*{ Fonds Monétaire international Rapport Annuel 1997 } Rapport*socio=rien annuel*socio=te du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac pour l'exercice*socio=rien clos le 30 avril*socio=rien 1997 Washington*socio=ac. *socio=rien Sur fond de*socio=nil mondialisation*socio=ec2 croissante *socio=nil de l'économie*socio=ec1, le FMI*socio=ac réexamine ses activités*socio=rien de surveillance*socio=et, envisage d'inscrire la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 parmi ses objectifs*socio=uv3, et s'attaque*socio=rien aux difficultés*socio=uv4 des pays*socio=ac très endettés. L'activité*socio=rien du*socio=rien fonds_monétaire_international*socio=ac durant l'exercice*socio=rien 1996 / 97 s'est*socio=rien inscrite*socio=rien dans le contexte*socio=rien d'une reprise de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, qui reflète les progrès*socio=uv1 accomplis par de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, en développement*socio=uv3 ou en transition*socio=ec2 dans un*socio=rien monde*socio=te caractérisé par une intégration*socio=uv1 croissante*socio=rien des marchés*socio=ec1 des biens*socio=ec1, des services*socio=et et des capitaux*socio=ec1. L'interdépendance*socio=uv3 économique*socio=ec1 toujours plus étroite*socio=rien des pays*socio=ac de la planète*socio=te - la mondialisation*socio=ec2 - porte*socio=rien en elle de *socio=rien nouvelles chances *socio=nil et de nouveaux*socio=rien défis*socio=uv2, car elle amplifie les retombées*socio=rien bénéfiques*socio=uv1 des bonnes*socio=rien politiques_économiques*socio=et mais sanctionne aussi plus durement les erreurs*socio=uv4 dans ce domaine*socio=rien. Le FMI*socio=ac a répondu aux problèmes*socio=uv4 soulevés par l'intégration*socio=uv1 de plus en plus poussée de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te en approfondissant la réflexion*socio=rien engagée sur*socio=rien ses activités*socio=rien de surveillance*socio=et - dans des directions*socio=rien telles que la solidité*socio=uv3 des systèmes_bancaires*socio=ec1, la diffusion*socio=rien des données et la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et, entre autres -, en adaptant ses facilités et ses procédures*socio=et financières*socio=ec1 et en s'attachant à la fois*socio=rien à vérifier l'adéquation*socio=uv1 des quotes-parts*socio=et aux besoins*socio=uv1 de ressources*socio=ec1 et à augmenter sa capacité*socio=uv3 d'emprunt*socio=ec1 dans des circonstances*socio=rien exceptionnelles*socio=uv4. Le conseil_d'_administration*socio=ac a pris également de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et pour faire face*socio=rien aux difficultés*socio=uv4 des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, approuvant la poursuite*socio=rien des opérations*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FASR*socio=ec1) et mettant *socio=rien sur pied,*socio=nil en*socio=nil collaboration*socio=uv1 *socio=nil avec la banque_mondiale*socio=ac, une initiative*socio=rien destinée à remédier aux problèmes*socio=uv4 urgents*socio=rien des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés (PPTE*socio=ac). Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac a pris une autre décision*socio=et majeure*socio=rien lorsqu'il a accepté, en avril*socio=rien 1997, le principe*socio=ec2 d'un*socio=rien amendement*socio=et aux Statuts*socio=et visant à inscrire la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 parmi les buts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et à étendre la compétence*socio=uv3 de l'institution*socio=ac à ce domaine*socio=rien. Le Conseil*socio=ac a progressé aussi dans la voie*socio=rien d'un*socio=rien amendement*socio=et des Statuts*socio=et qui assurerait à chaque *socio=ac État membre une*socio=nil part*socio=rien équitable*socio=uv2 des*socio=nil allocations*socio=et *socio=nil cumulées de DTS par l'intermédiaire*socio=rien d'une allocation*socio=et spéciale*socio=rien de DTS à caractère*socio=rien exceptionnel*socio=uv4. Après*socio=rien avoir culminé à des niveaux*socio=rien particulièrement élevés*socio=uv4 au cours*socio=rien des deux *socio=rien derniers exercices,*socio=nil les*socio=nil nouveaux engagements*socio=et financiers*socio=ec1 du FMI*socio=ac *socio=nil ont enregistré une diminution*socio=ec2 qui s'explique en *socio=rien grande partie *socio=nil par le succès*socio=uv1 des réformes*socio=et économiques*socio=ec1 engagées dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac - dont certains avaient fait*socio=rien très largement appel*socio=rien aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac par le passé*socio=rien. Parallèlement, le FMI*socio=ac a continué d'apporter son appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 à divers *socio=ac États membres *socio=nil dans le cadre*socio=rien de vastes*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et approuvés précédemment. La surveillance*socio=et des politiques*socio=et de change*socio=ec1 des *socio=ac États membres,*socio=nil qui*socio=nil est*socio=rien au*socio=nil coeur*socio=rien des*socio=nil responsabilités*socio=uv1 *socio=nil et des *socio=rien activités du FMI*socio=ac,*socio=nil *socio=nil a conservé *socio=rien un rang de*socio=nil *socio=uv4 priorité élevé *socio=nil dans le programme*socio=et de *socio=rien travail du Conseil*socio=ac *socio=nil en 1996 / 97. Les délibérations*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac ont couvert plusieurs aspects*socio=rien de cette mission*socio=et, y compris *socio=rien un certain nombre de*socio=nil questions nouvelles *socio=nil et de dossiers*socio=rien en cours*socio=rien. - En septembre*socio=rien 1996, le Conseil*socio=ac a réexaminé le *socio=rien cadre général *socio=nil de la surveillance*socio=et tel qu'il *socio=rien est défini *socio=nil dans la Déclaration*socio=et de Madrid sur*socio=rien la coopération*socio=uv1 en vue*socio=rien de renforcer l'expansion*socio=ec2 mondiale*socio=te (Rapport*socio=rien annuel*socio=te 1995, page*socio=rien 227). Tout en convenant que la stratégie*socio=et énoncée dans la déclaration*socio=et afin de soutenir et d'étendre la croissance*socio=uv3 *socio=rien reste valable,*socio=nil *socio=nil il a recommandé que le comité_intérimaire*socio=ac prenne en compte*socio=ec1 l'évolution*socio=te des besoins*socio=uv1 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te pour la préparer à relever de nouveaux*socio=rien défis*socio=uv2 et pour renforcer, dans plusieurs domaines*socio=rien, la mise en oeuvre*socio=rien des politiques_économiques*socio=et par les *socio=ac États membres.*socio=nil *socio=nil Le même mois*socio=rien, le comité_intérimaire*socio=ac a incorporé ces conclusions*socio=rien dans la déclaration*socio=et *socio=rien sur un Partenariat*socio=uv3 *socio=nil pour une expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te (encadré 3 *socio=rien du chapitre *socio=nil 4), qui énonce une série de principes*socio=ec2 directeurs*socio=ac. La déclaration*socio=et souligne que les politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 sont complémentaires*socio=rien et se renforcent mutuellement, et qu'il importe en particulier*socio=rien. D'appliquer des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 saines*socio=uv2 de nature*socio=rien à consolider les succès*socio=uv1 obtenus dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1, à resserrer la discipline*socio=uv1 budgétaire*socio=et et à améliorer la transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et la qualité*socio=rien des *socio=et ajustements budgétaires.*socio=nil *socio=nil De favoriser la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 et la stabilité*socio=uv3 des changes*socio=ec1 et d'éviter les désalignements*socio=uv3 monétaires*socio=ec1. De maintenir l'élan*socio=rien donné à la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te et à la convertibilité*socio=ec1 des monnaies*socio=ec1 aux fins*socio=rien des transactions_courantes*socio=te. D'améliorer la composition*socio=rien des *socio=et ajustements budgétaires,*socio=nil *socio=nil en s'appliquant notamment à réduire les dépenses*socio=ec1 improductives*socio=ec2 et à assurer un*socio=rien financement*socio=ec1 suffisant*socio=rien des dépenses*socio=ec1 d'éducation*socio=et et de santé*socio=et. De mener plus énergiquement les réformes*socio=et des marchés_du_travail*socio=ec1 et des biens*socio=ec1. De veiller à la solidité*socio=uv3 des systèmes_bancaires*socio=ec1. De promouvoir, dans toutes ses dimensions*socio=rien, la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et. En mars*socio=rien 1997, le Conseil*socio=ac a procédé*socio=rien à l'examen*socio=ec2 biennal*socio=rien des principes*socio=ec2 et modalités*socio=rien de la surveillance*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont pris note des initiatives*socio=rien engagées depuis la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 mexicaine*socio=ac pour donner plus d'efficacité*socio=uv3 à la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac afin, en particulier*socio=rien, de détecter au plus tôt les crises*socio=uv2 financières*socio=ec1 qui se font jour*socio=rien. Ils se sont félicités notamment de l'attention*socio=rien accrue portée*socio=rien aux *socio=rien questions relatives aux*socio=nil secteurs financiers*socio=ec1 et*socio=nil bancaires*socio=ec1,*socio=nil aux*socio=nil mouvements_de_capitaux*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil à la communication*socio=ec1 d'informations*socio=rien au FMI*socio=ac et à la diffusion*socio=rien de données statistiques*socio=ec2 dans le grand_public*socio=et. Dans *socio=rien un souci de*socio=nil transparence*socio=uv3,*socio=nil le*socio=nil Conseil*socio=ac *socio=nil a décidé en avril*socio=rien 1997 que des notes d'information*socio=rien à la presse*socio=et pourraient être*socio=rien publiées à l'issue*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, à l'initiative*socio=rien des *socio=ac États membres *socio=nil qui souhaitent communiquer les *socio=rien vues du FMI*socio=ac au*socio=nil public*socio=et.*socio=nil *socio=nil Durant l'exercice*socio=rien, le Conseil*socio=ac a examiné à deux reprises la question*socio=rien de la solidité*socio=uv3 des systèmes_bancaires*socio=ec1 des *socio=ac États membres *socio=nil et ses conséquences*socio=rien pour la surveillance*socio=et qu'exerce le FMI*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont insisté en *socio=rien particulier sur les*socio=nil liens *socio=nil entre la restructuration*socio=et du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 et la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1, ainsi que sur*socio=rien les travaux*socio=rien entrepris pour dégager les grands*socio=rien principes*socio=ec2 qui fondent la solidité*socio=uv3 des secteurs*socio=rien bancaires*socio=ec1. Le Conseil*socio=ac est*socio=rien convenu que le FMI*socio=ac devrait accorder plus d'attention*socio=rien à ces deux questions*socio=rien - dans le cadre*socio=rien de sa mission*socio=et de surveillance*socio=et et en coopération*socio=uv1 avec les autres institutions*socio=ac et organisations_internationales*socio=ac -, car il se trouve dans une situation*socio=rien privilégiée*socio=uv pour alerter les *socio=ac États membres *socio=nil des carences de leur système*socio=rien ou de leur réglementation*socio=et bancaire*socio=ec1 et pour favoriser l'adoption*socio=uv3 de principes*socio=ec2 et d'usages*socio=rien bancaires*socio=ec1 appropriés à travers*socio=rien le monde*socio=te. En novembre*socio=rien 1996, le Conseil*socio=ac s'est*socio=rien penché sur*socio=rien la communication*socio=ec1 d'informations*socio=rien au FMI*socio=ac par les *socio=ac États membres,*socio=nil *socio=nil et a observé que la qualité*socio=rien et l'intégrité*socio=uv1 des données ont une incidence*socio=ec2 *socio=rien déterminante sur l'*socio=nil efficacité*socio=uv3 du FMI*socio=ac *socio=nil dans sa mission*socio=et de surveillance*socio=et. Les administrateurs*socio=ac se sont félicités de l'intensification*socio=ec2 des efforts*socio=uv1 déployés pour donner, dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 de l'article*socio=rien IV, une évaluation*socio=ec2 complète et franche*socio=rien des statistiques*socio=ec2 communiquées. Ils ont proposé qu'à l'avenir*socio=te, les rapports*socio=rien de consultation*socio=uv1 recensent les lacunes*socio=uv4 existant*socio=rien à ce niveau*socio=rien, en analysent les raisons*socio=rien et définissent*socio=rien les mesures*socio=et à prendre pour y remédier. Ils ont suggéré aussi que les recommandations*socio=et faites dans le cadre*socio=rien de l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien donnent lieu*socio=rien à un*socio=rien suivi et que les insuffisances*socio=uv3 observées dans leur mise en oeuvre*socio=rien soient signalées dans les rapports*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Les travaux*socio=rien engagés pour mettre en place*socio=rien des normes*socio=et destinées*socio=rien à guider les *socio=ac États membres *socio=nil qui entreprennent de diffuser leurs statistiques*socio=ec2 économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 dans le public*socio=et se sont poursuivis. - En septembre*socio=rien 1996, le FMI*socio=ac a permis*socio=rien au public*socio=et d'accéder, *socio=rien sur un site Internet*socio=ec1,*socio=nil au*socio=nil tableau d'*socio=nil affichage *socio=nil de la Norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données (NSDD) mise en place*socio=rien pour permettre aux *socio=ac États membres *socio=nil qui souhaitent avoir accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 de fournir dans les meilleurs*socio=uv4 délais*socio=rien des statistiques*socio=ec2 complètes. - En mars*socio=rien 1997, le Conseil*socio=ac a adopté les *socio=rien grandes lignes du Système général de*socio=nil diffusion *socio=nil des données (SGDD), qui fournira à l'ensemble*socio=rien des *socio=ac États membres un*socio=rien *socio=nil canevas pour la diffusion*socio=rien des statistiques*socio=ec2, et qui sera moins contraignant*socio=uv2 que la NSDD. - Enfin, une première*socio=rien discussion*socio=et sur*socio=rien la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et a permis*socio=rien au Conseil*socio=ac de dégager, en janvier*socio=rien 1997, *socio=rien un solide consensus*socio=uv1 sur la*socio=nil contribution*socio=uv1 majeure *socio=nil qu'une bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et peut apporter à l'efficience*socio=uv3 et à la croissance*socio=uv3 économiques*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que l'obtention*socio=rien de *socio=rien bons résultats économiques*socio=ec1 *socio=nil dépend de l'emploi*socio=ec1 efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1 publiques*socio=et, de l'instauration*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien climat propice *socio=nil à l'initiative_privée*socio=et et de la mobilisation*socio=uv3 de l'opinion*socio=ac publique*socio=et en faveur*socio=rien des réformes*socio=et. Ils ont rappelé également qu'une politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 plus transparente*socio=uv4 peut aider à raffermir la confiance*socio=uv1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et dans l'action*socio=ec1 des autorités*socio=et, et que les apports*socio=rien de financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te - officiels*socio=et et privés*socio=et - sont étroitement liés à la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et. Dans *socio=rien un contexte *socio=nil caractérisé par le développement*socio=uv3 accéléré et l'intégration*socio=uv1 croissante*socio=rien des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1, le Conseil*socio=ac a examiné par deux fois*socio=rien, au début*socio=rien de 1997, la question*socio=rien de la convertibilité*socio=ec1 des monnaies*socio=ec1 aux fins*socio=rien des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Le Conseil*socio=ac a souligné qu'il faudrait amender les Statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac si l'on veut le charger d'une mission*socio=et de surveillance*socio=et effective*socio=rien des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, si importants*socio=uv4 aujourd'hui pour la stabilité*socio=uv3 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1997, le comité_intérimaire*socio=ac a réaffirmé le rôle*socio=et *socio=rien central du FMI*socio=ac *socio=nil dans les efforts*socio=uv1 entrepris pour promouvoir une libéralisation*socio=et ordonnée des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, et il a invité le Conseil*socio=ac à poursuivre ses travaux*socio=rien dans ce domaine*socio=rien et à formuler des recommandations*socio=et *socio=rien précises sur les*socio=nil grandes lignes d'*socio=nil un amendement*socio=et des*socio=nil Statuts*socio=et du FMI*socio=ac *socio=nil d'ici à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac en*socio=nil septembre *socio=nil 1997. Le Conseil*socio=ac a accordé beaucoup d'attention*socio=rien, en 1996 / 97, à deux importants*socio=uv4 mécanismes*socio=et d'aide*socio=uv1 aux *socio=ac États membres *socio=nil les plus démunis*socio=uv2 : la poursuite*socio=rien des opérations*socio=rien de la FASR*socio=ec1, pièce*socio=rien maîtresse de l'appui*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac aux pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2, et l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac. - Le Conseil*socio=ac s'est*socio=rien prononcé en faveur*socio=rien de la poursuite*socio=rien des opérations*socio=rien de la FASR*socio=ec1 au-delà de l'an*socio=rien 2000, date à laquelle les ressources*socio=ec1 de la FASR*socio=ec1 actuelle*socio=te devraient avoir été*socio=rien totalement engagées. Durant une période*socio=te intérimaire*socio=rien, qui s'étendra de 2001 à 2004, les engagements*socio=et devraient atteindre un*socio=rien montant*socio=ec1 de 1 milliard*socio=rien de DTS par an*socio=rien, qu'il faudra financer en mobilisant de nouvelles*socio=rien ressources*socio=ec1. Cette période*socio=te intérimaire*socio=rien sera suivie, en 2005 ou peut-être plus tôt, par la mise en place*socio=rien d'une FASR*socio=ec1 autofinancée, dont les engagements*socio=et seront de l'ordre*socio=rien de 0,8 milliard*socio=rien de DTS par an*socio=rien. - Les éléments*socio=rien essentiels*socio=uv4 de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac ont été*socio=rien présentés par le directeur_général*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac et le Président*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac dans *socio=rien un rapport *socio=nil approuvé par le comité_intérimaire*socio=ac en septembre*socio=rien 1996. L'objectif*socio=uv3 de cette *socio=rien initiative est *socio=nil de permettre aux pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés qui auront établi des antécédents*socio=ec1 satisfaisants*socio=uv4 en matière*socio=rien d'ajustement*socio=et de parvenir à une situation*socio=rien d'endettement*socio=ec1 viable*socio=uv4 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Les*socio=nil actions*socio=ec1 suivantes ont*socio=nil été prises *socio=nil depuis dans le cadre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien. Le Conseil*socio=ac a créé un*socio=rien *socio=ec1 Fonds fiduciaire *socio=nil FASR-PPTE en février*socio=rien 1997 afin de financer, par des dons*socio=ec1 ou des prêts*socio=ec1 fortement concessionnels*socio=ec1, les *socio=rien opérations spéciales *socio=nil de la FASR*socio=ec1 en faveur*socio=rien des pays*socio=ac qui recevront une aide*socio=uv1 dans le cadre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac, et pour bonifier le taux_d'_intérêt*socio=ec1 des opérations*socio=rien de la FASR*socio=ec1 intérimaire*socio=rien. En avril*socio=rien 1997, le Conseil*socio=ac a déclaré pour la *socio=rien première fois qu'*socio=nil un *socio=ac État membre *socio=nil - l'Ouganda*socio=ac - était admis à bénéficier d'une aide*socio=uv1 dans le cadre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac. Toujours en avril*socio=rien 1997, il a *socio=rien procédé un examen*socio=ec2 préliminaire du cas *socio=nil de trois autres pays*socio=ac - la Bolivie*socio=ac, le burkina_faso*socio=ac et la côte_d'_ivoire*socio=ac - dans le cadre*socio=rien de cette même initiative*socio=rien. Les actions*socio=ec1 engagées par le Conseil*socio=ac pour donner corps*socio=rien à la participation*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac à l'Initiative*socio=rien conjointe*socio=rien FMI*socio=ac / banque_mondiale*socio=ac en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac ont été*socio=rien accueillies avec satisfaction*socio=uv3 par le comité_intérimaire*socio=ac lors*socio=rien de la réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1997. Le Comité*socio=ac a exhorté les *socio=ac États membres *socio=nil à s'efforcer de mobiliser les ressources*socio=ec1 nécessaires*socio=rien pour compléter le financement*socio=ec1 de la participation*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac à l'Initiative*socio=rien et assurer la poursuite*socio=rien des opérations*socio=rien de la FASR*socio=ec1. Le Conseil*socio=ac a abordé *socio=rien un certain nombre de*socio=nil questions d'*socio=nil équité*socio=uv1 *socio=nil soulevées par le système*socio=rien des DTS en vigueur*socio=uv3 à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te. Celles-ci découlent *socio=rien du fait *socio=nil que certains des *socio=ac États membres *socio=nil récemment entrés au FMI*socio=ac n'ont jamais reçu d'allocations*socio=et de DTS, que d'autres pays*socio=ac n'ont pas participé à toutes les allocations*socio=et et que les quotes-parts*socio=et relatives*socio=rien de ceux qui ont participé à toutes ces allocations*socio=et ont évolué au point*socio=rien de faire apparaître des différences*socio=uv1 très sensibles*socio=rien entre les ratios*socio=ec1 allocations*socio=et cumulées de DTS quotes-parts*socio=et des *socio=ac États membres.*socio=nil La*socio=nil proposition*socio=rien *socio=nil avancée par le Conseil*socio=ac - corriger cette situation*socio=rien par une allocation*socio=et spéciale*socio=rien de DTS à caractère*socio=rien exceptionnel*socio=uv4, moyennant un*socio=rien amendement*socio=et des Statuts*socio=et - a été*socio=rien approuvée par le comité_intérimaire*socio=ac en septembre*socio=rien 1996, et le Conseil*socio=ac a accompli depuis des progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien dans la voie*socio=rien de l'amendement*socio=et proposé. En avril*socio=rien 1997, le comité_intérimaire*socio=ac a demandé au Conseil*socio=ac d'achever ses travaux*socio=rien dès que possible*socio=rien et de lui faire rapport*socio=rien en septembre*socio=rien 1997. Durant l'exercice*socio=rien 1996 / 97, le FMI*socio=ac a approuvé 28 nouveaux*socio=rien accords*socio=et de confirmation*socio=et, accords*socio=et élargis et accords*socio=et FASR*socio=ec1 représentant*socio=rien au total*socio=rien 5,3 milliards*socio=rien de DTS (soit plus de 7,1 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) de nouveaux*socio=rien engagements*socio=et. Ce chiffre témoigne*socio=rien d'une modération*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac par rapport*socio=rien aux 19,7 milliards*socio=rien de DTS (presque 27 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) d'engagements*socio=et enregistrés en 1995 / 96 et aux 16,6 milliards*socio=rien de DTS (environ 23 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) de 1994 / 95. Cependant, *socio=rien un grand nombre d'*socio=nil accords*socio=et *socio=nil approuvés par le FMI*socio=ac au cours*socio=rien des *socio=rien années précédentes *socio=nil étaient encore en vigueur*socio=uv3 en 1996 / 97, en particulier*socio=rien l'accord*socio=et élargi approuvé en faveur*socio=rien de la Russie*socio=ac en mars*socio=rien 1996 pour une durée*socio=te de trois ans*socio=rien et un*socio=rien montant*socio=ec1 de 6,9 milliards*socio=rien de DTS, qui en fait*socio=rien l'accord*socio=et élargi le plus important*socio=uv4 jamais consenti par le FMI*socio=ac. Tout au long*socio=rien de l'exercice*socio=rien, le Conseil*socio=ac a procédé*socio=rien chaque mois*socio=rien à un*socio=rien examen*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 russe*socio=ac dans le cadre*socio=rien de cet accord*socio=et. Au total*socio=rien, 60 programmes*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac étaient en vigueur*socio=uv3 dans les *socio=ac États membres *socio=nil (14 accords*socio=et de confirmation*socio=et, 11 accords*socio=et élargis et 35 accords*socio=et FASR*socio=ec1) au 30 avril*socio=rien 1997, auxquels il convient d'ajouter le tirage*socio=ec1 de 9 millions*socio=rien de DTS effectué par le Rwanda en avril*socio=rien 1997 dans le cadre*socio=rien de l'aide*socio=uv1 d'urgence*socio=rien du*socio=rien FMI*socio=ac aux pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1. L'encours global*socio=te des crédits*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac en fin*socio=rien d'exercice*socio=rien s'élevait à 40,5 milliards*socio=rien de DTS (55,3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1), en *socio=rien léger recul par*socio=nil rapport *socio=nil aux 42,0 milliards*socio=rien de DTS enregistrés *socio=rien un an *socio=nil plus tôt. Les tirages*socio=ec1 des *socio=ac États membres sur*socio=rien le*socio=nil FMI *socio=nil durant l'exercice*socio=rien ont représenté *socio=rien un total *socio=nil de 5,6 milliards*socio=rien de DTS, qui comprend notamment les achats*socio=ec1 de 2,1 milliards*socio=rien de DTS effectués par la Russie*socio=ac dans le cadre*socio=rien de son accord élargi, et divers tirages*socio=ec1 importants*socio=uv4 réalisés par l'Algérie*socio=ac (512 millions*socio=rien de DTS), l'Argentine*socio=ac (321 millions*socio=rien de DTS), l'Ukraine*socio=ac (598 millions*socio=rien de DTS) et le Venezuela*socio=ac (350 millions*socio=rien de DTS). Les remboursements*socio=ec1, qui ont atteint 7,2 milliards*socio=rien de DTS, comprennent notamment les rachats*socio=ec1 anticipés volontaires*socio=uv4 du*socio=rien Mexique*socio=ac (2,6 milliards*socio=rien de DTS) et de la Hongrie*socio=ac (140 millions*socio=rien de DTS). Le ratio*socio=ec1 de liquidité*socio=ec1 - c'est-à-dire le ratio*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 utilisables*socio=uv4 du*socio=rien FMI*socio=ac non engagées à ses exigibilités à court_terme*socio=te - a augmenté pour atteindre 121 % à la *socio=rien fin avril *socio=nil 1997, contre 90 % *socio=rien un an *socio=nil plus tôt. Cette hausse*socio=rien s'explique par une modération*socio=ec2 du*socio=rien recours*socio=ec1 aux financements*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac et par le plus large*socio=rien assortiment de monnaies*socio=ec1 utilisé par le FMI*socio=ac pour financer les achats*socio=ec1 des *socio=ac États membres.*socio=nil *socio=nil Si l'encours des crédits*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac a légèrement diminué en cours*socio=rien d'exercice*socio=rien, il n'en demeure pas moins important*socio=uv4 par rapport*socio=rien aux tendances*socio=ec2 passées*socio=te. Aussi le Conseil*socio=ac a-t-il poursuivi les actions*socio=ec1 engagées en vue*socio=rien de renforcer les ressources*socio=ec1 de l'institution*socio=ac. Les *socio=rien travaux du Conseil*socio=ac *socio=nil dans le cadre*socio=rien de la *socio=rien Onzième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et *socio=nil se sont concentrés sur*socio=rien l'ampleur*socio=rien et la répartition*socio=uv3 souhaitables*socio=rien d'une augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et, ainsi que sur*socio=rien l'ampleur*socio=rien des augmentations*socio=ec2 ad_hoc*socio=rien qui s'appliqueraient aux pays*socio=ac dont les quotes-parts*socio=et s'écartent le plus nettement de leur *socio=rien poids relatif *socio=nil dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. En janvier*socio=rien 1997, le Conseil*socio=ac a adopté une décision*socio=et sur*socio=rien les Nouveaux*socio=rien accords*socio=et d'emprunt*socio=ec1, en vertu*socio=rien desquels que le FMI*socio=ac pourra emprunter jusqu'à 34 milliards*socio=rien de DTS au cas*socio=rien où des ressources*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien seraient nécessaires*socio=rien pour prévenir ou pallier une détérioration*socio=uv4 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te ou pour faire face*socio=rien à une situation*socio=rien exceptionnelle*socio=uv4 présentant un*socio=rien risque*socio=uv3 pour la stabilité*socio=uv3 de ce système*socio=rien. Les Nouveaux*socio=rien accords*socio=et d'emprunt*socio=ec1 entreront en vigueur*socio=uv3 dès qu'un*socio=rien nombre*socio=rien déterminé de participants*socio=ac potentiels*socio=uv4 auront notifié leur adhésion*socio=uv1 à cette décision*socio=et. Ces accords*socio=et ne remplaceront pas les Accords*socio=et généraux*socio=rien d'emprunt*socio=ec1 existants*socio=rien, mais serviront de mécanisme*socio=et de premier*socio=rien et de *socio=rien principal recours en*socio=nil cas de*socio=nil besoin*socio=uv1.*socio=nil Un programme*socio=et *socio=nil de tournées d'étude*socio=ec2 a été*socio=rien lancé par des membres*socio=ac du*socio=rien Conseil*socio=ac, à *socio=rien titre expérimental,*socio=nil *socio=nil en 1996 / 97; son *socio=rien but est *socio=nil d'aider les administrateurs*socio=ac à mieux comprendre les problèmes*socio=uv4 et les politiques_économiques*socio=et des *socio=ac États membres.*socio=nil Deux*socio=nil groupes distincts*socio=rien d'*socio=nil administrateurs *socio=nil se sont ainsi rendus dans trois pays*socio=ac du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et dans trois économies_en_transition*socio=ec1 d'europe_de_l'_est*socio=ac et de l'ex-union_soviétique*socio=ac. Les défis*socio=uv2 lancés par la mondialisation*socio=ec2 et le vaste*socio=rien mouvement*socio=ec2 de transition*socio=ec2 vers l'économie_de_marché*socio=ec1 ont continué d'alimenter une demande*socio=ec1 d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et de formation*socio=et soutenue de la part*socio=rien des *socio=ac États membres.*socio=nil L'*socio=nil assistance*socio=uv1 du*socio=rien FMI s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil concentrée principalement sur*socio=rien les aspects*socio=rien monétaires*socio=ec1 et budgétaires*socio=et de la gestion*socio=ec2 macro-économique*socio=ec1, mais les *socio=rien domaines connexes des*socio=nil statistiques*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil de la législation*socio=et financière*socio=ec1, de l'organisation*socio=ec1 et des opérations*socio=rien financières*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac et des technologies*socio=ec1 de l'information*socio=rien n'ont pas été*socio=rien oubliés. Au total*socio=rien, l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien fournie par les membres*socio=ac des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et les conseillers*socio=ac recrutés pour les missions de courte*socio=rien ou de longue*socio=rien durée*socio=te a été*socio=rien de 277 années*socio=rien - personnes*socio=ac en 1996 / 97, soit à peu près 14 % du*socio=rien budget*socio=ec1 administratif*socio=et de l'institution*socio=ac. En dépit*socio=rien de l'intensification*socio=ec2 très nette*socio=rien de l'activité*socio=rien du*socio=rien FMI*socio=ac, la *socio=et stratégie budgétaire à*socio=nil *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil qui a été*socio=rien approuvée par le Conseil*socio=ac en janvier*socio=rien 1997, reflète l'engagement*socio=uv1 de maintenir les effectifs*socio=rien autorisés à *socio=rien un niveau égal *socio=nil ou légèrement inférieur*socio=rien à ce qu'il est*socio=rien à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, et d'assurer une stabilité*socio=uv3 relative*socio=rien des dépenses*socio=ec1 administratives*socio=et en termes*socio=rien réels*socio=ec2. Conformément à ces orientations*socio=et, les ressources*socio=ec1 ont été*socio=rien redéployées pour renforcer la surveillance*socio=et et les activités*socio=rien liées à l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Parallèlement, des mesures*socio=et ont *socio=rien été prises *socio=nil pour élargir le champ*socio=rien des fonctions*socio=rien d'évaluation*socio=ec2 en créant, en début*socio=rien d'exercice*socio=rien, un*socio=rien Bureau*socio=ac de la vérification*socio=rien et de l'inspection internes*socio=te et en chargeant un*socio=rien groupe*socio=ac d'administrateurs*socio=ac de coordonner l'évaluation*socio=ec2 externe*socio=ec1. Le processus*socio=te d'examen*socio=ec2 et d'évaluation*socio=ec2 internes*socio=te en place*socio=rien depuis de *socio=rien longues années a*socio=nil été *socio=nil complété par une évaluation*socio=ec2 de l'assistance*socio=uv1 *socio=rien technique du Département*socio=ac *socio=nil de la monnaie*socio=ec1 et des changes*socio=ec1, qui a été*socio=rien confiée à des experts*socio=ac extérieurs*socio=te au début*socio=rien de 1996 et examinée par le Conseil*socio=ac en mai*socio=rien de la même année*socio=rien. Une évaluation*socio=ec2 externe*socio=ec1 de *socio=rien certaines questions relatives *socio=nil à la FASR*socio=ec1 est*socio=rien également en cours*socio=rien; elle est*socio=rien coordonnée au *socio=rien nom du Conseil*socio=ac par*socio=nil un groupe*socio=ac d'*socio=nil administrateurs*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et ses conclusions*socio=rien sont attendues pour la fin*socio=rien de 1997. Soucieux*socio=rien de resserrer ses liens*socio=rien avec les *socio=ac États membres asiatiques,*socio=nil le*socio=nil FMI *socio=nil a annoncé en mars*socio=rien 1997 l'ouverture*socio=uv3 à Tokyo*socio=ac d'un*socio=rien Bureau*socio=ac régional*socio=te pour l'Asie*socio=ac et le Pacifique*socio=te, qui sera opérationnel*socio=rien dès l'automne*socio=rien 1997. Pour donner plus d'efficacité*socio=uv3 encore à ses relations*socio=rien avec les *socio=ac États membres asiatiques,*socio=nil le*socio=nil FMI *socio=nil a aussi créé un*socio=rien *socio=ac Département Asie et*socio=nil Pacifique*socio=te unique*socio=rien en*socio=nil janvier*socio=rien *socio=nil 1997 en fusionnant le *socio=ac Département Asie centrale*socio=rien *socio=nil et le *socio=ac Département Asie du*socio=rien Sud-est*socio=te et*socio=nil Pacifique*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil nombre*socio=rien d'*socio=nil États membres du*socio=rien FMI est*socio=rien *socio=nil resté le même - 181 - en 1996 / 97. La République*socio=ac des Palaos a posé sa candidature*socio=rien à la *socio=rien fin du mois de*socio=nil décembre *socio=nil 1996. La République*socio=ac fédérative*socio=et de Yougoslavie*socio=ac (Serbie*socio=ac / Monténégro*socio=ac) n'a pas encore accompli les formalités*socio=et requises*socio=uv4 pour sa succession*socio=rien en qualité*socio=rien d'État*socio=ac membre*socio=ac et, en décembre*socio=rien 1996, le Conseil*socio=ac a décidé de prolonger la période*socio=te dont elle dispose pour prendre ces mesures*socio=et. L'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Principales*socio=rien évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. L'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te a enregistré une croissance*socio=uv3 de l'ordre*socio=rien de 4 %, pour la *socio=rien troisième année consécutive,*socio=nil *socio=nil en 1996 (graphique*socio=rien 1). L'activité*socio=rien s'est*socio=rien redressée dans de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, tandis que les pays_en_développement*socio=uv3 de l'hémisphère_occidental*socio=te qui avaient été*socio=rien touchés par la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 mexicaine*socio=ac en 1995 ont renoué avec l'expansion*socio=ec2. La croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 s'est*socio=rien aussi accélérée au Moyen-orient*socio=ac et, de manière*socio=rien plus marquée, en Afrique*socio=ac. Dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2, la production*socio=ec1 s'est*socio=rien globalement stabilisée après*socio=rien six années*socio=rien de forte*socio=rien contraction*socio=ec2. Enfin, une modération*socio=ec2 opportune*socio=rien de la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien notée dans plusieurs des nouvelles*socio=rien *socio=ec1 économies industrielles *socio=nil et des économies*socio=ec1 en développement*socio=uv3 d'Asie*socio=ac. On n'a guère observé, en 1996 et au début*socio=rien de 1997, les signes de tensions*socio=ec2 qui sont d'ordinaire*socio=rien le présage d'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 conjoncturel*socio=te (tableau*socio=rien 1). L'inflation*socio=ec1 est*socio=rien demeurée faible*socio=rien dans les économies*socio=ec1 avancées (pour la classification*socio=ec2 des économies*socio=ec1 avancées, voir encadré 1) et a confirmé son recul*socio=rien dans les pays_en_développement*socio=uv3 et en transition*socio=ec2. Sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te sont restés orientés à la baisse*socio=ec2 dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, preuve*socio=ec2 d'un*socio=rien regain*socio=ec2 de confiance*socio=uv1 dans le maintien*socio=rien d'une inflation*socio=ec1 mondiale*socio=te modérée. La baisse*socio=ec2 des taux*socio=ec1 a été*socio=rien particulièrement *socio=rien forte sur les*socio=nil *socio=ec1 marchés obligataires européens*socio=ac à*socio=nil rendement élevé*socio=uv4,*socio=nil les*socio=nil investisseurs*socio=ac *socio=nil ayant pris note des progrès*socio=uv1 de l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et et du*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac. En 1996, les taux_de_change*socio=ec1 entre les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 sont restés à peu près conformes*socio=uv4 aux données économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 et aux objectifs*socio=uv3 gouvernementaux*socio=ac. Au début*socio=rien de 1997, l'appréciation*socio=uv3 *socio=rien continue du dollar*socio=ec1 *socio=nil - vis-à-vis du*socio=rien yen*socio=ec1, en particulier*socio=rien - a suscité quelques craintes*socio=uv1 qui se sont apaisées lorsque la monnaie*socio=ec1 japonaise*socio=ac s'est*socio=rien raffermie. Les flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1 vers les pays*socio=ac à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien se sont poursuivis à un*socio=rien rythme*socio=ec2 soutenu. L'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te a nettement ralenti en 1996 après*socio=rien la progression*socio=ec2 exceptionnelle*socio=uv4 des deux *socio=rien années précédentes.*socio=nil Bien *socio=nil que la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 mondiale*socio=te se soit accélérée, la faible*socio=rien demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 dans quelques économies*socio=ec1 avancées - due parfois aux efforts*socio=uv1 engagés pour réduire des stocks*socio=ec1 excessifs*socio=uv4 - et la modération*socio=ec2 de l'activité*socio=rien dans certains *socio=ac pays asiatiques *socio=nil ont contribué au ralentissement*socio=ec2 disproportionné des échanges*socio=ec1. L'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te n'en est*socio=rien pas moins restée proche, en 1996, de sa moyenne*socio=rien à long_terme*socio=te. Malgré l'évolution*socio=te favorable*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te en 1996 et au début*socio=rien de 1997, les sujets*socio=rien de préoccupation*socio=uv4 subsistent. Ainsi, de nombreux*socio=rien pays*socio=ac ont continué de souffrir de déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et importants*socio=uv4 et de rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2. Dans une *socio=rien grande partie *socio=nil de l' union_européenne*socio=et (UE*socio=ac), le chômage*socio=ec1 a enregistré des niveaux*socio=rien records*socio=ec2 pour l'après-guerre*socio=te, qui s'expliquent par l'atonie*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 et les obstacles*socio=uv3 à la flexibilité*socio=uv3 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1. Aux États-unis*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac, où l'expansion*socio=ec2 a atteint un*socio=rien stade*socio=te assez avancé, les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 se sont inquiétées du*socio=rien risque*socio=uv3 de recrudescence*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 directeurs*socio=ac ont été*socio=rien relevés (en octobre*socio=rien 1996 au Royaume-uni*socio=ac et en mars*socio=rien 1997 aux États-unis*socio=ac). L'excellente*socio=uv4 tenue des cours*socio=rien des actions*socio=ec1 sur*socio=rien de nombreuses*socio=rien places boursières*socio=ec a accru le risque*socio=uv3 d'une correction*socio=ec2 du*socio=rien marché*socio=ec1. La viabilité*socio=uv3 du*socio=rien déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien de quelques pays*socio=ac à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien apparaît aussi problématique. Dans *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil économies*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil enfin, la fragilité*socio=uv1 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 continue*socio=rien de susciter des inquiétudes*socio=rien. activité_économique*socio=ec1 et emploi*socio=ec1. La croissance*socio=uv3 a atteint 2 1/2 % en 1996 dans les économies*socio=ec1 avancées, soit un*socio=rien taux*socio=ec1 à peu près identique*socio=rien à celui de 1995, mais son évolution*socio=te a été*socio=rien assez inégale*socio=uv2. En glissement*socio=rien annuel*socio=te, elle s'est*socio=rien raffermie aux États-unis*socio=ac, au Japon*socio=ac et dans *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'autres pays_industrialisés*socio=ac (graphique*socio=rien 2), mais elle a ralenti dans une *socio=rien grande partie *socio=nil de l'Europe*socio=ac continentale*socio=te. Elle a retrouvé un*socio=rien rythme*socio=ec2 plus viable*socio=uv4, d'autre part*socio=rien, dans les nouvelles*socio=rien *socio=ec1 économies industrielles d'*socio=nil Asie*socio=ac.*socio=nil La*socio=nil plupart*socio=rien des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil parvenus à un*socio=rien stade*socio=te relativement avancé du*socio=rien *socio=te cycle conjoncturel *socio=nil ont continué d'enregistrer une croissance*socio=uv3 robuste*socio=rien. Aux États-unis*socio=ac, les hésitations*socio=rien de 1995 ont *socio=rien fait place *socio=nil à une expansion*socio=ec2 plus vigoureuse*socio=rien en 1996, et la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien établie à 2 1/2 %. Cette évolution*socio=te s'explique en partie*socio=rien par la détente*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et le regain*socio=ec2 de confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac, face*socio=rien au dynamisme*socio=uv3 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 et à l'absence*socio=rien de déséquilibres*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1 graves*socio=uv4. Le déficit*socio=ec1 du*socio=rien budget*socio=ec1 fédéral*socio=et a diminué à nouveau*socio=rien en 1996 - en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1 et en *socio=rien pourcentage du PIB*socio=ec1 *socio=nil - et l'économie*socio=ec1 est*socio=rien restée proche du*socio=rien plein_emploi*socio=uv3 de ses capacités*socio=uv3. Le chômage*socio=ec1, qui s'était stabilisé à un*socio=rien peu plus de 5 1/2 % depuis fin*socio=rien 1994, est*socio=rien tombé à 5 1/4 % au milieu*socio=rien de 1996 pour rester proche de ce niveau*socio=rien avant de descendre légèrement en dessous de 5 % en avril*socio=rien 1997. Bien*socio=rien que le chômage*socio=ec1 soit inférieur*socio=rien à la plupart*socio=rien des estimations*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 à partir du- quel l'inflation*socio=ec1 a eu tendance*socio=ec2 à s'accélérer dans le passé*socio=rien, on a noté peu de signes de *socio=ec2 tensions inflationnistes.