*{ GATT, Commerce international 1971 } *{ GATT*socio=et, Le commerce*socio=ec1 international*socio=te en 1971/1972, Genève*socio=ac, 1972, pp.1-12. } *{ p.1 } LES TENDANCES*socio=ec2 RÉCENTES*socio=rien DU COMMERCE*socio=ec1 INTERNATIONAL*socio=te Aperçu de l'évolution*socio=rien . En 1971, la valeur*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 mondiales*socio=te s'est*socio=rien accrue de près de 11%. (voir tableau*socio=rien 1). Exprimé en DTS, l'accroissement*socio=ec2 n'a été*socio=rien que de l'ordre*socio=rien de 9%. La hausse*socio=rien de diverses*socio=rien monnaies*socio=ec1 par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1 explique cette différence*socio=rien . Mise à part*socio=rien cette inflation*socio=ec2 due aux changements*socio=uv3 de parité, la *socio=ec1 valeur unitaire des*socio=nil exportations mondiales*socio=te à*socio=nil taux_de_change constants*socio=ec2 *socio=nil a également augmenté de quelque 4%, de sorte*socio=rien que l'accroissement*socio=ec2 en volume*socio=rien n'a pas dépassé 6%, ce qui constitue *socio=rien un nouveau recul par*socio=nil rapport au*socio=nil taux d'*socio=nil expansion*socio=ec2 *socio=nil de 8,5%. enregistré en 1970 et aux taux*socio=rien plus élevés*socio=uv4 encore enregistrés en 1968 et 1969. Le ralentissement*socio=ec2 continu*socio=rien de l'augmentation rien volume du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, prévu dans le *socio=rien précédent rapport annuel,*socio=nil s'*socio=nil est *socio=nil donc confirmé. *{ p.2 } Comme l'accroissement*socio=ec2 de la production*socio=ec1 mondiale*socio=te n'a que très légèrement fléchi en 1971, revenant à *socio=rien un taux *socio=nil estimé à 3%, contre 3,5% en 1970, la différence*socio=rien entre le taux_de_croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1 et celui du commerce*socio=ec1 s'est*socio=rien sensiblement amenuisée. Il n'est*socio=rien pas douteux*socio=uv2 que le ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te peut s'expliquer, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil *socio=nil par la disparition*socio=rien ou l'inversion*socio=rien des *socio=rien facteurs spéciaux,*socio=nil *socio=nil liés pour la plupart*socio=rien à la position*socio=rien extérieure*socio=te apparemment forte*socio=rien de beaucoup de pays*socio=ac, qui avaient stimulé l'expansion*socio=ec2 du commerce*socio=ec1 en 1970. En outre, plusieurs autres *socio=rien facteurs spéciaux *socio=nil sont apparus en 1971: il s'agit de facteurs*socio=rien qui étaient plus ou moins en rapport*socio=rien avec la crise*socio=uv2 monétaire*socio=ec1 et qui, dans l'ensemble*socio=rien , ont, eux aussi, plus ou moins contribué à réduire le volume*socio=rien des transactions*socio=ec1. Quoi qu'il en soit, il demeure qu'à la suite*socio=rien de l'intensification*socio=ec2 extraordinaire*socio=rien du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te par rapport*socio=rien à la production*socio=ec1 qui avait caractérisé les *socio=rien dernières années *socio=nil de la décennie*socio=te écoulée, 1971 a marqué *socio=rien un retour *socio=nil à la relation*socio=rien constatée dans les *socio=rien premières années *socio=nil soixante. Il n'est*socio=rien pas facile*socio=rien d'analyser l'évolution*socio=rien des principaux*socio=rien flux*socio=ec1 de produits*socio=rien dans le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te de 1971, car on se heurte à des difficultés*socio=ec2 d'ordre*socio=rien statistique*socio=ec2 considérables*socio=rien lorsque l'on entreprend de mesurer les variations*socio=rien des volumes*socio=rien et des prix*socio=ec1. D'après*socio=rien des indications*socio=rien préliminaires, il semble toutefois que le volume*socio=rien des *socio=ec1 exportations agricoles *socio=nil ait enregistré une progression*socio=ec2 d'une *socio=rien ampleur inattendue *socio=nil et qui a presque atteint 9%. Les exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien minéraux*socio=ec1 n'ont augmenté que d'environ 2% en volume*socio=rien , car la *socio=ec1 demande industrielle a*socio=nil été*socio=rien peu*socio=nil active*socio=uv4 *socio=nil et le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1, qui avaient connu une progression*socio=ec2 exceptionnellement rapide*socio=rien en 1970, a augmenté à *socio=rien un rythme plus*socio=nil lent.