*{ Fonds Monétaire international Rapport Annuel 1999 } RAPPORT*socio=rien ANNUEL*socio=te 1999 conseil_des_gouverneurs*socio=ac, conseil_d'_administration*socio=ac, comité_intérimaire*socio=ac et Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 Le conseil_des_gouverneurs*socio=ac - l'instance*socio=rien suprême de décision*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac - est*socio=rien constitué d'un*socio=rien gouverneur*socio=ac et d'un*socio=rien gouverneur*socio=ac suppléant pour chaque *socio=ac État membre.*socio=nil Les*socio=nil gouverneurs,*socio=nil *socio=nil nommés par leur pays*socio=ac, sont le plus souvent ministres*socio=ac des finances*socio=ec1 ou gouverneurs*socio=ac de banque_centrale*socio=ac. Le conseil_des_gouverneurs*socio=ac est*socio=rien investi de tous les pouvoirs*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, qu'il peut déléguer, à l'exception*socio=rien de certains pouvoirs*socio=et réservés, au conseil_d'_administration*socio=ac. Il se réunit d'ordinaire*socio=rien une fois*socio=rien par an*socio=rien. Le conseil_d'_administration*socio=ac (le Conseil*socio=ac) conduit les affaires*socio=ec1 courantes*socio=te du*socio=rien FMI*socio=ac. Il se compose à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te de 24 administrateurs*socio=ac, nommés ou élus*socio=et par des *socio=ac États membres à*socio=nil titre*socio=rien individuel*socio=uv2 *socio=nil ou par des groupes*socio=ac d'États*socio=ac, et du*socio=rien directeur_général*socio=ac, qui préside ses délibérations*socio=et. Il se réunit plusieurs fois*socio=rien par semaine*socio=rien. Il fonde ses décisions*socio=et sur*socio=rien des études*socio=ec2 effectuées par la direction*socio=et et par les services*socio=et de l'institution*socio=ac. En 1998/99, le Conseil*socio=ac a consacré plus de la moitié*socio=rien de son temps*socio=rien aux affaires*socio=ec1 concernant les *socio=ac États membres (*socio=nil consultations*socio=uv1 au*socio=nil titre*socio=rien *socio=nil de l'article*socio=rien IV, examen*socio=ec2 et approbation*socio=uv1 de crédits*socio=ec1) et le reste*socio=rien essentiellement à des questions*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien (perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1, surveillance*socio=et, diffusion*socio=rien des données, situation*socio=rien de la dette*socio=ec1, conception*socio=et des mécanismes*socio=et de crédit*socio=ec1 et élaboration*socio=rien des programmes*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, entre autres). Le comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te *socio=rien est un organe*socio=ac consultatif*socio=uv2 *socio=nil composé de 24 gouverneurs*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac, ministres*socio=ac ou autres responsables*socio=uv2 de *socio=rien rang analogue;*socio=nil les*socio=nil *socio=ac États membres *socio=nil y sont représentés de la même façon*socio=rien qu'au conseil_d'_administration*socio=ac. Le comité_intérimaire*socio=ac se réunit normalement deux fois*socio=rien par an*socio=rien: en avril*socio=rien ou en mai*socio=rien, et au moment*socio=rien de l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac, en septembre*socio=rien ou en octobre*socio=rien. Il a pour responsabilité*socio=uv1, entre autres, de donner des avis*socio=rien et faire rapport*socio=rien au conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien les *socio=rien questions relatives *socio=nil à la gestion*socio=ec2 et à l'adaptation*socio=uv3 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te, notamment en ce qui concerne les perturbations*socio=ec2 subites*socio=rien auxquelles ce dernier*socio=rien peut se trouver exposé, ainsi que sur*socio=rien toute proposition*socio=rien visant à modifier les Statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 (Comité*socio=ac ministériel*socio=et conjoint*socio=rien des conseils_des_gouverneurs_de_la_banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien le transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 aux pays_en_développement*socio=uv3) comprend 24 membres*socio=ac - ministres*socio=ac des finances*socio=ec1 ou autres responsables*socio=uv2 de *socio=rien rang comparable *socio=nil - et tient en général*socio=rien ses réunions*socio=rien en même temps*socio=rien que le comité_intérimaire*socio=ac. Il donne des avis*socio=rien et *socio=rien fait rapport aux*socio=nil conseils_des_gouverneurs_de_la_banque_mondiale*socio=ac et*socio=nil du FMI*socio=ac sur *socio=nil tous les *socio=rien aspects du transfert*socio=ec1 de*socio=nil ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 aux*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3.*socio=nil Les*socio=nil crises*socio=uv2 financières*socio=ec1 *socio=nil suscitent des propositions*socio=rien visant à renforcer le système_financier*socio=ec1 international*socio=te La persistance*socio=te des répercussions*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac et la propagation*socio=rien des perturbations*socio=ec2 financières*socio=ec1 à la Russie*socio=ac et au Brésil*socio=ac ont posé des problèmes*socio=uv4 complexes au FMI*socio=ac et à la *socio=ac communauté internationale *socio=nil en 1998/99. À la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien (30 avril*socio=rien 1999), la crise*socio=uv2 avait perdu de son acuité*socio=rien dans les *socio=ac pays asiatiques grâce*socio=rien en*socio=nil particulier*socio=rien *socio=nil à l'application*socio=rien de vigoureuses*socio=rien mesures*socio=et de stabilisation_macroéconomique*socio=ec1 parallèlement à d'importantes*socio=uv4 réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 - dans le contexte*socio=rien essentiellement de programmes*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac. En même temps*socio=rien, l'ajustement*socio=et économique*socio=ec1 au Brésil*socio=ac, soutenu par le FMI*socio=ac, a aidé à rétablir une stabilité*socio=uv3 relative*socio=rien, et les discussions*socio=et prolongées avec la Russie*socio=ac au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien ont abouti à une entente*socio=et *socio=rien provisoire sur un programme*socio=et *socio=nil qui pourrait bénéficier d'un*socio=rien soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. À cause*socio=rien des turbulences*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1, le FMI*socio=ac a continué d'être*socio=rien confronté à une demande*socio=ec1 d'aide*socio=uv1 massive*socio=rien en 1998/99, puisque les tirages*socio=ec1 sur*socio=rien ses ressources*socio=ec1 ont atteint la somme*socio=rien de 22,2 milliards*socio=rien de DTS (30 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1)1. Les crises*socio=uv2 financières*socio=ec1 ont donné une vigoureuse*socio=rien impulsion*socio=ec2 aux *socio=rien travaux sur les*socio=nil propositions *socio=nil visant à renforcer l'architecture du*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te, l'un*socio=rien des *socio=rien principaux thèmes ayant*socio=nil retenu l'*socio=nil attention du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil en 1998/99. Le FMI*socio=ac a amélioré sensiblement sa propre*socio=rien transparence*socio=uv3 et a continué de mettre au point*socio=rien des codes*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et afin que les politiques_monétaire*socio=et et financière*socio=ec1 de ses membres*socio=ac soient davantage transparentes*socio=uv4 et de promouvoir une meilleure*socio=uv4 diffusion*socio=rien des données; en outre, il a commencé à définir*socio=rien le rôle*socio=et qu'il doit jouer dans le suivi des normes*socio=et internationales*socio=te. Il a également continué d'aider ses membres*socio=ac à renforcer leur secteur*socio=rien financier*socio=ec1 et à étudier les moyens*socio=ec1 d'associer le secteur_privé*socio=et à la prévention*socio=uv3 et à la gestion*socio=ec2 des crises*socio=uv2 et à l'amélioration*socio=uv1 *socio=rien du fonctionnement des*socio=nil marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des*socio=nil capitaux*socio=ec1.*socio=nil Un événement majeur a*socio=nil été *socio=nil la mise en place*socio=rien en avril*socio=rien 1999 de la facilité des lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 préventives*socio=rien (LCP), nouveau*socio=rien mécanisme*socio=et de prévention*socio=uv3 des crises*socio=uv2 qui permet d'accorder un*socio=rien appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 aux économies*socio=ec1 bien*socio=rien gérées lorsqu'elles doivent affronter des problèmes*socio=uv4 de contagion*socio=ec2 en cas*socio=rien de crise*socio=uv2 financière*socio=ec1. Le FMI*socio=ac a aussi accru l'aide*socio=uv1 qu'il consent aux pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1 et - en collaboration*socio=uv1 avec la banque_mondiale*socio=ac - examiné les moyens*socio=ec1 de réduire encore la dette*socio=ec1 des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 qui entreprennent de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et dans le cadre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés (l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac). Vers la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien, le FMI*socio=ac et la Banque*socio=ac ont coordonné une évaluation*socio=ec2 des conséquences*socio=rien économiques*socio=ec1 de la crise*socio=uv2 du*socio=rien Kosovo. Les *socio=ec1 ressources financières du*socio=rien FMI*socio=ac *socio=nil se sont considérablement*socio=rien accrues au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien, le relèvement*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et au titre*socio=rien de la *socio=rien Onzième révision générale *socio=nil ayant pris effet*socio=rien. Au 30 avril*socio=rien 1999, le total*socio=rien des quotes-parts*socio=et versées se chiffrait à 208 milliards*socio=rien de DTS (281 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1). Avant l'augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et, la liquidité*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac était tombée à *socio=rien un bas niveau *socio=nil et l'institution*socio=ac a dû recourir à l'emprunt*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien des Accords*socio=et généraux*socio=rien d'emprunts*socio=ec1 (AGE) et des Nouveaux*socio=rien Accords*socio=et d'emprunts*socio=ec1 (NAE). Avec l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 des NAE en novembre*socio=rien 1998, la capacité*socio=uv3 d'emprunt*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac au titre*socio=rien des AGE et des NAE est*socio=rien passée à 34 milliards*socio=rien de DTS (46 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1). L'augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et a permis*socio=rien de maintenir à *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4 l'*socio=nil aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 du FMI*socio=ac *socio=nil à ses membres*socio=ac en 1998/99. Pendant l'exercice*socio=rien, le FMI*socio=ac a engagé des ressources*socio=ec1 de 28,4 milliards*socio=rien de DTS (38,4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) au titre*socio=rien d'accords*socio=et de confirmation*socio=et et d'accords*socio=et élargis; il a aussi approuvé des tirages*socio=ec1 de 2,6 milliards*socio=rien de DTS (3,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) dans le cadre*socio=rien de la facilité de financement*socio=ec1 compensatoire*socio=et et de financement*socio=ec1 pour imprévus*socio=uv4 (FFCI). Dans le cadre*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FASR*socio=ec1), *socio=ec1 guichet concessionnel *socio=nil réservé aux pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1, il a approuvé des engagements*socio=et de 1,0 milliard*socio=rien de DTS (1,4 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1). Les engagements*socio=et les plus élevés*socio=uv4 ont concerné le Brésil*socio=ac (13,0 milliards*socio=rien de DTS), l'Indonésie*socio=ac (6,4 milliards*socio=rien de DTS) et la Russie*socio=ac (8,5 milliards*socio=rien de DTS, ressources*socio=ec1 au titre*socio=rien de la FFCI incluses). Au 30 avril*socio=rien 1999, 9 accords*socio=et de confirmation*socio=et, 12 accords*socio=et élargis et 35 accords*socio=et FASR*socio=ec1 étaient en vigueur*socio=uv3. Déduction*socio=ec1 faite des rachats*socio=ec1 et remboursements*socio=ec1 au titre*socio=rien de précédents*socio=rien tirages*socio=ec1, l'encours des crédits*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac atteignait à cette date le montant*socio=ec1 sans précédent*socio=rien de 67,2 milliards*socio=rien de DTS (90,8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1), contre 56 milliards*socio=rien de DTS (75,4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) *socio=rien un an *socio=nil plus tôt. À la fin*socio=rien d'avril*socio=rien 1999, le conseil_d'_administration*socio=ac a ajouté à la décision*socio=et établissant la facilité de réserve*socio=ec1 *socio=rien supplémentaire un deuxième volet *socio=nil qui permet d'ouvrir des lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 préventives*socio=rien au profit*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac appliquant des politiques*socio=et énergiques*socio=ec1 afin de prévenir les problèmes*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 que pourrait provoquer la propagation*socio=rien d'une crise*socio=uv2 financière*socio=ec1. Ce nouvel*socio=rien instrument*socio=et a été*socio=rien créé pour prévenir les crises*socio=uv2 en incitant davantage les pays_membres*socio=ac à adopter des politiques*socio=et vigoureuses*socio=rien et les normes*socio=et acceptées au plan*socio=rien international*socio=te et à obtenir*socio=rien une plus grande*socio=rien participation*socio=uv3 du*socio=rien secteur_privé*socio=et et en témoignant de la volonté*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac d'apporter un*socio=rien appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 aux pays_membres*socio=ac en cas*socio=rien de contagion*socio=ec2. Grâce*socio=rien principalement à la réception*socio=rien des paiements*socio=ec1 au *socio=rien titre du relèvement*socio=ec2 des*socio=nil quotes-parts*socio=et des*socio=nil membres*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil total net des*socio=nil ressources*socio=ec1 utilisables*socio=uv4 *socio=nil et non engagées (ajusté pour tenir compte*socio=ec1 des fonds*socio=ec1 de roulement*socio=rien en monnaies*socio=ec1 que le FMI*socio=ac juge*socio=et nécessaire*socio=rien de conserver) a fortement augmenté pour passer à 56,7 milliards*socio=rien de DTS (76,6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) au 30 avril*socio=rien 1999, contre 22,6 milliards*socio=rien de DTS (30,4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) *socio=rien un an *socio=nil plus tôt. Si les créances*socio=ec1 liquides sur*socio=rien le FMI*socio=ac se sont elles aussi considérablement*socio=rien accrues - de 50,3 milliards*socio=rien de DTS (67,7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) le 30 avril*socio=rien 1998 à 63,6 milliards*socio=rien de DTS (85,9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) le 30 avril*socio=rien 1999, son "ratio*socio=ec1 de liquidité*socio=ec1" (ratio*socio=ec1 ressources*socio=ec1 utilisables*socio=uv4 non engagées nettes*socio=rien/créances*socio=ec1 liquides sur*socio=rien l'institution*socio=ac) a presque doublé et *socio=rien est passé *socio=nil à 89 %. La crise*socio=uv2 économique*socio=ec1 dans nombre*socio=rien d'économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2, qui s'est*socio=rien d'abord*socio=rien manifestée par des tensions*socio=ec2 *socio=rien croissantes sur *socio=nil le baht thaïlandais au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1997, s'est*socio=rien aggravée en 1998/99. Dans les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac, la durée*socio=te des perturbations*socio=ec2 et l'ampleur*socio=rien des récessions*socio=ec2 ont dépassé les prévisions*socio=ec2 initiales*socio=rien. Surtout concentrée en Asie*socio=ac à l'origine*socio=rien, la crise*socio=uv2 a pris une dimension*socio=rien mondiale*socio=te en août*socio=rien 1998 alors que la Russie*socio=ac, face*socio=rien aux pressions*socio=ec2 *socio=rien croissantes du marché*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil dévaluait le rouble*socio=ec1 et décidait unilatéralement de restructurer sa dette*socio=ec1 publique*socio=et intérieure*socio=te. Par la suite*socio=rien, la plupart*socio=rien des marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 ont temporairement*socio=rien perdu leur accès*socio=uv1 aux financements_privés*socio=ec1, au milieu*socio=rien des craintes*socio=uv1 d'une contraction*socio=ec2 mondiale*socio=te du*socio=rien crédit*socio=ec1. Vers la fin*socio=rien de 1998, toutefois, les marchés_financiers*socio=ec1 avaient retrouvé *socio=rien un calme relatif grâce en*socio=nil partie aux*socio=nil programmes*socio=et *socio=nil appuyés par les institutions_internationales*socio=ac, ainsi qu'à une réduction*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 directeurs*socio=ac dans de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. Avec la stabilisation*socio=et graduelle*socio=te et les réformes*socio=et entamées par les *socio=ac pays asiatiques *socio=nil touchés par la crise*socio=uv2 et qui mettaient en ouvre les programmes*socio=et soutenus par le FMI*socio=ac, les monnaies*socio=ec1 ont amorcé un*socio=rien raffermissement*socio=ec2 - notamment en Corée*socio=ac - et, au milieu*socio=rien de 1998, les politiques_monétaires*socio=et avaient été*socio=rien assouplies. Au Brésil*socio=ac, l'inquiétude*socio=rien a commencé à monter vers la fin*socio=rien de 1998 quant à la solidité*socio=uv3 du*socio=rien soutien*socio=uv3 populaire*socio=uv1 au programme*socio=et financier*socio=ec1 gouvernemental*socio=et, ce qui a conduit à un*socio=rien regain*socio=ec2 de pressions*socio=ec2 sur*socio=rien le real*socio=rien brésilien et, au milieu*socio=rien de janvier*socio=rien 1999, à une importante*socio=uv4 dévaluation*socio=ec2 et à l'abandon*socio=rien du*socio=rien régime*socio=et de parité*socio=ec1 ajustable. Les mesures*socio=et de renforcement*socio=ec2 du*socio=rien programme*socio=et financier*socio=ec1, ainsi qu'une hausse*socio=rien importante*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1, ont contribué à rétablir la confiance*socio=uv1 dans la volonté*socio=uv1 des autorités*socio=et de mener à bien*socio=rien leur programme*socio=et. La situation*socio=rien économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 s'est*socio=rien par la suite*socio=rien sensiblement améliorée. À la suite*socio=rien de la crise*socio=uv2 de 1998, les autorités*socio=et russes ont engagé un*socio=rien dialogue*socio=uv1 avec les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac; une entente*socio=et provisoire*socio=rien portant *socio=rien sur un programme*socio=et économique*socio=ec1 *socio=nil qui pourrait bénéficier du*socio=rien soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac a été*socio=rien conclue à la fin*socio=rien d'avril*socio=rien 1999. En décembre*socio=rien 1998, le Conseil*socio=ac a examiné une étude*socio=ec2 réalisée par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac afin d'évaluer les actions*socio=ec1 engagées par le FMI*socio=ac pour aider les *socio=ac pays asiatiques *socio=nil touchés par la crise*socio=uv2. Identifiant les principales*socio=rien leçons*socio=ec2 à tirer de l'expérience*socio=ec2 acquise*socio=rien avec les programmes*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac en Indonésie*socio=ac, en Corée*socio=ac et en Thaïlande*socio=ac, les administrateurs*socio=ac sont convenus que, pour prévenir toute future*socio=te crise*socio=uv2 financière*socio=ec1, il est*socio=rien important*socio=uv4 de vérifier régulièrement, dans le cadre*socio=rien de la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, si les régimes*socio=et de change*socio=ec1 sont toujours adaptés, de communiquer au marché*socio=ec1, sur*socio=rien une *socio=rien base continue,*socio=nil des*socio=nil informations financières*socio=ec1 exactes,*socio=nil *socio=nil complètes et *socio=rien claires sur les*socio=nil secteurs_public*socio=et et*socio=nil privé*socio=et *socio=nil et de renforcer les *socio=et régimes réglementaires et*socio=nil prudentiels*socio=uv2 *socio=nil dans tous les pays*socio=ac, ainsi que d'adapter*socio=rien les institutions*socio=ac et les règlements*socio=et dans les *socio=ac pays créanciers de*socio=nil manière*socio=rien *socio=nil à déterminer plus adéquatement*socio=rien le coût*socio=ec1 des risques*socio=uv3 et à empêcher les comportements*socio=rien "moutonniers" et de lancer des actions*socio=ec1 en vue*socio=rien de réduire le risque*socio=uv3 systémique*socio=ec2 qui va de pair*socio=rien avec les turbulences*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1, notamment en durcissant les règles*socio=et de publicité*socio=rien imposées à tous les investisseurs*socio=ac, y compris les institutions*socio=ac à *socio=rien fort effet de*socio=nil levier*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil En ce qui concerne la conception*socio=et et l'exécution*socio=rien des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et dans le cadre*socio=rien d'une crise*socio=uv2 financière*socio=ec1, le Conseil*socio=ac a estimé que le FMI*socio=ac doit établir ces programmes*socio=et à partir de projections*socio=ec2 macroéconomiques*socio=ec1 qui tiennent pleinement compte*socio=ec1 des éventuelles*socio=te répercussions*socio=ec2 régionales*socio=te de la crise*socio=uv2 et de ses effets*socio=rien sous la forme*socio=rien d'une limitation*socio=uv3 de l'accès*socio=uv1 des pays*socio=ac au financement*socio=ec1 extérieur*socio=te privé*socio=et, approfondir l'analyse*socio=ec2 des *socio=rien questions spécifiques *socio=nil que soulèvent les graves*socio=uv4 faiblesses*socio=ec2 *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1 ou*socio=nil financier*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil encourager les autorités*socio=et à prendre dès le début*socio=rien des mesures*socio=et décisives*socio=uv4 pour montrer qu'elles ont le programme*socio=et bien*socio=rien en mains*socio=rien et y assument un*socio=rien rôle*socio=et de *socio=rien premier plan,*socio=nil *socio=nil expliquer au marché*socio=ec1 et au grand_public*socio=et - en coordination*socio=uv3 étroite*socio=rien avec les autorités*socio=et - le contenu intégral*socio=rien des programmes*socio=et sans susciter des anticipations*socio=uv3 irréalistes*socio=uv4, adapter*socio=rien avec souplesse*socio=uv3 les programmes*socio=et à l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien et s'entendre rapidement avec les autorités*socio=et et les autres institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te sur*socio=rien une stratégie*socio=et complète et détaillée de réforme*socio=et structurelle*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir que le renforcement*socio=ec2 des dispositifs*socio=et de protection_sociale*socio=et en vue*socio=rien d'amortir les répercussions*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 sur*socio=rien les pauvres*socio=uv2 constitue *socio=rien un volet essentiel*socio=uv4 des*socio=nil programmes*socio=et.*socio=nil Les*socio=nil crises*socio=uv2 financières*socio=ec1 *socio=nil qui ont frappé les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 d'Asie*socio=ac, puis la Russie*socio=ac et le Brésil*socio=ac, ont abouti à intensifier en 1998/99 les *socio=rien travaux sur les*socio=nil propositions *socio=nil visant à renforcer l'architecture du*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te. Ces propositions*socio=rien reflètent un*socio=rien consensus*socio=uv1 qui s'est*socio=rien établi, tant au FMI*socio=ac que dans la communauté*socio=ac financière*socio=ec1 internationale*socio=ac, en faveur*socio=rien d'un*socio=rien renforcement*socio=ec2 du*socio=rien système_financier*socio=ec1 mondial*socio=te destiné à réduire les risques*socio=uv3 que présentent les faiblesses*socio=ec2 institutionnelles*socio=et et l'instabilité*socio=uv3 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 et à aider les pays*socio=ac qui n'ont pas encore bénéficié de la mondialisation*socio=ec2 à accéder aux marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. Plusieurs réformes*socio=et, qui suscitent *socio=rien un large consensus*socio=uv1 *socio=nil dans la *socio=ac communauté internationale *socio=nil et qui ne pourront être*socio=rien menées à bien*socio=rien sans la participation*socio=uv3 de nombreux*socio=rien acteurs*socio=ac, ont notamment pour objet*socio=rien: de promouvoir la transparence*socio=uv3 et la responsabilité*socio=uv1 et de définir*socio=rien et diffuser des normes*socio=et et des codes*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et reconnus au plan*socio=rien international*socio=te; de renforcer les systèmes_financiers*socio=ec1, notamment par une meilleure*socio=uv4 surveillance*socio=et des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1; de veiller davantage à la libéralisation*socio=et ordonnée des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1; d'associer plus étroitement le secteur_privé*socio=et à la prévention*socio=uv3 et à la résolution*socio=uv1 des crises*socio=uv2; de veiller à la pertinence*socio=rien des régimes*socio=et de change*socio=ec1; de s'assurer que les ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac sont adéquates*socio=uv2; de prévoir des lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 préventives*socio=rien afin de prévenir les problèmes*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 que pourrait provoquer la propagation*socio=rien d'une crise*socio=uv2 financière*socio=ec1. Au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années,*socio=nil le*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil a adopté une série de mesures*socio=et pour améliorer sensiblement la transparence*socio=uv3 de ses activités*socio=rien et des politiques*socio=et de ses membres*socio=ac. Ces mesures*socio=et visaient la diffusion*socio=rien de notes d'information*socio=rien au public*socio=et (NIP) à la suite*socio=rien de l'examen*socio=ec2 par le Conseil*socio=ac des rapports*socio=rien de consultation*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV (en 1998/99, plus de 70 % des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'une NIP), la publication*socio=rien de *socio=rien documents relatifs *socio=nil à l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés (PPTE*socio=ac) et l'appel*socio=rien à des commentaires*socio=rien publics*socio=et sur*socio=rien l'Initiative*socio=rien, ainsi que sur*socio=rien les conclusions*socio=rien des évaluations*socio=ec2 internes*socio=te et externes*socio=ec1 de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FASR*socio=ec1) du*socio=rien FMI*socio=ac, l'évaluation*socio=ec2 externe*socio=ec1 des activités*socio=rien de surveillance*socio=et et d'études*socio=ec2 économiques*socio=ec2 du*socio=rien FMI*socio=ac et la publication*socio=rien régulière*socio=ec2 par le FMI*socio=ac, sur*socio=rien son site*socio=rien Internet*socio=ec1, de données relatives*socio=rien à sa position*socio=rien de liquidité*socio=ec1 et aux comptes*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac dans ses livres. En mars*socio=rien et avril*socio=rien 1999, le conseil_d'_administration*socio=ac a pris d'autres décisions*socio=et qui ont notamment pour effet*socio=rien de poser en_principe*socio=ec2 que les pays*socio=ac divulgueront leurs lettres*socio=rien d'intention*socio=rien, mémorandums de politiques_économiques*socio=et et financières*socio=ec1, et documents-cadres*socio=et de politique_économique*socio=ec1 qui forment la base*socio=rien des programmes*socio=et soutenus par le FMI*socio=ac, de rendre public*socio=et le résumé par le Président*socio=ac des principales*socio=rien observations*socio=ec2 formulées par les administrateurs*socio=ac *socio=rien lors du débat*socio=et sur l'*socio=nil utilisation des*socio=nil ressources*socio=ec1 du FMI*socio=ac par*socio=nil un pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil d'établir un*socio=rien programme*socio=et pilote de dix-huit mois*socio=rien pour la divulgation*socio=et volontaire*socio=uv4 des rapports*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac sur*socio=rien les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV (y compris de rapports*socio=rien portant aussi sur*socio=rien l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac), de diffuser (sur*socio=rien décision*socio=et à cet effet*socio=rien des administrateurs*socio=ac) des NIP à la suite*socio=rien de l'examen*socio=ec2 par le conseil_d'_administration*socio=ac de questions*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien et d'élargir sensiblement l'accès*socio=uv1 du*socio=rien public*socio=et aux archives du*socio=rien FMI*socio=ac. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1998/99, afin de promouvoir la définition*socio=rien, la diffusion*socio=rien et l'adoption*socio=uv3 de normes*socio=et ou de codes*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et reconnus au plan*socio=rien international*socio=te qui régiraient les activités_économiques*socio=ec1, financières*socio=ec1 et commerciales*socio=ec1, le FMI*socio=ac a beaucoup progressé sur*socio=rien la voie*socio=rien de la définition*socio=rien et de la mise au point*socio=rien de normes*socio=et volontaires*socio=uv4 dans des domaines*socio=rien relevant de ses *socio=rien principales activités,*socio=nil *socio=nil renforçant la norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données, notamment en ce qui concerne les réserves_internationales*socio=ec1 et l'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te, mettant au *socio=rien point un code*socio=et de*socio=nil bonnes pratiques*socio=et en*socio=nil matière de*socio=nil transparence*socio=uv3 des*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et et*socio=nil un code*socio=et de*socio=nil bonnes pratiques*socio=et *socio=nil pour la transparence*socio=uv3 des politiques_monétaires*socio=et et financières*socio=ec1, ainsi qu'un*socio=rien manuel*socio=rien d'évaluation*socio=ec2 de l'application*socio=rien des Principes*socio=ec2 fondamentaux*socio=uv4 de Bâle visant à renforcer le contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1. En ce qui concerne les *socio=rien travaux sur le*socio=nil secteur financier*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil la mise en place*socio=rien avec succès*socio=uv1 du*socio=rien comité*socio=ac de liaison*socio=rien Banque-fmi a permis*socio=rien de renforcer la collaboration*socio=uv1 dans ce domaine*socio=rien entre les services*socio=et des deux institutions*socio=ac. Les avis*socio=rien concordent largement sur*socio=rien le fait*socio=rien que l'intégration*socio=uv1 financière*socio=ec1, et notamment la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, comporte de *socio=rien nombreux avantages,*socio=nil *socio=nil mais cette libéralisation*socio=et n'est*socio=rien pas sans risques*socio=uv3 et elle doit être*socio=rien menée avec prudence*socio=uv1. En 1998/99, le Conseil*socio=ac a discuté de la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 et a fait*socio=rien le bilan*socio=rien des mesures*socio=et de contrôle*socio=uv3 utilisées par les pays_membres*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont estimé que cette libéralisation*socio=et devait être*socio=rien pleinement soutenue par *socio=rien un cadre macroéconomique*socio=ec1 homogène*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil en ce qui concerne notamment la politique_monétaire*socio=et et la politique*socio=et de change*socio=ec1, et par un*socio=rien *socio=et dispositif institutionnel propre*socio=rien *socio=nil à permettre aux intermédiaires*socio=rien financiers*socio=ec1 et aux autres intervenants*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de mieux gérer les risques*socio=uv3 et de mieux s'adapter*socio=rien à l'évolution*socio=te de la conjoncture*socio=ec2, et que le rythme*socio=ec2 et l'ordre*socio=rien de priorité*socio=uv4 des mesures*socio=et devaient être*socio=rien établis méticuleusement. La plupart*socio=rien d'entre eux ont conclu que la réintroduction du*socio=rien contrôle*socio=uv3 des sorties de capitaux*socio=ec1 n'était pas en *socio=rien général un instrument*socio=et efficace*socio=uv4 *socio=nil durant une crise*socio=uv2; à leurs yeux*socio=rien, le contrôle*socio=uv3 des entrées de capitaux*socio=ec1 ne saurait se substituer à des mesures*socio=et plus fondamentales*socio=uv4, et doit donc s'inscrire dans le cadre*socio=rien d'une politique*socio=et plus large*socio=rien si l'on décide d'y recourir. Ils sont convenus qu'il fallait continuer d'affiner l'analyse*socio=ec2 et d'examiner l'expérience*socio=ec2 de divers pays*socio=ac avec certaines*socio=rien mesures*socio=et de contrôle*socio=uv3 précises*socio=rien. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont toutefois conclu qu'en cas*socio=rien de crise*socio=uv2, il pourrait être*socio=rien utile*socio=uv4 de réimposer des mesures*socio=et de contrôle*socio=uv3 des capitaux*socio=ec1. D'après*socio=rien le conseil_d'_administration*socio=ac, il est*socio=rien fondamental*socio=uv2 d'associer davantage le secteur_privé*socio=et à la prévention*socio=uv3 et à la résolution*socio=uv1 des crises*socio=uv2 pour *socio=rien obtenir un processus*socio=te d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil plus ordonné, limiter*socio=rien l'aléa*socio=rien moral*socio=uv2 et accroître la discipline*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1, ainsi que pour aider les emprunteurs*socio=ac des marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 à se prémunir contre l'instabilité*socio=uv3 et la contagion*socio=ec2. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1998/99, le Conseil*socio=ac a examiné avec la *socio=ac communauté internationale *socio=rien diverses propositions sur ce*socio=nil point *socio=nil 2. Les travaux*socio=rien se poursuivent au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1999/2000 sur*socio=rien divers dossiers*socio=rien: prévention*socio=uv3 des crises*socio=uv2 grâce*socio=rien aux efforts*socio=uv1 que les pays*socio=ac pourraient déployer pour améliorer l'information*socio=rien, ainsi que leur réglementation*socio=et, modification*socio=rien des normes*socio=et de fonds*socio=ec1 propres*socio=rien des banques*socio=ac et des *socio=ec1 contrats obligataires et*socio=nil financement préventif*socio=rien *socio=nil et garantie du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1. Sous l'effet*socio=rien des crises*socio=uv2 asiatique*socio=ac, russe*socio=ac et brésilienne*socio=ac, ainsi que des tensions*socio=ec2 qui se sont alors exercées en *socio=rien général sur les*socio=nil économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2,*socio=nil le*socio=nil FMI*socio=ac *socio=nil a poursuivi ses travaux*socio=rien de surveillance*socio=et à un*socio=rien rythme*socio=ec2 rapide*socio=rien. Parallèlement à l'aspect*socio=rien classique*socio=rien de sa surveillance*socio=et qui vise surtout à encourager les pays*socio=ac à corriger leurs déséquilibres*socio=uv3 macroéconomiques*socio=ec1, à freiner l'inflation*socio=ec1 et à entreprendre des réformes*socio=et fondamentales*socio=uv4 de tendance*socio=ec2 libérale*socio=et, notamment dans les *socio=rien domaines du commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=nil et des changes*socio=ec1, le FMI*socio=ac a continué d'axer de plus en plus ses *socio=rien travaux sur une*socio=nil panoplie *socio=nil beaucoup plus vaste*socio=rien de mesures*socio=et structurelles*socio=ec2 ou institutionnelles*socio=et. C'est*socio=rien ce que l'on appelle la deuxième*socio=rien génération*socio=ac de réformes*socio=et, qui doit permettre aux pays*socio=ac de gagner et de conserver la confiance*socio=uv1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et et d'établir les bases*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 soutenue, notamment en augmentant l'efficacité*socio=uv3 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 au*socio=nil moyen par*socio=nil exemple *socio=nil d'une initiative*socio=rien visant à effectuer des "évaluations*socio=ec2 de la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1" conjointement avec la banque_mondiale*socio=ac, en améliorant la collecte et la diffusion*socio=rien des données, en donnant davantage de transparence*socio=uv3 au budget_de_l'_état*socio=ac et aux politiques_monétaire*socio=et et financière*socio=ec1, en favorisant l'autonomie*socio=uv1 et la gestion*socio=ec2 indépendante*socio=uv2 de la banque_centrale*socio=ac et en encourageant la réforme*socio=et *socio=rien du système juridique*socio=et *socio=nil et la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et. En même temps*socio=rien, le FMI*socio=ac a continué de se préoccuper des problèmes*socio=uv4 sociaux*socio=et dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec les pays_membres*socio=ac et de ses grands*socio=rien débats*socio=et de fond*socio=rien. Il a aussi mené la surveillance*socio=et sur*socio=rien une base*socio=rien régionale*socio=te. Durant l'exercice*socio=rien, il a par exemple*socio=rien examiné l'évolution*socio=te de l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 européenne*socio=ac (UEM*socio=et), notamment après*socio=rien le lancement*socio=rien de l'euro le 1 er janvier*socio=rien 1999, et de l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 ouest-africaine*socio=te. En 1998/99, le conseil_d'_administration*socio=ac s'est*socio=rien réuni à plusieurs reprises pour examiner comment l'appui*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac aux pays_membres*socio=ac pourrait être*socio=rien accru. Il a fait*socio=rien le *socio=rien point sur le*socio=nil fonctionnement *socio=nil de la facilité de réserve*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien (FRS), guichet*socio=ec1 ouvert*socio=rien à l'intention*socio=rien des membres*socio=ac aux prises*socio=rien avec une perte*socio=ec2 de confiance*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1, et approuvé la création*socio=uv4 des lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 préventives*socio=rien (LCP). Il a aussi décidé de modifier sa politique*socio=et d'aide*socio=uv1 aux pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1 en l'assortissant de modalités*socio=rien mieux adaptées à la situation*socio=rien de ceux de ces pays*socio=ac qui sont pauvres*socio=uv2 ou en prévoyant, si nécessaire*socio=rien, l'octroi*socio=rien de montants*socio=ec1 plus élevés*socio=uv4 sur*socio=rien des périodes*socio=te plus longues*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont en outre décidé de maintenir les mêmes proportions*socio=rien entre les limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 aux ressources*socio=ec1 au titre*socio=rien des tranches de crédit*socio=ec1 et du*socio=rien MEDC et les nouvelles*socio=rien quotes-parts*socio=et, ce qui implique une augmentation*socio=ec2 en DTS de l'ordre*socio=rien de 45 % en moyenne*socio=rien. Les limites*socio=rien d'accès*socio=uv1 aux mécanismes_spéciaux*socio=rien et à la FASR*socio=ec1 sont demeurées pour ainsi dire inchangées*socio=rien en termes*socio=rien de DTS (étant donné que les ressources*socio=ec1 disponibles*socio=rien pour le financement*socio=ec1 de la FASR*socio=ec1 étaient restreintes). Par ailleurs*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont examiné *socio=rien un cadre directeur *socio=nil pour les programmes*socio=et suivis par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, qui permettent de procéder à une surveillance*socio=et informelle*socio=uv2 du*socio=rien programme*socio=et économique*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac et de s'entretenir avec les autorités*socio=et des résultats*socio=rien obtenus, sans que l'institution*socio=ac souscrive officiellement*socio=et aux politiques*socio=et appliquées par ce pays*socio=ac. En 1998/99, le Conseil*socio=ac a examiné *socio=rien diverses questions *socio=nil se rapportant au financement*socio=ec1 et au fonctionnement*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FASR*socio=ec1) - qui fournit des *socio=ec1 prêts concessionnels aux*socio=nil pays_membres*socio=ac à*socio=nil faible*socio=rien revenu *socio=nil - et à la mise en ouvre de l'initiative*socio=rien *socio=rien conjointe du FMI*socio=ac *socio=nil et de la banque_mondiale*socio=ac, dont l'objet*socio=rien est*socio=rien d'alléger la *socio=rien charge du service_de_la_dette*socio=ec1 des*socio=nil pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 *socio=nil très endettés (Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac). Les débats*socio=et ont été*socio=rien axés sur*socio=rien le renforcement*socio=ec2 de l'efficacité*socio=uv3 de la FASR*socio=ec1 et de l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac en vue*socio=rien d'aider les pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 à parvenir à la croissance*socio=uv3 et à la viabilité*socio=uv3 extérieure*socio=te et à réduire la pauvreté*socio=uv1. À cet égard*socio=rien, plusieurs propositions*socio=rien ont été*socio=rien avancées afin de continuer d'intensifier la collaboration*socio=uv1 entre le FMI*socio=ac et la banque_mondiale*socio=ac dans la conception*socio=et des programmes*socio=et, notamment en ce qui concerne leur dimension*socio=rien sociale*socio=et. En avril*socio=rien 1999, les conseils_d'_administration*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac et de la banque_mondiale*socio=ac avaient examiné l'admissibilité de douze pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés à bénéficier de l'Initiative*socio=rien et l'admissibilité d'autres pays*socio=ac était à l'étude*socio=ec2. Sept pays*socio=ac avaient rempli les conditions*socio=ec1 requises*socio=uv4 pour *socio=rien obtenir un allégement*socio=ec2 *socio=nil de leur dette*socio=ec1 et on prévoyait qu'ils seraient suivis de trois autres. Un*socio=rien allégement*socio=ec2 de dette*socio=ec1 de 6 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 au total*socio=rien en valeur*socio=ec1 nominale*socio=rien (3 milliards*socio=rien en valeur*socio=ec1 actuelle*socio=te nette*socio=rien de 1998) avait été*socio=rien engagé en faveur*socio=rien des sept pays*socio=ac qualifiés*socio=uv4, et l'aide*socio=uv1 à deux pays*socio=ac - l'Ouganda*socio=ac et la Bolivie*socio=ac - avait été*socio=rien débloquée. Toutefois, beaucoup de critiques*socio=rien ont été*socio=rien formulées 1998/99 à l'égard*socio=rien de l'Initiative*socio=rien parce qu'elle n'a pas fourni un*socio=rien allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 suffisant*socio=rien pour permettre aux pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 de sortir *socio=rien du cercle vicieux*socio=uv4 *socio=nil dans lequel le coût*socio=ec1 du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1 extérieure*socio=te neutralise les bienfaits*socio=uv2 de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1, aussi les organisations_non_gouvernementales*socio=ac, les groupes*socio=ac confessionnels*socio=et, les médias*socio=rien, les organisations_internationales*socio=ac et les gouvernements*socio=ac ont-ils accordé une *socio=rien attention considérable au*socio=nil dossier *socio=nil de l'allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 et à la question*socio=rien des modifications*socio=rien à apporter à l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac pour la rendre plus efficace*socio=uv4. Les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et de la banque_mondiale*socio=ac ont préparé, en avril*socio=rien 1999, une note technique*socio=rien décrivant les coûts*socio=ec1 estimatifs*socio=rien de *socio=rien diverses propositions *socio=nil qui ont été*socio=rien soumises par les gouvernements*socio=ac de pays_membres*socio=ac et des représentants*socio=ac de la *socio=ac société_civile en*socio=nil vue*socio=rien *socio=nil de modifier l'initiative*socio=rien PPTE*socio=ac et affiché cette note, ainsi que les *socio=rien rapports du FMI*socio=ac *socio=nil et de la Banque*socio=ac et les résumés des débats*socio=et aux deux conseils*socio=ac, sur*socio=rien le site*socio=rien Internet*socio=ec1 de chaque institution*socio=ac pour que le public*socio=et puisse faire part*socio=rien de ses commentaires*socio=rien, l'objectif*socio=uv3 étant de parvenir à des décisions*socio=et visant à renforcer l'Initiative*socio=rien et de les soumettre pour approbation*socio=uv1 à l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te de l'automne*socio=rien 1999. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont souligné de nouveau*socio=rien qu'il était urgent*socio=uv4 de mobiliser la *socio=rien totalité du financement*socio=ec1 nécessaire *socio=nil pour l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac et la prorogation de la FASR*socio=ec1 et sont convenus que le FMI*socio=ac devait continuer d'y contribuer sur*socio=rien ses propres*socio=rien ressources*socio=ec1. En avril*socio=rien 1999, ils se sont accordés à penser que les décisions*socio=et visant à renforcer l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac devaient *socio=rien être prises en*socio=nil fonction *socio=nil de la possibilité*socio=rien de mobiliser le financement*socio=ec1 nécessaire*socio=rien. Comme le FMI*socio=ac, les pays_membres*socio=ac sont de plus en plus convaincus qu'une assistance*socio=uv1 technique*socio=rien efficace*socio=uv4, fournie en *socio=rien temps opportun,*socio=nil *socio=nil contribue puissamment aux efforts*socio=uv1 qu'ils déploient en vue*socio=rien d'appliquer une politique_économique*socio=ec1 et des *socio=et réformes institutionnelles viables*socio=uv4.*socio=nil Les*socio=nil activités*socio=rien d'*socio=nil assistance*socio=uv1 technique*socio=rien *socio=nil ont absorbé environ 15 % des dépenses*socio=ec1 administratives*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac en 1998/99 et représenté approximativement 300 années-personnes pour chacun des *socio=rien derniers exercices,*socio=nil *socio=nil contre 130 à la fin*socio=rien des années*socio=rien 80 et au début*socio=rien des années*socio=rien 90. L'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien, qui a fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'une forte*socio=rien demande*socio=ec1, est*socio=rien restée essentiellement axée sur*socio=rien les aspects*socio=rien monétaires*socio=ec1 et budgétaires*socio=et de la gestion*socio=ec2 macroéconomique*socio=ec1, mais a également porté sur*socio=rien les statistiques*socio=ec2, le droit*socio=uv1 financier*socio=ec1, la protection_sociale*socio=et, la réforme*socio=et de la sécurité_sociale*socio=et, l'organisation*socio=ec1 et les opérations*socio=rien financières*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac, et l'informatique*socio=ec1. Ce renforcement*socio=ec2 des ressources_humaines*socio=ec1 et des capacités*socio=uv3 institutionnelles*socio=et dont l'État*socio=ac dispose pour gérer efficacement l'économie*socio=ec1 est*socio=rien destiné à promouvoir une bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et et à créer ou maintenir des conditions*socio=ec1 propices*socio=rien à une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 et équitable*socio=uv2 dans les pays_membres*socio=ac. CHAPITRE*socio=rien 1 L'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te en 1998/99 En 1998/99, les marchés_financiers*socio=ec1 se sont stabilisés et l'activité*socio=rien a redémarré dans les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 d'Asie*socio=ac, les signes d'un*socio=rien retournement*socio=rien étant déjà apparus dans certains cas*socio=rien au début*socio=rien de 1999. Pendant l'exercice*socio=rien, les conditions*socio=ec1 du*socio=rien financement*socio=ec1 extérieur*socio=te se sont nettement dégradées pour les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 après*socio=rien la crise*socio=uv2 russe*socio=ac d'août*socio=rien qui, en outre, a fait*socio=rien craindre pendant *socio=rien un certain temps une*socio=nil raréfaction*socio=uv3 quasi*socio=nil générale du crédit*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Malgré les difficultés*socio=uv4 temporaires*socio=rien causées par la crise*socio=uv2 brésilienne*socio=ac de janvier*socio=rien 1999, la situation*socio=rien s'est*socio=rien améliorée *socio=rien après un assouplissement*socio=uv3 *socio=nil généralisé des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac. L'activité*socio=rien dans les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 a dans l'ensemble*socio=rien pâti des difficultés*socio=uv4 de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te, mais a aussi subi le contrecoup*socio=te de la faiblesse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te et de la chute des prix*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien de base*socio=rien. Dans les pays_industrialisés*socio=ac, la récession*socio=ec2 au Japon*socio=ac s'est*socio=rien aggravée en 1998, puis *socio=rien un vif *socio=nil rebond s'est*socio=rien produit*socio=rien au début*socio=rien de 1999, cependant que l'activité*socio=rien dans l' union_européenne*socio=et (UE*socio=ac) a faibli durant la période*socio=te, et que l'expansion*socio=ec2 est*socio=rien par contre demeurée très vigoureuse*socio=rien aux États-unis*socio=ac. La croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 mondiale*socio=te, qui était tombée de 41/4 % en 1997 à 21/2 % en 1998, a donné des signes avant-coureurs d'un*socio=rien certain*socio=rien redressement*socio=ec2 au début*socio=rien de 1999, encore qu'elle semblait rester nettement plus faible*socio=rien que pendant la période*socio=te 1994-97 (tableau*socio=rien 1 et graphique*socio=rien 1). Ce quatrième*socio=rien ralentissement*socio=ec2 économique*socio=ec1 mondial*socio=te en *socio=rien un quart de*socio=nil siècle *socio=nil tient essentiellement aux crises*socio=uv2 qui ont éclaté dans les pays*socio=ac émergents*socio=ec2 et à la récession*socio=ec2 japonaise*socio=ac. Les cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien ont accusé une baisse*socio=ec2 généralisée, dans des proportions*socio=rien qui n'avaient pas été*socio=rien observées depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 80. Après*socio=rien quelques accès*socio=uv1 de baisse*socio=ec2 sensible*socio=rien au début*socio=rien de 1998, les prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 se sont encore repliés vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien, perdant au total*socio=rien plus de 30 % sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien de 1998; cependant, ils ont regagné l'essentiel*socio=uv4 *socio=rien du terrain perdu*socio=nil après *socio=nil l'annonce en mars*socio=rien 1999 de compressions*socio=et de la production*socio=ec1 et la confirmation*socio=rien d'un*socio=rien regain*socio=ec2 de l'activité*socio=rien en Asie*socio=ac. Les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien non pétroliers*socio=ec1 n'ont cessé de diminuer pendant l'exercice*socio=rien et, en mars*socio=rien 1999, ils avaient perdu plus de 15 % par rapport*socio=rien à l'année*socio=rien précédente*socio=rien. Cette baisse*socio=ec2, tout en contribuant à freiner l'inflation*socio=ec1 mondiale*socio=te, a aussi réduit les revenus*socio=ec1 réels*socio=ec2 et la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien de base*socio=rien avec, parfois, d'importants*socio=uv4 *socio=rien effets négatifs sur le*socio=nil solde*socio=ec1 courant *socio=nil et la situation*socio=rien budgétaire*socio=et. En raison*socio=rien notamment *socio=rien du faible coût*socio=ec1 des*socio=nil importations*socio=ec1 en*socio=nil provenance des*socio=nil marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 d'*socio=nil Asie*socio=ac *socio=nil et de la chute des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 dans les économies*socio=ec1 avancées a encore ralenti, pour s'établir à 11/2 %, en 1998. Dans *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil dont l'Indonésie*socio=ac et la Russie*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 s'est*socio=rien par contre vivement accélérée à la suite*socio=rien de la dépréciation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1. Les turbulences*socio=ec2 financières*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 se sont accompagnées d'une chute brutale*socio=rien des apports*socio=rien de capitaux_privés*socio=ec1. À la suite*socio=rien de la crise*socio=uv2 russe*socio=ac, les emprunteurs*socio=ac de la plupart*socio=rien des pays*socio=ac émergents*socio=ec2 (surtout en amérique_latine*socio=ac) n'ont plus été*socio=rien en mesure*socio=rien d'accéder au financement_privé*socio=et, l'écart*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 atteignant des niveaux*socio=rien qui n'avaient pas été*socio=rien observés depuis la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac de 1995. *socio=rien Un report massif des*socio=nil investisseurs*socio=ac sur des*socio=nil placements*socio=ec1 de*socio=nil qualité *socio=nil et liquides a aussi provoqué un*socio=rien durcissement*socio=ec2 prononcé des conditions*socio=ec1 du*socio=rien crédit*socio=ec1 et une forte*socio=rien chute des cours*socio=rien des actions*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 développés*socio=uv4 avant que les tensions*socio=ec2 ne s'atténuent à la fin*socio=rien de 1998. Les flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1 à destination*socio=rien des économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 sont tombés à 65 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1998, soit moins d'un*socio=rien *socio=rien tiers du chiffre*socio=nil record*socio=ec2 *socio=nil de 1996 et le montant*socio=ec1 annuel*socio=te le plus faible*socio=rien pour la décennie*socio=te (tableau*socio=rien 2). La crise*socio=uv2 brésilienne*socio=ac a retardé le retour*socio=rien des écarts*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 et des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 aux niveaux*socio=rien observés avant la crise*socio=uv2 russe*socio=ac, mais, en mars*socio=rien et avril*socio=rien 1999, les emprunteurs*socio=ac des économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 commençaient à revenir sur*socio=rien le marché*socio=ec1. Le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 dans tous les grands*socio=rien groupes_de_pays*socio=ac en 1998 a freiné sensiblement la progression*socio=ec2 du*socio=rien commerce*socio=ec1 mondial*socio=te en volume*socio=rien, qui est*socio=rien tombée à 31/4 % selon les estimations*socio=ec2, soit le plus faible*socio=rien taux*socio=ec1 annuel*socio=te depuis 1985. En outre, l'ajustement*socio=et dans les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 touchées par la crise*socio=uv2, les difficultés*socio=uv4 plus grandes*socio=rien à obtenir*socio=rien des concours extérieurs*socio=te, la chute des prix*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien de base*socio=rien et l'asymétrie*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans les pays_industrialisés*socio=ac ont été*socio=rien en partie*socio=rien à l'origine*socio=rien des fortes*socio=rien fluctuations*socio=ec2 des *socio=ec1 balances commerciales *socio=nil et des balances_des_paiements*socio=ec1 nationales*socio=te et régionales*socio=te. La compression*socio=et sensible*socio=rien des importations*socio=ec1 amorcée au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1997 se poursuivant, les *socio=ec1 balances commerciales des*socio=nil économies *socio=nil de l'Asie*socio=ac de l'_est*socio=te touchées par la crise*socio=uv2 sont devenues très positives*socio=uv4 en 1998 (de près de 100 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1). Sous l'effet*socio=rien de la reprise naissante*socio=rien dans ces pays*socio=ac, leur *socio=ec1 excédent commercial global*socio=te *socio=nil a commencé à diminuer à la fin*socio=rien de 1998 et au début*socio=rien de 1999. L'effort*socio=uv1 d'ajustement*socio=et devait désormais être*socio=rien dirigé surtout vers les pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac qui étaient confrontés à un*socio=rien environnement*socio=et extérieur*socio=te plus défavorable*socio=uv4 et les principaux*socio=rien pays_en_développement*socio=uv3 exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien de base*socio=rien qui comptaient tout d'abord*socio=rien sur*socio=rien leurs réserves*socio=ec1 et l'emprunt*socio=ec1 extérieur*socio=te pour compenser le manque*socio=rien à gagner imputable*socio=uv2 à la baisse*socio=ec2 des cours*socio=rien. La *socio=ec1 balance_commerciale globale des*socio=nil économies_de_marché émergentes*socio=ec2 *socio=nil s'améliorait alors que la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te croissait plus vite que la production*socio=ec1 dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil - les États-unis*socio=ac principalement, qui ont compté pour près de la moitié*socio=rien de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 mondiale*socio=te en 1998. Cette même année*socio=rien, la *socio=ec1 balance_commerciale globale des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil a diminué de près de 80 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1. économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 La croissance*socio=uv3 dans les pays_en_développement*socio=uv3 est*socio=rien revenue de 5#/4 % en 1997 à 31/4 % en 1998, l'Afrique*socio=ac étant la seule*socio=rien région*socio=te où elle s'est*socio=rien accélérée, dans des proportions*socio=rien toutefois limitées (graphique*socio=rien 2). Dans les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac de l'_est*socio=te touchés par la crise*socio=uv2, sauf aux Philippines*socio=ac, la production*socio=ec1 a nettement reculé. En Corée*socio=ac et en Thaïlande*socio=ac, deux *socio=ac pays victimes *socio=nil de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac, les marchés_financiers*socio=ec1 ont commencé à se stabiliser au deuxième*socio=rien trimestre*socio=te de 1998 et des signes de regain*socio=ec2 de l'activité*socio=rien sont apparus ultérieurement pendant l'année*socio=rien, mais sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 a *socio=rien été négative.