*socio=nil La*socio=nil croissance*socio=uv3 s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil redressée au Royaume-uni*socio=ac pour atteindre, en 1996, des taux*socio=ec1 *socio=rien proches du potentiel*socio=uv4 ou*socio=nil supérieurs *socio=nil à celui-ci grâce*socio=rien à la reprise de la consommation_privée*socio=et. En avril*socio=rien 1997, le chômage*socio=ec1 était tombé juste*socio=rien en dessous de 6 %, soit un*socio=rien des taux*socio=ec1 les plus bas*socio=rien d'Europe*socio=ac. L'Australie*socio=ac a enregistré une combinaison*socio=rien de faible*socio=rien inflation*socio=ec1 et de croissance*socio=uv3 solide*socio=rien (environ 4 %) en 1996; mais, compte*socio=ec1 tenu du*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien au cours*socio=rien de l'année*socio=rien, le risque*socio=uv3 de surchauffe était limité. L'expansion*socio=ec2 a ralenti en Nouvelle-zélande*socio=ac pour s'établir à environ 2 1/2 %, atténuant là aussi le risque*socio=uv3 de surchauffe. Le Japon*socio=ac n'a véritablement*socio=rien retrouvé la croissance*socio=uv3 qu'à la fin*socio=rien de 1995. Celle-ci a conservé un*socio=rien rythme*socio=ec2 modéré en 1996, tout en se diversifiant. Fin*socio=rien 1996 et début*socio=rien 1997, bien*socio=rien que l'activité*socio=rien ait semblé soutenue, l'impact*socio=rien que le retrait annoncé des mesures*socio=et de relance*socio=uv3 budgétaire*socio=et pourrait avoir sur*socio=rien la demande*socio=ec1 a suscité des craintes*socio=uv1 qui ont miné la confiance*socio=uv1 et affecté le *socio=ec1 marché boursier.*socio=nil *socio=nil Cependant, le *socio=rien faible niveau des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 intérieurs*socio=te *socio=nil et la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien yen*socio=ec1 depuis le milieu*socio=rien de 1995 ont stimulé en permanence*socio=rien l'activité*socio=rien, et les autorités*socio=et ont annoncé des mesures*socio=et de déréglementation*socio=et visant à améliorer les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Au*socio=nil Canada*socio=ac,*socio=nil l'*socio=nil activité *socio=nil a repris au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1996 après*socio=rien 18 mois*socio=rien de résultats*socio=rien médiocres*socio=uv2, mais la croissance*socio=uv3 n'a été*socio=rien que de 1 1/2 % sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien. Le redémarrage*socio=ec2 des constructions de logements*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1 dans les biens*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1 professionnel*socio=ec1 a alimenté cette reprise. L'assouplissement*socio=uv3 des *socio=ec1 conditions monétaires,*socio=nil conjugué*socio=rien au*socio=nil retour*socio=rien *socio=nil de la confiance*socio=uv1 et à la poursuite*socio=rien des progrès*socio=uv1 dans la résorption*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et, a favorisé*socio=rien la baisse*socio=ec2 des taux*socio=ec1 longs*socio=rien. Toutefois, le chômage*socio=ec1 s'est*socio=rien maintenu autour de 9 1/2 à 10 %. La croissance*socio=uv3 a faibli en Europe*socio=ac continentale*socio=te en 1996. Le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien de l'Allemagne*socio=ac n'a augmenté que de 1 1/2 % environ sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien, malgré une reprise de l'activité*socio=rien aux deuxième*socio=rien et troisième*socio=rien trimestres*socio=te. En effet*socio=rien, si le secteur*socio=rien des exportations*socio=ec1 a été*socio=rien dynamique*socio=uv4, la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te a été*socio=rien médiocre*socio=uv2, car la confiance*socio=uv1 des ménages*socio=ac et des entreprises*socio=ac est*socio=rien restée fragile*socio=rien. Le chômage*socio=ec1 (corrigé des *socio=rien variations saisonnières)*socio=nil *socio=nil a atteint *socio=rien un nouveau sommet *socio=nil pour l'après-guerre*socio=te, à 11 1/4 %, au début*socio=rien de 1997. La conjoncture*socio=ec2 économique*socio=ec1 est*socio=rien aussi restée maussade en France*socio=ac, où le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien a augmenté de 1 1/4 % environ en 1996. L'investissement*socio=ec1 a stagné et le déstockage a continué de freiner la croissance*socio=uv3, mais les dépenses*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 et les exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien ont augmenté. Le chômage*socio=ec1 a atteint *socio=rien un nouveau record*socio=ec2 *socio=nil de 12 3/4 % au début*socio=rien de 1997. L'Italie*socio=ac a enregistré pour sa *socio=rien part un ralentissement*socio=ec2 très*socio=nil sensible *socio=nil de l'activité*socio=rien en 1996, qui s'explique en partie*socio=rien par l'appréciation*socio=uv3 de la lire depuis le début*socio=rien de 1995 et la léthargie*socio=uv3 de ses principaux*socio=rien marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 européens*socio=ac; son taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 est*socio=rien resté relativement stable*socio=uv4 autour de 12 %. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil économies*socio=ec1 européennes*socio=ac ont*socio=nil fait preuve*socio=ec2 d'*socio=nil un plus*socio=nil grand dynamisme*socio=uv3 *socio=nil en 1996. En Suède*socio=ac, les perspectives*socio=te de baisse*socio=ec2 sensible*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 et l'assainissement*socio=uv3 rapide*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et ont permis*socio=rien d'assouplir considérablement*socio=rien la politique_monétaire*socio=et. L'activité*socio=rien a redémarré en milieu*socio=rien d'année*socio=rien sous l'impulsion*socio=ec2, principalement, *socio=rien du secteur extérieur*socio=te *socio=nil et des dépenses*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1. Un*socio=rien redressement*socio=ec2 similaire*socio=rien des exportations*socio=ec1 en 1996 a contribué à la reprise de la croissance*socio=uv3 en Finlande*socio=ac et en Espagne*socio=ac, alors que le regain*socio=ec2 d'activité*socio=rien observé au Danemark*socio=ac et aux Pays-bas*socio=ac a été*socio=rien alimenté essentiellement par la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 de l'Allemagne*socio=ac et de ses partenaires*socio=ac du*socio=rien mécanisme*socio=et de change*socio=ec1 européen*socio=ac (MCE) du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac (SME*socio=ec1) ont répondu à l'atonie*socio=ec2 de l'activité*socio=rien, à l'absence*socio=rien de *socio=ec2 tensions inflationnistes *socio=nil et aux efforts*socio=uv1 soutenus d'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et en laissant les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te poursuivre leur repli*socio=rien en 1996. Cette baisse*socio=ec2 des taux*socio=ec1 courts*socio=rien, conjuguée*socio=rien au recul*socio=rien des taux*socio=ec1 longs*socio=rien et à la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil et d'autres monnaies*socio=ec1 participant*socio=rien au MCE vis-à-vis du*socio=rien dollar*socio=ec1, ont permis*socio=rien une détente*socio=rien très sensible*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil qui a considérablement*socio=rien amélioré, au début*socio=rien de 1997, les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 de ces pays*socio=ac. La croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien modérée dans les nouvelles*socio=rien *socio=ec1 économies industrielles d'*socio=nil Asie*socio=ac *socio=nil en 1996. Ce fléchissement*socio=ec2, qui correspond à une légère*socio=rien correction*socio=ec2 cyclique*socio=te après*socio=rien les taux_de_croissance*socio=ec1 supérieurs*socio=rien à la tendance*socio=ec2 enregistrés en 1994-95, est*socio=rien dû en partie*socio=rien à un*socio=rien resserrement*socio=ec2 des politiques*socio=et financières*socio=ec1 destiné à diminuer le risque*socio=uv3 de surchauffe. Parallèlement, les exportations*socio=ec1 ont ralenti en raison*socio=rien de la perte*socio=ec2 de compétitivité*socio=uv3 externe*socio=ec1 des monnaies*socio=ec1 liées au dollar*socio=ec1 (qui s'est*socio=rien apprécié), *socio=rien du tassement *socio=nil de la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 en provenance*socio=rien d'autres économies*socio=ec1 avancées et *socio=rien du reste *socio=nil de la région*socio=te, ainsi de la décélération*socio=ec2 sensible*socio=rien de l'activité*socio=rien sur*socio=rien le marché*socio=ec1 mondial*socio=te de l'électronique*socio=rien. Dans les pays_en_développement*socio=uv3, la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien accélérée pour s'établir à 6 1/2 % en 1996, marquant*socio=rien ainsi la *socio=rien cinquième année consécutive d'*socio=nil expansion*socio=ec2 *socio=nil de 6 % ou plus (graphique*socio=rien 3). Elle s'est*socio=rien consolidée dans les pays_en_développement*socio=uv3 de l'hémisphère_occidental*socio=te pour atteindre 3 1/2 % en 1996, après*socio=rien avoir enregistré l'année*socio=rien *socio=rien précédente un ralentissement*socio=ec2 *socio=nil dû à la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac. La reprise a dépassé la plupart*socio=rien des prévisions*socio=ec2 au Mexique*socio=ac, où le PIB*socio=ec1 réel*socio=rien a augmenté de 5 %, et elle s'est*socio=rien accélérée en Argentine*socio=ac, où le PIB*socio=ec1 a augmenté d'environ 4 1/2 %. Enfin, la croissance*socio=uv3 a ralenti au Brésil*socio=ac et au Chili*socio=ac, même si le taux*socio=ec1 de 7 % affiché par ce dernier*socio=rien a été*socio=rien à nouveau*socio=rien l'un*socio=rien des plus élevés*socio=uv4 de la région*socio=te. De plus en plus de pays*socio=ac enregistrent des progrès*socio=uv1 significatifs*socio=uv4 dans la stabilisation_macro-économique*socio=ec1 et les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 en Afrique*socio=ac, et le redressement*socio=ec2 économique*socio=ec1 amorcé en 1994-95 s'est*socio=rien encore amplifié en 1996. L'expansion*socio=ec2 de 5 % observée en 1996 constitue en fait*socio=rien la meilleure*socio=uv4 performance*socio=uv3 de l'Afrique*socio=ac ces *socio=rien vingt dernières années.*socio=nil Cette*socio=nil accélération*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 *socio=rien témoigne du dynamisme*socio=uv3 du secteur des*socio=nil produits primaires *socio=nil et, parfois, *socio=rien du secteur manufacturier*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil de la zone*socio=te franc*socio=ec1 ont connu une reprise soutenue après*socio=rien le *socio=rien réalignement du franc*socio=ec1 *socio=nil CFA en 1994. L'Éthiopie, le Malawi, le Maroc*socio=ac et la Tunisie figurent aussi parmi les pays*socio=ac où l'expansion*socio=ec2 a *socio=rien été vigoureuse.*socio=nil *socio=nil En revanche, la réduction*socio=ec2 indispensable*socio=uv4 des déséquilibres*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1 et les rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 ont continué à freiner la croissance*socio=uv3 en afrique_du_sud*socio=ec1. Dans les pays_en_développement*socio=uv3 d'Asie*socio=ac, la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien poursuivie au rythme*socio=ec2 très soutenu de 8 1/4 % en 1996, bien*socio=rien qu'elle se soit ralentie par rapport*socio=rien à 1995. L'expansion*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 a faibli dans certains pays_en_développement*socio=uv3 à croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien de la région*socio=te. Dans des pays*socio=ac tels que l'Indonésie*socio=ac, la Malaisie*socio=ac et la Thaïlande*socio=ac, l'impact*socio=rien de ce ralentissement*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 sur*socio=rien la production*socio=ec1 a coïncidé avec un*socio=rien durcissement*socio=ec2 de la politique*socio=et financière*socio=ec1 destiné à réduire le risque*socio=uv3 de surchauffe. En Chine*socio=ac, la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien encore modérée mais a quand même atteint 9 1/2 %. Elle a légèrement fléchi en Inde*socio=ac pour s'établir à un*socio=rien peu moins de 7 %, mais s'est*socio=rien encore renforcée aux Philippines*socio=ac. Quant aux pays*socio=ac d'Asie*socio=ac en transition*socio=ec2 vers l'économie_de_marché*socio=ec1 (Cambodge, république_démocratique_populaire_lao*socio=ac et Viêt-nam), ils ont affiché cette année*socio=rien encore une croissance*socio=uv3 robuste*socio=rien. La croissance*socio=uv3 du*socio=rien PIB*socio=ec1 réel*socio=rien s'est*socio=rien consolidée pour atteindre environ 4 1/2 % dans les pays_en_développement*socio=uv3 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et d'Europe*socio=ac en 1996. En Égypte*socio=ac, les progrès*socio=uv1 de la stabilisation_macro-économique*socio=ec1 et le processus*socio=te de déréglementation*socio=et engagé depuis quelques années*socio=rien se sont traduits par une accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3, qui a approché 4 %. En *socio=ac Arabie Saoudite,*socio=nil l'*socio=nil amélioration*socio=uv1 *socio=nil de la situation*socio=rien budgétaire*socio=et et de la position*socio=rien extérieure*socio=te, facilitée par la hausse*socio=rien des recettes*socio=ec1 dégagées par les *socio=ec1 exportations pétrolières,*socio=nil *socio=nil a aidé à raffermir la confiance*socio=uv1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et et à relancer la croissance*socio=uv3, qui a atteint 2 1/2 %. La croissance*socio=uv3 enregistrée par d'autres *socio=ac pays producteurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil a bénéficié aussi de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 mondiaux*socio=te. Enfin, l'expansion*socio=ec2 a ralenti en 1996 en Turquie*socio=ac, où l'inflation*socio=ec1 s'est*socio=rien accélérée et les déséquilibres*socio=uv3 se sont aggravés. Après*socio=rien avoir diminué pendant six ans*socio=rien, l'activité*socio=rien s'est*socio=rien stabilisée dans le groupe_des_pays*socio=ac en transition*socio=ec2 en 1996, même si les économies*socio=ec1 les plus avancées dans ce processus*socio=te ont continué en général*socio=rien d'enregistrer une croissance*socio=uv3 positive*socio=uv4. En Pologne*socio=ac, où la phase*socio=te d'expansion*socio=ec2 entrait dans sa *socio=rien cinquième année,*socio=nil la*socio=nil croissance*socio=uv3 s'*socio=nil est un *socio=nil peu modérée pour avoisiner les 5 1/2 %. Elle s'est*socio=rien aussi modérée, tout en restant supérieure*socio=rien à 3 %, en Estonie*socio=ac, en *socio=ac République tchèque *socio=nil et en Slovénie*socio=ac - en raison*socio=rien surtout du*socio=rien fléchissement*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 vers l' union_européenne*socio=et - et elle est*socio=rien montée à 3 % et 3,5 %, respectivement, en Lettonie et en Lituanie. Enfin, la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PIB*socio=ec1 a ralenti en Hongrie*socio=ac pour s'établir aux alentours*socio=rien de 1 %; toutefois, grâce*socio=rien aux mesures*socio=et prises*socio=rien pour corriger les déséquilibres*socio=uv3 financiers*socio=ec1, les conditions*socio=ec1 d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 se sont renforcées. Le *socio=rien bilan est *socio=nil plus contrasté en ce qui concerne les pays*socio=ac les moins avancés dans la transition*socio=ec2. Des signes de reprise se sont *socio=rien fait jour *socio=nil en Azerbaïdjan, au Kazakhstan*socio=ac et dans l'ex-république*socio=ac yougoslave de Macédoine en 1996, tandis que la croissance*socio=uv3 a dépassé 5 % en Arménie*socio=ac et en République*socio=ac kirghize, et 10 % en Géorgie*socio=ac. Si la stabilisation_macro-économique*socio=ec1 a permis*socio=rien de donner *socio=rien un coup de*socio=nil frein sensible *socio=nil à l'inflation*socio=ec1 en Russie*socio=ac et en Ukraine*socio=ac, la production*socio=ec1 a continué de stagner ou de baisser dans ces deux pays*socio=ac, bien*socio=rien que les statistiques*socio=ec2 disponibles*socio=rien exagèrent peut-être l'ampleur*socio=rien de la contraction*socio=ec2 de la production*socio=ec1. Cette contraction*socio=ec2 aurait été*socio=rien de 3 % en Russie*socio=ac, donc plus modérée qu'au cours*socio=rien de chacune des *socio=rien cinq années précédentes,*socio=nil *socio=nil mais elle a été*socio=rien plus prononcée en Bulgarie*socio=ac, au Tadjikistan*socio=ac et en Ukraine*socio=ac. En Bulgarie*socio=ac, l'absence*socio=rien de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 a compromis*socio=uv1 la solvabilité*socio=ec1 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 et entraîné une grave*socio=uv4 crise*socio=uv2 monétaire*socio=ec1 et bancaire*socio=ec1 doublée d'une profonde*socio=rien récession*socio=ec2. Au début*socio=rien de 1997, l'Albanie*socio=ac a *socio=rien fait face *socio=nil à une crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 et économique*socio=ec1 provoquée par la faillite*socio=ec1 des sociétés*socio=ac d'investissement*socio=ec1 de type*socio=rien "pyramidal". Prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 et prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien. L'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée faible*socio=rien dans les économies*socio=ec1 avancées et a encore ralenti dans les pays_en_développement*socio=uv3 et en transition*socio=ec2 en 1996, malgré une *socio=rien forte hausse des*socio=nil prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 *socio=nil qui a culminé au début*socio=rien de 1997. On notera en particulier*socio=rien que l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée modérée dans les économies*socio=ec1 avancées où l'expansion*socio=ec2 a atteint un*socio=rien stade*socio=te avancé, ce qui témoigne*socio=rien de la détermination*socio=rien accrue des autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 de nombreux*socio=rien pays*socio=ac à résister aux *socio=ec2 tensions inflationnistes.*socio=nil *socio=nil Dans les économies*socio=ec1 avancées, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 s'est*socio=rien maintenue à 2 1/2 % en 1996. L'inflation*socio=ec1 tendancielle*socio=ec2 est*socio=rien restée faible*socio=rien aux États-unis*socio=ac, dépassant légèrement 2 1/2 % en *socio=rien dépit du niveau élevé*socio=uv4 d'*socio=nil utilisation des*socio=nil ressources*socio=ec1;*socio=nil *socio=nil on a observé toutefois une certaine*socio=rien accélération*socio=ec2 des salaires*socio=ec1. La tension*socio=ec2 *socio=rien croissante du marché_du_travail*socio=ec1 au*socio=nil Royaume-uni*socio=ac s'*socio=nil est *socio=nil répercutée dans une *socio=rien certaine mesure sur les*socio=nil rémunérations*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée supérieure*socio=rien à l'objectif*socio=uv3 officiel*socio=et de 2 1/2 % avant de retomber à ce niveau*socio=rien en avril*socio=rien 1997. Au Canada*socio=ac, le ralentissement*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 tendancielle*socio=ec2 - qui s'est*socio=rien établie à 1 1/2 % en 1996, c'est-à-dire dans la *socio=rien moitié inférieure *socio=nil de la bande fixée par les autorités*socio=et (1 à 3 %) - s'explique par l'existence*socio=rien d'un*socio=rien large*socio=rien volant de ressources*socio=ec1 inemployées*socio=ec2. Dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil Europe*socio=ac continentale*socio=te,*socio=nil *socio=nil dont l'Allemagne*socio=ac et la France*socio=ac, la faiblesse*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 et l'atonie*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 ont aidé à contenir l'inflation*socio=ec1 aux alentours*socio=rien ou en deçà de 2 % en 1996 et au début*socio=rien de 1997. Le ralentissement*socio=ec2 particulièrement net*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 en Italie*socio=ac - où elle est*socio=rien tombée de 5 % au début*socio=rien de 1996 à 2 1/2 % sur*socio=rien douze mois*socio=rien en avril*socio=rien 1997 - tient en partie*socio=rien à l'appréciation*socio=uv3 de la lire. La Suède*socio=ac et la Finlande*socio=ac ont affiché un*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 de 1/2 % seulement en 1996. Au Japon*socio=ac, suite*socio=rien à la longue*socio=rien période*socio=te de faible*socio=rien croissance*socio=uv3, le niveau*socio=rien des prix*socio=ec1 n'a pour ainsi dire pas changé. Enfin, l'inflation*socio=ec1 s'est*socio=rien légèrement accélérée en Corée*socio=ac pour atteindre 5 %, mais elle s'est*socio=rien modérée dans les autres nouvelles*socio=rien *socio=ec1 économies industrielles d'*socio=nil Asie*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Dans les pays_en_développement*socio=uv3, l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien descendue en 1996, à environ 13 %, son niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien depuis plus de dix ans*socio=rien, suite*socio=rien au ralentissement*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 dans toutes les grandes*socio=rien régions*socio=te. Dans l'hémisphère_occidental*socio=te, elle a été*socio=rien pour ainsi dire nulle*socio=rien en Argentine*socio=ac en 1996, tandis qu'elle a aussi atteint son niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien depuis longtemps - 11 % - au Brésil*socio=ac, ce qui atteste le succès*socio=uv1 *socio=rien du plan real.*socio=nil Au*socio=nil Mexique*socio=ac,*socio=nil l'*socio=nil inflation*socio=ec1 est demeurée*socio=nil inchangée *socio=nil à 35 % environ en moyenne*socio=rien annuelle*socio=te en 1996, mais elle n'était plus que de 22 % sur*socio=rien douze mois*socio=rien en avril*socio=rien 1997. Son ralentissement*socio=ec2 a aussi *socio=rien été spectaculaire en*socio=nil Afrique*socio=ac.*socio=nil Après *socio=nil avoir mis en oeuvre*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2, les pays*socio=ac de la zone*socio=te franc*socio=ec1 ont connu *socio=rien un net recul *socio=nil de l'inflation*socio=ec1, qui s'est*socio=rien établie à 6 %, accompagné d'un*socio=rien redressement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien. L'inflation*socio=ec1 a aussi sensiblement diminué au Malawi, au Maroc*socio=ac et en Éthiopie. La stabilisation*socio=et économique*socio=ec1 a légèrement progressé en 1996 au Nigéria, où l'inflation*socio=ec1 tend à se modérer mais reste*socio=rien néanmoins élevée*socio=uv4. En Asie*socio=ac, la Chine*socio=ac a réussi son atterrissage*socio=rien en douceur après*socio=rien trois années*socio=rien d'inflation*socio=ec1 à deux chiffres et, fin*socio=rien 1996, l'inflation*socio=ec1 sur*socio=rien douze *socio=rien mois est *socio=nil tombée à 6 %. La plupart*socio=rien des autres pays_en_développement*socio=uv3 d'Asie*socio=ac ont réussi eux aussi à ralentir l'inflation*socio=ec1 en 1996, et celle-ci est*socio=rien demeurée inférieure*socio=rien à 10 % dans la majorité*socio=rien des pays*socio=ac en développe - la majorité*socio=rien des pays*socio=ac en développe- ment du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et de l'Europe*socio=ac. L'inflation*socio=ec1 est*socio=rien passée sous la barre des 30 % dans la *socio=ac République islamique d'*socio=nil Iran *socio=nil et la République*socio=ac du*socio=rien Yémen*socio=ac, mais est*socio=rien demeurée supérieure*socio=rien à 80 % en Turquie*socio=ac. Dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2, l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien tombée à 43 % en moyenne*socio=rien pour 1996, son niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien depuis le début*socio=rien de la transition*socio=ec2. Fin*socio=rien 1996, elle était inférieure*socio=rien ou égale*socio=rien à 20 % dans les pays*socio=ac les plus avancés dans le processus*socio=te de transition*socio=ec2, et inférieure*socio=rien à 10 % en Croatie*socio=ac, en Ré publique*socio=et slovaque*socio=ac, en République*socio=ac - publique*socio=et slovaque*socio=ac, en *socio=ac République tchèque *socio=nil et en Slovénie*socio=ac (graphique*socio=rien 4). Dans certains des pays*socio=ac les moins avancés dans la transition*socio=ec2, les efforts*socio=uv1 de stabilisation_macro-économique*socio=ec1 ont été*socio=rien récompensés en 1996 par décélération*socio=ec2 sensible*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 (graphique*socio=rien 5). Celle-ci a aussi nette- ment chuté en Arménie*socio=ac, en Azerbaïdjan, en Géorgie*socio=ac, au Kazakhstan*socio=ac, en Russie*socio=ac et en Ukraine*socio=ac, mais est*socio=rien restée à peu près étale en Moldova*socio=ac et en République*socio=ac kirghize, ce qui s'explique en partie*socio=rien par une plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 des *socio=ec1 taux_de_change nominaux.*socio=nil *socio=nil Dans d'autres pays*socio=ac moins avancés dans la transition*socio=ec2, et notamment en Albanie*socio=ac, en Bulgarie*socio=ac et en Roumanie*socio=ac, les efforts*socio=uv1 de stabilisation_macro-économique*socio=ec1 ont dérapé et l'inflation*socio=ec1 a augmenté. Exprimé en dollar*socio=ec1, l'indice_des_prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de *socio=rien base du FMI*socio=ac *socio=nil a progressé d'environ 5 % en 1996, la hausse*socio=rien d'environ 37 % du*socio=rien prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 brut*socio=rien ayant été*socio=rien compensée en partie*socio=rien par une baisse*socio=ec2 de 5 % du*socio=rien prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien hors combustibles*socio=ec1 (graphique*socio=rien 6). Le *socio=rien faible niveau des*socio=nil stocks*socio=ec1 après l'*socio=nil hiver exceptionnellement*socio=nil rigoureux*socio=uv4 *socio=nil de 1995-96 dans l'hémisphère_occidental*socio=te a exacerbé l'impact*socio=rien de la demande*socio=ec1 accrue de fioul domestique sur*socio=rien les *socio=ec1 prix pétroliers,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=rien au*socio=nil *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1996. Toutefois, après*socio=rien avoir atteint *socio=rien un sommet au*socio=nil milieu de*socio=nil janvier *socio=nil 1997, les prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 ont chuté et avaient perdu près de 23 % à la *socio=rien fin avril suite *socio=nil à l'augmentation*socio=ec2 de la production*socio=ec1 mondiale*socio=te, et notamment à la reprise des livraisons*socio=rien irakiennes et à la reconstitution*socio=ec2 des stocks*socio=ec1. marchés_financiers*socio=ec1 et marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. L'évolution*socio=te du*socio=rien marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et des marchés_financiers*socio=ec1 des économies*socio=ec1 avancées en 1996 et au début*socio=rien de 1997 témoigne*socio=rien des changements*socio=uv3 d'opinion*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1 quant aux perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 à court_terme*socio=te de chaque pays*socio=ac, et de son plus grand*socio=rien optimisme*socio=uv1 quant au maintien*socio=rien d'une inflation*socio=ec1 mondiale*socio=te modérée et aux progrès*socio=uv1 de l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et et de la marche*socio=rien vers l'union_monétaire*socio=et en Europe*socio=ac. Dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te sont restés inchangés*socio=rien ou ont baissé, à l'exception*socio=rien notable*socio=rien des États-unis*socio=ac et du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac, où ils ont été*socio=rien légèrement relevés. Les taux*socio=ec1 longs*socio=rien ont évolué de manière*socio=rien très variable*socio=rien. Au total*socio=rien, ils ont augmenté sensiblement aux États-unis*socio=ac en 1996 et au début*socio=rien de 1997, mais ils ont confirmé leur *socio=ec2 baisse tendancielle *socio=nil dans la plupart*socio=rien des autres pays_industrialisés*socio=ac. Le repli*socio=rien a été*socio=rien particulièrement *socio=rien sensible sur les*socio=nil *socio=ec1 marchés obligataires à*socio=nil rendement élevé*socio=uv4 d'*socio=nil Europe*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Pour l'essentiel*socio=uv4, l'évolution*socio=te des taux_de_change*socio=ec1 a confirmé elle aussi les tendances*socio=ec2 observées depuis avril*socio=rien 1995 environ. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil ces*socio=nil mouvements*socio=ec2 *socio=nil ont aidé les principales*socio=rien économies*socio=ec1 à répondre aux pressions*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 sans porter les taux_de_change*socio=ec1 à des niveaux*socio=rien incompatibles*socio=uv4 avec la viabilité*socio=uv3 des balances_des_paiements*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Le*socio=nil dollar*socio=ec1 *socio=nil a continué de s'apprécier vis-à-vis de la plupart*socio=rien des autres grandes*socio=rien devises*socio=ec1, même si le raffermissement*socio=ec2 très net*socio=rien de la livre sterling*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1996 et au début*socio=rien de 1997 mérite*socio=rien de retenir l'attention*socio=rien. Le MCE, qui a enregistré l'adhésion*socio=uv1 du*socio=rien markka finlandais*socio=ac en octobre*socio=rien et le retour*socio=rien de la lire en novembre*socio=rien, n'a pas subi de tensions*socio=ec2 notables*socio=rien. La faiblesse*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1, la stabilité*socio=uv3 ou la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1, les solides*socio=uv4 bénéfices*socio=ec1 des sociétés*socio=ac et les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 robuste*socio=rien ou en hausse*socio=rien affichées par la plupart*socio=rien des pays*socio=ac ont jeté les bases*socio=rien de nouveaux*socio=rien gains*socio=ec1 importants*socio=uv4 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'actions*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac (sauf le Japon*socio=ac) en 1996. Aux États-unis*socio=ac, où les indicateurs*socio=ec1 montrent que l'économie*socio=ec1 est*socio=rien restée proche du*socio=rien plein_emploi*socio=uv3 des capacités*socio=uv3 mais où l'on observe peu de signes d'une hausse*socio=rien de l'inflation*socio=ec1, la Réserve*socio=ec1 fédérale*socio=et n'a pas modifié les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te entre février*socio=rien 1996 et *socio=rien fin mars *socio=nil 1997. Elle a répondu ensuite à une intensification*socio=ec2 apparente des pressions*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 en relevant de 5 1/4 à 5 1/2% l'objectif*socio=uv3 de taux*socio=ec1 des fonds*socio=ec1 fédéraux*socio=et. Durant la même période*socio=te, au Japon*socio=ac, les taux*socio=ec1 courts*socio=rien sont demeurés au *socio=rien niveau historiquement faible *socio=nil qu'ils avaient atteint en août*socio=rien 1995. En Allemagne*socio=ac, les taux*socio=ec1 directeurs*socio=ac à court_terme*socio=te ont été*socio=rien abaissés de 50-75 points*socio=rien de base*socio=rien entre la fin*socio=rien de 1995 et août*socio=rien 1996, puis sont restés inchangés*socio=rien. La Banque*socio=ac de France*socio=ac a abaissé ses taux*socio=ec1 courts*socio=rien d'environ 1 1/4 point*socio=rien entre la fin*socio=rien de 1995 et le début*socio=rien de 1997, tandis que la Banque*socio=ac d'Italie*socio=ac a abaissé son taux*socio=ec1 d'escompte de 2 1/4 *socio=rien points sur *socio=nil la même période*socio=te. En dehors des États-unis*socio=ac, l'exception*socio=rien la plus notable*socio=rien à la tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 des taux*socio=ec1 *socio=rien courts est venue*socio=nil du Royaume-uni*socio=ac,*socio=nil *socio=nil où les taux*socio=ec1 officiels*socio=et ont été*socio=rien relevés de 25 points*socio=rien de base*socio=rien en octobre*socio=rien 1996 afin de désamorcer les risques*socio=uv3 d'inflation*socio=ec1 liés à une reprise de l'activité*socio=rien tirée par la consommation*socio=ec1. Ailleurs*socio=rien en Europe*socio=ac - en Espagne*socio=ac, au Portugal*socio=ac et en Suède*socio=ac -, l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et l'évolution*socio=te favorable*socio=uv4 de l'inflation*socio=ec1 ont donné aux autorités*socio=et une *socio=rien certaine latitude *socio=nil pour abaisser les taux*socio=ec1 directeurs*socio=ac. Les banques_centrales*socio=ac d'Australie*socio=ac et de la Nouvelle-zélande*socio=ac ont laissé elles aussi leurs taux*socio=ec1 à court_terme*socio=te baisser en 1996. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te ont augmenté dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac au début*socio=rien de 1996, avant d'évoluer de manière*socio=rien divergente*socio=uv4. Aux États-unis*socio=ac, ils se sont stabilisés au milieu*socio=rien de l'année*socio=rien, puis ont baissé pendant la *socio=rien majeure partie du second semestre,*socio=nil à*socio=nil mesure *socio=nil que le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 au troisième*socio=rien trimestre*socio=te est*socio=rien apparu plus clairement dans les données disponibles*socio=rien. Par la suite*socio=rien, cependant, les rendements*socio=ec1 ont enregistré une *socio=rien nouvelle hausse *socio=nil due aux signes d'une accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 et aux craintes*socio=uv1 d'un*socio=rien resserrement*socio=ec2 des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil par la Réserve*socio=ec1 fédérale*socio=et. *socio=rien Fin avril *socio=nil 1997, ils se situaient 1 1/4 point*socio=rien au-dessus de leur niveau*socio=rien de la fin*socio=rien de 1995, sans retrouver pour autant les records*socio=ec2 *socio=rien du milieu *socio=nil de 1996. Dans la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac, les taux*socio=ec1 longs*socio=rien ont atteint leur sommet*socio=rien plus tôt en 1996, avant de retomber en dessous de leur niveau*socio=rien de la fin*socio=rien de 1995. L'écart*socio=ec2 entre les *socio=ec1 rendements obligataires s'*socio=nil est*socio=rien considérablement*socio=rien *socio=nil resserré en Europe*socio=ac, où la convergence*socio=uv3 des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 et les progrès*socio=uv1 des efforts*socio=uv1 d'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et ont rassuré les marchés*socio=ec1 sur*socio=rien les perspectives*socio=te de l' union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 (UEM*socio=et). Les baisses les plus sensibles*socio=rien des *socio=ec1 rendements obligataires *socio=nil - de l'ordre*socio=rien de 3 points*socio=rien - ont été*socio=rien observées en Espagne*socio=ac, en Italie*socio=ac et au Portugal*socio=ac. Dans plusieurs pays*socio=ac, l'abaissement*socio=rien des taux*socio=ec1 directeurs*socio=ac a contribué au recul*socio=rien des rendements*socio=ec1 enregistré au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1996. Au Japon*socio=ac, le sentiment*socio=rien que la politique*socio=et d'accompagnement*socio=rien monétaire*socio=ec1 serait maintenue plus longtemps que prévu en *socio=rien raison du caractère encore*socio=nil hésitant *socio=nil de la reprise a entraîné *socio=rien un repli des*socio=nil taux*socio=ec1 à*socio=nil long_terme*socio=te,*socio=nil *socio=nil qui sont tombés à un*socio=rien étiage historique*socio=te de moins de 2,2 % en avril*socio=rien 1997, soit 75 points*socio=rien de base*socio=rien en deçà du*socio=rien taux*socio=ec1 en vigueur*socio=uv3 à la fin*socio=rien de 1995. Sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, le dollar*socio=ec1 a confirmé son raffermissement*socio=ec2 vis-à-vis de la plupart*socio=rien des autres grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1 en 1996 et au début*socio=rien de 1997. Par rapport*socio=rien à son creux*socio=ec2 d'avril*socio=rien 1995, il affichait *socio=rien fin avril *socio=nil 1997 une appréciation*socio=uv3 de 56 % par rapport*socio=rien au yen*socio=ec1, de 27 % par rapport*socio=rien au *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil et de 20 % en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil La livre sterling*socio=ec1 a gagné *socio=rien du terrain face *socio=nil à toutes les autres grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1 au quatrième*socio=rien trimestre*socio=te de 1996. Entre la fin*socio=rien de 1995 et la *socio=rien fin avril *socio=nil 1997, elle s'était appréciée de 19 % en *socio=rien termes effectifs *socio=nil et de 27 % vis-à-vis du*socio=rien *socio=ec1 deutsche mark.*socio=nil Suite*socio=rien aux*socio=nil fluctuations*socio=ec2 des*socio=nil taux_de_change *socio=nil en 1996 et au début*socio=rien de 1997, le dollar*socio=ec1 a retrouvé *socio=rien un niveau *socio=nil (en *socio=rien termes effectifs réels*socio=ec2)*socio=nil *socio=nil jamais atteint depuis la fin*socio=rien des années*socio=rien 80, tandis que le yen*socio=ec1 retombait à l'inverse à son plancher *socio=rien du début *socio=nil de 1993. Les fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 en 1996 et au début*socio=rien de 1997 sont imputables*socio=uv2 en partie*socio=rien aux positions*socio=rien toujours asynchrones des principales*socio=rien économies*socio=ec1. L'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar*socio=ec1 a été*socio=rien étayée par les résultats*socio=rien de l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac, qui sont restés relativement solides*socio=uv4, et par les écarts*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 favorables*socio=uv4 qui en découlent pour les actifs*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1. Les écarts*socio=ec2 de taux*socio=ec1 en faveur*socio=rien des actifs*socio=ec1 libellés en livre sterling*socio=ec1 et le sentiment*socio=rien qu'un*socio=rien relèvement*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 pourrait *socio=rien être nécessaire au*socio=nil Royaume-uni*socio=ac *socio=nil pour contenir l'inflation*socio=ec1 ont aussi contribué à l'appréciation*socio=uv3 de la livre. En revanche, le *socio=rien recul du yen*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil poursuivi, car les craintes*socio=uv1 relatives*socio=rien à la vigueur*socio=uv3 de la reprise au Japon*socio=ac ont conduit le marché*socio=ec1 à tabler sur*socio=rien le maintien*socio=rien de taux_d'_intérêt*socio=ec1 intérieurs*socio=te faibles*socio=rien. De même, les taux*socio=ec1 peu élevés*socio=uv4 en vigueur*socio=uv3 en Suisse*socio=ac et des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 intérieure*socio=te médiocres*socio=uv2 ont contribué à la dépréciation*socio=ec2 très *socio=rien nette du franc*socio=ec1 suisse*socio=ac.*socio=nil Les*socio=nil cours des*socio=nil actions*socio=ec1 *socio=nil ont fortement augmenté dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac en 1996 pour culminer *socio=rien début mars *socio=nil 1997, avant de faire l'objet*socio=rien d'une correction*socio=ec2 modérée en réponse*socio=rien à la hausse*socio=rien des *socio=ec1 rendements obligataires *socio=nil et au resserrement*socio=ec2 des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil par la Réserve*socio=ec1 fédérale*socio=et. Les cours*socio=rien des actions*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac ont été*socio=rien soutenus par la vigueur*socio=uv3 de la croissance*socio=uv3, la faiblesse*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1, la réduction*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et et les solides*socio=uv4 bénéfices*socio=ec1 des entreprises*socio=ac. Mais la flambée des cours*socio=rien boursiers*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac - qui dépassaient de plus de 30 %, *socio=rien fin avril *socio=nil 1997, leur niveau*socio=rien de la fin*socio=rien de 1995 - a suscité la préoccupation*socio=uv4 des autorités*socio=et. Les marchés*socio=ec1 des actions*socio=ec1 canadien*socio=ac et européens*socio=ac, qui avaient été*socio=rien pour l'essentiel*socio=uv4 à la traîne du*socio=rien marché*socio=ec1 américain*socio=ac avant 1996, ont affiché une hausse*socio=rien plus rapide*socio=rien à la fin*socio=rien de 1996 qui répond, semble-t-il, à l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 dans beaucoup de ces pays*socio=ac et à la baisse*socio=ec2 des *socio=ec1 rendements obligataires.