te ont enregistré unie hausse*socio=rien des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 moyens*socio=ec1, on observe des différences*socio=uv1 notables*socio=rien d'une région*socio=te à l'autre et au sein*socio=rien de chacune d'elles. En Afrique*socio=ac, le taux*socio=ec1 *socio=rien moyen est passé *socio=nil à 34 % en raison*socio=rien de l'hyper-inflation au Zaïre*socio=ac et de l'accélération*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 dans les pays*socio=ac de la zone*socio=te franc*socio=ec1 suite*socio=rien à la dévaluation*socio=ec2 de 50 % du*socio=rien franc*socio=ec1 CFA en janvier*socio=rien 1994; dans des pays*socio=ac comme le Kenya et l'Ouganda*socio=ac, en revanche, les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et ont permis*socio=rien de ralentir sensiblement la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1. En Asie*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 s'est*socio=rien accélérée pour atteindre 13 % en moyenne*socio=rien. La hausse*socio=rien a *socio=rien été générale,*socio=nil *socio=nil Mais elle a touché tout particulièrement la Chine*socio=ac et le Viêt-nam. L'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée faible*socio=rien dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et d'Europe*socio=ac, alors qu'elle a augmenté très nettement en Turquie*socio=ac et, dans une *socio=rien moindre mesure,*socio=nil *socio=nil dans la *socio=ac République islamique d'*socio=nil Iran,*socio=nil *socio=nil ce qui a porté la moyenne*socio=rien régionale*socio=te à 32 %. Elle a reculé dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac de hémisphère_occidental*socio=te suite*socio=rien au renforcement*socio=ec2 des politiques*socio=et d'ajustement*socio=et, à l'exception*socio=rien *socio=rien notable du Venezuela*socio=ac *socio=nil où la détérioration*socio=uv4 de la situation*socio=rien financière*socio=ec1 a déclenché une forte*socio=rien poussée inflationniste*socio=ec2. Au Brésil*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 a augmenté au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1994, mais elle a très nettement fléchi au *socio=rien second semestre après l'*socio=nil introduction,*socio=nil *socio=nil le 1er juillet*socio=rien, d'une nouvelle*socio=rien monnaie*socio=ec1 (le real*socio=rien) dans le *socio=rien cadre du troisième volet du plan de*socio=nil stabilisation*socio=et.*socio=nil *socio=nil On enregistre aussi *socio=rien un recul *socio=nil de l'inflation*socio=ec1 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac en*socio=nil transition*socio=ec2.*socio=nil Les*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil les plus nets*socio=rien sont à mettre à l'actif*socio=ec1 des pays*socio=ac qui ont appliqué des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 vigoureuses*socio=rien, comme l'Albanie*socio=ac, les *socio=ac États baltes,*socio=nil la*socio=nil Mongolie,*socio=nil la*socio=nil Pologne,*socio=nil la*socio=nil République slovaque,*socio=nil la*socio=nil République tchèque,*socio=nil la*socio=nil Roumanie *socio=nil et la Slovénie*socio=ac. À la fin*socio=rien de 1994, l'inflation*socio=ec1 était en deçà ou proche de la barre des 10 % (en *socio=rien moyenne sur douze*socio=nil mois)*socio=nil en*socio=nil Croatie*socio=ac,*socio=nil en*socio=nil *socio=ac République slovaque *socio=nil et en *socio=ac République tchèque.*socio=nil La*socio=nil stabilisation*socio=et *socio=nil a sensiblement progressé en Russie*socio=ac durant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1994, mais l'inflation*socio=ec1 s'est*socio=rien nettement accélérée par la suite*socio=rien. La plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac issus de l'ex-urss*socio=ac, où les réformes*socio=et sont plus récentes*socio=rien et moins énergiques*socio=ec1, ont continué d'accuser des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 très élevés*socio=uv4. Les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien autres que les combustibles*socio=ec1 ont considérablement*socio=rien augmenté en 1994, inversant la tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 des *socio=rien cinq dernières années.*socio=nil *socio=nil Cela a été*socio=rien le cas*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien café*socio=ec1, en *socio=rien forte hausse *socio=nil pendant l'aimée en raison*socio=rien des conditions*socio=ec1 climatiques*socio=rien défavorables*socio=uv4 au Brésil*socio=ac avant de fléchir quelque peu en décembre*socio=rien. L'enchérissement très *socio=rien sensible du cuivre*socio=ec1,*socio=nil du *socio=nil nickel, de l'aluminium et de divers autres métaux*socio=ec1 s'explique par la Vigueur*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 dans certains pays*socio=ac et la faible*socio=rien augmentation*socio=ec2, voire la baisse*socio=ec2, de la production*socio=ec1. Les prix*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil *socio=ec1 matières_premières agricoles,*socio=nil le*socio=nil caoutchouc naturel*socio=rien *socio=nil notamment, ont aussi beaucoup augmenté en raison*socio=rien d'une forte*socio=rien demande*socio=ec1 venue en particulier*socio=rien de la Chine*socio=ac. Enfin, la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1994 tient avant tout à l'accroissement*socio=ec2 prononcé de la production*socio=ec1 mondiale*socio=te et à une diminution*socio=ec2 des achats*socio=ec1 due aux conditions*socio=ec1 climatiques*socio=rien anormalement clémentes pour la saison*socio=rien dans l'Hémisphère*socio=te Nord*socio=te. Marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 et des changes*socio=ec1. L'évolution*socio=te des taux_d'_intérêt*socio=ec1 en 1994 et au début*socio=rien de 1995 a reflété, d'une *socio=rien manière générale,*socio=nil les*socio=nil positions différentes des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil dans le *socio=te cycle conjoncturel *socio=nil et, plus récemment, les tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Les pays*socio=ac qui sont entrés dans leur troisième*socio=rien ou *socio=rien quatrième année *socio=nil de reprise - États-unis*socio=ac, Royaume-uni*socio=ac, Canada*socio=ac, Australie*socio=ac et Nouvelle*socio=rien -zélande - ont graduellement resserré les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil en 1994 et au début*socio=rien de 1995. Aux États-unis*socio=ac, la politique_monétaire*socio=et a pris *socio=rien un tour *socio=nil de plus en plus restrictif*socio=uv4 face*socio=rien à la croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien de l'économie*socio=ec1. De février*socio=rien 1994 à mars*socio=rien 1995, le taux*socio=ec1 des fonds*socio=ec1 fédéraux*socio=et a été*socio=rien relevé de 3 points*socio=rien pour s'établir à 6 %, et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te ont augmenté dans les mêmes proportions*socio=rien. Au Japon*socio=ac, les taux*socio=ec1 à court*socio=rien ternie ont légèrement progressé à la fin*socio=rien de l'été*socio=rien de 1994 pour demeurer relativement stables*socio=uv4 jusqu'au début*socio=rien de 1995, les taux*socio=ec1 à trois mois*socio=rien avoisinant 2 1/4 %. À la *socio=rien fin mars,*socio=nil devant la*socio=nil faiblesse*socio=ec2 persistante *socio=nil de la reprise et l'appréciation*socio=uv3 *socio=rien sensible du yen*socio=ec1,*socio=nil la*socio=nil Banque*socio=ac du Japon*socio=ac *socio=nil a annoncé un*socio=rien assouplissement*socio=uv3 de la politique_monétaire*socio=et sous forme*socio=rien d'une réduction*socio=ec2 de l'objectif*socio=uv3 fixé pour les taux*socio=ec1 au jour*socio=rien le jour*socio=rien. L'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien yen*socio=ec1 s'étant poursuivie durant la *socio=rien première quinzaine d'*socio=nil avril,*socio=nil le*socio=nil taux*socio=ec1 *socio=nil d'escompte a été*socio=rien abaissé de 75 points*socio=rien de base*socio=rien pour atteindre, à 1 %, son plus *socio=rien bas niveau historique*socio=te.*socio=nil En*socio=nil Allemagne*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil taux*socio=ec1 à*socio=nil court *socio=nil ternie ont continué à baisser pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1994, avant de se stabiliser entre 5 et 5 1/4 % jusqu'à la *socio=rien fin mars *socio=nil 1995, qui les a VUS Chuter d'environ 50 points*socio=rien de *socio=rien base suite à*socio=nil un abaissement *socio=nil de même *socio=rien ampleur du taux*socio=ec1 *socio=nil d'escompte. Dans les autres pays*socio=ac d'Europe*socio=ac continentale*socio=te, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont le plus souvent suivi les taux*socio=ec1 allemands*socio=ac en 1994, mais les pressions*socio=ec2 exercées *socio=rien sur certaines monnaies*socio=ec1 *socio=nil ont entraîné quelques divergences*socio=uv1 ces *socio=rien derniers mois.*socio=nil Les*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 à*socio=nil long_terme*socio=te *socio=nil ont en général*socio=rien augmente dans les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac en 1994, ce qui s'explique dans une *socio=rien large mesure *socio=nil par le renforcement*socio=ec2 des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 et des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2. Ils ont à nouveau*socio=rien baissé dans Plusieurs d'entre eux au cours*socio=rien de la période*socio=te *socio=rien récente suite *socio=nil à l'affaiblissement*socio=ec2 des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2. Cependant, les taux*socio=ec1 longs*socio=rien ont augmenté ou sont restés très tendus dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac où le marché*socio=ec1 a été*socio=rien influencé négativement par l'ampleur*socio=rien des déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et et les incertitudes*socio=uv3 politiques*socio=et. Sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, le fléchissement*socio=ec2 très *socio=rien net du dollar*socio=ec1 *socio=nil et de nombreuses*socio=rien monnaies*socio=ec1 par rapport*socio=rien au yen*socio=ec1 et au *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil constitue le *socio=rien fait majeur *socio=nil de l'année*socio=rien écoulée. Les taux_de_change*socio=ec1 ont enregistré d'amples*socio=rien fluctuations*socio=ec2 au début*socio=rien de 1995, lorsque la monnaie*socio=ec1 américaine*socio=ac a atteint un*socio=rien étiage historique*socio=te vis-à-vis des deux autres grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1. L'effritement du*socio=rien dollar*socio=ec1 *socio=rien face an yen*socio=ec1 *socio=nil et au *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil a contrasté avec sa vigueur*socio=uv3 par rapport*socio=rien aux monnaies*socio=ec1 d'autres partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1, et en *socio=rien particulier du peso*socio=ec1 *socio=nil mexicain et de la lire. La monnaie*socio=ec1 américaine*socio=ac est*socio=rien restée relativement ferme*socio=ec2 par rapport*socio=rien au dollar_canadien*socio=ec1 durant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1995 alors qu'elle s'était déjà fortement appréciée au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années.*socio=nil En*socio=nil conséquence,*socio=nil *socio=nil alors que le dollar*socio=ec1 a perdu 16 1/2 % par rapport*socio=rien au yen*socio=ec1 et 12 1/4 % par rapport*socio=rien au *socio=ec1 deutsche mark,*socio=nil entre*socio=nil décembre*socio=rien *socio=nil 1994 et avril*socio=rien 1995, il ne s'est*socio=rien déprécié que de 5 1/2 % en *socio=rien termes effectifs,*socio=nil (*socio=nil réels*socio=ec2 et*socio=nil nominaux*socio=ec1)*socio=nil .*socio=nil Cette*socio=nil faiblesse*socio=ec2 du dollar*socio=ec1 *socio=nil a eu pour *socio=rien contrepartie un renforcement*socio=ec2 sensible du *socio=ec1 deutsche mark et*socio=nil du*socio=rien yen au*socio=nil cours*socio=rien *socio=nil de la période*socio=te : le yen*socio=ec1 a gagné 15 3/4 % et le *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil 5 1/2 %, en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1,*socio=nil entre*socio=nil décembre *socio=nil 1994 et avril*socio=rien 1995. L'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil a reflété sa hausse*socio=rien vis-à-vis du*socio=rien dollar*socio=ec1, mais aussi de la livre sterling*socio=ec1 et de plusieurs monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac affectées par des incertitudes*socio=uv3 politiques*socio=et on des difficultés*socio=uv4 budgétaires*socio=et, comme cela a été*socio=rien le cas*socio=rien pour la lire, la peseta*socio=ec1 et la *socio=ac couronne suédoise.*socio=nil Le*socio=nil franc*socio=ec1 français*socio=rien *socio=nil a fléchi quelque peu lui aussi face*socio=rien au *socio=ec1 deutsche mark,*socio=nil *socio=nil mais il s'est*socio=rien légèrement apprécié en *socio=rien termes effectifs.*socio=nil Les*socio=nil pressions*socio=ec2 exercées*socio=nil sur les*socio=nil monnaies*socio=ec1 participant au*socio=nil mécanisme*socio=et de*socio=nil change*socio=ec1 du système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac (*socio=nil SME*socio=ec1)*socio=nil *socio=nil ont entraîné une dévaluation*socio=ec2 de 7 % de la peseta*socio=ec1 et de 3 1/2 % de l'escudo au *socio=rien cours du premier *socio=nil week-end de mars*socio=rien 1995. Ces pressions*socio=ec2 ont aussi provoqué, la *socio=rien semaine suivante,*socio=nil Un relèvement*socio=ec2 des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 officiels*socio=et *socio=nil dans d'autres *socio=ac pays européens,*socio=nil sur*socio=rien *socio=nil lequel quelques-uns d'entre eux sont revenus*socio=ec1 par la suite*socio=rien lorsque les tensions*socio=ec2 se sont apaisées sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Durant cette période*socio=te, le yen*socio=ec1 s'est*socio=rien apprécié par rapport*socio=rien à unie série de monnaies*socio=ec1, dont le *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil et le franc*socio=ec1 suisse*socio=ac. Plusieurs facteurs*socio=rien semblent avoir contribué à la vigueur*socio=uv3 du*socio=rien yen*socio=ec1 et du*socio=rien *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil ainsi qu'à la faiblesse*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1 : l'ampleur*socio=rien de l'excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=rien courant du Japon*socio=ac *socio=nil et les inquiétudes*socio=rien soulevées par le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien actuel*socio=te - et, selon les anticipations*socio=uv3, à venir - des États-unis*socio=ac et son financement*socio=ec1 ; l'incertitude*socio=uv3 quant à la *socio=rien poursuite du processus*socio=te de*socio=nil réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et américain*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil sentiment croissant,*socio=nil sur les*socio=nil marchés*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil que les taux*socio=ec1 courts*socio=rien approchaient de leur plafond*socio=ec1 cyclique*socio=te aux États-unis*socio=ac, enfin, la persistance*socio=te de la crise*socio=uv2 économique*socio=ec1 au Mexique*socio=ac et les craintes*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1 en ce qui concerne la *socio=rien situation du reste *socio=nil de l'amérique_latine*socio=ac. En Europe*socio=ac, les incertitudes*socio=uv3 politiques*socio=et et les difficultés*socio=uv4 budgétaires*socio=et de plusieurs pays*socio=ac ont entraîné nue *socio=rien forte hausse *socio=nil de la demande*socio=ec1 de *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil par les investisseurs*socio=ac sensibles*socio=rien au risque*socio=uv3. Enfin, la *socio=rien nervosité générale *socio=nil suscitée par l'évolution*socio=te de plusieurs économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 peut avoir *socio=rien jolie Un rôle*socio=et,*socio=nil *socio=nil faisant alors du*socio=rien *socio=ec1 deutsche mark et*socio=nil du*socio=rien yen des*socio=nil valeurs *socio=nil refuges. Soldes*socio=ec1, financement*socio=ec1 et dette*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Malgré la faiblesse*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 américaine*socio=ac par rapport*socio=rien au yen*socio=ec1 et au *socio=ec1 deutsche mark,*socio=nil le*socio=nil déficit extérieur*socio=te courant*socio=rien des*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=rien est passé *socio=nil de 104 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (1 1/2 % du*socio=rien PIB*socio=ec1)en1993 à 156 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (2 1/4 % du*socio=rien PIB*socio=ec1) en 1994 en *socio=rien raison du raffermissement*socio=ec2 *socio=nil de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Le Canada*socio=ac et l'Australie*socio=ac, qui accusaient des déficits*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants *socio=nil de l'ordre*socio=rien de 4 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1993, ont vu ceux-ci diminuer de 1 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 au Canada*socio=ac et légèrement augmenter en Australie*socio=ac en 1994. Au Japon*socio=ac, l'excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien (exprimé en dollars*socio=ec1) s'est*socio=rien quelque peu résorbé, passant de 1,31 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 à 129 milliards*socio=rien malgré une croissance*socio=uv3 *socio=rien rapide du volume des*socio=nil importations*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil pour s'établir à 2,8 % du*socio=rien PIB*socio=ec1, en baisse*socio=ec2 de 0,3 point*socio=rien. En revanche, le déficit*socio=ec1 de l'Allemagne*socio=ac s'est*socio=rien creusé de 8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour atteindre 23 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (soit 1 % du*socio=rien P113) en 1994, l'accroissement*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 commercial*socio=ec1 ayant été*socio=rien compensé par le *socio=rien creusement du déficit*socio=ec1 des*socio=nil échanges*socio=ec1 de*socio=nil services*socio=et *socio=nil autres que les revenus*socio=ec1 des facteurs*socio=rien. La France*socio=ac, l'Italie*socio=ac, les Pays-bas*socio=ac, la Belgique*socio=ac et le Luxembourg*socio=ac, le Danemark*socio=ac, l'Irlande*socio=ac, la Suisse*socio=ac et la Norvège*socio=ac avaient enregistré un*socio=rien excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien en 1993; cet excédent*socio=ec1 s'est*socio=rien encore accru en 1994 pour plusieurs d'entre eux, souvent grâce*socio=rien à une reprise tirée par les exportations*socio=ec1. Des déficits*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants *socio=nil relativement limités en 1993 ont été*socio=rien réduits en 1994 (en Espagne*socio=ac, en Grèce et au Royaume-uni*socio=ac), ou convertis en excédents*socio=ec1 (en Finlande*socio=ac et en Suède*socio=ac). En 1994, le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 est*socio=rien resté du*socio=rien même ordre*socio=rien 90 à 100 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 - qu'en 1993, après*socio=rien avoir fortement augmenté au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années suite *socio=nil à la progression*socio=ec2 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 vers nombre*socio=rien d'entre eux. Il semble toutefois que les entrées nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 aient quelque peu diminué en 1994 dans les pays_en_développement*socio=uv3 de l' hémisphère_occidental*socio=te, du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et d'Europe*socio=ac (graphique*socio=rien 5). Le volte-face*socio=rien des investisseurs*socio=ac a été*socio=rien particulièrement *socio=rien spectaculaire an Mexique*socio=ac,*socio=nil *socio=nil ou les inquiétudes*socio=rien suscitées par le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien (qui a culminé à 8 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1994) et par la situation*socio=rien politique*socio=et ont entraîné des ponctions*socio=ec1 *socio=rien considérables sur les*socio=nil réserves*socio=ec1 *socio=nil en 1994 et causé finalement la dévaluation*socio=ec2 du*socio=rien peso*socio=ec1 en décembre*socio=rien. Celle-ci a déclenché une grave*socio=uv4 crise*socio=uv2 de confiance*socio=uv1 dont les effets*socio=rien ont été*socio=rien ressentis sur*socio=rien d'autres marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2, en amérique_latine*socio=ac surtout, mais aussi dans quelques pays_industrialisés*socio=ac, car elle a occasionné une réévaluation*socio=ec1 générale*socio=rien des risques*socio=uv3. An*socio=rien Mexique*socio=ac et en Argentine*socio=ac, de même que dans d'autres pays*socio=ac à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien, les autorités*socio=et ont réagi en prenant des mesures*socio=et pour réduire les déséquilibres*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1 et redonner confiance*socio=uv1 aux investisseurs*socio=ac nationaux*socio=te et étrangers*socio=te. La dette*socio=ec1 extérieure*socio=te globale*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 a diminué, en pourcentage*socio=rien des exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et services*socio=et, en 1994. Cependant, la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 survenue pendant l'aimée a alourdi le ratio*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 dans les pays*socio=ac de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te et les pays_en_développement*socio=uv3 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et d'Europe*socio=ac (graphique*socio=rien 6). Dans ceux de l'hémisphère_occidental*socio=te, l'encours et le ratio*socio=ec1 de service_de_la_dette*socio=ec1 ont diminué plus nettement, en *socio=rien termes relatifs,*socio=nil *socio=nil que dans d'autres régions*socio=te, tout en restant largement supérieurs*socio=rien à la moyenne*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3. En Afrique*socio=ac, la hausse*socio=rien des *socio=ec1 ratios moyens d'*socio=nil endettement s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil poursuivie et les disparités*socio=uv1 entre les *socio=rien différentes parties du continent*socio=ac *socio=nil se sont accentuées. En 1994, le *socio=ec1 ratio dette extérieure*socio=te /*socio=nil PIB des*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te *socio=nil était trois fois*socio=rien et *socio=rien demie supérieur *socio=nil à la moyenne*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, et plus d'une fois*socio=rien et *socio=rien demie supérieur *socio=nil à celle de l'ensemble*socio=rien des *socio=ac pays africains.*socio=nil La*socio=nil restructuration*socio=et *socio=nil de la dette*socio=ec1 bilatérale*socio=et dans le cadre*socio=rien des Clubs de Paris*socio=ac et de Londres*socio=ac a continué de progresser. En décembre*socio=rien 1994, les créanciers*socio=ac *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac *socio=nil ont accepté les nouvelles*socio=rien "conditions*socio=ec1 de Naples*socio=ac", qui prévoient une réduction*socio=ec2 de 67 % de la dette*socio=ec1 restructurable pour la plupart*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 engagés dans un*socio=rien processus*socio=te de rééchelonnement*socio=et. Ceux qui ont appliqué de manière*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 des accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et ou des programmes*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac par le passé*socio=rien, et dont la *socio=ac Communauté internationale estime*socio=rien *socio=nil qu'ils sont en mesure*socio=rien de respecter le nouvel*socio=rien accord, peuvent bénéficier en outre de deux *socio=rien nouvelles clauses prévoyant*socio=nil un rééchelonnement*socio=et concessionnel*socio=ec1 *socio=nil de l'encours de la dette*socio=ec1 restructurable (opération*socio=rien sur*socio=rien le stock*socio=ec1 de la dette*socio=ec1). À la fin*socio=rien d'avril*socio=rien 1995, neuf*socio=rien accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et avaient été*socio=rien conclus aux conditions*socio=ec1 de Naples*socio=ac, dont une *socio=rien opération sur *socio=nil l'encours de la dette*socio=ec1 en faveur*socio=rien de l'Ouganda*socio=ac. Par ailleurs*socio=rien, le Brésil*socio=ac, la Bulgarie*socio=ac et la République*socio=ac Dominicaine ont mené à bien*socio=rien des opérations*socio=rien de réduction*socio=ec2 de l'encours et du*socio=rien service_de_leur_dette*socio=ec1 entre avril*socio=rien et septembre*socio=rien 1994. La Zambie*socio=ac a conclu un*socio=rien accord*socio=et de rachat*socio=ec1 de dettes*socio=ec1 sous l'égide*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac et dans le cadre*socio=rien de son programme*socio=et visant à éliminer la dette*socio=ec1 des pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 du*socio=rien monde*socio=te. La Bolivie*socio=ac a conclu un*socio=rien swap de créances*socio=ec1 contre aide*socio=uv1 organisé par la Coalicion de la deuda para el desarrollo (coalition*socio=ac de la dette*socio=ec1 pour le développement*socio=uv3). En août*socio=rien 1994, la *socio=ac République islamique d'*socio=nil Iran *socio=nil a rééchelonné sa dette*socio=ec1 à court_terme*socio=te envers les banques*socio=ac et l'Arabie*socio=ac Saoudite*socio=ac a obtenu un*socio=rien accord*socio=et partiel*socio=rien reportant de deux ans*socio=rien le remboursement*socio=ec1 d'emprunts*socio=ec1 contractés auprès de banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 pour financer le déficit*socio=ec1 de sa balance_des_paiements*socio=ec1. En octobre*socio=rien 1994 et en février*socio=rien 1995, la Pologne*socio=ac et l'Équateur*socio=ac ont conclu des accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et de la *socio=ec1 dette bancaire.*socio=nil L'*socio=nil Algérie*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui était elle aussi en négociation*socio=et avec ses créanciers*socio=ac bancaires*socio=ec1, a conclu un*socio=rien accord*socio=et de restructuration*socio=et de la dette*socio=ec1 avec les États-unis*socio=ac. Haïti a liquidé ses arriérés envers ses créanciers*socio=ac multilatéraux*socio=et, mais ceux qui ont été*socio=rien accumulés envers les États-unis*socio=ac et d'autres créanciers*socio=ac bilatéraux*socio=et restent à régler; l'afrique_du_sud*socio=ec1 a annulé la dette*socio=ec1 de la Namibie. Le Nigeria*socio=ac et le Venezuela*socio=ac continuent de négocier leurs arriérés et la gestion*socio=ec2 de l'encours de leur dette*socio=ec1. La Croatie*socio=ac a conclu un*socio=rien accord*socio=et avec les créanciers*socio=ac *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac en*socio=nil mars *socio=nil 1995 et est*socio=rien en négociation*socio=et avec les Club*socio=rien de Londres*socio=ac, comme la Slovénie*socio=ac. Enfin, la répartition*socio=uv3 de la *socio=ec1 dette bancaire *socio=nil entre les différents*socio=rien États*socio=ac issus de l'ex-république*socio=ac *socio=et fédérative socialiste de*socio=nil Yougoslavie*socio=ac pose*socio=nil un*socio=rien problème*socio=uv4 majeur*socio=rien *socio=nil qui n'est*socio=rien pas encore résolu. Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1. Le conseil_d'_administration*socio=ac et le comité_intérimaire*socio=ac procèdent régulièrement à l'examen*socio=ec2 de l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et des politiques_économiques*socio=et, à partir des *socio=rien rapports sur les*socio=nil Perspectives*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te établis par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Ces rapports*socio=rien analysent d'une manière*socio=rien approfondie les perspectives*socio=te à court*socio=rien et à *socio=rien moyen terme *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, de même que des divers pays*socio=ac et groupes_de_pays*socio=ac. Ils fournissent ainsi le cadre*socio=rien de *socio=rien référence nécessaire *socio=nil à l'évaluation*socio=ec2 de l'interaction*socio=rien des politiques_économiques*socio=et des *socio=ac États membres.*socio=nil Au*socio=nil cours*socio=rien *socio=nil de la période*socio=te couverte par le *socio=rien présent Rapport annuel*socio=te,*socio=nil le*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil a consacré, aux mois*socio=rien de septembre*socio=rien 1994 et avril*socio=rien 1995, deux séances*socio=rien aux Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Chacune d'elles a permis*socio=rien d'aborder *socio=rien un grand nombre de*socio=nil sujets.*socio=nil En*socio=nil septembre *socio=nil 1994, les administrateurs*socio=ac ont passé*socio=rien en revue l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et ont souligné que, face*socio=rien aux défis*socio=uv2 à venir, il convenait de réaffirmer l'engagement*socio=uv1 pris dans le cadre*socio=rien de la stratégie*socio=et de coopération*socio=uv1 définie*socio=rien dans la Déclaration*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac d'avril*socio=rien 19932. El, avril*socio=rien 1995, l'examen*socio=ec2 des mesures*socio=et à prendre pour atteindre les objectifs*socio=uv3 de croissance*socio=uv3 soutenue de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te énoncés dans la Déclaration*socio=et de Madrid a ajouté une *socio=rien dimension nouvelle et*socio=nil importante*socio=uv4 aux*socio=nil efforts*socio=uv1 *socio=nil déployés sans relâche pour renforcer la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont convenu qu'il était difficile*socio=rien d'évaluer les progrès*socio=uv1 accomplis, car la réunion*socio=rien de Madrid était encore proche et il faut *socio=rien du temps *socio=nil pour forger un*socio=rien consensus*socio=uv1 national*socio=te à l'appui*socio=uv1 des réformes*socio=et fondamentales*socio=uv4 des politiques_budgétaires*socio=et et structurelles*socio=ec2. Ils ont noté avec nue profonde*socio=rien satisfaction*socio=uv3 la ratification*socio=et de l'accord*socio=et de l'uruguay_round*socio=et et la création*socio=uv4 de l'OMC*socio=ac, deux avancées majeures*socio=rien qui favoriseront l'expansion*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Le conseil_d'_administration*socio=ac a examiné également, en juillet*socio=rien 1994, *socio=rien un document de*socio=nil référence sur les*socio=nil dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et improductives*socio=ec2 *socio=nil préparé pour les discussions*socio=et sur*socio=rien les Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te d'avril*socio=rien (encadré 1). Situation*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Le *socio=rien cinquantième anniversaire *socio=nil de la Conférence*socio=ac de bretton_woods*socio=et a été*socio=rien l'occasion*socio=rien d'analyser les résultats*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te *socio=rien an cours des*socio=nil cinq dernières années *socio=nil et de réfléchir aux conséquences*socio=rien des évolutions*socio=te récentes*socio=rien pour l'avenir*socio=te du*socio=rien FMI*socio=ac. *socio=rien Lors du tour d'*socio=nil horizon *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te auquel il a procédé*socio=rien en septembre*socio=rien 1994, le conseil_d'_administration*socio=ac a mis en exergue la contribution*socio=uv1 de la coopération_internationale*socio=uv3 à la prospérité*socio=uv1 mondiale*socio=te, preuve*socio=ec2 la plus *socio=rien éloquente du succès*socio=uv1 de*socio=nil bretton_woods*socio=et.*socio=nil Le*socio=nil commerce*socio=ec1 *socio=nil a progressé beaucoup plus vite que la production*socio=ec1 dans presque toutes les régions*socio=te du*socio=rien inonde et a disséminé très largement ses effets*socio=rien bénéfiques*socio=uv1 considérables*socio=rien, multipliant les possibilités*socio=rien de spécialisation*socio=uv3, renforçant les incitations*socio=uv3 à investir et accélérant les transferts*socio=ec1 de technologie*socio=ec1. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont souligné toutefois que cette évolution*socio=te favorable*socio=uv4 n'a pas empêché une *socio=uv4 grave détérioration *socio=nil de la *socio=rien situation du marché_du_travail*socio=ec1 *socio=nil dans de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, où les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 approchent de niveaux*socio=rien jamais atteints depuis les années*socio=rien 30. Ils ont observé, en outre, que toutes les régions*socio=te n'ont pas bénéficié également de l'augmentation*socio=ec2 générale*socio=rien des niveaux_de_vie*socio=uv1 et que, dans nombre*socio=rien de pays_en_développement*socio=uv3, le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien par habitant*socio=ac *socio=rien est inférieur *socio=nil aujourd'hui à ce qu'il était il y a dix ans*socio=rien ou plus. Néanmoins, les administrateurs*socio=ac se sont montrés optimistes*socio=uv2 quant à l'évolution*socio=te à long*socio=rien ternie de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, ils ont rappelé l'amélioration*socio=uv1 de la politique*socio=et et des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 observée dans de plus en plus de pays_en_développement*socio=uv3, les progrès*socio=uv1 de la gestion*socio=ec2 des économies_en_transition*socio=ec1, les avancées considérables*socio=rien de nombreux*socio=rien pays*socio=ac dans la voie*socio=rien de la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et la prise*socio=rien de conscience*socio=uv1 croissante*socio=rien, dans les pays_industrialisés*socio=ac, de la nécessité*socio=uv1 d'améliorer le fonctionnement*socio=rien des marchés_du_travail*socio=ec1 et de consolider la situation*socio=rien financière*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont aussi souligné que, face*socio=rien aux défis*socio=uv2 à venir, il convenait de poursuivre dans la voie*socio=rien tracée par la stratégie*socio=et de coopération*socio=uv1 définie*socio=rien dans la déclaration*socio=et d'avril*socio=rien 1993 du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac (voir Rapport*socio=rien annuel*socio=te 1993, page*socio=rien 1). Ils ont insisté sur*socio=rien le fait*socio=rien que les résultats*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te (en matière*socio=rien de croissance*socio=uv3 et d'efficacité*socio=uv3) seront améliorés grâce*socio=rien à l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 de l'accord*socio=et qui a conclu le cycle*socio=te de négociations*socio=et commerciales*socio=ec1 d'Uruguay*socio=ac, à l'approfondissement*socio=uv3 de l'intégration*socio=uv1 régionale*socio=te et à l'évolution*socio=te vers la convertibilité*socio=ec1 des monnaies*socio=ec1 et la libération*socio=uv3 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Au cours*socio=rien des discussions*socio=et d'avril*socio=rien 1995, les administrateurs*socio=ac ont souligné l'expansion*socio=ec2 relativement robuste*socio=rien de la *socio=rien majeure partie *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te pendant l'année*socio=rien précédente*socio=rien et se sont accordés à dire que la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien révélée plus forte*socio=rien que prévu. L'expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4 dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac et la maîtrise*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 dans nombre*socio=rien d'entre eux ont permis*socio=rien aux gouvernements*socio=ac de prendre les mesures*socio=et correctives*socio=ec2 qui s'imposaient. politiques_économiques*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac. Lors*socio=rien des discussions*socio=et de septembre*socio=rien 1994, les administrateurs*socio=ac ont convenu que la reprise était finalement au rendez-vous en France*socio=ac, en Allemagne*socio=ac et dans d'autres pays*socio=ac d'Europe*socio=ac continentale*socio=te, que les signes d'un*socio=rien renversement*socio=rien de tendance*socio=ec2 se précisaient an*socio=rien Japon*socio=ac et que l'expansion*socio=ec2 se poursuivait à un*socio=rien rythme*socio=ec2 rapide*socio=rien aux États-unis*socio=ac. Ils ont pris note des indicateurs*socio=ec1 favorables*socio=uv4 au Canada*socio=ac, où la croissance*socio=uv3 a *socio=rien été vigoureuse au*socio=nil deuxième trimestre*socio=te *socio=nil de 1994, les prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 quasiment stables*socio=uv4 et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te orientés à la baisse*socio=ec2, ainsi que de l'expansion*socio=ec2 soutenue au Royaume-uni*socio=ac, où les risques*socio=uv3 immédiats*socio=rien d'une hausse*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 étaient faibles*socio=rien. Cependant, les administrateurs*socio=ac ont souligné que, même s'il était tout à fait*socio=rien légitime*socio=uv2 de se montrer confiant*socio=rien pour la période*socio=te à venir, il fallait se garder de verser dans un*socio=rien optimisme*socio=uv1 démesuré*socio=rien à l'horizon*socio=rien *socio=rien du moyen terme.