*socio=nil Le*socio=nil développement*socio=uv3 des*socio=nil exportations*socio=ec1 de*socio=nil produits *socio=nil manufacturés a marqué lui aussi *socio=rien un certain ralentissement*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil tout en demeurant plus rapide*socio=rien que le taux_de_croissance*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 mondiales*socio=te. En raison*socio=rien de contrastes dans l'évolution*socio=rien des prix*socio=ec1, les variations*socio=rien des principaux*socio=rien courants*socio=te d'échange*socio=ec1 en valeurs*socio=ec1 exprimées en dollars_courants*socio=ec1 ont été*socio=rien assez différentes*socio=rien . L'augmentation valeur*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 de produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 a été*socio=rien pratiquement la même qu'en volume*socio=rien , car la *socio=ec1 valeur unitaire est*socio=rien restée*socio=nil inchangée*socio=rien .*socio=nil *socio=nil Par contre, les exportations*socio=ec1 de minéraux*socio=ec1 ont augmenté de près de 7% du fait*socio=rien de l'accroissement*socio=ec2 des valeurs*socio=ec1 unitaires, dû en totalité*socio=rien à la *socio=rien forte hausse des*socio=nil prix*socio=ec1 du*socio=nil pétrole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Enfin, les valeurs*socio=ec1 unitaires à l'exportation*socio=ec1 des produits*socio=rien manufacturés ont progressé pour la *socio=rien deuxième année de*socio=nil suite,*socio=nil *socio=nil de plus de 6%, c'est-à-dire presque autant que pendant toute la période*socio=te 1960-69. On peut donc en conclure que le ralentissement*socio=ec2 constaté dans l'accroissement*socio=ec2 en valeur*socio=ec1 de ce flux*socio=ec1 a été*socio=rien relativement modéré. *{ p.3 } Si l'on considère les principaux*socio=rien courants*socio=te d'échanges*socio=ec1 géographiques*socio=te, le ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te de 1970 à 1971 s'est*socio=rien fait*socio=rien sentir dans presque toutes les directions*socio=rien (voir tableaux*socio=rien 2 et 3). Ce sont les exportations*socio=ec1 des régions*socio=te industrielles*socio=ec1 qui ont encore été*socio=rien les plus dynamiques*socio=uv4, encore que leur taux_de_croissance*socio=ec1, qui avait été*socio=rien de 15 à 16% en 1969 et en 1970, soit retombé à 11,5%. en 1971. Ce chiffre a été*socio=rien néanmoins supérieur*socio=rien à la moyenne*socio=rien en longue*socio=rien période*socio=te exprimée en dollars_courants*socio=ec1 et sensiblement égal à cette même moyenne*socio=rien exprimée à taux_de_change*socio=ec1 constants*socio=ec2. En ce qui concerne les principaux*socio=rien courants*socio=te d'exportation*socio=ec1 des pays*socio=ac industriels*socio=ec1, c'est*socio=rien dans le commerce*socio=ec1 entre le Japon*socio=ac et les États-unis*socio=ac que le ralentissement*socio=ec2 a été*socio=rien le plus marqué, ce phénomène*socio=rien étant imputable*socio=uv2 dans sa quasi-totalité*socio=rien au comportement*socio=rien des exportations*socio=ec1 américaines*socio=ac à destination*socio=rien du Japon*socio=ac. *{ p.4 } Le commerce*socio=ec1 intra-nord-américain a cependant connu une forte*socio=rien reprise, en *socio=rien grande partie *socio=nil sous l'impulsion des échanges*socio=ec1 qui ont eu lieu*socio=rien dans le cadre*socio=rien de l'accord*socio=et relatif*socio=rien à l'industrie*socio=ec1 automobile*socio=ec1. Les exportations*socio=ec1 vers les pays*socio=ac de l'_est*socio=te et à destination*socio=rien de l'Australie*socio=ac, de la Nouvelle-zélande*socio=ac et de l'afrique_du_sud *socio=rien côté un ralentissement*socio=ec2 *socio=nil très marqué, cependant que les ventes*socio=ec1 aux pays_en_voie_de_développement*socio=ac augmentaient à *socio=rien un taux *socio=nil qui, pour toutes les destinations, a *socio=rien été supérieur *socio=nil à la moyenne*socio=rien . D'après*socio=rien des indications*socio=rien préliminaires, il semble que l'accroissement*socio=ec2 en valeur*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 des régions*socio=te en voie*socio=rien de développement*socio=uv3 ne se soit ralenti que très modérément en 1971; en fait*socio=rien , l'accroissement*socio=ec2 indiqué pour 1971 au tableau*socio=rien 2 est*socio=rien peut-être sous-exprimé. On peut attribuer cet accroissement*socio=ec2 presque entièrement à la hausse*socio=rien négociée des prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1. Si l'on se fonde sur*socio=rien le mode*socio=rien d'enregistrement*socio=rien habituel*socio=rien , la valeur*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1 des pays_en_voie_de_développement*socio=ac s'est*socio=rien accrue en 1971 de près de 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, soit 30%, dont 5% seulement n'étaient pas dus à la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1. *{ p.5 } On en déduit que les autres recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 n'ont pu augmenter que très faiblement. La hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 parait s'être*socio=rien accompagnée d'une baisse*socio=ec2 de *socio=ec1 valeur unitaire *socio=nil de toutes les autres exportations*socio=ec1 *socio=rien prises ensemble.