*{ GATT, Commerce international 1970 } *{ *socio=nil GATT*socio=et,*socio=nil Le*socio=nil commerce*socio=ec1 international*socio=te *socio=nil en 1970/1971, Genève*socio=ac, 1971, pp.1-22. } *{ p.1 } I. LES TENDANCES*socio=ec2 RÉCENTES*socio=rien DU COMMERCE*socio=ec1 INTERNATIONAL*socio=te. Aperçu de l'évolution*socio=rien . En 1970, la valeur*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 mondiales*socio=te aux prix*socio=ec1 courants*socio=te s'est*socio=rien accrue, pour la *socio=rien deuxième année de*socio=nil suite,*socio=nil *socio=nil de plus de 14 pour-cent. Cette croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien a été*socio=rien due pour une *socio=rien bonne part *socio=nil à la hausse*socio=rien des exportations*socio=ec1, qui ont continué de monter de plus en plus vite malgré le ralentissement*socio=ec2 marqué de la *socio=ec1 production industrielle mondiale*socio=te *socio=nil et l'apparition*socio=rien de capacités_de_production*socio=ec1 excédentaires*socio=ec2 dans plusieurs grands*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1. Il est*socio=rien néanmoins remarquable*socio=rien que le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 mondiales*socio=te ait progressé de 8,5 pour-cent, *socio=rien taux inférieur *socio=nil d'environ 1,5 point*socio=rien à celui de l'année*socio=rien précédente*socio=rien , mais encore supérieur*socio=rien au *socio=rien taux moyen *socio=nil pour l'ensemble*socio=rien de la décennie*socio=te. Ce dynamisme*socio=uv3 du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te a surpris la plupart*socio=rien des observateurs. De fait*socio=rien , dans Le Commerce*socio=ec1 international*socio=te en 1969, le secrétariat*socio=ac du GATT*socio=et, partant de l'hypothèse que le PNB*socio=ec1 réel combiné des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 s'élèverait de 3 pour-cent, prévoyait que le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 mondiales*socio=te ne progresserait pas de plus de quelque 5 à 6 pour-cent en 1970. *{ p.3 } En réalité*socio=ec2, cependant, et bien*socio=rien que le taux_de_croissance*socio=ec1 du PNB*socio=ec1 ait à peine dépassé 2,5 pour-cent, le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 mondiales*socio=te s'est*socio=rien accru à *socio=rien un taux supérieur *socio=nil de 3 points*socio=rien à celui qui avait été*socio=rien prévu. Il ne s'ensuit pas pour autant que le ralentissement*socio=ec2 prononcé que la croissance*socio=uv3 de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 a subi en 1970 dans plusieurs grands*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 ait été*socio=rien sans *socio=rien effet sur l'*socio=nil évolution *socio=nil de leur demande*socio=rien d'importations*socio=ec1. Le graphique*socio=rien A permet de comparer l'évolution*socio=rien de la *socio=ec1 production industrielle *socio=nil combinée des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 avec celle de leurs importations*socio=ec1 totales*socio=rien , en valeur*socio=ec1 et en volume*socio=rien . Le graphique*socio=rien montre que l'aplatissement de la courbe de la *socio=ec1 production industrielle a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil suivi, avec un*socio=rien décalage de plus de six mois*socio=rien , par *socio=rien un renversement *socio=nil de la croissance*socio=uv3 ininterrompue*socio=rien (de mois*socio=rien en mois*socio=rien ) du volume*socio=rien du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, croissance*socio=uv3 qui durait depuis le milieu*socio=rien de l'année*socio=rien 1967. Toutefois, la contraction*socio=ec2 du volume*socio=rien des importations*socio=ec1 n'a duré qu'à peu près trois mois*socio=rien . Au printemps*socio=rien de 1971, sa croissance*socio=uv3 a repris sous l'effet*socio=rien conjugué des rebondissements des importations*socio=ec1 en amérique_du_nord*socio=ac et en Europe*socio=ac. En valeur*socio=ec1, les chiffres n'ont accusé pratiquement aucune diminution*socio=ec2, ce qui s'explique par la *socio=rien nouvelle hausse *socio=nil de la *socio=ec1 valeur unitaire des*socio=nil importations,*socio=nil due*socio=nil en_particulier*socio=rien *socio=nil à la forte*socio=rien montée des prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 brut*socio=rien survenue vers la fin*socio=rien de 1970. De ce fait*socio=rien , l'incidence*socio=rien que le ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 a eue sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 en volume*socio=rien du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te et sur*socio=rien l'évolution*socio=rien des prix*socio=ec1 dans le commerce*socio=ec1 extérieur *socio=rien fait sentir que*socio=nil pendant quelques mois et n'a*socio=nil pas*socio=nil été suffisamment prononcée pour influer*socio=nil sur l'*socio=nil accroissement*socio=ec2 global*socio=te pour l'*socio=nil ensemble *socio=nil de l'année*socio=rien 1970. *socio=rien Les raisons *socio=nil de ce dynamisme*socio=uv3 surprenant*socio=rien du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te sont examinées en détail*socio=rien dans *socio=rien diverses parties du*socio=nil présent rapport,*socio=nil *socio=nil mais il sera sans doute utile*socio=uv4 de les énumérer sommairement dès maintenant: a) la vigueur*socio=uv3 inattendue*socio=rien de la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac (voir le chapitre*socio=rien III sur*socio=rien les échanges*socio=ec1 des régions*socio=te industrielles*socio=ec1); b) la *socio=rien forte hausse des*socio=nil prix*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil qui a eu pour principal effet*socio=rien de gonfler la valeur*socio=ec1 des échanges*socio=ec1, mais qui a également accru les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 de plusieurs pays*socio=ac pour lesquels les valeurs*socio=ec1 unitaires à l'exportation*socio=ec1 se sont accrues davantage que la moyenne*socio=rien mondiale*socio=te, ce qui leur a permis d'augmenter leurs importations*socio=ec1 dans des proportions*socio=rien plus fortes*socio=rien que celles auxquelles on aurait pu s'attendre; *{ p.4 } c) d'importantes*socio=rien augmentations des recettes*socio=ec1 invisibles*socio=rien de pays*socio=ac pour lesquels ces recettes*socio=ec1 ont une *socio=rien grande importance *socio=nil (par exemple*socio=rien la Norvège*socio=ac, les *socio=ac pays méditerranéens *socio=nil et quelques pays_en_voie_de_développement*socio=ac dont l'industrie*socio=ec1 du tourisme*socio=ec1 *socio=rien est importante)*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil ce qui a permis à ces pays*socio=ac d'accroître leurs importations*socio=ec1 de produits*socio=rien plus que leurs exportations*socio=ec1, sans que la balance*socio=ec1 de leurs transactions*socio=ec1 courantes*socio=te subisse de ce fait*socio=rien une dégradation*socio=uv3; d) la forte*socio=rien augmentation exportation*socio=ec1 de nombreux*socio=rien *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil *socio=rien produits primaires,*socio=nil *socio=nil qui a eu *socio=rien un effet différé*socio=nil sur leur*socio=nil demande d'*socio=nil importations*socio=ec1 *socio=nil en 1970; e) le soudain*socio=rien accroissement*socio=ec2 substantiel*socio=rien des liquidités*socio=ec1 mondiales*socio=te, conséquence*socio=rien du déficit*socio=ec1 des États-unis*socio=ac au titre*socio=rien de leurs *socio=et règlements officiels,*socio=nil *socio=nil de l'institution*socio=ac des droits*socio=uv1 de tirage spéciaux*socio=rien et du mécanisme de multiplicateur*socio=rien constitué par le marché*socio=ec1 des eurodollars. Cette évolution*socio=rien a renforcé les réserves d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ' tant développés*socio=uv4 qu'en voie*socio=rien de développement*socio=uv3, qui, dans des circonstances*socio=rien plus normales*socio=rien , auraient été*socio=rien poussés à freiner leur demande*socio=rien d'importations*socio=ec1; f) enfin, la récente*socio=rien intensification' des pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et qui a doublement contribué à l'accélération*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te en valeur*socio=ec1: d'un*socio=rien côté*socio=rien les mesures*socio=et de limitation*socio=et des importations*socio=ec1 qui ont été*socio=rien effectivement instituées, principalement sous la forme*socio=rien d'autolimitations de la part*socio=rien des exportateurs*socio=ac, ont contribué à imprimer un*socio=rien mouvement*socio=ec2 de hausse*socio=rien aux prix*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 visées, et d'un*socio=rien autre côté*socio=rien les mesures*socio=et de limitation*socio=et des importations*socio=ec1 qui étaient envisagées ont encouragé des achats*socio=ec1 anticipés à l'importation*socio=ec1. Plusieurs raisons*socio=rien qui viennent d'être*socio=rien indiquées sont illustrées de *socio=rien façon frappante *socio=nil par les données du tableau*socio=rien 2, qui montrent la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1 et la dégradation*socio=uv3 des balances commerciales*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil Leurs*socio=nil achats*socio=ec1 *socio=nil ayant augmenté de près d'un*socio=rien cinquième*socio=rien ou davantage, quatorze pays*socio=ac qui avaient absorbé moins de 17 pour-cent des importations*socio=ec1 mondiales*socio=te en 1969 ont contribué pour 27 pour-cent à l'accroissement*socio=ec2 de ces importations*socio=ec1 en 1970, et leur *socio=ec1 déficit commercial *socio=nil f.o.b.