*socio=nil De*socio=nil nombreux défis*socio=uv2 *socio=nil devaient encore être*socio=rien relevés pour assurer une expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4, éviter de répéter les erreurs*socio=uv4 *socio=rien du passé *socio=nil et tirer les leçons*socio=ec2 importantes*socio=uv4 des années*socio=rien 80 pour la conduite*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1. À cet égard*socio=rien, plusieurs administrateurs*socio=ac se sont dits préoccupés par la *socio=rien forte hausse des*socio=nil rendements*socio=ec1 des*socio=nil obligations*socio=uv1 à*socio=nil long_terme*socio=te au*socio=nil premier semestre *socio=nil de 1994, qui pourrait être*socio=rien le signe de pressions*socio=ec2 *socio=rien sous-jacentes Sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil capitaux*socio=ec1.*socio=nil L'*socio=nil accroissement*socio=ec2 *socio=nil de la demande*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac où la croissance*socio=uv3 est*socio=rien la Plus rapide*socio=rien, et le besoin*socio=uv1 de capitaux*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 on en développement*socio=uv3, donnent à penser que la demande*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et restera soutenue dans les années*socio=rien qui viennent. Étant donné que le taux*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 privée*socio=et *socio=rien est faible *socio=nil ou en diminution*socio=ec2 dans nombre*socio=rien de grands*socio=rien pays*socio=ac et que le secteur_public*socio=et ponctionne une *socio=rien fraction considérable *socio=nil de l'épargne*socio=ec1, les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 Pourraient se poursuivre ou même s'accentuer, au risque*socio=uv3 d'entraver la croissance*socio=uv3 future*socio=te (encadré 2). La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont exprimé une fois*socio=rien encore leur préoccupation*socio=uv4 devant*socio=rien le *socio=rien mauvais fonctionnement des*socio=nil marchés_du_travail*socio=ec1 en*socio=nil Europe*socio=ac *socio=nil et le danger*socio=uv1 que la hausse*socio=rien conjoncturelle*socio=te du*socio=rien chômage*socio=ec1 ne prenne une forme*socio=rien structurelle*socio=ec2. Ils ont souligné combien il est*socio=rien urgent*socio=uv4 de réformer en profondeur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1, ainsi qu'il était indiqué en détail*socio=rien dans les Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te de mai*socio=rien 1994. Dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, la poursuite*socio=rien de la déréglementation*socio=et des marchés_du_travail*socio=ec1, des biens*socio=ec1 et des capitaux*socio=ec1 accroîtrait le dynamisme*socio=uv3 et l'efficience*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1. Au cours*socio=rien des discussions*socio=et d'avril*socio=rien 1995, les administrateurs*socio=ac ont en général*socio=rien souscrit aux projections*socio=ec2 des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, qui tablent sur*socio=rien une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 soutenue et saine*socio=uv2 dans les pays_industrialisés*socio=ac, mais ils ont constaté un*socio=rien écart*socio=ec2 sensible*socio=rien entre les positions*socio=rien des différents*socio=rien pays*socio=ac dans le *socio=te cycle conjoncturel.*socio=nil Aux*socio=nil États-unis*socio=ac,*socio=nil *socio=nil ,lu Canada*socio=ac, an*socio=rien Royaume-uni*socio=ac, en Australie*socio=ac et en Nouvel*socio=rien le -zélande, où l'expansion*socio=ec2 *socio=rien est entrée *socio=nil dans sa troisième*socio=rien ou *socio=rien quatrième année,*socio=nil il*socio=nil est probable*socio=uv4 *socio=nil que la croissance*socio=uv3 se modérera. Dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac d'Europe*socio=ac continentale*socio=te, où la reprise a été*socio=rien plus tardive*socio=rien, la croissance*socio=uv3 devrait normalement demeurer relativement robuste*socio=rien. Au Japon*socio=ac, enfin, on s'attend à ce que la croissance*socio=uv3 s'accélère en *socio=rien dépit du manque de*socio=nil dynamisme*socio=uv3 *socio=nil de la reprise, bien*socio=rien que la vigueur*socio=uv3 excessive*socio=uv4 du*socio=rien yen*socio=ec1 pose un*socio=rien risque*socio=uv3 important*socio=uv4. Les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 et l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et ont soulevé davantage de préoccupations*socio=uv4. La Déclaration*socio=et de Madrid préconisait des mesures*socio=et de réduction*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 plus énergiques*socio=ec1, et les administrateurs*socio=ac ont souligné que la majorité*socio=rien des pays*socio=ac devraient se donner et s'efforcer d'atteindre des objectifs*socio=uv3 budgétaires*socio=et à moyen*socio=rien ternie plus ambitieux*socio=uv2. Plusieurs d'entre eux ont estimé que les craintes*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1 concernant l'état*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et de plusieurs pays*socio=ac ont contribué dans une *socio=rien large mesure aux*socio=nil tensions*socio=ec2 sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Enfin, les administrateurs*socio=ac ont constaté que les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 n'ont plus guère progressé et, en particulier*socio=rien, que les programmes*socio=et de réforme*socio=et des marchés_du_travail*socio=ec1, des systèmes*socio=rien de sécurité_sociale*socio=et et des régimes_de_retraite*socio=et ont été*socio=rien le plus souvent insuffisants*socio=uv4. politiques_monétaires*socio=et et politiques*socio=et de change*socio=ec1. En septembre*socio=rien 1994, les administrateurs*socio=ac ont souligné que la réalisation*socio=uv1 d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 passait, dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, par la préservation*socio=uv1 des progrès*socio=uv1 accomplis sur*socio=rien le front*socio=rien de la stabilisation*socio=et des prix*socio=ec1. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil *socio=nil ils ont estimé que l'orientation*socio=et de la politique_monétaire*socio=et était bonne*socio=rien dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, et ont convenu que l'abandon*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et d'accompagnement*socio=rien de la conjoncture*socio=ec2 par les États-unis*socio=ac était à la fois*socio=rien justifié et opportun*socio=rien. S'agissant du*socio=rien Japon*socio=ac, la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont jugé préférable*socio=uv4 de voir ce qu'il adviendrait de l'expansion*socio=ec2 actuelle*socio=te avant d'ajuster la politique_monétaire*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont exprimé leur préoccupation*socio=uv4 devant*socio=rien les fluctuations*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1 par rapport*socio=rien au yen*socio=ec1, et le risque*socio=uv3 que la vigueur*socio=uv3 de ce dernier*socio=rien retarde le retour*socio=rien à une croissance*socio=uv3 plus soutenue au Japon*socio=ac. De manière*socio=rien plus générale*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont souligné que le FMI*socio=ac devait exercer une surveillance*socio=et plus efficace*socio=uv4 afin de favoriser l'instauration*socio=rien de conditions*socio=ec1 propices*socio=rien à nue plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1. Au cours*socio=rien des discussions*socio=et d'avril*socio=rien 1995, de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont souligné que la politique_monétaire*socio=et a un*socio=rien rôle*socio=et crucial*socio=rien à jouer pour éviter une nouvelle*socio=rien alternance de forte*socio=rien expansion*socio=ec2 et de récession*socio=ec2 dans les pays_industrialisés*socio=ac, mais que la politique_budgétaire*socio=et limite*socio=rien la marge de manoeuvre*socio=rien dont les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 disposent pour préserver la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1. Si la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 ne peut jamais être*socio=rien considérée comme gagnée, les administrateurs*socio=ac ont exprimé néanmoins un*socio=rien optimisme*socio=uv1 prudent*socio=uv2 à *socio=rien propos du resserrement*socio=ec2 préventif des*socio=nil *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil dans plusieurs pays*socio=ac bien*socio=rien avancés dans le cycle*socio=te. Ils ont rappelé qu'il importe de rester fermement résolus à lutter contre l'inflation*socio=ec1 car, comme l'a souligné la Déclaration*socio=et de Madrid, c'est*socio=rien là une condition*socio=rien essentielle*socio=uv4 de la poursuite*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 soutenue à *socio=rien moyen terme.*socio=nil La*socio=nil plupart des*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont dits préoccupés par l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 dans les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Ils ont fait*socio=rien remarquer que les tensions*socio=ec2 apparues sur*socio=rien ces marchés*socio=ec1 font peser une menace*socio=uv1 sur*socio=rien les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 soutenue lion*socio=rien inflationniste*socio=ec2, avec les répercussions*socio=ec2 néfastes*socio=rien que cela implique pour tous les pays*socio=ac. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont convenu, avec les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, qu'il est*socio=rien tout à *socio=rien fait souhaitable *socio=nil que les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac coordonnent leur action*socio=ec1 sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1 afin de redonner plus de stabilité*socio=uv3 aux marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, et qu'une telle action*socio=ec1 favoriserait la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv3 nationaux*socio=te et internationaux*socio=te. L'abaissement*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 officiels*socio=et en Allemagne*socio=ac à la fin*socio=rien de mars*socio=rien 1995 a été*socio=rien accueilli avec satisfaction*socio=uv3, car il a aidé à atténuer les tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et à réduire le risque*socio=uv3 d'un*socio=rien fléchissement*socio=ec2 de la reprise. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont estimé que la vigueur*socio=uv3 du*socio=rien yen*socio=ec1 et le manque*socio=rien de dynamisme*socio=uv3 de la reprise au Japon*socio=ac plaident en faveur*socio=rien d'une nouvelle*socio=rien impulsion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 qui aille au-delà de l'assouplissement*socio=uv3 limité des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil de la *socio=rien fin mars,*socio=nil *socio=nil et de la mise en oeuvre*socio=rien de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et structurelles*socio=ec2 visant à déréglementer et à ouvrir l'économie*socio=ec1. Aux États-unis*socio=ac, les *socio=ec1 indicateurs économiques font*socio=nil état*socio=rien *socio=nil d'une modération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, mais le risque*socio=uv3 d'emballement*socio=rien de la production*socio=ec1 et de poussée inflationniste*socio=ec2 demeure, et la faiblesse*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1 pourrait accroître les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les prix*socio=ec1. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil intervenants*socio=ac *socio=nil ont donc recommandé *socio=rien un nouveau resserrement*socio=ec2 des*socio=nil *socio=ec1 conditions monétaires aux*socio=nil États-unis*socio=ac.*socio=nil Évolution*socio=te des*socio=nil finances publiques*socio=et.*socio=nil Au*socio=nil cours*socio=rien des*socio=nil discussions*socio=et de*socio=nil septembre*socio=rien *socio=nil 1994, les administrateurs*socio=ac ont recommandé à l'unanimité*socio=uv1 que chacun réaffirme sa volonté*socio=uv1 d'endiguer et de réduire les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et, comme l'avait souligné le *socio=ac comité_ intérimaire en*socio=nil avril*socio=rien *socio=nil 1993. Un*socio=rien tel engagement*socio=uv1 a été*socio=rien jugé indispensable*socio=uv4 pour atténuer les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long*socio=rien ternie et atteindre des niveaux*socio=rien de croissance*socio=uv3 et d'emploi*socio=ec1 satisfaisants*socio=uv4. De même, les administrateurs*socio=ac ont jugé nécessaire*socio=rien, dans presque tous les pays*socio=ac, de dépasser les effets*socio=rien des stabilisateurs*socio=uv4 automatiques*socio=rien pour s'attacher à assainir à moyen*socio=rien ternie les finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Ils ont souligné que l'Italie*socio=ac et la Suède*socio=ac devaient prendre des mesures*socio=et énergiques*socio=ec1 pour améliorer leurs perspectives*socio=te budgétaires*socio=et, et ils ont fait*socio=rien remarquer que d'autres pays*socio=ac devaient profiter de l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 pour réduire sensiblement l'absorption*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 privée*socio=et par le secteur_public*socio=et. En avril*socio=rien 1995, la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont estimé qu'il n'y a guère de risque*socio=uv3 qu'une politique*socio=et de rééquilibrage*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et plus ambitieuse*socio=uv2 freine la reprise mondiale*socio=te. De nombreux*socio=rien intervenants*socio=ac ont souligné que ces efforts*socio=uv1 d'assainissement*socio=uv3 plus ambitieux*socio=uv2 pourraient en fait*socio=rien renforcer la croissance*socio=uv3, même à court*socio=rien ternie, car ils consolideront la crédibilité*socio=uv1 des politiques_économiques*socio=et, réduiront les primes*socio=ec1 de risque*socio=uv3 sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1, atténueront les tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et raffermiront la confiance*socio=uv1. Tout bien*socio=rien considéré, la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac se sont accordés à penser que, dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, le fait*socio=rien de ne pas accélérer l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et ferait peser une menace*socio=uv1 bien*socio=rien plus importante*socio=uv4 sur*socio=rien les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 mondiales*socio=te qu'un*socio=rien resserrement*socio=ec2 de la politique_budgétaire*socio=et. politiques_économiques*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3. Au cours*socio=rien des discussions*socio=et de septembre*socio=rien 1994, les administrateurs*socio=ac ont jugé encourageante*socio=uv2 la croissance*socio=uv3 forte*socio=rien et soutenue enregistrée dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3. Cependant, ils ont signale que les *socio=rien bons résultats globaux*socio=te *socio=nil masquaient des disparités*socio=uv1 considérables*socio=rien, et cité de *socio=rien nombreux cas *socio=nil ou la croissance*socio=uv3 a *socio=rien été faible *socio=nil et le niveau_de_vie*socio=uv1 a continué à stagner, voire à régresser. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que ces résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 divergents*socio=uv2 témoignaient de la plus ou moins grande*socio=rien réussite*socio=uv1 de chaque pays*socio=ac dans la mise en oeuvre*socio=rien des politiques*socio=et de stabilisation_macro-économique*socio=ec1 et des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 appropriées, ainsi que des conditions*socio=ec1 extérieures*socio=te différentes*socio=rien auxquelles ils ont *socio=rien fait face.*socio=nil En*socio=nil Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te,*socio=nil la*socio=nil situation économique*socio=ec1 est *socio=nil demeurée particulièrement difficile*socio=rien en dépit*socio=rien des signes d'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 apparus dans plusieurs pays*socio=ac. Il est*socio=rien essentiel*socio=uv4, pour inverser la tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 des niveaux_de_vie*socio=uv1, d'accroître l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te, de ralentir l'inflation*socio=ec1 dans certains pays*socio=ac et d'élargir le champ*socio=rien d'application*socio=rien des mécanismes*socio=et de marché*socio=ec1. Il importe également, comme dans d'autres régions*socio=te, d'améliorer la gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont souligné en outre que les effets*socio=rien positifs*socio=uv4 de l'ajustement*socio=et du*socio=rien franc*socio=ec1 CFA et d'autres monnaies*socio=ec1 sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 dépendraient de la fermeté*socio=rien avec laquelle les mesures*socio=et de stabilisation*socio=et et des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 qui l'accompagnent seront mises en oeuvre*socio=rien dans les pays*socio=ac concernés. Au Moyen-orient*socio=ac et en Europe*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien demeurée relativement élevée*socio=uv4 et la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien uni peu ralentie, car la relance*socio=uv3 temporaire*socio=rien de l'activité*socio=rien induite par les travaux*socio=rien de reconstruction*socio=uv3 engagés dans quelques pays*socio=ac en 1992-93 s'est*socio=rien essoufflée. Les administrateurs*socio=ac ont pris note avec satisfaction*socio=uv3 de la perspective*socio=rien de parvenir à un*socio=rien accord*socio=et de paix*socio=uv1 durable*socio=uv4 au Moyen-orient*socio=ac; il devrait permettre, en effet*socio=rien, de relancer les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et, de réduire les dépenses*socio=ec1 militaires*socio=et et de s'occuper des questions*socio=rien importantes*socio=uv4 qui se posent en matière*socio=rien d'infrastructures*socio=et et de coopération*socio=uv1 régionale*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont jugé particulièrement encourageants*socio=uv4 la nette*socio=rien amélioration*socio=uv1 des performances*socio=uv3 économiques*socio=ec1 de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 de l'hémisphère_occidental*socio=te ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil de même que les résultats*socio=rien remarquables*socio=uv4 enregistrés une fois*socio=rien encore par de nombreux*socio=rien *socio=ac pays asiatiques.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs *socio=nil ont noté avec intérêt*socio=uv1 l'accélération*socio=ec2 sensible*socio=rien des flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1 vers *socio=rien bon nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil depuis la fin*socio=rien des années*socio=rien 80, et jugé particulièrement encourageante*socio=uv2 l'augmentation*socio=ec2 de la part*socio=rien des investissements_directs_étrangers*socio=ec1, qui ont entraîné des transferts*socio=ec1 de technologie*socio=ec1 et favorise la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1. Il semble que le ralentissement*socio=ec2 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1994 a découlé, pour l'essentiel*socio=uv4, de la consolidation*socio=uv3 de la reprise dans les pays_industrialisés*socio=ac et du*socio=rien raffermissement*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 qui l'a accompagné. D'autre part*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer qu'il convenait de suivre de près les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 vers les pays_en_développement*socio=uv3, étant donné l'instabilité*socio=uv3 de certains de ces flux*socio=ec1 et les *socio=rien effets secondaires négatifs *socio=nil qu'ils peuvent avoir sur*socio=rien les économies*socio=ec1 nationales*socio=te. *socio=rien Un certain nombre *socio=nil d'entre eux ont exprimé leur crainte*socio=uv1 que l'essor*socio=rien de ces apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 soit alimenté par l'enthousiasme*socio=rien général*socio=rien qui entoure les marchés_financiers*socio=ec1 émergents*socio=ec2, ce qui pourrait mettre ces pays*socio=ac à la merci*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien volte-face soudain du marché*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont dits préoccupés aussi *socio=rien du caractère durable*socio=uv4 des*socio=nil flux*socio=ec1 de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil vers quelques pays*socio=ac où ils étaient liés au niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te, issu lui-même d'un*socio=rien dosage*socio=rien inapproprié de laxisme*socio=uv3 budgétaire*socio=et et de rigueur*socio=uv3 monétaire*socio=ec1. Ils ont indiqué que dans les pays*socio=ac où les entrées de capitaux*socio=ec1 ont répondu surtout aux fluctuations*socio=ec2 des politiques_économiques*socio=et - des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 ou de l'ajustement*socio=et budgétaire*socio=et, par exemple*socio=rien - l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 réel*socio=rien avait plus de chances*socio=rien de constituer la meilleure*socio=uv4 réponse*socio=rien à une amélioration*socio=uv1 de la productivité*socio=uv3 et de la rentabilité*socio=ec1. Par contre, dans les pays*socio=ac où les entrées de capitaux*socio=ec1 ont été*socio=rien suscitées par une politique*socio=et du*socio=rien crédit*socio=ec1 restrictive*socio=uv4 qui a fait*socio=rien augmenter les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te sans être*socio=rien étayée par une politique_budgétaire*socio=et viable*socio=uv4, il *socio=rien est possible *socio=nil qu'une appréciation*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 cause*socio=rien de plus graves*socio=uv4 perturbations*socio=ec2. En outre, ces pays*socio=ac risquent d'être*socio=rien plus vulnérables*socio=uv2 à un*socio=rien brusque retournement*socio=rien des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. Enfin, les administrateurs*socio=ac ont constaté que de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 s'efforçaient de ralentir les entrées de capitaux*socio=ec1 en recourant à des mécanismes*socio=et tels que le plafonnement*socio=uv4 des emprunts*socio=ec1 à l'étranger*socio=te par les entreprises*socio=ac locales*socio=te, les coefficients*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 sur*socio=rien les dépôts*socio=ec1 en devises*socio=ec1 et les taxes*socio=et de péréquation*socio=et des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Ils ont estimé que les contrôles*socio=et de mouvements_de_capitaux*socio=ec1 ne devaient pas être*socio=rien considérés comme une alternative à la correction*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 de la politique_économique*socio=ec1; de plus, les restrictions*socio=et imposées aux flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 avaient peu de chances*socio=rien d'être*socio=rien efficaces*socio=uv4 à long_terme*socio=te et risquaient de fausser les décisions*socio=et d'investissement*socio=ec1. Au cours*socio=rien des discussions*socio=et d'avril*socio=rien 1995, les administrateurs*socio=ac ont noté avec satisfaction*socio=uv3 les progrès*socio=uv1 croissants*socio=rien de la libéralisation*socio=et économique*socio=ec1, qui a contribué à l'amélioration*socio=uv1 des performances*socio=uv3 d'un*socio=rien *socio=rien large éventail de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil Ils se sont réjouis de l'intensification*socio=ec2 des efforts*socio=uv1 de réforme*socio=et et d'ajustement*socio=et, en particulier*socio=rien dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, mais ils ont constaté que les *socio=rien premiers résultats *socio=nil semblent parfois fragiles*socio=rien et qu'un*socio=rien retour*socio=rien en arrière est*socio=rien à craindre si les efforts*socio=uv1 de stabilisation*socio=et et de réforme*socio=et se relâchent. Par ailleurs*socio=rien, les sautes d'humeur*socio=rien du*socio=rien marché*socio=ec1 ont rappelé qu'il faut rester vigilant*socio=rien si l'on veut sauvegarder la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 intérieure*socio=te et extérieure*socio=te et soutenir la croissance*socio=uv3. Les administrateurs*socio=ac ont particulièrement insisté, à la suite*socio=rien de la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 mexicaine*socio=ac, sur*socio=rien le fait*socio=rien qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil doivent prendre des mesures*socio=et correctives*socio=ec2 pour rétablir et préserver la stabilité*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1, et se méfier de la volatilité*socio=ec2 des apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 sous forme*socio=rien d'investissements*socio=ec1 de portefeuille*socio=ec1 à court_terme*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont noté que, globalement, les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 à long*socio=rien ternie des pays_en_développement*socio=uv3 restent prometteuses. Cependant, ils ont estimé que, conformément aux projections*socio=ec2 des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, la croissance*socio=uv3 dans nombre*socio=rien de ces pays*socio=ac ralentira quelque peu en 1995 - 96 sous l'effet*socio=rien des politiques*socio=et plus restrictives*socio=uv4 adoptées pour réduire le risque*socio=uv3 de surchauffe et la dépendance*socio=uv1 à l'égard*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 extérieure*socio=te. Il est*socio=rien probable*socio=uv4 que les pays_en_développement*socio=uv3 de l'hémisphère_occidental*socio=te enregistreront un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 assez net*socio=rien de l'activité_économique*socio=ec1 qui tiendra en partie*socio=rien à une contraction*socio=ec2 sensible*socio=rien des entrées de capitaux*socio=ec1. Dans de nombreux*socio=rien *socio=ac pays asiatiques,*socio=nil l'*socio=nil expansion*socio=ec2 rapide*socio=rien *socio=nil de ces *socio=rien dernières années *socio=nil devrait ralentir elle aussi. On s'attend, en revanche, à ce que la croissance*socio=uv3 s'accélère Un*socio=rien peu en Afrique*socio=ac et au Moyen-orient*socio=ac grâce*socio=rien à l'intensification*socio=ec2 des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et et à la remontée conjoncturelle*socio=te des prix*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et en particulier*socio=rien dans l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te, le revenu*socio=ec1 réel*socio=rien par habitant*socio=ac a continué de baisser. *socio=rien Bon nombre *socio=nil de ces pays*socio=ac sont particulièrement sensibles*socio=rien aux fluctuations*socio=ec2 des termes_de_l'_échange*socio=ec1. Une diversification*socio=ec2 de leur production*socio=ec1 en fonction*socio=rien de leur avantage_comparatif*socio=ec2 devrait leur permettre de tirer pleinement parti*socio=et de la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te consécutive*socio=rien à la conclusion*socio=rien des négociations*socio=et commerciales*socio=ec1 de l'uruguay_round*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont invité instamment les créanciers*socio=ac bilatéraux*socio=et à appliquer les nouvelles*socio=rien conditions*socio=ec1 de Naples*socio=ac avec souplesse*socio=uv3 et à accorder les allégements*socio=ec2 de dette*socio=ec1 nécessaires*socio=rien aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 qui appliquent de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et. Le conseil_d'_administration*socio=ac a souscrit, d'une *socio=rien manière générale,*socio=nil *socio=nil à la conclusion*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac selon laquelle l'afflux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 vers les pays_en_développement*socio=uv3 ces *socio=rien dernières années *socio=nil s'explique dans une *socio=rien large mesure *socio=nil par l'ouverture*socio=uv3 des régimes*socio=et de commerce*socio=ec1 et d'investissement*socio=ec1 ainsi que par l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 à long*socio=rien ternie due à la vigueur*socio=uv3 des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et, ainsi qu'en témoigne*socio=rien le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des investissements_directs_étrangers*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont demandé instamment aux autorités*socio=et de veiller à ce que ces entrées de capitaux*socio=ec1 n'entraînent pas une hausse*socio=rien des dépenses*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 et ne se substituent pas a l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te. Ils ont observé que la reprise dans les pays_industrialisées*socio=ac occasionnera probablement *socio=rien un léger recul des*socio=nil flux*socio=ec1 de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil vers les pays_en_développement*socio=uv3 au cours*socio=rien des *socio=rien prochaines années.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont noté que de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 doivent assurer un*socio=rien suivi plus vigilant*socio=rien de leurs marchés_financiers*socio=ec1. Quelques pays*socio=ac, préoccupés par l'instabilité*socio=uv3 potentielle*socio=uv4 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 et en particulier*socio=rien des investissements*socio=ec1 de portefeuille*socio=ec1, ont mis en oeuvre*socio=rien des mesures*socio=et destinées*socio=rien à décourager les entrées de capitaux*socio=ec1 à court*socio=rien ternie sans cesser d'assurer la convertibilité*socio=ec1 aux fins*socio=rien des transactions*socio=ec1 en capital*socio=ec1 à long_terme*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont convenu que le retour*socio=rien au contrôle*socio=uv3 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 n'est*socio=rien pas souhaitable*socio=rien compte*socio=ec1 tenu de ses coûts*socio=ec1 d'efficience*socio=uv3 à long_terme*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont souligné également qu'il importe de fixer des limites*socio=rien prudentielles*socio=uv2 aux engagements*socio=et en devises*socio=ec1 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1. Ils ont convenu que ces contrôles*socio=et ne doivent pas se substituer aux efforts*socio=uv1 visant à corriger les déséquilibres*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1 et les taux_de_change*socio=ec1 non viables*socio=uv4. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont recommandé de poursuivre l'analyse*socio=ec2 des avantages*socio=rien et inconvénients*socio=uv4 des divers régimes*socio=et de taux_de_change*socio=ec1, à la lumière*socio=rien des difficultés*socio=uv4 rencontrées par quelques pays_en_développement*socio=uv3 pour abandonner une parité*socio=ec1 devenue non viable*socio=uv4. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont observé qu'il *socio=rien est difficile *socio=nil d'utiliser le taux*socio=ec1 de changé comme point*socio=rien d'ancrage*socio=rien si celui-ci ne s'appuie pas sur*socio=rien des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 judicieuses*socio=uv4 et des données économiques*socio=ec1 *socio=uv4 fondamentales solides,*socio=nil *socio=nil mais d'autres administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir que les avantages*socio=rien potentiels*socio=uv4 d'un*socio=rien point*socio=rien d'ancrage*socio=rien ne doivent pas être*socio=rien négligés. économies_en_transition*socio=ec1. En septembre*socio=rien 1994, les administrateurs*socio=ac ont observé que l'exemple*socio=rien des pays*socio=ac les plus avancés dans l'ajustement*socio=et et la libéralisation*socio=et financiers*socio=ec1 - l'Albanie*socio=ac, l'Estonie*socio=ac, la Hongrie*socio=ac, la Lettonie, la Lituanie, la Mongolie*socio=ac, la Pologne*socio=ac, la *socio=ac République slovaque,*socio=nil la*socio=nil République tchèque *socio=nil et la Slovénie*socio=ac - prouvait que la stabilisation_macro-économique*socio=ec1 et les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 sont indispensables*socio=uv4 pour connaître la croissance*socio=uv3 tout en modérant l'inflation*socio=ec1. Ils ont noté, en revanche, que la production*socio=ec1 a continué de se contracter fortement en Russie*socio=ac et dans nombre*socio=rien d'autres économies_en_transition*socio=ec1 et ont estimé qu'en dépit*socio=rien des progrès*socio=uv1 de certains de ces pays*socio=ac dans la stabilisation*socio=et et les réformes*socio=et, la plupart*socio=rien devaient encore réduire suffisamment leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et et maîtriser*socio=rien l'inflation*socio=ec1. Les dérapages*socio=uv4 de la politique_économique*socio=ec1 ont accéléré la chute de la production*socio=ec1 associée*socio=rien aux restructurations*socio=et, compromis*socio=uv1 la crédibilité*socio=uv1 des efforts*socio=uv1 de réforme*socio=et et créé *socio=rien un climat d'*socio=nil incertitude*socio=uv3 *socio=nil pour les investisseurs*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont souligné qu'il importait de maîtriser*socio=rien les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et afin de réduire les *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont reconnu qu'à de *socio=rien rares exceptions *socio=nil près, il était difficile*socio=rien de contenir les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et dans des limites*socio=rien viables*socio=uv4 dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 et que, pour tous ces pays*socio=ac, les transformations*socio=ec2 en cours*socio=rien avaient des *socio=rien conséquences profondes *socio=nil pour les recettes*socio=ec1 et les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et. Ils ont estimé qu'à l'évidence*socio=rien, les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et étaient dans une *socio=rien certaine mesure le*socio=nil résultat *socio=nil de la transformation*socio=ec2, et qu'il était d'autant pins nécessaire*socio=rien de réformer en priorité*socio=uv4 les finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont estimé que la persistance*socio=te des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et était due principalement à la forte*socio=rien baisse*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 fiscales*socio=et entraînée par l'effondrement*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et l'inadaptation*socio=uv3 des systèmes*socio=rien d'imposition*socio=et, ainsi qu'à l'augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 liées à la restructuration*socio=et des entreprises*socio=ac publiques*socio=et, au renforcement*socio=ec2 indispensable*socio=uv4 des systèmes*socio=rien de protection_sociale*socio=et et au coût*socio=ec1 des mesures*socio=et entraînées par le vieillissement*socio=ec2 des populations*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont admis que l'aggravation*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1 était cil *socio=rien grande partie inévitable lors *socio=nil de la transition*socio=ec2 vers l' économie_de_marché*socio=ec1, et qu'il fallait donc procéder à une vaste*socio=rien restructuration*socio=et des entreprises*socio=ac ainsi qu'à une réaffectation du*socio=rien capital*socio=ec1 et *socio=rien du travail.