*socio=nil Les*socio=nil exportations*socio=ec1 des*socio=nil régions*socio=te en*socio=nil voie de*socio=nil développement*socio=uv3 *socio=nil vers les régions*socio=te industrielles*socio=ec1 (seul*socio=rien *socio=rien courant sur *socio=nil lequel on dispose de données relativement sûres*socio=rien pour 1971) ont légèrement fléchi. Les exportations*socio=ec1 à destination*socio=rien des pays*socio=ac de l'_est*socio=te sont restées presque stationnaires, essentiellement sous l'effet*socio=rien d'une diminution*socio=ec2 des livraisons*socio=rien de sucre de Cuba qui a *socio=rien fait suite *socio=nil à leur forte*socio=rien augmentation entre les pays_en_voie_de_développement*socio=ac semble s'être*socio=rien accru plus fortement en 1971 qu'en 1970. Cette accélération*socio=ec2 est*socio=rien probablement imputable*socio=uv2 à la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1, car les produits*socio=rien pétroliers*socio=ec1 occupent aussi une place*socio=rien assez importante*socio=rien dans les échanges*socio=ec1 entre les pays_en_voie_de_développement*socio=ac. En 1969 et en 1970, le commerce*socio=ec1 extérieur l'_est*socio=te avec le reste*socio=rien du monde*socio=te a progressé très vigoureusement, plus vite même que leur commerce*socio=ec1 intrarégional. En 1971, l'expansion*socio=ec2 s'est*socio=rien ralentie, en partie*socio=rien à cause*socio=rien d'une décélération*socio=ec2 de la croissance_économique*socio=ec1 et peut-être aussi en raison*socio=rien des changements*socio=uv3 apportés à la planification*socio=et du commerce*socio=ec1 extérieur cours*socio=rien de la *socio=rien première année d'*socio=nil application d'*socio=nil un nouveau plan quinquennal*socio=te.*socio=nil *socio=nil Les données dont on dispose pour le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1972 traduisent néanmoins une vive reprise de l'expansion*socio=ec2 des échanges*socio=ec1 intrarégionaux et du commerce*socio=ec1 avec les pays*socio=ac tiers, en_particulier*socio=rien avec les pays*socio=ac développés*socio=uv4 à économie_de_marché*socio=ec1 . Le fait*socio=rien le plus important*socio=rien qui a influencé l'évolution*socio=rien du commerce*socio=ec1 en 1971 a été*socio=rien la crise*socio=uv2 monétaire*socio=ec1 prolongée qui a atteint son point*socio=rien culminant le 15 août*socio=rien 1971, lorsque les États-unis*socio=ac ont annoncé leur programme*socio=et. Les répercussions*socio=ec2 de cette crise*socio=uv2 sur*socio=rien les taux_de_change*socio=ec1 et les prix*socio=ec1 dans le commerce*socio=ec1 extérieur plus loin*socio=rien , notamment dans les introductions des chapitres*socio=rien II, III et IV. En outre, le recours*socio=ec1 aux *socio=ec1 taux_de_change flottants dans*socio=nil *socio=rien bon nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil et l'élargissement*socio=ec2 subséquent des marges de fluctuation des monnaies*socio=ec1 ont également rendu très difficile*socio=rien , du point*socio=rien de vue*socio=rien statistique*socio=ec2, l'interprétation*socio=ec2 des mouvements*socio=ec2 du commerce*socio=ec1. Il reste*socio=rien à voir quel impact*socio=rien la crise*socio=uv2 monétaire*socio=ec1 et les mesures*socio=et commerciales*socio=ec1 appliquées à *socio=rien titre temporaire *socio=nil par les États-unis*socio=ac ont eu sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te en 1971. *{ p.6 } Pour de *socio=rien multiples raisons,*socio=nil *socio=nil les données statistiques*socio=ec2 dont on dispose jusqu'à présent*socio=rien ne sont guère concluantes*socio=rien . Étant donné le décalage normal*socio=rien entre les dates des commandes et celles des livraisons*socio=rien , en_particulier*socio=rien pour ce qui est*socio=rien des produits*socio=rien manufacturés, la phase*socio=te aiguë*socio=rien de la crise*socio=uv2, d'une durée*socio=te de quatre mois*socio=rien , n'a pas été*socio=rien assez longue*socio=rien pour qu'elle ait pu créer une brèche*socio=rien perceptible dans les importations*socio=ec1 des États-unis*socio=ac et encore moins dans le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te. Il semble qu'il y ait eu une baisse*socio=ec2 d'activité*socio=rien sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de divers produits*socio=rien du fait*socio=rien qu'acheteurs*socio=ac et vendeurs ont adopté les uns et les autres une attitude d'expectative, mais cela n'a pas eu non plus d'effet*socio=rien *socio=rien sensible sur l'*socio=nil ensemble des*socio=nil courants*socio=te d'*socio=nil échange*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Divers indices donnent à penser que le négoce et l'industrie*socio=ec1 ont assez bien*socio=rien réussi à surmonter les difficultés*socio=ec2 techniques*socio=rien dues aux *socio=ec1 taux_de_change flottants.