*socio=nil La*socio=nil *socio=rien principale exception *socio=nil à cette tendance*socio=ec2 haussière a été*socio=rien le Japon*socio=ac, où les préoccupations*socio=uv4 liées aux perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 et de profits*socio=ec1 des entreprises*socio=ac, conjuguées*socio=rien aux incertitudes*socio=uv3 pesant sur*socio=rien le rythme*socio=ec2, l'ampleur*socio=rien et les implications*socio=rien des mesures*socio=et de déréglementation*socio=et financière*socio=ec1, ont entraîné une baisse*socio=ec2 d'environ 6 % des cours*socio=rien des actions*socio=ec1 entre la fin*socio=rien de 1995 et avril*socio=rien 1997. Contrairement aux résultats*socio=rien des places boursières*socio=ec des pays_industrialisés*socio=ac, la hausse*socio=rien des cours*socio=rien des actions*socio=ec1 enregistrée dans les pays*socio=ac à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien a été*socio=rien au *socio=rien total modeste,*socio=nil *socio=nil ainsi qu'en témoigne*socio=rien l'indice composite*socio=rien (exprimé en dollar*socio=ec1) de la société_financière_internationale*socio=ac (SFI*socio=ac), qui a progressé de 7 1/2 % en 1996. Soldes*socio=ec1, financement*socio=ec1 et endettement*socio=ec1 extérieurs*socio=te. L'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te a nettement ralenti en 1996 après*socio=rien deux années*socio=rien de croissance*socio=uv3 exceptionnelle*socio=uv4. Ce ralentissement*socio=ec2 a *socio=rien été sensible *socio=nil dans de très nombreux*socio=rien pays*socio=ac. Le Japon*socio=ac, l'Allemagne*socio=ac et la France*socio=ac ont vu leurs parts*socio=rien de marché*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 diminuer, mais d'autres grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac et les pays*socio=ac à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien ont préservé ou accru les leurs. Globalement, les comptes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te des économies*socio=ec1 avancées ont *socio=rien été proches *socio=nil de l'équilibre*socio=ec2 en 1996 après*socio=rien avoir affiché des excédents*socio=ec1 modérés pendant trois ans*socio=rien. Les déséquilibres*socio=uv3 *socio=te extérieurs courants *socio=nil des sept principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac sont restés le plus souvent limités (tableau*socio=rien 2), et inférieurs*socio=rien en général*socio=rien à ceux qu'accusaient certains d'entre eux au milieu*socio=rien des années*socio=rien 80. Tels qu'ils se présentent depuis quelque temps*socio=rien, ces déséquilibres*socio=uv3 *socio=rien témoignent du réalignement des*socio=nil parités*socio=ec1 des*socio=nil principales monnaies*socio=ec1 *socio=nil amorcé ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil même si l'évolution*socio=te de chaque pays*socio=ac dans le *socio=te cycle conjoncturel *socio=rien est loin d'*socio=nil être étrangère*socio=te aux*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil observés. Au Japon*socio=ac, l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien yen*socio=ec1 jusqu'au début*socio=rien de 1995 et les efforts*socio=uv1 de restructuration*socio=et ont aidé à ramener l'excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien à 1 1/2 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1996. Aux États-unis*socio=ac, où la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien relativement forte*socio=rien, le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien s'est*socio=rien légèrement creusé. Les transactions_courantes*socio=te ont été*socio=rien pratiquement équilibrées en 1996 au Canada*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac, tandis que le redressement*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 en 1996 a entraîné une légère*socio=rien augmentation*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien en France*socio=ac. Cet excédent*socio=ec1 a augmenté plus nettement en Italie*socio=ac, en raison*socio=rien surtout du*socio=rien fléchissement*socio=ec2 des importations*socio=ec1. Parmi les autres économies*socio=ec1 avancées, l'Australie*socio=ac a enregistré une diminution*socio=ec2 de son déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien par rapport*socio=rien à 1995, tandis que celui de la Corée*socio=ac s'est*socio=rien accru pour approcher 5 % du*socio=rien PIB*socio=ec1, suite*socio=rien à la chute brutale*socio=rien des prix*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 et à l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien won vis-à-vis du*socio=rien yen*socio=ec1. Le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien global*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 a légèrement augmenté en 1996, car le creusement*socio=rien des déficits*socio=ec1 dans certains pays*socio=ac d'Asie*socio=ac et d'amérique_latine*socio=ac n'a été*socio=rien que partiellement compensé par l'amélioration*socio=uv1 d'ensemble*socio=rien de la position*socio=rien *socio=te extérieure courante *socio=nil de l'Afrique*socio=ac. Les *socio=ac pays producteurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil ont sensiblement amélioré leurs soldes*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Dans les pays_en_développement*socio=uv3 d'Asie*socio=ac, l'évolution*socio=te des soldes*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te en 1996 a été*socio=rien influencée par divers facteurs*socio=rien. En Malaisie*socio=ac, le resserrement*socio=ec2 de la politique_monétaire*socio=et, qui a comprimé la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 et plus que compensé le fléchissement*socio=ec2 des exportations*socio=ec1, a ramené le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien à 6 % du*socio=rien PIB*socio=ec1. Le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=rien courant est *socio=nil demeuré à peu près inchangé*socio=rien en Indonésie*socio=ac, où le tassement*socio=rien des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 non pétrolières*socio=ec1 a été*socio=rien contrebalancé par l'essor*socio=rien des *socio=ec1 exportations pétrolières *socio=nil et la faible*socio=rien croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1, ainsi qu'en Thaïlande*socio=ac, où le recul*socio=rien des importations*socio=ec1 a été*socio=rien compensé par l'augmentation*socio=ec2 des paiements_d'_intérêts*socio=ec1 à l'étranger*socio=te au titre*socio=rien d'engagements*socio=et bancaires*socio=ec1 à court_terme*socio=te. En Chine*socio=ac, la contraction*socio=ec2 de l'excédent*socio=ec1 commercial*socio=ec1 a fait*socio=rien que le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te est*socio=rien resté proche de l'équilibre*socio=ec2 en 1996. La confirmation*socio=rien de la reprise dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil amérique_latine*socio=ac *socio=nil en 1996 s'est*socio=rien accompagnée d'une aggravation*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants imputable*socio=uv2 *socio=nil à l'accélération*socio=ec2 des importations*socio=ec1, en particulier*socio=rien dans le domaine*socio=rien des biens*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1. L'Argentine*socio=ac et le Brésil*socio=ac ont enregistré une légère*socio=rien augmentation*socio=ec2 de leur déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien. Au Chili*socio=ac, l'évolution*socio=te du*socio=rien solde*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien, passé*socio=rien d'un*socio=rien quasi-équilibre*socio=uv3 en 1995 à un*socio=rien déficit*socio=ec1 de 4 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1996, s'explique essentiellement par la chute des *socio=rien cours du cuivre*socio=ec1 *socio=nil et d'autres produits*socio=rien de base*socio=rien. Le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=rien courant du Mexique*socio=ac est *socio=nil resté à peu près stable*socio=uv4 autour de 1/2 % du*socio=rien PIB*socio=ec1. Au Venezuela*socio=ac, la hausse*socio=rien des *socio=ec1 prix pétroliers *socio=nil a donné *socio=rien un coup *socio=nil de fouet aux exportations*socio=ec1 et consolidé l'excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien malgré l'essor*socio=rien des importations*socio=ec1. Dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil *socio=ac pays africains,*socio=nil la*socio=nil baisse*socio=ec2 des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil de divers produits*socio=rien de base*socio=rien a entraîné *socio=rien un creusement des*socio=nil déficits*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants *socio=nil en 1996, alors que le *socio=rien renchérissement du pétrole*socio=ec1 a*socio=nil permis *socio=nil au Nigéria et à l'Algérie*socio=ac de résorber les leurs. C'est*socio=rien aussi grâce*socio=rien à la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 que l'Arabie*socio=ac Saoudite*socio=ac a pu pratiquement rééquilibrer le solde*socio=ec1 de ses transactions_courantes*socio=te, déficitaire*socio=ec2 depuis plusieurs années*socio=rien. Enfin, la Jordanie*socio=ac a réduit son déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien de près d'un*socio=rien point*socio=rien en 1996 pour le ramener à 3 % du*socio=rien PIB*socio=ec1, l'augmentation*socio=ec2 des transferts*socio=ec1 de fonds*socio=ec1 des travailleurs*socio=ac expatriés ayant plus que compensé l'essor*socio=rien des importations*socio=ec1 de produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1 et de matériel*socio=rien de transport*socio=ec1. Les déficits*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants *socio=nil se sont aggravés en 1996 dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac en transition*socio=ec2. Ils ont ainsi atteint 8 1/2 % et 10 1/4 %, respectivement, dans les *socio=ac républiques tchèque et*socio=nil slovaque,*socio=nil *socio=nil où les importations*socio=ec1 sont montées en flèche alors que l'afflux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 favorisait une appréciation*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 réels*socio=ec2. La Russie*socio=ac, en revanche, a enregistré une augmentation*socio=ec2 de son excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien, lequel a dépassé 1 1/2 % du*socio=rien PIB*socio=ec1. En Hongrie*socio=ac, le resserrement*socio=ec2 de la politique*socio=et financière*socio=ec1 a aidé à maîtriser*socio=rien le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien. Les entrées nettes*socio=rien de capitaux_privés*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 ont atteint *socio=rien un niveau sans*socio=nil précédent,*socio=nil approchant*socio=nil un total *socio=nil de 200 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1996, dont près de 40 milliards*socio=rien sont allés à la Chine*socio=ac. L'accélération*socio=ec2 de l'afflux*socio=ec1 net*socio=rien de capitaux*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=uv3 et les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 s'explique en partie*socio=rien par les taux_d'_intérêt*socio=ec1 relativement bas*socio=rien proposés dans les pays_industrialisés*socio=ac, la croissance*socio=uv3 médiocre*socio=uv2 de l'investissement*socio=ec1 en Europe*socio=ac et au Japon*socio=ac, la *socio=rien poursuite du développement*socio=uv3 des*socio=nil marchés*socio=ec1 de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil - et en particulier*socio=rien des marchés*socio=ec1 d'actions*socio=ec1 et d'obligations*socio=uv1 - dans beaucoup de pays*socio=ac à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien et les progrès*socio=uv1 accomplis par nombre*socio=rien d'entre eux sur*socio=rien le front*socio=rien des privatisations*socio=et. S'agissant de la composition*socio=rien des flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1, la tendance*socio=ec2 à délaisser les *socio=ec1 prêts bancaires au*socio=nil profit des*socio=nil investissements_directs_étrangers *socio=nil et des investissements*socio=ec1 de portefeuille*socio=ec1 s'est*socio=rien poursuivie, en particulier*socio=rien en amérique_latine*socio=ac et en Asie*socio=ac. Les émissions*socio=rien obligataires*socio=ec1 ont progressé elles aussi, y compris dans certains pays*socio=ac en transition*socio=ec2. Ainsi, l'émission*socio=rien de 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 d'euro-obligations lancée par la Russie*socio=ac est*socio=rien la plus importante*socio=uv4 jamais mise *socio=rien sur pied par*socio=nil un État*socio=ac souverain.*socio=nil *socio=nil En outre, le coût*socio=ec1 du*socio=rien capital*socio=ec1 pour les pays*socio=ac à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien a diminué en 1996, et beaucoup d'entre eux ont répondu à cette amélioration*socio=uv1 *socio=rien du climat *socio=nil en allongeant les échéances*socio=te de leurs nouveaux*socio=rien emprunts*socio=ec1 souverains*socio=et. Les marges sur*socio=rien les obligations*socio=uv1 dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac se sont considérablement*socio=rien réduits après*socio=rien la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac, preuve*socio=ec2 d'une confiance*socio=uv1 retrouvée dans les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et. Le mouvement*socio=ec2 a été*socio=rien moins *socio=rien net ailleurs,*socio=nil *socio=nil mais ces marges sont quand même tombées en deçà de 100 points*socio=rien de base*socio=rien pour la Pologne*socio=ac et les Philippines*socio=ac. Si ce resserrement*socio=ec2 des marges reflète bien*socio=rien souvent l'amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 et des politiques*socio=et suivies, divers indices donnent à penser que, dans certains cas*socio=rien, les rendements*socio=ec1 attendus sont peut-être surestimés et les risques*socio=uv3 sous-estimés. Après*socio=rien les prêts*socio=ec1 accordés à la Russie*socio=ac et au Mexique*socio=ac en 1995, les entrées nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 publics*socio=et dans les pays_en_développement*socio=uv3 et les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 ont très sensiblement diminué en 1996. en particulier*socio=rien, les prêts*socio=ec1 nets*socio=rien consentis par le FMI*socio=ac durant l'exercice*socio=rien 1996 / 97 ont enregistré *socio=rien un net recul *socio=nil qu'explique en partie*socio=rien le remboursement*socio=ec1 anticipé d'une partie*socio=rien des crédits*socio=ec1 reçus par le Mexique*socio=ac (chapitre*socio=rien 9). L'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 vigoureuse*socio=rien et régulière*socio=ec2 du*socio=rien groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 et les progrès*socio=uv1 de la stabilisation*socio=et et des réformes*socio=et dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 ont entraîné *socio=rien un nouvel allégement*socio=ec2 du fardeau*socio=uv4 global*socio=te *socio=nil de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te en 1996, et ce pour la *socio=rien cinquième année consécutive (*socio=nil graphique *socio=nil 7). Beaucoup de pays*socio=ac pauvres*socio=uv2, en Afrique*socio=ac subsaharienne*socio=te notamment, ont continué de souffrir d'un*socio=rien endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te considérable*socio=rien. Dans certains cas*socio=rien, les mécanismes*socio=et traditionnels*socio=rien d'allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 ne suffiront sans doute*socio=rien pas à ramener cet endettement*socio=ec1 à *socio=rien un niveau viable*socio=uv4 à*socio=nil moyen terme,*socio=nil *socio=nil même si ces pays*socio=ac persévèrent dans leur effort*socio=uv1 d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et. Afin que tous les pays*socio=ac très endettés (PPTE*socio=ac) qui mènent des politiques*socio=et appropriées puissent ramener leur dette*socio=ec1 à *socio=rien un niveau supportable,*socio=nil la*socio=nil banque_mondiale*socio=ac *socio=nil et le FMI*socio=ac ont engagé une Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac à laquelle participent aussi des créanciers*socio=ac officiels*socio=et ou multilatéraux*socio=et ainsi que les créanciers*socio=ac commerciaux*socio=ec1 des *socio=ac pays bénéficiaires (*socio=nil chapitre*socio=rien *socio=nil 7). Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. L'examen*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te *socio=rien fait partie intégrante *socio=nil de la surveillance*socio=et que le FMI*socio=ac exerce sur*socio=rien l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et des *socio=ac États membres.*socio=nil *socio=nil À cette occasion*socio=rien, les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac procèdent à des analyses*socio=ec2 détaillées des perspectives*socio=te à court*socio=rien et à *socio=rien moyen terme des*socio=nil différents pays*socio=ac ou*socio=nil groupes_de_pays*socio=ac *socio=nil et de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, en se fondant sur*socio=rien les informations*socio=rien recueillies dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 avec les *socio=ac États membres.*socio=nil Ces*socio=nil analyses*socio=ec2 *socio=nil sont examinées par le Conseil*socio=ac deux fois*socio=rien l'an*socio=rien. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien budgétaire*socio=et 1996 / 97, le Conseil*socio=ac a consacré deux séries de discussions*socio=et aux Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, en septembre*socio=rien 1996 et fin*socio=rien mars-début avril*socio=rien 1997. En septembre*socio=rien 1996, les administrateurs*socio=ac ont centré leur *socio=rien réflexion sur la*socio=nil relation *socio=nil entre les *socio=ec2 tensions inflationnistes *socio=nil et la politique_monétaire*socio=et. En mars-avril, ils ont accordé une *socio=rien attention particulière *socio=nil à la mondialisation*socio=ec2 et à l'intégration*socio=uv1 rapide*socio=rien de l'économie*socio=ec1 planétaire*socio=te. En mars*socio=rien 1997, le FMI*socio=ac a parrainé*socio=rien une *socio=rien conférence sur le*socio=nil rôle*socio=et *socio=nil de l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 (UEM*socio=et) européenne*socio=ac dans le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te, organisée en prélude à de nouvelles*socio=rien discussions*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac sur*socio=rien l'impact*socio=rien systémique*socio=ec2 de l'UEM*socio=et et ses implications*socio=rien pour les *socio=rien activités du FMI*socio=ac *socio=nil (encadré 2). Situation*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. En septembre*socio=rien 1996, lors*socio=rien de leur évaluation*socio=ec2 de la situation*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, les administrateurs*socio=ac avaient estimé que la croissance*socio=uv3 mondiale*socio=te se poursuivrait probablement à un*socio=rien rythme*socio=ec2 satisfaisant*socio=rien en 1996 - 97, et observé que l'assouplissement*socio=uv3 des politiques_monétaires*socio=et en Europe*socio=ac aiderait à relancer la croissance*socio=uv3, même si la vigueur*socio=uv3 de cette reprise restait très incertaine*socio=uv4. Le Conseil*socio=ac avait aussi jugé encourageante*socio=uv2 la *socio=rien généralisation progressive *socio=nil de la croissance*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3 et en transition*socio=ec2. Selon les prévisions*socio=ec2, la reprise devait s'accélérer dans les pays_en_développement*socio=uv3 de l'hémisphère_occidental*socio=te et les perspectives*socio=te d'expansion*socio=ec2 en Afrique*socio=ac continueraient à s'améliorer. Le Conseil*socio=ac avait estimé que la croissance*socio=uv3 ralentirait quelque peu en Asie*socio=ac, tout en conservant un*socio=rien rythme*socio=ec2 soutenu. Enfin, la production*socio=ec1 globale*socio=rien des pays*socio=ac en transition*socio=ec2 semblait devoir*socio=rien se stabiliser, voire augmenter pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis le *socio=rien début du processus*socio=te de*socio=nil transformation*socio=ec2.*socio=nil Lors *socio=nil de leur réunion*socio=rien de mars*socio=rien - avril*socio=rien 1997, les administrateurs*socio=ac se sont accordés à penser que les conditions*socio=ec1 restent dans l'ensemble*socio=rien favorables*socio=uv4 à la poursuite*socio=rien d'une expansion*socio=ec2 satisfaisante*socio=uv4 de la production*socio=ec1 et du*socio=rien commerce*socio=ec1 dans le monde*socio=te. L'inflation*socio=ec1 est*socio=rien toujours jugulée dans les économies*socio=ec1 avancées, et on s'attend à ce que les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 se relâchent encore dans les pays_en_développement*socio=uv3 et en transition*socio=ec2. La résorption*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et se poursuit, et les fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 entre les grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1 ont en règle*socio=et générale*socio=rien appuyé les objectifs*socio=uv3 des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 suivies. Dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 confèrent un*socio=rien rôle*socio=et de plus en plus important*socio=uv4 aux forces_du_marché*socio=ec1, approfondissent l'intégration*socio=uv1 des systèmes*socio=rien de commerce*socio=ec1 et de paiement*socio=ec1, et consolident les bases*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4. Quelques administrateurs*socio=ac ont tenu à signaler qu'en dépit*socio=rien de ces *socio=rien nombreux motifs d'*socio=nil optimisme*socio=uv1,*socio=nil des*socio=nil risques*socio=uv3 *socio=nil subsistent. Dans une *socio=rien grande partie *socio=nil de l'Europe*socio=ac continentale*socio=te, le chômage*socio=ec1 reste*socio=rien élevé*socio=uv4 et la croissance*socio=uv3 médiocre*socio=uv2. Les difficultés*socio=uv4 des membres*socio=ac de l'union_européenne*socio=et à respecter le critère*socio=rien de déficit*socio=ec1 public*socio=et prévu par le traité*socio=rien de Maastricht*socio=et et les incertitudes*socio=uv3 qui entourent l'union_monétaire*socio=et pourraient perturber les marchés_financiers*socio=ec1. La fragilité*socio=uv1 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac à*socio=nil marché*socio=ec1 émergent *socio=nil apparaît également comme *socio=rien un facteur de*socio=nil vulnérabilité*socio=uv1 important*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil D'autre part*socio=rien, tout en reconnaissant que les résultats*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te se sont dans l'ensemble*socio=rien améliorés, les administrateurs*socio=ac ont noté que les écarts*socio=ec2 entre les performances*socio=uv3 des différents*socio=rien pays*socio=ac tendent à se creuser depuis quelques années*socio=rien. Ainsi, l'aptitude*socio=rien inégale*socio=uv2 de nombreuses*socio=rien économies*socio=ec1 avancées à atteindre et à conserver *socio=rien un niveau d'*socio=nil emploi*socio=ec1 satisfaisant,*socio=nil *socio=nil observée de longue*socio=rien date, est*socio=rien devenue encore plus patente. Bien*socio=rien que les conditions_économiques*socio=ec1 se soient clairement améliorées dans beaucoup de pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, quelques-uns des plus pauvres*socio=uv2 ont continué à perdre *socio=rien du terrain.*socio=nil *socio=nil De même, dans les économies_en_transition*socio=ec1, le contraste s'est*socio=rien accentué entre certains pays*socio=ac qui ont été*socio=rien parmi les premiers*socio=rien et les plus déterminés à engager des réformes*socio=et et ceux qui ont entrepris leur ajustement*socio=et avec moins de hâte et de résolution*socio=uv1. Encadré 2. Le rôle*socio=et de l'UEM*socio=et dans le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Le rôle*socio=et de l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 (UEM*socio=et) européenne*socio=ac dans le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te a été*socio=rien le thème*socio=rien d'une conférence*socio=rien qui s'est*socio=rien tenue au FMI*socio=ac les 17 et 18 mars*socio=rien 1997, et qui a rassemblé des universitaires*socio=et et des hauts_fonctionnaires*socio=ac du*socio=rien monde*socio=te entier*socio=rien ainsi que des membres*socio=ac du*socio=rien Conseil*socio=ac et des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Les débats*socio=et ont dégagé *socio=rien un large consensus*socio=uv1 sur plusieurs*socio=nil points,*socio=nil *socio=nil mais les participants*socio=ac se sont aussi accordés à dire qu'une incertitude*socio=uv3 considérable*socio=rien persistera même après*socio=rien l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 de l'UEM*socio=et. La plupart*socio=rien des participants*socio=ac ont estimé que l'UEM*socio=et entrera en vigueur*socio=uv3 le 1er janvier*socio=rien 1999 comme prévu, même si le risque*socio=uv3 de report*socio=rien existe au cas*socio=rien où les principaux*socio=rien pays*socio=ac ne pourraient pas respecter les critères*socio=rien de Maastricht*socio=et, sur*socio=rien la base*socio=rien de leurs données pour 1997. Les participants*socio=ac sont convenus en général*socio=rien que l'euro, qui sera utilisé par les membres*socio=ac de l'UEM*socio=et, sera sans doute*socio=rien une monnaie*socio=ec1 forte*socio=rien, étayée par une politique_monétaire*socio=et axée sur*socio=rien la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et par des politiques_budgétaires*socio=et prudentes*socio=uv2. Ils ont exprimé leur crainte*socio=uv1, cependant, que le dollar*socio=ec1 soit plus volatil par rapport*socio=rien à l'euro qu'il ne l'_est*socio=te aujourd'hui vis-à-vis des devises*socio=ec1 européennes*socio=ac. Certains intervenants*socio=ac ont observé que la *socio=ac banque_centrale européenne *socio=nil (BCE) pourrait contribuer à cette instabilité*socio=uv3 si elle tend à se désintéresser de la parité*socio=ec1 de l'euro au motif*socio=rien que le commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te de la zone*socio=te euro ne représente qu'une *socio=rien faible fraction *socio=nil de son PIB*socio=ec1. D'autres ont évoqué les conséquences*socio=rien d'une recomposition brutale*socio=rien des portefeuilles*socio=ec1 favorisant les actifs*socio=ec1 libellés en euro au détriment*socio=uv2 du*socio=rien dollar*socio=ec1. Plusieurs participants*socio=ac ont souligné qu'il sera difficile*socio=rien de gérer une monnaie*socio=ec1 unique*socio=rien si le marché_du_travail*socio=ec1 manque*socio=rien de souplesse*socio=uv3 et si les politiques_budgétaires*socio=et nationales*socio=te ne sont pas coordonnées. De l'avis*socio=rien général*socio=rien, l'attrait*socio=rien de l'euro dépendra avant tout de l'orientation*socio=et de la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 en Europe*socio=ac, et en particulier*socio=rien de la capacité*socio=uv3 de la BCE à juguler l'inflation*socio=ec1. Les participants*socio=ac ont estimé dans l'ensemble*socio=rien que la BCE s'efforcera de stabiliser les prix*socio=ec1, à l'instar*socio=rien de la Bundes-bank, et restera indépendante*socio=uv2 des pressions*socio=ec2 politiques*socio=et, comme le veulent ses statuts*socio=et. D'autres facteurs*socio=rien influeront fortement sur*socio=rien l'emploi*socio=ec1 de l'euro comme monnaie*socio=ec1 internationale*socio=ac, et notamment la mise en place*socio=rien de marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 intégrés, liquides et efficaces*socio=uv4 en Europe*socio=ac. L'emploi*socio=ec1 de l'euro comme monnaie*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 ne se développera sans doute*socio=rien que lentement, mais il sera d'emblée*socio=rien la deuxième*socio=rien monnaie*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 du*socio=rien monde*socio=te, et pourrait à terme*socio=rien rivaliser avec le dollar*socio=ec1. Il a été*socio=rien rappelé, toutefois, qu'un*socio=rien tel statut*socio=et ne conférera pas plus d'avantages*socio=rien économiques*socio=ec1 à l'Europe*socio=ac que le dollar*socio=ec1 n'en a apportés aux États-unis*socio=ac ces cinquante *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Selon les participants*socio=ac, la création*socio=uv4 de l'euro aura *socio=rien un impact généralement*socio=nil positif*socio=uv4 sur les*socio=nil pays*socio=ac voisins,*socio=nil à*socio=nil condition *socio=nil que l'euro reste*socio=rien stable*socio=uv4 et ne soit ni trop fort*socio=rien ni trop faible*socio=rien, mais aura des répercussions*socio=ec2 négatives*socio=rien si l'euro est*socio=rien instable*socio=uv4. Ils ont souhaité que l'intégration*socio=uv1 européenne*socio=ac renforce la coopération*socio=uv1 entre l'UE*socio=ac et les pays*socio=ac voisins*socio=rien, et que l'euro devienne *socio=rien un pôle de*socio=nil stabilité*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 important*socio=uv4.*socio=nil Les*socio=nil perspectives*socio=te de*socio=nil coordination_internationale*socio=uv3 des*socio=nil politiques_économiques*socio=et ont*socio=nil fait l'*socio=nil objet d'*socio=nil un examen*socio=ec2 attentif,*socio=nil *socio=nil qui a privilégié*socio=rien deux aspects*socio=rien de cette question*socio=rien : que signifiera l'UEM*socio=et pour l'efficacité*socio=uv3 de la coordination*socio=uv3 au *socio=rien sein du Groupe*socio=ac *socio=nil des Sept, et comment le FMI*socio=ac devra-t-il adapter*socio=rien ses procédures*socio=et et ses relations*socio=rien avec les membres*socio=ac de l'union_européenne*socio=et lorsque la BCE sera responsable*socio=uv2 de la politique_monétaire*socio=et et que l'euro aura remplacé les monnaies*socio=ec1 nationales*socio=te? Quant aux relations*socio=rien entre le FMI*socio=ac et ses membres*socio=ac, l'UEM*socio=et ne modifiera évidemment pas les droits*socio=uv1 et obligations*socio=uv1 statutaires des *socio=ac États membres,*socio=nil *socio=nil mais le transfert*socio=ec1 des compétences*socio=uv3 monétaires*socio=ec1 des *socio=ac pays européens *socio=nil à la BCE et le remplacement*socio=rien des monnaies*socio=ec1 nationales*socio=te par l'euro soulèvent nombre*socio=rien d'interrogations*socio=rien. Comment s'exercera la surveillance*socio=et? Les membres*socio=ac de l'UEM*socio=et pourront-ils utiliser les ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac, et de quelle manière*socio=rien? Quelle sera l'incidence*socio=ec2 de l'UEM*socio=et sur*socio=rien les quotes-parts*socio=et? Faudra-t-il redéfinir la *socio=rien composition du *socio=nil DTS? Comment utilisera-t-on l'euro dans les *socio=rien opérations du FMI*socio=ac?*socio=nil *socio=nil Autant de questions*socio=rien qui devront être*socio=rien résolues d'urgence*socio=rien, et pour lesquelles on ne dispose pas encore de *socio=rien réponses simples.*socio=nil Fin *socio=nil de l'encadré. Économies*socio=ec1 avancées. Au cours*socio=rien de la réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1996, *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil avaient estimé que, malgré la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien de l'inflation*socio=ec1, la politique_monétaire*socio=et devait être*socio=rien resserrée pour prévenir l'apparition*socio=rien de *socio=ec2 tensions inflationnistes aux*socio=nil États-unis*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui connaissaient une croissance*socio=uv3 vigoureuse*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac avaient jugé que la politique_monétaire*socio=et du*socio=rien Japon*socio=ac était bien*socio=rien orientée, sans écarter, pour quelques-uns d'entre eux, l'idée*socio=rien d'une nouvelle*socio=rien relance*socio=uv3 budgétaire*socio=et pour soutenir la reprise. En Europe*socio=ac continentale*socio=te, le Conseil*socio=ac n'avait pas décelé de vaste*socio=rien mouvement*socio=ec2 de reprise en dépit*socio=rien de quelques signes isolés de redressement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien, en particulier*socio=rien en Allemagne*socio=ac. Face*socio=rien au chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4 qui continuait à sévir dans de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, et notamment en Europe*socio=ac, les administrateurs*socio=ac avaient souligné qu'il était primordial*socio=uv4 d'assouplir le fonctionnement*socio=rien des marchés_du_travail*socio=ec1 et de mobiliser un*socio=rien consensus*socio=uv1 en *socio=rien faveur du changement*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil Ils avaient rappelé, enfin, qu'il convenait de s'intéresser davantage aux possibilités*socio=rien de mobilité*socio=uv3 sociale*socio=et et d'accroissement*socio=ec2 des revenus*socio=ec1 liées à l'éducation*socio=et et à la formation*socio=et. Lorsqu'il a dressé *socio=rien un bilan *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te en mars*socio=rien - avril*socio=rien 1997, le Conseil*socio=ac a indiqué que la croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac devrait se poursuivre à un*socio=rien rythme*socio=ec2 proche du*socio=rien potentiel*socio=uv4 en 1997 - 98, et a noté que l'inflation*socio=ec1 *socio=rien reste faible *socio=nil malgré la *socio=rien forte utilisation des*socio=nil ressources*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Toutefois, comme le risque*socio=uv3 d'une reprise de l'inflation*socio=ec1 subsiste, les administrateurs*socio=ac se sont félicités du*socio=rien resserrement*socio=ec2 préventif*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil opéré par la Réserve*socio=ec1 fédérale*socio=et. Ils ont estimé aussi qu'en dépit*socio=rien des progrès*socio=uv1 notables*socio=rien accomplis depuis quelques années*socio=rien, les efforts*socio=uv1 engagés pour équilibrer le budget*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme *socio=nil et éviter *socio=rien un creusement du déficit*socio=ec1 *socio=nil à plus long_terme*socio=te doivent être*socio=rien poursuivis, car les projections*socio=ec2 tablent sur*socio=rien une progression*socio=ec2 rapide*socio=rien des dépenses*socio=ec1 de retraite*socio=ec1 et des soins_de_santé*socio=et aux personnes*socio=ac âgées*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont évoqué également la possibilité*socio=rien d'une correction*socio=ec2 *socio=rien majeure du *socio=ec1 marché boursier,*socio=nil *socio=nil mais la plupart*socio=rien d'entre eux ont jugé que celle-ci n'aurait pas nécessairement *socio=rien un effet *socio=nil déstabilisateur, ni de conséquences*socio=rien particulièrement graves*socio=uv4 pour les États-unis*socio=ac ou pour l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. S'agissant du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac, certains administrateurs*socio=ac ont observé que la position*socio=rien relativement avancée de l'économie*socio=ec1 dans le *socio=te cycle conjoncturel *socio=nil et la menace*socio=uv1 concomitante*socio=rien d'une surchauffe justifiaient une *socio=rien hausse préventive des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil même si la vigueur*socio=uv3 de la livre sterling*socio=ec1 atténue quelque peu ce risque*socio=uv3. Au Japon*socio=ac, où la croissance*socio=uv3 fluctue autour d'un*socio=rien taux*socio=ec1 modéré depuis 1995, la reprise devrait se poursuivre en 1997. Selon certains administrateurs*socio=ac, il faudra ralentir le rythme*socio=ec2 de l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et si cette reprise donne des signes d'essoufflement*socio=ec1; plusieurs autres intervenants*socio=ac, toutefois, l'ont jugée assez vigoureuse*socio=rien pour qu'il n'y ait pas lieu*socio=rien de relâcher cet effort*socio=uv1 d'assainissement*socio=uv3, ou ont estimé qu'il n'existe guère de marge pour une détente*socio=rien budgétaire*socio=et, même si l'activité*socio=rien devait se révéler plus faible*socio=rien que prévu. Ils étaient d'avis*socio=rien que la poursuite*socio=rien de l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et *socio=rien est primordiale *socio=nil pour conserver la confiance*socio=uv1 des marchés_financiers*socio=ec1 et répondre aux besoins*socio=uv1 budgétaires*socio=et liés au vieillissement*socio=ec2 démographique*socio=ec1. Plusieurs administrateurs*socio=ac se sont inquiétés de la fragilité*socio=uv1 de certains *socio=rien éléments du secteur financier*socio=ec1 au*socio=nil Japon*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et la plupart*socio=rien des intervenants*socio=ac ont souligné le rôle*socio=et déterminant*socio=rien des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, et notamment de la déréglementation*socio=et, pour les perspectives*socio=te à moyen*socio=rien et à long_terme*socio=te de l'économie*socio=ec1 japonaise*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont exprimé leur *socio=rien déception face au*socio=nil rythme*socio=ec2 de*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil de l'Europe*socio=ac continentale*socio=te en 1996, mais ont observé que les progrès*socio=uv1 liés au processus*socio=te de convergence*socio=uv3 enclenché par le Traité*socio=rien de Maastricht*socio=et pourraient ouvrir la voie*socio=rien à de meilleurs*socio=uv4 résultats*socio=rien à l'avenir*socio=te. La marche*socio=rien vers l'UEM*socio=et a un*socio=rien coût*socio=ec1, qui s'explique par les incertitudes*socio=uv3 persistantes*socio=rien qui minent la confiance*socio=uv1 des entreprises*socio=ac et des consommateurs*socio=ac et contribuent à l'atonie*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 et de l'activité*socio=rien, et par l'impact*socio=rien à court_terme*socio=te du*socio=rien processus*socio=te d'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et dans certains pays*socio=ac. Plusieurs intervenants*socio=ac ont souligné combien il importe de sortir au plus tôt de cette phase*socio=te en menant le projet*socio=et à terme*socio=rien dans les délais*socio=rien prévus, et ont exhorté les gouvernements*socio=ac à respecter les engagements*socio=et pris sur*socio=rien le plan*socio=rien budgétaire*socio=et et structurel*socio=ec2. Ils ont exprimé leur crainte*socio=uv1 que des turbulences*socio=ec2 n'agitent les marchés_financiers*socio=ec1 si l'idée*socio=rien d'un*socio=rien report*socio=rien éventuel*socio=te *socio=rien du lancement *socio=nil de l'UEM*socio=et gagne *socio=rien du terrain.*socio=nil Chacun*socio=nil est *socio=nil convenu, surtout, que l'absence*socio=rien de mesures*socio=et adéquates*socio=uv2 pour remédier aux rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 des marchés_du_travail*socio=ec1 et des produits*socio=rien en Europe*socio=ac est*socio=rien une raison*socio=rien essentielle*socio=uv4 *socio=rien du manque de*socio=nil dynamisme*socio=uv3 économique*socio=ec1 *socio=nil et de l'ampleur*socio=rien du*socio=rien chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2. Quant à la politique_budgétaire*socio=et en Europe*socio=ac, les administrateurs*socio=ac ont estimé que, bien*socio=rien que les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et structurels*socio=ec2 aient été*socio=rien sensiblement réduits, certains pays*socio=ac présentent encore des déséquilibres*socio=uv3 excessifs*socio=uv4 : poursuivre l'effort*socio=uv1 de résorption*socio=ec2 durable*socio=uv4 des déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et reste*socio=rien donc une priorité*socio=uv4. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont félicités de la détente*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires en*socio=nil Allemagne*socio=ac *socio=nil et dans d'autres pays*socio=ac participant*socio=rien au MCE. Quelques-uns, tout en convenant que l'Allemagne*socio=ac a mené une politique_monétaire*socio=et d'accompagnement*socio=rien de la conjoncture*socio=ec2, ont estimé qu'il *socio=rien est possible *socio=nil de réduire davantage les taux_d'_intérêt*socio=ec1. D'autres administrateurs*socio=ac ont indiqué cependant que les *socio=ec1 conditions monétaires en*socio=nil vigueur*socio=uv3 en*socio=nil Allemagne*socio=ac *socio=nil ne font pas obstacle*socio=uv3 à la croissance*socio=uv3, et ont souligné qu'il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 de poursuivre une politique_monétaire*socio=et prudente*socio=uv2 si l'on veut préserver la confiance*socio=uv1 durant la dernière*socio=rien phase*socio=te de l'UEM*socio=et. Le Conseil*socio=ac est*socio=rien convenu que l'amélioration*socio=uv1 des performances*socio=uv3 économiques*socio=ec1 dans les *socio=ac pays européens *socio=nil et au Japon*socio=ac passe d'abord*socio=rien par des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 et a observé que, si des progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien accomplis, ils ont été*socio=rien jusqu'ici insuffisants*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac ont engagé vivement ces pays*socio=ac à mobiliser le consensus*socio=uv1 social*socio=et nécessaire*socio=rien à la mise en oeuvre*socio=rien de telles politiques*socio=et. Dans la *socio=rien majeure partie *socio=nil de l'Europe*socio=ac, il y a lieu*socio=rien de réformer *socio=rien un système réglementaire*socio=et *socio=nil complexe et des *socio=et régimes sociaux et*socio=nil fiscaux *socio=nil qui découragent la création*socio=uv4 et la recherche*socio=ec2 d'emplois*socio=ec1, tout en conservant *socio=rien un niveau raisonnable*socio=uv4 de*socio=nil protection_sociale*socio=et *socio=nil et en s'efforçant de respecter des objectifs*socio=uv3 d'équité*socio=uv1 légitimes*socio=uv2. La réduction*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1 atténuera, d'elle même, l'une des *socio=rien principales causes d'*socio=nil inégalité*socio=uv1 des*socio=nil revenus*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil tout en améliorant les résultats*socio=rien budgétaires*socio=et. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont mis en relief*socio=rien les enseignements*socio=et qui peuvent être*socio=rien tirés des expériences*socio=ec2 encourageantes*socio=uv4 des pays*socio=ac où le marché_du_travail*socio=ec1 est*socio=rien plus souple*socio=uv4 (Danemark*socio=ac, États-unis*socio=ac, Irlande*socio=ac, Nouvelle-zélande*socio=ac, Pays-bas*socio=ac ou Royaume-uni*socio=ac, entre autres). Dans le *socio=rien cas du Japon*socio=ac,*socio=nil il*socio=nil est particulièrement*socio=nil urgent*socio=uv4 *socio=nil de libéraliser davantage les secteurs*socio=rien qui produisent pour le marché*socio=ec1 intérieur*socio=te, lequel est*socio=rien encore excessivement réglementé, peu concurrentiel*socio=ec2 et inefficace*socio=uv4. pays_en_développement*socio=uv3. Lors*socio=rien de leur réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1996, les administrateurs*socio=ac s'étaient réjouis que de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 continuaient de connaître une expansion*socio=ec2 vigoureuse*socio=rien, et avaient accueilli favorablement la reprise et l'accélération*socio=ec2 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 vers l'amérique_latine*socio=ac après*socio=rien le règlement*socio=et de la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac. Ils avaient jugé encourageant que beaucoup d'autres pays*socio=ac à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien aient continué de bénéficier d'entrées de capitaux*socio=ec1 considérables*socio=rien, qui ont permis*socio=rien de relâcher les contraintes*socio=uv1 de financement*socio=ec1 et amélioré les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 dans les pays_d'_accueil*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac s'attendaient à une accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3 de l' hémisphère_occidental*socio=te, et s'étaient montrés optimistes*socio=uv2 quant aux perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 en Afrique*socio=ac. L'expansion*socio=ec2 devait retrouver un*socio=rien rythme*socio=ec2 plus soutenable*socio=uv4 - quoique toujours rapide*socio=rien - en Asie*socio=ac suite*socio=rien au resserrement*socio=ec2 des politiques_économiques*socio=et opéré par plusieurs pays*socio=ac pour désamorcer les risques*socio=uv3 de surchauffe. Lorsqu'ils ont examiné à nouveau*socio=rien les perspectives*socio=te des pays_en_développement*socio=uv3 en mars-avril 1997, les administrateurs*socio=ac ont pris note de l'atténuation*socio=ec2 des signes de surchauffe observée, depuis l'évaluation*socio=ec2 de septembre*socio=rien 1996, dans beaucoup des pays_en_développement*socio=uv3 les plus prospères*socio=ec2, et ont souligné qu'elle améliore leurs chances*socio=rien de connaître une expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4. Les mouvements_spéculatifs*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et des capitaux*socio=ec1 de plusieurs pays*socio=ac à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien restent une source*socio=rien de préoccupation*socio=uv4, de même que la viabilité*socio=uv3 des déficits*socio=ec1 *socio=te extérieurs courants considérables*socio=rien *socio=nil qu'ils ont accumulés, et qui appellent des mesures*socio=et appropriées. La croissance*socio=uv3 devrait encore se renforcer dans les pays_en_développement*socio=uv3 de l'hémisphère_occidental*socio=te, et l'inflation*socio=ec1 confirmer son ralentissement*socio=ec2. Au Moyen-orient*socio=ac, les réformes*socio=et économiques*socio=ec1 engagées récemment devraient étayer la croissance*socio=uv3, mais l'effort*socio=uv1 d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 devra être*socio=rien poursuivi pour réduire la dépendance*socio=uv1 envers les *socio=ec1 recettes pétrolières *socio=nil et améliorer les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 à long_terme*socio=te. Les administrateurs*socio=ac se sont dits particulièrement encouragés par les chiffres de croissance*socio=uv3 de l'Afrique*socio=ac et ont estimé que l'on peut raisonnablement tabler sur*socio=rien des résultats*socio=rien assez proches*socio=rien, en 1997, de ceux de 1996, qui représentaient la meilleure*socio=uv4 performance*socio=uv3 de la région*socio=te depuis plus de *socio=rien vingt ans.*socio=nil Pays*socio=ac en*socio=nil transition*socio=ec2.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de leur réunion*socio=rien de mars*socio=rien - avril*socio=rien 1997, les administrateurs*socio=ac se sont félicités des nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 de la stabilisation_macro-économique*socio=ec1 dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2, qui connaissent pour la *socio=rien plupart un ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de l'inflation*socio=ec1 et une reprise de la croissance*socio=uv3. Ils ont relevé cependant que les pays*socio=ac qui ont engagé les réformes*socio=et le plus vite et le plus énergiquement continuent d'afficher des résultats*socio=rien très différents*socio=rien de ceux qu'enregistrent les pays*socio=ac dont l'effort*socio=uv1 a été*socio=rien plus tardif et moins déterminé. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont insisté sur*socio=rien la complémentarité*socio=rien des mesures*socio=et à prendre, et mis en garde*socio=rien contre la lenteur*socio=rien des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 dans plusieurs pays*socio=ac, qui risque*socio=uv3 de compromettre le succès*socio=uv1 des politiques*socio=et de stabilisation*socio=et. Il ne peut y avoir de croissance*socio=uv3 soutenue sans *socio=rien un bon fonctionnement des*socio=nil institutions*socio=ac nécessaires *socio=nil à l'économie_de_marché*socio=ec1, une gestion*socio=ec2 efficace*socio=uv4 des affaires_publiques*socio=et, notamment un*socio=rien budget*socio=ec1 transparent*socio=uv4 et *socio=rien un bon recouvrement*socio=ec1 des*socio=nil recettes*socio=ec1,*socio=nil une*socio=nil consolidation*socio=uv3 du régime*socio=et *socio=nil de la propriété*socio=ec1 et le respect*socio=uv1 de l'État*socio=ac de droit*socio=uv1. Le Conseil*socio=ac a souligné que les économies_en_transition*socio=ec1, y compris les plus avancées, ont encore beaucoup à faire pour mener à bien*socio=rien les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. Il leur faut en particulier*socio=rien poursuivre l'effort*socio=uv1 de restructuration*socio=et et de privatisation*socio=et des grandes*socio=rien entreprises*socio=ac, ainsi que la réorganisation*socio=uv3 *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont rappelé que ces réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, de même que l'amélioration*socio=uv1 du*socio=rien système_éducatif*socio=et et de la formation*socio=et, sont capitales*socio=et pour résorber le chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4 qui accompagne la transformation*socio=ec2 de ces pays*socio=ac. Inflation*socio=ec1 et rôle*socio=et de la politique_monétaire*socio=et. En septembre*socio=rien 1996, les administrateurs*socio=ac ont complété l'examen*socio=ec2 des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te par une analyse*socio=ec2 plus approfondie des relations*socio=rien entre l'inflation*socio=ec1 et la politique_monétaire*socio=et. Ils ont noté que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, dans toutes les régions*socio=te du*socio=rien monde*socio=te, ont réussi à ralentir l'inflation*socio=ec1 au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années *socio=nil et que, dans bien*socio=rien des cas*socio=rien, celle-ci est*socio=rien tombée à son niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien depuis plusieurs décennies*socio=te. Ils ont imputé ce résultat*socio=rien à l'adoption*socio=uv3 de politiques*socio=et énergiques*socio=ec1, et notamment d'une politique_monétaire*socio=et centrée sur*socio=rien sa mission*socio=et essentielle*socio=uv4, qui est*socio=rien d'assurer la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont observé qu'en dépit*socio=rien de l'essor*socio=rien des marchés*socio=ec1 d'actions*socio=ec1 et d'obligations*socio=uv1 dans certains pays*socio=ac, de la création*socio=uv4 de nouveaux*socio=rien instruments*socio=et financiers*socio=ec1 et de l'ouverture*socio=uv3 accrue des économies*socio=ec1 aux capitaux*socio=ec1 extérieurs*socio=te, la politique_monétaire*socio=et *socio=rien reste un outil efficace*socio=uv4 *socio=nil de la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1. Néanmoins, comme les mutations_structurelles*socio=ec2 ont allongé les délais*socio=rien de transmission*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et, l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et préventives*socio=rien en cas*socio=rien de menace*socio=uv1 inflationniste*socio=ec2 a pris une importance*socio=rien accrue, de même que la cohérence*socio=uv3 et la crédibilité*socio=uv1 des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2. en particulier*socio=rien, la souplesse*socio=uv3 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1, la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des produits*socio=rien et l'ouverture*socio=uv3 aux échanges*socio=ec1 et aux flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 complètent les politiques_monétaires*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2. Certains administrateurs*socio=ac ont estimé aussi qu'il convient de limiter*socio=rien les mesures*socio=et d'accompagnement*socio=rien monétaire*socio=ec1 en cas*socio=rien de chocs*socio=ec2 sur*socio=rien l'offre*socio=ec1, car l'inflation*socio=ec1 tend alors à être*socio=rien intégrée aux anticipations*socio=uv3 et à *socio=rien devenir chronique.