*socio=nil *socio=nil Ils ont souligné que, pour protéger les personnes_sans_emploi*socio=ac pendant cette période*socio=te de transition*socio=ec2, il convenait de mettre en place*socio=rien des dispositifs*socio=et de protection_sociale*socio=et bien*socio=rien ciblés appuyés par une compression*socio=et des subventions*socio=ec1 et des dépenses*socio=ec1 improductives*socio=ec2, tout en se dotant de nouvelles*socio=rien institutions*socio=ac propres*socio=rien à assouplir le marché_du_travail*socio=ec1 et à améliorer les perspectives*socio=te d'emploi*socio=ec1. Il était nécessaire*socio=rien, en outre, de compléter les dispositifs*socio=et de protection_sociale*socio=et par un*socio=rien effort*socio=uv1 sur*socio=rien le plan*socio=rien institutionnel*socio=et afin d'assurer la viabilité*socio=uv3 des régimes*socio=et de sécurité_sociale*socio=et. Enfin, les administrateurs*socio=ac ont constaté avec préoccupation*socio=uv4 que, si le problème*socio=uv4 des arriérés interentreprises s'était atténué dans plusieurs économies_en_transition*socio=ec1, de nouvelles*socio=rien difficultés*socio=uv4 étaient apparues clins certains cas*socio=rien. Ils ont noté avec satisfaction*socio=uv3 que les autorités*socio=et prenaient de plus en plus conscience*socio=uv1 du*socio=rien danger*socio=uv1 inflationniste*socio=ec2 des opérations*socio=rien de renflouage financier*socio=ec1, et ont convenu que c'est*socio=rien en progressant durablement dans la stabilisation*socio=et et les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 que l'on facilitera la réduction*socio=ec2 des arriérés interentreprises. En avril*socio=rien 1995, les administrateurs*socio=ac ont constaté avec satisfaction*socio=uv3 l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 de nombreux*socio=rien pays*socio=ac en transition*socio=ec2. Dans la majorité*socio=rien des pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te, la production*socio=ec1 a augmenté ou devrait redémarrer. L'inflation*socio=ec1 reste*socio=rien cependant trop forte*socio=rien dans beaucoup de ces pays*socio=ac en raison*socio=rien, principalement, de la persistance*socio=te de déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et importants*socio=uv4. Pour connaître une croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil il leur faudra mettre en oeuvre*socio=rien des politiques_budgétaire*socio=et, monétaire*socio=ec1 et de change*socio=ec1 crédibles*socio=uv2 tout en continuant de progresser dans les *socio=et réformes institutionnelles et*socio=nil structurelles*socio=ec2.*socio=nil Plusieurs*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont félicités qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac en*socio=nil transition*socio=ec2 *socio=nil qui, il y a peu de temps*socio=rien encore, hésitaient à s'engager dans la *socio=rien voie du marché*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil ont engagé des réformes*socio=et ambitieuses*socio=uv2 dans ce sens*socio=rien. Si l'on note d'ores et déjà des progrès*socio=uv1 encourageants*socio=uv4 dans plusieurs d'entre eux, il importe de poursuivre les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et afin de consolider les acquis*socio=uv2. Les administrateurs*socio=ac se sont réjouis des accords*socio=et qui viennent d'être*socio=rien conclus ou sont en négociation*socio=et entre le FMI*socio=ac et certains pays*socio=ac en transition*socio=ec2, et en particulier*socio=rien des nouveaux*socio=rien programmes*socio=et de stabilisation*socio=et et de réforme*socio=et engagés par la Russie*socio=ac et l'Ukraine*socio=ac (voir les *socio=rien sections sur les*socio=nil consultations*socio=uv1 au*socio=nil titre *socio=nil de l'article*socio=rien IV et sur*socio=rien l'appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 dut FMI*socio=ac aux *socio=ac États membres)*socio=nil .*socio=nil Ces*socio=nil programmes*socio=et *socio=nil s'inscrivent dans le droit*socio=uv1 fil*socio=rien de la Déclaration*socio=et de Madrid, qui recommandait de déployer des efforts*socio=uv1 plus énergiques*socio=ec1 de stabilisation*socio=et et de réforme*socio=et structurelle*socio=ec2. Bien*socio=rien que quelques pays*socio=ac en transition*socio=ec2 n'aient pas encore adopté de programme*socio=et global*socio=te d'ajustement*socio=et, le conseil_d'_administration*socio=ac a salué les efforts*socio=uv1 des pays*socio=ac qui ont mis en oeuvre*socio=rien une stratégie*socio=et de réforme*socio=et de *socio=rien grande envergure *socio=nil dès le début*socio=rien de la transition*socio=ec2 : ils recueillent aujourd'hui les fruits*socio=rien de cette action*socio=ec1 rapide*socio=rien. Marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1. En juin*socio=rien 1994, le conseil_d'_administration*socio=ac a procédé*socio=rien à son examen*socio=ec2 annuel*socio=te de l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1. Il a analysé les turbulences*socio=ec2 qui ont marqué le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1994 et les restructurations*socio=et engagées dans le secteur*socio=rien financier*socio=ec1. Les évolutions*socio=te en cours*socio=rien posent le problème*socio=uv4 de l'ouverture*socio=uv3 rapide*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 et de l'afflux*socio=ec1 croissant*socio=rien de financements_privés*socio=ec1 dont ils bénéficient, mais représentent de surcroît*socio=rien des défis*socio=uv2 pour les autorités*socio=et de tutelle*socio=uv1, qui s'interrogent sur*socio=rien la possibilité*socio=rien de réglementer les produits*socio=rien dérivés et les établissements*socio=ac financiers*socio=ec1 non bancaires*socio=ec1, mais aussi de renforcer les fonds*socio=ec1 propres*socio=rien et le rôle*socio=et des banques_centrales*socio=ac. Enfin, le Conseil*socio=ac s'est*socio=rien penche sur*socio=rien l'émergence*socio=ec2 de marchés*socio=ec1 des *socio=ec1 valeurs mobilières en*socio=nil Chine*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui constitue une étude*socio=ec2 de cas*socio=rien riche*socio=uv2 d'enseignements*socio=et pour les autres économies_en_transition*socio=ec1. Quelques mois*socio=rien plus tard, dans son communiqué d'octobre*socio=rien 1994, le comité_intérimaire*socio=ac a invité le FMI*socio=ac à poursuivre ses *socio=rien travaux sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil dans le cadre*socio=rien des efforts*socio=uv1 engagés pour renforcer le rôle*socio=et de l'institution*socio=ac dans le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te et son aptitude*socio=rien à servir les *socio=ac États membres.*socio=nil Turbulences*socio=ec2 sur*socio=rien les*socio=nil marchés*socio=ec1 d'*socio=nil obligations*socio=uv1 publiques*socio=et.*socio=nil Les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 *socio=nil ont subi un*socio=rien choc*socio=ec2 en février*socio=rien et mars*socio=rien 1994 lorsque la tendance*socio=ec2 des *socio=ec1 marchés obligataires,*socio=nil bien*socio=rien *socio=nil établie depuis 1990, s'est*socio=rien brutalement inversée. Lors*socio=rien de leur évaluation*socio=ec2 de l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont en général*socio=rien estimé que ce retournement*socio=rien a été*socio=rien inspiré notamment par une *socio=rien révision profonde des*socio=nil anticipations*socio=uv3 relatives aux*socio=nil résultats économiques*socio=ec1 *socio=nil et à l'évolution*socio=te future*socio=te des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et de change*socio=ec1. Ces nouvelles*socio=rien perspectives*socio=te ont entraîné Un*socio=rien dénouement des *socio=rien positions considérables prises sur des*socio=nil titres publics*socio=et *socio=nil durant l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont imputé cette révision*socio=rien, entre autres, à la détente*socio=rien plus lente*socio=rien que prévu des taux_d'_intérêt*socio=ec1 en Europe*socio=ac, à la croissance*socio=uv3 plus vigoureuse*socio=rien que prévu aux États-unis*socio=ac et au moment*socio=rien choisi pour relever les taux_d'_intérêt*socio=ec1 américains*socio=ac. Plusieurs d'entre eux ont fait*socio=rien valoir que si la réaction*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec1 a peut-être été*socio=rien excessive*socio=uv4, elle l'a été*socio=rien dans une mesure*socio=rien qu'il ne faut pas exagérer. Les administrateurs*socio=ac ont noté que les turbulences*socio=ec2 des marchés_financiers*socio=ec1 se sont propagées à *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil y compris les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2. La contagion*socio=ec2, toutefois, n'a pas été*socio=rien uniforme*socio=uv4, et les disparités*socio=uv1 observées s'expliquent en partie*socio=rien par les perspectives*socio=te différentes*socio=rien de chaque pays*socio=ac en matière*socio=rien de croissance*socio=uv3, d'inflation*socio=ec1 ou de finances*socio=ec1 publiques*socio=et et par la plus ou moins grande*socio=rien crédibilité*socio=uv1 des politiques_monétaires*socio=et anti-inflationniste*socio=ec2 qui ont été*socio=rien menées. Le Conseil*socio=ac a conclu que l'expérience*socio=ec2 a souligné, une fois*socio=rien encore, combien il importe d'adopter une stratégie*socio=et crédible*socio=uv2 de lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 et de poursuivre des programmes*socio=et d'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et à moyen*socio=rien ternie. Il a également noté que le Conseil*socio=ac devait accorder une attention*socio=rien accrue aux flux*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1 lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 périodique*socio=te de l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 auquel il procède dans le cadre*socio=rien des sessions*socio=rien consacrées à l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et des marchés*socio=ec1. Plus généralement, le Conseil*socio=ac a estimé qu'il y a lieu*socio=rien d'approfondir l'analyse*socio=ec2 des conséquences*socio=rien que les évolutions*socio=te et les expériences*socio=ec2 en cours*socio=rien peuvent -avoir pour la politique_monétaire*socio=et intérieure*socio=te. Dans le cadre*socio=rien de leur évaluation*socio=ec2 des turbulences*socio=ec2 des *socio=ec1 marchés obligataires,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont observé que marchés*socio=ec1 et institutions*socio=ac ont *socio=rien fait face *socio=nil à ces pressions*socio=ec2 sans se trouver grippés par *socio=rien un manque de*socio=nil liquidité*socio=ec1 *socio=nil on l'inefficience des systèmes*socio=rien de paiement*socio=ec1 et de règlement*socio=et, et qu'il n'y a pas eu de crise*socio=uv2 systémique*socio=ec2. Toutefois, *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'entre eux ont estimé qu'il ne faut pas se faire une idée*socio=rien exagérée de la robustesse *socio=rien du système.*socio=nil *socio=nil Ils ont souligné que l'importance*socio=rien de l'endettement*socio=ec1 des investisseurs*socio=ac institutionnels*socio=et sur*socio=rien les *socio=ec1 marchés obligataires risque*socio=uv3 *socio=nil de poser un*socio=rien problème*socio=uv4 par rapport*socio=rien à la taille et de la liquidité*socio=ec1 de ces marchés*socio=ec1 - exception*socio=rien faite des plus larges*socio=rien d'entre eux - et que l'instabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 pourrait donc être*socio=rien exacerbée lorsque ces investisseurs*socio=ac entrent ou sortent des marchés*socio=ec1. Marchés*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 publique*socio=et dans les pays_industrialisés*socio=ac. Au-delà des turbulences*socio=ec2 qui ont secoué les *socio=ec1 marchés obligataires au*socio=nil début*socio=rien *socio=nil de 1994, les administrateurs*socio=ac ont examiné, dans une perspective*socio=rien à plus long_terme*socio=te, le processus*socio=te d'internationalisation*socio=te et de réforme*socio=et des marchés*socio=ec1 d'obligations*socio=uv1 publiques*socio=et engagé dans les pays_industrialisés*socio=ac. Cette évolution*socio=te est*socio=rien le fruit*socio=rien des efforts*socio=uv1 déployés par les autorités*socio=et nationales*socio=te pour réduire au minimum*socio=rien le coût*socio=ec1 du*socio=rien placement*socio=ec1 et du*socio=rien service_de_leur_dette*socio=ec1, dont le ratio*socio=ec1 au PIB*socio=ec1 *socio=rien est passé *socio=nil de 43 % en 1980 à environ 68 % en 1994 pour les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. S'agissant du*socio=rien processus*socio=te d'internationalisation*socio=te, les administrateurs*socio=ac ont soutenu l'idée*socio=rien que les avantages*socio=rien liés à la participation*socio=uv3 aux marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te de capitaux*socio=ec1 sont tels que chaque pays*socio=ac a intérêt*socio=uv1 à se soumettre aux règles*socio=et du*socio=rien marché*socio=ec1 et à la discipline*socio=uv1 qu'il impose. Ils ont estimé que les investissements*socio=ec1 transfrontières*socio=te dans les marchés*socio=ec1 de titres*socio=rien publics*socio=et ont rendu les mécanismes*socio=et des marchés*socio=ec1 nationaux*socio=te plus efficaces*socio=uv4 et discipliné les politiques_économiques*socio=et intérieures*socio=te. Quant aux réformes*socio=et en cours*socio=rien, les administrateurs*socio=ac se sont félicités des progrès*socio=uv1 enregistrés dans l'amélioration*socio=uv1 des techniques*socio=rien d'émission*socio=rien, la liquidité*socio=ec1 des marchés*socio=ec1 secondaires*socio=rien, la différenciation*socio=rien des investisseurs*socio=ac, l'efficacité*socio=uv3 des systèmes*socio=rien de règlement*socio=et et de compensation*socio=rien, ainsi que la simplification*socio=rien des prélèvements*socio=ec1 libératoires. *socio=ec1 Flux financiers *socio=nil vers les pays_en_développement*socio=uv3. Les pays_en_développement*socio=uv3 ont bénéficié d'un*socio=rien *socio=rien essor spectaculaire des*socio=nil financements_privés*socio=ec1 *socio=nil en 1993; les flux*socio=ec1 ont fortement augmenté en volume*socio=rien, l'amélioration*socio=uv1 des conditions*socio=ec1 d'emprunt*socio=ec1 s'est*socio=rien poursuivie, les cours*socio=rien des actions*socio=ec1 ont nettement progressé et la base*socio=rien des investisseurs*socio=ac s'est*socio=rien considérablement*socio=rien élargie. Durant le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1994, néanmoins, la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac s'est*socio=rien conjuguée*socio=rien à l'incertitude*socio=uv3 politique*socio=et au Mexique*socio=ac pour réduire très sensiblement les flux*socio=ec1 d'actions*socio=ec1 et d'obligations*socio=uv1 par rapport*socio=rien aux niveaux*socio=rien records*socio=ec2 *socio=rien du dernier trimestre*socio=te *socio=nil de 1993. Les administrateurs*socio=ac se sont dits encouragés par la consolidation*socio=uv3 des apports*socio=rien de financements_privés*socio=ec1 en 1993, et ont observé que les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 font désormais *socio=rien partie intégrante des*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te,*socio=nil *socio=nil avec les avantages*socio=rien et les contraintes*socio=uv1 que cela implique. C'est*socio=rien ainsi que, parallèlement aux bénéfices*socio=ec1 liés à un*socio=rien accès*socio=uv1 accru au marché*socio=ec1, les pays_en_développement*socio=uv3 ont été*socio=rien conduits à améliorer les règles*socio=et de publicité*socio=rien et le cadre*socio=rien juridique*socio=et de leurs propres*socio=rien marchés_financiers*socio=ec1. Toutefois, les administrateurs*socio=ac ont insisté sur*socio=rien l'instabilité*socio=uv3 préoccupante*socio=uv4 de ces flux*socio=ec1 et les coûts*socio=ec1 qu'elle entraîne. Ils ont rappelé que les causes*socio=rien de cette volatilité*socio=ec2 sont multiples*socio=rien, qu'il s'agisse du*socio=rien rythme*socio=ec2 et de l'ampleur*socio=rien *socio=rien variables clés réformes*socio=et économiques*socio=ec1 *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=uv3 ou de facteurs*socio=rien qui échappent au contrôlé des bénéficiaires*socio=ac de ces capitaux*socio=ec1, comme les mouvements*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 dans les pays*socio=ac d'où proviennent ces flux*socio=ec1. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont souligné que ces facteurs*socio=rien risquent d'entraîner une instabilité*socio=uv3 accrue, même si les *socio=ac pays bénéficiaires *socio=nil mènent une politique_économique*socio=ec1 saine*socio=uv2. Les administrateurs*socio=ac ont noté, de surcroît*socio=rien, que la *socio=ec1 capitalisation boursière des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 est*socio=rien très*socio=nil faible*socio=rien en*socio=nil regard*socio=rien *socio=nil de la masse*socio=ec1 des fonds*socio=ec1 gérés par les grandes*socio=rien institutions_financières*socio=ac. En conséquence*socio=rien, des sautes d'humeur*socio=rien du*socio=rien marché*socio=ec1, même limitées, risquent d'avoir *socio=rien Un impact appréciable,*socio=nil *socio=nil surtout si les investisseurs*socio=ac agissent de façon*socio=rien groupée. Les administrateurs*socio=ac se sont accordés à penser que la perspective*socio=rien d'une instabilité*socio=uv3 persistante*socio=rien des flux*socio=ec1 de financement*socio=ec1 donne aux pays_en_développement*socio=uv3 une *socio=rien raison supplémentaire *socio=nil de mener des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 énergiques*socio=ec1 pour créer *socio=rien Un cadre propice *socio=nil à l'utilisation*socio=rien rationnelle*socio=uv4 et efficace*socio=uv4 de ces apports*socio=rien financiers*socio=ec1. Produits*socio=rien dérivés et contrôles*socio=et. Le Conseil*socio=ac a examiné trois *socio=rien questions urgentes *socio=nil qui se posent en matière*socio=rien de réglementation*socio=et des marchés_financiers*socio=ec1 : le contrôle*socio=uv3 des établissements*socio=ac financiers*socio=ec1 non bancaires*socio=ec1 (les maisons*socio=rien de titres*socio=rien et les investisseurs*socio=ac institutionnels*socio=et - fonds*socio=ec1 communs*socio=uv4 de placement*socio=ec1, caisses*socio=ec1 de retraite*socio=ec1, compagnies*socio=ac d'assurances*socio=ec1 et fonds*socio=ec1 de placement*socio=ec1 à caractère*socio=rien spéculatif*socio=uv2), les propositions*socio=rien avancées pour assurer une meilleure*socio=uv4 adéquation*socio=uv1 des fonds*socio=ec1 propres*socio=rien et le rôle*socio=et des banques_centrales*socio=ac dans la surveillance*socio=et des marchés_financiers*socio=ec1. Réglementer les produits*socio=rien dérivés et les établissements*socio=ac financiers*socio=ec1 non bancaires*socio=ec1. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont observé que les turbulences*socio=ec2 qui ont agité le marché*socio=ec1 *socio=rien an début *socio=nil de 1994 sont survenues dans le contexte*socio=rien d'un*socio=rien développement*socio=uv3 spectaculaire*socio=rien des produits*socio=rien financiers*socio=ec1 dérivés. Si ces instruments*socio=et jouent à l'évidence*socio=rien un*socio=rien rôle*socio=et utile*socio=uv4 dans la gestion*socio=ec2 des risques*socio=uv3, l'absence*socio=rien de règles*socio=et concernant la communication*socio=ec1 d'informations*socio=rien et la complexité*socio=rien même de ces instruments*socio=et nuisent à la transparence*socio=uv3 du*socio=rien système_financier*socio=ec1. Qui plus est*socio=rien, leur expansion*socio=ec2 rapide*socio=rien risque*socio=uv3 de propager les perturbations*socio=ec2 à travers*socio=rien les marchés*socio=ec1 et les établissements*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que la *socio=rien première ligne de*socio=nil défense*socio=uv1 *socio=nil contre les turbulences*socio=ec2 du*socio=rien marché*socio=ec1 consiste à adopter des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 judicieuses*socio=uv4 qui limitent *socio=rien an minimum l'*socio=nil incertitude*socio=uv3 *socio=nil pour les investisseurs*socio=ac. Ils se sont accordés à dire que les fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 et les produits*socio=rien dérivés ne doivent pas être*socio=rien les seuls*socio=rien à se voir imposer des obligations*socio=uv1 spéciales*socio=rien. Néanmoins, les administrateurs*socio=ac ont reconnu qu'il faut à l'évidence*socio=rien adopter des dispositions*socio=et prudentielles*socio=uv2 et réglementaires*socio=et applicables*socio=rien à tous, et ils ont insisté sur*socio=rien l'importance*socio=rien d'une auto-réglementation et d'une autodiscipline fondées sur*socio=rien une gestion*socio=ec2 rigoureuse*socio=uv4 et prudente*socio=uv2 des risques*socio=uv3 au niveau*socio=rien de chaque établissement*socio=rien. Certains ont estimé que le secteur*socio=rien financier*socio=ec1 devrait peut-être s'en remettre davantage à l'auto-réglementation qu'à la tutelle*socio=uv1 des pouvoirs_publics*socio=et s'il veut éviter les risques*socio=uv3 d'abus*socio=uv1 et préserver sa viabilité*socio=uv3. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont relevé que, bien*socio=rien souvent, l'environnement*socio=et réglementaire*socio=et en place*socio=rien ne permet pas de faire face*socio=rien à l'essor*socio=rien des établissements*socio=ac financiers*socio=ec1 non bancaires*socio=ec1. Ainsi, les fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 et les filiales*socio=rien non réglementées créées par les maisons*socio=rien d'investissement*socio=ec1 américaines*socio=ac pour traiter les produits*socio=rien dérivés échappent aux autorités*socio=et de contrôle*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 de titres*socio=rien et *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil même s'ils ont pris parfois d'énormes*socio=rien positions*socio=rien spéculatives*socio=ec2. D'autres administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer que l'expérience*socio=ec2 a prouvé que, désormais, la prise_en_charge*socio=uv3 dune banque*socio=ac on d'un*socio=rien établissement*socio=rien de dépôt*socio=ec1 en difficulté*socio=uv4 a des conséquences*socio=rien systémiques*socio=ec2 bien*socio=rien moins importantes*socio=uv4 qu'auparavant, Assurer une meilleure*socio=uv4 adéquation*socio=uv1 des fonds*socio=ec1 propres*socio=rien. L'expansion*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 de produits*socio=rien dérivés et le rôle*socio=et qu'y jouent les banques*socio=ac spécialisées*socio=uv4 dans les marchés*socio=ec1 de gros*socio=rien ont conduit le secteur*socio=rien lui-même et ses autorités*socio=et de tutelle*socio=uv1 à évaluer les avantages*socio=rien et les risques*socio=uv3, systémiques*socio=ec2 que pourrait entraîner la poursuite*socio=rien de ce développement*socio=uv3. Deux propositions*socio=rien importantes*socio=uv4 - qui portent toutes deux sur*socio=rien l'adéquation*socio=uv1 des fonds*socio=ec1 propres*socio=rien aux risques*socio=uv3 de marché*socio=ec1 et la reconnaissance*socio=uv1 *socio=rien du système de*socio=nil compensation *socio=nil - ont été*socio=rien avancées en 1993 et en 1994 : la première*socio=rien pour les seuls*socio=rien établissements*socio=ac bancaires*socio=ec1, sous l'égide*socio=rien du*socio=rien Comité*socio=ac de Bâle sur*socio=rien le contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1, et la seconde pour les banques*socio=ac et les maisons*socio=rien de titres*socio=rien, dans le cadre*socio=rien de la directive*socio=et de l' union_européenne*socio=et sur*socio=rien l'adéquation*socio=uv1 des fonds*socio=ec1 propres*socio=rien. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont prononces pour une mise en oeuvre*socio=rien plus différenciée des nouvelles*socio=rien normes*socio=et de fonds*socio=ec1 propres*socio=rien. en particulier*socio=rien, ils ont appuyé la *socio=rien proposition du Comité*socio=ac *socio=nil de Bâle publiée en juillet*socio=rien 1994, selon laquelle les banques*socio=ac de gros*socio=rien dotées de systèmes*socio=rien de gestion*socio=ec2 des risques*socio=uv3 élaborés seraient habilitées à s'appuyer sur*socio=rien leur système*socio=rien plutôt que d'appliquer des mesures*socio=et strictement normalisées pour déterminer le *socio=rien niveau minimum *socio=nil de leurs fonds*socio=ec1 propres*socio=rien, à condition*socio=rien que l'autorité*socio=et réglementaire*socio=et soit persuadée de la prudence*socio=uv1 des hypothèses*socio=ec2 sur*socio=rien lesquelles se fonde leur modèle*socio=rien. Préciser le rôle*socio=et des banques_centrales*socio=ac. Au vu des événements*socio=rien survenus sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont examiné si les banques_centrales*socio=ac ont un*socio=rien rôle*socio=et à jouer - et, le cas*socio=rien échéant, lequel - dans le contrôle*socio=uv3 et la réglementation*socio=et des marchés*socio=ec1 et des établissements*socio=ac financiers*socio=ec1. Le Conseil*socio=ac a conclu qu'en l'occurrence*socio=rien, la solution*socio=rien optimale*socio=uv4 dépend des caractéristiques*socio=rien et *socio=rien du cadre institutionnel*socio=et *socio=nil de chaque pays*socio=ac, et qu'il n'existe donc pas, a priori, de *socio=rien formule type.*socio=nil Certains*socio=nil administrateurs*socio=ac ont*socio=nil fait *socio=nil valoir que la banque_centrale*socio=ac doit être*socio=rien déchargée de toute compétence*socio=uv3 réglementaire*socio=et, car une telle concentration*socio=ec2 de responsabilités*socio=uv1 risque*socio=uv3 de la rendre moins à même de mener nue politique_monétaire*socio=et indépendante*socio=uv2. D'autres administrateurs*socio=ac ont estimé que seule*socio=rien la banque_centrale*socio=ac dispose des moyens*socio=ec1 et des *socio=rien informations nécessaires *socio=nil pour assurer une surveillance*socio=et adéquate*socio=uv2 et remplir sa fonction*socio=rien de prêteur*socio=ac en dernier*socio=rien ressort. Tous sont convenus, toutefois, qu'une coopération*socio=uv1 étroite*socio=rien entre l'autorité*socio=et monétaire*socio=ec1 et l'autorité*socio=et de tutelle*socio=uv1 est*socio=rien indispensable*socio=uv4 à tout accord dans ce domaine*socio=rien. Évolution*socio=te des politiques_commerciales*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont ouvert*socio=rien la discussion*socio=et qu'ils ont consacrée au commerce*socio=ec1 international*socio=te en août*socio=rien 1994 en soulignant la contribution*socio=uv1 qu'une stratégie*socio=et axée sur*socio=rien l'extérieur*socio=te et *socio=rien un système de*socio=nil commerce*socio=ec1 libéral*socio=et *socio=nil apportent au progrès*socio=uv1 économique*socio=ec1. Ils ont noté l'importance*socio=rien croissante*socio=rien que les questions*socio=rien commerciales*socio=ec1 revêtent pour l'action*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac en faveur*socio=rien de l'efficacité*socio=uv3 économique*socio=ec1 et d'une croissance*socio=uv3 de *socio=rien haute qualité.*socio=nil *socio=nil Si le retard*socio=rien pris par les négociations*socio=et de l'uruguay_round*socio=et a créé ces *socio=rien dernières années un climat d'*socio=nil incertitude*socio=uv3 autour*socio=nil du système de*socio=nil commerce*socio=ec1 multilatéral*socio=et,*socio=nil *socio=nil il y a eu également des évolutions*socio=te positives*socio=uv4. en particulier*socio=rien, nombre*socio=rien de pays_en_développement*socio=uv3 ou en transition*socio=ec2 ont entrepris de réformer leurs systèmes*socio=rien de change*socio=ec1 et de commerce*socio=ec1 en les ouvrant sur*socio=rien l'extérieur*socio=te, souvent dans le cadre*socio=rien de programmes*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac et la banque_mondiale*socio=ac. De même, plusieurs pays_industrialisés*socio=ac ont amorcé une libéralisation*socio=et de leur système*socio=rien de commerce*socio=ec1, en particulier*socio=rien dans *socio=rien un contexte régional*socio=te.*socio=nil *socio=nil Mais l'évolution*socio=te positive*socio=uv4 la plus notable*socio=rien a été*socio=rien la conclusion*socio=rien de l'uruguay_round*socio=et fin*socio=rien 1993. La ratification*socio=et de l'accord*socio=et a permis*socio=rien sa mise en *socio=rien oeuvre rapide *socio=nil et a consolidé les *socio=rien bases nécessaires au*socio=nil développement*socio=uv3 de*socio=nil relations commerciales*socio=ec1 fructueuses,*socio=nil *socio=nil de la coopération*socio=uv1 multilatérale*socio=et et de la prospérité*socio=uv1 mondiale*socio=te. La conclusion*socio=rien de l'uruguay_round*socio=et a été*socio=rien suivie par la création*socio=uv4 de l'organisation_mondiale_du_commerce*socio=ac (OMC*socio=ac) au début*socio=rien de 1995, dont les relations*socio=rien avec le FMI*socio=ac ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'une première*socio=rien discussion*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac en octobre*socio=rien 1994, suivie d'une seconde en janvier*socio=rien 1995. Conséquences*socio=rien de l'uruguay_round*socio=et. S'agissant de l'accord*socio=et de l'uruguay_round*socio=et, les administrateurs*socio=ac ont estimé que l'amélioration*socio=uv1 de l'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 procurera des *socio=rien avantages directs aux*socio=nil consommateurs*socio=ac,*socio=nil *socio=nil encouragera une répartition*socio=uv3 plus efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1 au niveau*socio=rien mondial*socio=te et accroîtra les chances*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. L'inclusion*socio=rien de *socio=rien nouveaux domaines *socio=nil - les services*socio=et et les aspects*socio=rien des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien touchant au commerce*socio=ec1 - et des *socio=rien secteurs traditionnels "*socio=nil sensibles"*socio=nil *socio=nil - l'agriculture*socio=ec1, et les textiles*socio=ec1 et le vêtement*socio=ec1 -accroîtra les effets*socio=rien bénéfiques*socio=uv1 d'un*socio=rien système*socio=rien de commerce*socio=ec1 mondial*socio=te réglementé. Des effets*socio=rien *socio=uv4 positifs importants *socio=nil sont attendus aussi de la clarification*socio=rien et du*socio=rien renforcement*socio=ec2 des règles*socio=et et des structures*socio=ec1 institutionnelles*socio=et, et en *socio=rien particulier du renforcement*socio=ec2 des*socio=nil procédures*socio=et de*socio=nil règlement*socio=et des*socio=nil différends*socio=uv2,*socio=nil *socio=nil qui devrait réduire le recours*socio=ec1 aux *socio=et mesures unilatérales.