*{ Fonds Monétaire international Rapport Annuel 1996 } Rapport annuel*socio=te du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil pour l'exercice*socio=rien clos le 30 avril*socio=rien 1996 (FMI*socio=ac). Chapitre*socio=rien 1. Vue*socio=rien d'ensemble*socio=rien. Une année*socio=rien marquée par une *socio=rien réponse rapide aux*socio=nil nouveaux défis*socio=uv2 des*socio=nil marchés*socio=ec1 *socio=nil mondialisés et un*socio=rien appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 sans précédent*socio=rien aux *socio=ac États membres.*socio=nil L'*socio=nil exercice*socio=rien *socio=nil 1995 / 96 a été*socio=rien extrêmement chargé pour le fonds_monétaire_international*socio=ac. L'intensification*socio=ec2 des activités*socio=rien de l'institution*socio=ac s'est*socio=rien confirmée dans presque tous les domaines*socio=rien, et les politiques*socio=et et pratiques*socio=et gouvernant*socio=rien ses relations*socio=rien avec les *socio=ac États membres ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil profondément modifiées. Le FMI*socio=ac a *socio=rien été prompt *socio=nil à relever les défis*socio=uv2 lancés par la mondialisation*socio=ec2 des marchés_financiers*socio=ec1 et à tirer les leçons*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac qui a éclaté à la fin*socio=rien de 1994. Il l'a fait*socio=rien plus spécialement en renforçant son activité*socio=rien de surveillance*socio=et, en adaptant ses procédures*socio=et et ses instruments*socio=et financiers*socio=ec1 et en engageant une *socio=rien réflexion sur l'*socio=nil adéquation*socio=uv1 *socio=nil de ses *socio=ec1 ressources financières.*socio=nil Le*socio=nil Conseil*socio=ac *socio=nil d'administration' a aussi réexaminé le rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac vis-à-vis des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, en mettant l'accent*socio=rien en *socio=rien particulier sur la*socio=nil poursuite des*socio=nil opérations *socio=nil de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FASR*socio=ec1) et sur*socio=rien la mise en place*socio=rien - en collaboration*socio=uv1 avec la banque_mondiale*socio=ac - d'un*socio=rien *socio=rien cadre susceptible *socio=nil de faciliter la résolution*socio=uv1 des problèmes*socio=uv4 des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 lourdement endettés. Enfin, le Conseil*socio=ac a réfléchi au rôle*socio=et actuel*socio=te et à venir du*socio=rien DTS, en s'inspirant des conclusions*socio=rien d'un*socio=rien séminaire*socio=ac organisé sur*socio=rien ce thème*socio=rien en mars*socio=rien 1996. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien écoulé, l'appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 aux *socio=ac États membres *socio=nil a atteint *socio=rien un niveau sans*socio=nil précédent.*socio=nil L'*socio=nil accord*socio=et *socio=nil triennal au titre*socio=rien de la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 élargi approuvé en faveur*socio=rien de la Russie*socio=ac en mars*socio=rien 1996, d'un*socio=rien montant*socio=ec1 total*socio=rien de 6,9 milliards*socio=rien de DTS (soit environ 10 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1), représente le plus important*socio=uv4 accord de ce type*socio=rien jamais accordé par le FMI*socio=ac. Conjugué*socio=rien à la décision*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac de mettre à la disposition*socio=et du*socio=rien Mexique*socio=ac 6,8 milliards*socio=rien de DTS - au titre*socio=rien de l'accord*socio=et de confirmation*socio=et augmenté et porté à un*socio=rien montant*socio=ec1 total*socio=rien de 12,1 milliards*socio=rien de DTS - et à l'approbation*socio=uv1 d'un*socio=rien nouvel*socio=rien accord de confirmation*socio=et (de 720 millions*socio=rien de DTS) en faveur*socio=rien de l'Argentine*socio=ac, il porte*socio=rien les nouveaux*socio=rien engagements*socio=et au titre*socio=rien d'accords*socio=et de confirmation*socio=et et d'accords*socio=et élargis souscrits en cours*socio=rien d'exercice*socio=rien à *socio=rien un total *socio=nil de 18,0 milliards*socio=rien de DTS (soit 26 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1), contre 14,1 milliards*socio=rien de DTS (20 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) au plus fort*socio=rien de la crise*socio=uv2 de la dette*socio=ec1 en 1982/83, et 15,5 milliards*socio=rien de DTS (22 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) en 1994 / 95. La surveillance*socio=et des politiques*socio=et de change*socio=ec1 des *socio=ac États membres,*socio=nil qui*socio=nil est*socio=rien au*socio=nil coeur*socio=rien des*socio=nil responsabilités*socio=uv1 du*socio=rien FMI,*socio=nil a*socio=nil fait*socio=rien l'*socio=nil objet*socio=rien d'*socio=nil un*socio=rien réexamen*socio=et approfondi*socio=nil suite*socio=rien *socio=nil à la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac et a été*socio=rien renforcée par *socio=rien diverses initiatives *socio=nil consistant à. 1 - Porter à une *socio=rien fréquence mensuelle les*socio=nil réunions informelles*socio=uv2 *socio=nil que le conseil_d'_administration*socio=ac consacre à l'examen*socio=ec2 des grandes*socio=rien tendances*socio=ec2 économiques*socio=ec1 dans certains pays*socio=ac, et dont l'objectif*socio=uv3 est*socio=rien de faciliter l'identification*socio=rien précoce*socio=rien des tensions*socio=ec2 financières*socio=ec1 qui peuvent se faire jour*socio=rien en mettant l'accent*socio=rien sur*socio=rien les *socio=uv4 problèmes potentiels *socio=nil et en rassemblant des données factuelles supplémentaires*socio=rien. 2 - Examiner deux fois*socio=rien par an*socio=rien, au *socio=rien sein du Conseil*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil politique_économique*socio=ec1 des*socio=nil *socio=ac États membres *socio=nil dans le cadre*socio=rien de la surveillance*socio=et, pour faire le *socio=rien point sur les*socio=nil principales questions *socio=nil soulevées régulièrement lors*socio=rien des consultations*socio=uv1 et jeter les bases*socio=rien des rapports*socio=rien adressés au comité_intérimaire*socio=ac, renforçant par là même la supervision*socio=rien exercée par ce dernier*socio=rien. 3 - Prévoir, le cas*socio=rien échéant, l'envoi*socio=rien de missions complémentaires*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans l'intervalle*socio=te entre deux consultations*socio=uv1. Dans plusieurs cas*socio=rien, la Direction*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac a assuré un*socio=rien suivi des discussions*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac dans le cadre*socio=rien de ces consultations*socio=uv1 en adressant aux autorités*socio=et des pays*socio=ac concernés des lettres*socio=rien consacrées à des questions*socio=rien économiques*socio=ec1 importantes*socio=uv4. 4 - Cibler davantage les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV sur*socio=rien les *socio=rien points clés *socio=nil liés directement à la mission*socio=et de surveillance*socio=et des politiques*socio=et de change*socio=ec1 des *socio=ac États membres *socio=nil confiée au FMI*socio=ac. 5 - Accorder davantage d'importance*socio=rien, dans les consultations*socio=uv1, à l'analyse*socio=ec2 du*socio=rien compte*socio=ec1 de capital*socio=ec1, en insistant notamment sur*socio=rien les *socio=ac États membres *socio=nil où son évolution*socio=te peut avoir des répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien les pays*socio=ac tiers*socio=rien. 6 - Donner une priorité*socio=uv4 accrue à la surveillance*socio=et régionale*socio=te, en particulier*socio=rien lorsque des mesures*socio=et économiques*socio=ec1 essentielles*socio=uv4 sont formulées à *socio=rien un niveau *socio=nil supranational. 7 - Encourager tous les pays*socio=ac à améliorer la qualité*socio=rien de leurs données de base*socio=rien et les délais*socio=rien de diffusion*socio=rien des informations*socio=rien qu'ils communiquent au FMI*socio=ac. Cette *socio=rien dernière initiative *socio=nil atteste que chacun reconnaît que la communication*socio=ec1, en temps*socio=rien utile*socio=uv4, de statistiques*socio=ec2 complètes et de *socio=rien haute qualité est indispensable*socio=uv4 *socio=nil pour que les *socio=ac États membres *socio=nil puissent formuler leur politique_économique*socio=ec1 et que le FMI*socio=ac s'acquitte de sa mission*socio=et de surveillance*socio=et. Parallèlement, les travaux*socio=rien engagés pour mettre au point*socio=rien des normes*socio=et de nature*socio=rien à aider les *socio=ac États membres *socio=nil à diffuser leurs statistiques*socio=ec2 économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 dans le public*socio=et se sont poursuivis. En avril*socio=rien 1996, le directeur_général*socio=ac a informé le comité_intérimaire*socio=ac qu'une Norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données avait été*socio=rien créée et que les *socio=ac États membres avaient*socio=nil été*socio=rien *socio=nil invités à y souscrire. À cette occasion*socio=rien, le directeur_général*socio=ac a confié qu'il avait bon*socio=rien espoir*socio=uv1 que cette norme*socio=et, destinée aux *socio=ac États membres *socio=nil qui ont ou souhaitent avoir accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1, permettra d'accéder en temps*socio=rien utile*socio=uv4 à des statistiques*socio=ec2 exhaustives*socio=rien et contribuera, par là même, à la formulation*socio=rien de politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 judicieuses*socio=uv4 et à un*socio=rien meilleur*socio=uv4 fonctionnement*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec1. Des *socio=rien informations sur les*socio=nil *socio=ac États membres *socio=nil qui satisfont à la norme*socio=et spéciale*socio=rien seront *socio=rien disponibles sur le*socio=nil tableau d'*socio=nil affichage électronique ouvert *socio=nil par le FMI*socio=ac *socio=rien sur un site *socio=nil World Wide Web d'Internet*socio=ec1. S'agissant de la *socio=et surveillance multilatérale,*socio=nil l'*socio=nil examen*socio=ec2 *socio=nil de l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1 durant l'exercice*socio=rien a fait*socio=rien une *socio=rien large part *socio=nil à l'effet*socio=rien de contagion*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac. Un*socio=rien consensus*socio=uv1 s'est*socio=rien dégagé sur*socio=rien les *socio=rien points suivants.*socio=nil Une*socio=nil fois la*socio=nil crise*socio=uv2 initiale *socio=nil jugulée, les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1 se sont en règle*socio=et *socio=rien générale bien *socio=nil comportés en dépit*socio=rien de l'instabilité*socio=uv3 accrue des taux_de_change*socio=ec1 et des quelques problèmes*socio=uv4 rencontrés dans *socio=rien un premier temps *socio=nil par les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2. Les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 les plus touchés par le retrait des investisseurs*socio=ac ont été*socio=rien ceux qui paraissaient aussi souffrir d'un*socio=rien ou plusieurs handicaps*socio=uv2 tels qu'une insuffisance*socio=uv3 de l'épargne*socio=ec1, le désalignement*socio=uv3 de leur taux_de_change*socio=ec1, l'ampleur*socio=rien du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et et du*socio=rien déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien, la fragilité*socio=uv1 *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1 *socio=nil ou le poids*socio=rien de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. Enfin, l'appui*socio=uv1 apporté au Mexique*socio=ac par la *socio=ac communauté internationale,*socio=nil conjugué*socio=rien *socio=nil à l'ajustement*socio=et des politiques_économiques*socio=et dans les pays_en_développement*socio=uv3, a permis*socio=rien d'endiguer les effets*socio=rien de la crise*socio=uv2. Conscient*socio=uv2 que le renforcement*socio=ec2 de la surveillance*socio=et ne saurait empêcher que des crises*socio=uv2 économiques*socio=ec1 éclatent à nouveau*socio=rien, le Conseil*socio=ac a arrêté en septembre*socio=rien 1995 des procédures*socio=et accélérées grâce*socio=rien auxquelles le FMI*socio=ac pourra apporter une aide*socio=uv1 d'urgence*socio=rien aux *socio=ac États membres *socio=nil par le biais*socio=rien d'un*socio=rien mécanisme_de_financement_d'_urgence*socio=rien destiné à lui permettre de soutenir sans tarder les *socio=ac États membres *socio=nil frappés par une crise*socio=uv2 des comptes*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Il a été*socio=rien convenu que ce mécanisme*socio=et obéira à des procédures*socio=et exceptionnelles*socio=uv4 au lieu*socio=rien de constituer une nouvelle*socio=rien facilité financière*socio=ec1, et qu'il n'y sera *socio=rien fait appel *socio=nil que dans des circonstances*socio=rien elles aussi exceptionnelles*socio=uv4. D'autres mesures*socio=et ont *socio=rien été prises *socio=nil en 1995 / 96 en vue*socio=rien d'adapter*socio=rien les procédures*socio=et et les instruments*socio=et financiers*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac; elles ont concerné notamment l'élaboration*socio=rien des conditions*socio=ec1 auxquelles l'institution*socio=ac serait prête*socio=rien à appuyer, pour une courte*socio=rien période*socio=te, des fonds*socio=ec1 de stabilisation*socio=et des changes*socio=ec1 créés dans le cadre*socio=rien de stratégies*socio=et de désinflation*socio=ec2 axées sur*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1, et l'extension*socio=rien *socio=rien du champ d'*socio=nil application des*socio=nil directives*socio=et *socio=nil concernant l'aide*socio=uv1 d'urgence*socio=rien aux pays*socio=ac qui sortent d'un*socio=rien conflit*socio=uv1. Dans ce *socio=rien dernier cas,*socio=nil l'*socio=nil accès*socio=uv1 aux*socio=nil ressources*socio=ec1 du FMI*socio=ac *socio=nil se limitera normalement à une seule*socio=rien tranche de crédit*socio=ec1 et l'on attendra du*socio=rien *socio=ac pays bénéficiaire *socio=nil qu'il conclue rapidement un*socio=rien accord*socio=et de confirmation*socio=et ou accord élargi dans les tranches supérieures*socio=rien de crédit*socio=ec1, ou un*socio=rien accord*socio=et au titre*socio=rien de la FASR*socio=ec1. Pour la seconde *socio=rien année consécutive,*socio=nil les*socio=nil *socio=ec1 ressources financières *socio=nil de l'institution*socio=ac ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'une demande*socio=ec1 soutenue et, face*socio=rien à la perspective*socio=rien de voir cette tendance*socio=ec2 se confirmer dans le contexte*socio=rien d'une économie*socio=ec1 mondialisée, le Conseil*socio=ac a accordé une attention*socio=rien accrue aux mesures*socio=et visant à renforcer l'adéquation*socio=uv1 des ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. 1 - Les achats*socio=ec1 des *socio=ac États membres au*socio=nil Compte*socio=ec1 des*socio=nil ressources*socio=ec1 générales*socio=rien *socio=nil ont totalisé 10,8 milliards*socio=rien de DTS en 1995 / 96, et s'inscrivent en légère*socio=rien augmentation*socio=ec2 par rapport*socio=rien aux 10,6 milliards*socio=rien de DTS de l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien. En outre, 1,5 milliard*socio=rien de DTS ont été*socio=rien décaissés sous forme*socio=rien d'aides*socio=uv1 concessionnelles*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 (FAS*socio=ec1) et de la FAS*socio=ec1 renforcée (FASR*socio=ec1), pour *socio=rien un total *socio=nil cumulé de 6,5 milliards*socio=rien de DTS au titre*socio=rien de ces deux mécanismes*socio=et à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1995 / 96. 2 - Conséquence*socio=rien de ce *socio=rien recours massif aux*socio=nil financements*socio=ec1 du FMI*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil ratio*socio=ec1 de*socio=nil liquidité*socio=ec1 -*socio=nil rapport des*socio=nil ressources*socio=ec1 utilisables*socio=uv4 *socio=nil non engagées de l'institution*socio=ac à ses engagements*socio=et liquides - est*socio=rien tombé à 89,8 % à la *socio=rien fin avril *socio=nil 1996, contre 126,1 au terme*socio=rien de l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien. Les ressources*socio=ec1 liquides du*socio=rien FMI*socio=ac, c'est-à-dire ses avoirs*socio=ec1 en monnaies*socio=ec1 utilisables*socio=uv4 et en DTS détenus*socio=rien au Compte*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 générales*socio=rien, ont diminué pour s'établir à 56,4 milliards*socio=rien de DTS au 30 avril*socio=rien 1996 contre 61,6 milliards*socio=rien de DTS un*socio=rien au plus tôt et, selon les projections*socio=ec2, elles devraient continuer de diminuer régulièrement au cours*socio=rien les dix-huit *socio=rien prochains mois.*socio=nil *socio=nil 3 - Cette situation*socio=rien a conduit le Conseil*socio=ac à donner une priorité*socio=uv4 accrue à ses *socio=rien réflexions sur *socio=nil la taille future*socio=te du*socio=rien FMI*socio=ac et aux travaux*socio=rien engagés dans le cadre*socio=rien de la révision*socio=rien quinquennale*socio=te des quotes-parts*socio=et (la *socio=rien Onzième révision générale)*socio=nil .*socio=nil Le*socio=nil Conseil*socio=ac est *socio=nil convenu qu'une augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et dans le cadre*socio=rien de la *socio=rien Onzième révision générale *socio=nil serait justifiée, et les discussions*socio=et sur*socio=rien l'ampleur*socio=rien et le *socio=rien moment souhaitables du relèvement*socio=ec2 des*socio=nil quotes-parts*socio=et *socio=nil sont en cours*socio=rien. *socio=rien Un premier examen*socio=ec2 a*socio=nil été *socio=nil consacré à la composante*socio=rien équiproportionnelle de l'augmentation*socio=ec2 globale*socio=rien des quotes-parts*socio=et de tous les *socio=ac États membres *socio=nil et aux diverses*socio=rien méthodes*socio=ec2 susceptibles*socio=rien d'être*socio=rien utilisées pour répartir entre les *socio=ac États membres la*socio=nil fraction*socio=rien *socio=nil restante de l'augmentation*socio=ec2. Certains administrateurs*socio=ac se sont prononcés en faveur*socio=rien d'ajustements*socio=et ad_hoc*socio=rien des quotes-parts*socio=et qui ne reflètent que de façon*socio=rien très imparfaite*socio=rien l'importance*socio=rien relative*socio=rien de certains *socio=ac États membres *socio=nil dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1996, le comité_intérimaire*socio=ac a pris note des perspectives*socio=te d'évolution*socio=te de la liquidité*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac et a invité le conseil_d'_administration*socio=ac à conclure dès que possible*socio=rien le dossier*socio=rien des quotes-parts*socio=et. 4 - En avril*socio=rien 1996, le comité_intérimaire*socio=ac s'est*socio=rien également félicité des progrès*socio=uv1 réalisés dans le sens*socio=rien d'une augmentation*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 dont le FMI*socio=ac peut disposer dans le cadre*socio=rien des Accords*socio=et généraux*socio=rien d'emprunt*socio=ec1. Aux termes*socio=rien des dispositions*socio=et en vigueur*socio=uv3 durant l'exercice*socio=rien, onze pays_industrialisés*socio=ac (ou leur banque_centrale*socio=ac) peuvent prêter jusqu'à 17 milliards*socio=rien de DTS au FMI*socio=ac, auxquels s'ajoutent 1,5 milliard*socio=rien de DTS *socio=rien an titre d'*socio=nil un accord*socio=et associé *socio=nil avec l'Arabie*socio=ac Saoudite*socio=ac. Le comité_intérimaire*socio=ac s'est*socio=rien félicité en particulier*socio=rien que les principes*socio=ec2 fondateurs*socio=rien des nouveaux*socio=rien accords*socio=et aient été*socio=rien arrêtés et qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil aient indiqué qu'ils étaient disposés à prendre part*socio=rien, à des conditions*socio=ec1 appropriées, aux accords*socio=et d'emprunt*socio=ec1. Il a souligné que le recours*socio=ec1 accru à l'emprunt*socio=ec1 ne doit pas être*socio=rien une solution*socio=rien de rechange au relèvement*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et et a souhaité une *socio=rien conclusion rapide des*socio=nil travaux sur cette*socio=nil question.*socio=nil Lors *socio=nil de leur *socio=rien réunion du 23*socio=nil mai *socio=nil 1996 à Paris*socio=ac, les représentants*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Dix et d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre *socio=nil d'autres pays*socio=ac dotés d'une capacité*socio=uv3 financière*socio=ec1 suffisante*socio=rien pour appuyer le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te se sont accordés sur*socio=rien les *socio=rien grandes lignes des*socio=nil nouveaux accords*socio=et d'*socio=nil emprunt*socio=ec1 devant *socio=nil assurer des ressources*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien au FMI*socio=ac. L'objectif*socio=uv3 est*socio=rien de parvenir à un*socio=rien accord*socio=et définitif*socio=rien d'ici l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te de 1996. 1- Si les discussions*socio=et sur*socio=rien la consolidation*socio=uv3 des ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac ont bien*socio=rien avancé, des progrès*socio=uv1 significatifs*socio=uv4 ont aussi été*socio=rien accomplis dans la vole d'une réduction*socio=ec2 des impayés*socio=ec1 au titre*socio=rien d'obligations*socio=uv1 financières*socio=ec1 envers l'institution*socio=ac. La Bosnie-herzégovine*socio=ac et la Zambie*socio=ac ont apuré leurs arriérés, et les impayés*socio=ec1 envers le FMI*socio=ac n'étaient plus que de 2,2 milliards*socio=rien de DTS au 30 avril*socio=rien 1996, contre 3,0 *socio=rien milliards un an *socio=nil plus tôt. À la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien, l'essentiel*socio=uv4 des impayés*socio=ec1 étaient imputables*socio=uv2 à quatre pays*socio=ac, à savoir*socio=rien le Libéria, la Somalie*socio=ac, le Soudan*socio=ac et le Zaïre*socio=ac. 2 - Le jour*socio=rien même où la Bosnie-herzégovine*socio=ac a apuré ses arriérés envers le FMI*socio=ac, le Conseil*socio=ac a décidé d'appuyer son programme*socio=et de reconstruction*socio=uv3 en approuvant un*socio=rien tirage*socio=ec1 de 30,3 millions*socio=rien de DTS au titre*socio=rien de l'aide*socio=uv1 d'urgence*socio=rien aux pays*socio=ac qui sortent d'un*socio=rien conflit*socio=uv1. L'assistance*socio=uv1 de l'institution*socio=ac aux *socio=ac États membre à*socio=nil faible*socio=rien revenu*socio=ec1 en*socio=nil proie *socio=nil à des difficultés*socio=uv4 économiques*socio=ec1 particulièrement aiguës a été*socio=rien l'un*socio=rien des thèmes*socio=rien de réflexion*socio=rien privilégiés*socio=uv du*socio=rien Conseil*socio=ac en 1995 / 96. Des progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien enregistrés tant en ce qui concerne la poursuite*socio=rien des opérations*socio=rien de la FASR*socio=ec1 que l'initiative*socio=rien lancée conjointement avec la banque_mondiale*socio=ac pour faciliter la résolution*socio=uv1 du*socio=rien problème*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 où celle-ci est*socio=rien particulièrement lourde*socio=rien. 1 - Au cours*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1996, le comité_intérimaire*socio=ac a réaffirmé son soutien*socio=uv3 à la prolongation*socio=rien des opérations*socio=rien de la FASR*socio=ec1, *socio=rien élément central *socio=nil de la stratégie*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac en matière*socio=rien d'aide*socio=uv1 aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, y compris les plus lourdement endettés. Le Comité*socio=ac a invité le Conseil*socio=ac à achever dès que possible*socio=rien ses délibérations*socio=et sur*socio=rien ce dossier*socio=rien afin de pouvoir*socio=et présenter, d'ici l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te de 1996, des propositions*socio=rien acceptables*socio=uv2 pour la *socio=rien poursuite du financement*socio=ec1 *socio=nil de la FASR*socio=ec1. 2 - S'agissant du*socio=rien problème*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, le Conseil*socio=ac et le comité_intérimaire*socio=ac ont approuvé l'analyse*socio=ec2 des services*socio=et de la Banque*socio=ac et du*socio=rien FMI*socio=ac, qui conclut que pour la plupart*socio=rien des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 lourdement endettés, l'adoption*socio=uv3 d'une politique_économique*socio=ec1 saine*socio=uv2 conjuguée*socio=rien à de nouvelles*socio=rien aides*socio=uv1 concessionnelles*socio=ec1 et à un*socio=rien allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien des procédures*socio=et en vigueur*socio=uv3 suffiront à assurer une situation*socio=rien d'endettement*socio=ec1 viable*socio=uv4 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil Pour beaucoup des pays*socio=ac les plus lourdement endettés, toutefois, le fardeau*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 restera supérieur*socio=rien aux *socio=rien niveaux supportables à*socio=nil moyen terme,*socio=nil *socio=nil même s'ils adoptent des politiques_économiques*socio=et vigoureuses*socio=rien et utilisent au mieux les mécanismes*socio=et d'allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 disponibles*socio=rien. Ces pays*socio=ac auront besoin*socio=uv1 d'une aide*socio=uv1 supplémentaire*socio=rien si l'on veut éviter que leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et ne soient compromis*socio=uv1 par le *socio=rien poids persistant *socio=nil de l'encours et du*socio=rien service_de_leur_dette*socio=ec1. Il a été*socio=rien convenu que les travaux*socio=rien coordonnés du*socio=rien FMI*socio=ac et de la banque_mondiale*socio=ac sur*socio=rien la viabilité*socio=uv3 de la dette*socio=ec1 obéiraient à six principes*socio=ec2. 1 - Le caractère*socio=rien globalement viable*socio=uv4 de l'endettement*socio=ec1 devra être*socio=rien étudié cas*socio=rien pas cas*socio=rien, en prenant en compte*socio=ec1 la totalité*socio=rien de la dette*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac concerné. 2 - Les mesures*socio=et ne devront être*socio=rien envisagées qu'une fois*socio=rien que le débiteur aura démontré, en appliquant durablement des réformes*socio=et et des politiques_économiques*socio=et bien*socio=rien conçues, qu'il peut faire *socio=rien bon usage des*socio=nil aides*socio=uv1 exceptionnelles*socio=uv4 *socio=nil reçues. 3 - Les *socio=rien nouvelles initiatives d'*socio=nil allégement*socio=ec2 *socio=nil de la dette*socio=ec1 devront faire fond*socio=rien, autant que possible*socio=rien, sur*socio=rien les mesures*socio=et déjà en vigueur*socio=uv3. 4 - Les mesures*socio=et supplémentaires*socio=rien devront être*socio=rien coordonnées de manière*socio=rien à assurer une participation*socio=uv3 large*socio=rien et équitable*socio=uv2 de tous les créanciers*socio=ac. 5 - Toute initiative*socio=rien d'allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 envers les créanciers*socio=ac multilatéraux*socio=et devra préserver leur intégrité*socio=uv1 financière*socio=ec1 et leur statut*socio=et de créancier*socio=ac privilégié*socio=rien. 6 - Les nouveaux*socio=rien concours extérieurs*socio=te accordés aux pays*socio=ac lourdement endettés devront être*socio=rien assortis de *socio=ec1 conditions concessionnelles.*socio=nil Le*socio=nil cadre*socio=rien d'*socio=nil action *socio=nil proposé pour résoudre les problèmes*socio=uv4 des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 lourdement endettés a été*socio=rien accueilli avec satisfaction*socio=uv3 par le comité_intérimaire*socio=ac lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1996. Le Comité*socio=ac a reconnu que des aides*socio=uv1 supplémentaires*socio=rien devaient être*socio=rien apportées cas*socio=rien par cas*socio=rien, y compris sous forme*socio=rien de contributions*socio=uv1 des institutions_financières*socio=ac et d'initiatives*socio=rien appropriées *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac *socio=nil et des autres créanciers*socio=ac. Il a demandé au FMI*socio=ac de formuler dès que possible*socio=rien, de concert*socio=uv1 avec la banque_mondiale*socio=ac et d'autres créanciers*socio=ac et bailleurs_de_fonds*socio=ec1, des *socio=rien propositions spécifiques *socio=nil afin qu'une décision*socio=et soit prise*socio=rien d'ici l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te de 1996. Le rôle*socio=et actuel*socio=te et à venir du*socio=rien DTS dans un*socio=rien système_financier*socio=ec1 mondial*socio=te en mutation*socio=ec2 a été*socio=rien évoqué par le Conseil*socio=ac en avril*socio=rien 1996, sur*socio=rien la base*socio=rien des conclusions*socio=rien d'un*socio=rien séminaire*socio=ac organisé sur*socio=rien ce thème*socio=rien le *socio=rien mois précédent.*socio=nil *socio=nil Durant la discussion*socio=et, la disposition*socio=et des statuts*socio=et selon laquelle le DTS devrait devenir*socio=rien le principal*socio=rien avoir de réserve*socio=ec1 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te n'a guère recueilli de soutien*socio=uv3. Parallèlement, il a été*socio=rien noté que dans le système*socio=rien actuel*socio=te, *socio=rien un grand nombre des*socio=nil nouveaux *socio=ac États membres du*socio=rien FMI *socio=nil n'ont jamais reçu de DTS ou n'ont pas pris part*socio=rien à toutes les allocations*socio=et, ce qui pose un*socio=rien problème*socio=uv4 d'équité*socio=uv1. Bien*socio=rien que la majorité*socio=rien requise*socio=uv4 pour une allocation*socio=et générale*socio=rien de DTS en application*socio=rien des statuts*socio=et ne soit pas réunie, il a été*socio=rien convenu de redoubler d'efforts*socio=uv1 pour résoudre cette question*socio=rien dans les meilleurs*socio=uv4 délais*socio=rien. Lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1996, le comité_intérimaire*socio=ac a demandé au Conseil*socio=ac de poursuivre sa *socio=rien réflexion sur les*socio=nil nouvelles propositions *socio=nil qu'il avait avancées et de dégager un*socio=rien consensus*socio=uv1 sur*socio=rien une formule*socio=rien permettant à tous les *socio=ac États membres *socio=nil de recevoir une part*socio=rien équitable*socio=uv2 des allocations*socio=et cumulées de DTS. À mesure*socio=rien que la transition*socio=ec2 de la planification*socio=et centrale*socio=rien à l' économie_de_marché*socio=ec1 gagne *socio=rien du terrain à*socio=nil travers le*socio=nil monde*socio=te *socio=nil et que les pays*socio=ac s'efforcent d'équilibrer leur budget*socio=ec1 tout en se dotant d'institutions*socio=ac monétaires*socio=ec1 et financières*socio=ec1, les demandes*socio=et d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et de formation*socio=et adressées au FMI*socio=ac continuent d'augmenter dans de *socio=rien multiples domaines *socio=nil de la gestion*socio=ec2 macro-économique*socio=ec1, tels que les banques_centrales*socio=ac, les finances*socio=ec1 publiques*socio=et, les statistiques*socio=ec2 ou les *socio=ec1 comptes financiers.*socio=nil Au*socio=nil cours*socio=rien *socio=nil de l'exercice*socio=rien 1995 / 96, l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et la formation*socio=et ont représenté environ 15 % des dépenses*socio=ec1 administratives*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. En dépit*socio=rien de l'intensification*socio=ec2 des *socio=rien activités du FMI*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil *socio=et stratégie budgétaire à*socio=nil *socio=rien moyen terme *socio=nil approuvée par le Conseil*socio=ac prévoit de limiter*socio=rien le plus possible*socio=rien la croissance*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 en termes*socio=rien réels*socio=ec2. En conséquence*socio=rien, les effectifs*socio=rien budgétaires*socio=et de l'institution*socio=ac ont été*socio=rien réduits de 40 unités*socio=rien en 1995 / 96 et ramenés à *socio=rien un total *socio=nil de 2.200 personnes*socio=ac, et 6 postes*socio=rien seront encore supprimés au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1996 / 97. D'autre part*socio=rien, plus d'une vingtaine*socio=rien de postes*socio=rien seront redéployés en 1996 / 97 pour renforcer les activités*socio=rien de surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac ainsi que ses *socio=rien travaux sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de*socio=nil capitaux*socio=ec1 et*socio=nil sur *socio=nil la mise au point*socio=rien des normes*socio=et destinées*socio=rien à aider les *socio=ac États membres *socio=nil à communiquer et à diffuser leurs statistiques*socio=ec2 économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1. En février*socio=rien 1996, le Conseil*socio=ac a réaffirmé sa volonté*socio=uv1 de renforcer les fonctions*socio=rien d'évaluation*socio=ec2 du*socio=rien FMI*socio=ac et a adopté, pour une période*socio=te d'essai*socio=rien de deux ans*socio=rien, une démarche*socio=rien pragmatique*socio=uv4 en vertu*socio=rien de laquelle il identifiera chaque année*socio=rien, avec la Direction*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, les *socio=rien activités du FMI*socio=ac *socio=nil justifiant une telle évaluation*socio=ec2 et arrêtera les conditions*socio=ec1 afférentes*socio=rien à chacun de ces projets*socio=et, y compris la sélection d'experts*socio=ac extérieurs*socio=te à l'institution*socio=ac. Il semble réaliste*socio=uv4 de limiter*socio=rien ces études*socio=ec2 à deux ou trois par an*socio=rien. Dans le cadre*socio=rien de cet effort*socio=uv1, le Bureau*socio=ac de la vérification*socio=rien et du*socio=rien réexamen*socio=et internes*socio=te a été*socio=rien réorganisé et son mandat*socio=rien élargi; depuis le 1er mai*socio=rien 1996, il porte*socio=rien le nom*socio=rien de Bureau*socio=ac de la vérification*socio=rien et de l'inspection internes*socio=te. Le FMI*socio=ac comptait 181 *socio=ac États membres *socio=nil à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien, contre 179 *socio=rien un an *socio=nil plus tôt. Le Brunei Darussalam est*socio=rien entré au FMI*socio=ac le 1er octobre*socio=rien 1995 et, en décembre*socio=rien de la même année*socio=rien, le Conseil*socio=ac a estimé que la Bosnie-herzégovine*socio=ac remplissait les conditions*socio=ec1 requises*socio=uv4 pour succéder à l'ex-yougoslavie*socio=ac en qualité*socio=rien de membre*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac. Chapitre*socio=rien 2. L'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Principales*socio=rien évolutions*socio=te dans le monde*socio=te. La croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te a légèrement fléchi en 1995 pour s'établir à 3 1/2 %, résultat*socio=rien à peine inférieur*socio=rien à sa tendance*socio=ec2 à long_terme*socio=te mais supérieur*socio=rien aux taux*socio=ec1 enregistrés au cours*socio=rien de la contraction*socio=ec2 des années*socio=rien 1990-93 (graphique*socio=rien 1). Cette variation*socio=rien minime du*socio=rien taux*socio=ec1 moyen*socio=rien de la croissance*socio=uv3 mondiale*socio=te masque cependant un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac et dans les pays_en_développement*socio=uv3 de l'hémisphère_occidental*socio=te, qui compense largement l'accélération*socio=ec2 enregistrée par les économies_en_transition*socio=ec1, l'Afrique*socio=ac et le Moyen-orient*socio=ac. Les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 d'Asie*socio=ac ont continué quant à elles de croître à un*socio=rien rythme*socio=ec2 impressionnant*socio=rien. Plusieurs évolutions*socio=te observées en 1995 et au début*socio=rien de 1996 indiquent que les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te demeurent favorables*socio=uv4 et qu'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 durable*socio=uv4 oui généralisé est*socio=rien peu probable*socio=uv4 (tableau*socio=rien 1). L'inflation*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac est*socio=rien restée faible*socio=rien, avoisinant les 2 1/2 %, cc qui a permis*socio=rien aux autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 d'abaisser très sensiblement les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te, et elle a ralenti dans les pays_en_développement*socio=uv3 et les économies_en_transition*socio=ec1. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te ont fortement diminué en 1995, au point*socio=rien d'annuler presque entièrement les hausses survenues dans certains pays*socio=ac en 1994; bien*socio=rien qu'ils se soient de nouveau*socio=rien orientés à la hausse*socio=rien au début*socio=rien de 1996, les taux*socio=ec1 sont restés en deçà des niveaux*socio=rien observés durant la *socio=rien majeure partie *socio=nil des deux *socio=rien années précédentes.*socio=nil Les*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 des*socio=nil principales monnaies*socio=ec1 *socio=nil ont retrouvé, après*socio=rien les désalignements*socio=uv3 *socio=rien du printemps *socio=nil 1995, des niveaux*socio=rien plus conformes*socio=uv4 aux données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4. Quant aux *socio=ec1 marchés boursiers,*socio=nil *socio=nil ils ont pour la plupart*socio=rien affiché une hausse*socio=rien significative*socio=uv4, due aux profits*socio=ec1 considérables*socio=rien dégagés dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac et à la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1. On observe également d'autres tendances*socio=ec2 favorables*socio=uv4. En 1995, le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te a continué à progresser à un*socio=rien rythme*socio=ec2 environ deux fois*socio=rien plus rapide*socio=rien que celui de la production*socio=ec1 mondiale*socio=te, ce qui s'explique par la libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 survenue ces *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil de la convertibilité*socio=ec1 des monnaies*socio=ec1 et la dynamique*socio=uv4 de la mondialisation*socio=ec2. De surcroît*socio=rien, les entrées de capitaux*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 ont retrouvé en *socio=rien général un rythme*socio=ec2 *socio=nil soutenu une fois*socio=rien les répercussions*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac endiguées. L'existence*socio=rien ou la perspective*socio=rien de graves*socio=uv4 déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et et les obstacles*socio=uv3 structurels*socio=ec2 à l'efficacité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 ont continué toutefois d'empêcher de nombreux*socio=rien pays*socio=ac de connaître une croissance*socio=uv3 plus rapide*socio=rien. L'aggravation*socio=ec2 *socio=rien récente du chômage*socio=ec1 dans*socio=nil un certain nombre de*socio=nil *socio=ac pays européens est*socio=rien *socio=nil venue rappeler l'importance*socio=rien d'un*socio=rien retour*socio=rien à une expansion*socio=ec2 vigoureuse*socio=rien et durable*socio=uv4, mais aussi l'urgence*socio=rien de réformes*socio=et plus énergiques*socio=ec1 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1. activité_économique*socio=ec1 et emploi*socio=ec1. La croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 a ralenti dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac industriels*socio=ec1, Japon*socio=ac excepté, pour passer d'un*socio=rien rythme*socio=ec2 moyen*socio=rien de 2 3/4 % en 1994 à 2 % en 1995 (graphique*socio=rien 2). Au Japon*socio=ac, elle a été*socio=rien médiocre*socio=uv2 et les capacités*socio=uv3 sont demeurées largement sous-utilisées. Les signes de reprise se sont néanmoins précisés en fin*socio=rien d'année*socio=rien suite*socio=rien à l'assouplissement*socio=uv3 des politiques_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et durant l'été*socio=rien et au début*socio=rien de l'automne*socio=rien, au *socio=rien renversement du fort mouvement*socio=ec2 de*socio=nil hausse du yen*socio=ec1 *socio=nil amorcé en avril*socio=rien ainsi qu'aux progrès*socio=uv1 accomplis vers la résolution*socio=uv1 des problèmes*socio=uv4 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans des pays*socio=ac tels que l'Australie*socio=ac, les États-unis*socio=ac, la Nouvelle-zélande*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac, où la reprise était déjà bien*socio=rien avancée, le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 observé en 1995 a représenté une modération*socio=ec2 nécessaire*socio=rien à *socio=rien un moment *socio=nil où les taux_d'_expansion*socio=ec2 dépassaient la croissance*socio=uv3 des capacités*socio=uv3, et a suivi un*socio=rien resserrement*socio=ec2 de la politique_monétaire*socio=et destiné à prévenir l'intensification*socio=ec2 des *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil Les*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil ont enregistré un*socio=rien fléchissement*socio=ec2 très net*socio=rien de la croissance*socio=uv3 au *socio=rien premier semestre,*socio=nil *socio=nil sous l'effet*socio=rien conjugué*socio=rien d'un*socio=rien brusque ajustement*socio=et des stocks*socio=ec1 et *socio=rien du recul des*socio=nil exportations*socio=ec1 réelles*socio=ec2 nettes *socio=nil occasionné par la récession*socio=ec2 mexicaine*socio=ac. La croissance*socio=uv3 est*socio=rien repartie vigoureusement au troisième*socio=rien trimestre*socio=te, grâce*socio=rien au dynamisme*socio=uv3 persistant*socio=rien de l'investissement*socio=ec1 et à une pause dans l'ajustement*socio=et des stocks*socio=ec1, mais est*socio=rien retombée à *socio=rien un niveau inférieur *socio=nil à 1/2 % (en rythme*socio=ec2 annuel*socio=te) au quatrième*socio=rien trimestre*socio=te avant de redémarrer au début*socio=rien de 1996. Pendant toute la période*socio=te considérée, le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 des États-unis*socio=ac est*socio=rien resté dans la *socio=rien limite inférieure *socio=nil de la fourchette*socio=rien de la plupart*socio=rien des estimations*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 naturel*socio=rien. Au Canada*socio=ac, la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien freinée par la *socio=rien forte hausse des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil en 1994 et au début*socio=rien de 1995, et par un*socio=rien fléchissement*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 consécutif*socio=rien au ralentissement*socio=ec2 enregistré par l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac. En Europe*socio=ac, la croissance*socio=uv3 a globalement fléchi en 1995, mais dans des *socio=rien proportions variables *socio=nil selon les pays*socio=ac. Dans certains cas*socio=rien - Espagne*socio=ac, Italie*socio=ac et Royaume-uni*socio=ac, notamment -, l'expansion*socio=ec2 s'est*socio=rien poursuivie et la modération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 en cours*socio=rien d'année*socio=rien a aidé à dissiper la crainte*socio=uv1 d'une résurgence*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 suscitée, entre autres, par les dépréciations*socio=ec1 enregistrées par ces monnaies*socio=ec1 lors*socio=rien de *socio=te périodes antérieures.*socio=nil La*socio=nil croissance*socio=uv3 relativement*socio=nil satisfaisante*socio=uv4 *socio=nil affichée par certains de ces pays*socio=ac est*socio=rien imputable*socio=uv2 aux progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien de l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, qui ont contribué au resserrement*socio=ec2 des écarts*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 avec l'Allemagne*socio=ac et aidé à dégager des gains*socio=ec1 de compétitivité*socio=uv3 internationale*socio=ac. Le ralentissement*socio=ec2 a été*socio=rien plus prononcé en Allemagne*socio=ac, en France*socio=ac, dans d'autres pays*socio=ac étroitement liés au *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil et en Suisse*socio=ac. Ce fléchissement*socio=ec2 n'a pas manqué de susciter des inquiétudes*socio=rien, car la reprise s'amorçait à peine et parce que le chômage*socio=ec1, déjà élevé*socio=uv4, a poursuivi son ascension*socio=ec1. Il est*socio=rien apparu que les parités*socio=ec1 élevées*socio=uv4 des monnaies*socio=ec1 avaient exacerbé l'effet*socio=rien déjà défavorable*socio=uv4 que le manque*socio=rien de confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac et des entreprises*socio=ac exerçait sur*socio=rien la demande_globale*socio=ec1. Face*socio=rien au ralentissement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien, la plupart*socio=rien des *socio=ac pays européens *socio=nil ont assoupli les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil à la fin*socio=rien de 1995 et au début*socio=rien de 1996. La correction*socio=ec2 des appréciations*socio=uv3 antérieures*socio=te d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil monnaies*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et en *socio=rien particulier du *socio=ec1 deutsche mark et*socio=nil du*socio=rien franc suisse*socio=ac,*socio=nil *socio=nil a aussi favorisé*socio=rien la reprise de la croissance*socio=uv3. Dans les pays_en_développement*socio=uv3, la production*socio=ec1 a augmenté d'environ 6 % en 1995, marquant*socio=rien ainsi la *socio=rien quatrième année de*socio=nil croissance*socio=uv3 consécutive.