*socio=nil *socio=nil Néanmoins, la préoccupation*socio=uv4 plus fondamentale*socio=uv4 quant à l'avenir*socio=te du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te et à la libéralisation*socio=et du commerce*socio=ec1 a exercé sur*socio=rien l'attitude des entreprises*socio=ac une plus grande*socio=rien influence qui aurait pu prendre une *socio=rien ampleur dangereuse *socio=nil si la phase*socio=te aiguë*socio=rien de la crise*socio=uv2 s'était prolongée quelque peu. Le graphique*socio=rien qui suit en donne une illustration saisissante. Il résume les résultats*socio=rien d'enquêtes d'opinion*socio=uv1 effectuées parmi les milieux_d'_affaires*socio=ac sur*socio=rien les perspectives*socio=te de la *socio=ec1 production manufacturière *socio=nil dans quatre pays*socio=ac de la CEE*socio=et. Les courbes de ce graphique*socio=rien indiquent la différence*socio=rien , en pourcentage*socio=rien , entre le nombre*socio=rien des entreprises*socio=ac optimistes*socio=uv2 et le nombre*socio=rien des entreprises*socio=ac pessimistes*socio=uv2 quant aux perspectives*socio=te des affaires*socio=ec1. *socio=rien Après un fléchissement *socio=nil progressif qui a succédé à la phase*socio=te extrême de haute*socio=rien conjoncture*socio=te du deuxième*socio=rien trimestre*socio=te de 1969 jusqu'au début*socio=rien de la récession*socio=ec2 américaine*socio=ac au dernier*socio=rien trimestre*socio=te de 1970, la situation*socio=rien a été*socio=rien assez inégale*socio=uv2 au début*socio=rien de 1971 et dans chacun des pays*socio=ac considérés le climat*socio=rien économique*socio=ec1 s'est*socio=rien d'abord*socio=rien amélioré, puis quelque peu dégradé. Après*socio=rien le 15 août*socio=rien , cependant, la confiance*socio=uv1 des milieux_d'_affaires*socio=ac a brutalement fléchi dans chacun des quatre pays*socio=ac. L'Accord_de_washington*socio=et a été*socio=rien suivi d'un*socio=rien *socio=rien retour rapide *socio=nil à l'optimisme*socio=uv1, notamment en République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, où la chute avait également été*socio=rien la plus marquée pendant la période*socio=te précédente*socio=rien . Il n'est*socio=rien guère douteux*socio=uv2 que des indicateurs du même genre*socio=rien révéleraient des mouvements*socio=ec2 analogues*socio=rien au Japon*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac. Échanges*socio=ec1 effectués au taux*socio=rien de la nation_la_plus_favorisée*socio=et et autres taux*socio=rien . Les exportations*socio=ec1 effectuées dans le cadre*socio=rien d'arrangements*socio=et tarifaires*socio=et spéciaux*socio=rien ont, dans l'ensemble*socio=rien , augmenté plus rapidement que le total*socio=rien du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te. Il en a été*socio=rien ainsi notamment pour les transactions*socio=ec1 régies*socio=rien par l'accord*socio=et conclu entre les États-unis*socio=ac et le Canada*socio=ac concernant les produits*socio=rien de l'industrie*socio=ec1 automobile*socio=ec1, qui se sont accrues de près de 30%, et pour les exportations*socio=ec1 intra-communautaires, qui ont progressé de 15%. Par contre, la part*socio=rien des exportations*socio=ec1 intrarégionales de l'AELE dans le commerce*socio=ec1 mondial*socio=te est*socio=rien restée pratiquement inchangée*socio=rien . *{ p.7 } Les échanges*socio=ec1 entre les pays*socio=ac de l'ALALE, notamment les transactions*socio=ec1 entre les membres*socio=ac du groupe*socio=rien andin, ont, eux aussi, augmenté beaucoup plus rapidement que les exportations*socio=ec1 vers les pays*socio=ac tiers, mais un*socio=rien peu moins que les exportations*socio=ec1 mondiales*socio=te. Dans le passé*socio=rien , le secrétariat*socio=ac calculait le commerce*socio=ec1 total*socio=rien entre les pays*socio=ac participant à des arrangements*socio=et commerciaux*socio=ec1 préférentiels*socio=et et le rapportait au commerce*socio=ec1 mondial*socio=te 1. Sur*socio=rien cette base*socio=rien , la part*socio=rien des flux*socio=ec1 " préférentiels*socio=et " dans les exportations*socio=ec1 mondiales*socio=te a atteint environ 23% en 1970 et peut-être *socio=rien un point *socio=nil de plus en 1971. Ce calcul*socio=rien approximatif prêtait le flanc à la critique*socio=uv2 pour deux raisons*socio=rien : tout d'abord*socio=rien , il classait implicitement dans le commerce*socio=ec1 préférentiel les importations*socio=ec1 qui sont admises en franchise de droit*socio=uv1, quelle que soit leur provenance*socio=rien ; ensuite, il rapportait les chiffres ainsi obtenus