-f.o.b. combiné *socio=rien est passé *socio=nil de moins de 3 milliards*socio=rien à 8 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, ce qui a imprimé *socio=rien un élan considérable aux*socio=nil exportations*socio=ec1 mondiales*socio=te.*socio=nil *{ p.5 } *socio=nil Dans des circonstances*socio=rien ales, une dégradation*socio=uv3 aussi forte*socio=rien des balances commerciales*socio=ec1 plus normales*socio=rien aurait donné lieu*socio=rien à des mesures*socio=et très restrictives*socio=uv4 visant soit la demande*socio=ec1 globale, soit directement les importations*socio=ec1, et aurait entraîné aussi des dévaluations*socio=ec2 dans bien*socio=rien des cas*socio=rien . En réalité*socio=ec2, grâce*socio=rien pour une part*socio=rien à des mouvements*socio=ec2 compensateurs*socio=uv3 sur*socio=rien d'autres postes*socio=rien des transactions*socio=ec1 courantes*socio=te, et d'autre part*socio=rien à l'augmentation des réserves et à des modifications*socio=rien de certains postes*socio=rien du compte*socio=rien de capital*socio=ec1, les difficultés*socio=ec2 de balance_des_paiements*socio=ec1 provoquées par les *socio=ec1 déficits commerciaux ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil dans l'ensemble*socio=rien à la fois*socio=rien moins fréquentes*socio=rien et moins graves*socio=rien que les *socio=rien années précédentes,*socio=nil *socio=nil et les dévaluations*socio=ec2 ont été*socio=rien moins nombreuses*socio=rien que ce n'aurait été*socio=rien le cas*socio=rien autrement. Selon des estimations*socio=ec2 préliminaires (voir tableau*socio=rien 1), la production*socio=ec1 matérielle*socio=rien mondiale*socio=te s'est*socio=rien accrue d'environ 4 pour-cent en 1970, contre près de 6 pour-cent en 1969. Le ralentissement*socio=ec2 a touché surtout la *socio=ec1 production manufacturière des*socio=nil pays*socio=ac développés*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil En ce qui concerne les autres pays*socio=ac, la *socio=ec1 production agricole *socio=nil a progressé un*socio=rien peu plus qu'en 1969 et la croissance*socio=uv3 de la *socio=ec1 production minière s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil accélérée. Celle de la production*socio=ec1 totale*socio=rien de biens*socio=ec1 s'est*socio=rien accélérée légèrement dans les pays*socio=ac de l'_est*socio=te et n'a ralenti que dans des proportions*socio=rien marginales dans les régions*socio=te en voie*socio=rien de développement*socio=uv3. *{ p.6 } Ces tendances*socio=ec2 de la production*socio=ec1 se sont accompagnées d'évolutions*socio=rien contrastées des valeurs*socio=ec1 et des volumes*socio=rien dans l'ensemble*socio=rien des *socio=ec1 flux commerciaux.*socio=nil C'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil ainsi que le taux_de_croissance*socio=ec1 de la valeur*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés a baissé de 17 pour-cent en 1969 à 15 pour-cent en 1970, malgré la hausse*socio=rien beaucoup plus forte*socio=rien des prix*socio=ec1. Par contre, la croissance*socio=uv3 de la valeur*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 et de métaux*socio=ec1 et minéraux*socio=ec1 a été*socio=rien plus forte*socio=rien que l'année*socio=rien précédente*socio=rien , malgré la montée plus lente*socio=rien des prix*socio=ec1, car l'augmentation volume de ces exportations*socio=ec1 a marqué une accélération*socio=ec2 prononcée. On peut dire qu'un*socio=rien des *socio=rien faits nouveaux *socio=nil les plus intéressants*socio=rien qui se soient présentés dans le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te en 1970 a été*socio=rien qu'en volume*socio=rien les exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 et de minéraux*socio=ec1 se sont accrues pour la *socio=rien première fois à*socio=nil un taux plus*socio=nil élevé*socio=uv4 *socio=nil que celles de produits*socio=rien manufacturés. Les raisons*socio=rien de la rapide*socio=rien croissance*socio=uv3 du volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 de *socio=rien produits primaires peuvent*socio=nil être *socio=nil fortuites, du moins en partie*socio=rien ; elles sont exposées de façon*socio=rien plus détaillée au chapitre*socio=rien Il. La transformation*socio=ec2 des conditions*socio=ec1 de l'offre*socio=rien et de la demande*socio=ec1 qui s'était produite en 1968-1969 dans plusieurs grands*socio=rien marchés*socio=ec1 des minéraux*socio=ec1 et des métaux*socio=ec1 a été*socio=rien suivie d'un*socio=rien *socio=rien renversement analogue *socio=nil à la fin*socio=rien de 1969 dans le cas*socio=rien de certains produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1 principaux*socio=rien (tant de la zone*socio=te tropicale que de la zone*socio=te tempérée) et au milieu*socio=rien de 1970 dans le cas*socio=rien du pétrole*socio=ec1 brut*socio=rien . Bien*socio=rien souvent, les prix*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires *socio=nil sont descendus au-dessous des niveaux*socio=rien records*socio=ec2 qu'ils avaient atteints pendant la période*socio=te 1968-1970 sous l'effet*socio=rien d'une forte*socio=rien spéculation*socio=ec1, mais la persistance*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien des quantités exportées dénote peut-être une évolution*socio=rien qui pourrait entraîner une certaine*socio=rien amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te commerciales*socio=ec1 à *socio=rien moyen terme des*socio=nil *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil *socio=rien produits primaires.*socio=nil Cette*socio=nil évolution pourrait*socio=nil devenir *socio=nil plus marquée si les conditions*socio=ec1 du marché*socio=ec1 des *socio=ec1 matières_premières agricoles *socio=nil cessaient de se dégrader, ce qui pourrait être*socio=rien le cas*socio=rien si, notamment, le processus*socio=te de remplacement*socio=rien des *socio=rien produits naturels *socio=nil par des *socio=rien produits artificiels *socio=nil ou synthétiques se ralentissait. L'accroissement*socio=ec2 rapide*socio=rien et persistant de la valeur*socio=ec1 des échanges*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés résulte non seulement des hausses de prix*socio=ec1, mais aussi du progrès*socio=uv1 continu*socio=rien de la spécialisation*socio=uv3 internationale*socio=te et du fait*socio=rien que l'allure*socio=rien inégale*socio=uv2 de l'inflation*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 et des coûts*socio=ec1 dans les différents*socio=rien pays*socio=ac a accentué la tendance*socio=ec2 des importations*socio=ec1 à croître plus que la consommation*socio=ec1 intérieure*socio=te. Cette tendance*socio=ec2 a favorisé*socio=rien particulièrement les exportateurs*socio=ac de produits*socio=rien manufacturés à bas*socio=rien prix*socio=ec1 de revient, qu'il s'agisse de pays*socio=ac développés*socio=uv4, de pays_en_voie_de_développement*socio=ac ou de pays*socio=ac de l'_est*socio=te. *{ p.7 } La résultante*socio=rien de toutes ces évolutions*socio=rien en ce qui concerne la composition*socio=rien du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te par *socio=rien grandes catégories de*socio=nil produits a*socio=nil été *socio=nil que tous les principaux*socio=rien courants*socio=te commerciaux*socio=ec1 ont participé à l'expansion*socio=ec2 (voir tableau*socio=rien 3), mais à des taux*socio=rien qui ont varié principalement selon l'impact*socio=rien des hausse*socio=rien de prix*socio=ec1. Comme d'habitude*socio=rien , c'est*socio=rien le commerce*socio=ec1 entre les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 qui a marqué la progression*socio=ec2 la plus rapide*socio=rien , et ce flux*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1 a augmenté de 16,5 pour-cent en 1970, soit presque autant qu'en 1969 (voir tableau*socio=rien 4). *{ p.8 } Contrairement à ce qui s'était produit*socio=rien en 1969, l'accroissement*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 effectuées dans le cadre*socio=rien d'accords*socio=et préférentiels*socio=et a été*socio=rien plus faible*socio=rien que d'habitude*socio=rien . Le commerce*socio=ec1 entre les pays*socio=ac de la CEE*socio=et et le commerce*socio=ec1 entre les pays*socio=ac de l'AELE se sont développés*socio=uv4 l'un*socio=rien et l'autre d'environ 19 pour-cent, mais les échanges*socio=ec1 au titre*socio=rien de l'accord*socio=et conclu entre les États-unis*socio=ac et le Canada*socio=ac concernant les produits*socio=rien de l'industrie*socio=ec1 automobile*socio=ec1 ont en fait*socio=rien diminué. Par contre, le commerce*socio=ec1 entre les pays*socio=ac d'Europe*socio=ac occidentale*socio=te (à l'exclusion*socio=rien du commerce*socio=ec1 entre les pays*socio=ac de la CEE*socio=et et du commerce*socio=ec1 entre les pays*socio=ac de l'AELE), ainsi que les échanges*socio=ec1 entre le Japon*socio=ac et tous les autres pays*socio=ac industriels*socio=ec1, se sont développés*socio=uv4 à une cadence exceptionnellement rapide*socio=rien . On a constaté aussi une accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 des régions*socio=te industrielles*socio=ec1 vers les pays*socio=ac tiers, en_particulier*socio=rien l'Australie*socio=ac, la Nouvelle-zélande*socio=ac et l'afrique_du_sud pays*socio=ac de l'_est*socio=te. De ce fait*socio=rien , la valeur*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 des pays*socio=ac industriels*socio=ec1, pris ensemble*socio=rien , a augmenté de 17 pour-cent en 1970 contre 16 pour-cent en 1969. Les mouvements*socio=ec2 des prix*socio=ec1 dont il *socio=rien est question au*socio=nil présent chapitre *socio=nil ont influé sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=ac d'une *socio=rien façon différente.*socio=nil *{ p.9 } *socio=nil Selon des estimations*socio=ec2 tout à fait*socio=rien préliminaires, et contrairement à ce qui s'est*socio=rien produit*socio=rien dans le cas*socio=rien des pays*socio=ac industriels*socio=ec1, la valeur*socio=ec1 de leurs exportations*socio=ec1 a augmenté en *socio=rien effet un *socio=nil peu moins en 1970 qu'en 1969, tandis que la croissance*socio=uv3 du volume*socio=rien de ces exportations*socio=ec1 s'est*socio=rien accélérée. Comme leurs exportations*socio=ec1 vers les pays*socio=ac de l'_est*socio=te ont été*socio=rien sensiblement plus fortes*socio=rien que l'année*socio=rien précédente*socio=rien , et que la croissance*socio=uv3 de leurs exportations*socio=ec1 vers les régions*socio=te industrielles*socio=ec1 ne paraît pas avoir diminué, le fléchissement*socio=rien du taux*socio=rien d'accroissement*socio=ec2 global*socio=te - s'il était confirmé par les statistiques*socio=ec2 commerciales*socio=ec1 définitives*socio=rien - serait imputable*socio=uv2 à une décélération*socio=ec2 marquée de la croissance*socio=uv3 des échanges*socio=ec1 entre les pays_en_voie_de_développement*socio=ac eux-mêmes. Malgré les imperfections*socio=rien des données utilisées, il apparaît assez clairement que les termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=ac se sont dégradés en 1970, alors qu'ils s'étaient quelque peu améliorés en 1969 1. Cette dégradation*socio=uv3 a été*socio=rien encore plus prononcée pour les termes_de_l'_échange*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires par*socio=nil rapport aux*socio=nil produits *socio=nil manufacturés (à l'exclusion*socio=rien des métaux*socio=ec1 non ferreux*socio=ec1), ce qui a neutralisé complètement l'amélioration*socio=uv1 de 1969. Les calculs*socio=rien étant fondés principalement sur*socio=rien des données relatives*socio=rien aux exportations*socio=ec1 Go la *socio=rien forte hausse des*socio=nil taux *socio=nil de fret (y compris ceux des lignes*socio=rien régulières*socio=ec2) qui est*socio=rien intervenue en 1970 a encore accentué la dégradation*socio=uv3 effective*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=ac. Il faut souligner cependant que l'impact*socio=rien préjudiciable*socio=et de l'inflation*socio=ec2 sur*socio=rien l'économie*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=ac ne se fait*socio=rien pas sentir seulement dans les termes_de_l'_échange*socio=ec1, car la *socio=rien hausse rapide des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil à l'exportation*socio=ec1 des produits*socio=rien manufacturés en général*socio=rien et des biens*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1 en_particulier*socio=rien entraîne aussi une érosion*socio=ec2 de la valeur*socio=ec1 réelle*socio=ec2 de l'aide*socio=uv1 économique*socio=ec1, alors que le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 auquel se maintiennent les taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur*socio=rien les capitaux*socio=ec1 à long_terme*socio=te alourdit la charge*socio=rien imposée par le service_de_la_dette*socio=ec1. L'accroissement*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien des pays*socio=ac de l'_est*socio=te a été*socio=rien sensiblement le même en 1970 qu'en 1969, soit d'environ 10 pour-cent, les exportations*socio=ec1 vers les régions*socio=te en voie*socio=rien de développement*socio=uv3 s'étant révélées être*socio=rien le courant*socio=rien commercial*socio=ec1 dont l'expansion*socio=ec2 a été*socio=rien le plus rapide*socio=rien , et le commerce*socio=ec1 entre les pays*socio=ac de l'_est*socio=te eux-mêmes n'augmentant une *socio=rien nouvelle fois *socio=nil qu'à une cadence relativement lente*socio=rien . Par suite*socio=rien de cette évolution*socio=rien , l'excédent*socio=ec1 commercial*socio=ec1 f.o.b.-f.o.b. apparent*socio=rien des régions*socio=te industrielles*socio=ec1 *socio=rien est passé *socio=nil de 0,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1969 à 2,5 milliards*socio=rien en 1970, tandis que le déficit*socio=ec1 des régions*socio=te en voie*socio=rien de développement*socio=uv3 s'est*socio=rien élevé*socio=uv4 de 2 à 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 et que l'excédent*socio=ec1 des pays*socio=ac de l'_est*socio=te s'est*socio=rien trouvé ramené de 1,8 à 1,3 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1. On note aussi un*socio=rien alourdissement sensible*socio=rien du déficit*socio=ec1 de l'Australie*socio=ac, de la Nouvelle-zélande*socio=ac et de l'afrique_du_sud *{ p.10 } Le problème*socio=uv4 des prix*socio=ec1 dans le commerce*socio=ec1 extérieur Comme il a été*socio=rien dit plus haut*socio=rien , la croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te en 1970 a été*socio=rien due pour beaucoup à la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 dans le commerce*socio=ec1 extérieur des valeurs*socio=ec1 unitaires des exportations*socio=ec1 et des importations*socio=ec1 par grandes*socio=rien régions*socio=te, tels qu'ils ont été*socio=rien calculés par le Bureau de statistique*socio=ec2 des nations_unies*socio=ac. Le FMI*socio=ac, qui applique un*socio=rien autre système_de_pondération obtenu des résultats*socio=rien légèrement différents*socio=rien , mais d'une *socio=rien façon générale *socio=nil les chiffres publiés semblent indiquer que la *socio=ec1 valeur unitaire des*socio=nil exportations mondiales*socio=te *socio=nil a augmenté de 5 à 6 pour-cent en 1970, après*socio=rien s'être*socio=rien déjà accrue de 3 à 4 pour-cent en 1969. En d'autres termes*socio=rien , la hausse*socio=rien réalisée en deux ans*socio=rien a été*socio=rien deux fois*socio=rien plus forte*socio=rien que celle des années*socio=rien 1960 à 1968 et nettement supérieure*socio=rien à la hausse*socio=rien de 7 pour-cent qui avait été*socio=rien enregistrée entre 1962 et 1966, c'est-à-dire dans la dernière*socio=rien période*socio=te où les prix*socio=ec1 avaient monté rapidement. *{ p.11 } Cependant, *socio=rien certaines raisons *socio=nil donnent à penser que les indicateurs de prix*socio=ec1 globaux*socio=te figurant dans le tableau*socio=rien sous-estiment de façon*socio=rien notable l'accélération*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2 des prix*socio=ec1 intervenue dans le