*socio=nil *socio=nil Dans ces deux pays*socio=ac, la confiance*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac s'est*socio=rien nettement raffermie, moyennant quoi les monnaies*socio=ec1 ont regagné une *socio=rien partie du terrain *socio=nil perdu, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ont baissé et le marché*socio=ec1 des actions*socio=ec1 s'est*socio=rien ressaisi. Une politique_budgétaire*socio=et expansionniste*socio=ec2 a en outre soutenu la demande*socio=ec1. Le taux_de_croissance*socio=ec1 est*socio=rien redevenu positif*socio=uv4 en Corée*socio=ac à la fin*socio=rien de 1998. En Thaïlande*socio=ac, la production*socio=ec1 s'est*socio=rien stabilisée pendant les *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1998 avant de repartir au début*socio=rien de 1999. Dans ces deux pays*socio=ac, la balance*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te s'est*socio=rien sensiblement améliorée en 1998, passant à un*socio=rien excédent*socio=ec1 de 12-13 % du*socio=rien PIB*socio=ec1, sous l'effet*socio=rien en *socio=rien grande partie *socio=nil de la forte*socio=rien compression*socio=et des importations*socio=ec1. En Indonésie*socio=ac, où de nouvelles*socio=rien tensions*socio=ec2 se sont exercées sur*socio=rien la monnaie*socio=ec1 au milieu*socio=rien de 1998 dans *socio=rien un climat *socio=nil marqué par des incertitudes*socio=uv3 et des troubles politiques*socio=et, la confiance*socio=uv1 a mis *socio=rien du temps *socio=nil à revenir et, pour stabiliser le taux_de_change*socio=ec1, il a fallu maintenir plus longtemps les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4;*socio=nil *socio=nil en outre, la production*socio=ec1 a continué de diminuer jusqu'à la fin*socio=rien de 1998 avant de donner des signes de reprise au début*socio=rien de 1999. En Malaisie*socio=ac, après*socio=rien avoir d'abord*socio=rien répondu aux pressions*socio=ec2 du*socio=rien marché_financier*socio=ec1 en durcissant la politique*socio=et macroéconomique*socio=ec1, les autorités*socio=et ont appliqué à partir d'août*socio=rien 1998 une politique_monétaire*socio=et expansionniste*socio=ec2 et mis en place*socio=rien en *socio=rien septembre un régime*socio=et de*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil fixe et des mesures*socio=et de contrôle*socio=uv3 des changes*socio=ec1, dont certaines*socio=rien ont été*socio=rien assouplies au début*socio=rien de 1999. À la fin*socio=rien d'avril*socio=rien 1999, l'activité*socio=rien a cessé de régresser et des signes de redressement*socio=ec2 sont apparus. Les Philippines*socio=ac ont été*socio=rien le pays*socio=ac le moins touché par la crise*socio=uv2, mais la production*socio=ec1 a néanmoins diminué légèrement en 1998, à cause*socio=rien essentiellement d'une chute de la *socio=ec1 production agricole imputable*socio=uv2 *socio=nil aux intempéries. Parmi les autres économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 d'Asie*socio=ac, la Chine*socio=ac a vu son PIB*socio=ec1 réel*socio=rien progresser de 7#/4 % en 1998, soit un*socio=rien taux*socio=ec1 proche de l'objectif*socio=uv3 officiel*socio=et (8 %), grâce*socio=rien à une forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 d'investissement*socio=ec1 de l'État*socio=ac. En raison*socio=rien notamment *socio=rien du faible niveau d'*socio=nil utilisation des*socio=nil capacités*socio=uv3 *socio=nil et de la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des importations*socio=ec1, les prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 ont diminué de 1 % environ. L'activité*socio=rien de la Région*socio=te *socio=rien administrative spéciale de*socio=nil *socio=ac Hong Kong *socio=nil a toutefois été*socio=rien durement pénalisée par la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac, la production*socio=ec1 ayant régressé de 5 % approximativement en 1998. Jusqu'au début*socio=rien de 1999, elle est*socio=rien restée faible*socio=rien, à cause*socio=rien en *socio=rien partie du niveau élevé*socio=uv4 des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 dans*socio=nil un contexte d'*socio=nil inflation*socio=ec1 négative *socio=nil et de la fragilité*socio=uv1 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. La crise*socio=uv2 régionale*socio=te a aussi touché Singapour*socio=ac, malgré la vigueur*socio=uv3 des fondamentaux*socio=uv4 économiques*socio=ec1 de ce pays*socio=ac. Bien*socio=rien qu'une politique_monétaire*socio=et accommodante et des ajustements*socio=et à la baisse*socio=ec2 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 aient limité les effets*socio=rien de la crise*socio=uv2 sur*socio=rien l'économie*socio=ec1, l'activité*socio=rien a néanmoins ralenti au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1998 avant que le taux_de_croissance*socio=ec1 ne redevienne positif*socio=uv4 au début*socio=rien de 1999. Les autres économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 d'Asie*socio=ac ont mieux résisté aux turbulences*socio=ec2 financières*socio=ec1 régionales*socio=te, l'Inde*socio=ac en particulier*socio=rien, dont l'économie*socio=ec1 est*socio=rien assez fermée, encore que la croissance*socio=uv3 ne se soit pas redressée après*socio=rien son ralentissement*socio=ec2 de 1997 à cause*socio=rien notamment de l'essoufflement*socio=ec1 des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 et de la dégradation*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. La crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac explique en partie*socio=rien la hausse*socio=rien des *socio=ec1 frais financiers *socio=nil et la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 et des autres produits*socio=rien de base*socio=rien, deux facteurs*socio=rien qui ont lourdement pesé sur*socio=rien les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 dans les autres régions*socio=te. En Russie*socio=ac, les *socio=ec2 faiblesses structurelles *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1 *socio=nil et de celui des entreprises*socio=ac, les déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et persistants*socio=rien et l'accumulation*socio=ec2 de dettes*socio=ec1 à court_terme*socio=te par l'État*socio=ac (y compris envers les investisseurs*socio=ac étrangers*socio=te) ont laissé l'économie*socio=ec1 particulièrement vulnérable*socio=uv2 et les tensions*socio=ec2 *socio=rien croissantes sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 des*socio=nil changes*socio=ec1 *socio=nil et des bons_du_trésor*socio=ec ont conduit en août*socio=rien 1998 à une dévaluation*socio=ec2 de fait*socio=rien et à la *socio=et restructuration unilatérale *socio=nil de la dette*socio=ec1 intérieure*socio=te. Sous l'effet*socio=rien des fortes*socio=rien pressions*socio=ec2 financières*socio=ec1 qui ont sévi à l'approche de la crise*socio=uv2 et de l'aggravation*socio=ec2 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 *socio=rien globale après la*socio=nil crise*socio=uv2,*socio=nil la*socio=nil production*socio=ec1 *socio=nil a diminué de 41/2 % en 1998 et l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien passée à plus de 100 % (sur*socio=rien douze mois*socio=rien) au début*socio=rien de 1999, des tensions*socio=ec2 continuant de s'exercer sur*socio=rien la monnaie*socio=ec1. L'impossibilité*socio=rien d'accéder au financement_privé*socio=et après*socio=rien la crise*socio=uv2 a provoqué une compression*socio=et sensible*socio=rien des importations*socio=ec1 et de l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien. Néanmoins, les autorités*socio=et ont été*socio=rien forcées de rééchelonner les obligations*socio=uv1 de paiement*socio=ec1 au titre*socio=rien de la dette*socio=ec1 héritée de l'ex-urss*socio=ac. (Voir le chapitre*socio=rien 4 pour un*socio=rien examen*socio=ec2 approfondi de l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien en Russie*socio=ac en 1998/99.) La crise*socio=uv2 russe*socio=ac a eu de vives répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien l'activité*socio=rien des pays*socio=ac en transition*socio=ec2 voisins*socio=rien et a fortement concouru à la dépréciation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 dans nombre*socio=rien d'entre eux, l'Ukraine*socio=ac par exemple*socio=rien, ainsi qu'à une accélération*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1. Les *socio=ac États baltes ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil les moins touchés; ils ont pu préserver leur régime*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 fixe, ainsi que leur accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1, mais ont enregistré un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=ec1 imputable*socio=uv2 en partie*socio=rien à la réduction*socio=ec2 de leurs échanges*socio=ec1 avec la Russie*socio=ac et à l'exposition*socio=rien de leur secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1 dans ce pays*socio=ac. Dans les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=te, l'impact*socio=rien de la crise*socio=uv2 russe*socio=ac a été*socio=rien essentiellement temporaire*socio=rien, les *socio=rien effets négatifs sur la*socio=nil croissance*socio=uv3 du fléchissement*socio=ec2 *socio=nil de la demande*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 d'Europe*socio=ac occidentale*socio=te ayant été*socio=rien plus profonds*socio=rien à la fin*socio=rien de 1998 et au début*socio=rien de 1999. En *socio=ac République tchèque,*socio=nil *socio=rien du fait en*socio=nil partie du durcissement*socio=ec2 des*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil qui a été*socio=rien effectué en 1997 et au début*socio=rien de 1998 pour réduire les déséquilibres*socio=uv3 extérieurs*socio=te, la production*socio=ec1 a diminué de 21/4 % en 1998. En Hongrie*socio=ac et en Pologne*socio=ac, la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien assez robuste*socio=rien, de l'ordre*socio=rien de 5 % en 1998, malgré un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 en fin*socio=rien d'année*socio=rien. Dans ces trois pays*socio=ac, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 s'est*socio=rien sensiblement ralentie à la fin*socio=rien de 1998 et au début*socio=rien de 1999 pour s'établir en deçà de 10 % (sur*socio=rien douze mois*socio=rien) sous l'effet*socio=rien de la chute des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien, du*socio=rien durcissement*socio=ec2 antérieur*socio=te de la politique_monétaire*socio=et et du*socio=rien fléchissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3. En amérique_latine*socio=ac, la plupart*socio=rien des pays*socio=ac ont pu venir à bout*socio=rien des pressions*socio=ec2 financières*socio=ec1 occasionnées par la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac, grâce*socio=rien en partie*socio=rien aux actions*socio=ec1 engagées pour durcir les politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec1. Cependant, ils ont été*socio=rien rudement éprouvés par la crise*socio=uv2 russe*socio=ac: les écarts*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur*socio=rien leur dette*socio=ec1 extérieure*socio=te ont considérablement*socio=rien augmenté et les apports*socio=rien de capitaux_privés*socio=ec1 ont pour ainsi dire cessé. Des pressions*socio=ec2 particulièrement intenses*socio=rien se sont exercées sur*socio=rien le Brésil*socio=ac à cause*socio=rien des inquiétudes*socio=rien qu'inspirait le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et élevé*socio=uv4 de ce pays*socio=ac et des doutes quant à la viabilité*socio=uv3 de son régime*socio=et de parité*socio=ec1 fixe. Les autorités*socio=et ont alors relevé les taux_d'_intérêt*socio=ec1 directeurs*socio=ac et, en octobre*socio=rien 1998, annoncé la mise en place*socio=rien, dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et appuyé par le FMI*socio=ac, d'un*socio=rien ensemble*socio=rien de *socio=et mesures budgétaires *socio=nil qui devaient permettre de dégager un*socio=rien excédent*socio=ec1 primaire*socio=rien élevé*socio=uv4. Toutefois, la crainte*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac que les autorités*socio=et n'aient pas les moyens*socio=ec1 d'appliquer ces mesures*socio=et et que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ne soient pas suffisamment élevés*socio=uv4 pour faire cesser les sorties continues*socio=te de capitaux*socio=ec1 a de nouveau*socio=rien pesé sur*socio=rien la monnaie*socio=ec1, ce qui a amené la banque_centrale*socio=ac à abandonner le régime*socio=et de bandes de fluctuation*socio=ec2 mobiles*socio=uv4 en janvier*socio=rien et à laisser le real*socio=rien flotter. Dans *socio=rien un premier temps,*socio=nil la*socio=nil monnaie*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil dépréciée de plus de 40 % par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1 et, en raison*socio=rien de l'instabilité*socio=uv3 généralisée du*socio=rien marché_financier*socio=ec1 intérieur*socio=te, elle a continué de faire l'objet*socio=rien de pressions*socio=ec2 jusqu'au début*socio=rien de mars*socio=rien, les initiatives*socio=rien alors lancées pour renforcer le programme*socio=et d'ajustement*socio=et budgétaire*socio=et ayant commencé à rétablir la confiance*socio=uv1 dans l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac. (Voir également le chapitre*socio=rien 4 pour un*socio=rien examen*socio=ec2 approfondi de l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien au Brésil*socio=ac en 1998/99.) Si son *socio=rien impact sur les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 *socio=nil des autres pays*socio=ac d' amérique_latine*socio=ac a été*socio=rien assez limité et essentiellement temporaire*socio=rien, la dévaluation*socio=ec2 *socio=rien du real *socio=nil a eu des répercussions*socio=ec2 plus importantes*socio=uv4 sur*socio=rien les échanges*socio=ec1 avec les partenaires*socio=ac du*socio=rien Brésil*socio=ac dans le *socio=rien cadre du MERCOSUR*socio=et (*socio=nil Argentine*socio=ac,*socio=nil *socio=nil Paraguay et Uruguay*socio=ac). La croissance*socio=uv3 en amérique_latine*socio=ac avait déjà fortement ralenti au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1998, sous l'effet*socio=rien en partie*socio=rien de l'aggravation*socio=ec2 de la *socio=rien situation du financement*socio=ec1 extérieur*socio=te après la*socio=nil crise*socio=uv2 russe*socio=ac,*socio=nil *socio=nil mais aussi de la baisse*socio=ec2 sensible*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien et, le plus souvent, de politiques_monétaires*socio=et et budgétaires*socio=et plus rigoureuses*socio=uv4. En Argentine*socio=ac, après*socio=rien trois années*socio=rien de forte*socio=rien reprise à la suite*socio=rien de la crise*socio=uv2 mexicaine*socio=ac, le taux_de_croissance*socio=ec1 est*socio=rien devenu négatif*socio=rien au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1998, retournement*socio=rien qu'ont aggravé les conséquences*socio=rien commerciales*socio=ec1 de la récession*socio=ec2 brésilienne*socio=ac. Au Venezuela*socio=ac, qui a été*socio=rien durement touché par le recul*socio=rien des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, la situation*socio=rien budgétaire*socio=et n'était pas viable*socio=uv4 et la récession*socio=ec2 s'est*socio=rien intensifiée à compter *socio=rien du quatrième trimestre*socio=te *socio=nil de 1998. En Équateur*socio=ac, pays*socio=ac également très tributaire*socio=rien des recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1, une grave*socio=uv4 crise*socio=uv2 bancaire*socio=ec1 et des changes*socio=ec1 a éclaté en février*socio=rien 1999. La croissance*socio=uv3 a été*socio=rien plus soutenue au Mexique*socio=ac que dans les autres pays*socio=ac d'Amérique*socio=ac du*socio=rien Sud*socio=te, grâce*socio=rien en partie*socio=rien à ses liens*socio=rien plus étroit*socio=rien avec les États-unis*socio=ac où la croissance*socio=uv3 était forte*socio=rien. En ce qui concerne les autres pays*socio=ac de l' hémisphère_occidental*socio=te, l'économie*socio=ec1 de plusieurs pays*socio=ac d'amérique_centrale*socio=ac, le Honduras*socio=ac et le Nicaragua*socio=ac en particulier*socio=rien, a été*socio=rien éprouvée par le cyclone Mitch en octobre*socio=rien 1998. En Afrique*socio=ac, le taux_de_croissance*socio=ec1 est*socio=rien resté peu élevé*socio=uv4 en 1998, de l'ordre*socio=rien de 31/2 %, en raison*socio=rien d'un*socio=rien nouveau*socio=rien fléchissement*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien et, dans le cas*socio=rien de l'afrique_du_sud*socio=ec1 (où la croissance*socio=ec1 a été*socio=rien médiocre*socio=uv2), des conditions*socio=ec1 défavorables*socio=uv4 qui régnaient sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te. Bien*socio=rien que la baisse*socio=ec2 des produits*socio=rien de base*socio=rien, pétrole*socio=ec1 inclus, ait eu relativement peu d'impact*socio=rien sur*socio=rien les termes_de_l'_échange*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3 en Afrique*socio=ac, elle a souvent pesé sur*socio=rien la situation*socio=rien budgétaire*socio=et et le solde*socio=ec1 extérieur*socio=te, et une *socio=uv4 grave détérioration des*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1 *socio=nil a provoqué une réduction*socio=ec2 importante*socio=uv4 du*socio=rien revenu*socio=ec1 réel*socio=rien. en particulier*socio=rien, la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1 a été*socio=rien à l'origine*socio=rien d'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans les *socio=ac pays producteurs d'*socio=nil Afrique et*socio=nil du*socio=rien Moyen-orient.*socio=nil L'*socio=nil activité*socio=rien *socio=nil a également ralenti en Turquie*socio=ac, où la production*socio=ec1 a progressé de 2#/4 % en 1998, contre 71/2 % en 1997, la crise*socio=uv2 russe*socio=ac ayant provoqué une hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 et réduit l'accès*socio=uv1 aux marchés_financiers*socio=ec1 internationaux*socio=te. Dans le groupe_des_pays_en_développement*socio=uv3 du*socio=rien Moyen-orient*socio=ac et d'Europe*socio=ac, la croissance*socio=uv3 est*socio=rien revenue de 41/2 % en 1997 à 3 % en 1998 sous l'effet*socio=rien essentiellement de l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien dans les *socio=ac pays producteurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil et en Turquie*socio=ac. Économies*socio=ec1 avancées Les divergences*socio=uv1 entre les résultats*socio=rien des économies*socio=ec1 avancées se sont accentuées en 1998: la récession*socio=ec2 s'est*socio=rien aggravée au Japon*socio=ac et la croissance*socio=uv3 a ralenti vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien dans la zone*socio=te euro, alors qu'elle est*socio=rien demeurée vigoureuse*socio=rien aux États-unis*socio=ac. En 1998, l'économie*socio=ec1 japonaise*socio=ac s'est*socio=rien contractée de 2#/4 %, mais, au début*socio=rien de 1999, la production*socio=ec1 s'est*socio=rien fortement redressée pour dépasser légèrement son *socio=rien niveau du début *socio=nil de 1998, qui était néanmoins inférieur*socio=rien à celui de 1997. Les prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 sont demeurés dans l'ensemble*socio=rien stables*socio=uv4 tout au long*socio=rien de la période*socio=te, alors que les prix*socio=ec1 de gros*socio=rien ont diminué, alimentant ainsi les craintes*socio=uv1 d'une déflation*socio=ec2. L'aggravation*socio=ec2 de la récession*socio=ec2 en 1998 était essentiellement imputable*socio=uv2 à la faiblesse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et, due elle même à *socio=rien un recul *socio=nil de la confiance*socio=uv1 et aux déficiences*socio=uv3 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil mais aussi au fléchissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 dans les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 d'Asie*socio=ac de l'_est*socio=te. Les autorités*socio=et ont alors pris des *socio=et mesures budgétaires de*socio=nil relance*socio=uv3 *socio=nil et assoupli davantage la politique_monétaire*socio=et, abaissant l'un*socio=rien des taux*socio=ec1 directeurs*socio=ac (celui de l'argent*socio=ec1 au jour*socio=rien le jour*socio=rien) à pour ainsi dire zéro*socio=rien en mars*socio=rien 1999. En outre, afin de remédier aux déficiences*socio=uv3 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1,*socio=nil une*socio=nil loi*socio=et *socio=nil mettant en *socio=rien place un vaste dispositif*socio=et *socio=nil pour régler les problèmes*socio=uv4 bancaires*socio=ec1 a été*socio=rien approuvée en octobre*socio=rien 1998. Ces mesures*socio=et ont aidé à stimuler l'activité*socio=rien et à améliorer le *socio=rien climat sur le*socio=nil marché_financier*socio=ec1 au*socio=nil début *socio=nil de 1999. En Europe*socio=ac, la phase*socio=te 3 de l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 a été*socio=rien lancée avec succès*socio=uv1 le 1 er janvier*socio=rien 1999: 11 pays_membres*socio=ac de l'UE*socio=ac ont adopté l'euro comme monnaie*socio=ec1 et la *socio=ac banque_centrale européenne *socio=nil (BCE) a assumé la responsabilité*socio=uv1 de la politique_monétaire*socio=et dans la zone*socio=te euro. Tout au long*socio=rien de 1998, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 directeurs*socio=ac à court*socio=rien et à long_terme*socio=te de la zone*socio=te ont continué de converger vers les niveaux*socio=rien en vigueur*socio=uv3 en Allemagne*socio=ac, en France*socio=ac et dans les autres grands*socio=rien pays*socio=ac de l'Union*socio=uv1; dans le cadre*socio=rien d'une opération*socio=rien coordonnée effectuée au début*socio=rien de décembre*socio=rien, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 directeurs*socio=ac à court_terme*socio=te ont été*socio=rien abaissés à 3 %. La BCE a maintenu son taux*socio=ec1 de pension*socio=et à ce niveau*socio=rien jusqu'au début*socio=rien d'avril*socio=rien 1999, date à laquelle il a été*socio=rien ramené à 21/2 %. La croissance*socio=uv3 dans la zone*socio=te, qui s'était accélérée en 1997 et était demeurée forte*socio=rien jusqu'au milieu*socio=rien de 1998, a nettement ralenti à la fin*socio=rien de 1998 sous l'effet*socio=rien du*socio=rien fléchissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te et d'une dégradation*socio=uv3 parallèle*socio=rien de la confiance*socio=uv1 des entreprises*socio=ac, avant de regagner une *socio=rien partie du terrain *socio=nil perdu au début*socio=rien de 1999. L'inflation*socio=ec1 a continué d'être*socio=rien bien*socio=rien maîtrisée dans l'ensemble*socio=rien de la zone*socio=te, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 étant chiffrée à 1,1 % à la fin*socio=rien de la période*socio=te, grâce*socio=rien en partie*socio=rien au *socio=rien faible niveau des*socio=nil prix*socio=ec1 des*socio=nil produits de*socio=nil base.*socio=nil Le*socio=nil chômage*socio=ec1 est resté*socio=nil élevé*socio=uv4:*socio=nil *socio=nil 101/2 % en avril*socio=rien 1999, contre 11 % *socio=rien un an *socio=nil plus tôt. S'agissant des principaux*socio=rien pays*socio=ac de la zone*socio=te euro, le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 à la fin*socio=rien de 1998 a été*socio=rien particulièrement manifeste en Allemagne*socio=ac et en Italie*socio=ac et moins prononcé en France*socio=ac. Dans ce dernier*socio=rien pays*socio=ac, la croissance*socio=uv3 a dépassé son *socio=rien niveau potentiel *socio=nil pour l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien, alors qu'en Italie*socio=ac, la production*socio=ec1 n'a augmenté que de 11/2 % pour la *socio=rien deuxième année consécutive.*socio=nil *socio=nil Parmi les autres pays*socio=ac de la zone*socio=te, l'Espagne*socio=ac, l'Irlande*socio=ac (une fois*socio=rien encore le *socio=ac pays européen *socio=nil où la croissance*socio=uv3 a été*socio=rien la plus forte*socio=rien), les Pays-bas*socio=ac et le Portugal*socio=ac ont continué d'enregistrer une croissance*socio=uv3 robuste*socio=rien en 1998, malgré *socio=rien un certain ralentissement*socio=ec2 *socio=nil à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. Dans ces pays*socio=ac, l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien demeurée légèrement au delà de la moyenne*socio=rien de la zone*socio=te, à cause*socio=rien des fortes*socio=rien pressions*socio=ec2 exercées par la demande*socio=ec1. En dehors de la zone*socio=te euro, la croissance*socio=uv3 a de nouveau*socio=rien ralenti au Royaume-uni*socio=ac en 1998 et au début*socio=rien de 1999 à *socio=rien cause du fléchissement*socio=ec2 *socio=nil de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te, de la vigueur*socio=uv3 de la livre et du*socio=rien durcissement*socio=ec2 antérieur*socio=te des politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1. La surchauffe de l'économie*socio=ec1 a ainsi pu être*socio=rien prévenue. L'inflation*socio=ec1 a été*socio=rien maintenue à *socio=rien un niveau *socio=nil proche de l'objectif*socio=uv3 de 21/2 % pendant le *socio=rien second semestre *socio=nil de 1998 et au début*socio=rien de 1999 et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 directeurs*socio=ac (pensions*socio=et) ont été*socio=rien ramenés de 71/2 à 51/4 % entre octobre*socio=rien et avril*socio=rien. La dégradation*socio=uv3 de l'environnement*socio=et extérieur*socio=te a en outre freiné la croissance*socio=uv3 dans certains petits*socio=rien *socio=ac pays européens:*socio=nil Danemark,*socio=nil Norvège *socio=nil (particulièrement éprouvée par la chute des prix*socio=ec1 du*socio=rien pétrole*socio=ec1) et Suisse*socio=ac. Aux États-unis*socio=ac, l'expansion*socio=ec2 s'est*socio=rien poursuivie à un*socio=rien rythme*socio=ec2 rapide*socio=rien (près de 4 %) en 1998, les plus-values*socio=ec1 importantes*socio=uv4 réalisées sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des actions*socio=ec1 et la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 ayant stimulé la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. La croissance*socio=uv3 vigoureuse*socio=rien de l'emploi*socio=ec1 a permis*socio=rien de ramener le chômage*socio=ec1 au début*socio=rien de 1999 à son plus *socio=rien bas niveau *socio=nil (41/2 %) en 29 ans*socio=rien. Cependant, à *socio=rien cause du tour *socio=nil pris par les événements*socio=rien dans les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 d'Asie*socio=ac de l'_est*socio=te et d'amérique_latine*socio=ac, ainsi que de la vigueur*socio=uv3 du*socio=rien dollar*socio=ec1, la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te nette*socio=rien a enregistré en 1998 un*socio=rien fléchissement*socio=ec2 qui a principalement touché le secteur*socio=rien industriel*socio=ec1. De septembre*socio=rien à novembre*socio=rien 1998, la politique_monétaire*socio=et a été*socio=rien assouplie pour riposter aux fortes*socio=rien pressions*socio=ec2 apparues sur*socio=rien le marché_financier*socio=ec1 à la suite*socio=rien de la crise*socio=uv2 russe*socio=ac et du*socio=rien quasi-effondrement d'un*socio=rien important*socio=uv4 fonds*socio=ec1 spéculatif*socio=uv2. L'inflation*socio=ec1 a été*socio=rien dans l'ensemble*socio=rien stable*socio=uv4, car elle a été*socio=rien freinée par de nouvelles*socio=rien baisses des prix*socio=ec1 des importations*socio=ec1 et l'absence*socio=rien de pressions*socio=ec2 *socio=rien significatives sur les*socio=nil salaires*socio=ec1.*socio=nil Grâce *socio=nil à l'ajustement*socio=et antérieur*socio=te des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et à la vigueur*socio=uv3 de la croissance*socio=uv3, le budget*socio=ec1 est*socio=rien devenu excédentaire*socio=rien (à hauteur*socio=rien de près de 1 % du*socio=rien PIB*socio=ec1) en 1998. Au Canada*socio=ac, l'activité*socio=rien a ralenti en 1998, car les revenus*socio=ec1, la production*socio=ec1 et le solde*socio=ec1 extérieur*socio=te ont été*socio=rien gravement touchés par la chute des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien et le recul*socio=rien de la demande*socio=ec1 *socio=rien sur un certain nombre de*socio=nil marchés*socio=ec1 extérieurs*socio=te.*socio=nil La*socio=nil croissance*socio=uv3 s'*socio=nil est *socio=nil toutefois redressée vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. Malgré la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar_canadien*socio=ec1 pendant l'année*socio=rien, l'inflation*socio=ec1 de *socio=rien base est demeurée*socio=nil stable*socio=uv4,*socio=nil au*socio=nil seuil *socio=nil de la fourchette*socio=rien de taux*socio=ec1 (1-3 %) retenue*socio=rien comme objectif*socio=uv3 par les autorités*socio=et. En Australie*socio=ac, la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien accélérée en 1998 en dépit*socio=rien de la récession*socio=ec2 dans les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac de l'_est*socio=te, la demande*socio=ec1 ayant été*socio=rien stimulée par un*socio=rien assouplissement*socio=uv3 des *socio=ec1 conditions monétaires,*socio=nil *socio=nil y compris la dépréciation*socio=ec2 du*socio=rien dollar*socio=ec1 australien*socio=rien, et l'expansion*socio=ec2 est*socio=rien restée très vigoureuse*socio=rien au début*socio=rien de 1999. En Nouvelle-zélande*socio=ac par contre, l'économie*socio=ec1 *socio=rien est entrée en*socio=nil récession*socio=ec2 *socio=nil pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1998, mais la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien redressée au *socio=rien second semestre *socio=nil avec le retour*socio=rien de la confiance*socio=uv1 des milieux_d'_affaires*socio=ac et des consommateurs*socio=ac induit notamment par un*socio=rien assouplissement*socio=uv3 de la politique_monétaire*socio=et. Dans ces deux pays*socio=ac, le taux*socio=ec1 annuel*socio=te d'inflation*socio=ec1 est*socio=rien resté stable*socio=uv4, à environ 11/2 %. Sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, les taux*socio=ec1 entre les grandes*socio=rien monnaies*socio=ec1 ont de nouveau*socio=rien enregistré de fortes*socio=rien fluctuations*socio=ec2 en 1998/99. Au milieu*socio=rien de juillet*socio=rien 1998, le dollar_eu*socio=ec1, qui bénéficiait de la croissance*socio=uv3 vigoureuse*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, d'écarts*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1 favorables*socio=uv4 aux actifs*socio=ec1 libellés en cette monnaie*socio=ec1 et de l'attrait*socio=rien qu'il présentait comme monnaie*socio=ec1 refuge*socio=uv3 face*socio=rien à la dégradation*socio=uv3 de la confiance*socio=uv1 dans les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2, a atteint son plus *socio=rien haut niveau en*socio=nil termes effectifs nominaux*socio=ec1 depuis*socio=nil décembre *socio=nil 1996. Le taux*socio=ec1 *socio=rien effectif nominal du dollar*socio=ec1 a*socio=nil considérablement *socio=nil baissé au début*socio=rien de septembre*socio=rien et d'octobre*socio=rien, la faiblesse*socio=ec2 du*socio=rien yen*socio=ec1 s'étant inversée par *socio=rien suite du *socio=nil dénouement de nombreux*socio=rien engagements*socio=et dans cette monnaie*socio=ec1. Toutefois, le dollar*socio=ec1 s'est*socio=rien redressé à la fin*socio=rien de 1998 et au début*socio=rien de 1999 sous l'effet*socio=rien de la vigueur*socio=uv3 *socio=rien relative continue *socio=nil de l'économie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac et d'un*socio=rien *socio=rien creusement parallèle des*socio=nil écarts*socio=ec2 de*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 en*socio=nil faveur des*socio=nil actifs*socio=ec1 *socio=nil libellés en dollars*socio=ec1. Après*socio=rien avoir atteint au milieu*socio=rien de juin*socio=rien 1998 son plus *socio=rien bas niveau *socio=nil (plus de 145 yen*socio=ec1 pour 1 dollar*socio=ec1) en huit ans*socio=rien, le yen*socio=ec1 s'est*socio=rien apprécié au cours*socio=rien des six *socio=rien mois suivants *socio=nil de 25 % par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1, et de 20 % en *socio=rien termes effectifs nominaux*socio=ec1.*socio=nil Après un assouplissement*socio=uv3 *socio=nil de la politique_monétaire*socio=et japonaise*socio=ac, il a perdu environ 5 % en *socio=rien termes effectifs entre*socio=nil février et*socio=nil avril *socio=nil 1999. Entre août*socio=rien et décembre*socio=rien 1998, les monnaies*socio=ec1 de la *socio=te future zone *socio=nil euro se sont renforcées par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1, ainsi qu'en *socio=rien termes effectifs.*socio=nil *socio=nil Quant à l'euro, il a commencé à se déprécier peu après*socio=rien son lancement*socio=rien; à la fin*socio=rien d'avril*socio=rien, il avait reculé de plus de 9 % par rapport*socio=rien à sa valeur*socio=ec1 initiale*socio=rien en dollars*socio=ec1 et de 6 % en *socio=rien termes effectifs.*socio=nil *socio=nil Pour ce qui est*socio=rien des autres monnaies*socio=ec1 européennes*socio=ac, les mouvements*socio=ec2 de la livre sterling*socio=ec1 ont reflété en partie*socio=rien l'impact*socio=rien de l'évolution*socio=te des anticipations*socio=uv3 concernant la politique_monétaire*socio=et du*socio=rien Royaume-uni*socio=ac. La livre, qui s'était négociée à l'intérieur*socio=te d'une fourchette*socio=rien assez étroite*socio=rien en 1998, a eu tendance*socio=ec2 à se déprécier en *socio=rien termes effectifs au*socio=nil second semestre *socio=nil de l'année*socio=rien. Au début*socio=rien de 1999 toutefois, elle s'est*socio=rien appréciée en *socio=rien termes effectifs à*socio=nil mesure *socio=nil que l'euro fléchissait. Le recul*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien a contribué à l'accumulation*socio=ec2 de pressions*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien le dollar_canadien*socio=ec1, qui a atteint son plus *socio=rien bas niveau par*socio=nil rapport au*socio=nil dollar_eu*socio=ec1 en*socio=nil août *socio=nil 1998, mais s'est*socio=rien redressé *socio=rien après un relève *socio=nil 22 ment des taux_d'_intérêt*socio=ec1 directeurs*socio=ac ce même mois*socio=rien et a continué de s'apprécier par la suite*socio=rien alors que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 diminuaient. Le solde*socio=ec1 courant*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac pris dans leur ensemble*socio=rien a diminué de plus de 80 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1998. Cette dégradation*socio=uv3 a été*socio=rien inégalement répartie*socio=rien entre les pays*socio=ac en raison*socio=rien de différences*socio=uv1 dans les situations*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et dans le rôle*socio=et joué par les importations*socio=ec1 et les exportations*socio=ec1, ainsi que de l'ampleur*socio=rien des fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 de leurs monnaies*socio=ec1. Les États-unis*socio=ac - où la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 a nettement ralenti, alors que celle des importations*socio=ec1 et de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te est*socio=rien demeurée vigoureuse*socio=rien - ont supporté l'essentiel*socio=uv4 de l'ajustement*socio=et, le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien augmentant de 75 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1998 pour atteindre 230 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, soit 2#/4 % du*socio=rien PIB*socio=ec1. Au Japon*socio=ac en revanche, l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien s'est*socio=rien encore accru, passant à 31/2 % du*socio=rien PIB*socio=ec1, *socio=rien du fait en*socio=nil partie *socio=nil de la faiblesse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Dans la zone*socio=te euro, l'excédent*socio=ec1 courant*socio=rien de 11/2 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 n'a guère varié en 1998, en *socio=rien raison du fléchissement*socio=ec2 *socio=nil de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et des importations*socio=ec1, de l'effet*socio=rien sur*socio=rien la compétitivité*socio=uv3 des précédentes*socio=rien dépréciations*socio=ec1 des monnaies*socio=ec1 et *socio=rien du fait *socio=nil que la diminution*socio=ec2 *socio=rien du volume des*socio=nil exportations*socio=ec1 *socio=nil vers les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 a été*socio=rien compensée par la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des importations*socio=ec1. Le reste*socio=rien de l'ajustement*socio=et a été*socio=rien principalement supporté par les autres pays_industrialisés*socio=ac (Australie*socio=ac, Canada*socio=ac et Norvège*socio=ac, notamment, où les recettes*socio=ec1 tirées des exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien de base*socio=rien ont diminué). Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te CHAPITRE*socio=rien 2 Dans le cadre*socio=rien de ses responsabilités*socio=uv1 en matière*socio=rien de surveillance*socio=et des politiques*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac et du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te, le conseil_d'_administration*socio=ac examine régulièrement l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te sur*socio=rien la base*socio=rien de rapports*socio=rien périodiques*socio=te établis par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Ces études*socio=ec2, intitulées Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, sont publiées normalement deux fois*socio=rien par an*socio=rien - mais plus fréquemment lorsque la situation*socio=rien économique*socio=ec1 évolue rapidement - et contiennent des analyses*socio=ec2 approfondies des perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 du*socio=rien monde*socio=te dans son ensemble*socio=rien et des différents*socio=rien pays*socio=ac et régions*socio=te ainsi que des questions*socio=rien d'actualité*socio=rien. En 1998/99, le Conseil*socio=ac a examiné trois *socio=rien rapports sur les*socio=nil perspectives*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, l'un*socio=rien en septembre*socio=rien 1998, le deuxième*socio=rien en décembre*socio=rien 1998 (il s'agissait d'une mise à jour*socio=rien de l'évaluation*socio=ec2 présentée en septembre*socio=rien) et le troisième*socio=rien en avril*socio=rien 1999 3. Les remous*socio=rien qui ont secoué les marchés_financiers*socio=ec1 *socio=rien du fait *socio=nil de la récession*socio=ec2 qui frappait l'Asie*socio=ac, la crise*socio=uv2 qui ébranlait la Russie*socio=ac et plus récemment, les turbulences*socio=ec2 financières*socio=ec1 qu'a traversées le Brésil*socio=ac ont été*socio=rien au centre*socio=rien de ces discussions*socio=et. En septembre*socio=rien 1998, les administrateurs*socio=ac ont convenu que les perspectives*socio=te à *socio=rien moyen terme *socio=nil s'étaient considérablement*socio=rien détériorées, au fur*socio=rien et à mesure*socio=rien que la récession*socio=ec2 asiatique*socio=ac s'approfondissait et que la crise*socio=uv2 que traversait la Russie*socio=ac donnait lieu*socio=rien à une frénésie des ventes*socio=ec1 sur*socio=rien les *socio=ec1 marchés boursiers du*socio=rien monde*socio=te entier*socio=rien.*socio=nil Ces*socio=nil crises*socio=uv2 *socio=nil ont mis en relief*socio=rien la vulnérabilité*socio=uv1 des pays*socio=ac dont la politique_économique*socio=ec1 est*socio=rien défaillante aux brusques revirements*socio=te des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. Si des signes encourageants*socio=uv4 montraient que les programmes*socio=et de la Corée*socio=ac et de la Thaïlande*socio=ac, voire de l'Indonésie*socio=ac, avaient commencé à rétablir la confiance*socio=uv1 sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1, les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 tant d'Asie*socio=ac que des autres régions*socio=te risquaient quant à elles de connaître des revers*socio=rien. Les risques*socio=uv3 de dégradation*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te attestaient de l'étendue et de l'intensité*socio=rien croissantes*socio=rien de la contagion*socio=ec2 et de son rôle*socio=et majeur*socio=rien dans la propagation*socio=rien des crises*socio=uv2 financières*socio=ec1 au sein*socio=rien d'une économie*socio=ec1 de plus en plus mondialisée. Les administrateurs*socio=ac ont indiqué que, si les effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 étaient le plus évidents*socio=rien dans les pays*socio=ac dont les politiques*socio=et étaient défaillantes et les institutions*socio=ac inadéquates*socio=uv4, certains pays*socio=ac raisonnablement bien*socio=rien gérés, affichant de meilleures*socio=uv4 variables*socio=rien économiques*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 et ayant peu de liens*socio=rien commerciaux*socio=ec1 ou financiers*socio=ec1 avec les pays*socio=ac en crise*socio=uv2 n'avaient pas été*socio=rien épargnés. Lors*socio=rien de leurs discussions*socio=et de décembre*socio=rien 1998, les administrateurs*socio=ac ont convenu que les turbulences*socio=ec2 qui avaient agité les marchés*socio=ec1 matures*socio=uv4 de la mi-août au *socio=rien début octobre avaient*socio=nil été *socio=nil pour une *socio=rien large part exceptionnelles*socio=uv4.*socio=nil Le*socio=nil Conseil*socio=ac *socio=nil a toutefois constaté qu'un*socio=rien *socio=rien calme relatif était*socio=nil revenu*socio=ec1 sur les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 après *socio=nil la mi-octobre. Cela était largement imputable*socio=uv2 à des mesures*socio=et opportunes*socio=rien telles que la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 décidée par la Réserve*socio=ec1 fédérale*socio=et des États-unis*socio=ac, qui avait été*socio=rien suivie par les banques_centrales*socio=ac d'autres pays_industrialisés*socio=ac dont celles de la *socio=te future zone *socio=nil euro; le renforcement*socio=ec2 des politiques*socio=et mises en ouvre au Japon*socio=ac afin de relancer la demande*socio=ec1; les engagements*socio=et pris par le Brésil*socio=ac pour corriger ses déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et et l'appui*socio=uv1 que la *socio=ac communauté internationale s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil accordée à lui fournir; la poursuite*socio=rien des progrès*socio=uv1 de la stabilisation*socio=et et des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 en Asie*socio=ac, et les avancées dans la voie*socio=rien d'un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des *socio=ec1 ressources financières du*socio=rien FMI*socio=ac grâce*socio=rien *socio=nil auquel la *socio=ac communauté internationale *socio=nil serait mieux à même de porter assistance*socio=uv1 aux pays*socio=ac aux prises*socio=rien avec une crise*socio=uv2 financière*socio=ec1. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont également souligné que les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et des pays*socio=ac face*socio=rien à la réduction*socio=ec2 de leur accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 et aux effets*socio=rien de la baisse*socio=ec2 des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien méritaient d'être*socio=rien appuyés par la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil Les*socio=nil turbulences*socio=ec2 *socio=nil qui ont agité les marchés*socio=ec1 s'étant calmées après*socio=rien la mi-octobre, les craintes*socio=uv1 initiales*socio=rien d'une récession*socio=ec2 mondiale*socio=te s'étaient dissipées. Les administrateurs*socio=ac étaient généralement d'accord*socio=rien avec les projections*socio=ec2 des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dénotant une *socio=rien légère révision en*socio=nil baisse*socio=ec2 des*socio=nil perspectives*socio=te *socio=nil de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 mondiale*socio=te en 1999. Le Conseil*socio=ac a souligné qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil traits positifs*socio=uv4 *socio=nil étaient apparus depuis les discussions*socio=et de l'automne*socio=rien *socio=rien dernier sur les*socio=nil Perspectives*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. On s'attendait à ce que la croissance*socio=uv3 demeure relativement robuste*socio=rien en Europe*socio=ac continentale*socio=te en 1999, bien*socio=rien qu'à un*socio=rien rythme*socio=ec2 plus lent*socio=rien qu'en 1998. De l'avis*socio=rien des administrateurs*socio=ac, le léger*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac attendu en 1999 annonçait *socio=rien un atterrissage *socio=nil en douceur qui permettrait d'atténuer le risque*socio=uv3 d'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 plus prononcé à une date ultérieure*socio=te. Malgré cette évolution*socio=te, les administrateurs*socio=ac ont estimé qu'il était prématuré*socio=rien de conclure que le danger*socio=uv1 était conjuré parce que la situation*socio=rien qui prévalait sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 demeurait volatile et précaire*socio=uv2 et que les ressources*socio=ec1 de financement*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 demeuraient fort*socio=rien réduites. La balance*socio=ec1 des risques*socio=uv3 continuait de pencher nettement en faveur*socio=rien de la dégradation*socio=uv3 de la situation*socio=rien. Si les flux*socio=ec1 privés*socio=et étaient inférieurs*socio=rien aux *socio=rien niveaux retenus comme*socio=nil hypothèse*socio=ec2 *socio=nil dans les projections*socio=ec2, les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 devraient probablement procéder à un*socio=rien ajustement*socio=et plus vigoureux*socio=rien de leurs échanges_commerciaux*socio=ec1 en comprimant la demande*socio=ec1 et peut-être aussi en ajustant le taux_de_change*socio=ec1. En outre, les administrateurs*socio=ac ont averti que quelques-uns de ces pays*socio=ac pourraient avoir *socio=rien du mal *socio=nil à honorer leurs obligations*socio=uv1 au *socio=rien titre du service_de_la_dette*socio=ec1 *socio=nil si les financements_privés*socio=ec1 ne se redressaient pas. Ils se sont aussi demandé si les projections*socio=ec2 reflétaient bien*socio=rien l'impact*socio=rien de la récente*socio=rien chute des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien. Si ce mouvement*socio=ec2 de baisse*socio=ec2 se poursuivait, de nombreux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien de*socio=nil base*socio=rien seraient*socio=nil contraints*socio=uv2 *socio=nil de procéder à des ajustements*socio=et supplémentaires*socio=rien, d'autant qu'il leur était plus difficile*socio=rien de s'adresser aux marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te. Lors*socio=rien de leurs discussions*socio=et d'avril*socio=rien 1999, les administrateurs*socio=ac se sont accordés pour penser que le ralentissement*socio=ec2 économique*socio=ec1 mondial*socio=te se poursuivrait probablement en 1999, mais que le risque*socio=uv3 d'une récession*socio=ec2 mondiale*socio=te avait diminué, et ont souscrit aux projections*socio=ec2 tablant sur*socio=rien une légère*socio=rien reprise de la croissance*socio=uv3 en l'an*socio=rien 2000. Les administrateurs*socio=ac ont noté plusieurs points*socio=rien positifs*socio=uv4: les signes d'un*socio=rien début*socio=rien de reprise dans les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 d'Asie*socio=ac touchées par la crise*socio=uv2, le large*socio=rien mouvement*socio=ec2 de détente*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil dans les pays_industrialisés*socio=ac et la persistance*socio=te d'une croissance*socio=uv3 soutenue aux États-unis*socio=ac. Ils ont en outre reconnu que les projections*socio=ec2 *socio=rien du scénario de*socio=nil référence reposaient*socio=nil sur l'*socio=nil hypothèse*socio=ec2 qu'*socio=nil un certain nombre d'*socio=nil évolutions*socio=te favorables*socio=uv4 *socio=nil - notamment l'atterrissage*socio=rien en douceur de l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac, l'accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans la zone*socio=te euro malgré une conjoncture*socio=ec2 extérieure*socio=te plutôt défavorable*socio=uv4 et la sortie de récession*socio=ec2 du*socio=rien Japon*socio=ac - se réaliseraient en 1999. Les administrateurs*socio=ac ont aussi estimé que, bien*socio=rien qu'elle n'ait eu que des effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 limités, la crise*socio=uv2 brésilienne*socio=ac avait *socio=rien ouvert un nouvel épisode de*socio=nil contraction*socio=ec2 *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, et qu'il était probable*socio=uv4 que les conditions*socio=ec1 de financement*socio=ec1 de *socio=rien bon nombre d'*socio=nil économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 *socio=nil resteraient extrêmement difficiles*socio=rien. Le rythme*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 inégal des États-unis*socio=ac, de la zone*socio=te euro et du*socio=rien Japon*socio=ac depuis le début*socio=rien de la décennie*socio=te a creusé les déséquilibres*socio=uv3 de balance_des_paiements*socio=ec1 au niveau*socio=rien global*socio=te, et de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac estimaient qu'il faisait peser une menace*socio=uv1 préoccupante*socio=uv4 sur*socio=rien les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1. Les intervenants*socio=ac ont fait*socio=rien valoir que ces déséquilibres*socio=uv3 - et notamment le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te des États-unis*socio=ac, qui a contribué à l'ajustement*socio=et global*socio=te dans le sillage*socio=rien des crises*socio=uv2 des marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 - pouvaient déclencher des fluctuations*socio=ec2 déstabilisatrices des taux_de_change*socio=ec1 entre les principales*socio=rien monnaies*socio=ec1 et intensifier encore les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont souligné qu'il serait difficile*socio=rien de ramener la croissance*socio=ec1 mondiale*socio=te à un*socio=rien taux*socio=ec1 proche de son potentiel*socio=uv4 au moment*socio=rien où l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te aux États-unis*socio=ac devrait sans doute*socio=rien ralentir pour retomber au-dessous du*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1 afin de permettre une certaine*socio=rien réduction*socio=ec2 du*socio=rien déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien américain*socio=ac. Il n'en était que plus important*socio=uv4, selon eux, de s'attacher en priorité*socio=uv4 aux politiques*socio=et visant à assurer au plus tôt une reprise en Asie*socio=ac, y compris au Japon*socio=ac, et à contrecarrer, puis inverser le ralentissement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien constaté depuis peu dans la *socio=rien majeure partie *socio=nil de l'Europe*socio=ac continentale*socio=te. États-unis*socio=ac, Japon*socio=ac et Europe*socio=ac Les administrateurs*socio=ac ont jugé encourageant le dynamisme*socio=uv3 persistant*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 aux États-unis*socio=ac, laquelle *socio=rien est remarquable *socio=nil par sa durée*socio=te et par l'absence*socio=rien de *socio=ec2 tensions inflationnistes.*socio=nil *socio=nil Ils ont estimé que cette longévité est*socio=rien imputable*socio=uv2 à une série de facteurs*socio=rien, et plus spécialement au rééquilibrage*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, à l'orientation*socio=et prudente*socio=uv2 et aux adaptations*socio=uv3 rapides*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et ainsi qu'à la souplesse*socio=uv3 des marchés_du_travail*socio=ec1 et des produits*socio=rien. Ils ont observé par ailleurs*socio=rien que la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 de l'énergie*socio=ec1 et des autres produits*socio=rien de base*socio=rien a permis*socio=rien de maintenir l'inflation*socio=ec1 à des niveaux*socio=rien peu élevés*socio=uv4. Mais les administrateurs*socio=ac ont également convenu que la hausse*socio=rien des cours*socio=rien des actions*socio=ec1, qui répond en partie*socio=rien au recul*socio=rien des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 et à la baisse*socio=ec2 des *socio=ec1 rendements obligataires,*socio=nil *socio=nil a beaucoup aidé à soutenir la demande*socio=ec1. La possibilité*socio=rien d'une forte*socio=rien correction*socio=ec2 des cours*socio=rien des actions*socio=ec1 et du*socio=rien taux*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 exceptionnellement bas*socio=rien des ménages*socio=ac faisait peser un*socio=rien risque*socio=uv3 grave*socio=uv4 de détérioration*socio=uv4 des perspectives*socio=te économiques*socio=ec1. Selon de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac, la vigueur*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac commençait à placer les autorités*socio=et américaines*socio=ac *socio=rien devant un dilemme.*socio=nil *socio=nil Pour certains intervenants*socio=ac, en effet*socio=rien, si l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te ne retrouvait pas d'ici peu un*socio=rien rythme*socio=ec2 plus modéré, un*socio=rien resserrement*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 deviendrait très vite inévitable*socio=rien pour désamorcer le risque*socio=uv3 de surchauffe. Ils craignaient, tout comme d'autres administrateurs*socio=ac, que le niveau*socio=rien actuel*socio=te et projeté des déséquilibres*socio=uv3 du*socio=rien secteur_privé*socio=et et *socio=rien du secteur extérieur*socio=te *socio=nil ne puisse être*socio=rien supporté durablement, et rappelaient que l'expérience*socio=ec2 montre que plus ces déséquilibres*socio=uv3 perdurent, plus la contraction*socio=ec2 risque*socio=uv3 d'être*socio=rien brutale*socio=rien et douloureuse*socio=rien. Une telle contraction*socio=ec2 pourrait avoir des répercussions*socio=ec2 *socio=rien néfastes sur l'*socio=nil économie*socio=ec1 mondiale*socio=te *socio=nil en se propageant à d'autres pays*socio=ac via une compression*socio=et abrupte des importations*socio=ec1 américaines*socio=ac et des fluctuations*socio=ec2 potentiellement déstabilisatrices des taux_de_change*socio=ec1, des marchés*socio=ec1 d'actions*socio=ec1 et des *socio=ec1 conditions monétaires.*socio=nil La*socio=nil plupart*socio=rien *socio=nil des autres administrateurs*socio=ac jugeaient cependant préférable*socio=uv4 d'attendre et faisaient valoir qu'un*socio=rien resserrement*socio=ec2 anticipé de la politique_monétaire*socio=et ne s'imposait pas, car les *socio=ec1 conditions monétaires aux*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil avaient déjà été*socio=rien sensiblement durcies, l'inflation*socio=ec1 était faible*socio=rien et le dollar*socio=ec1 solide*socio=rien, et ils estimaient qu'une telle action*socio=ec1 compromettrait les reprises qui se dessinaient ailleurs*socio=rien, en particulier*socio=rien dans les pays*socio=ac qui commençaient à sortir de la crise*socio=uv2. Sur*socio=rien le plan*socio=rien budgétaire*socio=et, les administrateurs*socio=ac ont exhorté les États-unis*socio=ac à résister aux pressions*socio=ec2 les invitant à dépenser l'excédent*socio=ec1 budgétaire*socio=et actuel*socio=te et les excédents*socio=ec1 à venir, afin de pourvoir aux besoins*socio=uv1 financiers*socio=ec1 à plus long_terme*socio=te et de ménager*socio=rien la possibilité*socio=rien d'utiliser la politique_budgétaire*socio=et à des fins*socio=rien de stabilisation*socio=et si la nécessité*socio=uv1 s'en faisait sentir. L'atonie*socio=ec2 persistante*socio=rien de l'activité*socio=rien au Japon*socio=ac a été*socio=rien jugée particulièrement préoccupante*socio=uv4 par l'ensemble*socio=rien des administrateurs*socio=ac. La plupart*socio=rien d'entre eux étaient d'avis*socio=rien que les autorités*socio=et japonaises*socio=ac ne disposaient que d'une marge de manouvre limitée pour une éventuelle*socio=te relance*socio=uv3 budgétaire*socio=et, puisque l'on évaluait à plus de 10 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 le déficit*socio=ec1 pour l'exercice*socio=rien clos en mars*socio=rien 1999, mais qu'il était indispensable*socio=uv4 de mener à terme*socio=rien les mesures*socio=et de stimulation*socio=rien prévues à l'échelon*socio=rien central*socio=rien et à celui des collectivités_locales*socio=ac pour étayer la demande*socio=ec1. Sur*socio=rien le plan*socio=rien monétaire*socio=ec1, de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac convenaient que les facteurs*socio=rien déflationnistes*socio=ec2 à l'ouvre dans l'économie*socio=ec1 justifiaient le maintien*socio=rien de taux*socio=ec1 courts*socio=rien aussi bas*socio=rien que possible*socio=rien et la poursuite*socio=rien des mesures*socio=et engagées pour assurer une croissance*socio=uv3 adéquate*socio=uv2 de la liquidité*socio=ec1 par l'achat*socio=ec1 d'effets*socio=rien représentatifs de la dette*socio=ec1 publique*socio=et et privée*socio=et sur*socio=rien l'open-market. Les administrateurs*socio=ac ont aussi souligné qu'il y avait lieu*socio=rien d'engager des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 dans des *socio=rien secteurs clés *socio=nil pour revigorer l'économie*socio=ec1 et relancer l'emploi*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil La*socio=nil réforme*socio=et bancaire*socio=ec1 *socio=nil leur paraissait être*socio=rien l'un*socio=rien de ces secteurs*socio=rien essentiels*socio=uv4 et ils se sont félicités *socio=rien du fait *socio=nil que les autorités*socio=et aient injecté récemment des fonds_publics*socio=et pour recapitaliser le système_bancaire*socio=ec1. Ils ont pris note des progrès*socio=uv1 accomplis dans la consolidation*socio=uv3 de grandes*socio=rien banques*socio=ac, la fermeture*socio=ec1 des établissements*socio=ac insolvables, la mise au point*socio=rien d'une législation*socio=et permettant de se défaire des actifs*socio=ec1 improductifs*socio=ec2 et l'amélioration*socio=uv1 de l'information*socio=rien des tiers*socio=rien et du*socio=rien contrôle*socio=uv3 des banques*socio=ac, et ont invité instamment les autorités*socio=et à accélérer l'exécution*socio=rien de leur programme*socio=et de stabilisation*socio=et financière*socio=ec1, en particulier*socio=rien là où des problèmes*socio=uv4 aigus*socio=rien subsistaient. Pour certains intervenants*socio=ac, toutefois, il restait à savoir*socio=rien si les mesures*socio=et engagées ou prévues allaient suffisamment loin*socio=rien. Il leur paraissait de plus en plus important*socio=uv4 de restructurer le secteur*socio=rien des entreprises*socio=ac, comme en témoignaient les situations*socio=rien de surcapacité*socio=uv observées dans certains secteurs*socio=rien et l'ampleur*socio=rien préoccupante*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 des entreprises*socio=ac, qui compliquait la résolution*socio=uv1 des problèmes*socio=uv4 bancaires*socio=ec1. D'une manière*socio=rien plus générale*socio=rien, les administrateurs*socio=ac étaient d'avis*socio=rien qu'il fallait réduire encore les inefficiences de l'économie*socio=ec1 et lever les obstacles*socio=uv3 à la création*socio=uv4 d'entreprises*socio=ac. Les *socio=rien initiatives prises en*socio=nil vue *socio=nil de déréglementer certains secteurs*socio=rien avaient d'ores et déjà permis*socio=rien d'intensifier la concurrence*socio=ec1 et de réduire les coûts*socio=ec1. Mais, de multiples*socio=rien restrictions*socio=et subsistaient dans l'agriculture*socio=ec1, la distribution*socio=rien, les transports*socio=ec1 ou le bâtiment*socio=ec1 et les travaux_publics*socio=et, et étaient autant d'obstacles*socio=uv3 à la croissance*socio=uv3 et à la création_d'_emplois*socio=ec1. Pour ce qui concerne l'Europe*socio=ac, les administrateurs*socio=ac se sont réjouis *socio=rien du bon départ *socio=nil pris par l'UEM*socio=et. Ils ont souligné toutefois la difficulté*socio=uv4 de la tâche*socio=rien des responsables*socio=uv2 de la zone*socio=te euro. Les administrateurs*socio=ac ont noté la multiplication*socio=rien, depuis la fin*socio=rien de 1998, des signes d'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 au sein*socio=rien de la zone*socio=te euro, imputable*socio=uv2 pour l'essentiel*socio=uv4 au fléchissement*socio=ec2 de la conjoncture*socio=ec2 extérieure*socio=te, mais qui traduisait aussi *socio=rien un certain manque de*socio=nil confiance*socio=uv1 des*socio=nil entreprises*socio=ac.*socio=nil *socio=nil On s'attendait à une croissance*socio=uv3 inférieure*socio=rien au potentiel*socio=uv4 en 1999 et, si la zone*socio=te euro devrait renouer avec la reprise en l'an*socio=rien 2000, les administrateurs*socio=ac estimaient que le risque*socio=uv3 que celle-ci ne soit pas au rendez-vous n'était pas écarté. Les considérations*socio=rien de *socio=rien moyen terme demeuraient*socio=nil importantes*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil mais il était essentiel*socio=uv4 aussi que les politiques*socio=et menées soient modulées comme il convient afin de maintenir la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te à *socio=rien un niveau suffisant *socio=nil pour combler l'écart*socio=ec2 de production*socio=ec1 considérable*socio=rien et absorber la composante*socio=rien cyclique*socio=te du*socio=rien chômage*socio=ec1. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont souligné aussi qu'il importe que la zone*socio=te euro joue un*socio=rien rôle*socio=et plus actif*socio=ec1 à l'appui*socio=uv1 de la croissance*socio=uv3 mondiale*socio=te, non seulement en étayant sa demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, mais aussi en engageant des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 dans certains domaines*socio=rien. Compte*socio=ec1 tenu de ces considérations*socio=rien, mais aussi de l'étroitesse*socio=rien des marges de manouvre *socio=rien disponibles du côté des*socio=nil politiques_budgétaires*socio=et *socio=nil ainsi que *socio=rien du niveau *socio=nil de l'inflation*socio=ec1 dans la zone*socio=te euro - où elle était tombée récemment dans la *socio=rien moitié inférieure *socio=nil de sa fourchette-objectif -, *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac ont*socio=nil fait *socio=nil valoir que les arguments*socio=ec2 en faveur*socio=rien d'une *socio=rien nouvelle détente des*socio=nil *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil s'étaient renforcés. À leur avis*socio=rien, il serait moins risqué d'agir vite, et cela aurait des *socio=rien avantages considérables *socio=nil pour la zone*socio=te euro comme pour l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te en général*socio=rien. Il importait que les pays*socio=ac de la zone*socio=te euro qui connaissent une croissance*socio=uv3 relativement forte*socio=rien répondent à une *socio=rien nouvelle détente des*socio=nil *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil par des initiatives*socio=rien budgétaires*socio=et contra-cycliques afin de prévenir tout risque*socio=uv3 de surchauffe. D'autres administrateurs*socio=ac n'étaient pas convaincus, pour leur part*socio=rien, de la nécessité*socio=uv1 d'un*socio=rien assouplissement*socio=uv3 des *socio=ec1 conditions monétaires:*socio=nil *socio=nil ils ont insisté sur*socio=rien la solide*socio=rien confiance*socio=uv1 des ménages*socio=ac et fait*socio=rien observer que la faiblesse*socio=ec2 de l'euro allait à l'encontre*socio=rien d'une *socio=rien nouvelle détente monétaire*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Néanmoins, tous les administrateurs*socio=ac ont convenu que la BCE devrait abaisser résolument les taux_d'_intérêt*socio=ec1 si les signes d'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien persistaient. (Quelque *socio=rien temps après la*socio=nil discussion*socio=et du Conseil*socio=ac,*socio=nil au*socio=nil début du mois d'*socio=nil avril,*socio=nil *socio=nil la BCE a réduit ses taux*socio=ec1 directeurs*socio=ac). Les administrateurs*socio=ac se sont aussi accordés à penser que l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 et d'emploi*socio=ec1 en Europe*socio=ac, en particulier*socio=rien à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil passe nécessairement par le succès*socio=uv1 des réformes*socio=et des marchés_du_travail*socio=ec1 et des produits*socio=rien. De fait*socio=rien, l'impact*socio=rien positif*socio=uv4 que peuvent avoir ces réformes*socio=et est*socio=rien manifeste dans les pays*socio=ac où elles sont le plus avancées et contraste fortement avec l'expérience*socio=ec2 des pays*socio=ac qui n'ont progressé que lentement dans la réforme*socio=et du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1. Les résultats*socio=rien médiocres*socio=uv2 obtenus sur*socio=rien le front*socio=rien de l'emploi*socio=ec1 imposent *socio=rien un lourd fardeau*socio=uv4 à*socio=nil bon nombre d'*socio=nil économies*socio=ec1 européennes*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qu'il s'agisse des souffrances des chômeurs*socio=ac, *socio=rien du manque *socio=nil à percevoir enregistré au niveau*socio=rien des recettes_publiques*socio=et alors que les transferts*socio=ec1 augmentent et, plus généralement, des pertes*socio=ec2 de production*socio=ec1 et de bien-être*socio=uv1 économique*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont reconnu aussi que, si l'ampleur*socio=rien et la spécificité*socio=uv3 des problèmes*socio=uv4 varient d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, le *socio=rien sens général *socio=nil de l'action*socio=ec1 à mener *socio=rien est clair:*socio=nil *socio=nil il faut lever les obstacles*socio=uv3 à la création_d'_emplois*socio=ec1 et supprimer les mesures*socio=et qui découragent les chômeurs*socio=ac de trouver un*socio=rien emploi*socio=ec1. Pour ce faire, il faut assouplir la législation*socio=et concernant la sécurité*socio=uv1 de l'emploi*socio=ec1 tout en réduisant les prélèvements*socio=ec1 excessifs*socio=uv4 sur*socio=rien le travail*socio=rien et les désincitations liées aux allocations*socio=et de chômage*socio=ec1 et aux autres transferts_sociaux*socio=et. Étant donné que *socio=rien bon nombre des*socio=nil rigidités*socio=uv3 des*socio=nil marchés_du_travail*socio=ec1 *socio=nil et des produits*socio=rien tendent à se renforcer mutuellement, les administrateurs*socio=ac étaient d'avis*socio=rien qu'une réforme*socio=et globale*socio=rien avait de meilleures*socio=uv4 chances*socio=rien de succès*socio=uv1 que des interventions*socio=et partielles*socio=rien ou ponctuelles*socio=te. Pays*socio=ac touchés par les crises*socio=uv2 Les administrateurs*socio=ac ont convenu que les déséquilibres*socio=uv3 du*socio=rien secteur_public*socio=et étaient au coeur*socio=rien de la crise*socio=uv2 traversée par le Brésil*socio=ac. Le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et grandissant*socio=rien a contribué à creuser le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te, qui a rendu le Brésil*socio=ac très vulnérable*socio=uv2 aux volte-face*socio=rien des investisseurs*socio=ac et diffusé très largement le sentiment*socio=rien que la parité*socio=ec1 mobile *socio=rien du real *socio=nil ne pouvait être*socio=rien défendue. À cet égard*socio=rien, certains administrateurs*socio=ac ont noté que l'expérience*socio=ec2 brésilienne*socio=ac récente*socio=rien montrait, une fois*socio=rien encore, combien il importe qu'une politique*socio=et macroéconomique*socio=ec1 solide*socio=rien renforce la crédibilité*socio=uv1 de l'arrimage d'un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont souligné en outre qu'il y a lieu*socio=rien de resserrer résolument la politique_monétaire*socio=et aux premiers*socio=rien stades*socio=te des crises*socio=uv2 économiques*socio=ec1, alors que d'autres insistaient sur*socio=rien l'importance*socio=rien d'une flexibilité*socio=uv3 *socio=rien suffisante du taux_de_change*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil estimaient que l'économie*socio=ec1 brésilienne*socio=ac pourrait amorcer une reprise l'an*socio=rien prochain*socio=rien, car la crise*socio=uv2 ne semblait pas avoir de racines structurelles*socio=ec2 profondes*socio=rien en dehors *socio=rien du domaine des*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et *socio=nil et le système_financier*socio=ec1 était relativement robuste*socio=rien. Mais, le rythme*socio=ec2 de cette reprise dépendrait avant tout de la vitesse*socio=rien à laquelle les autorités*socio=et s'attaqueraient au déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et et de la mesure*socio=rien dans laquelle elles parviendraient à contenir les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 et à stabiliser le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac se sont dits encouragés par les premiers*socio=rien signes d'endiguement de l'inflation*socio=ec1, mais ont rappelé que le programme*socio=et récemment approuvé devait être*socio=rien mis en ouvre de façon*socio=rien énergique*socio=ec1 pour rétablir la confiance*socio=uv1 et faciliter une *socio=rien détente progressive des*socio=nil *socio=ec1 conditions monétaires.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont attiré l'attention*socio=rien sur*socio=rien le fait*socio=rien que la récession*socio=ec2 au Brésil*socio=ac pourrait avoir des retombées*socio=rien régionales*socio=te considérables*socio=rien. Ils étaient encouragés, toutefois, par le fait*socio=rien que la crise*socio=uv2 brésilienne*socio=ac n'a eu qu'un*socio=rien impact*socio=rien modéré sur*socio=rien les autres marchés_financiers*socio=ec1 d' amérique_latine*socio=ac. La plupart*socio=rien des économies*socio=ec1 de la région*socio=te semblaient assez bien*socio=rien placées pour résister à ses répercussions*socio=ec2, car elles ont consolidé très sensiblement leurs fondamentaux*socio=uv4 depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80. Néanmoins, l'ajustement*socio=et économique*socio=ec1 requis*socio=uv4 et le risque*socio=uv3 d'une nouvelle*socio=rien contagion*socio=ec2 militaient en *socio=rien faveur du maintien *socio=nil d'une stricte*socio=rien discipline*socio=uv1 et d'un*socio=rien effort*socio=uv1 accru sur*socio=rien le front*socio=rien des réformes*socio=et, en particulier*socio=rien dans les pays*socio=ac où les déséquilibres*socio=uv3 budgétaire*socio=et et extérieur*socio=te ont été*socio=rien aggravés par la faiblesse*socio=ec2 récente*socio=rien des marchés*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien et les conditions*socio=ec1 défavorables*socio=uv4 sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1. Dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil cas,*socio=nil la*socio=nil fragilité*socio=uv1 du système_financier*socio=ec1 *socio=nil appelait aussi à une *socio=rien vigilance particulière.