aux exportations*socio=ec1 mondiales*socio=te et non pas aux importations*socio=ec1 totales*socio=rien des parties*socio=rien contractantes*socio=ec1 concernées. *{ p.8 } Toutefois, il semble qu'en ce qui concerne le résultat*socio=rien des calculs*socio=rien ces deux distorsions*socio=ec2 se neutralisaient sensiblement. Pour obtenir*socio=rien des données plus fiables*socio=rien , les Parties*socio=rien Contractantes*socio=ec1 ont demandé au secrétariat*socio=ac d'effectuer une *socio=ec2 recherche statistique *socio=nil pour déterminer l'importance*socio=rien relative*socio=rien des importations*socio=ec1 effectuées au taux*socio=rien de la nation_la_plus_favorisée*socio=et et sous régime*socio=et préférentiel, y compris les importations*socio=ec1 en provenance*socio=rien d'autres parties*socio=rien à des unions*socio=ac douanières*socio=et et à des accords_de_libre-échange*socio=et. Dans cette tâche*socio=rien -, le secrétariat*socio=ac a été*socio=rien guidé par *socio=rien un groupe de*socio=nil travail.*socio=nil Les*socio=nil calculs *socio=nil effectués portent sur*socio=rien les importations*socio=ec1 de trente-trois parties*socio=rien contractantes*socio=ec1 et de Hong-kong*socio=ac en 1955, 1961, 1964 et 1970. Ces importations*socio=ec1 ont représenté 85% des importations*socio=ec1 totales*socio=rien des parties*socio=rien contractantes*socio=ec1 en 1970. Ces travaux*socio=rien statistiques*socio=ec2 (voir tableau*socio=rien 4) montrent que les échanges*socio=ec1 effectués au taux*socio=rien de la nation_la_plus_favorisée*socio=et ont représenté environ 75,4% du commerce*socio=ec1 total*socio=rien des parties*socio=rien contractantes*socio=ec1 en 1970. Le chiffre correspondant pour 1955 était 89,6%. Les importations*socio=ec1 sous régime*socio=et préférentiel, définies*socio=rien aux fins*socio=rien de l'analyse*socio=rien comme étant toutes les importations*socio=ec1 assujetties à des taux*socio=rien de droits*socio=uv1 effectivement inférieurs aux taux*socio=rien de la nation_la_plus_favorisée*socio=et et comprenant les échanges*socio=ec1 intrarégionaux de la communauté_économique_européenne*socio=ac et de l'Association européenne*socio=ac de libre-échange*socio=et, les importations*socio=ec1 effectuées dans le cadre*socio=rien du régime*socio=et de préférences*socio=et du Commonwealth, les importations*socio=ec1 américaines*socio=ac de produits*socio=rien de l'industrie*socio=ec1 automobile*socio=ec1 originaires du Canada*socio=ac, ainsi que les importations*socio=ec1 relevant de tous les autres *socio=et arrangements préférentiels en*socio=nil vigueur*socio=uv3 au*socio=nil cours*socio=rien *socio=nil d. es années*socio=rien étudiées, constituent le gros*socio=rien du reste*socio=rien des échanges*socio=ec1. Les importations*socio=ec1 effectuées sous d'autres régimes*socio=et, c'est-à-dire les importations*socio=ec1 passibles de taux*socio=rien de droits*socio=uv1 effectivement supérieurs*socio=rien aux taux*socio=rien de la nation_la_plus_favorisée*socio=et, ne représentaient que 0,3% en 1955; leur part*socio=rien s'est*socio=rien élevée*socio=uv4 par la suite*socio=rien à 0,4%. en 1961, puis est*socio=rien revenue à 0,3 en 1970. *{ p.9 } La part*socio=rien du commerce*socio=ec1 préférentiel dans les importations*socio=ec1 totales*socio=rien des parties*socio=rien contractantes*socio=ec1 s'est*socio=rien accrue sans discontinuer pendant la période*socio=te étudiée, passant de 10%. en 1955 à 17% en 1961 et à près de 20 5/. en 1964, pour atteindre 24% en 1970. En valeurs*socio=ec1 absolues, les échanges*socio=ec1 sous le régime*socio=et de la nation_la_plus_favorisée*socio=et ont passé*socio=rien d'environ 57,7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1955 à 174,7 milliards*socio=rien en 1970, les importations*socio=ec1 préférentielles*socio=et progressant, dans le même temps*socio=rien , de quelque 6,4 milliards*socio=rien à 56,3 milliards*socio=rien . Cette progression*socio=ec2 des transactions*socio=ec1 préférentielles*socio=et est*socio=rien due principalement au dynamisme*socio=uv3 constant*socio=rien des échanges*socio=ec1 mutuels*socio=uv2 des pays_membres*socio=ac des *socio=ac Communautés européennes *socio=nil dont la part*socio=rien dans le commerce*socio=ec1 total*socio=rien de ces pays*socio=ac s'est*socio=rien accrue rapidement au cours*socio=rien de la période*socio=te considérée. Il est*socio=rien à noter que la part*socio=rien des importations*socio=ec1 préférentielles*socio=et autres que les importations*socio=ec1 en régime*socio=et interne*socio=te des pays_membres*socio=ac de la CEE*socio=et ou de l'AELE et les importations*socio=ec1 américaines*socio=ac de produits*socio=rien de l'industrie*socio=ec1 automobile*socio=ec1 