commerce*socio=ec1 international*socio=te pendant les deux *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Si cette supposition se confirmait, la comparabilité des accroissements*socio=ec2 en volume*socio=rien pendant les deux *socio=rien dernières années *socio=nil avec les accroissements*socio=ec2 enregistrés les *socio=rien années précédentes *socio=nil deviendrait également fort*socio=rien douteuse, et la soudaine*socio=rien augmentation internationaux*socio=te, relativement à celles de la production*socio=ec1 et de la consommation*socio=ec1, se révélerait, au moins en partie*socio=rien , illusoire. Malheureusement, il n'existe que des données fragmentaires pour déterminer si les statistiques*socio=ec2 publiées des valeurs*socio=ec1 unitaires des échanges*socio=ec1 sous-estiment les hausses de prix*socio=ec1 en période*socio=te d'inflation*socio=ec2, et ces données sont difficiles*socio=rien à interpréter. Cependant, deux cas*socio=rien au moins offrent certaines*socio=rien fondations pour un*socio=rien réexamen*socio=et critique*socio=uv2 des chiffres contenus dans le tableau*socio=rien . Le *socio=rien premier cas est *socio=nil celui de la *socio=ec1 valeur unitaire des*socio=nil exportations de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés. Les indices de la *socio=ec1 valeur unitaire ou*socio=nil moyenne*socio=rien *socio=nil sont dérivés des statistiques*socio=ec2 du commerce*socio=ec1 extérieur valeurs*socio=ec1 par les quantités correspondantes*socio=rien , pour des groupes*socio=rien de produits*socio=rien très détaillés qui sont réputés aussi homogènes*socio=uv4 que possible*socio=rien . Cette méthode*socio=rien fournit des résultats*socio=rien raisonnablement bons*socio=rien pour les produits*socio=rien relativement simples*socio=rien , mais elle présente*socio=rien de sérieux*socio=uv4 écueils*socio=rien en ce qui concerne les produits*socio=rien manufacturés très élaborés, notamment les machines*socio=ec1 et l'équipement*socio=ec1 et les biens*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 durables*socio=uv4. Pour ces groupes*socio=rien de produits*socio=rien , le manque*socio=rien d'homogénéité*socio=uv3 des produits*socio=rien considérés introduit dans les indices de *socio=ec1 valeur unitaire *socio=rien un biais qui*socio=nil est relativement*socio=nil important *socio=nil mais non mesurable. En outre, la méthode*socio=rien suivie est*socio=rien implicitement fondée sur*socio=rien l'hypothèse que les prix*socio=ec1 des groupes*socio=rien de produits*socio=rien qui ne sont pas englobés dans le calcul*socio=rien des indices des valeurs*socio=ec1 unitaires évoluent plus ou moins parallèlement à ceux des produits*socio=rien considérés dans ces indices. Toutes ces imperfections*socio=rien avaient une importance*socio=rien relativement limitée tant que le niveau*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien manufacturés, et plus spécialement des produits*socio=rien manufacturés très élaborés, demeurait relativement stable*socio=uv4 sous l'effet*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 internationale*socio=te. Au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil cependant, cette situation*socio=rien a changé Il y a des motifs*socio=rien de croire que les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien manufacturés très élaborés, ordinairement établis en ajoutant au prix*socio=ec1 de revient *socio=rien un taux *socio=nil de marge fixe, ont augmenté davantage que la moyenne*socio=rien des prix*socio=ec1 d'autres produits*socio=rien , et que le biais*socio=rien a affecté les indices en moins plutôt qu'en plus. Malheureusement, seule*socio=rien la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac publie, en plus des indices des valeurs*socio=ec1 unitaires, des indices de prix*socio=ec1 détaillés 1 pour le commerce*socio=ec1 extérieur les prix*socio=ec1 facturés, ce qui permet de les comparer aux indices des valeurs*socio=ec1 unitaires pour des *socio=rien groupes comparables de*socio=nil produits.*socio=nil *{ p.12 } Le*socio=nil tableau *socio=nil 6 montre que l'indice_des_prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 pour tous les produits*socio=rien , exprimés en marks, a augmenté de plus de 10 pour-cent de 1968 à 1970 tandis que l'indice des valeurs*socio=ec1 unitaires à l'exportation*socio=ec1 a augmenté de moins de 4 pour-cent pendant la même période*socio=te. La divergence*socio=uv1 était assez importante*socio=rien en ce qui concerne les demi-produits et les produits*socio=rien transformés, mais, dans le groupe*socio=rien des produits*socio=rien finis, elle semblait particulièrement prononcée pour les biens*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1, pour lesquels l'indice_des_prix*socio=ec1 a monté de 13 pour-cent tandis que l'indice des valeurs*socio=ec1 unitaires a augmenté de 5 pour-cent seulement. Il *socio=rien est certain *socio=nil que les différences*socio=uv1 entre les deux séries d'indices ne proviennent pas uniquement*socio=rien de la couverture*socio=ec1 et de la nature*socio=rien des données relatives*socio=rien aux prix*socio=ec1, mais tiennent aussi au système_de_pondération employé*socio=rien (l'indice_des_prix*socio=ec1 *socio=rien est un *socio=nil indice de Laspeyres à pondération*socio=rien de 1963, alors que l'indice des valeurs*socio=ec1 unitaires *socio=rien est un *socio=nil indice de Paasche à pondération*socio=rien courante*socio=te); il n'est*socio=rien guère douteux*socio=uv2 cependant qu'en ce qui concerne les produits*socio=rien manufacturés très élaborés, et notamment les biens*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1, la divergence*socio=uv1 entre les deux indices résulte surtout de l'influence conjuguée des différences*socio=uv1 de couverture*socio=ec1 et du biais*socio=rien de la *socio=ec1 valeur unitaire.*socio=nil Il*socio=nil est*socio=rien très*socio=nil vraisemblable*socio=rien *socio=nil que si l'on disposait d'indices des prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 aussi détaillés pour d'autres pays*socio=ac hautement industrialisés, ils révéleraient que les indices des valeurs*socio=ec1 unitaires des exportations*socio=ec1 tendent de même à sous-estimer l'accélération*socio=ec2 des hausses de prix*socio=ec1 en période*socio=te d'inflation*socio=ec2. Le *socio=rien second cas est *socio=nil celui des exportations*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=ac, pour lesquelles les indices des valeurs*socio=ec1 unitaires devraient en_principe*socio=ec2 fournir *socio=rien un moyen *socio=nil tout à fait*socio=rien satisfaisant de mesurer les variations*socio=rien de prix*socio=ec1. *{ p.13 } Malheureusement, il n'existe pas en réalité*socio=ec2 d'indices de cette nature*socio=rien pour un*socio=rien très *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil Par*socio=nil conséquent,*socio=nil *socio=nil les chiffres établis par le Bureau de statistique*socio=ec2 des nations_unies*socio=ac et repris dans le tableau*socio=rien ne sont guère que des estimations*socio=ec2 approximatives fondées *socio=rien sur un *socio=nil échantillon relativement limité de pays*socio=ac. Globalement, ces estimations*socio=ec2 peuvent être*socio=rien vérifiées en se référant aux mouvements*socio=ec2 de l'indice_des_prix*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires *socio=nil exportés par les pays_en_voie_de_développement*socio=ac. Ces produits*socio=rien et les métaux*socio=ec1 non ferreux*socio=ec1 constituent la *socio=rien majeure partie des*socio=nil exportations*socio=ec1 *socio=nil de ces pays*socio=ac, et l'on peut postuler que les prix*socio=ec1 de leurs exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés proprement dits évoluent parallèlement à ceux des produits*socio=rien manufacturés exportés par les pays*socio=ac développés*socio=uv4. L'indice_des_prix*socio=ec1, tel qu'il est*socio=rien publié par le Bureau de statistique*socio=ec2 des nations_unies*socio=ac, *socio=rien porte sur *socio=nil tous les *socio=rien produits primaires *socio=nil y compris le pétrole*socio=ec1 niais non compris les métaux*socio=ec1 non ferreux*socio=ec1 pour lesquels existe un*socio=rien indice distinct. Cet indice_des_prix*socio=ec1 *socio=rien est un *socio=nil indice Laspeyres à pondération*socio=rien de 1963. Au tableau*socio=rien 7, l'indice des nations_unies*socio=ac a été*socio=rien rajusté pour inclure les métaux*socio=ec1 non ferreux*socio=ec1 parmi les *socio=rien produits primaires *socio=nil et en exclure le