*socio=nil *socio=nil Durant l'examen*socio=ec2 des perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 de la Russie*socio=ac, les administrateurs*socio=ac se sont déclarés très préoccupés par la détérioration*socio=uv4 des résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 depuis l'éclatement*socio=rien de la crise*socio=uv2 en août*socio=rien 1998, et en particulier*socio=rien par la montée en flèche de l'inflation*socio=ec1 et la menace*socio=uv1 d'une récession*socio=ec2 prolongée qui aurait de graves*socio=uv4 répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien les pays*socio=ac voisins*socio=rien. Face*socio=rien à cette situation*socio=rien, ils ont pris note des *socio=rien indications récentes *socio=nil qui attestaient les efforts*socio=uv1 déployés par les autorités*socio=et russes pour résoudre leurs problèmes*socio=uv4 budgétaires*socio=et et structurels*socio=ec2, et ont souligné qu'il importait de s'engager résolument dans la voie*socio=rien des réformes*socio=et pour éviter que s'aggravent encore les difficultés*socio=uv4 du*socio=rien pays*socio=ac et commencer à les résoudre. Les administrateurs*socio=ac ont insisté en *socio=rien particulier sur la*socio=nil nécessité*socio=uv1 *socio=nil d'appliquer *socio=rien un solide programme*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil visant à limiter*socio=rien le financement*socio=ec1 du*socio=rien budget*socio=ec1 Si les efforts*socio=uv1 déployés pour consolider l'architecture financière*socio=ec1 internationale*socio=ac s'imposent autant pour prévenir les crises*socio=uv2 que pour gérer celle-ci, la lutte*socio=uv1 contre la contagion*socio=ec2 doit aussi être*socio=rien engagée au plan*socio=rien national*socio=te. À cet égard*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont insisté sur*socio=rien le rôle*socio=et clé*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te, qui permet d'éviter le déclenchement*socio=rien même des crises*socio=uv2 et de rendre le pays*socio=ac moins vulnérable*socio=uv2 à une contagion*socio=ec2 éventuelle*socio=te. Ils ont rappelé en particulier*socio=rien qu'il faut éviter de trop surévaluer sa monnaie*socio=ec1 et de mener des politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1 appropriées à cette fin*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont souligné, d'autre part*socio=rien, que les mesures*socio=et visant à remédier aux carences du*socio=rien système_financier*socio=ec1 sont une dimension*socio=rien essentielle*socio=uv4 de toute stratégie*socio=et de prévention*socio=uv3 des crises*socio=uv2. Pour se prémunir contre une crise*socio=uv2 de liquidité*socio=ec1, les gouvernements*socio=ac doivent donc prêter attention*socio=rien à la structure*socio=ec1 des échéances*socio=te et à la répartition*socio=uv3 par monnaies*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 des banques*socio=ac et *socio=rien du secteur des*socio=nil entreprises*socio=ac.*socio=nil La*socio=nil structure*socio=ec1 des*socio=nil échéances*socio=te *socio=nil de la dette*socio=ec1 publique*socio=et demande*socio=ec1 aussi à être*socio=rien suivie avec soin*socio=rien, car une volte-face*socio=rien des investisseurs*socio=ac peut compliquer la tâche*socio=rien des pays*socio=ac qui doivent refinancer *socio=rien un volume important*socio=uv4 de*socio=nil dettes*socio=ec1 à*socio=nil court_terme*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont aussi mis l'accent*socio=rien sur*socio=rien le fait*socio=rien que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac doivent encore améliorer l'efficacité*socio=uv3 de leur réglementation*socio=et prudentielle*socio=uv2 et du*socio=rien contrôle*socio=uv3 des banques*socio=ac et des autres établissements*socio=ac financiers*socio=ec1. Certains intervenants*socio=ac ont rappelé en particulier*socio=rien l'importance*socio=rien des normes*socio=et prudentielles*socio=uv2 concernant les *socio=ec1 emprunts bancaires à*socio=nil court_terme*socio=te en*socio=nil devises.*socio=nil *socio=nil À cet égard*socio=rien, certains administrateurs*socio=ac ont insisté sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'améliorer le suivi réglementaire*socio=et, *socio=rien côté offre,*socio=nil des*socio=nil activités des*socio=nil établissements*socio=ac financiers*socio=ec1 *socio=nil qui s'appuient *socio=rien sur un important*socio=uv4 levier*socio=ec2 financier*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Étant donné que *socio=rien bon nombre des*socio=nil crises*socio=uv2 *socio=nil qui ont frappé les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 ces *socio=rien dernières années *socio=nil ont éclaté dans des pays*socio=ac qui avaient choisi d'arrimer leur monnaie*socio=ec1 à une autre, plusieurs administrateurs*socio=ac se sont interrogés sur*socio=rien la viabilité*socio=uv3 des régimes*socio=et de parité*socio=ec1 fixe mais ajustable dans *socio=rien un contexte de*socio=nil mondialisation*socio=ec2 croissante des*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ils ont souligné que, dans bien*socio=rien des cas*socio=rien, une plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3 des taux*socio=ec1 pourrait aider à rendre les investisseurs*socio=ac nationaux*socio=te et étrangers*socio=te plus conscients*socio=uv2 du*socio=rien risque*socio=uv3 de change*socio=ec1. D'autres administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien valoir qu'un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 fixe peut constituer *socio=rien un point d'*socio=nil ancrage nominal très*socio=nil utile*socio=uv4 *socio=nil pour juguler l'inflation*socio=ec1. Le régime*socio=et de caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien, en particulier*socio=rien, offre*socio=rien dans certains cas*socio=rien une *socio=rien option attrayante,*socio=nil *socio=nil mais les administrateurs*socio=ac ont reconnu qu'il s'accompagne d'exigences*socio=ec2 considérables*socio=rien en matière*socio=rien de réserves*socio=ec1 de change*socio=ec1, de solidité*socio=uv3 du*socio=rien système_financier*socio=ec1, de souplesse*socio=uv3 du*socio=rien marché*socio=ec1 et de résultats*socio=rien budgétaires*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont convenu que le régime*socio=et de change*socio=ec1 optimal*socio=uv2 varie selon les pays*socio=ac et que, quel que soit le système*socio=rien choisi, la politique_économique*socio=ec1 menée doit l'appuyer et favoriser la stabilité*socio=uv3 macroéconomique*socio=ec1 indispensable*socio=uv4 à son succès*socio=uv1. CHAPITRE*socio=rien 3 Marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1 À la *socio=rien fin du mois du juillet *socio=nil 1998, les administrateurs*socio=ac ont passé*socio=rien en revue, comme chaque année*socio=rien, l'évolution*socio=te et les perspectives*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1. À l'époque*socio=te, la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 des marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 restait en *socio=rien grande partie *socio=nil confinée à l'Asie*socio=ac. Peu après*socio=rien, le déclenchement*socio=rien de la crise*socio=uv2 de la dette*socio=ec1 russe*socio=ac, puis le quasi-effondrement du*socio=rien fonds*socio=ec1 spéculatif*socio=uv2 Longterm Capital*socio=ec1 management, ont amorcé une nouvelle*socio=rien période*socio=te de turbulences*socio=ec2 financières*socio=ec1 et fait*socio=rien redouter que le ralentissement*socio=ec2 économique*socio=ec1 se prolonge, s'étende et s'aggrave en 1999. Par conséquent*socio=rien, au *socio=rien milieu du mois de*socio=nil décembre *socio=nil 1998, le Conseil*socio=ac a examiné une mise à jour*socio=rien de la version*socio=rien d'automne*socio=rien des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te ainsi que *socio=rien du document sur l'*socio=nil évolution*socio=te des*socio=nil marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de*socio=nil capitaux*socio=ec1,*socio=nil son*socio=nil impact *socio=nil et ses conséquences*socio=rien pour les politiques*socio=et de stabilisation*socio=et et les politiques*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 *socio=nil 4. (Se reporter également aux chapitres*socio=rien 2 et 5.) Examen*socio=ec2 annuel*socio=te Lors*socio=rien de leur réunion*socio=rien de juillet*socio=rien 1998, les administrateurs*socio=ac se sont attachés en particulier*socio=rien à tirer les enseignements*socio=et de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac, et ont débattu des risques*socio=uv3 et défis*socio=uv2 auxquels les dirigeants*socio=ac devaient faire face*socio=rien, ainsi que des questions*socio=rien soulevées par le *socio=rien lancement prochain *socio=nil de l'euro. La crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac et la situation*socio=rien des marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 Les administrateurs*socio=ac ont considéré que les problèmes*socio=uv4 profondément enracinés des systèmes_bancaires*socio=ec1 et des secteurs*socio=rien financiers*socio=ec1, notamment la déficience*socio=rien des systèmes*socio=rien de contrôle*socio=uv3 et de réglementation*socio=et, la mauvaise*socio=rien gestion*socio=ec2 des risques*socio=uv3 internes*socio=te et les problèmes*socio=uv4 de gestion_publique*socio=et et privée*socio=et, étaient des facteurs*socio=rien importants*socio=uv4 - bien*socio=rien qu'ils ne soient pas les seuls*socio=rien - de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac. Plusieurs administrateurs*socio=ac estimaient que le manque*socio=rien de discipline*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1 intérieur*socio=te d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil dotés de vastes*socio=rien dispositifs*socio=et de protection*socio=et y avait encouragé les opérateurs*socio=ac à prendre des risques*socio=uv3 excessifs*socio=uv4. Les faiblesses*socio=ec2 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 *socio=nil avaient empêché une intermédiation*socio=ec1 efficace*socio=uv4 des capitaux*socio=ec1 qui affluaient avant la crise*socio=uv2 et - conjuguées*socio=rien au recours*socio=rien excessif*socio=uv4 à des régimes*socio=et de parités*socio=ec1 fixes officiels*socio=et ou non - elles s'étaient soldées par *socio=rien un volume appréciable de*socio=nil positions *socio=nil non couvertes face*socio=rien aux risques*socio=uv3 de change*socio=ec1 et de taux_d'_intérêt*socio=ec1, par des discordances entre la liquidité*socio=ec1 des actifs*socio=ec1 et des passifs*socio=ec1 et par des crédits*socio=ec1 de *socio=rien mauvaise qualité.*socio=nil *socio=nil En ce qui concerne le rôle*socio=et des différents*socio=rien investisseurs*socio=ac pendant la crise*socio=uv2, les administrateurs*socio=ac ont noté que les efforts*socio=uv1 déployés par les agents*socio=ac nationaux*socio=te pour couvrir leurs positions*socio=rien en devises*socio=ec1 ou pour dénouer des positions*socio=rien non couvertes - et aussi, dans certains cas*socio=rien, la fuite*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 - ont été*socio=rien une source*socio=rien importante*socio=uv4 de tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, mais ils avaient des avis*socio=rien divergents*socio=uv2 à *socio=rien propos du rôle*socio=et des*socio=nil investisseurs*socio=ac internationaux*socio=te *socio=nil et des fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2. Les administrateurs*socio=ac ont relevé que les très fortes*socio=rien dépréciations*socio=ec1 des monnaies*socio=ec1 survenues pendant la crise*socio=uv2 ont été*socio=rien aggravées par *socio=rien un ensemble d'*socio=nil effets *socio=nil particulièrement pervers de la dynamique*socio=uv4 du*socio=rien marché*socio=ec1, liés au tarissement des liquidités*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=ec1, à l'intensification*socio=ec2 du*socio=rien risque*socio=uv3 de contrepartie*socio=rien et à des interactions*socio=rien avec des établissements*socio=ac financiers*socio=ec1 nationaux*socio=te fragiles*socio=rien. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont noté que l'ampleur*socio=rien des effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 directs*socio=rien et indirects*socio=rien ne semble pas pouvoir*socio=et s'expliquer totalement par l'intensification*socio=ec2 des échanges*socio=ec1 et des liens*socio=rien financiers*socio=ec1 entre les pays*socio=ac. Plusieurs administrateurs*socio=ac étaient d'avis*socio=rien que les effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 avaient été*socio=rien amplifiés par des déficiences*socio=uv3 de l'information*socio=rien et par *socio=rien un manque de*socio=nil transparence*socio=uv3 *socio=nil qui ont empêché les investisseurs*socio=ac de bien*socio=rien distinguer entre les différents*socio=rien marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 et ont contribué à exacerber la *socio=rien réaction du marché*socio=ec1 après le*socio=nil début *socio=nil de la crise*socio=uv2. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont noté que la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac soulevait des questions*socio=rien fondamentales*socio=uv4 à *socio=rien propos du fonctionnement des*socio=nil marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de*socio=nil capitaux*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil apports de*socio=nil capitaux*socio=ec1 *socio=nil qui ont eu lieu*socio=rien préalablement à la crise*socio=uv2 ont créé des difficultés*socio=uv4 immenses*socio=rien pour les dirigeants*socio=ac des économies*socio=ec1 émergentes*socio=ec2, à cause*socio=rien de leur ampleur*socio=rien et du*socio=rien risque*socio=uv3 de revirement*socio=rien abrupt en cas*socio=rien de retournement*socio=rien d'opinion*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1. De l'avis*socio=rien de certains administrateurs*socio=ac, la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac résulte autant d'erreurs*socio=uv4 de conduite*socio=rien de la part*socio=rien des investisseurs*socio=ac internationaux*socio=te que de problèmes*socio=uv4 propres*socio=rien aux marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2. Certains administrateurs*socio=ac considèrent que la forte*socio=rien baisse*socio=ec2 des *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux sur*socio=rien les*socio=nil marchés matures*socio=uv4 *socio=nil a incité les investisseurs*socio=ac internationaux*socio=te à rechercher de meilleurs*socio=uv4 rendements*socio=ec1. À cet égard*socio=rien, *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont relevé que les prêts*socio=ec1 interbancaires*socio=ec2 transfrontières*socio=te - en particulier*socio=rien les prêts*socio=ec1 assortis d'échéances*socio=te courtes*socio=rien - qui avaient facilité les entrées de capitaux*socio=ec1 et posé de nouveaux*socio=rien problèmes*socio=uv4 de gestion*socio=ec2 du*socio=rien risque*socio=uv3, étaient *socio=rien un élément important*socio=uv4 *socio=nil de la crise*socio=uv2. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont préconisé de modifier les normes*socio=et de fonds*socio=ec1 propres*socio=rien des banques*socio=ac, de façon*socio=rien à mieux prendre en compte*socio=ec1 les risques*socio=uv3 afférents*socio=rien aux prêts*socio=ec1 interbancaires*socio=ec2 à court_terme*socio=te. Certains administrateurs*socio=ac ont souligné qu'il fallait trouver les moyens*socio=ec1 d'améliorer l'évaluation*socio=ec2 des risques*socio=uv3 par les créanciers*socio=ac étrangers*socio=te et ont aussi demandé que les banques*socio=ac créancières*socio=ec1 fassent l'objet*socio=rien d'un*socio=rien contrôle*socio=uv3 plus rigoureux*socio=uv4. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont noté par ailleurs*socio=rien que les principaux*socio=rien organismes_internationaux*socio=ac de notation*socio=rien n'avaient pas prévu la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac et qu'ils l'avaient ensuite aggravée par leur décision*socio=et d'abaisser fortement la cote*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 des pays*socio=ac concernés. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont cependant fait*socio=rien observer que ces organismes*socio=ac n'avaient pas été*socio=rien les seuls*socio=rien à manquer de clairvoyance*socio=rien ou à mal*socio=rien apprécier l'étendue des faiblesses*socio=ec2 des pays*socio=ac d'Asie*socio=ac en crise*socio=uv2. Nonobstant ces préoccupations*socio=uv4, les administrateurs*socio=ac étaient d'avis*socio=rien que la tendance*socio=ec2 à l'intensification*socio=ec2 de la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 se poursuivrait inéluctablement. De l'avis*socio=rien de la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac, *socio=rien un certain degré d'*socio=nil instabilité*socio=uv3 étant*socio=nil inévitable;*socio=nil les*socio=nil dirigeants*socio=ac *socio=nil devaient s'attacher à renforcer la résistance*socio=rien de leurs économies*socio=ec1 aux chocs*socio=ec2 et il leur faudrait accorder une attention*socio=rien beaucoup plus grande*socio=rien à ce que la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 extérieurs*socio=te se déroule de façon*socio=rien ordonnée et régulière*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac ont relevé *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil enseignements*socio=et *socio=nil que les autorités*socio=et nationales*socio=te devaient tirer de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac. En tout *socio=rien premier lieu,*socio=nil *socio=nil ils ont noté qu'une politique*socio=et et un*socio=rien système_financier*socio=ec1 déficients peuvent faire échouer une politique*socio=et macroéconomique*socio=ec1 bien*socio=rien conçue. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont estimé que l'adoption*socio=uv3 de régimes*socio=et de change*socio=ec1 flexibles*socio=uv4 pourrait jouer un*socio=rien rôle*socio=et décisif*socio=rien, à la fois*socio=rien en aidant les pays*socio=ac à s'ajuster aux apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 et en encourageant les opérations*socio=rien de couverture*socio=ec1 qui s'imposent. Certains administrateurs*socio=ac ont rappelé que les circonstances*socio=rien dans lesquelles a lieu*socio=rien l'abandon*socio=rien d'une parité*socio=ec1 fixe sont déterminantes*socio=rien. en particulier*socio=rien, les risques*socio=uv3 que comporte l'adoption*socio=uv3 d'un*socio=rien régime*socio=et de change*socio=ec1 flexible*socio=uv4 au milieu*socio=rien d'une crise*socio=uv2 sont amplifiés lorsque les banques*socio=ac, les établissements*socio=ac financiers*socio=ec1 et les entreprises*socio=ac manquent de solidité*socio=uv3. Quelques administrateurs*socio=ac ont suggéré qu'il aurait *socio=rien été possible,*socio=nil *socio=nil dans le contexte*socio=rien de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac, d'ajuster le taux_de_change*socio=ec1 en conservant l'ancrage*socio=rien existant*socio=rien ou d'adopter un*socio=rien autre *socio=rien ancrage nominal.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont accordés à penser qu'il serait essentiel*socio=uv4, pour éviter les crises*socio=uv2 à l'avenir*socio=te, de renforcer le contrôle*socio=uv3 et l'infrastructure*socio=ec1 *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil notamment par l'adoption*socio=uv3 des principes*socio=ec2 énoncés par le Comité*socio=ac de Bâle. Certains administrateurs*socio=ac préconisent le recours*socio=ec1 à des taxes*socio=et sur*socio=rien les entrées de capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te, comme celles qui sont en vigueur*socio=uv3 au Chili*socio=ac, ce qui constituerait une mesure*socio=rien prudentielle*socio=uv2 applicable*socio=rien tant aux banques*socio=ac qu'au secteur*socio=rien non bancaire*socio=ec1. Plusieurs autres administrateurs*socio=ac estiment toutefois que, si des mesures*socio=et de ce type*socio=rien ont parfois contribué à décourager des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te qui risquaient de créer des perturbations*socio=ec2, elles tendent à perdre de leur efficacité*socio=uv3 à la longue*socio=rien; elles ont cependant aidé à gagner *socio=rien du temps *socio=nil dans les pays*socio=ac qui étaient en train*socio=rien de mettre en *socio=rien place un cadre de*socio=nil réglementation*socio=et *socio=nil et de contrôle*socio=uv3 et de renforcer la discipline*socio=uv1 des marchés*socio=ec1. Elles ne peuvent cependant se substituer à de bons*socio=rien fondamentaux*socio=uv4, et notamment à la nécessaire*socio=rien réforme*socio=et *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1.*socio=nil Certains*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont souligné le rôle*socio=et important*socio=uv4 que peut jouer l'investissement_direct_étranger*socio=ec1 en tant que source*socio=rien de financement*socio=ec1 plus stable*socio=uv4. Enfin, plusieurs administrateurs*socio=ac ont salué les efforts*socio=uv1 que déployaient *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil pour faciliter le développement*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 locaux*socio=te, notamment des *socio=ec1 marchés obligataires,*socio=nil *socio=nil afin de diminuer le rôle*socio=et des banques*socio=ac dans l'intermédiation*socio=ec1 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. En ce qui concerne la question*socio=rien de l'aléa*socio=rien moral*socio=uv2, certains administrateurs*socio=ac estimaient que la perspective*socio=rien d'un*socio=rien appui*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac n'avait probablement joué aucun rôle*socio=et dans les décisions*socio=et prises*socio=rien par les prêteurs*socio=ac et les emprunteurs*socio=ac avant la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac; toutefois, plusieurs administrateurs*socio=ac ont noté que l'appui*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac, conjugué*socio=rien aux garanties publiques*socio=et dont bénéficiaient les engagements*socio=et extérieurs*socio=te, pouvait avoir influé sur*socio=rien le comportement*socio=rien des intervenants*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1. À cet égard*socio=rien, ils ont appelé à des mesures*socio=et destinées*socio=rien à réduire autant que possible*socio=rien l'aléa*socio=rien moral*socio=uv2, et visant notamment à mettre le secteur_privé*socio=et à contribution*socio=uv1 à un*socio=rien stade*socio=te précoce*socio=rien, afin que les charges*socio=rien soient équitablement réparties*socio=rien entre le secteur_privé*socio=et et le secteur_public*socio=et. En ce qui concerne l'évolution*socio=te plus récente*socio=rien des marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2, le Conseil*socio=ac s'est*socio=rien inquiété de la forte*socio=rien contraction*socio=ec2 de la production*socio=ec1 dans les pays*socio=ac en crise*socio=uv2 d'Asie*socio=ac et de la fragilité*socio=uv1 persistante*socio=rien des financements_privés*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac s'accordaient à penser qu'il était prioritaire*socio=uv4, dans les pays*socio=ac en crise*socio=uv2 d'Asie*socio=ac, d'accélérer la restructuration*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 *socio=nil et des sociétés*socio=ac, notamment par l'adoption*socio=uv3 de procédures*socio=et de faillite*socio=ec1 adéquates*socio=uv2, ce qui pourrait être*socio=rien facilité dans certains cas*socio=rien par une utilisation*socio=rien judicieuse*socio=uv4 de ressources*socio=ec1 publiques*socio=et pour la recapitalisation des établissements*socio=ac financiers*socio=ec1 fragiles*socio=rien mais viables*socio=uv4. De façon*socio=rien plus générale*socio=rien, ils ont instamment demandé aux dirigeants*socio=ac des pays*socio=ac à marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 de poursuivre leurs efforts*socio=uv1 en vue*socio=rien de réduire la vulnérabilité*socio=uv1 de leurs économies*socio=ec1 aux chocs*socio=ec2 extérieurs*socio=te, notamment en s'attaquant aux déficiences*socio=uv3 macroéconomiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 et, dans le cas*socio=rien des exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien de base*socio=rien, en s'ajustant comme il convient à la faiblesse*socio=ec2 des cours*socio=rien de ces produits*socio=rien. Pays*socio=ac à marché*socio=ec1 mature Les déficiences*socio=uv3 qui restent manifestes *socio=rien sur un certain nombre de*socio=nil marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil particulièrement en Asie*socio=ac, sont en contraste marqué avec les résultats*socio=rien relativement favorables*socio=uv4 de nombreux*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac estimaient (lors*socio=rien de leurs discussions*socio=et de juillet*socio=rien 1998) que les résultats*socio=rien favorables*socio=uv4 des pays_industrialisés*socio=ac d' amérique_du_nord*socio=ac et d'Europe*socio=ac étaient dus à la qualité*socio=rien des conditions*socio=ec1 et des politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec1 en vigueur*socio=uv3 dans nombre*socio=rien de ces pays*socio=ac, à une inflation*socio=ec1 généralement faible*socio=rien et stable*socio=uv4 et au fait*socio=rien que l'exposition*socio=rien du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 dans les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 d'Asie*socio=ac en crise*socio=uv2 était, dans de *socio=rien nombreux cas,*socio=nil *socio=nil gérable. En outre, plusieurs pays_industrialisés*socio=ac ont bénéficié dans une *socio=rien certaine mesure *socio=nil de la baisse*socio=ec2 des cours*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien et du*socio=rien fléchissement*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 en Asie*socio=ac qui ont eu des conséquences*socio=rien favorables*socio=uv4 *socio=rien du point de*socio=nil vue *socio=nil de l'inflation*socio=ec1. En revanche, les faiblesses*socio=ec2 de plus en plus prononcées de l'économie*socio=ec1 japonaise*socio=ac ont été*socio=rien aggravées par la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac - et elles ont elles-mêmes contribué à cette crise*socio=uv2 - étant donné les relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 et financières*socio=ec1 étroites*socio=rien qu'entretient ce pays*socio=ac avec les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 de la région*socio=te. Les administrateurs*socio=ac se sont félicités de la confiance*socio=uv1 de plus en plus marquée avec laquelle le lancement*socio=rien de l'euro au début*socio=rien de 1999 était alors envisagé, ainsi que *socio=rien du fort degré de*socio=nil convergence*socio=uv3 macroéconomique*socio=ec1 *socio=nil auquel étaient parvenus les onze pays*socio=ac qui devaient constituer la zone*socio=te euro initiale*socio=rien, cet élément*socio=rien étant considéré comme *socio=rien un facteur important*socio=uv4 *socio=nil de la stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 intra-européens et de la convergence*socio=uv3 effective*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te à de *socio=rien faibles niveaux.*socio=nil Un certain nombre de*socio=nil risques*socio=uv3 non*socio=nil négligeables *socio=nil dans les économies*socio=ec1 avancées rendaient cependant les perspectives*socio=te incertaines*socio=uv4. Tout particulièrement, le fait*socio=rien que le Japon*socio=ac ne s'était pas énergiquement attaqué aux problèmes*socio=uv4 de son secteur*socio=rien financier*socio=ec1 avait contribué à la faiblesse*socio=ec2 de l'activité_économique*socio=ec1 intérieure*socio=te, aux pressions*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 du*socio=rien yen*socio=ec1 et à des répercussions*socio=ec2 défavorables*socio=uv4, pour les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 voisins*socio=rien en particulier*socio=rien et pour l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te en général*socio=rien. Aussi ont-ils instamment demandé au *socio=ac gouvernement japonais *socio=nil de prendre rapidement des mesures*socio=et pour faire face*socio=rien aux déficiences*socio=uv3 de longue*socio=rien date *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et notamment d'évaluer avec rigueur*socio=uv3 l'ampleur*socio=rien du*socio=rien problème*socio=uv4 des créances*socio=ec1 douteuses*socio=uv2, de recapitaliser et restructurer les banques*socio=ac viables*socio=uv4, et d'améliorer le cadre*socio=rien prudentiel*socio=uv2 afin que toute utilisation*socio=rien de fonds_publics*socio=et pour venir en aide*socio=uv1 au secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1 aboutisse à une amélioration*socio=uv1 durable*socio=uv4 de la sûreté*socio=uv1 et de la rentabilité*socio=ec1 de ce secteur*socio=rien. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac ont*socio=nil fait *socio=nil observer que les mesures*socio=et de réforme*socio=et dites du*socio=rien "big bang" appliquées par le Japon*socio=ac rendaient cette action*socio=ec1 encore plus urgente*socio=uv4, car elles constitueraient une source*socio=rien de difficultés*socio=uv4 supplémentaires*socio=rien pour les banques*socio=ac et contribueraient à accentuer la pression*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 du*socio=rien yen*socio=ec1 en permettant aux *socio=ac épargnants japonais *socio=nil d'investir plus facilement à l'étranger*socio=te. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil se sont inquiétés du*socio=rien risque*socio=uv3 d'une correction*socio=ec2 appréciable*socio=rien des cours*socio=rien boursiers*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac, en particulier*socio=rien compte*socio=ec1 tenu du*socio=rien ralentissement*socio=ec2 apparent*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 des profits*socio=ec1 dans ce pays*socio=ac, de la probabilité*socio=ec2 de *socio=rien nouvelles retombées *socio=nil de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac et de l'éventualité*socio=te d'une hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 américains*socio=ac. De l'avis*socio=rien de la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac, la robustesse de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 fondamentale*socio=uv4 aux États-unis*socio=ac - conjuguée*socio=rien aux améliorations*socio=uv1 apportées à l'infrastructure*socio=ec1 du*socio=rien marché_financier*socio=ec1 depuis le krach boursier*socio=ec1 de 1987 - signifie qu'une correction*socio=ec2 limitée serait supportable*socio=rien pour l'économie*socio=ec1 intérieure*socio=te. Ils craignent toutefois que cette correction*socio=ec2 ait des répercussions*socio=ec2, en *socio=rien particulier sur les*socio=nil *socio=ec1 marchés boursiers émergents*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil ainsi que des conséquences*socio=rien éventuellement défavorables*socio=uv4 pour la confiance*socio=uv1 étant donné l'incertitude*socio=uv3 actuelle*socio=te *socio=rien du climat économique*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont noté que la mise en chantier*socio=rien de l' union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 européenne*socio=ac avait mis en *socio=rien lumière un certain nombre de*socio=nil questions de*socio=nil réglementation*socio=et *socio=nil et de contrôle*socio=uv3 dans les *socio=ac pays européens *socio=nil et aussi, à divers degrés*socio=rien, dans les autres pays*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac étaient d'avis*socio=rien que l'accélération*socio=ec2 de la restructuration*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui serait probablement facilitée par le lancement*socio=rien de l'euro, poserait *socio=rien un certain nombre de*socio=nil problèmes*socio=uv4 aux*socio=nil *socio=ac dirigeants européens.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs *socio=nil avaient des opinions*socio=ec2 divergentes*socio=uv2 à propos*socio=rien des dispositions*socio=et prises*socio=rien en vue*socio=rien de gérer les crises*socio=uv2 au sein*socio=rien de l'UEM*socio=et, et tout particulièrement en ce qui concernait la fonction*socio=rien de prêteur*socio=ac en dernier*socio=rien ressort. Certains administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer que le rôle*socio=et de prêteur*socio=ac en dernier*socio=rien ressort incombait aux autorités*socio=et nationales*socio=te. D'autres jugeaient indispensable*socio=uv4 qu'une banque_centrale*socio=ac et, en particulier*socio=rien, la *socio=ac banque_centrale européenne *socio=nil soit le prêteur*socio=ac en dernier*socio=rien ressort et qu'elle joue un*socio=rien rôle*socio=et central*socio=rien en coordonnant les activités*socio=rien de contrôle*socio=uv3 des institutions*socio=ac paneuropéennes et des marchés*socio=ec1. Certains administrateurs*socio=ac ont aussi fait*socio=rien remarquer que les dispositifs*socio=et de protection*socio=et financière*socio=ec1, comme les systèmes*socio=rien de garantie des dépôts*socio=ec1 et les consortiums*socio=ac de liquidités*socio=ec1, avaient un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 à jouer. D'autres, évoquant les statuts*socio=et *socio=rien du Système européen*socio=ac de*socio=nil banques_centrales*socio=ac *socio=nil (SEBC), ont reconnu que ce système*socio=rien disposait des moyens*socio=ec1 nécessaires*socio=rien pour remplir une fonction*socio=rien de soutien*socio=uv3 de trésorerie*socio=ec1 et qu'il pourrait intervenir, le cas*socio=rien échéant, pour fournir des liquidités*socio=ec1. D'autres enfin s'accordaient avec les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac pour penser qu'il était important*socio=uv4 de mieux définir*socio=rien le partage*socio=uv1 des responsabilités*socio=uv1 entre la *socio=ac banque_centrale européenne *socio=nil et les banques_centrales*socio=ac nationales*socio=te, ainsi que les échanges_d'_informations*socio=rien auxquels procéderaient les organismes*socio=ac de contrôle*socio=uv3 nationaux*socio=te et la BCE. Les administrateurs*socio=ac se sont félicités des efforts*socio=uv1 qui se poursuivaient dans les *socio=et instances multilatérales *socio=nil et dans nombre*socio=rien de pays*socio=ac ayant un*socio=rien marché*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 mature, en vue*socio=rien de renforcer le contrôle*socio=uv3 et la réglementation*socio=et par l'amélioration*socio=uv1 des règles*socio=et de comptabilité*socio=ec1 et de publicité*socio=rien, par une définition*socio=rien plus précise*socio=rien des responsabilités*socio=uv1 qui incombent aux autorités*socio=et de contrôle*socio=uv3 des pays*socio=ac "d'origine*socio=rien" et "d'accueil*socio=rien", et par une plus *socio=rien grande attention portée au*socio=nil contrôle*socio=uv3 *socio=nil consolidé et fondé sur*socio=rien l'appréciation*socio=uv3 des risques*socio=uv3, comme en témoignaient les principes*socio=ec2 énoncés le 1 er janvier*socio=rien 1998 par le Comité*socio=ac de Bâle sur*socio=rien les normes*socio=et de fonds*socio=ec1 propres*socio=rien que devaient appliquer les banques*socio=ac pour se prémunir contre les risques*socio=uv3 de marché*socio=ec1. En conclusion*socio=rien, les administrateurs*socio=ac ont noté que l'évolution*socio=te survenue depuis leur dernier*socio=rien examen*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1 mettait en lumière*socio=rien l'importance*socio=rien d'une surveillance*socio=et régulière*socio=ec2 et approfondie de ces marchés*socio=ec1. Examen*socio=ec2 *socio=rien intérimaire Lors *socio=nil de l'examen*socio=ec2 intérimaire*socio=rien de décembre*socio=rien 1998 - portant sur*socio=rien la mise à *socio=rien jour du document sur l'*socio=nil évaluation*socio=ec2 *socio=nil de l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1 menée pendant l'été*socio=rien et de la version*socio=rien d'automne*socio=rien des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te - les administrateurs*socio=ac se sont interrogés sur*socio=rien les *socio=rien causes possibles des*socio=nil turbulences*socio=ec2 sur les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1,*socio=nil leur*socio=nil impact probable*socio=uv4 sur l'*socio=nil économie*socio=ec1 mondiale*socio=te *socio=nil et leurs conséquences*socio=rien pour les politiques*socio=et de stabilisation*socio=et et les politiques*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ils ont souligné l'effet*socio=rien de déclenchement*socio=rien qu'a eu la *socio=et restructuration unilatérale *socio=nil de la dette*socio=ec1 de la Russie*socio=ac, qui a été*socio=rien suivie de plusieurs corrections*socio=ec2 brusques sur*socio=rien le marché*socio=ec1 mondial*socio=te, la nécessité*socio=uv1 d'une réévaluation*socio=ec1 globale*socio=rien des risques*socio=uv3 que comportaient les investissements*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 et d'un*socio=rien rééquilibrage*socio=uv3 massif*socio=rien des portefeuilles*socio=ec1 sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien des marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1. Le Conseil*socio=ac a en particulier*socio=rien examiné les turbulences*socio=ec2 qui affectaient les marchés*socio=ec1 matures*socio=uv4; l'élargissement*socio=ec2 des écarts*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1, faisant suite*socio=rien à une période*socio=te de resserrement*socio=ec2 inhabituel*socio=rien; les *socio=rien effets sur les*socio=nil positions d'*socio=nil investissement*socio=ec1 à*socio=nil fort effet de*socio=nil levier*socio=ec2;*socio=nil les*socio=nil inquiétudes croissantes *socio=nil liées à la crainte*socio=uv1 d'une pénurie*socio=ec2 de liquidités*socio=ec1 sur*socio=rien certains des marchés_financiers*socio=ec1 les plus développés*socio=uv4; et la correction*socio=ec2 marquée de la *socio=ec1 parité yen/*socio=nil dollar *socio=nil intervenue au *socio=rien début du mois d'*socio=nil octobre *socio=nil 1998. Bien*socio=rien que les marchés*socio=ec1 aient retrouvé *socio=rien un certain calme *socio=nil depuis le *socio=rien milieu du mois d'*socio=nil octobre,*socio=nil le*socio=nil Conseil*socio=ac *socio=nil a souligné la grande*socio=rien incertitude*socio=uv3 qui demeurait sur*socio=rien la signification*socio=uv3 des turbulences*socio=ec2, et en *socio=rien particulier sur l'*socio=nil impact *socio=nil qu'elles auraient sur*socio=rien l'activité_économique*socio=ec1. Plusieurs administrateurs*socio=ac étaient d'avis*socio=rien que l'impact*socio=rien économique*socio=ec1 des turbulences*socio=ec2 serait limité. Ils ont rappelé que les bourses des principaux*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 avaient rapidement rebondi, que les marges de taux_d'_intérêt*socio=ec1 des obligations*socio=uv1 avaient diminué pour les emprunteurs*socio=ac les plus solvables*socio=ec2, que les entreprises*socio=ac avaient pu tirer sur*socio=rien leurs lignes*socio=rien de *socio=ec1 crédit bancaires après*socio=rien la*socio=nil contraction*socio=ec2 du*socio=rien marché des*socio=nil effets*socio=rien de*socio=nil commerce,*socio=nil *socio=nil et qu'il n'apparaissait pas qu'il y ait de crise*socio=uv2 de crédit*socio=ec1 en Europe*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac se sont également félicités de la nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 dans les *socio=ac pays asiatiques *socio=nil touchés par la crise*socio=uv2 et des signes qui indiquaient que certaines*socio=rien des économies*socio=ec1 des marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 avaient regagné l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te. En revanche, de nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac s'inquiétaient vivement de certains signes qui donnaient à penser que les effets*socio=rien de la crise*socio=uv2 pourraient se prolonger, en particulier*socio=rien dans les économies*socio=ec1 des marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2. Parmi les plus importants*socio=uv4 de ces signes figuraient l'élargissement*socio=ec2 des marges de rendement*socio=ec1, les pressions*socio=ec2 croissantes*socio=rien à la vente*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'actions*socio=ec1, et certains indices d'une reprise des sorties de capitaux*socio=ec1. Certaines*socio=rien de ces tendances*socio=ec2 se manifestaient à la suite*socio=rien des retards*socio=rien intervenus dans la réforme*socio=et des finances*socio=ec1 publiques*socio=et au Brésil*socio=ac. Facteurs*socio=rien soustendant la réaction*socio=rien des *socio=ec1 marchés Compte *socio=nil tenu de la gravité des récentes*socio=rien turbulences*socio=ec2, le Conseil*socio=ac a identifié plusieurs éléments*socio=rien qui contribuaient à expliquer la réévaluation*socio=ec1 des risques*socio=uv3 par les marchés*socio=ec1, le rééquilibrage*socio=uv3 massif*socio=rien des portefeuilles*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 matures*socio=uv4 et les réactions*socio=rien disproportionnées qu'avaient provoquées des perturbations*socio=ec2 relativement faibles*socio=rien: La *socio=et restructuration unilatérale *socio=nil de la dette*socio=ec1 de la Russie*socio=ac remettait en question*socio=rien l'hypothèse*socio=ec2 implicite*socio=rien de nombreux*socio=rien investisseurs*socio=ac quant au risque*socio=uv3 de manquement*socio=rien d'un*socio=rien emprunteur*socio=ac souverain*socio=rien. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer que cet événement*socio=rien avait modifié la perception*socio=rien des risques*socio=uv3 en montrant aux marchés*socio=ec1 que l'aide*socio=uv1 officielle*socio=et ne serait déboursée qu'à la condition*socio=rien que les conditions*socio=ec1 de politique_économique*socio=ec1 soient satisfaites. Les positions*socio=rien d'investissement*socio=ec1 à *socio=rien fort effet de*socio=nil levier*socio=ec2 devaient*socio=nil être *socio=nil rapidement dénouées ou couvertes au fur*socio=rien et à mesure*socio=rien de la réévaluation*socio=ec1 des risques*socio=uv3. Leur rapide*socio=rien liquidation*socio=ec1 a posteriori sur*socio=rien des marchés*socio=ec1 baissiers avait renforcé les pressions*socio=ec2 à la vente*socio=ec1. *socio=rien Un grand nombre de*socio=nil grandes banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 *socio=nil et de banques*socio=ac d'affaires*socio=ec1 - et pas seulement des fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 - avaient pris des positions*socio=rien d'investissement*socio=ec1 à *socio=rien fort effet levier*socio=ec2 *socio=nil qui les rendaient vulnérables*socio=uv2 à une augmentation*socio=ec2 inattendue*socio=uv4 des écarts*socio=ec2 de taux_d'_intérêt*socio=ec1. Les modèles*socio=rien de gestion*socio=ec2 des risques*socio=uv3 qu'utilisaient ces institutions*socio=ac n'ont pas empêché l'accumulation*socio=ec2 des risques*socio=uv3, et les techniques*socio=rien de gestion*socio=ec2 de portefeuille*socio=ec1 modernes*socio=uv2 semblent avoir aggravé le dénouement de ces positions*socio=rien à *socio=rien fort effet de*socio=nil levier*socio=ec2.*socio=nil Le*socio=nil manque de*socio=nil rigueur*socio=uv3 *socio=nil dans la liquidation*socio=ec1 et la réduction*socio=ec2 de l'effet*socio=rien de levier*socio=ec2 du*socio=rien portefeuille*socio=ec1 du*socio=rien fonds*socio=ec1 Long*socio=rien Term Capital*socio=ec1 Management aurait entraîné *socio=rien un nouveau risque*socio=uv3 systémique*socio=ec2 sur le*socio=nil marché*socio=ec1 des*socio=nil capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te *socio=nil qui justifiait l'aide*socio=uv1 que les autorités*socio=et américaines*socio=ac ont apporté à l'organisation*socio=ec1 d'une opération*socio=rien de sauvetage*socio=uv1 privée*socio=et. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont noté que la réévaluation*socio=ec1 des risques*socio=uv3 et le rééquilibrage*socio=uv3 des portefeuilles*socio=ec1 étaient largement justifiés en soi*socio=rien et contribueraient à corriger la sous-évaluation des risques*socio=uv3 de certains investissements*socio=ec1, sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 matures*socio=uv4 comme sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2. Ils s'inquiétaient plutôt de la rapidité*socio=rien et de l'ampleur*socio=rien des ajustements*socio=et qui s'étaient opérés et des risques*socio=uv3 systémiques*socio=ec2 qui en résultaient pour les marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont souligné les limites*socio=rien de la gestion_privée*socio=et des risques*socio=uv3 et des portefeuilles*socio=ec1, du*socio=rien contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1 et de la surveillance*socio=et des marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 dans *socio=rien un contexte de*socio=nil mondialisation*socio=ec2 rapide *socio=nil de ces marchés*socio=ec1 et de constante*socio=rien innovation*socio=uv3 financière*socio=ec1. Selon eux, l'une des sources*socio=rien de problème*socio=uv4 systémique*socio=ec2 tenait à ce que les intervenants*socio=ac sur*socio=rien le marché*socio=ec1, tant publics*socio=et que privés*socio=et ne semblaient pas avoir bien*socio=rien mesuré les risques*socio=uv3 que présentait l'accumulation*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv3 financiers*socio=ec1 et d'autres facteurs*socio=rien de vulnérabilité*socio=uv1 *socio=rien du système au*socio=nil cours *socio=nil de la période*socio=te qui a précédé les événements*socio=rien d'août*socio=rien à octobre*socio=rien 1998. Plusieurs administrateurs*socio=ac doutaient que les modèles*socio=rien de gestion*socio=ec2 des risques*socio=uv3 permettent d'anticiper adéquatement*socio=rien et de prévenir des événements*socio=rien à faible*socio=rien probabilité*socio=ec2, mais à coût*socio=ec1 élevé*socio=uv4, tels que ceux qui avaient secoué les marché*socio=ec1 internationaux*socio=te en 1998. Le système_financier*socio=ec1 international*socio=te lui-même, compte*socio=ec1 tenu de la forte*socio=rien intégration*socio=uv1 de ses institutions*socio=ac et de ses marchés*socio=ec1 et de leurs liens*socio=rien tant dans les pays*socio=ac qu'entre les pays*socio=ac, contribuait, ont-ils noté, à la turbulence et au manque*socio=rien de prévisibilité*socio=uv3 des risques*socio=uv3 que présentaient les marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont conclu qu'il était nécessaire*socio=rien de réévaluer les systèmes*socio=rien et les pratiques*socio=et appliquées par les institutions_financières*socio=ac en matière*socio=rien de contrôle*socio=uv3 de gestion*socio=ec2 ainsi que de soumettre les modèles*socio=rien d'évaluation*socio=ec2 des risques*socio=uv3 à des tests de résistance*socio=rien au stress pour mieux appréhender les risques*socio=uv3 inhérents*socio=rien aux marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 modernes*socio=uv2. Rôle*socio=et des politiques_publiques*socio=et Les administrateurs*socio=ac ont également examiné le rôle*socio=et des politiques_publiques*socio=et. On avait en particulier*socio=rien laissé s'accumuler les facteurs*socio=rien de vulnérabilité*socio=uv1 jusqu'à ce qu'il soit trop tard pour se prémunir contre leurs *socio=rien effets négatifs.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont demandé que l'on étudie d'urgence*socio=rien - dans le cadre*socio=rien des efforts*socio=uv1 menés pour renforcer l'architecture du*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te et des secteurs*socio=rien financiers*socio=ec1 nationaux*socio=te - des mesures*socio=et qui seraient susceptibles*socio=rien de réduire le risque*socio=uv3 systémique*socio=ec2 associé*socio=rien aux turbulences*socio=ec2 des marchés_financiers*socio=ec1. Ces mesures*socio=et comprennent des normes*socio=et de fonds*socio=ec1 propres*socio=rien plus strictes*socio=rien pour les opérations*socio=rien hors bilan*socio=rien, la réévaluation*socio=ec1 de la surveillance*socio=et prudentielle*socio=uv2 et de la réglementation*socio=et des fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2, en *socio=rien grande partie *socio=nil non réglementés, et des autres investisseurs*socio=ac institutionnels*socio=et dont les stratégies*socio=et reposent *socio=rien sur un fort effet de*socio=nil levier*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil ainsi qu'un*socio=rien contrôle*socio=uv3 plus strict*socio=rien des *socio=ec1 prêts bancaires aux*socio=nil fonds spéculatifs*socio=uv2.*socio=nil Plusieurs*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont demandé l'organisation*socio=ec1 d'un*socio=rien nouveau*socio=rien débat*socio=et sur*socio=rien l'impact*socio=rien systémique*socio=ec2 des engagements*socio=et de l'ensemble*socio=rien des institutions_financières*socio=ac dont les stratégies*socio=et reposent *socio=rien sur un fort effet de*socio=nil levier*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil En outre, pour réduire les dangers*socio=uv1 systémiques*socio=ec2 que présentent les opérations*socio=rien à haut*socio=rien risque*socio=uv3 des fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2 et de certaines*socio=rien autres grosses*socio=rien institutions_financières*socio=ac, il faut également déployer des efforts*socio=uv1 *socio=rien du côté *socio=nil de l'offre*socio=ec1. Avec l'aide*socio=uv1 des autorités*socio=et de surveillance*socio=et, les établissements*socio=ac financiers*socio=ec1 privés*socio=et doivent aussi corriger leurs lacunes*socio=uv4 dans le domaine*socio=rien de l'analyse*socio=ec2 et de la gestion*socio=ec2 des risques*socio=uv3 et du*socio=rien portefeuille*socio=ec1, tandis que la *socio=ac communauté internationale *socio=nil doit intensifier ses actions*socio=ec1 dans le *socio=rien domaine du contrôle*socio=uv3 *socio=nil et de la réglementation*socio=et financière*socio=ec1 et dans celui de la surveillance*socio=et des marchés_financiers*socio=ec1 des économies*socio=ec1 matures*socio=uv4 de façon*socio=rien à mieux déceler et prévenir les risques*socio=uv3 systémiques*socio=ec2. Les administrateurs*socio=ac étaient généralement d'avis*socio=rien que le contrôle*socio=uv3 et la réglementation*socio=et financière*socio=ec1 ne pouvaient être*socio=rien renforcés qu'à la condition*socio=rien que les autorités*socio=et nationales*socio=te chargées d'effectuer les contrôles*socio=et soient mieux informées de la *socio=rien situation du bilan *socio=nil et des opérations*socio=rien hors bilan*socio=rien, de l'ampleur*socio=rien de l'effet*socio=rien de levier*socio=ec2 et du*socio=rien montant*socio=ec1 global*socio=te et de la distribution*socio=rien des risques*socio=uv3 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 nationaux*socio=te et internationaux*socio=te. Certains administrateurs*socio=ac ont aussi souligné que les turbulences*socio=ec2 qui avaient marqué la période*socio=te d'août*socio=rien à octobre*socio=rien 1998 avaient également mis en évidence*socio=rien l'importance*socio=rien de procéder à la libéralisation*socio=et des marchés_financiers*socio=ec1 de façon*socio=rien ordonnée, selon une séquence bien*socio=rien établie - et de la faire précéder ou de l'accompagner par la mise en ouvre d'une réglementation*socio=et et d'un*socio=rien contrôle*socio=uv3 prudentiels*socio=uv2 efficaces*socio=uv4. Le processus*socio=te de libéralisation*socio=et pourrait également bénéficier de l'adoption*socio=uv3 de mesures*socio=et fondées sur*socio=rien le marché*socio=ec1, destinées*socio=rien à décourager les entrées excessives*socio=uv4 de capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te et à encourager l'investissement_étranger_direct*socio=ec1. Signalant les risques*socio=uv3 que présentait l'entrée*socio=rien de capitaux*socio=ec1 de plus en plus importants*socio=uv4 et instables*socio=uv4, les administrateurs*socio=ac ont appelé à la mise en place*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien efficace*socio=uv4 de gestion*socio=ec2 et de surveillance*socio=et de ces flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. CHAPITRE*socio=rien 5 Renforcement*socio=ec2 de l'architecture du*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te L es crises*socio=uv2 financières*socio=ec1 qui ont frappé les économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 d'Asie*socio=ac, puis la Russie*socio=ac et le Brésil*socio=ac, ont donné une vigoureuse*socio=rien impulsion*socio=ec2 aux propositions*socio=rien visant à renforcer l'architecture du*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te afin de permettre à tous les pays_membres*socio=ac de tirer parti*socio=et des avantages*socio=rien potentiels*socio=uv4 de la mondialisation*socio=ec2. Ces propositions*socio=rien ont été*socio=rien l'un*socio=rien des thèmes*socio=rien de *socio=rien réflexion majeurs du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil en 1998/99. Un*socio=rien consensus*socio=uv1 s'est*socio=rien clairement établi, tant au FMI*socio=ac que dans la communauté*socio=ac financière*socio=ec1 internationale*socio=ac, en faveur*socio=rien d'un*socio=rien renforcement*socio=ec2 du*socio=rien système_financier*socio=ec1 mondial*socio=te destiné à réduire les risques*socio=uv3 que présentent les faiblesses*socio=ec2 institutionnelles*socio=et et la forte*socio=rien instabilité*socio=uv3 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 et à aider les pays*socio=ac qui n'ont pas encore bénéficié de la mondialisation*socio=ec2 à accéder aux marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. Pour la période*socio=te qui a précédé la *socio=rien réunion du comité_intérimaire*socio=ac du printemps *socio=nil 1999, le Conseil*socio=ac s'était fixé un*socio=rien ambitieux*socio=uv2 programme*socio=et de travail*socio=rien comprenant l'examen*socio=ec2 de divers *socio=rien aspects du renforcement*socio=ec2 *socio=nil de l'architecture du*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te; parallèlement, d'autres institutions*socio=ac et instances*socio=et menaient activement une *socio=rien réflexion sur *socio=nil certains de ces aspects*socio=rien. Dès la *socio=rien fin avril *socio=nil 1999, *socio=rien un large *socio=nil accord était intervenu sur*socio=rien plusieurs *socio=rien points clés du renforcement*socio=ec2 *socio=nil de l'architecture et des réformes*socio=et importantes*socio=uv4 avaient été*socio=rien engagées dans plusieurs pays*socio=ac. Pour sa part*socio=rien, le fonds_monétaire_international*socio=ac a pris des mesures*socio=et sur*socio=rien plusieurs plans*socio=rien. Il a considérablement*socio=rien accru la transparence*socio=uv3 de ses politiques*socio=et et activités*socio=rien, approuvé une décision*socio=et sur*socio=rien les lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 préventives*socio=rien afin de protéger les économies*socio=ec1 bien*socio=rien gérées des effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 par les marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 et contribué à l'établissement*socio=rien de codes*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et dans des *socio=rien domaines clés.*socio=nil *socio=nil Cependant, comme l'a noté le comité_intérimaire*socio=ac dans son communiqué d'avril*socio=rien 1999, *socio=rien certaines questions doivent*socio=nil être *socio=nil approfondies et plusieurs des propositions*socio=rien formulées restent à réaliser. Plusieurs réformes*socio=et, qui suscitent *socio=rien un large consensus*socio=uv1 *socio=nil dans la *socio=ac communauté internationale,*socio=nil *socio=nil ne pourront être*socio=rien menées à bien*socio=rien sans la participation*socio=uv3 de nombreux*socio=rien acteurs*socio=ac. Elles ont pour objet*socio=rien: de promouvoir la transparence*socio=uv3 et la responsabilité*socio=uv1, de définir*socio=rien et de diffuser des normes*socio=et et des codes*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et reconnus au plan*socio=rien international*socio=te, et notamment de renforcer la norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données (NSDD), en ce qui concerne plus précisément les réserves_internationales*socio=ec1 et la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te; de renforcer les systèmes_financiers*socio=ec1, notamment par une meilleure*socio=uv4 surveillance*socio=et des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1; de veiller davantage à la libéralisation*socio=et ordonnée des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1; d'associer de plus près le secteur_privé*socio=et à la prévention*socio=uv3 et à la résolution*socio=uv1 des crises*socio=uv2; de veiller à la pertinence*socio=rien des régimes*socio=et de change*socio=ec1; de s'assurer que les ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac sont adéquates*socio=uv2. S'agissant des normes*socio=et internationales*socio=te, les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer que, si le secteur_privé*socio=et a *socio=rien un grand rôle*socio=et *socio=nil à jouer en encourageant l'adoption*socio=uv3 de normes*socio=et, le secteur*socio=rien officiel*socio=et pourrait contribuer à accroître les raisons*socio=rien d'adopter des normes*socio=et et à centrer les efforts*socio=uv1 sur*socio=rien l'amélioration*socio=uv1 de la transparence*socio=uv3. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont estimé qu'il pourrait être*socio=rien utile*socio=uv4 à cet effet*socio=rien de surveiller dans une *socio=rien certaine mesure le*socio=nil respect*socio=uv1 des*socio=nil normes*socio=et *socio=nil et plusieurs administrateurs*socio=ac ont mentionné le rôle*socio=et que le marché*socio=ec1 pourrait jouer lui aussi dans l'évaluation*socio=ec2 de l'application*socio=rien des normes*socio=et. Les membres*socio=ac du*socio=rien Conseil*socio=ac ont aussi été*socio=rien d'avis*socio=rien que tous les aspects*socio=rien d'une architecture renforcée sont imbriqués. Il s'agit notamment du*socio=rien respect*socio=uv1 de normes*socio=et et principes*socio=ec2 internationalement reconnus, du*socio=rien choix*socio=uv1 du*socio=rien régime*socio=et de change*socio=ec1 et du*socio=rien renforcement*socio=ec2 des systèmes*socio=rien de contrôle*socio=uv3, de l'amélioration*socio=uv1 des données, d'une plus grande*socio=rien transparence*socio=uv3 des politiques*socio=et nationales*socio=te et de leur évaluation*socio=ec2 par le FMI*socio=ac, ainsi que du*socio=rien renforcement*socio=ec2 des systèmes_financiers*socio=ec1. Tous ces points*socio=rien sont aussi *socio=rien partie intégrante *socio=nil d'une libéralisation*socio=et ordonnée des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, de la réduction*socio=ec2 de l'instabilité*socio=uv3 des flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1 et du*socio=rien renforcement*socio=ec2 des systèmes_financiers*socio=ec1. En outre, le secteur_privé*socio=et, les autorités*socio=et nationales*socio=te et les institutions*socio=ac et instances*socio=et internationales*socio=te doivent tous collaborer à cette entreprise*socio=ac. Les autorités*socio=et nationales*socio=te doivent s'assurer que les normes*socio=et sont établies et respectées, que les organismes*socio=ac chargés du*socio=rien contrôle*socio=uv3 et de la réglementation*socio=et sont renforcés et que les vulnérabilités sont réduites au *socio=rien minimum grâce *socio=nil à une meilleure*socio=uv4 gestion*socio=ec2 macroéconomique*socio=ec1 et financière*socio=ec1. En même temps*socio=rien, les institutions*socio=ac et sociétés*socio=ac financières*socio=ec1 privées*socio=et doivent respecter les nouvelles*socio=rien normes*socio=et qui sont établies, et le FMI*socio=ac et d'autres institutions*socio=ac et instances*socio=et internationales*socio=te veiller à ce que leurs efforts*socio=uv1 soient complémentaires*socio=rien et efficaces*socio=uv4. Le renforcement*socio=ec2 des politiques_sociales*socio=et contribue à celui de l'architecture financière*socio=ec1 internationale*socio=ac. Les pays*socio=ac doivent être*socio=rien mieux en mesure*socio=rien de supporter l'impact*socio=rien des changements*socio=uv3 qui se produisent inévitablement dans une économie_de_marché*socio=ec1 dynamique*socio=uv4 ainsi que d'atténuer certaines*socio=rien difficultés*socio=uv4 et de maximiser les avantages*socio=rien d'un*socio=rien système_financier*socio=ec1 mondial*socio=te et intégré. Le FMI*socio=ac a collaboré étroitement avec d'autres institutions*socio=ac en vue*socio=rien d'inclure des filets*socio=et de protection_sociale*socio=et dans des programmes*socio=et récents*socio=rien d'Asie*socio=ac. Cependant, la *socio=ac communauté internationale *socio=nil doit faire davantage, et doit notamment établir des codes*socio=et de bonnes*socio=rien *socio=et pratiques sociales,*socio=nil domaine*socio=rien *socio=nil dans lequel la banque_mondiale*socio=ac joue un*socio=rien rôle*socio=et directeur*socio=rien 6, et des filets*socio=et de protection_sociale*socio=et avant qu'une crise*socio=uv2 éclate. Le consensus*socio=uv1 dégagé et les progrès*socio=uv1 accomplis en ce qui concerne les *socio=rien principaux aspects du renforcement*socio=ec2 *socio=nil de l'architecture financière*socio=ec1 internationale*socio=ac jusqu'à la *socio=rien fin avril *socio=nil 1999 sont exposés dans le *socio=rien présent chapitre *socio=nil 7. Transparence*socio=uv3, normes*socio=et et surveillance*socio=et Une plus grande*socio=rien transparence*socio=uv3 de la politique_économique*socio=ec1 est*socio=rien l'un*socio=rien des aspects*socio=rien importants*socio=uv4 du*socio=rien renforcement*socio=ec2 de l'architecture financière*socio=ec1 internationale*socio=ac, car une transparence*socio=uv3 accrue aide*socio=uv1 les pays_membres*socio=ac et les institutions_internationales*socio=ac à améliorer leur processus*socio=te décisionnel*socio=rien et leurs résultats*socio=rien économiques*socio=ec1. Le FMI*socio=ac a *socio=rien un double rôle*socio=et *socio=nil à jouer à cet égard*socio=rien: encourager les pays_membres*socio=ac à plus de transparence*socio=uv3 et faire preuve*socio=ec2 de plus d'ouverture*socio=uv3 dans ses politiques*socio=et et dans les conseils*socio=ac qu'il leur fournit, sans pour autant sacrifier le légitime*socio=uv2 besoin*socio=uv1 de confidentialité*socio=uv1 et de franchise en ce qui concerne les entretiens*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac avec les autorités*socio=et nationales*socio=te. La transparence*socio=uv3 suppose aussi une ouverture*socio=uv3 accrue du*socio=rien secteur_privé*socio=et, car de nombreuses*socio=rien normes*socio=et (par exemple*socio=rien dans le domaine*socio=rien de la comptabilité*socio=ec1, de la vérification*socio=rien des comptes*socio=ec1, des faillites*socio=ec1, du*socio=rien gouvernement*socio=ac d'entreprise*socio=ac, de la réglementation*socio=et des marchés*socio=ec1 de *socio=ec1 valeurs mobilières,*socio=nil *socio=nil etc.) sont appliquées en fin*socio=rien de compte*socio=ec1 au niveau*socio=rien des entreprises*socio=ac. Des points*socio=rien d'interrogation*socio=rien subsistent - on citera les places financières*socio=ec1 offshore et le niveau*socio=rien voulu de publicité*socio=rien financière*socio=ec1 et de réglementation*socio=et dans le cas*socio=rien des institutions*socio=ac à fort*socio=rien levier*socio=ec2 financier*socio=ec1 - mais des progrès*socio=uv1 ont été*socio=rien accomplis *socio=rien sur un certain nombre de*socio=nil fronts.