*{ GATT, Commerce international 1986 } *{ GATT*socio=et, Le commerce*socio=ec1 international*socio=te en 1986/1987, Genève*socio=ac, 1987, pp..22-28. } *{ p.22 } 3. Les grands*socio=rien problèmes*socio=ec2 actuels*socio=te. Il ne fait*socio=rien guère de doute que l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te ne parvient pas actuellement à mobiliser son *socio=uv4 potentiel productif.*socio=nil *socio=nil La reprise tant attendue de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 ne s'est*socio=rien pas produite l'an*socio=rien dernier*socio=rien (encadré 1.3) et la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 et du commerce*socio=ec1 mondiaux*socio=te demeure très en deçà des chiffres annuels*socio=rien moyens*socio=ec1 enregistrés dans les tumultueuses années*socio=rien 70 (4 et 5 % respectivement). Malgré certaines*socio=rien améliorations*socio=uv1, le chômage*socio=ec1 reste*socio=rien élevé*socio=uv4 dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac industriels*socio=ec1 et notamment en Europe*socio=ac occidentale*socio=te, sans parler de *socio=rien nombreuses parties du*socio=nil tiers_monde*socio=te *socio=nil où il sévit gravement et de manière*socio=rien persistante. Enfin, comme on l'a noté plus haut*socio=rien , les prévisions*socio=ec2 actuelles*socio=te ne permettent d'entrevoir une reprise majeure*socio=rien ni de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 ni de la croissance*socio=uv3 du commerce*socio=ec1 en 1988. La faiblesse*socio=rien de l'investissement*socio=ec1 des entreprises*socio=ac dans les installations industrielles*socio=ec1 et le matériel*socio=rien influe beaucoup sur*socio=rien les tendances*socio=ec2 récentes*socio=rien de la production*socio=ec1 et du commerce*socio=ec1. D'après*socio=rien les chiffres du FMI*socio=ac, la croissance*socio=uv3 annuelle*socio=rien des investissements*socio=ec1 des entreprises*socio=ac (hors stockage*socio=ec1) dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 est*socio=rien tombée en termes*socio=rien réels*socio=ec2 de 6/,% en 1985 à 0,4% en 1986; les prévisions*socio=ec2 pour l'année*socio=rien en cours*socio=rien font état*socio=rien d'un*socio=rien modeste*socio=rien accroissement*socio=ec2 de 1,6 %.2 De surcroît*socio=rien , les résultats*socio=rien d'études*socio=ec2 récentes*socio=rien font apparaître une diminution*socio=ec2 de l'efficacité*socio=uv3 de l'investissement*socio=ec1 ces *socio=rien dernières années *socio=nil ce qui ajoute encore à la gravité du phénomène*socio=rien . Il y a de *socio=rien bonnes raisons *socio=nil de chercher une des causes*socio=rien du *socio=rien comportement décevant *socio=nil de l'investissement*socio=ec1, de la production*socio=ec1 et du commerce*socio=ec1 dans une réaction asymétrique à l'évolution*socio=rien de deux "prix*socio=ec1" clés*socio=rien , les cours*socio=rien mondiaux*socio=te du pétrole*socio=ec1, en forte*socio=rien baisse*socio=ec2, et les taux_de_change*socio=ec1, qui sont entrés en mars*socio=rien 1985 dans une phase*socio=te de réajustement majeur*socio=rien . *{ p.23 } ENCADRE I.3. La croissance*socio=uv3 relativement faible*socio=rien de la production*socio=ec1 et du commerce*socio=ec1 mondiaux*socio=te est*socio=rien particulièrement décevante*socio=rien au regard*socio=rien de l'optimisme*socio=uv1 général*socio=rien qui régnait au début*socio=rien de 1986. Certaines*socio=rien tendances*socio=ec2 et divers phénomènes*socio=rien économiques*socio=ec1 faisaient croire alors à une reprise de la croissance*socio=uv3 et du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te. Le *socio=rien rythme rapide *socio=nil de l'innovation*socio=uv3 technologique*socio=ec1 offrirait des possibilités*socio=rien d'investissement*socio=ec1 accrues; dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil on, entreprenait d'améliorer la flexibilité*socio=uv3 structurelle; indiscutablement la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec2 faisait des progrès*socio=uv1 substantiels*socio=rien dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 et dans plusieurs pays_en_voie_de_développement*socio=ac; on observait en outre des évolutions*socio=rien favorables*socio=ec2 de caractère*socio=rien plus immédiat*socio=rien , en_particulier*socio=rien une baisse*socio=ec2 des *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux,*socio=nil un*socio=rien *socio=nil f des taux_de_change*socio=ec1 à des niveaux*socio=rien jugés plus réalistes*socio=uv4 et une forte*socio=rien baisse*socio=ec2 des cours*socio=rien mondiaux*socio=te du le domaine*socio=rien commercial*socio=ec1, les préparatifs d'une *socio=rien nouvelle grande *socio=nil série de négociations*socio=et ouvraient la perspective*socio=rien d'une amélioration*socio=uv1 durable*socio=uv4 du système*socio=rien commercial*socio=ec1 *socio=rien multilatéral Bien *socio=nil que ces conditions*socio=ec1 générales*socio=rien se soient maintenues pour la plupart*socio=rien , les espoirs d'accélération*socio=ec2 de la économique*socio=ec1 ont à l'évidence*socio=rien été*socio=rien déçus. Il *socio=rien est clair *socio=nil que dans l'optimisme*socio=uv1 général*socio=rien avec lequel on observait les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1, au début*socio=rien de 1986, on a négligé ou n'a pas prévu certains facteurs*socio=rien qui ont *socio=rien fait obstacle *socio=nil à l'accélération*socio=ec2 attendue de la croissance_économique*socio=ec1 et du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te Fin*socio=rien de l'encadré I.3. Il n'est*socio=rien guère douteux*socio=uv2, par exemple*socio=rien , que la première*socio=rien phase*socio=te de l'ajustement*socio=et à la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 a surtout atteint les *socio=ac pays exportateurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil - de même que les industries*socio=ec1 liées au pétrole*socio=ec1 et les régions*socio=te productrices*socio=ac d'énergie*socio=ec1 dans différents*socio=rien pays*socio=ac - dont les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 se sont trouvées altérées par la chute des prix*socio=ec1. On s'attendait bien*socio=rien entendu à une compression*socio=et des dépenses*socio=ec1 de la part*socio=rien des producteurs*socio=ac touchés, mais l'ampleur*socio=rien des coupes opérées, telle qu'elle ressort des statistiques*socio=ec2 disponibles*socio=rien , n'avait pas été*socio=rien prévue. En outre, l'allégement*socio=uv3 de la facture énergétique*socio=ec1 des consommateurs*socio=ac et des entreprises*socio=ac n'a pas stimulé leurs achats*socio=ec1 d'autres biens*socio=ec1 et services*socio=ec1 dans la mesure*socio=rien escomptée. Pour ce qui est*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1, les chiffres figurant dans l'encadré I.1 au début*socio=rien de ce rapport*socio=rien montrent que les producteurs*socio=ac touchés par les mouvements*socio=ec2 importants*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 qui ont eu lieu*socio=rien depuis mars*socio=rien 1985 ont également réagi de *socio=rien manières différentes,*socio=nil *socio=nil selon qu'ils étaient avantagés ou désavantagés*socio=uv4 par les changements*socio=uv3 de taux*socio=rien . L'effet*socio=rien défavorable*socio=uv4 sur*socio=rien les activités*socio=rien d'exportation*socio=ec1 dans les pays*socio=ac dont les monnaies*socio=ec1 se sont appréciées a été*socio=rien très marqué, tandis que le volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 dont les monnaies*socio=ec1 se sont dépréciées ne s'est*socio=rien accru que modestement ou même a diminué. Une des explications*socio=rien de ce *socio=rien phénomène est *socio=nil que les producteurs*socio=ac qui bénéficient d'un*socio=rien changement*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 peuvent généralement se permettre d'envisager l'ajustement*socio=et avec plus de prudence*socio=uv1 ou moins fébrilement que ceux que le changement*socio=uv3 désavantage. En outre, dans la mesure*socio=rien où les taux_de_change*socio=ec1 de la période*socio=te précédente*socio=rien avaient pu amener des entreprises*socio=ac à abandonner certains marchés*socio=ec1 ou à transférer certaines*socio=rien de leurs activités*socio=rien de_production*socio=ec1 à l'étranger*socio=te, l'ajustement*socio=et à la nouvelle*socio=rien structure*socio=ec1 des taux*socio=rien suppose plus qu'une *socio=rien simple décision *socio=nil d'accroître la production*socio=ec1 pour l'exportation*socio=ec1. La conquête de nouveaux*socio=rien marchés*socio=ec1 extérieurs*socio=te nécessite souvent des investissements*socio=ec1 corporels et incorporels dans des réseaux*socio=rien de veille et de service sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 étrangers*socio=uv4, ainsi qu'une expansion*socio=ec2 de la capacité*socio=ec1 productive*socio=uv4 qui prend nécessairement *socio=rien un certain temps.