originaires du Canada*socio=ac a diminué sans arrêt*socio=rien . Les résultats*socio=rien montrent également que l'expansion*socio=ec2 des importations*socio=ec1 préférentielles*socio=et par rapport*socio=rien aux importations*socio=ec1 sous le régime*socio=et de la nation_la_plus_favorisée*socio=et a eu tendance*socio=ec2 à se ralentir pendant la dernière*socio=rien décennie*socio=te. La part*socio=rien des importations*socio=ec1 préférentielles*socio=et dans les importations*socio=ec1 totales*socio=rien des parties*socio=rien contractantes*socio=ec1 a augmenté subitement lorsque l'on a commencé à libéraliser les échanges*socio=ec1 intra-européens en 1959-60. En 1955-1961, sous-période dans laquelle se situe cet événement*socio=rien , la part*socio=rien des importations*socio=ec1 préférentielles*socio=et dans les importations*socio=ec1 totales*socio=rien des parties*socio=rien contractantes*socio=ec1 a augmenté en moyenne*socio=rien de 1,2 point*socio=rien de pourcentage*socio=rien par an*socio=rien . Au cours*socio=rien de la deuxième*socio=rien sous-période, 1961-1964, l'augmentation de 0,9 point*socio=rien . Pendant la troisième*socio=rien sous-période, 1964-1970, durant laquelle plusieurs *socio=et arrangements préférentiels nouveaux*socio=rien *socio=nil sont entrés en vigueur*socio=uv3, l'augmentation *socio=rien annuelle moyenne *socio=nil de la part*socio=rien des importations*socio=ec1 préférentielles*socio=et dans les importations*socio=ec1 totales*socio=rien n'a été*socio=rien que de 0,7 point*socio=rien , bien*socio=rien qu'en valeurs*socio=ec1 absolues.. le cadre*socio=rien statistique*socio=ec2 étant plus large*socio=rien , l'accroissement*socio=ec2 du commerce*socio=ec1 préférentiel ait été*socio=rien plus important*socio=rien que pendant chacune des deux sous-périodes précédentes*socio=rien . (Pour les chiffres absolus*socio=rien détaillés, voir tableau*socio=rien G de l'Appendice*socio=rien .) Les difficultés*socio=ec2 techniques*socio=rien que présente*socio=rien la détermination*socio=rien des *socio=ec1 flux commerciaux *socio=nil soumis aux différents*socio=rien *socio=et régimes douaniers *socio=nil se sont révélée s*socio=rien telles que l'on ne saurait prétendre que ces résultats*socio=rien sont d'une *socio=rien exactitude absolue.*socio=nil *socio=nil Toutefois, il ne faut pas s'attendre que si l'on s'efforce d'élargir encore le cadre*socio=rien statistique*socio=ec2 afin d'y inclure les 15% restants*socio=rien des échanges*socio=ec1, les résultats*socio=rien seront sensiblement différents*socio=rien ou leur *socio=rien qualité notablement *socio=nil améliorée. *{ p.10 } *socio=rien Évolution récente et*socio=nil perspectives*socio=te.*socio=nil L'*socio=nil Accord_de_washington*socio=et *socio=nil n a pas seulement mis fin*socio=rien au désordre croissant*socio=rien des relations*socio=rien monétaires*socio=ec1 et commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te, il a eu également *socio=rien un effet favorable*socio=ec2 sur la*socio=nil conjoncture*socio=te et*socio=nil sur l'*socio=nil évolution actuelle*socio=te des*socio=nil échanges*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil En ce qui concerne la conjoncture*socio=te, le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1972 a été*socio=rien caractérisé par une amélioration*socio=uv1, voire *socio=rien un renversement,*socio=nil *socio=nil de la situation*socio=rien de la demande*socio=ec1 dans presque tous les principaux*socio=rien pays*socio=ac. Aux États-unis*socio=ac, par exemple*socio=rien , le PNB*socio=ec1 réel s'est*socio=rien accru à *socio=rien un taux annuel désaisonnalisé*socio=nil supérieur *socio=nil de plus de 6,5% à celui du *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1971. En République*socio=ac fédérale*socio=et d'Allemagne*socio=ac, le ralentissement*socio=ec2 qui menaçait a pu être*socio=rien évité, et en France*socio=ac l'expansion*socio=ec2 s'est*socio=rien poursuivie au même rythme*socio=rien . On a pu relever, au Royaume-uni*socio=ac et en Italie*socio=ac, des signes d~ une reprise de la demande*socio=ec1, malgré les conflits*socio=uv1 du travail*socio=ec1, et, au Japon*socio=ac, l'expansion*socio=ec2 a de *socio=rien nouveau été assez*socio=nil rapide au*socio=nil cours du*socio=nil printemps.