*socio=nil Efforts*socio=uv1 *socio=nil visant à renforcer la transparence*socio=uv3 et la responsabilité*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac et des pays_membres*socio=ac Au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années,*socio=nil le*socio=nil conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil a adopté une série de mesures*socio=et pour améliorer la transparence*socio=uv3 des *socio=rien activités du FMI*socio=ac *socio=nil et des politiques*socio=et des pays_membres*socio=ac. Ces mesures*socio=et visaient: la définition*socio=rien d'une politique*socio=et de diffusion*socio=rien des notes d'information*socio=rien au public*socio=et (NIP) à la suite*socio=rien de l'examen*socio=ec2 par le conseil_d'_administration*socio=ac des rapports*socio=rien de consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV 8. Les pays_membres*socio=ac sont vivement encouragés à accepter la diffusion*socio=rien de ces notes, et elles ont été*socio=rien rendues publiques*socio=et dans plus de 70 % des cas*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1998/99; la publication*socio=rien de *socio=rien documents relatifs *socio=nil à l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés, l'appel*socio=rien à des commentaires*socio=rien publics*socio=et sur*socio=rien l'Initiative*socio=rien, ainsi que sur*socio=rien les conclusions*socio=rien des évaluations*socio=ec2 internes*socio=te et externes*socio=ec1 de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 du*socio=rien FMI*socio=ac. L'évaluation*socio=ec2 préliminaire*socio=rien par le FMI*socio=ac des programmes*socio=et qu'il soutient en Asie*socio=ac a elle aussi été*socio=rien rendue publique*socio=et; l'évaluation*socio=ec2 externe*socio=ec1 des activités*socio=rien de surveillance*socio=et et d'études*socio=ec2 économiques*socio=ec2 du*socio=rien FMI*socio=ac - les rapports*socio=rien d'évaluation*socio=ec2 devraient être*socio=rien achevés d'ici à l'été*socio=rien 1999 et rendus publics*socio=et par la suite*socio=rien; la publication*socio=rien régulière*socio=ec2 par le FMI*socio=ac, sur*socio=rien son site*socio=rien Internet*socio=ec1, de données relatives*socio=rien à sa position*socio=rien de liquidité*socio=ec1 et aux comptes*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac dans ses livres. En mars*socio=rien et avril*socio=rien 1999, le conseil_d'_administration*socio=ac a pris des décisions*socio=et supplémentaires*socio=rien pour renforcer la transparence*socio=uv3. Elles ont notamment pour effet*socio=rien de: poser en_principe*socio=ec2 que les pays*socio=ac divulgueront leurs lettres*socio=rien d'intention*socio=rien, mémorandums de politiques_économiques*socio=et et financières*socio=ec1 et documents-cadres*socio=et de politique_économique*socio=ec1 qui forment la base*socio=rien des programmes*socio=et soutenus par le FMI*socio=ac rendre public*socio=et le résumé par le Président*socio=ac des principales*socio=rien observations*socio=ec2 formulées par les administrateurs*socio=ac *socio=rien lors du débat*socio=et sur l'*socio=nil utilisation des*socio=nil ressources*socio=ec1 du FMI*socio=ac par*socio=nil un pays*socio=ac;*socio=nil définir un programme*socio=et *socio=nil pilote prenant fin*socio=rien le 4 octobre*socio=rien 2000 pour la divulgation*socio=et volontaire*socio=uv4 par les pays_membres*socio=ac de rapports*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV (y compris de rapports*socio=rien portant aussi sur*socio=rien l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac); établir une politique*socio=et systématique*socio=rien de diffusion*socio=rien des NIP à la suite*socio=rien de l'examen*socio=ec2 par le conseil_d'_administration*socio=ac de questions*socio=rien de politique*socio=et générale*socio=rien; élargir l'accès*socio=uv1 du*socio=rien public*socio=et aux archives du*socio=rien FMI*socio=ac, notamment en abaissant les délais*socio=rien d'ouverture*socio=uv3 des archives de trente ans*socio=rien à *socio=rien cinq ans *socio=nil pour les *socio=rien documents du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil et à *socio=rien vingt ans *socio=nil pour les autres documents*socio=rien. En ce qui concerne les étapes*socio=te suivantes*socio=rien, le conseil_d'_administration*socio=ac se propose de: faire le *socio=rien point sur le*socio=nil programme*socio=et *socio=nil pilote de divulgation*socio=et des rapports*socio=rien de consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV et sur*socio=rien la politique*socio=et relative*socio=rien à l'accès*socio=uv1 aux archives du*socio=rien FMI*socio=ac, dans des délais*socio=rien de dix-huit mois*socio=rien et de deux ans*socio=rien, respectivement; de réexaminer dans six mois*socio=rien la question*socio=rien de la diffusion*socio=rien des NIP et des rapports*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac sur*socio=rien l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 de l'institution*socio=ac; continuer de dresser le bilan*socio=rien des programmes*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac et de sa mission*socio=et de surveillance*socio=et; faire le *socio=rien point sur le*socio=nil processus*socio=te d'*socio=nil évaluation*socio=ec2 externe*socio=ec1 *socio=nil de la FASR*socio=ec1 et des activités*socio=rien de surveillance*socio=et et d'études*socio=ec2 économiques*socio=ec2 du*socio=rien FMI*socio=ac en vue*socio=rien d'examiner des *socio=rien propositions sur les*socio=nil activités futures*socio=te *socio=nil et les modalités*socio=rien de l'évaluation*socio=ec2 externe*socio=ec1 vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien civile*socio=ac 1999. Préparation*socio=rien de normes*socio=et à l'intention*socio=rien des pays_membres*socio=ac Considérant qu'il s'agit d'un*socio=rien moyen*socio=rien important*socio=uv4 de renforcer le système_financier*socio=ec1 international*socio=te, le FMI*socio=ac cherche à promouvoir la définition*socio=rien, la diffusion*socio=rien et l'adoption*socio=uv3 de normes*socio=et ou de codes*socio=et de pratiques*socio=et reconnus au plan*socio=rien international*socio=te qui régiraient les activités_économiques*socio=ec1, financières*socio=ec1 et commerciales*socio=ec1. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1998/99, il a beaucoup progressé sur*socio=rien la voie*socio=rien de la définition*socio=rien et de la mise au point*socio=rien de normes*socio=et volontaires*socio=uv4 dans des domaines*socio=rien relevant directement de ses opérations*socio=rien (diffusion*socio=rien de données; transparence*socio=uv3 des politiques_budgétaires*socio=et, monétaires*socio=ec1 et financières*socio=ec1; et, en concertation*socio=uv1 avec d'autres institutions*socio=ac, contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1): La norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données (NSDD) - norme*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien de diffusion*socio=rien des données économiques*socio=ec1 et financières*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac qui ont accès*socio=uv1 ou cherchent à accéder aux marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te - a été*socio=rien renforcée notamment en ce qui concerne les réserves_internationales*socio=ec1, l'endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te et les moyens*socio=ec1 de contrôler son application*socio=rien (voir encadré 2). *socio=rien Fin avril *socio=nil 1999, 47 pays*socio=ac avaient souscrit à la NSDD; la *socio=rien préparation du système général de*socio=nil diffusion *socio=nil des données (SGDD), destiné aux pays*socio=ac qui ne sont pas en mesure*socio=rien de souscrire à la NSDD, se poursuivra; *socio=rien un manuel de*socio=nil transparence*socio=uv3 budgétaire*socio=et *socio=nil ayant pour objet*socio=rien d'aider les pays_membres*socio=ac à respecter le Code*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien de transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et - Déclaration*socio=et de principe*socio=ec2 a été*socio=rien approuvé. Le Code*socio=et, le Manuel*socio=rien, le questionnaire*socio=rien et le rapport*socio=rien d'auto-évaluation sont *socio=rien disponibles sur le*socio=nil site Internet*socio=ec1 du FMI*socio=ac.*socio=nil *socio=nil En outre, une boîte aux *socio=rien lettres électronique spéciale a*socio=nil été *socio=nil créée à l'intention*socio=rien des autorités*socio=et nationales*socio=te ayant besoin*socio=uv1 d'aide*socio=uv1 pour évaluer la transparence*socio=uv3 de leur gestion*socio=ec2 budgétaire*socio=et et préparer son amélioration*socio=uv1; le projet*socio=et de Code*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et pour la transparence*socio=uv3 des politiques_monétaires*socio=et et financières*socio=ec1 *socio=rien est bien *socio=nil avancé. Le FMI*socio=ac travaille à ce projet*socio=et avec la BRI*socio=ac, des banques_centrales*socio=ac représentatives*socio=uv2, d'autres organismes*socio=ac de réglementation*socio=et et de contrôle*socio=uv3 financier*socio=ec1, la banque_mondiale*socio=ac, l'Organisation*socio=ac de coopération*socio=uv1 et de développement*socio=uv3 économiques*socio=ec1 (OCDE*socio=ac) et des membres*socio=ac de l'enseignement_supérieur*socio=et. À la suite*socio=rien de son examen*socio=ec2 par le conseil_d'_administration*socio=ac en avril*socio=rien 1999, le projet*socio=et de code*socio=et a été*socio=rien placé sur*socio=rien le site*socio=rien Internet*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac pour consultation*socio=uv1; en ce qui concerne le contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1, un*socio=rien projet*socio=et de manuel*socio=rien d'évaluation*socio=ec2 de l'application*socio=rien des Principes*socio=ec2 fondamentaux*socio=uv4 de Bâle a été*socio=rien préparé par un*socio=rien groupe_de_travail*socio=ac, où sont représentés le FMI*socio=ac et la banque_mondiale*socio=ac, et sera examiné prochainement par le Comité*socio=ac de Bâle sur*socio=rien le contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1 (ci-après appelé le Comité*socio=ac de Bâle). Les étapes*socio=te suivantes*socio=rien prévues pour la définition*socio=rien et de la mise au point*socio=rien des normes*socio=et, sont les suivantes*socio=rien: s'agissant de la NSDD, affiner les propositions*socio=rien pour la période*socio=te transitoire*socio=rien concernant le respect*socio=uv1 des nouvelles*socio=rien spécifications relatives*socio=rien à la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, après*socio=rien de nouvelles*socio=rien consultations*socio=uv1 avec les pays*socio=ac, les utilisateurs*socio=rien et d'autres organisations_internationales*socio=ac; étudier l'inclusion*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 macro-prudentiels dans la NSDD; appliquer les méthodes*socio=ec2 de suivi adoptées; et réexaminer les modalités*socio=rien (périodicité*socio=te et délais*socio=rien de diffusion*socio=rien) prescrites*socio=rien pour les données sur*socio=rien les réserves*socio=ec1, dans le cadre*socio=rien de la prochaine*socio=rien revue de la NSDD, vers la fin*socio=rien de 1999; tous les pays*socio=ac sont encouragés à évaluer la transparence*socio=uv3 de leurs finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Lorsqu'un*socio=rien manque*socio=rien de transparence*socio=uv3 nuit à la formulation*socio=rien et à l'application*socio=rien des mesures*socio=et, les autorités*socio=et nationales*socio=te sont invitées à recenser les faiblesses*socio=ec2 et à améliorer les pratiques*socio=et, une assistance*socio=uv1 technique*socio=rien leur étant fournie au besoin*socio=uv1; la *socio=rien préparation du Code*socio=et de*socio=nil bonnes pratiques*socio=et *socio=nil pour la transparence*socio=uv3 des politiques_monétaires*socio=et et financières*socio=ec1 se poursuivra et il est*socio=rien prévu qu'une version*socio=rien révisée sera soumise à l'approbation*socio=uv1 du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac lors*socio=rien de l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te de 1999. *socio=rien Un document de*socio=nil travail *socio=nil contenant des exemples*socio=rien de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et sera établi pour aider les pays_membres*socio=ac qui cherchent à accroître la transparence*socio=uv3 de leurs politiques_monétaires*socio=et et financières*socio=ec1. Le rôle*socio=et des normes*socio=et dans la surveillance*socio=et par le FMI*socio=ac Après*socio=rien avoir examiné en juillet*socio=rien 1998 les normes*socio=et et la mission*socio=et de surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, le conseil_d'_administration*socio=ac a repris l'examen*socio=ec2 du*socio=rien rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac à l'égard*socio=rien des normes*socio=et. Un*socio=rien consensus*socio=uv1 se dégageait parmi les administrateurs*socio=ac *socio=rien fin avril 1999*socio=nil sur un certain nombre de*socio=nil points essentiels*socio=uv4:*socio=nil des*socio=nil systèmes_financiers*socio=ec1 intérieurs*socio=te et*socio=nil international*socio=te *socio=nil recouvrent une variété*socio=rien de domaines*socio=rien, dont la diffusion*socio=rien des données, la transparence*socio=uv3 des politiques_budgétaires*socio=et, monétaires*socio=ec1 et financières*socio=ec1, la réglementation*socio=et et le contrôle*socio=uv3 bancaires*socio=ec1, la réglementation*socio=et des *socio=ec1 valeurs mobilières *socio=nil et des assurances*socio=ec1, la comptabilité*socio=ec1 et l'audit, les faillites*socio=ec1 et le gouvernement*socio=ac d'entreprise*socio=ac; le secteur*socio=rien officiel*socio=et peut renforcer les incitations*socio=uv3 à adopter les normes*socio=et - notamment en contrôlant d'une manière*socio=rien ou d'une autre dans quelle mesure*socio=rien les pays*socio=ac les respectent - et en aidant à concentrer les efforts*socio=uv1 sur*socio=rien l'accroissement*socio=ec2 de la transparence*socio=uv3; le contrôle*socio=uv3 du*socio=rien respect*socio=uv1 des normes*socio=et doit peut-être aller au-delà de la divulgation*socio=et de certaines*socio=rien normes*socio=et pour porter aussi, dans la *socio=rien mesure du possible,*socio=nil sur *socio=nil la substance de la politique*socio=et du*socio=rien *socio=ac pays membre par*socio=nil rapport*socio=rien *socio=nil à la norme*socio=et; il convient de veiller à ce que la méthode*socio=ec2 de contrôle*socio=uv3 ne compromette pas la confidentialité*socio=uv1 des *socio=rien rapports du FMI*socio=ac *socio=nil avec les *socio=ac pays membre *socio=nil qu'il conseille. Les questions*socio=rien et les modalités*socio=rien pratiques*socio=et relatives*socio=rien à la préparation*socio=rien des "rapports*socio=rien de transparence*socio=uv3" - qui indiquent dans quelle *socio=rien mesure un pays*socio=ac *socio=nil respecte des normes*socio=et d'information*socio=rien reconnues au plan*socio=rien international*socio=te - recommandés par les Groupes*socio=ac des Vingt-deux*socio=rien et des Sept sont complexes. Pour mettre en relief*socio=rien les *socio=rien aspects concrets du contrôle*socio=uv3 du respect*socio=uv1 des*socio=nil normes*socio=et,*socio=nil les*socio=nil services*socio=et du FMI*socio=ac *socio=nil ont préparé une première*socio=rien série d'études*socio=ec2 de *socio=rien cas expérimentales portant*socio=nil sur les*socio=nil pratiques*socio=et de*socio=nil transparence*socio=uv3 *socio=nil de certains pays_membres*socio=ac; ces études*socio=ec2 ont été*socio=rien rendues publiques*socio=et 10. Étant donné la complexité*socio=rien de ces questions*socio=rien, les administrateurs*socio=ac sont convenus qu'une deuxième*socio=rien série d'études*socio=ec2 de cas*socio=rien - portant *socio=rien sur un éventail plus*socio=nil large de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil y compris des pays*socio=ac où l'application*socio=rien des normes*socio=et est*socio=rien moins avancée - s'impose pour accroître le rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans ce domaine*socio=rien et disposer ainsi de *socio=rien propositions concrètes au*socio=nil moment *socio=nil de l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te de 1999. Il convient de poursuivre l'examen*socio=ec2 de quelques points*socio=rien: Le rôle*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans le contrôle*socio=uv3 du*socio=rien respect*socio=uv1 des normes*socio=et internationales*socio=te régissant*socio=rien les domaines*socio=rien qui relèvent directement de ses activités*socio=rien ou les domaines*socio=rien essentiels*socio=uv4. Le FMI*socio=ac dispose d'un*socio=rien savoir-faire*socio=uv3 qui lui permet d'évaluer l'observation*socio=ec2 des normes*socio=et internationales*socio=te par les pays*socio=ac dans quatre domaines*socio=rien essentiels*socio=uv4 - diffusion*socio=rien des données, transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, transparence*socio=uv3 des politiques_monétaires*socio=et et financières*socio=ec1, et, de concert*socio=uv1 avec d'autres organisations*socio=ac, contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1. L'intervention*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans les normes*socio=et régissant*socio=rien des domaines*socio=rien qui ne relèvent pas directement de ses activités*socio=rien, ni de son domaine*socio=rien de compétence*socio=uv3 (domaines*socio=rien non essentiels*socio=uv4). Ces autres normes*socio=et - comptabilité*socio=ec1, audit, faillites*socio=ec1, gestion*socio=ec2 d'entreprises*socio=ac, réglementation*socio=et des assurances*socio=ec1 et des *socio=ec1 valeurs mobilières *socio=nil - sont importantes*socio=uv4 aussi pour le *socio=rien bon fonctionnement des*socio=nil systèmes_financiers*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil organismes*socio=ac *socio=nil chargés de l'établissement*socio=rien des normes*socio=et dans certains de ces domaines*socio=rien non essentiels*socio=uv4 ne sont probablement pas à même de déterminer de manière*socio=rien indépendante*socio=uv2 le respect*socio=uv1 des normes*socio=et qu'ils ont mises au point*socio=rien. Pour le suivi des domaines*socio=rien non essentiels*socio=uv4, d'autres organisations*socio=ac financières*socio=ec1 internationales*socio=te ou groupes*socio=ac d'organisations*socio=ac devraient procéder à des évaluations*socio=ec2 systématiques*socio=uv4 ou généralisées de ces normes*socio=et 11. L'utilisation*socio=rien du*socio=rien savoir-faire*socio=uv3 d'autres organisations*socio=ac dans des *socio=rien domaines particuliers *socio=nil et l'exploitation*socio=ec1 efficace*socio=uv4 de ces connaissances*socio=ec2 dans les activités*socio=rien de surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, afin de mieux recenser les vulnérabilités. Renforcement*socio=ec2 des systèmes_financiers*socio=ec1 Le renforcement*socio=ec2 des systèmes_financiers*socio=ec1 *socio=rien est un élément essentiel*socio=uv4 *socio=nil de la nouvelle*socio=rien architecture. En conséquence*socio=rien, le FMI*socio=ac, la banque_mondiale*socio=ac, le Comité*socio=ac de Bâle, d'autres grands*socio=rien organes*socio=ac internationaux*socio=te et les autorités*socio=et de contrôle*socio=uv3 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 de*socio=nil diverses régions*socio=te *socio=nil ont redoublé d'efforts*socio=uv1 pour définir*socio=rien et diffuser des bonnes*socio=rien pratiques*socio=et et des principes*socio=ec2 internationaux*socio=te devant*socio=rien servir de base*socio=rien à des systèmes_financiers*socio=ec1 solides*socio=uv4. Les principales*socio=rien mesures*socio=et prises*socio=rien récemment sont: L'examen*socio=ec2 par de nombreux*socio=rien organismes*socio=ac nationaux*socio=te de contrôle*socio=uv3 et de réglementation*socio=et financières*socio=ec1 de leurs procédures*socio=et actuelles*socio=te, en vue*socio=rien de renforcer le contrôle*socio=uv3 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 *socio=nil à la lumière*socio=rien d'événements*socio=rien récents*socio=rien, notamment en ce qui concerne les institutions*socio=ac à fort*socio=rien levier*socio=ec2 financier*socio=ec1. L'examen*socio=ec2 par le Comité*socio=ac de Bâle des lacunes*socio=uv4 des *socio=rien travaux existants,*socio=nil *socio=nil en ce qui concerne notamment les données, l'attitude*socio=uv3 à l'égard*socio=rien des banques*socio=ac faibles*socio=rien, les filets*socio=et de protection*socio=et, l'agrément bancaire*socio=ec1, la bonne*socio=rien administration*socio=ec1 et les questions*socio=rien d'ordre*socio=rien juridique*socio=et et judiciaire*socio=et; la création*socio=uv4 d'un*socio=rien groupe*socio=ac spécial*socio=rien de travail*socio=rien, avec la participation*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac et de la banque_mondiale*socio=ac, chargé d'examiner l'Accord*socio=et de 1988 sur*socio=rien les fonds*socio=ec1 propres*socio=rien, qui définit*socio=rien le montant*socio=ec1 des provisions*socio=rien que les banques*socio=ac internationales*socio=te doivent constituer par catégorie*socio=rien de prêt*socio=ec1; et la publication*socio=rien par le Comité*socio=ac de Bâle de *socio=rien rapports sur les*socio=nil normes*socio=et régissant les*socio=nil relations *socio=nil entre les banques*socio=ac et les institutions*socio=ac à fort*socio=rien levier*socio=ec2 financier*socio=ec1. La mise en *socio=rien place du Forum*socio=ac *socio=nil pour la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1, en vue*socio=rien de renforcer la coopération*socio=uv1 entre les organisations_internationales*socio=ac, les organes*socio=ac de réglementation*socio=et et les groupes_d'_experts*socio=ac chargés de la réglementation*socio=et et de la supervision*socio=rien financières*socio=ec1 et de suivre en permanence*socio=rien les facteurs*socio=rien de vulnérabilité*socio=uv1. Le Forum*socio=ac a établi trois groupes_de_travail*socio=ac spécialisés*socio=uv4 dans les *socio=rien domaines suivants:*socio=nil institutions*socio=ac à*socio=nil fort levier*socio=ec2 financier*socio=ec1,*socio=nil places*socio=nil financières*socio=ec1 *socio=nil offshores et problèmes*socio=uv4 que pourraient connaître les pays*socio=ac *socio=rien du fait des*socio=nil flux*socio=ec1 de*socio=nil capitaux*socio=ec1 courts.*socio=nil Des*socio=nil mesures*socio=et prises *socio=nil par le FMI*socio=ac et la banque_mondiale*socio=ac pour assurer une collaboration*socio=uv1 efficace*socio=uv4, en particulier*socio=rien dans le secteur*socio=rien financier*socio=ec1 (voir encadré 3). L'achèvement*socio=rien par le Comité*socio=ac international*socio=te des normes*socio=et comptables*socio=rien de la préparation*socio=rien d'une série de normes*socio=et comptables*socio=rien internationales*socio=te qui pourraient être*socio=rien adoptées pour les cotations en bourse*socio=ac à l'étranger*socio=te. Les progrès*socio=uv1 accomplis par l'OCDE*socio=ac dans la mise au point*socio=rien des principes*socio=ec2 du*socio=rien gouvernement*socio=ac d'entreprise*socio=ac. Outre l'établissement*socio=rien de normes*socio=et et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et, l'effort*socio=uv1 doit aussi viser à garantir l'efficience*socio=uv3 et l'efficacité*socio=uv3 *socio=rien du cadre juridique*socio=et des*socio=nil systèmes_financiers*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil À cet effet*socio=rien, plusieurs pays*socio=ac ont pris des mesures*socio=et opportunes*socio=rien pour améliorer leur législation*socio=et et leurs procédures*socio=et en matière*socio=rien de faillite*socio=ec1, mais cet effort*socio=uv1 doit être*socio=rien poursuivi et élargi. Dans ce contexte*socio=rien, les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac ont préparé *socio=rien un rapport sur des*socio=nil procédures*socio=et *socio=nil ordonnées et effectives*socio=rien d'insolvabilité, qui identifie et examine les *socio=rien principales questions *socio=nil que posent à tous les pays*socio=ac la conception*socio=et et l'applicabilité de telles procédures*socio=et. De son côté*socio=rien, la banque_mondiale*socio=ac se propose de définir*socio=rien à l'intention*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 des directives*socio=et pour la mise en place*socio=rien de régimes*socio=et efficaces*socio=uv4 d'insolvabilité. En outre, la Commission*socio=ac des nations_unies*socio=ac pour le droit*socio=uv1 commercial*socio=ec1 international*socio=te (CNUDCI) - qui a proposé une loi-modèle sur*socio=rien l'insolvabilité extra-territoriale et a contribué au *socio=rien rapport du FMI*socio=ac *socio=nil - s'est*socio=rien montrée très intéressée par une collaboration*socio=uv1 avec le FMI*socio=ac et la banque_mondiale*socio=ac sur*socio=rien ce plan*socio=rien. Dans son communiqué d'avril*socio=rien 1999, le comité_intérimaire*socio=ac a noté avec satisfaction*socio=uv3 les travaux*socio=rien menés par le FMI*socio=ac dans le *socio=rien domaine du droit*socio=uv1 des*socio=nil faillites*socio=ec1 *socio=nil et l'a appelé à poursuivre sa collaboration*socio=uv1 avec la banque_mondiale*socio=ac, la CNUDCI et les autres institutions*socio=ac compétentes*socio=uv4 pour établir *socio=rien un système efficace*socio=uv4 de*socio=nil réglementation*socio=et des*socio=nil faillites*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Tout en notant que les nouvelles*socio=rien normes*socio=et ont *socio=rien un caractère volontaire*socio=uv4,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil a encouragé les pays*socio=ac à les adopter au fur*socio=rien et à mesure*socio=rien qu'elles seront établies. *socio=rien Questions relatives aux*socio=nil mouvements_de_capitaux*socio=ec1 Les*socio=nil avis *socio=nil concordent largement sur*socio=rien le fait*socio=rien que l'intégration*socio=uv1 financière*socio=ec1, et notamment la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, comporte de *socio=rien nombreux avantages.*socio=nil *socio=nil Mais, cette libéralisation*socio=et n'est*socio=rien pas sans risques*socio=uv3 et elle doit être*socio=rien menée avec prudence*socio=uv1. En 1998/99, le Conseil*socio=ac a discuté à deux reprises 12 de la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, la *socio=rien deuxième séance de*socio=nil travail sur ce*socio=nil sujet (*socio=nil mars *socio=nil 1999) étant consacrée à faire le bilan*socio=rien des mesures*socio=et de contrôle*socio=uv3 utilisées par certains pays_membres*socio=ac et des résultats*socio=rien observés lors*socio=rien de l'abolition*socio=uv3 de ces dispositions*socio=et. Le Conseil*socio=ac a estimé que: la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 doit être*socio=rien pleinement soutenue par *socio=rien un cadre macroéconomique*socio=ec1 homogène*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil en ce qui concerne notamment la politique_monétaire*socio=et et la politique*socio=et de change*socio=ec1, et par un*socio=rien *socio=et dispositif institutionnel propre*socio=rien *socio=nil à permettre aux intermédiaires*socio=rien financiers*socio=ec1 et aux autres intervenants*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de mieux gérer les risques*socio=uv3 et de mieux soutenir ces deux politiques*socio=et. en dépit*socio=rien de ce principe*socio=ec2 général*socio=rien, les pays*socio=ac ont eu des pratiques*socio=et très diverses*socio=rien pour ce qui *socio=rien est du rythme*socio=ec2 *socio=nil et de l'ordre*socio=rien de priorité*socio=uv4 des mesures*socio=et de libéralisation*socio=et. Les avis*socio=rien des administrateurs*socio=ac divergent aussi quant à l'utilité*socio=rien et à l'efficacité*socio=uv3 du*socio=rien contrôle*socio=uv3 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Le bilan*socio=rien des crises*socio=uv2 des *socio=rien dernières années a*socio=nil fait *socio=nil ressortir que, dans bien*socio=rien des cas*socio=rien, une libéralisation*socio=et mal*socio=rien encadrée et dont l'ordre*socio=rien de priorité*socio=uv4 laisse à désirer ainsi que des politiques_monétaire*socio=et et cambiaire peu cohérentes*socio=rien ont entraîné l'accumulation*socio=ec2 de déséquilibres*socio=uv3 qui a précédé la crise*socio=uv2 des marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2. *socio=rien Du fait *socio=nil de l'endettement*socio=ec1 à court_terme*socio=te excessif*socio=uv4 et du*socio=rien recours*socio=ec1 intense*socio=rien à l'effet*socio=rien de levier*socio=ec2 *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1 *socio=nil et des entreprises*socio=ac, les économies*socio=ec1 étaient mal*socio=rien armées pour résister aux chocs*socio=ec2 extérieurs*socio=te et à une baisse*socio=ec2 de la confiance*socio=uv1. En outre, cette vulnérabilité*socio=uv1 a été*socio=rien accentuée par une mauvaise*socio=rien évaluation*socio=ec2 des risques*socio=uv3 et par le comportement*socio=rien grégaire des investisseurs*socio=ac. Il ressort également *socio=rien du bilan *socio=nil de la crise*socio=uv2 que, lorsque les remous*socio=rien financiers*socio=ec1 ont commencé et surtout lorsqu'ils se sont intensifiés après*socio=rien la défaillance*socio=rien de la Russie*socio=ac en août*socio=rien 1998, des pays*socio=ac dont les politiques*socio=et semblaient adéquates*socio=uv2 n'en ont pas moins souffert de la grande*socio=rien instabilité*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. Des pays*socio=ac qui menaient des politiques_monétaire*socio=et et cambiaire cohérentes*socio=rien et soutenaient la libéralisation*socio=et par des réformes*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 *socio=nil ont pu mieux faire face*socio=rien aux entrées, puis aux sorties, de capitaux*socio=ec1. Tout en appuyant la poursuite*socio=rien de la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, les administrateurs*socio=ac se sont demandé, lors*socio=rien de leur réunion*socio=rien de mars*socio=rien 1999, dans quelle mesure*socio=rien leur réglementation*socio=et peut être*socio=rien utile*socio=uv4 et efficace*socio=uv4, et ils ont estimé qu'une distinction*socio=rien s'imposait entre le contrôle*socio=uv3 des entrées et celui des sorties. La plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac ont conclu que la réintroduction du*socio=rien contrôle*socio=uv3 des sorties de capitaux*socio=ec1 n'était pas un*socio=rien instrument*socio=et efficace*socio=uv4 durant une crise*socio=uv2. Pour être*socio=rien efficace*socio=uv4, même temporairement*socio=rien, le dispositif*socio=et de contrôle*socio=uv3 doit *socio=rien être vaste et*socio=nil strict;*socio=nil or*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil plus il *socio=rien est vaste et*socio=nil strict,*socio=nil *socio=nil plus il risque*socio=uv3 d'entraver les *socio=ec1 transactions commerciales *socio=nil et le service_de_la_dette*socio=ec1, donc de décourager les opérations*socio=rien de refinancement*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 et les nouvelles*socio=rien entrées de capitaux*socio=ec1. Aussi considère-t-on en général*socio=rien que la réglementation*socio=et des sorties de capitaux*socio=ec1 risque*socio=uv3 d'aggraver la sévérité*socio=uv3 de l'ajustement*socio=et extérieur*socio=te et d'avoir des conséquences*socio=rien dommageables*socio=uv4 de plus longue*socio=rien durée*socio=te pour l'accès*socio=uv1 du*socio=rien pays*socio=ac au financement*socio=ec1 international*socio=te. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont toutefois estimé que le rétablissement*socio=rien des contrôles*socio=et sur*socio=rien les sorties peut être*socio=rien utile*socio=uv4 s'il *socio=rien est conjugué *socio=nil à une participation*socio=uv3 appropriée du*socio=rien secteur_privé*socio=et et s'il se situe dans le cadre*socio=rien d'efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et. Les avis*socio=rien étaient beaucoup plus partagés sur*socio=rien la question*socio=rien de l'efficacité*socio=uv3 des mesures*socio=et visant à décourager les entrées de capitaux*socio=ec1 ou à les contrôler. Si l'effet*socio=rien du*socio=rien contrôle*socio=uv3 sur*socio=rien le volume*socio=rien des entrées de capitaux*socio=ec1 *socio=rien est sujet à*socio=nil controverse*socio=uv1,*socio=nil *socio=nil il semble plus largement admis qu'il tend à en modifier la composition*socio=rien au profit*socio=ec1 des apports*socio=rien à long_terme*socio=te. Les pays*socio=ac qui ont réglementé les entrées de capitaux*socio=ec1 n'ont cependant pas échappé à de graves*socio=uv4 revirement*socio=rien de ces flux*socio=ec1 lorsque leurs politiques*socio=et étaient inadéquates*socio=uv4. Les administrateurs*socio=ac ont donc souligné que le contrôle*socio=uv3 des entrées de capitaux*socio=ec1 ne saurait se substituer à des mesures*socio=et plus fondamentales*socio=uv4 et que, si l'on décide d'y recourir, il doit s'inscrire dans le cadre*socio=rien d'une politique*socio=et plus large*socio=rien. On peut faire valoir que la réglementation*socio=et des entrées se justifie parfois pour des raisons*socio=rien prudentielles*socio=uv2 lorsque le cadre*socio=rien institutionnel*socio=et et réglementaire*socio=et *socio=rien est fragile,*socio=nil *socio=nil et pour faire face*socio=rien aux tensions*socio=ec2 extérieures*socio=te du*socio=rien marché*socio=ec1. Il n'en a pas moins été*socio=rien souligné qu'il est*socio=rien généralement préférable*socio=uv4 de remédier aux difficultés*socio=uv4 de cet ordre*socio=rien directement pour préserver les systèmes_financiers*socio=ec1 des risques*socio=uv3 et éviter que le contrôle*socio=uv3 des capitaux*socio=ec1 ne compromette l'efficience*socio=uv3 de la mobilisation*socio=uv3 et de l'affectation*socio=ec1 des *socio=ec1 ressources financières.*socio=nil *socio=nil En ce qui concerne les étapes*socio=te suivantes*socio=rien les administrateurs*socio=ac ont été*socio=rien d'avis*socio=rien qu'il fallait: afin de tirer des conclusions*socio=rien quant aux pratiques*socio=et optimales*socio=uv4, que les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac continuent d'affiner leur analyse*socio=ec2 et d'examiner l'efficacité*socio=uv3 avec laquelle divers pays*socio=ac utilisent certaines*socio=rien mesures*socio=et de contrôle*socio=uv3 précises*socio=rien, ainsi que la libéralisation*socio=et par certains pays*socio=ac de différentes*socio=rien composantes*socio=ec1 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1; que des efforts*socio=uv1 supplémentaires*socio=rien soient faits*socio=rien pour s'assurer que le FMI*socio=ac axe sa surveillance*socio=et sur*socio=rien l'ordre*socio=rien de priorité*socio=uv4 des différentes*socio=rien phases*socio=te de la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 et que des garde-fous*socio=uv efficaces*socio=uv4 sont en place*socio=rien pour aider l'économie*socio=ec1, et spécialement le système_financier*socio=ec1, à résister aux chocs*socio=ec2 éventuels*socio=te; que l'amélioration*socio=uv1 de la déclaration*socio=et et du*socio=rien suivi des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 se poursuive et vise notamment à aider les pays_membres*socio=ac à renforcer le suivi des mouvements_de_capitaux_privés*socio=et à court_terme*socio=te, eu égard*socio=rien, en particulier*socio=rien, aux lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 interbancaires*socio=ec2. Participation*socio=uv3 du*socio=rien secteur_privé*socio=et à la prévention*socio=uv3 et à la résolution*socio=uv1 des crises*socio=uv2 L'effort*socio=uv1 visant à associer davantage le secteur_privé*socio=et à la prévention*socio=uv3 et à la résolution*socio=uv1 des crises*socio=uv2 est*socio=rien jugé déterminant*socio=rien pour *socio=rien obtenir un processus*socio=te d'*socio=nil ajustement*socio=et *socio=nil plus ordonné, limiter*socio=rien l'aléa*socio=rien moral*socio=uv2 et accroître la discipline*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1, ainsi que pour aider les emprunteurs*socio=ac des marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 à se prémunir contre l'instabilité*socio=uv3 et la contagion*socio=ec2. Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1998/99, le conseil_d'_administration*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac a examiné avec la *socio=ac communauté internationale *socio=rien diverses propositions *socio=nil tendant à associer le secteur_privé*socio=et. Ce qui s'est*socio=rien passé*socio=rien ces deux *socio=rien dernières années *socio=nil tend à montrer que l'approche cas*socio=rien par cas*socio=rien a donné d'assez *socio=rien bons résultats,*socio=nil *socio=nil encore que certains administrateurs*socio=ac aient estimé qu'il y aurait lieu*socio=rien d'adopter *socio=rien un cadre *socio=nil permettant d'impliquer le secteur_privé*socio=et, avec des règles*socio=et clarifiées ex ante à l'intention*socio=rien des marchés*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1. Dans une *socio=rien large mesure,*socio=nil la*socio=nil voie *socio=nil d'approche suivie dans des pays*socio=ac tels que le Brésil*socio=ac, la Corée*socio=ac, l'Indonésie*socio=ac et la Thaïlande*socio=ac passait essentiellement par un*socio=rien renforcement*socio=ec2 des politiques_économiques*socio=et, par des financements*socio=ec1 officiels*socio=et et par *socio=rien diverses initiatives *socio=nil à l'égard*socio=rien du*socio=rien secteur_privé*socio=et. Dans les cas*socio=rien de la Corée*socio=ac, de l'Indonésie*socio=ac et de l'Ukraine*socio=ac, les pressions*socio=ec2 morales*socio=uv2 de la *socio=ac communauté internationale *socio=nil ont aidé à préserver un*socio=rien financement_privé*socio=et à l'appui*socio=uv1 des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et de ces pays*socio=ac. Le Brésil*socio=ac a obtenu des banques*socio=ac *socio=ec1 commerciales créancières *socio=nil qu'elles ne retirent pas leur appui*socio=uv1 financier*socio=ec1. Cet effort*socio=uv1 de coopération*socio=uv1 s'est*socio=rien traduit par le maintien*socio=rien des concours financiers*socio=ec1 et par *socio=rien un certain degré de*socio=nil répartition*socio=uv3 des*socio=nil charges,*socio=nil *socio=nil mais l'on continue*socio=rien à s'interroger sur*socio=rien l'opportunité*socio=uv3 de généraliser cet effort*socio=uv1 et sur*socio=rien ses éventuels*socio=te effets*socio=rien préjudiciables*socio=et (voir l'encadré 4). Lors*socio=rien d'une réunion*socio=rien de mars*socio=rien 1999, les administrateurs*socio=ac ont estimé de *socio=rien manière générale *socio=nil qu'il fallait faire davantage pour créer des incitations*socio=uv3 et des instruments*socio=et fondés sur*socio=rien le marché*socio=ec1 afin que le secteur_ privé*socio=et reste*socio=rien impliqué. Intensification*socio=ec2 des efforts*socio=uv1 de prévention*socio=uv3 des crises*socio=uv2 La prévention*socio=uv3 des crises*socio=uv2 financières*socio=ec1 est*socio=rien fondamentale*socio=uv4 et incombe au premier_chef*socio=rien aux pays_membres*socio=ac travaillant en collaboration*socio=uv1 avec le FMI*socio=ac et la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil Les*socio=nil pays *socio=nil doivent non seulement mener des politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 appropriées, mais aussi s'efforcer de créer des conditions*socio=ec1 dans lesquelles il sera plus facile*socio=rien au secteur_privé*socio=et d'évaluer les risques*socio=uv3 et de prendre des décisions*socio=et, et pour cela améliorer la circulation*socio=ec2 de l'information*socio=rien et le cadre*socio=rien réglementaire*socio=et et limiter*socio=rien les garanties accordées implicitement ou non au secteur_privé*socio=et. Les administrateurs*socio=ac s'accordent*socio=rien sur*socio=rien les *socio=rien grandes lignes suivantes:*socio=nil Les*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil devraient maintenir *socio=rien un profil d'*socio=nil endettement*socio=ec1 *socio=nil approprié en évitant une accumulation*socio=ec2 excessive*socio=uv4 de dettes*socio=ec1 à court_terme*socio=te ou une structure*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 par trop contraignante*socio=uv2, et en veillant à ce que le niveau*socio=rien des réserves_officielles*socio=et et la liquidité*socio=ec1 du*socio=rien système_bancaire*socio=ec1 permettent de supporter sans à-coup une réduction*socio=ec2 temporaire*socio=rien de l'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1. Les pays*socio=ac devraient mettre en place*socio=rien ou renforcer des systèmes*socio=rien permettant de suivre de très près les engagements*socio=et extérieurs*socio=te privés*socio=et, de manière*socio=rien à mieux surveiller les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te et à signaler rapidement les difficultés*socio=uv4 qui se font jour*socio=rien. Les pays*socio=ac devraient exercer la discipline*socio=uv1 qui s'impose en ce qui concerne les opérations*socio=rien hors *socio=rien bilan du secteur officiel*socio=et *socio=nil - notamment sur*socio=rien les produits*socio=rien financiers*socio=ec1 dérivés - et faire en sorte*socio=rien que les autorités*socio=et de contrôle*socio=uv3 tiennent compte*socio=ec1 de la vulnérabilité*socio=uv1 des entités*socio=rien financières*socio=ec1 face*socio=rien aux opérations*socio=rien portant sur*socio=rien de tels produits*socio=rien. Les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac prêteront davantage attention*socio=rien aux faiblesses*socio=ec2 potentielles*socio=uv4 liées à la structure*socio=ec1 de l'endettement*socio=ec1 ou aux dérivés financiers*socio=ec1 dans le *socio=rien double contexte *socio=nil de la surveillance*socio=et et de l'emploi*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 de l'institution*socio=ac. La communication*socio=ec1 entre les emprunteurs*socio=ac des marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 et les participants*socio=ac au marché*socio=ec1 des capitaux_privés*socio=ec1 devrait demeurer effective*socio=rien. Les contacts*socio=rien de cette nature*socio=rien ont montré leur utilité*socio=rien pendant les périodes*socio=te de tension*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'amérique_latine*socio=ac. Le FMI*socio=ac devrait étudier les moyens*socio=ec1 d'aider les pays_membres*socio=ac à établir des relations*socio=rien régulières*socio=ec2 avec leurs créanciers*socio=ac, y compris en continuant d'examiner avec d'autres organisations_internationales*socio=ac la possibilité*socio=rien de créer des comités*socio=ac de liaison*socio=rien créanciers-débiteurs, en tenant dûment compte*socio=ec1 de risques*socio=uv3 tels que les délits d'initiés. Le FMI*socio=ac cherche aussi à développer ses contacts*socio=rien réguliers*socio=ec2 avec les marchés*socio=ec1. Mesures*socio=et favorisant la participation*socio=uv3 du*socio=rien secteur_privé*socio=et La prévention*socio=uv3 doit être*socio=rien étayée par des mesures*socio=et conçues ou adaptées ex ante pour mieux associer le secteur_privé*socio=et à la prévention*socio=uv3 des crises*socio=uv2 ou à leur résolution*socio=uv1 ordonnée. De telles mesures*socio=et prises*socio=rien à *socio=rien titre préventif *socio=nil pourraient contribuer à neutraliser de façon*socio=rien ordonnée les pressions*socio=ec2 qui s'exercent sur*socio=rien la balance_des_paiements*socio=ec1. Il s'agit notamment de dispositions*socio=et par lesquelles les agents*socio=ac du*socio=rien secteur_privé*socio=et s'engageraient de fait*socio=rien à maintenir ou à fournir des *socio=rien apports supplémentaires de*socio=nil financement*socio=ec1 nets,*socio=nil *socio=nil ou à réduire la *socio=rien charge du service_de_la_dette*socio=ec1,*socio=nil en*socio=nil temps de*socio=nil crise*socio=uv2,*socio=nil *socio=nil tout en limitant l'aléa*socio=rien moral*socio=uv2 ou en réduisant les distorsions*socio=uv3 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 en *socio=rien temps ordinaire.*socio=nil Des*socio=nil dispositions*socio=et *socio=nil s'imposent aussi pour faire face*socio=rien aux *socio=rien cas extrêmes *socio=nil lorsque les mesures*socio=et préventives*socio=rien ne donnent pas les résultats*socio=rien escomptés et qu'il n'est*socio=rien pas possible*socio=rien d'arriver à un*socio=rien accord*socio=et *socio=rien sur un refinancement*socio=ec1 *socio=nil ou une restructuration*socio=et de dette*socio=ec1 ordonnés. L'étude*socio=ec2 des options*socio=rien doit tenir compte*socio=ec1 de deux principes*socio=ec2 essentiels*socio=uv4, à savoir*socio=rien que les contrats*socio=ec1 doivent être*socio=rien honorés et qu'il faut veiller à ce que les solutions*socio=rien adoptées pour aider à prévenir ou à régler une crise*socio=uv2 ne créent, *socio=rien du fait *socio=nil de leurs vastes*socio=rien répercussions*socio=ec2, pas plus de problèmes*socio=uv4 qu'elles n'en résolvent. Outre les propositions*socio=rien visant à réduire les distorsions*socio=uv3 éventuelles*socio=te sur*socio=rien le marché*socio=ec1 du*socio=rien *socio=ec1 crédit interbancaire à*socio=nil court_terme*socio=te *socio=nil et à modifier les clauses*socio=rien des *socio=ec1 contrats obligataires,*socio=nil plusieurs*socio=nil mesures*socio=et ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil proposées (voir encadré 4). En mars*socio=rien 1999, un*socio=rien accord*socio=et semblait se dessiner au conseil_d'_administration*socio=ac dans trois domaines*socio=rien: 1) Promotion*socio=uv3 de la réévaluation*socio=ec1 des normes*socio=et de fonds*socio=ec1 *socio=rien propres du Comité*socio=ac *socio=nil de Bâle, de manière*socio=rien à inclure des mesures*socio=et destinées*socio=rien à réduire la distorsion*socio=uv3 constatée en faveur*socio=rien des lignes*socio=rien de *socio=ec1 crédit interbancaire à*socio=nil court_terme*socio=te des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac aux*socio=nil banques*socio=ac des*socio=nil marchés émergents*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil (Le Comité*socio=ac de Bâle a annoncé par la suite*socio=rien - en juin*socio=rien 1999 - une réforme*socio=et de l'Accord*socio=et de Bâle sur*socio=rien les fonds*socio=ec1 propres*socio=rien. 2) Modification*socio=rien des *socio=ec1 contrats obligataires.*socio=nil *socio=nil On pourrait y parvenir en incluant des clauses*socio=rien de répartition*socio=uv3 des charges*socio=rien, en prévoyant l'aménagement*socio=et des conditions*socio=ec1 (par décision*socio=et à la majorité*socio=rien qualifiée*socio=uv4) et la représentation*socio=uv3 collective*socio=uv2, ou d'autres modifications*socio=rien visant les mêmes objectifs*socio=uv3. Les obligations*socio=uv1 britanniques*socio=ac *socio=rien du type *socio=nil "trust deed" contiennent des *socio=rien clauses analogues *socio=nil et pourraient servir de modèle*socio=rien pour de futures*socio=te émissions*socio=rien, mais ce ne sont pas les seules*socio=rien. Bien*socio=rien que cette question*socio=rien soit également examinée par d'autres instances*socio=et, le dossier*socio=rien n'a guère avancé jusqu'à présent*socio=rien. Il pourrait donc *socio=rien être nécessaire *socio=nil que les grands*socio=rien pays_industrialisés*socio=ac engagent une action*socio=ec1 concertée en vue*socio=rien d'encourager les emprunteurs*socio=ac des marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 à modifier les conditions*socio=ec1 de leurs *socio=rien nouvelles émissions.*socio=nil *socio=nil Une autre solution*socio=rien serait de recourir à l'effet*socio=rien de démonstration*socio=ec2, par l'insertion*socio=uv3 de *socio=rien nouvelles clauses contractuelles*socio=ec1 *socio=nil dans les émissions*socio=rien d'obligations*socio=uv1 internationales*socio=te des pays_membres*socio=ac du*socio=rien Groupe*socio=ac des Dix. Cela tendrait à faire de ce nouvel*socio=rien instrument*socio=et la norme*socio=et en la matière*socio=rien et son coût*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien pourrait être*socio=rien réduit. Il conviendrait aussi d'envisager une coordination*socio=uv3 de la réglementation*socio=et applicable*socio=rien aux *socio=rien nouvelles émissions souveraines*socio=uv2 admises*socio=nil sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 nationaux*socio=te,*socio=nil *socio=nil afin que les clauses*socio=rien contractuelles*socio=ec1 respectent *socio=rien un minimum de*socio=nil conditions*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Une approche concertée de la réglementation*socio=et, qui viserait à tenir compte*socio=ec1 des impératifs*socio=uv4 systémiques*socio=ec2, protégerait les investisseurs*socio=ac en dépassant le rôle*socio=et traditionnellement joué par les autorités*socio=et de contrôle*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 de *socio=ec1 valeurs mobilières.*socio=nil *socio=nil Pour sa part*socio=rien, le FMI*socio=ac encouragerait les pays_membres*socio=ac à inclure dans les *socio=ec1 contrats obligataires des*socio=nil modalités*socio=rien *socio=nil qui faciliteraient la restructuration*socio=et des émissions*socio=rien. Pour compléter ces mesures*socio=et, on pourrait s'employer à mobiliser un*socio=rien consensus*socio=uv1 à l'appui*socio=uv1 de ces changements*socio=uv3 parmi les institutions_financières*socio=ac participant*socio=rien à l'émission*socio=rien et au placement*socio=ec1 d'obligations*socio=uv1 souveraines*socio=uv2. 3) Financement*socio=ec1 conditionnel*socio=rien et garantie du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1. Les emprunteurs*socio=ac devraient étudier avec leurs créanciers*socio=ac la possibilité*socio=rien d'établir des lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 préventives*socio=rien privées*socio=et 13 ou d'autres instruments*socio=et destinés à fournir des liquidités*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien ou à réduire la *socio=rien charge du service_de_la_dette*socio=ec1 en*socio=nil périodes*socio=te de*socio=nil *socio=uv4 graves difficultés de*socio=nil balance_des_paiements*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans les *socio=rien cas extrêmes,*socio=nil *socio=nil si les mesures*socio=et préventives*socio=rien ne se concrétisent pas par un*socio=rien appui*socio=uv1 d'un*socio=rien montant*socio=ec1 suffisant*socio=rien et s'il n'est*socio=rien pas possible*socio=rien d'arriver à un*socio=rien accord*socio=et sur*socio=rien une restructuration*socio=et volontaire*socio=uv4 de la dette*socio=ec1, et en l'absence*socio=rien d'allégement*socio=ec2 des tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les comptes*socio=ec1 extérieurs*socio=te, les pays_membres*socio=ac peuvent se trouver dans l'obligation*socio=uv1 d'envisager de combiner, sous une forme*socio=rien ou une autre, la cessation*socio=uv3 de paiements*socio=ec1 sur*socio=rien les obligations*socio=uv1 souveraines*socio=uv2 et l'imposition*socio=et du*socio=rien contrôle*socio=uv3 des changes*socio=ec1. De telles mesures*socio=et risquent d'empêcher des entités*socio=rien non souveraines*socio=uv2 de continuer le service_de_leur_dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. L'expérience*socio=ec2 acquise*socio=rien ces *socio=rien dernières années *socio=nil avec les opérations*socio=rien de réaménagement*socio=rien d'obligations*socio=uv1 souveraines*socio=uv2 ou de renégociation de la dette_privée*socio=et dans *socio=rien un contexte de*socio=nil contrôle*socio=uv3 des*socio=nil changes*socio=ec1 *socio=nil étant limitée, il *socio=rien est difficile *socio=nil de prédire les résultats*socio=rien des opérations*socio=rien de cette nature*socio=rien. Pour permettre au FMI*socio=ac d'appuyer les politiques*socio=et d'ajustement*socio=et d'un*socio=rien *socio=ac pays membre au*socio=nil cas*socio=rien *socio=nil où les négociations*socio=et tardent à aboutir à la suite*socio=rien d'une action*socio=ec1 de cet ordre*socio=rien, la politique*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac en matière*socio=rien d'assurances*socio=ec1 de financement*socio=ec1 et d'arriérés a été*socio=rien modifiée de manière*socio=rien à lui permettre, au cas*socio=rien par cas*socio=rien, de prêter à un*socio=rien pays*socio=ac ayant des arriérés.Toutefois, *socio=rien certaines questions *socio=nil se posent encore sur*socio=rien les conditions*socio=ec1 dans lesquelles le FMI*socio=ac agirait, et il reviendra au Conseil*socio=ac d'en décider. Il convient aussi de rechercher comment l'on pourrait assurer dans les *socio=rien situations extrêmes,*socio=nil *socio=nil à la suite*socio=rien d'une cessation*socio=uv3 des paiements*socio=ec1, que la négociation*socio=et de la dette*socio=ec1 se déroulera de façon*socio=rien ordonnée, même si elle se prolonge. Quelques administrateurs*socio=ac estiment qu'il n'est*socio=rien guère probable*socio=uv4 que les créanciers*socio=ac engagent des poursuites*socio=rien judiciaires*socio=et d'une ampleur*socio=rien telle que les efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et du*socio=rien pays*socio=ac ou la capacité*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac d'appuyer ces efforts*socio=uv1 soient en fait*socio=rien entravés. D'autres pensent plutôt qu'une action*socio=ec1 judiciaire*socio=et des créanciers*socio=ac peut bloquer la restructuration*socio=et ordonnée de la dette*socio=ec1 et remettre en cause*socio=rien l'appui*socio=uv1 que le FMI*socio=ac peut apporter aux efforts*socio=uv1 d'ajustement*socio=et du*socio=rien pays*socio=ac. Dans ces conditions*socio=ec1, on pourrait envisager à nouveau*socio=rien la possibilité*socio=rien d'adopter certaines*socio=rien mesures*socio=et qui permettraient à la communauté*socio=ac officielle*socio=et d'autoriser une *socio=rien suspension temporaire *socio=nil de ce type*socio=rien de poursuites*socio=rien, éventuellement en amendant l'article*socio=rien VIII, section*socio=rien 2 b) des Statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. À sa réunion*socio=rien d'avril*socio=rien 1999, le comité_intérimaire*socio=ac a demandé au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre ses *socio=rien travaux sur *socio=nil toutes ces questions*socio=rien, notamment sur*socio=rien les moyens*socio=ec1 de garantir un*socio=rien règlement*socio=et plus ordonné des dettes*socio=ec1. Questions*socio=rien systémiques*socio=ec2 La consolidation*socio=uv3 de l'architecture du*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te a amené le conseil_d'_administration*socio=ac à consacrer plusieurs réunions*socio=rien à divers aspects*socio=rien systémiques*socio=ec2 au cours*socio=rien de cet exercice*socio=rien. Le FMI*socio=ac a été*socio=rien guidé dans ces discussions*socio=et par la volonté*socio=uv1 de contribuer à analyser les régimes*socio=et de changes*socio=ec1, de proposer des moyens*socio=ec1 d'améliorer le *socio=rien fonctionnement du système_financier*socio=ec1 *socio=nil et d'adapter*socio=rien ses facilités de financement*socio=ec1, ses ressources*socio=ec1 et son organisation*socio=ec1 à l'évolution*socio=te du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Conséquences*socio=rien de la mobilité*socio=uv3 des capitaux*socio=ec1 et de la forte*socio=rien instabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 Les mutations*socio=ec2 profondes*socio=rien que connaît le système_monétaire*socio=ec1 et financier*socio=ec1 international*socio=te depuis les accords*socio=et de Bretton-woods, et notamment depuis *socio=rien vingt ans,*socio=nil *socio=nil soulèvent des questions*socio=rien systémiques*socio=ec2 de *socio=rien vaste portée.*socio=nil *socio=nil Il ressort notamment de l'évaluation*socio=ec2 préliminaire*socio=rien des programmes*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac en Asie*socio=ac de l'_est*socio=te que la stabilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 des pays*socio=ac affectés peut avoir amené les emprunteurs*socio=ac comme les créanciers*socio=ac à ignorer en *socio=rien grande partie les*socio=nil risques*socio=uv3 de*socio=nil change*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil s'estimant implicitement prémunis contre les pertes*socio=ec2 correspondantes*socio=rien. L'adoption*socio=uv3 d'un*socio=rien régime*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 plus flexible*socio=uv4 n'est*socio=rien cependant pas une *socio=rien solution miracle *socio=nil et, quel que soit ce régime*socio=et, les vulnérabilités persisteront et des normes*socio=et resteront nécessaires*socio=rien pour consolider les systèmes_financiers*socio=ec1 et améliorer la transparence*socio=uv3. Le conseil_d'_administration*socio=ac prévoit d'examiner ces questions*socio=rien avant l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te de 1999. S'agissant des régimes*socio=et de change*socio=ec1, le débat*socio=et sera axé sur*socio=rien la forte*socio=rien instabilité*socio=uv3 de la valeur*socio=ec1 de change*socio=ec1 des grandes*socio=rien devises*socio=ec1, la possibilité*socio=rien d'agir pour l'atténuer et les conséquences*socio=rien qui en découleront pour les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des économies*socio=ec1 à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien. Pour ce qui est*socio=rien des marchés*socio=ec1 d'actifs*socio=ec1, l'examen*socio=ec2 portera principale*socio=rien ment sur*socio=rien les aspects*socio=rien systémiques*socio=ec2 des *socio=rien grandes variations des*socio=nil apports de*socio=nil capitaux*socio=ec1 aux*socio=nil pays_en_développement*socio=uv3 et*socio=nil sur les*socio=nil éventuelles*socio=te mesures*socio=et systémiques*socio=ec2 générales *socio=nil à prendre pour modérer la phase*socio=te d'expansion*socio=ec2 du*socio=rien cycle*socio=te *socio=rien du côté des*socio=nil prêteurs*socio=ac *socio=nil comme des emprunteurs*socio=ac, notamment en vue*socio=rien de renforcer les systèmes_financiers*socio=ec1 et d'améliorer la transparence*socio=uv3 et la responsabilisation*socio=uv1. Développement*socio=uv3 des facilités du*socio=rien FMI*socio=ac L'adaptation*socio=uv3 des facilités du*socio=rien FMI*socio=ac au *socio=rien nouveau contexte international*socio=te *socio=nil a progressé en 1998/99. En janvier*socio=rien 1999, le Conseil*socio=ac a examiné la facilité de réserve*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien (FRS) pour s'assurer que le FMI*socio=ac est*socio=rien prêt*socio=ec1 à intervenir de *socio=rien manière prompte et*socio=nil efficace*socio=uv4 lorsqu'*socio=nil un *socio=ac pays membre a*socio=nil besoin*socio=uv1 d'*socio=nil un*socio=rien financement*socio=ec1 de*socio=nil balance_des_paiements*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Parallèlement, le FMI*socio=ac a aussi étudié les moyens*socio=ec1 de soutenir les pays_membres*socio=ac dont l'économie*socio=ec1 est*socio=rien foncièrement saine*socio=uv2 et bien*socio=rien gérée mais qui craignent que les effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 ne réduisent leur accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. Dans cette optique*socio=rien, le Conseil*socio=ac a décidé en avril*socio=rien 1999 la création*socio=uv4 d'une facilité de lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 préventives*socio=rien (LCP). S'ajoutant à la facilité de réserve*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien (FRS), les LCP sont destinées*socio=rien à jouer un*socio=rien rôle*socio=et préventif*socio=rien important*socio=uv4 contre les crises*socio=uv2, notamment en accroissant les raisons*socio=rien d'adopter des politiques*socio=et vigoureuses*socio=rien et de respecter les normes*socio=et reconnues au plan*socio=rien international*socio=te et en encourageant la participation*socio=uv3 *socio=rien fructueuse du secteur_privé*socio=et,*socio=nil *socio=nil ce qui réduit le risque*socio=uv3 de contagion*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 (voir encadré 5). Renforcement*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac Pour défendre efficacement la stabilité*socio=uv3 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te, conformément à son rôle*socio=et, le FMI*socio=ac a besoin*socio=uv1 de *socio=ec1 ressources financières suffisantes*socio=rien.*socio=nil D'*socio=nil importantes*socio=uv4 mesures*socio=et ont*socio=nil *socio=rien été prises *socio=nil à cette fin*socio=rien pendant l'exercice*socio=rien. Les Nouveaux*socio=rien Accords*socio=et d'emprunt*socio=ec1 sont entrés en vigueur*socio=uv3 le 17 novembre*socio=rien 1998. Le montant*socio=ec1 total*socio=rien de ressources*socio=ec1 à la disposition*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac dans le cadre*socio=rien des NAE et des Accords*socio=et généraux*socio=rien d'emprunt*socio=ec1 (AGE) est*socio=rien de 34 milliards*socio=rien de DTS (environ 46 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1), soit le *socio=rien double du montant*socio=ec1 disponible au*socio=nil titre des*socio=nil seuls *socio=nil AGE. L'augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et au FMI*socio=ac au titre*socio=rien de la *socio=rien Onzième révision générale *socio=nil ayant pris effet*socio=rien le 22 janvier*socio=rien 1999, le montant*socio=ec1 total*socio=rien des quotes-parts*socio=et *socio=rien est passé *socio=nil de 146 milliards*socio=rien de DTS (environ 200 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1) à 212 milliards*socio=rien de DTS (environ 290 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1). L'augmentation*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 utilisables*socio=uv4 au titre*socio=rien des quotes-parts*socio=et a permis*socio=rien de rembourser les montants*socio=ec1 empruntés précédemment par recours*socio=rien aux AGE et aux NAE. À la fin*socio=rien d'avril*socio=rien 1999, le ratio*socio=ec1 de liquidité*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac était de 89 %, contre 45 % *socio=rien un an *socio=nil avant. Outre ces mesures*socio=et, une allocation*socio=et spéciale*socio=rien de DTS, qui nécessite un*socio=rien amendement*socio=et aux Statuts*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, a été*socio=rien proposée, et le processus*socio=te de ratification*socio=et par les pays_membres*socio=ac se poursuit. Un*socio=rien obstacle*socio=uv3 de taille reste*socio=rien toutefois à surmonter - garantir le financement*socio=ec1 intégral*socio=rien de la FASR*socio=ec1 et de la participation*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac à l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac. Des efforts*socio=uv1 supplémentaires*socio=rien s'imposent d'urgence*socio=rien pour assurer que le FMI*socio=ac disposera d'un*socio=rien volume*socio=rien de ressources*socio=ec1 suffisant*socio=rien pour soutenir les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 des pays*socio=ac les_plus_pauvres*socio=uv2 et financer les allégements*socio=ec2 de dettes*socio=ec1 convenus. Réforme*socio=et institutionnelle*socio=ac et renforcement*socio=ec2 ou transformation*socio=ec2 du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien, le Conseil*socio=ac a examiné des propositions*socio=rien tendant à renforcer le comité_intérimaire*socio=ac ou à le transformer en un*socio=rien Collège*socio=et du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac investi du*socio=rien pouvoir*socio=et de décision*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont exprimé des points*socio=rien de vue*socio=rien divers sur*socio=rien le Collège*socio=et. Lors*socio=rien d'une réunion*socio=rien de mars*socio=rien 1999, la plupart*socio=rien d'entre eux n'étaient toujours pas convaincus de l'utilité*socio=rien de sa création*socio=uv4 et ils avaient fait*socio=rien observer que le comité_intérimaire*socio=ac, nonobstant l'absence*socio=rien de pouvoirs*socio=et de décision*socio=et, s'est*socio=rien en fait*socio=rien déjà acquitté des responsabilités*socio=uv1 envisagées pour le Collège*socio=et. Plusieurs étaient d'avis*socio=rien que les structures*socio=ec1 institutionnelles*socio=et actuelles*socio=te donnaient la légitimité*socio=uv et la responsabilisation*socio=uv1 voulues et que l'accent*socio=rien devait être*socio=rien mis sur*socio=rien leur consolidation*socio=uv3, de même, d'une manière*socio=rien plus générale*socio=rien, que sur*socio=rien la *socio=rien question pressante qu'*socio=nil est la*socio=nil réforme*socio=et du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil Quelques*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil étaient d'avis*socio=rien que la poursuite*socio=rien de l'analyse*socio=ec2 s'imposait pour arriver à une décision*socio=et sur*socio=rien la création*socio=uv4 du*socio=rien Collège*socio=et et ils ont évoqué la nécessité*socio=uv1 d'étudier les effets*socio=rien qu'aurait le Collège*socio=et sur*socio=rien les travaux*socio=rien et les responsabilités*socio=uv1 du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac. Toutefois, *socio=rien un petit nombre *socio=nil d'autres administra teurs estimaient important*socio=uv4 que la participation*socio=uv3 des pays_membres*socio=ac aux prises*socio=rien de décision*socio=et se fasse au niveau*socio=rien politique*socio=et lorsqu'il s'agirait de *socio=rien grandes questions stratégiques*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Il leur semblait qu'une telle participation*socio=uv3 aurait en particulier*socio=rien pour conséquence*socio=rien de souligner fortement que les décisions*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac sont légitimes*socio=uv2 et pleinement assumées et que l'institution*socio=ac est*socio=rien tenue de rendre des comptes*socio=ec1. À sa *socio=rien réunion du 27*socio=nil avril *socio=nil 1999, le comité_intérimaire*socio=ac a convenu que le FMI*socio=ac doit demeurer l'institution*socio=ac *socio=rien centrale du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te,*socio=nil *socio=nil tout en améliorant de manière*socio=rien pragmatique*socio=uv4 le mode*socio=rien de fonctionnement*socio=rien de ses composantes*socio=ec1 institutionnelles*socio=et et la coopération*socio=uv1 avec d'autres institutions*socio=ac ou instances*socio=et. Le Comité*socio=ac a chargé le conseil_d'_administration*socio=ac de continuer à examiner la possibilité*socio=rien d'apporter des améliorations*socio=uv1 institutionnelles*socio=et, notamment au comité_intérimaire*socio=ac, et de lui soumettre *socio=rien un rapport *socio=nil à sa réunion*socio=rien de l'automne*socio=rien 1999. CHAPITRE*socio=rien 6 La surveillance*socio=et La surveillance*socio=et *socio=rien du fonctionnement effectif du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te est au*socio=nil centre des*socio=nil buts*socio=et *socio=nil et des *socio=rien opérations du FMI*socio=ac.