*socio=nil L'*socio=nil allure *socio=nil et le caractère*socio=rien de l'ajustement*socio=et sont soumis non seulement aux *socio=rien retards normaux *socio=nil dans ces domaines*socio=rien , mais aussi aux incertitudes*socio=uv3 qui entourent les *socio=rien niveaux futurs des*socio=nil prix*socio=ec1 du*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil et des taux_de_change*socio=ec1, *socio=rien Après être *socio=nil tombés aux alentours*socio=rien de 10 dollars*socio=ec1 le baril*socio=ec1 au milieu*socio=rien de l'année*socio=rien 1986, les prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 sont remontés dans *socio=rien un premier temps *socio=nil à environ 20 dollars*socio=ec1 le baril*socio=ec1. *{ p.24 } Plus récemment, les perspectives*socio=te concernant ces prix*socio=ec1 sont devenues plus floues, les marchés*socio=ec1 éprouvant des difficultés*socio=ec2 à interpréter des faits*socio=rien dont les implications*socio=rien pour l'évolution*socio=rien future*socio=rien des cours*socio=rien sont contradictoires*socio=uv2. Quant aux taux_de_change*socio=ec1 clés*socio=rien , il est*socio=rien très difficile*socio=rien de prévoir quelles seront à cet égard*socio=rien les tendances*socio=ec2 futures*socio=rien (voir plus loin*socio=rien ). Il *socio=rien est difficile de*socio=nil savoir *socio=nil si l'économie*socio=ec1 a déjà subi l'essentiel*socio=uv4 des *socio=rien effets négatifs *socio=nil de l'évolution*socio=rien des prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 et des taux_de_change*socio=ec1. Certains signes tendraient à le faire croire, par exemple*socio=rien la rapidité*socio=rien avec laquelle l'industrie*socio=ec1 japonaise*socio=ac parait s'adapter*socio=rien à un*socio=rien yen*socio=ec1 plus fort*socio=rien . Si tel est*socio=rien le cas*socio=rien , l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te pourrait *socio=rien être sur le*socio=nil point *socio=nil de voir les effets*socio=rien expansionnistes*socio=ec2 de cette évolution*socio=rien des prix*socio=ec1 l'emporter finalement sur*socio=rien les *socio=rien effets négatifs.*socio=nil *socio=nil Quoi qu'il en soit, on peut penser cependant que l'impulsion ainsi donnée aux taux_de_croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1 et du commerce*socio=ec1 restera modeste*socio=rien . En outre, d'autres causes*socio=rien de préoccupation*socio=uv4 persistent, parmi lesquelles le problème*socio=uv4 de l'endettement*socio=ec1 du tiers_monde*socio=te, le double*socio=rien déficit*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, le comportement*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 et le risque*socio=uv4 d'escalade des *socio=et politiques_commerciales protectionnistes.*socio=nil *socio=nil L'influence de ces *socio=rien facteurs sur la*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil de la production*socio=ec1 et du commerce*socio=ec1 *socio=rien est double.*socio=nil *socio=nil À des degrés*socio=rien divers, chacun de ces quatre facteurs*socio=rien a *socio=rien un effet négatif direct,*socio=nil par*socio=nil exemple *socio=nil lorsque les problèmes*socio=ec2 de service_de_la_dette*socio=ec1 réduisent la croissance*socio=uv3 et la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 dans les pays*socio=ac lourdement endettés. Ils exercent aussi indirectement *socio=rien un effet dépressif*socio=nil sur les*socio=nil taux_de_croissance*socio=ec1 mondiaux*socio=te *socio=nil en ajoutant à l'incertitude*socio=uv3 que ressentent les entreprises*socio=ac qui envisagent d'investir dans des installations industrielles*socio=ec1 ou du matériel*socio=rien . En accentuant notablement*socio=rien la marge d'incertitude*socio=uv3 qui entoure l'évolution*socio=rien future*socio=rien de certains prix*socio=ec1 et de certains marchés*socio=ec1 clés*socio=rien , ils réduisent le niveau*socio=rien global*socio=te - et l'efficacité*socio=uv3 - de l'investissement*socio=ec1 des entreprises*socio=ac, ce qui aboutit par contrecoup à freiner la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 