*{ Fonds Monétaire international Rapport Annuel 1998 } fonds_monétaire_international*socio=ac.*socio=nil Rapport annuel*socio=te du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil pour l'exercice*socio=rien clos le 30 avril*socio=rien 1998. Vue*socio=rien d'ensemble*socio=rien. Sous l'effet*socio=rien de la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 asiatique*socio=ac, l'activité*socio=rien du*socio=rien FMI*socio=ac atteint *socio=rien un niveau sans*socio=nil précédent *socio=nil en 1997 / 98. La crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac qui a éclaté en juillet*socio=rien 1997 en Thaïlande*socio=ac et ses répercussions*socio=ec2 mondiales*socio=te ont dominé*socio=uv2 les *socio=rien travaux du FMI*socio=ac *socio=nil en 1997 / 98, et tant le conseil_d'_administration*socio=ac que la direction*socio=et et les services*socio=et de l'organisation*socio=ec1 y ont consacré une *socio=rien part considérable *socio=nil de leur temps*socio=rien. Cette crise*socio=uv2 mondiale*socio=te (dont les prolongements débordent le cadre*socio=rien de l'exercice*socio=rien) a aussi amené le FMI*socio=ac à consentir des crédits*socio=ec1 d'un*socio=rien montant*socio=ec1 inégalé en 1997 / 98, d'où la nécessité*socio=uv1 pressante*socio=rien de consolider les *socio=ec1 ressources financières *socio=nil de l'institution*socio=ac pour lui permettre de conserver un*socio=rien rôle*socio=et pleinement efficace*socio=uv4 dans une économie*socio=ec1 mondialisée. Ces événements*socio=rien ont également amené le FMI*socio=ac à créer la facilité de réserve*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien, à intensifier les *socio=rien travaux sur l'*socio=nil amélioration*socio=uv1 *socio=nil de la surveillance*socio=et et, plus généralement, à *socio=rien définir un cadre *socio=nil pour renforcer l'architecture du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Par ailleurs*socio=rien, le conseil_d'_administration*socio=ac a entrepris un*socio=rien examen*socio=ec2 approfondi, à partir d'évaluations*socio=ec2 interne*socio=te et externe*socio=ec1, de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2, volet*socio=rien de *socio=ec1 financement concessionnel *socio=nil destiné aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, et a poursuivi ses travaux*socio=rien afin d'assurer sans interruption*socio=rien l'assise financière*socio=ec1 de cette facilité. De concert*socio=uv1 avec la banque_mondiale*socio=ac et d'autres créanciers*socio=ac, le FMI*socio=ac a réalisé des progrès*socio=uv1 notables*socio=rien dans la mise en application*socio=rien de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac, qui vise à réduire la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 *socio=nil très endettés. La crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 asiatique*socio=ac a eu une forte*socio=rien incidence*socio=ec2 sur*socio=rien le volume*socio=rien de l'aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac en 1997 98. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien, les pays_membres*socio=ac ont effectué au Compte*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 générales*socio=rien des achats*socio=ec1 dans les tranches de crédit*socio=ec1 de 19,0 milliards*socio=rien de DTS1 (25,6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1), soit près de quatre fois*socio=rien le montant*socio=ec1 de l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien. Le FMI*socio=ac a approuvé 9 accords*socio=et de confirmation*socio=et et 4 accords*socio=et élargis, représentant*socio=rien des engagements*socio=et de 27,3 milliards*socio=rien et de 2,8 milliards*socio=rien de DTS, respectivement. Les principaux*socio=rien accords*socio=et de confirmation*socio=et ont été*socio=rien négociés avec la Corée*socio=ac (qui a aussi *socio=rien fait appel *socio=nil à la facilité de réserve*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien), l'Indonésie*socio=ac et la Thaïlande*socio=ac; c'est*socio=rien l'Argentine*socio=ac qui a bénéficié de l'accord*socio=et élargi le plus élevé*socio=uv4. En outre, le FMI*socio=ac a approuvé 8 accords*socio=et FASR*socio=ec1, portant sur*socio=rien des engagements*socio=et de 1,7 milliard*socio=rien de DTS. Au 30 avril*socio=rien 1998, 14 accords*socio=et de confirmation*socio=et, 13 accords*socio=et élargis et 33 accords*socio=et FASR*socio=ec1 étaient en vigueur*socio=uv3. À cette même date, abstraction*socio=rien faite des rachats*socio=ec1 et remboursements*socio=ec1 au titre*socio=rien de tirages*socio=ec1 antérieurs*socio=te, l'encours total*socio=rien des crédits*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac atteignait *socio=rien un niveau record*socio=ec2 *socio=nil de 56 milliards*socio=rien de DTS (75,4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1), contre 40,5 milliards*socio=rien de DTS (55,3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) *socio=rien un an *socio=nil plus tôt. En décembre*socio=rien 1997, le conseil_d'_administration*socio=ac a créé la facilité de réserve*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien afin d'accorder une aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 complémentaire*socio=rien aux pays_membres*socio=ac qui éprouvent des difficultés*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 exceptionnelles*socio=uv4, imputables*socio=uv2 à un*socio=rien important*socio=uv4 besoin*socio=uv1 de financement*socio=ec1 à court_terme*socio=te résultant*socio=rien d'une perte*socio=ec2 soudaine*socio=rien et perturbatrice de la confiance*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1. Sous l'effet*socio=rien des nouvelles*socio=rien ponctions*socio=ec1 considérables*socio=rien effectuées sur*socio=rien les ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac en 1997 / 98, ses ressources*socio=ec1 utilisables*socio=uv4 non engagées (ajustées pour maintenir des avoirs*socio=ec1 suffisants*socio=rien en monnaies*socio=ec1) sont tombées entre la fin*socio=rien d'avril*socio=rien 1997 et la fin*socio=rien d'avril*socio=rien 1998 de 43,5 milliards*socio=rien à 22,6 milliards*socio=rien de DTS. Sur*socio=rien la même période*socio=te, les engagements*socio=et à court_terme*socio=te du*socio=rien FMI*socio=ac ont vivement progressé, *socio=rien du fait d'*socio=nil un accroissement*socio=ec2 des*socio=nil positions des*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil dans la tranche de réserve*socio=ec1, et son ratio*socio=ec1 de liquidité*socio=ec1 a été*socio=rien ramené à 44,8 % au 30 avril*socio=rien 1998, contre 120,5 % *socio=rien un an *socio=nil auparavant. En janvier*socio=rien 1998, le conseil_des_gouverneurs*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac a adopté la recommandation*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac visant à relever de 45 %, et à faire passer de 146 à 212 milliards*socio=rien de DTS, le total*socio=rien des quotes-parts*socio=et au FMI*socio=ac dans le cadre*socio=rien de la *socio=rien Onzième révision générale des*socio=nil quotes-parts*socio=et.*socio=nil Cette*socio=nil augmentation*socio=ec2 *socio=nil entrera en vigueur*socio=uv3 une fois*socio=rien que les pays_membres*socio=ac représentant*socio=rien au moins 85 % *socio=rien du total des*socio=nil quotes-parts*socio=et *socio=nil au 28 décembre*socio=rien 1997 auront consenti au relèvement*socio=ec2 de leur quote-part*socio=ec1. Le FMI*socio=ac a intensifié ses *socio=rien travaux sur la*socio=nil surveillance*socio=et *socio=nil en 1997/98, *socio=rien du fait *socio=nil de l'éclatement*socio=rien de la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 et de sa propagation*socio=rien à d'autres économies*socio=ec1 asiatiques*socio=ac, ainsi que des pressions*socio=ec2 qui se sont exercées par la *socio=rien suite sur *socio=nil d'autres économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2. La surveillance*socio=et a aussi été*socio=rien renforcée dans le souci*socio=rien de promouvoir la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et, d'accroître la transparence*socio=uv3 des budgets*socio=ec1, d'améliorer la collecte et la divulgation*socio=et des données et de renforcer le secteur*socio=rien financier*socio=ec1, toutes démarches*socio=rien indispensables*socio=uv4 pour gagner durablement la confiance*socio=uv1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et et jeter les fondements*socio=uv4 d'une croissance*socio=uv3 soutenue. Dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=ec2 préliminaire*socio=rien, en mars*socio=rien 1998, des conséquences*socio=rien de la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 asiatique*socio=ac sur*socio=rien la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, le conseil_d'_administration*socio=ac a tiré cinq*socio=rien leçons*socio=ec2. L'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et dépend au plus haut*socio=rien chef*socio=ac de la communication*socio=ec1 en temps*socio=rien voulu d'informations*socio=rien exactes*socio=rien. Tout en demeurant suffisamment sélective*socio=uv4, la surveillance*socio=et doit aller au-delà des questions*socio=rien macro-économiques*socio=ec1 à court_terme*socio=te. Il convient que, dans l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et au niveau*socio=rien des pays*socio=ac, une attention*socio=rien plus grande*socio=rien soit accordée à l'interdépendance*socio=uv3 des politiques*socio=et et aux risques*socio=uv3 de contagion*socio=ec2. Le rôle*socio=et crucial*socio=rien de la crédibilité*socio=uv1 dans le rétablissement*socio=rien de la confiance*socio=uv1 des marchés*socio=ec1 met en relief*socio=rien l'importance*socio=rien de la transparence*socio=uv3. L'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et dépend fondamentalement*socio=rien de la volonté*socio=uv1 des pays_membres*socio=ac de suivre les conseils*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac. En juillet*socio=rien 1997, le conseil_d'_administration*socio=ac a adopté des directives*socio=et précisant le rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac en matière*socio=rien de gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et. Ces directives*socio=et prévoient d'intégrer de manière*socio=rien plus exhaustive*socio=rien, à la fois*socio=rien dans les consultations*socio=uv1 bilatérales*socio=et au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV et dans les programmes*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac, les aspects*socio=rien de la gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et qui relèvent de la compétence*socio=uv3 et du*socio=rien savoir-faire*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac, de traiter tous les pays_membres*socio=ac *socio=rien sur un pied d'*socio=nil égalité*socio=uv1 *socio=nil et de renforcer la collaboration*socio=uv1 avec les autres institutions*socio=ac multilatérales*socio=et, notamment la banque_mondiale*socio=ac, afin de mieux tirer parti*socio=et des domaines*socio=rien de spécialisation*socio=uv3 complémentaires*socio=rien. Elles précisent deux secteurs*socio=rien où le rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac peut se révéler particulièrement utile*socio=uv4 : l'amélioration*socio=uv1 de la gestion*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 publiques*socio=et et l'établissement*socio=rien et le maintien*socio=rien d'un*socio=rien cadre*socio=rien réglementaire*socio=et transparent*socio=uv4 et stable*socio=uv4, propice*socio=rien à une activité*socio=rien efficiente*socio=uv4 du*socio=rien secteur_privé*socio=et. De même, afin de renforcer la crédibilité*socio=uv1 des politiques_budgétaires*socio=et menées par les pays_membres*socio=ac et de rendre les pouvoirs_publics*socio=et plus comptables*socio=rien de leurs actions*socio=ec1, le comité_intérimaire*socio=ac a adopté, lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1998, un*socio=rien "Code*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien de transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et - Déclaration*socio=et de principes*socio=ec2". Lorsqu'il a examiné en décembre*socio=rien 1997, les progrès*socio=uv1 réalisés par les pays_membres*socio=ac dans la communication*socio=ec1 de données au FMI*socio=ac pour les besoins*socio=uv1 de la surveillance*socio=et, le conseil_d'_administration*socio=ac a constaté qu'il y avait matière*socio=rien à amélioration*socio=uv1. Par ailleurs*socio=rien, au vu de l'expérience*socio=ec2 récente*socio=rien, il apparaît utile*socio=uv4 de compléter les traditionnels*socio=rien indicateurs*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4 par des données sur*socio=rien les engagements*socio=et liés aux réserves*socio=ec1, les opérations*socio=rien des banques_centrales*socio=ac *socio=rien sur produits *socio=nil dérivés, la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te du*socio=rien secteur_privé*socio=et et les indicateurs*socio=ec1 prudentiels*socio=uv2 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1. Pour guider les pays_membres*socio=ac dans la communication*socio=ec1 de données au public*socio=et, le conseil_d'_administration*socio=ac a approuvé une double*socio=rien approche : la Norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données, créée en mars*socio=rien 1996, à l'intention*socio=rien des pays*socio=ac qui ont ou cherchent à avoir accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1, et *socio=rien un Système général de*socio=nil diffusion *socio=nil des données, adopté en décembre*socio=rien 1997, qui est*socio=rien moins ambitieux*socio=uv2 et destiné à tous les *socio=ac États membres.*socio=nil L'*socio=nil un*socio=rien des*socio=nil thèmes*socio=rien *socio=nil récurrents qui s'est*socio=rien dégagé des discussions*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac en 1997 / 98 a été*socio=rien l'importance*socio=rien de renforcer le secteur*socio=rien financier*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac, et notamment l'opportunité*socio=uv3 d'améliorer la collaboration*socio=uv1 entre le FMI*socio=ac et la banque_mondiale*socio=ac de manière*socio=rien à déceler rapidement les signes avant-coureurs de problèmes*socio=uv4 dans le secteur*socio=rien financier*socio=ec1, chaque institution*socio=ac prenant la tête*socio=rien des actions*socio=ec1 menées dans ses domaines*socio=rien de compétence*socio=uv3 tout en assurant une coordination*socio=uv3 complète entre l'analyse*socio=ec2 macro-économique*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac et les recommandations*socio=et de politique*socio=et sectorielle*socio=rien la banque_mondiale*socio=ac. Pour améliorer la transparence*socio=uv3 de sa surveillance*socio=et, le FMI*socio=ac a créé en mai*socio=rien 1997 les Notes d'information*socio=rien à la presse*socio=et, désormais au public*socio=et (NIP), qui sont diffusées une fois*socio=rien achevées les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Ces notes résument l'évaluation*socio=ec2 que fait*socio=rien le conseil_d'_administration*socio=ac de la politique*socio=et et des perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. Parmi les 136 consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV tenues en 1997/98, 77 ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'une Note d'information*socio=rien à la presse*socio=et. Il *socio=rien est possible *socio=nil de consulter ces notes sur*socio=rien le site*socio=rien Internet*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac; elles sont par ailleurs*socio=rien publiées trois fois*socio=rien l'an*socio=rien dans la collection*socio=rien IMF Economic Reviews. Lors*socio=rien de l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te de *socio=ac Hong Kong en*socio=nil septembre*socio=rien *socio=nil 1997, le comité_intérimaire*socio=ac a publié un*socio=rien Énoncé des principes*socio=ec2 gouvernant*socio=rien la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 dans l'optique*socio=rien d'un*socio=rien amendement*socio=et des Statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Dans ce texte*socio=rien, le conseil_d'_administration*socio=ac est*socio=rien invité à achever ses *socio=rien travaux sur un projet*socio=et d'*socio=nil amendement*socio=et des*socio=nil Statuts*socio=et du FMI*socio=ac *socio=nil qui ferait de la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 l'un*socio=rien des buts*socio=et de l'institution*socio=ac et étendrait par voie*socio=rien de conséquence*socio=rien son domaine*socio=rien de compétence*socio=uv3. En 1997 / 98, le Conseil*socio=ac a examiné sous divers aspects*socio=rien ce dossier*socio=rien et, afin de donner substance à ses travaux*socio=rien, il a organisé un*socio=rien séminaire*socio=ac de *socio=rien haut niveau sur ce*socio=nil sujet en*socio=nil mars *socio=nil 1998, de manière*socio=rien à recueillir le point*socio=rien de vue*socio=rien d'observateurs*socio=ac de divers organismes_privés*socio=et et *socio=et instances officielles.*socio=nil Lors*socio=rien *socio=nil de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1998, le comité_intérimaire*socio=ac a noté les progrès*socio=uv1 accomplis jusqu'à présent*socio=rien et l'accord*socio=et provisoire*socio=rien auquel est*socio=rien parvenu le conseil_d'_administration*socio=ac sur*socio=rien la partie*socio=rien de l'amendement*socio=et qui concerne les buts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Il a demandé au Conseil*socio=ac de poursuivre avec détermination*socio=rien ses *socio=rien travaux sur *socio=nil les autres *socio=rien aspects du dossier,*socio=nil *socio=nil notamment les questions*socio=rien de fond*socio=rien, afin de lui soumettre le plus tôt *socio=rien possible un amendement*socio=et *socio=nil approprié des Statuts*socio=et. Depuis la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 mexicaine*socio=ac de 1994 - 95, le FMI*socio=ac a pris *socio=rien un certain nombre de*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil pour améliorer le *socio=rien fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil problèmes*socio=uv4 *socio=nil accrus posés par la mondialisation*socio=ec2 en cours*socio=rien des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, dont témoigne*socio=rien la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 asiatique*socio=ac, imposent de redoubler d'efforts*socio=uv1 sur*socio=rien ce dossier*socio=rien. Au *socio=rien cours du débat*socio=et,*socio=nil qui*socio=nil reste ouvert,*socio=nil sur le*socio=nil renforcement*socio=ec2 *socio=nil de l'architecture du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te, le conseil_d'_administration*socio=ac a identifié en 1997/98 les impératifs*socio=uv4 suivants*socio=rien : renforcer les systèmes_financiers*socio=ec1 nationaux*socio=te et internationaux*socio=te; intensifier la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac; promouvoir une diffusion*socio=rien beaucoup plus large*socio=rien d'informations*socio=rien plus transparentes*socio=uv4 sur*socio=rien les données et la politique_économiques*socio=ec1; renforcer le rôle*socio=et *socio=rien central du FMI*socio=ac *socio=nil dans la gestion*socio=ec2 des crises*socio=uv2; établir des mécanismes*socio=et plus efficaces*socio=uv4 en vue*socio=rien de faire participer le secteur_privé*socio=et à la prévention*socio=uv3 ou à la solution*socio=rien des crises*socio=uv2 financières*socio=ec1. Lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1998, le comité_intérimaire*socio=ac a souscrit à ces objectifs*socio=uv3 et demandé au conseil_d'_administration*socio=ac de lui faire *socio=rien rapport sur ses*socio=nil travaux *socio=nil dans ces domaines*socio=rien à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui se tiendra en octobre*socio=rien 1998. Depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 80, le FMI*socio=ac a mis en place*socio=rien deux guichets concessionnels*socio=ec1 : la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 (FAS*socio=ec1), puis la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FASR*socio=ec1), afin de s'attaquer aux difficultés*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 auxquelles se trouvent confrontés nombre*socio=rien de pays_en_développement*socio=uv3 les_plus_pauvres*socio=uv2. Au 30 avril*socio=rien 1998, 6,4 milliards*socio=rien de DTS (8,6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) avaient été*socio=rien décaissés en application*socio=rien des 71 accords*socio=et FASR*socio=ec1 dont ont bénéficié 48 pays*socio=ac et 1,8 milliard*socio=rien de DTS (2,4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) avaient été*socio=rien décaissés au titre*socio=rien d'accords*socio=et FAS*socio=ec1. Pour poursuivre les opérations*socio=rien de la FASR*socio=ec1 et financer la contribution*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac à l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac, le conseil_d'_administration*socio=ac a pris des mesures*socio=et en 1997/98 en vue*socio=rien de mobiliser un*socio=rien financement*socio=ec1 à partir de contributions*socio=uv1 bilatérales*socio=et et des propres*socio=rien ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. En avril*socio=rien 1998, l'Ouganda*socio=ac a été*socio=rien le premier*socio=rien pays*socio=ac à atteindre la *socio=rien fin du processus*socio=te *socio=nil prévu pour l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac. Ce pays*socio=ac recevra de ses créanciers*socio=ac une aide*socio=uv1 équivalant à quelque 350 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1 en valeur*socio=ec1 actuelle*socio=te nette*socio=rien, ce qui, d'après*socio=rien les estimations*socio=ec2, réduira le service*socio=et de sa dette*socio=ec1 en valeur*socio=ec1 nominale*socio=rien de près de 650 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1; le concours du*socio=rien FMI*socio=ac diminuera la valeur*socio=ec1 actualisée de ses créances*socio=ec1 sur*socio=rien l'Ouganda*socio=ac d'environ 70 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1. Cinq*socio=rien autres pays*socio=ac (Bolivie*socio=ac, burkina_faso*socio=ac, côte_d'_ivoire*socio=ac, Guyana*socio=ac et Mozambique*socio=ac) sont devenus recevables à bénéficier d'une aide*socio=uv1 qui réduira le service_de_leur_dette*socio=ec1 en valeur*socio=ec1 nominale*socio=rien de quelque 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien, deux évaluations*socio=ec2 en profondeur*socio=rien de la FASR*socio=ec1 ont été*socio=rien entreprises*socio=ac et publiées; l'une, interne*socio=te, a été*socio=rien réalisée par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac pour dresser *socio=rien un bilan *socio=nil de dix années*socio=rien d'application*socio=rien des programmes*socio=et FASR*socio=ec1 et l'autre, qui a été*socio=rien effectuée sous la *socio=rien conduite du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil par des experts*socio=ac externes*socio=ec1 (la première*socio=rien évaluation*socio=ec2 de ce genre*socio=rien), a porté sur*socio=rien divers aspects*socio=rien des programmes*socio=et FASR*socio=ec1. Tout en identifiant les domaines*socio=rien à améliorer et à approfondir, les deux évaluations*socio=ec2 ont confirmé que la FASR*socio=ec1 *socio=rien est un instrument*socio=et précieux *socio=nil pour aider les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. La demande*socio=ec1 d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et de formation*socio=et émanant des pays_membres*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac est*socio=rien restée vigoureuse*socio=rien en 1997 / 98. L'assistance*socio=uv1 fournie par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et les conseillers*socio=ac externes*socio=ec1 a atteint en moyenne*socio=rien quelque 300 années*socio=rien - personnes*socio=ac et a représenté environ 17 % *socio=rien du total des*socio=nil dépenses*socio=ec1 administratives*socio=et du FMI*socio=ac.*socio=nil En*socio=nil décembre *socio=nil 1997, le FMI*socio=ac a *socio=rien ouvert un bureau*socio=ac régional*socio=te Asie*socio=ac et*socio=nil Pacifique*socio=te à*socio=nil Tokyo*socio=ac.*socio=nil En*socio=nil décembre *socio=nil 1997, la République*socio=ac des Palaos est*socio=rien devenue le 182e *socio=ac pays membre du*socio=rien FMI.*socio=nil L'*socio=nil économie*socio=ec1 mondiale*socio=te.*socio=nil Chapitre*socio=rien *socio=nil 1: *socio=rien Principaux événements sur la*socio=nil scène économique*socio=ec1 mondiale*socio=te *socio=nil en 1997 / 98. L'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et les *socio=rien activités du FMI*socio=ac ont*socio=nil été dominées*socio=uv2 *socio=nil en 1997 / 98 par la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 en Asie*socio=ac et ses répercussions*socio=ec2. C'est*socio=rien en juillet*socio=rien 1997 que la crise*socio=uv2 a éclaté en Thaïlande*socio=ac, lorsque après*socio=rien plusieurs épisodes*socio=rien de tensions*socio=ec2 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et de pertes*socio=ec2 de réserves*socio=ec1, les autorités*socio=et ont abandonné la parité*socio=ec1 fixe du*socio=rien baht par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1. Ce décrochage*socio=uv forcé a jeté le *socio=rien doute sur la*socio=nil viabilité*socio=uv3 des*socio=nil régimes*socio=et de*socio=nil change*socio=ec1 *socio=nil d'autres monnaies*socio=ec1. Les retombées*socio=rien n'ont pas tardé à se faire sentir dans d'autres pays*socio=ac de la région*socio=te, notamment en Indonésie*socio=ac, en Malaisie*socio=ac et aux Philippines*socio=ac, où des *socio=ec2 faiblesses structurelles fondamentales*socio=uv4 *socio=nil sont apparues au *socio=rien grand jour.*socio=nil Des*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil visant à durcir les conditions*socio=ec1 de la liquidité*socio=ec1 en Indonésie*socio=ac n'ont pas réussi à enrayer la montée des tensions*socio=ec2 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1, et, à la mi-août, les autorités*socio=et indonésiennes décidaient de laisser flotter la roupie. La situation*socio=rien s'est*socio=rien considérablement*socio=rien aggravée au cours*socio=rien des deux *socio=rien mois suivants,*socio=nil *socio=nil et les retombées*socio=rien se sont étendues à d'autres pays*socio=ac. Dans la région*socio=te *socio=rien administrative spéciale *socio=nil (RAS) de *socio=ac Hong Kong,*socio=nil les*socio=nil fortes*socio=rien tensions*socio=ec2 *socio=nil auxquelles le dollar*socio=ec1 de *socio=ac Hong Kong a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil soumis en octobre*socio=rien ont fait*socio=rien monter en flèche les taux_d'_intérêt*socio=ec1, après*socio=rien quoi le marché*socio=ec1 des actions*socio=ec1 a accusé une forte*socio=rien baisse*socio=ec2. En Corée*socio=ac, les tensions*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien le won se sont intensifiées *socio=rien fin octobre *socio=nil à la suite*socio=rien de l'attaque*socio=rien sur*socio=rien le dollar*socio=ec1 de *socio=ac Hong Kong,*socio=nil *socio=nil et les cours*socio=rien des actions*socio=ec1 ont chuté, trahissant l'ébranlement de la confiance*socio=uv1 dans les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 et les difficultés*socio=uv4 *socio=rien croissantes du secteur financier*socio=ec1 à*socio=nil obtenir *socio=nil la reconduction des prêts*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Après*socio=rien s'être*socio=rien efforcées de défendre le won, les autorités*socio=et coréennes ont élargi la marge de fluctuation*socio=ec2 journalière de 4 1/2 % à 20 % *socio=rien fin novembre,*socio=nil *socio=nil avant de demander l'aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac (voir le chapitre*socio=rien V). La crise*socio=uv2 qui prenait corps*socio=rien, marquée par une chute vertigineuse des taux_de_change*socio=ec1 et des cours*socio=rien des actions*socio=ec1 (graphique*socio=rien 1) a été*socio=rien l'une des plus graves*socio=uv4 que l'on ait connues depuis la deuxième*socio=rien guerre*socio=et mondiale*socio=te. Son foyer*socio=uv s'est*socio=rien situé dans des pays*socio=ac qui menaient de longue*socio=rien date des politiques_budgétaires*socio=et prudentes*socio=uv2 et affichaient des taux*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 élevés*socio=uv4. Que s'est-il passé*socio=rien? Les *socio=rien principaux facteurs du dérapage*socio=uv4,*socio=nil en*socio=nil particulier en*socio=nil Thaïlande*socio=ac,*socio=nil ont*socio=nil été les*socio=nil suivants *socio=nil : l'accumulation*socio=ec2 de *socio=ec2 pressions inflationnistes,*socio=nil *socio=nil qui se sont manifestées par d'importants*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te et la surévaluation*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 de l'immobilier*socio=ec1 et des actions*socio=ec1; le maintien*socio=rien pendant de trop longues*socio=rien périodes*socio=te de régimes*socio=et de parités*socio=ec1 fixes, qui ont fini par être*socio=rien considérés comme des garanties implicites*socio=uv3 de la valeur*socio=ec1 de change*socio=ec1, encourageant les emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te non couverts - souvent à brève*socio=rien échéance*socio=te; le manque*socio=rien de données et d'informations*socio=rien actuelles*socio=te et pertinentes*socio=rien; l'application*socio=rien laxiste des règles*socio=et prudentielles*socio=uv2 ainsi que la faiblesse*socio=ec2 des structures*socio=ec1 institutionnelles*socio=et de surveillance*socio=et des systèmes_financiers*socio=ec1; les pratiques*socio=et de crédit*socio=ec1 dirigé par les pouvoirs_publics*socio=et qui ont gravement nui à la qualité*socio=rien des portefeuilles*socio=ec1 de prêts*socio=ec1 des banques*socio=ac, ce qui a interdit tout relèvement*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1; enfin, les problèmes*socio=uv4 de gestion_publique*socio=et et privée*socio=et qui, conjugués*socio=rien aux incertitudes*socio=uv3 politiques*socio=et, ont aggravé la crise*socio=uv2 de confiance*socio=uv1. Des facteurs*socio=rien extérieurs*socio=te ont aussi joué un*socio=rien rôle*socio=et, à la *socio=rien fois du fait *socio=nil que les investisseurs*socio=ac étrangers*socio=te en quête de rendements*socio=ec1 plus élevés*socio=uv4 à *socio=rien un moment *socio=nil où la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 au Japon*socio=ac et en Europe*socio=ac était atone et où les taux_d'_intérêt*socio=ec1 internationaux*socio=te étaient faibles*socio=rien ont sous-estimé les risques*socio=uv3 et que les effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 ont entraîné une dévaluation*socio=ec2 excessive*socio=uv4 des monnaies*socio=ec1 concernées. Vue*socio=rien d'ensemble*socio=rien. Les troubles financiers*socio=ec1 qui ont éclaté en Asie*socio=ac du*socio=rien Sud-est*socio=te à partir *socio=rien du milieu *socio=nil de 1997 n'ont pas tardé à avoir des répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien la demande*socio=ec1 et l'activité*socio=rien dans les pays*socio=ac touchés. Ils ont aussi commencé à freiner la croissance*socio=uv3 mondiale*socio=te à la fin*socio=rien de 1997 et au début*socio=rien de 1998. Pour l'ensemble*socio=rien de 1997, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 mondiale*socio=te s'est*socio=rien toutefois poursuivie à un*socio=rien taux*socio=ec1 d'environ 4 % (graphique*socio=rien 2), l'expansion*socio=ec2 plus lente*socio=rien en Afrique*socio=ac, en Asie*socio=ac et au Moyen-orient*socio=ac se trouvant compensée par une croissance*socio=uv3 plus rapide*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac, dans les pays_en_développement*socio=uv3 de l'hémisphère_occidental*socio=te et dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 (tableau*socio=rien 1). L'expansion*socio=ec2 en *socio=rien volume du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te *socio=nil a rebondi à 9 1/2 % en 1997, égalant la progression*socio=ec2 enregistrée en 1995 - la plus rapide*socio=rien en *socio=rien vingt ans.*socio=nil Cette*socio=nil accélération*socio=ec2 a*socio=nil été *socio=nil largement partagée entre le groupe_des_pays*socio=ac avancés et celui des pays_en_développement*socio=uv3, mais la croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 échange commerciaux des*socio=nil pays*socio=ac en*socio=nil transition*socio=ec2 s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil quelque peu ralentie. Les effets*socio=rien de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac sur*socio=rien les *socio=rien apports nets de*socio=nil capitaux_privés*socio=ec1 aux*socio=nil économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 ont*socio=nil été spectaculaires (*socio=nil tableau *socio=nil 2). Ces flux*socio=ec1 avaient atteint *socio=rien un niveau record*socio=ec2 *socio=nil de 240 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1996, l'Asie*socio=ac attirant plus de 40 % *socio=rien du total.*socio=nil Après *socio=nil avoir de nouveau*socio=rien augmenté au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1997, les flux*socio=ec1 nets*socio=rien se sont fortement contractés alors que la crise*socio=uv2 en Asie*socio=ac prenait de l'extension*socio=rien, et pour l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien ils ont *socio=rien été inférieurs *socio=nil d'environ 70 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 au montant*socio=ec1 enregistré en 1996. Les *socio=rien apports nets aux*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 d'*socio=nil Asie*socio=ac *socio=nil ont chuté de plus de 60 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 à environ 40 milliards*socio=rien - montant*socio=ec1 le plus faible*socio=rien depuis 1992. Les pays_en_développement*socio=uv3 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et d'Europe*socio=ac ont enregistré une diminution*socio=ec2 moins forte*socio=rien des entrées de capitaux*socio=ec1, tandis que les flux*socio=ec1 à destination*socio=rien de l'hémisphère_occidental*socio=te, de l'Afrique*socio=ac et des pays*socio=ac en transition*socio=ec2 ont en fait*socio=rien augmenté. Au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1998, les flux*socio=ec1 nets*socio=rien de capitaux*socio=ec1 à destination*socio=rien des économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 sont restés proches*socio=rien de leurs niveaux*socio=rien déjà réduits de la fin*socio=rien 1997. La forte*socio=rien contraction*socio=ec2 des apports*socio=rien de capitaux_privés*socio=ec1 aux économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 d'Asie*socio=ac, bien*socio=rien qu'elle ait été*socio=rien amortie dans une *socio=rien certaine mesure par*socio=nil un accroissement*socio=ec2 *socio=nil de l'aide*socio=uv1 publique*socio=et, a nécessité*socio=uv1 des ajustements*socio=et substantiels*socio=rien des positions*socio=rien extérieures*socio=te de ces pays*socio=ac. Pour l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 d'Asie*socio=ac, le déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te a diminué de presque 30 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1997. Et au début*socio=rien de 1998, les pays*socio=ac les plus touchés par la crise*socio=uv2 - à savoir*socio=rien la Corée*socio=ac, l'Indonésie*socio=ac et la Thaïlande*socio=ac -dégageaient des excédents*socio=ec1 courants*socio=te. Sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien de 1997, l'alourdissement*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 des transaction*socio=ec1 courantes*socio=te dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil amérique_latine*socio=ac,*socio=nil *socio=nil reflétant l'augmentation*socio=ec2 des investissements_directs_étrangers*socio=ec1 dans la région*socio=te, a été*socio=rien la *socio=rien principale contrepartie *socio=nil de la diminution*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 dans les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 d'Asie*socio=ac (tableau*socio=rien 3). À la fin*socio=rien de 1997 et au début*socio=rien de 1998, toutefois, les balances*socio=ec1 *socio=te extérieures courantes d'*socio=nil un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil économies*socio=ec1 *socio=nil avancées - tout particulièrement celle des États-unis*socio=ac - et des *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil commençaient à donner des signes de détérioration*socio=uv4. L'inflation*socio=ec1 sur*socio=rien la base*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 a encore reculé dans tous les principaux*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac en 1997 (graphique*socio=rien 2). Ce recul*socio=rien a *socio=rien été favorisé *socio=nil par la faiblesse*socio=ec2 des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien, y compris ceux du*socio=rien pétrole*socio=ec1. Au début*socio=rien de 1998, ces derniers*socio=rien ont à nouveau*socio=rien accusé une diminution*socio=ec2 substantielle*socio=rien; en effet*socio=rien, en avril*socio=rien 1998, les prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 exprimés en DTS étaient inférieurs*socio=rien d'environ 31 % à leur niveau*socio=rien d'un*socio=rien an*socio=rien auparavant, alors que les prix*socio=ec1 des autres produits*socio=rien de base*socio=rien avaient baissé de 20 % pendant la même période*socio=te. Dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil *socio=nil ces fléchissements tenaient à la plus faible*socio=rien demande*socio=ec1 de produits*socio=rien de base*socio=rien dans les pays*socio=ac touchés par la crise*socio=uv2 en Asie*socio=ac; il se peut aussi que la forte*socio=rien dépréciation*socio=ec2 des monnaies*socio=ec1 de ces pays*socio=ac se soit traduite par une baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 de leurs exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien de base*socio=rien exprimés en monnaies*socio=ec1 étrangères*socio=te. La réorientation*socio=et des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 vers les marchés*socio=ec1 matures*socio=uv4 après*socio=rien l'éclatement*socio=rien de la crise*socio=uv2, ainsi que les perspectives*socio=te de plus faible*socio=rien inflation*socio=ec1 ont contribué à une baisse*socio=ec2 substantielle*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à moyen*socio=rien et à long_terme*socio=te - qui sont tombés dans certains cas*socio=rien à leur niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien en cinquante ans*socio=rien - dans les pays_industrialisés*socio=ac à la fin*socio=rien de 1997 et au début*socio=rien de 1998. Cet assouplissement*socio=uv3 des *socio=ec1 conditions financières,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=rien en*socio=nil amérique_du_nord*socio=ac *socio=nil et en Europe*socio=ac occidentale*socio=te, a contribué à son tour*socio=rien à de nouvelles*socio=rien hausses sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des actions*socio=ec1, où de nombreux*socio=rien indices ont atteint de nouveaux*socio=rien records*socio=ec2. Cela a contribué à soutenir la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te dans les pays_industrialisés*socio=ac, tandis que les exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien commençaient à accuser le contrecoup*socio=te de la crise*socio=uv2 en Asie*socio=ac. Sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, *socio=rien après un renforcement*socio=ec2 initial considérable *socio=nil en 1997 / 98, le yen*socio=ec1 a subi de fortes*socio=rien pressions*socio=ec2 à la vente*socio=ec1 pendant la *socio=rien majeure partie *socio=nil de la période*socio=te, traduisant les préoccupations*socio=uv4 des marchés*socio=ec1 quant aux progrès*socio=uv1 de la reprise économique*socio=ec1 du*socio=rien Japon*socio=ac. *socio=rien Après être *socio=nil tombée à 127 yen*socio=ec1 pour un*socio=rien dollar*socio=ec1 *socio=rien fin avril *socio=nil 1997, la monnaie*socio=ec1 nippone s'est*socio=rien vigoureusement redressée en mai*socio=rien et *socio=rien début juin,*socio=nil atteignant*socio=nil un haut *socio=nil de 110 yen*socio=ec1 pour un*socio=rien dollar*socio=ec1. L'essoufflement*socio=ec1 de la reprise vers le milieu*socio=rien de l'année*socio=rien et les préoccupations*socio=uv4 suscitées par le secteur*socio=rien financier*socio=ec1 intérieur*socio=te ont entraîné *socio=rien un nouvel affaiblissement*socio=ec2 du yen*socio=ec1 *socio=nil qui se négociait à 132 yen*socio=ec1 pour un*socio=rien dollar*socio=ec1 *socio=rien fin avril *socio=nil 1998. Bien*socio=rien que le *socio=ec1 deutsche mark *socio=nil se soit encore déprécié par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1 en 1997 et au début*socio=rien de 1998, la dépréciation*socio=ec2 en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1 a*socio=nil été *socio=nil modérée. La livre sterling*socio=ec1 a enregistré une *socio=rien forte hausse *socio=nil en 1997 et début*socio=rien 1998, principalement due à des facteurs*socio=rien cycliques*socio=te à court_terme*socio=te. Les économies*socio=ec1 avancées. Les écarts*socio=ec2 entre les positions*socio=rien cycliques*socio=te des économies*socio=ec1 avancées sont restés considérables*socio=rien en 1997. Les États-unis*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac ont connu une activité_économique*socio=ec1 vigoureuse*socio=rien, à des *socio=rien niveaux proches du potentiel*socio=uv4 disponible,*socio=nil *socio=nil et les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 les plus faibles*socio=rien depuis de *socio=rien longues années.*socio=nil *socio=nil Dans les principales*socio=rien économies*socio=ec1 d'Europe*socio=ac occidentale*socio=te, la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien renforcée au *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1997 et au début*socio=rien de 1998, mais la plupart*socio=rien ont gardé des volants substantiels*socio=rien de capacités*socio=uv3 oisives. Après*socio=rien le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1997, l'économie*socio=ec1 japonaise*socio=ac a marqué le pas avant de sombrer dans la récession*socio=ec2 au dernier*socio=rien trimestre*socio=te, la production*socio=ec1 accusant une contraction*socio=ec2 de 5,3 % en taux*socio=ec1 annuel*socio=te au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1998. Les effets*socio=rien de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac sur*socio=rien les économies*socio=ec1 avancées ont varié en fonction*socio=rien de deux *socio=rien grands facteurs *socio=nil dont le premier*socio=rien était l'importance*socio=rien des liens*socio=rien commerciaux*socio=ec1 et financiers*socio=ec1 avec les économies*socio=ec1 en crise*socio=uv2 (ces liens*socio=rien étant généralement les plus étroits*socio=rien dans la région*socio=te Asie*socio=ac - Pacifique*socio=te), et le deuxième*socio=rien, la *socio=rien situation initiale *socio=nil de l'économie*socio=ec1. L'effet*socio=rien de ralentissement*socio=ec2 produit*socio=rien par la crise*socio=uv2 a eu *socio=rien un impact défavorable*socio=uv4 *socio=nil relativement marqué au Japon*socio=ac, où l'activité*socio=rien et la confiance*socio=uv1 étaient déjà faibles*socio=rien; en revanche, il a vraisemblablement*socio=rien contribué à contenir les *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil dans les pays*socio=ac menacés par la surchauffe. Après*socio=rien le raffermissement*socio=ec2 observé en 1996 à la suite*socio=rien de quatre années*socio=rien de reprise hésitante*socio=rien, la croissance*socio=uv3 au Japon*socio=ac semblait commencer à s'auto-alimenter au début*socio=rien de 1997. Mais l'activité*socio=rien s'est*socio=rien fortement ralentie au deuxième*socio=rien trimestre*socio=te et ne s'est*socio=rien redressée que mollement pendant le reste*socio=rien de l'année*socio=rien. La décélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 avant le milieu*socio=rien de l'année*socio=rien a été*socio=rien principalement attribuable*socio=rien à des facteurs*socio=rien intérieurs*socio=te, notamment le relèvement*socio=ec2 de la taxe*socio=et de consommation*socio=ec1 en avril*socio=rien 1997, la compression*socio=et des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et la fragilité*socio=uv1 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Durant la *socio=rien deuxième partie *socio=nil de l'année*socio=rien, les inquiétudes*socio=rien suscitées par la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac et la *socio=rien situation du secteur financier*socio=ec1 intérieur*socio=te,*socio=nil conjuguées à*socio=nil un nouveau fléchissement*socio=ec2 des*socio=nil cours des*socio=nil actions*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil ont contribué à la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien de la dépense*socio=ec1 intérieure*socio=te. Pour l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien, le PIB*socio=ec1 a augmenté de 3/4 %. Les autorités*socio=et japonaises*socio=ac ont réagi en annonçant *socio=rien un vaste plan de*socio=nil relance*socio=uv3 budgétaire*socio=et en*socio=nil avril *socio=nil 1998 et en prenant des mesures*socio=et pour tenter de résoudre les problèmes*socio=uv4 bancaires*socio=ec1, notamment en affectant des fonds_publics*socio=et au renforcement*socio=ec2 des systèmes*socio=rien de garantie des dépôts*socio=ec1 et du*socio=rien capital*socio=ec1 des banques*socio=ac. Des incertitudes*socio=uv3 persistaient néanmoins quant à la façon*socio=rien dont les mesures*socio=et d'assainissement*socio=uv3 *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1 allaient*socio=nil être *socio=nil mises en oeuvre*socio=rien. En juillet*socio=rien 1998, les autorités*socio=et japonaises*socio=ac ont annoncé une série de *socio=rien nouvelles initiatives *socio=nil pour le secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1 dans *socio=rien un plan global*socio=te de*socio=nil redressement*socio=ec2 du secteur financier*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil y compris la création*socio=uv4 d'un*socio=rien dispositif*socio=et de "banques*socio=ac relais*socio=rien" destinées*socio=rien à faciliter la liquidation*socio=ec1 des établissements*socio=ac faillis et des mesures*socio=et visant à renforcer la surveillance*socio=et des banques*socio=ac et à accroître la transparence*socio=uv3. Les autres économies*socio=ec1 avancées de la région*socio=te Asie*socio=ac - Pacifique*socio=te se trouvaient dans une situation*socio=rien conjoncturelle*socio=te plus forte*socio=rien que le Japon*socio=ac lorsque la crise*socio=uv2 a éclaté en Asie*socio=ac. En Australie*socio=ac, la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien renforcée en 1997 dans le contexte*socio=rien d'une inflation*socio=ec1 en veilleuse, d'un*socio=rien budget*socio=ec1 proche de l'équilibre*socio=ec2 et d'un*socio=rien déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te réduit. Cependant, en partie*socio=rien sous l'effet*socio=rien de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac, le dollar*socio=ec1 australien*socio=rien s'est*socio=rien sensiblement déprécié par rapport*socio=rien aux monnaies*socio=ec1 des autres pays_industrialisés*socio=ac à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. En revanche, la RAS de *socio=ac Hong Kong *socio=nil a subi une perte*socio=ec2 de compétitivité*socio=uv3 due à la dépréciation*socio=ec2 des autres monnaies*socio=ec1 de la région*socio=te, et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 sont montés de manière*socio=rien sporadique à des niveaux*socio=rien relativement élevés*socio=uv4 reflétant les pressions*socio=ec2 intermittentes qui se sont exercées sur*socio=rien la monnaie*socio=ec1. Ces évolutions*socio=te, conjuguées*socio=rien aux effets*socio=rien de la crise*socio=uv2 régionale*socio=te sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 et sur*socio=rien la confiance*socio=uv1, ont eu tôt fait*socio=rien de tempérer la tendance*socio=ec2 à la surchauffe qui était apparue au début*socio=rien de 1997 et ont conduit à une forte*socio=rien contraction*socio=ec2 de l'activité*socio=rien au début*socio=rien de 1998. Comme dans la RAS de *socio=ac Hong Kong,*socio=nil la*socio=nil solidité*socio=uv3 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 à*socio=nil Singapour*socio=ac *socio=nil et dans la *socio=ac province chinoise de*socio=nil Taiwan *socio=nil a contribué à limiter*socio=rien les effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 régionale*socio=te, bien*socio=rien que ces deux économies*socio=ec1 aient enregistré une dépréciation*socio=ec2 sensible*socio=rien de leurs monnaies*socio=ec1 et de fortes*socio=rien augmentations*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 intérieurs*socio=te. Les économies*socio=ec1 avancées d'amérique_du_nord*socio=ac et d'Europe*socio=ac ont été*socio=rien moins durement touchées par la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac. La performance*socio=uv3 économique*socio=ec1 des États-unis*socio=ac en 1997 a été*socio=rien exceptionnellement vigoureuse*socio=rien, avec une croissance*socio=uv3 du*socio=rien PIB*socio=ec1 de 33/4 %, la plus rapide*socio=rien en 9 ans*socio=rien. En outre, l'inflation*socio=ec1 sur*socio=rien la *socio=rien base du déflateur*socio=nil du PIB*socio=ec1 a*socio=nil été *socio=nil la plus faible*socio=rien en 32 ans*socio=rien, le chômage*socio=ec1 est*socio=rien tombé à son niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien en 24 ans*socio=rien et le budget*socio=ec1 fédéral*socio=et a été*socio=rien quasiment équilibré pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 70. La vigueur*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac a apporté un*socio=rien soutien*socio=uv3 crucial*socio=rien à la croissance*socio=uv3 mondiale*socio=te dans le contexte*socio=rien de la crise*socio=uv2 en Asie*socio=ac. L'affaiblissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te associé*socio=rien à cette crise*socio=uv2 et la force*socio=uv1 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 ont tempéré les *socio=ec2 pressions inflationnistes potentielles*socio=uv4 *socio=nil dans l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac, donnant gain*socio=ec1 de cause*socio=rien aux adversaires*socio=ac d'un*socio=rien resserrement*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1997 et au début*socio=rien de 1998. Le Canada*socio=ac a aussi connu une forte*socio=rien croissance*socio=uv3 en 1997; mais étant donné qu'il restait un*socio=rien volant substantiel*socio=rien de ressources*socio=ec1 inutilisées*socio=rien, l'inflation*socio=ec1 a encore diminué. Un*socio=rien alourdissement*socio=ec2 *socio=rien considérable du déficit*socio=ec1 des*socio=nil transactions_courantes*socio=te,*socio=nil *socio=nil dû en partie*socio=rien à la faiblesse*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te des produits*socio=rien de base*socio=rien, a contribué aux pressions*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 qui se sont exercées sur*socio=rien le dollar_canadien*socio=ec1. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 officiels*socio=et ont été*socio=rien relevés à la fin*socio=rien de 1997 et en janvier*socio=rien 1998, surtout dans le but*socio=rien de neutraliser les conséquences*socio=rien de la dépréciation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 sur*socio=rien les *socio=ec1 conditions monétaires.*socio=nil *socio=nil Dans les *socio=ac pays européens,*socio=nil des*socio=nil différences*socio=uv1 notables*socio=rien *socio=nil entre les positions*socio=rien cycliques*socio=te ont continué à être*socio=rien observées en 1997 et au début*socio=rien de 1998. Au Royaume-uni*socio=ac, la production*socio=ec1 a augmenté de 3 1/4 % en 1997 et le chômage*socio=ec1 est*socio=rien tombé à 5 % en fin*socio=rien d'année*socio=rien, soit son niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien en 17 ans*socio=rien. En Allemagne*socio=ac, en France*socio=ac et en Italie*socio=ac, la croissance*socio=uv3, qui avait faibli les deux *socio=rien années précédentes,*socio=nil s'*socio=nil est *socio=nil modérément raffermie en 1997. Les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 sont restés élevés*socio=uv4 dans les trois pays*socio=ac, mais ils ont affiché *socio=rien un certain recul en*socio=nil France*socio=ac *socio=nil à partir *socio=rien du milieu *socio=nil de 1997 et en Allemagne*socio=ac au début*socio=rien de 1998. En Allemagne*socio=ac, la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien tirée principalement par l'activité*socio=rien toujours soutenue à l'exportation*socio=ec1; cependant, les investissements*socio=ec1 en biens*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1 professionnel*socio=ec1 et, ultérieurement, la demande*socio=ec1 de produits*socio=rien de consommation*socio=ec1 ont été*socio=rien en hausse*socio=rien. La reprise en France*socio=ac, qui reposait aussi largement sur*socio=rien les exportations*socio=ec1, a été*socio=rien rééquilibrée par le redressement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te qui s'est*socio=rien amorcé au *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1997. En Italie*socio=ac, l'important*socio=uv4 rééquilibrage*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et n'a pas empêché la croissance*socio=uv3 de s'affermir également en 1997, soutenue par une reprise de la consommation_privée*socio=et, une remontée des exportations*socio=ec1 et la reconstitution*socio=ec2 des stocks*socio=ec1. L'inflation*socio=ec1 a *socio=rien été inférieure *socio=nil à 2 % en Allemagne*socio=ac, en France*socio=ac et en Italie*socio=ac en 1997. Dans le reste*socio=rien de l'Europe*socio=ac continentale*socio=te (Danemark*socio=ac, Espagne*socio=ac, Finlande*socio=ac, Irlande*socio=ac, Luxembourg*socio=ac, Norvège*socio=ac, Pays-bas*socio=ac et Portugal*socio=ac), la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 est*socio=rien restée vigoureuse*socio=rien en 1997; après*socio=rien des périodes*socio=te d'atonie*socio=ec2, l'expansion*socio=ec2 est*socio=rien devenue plus ferme*socio=ec2 en Autriche*socio=ac, en Belgique*socio=ac et Suède*socio=ac. Dans certains cas*socio=rien, d'importantes*socio=uv4 réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 mises en oeuvre*socio=rien les *socio=rien années précédentes *socio=nil ont étayé la croissance*socio=uv3, notamment en favorisant une plus grande*socio=rien souplesse*socio=uv3 des marchés_du_travail*socio=ec1. En Suisse*socio=ac, la croissance*socio=uv3 au ralenti a prolongé la période*socio=te de stagnation*socio=ec1 persistant*socio=rien depuis bientôt *socio=rien cinq ans,*socio=nil *socio=nil mais l'activité*socio=rien s'est*socio=rien ressaisie au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1998. L'inflation*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac est*socio=rien restée assez uniformément faible*socio=rien. En mars*socio=rien 1998, la *socio=ac Commission européenne *socio=nil a déterminé que onze des quinze *socio=ac États membres *socio=nil de l'UE*socio=ac avaient rempli les conditions*socio=ec1 requises*socio=uv4 pour participer à l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 (UEM*socio=et) européenne*socio=ac en 1999. La Commission*socio=ac a formulé sa recommandation*socio=et en se fondant sur*socio=rien le rapport*socio=rien de convergence*socio=uv3 de l'Institut*socio=ac monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac, après*socio=rien avoir établi que les pays*socio=ac en question*socio=rien satisfaisaient aux critères*socio=rien de convergence*socio=uv3 stipulés par le Traité*socio=rien de Maastricht*socio=et pour 1997, en matière*socio=rien d'inflation*socio=ec1, de finances*socio=ec1 publiques*socio=et, de taux_d'_intérêt*socio=ec1 et de taux_de_change*socio=ec1. Quant aux quatre autres pays*socio=ac de l'UE*socio=ac, le Danemark*socio=ac, la Suède*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac ont indiqué qu'ils ne souhaitaient pas participer immédiatement à l'UEM*socio=et et les autorités*socio=et grecques visaient une adhésion*socio=uv1 à l'UEM*socio=et en 2001. En mars*socio=rien 1998, la drachme *socio=rien est entrée *socio=nil dans le mécanisme*socio=et de change*socio=ec1 européen*socio=ac (MCE) de l'UE*socio=ac, avec *socio=rien un cours pivot *socio=nil annoncé par rapport*socio=rien à l'écu qui impliquait une dépréciation*socio=ec2 de 12 1/2 %; au même moment*socio=rien, la livre irlandaise*socio=ac était réévaluée de 3 % sur*socio=rien la base*socio=rien de son *socio=rien cours pivot.*socio=nil Les*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil Un certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 *socio=nil ont vu leurs marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 gagnés par la contagion*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac en 1997 et beaucoup d'autres ont commencé à en ressentir les effets*socio=rien économiques*socio=ec1 sous d'autres formes*socio=rien vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien et au début*socio=rien de 1998, notamment avec des primes*socio=ec1 de risques*socio=uv3 plus élevées*socio=uv4 sur*socio=rien les crédits*socio=ec1 étrangers*socio=te. Ces effets*socio=rien ont aggravé *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'autres problèmes*socio=uv4 qui contribuent à freiner la croissance*socio=uv3, tels que l'érosion*socio=ec2 de la compétitivité*socio=uv3, la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien et les déséquilibres*socio=uv3 financiers*socio=ec1 intérieurs*socio=te et extérieurs*socio=te. Dans l'ensemble*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3, la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 s'est*socio=rien ralentie à 5 3/4 % en 1997 contre environ 6 1/2 % en 1996. Le ralentissement*socio=ec2 a *socio=rien été sensible en*socio=nil Asie*socio=ac,*socio=nil *socio=nil mais c'est*socio=rien en Afrique*socio=ac qu'il a été*socio=rien le plus marqué (graphique*socio=rien 3). En revanche, dans les pays_en_développement*socio=uv3 de l' hémisphère_occidental*socio=te, la croissance*socio=uv3 en 1997 a été*socio=rien en fait*socio=rien plus vigoureuse*socio=rien que les deux *socio=rien années précédentes,*socio=nil *socio=nil mais elle s'est*socio=rien affaiblie au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1998. Cette perte*socio=ec2 de *socio=rien vitesse est imputable*socio=uv2 aux*socio=nil retombées *socio=nil de la crise*socio=uv2 en Asie*socio=ac et aux mesures*socio=et que les gouvernements*socio=ac ont prises*socio=rien pour réduire la vulnérabilité*socio=uv1 des économies*socio=ec1 face*socio=rien aux revirements*socio=te des investisseurs*socio=ac et à l'alourdissement*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. Dans la région*socio=te Asie*socio=ac, les marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 en Chine*socio=ac sont restés relativement à l'abri*socio=rien des effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 de la crise*socio=uv2, ce qui s'explique par les politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 appropriées qui ont été*socio=rien appliquées depuis 1993, par le fait*socio=rien que les entrées de capitaux*socio=ec1 ont surtout pris la forme*socio=rien d'investissements*socio=ec1 directs*socio=rien avec peu de possibilités*socio=rien de *socio=ec1 spéculation financière *socio=nil et par le *socio=rien haut niveau des*socio=nil réserves*socio=ec1 en*socio=nil devises*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Tandis que la monnaie*socio=ec1 chinoise*socio=ac s'est*socio=rien quelque peu appréciée en termes*socio=rien réels*socio=ec2 par suite*socio=rien de la dépréciation*socio=ec2 des monnaies*socio=ec1 de ses partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 d'Asie*socio=ac, la position*socio=rien commerciale*socio=ec1 est*socio=rien demeurée forte*socio=rien et la balance*socio=ec1 *socio=te extérieure courante excédentaire*socio=rien.*socio=nil Les*socio=nil autorités*socio=et *socio=nil sont restées fermement résolues à ne pas dévaluer le renminbi, condition*socio=rien indispensable*socio=uv4 au rétablissement*socio=rien de la stabilité*socio=uv3 dans la région*socio=te. D'autre part*socio=rien, l'inflation*socio=ec1, qui avait chuté en 1997, est*socio=rien restée faible*socio=rien. En Inde*socio=ac, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 est*socio=rien redescendue d'environ 7 1/2 % en 1996 à quelque 6 % en 1997. La roupie s'est*socio=rien affaiblie par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1997, en partie*socio=rien sous les retombées*socio=rien de la crise*socio=uv2 régionale*socio=te, mais sa valeur*socio=ec1 de change*socio=ec1 a peu varié en termes*socio=rien réels*socio=ec2 sur*socio=rien une base*socio=rien multilatérale*socio=et. Au Pakistan*socio=ac, le gouvernement*socio=ac a réagi à l'aggravation*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1 et à la menace*socio=uv1 d'une crise*socio=uv2 de change*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1996 et au début*socio=rien de 1997 en adoptant un*socio=rien programme*socio=et de renforcement*socio=ec2 des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et en engageant des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. En amérique_latine*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 sur*socio=rien la base*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 au Brésil*socio=ac s'est*socio=rien inscrite*socio=rien en recul*socio=rien à 4 1/4% en 1997, tandis que la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 s'est*socio=rien poursuivie à un*socio=rien taux*socio=ec1 de 3 % grosso modo égal*socio=rien à celui de l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Face*socio=rien aux retombées*socio=rien de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac, les autorités*socio=et ont nettement durci leurs politiques_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et en octobre*socio=rien et novembre*socio=rien 1997, ce qui a permis*socio=rien de rétablir la confiance*socio=uv1 et d'enrayer la baisse*socio=ec2 de réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1. En Argentine*socio=ac, la production*socio=ec1 a connu une forte*socio=rien progression*socio=ec2 de 8 1/2 %, tandis que les prix*socio=ec1 sont restés généralement stables*socio=uv4; comme au Brésil*socio=ac, des tensions*socio=ec2 ont commencé à se manifester sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 en octobre*socio=rien avec une correction*socio=ec2 *socio=rien sensible du marché*socio=ec1 des*socio=nil actions*socio=ec1 *socio=nil et des marges *socio=rien croissantes sur la*socio=nil dette*socio=ec1 souveraine*socio=et.*socio=nil Au*socio=nil Mexique*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac a*socio=nil considérablement *socio=nil accentué l'instabilité*socio=uv3 du*socio=rien marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et des taux_d'_intérêt*socio=ec1. La *socio=rien hausse temporaire substantielle *socio=nil de ces derniers*socio=rien a contribué à stabiliser le taux_de_change*socio=ec1, mais le *socio=rien cours du peso*socio=ec1 par*socio=nil rapport au*socio=nil dollar*socio=ec1 *socio=nil a chuté en février*socio=rien 1998. Au Chili*socio=ac, le peso*socio=ec1 a subi des pressions*socio=ec2 en décembre*socio=rien mais il s'est*socio=rien stabilisé dès la *socio=rien fin du mois de*socio=nil janvier,*socio=nil *socio=nil à la suite*socio=rien d'une intervention*socio=et relativement limitée sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1 et d'un*socio=rien relèvement*socio=ec2 sensible*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Dans la région*socio=te Moyen-orient*socio=ac et Europe*socio=ac, la crise*socio=uv2 en Asie*socio=ac a eu des *socio=rien retombées directes *socio=nil limitées, sous la forme*socio=rien de baisses temporaires*socio=rien des cours*socio=rien des actions*socio=ec1 dans certains pays*socio=ac et d'un*socio=rien élargissement*socio=ec2 des marges sur*socio=rien la dette*socio=ec1 négociée sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te. Dans la *socio=ac République islamique d'*socio=nil Iran,*socio=nil la*socio=nil croissance*socio=uv3 du*socio=rien PIB*socio=ec1 réel*socio=rien s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil ralentie, passant de 4 3/4 % en 1996 à 3 1/4 % en 1997, en raison*socio=rien de la stagnation*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 hors pétrole*socio=ec1, de la réduction*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et d'investissement*socio=ec1 liée à la baisse*socio=ec2 des *socio=ec1 recettes pétrolières *socio=nil et de la lenteur*socio=rien des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. En Turquie*socio=ac, la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien poursuivie à un*socio=rien taux*socio=ec1 proche de 7 % en 1997, tandis qu'en Égypte*socio=ac, le succès*socio=uv1 des efforts*socio=uv1 de stabilisation_macro-économique*socio=ec1 et de réforme*socio=et structurelle*socio=ec2 ces *socio=rien dernières années à*socio=nil favorisé *socio=nil une remontée de la croissance*socio=uv3 à 5 %. La Jordanie*socio=ac a continué de récolter les fruits*socio=rien de l'application*socio=rien des politiques*socio=et de stabilisation*socio=et et de réforme*socio=et qui se sont traduites par la poursuite*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 vigoureuse*socio=rien de la production*socio=ec1, de nouvelles*socio=rien baisses de l'inflation*socio=ec1 et une réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te. La croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 en Afrique*socio=ac a été*socio=rien de 3 1/4 % seulement en 1997. Ce *socio=rien résultat décevant est principalement*socio=nil attribuable *socio=nil à l'impact*socio=rien *socio=rien sur un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil des intempéries, de la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien et, dans quelques cas*socio=rien, des conflits*socio=uv1 armés. Pour ce qui est*socio=rien des plus grands*socio=rien pays*socio=ac de la région*socio=te, la croissance*socio=uv3 en afrique_du_sud*socio=ec1 s'est*socio=rien ralentie à 13/4 % en 1997, en raison*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et extérieure*socio=te; le Nigéria a lui aussi souffert d'une faible*socio=rien demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, aggravée par le manque*socio=rien de confiance*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac étrangers*socio=te. En Algérie*socio=ac, la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien sensiblement ralentie, principalement à cause*socio=rien des conséquences*socio=rien défavorables*socio=uv4 de la sécheresse*socio=et sur*socio=rien l'agriculture*socio=ec1 et de *socio=rien nouveaux retards *socio=nil dans la reprise de l'activité*socio=rien industrielle*socio=ec1. Au Kenya, la croissance*socio=uv3 a faibli en partie*socio=rien sous l'effet*socio=rien des tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 qui ont été*socio=rien liées aux incertitudes*socio=uv3 politiques*socio=et. L'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée maîtrisée dans la *socio=rien majeure partie *socio=nil de la région*socio=te. Les économies_en_transition*socio=ec1. En 1997, la Russie*socio=ac et les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 ont enregistré une croissance*socio=uv3 positive*socio=uv4 pour la *socio=rien première fois *socio=nil en huit ans*socio=rien. Pour l'ensemble*socio=rien du*socio=rien groupe*socio=ac, la production*socio=ec1 a augmenté de 1 3/4 % et l'inflation*socio=ec1 a été*socio=rien ramenée à environ 27 % - témoignant des progrès*socio=uv1 que la plupart*socio=rien des pays*socio=ac ont accomplis depuis le début*socio=rien de la décennie*socio=te dans leur effort*socio=uv1 de stabilisation*socio=et et de réforme*socio=et. C'est*socio=rien en Russie*socio=ac, en Ukraine*socio=ac et, parmi les *socio=ac pays baltes,*socio=nil en*socio=nil Estonie *socio=nil que les effets*socio=rien de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac se sont fait*socio=rien le plus sentir. En Russie*socio=ac, où le rouble*socio=ec1 a subi des attaques*socio=ec2 à la *socio=rien fin du mois d'*socio=nil octobre *socio=nil et en novembre*socio=rien, puis à *socio=rien nouveau fin janvier *socio=nil 1998, les autorités*socio=et ont défendu le taux_de_change*socio=ec1 en relevant fortement les taux_d'_intérêt*socio=ec1. Dans ce contexte*socio=rien, le marché*socio=ec1 des actions*socio=ec1 a enregistré de fortes*socio=rien baisses. Ces tensions*socio=ec2 se sont produites en *socio=rien dépit du fait *socio=nil que le solde*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te était proche de l'équilibre*socio=ec2; elles étaient dues à la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien de la situation*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et caractérisée par l'insuffisance*socio=uv3 des recettes*socio=ec1, aux préoccupations*socio=uv4 quant à l'évolution*socio=te possible*socio=rien de la position*socio=rien extérieure*socio=te en l'absence*socio=rien de redressement*socio=ec2 du*socio=rien déséquilibre*socio=uv3 budgétaire*socio=et et à la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1. Si l'Ukraine*socio=ac pouvait envisager de parvenir en 1997 à un*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 inférieur*socio=rien à 10 % et à une croissance*socio=uv3 positive*socio=uv4, l'insuffisance*socio=uv3 du*socio=rien rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et a conduit à un*socio=rien alourdissement*socio=ec2 des emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te publics*socio=et à court_terme*socio=te. Conjuguée*socio=rien à la lenteur*socio=rien des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, cette évolution*socio=te a accru la vulnérabilité*socio=uv1 de l'Ukraine*socio=ac en cas*socio=rien de développements*socio=rien défavorables*socio=uv4; ainsi, lorsque la crise*socio=uv2 en Asie*socio=ac s'est*socio=rien aggravée à la fin*socio=rien de 1997, les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 ont forcé les autorités*socio=et à durcir considérablement*socio=rien les *socio=ec1 conditions monétaires.*socio=nil En*socio=nil Estonie*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil tensions*socio=ec2 intérieures*socio=te sur*socio=rien les*socio=nil marchés de*socio=nil capitaux *socio=nil induites par l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien rapide du déficit*socio=ec1 des*socio=nil transactions_courantes*socio=te ont*socio=nil été *socio=nil aggravées par les effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont augmenté sensiblement en octobre*socio=rien et novembre*socio=rien 1997 et les cours*socio=rien des actions*socio=ec1, après*socio=rien avoir affiché une *socio=rien forte hausse,*socio=nil *socio=nil ont chuté. Dans *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'autres pays*socio=ac en transition*socio=ec2, la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac n'a guère eu d'impact*socio=rien sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 ni sur*socio=rien leur accès*socio=uv1 aux financements*socio=ec1 extérieurs*socio=te, malgré leur ouverture*socio=uv3 aux marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1. La *socio=ac République tchèque a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil le théâtre d'une crise*socio=uv2 monétaire*socio=ec1 en mai*socio=rien 1997, déclenchée en partie*socio=rien par les événements*socio=rien en Thaïlande*socio=ac, à laquelle les autorités*socio=et ont *socio=rien fait front *socio=nil en durcissant leurs politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1. Cette action*socio=ec1 a entraîné une réduction*socio=ec2 *socio=rien sensible du déficit*socio=ec1 des*socio=nil transactions_courantes*socio=te,*socio=nil *socio=nil certes au prix*socio=ec1 d'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3, et l'approfondissement*socio=uv3 ultérieur*socio=te de la crise*socio=uv2 en Asie*socio=ac n'a causé que peu de perturbations*socio=ec2 supplémentaires*socio=rien. En Hongrie*socio=ac également, la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac n'a guère créé de tensions*socio=ec2 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1, ce qui est*socio=rien dû pour une *socio=rien large part *socio=nil à l'amélioration*socio=uv1 marquée des performances*socio=uv3 du*socio=rien pays*socio=ac en matière*socio=rien de finances*socio=ec1 publiques*socio=et, de croissance*socio=uv3 et de commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te, fruit*socio=rien des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et énergiques*socio=ec1 mises en oeuvre*socio=rien depuis 1995. En Pologne*socio=ac, la production*socio=ec1 a augmenté d'environ 7 % en 1997, poursuivant la vigoureuse*socio=rien expansion*socio=ec2 qui durait depuis près de six ans*socio=rien. L'importance*socio=rien critique*socio=uv2 de l'ajustement*socio=et et des réformes*socio=et a été*socio=rien particulièrement mise en évidence*socio=rien en Albanie*socio=ac et en Bulgarie*socio=ac. La crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 qui s'était amorcée en Bulgarie*socio=ac en 1996 s'est*socio=rien poursuivie en 1997, et la production*socio=ec1 a diminué pour la *socio=rien deuxième année consécutive.*socio=nil En*socio=nil Albanie*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil crise*socio=uv2 *socio=nil qui a éclaté en mars*socio=rien 1997 avec l'effondrement*socio=ec2 des pyramides financières*socio=ec1 a aussi provoqué une contraction*socio=ec2 de la production*socio=ec1 pendant l'année*socio=rien. Mais, dans les deux cas*socio=rien, des améliorations*socio=uv1 substantielles*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 ont permis*socio=rien de réduire les déséquilibres*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1, et la croissance*socio=uv3 a repris vers la fin*socio=rien de 1997 et au début*socio=rien de 1998. La Bulgarie*socio=ac a également enregistré une baisse*socio=ec2 spectaculaire*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 en 1997 et le système*socio=rien de caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien mis en place*socio=rien dans le *socio=rien cadre du programme*socio=et *socio=nil appuyé par le FMI*socio=ac a joué un*socio=rien rôle*socio=et décisif*socio=rien à cet égard*socio=rien. Chapitre*socio=rien 2: Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Le conseil_d'_administration*socio=ac examine régulièrement l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et les politiques_économiques*socio=et sur*socio=rien la base*socio=rien des rapports*socio=rien établis par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac sur*socio=rien les Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Ces rapports*socio=rien, publiés deux fois*socio=rien par an*socio=rien, contiennent des analyses*socio=ec2 approfondies des perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien du*socio=rien monde*socio=te et des différents*socio=rien pays*socio=ac et régions*socio=te ainsi que de questions*socio=rien d'actualité*socio=rien. En 1997 / 98, le Conseil*socio=ac a consacré trois débats*socio=et aux Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te : en août*socio=rien 1997, en décembre*socio=rien 1997 (sur*socio=rien la base*socio=rien d'une évaluation*socio=ec2 intérimaire*socio=rien effectuée par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac) et en mars*socio=rien 19984. La crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 asiatique*socio=ac a été*socio=rien au centre*socio=rien de ces discussions*socio=et. En août*socio=rien 1997, *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil avaient déjà lancé une mise en garde*socio=rien : s'il y avait de *socio=rien nombreuses raisons *socio=nil de croire que l'expansion*socio=ec2 mondiale*socio=te pouvait se poursuivre, il ne fallait pas toutefois sous-estimer les risques*socio=uv3 et facteurs*socio=rien de fragilité*socio=uv1 présents*socio=rien dans certains pays*socio=ac, et susceptibles*socio=rien d'avoir des répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien la situation*socio=rien économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 à l'échelle*socio=rien régionale*socio=te aussi bien*socio=rien que mondiale*socio=te. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont noté que, dans le monde*socio=te en développement*socio=uv3 en particulier*socio=rien, les importants*socio=uv4 déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te et la fragilité*socio=uv1 des systèmes_bancaires*socio=ec1 avaient ébranlé la confiance*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac et accru les risques*socio=uv3 associés*socio=rien aux mouvements_de_capitaux*socio=ec1 volatils. On ne s'attendait pas à ce que ces difficultés*socio=uv4 aient des conséquences*socio=rien préjudiciables*socio=et sur*socio=rien les perspectives*socio=te à long_terme*socio=te généralement positives*socio=uv4 de ces pays*socio=ac, à condition*socio=rien que des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 disciplinées et les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 nécessaires*socio=rien soient mises en oeuvre*socio=rien en *socio=rien temps opportun *socio=nil pour corriger les déséquilibres*socio=uv3 économiques*socio=ec1 intenables*socio=uv2. Les administrateurs*socio=ac ont cependant souligné que ces efforts*socio=uv1 sur*socio=rien le plan*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 devraient être*socio=rien étayés par des *socio=et réformes institutionnelles *socio=nil de plus *socio=rien vaste portée *socio=nil visant à accroître l'efficacité*socio=uv3 des administrations_publiques*socio=ac, à développer les ressources_humaines*socio=ec1, à renforcer la gestion*socio=ec2 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil à mettre en place*socio=rien des *socio=et dispositifs réglementaires et*socio=nil juridiques transparents*socio=uv4 *socio=nil et à améliorer la gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et. De telles réformes*socio=et aideraient à gagner et à entretenir la confiance*socio=uv1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et et de ses investisseurs*socio=ac, condition*socio=rien indispensable*socio=uv4 à une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 de qualité*socio=rien. Lors*socio=rien de leur débat*socio=et de mars*socio=rien 1998, les administrateurs*socio=ac se sont accordés pour penser que, si les perturbations*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 en Asie*socio=ac promettaient de peser de manière*socio=rien non *socio=rien négligeable sur les*socio=nil perspectives*socio=te de*socio=nil croissance*socio=uv3 à*socio=nil court_terme*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, il était probable*socio=uv4 que le ralentissement*socio=ec2 serait moins prononcé qu'il ne l'avait *socio=rien été lors des*socio=nil précédents épisodes de*socio=nil faiblesse*socio=ec2 *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te (en 1974 - 75, 1980 - 83 et 1990 - 91). Les mesures*socio=et correctives*socio=ec2 prises*socio=rien par la plupart*socio=rien des pays*socio=ac à l'épicentre ou près de l'épicentre de la crise*socio=uv2, les solides*socio=uv4 performances*socio=uv3 économiques*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac et les réformes*socio=et de fond*socio=rien dans *socio=rien un grand nombre d'*socio=nil économies*socio=ec1 en*socio=nil développement*socio=uv3 *socio=nil ou en transition*socio=ec2 au cours*socio=rien des dix *socio=rien années précédentes *socio=nil apparaissaient comme des facteurs*socio=rien cruciaux*socio=uv4 pour contenir la crise*socio=uv2 et ses répercussions*socio=ec2 à l'échelle*socio=rien mondiale*socio=te. Bien*socio=rien que les projections*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 pour les pays*socio=ac au centre*socio=rien de la crise*socio=uv2 aient été*socio=rien révisées nettement en baisse*socio=ec2 depuis l'examen*socio=ec2 d'août*socio=rien 1997 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, en mars*socio=rien 1998, les administrateurs*socio=ac étaient d'avis*socio=rien que pour les autres économies*socio=ec1 en développement*socio=uv3 ou en transition*socio=ec2 les perspectives*socio=te demeuraient en général*socio=rien encourageantes*socio=uv4. Cela étant dit, les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien remarquer que l'incertitude*socio=uv3 persistait quant au dénouement de la crise*socio=uv2; il était donc essentiel*socio=uv4 que les pays*socio=ac en crise*socio=uv2 s'attachent résolument à mener à bien*socio=rien leurs réformes*socio=et. La baisse*socio=ec2 récente*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et d'autres produits*socio=rien de base*socio=rien risquait en outre d'allonger le processus*socio=te d'ajustement*socio=et dans certains pays*socio=ac en crise*socio=uv2 et de présenter des défis*socio=uv2 de taille pour les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien de*socio=nil base*socio=rien *socio=nil et de pétrole*socio=ec1 dans toutes les régions*socio=te. Par ailleurs*socio=rien, il était possible*socio=rien que la réévaluation*socio=ec1 des risques*socio=uv3 à la suite*socio=rien de la crise*socio=uv2 par les créanciers*socio=ac internationaux*socio=te, aussi opportune*socio=rien soit-elle, limite*socio=rien les apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 aux économies*socio=ec1 en développement*socio=uv3 ou en transition*socio=ec2 à des *socio=rien niveaux inférieurs *socio=nil à ce que justifiaient les fondamentaux*socio=uv4 de ces économies*socio=ec1. Plus généralement, les administrateurs*socio=ac se sont inquiétés de ce que certaines*socio=rien économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 avaient eu trop massivement recours*socio=rien à l'emprunt*socio=ec1 extérieur*socio=te et aux instruments*socio=et de dette*socio=ec1 à court_terme*socio=te pour financer les déficits*socio=ec1 publics*socio=et, accroissant les risques*socio=uv3 de difficultés*socio=uv4 financières*socio=ec1 futures*socio=te. Économies*socio=ec1 avancées. Lorsqu'ils ont examiné en mars*socio=rien 1998 les perspectives*socio=te des économies*socio=ec1 avancées, les administrateurs*socio=ac ont remarqué que les retombées*socio=rien de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac étaient d'autant plus malvenues au Japon*socio=ac que la reprise naissante*socio=rien avait déjà marqué le pas au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1997, son essoufflement*socio=ec1 étant dû à la fois*socio=rien à une politique_budgétaire*socio=et qui, rétrospectivement, s'était révélée trop restrictive*socio=uv4 et aux faiblesses*socio=ec2 *socio=rien persistantes du système_financier*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont souligné qu'étant donné l'importance*socio=rien de l'économie*socio=ec1 japonaise*socio=ac pour la région*socio=te et pour le *socio=rien reste du monde*socio=te,*socio=nil *socio=nil il était essentiel*socio=uv4 de renforcer la confiance*socio=uv1 et de favoriser une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 plus vigoureuse*socio=rien dans le pays*socio=ac. Il convenait de soutenir la reprise économique*socio=ec1 au moyen*socio=rien d'une politique_budgétaire*socio=et plus expansionniste*socio=ec2 à court_terme*socio=te tout en maintenant l'objectif*socio=uv3 du*socio=rien rééquilibrage*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Certains*socio=nil administrateurs*socio=ac ont*socio=nil fait *socio=nil observer qu'une réduction*socio=ec2 permanente*socio=te des impôts*socio=et améliorerait les perspectives*socio=te d'accroissement*socio=ec2 de la consommation_privée*socio=et, mais qu'il fallait se garder de recourir trop massivement à une augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 de travaux_publics*socio=et, car ce type*socio=rien d'action*socio=ec1 n'aurait qu'un*socio=rien *socio=rien effet temporaire *socio=nil et ne s'est*socio=rien pas révélé très efficace*socio=uv4 dans le passé*socio=rien. En revanche, certains autres administrateurs*socio=ac ont émis des réserves*socio=ec1 quant à l'efficacité*socio=uv3 d'un*socio=rien allégement*socio=ec2 des impôts*socio=et, craignant que l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien correspondante du revenu*socio=ec1 disponible *socio=nil ne vienne s'ajouter à l'épargne*socio=ec1 des ménages*socio=ac et n'ait que peu ou pas d'effet*socio=rien sur*socio=rien la consommation*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3. Invoquant la dette*socio=ec1 publique*socio=et accumulée ces *socio=rien dernières années *socio=nil et les pressions*socio=ec2 que le vieillissement*socio=ec2 de la population*socio=ac exercera sur*socio=rien les finances*socio=ec1 publiques*socio=et, certains administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir que tout relâchement*socio=ec2 de l'effort*socio=uv1 de rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et présenterait des risques*socio=uv3, tandis qu'il n'aurait guère d'effet*socio=rien positif*socio=uv4 sur*socio=rien l'activité*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont pris note des indications*socio=rien données par les autorités*socio=et japonaises*socio=ac selon lesquelles *socio=rien un vaste train de*socio=nil mesures*socio=et de*socio=nil relance*socio=uv3 budgétaire*socio=et allait*socio=nil être *socio=nil prochainement annoncé. Ils ont souligné que pour avoir des *socio=rien effets sensibles et*socio=nil durables*socio=uv4 ces*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil devraient s'accompagner de réformes*socio=et sérieuses*socio=uv4 du*socio=rien *socio=et dispositif réglementaire et*socio=nil *socio=rien du secteur financier*socio=ec1.*socio=nil La*socio=nil plupart des*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont accueilli favorablement le plan*socio=rien de mobilisation*socio=uv3 de fonds_publics*socio=et annoncé récemment, en vue*socio=rien de protéger les déposants*socio=rien des établissements*socio=ac faillis et de recapitaliser ceux qui étaient viables*socio=uv4. Ces mesures*socio=et promettent de rétablir la confiance*socio=uv1 et de vaincre la réticence*socio=uv3 des banques*socio=ac à consentir des crédits*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont toutefois ajouté qu'il fallait veiller à ne pas venir systématiquement en aide*socio=uv1 à des banques*socio=ac qu'il serait plus approprié de liquider ou de restructurer. Ils ont suggéré que toute allocation*socio=et supplémentaire*socio=rien de fonds_publics*socio=et soit assortie de mesures*socio=et *socio=rien explicites destinées *socio=nil à faciliter l'annulation*socio=ec1 de *socio=ec1 créances bancaires *socio=nil irrécouvrables de manière*socio=rien à garantir une répartition*socio=uv3 équitable*socio=uv2 du*socio=rien coût*socio=ec1 de la restructuration*socio=et et à limiter*socio=rien les aléas*socio=rien moraux. À sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1998, le comité_intérimaire*socio=ac a salué le train*socio=rien de mesures*socio=et économiques*socio=ec1 ainsi que les mesures*socio=et de renforcement*socio=ec2 du*socio=rien système_financier*socio=ec1 adoptées par le Japon*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac sont convenus qu'à la *socio=rien différence du Japon*socio=ac,*socio=nil l'*socio=nil économie*socio=ec1 des*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil serait sans doute*socio=rien relativement peu touchée par l'évolution*socio=te défavorable*socio=uv4 de la situation*socio=rien en Asie*socio=ac, en *socio=rien grande partie grâce *socio=nil à la phase*socio=te de haute*socio=rien conjoncture*socio=ec2 dans laquelle elle se trouvait avant la crise*socio=uv2 et à l'évolution*socio=te positive*socio=uv4 des *socio=ec1 marchés obligataires *socio=nil qui, de l'avis*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien grand nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac,*socio=nil traduisait*socio=nil un "*socio=nil afflux*socio=ec1 *socio=nil vers la qualité*socio=rien" des capitaux*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 internationaux*socio=te. Ils ont jugé appropriée l'orientation*socio=et actuelle*socio=te de la politique_monétaire*socio=et, notant que les effets*socio=rien modérateurs de la crise*socio=uv2 en Asie*socio=ac - conjugués*socio=rien à l'appréciation*socio=uv3 du*socio=rien dollar_éu*socio=ec1 et à la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 mondiaux*socio=te des produits*socio=rien de base*socio=rien - avaient réduit la nécessité*socio=uv1 d'un*socio=rien relèvement*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 officiels*socio=et. Toutefois, face*socio=rien au resserrement*socio=ec2 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1, les autorités*socio=et devaient suivre attentivement la situation*socio=rien pour détecter les signes qui pourraient nécessiter un*socio=rien infléchissement*socio=ec2 de la politique_monétaire*socio=et dans *socio=rien un sens *socio=nil ou dans l'autre. De l'avis*socio=rien des administrateurs*socio=ac, il est*socio=rien probable*socio=uv4 que les risques*socio=uv3 liés à la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac pour les économies*socio=ec1 avancées d'Europe*socio=ac sont aussi relativement limités. En ce qui concerne les économies*socio=ec1 tournant à *socio=rien un niveau *socio=nil proche de leur potentiel*socio=uv4, les administrateurs*socio=ac étaient d'avis*socio=rien que le resserrement*socio=ec2 de la politique_monétaire*socio=et opéré en 1997 et la *socio=rien poursuite du rééquilibrage*socio=uv3 budgétaire*socio=et au*socio=nil Royaume-uni*socio=ac *socio=nil auraient sans doute*socio=rien pour effet*socio=rien de maintenir la demande*socio=ec1 à *socio=rien un niveau *socio=nil proche des limites*socio=rien de la capacité*socio=uv3 disponible*socio=rien et l'inflation*socio=ec1 à un*socio=rien taux*socio=ec1 proche de l'objectif*socio=uv3. Mais de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et seraient justifiées si les perspectives*socio=te en matière*socio=rien d'inflation*socio=ec1 se détérioraient. Dans le même esprit*socio=rien, le comité_intérimaire*socio=ac, à sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1998, a rappelé que les autorités*socio=et du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac devaient rester comme toujours *socio=rien vigilantes face aux*socio=nil risques*socio=uv3 d'*socio=nil inflation*socio=ec1.*socio=nil En*socio=nil Allemagne*socio=ac,*socio=nil en*socio=nil France*socio=ac *socio=nil et en Italie*socio=ac, où la production*socio=ec1 - quoique restant inférieure*socio=rien au potentiel*socio=uv4 - s'était redressée de *socio=rien manière appréciable *socio=nil depuis le début*socio=rien de 1997, les administrateurs*socio=ac s'attendaient à ce que l'impact*socio=rien global*socio=te de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac soit faible*socio=rien également. Certains administrateurs*socio=ac ont toutefois mis en garde*socio=rien contre un*socio=rien excès*socio=ec2 d'optimisme*socio=uv1, notant que les exportations*socio=ec1 avaient été*socio=rien la *socio=rien principale source d'*socio=nil augmentation*socio=ec2 *socio=nil de la demande*socio=ec1 dans certains de ces pays*socio=ac. Un*socio=rien affaiblissement*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 pourrait ralentir, voire arrêter, la reprise si la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te ne se ressaisissait pas. En Europe*socio=ac continentale*socio=te en général*socio=rien, à *socio=rien neuf mois du début *socio=nil de l'union_monétaire*socio=et entre *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil l'*socio=nil attention *socio=nil devait se porter sur*socio=rien les réformes*socio=et des marchés_du_travail*socio=ec1 et des produits*socio=rien, sur*socio=rien la *socio=rien poursuite du rééquilibrage*socio=uv3 des*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et et*socio=nil sur la*socio=nil politique_monétaire*socio=et *socio=nil pendant la période*socio=te de transition*socio=ec2. pays_en_développement*socio=uv3 ou en transition*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac ont remarqué que la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac avait *socio=rien un impact,*socio=nil bien *socio=nil qu'à des degrés*socio=rien divers, sur*socio=rien la plupart*socio=rien des économies*socio=ec1 en développement*socio=uv3 ou en transition*socio=ec2. Ses effets*socio=rien se faisaient sentir sous la forme*socio=rien, par exemple*socio=rien, d'augmentations*socio=ec2 des primes*socio=ec1 de risque*socio=uv3 sur*socio=rien le coût*socio=ec1 des emprunts*socio=ec1, d'un*socio=rien fléchissement*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien, d'une perte*socio=ec2 de compétitivité*socio=uv3 pour les pays*socio=ac au centre*socio=rien ou près *socio=rien du centre des*socio=nil perturbations*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil ou d'un*socio=rien affaiblissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac. Plusieurs pays*socio=ac - dont le Brésil*socio=ac, le Chili*socio=ac, le Mexique*socio=ac et la *socio=ac République tchèque *socio=nil - où la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac avait engendré des tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, avaient réussi à éviter la contagion*socio=ec2 *socio=rien totale grâce *socio=nil à des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et appropriées. Si ces pays*socio=ac ont bien*socio=rien surmonté la crise*socio=uv2 dans l'ensemble*socio=rien, il serait prudent*socio=uv2, de l'avis*socio=rien des administrateurs*socio=ac, qu'ils continuent à renforcer leur politiques*socio=et s'ils veulent éviter de se heurter à de *socio=rien nouveaux écueils *socio=nil dans la période*socio=te à venir. À cet égard*socio=rien, il serait particulièrement important*socio=uv4 de contenir les déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te, d'éviter la surchauffe et d'améliorer la qualité*socio=rien et les délais*socio=rien de production*socio=ec1 des informations*socio=rien économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1. Il est*socio=rien également essentiel*socio=uv4 de doter le secteur*socio=rien financier*socio=ec1 d'une infrastructure*socio=ec1 solide*socio=rien, y compris d'une réglementation*socio=et prudentielle*socio=uv2, de normes*socio=et de comptabilité*socio=ec1 acceptées au niveau*socio=rien international*socio=te et, dans certains cas*socio=rien, de règles*socio=et préétablies pour le passage*socio=rien d'un*socio=rien régime*socio=et de change*socio=ec1 fixe à un*socio=rien régime*socio=et souple*socio=uv4 (voir le chapitre*socio=rien VI). Plusieurs administrateurs*socio=ac ont salué l'attachement*socio=uv1 de la Chine*socio=ac au maintien*socio=rien de la valeur*socio=ec1 de sa monnaie*socio=ec1 ainsi que les efforts*socio=uv1 qu'elle déploie pour renforcer son système_bancaire*socio=ec1. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac se sont déclarés préoccupés par les tendances*socio=ec2 récentes*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien et les *socio=rien conséquences néfastes *socio=nil qu'une détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 aussi bien*socio=rien qu'une plus grande*socio=rien volatilité*socio=ec2 des prix*socio=ec1 peuvent avoir pour les pays_en_développement*socio=uv3 exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien de base*socio=rien. Pour l'Afrique*socio=ac, les effets*socio=rien de ces courants*socio=te d'évolution*socio=te, conjugués*socio=rien aux intempéries et au fardeau*socio=uv4 toujours pesant de la dette*socio=ec1, sont particulièrement préoccupants*socio=uv4. Néanmoins, les administrateurs*socio=ac conservent un*socio=rien optimisme*socio=uv1 prudent*socio=uv2 quant aux perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 de l'Afrique*socio=ac, dans la mesure*socio=rien où l'on peut compter sur*socio=rien la poursuite*socio=rien de l'ajustement*socio=et macro-économique*socio=ec1 et des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, et sur*socio=rien des flux*socio=ec1 appropriés d'assistance*socio=uv1 extérieure*socio=te. Les administrateurs*socio=ac ont souligné la nécessité*socio=uv1 de créer un*socio=rien environnement*socio=et propice*socio=rien à l'investissement_étranger_direct*socio=ec1, notamment en ouvrant plus largement l'économie*socio=ec1. S'agissant des économies_en_transition*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont noté avec satisfaction*socio=uv3 qu'aussi bien*socio=rien la Russie*socio=ac que le groupe_des_pays*socio=ac en transition*socio=ec2 avaient enregistré une croissance*socio=uv3 positive*socio=uv4 en 1997 pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis le début*socio=rien de la transition*socio=ec2. Ils ont toutefois signalé que, bien*socio=rien que l'on observe des progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien en matière*socio=rien de stabilisation_macro-économique*socio=ec1 dans la quasi-totalité*socio=rien des pays*socio=ac, les différences*socio=uv1 semblent s'être*socio=rien accentuées en ce qui concerne le rythme*socio=ec2 des réformes*socio=et et les progrès*socio=uv1 de la transformation*socio=ec2. La plupart*socio=rien des pays*socio=ac ont fait*socio=rien des progrès*socio=uv1 *socio=rien appréciables sur la*socio=nil voie d'*socio=nil un équilibre*socio=ec2 budgétaire*socio=et raisonnable*socio=uv4,*socio=nil mais*socio=nil un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil y compris la Russie*socio=ac et l'Ukraine*socio=ac, continuent à accuser des déficits*socio=ec1 considérables*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont rappelé que le financement*socio=ec1 de ces déficits*socio=ec1 par l'emprunt*socio=ec1 en devises*socio=ec1 et la dette*socio=ec1 à court_terme*socio=te compromettait la viabilité*socio=uv3 des politiques*socio=et de finances*socio=ec1 publiques*socio=et, menaçait indirectement*socio=rien de fragiliser les secteurs*socio=rien bancaires*socio=ec1 et mettait en danger*socio=uv1 les progrès*socio=uv1 chèrement réalisés sur*socio=rien la voie*socio=rien de la stabilisation*socio=et économique*socio=ec1. De *socio=uv4 graves problèmes de*socio=nil recouvrement*socio=ec1 des*socio=nil impôts*socio=et dans*socio=nil *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac en*socio=nil transition*socio=ec2 *socio=nil empêchent en outre les administrations_publiques*socio=ac d'assumer correctement leurs fonctions*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont reconnu que la poursuite*socio=rien des réformes*socio=et de la politique_fiscale*socio=et et des améliorations*socio=uv1 de l'administration*socio=ec1 des impôts*socio=et ont peu de chances*socio=rien de produire tous leurs effets*socio=rien s'il n'y a pas aussi une volonté*socio=uv1 politique*socio=et plus ferme*socio=ec2 de recouvrer les impôts*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont aussi conseillé aux pays*socio=ac en transition*socio=ec2 d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te d'améliorer le rapport*socio=rien efficacité*socio=uv3 - coûts*socio=ec1 de leurs systèmes*socio=rien de protection_sociale*socio=et et de réduire ainsi le niveau*socio=rien global*socio=te des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et. Chapitre*socio=rien 3: Marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1. Lors*socio=rien de leur examen*socio=ec2 annuel*socio=te de l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1 en juillet*socio=rien 1997, c'est-à-dire peu après*socio=rien le début*socio=rien de la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 en Thaïlande*socio=ac, les administrateurs*socio=ac se sont livrés à *socio=rien un large débat*socio=et sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil capitaux*socio=ec1 matures*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil ainsi que sur*socio=rien ceux des économies*socio=ec1 émergentes*socio=ec2, et sur*socio=rien les systèmes_bancaires*socio=ec1 des pays*socio=ac en question*socio=rien. Ils ont également évalué les conséquences*socio=rien de l' union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 européenne*socio=ac (UEM*socio=et) pour les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1 et ont abondamment commenté les événements*socio=rien survenus sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2, les stratégies*socio=et de riposte aux *socio=ec2 attaques spéculatives *socio=nil et les axes à explorer pour une gestion*socio=ec2 plus efficace*socio=uv4 des passifs*socio=ec1 extérieurs*socio=te souverains*socio=et. Ultérieurement, en mars*socio=rien 1998, le Conseil*socio=ac a examiné le rôle*socio=et des fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 et des investisseurs*socio=ac institutionnels*socio=et dans la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac et, de façon*socio=rien plus générale*socio=rien, dans un*socio=rien monde*socio=te où les marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 sont de plus en plus intégrés. Marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 matures*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac ont noté le rétrécissement*socio=ec2 des écarts*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 entre les économies*socio=ec1 parvenues à maturité*socio=uv1, et l'ont attribué à *socio=rien un certain nombre de*socio=nil facteurs,*socio=nil *socio=nil notamment l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et, la réduction*socio=ec2 des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 et l'intensification*socio=ec2 de la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien les *socio=ec1 marchés bancaires internationaux*socio=te.*socio=nil *socio=nil Ils ont vu également dans la convergence*socio=uv3 persistante*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 le signe que les marchés*socio=ec1 anticipent l'avènement*socio=rien d'une UEM*socio=et élargie le 1er janvier*socio=rien 1999. En ce qui concerne la *socio=rien forte hausse persistante des*socio=nil cours des*socio=nil actions*socio=ec1,*socio=nil en*socio=nil particulier aux*socio=nil États-unis*socio=ac,*socio=nil deuxième grande tendance*socio=ec2 constatée*socio=nil sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 matures*socio=uv4,*socio=nil de*socio=nil nombreux administrateurs*socio=ac ont*socio=nil fait *socio=nil observer que le niveau*socio=rien relativement élevé*socio=uv4 de ces cours*socio=rien repose sur*socio=rien les anticipations*socio=uv3 des investisseurs*socio=ac, qui s'attendent que les bénéfices*socio=ec1 des entreprises*socio=ac continueront de progresser vigoureusement et que les taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 resteront assez bas*socio=rien. Quoique les indicateurs*socio=ec1 traditionnels*socio=rien des marchés*socio=ec1 aient été*socio=rien à l'origine*socio=rien d'interprétations*socio=ec divergentes*socio=uv2, nombre*socio=rien d'administrateurs*socio=ac se sont déclarés préoccupés par l'éventualité*socio=te d'un*socio=rien ajustement*socio=et sur*socio=rien certains marchés*socio=ec1 des actions*socio=ec1 et l'incidence*socio=ec2 éventuellement négative*socio=rien de ces corrections*socio=ec2, en *socio=rien particulier sur *socio=nil ceux des économies*socio=ec1 émergentes*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac ont recommandé un*socio=rien suivi étroit*socio=rien de l'évolution*socio=te des *socio=ec1 marchés boursiers aux*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil et dans d'autres économies*socio=ec1. systèmes_bancaires*socio=ec1 des pays*socio=ac à marché*socio=ec1 mature. Les administrateurs*socio=ac ont noté que, sur*socio=rien certains marchés*socio=ec1 matures*socio=uv4, le système_bancaire*socio=ec1 a affiché une forte*socio=rien rentabilité*socio=ec1 pendant les douze *socio=rien mois précédents,*socio=nil *socio=nil tandis que, sur*socio=rien d'autres, il a continué de souffrir d'un*socio=rien volume*socio=rien élevé*socio=uv4 de prêts*socio=ec1 improductifs*socio=ec2. Ils se sont penchés sur*socio=rien la difficulté*socio=uv4 d'assurer une surveillance*socio=et financière*socio=ec1 effective*socio=rien à cause*socio=rien de la déréglementation*socio=et financière*socio=ec1 et de la mondialisation*socio=ec2, faisant observer qu'à mesure*socio=rien que s'estompe la distinction*socio=rien entre les banques*socio=ac et les autres institutions_financières*socio=ac, *socio=rien un nombre croissant de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil consolident au sein*socio=rien d'un*socio=rien même organisme*socio=ac la surveillance*socio=et d'une *socio=rien vaste gamme d'*socio=nil établissements*socio=ac financiers*socio=ec1.*socio=nil Aspects structurels*socio=ec2 *socio=nil de l'UEM*socio=et. Les administrateurs*socio=ac voient dans la création*socio=uv4 de l'UEM*socio=et un*socio=rien important*socio=uv4 événement*socio=rien financier*socio=ec1 international*socio=te qui favorisera sans doute*socio=rien l'apparition*socio=rien de marchés_financiers*socio=ec1 à l'échelle*socio=rien de l'Union*socio=uv1, aura des effets*socio=rien bénéfiques*socio=uv1 pour les systèmes_bancaires*socio=ec1 européens*socio=ac et conduira à la création*socio=uv4 d'un*socio=rien système*socio=rien européen*socio=ac de paiements*socio=ec1 plus efficace*socio=uv4. Si *socio=rien un certain degré de*socio=nil consolidation*socio=uv3 *socio=nil et de restructuration*socio=et des systèmes_ bancaires*socio=ec1 est*socio=rien dans l'ensemble*socio=rien considéré comme inévitable*socio=rien, plusieurs administrateurs*socio=ac ont rappelé la diversité*socio=uv1 des situations*socio=rien entre les *socio=ac pays européens.*socio=nil Certains*socio=nil administrateurs *socio=nil ont souligné qu'il importe d'évaluer l'efficacité*socio=uv3 des *socio=ac banques européennes *socio=nil en tenant compte*socio=ec1 des résultats*socio=rien de tous les types d'institutions_financières*socio=ac (caisses*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1, systèmes*socio=rien de virements postaux et caisses*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 mutuel*socio=uv2, par exemple*socio=rien). Les solutions*socio=rien fondées sur*socio=rien le marché*socio=ec1 sont jugées souhaitables*socio=rien pour résoudre les problèmes*socio=uv4 *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1.*socio=nil Certains*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont souligné que les réglementations*socio=et, les rapports_de_force*socio=et sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 locaux*socio=te, les rigidités*socio=uv3 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 et les structures*socio=ec1 des entreprises*socio=ac publiques*socio=et risquent de retarder les ajustements*socio=et nécessaires*socio=rien. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont évoqué le coût*socio=ec1 budgétaire*socio=et et l'aléa*socio=rien moral*socio=uv2 qui risquent de résulter de toute intervention*socio=et des pouvoirs_publics*socio=et visant à résoudre les difficultés*socio=uv4 des institutions_financières*socio=ac les plus mal*socio=rien en point*socio=rien. Marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac ont noté l'intégration*socio=uv1 de plus en plus poussée de nombreux*socio=rien marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 dans le système_financier*socio=ec1 mondial*socio=te, comme le montre le niveau*socio=rien sans précédent*socio=rien des afflux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1 dans les pays*socio=ac en question*socio=rien en 1996. Ce niveau*socio=rien reflète l'amélioration*socio=uv1 des fondamentaux*socio=uv4 dans nombre*socio=rien d'entre eux, une meilleure*socio=uv4 diversification*socio=ec2 internationale*socio=ac des portefeuilles*socio=ec1 des investisseurs*socio=ac institutionnels*socio=et et l'aptitude*socio=rien croissante*socio=rien des investisseurs*socio=ac à rechercher des rendements*socio=ec1 plus élevés*socio=uv4. Ils craignent toutefois que les marges dont sont assortis les émissions*socio=rien obligataires*socio=ec1 et les crédits*socio=ec1 consortiaux ne soient trop faibles*socio=rien et que nombre*socio=rien de ces investisseurs*socio=ac ne soient pas pleinement avertis des risques*socio=uv3 de crédit*socio=ec1 qu'ils encourent. Certains administrateurs*socio=ac craignent également que ces faibles*socio=rien marges ne traduisent le sentiment*socio=rien chez les investisseurs*socio=ac que, compte*socio=ec1 tenu de leur importance*socio=rien systémique*socio=ec2, les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 pourraient bénéficier d'une aide*socio=uv1 officielle*socio=et qui leur permettrait d'éviter d'interrompre le service_de_leur_dette*socio=ec1. Afin d'éviter tout aléa*socio=rien moral*socio=uv2, il faut, ont fait*socio=rien observer plusieurs administrateurs*socio=ac, dissiper l'impression*socio=rien que le FMI*socio=ac interviendrait pour renflouer les créanciers*socio=ac. *socio=ec2 Attaques spéculatives et*socio=nil régimes*socio=et de*socio=nil change*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont également noté que les événements*socio=rien survenus sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 en Thaïlande*socio=ac et dans les pays*socio=ac voisins*socio=rien montrent une fois*socio=rien de plus, comme lors*socio=rien de la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac et de celle du*socio=rien mécanisme*socio=et de change*socio=ec1 européen*socio=ac, qu'à cause*socio=rien de l'intégration*socio=uv1 croissante*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec1, les *socio=ec2 faiblesses structurelles ou*socio=nil incertitudes*socio=uv3 *socio=nil qui peuvent être*socio=rien perçues dans la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 risquent davantage de déclencher d'importantes*socio=uv4 *socio=ec2 pressions spéculatives sur*socio=rien la*socio=nil monnaie*socio=ec1 *socio=nil lorsque le régime*socio=et de change*socio=ec1 est*socio=rien géré avec rigidité*socio=uv3. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont soutenu qu'un*socio=rien tel régime*socio=et ne peut être*socio=rien maintenu que s'il s'appuie activement sur*socio=rien une politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 vigoureuse*socio=rien et un*socio=rien système_financier*socio=ec1 *socio=rien puissant capable *socio=nil de supporter les hausses brutales et parfois durables*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 qui peuvent être*socio=rien décidées pour riposter à ces pressions*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que la *socio=rien première ligne de*socio=nil défense*socio=uv1 *socio=nil contre les *socio=ec2 attaques spéculatives *socio=nil consiste à suivre une bonne*socio=rien politique*socio=et macro-économique*socio=ec1. Lorsque les fondamentaux*socio=uv4 sont dans l'ensemble*socio=rien convenables*socio=rien, les autorités*socio=et peuvent appliquer une défense*socio=uv1 graduée fondée d'abord*socio=rien sur*socio=rien des interventions*socio=et neutralisées sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1, puis, si nécessaire*socio=rien, sur*socio=rien des interventions*socio=et non neutralisées en laissant les taux_d'_intérêt*socio=ec1 intérieurs*socio=te à court_terme*socio=te s'élever. D'après*socio=rien les administrateurs*socio=ac, même lorsque le maintien*socio=rien de taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 a un*socio=rien coût*socio=ec1 jugé excessif*socio=uv4, la réglementation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, qui vise à limiter*socio=rien l'accès*socio=uv1 des spéculateurs au crédit*socio=ec1 intérieur*socio=te, n'a qu'un*socio=rien rôle*socio=et réduit et passager et les mesures*socio=et de cette nature*socio=rien ne doivent être*socio=rien utilisées qu'en situation*socio=rien de crise*socio=uv2, afin de donner aux autorités*socio=et le temps*socio=rien de lancer une politique*socio=et de redressement*socio=ec2, et ne sauraient remplacer les réformes*socio=et nécessaires*socio=rien. Certains administrateurs*socio=ac ont également souligné que les restrictions*socio=et de change*socio=ec1, qui établissent une distinction*socio=rien entre résidents*socio=ac et non-résidents*socio=ac, sont à déconseiller. En débattant du*socio=rien bien-fondé*socio=uv3 des régimes*socio=et de parités*socio=ec1 fixes, quelques administrateurs*socio=ac ont attiré l'attention*socio=rien sur*socio=rien la *socio=rien question du choix*socio=uv1 *socio=nil de la monnaie*socio=ec1 de rattachement*socio=rien, se demandant s'il faut à cet égard*socio=rien se baser sur*socio=rien la composition*socio=rien en monnaies*socio=ec1 des courants*socio=te d'échanges*socio=ec1 ou sur*socio=rien celle des emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Par contre, les administrateurs*socio=ac ont *socio=rien été nombreux *socio=nil à souligner que, face*socio=rien à des pressions*socio=ec2 durables*socio=uv4 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1, il importe d'adopter des régimes*socio=et de change*socio=ec1 plus souples*socio=uv4. Certains ont en outre estimé qu'avec un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 plus souple*socio=uv4, il serait moins utile*socio=uv4 d'accumuler des réserves*socio=ec1 de change*socio=ec1 et les difficultés*socio=uv4 que soulève la stérilisation*socio=rien des *socio=rien apports considérables de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil seraient atténuées et le coût*socio=ec1 de cette stérilisation*socio=rien réduit (voir également le chapitre*socio=rien VI). systèmes_bancaires*socio=ec1 des pays*socio=ac à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont salué l'amélioration*socio=uv1 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 dans plusieurs pays*socio=ac, tout en faisant observer que de *socio=uv4 graves problèmes *socio=nil subsistent dans d'autres. Plusieurs d'entre eux ont fait*socio=rien remarquer que les inquiétudes*socio=rien suscitées chez les investisseurs*socio=ac par la fragilité*socio=uv1 éventuelle*socio=te du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 de certains pays*socio=ac émergents*socio=ec2 d'Asie*socio=ac ont concouru à l'instabilité*socio=uv3 récente*socio=rien des marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Les répercussions*socio=ec2 de la dévaluation*socio=ec2 en Thaïlande*socio=ac ont provoqué des craintes*socio=uv1 analogues*socio=rien à celles qu'a soulevées en 1995 la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac. Ces deux épisodes*socio=rien ont montré l'importance*socio=rien pour le système_bancaire*socio=ec1 des économies*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 d'une bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des risques*socio=uv3 et d'une réglementation*socio=et prudentielle*socio=uv2 solide*socio=rien. Gestion*socio=ec2 des passifs*socio=ec1 extérieurs*socio=te souverains*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont également souligné qu'il importe d'améliorer la gestion*socio=ec2 par les pays*socio=ac à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien de leurs passifs*socio=ec1 extérieurs*socio=te souverains*socio=et, aussi *socio=rien bien bruts que*socio=nil nets.*socio=nil Bien *socio=nil qu'à leur avis*socio=rien, les emprunts*socio=ec1 en devises*socio=ec1 soient en *socio=rien général un complément indispensable*socio=uv4 *socio=nil de la dette*socio=ec1 intérieure*socio=te et *socio=rien un moyen *socio=nil d'élargir la gamme*socio=rien des investisseurs*socio=ac et d'établir des repères internationaux*socio=te, ils ont fait*socio=rien observer que ces emprunts*socio=ec1 doivent répondre à des considérations*socio=rien stratégiques*socio=uv4, à savoir*socio=rien la capacité*socio=uv3 de se procurer les recettes*socio=ec1 correspondantes*socio=rien en devises*socio=ec1, et non être*socio=rien motivés par des économies*socio=ec1 budgétaires*socio=et à court_terme*socio=te. Le coût*socio=ec1 ajusté en fonction*socio=rien des risques*socio=uv3 est*socio=rien celui dont il convient de tenir compte*socio=ec1. La stratégie*socio=et de gestion*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 devrait prévoir des directives*socio=et *socio=rien claires sur la*socio=nil composition en*socio=nil monnaies*socio=ec1 *socio=nil et la structure*socio=ec1 des échéances*socio=te, et couvrir également les emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te du*socio=rien secteur_privé*socio=et, ceux des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 notamment. Citant la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac à titre*socio=rien d'exemple*socio=rien manifeste de ce qui peut se produire, les administrateurs*socio=ac ont *socio=rien fait état des*socio=nil risques*socio=uv3 et*socio=nil contraintes*socio=uv1 *socio=nil que comporte pour la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 un*socio=rien endettement*socio=ec1 en devises*socio=ec1 à court_terme*socio=te élevé*socio=uv4. De l'avis*socio=rien général*socio=rien, une gestion*socio=ec2 plus transparente*socio=uv4 des actifs*socio=ec1 et passifs*socio=ec1 extérieurs*socio=te permet de mieux gérer les risques*socio=uv3 de chocs*socio=ec2 extérieurs*socio=te. En outre, de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont souligné les avantages*socio=rien que peut présenter un*socio=rien organisme*socio=ac distinct*socio=rien de gestion*socio=ec2 de la dette*socio=ec1, doté de la compétence*socio=uv3 et de l'expérience*socio=ec2 voulues en matière*socio=rien de gestion*socio=ec2 des risques*socio=uv3. Ils ont aussi insisté sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de coordonner, dans *socio=rien un souci de*socio=nil cohérence*socio=uv3,*socio=nil les*socio=nil travaux *socio=nil de cet organisme*socio=ac avec ceux des autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 ou budgétaires*socio=et. Les fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 et la dynamique*socio=uv4 des marchés_financiers*socio=ec1. Au début*socio=rien de la réunion*socio=rien qu'ils ont consacrée en mars*socio=rien 1998 aux fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2, les administrateurs*socio=ac ont souligné que les renseignements*socio=ec2 sur*socio=rien ces fonds*socio=ec1 étaient limités. Ces fonds*socio=ec1, qui sont des organismes*socio=ac de placement*socio=ec1 privés*socio=et, sont exemptés de la plupart*socio=rien des obligations*socio=uv1 de déclaration*socio=et et de publicité*socio=rien imposées aux banques*socio=ac et aux fonds*socio=ec1 communs*socio=uv4 de placement*socio=ec1. Plus fondamentalement*socio=rien, il *socio=rien est difficile *socio=nil de distinguer avec précision*socio=rien les fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 des autres investisseurs*socio=ac institutionnels*socio=et et de donner une *socio=rien définition générale *socio=nil de leurs opérations*socio=rien, car leurs gérants poursuivent des stratégies*socio=et très diverses*socio=rien. Cependant, plusieurs sociétés*socio=ac de services*socio=et réunissent sur*socio=rien les fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 des informations*socio=rien dont il ressort qu'au troisième*socio=rien trimestre*socio=te de 1997, les capitaux*socio=ec1 placés à ce titre*socio=rien - compte*socio=ec1 non tenu des fonds*socio=ec1 investissant uniquement*socio=rien dans d'autres fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 - avoisinaient 100 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Sur*socio=rien ce montant*socio=ec1, quelque 25 milliards*socio=rien étaient détenus*socio=rien par ce que l'on appelle des macro-fonds, qui nouent d'importantes*socio=uv4 positions*socio=rien non couvertes en fonction*socio=rien de l'évolution*socio=te de la conjoncture*socio=ec2 mondiale*socio=te et dont le levier*socio=ec2 financier*socio=ec1 démultiplie en général*socio=rien de 4 à 7 fois*socio=rien le capital*socio=ec1. Les autres fonds*socio=ec1, que l'on appelle fonds*socio=ec1 d'arbitrage*socio=et, parient sur*socio=rien les prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien d'effets*socio=rien étroitement liés et sont moins sensibles*socio=rien aux fluctuations*socio=ec2 économiques*socio=ec1; ils s'appuient le plus souvent *socio=rien sur un levier*socio=ec2 financier*socio=ec1 plus*socio=nil important*socio=uv4 *socio=nil que les macro-fonds. À titre*socio=rien de comparaison*socio=rien, le capital*socio=ec1 de cette seconde catégorie*socio=rien d'investisseurs*socio=ac institutionnels*socio=et, tels que les banques*socio=ac d'affaires*socio=ec1 et les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, dépasse *socio=rien vingt mille milliards de*socio=nil dollars*socio=ec1 sur les*socio=nil seuls marchés*socio=ec1 matures*socio=uv4.*socio=nil Ces*socio=nil faits *socio=nil étant rappelés, les avis*socio=rien des administrateurs*socio=ac divergeaient quant à l'impact*socio=rien des fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 sur*socio=rien la dynamique*socio=uv4 des marchés*socio=ec1. Tout en reconnaissant que les capitaux*socio=ec1 de ces fonds*socio=ec1 ne représentent qu'une fraction*socio=rien de la liquidité*socio=ec1 des marchés_financiers*socio=ec1 mondiaux*socio=te, plusieurs administrateurs*socio=ac ont souligné que les fonds*socio=ec1 à *socio=rien fort effet de*socio=nil levier*socio=ec2 *socio=nil peuvent prendre des positions*socio=rien importantes*socio=uv4 à l'échelle*socio=rien des petits*socio=rien marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2. Ils ont par ailleurs*socio=rien noté la marge de manoeuvre*socio=rien et la souplesse*socio=uv3 relatives*socio=rien dont ces fonds*socio=ec1 disposent pour leurs activités*socio=rien. Si certains d'entre eux ont affirmé que ces fonds*socio=ec1 encouragent *socio=rien un comportement *socio=nil grégaire chez les investisseurs*socio=ac, d'autres n'ont perçu que des signes limités d'un*socio=rien tel comportement*socio=rien et ont noté le rôle*socio=et qu'ils peuvent jouer en prenant des positions*socio=rien spéculatives*socio=ec2 stabilisatrices ou à contre-courant du*socio=rien marché*socio=ec1. Les fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 et la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac avaient des avis*socio=rien divergents*socio=uv2 sur*socio=rien le rôle*socio=et des fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 dans la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac. Pour plusieurs d'entre eux, il n'apparaît pas clairement que ces fonds*socio=ec1 aient pris des positions*socio=rien à découvert contre les monnaies*socio=ec1 asiatiques*socio=ac avant les autres investisseurs*socio=ac, ni que ceux-ci aient été*socio=rien amenés par leurs transactions*socio=ec1 à leur emboîter le pas. Ils ont fait*socio=rien remarquer que, sauf dans le *socio=rien cas du *socio=nil baht, ces fonds*socio=ec1 ne semblent pas avoir pris d'importantes*socio=uv4 positions*socio=rien à découvert sur*socio=rien les monnaies*socio=ec1 asiatiques*socio=ac. Étant donné que certains gouvernements*socio=ac et banques_centrales*socio=ac limitent la possibilité*socio=rien pour les contreparties*socio=ec1 extraterritoriales d'emprunter en monnaie*socio=ec1 locale*socio=te aux banques*socio=ac intérieures*socio=te, d'autres investisseurs*socio=ac jouissant d'un*socio=rien meilleur*socio=uv4 accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 intérieurs*socio=te peuvent se trouver mieux placés pour orienter ces marchés*socio=ec1. De l'avis*socio=rien du*socio=rien Conseil*socio=ac, c'est*socio=rien la constellation des investisseurs*socio=ac institutionnels*socio=et tout entière*socio=rien, et non les seuls*socio=rien fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2, qui a joué un*socio=rien rôle*socio=et dans les fluctuations*socio=ec2 du*socio=rien marché*socio=ec1 en 1997. Quelques administrateurs*socio=ac ont estimé que le rôle*socio=et des fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 dans la crise*socio=uv2 actuelle*socio=te a été*socio=rien plus important*socio=uv4 que ne l'ont indiqué les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans leur étude*socio=ec2 sur*socio=rien les fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2, soutenant que ces fonds*socio=ec1 ont parfois fortement influencé le prix*socio=ec1 des actifs*socio=ec1, eu égard*socio=rien en particulier*socio=rien à la *socio=rien dimension relative *socio=nil de leurs *socio=rien positions sur certains*socio=nil marchés*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Cependant, les administrateurs*socio=ac sont en général*socio=rien convenus que les événements*socio=rien en Asie*socio=ac font ressortir la nécessité*socio=uv1 de poursuivre une politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 saine*socio=uv2 et prudente*socio=uv2, qui soit transparente*socio=uv4 pour les marchés*socio=ec1, afin de protéger les économies*socio=ec1 contre des accès*socio=uv1 d'instabilité*socio=uv3 ou de spéculation*socio=ec1. en particulier*socio=rien, ils ont recommandé de ne pas offrir la possibilité*socio=rien de prendre des paris*socio=ac dont le résultat*socio=rien ne saurait faire de doute*socio=rien en continuant d'appliquer des politiques*socio=et incohérentes ou de défendre des taux_de_change*socio=ec1 non viables*socio=uv4, mais de maintenir des systèmes_financiers*socio=ec1 solides*socio=uv4, bien*socio=rien réglementés et concurrentiels*socio=ec2 et de tenir le public*socio=et pleinement informé en temps*socio=rien voulu de l'action*socio=ec1 des autorités*socio=et et de la situation*socio=rien financière*socio=ec1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et. Tout en reconnaissant le rôle*socio=et que peut jouer une meilleure*socio=uv4 information*socio=rien pour éviter les comportements*socio=rien grégaires, plusieurs administrateurs*socio=ac ont toutefois souligné que la divulgation*socio=et de renseignements*socio=ec2 "sensibles*socio=rien" risque*socio=uv3 parfois de déclencher ou d'exacerber l'instabilité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1. Alourdir la réglementation*socio=et? Les avis*socio=rien divergeaient aussi sur*socio=rien la question*socio=rien de l'opportunité*socio=uv3 de soumettre les fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 à des normes*socio=et de contrôle*socio=uv3 et de *socio=rien publicité supplémentaires.*socio=nil *socio=nil Pour certains administrateurs*socio=ac, faute de preuves*socio=ec2 suffisantes*socio=rien que ces fonds*socio=ec1 ont *socio=rien été spécifiquement *socio=nil à l'origine*socio=rien de dysfonctionnements*socio=uv4 des marchés*socio=ec1, l'adoption*socio=uv3 de nouveaux*socio=rien règlements*socio=et n'apparaissait guère nécessaire*socio=rien. D'autres ont au contraire*socio=rien estimé qu'il convient de s'employer à rendre les opérations*socio=rien des fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 plus transparentes*socio=uv4 et à convaincre les autorités*socio=et et les participants*socio=ac que le marché*socio=ec1 n'est*socio=rien ni dominé*socio=uv2 ni manipulé par ces fonds*socio=ec1. Certains administrateurs*socio=ac ont signalé que, les fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 n'étant qu'un*socio=rien *socio=rien élément du vaste ensemble des*socio=nil investisseurs*socio=ac institutionnels*socio=et,*socio=nil tout*socio=nil régime*socio=et *socio=nil étendu de déclaration*socio=et des portefeuilles*socio=ec1 et des positions*socio=rien devrait, pour que les renseignements*socio=ec2 donnés soient exploitables, s'appliquer aussi aux banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, aux banques*socio=ac d'affaires*socio=ec1, aux compagnies*socio=ac d'assurances*socio=ec1 et aux fonds*socio=ec1 de pension*socio=et. Ils ont par *socio=rien ailleurs fait *socio=nil observer que ce type*socio=rien de régime*socio=et est*socio=rien plus difficile*socio=rien à mettre en *socio=rien oeuvre sur des*socio=nil marchés*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil comme celui des changes*socio=ec1, qui ne sont pas organisés. Enfin, pour que ces déclarations*socio=et soient vraiment*socio=rien efficaces*socio=uv4, il faudrait que tous les pays*socio=ac y soient soumis, sinon les opérateurs*socio=ac, qui jugent ces formalités*socio=et coûteuses*socio=ec2, risquent purement et simplement d'enregistrer leurs *socio=rien opérations sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 *socio=nil offshore. Chapitre*socio=rien 4: L'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 européenne*socio=ac. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1997 / 98, le conseil_d'_administration*socio=ac a débattu à plusieurs reprises des questions*socio=rien que soulève l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 européenne*socio=ac (UEM*socio=et). Au début*socio=rien de l'exercice*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont évalué les conséquences*socio=rien de l'UEM*socio=et pour les marchés_financiers*socio=ec1 (voir le chapitre*socio=rien III). En mai*socio=rien et en août*socio=rien 1997, puis en mars*socio=rien 1998, ils ont dressé *socio=rien un bilan des*socio=nil travaux préparatoires *socio=nil de l'union_monétaire*socio=et dont ils ont en outre débattu dans l'optique*socio=rien des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Lors*socio=rien de leur réunion*socio=rien de mai*socio=rien 1997, les administrateurs*socio=ac ont noté que l'achèvement*socio=rien du*socio=rien processus*socio=te de l'UEM*socio=et constituera une étape*socio=te marquante*socio=rien de l'intégration*socio=uv1 économique*socio=ec1 européenne*socio=ac et revêtira une *socio=rien importance majeure *socio=nil pour le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Ils ont souligné qu'il *socio=rien est souhaitable *socio=nil que ce projet*socio=et soit mené à bien*socio=rien selon le calendrier*socio=te prévu, constatant que beaucoup a déjà *socio=rien été fait *socio=nil pour préparer à l'UEM*socio=et les économies*socio=ec1 des pays*socio=ac de l'UE*socio=ac et définir*socio=rien le cadre*socio=rien dans lequel la politique_économique*socio=ec1 commune*socio=uv2 sera alors conduite*socio=rien. Il appartient aux autorités*socio=et de ces pays*socio=ac, ont-ils précisé, de donner suite*socio=rien à leurs engagements*socio=et et d'agir en étroite*socio=rien concertation*socio=uv1 pour asseoir l'union_monétaire*socio=et sur*socio=rien des bases*socio=rien solides*socio=uv4 et passer de manière*socio=rien ordonnée à l'UEM*socio=et. Tout en notant que la plupart*socio=rien des pays*socio=ac de l'UE*socio=ac ont déjà atteint *socio=rien un degré élevé*socio=uv4 de*socio=nil convergence*socio=uv3 *socio=nil dans les domaines*socio=rien requis*socio=uv4 par le Traité*socio=rien de Maastricht*socio=et, et plus particulièrement en matière*socio=rien d'inflation*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont souligné que des progrès*socio=uv1 devaient encore être*socio=rien réalisés sur*socio=rien le plan*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et en 1997. Ils ont également fait*socio=rien valoir que des *socio=et mesures budgétaires complémentaires*socio=rien *socio=nil seraient aussi nécessaires*socio=rien dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac en 1998, en vue*socio=rien de rapprocher les déficits*socio=ec1 des niveaux*socio=rien que prévoit à *socio=rien moyen terme le*socio=nil Pacte*socio=et de*socio=nil stabilité*socio=uv3 *socio=nil et de croissance*socio=uv3. Les administrateurs*socio=ac se sont dits préoccupés par la persistance*socio=te de taux*socio=ec1 élevés*socio=uv4 de chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2 en Europe*socio=ac et ont souligné qu'une action*socio=ec1 immédiate*socio=rien s'impose pour remédier aux rigidités*socio=uv3 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac de l'UE*socio=ac. Dans le contexte*socio=rien d'une politique*socio=et commune*socio=uv2 de la monnaie*socio=ec1 et des changes*socio=ec1, les pays*socio=ac auront plus de difficultés*socio=uv4 à s'ajuster à des chocs*socio=ec2 asymétriques*socio=rien si les marchés_du_travail*socio=ec1 manquent de souplesse*socio=uv3. Certains administrateurs*socio=ac ont en outre exprimé la crainte*socio=uv1 que, si elles ne sont pas corrigées, les rigidités*socio=uv3 du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 provoquent un*socio=rien chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4 persistant*socio=rien qui risque*socio=uv3, à terme*socio=rien, de miner l'appui*socio=uv1 de l'opinion*socio=ac publique*socio=et à la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 suivie pour maintenir l'inflation*socio=ec1 à *socio=rien un bas niveau.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont aussi souligné l'importance*socio=rien de la libéralisation*socio=et des marchés*socio=ec1 des facteurs*socio=rien et des produits*socio=rien pour assurer durablement la croissance*socio=uv3 et la création_d'_emplois*socio=ec1 au sein*socio=rien de l'UE*socio=ac. En établissant le cadre*socio=rien macro-économique*socio=ec1 de l'union_monétaire*socio=et, il importe de trouver un*socio=rien équilibre*socio=ec2 entre la marge de manoeuvre*socio=rien à laisser aux décideurs*socio=ac et les règles*socio=et à imposer pour asseoir la crédibilité*socio=uv1 des politiques*socio=et dans *socio=rien un contexte nouveau.*socio=nil *socio=nil De l'avis*socio=rien des administrateurs*socio=ac, le Pacte*socio=et de stabilité*socio=uv3 et de croissance*socio=uv3 concilie assez bien*socio=rien les deux impératifs*socio=uv4, et la surveillance*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac de l'UE*socio=ac - axée sur*socio=rien la détection des déficits*socio=ec1 excessifs*socio=uv4 dès qu'ils se font jour*socio=rien - ainsi que la menace*socio=uv1 de pénalités financières*socio=ec1 devraient constituer *socio=rien un solide *socio=nil rempart contre le manque*socio=rien de discipline*socio=uv1 budgétaire*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont en général*socio=rien estimé qu'à terme*socio=rien, l'euro constituerait une monnaie*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 attrayante*socio=rien qui pourrait rivaliser avec le dollar*socio=ec1. Les rôles*socio=et respectifs*socio=rien des deux monnaies*socio=ec1 dépendront principalement de l'évolution*socio=te des marchés_financiers*socio=ec1 européens*socio=ac, notamment *socio=rien du cadre réglementaire*socio=et *socio=nil et de la panoplie*socio=rien d'instruments*socio=et offerts*socio=rien, ainsi que des paramètres*socio=rien économiques*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4. Lorsqu'ils ont abordé la question*socio=rien de l'UEM*socio=et à l'occasion*socio=rien de l'examen*socio=ec2 en août*socio=rien 1997 des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, les administrateurs*socio=ac ont de nouveau*socio=rien pris note *socio=rien du degré impressionnant de*socio=nil convergence*socio=uv3 économique*socio=ec1 *socio=nil atteint en Europe*socio=ac, et notamment de l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, *socio=rien du recul *socio=nil de l'inflation*socio=ec1, de la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et de la stabilité*socio=uv3 relative*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1. Certains d'entre eux ont estimé que les progrès*socio=uv1 de la convergence*socio=uv3 économique*socio=ec1 et la ferme*socio=ec2 volonté*socio=uv1 de respecter le calendrier*socio=te de l'UEM*socio=et ont permis*socio=rien d'atténuer considérablement*socio=rien les risques*socio=uv3 et les incertitudes*socio=uv3 alors qu'approche la date d'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 de l'UEM*socio=et. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont souligné que le meilleur*socio=uv4 moyen*socio=rien de réduire au minimum*socio=rien les dernières*socio=rien incertitudes*socio=uv3 qui pèsent sur*socio=rien le démarrage*socio=rien de l'UEM*socio=et et de faire en sorte*socio=rien qu'une UEM*socio=et forte*socio=rien et durable*socio=uv4 voie*socio=rien le jour*socio=rien en temps*socio=rien voulu consiste à prendre, pour le reste*socio=rien de 1997 et en 1998, des initiatives*socio=rien budgétaires*socio=et qui témoignent*socio=rien de l'engagement*socio=uv1 persistant*socio=rien à respecter les critères*socio=rien de Maastricht*socio=et et le Pacte*socio=et de stabilité*socio=uv3 et de croissance*socio=uv3. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont noté le risque*socio=uv3 d'un*socio=rien léger*socio=rien dépassement*socio=ec2 de l'objectif*socio=uv3 de déficit*socio=ec1 par *socio=rien un certain nombre *socio=nil de candidats à l'UEM*socio=et. Toutefois, ils ont estimé, à l'instar*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, que, compte*socio=ec1 tenu en particulier*socio=rien de la réduction*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 corrigés des variations*socio=rien cycliques*socio=te intervenue jusqu'à présent*socio=rien et *socio=rien du cadre *socio=nil à plus long_terme*socio=te mis en place*socio=rien par le Pacte*socio=et de stabilité*socio=uv3 et de croissance*socio=uv3 en matière*socio=rien de discipline*socio=uv1 budgétaire*socio=et, de légers*socio=rien dépassements*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 effectifs*socio=rien par rapport*socio=rien à la valeur*socio=ec1 de référence*socio=rien ne devaient pas être*socio=rien considérés comme un*socio=rien obstacle*socio=uv3 à l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 de l'UEM*socio=et conformément au calendrier*socio=te convenu. *socio=rien Un petit nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont en revanche souligné combien il importait de respecter strictement le critère*socio=rien de déficit*socio=ec1 de Maastricht*socio=et afin de ne pas compromettre la crédibilité*socio=uv1 de l'UEM*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont pris note d'autres problèmes*socio=uv4 à résoudre durant la transition*socio=ec2 vers la monnaie*socio=ec1 unique*socio=rien pour que l'union_monétaire*socio=et soit durable*socio=uv4. Ils sont dans l'ensemble*socio=rien convenus que le succès*socio=uv1 de l'UEM*socio=et dépendra non seulement de la mise en oeuvre*socio=rien de politiques*socio=et financières*socio=ec1 avisées, mais aussi, et de façon*socio=rien décisive*socio=uv4, de l'amélioration*socio=uv1 *socio=rien du fonctionnement des*socio=nil marchés_du_travail*socio=ec1 en*socio=nil Europe*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Ils ont souligné que l'adoption*socio=uv3 de réformes*socio=et *socio=rien globales du marché_du_travail*socio=ec1 *socio=nil visant à réduire le chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2 aiderait à stimuler la croissance*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme *socio=nil et à améliorer les résultats*socio=rien budgétaires*socio=et, et permettrait aussi à l'Europe*socio=ac de s'ajuster plus vite aux perturbations*socio=ec2 économiques*socio=ec1 lorsque l' union_monétaire*socio=et sera en place*socio=rien, tout en renforçant le soutien*socio=uv3 de l'opinion*socio=ac publique*socio=et au projet*socio=et. Ils sont convenus, en règle*socio=et générale*socio=rien, que l'indépendance*socio=uv1 et le *socio=rien mandat du Système européen*socio=ac de*socio=nil banques_centrales*socio=ac,*socio=nil *socio=nil ainsi que sa capacité*socio=uv3 d'assurer la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1, devraient *socio=rien être bien garantis *socio=nil par les dispositions*socio=et mises en place*socio=rien afin d'en assurer le fonctionnement*socio=rien. Ils ont estimé dans l'ensemble*socio=rien que le taux_de_change*socio=ec1 ne constituerait pas *socio=rien un point d'*socio=nil ancrage nominal *socio=nil approprié pour la politique_monétaire*socio=et dans la zone*socio=te euro, et ont fait*socio=rien valoir que l'institution*socio=ac de l'euro s'accompagnera d'une restructuration*socio=et profonde*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec1 et, éventuellement, d'une instabilité*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 de monnaie*socio=ec1. Ils ont déclaré que la *socio=ac banque_centrale européenne *socio=nil (BCE) utilisera probablement *socio=rien un large éventail d'*socio=nil indicateurs*socio=ec1 *socio=nil pour conduire sa politique_monétaire*socio=et, en particulier*socio=rien aux premiers*socio=rien stades*socio=te de l'UEM*socio=et. La transparence*socio=uv3 de la politique_monétaire*socio=et jouera un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 dans l'établissement*socio=rien et le maintien*socio=rien de la crédibilité*socio=uv1 de la BCE. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac ont*socio=nil fait *socio=nil observer que, bien*socio=rien que les finances*socio=ec1 publiques*socio=et aient été*socio=rien sensiblement assainies, la situation*socio=rien budgétaire*socio=et de nombreux*socio=rien pays*socio=ac de l'UE*socio=ac risque*socio=uv3 de s'aggraver à moyen*socio=rien ou à long_terme*socio=te à cause*socio=rien de l'évolution*socio=te de leur démographie*socio=ec1, problème*socio=uv4 auquel il faudra s'attaquer indépendamment de la question*socio=rien de l'UEM*socio=et. Lorsqu'ils ont examiné en mai*socio=rien 1998 les Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, les administrateurs*socio=ac ont constaté que l'objectif*socio=uv3 d'une union_monétaire*socio=et rassemblant *socio=rien un grand nombre d'*socio=nil États*socio=ac membres*socio=ac *socio=nil de l'UE*socio=ac est*socio=rien en passe d'être*socio=rien atteint, et ce dans les délais*socio=rien prévus. Les progrès*socio=uv1 de l'ajustement*socio=et budgétaire*socio=et et de la convergence*socio=uv3 des taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 et des taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont *socio=rien été impressionnants.*socio=nil Il*socio=nil est souhaitable,*socio=nil *socio=nil toutefois, de poursuivre cet effort*socio=uv1 d'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et à court_terme*socio=te pour renforcer le potentiel*socio=uv4 de croissance*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme *socio=nil et assurer une certaine*socio=rien souplesse*socio=uv3 à la politique_économique*socio=ec1 dans le *socio=rien cadre du Pacte*socio=et de*socio=nil stabilité*socio=uv3 *socio=nil et de croissance*socio=uv3. Cependant, les administrateurs*socio=ac se sont dits préoccupés, en particulier*socio=rien, par le retard*socio=rien pris dans les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 touchant aux marchés_du_travail*socio=ec1 et des produits*socio=rien. Lors*socio=rien de sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1998, le comité_intérimaire*socio=ac a demandé au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre l'examen*socio=ec2 des implications*socio=rien de l'UEM*socio=et pour les opérations*socio=rien et la mission*socio=et de surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, et de faire *socio=rien rapport sur ses*socio=nil conclusions *socio=nil à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac en*socio=nil octobre *socio=nil 1998. Le FMI*socio=ac en 1997/98. Chapitre*socio=rien VI: La surveillance*socio=et. *socio=rien Un élément central des*socio=nil buts*socio=et *socio=nil et des *socio=rien opérations du FMI*socio=ac est le*socio=nil mandat *socio=nil que lui confèrent les Statuts*socio=et d'exercer "une ferme*socio=ec2 surveillance*socio=et sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des *socio=ac États membres"*socio=nil .*socio=nil Le*socio=nil FMI *socio=nil s'acquitte de ce mandat*socio=rien en exerçant la surveillance*socio=et sur*socio=rien une base*socio=rien tant multilatérale*socio=et que bilatérale*socio=et. Pour assurer la *socio=et surveillance multilatérale,*socio=nil le*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil examine l'évolution*socio=te du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te en s'appuyant principalement sur*socio=rien les rapports*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac sur*socio=rien les Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, et il se réunit périodiquement pour discuter de l'évolution*socio=te, des perspectives*socio=te et des *socio=rien principaux aspects *socio=nil de la politique_économique*socio=ec1 en ce qui concerne les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1. La *socio=et surveillance bilatérale *socio=nil prend la forme*socio=rien de consultations*socio=uv1 individuelles*socio=uv2 avec les *socio=ac États membres,*socio=nil *socio=nil lesquelles ont lieu*socio=rien chaque année*socio=rien pour la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, conformément à l'article*socio=rien IV des Statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Le Conseil*socio=ac complète ce suivi systématique*socio=rien de l'évolution*socio=te de chaque pays*socio=ac et de l'ensemble*socio=rien du*socio=rien monde*socio=te par des discussions*socio=et informelles*socio=uv2 sur*socio=rien des *socio=rien questions connexes.