*socio=nil En*socio=nil conséquence,*socio=nil *socio=nil celui-ci doit, en vertu*socio=rien des Statuts*socio=et, exercer "une ferme*socio=ec2 surveillance*socio=et sur*socio=rien les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des *socio=ac États membres"*socio=nil .*socio=nil *socio=nil Pour s'acquitter de ce mandat*socio=rien, il analyse*socio=rien en général*socio=rien les politiques_économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 de chaque pays*socio=ac pour voir si elles permettront de parvenir à une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 ordonnée et évalue les conséquences*socio=rien de ces politiques*socio=et pour les autres pays*socio=ac, ainsi que pour l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil profondes mutations*socio=ec2 *socio=nil qu'a connues l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te - développement*socio=uv3 rapide*socio=rien des marchés*socio=ec1 des capitaux_privés*socio=ec1, accélération*socio=ec2 de l'intégration*socio=uv1 monétaire*socio=ec1 et régionale*socio=te et adoption*socio=uv3 par de nombreux*socio=rien pays*socio=ac d'un*socio=rien régime*socio=et de convertibilité*socio=ec1 aux fins*socio=rien des transactions_courantes*socio=te ainsi que de réformes*socio=et d'inspiration*socio=rien libérale*socio=et - ont fait*socio=rien ressortir l'importance*socio=rien d'une surveillance*socio=et efficace*socio=uv4 et suivie. Ces mutations*socio=ec2 se traduisent par un*socio=rien élargissement*socio=ec2 des compétences*socio=uv3 du*socio=rien FMI*socio=ac (voir l'encadré 6). En général*socio=rien, la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac vise surtout à encourager les pays*socio=ac à corriger leurs déséquilibres*socio=uv3 macroéconomiques*socio=ec1, à freiner l'inflation*socio=ec1 et à entreprendre des réformes*socio=et fondamentales*socio=uv4 de tendance*socio=ec2 libérale*socio=et, notamment dans les *socio=rien domaines du commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=nil et des changes*socio=ec1. Mais, de plus en plus, une panoplie*socio=rien beaucoup plus vaste*socio=rien de mesures*socio=et structurelles*socio=ec2 ou institutionnelles*socio=et (ce que l'on appelle la deuxième*socio=rien génération*socio=ac de réformes*socio=et) adaptées à la situation*socio=rien de chaque pays*socio=ac se révèle nécessaire*socio=rien pour permettre aux pays*socio=ac de gagner et de conserver la confiance*socio=uv1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et et d'établir les bases*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 soutenue, notamment en augmentant l'efficacité*socio=uv3 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil en améliorant la collecte et la diffusion*socio=rien des données, en donnant davantage de transparence*socio=uv3 au budget_de_l'_état*socio=ac et aux politiques_monétaire*socio=et et financière*socio=ec1, en favorisant l'autonomie*socio=uv1 et la gestion*socio=ec2 indépendante*socio=uv2 de la banque_centrale*socio=ac et en encourageant la réforme*socio=et *socio=rien du système juridique*socio=et *socio=nil et la bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et. (Les initiatives*socio=rien engagées dans nombre*socio=rien de ces domaines*socio=rien sont examinées au chapitre*socio=rien 5.) Traditionnellement, le FMI*socio=ac exerce sa surveillance*socio=et sur*socio=rien une *socio=rien double base:*socio=nil *socio=nil l'une bilatérale*socio=et - dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, tenues le plus souvent chaque année*socio=rien, avec les *socio=ac États membres;*socio=nil *socio=nil l'autre multilatérale*socio=et - à l'occasion*socio=rien de l'examen*socio=ec2 de l'évolution*socio=te du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te à partir essentiellement des rapports*socio=rien préparés par ses services*socio=et sur*socio=rien les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et des discussions*socio=et périodiques*socio=te de l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1 et du*socio=rien système_financier*socio=ec1 mondial*socio=te. (Voir les chapitres*socio=rien 2 et 3 pour les débats*socio=et du*socio=rien Conseil*socio=ac sur*socio=rien ces thèmes*socio=rien.) Plus récemment, la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac a également pris une dimension*socio=rien régionale*socio=te, *socio=rien du fait *socio=nil qu'il examine par exemple*socio=rien périodiquement l'évolution*socio=te de l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 européenne*socio=ac et de l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 ouest-africaine*socio=te. En 1998/99, le Conseil*socio=ac a en outre fait*socio=rien le *socio=rien point sur la*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil et la désinflation*socio=ec2 dans les économies_en_transition*socio=ec1. Pour que la surveillance*socio=et soit plus continue*socio=rien et plus efficace*socio=uv4, le Conseil*socio=ac complète ses *socio=rien opérations normales et*socio=nil systématiques*socio=uv4 *socio=nil de suivi par des réunions*socio=rien informelles*socio=uv2 régulières*socio=ec2 - parfois mensuelles*socio=rien, parfois plus fréquentes*socio=rien - au cours*socio=rien desquelles il examine les grands*socio=rien courants*socio=te d'évolution*socio=te dans certains pays*socio=ac ou régions*socio=te. En 1998/99, outre la discussion*socio=et des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien l'article*socio=rien IV, à laquelle il a consacré 173 heures*socio=rien, le Conseil*socio=ac s'est*socio=rien réuni à 29 reprises, pour *socio=rien un total *socio=nil de plus de 87 heures*socio=rien, afin d'aborder des questions*socio=rien de fond*socio=rien se rapportant à la surveillance*socio=et - discussion*socio=et des Perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, de la transparence*socio=uv3 des politiques*socio=et des pays_membres*socio=ac et de la surveillance*socio=et, et des programmes*socio=et suivis par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Il examine également au cours*socio=rien de réunions*socio=rien régulières*socio=ec2 l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et des marchés_financiers*socio=ec1. Ces évaluations*socio=ec2 continues*socio=te par le Conseil*socio=ac permettent d'informer les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, et de guider leurs *socio=rien travaux sur les*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil et sont par ailleurs*socio=rien communiquées aux autorités*socio=et nationales*socio=te par les administrateurs*socio=ac. *socio=et Surveillance bilatérale *socio=nil Comme le prévoit l'article*socio=rien IV des Statuts*socio=et, le FMI*socio=ac procède à des consultations*socio=uv1 avec ses membres*socio=ac, en général*socio=rien tous les ans*socio=rien, afin d'examiner leur situation*socio=rien économique*socio=ec1 et les politiques*socio=et qu'ils appliquent. Une mission*socio=et des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac se rend dans le pays*socio=ac, recueille des *socio=rien informations sur la*socio=nil situation économique*socio=ec1 et*socio=nil financière*socio=ec1 *socio=nil de celui-ci et discute avec les autorités*socio=et de l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 depuis les dernières*socio=rien consultations*socio=uv1, ainsi que des politiques_monétaire*socio=et, budgétaire*socio=et et structurelle*socio=ec2 mises en ouvre. En général*socio=rien, l'administrateur*socio=ac pour le *socio=ac pays membre *socio=nil participe à ces discussions*socio=et. Le plus souvent, les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac résument les entretiens*socio=rien avec la mission*socio=et dans un*socio=rien mémorandum*socio=et ou une déclaration*socio=et finale*socio=rien. Ce *socio=rien document est *socio=nil remis aux autorités*socio=et qui peuvent décider de le diffuser, auquel cas*socio=rien le FMI*socio=ac le publie sur*socio=rien son site*socio=rien Internet*socio=ec1. À son retour*socio=rien au siège*socio=rien, la mission*socio=et rédige *socio=rien un rapport *socio=nil détaillé dans lequel elle analyse*socio=rien la situation*socio=rien économique*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac et évalue l'orientation*socio=et des politiques*socio=et en vigueur*socio=uv3. Ensuite, le conseil_d'_administration*socio=ac examine ce rapport*socio=rien. Son Président*socio=ac résume les opinions*socio=ec2 exprimées par les administrateurs*socio=ac pendant la *socio=rien réunion du Conseil*socio=ac.*socio=nil Un document *socio=nil intitulé "Résumé du*socio=rien Président*socio=ac" est*socio=rien ensuite préparé et transmis aux autorités*socio=et du*socio=rien pays*socio=ac à titre*socio=rien de procès-verbal de la réunion*socio=rien, puis diffusé - si le pays*socio=ac le souhaite - avec des informations*socio=rien liminaires sous la forme*socio=rien d'une note d'information*socio=rien au public*socio=et (NIP). Durant l'exercice*socio=rien 1998/99, le Conseil*socio=ac a conclu 124 consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec des pays_membres*socio=ac, dont 91 ont abouti à la publication*socio=rien d'une NIP (tableau*socio=rien 4); les NIP sont également *socio=rien disponibles sur le*socio=nil site du FMI*socio=ac *socio=nil 14. Le Conseil*socio=ac exerce la surveillance*socio=et dans le cadre*socio=rien non seulement des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, mais aussi de la discussion*socio=et des accords*socio=et financiers*socio=ec1 à l'appui*socio=uv1 des programmes*socio=et économiques*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac qui sont soumis à son approbation*socio=uv1 et des accords*socio=et financiers*socio=ec1 de précaution*socio=rien. Les autres moyens*socio=ec1 qu'il utilise sont les programmes*socio=et non formalisés suivis par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et la procédure*socio=et de surveillance*socio=et renforcée. Accords*socio=et de précaution*socio=rien. Le *socio=ac pays membre *socio=nil s'entend avec le FMI*socio=ac *socio=rien sur un accord*socio=et de*socio=nil confirmation*socio=et ou*socio=nil un accord*socio=et *socio=nil élargi, dont il n'envisage d'utiliser les ressources*socio=ec1 que si les circonstances*socio=rien le justifient. Il a cependant le droit*socio=uv1 de tirer sur*socio=rien ces ressources*socio=ec1 dès lors*socio=rien qu'il remplit les conditions*socio=ec1 prévues dans l'accord*socio=et. Ce type*socio=rien d'accord*socio=et aide*socio=uv1 le pays*socio=ac en cadrant sa politique_économique*socio=ec1 et en montrant que le FMI*socio=ac souscrit à cette politique*socio=et, ce qui a pour effet*socio=rien de renforcer la confiance*socio=uv1 à son égard*socio=rien. Il permet aussi au pays*socio=ac de pouvoir*socio=et compter sur*socio=rien les ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac quand le besoin*socio=uv1 s'en fait*socio=rien sentir, sous_réserve*socio=ec1 qu'il remplisse les conditions*socio=ec1 prévues. Programmes*socio=et non formalisés suivis par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac suivent le programme*socio=et économique*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac et examinent régulièrement avec les autorités*socio=et les politiques*socio=et appliquées. Cependant, le FMI*socio=ac ne souscrit pas formellement à ces politiques*socio=et, ni n'apporte une aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 au programme*socio=et (voir également le chapitre*socio=rien 7). Surveillance*socio=et renforcée. Cette surveillance*socio=et implique un*socio=rien suivi formel*socio=rien et étroit*socio=rien, mais non une approbation*socio=uv1 formelle*socio=rien, par le FMI*socio=ac, de la politique_économique*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac concerné. Bien*socio=rien qu'elle ait d'abord*socio=rien été*socio=rien établie pour faciliter les accords*socio=et de rééchelonnement*socio=et de la dette*socio=ec1 envers les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, cette procédure*socio=et est*socio=rien parfois utilisée à d'autres fins*socio=rien. Surveillance*socio=et mondiale*socio=te et surveillance*socio=et régionale*socio=te Au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien, le Conseil*socio=ac a consacré trois réunions*socio=rien à l'examen*socio=ec2 des *socio=rien rapports sur les*socio=nil Perspectives*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et deux réunions*socio=rien à l'examen*socio=ec2 des études*socio=ec2 sur*socio=rien l'évolution*socio=te des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1 (voir les chapitres*socio=rien 2 et 3). En ce qui concerne la surveillance*socio=et régionale*socio=te, il a examiné *socio=rien un vaste éventail de*socio=nil questions *socio=nil concernant l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 européenne*socio=ac, ainsi que l'évolution*socio=te de l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 ouest-africaine*socio=te. L'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 européenne*socio=ac En avril*socio=rien 1998, le comité_intérimaire*socio=ac avait noté avec satisfaction*socio=uv3 que la création*socio=uv4 de l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 européenne*socio=ac (UEM*socio=et) serait l'un*socio=rien des événements*socio=rien monétaires*socio=ec1 internationaux*socio=te les plus importants*socio=uv4 de l'après*socio=rien Bretton-woods. On s'attendait à ce que l'UEM*socio=et ait *socio=rien un impact considérable sur le*socio=nil système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te en*socio=nil raison des*socio=nil espérances*socio=uv2 *socio=nil que faisait naître une économie*socio=ec1 dynamique*socio=uv4 et intégrée de 300 millions*socio=rien de consommateurs*socio=ac et aussi à ce que sa monnaie*socio=ec1 unique*socio=rien, l'euro, soutenue par une politique*socio=et macroéconomique*socio=ec1 vigoureuse*socio=rien et une *socio=ac banque_centrale européenne *socio=nil foncièrement attachée à maintenir l'inflation*socio=ec1 à *socio=rien un niveau faible *socio=nil devienne la deuxième*socio=rien devise*socio=ec1 du*socio=rien monde*socio=te. Anticipant de profondes*socio=rien mutations*socio=ec2, le Comité*socio=ac a demandé au Conseil*socio=ac de poursuivre l'examen*socio=ec2 des implications*socio=rien de l'UEM*socio=et pour les *socio=rien opérations du FMI*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil Conseil*socio=ac s'*socio=nil est *socio=nil réuni à plusieurs reprises durant l'exercice*socio=rien pour aborder *socio=rien diverses questions *socio=nil touchant à l'euro. Il a examiné les enjeux*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 qui se posaient dans la zone*socio=te euro, les problèmes*socio=uv4 opérationnels*socio=rien et juridiques*socio=et que soulevait l'euro pour le FMI*socio=ac, la politique_monétaire*socio=et et la politique*socio=et de change*socio=ec1 de la zone*socio=te euro - dans le contexte*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec les pays*socio=ac de cette zone*socio=te et du*socio=rien dialogue*socio=uv1 avec la *socio=ac banque_centrale européenne *socio=nil -, ainsi que l'impact*socio=rien de l'euro sur*socio=rien certains pays*socio=ac non membres*socio=ac de l'UE*socio=ac. Enjeux*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 pour la zone*socio=te euro Lors*socio=rien d'une réunion*socio=rien qui s'est*socio=rien tenue en août*socio=rien 1998, les administrateurs*socio=ac ont examiné les enjeux*socio=rien de politique_économique*socio=ec1 que devait relever la zone*socio=te euro. Ils ont noté qu'à bien*socio=rien des égards*socio=rien, la conjoncture*socio=ec2 était favorable*socio=uv4 à la mise en place*socio=rien de l'euro le 1 er janvier*socio=rien 1999, car la reprise économique*socio=ec1 s'était apparemment accélérée dans l'ensemble*socio=rien de la zone*socio=te et était de plus en plus entraînée par la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. En outre, le faible*socio=rien taux*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 et la réduction*socio=ec2 sensible*socio=rien des déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et devaient permettre, s'ils perduraient, d'assurer la période*socio=te prolongée d'expansion*socio=ec2 nécessaire*socio=rien pour que l'Europe*socio=ac puisse faire baisser son chômage*socio=ec1 chronique*socio=rien. Cependant, plusieurs administrateurs*socio=ac ont souligné qu'il restait beaucoup à faire pour assouplir le fonctionnement*socio=rien des marchés_du_travail*socio=ec1, ainsi que des produits*socio=rien, afin de ramener les taux*socio=ec1 de chômage*socio=ec1 à *socio=rien un niveau acceptable*socio=uv2 *socio=nil et d'assurer la réussite*socio=uv1 durable*socio=uv4 de l'UEM*socio=et. Dans ces conditions*socio=ec1, ils se sont demandé comment il était possible*socio=rien de consolider les acquis*socio=uv2 de la convergence*socio=uv3 et d'en tirer parti*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont jugé la zone*socio=te euro bien*socio=rien armée*socio=et pour faire face*socio=rien aux enjeux*socio=rien économiques*socio=ec1, les trois piliers*socio=rien d'une coordination*socio=uv3 efficace*socio=uv4 des politiques_économiques*socio=et étant la *socio=ac banque_centrale européenne *socio=nil (BCE), qui a pour mission*socio=et de préserver la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1, le Pacte*socio=et de stabilité*socio=uv3 et de croissance*socio=uv3 (voir l'encadré 7), expression*socio=rien d'une volonté*socio=uv1 de mener des politiques_budgétaires*socio=et saines*socio=uv2, et le système*socio=rien de *socio=et surveillance multilatérale des*socio=nil politiques *socio=nil de l'emploi*socio=ec1 négocié aux *socio=rien sommets du *socio=ac Conseil européen *socio=nil d'Amsterdam (juin*socio=rien 1997) et de Luxembourg*socio=ac (novembre*socio=rien et décembre*socio=rien 1997). À cet égard*socio=rien, ils ont reconnu que la responsabilité*socio=uv1 ultime*socio=rien de la politique_budgétaire*socio=et et structurelle*socio=ec2 de chaque pays*socio=ac demeure du*socio=rien ressort de ses autorités*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer que la BCE aurait pour tâche*socio=rien cruciale*socio=uv4 d'établir sa propre*socio=rien crédibilité*socio=uv1. Si, à cet égard*socio=rien, les *socio=rien résultats impressionnants *socio=nil obtenus par les banques_centrales*socio=ac nationales*socio=te ces *socio=rien dernières années *socio=nil sont de bon*socio=rien augure, nombre*socio=rien d'entre eux ont évoqué certains obstacles*socio=uv3 initiaux*socio=rien à surmonter afin d'établir *socio=rien un cadre viable*socio=uv4 *socio=nil pour la conduite*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et. La BCE devrait adapter*socio=rien ses instruments*socio=et de façon*socio=rien pragmatique*socio=uv4 et expliquer clairement, sans relâche et de manière*socio=rien transparente*socio=uv4 les facteurs*socio=rien qui dictent sa ligne*socio=rien de conduite*socio=rien, afin de bien*socio=rien montrer aux marchés*socio=ec1, et à l'opinion*socio=ac publique*socio=et en général*socio=rien, qu'elle agit conformément à sa mission*socio=et: assurer la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 dans l'ensemble*socio=rien de la zone*socio=te euro. D'après*socio=rien plusieurs administrateurs*socio=ac, les divergences*socio=uv1 cycliques*socio=te devraient se réduire au fur*socio=rien et à mesure*socio=rien de la mise en application*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et commune*socio=uv2 et des progrès*socio=uv1 de l'intégration*socio=uv1 économique*socio=ec1 et, en conséquence*socio=rien, ne pas poser de problème*socio=uv4 majeur*socio=rien pour la politique_monétaire*socio=et. La conduite*socio=rien des politiques_budgétaires*socio=et et structurelles*socio=ec2 nationales*socio=te est*socio=rien d'une importance*socio=rien cruciale*socio=uv4, non seulement pour les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 des pays*socio=ac pris individuellement, mais aussi pour l'ensemble*socio=rien de la zone*socio=te euro, car les politiques*socio=et nationales*socio=te débordent inévitablement sur*socio=rien les autres pays*socio=ac, *socio=rien du fait *socio=nil de leurs implications*socio=rien pour la politique_monétaire*socio=et commune*socio=uv2 et le taux_de_change*socio=ec1 de l'euro. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer à cet égard*socio=rien qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil économies*socio=ec1 *socio=nil avancées dans le cycle*socio=te avaient poursuivi une politique_budgétaire*socio=et expansionniste*socio=ec2 en 1998 ou n'avaient pas suffisamment tiré parti*socio=et de la conjoncture*socio=ec2 favorable*socio=uv4 pour renforcer leur politique*socio=et à *socio=rien moyen terme.*socio=nil Une*socio=nil maîtrise plus*socio=nil stricte *socio=nil de la politique_budgétaire*socio=et dans ces pays*socio=ac devrait empêcher l'apparition*socio=rien dans la zone*socio=te de différentiels*socio=ec1 d'inflation*socio=ec1 élevés*socio=uv4 et de fortes*socio=rien fluctuations*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Il importe de laisser la politique_budgétaire*socio=et jouer un*socio=rien rôle*socio=et de stabilisation*socio=et conjoncturelle*socio=te afin de modérer les fluctuations*socio=ec2 cycliques*socio=te de la demande*socio=ec1 au niveau*socio=rien national*socio=te, et ainsi éviter de nouveaux*socio=rien écarts*socio=ec2 à l'avenir*socio=te. Compte*socio=ec1 tenu de la tendance*socio=ec2 passée des pays*socio=ac de l'Union*socio=uv1 à poursuivre une politique_budgétaire*socio=et d'accompagnement*socio=rien de la conjoncture*socio=ec2, les administrateurs*socio=ac ont jugé essentiel*socio=uv4 qu'ils s'engagent clairement à tenir l'objectif*socio=uv3 du*socio=rien Pacte*socio=et de stabilité*socio=uv3 et de croissance*socio=uv3 qui leur accorde une marge de manouvre pour faire face*socio=rien aux divergences*socio=uv1 cycliques*socio=te normales*socio=rien tout en contenant les déficits*socio=ec1 publics*socio=et sous la barre des 3 % du*socio=rien PIB*socio=ec1. L'objectif*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme d'*socio=nil un solde*socio=ec1 budgétaire*socio=et *socio=nil proche de l'équilibre*socio=ec2, conforme*socio=uv4 au Pacte*socio=et de stabilité*socio=uv3 et de croissance*socio=uv3, était alors indiqué pour la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, encore que des excédents*socio=ec1 se justifiaient dans quelques cas*socio=rien. Un*socio=rien objectif*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme moins*socio=nil ambitieux*socio=uv2 *socio=nil pourrait certes donner une marge suffisante*socio=rien pour permettre aux stabilisateurs*socio=uv4 automatiques*socio=rien de jouer en cas*socio=rien de fluctuations*socio=ec2 cycliques*socio=te normales*socio=rien, mais *socio=rien un certain nombre de*socio=nil considérations justifient*socio=nil un effort*socio=uv1 supplémentaire:*socio=nil *socio=nil il serait notamment souhaitable*socio=rien de se ménager*socio=rien la possibilité*socio=rien de recourir à des mesures*socio=et anti-cycliques discrétionnaires*socio=et, de faire face*socio=rien à de brusques mouvements*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1, ainsi qu'à l'incertitude*socio=uv3 qui entoure en général*socio=rien le calcul*socio=rien de l'écart*socio=ec2 de production*socio=ec1, et de préparer les finances*socio=ec1 publiques*socio=et aux problèmes*socio=uv4 liés au vieillissement*socio=ec2 de la population*socio=ac qui finiront par se poser à terme*socio=rien. Bien*socio=rien qu'il subsiste des écarts*socio=ec2 entre les pays*socio=ac, le processus*socio=te de convergence*socio=uv3 a permis*socio=rien à l'ensemble*socio=rien de la zone*socio=te euro de se rapprocher nettement ces *socio=rien dernières années *socio=nil d'une situation*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 pour le *socio=rien moyen terme.*socio=nil La*socio=nil dégradation*socio=uv3 des*socio=nil soldes*socio=ec1 structurels*socio=ec2 primaires des*socio=nil administrations_publiques*socio=ac *socio=nil que les projections*socio=ec2 laissent apparaître, notamment pour 1998, montre qu'il y a encore des pays*socio=ac qui risquent fort*socio=rien de ne pas atteindre l'objectif*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme défini *socio=nil dans le Pacte*socio=et de stabilité*socio=uv3 et de croissance*socio=uv3 et qu'il est*socio=rien à craindre que, prêtant trop d'attention*socio=rien aux déficits*socio=ec1 effectifs*socio=rien (au lieu*socio=rien des déficits*socio=ec1 corrigés des variations*socio=rien cycliques*socio=te), certains décideurs*socio=ac ne prennent des mesures*socio=et expansionnistes*socio=ec2 durant les phases*socio=te *socio=rien ascendantes du cycle*socio=te économique*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Cela étant, les administrateurs*socio=ac ont été*socio=rien d'avis*socio=rien que les budgets*socio=ec1 pour 1999 et les programmes*socio=et de stabilité*socio=uv3 à soumettre au conseil_des_ministres*socio=ac avant la fin*socio=rien de 1998 devaient montrer de *socio=rien façon convaincante *socio=nil que les soldes*socio=ec1 budgétaires*socio=et se situeraient à *socio=rien un niveau *socio=nil permettant de respecter l'objectif*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme:*socio=nil une*socio=nil position *socio=nil proche de l'équilibre*socio=ec2 ou excédentaire*socio=rien en 2001 au plus tard. Il s'agissait d'un*socio=rien objectif*socio=uv3 particulièrement important*socio=uv4 pour les pays*socio=ac ayant une dette*socio=ec1 publique*socio=et élevée*socio=uv4. Pour qu'il puisse être*socio=rien atteint, les finances*socio=ec1 publiques*socio=et devraient subir un*socio=rien ajustement*socio=et relativement modéré qui donnerait en outre la possibilité*socio=rien de réaménager les systèmes*socio=rien fiscaux*socio=et - et notamment les régimes_de_retraite*socio=et et la protection_sociale*socio=et - dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien ensemble*socio=rien plus vaste*socio=rien de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 s'attaquant aux racines du*socio=rien chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4 et *socio=rien du faible taux*socio=ec1 de*socio=nil participation*socio=uv3 *socio=nil que connaît l'Europe*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont noté que la réforme*socio=et des dépenses*socio=ec1 pourrait avoir *socio=rien un impact direct sur les*socio=nil incitations*socio=uv3 du marché_du_travail*socio=ec1 *socio=nil et contribuer puissamment à réduire les impôts*socio=et et les cotisations*socio=ec1 sociales*socio=et. Selon le Conseil*socio=ac, les réformes*socio=et initiales*socio=rien devraient porter sur*socio=rien la réduction*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 primaires*socio=rien. Lors*socio=rien de leur réunion*socio=rien d'août*socio=rien 1998, les administrateurs*socio=ac ont souligné l'importance*socio=rien de compléter les *socio=et réformes budgétaires *socio=nil par d'autres mesures*socio=et structurelles*socio=ec2 propres*socio=rien à accroître la souplesse*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 réelle*socio=ec2. Il fallait intensifier les efforts*socio=uv1 pour assouplir les marchés*socio=ec1 des produits*socio=rien et *socio=rien du travail *socio=nil afin de réduire le chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2 actuellement élevé*socio=uv4. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont noté que les pays*socio=ac avaient commencé à corriger les rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2, mais que les progrès*socio=uv1 n'étaient pas suffisants*socio=rien pour avoir *socio=rien un impact observable sur le*socio=nil chômage*socio=ec1 structurel*socio=ec2 *socio=nil dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac. D'après*socio=rien le Conseil*socio=ac, il était essentiel*socio=uv4 que les structures*socio=ec1 institutionnelles*socio=et et celles des marchés*socio=ec1 laissent suffisamment de souplesse*socio=uv3 pour faire face*socio=rien à des chocs*socio=ec2 asymétriques*socio=rien. Le contenu global*socio=te de la politique_économique*socio=ec1 de la zone*socio=te euro *socio=rien devant être *socio=nil déterminé essentiellement au niveau*socio=rien national*socio=te (et compte*socio=ec1 tenu des effets*socio=rien d'entraînement qui devraient en découler), les administrateurs*socio=ac ont insisté sur*socio=rien l'importance*socio=rien d'une coordination*socio=uv3 effective*socio=rien des politiques*socio=et nationales*socio=te. Certains ont toutefois estimé que les pratiques*socio=et actuelles*socio=te au sein*socio=rien de l'union_européenne*socio=et, renforcées par le Pacte*socio=et de stabilité*socio=uv3 et de croissance*socio=uv3, concilient parfaitement deux impératifs*socio=uv4: limiter*socio=rien les effets*socio=rien d'entraînement tout en permettant à chaque pays*socio=ac d'adapter*socio=rien sa politique*socio=et à sa *socio=rien propre situation.*socio=nil Les*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont souligné que la surveillance*socio=et régionale*socio=te du*socio=rien FMI*socio=ac peut favoriser l'adoption*socio=uv3 d'orientations*socio=et *socio=rien générales souhaitables *socio=nil et d'un*socio=rien ensemble*socio=rien de politiques*socio=et individuelles*socio=uv2 appropriées. Ces efforts*socio=uv1 doivent être*socio=rien complétés par les consultations*socio=uv1 individuelles*socio=uv2 entre le FMI*socio=ac et les pays*socio=ac. S'agissant de l'orientation*socio=et des taux_d'_intérêt*socio=ec1 pour la période*socio=te à venir, les administrateurs*socio=ac ont fait*socio=rien observer qu'à l'échelle*socio=rien de la zone*socio=te, la reprise (à la fin*socio=rien d'août*socio=rien 1998) n'en était encore qu'à un*socio=rien stade*socio=te précoce*socio=rien et qu'il subsistait une marge considérable*socio=rien de capacité*socio=uv3 non utilisée. De plus, l'inflation*socio=ec1 était faible*socio=rien et l'évolution*socio=te des salaires*socio=ec1 et des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil ne donnait guère de raisons*socio=rien de craindre une poussée inflationniste*socio=ec2, ce qui était également l'avis*socio=rien des marchés*socio=ec1, comme en témoignait le *socio=rien niveau historiquement bas des*socio=nil taux*socio=ec1 longs.*socio=nil *socio=nil À elles seules*socio=rien, ces considérations*socio=rien justifiaient le maintien*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te à *socio=rien un niveau stable*socio=uv4 *socio=nil dans le noyau*socio=rien de pays*socio=ac participant*socio=rien au mécanisme*socio=et de change*socio=ec1, les taux*socio=ec1 des autres pays*socio=ac de la zone*socio=te devant*socio=rien converger vers ce niveau*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont par *socio=rien ailleurs fait état des*socio=nil risques*socio=uv3 de*socio=nil dégradation*socio=uv3 *socio=nil découlant de l'évolution*socio=te observée en Russie*socio=ac et en Asie*socio=ac, ainsi que de l'aggravation*socio=ec2 de la situation*socio=rien dans plusieurs économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2, qui étaient autant de raisons*socio=rien de ne pas durcir prématurément*socio=rien la politique_monétaire*socio=et; le relèvement*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 devait donc être*socio=rien différé jusqu'à ce que la reprise se soit affermie et que les effets*socio=rien des facteurs*socio=rien extérieurs*socio=te puissent être*socio=rien mieux cernés. Le Conseil*socio=ac a alors estimé qu'une politique*socio=et de taux_d'_intérêt*socio=ec1 attentiste était indiquée. *socio=rien Implications opérationnelles et*socio=nil juridiques*socio=et *socio=nil pour le FMI*socio=ac En septembre*socio=rien 1998, le Conseil*socio=ac a examiné les *socio=rien implications opérationnelles et*socio=nil juridiques*socio=et *socio=nil de l'UEM*socio=et pour le FMI*socio=ac. Les administrateurs*socio=ac ont estimé que le transfert*socio=ec1 de pouvoirs*socio=et monétaires*socio=ec1 des pays*socio=ac de la zone*socio=te euro aux institutions*socio=ac de l'Union*socio=uv1 n'affecterait pas les relations*socio=rien juridiques*socio=et entre ces pays*socio=ac et le FMI*socio=ac qui découlent des Statuts*socio=et, car seuls*socio=rien des pays*socio=ac peuvent adhérer au FMI*socio=ac. Cependant, l'adoption*socio=uv3 d'une monnaie*socio=ec1 commune*socio=uv2 et le transfert*socio=ec1 des compétences*socio=uv3 à des institutions*socio=ac communes*socio=uv2 risquent de modifier l'exercice*socio=rien des droits*socio=uv1 inhérents*socio=rien à la qualité*socio=rien de membre*socio=ac et l'exécution*socio=rien des obligations*socio=uv1 y afférentes*socio=rien. Les administrateurs*socio=ac ont noté que l'adoption*socio=uv3 d'une politique_monétaire*socio=et unique*socio=rien sous la responsabilité*socio=uv1 d'une *socio=ac banque_centrale européenne indépendante*socio=uv2 *socio=nil aurait des conséquences*socio=rien importantes*socio=uv4 pour la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac. Étant donné que la politique_économique*socio=ec1 de la zone*socio=te euro aura *socio=rien un impact considérable sur *socio=nil d'autres pays*socio=ac, ils ont estimé que le FMI*socio=ac, qui est*socio=rien chargé de surveiller rigoureusement les politiques*socio=et extérieures*socio=te et les politiques*socio=et de change*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac, devait intensifier ses discussions*socio=et avec l'UE*socio=ac et les institutions*socio=ac de la zone*socio=te euro, surtout la BCE. Les administrateurs*socio=ac sont convenus que, si elles devaient continuer d'être*socio=rien menées comme par le passé*socio=rien, les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec les pays*socio=ac de la zone*socio=te euro ne pouvaient être*socio=rien achevées sans un*socio=rien examen*socio=ec2 des politiques*socio=et clés*socio=rien (politique_monétaire*socio=et et politique*socio=et de change*socio=ec1) par le FMI*socio=ac, conformément aux missions qui lui sont confiées. Il a donc été*socio=rien décidé que les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV devraient s'accompagner de discussions*socio=et avec les institutions*socio=ac pertinentes*socio=rien de l'UE*socio=ac - la BCE, le conseil_des_ministres*socio=ac et le Comité*socio=ac des *socio=ec1 affaires économiques et*socio=nil financières,*socio=nil *socio=nil plus particulièrement en ce qui concerne la composition*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 et le taux_de_change*socio=ec1. Les modalités*socio=rien envisagées prévoient des entretiens*socio=rien semestriels*socio=te entre les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et les institutions*socio=ac de l'UE*socio=ac responsables*socio=uv2 des politiques*socio=et communes*socio=uv2 dans la zone*socio=te euro, ainsi qu'un*socio=rien rapport*socio=rien annuel*socio=te des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et un*socio=rien débat*socio=et au Conseil*socio=ac sur*socio=rien la politique_monétaire*socio=et et la politique*socio=et de change*socio=ec1 de la zone*socio=te euro dans le cadre*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec les pays*socio=ac concernés. Les entretiens*socio=rien avec les différents*socio=rien pays*socio=ac de la zone*socio=te euro et avec les institutions*socio=ac de l'UE*socio=ac devraient être*socio=rien aussi rapprochés que possible*socio=rien. S'agissant de la transparence*socio=uv3 dont le FMI*socio=ac devrait faire preuve*socio=ec2 dans la surveillance*socio=et de l'UEM*socio=et, les administrateurs*socio=ac sont convenus qu'avec l'accord*socio=et des pays_membres*socio=ac concernés, le FMI*socio=ac pourrait publier des notes d'information*socio=rien au public*socio=et à l'issue*socio=rien de ses débats*socio=et sur*socio=rien la surveillance*socio=et de la zone*socio=te euro. Il importe, aux yeux*socio=rien des administrateurs*socio=ac, que le Conseil*socio=ac ait connaissance*socio=ec2 des vues*socio=rien des institutions*socio=ac pertinentes*socio=rien de l'UE*socio=ac lors*socio=rien de ses débats*socio=et pour affiner la surveillance*socio=et de la zone*socio=te euro, aussi ont-ils été*socio=rien favorables*socio=uv4 à l'idée*socio=rien d'accorder à la BCE le statut*socio=et d'observateur*socio=ac au FMI*socio=ac (voir l'encadré 8). Ils ont mis en évidence*socio=rien les *socio=rien implications du passage *socio=nil à l'euro pour la communication*socio=ec1 des statistiques*socio=ec2 et des informations*socio=rien nationales*socio=te et régionales*socio=te et ont demandé aux services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac de prendre les dispositions*socio=et nécessaires*socio=rien, principalement avec la BCE et EUROSTAT, pour le transfert*socio=ec1 régulier*socio=ec2 et rapide*socio=rien de séries de données. politique_monétaire*socio=et et politique*socio=et de change*socio=ec1 de la zone*socio=te euro En mars*socio=rien 1999, les administrateurs*socio=ac ont examiné pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis le lancement*socio=rien de l'euro le 1 er janvier*socio=rien la politique_monétaire*socio=et et la politique*socio=et de change*socio=ec1 de la zone*socio=te euro dans le contexte*socio=rien des consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV avec les pays_membres*socio=ac de cette zone*socio=te. L'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 européenne*socio=ac (UEM*socio=et) offre*socio=rien à ses membres*socio=ac et aux autres pays*socio=ac du*socio=rien monde*socio=te la possibilité*socio=rien de renforcer la stabilité*socio=uv3 économique*socio=ec1 et d'améliorer leurs performances*socio=uv3 et les membres*socio=ac de la zone*socio=te euro ont déjà bien*socio=rien préparé le terrain*socio=rien en vue*socio=rien de concrétiser ces avantages*socio=rien: *socio=rien un cadre solide a*socio=nil été *socio=nil mis en place*socio=rien pour guider la politique_monétaire*socio=et et la politique_budgétaire*socio=et, la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 a été*socio=rien réalisée et semble assurée pour l'avenir*socio=te prévisible*socio=uv4, les critères*socio=rien de Maastricht*socio=et ont permis*socio=rien de faire progresser l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et et le programme*socio=et de marché*socio=ec1 intérieur*socio=te a nettement accéléré l'intégration*socio=uv1 des marchés*socio=ec1 au sein*socio=rien de l'union_européenne*socio=et. Cependant, d'importants*socio=uv4 défis*socio=uv2 restent à relever; en particulier*socio=rien, il faut poursuivre l'ajustement*socio=et des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et les pays*socio=ac doivent s'attaquer d'urgence*socio=rien aux rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 qui pénalisent l'emploi*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3. La détérioration*socio=uv4 des perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 à court_terme*socio=te ces six *socio=rien derniers mois *socio=nil a compliqué la tâche*socio=rien des autorités*socio=et des pays_membres*socio=ac de la zone*socio=te. Elles doivent certes se situer dans une perspective*socio=rien à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil mais il est*socio=rien aussi indispensable*socio=uv4 que leurs politiques*socio=et soutiennent judicieusement la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. La zone*socio=te euro a besoin*socio=uv1 d'une période*socio=te prolongée de forte*socio=rien demande*socio=ec1 intérieure*socio=te afin de combler un*socio=rien écart*socio=ec2 de production*socio=ec1 actuellement élevé*socio=uv4 et d'absorber la composante*socio=rien cyclique*socio=te du*socio=rien chômage*socio=ec1. En outre, pour la plupart*socio=rien des administrateurs*socio=ac, elle doit soutenir davantage la demande*socio=ec1 mondiale*socio=te. Les membres*socio=ac du*socio=rien Conseil*socio=ac ont estimé que, la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 étant bien*socio=rien assurée et la nécessité*socio=uv1 de poursuivre l'ajustement*socio=et budgétaire*socio=et limitant la possibilité*socio=rien de laisser jouer les stabilisateurs*socio=uv4 automatiques*socio=rien dans nombre*socio=rien de pays*socio=ac de la zone*socio=te, un*socio=rien assouplissement*socio=uv3 ne pouvait venir que de la politique_monétaire*socio=et. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te avaient sensiblement baissé dans la zone*socio=te euro au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée, apportant à l'activité*socio=rien un*socio=rien soutien*socio=uv3 opportun*socio=rien. Au cours*socio=rien des mois*socio=rien ayant précédé la *socio=rien réunion du Conseil*socio=ac,*socio=nil les*socio=nil arguments*socio=ec2 en*socio=nil faveur *socio=nil d'une nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 avaient pris *socio=rien du poids,*socio=nil *socio=nil étant donné que les risques*socio=uv3 économiques*socio=ec1 ne cessaient de s'intensifier dans le monde*socio=te et que, dans la zone*socio=te, la vigueur*socio=uv3 de la reprise anticipée demeurait incertaine*socio=uv4 et des pressions*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 continuaient de s'exercer sur*socio=rien l'inflation*socio=ec1. D'après*socio=rien les administrateurs*socio=ac, la *socio=ac banque_centrale européenne *socio=nil devrait agir avec détermination*socio=rien au cas*socio=rien où certains signes donneraient à penser que l'activité*socio=rien continue*socio=rien de ralentir. en particulier*socio=rien, une baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 se justifierait si l'environnement*socio=et mondial*socio=te continuait de se dégrader, si la confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac diminuait sensiblement ou si celle des milieux*socio=rien industriels*socio=ec1 ne se rétablissait pas. Les administrateurs*socio=ac ont estimé que la dépréciation*socio=ec2 de l'euro depuis son lancement*socio=rien traduit la vigueur*socio=uv3 continue*socio=rien de l'économie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac et l'incertitude*socio=uv3 qui entoure les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 dans la zone*socio=te euro. Les administrateurs*socio=ac ont souligné que, compte*socio=ec1 tenu des perspectives*socio=te incertaines*socio=uv4 de la zone*socio=te euro et de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, il était particulièrement important*socio=uv4, au début*socio=rien des opérations*socio=rien de la BCE, que le public*socio=et se fasse une *socio=rien idée exacte du cadre monétaire*socio=ec1 *socio=nil utilisé et ait confiance*socio=uv1 dans ce cadre*socio=rien. Ils ont en général*socio=rien salué le travail*socio=rien accompli pour mettre au point*socio=rien la stratégie*socio=et monétaire*socio=ec1 de la BCE, qui est*socio=rien à la fois*socio=rien judicieuse*socio=uv4 et pragmatique*socio=uv4 eu égard*socio=rien aux incertitudes*socio=uv3 *socio=rien résultant du changement*socio=uv3 de*socio=nil régime*socio=et.*socio=nil *socio=nil Plusieurs ont estimé que, pour des raisons*socio=rien de discipline*socio=uv1 et de responsabilisation*socio=uv1, la BCE devait assigner une *socio=rien limite inférieure explicite *socio=nil à l'inflation*socio=ec1. La BCE a fait*socio=rien d'importants*socio=uv4 progrès*socio=uv1 sur*socio=rien le plan*socio=rien de la communication*socio=ec1 publique*socio=et, aussi les administrateurs*socio=ac l'ont-ils encouragée à continuer de développer sa stratégie*socio=et dans ce domaine*socio=rien. Nombre*socio=rien d'entre eux ont en particulier*socio=rien estimé qu'elle devait donner plus de *socio=rien précisions sur ses*socio=nil évaluations*socio=ec2 des*socio=nil anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 et*socio=nil être *socio=nil davantage disposée à expliquer comment elle compte*socio=ec1 adapter*socio=rien la politique_monétaire*socio=et en fonction*socio=rien de l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien économique*socio=ec1, et notamment des fluctuations*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec1 au sein*socio=rien de la fourchette*socio=rien de taux*socio=ec1 qui définit*socio=rien la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1. Quelques administrateurs*socio=ac ont signalé que ces déclarations*socio=et d'intention*socio=rien risquaient d'avoir des limites*socio=rien, étant donné les considérations*socio=rien complexes sur*socio=rien lesquelles se fondent les décisions*socio=et de politique_monétaire*socio=et, et que l'opinion*socio=uv1 comprendrait mieux la politique_monétaire*socio=et de la BCE en la voyant*socio=rien à l'action*socio=ec1 et en écoutant ses explications*socio=rien. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont estimé qu'il est*socio=rien également important*socio=uv4 pour les *socio=et autorités budgétaires,*socio=nil *socio=nil lorsqu'elles déterminent l'orientation*socio=et macroéconomique*socio=ec1 à donner à leur politique*socio=et, de savoir*socio=rien comment la BCE pourrait réagir aux évolutions*socio=te macroéconomiques*socio=ec1. Si cette orientation*socio=et dépend dans certains pays*socio=ac de *socio=rien diverses considérations économiques*socio=ec1 *socio=nil qui sont abordées dans les consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV, la nécessité*socio=uv1 d'un*socio=rien assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et plus poussé dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil de la zone*socio=te euro, surtout ceux dont le déficit*socio=ec1 ou l'endettement*socio=ec1 sont assez élevés*socio=uv4, et l'absence*socio=rien d'ajustement*socio=et budgétaire*socio=et structurel*socio=ec2 en 1998 et dans la loi*socio=et de finances*socio=ec1 de 1999 limitent la possibilité*socio=rien de laisser jouer les stabilisateurs*socio=uv4 automatiques*socio=rien en cas*socio=rien de faiblesse*socio=ec2 de l'activité*socio=rien. En même temps*socio=rien, le *socio=rien bon fonctionnement des*socio=nil stabilisateurs*socio=uv4 *socio=nil dépend aussi du*socio=rien rythme*socio=ec2 de l'activité*socio=rien et *socio=rien du degré de*socio=nil soutien*socio=uv3 *socio=nil apporté par la politique_monétaire*socio=et. Les administrateurs*socio=ac ont en *socio=rien général fait *socio=nil valoir qu'il était particulièrement important*socio=uv4, compte*socio=ec1 tenu de l'environnement*socio=et macroéconomique*socio=ec1 incertain*socio=rien, que le dosage*socio=rien des moyens*socio=ec1 d'action*socio=ec1 budgétaires*socio=et et monétaires*socio=ec1 assure *socio=rien un niveau suffisant de*socio=nil demande_globale*socio=ec1 *socio=nil dans la zone*socio=te euro. La gestion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 ne peut à elle seule*socio=rien remédier à la lenteur*socio=rien de la croissance*socio=uv3 et au niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 de chômage*socio=ec1 dont souffre la zone*socio=te euro. Il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 de réformer avec détermination*socio=rien les systèmes*socio=rien de recettes*socio=ec1 et de dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et de s'attaquer résolument aux rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 pour faire baisser sensiblement le chômage*socio=ec1. En outre, les mesures*socio=et qui seraient prises*socio=rien rapidement sur*socio=rien ces fronts*socio=rien stimuleraient la confiance*socio=uv1 et permettraient aux autorités*socio=et de s'attaquer plus facilement à l'actuelle*socio=te faiblesse*socio=ec2 cyclique*socio=te. De nombreux*socio=rien administrateurs*socio=ac ont noté que les programmes*socio=et de stabilité*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme *socio=nil tablent en *socio=rien général sur des*socio=nil améliorations*socio=uv1 cycliques*socio=te *socio=nil et une diminution*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 d'intérêts*socio=uv1 pour réduire encore les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et et ne prévoient pas même les ajustements*socio=et annuels*socio=te relativement modestes*socio=rien des soldes*socio=ec1 primaires*socio=rien structurels*socio=ec2 qui permettraient de ramener les comptes*socio=ec1 budgétaires*socio=et à l'équilibre*socio=ec2 en 2001-2002. En outre, le ralentissement*socio=ec2 peu marqué de la progression*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 envisagé dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac ne confère pas à leurs autorités*socio=et une *socio=rien latitude suffisante *socio=nil pour réduire les impôts*socio=et. Ces administrateurs*socio=ac ont souligné que des *socio=et stratégies budgétaires à*socio=nil *socio=rien moyen terme plus*socio=nil ambitieuses*socio=uv2 *socio=nil renforceraient la crédibilité*socio=uv1 du*socio=rien Pacte*socio=et de stabilité*socio=uv3 et de croissance*socio=uv3, donneraient une plus grande*socio=rien marge de manouvre aux autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 et aideraient à se préparer à affronter les *socio=rien conséquences du vieillissement*socio=ec2 *socio=nil de la population*socio=ac. Pour ce qui est*socio=rien des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, celle du*socio=rien marché_du_travail*socio=ec1 est*socio=rien déjà bien*socio=rien avancée dans certains pays*socio=ac et, ces *socio=rien dernières années,*socio=nil le*socio=nil marché*socio=ec1 intérieur*socio=te *socio=nil de l'union_européenne*socio=et a continué de se renforcer nettement (intensification*socio=ec2 de la concurrence*socio=ec1 dans le secteur*socio=rien des télécommunications*socio=ec1 et libéralisation*socio=et des services_publics*socio=et, notamment). Cependant, sur*socio=rien le plan*socio=rien de la lutte*socio=uv1 contre les *socio=rien causes profondes du chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4,*socio=nil les*socio=nil résultats ont*socio=nil été décevants.*socio=nil Les*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil doivent donner une formation*socio=et à *socio=rien un grand nombre de*socio=nil travailleurs*socio=ac non*socio=nil qualifiés*socio=uv4 *socio=nil qui sont souvent dépourvus d'expérience*socio=ec2 professionnelle*socio=ec1 récente*socio=rien, s'attaquer aux rigidités*socio=uv3 omniprésentes sur*socio=rien les marchés_du_travail*socio=ec1 et des produits*socio=rien, alléger les lourdes charges*socio=rien fiscales*socio=et qui pèsent sur*socio=rien l'emploi*socio=ec1 et réduire les contre-incitations*socio=ec2 qui résultent de la générosité*socio=uv1 et de la durée*socio=te des *socio=et prestations sociales,*socio=nil *socio=nil ainsi que de la difficulté*socio=uv4 de vérifier si les prestataires*socio=ac sont à même de réintégrer le marché*socio=ec1 de l'emploi*socio=ec1. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil administrateurs*socio=ac *socio=nil ont en outre souligné qu'une libéralisation*socio=et plus profonde*socio=rien des échanges*socio=ec1, surtout dans l'agriculture*socio=ec1, permettrait d'allouer de façon*socio=rien plus efficiente*socio=uv4 les ressources*socio=ec1 et aiderait à maintenir la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1. Les administrateurs*socio=ac ont jugé rassurant que la BCE estime*socio=rien que la situation*socio=rien des institutions_financières*socio=ac de la zone*socio=te euro était saine*socio=uv2 malgré la récente*socio=rien crise*socio=uv2 mondiale*socio=te et qu'il n'y ait eu aucun signe de contraction*socio=ec2 du*socio=rien crédit*socio=ec1. Néanmoins, devant*socio=rien l'intégration*socio=uv1 plus poussée des marchés_financiers*socio=ec1 européens*socio=ac et la prolifération*socio=rien des opérations*socio=rien complexes, il était nécessaire*socio=rien d'examiner si les dispositifs*socio=et en vigueur*socio=uv3 permettraient de régler efficacement les problèmes*socio=uv4 financiers*socio=ec1 qui pourraient surgir sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 européens*socio=ac. Il était particulièrement important*socio=uv4 de veiller à ce que l'information*socio=rien circule rapidement et avec efficacité*socio=uv3 entre les autorités*socio=et de contrôle*socio=uv3 des pays*socio=ac et la *socio=ac banque_centrale européenne.*socio=nil *socio=nil Le 27 avril*socio=rien 1999, le comité_intérimaire*socio=ac a salué l'avènement*socio=rien de l' union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 européenne*socio=ac (UEM*socio=et), qui devrait contribuer à la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 et à la croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 de la zone*socio=te euro et *socio=rien du reste *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Il a noté avec satisfaction*socio=uv3 la réduction*socio=ec2 des trois taux_d'_intérêt*socio=ec1 directeurs*socio=ac décidée au début*socio=rien d'avril*socio=rien par la *socio=ac banque_centrale européenne.*socio=nil *socio=nil Il a souligné l'importance*socio=rien de marchés*socio=ec1 ouverts*socio=rien et compétitifs*socio=uv4, éléments*socio=rien essentiels*socio=uv4 des efforts*socio=uv1 visant à soutenir la croissance*socio=uv3 et la stabilité*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et a vivement encouragé les membres*socio=ac de la zone*socio=te euro à s'attaquer aux *socio=rien causes profondes du chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4.*socio=nil Un dosage adéquat*socio=uv2 de*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil visant à soutenir une demande*socio=ec1 intérieure*socio=te plus dynamique*socio=uv4, accompagné de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 des marchés_du_travail*socio=ec1, des capitaux*socio=ec1 et des biens*socio=ec1 et services*socio=et, est*socio=rien essentiel*socio=uv4 pour améliorer les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 et d'emploi*socio=ec1, surtout sur*socio=rien le *socio=rien moyen terme,*socio=nil de*socio=nil manière *socio=nil à faire de la zone*socio=te euro une importante*socio=uv4 source*socio=rien de croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Impact*socio=rien de l'UEM*socio=et sur*socio=rien certains pays*socio=ac En juillet*socio=rien 1998, le Conseil*socio=ac a examiné l'impact*socio=rien de l'UEM*socio=et sur*socio=rien certains pays*socio=ac non membres*socio=ac de l'union_européenne*socio=et (pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien ou orientale*socio=te, *socio=rien du Bassin *socio=nil méditerranéen et de la zone*socio=te franc*socio=ec1 15 ). Les administrateurs*socio=ac ont noté les *socio=rien avantages considérables *socio=nil que l'UEM*socio=et apportera à *socio=rien moyen terme *socio=nil à ces pays*socio=ac, mais ils ont par ailleurs*socio=rien souligné la nécessité*socio=uv1 pour leurs autorités*socio=et de poursuivre des politiques*socio=et financières*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 réduisant au minimum*socio=rien les risques*socio=uv3 et tirant le meilleur*socio=uv4 parti*socio=et des *socio=rien chances offertes *socio=nil par l'euro. Pour atténuer le détournement des courants*socio=te d'échanges*socio=ec1 ou d'investissements*socio=ec1 qui pourrait résulter d'une baisse*socio=ec2 des frais*socio=ec1 de transaction*socio=ec1 au sein*socio=rien de la zone*socio=te euro, ces pays*socio=ac doivent accélérer les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 visant à améliorer l'ouverture*socio=uv3 et la compétitivité*socio=uv3 de leur économie*socio=ec1. En outre, au vu de l'intensification*socio=ec2 de la concurrence*socio=ec1 des marchés_financiers*socio=ec1 de l'union_européenne*socio=et, il est*socio=rien encore plus nécessaire*socio=rien pour les partenaires*socio=ac non membres*socio=ac de l'UEM*socio=et d'activer la réforme*socio=et de leur secteur*socio=rien financier*socio=ec1. Plusieurs administrateurs*socio=ac ont estimé que la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 revêt une *socio=uv4 priorité élevée *socio=nil pour les pays*socio=ac qui aspirent éventuellement à devenir*socio=rien membres*socio=ac de l'UE*socio=ac. À cet égard*socio=rien, ils ont souligné la nécessité*socio=uv1 d'une libéralisation*socio=et parfaitement ordonnée dont l'un*socio=rien des principaux*socio=rien objectifs*socio=uv3 serait la restructuration*socio=et *socio=rien du secteur financier*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Conseil*socio=ac *socio=nil a également fait*socio=rien valoir l'importance*socio=rien pour les pays*socio=ac de l'UE*socio=ac de préserver la liberté*socio=uv1 des échanges*socio=ec1 afin d'intensifier les relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 avec les autres pays*socio=ac. Quant au risque*socio=uv3 d'instabilité*socio=uv3 du*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 à court_terme*socio=te, qui pourrait pénaliser les pays*socio=ac qui entretiennent des liens*socio=rien commerciaux*socio=ec1 étroits*socio=rien avec l'UEM*socio=et ou qui sont lourdement endettés en euros*socio=ec, les administrateurs*socio=ac l'ont jugé en *socio=rien général mineur,*socio=nil *socio=nil car il est*socio=rien probable*socio=uv4 que la politique_monétaire*socio=et menée dans le cadre*socio=rien de l'UEM*socio=et restera éminemment crédible*socio=uv2. Les administrateurs*socio=ac ont souhaité avoir l'occasion*socio=rien de poursuivre la discussion*socio=et des conséquences*socio=rien de l'UEM*socio=et pour la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac. Ils ont jugé nécessaire*socio=rien d'en faire ressortir plus explicitement les retombées*socio=rien éventuelles*socio=te, dans le contexte*socio=rien de la surveillance*socio=et des politiques*socio=et des pays_membres*socio=ac de la zone*socio=te euro, notamment en ce qui concerne la lutte*socio=uv1 contre les rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 et le maintien*socio=rien d'une politique_budgétaire*socio=et suffisamment rigoureuse*socio=uv4. Ils ont également jugé nécessaire*socio=rien de se pencher davantage sur*socio=rien les conséquences*socio=rien pour les pays*socio=ac non membres*socio=ac de l'UE*socio=ac de l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 dans la zone*socio=te euro et sur*socio=rien les questions*socio=rien que soulève le secteur*socio=rien financier*socio=ec1. *socio=rien Du fait *socio=nil de l'intégration*socio=uv1 plus poussée de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, il peut parfois être*socio=rien judicieux*socio=uv4 d'accorder une plus *socio=rien grande attention au*socio=nil choix*socio=uv1 du régime*socio=et de*socio=nil change*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Étant donné que l'UEM*socio=et et l'accès*socio=uv1 à l'UE*socio=ac conditionnent le cadre*socio=rien, le contenu et la portée*socio=rien de la politique*socio=et macroéconomique*socio=ec1 des futurs*socio=te membres*socio=ac de l'UE*socio=ac, les administrateurs*socio=ac ont été*socio=rien d'avis*socio=rien que, dans le contexte*socio=rien de la surveillance*socio=et, le FMI*socio=ac devait aider ces pays*socio=ac en leur recommandant les réformes*socio=et macroéconomiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 complémentaires*socio=rien à opérer, afin notamment de créer *socio=rien un cadre légal*socio=et et*socio=nil institutionnel*socio=et *socio=nil et de donner plus de souplesse*socio=uv3 aux marchés*socio=ec1. APPENDICE*socio=rien IV Communiqués du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac et du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 comité_intérimaire*socio=ac du*socio=rien conseil_des_gouverneurs*socio=ac sur*socio=rien le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te COMMUNIQUÉS DE PRESSE*socio=et VI Cinquante et *socio=rien unième réunion,*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil 4*socio=nil octobre *socio=nil 1998 2. Évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te a. Problèmes*socio=uv4 et enjeux*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te Les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 mondiales*socio=te se sont considérablement*socio=rien dégradées depuis la *socio=rien réunion du Comité*socio=ac en*socio=nil avril dernier,*socio=nil *socio=nil entraînant une révision*socio=rien à la baisse*socio=ec2 des prévisions*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 et du*socio=rien commerce*socio=ec1. La récession*socio=ec2 au Japon*socio=ac et dans plusieurs économies*socio=ec1 à marché*socio=ec1 émergent*socio=rien d'Asie*socio=ac s'est*socio=rien aggravée; la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 en Russie*socio=ac a contribué au retrait généralisé des investisseurs*socio=ac des marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2; les *socio=ec1 marchés boursiers mondiaux*socio=te *socio=nil ont chuté notablement*socio=rien par rapport*socio=rien à leurs *socio=rien récents sommets *socio=nil et les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien ont encore baissé. Les risques*socio=uv3 de dégradation*socio=uv3 de la situation*socio=rien actuelle*socio=te se sont accrus sensiblement. *socio=rien Bon nombre de*socio=nil pays*socio=ac émergents*socio=ec2 *socio=nil se trouvent dans une position*socio=rien particulièrement difficile*socio=rien en raison*socio=rien de leur accès*socio=uv1 réduit au financement*socio=ec1 extérieur*socio=te et de l'augmentation*socio=ec2 des primes*socio=ec1 de risque*socio=uv3. Cette évolution*socio=te pose aussi des problèmes*socio=uv4 pour les systèmes_financiers*socio=ec1 et pour un*socio=rien processus*socio=te ordonné d'ajustement*socio=et économique*socio=ec1 et *socio=rien pèse sur les*socio=nil perspectives*socio=te de*socio=nil croissance*socio=uv3.*socio=nil Les*socio=nil récentes difficultés*socio=uv4 ont*socio=nil été *socio=nil aggravées par un*socio=rien fléchissement*socio=ec2 général*socio=rien de la confiance*socio=uv1 des marchés*socio=ec1, dû à la prévalence et à l'intensité*socio=rien croissantes*socio=rien des effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 dans une économie*socio=ec1 de plus en plus planétaire*socio=te. Ces effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 sont apparus le plus clairement dans les pays*socio=ac dont la politique_économique*socio=ec1 est*socio=rien déficiente et les institutions*socio=ac inadaptées, mais nombre*socio=rien de pays*socio=ac foncièrement en bonne*socio=rien santé*socio=et n'ont pas été*socio=rien épargnés non plus. Le Comité*socio=ac relève*socio=rien aussi quelques facteurs*socio=rien positifs*socio=uv4 qui, s'ils sont renforcés, peuvent aider à faire front*socio=rien à la crise*socio=uv2. Premièrement, les pays_industrialisés*socio=ac d'amérique_du_nord*socio=ac et d'Europe*socio=ac occidentale*socio=te affichent une croissance*socio=uv3 continue*socio=rien et généralement robuste*socio=rien, une inflation*socio=ec1 faible*socio=rien et des progrès*socio=uv1 dans le nécessaire*socio=rien assainissement*socio=uv3 de leurs finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Deuxièmement, l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 de l'Europe*socio=ac, qui *socio=rien est sur le*socio=nil point *socio=nil de se concrétiser, contribue déjà à la stabilité*socio=uv3 monétaire*socio=ec1. Le Comité*socio=ac forme*socio=rien des voeux*socio=rien pour que l'UEM*socio=et soit une réussite*socio=uv1 qui contribue à l'expansion*socio=ec2 et à la stabilité*socio=uv3 du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Troisièmement, la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien maintenue en Chine*socio=ac et en Inde*socio=ac, tandis que certains *socio=ac pays asiatiques *socio=nil touchés par la crise*socio=uv2 ont progressé dans la voie*socio=rien de la stabilisation*socio=et financière*socio=ec1 et du*socio=rien renforcement*socio=ec2 de leur position*socio=rien extérieure*socio=te et, de ce fait*socio=rien, ont pu récemment assouplir avec prudence*socio=uv1 leur politique*socio=et macroéconomique*socio=ec1. Quatrièmement, les fondamentaux*socio=uv4 économiques*socio=ec1 et le potentiel*socio=uv4 de croissance*socio=uv3 de plusieurs pays_en_développement*socio=uv3 et en transition*socio=ec2 se sont considérablement*socio=rien affermis ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil ce qui a permis*socio=rien de contenir la crise*socio=uv2 et de limiter*socio=rien le recours*socio=ec1 aux restrictions*socio=et commerciales*socio=ec1. Cinquièmement, les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et ont jusqu'à *socio=rien présent été *socio=nil maîtrisées. Le Comité*socio=ac a longuement étudié les problèmes*socio=uv4 auxquels l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te est*socio=rien confrontée. Il est*socio=rien unanimement d'avis*socio=rien que des mesures*socio=et vigoureuses*socio=rien doivent *socio=rien être prises *socio=nil par les pays_membres*socio=ac dans des domaines*socio=rien très divers, avec pour objectif*socio=uv3 primordial*socio=uv4 de rétablir la confiance*socio=uv1 des marchés*socio=ec1 et de relancer la croissance*socio=uv3 partout où cela *socio=rien est nécessaire.