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont estimé que les gains*socio=ec1 que l'uruguay_round*socio=et procurera sur*socio=rien le plan*socio=rien de l'efficacité*socio=uv3 économique*socio=ec1 devraient compenser, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, les coûts*socio=ec1 transitoires*socio=rien supportés par les secteurs*socio=rien jusqu'alors protégés*socio=rien et subventionnés*socio=ec1. Ils ont observé, cependant, que certains pays*socio=ac risquent de souffrir d'une érosion*socio=ec2 des préférences*socio=uv4 et d'une hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1. Les *socio=rien nouvelles questions *socio=nil qui se font jour*socio=rien dans cette période*socio=te de l'après-uruguav Round - et notamment celles qui concernent les politiques*socio=et de concurrence*socio=ec1 et d'investissement*socio=ec1 liées au commerce*socio=ec1, l'environnement*socio=et et les conditions_de_travail*socio=ec1 - sont des plus complexes et leurs *socio=rien retombées directes *socio=nil n'ont pas encore été*socio=rien pleinement mesurées. L'environnement*socio=et et les conditions_de_travail*socio=ec1 sont des questions*socio=rien sociales*socio=et très importantes*socio=uv4 auxquelles il convient de répondre directement par des politiques*socio=et nationales*socio=te appropriées plutôt qu'indirectement*socio=rien par des mesures*socio=et commerciales*socio=ec1 qui risquent, au demeurant, d'alimenter le protectionnisme*socio=et. politiques_commerciales*socio=et et rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Sachant la contribution*socio=uv1 essentielle*socio=uv4 que l'ouverture*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 apporte à une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4, les administrateurs*socio=ac ont rappelé que le FMI*socio=ac doit continuer à suivre de près - dans le respect*socio=uv1 de la prééminence du*socio=rien GATT*socio=ac et de l'OMC*socio=ac, dans ce domaine*socio=rien - les questions*socio=rien de politique_commerciale*socio=et dans le cadre*socio=rien de ses fonctions*socio=rien de surveillance*socio=et et de prêt*socio=ec1. L'importance*socio=rien attachée par le FMI*socio=ac à la mise en oeuvre*socio=rien de politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et de mesures*socio=et structurelles*socio=ec2 connexes*socio=rien à la fois*socio=rien équilibrées et soutenables*socio=uv4 sera non seulement très *socio=rien bénéfique sur le*socio=nil plan économique*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil mais elle pourrait aussi créer un*socio=rien environnement*socio=et macro-économique*socio=ec1 propice*socio=rien aux courants*socio=te d'échanges_mondiaux*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont demandé par ailleurs*socio=rien que les retombées*socio=rien de l' uruguay_round*socio=et pour les différents*socio=rien pays*socio=ac soient survies de près de façon*socio=rien à identifier les besoins*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et de financement*socio=ec1 qui pourraient en découler. La banque_mondiale*socio=ac pourrait elle aussi jouer un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 dans l'aide*socio=uv1 aux pays*socio=ac touchés. De même, les conseils*socio=ac de politique_économique*socio=ec1 et l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien dispensés par ces deux institutions*socio=ac contribueront utilement*socio=rien à régler les problèmes*socio=uv4 que posera la transition*socio=ec2. À cet égard*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont souligné combien il est*socio=rien important*socio=uv4 de travailler à la conception*socio=et des réformes*socio=et commerciales*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien d'une concertation*socio=uv1 et d'une coordination*socio=uv3 étroites*socio=rien avec la banque_mondiale*socio=ac. Ils ont mis en garde*socio=rien contre toute politique*socio=et qui consisterait à taxer*socio=et les échanges*socio=ec1 pour pallier une insuffisance*socio=uv3 de recettes*socio=ec1. Toute mesure*socio=rien de ce type*socio=rien doit rester compatible*socio=rien avec les engagements*socio=et pris par les *socio=ac États membres *socio=nil dans le cadre*socio=rien de l'uruguay_round*socio=et, présenter *socio=rien un caractère strictement*socio=nil temporaire *socio=nil et s'accompagner d'un*socio=rien programme*socio=et explicite*socio=rien de mesures*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 (l'encadré 3 analyse*socio=rien les politiques_commerciales*socio=et menées dans le cadre*socio=rien des programmes*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac). Accords*socio=et régionaux*socio=te de commerce*socio=ec1. Le développement*socio=uv3 des accords*socio=et régionaux*socio=te de commerce*socio=ec1 et les implications*socio=rien économiques*socio=ec1 de ce phénomène*socio=rien ont été*socio=rien le thème*socio=rien d'une *socio=rien réunion du Conseil*socio=ac en*socio=nil octobre *socio=nil 1994. Les administrateurs*socio=ac ont observé que l'intérêt*socio=uv1 avec lequel le FMI*socio=ac suit le progrès*socio=uv1 de ces accords*socio=et régionaux*socio=te s'inscrit*socio=rien parfaitement dans le cadre*socio=rien de sa fonction*socio=rien de surveillance*socio=et. Ils ont reconnu que la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 par l'extension*socio=rien de la clause de la nation_la_plus_favorisée*socio=et est*socio=rien la meilleure*socio=uv4 politique*socio=et possible*socio=rien, et que le libre-échange*socio=et est*socio=rien l'objectif*socio=uv3 à viser au niveau*socio=rien mondial*socio=te. Ils ont noté que, jusqu'à présent*socio=rien, la tendance*socio=ec2 à l'intégration*socio=uv1 du*socio=rien commerce*socio=ec1 régional*socio=te a *socio=rien été compatible,*socio=nil *socio=nil dans l'ensemble*socio=rien, avec l'objectif*socio=uv3 de libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, et que l'heureuse*socio=rien issue*socio=rien de l'uruguay_round*socio=et corrobore l'idée*socio=rien que la libéralisation*socio=et régionale*socio=te et la *socio=et libéralisation multilatérale des*socio=nil échanges*socio=ec1 *socio=nil peuvent aller de pair*socio=rien. Cependant, les administrateurs*socio=ac ont mis en garde*socio=rien contre tout optimisme*socio=uv1 exagéré face*socio=rien à cette multiplication*socio=rien des accords*socio=et régionaux*socio=te de commerce*socio=ec1, qui peuvent avoir des *socio=rien effets négatifs sur les*socio=nil pays*socio=ac tiers.*socio=nil *socio=nil Même si cet *socio=rien impact est au*socio=nil total *socio=nil minime, le danger*socio=uv1 existe que les effets*socio=rien soient inégaux*socio=uv2 selon les pays*socio=ac. Selon toute vraisemblance*socio=rien, les *socio=rien nouvelles initiatives régionales*socio=te *socio=nil se poursuivront dans un*socio=rien avenir*socio=te prévisible*socio=uv4, il est*socio=rien donc d'autant plus nécessaire*socio=rien que des institutions*socio=ac telles que le FMI*socio=ac continuent d'insister sur*socio=rien le fait*socio=rien que les accords*socio=et régionaux*socio=te de commerce*socio=ec1 doivent être*socio=rien conçus et appliqués de façon*socio=rien à *socio=rien être compatibles *socio=nil avec l'objectif*socio=uv3 ultime*socio=rien de libre-échange*socio=et mondial*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont encouragé les pays*socio=ac participants*socio=rien à élaborer et à mettre en oeuvre*socio=rien des accords*socio=et régionaux*socio=te de commerce*socio=ec1 sans perdre de vue*socio=rien cet objectif*socio=uv3 plus ambitieux*socio=uv2, et à veiller à ce que ces accords*socio=et soient compatibles*socio=rien avec les règles*socio=et du*socio=rien GATT*socio=ac et de son successeur*socio=rien, l'OMC*socio=ac. Ils pourraient également, par exemple*socio=rien, s'engager dans la *socio=et libéralisation multilatérale *socio=nil tout en prenant des dispositions*socio=et pour lever les obstacles*socio=uv3 régionaux*socio=te aux échanges*socio=ec1 et aux investissements*socio=ec1, ouvrir les entités*socio=rien régionales*socio=te à de nouveaux*socio=rien membres*socio=ac, assurer un*socio=rien recours*socio=ec1 plus discipliné aux mesures*socio=et anti-dumping et appliquer des règles*socio=et d'origine*socio=rien simples*socio=rien, transparentes*socio=uv4 et libérales*socio=et qui ne ferment pas ces marchés*socio=ec1 aux pays*socio=ac tiers*socio=rien. Collaboration*socio=uv1 avec l'organisation_mondiale_du_commerce*socio=ac. Le Conseil*socio=ac a examiné les relations*socio=rien entre le FMI*socio=ac et l'OMC*socio=ac en août*socio=rien et octobre*socio=rien 1994, puis à nouveau*socio=rien en janvier*socio=rien 1995. Les administrateurs*socio=ac ont souligné combien il importe que des *socio=rien relations étroites et*socio=nil constructives*socio=uv2 *socio=nil s'instaurent entre les deux institutions*socio=ac. Si leurs mandats*socio=et différent*socio=rien, le FMI*socio=ac et l'OMC*socio=ac ont en effet*socio=rien une finalité et des objectifs*socio=uv3 complémentaires*socio=rien et devraient se renforcer mutuellement. Les administrateurs*socio=ac se sont félicités que l'OMC*socio=ac ait adopté - contrairement au GATT*socio=ac - le statut*socio=et d'organisation_internationale*socio=ac et que son mandat*socio=rien s'étende aux aspects*socio=rien des échanges*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et services*socio=et et des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien touchant au commerce*socio=ec1. L'adoption*socio=uv3 de nouvelles*socio=rien procédures*socio=et de règlement*socio=et des différends*socio=uv2 renforcera l'efficacité*socio=uv3 des règles*socio=et de l'OMC*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont accueilli favorablement le fait*socio=rien que le mandat*socio=rien de l'OMC*socio=ac l'invite à coopérer avec d'autres organisations_internationales*socio=ac - et cil particulier*socio=rien avec le FMI*socio=ac et la banque_mondiale*socio=ac - pour assurer une élaboration*socio=rien plus cohérente*socio=rien des politiques_économiques*socio=et au niveau*socio=rien mondial*socio=te. Le mécanisme*socio=et d'examen*socio=ec2 des politiques_commerciales*socio=et institué dans le *socio=rien cadre du GATT*socio=ac *socio=nil et rendu plus permanent*socio=rien dans le cadre*socio=rien de l'OMC*socio=ac devrait aider à améliorer la surveillance*socio=et dans cc domaine*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac se sont réjouis que le FMI*socio=ac continue*socio=rien de prendre part*socio=rien aux consultations*socio=uv1 de l'OMC*socio=ac sur*socio=rien les mesures*socio=et commerciales*socio=ec1 appliquées à des fins*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec1, et à communiquer des *socio=rien informations sur la*socio=nil situation macro-économique*socio=ec1 des*socio=nil pays*socio=ac concernés*socio=nil lors *socio=nil de l'examen*socio=ec2 de leur politique_commerciale*socio=et. Le processus*socio=te en trois étapes*socio=te adopté pour l'établissement*socio=rien des relations*socio=rien entre l'OMC*socio=ac et le FMI*socio=ac a été*socio=rien approuvé, dans l'ensemble*socio=rien, par les administrateurs*socio=ac. La première*socio=rien étape*socio=te a consisté à adopter des accords*socio=et transitoires*socio=rien prévoyant la poursuite*socio=rien de la participation*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac, dans le *socio=rien cadre du nouveau Comité*socio=ac des*socio=nil restrictions*socio=et *socio=nil appliquées à des fins*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec1, aux consultations*socio=uv1 sur*socio=rien les mesures*socio=et prises*socio=rien par des pays_membres*socio=ac pour sauvegarder leur balance_des_paiements*socio=ec1. La seconde étape*socio=te sera consacrée à l'examen*socio=ec2 des conditions*socio=ec1 spécifiques*socio=rien dune collaboration*socio=uv1 plus étroite*socio=rien et visera à mettre en place*socio=rien le cadre*socio=rien institutionnel*socio=et des relations_de_travail*socio=ec1 entre les deux institutions*socio=ac, y compris en ce qui concerne le statut*socio=et d'observateur*socio=ac et l'échange*socio=ec1 de documents*socio=rien et d'informations*socio=rien. Lors*socio=rien de la troisième*socio=rien étape*socio=te, l'OMC*socio=ac et le FMI*socio=ac examineront plus en détail*socio=rien les domaines*socio=rien dont la définition*socio=rien demande*socio=ec1 davantage de temps*socio=rien et les questions*socio=rien qui n'auront pas été*socio=rien totalement résolues lors*socio=rien de la seconde étape*socio=te, telles que la cohérence*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et au niveau*socio=rien mondial*socio=te énoncée dans la charte*socio=et constitutive de l'OMC*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont pris note des progrès*socio=uv1 de la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de l'accord_général*socio=et sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 des services*socio=et, et se sont dits prêts*socio=ec1 à examiner la politique*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans le *socio=rien domaine du contrôle*socio=uv3 des*socio=nil capitaux*socio=ec1 lors *socio=nil d'une *socio=rien prochaine réunion du Conseil*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Si des zones*socio=te d'ombre subsistent quant à l'avenir*socio=te de l'interaction*socio=rien et de la coopération*socio=uv1 entre les deux institutions*socio=ac, les administrateurs*socio=ac se sont accordés à dire qu'elles sont dans une *socio=rien certaine mesure inévitables,*socio=nil *socio=nil surtout aux tout premiers*socio=rien stades*socio=te de l'existence*socio=rien de POMC. Résoudre ces questions*socio=rien constitue Un*socio=rien objectif*socio=uv3 important*socio=uv4, qui sera plus facilement atteint si tous les participants*socio=ac gardent à l'esprit*socio=rien les buts*socio=et communs*socio=uv4 des institutions*socio=ac économiques*socio=ec1 internationales*socio=te et la nécessité*socio=uv1 de maintenir entre elles des *socio=rien relations étroites d'*socio=nil entraide*socio=uv *socio=nil et de coopération*socio=uv1 au bénéfice*socio=uv1 de leurs *socio=ac États membres.*socio=nil Financements*socio=ec1 disponibles*socio=rien et*socio=nil situation*socio=rien *socio=nil de la dette*socio=ec1 dans les pays*socio=ac de développement*socio=uv3. Durant l'exercice*socio=rien 1994 / 95, le conseil_d'_administration*socio=ac il examiné à plusieurs reprises les questions*socio=rien liées aux flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1 et publics*socio=et vers les pays_en_développement*socio=uv3 ou en transition*socio=ec2 et la situation*socio=rien de la dette*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac, y compris la viabilité*socio=uv3 de la dette*socio=ec1 multilatérale*socio=et compte*socio=ec1 tenu du*socio=rien fardeau*socio=uv4 global*socio=te de la dette*socio=ec1 des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 lourdement endettés. Les membres*socio=ac du*socio=rien Conseil*socio=ac ont pris note des progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien accomplis dans la résolution*socio=uv1 des problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien. Grâce*socio=rien à l'adoption*socio=uv3 de programmes*socio=et *socio=ec1 économiques énergiques,*socio=nil la*socio=nil plupart*socio=rien *socio=nil d'entre eux n'ont plus à rechercher de rééchelonnennent auprès *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac,*socio=nil *socio=nil ou devraient pouvoir*socio=et s'en dispenser d'ici peu. Les pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, en revanche, ont continué de faire face*socio=rien à de *socio=uv4 graves problèmes d'*socio=nil endettement*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il leur faut mettre en oeuvre*socio=rien des politiques_économiques*socio=et saines*socio=uv2, et ils auront encore besoin*socio=uv1 d'une aide*socio=uv1 financière*socio=ec1. Les institutions*socio=ac multilatérales*socio=et, et en particulier*socio=rien le FMI*socio=ac et la banque_mondiale*socio=ac, seront appelées à jouer un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4, au moyen*socio=rien de leurs mécanismes*socio=et financiers*socio=ec1, à l'appui*socio=uv1 des efforts*socio=uv1 de réforme*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3 on en transition*socio=ec2. Enfin, le conseil_d'_administration*socio=ac a examiné comment le FMI*socio=ac pourrait continuer à fournir aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, dans le cadre*socio=rien de la FASR*socio=ec1, des *socio=ec1 ressources financières *socio=nil assorties de conditions*socio=ec1 très concessionnelles*socio=ec1. Dette*socio=ec1 *socio=et bilatérale officielle et*socio=nil bancaire*socio=ec1.*socio=nil Lors*socio=rien *socio=nil de l'examen*socio=ec2 de la situation*socio=rien de la dette*socio=ec1 cil septembre*socio=rien 1994, les administrateurs*socio=ac ont pris acte*socio=et des progrès*socio=uv1 substantiels*socio=rien accomplis, durant l'année*socio=rien écoulée depuis le dernier*socio=rien examen*socio=ec2 approfondi de la stratégie*socio=et de la dette*socio=ec1 par le Conseil*socio=ac, dans la résolution*socio=uv1 des problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 des pays*socio=ac cil développement*socio=uv3 à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien envers les créanciers*socio=ac bancaires*socio=ec1 et officiels*socio=et. *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui ont engagé des programmes*socio=et économiques*socio=ec1 vigoureux*socio=rien ont pu conclure des accords*socio=et de restructuration*socio=et de leur dette*socio=ec1 avec les créanciers*socio=ac bancaires*socio=ec1; la souplesse*socio=uv3 de la méthode*socio=ec2 du*socio=rien "menu d'options*socio=rien" a permis*socio=rien d'arrêter les détails*socio=rien de chaque *socio=ec1 montage financier en*socio=nil fonction*socio=rien des*socio=nil besoins*socio=uv1 propres*socio=rien *socio=nil à chaque Pays*socio=ac. La plupart*socio=rien des pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien n'ont plus besoin*socio=uv1 désormais de faire appel*socio=rien aux rééchelonnements*socio=et *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac,*socio=nil *socio=nil ou seront sans doute*socio=rien en mesure*socio=rien de s'en passer au terme*socio=rien de la période*socio=te de consolidation*socio=uv3 en cours*socio=rien. Quant à la situation*socio=rien des quelques pays_en_développement*socio=uv3 à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien qui connaissent encore des problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 envers les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont estimé qu'elle pourrait s'améliorer si les *socio=ac pays débiteurs *socio=nil engagent des politiques_économiques*socio=et vigoureuses*socio=rien et si les créanciers*socio=ac sont disposés à faire preuve*socio=ec2 de souplesse*socio=uv3. De nombreux*socio=rien pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien ont retrouvé l'accès*socio=uv1 aux financements_privés*socio=ec1 spontanés*socio=rien depuis qu'ils ont résolu leurs problèmes*socio=uv4 de dette*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont observé que les pays_en_développement*socio=uv3 à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien ont été*socio=rien les principaux*socio=rien bénéficiaires*socio=ac de la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 des financements_privés*socio=ec1 enregistrée entre 1990 et 1993. Ils ont estimé qu'en dépit*socio=rien de la brusque correction*socio=ec2 opérée par les marchés*socio=ec1 au début*socio=rien de 1994, l'évolution*socio=te récente*socio=rien incite à faire preuve*socio=ec2 d'optimisme*socio=uv1 quant au caractère*socio=rien durable*socio=uv4 de ces afflux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. Toutefois, ces pays*socio=ac ne conserveront leur accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1 que s'ils maintiennent l'orientation*socio=et rigoureuse*socio=uv4 de leur politique_économique*socio=ec1. En revanche, les pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 sont encore en proie*socio=ac à de *socio=uv4 sérieux problèmes d'*socio=nil endettement*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil À la lourde*socio=rien dette*socio=ec1 de *socio=rien bon nombre *socio=nil d'entre eux envers les créanciers*socio=ac officiels*socio=et s'ajoute, dans certains cas*socio=rien, une *socio=ec1 dette bancaire considérable*socio=rien *socio=nil qu'il convient de restructurer. Dans son ensemble*socio=rien, ce groupe_de_pays*socio=ac n'a guère amélioré soit accès*socio=uv1 aux financements_privés*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que si ces pays*socio=ac doivent se doter de politiques_économiques*socio=et saines*socio=uv2, stables*socio=uv4 et viables*socio=uv4, il leur faudra aussi bénéficier de mesures*socio=et de soutien*socio=uv3 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil domaines.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont observé, par exemple*socio=rien, qu'en appliquant l'approche graduelle*socio=te dit rééchelonnement*socio=et de la dette*socio=ec1 - qui prévoit le rééchelonnement*socio=et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 à des *socio=ec1 conditions concessionnelles *socio=nil renforcées -, les créanciers*socio=ac dit Club*socio=rien de Paris*socio=ac ont d'ores et déjà aidé substantiellement certains pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 à couvrir leurs besoins*socio=uv1 de financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Néanmoins, ils ont noté que beaucoup de ces pays*socio=ac accusent encore un*socio=rien surendettement important*socio=uv4 auprès des créanciers*socio=ac *socio=et officiels bilatéraux,*socio=nil *socio=nil qui ne pourra être*socio=rien éliminé que par des opérations*socio=rien portant sur*socio=rien le stock*socio=ec1 de la dette*socio=ec1, comme cela est*socio=rien prévu dans le " menu " de concessions*socio=uv1 renforcées convenu entre les créanciers*socio=ac *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac *socio=nil en 1991, C'est*socio=rien pourquoi, lors*socio=rien de leur discussion*socio=et de février*socio=rien 1995, les administrateurs*socio=ac se sont félicités que les créanciers*socio=ac *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac *socio=nil aient adopté, en décembre*socio=rien 1994, les conditions*socio=ec1 de Naples*socio=ac qui prévoient de relever la concessionnalité de 50 % à 67 % pour la plupart*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 engagés dans le rééchelonnement*socio=et de leur dette*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac se sont réjouis en particulier*socio=rien qu'une *socio=rien première opération portant*socio=nil sur le*socio=nil stock*socio=ec1 *socio=nil de la dette*socio=ec1 ait été*socio=rien conclue en faveur*socio=rien de l'Ouganda*socio=ac, conformément à ces conditions*socio=ec1, en février*socio=rien 1995. Les administrateurs*socio=ac ont estimé que les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 devraient faire preuve*socio=ec2 de plus de souplesse*socio=uv3 envers les pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 dont la dette_privée*socio=et est*socio=rien particulièrement lourde*socio=rien. Comme leurs ressources*socio=ec1 sont limitées, nombre*socio=rien de ces pays*socio=ac risquent d'être*socio=rien incapables*socio=rien de financer le coût*socio=ec1 de *socio=rien simples opérations de*socio=nil rachat*socio=ec1 de*socio=nil créances*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont estimé que les créanciers*socio=ac devraient être*socio=rien prêts*socio=ec1 à accepter des conditions*socio=ec1 plus explicitement liées à la capacité*socio=uv3 limitée de ces pays*socio=ac à assurer le service_de_leur_dette*socio=ec1, ce que ne reflète peut-être pas son prix*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 secondaire*socio=rien. Il faudrait aussi que des ressources*socio=ec1 suffisantes*socio=rien assorties de conditions*socio=ec1 appropriées soient disponibles*socio=rien pour appuyer des opérations*socio=rien portant sur*socio=rien la *socio=ec1 dette bancaire,*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont dits préoccupés par la diminution*socio=ec2 des flux*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 bilatérale*socio=et nets*socio=rien en 1994, et ils ont souligné que le ciblage*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1 aux pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 pourrait être*socio=rien amélioré considérablement*socio=rien si, par exemple*socio=rien, celle-ci était moins utilisée pour faire concurrence*socio=ec1 aux exportations*socio=ec1. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont estimé en outre que les *socio=ac pays bénéficiaires *socio=nil doivent utiliser l'aide*socio=uv1 bilatérale*socio=et de façon*socio=rien plus efficace*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac ont observé que les crédits*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 bénéficiant d'un*socio=rien soutien_public*socio=et demeurent une des *socio=rien principales sources *socio=nil de l'aide*socio=uv1 *socio=et bilatérale officielle,*socio=nil *socio=nil notamment pour certains pays_en_développement*socio=uv3 et économies_en_transition*socio=ec1. Ils ont reconnu que l'accès*socio=uv1 à cc type*socio=rien de crédits*socio=ec1 petit*socio=rien aider les pays_en_développement*socio=uv3 à bâtir une réputation*socio=uv1 de solvabilité*socio=ec1, ruais que ces crédits*socio=ec1 ne doivent pas se substituer aux financements*socio=ec1 généraux*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec1, surtout à moyen*socio=rien ternie. Il importe donc que les pays_en_développement*socio=uv3 gèrent avec soin*socio=rien leur dette*socio=ec1 envers les organismes*socio=ac de crédit*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont encouragé par ailleurs*socio=rien les organismes*socio=ac de crédit*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 à utiliser plus largement les *socio=rien nouvelles techniques de*socio=nil gestion*socio=ec2 des*socio=nil risques*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil à coordonner plus étroitement leurs prêts*socio=ec1 avec les autres organisations*socio=ac et institutions*socio=ac multilatérales*socio=et et à s'entretenir plus fréquemment de l'utilisation*socio=rien effective*socio=rien des crédits*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 avec les *socio=ac pays bénéficiaires.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs *socio=nil ont jugé que les avantages*socio=rien potentiels*socio=uv4 de comptes*socio=ec1 de garantie bloqués doivent être*socio=rien comparés aux risques*socio=uv3 qu'entraîneraient une prolifération*socio=rien de ce type*socio=rien d'arrangements*socio=et et une réduction*socio=ec2 de l'accès*socio=uv1 aux crédits*socio=ec1 non garantis*socio=rien. Évolution*socio=te et financement*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 multilatérale*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont noté que les institutions*socio=ac multilatérales*socio=et ont joué un*socio=rien rôle*socio=et central*socio=rien à l'appui*socio=uv1 des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et économique*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. Le FMI*socio=ac - par la poursuite*socio=rien des opérations*socio=rien de la FASR*socio=ec1 - et la banque_mondiale*socio=ac, en particulier*socio=rien, ont contribué dans une *socio=rien large mesure *socio=nil à mettre des financements*socio=ec1 très concessionnels*socio=ec1 à la disposition*socio=et des pays*socio=ac a faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont estimé qu'à l'avenir*socio=te, les institutions*socio=ac multilatérales*socio=et seront appelées à louer un*socio=rien rôle*socio=et plus important*socio=uv4 encore dans l'apport*socio=rien de financements*socio=ec1 aux pays_en_développement*socio=uv3 et aux économies*socio=ec1 en transitoires*socio=rien. Elles mettront en place*socio=rien le *socio=rien cadre général *socio=nil dans lequel s'inscriront les concours des autres créanciers*socio=ac et donateurs*socio=ac, en s'efforçant notamment d'améliorer les renseignements*socio=ec2 *socio=rien disponibles sur l'*socio=nil évolution*socio=te des*socio=nil flux*socio=ec1 de*socio=nil financement*socio=ec1 *socio=nil et de les rendre plus intelligibles*socio=rien. Lors*socio=rien de leur discussion*socio=et de septembre*socio=rien 1994, les administrateurs*socio=ac ont souligné qu'étant donné le rôle*socio=et des institutions*socio=ac multilatérales*socio=et dans la mobilisation*socio=uv3 de ressources*socio=ec1 en faveur*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 ou en transition*socio=ec2, il n'était pas souhaitable*socio=rien et il n'y avait pas lieu*socio=rien d'envisager que ces *socio=rien dernières accordent *socio=nil des remises de dettes*socio=ec1. De telles mesures*socio=et compromettraient l'efficacité*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac en portant atteinte à son statut*socio=et de créancier*socio=ac privilégié*socio=rien et à la nature*socio=rien rotative de ses ressources*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont rappelé aussi qu'il importe que les institutions*socio=ac multilatérales*socio=et, y compris les banques*socio=ac de développement*socio=uv3 régionales*socio=te, accordent*socio=rien des crédits*socio=ec1 très concessionnels*socio=ec1 à l'appui*socio=uv1 des programmes*socio=et économiques*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, et qu'elles collaborent avec les *socio=ac États membres *socio=nil qui ont des arriérés de paiements*socio=ec1 afin de faciliter la solution*socio=rien de ces problèmes*socio=uv4. Les réunions*socio=rien de février*socio=rien et avril*socio=rien 1995 ont porté essentiellement sur*socio=rien l'ampleur*socio=rien et la viabilité*socio=uv3 de la dette*socio=ec1 multilatérale*socio=et des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 lourdement endettés. Lors*socio=rien de la réunion*socio=rien d'avril*socio=rien, se fondant sur*socio=rien une analyse*socio=ec2 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 présentée dans le cadre*socio=rien de documents*socio=rien préparés conjointement par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et de la banque_mondiale*socio=ac, la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont souscrit à la conclusion*socio=rien qu'une majorité*socio=rien de pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 lourdement endettés devraient être*socio=rien en mesure*socio=rien de gérer le service_de_leur_dette*socio=ec1 multilatérale*socio=et, pour autant que les flux*socio=ec1 bilatéraux*socio=et concessionnels*socio=ec1 soient maintenus et que de nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec1 multilatéraux*socio=et assortis eux aussi de conditions*socio=ec1 suffisamment concessionnelles*socio=ec1 viennent appuyer des politiques_économiques*socio=et propres*socio=rien à engendrer une croissance*socio=uv3 an*socio=rien moins modérée des exportations*socio=ec1 en terme*socio=rien réels*socio=ec2. Dans certains pays*socio=ac, toutefois, le service_de_la_dette*socio=ec1 et le surendettement envers les institutions*socio=ac multilatérales*socio=et constituent *socio=rien un lourd fardeau*socio=uv4 *socio=nil qui hypothèque manifestement leurs perspectives*socio=te de développement*socio=uv3, et il a été*socio=rien décidé que ces cas*socio=rien feront l'objet*socio=rien d'analyses*socio=ec2 pays*socio=ac par pays*socio=ac. Au cours*socio=rien de la réunion*socio=rien de février*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont dans l'ensemble*socio=rien convenu que tous les nouveaux*socio=rien prêts*socio=ec1 multilatéraux*socio=et on bilatéraux*socio=et aux pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 lourdement endettés doivent être*socio=rien assortis de *socio=ec1 conditions concessionnelles.*socio=nil *socio=nil Ils ont estimé nécessaire*socio=rien aussi de réévaluer les moyens*socio=ec1 dont dispose le FMI*socio=ac pour régler le problème*socio=uv4 des pays*socio=ac qui ont des arriérés persistants*socio=rien envers l'institution*socio=ac et assurer une situation*socio=rien viable*socio=uv4 aux quelques pays*socio=ac dont la dette*socio=ec1 devrait s'alourdir, en complétant pour cela les mécanismes*socio=et mis en place*socio=rien par d'autres créanciers*socio=ac, tels que les conditions*socio=ec1 de Naples*socio=ac arrêtées par le Club*socio=rien de Paris*socio=ac en décembre*socio=rien 1994. Prolongation*socio=rien de l'aide*socio=uv1 accordée par le FMI*socio=ac au titre*socio=rien de la FASR*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont constaté que le service_de_la_dette*socio=ec1 envers le FMI*socio=ac diminuera au cours*socio=rien des dix *socio=rien prochaines années *socio=nil pour la majorité*socio=rien - mais non la totalité*socio=rien - des pays*socio=ac lourdement endettés, en raison*socio=rien principalement des prêts*socio=ec1 très concessionnels*socio=ec1 accordés par le biais*socio=rien de la FAS*socio=ec1 et de la FASR*socio=ec1. Ils ont convenu, en général*socio=rien, que les conditions*socio=ec1 qui régissent la FASR*socio=ec1 sont compatibles*socio=rien avec le maintien*socio=rien d'un*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 supportable*socio=rien pour la plupart*socio=rien des pays*socio=ac lourdement endettés, et que le FMI*socio=ac doit continuer d'accorder des aides*socio=uv1 dans le cadre*socio=rien de la FASR*socio=ec1, à condition*socio=rien toutefois que le caractère*socio=rien rotatif des ressources*socio=ec1 de l'institution*socio=ac et sa nature*socio=rien monétaire*socio=ec1 soient respectés. Certains administrateurs*socio=ac ont estimé cependant que le FMI*socio=ac devrait faire davantage. En avril*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont examiné les *socio=rien modalités possibles du maintien *socio=nil de l'action*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac en faveur*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, y compris les plus lourdement endettés, dans le cadre*socio=rien de la FASR*socio=ec1. Ils sont convenus, dans leur ensemble*socio=rien, qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil de poursuivre les opérations*socio=rien concessionnelles*socio=ec1 *socio=rien du type FASR*socio=ec1 *socio=nil ; en outre, la plupart*socio=rien d'entre eux se sont dits prêts*socio=ec1 à étudier la possibilité*socio=rien de mettre en place*socio=rien une FASR*socio=ec1 autofinancée par les ressources*socio=ec1 de la réserve*socio=ec1 du*socio=rien Compte*socio=ec1 de fiducie*socio=ec1 de la FASR*socio=ec1 qui seront remboursées au Compte*socio=ec1 de versements*socio=ec1 spécial*socio=rien et qui, selon les projections*socio=ec2 actuelles*socio=te, devraient *socio=rien être disponibles *socio=nil à compter de 2004. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac se sont aussi félicités que soient examinées très prochainement les *socio=rien options possibles *socio=nil pour financer des opérations*socio=rien concessionnelles*socio=ec1 *socio=rien du type FASR*socio=ec1 *socio=nil pendant la période*socio=te intérimaire*socio=rien, c'est-à-dire entre la fin*socio=rien de 1996, date à laquelle les ressources*socio=ec1 du*socio=rien Compte*socio=ec1 de fiducie*socio=ec1 de la FASR*socio=ec1 devraient normalement être*socio=rien totalement engagées, et 2004, date à laquelle les ressources*socio=ec1 du*socio=rien Compte*socio=ec1 de versements*socio=ec1 spécial*socio=rien seront disponibles*socio=rien. Il a été*socio=rien noté que l'on ne sait pas encore avec certitude*socio=rien quand les ressources*socio=ec1 du*socio=rien Compte*socio=ec1 de fiducie*socio=ec1 de la FASR*socio=ec1 seront totalement engagées et qu'il serait utile*socio=uv4 de réfléchir, avec les créanciers*socio=ac du*socio=rien Compte*socio=ec1 de fiducie*socio=ec1 de la FASR*socio=ec1, à la possibilité*socio=rien d'accélérer le transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 vers le Compte*socio=ec1 de versements*socio=ec1 spécial*socio=rien en réduisant la couverture*socio=ec1 des créances*socio=ec1 sur*socio=rien le Compte*socio=ec1 de prêts*socio=ec1 du*socio=rien Compte*socio=ec1 de fiducie*socio=ec1. En outre, les administrateurs*socio=ac ont examiné les modalités*socio=rien de financement*socio=ec1 de l'élément*socio=rien prêt*socio=ec1 de l'aide*socio=uv1 accordée par l'intermédiaire*socio=rien de la FASR*socio=ec1; fi plupart*socio=rien d'entre eux ont estimé qu'il faut approfondir la possibilité*socio=rien d'un*socio=rien dosage*socio=rien des divers modes*socio=rien de financement*socio=ec1, y compris le Compte*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 générales*socio=rien, mais d'autres administrateurs*socio=ac n'ont pas paru favorables*socio=uv4 à cette approche. *socio=rien Diverses suggestions ont*socio=nil été *socio=nil avancées en ce qui concerne les sources*socio=rien de financement*socio=ec1 possibles*socio=rien de l'élément*socio=rien bonification, et notamment le transfert*socio=ec1 par les *socio=ac États membres des*socio=nil ressources*socio=ec1 du*socio=rien Compte*socio=ec1 *socio=rien spécial conditionnel *socio=nil 2 (CSC-2) qui leur seront remboursées, les financements*socio=ec1 bilatéraux*socio=et et les revenus*socio=ec1 tirés de l'investissement*socio=ec1 des bénéfices*socio=ec1 réalisés sur*socio=rien la vente*socio=ec1 d'une fraction*socio=rien de l'or*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Si quelques-uns d'entre eux se sont fermement opposés à la vente*socio=ec1 d'or*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac se sont dits intéressés par un*socio=rien examen*socio=ec2 plus poussé du*socio=rien rôle*socio=et de l'or*socio=ec1 au FMI*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont examiné plusieurs *socio=rien options possibles *socio=nil pour venir en aide*socio=uv1 aux pays*socio=ac en proie*socio=ac à un*socio=rien surendettement important*socio=uv4, y compris la prorogation des échéances*socio=te des *socio=ec1 prêts FASR *socio=nil pour une catégorie*socio=rien de pays*socio=ac pouvant bénéficier de ressources*socio=ec1 à ce titre*socio=rien. Cependant, la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont estimé que le meilleur*socio=uv4 moyen*socio=rien dont le FMI*socio=ac dispose pour aider les pays*socio=ac qui souffrent en permanence*socio=rien d'un*socio=rien endettement*socio=ec1 élevé*socio=uv4 et de problèmes*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 consiste à continuer de mettre des ressources*socio=ec1 à leur disposition*socio=et aux conditions*socio=ec1 actuelles*socio=te de la FASR*socio=ec1. Cela permettra au FMI*socio=ac d'adapter*socio=rien ses financements*socio=ec1 à la *socio=rien situation particulière *socio=nil de chaque *socio=ac État membre *socio=nil tout en maintenant la conditionnalité et en continuant à surveiller la politique_économique*socio=ec1 des *socio=ac États membres sur*socio=rien des*socio=nil périodes*socio=te *socio=nil qui pourraient être*socio=rien prolongées. Néanmoins, *socio=rien un petit nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont jugé que cette approche ne s'attaque*socio=rien pas comme il le faudrait aux problèmes*socio=uv4 de surendettement et ne répond pas au besoin*socio=uv1 des *socio=ac États membres,*socio=nil *socio=nil pour qui il *socio=rien est nécessaire d'*socio=nil obtenir l'*socio=nil assurance*socio=ec1 *socio=nil que le service_de_leur_dette*socio=ec1 envers le FMI*socio=ac sera maintenu à *socio=rien un niveau *socio=nil gérable. À leurs yeux*socio=rien, la possibilité*socio=rien d'une prolongation*socio=rien des échéances*socio=te *socio=rien mérite un examen*socio=ec2 *socio=nil plus approfondi. Dans son communiqué d'avril*socio=rien 1995, le comité_intérimaire*socio=ac a pris note de l'examen*socio=ec2 par le conseil_d'_administration*socio=ac de la dette*socio=ec1 multilatérale*socio=et des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 lourdement endettés, et a souligné que les prêts*socio=ec1 multilatéraux*socio=et qui leur sont accordés doivent être*socio=rien assortis de conditions*socio=ec1 suffisamment concessionnelles*socio=ec1. Le comité_intérimaire*socio=ac a jugé souhaitable*socio=rien que le FMI*socio=ac continue*socio=rien d'apporter son appui*socio=uv1 aux pays_en_développement*socio=uv3 les_plus_pauvres*socio=uv2 dans le cadre*socio=rien de la FASR*socio=ec1, et il a demandé au conseil_d'_administration*socio=ac d'examiner les *socio=rien options possibles *socio=nil Pour continuer à financer et à adapter*socio=rien ce mécanisme*socio=et. Renforcement*socio=ec2 de la surveillance*socio=et. De par ses statuts*socio=et, le FMI*socio=ac a reçu, parmi ses responsabilités*socio=uv1 essentielles*socio=uv4, le mandat*socio=rien de veiller *socio=rien an bon fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil et d'exercer une ferme*socio=ec2 surveillance*socio=et suit les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des *socio=ac États membres.*socio=nil Le*socio=nil FMI *socio=nil s'acquitte de cette double*socio=rien mission*socio=et par divers moyens*socio=ec1, dont les deux principaux*socio=rien sont les consultations*socio=uv1 annuelles*socio=te régulières*socio=ec2 avec les *socio=ac États membres,*socio=nil *socio=nil connues sous le nom*socio=rien de consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, et, dans *socio=rien un contexte international*socio=te,*socio=nil les*socio=nil discussions*socio=et sur les*socio=nil perspectives*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Sur*socio=rien la base*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, le FMI*socio=ac évalue le bien-fondé*socio=uv3 des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 menées par ses pays_membres*socio=ac, puisqu'elles sous-tendent leur politique*socio=et de change*socio=ec1, et il engage tous les *socio=ac États membres *socio=nil à mener des politiques*socio=et qui, tout en servant leurs intérêts*socio=uv1 à long_terme*socio=te, soient propices*socio=rien à l'expansion*socio=ec2 et à la croissance*socio=uv3 équilibrée de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. La *socio=rien présente section *socio=nil indique quels sont les thèmes*socio=rien qui se sont dégagés de l'examen*socio=ec2 biennal*socio=rien de la surveillance*socio=et, examen*socio=ec2 qui a porté à la *socio=rien fois sur *socio=nil le contenu analytique*socio=ec2 de celle-ci et sur*socio=rien les orientations*socio=et relatives*socio=rien à son exercice*socio=rien. Suite*socio=rien à la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 mexicaine*socio=ac, le Conseil*socio=ac a par ailleurs*socio=rien cherché les moyens*socio=ec1 d'en améliorer l'efficacité*socio=uv3. Dans cette optique*socio=rien, une discussion*socio=et connexe*socio=rien a fait*socio=rien ressortir combien il importe que les pays_membres*socio=ac communiquent, en temps*socio=rien voulu, leurs principales*socio=rien données au FMI*socio=ac. Parmi les autres dossiers*socio=rien examinés par le Conseil*socio=ac figurent la coordination_internationale*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et, les accords*socio=et de précaution*socio=rien, la surveillance*socio=et accentuée et le suivi des programmes*socio=et, enfin l'évolution*socio=te *socio=rien du système international*socio=te de*socio=nil change*socio=ec1 *socio=nil et de paiement*socio=ec1, en particulier*socio=rien pour ce qui est*socio=rien des progrès*socio=uv1 accomplis par les pays_membres*socio=ac vers la convertibilité*socio=ec1 de leur monnaie*socio=ec1 aux fins*socio=rien des transactions_courantes*socio=te et des transactions*socio=ec1 en capital*socio=ec1. Dans son exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et, le Conseil*socio=ac complète son suivi régulier*socio=ec2 et systématique*socio=rien de l'évolution*socio=te économique*socio=ec1, qu'il assure par les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV et les discussions*socio=et sur*socio=rien les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, en tenant, environ toutes les six semaines*socio=rien, des séances*socio=rien informelles*socio=uv2 sur*socio=rien l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 et des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te. Son examen*socio=ec2 de l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1 contribue aussi à la *socio=et surveillance multilatérale.*socio=nil *socio=nil Afin de renforcer la surveillance*socio=et, les réunions*socio=rien informelles*socio=uv2 sur*socio=rien les questions*socio=rien concernant les pays*socio=ac sont devenues plus fréquentes*socio=rien; elles se tiennent maintenant en général*socio=rien tous les mois*socio=rien (voir infra). De plus, le directeur_général*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac prend part*socio=rien aux discussions*socio=et du*socio=rien Groupe*socio=ac des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, où il *socio=rien présente un point de*socio=nil vue mondial*socio=te *socio=nil en s'attachant aux répercussions*socio=ec2 internationales*socio=te des politiques_économiques*socio=et qu'appliquent ces États*socio=ac. Les principes*socio=ec2 et procédures*socio=et qui orientent la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac sont énoncés dans *socio=rien un document *socio=nil de 1977 intitulé "Surveillance*socio=et des politiques*socio=et de change*socio=ec1". Au moins une fois*socio=rien tous les deux ans*socio=rien, le Conseil*socio=ac examine ce document*socio=rien, ainsi que l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et, afin de lui apporter, le cas*socio=rien échéant, des modifications*socio=rien de nature*socio=rien à améliorer l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et. Lors*socio=rien de son dernier*socio=rien examen*socio=ec2, le Conseil*socio=ac a entrepris une étude*socio=ec2 franche*socio=rien et approfondie des aspects*socio=rien tarit analytiques*socio=ec2 qu'opérationnels*socio=rien de la surveillance*socio=et, au terme*socio=rien de laquelle il a décidé de modifier le document*socio=rien de 1977 afin de tenir explicitement compte*socio=ec1 du*socio=rien rôle*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 (voir appendice*socio=rien V) et de procéder à *socio=rien un nouvel examen*socio=ec2 *socio=nil au plus tard le 15 septembre*socio=rien 1996. Le comité_intérimaire*socio=ac, dans son communiqué d'octobre*socio=rien 1994, a demandé " au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre ses *socio=rien travaux sur le*socio=nil renforcement*socio=ec2 *socio=nil de la surveillance*socio=et, qui est*socio=rien l'élément*socio=rien central*socio=rien de la contribution*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac à l'amélioration*socio=uv1 des politiques_économiques*socio=et et à une coopération*socio=uv1 plus efficace*socio=uv4". Il a demandé en outre que lui soit soumis *socio=rien un rapport sur les*socio=nil aspects *socio=nil méthodologiques de la *socio=et surveillance multilatérale.*socio=nil *socio=rien Principales questions relatives *socio=nil à la surveillance*socio=et. Le dernier*socio=rien examen*socio=ec2 biennal*socio=rien de la surveillance*socio=et, en février*socio=rien et en avril*socio=rien 1995, s'est*socio=rien déroule dans le contexte*socio=rien de *socio=ec2 mutations systémiques *socio=nil telles que la mondialisation*socio=ec2 accrue des marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 et la mobilité*socio=uv3 plus grande*socio=rien des capitaux*socio=ec1 extra-territoriaux, ce qui a présenté de nouveaux*socio=rien défis*socio=uv2 pour la surveillance*socio=et. Le Conseil*socio=ac a rappelé que la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac de décembre*socio=rien 1994 a démontré la rapidité*socio=rien et l'intensité*socio=rien avec laquelle les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1 peuvent réagir à la *socio=rien tournure néfaste des*socio=nil événements dans*socio=nil un pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et il a insiste sur*socio=rien l'importance*socio=rien que revêt la prévention*socio=uv3 de telles crises*socio=uv2. Les administrateurs*socio=ac ont observé que le réexamen*socio=et est*socio=rien l'occasion*socio=rien d'insister sur*socio=rien les aspects*socio=rien méthodologiques de la surveillance*socio=et, en particulier*socio=rien en cc qui concerne les retombées*socio=rien de l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 des grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac et les interactions*socio=rien complexes qui se produisent entre les nations*socio=ac, dans un*socio=rien monde*socio=te caractérisé par une intégration*socio=uv1 économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 croissante*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont salué les progrès*socio=uv1 réalisés, grâce*socio=rien auxquels la surveillance*socio=et a gagné en souplesse*socio=uv3, en actualité*socio=uv3 et en continuité*socio=uv1. Ils ont noté que les consultations*socio=uv1 avec la plupart*socio=rien des pays*socio=ac se déroulent selon le cycle*socio=te normal*socio=rien de douze mois*socio=rien et y ont vu le signe d'un*socio=rien renforcement*socio=ec2 de la *socio=et surveillance bilatérale.*socio=nil *socio=nil Dans le même temps*socio=rien, les administrateurs*socio=ac se sont déclarés préoccupés par l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien du nombre de*socio=nil retards *socio=nil constatés dans la conclusion*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien dé l'article*socio=rien IV. Ils se sont félicités que les contacts*socio=rien entre les pays_membres*socio=ac et les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac pendant le temps*socio=rien qui s'écoule entre deux consultations*socio=uv1 se soient intensifiés lorsque c'était nécessaire*socio=rien, et en particulier*socio=rien que des accords*socio=et informels*socio=uv2 de suivi par les services*socio=et de l'institution*socio=ac aient été*socio=rien conclus. Quoique les administrateurs*socio=ac aient pour la plupart*socio=rien approuvé le champ*socio=rien des questions*socio=rien couvertes par les *socio=rien rapports sur les*socio=nil consultations*socio=uv1 au*socio=nil titre *socio=nil de l'article*socio=rien IV, *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'entre eux ont souhaité qu'y soient davantage privilégiés*socio=uv les éléments-pivots de la surveillance*socio=et, notamment la politique_monétaire*socio=et et la politique*socio=et de change*socio=ec1. D'autres administrateurs*socio=ac se sont félicités, en revanche, de la place*socio=rien plus grande*socio=rien faite ces *socio=rien dernières années aux*socio=nil questions structurelles*socio=ec2.*socio=nil Le*socio=nil Conseil*socio=ac *socio=nil a estimé qu'il faut s'efforcer de maintenir l'équilibre*socio=ec2 entre les priorités*socio=uv4 en couvrant, de façon*socio=rien complète et efficace*socio=uv4, les domaines*socio=rien correspondant aux principales*socio=rien responsabilités*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac sans négliger pour autant l'examen*socio=ec2 d'autres *socio=rien questions difficiles de*socio=nil politique_économique*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac est *socio=nil convenu de la nécessité*socio=uv1 d'accroître la transparence*socio=uv3 dans les *socio=rien principaux domaines *socio=nil de la surveillance*socio=et et de mieux cibler les évaluations*socio=ec2 contenues dans les rapports*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac sur*socio=rien des *socio=rien points précis.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont aussi jugé opportun*socio=rien d'étudier davantage les risques*socio=uv3 éventuels*socio=te de désalignement*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1, en recourant notamment à *socio=rien différents scénarios *socio=nil lorsque le taux_de_change*socio=ec1 est*socio=rien utilisé comme point*socio=rien d'ancrage*socio=rien. Les efforts*socio=uv1 pour mieux cerner les difficultés*socio=uv4 naissantes*socio=rien à un*socio=rien stade*socio=te précoce*socio=rien ont été*socio=rien encouragés et, dans ce contexte*socio=rien, les administrateurs*socio=ac sont convenus que la surveillance*socio=et doit faire une plus grande*socio=rien placé aux *socio=rien questions relatives aux*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil capitaux*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil lorsque ces dernières*socio=rien sont particulièrement pertinentes*socio=rien pour le *socio=ac pays membre.*socio=nil Nombre*socio=rien *socio=nil d'entre eux se sont déclarés favorables*socio=uv4 à une sélectivité accrue de la surveillance*socio=et, notamment à un*socio=rien suivi plus étroit*socio=rien des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 et financiers*socio=ec1 enregistrés par les pays_membres*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont approuvé l'application*socio=rien de procédures*socio=et de suivi, comme les discussions*socio=et semestrielles des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac avec les autorités*socio=et, ou l'évaluation*socio=ec2 précise*socio=rien de *socio=rien certaines situations *socio=nil par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, lorsque le besoin*socio=uv1 s'en fait*socio=rien sentir. De l'avis*socio=rien général*socio=rien, les efforts*socio=uv1 pour renforcer la surveillance*socio=et supposent, de la part*socio=rien des pays_membres*socio=ac, la volonté*socio=uv1 de coopérer avec le FMI*socio=ac; ils dépendent aussi de la qualité*socio=rien et de la pertinence*socio=rien des analyses*socio=ec2 et des conseils*socio=ac de politique_économique*socio=ec1 que fournissent les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Les propositions*socio=rien formulées par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac en vue*socio=rien d'améliorer la surveillance*socio=et régionale*socio=te ont obtenu l'assentiment*socio=rien des administrateurs*socio=ac. Ces derniers*socio=rien sont convenus d'instituer des discussions*socio=et annuelles*socio=te sur*socio=rien les rapports*socio=rien concernant les unions*socio=ac monétaires*socio=ec1 et économiques*socio=ec1 et de poursuivre la discussion*socio=et annuelle*socio=te des politiques_économiques*socio=et de lunion européenne*socio=ac sous sa forme*socio=rien actuelle*socio=te, mais ils ont souligné que les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV doivent rester le principal*socio=rien véhicule de la surveillance*socio=et (voir l'encadré 5 sur*socio=rien les politiques*socio=et communes*socio=uv2 au sein*socio=rien de l'union_européenne*socio=et). De plus, pour autant que les contraintes*socio=uv1 d'effectifs*socio=rien et la nécessité*socio=uv1 d'éviter les retards*socio=rien dans la conclusion*socio=rien des consultations*socio=uv1 le permettent, les administrateurs*socio=ac ont approuvé le recours*socio=ec1 plus *socio=rien fréquent an regroupement*socio=ac des*socio=nil consultations*socio=uv1 au*socio=nil titre *socio=nil de l'article*socio=rien IV, si *socio=rien certaines questions ou*socio=nil caractéristiques sont*socio=nil communes*socio=uv2 *socio=nil à plusieurs pays*socio=ac. Renforcement*socio=ec2 de l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et. En avril*socio=rien 1995, le conseil_d'_administration*socio=ac a examiné les moyens*socio=ec1 de renforcer l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et, en s'appuyant sur*socio=rien l'expérience*socio=ec2 du*socio=rien FMI*socio=ac au Mexique*socio=ac. Il a aussi examiné *socio=rien un rapport *socio=nil établi par un*socio=rien expert *socio=rien indépendant sur l'*socio=nil origine *socio=nil de la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 mexicaine*socio=ac. Le Conseil*socio=ac a reconnu que les *socio=rien relations du FMI*socio=ac *socio=nil avec le Mexique*socio=ac en 1994, avant la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 de la même année*socio=rien, avaient fait*socio=rien apparaître certaines*socio=rien déficiences*socio=uv3. Parmi les facteurs*socio=rien importants*socio=uv4 figuraient des retards*socio=rien dans la communication*socio=ec1 au FMI*socio=ac de données, essentielles*socio=uv4 par le *socio=ac pays membre,*socio=nil *socio=nil y compris pendant la période*socio=te qui s'est*socio=rien écoulée entre l'élection*socio=et présidentielle et l'investiture. De plus, la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac n'a pas permis*socio=rien d'alerter clairement le Mexique*socio=ac à un*socio=rien stade*socio=te précoce*socio=rien, en particulier*socio=rien en ce qui concernait le fonctionnement*socio=rien de son régime*socio=et de *socio=rien rattachement du taux_de_change*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Conseil*socio=ac *socio=nil a reconnu que la responsabilité*socio=uv1 incombait conjointement au *socio=ac pays membre *socio=nil et au FMI*socio=ac. L'examen*socio=ec2 *socio=rien du cas *socio=nil mexicain par le Conseil*socio=ac a eu pour objet*socio=rien de passer en revue certains aspects*socio=rien de la "culture*socio=et" de l'institution*socio=ac et des relations*socio=rien entre le FMI*socio=ac et les *socio=ac États membres,*socio=nil *socio=nil qui, tout en rendant ces rapports*socio=rien plus harmonieux*socio=uv2, ont parfois nui à l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et. Le FMI*socio=ac a eu pour habitude*socio=rien de s'en remettre presque exclusivement aux pays_membres*socio=ac pour obtenir*socio=rien des données et des renseignements*socio=ec2 sur*socio=rien la politique_économique*socio=ec1 menée et, dans son dialogue*socio=uv1 avec les *socio=ac États membres,*socio=nil *socio=nil d'accorder *socio=rien un grand poids au*socio=nil point de*socio=nil vue des*socio=nil autorités*socio=et des*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil (Voir l'encadré 6 pour un*socio=rien examen*socio=ec2, dans l'optique*socio=rien de la surveillance*socio=et, des *socio=rien questions relatives *socio=nil à la communication*socio=ec1 de données statistiques*socio=ec2). Quoique de nombreux*socio=rien *socio=ac États membres *socio=nil accueillent favorablement les discussions*socio=et sur*socio=rien leur politique_économique*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de la surveillance*socio=et, d'autres n'y voient qu'une obligation*socio=uv1 découlant de leur adhésion*socio=uv1 au FMI*socio=ac. Il importe à l'avenir*socio=te d'améliorer - et de rendre plus franc*socio=ec1 - le dialogue*socio=uv1 entre le FMI*socio=ac et ses membres*socio=ac. Les retards*socio=rien dans la publication*socio=rien de données essentielles*socio=uv4 risquent d'avoir des répercussions*socio=ec2 négatives*socio=rien. Les discussions*socio=et sur*socio=rien l'amélioration*socio=uv1 de la fonction*socio=rien de surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et sur*socio=rien l'efficacité*socio=uv3 *socio=rien du fonctionnement du FMI*socio=ac *socio=nil en tant qu'institution*socio=ac ont donné lieu*socio=rien à plusieurs propositions*socio=rien. 1 - La direction*socio=et devrait s'assurer que l'analyse*socio=ec2 des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac est*socio=rien suffisamment précise*socio=rien. Cependant, il a été*socio=rien reconnu que les services*socio=et et la direction*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac ne seront à même de présenter leur point*socio=rien de *socio=rien vue sur des*socio=nil points très*socio=nil sensibles,*socio=nil *socio=nil comme le désalignement*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1, que si les *socio=ac États membres *socio=nil et le conseil_d'_administration*socio=ac consentent à débattre*socio=rien de questions*socio=rien risquant de prêter à controverse*socio=uv1 et à respecter le caractère*socio=rien confidentiel des délibérations*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac. 2 - Quoique les administrateurs*socio=ac soient dans l'ensemble*socio=rien convenus que les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac doivent se montrer plus sélectifs*socio=uv4 dans leurs travaux*socio=rien de façon*socio=rien à se concentrer sur*socio=rien les priorités*socio=uv4 telles que la surveillance*socio=et, les avis*socio=rien ont divergé sur*socio=rien l'intensification*socio=ec2 de la surveillance*socio=et. Certains ont recommandé que la surveillance*socio=et soit axée sur*socio=rien les pays*socio=ac en difficulté*socio=uv4 et qu'elle s'attache à déceler les problèmes*socio=uv4 à un*socio=rien stade*socio=te précoce*socio=rien, surtout dans les pays*socio=ac ayant une importance*socio=rien au plan*socio=rien de la région*socio=te ou pour l'ensemble*socio=rien *socio=rien du système.*socio=nil *socio=nil D'autres administrateurs*socio=ac ont préconisé l'adhésion*socio=uv1 au principe*socio=ec2 de l'impartialité*socio=uv1 dans le traitement*socio=rien des *socio=ac États membres,*socio=nil *socio=nil y compris en ce qui concerne les consultations*socio=uv1 annuelles*socio=te. 3 - Deux fois*socio=rien l'an*socio=rien, avant les *socio=rien réunions du comité_intérimaire*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil direction*socio=et *socio=nil devrait faire rapport*socio=rien au Conseil*socio=ac sur*socio=rien les procédures*socio=et de suivi qu'elle aura engagées. Ces examens*socio=ec2 seraient focalisés sur*socio=rien les mesures*socio=et que le pays*socio=ac a adoptées après*socio=rien avoir reçu le résumé des entretiens*socio=rien au titre*socio=rien des consultations*socio=uv1. S'il y a lieu*socio=rien, la confidentialité*socio=uv1 la plus stricte*socio=rien serait respectée. 4 - De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont évoqué la nécessité*socio=uv1 d'une étroite*socio=rien coopération*socio=uv1 entre les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et les autorités*socio=et des pays_membres*socio=ac : pour que la surveillance*socio=et porte*socio=rien ses fruits*socio=rien, le personnel*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac ne doit pas être*socio=rien considéré comme un*socio=rien adversaire. Ils ont aussi souligné que la collaboration*socio=uv1 entre un*socio=rien *socio=ac pays membre *socio=nil et les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac ne doit pas se relâcher une fois*socio=rien qu'un*socio=rien programme*socio=et appuyé par le FMI*socio=ac a été*socio=rien exécuté. 5 - Quoique la plupart*socio=rien des membres*socio=ac du*socio=rien Conseil*socio=ac soient convenus que les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac doivent s'appuyer *socio=rien sur diverses sources d'*socio=nil information *socio=nil afin de procéder à des vérifications des données officielles*socio=et, d'autres ont recommandé que ces dernières*socio=rien restent leur *socio=rien source principale.*socio=nil Nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont proposé que les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac établissent des contacts*socio=rien avec les instituts de recherche*socio=ec2 et les organismes_privés*socio=et dans les différents*socio=rien pays_membres*socio=ac, d'autres ont en revanche observé qu'il convient de respecter les voeux*socio=rien des autorités*socio=et et que les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac doivent user de circonspection*socio=rien dans ces contacts*socio=rien avec l'extérieur*socio=te. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont préconisé l'utilisation*socio=rien de données publiées sur*socio=rien les marchés*socio=ec1, et uni dialogue*socio=uv1 plus efficace*socio=uv4, tant entre les membres*socio=ac des différents*socio=rien services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac qu'avec la banque_mondiale*socio=ac et la société_financière_internationale*socio=ac (SFI*socio=ac). 6 - Les administrateurs*socio=ac sont convenus de l'opportunité*socio=uv3 de renforcer, en dehors des missions liées aux consultations*socio=uv1 ou aux programmes*socio=et, les contacts*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac avec les responsables*socio=uv2 de la politique_économique*socio=ec1 dans les différents*socio=rien pays_membres*socio=ac. coordination_internationale*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et. Dans l'optique*socio=rien d'une plus grande*socio=rien efficacité*socio=uv3 de la *socio=et surveillance multilatérale,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont examiné, en septembre*socio=rien 1994, *socio=rien certaines questions portant*socio=nil sur l'*socio=nil ensemble du système *socio=nil et avant trait*socio=rien à la coordination_internationale*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et, en vue*socio=rien de compléter les discussions*socio=et qu'ils avaient déjà tenues sur*socio=rien l'évolution*socio=te du*socio=rien rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et sur*socio=rien les perspectives*socio=te d'amélioration*socio=uv1 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te (voir supra). La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont considéré que la coopération*socio=uv1 économique*socio=ec1 internationale*socio=ac (à savoir*socio=rien les échanges_d'_informations*socio=rien, les discussions*socio=et et la persuasion) n'était pas tant un*socio=rien engagement*socio=uv1 explicite*socio=rien à l'égard*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien système formel de*socio=nil coordination*socio=uv3 *socio=nil que le *socio=rien principal moyen *socio=nil d'améliorer les politiques_économiques*socio=et. La Plupart*socio=rien sont aussi convenus que les efforts*socio=uv1 déployés pour améliorer la coopération*socio=uv1 entre les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont en général*socio=rien abouti à une amélioration*socio=uv1 des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2. Cependant, certains intervenants*socio=ac ont fait*socio=rien observer que, même si ces efforts*socio=uv1 ont réduit le nombre*socio=rien et l'ampleur*socio=rien des désalignements*socio=uv3 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1, ils n'ont pas contribué à corriger l'instabilité*socio=uv3 à court_terme*socio=te des taux_de_change*socio=ec1. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont salué l'abandon*socio=rien de la politique*socio=et d'insouciance délibérée à l'égard*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 et souscrit à une intervention*socio=et sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1 lorsque les taux*socio=ec1 s'écartent manifestement des données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4. De l'avis*socio=rien général*socio=rien cependant, la correction*socio=ec2 de ces données fondamentales*socio=uv4 constitue l'axe principal*socio=rien de la coopération*socio=uv1 économique*socio=ec1 et toute stabilisation*socio=et durable*socio=uv4 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 passe par des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te stables*socio=uv4 et un*socio=rien assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et dans les pays_industrialisés*socio=ac. Pour ce qui est*socio=rien de la surveillance*socio=et qu'exerce le FMI*socio=ac sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont mis en garde*socio=rien contre une focalisation excessive*socio=uv4 sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1, étant donné que de nombreux*socio=rien problèmes*socio=uv4 à cet égard*socio=rien sont attribuables*socio=rien à des politiques*socio=et intérieures*socio=te inappropriées. Dans l'ensemble*socio=rien toutefois, ils ont appuyé le point*socio=rien de vue*socio=rien selon lequel, dans le cadre*socio=rien de la surveillance*socio=et, le FMI*socio=ac doit suivre de près et évaluer avec soin*socio=rien les désalignements*socio=uv3 effectifs*socio=rien ou naissants*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1. À ce propos*socio=rien, plusieurs administrateurs*socio=ac ont indiqué que la diffusion*socio=rien des rapports*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac sur*socio=rien les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV et des résumés que présente*socio=rien le Président*socio=ac du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac à l'issue*socio=rien des discussions*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac y afférentes*socio=rien pourrait aider les marchés*socio=ec1 à évaluer les données fondamentales*socio=uv4. D'autres administrateurs*socio=ac se sont opposés à cette *socio=rien diffusion an nom *socio=nil de la confidentialité*socio=uv1, craignant notamment que les pays_membres*socio=ac hésitent alors à discuter franchement de leurs politiques*socio=et et de leurs problèmes*socio=uv4 économiques*socio=ec1 avec les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Sans être*socio=rien partisans*socio=ac pour autant d'une diffusion*socio=rien publique*socio=et *socio=rien du point de*socio=nil vue du FMI*socio=ac sur les*socio=nil désalignements*socio=uv3 des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil sont d'avis*socio=rien que ces vues*socio=rien doivent être*socio=rien entendues dans les instances*socio=et où sont prises*socio=rien de telles décisions*socio=et et qu'il appartient aussi au FMI*socio=ac de déceler les *socio=rien cas possibles de*socio=nil désalignements*socio=uv3 graves*socio=uv4 des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil et de transmettre aux autorités*socio=et intéressées ces renseignements*socio=ec2 en temps*socio=rien voulu et à titre*socio=rien confidentiel. Lorsque ces désalignements*socio=uv3 risquent de poser un*socio=rien risque*socio=uv3 important*socio=uv4 pour l'ensemble*socio=rien *socio=rien du système,*socio=nil *socio=nil il conviendra aussi d'en informer le Conseil*socio=ac dans les meilleurs*socio=uv4 délais*socio=rien. Accords*socio=et de précaution*socio=rien, surveillance*socio=et accentuée et suivi des programmes*socio=et. Les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV constituent la base*socio=rien de la collaboration*socio=uv1 entre le FMI*socio=ac et les *socio=ac États membres.*socio=nil *socio=nil Pour ceux d'entre eux qui sont aux prises*socio=rien avec des difficultés*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1, les accords*socio=et liés à l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac représentent un*socio=rien autre moyen*socio=rien de procéder à des échanges_de_vues*socio=uv3. Pour *socio=rien diverses raisons *socio=nil cependant, les *socio=ac États membres *socio=nil ont aussi sollicité une collaboration*socio=uv1 plus étroite*socio=rien avec le FMI*socio=ac de plusieurs autres manières*socio=rien. Certains ont cherché à catalyser des *socio=ec1 flux financiers,*socio=nil l'*socio=nil aval*socio=rien du*socio=rien FMI*socio=ac *socio=nil étant considéré comme *socio=rien un moyen *socio=nil de débloquer les financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te, y compris un*socio=rien rééchelonnement*socio=et de la dette*socio=ec1; d'autres ont recherché, dans la collaboration*socio=uv1 avec le FMI*socio=ac, le signe d'une approbation*socio=uv1 de leur politique*socio=et, ou ont trouvé utile*socio=uv4 de rester en contact*socio=rien avec ses services*socio=et au moment*socio=rien de prendre des décisions*socio=et économiques*socio=ec1 difficiles*socio=rien. Ces autres formes*socio=rien de collaboration*socio=uv1 avec le FMI*socio=ac se sont déroulées dans le cadre*socio=rien d'accords*socio=et de précaution*socio=rien, de la surveillance*socio=et accentuée, de programmes*socio=et d'essai*socio=rien et de différents*socio=rien suivis assurés par les services*socio=et et par le conseil_d'_administration*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont constaté que les accords*socio=et conclus à titre*socio=rien de précaution*socio=rien, autrement dit des accords*socio=et de confirmation*socio=et ou des accords*socio=et élargis classiques*socio=rien dans le cadre*socio=rien desquels un*socio=rien *socio=ac pays membre *socio=nil convient avec le FMI*socio=ac d'ajuster sa politique_économique*socio=ec1 tout en n'ayant pas l'intention*socio=rien d'utiliser les ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac pendant la durée*socio=te de l'accord*socio=et, ont permis*socio=rien d'indiquer que le FMI*socio=ac souscrit à la politique_économique*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=ac pays membre.