*socio=nil *socio=nil Traditionnellement, la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac a pour *socio=rien principale fonction *socio=nil d'encourager les pays*socio=ac à corriger leurs déséquilibres*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1, à réduire l'inflation*socio=ec1 et à entreprendre des réformes*socio=et fondamentales*socio=uv4 axées sur*socio=rien le marché*socio=ec1, notamment dans les *socio=rien domaines du commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=nil et des changes*socio=ec1. Mais de plus en plus, et selon la situation*socio=rien de chaque pays*socio=ac, une gamme*socio=rien beaucoup plus large*socio=rien de *socio=et mesures institutionnelles *socio=nil se révèle nécessaire*socio=rien pour permettre aux pays*socio=ac de gagner et de maintenir la confiance*socio=uv1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et et d'établir les bases*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 soutenue (encadré 2). En 1997/98, outre les *socio=rien entretiens relatifs aux*socio=nil consultations*socio=uv1 habituelles au*socio=nil titre l'*socio=nil article *socio=nil IV, le Conseil*socio=ac a tenu *socio=rien un certain nombre de*socio=nil réunions pour*socio=nil définir les*socio=nil orientations*socio=et *socio=nil à suivre dans chacun de ces domaines*socio=rien. Consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV en 1997 / 98. Des consultations*socio=uv1 ont lieu*socio=rien avec chacun des *socio=ac États membres,*socio=nil *socio=nil pour la plupart*socio=rien tous les ans*socio=rien, conformément à l'article*socio=rien IV des Statuts*socio=et. Une équipe*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac se rend dans le pays*socio=ac, recueille des *socio=rien informations sur la*socio=nil situation économique*socio=ec1 et*socio=nil financière*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et discute avec les autorités*socio=et de l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 et des politiques_monétaire*socio=et, budgétaire*socio=et et structurelle*socio=ec2 qu'elles appliquent. L'équipe*socio=rien prépare généralement une déclaration*socio=et finale*socio=rien discutée avec les autorités*socio=et à la fin*socio=rien de la mission*socio=et; dans certains cas*socio=rien, cette déclaration*socio=et est*socio=rien rendue publique*socio=et. À son retour*socio=rien au siège*socio=rien, l'équipe*socio=rien établit *socio=rien un rapport qui*socio=nil présente une*socio=nil analyse*socio=ec2 *socio=nil de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 et une évaluation*socio=ec2 de l'orientation*socio=et des politiques*socio=et en vigueur*socio=uv3. Ce *socio=rien rapport est *socio=nil alors examiné par le conseil_d'_administration*socio=ac. À l'issue*socio=rien de cet examen*socio=ec2, le Président*socio=ac du*socio=rien Conseil*socio=ac résume les opinions*socio=ec2 exprimées par les administrateurs*socio=ac pendant leur réunion*socio=rien. Ce "résumé" est*socio=rien transmis aux autorités*socio=et du*socio=rien pays*socio=ac. Il est*socio=rien ensuite diffusé - si le pays*socio=ac en décide ainsi - sous la forme*socio=rien d'une note d'information*socio=rien à la presse*socio=et, désormais au public*socio=et (encadré 3). Durant l'exercice*socio=rien 1997 / 98, le FMI*socio=ac a conclu des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec 136 pays_membres*socio=ac (tableau*socio=rien 7). Pour assurer une surveillance*socio=et à la fois*socio=rien plus continue*socio=rien et plus efficace*socio=uv4, le Conseil*socio=ac complète ce suivi systématique*socio=rien de l'évolution*socio=te de chaque pays*socio=ac par des réunions*socio=rien informelles*socio=uv2 périodiques*socio=te - parfois mensuelles*socio=rien, voire plus fréquentes*socio=rien - pour examiner les développements*socio=rien importants*socio=uv4 qui surviennent dans certains pays*socio=ac ou régions*socio=te. Il se réunit aussi régulièrement pour examiner l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 et des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 mondiaux*socio=te. Ces évaluations*socio=ec2 continues*socio=te par le conseil_d'_administration*socio=ac guident les travaux*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac sur*socio=rien les pays_membres*socio=ac, et sont communiquées aux autorités*socio=et nationales*socio=te par les administrateurs*socio=ac. Autres moyens*socio=ec1 de surveillance*socio=et. La surveillance*socio=et dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV est*socio=rien le *socio=rien principal outil de*socio=nil collaboration*socio=uv1 *socio=nil entre le FMI*socio=ac et ses membres*socio=ac. Par ailleurs*socio=rien, pour les pays_membres*socio=ac aux prises*socio=rien avec des difficultés*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1, des accords*socio=et financiers*socio=ec1 formels*socio=rien permettant l'utilisation*socio=rien immédiate*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac offrent *socio=rien un cadre de*socio=nil collaboration*socio=uv1 plus*socio=nil intensive *socio=nil (voir le chapitre*socio=rien VIII). Dans certains cas*socio=rien, les membres*socio=ac collaborent avec le FMI*socio=ac par d'autres moyens*socio=ec1, tels que des accords*socio=et financiers*socio=ec1 de précaution*socio=rien, des programmes*socio=et non formalisés, dont les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac assurent le suivi, et une surveillance*socio=et renforcée. Accords*socio=et de précaution*socio=rien. Les membres*socio=ac s'entendent avec le FMI*socio=ac *socio=rien sur un accord*socio=et de*socio=nil confirmation*socio=et ou*socio=nil un accord*socio=et *socio=nil élargi, mais n'envisagent pas d'utiliser les ressources*socio=ec1 engagées au titre*socio=rien de cet accord*socio=et à moins que les circonstances*socio=rien ne le justifient. Le pays*socio=ac a cependant le droit*socio=uv1 de tirer sur*socio=rien les ressources*socio=ec1 dès lors*socio=rien qu'il remplit les conditions*socio=ec1 prévues dans l'accord*socio=et. Ce type*socio=rien d'accord*socio=et aide*socio=uv1 les pays_membres*socio=ac en leur donnant *socio=rien un cadre de*socio=nil politique_économique*socio=ec1 *socio=nil et en montrant que le FMI*socio=ac souscrit à cette politique*socio=et, ce qui a pour effet*socio=rien de renforcer la confiance*socio=uv1 dans ces pays*socio=ac. Ils permettent aussi au pays*socio=ac de pouvoir*socio=et compter sur*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac si le besoin*socio=uv1 s'en fait*socio=rien sentir et sous_réserve*socio=ec1 qu'il remplisse les conditions*socio=ec1 prévues. Programmes*socio=et non formalisés suivis par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac suivent le programme*socio=et économique*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac et s'entretiennent régulièrement avec les autorités*socio=et des progrès*socio=uv1 réalisés dans le cadre*socio=rien de ce programme*socio=et. Mais cela n'implique pas que le FMI*socio=ac souscrit formellement à la politique_économique*socio=ec1 menée par le pays*socio=ac. Surveillance*socio=et renforcée. Cette surveillance*socio=et n'implique pas non plus que le FMI*socio=ac approuve formellement la politique_économique*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac concerné. Son rôle*socio=et à cet *socio=rien égard est *socio=nil surtout d'assurer un*socio=rien suivi *socio=rien formel étroit.*socio=nil Cette*socio=nil procédure*socio=et *socio=nil a d'abord*socio=rien été*socio=rien établie pour faciliter les accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et de dette*socio=ec1 avec les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, mais elle est*socio=rien parfois utilisée à d'autres fins*socio=rien. Dans quelques cas*socio=rien, le suivi plus intensif*socio=rien décrit ci-dessus a été*socio=rien le prélude à un*socio=rien programme*socio=et d'ajustement*socio=et appuyé par le FMI*socio=ac. Plus souvent, le suivi donne aux autorités*socio=et *socio=rien un cadre de*socio=nil référence *socio=nil qui leur permet de rassurer des tiers*socio=rien intéressés, par exemple*socio=rien les donateurs*socio=ac, les créanciers*socio=ac ou les marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. Leçons*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac pour la surveillance*socio=et. En mars*socio=rien 1998, le conseil_d'_administration*socio=ac a procédé*socio=rien à son examen*socio=ec2 périodique*socio=te des politiques*socio=et suivies par les pays_membres*socio=ac dans le contexte*socio=rien de la surveillance*socio=et, en se concentrant cette *socio=rien fois sur les*socio=nil leçons*socio=ec2 *socio=nil à tirer de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac. Dans le cadre*socio=rien de cet examen*socio=ec2, les administrateurs*socio=ac ont noté que le FMI*socio=ac n'avait pas toujours su identifier les tensions*socio=ec2 dès leur apparition*socio=rien dans les pays*socio=ac touchés par la crise*socio=uv2. Dans le cas*socio=rien de la Thaïlande*socio=ac, le FMI*socio=ac s'est*socio=rien déclaré profondément préoccupé par l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien dès 1996 - préoccupations*socio=uv4 dont il a *socio=rien fait part aux*socio=nil autorités*socio=et de*socio=nil diverses façons,*socio=nil *socio=nil y compris par des contacts*socio=rien confidentiels*socio=uv2 au plus *socio=rien haut niveau.*socio=nil De*socio=nil fait,*socio=nil le*socio=nil FMI*socio=ac *socio=nil a semblé beaucoup plus sensibilisé que la plupart*socio=rien des observateurs*socio=ac du*socio=rien marché*socio=ec1 aux risques*socio=uv3 que présentait la politique_économique*socio=ec1 de ce pays*socio=ac. Mais dans d'autres cas*socio=rien en Asie*socio=ac, le FMI*socio=ac - bien*socio=rien qu'ayant identifié des faiblesses*socio=ec2 critiques*socio=rien, en particulier*socio=rien dans le secteur*socio=rien financier*socio=ec1 - a été*socio=rien pris par surprise, en partie*socio=rien faute d'accès*socio=uv1 aux données nécessaires*socio=rien mais aussi parce qu'il n'a pas su envisager dans toute leur ampleur*socio=rien les conséquences*socio=rien des *socio=ec2 faiblesses structurelles *socio=nil de l'économie*socio=ec1 conjuguées*socio=rien aux effets*socio=rien de contagion*socio=ec2. Dans le cas*socio=rien de la Corée*socio=ac, en particulier*socio=rien, le FMI*socio=ac n'a pas accordé toute l'importance*socio=rien voulue aux tensions*socio=ec2 financières*socio=ec1 qui avaient commencé à se manifester au début*socio=rien de 1997. Il *socio=rien est clair,*socio=nil *socio=nil rétrospectivement, que la vulnérabilité*socio=uv1 des économies*socio=ec1 touchées par la crise*socio=uv2 a été*socio=rien sous-estimée, y compris par les marchés*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont aussi noté que certaines*socio=rien autres économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 qui ont pris en *socio=rien temps opportun des*socio=nil mesures*socio=et énergiques*socio=ec1 *socio=nil pour répondre aux pressions*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 ont réussi à empêcher la crise*socio=uv2 de se propager. Dans ces économies*socio=ec1, l'étroite*socio=rien surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac a joué un*socio=rien rôle*socio=et utile*socio=uv4. Certains administrateurs*socio=ac ont souligné qu'il était irréaliste*socio=uv4 de s'attendre à ce que la surveillance*socio=et permette de détecter tous les problèmes*socio=uv4 à un*socio=rien stade*socio=te précoce*socio=rien et d'éviter toute crise*socio=uv2, et que les effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 en Thaïlande*socio=ac étaient dans une *socio=rien large mesure imprévisibles*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Néanmoins, ils ont encouragé les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, dans l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et, à attacher une plus *socio=rien grande importance aux*socio=nil risques*socio=uv3 d'*socio=nil effets de*socio=nil contagion*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil De l'avis*socio=rien des administrateurs*socio=ac, le FMI*socio=ac et la communauté*socio=ac financière*socio=ec1 internationale*socio=ac ont de précieuses*socio=rien leçons*socio=ec2 à tirer de l'expérience*socio=ec2 des *socio=rien neuf derniers mois.*socio=nil La*socio=nil situation continue *socio=nil d'évoluer et il faudra revenir sur*socio=rien maintes questions*socio=rien, notamment la conception*socio=et et l'exécution*socio=rien des programmes*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac, l'importance*socio=rien pour ces programmes*socio=et des financements*socio=ec1 officiels*socio=et, dont celui du*socio=rien FMI*socio=ac, la collaboration*socio=uv1 entre le FMI*socio=ac et les autres institutions_internationales*socio=ac, en particulier*socio=rien la banque_mondiale*socio=ac, le rôle*socio=et du*socio=rien secteur_privé*socio=et dans les situations*socio=rien de crise*socio=uv2, et la politique*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac en matière*socio=rien d'information*socio=rien. À cet égard*socio=rien, il a été*socio=rien convenu au début*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1998 / 99 de procéder, avant l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te d'octobre*socio=rien 1998, à un*socio=rien examen*socio=ec2 des programmes*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans les pays*socio=ac touchés par la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac en vue*socio=rien d'apporter des réponses*socio=rien aux questions*socio=rien concernant l'orientation*socio=et, la conception*socio=et et l'application*socio=rien de ces programmes*socio=et et d'en évaluer, dans la *socio=rien mesure du possible,*socio=nil les*socio=nil premiers résultats.*socio=nil L'*socio=nil expérience*socio=ec2 des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil frappés par la crise*socio=uv2 doit aussi être*socio=rien examinée en 1998 / 99 dans le contexte*socio=rien des perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, ainsi que *socio=rien du rapport annuel*socio=te sur les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil leçons*socio=ec2 *socio=nil de cette expérience*socio=ec2 seront incorporées dans plusieurs études*socio=ec2 consacrées à *socio=rien différents aspects du renforcement*socio=ec2 *socio=nil de l'architecture du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te, en particulier*socio=rien la disponibilité*socio=rien et la diffusion*socio=rien des données économiques*socio=ec1, la transparence*socio=uv3 des politiques*socio=et des pays_membres*socio=ac et de la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac, et le rôle*socio=et des normes*socio=et internationales*socio=te dans l'évaluation*socio=ec2 des politiques*socio=et et pratiques*socio=et des pays*socio=ac. Le conseil_d'_administration*socio=ac doit aussi poursuivre ses discussions*socio=et visant à établir des incitations*socio=uv3 appropriées en matière*socio=rien de mouvements_internationaux_de_capitaux*socio=ec1 en mettant le secteur_privé*socio=et à contribution*socio=uv1 pour endiguer ou résoudre les crises*socio=uv2 financières*socio=ec1. Le FMI*socio=ac doit intégrer les leçons*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac dans ses travaux*socio=rien continus*socio=te sur*socio=rien la libéralisation*socio=et ordonnée et correctement agencée des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. En outre, la collaboration*socio=uv1 entre le FMI*socio=ac et la banque_mondiale*socio=ac, notamment en ce qui concerne la réforme*socio=et des secteurs*socio=rien financiers*socio=ec1, sera de nouveau*socio=rien passée en revue afin d'identifier les domaines*socio=rien dans lesquels des améliorations*socio=uv1 peuvent être*socio=rien apportées. Examinant en mars*socio=rien 1998 la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac, les administrateurs*socio=ac ont identifié *socio=rien cinq grandes leçons*socio=ec2.*socio=nil Première leçon*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Pour que la surveillance*socio=et soit efficace*socio=uv4, il est*socio=rien capital*socio=ec1 de disposer en temps*socio=rien voulu d'informations*socio=rien exactes*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont constaté une certaine*socio=rien amélioration*socio=uv1 depuis 1995 en ce qui concerne la communication*socio=ec1 des données tant au FMI*socio=ac qu'aux marchés*socio=ec1, mais ils ont noté qu'il y a encore des progrès*socio=uv1 à faire dans ce domaine*socio=rien. La crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac a fait*socio=rien ressortir l'importance*socio=rien cruciale*socio=uv4 de certaines*socio=rien données qui n'étaient pas disponibles*socio=rien soit à cause*socio=rien de la réticence*socio=uv3 des autorités*socio=et à les fournir - comme dans le cas*socio=rien des données sur*socio=rien les engagements*socio=et liés aux réserves*socio=ec1 de la banque_centrale*socio=ac -, soit faute de système*socio=rien permettant de les établir en temps*socio=rien voulu - comme dans celui des données sur*socio=rien l'endettement*socio=ec1 privé*socio=et à court_terme*socio=te. Elle a également montré qu'il est*socio=rien primordial*socio=uv4 de rendre publiques*socio=et les *socio=rien informations nécessaires *socio=nil pour promouvoir la transparence*socio=uv3 et renforcer la confiance*socio=uv1 des marchés*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que des efforts*socio=uv1 supplémentaires*socio=rien en vue*socio=rien d'améliorer la communication*socio=ec1 des données des pays_membres*socio=ac au FMI*socio=ac et au public*socio=et peuvent être*socio=rien fournis dans le contexte*socio=rien de la norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données; dans les deux cas*socio=rien, le respect*socio=uv1 des obligations*socio=uv1 acceptées par les pays*socio=ac doit faire l'objet*socio=rien d'un*socio=rien contrôle*socio=uv3 plus rigoureux*socio=uv4. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont recommandé la prudence*socio=uv1 en ce qui concerne la publication*socio=rien de données très sensibles*socio=rien ou de données telles que les indicateurs*socio=ec1 prudentiels*socio=uv2, pour lesquelles il n'existe pas encore de normes*socio=et pertinentes*socio=rien et universelles*socio=uv. Les administrateurs*socio=ac ont en particulier*socio=rien souligné qu'il importe d'établir des données exactes*socio=rien et à *socio=rien jour sur la*socio=nil dette*socio=ec1 extérieure*socio=te à*socio=nil court_terme*socio=te,*socio=nil *socio=nil tout en reconnaissant que cette mesure*socio=rien nécessiterait pour la plupart*socio=rien des pays*socio=ac concernés un*socio=rien effort*socio=uv1 *socio=rien considérable sur le*socio=nil plan statistique*socio=ec2.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil sont convenus que les pays*socio=ac qui ne sont pas en mesure*socio=rien d'établir les données requises*socio=uv4 doivent pouvoir*socio=et bénéficier d'une assistance*socio=uv1 technique*socio=rien, y compris de la *socio=rien part du FMI*socio=ac *socio=nil dans ses domaines*socio=rien de compétence*socio=uv3, pour renforcer leur capacité*socio=uv3 de communication*socio=ec1 de ces données. Dans l'intervalle*socio=te, il convient de s'attacher plus systématiquement à exploiter et à améliorer les sources*socio=rien de données existantes*socio=rien, y compris les données de la banque_des_règlements_internationaux*socio=ac. De façon*socio=rien plus générale*socio=rien, compte*socio=ec1 tenu de la transformation*socio=ec2 de l'architecture du*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te et de la diversité*socio=uv1 des sources*socio=rien de données, certains administrateurs*socio=ac pensent que le FMI*socio=ac doit commencer à collaborer avec d'autres organisations_internationales*socio=ac, ainsi qu'avec les autorités*socio=et de tutelle*socio=uv1 des pays*socio=ac et les participants*socio=ac au marché*socio=ec1, en vue*socio=rien de mettre en *socio=rien place un cadre théorique *socio=nil pour l'établissement*socio=rien et la diffusion*socio=rien des données. Les administrateurs*socio=ac ont invité les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac à appeler l'attention*socio=rien du*socio=rien Conseil*socio=ac sur*socio=rien les cas*socio=rien dans lesquels l'impossibilité*socio=rien d'obtenir*socio=rien les données nécessaires*socio=rien compromet l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et et ils ont recommandé une étude*socio=ec2 des moyens*socio=ec1 qui permettraient au FMI*socio=ac de réagir plus fermement dans ces cas*socio=rien. Certains administrateurs*socio=ac ont suggéré que l'on envisage de ne pas conclure les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV lorsque les pays_membres*socio=ac ne semblent pas entièrement disposés à communiquer au FMI*socio=ac les données dont il a besoin*socio=uv1 pour exercer da surveillance*socio=et. Le comité_intérimaire*socio=ac a souscrit à cette suggestion*socio=rien à sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1998 en recommandant que la conclusion*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV soit différée si des déficiences*socio=uv3 persistantes*socio=rien dans la divulgation*socio=et des données au FMI*socio=ac entravent gravement la surveillance*socio=et. Deuxième*socio=rien leçon*socio=ec2. Tout en demeurant suffisamment sélective*socio=uv4, la surveillance*socio=et doit aller au-delà des questions*socio=rien de politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 à court_terme*socio=te. Depuis 1995, on *socio=rien porte un intérêt*socio=uv1 *socio=nil accru aux *socio=rien éléments clés des*socio=nil politiques*socio=et structurelles*socio=ec2 des*socio=nil économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil notamment aux politiques*socio=et financières*socio=ec1, et à leur analyse*socio=ec2. Cependant, les problèmes*socio=uv4 des secteurs*socio=rien financiers*socio=ec1 sont souvent complexes et longs*socio=rien à se déclarer, et de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac estiment que le FMI*socio=ac doit développer ses compétences*socio=uv3 analytiques*socio=ec2 dans ce domaine*socio=rien, y compris en se dotant de davantage de personnel*socio=ac possédant l'expérience*socio=ec2 voulue en la matière*socio=rien. Soulignant que l'avantage_comparatif*socio=ec2 du*socio=rien FMI*socio=ac *socio=rien porte sur l'*socio=nil analyse*socio=ec2 des*socio=nil développements macro-économiques*socio=ec1,*socio=nil certains*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil estiment que la restructuration*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 devrait*socio=nil être *socio=nil confiée à d'autres institutions*socio=ac, en particulier*socio=rien à la banque_mondiale*socio=ac. D'autres ont fait*socio=rien remarquer que, dans le cas*socio=rien de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac, ce genre*socio=rien de distinction*socio=rien n'a pas toujours *socio=rien été facile *socio=nil à établir et qu'il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 que le FMI*socio=ac joue dès le *socio=rien départ un rôle*socio=et important*socio=uv4 *socio=nil dans tous les volets*socio=rien de la réforme*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil reconnaissent que la collaboration*socio=uv1 avec les autres institutions*socio=ac doit *socio=rien être étroite *socio=nil et viser à éviter tout chevauchement des travaux*socio=rien, surtout avec la banque_mondiale*socio=ac, les organes*socio=ac de contrôle*socio=uv3 nationaux*socio=te et la BRI*socio=ac. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont souligné qu'il serait utile*socio=uv4 de mettre au point*socio=rien des normes*socio=et dans divers domaines*socio=rien, qui pourraient faciliter la surveillance*socio=et et fournir des informations*socio=rien au marché*socio=ec1; dans le cadre*socio=rien de la surveillance*socio=et, il serait bon*socio=rien que le FMI*socio=ac encourage les pays_membres*socio=ac à adapter*socio=rien leurs pratiques*socio=et aux normes*socio=et internationales*socio=te, comme celles qu'énoncent les Principes*socio=ec2 fondamentaux*socio=uv4 pour un*socio=rien contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1 efficace*socio=uv4 établis par le Comité*socio=ac de Bâle. Les administrateurs*socio=ac estiment que la vulnérabilité*socio=uv1 de nombreuses*socio=rien économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 face*socio=rien à des flux*socio=ec1 massifs*socio=rien de capitaux*socio=ec1 montre combien il *socio=rien est nécessaire *socio=nil que le FMI*socio=ac exerce une surveillance*socio=et *socio=rien étroite sur les*socio=nil mouvements_de_capitaux*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Certains d'entre eux ont souligné que l'enchaînement*socio=te et le rythme*socio=ec2 d'exécution*socio=rien des mesures*socio=et visant à libéraliser les mouvements_de_capitaux*socio=ec1 doivent faire l'objet*socio=rien d'un*socio=rien suivi attentif*socio=rien. en particulier*socio=rien, le FMI*socio=ac devrait, dans le cadre*socio=rien de la surveillance*socio=et, examiner de près les risques*socio=uv3 que présentent un*socio=rien éventuel*socio=te revirement*socio=rien de flux*socio=ec1 massifs*socio=rien de capitaux*socio=ec1, l'accumulation*socio=ec2 rapide*socio=rien de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te à court_terme*socio=te et la libéralisation*socio=et sélective*socio=uv4 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Dans ce domaine*socio=rien également, les administrateurs*socio=ac ont souligné l'importance*socio=rien cruciale*socio=uv4 de données exactes*socio=rien et actuelles*socio=te. Quelques administrateurs*socio=ac ont proposé que les rapports*socio=rien établis pour les consultations*socio=uv1 contiennent systématiquement un*socio=rien examen*socio=ec2 des progrès*socio=uv1 accomplis sur*socio=rien la voie*socio=rien de la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. D'autres administrateurs*socio=ac étaient d'avis*socio=rien que l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien ces *socio=rien neuf derniers mois *socio=nil tend à indiquer que des mesures*socio=et sélectives*socio=uv4 et bien*socio=rien ciblées de contrôle*socio=uv3 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 peuvent contribuer à réduire la vulnérabilité*socio=uv1 des pays*socio=ac. Cependant, la plupart*socio=rien doutent que, dans des économies*socio=ec1 où les mouvements_de_capitaux*socio=ec1 sont déjà assez libres*socio=uv2, le contrôle*socio=uv3 des changes*socio=ec1 soit utile*socio=uv4, sauf peut-être pour ménager*socio=rien une marge de manoeuvre*socio=rien permettant de mettre en place*socio=rien des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et plus profondes*socio=rien. Troisième*socio=rien leçon*socio=ec2. Dans un*socio=rien environnement*socio=et caractérisé par l'expansion*socio=ec2 des *socio=ec1 flux financiers et*socio=nil commerciaux,*socio=nil *socio=nil il convient que le FMI*socio=ac, dans l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et au niveau*socio=rien des pays*socio=ac, accorde une plus *socio=rien grande attention *socio=nil à l'interdépendance*socio=uv3 des politiques*socio=et et aux risques*socio=uv3 de contagion*socio=ec2. De l'avis*socio=rien des administrateurs*socio=ac, il faudrait examiner de plus près l'impact*socio=rien des politiques*socio=et menées par les pays*socio=ac importants*socio=uv4 au plan*socio=rien mondial*socio=te ou régional*socio=te sur*socio=rien les autres pays*socio=ac. Parallèlement, il conviendrait d'analyser dans les consultations*socio=uv1 bilatérales*socio=et la vulnérabilité*socio=uv1 de la situation*socio=rien intérieure*socio=te dans le contexte*socio=rien de l'évolution*socio=te de la conjoncture*socio=ec2 extérieure*socio=te, l'objectif*socio=uv3 étant d'exhorter les autorités*socio=et à prendre très rapidement des mesures*socio=et vigoureuses*socio=rien pour atténuer les risques*socio=uv3 de contagion*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac ont noté que la *socio=et surveillance multilatérale *socio=nil peut aider à identifier les éventuels*socio=te effets*socio=rien de contagion*socio=ec2; il importe, ont-ils souligné, que le FMI*socio=ac intègre*socio=rien davantage les opérations*socio=rien multilatérales*socio=et de surveillance*socio=et dans le dialogue*socio=uv1 bilatéral*socio=et qu'il entretient avec ses membres*socio=ac, et qu'il veille à mettre pleinement à profit*socio=ec1 ses compétences*socio=uv3 techniques*socio=rien pour ce qui a trait*socio=rien aux marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 et au secteur*socio=rien financier*socio=ec1. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac sont favorables*socio=uv4 à ce que les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et les participants*socio=ac au marché*socio=ec1 procèdent plus souvent et plus systématiquement à des échanges_de_vues*socio=uv3 dans le cadre*socio=rien de la surveillance*socio=et et ils estiment que, le cas*socio=rien échéant, les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac devraient inclure dans leurs rapports*socio=rien une brève*socio=rien évaluation*socio=ec2 des *socio=rien sentiments du marché*socio=ec1.*socio=nil Quelques*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil rappellent toutefois la nécessité*socio=uv1 de préserver dans ces contacts*socio=rien la confidentialité*socio=uv1 du*socio=rien dialogue*socio=uv1 entre le FMI*socio=ac et ses membres*socio=ac. Quatrième*socio=rien leçon*socio=ec2. Le rôle*socio=et crucial*socio=rien de la crédibilité*socio=uv1 dans le rétablissement*socio=rien de la confiance*socio=uv1 met en relief*socio=rien l'importance*socio=rien de la transparence*socio=uv3. À cet égard*socio=rien, les administrateurs*socio=ac se sont félicités de la décision*socio=et des autorités*socio=et coréennes, indonésiennes et thaïlandaises de publier les lettres*socio=rien d'intention*socio=rien adressées au FMI*socio=ac qui décrivent en détail*socio=rien leurs programmes*socio=et d'ajustement*socio=et. Ils ont aussi exprimé leur satisfaction*socio=uv3 devant*socio=rien le *socio=rien nombre croissant de*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil qui acceptent de diffuser les notes d'information*socio=rien au public*socio=et résumant la teneur*socio=rien des discussions*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac sur*socio=rien les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, et ils considèrent souhaitable*socio=rien qu'un*socio=rien aussi *socio=rien grand nombre que*socio=nil possible de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil consentent à le faire. Certains administrateurs*socio=ac estiment que le FMI*socio=ac pourrait faire mieux connaître son point*socio=rien de *socio=rien vue sur la*socio=nil politique_économique*socio=ec1 *socio=nil de ses membres*socio=ac et ils ont suggéré de réexaminer la question*socio=rien de la publication*socio=rien des rapports*socio=rien de ses services*socio=et pour les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Cependant, d'autres préconisent une approche plus prudente*socio=uv2, notant que la confidentialité*socio=uv1 est*socio=rien indispensable*socio=uv4 pour l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et. Quelques administrateurs*socio=ac défendent en outre l'idée*socio=rien que, si au terme*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain délai,*socio=nil un *socio=ac pays membre continue*socio=rien *socio=nil d'ignorer les mises en garde*socio=rien confidentielles du*socio=rien FMI*socio=ac, celui-ci devrait en dernier*socio=rien ressort invoquer la section*socio=rien 8 de l'article*socio=rien XII pour porter les sujets*socio=rien qui le préoccupent à la connaissance*socio=ec2 du*socio=rien public*socio=et. Toutefois, la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac doutent que l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien du nombre *socio=nil des mises en garde*socio=rien publiques*socio=et accroisse l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et. Ils craignent en particulier*socio=rien que la menace*socio=uv1 de recourir à la publicité*socio=rien ne compromette la franchise du*socio=rien dialogue*socio=uv1 entre le FMI*socio=ac et ses membres*socio=ac et que ces mises en garde*socio=rien ne précipitent les crises*socio=uv2 au lieu*socio=rien de les prévenir. Cinquième*socio=rien leçon*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac estiment que l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac dépend de façon*socio=rien cruciale*socio=uv4 de la volonté*socio=uv1 des pays_membres*socio=ac de suivre ses conseils*socio=ac. Il est*socio=rien indispensable*socio=uv4, pour que la surveillance*socio=et soit efficace*socio=uv4, que le dialogue*socio=uv1 soit franc*socio=ec1 et que le FMI*socio=ac puisse centrer son *socio=rien attention sur les*socio=nil questions importantes*socio=uv4 *socio=nil pour chacun des pays_membres*socio=ac. En outre, les administrateurs*socio=ac ont souligné que les services*socio=et de l'institution*socio=ac peuvent se donner les moyens*socio=ec1 de mobiliser l'opinion*socio=uv1 de la *socio=ac communauté internationale en*socio=nil participant*socio=rien *socio=nil plus activement aux instances_régionales*socio=ac; ils sont d'avis*socio=rien que le FMI*socio=ac devrait collaborer plus étroitement avec ces instances*socio=et, notamment en Asie*socio=ac (encadré 4). À cet égard*socio=rien, certains administrateurs*socio=ac ont évoqué l'importance*socio=rien de la pression*socio=ec2 exercée par les pairs*socio=rien tant dans les instances_régionales*socio=ac qu'au *socio=rien sein du Conseil*socio=ac.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont salué la participation*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac aux débats*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac de l'Association*socio=ac de coopération*socio=uv1 économique*socio=ec1 Asie-pacifique*socio=ac et à la seconde *socio=rien réunion du *socio=nil "Manila Framework" à Tokyo*socio=ac. Transparence*socio=uv3 et responsabilisation*socio=uv1 du*socio=rien secteur_public*socio=et. Depuis longtemps, le FMI*socio=ac aide*socio=uv1 les pays_membres*socio=ac, par ses conseils*socio=ac et son assistance*socio=uv1 technique*socio=rien, à promouvoir une bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et, notamment en encourageant la transparence*socio=uv3 et la responsabilisation*socio=uv1 du*socio=rien secteur_public*socio=et. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil questions relatives *socio=nil à la bonne*socio=rien gestion_publique*socio=et ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'une *socio=rien attention grandissante.*socio=nil en*socio=nil particulier,*socio=nil *socio=nil dans sa déclaration*socio=et sur*socio=rien le partenariat*socio=uv3 pour une expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, qui a été*socio=rien adoptée en septembre*socio=rien 1996, le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac a indiqué qu'une condition*socio=rien fondamentale*socio=uv4 de la prospérité*socio=uv1 des économies*socio=ec1 était de "promouvoir une gestion*socio=ec2 saine*socio=uv2 et transparente*socio=uv4 des affaires_publiques*socio=et, dans toutes ses dimensions*socio=rien, notamment en maintenant l'état*socio=rien de droit*socio=uv1, en responsabilisant et améliorant le *socio=rien fonctionnement du secteur_public*socio=et,*socio=nil *socio=nil et en combattant la corruption*socio=uv1". Dans le même esprit*socio=rien, à sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1998, le comité_intérimaire*socio=ac, visant à accroître la responsabilisation*socio=uv1 et la crédibilité*socio=uv1 de la politique*socio=et de finances*socio=ec1 publiques*socio=et en tant qu'élément*socio=rien clé*socio=rien d'une bonne*socio=rien gestion_publique*socio=et a adopté le "Code*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien de transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et - Déclaration*socio=et de principes*socio=ec2". En 1997 / 98, le conseil_d'_administration*socio=ac a tenu *socio=rien un certain nombre de*socio=nil réunions *socio=nil pour mettre au point*socio=rien l'orientation*socio=et à suivre par l'institution*socio=ac en ce qui concerne les questions*socio=rien de gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et ainsi qu'un*socio=rien code*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien de transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et à l'intention*socio=rien des pays_membres*socio=ac. La bonne*socio=rien gestion_publique*socio=et. Lors*socio=rien d'un*socio=rien débat*socio=et en mai*socio=rien 1997 sur*socio=rien le rôle*socio=et à jouer par le FMI*socio=ac dans le domaine*socio=rien de la gestion_publique*socio=et, *socio=rien un solide consensus*socio=uv1 s'*socio=nil est *socio=nil dégagé parmi les administrateurs*socio=ac sur*socio=rien l'importance*socio=rien d'une bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et pour l'efficacité*socio=uv3 et la croissance*socio=uv3 économiques*socio=ec1. Il a été*socio=rien noté que le rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans ce domaine*socio=rien a évolué de manière*socio=rien pragmatique*socio=uv4 à mesure*socio=rien que l'on a mieux compris comment, en accordant une attention*socio=rien accrue aux questions*socio=rien de gestion_publique*socio=et, on pouvait contribuer à la stabilité*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1 et à une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 dans les pays_membres*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont exprimé leur ferme*socio=ec2 soutien*socio=uv3 au rôle*socio=et que le FMI*socio=ac a joué dans ce domaine*socio=rien ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil par ses conseils*socio=ac et par son assistance*socio=uv1 technique*socio=rien, et ils ont souscrit à l'objectif*socio=uv3 consistant à examiner de manière*socio=rien plus exhaustive*socio=rien, dans le contexte*socio=rien à la fois*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV et des programmes*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac, les questions*socio=rien de gestion_publique*socio=et qui relèvent *socio=rien du mandat *socio=nil et des compétences*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac. Ils ont souligné qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil de traiter les questions*socio=rien de gestion_publique*socio=et de la même manière*socio=rien dans tous les pays_membres*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac sont aussi d'avis*socio=rien que les efforts*socio=uv1 déployés par le FMI*socio=ac en vue*socio=rien d'encourager la bonne*socio=rien gestion_publique*socio=et doivent être*socio=rien appuyés par une collaboration*socio=uv1 plus poussée avec les autres institutions*socio=ac multilatérales*socio=et, notamment la banque_mondiale*socio=ac, afin de mieux tirer parti*socio=et de la complémentarité*socio=rien des domaines*socio=rien de spécialisation*socio=uv3 de chacune. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que la responsabilité*socio=uv1 des questions*socio=rien de gestion_publique*socio=et incombe, d'abord*socio=rien et avant tout, aux autorités*socio=et nationales*socio=te. Les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac doivent, autant que possible*socio=rien, faire *socio=rien fond sur la*socio=nil volonté*socio=uv1 *socio=nil et l'engagement*socio=uv1 des autorités*socio=et de s'attaquer à ces questions*socio=rien. Le *socio=rien mandat du FMI*socio=ac *socio=nil ne lui permet pas d'assumer les fonctions*socio=rien d'organisme*socio=ac d'enquête*socio=ec2 ou de garant de l'intégrité*socio=uv1 financière*socio=ec1 dans les pays_membres*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que le rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac en matière*socio=rien de gestion_publique*socio=et devrait être*socio=rien axé sur*socio=rien ses aspects*socio=rien économiques*socio=ec1. La contribution*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac à une bonne*socio=rien gestion_publique*socio=et pourrait porter principalement sur*socio=rien deux domaines*socio=rien : l'amélioration*socio=uv1 de la gestion*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 publiques*socio=et et l'établissement*socio=rien et le maintien*socio=rien d'un*socio=rien cadre*socio=rien réglementaire*socio=et transparent*socio=uv4 et stable*socio=uv4, propice*socio=rien à une activité*socio=rien efficiente*socio=uv4 du*socio=rien secteur_privé*socio=et. Dans ce contexte*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont souligné les avantages*socio=rien potentiels*socio=uv4 de telles réformes*socio=et, qui renforcent la transparence*socio=uv3 des *socio=rien activités du secteur_public*socio=et *socio=nil et la responsabilisation*socio=uv1 de ce dernier*socio=rien et assurent des règles*socio=et *socio=rien du jeu équitables*socio=uv2 *socio=nil pour le secteur_privé*socio=et. Lorsqu'il est*socio=rien appelé à intervenir sur*socio=rien une question*socio=rien de gestion_publique*socio=et, le FMI*socio=ac devrait chercher à déterminer si le problème*socio=uv4 qui se pose a ou *socio=rien est susceptible *socio=nil d'avoir des répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien les résultats*socio=rien macro-économiques*socio=ec1 à court*socio=rien ou à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont souligné que dans son approche des questions*socio=rien ayant trait*socio=rien à la gestion_publique*socio=et, le FMI*socio=ac doit conserver sa neutralité*socio=uv1 politique*socio=et. En même temps*socio=rien, ils ont reconnu qu'il est*socio=rien souvent difficile*socio=rien en pratique*socio=rien d'établir une *socio=rien distinction claire *socio=nil entre les dimensions*socio=rien économique*socio=ec1 et politique*socio=et de la gestion_publique*socio=et : l'important*socio=uv4 est*socio=rien que le FMI*socio=ac se fonde sur*socio=rien de solides*socio=uv4 considérations*socio=rien économiques*socio=ec1 pour donner des conseils*socio=ac dans les limites*socio=rien de son mandat*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que, dans le contexte*socio=rien des réformes*socio=et, il convient de s'attaquer sans délai*socio=rien aux problèmes*socio=uv4 de gestion_publique*socio=et qui risquent de nuire aux performances*socio=uv3 économiques*socio=ec1. Bien*socio=rien que la mise en oeuvre*socio=rien de mesures*socio=et d'ajustement*socio=et macro-économique*socio=ec1 appropriées constitue le *socio=rien principal moyen *socio=nil de répondre à l'obligation*socio=uv1 de protéger les ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac, les administrateurs*socio=ac ont reconnu que les questions*socio=rien de gestion_publique*socio=et peuvent influer sur*socio=rien les résultats*socio=rien macro-économiques*socio=ec1 et sur*socio=rien l'efficacité*socio=uv3 de ces mesures*socio=et. C'est*socio=rien pourquoi des mesures*socio=et relatives*socio=rien à la gestion_publique*socio=et pourraient faire partie*socio=rien de la conditionnalité si elles sont nécessaires*socio=rien à la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv3 du*socio=rien programme*socio=et. À la suite*socio=rien de son débat*socio=et de mai*socio=rien, le conseil_d'_administration*socio=ac a adopté le 25 juillet*socio=rien 1997 des directives*socio=et concernant le rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac en matière*socio=rien de gestion_publique*socio=et. Ces directives*socio=et ont pour objet*socio=rien de renforcer l'attention*socio=rien que les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac accordent*socio=rien aux questions*socio=rien de gestion_publique*socio=et, en particulier*socio=rien. En intégrant de manière*socio=rien plus exhaustive*socio=rien, à la fois*socio=rien dans les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV et dans les programmes*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac, les questions*socio=rien de gestion_publique*socio=et qui relèvent *socio=rien du mandat *socio=nil et des compétences*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac. En préconisant plus activement la mise en oeuvre*socio=rien de mesures*socio=et et le développement*socio=uv3 d'institutions*socio=ac et de systèmes*socio=rien administratifs*socio=et qui éliminent les possibilités*socio=rien de pots-de-vin*socio=ec, de corruption*socio=uv1 et d'activités*socio=rien frauduleuses dans la gestion*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 publiques*socio=et. En traitant les questions*socio=rien de gestion_publique*socio=et de la même manière*socio=rien dans tous les pays_membres*socio=ac. En renforçant la collaboration*socio=uv1 avec les autres institutions*socio=ac multilatérales*socio=et, notamment la banque_mondiale*socio=ac, afin de mieux tirer parti*socio=et des domaines*socio=rien de spécialisation*socio=uv3 complémentaires*socio=rien. Transparence*socio=uv3 des opérations*socio=rien budgétaires*socio=et. La transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et peut se définir*socio=rien comme l'accès*socio=uv1 du*socio=rien public*socio=et à l'information*socio=rien concernant les structures*socio=ec1 et *socio=rien fonctions du secteur_public*socio=et,*socio=nil les*socio=nil intentions des*socio=nil autorités*socio=et *socio=nil quant à la politique*socio=et de finances*socio=ec1 publiques*socio=et, les comptes*socio=ec1 et les projections*socio=ec2 du*socio=rien secteur_public*socio=et. Cela suppose un*socio=rien accès*socio=uv1 immédiat*socio=rien à des *socio=rien informations fiables,*socio=nil *socio=nil complètes, à jour*socio=rien, compréhensibles*socio=rien et comparables*socio=rien à l'échelle*socio=rien internationale*socio=ac sur*socio=rien les activités*socio=rien de l'État*socio=ac - y compris celles qui sont menées en dehors *socio=rien du secteur des*socio=nil administrations_publiques*socio=ac *socio=nil - pour que les citoyens*socio=ac et les marchés_financiers*socio=ec1 puissent se faire une *socio=rien idée exacte *socio=nil de la situation*socio=rien financière*socio=ec1 présente*socio=rien et future*socio=te des administrations_publiques*socio=ac. Prenant acte*socio=et de ce que la politique*socio=et de finances*socio=ec1 publiques*socio=et *socio=rien est un élément central *socio=nil de la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac et soucieux*socio=rien de renforcer l'approche suivie par les gouvernements*socio=ac dans ce domaine*socio=rien, le conseil_d'_administration*socio=ac s'est*socio=rien attaqué en octobre*socio=rien 1997 aux questions*socio=rien de la transparence*socio=uv3 des opérations*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac et des règles*socio=et de politique*socio=et de finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Et en avril*socio=rien 1998, le conseil_d'_administration*socio=ac a adopté un*socio=rien projet*socio=et de code*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien de transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et qui devait être*socio=rien soumis au comité_intérimaire*socio=ac. Lors*socio=rien de leur discussion*socio=et d'octobre*socio=rien 1997, les administrateurs*socio=ac sont convenus que la transparence*socio=uv3 des opérations*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac était propice*socio=rien à la discipline*socio=uv1 budgétaire*socio=et, à une saine*socio=uv2 gestion*socio=ec2 du*socio=rien secteur_public*socio=et, à une bonne*socio=rien gestion_publique*socio=et et à de meilleures*socio=uv4 performances*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1. De plus, dans une économie*socio=ec1 mondialisée où les *socio=rien effets néfastes *socio=nil d'une perte*socio=ec2 de confiance*socio=uv1 des marchés*socio=ec1 sont de plus en plus évidents*socio=rien, la transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et contribue à donner confiance*socio=uv1 dans la politique_économique*socio=ec1 d'un*socio=rien gouvernement*socio=ac. Cette transparence*socio=uv3 signifie qu'il faut définir*socio=rien des objectifs*socio=uv3 budgétaires*socio=et clairs*socio=rien (y compris un*socio=rien processus*socio=te budgétaire*socio=et bien*socio=rien établi), utiliser des méthodes*socio=ec2 comptables*socio=rien transparentes*socio=uv4 et largement acceptées et fournir des informations*socio=rien actuelles*socio=te et fiables*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac sont convenus que le FMI*socio=ac doit continuer d'aider ses membres*socio=ac à parvenir à une plus grande*socio=rien transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et au moyen*socio=rien de la surveillance*socio=et, de l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et de l'élaboration*socio=rien de programmes*socio=et. L'amélioration*socio=uv1 de la transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et est*socio=rien une entreprise*socio=ac de *socio=rien longue haleine *socio=nil et les priorités*socio=uv4 dans cet effort*socio=uv1 peuvent varier selon les pays*socio=ac. Aussi le FMI*socio=ac doit-il dûment prendre en considération*socio=rien les spécificités de chacun. Certains administrateurs*socio=ac ont souligné que le rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac en la matière*socio=rien devrait être*socio=rien axé sur*socio=rien les questions*socio=rien d'ordre*socio=rien macro-économique*socio=ec1, et ils ont insisté sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'une approche uniforme*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac souhaitent que les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac s'attachent davantage à promouvoir la transparence*socio=uv3 des opérations*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac. Nombre*socio=rien d'entre eux étaient partisans*socio=ac de demander aux services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac de rédiger *socio=rien un manuel *socio=nil succinct de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien de transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, tandis que certains ont exprimé des réserves*socio=ec1 sur*socio=rien l'établissement*socio=rien de "pratiques*socio=et optimales*socio=uv4". D'autres considèrent que les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac pourraient dresser *socio=rien progressivement un inventaire*socio=ec1 des*socio=nil pratiques*socio=et transparentes*socio=uv4 *socio=nil dans le contexte*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont souligné qu'une telle initiative*socio=rien risquait de demander des ressources*socio=ec1 considérables*socio=rien. La communication*socio=ec1 rapide*socio=rien et complète des comptes*socio=ec1 du*socio=rien secteur_public*socio=et est*socio=rien également importante*socio=uv4. À cette fin*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont insisté pour que la couverture*socio=ec1 des comptes*socio=ec1 budgétaires*socio=et soit élargie au niveau*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac et comprenne des *socio=rien informations sur les*socio=nil opérations extrabudgétaires*socio=ec1 *socio=nil et le coût*socio=ec1 des opérations*socio=rien quasi budgétaires*socio=et. D'autre part*socio=rien, la comptabilité*socio=ec1 de caisse*socio=ec1 devrait être*socio=rien complétée par une comptabilité*socio=ec1 d'exercice*socio=rien. Dans la *socio=rien mesure du possible,*socio=nil les*socio=nil autorités*socio=et *socio=nil devraient publier des *socio=rien informations sur *socio=nil les garanties et les engagements*socio=et non capitalisés du*socio=rien secteur_public*socio=et. Notant que les dégrèvements *socio=et fiscaux discrétionnaires,*socio=nil les*socio=nil exonérations*socio=ec1 d'*socio=nil impôts *socio=nil et l'administration*socio=ec1 arbitraire*socio=uv4 de la fiscalité*socio=et sont parmi les *socio=rien principales causes des*socio=nil problèmes*socio=uv4 *socio=nil qui affectent les résultats*socio=rien budgétaires*socio=et dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, les administrateurs*socio=ac ont aussi mis l'accent*socio=rien sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de systèmes*socio=rien fiscaux*socio=et stables*socio=uv4 et transparents*socio=uv4 et de l'intégration*socio=uv1 d'estimations*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 fiscales*socio=et dans le processus*socio=te budgétaire*socio=et. Règles*socio=et de politique*socio=et de finances*socio=ec1 publiques*socio=et. En octobre*socio=rien 1997 également, le conseil_d'_administration*socio=ac a débattu des avantages*socio=rien et des inconvénients*socio=uv4 des règles*socio=et de politique*socio=et de finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Celles-ci comprennent des restrictions*socio=et permanentes*socio=te sous forme*socio=rien de règles*socio=et concernant par exemple*socio=rien l'équilibre*socio=ec2 du*socio=rien budget*socio=ec1 ou le déficit*socio=ec1, l'emprunt*socio=ec1 et la dette*socio=ec1 ou les réserves*socio=ec1. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac considéraient que ces règles*socio=et peuvent avoir leur utilité*socio=rien pour renforcer ou rétablir la crédibilité*socio=uv1 dans *socio=rien certaines circonstances.*socio=nil *socio=nil Certains ont aussi fait*socio=rien valoir l'utilité*socio=rien de règles*socio=et et de limites*socio=rien budgétaires*socio=et dans le contexte*socio=rien des zones*socio=te monétaires*socio=ec1 communes*socio=uv2, citant à cet égard*socio=rien les effets*socio=rien bénéfiques*socio=uv1 que les valeurs*socio=ec1 budgétaires*socio=et de référence*socio=rien prévues par le Traité*socio=rien de Maastricht*socio=et ont eues sur*socio=rien la convergence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et au sein*socio=rien de l'union_européenne*socio=et. En même temps*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont souligné que les règles*socio=et de finances*socio=ec1 publiques*socio=et ne sont pas une panacée*socio=rien. Les bonnes*socio=rien performances*socio=uv3 économiques*socio=ec1 sont liées à la volonté*socio=uv1 des responsables*socio=uv2 politiques*socio=et d'appliquer des mesures*socio=et saines*socio=uv2; il y a peu de chances*socio=rien que des règles*socio=et donnent les résultats*socio=rien souhaités si elles sont simplement promulguées sans qu'un*socio=rien consensus*socio=uv1 politique*socio=et soit réuni pour mettre en place*socio=rien les politiques*socio=et saines*socio=uv2 qu'elles impliquent. Il a aussi été*socio=rien rappelé qu'il pourrait *socio=rien être difficile en*socio=nil pratique *socio=nil de regrouper dans les règles*socio=et de politique_budgétaire*socio=et toutes les propriétés*socio=ec de la règle*socio=et modèle*socio=rien proposée par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac (qui la veulent à la *socio=rien fois bien définie,*socio=nil transparente*socio=uv4,*socio=nil adéquate*socio=uv2,*socio=nil cohérente,*socio=nil simple,*socio=nil suffisamment*socio=nil souple*socio=uv4 *socio=nil pour s'adapter*socio=rien aux chocs*socio=ec2 exogènes*socio=rien et aux fluctuations*socio=ec2 cycliques*socio=te de l'activité*socio=rien, applicable*socio=rien et effi-cace). En outre, il pourrait être*socio=rien contreproductif de s'employer à respecter une *socio=et règle budgétaire *socio=nil en ayant recours*socio=rien de manière*socio=rien excessive*socio=uv4 à des majorations*socio=rien des taux*socio=ec1 d'imposition*socio=et et à des compressions*socio=et intenables*socio=uv2 ou symboliques*socio=rien des dépenses*socio=ec1 ou à des mesures*socio=et exceptionnelles*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac ont indiqué que, dans certains cas*socio=rien, les règles*socio=et de finances*socio=ec1 publiques*socio=et pourraient se révéler utiles*socio=uv4 en permettant aux pays*socio=ac d'institutionnaliser une meilleure*socio=uv4 politique*socio=et macro-économique*socio=ec1. Cela étant, les administrateurs*socio=ac estiment que le FMI*socio=ac devrait être*socio=rien prêt*socio=ec1 à donner des conseils*socio=ac sur*socio=rien la politique*socio=et à suivre et de l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien aux pays*socio=ac désireux*socio=uv2 de mettre au point*socio=rien des règles*socio=et de finances*socio=ec1 publiques*socio=et ou de les incorporer dans la conception*socio=et de leurs programmes*socio=et d'ajustement*socio=et. Code*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien de transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Après*socio=rien avoir approfondi leurs travaux*socio=rien à la *socio=rien lumière du débat*socio=et d'*socio=nil octobre *socio=nil 1997, les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac ont soumis à l'examen*socio=ec2 du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac en avril*socio=rien 1998 un*socio=rien projet*socio=et de code*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien de transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Le principe*socio=ec2 fondamental*socio=uv2 qui sous-tend ce code*socio=et est*socio=rien que la transparence*socio=uv3 est*socio=rien de nature*socio=rien à permettre de débattre*socio=rien en meilleure*socio=uv4 connaissance*socio=ec2 de cause*socio=rien des objectifs*socio=uv3 et des résultats*socio=rien de la politique*socio=et de finances*socio=ec1 publiques*socio=et, à rendre les pouvoirs_publics*socio=et plus comptables*socio=rien de l'application*socio=rien de cette politique*socio=et et, partant, à promouvoir la bonne*socio=rien gestion_publique*socio=et, à renforcer la crédibilité*socio=uv1 et à mobiliser l'appui*socio=uv1 de l'opinion*socio=uv1 en faveur*socio=rien de saines*socio=uv2 politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1. Fort*socio=rien de son expertise*socio=uv3 en matière*socio=rien de gestion*socio=ec2 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, le FMI*socio=ac *socio=rien est bien *socio=nil placé pour promouvoir activement une plus grande*socio=rien transparence*socio=uv3 dans ce domaine*socio=rien. Le projet*socio=et soumis au conseil_d'_administration*socio=ac énonce *socio=rien un certain nombre de*socio=nil principes*socio=ec2 et*socio=nil pratiques*socio=et *socio=nil à suivre par les gouvernements*socio=ac pour faire en sorte*socio=rien que. Le rôle*socio=et et les attributions*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac soient clairement définis*socio=rien. Le public*socio=et soit informé des activités*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac. La préparation*socio=rien, l'exécution*socio=rien et l'évaluation*socio=ec2 *socio=rien finale du budget*socio=ec1 *socio=nil s'effectuent de façon*socio=rien transparente*socio=uv4. L'intégrité*socio=uv1 des *socio=rien informations relatives aux*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et *socio=nil soit assurée par une instance*socio=rien indépendante*socio=uv2. Dans l'ensemble*socio=rien, le projet*socio=et de code*socio=et a été*socio=rien accueilli favorablement par les administrateurs*socio=ac. La plupart*socio=rien ont jugé souhaitable*socio=rien de réunir un*socio=rien consensus*socio=uv1 sur*socio=rien les grands*socio=rien principes*socio=ec2 et éléments*socio=rien essentiels*socio=uv4 d'une approche transparente*socio=uv4 de la gestion*socio=ec2 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et ont souligné l'importance*socio=rien *socio=rien du manuel *socio=nil proposé pour répondre aux questions*socio=rien pratiques*socio=et susceptibles*socio=rien de se présenter. Ils ont aussi suggéré que le code*socio=et soit réexaminé et révisé périodiquement. Les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer que l'application*socio=rien du*socio=rien code*socio=et doit être*socio=rien adaptée à la situation*socio=rien de chaque pays*socio=ac, compte*socio=ec1 tenu *socio=rien du fait *socio=nil qu'il y a différentes*socio=rien approches légitimes*socio=uv2 pour accroître la transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Les pays*socio=ac dont les institutions*socio=ac sont relativement faibles*socio=rien ou qui sont soumis à certaines*socio=rien contraintes*socio=uv1 juridiques*socio=et mettront peut-être *socio=rien du temps *socio=nil à parvenir au degré*socio=rien de transparence*socio=uv3 que demande*socio=ec1 le code*socio=et. Le FMI*socio=ac doit être*socio=rien prêt*socio=ec1 à fournir de l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien, en coopération*socio=uv1 avec d'autres organisations_internationales*socio=ac, aux pays*socio=ac qui en font la demande*socio=ec1. À sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1998, le comité_intérimaire*socio=ac a adopté le Code*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien de transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et - Déclaration*socio=et de principes*socio=ec2 (encadré 5; le *socio=rien texte intégral *socio=nil figure à l'appendice*socio=rien VI), reconnaissant que ses modalités*socio=rien d'application*socio=rien refléteraient la diversité*socio=uv1 des institutions*socio=ac budgétaires*socio=et, des systèmes*socio=rien juridiques*socio=et et des capacités*socio=uv3 de mise en oeuvre*socio=rien. *socio=rien Questions relatives *socio=nil aux données. Les responsables*socio=uv2 de la politique_économique*socio=ec1 aussi bien*socio=rien que les institutions*socio=ac et marchés_financiers*socio=ec1 - publics*socio=et comme privés*socio=et - sont tributaires*socio=rien des *socio=rien informations disponibles.*socio=nil *socio=nil Lorsque les informations*socio=rien de *socio=rien base sur la*socio=nil situation économique*socio=ec1 et*socio=nil financière*socio=ec1 réelle*socio=ec2 *socio=nil sont déficientes, que la diffusion*socio=rien des *socio=rien informations disponibles est *socio=nil limitée et que des *socio=rien informations susceptibles *socio=nil d'avoir des conséquences*socio=rien préjudiciables*socio=et peuvent être*socio=rien déguisées ou dissimulées, les systèmes_financiers*socio=ec1 nationaux*socio=te et internationaux*socio=te fonctionnent moins efficacement. C'est*socio=rien pourquoi la *socio=ac communauté internationale *socio=nil encourage la mise au point*socio=rien et l'application*socio=rien de saines*socio=uv2 pratiques*socio=et en matière*socio=rien d'information*socio=rien, conformes*socio=uv4 aux normes*socio=et généralement acceptées au plan*socio=rien international*socio=te. Pour sa part*socio=rien, le FMI*socio=ac a porté ces *socio=rien dernières années une*socio=nil attention croissante *socio=nil à ces questions*socio=rien, notamment à la couverture*socio=ec1, à la qualité*socio=rien, à la fréquence*socio=rien et aux délais*socio=rien de diffusion*socio=rien des données que les pays_membres*socio=ac lui fournissent et de celles que les pays*socio=ac diffusent dans le public*socio=et. Pour guider les pays_membres*socio=ac dans ce *socio=rien dernier domaine,*socio=nil le*socio=nil Conseil*socio=ac *socio=nil a approuvé *socio=rien un double dispositif*socio=et *socio=nil : une norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données (NSDD), établie en mars*socio=rien 1996, sur*socio=rien laquelle se fondent les pays_membres*socio=ac qui ont ou sont susceptibles*socio=rien d'avoir accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te, et *socio=rien un système général de*socio=nil diffusion *socio=nil des données (SGDD), approuvé par le Conseil*socio=ac en décembre*socio=rien 1997, qui sert de guide*socio=rien à tous les pays_membres*socio=ac. En septembre*socio=rien 1996, le FMI*socio=ac a *socio=rien ouvert sur l'*socio=nil Internet*socio=ec1 un tableau d'*socio=nil affichage électronique *socio=nil qui permet au public*socio=et d'avoir accès*socio=uv1 aux *socio=rien informations sur les*socio=nil pratiques*socio=et des*socio=nil *socio=ac États membres *socio=nil souscrivant à la norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données (encadré 6). Communication*socio=ec1 d'informations*socio=rien au FMI*socio=ac par les *socio=ac États membres.*socio=nil En*socio=nil décembre*socio=rien *socio=nil 1997, le Conseil*socio=ac a procédé*socio=rien à son troisième*socio=rien examen*socio=ec2 des progrès*socio=uv1 réalisés par les *socio=ac États membres en*socio=nil matière*socio=rien de*socio=nil communication*socio=ec1 *socio=nil des données pour les besoins*socio=uv1 de la surveillance*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont noté de légers*socio=rien progrès*socio=uv1 en ce qui concerne la communication*socio=ec1 des données relatives*socio=rien aux indicateurs*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4 (taux_de_change*socio=ec1, réserves_internationales*socio=ec1, monnaie*socio=ec1 centrale*socio=rien, masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens large,*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1,*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil à la consommation*socio=ec1, exportations*socio=ec1 et importations*socio=ec1, solde*socio=ec1 des transactions*socio=ec1 *socio=te extérieures courantes,*socio=nil solde*socio=ec1 budgétaire*socio=et global,*socio=nil produit_intérieur_brut*socio=ec1 ou*socio=nil produit_national_brut*socio=ec1 et*socio=nil dette*socio=ec1 extérieure)*socio=nil .*socio=nil *socio=nil Ils se sont toutefois inquiétés de ce que certains pays*socio=ac ne fournissent pas régulièrement et en temps*socio=rien voulu les données requises*socio=uv4 pour la surveillance*socio=et. Ils ont aussi fait*socio=rien observer que, dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil cas,*socio=nil les*socio=nil retards *socio=nil dans la communication*socio=ec1 des données persistent et même augmentent. Ils ont invité instamment les pays_membres*socio=ac à communiquer au FMI*socio=ac des données plus actuelles*socio=te et de manière*socio=rien plus fréquente*socio=rien. L'expérience*socio=ec2 récente*socio=rien tend aussi à montrer que les indicateurs*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4 doivent être*socio=rien complétés par d'autres données reflétant les particularités*socio=rien de chaque pays*socio=ac afin d'accroître l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et entre les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV et de déceler les tensions*socio=ec2 se faisant *socio=rien jour sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 de*socio=nil capitaux*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont cité à cet égard*socio=rien les données sur*socio=rien les engagements*socio=et liés aux réserves*socio=ec1, les transactions*socio=ec1 des banques_centrales*socio=ac *socio=rien sur produits *socio=nil dérivés, la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te du*socio=rien secteur_privé*socio=et et les *socio=ec1 indicateurs bancaires de*socio=nil type*socio=rien prudentiel*socio=uv2.*socio=nil *socio=nil Dans ces *socio=rien grandes catégories,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont mentionné *socio=rien un certain nombre *socio=nil de données précises*socio=rien, concernant notamment les opérations*socio=rien à terme*socio=rien et les swaps, la structure*socio=ec1 des échéances*socio=te de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, la composition*socio=rien de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te à court_terme*socio=te, les réserves*socio=ec1 de change*socio=ec1 et le secteur*socio=rien financier*socio=ec1. De l'avis*socio=rien de certains administrateurs*socio=ac, la définition*socio=rien des indicateurs*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4 devrait être*socio=rien élargie pour intégrer ces données supplémentaires*socio=rien, qui sont cruciales*socio=uv4 pour la détection précoce*socio=rien des tensions*socio=ec2 naissantes*socio=rien. En outre, certains administrateurs*socio=ac ont suggéré l'adoption*socio=uv3 d'une norme*socio=et commune*socio=uv2 pour l'actualité*socio=uv3 et la fréquence*socio=rien de communication*socio=ec1 des données au FMI*socio=ac. Pour ce qui est*socio=rien de la *socio=rien question connexe *socio=nil de la qualité*socio=rien des données, les insuffisances*socio=uv3 de la couverture*socio=ec1 statistique*socio=ec2 et des méthodes*socio=ec2 de compilation diminuent souvent l'utilité*socio=rien des informations*socio=rien communiquées et posent des problèmes*socio=uv4 pour la conception*socio=et et le suivi des programmes*socio=et - tout particulièrement dans le cas*socio=rien des statistiques*socio=ec2 de la comptabilité*socio=ec1 nationale*socio=te, des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et de la balance_des_paiements*socio=ec1. Aussi les administrateurs*socio=ac ont-ils vivement invité les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac à approfondir leur évaluation*socio=ec2 de la qualité*socio=rien des données. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont rappelé le coût*socio=ec1 élevé*socio=uv4 des activités*socio=rien d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et suggéré que la mise en oeuvre*socio=rien des recommandations*socio=et par les *socio=ac pays bénéficiaires *socio=nil soit suivie de près. Les administrateurs*socio=ac se sont accordés pour penser que l'amélioration*socio=uv1 de la qualité*socio=rien des données doit faire partie*socio=rien d'un*socio=rien vaste*socio=rien effort*socio=uv1 visant à établir *socio=rien un cadre statistique*socio=ec2 solide *socio=nil dans les pays_membres*socio=ac, ce qui est*socio=rien précisément l'objet*socio=rien de la Norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données et *socio=rien du Système général de*socio=nil diffusion *socio=nil des données. Certains administrateurs*socio=ac ont suggéré que les rapports*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac indiquent clairement les ajustements*socio=et requis*socio=uv4 pour que les autorités*socio=et puissent identifier plus facilement les défauts*socio=rien des données et la façon*socio=rien d'y remédier. Diffusion*socio=rien publique*socio=et des données par les pays_membres*socio=ac. Revue de la Norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données. À l'occasion*socio=rien de leur première*socio=rien revue de la norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données en décembre*socio=rien 1997, les administrateurs*socio=ac ont noté que le nombre*socio=rien de souscripteurs*socio=ac (43) était grosso modo conforme*socio=uv4 aux attentes*socio=rien et ils ont exprimé l'espoir*socio=uv1 que ce *socio=rien nombre continue *socio=nil à augmenter. Les administrateurs*socio=ac se sont félicités de l'utilisation*socio=rien *socio=rien croissante du tableau d'*socio=nil affichage des*socio=nil normes*socio=et de*socio=nil diffusion *socio=nil par des clients*socio=ac extérieurs*socio=te, surtout depuis l'établissement*socio=rien de liens*socio=rien hypertexte entre ce tableau*socio=rien d'affichage*socio=rien et les sites*socio=rien des données nationales*socio=te (encadré 6). Les administrateurs*socio=ac pensent que la NSDD encourage l'amélioration*socio=uv1 des pratiques*socio=et de diffusion*socio=rien des données et offre*socio=rien une structure*socio=ec1 pour y procéder; les *socio=rien premiers commentaires des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui y on souscrit sont généralement positifs*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac se sont accordés pour penser que les propositions*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac concernant la mise à jour*socio=rien de la NSDD venaient à point*socio=rien nommé, étant donné les événements*socio=rien survenus récemment en Asie*socio=ac du*socio=rien Sud-est*socio=te et ailleurs*socio=rien. Ils ont approuvé les procédures*socio=et proposées par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac pour modifier la NSDD, qui sont dans le droit*socio=uv1 *socio=rien fil du processus*socio=te de*socio=nil consultation*socio=uv1 transparent*socio=uv4 *socio=nil qui sous-tend cette norme*socio=et. Cela implique une modification*socio=rien de la composition*socio=rien des données de sorte*socio=rien que les engagements*socio=et liés aux réserves*socio=ec1 deviennent une composante*socio=rien obligatoire*socio=uv2 et non plus simplement encouragée, et que les engagements*socio=et nets*socio=rien au titre*socio=rien des *socio=rien positions sur produits *socio=nil dérivés deviennent une composante*socio=rien obligatoire*socio=uv2 supplémentaire*socio=rien. Certains administrateurs*socio=ac ont toutefois émis des réserves*socio=ec1 à cet égard*socio=rien, invoquant des problèmes*socio=uv4 de définition*socio=rien et de confidentialité*socio=uv1. Les administrateurs*socio=ac ont jugé qu'avant de modifier la NSDD pour y inclure des indicateurs*socio=ec1 de solidité*socio=uv3 financière*socio=ec1, il faudrait attendre l'élaboration*socio=rien de normes*socio=et de diffusion*socio=rien de données macro-prudentielles et s'inspirer *socio=rien du travail fait *socio=nil par d'autres organisations*socio=ac, y compris la BRI*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac sont aussi convenus d'établir un*socio=rien calendrier*socio=te plus précis*socio=rien pour la diffusion*socio=rien par les *socio=ac pays souscripteurs *socio=nil des données sur*socio=rien leur position*socio=rien extérieure*socio=te globale*socio=rien, notamment sur*socio=rien l'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te à court_terme*socio=te du*socio=rien secteur_privé*socio=et non bancaire*socio=ec1. Pour la période*socio=te à venir, la crédibilité*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac et des souscripteurs*socio=ac à la NSDD exige que les *socio=ac pays souscripteurs *socio=nil apportent les changements*socio=uv3 nécessaires*socio=rien à leurs pratiques*socio=et de diffusion*socio=rien pour se conformer*socio=rien pleinement à la NSDD d'ici la fin*socio=rien de 1998. Constatant le peu de progrès*socio=uv1 accomplis dans l'exécution*socio=rien des plans*socio=rien d'action*socio=ec1 engagés par *socio=rien un certain nombre de*socio=nil souscripteurs*socio=ac actuels*socio=te,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont vivement encouragé les pays_membres*socio=ac à mettre en oeuvre*socio=rien les plans*socio=rien de transition*socio=ec2 annoncés et demandé aux services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac de s'attacher en priorité*socio=uv4 à aider les souscripteurs*socio=ac à achever la transition*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac estiment qu'il serait prudent*socio=uv2 pour les pays_membres*socio=ac désireux*socio=uv2 de souscrire à la norme*socio=et en 1998 de chercher sérieusement à déterminer dans quelle mesure*socio=rien il est*socio=rien probable*socio=uv4 qu'ils s'y conformeront pleinement d'ici la fin*socio=rien de la période*socio=te de transition*socio=ec2 en décembre*socio=rien 1998. À propos*socio=rien de la marche*socio=rien à suivre en cas*socio=rien de non-respect de la NSDD par un*socio=rien souscripteur après*socio=rien la fin*socio=rien de la période*socio=te de transition*socio=ec2, certains administrateurs*socio=ac ont souligné la nécessité*socio=uv1 de faire une distinction*socio=rien entre les écarts*socio=ec2 mineurs*socio=rien et les manquements graves*socio=uv4; les administrateurs*socio=ac sont convenus de réexaminer cette *socio=rien question lors *socio=nil de la prochaine*socio=rien revue de la norme*socio=et. Bien*socio=rien que certains administrateurs*socio=ac soient d'avis*socio=rien qu'il conviendrait d'envisager une forme*socio=rien quelconque de recouvrement*socio=ec1 de coûts*socio=ec1, le Conseil*socio=ac a décidé que, pour le moment*socio=rien, les coûts*socio=ec1 relatifs*socio=rien à la norme*socio=et spéciale*socio=rien et au tableau*socio=rien d'affichage*socio=rien électronique*socio=rien ne devraient pas être*socio=rien à la charge*socio=rien des utilisateurs*socio=rien, car la *socio=ac communauté internationale tout*socio=nil entière*socio=rien *socio=nil bénéficie de la *socio=rien vaste portée du tableau d'*socio=nil affichage.*socio=nil Système général de*socio=nil diffusion *socio=nil des données. À la différence*socio=rien de la norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données, qui s'adresse*socio=rien aux pays*socio=ac qui, en général*socio=rien, satisfont déjà à des normes*socio=et élevées*socio=uv4 de qualité*socio=rien des données, le *socio=rien système général de*socio=nil diffusion *socio=nil des données (SGDD) vise principalement à améliorer la qualité*socio=rien des données dans tous les pays_membres*socio=ac. Le *socio=rien but est *socio=nil de veiller à l'établissement*socio=rien et à la diffusion*socio=rien d'une gamme*socio=rien complète de données économiques*socio=ec1, financières*socio=ec1 et socio-démographiques en vue*socio=rien de constituer des ensembles*socio=rien statistiques*socio=ec2 globaux*socio=te - comprenant les comptes*socio=ec1 nationaux*socio=te pour le *socio=rien secteur réel,*socio=nil les*socio=nil comptes*socio=ec1 des*socio=nil administrations_centrales*socio=ac *socio=nil pour le secteur*socio=rien budgétaire*socio=et, la situation*socio=rien de la masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens large *socio=nil pour le secteur*socio=rien financier*socio=ec1 et les comptes*socio=ec1 de la balance_des_paiements*socio=ec1 pour le secteur*socio=rien extérieur*socio=te, ainsi qu'un*socio=rien ensemble*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 socio-démographiques. Lorsqu'ils ont approuvé en décembre*socio=rien 1997 la proposition*socio=rien visant à mettre en place*socio=rien le *socio=rien système général de*socio=nil diffusion *socio=nil des données, les administrateurs*socio=ac ont vu dans ce *socio=rien système un instrument*socio=et important*socio=uv4 *socio=nil pour tous les pays_membres*socio=ac - non seulement en tant que guide*socio=rien pour la diffusion*socio=rien publique*socio=et des données, mais aussi en tant qu'incitation*socio=uv3 à améliorer la qualité*socio=rien des données et à les rendre plus accessibles*socio=uv2. Les administrateurs*socio=ac ont reconnu que, dans bien*socio=rien des pays*socio=ac, l'amélioration*socio=uv1 de la qualité*socio=rien des données *socio=rien est un préalable nécessaire *socio=nil à l'amélioration*socio=uv1 de leur diffusion*socio=rien et que le SGDD *socio=rien offre un cadre utile*socio=uv4 *socio=nil pour l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien vaste ensemble de*socio=nil statistiques*socio=ec2.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont déclarés favorables*socio=uv4 au centrage *socio=rien du système sur un ensemble *socio=nil de séries statistiques*socio=ec2 et d'indicateurs*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4, complété par des systèmes*socio=rien et catégories*socio=rien de données améliorés, car le SGDD trouve dès lors*socio=rien une *socio=rien application pratique pour*socio=nil un très*socio=nil grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil et les liens*socio=rien entre le SGDD et la NSDD sont clairement établis. Ces liens*socio=rien sont particulièrement utiles*socio=uv4 pour les pays*socio=ac qui sont désireux*socio=uv2 de participer au SGDD pour arriver à souscrire à la NSDD. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac sont favorables*socio=uv4 à l'inclusion*socio=rien dans le *socio=rien système général d'*socio=nil un ensemble d'*socio=nil indicateurs*socio=ec1 *socio=nil socio-démographiques, qui constituent un*socio=rien paramètre important*socio=uv4 pour évaluer l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac. Quelques administrateurs*socio=ac ont réaffirmé que la responsabilité*socio=uv1 première*socio=rien de l'établissement*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 sociaux*socio=et doit être*socio=rien laissée à d'autres organisations_internationales*socio=ac et certains doutaient qu'il soit judicieux*socio=uv4 d'inclure ces données dans le SGDD. À cet égard*socio=rien, les administrateurs*socio=ac sont convenus que le FMI*socio=ac doit travailler en étroite*socio=rien coopération*socio=uv1 avec les organisations*socio=ac régionales*socio=te et les autres institutions_internationales*socio=ac. Le Conseil*socio=ac a reconnu que, comme l'ouverture*socio=uv3 et la transparence*socio=uv3, les questions*socio=rien d'accès*socio=uv1 et d'intégrité*socio=uv1 sont des dimensions*socio=rien importantes*socio=uv4 du*socio=rien SGDD. Dans beaucoup de pays*socio=ac, les principes*socio=ec2 qui les sous-tendent ne sont pas encore d'application*socio=rien courante*socio=te, et il semble donc approprié que le SGDD privilégie le développement*socio=uv3 de ces dimensions*socio=rien dans la pratique*socio=rien des organismes*socio=ac qui établissent et diffusent des données statistiques*socio=ec2. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac se sont déclarés favorables*socio=uv4 à une approche graduée pour la mise en *socio=rien oeuvre du *socio=nil SGDD, commençant par l'instruction*socio=rien et la formation*socio=et dispensées à l'aide*socio=uv1 d'une documentation*socio=rien appropriée, de séminaires*socio=ac et d'ateliers*socio=rien (encadré 7). Le Conseil*socio=ac a reconnu que le SGDD *socio=rien est un projet*socio=et très*socio=nil ambitieux*socio=uv2,*socio=nil *socio=nil tant pour le FMI*socio=ac que pour les pays*socio=ac qui peuvent souhaiter y participer, et de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac étaient d'avis*socio=rien qu'il convient d'étaler sa mise en *socio=rien oeuvre sur le*socio=nil long_terme*socio=te,*socio=nil compte*socio=ec1 *socio=nil tenu non seulement de son coût*socio=ec1 substantiel*socio=rien, en termes*socio=rien de ressources*socio=ec1, pour le FMI*socio=ac et pour les pays*socio=ac, mais aussi de la capacité*socio=uv3 d'absorption*socio=rien des pays*socio=ac participants*socio=rien. Renforcement*socio=ec2 de la collaboration*socio=uv1 Fmi-banque mondiale*socio=te sur*socio=rien la réforme*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil FMI*socio=ac *socio=nil et la banque_mondiale*socio=ac collaborent depuis longtemps sur*socio=rien les questions*socio=rien touchant au secteur*socio=rien financier*socio=ec1 (voir également l'appendice*socio=rien IV). En août*socio=rien 1997, le Conseil*socio=ac a examiné cette collaboration*socio=uv1, soulignant qu'il était crucial*socio=rien de maximiser l'efficacité*socio=uv3 des deux institutions*socio=ac dans leurs efforts*socio=uv1 en vue*socio=rien d'aider les pays*socio=ac à renforcer leurs systèmes_financiers*socio=ec1 et il a considéré qu'il était urgent*socio=uv4 d'améliorer leur coopération*socio=uv1. L'accord*socio=et conclu en 1989 entre le FMI*socio=ac et la banque_mondiale*socio=ac sur*socio=rien la collaboration*socio=uv1 des deux institutions*socio=ac au service*socio=et des pays_membres*socio=ac dans leurs domaines*socio=rien de compétences*socio=uv3 respectifs*socio=rien représente toujours *socio=rien un cadre général *socio=nil approprié, mais les administrateurs*socio=ac ont été*socio=rien d'avis*socio=rien que les attributions*socio=rien de chaque institution*socio=ac demandaient à être*socio=rien précisées et les modalités*socio=rien de la coopération*socio=uv1 améliorées. Les administrateurs*socio=ac ont mis l'accent*socio=rien sur*socio=rien la collaboration*socio=uv1, qui permet d'identifier rapidement les problèmes*socio=uv4 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 *socio=nil dès qu'ils apparaissent; la conduite*socio=rien des opérations*socio=rien par chaque institution*socio=ac dans son *socio=rien principal domaine de*socio=nil compétences*socio=uv3,*socio=nil l'*socio=nil élimination*socio=ec2 *socio=nil des double-emplois lorsque les domaines*socio=rien de compétences*socio=uv3 se chevauchent et la parfaite*socio=rien coordination*socio=uv3 de l'analyse*socio=ec2 macro-économique*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac et des recommandations*socio=et de politique*socio=et sectorielle*socio=rien de la Banque*socio=ac. Les deux institutions*socio=ac doivent aussi tenir dûment compte*socio=ec1 des *socio=rien attributions du Comité*socio=ac *socio=nil de Bâle dans le domaine*socio=rien de la surveillance*socio=et bancaire*socio=ec1. Nombre*socio=rien d'administrateurs*socio=ac auraient souhaité une démarcation*socio=rien plus nette*socio=rien des domaines*socio=rien d'attributions*socio=rien des deux institutions*socio=ac, tout en reconnaissant qu'il était sans *socio=rien doute impossible *socio=nil d'éviter certains chevauchements*socio=rien - notamment dans les domaines*socio=rien de la surveillance*socio=et, de la réglementation*socio=et et de la législation*socio=et bancaires*socio=ec1. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont souligné que la restructuration*socio=et des systèmes_bancaires*socio=ec1 incombe principalement à la banque_mondiale*socio=ac. Néanmoins, beaucoup pensaient que le FMI*socio=ac y a son rôle*socio=et à jouer en cas*socio=rien de crise*socio=uv2, en particulier*socio=rien dans les pays*socio=ac où il est*socio=rien intervenu plus activement. Ils ont toutefois souligné que ces cas*socio=rien devraient *socio=rien être rares,*socio=nil *socio=nil que l'intervention*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac en *socio=rien pareilles situations devait*socio=nil être temporaire *socio=nil et que la mise en oeuvre*socio=rien des programmes*socio=et de restructuration*socio=et devait *socio=rien être du *socio=nil ressort de la Banque*socio=ac. D'après*socio=rien le mandat*socio=rien qui lui a été*socio=rien confié, certains administrateurs*socio=ac étaient d'avis*socio=rien que le FMI*socio=ac devrait centrer son *socio=rien attention sur les*socio=nil implications macro-économiques*socio=ec1 des*socio=nil réformes*socio=et.*socio=nil *socio=nil Mais les administrateurs*socio=ac espéraient que la Banque*socio=ac, en renforçant ses activités*socio=rien dans le secteur*socio=rien financier*socio=ec1 - notamment avec la création*socio=uv4 de la Commission*socio=ac *socio=rien technique du secteur financier*socio=ec1 *socio=nil - sera mieux en mesure*socio=rien de réagir rapidement et avec souplesse*socio=uv3 pour aider à l'élaboration*socio=rien de programmes*socio=et de restructuration*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 en*socio=nil situation de*socio=nil crise*socio=uv2.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont aussi insisté sur*socio=rien le rôle*socio=et de la Banque*socio=ac - à un*socio=rien stade*socio=te précoce*socio=rien - dans l'identification*socio=rien de repères spécifiques*socio=rien à incorporer dans les programmes*socio=et financiers*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac pour la restructuration*socio=et du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1. *socio=rien Questions relatives aux*socio=nil taux_de_change*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil En 1997 / 98, le Conseil*socio=ac a examiné deux *socio=rien questions relatives aux*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil qui ont *socio=rien un rapport direct *socio=nil avec la surveillance*socio=et : les méthodes*socio=ec2 d'évaluation*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 et les stratégies*socio=et de transition*socio=ec2 d'un*socio=rien régime*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 fixe à un*socio=rien régime*socio=et souple*socio=uv4 ("stratégies*socio=et d'abandon*socio=rien"). Évaluation*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 et surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac. Lors*socio=rien de l'examen*socio=ec2 de la méthodologie d'évaluation*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 et de son application*socio=rien à la surveillance*socio=et des principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac, le Conseil*socio=ac a souligné en octobre*socio=rien 1997 que le FMI*socio=ac, en tant qu'institution*socio=ac *socio=rien centrale du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te,*socio=nil *socio=nil doit constamment chercher à affiner son analyse*socio=ec2 et sa surveillance*socio=et des politiques*socio=et de change*socio=ec1. Le FMI*socio=ac bénéficie d'une perspective*socio=rien mondiale*socio=te et d'un*socio=rien ensemble*socio=rien de compétences*socio=uv3 techniques*socio=rien et d'expérience*socio=ec2 pratique*socio=rien que les services*socio=et de l'institution*socio=ac ont mis à profit*socio=ec1 en affinant le cadre*socio=rien d'analyse*socio=rien et en formulant des opinions*socio=ec2 sur*socio=rien les *socio=rien questions relatives aux*socio=nil taux_de_change*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans ce contexte*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont aussi fait*socio=rien valoir la nécessité*socio=uv1 de coopérer avec les milieux*socio=rien universitaires*socio=et. Les administrateurs*socio=ac partageaient le point*socio=rien de vue*socio=rien selon lequel la méthodologie fondée sur*socio=rien les équilibres macro-économiques*socio=ec1 qu'utilisent les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac (encadré 8) complète plus qu'elle ne remplace les diverses*socio=rien mesures*socio=et de la compétitivité*socio=uv3 internationale*socio=ac et de la situation*socio=rien des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 qui ont toujours rempli une *socio=rien fonction primordiale *socio=nil dans la surveillance*socio=et des politiques*socio=et et des taux_de_change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac sont généralement convenus qu'il *socio=rien est impossible *socio=nil d'identifier précisément les valeurs*socio=ec1 "d'équilibre*socio=ec2" des taux_de_change*socio=ec1 et que des estimations*socio=ec2 ponctuelles*socio=te de taux*socio=ec1 d'équilibre*socio=ec2 fictifs sont à éviter en général*socio=rien. Ils s'accordaient néanmoins à penser qu'il est*socio=rien important*socio=uv4 que la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac s'appuie sur*socio=rien une méthodologie rigoureuse*socio=uv4, systématique*socio=rien et transparente*socio=uv4. À leur avis*socio=rien, la méthodologie actuelle*socio=te offre*socio=rien une *socio=rien bonne base de*socio=nil départ.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont souligné qu'il est*socio=rien essentiel*socio=uv4, pour déterminer si le taux_de_change*socio=ec1 est*socio=rien approprié, de tenir compte*socio=ec1 de la situation*socio=rien conjoncturelle*socio=te et de la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv3 macro-économiques*socio=ec1 globaux*socio=te. Des divergences*socio=uv1 des taux_de_change*socio=ec1 par rapport*socio=rien à leur niveau*socio=rien d'équilibre*socio=ec2 à *socio=rien moyen terme peuvent*socio=nil être *socio=nil justifiées, et même utiles*socio=uv4, s'il existe des écarts*socio=ec2 de situation*socio=rien conjoncturelle*socio=te entre les principaux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Pour ces raisons*socio=rien, les administrateurs*socio=ac préconisent d'envisager cas*socio=rien par cas*socio=rien les mesures*socio=et à prendre, si besoin*socio=uv1 est*socio=rien, quand les taux_de_change*socio=ec1 semblent s'écarter sensiblement de leur valeur*socio=ec1 d'équilibre*socio=ec2 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil De*socio=nil nombreux administrateurs*socio=ac *socio=nil considèrent que la méthode*socio=ec2 actuelle*socio=te d'évaluation*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 pourrait être*socio=rien appliquée plus largement, en particulier*socio=rien aux pays*socio=ac non industrialisés d'importance*socio=rien régionale*socio=te qui ont accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1. Certains administrateurs*socio=ac ont toutefois reconnu que les lacunes*socio=uv4 des données et la diversité*socio=uv1 des conditions_économiques*socio=ec1 pourraient limiter*socio=rien l'applicabilité de cette méthode*socio=ec2 dans le cas*socio=rien des pays*socio=ac à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien ou en développement*socio=uv3. Stratégies*socio=et d'abandon*socio=rien d'un*socio=rien régime*socio=et de change*socio=ec1 - *socio=rien Options offertes aux*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui souhaitent adopter un*socio=rien taux*socio=ec1 plus flexible*socio=uv4. Lorsqu'ils ont examiné, en janvier*socio=rien 1988, *socio=rien un document des*socio=nil services*socio=et du FMI*socio=ac sur les*socio=nil stratégies*socio=et d'*socio=nil abandon de*socio=nil régimes*socio=et de*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil relativement fixe pour des régimes*socio=et plus souples*socio=uv4, les administrateurs*socio=ac ont reconnu que le choix*socio=uv1 d'un*socio=rien régime*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 est*socio=rien une question*socio=rien complexe dans laquelle interviennent des *socio=rien facteurs propres *socio=nil à chaque pays*socio=ac. Ces facteurs*socio=rien comprennent notamment les caractéristiques*socio=rien structurelles*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 et ses antécédents*socio=ec1 en matière*socio=rien d'inflation*socio=ec1, le degré*socio=rien de vulnérabilité*socio=uv1 aux chocs*socio=ec2 et la nature*socio=rien de ces chocs*socio=ec2, le degré*socio=rien de diversification*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 et des importations*socio=ec1 et le degré*socio=rien de libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 et d'ouverture*socio=uv3 aux marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 mondiaux*socio=te. Plus généralement, quel que soit le régime*socio=et choisi, il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 que les politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 soient raisonnablement compatibles*socio=rien avec ce régime*socio=et, et que les autorités*socio=et annoncent clairement les objectifs*socio=uv3 de leurs politiques*socio=et et les moyens*socio=ec1 qu'elles entendent mettre en oeuvre*socio=rien pour les atteindre. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont noté que l'utilité*socio=rien des parités*socio=ec1 fixes, des unions*socio=ac monétaires*socio=ec1 ou des caisses*socio=ec1 d'émission*socio=rien a été*socio=rien démontrée dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil cas,*socio=nil *socio=nil notamment dans de petites*socio=rien économies*socio=ec1 ouvertes*socio=rien et certaines*socio=rien économies*socio=ec1 en développement*socio=uv3 ou en transition*socio=ec2, au moins à un*socio=rien stade*socio=te donné des efforts*socio=uv1 de développement*socio=uv3 et de stabilisation*socio=et. S'agissant des économies_en_transition*socio=ec1, quelques administrateurs*socio=ac ont noté que la balance*socio=ec1 des coûts*socio=ec1 et des avantages*socio=rien tend à pencher en faveur*socio=rien d'une plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1, dès lors*socio=rien que l'inflation*socio=ec1 se ralentit et que la transition*socio=ec2 progresse. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac étaient d'avis*socio=rien que la mondialisation*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 a compliqué la gestion*socio=ec2 des régimes*socio=et de parité*socio=ec1 fixe. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont cité en particulier*socio=rien le risque*socio=uv3 grandissant*socio=rien de voir les taux*socio=ec1 fixes inciter les institutions_financières*socio=ac et les entreprises*socio=ac non financières*socio=ec1 à prendre des risques*socio=uv3 de change*socio=ec1 non couverts. Tout en admettant que le maintien*socio=rien d'un*socio=rien taux*socio=ec1 fixe resterait avantageux*socio=rien pour certains pays*socio=ac, moyennant des mesures*socio=et d'accompagnement*socio=rien appropriées, et qu'il n'y a pas lieu*socio=rien de présumer que tous les pays*socio=ac gagneraient à appliquer des taux*socio=ec1 flexibles*socio=uv4, les administrateurs*socio=ac ont noté que certains pays*socio=ac qui avaient jusqu'à présent*socio=rien des parités*socio=ec1 fixes ou relativement fixes souhaiteraient peut-être passer maintenant à un*socio=rien régime*socio=et plus souple*socio=uv4. Il convient donc de rechercher les meilleurs*socio=uv4 moyens*socio=ec1 d'opérer cette transition*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que, lorsqu'on abandonne un*socio=rien régime*socio=et de parité*socio=ec1 fixe, il convient d'être*socio=rien très attentif*socio=rien à la conception*socio=et *socio=rien du nouveau cadre de*socio=nil politique*socio=et macro-économique*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Étant donné le *socio=rien grand nombre de*socio=nil considérations,*socio=nil *socio=nil souvent complexes, qui interviennent dans la décision*socio=et d'abandonner ce régime*socio=et, même lorsque la *socio=rien situation est favorable*socio=uv4,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil étaient d'avis*socio=rien que le FMI*socio=ac pourrait jouer un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 en donnant aux pays_membres*socio=ac en *socio=rien temps opportun des*socio=nil conseils*socio=ac clairs sur la*socio=nil stratégie*socio=et d'*socio=nil abandon *socio=nil appropriée et sur*socio=rien son calendrier*socio=te. L'abandon*socio=rien trop rapide*socio=rien de la parité*socio=ec1 fixe peut être*socio=rien aussi nuisible*socio=rien à la crédibilité*socio=uv1 de la politique*socio=et des autorités*socio=et qu'une défense*socio=uv1 trop prolongée peut l'être*socio=rien pour le niveau*socio=rien des réserves*socio=ec1 en devises*socio=ec1. Il a été*socio=rien proposé d'accorder, lorsque le cas*socio=rien se présente*socio=rien, une plus haute*socio=rien priorité*socio=uv4 à l'examen*socio=ec2 de ces questions*socio=rien dans les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac se sont accordés à penser que si l'adoption*socio=uv3 d'un*socio=rien taux*socio=ec1 flexible*socio=uv4 est*socio=rien justifiée, il convient d'opérer la transition*socio=ec2 à *socio=rien un moment *socio=nil où les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1 sont relativement calmes ou lorsque la monnaie*socio=ec1 fait*socio=rien l'objet*socio=rien de pressions*socio=ec2 à la hausse*socio=rien, et non pas lorsqu'elle est*socio=rien attaquée. Ils ont noté toutefois qu'il entre dans cette décision*socio=et une *socio=rien grande part d'*socio=nil appréciation*socio=uv3 *socio=nil et qu'elle est*socio=rien souvent difficile*socio=rien à prendre lorsque la conjoncture*socio=ec2 est*socio=rien favorable*socio=uv4, car rien*socio=rien ne semble alors justifier l'abandon*socio=rien d'un*socio=rien régime*socio=et apparemment satisfaisant*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac sont convenus que l'abandon*socio=rien d'une parité*socio=ec1 fixe en période*socio=te de crise*socio=uv2 pose beaucoup plus de problèmes*socio=uv4, car une certaine*socio=rien instabilité*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 est*socio=rien alors à prévoir. Pour atténuer la dépréciation*socio=ec2 et renforcer la crédibilité*socio=uv1 de l'action*socio=ec1 gouvernementale*socio=ac en *socio=rien pareilles circonstances,*socio=nil il*socio=nil est indispensable*socio=uv4 *socio=nil que les autorités*socio=et nationales*socio=te prennent *socio=rien un ensemble de*socio=nil mesures*socio=et d'*socio=nil accompagnement vigoureuses et*socio=nil crédibles*socio=uv2,*socio=nil *socio=nil notamment des *socio=ec1 actions macro-économiques *socio=nil et des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 accélérées, en veillant à ce que ces mesures*socio=et se complètent. Les administrateurs*socio=ac ont aussi fait*socio=rien ressortir la nécessité*socio=uv1 d'inscrire l'action*socio=ec1 gouvernementale*socio=ac dans *socio=rien un nouveau cadre après l'*socio=nil abandon *socio=nil de la parité*socio=ec1 fixe, afin d'ancrer les anticipations*socio=uv3 d'inflation*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont exprimé des opinions*socio=ec2 divergentes*socio=uv2 quant au durcissement*socio=ec2 nécessaire*socio=rien de la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 en *socio=rien pareil cas.*socio=nil *socio=nil Certains ont évoqué la *socio=rien situation récente *socio=nil de l'Asie*socio=ac de l'_est*socio=te, où les mesures*socio=et monétaires*socio=ec1 rapides*socio=rien et concertées n'ont pas été*socio=rien assez vigoureuses*socio=rien pour empêcher le dérapage*socio=uv4 continu*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil monnaies*socio=ec1 *socio=nil de la région*socio=te. D'autres ont noté que des taux_d'_intérêt*socio=ec1 très élevés*socio=uv4 risqueraient d'intensifier la pression*socio=ec2 sur*socio=rien les banques*socio=ac et sur*socio=rien les entreprises*socio=ac, deux secteurs*socio=rien déjà fragiles*socio=rien dans la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac, et d'aggraver la contraction*socio=ec2 économique*socio=ec1 qui en résulte. Partant de *socio=rien considérations analogues,*socio=nil certains*socio=nil administrateurs*socio=ac ont*socio=nil fait *socio=nil valoir qu'une approche plus souple*socio=uv4 de la politique_budgétaire*socio=et pourrait *socio=rien être souhaitable *socio=nil dans certains cas*socio=rien, surtout dans les pays*socio=ac où la politique_budgétaire*socio=et reposait sur*socio=rien des bases*socio=rien solides*socio=uv4 avant la crise*socio=uv2. Les administrateurs*socio=ac ont longuement discuté des difficultés*socio=uv4 que posent les problèmes*socio=uv4 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 *socio=nil pour le choix*socio=uv1 d'un*socio=rien régime*socio=et de change*socio=ec1, notant que, lorsque la situation*socio=rien financière*socio=ec1 est*socio=rien précaire*socio=uv2, il est*socio=rien plus malaisé*socio=rien de défendre un*socio=rien taux*socio=ec1 fixe au moyen*socio=rien d'une hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1, qui ne fait*socio=rien qu'aggraver les problèmes*socio=uv4 de service_de_la_dette*socio=ec1 et affaiblir encore le secteur*socio=rien financier*socio=ec1. Néanmoins, comme le montre la situation*socio=rien en Asie*socio=ac de l'_est*socio=te, une dépréciation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 *socio=rien intervenant après une*socio=nil longue période*socio=te de*socio=nil stabilité*socio=uv3 du taux_de_change*socio=ec1 risque*socio=uv3 *socio=nil de compromettre la solidité*socio=uv3 des établissements*socio=ac financiers*socio=ec1 et non financiers*socio=ec1, qui n'ont généralement pas couvert leurs engagements*socio=et extérieurs*socio=te en devises*socio=ec1. {page*socio=rien 51} L'idéal serait évidemment de renforcer la réglementation*socio=et et le contrôle*socio=uv3 prudentiels*socio=uv2 et de limiter*socio=rien les positions*socio=rien non couvertes avant d'abandonner la parité*socio=ec1 fixe. Les administrateurs*socio=ac avaient des avis*socio=rien partagés quant à savoir*socio=rien s'il est*socio=rien justifié de différer l'adoption*socio=uv3 d'un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 plus flexible*socio=uv4 lorsque de telles mesures*socio=et n'ont pas *socio=rien été prises au*socio=nil préalable.*socio=nil Certains*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont surtout argué *socio=rien du fait *socio=nil que la défense*socio=uv1 de la parité*socio=ec1 affaiblit encore davantage la situation*socio=rien des banques*socio=ac et des entreprises*socio=ac, tandis que d'autres ont fait*socio=rien valoir que, dans certains cas*socio=rien, il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 d'entreprendre la restructuration*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 *socio=nil et de réduire les positions*socio=rien en devises*socio=ec1 non couvertes avant de procéder à une forte*socio=rien dévaluation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1. Plusieurs administrateurs*socio=ac estimaient qu'il conviendrait de poursuivre l'étude*socio=ec2 des mesures*socio=et que pourraient prendre, faute de mieux, les pays*socio=ac dont les secteurs*socio=rien financiers*socio=ec1 sont fragiles*socio=rien, et notamment de rechercher les moyens*socio=ec1 de renforcer aussi vite que possible*socio=rien les normes*socio=et bancaires*socio=ec1 et prudentielles*socio=uv2 et d'instituer une procédure*socio=et de faillite*socio=ec1 claire*socio=rien. Certains administrateurs*socio=ac ont jugé qu'il serait avantageux*socio=rien d'imposer un*socio=rien contrôle*socio=uv3 sélectif*socio=rien des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 pour limiter*socio=rien la gravité de la dépréciation*socio=ec2 après*socio=rien une crise*socio=uv2 de change*socio=ec1 ainsi que pour réduire les risques*socio=uv3 de crises*socio=uv2 à court_terme*socio=te. Néanmoins, plusieurs autres administrateurs*socio=ac ont émis des réserves*socio=ec1 quant aux mesures*socio=et de ce type*socio=rien qui, selon eux, risquent fort*socio=rien d'être*socio=rien inefficaces*socio=uv4 au-delà du*socio=rien court_terme*socio=te et peuvent même aller à l'encontre*socio=rien *socio=rien du but *socio=nil recherché en provoquant des sorties massives*socio=rien de capitaux*socio=ec1. Il serait plus indiqué de renforcer la réglementation*socio=et et le contrôle*socio=uv3 prudentiels*socio=uv2 des institutions_financières*socio=ac et non financières*socio=ec1. Cette réglementation*socio=et pourrait notamment viser les emprunts*socio=ec1 en devises*socio=ec1 à court_terme*socio=te des sociétés*socio=ac résidentes, ainsi que la communication*socio=ec1 d'informations*socio=rien par les institutions_financières*socio=ac étrangères*socio=te. La politique_monétaire*socio=et dans les économies*socio=ec1 dollarisées. La "dollarisation*socio=ec1", c'est-à-dire la détention par les résidents*socio=ac d'une *socio=rien large part *socio=nil de leurs actifs*socio=ec1 sous forme*socio=rien d'instruments*socio=et libellés en devises*socio=ec1 étrangères*socio=te, *socio=rien est un phénomène courant *socio=nil dans les pays_en_développement*socio=uv3 et les pays*socio=ac en transition*socio=ec2. De tous les pays*socio=ac qui ont entrepris des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac au cours*socio=rien des dix *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil on peut considérer que presque la moitié*socio=rien sont dollarisés et qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre *socio=nil d'autres le sont dans une *socio=rien large mesure.*socio=nil *socio=nil Dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=ec2 des effets*socio=rien économiques*socio=ec1 de la dollarisation*socio=ec1 en janvier*socio=rien 1998, le conseil_d'_administration*socio=ac est*socio=rien convenu que dans une économie*socio=ec1 mondialisée où les mouvements_de_capitaux*socio=ec1 sont de plus en plus libres*socio=uv2 et les marchés_financiers*socio=ec1 déréglementés, la plupart*socio=rien des pays*socio=ac connaissent *socio=rien un certain degré de*socio=nil dollarisation*socio=ec1 *socio=nil - qu'il s'agisse de substitution*socio=rien de monnaie*socio=ec1, de substitution*socio=rien d'actifs*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de la diversification*socio=ec2 des portefeuilles*socio=ec1 d'actifs*socio=ec1 en devises*socio=ec1 ou d'une combinaison*socio=rien des deux. Plusieurs administrateurs*socio=ac y voyaient *socio=rien un aspect *socio=nil anodin de l'environnement*socio=et économique*socio=ec1 d'aujourd'hui, auquel tous les pays*socio=ac doivent s'adapter*socio=rien. D'autres étaient moins catégoriques*socio=rien à cet égard*socio=rien, et s'interrogeaient notamment sur*socio=rien les adaptations*socio=uv3 nécessaires*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 pour faire face*socio=rien aux problèmes*socio=uv4 associés*socio=rien à la substitution*socio=rien de monnaie*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac se sont accordés pour penser que la dollarisation*socio=ec1 *socio=rien est un phénomène important*socio=uv4 *socio=nil dans les pays*socio=ac avancés - et qu'il le sera encore davantage avec l'introduction*socio=rien de l'euro - mais leur discussion*socio=et a été*socio=rien axée sur*socio=rien les effets*socio=rien de la dollarisation*socio=ec1 dans les économies*socio=ec1 en développement*socio=uv3 ou en transition*socio=ec2. Dans beaucoup de ces pays*socio=ac, la dollarisation*socio=ec1 témoigne*socio=rien d'un*socio=rien manque*socio=rien de confiance*socio=uv1 dans la capacité*socio=uv3 de la monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te à remplir efficacement ses fonctions*socio=rien. Avantages*socio=rien et risques*socio=uv3 de la dollarisation*socio=ec1. La dollarisation*socio=ec1 présente*socio=rien à la fois*socio=rien des avantages*socio=rien et des risques*socio=uv3 pour les pays_en_développement*socio=uv3. Dans *socio=rien certaines circonstances,*socio=nil les*socio=nil dépôts*socio=ec1 en*socio=nil devises*socio=ec1 *socio=nil peuvent promouvoir la croissance*socio=uv3 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 intérieur*socio=te,*socio=nil par*socio=nil exemple *socio=nil en permettant aux banques*socio=ac nationales*socio=te de faire concurrence*socio=ec1 aux établissements*socio=ac extra-territoriaux. La dollarisation*socio=ec1 est*socio=rien parfois le *socio=rien seul moyen efficace*socio=uv4 *socio=nil de remonétiser une économie*socio=ec1 en cas*socio=rien d'instabilité*socio=uv3 extrême*socio=uv4 des prix*socio=ec1 et de fuite*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1. Mais, en particulier*socio=rien dans les pays*socio=ac où le système_financier*socio=ec1 *socio=rien est faible *socio=nil et immature, la dollarisation*socio=ec1 peut accroître les risques*socio=uv3 pour le secteur*socio=rien financier*socio=ec1, à cause*socio=rien de la dégradation*socio=uv3 de la qualité*socio=rien des portefeuilles*socio=ec1 de prêts*socio=ec1 en devises*socio=ec1, en cas*socio=rien de forte*socio=rien dévaluation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te, et *socio=rien du fait *socio=nil que la banque_centrale*socio=ac ne peut intervenir en tant que prêteur*socio=ac de *socio=rien dernier recours *socio=nil que dans *socio=rien certaines limites.*socio=nil Les*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui détiennent des montants*socio=ec1 élevés*socio=uv4 d'encaisses en devises*socio=ec1 étrangères*socio=te perdraient aussi des recettes*socio=ec1 au *socio=rien titre du *socio=nil seigneuriage. En ce qui concerne les implications*socio=rien de la dollarisation*socio=ec1 *socio=rien du point de*socio=nil vue du taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil et de la politique_monétaire*socio=et, les administrateurs*socio=ac ont noté que la volatilité*socio=ec2 accrue de la demande*socio=ec1 de monnaie*socio=ec1 à laquelle on peut s'attendre dans les économies*socio=ec1 caractérisées par *socio=rien un degré élevé*socio=uv4 de*socio=nil substitution de*socio=nil monnaie*socio=ec1 *socio=nil tendrait à accroître l'instabilité*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 et à limiter*socio=rien l'efficacité*socio=uv3 de la politique_monétaire*socio=et. Face*socio=rien à ce type*socio=rien de chocs*socio=ec2 monétaires*socio=ec1, plusieurs administrateurs*socio=ac préconisaient un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 fixe ou *socio=rien un système de*socio=nil caisse*socio=ec1 d'*socio=nil émission *socio=nil appuyés par des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 appropriées. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont toutefois souligné que le degré*socio=rien de substitution*socio=rien de monnaie*socio=ec1 n'est*socio=rien qu'un*socio=rien des *socio=rien nombreux éléments *socio=nil à prendre en compte*socio=ec1 pour choisir un*socio=rien régime*socio=et de taux_de_change*socio=ec1; d'autres considérations*socio=rien importantes*socio=uv4 sont notamment la force*socio=uv1 des *socio=ec2 chocs réels,*socio=nil le*socio=nil degré*socio=rien de*socio=nil mobilité*socio=uv3 des*socio=nil capitaux*socio=ec1,*socio=nil l'*socio=nil ampleur*socio=rien *socio=nil de l'ajustement*socio=et des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et la situation*socio=rien macro-économique*socio=ec1 globale*socio=rien. Comment tenir compte*socio=ec1 des effets*socio=rien de la dollarisation*socio=ec1 sur*socio=rien l'inflation*socio=ec1? C'est*socio=rien là une question*socio=rien essentiellement empirique*socio=ec2 à laquelle il n'y a pas de réponse*socio=rien universelle*socio=uv2, mais selon les administrateurs*socio=ac, on ne saurait considérer les agrégats*socio=ec1 de monnaies*socio=ec1 étrangères*socio=te comme *socio=rien quantité négligeable,*socio=nil *socio=nil et même s'ils sont difficiles*socio=rien à mesurer, ces agrégats*socio=ec1 devraient être*socio=rien inclus dans le *socio=rien large ensemble d'*socio=nil indicateurs*socio=ec1 *socio=nil suivis par les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1. Quelques administrateurs*socio=ac étaient d'avis*socio=rien que certaines*socio=rien économies*socio=ec1 dollarisées pourraient avoir intérêt*socio=uv1 à adopter *socio=rien un cadre de*socio=nil ciblage*socio=uv3 *socio=nil de l'inflation*socio=ec1 aux fins*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et. Les administrateurs*socio=ac jugeaient en général*socio=rien préférable*socio=uv4 que les opérations*socio=rien monétaires*socio=ec1 soient effectuées en monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te. Ils ont toutefois reconnu que des instruments*socio=et monétaires*socio=ec1 libellés en monnaie*socio=ec1 étrangère*socio=te peuvent être*socio=rien utiles*socio=uv4 dans les économies*socio=ec1 fortement dollarisées où le plus gros*socio=rien des crédits*socio=ec1 et des opérations*socio=rien interbancaires*socio=ec2 est*socio=rien déjà libellé dans la monnaie*socio=ec1 en question*socio=rien. Ces remarques sont aussi valables*socio=rien en ce qui concerne les règlements*socio=et interbancaires*socio=ec2 en monnaie*socio=ec1 étrangère*socio=te dans les livres de la banque_centrale*socio=ac. Dans ce cas*socio=rien, toutefois, les administrateurs*socio=ac pensaient que les opérations*socio=rien devraient être*socio=rien couvertes par d'amples*socio=rien réserves_internationales*socio=ec1 ainsi que par des mesures*socio=et efficaces*socio=uv4 pour limiter*socio=rien le risque*socio=uv3 de règlement*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont souligné qu'une *socio=rien vigilance particulière *socio=nil s'impose pour limiter*socio=rien les risques*socio=uv3 prudentiels*socio=uv2 dans les économies*socio=ec1 fortement dollarisées. Étant donné l'impact*socio=rien de la dollarisation*socio=ec1 sur*socio=rien le risque-crédit et les risques*socio=uv3 qu'elle présente*socio=rien pour le système_bancaire*socio=ec1, la dollarisation*socio=ec1 milite en *socio=rien faveur du maintien *socio=nil par les banques*socio=ac des pays_en_développement*socio=uv3 de ratios*socio=ec1 de fonds*socio=ec1 *socio=rien propres supérieurs aux*socio=nil normes*socio=et définies *socio=nil par le Comité*socio=ac de Bâle. Les administrateurs*socio=ac ont noté que les banques_centrales*socio=ac ont des capacités*socio=uv3 limitées pour agir en tant que prêteur*socio=ac de *socio=rien dernier recours en*socio=nil monnaie*socio=ec1 étrangère*socio=te *socio=nil et que des réserves*socio=ec1 en monnaies*socio=ec1 et des lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 conditionnelles*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien niveau suffisant *socio=nil pourraient contribuer utilement*socio=rien à limiter*socio=rien le risque*socio=uv3 de liquidité*socio=ec1 à l'échelle*socio=rien *socio=rien du système *socio=nil dans de telles circonstances*socio=rien. Tout en reconnaissant qu'étant donné la sophistication des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, il *socio=rien est difficile *socio=nil de contrôler les *socio=rien limites applicables aux*socio=nil positions en*socio=nil devises*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont souligné l'importance*socio=rien d'un*socio=rien suivi étroit*socio=rien des opérations*socio=rien hors budget*socio=ec1 ainsi que des échéances*socio=te et de la composition*socio=rien des positions*socio=rien en devises*socio=ec1. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac sont convenus que la politique_monétaire*socio=et doit être*socio=rien axée sur*socio=rien la stabilisation_macro-économique*socio=ec1. À leur avis*socio=rien, des mesures*socio=et destinées*socio=rien à renforcer l'attrait*socio=rien de la monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te sont généralement préférables*socio=uv4 à des mesures*socio=et visant à décourager l'utilisation*socio=rien de monnaie*socio=ec1 étrangère*socio=te. Aussi les administrateurs*socio=ac s'accordaient-ils généralement pour penser qu'il ne convient pas de lutter contre la dollarisation*socio=ec1 en empêchant les résidents*socio=ac de détenir des comptes*socio=ec1 en devises*socio=ec1 ou en imposant sur*socio=rien les dépôts*socio=ec1 en monnaie*socio=ec1 étrangère*socio=te des niveaux*socio=rien de réserves_obligatoires*socio=ec1 pénalisants. De telles mesures*socio=et seraient contreproductives, car elles affaibliraient l'intermédiation*socio=ec1 financière*socio=ec1 ou provoqueraient des sorties de capitaux*socio=ec1. La libéralisation*socio=et des taux_d'_intérêt*socio=ec1, les mesures*socio=et d'approfondissement*socio=uv3 des *socio=ec1 circuits financiers,*socio=nil *socio=rien un système de*socio=nil paiements*socio=ec1 intérieurs*socio=te efficace*socio=uv4 *socio=nil et une autorité*socio=et monétaire*socio=ec1 indépendante*socio=uv2 sont les meilleurs*socio=uv4 moyens*socio=ec1 de limiter*socio=rien la dollarisation*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Il*socio=nil est également*socio=nil important*socio=uv4 *socio=nil - surtout dans les pays*socio=ac où les systèmes_financiers*socio=ec1 sont faibles*socio=rien - de mettre en oeuvre*socio=rien des mesures*socio=et de libéralisation*socio=et financière*socio=ec1 judicieusement ordonnées et prenant appui*socio=uv1 sur*socio=rien de saines*socio=uv2 politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont reconnu que l'indexation*socio=ec1 des instruments*socio=et financiers*socio=ec1 pourrait aussi limiter*socio=rien la dollarisation*socio=ec1, mais les pays*socio=ac qui envisagent l'adoption*socio=uv3 de tels instruments*socio=et doivent peser soigneusement le risque*socio=uv3 qu'ils présentent de favoriser l'inflation*socio=ec1 d'inertie. Dollarisation*socio=ec1 et conception*socio=et des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac. Le Conseil*socio=ac a souligné la nécessité*socio=uv1 de tenir compte*socio=ec1 *socio=rien du phénomène *socio=nil de la dollarisation*socio=ec1 dans l'élaboration*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac. Bien*socio=rien que la dollarisation*socio=ec1 n'ait pas sérieusement entravé la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv3 de croissance*socio=uv3 et d'inflation*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer que la vitesse*socio=rien de circulation*socio=ec2 et le multiplicateur*socio=rien monétaire*socio=ec1 semblent plus variables*socio=rien dans les économies*socio=ec1 dollarisées, ce qui peut soulever des problèmes*socio=uv4 pour la sélection d'agrégats*socio=ec1 monétaires*socio=ec1 intermédiaires*socio=rien. De l'avis*socio=rien du*socio=rien Conseil*socio=ac, les programmes*socio=et devraient continuer à intégrer une conditionnalité qui prenne en compte*socio=ec1 l'existence*socio=rien de la dollarisation*socio=ec1, au lieu*socio=rien de s'y attaquer directement, et des mesures*socio=et plus *socio=uv4 fondamentales indispensables au*socio=nil rétablissement*socio=rien *socio=nil de la confiance*socio=uv1 et à la crédibilité*socio=uv1 à long_terme*socio=te de la monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te. Les programmes*socio=et devraient rester axés sur*socio=rien les causes*socio=rien fondamentales*socio=uv4 de la dollarisation*socio=ec1, le développement*socio=uv3 des systèmes_financiers*socio=ec1 nationaux*socio=te et, le cas*socio=rien échéant, l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et prudentielles*socio=uv2. Notant que les coûts*socio=ec1 de la dollarisation*socio=ec1 pourraient l'emporter sur*socio=rien ses avantages*socio=rien, quelques administrateurs*socio=ac estimaient qu'il conviendrait plutôt de mener une stratégie*socio=et active*socio=uv4 de dédollarisation. Étant donné le *socio=rien caractère incertain *socio=nil de la durée*socio=te des dépôts*socio=ec1 en devises*socio=ec1 dans le système_bancaire*socio=ec1, le Conseil*socio=ac est*socio=rien généralement convenu que les réserves*socio=ec1 des banques*socio=ac nationales*socio=te à la banque_centrale*socio=ac au titre*socio=rien des dépôts*socio=ec1 en devises*socio=ec1 devraient être*socio=rien considérées comme faisant partie*socio=rien des engagements*socio=et de la banque_centrale*socio=ac aux *socio=rien fins du calcul des*socio=nil réserves_internationales*socio=ec1 nettes.*socio=nil {*socio=nil page *socio=nil 59} Chapitre*socio=rien 7: Renforcement*socio=ec2 de l'architecture du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Utilisation*socio=rien des mécanismes*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac par les pays_membres*socio=ac. En 1997 / 98, le FMI*socio=ac a approuvé neuf*socio=rien accords*socio=et de confirmation*socio=et, ainsi que quatre accords*socio=et au *socio=rien titre du mécanisme*socio=et *socio=nil élargi de crédit*socio=ec1 et huit accords*socio=et au titre*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2. Les accords*socio=et approuvés en faveur*socio=rien de la Corée*socio=ac comportaient des décaissements*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de la facilité de réserve*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien (voir supra) récemment créée. Quatre tirages*socio=ec1 ont également été*socio=rien réalisés au titre*socio=rien de la politique*socio=et d'aide*socio=uv1 d'urgence*socio=rien aux pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1. Les accords*socio=et de confirmation*socio=et, dont la durée*socio=te est*socio=rien en général*socio=rien d'un*socio=rien à deux ans*socio=rien, portent à la *socio=rien fois sur la*socio=nil politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 *socio=nil et la politique*socio=et structurelle*socio=ec2. Les tirages*socio=ec1 prennent le plus souvent la forme*socio=rien de versements*socio=ec1 trimestriels*socio=rien. Les remboursements*socio=ec1 sont effectués en huit versements*socio=ec1 trimestriels*socio=rien, dont le premier*socio=rien à lieu*socio=rien trois ans*socio=rien et un*socio=rien trimestre*socio=te après*socio=rien chaque tirage*socio=ec1. Les accords*socio=et au *socio=rien titre du mécanisme*socio=et *socio=nil élargi de crédit*socio=ec1 appuient des programmes*socio=et à *socio=rien moyen terme *socio=nil : leur durée*socio=te est*socio=rien en général*socio=rien de trois ans*socio=rien (et peut aller jusqu'à quatre dans des cas*socio=rien exceptionnels*socio=uv4). D'ordinaire*socio=rien, les programmes*socio=et énoncent des objectif*socio=uv3 généraux*socio=rien pour la période*socio=te triennale, ainsi que des dispositions*socio=et précises*socio=rien pour la *socio=rien première année;*socio=nil les*socio=nil mesures*socio=et relatives aux*socio=nil années suivantes sont*socio=nil définies au*socio=nil cours *socio=nil des revues des programmes*socio=et. Les remboursements*socio=ec1 s'effectuent sur*socio=rien une période*socio=te allant de quatre ans*socio=rien et demi*socio=rien à dix ans*socio=rien. Les accords*socio=et au titre*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FASR*socio=ec1) apportent un*socio=rien soutien*socio=uv3, sous forme*socio=rien de prêts*socio=ec1 très concessionnels*socio=ec1, aux pays_membres*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 en proie*socio=ac à des difficultés*socio=uv4 persistantes*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec1. Avec l'aide*socio=uv1 des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et de la banque_mondiale*socio=ac, les membres*socio=ac *socio=uv2 admissibles désireux *socio=nil d'utiliser les ressources*socio=ec1 de la FASR*socio=ec1 doivent présenter dans un*socio=rien document-cadre_de_ politique_économique*socio=ec1 (DCPE) un*socio=rien programme*socio=et d'ajustement*socio=et triennal. Actualisé chaque année*socio=rien, le DCPE décrit les objectifs*socio=uv3 économiques*socio=ec1, la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 et les mesures*socio=et structurelles*socio=ec2 adoptés par les autorités*socio=et pour la durée*socio=te du*socio=rien programme*socio=et, ainsi que les besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te correspondants*socio=rien et les *socio=rien principales sources de*socio=nil financement*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil *socio=ec1 prêts FASR *socio=nil sont décaissés tous les six mois*socio=rien et remboursés en dix versements*socio=ec1 semestriels*socio=te *socio=rien égaux sur une*socio=nil période*socio=te *socio=nil comprise entre *socio=rien cinq ans et*socio=nil demi *socio=nil et dix *socio=rien ans après *socio=nil la date de chaque décaissement*socio=ec1. Le taux_d'_intérêt*socio=ec1 des *socio=ec1 prêts FASR est*socio=rien *socio=nil de 0,5 % par an*socio=rien. L'aide*socio=uv1 d'urgence*socio=rien permet aux pays_membres*socio=ac de surmonter des difficultés*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 imputables*socio=uv2 à des *socio=rien catastrophes naturelles *socio=nil ou à *socio=rien un récent conflit*socio=uv1;*socio=nil elle*socio=nil est en*socio=nil général *socio=nil limitée à 25 % de la quote-part*socio=ec1 et n'est*socio=rien accordée que si le pays*socio=ac entend conclure sans trop tarder un*socio=rien accord*socio=et de confirmation*socio=et, un*socio=rien accord*socio=et élargi ou un*socio=rien accord*socio=et FASR*socio=ec1. Les remboursements*socio=ec1 sont effectués en huit versements*socio=ec1 trimestriels*socio=rien qui débutent trois ans*socio=rien et trois *socio=rien mois après le*socio=nil tirage*socio=ec1.*socio=nil Argentine*socio=ac.*socio=nil Appui*socio=uv1 financier*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Le 4 février*socio=rien 1998, le FMI*socio=ac a approuvé un*socio=rien crédit*socio=ec1 triennal de 2,1 milliards*socio=rien de DTS au *socio=rien titre du *socio=nil MEDC. Les autorités*socio=et ont annoncé leur intention*socio=rien de considérer cet accord*socio=et comme une mesure*socio=rien de précaution*socio=rien et de n'utiliser ces ressources*socio=ec1 qu'en cas*socio=rien de conjoncture*socio=ec2 extérieure*socio=te défavorable*socio=uv4. Objectifs*socio=uv3 du*socio=rien programme*socio=et. Consolider les progrès*socio=uv1 macro-économiques*socio=ec1 et structurels*socio=ec2 enregistrés ces *socio=rien dernières années par*socio=nil un nouveau renforcement*socio=ec2 *socio=nil de la situation*socio=rien budgétaire*socio=et et la réalisation*socio=uv1 du*socio=rien programme*socio=et de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. Ramener le déficit_global*socio=ec1 de l' administration_fédérale*socio=ac de l'équivalent*socio=rien de 1,4 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 en 1997 à 1 % en 1998 et à 0,3 % d'ici l'an*socio=rien 2000. Raffermir la confiance*socio=uv1 grâce*socio=rien au maintien*socio=rien d'un*socio=rien système_financier*socio=ec1 solide*socio=rien dans le *socio=rien cadre du dispositif*socio=et de*socio=nil caisse*socio=ec1 d'*socio=nil émission *socio=nil et prévoir un*socio=rien volant de liquidité*socio=ec1 suffisant*socio=rien pour compenser éventuellement le rôle*socio=et limité de prêteur*socio=ac en dernier*socio=rien ressort joué par la banque_centrale*socio=ac en cas*socio=rien de crise*socio=uv2. politique_économique*socio=ec1. Le programme*socio=et prévoit la mise en place*socio=rien d'une réforme*socio=et du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 avant le milieu*socio=rien de 1998. Une *socio=et réforme fiscale globale*socio=rien *socio=nil a pour objectif*socio=uv3 d'améliorer l'efficacité*socio=uv3 et l'équité*socio=uv1 du*socio=rien régime_fiscal*socio=et et de favoriser la compétitivité*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1. Une réforme*socio=et de la *socio=et procédure budgétaire *socio=nil vise à promouvoir la transparence*socio=uv3 et l'efficacité*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et, notamment en élargissant la *socio=rien portée du budget*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil en passant à un*socio=rien processus*socio=te pluriannuel, en évaluant tous les ans*socio=rien le coût*socio=ec1 des incitations*socio=uv3 et avantages*socio=rien fiscaux*socio=et et en établissant des indicateurs*socio=ec1 de l'efficacité*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1. Dans le domaine*socio=rien des soins_de_santé*socio=et, le cadre*socio=rien réglementaire*socio=et régissant*socio=rien les prestataires*socio=ac privés*socio=et de soins_de_santé*socio=et sera révisé et la réorganisation*socio=uv3 *socio=rien du système d'*socio=nil assurance*socio=ec1 maladie*socio=et *socio=nil pour les retraités*socio=ac et des services*socio=et sanitaires*socio=uv2 gérés par les syndicats*socio=ac sera achevée. L'État*socio=ac entend poursuivre la restructuration*socio=et des programmes_sociaux*socio=et afin de mieux cibler les ressources*socio=ec1 budgétaires*socio=et vers les groupes*socio=ac vulnérables*socio=uv2. Dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien vaste plan de*socio=nil réforme*socio=et *socio=nil de la justice*socio=et, le programme*socio=et comprend aussi des mesures*socio=et destinées*socio=rien à modifier la *socio=et procédure judiciaire *socio=nil afin d'accélérer le règlement*socio=et des *socio=et litiges fiscaux *socio=nil et de renforcer les garanties juridiques*socio=et dont peuvent bénéficier les opérateurs*socio=ac sur*socio=rien le marché*socio=ec1 du*socio=rien crédit*socio=ec1. Communiqués du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac et du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3. comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Quarante-neuvième réunion*socio=rien, *socio=ac Hong Kong (*socio=nil Chine)*socio=nil ,*socio=nil 21*socio=nil septembre*socio=rien *socio=nil 1997. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac a tenu sa quarante-neuvième réunion*socio=rien à *socio=ac Hong Kong (*socio=nil Chine)*socio=nil *socio=nil le 21 septembre*socio=rien 1997, sous la présidence*socio=rien de M.. Philippe Maystadt, vice-premier_ministre*socio=ac et Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te de la Belgique*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 les perspectives*socio=te généralement favorables*socio=uv4 à la poursuite*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondiaux*socio=te. Certains pays*socio=ac sont néanmoins confrontés à *socio=rien un certain nombre de*socio=nil risques*socio=uv3 *socio=nil qui pourraient avoir des répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te si l'on n'y *socio=rien fait face de*socio=nil manière décisive*socio=uv4.*socio=nil La*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil dans le groupe*socio=ac des économies*socio=ec1 avancées devrait se poursuivre dans *socio=rien un contexte de*socio=nil faible inflation*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Cependant, l'assainissement*socio=uv3 soutenu des finances*socio=ec1 publiques*socio=et demeure toujours un*socio=rien défi*socio=uv2 pour de nombreux*socio=rien pays*socio=ac et appelle des politiques*socio=et correctives*socio=ec2 résolues à court*socio=rien et à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Les*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil entre les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 devraient refléter les fondamentaux*socio=uv4, l'important*socio=uv4 étant d'éviter l'apparition*socio=rien de déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te prononcés. Dans les pays*socio=ac à *socio=rien haut niveau d'*socio=nil utilisation des*socio=nil ressources*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil notamment les États-unis*socio=ac, la politique_monétaire*socio=et devra viser à prévenir une résurgence*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1. Dans les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac continentale*socio=te, elle devra rester compatible*socio=rien avec une expansion*socio=ec2 soutenue de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Le défi*socio=uv2 pour le Japon*socio=ac est*socio=rien d'assurer une croissance*socio=uv3 tirée par la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te sur*socio=rien la base*socio=rien d'une politique_monétaire*socio=et appropriée tout en menant à bien*socio=rien énergiquement son programme*socio=et de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 et en continuant de consolider sa position*socio=rien budgétaire*socio=et à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Les*socio=nil hauts niveaux *socio=nil atteints par le chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2 dans plusieurs *socio=ac pays européens *socio=nil soulignent l'urgence*socio=rien d'une action*socio=ec1 plus résolue pour accroître l'efficacité*socio=uv3 et l'adaptabilité*socio=uv3 des marchés_du_travail*socio=ec1 et des biens*socio=ec1, et réformer les *socio=et régimes fiscaux,*socio=nil d'*socio=nil assurance_sociale *socio=nil et autres prestations*socio=et. Les résultats*socio=rien et les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 du*socio=rien groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 se sont améliorés ces *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Toutefois, de nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 s'imposent dans bien*socio=rien des cas*socio=rien pour assurer *socio=rien un recul sensible *socio=nil de la pauvreté*socio=uv1. Ceci illustre l'importance*socio=rien de maintenir la discipline*socio=uv1 macro-économique*socio=ec1 nécessaire*socio=rien et d'accélérer les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, y compris celles de la "deuxième*socio=rien génération*socio=ac" centrées sur*socio=rien le renforcement*socio=ec2 de l'administration_publique*socio=ac et de la gestion*socio=ec2 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1,*socio=nil sur la*socio=nil valorisation*socio=uv3 des*socio=nil ressources_humaines*socio=ec1,*socio=nil sur la*socio=nil promotion*socio=uv3 des*socio=nil infrastructures*socio=et de*socio=nil base et*socio=nil sur la*socio=nil création*socio=uv4 d'*socio=nil un environnement*socio=et favorable*socio=uv4 et*socio=nil transparent*socio=uv4 *socio=nil pour l'investissement_privé*socio=et. Dans certaines*socio=rien économies*socio=ec1 à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien, l'ampleur*socio=rien des déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te et la fragilité*socio=uv1 des systèmes_bancaires*socio=ec1 ont ébranlé la confiance*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac et aggravé les risques*socio=uv3 liés à la volatilité*socio=ec2 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2, la croissance*socio=uv3 a repris à la suite*socio=rien des progrès*socio=uv1 appréciables*socio=rien réalisés par la plupart*socio=rien d'entre eux en matière*socio=rien de stabilisation_macro-économique*socio=ec1 et de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. Le renforcement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dépend de l'accélération*socio=ec2 des réformes*socio=et, notamment juridiques*socio=et et institutionnelles*socio=et, propres*socio=rien à encourager l' activité_économique*socio=ec1 et l'investissement_privés*socio=et. La préservation*socio=uv1 et la consolidation*socio=uv3 de ces acquis*socio=uv2 requerront, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, que des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 disciplinées réduisent l'inflation*socio=ec1. 3 - Le Comité*socio=ac se félicite des progrès*socio=uv1 effectués pour assurer le succès*socio=uv1 d'une union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 (UEM*socio=et) européenne*socio=ac susceptible*socio=rien de contribuer à la stabilité*socio=uv3 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Le degré*socio=rien de convergence*socio=uv3 économique*socio=ec1 en Europe*socio=ac ainsi que la ferme*socio=ec2 volonté*socio=uv1 de lancer l'UEM*socio=et à la date prévue offrent une assise solide*socio=rien pour *socio=rien un passage sans*socio=nil heurt *socio=nil à l'euro le 1er janvier*socio=rien 1999. Le meilleur*socio=uv4 moyen*socio=rien d'assurer la solidité*socio=uv3 et la stabilité*socio=uv3 de l'UEM*socio=et sera que les participants*socio=ac démontrent non seulement leur engagement*socio=uv1 à respecter les *socio=et règles budgétaires du*socio=rien Pacte de*socio=nil stabilité*socio=uv3 *socio=nil et de croissance*socio=uv3, mais aussi leur détermination*socio=rien à s'attaquer aux *socio=rien causes profondes du chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4 *socio=nil que connaît l'Europe*socio=ac. 4 - Le Comité*socio=ac réaffirme que le processus*socio=te de la mondialisation*socio=ec2 contribue de façon*socio=rien cruciale*socio=uv4 à l'expansion*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 internationale*socio=ac. L'adhésion*socio=uv1 de tous les pays_membres*socio=ac de l'institution*socio=ac aux orientations*socio=et de politique*socio=et énoncées par le Comité*socio=ac dans sa "Déclaration*socio=et sur*socio=rien le partenariat*socio=uv3 pour une expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te" est*socio=rien essentielle*socio=uv4 pour que chacun tire parti*socio=et de la mondialisation*socio=ec2. Le Comité*socio=ac se félicite de l'adoption*socio=uv3 récente*socio=rien par le FMI*socio=ac des directives*socio=et sur*socio=rien la gouvernance*socio=et, ainsi que des efforts*socio=uv1 en cours*socio=rien pour renforcer la solidité*socio=uv3 des systèmes_financiers*socio=ec1 - en particulier*socio=rien l'adoption*socio=uv3 des "Principes*socio=ec2 fondamentaux*socio=uv4 d'une supervision*socio=rien bancaire*socio=ec1 efficace*socio=uv4" par le Comité*socio=ac de Bâle en coopération*socio=uv1 avec les autorités*socio=et de supervision*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil économies*socio=ec1 à*socio=nil marché*socio=ec1 émergent.*socio=nil *socio=nil 5 - Le Comité*socio=ac observe que les remous*socio=rien qui ont agité récemment les marchés_financiers*socio=ec1 d'Asie*socio=ac ont démontré une fois*socio=rien de plus à quel point*socio=rien les autorités*socio=et responsables*socio=uv2 - où que ce soit - doivent veiller à la cohérence*socio=uv3 interne*socio=te des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1, renforcer la solidité*socio=uv3 des systèmes_financiers*socio=ec1 et éviter l'accumulation*socio=ec2 de déficits*socio=ec1 extérieurs*socio=te excessifs*socio=uv4 et une dépendance*socio=uv1 trop prononcée de l'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te à court_terme*socio=te. Les récentes*socio=rien turbulences*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 devraient entraîner un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 à court_terme*socio=te dans certains pays*socio=ac affectés, mais les fondamentaux*socio=uv4 restent solides*socio=uv4 dans ces pays*socio=ac, et leurs perspectives*socio=te à long_terme*socio=te favorables*socio=uv4, à condition*socio=rien que les mesures*socio=et correctives*socio=ec2 qui s'imposent soient appliquées de façon*socio=rien soutenue. Le Comité*socio=ac observe également que la crise*socio=uv2 récente*socio=rien en Asie*socio=ac illustre à quel point*socio=rien l'augmentation*socio=ec2 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 peut exiger que les régimes*socio=et de change*socio=ec1 s'adaptent*socio=rien aux circonstances*socio=rien. Quel que soit le régime*socio=et de change*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac, il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 que les politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 appropriées soient compatibles*socio=rien avec ce régime*socio=et. 6 - Le Comité*socio=ac félicite le FMI*socio=ac de sa *socio=rien réaction rapide et*socio=nil efficace*socio=uv4 aux*socio=nil événements *socio=nil survenus en Asie*socio=ac, se réjouit du*socio=rien soutien*socio=uv3 fourni par la région*socio=te, invite le conseil_d'_administration*socio=ac à étudier les autres leçons*socio=ec2 que le FMI*socio=ac pourrait en tirer pour la conduite*socio=rien de ses opérations*socio=rien, et à faire part*socio=rien de ses conclusions*socio=rien à la *socio=rien prochaine réunion du comité_intérimaire*socio=ac.*socio=nil *socio=nil À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac reconnaît que les *socio=rien événements récents soulèvent*socio=nil un certain nombre de*socio=nil questions au*socio=nil niveau analytique*socio=ec2,*socio=nil en*socio=nil particulier sur la*socio=nil prévention*socio=uv3 des*socio=nil crises*socio=uv2 *socio=nil et les effets*socio=rien de contagion*socio=ec2. Le Comité*socio=ac souligne à quel point*socio=rien la crédibilité*socio=uv1 de la politique_économique*socio=ec1 et le renforcement*socio=ec2 de la confiance*socio=uv1, dans un*socio=rien environnement*socio=et mondialisé, dépendent de la formulation*socio=rien de cette politique*socio=et dans le respect*socio=uv1 de l'ouverture*socio=uv3, de la transparence*socio=uv3 et du*socio=rien principe*socio=ec2 que les autorités*socio=et en sont comptables*socio=rien à l'opinion*socio=ac publique*socio=et. Il serait utile*socio=uv4 que le FMI*socio=ac travaille sur*socio=rien cette question*socio=rien, en particulier*socio=rien la possibilité*socio=rien de formuler un*socio=rien code*socio=et de pratiques*socio=et désirables*socio=rien. Une information*socio=rien économique*socio=ec1 adéquate*socio=uv2 et disponible*socio=rien en temps*socio=rien voulu est*socio=rien aussi nécessaire*socio=rien à l'amélioration*socio=uv1 *socio=rien du fonctionnement des*socio=nil marchés*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil note que la Norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données établie par le FMI*socio=ac ainsi que la *socio=rien récente publication,*socio=nil sur une*socio=nil base volontaire*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil de notes d'information*socio=rien à la presse*socio=et portant sur*socio=rien les conclusions*socio=rien de l'exercice*socio=rien de la surveillance*socio=et par le FMI*socio=ac dans ses pays_membres*socio=ac contribuent de façon*socio=rien significative*socio=uv4 à la transparence*socio=uv3. Le Comité*socio=ac souhaite voir se renforcer la Norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données du*socio=rien FMI*socio=ac. 7 - Le Comité*socio=ac réaffirme qu'à son *socio=rien avis un système ouvert et*socio=nil libéral*socio=et de*socio=nil mouvements_de_capitaux*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil étayé par des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 saines*socio=uv2 et des systèmes_financiers*socio=ec1 solides*socio=uv4, contribue au niveau*socio=rien de bien-être*socio=uv1 et à la prospérité*socio=uv1 économique*socio=ec1 mondiale*socio=te. Le Comité*socio=ac adopte l'énoncé des principes*socio=ec2 gouvernant*socio=rien "la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 dans l'optique*socio=rien d'un*socio=rien amendement*socio=et des Statuts*socio=et", et considère qu'un*socio=rien amendement*socio=et des Statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac sera le moyen*socio=rien le plus efficace*socio=uv4 de promouvoir la libéralisation*socio=et ordonnée des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, conformément au rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac d'accorder une *socio=uv4 priorité élevée *socio=nil à l'achèvement*socio=rien de ses travaux*socio=rien, et de soumettre *socio=rien un rapport *socio=nil et une proposition*socio=rien de projet*socio=et d'amendement*socio=et au conseil_des_gouverneurs*socio=ac. 8 - Le Comité*socio=ac se félicite de l'accord*socio=et auquel est*socio=rien parvenu le conseil_d'_administration*socio=ac tant sur*socio=rien le montant*socio=ec1 de l'augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et au titre*socio=rien de la *socio=rien Onzième révision générale que*socio=nil sur le*socio=nil mode de*socio=nil répartition*socio=uv3 *socio=nil de l'augmentation*socio=ec2 globale*socio=rien. Le Comité*socio=ac convient que. Le total*socio=rien actuel*socio=te des quotes-parts*socio=et au FMI*socio=ac sera augmenté de 45 %. 