*socio=nil *socio=nil b. La riposte aux crises*socio=uv2 récentes*socio=rien Étant donné la gravité de la situation*socio=rien actuelle*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, le Comité*socio=ac considère qu'un*socio=rien vif*socio=rien effort*socio=uv1 concerté de tous les pays*socio=ac et toutes les institutions*socio=ac *socio=rien est crucial *socio=nil afin de soutenir les pays*socio=ac qui ont été*socio=rien le plus affectés par les *socio=rien événements récents *socio=nil et qui mettent en ouvre des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et économique*socio=ec1 vigoureux*socio=rien. Pour contenir la crise*socio=uv2, des mesures*socio=et de recentrage de la politique_économique*socio=ec1 visant à rétablir la confiance*socio=uv1 sont nécessaires*socio=rien en vue*socio=rien de s'attaquer aux causes*socio=rien internes*socio=te et externes*socio=ec1 de vulnérabilité*socio=uv1; des mesures*socio=et énergiques*socio=ec1 doivent en *socio=rien particulier être prises en*socio=nil temps *socio=nil voulu dans les pays*socio=ac où les déficiences*socio=uv3 sont profondes*socio=rien. Le Comité*socio=ac a examiné et approuvé la stratégie*socio=et globale*socio=rien adoptée par la *socio=ac communauté internationale face*socio=rien *socio=nil à la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac. Il note que la stabilité*socio=uv3 des monnaies*socio=ec1 des pays*socio=ac touchés par la crise*socio=uv2 devrait, pour peu qu'elle persiste, permettre de continuer une détente*socio=rien prudente*socio=uv2 des politiques_monétaires*socio=et. Néanmoins, le Comité*socio=ac demeure préoccupé par la gravité de la récession*socio=ec2 dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac d'Asie*socio=ac et par ses *socio=rien retombées négatives sur le*socio=nil bien-être*socio=uv1 *socio=nil d'une *socio=rien grande partie *socio=nil de leur population*socio=ac. Il considère que la politique_budgétaire*socio=et dispose d'une marge utile*socio=uv4 pour alléger les pressions*socio=ec2 qui s'exercent sur*socio=rien l'économie*socio=ec1 réelle*socio=ec2 et, en particulier*socio=rien, pour étayer la protection_sociale*socio=et dans les pays*socio=ac concernés, et pour absorber le coût*socio=ec1 de la restructuration*socio=et bancaire*socio=ec1. Le Comité*socio=ac estime*socio=rien que, pour assurer le redressement*socio=ec2 de leur économie*socio=ec1, il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 que ces pays*socio=ac continuent de s'attaquer énergiquement aux *socio=ec2 faiblesses structurelles *socio=rien du secteur financier*socio=ec1 et*socio=nil du secteur des*socio=nil sociétés*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui sont à l'origine*socio=rien de la récente*socio=rien perte*socio=ec2 de confiance*socio=uv1, et de mettre en place*socio=rien des mécanismes*socio=et efficaces*socio=uv4 facilitant la renégociation de leur dette*socio=ec1. En ce qui concerne la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 en Russie*socio=ac, le Comité*socio=ac encourage le nouveau*socio=rien gouvernement*socio=ac à prendre immédiatement des mesures*socio=et visant à ramener la confiance*socio=uv1 dans le rouble*socio=ec1, à rétablir le système*socio=rien de paiements*socio=ec1 et à rechercher avec ses créanciers*socio=ac une solution*socio=rien concertée aux dettes*socio=ec1 de la Russie*socio=ac. Il souligne aussi la nécessité*socio=uv1 d'une *socio=ec1 action énergique *socio=nil pour s'attaquer aux causes*socio=rien fondamentales*socio=uv4 de la crise*socio=uv2, en particulier*socio=rien les déséquilibres*socio=uv3 budgétaires*socio=et persistants*socio=rien et les déficiences*socio=uv3 *socio=rien du système d'*socio=nil imposition*socio=et et*socio=nil du secteur bancaire*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil tout en renforçant aussi l'État*socio=ac de droit*socio=uv1, la concurrence*socio=ec1, le secteur*socio=rien des entreprises*socio=ac privées*socio=et et en atténuant le plus possible*socio=rien les retombées*socio=rien sociales*socio=et de la crise*socio=uv2. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac réaffirment que la *socio=ac communauté internationale,*socio=nil *socio=nil ce qui comprend les institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te, *socio=rien est prête *socio=nil à soutenir des mesures*socio=et convaincantes*socio=rien et efficaces*socio=uv4 de stabilisation*socio=et et de réforme*socio=et de l'économie*socio=ec1 russe*socio=ac. Le FMI*socio=ac doit continuer à accorder son plein*socio=rien appui*socio=uv1 aux pays*socio=ac les plus touchés par la crise*socio=uv2 russe*socio=ac dont les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et sont en *socio=rien bonne voie.*socio=nil *socio=nil S'agissant des autres pays*socio=ac émergents*socio=ec2 et en développement*socio=uv3, étant donné que les marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 sont très sensibles*socio=rien à tout indice de faiblesse*socio=ec2, il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 que ces pays*socio=ac continuent d'appliquer une politique_économique*socio=ec1 avisée afin de réduire leur vulnérabilité*socio=uv1 aux revirements*socio=te d'opinion*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac. Le Comité*socio=ac note que nombre*socio=rien de pays*socio=ac en Asie*socio=ac et dans d'autres régions*socio=te font face*socio=rien efficacement aux effets*socio=rien de contagion*socio=ec2 de la crise*socio=uv2. Il se félicite par ailleurs*socio=rien de l'engagement*socio=uv1 réaffirmé par la Chine*socio=ac de ne pas dévaluer sa monnaie*socio=ec1, qui a déjà fourni un*socio=rien important*socio=uv4 pôle*socio=rien de stabilité*socio=uv3 pour la région*socio=te. Les pays*socio=ac d' amérique_latine*socio=ac ont certes *socio=rien été nombreux à*socio=nil pouvoir*socio=et faire*socio=nil front aux*socio=nil récentes turbulences*socio=ec2 des*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 grâce aux*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil accomplis pendant la dernière*socio=rien décennie*socio=te dans les politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec1 et les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, mais il est*socio=rien encore *socio=rien fort nécessaire,*socio=nil *socio=nil dans certains pays*socio=ac, d'assainir les finances*socio=ec1 publiques*socio=et et de renforcer les systèmes_financiers*socio=ec1. Le Comité*socio=ac souligne l'importance*socio=rien du*socio=rien rôle*socio=et des pays_industrialisés*socio=ac pour soutenir la croissance*socio=uv3 mondiale*socio=te, limiter*socio=rien les risques*socio=uv3 de déflation*socio=ec2, et créer des conditions*socio=ec1 propices*socio=rien à la résolution*socio=uv1 sans heurt*socio=rien des crises*socio=uv2 financières*socio=ec1. Tout en prenant note des mesures*socio=et qui ont *socio=rien été prises *socio=nil récemment dans ce sens*socio=rien, il considère qu'il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 que le Japon*socio=ac agisse promptement et énergiquement pour renforcer son secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1, et donne une impulsion*socio=ec2 suffisante*socio=rien et soutenue pour redynamiser la demande*socio=ec1 et rétablir la confiance*socio=uv1 jusqu'à ce que la reprise soit bien*socio=rien enclenchée. Dans la plupart*socio=rien des autres pays_industrialisés*socio=ac, la croissance*socio=uv3 est*socio=rien suffisamment robuste*socio=rien pour ne pas détourner la politique_budgétaire*socio=et de ses objectifs*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil Au vu des perspectives*socio=te favorables*socio=uv4 sur*socio=rien le plan*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 et de la croissance*socio=uv3 dans ces pays*socio=ac, et compte*socio=ec1 tenu de la gravité de la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 mondiale*socio=te et de ses effets*socio=rien de contagion*socio=ec2, le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 le *socio=rien récent abaissement des*socio=nil taux*socio=ec1 aux*socio=nil États-unis*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui lui paraît *socio=rien être un pas*socio=nil utile*socio=uv4 *socio=nil à cet égard*socio=rien, et la convergence*socio=uv3 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 des pays*socio=ac participant*socio=rien à l'euro vers les niveaux*socio=rien les plus *socio=rien bas observables *socio=nil dans la zone*socio=te. En cas*socio=rien d'aggravation*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 ou de nouveau*socio=rien fléchissement*socio=ec2 de l' activité_économique*socio=ec1, des mesures*socio=et complémentaires*socio=rien, pour des raisons*socio=rien à la fois*socio=rien intérieures*socio=te et internationales*socio=te, seraient requises*socio=uv4 de la part*socio=rien des pays*socio=ac émergents*socio=ec2 comme des pays_industrialisés*socio=ac. Le Comité*socio=ac décide d'étudier un*socio=rien renforcement*socio=ec2 des capacités*socio=uv3, fondé sur*socio=rien le FMI*socio=ac et conjugué*socio=rien à l'augmentation*socio=ec2 générale*socio=rien des quotes-parts*socio=et et à la mise en place*socio=rien des Nouveaux*socio=rien Accords*socio=et d'emprunt*socio=ec1, en vue*socio=rien de fournir plus efficacement des concours financiers*socio=ec1 conditionnels*socio=rien aux pays*socio=ac qui mènent des politiques*socio=et saines*socio=uv2 face*socio=rien à une situation*socio=rien financière*socio=ec1 mondiale*socio=te difficile*socio=rien. 3. Renforcement*socio=ec2 de l'architecture du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 les progrès*socio=uv1 accomplis au cours*socio=rien des six *socio=rien derniers mois *socio=nil dans les *socio=rien travaux sur certains*socio=nil aspects du renforcement*socio=ec2 *socio=nil de l'architecture du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. Les crises*socio=uv2 récentes*socio=rien ont cependant mis au jour*socio=rien des défauts*socio=rien plus généraux*socio=rien et plus *socio=rien profonds du système,*socio=nil *socio=nil ce qui renforce la nécessité*socio=uv1 d'élargir les *socio=rien travaux récents *socio=nil à d'autres aspects*socio=rien cruciaux*socio=uv4 se rapportant à la gestion*socio=ec2 et à la résolution*socio=uv1 des crises*socio=uv2. Il s'agit en particulier*socio=rien de mécanismes*socio=et d'affectation*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 et de gestion*socio=ec2 des risques*socio=uv3, de réglementation*socio=et et de surveillance*socio=et des secteurs*socio=rien financiers*socio=ec1 et de normes*socio=et de transparence*socio=uv3. Les *socio=rien fonctions respectives *socio=nil des divers éléments*socio=rien institutionnels*socio=et *socio=rien du système *socio=nil doivent aussi faire l'objet*socio=rien d'un*socio=rien réexamen*socio=et approfondi, qui inclue la possibilité*socio=rien de renforcer ou de transformer le comité_intérimaire*socio=ac. Les membres*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac invitent le conseil_d'_administration*socio=ac à approfondir ses travaux*socio=rien dans ce sens*socio=rien, et à lui faire rapport*socio=rien à sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil Sur différents dossiers de*socio=nil grande importance *socio=nil pour la stabilité*socio=uv3 du*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te et le *socio=rien bon fonctionnement des*socio=nil marchés*socio=ec1 de*socio=nil capitaux*socio=ec1 mondiaux*socio=te,*socio=nil les*socio=nil travaux préparatoires *socio=nil sont déjà en *socio=rien bonne voie *socio=nil et font l'objet*socio=rien d'un*socio=rien large*socio=rien consensus*socio=uv1. Le *socio=rien moment est *socio=nil venu de leur donner suite*socio=rien par une action*socio=ec1 concrète*socio=rien et rapide*socio=rien. Les *socio=rien points suivants ont*socio=nil été *socio=nil soulignés: Normes*socio=et Il est*socio=rien urgent*socio=uv4 de continuer à élaborer et diffuser de nouvelles*socio=rien normes*socio=et internationalement acceptées afin d'accroître la transparence*socio=uv3 de la politique_économique*socio=ec1 et de permettre aux marchés_financiers*socio=ec1 de mieux évaluer la cote*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 des emprunteurs*socio=ac, ainsi que des normes*socio=et de *socio=rien bonne conduite *socio=nil qui puissent servir de référence*socio=rien. En outre, il convient de rechercher les moyens*socio=ec1 appropriés d'encourager les places financières*socio=ec1 offshore à respecter ces règles*socio=et et normes*socio=et. Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 la mise en place*socio=rien par le FMI*socio=ac d'un*socio=rien code*socio=et de conduite*socio=rien en matière*socio=rien de transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, ainsi que les travaux*socio=rien en *socio=rien cours sur le*socio=nil code*socio=et de*socio=nil politique_monétaire*socio=et et*socio=nil financière*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et il invite le conseil_d'_administration*socio=ac à achever d'urgence*socio=rien ses travaux*socio=rien dans ce domaine*socio=rien. Le Comité*socio=ac note aussi qu'il importe de convenir de codes*socio=et et normes*socio=et similaires*socio=rien pour le gouvernement*socio=ac d'entreprise*socio=ac, la comptabilité*socio=ec1 et les régimes*socio=et de faillite*socio=ec1, et il invite le FMI*socio=ac à collaborer étroitement avec les institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te compétentes*socio=uv4 et les autres organismes*socio=ac chargés de la mise au point*socio=rien de normes*socio=et dans ces domaines*socio=rien d'un*socio=rien intérêt*socio=uv1 opérationnel*socio=rien moins immédiat*socio=rien pour l'institution*socio=ac. Transparence*socio=uv3 Une plus grande*socio=rien transparence*socio=uv3 et une meilleure*socio=uv4 communication*socio=ec1 des données, tant du*socio=rien secteur_public*socio=et que du*socio=rien secteur_privé*socio=et, sont essentielles*socio=uv4 pour améliorer le fonctionnement*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec1. Il importe que soient diffusées des données exhaustives*socio=rien, fréquentes*socio=rien et à *socio=rien jour sur la*socio=nil position des*socio=nil réserves_internationales*socio=ec1 *socio=nil et les engagements*socio=et extérieurs*socio=te des pays*socio=ac. Les travaux*socio=rien doivent se poursuivre promptement en vue*socio=rien d'améliorer la disponibilité*socio=rien des données sur*socio=rien les réserves*socio=ec1, la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te et les autres *socio=ec1 flux financiers,*socio=nil en*socio=nil particulier*socio=rien les*socio=nil mouvements_de_capitaux_privés*socio=et à*socio=nil court_terme*socio=te.*socio=nil *socio=nil À cet effet*socio=rien, le Comité*socio=ac souscrit aux toutes *socio=rien dernières propositions *socio=nil visant à renforcer la Norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données et à l'accord*socio=et sur*socio=rien une norme*socio=et minimale*socio=rien pour la communication*socio=ec1 au FMI*socio=ac de données sur*socio=rien les réserves*socio=ec1 et les éléments*socio=rien qui s'y rapportent. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 instamment au groupe*socio=ac d'étude*socio=ec2 spécial*socio=rien inter-institutions chargé des statistiques*socio=ec2 financières*socio=ec1 qui a été*socio=rien constitué par le FMI*socio=ac de s'attacher en priorité*socio=uv4 à accélérer les travaux*socio=rien visant à améliorer les systèmes*socio=rien de communication*socio=ec1 des données sur*socio=rien la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te. Une plus grande*socio=rien transparence*socio=uv3 *socio=rien est nécessaire *socio=nil aussi de la part*socio=rien des participants*socio=ac aux marchés_financiers*socio=ec1, ce qui pourrait exiger de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et de réglementation*socio=et et de publicité*socio=rien financière*socio=ec1. Dans cette optique*socio=rien, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 qu'il soit procédé*socio=rien par les organismes*socio=ac compétents*socio=uv4 à une analyse*socio=ec2 approfondie des implications*socio=rien des opérations*socio=rien des investisseurs*socio=ac institutionnels*socio=et internationaux*socio=te, notamment les opérations*socio=rien à fort*socio=rien levier*socio=ec2 financier*socio=ec1, pour la réglementation*socio=et et la surveillance*socio=et prudentielles*socio=uv2, en vue*socio=rien de déterminer si de nouveaux*socio=rien règlements*socio=et ou obligations*socio=uv1 de publicité*socio=rien financière*socio=ec1 seraient opportuns*socio=rien pour permettre au public*socio=et de mieux évaluer les risques*socio=uv3 encourus. Le FMI*socio=ac, quant à lui, contribue à la transparence*socio=uv3 en pratiquant une plus grande*socio=rien ouverture*socio=uv3, notamment en ce qui concerne ses propres*socio=rien politiques*socio=et et les conseils*socio=ac qu'il donne à ses pays_membres*socio=ac. Ces efforts*socio=uv1 doivent être*socio=rien renforcés par l'utilisation*socio=rien plus fréquente*socio=rien des notes d'information*socio=rien au public*socio=et (NIP) (notamment sur*socio=rien les décisions*socio=et déterminant*socio=rien la politique*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac), et la diffusion*socio=rien plus large*socio=rien des lettres*socio=rien d'intention*socio=rien et des documents-cadres*socio=et de politique_économique*socio=ec1 qui soustendent les programmes*socio=et appuyés par l'institution*socio=ac, ainsi que d'informations*socio=rien et d'évaluations*socio=ec2 portant sur*socio=rien ses activités*socio=rien et ses politiques*socio=et. Contribution*socio=uv1 du*socio=rien secteur_privé*socio=et Il est*socio=rien aussi d'une importance*socio=rien capitale*socio=uv2 d'associer davantage le secteur_privé*socio=et tant à la prévention*socio=uv3 qu'à la résolution*socio=uv1 des crises*socio=uv2 financières*socio=ec1. Le Comité*socio=ac est*socio=rien conscient*socio=uv2 que les questions*socio=rien en jeu*socio=rien sont complexes. Le FMI*socio=ac pourrait faire *socio=rien fond sur l'*socio=nil expérience*socio=ec2 *socio=nil de plusieurs cas*socio=rien, au cours*socio=rien des *socio=rien neuf derniers mois,*socio=nil *socio=nil où les pays_membres*socio=ac, les créanciers*socio=ac et le FMI*socio=ac ont découvert des approches pratiques*socio=et permettant de mettre en ouvre une action*socio=ec1 rapide*socio=rien et concrète*socio=rien. À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de continuer à étudier l'utilisation*socio=rien de mécanismes*socio=et fondés sur*socio=rien des critères*socio=rien de marché*socio=ec1 pour parer au risque*socio=uv3 qu'un*socio=rien *socio=rien soudain revirement d'*socio=nil opinion*socio=uv1 des*socio=nil investisseurs*socio=ac *socio=nil n'entraîne des crises*socio=uv2 financières*socio=ec1. mouvements_de_capitaux*socio=ec1 La mise en place*socio=rien ou le resserrement*socio=ec2 du*socio=rien contrôle*socio=uv3 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 n'est*socio=rien pas *socio=rien un bon moyen *socio=nil de corriger efficacement les déséquilibres*socio=uv3 économiques*socio=ec1 fondamentaux*socio=uv4. Le *socio=rien répit temporaire *socio=nil que de telles mesures*socio=et pourraient éventuellement apporter serait largement contrebalancé par le préjudice*socio=et durable*socio=uv4 à la confiance*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac et par les distorsions*socio=uv3 dans l'affectation*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 qui en résulteraient. Ces contrôles*socio=et ne sauraient dispenser de s'attaquer aux *socio=rien causes profondes de*socio=nil faiblesse*socio=ec2 *socio=nil pour remédier aux déséquilibres*socio=uv3 structurels*socio=ec2 ou macroéconomiques*socio=ec1. Des restrictions*socio=et temporaires*socio=rien des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 ont toutefois été*socio=rien employées*socio=ac dans *socio=rien certaines circonstances *socio=nil et, à cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac invite le conseil_d'_administration*socio=ac à examiner les résultats*socio=rien qu'a donnés le contrôle*socio=uv3 des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, ainsi que les circonstances*socio=rien dans lesquelles des mesures*socio=et de cette nature*socio=rien seraient indiquées. Pour ce qui est*socio=rien de la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1, les conditions*socio=ec1 préalables*socio=rien à l'ouverture*socio=uv3 réussie des marchés*socio=ec1 nationaux*socio=te doivent être*socio=rien soigneusement identifiées et mises en place*socio=rien. Il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 d'éviter que la participation*socio=uv3 aux marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 mondiaux*socio=te ne devienne une cause*socio=rien d'instabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 (de l'économie*socio=ec1 nationale*socio=te), avec les risques*socio=uv3 de *socio=rien retombées négatives sur le*socio=nil reste *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te que cela comporte. La déréglementation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 doit s'effectuer de manière*socio=rien ordonnée, graduelle*socio=te et bien*socio=rien enchaînée, à un*socio=rien rythme*socio=ec2 modulé au fur*socio=rien et à mesure*socio=rien que le pays*socio=ac devient de plus en plus capable*socio=rien d'en supporter les conséquences*socio=rien. Le Comité*socio=ac souligne l'importance*socio=rien cruciale*socio=uv4 à cet égard*socio=rien de systèmes_financiers*socio=ec1 solides*socio=uv4 et d'un*socio=rien encadrement*socio=rien prudentiel*socio=uv2 efficace*socio=uv4. À cette fin*socio=rien, le FMI*socio=ac est*socio=rien encouragé à poursuivre, dans le cadre*socio=rien de ses fonctions*socio=rien de surveillance*socio=et et des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et, son action*socio=ec1 pour inciter les pays*socio=ac à adopter des mesures*socio=et adaptées et à appuyer ces efforts*socio=uv1, en collaboration*socio=uv1 étroite*socio=rien avec la banque_mondiale*socio=ac, par divers moyens*socio=ec1, dont l'assistance*socio=uv1 technique*socio=rien et la diffusion*socio=rien de normes*socio=et. Appui*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac Le Comité*socio=ac approuve la *socio=rien récente réaffirmation *socio=nil par le conseil_d'_administration*socio=ac de la politique*socio=et de 1989 concernant les prêts*socio=ec1 aux pays*socio=ac ayant des arriérés et sa décision*socio=et d'envisager l'élargissement*socio=ec2 *socio=rien du champ d'*socio=nil application *socio=nil de cette politique*socio=et, dans des conditions*socio=ec1 soigneusement définies*socio=rien et après*socio=rien examen*socio=ec2 de chaque cas*socio=rien. Basculement informatique*socio=ec1 Dans le cadre*socio=rien de ces discussions*socio=et, le Comité*socio=ac engage vivement tous les pays*socio=ac à se préparer promptement à faire face*socio=rien sans à-coup au basculement informatique*socio=ec1 de l'an*socio=rien 2000 et invite le FMI*socio=ac à faire mieux comprendre les problèmes*socio=uv4 y afférents*socio=rien dans le contexte*socio=rien de ses activités*socio=rien de surveillance*socio=et et de ses programmes*socio=et. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre ses travaux*socio=rien dans tous ces domaines*socio=rien, en coopération*socio=uv1 avec les autres institutions*socio=ac et instances*socio=et, et de lui faire *socio=rien rapport lors *socio=nil de sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil 4. *socio=rien Rapports sur *socio=nil les autres politiques*socio=et et *socio=rien activités du FMI*socio=ac *socio=nil a. Liquidités*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac, quotes-parts*socio=et, NAE et amendement*socio=et relatif*socio=rien aux DTS Le Comité*socio=ac exprime sa vive préoccupation*socio=uv4 devant*socio=rien la position*socio=rien de liquidité*socio=ec1 *socio=rien difficile du FMI*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Il souligne qu'il *socio=rien est crucial,*socio=nil *socio=nil dans les conditions*socio=ec1 actuelles*socio=te, d'accroître les ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac et il engage vivement tous les pays_membres*socio=ac à accélérer le processus*socio=te de mise en ouvre de l'augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et qui a été*socio=rien décidée. En outre, le Comité*socio=ac appelle aussi à l'achèvement*socio=rien du*socio=rien processus*socio=te d'adhésion*socio=uv1 des pays*socio=ac aux Nouveaux*socio=rien Accords*socio=et d'emprunt*socio=ec1 et à l'acceptation*socio=uv1, dans les meilleurs*socio=uv4 délais*socio=rien, *socio=rien du quatrième amendement*socio=et des*socio=nil Statuts*socio=et *socio=nil qui autoriserait une allocation*socio=et spéciale*socio=rien et unique*socio=rien de DTS. Ces actions*socio=ec1 sont jugées indispensables*socio=uv4 dans les circonstances*socio=rien actuelles*socio=te. b. FASR*socio=ec1 et Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac: mise en ouvre, financement*socio=ec1 et enseignements*socio=et des évaluations*socio=ec2 et réexamens; assistance*socio=uv1 aux pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1 Le Comité*socio=ac se félicite des progrès*socio=uv1 accomplis dans la mise en ouvre de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac, note avec satisfaction*socio=uv3 que le conseil_d'_administration*socio=ac a prolongé jusqu'à la fin*socio=rien de l'an*socio=rien 2000 la période*socio=te initiale*socio=rien de deux ans*socio=rien dont disposaient les pays*socio=ac pour présenter une demande*socio=ec1 d'assistance*socio=uv1 dans le cadre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien, et salue la décision*socio=et prise*socio=rien par le conseil_d'_administration*socio=ac d'introduire une certaine*socio=rien souplesse*socio=uv3 dans son évaluation*socio=ec2 des antécédents*socio=ec1 établis par les pays*socio=ac qui reçoivent une assistance*socio=uv1 au sortir d'un*socio=rien conflit*socio=uv1. Le Comité*socio=ac encourage vivement les pays*socio=ac susceptibles*socio=rien d'être*socio=rien admissibles*socio=uv2 au bénéfice*socio=uv1 de l'Initiative*socio=rien à engager au plus tôt le programme*socio=et d'ajustement*socio=et nécessaire*socio=rien, *socio=rien condition préalable *socio=nil à l'obtention*socio=rien d'une aide*socio=uv1 à ce titre*socio=rien, afin que le processus*socio=te soit engagé pour tous les pays*socio=ac admissibles*socio=uv2 d'ici à l'an*socio=rien 2000. Le Comité*socio=ac souligne qu'il est*socio=rien urgent*socio=uv4 d'assurer le financement*socio=ec1 de la FASR*socio=ec1 et de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac et demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de prendre les décisions*socio=et nécessaires*socio=rien peu après*socio=rien l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te. Il appelle les pays_industrialisés*socio=ac qui n'ont pas contribué au Compte*socio=ec1 de fiducie*socio=ec1 FASRPPTE à verser leur contribution*socio=uv1 sans tarder. Le Comité*socio=ac souscrit aux propositions*socio=rien formulées à la lumière*socio=rien des récentes*socio=rien évaluations*socio=ec2 interne*socio=te et externe*socio=ec1 des opérations*socio=rien de la FASR*socio=ec1, qui visent à améliorer la conception*socio=et et la mise en ouvre des programmes*socio=et appuyés par la FASR*socio=ec1. Il considère que ces propositions*socio=rien s'inscrivent dans un*socio=rien effort*socio=uv1 permanent*socio=rien d'adaptation*socio=uv3 de la stratégie*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac aux fins*socio=rien de promouvoir la croissance*socio=uv3 et l'ajustement*socio=et; dans ce contexte*socio=rien, il encourage l'approfondissement*socio=uv3 du*socio=rien dialogue*socio=uv1 sur*socio=rien ces questions*socio=rien entre le FMI*socio=ac et les autres organisations*socio=ac pertinentes*socio=rien. Le Comité*socio=ac prend note *socio=rien du rapport conjoint *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac et du*socio=rien FMI*socio=ac sur*socio=rien l'assistance*socio=uv1 aux pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1 et demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de procéder rapidement à l'examen*socio=ec2 *socio=rien du dossier *socio=nil et d'explorer d'autres propositions*socio=rien viables*socio=uv4 qui prennent en considération*socio=rien les besoins*socio=uv1 particuliers*socio=rien des pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1, notamment de ceux qui ont des arriérés envers des institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te. c. Collaboration*socio=uv1 entre la banque_mondiale*socio=ac et le FMI*socio=ac Le Comité*socio=ac a examiné les *socio=rien récentes initiatives de*socio=nil renforcement*socio=ec2 *socio=nil de la collaboration*socio=uv1 entre la banque_mondiale*socio=ac et le FMI*socio=ac. Tout en reconnaissant la spécificité*socio=uv3 de leurs mandats*socio=et, il souligne qu'il importe que les deux institutions*socio=ac travaillent ensemble*socio=rien, notamment dans le cadre*socio=rien de missions conjointes*socio=uv2, pour aider les pays*socio=ac à mettre en ouvre des programmes*socio=et intégrés de stabilisation*socio=et et de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. Une collaboration*socio=uv1 plus étroite*socio=rien maximiserait l'efficacité*socio=uv3 des deux institutions*socio=ac à l'heure*socio=rien où leurs ressources*socio=ec1 sont très sollicitées. Le Comité*socio=ac attache une *socio=rien importance particulière *socio=nil à une meilleure*socio=uv4 coopération*socio=uv1 en vue*socio=rien d'aider les pays*socio=ac à renforcer leurs systèmes_financiers*socio=ec1. d. L'UEM*socio=et et le FMI*socio=ac: *socio=rien aspects opérationnels Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil note avec satisfaction*socio=uv3 que l'union_européenne*socio=et (UE*socio=ac) a décidé que onze pays_membres*socio=ac participeront à la troisième*socio=rien et dernière*socio=rien phase*socio=te de l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 (UEM*socio=et) le 1 er janvier*socio=rien 1999. L'UEM*socio=et entraînera des changements*socio=uv3 dans les procédures*socio=et *socio=rien opérationnelles du FMI*socio=ac,*socio=nil *socio=nil notamment en ce qui concerne la surveillance*socio=et et le financement*socio=ec1 de l'institution*socio=ac. Étant donné l'importance*socio=rien de la zone*socio=te euro, le FMI*socio=ac doit développer ses activités*socio=rien de surveillance*socio=et dans ce domaine*socio=rien et achever ses travaux*socio=rien de manière*socio=rien à pouvoir*socio=et faire face*socio=rien aux *socio=rien conséquences opérationnelles *socio=nil de l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 de l'UEM*socio=et. Dans ce contexte*socio=rien, le Comité*socio=ac souligne l'importance*socio=rien que revêt l'établissement*socio=rien d'échanges_de_vues*socio=uv3 fructueux*socio=rien avec les institutions*socio=ac compétentes*socio=uv4 de l'UE*socio=ac, en particulier*socio=rien la *socio=ac banque_centrale européenne.*socio=nil Le*socio=nil comité_intérimaire *socio=nil tiendra sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac,*socio=nil *socio=nil à une date provisoirement fixée au 27 avril*socio=rien 1999. 199 Cinquante-deuxième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 27 avril*socio=rien 1999 2. Évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te; riposte aux crises*socio=uv2 récentes*socio=rien a. Évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te Le Comité*socio=ac juge*socio=et encourageantes*socio=uv4 diverses*socio=rien actions*socio=ec1 concrètes*socio=rien et évolutions*socio=te intervenues depuis sa réunion*socio=rien d'octobre*socio=rien 1998, qui ont contribué à rétablir la confiance*socio=uv1 des marchés*socio=ec1 et à atténuer les risques*socio=uv3 de récession*socio=ec2 mondiale*socio=te. Néanmoins, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 mondiale*socio=te devrait demeurer atone en 1999, tandis qu'une reprise modérée serait observée en l'an*socio=rien 2000. Il subsiste de *socio=uv4 graves problèmes *socio=nil dont la résolution*socio=uv1 demandera *socio=rien un certain temps.*socio=nil Au*socio=nil nombre des*socio=nil éléments positifs*socio=uv4,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil note les *socio=rien points suivants:*socio=nil *socio=nil On semble s'orienter vers une reprise de l'activité*socio=rien dans la plupart*socio=rien des économies*socio=ec1 d'Asie*socio=ac touchées par la crise*socio=uv2. La poursuite*socio=rien des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 aidera à restaurer et à maintenir le dynamisme*socio=uv3 économique*socio=ec1 à plus long_terme*socio=te. Au Brésil*socio=ac, la situation*socio=rien s'est*socio=rien stabilisée depuis le *socio=rien début du mois de*socio=nil mars.*socio=nil Les*socio=nil répercussions*socio=ec2 sur les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 du reste *socio=nil de l' amérique_latine*socio=ac ont été*socio=rien dans l'ensemble*socio=rien modérées, ce qui tient en partie*socio=rien aux efforts*socio=uv1 déployés depuis une dizaine*socio=rien d'années*socio=rien pour consolider les finances*socio=ec1 publiques*socio=et et mettre en place*socio=rien des systèmes_financiers*socio=ec1 solides*socio=uv4. Aux États-unis*socio=ac et au Canada*socio=ac, l'économie*socio=ec1 a continué à croître avec une vigueur*socio=uv3 remarquable*socio=rien tandis que l'inflation*socio=ec1 est*socio=rien restée sous contrôle*socio=uv3. L'opinion*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac à l'égard*socio=rien des marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 s'est*socio=rien dans l'ensemble*socio=rien améliorée depuis le début*socio=rien de l'année*socio=rien. On observe aussi une amélioration*socio=uv1 de la confiance*socio=uv1 sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 avancés depuis *socio=rien octobre dernier,*socio=nil *socio=nil car les craintes*socio=uv1 d'une pénurie*socio=ec2 de liquidités*socio=ec1 se sont apaisées. Nonobstant ces éléments*socio=rien positifs*socio=uv4, il y a aussi eu des causes*socio=rien de préoccupation*socio=uv4. La crise*socio=uv2 au Brésil*socio=ac, même si elle s'est*socio=rien apaisée depuis le *socio=rien début mars,*socio=nil *socio=nil a provoqué une contraction*socio=ec2 des autres pays*socio=ac d' amérique_latine*socio=ac et de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Au Japon*socio=ac, en dépit*socio=rien d'une certaine*socio=rien amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien, les perspectives*socio=te à court_terme*socio=te demeurent incertaines*socio=uv4 et, dans une *socio=rien grande partie *socio=nil de l'Europe*socio=ac, la croissance*socio=uv3 a encore reculé par rapport*socio=rien à son potentiel*socio=uv4. En Russie*socio=ac, l' activité_économique*socio=ec1 est*socio=rien en *socio=rien hausse après le*socio=nil creux*socio=ec2 de*socio=nil septembre,*socio=nil l'*socio=nil inflation*socio=ec1 *socio=nil a baissé mais les déséquilibres*socio=uv3 du*socio=rien budget*socio=ec1 et de la dette*socio=ec1 restent insoutenables*socio=uv2. Les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil produits*socio=rien de*socio=nil base*socio=rien,*socio=nil *socio=nil dont beaucoup ont vu leurs recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 s'effondrer depuis le début*socio=rien de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac, ont de gros*socio=rien problèmes*socio=uv4 d'ajustement*socio=et à résoudre. Le Comité*socio=ac a passé*socio=rien en revue les mesures*socio=et qui seraient nécessaires*socio=rien pour faire face*socio=rien aux risques*socio=uv3 qui pèsent sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 et aux autres problèmes*socio=uv4 de fond*socio=rien, notamment le *socio=rien décalage persistant *socio=nil entre les rythmes de croissance*socio=uv3 des États-unis*socio=ac, de la zone*socio=te euro et du*socio=rien Japon*socio=ac, qui a contribué à *socio=rien un creusement sensible du déséquilibre*socio=uv3 des*socio=nil échanges_mondiaux*socio=ec1.*socio=nil La*socio=nil priorité*socio=uv4 doit*socio=nil être *socio=nil donnée à *socio=rien un dosage adéquat*socio=uv2 de*socio=nil mesures*socio=et macroéconomiques*socio=ec1 et*socio=nil structurelles*socio=ec2 *socio=nil visant à engendrer une reprise rapide*socio=rien, vigoureuse*socio=rien et soutenue dans les pays*socio=ac touchés par les crises*socio=uv2, à une politique*socio=et de restructuration*socio=et financière*socio=ec1 et de croissance*socio=uv3 tirée par la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te au Japon*socio=ac, et à une politique*socio=et de soutien*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te en Europe*socio=ac. À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac reconnaît l'importance*socio=rien des *socio=rien initiatives prises *socio=nil par le Japon*socio=ac pour stimuler la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et désamorcer les tensions*socio=ec2 au *socio=rien sein du secteur financier*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil mais souligne qu'il importe que le Japon*socio=ac applique des mesures*socio=et de stimulation*socio=rien jusqu'au rétablissement*socio=rien de la croissance*socio=uv3 et utilise à cet effet*socio=rien tous les instruments*socio=et disponibles*socio=rien. Le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3 la réduction*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 récemment décidée par la *socio=ac banque_centrale européenne.*socio=nil Le*socio=nil Comité *socio=nil souligne l'importance*socio=rien de marchés*socio=ec1 ouverts*socio=rien et compétitifs*socio=uv4, éléments*socio=rien essentiels*socio=uv4 des efforts*socio=uv1 visant à soutenir la croissance*socio=uv3 et la stabilité*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Il encourage la poursuite*socio=rien de la libéralisation*socio=et commerciale*socio=ec1, notamment l'ouverture*socio=uv3 aux exportations*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=uv3, et attend avec intérêt*socio=uv1 le lancement*socio=rien en novembre*socio=rien à l'OMC*socio=ac d'un*socio=rien nouveau*socio=rien cycle*socio=te de *socio=et négociations multilatérales *socio=nil dont le programme*socio=et de travail*socio=rien équilibré répond aux préoccupations*socio=uv4 de l'ensemble*socio=rien des pays_membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac. Le Comité*socio=ac salue l'avènement*socio=rien de l'union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1 européenne*socio=ac (UEM*socio=et), qui devrait contribuer à la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 et à la croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 de la zone*socio=te euro et *socio=rien du reste *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Les membres*socio=ac de la zone*socio=te euro doivent s'attaquer aux *socio=rien causes profondes du chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4.*socio=nil Un dosage adéquat*socio=uv2 de*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil visant à soutenir une demande*socio=ec1 intérieure*socio=te plus dynamique*socio=uv4, accompagné de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 des marchés_du_travail*socio=ec1, des capitaux*socio=ec1 et des biens*socio=ec1 et services*socio=et, est*socio=rien essentiel*socio=uv4 pour améliorer les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 et d'emploi*socio=ec1, surtout sur*socio=rien le *socio=rien moyen terme,*socio=nil de*socio=nil manière *socio=nil à faire de la zone*socio=te euro une importante*socio=uv4 source*socio=rien de croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. b. Riposte aux crises*socio=uv2 récentes*socio=rien Le Comité*socio=ac approuve la stratégie*socio=et d'ensemble*socio=rien adoptée par la *socio=ac communauté internationale face*socio=rien *socio=nil à la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 en Asie*socio=ac et prend note des enseignements*socio=et tirés de celle-ci. Il relève*socio=rien les progrès*socio=uv1 accomplis par la Corée*socio=ac, la Thaïlande*socio=ac, les Philippines*socio=ac et l'Indonésie*socio=ac dans le cadre*socio=rien des programmes*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac, qui ont été*socio=rien adaptés en fonction*socio=rien de l'évolution*socio=te de la situation*socio=rien - notamment par un*socio=rien renforcement*socio=ec2 de la protection_sociale*socio=et - et ont bénéficié d'un*socio=rien large*socio=rien appui*socio=uv1 de la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil *socio=nil Tout en notant que le pire*socio=rien de la crise*socio=uv2 *socio=rien est passé,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac fait *socio=nil observer qu'il reste*socio=rien encore de grandes*socio=rien difficultés*socio=uv4 à surmonter et exhorte en conséquence*socio=rien les autorités*socio=et des pays*socio=ac touchés par cette crise*socio=uv2 à persévérer dans les réformes*socio=et qui s'imposent, de manière*socio=rien à jeter les fondements*socio=uv4 de la reprise d'une expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4 et de *socio=rien haute qualité.*socio=nil *socio=nil Tirant les leçons*socio=ec2 de la crise*socio=uv2, le Comité*socio=ac souligne en particulier*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de s'attaquer en *socio=rien temps opportun aux*socio=nil causes *socio=nil des vulnérabilités économiques*socio=ec1 telles que des dosages de mesures*socio=et incorrects qui entraînent en particulier*socio=rien des désalignements*socio=uv3 importants*socio=uv4 des taux_de_change*socio=ec1; l'accumulation*socio=ec2 d'un*socio=rien endettement*socio=ec1 excessif*socio=uv4; une politique*socio=et imprudente de gestion*socio=ec2 de la dette*socio=ec1; la fragilité*socio=uv1 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil surtout lorsqu'elle va de pair*socio=rien avec une supervision*socio=rien et une réglementation*socio=et financières*socio=ec1 peu efficaces*socio=uv4; les limitations*socio=uv3 de l'information*socio=rien mise à la disposition*socio=et des marchés*socio=ec1; les faiblesses*socio=ec2 dans la structure*socio=ec1 des sociétés*socio=ac; le mauvais*socio=rien enchaînement*socio=te des phases*socio=te de la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 et les défaillances*socio=rien de la gestion*socio=ec2 des risques*socio=uv3 par les créanciers*socio=ac. Il souligne en outre qu'il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 que les pays*socio=ac aient une ferme*socio=ec2 maîtrise*socio=rien de leurs programmes*socio=et. Pour ce qui *socio=rien est du Brésil*socio=ac,*socio=nil *socio=nil où les déséquilibres*socio=uv3 du*socio=rien secteur_public*socio=et ont été*socio=rien à l'origine*socio=rien de la crise*socio=uv2, le Comité*socio=ac exprime son appui*socio=uv1 au programme*socio=et économique*socio=ec1 révisé des autorités*socio=et et souligne l'importance*socio=rien de son *socio=rien application intégrale et*socio=nil du soutien*socio=uv3 continu *socio=nil de la communauté*socio=ac financière*socio=ec1 privée*socio=et en *socio=rien faveur du Brésil*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Examinant les perspectives*socio=te de la Russie*socio=ac, le Comité*socio=ac souligne qu'en dépit*socio=rien de la récente*socio=rien amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien, une action*socio=ec1 *socio=rien vigoureuse est nécessaire *socio=nil pour s'attaquer aux *socio=rien causes profondes *socio=nil de la crise*socio=uv2, en particulier*socio=rien les déséquilibres*socio=uv3 persistants*socio=rien des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, les rigidités*socio=uv3 structurelles*socio=ec2 et la fragilité*socio=uv1 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Pour ce qui est*socio=rien des régimes*socio=et de change*socio=ec1, le Comité*socio=ac note que le dispositif*socio=et le mieux adapté n'est*socio=rien pas nécessairement le même pour tous les pays*socio=ac et que tout régime*socio=et doit s'adosser à une politique_économique*socio=ec1 disciplinée et à un*socio=rien système_financier*socio=ec1 robuste*socio=rien. Les récentes*socio=rien crises*socio=uv2 ont démontré que le maintien*socio=rien d'une parité*socio=ec1 fixe impose des contraintes*socio=uv1 draconiennes, en particulier*socio=rien dans le contexte*socio=rien d'une mobilité*socio=uv3 accrue des capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te. Dans le même temps*socio=rien, cependant, le Comité*socio=ac note qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil économies*socio=ec1 *socio=nil ayant opté pour des parités*socio=ec1 fixes, notamment celles qui se sont dotées d'une caisse*socio=ec1 d'émission*socio=rien, sont parvenues à défendre la parité*socio=ec1. Il demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de continuer à étudier la *socio=rien question du régime*socio=et de*socio=nil change*socio=ec1 *socio=nil le mieux adapté, notamment dans le cadre*socio=rien de financements*socio=ec1 officiels*socio=et de *socio=rien vaste ampleur.*socio=nil *socio=nil Dans le prolongement*socio=rien de l'utile*socio=uv4 évaluation*socio=ec2 des programmes*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac pendant la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 en Asie*socio=ac qui a été*socio=rien effectuée par le conseil_d'_administration*socio=ac, le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de chercher les moyens*socio=ec1 d'améliorer davantage la surveillance*socio=et exercée par le FMI*socio=ac et les programmes*socio=et qu'il appuie, de manière*socio=rien à ce qu'ils tiennent mieux compte*socio=ec1 de l'évolution*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, en particulier*socio=rien des vastes*socio=rien mouvements_de_capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te sujets*socio=rien à de brusques fluctuations*socio=ec2. 3. Renforcement*socio=ec2 de l'architecture du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te Le Comité*socio=ac note le large*socio=rien accord qui a été*socio=rien trouvé sur*socio=rien les *socio=rien principaux éléments *socio=nil d'une architecture renforcée et se félicite des actions*socio=ec1 menées par le FMI*socio=ac dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil domaines importants*socio=uv4.*socio=nil Il*socio=nil reste cependant*socio=nil nécessaire *socio=nil de pousser plus avant l'étude*socio=ec2 de certains dossiers*socio=rien et de donner suite*socio=rien à plusieurs des propositions*socio=rien formulées. Il importe de renforcer le système_financier*socio=ec1 international*socio=te pour réduire les risques*socio=uv3 engendrés par les défaillances*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1 et la volatilité*socio=ec2 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, et aussi pour faciliter l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 des nombreux*socio=rien pays*socio=ac qui n'ont pas encore recueilli les fruits*socio=rien de la mondialisation*socio=ec2. Dans cette optique*socio=rien, le Comité*socio=ac a passé*socio=rien en revue plusieurs éléments*socio=rien interdépendants*socio=uv4 du*socio=rien programme*socio=et de réformes*socio=et et appelle le secteur_privé*socio=et, les autorités*socio=et nationales*socio=te et le FMI*socio=ac, ainsi que les autres institutions*socio=ac et instances*socio=et, à poursuivre ces travaux*socio=rien dans les mois*socio=rien qui viennent. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de continuer à étudier certains aspects*socio=rien systémiques*socio=ec2 de la prévention*socio=uv3 des crises*socio=uv2. Il reconnaît l'importance*socio=rien cruciale*socio=uv4 de la fonction*socio=rien de surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac pour l'exécution*socio=rien de ce programme*socio=et de réformes*socio=et. a. Prévention*socio=uv3 et résolution*socio=uv1 des crises*socio=uv2 financières*socio=ec1 Le Comité*socio=ac souligne que l'essentiel*socio=uv4 demeure la prévention*socio=uv3 des crises*socio=uv2. Il avalise la décision*socio=et du*socio=rien conseil_d'_administration*socio=ac portant création*socio=uv4 d'une ligne*socio=rien de crédit*socio=ec1 conditionnelle*socio=rien. Ce nouvel*socio=rien instrument*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac est*socio=rien une importante*socio=uv4 composante*socio=rien de l'effort*socio=uv1 engagé pour renforcer l'architecture du*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te. La *socio=rien nouvelle ligne de*socio=nil crédit*socio=ec1 conditionnelle *socio=nil aidera les pays*socio=ac qui appliquent des politiques*socio=et saines*socio=uv2 et viables*socio=uv4 à préserver leur stabilité*socio=uv3, même en cas*socio=rien de détérioration*socio=uv4 de la situation*socio=rien financière*socio=ec1 mondiale*socio=te. Cette facilité sera *socio=rien un outil important*socio=uv4 de*socio=nil prévention*socio=uv3 des*socio=nil crises*socio=uv2,*socio=nil *socio=nil en incitant davantage les pays*socio=ac à adopter des politiques*socio=et avisées, notamment une politique*socio=et de gestion*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 et une politique*socio=et de change*socio=ec1 soutenable*socio=uv4, à respecter les normes*socio=et internationalement acceptées et à assurer une participation*socio=uv3 constructive*socio=uv2 du*socio=rien secteur_privé*socio=et - contenant ainsi les risques*socio=uv3 de contagion*socio=ec2 des crises*socio=uv2 d'un*socio=rien marché_financier*socio=ec1 à l'autre, non sans tenir compte*socio=ec1 de l'effet*socio=rien que cela peut avoir sur*socio=rien la liquidité*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Il y a encore des efforts*socio=uv1 à faire en matière*socio=rien de prévention*socio=uv3 des crises*socio=uv2, en particulier*socio=rien pour ce qui *socio=rien est du secteur_privé*socio=et:*socio=nil meilleure*socio=uv4 appréciation*socio=uv3 des*socio=nil risques*socio=uv3,*socio=nil convenablement*socio=nil prise en*socio=nil compte*socio=ec1 *socio=nil dans la formation*socio=et des prix*socio=ec1, données de meilleure*socio=uv4 qualité*socio=rien, notamment sur*socio=rien les flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1, suivi plus rigoureux*socio=uv4 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, en particulier*socio=rien des flux*socio=ec1 à court_terme*socio=te, information*socio=rien plus complète sur*socio=rien la politique_économique*socio=ec1 des pays*socio=ac et sur*socio=rien l'appréciation*socio=uv3 portée*socio=rien par le FMI*socio=ac sur*socio=rien cette politique*socio=et, respect*socio=uv1 de normes*socio=et internationalement acceptées, systèmes_financiers*socio=ec1 plus solides*socio=uv4 et surveillance*socio=et plus étroite*socio=rien des institutions*socio=ac à fort*socio=rien levier*socio=ec2 financier*socio=ec1, notamment des fonds*socio=ec1 spéculatifs*socio=uv2, et des centres*socio=rien bancaires*socio=ec1 offshore. Le Comité*socio=ac appuie le FMI*socio=ac dans son intention*socio=rien d'intensifier ses travaux*socio=rien en collaboration*socio=uv1 avec les autorités*socio=et nationales*socio=te afin de mettre en place*socio=rien aussitôt que possible*socio=rien des mécanismes*socio=et qui pourraient faciliter la prévention*socio=uv3 ou la résolution*socio=uv1 ordonnée de ces crises*socio=uv2. Il appelle notamment les pays_membres*socio=ac à: appliquer de bons*socio=rien principes*socio=ec2 de gestion*socio=ec2 de la dette*socio=ec1, éviter l'accumulation*socio=ec2 d'un*socio=rien endettement*socio=ec1 à court_terme*socio=te excessif*socio=uv4 et, plus généralement, veiller à ce que la composition*socio=rien de leurs engagements*socio=et demeure adéquate*socio=uv2; établir des systèmes*socio=rien de suivi très fréquent*socio=rien des engagements*socio=et extérieurs*socio=te privés*socio=et; entretenir une communication*socio=ec1 efficiente*socio=uv4 avec les marchés*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1; maintenir les liquidités*socio=ec1 de change*socio=ec1 à *socio=rien un niveau adéquat*socio=uv2,*socio=nil *socio=nil notamment en envisageant d'établir des lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 conditionnelles*socio=rien, des options*socio=rien de reconduction ou des dispositifs*socio=et analogues*socio=rien auprès de créanciers_privés*socio=et; appuyer les propositions*socio=rien visant à éliminer les distorsions*socio=uv3 actuelles*socio=te de la réglementation*socio=et en faveur*socio=rien des lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 interbancaires*socio=ec2; trouver d'autres dispositifs*socio=et pour mieux garantir la poursuite*socio=rien des apports*socio=rien de financements_privés*socio=ec1 en période*socio=te de difficultés*socio=uv4. Le Comité*socio=ac note que, pour les futures*socio=te émissions*socio=rien obligataires*socio=ec1 internationales*socio=te, les émetteurs souverains*socio=et devraient envisager d'inclure dans les contrats*socio=ec1 des clauses*socio=rien qui faciliteraient une résolution*socio=uv1 ordonnée des crises*socio=uv2 d'endettement*socio=ec1. Le Comité*socio=ac invite le conseil_d'_administration*socio=ac et les autres instances*socio=et concernées à chercher comment inclure de façon*socio=rien adéquate*socio=uv2 des clauses*socio=rien d'action*socio=ec1 collective*socio=uv2 dans les contrats*socio=ec1 d'émission*socio=rien d'obligations*socio=uv1 souveraines*socio=uv2. Le Comité*socio=ac encourage aussi la poursuite*socio=rien des *socio=rien travaux sur *socio=nil la riposte appropriée en cas*socio=rien de grave*socio=uv4 crise*socio=uv2 de liquidité*socio=ec1 et souligne qu'il importe de chercher à y associer convenablement le secteur_privé*socio=et dans *socio=rien un esprit de*socio=nil coopération*socio=uv1.*socio=nil *socio=nil Il réaffirme le principe*socio=ec2 général*socio=rien que les emprunteurs*socio=ac doivent honorer leurs dettes*socio=ec1. Il note que le FMI*socio=ac est*socio=rien prêt*socio=ec1, dans des circonstances*socio=rien appropriées et dans des *socio=rien cas extrêmes,*socio=nil *socio=nil à prêter à des pays*socio=ac ayant des arriérés envers des créanciers_privés*socio=et, ce qui lui permettrait de favoriser un*socio=rien ajustement*socio=et efficace*socio=uv4 de la balance_des_paiements*socio=ec1 durant des négociations*socio=et éventuellement prolongées avec les créanciers*socio=ac. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre ses travaux*socio=rien et de lui faire *socio=rien rapport sur *socio=nil toutes ces questions*socio=rien, notamment sur*socio=rien les moyens*socio=ec1 de garantir un*socio=rien règlement*socio=et plus ordonné des dettes*socio=ec1. b. Réforme*socio=et de l'institution*socio=ac et renforcement*socio=ec2 et/ou transformation*socio=ec2 du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac Le Comité*socio=ac convient que le FMI*socio=ac doit demeurer l'institution*socio=ac *socio=rien centrale du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te,*socio=nil *socio=nil tout en améliorant de manière*socio=rien pragmatique*socio=uv4 le mode*socio=rien de fonctionnement*socio=rien de ses composantes*socio=ec1 institutionnelles*socio=et et la coopération*socio=uv1 avec d'autres institutions*socio=ac ou instances*socio=et. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 aux suppléants*socio=rien et au conseil_d'_administration*socio=ac de continuer à examiner les possibilités*socio=rien d'améliorations*socio=uv1 institutionnelles*socio=et, notamment du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac, et de lui soumettre *socio=rien un rapport *socio=nil à sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil c. mouvements_de_capitaux*socio=ec1 Le Comité*socio=ac encourage le FMI*socio=ac à poursuivre ses *socio=rien travaux sur le*socio=nil rythme*socio=ec2 *socio=nil et l'enchaînement*socio=te appropriés des phases*socio=te de la libéralisation*socio=et des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 et, en particulier*socio=rien, à affiner son analyse*socio=ec2 des résultats*socio=rien obtenus par les pays*socio=ac qui ont eu recours*socio=rien au contrôle*socio=uv3 des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, ainsi qu'à poursuivre l'examen*socio=ec2 des questions*socio=rien liées au rôle*socio=et que pourrait jouer le FMI*socio=ac dans la libéralisation*socio=et ordonnée et largement acceptée des mouvements_de_capitaux*socio=ec1. Le Comité*socio=ac rappelle qu'il importe de disposer en temps*socio=rien voulu de données complètes sur*socio=rien les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 pour que le FMI*socio=ac puisse exercer dans ce domaine*socio=rien une surveillance*socio=et efficace*socio=uv4. Il note avec satisfaction*socio=uv3 qu'il a été*socio=rien convenu d'améliorer la qualité*socio=rien des données sur*socio=rien les engagements*socio=et à court_terme*socio=te *socio=rien du secteur officiel*socio=et *socio=nil dans le *socio=rien cadre du renforcement*socio=ec2 *socio=nil de la Norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données (NSDD), ce qui constitue une première*socio=rien étape*socio=te importante*socio=uv4, et il se félicite des dispositions*socio=et prises*socio=rien pour faciliter l'accès*socio=uv1 aux données sur*socio=rien la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te établies par le FMI*socio=ac, la banque_mondiale*socio=ac, la BRI*socio=ac et l'OCDE*socio=ac d'après*socio=rien les renseignements*socio=ec2 reçus des créanciers*socio=ac. Le Comité*socio=ac appelle de ses voeux*socio=rien des avancées rapides*socio=rien dans les efforts*socio=uv1 en cours*socio=rien pour améliorer la qualité*socio=rien des données sur*socio=rien les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. d. Normes*socio=et internationales*socio=te et surveillance*socio=et Le Comité*socio=ac se félicite des progrès*socio=uv1 accomplis par le FMI*socio=ac pour ce qui est*socio=rien de l'élaboration*socio=rien, de la diffusion*socio=rien et du*socio=rien suivi de l'application*socio=rien de normes*socio=et internationalement acceptées, étant donné la contribution*socio=uv1 que l'observation*socio=ec2 de ces normes*socio=et apportera au renforcement*socio=ec2 du*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te. en particulier*socio=rien, le Comité*socio=ac note avec satisfaction*socio=uv3: Le renforcement*socio=ec2 de la NSDD, notamment par l'adoption*socio=uv3 d'un*socio=rien formulaire *socio=rien type complet *socio=nil pour la diffusion*socio=rien des données sur*socio=rien les réserves_internationales*socio=ec1 et les engagements*socio=et connexes*socio=rien. Le Comité*socio=ac encourage vivement les pays_membres*socio=ac qui n'ont pas souscrit à la NSDD à le faire. Il demande*socio=ec1 aussi aux pays_membres*socio=ac de redoubler d'efforts*socio=uv1 pour participer au *socio=rien Système général de*socio=nil diffusion *socio=nil des données (SGDD). Le Comité*socio=ac appelle tous les pays*socio=ac ayant souscrit à la NSDD à commencer à publier les données sur*socio=rien les réserves*socio=ec1 en suivant*socio=rien la *socio=rien présentation du formulaire*socio=nil type *socio=nil et encourage le FMI*socio=ac à achever les *socio=rien travaux sur les*socio=nil plans de*socio=nil transition*socio=ec2 *socio=nil en ce qui concerne les données sur*socio=rien la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te et les indicateurs*socio=ec1 de la solidité*socio=uv3 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1.*socio=nil L'*socio=nil achèvement du Manuel de*socio=nil transparence*socio=uv3 budgétaire*socio=et,*socio=nil *socio=nil pour aider les pays_membres*socio=ac à appliquer le Code*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien de transparence*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Le Comité*socio=ac engage tous les pays_membres*socio=ac à travailler à l'amélioration*socio=uv1 de la transparence*socio=uv3 de leurs finances*socio=ec1 publiques*socio=et en se conformant au Code*socio=et. Les progrès*socio=uv1 accomplis dans la mise au point*socio=rien d'un*socio=rien projet*socio=et de Code*socio=et de bonnes*socio=rien pratiques*socio=et pour la transparence*socio=uv3 des politiques_monétaires*socio=et et financières*socio=ec1, ainsi que les vastes*socio=rien efforts*socio=uv1 de collaboration*socio=uv1 déployés à cette fin*socio=rien par le FMI*socio=ac et d'autres organismes_internationaux*socio=ac. Le Comité*socio=ac encourage le conseil_d'_administration*socio=ac à achever ses *socio=rien travaux sur *socio=nil la mise au *socio=rien point du Code*socio=et *socio=nil dès que possible*socio=rien, et en tout état*socio=rien de cause*socio=rien d'ici à l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te, et à préparer au plus tôt, en coopération*socio=uv1 avec les institutions*socio=ac appropriées, *socio=rien un document d'*socio=nil accompagnement *socio=nil pour l'application*socio=rien de ce Code*socio=et. Le Comité*socio=ac prend aussi note des progrès*socio=uv1 accomplis dans l'élaboration*socio=rien d'autres normes*socio=et dans des *socio=rien domaines pertinents *socio=nil pour le *socio=rien bon fonctionnement du système_financier*socio=ec1 international*socio=te (*socio=nil comptabilité*socio=ec1,*socio=nil vérification des*socio=nil comptes*socio=ec1,*socio=nil contrôle*socio=uv3 bancaire*socio=ec1,*socio=nil faillite*socio=ec1,*socio=nil gouvernement*socio=ac d'*socio=nil entreprise*socio=ac,*socio=nil réglementation*socio=et des*socio=nil assurances*socio=ec1 *socio=nil et des marchés*socio=ec1 de *socio=ec1 valeurs mobilières,*socio=nil systèmes*socio=rien de*socio=nil paiement,*socio=nil *socio=nil etc.). Il engage les organes*socio=ac et les organisations*socio=ac responsables*socio=uv2 de l'établissement*socio=rien de ces normes*socio=et à poursuivre leurs efforts*socio=uv1 afin d'arriver à *socio=rien un ensemble complet.