pétrole*socio=ec1 2 parce que les prix*socio=ec1 affichés qui sont employés*socio=rien pour établir l'indice n'ont guère de signification*socio=uv3 analytique*socio=rien . Sur*socio=rien cette base*socio=rien , les prix*socio=ec1 de tous les *socio=rien produits primaires *socio=nil exportés par les pays_en_voie_de_développement*socio=ac, non compris le pétrole*socio=ec1, auraient augmenté de près de 5 pour-cent de 1963 à 1968. On s'est*socio=rien rendu compte*socio=rien cependant qu'étant donné le changement*socio=uv3 très important*socio=rien qui est*socio=rien intervenu dans la structure*socio=ec1 par produits*socio=rien des exportations*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=ac, la pondération*socio=rien de 1963 n'était plus valable*socio=rien et ne faisait pas ressortir convenablement les mouvements*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Afin d'éliminer cette distorsion, l'indice a été*socio=rien recalculé sur*socio=rien la base*socio=rien d'une pondération*socio=rien de 1968. Sur*socio=rien cette base*socio=rien , le niveau*socio=rien des prix*socio=ec1 de tous les *socio=rien produits primaires *socio=nil exportés par les pays_en_voie_de_développement*socio=ac (y compris les métaux*socio=ec1 non ferreux*socio=ec1 mais non compris le pétrole*socio=ec1) aurait augmenté de 10 pour-cent au lieu*socio=rien de 5 pour-cent entre 1963 et 1968. La divergence*socio=uv1 a continué à s'aggraver au cours*socio=rien de l'année*socio=rien 1969 et, au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1970, l'indice avait augmenté de 14!/2 pour-cent par rapport*socio=rien à la moyenne*socio=rien de 1968 (sur*socio=rien la base*socio=rien de la pondération*socio=rien de 1968), contre 12 pour-cent seulement (sur*socio=rien la base*socio=rien de la pondération*socio=rien de 1963). Les mouvements*socio=ec2 ultérieurs*socio=te des prix*socio=ec1 ont été*socio=rien pratiquement les mêmes quel que soit le système_de_pondération utilisé. *{ p.14 } Le tableau*socio=rien qui suit compare les valeurs*socio=ec1 unitaires des exportations*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=ac (autres que les exportateurs*socio=ac de pétrole*socio=ec1), qui sont publiées par le Bureau de statistique*socio=ec2 des nations_unies*socio=ac, avec un*socio=rien indice_des_prix*socio=ec1 recalculé. Pour ce dernier*socio=rien indice, on s'est*socio=rien servi de l'indice de la *socio=ec1 valeur unitaire des*socio=nil exportations de*socio=nil produits*socio=rien *socio=nil manufacturés des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 pour représenter le mouvement*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés des pays_en_voie_de_développement*socio=ac, et on a combiné cet indice avec celui des prix*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 de *socio=rien produits primaires des*socio=nil pays_en_voie_de_développement*socio=ac *socio=nil (y compris les métaux*socio=ec1 non ferreux*socio=ec1 mais non compris le pétrole*socio=ec1). Cet indice de prix*socio=ec1 combiné a été*socio=rien calculé avec la pondération*socio=rien de 1963 et celle de 1968. Or*socio=rien , l'indice recalculé selon la pondération*socio=rien de 1968 fait*socio=rien apparaître un*socio=rien accroissement*socio=ec2 beaucoup plus important*socio=rien aussi bien*socio=rien pour la période*socio=te 1963-1968 que pour la période*socio=te 1968-1970. Il va sans dire qu'il n'est*socio=rien pas proposé de remplacer les indices des valeurs*socio=ec1 unitaires publiés par les nations_unies*socio=ac par les résultats*socio=rien de ces calculs*socio=rien très approximatifs. Ceux-ci sont uniquement*socio=rien présentés pour attirer l'attention*socio=rien sur*socio=rien le fait*socio=rien que les indices des valeurs*socio=ec1 unitaires comportent *socio=rien un fort degré d'*socio=nil incertitude*socio=uv3 *socio=nil et qu'ils tendent depuis quelque temps*socio=rien à sous-estimer la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1. *{ p.15 } Il se dégage aussi de ces chiffres et de ceux qui ont trait aux prix*socio=ec1 des produits*socio=rien manufacturés à l'exportation*socio=ec1 que les *socio=rien variations annuelles des*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil telles qu'elles apparaissent au tableau*socio=rien 5, sont probablement beaucoup plus faibles*socio=rien que le degré*socio=rien d'incertitude*socio=uv3 statistique*socio=ec2 des valeurs*socio=ec1 unitaires des exportations*socio=ec1 et des importations*socio=ec1 qui entrent dans le calcul*socio=rien . Dans l'ensemble*socio=rien , il paraît possible*socio=rien que les chiffres publiés sous-estiment l'amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=ac de 1963 à 1968. Toutefois, étant donné qu'il *socio=rien est possible *socio=nil que les hausses des prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 à partir de 1968 aient été*socio=rien sous-estimées dans une proportion*socio=rien pouvant atteindre jusqu'à 2 à 3 pour-cent par an*socio=rien , il est*socio=rien probable*socio=uv4 que l'amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 en 1969 a *socio=rien été moindre *socio=nil que ne l'indique le tableau*socio=rien 5, et que la dégradation*socio=uv3 intervenue en 1970 a été*socio=rien plus marquée. *socio=rien Évolution récente et*socio=nil perspectives*socio=te.*socio=nil La*socio=nil demande*socio=ec1 *socio=nil et la production*socio=ec1 ont évolué de façons*socio=rien très différentes*socio=rien dans les principaux*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1971. La reprise qui a *socio=rien fait suite *socio=nil à la récession*socio=ec2 aux États-unis*socio=ac s'est*socio=rien accentuée temporairement*socio=rien sous l'effet*socio=rien du rattrapage*socio=rien qui s'est*socio=rien *socio=rien produit après la*socio=nil fin *socio=nil de la grève*socio=ec1 dans l'industrie*socio=ec1 automobile*socio=ec1, et sous l'effet*socio=rien de la reconstitution des stocks*socio=ec1 d'acier*socio=ec1 en prévision*socio=ec2 d'une grève*socio=ec1 importante*socio=rien qui menaçait la sidérurgie*socio=ec1 américaine*socio=ac, mais l'accélération*socio=ec2 de la tendance*socio=ec2 fondamentale*socio=uv4 de la croissance*socio=uv3 du PNB*socio=ec1 a été*socio=rien relativement modeste*socio=rien . La hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 a continué à se ralentir un*socio=rien peu dans les *socio=rien premiers mois *socio=nil de l'année*socio=rien , mais les indices des prix*socio=ec1 à la fin*socio=rien du printemps*socio=rien et au début*socio=rien de l'été*socio=rien ont révélé l'existence*socio=rien de nouvelles*socio=rien *socio=ec2 pressions inflationnistes;*socio=nil l'*socio=nil excédent*socio=ec1 *socio=nil de la balance*socio=ec1 du commerce*socio=ec1 des marchandises*socio=ec1 a diminué fortement. L'économie*socio=ec1 du Canada*socio=ac a continué de se développer à *socio=rien un rythme régulier*socio=ec2.*socio=nil Au*socio=nil Royaume-uni*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil demande*socio=ec1 *socio=nil et la production*socio=ec1 ont fléchi légèrement au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1971. Le chômage*socio=ec1 a augmenté et il ne s'est*socio=rien produit*socio=rien aucun ralentissement*socio=ec2 de la *socio=rien hausse rapide des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil et des salaires*socio=ec1. Des indications*socio=rien plus récentes*socio=rien donnent à penser que la situation*socio=rien de la demande*socio=ec1 et de la production*socio=ec1 se serait améliorée modérément après*socio=rien le premier*socio=rien trimestre*socio=te. *{ p.16 } Bien*socio=rien que la grève*socio=ec1 des postes*socio=rien ait perturbé l'établissement*socio=rien des statistiques*socio=ec2 du commerce*socio=ec1 extérieur *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1971, il ne paraît pas y avoir eu d'altération appréciable*socio=rien de la position*socio=rien fondamentalement solide*socio=rien de la *socio=ec1 balance commerciale *socio=nil et de la balance*socio=ec1 des transactions*socio=ec1 courantes*socio=te. Au Japon*socio=ac, la récession*socio=ec2 qui s'était amorcée en août*socio=rien 1970 s'est*socio=rien poursuivie jusqu'à la fin*socio=rien du printemps*socio=rien de 1971. Bien*socio=rien que les exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien aient atteint *socio=rien un niveau record*socio=ec2 *socio=nil pendant les *socio=rien cinq premiers mois *socio=nil de 1971, ce mouvement*socio=ec2 n'a pu qu'amortir les effets*socio=rien de la baisse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. En Europe*socio=ac continentale de l'ouest*socio=te, les tendances*socio=ec2 récessionnistes sont restées limitées à l'Italie*socio=ac, où l'agitation sociale*socio=et persistante et l'apathie*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te ont entraîné une diminution*socio=ec2 effective*socio=rien de la *socio=ec1 production industrielle.