*socio=nil *socio=nil En renforçant la confiance*socio=uv1 dans cette politique*socio=et, ces accords*socio=et ont contribué à prévenir l'apparition*socio=rien d'un*socio=rien besoin*socio=uv1 de financement*socio=ec1 de la balance_des_paiements*socio=ec1. Ils ont en outre apporté aux *socio=ac États membres,*socio=nil *socio=nil lorsque c'était nécessaire*socio=rien, *socio=rien un complément de*socio=nil réserves*socio=ec1 *socio=nil à l'appui*socio=uv1 de leur balance_des_paiements*socio=ec1 pendant la période*socio=te de l'accord*socio=et. Le conseil_d'_administration*socio=ac a reconnu qu'en assurant des suivis informels*socio=uv2, les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac sont parvenus à répondre de façon*socio=rien souple*socio=uv4 aux demandes*socio=et des pays_membres*socio=ac désireux*socio=uv2 d'intensifier leur dialogue*socio=uv1 avec le FMI*socio=ac. Ces suivis peuvent aller de l'établissement*socio=rien de repérés *socio=rien quantitatifs an titre d'*socio=nil un programme*socio=et d'*socio=nil essai *socio=nil à une collaboration*socio=uv1 plus étroite*socio=rien dans l'élaboration*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1. Il a été*socio=rien souligné cependant qu'il convient de faire en sorte*socio=rien que le conseil_d'_administration*socio=ac dispose d'une *socio=rien grande latitude *socio=nil pour proposer les orientations*socio=et nécessaires*socio=rien. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont craint que les accords*socio=et informels*socio=uv2 ne soient interprétés, à tort*socio=rien, comme une approbation*socio=uv1 officielle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, rappelant que celle-ci ne peut venir que du*socio=rien Conseil*socio=ac, et qu'elle s'inscrit*socio=rien d'ordinaire*socio=rien dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien accord*socio=et de financement*socio=ec1 avec le FMI*socio=ac. Adoptés à l'origine*socio=rien en 1985 pour faciliter les accords*socio=et pluriannuels de rééchelonnement*socio=et de la dette*socio=ec1 conclus avec les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, les principes*socio=ec2 et modalités*socio=rien de la surveillance*socio=et accentuée ont été*socio=rien modérément utilisés au fil*socio=rien des ans*socio=rien. La surveillance*socio=et accentuée n'est*socio=rien pas le signe d'une approbation*socio=uv1 des politiques*socio=et par le FMI*socio=ac et les normes*socio=et s'appliquant au respect*socio=uv1 de ses critères*socio=rien manquent de clarté*socio=rien. En conséquence*socio=rien, le recours*socio=ec1 à la surveillance*socio=et accentuée a pu tout aussi *socio=rien bien être *socio=nil interprété comme le signe que les politiques_économiques*socio=et respectent les normes*socio=et afférentes*socio=rien aux accords*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans les tranches supérieures*socio=rien de crédit*socio=ec1 ou qu'elles s'en écartent. Bien*socio=rien que certains administrateurs*socio=ac aient suggéré de renforcer la surveillance*socio=et accentuée, tandis que quelques-uns recommandaient de l'abolir, la plupart*socio=rien ont souhaité la conserver, faisant valoir que la surveillance*socio=et accentuée peut parfois être*socio=rien utile*socio=uv4, notamment lorsque le Conseil*socio=ac est*socio=rien appelé à jouer un*socio=rien rôle*socio=et plus actif*socio=ec1 en suivant*socio=rien les évolutions*socio=te de plus près, ou en souscrivant aux politiques*socio=et d'un*socio=rien *socio=ac pays membre.*socio=nil Système*socio=rien international*socio=te de*socio=nil change*socio=ec1 *socio=nil et de paiement*socio=ec1: *socio=rien principales questions et*socio=nil évolution*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil Conseil*socio=ac *socio=nil a discute des questions*socio=rien posées par le système*socio=rien international*socio=te de change*socio=ec1 et de paiement*socio=ec1 et son évolution*socio=te, dont beaucoup constituent l'essentiel*socio=uv4 de la mission*socio=et traditionnelle*socio=rien de surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, au Cours*socio=rien d'un*socio=rien séminaire*socio=ac tenu en novembre*socio=rien 19945. En général*socio=rien, les administrateurs*socio=ac se sont félicités des progrès*socio=uv1 accélérés réalisés dans la libéralisation*socio=et des régimes*socio=et de change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac, y voyant*socio=rien le signe que ces derniers*socio=rien se sont engagés dans une politique*socio=et d'ouverture*socio=uv3; ils ont cependant noté que près de 80 *socio=ac États membres *socio=nil n'ont pas encore accepté les obligations*socio=uv1 découlant de l'article*socio=rien VIII. (Au 30 avril*socio=rien 1995, 101 pays*socio=ac avaient accepté ces obligations*socio=uv1). Les administrateurs*socio=ac sont aussi convenus que les procédures*socio=et adoptées en 1993 en vue*socio=rien d'accélérer le mouvement*socio=ec2 vers la convertibilité*socio=ec1 aux fins*socio=rien des transactions_courantes*socio=te avaient porté ses fruits*socio=rien (encadré 7). Ils ont souscrit au principe*socio=ec2 selon lequel, avant d'accepter les obligations*socio=uv1 découlant de l'article*socio=rien VIII, les *socio=ac États membres *socio=nil doivent, pour autant que possible*socio=rien, abolir les mesures*socio=et nécessitant l'approbation*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac et être*socio=rien convaincus qu'ils n'y recourront sans doute*socio=rien plus ensuite. Le Conseil*socio=ac a noté que plusieurs pays_membres*socio=ac continuent d'appliquer des restrictions*socio=et de change*socio=ec1 relevant de la compétence*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac. particulièrement préoccupés par les restrictions*socio=et ponctuelles*socio=te aux paiements*socio=ec1 et transferts*socio=ec1 internationaux*socio=te dont témoigne*socio=rien l'augmentation*socio=ec2 des arriérés de paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te, les administrateurs*socio=ac ont insiste sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de poursuivre les efforts*socio=uv1 en vue*socio=rien de réduire ces arriérés, car ces derniers*socio=rien compromettent gravement le système*socio=rien des paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te. Les arriérés de paiements*socio=ec1 sont considérés comme la preuve*socio=ec2 de restrictions*socio=et de change*socio=ec1 relevant de la compétence*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac lorsqu'ils résultent de limites*socio=rien imposées par l'État*socio=ac, ou qu'ils entravent l'offre*socio=ec1 de devises*socio=ec1 destinées*socio=rien au règlement*socio=et des transactions*socio=ec1 *socio=te internationales courantes *socio=nil ou le transfert*socio=ec1 en temps*socio=rien voulu *socio=rien du produit *socio=nil de ces transactions*socio=ec1. Le fait*socio=rien qu'un*socio=rien sixième*socio=rien des pays_membres*socio=ac ayant accepté les obligations*socio=uv1 de l'article*socio=rien VIII aient ensuite rétabli des contrôles*socio=et a provoqué l'inquiétude*socio=rien de plusieurs administrateurs*socio=ac, Au cours*socio=rien de la discussion*socio=et sur*socio=rien la convertibilité*socio=ec1 aux fins*socio=rien des transactions*socio=ec1 en capital*socio=ec1, *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont noté l'importance*socio=rien croissante*socio=rien de ces transactions*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changés, les avantages*socio=rien qui découlent de la libre*socio=uv2 circulation*socio=ec2 des capitaux*socio=ec1 au plan*socio=rien international*socio=te et l'inefficacité*socio=uv3 générale*socio=rien des contrôles*socio=et limitant leurs mouvements*socio=ec2. À la fin*socio=rien de 1994, toutes les monnaies*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac étaient convertibles*socio=ec1 aux fins*socio=rien des transferts*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, tandis que celles des pays_en_développement*socio=uv3 restaient rigoureusement contrôlées (encadré 8). Certains administrateurs*socio=ac, constatant que nous vivons dans un*socio=rien monde*socio=te très différent*socio=rien de celui des *socio=rien fondateurs du FMI*socio=ac,*socio=nil *socio=nil se sont déclarés favorables*socio=uv4 à l'élargissement*socio=ec2 de la compétence*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac aux transactions*socio=ec1 en capital*socio=ec1. Bien*socio=rien que le FMI*socio=ac ne possède pas de compétence*socio=uv3 officielle*socio=et en matière*socio=rien de réglementation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, la surveillance*socio=et qu'il exerce suit les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac comprend effectivement*socio=rien les transactions*socio=ec1 en capital*socio=ec1. D'autres administrateurs*socio=ac se sont dits prêts*socio=ec1 à envisager la possibilité*socio=rien d'amender les statuts*socio=et afin de rendre cette compétence*socio=uv3 plus explicite*socio=rien. Certains administrateurs*socio=ac ont toutefois exprimé des réticences*socio=rien et fait*socio=rien observer que, dans *socio=rien certaines circonstances,*socio=nil la*socio=nil limitation*socio=uv3 des*socio=nil mouvements_de_capitaux*socio=ec1 peut*socio=nil être utile*socio=uv4 *socio=nil pour soulager les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 et écarter les risques*socio=uv3 que posent les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 déstabilisateurs*socio=ec2. De l'avis*socio=rien du*socio=rien Conseil*socio=ac, la multiplication*socio=rien des *socio=et accords bilatéraux ou*socio=nil régionaux*socio=te *socio=nil provoquée par l'adhésion*socio=uv1 des pays*socio=ac issus de l'ex-urss*socio=ac ne représente qu'une brève*socio=rien transition*socio=ec2 durant laquelle les instruments*socio=et de paiement*socio=ec1 multilatéraux*socio=et sont peu développés*socio=uv4. Comme ces accords*socio=et engendrent souvent des restrictions*socio=et de change*socio=ec1 et des pratiques*socio=et de taux*socio=ec1 de changé multiples*socio=rien, il a été*socio=rien convenu que le FMI*socio=ac inclurait l'élimination*socio=ec2 des accords*socio=et de paiement*socio=ec1 bilatéraux*socio=et incompatibles*socio=uv4 avec l'article*socio=rien VIII dans les critères*socio=rien de réalisation*socio=uv1 afférents*socio=rien aux accords*socio=et de confirmation*socio=et ou aux accords*socio=et élargis dans les tranches supérieures*socio=rien de crédit*socio=ec1. Les pays_membres*socio=ac ont réduit leur recours*socio=ec1 aux pratiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 multiples*socio=rien, quoique certains administrateurs*socio=ac aient constaté que ces pratiques*socio=et ont pu être*socio=rien utilisées comme *socio=rien mesure transitoire *socio=nil vers des régimes*socio=et de change*socio=ec1 plus libéraux*socio=et, au prix*socio=ec1, il *socio=rien est vrai,*socio=nil de*socio=nil distorsions*socio=uv3.*socio=nil Ces*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil sont donc favorables*socio=uv4 à la poursuite*socio=rien de la politique*socio=et actuelle*socio=te qui exige d'obtenir*socio=rien une approbation*socio=uv1 des pratiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 multiples*socio=rien et d'unifier ces taux*socio=ec1 au terme*socio=rien d'une période*socio=te précise*socio=rien et raisonnablement brève*socio=rien. Consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. France*socio=ac. Le Conseil*socio=ac a procédé*socio=rien en septembre*socio=rien 1994 aux consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec la France*socio=ac, où la croissance*socio=uv3 a repris après*socio=rien la plus forte*socio=rien récession*socio=ec2 économique*socio=ec1 depuis la deuxième*socio=rien guerre*socio=et mondiale*socio=te (tableau*socio=rien 6). La récession*socio=ec2 s'est*socio=rien notamment caractérisée par une atonie*socio=ec2 marquée de la consommation*socio=ec1, dont le taux_de_croissance*socio=ec1 a diminué pendant quatre *socio=rien années successives.*socio=nil *socio=nil En 1993, la confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac était à son point*socio=rien le plus bas*socio=rien depuis le début*socio=rien des enquêtes auprès des ménages*socio=ac, les investissements*socio=ec1 avaient chute à peu près autant qu'après*socio=rien les chocs*socio=ec2 pétroliers*socio=ec1 *socio=rien du milieu des*socio=nil années *socio=nil 70 et *socio=rien du début des*socio=nil années *socio=nil 80. Bien*socio=rien que la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 soit redevenue positive*socio=uv4 dès le deuxième*socio=rien trimestre*socio=te, le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien a diminue de 1,5 % en 1993, et la reprise ne s'est*socio=rien confirmée qu'au début*socio=rien de 1994. Entre 1990 et le milieu*socio=rien de 1994, le chômage*socio=ec1 n'a cessé d'augmenter pour atteindre, en fin*socio=rien de période*socio=te, un*socio=rien taux*socio=ec1 de 12,5 % sans précédent*socio=rien depuis la fin*socio=rien de la deuxième*socio=rien guerre*socio=et mondiale*socio=te, avant de commencer à diminuer. La forte*socio=rien contraction*socio=ec2 de l'emploi*socio=ec1 enregistrée en 1993 a touché essentiellement le secteur_privé*socio=et non agricole*socio=ec1, et en particulier*socio=rien l'industrie*socio=ec1 manufacturière*socio=ec1. Cette année-là, l'évolution*socio=te du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 a présenté une singularité, à savoir*socio=rien l'augmentation*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1 partiel*socio=rien due à un*socio=rien programme*socio=et de mises en chômage*socio=ec1 technique*socio=rien, appuyé par un*socio=rien relèvement*socio=ec2 des indemnités*socio=ec1 que l'État*socio=ac verse aux personnes*socio=ac concernées. Les *socio=rien seules créations d'*socio=nil emplois*socio=ec1 *socio=nil en 1993 ont eu lieu*socio=rien dans le secteur_public*socio=et (non marchand*socio=ec1), grâce*socio=rien en partie*socio=rien à l'intensification*socio=ec2 des programmes*socio=et de recrutement. L'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée faible*socio=rien en 1993; le déflateur du*socio=rien PIB*socio=ec1 a légèrement augmenté par rapport*socio=rien à 1992 (2,5 %) et la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 s'est*socio=rien encore ralentie. À cause*socio=rien de la récession*socio=ec2, et dans une *socio=rien certaine mesure *socio=nil aussi de la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des *socio=rien produits intermédiaires *socio=nil importés, les prix*socio=ec1 de gros*socio=rien n'ont que modérément augmenté. En janvier*socio=rien 1994, la Banque*socio=ac de France*socio=ac s'est*socio=rien vu accorder une pleine*socio=rien indépendance*socio=uv1 dans la formulation*socio=rien et la conduite*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et, l'une de ses missions fondamentales*socio=uv4 est*socio=rien d'assurer la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 "dans le cadre*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 *socio=rien générale du gouvernement*socio=ac"*socio=nil .*socio=nil *socio=nil Dans son rapport*socio=rien annuel*socio=te de 1993, elle a déclaré qu'elle entend, pour s'acquitter de sa mission*socio=et, maintenir la stabilité*socio=uv3 du*socio=rien franc*socio=ec1 français*socio=rien dans le *socio=rien cadre du mécanisme*socio=et de*socio=nil change*socio=ec1 européen*socio=ac *socio=nil et contenir la masse_monétaire*socio=ec1 dans des *socio=rien limites compatibles *socio=nil avec une croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2. La récession*socio=ec2 a eu des conséquences*socio=rien préjudiciables*socio=et aux finances*socio=ec1 publiques*socio=et, portant le déficit*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac, qui comptait, au début*socio=rien des années*socio=rien 90, parmi les plus bas*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, à *socio=rien un niveau bien supérieur *socio=nil à la moyenne*socio=rien. La baisse*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 a amenuisé les recettes*socio=ec1 fiscales*socio=et, alourdi les dépenses*socio=ec1 au titre*socio=rien des prestations*socio=et de sécurité_sociale*socio=et et creusé le déficit*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac, qui *socio=rien est passé *socio=nil de 1,6 % à 6,1 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 entre 1990 et 1993. Au cours*socio=rien de leur discussion*socio=et, les administrateurs*socio=ac ont reconnu que le déficit*socio=ec1 relativement élevé*socio=uv4 des administrations_publiques*socio=ac est*socio=rien imputable*socio=uv2 dans une *socio=rien certaine mesure *socio=nil à une conjoncture*socio=ec2 défavorable*socio=uv4. Mais s'ils ont admis que la reprise économique*socio=ec1 doit permettre, à plus longue*socio=rien échéance*socio=te, de ramener le déficit*socio=ec1 effectif*socio=rien actuel*socio=te à son niveau*socio=rien structurel*socio=ec2, qui se situe autour de 4 % du*socio=rien PIB*socio=ec1, ils ont par ailleurs*socio=rien observé que ce *socio=rien pourcentage est *socio=nil de toute façon*socio=rien trop élevé*socio=uv4. Ils ont salué le programme*socio=et de convergence*socio=uv3 de la France*socio=ac, qui vise à ramener, à *socio=rien moyen terme,*socio=nil le*socio=nil déficit*socio=ec1 des*socio=nil administrations_publiques*socio=ac *socio=nil à 2 % du*socio=rien PIB*socio=ec1. Ils se sont néanmoins interrogés sur*socio=rien les chances*socio=rien de réaliser ces objectifs*socio=uv3, surtout si des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 à long_terme*socio=te trop élevés*socio=uv4 grippent les rouages*socio=rien de la production*socio=ec1 et alourdissent le coût*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1. Plus fondamentalement*socio=rien, les administrateurs*socio=ac se sont demandé si la réforme*socio=et de la sécurité_sociale*socio=et assainira suffisamment le système*socio=rien pour permettre de contenir les dépenses*socio=ec1 dans les limites*socio=rien prévues. Examinant les *socio=rien causes du chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4 *socio=nil qui sévit en France*socio=ac, les administrateurs*socio=ac ont évoqué les *socio=rien effets pernicieux *socio=nil qu'ont les lourdes charges*socio=rien sociales*socio=et et le *socio=rien niveau du salaire*socio=ec1 minimum,*socio=nil deux*socio=nil facteurs portant*socio=nil préjudice*socio=et au*socio=nil premier_chef aux*socio=nil travailleurs*socio=ac *socio=nil les moins qualifiés*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac ont appuyé la volonté*socio=uv1 exprimée par les autorités*socio=et de remplacer le prélèvement*socio=ec1 des charges*socio=rien sociales*socio=et sur*socio=rien les revenus*socio=ec1 *socio=rien du travail *socio=nil par l'élargissement*socio=ec2 de l'assiette*socio=rien de l'impôt*socio=et, mais ils ont aussi signalé que la part*socio=rien patronale*socio=ac des cotisations*socio=ec1 restera plus élevée*socio=uv4 que dans la plupart*socio=rien des autres pays_industrialisés*socio=ac. Ils ont exhorté les autorités*socio=et à rechercher les moyens*socio=ec1 d'abaisser le coût*socio=ec1 de la main-d'_oeuvre*socio=ac peu qualifiée*socio=uv4, d'accroître l'efficacité*socio=uv3 et la transparence*socio=uv3 des programmes*socio=et de formation*socio=et et d'étudier une formule*socio=rien qui permette de canaliser vers les employeurs*socio=ac une partie*socio=rien des prestations*socio=et de chômage*socio=ec1, sous forme*socio=rien de subventions*socio=ec1 à l'emploi*socio=ec1. Si plusieurs administrateurs*socio=ac ont estimé qu'il convient de moduler davantage la politique_monétaire*socio=et en fonction*socio=rien des indicateurs*socio=ec1 intérieurs*socio=te, nombreux*socio=rien sont ceux qui ont salué la prudence*socio=uv1 avec laquelle les autorités*socio=et procèdent à l'assouplissement*socio=uv3 des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil et rappelé qu'ils partagent leur conviction*socio=uv1 que la stabilité*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 est*socio=rien essentielle*socio=uv4 au maintien*socio=rien de la crédibilité*socio=uv1 de la politique_monétaire*socio=et. Au cours*socio=rien de la discussion*socio=et, l'argument a aussi été*socio=rien avancé que la stabilité*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien est nécessaire *socio=nil à la réalisation*socio=uv1, à long_terme*socio=te, de l'union_monétaire*socio=et. Canada*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac se sont réunis pour examiner le rapport*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac relatif*socio=rien aux consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec le Canada*socio=ac en mai*socio=rien 1995. Pendant l'année*socio=rien précédant cette discussion*socio=et, l'expansion*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac s'est*socio=rien accélérée et son assise s'est*socio=rien élargie. L'accroissement*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 a dépassé celui des importations*socio=ec1 (tableau*socio=rien 9), et les bénéfices*socio=ec1 ont fortement augmenté, alimentant l'essor*socio=rien de l'investissement*socio=ec1 fixe hors logements*socio=ec1. L'accélération*socio=ec2 de la création_d'_emplois*socio=ec1, jointe à la confiance*socio=uv1 qu'elle a fait*socio=rien renaître chez les consommateurs*socio=ac, a par ailleurs*socio=rien encouragé la consommation_privée*socio=et, malgré la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et la faible*socio=rien progression*socio=ec2 du*socio=rien revenu*socio=ec1 des particuliers*socio=rien. Le relèvement*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 a tempéré le rythme*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 des investissements*socio=ec1 sous forme*socio=rien de logements*socio=ec1, tandis que la discipline*socio=uv1 budgétaire*socio=et imposée à tous les niveaux*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac freinait la demande*socio=ec1. La forte*socio=rien accélération*socio=ec2 de la création_d'_emplois*socio=ec1 a fait*socio=rien baisser le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1, qui *socio=rien est passé *socio=nil de 11,2 % à la fin*socio=rien de 1993 à 9,7 % en mars*socio=rien 1995. Il convient de noter que l'essor*socio=rien de l'emploi*socio=ec1 en 1994 *socio=rien est attribuable en*socio=nil grande partie *socio=nil à l'embauche*socio=ec1 de travailleurs*socio=ac à plein_temps*socio=ec1, alors que la progression*socio=ec2 enregistrée au cours*socio=rien des deux *socio=rien années précédentes *socio=nil était due pour l'essentiel*socio=uv4 au développement*socio=uv3 *socio=rien du travail à*socio=nil temps_partiel*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Malgré la forte*socio=rien dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1 et la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien industriels*socio=ec1, l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée faible*socio=rien en 1994, *socio=rien du fait *socio=nil principalement des capacités*socio=uv3 inutilisées*socio=rien qui subsistaient dans l'économie*socio=ec1. Au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1994, le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te Courant*socio=rien, qui avait représenté 4,3 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1993, puis 3,9 % au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1994, a fortement diminué, pour tomber à 2,7 % du*socio=rien PIB*socio=ec1. Les exportations*socio=ec1 en volume*socio=rien, stimulées par la forte*socio=rien dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1 depuis 1991, l'abaissement*socio=rien des coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac et la reprise conjoncturelle*socio=te aux États-unis*socio=ac, ont enregistré une vive progression*socio=ec2 en 1993 et 1994. La croissance*socio=uv3 en volume*socio=rien des importations*socio=ec1, qui s'est*socio=rien elle aussi accélérée pendant cette période*socio=te, est*socio=rien due quant à elle à la *socio=rien forte teneur en*socio=nil importations*socio=ec1 des*socio=nil produits d'*socio=nil exportation*socio=ec1 *socio=nil (notamment les automobiles*socio=ec1) et des biens*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1. Le projet*socio=et de budget*socio=ec1 pour l'exercice*socio=rien 1995 / 96, présenté au parlement*socio=ac en février*socio=rien 1995, comporte des mesures*socio=et destinées*socio=rien à permettre la réalisation*socio=uv1 de l'objectif*socio=uv3 intermédiaire*socio=rien de réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 annonce dans la loi*socio=et de finances*socio=ec1 de l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien pour 1996/97. Ces mesures*socio=et visent notamment à ramener le déficit*socio=ec1 à 32,7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac (soit 4,2 % du*socio=rien PIB*socio=ec1) en 1995 / 96, puis à 24,3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac (soit 3 % du*socio=rien PIB*socio=ec1) en 1996-97. Les compressions*socio=et de dépenses*socio=ec1 constituent le gros*socio=rien des initiatives*socio=rien proposées dans le *socio=rien cadre du budget*socio=ec1 *socio=nil et portent au *socio=rien premier_chef sur les*socio=nil subventions*socio=ec1 aux*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil et à l'agriculture*socio=ec1. Lors*socio=rien de leur examen*socio=ec2, les administrateurs*socio=ac ont jugé satisfaisants*socio=uv4 à bien*socio=rien des égards*socio=rien les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 obtenus par le Canada*socio=ac depuis les dernières*socio=rien consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV : la croissance*socio=uv3 *socio=rien est robuste,*socio=nil le*socio=nil taux*socio=ec1 de*socio=nil chômage*socio=ec1 *socio=nil a nettement diminué, l'inflation*socio=ec1 *socio=rien reste faible *socio=nil et le solde*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien a enregistré une amélioration*socio=uv1 sensible*socio=rien. Ils ont toutefois signale qu'en dépit*socio=rien des efforts*socio=uv1 déployés par les autorités*socio=et pour assainir les finances*socio=ec1 publiques*socio=et, celles-ci se trouvent encore dans une passe difficile*socio=rien. Il importe par ailleurs*socio=rien, ont-ils estimé, de conserver la maîtrise*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 en veillant dès à présent*socio=rien à ce que la demande_globale*socio=ec1 ne dépasse pas les limites*socio=rien de la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac ont constaté que la volonté*socio=uv1 d'assainir les finances*socio=ec1 publiques*socio=et apparaît clairement dans les *socio=et mesures budgétaires *socio=nil annoncées par les autorités*socio=et en février*socio=rien 1995. Puisque le Canada*socio=ac est*socio=rien entré dans la phase*socio=te de reprise conjoncturelle*socio=te, ont-ils toutefois signalé, il convient d'intensifier l'effort*socio=uv1 d'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et d'en avancer le calendrier*socio=te. Ils ont notamment fait*socio=rien observer que les mesures*socio=et qui figurent au budget*socio=ec1 de 1995 n'abaisseront pas sensiblement le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 fédérale*socio=et et des paiements_d'_intérêts*socio=ec1, qui rend les finances*socio=ec1 publiques*socio=et vulnérables*socio=uv2 tant à une hausse*socio=rien imprévue des taux_d'_intérêt*socio=ec1 qu'à un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1. La persistance*socio=te d'un*socio=rien déséquilibre*socio=uv3 encore considérable*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et risque*socio=uv3 par ailleurs*socio=rien de porter préjudice*socio=et au crédit*socio=ec1 dont jouit la politique_économique*socio=ec1 du*socio=rien gouvernement*socio=ac et d'engendrer de brusques hausses des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et de nouvelles*socio=rien pressions*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien le dollar_canadien*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont préconisé l'application*socio=rien de mesures*socio=et d'ajustement*socio=et complémentaires*socio=rien, propres*socio=rien à garantir une diminution*socio=ec2 *socio=rien progressive du *socio=ec1 ratio dette /*socio=nil PIB *socio=nil et à équilibrer plus tôt que prévu les finances*socio=ec1 publiques*socio=et, ce qui est*socio=rien l'objectif*socio=uv3 ultime*socio=rien des autorités*socio=et. Ces mesures*socio=et renforceraient la confiance*socio=uv1 des marchés*socio=ec1, conféreraient une plus grande*socio=rien crédibilité*socio=uv1 à l'engagement*socio=uv1 qu'ont pris les autorités*socio=et de préserver la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et encourageraient l'épargne*socio=ec1 nationale*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien l'éloge*socio=rien des efforts*socio=uv1 énergiques*socio=ec1 et efficaces*socio=uv4 que les autorités*socio=et canadiennes*socio=ac ont déployés pour ramener l'inflation*socio=ec1 à un*socio=rien taux*socio=ec1 extrêmement bas*socio=rien. Cependant, ont-ils remarqué, les capacités*socio=uv3 inutilisées*socio=rien se résorbent rapidement tandis que la déprédation du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1 et la hausse*socio=rien des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien risquent d'exercer une pression*socio=ec2 à la *socio=rien hausse sur les*socio=nil prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te.*socio=nil En*socio=nil conséquence,*socio=nil la*socio=nil volonté*socio=uv1 des*socio=nil autorités*socio=et *socio=nil de préserver la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et leur crédibilité*socio=uv1 à cet égard*socio=rien seront mises à l'épreuve*socio=rien dès les *socio=rien prochains mois *socio=nil et les autorités*socio=et doivent donc rester sur*socio=rien leurs gardes pour faire échec*socio=uv1 à toute résurgence*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont donc noté que la forte*socio=rien dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1 au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil conjuguée aux*socio=nil effets bénéfiques*socio=uv1 *socio=nil de la réforme*socio=et structurelle*socio=ec2 et d'une faible*socio=rien inflation*socio=ec1, a accru la compétitivité*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 et contribué au redressement*socio=ec2 de la balance_courante*socio=ec1. Faisant observer que la dépréciation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 peut *socio=rien être source de*socio=nil *socio=ec2 tensions inflationnistes,*socio=nil certains*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont en outre recommandé aux autorités*socio=et d'envisager un*socio=rien durcissement*socio=ec2 de la politique_monétaire*socio=et propre*socio=rien à enrayer toute nouvelle*socio=rien dépréciation*socio=ec2 de la devise*socio=ec1 canadienne*socio=ac, en particulier*socio=rien si elles renonçaient à consentir des efforts*socio=uv1 supplémentaires*socio=rien dans le domaine*socio=rien de l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont salué la ratification*socio=et de l'Accord*socio=et de l' uruguay_ Round*socio=et par le Canada*socio=ac, signalant à cette occasion*socio=rien que sa mise en oeuvre*socio=rien permettra de mettre *socio=rien un terme aux*socio=nil distorsions*socio=uv3 *socio=nil qui affectent depuis longtemps le commerce*socio=ec1 et l'agriculture*socio=ec1. Ils ont néanmoins exprimé leurs craintes*socio=uv1 que des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac prohibitifs soient adoptés en remplacement*socio=rien des contingents*socio=ec2 à l'importation*socio=ec1 de produits*socio=rien agricoles*socio=ec1. Tout en faisant l'éloge*socio=rien de l'effort*socio=uv1 consenti jusqu'à présent*socio=rien par le Canada*socio=ac en matière*socio=rien d'aide*socio=uv1 au développement*socio=uv3, ils ont exprimé leur préoccupation*socio=uv4 face*socio=rien à la réduction*socio=ec2 de cette aide*socio=uv1 annoncée dans le budget*socio=ec1 1995/96. pays_en_développement*socio=uv3. Argentine*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac se sont réunis en juillet*socio=rien 1994 pour discuter des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec l'Argentine*socio=ac et de la revue de l'accord*socio=et élargi approuvé par le FMI*socio=ac (voir la partie*socio=rien consacrée à l'appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac aux *socio=ac États membres)*socio=nil .*socio=nil La*socio=nil forte*socio=rien *socio=nil reprise de l'économie*socio=ec1 argentine*socio=ac - rendue possible*socio=rien par le très large*socio=rien effort*socio=uv1 de stabilisation*socio=et, les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, la libéralisation*socio=et financière*socio=ec1, la réduction*socio=ec2 de l'encours et du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 et les privatisations*socio=et de ces *socio=rien dernières années *socio=nil - s'est*socio=rien confirmée eu 1993, même si son rythme*socio=ec2 a été*socio=rien plus modéré. La croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a progressivement*socio=rien ralenti au cours*socio=rien des trois premiers*socio=rien trimestres*socio=te en 1993, mais le dernier*socio=rien trimestre*socio=te de 1993 et les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1994 ont vu *socio=rien un nouveau gonflement*socio=ec2 des*socio=nil dépenses*socio=ec1 intérieures*socio=te suite au*socio=nil redémarrage*socio=ec2 *socio=nil de l'investissement*socio=ec1, qui a progressé d'un*socio=rien tiers*socio=rien en ternies réels*socio=ec2 entre janvier*socio=rien et mars*socio=rien 1994. Si la demande*socio=ec1 des consommateurs*socio=ac est*socio=rien restée forte*socio=rien, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 est*socio=rien demeurée très faible*socio=rien, s'établissant à 3,4 % pour l'exercice*socio=rien clos en mai*socio=rien 1994 (tableau*socio=rien 15). Les importations*socio=ec1, tirées par les biens*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1, se sont accrues de 23 % pendant le dernier*socio=rien trimestre*socio=te de 1993 et de 46 % pour les quatre *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1994 (par rapport*socio=rien aux périodes*socio=te correspondantes*socio=rien en 1993). Quant aux exportations*socio=ec1 effectuées entre janvier*socio=rien et avril*socio=rien 1994, elles n'ont dépassé que de 4 % leur niveau*socio=rien de 1993 pour la même période*socio=te; les exportations*socio=ec1 ont fléchi dans le secteur*socio=rien agricole*socio=ec1, mais augmenté de plus de 30 % dans le secteur*socio=rien des produits*socio=rien manufacturés. Conséquence*socio=rien, le *socio=ec1 déficit commercial s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil creusé pour atteindre 2,4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 sur*socio=rien les quatre *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1994, contre 0,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour la même période*socio=te en 1993. Les entrées de capitaux*socio=ec1 ont été*socio=rien assez importantes*socio=uv4 en 1993 pour compenser le déficit*socio=ec1 des transactions*socio=ec1 *socio=te extérieures courantes,*socio=nil *socio=nil qui s'est*socio=rien creusé lui aussi pour atteindre 8,8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1993 (entraînant une hausse*socio=rien de plus de 4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 des réserves_internationales*socio=ec1 brutes*socio=rien, qui se chiffraient à 15 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien). L'afflux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 a quelque peu faibli en mars*socio=rien et avril*socio=rien 1994 suite*socio=rien au relèvement*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 internationaux*socio=te, avant de reprendre de la vigueur*socio=uv3. Les projections*socio=ec2 tablaient, pour 1994, sur*socio=rien une croissance*socio=uv3 d'environ 6 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 réel*socio=rien tirée principalement par l'investissement*socio=ec1, qui était censé atteindre 20 1/2 % du*socio=rien PIB*socio=ec1. L'épargne*socio=ec1 nationale*socio=te devait progresser de 1 1/2 *socio=rien point du PIB*socio=ec1 *socio=nil en 1994, mais le déficit*socio=ec1 des transactions*socio=ec1 *socio=te extérieures courantes *socio=nil se creuser pour atteindre 3,8 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 (contre 3,5 % dit PIB*socio=ec1 en 1993), le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 restant pour sa *socio=rien part bien *socio=nil en deçà de 10 %. La croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil a ralenti au cours*socio=rien des quatre *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1994, la monnaie*socio=ec1 au *socio=rien sens large *socio=nil ayant augmenté à un*socio=rien taux*socio=ec1 annuel*socio=te d'environ 18 % pendant cette période*socio=te, contre 56 % pendant la période*socio=te correspondante*socio=rien de 1993. Il s'en est*socio=rien fallu de peu que les objectifs*socio=uv3 relatifs*socio=rien aux dépenses*socio=ec1 budgétaires*socio=et et au solde*socio=ec1 global*socio=te du*socio=rien secteur_public*socio=et ne soient atteints au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1994 ; les rentrées fiscales*socio=et plus fortes*socio=rien que prévu ont été*socio=rien contrebalancées par un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 discrétionnaires*socio=et dû aux nouvelles*socio=rien procédures*socio=et applicables*socio=rien aux *socio=et engagements budgétaires.