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil note avec satisfaction*socio=uv3 les travaux*socio=rien menés par le FMI*socio=ac dans le *socio=rien domaine du droit*socio=uv1 *socio=nil de la faillite*socio=ec1. Il appelle le FMI*socio=ac à poursuivre sa collaboration*socio=uv1 avec la banque_mondiale*socio=ac et la Commission*socio=ac des nations_unies*socio=ac pour le droit*socio=uv1 commercial*socio=ec1 international*socio=te (CNUDCI) ainsi qu'avec les autres institutions*socio=ac compétentes*socio=uv4 pour établir *socio=rien un système efficace*socio=uv4 de*socio=nil réglementation*socio=et des*socio=nil faillites*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Tout en notant qu'elles ont *socio=rien un caractère volontaire*socio=uv4,*socio=nil le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil encourage aussi les pays*socio=ac à adopter les nouvelles*socio=rien normes*socio=et au fur*socio=rien et à mesure*socio=rien qu'elles sont établies. Dans le contexte*socio=rien de la surveillance*socio=et, le Comité*socio=ac encourage le FMI*socio=ac à élargir ce processus*socio=te aux normes*socio=et et aux codes*socio=et pertinents*socio=rien pour la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 internationale*socio=ac. Il note avec approbation*socio=uv1 que le FMI*socio=ac a mené des études*socio=ec2 de *socio=rien cas expérimentales sur divers*socio=nil pays_membres*socio=ac en*socio=nil vue *socio=nil de la préparation*socio=rien de *socio=rien rapports sur la*socio=nil transparence*socio=uv3 *socio=nil de leur politique_économique*socio=ec1 et prévoit d'évaluer la stabilité*socio=uv3 des systèmes_financiers*socio=ec1, afin de mieux recenser et traiter les problèmes*socio=uv4 pratiques*socio=et dont il convient de tenir compte*socio=ec1. Le Comité*socio=ac encourage à élargir cette initiative*socio=rien à *socio=rien un grand groupe_de_pays*socio=ac *socio=nil et à dresser le bilan*socio=rien de ces études*socio=ec2 pour améliorer les travaux*socio=rien dans ce domaine*socio=rien, et encourage aussi le FMI*socio=ac à utiliser à *socio=rien titre expérimental les*socio=nil rapports sur la*socio=nil transparence*socio=uv3 *socio=nil dans le cadre*socio=rien de ses activités*socio=rien de surveillance*socio=et. e. Transparence*socio=uv3: progrès*socio=uv1 récents*socio=rien et perspectives*socio=te Le Comité*socio=ac souligne l'importance*socio=rien d'accroître sensiblement la transparence*socio=uv3 - de la politique*socio=et générale*socio=rien des autorités*socio=et nationales*socio=te, de la communication*socio=ec1 des données par le secteur_privé*socio=et et des institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te, y compris le FMI*socio=ac. Il salue les progrès*socio=uv1 que le FMI*socio=ac a accomplis dans le renforcement*socio=ec2 de la transparence*socio=uv3 de la politique_économique*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac et de ses *socio=rien propres opérations,*socio=nil *socio=nil notamment: la plus *socio=rien grande utilisation *socio=nil des notes d'information*socio=rien au public*socio=et (NIP) pour les débats*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac; la décision*socio=et de principe*socio=ec2 de diffuser les lettres*socio=rien d'intention*socio=rien, mémorandums de politique_économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 et documents-cadres*socio=et de politique_économique*socio=ec1 sur*socio=rien lesquels reposent les programmes*socio=et appuyés par le FMI*socio=ac; la diffusion*socio=rien d'une déclaration*socio=et du*socio=rien Président*socio=ac reprenant les *socio=rien points principaux des*socio=nil débats*socio=et du conseil_d'_administration*socio=ac *socio=nil à la suite*socio=rien de l'approbation*socio=uv1 ou de l'examen*socio=ec2 par le Conseil*socio=ac des accords*socio=et conclus avec les pays_membres*socio=ac; la libéralisation*socio=et de l'accès*socio=uv1 aux archives du*socio=rien FMI*socio=ac; un*socio=rien projet*socio=et expérimental*socio=rien de publication*socio=rien volontaire*socio=uv4 des rapports*socio=rien des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac de poursuivre les *socio=rien travaux sur le*socio=nil renforcement*socio=ec2 *socio=nil de la transparence*socio=uv3 et engage vivement davantage de pays*socio=ac à participer au projet*socio=et expérimental*socio=rien afin d'en assurer le succès*socio=uv1. Le Comité*socio=ac souligne que les efforts*socio=uv1 de transparence*socio=uv3 ne doivent pas compromettre le rôle*socio=et de conseiller*socio=ac confidentiel que le FMI*socio=ac joue auprès des pays_membres*socio=ac. Il réaffirme qu'il est*socio=rien important*socio=uv4 que le FMI*socio=ac renforce sa contribution*socio=uv1 à la transparence*socio=uv3 en rendant publiques*socio=et davantage d'informations*socio=rien sur*socio=rien ses opérations*socio=rien et ses politiques*socio=et, ainsi que les évaluations*socio=ec2 dont elles font l'objet*socio=rien. 4. Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac et FASR*socio=ec1 Le Comité*socio=ac note qu'il *socio=rien est temps *socio=nil de relancer les efforts*socio=uv1 visant à réduire davantage la dette*socio=ec1 des pays*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 qui mettent en ouvre de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et. Le Comité*socio=ac prend note avec satisfaction*socio=uv3 du*socio=rien réexamen*socio=et de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac et encourage le conseil_d'_administration*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac - ainsi que le Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac - à formuler des propositions*socio=rien plus spécifiques*socio=rien pour renforcer le cadre*socio=rien actuel*socio=te et assurer ainsi un*socio=rien allégement*socio=ec2 plus substantiel*socio=rien de la dette*socio=ec1 des pays*socio=ac qui en ont besoin*socio=uv1, d'une manière*socio=rien qui favorise l'adoption*socio=uv3 de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et, de réforme*socio=et et de bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et. Cet allégement*socio=ec2 devrait permettre aux pays*socio=ac de se débarrasser définitivement de charges*socio=rien financières*socio=ec1 insoutenables*socio=uv2. À cet égard*socio=rien, le Comité*socio=ac reconnaît la nécessité*socio=uv1 d'une répartition*socio=uv3 appropriée des charges*socio=rien parmi les créanciers*socio=ac. Le Comité*socio=ac attend avec intérêt*socio=uv1 lors*socio=rien de sa *socio=rien prochaine réunion un rapport sur les*socio=nil moyens*socio=ec1 *socio=nil de renforcer le lien*socio=rien entre l'aide*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac et la lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1. Étant donné que les propositions*socio=rien de modification*socio=rien de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac s'accompagnent d'une hausse*socio=rien des coûts*socio=ec1 et que les contributions*socio=uv1 demeurent bien*socio=rien en deçà des besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 de la FASR*socio=ec1 intérimaire*socio=rien et de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac, le Comité*socio=ac souligne la nécessité*socio=uv1 de redoubler d'efforts*socio=uv1 pour assurer le financement*socio=ec1 intégral*socio=rien de ces initiatives*socio=rien. Il engage aussi vivement le conseil_d'_administration*socio=ac à prendre dès que possible*socio=rien les décisions*socio=et nécessaires*socio=rien pour assurer le financement*socio=ec1 intégral*socio=rien de ces initiatives*socio=rien. Le Comité*socio=ac prend note avec satisfaction*socio=uv3 des progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien qui ont été*socio=rien accomplis dans la mobilisation*socio=uv3 de ressources*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien sous la forme*socio=rien de prêts*socio=ec1 pour la FASR*socio=ec1 actuelle*socio=te. Les pays_membres*socio=ac sont encouragés à accorder dès que possible*socio=rien les ressources*socio=ec1 nécessaires*socio=rien pour appuyer les opérations*socio=rien de la FASR*socio=ec1 jusqu'au lancement*socio=rien de la FASR*socio=ec1 intérimaire*socio=rien en 2001. 5. Aide*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac aux pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1 Le Comité*socio=ac salue les mesures*socio=et convenues par le conseil_d'_administration*socio=ac pour accroître l'aide*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac aux pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1, notamment l'amélioration*socio=uv1 des conditions*socio=ec1 de l'aide*socio=uv1 d'urgence*socio=rien à ces pays*socio=ac et l'octroi*socio=rien d'un*socio=rien accès*socio=uv1 plus élevé*socio=uv4 sur*socio=rien une période*socio=te plus longue*socio=rien dans des circonstances*socio=rien appropriées. Il note aussi avec satisfaction*socio=uv3 que, pour les pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1 qui ont des arriérés envers le FMI*socio=ac, le conseil_d'_administration*socio=ac est*socio=rien prêt*socio=ec1 à envisager, au cas*socio=rien par cas*socio=rien, de se montrer moins strict*socio=rien pour ce qui est*socio=rien des paiements*socio=ec1 habituellement exigés en gage*socio=rien de coopération*socio=uv1, à condition*socio=rien que le pays*socio=ac concerné soit effectivement*socio=rien coopératif et que les autres institutions*socio=ac multilatérales*socio=et prennent des mesures*socio=et au moins comparables*socio=rien. Le Comité*socio=ac note que la charge*socio=rien de la dette*socio=ec1 des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1 devrait en fin*socio=rien de compte*socio=ec1 être*socio=rien considérée dans le cadre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 au conseil_d'_administration*socio=ac d'envisager de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et en coopération*socio=uv1 avec la banque_mondiale*socio=ac. 6. Impact*socio=rien économique*socio=ec1 régional*socio=te de la crise*socio=uv2 du*socio=rien Kosovo Le Comité*socio=ac se déclare convaincu de la nécessité*socio=uv1 d'une action*socio=ec1 rapide*socio=rien, substantielle*socio=rien et coordonnée de la *socio=ac communauté internationale face*socio=rien aux*socio=nil conséquences*socio=rien économiques*socio=ec1 *socio=nil de la crise*socio=uv2 du*socio=rien Kosovo. Il est*socio=rien urgent*socio=uv4 d'agir pour veiller à fournir une aide*socio=uv1 suffisante*socio=rien afin d'atténuer les souffrances des réfugiés*socio=et du*socio=rien Kosovo et d'assurer que les pays*socio=ac voisins*socio=rien ont accès*socio=uv1 à des concours extérieurs*socio=te à l'appui*socio=uv1 de leurs efforts*socio=uv1 de stabilisation_macroéconomique*socio=ec1 et de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. Le Comité*socio=ac souligne qu'il serait particulièrement regrettable que les progrès*socio=uv1 considérables*socio=rien accomplis dans la réforme*socio=et de leur économie*socio=ec1 par les pays*socio=ac touchés par les répercussions*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 soient inversés parce qu'il leur manquerait des concours extérieurs*socio=te à des conditions*socio=ec1 appropriées pour satisfaire ces besoins*socio=uv1 accrus. Il souligne que tous les coûts*socio=ec1 des secours humanitaires*socio=uv doivent être*socio=rien financés par de l'aide*socio=uv1 et des dons*socio=ec1 extérieurs*socio=te. Les autres besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te résultant*socio=rien directement de la crise*socio=uv2 doivent être*socio=rien comblés par les bailleurs_de_fonds*socio=ec1 bilatéraux*socio=et et multilatéraux*socio=et. Les institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te doivent jouer un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 dans cet effort*socio=uv1. Le financement*socio=ec1 extérieur*socio=te des balances_de_paiements*socio=ec1 et des coûts*socio=ec1 budgétaires*socio=et dans les pays*socio=ac touchés qui sont admis à bénéficier de la FASR*socio=ec1 doit aussi être*socio=rien fourni à des conditions*socio=ec1 très concessionnelles*socio=ec1 et le Comité*socio=ac attend avec intérêt*socio=uv1 le résultat*socio=rien des discussions*socio=et en cours*socio=rien dans le *socio=rien cadre du Club de*socio=nil Paris*socio=ac sur les*socio=nil dettes*socio=ec1 extérieures*socio=te des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil touchés par la crise*socio=uv2. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 aux services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et de la banque_mondiale*socio=ac de continuer de coordonner la réponse*socio=rien de la *socio=ac communauté internationale face*socio=rien *socio=nil à l'impact*socio=rien économique*socio=ec1 de la crise*socio=uv2, en étroite*socio=rien coopération*socio=uv1 avec les autres organismes*socio=ac et bailleurs_de_fonds*socio=ec1 concernés. 7. Quotes-parts*socio=et, NAE et quatrième*socio=rien amendement*socio=et des Statuts*socio=et Le Comité*socio=ac salue l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 des Nouveaux*socio=rien Accords*socio=et d'emprunt*socio=ec1 (NAE) et l'augmentation*socio=ec2 des quotes-parts*socio=et approuvée dans le cadre*socio=rien de la *socio=rien Onzième révision générale,*socio=nil *socio=nil qui fournira au FMI*socio=ac les *socio=ec1 ressources financières *socio=nil lui permettant de s'acquitter de sa mission*socio=et au *socio=rien centre du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil Comité*socio=ac *socio=nil note que les pays_membres*socio=ac sont relativement lents*socio=rien à accepter le quatrième*socio=rien amendement*socio=et des Statuts*socio=et, qui prévoit une allocation*socio=et spéciale*socio=rien et unique*socio=rien de DTS. Le Comité*socio=ac demande*socio=ec1 aux pays_membres*socio=ac qui ne l'ont pas encore fait*socio=rien d'accomplir promptement les formalités*socio=et nécessaires*socio=rien. Le comité_intérimaire*socio=ac tiendra sa *socio=rien prochaine réunion à*socio=nil Washington*socio=ac *socio=nil le 26 septembre*socio=rien 1999. Comité*socio=ac ministériel*socio=et conjoint*socio=rien des conseils_des_gouverneurs_de_la_banque*socio=ac et du*socio=rien Fonds*socio=ec1 sur*socio=rien le transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 aux pays_en_développement*socio=uv3 (Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3) COMMUNIQUÉS DE PRESSE*socio=et Cinquante-huitième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 5 octobre*socio=rien 1998 1. La cinquante-huitième *socio=rien réunion du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3 s'*socio=nil est *socio=nil tenue à Washington*socio=ac le 5 octobre*socio=rien 1998 sous la présidence*socio=rien de M. Tarrin Nimmanahaeminda, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 de la Thaïlande*socio=ac. 2. Anwar Ibrahim. Le Comité*socio=ac exprime sa profonde*socio=rien gratitude*socio=uv1 à M. Anwar Ibrahim pour l'action*socio=ec1 qu'il a menée en tant que Président*socio=ac du*socio=rien Comité*socio=ac. 3. Répercussions*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac. Le Comité*socio=ac s'intéresse particulièrement, à l'occasion*socio=rien de cette réunion*socio=rien, aux priorités*socio=uv4 de développement*socio=uv3 et à la riposte du*socio=rien Groupe*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac. 4. Les ministres*socio=ac conviennent que les contrecoups économiques*socio=ec1 et sociaux*socio=et de la crise*socio=uv2 sont plus graves*socio=uv4 que prévu. La crise*socio=uv2 ne touche plus uniquement*socio=rien l'Indonésie*socio=ac, la Corée*socio=ac, la Thaïlande*socio=ac et la Malaisie*socio=ac, et ses répercussions*socio=ec2 mondiales*socio=te accroissent la vulnérabilité*socio=uv1 de tous les pays*socio=ac. Les ministres*socio=ac soulignent donc la nécessité*socio=uv1 d'appuyer une reprise rapide*socio=rien et durable*socio=uv4 en Asie*socio=ac de l'_est*socio=te, de limiter*socio=rien les risques*socio=uv3 de crise*socio=uv2 dans les autres pays*socio=ac et, de *socio=rien manière générale,*socio=nil *socio=nil d'aider les pays*socio=ac à créer les conditions*socio=ec1 d'une croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 durable*socio=uv4 dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien système_économique*socio=ec1 et financier*socio=ec1 international*socio=te plus intégré. 5. Les ministres*socio=ac sont convenus qu'une stratégie*socio=et concertée pour relancer une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 et enrayer la rapide*socio=rien progression*socio=ec2 de la pauvreté*socio=uv1 en Asie*socio=ac de l'_est*socio=te doit viser principalement à: i ) poursuivre, à un*socio=rien rythme*socio=ec2 accéléré, des réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, notamment pour mettre en place*socio=rien le cadre*socio=rien institutionnel*socio=et requis*socio=uv4 pour assurer le fonctionnement*socio=rien harmonieux*socio=uv2 du*socio=rien marché*socio=ec1; ii) restructurer le système_bancaire*socio=ec1 et le secteur*socio=rien des entreprises*socio=ac et, à court_terme*socio=te, rétablir l'offre*socio=ec1 de crédits*socio=ec1 aux entreprises*socio=ac viables*socio=uv4; iii) mobiliser les ressources*socio=ec1 nécessaires*socio=rien au financement*socio=ec1 de la croissance*socio=uv3; iv) relancer la demande*socio=ec1; et v) protéger l'environnement*socio=et. Dans tous ces domaines*socio=rien, il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 de mettre l'accent*socio=rien sur*socio=rien les aspects*socio=rien sociaux*socio=et des mesures*socio=et prises*socio=rien et d'atténuer les répercussions*socio=ec2 les plus défavorables*socio=uv4 de la crise*socio=uv2 sur*socio=rien les pauvres*socio=uv2. 6. Les ministres*socio=ac reconnaissent également que, si rien*socio=rien n'est*socio=rien fait*socio=rien pour y mettre *socio=rien un terme,*socio=nil les*socio=nil turbulences*socio=ec2 financières*socio=ec1 *socio=nil pourraient avoir de graves*socio=uv4 répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, et notamment réduire à néant*socio=rien les progrès*socio=uv1 accomplis par la plupart*socio=rien des pays_en_développement*socio=uv3 dans les années*socio=rien 90. Le Comité*socio=ac convient qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil de prendre des mesures*socio=et en vue*socio=rien de rétablir la confiance*socio=uv1 et empêcher tout effet*socio=rien de contagion*socio=ec2 sous l'effet*socio=rien de pressions*socio=ec2 exercées sur*socio=rien le marché*socio=ec1. Dans l'immédiat*socio=rien, il importe que les marchés*socio=ec1 émergents*socio=ec2 renforcent leurs politiques*socio=et et leurs institutions*socio=ac de manière*socio=rien à moins s'exposer à des pertes*socio=ec2 de confiance*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac, et que les pays_industrialisés*socio=ac prennent des mesures*socio=et décisives*socio=uv4 pour assurer la reprise ou la poursuite*socio=rien de la croissance*socio=uv3 et rétablir la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 internationale*socio=ac. Il faut aussi que tous les pays*socio=ac continuent d'ouvrir leurs marchés*socio=ec1 et résistent aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et et, enfin, que tous les pays*socio=ac et les institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te cherchent, en priorité*socio=uv4, à encourager une bonne*socio=rien gestion*socio=ec2 des affaires_publiques*socio=et et à éliminer la corruption*socio=uv1. 7. Les ministres*socio=ac soulignent que, étant donné l'ampleur*socio=rien des inversions des mouvements_de_capitaux*socio=ec1 observées en Asie*socio=ac de l'_est*socio=te et dans d'autres régions*socio=te, la relance*socio=uv3 dépendra fondamentalement*socio=rien de la reprise des flux*socio=ec1 de capitaux_privés*socio=ec1. Ils insistent également sur*socio=rien l'importance*socio=rien de l'effet*socio=rien de catalyseur*socio=ec2 exercé par les flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 publics*socio=et émanant d'institutions*socio=ac multilatérales*socio=et ou de sources*socio=rien bilatérales*socio=et. 8. Dans ce contexte*socio=rien, le Comité*socio=ac convient que, en sus de l'action*socio=ec1 menée pour faire face*socio=rien à la crise*socio=uv2 immédiate*socio=rien et parallèlement aux efforts*socio=uv1 entrepris pour améliorer l'architecture financière*socio=ec1 internationale*socio=ac, il importe de prendre des mesures*socio=et concertées pour aider les pays*socio=ac à renforcer leurs institutions*socio=ac et leurs politiques*socio=et structurelles*socio=ec2 et sociales*socio=et. Ces mesures*socio=et viseront à: renforcer le secteur*socio=rien financier*socio=ec1; mettre en *socio=rien place un cadre propice aux*socio=nil entreprises*socio=ac;*socio=nil *socio=nil améliorer la conduite*socio=rien des affaires_publiques*socio=et et la gestion*socio=ec2 du*socio=rien secteur_privé*socio=et, et plus particulièrement la transparence*socio=uv3 et la responsabilisation*socio=uv1 des dirigeants*socio=ac; et renforcer la protection_sociale*socio=et. Les ministres*socio=ac soulignent que la banque_mondiale*socio=ac a fondamentalement*socio=rien pour mission*socio=et de lutter contre la pauvreté*socio=uv1 et d'améliorer le bien-être*socio=uv1 des populations*socio=ac, conformément aux objectifs*socio=uv3 de développement*socio=uv3 internationaux*socio=te. Ils encouragent donc la banque_mondiale*socio=ac à collaborer avec l'Organisation*socio=ac des nations_unies*socio=ac, le FMI*socio=ac et d'autres partenaires*socio=ac à la formulation*socio=rien de principes*socio=ec2 généraux*socio=rien concernant les bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien de politiques*socio=et structurelles*socio=ec2 et sociales*socio=et (y compris les normes_du_travail*socio=et). 9. Riposte du*socio=rien Groupe*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac. Le Comité*socio=ac se félicite de la rapidité*socio=rien avec laquelle le Groupe*socio=ac de la banque_mondiale*socio=ac a réagi à la crise*socio=uv2, notamment en engageant un*socio=rien financement*socio=ec1 à hauteur*socio=rien de 17 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en faveur*socio=rien des pays*socio=ac touchés dans la région*socio=te. Les ministres*socio=ac constatent avec satisfaction*socio=uv3 les mesures*socio=et importantes*socio=uv4 déjà prises*socio=rien par le Groupe*socio=ac pour aider les pays*socio=ac à faire face*socio=rien aux répercussions*socio=ec2 sociales*socio=et de la crise*socio=uv2, à restructurer leur secteur*socio=rien financier*socio=ec1 et leurs entreprises*socio=ac non financières*socio=ec1, et à intensifier leurs réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. Ils notent avec satisfaction*socio=uv3 que le Groupe*socio=ac de la Banque*socio=ac a l'intention*socio=rien, conformément au Pacte*socio=et stratégique*socio=uv4, de renforcer les capacités*socio=uv3 dont il dispose pour appuyer les programmes*socio=et de développement*socio=uv3 sociaux*socio=et et structurels*socio=ec2 de ses pays_membres*socio=ac (notamment en considérant de nouveaux*socio=rien instruments*socio=et). 10. Le Comité*socio=ac prend note des récentes*socio=rien décisions*socio=et et recommandations*socio=et des administrateurs*socio=ac concernant la dynamique*socio=uv4 du*socio=rien revenu*socio=ec1 de la banque_mondiale*socio=ac. Étant donné que les emplois*socio=ec1 potentiels*socio=uv4 des *socio=ec1 ressources financières *socio=nil de la Banque*socio=ac ne cessent d'augmenter, les ministres*socio=ac demandent aux administrateurs*socio=ac d'étudier les options*socio=rien qui pourraient *socio=rien être retenues *socio=nil pour permettre à l'institution*socio=ac de pouvoir*socio=et continuer à faire face*socio=rien rapidement et efficacement aux besoins*socio=uv1 de développement*socio=uv3 de ses pays_membres*socio=ac. Les ministres*socio=ac insistent de *socio=rien nouveau sur l'*socio=nil importance *socio=nil de préserver la solidité*socio=uv3 financière*socio=ec1 de la Banque*socio=ac. 11. Collaboration*socio=uv1 entre le Fonds*socio=ec1 et la Banque*socio=ac. Le Comité*socio=ac note le rôle*socio=et important*socio=uv4 que devront jouer les institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te pour résoudre les nouveaux*socio=rien problèmes*socio=uv4 auxquels se trouve confrontée la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil *socio=nil Dans ce contexte*socio=rien, le Comité*socio=ac se félicite des efforts*socio=uv1 soutenus déployés par le FMI*socio=ac et la Banque*socio=ac pour aider les pays*socio=ac à faire face*socio=rien à la crise*socio=uv2 et à ses vastes*socio=rien répercussions*socio=ec2. Les ministres*socio=ac soulignent l'importance*socio=rien qu'ils attachent à une coordination*socio=uv3 efficace*socio=uv4 de l'action*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac et de la Banque*socio=ac. Ils prennent acte*socio=et *socio=rien du Rapport du directeur_général*socio=ac du FMI*socio=ac et*socio=nil du Président*socio=ac du Groupe*socio=ac *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac qui décrit les domaines*socio=rien de responsabilité*socio=uv1 des deux institutions*socio=ac et la manière*socio=rien dont chacune d'elles appuiera le programme*socio=et de leurs pays_membres*socio=ac en matière*socio=rien de politique*socio=et macroéconomique*socio=ec1 et de réforme*socio=et structurelle*socio=ec2. Les ministres*socio=ac accueillent favorablement les mesures*socio=et proposées en vue*socio=rien d'améliorer les mécanismes*socio=et opérationnels*socio=rien et le climat*socio=rien de collaboration*socio=uv1, y compris l'échange_d'_informations*socio=rien, pour que les deux institutions*socio=ac puissent encore mieux servir leurs pays_membres*socio=ac. Les ministres*socio=ac demandent aux administrateurs*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac et de la banque_mondiale*socio=ac de suivre de près l'application*socio=rien de ces mesures*socio=et, et de continuer d'examiner les possibilités*socio=rien de renforcer cette collaboration*socio=uv1. 12. Les ministres*socio=ac encouragent également les administrateurs*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac et de la Banque*socio=ac à étudier le rôle*socio=et du*socio=rien comité_intérimaire*socio=ac et du*socio=rien Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 dans le cadre*socio=rien de leur examen*socio=ec2 des mesures*socio=et à prendre pour renforcer l'architecture financière*socio=ec1 internationale*socio=ac. 13. Partenariats*socio=uv3. Les ministres*socio=ac se félicitent également du*socio=rien renforcement*socio=ec2 du*socio=rien partenariat*socio=uv3 entre la banque_mondiale*socio=ac, la *socio=ac Banque asiatique de*socio=nil développement,*socio=nil la*socio=nil banque_africaine_de_développement,*socio=nil *socio=nil et d'autres organismes*socio=ac multilatéraux*socio=et et bilatéraux*socio=et, pour faire face*socio=rien à la crise*socio=uv2 et à son impact*socio=rien à plus long_terme*socio=te. (Les ministres*socio=ac attendent avec intérêt*socio=uv1 de recevoir, à l'occasion*socio=rien de la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil rapport du Président*socio=ac *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac sur*socio=rien les progrès*socio=uv1 accomplis en ce qui concerne l'intensification*socio=ec2 de la collaboration*socio=uv1 entre cette dernière*socio=rien et les banques*socio=ac régionales*socio=te de développement*socio=uv3.) Étant donné l'importance*socio=rien de la contribution*socio=uv1 des échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te à une reprise durable*socio=uv4, les ministres*socio=ac engagent vivement les institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te à davantage collaborer dans le cadre*socio=rien d'action*socio=ec1 intégré pour la fourniture*socio=ec1 d'une assistance*socio=uv1 technique*socio=rien en matière*socio=rien de commerce*socio=ec1 aux pays_en_développement*socio=uv3. Ils encouragent aussi la banque_mondiale*socio=ac à collaborer étroitement avec l'OMC*socio=ac, la CNUCED*socio=ac et d'autres *socio=rien parties prenantes au*socio=nil renforcement*socio=ec2 des*socio=nil capacités*socio=uv3 des*socio=nil pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 *socio=nil pour préparer une autre série de négociations_commerciales_multilatérales*socio=et. Les ministres*socio=ac soulignent aussi qu'il est*socio=rien important*socio=uv4 d'accroître la coopération*socio=uv1 entre les institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te et le système*socio=rien des nations_unies*socio=ac au niveau*socio=rien des pays*socio=ac. 14. Déroulement*socio=rien de l'Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés (PPTE*socio=ac). Les ministres*socio=ac jugent encourageants*socio=uv4 les progrès*socio=uv1 accomplis au cours*socio=rien des deux années*socio=rien écoulées depuis le lancement*socio=rien de l'Initiative*socio=rien. Ils notent que neuf*socio=rien pays*socio=ac ont, jusqu'à présent*socio=rien, atteint le point*socio=rien de décision*socio=et, et que le montant*socio=ec1 total*socio=rien engagé en faveur*socio=rien des sept pays*socio=ac demandant à bénéficier d'une aide*socio=uv1 dans le cadre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien était d'environ 6,1 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour l'allégement*socio=ec2 *socio=rien nominal du service_de_la_dette*socio=ec1 *socio=nil (3,1 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pour l'allégement*socio=ec2 exprimé en VAN*socio=rien). Les ministres*socio=ac se réjouissent que la Bolivie*socio=ac ait atteint le point*socio=rien d'achèvement*socio=rien, grâce*socio=rien aux judicieuses*socio=uv4 politiques*socio=et qu'elle a poursuivies; les économies*socio=ec1 réalisées au *socio=rien niveau du service_de_la_dette*socio=ec1 nominal *socio=nil sont de l'ordre*socio=rien de 760 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1 (soit à peu près 450 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1 exprimés en VAN*socio=rien). Le Comité*socio=ac juge*socio=et aussi encourageant qu'il ait été*socio=rien récemment convenu que le Mali avait atteint le point*socio=rien de décision*socio=et et devrait atteindre le point*socio=rien d'achèvement*socio=rien en décembre*socio=rien 1999. 15. Les ministres*socio=ac réaffirment leur soutien*socio=uv3 à l'Initiative*socio=rien. Ils approuvent le report*socio=rien de septembre*socio=rien 1998 à la fin*socio=rien de l'an*socio=rien 2000 de la date avant laquelle les pays*socio=ac doivent entreprendre un*socio=rien programme*socio=et d'ajustement*socio=et, et la décision*socio=et de faire preuve*socio=ec2 d'une certaine*socio=rien souplesse*socio=uv3 dans l'évaluation*socio=ec2 des résultats*socio=rien obtenus au plan*socio=rien des politiques*socio=et par les pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1 qui reçoivent une aide*socio=uv1. Les ministres*socio=ac encouragent les pays*socio=ac susceptibles*socio=rien de bénéficier de l'Initiative*socio=rien, y compris ceux qui sortent d'un*socio=rien conflit*socio=uv1, à mettre en place*socio=rien le plus rapidement possible*socio=rien les programmes*socio=et requis*socio=uv4 avec l'appui*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac et de la Banque*socio=ac de manière*socio=rien à ce que, d'ici à l'an*socio=rien 2000, tous les pays*socio=ac admissibles*socio=uv2 puissent bénéficier de cette dernière*socio=rien. Ils soulignent aussi l'importance*socio=rien de fournir des contributions*socio=uv1 supplémentaires*socio=rien à l'Initiative*socio=rien pour aider toutes les institutions*socio=ac multilatérales*socio=et, et notamment la banque_africaine_de_développement*socio=ac, à assumer leur part*socio=rien des coûts*socio=ec1. 16. Les ministres*socio=ac encouragent l'établissement*socio=rien de liens*socio=rien plus étroits*socio=rien entre l'allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 et l'appui*socio=uv1 à la lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1, pour promouvoir la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv3 de développement*socio=uv3 internationaux*socio=te. Ils appuient aussi le plan*socio=rien formulé en vue*socio=rien de procéder à un*socio=rien examen*socio=ec2 approfondi de l'Initiative*socio=rien, et notamment de réviser les estimations*socio=ec2 des coûts*socio=ec1 dès 1999. 17. Aide*socio=uv1 aux pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1. S'agissant des problèmes*socio=uv4 particuliers*socio=rien rencontrés par les pays*socio=ac qui sortent d'un*socio=rien conflit*socio=uv1, les ministres*socio=ac notent que le FMI*socio=ac et la banque_mondiale*socio=ac, de pair*socio=rien avec les institutions*socio=ac de l'ONU*socio=ac et des partenaires*socio=ac bilatéraux*socio=et, apportent à ces pays*socio=ac une assistance*socio=uv1 sous des *socio=rien formes diverses.*socio=nil Les*socio=nil ministres*socio=ac *socio=nil encouragent ces institutions*socio=ac à aider ces pays*socio=ac, dans le cadre*socio=rien de leurs mandats*socio=et respectifs*socio=rien, à mettre en ouvre des mesures*socio=et permettant de prévenir d'autres conflits*socio=uv1 et, ce faisant, à préparer le terrain*socio=rien à un*socio=rien règlement*socio=et durable*socio=uv4 et satisfaisant*socio=rien de la situation*socio=rien post-conflictuelle. Ils reconnaissent toutefois que, dans le cas*socio=rien de certains pays*socio=ac, notamment ceux qui ont des arriérés importants*socio=uv4 envers des institutions*socio=ac multilatérales*socio=et, la *socio=ac communauté internationale *socio=nil devrait envisager de recourir à des modalités*socio=rien qui lui permettront de venir plus rapidement et plus efficacement en aide*socio=uv1 à ces derniers*socio=rien. Ils insistent notamment sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'effectuer (voir même d'accroître le montant*socio=ec1) des transferts*socio=ec1 nets*socio=rien positifs*socio=uv4 des créanciers*socio=ac officiels*socio=et aux pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1 qui adoptent de saines*socio=uv2 politiques_économiques*socio=et et sociales*socio=et. Le Comité*socio=ac se félicite des travaux*socio=rien déjà consacrés par le FMI*socio=ac et la Banque*socio=ac à l'identification*socio=rien des questions*socio=rien y afférentes*socio=rien. Les ministres*socio=ac reconnaissent que la fourniture*socio=ec1 d'une aide*socio=uv1 additionnelle*socio=ec2, notamment par les institutions_financières*socio=ac internationales*socio=te, soulève d'importantes*socio=uv4 questions*socio=rien au plan*socio=rien de la politique*socio=et générale*socio=rien et des ressources*socio=ec1 qu'il conviendra d'examiner plus en détail*socio=rien. Étant donné la nécessité*socio=uv1 de fournir un*socio=rien appui*socio=uv1 plus efficace*socio=uv4 aux pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1, les ministres*socio=ac demandent au FMI*socio=ac et à la Banque*socio=ac de formuler, en collaboration*socio=uv1 avec la banque_africaine_de_développement*socio=ac et d'autres créanciers*socio=ac importants*socio=uv4, des directives*socio=et pour fournir au cas*socio=rien par cas*socio=rien une assistance*socio=uv1 à ces pays*socio=ac, compte*socio=ec1 tenu des capacités*socio=uv3 respectives*socio=rien de chacune des institutions*socio=ac. Il est*socio=rien demandé au FMI*socio=ac et à la Banque*socio=ac de présenter *socio=rien un rapport *socio=nil à ce sujet*socio=rien au Comité*socio=ac lors*socio=rien de sa *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil 18. Ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac et de l'IDA*socio=ac. Les ministres*socio=ac prient instamment tous les membres*socio=ac de verser au plus tôt les montants*socio=ec1 convenus au *socio=rien titre du relèvement*socio=ec2 des*socio=nil quotes-parts*socio=et *socio=nil pour que le FMI*socio=ac dispose de ressources*socio=ec1 suffisantes*socio=rien pour répondre aux importantes*socio=uv4 demandes*socio=et de financement*socio=ec1 qui lui sont présentées. Les ministres*socio=ac soulignent également la nécessité*socio=uv1 impérieuse*socio=rien d'obtenir*socio=rien les ressources*socio=ec1 requises*socio=uv4 par la FASR*socio=ec1 et, eu égard*socio=rien à l'importance*socio=rien cruciale*socio=uv4 que revêt la disponibilité*socio=rien de *socio=ec1 ressources concessionnelles *socio=nil pour appuyer la lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1 dans les pays*socio=ac pauvres*socio=uv2, notamment en Afrique*socio=ac, ils prient instamment les délégués*socio=ac à l'IDA*socio=ac de mener à bien*socio=rien les négociations*socio=et d'IDA12 avant la fin*socio=rien de 1998. 19. *socio=ac Secrétaire exécutif.*socio=nil Le*socio=nil Comité *socio=nil prolonge le mandat*socio=rien de *socio=ac Secrétaire exécutif *socio=nil d'Alexander Shakow jusqu'à octobre*socio=rien 1999. 20. Date de la *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil La date de la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui se tiendra à Washington*socio=ac, est*socio=rien provisoirement fixée au 28 avril*socio=rien 1999. Cinquante-neuvième réunion*socio=rien, Washington*socio=ac, 28 avril*socio=rien 1999 1. La cinquante-neuvième *socio=rien réunion du Comité*socio=ac du développement*socio=uv3 s'*socio=nil est *socio=nil tenue à Washington*socio=ac le 28 avril*socio=rien 1999 sous la présidence*socio=rien de M. Tarrin Nimmanahaeminda, Ministre*socio=ac des finances*socio=ec1 de la Thaïlande*socio=ac 2. 2. Initiative*socio=rien en faveur*socio=rien des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés (PPTE*socio=ac). Encouragés par les progrès*socio=uv1 enregistrés depuis deux ans*socio=rien et demi*socio=rien, les ministres*socio=ac déclarent qu'ils continuent à souscrire pleinement à l'Initiative*socio=rien dont l'objectif*socio=uv3 suprême est*socio=rien de faire reculer la pauvreté*socio=uv1. Ayant examiné les moyens*socio=ec1 de renforcer ce dispositif*socio=et, ils se félicitent des *socio=rien résultats du large processus*socio=te de*socio=nil consultation*socio=uv1 externe*socio=ec1 *socio=nil qui a été*socio=rien engagé à ce sujet*socio=rien. Le Comité*socio=ac approuve l'examen*socio=ec2 détaillé actuellement réalisé pour trouver des formules*socio=rien qui permettraient à l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac de se traduire par un*socio=rien allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 plus large*socio=rien, plus important*socio=uv4 et plus rapide*socio=rien. Les ministres*socio=ac réaffirment qu'il importe d'établir *socio=rien un lien clair *socio=nil entre l'allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 et les objectifs*socio=uv3 de développement*socio=uv3 durable*socio=uv4 et de lutte*socio=uv1 contre la pauvreté*socio=uv1, et attendent avec intérêt*socio=uv1 le résultat*socio=rien des consultations*socio=uv1 en cours*socio=rien dans ce domaine*socio=rien. Dès le départ*socio=rien, les programmes*socio=et de réforme*socio=et sous-jacents*socio=rien doivent être*socio=rien axés sur*socio=rien une croissance*socio=uv3 au profit*socio=ec1 des pauvres*socio=uv2. Les programmes*socio=et en faveur*socio=rien des PPTE*socio=ac doivent pleinement tenir compte*socio=ec1 de la dimension*socio=rien sociale*socio=et en protégeant les dépenses*socio=ec1 de cette nature*socio=rien. 3. Les ministres*socio=ac approuvent une série de principes*socio=ec2 à utiliser dans la perspective*socio=rien des changements*socio=uv3 à apporter au cadre*socio=rien actuel*socio=te de l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac. En vertu*socio=rien de ces principes*socio=ec2 directeurs*socio=ac, il est*socio=rien recommandé que l'allégement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1: i) élargisse l'éventail*socio=rien de moyens*socio=ec1 à la disposition*socio=et de la *socio=ac communauté internationale *socio=nil pour promouvoir un*socio=rien développement*socio=uv3 durable*socio=uv4 et *socio=rien un recul *socio=nil soutenu de la pauvreté*socio=uv1; ii) renforce les éléments*socio=rien incitant les *socio=ac pays débiteurs *socio=nil à adopter et exécuter des programmes*socio=et de réformes*socio=et économiques*socio=ec1 et sociales*socio=et; iii) permette aux pays*socio=ac admissibles*socio=uv2 de sortir véritablement*socio=rien d'une situation*socio=rien d'endettement*socio=ec1 intolérable, en tenant compte*socio=ec1 de la vulnérabilité*socio=uv1 de chacun aux chocs*socio=ec2 exogènes*socio=rien; et iv) prenne en considération*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de préserver l'intégrité*socio=uv1 financière*socio=ec1 des IFI. En outre, les modifications*socio=rien apportées à l'Initiative*socio=rien doivent en simplifier la mise en ouvre. 4. Les ministres*socio=ac prennent note de la révision*socio=rien en hausse*socio=rien des estimations*socio=ec2 de coût*socio=ec1 pour le dispositif*socio=et dans sa forme*socio=rien actuelle*socio=te, des *socio=rien charges résultant *socio=nil de l'application*socio=rien de *socio=rien différentes possibilités d'*socio=nil expansion*socio=ec2 *socio=nil de l'Initiative*socio=rien et de l'importance*socio=rien d'une réduction*socio=ec2 *socio=rien rapide du service_de_la_dette*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ils soulignent que l'examen*socio=ec2 des *socio=rien nouvelles formules possibles *socio=nil devra reposer sur*socio=rien des estimations*socio=ec2 de coût*socio=ec1 précises*socio=rien préparées par la Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac, qui tiendront compte*socio=ec1 des pays*socio=ac pouvant prétendre à un*socio=rien allégement*socio=ec2 d'une estimation*socio=ec2 du*socio=rien montant*socio=ec1 total*socio=rien des ressources*socio=ec1 nécessaires*socio=rien et de la durée*socio=te de la période*socio=te sur*socio=rien laquelle devraient porter les dépenses*socio=ec1. Cet examen*socio=ec2 devra s'accompagner d'un*socio=rien effort*socio=uv1 largement réparti pour trouver des solutions*socio=rien de financement*socio=ec1 adéquates*socio=uv2 et équitables*socio=uv2. Il convient en particulier*socio=rien d'accroître les contributions*socio=uv1 bilatérales*socio=et au *socio=ec1 Fonds fiduciaire PPTE*socio=ac,*socio=nil *socio=nil dans le respect*socio=uv1 du*socio=rien principe*socio=ec2 d'une juste*socio=rien répartition*socio=uv3 des charges*socio=rien, afin d'aider les créanciers*socio=ac multilatéraux*socio=et qui ne peuvent subvenir à des dépenses*socio=ec1 *socio=rien supplémentaires sur leurs*socio=nil propres ressources*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil En outre, les ministres*socio=ac insistent sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'obtenir*socio=rien un*socio=rien financement*socio=ec1 pour le *socio=ec1 Fonds fiduciaire FASR-PPTE*socio=nil du*socio=rien FMI*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Tout en reconnaissant les contraintes*socio=uv1 financières*socio=ec1 auxquelles font face*socio=rien les créanciers*socio=ac multilatéraux*socio=et, ils encouragent ces derniers*socio=rien à poursuivre l'examen*socio=ec2 du*socio=rien financement*socio=ec1 qu'ils peuvent fournir dans le cadre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac. Les ministres*socio=ac demandent que les modifications*socio=rien apportées à l'Initiative*socio=rien et aux plans*socio=rien de financement*socio=ec1 soient soumises à leur examen*socio=ec2 lors*socio=rien de la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac,*socio=nil *socio=nil assorties de *socio=rien propositions précises sur l'*socio=nil allégement*socio=ec2 des*socio=nil contraintes*socio=uv1 de*socio=nil trésorerie*socio=ec1 *socio=nil consenti par les institutions*socio=ac multilatérales*socio=et entre le moment*socio=rien où intervient la décision*socio=et et la *socio=rien fin du processus*socio=te.*socio=nil *socio=nil 5. Les ministres*socio=ac se félicitent également des propositions*socio=rien de certains créanciers*socio=ac bilatéraux*socio=et qui se déclarent disposés à envisager un*socio=rien effort*socio=uv1 supplémentaire*socio=rien, notamment en allégeant davantage les créances*socio=ec1 d'APD*socio=et bilatérales*socio=et qu'ils détiennent sur*socio=rien les PPTE*socio=ac admissibles*socio=uv2. Le Comité*socio=ac est*socio=rien partisan*socio=et d'une action*socio=ec1 mieux coordonnée pour faire en sorte*socio=rien que les nouvelles*socio=rien ressources*socio=ec1 accordées aux PPTE*socio=ac le soient sous forme*socio=rien de dons*socio=ec1 ou à des conditions*socio=ec1 très concessionnelles*socio=ec1. Les ministres*socio=ac appellent instamment à une intensification*socio=ec2 des efforts*socio=uv1 sur*socio=rien le front*socio=rien de l'aide*socio=uv1 comme sur*socio=rien celui du*socio=rien commerce*socio=ec1, soulignant que les allégements*socio=ec2 de dette*socio=ec1 au titre*socio=rien de l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac ne seront pas suffisants*socio=rien pour atteindre l'objectif*socio=uv3 suprême de développement*socio=uv3 au plan*socio=rien international*socio=te, qui consiste à réduire de moitié*socio=rien, d'ici 2015, la proportion*socio=rien de la population*socio=ac vivant dans la pauvreté*socio=uv1 absolue*socio=rien. 6. Aide*socio=uv1 aux pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1. Les ministres*socio=ac notent les progrès*socio=uv1 que la Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac ont réalisés sur*socio=rien la voie*socio=rien d'un*socio=rien renforcement*socio=ec2 de leur capacité*socio=uv3 à aider les pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1. Ils constatent avec satisfaction*socio=uv3 que le conseil_d'_administration*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac a récemment accepté de renforcer l'aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 d'urgence*socio=rien accordée aux pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1 et de prendre en compte*socio=ec1, au cas*socio=rien par cas*socio=rien, la *socio=rien situation particulière *socio=nil de ces pays*socio=ac lorsqu'ils sont en situation*socio=rien d'arriérés vissais du*socio=rien FMI*socio=ac. Le Comité*socio=ac se félicite également des progrès*socio=uv1 enregistrés par la Banque*socio=ac dans la mise au point*socio=rien d'instruments*socio=et financiers*socio=ec1 qui soient source*socio=rien de transferts*socio=ec1 positifs*socio=uv4 nets*socio=rien pour les pays*socio=ac qui sortent d'un*socio=rien conflit*socio=uv1 et mettent en ouvre des politiques*socio=et propices*socio=rien à la stabilisation*socio=et, à la croissance*socio=uv3 et au recul*socio=rien de la pauvreté*socio=uv1. Les ministres*socio=ac soulignent que ces efforts*socio=uv1 doivent aussi aider, le cas*socio=rien échéant, à préparer les pays*socio=ac à se prévaloir de l'Initiative*socio=rien PPTE*socio=ac. Ils encouragent les deux institutions*socio=ac à continuer à ouvrer de concert*socio=uv1, en coopération*socio=uv1 avec les organismes*socio=ac des nations_unies*socio=ac, les prestataires*socio=ac d'aide*socio=uv1 bilatérale*socio=et et d'autres institutions*socio=ac, pour renforcer leur assistance*socio=uv1 aux pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1 et pour mettre en place*socio=rien, dès que possible*socio=rien, une aide*socio=uv1 accrue à ces différents*socio=rien pays*socio=ac, dans le contexte*socio=rien de politiques*socio=et macroéconomiques*socio=ec1 et structurelles*socio=ec2 appropriées. Ils mettent l'accent*socio=rien sur*socio=rien le fait*socio=rien que ces initiatives*socio=rien doivent venir en complément*socio=rien d'efforts*socio=uv1 accrus de la *socio=ac communauté internationale *socio=nil pour aider les pays*socio=ac à passer rapidement et sans heurt*socio=rien d'un*socio=rien conflit*socio=uv1 à une stabilisation*socio=et de la situation*socio=rien et à la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1. Ils insistent sur*socio=rien le fait*socio=rien que les parties*socio=rien sortant du*socio=rien conflit*socio=uv1 doivent avoir la volonté*socio=uv1 indéniable*socio=rien de mettre en ouvre une paix*socio=uv1 durable*socio=uv4 pour que les bailleurs_de_fonds*socio=ec1 et les créanciers*socio=ac puissent apporter une aide*socio=uv1 exceptionnelle*socio=uv4. 7. Capacité*socio=uv3 financière*socio=ec1 du*socio=rien Groupe*socio=ac de la Banque*socio=ac. Le Comité*socio=ac se félicite de l'accord*socio=et intervenu sur*socio=rien la Douzième reconstitution*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 de l'IDA*socio=ac ainsi que de l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien générale du capital*socio=ec1 *socio=nil de l'AMGI*socio=ac, éléments*socio=rien qui permettront de fournir des ressources*socio=ec1 indispensables*socio=uv4 au fonctionnement*socio=rien de deux composantes*socio=ec1 *socio=rien clés du Groupe*socio=ac *socio=nil de la banque_mondiale*socio=ac. Les ministres*socio=ac se félicitent également de l'attention*socio=rien que le Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac et la direction*socio=et de la Banque*socio=ac portent à la solidité*socio=uv3 financière*socio=ec1 de la BIRD*socio=ac et de la SFI*socio=ac. Ils réaffirment leur profond*socio=rien attachement*socio=uv1 au maintien*socio=rien de l'intégrité*socio=uv1 financière*socio=ec1 de ces deux institutions*socio=ac, qui doivent respecter des limites*socio=rien financières*socio=ec1 appropriées dans la conduite*socio=rien de leurs opérations*socio=rien. Ils invitent, en conséquence*socio=rien, le Conseil*socio=ac des administrateurs*socio=ac à réexaminer les priorités*socio=uv4 de la BIRD*socio=ac et de la SFI*socio=ac, particulièrement à la lumière*socio=rien des événements*socio=rien économiques*socio=ec1 et financiers*socio=ec1 récemment survenus sur*socio=rien la scène*socio=rien internationale*socio=ac, et à présenter à la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac des*socio=nil solutions *socio=nil équilibrées en vue*socio=rien de maintenir et de soutenir la capacité*socio=uv3 financière*socio=ec1 des institutions*socio=ac, pour leur permettre de répondre aux futurs*socio=te besoins*socio=uv1 de développement*socio=uv3 des *socio=ac pays_membres emprunteurs.*socio=nil *socio=nil 8. Cadre*socio=rien de développement*socio=uv3 intégré (CDI). Le Comité*socio=ac se félicite de l'approche intégrée du*socio=rien développement*socio=uv3 durable*socio=uv4 envisagée dans le CDI. Les ministres*socio=ac sont heureux*socio=rien de constater que ce cadre*socio=rien met l'accent*socio=rien sur*socio=rien l'importance*socio=rien fondamentale*socio=uv4 d'une maîtrise*socio=rien des décisions*socio=et par le pays*socio=ac concerné, ainsi que d'un*socio=rien partenariat*socio=uv3 et d'une coordination*socio=uv3 entre les pouvoirs_publics*socio=et, la *socio=ac société_civile,*socio=nil le*socio=nil secteur_privé*socio=et *socio=nil et les autres acteurs*socio=ac multilatéraux*socio=et et bilatéraux*socio=et pour faire reculer la pauvreté*socio=uv1, objectif*socio=uv3 suprême de la Banque*socio=ac. Ils soulignent combien il importe que les différents*socio=rien partenaires*socio=ac circonscrivent bien*socio=rien leurs secteurs*socio=rien d'intervention*socio=et respectifs*socio=rien dans le *socio=rien cadre du *socio=nil CDI. Ils font observer que de nombreux*socio=rien gouvernements*socio=ac se sont mon trés désireux*socio=uv2 de travailler en partenariat*socio=uv3 avec la Banque*socio=ac pour contribuer à la mise au *socio=rien point du *socio=nil CDI. Les ministres*socio=ac estiment que la *socio=rien véritable pierre *socio=nil de touche du*socio=rien CDI sera sa mise en ouvre, et ils appellent les administrateurs*socio=ac à suivre et évaluer le déroulement*socio=rien de l'opération*socio=rien dans les pays*socio=ac pilotes au cours*socio=rien des 18 *socio=rien prochains mois.*socio=nil *socio=nil 9. Coopération*socio=uv1 avec les banques_multilatérales_de_développement*socio=ac (BMD*socio=ac). Les ministres*socio=ac accueillent avec satisfaction*socio=uv3 le *socio=rien rapport du Président*socio=ac sur le*socio=nil renforcement*socio=ec2 *socio=nil de la collaboration*socio=uv1 entre la banque_mondiale*socio=ac et les banques*socio=ac régionales*socio=te de développement*socio=uv3, une catégorie*socio=rien de partenaires*socio=ac importants*socio=uv4 pour la promotion*socio=uv3 du*socio=rien développement*socio=uv3. Ils soulignent qu'il importe de continuer à resserrer les liens*socio=rien de coopération*socio=uv1 entre la banque_mondiale*socio=ac, les banques*socio=ac régionales*socio=te de développement*socio=uv3 et le FMI*socio=ac. Les ministres*socio=ac estiment que le resserrement*socio=ec2 de ces liens*socio=rien, dans le respect*socio=uv1 *socio=rien du mandat propre *socio=nil à chaque institution*socio=ac, peut améliorer l'efficacité*socio=uv3 des opérations*socio=rien de prêt*socio=ec1; ils appellent instamment les BMD*socio=ac à prendre d'autres mesures*socio=et concrètes*socio=rien, par exemple*socio=rien en adoptant des méthodes*socio=ec2 homogènes*socio=uv4 d'évaluation*socio=ec2 de l'efficacité*socio=uv3 du*socio=rien développement*socio=uv3 et en se dotant de règles*socio=et de passation_des_marchés*socio=ec1 qui reflètent les méthodes*socio=ec2 les plus performantes. 10. politique_sociale*socio=et - principes*socio=ec2 et bonnes*socio=rien pratiques*socio=et. Les ministres*socio=ac notent que la Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac jouent un*socio=rien rôle*socio=et important*socio=uv4 dans l'action*socio=ec1 menée pour renforcer l'architecture du*socio=rien système_financier*socio=ec1 international*socio=te, en participant*socio=rien à la mise au point*socio=rien de normes*socio=et, de principes*socio=ec2 et de pratiques*socio=et optimales*socio=uv4 applicables*socio=rien au plan*socio=rien mondial*socio=te. À la lumière*socio=rien des enseignements*socio=et tirés de la récente*socio=rien crise*socio=uv2 financière*socio=ec1, les ministres*socio=ac réaffirment l'importance*socio=rien d'une action*socio=ec1 concertée pour aider les pays*socio=ac à renforcer leurs politiques*socio=et et institutions_sociales*socio=et. Ils examinent un*socio=rien projet*socio=et de note sur*socio=rien les principes*socio=ec2 et bonnes*socio=rien pratiques*socio=et en politique_sociale*socio=et, établi par la banque_mondiale*socio=ac à la demande*socio=ec1 du*socio=rien Comité*socio=ac, en coopération*socio=uv1 avec les nations_unies*socio=ac et d'autres organismes*socio=ac. Les ministres*socio=ac estiment que les nations_unies*socio=ac offrent la structure*socio=ec1 se prêtant le mieux à la poursuite*socio=rien de l'élaboration*socio=rien de ces principes*socio=ec2 sociaux*socio=et de base*socio=rien, dans le *socio=rien cadre du *socio=nil suivi par la *socio=ac communauté internationale *socio=nil de la Déclaration*socio=et adoptée à Copenhague*socio=ac par le Sommet*socio=rien mondial*socio=te pour le développement*socio=uv3 social*socio=et. Les ministres*socio=ac encouragent la Banque*socio=ac à aider les pays*socio=ac à mobiliser les ressources*socio=ec1 internes*socio=te et externes*socio=ec1 nécessaires*socio=rien pour mettre ces principes*socio=ec2 en ouvre, et ils incitent l'institution*socio=ac à partager sa connaissance*socio=ec2 des pratiques*socio=et optimales*socio=uv4 pour une utilisation*socio=rien efficace*socio=uv4 de ces ressources*socio=ec1. Les ministres*socio=ac soulignent qu'il importe que la Banque*socio=ac s'emploie à aider davantage les pays_membres*socio=ac à concrétiser ces principes*socio=ec2 généraux*socio=rien dans le contexte*socio=rien qui leur *socio=rien est propre,*socio=nil *socio=nil en s'appuyant sur*socio=rien sa grande*socio=rien expérience*socio=ec2 opérationnelle*socio=rien de la promotion*socio=uv3 d'un*socio=rien développement*socio=uv3 multi-sectoriel favorisant *socio=rien un recul *socio=nil de la pauvreté*socio=uv1. Cette connaissance*socio=ec2 des méthodes*socio=ec2 les plus performantes devrait représenter une part*socio=rien importante*socio=uv4 de la contribution*socio=uv1 de la Banque*socio=ac à l'examen*socio=ec2 que les nations_unies*socio=ac consacreront à ces principes*socio=ec2. Les ministres*socio=ac soulignent l'importance*socio=rien et l'urgence*socio=rien de l'action*socio=ec1 que la Banque*socio=ac et le FMI*socio=ac doivent mener pour aider les pays*socio=ac à mieux se préparer à faire face*socio=rien à une crise*socio=uv2 et, quand celle-ci éclate, pour veiller à la protection*socio=et des plus démunis*socio=uv2 et à la continuité*socio=uv1 du*socio=rien processus*socio=te de développement*socio=uv3 à long_terme*socio=te. Ils invitent la banque_mondiale*socio=ac à leur présenter, à l'Assemblée*socio=ac annuelle*socio=te, *socio=rien un rapport sur les*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil et les méthodes*socio=ec2 susceptibles*socio=rien de contribuer à la réalisation*socio=uv1 de ces objectifs*socio=uv3 sur*socio=rien le plan*socio=rien national*socio=te et international*socio=te. 11. Renforcement*socio=ec2 des instances*socio=et internationales*socio=te. Les ministres*socio=ac examinent *socio=rien un certain nombre de*socio=nil solutions possibles *socio=nil pour renforcer le Comité*socio=ac du*socio=rien développement*socio=uv3 et le comité_intérimaire*socio=ac. Conscients*socio=uv2 qu'il convient de parvenir à un*socio=rien accord*socio=et dès que possible*socio=rien, ils invitent les Conseils*socio=ac des deux institutions*socio=ac à préparer des propositions*socio=rien qui seront soumises à l'examen*socio=ec2 des Comités*socio=ac lors*socio=rien de leurs *socio=rien prochaines réunions.*socio=nil *socio=nil 12. La crise*socio=uv2 des Balkans. Les ministres*socio=ac ont été*socio=rien informés des résultats*socio=rien de la *socio=rien réunion spéciale de*socio=nil haut niveau des*socio=nil gouvernements*socio=ac *socio=nil et des organismes_internationaux*socio=ac qui s'est*socio=rien tenue le 27 avril*socio=rien. Organisée par la banque_mondiale*socio=ac et le fonds_monétaire_international*socio=ac, cette réunion*socio=rien a porté sur*socio=rien l'impact*socio=rien économique*socio=ec1 qu'a la crise*socio=uv2 du*socio=rien Kosovo sur*socio=rien les pays*socio=ac voisins*socio=rien de la région*socio=te des Balkans. Le Comité*socio=ac s'est*socio=rien félicité de l'attention*socio=rien accordée aux besoins*socio=uv1 financiers*socio=ec1 à court_terme*socio=te de la région*socio=te, ainsi que de l'optique*socio=rien à *socio=rien moyen terme *socio=nil dans laquelle est*socio=rien envisagée la stabilité*socio=uv3 économique*socio=ec1 de ces pays*socio=ac. Ses membres*socio=ac ont insisté sur*socio=rien le fait*socio=rien que les situations*socio=rien conflictuelles et post-conflictuelles existant*socio=rien dans d'autres régions*socio=te nécessitaient tout autant l'attention*socio=rien de la *socio=ac communauté internationale.*socio=nil Les*socio=nil ministres *socio=nil ont jugé positif*socio=uv4 le fait*socio=rien que la banque_mondiale*socio=ac et l'union_européenne*socio=et aient été*socio=rien invitées à coordonner ces efforts*socio=uv1 face*socio=rien à la crise*socio=uv2 des Balkans, et ils attendent avec intérêt*socio=uv1 d'être*socio=rien informés en temps*socio=rien voulu des mesures*socio=et complémentaires*socio=rien qui seront prises*socio=rien. 13. Date de la *socio=rien prochaine réunion.*socio=nil *socio=nil La date de la *socio=rien prochaine réunion du Comité*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui se tiendra à Washington*socio=ac, est*socio=rien fixée au 27 septembre*socio=rien 1999. Encadré 2 Renforcement*socio=ec2 de la NSDD et amélioration*socio=uv1 de l'accès*socio=uv1 aux données sur*socio=rien la dette*socio=ec1 Le FMI*socio=ac a annoncé le 26 mars*socio=rien 1999 que son conseil_d'_administration*socio=ac avait décidé de renforcer la NSDD créée en 1996. Les principales*socio=rien décisions*socio=et prévoient: Le renforcement*socio=ec2 des dispositions*socio=et relatives*socio=rien aux réserves_internationales*socio=ec1, y compris la diffusion*socio=rien d'informations*socio=rien détaillées sur*socio=rien les avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 et des *socio=rien informations sur les*socio=nil obligations*socio=uv1 *socio=nil liées aux réserves*socio=ec1 et autres facteurs*socio=rien potentiels*socio=uv4 de ponctions*socio=ec1 sur*socio=rien les réserves*socio=ec1. Le Conseil*socio=ac a prescrit*socio=rien la *socio=rien diffusion mensuelle *socio=nil des données complètes correspondant au *socio=rien nouveau modèle *socio=nil pour les réserves*socio=ec1, avec *socio=rien un décalage *socio=nil ne dépassant pas *socio=rien un mois;*socio=nil la*socio=nil diffusion *socio=nil des données relatives*socio=rien à l'ensemble*socio=rien des avoirs*socio=ec1 de réserve*socio=ec1 resterait *socio=rien prescrite sur une*socio=nil base mensuelle,*socio=nil avec*socio=nil un décalage *socio=nil ne dépassant pas une semaine*socio=rien. La diffusion*socio=rien hebdomadaire des données correspondant au *socio=rien modèle intégral,*socio=nil avec*socio=nil un décalage *socio=nil d'une semaine*socio=rien, sera encouragée. L'institution*socio=ac d'une catégorie*socio=rien réservée à la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, les données pouvant être*socio=rien désagrégées sur*socio=rien une *socio=rien base trimestrielle par*socio=nil secteur *socio=nil et par échéance*socio=te; la période*socio=te de transition*socio=ec2 sera déterminée après*socio=rien plus ample*socio=rien consultation*socio=uv1 des pays*socio=ac, des utilisateurs*socio=rien et des organisations_internationales*socio=ac. Une période*socio=te transitoire*socio=rien de trois ans*socio=rien sera prévue pour la diffusion*socio=rien des données sur*socio=rien la position*socio=rien extérieure*socio=te globale*socio=rien. Un*socio=rien suivi par les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, qui s'assureront que les pays*socio=ac ayant souscrit à la NSDD respectent ses dispositions*socio=et *socio=rien clés relatives aux*socio=nil caractéristiques *socio=nil des données (champ*socio=rien d'application*socio=rien, périodicité*socio=te et délais*socio=rien de diffusion*socio=rien) et à l'annonce des calendriers*socio=et de divulgation*socio=et, avec *socio=rien indication précise *socio=nil des dates auxquelles les données fondamentales*socio=uv4 seront divulguées; La mise en place*socio=rien obligatoire*socio=uv2, d'ici à la fin*socio=rien de 1999, d'hyperliens entre le tableau*socio=rien d'affichage*socio=rien des normes*socio=et de diffusion*socio=rien des données (TAND) et les pages*socio=rien de données récapitulatives nationales*socio=te sur*socio=rien Internet*socio=ec1, de manière*socio=rien à faciliter le suivi et à mieux répondre aux besoins*socio=uv1 des utilisateurs*socio=rien. La certification*socio=et trimestrielle*socio=rien par les souscripteurs*socio=ac de l'exactitude*socio=rien des métadonnées inscrites*socio=rien au TAND. L'équipe*socio=rien spéciale*socio=rien interinstitutions chargée des statistiques*socio=ec2 financières*socio=ec1, qui est*socio=rien présidée par le FMI*socio=ac, a établi une présentation*socio=rien commune*socio=uv2 des statistiques*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te de la BRI*socio=ac, de l'OCDE*socio=ac, de la banque_mondiale*socio=ac et du*socio=rien FMI*socio=ac, dans le but*socio=rien de répondre au besoin*socio=uv1 général*socio=rien de données plus complètes, plus actuelles*socio=te et plus accessibles*socio=uv2, surtout en ce qui concerne la dette*socio=ec1 à court_terme*socio=te. Cette *socio=rien présentation est désormais*socio=nil accessible*socio=uv2 sur les*socio=nil sites *socio=ec1 Internet externes *socio=nil de ces organisations*socio=ac. Encadré 3 Renforcement*socio=ec2 de la collaboration*socio=uv1 entre le FMI*socio=ac et la banque_mondiale*socio=ac Il est*socio=rien important*socio=uv4 pour le renforcement*socio=ec2 des systèmes_financiers*socio=ec1 que la collaboration*socio=uv1 entre le FMI*socio=ac et la banque_mondiale*socio=ac soit plus efficace*socio=uv4. C'est*socio=rien à cette fin*socio=rien que le Comité*socio=ac de *socio=rien liaison du secteur financier*socio=ec1 a*socio=nil été *socio=nil créé en septembre*socio=rien 1998. L'objectif*socio=uv3 de cette coopération*socio=uv1 est*socio=rien d'assurer que les deux institutions*socio=ac donnent aux pays*socio=ac en *socio=rien temps opportun des*socio=nil conseils*socio=ac *socio=nil avisés et de *socio=rien haute qualité,*socio=nil *socio=nil et que les compétences*socio=uv3 des experts*socio=ac des deux institutions*socio=ac sont employées*socio=ac de manière*socio=rien optimale*socio=uv4. Le Comité*socio=ac: a entrepris d'améliorer la coordination*socio=uv3 des programmes*socio=et de travail*socio=rien des deux institutions*socio=ac, a défini*socio=rien des directives*socio=et et des méthodes*socio=ec2 de partage*socio=uv1 des informations*socio=rien et a incorporé dans le programme*socio=et de travail*socio=rien des normes*socio=et et bonnes*socio=rien pratiques*socio=et acceptées au niveau*socio=rien international*socio=te; a accepté, en_principe*socio=ec2, de coordonner un*socio=rien programme*socio=et conjoint*socio=rien de suivi et d'évaluation*socio=ec2 *socio=rien du secteur financier*socio=ec1,*socio=nil en*socio=nil vue *socio=nil de mieux évaluer les *socio=rien points forts *socio=nil et les faiblesses*socio=ec2 des systèmes_financiers*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac. Le Comité*socio=ac entend approfondir la proposition*socio=rien de collaboration*socio=uv1 sous la forme*socio=rien "d'évaluations*socio=ec2 conjointes*socio=uv2 de la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1" qui feraient appel*socio=rien aux ressources*socio=ec1 des deux institutions*socio=ac et s'inscriraient dans leurs programmes*socio=et de *socio=rien travail respectifs.