*socio=nil Mondialisation*socio=ec2.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de leurs discussions*socio=et de mars*socio=rien - avril*socio=rien 1997, les administrateurs*socio=ac se sont penchés sur*socio=rien la question*socio=rien de la mondialisation*socio=ec2, et en *socio=rien particulier sur les*socio=nil conséquences *socio=nil - pour l'action*socio=ec1 des pouvoirs_publics*socio=et, en particulier*socio=rien - de l'intégration*socio=uv1 rapide*socio=rien des économies*socio=ec1 nationales*socio=te par le biais*socio=rien des échanges_commerciaux*socio=ec1, des *socio=ec1 flux financiers,*socio=nil des*socio=nil transferts de*socio=nil technologie,*socio=nil des*socio=nil réseaux*socio=rien d'*socio=nil information*socio=rien et*socio=nil du*socio=rien *socio=nil brassage des cultures*socio=et. Les administrateurs*socio=ac se sont accordés à dire que la mondialisation*socio=ec2 a apporté une contribution*socio=uv1 énorme*socio=rien à la prospérité*socio=uv1 mondiale*socio=te. Les pays*socio=ac qui ont choisi de s'adapter*socio=rien au processus*socio=te de mondialisation*socio=ec2 en engageant des réformes*socio=et, en libéralisant leurs marchés*socio=ec1 et en poursuivant des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 saines*socio=uv2 ont obtenu en général*socio=rien de *socio=rien bons résultats.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont souligné que la question*socio=rien n'est*socio=rien pas, pour les gouvernements*socio=ac, de trouver les moyens*socio=ec1 de résister à la mondialisation*socio=ec2, mais de mettre leur économie*socio=ec1 en situation*socio=rien d'en tirer parti*socio=et. Si la mondialisation*socio=ec2 peut avoir une incidence*socio=ec2 négative*socio=rien, à court_terme*socio=te, sur*socio=rien l'emploi*socio=ec1 et les rémunérations*socio=ec1 dans certains segments*socio=rien de la société*socio=ac durant la phase*socio=te d'ajustement*socio=et, elle n'est*socio=rien pas la *socio=rien cause principale *socio=nil de l'évolution*socio=te défavorable*socio=uv4 de l'emploi*socio=ec1 et de la répartition*socio=uv3 des revenus*socio=ec1 observée dans certaines*socio=rien économies*socio=ec1 avancées. Les administrateurs*socio=ac ont encouragé les gouvernements*socio=ac à redoubler d'efforts*socio=uv1 pour aider le public*socio=et à distinguer ce qui est*socio=rien imputable*socio=uv2 à la mondialisation*socio=ec2 de ce qui ne l'_est*socio=te pas. Trop souvent, en effet*socio=rien, le débat*socio=et tend à privilégier les *socio=rien aspects négatifs apparents *socio=nil de la mondialisation*socio=ec2, tels que l'influence néfaste*socio=rien qu'elle *socio=rien est censée exercer*socio=nil sur l'*socio=nil emploi*socio=ec1 *socio=nil et les salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2 dans les secteurs*socio=rien où main-d'_oeuvre*socio=ac est*socio=rien peu qualifiée*socio=uv4. L'analyse*socio=ec2 des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, selon laquelle l'essor*socio=rien du*socio=rien commerce*socio=ec1 avec les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 n'a pas sensiblement contribué au recul*socio=rien de la part*socio=rien des industries*socio=ec1 de transformation*socio=ec2 dans l'emploi*socio=ec1 des économies*socio=ec1 avancées, a recueilli une large*socio=rien adhésion*socio=uv1. Cet essor*socio=rien n'explique pas non plus, pour l'essentiel*socio=uv4, la baisse*socio=ec2 relative*socio=rien des salaires*socio=ec1 des travailleurs*socio=ac peu qualifiés*socio=uv4. La désindustrialisation (la contraction*socio=ec2 de la part*socio=rien de l'industrie*socio=ec1 dans l'emploi*socio=ec1 total*socio=rien) semble due surtout à la croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien de la productivité*socio=uv3 du*socio=rien travail*socio=ec1 dans les industries*socio=ec1 de transformation*socio=ec2, croissance*socio=uv3 rendue possible*socio=rien par le progrès*socio=uv1 technique*socio=rien. L'évolution*socio=te des technologies*socio=ec1 paraît aussi avoir pesé sur*socio=rien les écarts*socio=ec2 de salaires*socio=ec1. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont souligné que l'amélioration*socio=uv1 de l'éducation*socio=et et de la formation*socio=et doit être*socio=rien une priorité*socio=uv4, car il faut accompagner à la fois*socio=rien le déplacement*socio=rien de l'emploi*socio=ec1 vers *socio=rien un secteur des*socio=nil services*socio=et *socio=nil qui se développe à mesure*socio=rien que les économies*socio=ec1 gagnent en maturité*socio=uv1, et le creusement*socio=rien des écarts*socio=ec2 de salaires*socio=ec1 lié aux qualifications*socio=uv3 nouvelles*socio=rien qu'exige le perfectionnement*socio=rien des techniques*socio=rien. Certains intervenants*socio=ac ont jugé qu'il *socio=rien est bon *socio=nil que les gouvernements*socio=ac pourvoient à l'indemnisation*socio=ec1 temporaire*socio=rien des travailleurs*socio=ac touchés par les effets*socio=rien adverses de la mondialisation*socio=ec2, alors que d'autres ont estimé que le marché*socio=ec1, en offrant de nouveaux*socio=rien débouchés*socio=ec1, est*socio=rien mieux à même d'aider ces derniers*socio=rien. De l'avis*socio=rien général*socio=rien, la mondialisation*socio=ec2 ne complique pas la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv3 de la politique_économique*socio=ec1, même si l'ampleur*socio=rien des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te a parfois *socio=rien un effet *socio=nil déstabilisateur et fausse*socio=rien les prix*socio=ec1 des actifs*socio=ec1. Dans une économie*socio=ec1 en voie*socio=rien d'intégration*socio=uv1, toutefois, un*socio=rien pays*socio=ac peut plus difficilement poursuivre une politique*socio=et incompatible*socio=uv4 avec la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil La*socio=nil mondialisation*socio=ec2 *socio=nil accroît le coût*socio=ec1 des distorsions*socio=uv3 et des déséquilibres*socio=uv3 économiques*socio=ec1, mais elle amplifie aussi, de toute évidence*socio=rien, les retombées*socio=rien bénéfiques*socio=uv1 des politiques*socio=et bien*socio=rien conçues. Si chacun adapte sa politique_économique*socio=ec1 aux impératifs*socio=uv4 de marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te concurrentiels*socio=ec2, tous les pays*socio=ac devraient être*socio=rien mieux à même de développer leurs avantages_comparatifs*socio=ec2. En dépit*socio=rien de l'amélioration*socio=uv1 spectaculaire*socio=rien des niveaux_de_vie*socio=uv1 observée dans la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 au cours*socio=rien des trente *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont dits déçus que le revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac de beaucoup de ces pays*socio=ac ne se rapproche pas des niveaux*socio=rien atteints dans les économies*socio=ec1 avancées. Dans de nombreuses*socio=rien régions*socio=te, l'écart*socio=ec2 s'est*socio=rien en fait*socio=rien creusé. Les pays*socio=ac qui ont choisi d'orienter leur politique_économique*socio=ec1 dans le sens*socio=rien de la mondialisation*socio=ec2 ont obtenu en général*socio=rien des résultats*socio=rien tout à fait*socio=rien positifs*socio=uv4, et suivent aujourd'hui une trajectoire*socio=ec2 de convergence*socio=uv3 avec les économies*socio=ec1 avancées. Il existe une forte*socio=rien corrélation*socio=ec2 entre l'ouverture*socio=uv3 d'un*socio=rien pays*socio=ac aux échanges*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3 de son revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac. Les économies*socio=ec1 ouvertes*socio=rien sont en mesure*socio=rien de tirer parti*socio=et de l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1, d'accroître leurs parts*socio=rien de marché*socio=ec1 et d'attirer davantage d'investissements*socio=ec1 étrangers*socio=te. En revanche, les pays*socio=ac qui n'ont pas adapté leur politique_économique*socio=ec1 au contexte*socio=rien de mondialisation*socio=ec2 risquent probablement de voir s'amenuiser leur part*socio=rien des échanges_mondiaux*socio=ec1 et des flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1 et de se laisser distancer. La menace*socio=uv1 d'une marginalisation*socio=uv1 pèse*socio=rien de plus en plus lourdement sur*socio=rien ceux qui résistent à la mondialisation*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac ont pris acte*socio=et de l'analyse*socio=ec2 que les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac ont consacrée au bilan*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil et qui insiste sur*socio=rien la complémentarité*socio=rien des mesures*socio=et prises*socio=rien dans le domaine*socio=rien économique*socio=ec1. Ils ont reconnu qu'une combinaison*socio=rien judicieuse*socio=uv4 de politiques_économiques*socio=et contribue grandement, d'ordinaire*socio=rien, à la croissance*socio=uv3. Si les résultats*socio=rien sont médiocres*socio=uv2 dans *socio=rien un domaine,*socio=nil la*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil tendra à marquer le pas indépendamment des succès*socio=uv1 enregistrés dans d'autres secteurs*socio=rien. Les meilleurs*socio=uv4 résultats*socio=rien sont obtenus le plus souvent lorsque la politique*socio=et menée réussit sur*socio=rien la plupart*socio=rien des fronts*socio=rien. Le Conseil*socio=ac s'est*socio=rien aussi penché sur*socio=rien les avantages*socio=rien à attendre de la réintégration des économies_en_transition*socio=ec1 dans le système*socio=rien international*socio=te et les problèmes*socio=uv4 qu'elle soulève. Ils ont jugé encourageante*socio=uv2 la réorientation*socio=et *socio=rien progressive du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te *socio=nil vers une distribution*socio=rien des exportations*socio=ec1 et des importations*socio=ec1 en fonction*socio=rien des forces_du_marché*socio=ec1, de même que la croissance*socio=uv3 de la productivité*socio=uv3 et des salaires*socio=ec1 qui l'accompagne. Les administrateurs*socio=ac ont observé que les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 qui se sont intégrés le plus vite au système*socio=rien commercial*socio=ec1 international*socio=te sont en général*socio=rien ceux qui ont pris très tôt des mesures*socio=et de stabilisation*socio=et et les ont appliquées avec succès*socio=uv1. Ils se sont félicité aussi *socio=rien du retour progressif *socio=nil de ces pays*socio=ac sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te. Enfin, les administrateurs*socio=ac se sont dits inquiets*socio=rien des conséquences*socio=rien de l'instabilité*socio=uv3 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 pour les pays_en_développement*socio=uv3 ou en transition*socio=ec2. Ils ont reconnu que, le plus souvent, la meilleure*socio=uv4 réponse*socio=rien aux contraintes*socio=uv1 de la mondialisation*socio=ec2 n'est*socio=rien pas d'imposer des restrictions*socio=et aux mouvements_de_capitaux*socio=ec1, mais plutôt d'adopter des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 saines*socio=uv2, transparentes*socio=uv4 et viables*socio=uv4 de nature*socio=rien à protéger l'économie*socio=ec1 des soudains*socio=rien changement*socio=uv3 d'opinion*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1. Marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1. En juillet*socio=rien 1996, le Conseil*socio=ac a procédé*socio=rien à son examen*socio=ec2 annuel*socio=te de l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont saisi cette occasion*socio=rien pour réfléchir aux moyens*socio=ec1 d'étendre à un*socio=rien plus *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac l'*socio=nil application de*socio=nil normes*socio=et *socio=nil appropriées de contrôle*socio=uv3 et de réglementation*socio=et des activités*socio=rien bancaires*socio=ec1, ainsi que d'élargir le rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans ce domaine*socio=rien. Ils ont aussi examiné comment réduire encore les risques*socio=uv3 de turbulences*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 vers les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac ont pris note de la vitesse*socio=rien à laquelle les flux*socio=ec1 nets*socio=rien de capitaux*socio=ec1 vers les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 ont repris après*socio=rien les perturbations*socio=ec2 liées à la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 mexicaine*socio=ac au début*socio=rien de 1995. De l'avis*socio=rien général*socio=rien, les investisseurs*socio=ac ont pris davantage conscience*socio=uv1 des risques*socio=uv3 inhérents*socio=rien aux investissements*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2. Ils recourent notamment à une plus *socio=rien large gamme d'*socio=nil indicateurs*socio=ec1 *socio=nil de l'évolution*socio=te macro-économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 et de la solidité*socio=uv3 des systèmes_bancaires*socio=ec1 pour évaluer la situation*socio=rien économique*socio=ec1 et les possibilités*socio=rien d'investissement*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 naissants*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont noté en particulier*socio=rien que les investisseurs*socio=ac se montrent plus rigoureux*socio=uv4 dans le choix*socio=uv1 des types de placement*socio=ec1 et de la destination*socio=rien de ces investissements*socio=ec1, ainsi qu'en témoignent*socio=rien le recul*socio=rien des flux*socio=ec1 d'investissements*socio=ec1 de portefeuille*socio=ec1 plus volatils, l'essor*socio=rien de l'investissement_direct_étranger*socio=ec1 et des prêts*socio=ec1 extra-territoriaux dans la plupart*socio=rien des régions*socio=te ou la redistribution*socio=et des flux*socio=ec1 entre les régions*socio=te et entre les pays*socio=ac d'une même région*socio=te. Gestion*socio=ec2 des risques*socio=uv3. Les administrateurs*socio=ac se sont réjouis de l'impact*socio=rien positif*socio=uv4 des évolutions*socio=te susmentionnées sur*socio=rien la stabilité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1, mais ont mis en garde*socio=rien contre toute complaisance. En effet*socio=rien, des progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien doivent encore être*socio=rien accomplis pour que la qualité*socio=rien et la disponibilité*socio=rien des statistiques*socio=ec2 économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 - et donc les analyses*socio=ec2 qu'elles étayent - soient comparables*socio=rien aux données sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des pays_industrialisés*socio=ac. Certains administrateurs*socio=ac se sont inquiétés en particulier*socio=rien de la redistribution*socio=et des portefeuilles*socio=ec1 vers les obligations*socio=uv1 libellées en yen*socio=ec1 et en *socio=ec1 deutsche mark.*socio=nil *socio=nil Faute de disposer d'une couverture*socio=ec1 suffisante*socio=rien, les emprunteurs*socio=ac pourraient se trouver exposés à un*socio=rien risque*socio=uv3 de change*socio=ec1 supérieur*socio=rien à celui qu'ils peuvent gérer. De même, les prêteurs*socio=ac pourraient courir un*socio=rien risque*socio=uv3 de crédit*socio=ec1 plus important*socio=uv4, au total*socio=rien, que celui qu'ils ont calculé. Les administrateurs*socio=ac ont indiqué qu'il y a lieu*socio=rien de surveiller cet aspect*socio=rien de la gestion*socio=ec2 des passifs*socio=ec1 dans plusieurs pays*socio=ac à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont analysé le développement*socio=uv3 rapide*socio=rien et la *socio=rien complexité croissante des*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1 *socio=nil et insisté sur*socio=rien le rôle*socio=et central*socio=rien de ces marchés*socio=ec1 dans le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Ils ont salué les *socio=rien initiatives récentes du Groupe*socio=ac *socio=nil des Dix, qui visent à encourager une meilleure*socio=uv4 gestion_privée*socio=et des risques*socio=uv3 afin de réduire le risque*socio=uv3 de règlement*socio=et, soulignant que la réduction*socio=ec2 de ce risque*socio=uv3 incombe au premier_chef*socio=rien au secteur_privé*socio=et. Surveillance*socio=et des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1. L'examen*socio=ec2 des tendances*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac a permis*socio=rien aux administrateurs*socio=ac de noter que l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1 depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 90 montre qu'ils sont devenus plus résistants. Ils ont jugé néanmoins qu'il serait prématuré*socio=rien d'en conclure que les établissements*socio=ac financiers*socio=ec1 sont capables*socio=rien de réagir avec promptitude*socio=uv1 et efficacité*socio=uv3 à la plupart*socio=rien des perturbations*socio=ec2, et notamment à des fluctuations*socio=ec2 inattendues*socio=rien et sensibles*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 ou de change*socio=ec1. Dans ce domaine*socio=rien aussi, la prudence*socio=uv1 est*socio=rien de rigueur*socio=uv3. Les administrateurs*socio=ac ont noté que les systèmes_bancaires*socio=ec1 des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac ont considérablement*socio=rien amélioré leur situation*socio=rien financière*socio=ec1, leurs résultats*socio=rien et leur gestion*socio=ec2 des risques*socio=uv3. Toutefois, certains pays*socio=ac connaissent encore des problèmes*socio=uv4 et il n'est*socio=rien pas exclu*socio=rien que l'intensification*socio=ec2 de la concurrence*socio=ec1 et l'essor*socio=rien de nouveaux*socio=rien types de *socio=ec1 transactions financières encore*socio=nil mal*socio=rien *socio=nil maîtrisées créent des tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont souligné qu'il importe que les pays_en_développement*socio=uv3 améliorent la réglementation*socio=et et l'infrastructure*socio=ec1 de leurs marchés*socio=ec1; les autorités*socio=et nationales*socio=te doivent renforcer le contrôle*socio=uv3 et la surveillance*socio=et de leur secteur*socio=rien financier*socio=ec1 respectif*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont examiné les mécanismes*socio=et qui garantissent la stabilité*socio=uv3 et l'efficacité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te. Ils ont observé que les *socio=rien initiatives prises *socio=nil par les Dix pour coordonner et harmoniser leurs activités*socio=rien de réglementation*socio=et et de contrôle*socio=uv3 - par l'intermédiaire*socio=rien du*socio=rien Comité*socio=ac de Bâle sur*socio=rien le contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1, surtout - ont mis en lumière*socio=rien une série de questions*socio=rien importantes*socio=uv4. Ils ont pris note en particulier*socio=rien des directives*socio=et *socio=rien récentes sur les*socio=nil normes*socio=et de*socio=nil fonds*socio=ec1 propres *socio=nil pour le risque*socio=uv3 de marché*socio=ec1 couru par les banques*socio=ac internationales*socio=te, des principes*socio=ec2 qui devraient régir la répartition*socio=uv3 des responsabilités*socio=uv1 du*socio=rien contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1 entre le pays*socio=ac d'origine*socio=rien et le pays_d'_accueil*socio=ac, et des accords*socio=et sur*socio=rien le partage*socio=uv1 des *socio=rien informations relatives *socio=nil à ce contrôle*socio=uv3. Les administrateurs*socio=ac se sont accordés dans l'ensemble*socio=rien à penser que les mécanismes*socio=et actuels*socio=te de réglementation*socio=et et de contrôle*socio=uv3 ont permis*socio=rien en général*socio=rien de répondre à l'évolution*socio=te du*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont remarqué qu'en dépit*socio=rien de ces succès*socio=uv1, des *socio=uv4 problèmes importants *socio=nil demeurent. L'approche de la formulation*socio=rien et de l'application*socio=rien de la politique*socio=et de réglementation*socio=et et de contrôle*socio=uv3 suivie par le Groupe*socio=ac des Dix doit être*socio=rien adaptée et étendue à un*socio=rien plus *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil C'*socio=nil est important*socio=uv4 *socio=nil non seulement pour préserver la stabilité*socio=uv3 du*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te, mais aussi pour renforcer l'efficacité*socio=uv3 des établissements*socio=ac bancaires*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3. Rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont salué les efforts*socio=uv1 déployés par le Comité*socio=ac de Bâle et la banque_des_règlements_internationaux*socio=ac (BRI*socio=ac) pour aider les organismes*socio=ac régionaux*socio=te de contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1 - et les pays*socio=ac non membres*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Dix - à formuler et à mettre en oeuvre*socio=rien des méthodes*socio=ec2 de réglementation*socio=et et de contrôle*socio=uv3 plus efficaces*socio=uv4. Ils ont estimé qu'il n'est*socio=rien pas nécessaire*socio=rien, dans ces conditions*socio=ec1, de mettre *socio=rien sur pied un nouveau *socio=et dispositif institutionnel.*socio=nil *socio=nil Cependant, les membres*socio=ac du*socio=rien Conseil*socio=ac ont souligné que le FMI*socio=ac, fort*socio=rien de sa dimension*socio=rien universelle*socio=uv2, pourrait jouer un*socio=rien rôle*socio=et essentiel*socio=uv4 en favorisant la mise en place*socio=rien de systèmes_bancaires*socio=ec1 solides*socio=uv4 et l'observation*socio=ec2 de normes*socio=et internationales*socio=te dans les pays*socio=ac à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien, les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 et les pays_en_développement*socio=uv3. Les administrateurs*socio=ac sont convenus qu'il y a lieu*socio=rien d'établir des normes*socio=et internationales*socio=te de réglementation*socio=et et de contrôle*socio=uv3, qui devraient couvrir les aspects*socio=rien essentiels*socio=uv4 des règles*socio=et prudentielles*socio=uv2, les *socio=rien grandes lignes du cadre réglementaire*socio=et,*socio=nil la*socio=nil division internationale*socio=ac des*socio=nil responsabilités*socio=uv1 du contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1 *socio=nil et l'échange*socio=ec1 des *socio=rien informations relatives *socio=nil à celui-ci. Le FMI*socio=ac pourrait, dans le cadre*socio=rien de sa mission*socio=et, contribuer à la diffusion*socio=rien de ces normes*socio=et. Il pourrait aussi aider à suivre les progrès*socio=uv1 accomplis dans l'adaptation*socio=uv3 et l'observation*socio=ec2 de celles-ci. Dans les discussions*socio=et qui ont suivi (voir, au chapitre*socio=rien 4, la section*socio=rien consacrée à la solidité*socio=uv3 des systèmes_bancaires*socio=ec1), les administrateurs*socio=ac ont souligné que le FMI*socio=ac devrait s'inspirer, entre autres, des principes*socio=ec2 fondamentaux*socio=uv4 pour un*socio=rien contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1 efficace*socio=uv4 auxquels travaille le Comité*socio=ac de Bâle, et collaborer étroitement avec les autres organismes*socio=ac ou groupements internationaux*socio=te, et notamment avec le Comité*socio=ac de Bâle et la banque_mondiale*socio=ac. Chapitre*socio=rien 4. Aspects*socio=rien de la surveillance*socio=et. Le FMI*socio=ac a pour mandat*socio=rien, aux termes*socio=rien de ses Statuts*socio=et, d'exercer une surveillance*socio=et ferme*socio=ec2 sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac afin de veiller sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te et d'en assurer le *socio=rien bon fonctionnement.*socio=nil *socio=nil À cette fin*socio=rien, le FMI*socio=ac détermine si la politique*socio=et financière*socio=ec1 et économique*socio=ec1 de chaque *socio=ac pays membre est*socio=rien *socio=nil adaptée à la réalisation*socio=uv1 d'une croissance*socio=uv3 ordonnée avec une stabilité*socio=uv3 raisonnable*socio=uv4 des prix*socio=ec1, à l'établissement*socio=rien d'une situation*socio=rien économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 stable*socio=uv4, au maintien*socio=rien d'un*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 qui ne produit*socio=rien pas de perturbations*socio=ec2 imprévisibles*socio=uv4 et à l'application*socio=rien de politiques*socio=et de change*socio=ec1 compatibles*socio=rien avec ces objectifs*socio=uv3. La surveillance*socio=et allie ainsi l'analyse*socio=ec2 des politiques_économiques*socio=et intérieures*socio=te des pays*socio=ac et l'examen*socio=ec2 de leurs conséquences*socio=rien pour le système_économique*socio=ec1 mondial*socio=te. Les deux principaux*socio=rien instruments*socio=et de la surveillance*socio=et sont les consultations*socio=uv1 annuelles*socio=te, dites consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, que le FMI*socio=ac tient avec chacun de ses membres*socio=ac, et, deux fois*socio=rien par an*socio=rien, les discussions*socio=et relatives*socio=rien aux Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, au cours*socio=rien desquelles *socio=rien diverses questions et*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil sont examinées dans une *socio=rien perspective globale.*socio=nil Ces*socio=nil consultations*socio=uv1 et*socio=nil examens*socio=ec2 *socio=nil sont complétés par d'autres discussions*socio=et, telles que celles relatives*socio=rien à l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1, ainsi que par les délibérations*socio=et que le Conseil*socio=ac consacre régulièrement aux *socio=uv4 problèmes importants propres*socio=rien *socio=nil à certains pays*socio=ac ainsi qu'à l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 et de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Les *socio=rien travaux du Conseil*socio=ac *socio=nil bénéficient de la participation*socio=uv3 du*socio=rien directeur_général*socio=ac à d'autres forums*socio=rien, tels que les discussions*socio=et de politique_économique*socio=ec1 du*socio=rien Groupe*socio=ac des sept pays*socio=ac les plus industrialisés. Le directeur_général*socio=ac fait*socio=rien connaître aux pays*socio=ac participants*socio=rien le point*socio=rien de *socio=rien vue du FMI*socio=ac sur les*socio=nil conséquences internationales*socio=te *socio=nil de leurs politiques_économiques*socio=et. La surveillance*socio=et exercée au moyen*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV est*socio=rien la *socio=rien voie principale du dialogue*socio=uv1 *socio=nil qui préside à la collaboration*socio=uv1 entre le FMI*socio=ac et ses membres*socio=ac (chapitre*socio=rien 5). Les accords*socio=et financiers*socio=ec1 formels*socio=rien autorisant le recours*socio=ec1 immédiat*socio=rien aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac constituent *socio=rien un cadre de*socio=nil coopération*socio=uv1 plus*socio=nil intensive *socio=nil pour les pays_membres*socio=ac qui connaissent des difficultés*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 (chapitre*socio=rien 9). En outre, certains pays_membres*socio=ac trouvent avantage à collaborer étroitement avec le FMI*socio=ac et ses services*socio=et de diverses*socio=rien autres manières*socio=rien : accords*socio=et financiers*socio=ec1 de précaution*socio=rien, programmes*socio=et non formalisés, dont les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac assurent le suivi, ou surveillance*socio=et renforcée. Dans certains cas*socio=rien, ce suivi plus intensif*socio=rien sert de prélude à un*socio=rien programme*socio=et appuyé par le FMI*socio=ac, car il permet en particulier*socio=rien de vérifier que le pays*socio=ac établit, ou rétablit, des antécédents*socio=ec1 satisfaisants*socio=uv4 dans l'application*socio=rien des politiques*socio=et. Dans d'autres cas*socio=rien, le suivi procure aux autorités*socio=et *socio=rien un cadre de*socio=nil référence *socio=nil qui leur permet de rassurer des tiers*socio=rien intéressés, tels que les donateurs*socio=ac, les créanciers*socio=ac ou les marchés_financiers*socio=ec1. La formule*socio=rien des accords*socio=et de précaution*socio=rien permet aux pays_membres*socio=ac intéressés de convenir avec le FMI*socio=ac d'un*socio=rien accord*socio=et de confirmation*socio=et ou d'un*socio=rien accord*socio=et élargi, mais sans faire usage*socio=rien des ressources*socio=ec1 engagées à ce titre*socio=rien. Les accords*socio=et de précaution*socio=rien sont utiles*socio=uv4 aux pays_membres*socio=ac qui souhaitent cadrer leur politique*socio=et financière*socio=ec1, mettre en relief*socio=rien l'appui*socio=uv1 qu'accorde le FMI*socio=ac à leur politique_économique*socio=ec1 et renforcer la confiance*socio=uv1 du*socio=rien public*socio=et à cet égard*socio=rien. Les programmes*socio=et non formalisés, dont les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac assurent le suivi, permettent aux pays_membres*socio=ac d'entretenir avec ces *socio=rien derniers un dialogue*socio=uv1 plus*socio=nil intensif que*socio=nil lors des*socio=nil consultations*socio=uv1 au*socio=nil titre *socio=nil de l'article*socio=rien IV, mais ils ne signifient pas pour autant que le FMI*socio=ac souscrit de *socio=rien façon formelle aux*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil appliquées. La surveillance*socio=et renforcée, qui n'entraîne pas non plus l'approbation*socio=uv1 *socio=rien formelle du FMI*socio=ac,*socio=nil *socio=nil consiste surtout en un*socio=rien suivi *socio=rien formel étroit du programme*socio=et économique*socio=ec1 du *socio=ac pays membre *socio=nil par le FMI*socio=ac. Cette procédure*socio=et a été*socio=rien établie en 1985 pour faciliter les accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et de dettes*socio=ec1 avec les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, mais sert occasionnellement à d'autres fins*socio=rien. Examen*socio=ec2 des pratiques*socio=et actuelles*socio=te. En 1996 / 97, le Conseil*socio=ac a examiné à la fois*socio=rien les stratégies*socio=et appliquées par les pays_membres*socio=ac pour soutenir la croissance*socio=uv3 mondiale*socio=te, et les progrès*socio=uv1 récents*socio=rien dans le renforcement*socio=ec2 de la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Politiques*socio=et des pays_membres*socio=ac dans le contexte*socio=rien de la surveillance*socio=et. Déclaration*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac. Lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien à Madrid en octobre*socio=rien 1994, le comité_intérimaire*socio=ac a publié une Déclaration*socio=et sur*socio=rien la coopération*socio=uv1 en vue*socio=rien de renforcer l'expansion*socio=ec2 mondiale*socio=te (Rapport*socio=rien annuel*socio=te 1995, p. 227). Cette déclaration*socio=et, tout en saluant l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, rappelait que les gouvernements*socio=ac du*socio=rien monde*socio=te entier*socio=rien restaient confrontés à des tâches*socio=rien ardues : soutenir la croissance*socio=uv3, réduire le chômage*socio=ec1 et éviter une résurgence*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 dans les pays_industrialisés*socio=ac; maintenir et renforcer la croissance*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3 par des programmes*socio=et énergiques*socio=ec1 d'ajustement*socio=et et de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2; et intégrer les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 dans l'économie*socio=ec1 internationale*socio=ac en les plaçant fermement *socio=rien sur un sentier de*socio=nil croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Afin de relever ces défis*socio=uv2, la Déclaration*socio=et traçait les *socio=rien grandes lignes *socio=nil de la stratégie*socio=et adoptée par le Comité*socio=ac. Cette stratégie*socio=et mettait l'accent*socio=rien sur*socio=rien des politiques*socio=et intérieures*socio=te bien*socio=rien conçues, la coopération_internationale*socio=uv3, et l'intégration*socio=uv1 mondiale*socio=te. Par la suite*socio=rien, dans le communiqué publié à l'issue*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1996, le Comité*socio=ac a demandé au Conseil*socio=ac de passer en revue les progrès*socio=uv1 accomplis vers le but*socio=rien énoncé dans la Déclaration*socio=et, et si nécessaire*socio=rien de réviser et d'améliorer celle-ci. Le Conseil*socio=ac a procédé*socio=rien à cet examen*socio=ec2 en septembre*socio=rien 1996, et est*socio=rien convenu que la stratégie*socio=et de coopération*socio=uv1 mondiale*socio=te à *socio=rien moyen terme *socio=nil mise au point*socio=rien pour soutenir et renforcer la croissance*socio=uv3 demeurait valable*socio=rien. Il a observé que les résultats*socio=rien favorables*socio=uv4 obtenus par de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, qu'ils soient industrialisés, en développement*socio=uv3 ou en transition*socio=ec2, devaient beaucoup à l'application*socio=rien de politiques*socio=et conformes*socio=uv4 à cette stratégie*socio=et. À la lumière*socio=rien toutefois des mutations*socio=ec2 en cours*socio=rien dans l'environnement*socio=et mondial*socio=te, le Conseil*socio=ac a recommandé au comité_intérimaire*socio=ac de réviser et d'élargir la portée*socio=rien de la Déclaration*socio=et et de renforcer sa mise en oeuvre*socio=rien dans *socio=rien un esprit de*socio=nil partenariat*socio=uv3 *socio=nil renouvelé. Lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1996, le comité_intérimaire*socio=ac a pris en compte*socio=ec1 les délibérations*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac et a adopté une Déclaration*socio=et appelant à un*socio=rien Partenariat*socio=uv3 pour une expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te (encadré 3). À l'issue*socio=rien de sa *socio=rien réunion suivante,*socio=nil en*socio=nil avril *socio=nil 1997, le Comité*socio=ac a réaffirmé que l'application*socio=rien par tous les pays_membres*socio=ac des principes*socio=ec2 énoncés dans cette nouvelle*socio=rien Déclaration*socio=et était essentielle*socio=uv4 pour permettre à tous de bénéficier de la prospérité*socio=uv1 croissante*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Il a souligné en particulier*socio=rien l'importance*socio=rien de politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 bien*socio=rien conçues, de réformes*socio=et axées sur*socio=rien le *socio=rien jeu du marché*socio=ec1,*socio=nil de*socio=nil systèmes_bancaires*socio=ec1 solides*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil de la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 et des investissements*socio=ec1, et d'une gestion*socio=ec2 saine*socio=uv2 et transparente*socio=uv4 des affaires_publiques*socio=et (appendice*socio=rien VI). Examen*socio=ec2 semi-annuel par le Conseil*socio=ac. Conséquemment à la déclaration*socio=et de Madrid d'octobre*socio=rien 1994, le Conseil*socio=ac procède également tous les six mois*socio=rien depuis 1995, dans le cadre*socio=rien de la surveillance*socio=et, à l'examen*socio=ec2 des politiques*socio=et appliquées par les pays_membres*socio=ac. Ces examens*socio=ec2 avaient été*socio=rien conçus à l'origine*socio=rien dans le but*socio=rien de passer en revue les politiques*socio=et mises en oeuvre*socio=rien par les pays_membres*socio=ac dans le cadre*socio=rien de la déclaration*socio=et de Madrid mais ont par la *socio=rien suite été *socio=nil étendus à l'analyse*socio=ec2 de leurs résultats*socio=rien d'ensemble*socio=rien prévue au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Ils ont lieu*socio=rien au printemps*socio=rien et à l'automne*socio=rien, avant la *socio=rien réunion du comité_intérimaire*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et fournissent l'occasion*socio=rien au Conseil*socio=ac d'examiner les questions*socio=rien dont l'importance*socio=rien est*socio=rien apparue à l'occasion*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec les pays_membres*socio=ac. Le directeur_général*socio=ac transmet pour examen*socio=ec2 au comité_intérimaire*socio=ac *socio=rien un rapport établi*socio=nil sur la*socio=nil base des*socio=nil délibérations*socio=et du Conseil*socio=ac,*socio=nil *socio=nil assurant ainsi une passerelle entre les activités*socio=rien bilatérales*socio=et de surveillance*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac et les questions*socio=rien de portée*socio=rien plus générale*socio=rien traitées par le comité_intérimaire*socio=ac. La dernière*socio=rien série d'examens*socio=ec2 semi-annuels au titre*socio=rien de la surveillance*socio=et des politiques*socio=et appliquées par les pays_membres*socio=ac a eu lieu*socio=rien en septembre*socio=rien 1996 (l'examen*socio=ec2 semi-annuel n'a pas eu lieu*socio=rien en avril*socio=rien 1997 en raison*socio=rien de la biennale de la surveillance*socio=et qui se tenait à ce moment-là*socio=rien - voir infra). En septembre*socio=rien 1996, les délibérations*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac se sont concentrées sur*socio=rien trois problèmes*socio=uv4 qui étaient revenus*socio=ec1 assez fréquemment dans les entretiens*socio=rien de surveillance*socio=et menés avec les pays_membres*socio=ac : la composition*socio=rien de l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et, la désinflation*socio=ec2 dans les pays*socio=ac connaissant une inflation*socio=ec1 persistante*socio=rien à des niveaux*socio=rien modérément élevés*socio=uv4, et la politique_commerciale*socio=et des économies_en_transition*socio=ec1. *socio=rien Un rapport *socio=nil récapitulant la teneur*socio=rien des délibérations*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac a été*socio=rien transmis pour examen*socio=ec2 au comité_intérimaire*socio=ac lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1996. Au cours*socio=rien de leurs entretiens*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont souligné que pour de nombreux*socio=rien membres*socio=ac l'objectif*socio=uv3 le plus *socio=rien pressant est l'*socio=nil ajustement*socio=et budgétaire*socio=et,*socio=nil *socio=nil observant que celui-ci apporte des bienfaits*socio=uv2 systémiques*socio=ec2 au niveau*socio=rien global*socio=te en relevant l'épargne*socio=ec1 mondiale*socio=te et en contribuant à la stabilité*socio=uv3 de marchés_financiers*socio=ec1 de plus en plus intégrés. Toutefois la composition*socio=rien de l'ajustement*socio=et a aussi son importance*socio=rien, puisqu'elle influe sur*socio=rien la qualité*socio=rien et la durabilité*socio=uv3 de l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont insisté sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'adapter*socio=rien les conseils*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac aux conditions*socio=ec1 particulières*socio=rien à chaque pays*socio=ac et à l'éventail*socio=rien souvent limité des options*socio=rien envisageables. De ce point*socio=rien de vue*socio=rien, ils considèrent la taille du*socio=rien secteur_public*socio=et comme *socio=rien un facteur important*socio=uv4 *socio=nil pour l'élaboration*socio=rien des recommandations*socio=et d'ajustement*socio=et budgétaire*socio=et formulées par le FMI*socio=ac. Dans de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac dotés de secteurs_publics*socio=et importants*socio=uv4, l'ajustement*socio=et budgétaire*socio=et, inévitablement, devra davantage chercher à réduire les dépenses*socio=ec1 qu'à augmenter les recettes*socio=ec1. Pour certains autres pays*socio=ac, en particulier*socio=rien les pays_en_développement*socio=uv3 où les besoins*socio=uv1 en biens*socio=ec1 publics*socio=et comme la santé*socio=et, l'éducation*socio=et et l'infrastructure*socio=ec1 sont importants*socio=uv4, ainsi que dans ceux des pays_industrialisés*socio=ac le ratio*socio=ec1 des recettes*socio=ec1 budgétaires*socio=et par rapport*socio=rien au PIB*socio=ec1 est*socio=rien relativement faible*socio=rien, l'opinion*socio=uv1 générale*socio=rien était que le rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil peut se fonder plutôt sur*socio=rien la mobilisation*socio=uv3 de recettes*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien. Évoquant les arbitrages*socio=et inévitables*socio=rien entre la stabilisation*socio=et à court_terme*socio=te et l'amélioration*socio=uv1 structurelle*socio=ec2 à *socio=rien moyen terme des*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et,*socio=nil certains*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil estiment qu'en présence*socio=rien de grands*socio=rien déséquilibres*socio=uv3, il faut s'employer en priorité*socio=uv4 à les réduire rapidement, même si certaines*socio=rien mesures*socio=et devront ultérieurement être*socio=rien rapportées; à leurs yeux*socio=rien, le plus grand*socio=rien risque*socio=uv3 est*socio=rien l'inaction*socio=rien. D'autres ont souligné la nécessité*socio=uv1 de définir*socio=rien une *socio=et stratégie budgétaire crédible*socio=uv2 à*socio=nil *socio=rien moyen terme *socio=nil pour que l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et soit durable*socio=uv4. Le Conseil*socio=ac a convenu que le FMI*socio=ac devrait encourager les réformes*socio=et des programmes*socio=et de dépenses*socio=ec1 qui engendrent à *socio=rien moyen terme une*socio=nil restructuration*socio=et durable*socio=uv4 du secteur_public*socio=et,*socio=nil *socio=nil et qu'il fallait accorder l'attention*socio=rien voulue aux considérations*socio=rien d'équité*socio=uv1 et d'efficacité*socio=uv3, en recommandant des mesures*socio=et spécifiques*socio=rien de mobilisation*socio=uv3 de recettes*socio=ec1. Sur*socio=rien le sujet*socio=rien de l'inflation*socio=ec1, le Conseil*socio=ac a observé que la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 *socio=rien est un des*socio=nil objectifs*socio=uv3 premiers *socio=nil de la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1, et que la réduction*socio=ec2 de taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 même modestes*socio=rien représente une *socio=rien tâche déterminante *socio=nil pour de nombreux*socio=rien pays_membres*socio=ac. Certains administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien remarquer qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 *socio=nil enregistrent une croissance*socio=uv3 élevée*socio=uv4 en dépit*socio=rien d'une inflation*socio=ec1 modérée. Ce constat*socio=rien donne à penser que *socio=rien certaines situations,*socio=nil *socio=nil telles que les mutations_structurelles*socio=ec2 rapides*socio=rien que connaissent certains pays*socio=ac en transition*socio=ec2, pourraient justifier un*socio=rien rythme*socio=ec2 de désinflation*socio=ec2 plus progressif*socio=rien. L'opinion*socio=uv1 de la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac, toutefois, est*socio=rien qu'en matière*socio=rien d'inflation*socio=ec1 l'inertie risque*socio=uv3 de saper les fondations d'une croissance*socio=uv3 soutenue. Enfin, dans le domaine*socio=rien des réformes*socio=et commerciales*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont remarqué que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac en transition*socio=ec2 ont accompli des progrès*socio=uv1 importants*socio=uv4 au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Ils s'accordent*socio=rien pour la plupart*socio=rien à penser que l'appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 et les *socio=rien avis du FMI*socio=ac *socio=nil doivent d'abord*socio=rien éviter autant que possible*socio=rien les retours en arrière, faire progresser les réformes*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 et l'adoption*socio=uv3 de régimes*socio=et d'importation*socio=ec1 fondés sur*socio=rien des barèmes*socio=rien douaniers*socio=et. Ils ont également convenu qu'il est*socio=rien préférable*socio=uv4 de ne pas recourir à des mesures*socio=et commerciales*socio=ec1 pour compléter des recettes*socio=ec1 budgétaires*socio=et insuffisantes*socio=uv4; les autorités*socio=et devraient plutôt s'attacher à rendre plus efficace*socio=uv4 l'administration*socio=ec1 des impôts*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien ressortir les synergies entre la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 et les autres réformes*socio=et structurelles*socio=ec2; c'est*socio=rien ainsi qu'une concurrence*socio=ec1 accrue stimule la restructuration*socio=et des entreprises*socio=ac et crée des conditions*socio=ec1 plus égalitaires*socio=uv pour l'entreprise_privée*socio=et. Réexamen*socio=et biennal*socio=rien de la surveillance*socio=et. Les principes*socio=ec2 et procédures*socio=et de surveillance*socio=et sont décrits dans *socio=rien un document *socio=nil de 1977, "Réexamen*socio=et biennal*socio=rien de la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac sur*socio=rien la politique*socio=et de change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac". Les principes*socio=ec2 ont trait*socio=rien à la conduite*socio=rien des politiques*socio=et de change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac comme à la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac sur*socio=rien lesdites politiques*socio=et. Le Conseil*socio=ac est*socio=rien tenu de revoir ces principes*socio=ec2 tous les deux ans*socio=rien afin de déterminer si l'évolution*socio=te des conditions_économiques*socio=ec1 ne justifierait pas d'éventuelles*socio=te modifications*socio=rien. Le dernier*socio=rien en date de ces réexamens a eu lieu*socio=rien en mars*socio=rien - avril*socio=rien 1997. Au cours*socio=rien de ce réexamen*socio=et, les administrateurs*socio=ac ont émis *socio=rien un certain nombre *socio=nil de remarques sur*socio=rien les principes*socio=ec2 et procédures*socio=et de la surveillance*socio=et. Ils observent qu'à la suite*socio=rien de la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac, de *socio=rien nombreuses initiatives ont*socio=nil été prises *socio=nil afin d'améliorer l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Ils notent que des progrès*socio=uv1 constants*socio=te ont été*socio=rien accomplis, particulièrement en ce qui concerne l'aptitude*socio=rien du*socio=rien FMI*socio=ac à déceler à un*socio=rien stade*socio=te précoce*socio=rien l'apparition*socio=rien de tensions*socio=ec2 financières*socio=ec1, et soulignent la nécessité*socio=uv1 pour le FMI*socio=ac et ses pays_membres*socio=ac de continuer d'oeuvrer en étroite*socio=rien coopération*socio=uv1 pour surmonter les épreuves à venir. Les administrateurs*socio=ac accueillent avec satisfaction*socio=uv3 l'attention*socio=rien accrue accordée à la question*socio=rien des données, notamment les efforts*socio=uv1 visant à assurer la communication*socio=ec1 régulière*socio=ec2 et à *socio=rien bref délai *socio=nil des données économiques*socio=ec1 au FMI*socio=ac, ainsi que la mise en application*socio=rien de la Norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données (NSDD) destinée à mettre les données à la disposition*socio=et du*socio=rien public*socio=et (voir la section*socio=rien ci-après sur*socio=rien la diffusion*socio=rien des données). Les administrateurs*socio=ac conviennent que la continuité*socio=uv1 de la surveillance*socio=et s'est*socio=rien améliorée, comme en témoignent*socio=rien l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien du nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil couverts par les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, l'intensification*socio=ec2 du*socio=rien dialogue*socio=uv1 entre les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et les autorités*socio=et nationales*socio=te dans l'intervalle*socio=te cyclique*socio=te entre consultations*socio=uv1, le recours*socio=ec1 plus fréquent*socio=rien aux procédures*socio=et de suivi et les séances*socio=rien informelles*socio=uv2 périodiquement consacrées à l'examen*socio=ec2 de *socio=rien questions propres *socio=nil à tel ou tel pays*socio=ac ainsi qu'aux évolutions*socio=te des marchés_financiers*socio=ec1 et de l'économie*socio=ec1 du*socio=rien monde*socio=te. Ils saluent le fait*socio=rien que dans l'ensemble*socio=rien, les retards*socio=rien pris dans la tenue des consultations*socio=uv1 ont été*socio=rien réduits en 1995 - 96. Plusieurs administrateurs*socio=ac déplorent toutefois le fait*socio=rien que, dans certains cas*socio=rien, les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV ont *socio=rien été considérablement *socio=nil retardées et que, dans plusieurs pays*socio=ac, la situation*socio=rien économique*socio=ec1 s'est*socio=rien dégradée dans l'intervalle*socio=te. Ces administrateurs*socio=ac, soulignant qu'il importe de tenir le calendrier*socio=te convenu et de ne pas retarder les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV au motif*socio=rien que la négociation*socio=et du*socio=rien programme*socio=et se prolonge, recommandent une intervention*socio=et plus *socio=rien rapide du Conseil*socio=ac *socio=nil dans de tels cas*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac rappellent que les consultations*socio=uv1 annuelles*socio=te avec les membres*socio=ac revêtent une importance*socio=rien capitale*socio=uv2 pour assurer la continuité*socio=uv1 de la surveillance*socio=et. Ils sont par ailleurs*socio=rien conscients*socio=uv2 de la nécessité*socio=uv1 de procédures*socio=et souples*socio=uv4 afin d'assurer *socio=rien un bon ciblage*socio=uv3 *socio=nil de la surveillance*socio=et, eu égard*socio=rien en particulier*socio=rien à la disponibilité*socio=rien limitée des ressources*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac conviennent donc d'user davantage de cycles*socio=te de consultation*socio=uv1 plus longs*socio=rien afin de pouvoir*socio=et redéployer les ressources*socio=ec1 en fonction*socio=rien des priorités*socio=uv4. La décision*socio=et d'allonger le cycle*socio=te sera dans chaque *socio=rien cas prise *socio=nil avec l'assentiment*socio=rien des administrateurs*socio=ac et des autorités*socio=et concernées, et plus généralement avec la participation*socio=uv3 du*socio=rien Conseil*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac se déclarent satisfaits dans l'ensemble*socio=rien du*socio=rien ciblage*socio=uv3 et des priorités*socio=uv4 de la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac au cours*socio=rien des deux *socio=rien années précédentes.