et du commerce*socio=ec1 mondiaux*socio=te. Dette*socio=ec1 et commerce*socio=ec1 international*socio=te. En 1986, la valeur*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 des importations*socio=ec1 de marchandises*socio=ec1 dans les 15 pays*socio=ac lourdement endettés dont il a *socio=rien été question *socio=nil précédemment a baissé de plus de 40 % par rapport*socio=rien à 1981. Sur*socio=rien cette même période*socio=te, la valeur*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te a augmenté de près de 8 %. En 1981, ces 15 pays*socio=ac absorbaient 6,5% des importations*socio=ec1 mondiales*socio=te, soit à peu près autant cette année-là que le Japon*socio=ac, alors troisième*socio=rien importateur*socio=ec1 mondial*socio=te; en 1986, cette part*socio=rien n'était plus que de 4 %. Une telle réduction*socio=ec2 des importations*socio=ec1 a *socio=rien bien sûr *socio=nil pesé principalement sur*socio=rien le niveau_de_vie*socio=uv1 et l'investissement*socio=ec1 dans les pays*socio=ac endettés., Mais elle a eu aussi des répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien leurs partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. en_particulier*socio=rien , comme le service_de_la_dette*socio=ec1 a surtout posé des problèmes*socio=ec2 à l'amérique_latine*socio=ac, l'impact*socio=rien a été*socio=rien prononcé sur*socio=rien l'emploi*socio=ec1 et les bénéfices*socio=ec1 dans les branches*socio=rien exportatrices*socio=ec1 des États-unis*socio=ac. *{ p.25 } Le rétablissement*socio=rien de la situation*socio=rien des pays*socio=ac fortement endettés exige absolument qu'ils disposent de ressources*socio=ec1 accrues pour relancer à la fois*socio=rien leur croissance_économique*socio=ec1 et leur demande*socio=rien d'importations*socio=ec1. Il est*socio=rien donc encourageant d'observer les efforts consentis actuellement pour améliorer la situation*socio=rien des pays*socio=ac les plus pauvres, dont les créanciers*socio=ac sont le plus souvent les Trésors publics*socio=et des pays*socio=ac développés*socio=uv4. Il est*socio=rien envisagé notamment d'abaisser les taux_d'_intérêt*socio=ec1 sur*socio=rien la dette*socio=ec1 actuelle*socio=te, de proroger les délais*socio=rien de grâce*socio=rien , de rééchelonner les remboursements*socio=ec1, et d'accroître fortement les ressources*socio=ec1 du Mécanisme*socio=et d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 du FMI*socio=ac. Il demeure que, pour de nombreux*socio=rien pays_en_voie_de_développement*socio=ac, y compris la plupart*socio=rien de ceux dont les créanciers*socio=ac sont, pour l'essentiel*socio=uv4, des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, l'évolution*socio=rien récente*socio=rien n'a pas été*socio=rien encourageante. En dollars_courants*socio=ec1, les prêts*socio=ec1 bancaires internationaux*socio=te accordés à l'ensemble*socio=rien des pays_en_voie_de_développement*socio=ac n'ont cessé de diminuer, tombant de 52 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1981 à 5 milliards*socio=rien en 1986; pendant la même période*socio=te, les crédits*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 ont chuté de 18,4 à 2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. E *socio=rien est vrai *socio=nil que le flux*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 publics*socio=et destinés à financer la croissance*socio=uv3 des pays_en_voie_de_développement*socio=ac *socio=rien est passé *socio=nil de 49 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 en 1981 à 56,6 milliards*socio=rien l'an*socio=rien dernier*socio=rien , mais l'augmentation ne fait*socio=rien que refléter la dépréciation*socio=ec2 du dollar*socio=ec1; autrement, on aurait enregistré *socio=rien un recul *socio=nil de 4 % par rapport*socio=rien à 1985. En outre, le ralentissement*socio=ec2 brutal*socio=rien des prêts*socio=ec1 n'a pas fait*socio=rien baisser le rapport*socio=rien entre la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te et les exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=ec1 des pays*socio=ac fortement endettés. Entre 1982 et 1985 (année*socio=rien la plus récente*socio=rien pour laquelle On dispose de données sur*socio=rien les 15 pays*socio=ac), ce rapport*socio=rien a augmenté dans 13 des 15 pays*socio=ac. La baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 n'a pas empêché non plus le rapport*socio=rien entre les paiements*socio=ec1 au titre*socio=rien du service_de_la_dette*socio=ec1 et les exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=ec1 d'augmenter dans huit des 15 pays*socio=ac entre 1982 et 1985. Si l'on ajoute à cela la faible*socio=rien croissance_économique*socio=ec1 des pays*socio=ac industriels*socio=ec1 et la remontée insidieuse des taux_d'_intérêt*socio=ec1, les perspectives*socio=te immédiates*socio=rien ne sont pas encourageantes*socio=uv4 pour nombre*socio=rien de pays*socio=ac lourdement endettés. Le problème*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 a eu en outre des conséquences*socio=rien indirectes pour les pays_en_voie_de_développement*socio=ac auxquels le service de leur dette*socio=ec1 ne pose pas actuellement de graves*socio=rien problèmes*socio=ec2. Le flux*socio=ec1 des *socio=ec1 ressources financières *socio=nil vers tous les pays_en_voie_de_développement*socio=ac a fortement diminué. Nombre*socio=rien de ces pays*socio=ac ont une balance*socio=ec1 courante*socio=te fortement déficitaire*socio=ec2 et ils risquent, du fait*socio=rien de la raréfaction des capitaux*socio=ec1 étrangers*socio=uv4 disponibles*socio=rien , de ne pas être*socio=rien en mesure*socio=rien de maintenir aux niveaux*socio=rien actuels*socio=te leurs importations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 et de biens*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1. *{ p.26 } Malgré l'attention*socio=rien qui lui a *socio=rien été portée au*socio=nil cours *socio=nil de ces *socio=rien cinq dernières années,*socio=nil le*socio=nil problème*socio=uv4 *socio=nil de la dette*socio=ec1 est*socio=rien encore bien*socio=rien là. Les stratégies*socio=et appliquées jusqu'ici en la matière*socio=rien ont empêché une crise*socio=uv2 du système*socio=rien bancaire*socio=ec1, mais cela ne suffit pas pour considérer qu'elles ont été*socio=rien couronnées de succès*socio=uv1. pour essayer de régler ce problème*socio=uv4, il importe de concentrer les efforts sur*socio=rien deux aspects*socio=rien : l'ajustement*socio=et des structures*socio=ec1 de la production*socio=ec1 et du commerce*socio=ec1 des *socio=ac pays créanciers et*socio=nil débiteurs*socio=ec1 *socio=nil dans le cadre*socio=rien de marchés*socio=ec1 ouverts*socio=rien , et les ressources*socio=ec1 dont disposent les pays*socio=ac endettés pour stimuler l'investissement*socio=ec1 et la croissance_économique*socio=ec1. Tant que le problème*socio=uv4 restera aussi aigu*socio=rien , il fera obstacle*socio=rien à la reprise de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te - à la fois*socio=rien directement, du fait*socio=rien de la baisse*socio=ec2 des importations*socio=ec1 des pays*socio=ac lourdement endettés, et indirectement, en raison*socio=rien de l'incertitude*socio=uv3 qui en résulte pour les investissements*socio=ec1 dans les pays*socio=ac débiteurs*socio=ec1 et chez leurs partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. C'est*socio=rien donc le problème*socio=uv4 de tous, et pas uniquement*socio=rien des débiteurs*socio=ac et des banques*socio=ac et États*socio=ac qui sont leurs créanciers*socio=ac. Le double*socio=rien déficit*socio=ec1 des États-unis*socio=ac. Ces deux *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil on comptait principalement sur*socio=rien une dépréciation*socio=ec2 considérable*socio=rien du dollar*socio=ec1 pour réduire massivement le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien des États-unis*socio=ac. En 1987, comme on l'a signalé plus haut*socio=rien , l'évolution*socio=rien des exportations*socio=ec1 et des importations*socio=ec1 de marchandises*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, en volume*socio=rien a effectivement été*socio=rien marquée, jusqu'à présent*socio=rien , par quelques aspects*socio=rien encourageants*socio=uv4. Toutefois, mesurés en dollars*socio=ec1, le déficit*socio=ec1 du commerce*socio=ec1 des marchandises*socio=ec1 et le déficit*socio=ec1 des paiements_courants*socio=ec1 se sont accrus au heu de diminuer. Comme c'est*socio=rien le *socio=rien deuxième poste *socio=nil qui retient le plus l'attention*socio=rien - en partie*socio=rien parce qu'il est*socio=rien le premier*socio=rien à être*socio=rien