*socio=nil L'*socio=nil économie *socio=nil de la France*socio=ac, au contraire*socio=rien , a manifesté des signes incontestables d'une énergique*socio=ec1 reprise. La cadence de la production*socio=ec1, en_particulier*socio=rien dans l'industrie*socio=ec1 manufacturière*socio=ec1, a continué de s'élever durant tout le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1971, pendant que le chômage*socio=ec1 diminuait parallèlement. Bien*socio=rien que la conjoncture*socio=te des prix*socio=ec1 ne se soit pas améliorée, le solde*socio=ec1 positif*socio=uv4 de la *socio=ec1 balance commerciale *socio=nil a augmenté de *socio=rien façon substantielle.*socio=nil En*socio=nil République*socio=ac fédérale*socio=et d'*socio=nil Allemagne*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil de la demande*socio=ec1 et de la production*socio=ec1, qui s'était ralentie dans le courant*socio=rien de 1970, s'est*socio=rien de nouveau*socio=rien accélérée dans les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1971. Il n'est*socio=rien pas possible*socio=rien de déterminer jusqu'à quel point*socio=rien ce changement*socio=uv3 inattendu*socio=rien du rythme*socio=rien de croissance*socio=uv3 est*socio=rien dû à des causes*socio=rien accidentelles ou 'temporaires*socio=rien , telles que l'accroissement*socio=ec2 subit*socio=rien des liquidités*socio=ec1 dans l'économie*socio=ec1 sous l'effet*socio=rien des entrées de capitaux*socio=ec1, ou l'augmentation ec2 des exportations*socio=ec1, ou encore les conditions*socio=ec1 atmosphériques exceptionnellement favorables*socio=ec2 des *socio=rien premiers mois *socio=nil de l'année*socio=rien . Néanmoins, l'allégement*socio=uv3 des pressions*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 s'est*socio=rien interrompu à *socio=rien un moment *socio=nil où l'on ne pouvait encore dire qu'on avait réussi à maîtriser*socio=rien les coûts*socio=ec1 et les prix*socio=ec1. Dans la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac industriels*socio=ec1 d'Europe*socio=ac occidentale*socio=te, l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 et de la production*socio=ec1 s'est*socio=rien poursuivie sensiblement au même rythme*socio=rien , relativement modéré qu'au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1970. Dans l'ensemble*socio=rien , le *socio=rien taux annuel d'*socio=nil accroissement*socio=ec2 du*socio=nil PNB*socio=ec1 *socio=nil combiné des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 *socio=rien est passé *socio=nil de moins de 2 pour-cent au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1970 à environ 3,5 à 4 pour-cent au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1971. Les modifications*socio=rien de la tendance*socio=ec2 générale*socio=rien du commerce*socio=ec1 extérieur*socio=rien au contraire*socio=rien beaucoup moins marquées. Le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 des *socio=ec1 échanges commerciaux au*socio=nil *socio=rien second semestre *socio=nil de 1970 n'a été*socio=rien que de brève*socio=rien durée*socio=te, comme on l'a vu plus haut*socio=rien , mais la. reprise ultérieure*socio=te a été*socio=rien elle aussi relativement modérée. Pendant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1971, les importations*socio=ec1 et les exportations*socio=ec1 des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 ont progressé en valeur*socio=ec1 à *socio=rien un taux *socio=nil estimé à 12 ou 13 pour-cent par an*socio=rien . *{ p.17 } Ce chiffre signifie que le taux*socio=rien d'accroissement*socio=ec2 en volume*socio=rien a *socio=rien été inférieur *socio=nil à celui de l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien précédente*socio=rien , car la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 dans le commerce*socio=ec1 extérieur valeurs*socio=ec1 moyennes*socio=rien des importations*socio=ec1 plus encore que celle des exportations*socio=ec1, voir tableaux*socio=rien 8 et 9) s'est*socio=rien accentuée fortement au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1971 et a probablement continué à s'accélérer après*socio=rien les modifications*socio=rien de parités des monnaies*socio=ec1 qui sont intervenues au mois*socio=rien de mai*socio=rien . Dans l'ensemble*socio=rien , l'augmentation des valeurs*socio=ec1 moyennes*socio=rien (exprimées en dollars*socio=ec1) a peut-être ajouté jusqu'à 5 pour-cent au taux_de_croissance*socio=ec1 annuel*socio=rien des exportations*socio=ec1 et 6 pour-cent à celui des importations*socio=ec1, au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1971, et a donc été*socio=rien presque égale*socio=rien au taux_de_croissance*socio=ec1 en valeur*socio=ec1. Il est*socio=rien encore trop tôt pour déterminer si les modifications*socio=rien de parités et l'introduction*socio=rien de *socio=ec1 taux_de_change flottants au*socio=nil lendemain*socio=te *socio=nil de la crise*socio=uv2 de mai*socio=rien 1971 ont eu *socio=rien un effet marqué*socio=nil sur le*socio=nil flux*socio=ec1 du*socio=nil commerce*socio=ec1 international*socio=te.*socio=nil *socio=nil Il convient de relever, cependant, que les modifications*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 qui ont été*socio=rien provoquées par la crise*socio=uv2 monétaire*socio=ec1 n'ont pas été*socio=rien très importantes*socio=rien du point*socio=rien de vue*socio=rien du commerce*socio=ec1 international*socio=te. En termes*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 effectifs', l'appréciation*socio=ec2 des monnaies*socio=ec1 réévaluées ou flottantes*socio=ec1 a été*socio=rien nettement inférieure à ce qu'indiquent les modifications*socio=rien en pourcentage*socio=rien de leurs parités officielles ou flottantes*socio=ec1, car une *socio=rien forte proportion du*socio=nil commerce*socio=ec1 *socio=nil des quatre pays*socio=ac concernés consiste en échanges*socio=ec1 entre ces pays*socio=ac mêmes. *{ p.18 } La dépréciation*socio=ec2 correspondante*socio=rien de toutes les autres monnaies*socio=ec1, y compris de celles de pays*socio=ac dont la position*socio=rien de la balance_des_paiements*socio=ec1 *socio=rien est forte,*socio=nil *socio=nil n'a donc été*socio=rien que limitée elle aussi. Perspectives*socio=te pour le *socio=rien second semestre *socio=nil de 1971 et les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1972 On ne peut prévoir avec *socio=rien un degré de*socio=nil confiance*socio=uv1 assez*socio=nil élevé*socio=uv4 l'*socio=nil évolution *socio=nil de la demande*socio=ec1 et de la production*socio=ec1 qui se produira dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 dont dépend le cours*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, que si l'on pose comme hypothèse que les tensions*socio=uv3 dans le domaine*socio=rien de la balance_des_paiements*socio=ec1 ne deviendront pas aiguës au point*socio=rien d'imposer des mesures*socio=et de nature*socio=rien à modifier soudainement et de façon*socio=rien significative*socio=uv4 les tendances*socio=ec2 actuelles*socio=te. Aux États-unis*socio=ac, la reprise progressive*socio=rien qui a suivi la récession*socio=ec2 semble devoir*socio=rien se poursuivre jusqu'en 1972. Les perspectives*socio=te sont encore incertaines*socio=rien pour ce qui est*socio=rien des prix*socio=ec1 et semblent tout à fait*socio=rien mornes en ce qui concerne la balance*socio=ec1 des transactions*socio=ec1 courantes*socio=te. Pour la *socio=rien première fois en*socio=nil vingt ans,*socio=nil aux*socio=nil États-unis*socio=ac la*socio=nil balance*socio=ec1 du*socio=nil commerce*socio=ec1 des*socio=nil marchandises*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil trouvée en déficit*socio=ec1 pendant deux mois*socio=rien de suite*socio=rien en avril*socio=rien et mai*socio=rien 1971. Cette dégradation*socio=uv3 de la *socio=ec1 balance commerciale s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil produite plus tôt dans la reprise qu'on n'aurait pu l'escompter, et les prévisions*socio=ec2 officielles tablent maintenant, à partir d'hypothèses relativement optimistes*socio=uv2, *socio=rien sur