*socio=nil Les*socio=nil résultats ont*socio=nil considérablement *socio=nil varié d'une région*socio=te à l'autre (graphique*socio=rien 3). Dans l'hémisphère_occidental*socio=te, les récessions*socio=ec2 qu'ont connues le Mexique*socio=ac, l'Argentine*socio=ac et l'Uruguay*socio=ac ainsi que l'effet*socio=rien de contagion*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 mexicaine*socio=ac sur*socio=rien beaucoup d'autres pays*socio=ac ont donné *socio=rien un coup de*socio=nil frein très*socio=nil sensible *socio=nil à la croissance*socio=uv3, qui est*socio=rien retombée de 4 1/2% en 1994 aux alentours*socio=rien de 1 % en 1995. Au Mexique*socio=ac, la production*socio=ec1 a accusé une contraction*socio=ec2 de 7 % en 1995 en raison*socio=rien de la chute brutale*socio=rien des entrées nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 et de la forte*socio=rien dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien peso*socio=ec1 qui, dans *socio=rien un contexte de*socio=nil resserrement*socio=ec2 *socio=nil de la politique*socio=et financière*socio=ec1, ont entraîné un*socio=rien ajustement*socio=et majeur*socio=rien de l'économie*socio=ec1. Le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien a été*socio=rien réduit de 7 1/2% du*socio=rien PIB*socio=ec1. L'Argentine*socio=ac, après*socio=rien avoir connu une croissance*socio=uv3 annuelle*socio=te moyenne*socio=rien de 7 1/4 % ces quatre *socio=rien dernières années,*socio=nil a*socio=nil été *socio=nil gravement touchée par les répercussions*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac et a pris elle aussi des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et vigoureuses*socio=rien qui se sont soldées par une croissance*socio=uv3 négative*socio=rien en 1995. Vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien, toutefois, le Mexique*socio=ac et l'Argentine*socio=ac affichaient tous deux des signes de reprise. Enfin, de nombreux*socio=rien autres pays*socio=ac de la région*socio=te, notamment le Chili*socio=ac, la Colombie*socio=ac et le Pérou*socio=ac, n'ont guère été*socio=rien affectés par la crise*socio=uv2 et ont enregistré des taux_de_croissance*socio=ec1 élevés*socio=uv4. En Afrique*socio=ac, la croissance*socio=uv3 a progressé pour atteindre, à plus de 3 %, son rythme*socio=ec2 le plus élevé*socio=uv4 depuis six ans*socio=rien, tout en restant le plus souvent insuffisante*socio=uv4 pour relever sensiblement les niveaux_de_vie*socio=uv1. L'amélioration*socio=uv1 continue*socio=rien des chiffres de croissance*socio=uv3 de l'Afrique*socio=ac s'explique par les politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 plus énergiques*socio=ec1 mises en oeuvre*socio=rien par de nombreux*socio=rien pays*socio=ac ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil ainsi que par la fermeté*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien en 1994 et au début*socio=rien de 1995. Dans les pays*socio=ac de la zone*socio=te franc*socio=ec1, l'amélioration*socio=uv1 de la compétitivité*socio=uv3 extérieure*socio=te due à la dévaluation*socio=ec2 de 1994 et aux mesures*socio=et qui l'ont accompagnée a revigoré la croissance*socio=uv3 pour la porter à 4 1/2 %, niveau*socio=rien sans précédent*socio=rien depuis dix ans*socio=rien. La croissance*socio=uv3 des pays_en_développement*socio=uv3 d'Asie*socio=ac est*socio=rien demeurée supérieure*socio=rien à 8 % en 1995 en *socio=rien dépit du resserrement*socio=ec2 *socio=nil de la politique*socio=et financière*socio=ec1 opéré par de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, en particulier*socio=rien la Malaisie*socio=ac et la Thaïlande*socio=ac, pour contenir les *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil En*socio=nil Chine*socio=ac,*socio=nil après*socio=rien une*socio=nil longue*socio=rien période*socio=te *socio=nil de surchauffe, la rigueur*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 a ramené la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 à un*socio=rien rythme*socio=ec2 plus viable*socio=uv4 et l'inflation*socio=ec1 aux alentours*socio=rien de 10 %, Aux Philippines*socio=ac, la confirmation*socio=rien de la reprise de l' activité_économique*socio=ec1 a couronné la réussite*socio=uv1 du*socio=rien programme*socio=et de stabilisation*socio=et. La croissance*socio=uv3 est*socio=rien restée vive en Inde*socio=ac, grâce*socio=rien à l'essor*socio=rien de l'investissement*socio=ec1 et à la vigueur*socio=uv3 des exportations*socio=ec1. En Indonésie*socio=ac, l'expansion*socio=ec2 rapide*socio=rien des *socio=ec1 prêts bancaires *socio=nil et la croissance*socio=uv3 de l'investissement*socio=ec1 extérieur*socio=te ont continué de soutenir une activité*socio=rien dynamique*socio=uv4. Enfin, l'urbanisation rapide*socio=rien alimentée par d'importants*socio=uv4 investissements*socio=ec1 extérieurs*socio=te a permis*socio=rien au Viêt-nam d'enregistrer une croissance*socio=uv3 de plus de 9 %. Après*socio=rien avoir à peine augmenté en 1994, la production*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3 d'Europe*socio=ac et du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac a progressé de 3 1/4 % en 1995. Cet *socio=rien essor est le*socio=nil fruit,*socio=nil *socio=nil principalement, de l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien en Turquie*socio=ac où, après*socio=rien une profonde*socio=rien récession*socio=ec2, le redressement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien a porté la croissance*socio=uv3 à 7 %. L'amélioration*socio=uv1 de la stabilité*socio=uv3 régionale*socio=te a contribué à la vigueur*socio=uv3 de l'expansion*socio=ec2 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil notamment en Israël*socio=ac, en Jordanie*socio=ac et au Liban. En *socio=ac Arabie Saoudite,*socio=nil *socio=nil cependant, la faiblesse*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 et le resserrement*socio=ec2 de la politique*socio=et financière*socio=ec1 ont continué de déprimer l'activité*socio=rien. En Égypte*socio=ac, l'expansion*socio=ec2 s'est*socio=rien appuyée sur*socio=rien les progrès*socio=uv1 de la *socio=ec1 production industrielle et*socio=nil du*socio=rien tourisme,*socio=nil *socio=nil qui ont compensé le recul*socio=rien de la production*socio=ec1 cotonnière. Dans la *socio=ac République islamique d'*socio=nil Iran,*socio=nil croissance*socio=uv3 et*socio=nil investissement*socio=ec1 *socio=nil sont restés médiocres*socio=uv2 en raison*socio=rien des restrictions*socio=et sévères*socio=uv4 imposées au crédit*socio=ec1 et aux importations*socio=ec1 ainsi que du*socio=rien fléchissement*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1. En 1995, pour la *socio=rien première fois,*socio=nil la*socio=nil majorité des*socio=nil pays*socio=ac en*socio=nil transition*socio=ec2 *socio=nil ont enregistré une croissance*socio=uv3 positive*socio=uv4, même si la production*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac a accusé *socio=rien un nouveau recul *socio=nil d'environ 1 1/2 %. En Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te, l'accélération*socio=ec2 de la reprise s'est*socio=rien poursuivie partout sauf au Bélarus et en Ukraine*socio=ac. Cc sont les pays*socio=ac où la stabilisation*socio=et et les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 ont été*socio=rien le plus précoce*socio=rien et le plus énergique*socio=ec1 - Albanie*socio=ac, Pologne*socio=ac, *socio=ac République slovaque,*socio=nil République tchèque et*socio=nil Slovénie *socio=nil - qui affichent la croissance*socio=uv3 la plus solidement*socio=rien établie. Le développement*socio=uv3 rapide*socio=rien des échanges*socio=ec1, en particulier*socio=rien avec l' europe_de_l'_ouest*socio=te, et l'afflux*socio=ec1 des investissements_directs_étrangers*socio=ec1 ont largement contribué à cette expansion*socio=ec2. Parmi les économies_en_transition*socio=ec1 d'Asie*socio=ac centrale*socio=rien, enfin, la Mongolie*socio=ac a tiré profit*socio=ec1 elle aussi de ses efforts*socio=uv1 de stabilisation*socio=et et de réforme*socio=et. Dans les économies_en_transition*socio=ec1 où la stabilisation*socio=et et les réformes*socio=et ont été*socio=rien plus tentes ou moins soutenues, les résultats*socio=rien de la croissance*socio=uv3 ont été*socio=rien plus mitigés. En Arménie*socio=ac, l'expansion*socio=ec2 a dépassé 5 % pour la *socio=rien deuxième année consécutive,*socio=nil *socio=nil et l'inflation*socio=ec1 a sensiblement recule. Les progrès*socio=uv1 de la stabilisation*socio=et en 1995 ont ralenti l'inflation*socio=ec1, contribué à mettre *socio=rien un terme au*socio=nil processus*socio=te de*socio=nil contraction*socio=ec2 brutale *socio=nil de la production*socio=ec1 en Russie*socio=ac et en Géorgie*socio=ac, et permis*socio=rien à la République*socio=ac kirghize et à la République*socio=ac de Moldova*socio=ac de connaître une croissance*socio=uv3 modeste*socio=rien. L'Azerbaïdjan et le Kazakhstan*socio=ac ont engagé des politiques*socio=et financières*socio=ec1 rigoureuses*socio=uv4 en 1995, mais ces mesures*socio=et sont encore trop récentes*socio=rien pour avoir déjà pu donner des résultats*socio=rien en matière*socio=rien d'expansion*socio=ec2. En revanche, les dérapages*socio=uv4 survenus au Bélarus, au Tadjikistan*socio=ac et en Ukraine*socio=ac ont débouché*socio=ec1 à *socio=rien nouveau sur une*socio=nil forte contraction*socio=ec2 *socio=nil de la production*socio=ec1 et compromis*socio=uv1 les chances*socio=rien de reprise à court_terme*socio=te. Prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 et prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien. L'une des grandes*socio=rien réussites*socio=uv de l'année*socio=rien 1995 aura été*socio=rien le maintien*socio=rien d'une stabilité*socio=uv3 raisonnable*socio=uv4 des prix*socio=ec1 dans une *socio=rien grande partie du monde*socio=te *socio=nil alors que la croissance*socio=uv3 de l'activité_économique*socio=ec1 est*socio=rien restée soutenue. Ce succès*socio=uv1 est*socio=rien dû à la détermination*socio=rien des autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 à résister aux *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil *socio=nil En ce qui concerne les pays_industrialisés*socio=ac, les mesures*socio=et *socio=rien préventives prises *socio=nil en 1994 dans les pays*socio=ac où l'expansion*socio=ec2 était la plus avancée ont empêché l'accumulation*socio=ec2 de *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil C'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil ainsi qu'aux États-unis*socio=ac, la modération*socio=ec2 salariale*socio=ec1 et le ralentissement*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des coûts*socio=ec1 non salariaux*socio=ec1 ont aidé à maintenir l'inflation*socio=ec1 en deçà de 3 %, malgré un*socio=rien taux*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien des capacités*socio=uv3 élevé*socio=uv4. Au Canada*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 a enregistré une accélération*socio=ec2 passagère suite*socio=rien à la dépréciation*socio=ec2 des monnaies*socio=ec1 de ces deux pays*socio=ac, mais elle est*socio=rien restée modérée. Dans la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de l'Europe*socio=ac continentale*socio=te, et notamment en Allemagne*socio=ac et en France*socio=ac, les *socio=ec2 pressions inflationnistes ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil contenues parce que les ressources*socio=ec1 sont restées très largement sous-utilisées et, dans certains pays*socio=ac, parce que la monnaie*socio=ec1 s'est*socio=rien aussi appréciée. En Italie*socio=ac, cependant, l'inflation*socio=ec1 a dépassé 5 % en raison*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien de la lire et d'un*socio=rien alourdissement*socio=ec2 de la fiscalité*socio=et indirecte*socio=rien. La longue*socio=rien période*socio=te de croissance*socio=uv3 médiocre*socio=uv2 et l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien yen*socio=ec1 ont entraîné une légère*socio=rien baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 au Japon*socio=ac. La majorité*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 ont enregistré une décélération*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 en 1995 et le taux*socio=ec1 moyen*socio=rien de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 est*socio=rien tombé à 20 %, alors qu'il avait atteint 48 % en 1994. C'est*socio=rien dans l'hémisphère_occidental*socio=te que le recul*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 a été*socio=rien le plus net*socio=rien, puisqu'elle a été*socio=rien ramenée de 224 % en 1994 à 38 % en 1995. Ce résultat*socio=rien tient en *socio=rien grande partie au*socio=nil coup de*socio=nil frein spectaculaire *socio=nil donné à l'inflation*socio=ec1 au Brésil*socio=ac depuis l'introduction*socio=rien du*socio=rien réal en 1994 et la mise en oeuvre*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et de stabilisation*socio=et énergique*socio=ec1. Le ralentissement*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 s'est*socio=rien aussi confirmé en Argentine*socio=ac, où elle a atteint en fin*socio=rien d'année*socio=rien, à 1 1/2 % sur*socio=rien douze mois*socio=rien, son plus bas*socio=rien étiage en un*socio=rien demi-siècle. Au Mexique*socio=ac en revanche, la forte*socio=rien baisse*socio=ec2 du*socio=rien peso*socio=ec1 a alimenté une flambée inflationniste*socio=ec2 en 1995, et les autorités*socio=et ont adopté une politique*socio=et de rigueur*socio=uv3 financière*socio=ec1 afin de revenir à une stabilité*socio=uv3 raisonnable*socio=uv4 des prix*socio=ec1 en 1996. L'intensification*socio=ec2 des efforts*socio=uv1 de stabilisation*socio=et a permis*socio=rien de ralentir l'inflation*socio=ec1 dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac. Dans les pays*socio=ac de la zone*socio=te franc*socio=ec1, elle est*socio=rien tombée à 15 % en 1995, alors qu'elle avait atteint 28 % en 1994 après*socio=rien la dévaluation*socio=ec2 de 50 % du*socio=rien franc*socio=ec1 CFA. En Asie*socio=ac, elle est*socio=rien redescendue à 11 % en 1995, mais *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont continué à donner des signes de surchauffe préoccupants*socio=uv4. L'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée faible*socio=rien dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac de la région*socio=te Europe*socio=ac et Moyen-orient*socio=ac, mais elle est*socio=rien restée supérieure*socio=rien à 30 % en moyenne*socio=rien, ce qui s'explique sur*socio=rien tout par l'évolution*socio=te des prix*socio=ec1 en Turquie*socio=ac et, dans une *socio=rien moindre mesure,*socio=nil en*socio=nil *socio=ac République islamique d'*socio=nil Iran.*socio=nil La*socio=nil plupart*socio=rien des*socio=nil pays en*socio=nil transition*socio=ec2 *socio=nil ont confirmé en 1995 les gains*socio=ec1 durement acquis*socio=uv2 dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 (graphique*socio=rien 4). Parmi les pays*socio=ac les plus avancés dans la transition*socio=ec2, la *socio=ac République slovaque *socio=nil et la *socio=ac République tchèque,*socio=nil *socio=nil de même que l'Albanie*socio=ac et la Croatie*socio=ac, ont pu maintenir l'inflation*socio=ec1 au-dessous de 10 %. D'autres pays*socio=ac, tels que la Pologne*socio=ac, la Hongrie*socio=ac et les *socio=ac États baltes,*socio=nil *socio=nil ont enregistré une inflation*socio=ec1 comprise entre 20 et 40 %. Quant aux pays*socio=ac moins avancés dans le processus*socio=te de transition*socio=ec2, nombre*socio=rien d'entre eux ont aussi accompli des progrès*socio=uv1 remarquables*socio=uv4 dans la réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 (graphique*socio=rien 5). L'adoption*socio=uv3 d'une politique*socio=et financière*socio=ec1 plus rigoureuse*socio=uv4 a permis*socio=rien à la Russie*socio=ac de progresser considérablement*socio=rien en ramenant le taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 mensuel*socio=rien, qui était de 18 % en janvier*socio=rien, à 3 1/4 % à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. En Arménie*socio=ac, en Azerbaïdjan, en Bulgarie*socio=ac, au Kazakhstan*socio=ac comme dans la République*socio=ac de Moldova*socio=ac, la République*socio=ac kirghize et l'Ouzbékistan*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 *socio=rien mensuelle est *socio=nil restée nettement inférieure*socio=rien à 10 %. *socio=rien Après un léger *socio=nil mieux en début*socio=rien d'année*socio=rien, l'inflation*socio=ec1 s'est*socio=rien aggravée au Turkménistan et surtout au Tadjikistan*socio=ac, en raison*socio=rien des dérapages*socio=uv4 de la politique*socio=et financière*socio=ec1. Exprimés en dollars*socio=ec1, les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien hors combustibles*socio=ec1 ont augmenté de 8 1/2 % en 1995, après*socio=rien avoir progresse vivement au début*socio=rien de l'année*socio=rien lorsque le dollar*socio=ec1 se dépréciait, puis diminué par paliers*socio=rien jusqu'à la fin*socio=rien de 1995. Globalement, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 des céréales*socio=ec1 ainsi que des graines et tourteaux de soja a largement compense la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien café*socio=ec1. Au cours*socio=rien des quatre *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1996, les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien hors combustibles*socio=ec1 ont augmenté de 3 %, entraînés par la *socio=rien forte hausse des*socio=nil prix*socio=ec1 des*socio=nil céréales*socio=ec1 *socio=nil et des aliments*socio=ec1 pour animaux due elle-même au *socio=rien faible niveau des*socio=nil stocks*socio=ec1 mondiaux*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil prix*socio=ec1 moyen du pétrole*socio=ec1 brut,*socio=nil *socio=nil exprimé en dollars*socio=ec1, a augmenté de 9 1/2 % en 1995 en raison*socio=rien de la vigueur*socio=uv3 inattendue*socio=uv4 de la demande*socio=ec1 et du*socio=rien fléchissement*socio=ec2 dit dollar*socio=ec1 au *socio=rien premier semestre,*socio=nil puis*socio=nil du recul *socio=nil de la production*socio=ec1 mexicaine*socio=ac, *socio=rien du faible niveau des*socio=nil stocks*socio=ec1 *socio=nil de fuel domestique et des problèmes*socio=uv4 de livraison*socio=rien de pétrole*socio=ec1 russe*socio=ac à l'Europe*socio=ac occidentale*socio=te au *socio=rien second semestre.*socio=nil Les*socio=nil prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 brut *socio=nil ont enregistré de *socio=rien fortes variations au*socio=nil début *socio=nil de 1996, poussés à la hausse*socio=rien par les vagues de froid*socio=rien hivernal, puis à la baisse*socio=ec2 par les périodes*socio=te de redoux ou les signes d'une reprise possible*socio=rien des livraisons*socio=rien irakiennes. Marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 et marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1995 ont été*socio=rien marqués par d'amples*socio=rien fluctuations*socio=ec2 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1, le dollar*socio=ec1 cédant *socio=rien du terrain au*socio=nil yen*socio=ec1 en*socio=nil particulier,*socio=nil *socio=nil mais aussi au *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil et à d'autres monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac. Il en est*socio=rien résulté un*socio=rien désalignement*socio=uv3 considérable*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1, avant que les parités*socio=ec1 n'évoluent vers des niveaux*socio=rien plus conformes*socio=uv4 aux données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4. L'année*socio=rien a vu également se retourner la tendance*socio=ec2 mondiale*socio=te à la *socio=rien hausse du rendement*socio=ec1 des*socio=nil obligations*socio=uv1 *socio=nil apparue en 1994; bien*socio=rien que les rendements*socio=ec1 se soient de nouveau*socio=rien orientés à la hausse*socio=rien au début*socio=rien de 1996, ils sont restés le plus souvent inférieurs*socio=rien à ceux observés pendant l'essentiel*socio=uv4 des deux *socio=rien années précédentes.*socio=nil *socio=nil Dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te ont enregistré une forte*socio=rien baisse*socio=ec2 en 1995 et au début*socio=rien de 1996, et les cours*socio=rien des actions*socio=ec1 une hausse*socio=rien prononcée. L'évolution*socio=te des marchés_financiers*socio=ec1 et des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1995 et au début*socio=rien de 1996 a donc été*socio=rien généralement favorable*socio=uv4 à l'expansion*socio=ec2 mondiale*socio=te. S'il *socio=rien est difficile *socio=nil d'expliquer en totalité*socio=rien l'évolution*socio=te des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 sur*socio=rien les marches des changes*socio=ec1 au début*socio=rien de 1995, elle est*socio=rien, semble-t-il, le produit*socio=rien de plusieurs facteurs*socio=rien. La dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1 s'explique à la fois*socio=rien par les retombées*socio=rien de la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac, l'affaiblissement*socio=ec2 des anticipations*socio=uv3 d'un*socio=rien relèvement*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 américains*socio=ac lié à la décélération*socio=ec2 très sensible*socio=rien de la croissance*socio=uv3 aux États-unis*socio=ac, la persistance*socio=te du*socio=rien déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien des États-unis*socio=ac et le désintérêt des investisseurs*socio=ac pour les actifs*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1. L'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil tient notamment aux inquiétudes*socio=rien liées à l'avenir*socio=te de l'UEM*socio=et compte*socio=ec1 tenu, en particulier*socio=rien, de l'évolution*socio=te des finances*socio=ec1 publiques*socio=et dans les autres *socio=ac pays européens,*socio=nil *socio=nil et celle du*socio=rien yen*socio=ec1 semble *socio=rien devoir être *socio=nil imputée en partie*socio=rien aux craintes*socio=uv1 suscitées alors par la lenteur*socio=rien apparente de la correction*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te du*socio=rien japon*socio=ac. À la mi-avril 1995, le dollar*socio=ec1 s'était déprécié de 8 1/2 % en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1 par*socio=nil rapport *socio=nil à la fin*socio=rien de 1994, tandis que le yen*socio=ec1 et le *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil s'étaient appréciés de 17 % et 6 %, respectivement. On a pu craindre que la *socio=rien hausse du yen*socio=ec1 et*socio=nil du *socio=ec1 deutsche mark n'*socio=nil entrave*socio=ec2 *socio=nil la reprise au Japon*socio=ac et en Allemagne*socio=ac et que la baisse*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1 n'aide*socio=uv1 guère à endiguer les *socio=ec2 pressions inflationnistes aux*socio=nil États-unis*socio=ac.*socio=nil L'*socio=nil intervention*socio=et *socio=nil concertée et la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 au Japon*socio=ac et en Allemagne*socio=ac ont permis*socio=rien de corriger ces désalignements*socio=uv3 pendant le reste*socio=rien de l'année*socio=rien. *socio=rien Fin avril *socio=nil 1996, la valeur*socio=ec1 *socio=rien effective nominale du *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil avait à peu près retrouvé son niveau*socio=rien de la fin*socio=rien de 1994, et celle du*socio=rien dollar*socio=ec1 n'accusait qu'une baisse*socio=ec2 d'environ 1 %. Quant à la monnaie*socio=ec1 japonaise*socio=ac, après*socio=rien avoir atteint *socio=rien un sommet en*socio=nil avril *socio=nil 1995 où elle s'échangeait au taux*socio=ec1 de 81 yen*socio=ec1 pour 1 dollar*socio=ec1, elle s'est*socio=rien dépréciée pour retomber à 104 yen*socio=ec1 pour 1 dollar*socio=ec1 *socio=rien fin avril *socio=nil 1996, enregistrant une perte*socio=ec2 *socio=rien effective nominale *socio=nil de 6 % par rapport*socio=rien à la fin*socio=rien de 1994. Toujours sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, les tensions*socio=ec2 se sont également dissipées au *socio=rien sein du système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac (*socio=nil SME*socio=ec1)*socio=nil après le*socio=nil printemps *socio=nil 1995, quoique les préoccupations*socio=uv4 soulevées par les politiques_budgétaires*socio=et et les incertitudes*socio=uv3 concomitantes pesant sur*socio=rien l' union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 (UEM*socio=et) aient exercé à diverses*socio=rien reprises des pressions*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien le franc*socio=ec1 français*socio=rien et la lire italienne*socio=ac vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. Entre la fin*socio=rien de 1994 et *socio=rien fin avril *socio=nil 1996, le franc*socio=ec1 français*socio=rien s'est*socio=rien légèrement apprécié vis-à-vis dit *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil et a gagné 2 1/2 % en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil contre 3 % pour la lire. La livre sterling*socio=ec1 s'est*socio=rien encore dépréciée de 4 1/2 % en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1 au*socio=nil cours *socio=nil de la même période*socio=te, tandis que le franc*socio=ec1 suisse*socio=ac se raffermissait tant vis-à-vis du*socio=rien dollar*socio=ec1 que des autres monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac, en particulier*socio=rien au début*socio=rien de 1995, ce qui s'explique notamment par l'attrait*socio=rien de cette monnaie*socio=ec1 en tant que valeur*socio=ec1 refuge*socio=uv3. La pression*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1 s'est*socio=rien atténuée après*socio=rien le référendum*socio=et d'octobre*socio=rien au Québec*socio=ac et, à la *socio=rien fin avril *socio=nil 1996, la monnaie*socio=ec1 canadienne*socio=ac s'inscrivait en hausse*socio=rien par rapport*socio=rien à la fin*socio=rien de 1994, que ce soit vis-à-vis du*socio=rien dollar*socio=ec1 ou en *socio=rien termes effectifs.*socio=nil Les*socio=nil autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 *socio=nil de la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, constatant la décélération*socio=ec2 persistante*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 et l'essoufflement*socio=ec1 de la croissance*socio=uv3, ont laissé les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te diminuer en 1995 et au début*socio=rien de 1996. Ceux-ci ont baissé de près de deux points*socio=rien en Allemagne*socio=ac, au Canada*socio=ac, en France*socio=ac et au Japon*socio=ac pendant la période*socio=te considérée. Au Japon*socio=ac, la banque_centrale*socio=ac a guidé la baisse*socio=ec2 des taux*socio=ec1 à court_terme*socio=te sur*socio=rien le marché*socio=ec1 et a ramené en deux étapes*socio=te -avril et septembre*socio=rien 1995 - le taux*socio=ec1 d'escompte officiel*socio=et à 1/2 %, ce qui constitue un*socio=rien étiage historique*socio=te. Dans les autres pays*socio=ac, les taux*socio=ec1 à court_terme*socio=te ont diminué surtout au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1995. La Réserve*socio=ec1 fédérale*socio=et des États-unis*socio=ac a poursuivi, au début*socio=rien de 1995, le resserrement*socio=ec2 des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil qu'elle avait engagé en 1994; mais elle a pris, au *socio=rien second semestre *socio=nil 1995 et au début*socio=rien de 1996, des mesures*socio=et d'assouplissement*socio=uv3 qui ont contribué à abaisser les taux*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 d'un*socio=rien point*socio=rien par rapport*socio=rien à leurs niveaux*socio=rien de la fin*socio=rien de 1994. Des taux*socio=ec1 directeurs*socio=ac ont aussi été*socio=rien abaissés à la fin*socio=rien de 1995 et au début*socio=rien de 1996 en Allemagne*socio=ac, au Canada*socio=ac, en France*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac. L'existence*socio=rien d'une inflation*socio=ec1 comparativement élevée*socio=uv4 a empêché l'Italie*socio=ac de prendre des mesures*socio=et similaires*socio=rien. La baisse*socio=ec2 généralisée des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te amorcée à la fin*socio=rien de 1994 s'est*socio=rien poursuivie, dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, jusqu'à la fin*socio=rien de janvier*socio=rien 1996, date à laquelle la hausse*socio=rien des taux*socio=ec1 longs*socio=rien de 1994 était presque entièrement effacée dans plusieurs pays*socio=ac, et en particulier*socio=rien aux États-unis*socio=ac. Ces mouvements*socio=ec2 de repli*socio=rien résultent, semble-t-il, d'une révision*socio=rien en baisse*socio=ec2 des projections*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 et d'inflation*socio=ec1, de la réduction*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te permise par les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 et de l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te d'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et dans différents*socio=rien pays*socio=ac. Depuis la *socio=rien fin janvier *socio=nil 1996, toutefois, les taux*socio=ec1 longs*socio=rien sont de nouveau*socio=rien orientés à la hausse*socio=rien. Ce renversement*socio=rien de tendance*socio=ec2 paraît du*socio=rien en partie*socio=rien à la révision*socio=rien, devant*socio=rien la bonne*socio=rien tenue de certains *socio=ec1 indicateurs économiques et*socio=nil monétaires *socio=nil dans quelques grands*socio=rien pays*socio=ac ' des anticipations*socio=uv3 du*socio=rien marché*socio=ec1 quant à la correction*socio=ec2 des politiques_monétaires*socio=et à court_terme*socio=te, mais il pourrait aussi provenir dans une *socio=rien certaine mesure *socio=nil d'une évaluation*socio=ec2 moins optimiste*socio=uv2 des perspectives*socio=te budgétaires*socio=et. Dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac toutefois, et malgré ce renversement*socio=rien de tendance*socio=ec2, les taux*socio=ec1 longs*socio=rien demeuraient inférieurs*socio=rien de plus d'un*socio=rien point*socio=rien, *socio=rien fin avril *socio=nil 1995, à leurs niveaux*socio=rien de la fin*socio=rien de 1994. Le recul*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 en 1995 et au début*socio=rien de 1996 est*socio=rien à l'origine*socio=rien du*socio=rien dynamisme*socio=uv3 affiché par la plupart*socio=rien des marchés*socio=ec1 d'actions*socio=ec1. La forte*socio=rien progression*socio=ec2 des profits*socio=ec1 a constitué *socio=rien un facteur supplémentaire *socio=nil dans des pays*socio=ac tels que les États-unis*socio=ac, où le, cours*socio=rien de la bourse*socio=ac ont enregistré des gains*socio=ec1 d'environ 40 %. Soldes*socio=ec1, financement*socio=ec1 et endettement*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Les échanges_mondiaux*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et services*socio=et ont progressé de 9 % en 1995, soit plus de deux fois*socio=rien plus vite que la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 mondiale*socio=te. La poursuite*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 *socio=rien rapide du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te peut*socio=nil être *socio=nil imputée à plusieurs facteurs*socio=rien : les progrès*socio=uv1 accomplis dans la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1, en particulier*socio=rien l'ouverture*socio=uv3 accrue de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 et d'économies_en_transition*socio=ec1; la diversification*socio=ec2 internationale*socio=ac croissante*socio=rien de la production*socio=ec1, due notamment à la sous-traitance*socio=ec1 pratiquée par les *socio=ac entreprises multinationales;*socio=nil *socio=nil et l'essor*socio=rien rapide*socio=rien des échanges*socio=ec1 entre pays_en_développement*socio=uv3, particulièrement en Asie*socio=ac et en amérique_latine*socio=ac. Le tableau*socio=rien 2, qui retrace l'évolution*socio=te des soldes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te en 1995, montre que le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien des États-unis*socio=ac est*socio=rien demeuré légèrement supérieur*socio=rien à 2 % du*socio=rien PIB*socio=ec1, la diminution*socio=ec2 des transferts_officiels*socio=et vers les pays*socio=ac tiers*socio=rien et l'amélioration*socio=uv1 du*socio=rien revenu*socio=ec1 net*socio=rien des investissements*socio=ec1 ayant compensé l'aggravation*socio=ec2 du*socio=rien *socio=ec1 déficit commercial *socio=nil entraînée par le ralentissement*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 et l'essor*socio=rien des importations*socio=ec1 malgré l'atonie*socio=ec2 de la demandé intérieure*socio=te. L'excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=rien courant du Japon*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui représentait 2 3/4 %du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1994, a encore diminué pour s'établir à 2 1/4 % en 1995, ce qui s'explique par les restructurations*socio=et intervenues dans le secteur*socio=rien industriel*socio=ec1 et les courants*socio=te d'échanges*socio=ec1 et par l'effet*socio=rien retardé de l'appréciation*socio=uv3 réelle*socio=ec2 du*socio=rien yen*socio=ec1 au cours*socio=rien des *socio=rien années précédentes.*socio=nil En*socio=nil Europe*socio=ac,*socio=nil l'*socio=nil excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te courant *socio=nil de l'Italie*socio=ac a progressé jusqu'à atteindre 2 1/2% du*socio=rien PIB*socio=ec1, la dépréciation*socio=ec2 de la lire sur*socio=rien la période*socio=te 1992-95 et l'évolution*socio=te favorable*socio=uv4 des coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac avant stimulé les exportations*socio=ec1. L'excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien de la France*socio=ac s'est*socio=rien aussi légèrement accru, tandis que l'Allemagne*socio=ac et la Grande-bretagne*socio=ac continuaient d'afficher des déficits*socio=ec1 limités. Le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 a globalement peu évolué en 1995, bien*socio=rien que l'on constate des variations*socio=rien d'une région*socio=te à l'autre. En Asie*socio=ac, l'Indonésie*socio=ac, la Malaisie*socio=ac et la Thaïlande*socio=ac ont vu leur déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien se creuser très sensiblement, car le dynamisme*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a aiguillonné la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1, notamment en ce qui concerne les biens*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1 professionnels*socio=ec1. Des difficultés*socio=uv4 d'approvisionnement*socio=ec1 ont contribué, par ailleurs*socio=rien, à la forte*socio=rien accélération*socio=ec2 des importations*socio=ec1 de produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1 en Indonésie*socio=ac. En Chine*socio=ac, au contraire*socio=rien, la montée en flèche des exportations*socio=ec1 au cours*socio=rien de l'année*socio=rien a accru l'excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien. *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil de l'hémisphère_occidental*socio=te ont réduit leur déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien en 1995. Les importations*socio=ec1 ont fléchi sous l'impulsion*socio=ec2 des politiques*socio=et d'ajustement*socio=et mises en *socio=rien oeuvre après la*socio=nil crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 mexicaine*socio=ac,*socio=nil *socio=nil alors que les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 ont enregistré une progression*socio=ec2 due, à des degrés*socio=rien divers, à la dépréciation*socio=ec2 des monnaies*socio=ec1, aux gains*socio=ec1 de productivité*socio=uv3 dégagés par les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, aux mesures*socio=et prises*socio=rien pour diminuer les cours*socio=rien et supprimer les distorsions*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 ou à l'évolution*socio=te favorable*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1. Le Mexique*socio=ac a presque totalement résorbé son déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien en 1995, alors que celui-ci s'élevait à 8 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 environ en 1994. Les gains*socio=ec1 de compétitivité*socio=uv3 dégagés par la baisse*socio=ec2 des salaires*socio=ec1 et des prix*socio=ec1, et par l'amélioration*socio=uv1 très sensible*socio=rien de la productivité*socio=uv3, mais également la contraction*socio=ec2 du*socio=rien PIB*socio=ec1 ont permis*socio=rien à l'Argentine*socio=ac de réduire elle aussi son déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te Courant*socio=rien en 1995, pour le ramener aux alentours*socio=rien de 1 % du*socio=rien PIB*socio=ec1. La hausse*socio=rien des *socio=rien cours du cuivre*socio=ec1 *socio=nil a aidé le Chili*socio=ac a dégager un*socio=rien solde*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien légèrement excédentaire*socio=rien, alors que le Brésil*socio=ac a enregistré un*socio=rien déficit*socio=ec1 de 2 1/2 % du*socio=rien PIB*socio=ec1, après*socio=rien avoir frôlé l'équilibre*socio=ec2 les deux *socio=rien années précédentes.*socio=nil En*socio=nil Afrique*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil déficits*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants de*socio=nil nombreux*socio=rien pays*socio=ac *socio=nil se sont creusés en raison*socio=rien de l'essor*socio=rien des importations*socio=ec1 et de la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 de certains produits*socio=rien de base*socio=rien au *socio=rien cours du second semestre.*socio=nil En*socio=nil Ouganda*socio=ac,*socio=nil *socio=nil le doublement des prix*socio=ec1 du*socio=rien café*socio=ec1 entre la fin*socio=rien de 1994 et le début*socio=rien de 1995 a soutenu les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 mais n'a pas suffi à empêcher le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien de s'aggraver. Celui de l'afrique_du_sud*socio=ec1 s'est*socio=rien également creusé en dépit*socio=rien de la progression*socio=ec2 des exportations*socio=ec1, car la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te de biens*socio=ec1 manufacturés et de produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1 importés a augmenté. Parmi les pays*socio=ac en transition*socio=ec2, la Hongrie*socio=ac a vu son déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien chuter en 1995 sous l'effet*socio=rien des mesures*socio=et correctives*socio=ec2 qu'elle a mises en oeuvre*socio=rien. Dans la *socio=ac République tchèque,*socio=nil *socio=nil en revanche, la vigueur*socio=uv3 de la croissance*socio=uv3 a entraîné *socio=rien un creusement du déficit*socio=ec1 des*socio=nil transactions_courantes*socio=te *socio=nil dû en particulier*socio=rien à la rapide*socio=rien progression*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1. Les entrées nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 dans les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 se sont redressées au *socio=rien cours du second semestre *socio=nil 1995, après*socio=rien la forte*socio=rien chute enregistrée dans le sillage*socio=rien de la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 mexicaine*socio=ac. En fait*socio=rien les flux*socio=ec1 nets*socio=rien de capitaux*socio=ec1 à destination*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 n'ont jamais été*socio=rien aussi élevés*socio=uv4 qu'en 1995. Cependant, une fois*socio=rien la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac conjurée, les flux*socio=ec1 à destination*socio=rien de certains pays*socio=ac ne se sont pas pleinement rétablis, en particulier*socio=rien pour ceux où la crise*socio=uv2 a mis en lumière*socio=rien la faiblesse*socio=ec2 du*socio=rien marché_financier*socio=ec1 intérieur*socio=te. La baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac a contribué au redressement*socio=ec2 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 vers les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2, tout comme la réaction*socio=rien favorable*socio=uv4 des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 au resserrement*socio=ec2 de la politique_économique*socio=ec1 opéré dans de nombreux*socio=rien marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2. En amérique_latine*socio=ac, à l'exception*socio=rien du*socio=rien Mexique*socio=ac et de l'Argentine*socio=ac, les entrées de capitaux_privés*socio=ec1 ont dépassé les niveaux*socio=rien atteints en 1994, et la hausse*socio=rien a été*socio=rien particulièrement marquée dans le *socio=rien cas du Brésil*socio=ac.*socio=nil Les*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 d'*socio=nil Asie*socio=ac *socio=nil ont continué d'attirer des volumes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 considérables*socio=rien, et les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 à destination*socio=rien de l' afrique_du_sud*socio=ec1, de la Turquie*socio=ac et de l'Europe*socio=ac centrale*socio=rien se sont amplifiés. La *socio=rien rapidité du redressement*socio=ec2 *socio=nil des entrées de capitaux*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 montre que ces flux*socio=ec1 dépendent en *socio=rien grande partie des*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil réalisés ces *socio=rien dernières années *socio=nil dans le cadre*socio=rien des politiques*socio=et mises en oeuvre*socio=rien. Les *socio=ec1 flux financiers officiels*socio=et *socio=nil vers les pays_en_développement*socio=uv3 et en transition*socio=ec2 ont atteint des niveaux*socio=rien inhabituellement élevés*socio=uv4 en 1995. en particulier*socio=rien, l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac a atteint 26,8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, soit plus du*socio=rien triple de son niveau*socio=rien de 1994, en raison*socio=rien notamment des prêts*socio=ec1 de 13 milliards*socio=rien et de 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 qui ont été*socio=rien consentis respectivement au Mexique*socio=ac et à la Russie*socio=ac pour soutenir les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et de *socio=rien grande envergure *socio=nil qu'ils ont engagés. La dette*socio=ec1 extérieure*socio=te de l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 et en transition*socio=ec2, exprimée en pourcentage*socio=rien des exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et services*socio=et, a continué de décliner en 1995 (graphique*socio=rien 6). Toutefois, en dépit*socio=rien dé quelques améliorations*socio=uv1, le fardeau*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 des pays*socio=ac de l'Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te demeure élevé*socio=uv4 en comparaison*socio=rien de celui d'autres régions*socio=te. Le ratio*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 et en transition*socio=ec2 est*socio=rien resté stable*socio=uv4 en 1995, encore qu'il ait augmenté dans les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac et ceux de l'hémisphère_occidental*socio=te. De nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien accomplis en 1995 et au début*socio=rien de 1996 dans la restructuration*socio=et des *socio=ec1 dettes bancaires des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil lourdement endettés. Au mois*socio=rien de février*socio=rien 1996, le montant*socio=ec1 des accords*socio=et de restructuration*socio=et de *socio=ec1 dette bancaire *socio=nil conclus par 25 pays*socio=ac s'élevait à 173 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. En octobre*socio=rien 1995, le Panama*socio=ac a conclu avec des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 un*socio=rien accord*socio=et de réduction*socio=ec2 de l'encours et du*socio=rien service*socio=et de sa dette*socio=ec1, et l'Algérie*socio=ac un*socio=rien accord*socio=et prévoyant le rééchelonnement*socio=et de 3,2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 sur*socio=rien les 4,2 milliards*socio=rien que représente sa *socio=ec1 dette bancaire totale*socio=rien.*socio=nil Le*socio=nil Pérou*socio=ac *socio=nil a annoncé la conclusion*socio=rien d'un*socio=rien accord_de_principe*socio=et, tandis que le Viêt-nam et la côte_d'_ivoire*socio=ac poursuivaient leurs négociations*socio=et avec leurs créanciers*socio=ac bancaires*socio=ec1. L'Albanie*socio=ac, l'Éthiopie, le Nicaragua*socio=ac et la Sierra*socio=rien Leone ont procédé*socio=rien à des rachats*socio=ec1 de *socio=ec1 dette bancaire *socio=nil à une forte*socio=rien décote*socio=ec2, sous l'égide*socio=rien du*socio=rien Fonds*socio=ec1 de désendettement*socio=ec2 des pays*socio=ac exclusivement IDA*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac. En novembre*socio=rien 1995, les négociations*socio=et entre la Russie*socio=ac, le Club*socio=rien de Londres*socio=ac et les créanciers*socio=ac institutionnels*socio=et ont abouti à un*socio=rien accord_de_principe*socio=et sur*socio=rien le rééchelonnement*socio=et de la *socio=ec1 dette bancaire *socio=nil et des arriérés de paiements_d'_intérêts*socio=ec1 hérités de l'ex-urss*socio=ac. La Slovénie*socio=ac est*socio=rien parvenue à un*socio=rien accord*socio=et avec des créanciers*socio=ac bancaires*socio=ec1 concernant sa reprise d'une partie*socio=rien de la dette*socio=ec1 de l'ex-république*socio=ac *socio=et fédérative socialiste de*socio=nil Yougoslavie*socio=ac.*socio=nil Les*socio=nil créanciers*socio=ac *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac *socio=nil ont continué à progresser dans le rééchelonnement*socio=et de la dette*socio=ec1 aux conditions*socio=ec1 dites de Naples*socio=ac adoptées en décembre*socio=rien 1994, qui prévoient une réduction*socio=ec2 pouvant atteindre jusqu'à 67 % de la valeur*socio=ec1 actuelle*socio=te nette*socio=rien de la dette*socio=ec1 restructurable de la plupart*socio=rien des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 (rééchelonnement*socio=et des flux*socio=ec1). En outre, les pays*socio=ac qui peuvent se prévaloir d'antécédents*socio=ec1 satisfaisants*socio=uv4 dans l'application*socio=rien d'accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et et de programmes*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, et que leurs créanciers*socio=ac estiment être*socio=rien en mesure*socio=rien de respecter les termes*socio=rien d'un*socio=rien nouvel*socio=rien accord, peuvent obtenir*socio=rien le rééchelonnement*socio=et à des *socio=ec1 conditions concessionnelles *socio=nil de la totalité*socio=rien de l'encours de leur dette*socio=ec1 restructurable (opération*socio=rien sur*socio=rien l'encours de la dette*socio=ec1). *socio=rien Fin avril *socio=nil 1996, seize accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et avaient été*socio=rien conclus aux conditions*socio=ec1 de Naples*socio=ac, dont quatorze rééchelonnements*socio=et de flux*socio=ec1 et deux *socio=rien opérations sur *socio=nil l'encours de la dette*socio=ec1 (au bénéfice*socio=uv1 du*socio=rien Guyana*socio=ac et de l'Ouganda*socio=ac). Les créanciers*socio=ac *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac *socio=nil ont également conclu avec cinq*socio=rien pays*socio=ac à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien des opérations*socio=rien de rééchelonnement*socio=et assortis de conditions*socio=ec1 non concessionnelles*socio=ec1 au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1996, dont deux accords*socio=et avec la Russie*socio=ac, en juin*socio=rien 1995 et en avril*socio=rien 1996. Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. L'examen*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te auquel le conseil_d'_administration*socio=ac procède deux fois*socio=rien par *socio=rien an fait partie intégrante *socio=nil de la surveillance*socio=et que le FMI*socio=ac exerce sur*socio=rien l'évolution*socio=te et la politique_économiques*socio=ec1 des *socio=ac États membres et*socio=nil sur*socio=rien l'*socio=nil économie*socio=ec1 mondiale*socio=te.*socio=nil Ce*socio=nil tour*socio=rien d'*socio=nil horizon*socio=rien des*socio=nil perspectives*socio=te *socio=nil et des politiques_économiques*socio=et à travers*socio=rien le monde*socio=te est*socio=rien l'aboutissement*socio=rien d'une étude*socio=ec2 exhaustive*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te qui présente*socio=rien des analyses*socio=ec2 détaillées des perspectives*socio=te à court*socio=rien et à *socio=rien moyen terme *socio=nil pour le monde*socio=te dans son ensemble*socio=rien ainsi que des différents*socio=rien pays*socio=ac et groupes_de_pays*socio=ac. Il se fonde pour l'essentiel*socio=uv4 sur*socio=rien les informations*socio=rien recueillies par les services*socio=et de l'institution*socio=ac à l'occasion*socio=rien des consultations*socio=uv1 avec les *socio=ac États membres *socio=nil et fournit *socio=rien un cadre *socio=nil pour l'analyse*socio=ec2 des interactions*socio=rien entre les politiques_économiques*socio=et des différents*socio=rien pays*socio=ac. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien budgétaire*socio=et 1995 / 96, le conseil_d'_administration*socio=ac a consacré deux séries de discussions*socio=et aux perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, en septembre*socio=rien 1995 et en mars*socio=rien 1996. *socio=rien Un large éventail de*socio=nil questions a*socio=nil été abordé*socio=nil lors *socio=nil de chaque séance*socio=rien. Compte*socio=ec1 tenu du*socio=rien rôle*socio=et prépondérant*socio=rien que jouent désormais les marchés_financiers*socio=ec1 dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, les administrateurs*socio=ac ont accordé une attention*socio=rien toute particulière*socio=rien, en septembre*socio=rien 1995, aux relations*socio=rien entre les politiques*socio=et nationales*socio=te et l'intégration*socio=uv1 clans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, notamment en ce qui concerne les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2. En mars*socio=rien 1996, ils ont centré leur *socio=rien réflexion sur les*socio=nil questions *socio=nil qui, dans le domaine*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, exigent d'être*socio=rien affrontées à l'échelle*socio=rien mondiale*socio=te pour permettre à tous les pays*socio=ac de s'orienter vers une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 durable*socio=uv4 (voir encadré 1). Situation*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. En septembre*socio=rien 1995, lors*socio=rien de leur évaluation*socio=ec2 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 mondiale*socio=te, les administrateurs*socio=ac ont convenu que son bilan*socio=rien demeurait dans l'ensemble*socio=rien positif*socio=uv4, une *socio=rien grande partie des*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil bénéficiant d'une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 persistante*socio=rien et affichant une inflation*socio=ec1 relativement faible*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont constaté que l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te a bien*socio=rien résisté aux perturbations*socio=ec2 récentes*socio=rien des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. Ils ont pris note avec satisfaction*socio=uv3 *socio=rien du réalignement des*socio=nil principales monnaies*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil lequel semble avoir corrigé en *socio=rien grande partie *socio=nil le surajustement observé plus tôt dans l'année*socio=rien, et avoir réduit les risques*socio=uv3 qui grevaient les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2 dans quelques grands*socio=rien pays*socio=ac. Seule*socio=rien une *socio=rien vigilance constante des*socio=nil pouvoirs_publics*socio=et *socio=nil permettra de tirer le meilleur*socio=uv4 parti*socio=et de ces perspectives*socio=te favorables*socio=uv4, et les administrateurs*socio=ac ont estimé que la Déclaration*socio=et de Madrid, adoptée par le comité_intérimaire*socio=ac en octobre*socio=rien 1994 (Rapport*socio=rien annuel*socio=te, 1995, pages*socio=rien 226-227), demeure, dans ses *socio=rien grandes lignes,*socio=nil un cadre de*socio=nil référence pertinent *socio=nil pour l'orientation*socio=et des politiques_économiques*socio=et. En ce qui concerne les risques*socio=uv3 majeurs*socio=rien qui pèsent sur*socio=rien l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, plusieurs administrateurs*socio=ac ont exprimé la crainte*socio=uv1 que certains des facteurs*socio=rien qui ont pu se trouver à l'origine*socio=rien des turbulences*socio=ec2 observées sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 plus tôt dans l'année*socio=rien puissent entraîner à *socio=rien nouveau un volte-face des*socio=nil marchés*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ils ont souligné les risques*socio=uv3 qu'implique l'instabilité*socio=uv3 sur*socio=rien des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 intégrés mondialement et les inquiétudes*socio=rien que suscite la stabilité*socio=uv3 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 de plusieurs pays*socio=ac. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont mis en garde*socio=rien contre une réaction*socio=rien excessive*socio=uv4 au ralentissement*socio=ec2 temporaire*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 que connaîtront probablement quelques grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, qui consisterait à différer les mesures*socio=et de rééquilibrage*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et à mener une politique*socio=et de relance*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 trop stimulante. Les administrateurs*socio=ac ont souligné qu'il convient de s'attaquer résolument aux problèmes*socio=uv4 posés par un*socio=rien chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2 élevé*socio=uv4 et des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et excessifs*socio=uv4. Lorsqu'ils ont dressé le bilan*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te en mars*socio=rien 1996, les administrateurs*socio=ac ont constaté que la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien poursuivie à un*socio=rien rythme*socio=ec2 satisfaisant*socio=rien en moyenne*socio=rien, bien*socio=rien qu'elle ait accusé, en Europe*socio=ac occidentale*socio=te comme en amérique_du_nord*socio=ac, un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 plus marqué que prévu, ce qui a entraîné une nouvelle*socio=rien progression*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1 dans certains pays*socio=ac où il était déjà élevé*socio=uv4. Cependant, étant donné le *socio=rien faible niveau *socio=nil de l'inflation*socio=ec1 et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 tout à fait*socio=rien modérés observés dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, les administrateurs*socio=ac ont estimé que ce ralentissement*socio=ec2 ne serait que temporaire*socio=rien, et sont restés optimistes*socio=uv2 quant aux perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Parallèlement, l'activité*socio=rien est*socio=rien restée soutenue dans le monde*socio=te en développement*socio=uv3, en particulier*socio=rien dans les économies*socio=ec1 à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien qui ont mis en oeuvre*socio=rien d'ambitieux*socio=uv2 programmes*socio=et de stabilisation*socio=et et de réforme*socio=et. Quant aux risques*socio=uv3 de nature*socio=rien à assombrir les *socio=te perspectives mondiales,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont souscrit dans l'ensemble*socio=rien à l'analyse*socio=ec2 des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, qui considèrent que les principales*socio=rien menaces*socio=uv4 pour la viabilité*socio=uv3 de la croissance*socio=uv3 sont l'insuffisance*socio=uv3 de l'épargne*socio=ec1 et l'ampleur*socio=rien des déséquilibres*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. politiques_économiques*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac. Au cours*socio=rien de leur réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1995, les administrateurs*socio=ac ont estimé que les légères*socio=rien révisions en baisse*socio=ec2 des projections*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac - à l'exception*socio=rien du*socio=rien Japon*socio=ac - témoignent*socio=rien d'une pause momentanée dans le cycle*socio=te d'expansion*socio=ec2, et que les paramètres*socio=rien fondamentaux*socio=uv4 de la croissance*socio=uv3 demeurent dans l'ensemble*socio=rien positifs*socio=uv4. Le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 aux États-unis*socio=ac, au Royaume-uni*socio=ac, en Australie*socio=ac et en Nouvelle-zélande*socio=ac est*socio=rien de nature*socio=rien à tempérer les *socio=ec2 tensions inflationnistes,*socio=nil *socio=nil même si la prudence*socio=uv1 reste*socio=rien de mise dans la conduite*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et. Dans les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac continentale*socio=te, où les écarts*socio=ec2 entre la production*socio=ec1 effective*socio=rien et la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 sont le plus nets*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont estimé que l'expansion*socio=ec2 se poursuivra probablement à un*socio=rien rythme*socio=ec2 un*socio=rien peu supérieur*socio=rien à la croissance*socio=uv3 potentielle*socio=uv4, mais que les progrès*socio=uv1 dans la lutte*socio=uv1 contre le chômage*socio=ec1 devraient *socio=rien être lents.*socio=nil *socio=nil Aussi l'abaissement*socio=rien récent*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 officiels*socio=et en Allemagne*socio=ac, en France*socio=ac et dans plusieurs autres pays*socio=ac a-t-il été*socio=rien accueilli avec satisfaction*socio=uv3, étant donné les faibles*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 de ces pays*socio=ac et la nécessité*socio=uv1 de maintenir un*socio=rien rythme*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 satisfaisant*socio=rien. Au Japon*socio=ac, compte*socio=ec1 tenu *socio=rien du repli en*socio=nil bon ordre du yen*socio=ec1 après une*socio=nil phase*socio=te d'*socio=nil appréciation*socio=uv3 *socio=nil et de la *socio=rien hausse du *socio=ec1 marché boursier,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont estimée probable*socio=uv4 une reprise de la croissance*socio=uv3 en 1996. Ils ont accueilli avec satisfaction*socio=uv3 la nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 officiels*socio=et survenue au *socio=rien début du mois de*socio=nil septembre *socio=nil et souligné qu'il faut veiller à ce que le collectif*socio=uv2 budgétaire*socio=et de l'automne*socio=rien 1995 continue*socio=rien de soutenir la reprise jusqu'à ce que celle-ci soit bien*socio=rien établie. Si quelques administrateurs*socio=ac ont préconisé une nouvelle*socio=rien relance*socio=uv3 budgétaire*socio=et, d'autres ont souligné les coûts*socio=ec1 à long_terme*socio=te d'une nouvelle*socio=rien détérioration*socio=uv4 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, jugeant en effet*socio=rien peu probable*socio=uv4 qu'après*socio=rien leur récent*socio=rien assouplissement*socio=uv3, les politiques_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et puissent encore apporter une contribution*socio=uv1 notable*socio=rien à la croissance*socio=uv3. La plupart*socio=rien des intervenants*socio=ac ont convenu que des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 majeures*socio=rien - la poursuite*socio=rien de la déréglementation*socio=et et de l'ouverture*socio=uv3 du*socio=rien marché*socio=ec1 - s'imposent pour revitaliser l'économie*socio=ec1 japonaise*socio=ac. La fermeture*socio=ec1 récente*socio=rien de quelques institutions_financières*socio=ac insolvables constitue une étape*socio=te importante*socio=uv4 vers la résolution*socio=uv1 du*socio=rien problème*socio=uv4 des créances*socio=ec1 douteuses*socio=uv2, mais les administrateurs*socio=ac ont signalé qu'il faudrait peut-être restructurer d'autres établissements*socio=ac et que les problèmes*socio=uv4 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 *socio=nil risquent de continuer à freiner la reprise. *socio=rien Sur un plan plus*socio=nil général,*socio=nil les*socio=nil *socio=ec1 coûts économiques et*socio=nil sociaux*socio=et *socio=rien résultant du niveau élevé*socio=uv4 du chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil particulièrement en Europe*socio=ac, demeurent une source*socio=rien d'inquiétude*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont exhorté les autorités*socio=et à réduire les distorsions*socio=uv3 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 qui contribuent aux taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 élevés*socio=uv4 (en abaissant notamment les cotisations*socio=ec1 sociales*socio=et des employeurs*socio=ac pour les jeunes*socio=ac et les travailleurs*socio=ac peu qualifiés*socio=uv4), à diminuer l'impact*socio=rien du*socio=rien salaire*socio=ec1 *socio=rien minimum sur les*socio=nil jeunes*socio=ac,*socio=nil *socio=nil à accroître la flexibilité*socio=uv3 des salaires*socio=ec1 en réduisant ou en éliminant les mécanismes*socio=et d'indexation*socio=ec1 ainsi qu'à améliorer l'éducation*socio=et et la formation*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont constaté les progrès*socio=uv1 réalisés sur*socio=rien le front*socio=rien budgétaire*socio=et dans quelques pays_industrialisés*socio=ac, mais ils ont souligné qu'il reste*socio=rien encore beaucoup à faire pour ramener les soldes*socio=ec1 budgétaires*socio=et à *socio=rien un niveau adéquat*socio=uv2 *socio=nil et orienter clairement les *socio=ec1 ratios dette publique*socio=et /*socio=nil PIB *socio=nil à la baisse*socio=ec2. Ils ont mis en garde*socio=rien contre la fatigue que peut occasionner l'ajustement*socio=et budgétaire*socio=et, et ont invité instamment les pays_membres*socio=ac à continuer d'utiliser judicieusement la phase*socio=te d'expansion*socio=ec2 pour remettre de l'ordre*socio=rien dans leurs finances*socio=ec1 publiques*socio=et. L'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et *socio=rien reste déterminant *socio=nil pour atténuer les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 mondiaux*socio=te et compenser la progression*socio=ec2 des engagements*socio=et invisibles*socio=rien de la plupart*socio=rien des *socio=et régimes publics de*socio=nil retraite*socio=ec1 *socio=nil et de soins_de_santé*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont dans l'ensemble*socio=rien marqué leur accord avec les conclusions*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, qui estiment que, dans les pays*socio=ac où les *socio=ec1 rendements obligataires *socio=nil incluent des primes*socio=ec1 de risque*socio=uv3 élevées*socio=uv4 et où la monnaie*socio=ec1 s'est*socio=rien nettement dépréciée, le rééquilibrage*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et pourrait contribuer puissamment à raffermir la confiance*socio=uv1 et à abaisser les primes*socio=ec1 de risque*socio=uv3, tout en consolidant les taux_de_change*socio=ec1 à relativement court_terme*socio=te. Dans d'autres cas*socio=rien, les effets*socio=rien à court_terme*socio=te du*socio=rien rééquilibrage*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et sur*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1 sont difficiles*socio=rien à déterminer, car l'impact*socio=rien *socio=rien immédiat sur les*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil tend à affaiblir le taux_de_change*socio=ec1, tandis que les répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien la confiance*socio=uv1 peuvent *socio=rien fort bien *socio=nil pousser le taux_de_change*socio=ec1 à la hausse*socio=rien. À plus long_terme*socio=te, toutefois, l'amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien budgétaire*socio=et et l'accroissement*socio=ec2 consécutif*socio=rien de l'épargne*socio=ec1 nationale*socio=te devraient renforcer la position*socio=rien extérieure*socio=te nette*socio=rien d'équilibre*socio=ec2 et entraîner, partant, une appréciation*socio=uv3 de la monnaie*socio=ec1. Lors*socio=rien de leur réunion*socio=rien de mars*socio=rien 1996, les administrateurs*socio=ac ont souscrit aux projections*socio=ec2 des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac selon lesquelles la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 en Europe*socio=ac occidentale*socio=te et en amérique_du_nord*socio=ac se ressaisira au *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1996, même si la croissance*socio=uv3 sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien sera sensiblement moins élevée*socio=uv4 en France*socio=ac et en Allemagne*socio=ac que ne l'annonçaient les projections*socio=ec2 faites à l'automne*socio=rien 1995. Pour une *socio=rien grande partie *socio=nil de l'Europe*socio=ac, le rythme*socio=ec2 modéré de l'expansion*socio=ec2 prévu pour 1996 donne à penser que le volant de ressources*socio=ec1 inemployées*socio=ec2 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 mettra *socio=rien un certain temps *socio=nil à se résorber. Les administrateurs*socio=ac ont souligné en particulier*socio=rien les effets*socio=rien préjudiciables*socio=et des rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 qui caractérisent les marchés_du_travail*socio=ec1, et d'une certaine*socio=rien perte*socio=ec2 de confiance*socio=uv1 - imputable*socio=uv2 peut-être à l'incertitude*socio=uv3 qui plane sur*socio=rien le calendrier*socio=te de l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 - parmi les *socio=rien facteurs du ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de l'activité*socio=rien en Europe*socio=ac. Plus généralement, plusieurs administrateurs*socio=ac ont *socio=rien fait état *socio=nil de l'atonie*socio=ec2 et la *socio=rien lenteur décevantes *socio=nil de l'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 dans la plupart*socio=rien des économies*socio=ec1 européennes*socio=ac. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont aussi relevé une divergence*socio=uv1 dans les performances*socio=uv3 de croissance*socio=uv3 de deux groupes_de_pays*socio=ac d'Europe*socio=ac. Alors que celle-ci a été*socio=rien relativement soutenue, bien*socio=rien que parfois inégale*socio=uv2 dans *socio=rien un premier temps,*socio=nil *socio=nil dans les pays*socio=ac dont la monnaie*socio=ec1 s'est*socio=rien dépréciée ces *socio=rien dernières années,*socio=nil l'*socio=nil activité_économique*socio=ec1 *socio=nil a stagné et le chômage*socio=ec1 a recommencé à progresser dans les pays*socio=ac à monnaie*socio=ec1 forte*socio=rien. Nombre*socio=rien d'administrateurs*socio=ac ont estimé que cette divergence*socio=uv1 tient en partie*socio=rien aux différences*socio=uv1 de dosage*socio=rien et d'orientation*socio=et des politiques*socio=et adoptées dans ces deux groupes_de_pays*socio=ac. Dans les pays*socio=ac à monnaie*socio=ec1 faible*socio=rien, la politique_budgétaire*socio=et a été*socio=rien raffermie afin de corriger des déséquilibres*socio=uv3 importants*socio=uv4 et les *socio=ec1 conditions monétaires ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil nettement assouplies, en particulier*socio=rien si l'on tient compte*socio=ec1 de la dépréciation*socio=ec2 des monnaies*socio=ec1 de ces pays*socio=ac qui a suivi la crise*socio=uv2 du*socio=rien SME*socio=ec1 en 1992 - 93. Dans les pays*socio=ac à monnaie*socio=ec1 forte*socio=rien, le rééquilibrage*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et a progressé de manière*socio=rien plus inégale*socio=uv2 et il semble maintenant que les politiques_monétaires*socio=et et les taux_de_change*socio=ec1 ont eu *socio=rien un effet plus*socio=nil restrictif*socio=uv4 sur l'*socio=nil activité *socio=nil qu'on ne le pensait auparavant. Si les administrateurs*socio=ac se sont accordés généralement à penser que la dépréciation*socio=ec2 des monnaies*socio=ec1 a aidé à relancer l'activité*socio=rien dans certains pays*socio=ac, plusieurs d'entre eux ont souligné que la dépréciation*socio=ec2 n'est*socio=rien pas en général*socio=rien une stratégie*socio=et viable*socio=uv4, étant donné le risque*socio=uv3 d'inflation*socio=ec1 et l'importance*socio=rien du*socio=rien rôle*socio=et des monnaies*socio=ec1 fortes*socio=rien dans la stabilité*socio=uv3 mondiale*socio=te des prix*socio=ec1. Un*socio=rien consensus*socio=uv1 s'est*socio=rien dégagé parmi les administrateurs*socio=ac pour estimer que le ralentissement*socio=ec2 observé en Europe*socio=ac *socio=rien est temporaire,*socio=nil *socio=nil même si le moment*socio=rien et la vigueur*socio=uv3 du*socio=rien redressement*socio=ec2 prévu de l'activité*socio=rien restent quelque peu incertains*socio=uv4. Plusieurs intervenants*socio=ac ont noté que la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te et le renforcement*socio=ec2 des plans*socio=rien de rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et dans les pays*socio=ac à monnaie*socio=ec1 forte*socio=rien au cours*socio=rien des *socio=rien derniers mois *socio=nil ont amélioré les perspectives*socio=te d'accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans l'année*socio=rien qui vient. Ces administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir qu'il n'y aurait guère de risques*socio=uv3 d'accroître les *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil en assouplissant encore un*socio=rien peu plus les *socio=ec1 conditions monétaires,*socio=nil *socio=nil car il existe d'importantes*socio=uv4 capacités*socio=uv3 inemployées*socio=ec2 dans la plupart*socio=rien des *socio=ac pays européens.*socio=nil *socio=nil Ils ont souscrit au point*socio=rien de vue*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, qui estiment qu'il *socio=rien est possible *socio=nil d'assouplir la politique_monétaire*socio=et, en égard*socio=rien aux risques*socio=uv3 de dégradation*socio=uv3 de la conjoncture*socio=ec2. D'autres administrateurs*socio=ac ont estimé toutefois que la marge de manoeuvre*socio=rien dont disposent les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 n'est*socio=rien pas aussi large*socio=rien, étant donné les signes d'accélération*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil que l'on a pu observer récemment dans certains pays*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac se sont accordés à penser que la plupart*socio=rien des pays*socio=ac doivent continuer de s'attacher d'abord*socio=rien et avant tout à résorber leurs déficits*socio=ec1 structurels*socio=ec2, mais aussi de veiller à assurer une convergence*socio=uv3 suffisante*socio=rien pour que l'union_monétaire*socio=et soit viable*socio=uv4. Aux États-unis*socio=ac, la croissance*socio=uv3 doit se poursuivre à un*socio=rien rythme*socio=ec2 proche du*socio=rien potentiel*socio=uv4 en 1996 et en 1997, à la faveur*socio=rien de la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 de la fin*socio=rien 1995 et *socio=rien du maintien du dollar*socio=ec1 à*socio=nil un niveau compétitif*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Dans leur ensemble*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont considéré que le niveau*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te aux États-unis*socio=ac est*socio=rien globalement approprié et qu'il n'y a pas, semble-t-il, de raison*socio=rien impérative d'assouplir encore sensiblement les *socio=ec1 conditions monétaires,*socio=nil *socio=nil à moins que l'économie*socio=ec1 ne se révèle moins dynamique*socio=uv4 que prévu. Au Japon*socio=ac, l'activité_économique*socio=ec1 a donné des signes de redressement*socio=ec2 après*socio=rien une longue*socio=rien récession*socio=ec2, aidée en cela par une politique_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et appropriée et par la correction*socio=ec2 enregistrée par le yen*socio=ec1 après*socio=rien une phase*socio=te d'appréciation*socio=uv3 excessive*socio=uv4 au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1995. Dès que la croissance*socio=uv3 sera bien*socio=rien engagée, les autorités*socio=et devront donner la priorité*socio=uv4 au rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont constaté, en septembre*socio=rien 1995, que les chiffres de l'inflation*socio=ec1 s'étaient améliorés dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac et que celle-ci devrait rester à *socio=rien un faible niveau *socio=nil dans l'ensemble*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, sans que cela justifie le moindre*socio=rien relâchement*socio=ec2 de l'effort*socio=uv1 indispensable*socio=uv4 pour préserver et approfondir les progrès*socio=uv1 vers une stabilité*socio=uv3 raisonnable*socio=uv4 des prix*socio=ec1. Quelques pays_industrialisés*socio=ac où la sous-utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 a été*socio=rien absorbée rapidement en 1994 ont, en resserrant préventivement la politique_monétaire*socio=et, démontré la détermination*socio=rien des banques_centrales*socio=ac à défendre la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et ont aidé par là même à réduire les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2. Bien*socio=rien que les prix*socio=ec1 à la production*socio=ec1 soient repartis à la hausse*socio=rien dans certains domaines*socio=rien, les augmentations*socio=ec2 salariales*socio=ec1 sont restées modestes*socio=rien dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac et les pressions*socio=ec2 apparues *socio=rien antérieurement sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 de*socio=nil produits de*socio=nil base *socio=nil se sont quelque peu atténuées. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que la poursuite*socio=rien de politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 prudentes*socio=uv2 est*socio=rien importante*socio=uv4 pour l'évolution*socio=te future*socio=te de l'inflation*socio=ec1. Lors*socio=rien de la même discussion*socio=et, plusieurs membres*socio=ac du*socio=rien Conseil*socio=ac ont fait*socio=rien observer qu'il *socio=rien est difficile *socio=nil de juger de la concordance*socio=rien entre les taux_de_change*socio=ec1 et les données fondamentales*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1 et d'identifier les taux_de_change*socio=ec1 d'équilibre*socio=ec2. Néanmoins, les administrateurs*socio=ac ont convenu que les fluctuations*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et des taux_de_change*socio=ec1 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 durant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1995 n'étaient pas uniquement*socio=rien le reflet*socio=rien des paramètres*socio=rien fondamentaux*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1. Ils ont pris note avec satisfaction*socio=uv3 de la récente*socio=rien intervention*socio=et coordonnée des banques_centrales*socio=ac, qui a contribué à corriger les désalignements*socio=uv3 et démontré les avantages*socio=rien de la coopération*socio=uv1 entre les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, lorsque la situation*socio=rien des marchés*socio=ec1 s'y prête*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont estimé d'autre part*socio=rien qu'il faut se garder d'en conclure trop systématiquement que les interventions*socio=et sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 constituent un*socio=rien instrument*socio=et généralement efficace*socio=uv4 et fiable*socio=rien qui peut être*socio=rien utilisé en toutes circonstances*socio=rien pour agir sur*socio=rien les parités*socio=ec1. Ils ont souligné que, pour être*socio=rien durables*socio=uv4, les corrections*socio=ec2 récentes*socio=rien des désalignements*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 doivent être*socio=rien appuyées vigoureusement par des mesures*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 appropriées. politiques_économiques*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3. Lors*socio=rien de leurs discussions*socio=et de septembre*socio=rien 1995, les administrateurs*socio=ac ont pris note de la persistance*socio=te de perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 vigoureuse*socio=rien dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 et se sont réjouis que les effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 mexicaine*socio=ac aient été*socio=rien, semble-t-il, efficacement contenus. Ils ont observé que les marchés_financiers*socio=ec1 prêtent davantage d'attention*socio=rien, depuis lors*socio=rien, aux données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 des pays_en_développement*socio=uv3 et que les entrées de capitaux*socio=ec1 sont restées considérables*socio=rien on ont repris dans de *socio=rien nombreux cas,*socio=nil *socio=nil notamment dans plusieurs pays*socio=ac de l' hémisphère_occidental*socio=te. Les administrateurs*socio=ac se sont félicités de la perspective*socio=rien d'une *socio=rien quatrième année consécutive de*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil accélérée en Asie*socio=ac, mais ils ont mis en garde*socio=rien contre les risques*socio=uv3 de surchauffé dans quelques pays*socio=ac de la région*socio=te. En Afrique*socio=ac, une conjoncture*socio=ec2 extérieure*socio=te plus propices*socio=rien et l'adoption*socio=uv3 de politiques_économiques*socio=et axées sur*socio=rien le marché*socio=ec1 par *socio=rien un nombre croissant de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont amélioré les perspectives*socio=te d'expansion*socio=ec2; il reste*socio=rien néanmoins à s'attaquer aux nombreuses*socio=rien et profondes*socio=rien carences structurelles*socio=ec2, et les prévisions*socio=ec2 ne sont pas à l'abri*socio=rien d'un*socio=rien dérapage*socio=uv4 toujours possible*socio=rien des politiques_économiques*socio=et. Au Moyen-orient*socio=ac, les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 se sont dans l'ensemble*socio=rien améliorées, mais la chute récente*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 aura vraisemblablement*socio=rien des effets*socio=rien défavorables*socio=uv4 sur*socio=rien les *socio=ac pays exportateurs *socio=nil de la région*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont estimé que la croissance*socio=uv3 vigoureuse*socio=rien constatée dans *socio=rien bon nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 est *socio=nil liée à l'ouverture*socio=uv3 croissante*socio=rien de leur économie*socio=ec1 et à leur intégration*socio=uv1 plus poussée dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, que ce soit par leurs relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 traditionnelles*socio=rien ou par leurs *socio=rien nouvelles relations financières*socio=ec1.*socio=nil Des*socio=nil efforts*socio=uv1 de*socio=nil stabilisation*socio=et *socio=nil et de réforme*socio=et énergiques*socio=ec1 et soutenus ont favorisé*socio=rien l'ouverture*socio=uv3 des économies*socio=ec1, contribuant à la croissance*socio=uv3 remarquable*socio=rien de beaucoup de pays_en_développement*socio=uv3 et améliorant leur résilience face*socio=rien aux ralentissements cycliques*socio=te de l'activité*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac. Ces derniers*socio=rien ont bénéficié eux aussi de cette évolution*socio=te, qui a contribué à soutenir la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 et du*socio=rien commerce*socio=ec1 dans le monde*socio=te. Cependant, de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 dressent encore, à tous les niveaux*socio=rien, des obstacles*socio=uv3 considérables*socio=rien aux échanges*socio=ec1, et il leur faudra prendre des mesures*socio=et appropriées pour permettre à leur économie*socio=ec1 de profiter des nouveaux*socio=rien *socio=ec1 débouchés commerciaux offerts*socio=rien *socio=nil par l'intégration*socio=uv1 croissante*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et de l'aboutissement*socio=rien des négociations*socio=et de l'uruguay_round*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont admis qu'une intégration*socio=uv1 plus étroite*socio=rien entraîne aussi de nouveaux*socio=rien risques*socio=uv3 pour beaucoup de pays_en_développement*socio=uv3. La crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 du*socio=rien Mexique*socio=ac a mis en évidence*socio=rien les bouleversements*socio=rien que peuvent provoquer de brusques reflux*socio=rien des capitaux*socio=ec1, en particulier*socio=rien dans les pays*socio=ac dont les variables*socio=ec2 macro-économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 ne sont pas suffisamment robustes*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que certains pays*socio=ac doivent absolument renforcer leur marché_financier*socio=ec1 intérieur*socio=te et corriger les déséquilibres*socio=uv3 de leur politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 s'ils veulent bénéficier pleinement des *socio=rien possibilités offertes *socio=nil par une économie*socio=ec1 mondiale*socio=te étroitement intégrée. Les administrateurs*socio=ac ont demandé instamment aux autorités*socio=et des pays*socio=ac qui enregistrent un*socio=rien afflux*socio=ec1 massif*socio=rien de capitaux*socio=ec1 de veiller à ce que leur politique_budgétaire*socio=et demeure prudente*socio=uv2 et n'aggrave pas les pressions*socio=ec2 qui s'exercent sur*socio=rien la politique_monétaire*socio=et pour freiner la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Dans quelques pays*socio=ac, l'amélioration*socio=uv1 des données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 pourrait justifier une flexibilité*socio=uv3 accrue des taux_de_change*socio=ec1, qui aiderait en outre à maîtriser*socio=rien l'inflation*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont insisté sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de renforcer la réglementation*socio=et prudentielle*socio=uv2, de remédier aux carences des systèmes_financiers*socio=ec1 et d'éviter un*socio=rien gonflement*socio=ec2 excessif*socio=uv4 du*socio=rien crédit*socio=ec1 intérieur*socio=te, surtout lorsque l'intermédiation*socio=ec1 des entrées de capitaux*socio=ec1 est*socio=rien assurée essentiellement par le système_bancaire*socio=ec1 intérieur*socio=te. Le Conseil*socio=ac a convenu que la libre*socio=uv2 circulation*socio=ec2 des capitaux*socio=ec1 stimulera la croissance*socio=uv3 et améliorera à plus long_terme*socio=te l'affectation*socio=ec1 des ressources*socio=ec1. Quelques administrateurs*socio=ac ont estimé qu'il ne faut libéraliser que progressivement*socio=rien les mouvements_de_capitaux*socio=ec1 dans les pays*socio=ac dont le marché_financier*socio=ec1 est*socio=rien peu développé*socio=rien et le secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1 fragile*socio=rien, ou qui n'ont pas corrigé leurs déséquilibres*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont souligné toutefois que l'adoption*socio=uv3 d'une approche graduelle*socio=te ne doit pas conduire à retarder indûment la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, d'autant plus que celle-ci peut stimuler les réformes*socio=et financières*socio=ec1 et consolider le système_financier*socio=ec1. Quelques-uns ont fait*socio=rien valoir qu'une politique*socio=et visant à limiter*socio=rien les *socio=ec1 emprunts bancaires à*socio=nil court_terme*socio=te en*socio=nil devises *socio=nil peut se justifier d'un*socio=rien point*socio=rien de vue*socio=rien prudentiel*socio=uv2, et que des mesures*socio=et plus générales*socio=rien visant à décourager les entrées excessives*socio=uv4 de capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te sous forme*socio=rien d'endettement*socio=ec1 ou d'investissements*socio=ec1 de portefeuille*socio=ec1 peuvent s'avérer utiles*socio=uv4 dans *socio=rien certaines circonstances.*socio=nil *socio=nil Cependant, les administrateurs*socio=ac ont rappelé que les restrictions*socio=et aux mouvements_de_capitaux*socio=ec1 ne doivent être*socio=rien envisagées qu'à *socio=rien titre temporaire,*socio=nil *socio=nil et non en remplacement*socio=rien d'efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et plus énergiques*socio=ec1. Lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, en mars*socio=rien 1996, les administrateurs*socio=ac ont noté avec satisfaction*socio=uv3 que la croissance*socio=uv3 conserve son dynamisme*socio=uv3 dans l'ensemble*socio=rien du*socio=rien monde*socio=te en développement*socio=uv3 et oppose une *socio=rien résistance remarquable aux*socio=nil perturbations*socio=ec2 exogènes.*socio=nil La*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil devrait rester vive en Asie*socio=ac en 1996 mais ralentir légèrement, et calmer ainsi dans une *socio=rien certaine mesure les*socio=nil craintes*socio=uv1 *socio=nil de surchauffe et de creusement*socio=rien des déficits*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants.*socio=nil *socio=nil Toutefois, le défi*socio=uv2 que les entrées massives*socio=rien de capitaux*socio=ec1 représentent pour *socio=rien bon nombre d'*socio=nil économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 devra*socio=nil être *socio=nil relevé en adoptant des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et des politiques*socio=et de change*socio=ec1 appropriées. On s'attend à une reprise de l'expansion*socio=ec2 dans les pays_en_développement*socio=uv3 de l'hémisphère_occidental*socio=te suite*socio=rien au succès*socio=uv1 des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et des pays*socio=ac touchés par la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac, et les progrès*socio=uv1 de la stabilité*socio=uv3 régionale*socio=te devraient améliorer les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 au Moyen-orient*socio=ac. Cependant, même s'ils sont en voie*socio=rien de résorption*socio=ec2, les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et considérables*socio=rien de beaucoup de *socio=ac pays producteurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil continuent d'assombrir leurs perspectives*socio=te d'avenir*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont pris note avec satisfaction*socio=uv3 des signes, en Afrique*socio=ac, d'un*socio=rien renforcement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 imputable*socio=uv2 aux politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 plus énergiques*socio=ec1 adoptées par *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac ces*socio=nil dernières années.*socio=nil *socio=nil Ils ont rappelé toutefois que les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 du*socio=rien continent*socio=ac africain restent précaires*socio=uv2 et sont à la merci*socio=rien d'un*socio=rien dérapage*socio=uv4 des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et ou d'une baisse*socio=ec2 des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien. politiques_économiques*socio=et des pays*socio=ac en transition*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac se sont félicités, au cours*socio=rien de leurs discussions*socio=et de septembre*socio=rien 1995, de l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te dans certaines*socio=rien des économies_en_transition*socio=ec1 et ont observé que les résultats*socio=rien enregistrés sont allés de pair*socio=rien avec les progrès*socio=uv1 de la stabilisation_macro-économique*socio=ec1 et des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. Dans certains des pays*socio=ac les plus avancés dans la transition*socio=ec2, la production*socio=ec1 connaît une vive expansion*socio=ec2, et les administrateurs*socio=ac ont convenu que la politique_économique*socio=ec1 doit s'attacher à soutenir la croissance*socio=uv3 et la désinflation*socio=ec2 et à poursuivre les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, en donnant en *socio=rien particulier un rôle*socio=et *socio=nil plus étendu aux principes*socio=ec2 de l'économie_de_marché*socio=ec1. Dans les économies*socio=ec1 où les progrès*socio=uv1 de la stabilisation*socio=et et des réformes*socio=et demeurent insuffisants*socio=uv4 ou mal*socio=rien assurés, en revanche, la contraction*socio=ec2 de l'activité*socio=rien devrait se poursuivre. Ces pays*socio=ac, de l'avis*socio=rien des administrateurs*socio=ac, doivent s'efforcer de parvenir à la stabilisation_macro-économique*socio=ec1 ou de la consolider, et se doter des institutions*socio=ac nécessaires*socio=rien aux économies_de_marché*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac se sont dits préoccupés par la fragilité*socio=uv1 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 de presque tous les pays*socio=ac en transition*socio=ec2, y compris parmi ceux qui sont le plus avancés dans le processus*socio=te. Ils sont tombés d'accord*socio=uv1 sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de mettre au point*socio=rien une stratégie*socio=et globale*socio=rien de réforme*socio=et du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 et des entreprises*socio=ac afin de régler au plus tôt le problème*socio=uv4 des créances*socio=ec1 douteuses*socio=uv2. Il y a lieu*socio=rien, pour remédier aux carences du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1, de renforcer le contrôle*socio=uv3 des banques*socio=ac, d'améliorer l'évaluation*socio=ec2 du*socio=rien risque*socio=uv3 de crédit*socio=ec1, d'adopter des normes*socio=et de fonds*socio=ec1 propres*socio=rien plus strictes*socio=rien et d'encourager une plus large*socio=rien participation*socio=uv3 des banques*socio=ac étrangères*socio=te afin d'accélérer la modernisation*socio=ec2 des usages*socio=rien bancaires*socio=ec1 locaux*socio=te. En permettant une gestion*socio=ec2 plus efficace*socio=uv4 des entreprises*socio=ac, la réforme*socio=et du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 contribuera à renforcer encore celui-ci en multipliant le nombre*socio=rien d'emprunteurs*socio=ac économiquement viables*socio=uv4. Si des crises*socio=uv2 bancaires*socio=ec1 surviennent entre-temps*socio=rien, il conviendra de réagir vivement et de manière*socio=rien à décourager leur résurgence*socio=ec2. Au cours*socio=rien de leur réunion*socio=rien de mars*socio=rien 1996, les administrateurs*socio=ac ont pris note avec satisfaction*socio=uv3 de l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 d'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac en*socio=nil transition*socio=ec2 *socio=nil et des progrès*socio=uv1 qu'ils ont accomplis vers la stabilisation*socio=et financière*socio=ec1. Ils ont fait*socio=rien remarquer que la robuste*socio=rien croissance*socio=uv3 qu'affichent nombre*socio=rien des pays*socio=ac où la transition*socio=ec2 est*socio=rien la plus avancée et où l'inflation*socio=ec1 a sensiblement ralenti témoigne*socio=rien de l'importance*socio=rien de la stabilisation*socio=et financière*socio=ec1. Dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac moins avancés dans ce processus*socio=te, la production*socio=ec1 s'est*socio=rien stabilisée en 1995 ou devrait le faire en 1996. Les administrateurs*socio=ac ont vivement encouragé les autorités*socio=et de ces pays*socio=ac à persévérer dans la discipline*socio=uv1 financière*socio=ec1 et les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 afin de jeter les bases*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4. Ils ont souligné, à cet égard*socio=rien, qu'il importe que la Russie*socio=ac applique résolument son programme*socio=et, qui bénéficie de l'appui*socio=uv1 du*socio=rien mécanisme*socio=et élargi de crédit*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1. Comme chaque armée*socio=et, le conseil_d'_administration*socio=ac a examiné en mai*socio=rien 1995 l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1, en s'attachant à dégager les enseignements*socio=et de l'année*socio=rien écoulée. Les administrateurs*socio=ac ont évoqué les turbulences*socio=ec2 qui ont agité les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 suite*socio=rien à la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac, et se sont penchés sur*socio=rien les *socio=rien questions relatives *socio=nil à la réglementation*socio=et et à la surveillance*socio=et des marchés_financiers*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac. Les marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 ont été*socio=rien le thème*socio=rien d'une seconde *socio=rien réunion du Conseil*socio=ac en*socio=nil décembre *socio=nil 1995. À cette occasion*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont abordé notamment les fluctuations*socio=ec2 des principales*socio=rien monnaies*socio=ec1, les résultats*socio=rien des marchés*socio=ec1 d'actions*socio=ec1 et d'obligations*socio=uv1 des pays_industrialisés*socio=ac, les problèmes*socio=uv4 qui se posent aux systèmes_bancaires*socio=ec1 de ces pays*socio=ac comme à ceux des pays_en_développement*socio=uv3 et l'incidence*socio=ec2 rémanente de la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac sur*socio=rien les autres marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2. Ils se sont accordés dans une *socio=rien large mesure *socio=nil à reconnaître qu'en dépit*socio=rien de la volatilité*socio=ec2 accrue des taux_de_change*socio=ec1 et des difficultés*socio=uv4 survenues sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 en début*socio=rien d'année*socio=rien, les marchés_financiers*socio=ec1 se sont remarquablement comportés en 1995. Turbulences*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2. Lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 annuel*socio=te de mai*socio=rien 1995, les administrateurs*socio=ac se sont félicités des progrès*socio=uv1 de l'intégration*socio=uv1 des marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 dans le marché*socio=ec1 international*socio=te des capitaux*socio=ec1, qui ont stimulé l'investissement*socio=ec1 et augmenté les taux_de_croissance*socio=ec1 soutenable*socio=uv4 de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3. Mais ils ont observé que cette intégration*socio=uv1 lance des défis*socio=uv2 de taille aux autorités*socio=et. Des perturbations*socio=ec2 nées *socio=rien sur un marché*socio=ec1 *socio=nil donné peuvent se propager plus rapidement à d'autres marchés*socio=ec1, et les investisseurs*socio=ac peuvent plus aisément redéployer leurs avoirs*socio=ec1 en monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te vers des actifs*socio=ec1 libellés en devises*socio=ec1. Seule*socio=rien l'adoption*socio=uv3 de politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 bien*socio=rien conçues permettra de profiter pleinement de l'intégration*socio=uv1 des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. Retombées*socio=rien de la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont relevé que la crise*socio=uv2 du*socio=rien Mexique*socio=ac et les problèmes*socio=uv4 de liquidité*socio=ec1 qui ont suivi sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 mexicaine*socio=ac à court_terme*socio=te ont déclenché un*socio=rien réexamen*socio=et d'ensemble*socio=rien des perspectives*socio=te offertes*socio=rien par les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2. Ils ont remarqué que, si la plupart*socio=rien de ces marchés*socio=ec1 ont été*socio=rien éprouvés, les pays*socio=ac les plus touchés par les répercussions*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 présentaient des faiblesses*socio=ec2 analogues*socio=rien à celles observées au Mexique*socio=ac, à *socio=rien savoir un taux*socio=ec1 d'*socio=nil épargne*socio=ec1 peu*socio=nil élevé*socio=uv4,*socio=nil une*socio=nil monnaie*socio=ec1 *socio=nil très sensiblement surévaluée en termes*socio=rien réels*socio=ec2, un*socio=rien déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=rien courant considérable,*socio=nil un système_bancaire*socio=ec1 fragile et*socio=nil un endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te important*socio=uv4.