75 % de l'augmentation*socio=ec2 globale*socio=rien seront répartis au prorata*socio=rien des quotes-parts*socio=et actuelles*socio=te. 15 % de l'augmentation*socio=ec2 globale*socio=rien seront répartis au prorata*socio=rien des parts*socio=rien des pays_membres*socio=ac dans les quotes-parts*socio=et calculées (sur*socio=rien la base*socio=rien des données de 1994), de manière*socio=rien à mieux refléter la position*socio=rien économique*socio=ec1 relative*socio=rien des pays_membres*socio=ac. Les 10 % restants*socio=rien seront répartis entre les pays_membres*socio=ac dont la quote-part*socio=ec1 actuelle*socio=te n'est*socio=rien pas en rapport*socio=rien avec leur position*socio=rien dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te (l'écart*socio=ec2 étant mesuré par l'excédent*socio=ec1 de leur part*socio=rien dans les quotes-parts*socio=et calculées par rapport*socio=rien à leur part*socio=rien dans les quotes-parts*socio=et effectives*socio=rien); sur*socio=rien ce montant*socio=ec1, 1 % sera réparti entre cinq*socio=rien pays_membres*socio=ac dont la quote-part*socio=ec1 actuelle*socio=te est*socio=rien très éloignée de leur position*socio=rien économique*socio=ec1 relative*socio=rien et qui sont en mesure*socio=rien de contribuer à la liquidité*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil de soumettre un*socio=rien projet_de_résolution*socio=et à l'approbation*socio=uv1 du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac avant la fin*socio=rien de l'année*socio=rien 1997 en vue*socio=rien de donner effet*socio=rien aux augmentations*socio=ec2 de quotes-parts*socio=et convenues. Le Comité*socio=ac réaffirme qu'à son avis*socio=rien les formules*socio=rien de calcul*socio=rien des quotes-parts*socio=et doivent être*socio=rien revues par le conseil_d'_administration*socio=ac aussitôt que *socio=rien possible après la*socio=nil conclusion *socio=nil de la *socio=rien Onzième révision générale.*socio=nil *socio=nil 9 - Le Comité*socio=ac se félicite de l'accord*socio=et auquel est*socio=rien parvenu le conseil_d'_administration*socio=ac *socio=rien sur un amendement*socio=et des*socio=nil Statuts*socio=et *socio=nil prévoyant que tous les pays_membres*socio=ac disposeront d'une part*socio=rien équitable*socio=uv2 des allocations*socio=et cumulatives*socio=ec2 de DTS grâce*socio=rien à une allocation*socio=et spéciale*socio=rien et unique*socio=rien de DTS égale*socio=rien à 21,4 milliards*socio=rien de DTS qui doublera le montant*socio=ec1 de DTS déjà alloués. En conséquence*socio=rien, il recommande l'adoption*socio=uv3 par le conseil_des_gouverneurs_de_la_résolution*socio=uv1 proposée. 10 - Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 les progrès*socio=uv1 réalisés récemment dans la mise en oeuvre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac, y compris les décisions*socio=et de principe*socio=ec2 prises*socio=rien par les conseils_d'_administration*socio=ec1 *socio=rien respectifs du FMI*socio=ac *socio=nil et de la banque_mondiale*socio=ac de fournir une aide*socio=uv1 à l'Ouganda*socio=ac, à la Bolivie*socio=ac et au burkina_faso*socio=ac, ainsi que les discussions*socio=et préliminaires*socio=rien concernant la côte_d'_ivoire*socio=ac, le Guyana*socio=ac et le Mozambique*socio=ac Le Comité*socio=ac encourage les pays*socio=ac qui pourraient bénéficier de l'Initiative*socio=rien à prendre rapidement les mesures*socio=et d'ajustement*socio=et nécessaires*socio=rien en vue*socio=rien de remplir les conditions*socio=ec1 requises*socio=uv4 pour bénéficier de cette aide*socio=uv1 spéciale*socio=rien. 11 - Le Comité*socio=ac se félicite des efforts*socio=uv1 que les pays_membres*socio=ac continuent de déployer en vue*socio=rien d'aider le FMI*socio=ac à mobiliser les ressources*socio=ec1 nécessaires*socio=rien pour assurer le financement*socio=ec1 intégral*socio=rien des initiatives*socio=rien au titre*socio=rien de la FASR*socio=ec1 et en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac. Il note que, compte*socio=ec1 tenu des *socio=et engagements bilatéraux *socio=nil reçus ou escomptés et de la nécessité*socio=uv1 de continuer à engager des ressources*socio=ec1 au titre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac, il faudra envisager, à *socio=rien bref délai,*socio=nil de*socio=nil nouvelles mesures*socio=et *socio=nil pour assurer en temps*socio=rien voulu le financement*socio=ec1 de ces initiatives*socio=rien. Le Comité*socio=ac tiendra sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac *socio=nil le 16 avril*socio=rien 1998. Déclaration*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac sur*socio=rien la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 dans l'optique*socio=rien d'un*socio=rien amendement*socio=et des Statuts*socio=et. 1 - Il *socio=rien est temps *socio=nil d'ajouter *socio=rien un nouveau chapitre aux*socio=nil accords*socio=et de*socio=nil bretton_woods*socio=et.*socio=nil Les*socio=nil flux*socio=ec1 de*socio=nil capitaux_privés*socio=ec1 *socio=nil sont devenus beaucoup plus importants*socio=uv4 pour le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te, et *socio=rien un système *socio=nil de plus en plus ouvert*socio=rien et libéral*socio=et s'est*socio=rien révélé extrêmement bénéfique*socio=rien pour l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Parce qu'ils permettent de diriger aisément l'épargne*socio=ec1 vers ses emplois*socio=ec1 les plus productifs*socio=uv4, les mouvements_de_capitaux*socio=ec1 stimulent l'investissement*socio=ec1, la croissance*socio=uv3 et la prospérité*socio=uv1. À condition*socio=rien qu'elle soit menée de façon*socio=rien ordonnée et étayée à la fois*socio=rien par des politiques*socio=et nationales*socio=te adéquates*socio=uv2 et par *socio=rien un solide système multilatéral*socio=et de*socio=nil surveillance*socio=et *socio=nil et d'appui*socio=uv1 financier*socio=ec1, la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 *socio=rien est un élément essentiel*socio=uv4 au*socio=nil bon fonctionnement du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil à l'ère*socio=te de la mondialisation*socio=ec2. Le rôle*socio=et central*socio=rien qu'occupe au *socio=rien sein du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te le*socio=nil FMI*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui en outre rassemble désormais la quasi-totalité*socio=rien des pays*socio=ac du*socio=rien monde*socio=te, fait*socio=rien qu'il est*socio=rien on ne peut mieux placé pour favoriser l'aboutissement*socio=rien de ce processus*socio=te. Le comité_intérimaire*socio=ac voit dans cette nouvelle*socio=rien mission*socio=et un*socio=rien projet*socio=et audacieux, dont l'exécution*socio=rien demande*socio=ec1 cependant la plus grande*socio=rien prudence*socio=uv1. 2 - Les flux*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1 sont extrêmement sensibles*socio=rien, notamment, à la stabilité*socio=uv3 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te, à la qualité*socio=rien des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et à la solidité*socio=uv3 des systèmes_financiers*socio=ec1 nationaux*socio=te. Les remous*socio=rien qui ont récemment agité les marchés_financiers*socio=ec1 ont démontré une *socio=rien nouvelle fois *socio=nil combien il importe que la libéralisation*socio=et s'appuie sur*socio=rien une *socio=rien vaste gamme de*socio=nil mesures*socio=et structurelles*socio=ec2,*socio=nil en*socio=nil particulier *socio=nil dans le secteur*socio=rien monétaire*socio=ec1 et financier*socio=ec1, et s'inscrive dans le contexte*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien ensemble solide de*socio=nil politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 *socio=nil et de politiques*socio=et de change*socio=ec1. Il faudra attacher *socio=rien un soin particulier *socio=nil à établir *socio=rien un climat propice *socio=nil à l'utilisation*socio=rien efficace*socio=uv4 du*socio=rien capital*socio=ec1 et à mettre *socio=rien sur pied des*socio=nil systèmes_financiers*socio=ec1 sains*socio=uv2,*socio=nil suffisamment*socio=nil solides*socio=uv4 *socio=nil pour résister aux flux*socio=ec1 et reflux*socio=rien des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Cette démarche*socio=rien graduée mais intégrée permettra de moduler la libéralisation*socio=et en fonction*socio=rien de la *socio=rien situation propre *socio=nil à chaque pays*socio=ac, ce qui est*socio=rien le meilleur*socio=uv4 moyen*socio=rien d'assurer sa réussite*socio=uv1 non seulement au niveau*socio=rien national*socio=te, mais aussi pour le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te tout entier*socio=rien. 3 - Ces efforts*socio=uv1 devraient aboutir à l'instauration*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien multilatéral*socio=et non discriminatoire*socio=uv2 pour promouvoir la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Le FMI*socio=ac aura pour tâche*socio=rien de contribuer à l'instauration*socio=rien de ce système*socio=rien, et il est*socio=rien prêt*socio=ec1 à soutenir les pays_membres*socio=ac dans cette entreprise*socio=ac. Il a aussi pour rôle*socio=et crucial*socio=rien de veiller à l'adoption*socio=uv3 de politiques*socio=et propres*socio=rien à favoriser une libéralisation*socio=et bien*socio=rien programmée et à réduire les risques*socio=uv3 de crises*socio=uv2 financières*socio=ec1 ou de balance_des_paiements*socio=ec1. 4 - À la lumière*socio=rien de ce qui précède, le Comité*socio=ac invite le conseil_d'_administration*socio=ac à achever ses *socio=rien travaux sur un projet*socio=et d'*socio=nil amendement*socio=et des*socio=nil Statuts*socio=et du FMI*socio=ac *socio=nil qui ferait de la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 l'un*socio=rien de ses objectifs*socio=uv3 et étendrait, par voie*socio=rien de conséquence*socio=rien, son domaine*socio=rien de compétence*socio=uv3 en établissant pour les pays_membres*socio=ac des obligations*socio=uv1 soigneusement définies*socio=rien et d'application*socio=rien uniforme*socio=uv4 au sujet*socio=rien de la libéralisation*socio=et desdits mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Des clauses*socio=rien de sauvegarde*socio=et et des dispositions*socio=et transitoires*socio=rien seront nécessaires*socio=rien pour assurer la réussite*socio=uv1 de cette vaste*socio=rien entreprise*socio=ac. Une politique*socio=et d'approbation*socio=uv1 souple*socio=uv4 devra être*socio=rien adoptée. Tant durant la phase*socio=te de préparation*socio=rien de l'amendement*socio=et des Statuts*socio=et que lorsqu'il aura pris effet*socio=rien, les obligations*socio=uv1 des pays_membres*socio=ac découlant d'autres accords*socio=et internationaux*socio=te seront respectées. Dans ces travaux*socio=rien, le Comité*socio=ac s'attend à ce que le FMI*socio=ac et les autres institutions*socio=ac collaborent étroitement. 5 - La libéralisation*socio=et ordonnée des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 et l'accès*socio=uv1 plus large*socio=rien aux marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 devraient réduire la fréquence*socio=rien des recours*socio=ec1 aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac et à d'autres formes*socio=rien de financement*socio=ec1 exceptionnel*socio=uv4. Néanmoins, le Comité*socio=ac reconnaît que, dans *socio=rien certaines circonstances,*socio=nil *socio=nil il pourrait y avoir de gros*socio=rien besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1, du*socio=rien FMI*socio=ac et d'autres sources*socio=rien. Le FMI*socio=ac continuera à jouer un*socio=rien rôle*socio=et crucial*socio=rien en aidant à mobiliser des concours financiers*socio=ec1 à l'appui*socio=uv1 des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et de ses pays_membres*socio=ac. Dans cette entreprise*socio=ac, il continuera à jouer son rôle*socio=et d'agent*socio=ac catalyseur*socio=ec2 tout en réduisant au minimum*socio=rien les aléas*socio=rien de moralité*socio=uv. 6 - Considérant qu'il importe de s'acheminer de manière*socio=rien décisive*socio=uv4 vers ce nouveau*socio=rien régime*socio=et mondial*socio=te de libre*socio=uv2 circulation*socio=ec2 des capitaux*socio=ec1, et notant avec satisfaction*socio=uv3 le très large*socio=rien accord des pays_membres*socio=ac sur*socio=rien ces principes*socio=ec2 fondamentaux*socio=uv4, le Comité*socio=ac invite le conseil_d'_administration*socio=ac à accorder une haute*socio=rien priorité*socio=uv4 à la mise au point*socio=rien de l'amendement*socio=et des Statuts*socio=et qui est*socio=rien requis*socio=uv4. *socio=rien Cinquantième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 16*socio=nil avril *socio=nil 1998. 1 - Le comité_intérimaire*socio=ac a tenu sa *socio=rien cinquantième réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil le 16 avril*socio=rien 1998, sous la présidence*socio=rien de M.. Philippe Maystadt, vice-premier_ministre*socio=ac et Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 et du*socio=rien commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te de la Belgique*socio=ac. Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, y compris les causes*socio=rien et conséquences*socio=rien de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac. 2 - Le Comité*socio=ac s'accorde pour penser que, si les pays*socio=ac qui se trouvent au coeur*socio=rien de la crise*socio=uv2 se ressentiront nettement des remous*socio=rien financiers*socio=ec1 qui ont récemment agité l'Asie*socio=ac, les perspectives*socio=te globales*socio=rien de croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te peuvent être*socio=rien envisagées avec un*socio=rien optimisme*socio=uv1 prudent*socio=uv2. Cette appréciation*socio=uv3 reflète la poursuite*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 forte*socio=rien attendue dans la plupart*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac, la mise en oeuvre*socio=rien dans les pays*socio=ac à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien de mesures*socio=et correctives*socio=ec2 soutenues qui ont aidé à éviter une extension*socio=rien de la crise*socio=uv2 et les améliorations*socio=uv1 réalisées dans beaucoup de pays_en_développement*socio=uv3 et de pays*socio=ac en transition*socio=ec2 dans les données fondamentales*socio=uv4 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil Nonobstant ces aspects*socio=rien positifs*socio=uv4, il y a des risques*socio=uv3 de dégradation*socio=uv3 de la situation*socio=rien, aussi est-il nécessaire*socio=rien d'engager des actions*socio=ec1 résolues dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil domaines *socio=nil pour soutenir la croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te : Parmi les pays*socio=ac qui sont au coeur*socio=rien de la crise*socio=uv2, l'application*socio=rien résolue des programmes*socio=et convenus est*socio=rien indispensable*socio=uv4 pour rétablir la confiance*socio=uv1 et une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4. Cela suppose le maintien*socio=rien d'une politique_monétaire*socio=et suffisamment ferme*socio=ec2 pour soutenir le redressement*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1, la discipline*socio=uv1 budgétaire*socio=et et la mise en oeuvre*socio=rien, sans retard*socio=rien, des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 qui, surtout dans le secteur*socio=rien financier*socio=ec1, s'imposent pour renforcer les perspectives*socio=te à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Il*socio=nil est *socio=nil non moins important*socio=uv4 que tous les pays*socio=ac maintiennent leurs marchés*socio=ec1 ouverts*socio=rien. Au Japon*socio=ac, des *socio=et mesures budgétaires et*socio=nil structurelles*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil notamment une réforme*socio=et *socio=rien globale du cadre réglementaire*socio=et et*socio=nil du secteur financier*socio=ec1,*socio=nil sont*socio=nil nécessaires *socio=nil pour assurer une reprise rapide*socio=rien et durable*socio=uv4. Le Comité*socio=ac salue l'annonce *socio=rien récente du programme*socio=et de*socio=nil politique_économique*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil ainsi que les mesures*socio=et prises*socio=rien précédemment pour renforcer le système_financier*socio=ec1. Il est*socio=rien important*socio=uv4 à présent*socio=rien de mettre en oeuvre*socio=rien promptement des *socio=et mesures budgétaires efficaces*socio=uv4 *socio=nil et des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 appropriées. Une action*socio=ec1 rapide*socio=rien et décisive*socio=uv4 dans le secteur*socio=rien financier*socio=ec1 est*socio=rien importante*socio=uv4 pour rétablir la confiance*socio=uv1 du*socio=rien public*socio=et. Toute aide*socio=uv1 au système_bancaire*socio=ec1 devrait s'accompagner des fermetures*socio=ec ou mesures*socio=et d'assainissement*socio=uv3 requises*socio=uv4 et s'inscrire dans le cadre*socio=rien d'une stratégie*socio=et à *socio=rien moyen terme cohérente.*socio=nil Ces*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil sont particulièrement cruciales*socio=uv4 dans la conjoncture*socio=ec2 actuelle*socio=te, étant donné l'importance*socio=rien de l'économie*socio=ec1 japonaise*socio=ac pour la région*socio=te et pour le monde*socio=te entier*socio=rien. Dans les pays_industrialisés*socio=ac où les capacités*socio=uv3 sont presque entièrement utilisées, aux États-unis*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac notamment, les autorités*socio=et doivent demeurer vigilantes*socio=rien, comme toujours, face*socio=rien aux risques*socio=uv3 d'inflation*socio=ec1. Aux États-unis*socio=ac, les excédents*socio=ec1 budgétaires*socio=et prévisibles*socio=uv4 devraient aider à s'attaquer à la question*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 du*socio=rien taux*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 nationale*socio=te. En ce qui concerne l'Europe*socio=ac continentale*socio=te, le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 la convergence*socio=uv3 économique*socio=ec1 des pays*socio=ac qui aspirent à participer dès l'origine*socio=rien à l'UEM*socio=et, et il attend avec intérêt*socio=uv1 les décisions*socio=et historiques*socio=te qui doivent *socio=rien être prises *socio=nil bientôt. Il *socio=rien est souhaitable *socio=nil que l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et progresse encore dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil surtout pour donner aux pouvoirs_publics*socio=et la marge de souplesse*socio=uv3 requise*socio=uv4 dans le *socio=rien cadre du Pacte*socio=et de*socio=nil stabilité*socio=uv3 *socio=nil et de croissance*socio=uv3, et il demeure tout à fait*socio=rien indispensable*socio=uv4 de faire avancer les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, en particulier*socio=rien en ce qui concerne les marchés_du_travail*socio=ec1, pour aider à réduire le chômage*socio=ec1 et contribuer ainsi au succès*socio=uv1 de l'UEM*socio=et. Il importe en outre, pour l'équilibre*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 mondiale*socio=te, que la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te soit de plus en plus le moteur*socio=uv3 de la croissance*socio=uv3 en Europe*socio=ac continentale*socio=te. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre l'examen*socio=ec2 des implications*socio=rien de l'UEM*socio=et pour les opérations*socio=rien et la mission*socio=et de surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, et de faire *socio=rien rapport sur ses*socio=nil conclusions *socio=nil à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac.*socio=nil *socio=nil S'agissant des pays_en_développement*socio=uv3, l'accent*socio=rien doit continuer d'être*socio=rien mis sur*socio=rien des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 saines*socio=uv2, l'ouverture*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 et les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, en particulier*socio=rien le développement*socio=uv3 de secteurs*socio=rien financiers*socio=ec1 fondés sur*socio=rien le marché*socio=ec1, bien*socio=rien gérés et bien*socio=rien contrôlés. Si les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 qui ne sont pas au coeur*socio=rien de la crise*socio=uv2 y ont en *socio=rien général bien *socio=nil résisté jusqu'à présent*socio=rien, la prudence*socio=uv1 voudrait qu'elles continuent d'affermir leurs politiques*socio=et, surtout en contenant les déficits*socio=ec1 extérieurs*socio=te, en évitant toute surchauffe, en renforçant leur système_financier*socio=ec1 et en améliorant la diffusion*socio=rien des informations*socio=rien économiques*socio=ec1. En Afrique*socio=ac, de vigoureuses*socio=rien politiques*socio=et d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 et l'appui*socio=uv1 continu*socio=rien de la *socio=ac communauté internationale sont*socio=nil nécessaires*socio=rien *socio=nil pour soutenir l'amélioration*socio=uv1 du*socio=rien niveau_de_vie*socio=uv1 réalisée par plusieurs pays*socio=ac. Encore qu'elle jouera au bénéfice*socio=uv1 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3,*socio=nil la*socio=nil forte baisse*socio=ec2 récente des*socio=nil prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 *socio=nil et d'autres produits*socio=rien de base*socio=rien pose des problèmes*socio=uv4 considérables*socio=rien à beaucoup d'autres et risque*socio=uv3 de pénaliser temporairement*socio=rien la croissance*socio=uv3 et l'investissement*socio=ec1 et d'entraver la lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1, surtout dans certains *socio=ac pays africains.*socio=nil *socio=nil Dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2, le passage*socio=rien en 1997 à une croissance*socio=uv3 positive*socio=uv4, accompagnée d'un*socio=rien recul*socio=rien de l'inflation*socio=ec1, représente un*socio=rien accomplissement notable*socio=rien, mais beaucoup de pays*socio=ac ont encore besoin*socio=uv1 de réduire leur déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et en améliorant le recouvrement*socio=ec1 des recettes*socio=ec1 ainsi que l'efficience*socio=uv3 des systèmes*socio=rien de protection*socio=et et d'aide*socio=uv1 sociales*socio=et et, de façon*socio=rien plus générale*socio=rien, des services_publics*socio=et. Renforcement*socio=ec2 de l'architecture du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te - Prévention*socio=uv3, gestion*socio=ec2 et solution*socio=rien des crises*socio=uv2. 3 - Le Comité*socio=ac a examiné les leçons*socio=ec2 qui se dégagent déjà de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac et les mesures*socio=et requises*socio=uv4 pour renforcer l'architecture du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Il considère qu'un*socio=rien tel renforcement*socio=ec2 s'impose, compte*socio=ec1 tenu en particulier*socio=rien de la mondialisation*socio=ec2, qui est*socio=rien manifestement bénéfique*socio=rien, mais pose en même temps*socio=rien de nouveaux*socio=rien problèmes*socio=uv4. Elle a accru l'importance*socio=rien de bonnes*socio=rien politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et de systèmes_financiers*socio=ec1 solides*socio=uv4 pour éviter d'être*socio=rien vulnérable*socio=uv2 aux revirements*socio=te des marchés*socio=ec1 et aux effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 des faiblesses*socio=ec2 de la politique_ économique*socio=ec1 menée dans d'autres pays*socio=ac. Le Comité*socio=ac considère que les actions*socio=ec1 qui aideront à prévenir les crises*socio=uv2 financières*socio=ec1, et à les résoudre lorsqu'elles surviendront, devraient s'articuler autour des *socio=rien éléments suivants.*socio=nil *socio=nil a - Renforcement*socio=ec2 des systèmes_financiers*socio=ec1 international*socio=te et nationaux*socio=te. Des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 saines*socio=uv2 et stables*socio=uv4 sont indispensables*socio=uv4 pour la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1. Des actions*socio=ec1 doivent également être*socio=rien engagées pour renforcer les systèmes_financiers*socio=ec1 intérieurs*socio=te en mettant au point*socio=rien des cadres*socio=rien de réglementation*socio=et et de contrôle*socio=uv3 conformes*socio=uv4 aux pratiques*socio=et internationalement reconnues ainsi que des normes*socio=et renforcées pour les banques*socio=ac et les établissements*socio=ac financiers*socio=ec1 non bancaires*socio=ec1. Les travaux*socio=rien entrepris dans ce domaine*socio=rien par diverses*socio=rien instances*socio=et sont déjà avancés, comme en témoignent*socio=rien notamment les Principes*socio=ec2 fondamentaux*socio=uv4 pour un*socio=rien contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1 efficace*socio=uv4 établis par le Comité*socio=ac de Bâle. Le Comité*socio=ac note que ces travaux*socio=rien doivent être*socio=rien approfondis par les instances*socio=et compétentes*socio=uv4 et étendus à d'autres domaines*socio=rien importants*socio=uv4 tels, par exemple*socio=rien, que la comptabilité*socio=ec1, la vérification*socio=rien des comptes*socio=ec1, la publicité*socio=rien, l'évaluation*socio=ec2 des actifs*socio=ec1, la faillite*socio=ec1 et le gouvernement*socio=ac d'entreprise*socio=ac. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au FMI*socio=ac de collaborer avec les autres institutions*socio=ac et organisations*socio=ac responsables*socio=uv2 de la mise au point*socio=rien de normes*socio=et et de directives*socio=et dans ces domaines*socio=rien et, dans le contexte*socio=rien de ses activités*socio=rien de surveillance*socio=et, d'étudier comment le FMI*socio=ac pourrait le mieux aider à la diffusion*socio=rien de ces normes*socio=et parmi les pays_membres*socio=ac et encourager ceux-ci à les adopter. Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 les efforts*socio=uv1 actuellement déployés pour faciliter l'échange*socio=ec1 des informations*socio=rien et une coordination*socio=uv3 plus poussée entre les organes*socio=ac de surveillance*socio=et financière*socio=ec1, afin de contribuer au renforcement*socio=ec2 des systèmes_financiers*socio=ec1 intérieurs*socio=te. b - Renforcement*socio=ec2 de la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et recommandations*socio=et. Le Comité*socio=ac s'accorde pour penser que le FMI*socio=ac devrait intensifier sa surveillance*socio=et sur*socio=rien le secteur*socio=rien financier*socio=ec1 et les mouvements_de_capitaux*socio=ec1, prêter une *socio=rien attention particulière *socio=nil à l'interdépendance*socio=uv3 des politiques*socio=et et aux risques*socio=uv3 de contagion*socio=ec2 et veiller à connaître parfaitement l'opinion*socio=uv1 ainsi que les perspectives*socio=te du*socio=rien marché*socio=ec1. Le Comité*socio=ac note que la surveillance*socio=et renforcée du*socio=rien FMI*socio=ac doit être*socio=rien axée sur*socio=rien les risques*socio=uv3 liés à la possibilité*socio=rien d'une *socio=rien inversion brutale des*socio=nil flux*socio=ec1 de*socio=nil capitaux*socio=ec1,*socio=nil à*socio=nil court_terme*socio=te en*socio=nil particulier.*socio=nil Il*socio=nil demande*socio=ec1 au*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil d'examiner les moyens*socio=ec1 de renforcer le suivi des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. Le Comité*socio=ac encourage le FMI*socio=ac et la banque_mondiale*socio=ac à redoubler d'efforts*socio=uv1 afin de trouver le moyen*socio=rien le plus efficace*socio=uv4 - éventuellement en développant de *socio=rien nouvelles formes de*socio=nil collaboration*socio=uv1 *socio=nil entre les deux institutions*socio=ac et en faisant appel*socio=rien à des experts*socio=ac externes*socio=ec1 - d'offrir à leurs membres*socio=ac les meilleurs*socio=uv4 conseils*socio=ac possibles*socio=rien pour renforcer le secteur*socio=rien financier*socio=ec1. Le Comité*socio=ac souligne qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil que l'opinion*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac soit communiquée effectivement*socio=rien aux pays_membres*socio=ac et soit prise*socio=rien en compte*socio=ec1 dans les délibérations*socio=et sur*socio=rien l'orientation*socio=et de leur politique_économique*socio=ec1. À cet égard*socio=rien, il demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac d'établir une procédure*socio=et de "riposte graduée", afin de donner une série d'avertissements de plus en plus fermes*socio=rien aux pays*socio=ac dont il juge*socio=et que la politique_économique*socio=ec1 s'écarte sérieusement de la *socio=rien bonne voie.*socio=nil *socio=nil c - Davantage d'informations*socio=rien plus transparentes*socio=uv4 sur*socio=rien les données et les politiques_économiques*socio=et. Notant que l'efficacité*socio=uv3 de la surveillance*socio=et dépend de la communication*socio=ec1 en temps*socio=rien voulu d'informations*socio=rien exactes*socio=rien, le Comité*socio=ac insiste sur*socio=rien l'obligation*socio=uv1 pour les pays_membres*socio=ac de fournir à temps*socio=rien des données exactes*socio=rien au FMI*socio=ac. Si des déficiences*socio=uv3 persistantes*socio=rien dans la divulgation*socio=et des données au FMI*socio=ac entravent gravement la surveillance*socio=et, la conclusion*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV devrait être*socio=rien différée. Le Comité*socio=ac se félicite des progrès*socio=uv1 accomplis dans l'application*socio=rien des initiatives*socio=rien en matière*socio=rien de diffusion*socio=rien des données (Système*socio=rien général*socio=rien et Norme*socio=et spéciale*socio=rien). Il demande*socio=ec1 au FMI*socio=ac d'intensifier ses efforts*socio=uv1 en vue*socio=rien d'élargir et de renforcer la Norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données (NSDD) afin qu'elle recouvre d'autres données financières*socio=ec1, notamment celles qui se rapportent aux réserves*socio=ec1 nettes*socio=rien (engagements*socio=et liés aux réserves*socio=ec1, opérations*socio=rien et positions*socio=rien de la banque_centrale*socio=ac *socio=rien sur produits *socio=nil dérivés), à la dette*socio=ec1, en particulier*socio=rien la dette*socio=ec1 à court_terme*socio=te, et aux indicateurs*socio=ec1 de stabilité*socio=uv3 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil reconnaît l'importance*socio=rien d'encourager davantage de pays_membres*socio=ac à souscrire à la NSDD et de soutenir, au moyen*socio=rien de l'assistance*socio=uv1 *socio=rien technique du FMI*socio=ac *socio=nil ou d'autres organismes*socio=ac, les efforts*socio=uv1 déployés par les pays_membres*socio=ac pour améliorer l'établissement*socio=rien et la communication*socio=ec1 des données. Il souligne également qu'il importe que les *socio=ac pays souscripteurs *socio=nil observent pleinement la norme*socio=et d'ici à la fin*socio=rien de la période*socio=te de transition*socio=ec2 en décembre*socio=rien 1998. Il importe de s'attacher à la rendre plus utile*socio=uv4 et accessible*socio=uv2 pour le public*socio=et et les participants*socio=ac au marché*socio=ec1, et d'envisager de publier des *socio=rien informations sur la*socio=nil façon *socio=nil dont elle est*socio=rien respectée. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 en outre au FMI*socio=ac de poursuivre ses efforts*socio=uv1 pour diffuser plus largement ses recommandations*socio=et et encourage les pays_membres*socio=ac à améliorer la transparence*socio=uv3 de leurs politiques_économiques*socio=et. Le Comité*socio=ac encourage les pays_membres*socio=ac à être*socio=rien plus nombreux*socio=rien à autoriser la publication*socio=rien de Notes d'information*socio=rien à la presse*socio=et (NIP) sur*socio=rien les conclusions*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, et prend note avec satisfaction*socio=uv3 de l'examen*socio=ec2 des NIP qui doit être*socio=rien effectué prochainement et qui sera une *socio=rien bonne occasion *socio=nil de dresser *socio=rien un bilan *socio=nil de l'expérience*socio=ec2 acquise*socio=rien. d - Rôle*socio=et *socio=rien central du FMI*socio=ac *socio=nil dans la gestion*socio=ec2 des crises*socio=uv2. Le Comité*socio=ac se félicite de ce que la *socio=ac communauté internationale,*socio=nil *socio=nil dont le FMI*socio=ac, ait réagi en temps*socio=rien voulu à la crise*socio=uv2. Il salue la création*socio=uv4 de la facilité de réserve*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien et le fait*socio=rien que le FMI*socio=ac a recouru à la procédure*socio=et d'urgence*socio=rien pour soutenir promptement les pays*socio=ac en crise*socio=uv2. Dans la réponse*socio=rien à apporter aux pays*socio=ac qui ont d'importants*socio=uv4 besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1, le rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac doit demeurer central*socio=rien, en particulier*socio=rien parce qu'il s'attache, par la conditionnalité de ses concours, à soutenir les réformes*socio=et nécessaires*socio=rien. On ne saurait s'attendre à ce qu'il puisse financer, sans limite*socio=rien de montant*socio=ec1, les déficits*socio=ec1 de balance_des_paiements*socio=ec1. Son rôle*socio=et est*socio=rien essentiel*socio=uv4 pour catalyser d'autres sources*socio=rien de financement*socio=ec1 et, si nécessaire*socio=rien, pour coordonner l'aide*socio=uv1 en provenance*socio=rien d'autres sources*socio=rien. Le Comité*socio=ac note le net*socio=rien affaiblissement*socio=ec2 de la position*socio=rien de liquidité*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac et souligne la nécessité*socio=uv1 de veiller à ce que l'institution*socio=ac dispose de ressources*socio=ec1 suffisantes*socio=rien. Il demande*socio=ec1 que l'augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et approuvée par le conseil_des_gouverneurs*socio=ac en janvier*socio=rien 1998 et les Nouveaux*socio=rien Accords*socio=et d'emprunt*socio=ec1 soient mis rapidement en application*socio=rien. e - Des procédures*socio=et plus efficaces*socio=uv4 pour faire participer le secteur_privé*socio=et à la prévention*socio=uv3 ou à la solution*socio=rien des crises*socio=uv2 financières*socio=ec1. Le Comité*socio=ac fait*socio=rien observer que, si beaucoup d'opérateurs*socio=ac privés*socio=et ont subi de lourdes pertes*socio=ec2 lors*socio=rien des récentes*socio=rien crises*socio=uv2, il importe que tous les créanciers*socio=ac, y compris les détenteurs*socio=ac de créances*socio=ec1 à court_terme*socio=te, subissent davantage tout le poids*socio=rien des conséquences*socio=rien de leurs actes. Il note qu'en *socio=rien premier lieu des*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil visant à décourager un*socio=rien recours*socio=ec1 excessif*socio=uv4 au financement*socio=ec1 à court_terme*socio=te et à renforcer la capacité*socio=uv3 des pays*socio=ac à résister aux soudains*socio=rien changements*socio=uv3 d'opinion*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1 sont des *socio=rien éléments préventifs essentiels*socio=uv4.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil convient que, si la situation*socio=rien de crise*socio=uv2 le justifie, il faut trouver des moyens*socio=ec1 d'inclure à un*socio=rien stade*socio=te précoce*socio=rien les créanciers_privés*socio=et dans le tour*socio=rien de table*socio=rien afin d'assurer une répartition*socio=uv3 des charges*socio=rien équitable*socio=uv2 vis-à-vis *socio=rien du secteur officiel*socio=et *socio=nil et de circonscrire le risque*socio=uv3 moral*socio=uv2. Tout en notant qu'il s'agit de *socio=rien questions difficiles,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil d'approfondir l'examen*socio=ec2 des mesures*socio=et qui permettraient d'obtenir*socio=rien une participation*socio=uv3 plus active*socio=uv4 du*socio=rien secteur_privé*socio=et. Des efforts*socio=uv1 devraient aussi *socio=rien être faits *socio=nil pour inciter davantage les créanciers*socio=ac et les investisseurs*socio=ac à mieux utiliser l'information*socio=rien afin d'analyser convenablement les risques*socio=uv3 et d'éviter de prendre des risques*socio=uv3 excessifs*socio=uv4. Le Comité*socio=ac suggère que différents*socio=rien moyens*socio=ec1 pourraient être*socio=rien envisagés à cet effet*socio=rien. Établir des contacts*socio=rien plus étroits*socio=rien avec les créanciers*socio=ac afin d'expliquer les accords*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et de catalyser les financements_privés*socio=ec1. Continuer d'étudier la possibilité*socio=rien d'inclure dans les contrats*socio=ec1 d'émission*socio=rien obligataire*socio=ec1 des clauses*socio=rien stipulant que les détenteurs*socio=ac d'obligations*socio=uv1 doivent être*socio=rien représentés, en cas*socio=rien de non-paiement, dans les négociations*socio=et en vue*socio=rien de la restructuration*socio=et des contrats*socio=ec1. Étendre, en s'entourant des garanties appropriées, le champ*socio=rien de la politique*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac en matière*socio=rien de prêt*socio=ec1 aux pays_membres*socio=ac ayant des arriérés envers certains créanciers_privés*socio=et. Encourager l'adoption*socio=uv3 de *socio=rien systèmes stricts de*socio=nil réglementation*socio=et *socio=nil de la faillite*socio=ec1, pour le *socio=rien bon fonctionnement des*socio=nil marchés*socio=ec1 de*socio=nil capitaux*socio=ec1 tant*socio=nil nationaux*socio=te qu'*socio=nil internationaux*socio=te.*socio=nil Conseiller*socio=ac aux*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil d'user de prudence*socio=uv1 en matière*socio=rien de garanties publiques*socio=et afin de réduire le risque*socio=uv3 qu'un*socio=rien problème*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 privé*socio=et ne devienne un*socio=rien problème*socio=uv4 de dette*socio=ec1 souveraine*socio=et. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de lui faire *socio=rien rapport sur *socio=nil tous les aspects*socio=rien de ses travaux*socio=rien dans ces domaines*socio=rien à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac.*socio=nil Libéralisation*socio=et des*socio=nil mouvements_de_capitaux*socio=ec1 *socio=nil dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien amendement*socio=et des Statuts*socio=et. 4 - La crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 survenue en Asie*socio=ac a fait*socio=rien porter une attention*socio=rien accrue au rôle*socio=et des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 dans le développement*socio=uv3 économique*socio=ec1. Les effets*socio=rien de la crise*socio=uv2 n'ont pas réduit à néant*socio=rien la contribution*socio=uv1 que les mouvements_de_capitaux*socio=ec1 avaient apportée au progrès*socio=uv1 économique*socio=ec1 des *socio=ac pays asiatiques *socio=nil avant que la crise*socio=uv2 n'éclate. La crise*socio=uv2 a plutôt fait*socio=rien ressortir l'importance*socio=rien d'une libéralisation*socio=et ordonnée et convenablement échelonnée des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, la nécessité*socio=uv1 de politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et de politiques*socio=et de change*socio=ec1 appropriées, le rôle*socio=et critique*socio=uv2 de secteurs*socio=rien financiers*socio=ec1 solides*socio=uv4 ainsi que de systèmes*socio=rien efficaces*socio=uv4 de réglementation*socio=et prudentielle*socio=uv2 et de contrôle*socio=uv3. Le Comité*socio=ac réaffirme son point*socio=rien de vue*socio=rien, exprimé dans le communiqué de *socio=ac Hong Kong de*socio=nil *socio=rien septembre dernier,*socio=nil *socio=nil que le *socio=rien moment est *socio=nil venu d'ajouter *socio=rien un nouveau chapitre aux*socio=nil Accords*socio=et de*socio=nil bretton_woods*socio=et *socio=nil en faisant de la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 l'un*socio=rien des buts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et en élargissant de manière*socio=rien appropriée le champ*socio=rien de compétence*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac à cet effet*socio=rien. Le Comité*socio=ac note les progrès*socio=uv1 accomplis jusqu'à présent*socio=rien et l'accord*socio=et provisoire*socio=rien auquel est*socio=rien parvenu le conseil_d'_administration*socio=ac sur*socio=rien la partie*socio=rien de l'amendement*socio=et qui concerne les buts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Il demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre avec détermination*socio=rien ses *socio=rien travaux sur *socio=nil les autres aspects*socio=rien, notamment les questions*socio=rien de fond*socio=rien, afin de soumettre le plus tôt *socio=rien possible un amendement*socio=et *socio=nil approprié des Statuts*socio=et à l'examen*socio=ec2 du*socio=rien Comité*socio=ac. Code*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien de transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et - Déclaration*socio=et de principes*socio=ec2. 5 - Le Comité*socio=ac a adopté le "Code*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien de transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et - Déclaration*socio=et de principes*socio=ec2"1 ci-joint, qui doit servir de guide*socio=rien aux pays_membres*socio=ac pour les aider à accroître la transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, et améliorer ainsi la responsabilisation*socio=uv1 et la crédibilité*socio=uv1 de la politique_budgétaire*socio=et, élément*socio=rien essentiel*socio=uv4 d'une bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et. Le Comité*socio=ac encourage les pays_membres*socio=ac à adopter les principes*socio=ec2 du*socio=rien Code*socio=et et à en appliquer les pratiques*socio=et, reconnaissant que leur mise en oeuvre*socio=rien sera affectée par la diversité*socio=uv1 des institutions*socio=ac budgétaires*socio=et, des systèmes*socio=rien juridiques*socio=et et des capacités*socio=uv3 d'exécution*socio=rien. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au FMI*socio=ac de suivre les progrès*socio=uv1 dans l'application*socio=rien du*socio=rien Code*socio=et, dans le contexte*socio=rien de ses fonctions*socio=rien de surveillance*socio=et. Le Comité*socio=ac encourage également le conseil_d'_administration*socio=ac à examiner l'opportunité*socio=uv3 de mettre au point*socio=rien, en coopération*socio=uv1 avec les institutions*socio=ac compétentes*socio=uv4, un*socio=rien code*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien de politique*socio=et financière*socio=ec1 et monétaire*socio=ec1. Initiatives*socio=rien FASR*socio=ec1 et PPTE*socio=ac - Mise en ouvre, financement*socio=ec1 et évaluation*socio=ec2. 6 - Le Comité*socio=ac se félicite des progrès*socio=uv1 accomplis jusqu'à présent*socio=rien dans la mise en oeuvre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés (PPTE*socio=ac), notamment i) le déblocage*socio=rien par les administrateurs*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac et de la Banque*socio=ac d'une assistance*socio=uv1 à l'Ouganda*socio=ac lorsque ce pays*socio=ac a atteint la *socio=rien fin du processus*socio=te début avril;*socio=nil *socio=nil ii) les décisions*socio=et de principe*socio=ec2 de fournir une assistance*socio=uv1 à la Bolivie*socio=ac, au burkina_faso*socio=ac, à la côte_d'_ivoire*socio=ac, au Guyana*socio=ac et au Mozambique*socio=ac; et iii) les discussions*socio=et *socio=rien préliminaires sur le*socio=nil cas *socio=nil de la Guinée-bissau*socio=ac et du*socio=rien Mali. Le Comité*socio=ac encourage les pays*socio=ac susceptibles*socio=rien d'être*socio=rien admissibles*socio=uv2 à une assistance*socio=uv1 dans le cadre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien à prendre promptement les mesures*socio=et d'ajustement*socio=et nécessaires*socio=rien. Le Comité*socio=ac note la nécessité*socio=uv1 de relancer les efforts*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac en vue*socio=rien d'obtenir*socio=rien le financement*socio=ec1 intégral*socio=rien de la FASR*socio=ec1 et de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac. Étant donné les engagements*socio=et actuels*socio=te et attendus au titre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien et les coûts*socio=ec1 importants*socio=uv4 qu'entraînent les retards*socio=rien dans la mobilisation*socio=uv3 des *socio=ec1 ressources financières requises*socio=uv4,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil engage instamment tous les pays_membres*socio=ac à prendre rapidement les dispositions*socio=et nécessaires*socio=rien pour compléter dès que possible*socio=rien le financement*socio=ec1 de ces initiatives*socio=rien. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de lui faire *socio=rien rapport sur ce*socio=nil dossier *socio=nil à sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil se félicite de la qualité*socio=rien des travaux*socio=rien des évaluateurs externes*socio=ec1 de la FASR*socio=ec1. Leur rapport*socio=rien, qui complète l'évaluation*socio=ec2 interne*socio=te réalisée précédemment, conforte l'idée*socio=rien que la FASR*socio=ec1 *socio=rien est un moyen précieux *socio=nil d'aider les pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1. Le Comité*socio=ac note que les évaluations*socio=ec2 interne*socio=te et externe*socio=ec1 permettent de tirer d'importantes*socio=uv4 leçons*socio=ec2 et fournissent une base*socio=rien utile*socio=uv4 au débat_public*socio=et. Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que le conseil_d'_administration*socio=ac compte*socio=ec1 tirer des conclusions*socio=rien pratiques*socio=et de l'examen*socio=ec2 des questions*socio=rien soulevées dans les évaluations*socio=ec2, afin de renforcer la capacité*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac à encourager une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 et la viabilité*socio=uv3 extérieure*socio=te dans les pays*socio=ac pauvres*socio=uv2. Le comité_intérimaire*socio=ac tiendra sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac *socio=nil le 4 octobre*socio=rien 1998. Pièce*socio=rien jointe: Code*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien de transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et - Déclaration*socio=et de principes*socio=ec2. Le comité_intérimaire*socio=ac a souligné l'importance*socio=rien de la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et lorsqu'il a adopté, en septembre*socio=rien 1996, la résolution*socio=uv1 intitulée "Partenariat*socio=uv3 pour une expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te" et, de nouveau*socio=rien, à l'issue*socio=rien de sa réunion*socio=rien de septembre*socio=rien 1997 dans la région*socio=te *socio=rien administrative spéciale de*socio=nil *socio=ac Hong Kong.*socio=nil La*socio=nil transparence*socio=uv3 des*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et *socio=nil constituerait une contribution*socio=uv1 majeure*socio=rien à la cause*socio=rien de la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et. Elle devrait permettre de débattre*socio=rien en meilleure*socio=uv4 connaissance*socio=ec2 de cause*socio=rien des objectifs*socio=uv3 et des résultats*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, de rendre les pouvoirs_publics*socio=et plus comptables*socio=rien de leurs actions*socio=ec1 et, par conséquent*socio=rien, de renforcer la crédibilité*socio=uv1 et la compréhension*socio=rien par l'opinion*socio=ac publique*socio=et des options*socio=rien et des politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1. Dans *socio=rien un contexte de*socio=nil mondialisation*socio=ec2,*socio=nil la*socio=nil transparence*socio=uv3 des*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et *socio=nil a une *socio=rien importance considérable *socio=nil pour la réalisation*socio=uv1 de la stabilité*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1 et d'une croissance*socio=uv3 de qualité*socio=rien. Cependant, elle n'est*socio=rien que l'un*socio=rien des aspects*socio=rien de la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, et l'on doit veiller aussi à accroître l'efficience*socio=uv3 de l'activité*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=et et à assainir les finances*socio=ec1 publiques*socio=et. En raison*socio=rien de son expérience*socio=ec2 en matière*socio=rien de gestion*socio=ec2 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et *socio=rien du fait *socio=nil qu'il rassemble la quasi-totalité*socio=rien des pays*socio=ac du*socio=rien monde*socio=te, le FMI*socio=ac *socio=rien est bien *socio=nil placé pour jouer un*socio=rien rôle*socio=et de *socio=rien premier plan *socio=nil dans la promotion*socio=uv3 d'une transparence*socio=uv3 accrue. En conséquence*socio=rien, le comité_intérimaire*socio=ac souhaite encourager les pays_membres*socio=ac à appliquer le présent*socio=rien Code*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien de transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Ce Code*socio=et a été*socio=rien conçu en fonction*socio=rien des objectifs*socio=uv3 *socio=rien clés suivants *socio=nil : le rôle*socio=et et les attributions*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac doivent être*socio=rien clairement définis*socio=rien; le public*socio=et doit être*socio=rien informé sur*socio=rien les activités*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac; la préparation*socio=rien et l'exécution*socio=rien du*socio=rien budget*socio=ec1, et l'évaluation*socio=ec2 finale*socio=rien doivent s'effectuer de manière*socio=rien ouverte*socio=uv4; et l'intégrité*socio=uv1 de l'information*socio=rien relative*socio=rien aux finances*socio=ec1 publiques*socio=et doit pouvoir*socio=et être*socio=rien assurée par une instance*socio=rien indépendante*socio=uv2. Le Code*socio=et précise*socio=rien ce que les pouvoirs_publics*socio=et doivent faire pour respecter ces objectifs*socio=uv3. Les principes*socio=ec2 et pratiques*socio=et énoncés s'inspirent de l'expérience*socio=ec2 que le FMI*socio=ac a accumulée sur*socio=rien la gestion*socio=ec2 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et dans les pays_membres*socio=ac. Le Code*socio=et facilitera la surveillance*socio=et des politiques_économiques*socio=et par les autorités*socio=et nationales*socio=te, les marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 et les institutions_internationales*socio=ac. Les directives*socio=et relatives*socio=rien à l'application*socio=rien du*socio=rien Code*socio=et seront réunies dans *socio=rien un manuel technique qui*socio=nil est en*socio=nil cours de*socio=nil préparation.