un excédent*socio=ec1 d'*socio=nil un *socio=nil demi-milliard de dollars*socio=ec1 pour 1971. *{ p.19 } Ce chiffre serait inférieur*socio=rien au niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien , précédemment atteint en 1968 sous l'effet*socio=rien de pressions*socio=ec2 extrêmement fortes*socio=rien de la demande*socio=ec1, et correspondrait à un*socio=rien déficit*socio=ec1 substantiel*socio=rien au titre*socio=rien des transactions*socio=ec1 proprement commerciales*socio=ec1. Sous l'influence de la reprise aux États-unis*socio=ac et des mesures*socio=et de relance*socio=uv3 qui ont été*socio=rien mises en oeuvre*socio=rien au Canada*socio=ac, l'expansion*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac devrait prendre plus de vigueur*socio=uv3 pendant toute l'année*socio=rien et jusqu'en 1972. Cependant, l'évolution*socio=rien des exportations*socio=ec1, et partant de la *socio=ec1 balance commerciale,*socio=nil *socio=nil dépendra beaucoup de la demande*socio=ec1 de produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 et de certaines*socio=rien autres matières*socio=rien de base*socio=rien , qui est*socio=rien extrêmement difficile*socio=rien à prédire. De même, il *socio=rien est difficile *socio=nil de prévoir de *socio=rien façon précise *socio=nil à quel moment*socio=rien et dans quelle mesure*socio=rien le Japon*socio=ac sortira de la récession*socio=ec2 dont il souffre actuellement, mais, certaines*socio=rien mesures*socio=et de relance*socio=uv3 ayant *socio=rien été prises sur le*socio=nil plan intérieur*socio=te,*socio=nil *socio=nil il se pourrait que le redressement*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 japonaise*socio=ac soit imminent. La vigoureuse*socio=rien expansion*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 devrait se poursuivre; cependant, du côté*socio=rien des importations*socio=ec1, tout dépendra du moment*socio=rien de la reprise et de la réaction des importateurs*socio=ac devant*socio=rien les mesures*socio=et de libéralisation*socio=et qui seront vraisemblablement*socio=rien mises en vigueur*socio=uv3 au *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de l'année*socio=rien . Au Royaume-uni*socio=ac, une reprise progressive*socio=rien de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 devrait se produire également, mais il *socio=rien est possible *socio=nil que ce ne soit qu'après*socio=rien l'adoption*socio=et de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et de relance*socio=uv3. On peut s'attendre que la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1 continue*socio=rien à s'accélérer, mais le comportement*socio=rien des exportations*socio=ec1 pourrait s'altérer graduellement à moins que le projet*socio=rien d'intégration*socio=uv1 économique*socio=ec1 avec la CEE*socio=et ne fournisse l'impulsion nécessaire*socio=rien . Aussi est-il probable*socio=uv4 que l'excédent*socio=ec1 au titre*socio=rien des *socio=ec1 transactions commerciales *socio=nil et des transactions*socio=ec1 courantes*socio=te diminuera mais restera encore assez important*socio=rien pendant *socio=rien un certain temps.*socio=nil *socio=nil Dans la République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, on ne prévoit guère de nouvelle*socio=rien expansion*socio=ec2 au *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1971, après*socio=rien le nouveau*socio=rien mouvement*socio=ec2 ascendant qui s'est*socio=rien produit*socio=rien au *socio=rien premier semestre.*socio=nil Cette*socio=nil conjoncture*socio=te assez*socio=nil modeste,*socio=nil conséquence des*socio=nil effets du*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil flottant qui se sont ajoutés à ceux des mesures*socio=et restrictives*socio=uv4 adoptées antérieurement, ne doit pas être*socio=rien considérée comme une récession*socio=ec2 mais comme une correction*socio=ec2 tardive*socio=rien des pressions*socio=ec2 excessives*socio=rien de la demande*socio=ec1 qui persistent depuis près de deux ans*socio=rien . Une telle évolution*socio=rien devrait s'accompagner d'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 marqué de la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1 et des exportations*socio=ec1 au *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1971. Toutefois, il n'est*socio=rien à prévoir qu'une diminution*socio=ec2 très modérée ou nulle*socio=rien de la *socio=ec1 balance commerciale *socio=nil f.o.b.-f.o.b. dans les six *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1971, car il est*socio=rien probable*socio=uv4 qu'une fois*socio=rien de plus l'incidence*socio=rien du changement*socio=uv3 de la parité du mark*socio=ec1 sur*socio=rien les termes_de_l'_échange*socio=ec1 sera plus grande*socio=rien que celle de la dégradation*socio=uv3 de la *socio=ec1 balance commerciale à*socio=nil prix constants*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Il devrait cependant se produire une nouvelle*socio=rien diminution*socio=ec2 du solde*socio=ec1 positif*socio=uv4 des transactions*socio=ec1 courantes*socio=te. *{ p.20 } En France*socio=ac, l'expansion*socio=ec2 devrait se poursuivre et même s'accélérer quelque peu, mais, en raison*socio=rien de la *socio=rien hausse rapide des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil et des entrées de capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te, les autorités*socio=et pourraient être*socio=rien contraintes*socio=uv1 de prendre certaines*socio=rien mesures*socio=et restrictives*socio=uv4. Étant donné que la position*socio=rien extérieure*socio=te de la France*socio=ac est*socio=rien fondamentalement solide*socio=rien , il n'y a aucune raison*socio=rien de prévoir une diminution*socio=ec2 sensible*socio=rien du solde*socio=ec1 positif*socio=uv4 de sa *socio=ec1 balance commerciale *socio=nil qui devrait se maintenir au niveau*socio=rien très élevé*socio=uv4 où il s'établit actuellement; en fait*socio=rien , la balance*socio=ec1 des transactions*socio=ec1 courantes*socio=te pourrait même s'améliorer encore. En Italie*socio=ac, l'efficacité*socio=uv3 des mesures*socio=et de relance*socio=uv3 adoptées par les autorités*socio=et dépendra du degré*socio=rien de confiance*socio=uv1, qui sera lui-même fortement influencé par la situation_sociale*socio=et et politique*socio=et. En se fondant sur*socio=rien les *socio=rien seules raisons économiques*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil on peut penser qu'il devrait encore *socio=rien être possible *socio=nil d'atteindre un*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec1 du PNB*socio=ec1 de l'ordre*socio=rien de 3 pour-cent pour l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien 1971, malgré la quasi-stagnation enregistrée dans la *socio=rien première moitié *socio=nil de l'année*socio=rien . Ce résultat*socio=rien s'accompagnerait d'une amélioration*socio=uv1 substantielle*socio=rien de la *socio=ec1 balance commerciale *socio=nil et de la balance*socio=ec1 des transactions*socio=ec1 courantes*socio=te, principalement en raison*socio=rien de la croissance*socio=uv3 toujours lente*socio=rien des importations*socio=ec1. En supposant que les tendances*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 et de la production*socio=ec1 dans les pays*socio=ac clés*socio=rien soient approximativement conformes*socio=uv4 aux *socio=rien lignes générales *socio=nil qui viennent d'être*socio=rien indiquées, la croissance*socio=uv3 de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 dans les autres pays*socio=ac industriels*socio=ec1 d'Europe*socio=ac occidentale*socio=te devrait suivre sensiblement le même mouvement*socio=ec2 ascendant modéré qu'au *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1970, à moins que la situation*socio=rien de la demande*socio=ec1 ne s'affaiblisse d'une façon*socio=rien plus marquée en Allemagne*socio=ac, ou que la reprise ne soit moins prononcée dans les autres pays*socio=ac industriels*socio=ec1. Si l'on admet toutes ces hypothèses, le PNB*socio=ec1 réel des régions*socio=te industrielles*socio=ec1 pourrait s'accroître d'environ 3,5 pour-cent sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien 1971. Ce serait là un*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec1 nettement plus élevé*socio=uv4 que celui de l'année*socio=rien précédente*socio=rien et qui supposerait en_particulier*socio=rien une accélération*socio=ec2 continue*socio=te de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 dans la *socio=rien deuxième moitié *socio=nil de 1971. Toutefois, on ne peut s'attendre à une accélération*socio=ec2 correspondante*socio=rien de la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1 et des exportations*socio=ec1 dans le monde*socio=te. Les effets*socio=rien défavorables*socio=uv4 que les récessions récentes*socio=rien ont eus sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 continueront de se faire sentir, et plusieurs facteurs*socio=rien exceptionnels*socio=uv4 qui ont été*socio=rien à l'origine*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 que la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 a connue l'an*socio=rien dernier*socio=rien ne continueront probablement pas à agir pendant toute l'année*socio=rien 1971. A examiner ce qui s'est*socio=rien passé*socio=rien jusqu'au milieu*socio=rien de l'année*socio=rien , on peut prévoir une nouvelle*socio=rien décélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 du volume*socio=rien du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, qui sera très vraisemblablement*socio=rien de l'ordre*socio=rien de 5 à 7 pour-cent. Les hausses de prix*socio=ec1 enregistrées dans le commerce*socio=ec1 extérieur la *socio=rien première moitié *socio=nil de 1971, et imputables*socio=uv2 en partie*socio=rien à la réapparition*socio=rien des *socio=ec2 tendances inflationnistes,*socio=nil *socio=nil et en partie*socio=rien également aux changements*socio=uv3 de parité des monnaies*socio=ec1, donnent à penser que, même si les taux_de_change*socio=ec1 ne subissent pas d'autres variations*socio=rien , la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 ne sera peut-être pas très inférieure sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien 1971 à ce qu'elle a été*socio=rien en 1970. En conséquence*socio=rien , la valeur*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 mondiales*socio=te en 1971, aux prix*socio=ec1 courants*socio=te, pourrait accuser un*socio=rien accroissement*socio=ec2 de 10 à 13 pour-cent. Contrairement aux trois *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil les quinze *socio=rien années précédentes avaient*socio=nil été *socio=nil marquées par des progrès*socio=uv1 réguliers*socio=ec2, non seulement parce que la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec2 avait remporté un*socio=rien succès*socio=uv1 et que l'expansion*socio=ec2 des économies*socio=ec1 nationales*socio=te et du commerce*socio=ec1 international*socio=te s'était poursuivie pratiquement sans interruption, mais aussi et surtout parce que les politiques_économiques*socio=et internationales*socio=te avaient pris *socio=rien un tour plus*socio=nil libéral*socio=et.*socio=nil *socio=nil Le carcan *socio=rien bilatéralisme avait été rejeté*socio=nil après *socio=nil 1950, puis les*socio=rien restrictions*socio=et *socio=rien quantitatives avaient fait l'*socio=nil objet d'un démantèlement*socio=et général et la*socio=nil discrimination*socio=uv1 contre le*socio=nil dollar*socio=ec1 avait *socio=nil cessé; la convertibilité est*socio=rien devenue réalité*socio=ec2 en*socio=rien 1958, *socio=rien et des progrès*socio=uv1 ont été accomplis dans la*socio=nil voie d'une meilleure distribution des réserves internationales*socio=te;*socio=nil *socio=nil enfin, il a *socio=rien été lancé contre les obstacles_tarifaires*socio=et une offensive *socio=nil résolue qui a *socio=rien atteint son point culminant*socio=nil avec la*socio=nil réalisation*socio=uv1 du*socio=nil libre-échange*socio=et dans deux groupes importants de*socio=nil *socio=ac pays européens *socio=nil et d'un*socio=rien *socio=rien abaissement substantiel des*socio=nil droits*socio=uv1 sur la*socio=nil base du*socio=nil principe*socio=ec2 *socio=nil de la nation_la_plus_favorisée*socio=et, résultant*socio=rien des Négociations*socio=et Kennedy. Au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années *socio=nil soixante, toutefois, le climat*socio=rien de confiance*socio=uv1 qui avait rendu possibles*socio=rien ces progrès*socio=uv1 a commencé à s'estomper. La menace*socio=ec2 apparente d'une pénurie*socio=ec2 de liquidités*socio=ec1 internationales*socio=te, puis leur abondance excessive*socio=rien , ont suscité des craintes en ce qui concerne l'avenir*socio=te du commerce*socio=ec1 international*socio=te. Après*socio=rien la dévaluation*socio=ec2 de la livre sterling*socio=ec1 en 1967, il s'est*socio=rien produit*socio=rien une succession*socio=rien de crises*socio=uv2 monétaires*socio=ec1 internationales*socio=te en 1968 et 1969, et une récession*socio=ec2 aux États-unis*socio=ac en 1970, dont la gravité particulière*socio=rien tenait non pas au fléchissement*socio=rien réel de la production*socio=ec1, inférieur*socio=rien aux trois quarts*socio=rien de 1 pour-cent, mais au grave*socio=rien déséquilibre*socio=uv4 de la balance_des_paiements*socio=ec1 que la récession*socio=ec2, paradoxalement, a encore aggravé; une autre crise*socio=uv2 monétaire*socio=ec1 internationale*socio=te est*socio=rien ensuite survenue au printemps*socio=rien de 1971. Les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et ont notoirement augmenté au cours*socio=rien des trois *socio=rien dernières années *socio=nil et de nombreuses*socio=rien mesures*socio=et ont été*socio=rien instituées ou envisagées à l'effet*socio=rien de restreindre les flux*socio=ec1 internationaux*socio=te de marchandises*socio=ec1, de services*socio=ec1 et de capitaux*socio=ec1. Il ne serait sans doute pas exagéré de dire, en conclusion, que l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te traverse actuellement une période*socio=te difficile*socio=rien . La cause*socio=rien fondamentale*socio=uv4 des crises*socio=uv2 monétaires*socio=ec1 successives*socio=rien et du ralentissement*socio=ec2 de la croissance_économique*socio=ec1 globale depuis 1968, qui commence à obscurcir également les perspectives*socio=te du commerce*socio=ec1 international*socio=te, réside dans le déchaînement renouvelé de l'inflation*socio=ec2 qui est*socio=rien aujourd'hui pratiquement généralisée mais dont l'allure*socio=rien diffère selon les pays*socio=ac, et qui a créé de graves*socio=rien déséquilibres dans les balances_des_paiements*socio=ec1 de plusieurs pays*socio=ac, en_particulier*socio=rien les États-unis*socio=ac et le Japon*socio=ac. *{ p.22 } La vitesse*socio=rien avec laquelle l'inflation*socio=ec2 des prix*socio=ec1 nationaux*socio=te s'est*socio=rien communiquée aux prix*socio=ec1 à l'exportation' ainsi son *socio=rien apparition sur la*socio=nil scène internationale*socio=te est en*socio=nil soi un *socio=nil indice du degré*socio=rien d'intégration*socio=ec2 auquel l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te est*socio=rien parvenue depuis la guerre*socio=et. En fait*socio=rien , *socio=rien certaines causes *socio=nil de la forte*socio=rien expansion*socio=ec2 du commerce*socio=ec1 en 1970 semblent avoir été*socio=rien directement liées ou dues aux difficultés*socio=ec2 croissantes*socio=rien que l'inflation*socio=ec2 a suscitées dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Selon la prévision*socio=ec2 exposée plus haut*socio=rien , le ralentissement*socio=ec2 observé depuis 1968 de la croissance*socio=uv3 du volume*socio=rien du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te se poursuivra en 1971, année*socio=rien où il est*socio=rien très probable*socio=uv4 que la croissance*socio=uv3 en valeur*socio=ec1 de ce commerce*socio=ec1 ralentira également après*socio=rien de *socio=rien nombreuses années d'*socio=nil accélération*socio=ec2 continue*socio=te.*socio=nil *socio=nil L'impulsion considérable*socio=rien que le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te reçoit depuis quatre ans*socio=rien , du fait*socio=rien de l'application*socio=rien par tranches annuelles*socio=rien des abaissements*socio=ec2 de droits*socio=uv1 résultant*socio=rien des Négociations*socio=et Kennedy, cessera à la fin*socio=rien de 1971. On peut prévoir dès lors*socio=rien que la croissance*socio=uv3 du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te ralentira d'une façon*socio=rien encore plus prononcée dans les *socio=rien années suivantes,*socio=nil *socio=nil notamment du fait*socio=rien de la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec2 et contre les principaux*socio=rien déséquilibres des balances de paiements*socio=ec1, à moins que les politiques_économiques*socio=et et commerciales*socio=ec1 générales*socio=rien ne puissent être*socio=rien aménagées de façon*socio=rien appropriée.