*socio=nil Au*socio=nil total,*socio=nil le*socio=nil PNB*socio=ec1 *socio=nil réel des principaux*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 semble avoir augmenté pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1972 à *socio=rien un taux annuel *socio=nil de 5% environ, contre 33/4% au cours*socio=rien des deux semestres*socio=rien de 1971. Cette reprise de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 a été*socio=rien suivie rapidement u une accélération*socio=ec2 marquée de la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1 des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 qui, en dollars_courants*socio=ec1, ont augmenté à *socio=rien un taux annuel *socio=nil désaisonnalisé de plus de 20%. pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1972. La moitié*socio=rien environ de cet accroissement*socio=ec2 est*socio=rien due à la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 (on peut penser que 8 à 9% correspondent à la dépréciation*socio=ec2 du dollar*socio=ec1 et 1% à une amélioration*socio=uv1 à taux_de_change*socio=ec1 constants*socio=ec2); mais il n'en est*socio=rien pas moins vrai*socio=rien que le taux_de_croissance*socio=ec1 du volume*socio=rien des importations*socio=ec1, qui a passé*socio=rien de 5% en 1971 à 10%. environ au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1972, a *socio=rien été remarquable.*socio=nil Une*socio=nil caractéristique intéressante *socio=nil de cette forte*socio=rien augmentation prix*socio=ec1 des produits de base (voir l'introduction*socio=rien du chapitre*socio=rien Il ci-après). Abstraction*socio=rien faite du pétrole*socio=ec1, les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien en dollars_courants*socio=ec1 semble avoir monté d'environ 10%, c'est-à-dire dans une *socio=rien proportion supérieure *socio=nil à celle de la dépréciation*socio=ec2 du dollar*socio=ec1. Ce renversement*socio=rien à la hausse*socio=rien , qui a été*socio=rien généralement satisfaisant au plan*socio=rien de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 et du commerce*socio=ec1 international*socio=te, appelle quelques précisions*socio=rien en ce qui concerne le processus*socio=te d'ajustement*socio=et des balances_des_paiements*socio=ec1. Il n'est*socio=rien pas douteux*socio=uv2 que le fait*socio=rien le plus frappant dans ce domaine*socio=rien a été*socio=rien la flottaison de la livre. Ainsi qu'il est*socio=rien indiqué dans le chapitre*socio=rien III, l'évolution*socio=rien des coûts*socio=ec1 et des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te au Royaume-uni*socio=ac parait avoir beaucoup réduit la compétitivité*socio=uv1 internationale*socio=te des exportations*socio=ec1 britanniques*socio=ac. Le solde*socio=ec1 des transactions*socio=ec1 courantes*socio=te a encore été*socio=rien positif*socio=uv4 pendant le *socio=rien premier semestre *socio=nil de l'année*socio=rien , mais ce *socio=rien résultat est *socio=nil dû en *socio=rien grande partie au*socio=nil fait *socio=nil que la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te s'est*socio=rien caractérisée par une faiblesse*socio=rien persistante, et comme il fallait prévoir que celle-là se raffermirait, on pouvait s'attendre à une dégradation*socio=uv3 considérable*socio=rien de la *socio=ec1 balance commerciale *socio=nil et de celle des postes*socio=rien courants*socio=te. Comme les réactions d'anticipation de la spéculation*socio=ec1 internationale*socio=te sont devenues de plus en plus promptes et que des masses*socio=rien de capitaux*socio=ec1 très instables*socio=uv4 sont entrées au Royaume-uni*socio=ac en 1971, le gouvernement*socio=ac ne pouvait que renoncer à la parité fixée quelques mois*socio=rien auparavant. *{ p.11 } Les incertitudes*socio=uv3 qui se sont attachées aux arrangements*socio=et monétaires*socio=ec1 internationaux*socio=te et la flottaison de la livre sterling*socio=ec1 ont bouleversé les marchés*socio=ec1 des changes*socio=rien , mettant fin*socio=rien à la période*socio=te de *socio=rien calme relatif *socio=nil qui a suivi l'Accord_de_washington*socio=et. La crise*socio=uv2 qui menaçait a été*socio=rien évitée grâce*socio=rien à la reprise des swaps en faveur*socio=rien du dollar*socio=ec1 et à la décision*socio=rien du Federal Reserve Board d'intervenir activement sur*socio=rien le marché*socio=ec1. Toutefois, les difficultés*socio=ec2 qui s'étaient amorcées ont révélé la lenteur*socio=rien du processus*socio=te d'ajustement*socio=et du compte*socio=rien des transactions*socio=ec1 courantes*socio=te et du compte*socio=rien capital*socio=ec1. Le *socio=ec1 déficit commercial des*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil a augmenté considérablement*socio=rien et, au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1972, il a dépassé de plus de moitié*socio=rien celui de l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien 1971. Les balances commerciales*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac industriels*socio=ec1, à l'exception*socio=rien de celle du Royaume-uni*socio=ac, ont continué de s'améliorer pendant la même période*socio=te. En ce qui concerne