*socio=nil Lors*socio=rien *socio=nil de leur examen*socio=ec2, les administrateurs*socio=ac ont salué les progrès*socio=uv1 réalisés ces trois *socio=rien dernières années *socio=nil en ce qui concerne l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, la réduction*socio=ec2 du*socio=rien crédit*socio=ec1 de la banque_centrale*socio=ac, la mise eu oeuvre*socio=rien de vastes*socio=rien réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 et le rétablissement*socio=rien des relations*socio=rien avec les créanciers*socio=ac intérieurs*socio=te et extérieurs*socio=te. Ces efforts*socio=uv1 ont entraîné un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1, un*socio=rien afflux*socio=ec1 massif*socio=rien de capitaux*socio=ec1 et une reprise très nette*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et de l' activité_économique*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont conclu que les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 à *socio=rien moyen terme restent*socio=nil favorables*socio=uv4.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont examiné très attentivement la situation*socio=rien macro-économique*socio=ec1 globale*socio=rien et le bien-fondé*socio=uv3 de la politique*socio=et suivie en la matière*socio=rien. Tout en notant que les autorités*socio=et ont réussi à ramener l'inflation*socio=ec1 en deçà de 10 %, soit à *socio=rien un niveau voisin *socio=nil de celui des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, ils ont souligné la nécessité*socio=uv1 de maintenir la discipline*socio=uv1 monétaire*socio=ec1 et de poursuivre l'effort*socio=uv1 de stabilisation*socio=et des prix*socio=ec1. Ils ont convenu également que l'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 intérieurs*socio=te doivent être*socio=rien renforcés pour améliorer encore les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 et la viabilité*socio=uv3 de la position*socio=rien extérieure*socio=te. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont estimé, comme les autorités*socio=et, que l'aggravation*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien tient au fait*socio=rien que les capitaux*socio=ec1 étrangers*socio=te ont réagi positivement aux débouchés*socio=ec1 créés par la stabilisation*socio=et et l'ajustement*socio=et ainsi qu'à la restructuration*socio=et du*socio=rien secteur_privé*socio=et. L'essor*socio=rien rapide*socio=rien des importations*socio=ec1 s'expliquerait donc par le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 de la demande*socio=ec1 de biens*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1. Il convient toutefois de suivre de près l'évolution*socio=te de la compétitivité*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 argentine*socio=ac, et ces administrateurs*socio=ac sont convenus avec les autorités*socio=et que le rééquilibrage*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et est*socio=rien le cap*socio=rien à suivre. Cependant, d'autres administrateurs*socio=ac se sont dits préoccupés par la vulnérabilité*socio=uv1 persistante*socio=rien de l'économie*socio=ec1, et ont conseillé aux autorités*socio=et de se tenir prêtes*socio=rien à renforcer la position*socio=rien budgétaire*socio=et pour que l'économie*socio=ec1 puisse soutenir l'ajustement*socio=et tant intérieur*socio=te qu'extérieur*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont souligné combien les mesures*socio=et structurelles*socio=ec2 sont importantes*socio=uv4 pour donner plus de souplesse*socio=uv3 à l'économie*socio=ec1, réduire les coûts*socio=ec1 de production*socio=ec1 intérieurs*socio=te et accroître la compétitivité*socio=uv3. Les mesures*socio=et prises*socio=rien dans ce domaine*socio=rien ont visé notamment à réformer la législation*socio=et *socio=rien du travail *socio=nil afin de favoriser la mobilité*socio=uv3 de la main-d'_oeuvre*socio=ac et de promouvoir des conditions*socio=ec1 d'emploi*socio=ec1 plus souples*socio=uv4, la législation*socio=et sur*socio=rien les faillites*socio=ec1 et le système*socio=rien d'assurance*socio=ec1 maladie*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont encouragé les autorités*socio=et à persévérer dans l'effort*socio=uv1 engagé pour inciter les provinces*socio=ac à mener à bien*socio=rien la déréglementation*socio=et, les privatisations*socio=et et la *socio=et réforme fiscale et*socio=nil administrative*socio=rien,*socio=nil *socio=nil tout en continuant à limiter*socio=rien leurs emprunts*socio=ec1 intérieurs*socio=te et extérieurs*socio=te. Ils ont reconnu que l'exécution*socio=rien des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 a été*socio=rien compliquée par des facteurs*socio=rien intérieurs*socio=te d'ordre*socio=rien politique*socio=et et social*socio=et, mais ils ont souligné qu'il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 de s'attaquer aux problèmes*socio=uv4 structurels*socio=ec2 si l'on veut que le pays*socio=ac poursuive sa progression*socio=ec2 vers une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4. À cet égard*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont aussi insisté sur*socio=rien les avantages*socio=rien que l'Argentine*socio=ac pourrait tirer d'une libéralisation*socio=et accrue de ses échanges*socio=ec1 extérieurs*socio=te. S'agissant des politiques*socio=et sectorielles*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont pris note de la décision*socio=et des autorités*socio=et de ne pas abaisser, pour le moment*socio=rien, le coefficient*socio=ec1 de réserves*socio=ec1 applicable*socio=rien aux banques*socio=ac. Ils ont exhorté les autorités*socio=et à poursuivre l'application*socio=rien des mesures*socio=et visant à protéger la solvabilité*socio=ec1 du*socio=rien système_financier*socio=ec1, y compris le respect*socio=uv1 des normes*socio=et de fonds*socio=ec1 propres*socio=rien ajustés en fonction*socio=rien des risques*socio=uv3, et à renforcer la réglementation*socio=et prudentielle*socio=uv2 et le contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1. Communiqués de presse*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac et du*socio=rien comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3. comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Communiqués de presse*socio=et. Quarante-troisième réunion*socio=rien, Madrid, 2 octobre*socio=rien 1994. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac dit conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa quarante-troisième réunion*socio=rien à Madrid (Espagne*socio=ac) le 2 octobre*socio=rien 1994, sous la présidence*socio=rien de M.. Philippe Maystadt, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 de la Belgique*socio=ac. 2 - Réuni à *socio=rien un moment *socio=nil où l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te est*socio=rien encourageante*socio=uv2, le Comité*socio=ac a centré ses *socio=rien travaux sur les*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil à prendre pour soutenir une expansion*socio=ec2 non inflationniste*socio=ec2, réduire le chômage*socio=ec1 et améliorer le niveau_de_vie*socio=uv1 dans le monde*socio=te entier*socio=rien. Il rappelle la contribution*socio=uv1 que la coopération_internationale*socio=uv3 a apportée ait progrès*socio=uv1 économique*socio=ec1 du*socio=rien monde*socio=te durant les 50 ans*socio=rien qui se sont écoulés depuis l'accord*socio=et de bretton_woods*socio=et et réaffirme l'importance*socio=rien croissante*socio=rien de cette coopération*socio=uv1 dans une économie*socio=ec1 mondiale*socio=te fortement intégrée. Dans cet esprit*socio=rien, le Comité*socio=ac adopte la déclaration*socio=et ci-jointe sur*socio=rien la coopération*socio=uv1 eu vue*socio=rien de renforcer l'expansion*socio=ec2 mondiale*socio=te. 3 - Afin de compléter et d'appuyer cette stratégie*socio=et pour une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4, le comité_intérimaire*socio=ac a examiné plusieurs mesures*socio=et pour renforcer l'assistance*socio=uv1 financière*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac à ses pays_membres*socio=ac. Pour ce qui est*socio=rien de l'accès*socio=uv1 aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac, le Comité*socio=ac a examiné une proposition*socio=rien visant à porter à *socio=rien titre temporaire la*socio=nil limite d'*socio=nil accès*socio=uv1 annuel*socio=te *socio=nil de 68 % à au moins 85 % de la quote-part*socio=ec1. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac recommandent que le conseil_d'_administration*socio=ac étudie à son tour*socio=rien cette proposition*socio=rien en vue*socio=rien de l'adopter au plus tôt. Le Comité*socio=ac a eu *socio=rien un large échange_de_vues*socio=uv3 au*socio=nil sujet *socio=nil de la proposition*socio=rien visant à proroger la facilité polir la *socio=ec2 transformation systémique *socio=nil en relevant les limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 à ce titre*socio=rien. Le Comité*socio=ac a aussi eu *socio=rien un large échange_de_vues*socio=uv3 au*socio=nil sujet des*socio=nil propositions *socio=nil concernant l'allocation*socio=et de DTS. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac demandent au président*socio=ac de procéder a de nouvelles*socio=rien consultations*socio=uv1 et de convoquer une *socio=rien réunion du Comité*socio=ac *socio=nil lorsqu'il jugera que les perspectives*socio=te d'une solution*socio=rien à ces questions*socio=rien sont favorables*socio=uv4. 4 - Le Comité*socio=ac demandé ait conseil_d'_administration*socio=ac d'accélérer son examen*socio=ec2 des *socio=rien questions relatives *socio=nil à la répartition*socio=uv3 des coûts*socio=ec1 *socio=rien du fonctionnement du FMI*socio=ac *socio=nil entre les pays_membres*socio=ac afin d'instituer un*socio=rien mécanisme*socio=et plus efficace*socio=uv4 et plus équitable*socio=uv2. 5 - Le Comité*socio=ac apprécie les besoins*socio=uv1 et les problèmes*socio=uv4 particuliers*socio=rien des pays*socio=ac qui sortent d'une période*socio=te de bouleversement économique*socio=ec1 et politique*socio=et, ainsi que des pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 et les plus endettés, et il demandé au conseil_d'_administration*socio=ac d'examiner les propositions*socio=rien formulées dans ces domaines*socio=rien. 6 - Le Comité*socio=ac attache une *socio=rien grande importance aux*socio=nil efforts*socio=uv1 en*socio=nil cours *socio=nil pour rehausser le rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te et son aptitude*socio=rien à servir ses pays_membres*socio=ac. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre ses *socio=rien travaux sur le*socio=nil renforcement*socio=ec2 *socio=nil de la surveillance*socio=et, qui est*socio=rien l'élément*socio=rien central*socio=rien de la contribution*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac à l'amélioration*socio=uv1 des politiques_économiques*socio=et et à une coopération*socio=uv1 plus efficace*socio=uv4, et de poursuivre ses *socio=rien travaux sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 de*socio=nil capitaux*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Avec cet objectif*socio=uv3 à l'esprit*socio=rien, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 que lui soit soumis à sa *socio=rien réunion du printemps un rapport sur les*socio=nil aspects *socio=nil méthodologiques de la *socio=et surveillance multilatérale.*socio=nil Les*socio=nil membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac *socio=nil affirment leur intention*socio=rien de renforcer le rôle*socio=et que le Comité*socio=ac jolie*socio=rien dans le processus*socio=te de coopération*socio=uv1 et de coordination*socio=uv3 en matière*socio=rien de politique_économique*socio=ec1, en ayant particulièrement à l'esprit*socio=rien la stratégie*socio=et à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Déclaration*socio=et du comité_intérimaire*socio=ac sur la*socio=nil coopération*socio=uv1 en*socio=nil vue *socio=nil de renforcer l'expansion*socio=ec2 mondiale*socio=te. 1 - Les perspectives*socio=te immédiates*socio=rien de croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te sont meilleures*socio=uv4 qu'elles ne l'ont jamais été*socio=rien en dix ans*socio=rien. Mais il subsiste de graves*socio=uv4 défis*socio=uv2 à relever. Pour les pays_industrialisés*socio=ac, les plus importants*socio=uv4 consistent à soutenir la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1, à réduire le chômage*socio=ec1 et à éviter une résurgence*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1. La croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3 (et en particulier*socio=rien des pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2) doit être*socio=rien maintenue et renforcée. Les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 doivent être*socio=rien intégrés à l'économie*socio=ec1 internationale*socio=ac et placés fermement *socio=rien sur un sentier de*socio=nil croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil 2 - L'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 des accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 de l'uruguay_round*socio=et, qui est*socio=rien prévue pour le 1er janvier*socio=rien 1995, améliorera les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te en intensifiant l'intégration*socio=uv1 économique*socio=ec1 de toits*socio=rien les pays*socio=ac. Le Comité*socio=ac recommande instamment que les accords*socio=et soient ratifiés sans tarder et appelle à l'action*socio=ec1 en vue*socio=rien de maintenir l'élan*socio=rien de la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 international*socio=te, ainsi qu'à une coopération*socio=uv1 étroite*socio=rien entre le FMI*socio=ac et l'OMC*socio=ac qu'il est*socio=rien prévu d'établir. Le Comité*socio=ac note aussi avec satisfaction*socio=uv3 la tendance*socio=ec2 croissante*socio=rien a la convertibilité*socio=ec1 des monnaies*socio=ec1 aux fins*socio=rien des transactions_courantes*socio=te et encourage les pays_membres*socio=ac à lever les obstacles*socio=uv3 à la libre*socio=uv2 circulation*socio=ec2 des capitaux*socio=ec1. 3 - Les *socio=rien bons résultats *socio=nil obtenus récemment par de nombreuses*socio=rien économies*socio=ec1 en développement*socio=uv3 témoignent*socio=rien à nouveau*socio=rien de la validité*socio=rien d'une stratégie*socio=et fondée sur*socio=rien la mise en oeuvre*socio=rien résolue d'énergiques*socio=ec1 programmes*socio=et d'ajustement*socio=et macro-économique*socio=ec1 et de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. Le Comité*socio=ac exhorte les autres pays*socio=ac à adopter une stratégie*socio=et non moins énergique*socio=ec1 en vue*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 soutenue et de la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 interne*socio=te et externe*socio=ec1. Ces efforts*socio=uv1 des pays_en_développement*socio=uv3 doivent être*socio=rien assistés par un*socio=rien environnement*socio=et international*socio=te caractérisé par un*socio=rien meilleur*socio=uv4 accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac et par un*socio=rien soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1 accordé en temps*socio=rien voulu, à des conditions*socio=ec1 appropriées, y compris une approche flexible*socio=uv4 de la réduction*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 *socio=et publique bilatérale *socio=nil pour les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, dans le contexte*socio=rien de politiques_économiques*socio=et vigoureuses*socio=rien. 4 - L'impressionnant*socio=rien redressement*socio=ec2 opéré dans plusieurs économies_en_transition*socio=ec1 témoigne*socio=rien aussi des avantages*socio=rien de la discipline*socio=uv1 macro-économique*socio=ec1 et des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. Le Comité*socio=ac exhorte toutes les autres économies_en_transition*socio=ec1 à être*socio=rien plus énergiques*socio=ec1 dans leur approche de la stabilisation*socio=et et des réformes*socio=et. L'expérience*socio=ec2 montre l'importance*socio=rien cruciale*socio=uv4 de *socio=et réformes budgétaires *socio=nil et d'une ferme*socio=ec2 discipline*socio=uv1 monétaire*socio=ec1 dès les premiers*socio=rien stades*socio=te du*socio=rien processus*socio=te de transformation*socio=ec2 pour assurer la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1. Elles doivent être*socio=rien accompagnées par le renforcement*socio=ec2 des institutions*socio=ac, la libéralisation*socio=et des prix*socio=ec1 et *socio=rien du secteur extérieur*socio=te,*socio=nil la*socio=nil restructuration*socio=et des*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil et leur privatisation*socio=et, ainsi que par une réforme*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1.*socio=nil Des*socio=nil dispositifs*socio=et de*socio=nil protection_sociale*socio=et bien *socio=nil ciblés et d'un*socio=rien *socio=rien bon rapport coût-efficacité*socio=ec1 *socio=nil sont aussi indispensables*socio=uv4 pour atténuer les *socio=rien effets nocifs *socio=nil de la *socio=rien hausse du chômage*socio=ec1 *socio=nil déclaré. Comme pour les pays_en_développement*socio=uv3, le Comité*socio=ac reconnaît qu'il est*socio=rien important*socio=uv4 que l'environnement*socio=et international*socio=te soutienne ces efforts*socio=uv1. 5 - L'amélioration*socio=uv1 de leurs perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 donne aux pays_industrialisés*socio=ac l'occasion*socio=rien de renforcer la croissance*socio=uv3 et de réduire le chômage*socio=ec1, tout en préservant les acquis*socio=uv2 sur*socio=rien le plan*socio=rien de la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1. Le Comité*socio=ac attache une *socio=rien importance particulière *socio=nil aux trois éléments*socio=rien d'une stratégie*socio=et commune*socio=uv2 qui sont énoncés ci-après. Des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 pour aplanir les obstacles*socio=uv3 à une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4, y compris des mesures*socio=et visant à démanteler les obstacles*socio=uv3 non tarifaires*socio=et au commerce*socio=ec1 et à assurer la viabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 à long_terme*socio=te des systèmes*socio=rien de santé*socio=et et de *socio=et pensions publiques.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil note qu'il tain s'attaquer aux problèmes*socio=uv4 du*socio=rien chômage*socio=ec1 de longue*socio=rien durée*socio=te et *socio=rien du manque d'*socio=nil emplois*socio=ec1 *socio=nil pour les jeunes*socio=ac et les personnes*socio=ac peu qualifiées*socio=uv4 par une amélioration*socio=uv1 de l'éducation*socio=et et de la formation*socio=et et par des réformes*socio=et *socio=rien radicales du marché_du_travail*socio=ec1 *socio=nil afin de réduire les désincitations à l'emploi*socio=ec1. Un*socio=rien renforcement*socio=ec2 des efforts*socio=uv1 d'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et en 1995 et au-delà, dans le cadre*socio=rien d'une stratégie*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil pour réduire sensiblement les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et, au-delà des effets*socio=rien de la reprise conjoncturelle*socio=te, et faire diminuer les *socio=ec1 ratios dette /*socio=nil PIB,*socio=nil *socio=nil facilitant ainsi une baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2. Le Comité*socio=ac note en particulier*socio=rien que certains pays*socio=ac aux prises*socio=rien avec des problèmes*socio=uv4 budgétaires*socio=et particulièrement graves*socio=uv4 ne doivent pas différer une action*socio=ec1 corrective majeure*socio=rien. La volonté*socio=uv1 d'ajuster, au besoin*socio=uv1, les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil afin de maintenir la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1, condition*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 soutenue à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil notamment en relevant en temps*socio=rien voulu les taux_d'_intérêt*socio=ec1, de manière*socio=rien à prévenir l'apparition*socio=rien de *socio=ec2 tensions inflationnistes.*socio=nil *socio=nil Cela renforcera la crédibilité*socio=uv1 chèrement acquise*socio=rien des politiques_monétaires*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2. 6 - Le comité_intérimaire*socio=ac examinera à sa *socio=rien réunion du printemps *socio=nil 1995 les progrès*socio=uv1 accomplis dans la mise en oeuvre*socio=rien de la stratégie*socio=et commune*socio=uv2 convenue. Quarante-quatrième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 26 avril*socio=rien 1995. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa quarante-quatrième réunion*socio=rien à Washington*socio=ac le 26 avril*socio=rien 1995, sous la présidence*socio=rien de M.. Philippe Maystadt, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 de la Belgique*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac prend note avec satisfaction*socio=uv3 de l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 de l'accord*socio=et de l'uruguay_round*socio=et et de la création*socio=uv4 de l' organisation_mondiale_du_commerce*socio=ac, et il encourage les institutions*socio=ac de bretton_woods*socio=et à travailler en étroite*socio=rien collaboration*socio=uv1 avec elle à la mise en place*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien de commerce*socio=ec1 et de changés ouvert*socio=rien. Le Comité*socio=ac note que l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te a été*socio=rien dans l'ensemble*socio=rien favorable*socio=uv4, et offre*socio=rien une occasion*socio=rien dont les pays_membres*socio=ac doivent faire *socio=rien bon usage,*socio=nil *socio=nil en appliquant des politiques_économiques*socio=et qui permettent d'atteindre les objectifs*socio=uv3 énoncés dans la Déclaration*socio=et pour la coopération*socio=uv1 en vue*socio=rien de renforcer l'expansion*socio=ec2 mondiale*socio=te adoptée à Madrid en octobre*socio=rien 1994. 3 - Le Comité*socio=ac a fait*socio=rien le point*socio=rien des progrès*socio=uv1 accomplis dans la mise en oeuvre*socio=rien des recommandations*socio=et de la Déclaration*socio=et de Madrid ; il réaffirme son intention*socio=rien de renforcer le rôle*socio=et qu'il joue dans le processus*socio=te de coopération*socio=uv1 et de coordination*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et, particulièrement dans l'optique*socio=rien de la stratégie*socio=et à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil Dans ce contexte*socio=rien, le Comité*socio=ac fait*socio=rien observer que. Dans les pays_industrialisés*socio=ac, la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien plus forte*socio=rien que prévu et l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée modérée. Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 le relèvement*socio=ec2 opportun*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 pour atténuer les *socio=ec2 tensions inflationnistes naissantes*socio=rien *socio=nil dans les pays*socio=ac approchant de la *socio=rien pleine utilisation *socio=nil de leurs capacités*socio=uv3 et l'assouplissement*socio=uv3 de la politique_monétaire*socio=et dans d'autres pays*socio=ac où l'expansion*socio=ec2 est*socio=rien plus récente*socio=rien. Il souligne l'importance*socio=rien d'un*socio=rien rééquilibrage*socio=uv3 plus vigoureux*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et pour faire croître l'épargne*socio=ec1, l'investissement*socio=ec1 et l'emploi*socio=ec1. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que les fluctuations*socio=ec2 que viennent d'accuser les taux_de_change*socio=ec1 de certaines*socio=rien des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 ont dépassé les niveaux*socio=rien que justifient les données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 et convient qu'un*socio=rien renversement*socio=rien ordonné de ces mouvements*socio=ec2 *socio=rien est souhaitable.*socio=nil *socio=nil Dans ce contexte*socio=rien, le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu qu'il importe de redoubler d'efforts*socio=uv1 pour réduire les déséquilibres*socio=uv3 internes*socio=te et externes*socio=ec1. Ces efforts*socio=uv1 devraient être*socio=rien concentrés sur*socio=rien des mesures*socio=et propres*socio=rien à relever l'épargne*socio=ec1 nationale*socio=te dans une perspective*socio=rien à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil et prévoir en *socio=rien particulier un rééquilibrage*socio=uv3 des*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et,*socio=nil *socio=nil mais aussi une déréglementation*socio=et plus poussée et une ouverture*socio=uv3 plus large*socio=rien des marchés*socio=ec1 pour que les secteurs*socio=rien intérieurs*socio=te soient mieux à même de faire face*socio=rien à la concurrence*socio=ec1 mondiale*socio=te. Dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3, des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 judicieuses*socio=uv4 et des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 vigoureuses*socio=rien ont entraîné une croissance*socio=uv3 robuste*socio=rien; néanmoins, il reste*socio=rien des difficultés*socio=uv4 à surmonter. Les perspectives*socio=te à long_terme*socio=te d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil en*socio=nil Asie*socio=ac *socio=nil notamment, restent prometteuses bien*socio=rien que, à court_terme*socio=te, la prudence*socio=uv1 soit *socio=rien nécessaire face *socio=nil aux signes de surchauffé. Dans les pays_en_développement*socio=uv3 de l'hémisphère_occidental*socio=te, la croissance*socio=uv3 devrait quelque peu ralentir. De nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 doivent prendre des mesures*socio=et pour maîtriser*socio=rien fermement l'inflation*socio=ec1. Une action*socio=ec1 plus vigoureuse*socio=rien s'impose pour porter le taux_de_croissance*socio=ec1 de nombre*socio=rien des pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 au-dessus de leur *socio=ec1 taux_de_croissance démographique.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a examiné également les répercussions*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 que vient de traverser le Mexique*socio=ac. Il accueille favorablement le programme*socio=et d'ajustement*socio=et renforce mis en oeuvre*socio=rien par les autorités*socio=et mexicaines avec un*socio=rien appui*socio=uv1 exceptionnel*socio=uv4 de la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil *socio=nil Il note que les effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 initiaux*socio=rien ont été*socio=rien contenus grâce*socio=rien à la promptitude*socio=uv1 de la réaction*socio=rien internationale*socio=ac et à la vigueur*socio=uv3 des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et des pays*socio=ac concernés. Le Comité*socio=ac se félicite de l'expansion*socio=ec2 vigoureuse*socio=rien dont bénéficie maintenant *socio=rien un nombre croissant de*socio=nil pays*socio=ac en*socio=nil transition*socio=ec2 suite *socio=nil à de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et de stabilisation*socio=et et de réformes*socio=et. Bien*socio=rien que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac en transition*socio=ec2 aient désormais la ferme*socio=ec2 volonté*socio=uv1 de stabiliser et de réformer leur économie*socio=ec1, d'importants*socio=uv4 efforts*socio=uv1 sont encore nécessaires*socio=rien. Le Comité*socio=ac accueille avec satisfaction*socio=uv3 les mesures*socio=et courageuses mises en oeuvre*socio=rien par la Russie*socio=ac et l'Ukraine*socio=ac, ainsi que par quelques autres pays*socio=ac en transition*socio=ec2, avec l'appui*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac, de la banque_mondiale*socio=ac, de la BERD et d'autres banques*socio=ac régionales*socio=te de développement*socio=uv3. 4 - Le Comité*socio=ac a examiné l'évolution*socio=te du*socio=rien rôle*socio=et du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac dans un*socio=rien environnement*socio=et caractérise par une mondialisation*socio=ec2 et unie intégration*socio=uv1 croissantes*socio=rien des marchés*socio=ec1 des biens*socio=ec1, des services*socio=et et des capitaux*socio=ec1. Il conclut que ce nouvel*socio=rien environnement*socio=et requiert de tous les pays_membres*socio=ac une discipline*socio=uv1 plus stricte*socio=rien pour parer aux *socio=rien soudaines réactions défavorables*socio=uv4 des*socio=nil marchés*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil convient donc qu'il importe de renforcer la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac de *socio=rien façon symétrique et*socio=nil compte*socio=ec1 tenu*socio=nil clés leçons*socio=ec2 *socio=nil que les pays_membres*socio=ac et le FMI*socio=ac lui-même doivent tirer de la récente*socio=rien crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac. Tout en souscrivant à *socio=rien un rapport du conseil_d'_administration*socio=ac sur le*socio=nil renforcement*socio=ec2 *socio=nil de la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, le Comité*socio=ac préconise que le dialogue*socio=uv1 entre le FMI*socio=ac et les pays_membres*socio=ac soit amélioré de la *socio=rien façon suivante.*socio=nil *socio=nil Premièrement, le Comité*socio=ac encourage le FMI*socio=ac à nouer un*socio=rien dialogue*socio=uv1 plus étroit*socio=rien et plus continu*socio=rien avec les pays_membres*socio=ac, à affiner ses analyses*socio=ec2 et à être*socio=rien franc*socio=ec1 et sincère*socio=rien dans ses recommandations*socio=et au sujet*socio=rien des risques*socio=uv3 que peuvent entraîner les politiques_économiques*socio=et suivies par les pays_membres*socio=ac. Deuxièmement, le Comité*socio=ac rappelle combien il importe que tous les pays_membres*socio=ac communiquent régulièrement et en temps*socio=rien voulu leurs données économiques*socio=ec1 au FMI*socio=ac, pour permettre de déceler, à un*socio=rien stade*socio=te précoce*socio=rien, les tensions*socio=ec2 naissantes*socio=rien ; dans ce contexte*socio=rien, il note aussi que le FMI*socio=ac compte*socio=ec1 utiliser davantage les données des marchés_financiers*socio=ec1. Troisièmement, le Comité*socio=ac souligne que la *socio=rien publication rapide *socio=nil de données complètes par les pays_membres*socio=ac accentuerait la transparence*socio=uv3 de leur politique_économique*socio=ec1; il demande*socio=ec1 aux administrateurs*socio=ac de travailler à l'établissement*socio=rien de normes*socio=et qui puissent guider les pays_membres*socio=ac dans la diffusion*socio=rien publique*socio=et des données et de soumettre des propositions*socio=rien à l'examen*socio=ec2 du*socio=rien Comité*socio=ac à sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil Quatrièmement, le Comité*socio=ac rappelle le risque*socio=uv3 qu'il y a à trop dépendre d'apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 qui peuvent facilement s'inverser et invite le FMI*socio=ac à accorder davantage d'attention*socio=rien, dans l'exercice*socio=rien de sa surveillance*socio=et, à la politique*socio=et financière*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac et à la solidité*socio=uv3 de leur secteur*socio=rien financier*socio=ec1. Cinquièmement, le Comité*socio=ac conclut que le FMI*socio=ac doit mieux cibler sa surveillance*socio=et, en rééquilibrant ses efforts*socio=uv1 pour la faire porter davantage sur*socio=rien la situation*socio=rien des pays_membres*socio=ac dont les troubles économiques*socio=ec1 on la politique*socio=et qu'ils suivent pourraient avoir des implications*socio=rien plus larges*socio=rien pour les autres pays*socio=ac, tout en préservant la *socio=rien qualité du dialogue*socio=uv1 *socio=nil qu'il entretient avec tous les pays_membres*socio=ac. 5 - Le Comité*socio=ac est*socio=rien convenu que la position*socio=rien de liquidité*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac est*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, bien*socio=rien que ses ressources*socio=ec1 soient très sollicitées depuis quelque temps*socio=rien, ruais il note que, d'après*socio=rien les projections*socio=ec2, la liquidité*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac diminuera très sensiblement au cours*socio=rien des deux *socio=rien prochaines années.*socio=nil *socio=nil Il invite le conseil_d'_administration*socio=ac à continuer de vérifier si les ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac sont adéquates*socio=uv2 et, dans le cadre*socio=rien de l'examen*socio=ec2 du*socio=rien rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, de poursuivre les *socio=rien travaux relatifs *socio=nil à la *socio=rien Onzième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil considère aussi qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil d'examiner la question*socio=rien des emprunts*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac à ses pays_membres*socio=ac, et en particulier*socio=rien le rôle*socio=et des Accords*socio=et généraux*socio=rien d'emprunt*socio=ec1. 