*socio=nil *socio=nil 54 Encadré 4 Mesures*socio=et visant à associer le secteur_privé*socio=et à la solution*socio=rien des crises*socio=uv2 Mesures*socio=et ex ante Des lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 préventives*socio=rien privées*socio=et, utilisables*socio=uv4 en période*socio=te de difficultés*socio=uv4, pourraient, si leur coût*socio=ec1 d'emploi*socio=ec1 était équitable*socio=uv2, protéger efficacement contre une évolution*socio=te défavorable*socio=uv4 des marchés*socio=ec1, y compris les risques*socio=uv3 de liquidité*socio=ec1, et contribuer à une répartition*socio=uv3 effective*socio=rien des charges*socio=rien en période*socio=te de tensions*socio=ec2. En même temps*socio=rien, sur*socio=rien des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 complexes, les stratégies*socio=et de couverture*socio=ec1 des institutions_financières_privées*socio=ac pourraient déboucher sur*socio=rien des opérations*socio=rien compensatoires*socio=et avec le pays*socio=ac concerné ou déplacer les tensions*socio=ec2 vers d'autres marchés*socio=ec1. Les pays_membres*socio=ac devraient être*socio=rien encouragés à examiner les possibilités*socio=rien d'ouverture*socio=uv3 de lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 préventives*socio=rien auprès d' institutions_financières_privées*socio=ac. Des options*socio=rien de reconduction des lignes*socio=rien de *socio=ec1 crédit interbancaire *socio=nil pourraient offrir une base*socio=rien contractuelle*socio=ec1 de reconduction des échéances*socio=te à des conditions*socio=ec1 déterminées. Cependant, les lignes*socio=rien de *socio=ec1 crédit interbancaire *socio=nil sont souvent une source*socio=rien essentielle*socio=uv4 de liquidités*socio=ec1 à court_terme*socio=te pour les pays*socio=ac, et le déclenchement*socio=rien de l'option*socio=rien pourrait entraîner le retrait de lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 à court_terme*socio=te arrivant à échéance*socio=te avant que l'option*socio=rien ne soit exercée, ce qui aggraverait les problèmes*socio=uv4 de liquidité*socio=ec1. Une garantie du*socio=rien service_de_la_dette*socio=ec1, y compris au moyen*socio=rien d'obligations*socio=uv1 structurées conçues de telle sorte*socio=rien que la *socio=rien charge du service_de_la_dette*socio=ec1 *socio=nil varierait à contre-courant de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 *socio=rien globale du pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil pourrait réduire le risque*socio=uv3 de crise*socio=uv2. Ces instruments*socio=et seront sans doute*socio=rien plus facilement applicables*socio=rien aux pays_membres*socio=ac dont les exportations*socio=ec1 sont très concentrées (c'est*socio=rien le cas*socio=rien de nombreux*socio=rien exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1 ou de *socio=rien produits primaires)*socio=nil ,*socio=nil les*socio=nil contrats*socio=ec1 *socio=nil pouvant dans leur *socio=rien cas être *socio=nil principalement indexés sur*socio=rien des évolutions*socio=te exogènes*socio=rien. Les garanties officielles*socio=et, intégrales ou partielles*socio=rien, de nouveaux*socio=rien instruments*socio=et de dette*socio=ec1 publique*socio=et ou privée*socio=et peuvent *socio=rien être attrayantes *socio=nil lorsque l'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 est*socio=rien très réduit, par exemple*socio=rien au sortir d'une crise*socio=uv2. On peut toutefois s'interroger sur*socio=rien l'efficacité*socio=uv3 des garanties. La banque_mondiale*socio=ac a récemment fait*socio=rien le bilan*socio=rien de son expérience*socio=ec2 en la matière*socio=rien et proposé un*socio=rien programme*socio=et de garantie limitée, liée aux politiques*socio=et menées par les pays*socio=ac. Les résultats*socio=rien de ce programme*socio=et seront évalués ultérieurement. Autres mesures*socio=et Des opérations*socio=rien de reconduction concertée de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te ont permis*socio=rien à la Corée*socio=ac, confrontée à une hémorragie de réserves_officielles*socio=et, de stabiliser une situation*socio=rien critique*socio=uv2 et facilité la restructuration*socio=et de créances*socio=ec1 interbancaires*socio=ec2 en obligations*socio=uv1 souveraines*socio=uv2 garanties. Cependant, le succès*socio=uv1 de la Corée*socio=ac reflète une *socio=rien situation particulière *socio=nil et pourrait *socio=rien être difficile *socio=nil à reproduire ailleurs*socio=rien. Lorsqu'elle décide de recourir à de telles opérations*socio=rien, la *socio=ac communauté internationale *socio=nil doit veiller tout particulièrement au risque*socio=uv3 que des opérations*socio=rien concertées ne conduisent les créanciers*socio=ac à retirer leurs lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 à l'annonce d'une crise*socio=uv2 survenue ailleurs*socio=rien, par crainte*socio=uv1 d'une reconduction concertée. La restructuration*socio=et d'obligations*socio=uv1 souveraines*socio=uv2 internationales*socio=te soulève des *socio=rien questions difficiles *socio=nil qui doivent être*socio=rien examinées cas*socio=rien par cas*socio=rien. Dans la pratique*socio=rien, un*socio=rien arbitrage*socio=et s'impose entre le répit*socio=rien procuré par l'apport*socio=rien immédiat*socio=rien de liquidité*socio=ec1 associé*socio=rien à la restructuration*socio=et des obligations*socio=uv1, d'une part*socio=rien, et la réduction*socio=ec2 qu'elle entraîne à *socio=rien moyen terme *socio=nil de la capacité*socio=uv3 du*socio=rien pays*socio=ac à mobiliser des ressources*socio=ec1 auprès des créanciers_privés*socio=et, de l'autre. 57 Encadré 5 Pour renforcer la prévention*socio=uv3 des effets*socio=rien de contagion*socio=ec2, le FMI*socio=ac crée les lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 *socio=rien préventives Fin avril *socio=nil 1999, le conseil_d'_administration*socio=ac est*socio=rien convenu de mettre des lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 préventives*socio=rien (LCP) à la disposition*socio=et immédiate*socio=rien des pays_membres*socio=ac qui ont adopté de vigoureuses*socio=rien politiques_économiques*socio=et, afin que puissent être*socio=rien évités les problèmes*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 que risquerait d'entraîner la propagation*socio=rien d'une crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 internationale*socio=ac. En approuvant une aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de la facilité de LCP, le FMI*socio=ac exprimerait sa confiance*socio=uv1 dans la politique_économique*socio=ec1 du*socio=rien *socio=ac pays bénéficiaire *socio=nil et dans la volonté*socio=uv1 de celui-ci de l'ajuster au besoin*socio=uv1 en cas*socio=rien de contagion*socio=ec2. La LCP est*socio=rien établie pour une période*socio=te de deux ans*socio=rien et fera l'objet*socio=rien d'une évaluation*socio=ec2 au bout*socio=rien d'un*socio=rien an*socio=rien. Ce nouvel*socio=rien instrument*socio=et a été*socio=rien créé pour prévenir des crises*socio=uv2: en incitant davantage les pays_membres*socio=ac à adopter des politiques*socio=et vigoureuses*socio=rien - notamment en matière*socio=rien de gestion*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 et de viabilité*socio=uv3 des régimes*socio=et de change*socio=ec1 - et à adopter des normes*socio=et acceptées au plan*socio=rien international*socio=te; en favorisant une participation*socio=uv3 positive*socio=uv4 du*socio=rien secteur_privé*socio=et et en réduisant ainsi les risques*socio=uv3 de contagion*socio=ec2 tout en tenant compte*socio=ec1 de l'incidence*socio=ec2 potentielle*socio=uv4 sur*socio=rien la position*socio=rien de liquidité*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac; en témoignant de la volonté*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac d'apporter un*socio=rien appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 aux pays_membres*socio=ac en cas*socio=rien de contagion*socio=ec2. La LCP fournit, si nécessaire*socio=rien, des financements*socio=ec1 à court_terme*socio=te pour aider les pays_membres*socio=ac à faire face*socio=rien aux besoins*socio=uv1 exceptionnels*socio=uv4 de financement*socio=ec1 de la balance_des_paiements*socio=ec1 qui peuvent découler d'une perte*socio=ec2 soudaine*socio=rien et perturbatrice de la confiance*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1 due à la contagion*socio=ec2, c'est-à-dire à des circonstances*socio=rien qui échappent en *socio=rien grande partie au*socio=nil contrôle*socio=uv3 des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil et tiennent principalement à une évolution*socio=te défavorable*socio=uv4 des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de capitaux*socio=ec1 consécutive*socio=rien à des événements*socio=rien survenus dans d'autres pays*socio=ac. La LCP constitue *socio=rien un volet complémentaire *socio=nil de la décision*socio=et antérieure*socio=te relative*socio=rien à la facilité de réserve*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien (FRS), qui diffère essentiellement de la LCP par le fait*socio=rien qu'elle est*socio=rien destinée aux pays*socio=ac déjà en crise*socio=uv2, alors que la LCP constitue une *socio=rien mesure préventive en*socio=nil faveur des*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil qui craignent un*socio=rien risque*socio=uv3 de contagion*socio=ec2 mais ne traversent pas de crise*socio=uv2 au moment*socio=rien où les fonds*socio=ec1 sont engagés. Le FMI*socio=ac a assuré une utilisation*socio=rien et une protection*socio=et efficaces*socio=uv4 de ses ressources*socio=ec1 en établissant les critères*socio=rien d'admissibilité suivants*socio=rien: le pays*socio=ac doit appliquer, au moment*socio=rien où le Conseil*socio=ac approuve l'engagement*socio=uv1 de fonds*socio=ec1, une politique*socio=et considérée comme peu susceptible*socio=rien de nécessiter le recours*socio=ec1 aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac et il n'est*socio=rien pas déjà confronté à un*socio=rien problème*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 dû à la contagion*socio=ec2; ses résultats*socio=rien économiques*socio=ec1 doivent avoir reçu une évaluation*socio=ec2 positive*socio=uv4 du*socio=rien FMI*socio=ac aux précédentes*socio=rien consultations*socio=uv1 au titre*socio=rien de l'article*socio=rien IV et par la suite*socio=rien, compte*socio=ec1 tenu de ses progrès*socio=uv1 dans l'adoption*socio=uv3 de normes*socio=et pertinentes*socio=rien acceptées au plan*socio=rien international*socio=te; le *socio=ac pays membre *socio=nil doit notamment avoir souscrit à la Norme*socio=et spéciale*socio=rien de diffusion*socio=rien des données (NSDD) et être*socio=rien jugé apte*socio=rien à réaliser des progrès*socio=uv1 satisfaisants*socio=uv4 pour s'y conformer*socio=rien; il doit entretenir des relations*socio=rien constructives*socio=uv2 avec ses créanciers_privés*socio=et pour favoriser une participation*socio=uv3 appropriée du*socio=rien secteur_privé*socio=et, et doit avoir limité de manière*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 sa vulnérabilité*socio=uv1 extérieure*socio=te grâce*socio=rien à la gestion*socio=ec2 de sa dette*socio=ec1 extérieure*socio=te et de ses réserves_internationales*socio=ec1; il doit soumettre un*socio=rien programme*socio=et économique*socio=ec1 et financier*socio=ec1 satisfaisant*socio=rien, assorti d'un*socio=rien cadre*socio=rien quantifié, qu'il doit être*socio=rien prêt*socio=ec1 à aménager au besoin*socio=uv1. Lorsqu'une demande*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien effective*socio=rien des ressources*socio=ec1 de la LCP est*socio=rien présentée, le Conseil*socio=ac procède promptement à une revue spéciale*socio=rien d'"activation". Ce faisant, il doit s'assurer qu'en dépit*socio=rien des *socio=rien bons résultats *socio=nil qu'a donnés jusqu'alors le programme*socio=et, le pays*socio=ac est*socio=rien durement touché par une crise*socio=uv2 due à la contagion*socio=ec2 et qu'il entend ajuster son action*socio=ec1 si besoin*socio=uv1 est*socio=rien. La LCP n'est*socio=rien pas assujettie aux plafonds*socio=ec1 généraux*socio=rien d'accès*socio=uv1 aux ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac, mais il est*socio=rien prévu que les engagements*socio=et se situeront dans une fourchette*socio=rien de 300 à 500 % de la quote-part*socio=ec1, sauf circonstances*socio=rien exceptionnelles*socio=uv4 et compte*socio=ec1 dûment tenu de la position*socio=rien de liquidité*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Les ressources*socio=ec1 seront engagées pour *socio=rien un an au*socio=nil maximum.*socio=nil Lors *socio=nil de la revue spéciale*socio=rien d'"activation", le Conseil*socio=ac décidera du*socio=rien montant*socio=ec1 à décaisser immédiatement, de l'étalement*socio=rien du*socio=rien reliquat et de la concessionnalité applicable*socio=rien. Le délai*socio=rien de remboursement*socio=ec1 est*socio=rien de douze à dix-huit mois*socio=rien à compter de la date de chaque décaissement*socio=ec1 (et peut être*socio=rien prolongé de douze mois*socio=rien au maximum*socio=rien par le Conseil*socio=ac). Pendant les douze *socio=rien premiers mois suivant le*socio=nil premier tirage*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil membre*socio=ac *socio=nil paiera une commission*socio=ac additionnelle*socio=ec2 fixée à 300 points*socio=rien de base*socio=rien au-dessus du*socio=rien taux*socio=ec1 appliqué aux tirages*socio=ec1 ordinaires*socio=rien (ce dernier*socio=rien équivaut à la moyenne*socio=rien pondérée des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te du*socio=rien *socio=ec1 marché monétaire des*socio=nil cinq*socio=rien pays*socio=ac *socio=nil dont la monnaie*socio=ec1 est*socio=rien incluse dans le *socio=rien panier du *socio=nil DTS.) Le taux*socio=ec1 de la commission*socio=ac additionnelle*socio=ec2 sera majoré par la suite*socio=rien de 50 points*socio=rien de base*socio=rien tous les six mois*socio=rien, à concurrence*socio=ec1 de 500 points*socio=rien de base*socio=rien. Encadré 6 Évaluation*socio=ec2 externe*socio=ec1 de la surveillance*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac Étant donné la place*socio=rien cruciale*socio=uv4 que tient dans les *socio=rien activités du FMI*socio=ac la*socio=nil surveillance*socio=et des*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil de ses membres*socio=ac, le conseil_d'_administration*socio=ac a décidé, au milieu*socio=rien de 1998, d'engager un*socio=rien groupe*socio=ac de trois experts*socio=ac extérieurs*socio=te indépendants*socio=uv2 pour évaluer cette surveillance*socio=et, en jauger l'efficacité*socio=uv3, et recommander d'éventuelles*socio=te améliorations*socio=uv1. Les experts*socio=ac sont tenus d'évaluer également les moyens*socio=ec1 et instruments*socio=et utilisés par le FMI*socio=ac pour exercer sa surveillance*socio=et. Les experts*socio=ac doivent répondre à quatre *socio=rien grandes questions:*socio=nil *socio=nil Dans quelle mesure*socio=rien la surveillance*socio=et permet-elle d'identifier, dans les pays_membres*socio=ac et dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, les faiblesses*socio=ec2 et les déséquilibres*socio=uv3 macroéconomiques*socio=ec1, structurels*socio=ec2 et financiers*socio=ec1 qui empêchent de parvenir à une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 et non inflationniste*socio=ec2 et à la viabilité*socio=uv3 extérieure*socio=te? Les recommandations*socio=et de politique_économique*socio=ec1 faites par le Conseil*socio=ac et les services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac sont-elles pertinentes*socio=rien, réalistes*socio=uv4 et formulées en *socio=rien temps opportun?*socio=nil Quel*socio=nil est l'*socio=nil impact *socio=nil de ces recommandations*socio=et sur*socio=rien les politiques*socio=et des membres*socio=ac? Dans quelle mesure*socio=rien, s'agissant de la surveillance*socio=et, les techniques*socio=rien utilisées, les ressources*socio=ec1 affectées, le savoir-faire*socio=uv3 des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac, les relations*socio=rien avec les autorités*socio=et des pays_membres*socio=ac et les moyens*socio=ec1 mis en ouvre pour diffuser les *socio=rien conclusions du conseil_d'_administration*socio=ac sont-ils*socio=nil satisfaisants*socio=uv4?*socio=nil Les*socio=nil experts*socio=ac *socio=nil ont commencé leurs travaux*socio=rien en juillet*socio=rien 1998 et devraient normalement achever leur rapport*socio=rien au cours*socio=rien de l'été*socio=rien 1999. Encadré 7 Le Pacte*socio=et de stabilité*socio=uv3 et de croissance*socio=uv3 En juin*socio=rien 1997, le *socio=ac Conseil européen *socio=nil a conclu les négociations*socio=et sur*socio=rien le Pacte*socio=et de stabilité*socio=uv3 et de croissance*socio=uv3 qui vise à garantir la discipline*socio=uv1 budgétaire*socio=et dans les *socio=ac États membres *socio=nil pendant la dernière*socio=rien phase*socio=te de l' union_économique*socio=et et monétaire*socio=ec1. Le Pacte*socio=et couvre à la fois*socio=rien l'application*socio=rien de la procédure*socio=et de déficit*socio=ec1 excessif*socio=uv4 prévue dans le traité*socio=rien de Maastricht*socio=et et la surveillance*socio=et à *socio=rien moyen terme des*socio=nil politiques_budgétaires*socio=et.*socio=nil En*socio=nil vertu *socio=nil de la procédure*socio=et de déficit*socio=ec1 excessif*socio=uv4, les pays*socio=ac dont le déficit*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac dépasse la valeur*socio=ec1 de référence*socio=rien de 3 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 sont réputés être*socio=rien, sauf circonstances*socio=rien exceptionnelles*socio=uv4, en situation*socio=rien de déficit*socio=ec1 excessif*socio=uv4 et reçoivent *socio=rien un avis du conseil_des_ministres*socio=ac *socio=nil afin que ce déficit*socio=ec1 soit corrigé. Des sanctions*socio=et sont imposées aux pays*socio=ac qui ne donnent pas la suite*socio=rien qui convient à ces avis*socio=rien. Les pays*socio=ac doivent normalement soumettre des programmes*socio=et de stabilité*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme,*socio=nil *socio=nil mis à jour*socio=rien tous les ans*socio=rien, dans lesquels ils indiquent les moyens*socio=ec1 qu'ils comptent mettre en ouvre pour réaliser et respecter l'objectif*socio=uv3 à *socio=rien moyen terme:*socio=nil une*socio=nil situation budgétaire*socio=et *socio=nil proche de l'équilibre*socio=ec2 ou excédentaire*socio=rien. Encadré 8 Le FMI*socio=ac accorde le statut*socio=et d'observateur*socio=ac à la *socio=ac banque_centrale européenne *socio=nil Le 22 décembre*socio=rien 1998, le conseil_d'_administration*socio=ac a accordé, avec effet*socio=rien le 1 er janvier*socio=rien 1999, le statut*socio=et d'observateur*socio=ac au FMI*socio=ac à la *socio=ac banque_centrale européenne *socio=nil (BCE), qui est*socio=rien invitée à envoyer un*socio=rien représentant*socio=ac aux *socio=rien réunions du Conseil*socio=ac *socio=nil dont l'ordre*socio=rien *socio=rien du jour *socio=nil comporte les *socio=rien points suivants:*socio=nil la*socio=nil surveillance*socio=et *socio=nil par le FMI*socio=ac, conformément à l'article*socio=rien IV, de la politique_monétaire*socio=et et de la politique*socio=et de change*socio=ec1 communes*socio=uv2 de la zone*socio=te euro; la surveillance*socio=et par le FMI*socio=ac, conformément à l'article*socio=rien IV, des politiques_économiques*socio=et des différents*socio=rien pays_membres*socio=ac de la zone*socio=te euro; le rôle*socio=et de l'euro dans le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te; les perspectives*socio=te de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te; les *socio=rien rapports sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des*socio=nil capitaux*socio=ec1;*socio=nil l'*socio=nil évolution*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te. La BCE est*socio=rien également invitée à envoyer un*socio=rien représentant*socio=ac aux *socio=rien réunions du Conseil*socio=ac *socio=nil dont certains points*socio=rien de l'ordre*socio=rien *socio=rien du jour *socio=nil présentent, de l'avis*socio=rien de la BCE et du*socio=rien FMI*socio=ac, un*socio=rien intérêt*socio=uv1 pour les deux organisations*socio=ac. Encadré 9 Conférence*socio=ac sur*socio=rien la transition*socio=ec2 Le FMI*socio=ac a organisé les 1 er, 2 et 3 février*socio=rien 1999 une *socio=rien conférence sur la*socio=nil transition*socio=ec2 en*socio=nil Europe*socio=ac centrale et*socio=nil orientale*socio=te.*socio=nil L'*socio=nil objectif*socio=uv3 *socio=nil était de tirer les leçons*socio=ec2 de dix années*socio=rien de transition*socio=ec2 afin de définir*socio=rien, pour un*socio=rien groupe_de_pays*socio=ac de plus en plus divers, de meilleures*socio=uv4 politiques*socio=et et des réformes*socio=et plus efficaces*socio=uv4. Dans son allocution*socio=rien d'ouverture*socio=uv3, M. Camdessus, directeur_général*socio=ac du*socio=rien FMI*socio=ac, a examiné l'expérience*socio=ec2 de la décennie*socio=te écoulée et les actions*socio=ec1 à engager dans l'avenir*socio=te; il a en outre souligné combien il importe d'assurer l'État*socio=ac de droit*socio=uv1 et a mis l'accent*socio=rien sur*socio=rien les questions*socio=rien cruciales*socio=uv4 pour l'avenir*socio=te. La *socio=rien première séance a*socio=nil été *socio=nil consacrée à l'évolution*socio=te de l'inflation*socio=ec1 et de la croissance*socio=uv3. Les économies_en_transition*socio=ec1 d'Europe*socio=ac ont enregistré au début*socio=rien des années*socio=rien 90 une réduction*socio=ec2 spectaculaire*socio=rien de l'inflation*socio=ec1 qui a été*socio=rien à l'origine*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 robuste*socio=rien. Bien*socio=rien qu'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil réformes*socio=et *socio=nil n'aient pas encore été*socio=rien menées à leur terme*socio=rien, la plupart*socio=rien de ces économies*socio=ec1, surtout en Europe*socio=ac centrale*socio=rien et dans les *socio=ac États baltes,*socio=nil *socio=nil ont vu leur croissance*socio=uv3 progresser de manière*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 et se heurtent désormais à des problèmes*socio=uv4 analogues*socio=rien à ceux que connaissent les économies_de_marché*socio=ec1 à revenu*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien. L'objectif*socio=uv3 dans tous les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 doit être*socio=rien de veiller à la *socio=rien bonne conduite des*socio=nil *socio=ec1 affaires économiques;*socio=nil *socio=nil dans beaucoup de pays*socio=ac, l'État*socio=ac ne s'est*socio=rien pas suffisamment désengagé des activités_économiques*socio=ec1 et, par contre, il n'intervient pas assez dans le *socio=rien domaine du droit*socio=uv1 *socio=nil et de l'ordre*socio=rien public*socio=et. Les taux_de_croissance*socio=ec1 ont en *socio=rien général été plus*socio=nil élevés*socio=uv4 *socio=nil dans les économies_en_transition*socio=ec1 d'Asie*socio=ac (Chine*socio=ac, Mongolie*socio=ac, république_démocratique_populaire_lao*socio=ac et Vietnam*socio=ac) que dans les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien ou orientale*socio=te. La croissance*socio=uv3 la plus rapide*socio=rien a été*socio=rien enregistrée dans les régions*socio=te où les réformes*socio=et, surtout celle de l'agriculture*socio=ec1, ont été*socio=rien les plus profondes*socio=rien et où les conditions*socio=ec1 initiales*socio=rien (secteur*socio=rien agricole*socio=ec1 assez important*socio=uv4 et main-d'_ouvre*socio=et rurale excédentaire*socio=rien, notamment) étaient plus favorables*socio=uv4 qu'en Europe*socio=ac. Les participants*socio=ac à la *socio=rien deuxième séance,*socio=nil *socio=nil qui avait pour thème*socio=rien les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2, ont conclu que les privatisations*socio=et ont en *socio=rien général permis *socio=nil d'améliorer la situation*socio=rien financières*socio=ec1 des entreprises*socio=ac et leurs comptes*socio=ec1 d'exploitation*socio=ec1, mais qu'au vu de leur bilan*socio=rien global*socio=te contrasté, surtout dans les pays*socio=ac de l'ex-urss*socio=ac, il y a lieu*socio=rien de s'interroger sur*socio=rien les méthodes*socio=ec2 utilisées et les résultats*socio=rien obtenus. Les intervenants*socio=ac sont convenus que les privatisations*socio=et étaient la *socio=rien seule solution possible *socio=nil et que l'État*socio=ac devait mobiliser ses énergies*socio=rien pour qu'elles donnent de meilleurs*socio=uv4 résultats*socio=rien, par exemple*socio=rien en cherchant à élargir la base*socio=rien de capital*socio=ec1 ou à céder les actifs*socio=ec1 à des investisseurs*socio=ac stratégiques*socio=uv4. En ce qui concerne la réforme*socio=et *socio=rien du secteur bancaire*socio=ec1,*socio=nil trois*socio=nil piliers ont*socio=nil été *socio=nil identifiés: le gouvernement*socio=ac d'entreprise*socio=ac, la concurrence*socio=ec1 et le contrôle*socio=uv3 prudentiel*socio=uv2. Ce dernier*socio=rien n'était optimal*socio=uv2 dans aucun pays*socio=ac de la région*socio=te, mais les plus performants partagent *socio=rien un certain nombre de*socio=nil caractéristiques communes*socio=uv2:*socio=nil par*socio=nil exemple,*socio=nil *socio=nil ils réglementent efficacement l'entrée*socio=rien dans le système*socio=rien (ou la sortie *socio=rien du système)*socio=nil des*socio=nil banques*socio=ac nationales*socio=te ou*socio=nil étrangères*socio=te *socio=nil pendant la libéralisation*socio=et et créent *socio=rien un secteur *socio=ec1 bancaire commercial privé*socio=et.*socio=nil *socio=nil Les moins performants dans le domaine*socio=rien de la réforme*socio=et bancaire*socio=ec1 ont eux aussi des points*socio=rien communs*socio=uv4: absence*socio=rien de concurrence*socio=ec1, qualité*socio=rien médiocre*socio=uv2 des actifs*socio=ec1, manque*socio=rien d'expérience*socio=ec2 dans le secteur*socio=rien, forte*socio=rien participation*socio=uv3 de l'État*socio=ac au capital*socio=ec1, *socio=rien faible niveau du crédit*socio=ec1 aux*socio=nil entreprises*socio=ac et*socio=nil environnement*socio=et économique*socio=ec1 instable*socio=uv4.*socio=nil La*socio=nil troisième séance *socio=nil a porté sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 pour les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 de se doter d'institutions*socio=ac qui soutiennent l' économie_de_marché*socio=ec1. Les intervenants*socio=ac ont noté que les entrées de capitaux*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac avaient atteint des niveaux*socio=rien élevés*socio=uv4 et que les concours exceptionnels*socio=uv4 que l'on utilisait au départ*socio=rien avaient été*socio=rien remplacés par l'investissement*socio=ec1 étranger*socio=te ou des flux*socio=ec1 d'autre nature*socio=rien, qui bénéficiaient avantageusement d'un*socio=rien climat*socio=rien juridique*socio=et et politique*socio=et favorable*socio=uv4. Les intervenants*socio=ac ont souligné que le rôle*socio=et de l'État*socio=ac se transforme pendant la transition*socio=ec2; la thérapie*socio=rien de choc*socio=ec2 représente la première*socio=rien phase*socio=te de l'ajustement*socio=et, mais la phase*socio=te la plus *socio=rien délicate est *socio=nil celle au cours*socio=rien de laquelle de nouvelles*socio=rien institutions*socio=ac sont lentement mises en place*socio=rien, les incitations*socio=uv3 sont modifiées et le rôle*socio=et de l'État*socio=ac est*socio=rien complètement repensé. Les intervenants*socio=ac ont également examiné la question*socio=rien de l'économie*socio=ec1 parallèle*socio=rien dont la contribution*socio=uv1 au produit*socio=rien intérieur*socio=te dépasse probablement 40 % du*socio=rien PIB*socio=ec1 dans plusieurs pays*socio=ac de l'ex-urss*socio=ac et 20 % dans beaucoup d'autres. Ce n'est*socio=rien pas la fiscalité*socio=et élevée*socio=uv4 qui pousse les entreprises*socio=ac à opérer sur*socio=rien ce type*socio=rien de marché*socio=ec1, mais l'interventionnisme*socio=et réglementaire*socio=et, la précarité*socio=uv1 de l'État*socio=ac de droit*socio=uv1 et la corruption*socio=uv1. La réglementation*socio=et excessive*socio=uv4 amène*socio=rien les entreprises*socio=ac à dissimuler leur activité*socio=rien, réduit les recettes_publiques*socio=et, affaiblit les institutions*socio=ac et accroît les risques*socio=uv3 de corruption*socio=uv1; pour briser ce cercle*socio=rien, les gouvernements*socio=ac doivent moins intervenir, réformer l'administration*socio=ec1, simplifier les lois*socio=et et en assurer l'application*socio=rien, créer *socio=rien un système judiciaire*socio=et indépendant,*socio=nil *socio=nil et donner davantage de transparence*socio=uv3 aux administrations_publiques*socio=ac sur*socio=rien lesquelles le contrôle*socio=uv3 du*socio=rien public*socio=et serait renforcé. La transition*socio=ec2 à l'économie_de_marché*socio=ec1 s'est*socio=rien accompagnée d'une augmentation*socio=ec2 très sensible*socio=rien des inégalités*socio=uv1 de revenu*socio=ec1, car les revenus*socio=ec1 *socio=rien du travail indépendant ou*socio=nil du capital*socio=ec1 *socio=nil (traditionnellement sources*socio=rien d'inégalités*socio=uv1) représentent maintenant une fraction*socio=rien plus élevée*socio=uv4 du*socio=rien revenu*socio=ec1 national*socio=te; en outre, certains anciens*socio=rien fonctionnaires*socio=ac se retrouvent au chômage*socio=ec1 et, parfois, les pauvres*socio=uv2 se trouvent exclus*socio=rien des transferts_sociaux*socio=et. Après*socio=rien trois jours*socio=rien de débats*socio=et, il apparaissait manifestement que les privatisations*socio=et, les inégalités*socio=uv1 de revenu*socio=ec1 et les besoins*socio=uv1 institutionnels*socio=et avaient évolué différemment selon les pays*socio=ac en transition*socio=ec2 (à cause*socio=rien en partie*socio=rien de leurs spécificités historiques*socio=te et géographiques*socio=te) et que la stabilisation_macroéconomique*socio=ec1, dont la nécessité*socio=uv1 était largement admise, ne constituait que la première*socio=rien étape*socio=te du*socio=rien processus*socio=te de transition*socio=ec2. Il est*socio=rien maintenant indispensable*socio=uv4 pour ces pays*socio=ac d'établir ou de renforcer les incitations*socio=uv3 et les infrastructures*socio=et légales, budgétaires*socio=et ou réglementaires*socio=et nécessaires*socio=rien au fonctionnement*socio=rien d'une économie_de_marché*socio=ec1. Shigemitsu Sugisaki, directeur_général*socio=ac adjoint du*socio=rien FMI*socio=ac, a résumé la conférence*socio=rien en soulignant certains de ses thèmes*socio=rien fondamentaux*socio=uv4: la stabilité*socio=uv3 budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1 est*socio=rien essentielle*socio=uv4 pour que la transition*socio=ec2 soit un*socio=rien succès*socio=uv1; *socio=rien un secteur financier*socio=ec1 solide est un élément indispensable*socio=uv4 *socio=nil de la stabilité*socio=uv3 macroéconomique*socio=ec1; les privatisations*socio=et jouent un*socio=rien rôle*socio=et capital*socio=ec1 dans l'établissement*socio=rien d'une économie_de_marché*socio=ec1 viable*socio=uv4; la correction*socio=ec2 des inégalités*socio=uv1 de revenu*socio=ec1 revêt une importance*socio=rien de plus en plus grande*socio=rien; la mise en place*socio=rien d'institutions*socio=ac qui aident l'État*socio=ac à soutenir l' économie_de_marché*socio=ec1 est*socio=rien une opération*socio=rien complexe et de *socio=rien longue haleine qui*socio=nil est au*socio=nil coeur du processus*socio=te de*socio=nil transition*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Encadré 10 Politiques*socio=et et mécanismes*socio=et financiers*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac Le FMI*socio=ac utilise ses *socio=ec1 ressources financières *socio=nil pour aider les pays_membres*socio=ac à résoudre leurs problèmes*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 et à amortir l'effet*socio=rien de l'ajustement*socio=et. Il leur apporte son appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 au moyen*socio=rien de ses ressources*socio=ec1 générales*socio=rien, mais aussi de sa facilité de *socio=ec1 financement concessionnelle.*socio=nil *socio=nil Ces concours, qui doivent être*socio=rien approuvés par le conseil_d'_administration*socio=ac, sont accordés le plus souvent à la condition*socio=rien que le pays*socio=ac s'engage à s'attaquer aux *socio=rien causes du déséquilibre*socio=uv3 *socio=nil de ses paiements*socio=ec1. Les membres*socio=ac utilisent les ressources*socio=ec1 *socio=rien générales du FMI*socio=ac *socio=nil en effectuant des "achats*socio=ec1" (ou tirages*socio=ec1) dans la monnaie*socio=ec1 d'autres membres*socio=ac ou en DTS contre un*socio=rien montant*socio=ec1 équivalent*socio=rien de leur propre*socio=rien monnaie*socio=ec1. Le FMI*socio=ac perçoit une commission*socio=ac sur*socio=rien ces tirages*socio=ec1 et demande*socio=ec1 aux pays_membres*socio=ac de "racheter" (rembourser) dans *socio=rien un délai précis leur*socio=nil propre monnaie*socio=ec1 *socio=nil contre des DTS ou la monnaie*socio=ec1 d'autres membres*socio=ac. Le FMI*socio=ac accorde son *socio=ec1 financement concessionnel *socio=nil dans le cadre*socio=rien de la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2. Mécanismes*socio=et ordinaires*socio=rien Tranche de réserve*socio=ec1. Un*socio=rien *socio=ac pays membre *socio=nil dispose d'une tranche de réserve*socio=ec1 au FMI*socio=ac si les avoirs*socio=ec1 en sa monnaie*socio=ec1 que le FMI*socio=ac détient au Compte*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 générales*socio=rien, à l'exclusion*socio=uv1 des avoirs*socio=ec1 provenant de l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1 de l'institution*socio=ac, sont inférieurs*socio=rien à sa "quote-part*socio=ec1", c'est-à-dire le montant*socio=ec1 qu'il verse pour faire *socio=rien partie du FMI*socio=ac *socio=nil et qui est*socio=rien calculé selon une formule*socio=rien complexe tenant compte*socio=ec1 de son importance*socio=rien économique*socio=ec1 dans le monde*socio=te. Les pays_membres*socio=ac peuvent, à tout moment*socio=rien, tirer le montant*socio=ec1 total*socio=rien de leur tranche de réserve*socio=ec1, la *socio=rien seule condition *socio=nil étant qu'ils fassent état*socio=rien d'un*socio=rien besoin*socio=uv1 de financement*socio=ec1 de leur balance_des_paiements*socio=ec1. Les achats*socio=ec1 dans la tranche de réserve*socio=ec1 ne constituent pas un*socio=rien recours*socio=ec1 aux crédits*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac. Ils ne sont assujettis à aucune commission*socio=ac, et aucun rachat*socio=ec1 n'est*socio=rien attendu, ni exigé. Tranches de crédit*socio=ec1. La conditionnalité des crédits*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac et l'échelonnement*socio=rien des tirages*socio=ec1 varient, selon que ceux-ci portent sur*socio=rien la première*socio=rien "tranche" de crédit*socio=ec1 (25 % de la quote-part*socio=ec1) ou sur*socio=rien les tranches supérieures*socio=rien (au-dessus de 25 % de la quote-part*socio=ec1). Pour les tirages*socio=ec1 dans la première*socio=rien tranche, les membres*socio=ac doivent prouver qu'ils font des efforts*socio=uv1 raisonnables*socio=uv4 pour surmonter leurs difficultés*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1. Les tirages*socio=ec1 dans les tranches supérieures*socio=rien se font par versements*socio=ec1 échelonnés et sont assujettis au respect*socio=uv1 de critères*socio=rien de réalisation*socio=uv1. Ils sont normalement effectués dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien accord*socio=et de confirmation*socio=et ou d'un*socio=rien accord*socio=et élargi, dont l'objet*socio=rien est*socio=rien d'aider le *socio=ac pays membre *socio=nil à surmonter ses difficultés*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 ou, le cas*socio=rien échéant, d'appuyer ses réformes*socio=et structurelles*socio=ec2. L'application*socio=rien des mesures*socio=et prévues est*socio=rien suivie à l'aide*socio=uv1 de critères*socio=rien de réalisation*socio=uv1 et d'examens*socio=ec2 périodiques*socio=te des programmes*socio=et. Accords*socio=et de confirmation*socio=et. Les accords*socio=et de confirmation*socio=et donnent aux membres*socio=ac le droit*socio=uv1 de tirer des montants*socio=ec1 *socio=rien précis sur les*socio=nil ressources*socio=ec1 du FMI*socio=ac *socio=nil durant une période*socio=te déterminée. Les tirages*socio=ec1 ont normalement lieu*socio=rien tous les trimestres*socio=te et sont subordonnés au respect*socio=uv1 de critères*socio=rien de réalisation*socio=uv1 et à l'achèvement*socio=rien d'examens*socio=ec2 périodiques*socio=te. Ces critères*socio=rien portent généralement sur*socio=rien le *socio=ec1 crédit bancaire,*socio=nil les*socio=nil emprunts *socio=nil de l'État*socio=ac ou du*socio=rien secteur_public*socio=et, les restrictions*socio=et imposées au commerce*socio=ec1 et aux paiements*socio=ec1, les emprunts*socio=ec1 extérieurs*socio=te et le niveau*socio=rien des réserves_internationales*socio=ec1. Ils permettent au *socio=ac pays membre *socio=nil et au FMI*socio=ac d'évaluer les progrès*socio=uv1 accomplis et servent à signaler, le cas*socio=rien échéant, la nécessité*socio=uv1 de prendre d'autres mesures*socio=et correctives*socio=ec2. Les accords*socio=et de confirmation*socio=et ont en général*socio=rien une durée*socio=te de douze à dix-huit mois*socio=rien (certains pouvant toutefois aller jusqu'à trois ans*socio=rien), et les remboursements*socio=ec1 doivent s'effectuer dans une période*socio=te comprise entre trois ans*socio=rien et trois mois*socio=rien et *socio=rien cinq ans après chaque*socio=nil tirage*socio=ec1.*socio=nil Mécanisme*socio=et *socio=nil élargi de crédit*socio=ec1 (MEDC). Le MEDC appuie des programmes*socio=et d'ajustement*socio=et de plus longue*socio=rien durée*socio=te et portant sur*socio=rien des montants*socio=ec1 plus élevés*socio=uv4 que les accords*socio=et de confirmation*socio=et. Les accords*socio=et élargis, dont la durée*socio=te est*socio=rien normalement de trois ans*socio=rien (et peut *socio=rien être portée *socio=nil à quatre ans*socio=rien), visent à aider les membres*socio=ac à surmonter des difficultés*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 dues principalement à des facteurs*socio=rien structurels*socio=ec2 nécessitant une période*socio=te d'ajustement*socio=et plus longue*socio=rien. Le *socio=ac pays membre qui*socio=nil présente*socio=rien une*socio=nil demande*socio=ec1 d'*socio=nil accord*socio=et *socio=nil élargi décrit les objectifs*socio=uv3 et les mesures*socio=et retenues*socio=rien pour la durée*socio=te de l'accord*socio=et et expose en détail*socio=rien, chaque année*socio=rien, les politiques*socio=et et mesures*socio=et qu'il entend appliquer dans les douze *socio=rien mois suivants.*socio=nil L'*socio=nil échelonnement des*socio=nil décaissements*socio=ec1 *socio=nil et les critères*socio=rien de réalisation*socio=uv1 sont comparables*socio=rien à ceux des accords*socio=et de confirmation*socio=et, encore que les versements*socio=ec1 puissent être*socio=rien semestriels*socio=te. Les tirages*socio=ec1 sont remboursés dans *socio=rien un délai *socio=nil de quatre ans*socio=rien et demi*socio=rien à dix ans*socio=rien. Facilité concessionnelle*socio=ec1 facilité_d'_ajustement*socio=et structurel_renforcée*socio=ec2 (FASR*socio=ec1). Créée par le conseil_d'_administration*socio=ac en 1987 et prorogée et élargie en février*socio=rien 1994, la FASR*socio=ec1 est*socio=rien le principal*socio=rien vecteur de l'appui*socio=uv1 financier*socio=ec1 que le FMI*socio=ac apporte sous forme*socio=rien de prêts*socio=ec1 très concessionnels*socio=ec1 aux pays_membres*socio=ac à faible*socio=rien revenu*socio=ec1 qui sont aux prises*socio=rien avec des difficultés*socio=uv4 persistantes*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec1. Au moment*socio=rien où la FASR*socio=ec1 a été*socio=rien prorogée et élargie, la facilité_d'_ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 (FAS*socio=ec1), qui avait été*socio=rien créée en 1986, n'avait pas reçu de nouvelles*socio=rien ressources*socio=ec1. Les dernières*socio=rien ressources*socio=ec1 disponibles*socio=rien au titre*socio=rien de la FAS*socio=ec1 avaient été*socio=rien décaissées à la fin*socio=rien de 1995. Les objectifs*socio=uv3 et *socio=rien principales caractéristiques *socio=nil de la FAS*socio=ec1 étaient analogues*socio=rien à ceux de la FASR*socio=ec1 actuelle*socio=te, mais la politique*socio=et macroéconomique*socio=ec1 et les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 relevant des programmes*socio=et appuyés par la FASR*socio=ec1 sont plus ambitieuses*socio=uv2. Les ressources*socio=ec1 de la FASR*socio=ec1 sont destinées*socio=rien à appuyer de vigoureux*socio=rien programmes*socio=et d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 à *socio=rien moyen terme.*socio=nil *socio=nil Pour y avoir accès*socio=uv1, les pays*socio=ac admissibles*socio=uv2 doivent établir, avec l'aide*socio=uv1 des services*socio=et du*socio=rien FMI*socio=ac et de la banque_mondiale*socio=ac, un*socio=rien programme*socio=et d'ajustement*socio=et sur*socio=rien trois *socio=rien ans défini dans*socio=nil un document-cadre_de_politique_économique*socio=ec1 *socio=nil (DCPE). Le DCPE, qui est*socio=rien mis à jour*socio=rien tous les ans*socio=rien, décrit les objectifs*socio=uv3 économiques*socio=ec1 des autorités*socio=et, ainsi que la politique*socio=et macroéconomique*socio=ec1 et les mesures*socio=et structurelles*socio=ec2 qu'elles ont adoptées pour ces trois années*socio=rien; il indique en outre les besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 extérieur*socio=te correspondants*socio=rien et les *socio=rien principales sources de*socio=nil financement*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Le DCPE, dont les autorités*socio=et nationales*socio=te sont l'auteur*socio=rien, a pour objet*socio=rien d'assurer que les mesures*socio=et économiques*socio=ec1 s'inscrivent dans *socio=rien un cadre cohérent *socio=nil et d'attirer l'aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 et l'assistance*socio=uv1 *socio=rien technique nécessaires au*socio=nil soutien*socio=uv3 du programme*socio=et d'*socio=nil ajustement*socio=et.*socio=nil *socio=nil On attend des mesures*socio=et d'ajustement*socio=et incluses dans les programmes*socio=et appuyés par la FASR*socio=ec1 qu'elles renforcent sensiblement la balance_des_paiements*socio=ec1 et favorisent la croissance*socio=uv3 pendant les trois années*socio=rien en question*socio=rien. Le suivi des accords*socio=et FASR*socio=ec1 est*socio=rien effectué à l'aide*socio=uv1 de repères structurels*socio=ec2 et financiers*socio=ec1 trimestriels*socio=rien. En outre, des critères*socio=rien de réalisation*socio=uv1 semestriels*socio=te sont fixés pour les objectifs*socio=uv3 quantitatifs*socio=rien ou structurels*socio=ec2 fondamentaux*socio=uv4. Les *socio=ec1 prêts FASR *socio=nil sont décaissés sur*socio=rien une base*socio=rien semestrielle, le premier*socio=rien décaissement*socio=ec1 ayant lieu*socio=rien dès l'approbation*socio=uv1 d'un*socio=rien accord*socio=et annuel*socio=te et les autres étant subordonnés au respect*socio=uv1 des critères*socio=rien de réalisation*socio=uv1 et à l'achèvement*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=ec2 de mi-période. Ils sont remboursés en dix versements*socio=ec1 semestriels*socio=te égaux*socio=rien au cours*socio=rien d'une période*socio=te comprise entre *socio=rien cinq ans et*socio=nil demi *socio=nil et dix *socio=rien ans après *socio=nil la date de chaque décaissement*socio=ec1. Le taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur*socio=rien ces prêts*socio=ec1 est*socio=rien de 0,5 % par an*socio=rien. mécanismes_spéciaux*socio=rien Facilité de financement*socio=ec1 compensatoire*socio=et et de financement*socio=ec1 pour imprévus*socio=uv4 (FFCI). Le volet*socio=rien financement*socio=ec1 compensatoire*socio=et permet d'aider en temps*socio=rien voulu les pays_membres*socio=ac enregistrant une baisse*socio=ec2 temporaire*socio=rien des recettes*socio=ec1 qu'ils tirent de leurs exportations*socio=ec1 ou une hausse*socio=rien excessive*socio=uv4 *socio=rien temporaire du coût*socio=ec1 *socio=nil de leurs importations*socio=ec1 de céréales*socio=ec1 imputable*socio=uv2 à des facteurs*socio=rien en *socio=rien grande partie indépendants*socio=uv2 *socio=nil de leur volonté*socio=uv1. Ce volet*socio=rien a été*socio=rien utilisé surtout par les exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien de base*socio=rien. Le volet*socio=rien financement*socio=ec1 pour imprévus*socio=uv4 a pour objet*socio=rien d'aider les membres*socio=ac qui sont parties*socio=rien à des accords*socio=et avec le FMI*socio=ac à maintenir leur programme*socio=et d'ajustement*socio=et dans la voie*socio=rien tracée lorsque surviennent des perturbations*socio=ec2 extérieures*socio=te imprévues. Parmi les variables*socio=ec2 visées figurent les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, les prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 internationaux*socio=te, ainsi que, le cas*socio=rien échéant, les envois*socio=rien de fonds*socio=ec1 des travailleurs*socio=ac et les recettes*socio=ec1 touristiques, s'ils représentent une composante*socio=rien importante*socio=uv4 du*socio=rien compte*socio=ec1 des transactions_courantes*socio=te du*socio=rien pays*socio=ac. Mécanisme*socio=et de financement*socio=ec1 des stocks_régulateurs*socio=ec1. Dans le cadre*socio=rien de ce mécanisme*socio=et, le FMI*socio=ac aide*socio=uv1 les membres*socio=ac pouvant faire état*socio=rien d'un*socio=rien besoin*socio=uv1 de balance_des_paiements*socio=ec1 à s'acquitter de leur contribution*socio=uv1 à la constitution*socio=rien de stocks_régulateurs*socio=ec1 internationaux*socio=te. Aucun tirage*socio=ec1 n'a été*socio=rien effectué au titre*socio=rien de ce mécanisme*socio=et depuis janvier*socio=rien 1984. Facilité de réserve*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien (FRS). Le FMI*socio=ac a créé la facilité de réserve*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien (FRS) pour répondre au niveau*socio=rien sans précédent*socio=rien de la demande*socio=ec1 dont ses ressources*socio=ec1 ont fait*socio=rien l'objet*socio=rien durant la récente*socio=rien crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac. Cette facilité permet d'accorder une aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 aux pays*socio=ac qui éprouvent des *socio=uv4 difficultés exceptionnelles de*socio=nil balance_des_paiements*socio=ec1 imputables*socio=uv2 à*socio=nil un*socio=rien important besoin*socio=uv1 de*socio=nil financement*socio=ec1 à*socio=nil court_terme*socio=te résultant*socio=rien des*socio=nil pressions*socio=ec2 sur*socio=rien le*socio=nil compte*socio=ec1 de*socio=nil capital*socio=ec1 *socio=nil et les réserves*socio=ec1 de ces pays*socio=ac que provoque une perte*socio=ec2 soudaine*socio=rien et déstabilisatrice de la confiance*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1. Elle est*socio=rien utilisée lorsqu'il existe de *socio=rien bonnes raisons *socio=nil de croire que l'application*socio=rien de mesures*socio=et d'ajustement*socio=et vigoureuses*socio=rien et l'apport*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien volume suffisant de*socio=nil *socio=ec1 ressources financières *socio=nil permettront de surmonter rapidement ces difficultés*socio=uv4. Le montant*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 offertes*socio=rien dans le cadre*socio=rien de la FRS n'est*socio=rien pas assujetti aux *socio=rien limites habituelles d'*socio=nil accès*socio=uv1,*socio=nil mais*socio=nil est *socio=nil établi en fonction*socio=rien des besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 du*socio=rien pays*socio=ac en question*socio=rien, de sa capacité*socio=uv3 de remboursement*socio=ec1, de la vigueur*socio=uv3 de son programme*socio=et et de ses antécédents*socio=ec1 en ce qui concerne l'utilisation*socio=rien des crédits*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac et sa coopération*socio=uv1 avec cette institution*socio=ac. Le financement*socio=ec1 est*socio=rien engagé pour une période*socio=te d'un*socio=rien an*socio=rien au maximum*socio=rien et les rachats*socio=ec1 doivent normalement être*socio=rien effectués au cours*socio=rien d'une période*socio=te comprise entre *socio=rien un an et*socio=nil un an et*socio=nil demi *socio=nil - et impérativement au cours*socio=rien d'une période*socio=te comprise entre deux ans*socio=rien et deux ans*socio=rien et demi*socio=rien - à compter de la date de chaque achat*socio=ec1. Pendant la *socio=rien première année,*socio=nil le*socio=nil taux*socio=ec1 de*socio=nil commission*socio=ac applicable d'*socio=nil ordinaire *socio=nil aux autres crédits*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac est*socio=rien majoré de 300 points*socio=rien de base*socio=rien; ce taux*socio=ec1 est*socio=rien de nouveau*socio=rien majoré de 50 points*socio=rien tous les six mois*socio=rien jusqu'à ce que la *socio=rien majoration totale *socio=nil atteigne 500 points*socio=rien de base*socio=rien. Lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 préventives*socio=rien (LCP). En avril*socio=rien 1999, le Conseil*socio=ac a décidé de prévoir la possibilité*socio=rien d'ouvrir des lignes*socio=rien de crédit*socio=ec1 préventives*socio=rien pour une période*socio=te de deux ans*socio=rien. Comme la facilité de réserve*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien, la LCP met à la disposition*socio=et des pays_membres*socio=ac des ressources*socio=ec1 à court_terme*socio=te pour les aider à faire face*socio=rien à des *socio=uv4 difficultés exceptionnelles de*socio=nil balance_des_paiements*socio=ec1 *socio=nil 74 Encadré 10 (fin*socio=rien) dues à une perte*socio=ec2 soudaine*socio=rien et déstabilisatrice de la confiance*socio=uv1 du*socio=rien marché*socio=ec1. Alors que la FRS est*socio=rien destinée à des pays*socio=ac qui sont déjà en crise*socio=uv2, la LCP constitue une *socio=rien mesure préventive *socio=nil qui s'adresse*socio=rien uniquement*socio=rien aux pays*socio=ac préoccupés par les risques*socio=uv3 de contagion*socio=ec2 d'une crise*socio=uv2 qui ne les touche pas au moment*socio=rien de l'engagement*socio=uv1 des ressources*socio=ec1. En outre, les critères*socio=rien d'admissibilité limitent l'ouverture*socio=uv3 de ces lignes*socio=rien aux pays*socio=ac qui appliquent des politiques*socio=et qui ne risquent guère de les amener à utiliser les ressources*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac, dont les performances*socio=uv3 économiques*socio=ec1 - y compris les mesures*socio=et prises*socio=rien pour adhérer aux normes*socio=et acceptées au plan*socio=rien international*socio=te - ont bénéficié d'une évaluation*socio=ec2 positive*socio=uv4 de la *socio=rien part du FMI*socio=ac lors des*socio=nil dernières consultations*socio=uv1 au*socio=nil titre *socio=nil de l'article*socio=rien IV et par la suite*socio=rien et qui entretiennent des relations*socio=rien constructives*socio=uv2 avec leurs créanciers_privés*socio=et de façon*socio=rien à ce que le secteur_privé*socio=et puisse jouer éventuellement le rôle*socio=et qui doit être*socio=rien le sien. Les ressources*socio=ec1 engagées dans le cadre*socio=rien d'une ligne*socio=rien de crédit*socio=ec1 préventive*socio=rien ne peuvent être*socio=rien tirées que lorsque le Conseil*socio=ac a constaté que le besoin*socio=uv1 exceptionnel*socio=uv4 de financement*socio=ec1 de balance_des_paiements*socio=ec1 est*socio=rien dû à *socio=rien un phénomène de*socio=nil contagion*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil c'est-à-dire à des circonstances*socio=rien pour l'essentiel*socio=uv4 indépendantes*socio=uv2 de la volonté*socio=uv1 du*socio=rien *socio=ac pays membre en*socio=nil question*socio=rien *socio=nil et qui découlent principalement d'une évolution*socio=te défavorable*socio=uv4 des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te des capitaux*socio=ec1 imputable*socio=uv2 à des événements*socio=rien qui se déroulent dans d'autres pays*socio=ac. Les engagements*socio=et au titre*socio=rien de la LCP ne sont pas assujettis aux *socio=rien limites générales d'*socio=nil accès*socio=uv1 aux*socio=nil ressources*socio=ec1 du FMI*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Ils devraient se situer à l'intérieur*socio=te d'une fourchette*socio=rien comprise entre 300 et 500 % de la quote-part*socio=ec1 des pays_membres*socio=ac concernés. Les échéances*socio=te et le taux*socio=ec1 de commission*socio=ac sont les mêmes que pour les ressources*socio=ec1 offertes*socio=rien dans le cadre*socio=rien de la FRS. (Pour plus de précisions*socio=rien, voir l'encadré 5.) Autres formes*socio=rien d'aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 Appui*socio=uv1 à des fonds*socio=ec1 de stabilisation*socio=et des changes*socio=ec1. Le FMI*socio=ac a décidé en 1995 de soutenir financièrement*socio=rien la création*socio=uv4 de fonds*socio=ec1 de stabilisation*socio=et des changes*socio=ec1 afin de renforcer la confiance*socio=uv1 dans les stratégies*socio=et de stabilisation*socio=et que les pays*socio=ac fondent sur*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1 - de *socio=rien préférence un taux*socio=ec1 *socio=nil appliqué dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien régime*socio=et de rattachement*socio=rien assorti d'une marge de fluctuation*socio=ec2 assez étroite*socio=rien ou de parités*socio=ec1 mobiles*socio=uv4 annoncées à l'avance*socio=rien. Les pays*socio=ac en question*socio=rien doivent appliquer une politique_économique*socio=ec1 assez rigoureuse*socio=uv4 pour que l'inflation*socio=ec1 soit compatible*socio=rien avec l'objectif*socio=uv3 de taux_de_change*socio=ec1 retenu*socio=rien, de sorte*socio=rien que, selon toute vraisemblance*socio=rien, le fonds*socio=ec1 ne sera guère utilisé pour des interventions*socio=et sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=ec1. Jusqu'à présent*socio=rien, le FMI*socio=ac n'a en fait*socio=rien accordé aucune aide*socio=uv1 de cette nature*socio=rien. mécanisme_de_financement_d'_urgence*socio=rien (MFU). Il s'agit d'une série de règles*socio=et qui permettent au Conseil*socio=ac d'approuver rapidement un*socio=rien soutien*socio=uv3 financier*socio=ec1 du*socio=rien FMI*socio=ac tout en veillant à ce qu'il soit assorti d'une conditionnalité suffisante*socio=rien. Le MFU est*socio=rien utilisé dans les *socio=rien rares cas *socio=nil où une crise*socio=uv2 affecte, ou menace*socio=uv1 d'affecter, les comptes*socio=ec1 extérieurs*socio=te d'un*socio=rien pays*socio=ac et exige une riposte *socio=rien immédiate du FMI*socio=ac.*socio=nil Des*socio=nil ressources*socio=ec1 au*socio=nil titre *socio=nil de ce mécanisme*socio=et, qui a été*socio=rien créé en septembre*socio=rien 1995, ont été*socio=rien accordées en 1997 aux Philippines*socio=ac, à la Thaïlande*socio=ac, à l'Indonésie*socio=ac et à la Corée*socio=ac, et en 1998 à la Russie*socio=ac. Aide*socio=uv1 d'urgence*socio=rien. Le FMI*socio=ac peut aussi accorder une aide*socio=uv1 d'urgence*socio=rien aux pays_membres*socio=ac aux prises*socio=rien avec des difficultés*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1 causées par une *socio=rien catastrophe naturelle.*socio=nil Cette*socio=nil aide*socio=uv1,*socio=nil *socio=nil qui prend la forme*socio=rien d'achats*socio=ec1 directs*socio=rien, généralement limités à 25 % de la quote-part*socio=ec1, est*socio=rien octroyée aux pays*socio=ac sous_réserve*socio=ec1 qu'ils cherchent, en coopération*socio=uv1 avec le FMI*socio=ac, à résoudre leurs problèmes*socio=uv4 de balance_des_paiements*socio=ec1. Dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, cette aide*socio=uv1 est*socio=rien suivie d'un*socio=rien accord*socio=et avec le FMI*socio=ac dans le cadre*socio=rien de l'un*socio=rien de ses mécanismes*socio=et ordinaires*socio=rien. En 1995, l'aide*socio=uv1 d'urgence*socio=rien a été*socio=rien étendue aux pays*socio=ac sortant d'un*socio=rien conflit*socio=uv1. Cette aide*socio=uv1 peut être*socio=rien fournie aux pays*socio=ac dont l'appareil*socio=rien institutionnel*socio=et ou administratif*socio=et a été*socio=rien désorganisé par le conflit*socio=uv1, mais qui disposent encore de suffisamment de moyens*socio=ec1 pour élaborer et appliquer la politique_économique*socio=ec1 à mener et où les autorités*socio=et ont fait*socio=rien la preuve*socio=ec2 de leur détermination*socio=rien, aux pays*socio=ac qui ont un*socio=rien besoin*socio=uv1 urgent*socio=uv4 de financement*socio=ec1 de balance_des_paiements*socio=ec1, enfin, aux pays*socio=ac où l'appui*socio=uv1 du*socio=rien FMI*socio=ac peut jouer un*socio=rien rôle*socio=et de catalyseur*socio=ec2 et s'inscrit*socio=rien dans un*socio=rien effort*socio=uv1 international*socio=te concerté. Pour bénéficier de cette aide*socio=uv1, les pays*socio=ac doivent présenter une déclaration*socio=et de politique_économique*socio=ec1 et, dans la *socio=rien mesure du possible,*socio=nil un cadre macroéconomique*socio=ec1 *socio=nil chiffré, ainsi qu'une déclaration*socio=et par les autorités*socio=et de leur intention*socio=rien de chercher le plus tôt possible*socio=rien à *socio=rien obtenir un accord*socio=et de*socio=nil confirmation*socio=et,*socio=nil un accord*socio=et *socio=nil élargi dans les tranches supérieures*socio=rien de crédit*socio=ec1 ou un*socio=rien accord*socio=et FASR*socio=ec1. La conditionnalité est*socio=rien adaptée à la situation*socio=rien de chaque pays*socio=ac et établie de manière*socio=rien à lui permettre de renforcer ses moyens*socio=ec1 administratifs*socio=et et institutionnels*socio=et. Encadré 11 La *socio=rien conférence sur la*socio=nil politique_économique*socio=ec1 *socio=nil et la justice_sociale*socio=et Le Département*socio=ac des finances*socio=ec1 publiques*socio=et a organisé les 8 et 9 juin*socio=rien 1999 une *socio=rien conférence sur le*socio=nil thème politique_économique*socio=ec1 et*socio=nil justice_sociale*socio=et.*socio=nil Cette*socio=nil conférence *socio=nil 1 a permis*socio=rien à *socio=rien un certain nombre de*socio=nil hauts responsables*socio=uv2 *socio=nil de la politique_économique*socio=ec1, de *socio=ac dirigeants syndicaux *socio=nil et de dignitaires religieux*socio=uv de procéder à un*socio=rien échange_de_vues*socio=uv3 sur*socio=rien la dimension*socio=rien sociale*socio=et de l'ajustement*socio=et. Dans son allocution*socio=rien d'ouverture*socio=uv3, Stanley Fisher, Premier*socio=rien directeur_général*socio=ac adjoint, a noté que le FMI*socio=ac s'intéressait à la justice_sociale*socio=et, car tous les membres*socio=ac de la société*socio=ac doivent bénéficier des fruits*socio=rien de la croissance*socio=uv3. Les inégalités*socio=uv1 extrêmes*socio=rien sont socialement inacceptables*socio=rien et, qui plus est*socio=rien, les programmes*socio=et d'ajustement*socio=et qui sont justes*socio=uv *socio=rien du point de*socio=nil vue social*socio=et *socio=nil sont sans doute*socio=rien ceux qui, à long_terme*socio=te, ont le plus de chances*socio=rien de donner de *socio=rien bons résultats.*socio=nil *socio=nil Depuis la *socio=rien conférence sur le*socio=nil thème répartition*socio=uv3 des*socio=nil revenus*socio=ec1 et*socio=nil croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 *socio=nil qu'il a organisée en 1995, le FMI*socio=ac continue*socio=rien d'aider les pays*socio=ac à prévoir des dispositifs*socio=et de protection_sociale*socio=et dans les programmes*socio=et qu'il appuie et à réduire les dépenses*socio=ec1 improductives*socio=ec2 (dépenses*socio=ec1 militaires*socio=et excessives*socio=uv4, par exemple*socio=rien) tout en accroissant les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et destinées*socio=rien à financer des besoins*socio=uv1 essentiels*socio=uv4, comme les soins_de_santé*socio=et de base*socio=rien et l'éducation*socio=et primaire*socio=rien. Il met davantage l'accent*socio=rien sur*socio=rien la deuxième*socio=rien génération*socio=ac de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 (renforcement*socio=ec2 de l'État*socio=ac de droit*socio=uv1, démantèlement*socio=et des monopoles*socio=ec1 et réforme*socio=et des marchés_du_travail*socio=ec1, notamment), de façon*socio=rien à ce que les dividendes*socio=ec1 de la croissance*socio=uv3 soient largement distribués. Ses services*socio=et effectuent des études*socio=ec2 par pays*socio=ac sur*socio=rien la pauvreté*socio=uv1 et la ré partition des revenus*socio=ec1 en vue*socio=rien de s'inspirer de leurs conclusions*socio=rien dans les conseils*socio=ac qu'ils donnent aux autorités*socio=et. À l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, ils s'efforcent d'améliorer la collecte des données sur*socio=rien les dépenses*socio=ec1 sociales*socio=et des pays_membres*socio=ac et intègrent dans leur action*socio=ec1 les résultats*socio=rien de l'évaluation*socio=ec2 externe*socio=ec1 des programmes*socio=et FASR*socio=ec1. M. Fisher a précisé que le FMI*socio=ac était particulièrement attentif*socio=rien à la dimension*socio=rien sociale*socio=et des réformes*socio=et lorsqu'il a conçu les programmes*socio=et avec les pays*socio=ac d'Asie*socio=ac. Au cours*socio=rien des quatre séances*socio=rien et de la table*socio=rien ronde qui a suivi, un*socio=rien consensus*socio=uv1 s'est*socio=rien dégagé parmi les participants*socio=ac sur*socio=rien les *socio=rien points suivants:*socio=nil Une*socio=nil bonne politique*socio=et macroéconomique*socio=ec1 est indispensable*socio=uv4 *socio=nil pour promouvoir la justice_sociale*socio=et à court*socio=rien et à *socio=rien moyen terme;*socio=nil la*socio=nil justice_sociale*socio=et *socio=nil ne freine pas nécessairement la croissance*socio=uv3, et peut même la stimuler. La justice_sociale*socio=et *socio=rien est un concept *socio=nil qui ne se limite*socio=rien pas à la répartition*socio=uv3 des revenus*socio=ec1, mais s'étend également à la répartition*socio=uv3 équitable*socio=uv2 des chances*socio=rien, des richesses*socio=ec1, des avoirs*socio=ec1 productifs*socio=uv4 et des biens*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 et à l'accès*socio=uv1 à l'emploi*socio=ec1; il n'existe aucun indice global*socio=te de la pauvreté*socio=uv1, ni solution*socio=rien optimale*socio=uv4, qui prenne en compte*socio=ec1 toutes ces *socio=rien dimensions du concept.*socio=nil Les*socio=nil dirigeants*socio=ac *socio=nil devraient s'attacher principalement à améliorer les chances*socio=rien des plus déshérités en luttant contre la pauvreté*socio=uv1 et l'exclusion*socio=uv1 sociale*socio=et. La meilleure*socio=uv4 solution*socio=rien à cet *socio=rien égard est *socio=nil de leur donner les moyens*socio=ec1 de se "démarginaliser", par exemple*socio=rien en leur facilitant l'accès*socio=uv1 à l'éducation*socio=et, aux services_de_santé*socio=et, au crédit*socio=ec1 et à la justice*socio=et. Parallèlement, des *socio=et dispositifs sociaux efficients*socio=uv4 et*socio=nil bien*socio=rien *socio=nil ciblés sont indispensables*socio=uv4 pour protéger les plus vulnérables*socio=uv2. Les gouvernements*socio=ac devraient s'employer à améliorer les services_publics*socio=et pour renforcer la justice_sociale*socio=et et accroître l'internalisation des réformes*socio=et et le soutien*socio=uv3 populaire*socio=uv1 en leur faveur*socio=rien. Il faudrait alors que le système_fiscal*socio=et soit plus efficace*socio=uv4 et plus juste*socio=rien afin de dégager les ressources*socio=ec1 nécessaires*socio=rien pour financer la protection_sociale*socio=et et les initiatives*socio=rien de "démarginalisation", surtout dans les pays*socio=ac où la bureaucratie*socio=et est*socio=rien inefficiente et où la corruption*socio=uv1 est*socio=rien relativement importante*socio=uv4. Dans ces pays*socio=ac, ce sont essentiellement les classes_moyennes*socio=ac des villes*socio=te qui en général*socio=rien s'approprient les prestations*socio=et versées au titre*socio=rien de la protection_sociale*socio=et. Dans le cas*socio=rien des pays*socio=ac pauvres*socio=uv2 très endettés, l'annulation*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 permettrait de mobiliser des ressources*socio=ec1 en vue*socio=rien d'affecter plus de crédits*socio=ec1 dans ces pays*socio=ac à l'éducation*socio=et de base*socio=rien, aux soins_de_santé*socio=et primaires*socio=rien et aux infrastructures*socio=et de base*socio=rien. Aussi bien*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac que dans les pays_en_développement*socio=uv3, la disparité*socio=uv1 croissante*socio=rien des salaires*socio=ec1 entre les ouvriers*socio=ac non qualifiés*socio=uv4 et les autres tient davantage au progrès*socio=uv1 technologique*socio=ec1 qu'à la mondialisation*socio=ec2. Les *socio=et normes sociales jouent*socio=nil un*socio=rien rôle important*socio=uv4 *socio=nil lorsqu'il s'agit de déterminer jusqu'à quel point*socio=rien une société*socio=ac peut accepter les inégalités*socio=uv1. Les gouvernements*socio=ac devraient faire participer la *socio=ac société_civile *socio=nil à la conception*socio=et et à l'application*socio=rien de mesures*socio=et visant à renforcer la justice_sociale*socio=et. En outre, il conviendrait d'améliorer le dialogue*socio=uv1 au sein*socio=rien des gouvernements*socio=ac, de même que la communication*socio=ec1 entre le FMI*socio=ac, la banque_mondiale*socio=ac et les autres institutions_internationales*socio=ac. Le FMI*socio=ac devrait continuer de tenir compte*socio=ec1 de la dimension*socio=rien sociale*socio=et dans ses *socio=rien principales activité.*socio=nil