*socio=nil *socio=nil À cet égard*socio=rien, ils se félicitent de l'attention*socio=rien accrue accordée aux *socio=rien questions relatives au*socio=nil compte*socio=ec1 de*socio=nil capital*socio=ec1 *socio=nil et au secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1 et financier*socio=ec1, étant donné la tendance*socio=ec2 à l'intégration*socio=uv1 mondiale*socio=te des marchés_financiers*socio=ec1 et le rôle*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 comme institution*socio=ac *socio=rien centrale du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil *socio=nil De l'avis*socio=rien général*socio=rien, les programmes*socio=et suivis par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac permettent de répondre avec la souplesse*socio=uv3 nécessaire*socio=rien à la demande*socio=ec1 de pays*socio=ac qui souhaitent avoir des relations*socio=rien plus étroites*socio=rien avec le Fonds*socio=ec1 sans faire appel*socio=rien à ses *socio=ec1 ressources financières.*socio=nil Quelques*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont suggéré qu'il pourrait être*socio=rien utile*socio=uv4 d'élaborer des directives*socio=et dans ce domaine*socio=rien, approuvées par le Conseil*socio=ac. La plupart*socio=rien d'entre eux sont d'avis*socio=rien que les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac ne doivent suivre un*socio=rien programme*socio=et que lorsque le programme*socio=et d'action*socio=ec1 des autorités*socio=et *socio=rien est cohérent *socio=nil avec les objectifs*socio=uv3 déclarés du*socio=rien programme*socio=et et avec les *socio=rien grandes lignes des*socio=nil recommandations*socio=et *socio=nil formulées par le FMI*socio=ac dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Faisant remarquer que le suivi assuré par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac n'implique nullement que les programmes*socio=et concernés bénéficient de l'aval*socio=rien du*socio=rien Fonds*socio=ec1 - aval*socio=rien que seul*socio=rien le Conseil*socio=ac est*socio=rien habilité à délivrer -, *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil sont préoccupés par l'éventualité*socio=te que le public*socio=et ne s'y méprenne, et que la prudence*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac n'en soit diminuée. Ces administrateurs*socio=ac observent que dans les cas*socio=rien qui nécessitent un*socio=rien suivi plus étroit*socio=rien et une activité*socio=rien de conseil*socio=rien plus assidue il serait bon*socio=rien d'encourager les pays_membres*socio=ac, en l'absence*socio=rien de besoins*socio=uv1 immédiats*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec1, à recourir aux accords*socio=et de précaution*socio=rien, qui entraînent une évaluation*socio=ec2 précise*socio=rien par le Conseil*socio=ac des politiques*socio=et suivies et leur approbation*socio=uv1 par le FMI*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac approuvent l'attention*socio=rien accrue portée*socio=rien à la surveillance*socio=et régionale*socio=te, eu égard*socio=rien à l'importance*socio=rien croissante*socio=rien de la formulation*socio=rien des politiques*socio=et au niveau*socio=rien régional*socio=te. Outre l'intérêt*socio=uv1 accru que soulève l'Europe*socio=ac en raison*socio=rien de l'UEM*socio=et, certains administrateurs*socio=ac ont suggéré que le FMI*socio=ac se penche davantage sur*socio=rien l'intégration*socio=uv1 régionale*socio=te dans d'autres *socio=rien parties du monde*socio=te *socio=nil et que les services*socio=et renforcent leurs relations*socio=rien avec les institutions*socio=ac économiques*socio=ec1 régionales*socio=te et les unions*socio=ac monétaires*socio=ec1, comme la zone*socio=te franc*socio=ec1 et l'union_monétaire*socio=et des Caraïbes*socio=ac orientales. L'examen*socio=ec2 de la surveillance*socio=et a également fourni l'occasion*socio=rien d'un*socio=rien débat*socio=et *socio=rien exhaustif sur *socio=nil les vertus d'une plus grande*socio=rien ouverture*socio=uv3 dans la conduite*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac soulignent l'importance*socio=rien de la confidentialité*socio=uv1 du*socio=rien dialogue*socio=uv1 entre le FMI*socio=ac et ses membres*socio=ac. Il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 de ne pas mettre en péril*socio=rien la franchise des entretiens*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac avec les autorités*socio=et, des rapports*socio=rien préparés à l'intention*socio=rien du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac, et des délibérations*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac. Certains administrateurs*socio=ac ont toutefois le sentiment*socio=rien qu'une plus grande*socio=rien transparence*socio=uv3 dans la *socio=rien diffusion du point de*socio=nil vue du FMI*socio=ac *socio=nil améliorerait l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et. C'est*socio=rien dans ce contexte*socio=rien que le Conseil*socio=ac a décidé en avril*socio=rien 1997 de diffuser à titre*socio=rien volontaire*socio=uv4, une fois*socio=rien les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec le pays_membres*socio=ac achevées par le Conseil*socio=ac, des Notes d'information*socio=rien à la presse*socio=et pour les pays_membres*socio=ac qui souhaitent faire connaître au public*socio=et les *socio=rien vues du FMI*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Les Notes d'information*socio=rien à la presse*socio=et seront en_principe*socio=ec2 longues*socio=rien de trois à quatre pages*socio=rien et se composeront de deux sections*socio=rien, l'une contenant des renseignements*socio=ec2 factuels de *socio=rien référence sur l'*socio=nil économie*socio=ec1 *socio=nil de l'État*socio=ac membre*socio=ac, notamment *socio=rien un tableau *socio=nil de ses *socio=ec1 indicateurs économiques,*socio=nil *socio=nil l'autre une évaluation*socio=ec2 par le FMI*socio=ac de ses perspectives*socio=te et de ses politiques*socio=et, telle qu'elles sont résumées par le Président*socio=ac à la conclusion*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. La Note d'information*socio=rien à la presse*socio=et serait normalement publiée de cinq*socio=rien à dix jours*socio=rien ouvrables après*socio=rien la *socio=rien réunion pertinente du Conseil*socio=ac (*socio=nil appendice *socio=nil V). À l'issue*socio=rien de l'examen*socio=ec2 biennal*socio=rien le Conseil*socio=ac a exprimé ses conclusions*socio=rien dans *socio=rien un rapport *socio=nil à l'intention*socio=rien du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac, lequel a salué le renforcement*socio=ec2 de la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac face*socio=rien aux *socio=rien nouveaux enjeux *socio=nil de la globalisation*socio=te, ainsi que la décision*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac de publier des Notes d'information*socio=rien à la presse*socio=et, dans lesquelles il voit une nouvelle*socio=rien amélioration*socio=uv1 de la transparence*socio=uv3 de la surveillance*socio=et. Progrès*socio=uv1 de la communication*socio=ec1 des informations*socio=rien au FMI*socio=ac. La qualité*socio=rien de la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dépend de *socio=rien manière déterminante *socio=nil de la communication*socio=ec1 en *socio=rien temps opportun de*socio=nil statistiques*socio=ec2 *socio=nil complètes et fiables*socio=rien par les *socio=ac États membres.*socio=nil *socio=nil Depuis quelques années*socio=rien, tout en encourageant les pays*socio=ac à améliorer la diffusion*socio=rien des données auprès du*socio=rien public*socio=et (voir la section*socio=rien ci-après sur*socio=rien la diffusion*socio=rien des données) le FMI*socio=ac étudie régulièrement la qualité*socio=rien des données que lui communiquent ses membres*socio=ac et les délais*socio=rien dans lesquels elles lui parviennent. En novembre*socio=rien 1996, examinant les progrès*socio=uv1 accomplis par les *socio=ac États membres *socio=nil dans la communication*socio=ec1 des données, les administrateurs*socio=ac se sont félicités des évaluations*socio=ec2 franches*socio=rien et complètes des problèmes*socio=uv4 statistiques*socio=ec2 menées dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Ils ont suggéré qu'à l'avenir*socio=te, les rapports*socio=rien de consultation*socio=uv1 identifient non seulement les insuffisances*socio=uv3 statistiques*socio=ec2 mais aussi leurs motifs*socio=rien, et définissent*socio=rien les mesures*socio=et correctives*socio=ec2 appropriées. Ils ont aussi suggéré de suivre de près la mise en oeuvre*socio=rien par les pays*socio=ac des recommandations*socio=et de l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et d'en noter les insuffisances*socio=uv3 éventuelles*socio=te dans les rapports*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Le Conseil*socio=ac a observé que la célérité de la communication*socio=ec1 des données s'était légèrement améliorée, mais s'est*socio=rien déclaré préoccupé de ce que, bien*socio=rien que la plupart*socio=rien des pays_membres*socio=ac communiquent leurs données de façon*socio=rien satisfaisante*socio=uv4, il subsiste dans certains cas*socio=rien des problèmes*socio=uv4 statistiques*socio=ec2 considérables*socio=rien. Certains administrateurs*socio=ac s'inquiètent des effets*socio=rien que la non-communication de données pourrait exercer sur*socio=rien la continuité*socio=uv1 de la surveillance*socio=et et encouragent vivement les *socio=ac États membres *socio=nil à améliorer les délais*socio=rien et la fréquence*socio=rien de leurs communications*socio=ec1. De l'avis*socio=rien général*socio=rien, la qualité*socio=rien et l'intégrité*socio=uv1 des données, outre leur communication*socio=ec1 à *socio=rien bref délai,*socio=nil sont*socio=nil un facteur essentiel*socio=uv4 *socio=nil de la capacité*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac à conduire une surveillance*socio=et effective*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac préconisent donc d'accorder davantage d'attention*socio=rien à ces *socio=rien sujets lors des*socio=nil prochains examens*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Ils observent qu'à mesure*socio=rien que les *socio=ac États membres *socio=nil amélioreront leurs statistiques*socio=ec2 afin de les mettre en conformité*socio=uv3 avec les normes*socio=et de diffusion*socio=rien des données, leur communication*socio=ec1 au FMI*socio=ac s'améliorera de même. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac soulignent à cet égard*socio=rien que les besoins*socio=uv1 statistiques*socio=ec2 du*socio=rien FMI*socio=ac aux fins*socio=rien de la surveillance*socio=et ne sont pas moindres*socio=rien que ceux des marchés*socio=ec1. Aspects*socio=rien évolutifs de la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. En 1996 / 97, dans le cadre*socio=rien de sa mission*socio=et de surveillance*socio=et, le FMI*socio=ac s'est*socio=rien penché de plus près *socio=rien sur un certain nombre d'*socio=nil aspects nouveaux *socio=nil qui, dans une économie*socio=ec1 mondiale*socio=te toujours plus globalisée, attirent une *socio=rien attention croissante.*socio=nil *socio=nil Parmi ceux-ci, l'importance*socio=rien de la solidité*socio=uv3 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 des *socio=ac États membres,*socio=nil *socio=nil et les moyens*socio=ec1 de la promouvoir; la conception*socio=et des dispositifs*socio=et de caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien et leurs implications*socio=rien pour les *socio=rien activités du FMI*socio=ac;*socio=nil la*socio=nil promotion*socio=uv3 *socio=nil de la convertibilité*socio=ec1 de la monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te aux fins*socio=rien des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, moyennant notamment un*socio=rien éventuel*socio=te amendement*socio=et des Statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac; l'élaboration*socio=rien de normes*socio=et pour faciliter la publication*socio=rien de statistiques*socio=ec2 économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 par les *socio=ac États membres;*socio=nil *socio=nil enfin le rôle*socio=et que doit jouer le FMI*socio=ac pour promouvoir la gestion*socio=ec2 saine*socio=uv2 et transparente*socio=uv4 des affaires_publiques*socio=et dans les *socio=ac États membres,*socio=nil *socio=nil occupent le *socio=rien premier rang.*socio=nil Solidité*socio=uv3 du système_bancaire*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont réunis par deux fois*socio=rien au cours*socio=rien de l'année*socio=rien financière*socio=ec1 pour discuter de *socio=rien questions relatives *socio=nil à la solidité*socio=uv3 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac, notamment des rapports*socio=rien entre la restructuration*socio=et bancaire*socio=ec1 et la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1, ainsi que de l'élaboration*socio=rien d'un*socio=rien cadre*socio=rien de référence*socio=rien pour assurer la solidité*socio=uv3 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1. Restructuration*socio=et des systèmes_bancaires*socio=ec1 et politique*socio=et macro-économique*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac, lors*socio=rien de leur réunion*socio=rien de février*socio=rien 1997, ont salué l'occasion*socio=rien d'examiner les rapports*socio=rien entre la restructuration*socio=et des systèmes_bancaires*socio=ec1 et politique*socio=et macro-économique*socio=ec1, sujet*socio=rien dont ils considèrent que l'importance*socio=rien croît sans cesse. Ils observent qu'un*socio=rien *socio=rien grand nombre d'*socio=nil États*socio=ac membres*socio=ac *socio=nil ont entrepris des programmes*socio=et de restructuration*socio=et bancaire*socio=ec1 parce que leur secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1 ou financier*socio=ec1 était en détresse*socio=rien. Le coût*socio=ec1 de problèmes*socio=uv4 bancaires*socio=ec1 généralisés pouvant être*socio=rien très élevé*socio=uv4, les administrateurs*socio=ac ont souligné la nécessité*socio=uv1 de stratégies*socio=et de résolution*socio=uv1 efficaces*socio=uv4. Reconnaissant l'importance*socio=rien pour le FMI*socio=ac des liens*socio=rien entre la restructuration*socio=et bancaire*socio=ec1 systémique*socio=ec2 et la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1, ainsi que les risques*socio=uv3 d'effets*socio=rien de contagion*socio=ec2, dans un*socio=rien environnement*socio=et de marchés_financiers*socio=ec1 globalisés, les administrateurs*socio=ac ont estimé nécessaire*socio=rien pour le FMI*socio=ac d'accorder une plus *socio=rien grande attention *socio=nil à ces problèmes*socio=uv4 et d'entreprendre des études*socio=ec2 supplémentaires*socio=rien dans ce domaine*socio=rien, en particulier*socio=rien en ce qui concerne les implications*socio=rien pour son *socio=rien propre fonctionnement.*socio=nil L'*socio=nil ensemble des*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil conviennent que ses activités*socio=rien de surveillance*socio=et, de conception*socio=et de programmes*socio=et et d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien mettent le FMI*socio=ac en *socio=rien position idéale *socio=nil pour signaler à ses membres*socio=ac les faiblesses*socio=ec2 de leurs systèmes_bancaires*socio=ec1 et de leurs cadres*socio=rien juridiques*socio=et et réglementaires*socio=et, et pour encourager et vérifier l'adhésion*socio=uv1 aux règles*socio=et prudentielles*socio=uv2 et de contrôle*socio=uv3 internationales*socio=te. Ils soulignent que la responsabilité*socio=uv1 de vérifier l'application*socio=rien des normes*socio=et et de mettre en oeuvre*socio=rien les restructurations*socio=et bancaires*socio=ec1 *socio=rien est du *socio=nil ressort des autorités*socio=et nationales*socio=te, le FMI*socio=ac devant*socio=rien quant à lui se concentrer sur*socio=rien les implications*socio=rien macro-économiques*socio=ec1 des stratégies*socio=et de restructuration*socio=et du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 et user de prudence*socio=uv1 dans l'évaluation*socio=ec2 des systèmes_bancaires*socio=ec1 des *socio=ac États membres *socio=nil afin de ne pas assumer le rôle*socio=et d'une "agence*socio=ac de cotation de risques*socio=uv3". Ils insistent également sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de veiller à ce que les *socio=rien activités du FMI*socio=ac *socio=nil ne fassent pas double*socio=rien emploi*socio=ec1 avec le travail*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac et d'autres organisations*socio=ac régionales*socio=te et internationales*socio=te; la plupart*socio=rien d'entre eux estiment que c'est*socio=rien à la banque_mondiale*socio=ac et aux autres organisations*socio=ac financières*socio=ec1 multilatérales*socio=et de se charger des aspects*socio=rien micro-économiques*socio=ec1 et opérationnels*socio=rien de la restructuration*socio=et bancaire*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac s'accordent*socio=rien à reconnaître l'importance*socio=rien d'une détection précoce*socio=rien des problèmes*socio=uv4 bancaires*socio=ec1 systémiques*socio=ec2 et de la mise en *socio=rien oeuvre rapide de*socio=nil politiques*socio=et correctrices*socio=nil globales.*socio=nil Lesdites*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil devraient traiter, outre les aspects*socio=rien macro-économiques*socio=ec1, la restructuration*socio=et aussi bien*socio=rien financière*socio=ec1 qu'opérationnelle*socio=rien des banques*socio=ac. Leur réussite*socio=uv1 exige une volonté*socio=uv1 politique*socio=et forte*socio=rien, *socio=rien un cadre institutionnel*socio=et clair et*socio=nil un diagnostic complet.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil font observer qu'idéalement les instruments*socio=et sélectionnés pour mettre en oeuvre*socio=rien la restructuration*socio=et bancaire*socio=ec1 devraient être*socio=rien efficaces*socio=uv4 par rapport*socio=rien à leur coût*socio=ec1, d'une mise en oeuvre*socio=rien aisée, et compatibles*socio=rien avec une gestion*socio=ec2 macro-économique*socio=ec1 saine*socio=uv2; répartir les pertes*socio=ec2 équitablement tout en réduisant au minimum*socio=rien la charge*socio=rien assumée par le secteur_public*socio=et; éviter d'engendrer des occasions*socio=rien d'aléa*socio=rien moral*socio=uv2; et encourager la bonne*socio=rien gestion_publique*socio=et. Les administrateurs*socio=ac conviennent également qu'il importe de désigner un*socio=rien organisme*socio=ac chargé de diriger la restructuration*socio=et des banques*socio=ac, la surveillance*socio=et du*socio=rien processus*socio=te, l'application*socio=rien de politiques*socio=et fermes*socio=rien de sortie du*socio=rien marché*socio=ec1 et la mise en place*socio=rien des politiques*socio=et appropriées de gestion*socio=ec2 des actifs*socio=ec1 et de recouvrement*socio=ec1 des créances*socio=ec1. Ils insistent sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de corriger les faiblesses*socio=ec2 *socio=rien du cadre juridique*socio=et et*socio=nil institutionnel*socio=et,*socio=nil *socio=nil notamment de la surveillance*socio=et bancaire*socio=ec1, et de mettre en *socio=rien place un traitement fiscal*socio=et adéquat*socio=uv2 du *socio=nil provisionnement des pertes*socio=ec2 sur*socio=rien prêts*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac notent qu'il importe d'édifier des systèmes_bancaires*socio=ec1 solides*socio=uv4 en favorisant un*socio=rien environnement*socio=et ouvert*socio=rien et concurrentiel*socio=ec2 dans des conditions*socio=ec1 d'égalité*socio=uv1. De ce point*socio=rien de vue*socio=rien, certains estiment qu'il faut s'attacher particulièrement à privatiser les banques*socio=ac publiques*socio=et, d'autres préconisant de libéraliser l'accès*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1 aux banques*socio=ac étrangères*socio=te afin d'encourager la concurrence*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac soulignent la nécessité*socio=uv1 d'évaluer les conséquences*socio=rien macro-économiques*socio=ec1 des programmes*socio=et de restructuration*socio=et bancaire*socio=ec1 ainsi que leurs implications*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil pour la viabilité*socio=uv3 de la dette*socio=ec1. Nombre*socio=rien d'entre eux observent qu'assurer la compatibilité*socio=rien de ces programmes*socio=et avec la stabilité*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1 exige souvent un*socio=rien *socio=et ajustement budgétaire substantiel*socio=rien.*socio=nil *socio=nil En outre, l'aide*socio=uv1 du*socio=rien secteur_public*socio=et ne devrait être*socio=rien accordée aux banques*socio=ac que dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et de restructuration*socio=et crédible*socio=uv2 et complet*socio=rien. D'une *socio=rien manière générale les*socio=nil intervenants*socio=ac *socio=nil conviennent que le solde*socio=ec1 budgétaire*socio=et "augmenté" envisagé, incorporant les principaux*socio=rien coûts*socio=ec1 quantifiables des opérations*socio=rien d'assistance*socio=uv1 bancaire*socio=ec1, compléterait utilement*socio=rien le chiffrage *socio=rien normal du budget*socio=ec1 *socio=nil et faciliterait une comptabilisation complète, transparente*socio=uv4 et cohérente*socio=rien de ces opérations*socio=rien dans les pays*socio=ac où elles sont importantes*socio=uv4, mais ils précisent qu'il ne faudrait pas que ledit solde*socio=ec1 "augmenté" serve d'objectif*socio=uv3 de résultats*socio=rien. La conception*socio=et des programmes*socio=et de restructuration*socio=et bancaire*socio=ec1 devrait également prendre en compte*socio=ec1 leur incidence*socio=ec2 sur*socio=rien les institutions_financières*socio=ac non bancaires*socio=ec1 afin de garantir la stabilité*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac font remarquer que la restructuration*socio=et du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 complique la conduite*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et parce qu'elle risque*socio=uv3 de réduire l'efficacité*socio=uv3 de tels ou tels instruments*socio=et monétaires*socio=ec1, et de déformer le contenu informationnel*socio=rien des agrégats*socio=ec1 de la monnaie*socio=ec1 et du*socio=rien crédit*socio=ec1. Ils notent également que la banque_centrale*socio=ac ne devrait pas soutenir la solvabilité*socio=ec1, ni financer à long_terme*socio=te les opérations*socio=rien de restructuration*socio=et des banques*socio=ac, quoiqu'elle puisse être*socio=rien appelée à apporter un*socio=rien appui*socio=uv1 de liquidité*socio=ec1 substantiel*socio=rien aux banques*socio=ac viables*socio=uv4. Certains administrateurs*socio=ac sont d'avis*socio=rien que lorsque la poursuite*socio=rien de politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 strictes*socio=rien exacerbe les problèmes*socio=uv4 de solvabilité*socio=ec1 et augmente le coût*socio=ec1 global*socio=te de la restructuration*socio=et bancaire*socio=ec1, il faut envisager la possibilité*socio=rien d'allonger le calendrier*socio=te de réalisation*socio=uv1 de certains objectifs*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1. *socio=rien Un certain nombre *socio=nil d'autres administrateurs*socio=ac, en revanche, estiment qu'un*socio=rien tel arbitrage*socio=et n'est*socio=rien peut-être pas nécessaire*socio=rien, sauf si les liquidités*socio=ec1 sont peu abondantes*socio=rien ou la capacité*socio=uv3 d'ajustement*socio=et budgétaire*socio=et limitée. Ils soutiennent qu'il vaut mieux entreprendre la restructuration*socio=et bancaire*socio=ec1 dans le contexte*socio=rien d'une politique_monétaire*socio=et visant à la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1, et qu'une orientation*socio=et stricte*socio=rien des politiques*socio=et, par ses effets*socio=rien favorables*socio=uv4 sur*socio=rien la confiance*socio=uv1 et les taux_d'_intérêt*socio=ec1, peut susciter une croissance*socio=uv3 plus forte*socio=rien et améliorer la *socio=rien situation du secteur bancaire*socio=ec1.*socio=nil Vers*socio=nil un cadre de*socio=nil référence définissant les*socio=nil saines*socio=uv2 pratiques*socio=et bancaires*socio=ec1.*socio=nil En*socio=nil mars *socio=nil 1997, les administrateurs*socio=ac ont eu *socio=rien un entretien préliminaire sur les*socio=nil grands principes*socio=ec2 *socio=nil et les caractéristiques*socio=rien qui fondent les systèmes_ financiers*socio=ec1 stables*socio=uv4 et solides*socio=uv4. La stabilité*socio=uv3 et la bonne*socio=rien santé*socio=et du*socio=rien système_financier*socio=ec1 ont des incidences*socio=ec2 manifestes sur*socio=rien les résultats*socio=rien macro-économiques*socio=ec1, la conduite*socio=rien de la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 et le fonctionnement*socio=rien des marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te des capitaux*socio=ec1, domaines*socio=rien qui sont au coeur*socio=rien des *socio=rien activités du FMI*socio=ac.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil sont d'avis*socio=rien que le FMI*socio=ac, de par sa dimension*socio=rien quasi universelle*socio=uv2 et la surveillance*socio=et qu'il est*socio=rien chargé d'exercer, a un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 à jouer dans les efforts*socio=uv1 internationaux*socio=te pour promouvoir l'adoption*socio=uv3 de principes*socio=ec2 et d'usages*socio=rien bancaires*socio=ec1 sains*socio=uv2 à travers*socio=rien le monde*socio=te. Les administrateurs*socio=ac estiment que l'objectif*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac doit *socio=rien être double *socio=nil : d'une part*socio=rien aider les *socio=ac États membres *socio=nil à déceler les faiblesses*socio=ec2 de leur système_financier*socio=ec1 et de leur dispositif*socio=et de contrôle*socio=uv3 susceptibles*socio=rien d'avoir des conséquences*socio=rien macro-économiques*socio=ec1 sérieuses*socio=uv4, et élaborer des mesures*socio=et correctives*socio=ec2; d'autre part*socio=rien encourager les pays_membres*socio=ac à adopter les directives*socio=et et normes*socio=et établis par les instances*socio=et de contrôle*socio=uv3 et suivre leurs progrès*socio=uv1 à cet égard*socio=rien. Les ressources*socio=ec1 disponibles*socio=rien étant limitées, les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac devront opter pour une approche sélective*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac appellent à une collaboration*socio=uv1 étroite*socio=rien avec les autres organisations*socio=ac et groupes*socio=ac internationaux*socio=te, dont la banque_mondiale*socio=ac et le Comité*socio=ac de Bâle sur*socio=rien le contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1, afin que chaque institution*socio=ac concentre son action*socio=ec1 sur*socio=rien les domaines*socio=rien où elle jouit d'un*socio=rien avantage_comparatif*socio=ec2, et afin d'éviter le risque*socio=uv3 d'apparition*socio=rien de normes*socio=et incompatibles*socio=uv4. Tout en reconnaissant que le cadre*socio=rien de référence*socio=rien des pratiques*socio=et bancaires*socio=ec1 saines*socio=uv2 a été*socio=rien conçu par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac aux fins*socio=rien de la surveillance*socio=et macro-économique*socio=ec1, et couvre par *socio=rien conséquent un ensemble de*socio=nil domaines *socio=nil qui dépasse celui des normes*socio=et prudentielles*socio=uv2, plusieurs administrateurs*socio=ac estiment que le FMI*socio=ac devrait s'appuyer davantage sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien des principes*socio=ec2 de base*socio=rien d'une surveillance*socio=et bancaire*socio=ec1 efficace*socio=uv4, en cours*socio=rien d'élaboration*socio=rien au Comité*socio=ac de Bâle, et que le Fonds*socio=ec1 ne devrait pas anticiper sur*socio=rien ces efforts*socio=uv1. Ils n'en ont pas moins également reconnu le rôle*socio=et catalytique qu'a joué le FMI*socio=ac en faisant ressortir la nécessité*socio=uv1 de ces travaux*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac conviennent qu'un*socio=rien *socio=rien cadre définissant les*socio=nil grands principes*socio=ec2 et*socio=nil caractéristiques *socio=nil qui fondent un*socio=rien système_financier*socio=ec1 stable*socio=uv4 et solide*socio=rien serait utile*socio=uv4 aux services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans leurs activités*socio=rien de surveillance*socio=et, en particulier*socio=rien en leur fournissant une référence*socio=rien pour analyser les problèmes*socio=uv4 *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1 *socio=nil et pour identifier les mesures*socio=et propres*socio=rien à renforcer la réglementation*socio=et et le contrôle*socio=uv3 bancaires*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac souscrivent dans l'ensemble*socio=rien aux cinq*socio=rien objectifs*socio=uv3 *socio=rien du cadre *socio=nil proposé par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac : accroître la transparence*socio=uv3 des opérations*socio=rien bancaires*socio=ec1, limiter*socio=rien les distorsions*socio=uv3 du*socio=rien secteur_public*socio=et, maîtriser*socio=rien les risques*socio=uv3 par l'application*socio=rien de la réglementation*socio=et et du*socio=rien contrôle*socio=uv3 bancaires*socio=ec1, renforcer le cadre*socio=rien structurel*socio=ec2 général*socio=rien et favoriser la coordination*socio=uv3 des activités*socio=rien de contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1 au niveau*socio=rien national*socio=te et international*socio=te. Certains administrateurs*socio=ac estiment nécessaire*socio=rien de réviser périodiquement le cadre*socio=rien en fonction*socio=rien de l'évolution*socio=te des circonstances*socio=rien et de *socio=rien nouveaux éléments d'*socio=nil appréciation*socio=uv3.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil conviennent qu'une réglementation*socio=et et un*socio=rien contrôle*socio=uv3 efficaces*socio=uv4 sont indispensables*socio=uv4 pour limiter*socio=rien l'incidence*socio=ec2 défavorable*socio=uv4 qu'exerce un*socio=rien dispositif*socio=et de *socio=et protection officiel sur*socio=rien la*socio=nil prise*socio=rien de*socio=nil risques*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil et que les autorités*socio=et de contrôle*socio=uv3 doivent disposer de l'autonomie*socio=uv1, des pouvoirs*socio=et et des moyens*socio=ec1 nécessaires*socio=rien pour remplir leurs fonctions*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac estiment qu'en raison*socio=rien de la *socio=rien complexité croissante des*socio=nil techniques et*socio=nil instruments*socio=et financiers*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil ainsi que de l'expansion*socio=ec2 des *socio=ec1 transactions bancaires internationales*socio=te,*socio=nil il*socio=nil *socio=rien est difficile *socio=nil à des autorités*socio=et nationales*socio=te de promouvoir une saine*socio=uv2 pratique*socio=rien de la banque*socio=ac en imposant une stricte*socio=rien adhésion*socio=uv1 à des réglementations*socio=et prudentielles*socio=uv2 quantitatives*socio=rien. Il faut attacher davantage d'importance*socio=rien à la qualité*socio=rien de la gestion*socio=ec2 interne*socio=te - en matière*socio=rien de risques*socio=uv3 notamment - et à la discipline*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1. À cet égard*socio=rien, la formation*socio=et intellectuelle*socio=rien et professionnelle*socio=ec1 des *socio=rien cadres du secteur financier*socio=ec1 *socio=nil - qu'ils soient chargés du*socio=rien contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1 ou de la direction*socio=et des banques*socio=ac - revêt une *socio=rien grande importance.*socio=nil Les*socio=nil intervenants*socio=ac *socio=nil ont aussi souligné la nécessité*socio=uv1 d'améliorer la qualité*socio=rien et la transparence*socio=uv3 des données bancaires*socio=ec1. Tout en convenant que les *socio=rien éléments du cadre général sont*socio=nil pertinents *socio=nil et appropriés à l'analyse*socio=ec2 de la solidité*socio=uv3 *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1,*socio=nil la*socio=nil plupart des*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil voient dans la mise en oeuvre*socio=rien de l'ensemble*socio=rien de "pratiques*socio=et optimales*socio=uv4" envisagé une entreprise*socio=ac ambitieuse*socio=uv2. Ces pratiques*socio=et optimales*socio=uv4 couvrent les *socio=rien domaines suivants :*socio=nil comptabilité*socio=ec1,*socio=nil communications*socio=ec1 aux*socio=nil fins du contrôle*socio=uv3 et*socio=nil divulgation*socio=et au*socio=nil public*socio=et;*socio=nil dispositif*socio=et de*socio=nil sécurité*socio=uv1 officiel*socio=et *socio=nil et sortie du*socio=rien marché*socio=ec1; réglementation*socio=et prudentielle*socio=uv2 et contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1; contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1 international*socio=te; *socio=ec1 infrastructure bancaire.*socio=nil Certains*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil mettent en garde*socio=rien contre toute rigidité*socio=uv3 excessive*socio=uv4 dans l'application*socio=rien ou la promotion*socio=uv3 du*socio=rien projet*socio=et de cadre*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac estiment que le FMI*socio=ac n'a pas à connaître le détail*socio=rien des *socio=rien questions relatives *socio=nil à telle ou telle institution_financière*socio=ac, et que ses services*socio=et doivent tenir compte*socio=ec1 des priorités*socio=uv4 propres*socio=rien à chaque pays*socio=ac dans l'adoption*socio=uv3 des pratiques*socio=et optimales*socio=uv4, en fonction*socio=rien de ses traditions*socio=rien, des structures*socio=ec1 existantes*socio=rien et des limites*socio=rien de ses ressources*socio=ec1. en particulier*socio=rien, il importe de reconnaître les difficultés*socio=uv4 auxquelles se heurtent les autorités*socio=et de contrôle*socio=uv3 dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 en raison*socio=rien des insuffisances*socio=uv3 *socio=rien du cadre juridique*socio=et et*socio=nil du système judiciaire*socio=et,*socio=nil *socio=nil de l'absence*socio=rien d'une culture*socio=et du*socio=rien crédit*socio=ec1 et *socio=rien du manque de*socio=nil moyens*socio=ec1 *socio=nil pour la surveillance*socio=et. Le sentiment*socio=rien des administrateurs*socio=ac est*socio=rien qu'il serait inapproprié pour le FMI*socio=ac d'utiliser l'ensemble*socio=rien de pratiques*socio=et optimales*socio=uv4 proposé par les services*socio=et comme une grille de "notation*socio=rien" des systèmes_bancaires*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. Ils souhaitent que le conseil_d'_administration*socio=ac soit informé, dans les rapports*socio=rien de consultation*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, des problèmes*socio=uv4 macro-économiques*socio=ec1 dus à l'évolution*socio=te du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac concerné, et, en cas*socio=rien d'urgence*socio=rien grave*socio=uv4, par des réunions*socio=rien informelles*socio=uv2 ou de toute autre manière*socio=rien appropriée. Certains administrateurs*socio=ac notent que dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, les démarcations entre le secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1 et les autres *socio=rien éléments du système_financier*socio=ec1 *socio=nil s'estompent et que le FMI*socio=ac pourrait devoir*socio=rien étendre ses activités*socio=rien d'analyse*socio=ec2 et de surveillance*socio=et aux autres *socio=rien éléments du système_financier*socio=ec1 *socio=nil dont les difficultés*socio=uv4 auraient d'évidentes*socio=rien répercussions*socio=ec2 macro-économiques*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac sont conscients*socio=uv2 de ce que les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac auront besoin*socio=uv1 de temps*socio=rien pour acquérir le savoir-faire*socio=uv3 et les connaissances*socio=ec2 nécessaires*socio=rien pour évaluer les problèmes*socio=uv4 *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1 et*socio=nil financier*socio=ec1 *socio=nil qui présentent des incidences*socio=ec2 macro-économiques*socio=ec1 sérieuses*socio=uv4. Le FMI*socio=ac devrait donc initialement concentrer ses efforts*socio=uv1 sur*socio=rien les pays*socio=ac où le secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1 connaît des problèmes*socio=uv4 dont les effets*socio=rien macro-économiques*socio=ec1 sont susceptibles*socio=rien d'avoir des retentissements à l'échelle*socio=rien du*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te. Le comité_intérimaire*socio=ac, lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1997, a approuvé l'attention*socio=rien croissante*socio=rien que porte*socio=rien le FMI*socio=ac aux problèmes*socio=uv4 *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1 et*socio=nil financier*socio=ec1 susceptibles *socio=nil d'entraîner des conséquences*socio=rien macro-économiques*socio=ec1 sérieuses*socio=uv4. À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac a souligné l'importance*socio=rien d'une coopération*socio=uv1 étroite*socio=rien avec la banque_mondiale*socio=ac et d'autres organisations*socio=ac et groupes*socio=ac internationaux*socio=te. Dispositifs*socio=et de caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien. En janvier*socio=rien 1997, les administrateurs*socio=ac ont examiné les incidences*socio=ec2 des dispositifs*socio=et de caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien sur*socio=rien les *socio=rien activités du FMI*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Ils ont observé que, si ces formules*socio=rien présentent autant d'avantages*socio=rien que d'inconvénients*socio=uv4, elles peuvent être*socio=rien utiles*socio=uv4 dans *socio=rien certaines circonstances.