*socio=nil Les*socio=nil économies*socio=ec1 *socio=nil présentant les données fondamentales*socio=uv4 plus saines*socio=uv2 ont été*socio=rien moins affectées. Les administrateurs*socio=ac ont estimé que le soutien*socio=uv3 international*socio=te apporté au Mexique*socio=ac et l'ajustement*socio=et des politiques_économiques*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3 ont aidé à contenir la contagion*socio=ec2. Plusieurs intervenants*socio=ac ont souligné que les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 vers les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 dépendent en *socio=rien grande partie des*socio=nil variables*socio=ec2 économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 *socio=nil liées elles-mêmes aux politiques*socio=et menées dans ces pays*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont observé aussi que les investisseurs*socio=ac institutionnels*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac poursuivent la diversification*socio=ec2 de leurs portefeuilles*socio=ec1 au niveau*socio=rien mondial*socio=te, et que les flux*socio=ec1 nets*socio=rien de capitaux*socio=ec1 vers les pays_en_développement*socio=uv3 devraient donc rester positifs*socio=uv4 dans un*socio=rien avenir*socio=te prévisible*socio=uv4, et pourraient *socio=rien être considérables.*socio=nil Plusieurs*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont relevé que les données disponibles*socio=rien tendent à indiquer que les sorties de capitaux*socio=ec1 observées au Mexique*socio=ac en 1994 ont tenu dans une *socio=rien large mesure *socio=nil à l'augmentation*socio=ec2 des créances*socio=ec1 des résidents*socio=ac mexicains sur*socio=rien l'étranger*socio=te plutôt qu'à des ventes*socio=ec1 de créances*socio=ec1 en pesos d'investisseurs*socio=ac étrangers*socio=te, D'autres administrateurs*socio=ac ont estimé qu'en raison*socio=rien des difficultés*socio=uv4 que l'on éprouve à distinguer les transactions*socio=ec1 des résidents*socio=ac de celles des non-résidents*socio=ac, )es données sur*socio=rien les sorties de capitaux*socio=ec1 tic sont pas concluantes*socio=rien. Certains d'entre eux ont suggéré que les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac étudient la possibilité*socio=rien de suivre les ajustements*socio=et de portefeuille*socio=ec1 des résidents*socio=ac et des non-résidents*socio=ac afin d'en faire un*socio=rien indicateur*socio=ec2 de l'imminence*socio=rien des crises*socio=uv2 financières*socio=ec1. Flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 vers les pays_en_développement*socio=uv3. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont considéré que la recomposition des flux*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 extérieurs*socio=te - recul*socio=rien des *socio=ec1 prêts bancaires syndiqués*socio=ac au*socio=nil profit des*socio=nil titres*socio=rien négociables*socio=uv4 *socio=nil - observée ces *socio=rien dernières années *socio=nil tend à répartir plus largement les risques*socio=uv3 financiers*socio=ec1 associés*socio=rien aux marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2. Ils ont reconnu que, de ce fait*socio=rien, les pertes*socio=ec2 occasionnées par une crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 seront distribuées plus largement parmi les investisseurs*socio=ac institutionnels*socio=et, cc qui réduira le risque*socio=uv3 de crise*socio=uv2 systémique*socio=ec2 sur*socio=rien les grandes*socio=rien places financières*socio=ec1. Cependant, dans l'éventualité*socio=te où un*socio=rien pays*socio=ac ou un*socio=rien groupe_de_pays*socio=ac éprouverait des difficultés*socio=uv4 à assurer le service*socio=et de sa dette*socio=ec1, le caractère*socio=rien diffus de l'investissement*socio=ec1 pourrait compliquer la restructuration*socio=et de la dette*socio=ec1. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont demandé aux services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac d'étudier la contribution*socio=uv1 que l'institution*socio=ac pourrait apporter à l'élaboration*socio=rien de procédures*socio=et propres*socio=rien à faciliter le règlement*socio=et ordonné du*socio=rien problème*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 internationale*socio=ac (voir la section*socio=rien "Situation*socio=rien de la dette*socio=ec1 et rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac"). De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont convenu que la meilleure*socio=uv4 protection*socio=et des pays_en_développement*socio=uv3 contre les aléas*socio=rien des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te consiste à renforcer leurs paramètres*socio=rien économiques*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4 et à se doter de systèmes_financiers*socio=ec1 efficaces*socio=uv4 et bien*socio=rien conçus. Les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir que les interventions*socio=et stérilisées sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1 représentent souvent une *socio=rien première ligne de*socio=nil défense*socio=uv1 idéale *socio=nil contre l'afflux*socio=ec1 massif*socio=rien de capitaux*socio=ec1, mais ont reconnu qu'une intervention*socio=et totalement stérilisée peut *socio=rien être difficile *socio=nil à mettre en oeuvre*socio=rien et à appliquer durablement, en particulier*socio=rien lorsque le marché_financier*socio=ec1 intérieur*socio=te manque*socio=rien de profondeur*socio=rien. Une certaine*socio=rien appréciation*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 paraît donc inévitable*socio=rien si les entrées de capitaux*socio=ec1 persistent, mais quelques administrateurs*socio=ac ont estimé que ce n'est*socio=rien pas une réponse*socio=rien adaptée aux entrées de capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te à caractère*socio=rien essentiellement passager. Les intervenants*socio=ac ont préconisé en général*socio=rien de répondre à un*socio=rien afflux*socio=ec1 durable*socio=uv4 de capitaux*socio=ec1 par la rigueur*socio=uv3 et l'assainissement*socio=uv3 budgétaires*socio=et. Cependant, ils ont admis qu'il n'existe pas de panacée*socio=rien dans ce domaine*socio=rien, et que la réaction*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=et doit prendre en compte*socio=ec1 les *socio=rien particularités du pays*socio=ac *socio=nil concerné et la nature*socio=rien des entrées de capitaux*socio=ec1. Si plusieurs administrateurs*socio=ac ont reconnu que certains contrôles*socio=et - en particulier*socio=rien les mesures*socio=et d'ordre*socio=rien monétaire*socio=ec1 ou prudentiel*socio=uv2 telles que les coefficients*socio=ec1 de réserves_obligatoires*socio=ec1 - peuvent permettre d'endiguer pour *socio=rien un temps les*socio=nil effets *socio=nil potentiellement déstabilisants des entrées de capitaux*socio=ec1, la plupart*socio=rien ont souligné qu'à long_terme*socio=te, les contrôles*socio=et directs*socio=rien sont inefficaces*socio=uv4 et provoquent des distorsions*socio=uv3, et qu'ils ne sauraient dispenser les autorités*socio=et d'opérer au plus tôt les ajustements*socio=et voulus pour assurer la santé*socio=et foncière*socio=ec1 de l'économie*socio=ec1. Ils ont aussi mis en garde*socio=rien contre le contrôle*socio=uv3 des sorties de capitaux*socio=ec1, qui a peu de chances*socio=rien d'être*socio=rien efficace*socio=uv4 et risque*socio=uv3 en fait*socio=rien d'aggraver une éventuelle*socio=te crise*socio=uv2 de confiance*socio=uv1. Les administrateurs*socio=ac ont jugé que la création*socio=uv4 d'un*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 intérieur*socio=te robuste*socio=rien, l'élaboration*socio=rien d'un*socio=rien cadre*socio=rien réglementaire*socio=et et prudentiel*socio=uv2 adapté et l'échelonnement*socio=rien judicieux*socio=uv4 des mesures*socio=et prises*socio=rien sont déterminantes*socio=rien lorsqu'on entreprend de libéraliser les mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Ils ont souligné aussi qu'il importe que de saines*socio=uv2 pratiques*socio=et de gestion*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 s'instaurent sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2, et signalé en particulier*socio=rien les risques*socio=uv3 que l'on court*socio=rien à financer le développement*socio=uv3 à long_terme*socio=te par des capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te. Redressement*socio=ec2 de certains marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2. En décembre*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont pris note du*socio=rien redressement*socio=ec2 durable*socio=uv4 de l'activité*socio=rien financière*socio=ec1 et du*socio=rien prix*socio=ec1 des actifs*socio=ec1 sur*socio=rien certains des marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 touchés par la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac en début*socio=rien d'année*socio=rien. Les entrées de capitaux*socio=ec1 ont refait, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil le*socio=nil terrain *socio=nil perdu en 1994 et au début*socio=rien de 1995. Les administrateurs*socio=ac ont observé que les économies*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 présentent des différences*socio=uv1 *socio=rien notables sur le*socio=nil plan *socio=nil de l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te, qui tiennent aux écarts*socio=ec2 entre leurs données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 et au plus *socio=rien grand discernement *socio=nil dont font preuve*socio=ec2 les investisseurs*socio=ac. Ils ont estimé qu'il serait prématuré*socio=rien de dire que tous les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2, en particulier*socio=rien ceux situés hors d'Asie*socio=ac, se sont ressaisis. Plusieurs séquelles*socio=rien importantes*socio=uv4 de la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac continuaient à se faire sentir en fin*socio=rien d'année*socio=rien. Premièrement, sur*socio=rien les principaux*socio=rien pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac, les écarts*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 restaient plus larges*socio=rien qu'avant la crise*socio=uv2. Deuxièmement, les garanties de crédit*socio=ec1 étaient devenues plus fréquentes*socio=rien, et les emprunts*socio=ec1 souverains*socio=et représentaient plus des trois quarts*socio=rien des émissions*socio=rien obligataires*socio=ec1 internationales*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3. Troisièmement, les échéances*socio=te des prêts*socio=ec1 avaient sensiblement raccourci. Quatrièmement, enfin, l'intérêt*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac pour les titres*socio=rien échangés sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 n'avait pas retrouvé, dans nombre*socio=rien de pays*socio=ac d'Asie*socio=ac et d'amérique_latine*socio=ac, les niveaux*socio=rien d'avant la crise*socio=uv2. Les administrateurs*socio=ac se sont dits préoccupés par la fragilité*socio=uv1 des systèmes_bancaires*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Ils ont observé que beaucoup de ces systèmes*socio=rien présentent une insuffisance*socio=uv3 de fonds*socio=ec1 propres*socio=rien et de nombreuses*socio=rien créances*socio=ec1 immobilisées, et ils ont estimé qu'ils vont sans doute*socio=rien rester vulnérables*socio=uv2 pendant quelque temps*socio=rien encore. Les administrateurs*socio=ac ont affirmé avec force*socio=uv1 que l'existence*socio=rien de systèmes_financiers*socio=ec1 sains*socio=uv2 et transparents*socio=uv4 soumis à un*socio=rien, surveillance*socio=et très complète est*socio=rien indispensable*socio=uv4 à la stabilité*socio=uv3 des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1. Certains ont observé que, sur*socio=rien certains marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2, il est*socio=rien de plus en plus difficile*socio=rien d'appliquer efficacement la réglementation*socio=et prudentielle*socio=uv2, car les établissements*socio=ac financiers*socio=ec1 résidents*socio=ac recourent à des opérations*socio=rien extra-territoriales sur*socio=rien dérivés financiers*socio=ec1. Compte*socio=ec1 tenu de l'utilisation*socio=rien croissante*socio=rien de ces instruments*socio=et, certains administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir que les autorités*socio=et de tutelle*socio=uv1 devraient exiger une amélioration*socio=uv1 de la publicité*socio=rien financière*socio=ec1, du*socio=rien contrôle*socio=uv3 et de la gestion*socio=ec2 des risques*socio=uv3 dans le secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1. D'autres administrateurs*socio=ac, tout en reconnaissant que ce type*socio=rien de transactions*socio=ec1 rend les réglementations*socio=et nationales*socio=te moins efficaces*socio=uv4, ont néanmoins fait*socio=rien ressortir les avantages*socio=rien - principalement la possibilité*socio=rien de se couvrir contre la volatilité*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des actifs*socio=ec1 et des taux_de_change*socio=ec1 - que l'on peut en tirer. Grandes*socio=rien places financières*socio=ec1 internationales*socio=te. L'essor*socio=rien des dérivés financiers*socio=ec1 est*socio=rien aussi *socio=rien un sujet de*socio=nil préoccupation*socio=uv4 *socio=nil pour les pays_industrialisés*socio=ac, et la réunion*socio=rien de mai*socio=rien 1995 s'est*socio=rien concentrée sur*socio=rien les efforts*socio=uv1 déployés par ces derniers*socio=rien pour améliorer la réglementation*socio=et et le contrôle*socio=uv3 des banques*socio=ac, compte*socio=ec1 tenu de l'activité*socio=rien croissante*socio=rien des marchés*socio=ec1 des dérivés. En décembre*socio=rien 1995, les signes d'une intensification*socio=ec2 possible*socio=rien des *socio=ec2 pressions concurrentielles sur*socio=rien les*socio=nil banques*socio=ac *socio=nil ont conduit les administrateurs*socio=ac à revenir sur*socio=rien les questions*socio=rien de surveillance*socio=et et de réglementation*socio=et. Ils ont analyse*socio=rien également les tendances*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et des marchés*socio=ec1 de titres*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac, et examiné les mesures*socio=et prises*socio=rien par les autorités*socio=et japonaises*socio=ac pour résoudre les problèmes*socio=uv4 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 japonais*socio=ac. Réglementation*socio=et et surveillance*socio=et. Lors*socio=rien de leur réunion*socio=rien de mai*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont observé que les pays_industrialisés*socio=ac ont considérablement*socio=rien renforcé le cadre*socio=rien de réglementation*socio=et et de surveillance*socio=et des marchés*socio=ec1 de dérivés financiers*socio=ec1, mais certains intervenants*socio=ac ont estimé qu'il faut encore progresser. Ils ont accueilli favorablement la *socio=rien proposition du Comité*socio=ac *socio=nil de Bâle sur*socio=rien la surveillance*socio=et bancaire*socio=ec1 visant à redéfinir les normes*socio=et de fonds*socio=ec1 *socio=rien propres applicables aux*socio=nil postes hors*socio=nil bilan *socio=nil et aux activités*socio=rien de négoce des banques*socio=ac. Les membres*socio=ac du*socio=rien Conseil*socio=ac ont rappelé que des questions*socio=rien importantes*socio=uv4 restent posées en ce qui concerne la coopération*socio=uv1 et la coordination*socio=uv3 internationales*socio=te dans les domaines*socio=rien de la réglementation*socio=et et du*socio=rien contrôle*socio=uv3. La plupart*socio=rien d'entre eux se sont accordés à reconnaître qu'en dépit*socio=rien de la globalisation*socio=te des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, marchés*socio=ec1 et institutions*socio=ac restent régis par des textes*socio=rien de droit*socio=uv1 interne*socio=te. Certains administrateurs*socio=ac ont engagé les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac à envisager quelle pourrait être*socio=rien la contribution*socio=uv1 de l'institution*socio=ac aux efforts*socio=uv1 engagés par le Comité*socio=ac de Bâle pour renforcer les dispositifs*socio=et de réglementation*socio=et et de surveillance*socio=et, en égard*socio=rien en particulier*socio=rien au caractère*socio=rien désormais universel*socio=uv2 du*socio=rien FMI*socio=ac. Lorsque le Conseil*socio=ac est*socio=rien revenu*socio=ec1 sur*socio=rien ces questions*socio=rien en décembre*socio=rien, plusieurs administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer que les marges d'intermédiation*socio=ec1 pratiquées sur*socio=rien les *socio=ec1 prêts bancaires intérieurs*socio=te ou*socio=nil internationaux*socio=te,*socio=nil *socio=nil telles que l'expriment les écarts*socio=ec2 entre taux*socio=ec1 débiteurs*socio=ac et créditeurs*socio=ac, sont tombées au niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien de ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil ce qui suggère l'existence*socio=rien d'une concurrence*socio=ec1 intense*socio=rien entre les banques*socio=ac, aussi *socio=rien bien sur les*socio=nil principales places*socio=nil financières*socio=ec1 *socio=nil qu'entre celles-ci. Certains responsables*socio=uv2 du*socio=rien contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1 ont *socio=rien fait part,*socio=nil *socio=nil cependant, de leur crainte*socio=uv1 que les normes*socio=et de crédit*socio=ec1 et les conventions*socio=et de prêt*socio=ec1 aient peut-être été*socio=rien trop assouplies, et ont rappelé que, par le passé*socio=rien, les *socio=ec2 pressions concurrentielles *socio=nil ont poussé les banques*socio=ac à s'engager dans des activités*socio=rien à haut*socio=rien risque*socio=uv3 qu'elles maîtrisaient mal*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que les autorités*socio=et de surveillance*socio=et ne doivent pas relâcher leur vigilance*socio=rien si elles veulent prévenir toute prise*socio=rien de risques*socio=uv3 excessifs*socio=uv4 par les intermédiaires*socio=rien financiers*socio=ec1. Difficultés*socio=uv4 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 au*socio=nil Japon*socio=ac.*socio=nil En*socio=nil décembre,*socio=nil les*socio=nil membres*socio=ac du Conseil*socio=ac *socio=nil ont estimé dans leur ensemble*socio=rien que les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 japonaises*socio=ac se trouvent à un*socio=rien tournant des efforts*socio=uv1 engagés pour résoudre les problèmes*socio=uv4 bancaires*socio=ec1 qui affectent de longue*socio=rien date le Japon*socio=ac. Ils ont *socio=rien été nombreux *socio=nil à se féliciter de l'attitude*socio=uv3 plus énergique*socio=ec1 dont ont fait*socio=rien montre les autorités*socio=et en laissant certains établissements*socio=ac bancaires*socio=ec1 faire faillite*socio=ec1. De l'avis*socio=rien général*socio=rien, toutefois, d'autres mesures*socio=et pourraient se révéler nécessaires*socio=rien. Ainsi, certains ont jugé qu'une résolution*socio=uv1 *socio=rien rapide du problème*socio=uv4 des*socio=nil créances*socio=ec1 douteuses*socio=uv2 *socio=nil suppose que l'on passe au plus vite par profits*socio=ec1 et pertes*socio=ec2 les créances*socio=ec1 irrécouvrables, que l'on fasse davantage appel*socio=rien aux fonds_publics*socio=et et que l'on redouble d'effort*socio=uv1 pour vendre les actifs*socio=ec1 des banques*socio=ac. Plusieurs intervenants*socio=ac ont recommandé en outre d'améliorer la transparence*socio=uv3 du*socio=rien marché*socio=ec1 et d'adopter des règles*socio=et de publicité*socio=rien financière*socio=ec1 plus strictes*socio=rien. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont estimé que la prime que les *socio=ac banques japonaises *socio=nil doivent acquitter sur*socio=rien le *socio=ec1 marché interbancaire témoigne*socio=rien *socio=nil de la préoccupation*socio=uv4 des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te face*socio=rien à la lenteur*socio=rien des progrès*socio=uv1 enregistrés dans la résolution*socio=uv1 du*socio=rien problème*socio=uv4 des créances*socio=ec1 irrécouvrables. Plus généralement, le Conseil*socio=ac a relevé les différences*socio=uv1 considérables*socio=rien qui peuvent exister, d'un*socio=rien Pays*socio=ac à l'autre, en ce qui concerne les règles*socio=et de publicité*socio=rien financière*socio=ec1 et de comptabilité*socio=ec1, les dispositifs*socio=et de surveillance*socio=et bancaire*socio=ec1 ou les méthodes*socio=ec2 de gestion*socio=ec2, et ont invité les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac à un*socio=rien effort*socio=uv1 d'harmonisation*socio=uv3, de coopération*socio=uv1, et de communication*socio=ec1. Dimension*socio=rien budgétaire*socio=et des politiques_économiques*socio=et. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1995 / 96, le Conseil*socio=ac a examiné trois dossiers*socio=rien présentant d'importantes*socio=uv4 implications*socio=rien pour la politique_budgétaire*socio=et des *socio=ac États membres *socio=nil comme pour la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac, à savoir*socio=rien les conséquences*socio=rien pour les finances*socio=ec1 publiques*socio=et des opérations*socio=rien quasi budgétaires*socio=et des banques_centrales*socio=ac et d'autres institutions_financières*socio=ac publiques*socio=et, la menace*socio=uv1 que le vieillissement*socio=ec2 démographique*socio=ec1 fait*socio=rien planer sur*socio=rien les régimes_de_retraite*socio=et et l'incidence*socio=ec2 de la fiscalité*socio=et sur*socio=rien les marchés_du_travail*socio=ec1, en *socio=rien particulier sur le*socio=nil chômage*socio=ec1.*socio=nil Opérations quasi*socio=nil budgétaires*socio=et des*socio=nil institutions_financières*socio=ac publiques*socio=et.*socio=nil *socio=nil Dans certains *socio=ac États membres du*socio=rien FMI,*socio=nil des*socio=nil institutions_financières publiques*socio=et *socio=nil utilisent des opérations*socio=rien quasi budgétaires*socio=et (taux_de_change*socio=ec1 multiples*socio=rien, garanties de change*socio=ec1, *socio=ec1 prêts subventionnés,*socio=nil opérations*socio=rien de*socio=nil sauvetage*socio=uv1 *socio=nil menées par la banque_centrale*socio=ac) comme des instruments*socio=et de leur politique*socio=et. Étant donné l'incidence*socio=ec2 considérable*socio=rien que ces opérations*socio=rien peuvent exercer sur*socio=rien l'équilibre*socio=ec2 financier*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et, les administrateurs*socio=ac ont étudié en mai*socio=rien 1995 s'il était souhaitable*socio=rien et possible*socio=rien de mieux prendre en compte*socio=ec1 l'ampleur*socio=rien et le coût*socio=ec1 de ces opérations*socio=rien dans la conception*socio=et et le suivi des programmes*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Les membres*socio=ac du*socio=rien Conseil*socio=ac ont convenu qu'il conviendrait d'analyser les opérations*socio=rien quasi budgétaires*socio=et de façon*socio=rien plus détaillée que par le passé*socio=rien, à la fois*socio=rien pour déterminer plus aisément si une opération*socio=rien donnée engendre une taxe*socio=et ou mie subvention*socio=ec1 *socio=rien nette implicite *socio=nil et pour permettre une évaluation*socio=ec2 plus complète et plus homogène*socio=uv4 des politiques_budgétaires*socio=et. Ils ont reconnu, cependant, qu'il faudrait recourir dans quelques cas*socio=rien à une analyse*socio=ec2 qualitative*socio=rien, *socio=rien certaines opérations quasi*socio=nil budgétaires*socio=et étant*socio=nil difficiles *socio=nil à quantifier en raison*socio=rien de leur complexité*socio=rien ou en l'absence*socio=rien des données nécessaires*socio=rien. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont insiste sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de rendre les opérations*socio=rien quasi budgétaires*socio=et transparentes*socio=uv4 en les intégrant dans uni cadre*socio=rien budgétaire*socio=et. Ils ont fait*socio=rien observer toutefois que si la quantification et l'analyse*socio=ec2 peuvent mettre en lumière*socio=rien les effets*socio=rien de ces *socio=rien opérations sur le*socio=nil plan macro-économique*socio=ec1 et*socio=nil sur l'*socio=nil allocation*socio=et des*socio=nil ressources*socio=ec1,*socio=nil l'*socio=nil objectif*socio=uv3 final *socio=nil consiste à éliminer des *socio=et pratiques préjudiciables *socio=nil telles que les taux_de_change*socio=ec1 multiples*socio=rien et le crédit*socio=ec1 dirigé. S'agissant des programmes*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, les administrateurs*socio=ac ont encouragé les services*socio=et de l'institution*socio=ac à procéder cas*socio=rien par cas*socio=rien, en s'attachant aux opérations*socio=rien quasi budgétaires*socio=et qui occasionnent des distorsions*socio=uv3 oui des coûts*socio=ec1 budgétaires*socio=et considérables*socio=rien. Ils ont relevé l'importance*socio=rien des passifs*socio=ec1 conditionnels*socio=rien, mais ils ont admis qu'il risque*socio=uv3 d'être*socio=rien difficile*socio=rien de les évaluer avec précision*socio=rien. Ils ont estimé, néanmoins, qu'il serait utile*socio=uv4 d'attirer l'attention*socio=rien sur*socio=rien telle ou telle pratique*socio=rien, même si son évaluation*socio=ec2 *socio=rien est ardue.*socio=nil De*socio=nil nombreux intervenants*socio=ac *socio=nil se sont exprimés en faveur*socio=rien d'une comptabilisation plus stricte*socio=rien des opérations*socio=rien quasi budgétaires*socio=et dans le cadre*socio=rien des programmes*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac, dans la mesure*socio=rien où les modifications*socio=rien aux pratiques*socio=et en vigueur*socio=uv3 seraient prises*socio=rien en compte*socio=ec1 à la fois*socio=rien dans la surveillance*socio=et exercée dans le cadre*socio=rien de programmes*socio=et ou en dehors de ceux-ci,. Vieillissement*socio=ec2 démographique*socio=ec1 et incidence*socio=ec2 des *socio=et régimes publics de*socio=nil retraite*socio=ec1 sur*socio=rien les*socio=nil finances*socio=ec1 publiques.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont examiné en février*socio=rien 1996 les *socio=rien implications du vieillissement*socio=ec2 démographique*socio=ec1 sur les*socio=nil plans macro-économique*socio=ec1 et*socio=nil budgétaire*socio=et,*socio=nil *socio=nil ainsi que les conséquences*socio=rien éventuelles*socio=te de la réforme*socio=et des régimes_de_retraite*socio=et sur*socio=rien l'épargne*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3, en particulier*socio=rien dans les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Ils se sont accordés à penser que les évolutions*socio=te démographiques*socio=ec1 projetées présenteront de sérieux*socio=uv4 défis*socio=uv2 aux pouvoirs_publics*socio=et. Même s'il faudra sans doute*socio=rien une quinzaine*socio=rien d'années*socio=rien, dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, avant que les *socio=rien effets du vieillissement*socio=ec2 *socio=nil se fassent pleinement sentir, les administrateurs*socio=ac ont recommandé vivement de mettre les réformes*socio=et en chantier*socio=rien le plus tôt possible*socio=rien, car la modification*socio=rien des régimes_de_retraite*socio=et sera un*socio=rien processus*socio=te de *socio=rien longue haleine *socio=nil et il en coûterait d'ajourner les réformes*socio=et. Si aucun changement*socio=uv3 n'est*socio=rien apporté aux systèmes*socio=rien actuels*socio=te, le vieillissement*socio=ec2 des populations*socio=ac grèvera*socio=ec très lourdement les finances*socio=ec1 publiques*socio=et de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, surtout si l'on tient compte*socio=ec1 de son *socio=rien impact sur *socio=nil d'autres dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et, et singulièrement sur*socio=rien les dépenses*socio=ec1 de santé*socio=et. D'une manière*socio=rien plus générale*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer que le vieillissement*socio=ec2 démographique*socio=ec1 et la stratégie*socio=et adoptée par les pouvoirs_publics*socio=et pour y faire face*socio=rien pourraient avoir d'importantes*socio=uv4 répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien l'épargne*socio=ec1, le marché_du_travail*socio=ec1, l'emploi*socio=ec1 et le revenu*socio=ec1 réel*socio=rien des pays*socio=ac, ainsi que sur*socio=rien leur position*socio=rien extérieure*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont souligné qu'il est*socio=rien utile*socio=uv4 de procéder à une évaluation*socio=ec2 quantitative*socio=rien de la viabilité*socio=uv3 à long_terme*socio=te des *socio=et régimes publics *socio=nil de retraité, et qu'il importe de faire prendre davantage conscience*socio=uv1 au public*socio=et du*socio=rien coût*socio=ec1 budgétaire*socio=et futur*socio=te des droits*socio=uv1 à prestations*socio=et de retraite*socio=ec1 promises aujourd'hui. Ils ont observé que les caractéristiques*socio=rien et l'importance*socio=rien relative*socio=rien des *socio=et régimes_de_retraite publics et*socio=nil privés *socio=nil varient très sensiblement d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, et qu'il *socio=rien est difficile par*socio=nil conséquent *socio=nil de formuler des recommandations*socio=et de portée*socio=rien universelle*socio=uv2 en matière*socio=rien de réformes*socio=et. Une refonte*socio=et des régimes*socio=et en *socio=rien place est cependant*socio=nil inévitable *socio=nil dans beaucoup de pays_industrialisés*socio=ac; à tout le moins, les dispositions*socio=et de ces régimes*socio=et devront être*socio=rien profondément remaniées même si la structure*socio=ec1 en *socio=rien reste inchangée.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont accordés pour estimer que les réformes*socio=et "partielles*socio=rien" devraient se concentrer sur*socio=rien la réduction*socio=ec2 des taux*socio=ec1 de remplacement*socio=rien et le relèvement*socio=ec2 de l'âge*socio=rien de la retraite*socio=ec1. Le débat*socio=et sur*socio=rien les *socio=rien mérites respectifs des*socio=nil régimes*socio=et par*socio=nil capitalisation*socio=ec1 *socio=nil et par répartition*socio=uv3 n'a pas permis*socio=rien de trancher. De nombreux*socio=rien intervenants*socio=ac ont souligné que les recommandations*socio=et sur*socio=rien la réforme*socio=et des régimes_de_retraite*socio=et doivent relever d'une démarche*socio=rien pragmatique*socio=uv4 adaptée aux conditions*socio=ec1 propres*socio=rien à chaque pays*socio=ac, et rechercher avant tout la viabilité*socio=uv3 à long_terme*socio=te au plus *socio=rien bas niveau de*socio=nil distorsions*socio=uv3 possible.*socio=nil Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont mis en garde*socio=rien contre la conversion*socio=ec2 en bloc*socio=rien des régimes*socio=et par répartition*socio=uv3 en régimes*socio=et par capitalisation*socio=ec1, compte*socio=ec1 tenu des coûts*socio=ec1 considérables*socio=rien d'une telle transition*socio=ec2, et d'autres ont insiste sur*socio=rien les distorsions*socio=uv3 que les régimes*socio=et par répartition*socio=uv3 exercent sur*socio=rien les incitations*socio=uv3 à l'épargne*socio=ec1 et au travail*socio=rien. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac se sont accordés à dire que la misé en place*socio=rien d'un*socio=rien réseau*socio=rien de *socio=et régimes_de_retraite privés *socio=nil pourrait entraîner, à terme*socio=rien, un*socio=rien accroissement*socio=ec2 de l'épargne*socio=ec1. Certains d'entre eux ont préconisé que l'on encourage la création*socio=uv4 de tels régimes*socio=et tout en réduisant progressivement*socio=rien les *socio=et régimes publics existants*socio=rien.*socio=nil *socio=nil En ce qui concerne les incitations*socio=uv3 fiscales*socio=et destinées*socio=rien à encourager les régimes*socio=et professionnels*socio=ec1 de retraite*socio=ec1, toutefois, certains intervenants*socio=ac se sont inquiétés des distorsions*socio=uv3 que la prolifération*socio=rien de ces régimes*socio=et pourrait engendrer et de l'incidence*socio=ec2 qu'elle pourrait avoir sur*socio=rien le budget*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que le FMI*socio=ac devrait concentrer son *socio=rien attention sur les*socio=nil implications macro-économiques*socio=ec1 de*socio=nil paramètres *socio=nil tels que l'épargne*socio=ec1, la croissance*socio=uv3, les soldes*socio=ec1 budgétaires*socio=et et les marchés_du_travail*socio=ec1. Ces questions*socio=rien peuvent en *socio=rien général être *socio=nil abordées dans le cadre*socio=rien de la préparation*socio=rien des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et des rapports*socio=rien de consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Quant aux études*socio=ec2 spécifiques*socio=rien et aux recommandations*socio=et détaillées adressées aux pays_membres*socio=ac en matière*socio=rien de régimes_de_retraite*socio=et, elles seraient plutôt du*socio=rien ressort de l'Organisation*socio=ac de coopération*socio=uv1 et de développement*socio=uv3 économiques*socio=ec1 (OCDE*socio=ac) et de la banque_mondiale*socio=ac, qui sont le mieux à même de s'en charger. Certains administrateurs*socio=ac ont aussi suggéré que ces questions*socio=rien fassent l'objet*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=ec2 plus poussé dans le cas*socio=rien des économies_en_transition*socio=ec1 et des pays_en_développement*socio=uv3. Fiscalité*socio=et et chômage*socio=ec1. En février*socio=rien 1996, au cours*socio=rien d'un*socio=rien séminaire*socio=ac sur*socio=rien la fiscalité*socio=et et le chômage*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir que les déterminants*socio=rien structurels*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1 sont variés et complexes, et que l'on peut difficilement s'en remettre à un*socio=rien instrument*socio=et unique*socio=rien pour obtenir*socio=rien des résultats*socio=rien dans ce domaine*socio=rien, Pour réduire le chômage*socio=ec1, il faut allier une politique*socio=et financière*socio=ec1 bien*socio=rien conçue, qui contribue à stabiliser l'environnement*socio=et macro-économique*socio=ec1, à des politiques*socio=et micro-économiques*socio=ec1 judicieuses*socio=uv4 de nature*socio=rien à assurer *socio=rien un fonctionnement souple*socio=uv4 du marché*socio=ec1 *socio=nil et une allocation*socio=et efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1. Certains administrateurs*socio=ac ont déclaré que des rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 sont la *socio=rien cause première du fort taux*socio=ec1 de*socio=nil chômage*socio=ec1 des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac,*socio=nil *socio=nil mais que les distorsions*socio=uv3 entraînées par la fiscalité*socio=et en ont exacerbé les effets*socio=rien. Bien*socio=rien qu'il soit malaise*socio=rien de déterminer empiriquement l'ampleur*socio=rien de son incidence*socio=ec2 sur*socio=rien le chômage*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont convenu que la fiscalité*socio=et est*socio=rien l'un*socio=rien des *socio=rien nombreux facteurs susceptibles *socio=nil d'influer sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1. Tout en tenant compte*socio=ec1 de la nécessité*socio=uv1 de maintenir *socio=rien un niveau de*socio=nil recettes*socio=ec1 *socio=nil approprié, les responsables*socio=uv2 de la politique_économique*socio=ec1 doivent s'attacher à identifier les *socio=rien éléments du régime_fiscal*socio=et propres *socio=nil à réduire au minimum*socio=rien les distorsions*socio=uv3 sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1. Selon les administrateurs*socio=ac, les impôts*socio=et relativement lourds*socio=rien perçus sur*socio=rien les salaires*socio=ec1 et la générosité*socio=uv1 des prestations*socio=et de chômage*socio=ec1 de nombreux*socio=rien pays*socio=ac industrialises contribuent aux rigidités*socio=uv3 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 et tendent à décourager l'emploi*socio=ec1. Quant à savoir*socio=rien s'il serait possible*socio=rien de réduire les impôts*socio=et sur*socio=rien les salaires*socio=ec1 pour leur substituer d'autres formes*socio=rien d'imposition*socio=et, les intervenants*socio=ac ont fait*socio=rien remarquer que la marge de *socio=rien manoeuvre est *socio=nil limitée en ce qui concerne les taxes*socio=et à la consommation*socio=ec1, car celles-ci sont déjà élevées*socio=uv4 dans de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Une autre possibilité*socio=rien, qui consisterait à faire basculer la charge*socio=rien de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le capital*socio=ec1, supposerait un*socio=rien arbitrage*socio=et entre les gains*socio=ec1 d'emploi*socio=ec1 que pourraient engendrer à court_terme*socio=te les modifications*socio=rien de la structure*socio=ec1 des prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien, et les pertes*socio=ec2 d'emploi*socio=ec1 qu'entraînerait, à long_terme*socio=te, l'incidence*socio=ec2 défavorable*socio=uv4 de la *socio=rien mesure sur la*socio=nil formation*socio=et de*socio=nil capital*socio=ec1 *socio=nil et la croissance*socio=uv3. Certains administrateurs*socio=ac ont recommandé les impôts*socio=et "verts", au motif*socio=rien qu'ils corrigent des déséconomies externes*socio=ec1, mais leur assiette*socio=rien a été*socio=rien jugée trop étroite*socio=rien pour pouvoir*socio=et remplacer entièrement les impôts*socio=et sur*socio=rien les salaires*socio=ec1. En outre, les taxes*socio=et sur*socio=rien les produits*socio=rien énergétiques*socio=ec1 sont déjà élevées*socio=uv4 dans de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer que les problèmes*socio=uv4 de chômage*socio=ec1 des économies*socio=ec1 en développement*socio=uv3 ou en transition*socio=ec2 diffèrent de ceux des pays_industrialisés*socio=ac. Dans les économies*socio=ec1 en développement*socio=uv3, le marché*socio=ec1 formel*socio=rien et urbain*socio=te *socio=rien du travail est souvent*socio=nil étroit,*socio=nil *socio=nil et il est*socio=rien influencé par les activités*socio=rien des secteurs*socio=rien agricole*socio=ec1 et informel*socio=uv2; il faut donc appliquer une politique_fiscale*socio=et et une politique*socio=et de prix*socio=ec1 judicieuses*socio=uv4 dans le secteur*socio=rien agricole*socio=ec1, et fiscaliser le secteur*socio=rien informel*socio=uv2. Les administrateurs*socio=ac ont été*socio=rien d'accord*socio=uv1 pour estimer que dans les économies_en_transition*socio=ec1, le chômage*socio=ec1 est*socio=rien davantage conditionné*socio=rien par les réformes*socio=et en cours*socio=rien que par la politique_fiscale*socio=et qui, à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, se préoccupe surtout de dégager les recettes*socio=ec1 nécessaires*socio=rien pour réduire les déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et. Ils n'en ont pas moins considéré que le poids*socio=rien des impôts*socio=et sur*socio=rien les salaires*socio=ec1 fait*socio=rien obstacle*socio=uv3 à la réabsorption des chômeurs*socio=ac et devrait donc être*socio=rien allégé dès que possible*socio=rien. Ils ont estimé indispensable*socio=uv4 aussi de réformer les régimes_de_retraite*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont jugé que la taxation*socio=et des hausses de salaires*socio=ec1 excessives*socio=uv4 peut créer des distorsions*socio=uv3 et devrait être*socio=rien réduit à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont convenus que la contribution*socio=uv1 la plus utile*socio=uv4 que la politique_fiscale*socio=et puisse apporter à la réduction*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1 consiste à réduire les distorsions*socio=uv3 causées par les impôts*socio=et dans le fonctionnement*socio=rien des marchés*socio=ec1 en général*socio=rien, et du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 en particulier*socio=rien. Les recommandations*socio=et émises par le FMI*socio=ac en matière*socio=rien de politique_fiscale*socio=et et de lutte*socio=uv1 contre le chômage*socio=ec1 devraient mettre l'accent*socio=rien sur*socio=rien le renforcement*socio=ec2 de la neutralité*socio=uv1 du*socio=rien régime_fiscal*socio=et, la réduction*socio=ec2 des rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1, un*socio=rien meilleur*socio=uv4 ciblage*socio=uv3 des *socio=et prestations sociales *socio=nil et leur maintien*socio=rien à des niveaux*socio=rien soutenables*socio=uv4. Rôle*socio=et actuel*socio=te et à venir du*socio=rien DTS. En avril*socio=rien 1996, le conseil_d'_administration*socio=ac s'est*socio=rien réuni pour débattre*socio=rien des conclusions*socio=rien d'un*socio=rien séminaire*socio=ac consacré, en mars*socio=rien 1996, à l'avenir*socio=te du*socio=rien DTS - l'actif*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 international*socio=te créé par le FMI*socio=ac en 1969 pour compléter les instruments*socio=et de réserve*socio=ec1 existants*socio=rien. Ce séminaire*socio=ac avait été*socio=rien organisé en réponse*socio=rien au communiqué publié par le comité_intérimaire*socio=ac, lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1995, qui invitait le FMI*socio=ac "à engager, avec la participation*socio=uv3 d'experts*socio=ac extérieurs*socio=te, *socio=rien un large examen*socio=ec2 du rôle*socio=et *socio=nil et des *socio=rien fonctions du *socio=nil DTS dans un*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te en mutation*socio=ec2" (Rapport*socio=rien annuel*socio=te, 1995, page*socio=rien 230). L'objectif*socio=uv3 était de clarifier certaines*socio=rien des *socio=rien principales questions *socio=nil posées et des divergences*socio=uv1 d'opinions*socio=ec2 au *socio=rien sujet du rôle*socio=et du *socio=nil DTS dans le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te (encadré 2). Les administrateurs*socio=ac ont estimé que le séminaire*socio=ac a apporté une contribution*socio=uv1 utile*socio=uv4 à l'examen*socio=ec2 des fonctions*socio=rien et des perspectives*socio=te du*socio=rien DTS souhaité par le comité_intérimaire*socio=ac, et ils ont observé que le débat*socio=et a permis*socio=rien de dégager plusieurs thèmes*socio=rien. Ils ont constaté que la clause des statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac prévoyant de faire du*socio=rien DTS le principal*socio=rien avoir de réserve*socio=ec1 dit système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te ne recueille guère d'appui*socio=uv1. Les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien remarquer que, dans le système*socio=rien actuel*socio=te, de nombreux*socio=rien *socio=ac États membres du*socio=rien FMI *socio=nil n'ont jamais reçu le moindre*socio=rien DTS ou n'ont pas participé à toutes les allocations*socio=et, ce qui pose un*socio=rien problème*socio=uv4 d'équité*socio=uv1. Certains administrateurs*socio=ac - trop peu nombreux*socio=rien toutefois pour atteindre la très *socio=rien large majorité requise*socio=uv4 *socio=nil - se sont déclarés en faveur*socio=rien d'allocations*socio=et générales*socio=rien périodiques*socio=te de DTS, sur*socio=rien la *socio=rien base du critère de*socio=nil besoin*socio=uv1 global*socio=te à*socio=nil long_terme*socio=te *socio=nil énoncé par les statuts*socio=et en vigueur*socio=uv3, qui permettrait de remédier au sentiment*socio=rien d'inéquité engendré par la *socio=rien situation présente.*socio=nil *socio=nil Cependant, les administrateurs*socio=ac ne se sont pas accordés sur*socio=rien la question*socio=rien de savoir*socio=rien si le coût*socio=ec1 d'obtention*socio=rien des réserves*socio=ec1, très variable*socio=rien selon les pays_membres*socio=ac, justifie une allocation*socio=et de DTS dans le cadre*socio=rien des statuts*socio=et actuels*socio=te ou un*socio=rien amendement*socio=et aux clauses*socio=rien des statuts*socio=et régissant*socio=rien les allocations*socio=et. L'opinion*socio=uv1 des administrateurs*socio=ac n'a pas varié par rapport*socio=rien aux positions*socio=rien qu'ils avaient prises*socio=rien précédemment au sujet*socio=rien d'une éventuelle*socio=te allocation*socio=et générale*socio=rien de DTS. Ceux qui se sont prononcés en faveur*socio=rien d'une allocation*socio=et de DTS pour des motifs*socio=rien d'équité*socio=uv1 - c'est-à-dire pour une distribution*socio=rien de DTS aux *socio=ac États membres *socio=nil qui n'en ont jamais reçu ou qui n'ont pas participé à toutes les allocations*socio=et - ont réaffirmé le souhait*socio=rien, très largement répandu, de faire en sorte*socio=rien que tous les pays_membres*socio=ac participent pleinement au système*socio=rien des DTS, y compris en bénéficiant des allocations*socio=et. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont insisté cependant pour que les allocations*socio=et destinées*socio=rien à rétablir l'équité*socio=uv1 interviennent dans le contexte*socio=rien d'une allocation*socio=et générale*socio=rien, conformément aux statuts*socio=et actuels*socio=te. Certains administrateurs*socio=ac ont suggéré d'explorer plus avant les possibilités*socio=rien d'allocations*socio=et sélectives*socio=uv4, qui permettraient de concilier les opinions*socio=ec2 très diverses*socio=rien que suscitent les allocations*socio=et générales*socio=rien. Certains administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir qu'en cas*socio=rien d'amendement*socio=et des statuts*socio=et sur*socio=rien la *socio=rien question du *socio=nil DTS, il conviendrait d'autoriser les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 et d'autres établissements_privés*socio=et à détenir des DTS, et quelques-uns ont estimé qu'il conviendrait d'encourager d'autres institutions*socio=ac officielles*socio=et à utiliser davantage le DTS. Si nombre*socio=rien d'entre eux ont noté avec intérêt*socio=uv1 que plusieurs *socio=rien propositions relatives au*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil et au calcul*socio=rien de la valeur*socio=ec1 du*socio=rien DTS ont été*socio=rien avancées par des participants*socio=ac au séminaire*socio=ac, les administrateurs*socio=ac ont estimé dans leur ensemble*socio=rien que les caractéristiques*socio=rien actuelles*socio=te des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et *socio=rien du calcul *socio=nil de la valeur*socio=ec1 du*socio=rien DTS ne posent pas de *socio=uv4 problème grave.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont accordés à penser qu'il faut relancer dès que possible*socio=rien les efforts*socio=uv1 engagés pour résoudre la question*socio=rien de l'équité*socio=uv1. Ils ont indiqué qu'ils restent prêts*socio=ec1 à étudier certaines*socio=rien des propositions*socio=rien avancées *socio=rien lors du séminaire*socio=ac sur *socio=nil le DTS, mais uniquement*socio=rien s'il apparaît qu'elles peuvent recueillir le large*socio=rien soutien*socio=uv3 requis*socio=uv4 ou qu'elles contribuent, de façon*socio=rien plus générale*socio=rien, à faire progresser la question*socio=rien de l'allocation*socio=et. Après*socio=rien avoir étudié le *socio=rien rapport du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil consacré au séminaire*socio=ac sur*socio=rien l'avenir*socio=te du*socio=rien DTS, le comité_intérimaire*socio=ac a demandé au conseil_d'_administration*socio=ac, en avril*socio=rien 1996, de poursuivre l'examen*socio=ec2 des propositions*socio=rien concernant le rôle*socio=et du*socio=rien DTS et de dégager un*socio=rien consensus*socio=uv1 sur*socio=rien la manière*socio=rien d'assurer à tous les *socio=ac États membres une*socio=nil part*socio=rien équitable*socio=uv2 des*socio=nil allocations*socio=et *socio=nil cumulées de DTS. Le FMI*socio=ac en 1995 / 96. Le rôle*socio=et des financements*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac et leurs liens*socio=rien avec la surveillance*socio=et. Pendant les décennies*socio=te qui ont suivi la création*socio=uv4 du*socio=rien FMI*socio=ac par l'accord*socio=et de bretton_woods*socio=et en 1944, quatre *socio=rien événements majeurs *socio=nil ont profondément modifié le contexte*socio=rien économique*socio=ec1 mondial*socio=te dans lequel évolue cette institution*socio=ac : le système*socio=rien des parités*socio=ec1 fixes relié à l'or*socio=ec1 a été*socio=rien remplacé par *socio=rien un système de*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil beaucoup plus flexibles*socio=uv4; le volume*socio=rien des flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1 a très sensiblement grossi; le développement*socio=uv3 du*socio=rien commerce*socio=ec1 et des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 a rapproché les pays*socio=ac mais les a aussi rendus plus vulnérables*socio=uv2 aux perturbations*socio=ec2 extérieures*socio=te; enfin la quasi-totalité*socio=rien des pays*socio=ac du*socio=rien monde*socio=te sont maintenant membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac. C'est*socio=rien dans ce *socio=rien nouveau contexte *socio=nil que le comité_intérimaire*socio=ac a demandé, à sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1995, au conseil_d'_administration*socio=ac d'examiner l'évolution*socio=te du*socio=rien rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans l'optique*socio=rien des efforts*socio=uv1 que ce dernier*socio=rien déploie pour éviter, ou aider à corriger, les désajustements des balances_de_paiements*socio=ec1 des pays*socio=ac, en mettant l'accent*socio=rien sur*socio=rien la relation*socio=rien entre l'assistance*socio=uv1 financière*socio=ec1 qu'il accorde et la surveillance*socio=et qu'il exerce sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des *socio=ac États membres.*socio=nil Cet*socio=nil examen*socio=ec2 *socio=nil a eu lieu*socio=rien en août*socio=rien 1995. raison_d'_être*socio=et des financements*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Au cours*socio=rien de leur discussion*socio=et, les administrateurs*socio=ac ont noté que la généralisation*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 flexibles*socio=uv4 et l'expansion*socio=ec2 prise*socio=rien par les flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1 n'ont pas été*socio=rien sans influer sur*socio=rien les financements*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Si de nombreux*socio=rien pays_membres*socio=ac peuvent désormais financer plus aisément leurs déficits*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants,*socio=nil *socio=nil ils sont en même temps*socio=rien devenus plus vulnérables*socio=uv2 aux sautes d'humeur*socio=rien des marchés*socio=ec1 et au risque*socio=uv3 de s'en voir brusquement fermer les portes*socio=rien. Même les pays_membres*socio=ac qui ont opté pour un*socio=rien régime*socio=et de *socio=ec1 taux_de_change flottants *socio=nil ont accru, à terme*socio=rien, leurs avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 et sont souvent intervenus sur*socio=rien le marché*socio=ec1 pour agir sur*socio=rien leur taux_de_change*socio=ec1. Les pays_industrialisés*socio=ac n'ont pas eu recours*socio=rien récemment aux concours du*socio=rien FMI*socio=ac. Ce dernier*socio=rien n'en conserve pas moins, pour la plupart*socio=rien des *socio=ac États membres,*socio=nil un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 *socio=nil en tant que source*socio=rien éventuelle*socio=te de financement*socio=ec1 temporaire*socio=rien de la balance_des_paiements*socio=ec1, l'appui*socio=uv1 de leurs efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et. Le Conseil*socio=ac est*socio=rien convenu que la raison_d'_être*socio=et des concours du*socio=rien FMI*socio=ac est*socio=rien d'atténuer les perturbations*socio=ec2 que risquent d'entraîner les ajustements*socio=et intérieurs*socio=te ou les chocs*socio=ec2 exogènes*socio=rien et que leur efficacité*socio=uv3 est*socio=rien étroitement liée à la surveillance*socio=et et à la conditionnalité. Les marchés*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1 ne sont pas toujours prêts*socio=ec1 à fournir les financements*socio=ec1 nécessaires*socio=rien, ni en mesure*socio=rien de le faire; par ailleurs*socio=rien, les flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1 sont parfois sujets*socio=rien à des revirements*socio=te brusques ou arbitraires*socio=uv4, qui peuvent entraîner des problèmes*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1, avec d'éventuelles*socio=te *socio=rien retombées sur *socio=nil d'autres pays*socio=ac. Le FMI*socio=ac peut alors compléter les financements_privés*socio=ec1, tout en veillant à ce que les pays_membres*socio=ac prennent des mesures*socio=et appropriées. A cet égard*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont souligné que l'un*socio=rien des rôles*socio=et essentiels*socio=uv4 de la surveillance*socio=et est*socio=rien de réduire la probabilité*socio=ec2 et la gravité des crises*socio=uv2 de balance_des_paiements*socio=ec1, et d'accroître la confiance*socio=uv1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et. La surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, conjuguée*socio=rien à ses financements*socio=ec1 conditionnels*socio=rien, donne aux pays_membres*socio=ac l'assurance*socio=ec1 qu'ils ne prendront pas de risques*socio=uv3 excessifs*socio=uv4 s'ils libéralisent ou ouvrent leur économie*socio=ec1. La crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 mexicaine*socio=ac en décembre*socio=rien 1994 a relancé les initiatives*socio=rien visant à renforcer la surveillance*socio=et et plusieurs administrateurs*socio=ac ont souligné que celle-ci devrait être*socio=rien davantage axée sur*socio=rien le secteur*socio=rien financier*socio=ec1 et sur*socio=rien la gestion*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. Cependant, de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac estiment que, même avec une surveillance*socio=et plus efficace*socio=uv4, il aurait été*socio=rien probablement nécessaire*socio=rien d'engager *socio=rien un volume considérable de*socio=nil ressources*socio=ec1 du FMI*socio=ac *socio=nil pour venir en aide*socio=uv1 au Mexique*socio=ac. Néanmoins, de l'avis*socio=rien du*socio=rien Conseil*socio=ac, ce pays*socio=ac a bénéficié au total*socio=rien d'un*socio=rien volume*socio=rien d'aide*socio=uv1 exceptionnel*socio=uv4 et il *socio=rien est clair *socio=nil que cela ne doit pas être*socio=rien considéré comme créant *socio=rien un précédent.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont réaffirmé que l'appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac doit continuer à *socio=rien être temporaire *socio=nil et qu'il ne peut être*socio=rien accordé qu'assorti de garanties appropriées. En outre, la conditionnalité des programmes*socio=et bénéficiant de son appui*socio=uv1 doit avoir pour but*socio=rien de garantir que les déséquilibres*socio=uv3 de paiements*socio=ec1 seront corrigés dans des délais*socio=rien raisonnables*socio=uv4 et que le FMI*socio=ac sera remboursé. Les administrateurs*socio=ac sont convenus que les politiques*socio=et et pratiques*socio=et qui régissent actuellement l'appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac sont appropriées et n'incitent pas les pays_membres*socio=ac à entreprendre des politiques_économiques*socio=et risquées. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac se demandent avec inquiétude*socio=rien cependant si le type*socio=rien de financement*socio=ec1 accordé au Mexique*socio=ac n'aura pas à l'avenir*socio=te *socio=rien un effet *socio=nil pervers, car les investisseurs*socio=ac peuvent être*socio=rien encouragés à ignorer les risques*socio=uv3 qu'ils prennent, ou à ne pas en tenir suffisamment compte*socio=ec1. Ces administrateurs*socio=ac soulignent qu'il n'entre pas dans les *socio=rien attributions du FMI*socio=ac *socio=nil de garantir la valeur*socio=ec1 des engagements*socio=et des gouvernements*socio=ac, ni en devises*socio=ec1 ni sous quelque autre forme*socio=rien que ce soit. Quelques administrateurs*socio=ac, cependant, ne considèrent pas que l'assistance*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac au Mexique*socio=ac risque*socio=uv3 de donner lieu*socio=rien à des abus*socio=uv1. Besoins*socio=uv1 futurs*socio=te de ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Pour analyser les besoins*socio=uv1 futurs*socio=te de ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac, les administrateurs*socio=ac ont réparti les *socio=ac États membres *socio=nil en quatre groupes*socio=ac. pays_industrialisés*socio=ac. Ayant accès*socio=uv1 aux capitaux_privés*socio=ec1, ces pays*socio=ac ont fait*socio=rien peu fréquemment appel*socio=rien aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac; mais ils peuvent toujours en avoir besoin*socio=uv1 et nombre*socio=rien d'administrateurs*socio=ac insistent sur*socio=rien le fait*socio=rien que le FMI*socio=ac doit maintenir des liquidités*socio=ec1 suffisantes*socio=rien pour pouvoir*socio=et faire face*socio=rien à cette éventualité*socio=te. Néanmoins, la surveillance*socio=et est*socio=rien la principale*socio=rien responsabilité*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac en ce qui concerne ces pays*socio=ac. Il importe en particulier*socio=rien qu'elle soit plus stricte*socio=rien et plus efficace*socio=uv4 pour ceux dont l'économie*socio=ec1 *socio=rien pèse lourd *socio=nil dans le système*socio=rien international*socio=te, la seule*socio=rien pression*socio=ec2 qu'exercent les autres pays_membres*socio=ac ne suffisant*socio=rien pas. Les administrateurs*socio=ac notent l'importance*socio=rien de la *socio=et surveillance multilatérale *socio=nil - y compris l'examen*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te par le Conseil*socio=ac - grâce*socio=rien à laquelle le FMI*socio=ac peut superviser avec efficacité*socio=uv3 les économies*socio=ec1 et les taux_de_change*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac et veiller à ce que leur politique_économique*socio=ec1 prenne dûment compte*socio=ec1 des intérêts*socio=uv1 *socio=rien du reste du monde*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil notent que l'objectif*socio=uv3 ultime*socio=rien de la *socio=et surveillance multilatérale *socio=nil qu'exerce le FMI*socio=ac - favoriser une croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2 et durable*socio=uv4 - *socio=rien est crucial *socio=nil pour les pays_industrialisés*socio=ac eux-mêmes. pays_en_développement*socio=uv3 à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien. Les pays*socio=ac de ce groupe*socio=ac ont de plus en plus de poids*socio=rien dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te; une surveillance*socio=et efficace*socio=uv4 doit assurer la pérennité des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 brillants obtenus par nombre*socio=rien d'entre eux. Pour ces pays*socio=ac, la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac consiste à déceler et à prévenir les crises*socio=uv2 en puissance*socio=et avant qu'elles n'éclatent. Si une crise*socio=uv2 survient malgré tout, il importe que le FMI*socio=ac soit en mesure*socio=rien de fournir rapidement un*socio=rien soutien*socio=uv3 adéquat*socio=uv2 à la balance_des_paiements*socio=ec1, en l'assortissant d'une conditionnalité appropriée, afin de limiter*socio=rien les retombées*socio=rien de la crise*socio=uv2. Pays*socio=ac en transition*socio=ec2. De l'avis*socio=rien de la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac, ces pays*socio=ac auront encore besoin*socio=uv1 pendant *socio=rien un certain temps d'*socio=nil un volume non*socio=nil négligeable *socio=nil de concours financiers*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac, complétés par l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et la surveillance*socio=et. Étant donné les ajustements*socio=et structurels*socio=ec2 requis*socio=uv4 dans ces pays*socio=ac, il *socio=rien est possible *socio=nil que le soutien*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac à la balance_des_paiements*socio=ec1 soit *socio=rien nécessaire sur une*socio=nil période*socio=te plus*socio=nil longue *socio=nil que celle habituellement prévue pour les programmes*socio=et bénéficiant de son appui*socio=uv1. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont souligné que l'un*socio=rien des objectifs*socio=uv3 importants*socio=uv4 de la surveillance*socio=et et de l'action*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac dans plusieurs de ces pays*socio=ac est*socio=rien de les préparer à opérer dans *socio=rien un système de*socio=nil flux*socio=ec1 de*socio=nil capitaux*socio=ec1 normaux,*socio=nil *socio=nil en s'adressant notamment aux marchés*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1. pays_en_développement*socio=uv3 les_plus_pauvres*socio=uv2. Les administrateurs*socio=ac ont souligné le rôle*socio=et essentiel*socio=uv4 que les banques_multilatérales_de_développement*socio=ac et les donateurs*socio=ac jouent dans ces pays*socio=ac. Ils sont convenus que le FMI*socio=ac a bien*socio=rien pour mission*socio=et d'offrir un*socio=rien *socio=ec1 financement concessionnel temporaire*socio=rien *socio=nil à l'appui*socio=uv1 des efforts*socio=uv1 de redressement*socio=ec2 de la balance_des_paiements*socio=ec1. Ils sont convenus aussi qu'il faut lui donner les moyens*socio=ec1 de continuer d'assurer cette fonction*socio=rien vitale*socio=uv4. *socio=rien Un large consensus*socio=uv1 s'*socio=nil est *socio=nil dégagé au *socio=rien sein du conseil_d'_administration*socio=ac sur le*socio=nil principe*socio=ec2 *socio=nil que le soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1 à la balance_des_paiements*socio=ec1 continue*socio=rien d'être*socio=rien une fonction*socio=rien cruciale*socio=uv4 du*socio=rien FMI*socio=ac, au même titre*socio=rien que la surveillance*socio=et qu'il est*socio=rien chargé d'exercer et que l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien qu'il dispense. De l'avis*socio=rien général*socio=rien, il n'est*socio=rien pas nécessaire*socio=rien de repenser radicalement le rôle*socio=et financier*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. En ce qui concerne la structuré des échéances*socio=te de ses divers mécanismes*socio=et de financement*socio=ec1, de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont souligné qu'il importe de préserver le caractère*socio=rien monétaire*socio=ec1 de l'institution*socio=ac. La surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Le FMI*socio=ac est*socio=rien chargé de veiller au *socio=rien bon fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil Son*socio=nil mandat,*socio=nil aux*socio=nil termes des*socio=nil statuts*socio=et,*socio=nil *socio=nil consiste à exercer une surveillance*socio=et ferme*socio=ec2 sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des différents*socio=rien pays_membres*socio=ac et à adopter des principes*socio=ec2 spécifiques*socio=rien pour guider tous les pays_membres*socio=ac dans l'application*socio=rien de ces politiques*socio=et. Le FMI*socio=ac s'acquitte de ces obligations*socio=uv1 en analysant la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 et les politiques*socio=et structurelles*socio=ec2 y afférentes*socio=rien afin de voir si elles conviennent, car c'est*socio=rien sur*socio=rien elles que repose la politique*socio=et de change*socio=ec1 du*socio=rien *socio=ac pays membre.*socio=nil *socio=nil Dans le cadre*socio=rien de la surveillance*socio=et, il examine les politiques_économiques*socio=et des différents*socio=rien pays*socio=ac et encourage ces derniers*socio=rien à adopter des mesures*socio=et qui améliorent le *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te,*socio=nil *socio=nil tout en évaluant les conséquences*socio=rien de leur politique_économique*socio=ec1 pour le *socio=rien fonctionnement du système *socio=nil dans son ensemble*socio=rien. La surveillance*socio=et s'exerce essentiellement au moyen*socio=rien des consultations*socio=uv1 annuelles*socio=te que le FMI*socio=ac tient avec ses pays_membres*socio=ac au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV de ses statuts*socio=et, et par l'examen*socio=ec2 des évolutions*socio=te et politiques*socio=et que le Conseil*socio=ac tient deux fois*socio=rien l'an*socio=rien dans le cadre*socio=rien de l'étude*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Ces consultations*socio=uv1 et ces examens*socio=ec2 sont complétés par des séances*socio=rien informelles*socio=uv2 que le Conseil*socio=ac consacre régulièrement aux événements*socio=rien importants*socio=uv4 survenus dans certains pays*socio=ac et à l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et des marchés*socio=ec1. La surveillance*socio=et inclut également l'examen*socio=ec2 des tendances*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te, En outre, le directeur_général*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac participe à certaines*socio=rien discussions*socio=et de politique_économique*socio=ec1 du*socio=rien Groupe*socio=ac des sept pays*socio=ac les plus industrialisés et exprime le point*socio=rien de *socio=rien vue du FMI*socio=ac sur les*socio=nil répercussions*socio=ec2 internationales*socio=te *socio=nil de leur politique_économique*socio=ec1. En 1995 / 96, le FMI*socio=ac a adopté plusieurs mesures*socio=et pour rendre sa surveillance*socio=et plus continue*socio=rien et plus efficace*socio=uv4, en établissant un*socio=rien dialogue*socio=uv1 de politique_économique*socio=ec1 plus étroit*socio=rien avec les pays*socio=ac et en centrant davantage son *socio=rien attention sur *socio=nil ceux qui semblaient en danger*socio=uv1 et où les tensions*socio=ec2 financières*socio=ec1 risquaient de se propager à d'autres pays*socio=ac. Ces mesures*socio=et sont résumées dans l'encadré 3. Ou trouvera infra un*socio=rien compte*socio=ec1 rendu des discussions*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac *socio=rien sur un certain nombre *socio=nil d'autres aspects*socio=rien de la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Ce dernier*socio=rien a continué de prendre des mesures*socio=et pour accroître la transparence*socio=uv3 de ses activités*socio=rien (encadré 4). Examen*socio=ec2 des suites*socio=rien données à la déclaration*socio=et de Madrid. À sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1995, le comité_intérimaire*socio=ac a repris la "Déclaration*socio=et sur*socio=rien la coopération*socio=uv1 en vue*socio=rien de renforcer l'expansion*socio=ec2 mondiale*socio=te", qu'il avait diffusée à sa réunion*socio=rien de Madrid en octobre*socio=rien 1994, et souscrit au renforcement*socio=ec2 de la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac (Rapport*socio=rien annuel*socio=te, 1995, pages*socio=rien 227-230). À sa réunion*socio=rien d'octobre*socio=rien 1995, il a réaffirmé que la déclaration*socio=et de Madrid continue*socio=rien d'être*socio=rien utile*socio=uv4 pour l'orientation*socio=et des politiques*socio=et. En 1995 / 96, le Conseil*socio=ac a examiné à plusieurs reprises les politiques_économiques*socio=et menées en application*socio=rien de la déclaration*socio=et de Madrid et, de manière*socio=rien plus générale*socio=rien, dans le cadre*socio=rien de la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. En septembre*socio=rien 1995, *socio=rien lors du premier examen*socio=ec2 *socio=nil semestriel de la mise en oeuvre*socio=rien des conseils*socio=ac de politique_économique*socio=ec1 donnés par le FMI*socio=ac dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, le Conseil*socio=ac a analysé l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac, en développement*socio=uv3 et en transition*socio=ec2. Ses *socio=rien principales conclusions ont*socio=nil été très*socio=nil proches des*socio=nil vues *socio=nil qu'ont exprimées les administrateurs*socio=ac lors*socio=rien de leur examen*socio=ec2 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te en septembre*socio=rien 1995 (voir la section*socio=rien sous ce titre*socio=rien, supra). En mars*socio=rien 1996, les administrateurs*socio=ac ont à *socio=rien nouveau fait le*socio=nil point des*socio=nil politiques_économiques*socio=et *socio=nil menées par les pays_membres*socio=ac, à la lumière*socio=rien des recommandations*socio=et antérieures*socio=te du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac. Quatre sujets*socio=rien ont plus particulièrement retenu*socio=rien leur attention*socio=rien. 1 - Le risque*socio=uv3 de surchauffe dans plusieurs économies*socio=ec1 à marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2. Reconnaissant que les rapides*socio=rien changements*socio=uv3 structurels*socio=ec2 survenus dans les économies*socio=ec1 à forte*socio=rien croissance*socio=uv3 rendent plus difficile*socio=rien l'estimation*socio=ec2 de la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 et l'évaluation*socio=ec2 du*socio=rien risque*socio=uv3 immédiat*socio=rien de surchauffe, les administrateurs*socio=ac ont insiste sur*socio=rien le fait*socio=rien qu'il importe de disposer, en temps*socio=rien utile*socio=uv4, d'indicateurs*socio=ec1 précis*socio=rien, en *socio=rien particulier sur les*socio=nil écarts*socio=ec2 entre*socio=nil production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 et*socio=nil production*socio=ec1 effective,*socio=nil *socio=nil et qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil de faire preuve*socio=ec2 de vigilance*socio=rien, notamment par des entretiens*socio=rien réguliers*socio=ec2 avec le FMI*socio=ac. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac sont tombés d'accord*socio=uv1 que l'austérité*socio=uv3 budgétaire*socio=et est*socio=rien la solution*socio=rien qui s'impose d'emblée*socio=rien pour réduire le risque*socio=uv3 de surchauffe dans *socio=rien un grand nombre d'*socio=nil économies*socio=ec1 en*socio=nil pleine expansion*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil mais plusieurs administrateurs*socio=ac ont souligné les limites*socio=rien de cette solution*socio=rien dans les pays*socio=ac dont le budget*socio=ec1 *socio=rien est excédentaire,*socio=nil compte*socio=ec1 *socio=nil tenu en particulier*socio=rien de leurs besoins*socio=uv1 en infrastructure*socio=ec1 et dans le domaine*socio=rien social*socio=et. De l'avis*socio=rien de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac, une plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1, permettant une appréciation*socio=uv3 de la monnaie*socio=ec1 sur*socio=rien la base*socio=rien des données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4, peut être*socio=rien une solution*socio=rien appropriée. Les administrateurs*socio=ac ont noté l'importance*socio=rien d'un*socio=rien suivi attentif*socio=rien de l'origine*socio=rien et de la composition*socio=rien des entrées de capitaux*socio=ec1 pour le choix*socio=uv1 des politiques_économiques*socio=et à adopter. Ils sont tombés d'accord*socio=uv1 que le contrôle*socio=uv3 des entrées de capitaux*socio=ec1 ne doit pas se substituer aux ajustements*socio=et de politique_économique*socio=ec1 qui s'imposent. 2 - Les *socio=rien questions relatives aux*socio=nil taux_de_change*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont félicités de ce que les *socio=rien questions relatives aux*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 ont*socio=nil été *socio=nil abordées fréquemment et avec franchise dans les récentes*socio=rien discussions*socio=et sur*socio=rien la surveillance*socio=et. *socio=rien Un certain nombre *socio=nil d'entre eux estiment que le FMI*socio=ac a évalué à temps*socio=rien les désalignements*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 entre les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 au début*socio=rien de 1995, et que les avis*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 qu'il a donnés à cet égard*socio=rien étaient pertinents*socio=rien. D'autres administrateurs*socio=ac, insistant sur*socio=rien l'importance*socio=rien des considérations*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te dans la détermination*socio=rien de la politique*socio=et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1, ont noté que l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1 sera mise à l'épreuve*socio=rien si la convergence*socio=uv3 entre impératifs*socio=uv4 intérieurs*socio=te et impératifs*socio=uv4 extérieurs*socio=te est*socio=rien moins nette*socio=rien. De l'avis*socio=rien général*socio=rien des administrateurs*socio=ac, le FMI*socio=ac doit poursuivre ses analyses*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 en fonction*socio=rien des objectifs*socio=uv3 d'équilibres interne*socio=te et externe*socio=ec1. Il doit aussi, dans ses conclusions*socio=rien, faire preuve*socio=ec2 d'une extrême*socio=uv4 prudence*socio=uv1 afin de ne pas donner l'impression*socio=rien de fixer des taux*socio=ec1 cibles on de définir*socio=rien des taux*socio=ec1 d'équilibre*socio=ec2. 3 - Le cadre*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et. Les administrateurs*socio=ac sont tombés d'accord*socio=uv1 que la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 doit être*socio=rien l'objectif*socio=uv3 primordial*socio=uv4 de la politique_monétaire*socio=et. Certains d'entre eux estiment que la fixation*socio=ec1 d'un*socio=rien objectif*socio=uv3 en matière*socio=rien d'inflation*socio=ec1 donne *socio=rien un cadre utile*socio=uv4 *socio=nil à la politique_monétaire*socio=et, en particulier*socio=rien lorsqu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil d'instaurer une plus grande*socio=rien crédibilité*socio=uv1. D'autres ont relevé que l'établissement*socio=rien d'objectifs*socio=uv3 formels*socio=rien en la matière*socio=rien n'a pas encore été*socio=rien appliqué *socio=rien sur un cycle*socio=te économique*socio=ec1 complet *socio=nil et qu'une expérience*socio=ec2 plus poussée *socio=rien est nécessaire *socio=nil pour en apprécier le bien-fondé*socio=uv3. Nombreux*socio=rien sont les administrateurs*socio=ac qui ont salué la plus grande*socio=rien transparence*socio=uv3 de la politique_monétaire*socio=et, indépendamment *socio=rien du cadre *socio=nil dans lequel elle a été*socio=rien menée. 4 - Le chômage*socio=ec1. Les membres*socio=ac du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac estiment que le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 de chômage*socio=ec1 *socio=rien reste un défi*socio=uv2 majeur *socio=nil pour les pays_industrialisés*socio=ac, ceux d'Europe*socio=ac en particulier*socio=rien. Ils ont reconnu que les conseils*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac dans ce domaine*socio=rien n'ont pas été*socio=rien intégralement suivis, à cause*socio=rien probablement des difficultés*socio=uv4 d'ordre*socio=rien politique*socio=et auxquelles se sont heurtées les réformes*socio=et fondamentales*socio=uv4 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac. Nombre*socio=rien d'entre eux estiment toutefois que le FMI*socio=ac doit continuer d'étudier les *socio=rien questions relatives aux*socio=nil marchés_du_travail*socio=ec1 *socio=nil afin de donner aux pays_membres*socio=ac des conseils*socio=ac dans ce domaine*socio=rien. Pour ce faire, il doit faire *socio=rien fond sur les*socio=nil études*socio=ec2 entreprises*socio=ac *socio=nil par d'autres organisations*socio=ac, notamment l'OCDE*socio=ac. À sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1996, le comité_intérimaire*socio=ac a reçu et accueilli favorablement le rapport*socio=rien fondé sur*socio=rien la discussion*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac relative*socio=rien aux mesures*socio=et prises*socio=rien en ce qui concerne la surveillance*socio=et des politiques_économiques*socio=et nationales*socio=te. Ce rapport*socio=rien lui semble faire utilement*socio=rien le lien*socio=rien entre les travaux*socio=rien réguliers*socio=ec2 du*socio=rien Conseil*socio=ac sur*socio=rien la *socio=et surveillance bilatérale *socio=nil et la supervision*socio=rien qui *socio=rien relève du Comité*socio=ac.*socio=nil Politique*socio=et du FMI*socio=ac *socio=nil dans le domaine*socio=rien statistique*socio=ec2 et communication*socio=ec1 de données aux fins*socio=rien de la surveillance*socio=et. Des statistiques*socio=ec2 de *socio=rien haute qualité,*socio=nil exhaustives *socio=nil et établies dans les délais*socio=rien voulus sont essentielles*socio=uv4 pour permettre tant aux pays*socio=ac de formuler leurs propres*socio=rien politiques_économiques*socio=et qu'au FMI*socio=ac d'exercer sa surveillance*socio=et des politiques*socio=et de change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. En avril*socio=rien 1995, lors*socio=rien de son précédent*socio=rien examen*socio=ec2 de la surveillance*socio=et, le conseil_d'_administration*socio=ac avait examiné toute une série de *socio=rien questions relatives *socio=nil à la communication*socio=ec1 de données au FMI*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac avaient en particulier*socio=rien noté que plusieurs événements*socio=rien avaient récemment mis en *socio=rien évidence certaines faiblesses*socio=ec2 *socio=nil de la surveillance*socio=et, dues à des déficiences*socio=uv3 dans les données communiquées au FMI*socio=ac par *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil comité_intérimaire*socio=ac,*socio=nil *socio=nil dans son communiqué d'avril*socio=rien 1995, avait souligné combien il était essentiel*socio=uv4 que tous les pays_membres*socio=ac communiquent régulièrement et en temps*socio=rien voulu leurs données économiques*socio=ec1 au FMI*socio=ac et publient rapidement des données complètes afin d'accroître la transparence*socio=uv3 de leur politique_économique*socio=ec1, le Comité*socio=ac avait demandé qu'un*socio=rien rapport*socio=rien soit établi sur*socio=rien ces sujets*socio=rien. En juin*socio=rien 1995, le Conseil*socio=ac a donné une *socio=rien première réponse *socio=nil à cette demande*socio=ec1 lors*socio=rien d'un*socio=rien débat*socio=et abordant la politique*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans le domaine*socio=rien statistique*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac ont souligne l'importance*socio=rien décisive*socio=uv4 que revêtent des statistiques*socio=ec2 à jour*socio=rien, complètes et fiables*socio=rien pour que le FMI*socio=ac puisse remplir efficacement sa mission*socio=et de surveillance*socio=et. Ils ont insisté sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'établir des nonnes pour la communication*socio=ec1 des données. Le Conseil*socio=ac a observé qu'il est*socio=rien dans l'intérêt*socio=uv1 de tous les pays_membres*socio=ac de communiquer dans les délais*socio=rien voulus des données aisément consultables. Le Conseil*socio=ac est*socio=rien convenu qu'il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 que le FMI*socio=ac et les pays_membres*socio=ac améliorent la qualité*socio=rien des données - leur champ*socio=rien d'application*socio=rien, leur méthode*socio=ec2 d'établissement*socio=rien et leur cohérence*socio=uv3. Il estime*socio=rien aussi que les déficiences*socio=uv3 et les problèmes*socio=uv4 afférents*socio=rien à la communication*socio=ec1 et à la qualité*socio=rien des données doivent être*socio=rien portés à l'attention*socio=rien du*socio=rien Conseil*socio=ac, soit pour avertir les administrateurs*socio=ac de faire preuve*socio=ec2 de circonspection*socio=rien dans l'interprétation*socio=ec2 des données, soit pour signaler des difficultés*socio=uv4 dans la coopération*socio=uv1 entre un*socio=rien pays*socio=ac donné et le FMI*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont proposé que les pays_membres*socio=ac reçoivent une assistance*socio=uv1 technique*socio=rien ciblée lorsque des problèmes*socio=uv4 de données se posent *socio=rien du fait des*socio=nil insuffisances*socio=uv3 *socio=nil de l'infrastructure*socio=ec1 statistique*socio=ec2. Ils s'accordent*socio=rien en général*socio=rien à penser que les divers types d'assistance*socio=uv1 fournie par le FMI*socio=ac - notamment l'assistance*socio=uv1 apportée par les missions concernant les statistiques*socio=ec2 multi-sectorielles, les experts*socio=ac externes*socio=ec1 et les conseillers*socio=ac techniques*socio=rien détachés pour de courtes*socio=rien ou de longues*socio=rien périodes*socio=te - ont été*socio=rien efficaces*socio=uv4 et proposent d'en assurer un*socio=rien suivi systématique*socio=rien. Ils considèrent que la formation*socio=et est*socio=rien une partie*socio=rien indispensable*socio=uv4 et intégrante*socio=rien de l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et estiment que les publications*socio=rien statistiques*socio=ec2 du*socio=rien FMI*socio=ac contribuent à la diffusion*socio=rien d'informations*socio=rien économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 auprès de la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil *socio=nil Dans une discussion*socio=et de suivi en juillet*socio=rien 1995, les membres*socio=ac du*socio=rien Conseil*socio=ac ont centré leur *socio=rien attention sur la*socio=nil communication*socio=ec1 *socio=nil des données au FMI*socio=ac aux fins*socio=rien de la surveillance*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont réaffirmé que des données exhaustives*socio=rien et communiquées dans des délais*socio=rien utiles*socio=uv4 sont indispensables*socio=uv4 à une surveillance*socio=et efficace*socio=uv4; ils se sont déclarés inquiets*socio=rien des répercussions*socio=ec2 graves*socio=uv4 que peuvent avoir les déficiences*socio=uv3 dans les informations*socio=rien transmises au FMI*socio=ac. Ils engagent tous les pays_membres*socio=ac à améliorer la qualité*socio=rien de leurs données statistiques*socio=ec2 fondamentales*socio=uv4 et de réduire les délais*socio=rien de leur diffusion*socio=rien. Pour que la surveillance*socio=et ne s'interrompe pas entre les missions des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans les pays_membres*socio=ac, le Conseil*socio=ac est*socio=rien tombé d'accord*socio=uv1 sur*socio=rien une liste de 12 catégories*socio=rien de données - taux_de_change*socio=ec1, réserves_internationales*socio=ec1, bilan*socio=rien de la banque_centrale*socio=ac, base*socio=rien monétaire*socio=ec1, masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens large,*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1,*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil à la consommation*socio=ec1, commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te, solde*socio=ec1 du*socio=rien compte*socio=ec1 des transactions*socio=ec1 *socio=te extérieures courantes,*socio=nil dette*socio=ec1 extérieure *socio=nil (ou service_de_la_dette*socio=ec1), situation*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et PIB*socio=ec1 (ou PNB*socio=ec1) - qui devraient être*socio=rien transmises régulièrement et dans les *socio=rien délais prescrits.*socio=nil *socio=nil Dans de *socio=rien nombreux cas,*socio=nil *socio=nil cette liste serait complétée par les données requises*socio=uv4 pour la surveillance*socio=et spécifique*socio=rien à tel ou tel pays*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont aussi suggéré que de *socio=rien nouveaux travaux *socio=nil soient entrepris pour définir*socio=rien le champ*socio=rien d'application*socio=rien et la périodicité*socio=te adéquates*socio=uv2 des données, de même que les délais*socio=rien de communication*socio=ec1 des informations*socio=rien au FMI*socio=ac. Ils ont observé que des données établies en temps*socio=rien utile*socio=uv4 sur*socio=rien les indicateurs*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4 aux fins*socio=rien de la surveillance*socio=et sont disponibles*socio=rien pour *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Ils se sont cependant inquiétés des retards*socio=rien dans la communication*socio=ec1 des données pour une minorité*socio=ac importante*socio=uv4 de membres*socio=ac. Ils espèrent vivement que les pays_membres*socio=ac continueront à améliorer la communication*socio=ec1 de leurs données au FMI*socio=ac et insistent sur*socio=rien le fait*socio=rien que tous les pays*socio=ac devraient au moins maintenir leur niveau*socio=rien actuel*socio=te de communication*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont réaffirmé qu'ils sont favorables*socio=uv4 à une approche progressive*socio=rien pour résoudre les difficultés*socio=uv4 de la communication*socio=ec1 des données grâce*socio=rien à un*socio=rien dialogue*socio=uv1 constructif*socio=uv2 entre le FMI*socio=ac et les pays_membres*socio=ac. C'est*socio=rien sur*socio=rien la basé de la discussion*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac de juillet*socio=rien 1995 qu'a été*socio=rien établi le rapport*socio=rien demandé par le comité_intérimaire*socio=ac en avril*socio=rien. Le comité_intérimaire*socio=ac a souscrit à cc rapport*socio=rien en octobre*socio=rien 1995. Autres *socio=rien questions relatives *socio=nil à la surveillance*socio=et. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien, le Conseil*socio=ac a examiné *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'autres questions*socio=rien se rapportant à la surveillance*socio=et, entre autres la transition*socio=ec2 vers l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 (UEM*socio=et) en Europe*socio=ac, la tendance*socio=ec2 croissante*socio=rien vers la convertibilité*socio=ec1 aux fins*socio=rien des transactions*socio=ec1 en capital*socio=ec1 et ses conséquences*socio=rien pour la politique*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, l'importance*socio=rien de la solidité*socio=uv3 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 pour la stabilité*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1 et la mise en oeuvre*socio=rien efficace*socio=uv4 des politiques*socio=et de stabilisation*socio=et. Il s'est*socio=rien par ailleurs*socio=rien intéressé de plus en plus près aux *socio=rien questions relatives *socio=nil à la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et. Progrès*socio=uv1 vers l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1. En mars*socio=rien 1996, les administrateurs*socio=ac ont étudié les *socio=rien questions associées aux*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil accomplis par les *socio=ac États membres *socio=nil de l'union_européenne*socio=et vers l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 (UEM*socio=et). Ils ont fait*socio=rien remarquer que ces questions*socio=rien - relatives*socio=rien à la fois*socio=rien à la gestion*socio=ec2 du*socio=rien processus*socio=te de l'UEM*socio=et et à la politique_économique*socio=ec1 que mènent les pays*socio=ac de l'union_européenne*socio=et - sont importantes*socio=uv4 pour la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, et que le FMI*socio=ac, comme la communauté*socio=ac mondiale*socio=te, a le plus grand*socio=rien intérêt*socio=uv1 au succès*socio=uv1 de l'intégration*socio=uv1 économique*socio=ec1 et monétaire*socio=ec1. *socio=rien Du point de*socio=nil vue des*socio=nil administrateurs*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil critères de*socio=nil convergence*socio=uv3 *socio=nil énoncés par le Traité*socio=rien de Maastricht*socio=et - dans le domaine*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te et du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 - ont puissamment contribué à discipliner la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 de nombreux*socio=rien pays*socio=ac de l'union_européenne*socio=et. Bien*socio=rien qu'il soit souhaitable*socio=rien que le processus*socio=te se déroule selon le calendrier*socio=te défini*socio=rien dans le traité*socio=rien, les administrateurs*socio=ac reconnaissent que le ralentissement*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 en Europe*socio=ac rend plus difficile*socio=rien l'adhésion*socio=uv1 aux critères*socio=rien de convergence*socio=uv3, en particulier*socio=rien dans le domaine*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Le Conseil*socio=ac considère que l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et que les pays*socio=ac de l'union_européenne*socio=et ont engagé pour se préparer à l'UEM*socio=et *socio=rien est souhaitable en*socio=nil soi.*socio=nil La*socio=nil question qui*socio=nil reste posée*socio=nil est celle*socio=nil du rythme*socio=ec2 *socio=nil de la réduction*socio=ec2 des déficits*socio=ec1. Pour les pays*socio=ac à déficit*socio=ec1 élevé*socio=uv4, certains administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer que le rééquilibrage*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et pourra encore *socio=rien être fort bénéfique à*socio=nil moyen terme,*socio=nil sur la*socio=nil base d'*socio=nil un ajustement*socio=et plus*socio=nil lent *socio=nil et plus progressif*socio=rien que celui qui serait nécessaire*socio=rien pour satisfaire aux critères*socio=rien de convergence*socio=uv3 en 1997, à condition*socio=rien que les marchés*socio=ec1 puissent être*socio=rien convaincus de la volonté*socio=uv1 d'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont cependant souligné les avantages*socio=rien d'une approche énergique*socio=ec1 : les pays*socio=ac concernés peuvent établir leur crédibilité*socio=uv1 et tirer pleinement parti*socio=et du*socio=rien redressement*socio=ec2 de leurs finances*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme *socio=nil en faisant dès le départ*socio=rien des progrès*socio=uv1 tangibles*socio=rien dans le domaine*socio=rien de l'ajustement*socio=et. Ils ont aussi fait*socio=rien observer que les effets*socio=rien bénéfiques*socio=uv1 de la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 peuvent assez rapidement neutraliser les retombées*socio=rien à court_terme*socio=te de l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et sur*socio=rien la demande*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac sont tombés d'accord*socio=uv1 pour penser qu'il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 d'assouplir le fonctionnement*socio=rien des marchés_du_travail*socio=ec1 en Europe*socio=ac pour recueillir tous les bienfaits*socio=uv2 de l'union_monétaire*socio=et, mais les avis*socio=rien diffèrent quant à l'échelonnement*socio=rien et à l'ampleur*socio=rien des réformes*socio=et requises*socio=uv4. Certains administrateurs*socio=ac estiment que les *socio=uv4 graves problèmes *socio=nil que connaissent les marchés*socio=ec1 de l'emploi*socio=ec1 risquent de miner la crédibilité*socio=uv1 des pouvoirs_publics*socio=et durant la transition*socio=ec2 à l' union_monétaire*socio=et et qu'il importe donc d'y remédier sans tarder. Les administrateurs*socio=ac ont également abordé la *socio=rien question du bilan *socio=nil qui doit être*socio=rien dressé au début*socio=rien de 1998 aux fins*socio=rien de déterminer quels sont les pays*socio=ac qui seront prêts*socio=ec1 à entamer la troisième*socio=rien phase*socio=te de l'UEM*socio=et le 1er janvier*socio=rien 1999. Ils ont noté le conflit*socio=uv1 inévitable*socio=rien entre deux objectifs*socio=uv3 : assurer une participation*socio=uv3 aussi large*socio=rien que possible*socio=rien ou appliquer strictement les critères*socio=rien de qualification*socio=uv3. De l'avis*socio=rien général*socio=rien, c'est*socio=rien à *socio=rien juste titre *socio=nil que les pays*socio=ac doivent remplir des conditions*socio=ec1 strictes*socio=rien avant de pouvoir*socio=et participer. Nombre*socio=rien d'administrateurs*socio=ac estiment que si l'on assouplit les critères*socio=rien de qualification*socio=uv3, la crédibilité*socio=uv1 de la *socio=ac banque_centrale européenne risque*socio=uv3 *socio=nil d'en souffrir dès le départ*socio=rien. Étant donné les progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien déjà accomplis en matière*socio=rien de convergence*socio=uv3 sur*socio=rien le plan*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 et des taux_d'_intérêt*socio=ec1, il *socio=rien est clair *socio=nil que le défi*socio=uv2 majeur*socio=rien à relever est*socio=rien le respect*socio=uv1 *socio=rien du critère relatif aux*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et.