*socio=nil Le*socio=nil Code*socio=et *socio=nil prend en compte*socio=ec1 la diversité*socio=uv1 des systèmes*socio=rien de gestion*socio=ec2 budgétaire*socio=et et des contextes*socio=rien culturels, constitutionnels*socio=et et juridiques*socio=et des pays*socio=ac, ainsi que des différences*socio=uv1 dans les capacités*socio=uv3 techniques*socio=rien et administratives*socio=et dont ils disposent pour renforcer la transparence*socio=uv3. Bien*socio=rien qu'il existe dans tous les pays*socio=ac des possibilités*socio=rien d'amélioration*socio=uv1 de certains aspects*socio=rien de la transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et traitées dans le présent*socio=rien Code*socio=et, la diversité*socio=uv1 et les différences*socio=uv1 nationales*socio=te impliquent inévitablement que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac pourraient ne pas être*socio=rien en mesure*socio=rien de passer rapidement à la mise en *socio=rien oeuvre du Code*socio=et.*socio=nil *socio=nil En outre, il est*socio=rien admis qu'une assistance*socio=uv1 technique*socio=rien pourrait *socio=rien être nécessaire *socio=nil si l'on veut que les pratiques*socio=et actuelles*socio=te de finances*socio=ec1 publiques*socio=et soient modifiées, et le FMI*socio=ac doit être*socio=rien prêt*socio=ec1 à apporter son concours technique*socio=rien, en coopération*socio=uv1 avec d'autres organisations_internationales*socio=ac, aux pays*socio=ac qui demanderaient à en bénéficier pour améliorer la transparence*socio=uv3 de leurs finances*socio=ec1 publiques*socio=et. La *socio=rien modification du Code*socio=et devra*socio=nil être *socio=nil envisagée périodiquement, à la lumière*socio=rien de l'expérience*socio=ec2 acquise*socio=rien dans son application*socio=rien. I - *socio=rien Définition claire des*socio=nil rôles*socio=et *socio=nil et des responsabilités*socio=uv1. 1,1 - Le secteur*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac doit *socio=rien être bien distinct du reste *socio=nil de l'économie*socio=ec1, et leurs attributions*socio=rien en matière*socio=rien de politique*socio=et et de gestion*socio=ec2 doivent être*socio=rien clairement définies*socio=rien. 1,1,1 - La démarcation*socio=rien entre le secteur*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac et le reste*socio=rien de l'économie*socio=ec1 doit *socio=rien être claire et*socio=nil bien *socio=nil comprise. Le secteur*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac doit se composer de l' administration_centrale*socio=ac et des *socio=rien échelons inférieurs d'*socio=nil administrations_publiques*socio=ac,*socio=nil *socio=nil y compris les opérations*socio=rien extrabudgétaires*socio=ec1. 1,1,2 - L'intervention*socio=et des administrations_publiques*socio=ac dans le reste*socio=rien de l'économie*socio=ec1 (par exemple*socio=rien par la voie*socio=rien législative*socio=et ou réglementaire*socio=et ou par des prises*socio=rien de participations*socio=uv3) doit s'effectuer de manière*socio=rien ouverte*socio=uv4 et publique*socio=et et s'appuyer sur*socio=rien des lois*socio=et, règles*socio=et et procédures*socio=et claires*socio=rien, appliquées de manière*socio=rien non discriminatoire*socio=uv2. 1,1,3 - La répartition*socio=uv3 des compétences*socio=uv3 entre les *socio=rien différents échelons *socio=nil de l'administration_publique*socio=ac et entre les pouvoirs*socio=et exécutif*socio=ac, législatif*socio=et et judiciaire*socio=et doit *socio=rien être bien définie.*socio=nil *socio=nil 1,1,4 - Les moyens*socio=ec1 de coordination*socio=uv3 et de gestion*socio=ec2 des activités*socio=rien budgétaires*socio=et et extrabudgétaires*socio=ec1 doivent être*socio=rien établis de *socio=rien manière claire,*socio=nil *socio=nil et les relations*socio=rien avec les autres entités*socio=rien publiques*socio=et (par exemple*socio=rien la banque_centrale*socio=ac, les entreprises*socio=ac financières*socio=ec1 et non financières*socio=ec1 placées sous le contrôle*socio=uv3 de l'État*socio=ac) doivent être*socio=rien explicitées. 1,2 - La gestion*socio=ec2 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et doit s'inscrire dans *socio=rien un cadre juridique*socio=et et*socio=nil administratif*socio=et clair.*socio=nil *socio=nil 1,2,1 - La gestion*socio=ec2 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et doit *socio=rien être régie *socio=nil par une législation*socio=et et des *socio=et règles administratives exhaustives*socio=rien *socio=nil s'appliquant aux activités*socio=rien budgétaires*socio=et et extrabudgétaires*socio=ec1. Tout engagement*socio=uv1 ou décaissement*socio=ec1 de fonds_publics*socio=et doit être*socio=rien effectué conformément à la loi*socio=et. 1,2,2 - Les impôts*socio=et, droits*socio=uv1, redevances*socio=ec1 et autres prélèvements*socio=ec1 doivent avoir une base*socio=rien légale*socio=et explicite*socio=rien. La législation*socio=et et la *socio=et réglementation fiscales doivent*socio=nil être*socio=rien accessibles*socio=uv2 et*socio=nil compréhensibles*socio=rien *socio=nil aisément, et des critères*socio=rien clairement définis*socio=rien doivent s'appliquer à la marge de *socio=rien manoeuvre administrative *socio=nil prévue pour leur application*socio=rien. 1,2,3 - Le comportement*socio=rien des fonctionnaires*socio=ac doit être*socio=rien régi par une éthique*socio=uv claire*socio=rien et largement diffusée. II - Accès*socio=uv1 du*socio=rien public*socio=et à l'information*socio=rien. 2,1 - Le public*socio=et doit être*socio=rien pleinement informé de l'activité*socio=rien financière*socio=ec1 passée, présente*socio=rien et prévue des administrations_publiques*socio=ac. 2,1,1 - Le budget*socio=ec1 annuel*socio=te doit décrire de manière*socio=rien détaillée toutes les opérations*socio=rien de l'administration_centrale*socio=ac et donner aussi des renseignements*socio=ec2 sur*socio=rien les opérations*socio=rien extrabudgétaires*socio=ec1 de cette dernière*socio=rien. En outre, des renseignements*socio=ec2 suffisants*socio=rien doivent être*socio=rien fournis sur*socio=rien les recettes*socio=ec1 et les dépenses*socio=ec1 des *socio=rien échelons inférieurs *socio=nil de l' administration_publique*socio=ac afin que puisse être*socio=rien présentée une situation*socio=rien financière*socio=ec1 consolidée des administrations_publiques*socio=ac. 2,1,2 - Des *socio=rien informations comparables *socio=nil à celles qui ont trait*socio=rien au budget*socio=ec1 de l'année*socio=rien en cours*socio=rien doivent être*socio=rien fournies sur*socio=rien l'exécution*socio=rien des budgets*socio=ec1 des deux *socio=rien exercices précédents;*socio=nil des*socio=nil informations *socio=nil doivent aussi être*socio=rien fournies sur*socio=rien les prévisions*socio=ec2 des principaux*socio=rien agrégats*socio=ec1 budgétaires*socio=et pour les deux *socio=rien exercices suivant le*socio=nil budget*socio=ec1 *socio=nil de l'année*socio=rien en cours*socio=rien. 2,1,3 - Des états*socio=et décrivant la nature*socio=rien et les conséquences*socio=rien budgétaires*socio=et des éléments*socio=rien de passif*socio=ec1 éventuels*socio=te, des dépenses*socio=ec1 fiscales*socio=et et des activités*socio=rien quasi budgétaires*socio=et doivent être*socio=rien publiés en même temps*socio=rien que le budget*socio=ec1 annuel*socio=te. 2,1,4 - L'administration_centrale*socio=ac doit publier périodiquement des renseignements*socio=ec2 sur*socio=rien le niveau*socio=rien et la composition*socio=rien de son endettement*socio=ec1 et de ses *socio=ec1 actifs financiers.*socio=nil *socio=nil 2,2 - Un*socio=rien engagement*socio=uv1 public*socio=et de diffuser en temps*socio=rien voulu des *socio=rien informations sur les*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et devra*socio=nil être *socio=nil pris. 2,2,1 - Des engagements*socio=et précis*socio=rien doivent être*socio=rien pris en ce qui concerne la publication*socio=rien d'informations*socio=rien sur*socio=rien les finances*socio=ec1 publiques*socio=et (par exemple*socio=rien dans la loi*socio=et de finances*socio=ec1). 2,2,2 - Le calendrier*socio=te de diffusion*socio=rien publique*socio=et d'informations*socio=rien sur*socio=rien les finances*socio=ec1 publiques*socio=et doit être*socio=rien annoncé à l'avance*socio=rien. III - Préparation*socio=rien, exécution*socio=rien et information*socio=rien budgétaires*socio=et transparentes*socio=uv4. 3,1 - La documentation*socio=rien budgétaire*socio=et doit préciser les objectifs*socio=uv3 en matière*socio=rien de finances*socio=ec1 publiques*socio=et, le cadre*socio=rien macro-économique*socio=ec1, les politiques*socio=et sur*socio=rien lesquelles repose le budget*socio=ec1 et les *socio=rien principaux aléas budgétaires*socio=et *socio=nil identifiables. 3,1,1 - Une déclaration*socio=et sur*socio=rien les objectifs*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et une évaluation*socio=ec2 de la politique_budgétaire*socio=et soutenable*socio=uv4 doivent servir à cadrer le budget*socio=ec1 annuel*socio=te. 3,1,2 - Les règles*socio=et de finances*socio=ec1 publiques*socio=et adoptées (par exemple*socio=rien l'obligation*socio=uv1 de présenter un*socio=rien budget*socio=ec1 en équilibre*socio=ec2 et le plafonnement*socio=uv4 de l'emprunt*socio=ec1 des *socio=rien niveaux inférieurs d'*socio=nil administrations_publiques*socio=ac)*socio=nil doivent*socio=nil être clairement*socio=nil définies.*socio=nil *socio=nil 3,1,3 - Le budget*socio=ec1 annuel*socio=te doit être*socio=rien présenté dans *socio=rien un cadre macro-économique*socio=ec1 quantitatif *socio=nil à la *socio=rien fois exhaustif et*socio=nil homogène*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil et les hypothèses*socio=ec2 économiques*socio=ec1 et les paramètres*socio=rien essentiels*socio=uv4 (par exemple*socio=rien les taux*socio=ec1 d'imposition*socio=et effectifs*socio=rien) qui sous-tendent les estimations*socio=ec2 budgétaires*socio=et doivent être*socio=rien communiqués. 3,1,4 - Les engagements*socio=et antérieurs*socio=te doivent être*socio=rien distingués des mesures*socio=et *socio=rien nouvelles inscrites au*socio=nil budget*socio=ec1 annuel*socio=te.*socio=nil *socio=nil 3,1,5 - Les *socio=rien principaux aléas du budget*socio=ec1 annuel*socio=te doivent*socio=nil être *socio=nil identifiés et quantifiés si possible*socio=rien, y compris les variations*socio=rien des hypothèses*socio=ec2 économiques*socio=ec1 et les coûts*socio=ec1 incertains*socio=uv4 d'engagements*socio=et de dépenses*socio=ec1 précis*socio=rien (par exemple*socio=rien les restructurations*socio=et financières*socio=ec1). 3,2 - Les estimations*socio=ec2 budgétaires*socio=et doivent être*socio=rien classifiées et présentées de manière*socio=rien à satisfaire aux besoins*socio=uv1 de l'analyse*socio=ec2 des politiques*socio=et et de la clarté*socio=rien des comptes*socio=ec1. 3,2,1 - Les opérations*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac doivent apparaître sur*socio=rien une *socio=rien base brute,*socio=nil les*socio=nil recettes*socio=ec1 étant*socio=nil séparées des*socio=nil dépenses*socio=ec1 aussi*socio=nil bien que*socio=nil du financement*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil avec une ventilation*socio=rien économique*socio=ec1 et fonctionnelle*socio=rien des dépenses*socio=ec1. En outre, les dépenses*socio=ec1 doivent être*socio=rien ventilées par *socio=rien catégorie administrative.*socio=nil *socio=nil Les données relatives*socio=rien aux opérations*socio=rien extrabudgétaires*socio=ec1 doivent être*socio=rien classifiées de la même manière*socio=rien. La présentation*socio=rien des données budgétaires*socio=et doit permettre des comparaisons*socio=rien internationales*socio=te. 3,2,2 - Un*socio=rien exposé des objectifs*socio=uv3 par principaux*socio=rien *socio=et programmes budgétaires *socio=nil (par exemple*socio=rien amélioration*socio=uv1 des indicateurs*socio=ec1 sociaux*socio=et pertinents*socio=rien) doit être*socio=rien fourni. 3,2,3 - Le solde*socio=ec1 global*socio=te des opérations*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac doit être*socio=rien l'indicateur*socio=ec2 normal*socio=rien récapitulant leur situation*socio=rien financière*socio=ec1. Des indicateurs*socio=ec1 budgétaires*socio=et supplémentaires*socio=rien (par exemple*socio=rien les soldes*socio=ec1 opérationnel*socio=rien, structurel*socio=ec2 et primaire*socio=rien) doivent s'y ajouter lorsque les circonstances*socio=rien économiques*socio=ec1 sont telles qu'il ne serait pas approprié de juger l'orientation*socio=et des finances*socio=ec1 publiques*socio=et sur*socio=rien la *socio=rien base du seul déficit_global*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil 3,2,4 - Le budget*socio=ec1 annuel*socio=te et les comptes*socio=ec1 définitifs*socio=rien doivent préciser la base*socio=rien comptable*socio=ec1 adoptée (comptabilité*socio=ec1 de caisse*socio=ec1 ou d'exercice*socio=rien) ainsi que les normes*socio=et utilisées pour préparer et présenter les données budgétaires*socio=et. 3,3 - Les modalités*socio=rien d'exécution*socio=rien et de suivi des dépenses*socio=ec1 approuvées doivent être*socio=rien clairement définies*socio=rien. 3,3,1 - *socio=rien Un système comptable*socio=ec1 *socio=nil intégré et exhaustif*socio=rien doit être*socio=rien établi. Il doit permettre d'évaluer de *socio=rien manière fiable *socio=nil les arriérés de paiements*socio=ec1. 3,3,2 - Les procédures*socio=et en matière*socio=rien de passation de marchés*socio=ec1 et d'emploi*socio=ec1 doivent être*socio=rien normalisées et accessibles*socio=uv2 à toutes les parties*socio=rien intéressées. 3,3,3 - L'exécution*socio=rien du*socio=rien budget*socio=ec1 doit être*socio=rien soumise à un*socio=rien audit interne*socio=te, et les procédures*socio=et d'audit doivent pouvoir*socio=et faire l'objet*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=ec2. 3,4 - Les informations*socio=rien budgétaires*socio=et doivent *socio=rien être récentes,*socio=nil *socio=nil complètes et fiables*socio=rien, et les écarts*socio=ec2 par rapport*socio=rien au budget*socio=ec1 doivent être*socio=rien identifiés. 3,4,1 - Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien, des *socio=rien informations récentes sur les*socio=nil résultats budgétaires*socio=et et*socio=nil extrabudgétaires*socio=ec1 doivent*socio=nil être *socio=nil communiquées régulièrement et comparées aux estimations*socio=ec2 initiales*socio=rien. En l'absence*socio=rien de renseignements*socio=ec2 détaillés sur*socio=rien les *socio=rien échelons inférieurs *socio=nil de l' administration_ publique*socio=ac, les indicateurs*socio=ec1 disponibles*socio=rien qui décrivent leur situation*socio=rien financière*socio=ec1 (par exemple*socio=rien les *socio=ec1 emprunts bancaires *socio=nil et les émissions*socio=rien obligataires*socio=ec1) doivent être*socio=rien communiqués. 3,4,2 - Des comptes*socio=ec1 d'opérations*socio=rien budgétaires*socio=et *socio=rien définitifs récents,*socio=nil exhaustifs *socio=nil et dûment vérifiés, ainsi que des renseignements*socio=ec2 complets sur*socio=rien les *socio=ec1 comptes extrabudgétaires,*socio=nil doivent*socio=nil être*socio=rien *socio=nil soumis aux organes*socio=ac législatifs*socio=et. 3,4,3 - Une comparaison*socio=rien des résultats*socio=rien et des objectifs*socio=uv3 des principaux*socio=rien *socio=et programmes budgétaires doit*socio=nil être*socio=rien *socio=nil communiquée aux organes*socio=ac législatifs*socio=et. IV - Intégrité*socio=uv1 assurée de manière*socio=rien indépendante*socio=uv2. 4,1 - L'intégrité*socio=uv1 de l'information*socio=rien budgétaire*socio=et doit faire l'objet*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=ec2 public*socio=et et indépendant*socio=rien. 4,1,1 - Une instance*socio=rien nationale*socio=te d'audit, ou un*socio=rien organisme*socio=ac analogue*socio=rien, doit être*socio=rien nommée par les organes*socio=ac législatifs*socio=et avec pour mission*socio=et de remettre aux *socio=et autorités législatives *socio=nil et au public*socio=et des *socio=rien rapports récents sur l'*socio=nil intégrité*socio=uv1 financière*socio=ec1 des*socio=nil comptes*socio=ec1 des*socio=nil administrations_publiques*socio=ac.*socio=nil *socio=nil 4,1,2 - Les prévisions*socio=ec2 macro-économiques*socio=ec1 (y compris les hypothèses*socio=ec2 sous-jacentes*socio=rien) doivent pouvoir*socio=et être*socio=rien examinées par des experts*socio=ac indépendants*socio=uv2. 4,1,3 - L'intégrité*socio=uv1 des statistiques*socio=ec2 de finances*socio=ec1 publiques*socio=et doit être*socio=rien améliorée par l'attribution*socio=rien au service*socio=et national*socio=te des statistiques*socio=ec2 d'un*socio=rien statut*socio=et d'indépendance*socio=uv1. Comité*socio=ac ministériel*socio=et conjoint*socio=rien des conseils_des_gouverneurs_de_la_banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien le transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 aux pays_en_développement*socio=uv3 (Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3). Cinquante-sixième réunion*socio=rien, *socio=ac Hong Kong (*socio=nil Chine)*socio=nil ,*socio=nil 22*socio=nil septembre*socio=rien *socio=nil 1997. 1 - La 56e *socio=rien réunion du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3 s'*socio=nil est *socio=nil tenue à *socio=ac Hong Kong (*socio=nil Chine)*socio=nil *socio=nil le 22 septembre*socio=rien 1997, sous la présidence*socio=rien de M.. Driss Jettou, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1, du*socio=rien commerce*socio=ec1, de l'industrie*socio=ec1 et de l'artisanat du*socio=rien Maroc*socio=ac. 2 - Aider les pays*socio=ac à lutter contre la corruption*socio=uv1 et améliorer la direction*socio=et des affaires_publiques*socio=et. Les ministres*socio=ac conviennent que la corruption*socio=uv1 et la médiocrité*socio=uv1 de la gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et mettent en péril*socio=rien la stabilité*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1, entravent les *socio=rien activités du secteur_privé*socio=et *socio=nil et la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv3 de développement*socio=uv3 durable*socio=uv4, et risquent d'affaiblir, au sein*socio=rien de la *socio=ac communauté internationale,*socio=nil le*socio=nil courant*socio=rien en*socio=nil faveur*socio=rien *socio=nil de la coopération*socio=uv1 pour le développement*socio=uv3. Ils soulignent que la corruption*socio=uv1 *socio=rien est un problème*socio=uv4 *socio=nil à l'échelle*socio=rien mondiale*socio=te, qui doit être*socio=rien combattu par une action*socio=ec1 concertée de tous les pays*socio=ac. Tout en insistant sur*socio=rien le fait*socio=rien qu'il appartient en *socio=rien premier lieu aux*socio=nil *socio=ac gouvernements membres *socio=nil d'agir pour lutter contre la corruption*socio=uv1 et mieux gouverner, ils notent avec satisfaction*socio=uv3 que, chacun dans son domaine*socio=rien de compétence*socio=uv3 respectif*socio=rien, la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 s'efforcent d'aider les *socio=ac gouvernements membres *socio=nil qui le leur demandent à renforcer leurs institutions*socio=ac et leurs résultats*socio=rien dans ces domaines*socio=rien, et en particulier*socio=rien à rendre le secteur_public*socio=et plus transparent*socio=uv4. Ils se félicitent des stratégies*socio=et et directives*socio=et pertinentes*socio=rien que la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 viennent de publier. Le Comité*socio=ac souligne l'importance*socio=rien d'une approche systématique*socio=rien et impartiale et la nécessité*socio=uv1 de prendre expressément en compte*socio=ec1 les questions*socio=rien de gouvernance*socio=et et de corruption*socio=uv1 dans le cadre*socio=rien des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec1 et d'autres types de décisions*socio=et, lorsque ces problèmes*socio=uv4 exercent *socio=rien un effet néfaste sensible sur les*socio=nil performances*socio=uv3 des*socio=nil projets*socio=et,*socio=nil les*socio=nil grands équilibres*socio=nil économiques*socio=ec1 *socio=nil et les *socio=rien résultats du pays*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac demande*socio=ec1 *socio=nil à la Banque*socio=ac et au Fonds*socio=ec1 de lui faire rapport*socio=rien dans *socio=rien un an sur *socio=nil la mise en oeuvre*socio=rien de leurs stratégies*socio=et et directives*socio=et respectives*socio=rien. 3 - Les ministres*socio=ac invitent les autres banques_multilatérales_de_ développement*socio=ac (BMD*socio=ac) à élaborer des stratégies*socio=et et des directives*socio=et analogues*socio=rien. Il est*socio=rien urgent*socio=uv4 que les BMD*socio=ac instituent des procédures*socio=et de passation_des_marchés*socio=ec1 et des mécanismes*socio=et de contrôle*socio=uv3 des plus stricts*socio=rien et aussi uniformes*socio=uv4 que possible*socio=rien, en y incorporant des dispositions*socio=et visant à interdire les pots-de-vin*socio=ec. Les ministres*socio=ac prennent note *socio=rien du fait *socio=nil que c'est*socio=rien avant tout aux emprunteurs*socio=ac qu'il incombe d'assurer l'équité*socio=uv1 et l'efficacité*socio=uv3 de la passation_des_marchés*socio=ec1, et ils soulignent combien il importe que les BMD*socio=ac accroissent leur concours en vue*socio=rien d'aider les emprunteurs*socio=ac à renforcer leurs capacités*socio=uv3 et leur responsabilité*socio=uv1. 4 - Les ministres*socio=ac notent avec satisfaction*socio=uv3 les efforts*socio=uv1 entrepris dans d'autres organismes_internationaux*socio=ac et régionaux*socio=te pour coordonner la lutte*socio=uv1 contre la corruption*socio=uv1. Le Comité*socio=ac encourage notamment les gouvernements*socio=ac à criminaliser la corruption*socio=uv1 internationale*socio=ac de manière*socio=rien efficace*socio=uv4 et concertée. 5 - Agence*socio=ac multilatérale*socio=et de garantie des investissements*socio=ec1 (AMGI*socio=ac). Les ministres*socio=ac réitèrent leur soutien*socio=uv3 à la poursuite*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 de l'AMGI*socio=ac face*socio=rien à la demande*socio=ec1 croissante*socio=rien dont ses services*socio=et font l'objet*socio=rien. Ils se félicitent du*socio=rien consensus*socio=uv1 obtenu au *socio=rien sujet du *socio=ec1 montage financier *socio=nil qui sera utilisé pour remédier aux contraintes*socio=uv1 financières*socio=ec1 de l'Agence*socio=ac. Ce montage*socio=ec1 comprend trois éléments*socio=rien : un*socio=rien don*socio=uv de la BIRD*socio=ac de 150 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1, un*socio=rien montant*socio=ec1 en capital*socio=ec1 libéré de 150 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1, plus 700 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1 de capital*socio=ec1 appelable. Les ministres*socio=ac demandent instamment à la direction*socio=et et au Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac de la BIRD*socio=ac d'agir rapidement au *socio=rien sujet du don*socio=uv *socio=nil de 150 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1. Ils engagent le Conseil*socio=ac de l'AMGI*socio=ac à parvenir à un*socio=rien accord*socio=et sur*socio=rien la mise en *socio=rien oeuvre du reste du montage*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ils appellent également le Conseil*socio=ac de l'AMGI*socio=ac à prendre, dans les meilleurs*socio=uv4 délais*socio=rien, des dispositions*socio=et *socio=rien claires sur les*socio=nil principales questions de*socio=nil fond.*socio=nil Ces*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil atténueront les contraintes*socio=uv1 financières*socio=ec1 à court_terme*socio=te qui pèsent sur*socio=rien l'AMGI*socio=ac et la doteront d'une *socio=ec1 structure financière viable*socio=uv4 *socio=nil pour le moyen*socio=rien et le long_terme*socio=te. Les ministres*socio=ac demandent instamment au Conseil*socio=ac de l'AMGI*socio=ac et aux autres parties*socio=rien concernées de prendre une décision*socio=et *socio=rien finale sur l'*socio=nil augmentation*socio=ec2 du capital*socio=ec1 *socio=nil d'ici à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac en*socio=nil avril *socio=nil 1998. 6 - Participation*socio=uv3 du*socio=rien secteur_privé*socio=et aux projets*socio=et d'infrastructure*socio=ec1. Les ministres*socio=ac accueillent favorablement le Programme*socio=et d'action*socio=ec1 du*socio=rien Groupe*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac, qui vise à rendre le Groupe*socio=ac mieux à même d'accroître la participation*socio=uv3 du*socio=rien secteur_privé*socio=et aux projets*socio=et d'infrastructure*socio=ec1, dans le cadre*socio=rien global*socio=te des efforts*socio=uv1 qu'il déploie en faveur*socio=rien de la réduction*socio=ec2 de la pauvreté*socio=uv1 et d'un*socio=rien développement*socio=uv3 soutenable*socio=uv4. Les ministres*socio=ac, tout en reconnaissant que les pouvoirs_publics*socio=et conservent un*socio=rien rôle*socio=et majeur*socio=rien dans le domaine*socio=rien des équipements*socio=ec1 d'infrastructure*socio=ec1, soulignent que les circonstances*socio=rien se prêtent chaque jour*socio=rien davantage à une participation*socio=uv3 plus active*socio=uv4 du*socio=rien secteur_privé*socio=et. Les ministres*socio=ac encouragent le Groupe*socio=ac de la Banque*socio=ac à intensifier son action*socio=ec1 catalytique, en s'attelant sans tarder à la mise en *socio=rien oeuvre concrète *socio=nil de toute la série de mesures*socio=et prévues dans le Programme*socio=et d'action*socio=ec1 pour aider à résoudre les questions*socio=rien d'ordre*socio=rien financier*socio=ec1 ou ayant trait*socio=rien aux services*socio=et - conseils*socio=ac, à l'atténuation*socio=ec2 des risques*socio=uv3, et aux connaissances*socio=ec2 et à l'information*socio=rien. Le Comité*socio=ac souligne l'importance*socio=rien d'une action*socio=ec1 concertée des institutions*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac de la Banque*socio=ac sur*socio=rien la base*socio=rien des stratégies*socio=et et des cadres*socio=rien d'action*socio=ec1 convenus pour chaque pays*socio=ac. 7 - Mise en oeuvre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés. Le Comité*socio=ac se félicite de la poursuite*socio=rien des progrès*socio=uv1 dans la mise en oeuvre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des gouvernements*socio=ac qui témoignent*socio=rien d'une ferme*socio=ec2 volonté*socio=uv1 de réforme*socio=et. Le Comité*socio=ac encourage également les pays*socio=ac admissibles*socio=uv2 à prendre les mesures*socio=et nécessaires*socio=rien pour réunir les conditions*socio=ec1 requises*socio=uv4 pour bénéficier d'un*socio=rien allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1. Il a été*socio=rien décidé de fournir à la Bolivie*socio=ac, au burkina_faso*socio=ac et à l'Ouganda*socio=ac une aide*socio=uv1 d'environ 0,9 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 (en valeur*socio=ec1 actuelle*socio=te), qui se traduira par une réduction*socio=ec2 d'environ 1,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1; une décision*socio=et devrait intervenir prochainement sur*socio=rien les dossiers*socio=rien de la côte_d'_ivoire*socio=ac, du*socio=rien Guyana*socio=ac et du*socio=rien Mozambique*socio=ac. Les ministres*socio=ac insistent sur*socio=rien le fait*socio=rien qu'il importe que tous les créanciers*socio=ac mobilisent, entre-temps*socio=rien, des *socio=ec1 ressources financières suffisantes*socio=rien.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil se réjouit de ce que les créanciers*socio=ac continuent de collaborer étroitement à la mise en oeuvre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien et se soient notamment entendus sur*socio=rien l'approche à adopter pour le partage*socio=uv1 des charges*socio=rien. Les ministres*socio=ac sont par ailleurs*socio=rien très sensibles*socio=rien au fait*socio=rien que des contributions*socio=uv1 bilatérales*socio=et, d'un*socio=rien montant*socio=ec1 approximatif*socio=ec2 de 100 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1, aient déjà été*socio=rien versées ou engagées au profit*socio=ec1 du*socio=rien *socio=ec1 Fonds fiduciaire PPTE*socio=ac (*socio=nil administré*socio=rien *socio=nil par la banque_mondiale*socio=ac), et ils appellent d'autres gouvernements*socio=ac à contribuer eux aussi à cet effort*socio=uv1. Ils invitent également les institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te qui n'ont pas encore définitivement arrêté les modalités*socio=rien de leur participation*socio=uv3 à l'Initiative*socio=rien de le faire dès que possible*socio=rien. Les ministres*socio=ac observent que des ressources*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien seront nécessaires*socio=rien si l'on veut aider la banque_africaine_de_développement*socio=ac à participer pleinement à l'Initiative*socio=rien. Ils notent également qu'il faut mobiliser des ressources*socio=ec1 additionnelles*socio=ec2 pour financer la contribution*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac à l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac, en vue*socio=rien de son application*socio=rien à des pays*socio=ac autres que ceux mentionnés plus haut*socio=rien et, de manière*socio=rien plus générale*socio=rien, pour boucler le financement*socio=ec1 de la FASR*socio=ec1. 8 - Pacte*socio=et stratégique*socio=uv4. Le Comité*socio=ac se félicite des progrès*socio=uv1 accomplis dans la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv3 ambitieux*socio=uv2 énoncés dans le Pacte*socio=et pour renforcer l'efficacité*socio=uv3 de la Banque*socio=ac, dont *socio=rien fait état le*socio=nil premier rapport d'*socio=nil avancement*socio=uv3 *socio=nil semestriel de la direction*socio=et aux administrateurs*socio=ac. 9 - Collaboration*socio=uv1 entre la Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac pour le renforcement*socio=ec2 des secteurs*socio=rien financiers*socio=ec1. Les ministres*socio=ac notent que la stabilité*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3 passent par le renforcement*socio=ec2 des systèmes_financiers*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3, comme en témoignent*socio=rien les événements*socio=rien survenus récemment. Ils se félicitent du*socio=rien regain*socio=ec2 d'attention*socio=rien portée*socio=rien à ce domaine*socio=rien dans les opérations*socio=rien de la Banque*socio=ac et du*socio=rien FMI*socio=ac. Les ministres*socio=ac estiment que le resserrement*socio=ec2 de la coopération*socio=uv1 entre la Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac constitue une priorité*socio=uv4 immédiate*socio=rien, et accueillent avec satisfaction*socio=uv3 l'accord*socio=et intervenu récemment en faveur*socio=rien d'une collaboration*socio=uv1 accrue pour aider les pays_membres*socio=ac à renforcer leur système_financier*socio=ec1. 10 - Note de remerciement*socio=rien. Les ministres*socio=ac expriment toute leur gratitude*socio=uv1 aux autorités*socio=et chinoises et à l'Autorité*socio=et monétaire*socio=ec1 de *socio=ac Hong Kong *socio=nil pour leur *socio=rien chaleureuse hospitalité.*socio=nil *socio=nil 11 - *socio=rien Prochaine réunion.*socio=nil La*socio=nil prochaine réunion du Comité*socio=ac *socio=nil se tiendra le 17 avril*socio=rien 1998, à Washington*socio=ac. Cinquante-septième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 17 avril*socio=rien 1998. 1 - Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 a tenu sa 57e réunion*socio=rien à Washington*socio=ac, le 17 avril*socio=rien 1998, sous la présidence*socio=rien de M.. Dato' Seri Anwar Ibrahim, vice-premier_ministre*socio=ac et Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 de la Malaisie*socio=ac. 2 - Incidences*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 en Asie*socio=ac. Le Comité*socio=ac s'est*socio=rien livré à *socio=rien un vaste examen*socio=ec2 des*socio=nil implications *socio=nil de la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 asiatique*socio=ac pour le Groupe*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac dans le contexte*socio=rien d'une économie*socio=ec1 mondialisée. Les ministres*socio=ac reconnaissent que la crise*socio=uv2 risque*socio=uv3 de compromettre les résultats*socio=rien remarquables*socio=uv4 de l'effort*socio=uv1 de développement*socio=uv3 des pays*socio=ac de la région*socio=te, et notamment de leur action*socio=ec1 particulièrement efficace*socio=uv4 contre la pauvreté*socio=uv1. Ils expriment leur soutien*socio=uv3 sans_réserve*socio=ec1 au Groupe*socio=ac de la Banque*socio=ac et au fonds_monétaire_international*socio=ac, ainsi qu'à la *socio=ac Banque asiatique de*socio=nil développement*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil pour leur participation*socio=uv3 dynamique*socio=uv4 à l'action*socio=ec1 entreprise*socio=ac par la *socio=ac communauté internationale *socio=nil afin de rétablir la confiance*socio=uv1 et une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 et de préserver la stabilité*socio=uv3 du*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te. Ils se félicitent tout particulièrement de la rapidité*socio=rien et de l'ampleur*socio=rien de la réaction*socio=rien des institutions*socio=ac, sous forme*socio=rien notamment de substantielles*socio=rien aides*socio=uv1 financières*socio=ec1 à l'appui*socio=uv1 de mesures*socio=et de stabilisation*socio=et, de programmes*socio=et de réforme*socio=et structurelle*socio=ec2 et de services*socio=et d'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien aux *socio=rien secteurs clés des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil les plus durement touchés. Ils notent en outre que, si la région*socio=te dispose d'atouts*socio=rien considérables*socio=rien pour parvenir d'elle-même à une croissance*socio=uv3 forte*socio=rien et durable*socio=uv4, plusieurs pays*socio=ac auront encore besoin*socio=uv1 d'une importante*socio=uv4 aide*socio=uv1 extérieure*socio=te pendant l'avenir*socio=te prévisible*socio=uv4. 3 - Les membres*socio=ac se félicitent des efforts*socio=uv1 déployés par la banque_mondiale*socio=ac et par le FMI*socio=ac pour aider les gouvernements*socio=ac à traiter les conséquences*socio=rien sociales*socio=et des crises*socio=uv2, notamment en préservant les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et ciblées, en améliorant les normes_du_travail*socio=et et en renforçant les filets*socio=et de sécurité_sociale*socio=et pour les groupes*socio=ac les plus vulnérables*socio=uv2. Ils souscrivent pleinement aux mesures*socio=et prises*socio=rien par la Banque*socio=ac pour aider les gouvernements*socio=ac à protéger les pauvres*socio=uv2, à rehausser la qualité*socio=rien des services_sociaux*socio=et, à améliorer la conception*socio=et et le financement*socio=ec1 des fonds*socio=ec1 sociaux*socio=et, et à encourager une gestion*socio=ec2 durable*socio=uv4 de l'environnement*socio=et. Les ministres*socio=ac se félicitent aussi de la contribution*socio=uv1 active*socio=uv4 de la Banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 à la conception*socio=et et à la mise en place*socio=rien de mesures*socio=et visant la restructuration*socio=et et la gouvernance*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 *socio=nil et des entreprises*socio=ac, et le renforcement*socio=ec2 des capacités*socio=uv3 nationales*socio=te pour améliorer la gestion*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 et la solidité*socio=uv3 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil 4 - Les ministres*socio=ac demandent instamment que la Banque*socio=ac, tout en mettant en oeuvre*socio=rien le Pacte*socio=et stratégique*socio=uv4 et en continuant d'apporter son appui*socio=uv1 à tous les *socio=ac États membres,*socio=nil *socio=nil renforce son aptitude*socio=rien à réagir rapidement aux situations*socio=rien de ce genre*socio=rien et à aider les gouvernements*socio=ac à éviter pareilles*socio=rien crises*socio=uv2 à l'avenir*socio=te. Ils l'engagent donc vivement à aider les pays*socio=ac à renforcer les institutions*socio=ac clés*socio=rien et leurs politiques*socio=et structurelles*socio=ec2 et à développer ses compétences*socio=uv3 et ses capacités*socio=uv3 dans les *socio=rien domaines connexes,*socio=nil *socio=nil tout particulièrement en ce qui concerne le secteur*socio=rien financier*socio=ec1, la restructuration*socio=et et la gouvernance*socio=et des entreprises*socio=ac, la lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1 et la stabilité*socio=uv3 sociale*socio=et. 5 - Étant donné l'ampleur*socio=rien et la complexité*socio=rien de l'action*socio=ec1 à entreprendre pour aider les *socio=ac États membres *socio=nil à faire face*socio=rien à pareilles*socio=rien difficultés*socio=uv4, les ministres*socio=ac engagent instamment la Banque*socio=ac et le Fonds*socio=ec1 à mettre à profit*socio=ec1 leur longue*socio=rien tradition*socio=uv1 de coopération*socio=uv1 pour examiner et renforcer leur partenariat*socio=uv3 à la lumière*socio=rien de leurs mandats*socio=et respectifs*socio=rien. La *socio=rien place grandissante *socio=nil qu'occupent les facteurs*socio=rien structurels*socio=ec2 dans l'aide*socio=uv1 à apporter aux *socio=ac États membres *socio=nil et l'ordre*socio=rien *socio=rien du jour *socio=nil de plus en plus chargé des deux institutions*socio=ac rendent ce partenariat*socio=uv3 d'autant plus important*socio=uv4. 6 - Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés (PPTE*socio=ac). Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 l'accélération*socio=ec2 de la mise en oeuvre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac. Les ministres*socio=ac félicitent l'Ouganda*socio=ac d'avoir énergiquement poursuivi son effort*socio=uv1 de réforme*socio=et économique*socio=ec1 et d'être*socio=rien ainsi devenu le premier*socio=rien pays*socio=ac à atteindre le "point*socio=rien d'achèvement*socio=rien", obtenant ainsi un*socio=rien allégement*socio=ec2 du*socio=rien service*socio=et nominal*socio=rien de sa dette*socio=ec1 d'environ 650 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1 (environ 350 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1 en valeur*socio=ec1 actuelle*socio=te nette*socio=rien). Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 que, depuis sa *socio=rien dernière réunion,*socio=nil les*socio=nil Conseils*socio=ac du FMI*socio=ac *socio=nil et de la BIRD*socio=ac / IDA*socio=ac ont décidé d'inclure la côte_d'_ivoire*socio=ac, le Guyana*socio=ac et le Mozambique*socio=ac parmi les pays*socio=ac éligibles. Dans le *socio=rien cas du Mozambique*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil montage*socio=ec1 d'*socio=nil un programme*socio=et d'*socio=nil allégement*socio=ec2 du niveau requis*socio=uv4 a*socio=nil nécessité*socio=uv1 des*socio=nil engagements*socio=et exceptionnels*socio=uv4 *socio=nil de la part*socio=rien des pays_membres*socio=ac *socio=rien du Club de*socio=nil Paris*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et notamment de la Russie*socio=ac, le plus gros*socio=rien créancier*socio=ac du*socio=rien Mozambique*socio=ac, de même que la contribution*socio=uv1 d'autres pays*socio=ac et une aide*socio=uv1 particulièrement importante*socio=uv4 de l'IDA*socio=ac et du*socio=rien FMI*socio=ac. Le montant*socio=ec1 des allégements*socio=ec2 dont pourraient bénéficier les six pays*socio=ac éligibles est*socio=rien estimé à quelque 5,7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en valeur*socio=ec1 actuelle*socio=te nette*socio=rien). 7 - Les ministres*socio=ac notent que la Guinée-bissau*socio=ac et le Mali devraient bientôt figurer parmi les pays*socio=ac éligibles, et que les Conseils*socio=ac étudieront le dossier*socio=rien d'autres pays*socio=ac dès que leur performance*socio=uv3 et l'avancement*socio=uv3 de la négociation*socio=et de programmes*socio=et appuyés par la Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac le justifieront. Les ministres*socio=ac encouragent les pays*socio=ac potentiellement éligibles à entreprendre pareils*socio=rien programmes*socio=et dans les meilleurs*socio=uv4 délais*socio=rien, de sorte*socio=rien qu'ils soient aussi nombreux*socio=rien que possible*socio=rien à être*socio=rien admis au bénéfice*socio=uv1 de l'Initiative*socio=rien d'ici à l'an*socio=rien 2000. Les ministres*socio=ac notent avec satisfaction*socio=uv3 qu'un*socio=rien *socio=rien nombre grandissant de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil apportent leur concours au *socio=ec1 Fonds fiduciaire PPTE*socio=ac à*socio=nil titre*socio=rien bilatéral*socio=et.*socio=nil *socio=nil Ils soulignent aussi l'importance*socio=rien de contributions*socio=uv1 additionnelles*socio=ec2 à l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac pour aider toutes les institutions*socio=ac multilatérales*socio=et, et en particulier*socio=rien la banque_africaine_de_développement*socio=ac, à financer leur participation*socio=uv3 à l'Initiative*socio=rien. 8 - Agence*socio=ac multilatérale*socio=et de garantie des investissements*socio=ec1 (AMGI*socio=ac). Les ministres*socio=ac se félicitent de l'heureux*socio=rien aboutissement*socio=rien des délibérations*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac de l'AMGI*socio=ac sur*socio=rien l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale du capital*socio=ec1 *socio=nil de l'Agence*socio=ac à hauteur*socio=rien de 850 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1 (dont 150 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1 à verser), et de l'approbation*socio=uv1 donnée par les gouverneurs*socio=ac de la BIRD*socio=ac au transfert*socio=ec1 à l'Agence*socio=ac d'un*socio=rien don*socio=uv de 150 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1. Ces mesures*socio=et, recommandées par le Comité*socio=ac à sa *socio=rien dernière réunion,*socio=nil *socio=nil allégeront les contraintes*socio=uv1 financières*socio=ec1 à court_terme*socio=te de l'Agence*socio=ac et assureront la viabilité*socio=uv3 à moyen*socio=rien et à long_terme*socio=te de sa *socio=ec1 structure financière,*socio=nil *socio=nil ce qui permettra à l'Agence*socio=ac de répondre à l'augmentation*socio=ec2 continue*socio=rien de la demande*socio=ec1 dont ses services*socio=et font l'objet*socio=rien. Les ministres*socio=ac notent également avec satisfaction*socio=uv3 que le conseil_d'_administration*socio=ac de l'Agence*socio=ac a progressé dans son examen*socio=ec2 des questions*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien, et l'engagent à poursuivre ses délibérations*socio=et et à parvenir dès que possible*socio=rien à un*socio=rien consensus*socio=uv1 *socio=rien clair sur les*socio=nil derniers points en*socio=nil suspens.*socio=nil *socio=nil 9 - Rapport*socio=rien des banques_multilatérales_de_développement*socio=ac (BMD*socio=ac). Les ministres*socio=ac remercient les présidents des quatre banques*socio=ac régionales*socio=te de développement*socio=uv3 et de la banque_mondiale*socio=ac *socio=rien du rapport très*socio=nil complet *socio=nil qu'ils leur ont présenté sur*socio=rien les suites*socio=rien données aux recommandations*socio=et du*socio=rien groupe_de_travail*socio=ac sur*socio=rien les BMD*socio=ac créé par le Comité*socio=ac. Ils se félicitent des progrès*socio=uv1 réalisés par les BMD*socio=ac dans l'application*socio=rien de programmes*socio=et visant à améliorer l'efficacité*socio=uv3 de chacune des institutions*socio=ac. Ils notent également avec satisfaction*socio=uv3 les *socio=rien initiatives prises *socio=nil par les présidents des BMD*socio=ac pour approfondir leur collaboration*socio=uv1 dans des domaines*socio=rien importants*socio=uv4, tels que l'évaluation*socio=ec2 des programmes*socio=et et les règles*socio=et de passation_des_marchés*socio=ec1, et leur volonté*socio=uv1 d'étendre leur coopération*socio=uv1, conformément à leurs mandats*socio=et respectifs*socio=rien, à d'autres domaines*socio=rien hautement prioritaires*socio=uv4, comme la gouvernance*socio=et, la corruption*socio=uv1 et le renforcement*socio=ec2 des capacités*socio=uv3; la réforme*socio=et et les paramètres*socio=rien fondamentaux*socio=uv4 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1;*socio=nil *socio=nil et le financement*socio=ec1 de l'infrastructure*socio=ec1. Les membres*socio=ac jugent également important*socio=uv4 que les BMD*socio=ac cherchent à relever les défis*socio=uv2 redoutables qu'implique encore la *socio=rien poursuite du resserrement*socio=ec2 *socio=nil de leur coopération*socio=uv1, et proposent en particulier*socio=rien la fixation*socio=ec1 d'objectifs*socio=uv3 concrets*socio=rien pour les toutes *socio=rien prochaines années *socio=nil dans des domaines*socio=rien comme l'évaluation*socio=ec2. Ils exhortent les BMD*socio=ac à continuer de coopérer étroitement avec les autorités*socio=et des pays_membres*socio=ac à la mise en place*socio=rien de moyens*socio=ec1 pratiques*socio=et d'assurer une coordination*socio=uv3 plus efficace*socio=uv4 sur*socio=rien le terrain*socio=rien, fondée sur*socio=rien une vision*socio=ec2 stratégique*socio=uv4 commune*socio=uv2, et d'améliorer l'impact*socio=rien sur*socio=rien le développement*socio=uv3. 10 - Les membres*socio=ac demandent au Président*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac d'informer le Comité*socio=ac, à sa *socio=rien réunion du printemps *socio=nil 1999, des progrès*socio=uv1 réalisés dans le renforcement*socio=ec2 de la coopération*socio=uv1 entre la banque_mondiale*socio=ac et les banques*socio=ac régionales*socio=te de développement*socio=uv3. 11 - Les ministres*socio=ac notent aussi que le Comité*socio=ac a réalisé des progrès*socio=uv1 notables*socio=rien au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années *socio=nil dans plusieurs domaines*socio=rien d'une importance*socio=rien systémique*socio=ec2 pour toutes les BMD*socio=ac et pour le FMI*socio=ac, comme l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac et la gouvernance*socio=et. La discussion*socio=et des implications*socio=rien de la crise*socio=uv2 en Asie*socio=ac de l'_est*socio=te en *socio=rien est un nouvel exemple,*socio=nil *socio=nil et les ministres*socio=ac estiment que le Comité*socio=ac doit continuer dans cette voie*socio=rien, comme le recommande le *socio=rien rapport du groupe_de_travail*socio=ac sur les*socio=nil BMD*socio=ac,*socio=nil *socio=nil en faisant appel*socio=rien, le cas*socio=rien échéant, à la contribution*socio=uv1 d'autres banques_multilatérales_de_développement*socio=ac. 12 - Dynamique*socio=uv4 du*socio=rien revenu*socio=ec1 net*socio=rien de la Banque*socio=ac. Les ministres*socio=ac se sont penchés sur*socio=rien le problème*socio=uv4 de la diminution*socio=ec2 du*socio=rien revenu*socio=ec1 net*socio=rien de la Banque*socio=ac, alors que les emplois*socio=ec1 potentiels*socio=uv4 de ce revenu*socio=ec1 vont en augmentant. Ils demandent instamment au Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac de la Banque*socio=ac d'étudier d'urgence*socio=rien toutes les options*socio=rien envisageables afin de présenter les recommandations*socio=et appropriées et de prendre les décisions*socio=et requises*socio=uv4 dans les trois mois*socio=rien à venir.