*socio=nil *socio=nil Elles peuvent, par exemple*socio=rien servir à renforcer la crédibilité*socio=uv1 d'un*socio=rien programme*socio=et de stabilisation*socio=et dans un*socio=rien pays*socio=ac qui, à l'issue*socio=rien d'une période*socio=te de forte*socio=rien inflation*socio=ec1, doit marquer une nette*socio=rien rupture*socio=ec2 avec les politiques*socio=et précédentes*socio=rien, ou dont les autorités*socio=et n'ont pas eu le temps*socio=rien d'établir de bons*socio=rien antécédents*socio=ec1 sur*socio=rien une période*socio=te suffisamment longue*socio=rien; être*socio=rien utilisées à *socio=rien titre transitoire *socio=nil dans les pays*socio=ac ayant récemment accédé à l'indépendance*socio=uv1 ou sortant d'une période*socio=te de conflit*socio=uv1, jusqu'à ce que les compétences*socio=uv3 nécessaires*socio=rien à la gestion*socio=ec2 d'une banque_centrale*socio=ac classique*socio=rien aient été*socio=rien réunies; et favoriser l'intégration*socio=uv1 d'une petite*socio=rien économie*socio=ec1 ouverte*socio=uv4 dans une zone*socio=te monétaire*socio=ec1 ou commerciale*socio=ec1 plus vaste*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac remarquent qu'il *socio=rien est difficile,*socio=nil *socio=nil même lorsque la caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien est*socio=rien destinée à n'être*socio=rien que temporaire*socio=rien, de fixer a priori la date de cessation*socio=uv3 de ses activités*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac soulignent que les caisses*socio=ec1 d'émission*socio=rien, en tant que dispositifs*socio=et fondés sur*socio=rien des règles*socio=et, peuvent améliorer la transparence*socio=uv3 et encourager la discipline*socio=uv1 financière*socio=ec1, *socio=rien éléments clé du cadre institutionnel*socio=et *socio=nil d'une bonne*socio=rien gestion_publique*socio=et. Par ailleurs*socio=rien, ils rappellent que pour être*socio=rien crédibles*socio=uv2, ces dispositifs*socio=et doivent être*socio=rien étayés par des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 énergiques*socio=ec1 ainsi que par la volonté*socio=uv1, et la capacité*socio=uv3, de ne pas s'écarter outre mesure*socio=rien des objectifs*socio=uv3 fixés. Les inconvénients*socio=uv4 des caisses*socio=ec1 d'émission*socio=rien, selon les administrateurs*socio=ac, sont dus dans une *socio=rien large mesure *socio=nil à leur rigidité*socio=uv3, qui peut rendre malaisée la correction*socio=ec2 d'un*socio=rien éventuel*socio=te désalignement*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1. Ils observent aussi qu'une caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien limite*socio=rien la gamme*socio=rien d'instruments*socio=et dont dispose la banque_centrale*socio=ac pour lutter contre les chocs*socio=ec2 extérieurs*socio=te et remédier aux situations*socio=rien de fragilité*socio=uv1 financière*socio=ec1. Les intervenants*socio=ac conviennent cependant que les autres régimes*socio=et aussi comportent des contraintes*socio=uv1, et qu'il *socio=rien est possible,*socio=nil *socio=nil dans le cadre*socio=rien d'une caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien, de concevoir des mécanismes*socio=et capables*socio=rien de gérer efficacement ces problèmes*socio=uv4. Certains administrateurs*socio=ac ont le sentiment*socio=rien que les formules*socio=rien de caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien sont à présent*socio=rien moins bien*socio=rien adaptées à un*socio=rien environnement*socio=et mondial*socio=te caractérisé par l'accroissement*socio=ec2 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 et des marchés_financiers*socio=ec1 modernes*socio=uv2 et dynamiques*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac rappellent qu'il importe de bien*socio=rien soupeser toutes les options*socio=rien avant de mettre *socio=rien sur pied un dispositif*socio=et de*socio=nil caisse*socio=ec1 d'*socio=nil émission.*socio=nil en*socio=nil particulier,*socio=nil *socio=nil il faut que sa mise en place*socio=rien s'accompagne d'un*socio=rien *socio=rien train complet de*socio=nil réformes*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et*socio=nil structurelles*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil et que celui-ci bénéficie de la volonté*socio=uv1 politique*socio=et et du*socio=rien soutien*socio=uv3 populaire*socio=uv1 nécessaires*socio=rien à sa réussite*socio=uv1. Les administrateurs*socio=ac notent que la rigueur*socio=uv3 de la politique_budgétaire*socio=et, la souplesse*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 de produits*socio=rien et *socio=rien du travail,*socio=nil *socio=nil et la solidité*socio=uv3 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 sont autant de facteurs*socio=rien qui contribuent à réduire la probabilité*socio=ec2 d'un*socio=rien désalignement*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 ou d'une crise*socio=uv2 bancaire*socio=ec1, qui pourraient compromettre la crédibilité*socio=uv1 du*socio=rien dispositif*socio=et. Bien*socio=rien que certains administrateurs*socio=ac soient en faveur*socio=rien de dispositifs*socio=et de "caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien au *socio=rien sens strict"*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil limités à la gestion*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1, nombre*socio=rien de leurs collègues estiment que les doter de fonctions*socio=rien limitées de banque_centrale*socio=ac, avec les garde-fous*socio=uv appropriés, contribuerait souvent à les rendre plus solides*socio=uv4, et partant plus crédibles*socio=uv2 et plus viables*socio=uv4. Des opérations*socio=rien monétaires*socio=ec1 de portée*socio=rien limitée peuvent être*socio=rien justifiées pour éviter une volatilité*socio=ec2 excessive*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Étant donné la fragilité*socio=uv1 des systèmes_bancaires*socio=ec1 de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, les administrateurs*socio=ac estiment aussi qu'un*socio=rien mécanisme*socio=et limité de prêteur*socio=ac de dernier*socio=rien ressort pourrait être*socio=rien utile*socio=uv4, en partie*socio=rien pour satisfaire aux nécessités des règlements*socio=et interbancaires*socio=ec2, ce qui garantirait contre l'éventualité*socio=te de crises*socio=uv2 systémiques*socio=ec2 de la liquidité*socio=ec1. Quant aux possibilités*socio=rien de réaction*socio=rien d'un*socio=rien dispositif*socio=et de caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien face*socio=rien à une situation*socio=rien de *socio=rien détresse du système_bancaire*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil citent le succès*socio=uv1 des mesures*socio=et prises*socio=rien par les autorités*socio=et argentines pour protéger leur dispositif*socio=et à la suite*socio=rien de la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac de 1995, notamment la mise *socio=rien sur pied de*socio=nil fonds*socio=ec1 spéciaux extérieurs*socio=te *socio=nil à la banque_centrale*socio=ac pour restructurer le système_bancaire*socio=ec1 tout en préservant la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac soulignent l'importance*socio=rien de telles mesures*socio=et pour préserver la solidité*socio=uv3 *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1 *socio=nil et maintenir la crédibilité*socio=uv1 du*socio=rien dispositif*socio=et de caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien. Afin de préserver la crédibilité*socio=uv1 de la caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien, toute faculté*socio=rien qui lui serait accordée d'exercer des fonctions*socio=rien de banque_centrale*socio=ac doit être*socio=rien transparente*socio=uv4 et bien*socio=rien conçue, et ne porter que sur*socio=rien la partie*socio=rien des réserves*socio=ec1 excédant la couverture*socio=ec1 de la monnaie*socio=ec1. Ces fonctions*socio=rien doivent en *socio=rien particulier être *socio=nil strictement délimitées et s'accompagner de dispositifs*socio=et financiers*socio=ec1 explicites*socio=rien, tels que fonds*socio=ec1 régulateurs de réserves*socio=ec1 de change*socio=ec1 ou accords*socio=et de crédit*socio=ec1 pour imprévus*socio=uv4. De telles facilités financières*socio=ec1 distinctes*socio=rien rendront les marchés*socio=ec1 confiants*socio=rien en l'aptitude*socio=rien des autorités*socio=et à mener les opérations*socio=rien requises*socio=uv4 sans enfreindre les contraintes*socio=uv1 légales inhérentes*socio=rien au dispositif*socio=et de caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien. L'ensemble*socio=rien des administrateurs*socio=ac sont d'avis*socio=rien que, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, les caisses*socio=ec1 d'émission*socio=rien doivent être*socio=rien considérées comme une *socio=rien solution transitoire.*socio=nil Il*socio=nil est donc*socio=nil important*socio=uv4 *socio=nil de prévoir une stratégie*socio=et appropriée pour en sortir. Ils observent qu'il est*socio=rien de toute évidence*socio=rien préférable*socio=uv4 de sortir du*socio=rien dispositif*socio=et en position_de_force*socio=et. Ils soulignent que tenter de sortir du*socio=rien mécanisme*socio=et de caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien en situation*socio=rien de faiblesse*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 risquerait de provoquer une réaction*socio=rien défavorable*socio=uv4 du*socio=rien marché*socio=ec1, avec fuite*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1, pression*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1 et destruction d'une *socio=rien grande partie des*socio=nil gains*socio=ec1 obtenus*socio=nil grâce *socio=nil à la caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien. Si le dispositif*socio=et paraît excessivement contraignant*socio=uv2, cela peut indiquer que les politiques*socio=et sous-jacentes*socio=rien sont insuffisantes*socio=uv4 et doivent être*socio=rien renforcées, plutôt que la nécessité*socio=uv1 d'abandonner le système*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac considèrent que le FMI*socio=ac doit fournir son assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et financière*socio=ec1 aux pays_membres*socio=ac qui ont mis en place*socio=rien ou envisagent de créer une caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien, dans les mêmes conditions*socio=ec1 qu'aux pays*socio=ac dotés d'autres dispositions*socio=et monétaires*socio=ec1 et de change*socio=ec1. Cependant le FMI*socio=ac ne devrait pas inciter ses membres*socio=ac à adopter quelque régime*socio=et particulier*socio=rien de monnaie*socio=ec1 et de change*socio=ec1. Dans l'ensemble*socio=rien, les administrateurs*socio=ac estiment adéquates*socio=uv2 les facilités et politiques*socio=et en vigueur*socio=uv3 relatives*socio=rien à l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac à l'appui*socio=uv1 de programmes*socio=et axés sur*socio=rien des dispositifs*socio=et de caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien. Le FMI*socio=ac et la convertibilité*socio=ec1 de la monnaie*socio=ec1 aux fins*socio=rien des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Au vu de la croissance*socio=uv3 très rapide*socio=rien et de l'intégration*socio=uv1 croissante*socio=rien des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1 - et soucieux*socio=rien de garantir la capacité*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac de s'acquitter avec efficacité*socio=uv3 de sa mission*socio=et de surveillance*socio=et du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te, où les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 jouent un*socio=rien rôle*socio=et toujours plus prépondérant*socio=rien - le Conseil*socio=ac a abordé la question*socio=rien de la convertibilité*socio=ec1 de la monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te aux fins*socio=rien des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 en février*socio=rien et en avril*socio=rien 1997. Au cours*socio=rien de leurs entretiens*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont convenu qu'un*socio=rien *socio=rien système ouvert et*socio=nil libéral*socio=et de*socio=nil mouvements_de_capitaux*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil en contribuant à une allocation*socio=et efficace*socio=uv4 de l'épargne*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1 mondiaux*socio=te, favorise la croissance*socio=uv3 et la prospérité*socio=uv1 économiques*socio=ec1. Ils ont conscience*socio=uv1 de ce que la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 doit *socio=rien être un processus*socio=te *socio=nil ordonné et soutenable*socio=uv4, s'inscrivant*socio=rien dans *socio=rien un vaste programme*socio=et de*socio=nil réformes*socio=et bien *socio=nil enchaînées s'appuyant sur*socio=rien des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 bien*socio=rien conçues et des systèmes_financiers*socio=ec1 solides*socio=uv4. Ils estiment que le FMI*socio=ac, par sa dimension*socio=rien universelle*socio=uv2 et les missions qui sont les siennes, est*socio=rien appelé à jouer un*socio=rien rôle*socio=et déterminant*socio=rien pour promouvoir la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 et favoriser le fonctionnement*socio=rien harmonieux*socio=uv2 des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1. Le FMI*socio=ac doit également être*socio=rien prêt*socio=ec1 à conseiller*socio=ac ses membres*socio=ac sur*socio=rien la manière*socio=rien d'échelonner l'élimination*socio=ec2 des restrictions*socio=et et de les articuler avec les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 et macro-économiques*socio=ec1 sous-jacentes*socio=rien. De même, le FMI*socio=ac *socio=rien est bien *socio=nil placé pour déterminer si l'imposition*socio=et de contrôles*socio=et *socio=rien temporaires est *socio=nil indiquée pour traiter des entrées ou des sorties massives*socio=rien de capitaux*socio=ec1. Si l'absence*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien mandat formel *socio=nil de promouvoir la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 n'a pas empêché le FMI*socio=ac d'encourager et de soutenir de *socio=rien façon considérable les*socio=nil efforts*socio=uv1 de*socio=nil libéralisation*socio=et *socio=nil de ses membres*socio=ac ainsi que de suivre l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac remarquent que l'intégration*socio=uv1 mondiale*socio=te ne se limite*socio=rien plus aujourd'hui aux biens*socio=ec1 et aux services*socio=et, mais englobe à présent*socio=rien les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac sont par conséquent*socio=rien favorables*socio=uv4 à un*socio=rien amendement*socio=et des Statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac qui ajouterait la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 aux buts*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1. Ils s'accordent*socio=rien aussi à penser que l'extension*socio=rien des compétences*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac aux mouvements_de_capitaux*socio=ec1 devrait être*socio=rien mise en oeuvre*socio=rien avec souplesse*socio=uv3, et prévoir des dispositions*socio=et transitoires*socio=rien et des procédures*socio=et d'approbation*socio=uv1. Ils affirment en outre qu'il importe de veiller à une coordination*socio=uv3 adéquate*socio=uv2 avec les autres organisations_internationales*socio=ac. En ce qui concerne les limites*socio=rien de compétence*socio=uv3, de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac favorisent l'attribution*socio=rien au FMI*socio=ac d'une compétence*socio=uv3 étendue couvrant les opérations*socio=rien et les paiements*socio=ec1 à l'entrée*socio=rien comme à la sortie. Par ailleurs*socio=rien, les administrateurs*socio=ac préfèrent exclure les opérations*socio=rien d'investissement_direct_étranger*socio=ec1 de la compétence*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac, car ces opérations*socio=rien sont ordinairement soumises à des restrictions*socio=et pour des motifs*socio=rien autres que ceux de la gestion*socio=ec2 macro-économique*socio=ec1 et de la balance_des_paiements*socio=ec1. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont aussi rappelé la nécessité*socio=uv1 de définir*socio=rien clairement l'étendue des compétences*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac en matière*socio=rien de mouvements_de_capitaux*socio=ec1 vis-à-vis des autres organisations*socio=ac et accords*socio=et internationaux*socio=te. Le Conseil*socio=ac reconnaît qu'une extension*socio=rien des compétences*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac aux mouvements_de_capitaux*socio=ec1 exigera des procédures*socio=et d'approbation*socio=uv1 permettant aux pays_membres*socio=ac d'imposer des restrictions*socio=et temporaires*socio=rien aux entrées comme aux sorties de capitaux*socio=ec1 en réponse*socio=rien à des situations*socio=rien d'urgence*socio=rien. Étant donné la taille et l'instabilité*socio=uv3 potentielles*socio=uv4 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac estiment que l'approbation*socio=uv1 des restrictions*socio=et temporaires*socio=rien devra se faire de manière*socio=rien plus flexible*socio=uv4 que dans le *socio=rien cadre du régime*socio=et *socio=nil appliqué aux paiements*socio=ec1 et transferts*socio=ec1 aux fins*socio=rien des opérations*socio=rien *socio=te internationales courantes.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil conviennent également qu'il faudra prévoir une procédure*socio=et d'approbation*socio=uv1 non temporaire*socio=rien des restrictions*socio=et ou exclusions*socio=uv1 imposées pour des motifs*socio=rien de sécurité*socio=uv1 nationale*socio=te ou d'ordre*socio=rien prudentiel*socio=uv2. Les administrateurs*socio=ac conviennent qu'étendre la compétence*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac aux mouvements_de_capitaux*socio=ec1 exigera des dispositions*socio=et transitoires*socio=rien afin que la libéralisation*socio=et puisse être*socio=rien articulée avec les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, en particulier*socio=rien dans les secteurs*socio=rien monétaire*socio=ec1 et financier*socio=ec1, et que le rythme*socio=ec2 de la libéralisation*socio=et puisse tenir compte*socio=ec1 des *socio=rien circonstances particulières *socio=nil à chaque pays*socio=ac. Il a également été*socio=rien précisé que les *socio=ac États membres *socio=nil ne devraient pas utiliser lesdites dispositions*socio=et transitoires*socio=rien pour retarder indûment la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac notent que les procédures*socio=et établies de consultation*socio=uv1 annuelle*socio=te, de surveillance*socio=et et d'assistance*socio=uv1 *socio=rien technique du FMI*socio=ac *socio=nil sont les principaux*socio=rien instruments*socio=et qui permettront de garantir que la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 ne soit ni prématurée*socio=rien ni indûment retardée. Au cours*socio=rien de leurs entretiens*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont envisagé les effets*socio=rien probables*socio=uv4 de la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 sur*socio=rien la demande*socio=ec1 de financements*socio=ec1 adressée au FMI*socio=ac. *socio=rien Du fait *socio=nil de l'accès*socio=uv1 des pays*socio=ac aux marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 qu'apportera la libéralisation*socio=et, certains s'attendent à ce que la demande*socio=ec1 de financement*socio=ec1 diminue, tandis que d'autres se préoccupent de ce qu'elle risque*socio=uv3 d'augmenter dans certains cas*socio=rien en *socio=rien raison du volume *socio=nil et de l'instabilité*socio=uv3 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. Il a été*socio=rien convenu de revenir sur*socio=rien cette question*socio=rien ultérieurement. Le comité_intérimaire*socio=ac a adopté lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1997, ce qui constitue une étape*socio=te importante*socio=uv4, le concept*socio=rien d'un*socio=rien amendement*socio=et des Statuts*socio=et investissant formellement le FMI*socio=ac de la mission*socio=et de promouvoir la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 et donnant au FMI*socio=ac les compétences*socio=uv3 appropriées en matière*socio=rien de mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Le Comité*socio=ac a demandé au Conseil*socio=ac de poursuivre ses travaux*socio=rien afin qu'il puisse soumettre au Comité*socio=ac, lors*socio=rien de sa *socio=rien prochaine réunion en*socio=nil septembre *socio=nil 1997, des recommandations*socio=et précises*socio=rien portant sur*socio=rien les *socio=rien principaux points *socio=nil de l'amendement*socio=et envisagé. La portée*socio=rien de ces nouvelles*socio=rien compétences*socio=uv3 doit *socio=rien être définie avec*socio=nil soin,*socio=nil *socio=nil a observé le Comité*socio=ac, et la flexibilité*socio=uv3 nécessaire*socio=rien pouvoir*socio=et être*socio=rien exercée au moyen*socio=rien de dispositions*socio=et transitoires*socio=rien et de procédures*socio=et d'approbation*socio=uv1. Diffusion*socio=rien des données. Les *socio=rien entretiens du Conseil*socio=ac relatifs à*socio=nil un ensemble de*socio=nil normes*socio=et destinées *socio=nil à guider les *socio=ac États membres *socio=nil dans la communication*socio=ec1 au public*socio=et de statistiques*socio=ec2 économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 ont débuté à la demande*socio=ec1 du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac formulée en avril*socio=rien 1995, et se sont poursuivis en 1995 et au début*socio=rien de 1996. La démarche*socio=rien adoptée prévoyait deux ensembles*socio=rien de normes*socio=et : *socio=rien un Système général de*socio=nil diffusion *socio=nil des données (SGDD) et une Norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données (NSDD) à l'intention*socio=rien des pays*socio=ac qui participent ou souhaitent participer aux marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1. Le Conseil*socio=ac a approuvé en avril*socio=rien 1996 la NSDD, à laquelle les membres*socio=ac peuvent souscrire de leur *socio=rien propre initiative (*socio=nil Rapport annuel*socio=te *socio=nil 1996, pages*socio=rien 51 à 54). Une étape*socio=te importante*socio=uv4 a été*socio=rien franchie en septembre*socio=rien 1996 avec l'ouverture*socio=uv3 par le FMI*socio=ac d'un*socio=rien Tableau*socio=rien d'affichage*socio=rien électronique*socio=rien qui peut être*socio=rien consulté par le public*socio=et via le réseau*socio=rien Internet*socio=ec1. Norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données. À la fin*socio=rien d'avril*socio=rien 1997, 42 pays*socio=ac ou entités*socio=rien territoriales*socio=te avaient souscrit à la NSDD (encadré 4). Les pays*socio=ac qui souscrivent à la NSDD sont censés*socio=rien suivre les pratiques*socio=et optimales*socio=uv4 prescrites*socio=rien par la norme*socio=et concernant la couverture*socio=ec1, la périodicité*socio=te et les délais*socio=rien de diffusion*socio=rien des données; assurer un*socio=rien accès*socio=uv1 aisé*socio=rien et égal*socio=rien pour tous; et assister les usagers*socio=rien dans l'évaluation*socio=ec2 de l'intégrité*socio=uv1 et de la qualité*socio=rien des données. On s'attend que la plupart*socio=rien des *socio=ac pays souscripteurs auront*socio=nil besoin*socio=uv1 d'*socio=nil adapter*socio=rien leurs*socio=nil pratiques*socio=et de*socio=nil diffusion*socio=rien *socio=nil pour les rendre pleinement conformes*socio=uv4 aux pratiques*socio=et optimales*socio=uv4 prévues par la norme*socio=et NSDD. Une période*socio=te *socio=rien transitoire est *socio=nil prévue jusqu'à fin*socio=rien 1998; les *socio=ac pays souscripteurs *socio=nil devront la mettre à profit*socio=ec1 pour apporter les ajustements*socio=et appropriés à leurs pratiques*socio=et afin de les mettre pleinement aux normes*socio=et. Au cours*socio=rien de cette période*socio=te transitoire*socio=rien, le FMI*socio=ac, en coopération*socio=uv1 avec ses membres*socio=ac, continuera à élaborer certains aspects*socio=rien de la NSDD et évaluera son fonctionnement*socio=rien à la lumière*socio=rien de l'expérience*socio=ec2. Au cours*socio=rien de discussions*socio=et tenues en septembre*socio=rien 1996, les administrateurs*socio=ac ont observé que les pays_membres*socio=ac auront peut-être besoin*socio=uv1 d'une assistance*socio=uv1 *socio=rien technique considérable *socio=nil pour satisfaire pleinement aux nécessités de la mise en oeuvre*socio=rien de la norme*socio=et de données. Ces besoins*socio=uv1 viendront s'ajouter à la demande*socio=ec1 d'assistance*socio=uv1 *socio=rien technique existante *socio=nil et devront être*socio=rien pris en considération*socio=rien dans la *socio=rien formulation du budget*socio=ec1 du FMI*socio=ac *socio=nil ainsi que dans la hiérarchisation des demandes*socio=et d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien. Certains intervenants*socio=ac ont proposé que dans la *socio=rien mesure du possible les*socio=nil pays*socio=ac participant *socio=nil à la NSDD assument eux-mêmes une partie*socio=rien des coûts*socio=ec1 de l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien, tandis que d'autres estiment que l'entreprise*socio=ac de la NSDD ne doit pas avoir une incidence*socio=ec2 *socio=rien négative sur la*socio=nil disponibilité *socio=nil de l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien pour les pays*socio=ac qui ne sont pas en mesure*socio=rien d'y participer. Il sera nécessaire*socio=rien pour soutenir l'effort*socio=uv1 d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien d'établir une coordination*socio=uv3 avec d'autres organisations*socio=ac multilatérales*socio=et et bilatérales*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont encouragé les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac à rechercher des possibilités*socio=rien de financement*socio=ec1 additionnels*socio=ec2 et à évaluer les possibilités*socio=rien de recouvrement*socio=ec1 des coûts*socio=ec1 auprès des *socio=rien utilisateurs du Tableau d'*socio=nil affichage des*socio=nil normes*socio=et de*socio=nil diffusion *socio=nil (TAND). Les administrateurs*socio=ac ont reconnu qu'il serait utile*socio=uv4 d'ajouter au TAND des liens*socio=rien hypertexte permettant aux usagers*socio=rien de passer directement des métadonnées d'un*socio=rien pays*socio=ac (c'est-à-dire des renseignements*socio=ec2 méthodologiques sur*socio=rien ses statistiques*socio=ec2, comme par exemple*socio=rien les caractéristiques*socio=rien des mesures*socio=et effectuées et les calendriers*socio=et de publication*socio=rien des données) affichées sur*socio=rien le TAND, aux statistiques*socio=ec2 économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 elles-mêmes sur*socio=rien Internet*socio=ec1. Ils ont approuvé la proposition*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac d'établir, pour les pays*socio=ac qui le souhaitent, des liens*socio=rien hypertextes entre le TAND et leurs sites*socio=rien de statistiques*socio=ec2 nationales*socio=te sur*socio=rien Internet*socio=ec1, tout en tenant compte*socio=ec1 de la *socio=rien situation particulière *socio=nil de chaque pays*socio=ac quant au choix*socio=uv1 de la date à laquelle ces liens*socio=rien pourront *socio=rien être opérationnels.*socio=nil Les*socio=nil premiers liens ont*socio=nil été *socio=nil installés en avril*socio=rien 1997, et on s'attend que de nombreux*socio=rien autres *socio=ac pays souscripteurs *socio=nil ouvriront les leurs à l'avenir*socio=te. Le *socio=rien Système général de*socio=nil diffusion *socio=nil des données. En mars*socio=rien 1997, le Conseil*socio=ac a examiné avec satisfaction*socio=uv3 les progrès*socio=uv1 accomplis vers l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien cadre*socio=rien pour le SGDD, dont le *socio=rien but premier est *socio=nil d'encourager l'ensemble*socio=rien des *socio=ac États membres *socio=nil à améliorer la qualité*socio=rien de leurs données et de leurs systèmes*socio=rien de production*socio=ec1 et de diffusion*socio=rien de statistiques*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac trouvent approprié que le SGDD leur fournisse *socio=rien un schéma directeur *socio=nil pour le développement*socio=uv3 de leurs systèmes*socio=rien et notent qu'améliorer l'infrastructure*socio=ec1 statistique*socio=ec2 d'établissement*socio=rien et de diffusion*socio=rien des données peut se révéler une entreprise*socio=ac de *socio=rien grande envergure *socio=nil et nécessiter des délais*socio=rien de mise en *socio=rien oeuvre considérables.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil approuvent la démarche*socio=rien souple*socio=uv4 et pragmatique*socio=uv4 adoptée pour le SGDD, qui repose sur*socio=rien le volontariat et tient compte*socio=ec1 des particularités*socio=rien et *socio=rien possibilités diverses des*socio=nil pays*socio=ac susceptibles *socio=nil de participer au système*socio=rien. Ils trouvent approprié que les normes*socio=et du*socio=rien SGDD en matière*socio=rien de couverture*socio=ec1, de périodicité*socio=te et de délais*socio=rien de diffusion*socio=rien des données soient moins prescriptives que pour la NSDD et que le *socio=rien Système général,*socio=nil *socio=nil tout en distinguant entre les améliorations*socio=uv1 *socio=rien du cadre statistique*socio=ec2 général *socio=nil d'une part*socio=rien, et celles des indicateurs*socio=ec1 d'autre part*socio=rien, mette surtout l'accent*socio=rien sur*socio=rien les efforts*socio=uv1 d'amélioration*socio=uv1 de la qualité*socio=rien des données. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac approuvent l'inclusion*socio=rien de données sociales*socio=et et démographiques*socio=ec1 dans le *socio=rien Système général,*socio=nil *socio=nil mais plusieurs intervenants*socio=ac ont souligné qu'il s'agit là des domaines*socio=rien d'expertise*socio=uv3 d'autres institutions_internationales*socio=ac. Le Conseil*socio=ac rappelle qu'il importe de coordonner l'assistance*socio=uv1 apportée aux pays_membres*socio=ac pour améliorer leurs systèmes*socio=rien statistiques*socio=ec2 avec les autres organisations_internationales*socio=ac ou régionales*socio=te. Certains administrateurs*socio=ac estiment qu'il importe de *socio=rien définir un cadre législatif*socio=et *socio=nil pour asseoir l'édification*socio=rien de structures*socio=ec1 statistiques*socio=ec2 efficaces*socio=uv4, et ils soulignent la nécessité*socio=uv1 d'encourager les pays*socio=ac participant*socio=rien au SGDD à adopter des méthodologies reconnues au plan*socio=rien international*socio=te en matière*socio=rien d'élaboration*socio=rien des données économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1. Ils mettent en relief*socio=rien le rôle*socio=et que l'assistance*socio=uv1 *socio=rien technique du FMI*socio=ac *socio=nil ou d'autres organismes*socio=ac peut jouer à cet égard*socio=rien. Évoquant le bilan*socio=rien encourageant de la NSDD et de son tableau*socio=rien d'affichage*socio=rien TAND, la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac s'accordent*socio=rien à penser qu'un*socio=rien tableau*socio=rien d'affichage*socio=rien électronique*socio=rien pourrait être*socio=rien envisagé pour le *socio=rien Système général.*socio=nil *socio=nil Afin d'éviter de donner l'impression*socio=rien au public*socio=et que la participation*socio=uv3 d'un*socio=rien pays*socio=ac au SGDD implique que ses pratiques*socio=et ou ses données statistiques*socio=ec2 bénéficient de l'aval*socio=rien du*socio=rien FMI*socio=ac, plusieurs administrateurs*socio=ac ont indiqué que le FMI*socio=ac devrait clarifier les différences*socio=uv1 entre le SGDD et la NSDD. Certains administrateurs*socio=ac estiment de plus que le FMI*socio=ac ne devrait diffuser d'informations*socio=rien sur*socio=rien les pratiques*socio=et statistiques*socio=ec2 d'un*socio=rien pays*socio=ac donné qu'après*socio=rien que des améliorations*socio=uv1 suffisantes*socio=rien y auront été*socio=rien apportées. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac sont préoccupés par le coût*socio=ec1 budgétaire*socio=et éventuel*socio=te, tant pour le FMI*socio=ac que pour les pays*socio=ac participants*socio=rien, tout en admettant que les implications*socio=rien en ressources*socio=ec1 dépendront de la vitesse*socio=rien à laquelle les *socio=ac États membres *socio=nil souscriront au SGDD. Ils s'accordent*socio=rien globalement à trouver réaliste*socio=uv4 le rythme*socio=ec2 de mise en oeuvre*socio=rien envisagé, eu égard*socio=rien à la capacité*socio=uv3 d'absorption*socio=rien de nombre*socio=rien des pays*socio=ac susceptibles*socio=rien de participer au SGDD. Les *socio=rien conclusions du Conseil*socio=ac ont*socio=nil été *socio=nil réunies dans *socio=rien un rapport *socio=nil communiqué au comité_intérimaire*socio=ac, qui lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1997 s'est*socio=rien félicité *socio=rien du grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ayant souscrit à la NSDD et a déclaré attendre avec intérêt*socio=uv1 l'établissement*socio=rien du*socio=rien SGDD. Rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans les *socio=rien questions relatives *socio=nil à la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et. Conscient*socio=uv2 des *socio=rien rapports étroits *socio=nil entre une gestion*socio=ec2 saine*socio=uv2 et transparente*socio=uv4 des affaires_publiques*socio=et dans les *socio=ac États membres *socio=nil et de *socio=rien nombreux sujets *socio=nil qui intéressent le FMI*socio=ac au premier_chef*socio=rien, le Conseil*socio=ac a tenu en janvier*socio=rien 1997 des *socio=rien entretiens préliminaires sur le*socio=nil rôle*socio=et du FMI*socio=ac *socio=nil dans ce domaine*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac notent que ces entretiens*socio=rien ont été*socio=rien suscités par la conviction*socio=uv1 croissante*socio=rien que de *socio=rien bons résultats économiques*socio=ec1 *socio=nil supposent que les pouvoirs_publics*socio=et utilisent efficacement les ressources*socio=ec1 publiques*socio=et, créent un*socio=rien environnement*socio=et propice*socio=rien à l'activité*socio=rien du*socio=rien secteur_privé*socio=et et favorisent l'adhésion*socio=uv1 de l'opinion*socio=ac publique*socio=et aux réformes*socio=et économiques*socio=ec1, tous points*socio=rien qui constituent autant d'aspects*socio=rien *socio=rien du bon gouvernement*socio=ac.*socio=nil Il*socio=nil est aussi*socio=nil évident,*socio=nil aux*socio=nil yeux *socio=nil de tous les administrateurs*socio=ac, qu'une plus grande*socio=rien transparence*socio=uv3 dans la formulation*socio=rien et l'exécution*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 est*socio=rien de nature*socio=rien à renforcer la confiance*socio=uv1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et dans la politique*socio=et gouvernementale*socio=ac et que le financement*socio=ec1 extérieur*socio=te - tant privé*socio=et qu'officiel*socio=et - est*socio=rien étroitement lié à la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et. Le Conseil*socio=ac a également remarqué que les autorités*socio=et nationales*socio=te font de plus en plus appel*socio=rien au FMI*socio=ac pour les aider à améliorer la gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et par le renforcement*socio=ec2 tant de leurs structures*socio=ec1 institutionnelles*socio=et que de leurs *socio=et procédures administratives.*socio=nil *socio=nil D'autres institutions_internationales*socio=ac et organismes*socio=ac bilatéraux*socio=et accroissent aussi leurs efforts*socio=uv1 pour renforcer la capacité*socio=uv3 des pays*socio=ac à mettre en oeuvre*socio=rien des réformes*socio=et et obtenir*socio=rien l'adhésion*socio=uv1 du*socio=rien public*socio=et à leur égard*socio=rien. À ce sujet*socio=rien, le Conseil*socio=ac a noté que la déclaration*socio=et de septembre*socio=rien 1996 du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac avait suscité une conscience*socio=uv1 accrue de l'intérêt*socio=uv1 d'une gestion*socio=ec2 saine*socio=uv2 et transparente*socio=uv4 des affaires_publiques*socio=et. Les administrateurs*socio=ac approuvent la contribution*socio=uv1 qu'apporte le FMI*socio=ac à la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 par ses activités*socio=rien de surveillance*socio=et, l'usage*socio=rien qui *socio=rien est fait des*socio=nil ressources*socio=ec1 du Fonds*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et la fourniture*socio=ec1 d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien aux *socio=ac États membres.*socio=nil *socio=nil De ce point*socio=rien de vue*socio=rien les administrateurs*socio=ac font remarquer que le FMI*socio=ac contribue par tradition*socio=uv1 à promouvoir la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 en décourageant la recherche*socio=ec2 systématique*socio=rien de situations*socio=rien de rente*socio=et, les prises*socio=rien de *socio=et décisions discrétionnaires *socio=nil ou au coup*socio=rien par coup*socio=rien et les traitements*socio=rien préférentiels*socio=et en matière*socio=rien d'impôts*socio=et ou de subventions*socio=ec1, ainsi qu'en améliorant la capacité*socio=uv3 de concevoir et d'appliquer des politiques_économiques*socio=et et en responsabilisant le secteur_public*socio=et. Les efforts*socio=uv1 pour encourager la transparence*socio=uv3 des opérations*socio=rien financières*socio=ec1, comme l'inscription*socio=rien au budget*socio=ec1 des opérations*socio=rien extrabudgétaires*socio=ec1 et des subventions*socio=ec1 implicites*socio=uv3 et l'amélioration*socio=uv1 de la comptabilité*socio=ec1 de la banque_centrale*socio=ac, ont aussi été*socio=rien évoqués. Certaines*socio=rien divergences*socio=uv1 se sont cependant *socio=rien fait jour au*socio=nil sein du Conseil*socio=ac *socio=nil concernant le rôle*socio=et futur*socio=te du*socio=rien FMI*socio=ac en cette matière*socio=rien. Si certains administrateurs*socio=ac considèrent que le Fonds*socio=ec1 pourrait se montrer plus actif*socio=ec1 dans la promotion*socio=uv3 de la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et, d'autres se préoccupent de ce que le FMI*socio=ac, en s'impliquant davantage, ne risque*socio=uv3 de sortir *socio=rien du cadre *socio=nil de ses missions, ou d'intervenir au-delà de ses moyens*socio=ec1 dans des domaines*socio=rien où il ne possède pas d'avantage_comparatif*socio=ec2. Par ailleurs*socio=rien, de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac font observer qu'il est*socio=rien peu probable*socio=uv4 qu'on parvienne à une *socio=rien définition unique *socio=nil et complète de ce qu'est*socio=rien la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et. Les administrateurs*socio=ac reconnaissent qu'il est*socio=rien souvent malaisé*socio=rien de distinguer ses aspects*socio=rien économiques*socio=ec1 de ses aspects*socio=rien politiques*socio=et, et qu'il importe par conséquent*socio=rien de concentrer les efforts*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac dans ce *socio=rien domaine sur des*socio=nil points *socio=nil dont les conséquences*socio=rien macro-économiques*socio=ec1 peuvent *socio=rien être significatives.*socio=nil *socio=nil Ils demandent aussi à être*socio=rien mieux informés des *socio=rien activités du FMI*socio=ac face aux*socio=nil cas de*socio=nil corruption*socio=uv1 *socio=nil et soulignent qu'il doit y avoir uniformité de traitement*socio=rien dans les affaires*socio=ec1 ayant trait*socio=rien à la saine*socio=uv2 gestion*socio=ec2 de la chose*socio=rien publique*socio=et. Il a été*socio=rien convenu, sur*socio=rien la base*socio=rien des discussions*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac - et étant donné que chacun s'accorde à reconnaître que la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et est*socio=rien importante*socio=uv4 pour favoriser une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 - de revenir sur*socio=rien le sujet*socio=rien au début*socio=rien de la *socio=rien prochaine année financière*socio=ec1 *socio=nil afin de clarifier le rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. La clarification*socio=rien prévue devrait viser, entre autres, les objectifs*socio=uv3 suivants*socio=rien : faire en sorte*socio=rien que les activités*socio=rien de *socio=rien conseil du FMI*socio=ac prennent*socio=nil bien en*socio=nil compte*socio=ec1 les*socio=nil aspects *socio=nil de la gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et qui sont *socio=rien du domaine *socio=nil de sa compétence*socio=uv3 et de son savoir-faire*socio=uv3; s'assurer que le FMI*socio=ac fait*socio=rien preuve*socio=ec2 d'impartialité*socio=uv1 entre les *socio=ac États membres *socio=nil dans le traitement*socio=rien des affaires*socio=ec1 ayant trait*socio=rien à la saine*socio=uv2 gestion*socio=ec2 de la chose*socio=rien publique*socio=et; et améliorer la coopération*socio=uv1 dans ce domaine*socio=rien avec les autres institutions*socio=ac multilatérales*socio=et, les donateurs*socio=ac bilatéraux*socio=et et les créanciers*socio=ac officiels*socio=et. Chapitre*socio=rien 5 : Consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Le FMI*socio=ac tient des consultations*socio=uv1 bilatérales*socio=et, le plus souvent annuelles*socio=te, avec tous les *socio=ac États membres,*socio=nil aux*socio=nil termes*socio=rien *socio=nil de l'article*socio=rien IV de ses Statuts*socio=et. À ce titre*socio=rien, une mission*socio=et des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac se rend *socio=rien sur place *socio=nil pour discuter avec les responsables*socio=uv2 nationaux*socio=te de l'évolution*socio=te économique*socio=ec1 ainsi que des politiques_monétaire*socio=et, budgétaire*socio=et et structurelle*socio=ec2 que suivent les autorités*socio=et. La mission*socio=et recueille aussi les données économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 *socio=rien pertinentes sur la*socio=nil situation du pays*socio=ac.*socio=nil De*socio=nil retour au*socio=nil siège,*socio=nil les*socio=nil membres*socio=ac *socio=nil de la mission*socio=et rédigent *socio=rien un rapport qui*socio=nil analyse la*socio=nil situation économique*socio=ec1 *socio=nil et évalue l'orientation*socio=et des politiques*socio=et appliquées, et qui sert de base*socio=rien à la discussion*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac. À l'issue*socio=rien de cette discussion*socio=et, le Président*socio=ac du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac résume les avis*socio=rien exprimés par les administrateurs*socio=ac au cours*socio=rien de la réunion*socio=rien. Ce résumé est*socio=rien transmis aux autorités*socio=et du*socio=rien pays*socio=ac concerné. En avril*socio=rien 1997, le Conseil*socio=ac a décidé que des notes d'information*socio=rien pourraient être*socio=rien diffusées à la presse*socio=et, à l'initiative*socio=rien des *socio=ac États membres *socio=nil qui le souhaitent, une fois*socio=rien conclues les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV (voir au chapitre*socio=rien 4 la section*socio=rien intitulée "Réexamen*socio=et biennal*socio=rien de la surveillance*socio=et" et l'appendice*socio=rien V). En 1996 / 97, le FMI*socio=ac a conclu 150 consultations*socio=uv1 de ce type*socio=rien (tableau*socio=rien 3). La *socio=rien présente section *socio=nil décrit les *socio=rien principaux aspects des*socio=nil discussions*socio=et du Conseil*socio=ac sur un certain nombre de*socio=nil consultations*socio=uv1 au*socio=nil titre *socio=nil de l'article*socio=rien IV avec les *socio=ac États membres.*socio=nil Les*socio=nil pays ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil choisis en fonction*socio=rien de leur importance*socio=rien économique*socio=ec1 sur*socio=rien le plan*socio=rien mondial*socio=te ou régional*socio=te, ou, dans le cas*socio=rien des plus petits*socio=rien États*socio=ac, sont présentés par roulement*socio=rien. Chaque description*socio=rien comprend *socio=rien un bref *socio=nil résumé des grandes*socio=rien évolutions*socio=te macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 jusqu'au moment*socio=rien des consultations*socio=uv1 ainsi qu'un*socio=rien tableau*socio=rien des principaux*socio=rien *socio=ec1 indicateurs économiques *socio=nil dont le Conseil*socio=ac disposait alors. Un*socio=rien résumé des conclusions*socio=rien de la discussion*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac est*socio=rien présenté ensuite. Lorsque les consultations*socio=uv1 ont été*socio=rien tenues en début*socio=rien d'exercice*socio=rien et qu'une importante*socio=uv4 évolution*socio=te s'est*socio=rien produite ultérieurement, une *socio=rien nouvelle colonne a*socio=nil été *socio=nil ajoutée au tableau*socio=rien des *socio=ec1 indicateurs économiques *socio=nil afin de mettre à jour*socio=rien les estimations*socio=ec2 des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Par ailleurs*socio=rien, dans certains cas*socio=rien où la politique_économique*socio=ec1 s'est*socio=rien trouvée infléchie de façon*socio=rien marquée après*socio=rien la conclusion*socio=rien des consultations*socio=uv1, le texte*socio=rien a été*socio=rien enrichi d'un*socio=rien *socio=rien nouveau paragraphe.