*socio=nil La*socio=nil plupart des*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil estiment qu'une *socio=rien fois prise la*socio=nil décision*socio=et *socio=nil de passer à la troisième*socio=rien phase*socio=te, l'engagement*socio=uv1 d'intervenir de manière*socio=rien ferme*socio=ec2 et symétrique*socio=rien pour soutenir les monnaies*socio=ec1 des pays*socio=ac admis à participer aidera à prévenir toute spéculation*socio=ec1 sur*socio=rien le taux*socio=ec1 auquel les parités*socio=ec1 auront été*socio=rien verrouillées. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer qu'un*socio=rien accord*socio=et intervenant*socio=rien rapidement *socio=rien sur un pacte*socio=et de*socio=nil stabilité*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil qui servirait de cadre*socio=rien à la surveillance*socio=et des politiques_budgétaires*socio=et une fois*socio=rien que l'union_monétaire*socio=et *socio=rien attrait été *socio=nil instaurée, ainsi que sur*socio=rien les relations*socio=rien de change*socio=ec1 entre l'euro et les monnaies*socio=ec1 des pays*socio=ac de l'union_européenne*socio=et ne participant*socio=rien pas initialement à la politique_monétaire*socio=et unique*socio=rien, pourrait renforcer la confiance*socio=uv1 dans le processus*socio=te de l'UEM*socio=et. Le conseil_d'_administration*socio=ac a noté que la surveillance*socio=et dit FMI*socio=ac et celle qu'exercent les institutions*socio=ac de l'union_européenne*socio=et ont une perspective*socio=rien légèrement différente*socio=rien, mais qu'elles se complètent : les conseils*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac sont centrés sur*socio=rien le *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te,*socio=nil *socio=nil tandis que ceux de l'union_européenne*socio=et portent sur*socio=rien l'intégration*socio=uv1 économique*socio=ec1 et monétaire*socio=ec1 de l'Europe*socio=ac. Il reste*socio=rien que les conseils*socio=ac que le FMI*socio=ac et l'union_européenne*socio=et donnent à leurs pays_membres*socio=ac communs*socio=uv4 s'accordent*socio=rien en général*socio=rien et se renforcent mutuellement. Les différences*socio=uv1 se sont longtemps situées au niveau*socio=rien des stratégies*socio=et à appliquer aux marchés_du_travail*socio=ec1, mais les points*socio=rien de vue*socio=rien semblent se rapprocher et le FMI*socio=ac, comme l'union_européenne*socio=et, a tout à gagner à comprendre la perspective*socio=rien de l'autre institution*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont noté qu'il importe que le FMI*socio=ac exerce une surveillance*socio=et *socio=rien intensive sur le*socio=nil processus*socio=te d'*socio=nil intégration*socio=uv1 européen*socio=ac,*socio=nil *socio=nil étant donné les difficultés*socio=uv4 majeures*socio=rien que présentera, au cours*socio=rien des *socio=rien prochaines années,*socio=nil la*socio=nil réalisation*socio=uv1 *socio=nil de l'union_monétaire*socio=et. Ils appellent le FMI*socio=ac à faire preuve*socio=ec2 de vigilance*socio=rien afin d'identifier les risques*socio=uv3 de tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1. À cet effet*socio=rien, ils préconisent des relations*socio=rien continues*socio=te et plus étroites*socio=rien entre les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et ceux des institutions*socio=ac de l' union_européenne*socio=et. Ils notent aussi que le FMI*socio=ac devra prêter une *socio=rien attention croissante aux*socio=nil questions relatives *socio=nil à la troisième*socio=rien phase*socio=te et étudier en quoi l'instauration*socio=rien de la *socio=ac banque_centrale européenne petit*socio=rien *socio=nil modifier les relations*socio=rien entre le FMI*socio=ac et les pays*socio=ac de l'Union*socio=uv1. Convertibilité*socio=ec1 aux fins*socio=rien des opérations*socio=rien en capital*socio=ec1 et conséquences*socio=rien pour l'action*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Les *socio=rien questions relatives aux*socio=nil mouvements_de_capitaux*socio=ec1 *socio=nil entre les pays*socio=ac intéressent tout particulièrement le FMI*socio=ac. Le comité_intérimaire*socio=ac, dans sa déclaration*socio=et de Madrid d'octobre*socio=rien 1994, s'est*socio=rien félicité que la tendance*socio=ec2 à la convertibilité*socio=ec1 des devises*socio=ec1 se confirme et a encouragé les pays_membres*socio=ac à éliminer les obstacles*socio=uv3 à la libre*socio=uv2 circulation*socio=ec2 des capitaux*socio=ec1. Au cours*socio=rien de son examen*socio=ec2 semestriel de la surveillance*socio=et, en avril*socio=rien 1995, le Conseil*socio=ac a modifié la décision*socio=et de 1977 sur*socio=rien la surveillance*socio=et afin qu'elle tienne compte*socio=ec1 de manière*socio=rien plus *socio=rien explicite du rôle*socio=et des*socio=nil flux*socio=ec1 de*socio=nil capitaux_privés*socio=ec1.*socio=nil C'*socio=nil est *socio=nil dans ce cadre*socio=rien que les administrateurs*socio=ac ont analysé, en juillet*socio=rien 1995, l'expérience*socio=ec2 des *socio=ac États membres du*socio=rien FMI en*socio=nil matière*socio=rien de*socio=nil libéralisation*socio=et du*socio=rien compte*socio=ec1 de*socio=nil capital*socio=ec1 *socio=nil de leur balance_des_paiements*socio=ec1 et examiné le rôle*socio=et que doit jouer le FMI*socio=ac pour encourager la convertibilité*socio=ec1 aux fins*socio=rien des opérations*socio=rien en capital*socio=ec1. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont pris note de la tendance*socio=ec2 à la libéralisation*socio=et du*socio=rien contrôle*socio=uv3 des capitaux*socio=ec1 observée tant dans les pays*socio=ac développés*socio=uv4 que dans les pays_en_développement*socio=uv3; ils ont remarqué que les mesures*socio=et restreignant les sorties de capitaux*socio=ec1 se sont révélées très largement inefficaces*socio=uv4 en raison*socio=rien des difficultés*socio=uv4 que pose leur application*socio=rien dans des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te fortement intégrés. Selon le Conseil*socio=ac, les contrôles*socio=et ne peuvent ni empêcher la sortie de flux*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te, ni retarder le moment*socio=rien de procéder à des ajustements*socio=et fondamentaux*socio=uv4 de la politique_économique*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont noté les effets*socio=rien bénéfiques*socio=uv1 que peuvent avoir, pour la croissance*socio=uv3 et l'investissement*socio=ec1, des entrées de capitaux_privés*socio=ec1 qui s'amplifient et se généralisent *socio=rien du fait *socio=nil de la libéralisation*socio=et des marchés_financiers*socio=ec1 et de l'intensification*socio=ec2 des efforts*socio=uv1 de stabilisation*socio=et. *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont toutefois dû faire face*socio=rien à un*socio=rien brusque gonflement*socio=ec2 de ces entrées de capitaux*socio=ec1, qui a parfois compliqué leur gestion*socio=ec2 macro-économique*socio=ec1. Tout en reconnaissant que l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et propres*socio=rien à décourager les entrées de capitaux*socio=ec1 petit*socio=rien, à l'occasion*socio=rien, donner une marge de manoeuvre*socio=rien utile*socio=uv4 pour lutter contre les tourmentes des marchés*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir que ces mesures*socio=et de dissuasion ou de contrôle*socio=uv3 peuvent créer des distorsions*socio=uv3 et qu'elles perdent en général*socio=rien, à terme*socio=rien, de leur efficacité*socio=uv3. Étant donné l'efficacité*socio=uv3 limitée des restrictions*socio=et et des contrôles*socio=et, de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont souligné les difficultés*socio=uv4 que pose, dans le contexte*socio=rien actuel*socio=te, radicalement différent*socio=rien, l'approche progressive*socio=rien adoptée par de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac au cours*socio=rien des dernières*socio=rien décennies*socio=te pour libéraliser le compte*socio=ec1 de capital*socio=ec1 de leur balance_des_paiements*socio=ec1. Le Conseil*socio=ac est*socio=rien d'avis*socio=rien que les contrôles*socio=et ne doivent pas - et, de fait*socio=rien, ne peuvent plus - appuyer des politiques*socio=et inefficaces*socio=uv4 et que la convertibilité*socio=ec1 aux fins*socio=rien des opérations*socio=rien en capital*socio=ec1 *socio=rien est souhaitable en*socio=nil soi.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont cependant souligné que, pour être*socio=rien durable*socio=uv4, cette politique*socio=et exige un*socio=rien système_financier*socio=ec1 sain*socio=uv2 et bien*socio=rien surveillé de façon*socio=rien à éviter tout recul*socio=rien coûteux*socio=ec2 par rapport*socio=rien aux réformes*socio=et engagées. S'agissant de l'enchaînement*socio=te des mesures*socio=et de libéralisation*socio=et du*socio=rien compte*socio=ec1 de capital*socio=ec1 de la balance_des_paiements*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont noté que les flux*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1 sont particulièrement sensibles*socio=rien au rendement*socio=ec1, et qu'il est*socio=rien donc primordial*socio=uv4 que les taux_de_change*socio=ec1 et d'intérêt*socio=uv1 soient réalistes*socio=uv4 et concurrentiels*socio=ec2 au plan*socio=rien international*socio=te. C'est*socio=rien pourquoi, il *socio=rien est souhaitable *socio=nil de mettre en place*socio=rien, avant la libéralisation*socio=et ou parallèlement à celle-ci, des instruments*socio=et du*socio=rien marché_financier*socio=ec1. Certains intervenants*socio=ac ont fait*socio=rien valoir l'effet*socio=rien de catalyse qu'exerce la libéralisation*socio=et du*socio=rien compte*socio=ec1 de capital*socio=ec1, qui stimule ajustement*socio=et et réformes*socio=et structurels*socio=ec2 et permet de mieux superviser le secteur*socio=rien financier*socio=ec1. Les membres*socio=ac dit Conseil*socio=ac ont noté qu'il importe d'adopter et d'appliquer durablement des politiques*socio=et de stabilisation*socio=et vigoureuses*socio=rien pour compléter la libéralisation*socio=et. À cet égard*socio=rien, ils ont aussi indiqué qu'il *socio=rien est nécessaire,*socio=nil dans*socio=nil un contexte de*socio=nil libre*socio=uv2 circulation*socio=ec2 des*socio=nil capitaux*socio=ec1,*socio=nil d'*socio=nil adapter la*socio=nil politique_budgétaire*socio=et aux*socio=nil nouvelles conditions*socio=ec1 extérieures*socio=te.*socio=nil *socio=nil Il importe en particulier*socio=rien de renforcer la gestion*socio=ec2 prudentielle*socio=uv2 et les systèmes*socio=rien d'information*socio=rien dans le secteur*socio=rien financier*socio=ec1. Plusieurs pays*socio=ac ont pris des mesures*socio=et à cet effet*socio=rien, parallèlement à la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, et parfois même avant. Les administrateurs*socio=ac s'en félicitent et souhaitent que le FMI*socio=ac encourage et appuie plus activement les efforts*socio=uv1 déployés pour accroître l'efficacité*socio=uv3 des systèmes*socio=rien prudentiels*socio=uv2. Les membres*socio=ac du*socio=rien Conseil*socio=ac sont tombés d'accord*socio=uv1 que l'environnement*socio=et économique*socio=ec1 mondial*socio=te s'est*socio=rien radicalement modifié depuis le deuxième*socio=rien amendement*socio=et aux statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, en 1978, et que les mouvements_de_capitaux*socio=ec1 ont pris une importance*socio=rien accrue. Ils se sont en général*socio=rien déclarés favorables*socio=uv4 à un*socio=rien examen*socio=ec2 plus approfondi des *socio=rien questions relatives au*socio=nil compte*socio=ec1 de*socio=nil capital*socio=ec1 lors des*socio=nil consultations*socio=uv1 *socio=nil avec les pays_membres*socio=ac au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV ainsi qu'à une assistance*socio=uv1 technique*socio=rien destinée à encourager la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Selon les administrateurs*socio=ac, cette approche viendrait compléter les procédures*socio=et déjà en vigueur*socio=uv3 pour encourager le passage*socio=rien à la convertibilité*socio=ec1 aux fins*socio=rien des transactions*socio=ec1 *socio=te extérieures courantes.*socio=nil Solidité*socio=uv3 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 et*socio=nil politique*socio=et macro-économique*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Depuis 1980, les deux tiers*socio=rien environ des pays_membres*socio=ac ont été*socio=rien confrontés à des problèmes*socio=uv4 de leur secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1 et nombre*socio=rien de faillites*socio=ec1 de banques*socio=ac ont en des répercussions*socio=ec2 internationales*socio=te. L'expérience*socio=ec2 de ces pays*socio=ac illustre non seulement l'importance*socio=rien de la solidité*socio=uv3 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 pour la stabilité*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1 et l'application*socio=rien efficace*socio=uv4 des politiques*socio=et de stabilisation*socio=et, mais aussi l'impact*socio=rien que peuvent avoir les politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 sur*socio=rien la solidité*socio=uv3 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1. Le comité_intérimaire*socio=ac, dans ses deux communiqués de 1995, a souligné que, dans l'exercice*socio=rien de sa surveillance*socio=et, le FMI*socio=ac doit tenir dûment compte*socio=ec1 de la solidité*socio=uv3 des secteurs*socio=rien financiers*socio=ec1. En réponse*socio=rien à cette requête, le Conseil*socio=ac a donc examiné, en mars*socio=rien 1996, la relation*socio=rien qui existe entre la solidité*socio=uv3 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 et les politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2, de même que les moyens*socio=ec1 qui permettraient d'incorporer la solidité*socio=uv3 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 à la surveillance*socio=et qu'exerce le FMI*socio=ac, aux programmes*socio=et qu'il appuie et à l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien qu'il fournit. Les administrateurs*socio=ac sont convenus qu'il importe de prendre en compte*socio=ec1 la *socio=rien situation du système_bancaire*socio=ec1 -*socio=nil un objectif*socio=uv3 essentiel*socio=uv4 en*socio=nil soi,*socio=nil *socio=nil mais aussi une contrainte*socio=uv1 qui s'exerce sur*socio=rien la politique_économique*socio=ec1 - dans l'élaboration*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1, en raison*socio=rien des liens*socio=rien qui existent entre système_bancaire*socio=ec1 et politique*socio=et macro-économique*socio=ec1. De ce fait*socio=rien, il se peut qu'il faille ajuster les objectifs*socio=uv3 et les instruments*socio=et du*socio=rien programme*socio=et de stabilisation*socio=et au cas*socio=rien où un*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 est*socio=rien en difficulté*socio=uv4 ou risque*socio=uv3 de l'être*socio=rien. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont, cependant, précisé que l'ajustement*socio=et tic doit pas être*socio=rien retardé pour autant, mais qu'il faut faire preuve*socio=ec2 de réalisme*socio=uv3 dans la conception*socio=et de la politique_économique*socio=ec1. Ils ont souligné l'importance*socio=rien d'un*socio=rien cadre*socio=rien macro-économique*socio=ec1 sain*socio=uv2, qui sous-tende un*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 efficace*socio=uv4, et ont demandé instamment que les politiques*socio=et de stabilisation*socio=et soient complétées par des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, telles que la supervision*socio=rien renforcée des systèmes_bancaires*socio=ec1 et le développement*socio=uv3 et la libéralisation*socio=et dit secteur*socio=rien financier*socio=ec1. Le Conseil*socio=ac est*socio=rien d'avis*socio=rien que le FMI*socio=ac doit encourager ses *socio=ac États membres *socio=nil à adopter des normes*socio=et de gestion*socio=ec2 *socio=uv2 prudentielle adéquates,*socio=nil *socio=nil axées non seulement sur*socio=rien la surveillance*socio=et extérieure*socio=te des banques*socio=ac mais aussi sur*socio=rien la discipline*socio=uv1 dit marché*socio=ec1 et la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 interne*socio=te des banques*socio=ac. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac sont convenus que, dans les économies*socio=ec1 en développement*socio=uv3, à marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 ou en transition*socio=ec2, une autorité*socio=et de tutelle*socio=uv1 indépendante*socio=uv2 et efficace*socio=uv4 *socio=rien est nécessaire.*socio=nil *socio=nil Comme des problèmes*socio=uv4 bancaires*socio=ec1 se sont produits*socio=rien même dans les pays*socio=ac où la discipline*socio=uv1 dit marché*socio=ec1 est*socio=rien relativement stricte*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien remarquer que, dans les pays_industrialisés*socio=ac, la discipline*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1 doit être*socio=rien complétée par une supervision*socio=rien officielle*socio=et efficace*socio=uv4. Selon le Conseil*socio=ac, un*socio=rien environnement*socio=et bancaire*socio=ec1 sain*socio=uv2 *socio=rien petit être *socio=nil instauré par *socio=rien un ensemble cohérent de*socio=nil politiques*socio=et de*socio=nil supervision *socio=nil et de réglementation*socio=et, à condition*socio=rien que le cadre*socio=rien macro-économique*socio=ec1 soit sain*socio=uv2 lui aussi. Mais ces politiques*socio=et ont *socio=rien été mal *socio=nil dosées dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, ce qui a affaibli la discipline*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1 et alourdi la facture budgétaire*socio=et des problèmes*socio=uv4 bancaires*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que les *socio=rien questions afférentes au*socio=nil passif*socio=ec1 éventuel*socio=te des*socio=nil administrations_publiques*socio=ac *socio=nil dû au secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1 méritent une plus *socio=rien grande attention.*socio=nil Les*socio=nil autorités*socio=et nationales*socio=te doivent*socio=nil être *socio=nil encouragées à accroître la transparence*socio=uv3 de ces engagements*socio=et et à les inclure dans les projections*socio=ec2 budgétaires*socio=et. Le Conseil*socio=ac a par ailleurs*socio=rien souligné la nécessité*socio=uv1 de coordonner entre le FMI*socio=ac, la banque_mondiale*socio=ac et les autres organisations_internationales*socio=ac, l'analyse*socio=ec2 des questions*socio=rien bancaires*socio=ec1, chaque institution*socio=ac se concentrant sur*socio=rien son domaine*socio=rien de compétence*socio=uv3 et complétant les autres. Le FMI*socio=ac doit privilégier les liens*socio=rien entre la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 et le secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1 et donner des orientations*socio=et sur*socio=rien les politiques_monétaires*socio=et et prudentielles*socio=uv2 de façon*socio=rien à étayer la solidité*socio=uv3 des banques*socio=ac. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac estiment que la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac sur*socio=rien les secteurs*socio=rien financiers*socio=ec1 revêt une importance*socio=rien décisive*socio=uv4 et que le FMI*socio=ac doit avoir accès*socio=uv1 à des données adéquates*socio=uv2. Bien*socio=rien qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil aient indiqué que c'est*socio=rien au Comité*socio=ac de Bâle que pourrait être*socio=rien confiée la responsabilité*socio=uv1 de la coopération_internationale*socio=uv3 en matière*socio=rien de systèmes_bancaires*socio=ec1, certains ont noté que les normes*socio=et de Bâle ne sont pas nécessairement applicables*socio=rien ni utiles*socio=uv4 à tous les pays_membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac, étant donné les situations*socio=rien très différentes*socio=rien dans lesquelles se trouvent ces pays*socio=ac. Ces administrateurs*socio=ac ont suggéré que le FMI*socio=ac devrait avant tout s'attacher à encourager les autorités*socio=et nationales*socio=te à consolider leurs pratiques*socio=et et leurs systèmes*socio=rien intérieurs*socio=te et à appuyer les initiatives*socio=rien régionales*socio=te. Tout en relevant que l'harmonisation*socio=uv3 n'aboutira pas nécessairement à des politiques*socio=et homogènes*socio=uv4, ils ont demandé que le FMI*socio=ac encourage aussi ses *socio=ac États membres *socio=nil à satisfaire aux normes*socio=et internationales*socio=te de communication*socio=ec1 des données, de réglementation*socio=et et de supervision*socio=rien en cc qui concerne leur secteur*socio=rien financier*socio=ec1. De l'avis*socio=rien du*socio=rien Conseil*socio=ac, la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et les programmes*socio=et qu'il appuie devraient porter davantage sur*socio=rien les *socio=rien questions relatives aux*socio=nil secteurs bancaire*socio=ec1 et*socio=nil financier*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Tous les administrateurs*socio=ac n'estiment pas que ce soit possible*socio=rien sans *socio=rien un redéploiement important*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil ou une augmentation*socio=ec2, des ressources*socio=ec1 en personnel*socio=ac. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont souligné qu'il importe que l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien se poursuive dans les *socio=rien domaines du contrôle*socio=uv3 des*socio=nil banques*socio=ac et*socio=nil du développement*socio=uv3 du secteur financier*socio=ec1 *socio=nil et qu'elle soit incorporée dans les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac et dans les repérés structurels*socio=ec2 retenus*socio=rien. La gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et. Au cours*socio=rien de plusieurs discussions*socio=et durant l'exercice*socio=rien, tant sur*socio=rien les politiques_économiques*socio=et que dans le contexte*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec les *socio=ac États membres,*socio=nil les*socio=nil administrateurs *socio=nil ont souligné que, pour favoriser la stabilité*socio=uv3 économique*socio=ec1 et politique*socio=et et encourager *socio=rien un usage efficace*socio=uv4 et*socio=nil efficient*socio=uv4 des*socio=nil ressources*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil il importe de bien*socio=rien gérer les affaires_publiques*socio=et et d'en assurer la transparence*socio=uv3. Ils encouragent en outre tous les efforts*socio=uv1 de lutte*socio=uv1 contre la corruption*socio=uv1, car celle-ci risque*socio=uv3 de compromettre les politiques*socio=et engagées pour améliorer les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1. Consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. L'article*socio=rien IV des statuts*socio=et prévoit que le FMI*socio=ac organise des entretiens*socio=rien bilatéraux*socio=et, le plus souvent annuels*socio=te, avec les *socio=ac États membres.*socio=nil Une*socio=nil mission*socio=et des*socio=nil services*socio=et *socio=nil de l'institution*socio=ac se rend *socio=rien sur place,*socio=nil *socio=nil rassemble des renseignements*socio=ec2 d'ordre*socio=rien économique*socio=ec1 et financier*socio=ec1 et examine avec les responsables*socio=uv2 nationaux*socio=te l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 et les politiques*socio=et mises en oeuvre*socio=rien. De retour*socio=rien au siège*socio=rien, les membres*socio=ac de la mission*socio=et rédigent *socio=rien un rapport *socio=nil qui sert de base*socio=rien à une discussion*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac. À l'issue*socio=rien de celle-ci, le directeur_général*socio=ac, en qualité*socio=rien de Président*socio=ac du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac, fait*socio=rien une synthèse*socio=rien des avis*socio=rien exprimés par les administrateurs*socio=ac qui est*socio=rien communiquée aux autorités*socio=et du*socio=rien pays*socio=ac concerné. Le tableau*socio=rien 4 dresse la liste des 143 consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV conclues par le FMI*socio=ac en 1995 / 96. La *socio=rien présente section rend*socio=nil compte*socio=ec1 des*socio=nil grandes orientations*socio=et des*socio=nil consultations*socio=uv1 au*socio=nil titre *socio=nil de l'article*socio=rien IV avec *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Sous chacune des *socio=rien rubriques suivantes *socio=nil - autres pays_industrialisés*socio=ac, pays_en_développement*socio=uv3 et pays*socio=ac en transition*socio=ec2 - elle propose ensuite une *socio=rien présentation générale *socio=nil de l'évolution*socio=te de ces différents*socio=rien groupes*socio=ac. Les pays*socio=ac sont choisis en raison*socio=rien de leur importance*socio=rien dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te ou dans celle de leur région*socio=te, on, pour les plus petits*socio=rien, par une sélection opérée chaque année*socio=rien de façon*socio=rien à ce que chacun d'eux fasse à son tour*socio=rien l'objet*socio=rien d'une présentation*socio=rien individuelle*socio=uv2. On trouvera, pour chaque pays*socio=ac, un*socio=rien résumé des *socio=rien conclusions du Conseil*socio=ac *socio=nil accompagné d'une *socio=rien brève description des*socio=nil principales évolutions*socio=te macro-économiques*socio=ec1 et*socio=nil structurelles*socio=ec2 *socio=nil et d'un*socio=rien tableau*socio=rien des données dont le Conseil*socio=ac disposait au moment*socio=rien de la consultation*socio=uv1. À de *socio=rien rares exceptions *socio=nil près, les corrections*socio=ec2 apportées aux données par la suite*socio=rien n'ont pas *socio=rien été prises en*socio=nil compte*socio=ec1.*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac.*socio=nil France*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil Conseil*socio=ac *socio=nil a tenu les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec la France*socio=ac en octobre*socio=rien 1995, au moment*socio=rien où la reprise qui avait succède à la forte*socio=rien récession*socio=ec2 de 1993 ralentissait par rapport*socio=rien à 1994 (voir tableau*socio=rien 8). En effet*socio=rien, si le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien a augmenté de 3 % en 1994, le taux_de_croissance*socio=ec1 est*socio=rien retombé à 2 1/4 %, en rythme*socio=ec2 annuel*socio=te, pour le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1995. La reprise a été*socio=rien déclenchée principalement par le redressement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 chez les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 de la France*socio=ac, qui a relancé les exportations*socio=ec1. Celles-ci, après*socio=rien avoir connu mie expansion*socio=ec2 soutenue à la fin*socio=rien de 1994 et au début*socio=rien de 1995, ont nettement marqué le pas au second*socio=rien trimestre*socio=te lorsque la croissance*socio=uv3 des *socio=ac partenaires européens *socio=nil a fléchi. L'emploi*socio=ec1 hors secteur*socio=rien agricole*socio=ec1 a commencé à progresser en 1994, augmentant de 2,2 % sur*socio=rien les quinze mois*socio=rien qui ont suivi juin*socio=rien 1995. La montée du*socio=rien chômage*socio=ec1 s'est*socio=rien néanmoins poursuivie même après*socio=rien le redressement*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1 en raison*socio=rien de la *socio=rien hausse du taux*socio=ec1 d'*socio=nil activité.*socio=nil Le*socio=nil taux*socio=ec1 de*socio=nil chômage*socio=ec1 est *socio=nil resté proche de son niveau*socio=rien record*socio=ec2 de 121/2% pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de 1994, mais est*socio=rien retombé à 11,4 % en juillet*socio=rien 1995. La hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1, qui était demeurée relativement modérée au plus *socio=rien fort du cycle*socio=te précédent,*socio=nil *socio=nil a encore diminué durant la récession*socio=ec2 e t au début*socio=rien de la reprise. Bien*socio=rien que le relèvement*socio=ec2 de la taxe*socio=et sur*socio=rien les produits*socio=rien pétroliers*socio=ec1 au début*socio=rien de 1995 et la majoration*socio=rien de la taxe*socio=et à la valeur_ajoutée*socio=ec1 au cours*socio=rien de l'été*socio=rien aient poussé les prix*socio=ec1 à la hausse*socio=rien, leur effet*socio=rien n'a été*socio=rien que temporaire*socio=rien. Le faible*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 tendancielle*socio=ec2 s'explique principalement par la croissance*socio=uv3 lente*socio=rien des salaires*socio=ec1 et la persistance*socio=te d'importantes*socio=uv4 capacités*socio=uv3 de production*socio=ec1 inemployées*socio=ec2. La balance*socio=ec1 *socio=te extérieure courante est*socio=rien restée*socio=nil excédentaire*socio=rien *socio=nil d'environ 3/4 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1994, car l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te d'exportations*socio=ec1 françaises*socio=ac a dépassé l'accroissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te d'importations*socio=ec1. L'excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien s'est*socio=rien confirmé au début*socio=rien de 1995 et s'est*socio=rien accompagné d'une poursuite*socio=rien des sorties de capitaux*socio=ec1 à long_terme*socio=te, déjà considérables*socio=rien en 1994. La compétitivité*socio=uv3 extérieure*socio=te est*socio=rien restée à peu près inchangée*socio=rien en 1994 et au début*socio=rien de 1995 et les taux_de_change*socio=ec1 nominal*socio=rien et réel*socio=rien n'ont enregistré qu'une légère*socio=rien appréciation*socio=uv3. Le déficit*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac a atteint *socio=rien un niveau sans*socio=nil précédent *socio=nil de 6,1 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1993, avant de se stabiliser à 6 % en 1994. Le gouvernement*socio=ac formé après*socio=rien les élections*socio=et de mai*socio=rien 1995 a réaffirmé sa volonté*socio=uv1 de redresser les finances*socio=ec1 publiques*socio=et et a préparé, à titre*socio=rien de première*socio=rien étape*socio=te, un*socio=rien collectif*socio=uv2 budgétaire*socio=et pour 1995 visant à corriger le dérapage*socio=uv4 du*socio=rien déficit*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac par rapport*socio=rien à l'objectif*socio=uv3 initial*socio=rien; sur*socio=rien cette base*socio=rien, les autorités*socio=et espèrent ramener le déficit*socio=ec1 aux alentours*socio=rien de 5 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1995. Au cours*socio=rien de leur examen*socio=ec2, les administrateurs*socio=ac ont pris note de la confirmation*socio=rien de la reprise en France*socio=ac et *socio=rien du recul du chômage*socio=ec1 par*socio=nil rapport au*socio=nil sommet *socio=nil atteint en 1994. Ils ont aussi félicité la France*socio=ac pour les progrès*socio=uv1 accomplis dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 au cours*socio=rien de la dernière*socio=rien décennie*socio=te. Cependant, les administrateurs*socio=ac ont observé que les autorités*socio=et françaises*socio=ac n'ont malheureusement pas tiré le meilleur*socio=uv4 parti*socio=et de ces circonstances*socio=rien favorables*socio=uv4 pour corriger deux problèmes*socio=uv4 persistants*socio=rien, le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et et le chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4, qui ont pour *socio=rien causes principales la*socio=nil générosité*socio=uv1 *socio=nil et le ciblage*socio=uv3 insuffisant*socio=uv4 *socio=rien du système de*socio=nil protection_sociale*socio=et *socio=nil ainsi que les rigidités*socio=uv3 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont observé avec préoccupation*socio=uv4 que le déficit*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac s'est*socio=rien fortement creusé ces *socio=rien dernières années *socio=nil et pourrait encore dépasser 5 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1995. Ils ont souligné qu'il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 d'annoncer et d'engager au plus vite un*socio=rien programme*socio=et d'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et crédible*socio=uv2 pour abaisser durablement les taux_d'_intérêt*socio=ec1, raffermir, en France*socio=ac et à l'extérieur*socio=te, la confiance*socio=uv1 dans la stratégie*socio=et du*socio=rien gouvernement*socio=ac et favoriser une stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 durable*socio=uv4 et une expansion*socio=ec2 soutenue. Le projet_de_loi*socio=et de finances*socio=ec1 pour 1996 déposé en septembre*socio=rien va dans la bonne*socio=rien direction*socio=et, mais il reste*socio=rien beaucoup à faire. Aussi les administrateurs*socio=ac ont-ils exhorté la France*socio=ac à prendre d'urgence*socio=rien des mesures*socio=et de nature*socio=rien à ramener le déficit*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac en deçà de 3 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1997. Dans le domaine*socio=rien structurel*socio=ec2, plusieurs administrateurs*socio=ac ont recommandé plus de vigueur*socio=uv3 dans les privatisations*socio=et et la déréglementation*socio=et, de manière*socio=rien à encourager la concurrence*socio=ec1 intérieure*socio=te et la réforme*socio=et des entreprises*socio=ac publiques*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que la politique*socio=et de l'emploi*socio=ec1 doit s'attaquer franchement aux *socio=rien causes profondes du chômage*socio=ec1 *socio=nil dans la main-d'_oeuvre*socio=ac non qualifiée*socio=uv4, à savoir*socio=rien le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 du*socio=rien salaire*socio=ec1 minimum*socio=rien et l'importance*socio=rien concomitante*socio=rien des coûts*socio=ec1 de main-d'_oeuvre*socio=ac non salariaux*socio=ec1, qui portent le coût*socio=ec1 des travailleurs*socio=ac non qualifiés*socio=uv4 à *socio=rien un niveau *socio=nil prohibitif pour l'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1, et la générosité*socio=uv1 des *socio=et prestations sociales minimales*socio=rien,*socio=nil *socio=nil qui affaiblit les incitations*socio=uv3 au travail*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont félicité la Banque*socio=ac de France*socio=ac pour sa conduite*socio=rien avisée de la politique_monétaire*socio=et. Ils ont observé toutefois que la marge de manoeuvre*socio=rien dont elle dispose pour moduler les taux_d'_intérêt*socio=ec1 reste*socio=rien limitée, Il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 de progresser rapidement sur*socio=rien le front*socio=rien budgétaire*socio=et pour que le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien reste un point d'*socio=nil ancrage crédible*socio=uv2 *socio=nil et pour pouvoir*socio=et ramener les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à *socio=rien un niveau plus*socio=nil compatible *socio=nil avec l'objectif*socio=uv3 prioritaire*socio=uv4 de création_d'_emplois*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont rendu hommage*socio=rien à la générosité*socio=uv1 de la France*socio=ac dans le domaine*socio=rien de l'aide_publique_au_développement*socio=et, laquelle, à 0,65 % du*socio=rien PIB*socio=ec1, est*socio=rien plus élevée*socio=uv4 que dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac. Ils ont *socio=rien fait part *socio=nil de leur espoir*socio=uv1 que ces flux*socio=ec1 seront préservés en dépit*socio=rien des *socio=rien initiatives prises *socio=nil pour résorber le déficit*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et. Les autorités*socio=et françaises*socio=ac ont annoncé *socio=rien fin octobre,*socio=nil *socio=nil à la suite*socio=rien des consultations*socio=uv1, que la convergence*socio=uv3 prévue par le traité*socio=rien prévoyant la création*socio=uv4 de l'union_monétaire*socio=et européenne*socio=ac serait dorénavant l'objectif*socio=uv3 majeur*socio=rien de la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1. Dans cette optique*socio=rien, le gouvernement*socio=ac a indiqué qu'il adoptera *socio=rien un vaste programme*socio=et de*socio=nil réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 *socio=nil destiné à ramener le déficit*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac à 4 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1996, puis à 3 % en 1997. La première*socio=rien étape*socio=te a consisté à présenter, en novembre*socio=rien, *socio=rien un plan de*socio=nil réforme*socio=et *socio=nil de la sécurité_sociale*socio=et visant principalement à contenir la croissance*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 de santé*socio=et. Canada*socio=ac. Le Conseil*socio=ac a examiné en avril*socio=rien 1996 le rapport*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac sur*socio=rien les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec le Canada*socio=ac, où l'expansion*socio=ec2 vigoureuse*socio=rien de 1993 et 1994 a ralenti en 1995 (voir tableau*socio=rien 11). Au moment*socio=rien des consultations*socio=uv1, le fléchissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PIB*socio=ec1 réel*socio=rien dépassait nettement le chiffre prévu, l'écart*socio=ec2 par rapport*socio=rien aux prévisions*socio=ec2 étant dû principalement à l'ampleur*socio=rien inattendue*socio=uv4 des effets*socio=rien de la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 amorcée fin*socio=rien 1994, au manque*socio=rien de confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac et des entreprises*socio=ac et au ralentissement*socio=ec2 brutal*socio=rien de l'activité*socio=rien aux États-unis*socio=ac durant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1995, qui a limité la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1. La croissance*socio=uv3 du*socio=rien PIB*socio=ec1 réel*socio=rien a été*socio=rien presque nulle*socio=rien durant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1995 en *socio=rien raison du recul *socio=nil marqué des exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien et de l'activité*socio=rien dans le bâtiment*socio=ec1 et les travaux_publics*socio=et, qui s'est*socio=rien conjugué*socio=rien au ralentissement*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 des ménages*socio=ac. L'économie*socio=ec1 s'est*socio=rien reprise au troisième*socio=rien trimestre*socio=te lorsque les exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien ont redémarré vigoureusement, pour ralentir à nouveau*socio=rien au quatrième*socio=rien trimestre*socio=te à *socio=rien cause du manque de*socio=nil dynamisme*socio=uv3 *socio=nil de la consommation*socio=ec1, de la constitution*socio=rien de stocks*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1 non productif*socio=uv4. La croissance*socio=uv3 de l'emploi*socio=ec1 est*socio=rien tombée de 3 % en 1994 à 0,8 % en 1995, suite*socio=rien au fléchissement*socio=ec2 des créations*socio=rien d'emplois*socio=ec1 dans le secteur_privé*socio=et et à la compression*socio=et des effectifs*socio=rien dans le secteur_public*socio=et. La baisse*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 d'activité*socio=rien s'est*socio=rien poursuivie, ramenant le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 de son sommet*socio=rien conjoncturel*socio=te de 11,9 % fin*socio=rien 1992 à 9,6 % fin*socio=rien 1994, niveau*socio=rien auquel il s'est*socio=rien plus ou moins maintenu en 1995 et au début*socio=rien de 1996. La hausse*socio=rien des principaux*socio=rien prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 s'est*socio=rien légèrement accélérée, passant de 1,6 % en 1994 à 1,9 % en 1995, en raison*socio=rien des effets*socio=rien retardés de la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1 et de l'envolée des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1995. Le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien s'est*socio=rien resserré, passant de 3 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1994 à 1,7 % en 1995 grâce*socio=rien au *socio=rien vif essor des*socio=nil exportations*socio=ec1 en*socio=nil valeur*socio=ec1 *socio=nil déclenché par la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1, la dépréciation*socio=ec2 antérieure*socio=te du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1, la baisse*socio=ec2 des coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac dans le secteur*socio=rien manufacturier*socio=ec1 et le raffermissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac à mesure*socio=rien que l'année*socio=rien avançait. Durant la *socio=rien majeure partie *socio=nil de 1995 et le début*socio=rien de 1996, l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1, l'atonie*socio=ec2 plus forte*socio=rien que prévu de l'activité_économique*socio=ec1 et le relâchement*socio=ec2 des *socio=ec2 tensions inflationnistes ont*socio=nil permis*socio=rien *socio=nil à la banque_du_canada*socio=ac d'assouplir les conditions*socio=ec1 du*socio=rien *socio=ec1 marché monétaire.*socio=nil *socio=rien Du début mai *socio=nil 1995 à la *socio=rien fin mars *socio=nil 1996, cette dernière*socio=rien a ainsi pu abaisser de 300 points*socio=rien de base*socio=rien son taux*socio=ec1 au jour*socio=rien le jour*socio=rien. Le budget*socio=ec1 pour 1996/97 présenté au parlement*socio=ac en mars*socio=rien 1996 a confirmé les objectifs*socio=uv3 du*socio=rien gouvernement*socio=ac en ce qui concerne le déficit*socio=ec1 du*socio=rien budget*socio=ec1 fédéral*socio=et - qui doit être*socio=rien ramené à l'équivalent*socio=rien de 3 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1996 / 97, puis 2 % en 1997 / 98 - et réaffirmé l'engagement*socio=uv1 des autorités*socio=et à rééquilibrer le budget*socio=ec1 à plus long_terme*socio=te. Les mesures*socio=et prévues concernent principalement des compressions*socio=et de dépenses*socio=ec1 destinées*socio=rien à réduire les dépenses*socio=ec1 nominales*socio=rien hors paiements_d'_intérêts*socio=ec1 à un*socio=rien rythme*socio=ec2 annuel*socio=te moyen*socio=rien de 2,5 % au cours*socio=rien des trois *socio=rien prochaines années.