6 - Le Comité*socio=ac a poursuivi l'examen*socio=ec2 de la *socio=rien question du *socio=nil DTS, à la *socio=rien lumière du rapport du Président*socio=ac sur ses*socio=nil consultations*socio=uv1 *socio=nil avec les pays_membres*socio=ac et de la réflexion*socio=rien que le conseil_d'_administration*socio=ac a menée sur*socio=rien ce sujet*socio=rien. Il note qu'à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, les conditions*socio=ec1 d'un*socio=rien accord*socio=et sur*socio=rien une allocation*socio=et ne sont pas réunies, mais il demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de continuer ses travaux*socio=rien suit cette question*socio=rien. Le Comité*socio=ac invite le FMI*socio=ac à engager, avec la participation*socio=uv3 d'experts*socio=ac extérieurs*socio=te, *socio=rien un large examen*socio=ec2 du rôle*socio=et *socio=nil et des *socio=rien fonctions du *socio=nil DTS dans un*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te en mutation*socio=ec2. 7 - Le Comité*socio=ac se félicite de l'application*socio=rien des conditions*socio=ec1 de Naples*socio=ac aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 par les créanciers*socio=ac *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Il prend note de l'examen*socio=ec2, par le conseil_d'_administration*socio=ac, de la dette*socio=ec1 multilatérale*socio=et des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 lourdement endettés, et il souligne que les prêts*socio=ec1 multilatéraux*socio=et accordés à ces pays*socio=ac doivent être*socio=rien assortis de conditions*socio=ec1 suffisamment concessionnelles*socio=ec1. Il juge*socio=et souhaitable*socio=rien que le FMI*socio=ac continue*socio=rien d'apporter son appui*socio=uv1 aux pays_en_développement*socio=uv3 les_plus_pauvres*socio=uv2 dans le cadre*socio=rien de la FAS*socio=ec1 renforcée. Dans ce contexte*socio=rien, le Comité*socio=ac demandé au conseil_d'_administration*socio=ac d'examiner les *socio=rien options possibles *socio=nil pour continuer à financer et à adapter*socio=rien les opérations*socio=rien de la FAS*socio=ec1 renforcée. 8 - Le Comité*socio=ac a eu *socio=rien un large échange_de_vues*socio=uv3 sur les*socio=nil moyens*socio=ec1 *socio=nil par lesquels le FMI*socio=ac peut aider plus efficacement les pays_membres*socio=ac à faire face*socio=rien aux turbulences*socio=ec2 soudaines*socio=rien des marchés*socio=ec1, jouant ainsi son rôle*socio=et d'agent*socio=ac catalyseur*socio=ec2. Il invite le conseil_d'_administration*socio=ac à continuer d'étudier tous les aspects*socio=rien de la question*socio=rien, en étroite*socio=rien collaboration*socio=uv1 avec d'autres institutions*socio=ac. 9 - Le Comité*socio=ac se réunira à nouveau*socio=rien le 8 octobre*socio=rien 1995, et il examinera l'état*socio=rien d'avancement*socio=uv3 des mesures*socio=et prises*socio=rien pour consolider la reprise mondiale*socio=te et stabiliser les marchés_financiers*socio=ec1, ainsi que pour renforcer la surveillance*socio=et et le financement*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Comité*socio=ac ministériel*socio=et conjoint*socio=rien des conseils_des_gouverneurs_de_la_banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien le transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 aux pays_en_développement*socio=uv3 (Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3). Quarante-neuvième réunion*socio=rien, Madrid, 3 octobre*socio=rien 1994. 1 - Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa 49e réunion*socio=rien le 3 octobre*socio=rien 1994 à Madrid (Espagne*socio=ac) sous la présidence*socio=rien de M.. Mourad Chérif, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et des investissements*socio=ec1 du*socio=rien Maroc*socio=ac. Le Comité*socio=ac, qui célèbre*socio=rien lui-même son *socio=rien vingtième anniversaire,*socio=nil s'*socio=nil est associé aux*socio=nil félicitations *socio=nil adressées à la banque_mondiale*socio=ac et au FMI*socio=ac à l'occasion*socio=rien *socio=rien du cinquantième anniversaire *socio=nil de l'Accord*socio=et de bretton_woods*socio=et et a noté avec satisfaction*socio=uv3 la publication*socio=rien par la banque_mondiale*socio=ac de l'étude*socio=ec2 intitulée "Les leçons*socio=ec2 *socio=rien du passé,*socio=nil les*socio=nil enjeux *socio=nil de l'avenir*socio=te". Transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1. 2 - Le Comité*socio=ac a pour mission*socio=et principale*socio=rien de suivre la *socio=rien question du transfert*socio=ec1 de*socio=nil ressources*socio=ec1 aux*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil et en transition*socio=ec2. Il se félicite donc *socio=rien du niveau élevé*socio=uv4 *socio=nil auquel s'est*socio=rien maintenu le *socio=rien volume total *socio=nil de ces transferts*socio=ec1, il note la lenteur*socio=rien de la progression*socio=ec2 de l'aide*socio=uv1 publique*socio=et an*socio=rien développement*socio=uv3 et engage les *socio=ac pays donateurs *socio=nil à accroître leurs apports*socio=rien dès que possible*socio=rien et à les cibler davantage sur*socio=rien les pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2. Dans les cas*socio=rien appropriés, il juge*socio=et souhaitables*socio=rien une réduction*socio=ec2 de l'encours de la dette*socio=ec1 et l'octroi*socio=rien de conditions*socio=ec1 plus concessionnelles*socio=ec1 aux pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 confrontés à des difficultés*socio=uv4 particulières*socio=rien. Le Comité*socio=ac est*socio=rien conscient*socio=uv2 des problèmes*socio=uv4 et des besoins*socio=uv1 spéciaux*socio=rien des pays*socio=ac qui viennent de traverser une période*socio=te de bouleversements*socio=rien économiques*socio=ec1 et politiques*socio=et, ainsi que de ceux des pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 et très endettés, et il demande*socio=ec1 aux administrateurs*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 et de la Banque*socio=ac d'examiner des propositions*socio=rien appropriées. 3 - Le Comité*socio=ac se félicite qu'un*socio=rien *socio=rien nombre croissant de*socio=nil pays*socio=ac engagés*socio=nil sur la*socio=nil voie de*socio=nil réformes*socio=et économiques*socio=ec1 *socio=nil reçoivent depuis quelques années*socio=rien davantage de capitaux_privés*socio=ec1. Il note les incertitudes*socio=uv3 qu'une situation*socio=rien mondiale*socio=te mouvante fait*socio=rien peser sur*socio=rien la durabilité*socio=uv3 de ces flux*socio=ec1 et note aussi que ces apports*socio=rien restent concentrés *socio=rien sur un petit nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Il engage les pays*socio=ac qui actuellement ne reçoivent pas de ressources*socio=ec1 privées*socio=et à améliorer leur solvabilité*socio=ec1 par la mise en oeuvre*socio=rien de réformes*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et à instaurer *socio=rien un climat favorable*socio=uv4 au*socio=nil développement*socio=uv3 d'*socio=nil un solide secteur_privé*socio=et,*socio=nil les*socio=nil mesures*socio=et prises *socio=nil à cet effet*socio=rien susciteront une augmentation*socio=ec2 des investissements_étrangers_directs*socio=ec1 et de portefeuille*socio=ec1. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 an*socio=rien Groupe*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac, au FMI*socio=ac et aux pays_industrialisés*socio=ac de poursuivre l'action*socio=ec1 entreprise*socio=ac pour faciliter et encourager l'apport*socio=rien de capitaux_privés*socio=ec1 à tous ]es pays_en_développement*socio=uv3 et en transition*socio=ec2. Efficacité*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1. 4 - Une collaboration*socio=uv1 plus étroite*socio=rien entre les *socio=ac pays destinataires,*socio=nil les*socio=nil organisations_internationales *socio=nil et les bailleurs_de_fonds*socio=ec1 est*socio=rien indispensable*socio=uv4 à l'efficacité*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1. L'aide*socio=uv1 sera d'autant plus efficace*socio=uv4 qu'elle est*socio=rien adéquate*socio=uv2 et que les conditions*socio=ec1 sont favorables*socio=uv4 à sa *socio=rien bonne utilisation.*socio=nil *socio=nil De toute évidence*socio=rien, il incombe aux *socio=ac pays destinataires *socio=nil eux-mêmes de faire en sorte*socio=rien que les politiques*socio=et internes*socio=te favorisent l'efficacité*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1. Leur action*socio=ec1 devrait s'inspirer des principes*socio=ec2 suivants*socio=rien. a - L'application*socio=rien de politiques_économiques*socio=et appropriées et adaptées aux conditions*socio=ec1 locales*socio=te est*socio=rien indispensable*socio=uv4 à l'efficacité*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1. b - L'existence*socio=rien de solides*socio=uv4 capacités*socio=uv3 administratives*socio=et et institutionnelles*socio=et est*socio=rien indispensable*socio=uv4 à une *socio=rien bonne utilisation *socio=nil de l'aide*socio=uv1. c - La "prise_en_charge*socio=uv3" de l'aide*socio=uv1 par les gouvernements*socio=ac et la participation*socio=uv3 des autres *socio=rien parties prenantes,*socio=nil *socio=nil notamment des bénéficiaires*socio=ac, sont aussi d'une importance*socio=rien essentielle*socio=uv4. 5 - Pour leur part*socio=rien, les bailleurs_de_fonds*socio=ec1 et les organisations_internationales*socio=ac devraient s'inspirer des principes*socio=ec2 ci-après. a - Les conditions*socio=ec1 et modalités*socio=rien de l'aide*socio=uv1 fussent-elles les meilleures*socio=uv4, cela ne servira de rien*socio=rien en l'absence*socio=rien d'une "prise_en_charge*socio=uv3" résolue de la *socio=rien part du gouvernement*socio=ac *socio=nil destinataire et d'une bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et. Les donateurs*socio=ac et les destinataires*socio=ac doivent créer un*socio=rien environnement*socio=et favorable*socio=uv4 à l'efficacité*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1 en faisant en sorte*socio=rien que ces conditions*socio=ec1 soient remplies. b. Les donateurs*socio=ac devraient encourager la participation*socio=uv3 des *socio=rien diverses parties prenantes *socio=nil (en particulier*socio=rien les femmes*socio=ac, les pauvres*socio=uv2 et autres groupes_défavorisés*socio=ac); cette participation*socio=uv3 contribue à améliorer la conception*socio=et des projets*socio=et et à faire en sorte*socio=rien qu'ils soient correctement exécutés et exploités. Pour ces raisons*socio=rien, la Banque*socio=ac devrait améliorer le dosage*socio=rien des compétences*socio=uv3 de son personnel*socio=ac et renforcer son système*socio=rien d'incitations*socio=uv3. c - L'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien (AT*socio=rien) a d'autant plus de chances*socio=rien d'être*socio=rien efficace*socio=uv4 qu'elle répond à des besoins*socio=uv1 clairement définis*socio=rien et qu'elle est*socio=rien adaptée à la capacité*socio=uv3 d'absorption*socio=rien de ses destinataires*socio=ac. Elle devrait s'articuler à l'environnement*socio=et institutionnel*socio=et et, si nécessaire*socio=rien, contribuer à son renforcement*socio=ec2, selon les orientations*socio=et approuvées par le comité_d'_aide*socio=ac au développement*socio=uv3 de l'OCDE*socio=ac (CAD*socio=ac). d - Les organisations*socio=ac multilatérales*socio=et, dont le FMI*socio=ac, le Groupe*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac et les banques*socio=ac régionales*socio=te de développement*socio=uv3, collaborent étroitement en vue*socio=rien de soutenir les efforts*socio=uv1 entrepris par les pays*socio=ac eux-mêmes pour mettre en *socio=rien place un cadre de*socio=nil politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et*socio=nil structurelles*socio=ec2 rationnel*socio=uv4 et*socio=nil favorable*socio=uv4 au*socio=nil développement*socio=uv3 du secteur_privé*socio=et *socio=nil et au renforcement*socio=ec2 de la gestion*socio=ec2 du*socio=rien secteur_public*socio=et. Les programmes*socio=et d' aide*socio=uv1 devraient *socio=rien être compatibles *socio=nil avec ce cadre*socio=rien d'action*socio=ec1 et avec les priorités*socio=uv4 de développement*socio=uv3 que le pays*socio=ac s'est*socio=rien lui-même fixées. L'adoption*socio=uv3 d'approches novatrices*socio=uv4 pour atteindre cet objectif*socio=uv3 est*socio=rien à encourager. La banque_mondiale*socio=ac renforcera ses consultations*socio=uv1 avec d'autres donateurs*socio=ac qui collaboreront aussi à cette approche. e - Les donateurs*socio=ac devraient accélérer les efforts*socio=uv1 entrepris pour coordonner et simplifier leurs procédures*socio=et et pratiques*socio=et. Il faudrait tendre les opérations*socio=rien d'aidé plus transparentes*socio=uv4 pour accroître la responsabilité*socio=uv1. Les donateurs*socio=ac devraient éviter la mise en place*socio=rien de mécanismes*socio=et incompatibles*socio=uv4 avec les efforts*socio=uv1 déployés par les *socio=ac pays destinataires *socio=nil pour assurer la gestion*socio=ec2 de leurs propres*socio=rien budgets*socio=ec1 et l'utilisation*socio=rien de l'aide*socio=uv1. Les ministres*socio=ac appuient les *socio=rien initiatives récentes du CAD*socio=ac en*socio=nil vue *socio=nil de réduire le recours*socio=ec1 à des crédits*socio=ec1 liés. Ils engagent aussi les donateurs*socio=ac à minimiser les coûts*socio=ec1 additionnels*socio=ec2 qu'impliquent les distorsions*socio=uv3 commerciales*socio=ec1 inhérentes*socio=rien à l'octroi*socio=rien d'aides*socio=uv1 liées, lorsque cela *socio=rien est possible sans*socio=nil réduction*socio=ec2 du volume des*socio=nil apports.*socio=nil *socio=nil f - Les principes*socio=ec2 du*socio=rien CAD*socio=ac constituent uni cadre*socio=rien approprié pour améliorer la coordination*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1. Les réunions*socio=rien des groupes*socio=ac consultatifs*socio=uv2 et des tables rondes*socio=rien sont plus efficaces*socio=uv4 lorsqu'elles sont précédées d'une active*socio=uv4 participation*socio=uv3 du*socio=rien gouvernement*socio=ac destinataire et de consultations*socio=uv1 avec d'autres donateurs*socio=ac. Les *socio=rien questions inscrites *socio=nil à l'ordre*socio=rien *socio=rien du jour des*socio=nil groupes*socio=ac consultatifs*socio=uv2 *socio=nil devraient viser non seulement la mobilisation*socio=uv3 des ressources*socio=ec1, mais aussi la stratégie*socio=et de développement*socio=uv3, l'utilisation*socio=rien de l'aide*socio=uv1, la coordination*socio=uv3 de l'aide*socio=uv1 et l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien. g - Il faut poursuivre et élargir les efforts*socio=uv1 entrepris récemment pour améliorer l'efficacité*socio=uv3 de la banque_mondiale*socio=ac et d'autres organismes*socio=ac de développement*socio=uv3, en mettant l'accent*socio=rien suit leur contribution*socio=uv1 au développement*socio=uv3 et les *socio=rien résultats sur le*socio=nil terrain.*socio=nil *socio=nil Il faudrait chercher en particulier*socio=rien : à intervenir sur*socio=rien la base*socio=rien de programmes*socio=et nationaux*socio=te plutôt que de projets*socio=et individuels*socio=uv2; à améliorer la qualité*socio=rien des projets*socio=et au stade*socio=te de leur entrée*socio=rien dans le portefeuille*socio=ec1; à renforcer les politiques*socio=et d'évaluation*socio=ec2 rétrospective*socio=rien et de diffusion*socio=rien de l'information*socio=rien; à simplifier les procédures*socio=et; à assurer d'urgence*socio=rien l'adéquation*socio=uv1 des réseaux*socio=rien de bureaux*socio=rien locaux*socio=te, et à revoir les incitations*socio=uv3 offertes*socio=rien au personnel*socio=ac pour privilégier la contribution*socio=uv1 an*socio=rien développement*socio=uv3. h - L'aide*socio=uv1 peut aussi contribuer à stimuler l'investissement_privé*socio=et; les institutions*socio=ac comme l'AMGI*socio=ac et la SFI*socio=ac peuvent jouer un*socio=rien rôle*socio=et utile*socio=uv4, mais doivent porter toute l'attention*socio=rien voulue à l'impact*socio=rien sur*socio=rien le développement*socio=uv3. i - Beaucoup de ces principes*socio=ec2 sont tout aussi valables*socio=rien pour les pays*socio=ac en transition*socio=ec2. Cependant, dans leur cas*socio=rien, il faut, à divers degrés*socio=rien selon le pays*socio=ac en cause*socio=rien, faire davantage pour sensibiliser les décideurs*socio=ac comme l'ensemble*socio=rien du*socio=rien public*socio=et au fonctionnement*socio=rien d'unie économie_de_marché*socio=ec1 et à la complémentarité*socio=rien des rôles*socio=et des secteurs_public*socio=et et privé*socio=et. 6 - Le Comité*socio=ac suivra de près ces *socio=rien diverses questions lors *socio=nil de ses *socio=rien prochaines réunions *socio=nil et attend notamment avec intérêt*socio=uv1 le rapport*socio=rien de son groupe_de_travail*socio=ac sur*socio=rien les banques_multilatérales_de_développement*socio=ac. L'uruguay_round*socio=et et les pays_en_développement*socio=uv3 et en transition*socio=ec2. 7 - Le Comité*socio=ac a examiné les résultats*socio=rien des négociations*socio=et récemment achevées de l'uruguay_round*socio=et et leur *socio=rien impact sur les*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil et les pays*socio=ac en transition*socio=ec2. À ce stade*socio=te, il n'a pas *socio=rien été possible *socio=nil d'aller au-delà d'une évaluation*socio=ec2 préliminaire*socio=rien des effets*socio=rien probables*socio=uv4. Les ministres*socio=ac ont également considéré les implications*socio=rien de ces résultats*socio=rien pour les activités*socio=rien futures*socio=te de la banque_mondiale*socio=ac et du*socio=rien FMI*socio=ac. Ils estiment que. a - Outre ses effets*socio=rien à l'échelon*socio=rien mondial*socio=te, l'heureux*socio=rien aboutissement*socio=rien de l' uruguay_round*socio=et offrira à terme*socio=rien des avantages*socio=rien significatifs*socio=uv4 aux pays_en_développement*socio=uv3, grâce*socio=rien à l'élargissement*socio=ec2 de l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1, à l'intégration*socio=uv1 de *socio=rien nouveaux secteurs an système *socio=nil et au renforcement*socio=ec2 des règles*socio=et et des institutions*socio=ac. Il est*socio=rien donc essentiel*socio=uv4 que les accords*socio=et soient ratifiés et appliqués sans tarder. b - Ces avantages*socio=rien iront en particulier*socio=rien aux pays*socio=ac qui appliquent de bonnes*socio=rien politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et entreprennent des réformes*socio=et orientées vers le marché*socio=ec1. c - Plusieurs pays_en_développement*socio=uv3 devraient bénéficier en particulier*socio=rien de l'extension*socio=rien graduelle*socio=te *socio=rien du système multilatéral*socio=et aux*socio=nil textiles*socio=ec1 *socio=nil et aux vêtements*socio=ec1, même si le calendrier*socio=te de libéralisation*socio=et doit retarder la réalisation*socio=uv1 de ces avantages*socio=rien. d - Certains pays*socio=ac pourraient avoir besoin*socio=uv1 d'une aide*socio=uv1 pour s'ajuster au renchérissement*socio=rien des prix*socio=ec1 mondiaux*socio=te des *socio=ec1 denrées alimentaires *socio=nil et à l'érosion*socio=ec2 des préférences*socio=uv4, bien*socio=rien que la plupart*socio=rien d'entre eux doivent gagner à la réduction*socio=ec2 des *socio=ec1 subventions agricoles.*socio=nil D'*socio=nil après*socio=rien les*socio=nil premières*socio=rien études*socio=ec2 *socio=nil faites par la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1, les *socio=rien effets négatifs semblent*socio=nil devoir être *socio=nil assez limités, et les instruments*socio=et existants*socio=rien paraissent suffisants*socio=rien pour y faire face*socio=rien. De nouvelles*socio=rien recherches*socio=ec2 pourraient permettre de préciser ces estimations*socio=ec2. Entre-temps*socio=rien, la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 doivent être*socio=rien prêts*socio=ec1 à s'attaquer à ces problèmes*socio=uv4. e - À plus long_terme*socio=te, il est*socio=rien important*socio=uv4 de continuer à progresser vers une libéralisation*socio=et commerciale*socio=ec1 mutuellement avantageuse*socio=rien et d'éviter de *socio=rien nouvelles formes de*socio=nil protectionnisme*socio=et.*socio=nil *socio=nil f - Il incombe à la Banque*socio=ac et au Fonds*socio=ec1 d'apporter aux pays_en_développement*socio=uv3 et aux pays*socio=ac en transition*socio=ec2 l'aide*socio=uv1 nécessaire*socio=rien pour faciliter leur passage*socio=rien au *socio=rien nouveau système commercial*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil en leur fournissant conseils*socio=ac, *socio=ec1 ressources financières et*socio=nil assistance*socio=uv1 technique*socio=rien *socio=nil pour qu'ils puissent tirer le meilleur*socio=uv4 parti*socio=et des *socio=rien nouvelles possibilités du marché*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil g - Il sera également nécessaire*socio=rien d'associer les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 (dont beaucoup ne sont pas encore membres*socio=ac du*socio=rien GATT*socio=ac) au processus*socio=te multilatéral*socio=et le plus rapidement possible*socio=rien, de sorte*socio=rien qu'ils puissent profiter pleinement des avantages*socio=rien de la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 et de l'élargissement*socio=ec2 de l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1, sans discrimination*socio=uv1. La Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 devraient encourager et aider ces pays*socio=ac à participer davantage au système*socio=rien commercial*socio=ec1 multilatéral*socio=et et à adopter les politiques*socio=et qui faciliteront leur adhésion*socio=uv1 à l'OMC*socio=ac. 8 - Le Comité*socio=ac juge*socio=et essentiel*socio=uv4 que les deux institutions*socio=ac collaborent étroitement avec la nouvelle*socio=rien organisation_mondiale_du_commerce*socio=ac et note que la *socio=et Déclaration ministérielle *socio=nil publiée à la fin*socio=rien de Round recommande l'ouverture*socio=uv3 rapide*socio=rien de discussions*socio=et entre le directeur_général*socio=ac de l'OMC*socio=ac et les dirigeants*socio=ac de la Banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Population*socio=ac. 9 - Les ministres*socio=ac des pays*socio=ac participants*socio=rien ont pris note avec satisfaction*socio=uv3 des résultats*socio=rien de la récente*socio=rien *socio=ac Conférence internationale des*socio=nil nations_unies sur*socio=rien la*socio=nil population *socio=nil et le développement*socio=uv3, question*socio=rien qui avait formé le thème*socio=rien de la *socio=rien dernière réunion dut*socio=nil Comité*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil engage la banque_mondiale*socio=ac et les participants*socio=ac à la conférence*socio=rien à contribuer activement à l'application*socio=rien du*socio=rien programme*socio=et d'action*socio=ec1 approuvé par la conférence*socio=rien. Désertification. 10 - Le Comité*socio=ac accueille également avec satisfaction*socio=uv3 l'accord*socio=et dont a fait*socio=rien l'objet*socio=rien le *socio=rien mois dernier la*socio=nil convention_internationale*socio=et sur la*socio=nil lutte*socio=uv1 *socio=nil contre la désertification; il souhaite que cette convention*socio=et soit promptement ratifiée et encourage la banque_mondiale*socio=ac à continuer d'appuyer activement le développement*socio=uv3 et la gestion*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 environnementales*socio=et des zones*socio=te arides. *socio=rien Prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil 11 - Le Comité*socio=ac a décidé de se réunir à nouveau*socio=rien à Washington*socio=ac le 27 avril*socio=rien 1995. Le *socio=rien principal thème *socio=nil de cette réunion*socio=rien sera le financement*socio=ec1 de l'infrastructure*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3. *socio=rien Cinquantième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 27*socio=nil avril *socio=nil 1995. 1 - La 50e *socio=rien réunion du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3 s'*socio=nil est *socio=nil tenue à Washington*socio=ac le 27 avril*socio=rien 1995, sous la présidence*socio=rien de M.. Mohamed Kabbaj, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et des investissements*socio=ec1 étrangers*socio=te du*socio=rien Maroc*socio=ac. Le Comité*socio=ac regrette vivement que M.. Lewis T. Preston*socio=ac quitte ses fonctions*socio=rien de Président*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac et tient à lui rendre officiellement*socio=et hommage*socio=rien pour sa conduite*socio=rien éclairée de l'institution*socio=ac. Il présente*socio=rien ses félicitations*socio=rien à son successeur*socio=rien, M.. James D.. Wolfensohn*socio=ac. Flux*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 vers les pays_en_développement*socio=uv3 et en transition*socio=ec2. 2 - Le Comité*socio=ac se félicite *socio=rien du maintien à*socio=nil un niveau élevé*socio=uv4 des*socio=nil flux*socio=ec1 totaux de*socio=nil ressources*socio=ec1 *socio=nil et de l'accroissement*socio=ec2, depuis 1990, des *socio=rien diverses formes de*socio=nil financement_privé*socio=et,*socio=nil en*socio=nil particulier *socio=nil de l' investissement_direct_étranger*socio=ec1, qui n'alourdit pas le service_de_la_dette*socio=ec1. Face*socio=rien à la libéralisation*socio=et et à la mondialisation*socio=ec2 rapides*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec1, il a constaté que les *socio=ec1 flux financiers *socio=nil se sont caractérisés récemment par une instabilité*socio=uv3 extrême*socio=uv4, comme en témoignent*socio=rien les mouvements*socio=ec2 monétaires*socio=ec1. Mais les flux*socio=ec1 de portefeuille*socio=ec1 ont régressé et les ministres*socio=ac ont reconnu que, dans ce domaine*socio=rien, les marchés*socio=ec1 s'orienteront probablement vers davantage de sélectivité. D'où la nécessité*socio=uv1 pour les *socio=ac pays bénéficiaires *socio=nil d'appliquer de bonnes*socio=rien politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 pour accéder ou maintenir leur accès*socio=uv1 aux marchés_privés*socio=et et drainer l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te. Ils devraient éviter de trop recourir aux ressources*socio=ec1 courtes*socio=rien pour financer des besoins*socio=uv1 de développement*socio=uv3 à plus ou moins long_terme*socio=te. La solidité*socio=uv3 des politiques_économiques*socio=et et des perspectives*socio=te à long_terme*socio=te de beaucoup de pays_en_développement*socio=uv3 et en transition*socio=ec2 conduit à penser qu'ils devraient pouvoir*socio=et continuer à attirer les investissements_directs_étrangers*socio=ec1. 3 - Le Comité*socio=ac s'est*socio=rien déclaré préoccupé par la perspective*socio=rien d'une diminution*socio=ec2 des flux*socio=ec1 totaux*socio=rien d'aide_publique_au_développement*socio=et. Étant donné les besoins*socio=uv1 pressants*socio=uv4 des pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2, il souligne la nécessité*socio=uv1 de continuer à soutenir vigoureusement l' association_internationale_de_développement*socio=ac (IDA*socio=ac) et le programme_spécial_d'_assistance*socio=uv1 en faveur*socio=rien de l'Afrique*socio=ac (PSA*socio=et). Il se félicite de la décision*socio=et prise*socio=rien récemment par les créanciers*socio=ac *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac *socio=nil d'appliquer les " conditions*socio=ec1 de Naples*socio=ac" aux pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 et les plus endettés, et préconise une approche modulable. Le Comité*socio=ac constate que certains de ces pays*socio=ac sont lourdement endettés à l'égard*socio=rien des institutions*socio=ac Multilatérales*socio=et. Il invite le Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac et le conseil_d'_administration*socio=ac du*socio=rien Fonds*socio=ec1 à continuer d'étudier cette question*socio=rien, de sorte*socio=rien que les ministres*socio=ac puissent la réexaminer à la *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil Commerce*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil 4 - Le Comité*socio=ac se félicite de la création*socio=uv4 le 1er *socio=rien janvier dernier *socio=nil de l' organisation_mondiale_du_commerce*socio=ac (OMC*socio=ac) et préconise une coopération*socio=uv1 étroite*socio=rien entre l'OMC*socio=ac et les institutions*socio=ac de bretton_woods*socio=et. Il appelle la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 à aider ]es pays*socio=ac qui ne sont pas encore membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac à y adhérer et à mieux s'intégrer au système*socio=rien commercial*socio=ec1 multilatéral*socio=et. Il prend note des nouvelles*socio=rien estimations*socio=ec2 de la Banque*socio=ac concernant l'impact*socio=rien probable*socio=uv4 de l'uruguay_round*socio=et sur*socio=rien les échanges*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. Il accueille avec satisfaction*socio=uv3 les indications*socio=rien selon lesquelles cet impact*socio=rien sera positif*socio=uv4 pour la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, en particulier*socio=rien ceux qui sauront saisir cette occasion*socio=rien pour modifier leur politique_économique*socio=ec1. Il note que, de l'avis*socio=rien de la Banque*socio=ac, les *socio=rien effets négatifs sur les*socio=nil *socio=ac pays importateurs de*socio=nil produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1 et*socio=nil sur*socio=rien *socio=nil ceux qui perdront leur accès*socio=uv1 préférentiel*socio=ec1 aux *socio=ec1 marchés industriels *socio=nil seront probablement minimes. Il demande*socio=ec1 à la Banque*socio=ac et au Fonds*socio=ec1 de suivre ces *socio=rien effets sur les*socio=nil différents pays*socio=ac *socio=nil et de se tenir prêts*socio=ec1 à les aider en tarit que de besoin*socio=uv1. Le Comité*socio=ac reconnaît qu'une libéralisation*socio=et accrue des secteurs*socio=rien de l'agriculture*socio=ec1 et des services*socio=et renforcerait considérablement*socio=rien cet impact*socio=rien positif*socio=uv4. Infrastructure*socio=ec1. 5 - Le Comité*socio=ac constate qu'actuellement les pays_en_développement*socio=uv3 investissent chaque année*socio=rien plus de 200 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 dans l'infrastructure*socio=ec1, dont plus de 90 % dans le secteur_public*socio=et. Le développement*socio=uv3 durable*socio=uv4 est*socio=rien directement lié à l'existence*socio=rien d'une infrastructure*socio=ec1 adaptée, efficace*socio=uv4 et bien*socio=rien conçue dans le respect*socio=uv1 de l'environnement*socio=et. Si l'on veut accroître les investissements*socio=ec1 et améliorer les résultats*socio=rien dans ce secteur*socio=rien, il faudra mettre en place*socio=rien une série de réformes*socio=et touchant à la structure*socio=ec1 et à l'offre*socio=ec1 de services*socio=et d'infrastructure*socio=ec1. Les pouvoirs_publics*socio=et ont inévitablement un*socio=rien rôle*socio=et à jouer à cet égard*socio=rien, que ce soit en qualité*socio=rien de prestataire*socio=ac ou d'organe*socio=ac de réglementation*socio=et et de contrôle*socio=uv3. Pour qu'il y ait efficacité*socio=uv3, il faut, en particulier*socio=rien, pratiquer des prix*socio=ec1 qui reflètent tous les *socio=ec1 coûts économiques à*socio=nil long_terme*socio=te,*socio=nil *socio=nil appliquer des principes*socio=ec2 de gestion*socio=ec2 qui se rapprochent davantage de ceux de la gestion*socio=ec2 d'entreprise*socio=ac, favoriser la participation*socio=uv3 accrue du*socio=rien secteur_privé*socio=et et mieux cibler les subventions*socio=ec1. Pareilles*socio=rien réformes*socio=et devraient être*socio=rien de nature*socio=rien à encourager les investissements*socio=ec1 nécessaires*socio=rien à l'entretien*socio=rien des équipements*socio=ec1, de manière*socio=rien à exploiter au mieux les actifs*socio=ec1 existants*socio=rien et à éviter des coûts*socio=ec1 de remplacement*socio=rien élevés*socio=uv4. 6 - Il s'agit aussi de faire davantage appel*socio=rien au financement_privé*socio=et sous *socio=rien diverses formes.*socio=nil Les*socio=nil formules retenues *socio=nil varieront d'un*socio=rien pays*socio=ac et d'un*socio=rien service*socio=et à ]'autre en fonction*socio=rien, notamment, *socio=rien du niveau d'*socio=nil épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te *socio=nil et de la profondeur*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec1. Les investissements_privés*socio=ec1 peuvent être*socio=rien encouragés par divers moyens*socio=ec1 : accords*socio=et de concession*socio=uv1 avec apport*socio=rien financier*socio=ec1, contrats*socio=ec1 de location, affermage, garanties *socio=rien partielles du secteur_public*socio=et et*socio=nil privatisation*socio=et.*socio=nil L'*socio=nil objectif*socio=uv3 doit*socio=nil être *socio=nil de transférer les risques*socio=uv3 commerciaux*socio=ec1 ait secteur_privé*socio=et et de limiter*socio=rien le recours*socio=ec1 aux deniers publics*socio=et et aux garanties publiques*socio=et. 7 - D'après*socio=rien le Comité*socio=ac, les pauvres*socio=uv2 seront les premiers*socio=rien à profiter d'une amélioration*socio=uv1 de l'infrastructure*socio=ec1, qui peut par ailleurs*socio=rien contribuer à améliorer le cadre*socio=rien de vie*socio=uv1. Les *socio=ac pays donateurs *socio=nil peuvent fournir un*socio=rien appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 et technique*socio=rien et des garanties d'investissement*socio=ec1 aux pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 pour les aider à développer leur infrastructure*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien d'une politique*socio=et générale*socio=rien qui incite les opérateurs*socio=ac à bien*socio=rien exploiter et entretenir les équipements*socio=ec1 et à être*socio=rien à l'écoute*socio=rien des usagers*socio=rien. Le rôle*socio=et des institutions*socio=ac multilatérales*socio=et (y compris l'IDA*socio=ac) est*socio=rien à cet égard*socio=rien primordial*socio=uv4. Elles Peuvent aussi avoir une action*socio=ec1 catalytique et aider ces pays*socio=ac à attirer les capitaux*socio=ec1 d'un*socio=rien plus *socio=rien large éventail de*socio=nil Sources privées*socio=et,*socio=nil *socio=nil en utilisant pour cela tous les instruments*socio=et actuellement à leur disposition*socio=et, notamment les garanties de la banque_mondiale*socio=ac, la SFI*socio=ac et l'AMGI*socio=ac. Sommet*socio=rien pour le développement*socio=uv3 social*socio=et. 8 - Les membres*socio=ac dit Comité*socio=ac se sont tous félicités *socio=rien du bon déroulement du Sommet *socio=nil pour le développement*socio=uv3 social*socio=et organisé récemment à Copenhague*socio=ac et sont convenus d'en tirer les conséquences*socio=rien pour les pays_en_développement*socio=uv3 et en transition*socio=ec2, Pour les bailleurs_de_fonds*socio=ec1 et Pour la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 lors*socio=rien de leur *socio=rien prochaine réunion,*socio=nil *socio=nil qui se tiendra à Washington*socio=ac le 9 *socio=rien octobre prochain.*socio=nil *socio=ac Secrétaire exécutif.*socio=nil *socio=nil 9 - Le Comité*socio=ac exprime sa profonde*socio=rien gratitude*socio=uv1 à M.. Peter Mountfield, qui prend sa retraite*socio=ec1, pour le dévouement*socio=uv1 dont il a fait*socio=rien preuve*socio=ec2 dans l'exercice*socio=rien de ses fonctions*socio=rien de *socio=ac Secrétaire exécutif du*socio=rien Comité *socio=nil durant ces quatre *socio=rien dernières années.*socio=nil