*socio=nil Économies*socio=ec1 *socio=nil avancées. Principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. France*socio=ac. Le Conseil*socio=ac a conclu les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec la France*socio=ac en octobre*socio=rien 1996. Les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 de 1995 sont restés largement en deçà des prévisions*socio=ec2, la croissance*socio=uv3 *socio=rien globale du PIB*socio=ec1 réel *socio=nil n'ayant été*socio=rien que de 2 1/4 % (tableau*socio=rien 7). Après*socio=rien les grèves*socio=ec massives*socio=rien de novembre*socio=rien et décembre*socio=rien 1995, la production*socio=ec1 s'est*socio=rien redressée au début*socio=rien de 1996, puis a marqué le pas au deuxième*socio=rien trimestre*socio=te de l'année*socio=rien. Le chômage*socio=ec1 a reculé à 11 1/2% en 1995, mais a retrouvé son niveau*socio=rien record*socio=ec2 de 12 1/2% au milieu*socio=rien de 1996. En 1995, l'inflation*socio=ec1 tendancielle*socio=ec2 a *socio=rien été inférieure *socio=nil à la hausse*socio=rien de 2 % enregistrée pour les prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 et est*socio=rien restée faible*socio=rien jusqu'à la fin*socio=rien de juin*socio=rien 1996. En 1995, le gouvernement*socio=ac a entrepris de contrôler le dérapage*socio=uv4 budgétaire*socio=et naissant*socio=rien et a engagé une vaste*socio=rien réforme*socio=et de la sécurité_sociale*socio=et. Ces mesures*socio=et constituaient autant de progrès*socio=uv1 importants*socio=uv4 vers la résolution*socio=uv1 du*socio=rien problème*socio=uv4 structurel*socio=ec2 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te de respect*socio=uv1 des critères*socio=rien de l'UEM*socio=et dans les délais*socio=rien prévus. Les *socio=et réformes budgétaires *socio=nil ont heureusement permis*socio=rien de maintenir le déficit*socio=ec1 au niveau*socio=rien de 5 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 retenu*socio=rien comme objectif*socio=uv3, contrairement à ce qui s'était passé*socio=rien au cours*socio=rien des quatre *socio=rien années précédentes.*socio=nil *socio=nil Pour 1996, le gouvernement*socio=ac a annoncé un*socio=rien plafonnement*socio=uv4 du*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et à 4 % du*socio=rien PIB*socio=ec1, ce qui a orienté la politique*socio=et des finances*socio=ec1 publiques*socio=et vers la réalisation*socio=uv1 de l'objectif*socio=uv3 de 3 % pour 1997 fixé par le traité*socio=rien de Maastricht*socio=et. S'agissant de la politique_monétaire*socio=et, la Banque*socio=ac de France*socio=ac est*socio=rien parvenue, à partir de l'automne*socio=rien 1995, à ramener le franc*socio=ec1 dans l'ancienne*socio=rien bande *socio=rien étroite du système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac (*socio=nil SME*socio=ec1)*socio=nil *socio=nil et à rétrécir l'écart*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 avec l'Allemagne*socio=ac. Dans l'ensemble*socio=rien, le rétablissement*socio=rien de la confiance*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1 a contribué à assouplir sensiblement les *socio=ec1 conditions monétaires.*socio=nil Les*socio=nil exportations *socio=nil ont fortement fléchi au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1995, mais comme la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te est*socio=rien restée assez faible*socio=rien, l'excédent*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien a atteint quelque 1 1/4% du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1995. Les réserves_officielles*socio=et totales*socio=rien (or*socio=ec1 exclu*socio=rien) ont légèrement augmenté, s'inscrivant*socio=rien à 27 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Les mesures*socio=et de réforme*socio=et des finances*socio=ec1 publiques*socio=et ont joué un*socio=rien rôle*socio=et capital*socio=ec1 dans le renforcement*socio=ec2 du*socio=rien franc*socio=ec1. Au cours*socio=rien de leur discussion*socio=et, les administrateurs*socio=ac ont félicité les autorités*socio=et pour les progrès*socio=uv1 réalisés dans l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, le maintien*socio=rien d'une politique_monétaire*socio=et prudente*socio=uv2, ainsi que leur ferme*socio=ec2 détermination*socio=rien à poursuivre le redressement*socio=ec2 budgétaire*socio=et et à compter parmi les premiers*socio=rien pays*socio=ac à participer à l'UEM*socio=et - mesures*socio=et qui ont été*socio=rien récompensées par une amélioration*socio=uv1 remarquable*socio=rien des conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1. L'activité_économique*socio=ec1 est*socio=rien cependant restée plus faible*socio=rien que prévu et une certaine*socio=rien incertitude*socio=uv3 planait sur*socio=rien les perspectives*socio=te de 1997. S'agissant de la politique*socio=et des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, les administrateurs*socio=ac ont estimé qu'il restait possible*socio=rien de maintenir le déficit*socio=ec1 de 1996 au niveau*socio=rien de 4 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 retenu*socio=rien comme objectif*socio=uv3, si la reprise économique*socio=ec1 restait bien*socio=rien engagée. Ils se sont cependant déclarés préoccupés par les dérapages*socio=uv4 intervenus dans la réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 de la sécurité_sociale*socio=et et ont signalé les risques*socio=uv3 de nouveaux*socio=rien dépassements*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 de santé*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont accueilli avec satisfaction*socio=uv3 l'annonce, pour 1997, d'un*socio=rien budget*socio=ec1 conforme*socio=uv4 au critère*socio=rien de 3 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 prévu par le Traité*socio=rien de Maastricht*socio=et, mais ils ont noté la marge de manoeuvre*socio=rien réduite que prévoyait le budget*socio=ec1 pour faire face*socio=rien aux aléas*socio=rien. Ils ont aussi fait*socio=rien remarquer que le *socio=rien recul du déficit*socio=ec1 *socio=nil pour 1997 était en *socio=rien grande partie attribuable à*socio=nil un transfert*socio=ec1 exceptionnel*socio=uv4 *socio=nil provenant d'une entreprise_publique*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont exhorté les autorités*socio=et à appliquer, dès le début*socio=rien de 1997, de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et propres*socio=rien à assurer un*socio=rien ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 adéquat*socio=uv2 et, si l'activité*socio=rien était plus faible*socio=rien que prévu, à éviter un*socio=rien alourdissement*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 risquant d'ébranler la confiance*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1 dans la réalisation*socio=uv1 de l'UEM*socio=et. La France*socio=ac était confrontée à de graves*socio=uv4 pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les finances*socio=ec1 publiques*socio=et dues à l'évolution*socio=te démographique*socio=ec1 à long_terme*socio=te et il conviendrait donc de réduire le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et pour parvenir à l'équilibre*socio=ec2 au cours*socio=rien des *socio=rien prochaines années.*socio=nil Le*socio=nil niveau des*socio=nil dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et *socio=nil était nettement trop élevé*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac se sont félicités de la conduite*socio=rien adroite de la politique_monétaire*socio=et et de la politique*socio=et de change*socio=ec1. L'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée faible*socio=rien et l'abaissement*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 reflète la crédibilité*socio=uv1 de la politique_monétaire*socio=et comme de la politique_budgétaire*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont appuyé la stratégie*socio=et prudente*socio=uv2 de la Banque*socio=ac de France*socio=ac à l'égard*socio=rien d'une *socio=rien nouvelle détente des*socio=nil *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil ainsi que la priorité*socio=uv4 accordée au maintien*socio=rien d'un*socio=rien environnement*socio=et monétaire*socio=ec1 stable*socio=uv4 et favorable*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac ont relevé avec préoccupation*socio=uv4 le niveau*socio=rien record*socio=ec2 du*socio=rien chômage*socio=ec1, imputable*socio=uv2 en *socio=rien grande partie aux*socio=nil problèmes*socio=uv4 structurels*socio=ec2 sur le*socio=nil marché_du_travail*socio=ec1.*socio=nil De*socio=nil vastes réformes*socio=et étaient*socio=nil indispensables*socio=uv4 pour*socio=nil combattre le*socio=nil chômage*socio=ec1,*socio=nil véritable fléau*socio=nil social*socio=et et*socio=nil menace*socio=uv1 potentielle*socio=uv4 *socio=nil pour la crédibilité*socio=uv1 de l'ajustement*socio=et des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont exhorté les autorités*socio=et à redoubler d'efforts*socio=uv1 pour lutter contre les problèmes*socio=uv4 des établissements*socio=ac bancaires*socio=ec1 publics*socio=et. Les autorités*socio=et devraient procéder rapidement aux privatisations*socio=et, éliminer les distorsions*socio=uv3 et instaurer des règles*socio=et *socio=rien du jeu plus*socio=nil équitables*socio=uv2,*socio=nil *socio=nil renforcer la surveillance*socio=et et améliorer la gestion*socio=ec2 des sociétés*socio=ac ainsi que les contrôles*socio=et internes*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont aussi vivement recommandé d'accélérer les progrès*socio=uv1 dans les privatisations*socio=et et les réformes*socio=et d'autres secteurs*socio=rien où l'État*socio=ac exerce des activités*socio=rien commerciales*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont rendu hommage*socio=rien à la traditionnelle*socio=rien générosité*socio=uv1 de la France*socio=ac dans le domaine*socio=rien de l'aide_publique_au_développement*socio=et et ont demandé instamment aux autorités*socio=et de maintenir à *socio=rien un niveau aussi*socio=nil élevé*socio=uv4 que*socio=nil possible les*socio=nil flux*socio=ec1 d'*socio=nil aide*socio=uv1,*socio=nil *socio=nil éprouvés par l'austérité*socio=uv3 budgétaire*socio=et. Canada*socio=ac. Le Conseil*socio=ac a conclu les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec le Canada*socio=ac en janvier*socio=rien 1997. Ce pays*socio=ac a remporté des succès*socio=uv1 considérables*socio=rien dans l'application*socio=rien de sa stratégie*socio=et économique*socio=ec1. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1996 / 97 (clos en mars*socio=rien 1997), il était prévu que le déficit*socio=ec1 *socio=et budgétaire fédéral *socio=nil se situerait en deçà de l'objectif*socio=uv3 de 3 % du*socio=rien PIB*socio=ec1. Ce résultat*socio=rien était en passe d'être*socio=rien obtenu grâce*socio=rien à des mesures*socio=et adoptées dans les budgets*socio=ec1 de 1994, 1995 et 1996, qui ont réduit les subventions*socio=ec1 aux entreprises*socio=ac et aux agriculteurs*socio=ac, soumis les programmes*socio=et de dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et aux conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1, imposé des redevances*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien, et diminué la consommation*socio=ec1 publique*socio=et en réduisant la plupart*socio=rien des programmes*socio=et de dépenses*socio=ec1, notamment en matière*socio=rien de défense*socio=uv1, et en supprimant quelque 55,000 postes*socio=rien dans la fonction_publique*socio=et. Tirée par l'augmentation*socio=ec2 de la construction*socio=ec1 de logements*socio=ec1 et des investissements*socio=ec1 en matériel*socio=rien et outillage*socio=rien, la croissance*socio=uv3 du*socio=rien PIB*socio=ec1 réel*socio=rien a accéléré en 1996, passant de 0,7 % en 1995 (du*socio=rien quatrième*socio=rien trimestre*socio=te au quatrième*socio=rien trimestre*socio=te) à un*socio=rien taux*socio=ec1 annuel*socio=te de 1,3 % au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1996 et à 3,3 % au troisième*socio=rien trimestre*socio=te. La consommation*socio=ec1 des ménages*socio=ac est*socio=rien montée en flèche au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1996, mais modérément pendant les deuxième*socio=rien et troisième*socio=rien trimestres*socio=te. Le taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 est*socio=rien resté aux alentours*socio=rien de 9 1/2 % au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1996, mais a ensuite enregistré une *socio=rien légère hausse,*socio=nil s'*socio=nil inscrivant *socio=nil à 9,7 % en décembre*socio=rien (tableau*socio=rien 10). La hausse*socio=rien tendancielle*socio=ec2 des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 a été*socio=rien ramenée de 4,6 % en 1989 à moins de 2 % au début*socio=rien de 1996. Elle est*socio=rien tombée à 1,7 % au cours*socio=rien des onze *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1996, reflétant l'existence*socio=rien de marges de capacités*socio=uv3 inemployées*socio=ec2 dans l'économie*socio=ec1. Les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil se sont sensiblement assouplies en 1995 et 1996. La banque_du_canada*socio=ac a progressivement*socio=rien ramené la bande opérationnelle*socio=rien de *socio=rien variation du taux_d'_intérêt*socio=ec1 au*socio=nil jour le*socio=nil jour *socio=nil de 5 1/2 - 6 % au début*socio=rien de janvier*socio=rien à 2 3/4 - 3 1/4 % en novembre*socio=rien. Depuis mars*socio=rien 1996, les taux*socio=ec1 courts*socio=rien au Canada*socio=ac sont inférieurs*socio=rien aux taux*socio=ec1 correspondants*socio=rien aux États-unis*socio=ac, phénomène*socio=rien sans précédent*socio=rien au cours*socio=rien des dernières*socio=rien décennies*socio=te, tandis que les écarts*socio=ec2 de taux*socio=ec1 longs*socio=rien entre les deux pays*socio=ac sont descendus bien*socio=rien au-dessous de la moyenne*socio=rien historique*socio=te. Cette situation*socio=rien reflète la persistance*socio=te d'une inflation*socio=ec1 peu élevée*socio=uv4 et les progrès*socio=uv1 continus*socio=te réalisés dans la réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 *socio=et budgétaire fédéral.*socio=nil Le*socio=nil déficit*socio=ec1 des*socio=nil transactions*socio=ec1 *socio=te extérieures courantes a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil ramené à 1,4 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1995; il a continué à s'amenuiser en 1996, a *socio=rien fait place *socio=nil à de faibles*socio=rien excédents*socio=ec1 aux deuxième*socio=rien et troisième*socio=rien trimestres*socio=te. Cette amélioration*socio=uv1 tient en *socio=rien bonne part *socio=nil à la vigueur*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac et aux effets*socio=rien à retardement de la dépréciation*socio=ec2 effective*socio=rien réelle*socio=ec2 du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1 au début*socio=rien des années*socio=rien 90. Le Canada*socio=ac a enregistré d'importantes*socio=uv4 entrées nettes*socio=rien de capitaux*socio=ec1 sous forme*socio=rien d'investissements*socio=ec1 directs*socio=rien et d'investissements*socio=ec1 de portefeuille*socio=ec1 en 1995 et aux trois premiers*socio=rien trimestres*socio=te de 1996, tandis qu'intervenaient parallèlement des sorties considérables*socio=rien de capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te par les *socio=ac banques canadiennes *socio=nil et des ventes*socio=ec1 d'instruments*socio=et du*socio=rien *socio=ec1 marché monétaire.*socio=nil Lors*socio=rien *socio=nil de leur discussion*socio=et, les administrateurs*socio=ac ont félicité les autorités*socio=et des progrès*socio=uv1 remarquables*socio=uv4 réalisés dans l'application*socio=rien de leur stratégie*socio=et économique*socio=ec1 au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée. Ils ont observé que l'inflation*socio=ec1 a été*socio=rien contenue à *socio=rien un niveau peu*socio=nil élevé*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil que les objectifs*socio=uv3 fixés pour le déficit*socio=ec1 *socio=et budgétaire fédéral ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil plus que respectés, et que les administrations_provinciales*socio=ac ont pris des mesures*socio=et énergiques*socio=ec1 pour équilibrer leur budget*socio=ec1. Les politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 saines*socio=uv2 ont affermi la confiance*socio=uv1 des marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1, comme en témoigne*socio=rien l'écart*socio=ec2 négatif*socio=rien entre les taux*socio=ec1 courts*socio=rien canadiens*socio=ac et américains*socio=ac. Ces progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien des variables*socio=ec2 fondamentales*socio=uv4 ont amélioré les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 du*socio=rien Canada*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac sont convenus du*socio=rien bien-fondé*socio=uv3 de la détente*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil en 1996, étant donné le niveau*socio=rien durablement peu élevé*socio=uv4 de l'inflation*socio=ec1, l'ajustement*socio=et vigoureux*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et à tous les niveaux*socio=rien d'administration*socio=ec1, et le volant considérable*socio=rien de ressources*socio=ec1 inutilisées*socio=rien. Il conviendra cependant de faire preuve*socio=ec2 de prudence*socio=uv1 avant d'assouplir davantage les *socio=ec1 conditions monétaires,*socio=nil *socio=nil étant donné la vive impulsion*socio=ec2 donnée par les politiques*socio=et antérieures*socio=te ainsi que les décalages*socio=rien entre les mesures*socio=et de politique_monétaire*socio=et et leurs *socio=rien effets sur l'*socio=nil économie*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont noté que la forte*socio=rien croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 au troisième*socio=rien trimestre*socio=te de 1996 et les *socio=ec1 indicateurs économiques *socio=nil pour le quatrième*socio=rien trimestre*socio=te semblaient signaler le redressement*socio=ec2 tant attendu de l'activité_économique*socio=ec1 au Canada*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac se sont dits encouragés par les plans*socio=rien de résorption*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et au niveau*socio=rien fédéral*socio=et et au niveau*socio=rien des Provinces*socio=ac dans les *socio=rien prochaines années.*socio=nil *socio=nil Ils ont pris note de la *socio=rien qualité du rééquilibrage*socio=uv3 des*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et,*socio=nil *socio=nil qui repose avant tout sur*socio=rien les compressions*socio=et de dépenses*socio=ec1, et non sur*socio=rien l'augmentation*socio=ec2 des recettes*socio=ec1. Il importe que les pouvoirs_publics*socio=et tiennent le cap*socio=rien qu'ils se sont fixé dans les budgets*socio=ec1 fédéraux*socio=et de 1995 et 1996 afin d'atteindre les objectifs*socio=uv3 de réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficits*socio=ec1. Ces mesures*socio=et pourraient équilibrer le budget*socio=ec1 d'ici à l'exercice*socio=rien 1999 / 2000. Les administrateurs*socio=ac sont restés préoccupés par la persistance*socio=te de taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 élevés*socio=uv4. Ils ont aussi observé que le régime_public*socio=et de retraite*socio=ec1 - vieillesse*socio=uv1 était confronté à de grandes*socio=rien difficultés*socio=uv4, compte*socio=ec1 tenu de la population*socio=ac *socio=rien vieillissante du Canada*socio=ac *socio=nil et de la forte*socio=rien sous-capitalisation du*socio=rien régime*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont salué les *socio=rien initiatives prises *socio=nil par les autorités*socio=et pour venir à bout*socio=rien de ces problèmes*socio=uv4 et ont exhorté les gouvernements_fédéral*socio=ac et provinciaux*socio=te à conclure rapidement un*socio=rien accord*socio=et *socio=rien sur un dosage adéquat*socio=uv2 de*socio=nil relèvement*socio=ec2 des*socio=nil taux*socio=ec1 de*socio=nil cotisation*socio=ec1 *socio=nil et de réductions*socio=ec2 des prestations*socio=et, pour redresser les finances*socio=ec1 du*socio=rien régime_de_pensions*socio=et du*socio=rien Canada*socio=ac. Depuis les discussions*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac, un*socio=rien accord*socio=et a été*socio=rien conclu entre les gouvernements_fédéral*socio=ac et provinciaux*socio=te afin de répondre aux besoins*socio=uv1 à long_terme*socio=te du*socio=rien Régime*socio=et. Les administrateurs*socio=ac se sont félicités du*socio=rien soutien*socio=uv3 que le Canada*socio=ac n'a cessé d'apporter à la liberté*socio=uv1 des échanges*socio=ec1, notamment en ce qui concerne la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 multilatéral*socio=et et l'ouverture*socio=uv3 de ses marchés*socio=ec1, tant sur*socio=rien le plan*socio=rien régional*socio=te que bilatéral*socio=et, tout en maintenant des conditions*socio=ec1 favorables*socio=uv4 au système*socio=rien de commerce*socio=ec1 multilatéral*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont appuyé la nouvelle*socio=rien réduction*socio=ec2 des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac s'appliquant à divers produits*socio=rien et la *socio=rien simplification du système tarifaire*socio=et canadien*socio=ac.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac ont*socio=nil été *socio=nil encouragés par l'engagement*socio=uv1 qu'a pris le Canada*socio=ac de relever, si les circonstances*socio=rien le permettaient, son aide_publique_au_développement*socio=et pour la rapprocher de l'objectif*socio=uv3 de 0,7 % du*socio=rien PNB*socio=ec1. Appendice*socio=rien VI. Communiqués de presse*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac et du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3. comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Quarante-septième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 29 septembre*socio=rien 1996. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac a tenu sa quarante-septième réunion*socio=rien à Washington*socio=ac, le 29 septembre*socio=rien 1996, sous la présidence*socio=rien de M.. Philippe Maystadt, vice-premier_ministre*socio=ac et Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te de la Belgique*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que la situation*socio=rien économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 mondiale*socio=te est*socio=rien généralement encourageante*socio=uv2 et que l'on s'attend à un*socio=rien renforcement*socio=ec2 et à un*socio=rien élargissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 en 1996 et en 1997. Il note les progrès*socio=uv1 accomplis par de nombreux*socio=rien pays*socio=ac dans la voie*socio=rien de la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et de la réduction*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et, l'amélioration*socio=uv1 des conditions*socio=ec1 du*socio=rien marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1 pour les grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1, la poursuite*socio=rien de la rapide*socio=rien expansion*socio=ec2 des *socio=ec1 flux financiers et*socio=nil commerciaux *socio=nil et le rôle*socio=et *socio=rien croissant dévolu aux*socio=nil forces_du_marché*socio=ec1 *socio=nil dans le monde*socio=te entier*socio=rien. Le Comité*socio=ac prend note des *socio=rien points suivants.*socio=nil Les*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 jouent*socio=nil un rôle*socio=et *socio=nil de plus en plus significatif*socio=rien dans la stimulation*socio=rien de la croissance*socio=uv3 et l'expansion*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 international*socio=te, tandis que de nombreuses*socio=rien économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 récoltent les fruits*socio=rien de l'application*socio=rien systématique*socio=rien de politiques*socio=et favorisant le *socio=rien jeu du marché*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil étayées par des apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1, notamment des flux*socio=ec1 soutenus d'investissements_directs_étrangers*socio=ec1. Les résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 de beaucoup de pays*socio=ac d'Asie*socio=ac restent impressionnants*socio=rien : dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil cas,*socio=nil la*socio=nil modération*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 contribue à apaiser les *socio=ec2 tensions inflationnistes.*socio=nil Dans*socio=nil *socio=rien un nombre croissant de*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil Afrique*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil revenu*socio=ec1 par*socio=nil habitant*socio=ac *socio=nil et les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 s'améliorent, sous l'effet*socio=rien de saines*socio=uv2 politiques_économiques*socio=et, encore qu'il subsiste de *socio=uv4 graves problèmes.*socio=nil De*socio=nil nombreux*socio=rien pays*socio=ac d'*socio=nil amérique_latine*socio=ac *socio=nil sont en cours*socio=rien de redressement*socio=ec2 et connaissent une inflation*socio=ec1 plus faible*socio=rien, après*socio=rien la phase*socio=te de difficultés*socio=uv4 liées à la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac. Au Moyen-orient*socio=ac, les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et redoublés ont amélioré les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 de plusieurs pays*socio=ac. Dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2, la poursuite*socio=rien de l'application*socio=rien de réformes*socio=et de *socio=rien vaste portée *socio=nil laisse augurer *socio=rien un nouveau raffermissement*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3, et l'inflation*socio=ec1, bien*socio=rien qu'encore élevée*socio=uv4, est*socio=rien en baisse*socio=ec2. Dans les pays_industrialisés*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien maîtrisée : la vive expansion*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1 s'est*socio=rien poursuivie aux États-unis*socio=ac et dans quelques autres pays*socio=ac; la reprise est*socio=rien plus fermement engagée au Japon*socio=ac; en Europe*socio=ac *socio=te occidentale continentale,*socio=nil la*socio=nil phase *socio=nil d'immobilisme de la croissance*socio=uv3 est*socio=rien terminée et les conditions*socio=ec1 sont maintenant réunies pour le redémarrage*socio=ec2 d'une croissance*socio=uv3 plus satisfaisante*socio=uv4. 3 - Le Comité*socio=ac note que l'évolution*socio=te favorable*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te tient à ce que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac ont mis en oeuvre*socio=rien des politiques*socio=et conformes*socio=uv4 à la stratégie*socio=et commune*socio=uv2 exposée dans la Déclaration*socio=et de Madrid d'octobre*socio=rien 1994 sur*socio=rien la coopération*socio=uv1 en vue*socio=rien de renforcer l'expansion*socio=ec2 mondiale*socio=te. Il note que cette stratégie*socio=et demeure valable*socio=rien. Il juge*socio=et néanmoins nécessaire*socio=rien de l'actualiser et d'en élargir la portée*socio=rien, pour tenir compte*socio=ec1 des nouveaux*socio=rien défis*socio=uv2 que pose un*socio=rien environnement*socio=et mondial*socio=te en constante*socio=rien mutation*socio=ec2, par la Déclaration*socio=et ci-jointe sur*socio=rien le "Partenariat*socio=uv3 pour une expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te", qu'il adopte ce 29 septembre*socio=rien 1996. 4 - Le Comité*socio=ac prend bonne*socio=rien note du*socio=rien renforcement*socio=ec2 de la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et *socio=rien du rapport du directeur_général*socio=ac sur l'*socio=nil examen*socio=ec2 des*socio=nil politiques_économiques*socio=et *socio=nil dans le cadre*socio=rien de la surveillance*socio=et, qui contient des enseignements*socio=et précieux*socio=rien pour les pays_membres*socio=ac et le FMI*socio=ac sur*socio=rien la conduite*socio=rien de la surveillance*socio=et dans le *socio=rien nouveau contexte mondial*socio=te.*socio=nil *socio=nil 5 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 l'institution*socio=ac de la Norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données; il est*socio=rien encouragé par l'éventail*socio=rien varié de pays_industrialisés*socio=ac et à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien qui ont été*socio=rien les premiers*socio=rien à adopter cette norme*socio=et; il engage vivement les pays*socio=ac qui sont en mesure*socio=rien d'y souscrire à le faire. Il prend note *socio=rien du récent lancement du Tableau d'*socio=nil affichage des*socio=nil normes*socio=et de*socio=nil diffusion.*socio=nil *socio=nil Il attend avec intérêt*socio=uv1 le perfectionnement*socio=rien de ce tableau*socio=rien d'affichage*socio=rien, notamment par l'éventuel*socio=te établissement*socio=rien d'hyperliens électroniques*socio=rien avec les données des pays*socio=ac. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac d'achever les *socio=rien travaux sur les*socio=nil normes*socio=et générales de*socio=nil diffusion *socio=nil des données, qui s'appliqueront à tous les pays*socio=ac, de façon*socio=rien à ce qu'elles soient en place*socio=rien avant sa *socio=rien réunion du printemps *socio=nil de 1997. 6 - Pour ce qui est*socio=rien des *socio=ec1 ressources financières *socio=nil et de l'assistance*socio=uv1 aux pays_membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac, le Comité*socio=ac. Se félicite des progrès*socio=uv1 réalisés par le conseil_d'_administration*socio=ac dans ses *socio=rien travaux sur la*socio=nil Onzième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et.*socio=nil *socio=nil Au vu de l'évolution*socio=te prévisible*socio=uv4 de la position*socio=rien de liquidité*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac et d'autres facteurs*socio=rien, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre ses *socio=rien travaux sur la*socio=nil révision générale *socio=nil et de faire tout son possible*socio=rien pour parvenir à une conclusion*socio=rien aussi tôt que possible*socio=rien. Se félicite des progrès*socio=uv1 accomplis dans la mise en place*socio=rien des Nouveaux*socio=rien accords*socio=et d'emprunt*socio=ec1. Il note que ces accords*socio=et auront pour effet*socio=rien de doubler les ressources*socio=ec1 actuellement à la disposition*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans le cadre*socio=rien des Accords*socio=et généraux*socio=rien d'emprunt*socio=ec1 et lui permettront de répondre plus aisément aux demandes*socio=et d'aide*socio=uv1 à la balance_des_paiements*socio=ec1 émanant de pays_membres*socio=ac dont la situation*socio=rien pourrait avoir des retombées*socio=rien systémiques*socio=ec2. Il demande*socio=ec1 aux participants*socio=ac aux nouveaux*socio=rien accords*socio=et et au conseil_d'_administration*socio=ac d'achever rapidement leurs travaux*socio=rien. Le Comité*socio=ac engage vivement les participants*socio=ac à mener à bien*socio=rien le processus*socio=te nécessaire*socio=rien au niveau*socio=rien national*socio=te afin que ces nouveaux*socio=rien accords*socio=et entrent en vigueur*socio=uv3 dès que possible*socio=rien. 7 - Le Comité*socio=ac appuie vivement le plan*socio=rien d'action*socio=ec1 proposé par le FMI*socio=ac et la banque_mondiale*socio=ac pour garantir que tous les pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés (PPTE*socio=ac) qui ont établi de bons*socio=rien antécédents*socio=ec1 en matière*socio=rien d'ajustement*socio=et économique*socio=ec1 puissent arriver à *socio=rien moyen terme *socio=nil à une situation*socio=rien d'endettement*socio=ec1 viable*socio=uv4. Il entérine les *socio=rien conclusions du conseil_d'_administration*socio=ac sur le*socio=nil financement*socio=ec1 *socio=nil de la poursuite*socio=rien des opérations*socio=rien de la FASR*socio=ec1 et de la participation*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac à l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac, à laquelle tous les pays_membres*socio=ac apportent leur appui*socio=uv1. Il note avec satisfaction*socio=uv3 qu'il a été*socio=rien décidé de transférer une partie*socio=rien des réserves*socio=ec1 de la FASR*socio=ec1 pour assurer la participation*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac au moyen*socio=rien de dons*socio=ec1 et de prêts*socio=ec1 à échéances*socio=te plus longues*socio=rien. Le Comité*socio=ac se félicite aussi de l'engagement*socio=uv1 de la banque_mondiale*socio=ac en faveur*socio=rien de l'Initiative*socio=rien et *socio=rien du fait *socio=nil que son Président*socio=ac est*socio=rien disposé à y affecter une contribution*socio=uv1 globale*socio=rien. Il prend bonne*socio=rien note des indications*socio=rien selon lesquelles les *socio=ac créanciers membres *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac sont*socio=nil prêts*socio=ec1 *socio=nil à aller au-delà des conditions*socio=ec1 de Naples*socio=ac en accordant des réductions*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 pouvant atteindre 80 % aux pays*socio=ac admissibles*socio=uv2 à bénéficier d'un*socio=rien allégement*socio=ec2 supplémentaire*socio=rien au titre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac, au cas*socio=rien par cas*socio=rien selon ses règles*socio=et habituelles*socio=rien, pour leur permettre de sortir d'une situation*socio=rien d'endettement*socio=ec1 non viable*socio=uv4. Il engage vivement les autres créanciers*socio=ac à participer à l'Initiative*socio=rien, sur*socio=rien une base*socio=rien équitable*socio=uv2. Il réaffirme aussi l'importance*socio=rien que revêt le statut*socio=et de créancier*socio=ac *socio=rien privilégié du FMI*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil de mettre promptement en oeuvre*socio=rien ces décisions*socio=et et de lui présenter *socio=rien un rapport d'*socio=nil étape*socio=te au*socio=nil printemps *socio=nil de 1997. 8 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que le conseil_d'_administration*socio=ac a décidé d'un*socio=rien commun*socio=uv2 accord que tous les pays_membres*socio=ac doivent recevoir une part*socio=rien équitable*socio=uv2 des allocations*socio=et cumulatives*socio=ec2 de DTS grâce*socio=rien à un*socio=rien amendement*socio=et des Statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac qui prévoit une allocation*socio=et ponctuelle*socio=rien de DTS, sur*socio=rien la base*socio=rien d'un*socio=rien ratio*socio=ec1 de référence*socio=rien commun*socio=uv2 des allocations*socio=et cumulatives*socio=ec2 aux quotes-parts*socio=et actuelles*socio=te. Le Comité*socio=ac approuve la démarche*socio=rien proposée et demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de terminer ses *socio=rien travaux sur l'*socio=nil amendement*socio=et *socio=nil d'ici à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil souligne qu'un*socio=rien amendement*socio=et des Statuts*socio=et visant à résoudre le problème*socio=uv4 d'équité*socio=uv1 ne saurait affecter le pouvoir*socio=et dont dispose actuellement le FMI*socio=ac d'allouer des DTS, lorsqu'il estime*socio=rien qu'il existe un*socio=rien besoin*socio=uv1 global*socio=te à long_terme*socio=te, au moment*socio=rien où ce besoin*socio=uv1 apparaît. 9 - Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre son analyse*socio=ec2 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 et de leurs conséquences*socio=rien, d'examiner les amendements*socio=te qui pourraient éventuellement être*socio=rien apportés aux Statuts*socio=et et de lui rendre compte*socio=ec1 à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 10 - Le Comité*socio=ac tiendra sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac *socio=nil le 28 avril*socio=rien 1997. Déclaration*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac Partenariat*socio=uv3 pour une expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te 29 septembre*socio=rien 1996. Le comité_intérimaire*socio=ac a réexaminé la "Déclaration*socio=et sur*socio=rien la coopération*socio=uv1 en vue*socio=rien de renforcer l'expansion*socio=ec2 mondiale*socio=te", qu'il avait adoptée voici deux ans*socio=rien à Madrid. Il note que la stratégie*socio=et énoncée dans la Déclaration*socio=et, dont les trois grands*socio=rien axes étaient la poursuite*socio=rien de politiques_économiques*socio=et intérieures*socio=te saines*socio=uv2, la coopération_internationale*socio=uv3 et l'intégration*socio=uv1 mondiale*socio=te, demeure valable*socio=rien. Il reste*socio=rien fidèle à l'objectif*socio=uv3 d'encourager tous les pays*socio=ac, y compris les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, à s'intégrer pleinement à l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Les évolutions*socio=te et perspectives*socio=te favorables*socio=uv4 qui s'ouvrent à de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, qu'ils soient industrialisés, en développement*socio=uv3 ou en transition*socio=ec2, doivent beaucoup aux politiques*socio=et équilibrées et conformes*socio=uv4 à la stratégie*socio=et commune*socio=uv2 à *socio=rien moyen terme *socio=nil qu'ils ont mises en oeuvre*socio=rien. Le comité_intérimaire*socio=ac juge*socio=et utile*socio=uv4, compte*socio=ec1 tenu des nouveaux*socio=rien défis*socio=uv2 que pose un*socio=rien environnement*socio=et mondial*socio=te en constante*socio=rien mutation*socio=ec2, d'actualiser cette Déclaration*socio=et, d'en élargir la portée*socio=rien et de redoubler d'efforts*socio=uv1 pour lui donner des *socio=rien suites concrètes,*socio=nil dans*socio=nil un esprit de*socio=nil partenariat*socio=uv3 *socio=nil empreint d'une nouvelle*socio=rien vigueur*socio=uv3. Il lui paraît d'une *socio=rien importance particulière *socio=nil de. Souligner que les politiques_monétaire*socio=et, budgétaire*socio=et et structurelles*socio=ec2 saines*socio=uv2 sont complémentaires*socio=rien et se renforcent mutuellement : il faut donc poursuivre avec persévérance*socio=uv1 des politiques*socio=et *socio=rien cohérentes sur le*socio=nil moyen terme *socio=nil pour asseoir les bases*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 soutenue et non inflationniste*socio=ec2 et de la création_d'_emplois*socio=ec1, conditions*socio=ec1 cruciales*socio=uv4 *socio=rien du maintien *socio=nil de la cohésion*socio=uv1 sociale*socio=et. Appliquer des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 saines*socio=uv2 et éviter l'apparition*socio=rien de déséquilibres*socio=uv3 importants*socio=uv4 comme condition*socio=rien essentielle*socio=uv4 de la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 et de la stabilité*socio=uv3 des changes*socio=ec1, et moyen*socio=rien d'éviter des écarts*socio=ec2 marqués dans la valeur*socio=ec1 relative*socio=rien des monnaies*socio=ec1. Créer un*socio=rien environnement*socio=et favorable*socio=uv4 à la formation*socio=et de l'épargne*socio=ec1 privée*socio=et. Consolider les succès*socio=uv1 obtenus dans la maîtrise*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 et renforcer la crédibilité*socio=uv1 chèrement acquise*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et. Maintenir l'élan*socio=rien donné à la libéralisation*socio=et du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, résister aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et et préserver le système*socio=rien de commerce*socio=ec1 multilatéral*socio=et. Encourager la convertibilité*socio=ec1 des monnaies*socio=ec1 au titre*socio=rien des transactions_courantes*socio=te, ainsi que des progrès*socio=uv1 prudents*socio=uv vers une plus grande*socio=rien liberté*socio=uv1 de circulation*socio=ec2 des capitaux*socio=ec1 au moyen*socio=rien d'efforts*socio=uv1 visant à promouvoir la stabilité*socio=uv3 et la solidité*socio=uv3 des systèmes_financiers*socio=ec1. Assurer l'équilibre*socio=ec2 budgétaire*socio=et et renforcer la discipline*socio=uv1 en matière*socio=rien de finances*socio=ec1 publiques*socio=et dans *socio=rien un cadre *socio=nil pluriannuel. Les déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et persistants*socio=rien et l'endettement*socio=ec1 public*socio=et excessif*socio=uv4, et les pressions*socio=ec2 qu'ils exercent globalement sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2, menacent la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 et les chances*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4. Il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 d'améliorer la transparence*socio=uv3 de la gestion*socio=ec2 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et en poursuivant l'effort*socio=uv1 de réduction*socio=ec2 des opérations*socio=rien hors budget*socio=ec1 et des déficits*socio=ec1 quasi budgétaires*socio=et. Améliorer la qualité*socio=rien et la composition*socio=rien des *socio=et ajustements budgétaires,*socio=nil *socio=nil en réduisant les dépenses*socio=ec1 improductives*socio=ec2 tout en préservant les investissements*socio=ec1 essentiels*socio=uv4 en infrastructures*socio=et. La croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1, pour être*socio=rien durable*socio=uv4, doit reposer sur*socio=rien la valorisation*socio=uv3 des ressources_humaines*socio=ec1. Aussi est-il crucial*socio=rien d'améliorer l'éducation*socio=et et la formation*socio=et, d'assainir les systèmes*socio=rien publics*socio=et de retraites*socio=ec1 et de santé*socio=et pour en garantir la viabilité*socio=uv3 à long_terme*socio=te et assurer aux populations*socio=ac des services*socio=et de soins*socio=rien adéquats*socio=uv2, et de lutter contre la pauvreté*socio=uv1 en mettant en place*socio=rien des dispositifs*socio=et de protection_sociale*socio=et correctement ciblés et que les pays*socio=ac puissent se permettre financièrement*socio=rien. Mener plus énergiquement les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, notamment celles des marchés_du_travail*socio=ec1 et des biens*socio=ec1, pour accroître l'emploi*socio=ec1 et remédier aux autres distorsions*socio=uv3 qui s'opposent à une allocation*socio=et efficace*socio=uv4 des ressources*socio=ec1, afin que nos économies*socio=ec1 soient plus dynamiques*socio=uv4 et mieux armées face*socio=rien à des circonstances*socio=rien défavorables*socio=uv4. Promouvoir une gestion*socio=ec2 saine*socio=uv2 et transparente*socio=uv4 des affaires_publiques*socio=et, dans toutes ses dimensions*socio=rien, notamment en maintenant l'état*socio=rien de droit*socio=uv1, en responsabilisant et améliorant le *socio=rien fonctionnement du secteur_public*socio=et,*socio=nil *socio=nil et en combattant la corruption*socio=uv1. Telles sont les *socio=rien bases sur *socio=nil lesquelles les économies*socio=ec1 prospèrent. Garantir la santé*socio=et des systèmes_bancaires*socio=ec1 par une réglementation*socio=et prudentielle*socio=uv2 et des contrôles*socio=et renforcés, une coordination*socio=uv3 améliorée, une meilleure*socio=uv4 évaluation*socio=ec2 des risques*socio=uv3, des normes*socio=et plus rigoureuses*socio=uv4 sur*socio=rien le niveau*socio=rien des fonds*socio=ec1 propres*socio=rien, la publication*socio=rien en temps*socio=rien voulu de l'information*socio=rien sur*socio=rien la situation*socio=rien financière*socio=ec1 des banques*socio=ac, la répression du*socio=rien blanchiment*socio=ec1 de l'argent*socio=ec1 et l'amélioration*socio=uv1 de la gestion*socio=ec2 des établissements*socio=ac bancaires*socio=ec1. Le Comité*socio=ac encourage le Fonds*socio=ec1 à continuer de coopérer avec les autres organisations_internationales*socio=ac dans tous les domaines*socio=rien où cette coopération*socio=uv1 s'impose. Il se félicite du*socio=rien renforcement*socio=ec2 récent*socio=rien de la surveillance*socio=et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien les politiques_économiques*socio=et des pays_membres*socio=ac, qui *socio=rien fait partie intégrante *socio=nil de la stratégie*socio=et. Il réaffirme son engagement*socio=uv1 à renforcer la capacité*socio=uv3 du*socio=rien Fonds*socio=ec1 à remplir sa mission*socio=et. Il se propose de revoir les efforts*socio=uv1 consentis par les pays_membres*socio=ac pour atteindre les objectifs*socio=uv3 communs*socio=uv4 de cette stratégie*socio=et. Quarante-huitième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 28 avril*socio=rien 1997. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac a tenu sa quarante-huitième réunion*socio=rien à Washington*socio=ac, le 28 avril*socio=rien 1997, sous la présidence*socio=rien de M.. Philippe Maystadt, vice-premier_ministre*socio=ac et Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te de la Belgique*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 les perspectives*socio=te généralement favorables*socio=uv4 d'expansion*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondiaux*socio=te. Le renforcement*socio=ec2 de la discipline*socio=uv1 budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1 dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac a contribué à la modération*socio=ec2 ou au recul*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 et au maintien*socio=rien de taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te relativement bas*socio=rien. D'importants*socio=uv4 désalignements*socio=uv3 entre les taux_de_change*socio=ec1 des grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1 ont été*socio=rien corrigés. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que les taux_de_change*socio=ec1 devraient refléter les paramètres*socio=rien économiques*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4, et qu'il importe d'éviter la réapparition*socio=rien d'amples*socio=rien déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te; une volatilité*socio=ec2 excessive*socio=uv4 et des écarts*socio=ec2 significatifs*socio=uv4 par rapport*socio=rien à ces paramètres*socio=rien ne sont pas souhaitables*socio=rien. Le Comité*socio=ac reconnaît l'importance*socio=rien d'une action*socio=ec1 concertée, si besoin*socio=uv1 est*socio=rien, sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Une vaste*socio=rien série de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 élargit le rôle*socio=et du*socio=rien marché*socio=ec1 et approfondit la mondialisation*socio=ec2 en stimulant les courants*socio=te d'échanges_commerciaux*socio=ec1 et financiers*socio=ec1. Cependant, de sérieux*socio=uv4 défis*socio=uv2 subsistent. Parmi les économies*socio=ec1 avancées, les pays*socio=ac où la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien relativement forte*socio=rien ont pour *socio=rien tâche difficile *socio=nil de soutenir l'expansion*socio=ec2 tout en empêchant une reprise de l'inflation*socio=ec1, et les pouvoirs_publics*socio=et doivent continuer d'axer leurs efforts*socio=uv1 sur*socio=rien la réalisation*socio=uv1 de ces objectifs*socio=uv3. Au Japon*socio=ac, les perspectives*socio=te de poursuite*socio=rien de la reprise semblent plus favorables*socio=uv4; l'application*socio=rien rigoureuse*socio=uv4 du*socio=rien programme*socio=et de déréglementation*socio=et adopté par les autorités*socio=et ainsi que des *socio=et réformes budgétaires *socio=nil appropriées sont importantes*socio=uv4, à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil pour stimuler l'activité_économique*socio=ec1. En Europe*socio=ac continentale*socio=te, les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 se sont améliorées, mais le chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2 élevé*socio=uv4 souligne l'urgence*socio=rien de s'attaquer aux rigidités*socio=uv3 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1. Le Comité*socio=ac convient par ailleurs*socio=rien que la poursuite*socio=rien des efforts*socio=uv1 engagés pour respecter les critères*socio=rien de convergence*socio=uv3 et réformer en profondeur*socio=rien les structures*socio=ec1 des marchés*socio=ec1 des facteurs*socio=rien et des *socio=rien produits est une*socio=nil condition nécessaire *socio=nil tant de la prospérité*socio=uv1 à long_terme*socio=te des pays*socio=ac participants*socio=rien que de la réussite*socio=uv1 de l'UEM*socio=et, laquelle contribuera à la stabilité*socio=uv3 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. La croissance*socio=uv3 demeure vigoureuse*socio=rien dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3. Les économies*socio=ec1 d'Asie*socio=ac connaissent depuis plusieurs années*socio=rien une expansion*socio=ec2 soutenue. L'atténuation*socio=ec2 récente*socio=rien de la surchauffe dans *socio=rien un nombre important*socio=uv4 d'*socio=nil économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil principalement en Asie*socio=ac, devrait contribuer à soutenir leur expansion*socio=ec2, encore que certains déficits_courants*socio=ec1 élevés*socio=uv4 exigent d'être*socio=rien réduits. La poursuite*socio=rien déterminée de politiques_économiques*socio=et appropriées devrait permettre à la croissance*socio=uv3 de s'affermir davantage dans l'hémisphère_occidental*socio=te et au Moyen-orient*socio=ac. Le Comité*socio=ac est*socio=rien particulièrement encouragé par l'accélération*socio=ec2 de la reprise économique*socio=ec1 et l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te en Afrique*socio=ac. Il souligne toutefois que, si la pauvreté*socio=uv1 doit reculer de manière*socio=rien significative*socio=uv4, *socio=rien un bon nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 vont*socio=nil devoir *socio=nil relever sensiblement leur taux_de_croissance*socio=ec1 du*socio=rien revenu*socio=ec1 par habitant*socio=ac, ce qui exigera d'accélérer les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 et de mobiliser un*socio=rien soutien*socio=uv3 accru de la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil *socio=nil Dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2, la poursuite*socio=rien des progrès*socio=uv1 dans la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec1 et l'approfondissement*socio=uv3 des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 ont assis les bases*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 plus forte*socio=rien. Cependant, les résultats*socio=rien enregistrés par ces pays*socio=ac demeurent très contrastés, ce qui suggère l'importance*socio=rien d'un*socio=rien engagement*socio=uv1 déterminé à mener à bien*socio=rien stabilisation*socio=et et réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. 3 - Le Comité*socio=ac convient que la mondialisation*socio=ec2 de plus en plus marquée des marchés*socio=ec1 *socio=rien est un élément moteur*socio=uv3 important*socio=uv4 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 mondiale*socio=te, porteur*socio=rien de chances*socio=rien pour tous les pays*socio=ac. Si, comme les autres mutations_structurelles*socio=ec2, la mondialisation*socio=ec2 peut à court_terme*socio=te affecter certains secteurs*socio=rien de la société*socio=ac, le recul*socio=rien de la part*socio=rien de l'emploi*socio=ec1 manufacturier*socio=ec1 - la désindustrialisation - dans les économies*socio=ec1 avancées est*socio=rien principalement le *socio=rien résultat du progrès*socio=uv1 technologique*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et non de la mondialisation*socio=ec2. L'enjeu*socio=uv pour la politique_économique*socio=ec1 est*socio=rien de tirer le maximum*socio=rien de parti*socio=et des forces*socio=uv1 de la mondialisation*socio=ec2 pour en recueillir les fruits*socio=rien. Le Comité*socio=ac réaffirme que l'application*socio=rien par tous les pays_membres*socio=ac des principes*socio=ec2 énoncés dans sa Déclaration*socio=et sur*socio=rien le "Partenariat*socio=uv3 pour une expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te" demeure essentielle*socio=uv4 pour permettre à tous de bénéficier de la prospérité*socio=uv1 croissante*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Il souligne en particulier*socio=rien l'importance*socio=rien de politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 avisées, de réformes*socio=et orientées vers le marché*socio=ec1, de systèmes_bancaires*socio=ec1 solides*socio=uv4, de la libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 et des investissements*socio=ec1, et d'une gestion*socio=ec2 transparente*socio=uv4 des affaires_publiques*socio=et. 4 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 le renforcement*socio=ec2 de la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac pour relever les nouveaux*socio=rien défis*socio=uv2 de la mondialisation*socio=ec2. Il approuve l'attention*socio=rien croissante*socio=rien que le FMI*socio=ac accorde aux problèmes*socio=uv4 *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1 et*socio=nil du secteur financier*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui sont susceptibles*socio=rien d'avoir des répercussions*socio=ec2 macro-économiques*socio=ec1 non négligeables*socio=rien. À cet égard*socio=rien, il souligne l'importance*socio=rien d'une étroite*socio=rien collaboration*socio=uv1 avec la banque_mondiale*socio=ac et les autres organisations*socio=ac ou groupes*socio=ac internationaux*socio=te. Le Comité*socio=ac se félicite de la décision*socio=et prise*socio=rien par le conseil_d'_administration*socio=ac d'autoriser la diffusion*socio=rien, à titre*socio=rien volontaire*socio=uv4, de notes d'information*socio=rien à la presse*socio=et à l'issue*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, processus*socio=te qui contribuera à améliorer encore la transparence*socio=uv3 de la surveillance*socio=et. Il attend avec intérêt*socio=uv1 le rapport*socio=rien de suivi sur*socio=rien les politiques*socio=et des pays_membres*socio=ac dans le cadre*socio=rien de la surveillance*socio=et qui lui sera soumis à sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil 5 - Le Comité*socio=ac juge*socio=et encourageant le *socio=rien grand nombre des*socio=nil souscriptions*socio=et *socio=nil - 42 actuellement - à la Norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données. Il prend note des progrès*socio=uv1 réalisés dans la *socio=rien formulation du Système général de*socio=nil diffusion *socio=nil des données et se félicite de l'accent*socio=rien mis sur*socio=rien l'amélioration*socio=uv1 de la qualité*socio=rien des données dans l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac, ce qui exigera *socio=rien un vaste effort*socio=uv1 de*socio=nil coopération*socio=uv1 *socio=nil entre le FMI*socio=ac et ses pays_membres*socio=ac. Le Comité*socio=ac attend avec intérêt*socio=uv1 la mise en *socio=rien place du Système général.*socio=nil *socio=nil 6 - Le Comité*socio=ac se félicite des progrès*socio=uv1 accomplis dans l'établissement*socio=rien des conditions*socio=ec1 nécessaires*socio=rien à l'instauration*socio=rien de l'UEM*socio=et, l'un*socio=rien des événements*socio=rien les plus marquants*socio=rien dans les relations*socio=rien monétaires*socio=ec1 internationales*socio=te de l'après*socio=rien - bretton_woods*socio=et. Le conseil_d'_administration*socio=ac devra entreprendre *socio=rien un vaste programme*socio=et de*socio=nil travail *socio=nil pour évaluer les répercussions*socio=ec2 de l'UEM*socio=et sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te et ses implications*socio=rien pour le FMI*socio=ac. 7 - Le Comité*socio=ac souligne que l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te gagne à voir s'instaurer *socio=rien un système ouvert et*socio=nil libéral*socio=et de*socio=nil circulation*socio=ec2 des*socio=nil capitaux*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il note que le FMI*socio=ac est*socio=rien mieux placé que quiconque pour promouvoir la libéralisation*socio=et ordonnée des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 et jouer un*socio=rien rôle*socio=et central*socio=rien dans cet effort*socio=uv1. Il est*socio=rien donc d'avis*socio=rien qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil d'amender les Statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac pour faire de l'encouragement*socio=uv4 à la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 l'un*socio=rien des buts*socio=et *socio=rien spécifiques du FMI*socio=ac *socio=nil et le doter de la juridiction*socio=et appropriée sur*socio=rien ces mouvements_de_capitaux*socio=ec1; le champ*socio=rien de cette juridiction*socio=et doit cependant *socio=rien être défini avec*socio=nil soin,*socio=nil *socio=nil et il faut prévoir suffisamment de souplesse*socio=uv3, sous forme*socio=rien de dispositions*socio=et transitoires*socio=rien et de procédures*socio=et d'approbation*socio=uv1 temporaires*socio=rien. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre ses travaux*socio=rien dans ce domaine*socio=rien et de formuler des recommandations*socio=et *socio=rien précises sur les*socio=nil éléments clés d'*socio=nil un amendement*socio=et des*socio=nil Statuts*socio=et *socio=nil d'ici à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 8 - Le Comité*socio=ac est*socio=rien reconnaissant au conseil_d'_administration*socio=ac de ses *socio=rien travaux sur la*socio=nil Onzième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et.*socio=nil Il*socio=nil demande*socio=ec1 au*socio=nil Conseil*socio=ac *socio=nil d'achever ses *socio=rien travaux sur les*socio=nil quotes-parts*socio=et *socio=nil dès que possible*socio=rien et de lui faire rapport*socio=rien à temps*socio=rien pour la *socio=rien réunion du Comité*socio=ac *socio=nil prévue à *socio=ac Hong Kong.*socio=nil La*socio=nil distribution*socio=rien *socio=nil proposée devra être*socio=rien essentiellement équiproportionnelle, tout en corrigeant les anomalies*socio=rien les plus importantes*socio=uv4 observées dans la distribution*socio=rien actuelle*socio=te des quotes-parts*socio=et. Le conseil_d'_administration*socio=ac devra, par ailleurs*socio=rien, revoir les formules*socio=rien de calcul*socio=rien des quotes-parts*socio=et aussitôt après*socio=rien l'achèvement*socio=rien de la *socio=rien Onzième révision générale.*socio=nil *socio=nil 9 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 l'adoption*socio=uv3 par le conseil_d'_administration*socio=ac de la décision*socio=et sur*socio=rien les Nouveaux*socio=rien accords*socio=et d'emprunt*socio=ec1 (NAE) et encourage les participants*socio=ac potentiels*socio=uv4 qui ne l'ont pas encore fait*socio=rien à souscrire à cette décision*socio=et aussitôt que possible*socio=rien. 10 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 les progrès*socio=uv1 accomplis au conseil_d'_administration*socio=ac *socio=rien sur un projet*socio=et d'*socio=nil amendement*socio=et des*socio=nil Statuts*socio=et *socio=nil visant à permettre une allocation*socio=et spéciale*socio=rien de DTS à caractère*socio=rien exceptionnel*socio=uv4. Il demande*socio=ec1 au Conseil*socio=ac de terminer ses travaux*socio=rien dès que possible*socio=rien et de lui faire rapport*socio=rien à temps*socio=rien pour la *socio=rien réunion du Comité*socio=ac *socio=nil prévue à *socio=ac Hong Kong.*socio=nil *socio=nil 11 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 les mesures*socio=et adoptées par le conseil_d'_administration*socio=ac pour donner corps*socio=rien à la participation*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac à l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés (PPTE*socio=ac) sous forme*socio=rien d'opérations*socio=rien spéciales*socio=rien au titre*socio=rien de la FASR*socio=ec1. Il se félicite de la décision*socio=et de principe*socio=ec2 prise*socio=rien par le conseil_d'_administration*socio=ac de fournir une aide*socio=uv1 à l'Ouganda*socio=ac dans le cadre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac et encourage tous les autres créanciers*socio=ac à agir dès que possible*socio=rien dans le même sens*socio=rien. Il note aussi avec satisfaction*socio=uv3 que le conseil_d'_administration*socio=ac a examiné, à *socio=rien titre préliminaire,*socio=nil le*socio=nil cas *socio=nil de trois autres pays*socio=ac dans le cadre*socio=rien de cette Initiative*socio=rien et encourage le conseil_d'_administration*socio=ac à mettre en oeuvre*socio=rien l'Initiative*socio=rien de manière*socio=rien à permettre aux pays*socio=ac endettés de s'affranchir fermement de tout besoin*socio=uv1 de rééchelonnement*socio=et. Il souligne qu'il importe que tous les créanciers*socio=ac fournissent un*socio=rien financement*socio=ec1 adéquat*socio=uv2 dans l'intervalle*socio=te. Le Comité*socio=ac note l'importance*socio=rien de politiques*socio=et d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et vigoureuses*socio=rien ainsi que de politiques_sociales*socio=et appropriées dans les pays*socio=ac qui bénéficient d'une aide*socio=uv1 au titre*socio=rien de cette Initiative*socio=rien. Il demande*socio=ec1 au FMI*socio=ac d'aider, en collaboration*socio=uv1 avec la banque_mondiale*socio=ac, ces pays*socio=ac et d'autres pays_en_développement*socio=uv3 à accélérer le processus*socio=te de réforme*socio=et structurelle*socio=ec2. Le Comité*socio=ac exhorte tous les pays_membres*socio=ac à mobiliser dans les meilleurs*socio=uv4 délais*socio=rien les ressources*socio=ec1 nécessaires*socio=rien pour compléter la participation*socio=uv3 financière*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac à l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac et assurer la poursuite*socio=rien des opérations*socio=rien de la FASR*socio=ec1. 12 - Le Comité*socio=ac tiendra sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil *socio=ac Hong Kong *socio=nil le 21 septembre*socio=rien 1997. Comité*socio=ac ministériel*socio=et conjoint*socio=rien des conseils_des_gouverneurs_de_la_banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien le transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 aux pays_en_développement*socio=uv3 (Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3). Cinquante-troisième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 30 septembre*socio=rien 1996. 1 - La 53e *socio=rien réunion du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3 s'*socio=nil est *socio=nil tenue à Washington*socio=ac le 30 septembre*socio=rien 1996 sous la présidence*socio=rien de M.. Mohamed Kabbaj, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et des investissements*socio=ec1 extérieurs*socio=te du*socio=rien Maroc*socio=ac. Résoudre les problèmes*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés (PPTE*socio=ac). 2 - Le Comité*socio=ac félicite la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 des progrès*socio=uv1 réalisés depuis sa *socio=rien dernière réunion *socio=nil et approuve le programme*socio=et d'action*socio=ec1 relatif*socio=rien à l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac. Il demande*socio=ec1 instamment à la Banque*socio=ac et au Fonds*socio=ec1 de s'employer rapidement à mettre en oeuvre*socio=rien cette Initiative*socio=rien, en collaboration*socio=uv1 étroite*socio=rien avec les bailleurs_de_fonds*socio=ec1 et les autres créanciers*socio=ac. 3 - Les membres*socio=ac réitèrent leur approbation*socio=uv1 de l'objectif*socio=uv3 fondamental*socio=uv2 de l'Initiative*socio=rien, à savoir*socio=rien faire en sorte*socio=rien que les PPTE*socio=ac justifiant d'une période*socio=te prolongée de *socio=rien bons résultats *socio=nil puissent ramener leur endettement*socio=ec1 *socio=te extérieur global à*socio=nil *socio=rien un niveau *socio=nil tenable, ce qui leur permettrait de ne plus avoir à demander de rééchelonnement*socio=et ultérieur*socio=te et de renforcer leurs programmes*socio=et de réduction*socio=ec2 de la pauvreté*socio=uv1. Ils reconnaissent qu'aux termes*socio=rien de l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac, la communauté*socio=ac financière*socio=ec1 internationale*socio=ac s'engage à prendre des mesures*socio=et supplémentaires*socio=rien pour ramener à des niveaux*socio=rien soutenables*socio=uv4 le fardeau*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 des pays*socio=ac admissibles*socio=uv2 dans les cas*socio=rien où l'utilisation*socio=rien de tous les mécanismes*socio=et d'allégement*socio=ec2 ne sera probablement pas suffisante*socio=rien. 4 - Les membres*socio=ac conviennent que le succès*socio=uv1 de l'Initiative*socio=rien dépend d'une façon*socio=rien critique*socio=uv2 d'une action*socio=ec1 coordonnée de l'ensemble*socio=rien des créanciers*socio=ac. L'assistance*socio=uv1 que devra fournir chaque groupe*socio=ac de créanciers*socio=ac devra être*socio=rien conforme*socio=uv4 aux principes*socio=ec2 directeurs*socio=ac approuvés à la *socio=rien réunion du Comité*socio=ac d'*socio=nil avril *socio=nil 1996, et sera fondée sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de : a) ramener l'endettement*socio=ec1 à *socio=rien un niveau soutenable*socio=uv4;*socio=nil *socio=nil b) partager largement et équitablement le coût*socio=ec1 de l'Initiative*socio=rien; et c) préserver le statut*socio=et de créancier*socio=ac privilégié*socio=rien des institutions_financières*socio=ac multilatérales*socio=et. Les ministres*socio=ac soulignent que l'Initiative*socio=rien devrait être*socio=rien mise en oeuvre*socio=rien avec souplesse*socio=uv3, au cas*socio=rien par cas*socio=rien, et avec la participation*socio=uv3 pleine*socio=rien et entière*socio=rien des *socio=ac gouvernements débiteurs.*socio=nil *socio=nil 5 - Les ministres*socio=ac se félicitent également de l'engagement*socio=uv1 pris par le FMI*socio=ac, comme il ressort de la déclaration*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien 29 septembre*socio=rien, de participer à l'aide*socio=uv1 supplémentaire*socio=rien qui doit être*socio=rien fournie dans le cadre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac par le biais*socio=rien d'opérations*socio=rien spéciales*socio=rien FASR*socio=ec1, notamment sous forme*socio=rien de prêts*socio=ec1 assortis de longues*socio=rien échéances*socio=te, ou de dons*socio=ec1. 6 - Les membres*socio=ac approuvent la contribution*socio=uv1 initiale*socio=rien de la banque_mondiale*socio=ac, d'un*socio=rien montant*socio=ec1 de 500 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1, qui est*socio=rien envisagée et notent que son Président*socio=ac, M.. Wolfen-sohn, s'est*socio=rien déclaré prêt*socio=ec1 à recommander au Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac des contributions*socio=uv1 supplémentaires*socio=rien, à condition*socio=rien que le revenu*socio=ec1 net*socio=rien futur*socio=te de la Banque*socio=ac le permette, que les charges*socio=rien soient réparties*socio=rien équitablement entre les créanciers*socio=ac et que ces fonds*socio=ec1 soient nécessaires*socio=rien pour couvrir la part*socio=rien de la charge*socio=rien incombant à la Banque*socio=ac. Les membres*socio=ac approuvent également l'aide*socio=uv1 supplémentaire*socio=rien (notamment sous forme*socio=rien de dons*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac) que la Banque*socio=ac a l'intention*socio=rien d'accorder dans certains cas*socio=rien en fonction*socio=rien des nécessités. 7 - La dette*socio=ec1 des pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 et les plus endettés étant en *socio=rien grande partie de*socio=nil nature bilatérale*socio=et,*socio=nil les*socio=nil ministres*socio=ac *socio=nil se félicitent de ce que le Club*socio=rien de Paris*socio=ac semble disposé à aller au-delà des conditions*socio=ec1 de Naples*socio=ac et à accorder une réduction*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 pouvant atteindre 80 % aux pays*socio=ac admis à bénéficier d'une aide*socio=uv1 supplémentaire*socio=rien dans le cadre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac; le Club*socio=rien de Paris*socio=ac décidera d'accorder ou non cette réduction*socio=ec2 au cas*socio=rien par cas*socio=rien, selon ses règles*socio=et habituelles*socio=rien, l'objectif*socio=uv3 étant de permettre aux pays*socio=ac de ne plus avoir à demander de rééchelonnement*socio=et ultérieur*socio=te. Les ministres*socio=ac estiment que le Club*socio=rien de Paris*socio=ac, les institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te et tous les créanciers*socio=ac concernés doivent coordonner leurs efforts*socio=uv1 de manière*socio=rien à fournir l'allégement*socio=ec2 requis*socio=uv4 conformément aux principes*socio=ec2 de base*socio=rien de l'Initiative*socio=rien exposés aux paragraphes*socio=rien 3 et 4 ci-dessus. 8 - Les ministres*socio=ac se félicitent *socio=rien du fait *socio=nil que plusieurs organismes*socio=ac multilatéraux*socio=et se soient déclarés disposés à participer à l'Initiative*socio=rien et demandent instamment aux autres d'indiquer le plus tôt possible*socio=rien s'ils y participeront également. Le Comité*socio=ac reconnaît que le *socio=ec1 Fonds fiduciaire multilatéral*socio=et PPTE*socio=ac *socio=nil proposé, qui doit *socio=rien être administré *socio=nil par l'IDA*socio=ac, contribuera efficacement au succès*socio=uv1 de l'Initiative*socio=rien. Les membres*socio=ac font part*socio=rien de leur satisfaction*socio=uv3 aux bailleurs_de_fonds*socio=ec1 bilatéraux*socio=et qui ont d'ores et déjà exprimé leur intention*socio=rien de contribuer au *socio=ec1 Fonds fiduciaire *socio=nil et encouragent les autres à les imiter. 9 - Les ministres*socio=ac demandent au FMI*socio=ac et à la banque_mondiale*socio=ac de commencer à mettre en oeuvre*socio=rien l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des premiers*socio=rien pays*socio=ac potentiellement admissibles*socio=uv2 avant la fin*socio=rien de 1996 et de faire rapport*socio=rien au Comité*socio=ac à sa *socio=rien prochaine réunion sur l'*socio=nil état d'*socio=nil avancement*socio=uv3 *socio=nil de l'Initiative*socio=rien. association_internationale_de_développement*socio=ac (IDA*socio=ac). 10 - Les ministres*socio=ac réitèrent leur ferme*socio=ec2 soutien*socio=uv3 à l'IDA*socio=ac et leur conviction*socio=uv1 que l'Association*socio=ac occupe une *socio=rien place centrale *socio=nil dans les efforts*socio=uv1 déployés au niveau*socio=rien mondial*socio=te pour lutter contre la pauvreté*socio=uv1; il est*socio=rien donc important*socio=uv4 que tous les bailleurs_de_fonds*socio=ec1 assurent le succès*socio=uv1 de la Onzième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 de l'IDA*socio=ac en s'acquittant pleinement de leurs engagements*socio=et dans les délais*socio=rien prévus. Le Comité*socio=ac se félicite de ce que le montant*socio=ec1 des dotations*socio=ec1 de la BIRD*socio=ac à l'IDA*socio=ac atteigne 600 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1 cette année*socio=rien. 11 - Les ministres*socio=ac reconnaissent que l'accord*socio=et sur*socio=rien IDA-11 reflète une réduction*socio=ec2 considérable*socio=rien des apports*socio=rien des bailleurs_de_fonds*socio=ec1 si l'on considère leurs contributions*socio=uv1 aux reconstitutions antérieures*socio=te. Ils demandent à la direction*socio=et de l'IDA*socio=ac et aux représentants*socio=ac des bailleurs_de_ fonds*socio=ec1 de collaborer au cours*socio=rien des *socio=rien prochains mois *socio=nil pour assurer à l'avenir*socio=te à l'IDA*socio=ac un*socio=rien financement*socio=ec1 adéquat*socio=uv2 et régulier*socio=ec2. Les ministres*socio=ac discuteront de ces questions*socio=rien et d'autres points*socio=rien qui s'y rapportent lorsqu'ils examineront les perspectives*socio=te de financement*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac à leur *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil Agence*socio=ac multilatérale*socio=et *socio=nil de garantie des investissements*socio=ec1 (AMGI*socio=ac). 12 - Les ministres*socio=ac notent que les activités*socio=rien de l'AMGI*socio=ac sont en *socio=rien plein essor du fait *socio=nil de l'expansion*socio=ec2 des investissements_privés*socio=ec1 étrangers*socio=te dans les pays_en_développement*socio=uv3. Ils se félicitent de ce que les services*socio=et de l'AMGI*socio=ac soient de plus en plus demandés depuis quelque temps*socio=rien et reconnaissent qu'en conséquence*socio=rien l'AMGI*socio=ac se rapproche de plus en plus rapidement *socio=rien du niveau maximum *socio=nil de sa capacité*socio=uv3 financière*socio=ec1. Les ministres*socio=ac demandent que la direction*socio=et et le conseil_d'_administration*socio=ac de l'AMGI*socio=ac s'efforcent prochainement de résoudre les problèmes*socio=uv4 que posent les ressources*socio=ec1 limitées de l'Agence*socio=ac et fassent rapport*socio=rien à ce sujet*socio=rien à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac.*socio=nil organisation_mondiale_du_commerce*socio=ac (*socio=nil OMC*socio=ac)*socio=nil .*socio=nil *socio=nil 13 - Le Comité*socio=ac félicite M.. Renato Ruggiero, directeur_général*socio=ac de l'OMC*socio=ac, de son remarquable*socio=rien exposé sur*socio=rien les *socio=rien principales questions *socio=nil qui seront probablement inscrites*socio=rien à l'ordre*socio=rien *socio=rien du jour *socio=nil de la *socio=rien première réunion ministérielle*socio=et *socio=nil de l'OMC*socio=ac en décembre*socio=rien. Comme M. Ruggiero, les ministres*socio=ac sont conscients*socio=uv2 de l'importance*socio=rien du*socio=rien commerce*socio=ec1, dans lequel ils voient un*socio=rien formidable moteur*socio=uv3 de croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 pour tous les pays*socio=ac, ainsi que des opportunités*socio=uv3 et des problèmes*socio=uv4 découlant de la mondialisation*socio=ec2. Ils demandent à la Banque*socio=ac et au Fonds*socio=ec1 d'aider les pays*socio=ac qui ne sont pas encore membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac à adhérer à cette organisation*socio=ec1, et d'aider tous les membres*socio=ac, en particulier*socio=rien les_plus_pauvres*socio=uv2, à s'intégrer plus pleinement au système*socio=rien commercial*socio=ec1 multilatéral*socio=et. Les ministres*socio=ac se déclarent en faveur*socio=rien d'une collaboration*socio=uv1 plus étroite*socio=rien entre l'OMC*socio=ac, le Fonds*socio=ec1 et la Banque*socio=ac et offrent à l'OMC*socio=ac et à son directeur_général*socio=ac leurs meilleurs*socio=uv4 voeux*socio=rien de succès*socio=uv1 pour la réunion*socio=rien ministérielle*socio=et. *socio=rien Prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil 14 - La *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac *socio=nil se tiendra le 29 avril*socio=rien 1997, à Washington*socio=ac. Cinquante-quatrième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 3 octobre*socio=rien 1996. 1 - La 54e *socio=rien réunion du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3 s'*socio=nil est *socio=nil tenue à Washington*socio=ac le 3 octobre*socio=rien 1996. Le Comité*socio=ac a réélu à l'unanimité*socio=uv1 M.. Mohamed Kabbaj à la *socio=rien présidence du Comité*socio=ac pour*socio=nil un second mandat *socio=nil de deux ans*socio=rien. M.. Kabbaj, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et des investissements*socio=ec1 extérieurs*socio=te du*socio=rien Maroc*socio=ac, préside aux *socio=rien destinées du Comité*socio=ac *socio=nil depuis sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1995. Cinquante-cinquième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 29 avril*socio=rien 1997. 1 - La 55e *socio=rien réunion du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3 s'*socio=nil est *socio=nil tenue à Washington*socio=ac le 29 avril*socio=rien 1997 sous la présidence*socio=rien de M.. Mohamed Kabbaj, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et des investissements*socio=ec1 extérieurs*socio=te du*socio=rien Maroc*socio=ac. Mise en oeuvre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien pour alléger la dette*socio=ec1 des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés. 2 - Le Comité*socio=ac se félicite des progrès*socio=uv1 substantiels*socio=rien réalisés depuis sa *socio=rien dernière réunion *socio=nil dans la mise en oeuvre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac : les conseils_d'_administration*socio=ec1 de la Banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 ont pris au sujet*socio=rien de l'Ouganda*socio=ac une décision*socio=et qui, sous_réserve*socio=ec1 d'assurances*socio=ec1 satisfaisantes*socio=uv4 quant à la participation*socio=uv3 d'autres créanciers*socio=ac et après*socio=rien examen*socio=ec2 des progrès*socio=uv1 supplémentaires*socio=rien réalisés en matière*socio=rien d'ajustement*socio=et et de réforme*socio=et par ce pays*socio=ac, se traduira, en avril*socio=rien 1998, par une réduction*socio=ec2 d'environ 20 %, soit de quelque 700 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1, du*socio=rien service*socio=et de sa dette*socio=ec1 multilatérale*socio=et et bilatérale*socio=et; par ailleurs*socio=rien, l'éligibilité de trois autres pays*socio=ac (la Bolivie*socio=ac, le burkina_faso*socio=ac et la côte_d'_ivoire*socio=ac) fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'un*socio=rien accord*socio=et préliminaire*socio=rien; enfin, la réalisation*socio=uv1 des analyses*socio=ec2 nécessaires*socio=rien pour plusieurs autres pays*socio=ac *socio=rien est bien *socio=nil engagée. 3 - Les ministres*socio=ac réaffirment à quel point*socio=rien il importe de mettre en oeuvre*socio=rien l'Initiative*socio=rien conformément aux principes*socio=ec2 directeurs*socio=ac et au Programme*socio=et d'action*socio=ec1 approuvés par le Comité*socio=ac en 1996. Ils soulignent l'importance*socio=rien d'un*socio=rien financement*socio=ec1 intérimaire*socio=rien adéquat*socio=uv2 de la part*socio=rien de tous les créanciers*socio=ac. Ils se félicitent des décisions*socio=et récemment prises*socio=rien par les Conseils*socio=ac de la Banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 pour mettre en oeuvre*socio=rien l'Initiative*socio=rien, qui montrent qu'avec la détermination*socio=rien de tous les partenaires*socio=ac et leur étroite*socio=rien collaboration*socio=uv1, les pays*socio=ac qui font preuve*socio=ec2 d'un*socio=rien engagement*socio=uv1 sans faille en faveur*socio=rien des réformes*socio=et et du*socio=rien développement*socio=uv3 économique*socio=ec1 et social*socio=et peuvent s'acheminer vers *socio=rien un niveau d'*socio=nil endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te soutenable*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil 4 - Les ministres*socio=ac apprécient au plus *socio=rien haut point les*socio=nil relations_de_travail*socio=ec1 étroites *socio=nil qui existent entre les institutions*socio=ac de bretton_woods*socio=et, les autres organisations*socio=ac multilatérales*socio=et, le Club*socio=rien de Paris*socio=ac et les autres créanciers*socio=ac bilatéraux*socio=et. Ils expriment en outre leur gratitude*socio=uv1 aux gouvernements*socio=ac qui ont apporté une contribution*socio=uv1 volontaire*socio=uv4 au *socio=ec1 Fonds fiduciaire PPTE*socio=ac,*socio=nil *socio=nil ainsi qu'à ceux qui se sont déclarés prêts*socio=ec1 à contribuer au *socio=ec1 Fonds fiduciaire PPTE-FASR*socio=nil du*socio=rien FMI*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et ils encouragent vivement les autres gouvernements*socio=ac à faire de même. Agence*socio=ac multilatérale*socio=et de garantie des investissements*socio=ec1 (AMGI*socio=ac). 5 - Les ministres*socio=ac prennent note des progrès*socio=uv1 réalisés par le conseil_d'_administration*socio=ac et la direction*socio=et de l'AMGI*socio=ac en vue*socio=rien d'une solution*socio=rien aux problèmes*socio=uv4 que posent les ressources*socio=ec1 limitées de l'Agence*socio=ac. Le Comité*socio=ac souhaite que l'AMGI*socio=ac continue*socio=rien à se développer face*socio=rien à l'augmentation*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 de ses services*socio=et. L'AMGI*socio=ac étant proche de la limite*socio=rien de sa capacité*socio=uv3 financière*socio=ec1, les ministres*socio=ac prient instamment le Conseil*socio=ac de l'AMGI*socio=ac, et les autres parties*socio=rien concernées, d'apporter une *socio=rien solution rapide aux*socio=nil problèmes*socio=uv4 *socio=nil qui s'opposent encore à l'obtention*socio=rien, par l'Agence*socio=ac, de ressources*socio=ec1 adéquates*socio=uv2 dans les meilleures*socio=uv4 conditions*socio=ec1 possibles*socio=rien, et de faire rapport*socio=rien au Comité*socio=ac lors*socio=rien de sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil Partenariat*socio=uv3 *socio=nil pour le renforcement*socio=ec2 des capacités*socio=uv3 en Afrique*socio=ac. 6 - Le progrès*socio=uv1 économique*socio=ec1 et social*socio=et futur*socio=te de l'Afrique*socio=ac est*socio=rien lourdement tributaire*socio=rien des ressources*socio=ec1 qui sont investies aujourd'hui dans les capacités*socio=uv3 humaines*socio=uv2 et institutionnelles*socio=et. Les actions*socio=ec1 de renforcement*socio=ec2 des capacités*socio=uv3 menées dans le passé*socio=rien n'ont guère réussi à promouvoir des institutions*socio=ac efficaces*socio=uv4 et un*socio=rien transfert*socio=ec1 durable*socio=uv4 de compétences*socio=uv3, en partie*socio=rien faute d'encourager la prise_en_charge*socio=uv3 du*socio=rien processus*socio=te par les pays*socio=ac et les populations*socio=ac concernés. Le Comité*socio=ac accueille donc avec satisfaction*socio=uv3 l'initiative*socio=rien prise*socio=rien par les *socio=ac gouvernements africains *socio=nil pour mettre en lumière*socio=rien cette *socio=uv4 exigence fondamentale *socio=nil et la prendre en compte*socio=ec1. Il se félicite *socio=rien du degré d'*socio=nil adhésion*socio=uv1 des*socio=nil Africains*socio=ac *socio=nil et de la ferme*socio=ec2 volonté*socio=uv1 de prendre leurs propres*socio=rien mesures*socio=et de renforcement*socio=ec2 des capacités*socio=uv3 dont témoigne*socio=rien cette initiative*socio=rien de partenariat*socio=uv3. Les ministres*socio=ac encouragent la banque_mondiale*socio=ac à continuer d'apporter un*socio=rien concours vigoureux*socio=rien à cette initiative*socio=rien africaine, et à s'employer à obtenir*socio=rien l'appui*socio=uv1 d'autres membres*socio=ac de la *socio=ac communauté internationale,*socio=nil à*socio=nil mesure*socio=rien *socio=nil que le programme*socio=et du*socio=rien Partenariat*socio=uv3 s'amplifie. Renforcement*socio=ec2 de l'appui*socio=uv1 à la coopération*socio=uv1 pour le développement*socio=uv3. 7 - Les pays_en_développement*socio=uv3 ont réussi dans une *socio=rien certaine mesure *socio=nil à faire reculer la pauvreté*socio=uv1 au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil mais, dans les pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2, la pauvreté*socio=uv1 reste*socio=rien omniprésente et extrême*socio=uv4. La poursuite*socio=rien des progrès*socio=uv1 dépend avant tout d'actions*socio=ec1 intérieures*socio=te, mais l'intégration*socio=uv1 au système*socio=rien commercial*socio=ec1 international*socio=te et l'accès*socio=uv1 à des flux*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 extérieures*socio=te suffisants*socio=rien jouent aussi un*socio=rien rôle*socio=et essentiel*socio=uv4. Les ministres*socio=ac soulignent combien il importe d'instaurer *socio=rien un cadre plus*socio=nil favorable*socio=uv4 *socio=nil à l' investissement_privé*socio=et; par ailleurs*socio=rien, la nécessité*socio=uv1 d'assurer un*socio=rien accès*socio=uv1 suffisant*socio=rien à l' aide_publique_au_développement*socio=et (APD*socio=et), en dépit*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 entre demandes*socio=et et de la montée des contraintes*socio=uv1 budgétaires*socio=et chez les bailleurs_ de_fonds*socio=ec1, constitue un*socio=rien grave*socio=uv4 sujet*socio=rien de préoccupation*socio=uv4. 8 - Désireux*socio=uv2 de renforcer l'appui*socio=uv1 à la coopération*socio=uv1 pour le développement*socio=uv3 et de contribuer à induire les flux*socio=ec1 d'APD*socio=et indispensables*socio=uv4, les ministres*socio=ac sont convenus de redoubler d'efforts*socio=uv1 pour que les ressources*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 soient mobilisées, fournies et utilisées de manière*socio=rien efficace*socio=uv4. Le Comité*socio=ac convient qu'il faut absolument améliorer la coordination*socio=uv3, et renforcer les partenariats*socio=uv3 entre les pays_en_développement*socio=uv3, le secteur_privé*socio=et et les organismes*socio=ac bilatéraux*socio=et et multilatéraux*socio=et pour rendre l'aide*socio=uv1 plus efficace*socio=uv4. 9 - Les ministres*socio=ac engagent la banque_mondiale*socio=ac à continuer de collaborer étroitement avec ses partenaires*socio=ac à la réalisation*socio=uv1 d'objectifs*socio=uv3 de développement*socio=uv3 réalistes*socio=uv4 et se prêtant à un*socio=rien suivi, adaptés à la situation*socio=rien de chaque pays*socio=ac et recueillant la pleine*socio=rien adhésion*socio=uv1 des pays*socio=ac eux-mêmes. À cet égard*socio=rien, l'action*socio=ec1 en faveur*socio=rien d'objectifs*socio=uv3 qui recueillent l'approbation*socio=uv1 générale*socio=rien, comme la réduction*socio=ec2 de la pauvreté*socio=uv1, l'amélioration*socio=uv1 des conditions_de_vie*socio=uv1 et la protection*socio=et de l'environnement*socio=et, contribue à témoigner*socio=rien de l'impact*socio=rien du*socio=rien développement*socio=uv3 et de ses enseignements*socio=et. Les ministres*socio=ac notent avec satisfaction*socio=uv3 que les bailleurs_de_fonds*socio=ec1 de l'OCDE*socio=ac ont récemment approuvé des objectifs*socio=uv3 de ce type*socio=rien. 10 - Les ministres*socio=ac sont convenus que les premiers*socio=rien bénéficiaires*socio=ac de l'aide*socio=uv1 au développement*socio=uv3 doivent être*socio=rien ceux des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 qui s'emploient résolument à promouvoir la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 et la réduction*socio=ec2 de la pauvreté*socio=uv1 en appliquant des politiques*socio=et judicieuses*socio=uv4 et en faisant *socio=rien bon usage des*socio=nil ressources*socio=ec1 intérieures*socio=te et*socio=nil extérieures*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil encourage l'IDA*socio=ac et les autres organismes*socio=ac multilatéraux*socio=et à faire une plus *socio=rien large place *socio=nil encore à la qualité*socio=rien des politiques*socio=et dans l'affectation*socio=ec1 de leurs ressources*socio=ec1 - en tenant compte*socio=ec1 que certains facteurs*socio=rien échappent au contrôle*socio=uv3 des gouvernements*socio=ac -, tout en continuant d'aider tous les pays*socio=ac à renforcer leurs capacités*socio=uv3 pour améliorer leur performance*socio=uv3. Les bailleurs_de_fonds*socio=ec1 bilatéraux*socio=et sont, eux aussi, encouragés à s'orienter davantage dans cette direction*socio=et. 11 - Les ministres*socio=ac se félicitent de l'appui*socio=uv1 apporté par le FMI*socio=ac à l'ajustement*socio=et et aux programmes*socio=et de réforme*socio=et au titre*socio=rien de la FASR*socio=ec1, et soulignent combien il est*socio=rien important*socio=uv4 de poursuivre ces opérations*socio=rien pour aider les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. 12 - Les ministres*socio=ac insistent sur*socio=rien l'importance*socio=rien qu'ils attachent à la *socio=rien bonne application *socio=nil de l'accord*socio=et sur*socio=rien la Onzième*socio=rien reconstitution*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac. Le Comité*socio=ac juge*socio=et encourageants*socio=uv4 les accords*socio=et récemment conclus sur*socio=rien la reconstitution*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 de plusieurs autres banques_multilatérales_de_développement*socio=ac (BMD*socio=ac); il réaffirme qu'il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 que tous leurs actionnaires*socio=ac continuent d'apporter un*socio=rien ferme*socio=ec2 soutien*socio=uv3 aux BMD*socio=ac, en partageant équitablement les charges*socio=rien, si l'on veut préserver le caractère*socio=rien multilatéral*socio=et de ces institutions*socio=ac et résoudre les problèmes*socio=uv4 clés*socio=rien fondamentaux*socio=uv4 que pose l'instauration*socio=rien d'un*socio=rien développement*socio=ac durable*socio=uv4. Pacte*socio=et stratégique*socio=uv4. 13 - Le Comité*socio=ac prend acte*socio=et avec satisfaction*socio=uv3 du*socio=rien Pacte*socio=et stratégique*socio=uv4 adopté par la Banque*socio=ac, qui vise à améliorer le niveau*socio=rien et la qualité*socio=rien des services*socio=et de *socio=rien première ligne *socio=nil et à renforcer l'efficacité*socio=uv3 du*socio=rien développement*socio=uv3 en général*socio=rien, en améliorant la qualité*socio=rien des projets*socio=et et en rendant la Banque*socio=ac plus efficace*socio=uv4 quant au coût*socio=ec1, plus participative*socio=uv4, plus souple*socio=uv4 et plus sensible*socio=rien aux besoins*socio=uv1 des pays*socio=ac qui sont ses clients*socio=ac. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac engagent le Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac à suivre de *socio=rien manière étroite *socio=nil la mise en *socio=rien oeuvre du Pacte*socio=et stratégique*socio=uv4 *socio=nil et souhaitent obtenir*socio=rien des rapports*socio=rien périodiques*socio=te sur*socio=rien son avancement*socio=uv3. Faciliter la participation*socio=uv3 du*socio=rien secteur_privé*socio=et à la prestation*socio=et des services*socio=et d'infrastructure*socio=ec1. 14 - Les ministres*socio=ac se félicitent des travaux*socio=rien en cours*socio=rien au *socio=rien sein du Groupe*socio=ac *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac pour encourager le secteur_privé*socio=et à investir dans les infrastructures*socio=et et demandent au Groupe*socio=ac de la Banque*socio=ac d'établir un*socio=rien Programme*socio=et d'action*socio=ec1 sur*socio=rien ce thème*socio=rien pour la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac.*socio=nil Prochaine réunion.*socio=nil