*socio=nil *socio=nil Pour y parvenir, de nouvelles*socio=rien coupes sont prévues dans les dépenses*socio=ec1 militaires*socio=et, l'aide*socio=uv1 internationale*socio=ac, les programmes_sociaux*socio=et et Culturels, les subventions*socio=ec1 aux transports*socio=ec1 et à l'agriculture*socio=ec1 et les dépenses*socio=ec1 de fonctionnement*socio=rien de l'État*socio=ac. Lors*socio=rien de cet examen*socio=ec2, les administrateurs*socio=ac ont félicité les autorités*socio=et pour les progrès*socio=uv1 accomplis dans la mise en oeuvre*socio=rien de leur stratégie*socio=et depuis les dernières*socio=rien consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV en mai*socio=rien 1995. L'inflation*socio=ec1 a été*socio=rien maîtrisée et devrait rester modérée, la réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 fédéral*socio=et s'est*socio=rien poursuivie, le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien a lui aussi diminué et les réformes*socio=et engagées dans certains des principaux*socio=rien programmes_sociaux*socio=et ont progressé. Néanmoins, les administrateurs*socio=ac ont considéré qu'il faut continuer à soutenir la dynamique*socio=uv4 d'ajustement*socio=et pour engager résolument le *socio=ec1 ratio dette /*socio=nil PIB,*socio=nil encore*socio=nil élevé*socio=uv4,*socio=nil *socio=rien sur un sentier de*socio=nil décroissance,*socio=nil *socio=nil car le poids*socio=rien de la dette*socio=ec1 rend l'économie*socio=ec1 vulnérable*socio=uv2 aux sautes d'humeur*socio=rien des marchés*socio=ec1 et aux chocs*socio=ec2 intérieurs*socio=te et extérieurs*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont observé que, dans le budget*socio=ec1 de mars*socio=rien 1996, le gouvernement*socio=ac avait réaffirmé sa volonté*socio=uv1 de réduire le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et et qu'il atteindra sans doute*socio=rien l'objectif*socio=uv3 retenu*socio=rien pour le déficit*socio=ec1 fédéral*socio=et, mais ils ont souligné qu'il importe de poursuivre l'effort*socio=uv1 d'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil Si le *socio=ec1 ratio dette fédérale*socio=et /*socio=nil PIB *socio=nil doit diminuer en 1997 / 98, il n'en demeure pas moins élevé*socio=uv4 en regard*socio=rien des normes*socio=et internationales*socio=te et rend l'économie*socio=ec1 vulnérable*socio=uv2 à une évolution*socio=te défavorable*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont reconnu que l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et devait rester centré sur*socio=rien la compression*socio=et des dépenses*socio=ec1 dans les secteurs*socio=rien qui font aussi l'objet*socio=rien de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. Le Conseil*socio=ac a accueilli favorablement les améliorations*socio=uv1 apportées au processus*socio=te budgétaire*socio=et afin de concentrer les coupes su une *socio=rien large gamme de*socio=nil programmes*socio=et *socio=nil et de services*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont approuvé les efforts*socio=uv1 déployés par les autorités*socio=et pour réformer le régime*socio=et d'assurance*socio=ec1 chômage*socio=ec1, mais certains d'entre eux ont fait*socio=rien valoir que des coupes plus franches*socio=rien dans les prestations*socio=et pourraient aider à réduire le chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2 au Canada*socio=ac. Les mesures*socio=et prises*socio=rien pour résoudre le problème*socio=uv4 de la viabilité*socio=uv3 à long_terme*socio=te du*socio=rien régime_public*socio=et d'allocations*socio=et de vieillesse*socio=uv1 ont été*socio=rien accueilli favorablement par les administrateurs*socio=ac. Il a été*socio=rien noté, toutefois, qu'elles ne dégageraient pas d'économies*socio=ec1 budgétaires*socio=et avant plusieurs années*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac se sont dits préoccupés aussi par l'ampleur*socio=rien et la croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien des engagements*socio=et non capitalisés du*socio=rien régime_de_retraite*socio=et du*socio=rien Canada*socio=ac, qui devraient entraîner un*socio=rien relèvement*socio=ec2 substantiel*socio=rien des taux*socio=ec1 de cotisation*socio=ec1 ou une diminution*socio=ec2 très sensible*socio=rien des prestations*socio=et, voire les deux. La refonte*socio=et du*socio=rien régime*socio=et est*socio=rien à l'étude*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac ont félicité les autorités*socio=et d'avoir réussi à contenir l'inflation*socio=ec1 à *socio=rien un niveau peu*socio=nil élevé*socio=uv4 *socio=nil et d'avoir pris des mesures*socio=et pour rendre la politique_monétaire*socio=et plus transparente*socio=uv4. Ils ont convenu, d'une *socio=rien manière générale,*socio=nil *socio=nil que la détente*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil depuis le début*socio=rien de 1995 était justifiée par l'évolution*socio=te favorable*socio=uv4 des prix*socio=ec1 et par l'ampleur*socio=rien des capacités*socio=uv3 de production*socio=ec1 inemployées*socio=ec2 dans l'économie*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont loué l'appui*socio=uv1 inlassable du*socio=rien Canada*socio=ac au libre-échange*socio=et et se sont réjouis, en particulier*socio=rien, des initiatives*socio=rien qu'il a prises*socio=rien récemment pour réduire les subventions*socio=ec1 à l'agriculture*socio=ec1, accélérer les réductions*socio=ec2 des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac prévues dans le cadre*socio=rien de l'uruguay_round*socio=et et mettre en *socio=rien place un tarif*socio=et *socio=nil douanier plus simple*socio=rien et plus transparent*socio=uv4. Ils se sont réjouis également de la libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 intérieurs*socio=te. Les autorités*socio=et ont été*socio=rien félicitées, enfin, pour la *socio=rien grande qualité *socio=nil de leur assistance*socio=uv1 technique*socio=rien aux pays_en_développement*socio=uv3, et ont été*socio=rien encouragées à atteindre l'objectif*socio=uv3 de 0,7 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 qu'elles se sont fixé en matière*socio=rien d' aide_publique_au_développement*socio=et. pays_en_développement*socio=uv3. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1996, le conseil_d'_administration*socio=ac a examiné plus de 90 rapports*socio=rien portant sur*socio=rien les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec les pays_en_développement*socio=uv3. Les administrateurs*socio=ac ont félicité de nombreux*socio=rien pays*socio=ac pour l'ardeur*socio=rien avec laquelle ils ont mené leurs réformes*socio=et économiques*socio=ec1, souvent avec l'appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. La forte*socio=rien croissance*socio=uv3 assortie de taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 peu élevés*socio=uv4 ou en diminution*socio=ec2 qu'ils ont enregistrée en règle*socio=et générale*socio=rien a été*socio=rien perçue comme le résultat*socio=rien des politiques*socio=et prudentes*socio=uv2 qu'ils ont adoptées et de la détermination*socio=rien qu'ils ont montrée dans les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. La poursuite*socio=rien de l'ajustement*socio=et macro-économique*socio=ec1 et structurel*socio=ec2 reste*socio=rien cependant de mise pour la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac, et les administrateurs*socio=ac ont préconisé d'approfondir les efforts*socio=uv1 engagés pour créer l'environnement*socio=et macro-économique*socio=ec1 sain*socio=uv2 nécessaire*socio=rien à une croissance*socio=uv3 de *socio=rien haute qualité.*socio=nil *socio=nil Ils ont observé que les marchés_financiers*socio=ec1 ont eu tendance*socio=ec2 à réagir rapidement au moindre*socio=rien relâchement*socio=ec2 des efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et, et attendent désormais davantage de ces pays*socio=ac. Les *socio=rien bons résultats d'*socio=nil ensemble des*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil masquent la grande*socio=rien diversité*socio=uv1 des performances*socio=uv3 des tins et des autres. Alors que certains pays*socio=ac ont enregistré plusieurs *socio=rien années consécutives de*socio=nil croissance*socio=uv3 vigoureuse,*socio=nil *socio=nil d'autres sont restés pris dans *socio=rien un cercle vicieux*socio=uv4 de*socio=nil faible croissance*socio=uv3,*socio=nil d'*socio=nil inflation*socio=ec1 élevée*socio=uv4 *socio=nil et d'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te excessif*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac ont souligné qu'il est*socio=rien primordial*socio=uv4 de fonder la croissance*socio=uv3 sur*socio=rien des bises solides*socio=uv4 et d'encourager le développement*socio=uv3 d'un*socio=rien secteur_privé*socio=et dynamique*socio=uv4. Dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 dont la population*socio=ac, relativement jeune*socio=rien, grossira à court_terme*socio=te les rangs*socio=rien de la population_active*socio=ac, l'existence*socio=rien d'un*socio=rien secteur_privé*socio=et dynamique*socio=uv4 apparaît comme *socio=rien un moyen efficace*socio=uv4 *socio=nil d'accélérer la croissance*socio=uv3 et d'améliorer les perspectives*socio=te d'emploi*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont rappelé que, dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, le rôle*socio=et de l'État*socio=ac dans l'économie*socio=ec1 peut encore *socio=rien être considérablement *socio=nil réduit en encourageant le développement*socio=uv3 du*socio=rien secteur_privé*socio=et et en orientant les ressources*socio=ec1 nécessaires*socio=rien vers l'investissement*socio=ec1 public*socio=et dans la valorisation*socio=uv3 des ressources_humaines*socio=ec1 et les infrastructures*socio=et. Ils ont aussi observé que l'État*socio=ac a un*socio=rien rôle*socio=et déterminant*socio=rien à jouer dans la conception*socio=et et la mise en oeuvre*socio=rien d'une politique_ économique*socio=ec1 propice*socio=rien à une croissance*socio=uv3 de *socio=rien haute qualité.*socio=nil Le*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil a rappelé que la paix*socio=uv1 civile*socio=ac est*socio=rien l'une des conditions*socio=ec1 sine*socio=rien qui non des réformes*socio=et et de la croissance*socio=uv3. Une politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 saine*socio=uv2 et un*socio=rien secteur_privé*socio=et dynamique*socio=uv4 peuvent difficilement prendre corps*socio=rien dans *socio=rien un climat d'*socio=nil instabilité*socio=uv3 *socio=nil et d'insécurité*socio=uv1. Les administrateurs*socio=ac ont exprimé le souhait*socio=rien que plusieurs pays*socio=ac parviennent prochainement à rétablir les conditions*socio=ec1 nécessaires*socio=rien à la paix*socio=uv1 civile*socio=ac et à la croissance*socio=uv3; ils ont aussi salué les pays*socio=ac qui viennent de sortir de conflits*socio=uv1 internes*socio=te et qui s'efforcent de rebâtir leur économie*socio=ec1, avec l'assistance*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac et d'autres institutions*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont souligné souvent, au cours*socio=rien de leurs discussions*socio=et, qu'il importe de renforcer la discipline*socio=uv1 budgétaire*socio=et. Ils ont rappelé sans relâche la nécessité*socio=uv1 de corriger les déficits*socio=ec1 publics*socio=et afin d'éviter qu'ils ne créent des *socio=ec2 tensions inflationnistes *socio=nil et ne freinent le développement*socio=uv3 du*socio=rien secteur_privé*socio=et. Ils ont mis en *socio=rien garde un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil contre l'accroissement*socio=ec2 ou l'ampleur*socio=rien persistante*socio=rien de la dette*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et. Plus généralement, ils ont souligné le rôle*socio=et qu'une politique_budgétaire*socio=et rigoureuse*socio=uv4 joue dans l'instauration*socio=rien et la préservation*socio=uv1 de la stabilité*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1 en garantissant des recettes_publiques*socio=et suffisantes*socio=rien et en stimulant l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te (par une réduction*socio=ec2 de la désépargne de l'État*socio=ac) et l'investisse ment. Pour garantir *socio=rien un niveau de*socio=nil recettes*socio=ec1 suffisant,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont fréquemment recommandé d'élargir l'assiette*socio=rien de l'impôt*socio=et et, dans certains cas*socio=rien, d'adopter des taxes*socio=et sur*socio=rien les ventes*socio=ec1 ou sur*socio=rien la valeur_ajoutée*socio=ec1, et préconisé de même d'améliorer l'administration*socio=ec1 fiscale*socio=et et de prendre des mesures*socio=et pour lutter contre la fraude. Bien*socio=rien souvent, toutefois, les mesures*socio=et prises*socio=rien pour accroître les recettes*socio=ec1 doivent s'accompagner d'une maîtrise*socio=rien rigoureuse*socio=uv4 des dépenses*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien remarquer en particulier*socio=rien que la maîtrise*socio=rien de la masse_salariale*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et, qui constitue *socio=rien un poste important*socio=uv4 des*socio=nil dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et *socio=nil dans beaucoup de pays_en_développement*socio=uv3, pourrait libérer des ressources*socio=ec1 considérables*socio=rien pour financer des investissements*socio=ec1 plus productifs*socio=uv4 dans les secteurs_public*socio=et et privé*socio=et. Dans certains cas*socio=rien, la maîtrise*socio=rien de la masse_salariale*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et pourrait aussi avoir *socio=rien un effet *socio=nil d'émulation sur*socio=rien les rémunérations*socio=ec1 dans le secteur_privé*socio=et, aidant ainsi les *socio=ac États membres *socio=nil à préserver ou à améliorer leur compétitivité*socio=uv3 extérieure*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont souligné qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil d'utiliser efficacement les ressources*socio=ec1 et de supprimer les dépenses*socio=ec1 non productives*socio=uv4. Dans cette optique*socio=rien, ils ont conseillé à *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil de mettre *socio=rien un terme aux*socio=nil subventions*socio=ec1 *socio=nil généralisées, de réduire les dépenses*socio=ec1 militaires*socio=et et de mieux cibler les dépenses*socio=ec1 de protection_sociale*socio=et. La réduction*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 non productives*socio=uv4 permettrait à ces pays*socio=ac de consacrer utilement*socio=rien les moyens*socio=ec1 dont ils disposent à des investissements*socio=ec1 dans le capital_humain*socio=uv3 et physique*socio=rien, en particulier*socio=rien dans les domaines*socio=rien de la santé*socio=et, de l'éducation*socio=et et des infrastructures*socio=et. Outre le recensement des dépenses*socio=ec1 non productives*socio=uv4, certains pays*socio=ac devront prendre des mesures*socio=et de fond*socio=rien et de *socio=rien grande envergure *socio=nil pour rationaliser leurs dépenses*socio=ec1, définir*socio=rien des priorités*socio=uv4 et améliorer ainsi la gestion*socio=ec2 budgétaire*socio=et. Dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont engagé les *socio=ac États membres *socio=nil à compléter la maîtrise*socio=rien des dépenses*socio=ec1 par une privatisation*socio=et et une réforme*socio=et accélérées des entreprises*socio=ac publiques*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont félicité *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil d'avoir adopté une politique_monétaire*socio=et appropriée, laquelle a en pour effet*socio=rien de ramener l'inflation*socio=ec1 à *socio=rien faible un niveau *socio=nil et de stabiliser l'environnement*socio=et macro-économique*socio=ec1. Ils ont insisté pour que l'on ne relâche pas sa vigilance*socio=rien là où des progrès*socio=uv1 ont déjà été*socio=rien accomplis, et que l'on intensifie les efforts*socio=uv1, dans le cadre*socio=rien de réformes*socio=et globales*socio=rien, pour stabiliser l'économie*socio=ec1 et ralentir l'inflation*socio=ec1 là où des taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 continuent de compromettre les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3. Les administrateurs*socio=ac ont constaté par ailleurs*socio=rien que l'indexation*socio=ec1 des salaires*socio=ec1 en vigueur*socio=uv3 dans certains pays*socio=ac constitue un*socio=rien obstacle*socio=uv3 de taille au succès*socio=uv1 de la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1. Lorsque les administrateurs*socio=ac ont recommandé une modification*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et, ils ont souvent préconisé soit resserrement*socio=ec2 pour répondre à l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien économique*socio=ec1. Ils ont estimé, par exemple*socio=rien, qu'une politique_monétaire*socio=et plus rigoureuse*socio=uv4 s'imposait dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac qui, après*socio=rien de longues*socio=rien périodes*socio=te de forte*socio=rien croissance*socio=uv3, évoluaient à la limite*socio=rien de leurs capacités*socio=uv3 au risque*socio=uv3 de déclencher une surchauffe de l'économie*socio=ec1. De manière*socio=rien plus générale*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont encouragé *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil États*socio=ac membres*socio=ac *socio=nil à recourir davantage aux instruments*socio=et du*socio=rien marché*socio=ec1 pour formuler leur politique_monétaire*socio=et et fixer leur taux_d'_intérêt*socio=ec1. Ils ont rappelé aussi que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 positifs*socio=uv4 stimulent de *socio=rien façon déterminante l'*socio=nil investissement*socio=ec1 *socio=nil et la croissance*socio=uv3. Les banque_centrales*socio=ac indépendantes*socio=uv2 ont montré la contribution*socio=uv1 qu'elles peuvent apporter à la conception*socio=et et à la mise en oeuvre*socio=rien de politiques_monétaires*socio=et efficaces*socio=uv4, ce qui a conduit les administrateurs*socio=ac à recommander à *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil de renforcer l'autonomie*socio=uv1 de leur institut*socio=ac d'émission*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont aussi relevé les risques*socio=uv3 inhérents*socio=rien à l'accès*socio=uv1 automatique*socio=rien de l'État*socio=ac et des entreprises*socio=ac publiques*socio=et au crédit*socio=ec1. Ils se sont déclarés de même très préoccupés par la politique*socio=et du*socio=rien crédit*socio=ec1 appliquée dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui consiste à réglementer et à orienter le crédit*socio=ec1 et provoque des distorsions*socio=uv3 économiques*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont relevé quelques cas*socio=rien de recours*socio=rien à l'affectation*socio=ec1 du*socio=rien crédit*socio=ec1 banque*socio=ac par banque*socio=ac, mais ils ont estimé qu'il s'agit là d'une étape*socio=te intermédiaire*socio=rien en attendant l'adoption*socio=uv3 d'instruments*socio=et indirects*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et. Lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 qu'ils ont consacré aux politiques*socio=et mises en oeuvre*socio=rien à la suite*socio=rien de la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac, les administrateurs*socio=ac ont mesuré l'impact*socio=rien des entrées massives*socio=rien et potentiellement instables*socio=uv4 de capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te, et examiné comment le contrôle*socio=uv3 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 petit*socio=rien empêcher *socio=rien un retournement *socio=nil brusque de ces flux*socio=ec1. Ils ont observé qu'un*socio=rien afflux*socio=ec1 massif*socio=rien de capitaux*socio=ec1 peut compliquer la politique_monétaire*socio=et et la politique*socio=et de change*socio=ec1, et ont indiqué que l'adoption*socio=uv3 d'une politique*socio=et visant à attirer des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 à long_terme*socio=te est*socio=rien l'une des *socio=rien solutions possibles.*socio=nil Le*socio=nil recours*socio=ec1 au*socio=nil contrôle*socio=uv3 des*socio=nil mouvements_de_capitaux*socio=ec1 *socio=nil a provoqué des réactions*socio=rien contrastées parmi les administrateurs*socio=ac, nombre*socio=rien d'entre eux étant convaincus que ces mesures*socio=et ne sauraient remplacer une politique_économique*socio=ec1 reposant sur*socio=rien des bases*socio=rien saines*socio=uv2. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que, pour compléter la rigueur*socio=uv3 budgétaire*socio=et et la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1, les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 ont un*socio=rien rôle*socio=et à jouer en facilitant la mise en place*socio=rien d'une économie*socio=ec1 souple*socio=uv4 et capable*socio=rien de s'adapter*socio=rien ainsi que l'utilisation*socio=rien efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont estimé que les efforts*socio=uv1 de privatisation*socio=et peuvent encore être*socio=rien très sensiblement améliorés et renforcés. Ils ont souligné, plus précisément, que la réforme*socio=et de la fonction_publique*socio=et s'impose presque partout, et qu'elle aurait pour *socio=rien double effet *socio=nil d'améliorer la qualité*socio=rien et l'efficacité*socio=uv3 du*socio=rien secteur_public*socio=et et de libérer Lut volume*socio=rien de ressources*socio=ec1 accru pour l'investissement*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont mentionné aussi la nécessité*socio=uv1 de restructurer les entreprises*socio=ac publiques*socio=et pour améliorer leur efficacité*socio=uv3, ou à privatiser ces activités*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont recommandé à certaines*socio=rien économies*socio=ec1 de petite*socio=rien taille, et en particulier*socio=rien à nombre*socio=rien de petits*socio=rien États*socio=ac insulaires, de se diversifier davantage pour être*socio=rien mieux à même de faire face*socio=rien aux fluctuations*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 de tel ou tel produit*socio=rien. De façon*socio=rien plus générale*socio=rien, ils ont insisté sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de préserver la compétitivité*socio=uv3 extérieure*socio=te, relevant qu'il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 de lier les augmentations*socio=ec2 salariales*socio=ec1 aux gains*socio=ec1 de productivité*socio=uv3. Plusieurs pays*socio=ac ont été*socio=rien félicités pour leurs investissements*socio=ec1 dans l'éducation*socio=et et la formation*socio=et, qui permettront à la population_active*socio=ac de passer de modes*socio=rien de production*socio=ec1 à *socio=rien forte intensité de*socio=nil main-d'_oeuvre*socio=ac *socio=nil à des *socio=rien activités exigeant des*socio=nil qualifications*socio=uv3 *socio=nil accrues. Dans le domaine*socio=rien financier*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont relevé la fragilité*socio=uv1 *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1 d'*socio=nil un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil et mis en évidence*socio=rien les *socio=uv4 graves difficultés *socio=nil auxquelles risquent de se heurter les efforts*socio=uv1 de stabilisation*socio=et ou la croissance*socio=uv3 si des problèmes*socio=uv4 d'insolvabilité viennent ruiner la santé*socio=et du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1. Ils ont exhorté les pays*socio=ac à accorder une plus *socio=rien grande attention aux*socio=nil échéances*socio=te des*socio=nil prêts*socio=ec1 *socio=nil de leur portefeuille*socio=ec1 et à accentuer les efforts*socio=uv1 engagés pour déceler et résoudre les problèmes*socio=uv4 liés aux créances*socio=ec1 douteuses*socio=uv2 et aux établissements*socio=ac bancaires*socio=ec1 en difficulté*socio=uv4, de même que pour améliorer le contrôle*socio=uv3 et la réglementation*socio=et prudentielles*socio=uv2. S'agissant des politiques*socio=et de change*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont relevé que les dispositions*socio=et en vigueur*socio=uv3 ont été*socio=rien profitables*socio=uv4 à beaucoup de pays*socio=ac, mais ils ont précisé que nombreux*socio=rien sont ceux qui pourraient opter pour une plus grande*socio=rien souplesse*socio=uv3 dans ce domaine*socio=rien. Ils ont aussi souligné, lors*socio=rien de certaines*socio=rien de leurs discussions*socio=et, combien il importe d'adopter une politique*socio=et de change*socio=ec1 déterminée par le jeu*socio=rien des forces_du_marché*socio=ec1, car elle aurait l'avantage de diminuer les risques*socio=uv3 de déstabilisation liés a l'afflux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont félicité *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil pour les efforts*socio=uv1 qu'ils ont engagés pour réduire les restrictions*socio=et commerciales*socio=ec1 et les restrictions*socio=et de change*socio=ec1. Ils ont exhorté les autorités*socio=et qui continuent d'appliquer des taux_de_change*socio=ec1 multiples*socio=rien à adopter un*socio=rien taux*socio=ec1 unifié déterminé par le marché*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac se sont félicités qu'un*socio=rien *socio=rien nombre grandissant d'*socio=nil États*socio=ac membres*socio=ac *socio=nil acceptent les obligations*socio=uv1 découlant de l'article*socio=rien VIII des statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Cc faisant, les pays*socio=ac concernés acceptent de ne pis imposer de restrictions*socio=et sur*socio=rien les paiements*socio=ec1 et transferts*socio=ec1 afférents*socio=rien aux transactions*socio=ec1 *socio=te internationales courantes,*socio=nil *socio=nil et s'engagent à ne pas recourir à des mesures*socio=et discriminatoires*socio=uv2 ou à des pratiques*socio=et de taux*socio=ec1 de changé multiples*socio=rien sans l'approbation*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Les membres*socio=ac du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac ont exprimé le souhait*socio=rien que de nouveaux*socio=rien *socio=ac États membres *socio=nil acceptent les obligations*socio=uv1 énoncées à l'article*socio=rien VIII au cours*socio=rien de l'année*socio=rien à venir. Bien*socio=rien qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre pays*socio=ac *socio=nil aient réussi à préserver on à rétablir la viabilité*socio=uv3 de leur balance_des_paiements*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont signalé que la plupart*socio=rien des *socio=ac États membres *socio=nil ne peuvent se permettre de relâcher les politiques*socio=et mises en oeuvre*socio=rien et qu'un*socio=rien ajustement*socio=et complémentaire*socio=rien sera nécessaire*socio=rien à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil Ils ont relevé de *socio=rien nombreux cas *socio=nil dans lesquels l'assouplissement*socio=uv3 prématuré*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 a provoqué Une *socio=uv4 grave détérioration *socio=nil de la position*socio=rien extérieure*socio=te. Les membres*socio=ac du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac ont noté avec préoccupation*socio=uv4 les contraintes*socio=uv1 imposées par le fardeau*socio=uv4 de l'endettement*socio=ec1 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Ils ont accueilli avec satisfaction*socio=uv3 les mesures*socio=et prises*socio=rien par plusieurs d'entre eux pour restructurer l'encours et le service_de_leur_dette*socio=ec1 aux conditions*socio=ec1 de Naples*socio=ac, et engagé vivement les autres à les suivre dans cette voie*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont exhorté aussi *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil à s'abstenir d'emprunter à des conditions*socio=ec1 non concessionnelles*socio=ec1 pour éviter de compromettre leur position*socio=rien extérieure*socio=te ou d'alourdir la charge*socio=rien de leur dette*socio=ec1. Ils ont également signalé à cet tains pays*socio=ac qu'il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 de régler au plus tôt la question*socio=rien de leurs arriérés intérieurs*socio=te et extérieurs*socio=te, ainsi que de normaliser leurs relations*socio=rien avec les créanciers*socio=ac et les bailleurs_de_fonds*socio=ec1 étrangers*socio=te. Enfin, le conseil_d'_administration*socio=ac a rappelé que la possibilité*socio=rien de disposer de données précises*socio=rien en *socio=rien temps opportun est déterminante *socio=nil pour la formulation*socio=rien de politiques*socio=et appropriées. Ils ont félicité plusieurs *socio=ac États membres *socio=nil pour l'excellente*socio=uv4 qualité*socio=rien des données communiquées, tout en soulignant que nombre*socio=rien d'autres pays*socio=ac doivent quant à eux améliorer la couverture*socio=ec1, le degré*socio=rien d'actualité*socio=uv3 et la transparence*socio=uv3 de leurs statistiques*socio=ec2 économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1. Ils ont ajouté que le FMI*socio=ac était prêt*socio=ec1 à apporter à ces pays*socio=ac, au besoin*socio=uv1, une assistance*socio=uv1 technique*socio=rien dans ce domaine*socio=rien. Argentine*socio=ac. Après*socio=rien quatre années*socio=rien de croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien stimulée par des *socio=rien apports considérables de*socio=nil capitaux_privés*socio=ec1,*socio=nil l'*socio=nil Argentine*socio=ac *socio=nil a enregistré, suite*socio=rien à la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac, des retraits massifs*socio=rien de capitaux*socio=ec1 qui ont provoqué une forte*socio=rien contraction*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et de l'activité_économique*socio=ec1. Les autorités*socio=et ont répondu à cette situation*socio=rien en prenant des mesures*socio=et vigoureuses*socio=rien pour stimuler les finances*socio=ec1 publiques*socio=et et apporter le soutien*socio=uv3 nécessaire*socio=rien au système_bancaire*socio=ec1 dans les limites*socio=rien de la loi*socio=et de convertibilité*socio=ec1. Elles ont mis en place*socio=rien une surtaxe*socio=et temporaire*socio=rien de 3 *socio=rien points sur la*socio=nil taxe*socio=et *socio=nil à la valeur_ajoutée*socio=ec1, qui a *socio=rien été portée *socio=nil à 21 %; les traitements*socio=rien les plus élevés*socio=uv4 de la fonction_publique*socio=et ont ère*socio=te réduits, et deux fonds*socio=ec1 ont été*socio=rien créés pour favoriser la restructuration*socio=et des banques_privées*socio=ac et la privatisation*socio=et des banques*socio=ac provinciales*socio=te. La situation*socio=rien économique*socio=ec1 de l'Argentine*socio=ac paraissait donc stabilisée au moment*socio=rien où le conseil_d'_administration*socio=ac s'est*socio=rien réuni en septembre*socio=rien 1995 pour les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV : près de la moitié*socio=rien des 8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 de *socio=ec1 dépôts bancaires *socio=nil retirés entre décembre*socio=rien 1994 et la mi-mai 1995 était revenue sur*socio=rien les comptes*socio=ec1, le *socio=ec1 crédit bancaire *socio=nil avait repris, le pays*socio=ac avait retrouvé l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1 et les réserves_internationales*socio=ec1 se reconstituaient. Les *socio=rien événements du début *socio=nil de 1995 ont provoqué toutefois *socio=rien un net recul *socio=nil de la consommation*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1 - et, partant, du*socio=rien PIB*socio=ec1 - au *socio=rien cours du second semestre *socio=nil de 1995, et les projections*socio=ec2 tablaient sur*socio=rien une quasi-stagnation du*socio=rien PIB*socio=ec1 sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien de l'innée (voir tableau*socio=rien 15). En outre, malgré les mesures*socio=et prises*socio=rien, le resserrement*socio=ec2 du*socio=rien crédit*socio=ec1 et le fléchissement*socio=ec2 de la consommation*socio=ec1 laissaient présager des recettes*socio=ec1 très intérieures*socio=te aux prévisions*socio=ec2 en 1995, donc une révision*socio=rien des objectifs*socio=uv3 budgétaires*socio=et du*socio=rien programme*socio=et. Enfin, le chômage*socio=ec1 s'est*socio=rien aggravé, passant de 12 % en octobre*socio=rien 1994 à 18 1/2 % en mai*socio=rien 1995, en raison*socio=rien surtout de la forte*socio=rien progression*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 d'activité*socio=rien. Les retraits massifs*socio=rien effectués par les déposants*socio=rien et la multiplication*socio=rien des prêts*socio=ec1 non productifs*socio=uv4 ont été*socio=rien compensés par les fonds*socio=ec1 *socio=rien propres détenus *socio=nil par les banques*socio=ac en sus des normes*socio=et prévues par l'accord*socio=et de Bâle ainsi que par le niveau*socio=rien relativement élevé*socio=uv4, en moyenne*socio=rien, des réserves_obligatoires*socio=ec1. Cela a permis*socio=rien à la banque_centrale*socio=ac de tenir son engagement*socio=uv1 d'assurer la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 tout en contenant l'impact*socio=rien budgétaire*socio=et de la forte*socio=rien diminution*socio=ec2 *socio=rien du nombre de*socio=nil banques_privées*socio=ac,*socio=nil *socio=nil tombé de 172 en décembre*socio=rien 1994 à 125 environ en août*socio=rien 1995. Le fonds*socio=ec1 de restructuration*socio=et est*socio=rien venu en aide*socio=uv1 à14 banques_privées*socio=ac, et 15 banques*socio=ac provinciales*socio=te ont été*socio=rien privatisées ou sont en passe de l'être*socio=rien. Pour accroître la liquidité*socio=ec1 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 et faciliter un*socio=rien resserrement*socio=ec2 des marges bancaires*socio=ec1, le gouvernement*socio=ac a annoncé qu'un*socio=rien coefficient*socio=ec1 de liquidité*socio=ec1 uniforme*socio=uv4 remplacerait le coefficient*socio=ec1 de réserves_obligatoires*socio=ec1 en novembre*socio=rien 1995. Le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif réel du peso*socio=ec1 *socio=nil argentin s'est*socio=rien déprécié de 8 entre le début*socio=rien de 1994 et août*socio=rien 1995 et les exportations*socio=ec1 (exprimées en dollars*socio=ec1) ont augmenté de 47 % au *socio=rien cours du premier semestre *socio=nil de 1995 par rapport*socio=rien à la même période*socio=te en 1994, les exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés s'étant en effet*socio=rien poursuivies à un*socio=rien rythme*socio=ec2 soutenu. Selon les projections*socio=ec2, la balance_commerciale*socio=ec1 devait dégager un*socio=rien excédent*socio=ec1 d'environ 1,4 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1995, contre un*socio=rien déficit*socio=ec1 de près de 6 milliards*socio=rien en 1994, et le déficit*socio=ec1 (lu compte*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te devait être*socio=rien ramené de 10 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1994 à 3,7 milliards*socio=rien en 1995. Les autorités*socio=et ont estimé que le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien pour 1994-95 a *socio=rien été inférieur *socio=nil de 1,0 à 1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 aux prévisions*socio=ec2, car les intérêts*socio=uv1 perçus ont été*socio=rien plus importants*socio=uv4 qu'on ne l'escomptait. Les administrateurs*socio=ac ont félicité les autorités*socio=et argentines pour la détermination*socio=rien dont elles ont fait*socio=rien preuve*socio=ec2 au début*socio=rien de l'année*socio=rien 1995 dans la stabilisation*socio=et de leur économie*socio=ec1, ils ont relevé que les mesures*socio=et prises*socio=rien ont permis*socio=rien de rétablir la confiance*socio=uv1 des milieux*socio=rien financiers*socio=ec1 et facilité la reconstitution*socio=ec2 des *socio=ec1 dépôts bancaires.*socio=nil *socio=nil Ils ont aussi pris acte*socio=et dit redressement*socio=ec2 très *socio=rien net du solde*socio=ec1 extérieur*socio=te courant.*socio=nil *socio=nil Toutefois, le fléchissement*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 a été*socio=rien plus marqué que prévu en *socio=rien raison du resserrement*socio=ec2 du crédit*socio=ec1 *socio=nil et de l'augmentation*socio=ec2 significative*socio=uv4 du*socio=rien chômage*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont donc estimé que l'assouplissement*socio=uv3 des objectifs*socio=uv3 budgétaires*socio=et pour 1995 se justifiait. La crédibilité*socio=uv1 et la viabilité*socio=uv3 *socio=rien du plan de*socio=nil convertibilité*socio=ec1 *socio=nil (qui prévoit le maintien*socio=rien de la parité*socio=ec1 entre le peso*socio=ec1 argentin et le dollar*socio=ec1) exigeant*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et saines*socio=uv2, les administrateurs*socio=ac ont également souligné qu'il est*socio=rien primordial*socio=uv4 de rétablir l'équilibre*socio=ec2 budgétaire*socio=et en 1996, en s'appliquant notamment à combattre*socio=rien la fraude fiscale*socio=et et à diminuer encore les dépenses*socio=ec1. Ils ont aussi engagé les autorités*socio=et argentines à aller de l'avant dans la réforme*socio=et des finances*socio=ec1 provinciales*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont jugé que l'imposition*socio=et d'un*socio=rien nouveau*socio=rien coefficient*socio=ec1 de liquidité*socio=ec1 uniforme*socio=uv4 devrait aider à resserrer les marges bancaires*socio=ec1 et à renforcer le système_financier*socio=ec1. Ils se sont réjouis de la reconstitution*socio=ec2 des *socio=ec1 dépôts bancaires *socio=rien après mai *socio=nil 1995, mais n'ont pas caché leur préoccupation*socio=uv4 face*socio=rien à la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien de certains *socio=rien pans du système_financier*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ils ont souligné par ailleurs*socio=rien que la mise en oeuvre*socio=rien de nouvelles*socio=rien réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 visant en particulier*socio=rien à assouplir le *socio=rien fonctionnement du marché_du_travail*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil à renforcer la compétitivité*socio=uv3 et à lutter contre le chômage*socio=ec1 permettrait d'accélérer le retour*socio=rien de l'économie*socio=ec1 argentine*socio=ac *socio=rien sur un sentier de*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil de l'investissement*socio=ec1, de la production*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont noté que la réduction*socio=ec2 progressive*socio=rien des *socio=ec1 cotisations patronales *socio=nil annoncée récemment pourrait aider à abaisser l'un*socio=rien des principaux*socio=rien obstacles*socio=uv3 à l'embauche*socio=ec1. Compte*socio=ec1 tenu des *socio=rien bons résultats *socio=nil à l'exportation*socio=ec1 et de l'ajustement*socio=et rapide*socio=rien des comptes*socio=ec1 extérieurs*socio=te, les administrateurs*socio=ac ont estimé que la compétitivité*socio=uv3 actuelle*socio=te de l'économie*socio=ec1 argentine*socio=ac est*socio=rien dans l'ensemble*socio=rien satisfaisante*socio=uv4. Le Conseil*socio=ac a considéré, de *socio=rien manière générale,*socio=nil *socio=nil que le régime*socio=et de change*socio=ec1 adopté par les autorités*socio=et a *socio=rien été bénéfique *socio=nil à l'économie*socio=ec1. Enfin, en égard*socio=rien à l'expérience*socio=ec2 récente*socio=rien de l'Argentine*socio=ac, les administrateurs*socio=ac ont considéré qu'il serait prudent*socio=uv2 que la banque_centrale*socio=ac constitue des réserves*socio=ec1 libres*socio=uv2 supérieures*socio=rien aux objectifs*socio=uv3 fixés par le programme*socio=et de façon*socio=rien à renforcer le plan*socio=rien de convertibilité*socio=ec1. Communiqués de presse*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac et du*socio=rien comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3. comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Quarante -cinquième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 8 octobre*socio=rien 1995. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs_du_fonds_monétaire_international*socio=ac a tenu sa quarante-cinquième réunion*socio=rien à Washington*socio=ac le 8 octobre*socio=rien 1995, sous la présidence*socio=rien de M.. Philippe Maystadt, vice-premier_ministre*socio=ac et Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te de la Belgique*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que la situation*socio=rien et les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 mondiales*socio=te sont encourageantes*socio=uv4, ce qui tient pour une *socio=rien large part aux*socio=nil politiques_économiques*socio=et judicieuses*socio=uv4 *socio=nil menées par de nombreux*socio=rien pays*socio=ac. Il réaffirme que la Déclaration*socio=et de Madrid continue*socio=rien à donner des orientations*socio=et utiles*socio=uv4 pour l'action*socio=ec1 des pouvoirs_publics*socio=et. 3 - Faisant le point*socio=rien des progrès*socio=uv1 réalisés dans la mise en oeuvre*socio=rien des recommandations*socio=et de la Déclaration*socio=et de Madrid, le Comité*socio=ac fait*socio=rien les observations*socio=ec2 suivantes*socio=rien. Dans les pays_industrialisés*socio=ac, tout laisse présager une croissance*socio=uv3 sans inflation*socio=ec1, et c'est*socio=rien l'objectif*socio=uv3 que les politiques_économiques*socio=et doivent continuer à viser. Une expansion*socio=ec2 généralisée aidera à créer des emplois*socio=ec1 et à réduire les déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te et contribuera à la stabilité*socio=uv3 des marchés_financiers*socio=ec1. Le Comité*socio=ac salue les mesures*socio=et de relance*socio=uv3 économique*socio=ec1 récemment annoncées par les autorités*socio=et japonaises*socio=ac, la détente*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 en Europe*socio=ac, les progrès*socio=uv1 dans la voie*socio=rien de l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac et les larges*socio=rien mouvements*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 des monnaies*socio=ec1 clés*socio=rien depuis *socio=rien avril dernier.*socio=nil *socio=nil Dans beaucoup de pays*socio=ac, grâce*socio=rien à des efforts*socio=uv1 redoublés de rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et et à une politique_monétaire*socio=et prudente*socio=uv2, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te ont pu être*socio=rien abaissés. Il reste*socio=rien cependant beaucoup à faire et la phase*socio=te d'expansion*socio=ec2 devrait être*socio=rien considérée comme une occasion*socio=rien de prendre des mesures*socio=et énergiques*socio=ec1 pour s'attaquer aux déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et, pour assouplir le *socio=rien fonctionnement du marché_du_travail*socio=ec1 *socio=nil et lutter contre le chômage*socio=ec1, particulièrement en Europe*socio=ac et au Canada*socio=ac, ainsi que pour poursuivre la déréglementation*socio=et et l'ouverture*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 au Japon*socio=ac. Le Comité*socio=ac fait*socio=rien l'éloge*socio=rien du*socio=rien rythme*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 impressionnant*socio=rien qu'affiche *socio=rien un nombre croissant de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil La*socio=nil santé*socio=et foncière*socio=ec1 *socio=nil de leur économie*socio=ec1 et la *socio=rien prompte réaction des*socio=nil pouvoirs_publics*socio=et,*socio=nil *socio=nil qui se sont gardés de recourir au contrôle*socio=uv3 clés*socio=rien changes*socio=ec1, ont permis*socio=rien de restaurer la confiance*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac à la suite*socio=rien de la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac. Les vigoureux*socio=rien efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et déployés par le Mexique*socio=ac et d'autres pays*socio=ac également touchés leur ont permis*socio=rien, avec un*socio=rien appui*socio=uv1 prompt*socio=rien et substantiel*socio=rien de la *socio=ac communauté internationale,*socio=nil *socio=nil de passer le cap*socio=rien de la crise*socio=uv2, qui a cependant en des coûts_sociaux*socio=et élevés*socio=uv4 dans certains pays*socio=ac. Ailleurs*socio=rien, en Asie*socio=ac notamment, quelques-uns des pays*socio=ac les plus performants doivent veiller à éviter une surchauffe en usant judicieusement de la politique*socio=et de change*socio=ec1 et de la politique_monétaire*socio=et. De nombreux*socio=rien pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 jouissent maintenant de meilleures*socio=uv4 perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3, *socio=rien du fait *socio=nil à la fois*socio=rien des vastes*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et qu'ils ont mis en oeuvre*socio=rien et d'une conjoncture*socio=ec2 extérieure*socio=te plus favorable*socio=uv4. Le Comité*socio=ac se déclare toutefois profondément *socio=rien inquiet du sort d'*socio=nil un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil faible revenu*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il appelle à la mise en *socio=rien application intégrale et*socio=nil constructive*socio=uv2 des*socio=nil conditions*socio=ec1 de*socio=nil Naples*socio=ac *socio=nil par le Club*socio=rien de Paris*socio=ac, mais il souligne la nécessité*socio=uv1 de continuer à assurer des flux*socio=ec1 suffisants*socio=rien d'aide*socio=uv1 concessionnelle*socio=ec1 aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 qui mettent en oeuvre*socio=rien de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et. Le Comité*socio=ac est*socio=rien encouragé par la reprise de la croissance*socio=uv3 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac en*socio=nil transition*socio=ec2 *socio=nil qui ont établi une ferme*socio=ec2 discipline*socio=uv1 macro-économique*socio=ec1 et ont procédé*socio=rien à de vastes*socio=rien réformes*socio=et de leur système*socio=rien sans perdre de temps*socio=rien. Beaucoup de pays*socio=ac qui sont à un*socio=rien stade*socio=te moins avancé du*socio=rien processus*socio=te de transition*socio=ec2 ont eux aussi récemment redouble leurs efforts*socio=uv1 de stabilisation*socio=et et de réforme*socio=et et exhibent maintenant des signes de reprise économique*socio=ec1. Le Comité*socio=ac exhorte toits*socio=rien les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 à prendre des mesures*socio=et énergiques*socio=ec1 auxquelles le FMI*socio=ac puisse donner son appui*socio=uv1. Il y a un*socio=rien besoin*socio=uv1 pressant*socio=rien d'entreprises*socio=ac plus performantes, de dispositifs*socio=et de protection_sociale*socio=et efficaces*socio=uv4 et économiques*socio=ec1, et de réforme*socio=et des secteurs*socio=rien financiers*socio=ec1. Beaucoup de ces pays*socio=ac doivent corriger salis délai*socio=rien le niveau*socio=rien et la structure*socio=ec1 de leurs dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et enrayer la chute intolérable des recettes*socio=ec1 budgétaires*socio=et en améliorant la fiscalité*socio=et et l'administration*socio=ec1 de l'impôt*socio=et. Nombre*socio=rien de ces pays*socio=ac doivent aussi maîtriser*socio=rien et encadrer efficacement l'évolution*socio=te de l'endettement*socio=ec1, et il a été*socio=rien noté avec inquiétude*socio=rien que quelques-uns sont en train*socio=rien d'accumuler une dette*socio=ec1 extérieure*socio=te qui dépasse les *socio=rien limites du supportable.*socio=nil *socio=nil 4 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 la libéralisation*socio=et des échanges_commerciaux*socio=ec1 internationaux*socio=te qui résulte des négociations*socio=et de l' uruguay_round*socio=et et réaffirme qu'il importe que tous les pays*socio=ac continuent à ouvrir leurs marchés*socio=ec1, à s'abstenir de toute mesure*socio=rien à caractère*socio=rien protectionniste*socio=et et à s'en remettre à la structure*socio=ec1 multilatérale*socio=et de l'OMC*socio=ac pour le règlement*socio=et des différends*socio=uv2. 5 - Le Comité*socio=ac souligne que la plus grande*socio=rien liberté*socio=uv1 de circulation*socio=ec2 des capitaux*socio=ec1 et la mondialisation*socio=ec2 des marchés_financiers*socio=ec1 peuvent *socio=rien être porteuses de*socio=nil bienfaits*socio=uv2 considérables *socio=nil pour tous les pays*socio=ac. L'application*socio=rien systématique*socio=rien de fermes*socio=rien politiques_économiques*socio=et devrait aider à réduire la volatilité*socio=ec2 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Le Comité*socio=ac engage le FMI*socio=ac, en promouvant la libéralisation*socio=et dans le cadre*socio=rien de marchés*socio=ec1 mondialisés, à porter davantage d'attention*socio=rien à ce qui a trait*socio=rien aux mouvements_de_capitaux*socio=ec1 ainsi qu'à la solidité*socio=uv3 des systèmes_financiers*socio=ec1, et souligne la nécessité*socio=uv1 d'améliorer le contrôle*socio=uv3 prudentiel*socio=uv2. 