le compte*socio=rien capital*socio=ec1, on a constaté *socio=rien un certain reflux *socio=nil vers les États-unis*socio=ac, mais ce mouvement*socio=ec2 a été*socio=rien arrêté par la crise*socio=uv2 de la livre sterling*socio=ec1 et, pour le *socio=rien premier semestre *socio=nil de l'année*socio=rien , le déficit*socio=ec1 des États-unis*socio=ac au titre*socio=rien des *socio=et règlements officiels,*socio=nil bien*socio=rien que*socio=nil considérablement*socio=rien *socio=nil réduit, est*socio=rien demeuré fâcheusement important*socio=rien . Comme il est*socio=rien indiqué au chapitre*socio=rien III, la persistance*socio=ec2 de positions*socio=rien extrêmement déficitaires et excédentaires*socio=ec2 est*socio=rien due essentiellement à ce que les modifications*socio=rien des termes_de_l'_échange*socio=ec1 résultant*socio=rien des nouvelles*socio=rien parités et l'opposition*socio=rien continue*socio=te des situations*socio=rien cycliques*socio=te ont retardé les effets*socio=rien que l'alignement des monnaies*socio=ec1 devait exercer sur*socio=rien les balances commerciales*socio=ec1 et les balances des transactions*socio=ec1 courantes*socio=te. Néanmoins, il demeure que le processus*socio=te d'ajustement*socio=et a été*socio=rien entravé également par le *socio=rien manque apparent de*socio=nil progrès*socio=uv1 *socio=nil dans les négociations*socio=et engagées en vue*socio=rien d'établir *socio=rien un nouveau système_monétaire*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil dernier point important *socio=nil a trait au comportement*socio=rien des prix*socio=ec1. Indépendamment de l'amélioration*socio=uv1 du comportement*socio=rien des coûts*socio=ec1 et des prix*socio=ec1 dans l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac, l'inflation*socio=ec2 s'est*socio=rien poursuivie avec autant de vigueur*socio=uv3, et parfois même à *socio=rien un rythme *socio=nil accéléré, dans presque tous les pays*socio=ac industriels*socio=ec1. Cependant, comme les taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 varient beaucoup d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, il en résultera peut-être à brève*socio=rien échéance*socio=te une structure*socio=ec1 des coûts*socio=ec1 et des prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien qui sera incompatible*socio=uv4 avec les parités négociées à Washington*socio=ac, ainsi que cela est*socio=rien déjà arrivé d'ailleurs*socio=rien pour la livre sterling*socio=ec1. L'arrêt*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 mondiale*socio=te peut donc *socio=rien être un préalable *socio=nil à l'établissement*socio=rien de tout système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te fondé sur*socio=rien des parités stables*socio=uv4, sinon fixes. Cela est*socio=rien d'autant plus probable*socio=uv4 que rien*socio=rien jusqu'ici n'a *socio=rien été fait *socio=nil pour réduire l'instabilité*socio=uv3 des mouvements*socio=ec2 de capitaux*socio=ec1 à court_terme*socio=te dort l'ampleur*socio=rien potentielle*socio=uv4 est*socio=rien telle qu'elle pourrait faire échec*socio=uv1 à toute tentative*socio=rien de financement*socio=ec1 compensatoire*socio=et. *{ p.12 } Étant donné l'accélération*socio=ec2 des échanges*socio=ec1 au cours*socio=rien des *socio=rien premiers mois *socio=nil de l'année*socio=rien , il est*socio=rien très probable*socio=uv4 qu'en 1972 la croissance*socio=uv3 du volume*socio=rien du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te dépassera 7%. et atteindra peut-être même 9%. Comme il faut s'attendre que les prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 à taux_de_change*socio=ec1 constants*socio=ec2 augmenteront de 2 à 3% et que la dépréciation*socio=ec2 du dollar*socio=ec1 ajoutera probablement quelque 7% aux chiffres enregistrés en dollars_courants*socio=ec1, on peut, à titre*socio=rien tout à fait*socio=rien indicatif, estimer à 15-20%. l'accroissement*socio=ec2 en valeur*socio=ec1 des échanges*socio=ec1 mondiaux*socio=te, à la condition*socio=rien , bien*socio=rien entendu, qu'il n'y ait pas de *socio=rien modifications majeures *socio=nil des parités actuelles*socio=te. Cette prévision*socio=ec2 implique que la croissance*socio=uv3 du volume*socio=rien des importations*socio=ec1 des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 se poursuivra jusqu'au milieu*socio=rien de 1973 au rythme*socio=rien d'environ 10% qui est*socio=rien le sien depuis le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1972. Elle implique également qu'à taux_de_change*socio=ec1 constants*socio=ec2 la *socio=ec1 valeur unitaire des*socio=nil exportations *socio=nil augmentera assez rapidement dans les douze *socio=rien prochains mois.*socio=nil