6 - Le Comité*socio=ac entérine les conclusions*socio=rien et recommandations*socio=et dit *socio=rien rapport du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil en ce qui concerne, d'une part*socio=rien, la communication*socio=ec1 au FMI*socio=ac par les pays_membres*socio=ac, à intervalles*socio=rien réguliers*socio=ec2 et sans retard*socio=rien, de données complètes et de *socio=rien bonne qualité aux*socio=nil fins *socio=nil de la surveillance*socio=et, précisant notamment une série de 12 catégories*socio=rien de données de base*socio=rien, et, d'autre part*socio=rien, l'établissement*socio=rien par le FMI*socio=ac de normes*socio=et propres*socio=rien à guider les pays_membres*socio=ac dans la diffusion*socio=rien publique*socio=et de leurs données économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 (avec une approche "à deux vitesses*socio=rien" - c'est-à-dire une norme*socio=et générale*socio=rien pour l'ensemble*socio=rien des pays_membres*socio=ac et une norme*socio=et plus contraignante*socio=uv2 pour ceux qui ont ou qui cherchent à avoir accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 - et une liste identifiant publiquement*socio=et les pays*socio=ac qui SC Soumettent à la norme*socio=et plus contraignante*socio=uv2). Le Comité*socio=ac souligne qu'il importe de fournir une assistance*socio=uv1 technique*socio=rien aux pays_membres*socio=ac intéressés. Il se déclare favorable*socio=uv4 à la *socio=rien publication du rapport *socio=nil et il demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac d'achever ses travaux*socio=rien au plus tôt, en tenant compte*socio=ec1 de l'avis*socio=rien des opérateurs*socio=ac des marchés_financiers*socio=ec1, afin que les pays_membres*socio=ac qui souhaitent adopter la norme*socio=et plus contraignante*socio=uv2 aient la possibilité*socio=rien de le faire avant la *socio=rien prochaine réunion dit*socio=nil Comité*socio=ac,*socio=nil en*socio=nil avril *socio=nil 1996. 7 - Le Comité*socio=ac insiste sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 cruciale*socio=uv4 de maintenir en permanence*socio=rien la liquidité*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac à *socio=rien un niveau adéquat*socio=uv2.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a en conséquence*socio=rien examiné comment renforcer l'assise financière*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Le Comité*socio=ac se félicite des progrès*socio=uv1 déjà accomplis par le conseil_d'_administration*socio=ac sur*socio=rien la question*socio=rien des quotes-parts*socio=et, et il lui demande*socio=ec1 de poursuivre la *socio=rien Onzième révision quinquennale*socio=te *socio=nil et de soumettre au Comité*socio=ac *socio=rien un rapport sur l'*socio=nil avancement*socio=uv3 *socio=nil de ses travaux*socio=rien en avril*socio=rien 1996. Le Comité*socio=ac prend note avec intérêt*socio=uv1 de l'initiative*socio=rien des pays*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Dix qui vise à établir *socio=rien un nouveau dispositif*socio=et parallèle de*socio=nil financement*socio=ec1,*socio=nil en*socio=nil complément des*socio=nil Accords*socio=et généraux d'*socio=nil emprunt*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil afin de doubler les ressources*socio=ec1 actuellement disponibles*socio=rien au titre*socio=rien de ces accords*socio=et en faisant appel*socio=rien aux contributions*socio=uv1 des membres*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Dix et à celles d'autres pays*socio=ac qui ont la capacité*socio=uv3 financière*socio=ec1 pour apporter un*socio=rien soutien*socio=uv3 au système_financier*socio=ec1 international*socio=te; il exprime le ferme*socio=ec2 espoir*socio=uv1 que des progrès*socio=uv1 seront accomplis au plus tôt par un*socio=rien dialogue*socio=uv1 constructif*socio=uv2 entre le Groupe*socio=ac des Dix et les nouveaux*socio=rien participants*socio=ac potentiels*socio=uv4. Le Comité*socio=ac souligne qu'il importe que tous les participants*socio=ac soient *socio=rien traités sur un pied d'*socio=nil égalité*socio=uv1 *socio=nil et il reconnaît que l'expansion*socio=ec2 des emprunts*socio=ec1 ne saurait remplacer une augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et. 8 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 le consensus*socio=uv1 en faveur*socio=rien de la poursuite*socio=rien des opérations*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FAS*socio=ec1 renforcée), ainsi que de l'établissement*socio=rien d'une FAS*socio=ec1 renforcée auto-alimentée. Il convient que la FAS*socio=ec1 renforcée doit rester la pièce*socio=rien maîtresse de la stratégie*socio=et d'aide*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, y compris à ceux qui sont lourdement endettés. Il demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de formuler des *socio=rien propositions sur le*socio=nil futur*socio=te financement*socio=ec1 *socio=nil de la FAS*socio=ec1 renforcée et de lui faire rapport*socio=rien à sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil 9 - Le Comité*socio=ac note que le FMI*socio=ac travaille, en étroite*socio=rien collaboration*socio=uv1 avec la banque_mondiale*socio=ac, à trouver la meilleure*socio=uv4 *socio=rien solution possible aux*socio=nil problèmes*socio=uv4 des*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil faible revenu*socio=ec1 *socio=nil qui entreprennent de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et mais dont l'endettement*socio=ec1, y compris leur dette*socio=ec1 envers les institutions*socio=ac multilatérales*socio=et, risque*socio=uv3 d'être*socio=rien insoutenable*socio=uv4, même après*socio=rien une réduction*socio=ec2 de leur dette*socio=ec1 aux conditions*socio=ec1 de Naples*socio=ac. Il engage les deux institutions*socio=ac à poursuivre leurs travaux*socio=rien en étroite*socio=rien concertation*socio=uv1 sur*socio=rien ces questions*socio=rien, en vérifiant notamment pour chaque pays*socio=ac si l'endettement*socio=ec1 est*socio=rien tolérable, et il demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de faire rapport*socio=rien au comité_intérimaire*socio=ac à sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil 10 - Le Comité*socio=ac entérine les décisions*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac qui suivent. Établissement*socio=rien d'une procédure*socio=et d'exception*socio=rien (le mécanisme_de_financement_ d'_urgence*socio=rien) qui permettrait au FMI*socio=ac de réagir promptement et avec prudence*socio=uv1 dans l'éventualité*socio=te de crises*socio=uv2 financières*socio=ec1 graves*socio=uv4. Il souligne que le recours*socio=ec1 à cette procédure*socio=et n'implique pas nécessairement un*socio=rien financement*socio=ec1 exceptionnel*socio=uv4 et sera soumis à une conditionnalité rigoureuse*socio=uv4. Définition*socio=rien des conditions*socio=ec1 dans lesquelles le FMI*socio=ac sera prêt*socio=ec1 à soutenir des fonds*socio=ec1 de stabilisation*socio=et des changes*socio=ec1, à court_terme*socio=te, dans le contexte*socio=rien d'une stratégie*socio=et de désinflation*socio=ec2 fondée sur*socio=rien la parité*socio=ec1 de la monnaie*socio=ec1 et dans les limites*socio=rien et selon les principes*socio=ec2 directeurs*socio=ac de la politique*socio=et d'accès*socio=uv1 actuelle*socio=te. Expansion*socio=ec2 *socio=rien du champ d'*socio=nil intervention*socio=et possible du FMI*socio=ac *socio=nil dans les pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1, notamment des circonstances*socio=rien dans lesquelles le FMI*socio=ac pourrait fournir un*socio=rien concours d'urgence*socio=rien dans le cadre*socio=rien d'une initiative*socio=rien concertée d'aide*socio=uv1 internationale*socio=ac. 11 - Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de continuer à étudier les moyens*socio=ec1 de parvenir à l'objectif*socio=uv3 convenu d'une participation*socio=uv3 de tous les pays_membres*socio=ac au système*socio=rien des DTS. Dans le cadre*socio=rien de l'examen*socio=ec2 approfondi du*socio=rien rôle*socio=et et des fonctions*socio=rien des DTS dans le système_financier*socio=ec1 mondial*socio=te, le Comité*socio=ac attend par ailleurs*socio=rien avec intérêt*socio=uv1 les *socio=rien résultats du séminaire*socio=ac *socio=nil qui sera organisé en mars*socio=rien 1996, avec la participation*socio=uv3 d'experts*socio=ac externes*socio=ec1. 12 - Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac ont eu des entretiens*socio=rien informels*socio=uv2 fructueux*socio=rien avec M.. Michel Hansenne, directeur_général*socio=ac du*socio=rien Bureau*socio=ac international*socio=te *socio=rien du travail,*socio=nil à*socio=nil propos *socio=nil de la collaboration*socio=uv1 entre le BIT et le FMI*socio=ac, en égard*socio=rien aux engagements*socio=et pris *socio=rien lors du Sommet social*socio=et *socio=nil de l'ONU*socio=ac. Le Comité*socio=ac convient que cette collaboration*socio=uv1 doit être*socio=rien renforcée, en vue*socio=rien d'aider les missions du*socio=rien FMI*socio=ac dans les pays_membres*socio=ac à mieux cerner les problèmes*socio=uv4 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 et de la protection_sociale*socio=et, et les services*socio=et du*socio=rien BIT, pour leur part*socio=rien, à mieux intégrer dans les avis*socio=rien qu'ils donnent aux pays*socio=ac le point*socio=rien de *socio=rien vue du FMI*socio=ac sur les*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil et les objectifs*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1 adaptés aux pays*socio=ac en question*socio=rien. Le Comité*socio=ac recommande aussi que les échanges*socio=ec1 réguliers*socio=ec2 de vues*socio=rien et d'information*socio=rien soient poursuivis dans le cadre*socio=rien de la préparation*socio=rien des études*socio=ec2 du*socio=rien FMI*socio=ac sur*socio=rien les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et des *socio=rien rapports du BIT*socio=nil sur l'*socio=nil emploi*socio=ec1 *socio=nil dans le monde*socio=te. 13 - Le Comité*socio=ac se réunira à nouveau*socio=rien le 22 avril*socio=rien 1996. Quarante-sixième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 22 avril*socio=rien 1996. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac a tenu sa quarante-sixième réunion*socio=rien à Washington*socio=ac, le 22 avril*socio=rien 1996, sous la présidence*socio=rien de M.. Philippe Maystadt, vice-premier_ministre*socio=ac et Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te de la Belgique*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac juge*socio=et encourageante*socio=uv2 l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. L'inflation*socio=ec1 a été*socio=rien ralentie ou maintenue à *socio=rien un bas niveau *socio=nil dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, et les amples*socio=rien mouvements*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 des *socio=rien principales unités monétaires*socio=ec1 *socio=nil depuis la réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1995 du*socio=rien Comité*socio=ac ont amélioré les perspectives*socio=te de croissance*socio=ec1 durable*socio=uv4 non inflationniste*socio=ec2. Dans le monde*socio=te en développement*socio=uv3, la croissance*socio=uv3 a *socio=rien été bien *socio=nil soutenue, avec l'aide*socio=uv1 de vigoureuses*socio=rien mesures*socio=et d'ajustement*socio=et macro-économique*socio=ec1 et de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, qui ont produit*socio=rien une amélioration*socio=uv1 du*socio=rien niveau_de_vie*socio=uv1 pour une *socio=rien large part *socio=nil de la population*socio=ac mondiale*socio=te. On s'attend que l'Asie*socio=ac connaîtra encore une croissance*socio=uv3 dynamique*socio=uv4, quoique à un*socio=rien rythme*socio=ec2 légèrement inférieur*socio=rien à celui de 1995, *socio=rien du fait *socio=nil notamment que certains pays*socio=ac menacés de surchauffe s'astreignent à une plus grande*socio=rien rigueur*socio=uv3 économique*socio=ec1. Dans l'hémisphère_occidental*socio=te, les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et de *socio=rien grande envergure *socio=nil déployés par le Mexique*socio=ac et d'autres pays*socio=ac de la région*socio=te ont amélioré les perspectives*socio=te de reprise. En Afrique*socio=ac et au Moyen-orient*socio=ac, les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 s'améliorent grâce*socio=rien à la mise en place*socio=rien de saines*socio=uv2 politiques*socio=et. Dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2, la mise en place*socio=rien d'institutions*socio=ac de marché*socio=ec1 et les progrès*socio=uv1 de la stabilité*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1 ont contribué à des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 plus solides*socio=uv4. Les pays*socio=ac qui ont le plus avancé dans ce processus*socio=te permettent le constat*socio=rien encourageant que la discipline*socio=uv1 financière*socio=ec1 et les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, appliquées avec persévérance*socio=uv1, forment la base*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 soutenue. Dans les pays_industrialisés*socio=ac, la reprise s'est*socio=rien amorcée au Japon*socio=ac et les conditions*socio=ec1 sont bonnes*socio=rien pour que l'expansion*socio=ec2 se poursuive a un*socio=rien rythme*socio=ec2 vigoureux*socio=rien en amérique_du_nord*socio=ac. En Europe*socio=ac continentale*socio=te, l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, l'inflation*socio=ec1 jugulée et leur effet*socio=rien favorable*socio=uv4 sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1 devraient contribuer au rebond de l'activité*socio=rien qui est*socio=rien attendu dans le courant*socio=rien de 1996, après*socio=rien le temps*socio=rien d'arrêt*socio=rien marqué récemment. 3 - Le Comité*socio=ac note que beaucoup de ces courants*socio=te d'évolution*socio=te favorables*socio=uv4 résultent de la réalisation*socio=uv1 des aspects*socio=rien cruciaux*socio=uv4 de la stratégie*socio=et commune*socio=uv2 énoncée par le comité_intérimaire*socio=ac dans la Déclaration*socio=et de Madrid d'octobre*socio=rien 1994. La réunion*socio=rien d'automne*socio=rien du*socio=rien Comité*socio=ac pourrait être*socio=rien une *socio=rien bonne occasion *socio=nil d'actualiser les directives*socio=et énoncées dans la Déclaration*socio=et, et le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de réfléchir sur*socio=rien ce thème*socio=rien. 4 - Le Comité*socio=ac souligne qu'il subsiste des enjeux*socio=rien importants*socio=uv4. L'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et reste*socio=rien une *socio=uv4 priorité essentielle *socio=nil dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, en dépit*socio=rien de quelques progrès*socio=uv1 dans la réduction*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et. En matière*socio=rien de finances*socio=ec1 publiques*socio=et, les problèmes*socio=uv4 prennent de *socio=rien multiples formes :*socio=nil dépenses*socio=ec1 improductives*socio=ec2,*socio=nil assiette fiscale*socio=et étroite,*socio=nil taux*socio=ec1 d'*socio=nil imposition*socio=et élevés*socio=uv4,*socio=nil inefficacité*socio=uv3 des*socio=nil entreprises*socio=ac publiques*socio=et *socio=nil dont les contraintes*socio=uv1 budgétaires*socio=et sont souvent lâches, vastes*socio=rien déséquilibres*socio=uv3 de *socio=ec1 comptes extrabudgétaires *socio=nil ou occultes et engagements*socio=et massifs*socio=rien, en particulier*socio=rien au titre*socio=rien des retraites*socio=ec1 et de la santé*socio=et, étant donné la courbe de vieillissement*socio=ec2 de leur population*socio=ac. Une plus grande*socio=rien transparence*socio=uv3 des opérations*socio=rien budgétaires*socio=et et une conscience*socio=uv1 plus claire*socio=rien des conséquences*socio=rien des engagements*socio=et à long_terme*socio=te sont nécessaires*socio=rien afin de forger le consensus*socio=uv1 et le soutien*socio=uv3 de l'opinion*socio=ac publique*socio=et en faveur*socio=rien de mesures*socio=et résolues visant à remédier à ces problèmes*socio=uv4. Il est*socio=rien aussi crucial*socio=rien de faire disparaître les obstacles*socio=uv3 structurels*socio=ec2 à la hausse*socio=rien des taux_de_croissance*socio=ec1 sans inflation*socio=ec1, et les rigidités*socio=uv3 des marchés_du_travail*socio=ec1 qui contribuent à un*socio=rien chômage*socio=ec1 intolérablement élevé*socio=uv4 dans de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac sont particulièrement préoccupantes*socio=rien; les progrès*socio=uv1 sur*socio=rien ce front*socio=rien faciliteraient aussi l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Le renforcement*socio=ec2 de la surveillance*socio=et des institutions*socio=ac et des marchés_financiers*socio=ec1 facilitera l'affectation*socio=ec1 efficace*socio=uv4 des *socio=ec1 ressources financières *socio=nil et permettra de parer aux défaillances*socio=rien qui peuvent *socio=rien être source d'*socio=nil instabilité*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1 *socio=nil et de coûts*socio=ec1 budgétaires*socio=et. 5 - Le Comité*socio=ac prend bonne*socio=rien note des efforts*socio=uv1 très vigoureux*socio=rien que le FMI*socio=ac déploie pour adapter*socio=rien sa surveillance*socio=et au nouvel*socio=rien environnement*socio=et mondial*socio=te. Tout spécialement, le Comité*socio=ac. Accueille favorablement le *socio=rien rapport du directeur_général*socio=ac sur les*socio=nil mesures*socio=et prises *socio=nil en ce qui concerne la surveillance*socio=et des politiques_économiques*socio=et nationales*socio=te, qui *socio=rien fait utilement le*socio=nil lien *socio=nil entre les enseignements*socio=et qui ressortent des *socio=rien travaux quotidiens du conseil_d'_administration*socio=ac sur la*socio=nil *socio=et surveillance bilatérale *socio=nil et les questions*socio=rien plus vastes*socio=rien qui relèvent du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac dans ses fonctions*socio=rien de supervision*socio=rien. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 que lui soit soumis *socio=rien un nouveau rapport sur certains*socio=nil aspects *socio=nil de la surveillance*socio=et qui apparaissent fréquemment dans le dialogue*socio=uv1 entre le FMI*socio=ac et les pays_membres*socio=ac. Accueille avec satisfaction*socio=uv3 l'institution*socio=ac de la norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données pour les pays_membres*socio=ac qui ont ou cherchent à gagner accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te et les *socio=rien premières indications *socio=nil selon lesquelles *socio=rien un nombre significatif de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil comptent y souscrire. Le Comité*socio=ac encourage les autres pays_membres*socio=ac à adopter cette norme*socio=et. Il demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac d'achever au plus tôt ses *socio=rien travaux sur la*socio=nil norme*socio=et générale de*socio=nil diffusion *socio=nil des données pour l'ensemble*socio=rien des pays_membres*socio=ac afin qu'elle puisse être*socio=rien établie avant la fin*socio=rien de 1996. 6 - Pour ce qui est*socio=rien des ressources*socio=ec1 et de l'assistance*socio=uv1 financières*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac, le Comité*socio=ac. Prend note de l'avancement*socio=uv3 des *socio=rien travaux préparatoires du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil pour la *socio=rien Onzième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et *socio=nil et souligne qu'il importe de veiller à ce que le niveau*socio=rien des quotes-parts*socio=et soit adéquat*socio=uv2 pour permettre au FMI*socio=ac de poursuivre ses missions, compte*socio=ec1 tenu des changements*socio=uv3 que l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te a connus depuis l'approbation*socio=uv1 de la dernière*socio=rien augmentation*socio=ec2, qui date de 1990. Étant donné les perspectives*socio=te d'évolution*socio=te de la position*socio=rien de liquidité*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre, et d'achever dès que possible*socio=rien, ses *socio=rien travaux sur le*socio=nil dossier des*socio=nil quotes-parts*socio=et.*socio=nil *socio=nil Prend note *socio=rien du rapport du Président*socio=ac des*socio=nil suppléants du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix et se félicite des progrès*socio=uv1 dans le sens*socio=rien d'un*socio=rien doublement des ressources*socio=ec1 actuellement disponibles*socio=rien au titre*socio=rien des Accords*socio=et généraux*socio=rien d'emprunt*socio=ec1, tout en soulignant à nouveau*socio=rien que le recours*socio=ec1 à l'emprunt*socio=ec1 doit être*socio=rien exceptionnel*socio=uv4 et ne saurait être*socio=rien une solution*socio=rien de rechange à une augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et. Il note avec une satisfaction*socio=uv3 particulière*socio=rien que les grands*socio=rien principes*socio=ec2 fondateurs*socio=rien des nouveaux*socio=rien accords*socio=et ont été*socio=rien arrêtés et qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont indiqué qu'ils étaient prêts*socio=ec1 à prendre part*socio=rien, à des conditions*socio=ec1 appropriées, aux accords*socio=et d'emprunt*socio=ec1. Il souhaite vivement que les *socio=rien travaux sur ce*socio=nil dossier *socio=nil soient rapidement menés à *socio=rien bonne fin.*socio=nil *socio=nil Réaffirme son soutien*socio=uv3 à la prolongation*socio=rien des opérations*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FASR*socio=ec1), y compris moyennant l'établissement*socio=rien d'une FASR*socio=ec1 auto-alimentée, qui est*socio=rien l'élément*socio=rien central*socio=rien de la stratégie*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac pour l'aide*socio=uv1 aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, notamment dans le contexte*socio=rien de l'initiative*socio=rien visant à venir en aide*socio=uv1 aux pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 les plus lourdement endettés. Il a examiné le rapport*socio=rien présenté par le directeur_général*socio=ac et, compte*socio=ec1 tenu *socio=rien du délai nécessaire *socio=nil pour mettre en place*socio=rien le financement*socio=ec1 de la FASR*socio=ec1, il demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac d'achever ses délibérations*socio=et sur*socio=rien ce dossier*socio=rien dès que possible*socio=rien afin de concevoir des propositions*socio=rien de financement*socio=ec1 acceptables*socio=uv2 d'ici à la prochaine*socio=rien Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te. Accueille avec satisfaction*socio=uv3 le cadre*socio=rien d'action*socio=ec1 proposé par le FMI*socio=ac et la banque_mondiale*socio=ac pour résoudre les problèmes*socio=uv4 auxquels sont confrontés *socio=rien un nombre *socio=nil limité de pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 lourdement endettés qui mènent une politique_économique*socio=ec1 saine*socio=uv2, et dans le cas*socio=rien desquels il *socio=rien est clair *socio=nil que les mécanismes*socio=et existants*socio=rien semblent impuissants*socio=rien à aider à rétablir à *socio=rien moyen terme une*socio=nil situation d'*socio=nil endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te viable*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Il reconnaît que de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et sont nécessaires*socio=rien, cas*socio=rien par cas*socio=rien, conformément aux principes*socio=ec2 *socio=rien généraux sur *socio=nil lesquels les deux conseils_d'_administration*socio=ec1 se sont accordés, y compris des contributions*socio=uv1 des institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te sur*socio=rien leurs propres*socio=rien ressources*socio=ec1, des contributions*socio=uv1 des bailleurs_de_fonds*socio=ec1 bilatéraux*socio=et et des initiatives*socio=rien appropriées *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac,*socio=nil *socio=nil ainsi que des autres créanciers*socio=ac. Il demande*socio=ec1 que le FMI*socio=ac, de concert*socio=uv1 avec la banque_mondiale*socio=ac et en étroite*socio=rien collaboration*socio=uv1 avec tous les créanciers*socio=ac et les bailleurs_de_fonds*socio=ec1 intéressés, formule*socio=rien dès que possible*socio=rien des propositions*socio=rien à cet effet*socio=rien, afin que des décisions*socio=et soient prises*socio=rien d'ici à la prochaine*socio=rien Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te. 7 - Le Comité*socio=ac prend bonne*socio=rien note *socio=rien du rapport relatif au*socio=nil séminaire*socio=ac sur l'*socio=nil avenir*socio=te du *socio=nil DTS. Il demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de réfléchir à de *socio=rien nouvelles propositions sur le*socio=nil rôle*socio=et du *socio=nil DTS et de s'accorder sur*socio=rien une formule*socio=rien qui permettrait à tous les pays_membres*socio=ac de recevoir une part*socio=rien équitable*socio=uv2 dit total*socio=rien des DTS alloués. 8 - Le Comité*socio=ac tiendra sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac *socio=nil le 29 septembre*socio=rien 1996. Comité*socio=ac ministériel*socio=et conjoint*socio=rien des conseils_des_gouverneurs_de_la_banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien le transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 aux pays_en_développement*socio=uv3 (Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3). Cinquante et *socio=rien unième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 9*socio=nil octobre *socio=nil 1995. 1 - La 51e *socio=rien réunion du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3 s'*socio=nil est *socio=nil tenue à Washington*socio=ac le 9 octobre*socio=rien 1995 sous la présidence*socio=rien de M.. Mohamed Kabbaj, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et des investissements*socio=ec1 extérieurs*socio=te du*socio=rien Maroc*socio=ac. Appui*socio=uv1 à la lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1. 2 - Les ministres*socio=ac ont examiné les implications*socio=rien de la Déclaration*socio=et *socio=rien du Sommet social*socio=et des*socio=nil nations_unies*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Ils se sont en particulier*socio=rien attachés à définir*socio=rien les moyens*socio=ec1 à mettre en oeuvre*socio=rien pour renforcer la contribution*socio=uv1 de la banque_mondiale*socio=ac et du*socio=rien FMI*socio=ac à la lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1, par une amélioration*socio=uv1 du*socio=rien dialogue*socio=uv1 avec les gouvernements*socio=ac sur*socio=rien les politiques_publiques*socio=et, en se fondant notamment sur*socio=rien les conclusions*socio=rien d'évaluations*socio=ec2 de la Pauvreté*socio=uv1. Les ministres*socio=ac sont convenus que les institutions*socio=ac multilatérales*socio=et de développement*socio=uv3 devraient accélérer leurs investissements*socio=ec1 dans les secteurs*socio=rien sociaux*socio=et et les programmes*socio=et de réduction*socio=ec2 de la pauvreté*socio=uv1. Le Comité*socio=ac a encouragé la Banque*socio=ac à redoubler d'efforts*socio=uv1 pour promouvoir une croissance*socio=uv3 diversifiée et fortement créatrice*socio=rien d'emplois*socio=ec1 en élargissant l'accès*socio=uv1 des pauvres*socio=uv2 à la terre*socio=ec1, au crédit*socio=ec1 et à l'infrastructure*socio=ec1 de base*socio=rien. 3 - Les ministres*socio=ac sont convenus qu'il fallait s'efforcer d'améliorer la composition*socio=rien et l'efficacité*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et. Le Comité*socio=ac a vivement engagé la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 à collaborer étroitement avec les *socio=ac gouvernements membres *socio=nil pour les aider à améliorer leurs finances*socio=ec1 publiques*socio=et, en prêtant en particulier*socio=rien une attention*socio=rien accrue au financement*socio=ec1 des programmes*socio=et de développement*socio=uv3 économique*socio=ec1 et social*socio=et et à la réduction*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 non productives*socio=uv4 (notamment les dépenses*socio=ec1 militaires*socio=et excessives*socio=uv4) dans le cadre*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 soutenable*socio=uv4. 4 - À cet égard*socio=rien, les ministres*socio=ac sont convenus qu'il devrait y avoir concordance*socio=rien entre l'appui*socio=uv1 des bailleurs_de_fonds*socio=ec1 et les programmes*socio=et nationaux*socio=te de dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et. Le Comité*socio=ac a engagé les *socio=ac gouvernements donateurs *socio=nil à Continuer de renforcer leur aide*socio=uv1 aux pays*socio=ac qui se montrent fermement résolus à investir dans les secteurs*socio=rien sociaux*socio=et et d'autres programmes*socio=et hautement prioritaires*socio=uv4 de lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1. Le Comité*socio=ac les a aussi invités à prendre des mesures*socio=et pour réduire la *socio=rien charge administrative *socio=nil imposée aux bénéficiaires*socio=ac de l'aide*socio=uv1. association_internationale_de_développement*socio=ac (IDA*socio=ac). 5 - Les ministres*socio=ac ont reconnu qu'il importait de soutenir l'application*socio=rien de politiques*socio=et et de programmes*socio=et de développement*socio=uv3 efficaces*socio=uv4 par la fourniture*socio=ec1 de ressources*socio=ec1, en particulier*socio=rien de *socio=ec1 fonds concessionnels,*socio=nil d'*socio=nil un*socio=rien montant suffisant*socio=rien,*socio=nil *socio=nil si l'on veut parvenir à réduire la pauvreté*socio=uv1. Le Comité*socio=ac a reconnu que la diminution*socio=ec2 éventuelle*socio=te des ressources*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac compromettrait très gravement la réduction*socio=ec2 de la pauvreté*socio=uv1 et la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 dans les pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 du*socio=rien monde*socio=te. Les ministres*socio=ac ont reconnu l'importance*socio=rien d'une reconstitution*socio=ec2 significative*socio=uv4 de l'IDA*socio=ac. 6 - Le Comité*socio=ac s'est*socio=rien déclaré très préoccupe par les réductions*socio=ec2 potentielles*socio=uv4 des contributions*socio=uv1 à l'IDA*socio=ac qui compromettraient l'avenir*socio=te de l'Association*socio=ac, et a souligné l'extrême*socio=uv4 importance*socio=rien que les bailleurs_de_ fonds*socio=ec1 arrachent à un*socio=rien partage*socio=uv1 équitable*socio=uv2 des charges*socio=rien. Le Comité*socio=ac a exhorté toits*socio=rien les donateurs*socio=ac à honorer leurs engagements*socio=et s'ils ne l'ont déjà fait*socio=rien et à continuer d'apporter un*socio=rien ferme*socio=ec2 soutien*socio=uv3 à l'IDA*socio=ac, comme ils le font depuis 35 ans*socio=rien. 7 - Les ministres*socio=ac ont jugé important*socio=uv4 de n'épargner aucun effort*socio=uv1 pour satisfaire aux besoins*socio=uv1 essentiels*socio=uv4 de financement*socio=ec1 des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2, tels qu'ils sont reflétés dans les programmes*socio=et de prêt*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac, et pour préserver le caractère*socio=rien multilatéral*socio=et de l'IDA*socio=ac. Dette*socio=ec1 multilatérale*socio=et. 8 - Les ministres*socio=ac ont repris l'examen*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 multilatérale*socio=et qu'ils avaient engagé lors*socio=rien de la *socio=rien réunion précédente.*socio=nil *socio=nil Ils sont convenus que, pour la majorité*socio=rien des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 lourdement endettés, les instruments*socio=et actuels*socio=te devraient suffire à ramener l'encours et le service_de_la_dette*socio=ec1 à des niveaux*socio=rien acceptables*socio=uv2. Cependant, pour *socio=rien un petit groupe_de_pays*socio=ac,*socio=nil ces*socio=nil instruments*socio=et *socio=nil pourraient tic pas *socio=rien être suffisants *socio=nil et il faut donc poursuivre la recherche*socio=ec2 de solutions*socio=rien appropriées. Les ministres*socio=ac ont demandé à la Banque*socio=ac et au Fonds*socio=ec1 de poursuivre leurs *socio=rien travaux sur la*socio=nil question,*socio=nil *socio=nil en procédant notamment à des analyses*socio=ec2 détaillées par pays*socio=ac, et de présenter des propositions*socio=rien au Comité*socio=ac à sa *socio=rien prochaine réunion,*socio=nil après *socio=nil avoir soumis leurs conclusions*socio=rien et recommandations*socio=et aux administrateurs*socio=ac. *socio=ac Secrétaire exécutif.*socio=nil *socio=nil 9 - Le Comité*socio=ac a choisi M.. Alexander Shakow comme *socio=ac Secrétaire exécutif.*socio=nil *socio=rien Prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil 10 - Le Comité*socio=ac se réunira de nouveau*socio=rien à Washington*socio=ac le 23 avril*socio=rien 1996 et examinera notamment le rapport*socio=rien dit groupe_de_travail*socio=ac sur*socio=rien le rôle*socio=et des banques_multilatérales_de_développement*socio=ac. Cinquante-deuxième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 23 avril*socio=rien 1996. 1 - La 52e *socio=rien réunion du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3 s'*socio=nil est *socio=nil tenue à Washington*socio=ac le 23 avril*socio=rien 1996 sous la présidence*socio=rien de M.. Mohamed Kabbaj, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et des investissements*socio=ec1 extérieurs*socio=te du*socio=rien Maroc*socio=ac. association_internationale_de_développement*socio=ac (IDA*socio=ac). 2 - Les ministres*socio=ac se sont félicités que toits*socio=rien les bailleurs_de_fonds*socio=ec1, aient contribué à l'accord*socio=et de financement*socio=ec1 sur*socio=rien trois ans*socio=rien conclu en mars*socio=rien 1996 et ont rendu tout spécialement hommage*socio=rien aux donateurs*socio=ac qui ont participé au Fonds*socio=ec1 d'affectation*socio=ec1 spéciale*socio=rien d'urgence*socio=rien pour l'exercice*socio=rien 97. Les ministres*socio=ac ont noté que les engagements*socio=et de financement*socio=ec1 pris par les bailleurs_de_fonds*socio=ec1, ainsi que les autres ressources*socio=ec1 qui devraient être*socio=rien mises à la disposition*socio=et de l'IDA*socio=ac, permettront à l'Association*socio=ac de prêter jusqu'à 22 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 sur*socio=rien une période*socio=te de trois ans*socio=rien, à compter *socio=rien du mois de*socio=nil juillet *socio=nil 1996. Cet accord*socio=et, qui a été*socio=rien conclu dans des conditions*socio=ec1 difficiles*socio=rien, représente *socio=rien un réel succès*socio=uv1,*socio=nil *socio=nil mais il *socio=rien limite considérablement les*socio=nil *socio=ec1 moyens financiers *socio=nil à la disposition*socio=et de l'IDA*socio=ac pour répondre aux besoins*socio=uv1 des pays*socio=ac qui ont amélioré leur performance*socio=uv3 économique*socio=ec1. Les ministres*socio=ac ont saine*socio=uv2 les pays*socio=ac qui sont devenus de nouveaux*socio=rien *socio=ac membres donateurs *socio=nil de l'Association*socio=ac, et ils ont encouragé les autres à leur emboîter le pas. Ils ont, par ailleurs*socio=rien, exprimé leur gratitude*socio=uv1 aux membres*socio=ac qui ont versé des contributions*socio=uv1 supplémentaires*socio=rien ou plus importantes*socio=uv4 à l'IDA*socio=ac. 3 - Les ministres*socio=ac ont souligné le fait*socio=rien que l'accord*socio=et d'IDA-11 témoigne*socio=rien de l'importance*socio=rien que tous s'accordent*socio=rien à reconnaître à l'action*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac en faveur*socio=rien des pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 qui appliquent de bonnes*socio=rien politiques*socio=et et de bons*socio=rien programmes*socio=et de développement*socio=uv3, dans le cadre*socio=rien de sa mission*socio=et fondamentale*socio=uv4 qui est*socio=rien de réduire la pauvreté*socio=uv1 en soutenant la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 et en assurant la viabilité*socio=uv3 à long_terme*socio=te de l'environnement*socio=et. Les ministres*socio=ac ont vivement engagé l'IDA*socio=ac à se montrer plus efficace*socio=uv4 et à renforcer soit impact*socio=rien dit point*socio=rien de *socio=rien vue du développement*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil 4 - Les ministres*socio=ac ont rappelé qu'il importait de conserver à l'IDA*socio=ac sa capacité*socio=uv3 de transférer des ressources*socio=ec1 aux pays*socio=ac qui affichent de *socio=rien bons résultats économiques*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ils ont souligné l'importance*socio=rien d'un*socio=rien partage*socio=uv1 équitable*socio=uv2 des chargés entre les *socio=ac membres donateurs *socio=nil de l'Association*socio=ac et ont appelé les bailleurs_de_fonds*socio=ec1 à honorer leurs engagements*socio=et en temps*socio=rien voulu pour assurer le succès*socio=uv1 d'IDA-11. 5 - Se déclarant très préoccupés par les difficultés*socio=uv4 rencontrées pour la onzième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac, les ministres*socio=ac sont convenus que les perspectives*socio=te de financement*socio=ec1 de l'Association*socio=ac figurent parmi les *socio=rien grandes questions *socio=nil qui seront soumises dans *socio=rien un an *socio=nil à l'attention*socio=rien du*socio=rien Comité*socio=ac. 6 - Les ministres*socio=ac ont, par ailleurs*socio=rien, plaidé en faveur*socio=rien d'un*socio=rien règlement*socio=et rapide*socio=rien de la *socio=rien question du maintien du financement*socio=ec1 *socio=nil de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FASR*socio=ec1) du*socio=rien FMI*socio=ac, qui *socio=rien est un complément indispensable*socio=uv4 *socio=nil à VIDA, si l'on veut assurer une efficacité*socio=uv3 maximale*socio=rien à l'action*socio=ec1 multilatérale*socio=et. Résoudre les problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés (PPTE*socio=ac). 7 - Les ministres*socio=ac oui bien*socio=rien accueilli le Cadre*socio=rien d'action*socio=ec1 présenté par la direction*socio=et de la Banque*socio=ac et du*socio=rien FMI*socio=ac. Le Comité*socio=ac a pris note dit chemin*socio=rien parcouru depuis sa *socio=rien dernière réunion *socio=nil et s'est*socio=rien félicité de cet effort*socio=uv1 de collaboration*socio=uv1 entre la Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac. 8 - Les ministres*socio=ac ont partagé l'analyse*socio=ec2 des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et de la Banque*socio=ac scion laquelle *socio=rien un certain nombre de*socio=nil PPTE*socio=ac *socio=nil continueraient probablement de connaître un*socio=rien endettement*socio=ec1 - dette*socio=ec1 multilatérale*socio=et comprise - insoutenable*socio=uv4 à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil même s'ils appliquaient des politiques*socio=et énergiques*socio=ec1 et mettaient pleinement à profit*socio=ec1 les mécanismes*socio=et existants*socio=rien d'allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1. 9 - Les ministres*socio=ac sont convenus qu'il fallait accorder à ces pays*socio=ac une aide*socio=uv1 supplémentaire*socio=rien, qui s'inscrive dans le prolongement*socio=rien des mesures*socio=et déjà prises*socio=rien par les créanciers*socio=ac *socio=et publics bilatéraux et*socio=nil commerciaux*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il s'agit de mettre à profit*socio=ec1 les mécanismes*socio=et existants*socio=rien ainsi que de nouveaux*socio=rien dispositifs*socio=et, y compris des contributions*socio=uv1 des IFI prélevées sur*socio=rien leurs propres*socio=rien ressources*socio=ec1, des contributions*socio=uv1 par les donateurs*socio=ac bilatéraux*socio=et et toute action*socio=ec1 *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et d'autres créanciers*socio=ac, jugée opportune*socio=rien. 10 - Les ministres*socio=ac se sont accordés à reconnaître que le principal*socio=rien objectif*socio=uv3 *socio=rien du cadre *socio=nil proposé devait être*socio=rien d'éviter que les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et de ces pays*socio=ac ne soient compromis*socio=uv1 par le fardeau*socio=uv4 persistant*socio=rien d'une dette*socio=ec1 et d'un*socio=rien service*socio=et élevés*socio=uv4. Ils sont convenus que toute action*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien devait être*socio=rien guidée par six grands*socio=rien principes*socio=ec2 : i) s'efforcer, au coup*socio=rien par coup*socio=rien, de ramener l'endettement*socio=ec1 global*socio=te du*socio=rien pays*socio=ac considéré à *socio=rien un niveau *socio=nil tenable, en lui offrant ainsi la possibilité*socio=rien de ne pins avoir à recourir à de nouveaux*socio=rien rééchelonnements*socio=et; ii) envisager d'agir que si le débiteur a donné la preuve*socio=ec2, par les politiques*socio=et qu'il applique, qu'il saura faire *socio=rien bon usage *socio=nil de toute aide*socio=uv1 exceptionnelle*socio=uv4 qui lui sera fournie; iii) mettre en place*socio=rien de nouveaux*socio=rien dispositifs*socio=et qui s'inscrivent, dans la mesure*socio=rien dit possible*socio=rien, dans le prolongement*socio=rien des mécanismes*socio=et existants*socio=rien; iv) veiller à coordonner tout effort*socio=uv1 supplémentaire*socio=rien et à assurer une participation*socio=uv3 large*socio=rien et équitable*socio=uv2 au niveau*socio=rien de tous les créanciers*socio=ac concernés; v) faire en sorte*socio=rien que toute action*socio=ec1 des créanciers*socio=ac multilatéraux*socio=et soit compatible*socio=rien avec la nécessité*socio=uv1 de préserver leur intégrité*socio=uv1 financière*socio=ec1 et leur statut*socio=et de créancier*socio=ac privilégié*socio=rien, et vi) veiller à ce que tout nouveau*socio=rien financement*socio=ec1 extérieur*socio=te en *socio=rien faveur clés pays*socio=ac *socio=nil concernés soit consenti à de conditions*socio=ec1 suffisamment concessionnelles*socio=ec1. 11 - Tout en reconnaissant que nombre*socio=rien d'aspects*socio=rien importants*socio=uv4 de la proposition*socio=rien doivent encore être*socio=rien approfondis et précises*socio=rien, les ministres*socio=ac sont néanmoins convenus qu'elle constituait *socio=rien un bon point de*socio=nil départ *socio=nil pour poursuivre l'étude*socio=ec2 de la question*socio=rien. Ils ont demandé à la Banque*socio=ac et au FMI*socio=ac de s'atteler sans tarder à la préparation*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et d'action*socio=ec1 - en collaboration*socio=uv1 étroite*socio=rien avec les débiteurs*socio=ac, donateurs*socio=ac et créanciers*socio=ac bilatéraux*socio=et, le Club*socio=rien de Paris*socio=ac et les autres institutions*socio=ac multilatérales*socio=et concernés. Les ministres*socio=ac ont insisté pour qu'une décision*socio=et soit arrêtée dès que *socio=rien possible sur ce*socio=nil programme*socio=et *socio=nil et son financement*socio=ec1, en se fixant comme date butoir les prochaines*socio=rien Assemblées*socio=ac annuelles*socio=te du*socio=rien FMI*socio=ac et de la banque_mondiale*socio=ac. *socio=rien Rapport du groupe_de_travail*socio=ac sur les*socio=nil banques_multilatérales_de_développement*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 12 - Le Comité*socio=ac a accueilli avec satisfaction*socio=uv3 le rapport*socio=rien impartial et objectif*socio=uv3 préparé par le Groupe*socio=ac. Les ministres*socio=ac ont *socio=rien été sensibles au*socio=nil fait *socio=nil que, pour la *socio=rien première fois,*socio=nil *socio=nil on dresse *socio=rien un bilan global*socio=te des*socio=nil banques_multilatérales_de_développement*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 13 - Les ministres*socio=ac estiment que ce *socio=rien rapport présente *socio=nil une brillante analyse*socio=ec2 de l'importance*socio=rien du*socio=rien multilatéralisme et du*socio=rien rôle*socio=et des BMD*socio=ac dans un*socio=rien monde*socio=te en pleine*socio=rien mutation*socio=ec2. Le Comité*socio=ac a *socio=rien été sensible *socio=nil à la rigueur*socio=uv3 *socio=rien du jugement *socio=nil porté par les *socio=rien auteurs du rapport sur la*socio=nil performance*socio=uv3 *socio=nil de ces cinq*socio=rien institutions*socio=ac très différentes*socio=rien, en particulier*socio=rien en ce qui concerne l'action*socio=ec1 en faveur*socio=rien de la réduction*socio=ec2 de la pauvreté*socio=uv1 et du*socio=rien développement*socio=uv3 durable*socio=uv4, les investissements*socio=ec1 d'infrastructure*socio=ec1, la promotion*socio=uv3 du*socio=rien secteur_privé*socio=et, le souci*socio=rien d'axer les *socio=rien opérations sur l'*socio=nil obtention de*socio=nil résultats sur le*socio=nil terrain *socio=nil et le renforcement*socio=ec2 de la coopération*socio=uv1 entre les BMD*socio=ac. 14 - Le Comité*socio=ac a généralement souscrit aux conclusions*socio=rien et aux recommandations*socio=et *socio=rien du rapport,*socio=nil *socio=nil en reconnaissant qu'elles ne s'appliquaient pas toutes de la même manière*socio=rien à chaque institution*socio=ac. Conscients*socio=uv2 des avantages*socio=rien que présente*socio=rien la diversité*socio=uv1 des BMD*socio=ac, les ministres*socio=ac ont engagé ces dernières*socio=rien à appliquer sans attendre les recommandations*socio=et qui les concernent en vue*socio=rien de poursuivre le renforcement*socio=ec2 de leurs principes*socio=ec2 et pratiques*socio=et. Les ministres*socio=ac ont invité les présidents des BMD*socio=ac à informer le Comité*socio=ac, dans deux ans*socio=rien, des progrès*socio=uv1 accomplis dans l'exécution*socio=rien des principales*socio=rien recommandations*socio=et du*socio=rien groupe_de_travail*socio=ac. 15 - Le Comité*socio=ac a exprimé sa profonde*socio=rien gratitude*socio=uv1 à M.. Abdlatif Afflarnad pour l'action*socio=ec1 qu'il a menée en tant que Président*socio=ac du*socio=rien groupe_de_travail*socio=ac, ainsi qu'aux membres*socio=ac de ce Groupe*socio=ac et du*socio=rien Secrétariat*socio=ac, pour leur dévouement*socio=uv1 et leurs efforts*socio=uv1 des quinze *socio=rien derniers mois.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a demandé que le rapport*socio=rien soit publié et largement diffuse. *socio=rien Prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil 16 - Le Comité*socio=ac se réunira de nouveau*socio=rien à Washington*socio=ac, le 30 septembre*socio=rien 1996.