publié - on est*socio=rien de plus en plus déçu de constater que la dépréciation*socio=ec2 du dollar*socio=ec1 ne conduit pas aux réductions*socio=ec2 promises du déficit*socio=ec1 des paiements_courants*socio=ec1. La frustration croissante*socio=rien qui en résulte soulève une vague de plus en plus puissante*socio=rien de propos*socio=rien et de revendications*socio=uv1 protectionnistes*socio=et aux États-unis*socio=ac. Ce dont ces revendications*socio=uv1 protectionnistes*socio=et ne tiennent pas compte*socio=rien , c'est*socio=rien que ni la théorie*socio=ec2 économique*socio=ec1 ni l'expérience*socio=ec2 ne permettent de croire qu'un*socio=rien renforcement des obstacles*socio=rien au commerce*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac entamerait une réduction*socio=ec2 durable*socio=uv4 du déficit*socio=ec1 des paiements_courants*socio=ec1. Si les économistes*socio=ac sont divisés lorsqu'il s'agit de savoir*socio=rien dans quelle mesure*socio=rien la dépréciation*socio=ec2 externe*socio=ec1 de la monnaie*socio=ec1 peut suppléer une réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et, ils sont quasiment unanimes à estimer qu'un*socio=rien relèvement*socio=ec2 des obstacles*socio=rien au commerce*socio=ec1 serait impuissant à réduire le déficit*socio=ec1 courant*socio=rien . Ainsi, un*socio=rien renforcement massif*socio=rien du protectionnisme*socio=et aux États-unis*socio=ac non seulement ne ferait pas baisser durablement les *socio=ec1 déficits commerciaux et*socio=nil courants*socio=te,*socio=nil *socio=nil mais encore inciterait les autres pays*socio=ac à prendre d'importantes*socio=rien mesures*socio=et de rétorsion, de sorte*socio=rien que tout_le_monde*socio=te perdrait des débouchés*socio=ec1. Comme il existe *socio=rien un rapport direct *socio=nil entre le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et et celui des paiements_courants*socio=ec1, il est*socio=rien très probable*socio=uv4 que des progrès*socio=uv1 substantiels*socio=rien seront réalisés dans la réduction*socio=ec2 de ce dernier*socio=rien si les objectifs*socio=uv4 de plus amples*socio=rien réductions*socio=ec2 du premier*socio=rien sont atteints. Il est*socio=rien encourageant de noter que les estimations*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 *socio=et budgétaire fédéral *socio=nil pour l'"exercice*socio=rien financier*socio=ec1 se terminant le 30 septembre*socio=rien font apparaître une diminution*socio=ec2 de près de 73 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, le déficit*socio=ec1 étant ramené de 221 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien à 148 milliards*socio=rien . En *socio=rien dernière analyse,*socio=nil la*socio=nil question n'*socio=nil est *socio=nil pas de savoir*socio=rien si l'on viendra sensiblement à bout*socio=rien de ces deux déficits*socio=ec1, mais comment et quand ce résultat*socio=rien sera obtenu et quelles en seront les répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien l'économie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac et le reste*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. En *socio=rien rapport étroit *socio=nil avec ce problème*socio=uv4, la question*socio=rien se pose aussi de savoir*socio=rien dans quelle mesure*socio=rien d'autres pays*socio=ac pourraient, en modifiant leurs politiques*socio=et, faciliter la transition*socio=uv3 vers la résorption*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, tout en maintenant une croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. En attendant, les controverses*socio=uv1 au sujet*socio=rien des réponses à donner à ces questions*socio=rien et l'incertitude*socio=uv3 qui en résulte n'incitent guère les entreprises*socio=ac à investir dans leurs installations et leur matériel*socio=rien , et c'est*socio=rien probablement là l'un*socio=rien des *socio=rien principaux facteurs *socio=nil qui assombrissent les perspectives*socio=te d'une reprise de la croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te. taux_de_change*socio=ec1 et commerce*socio=ec1. Le comportement*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 influe sur*socio=rien les perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 de deux manières*socio=rien étroitement liées. La première*socio=rien tient à l'incertitude*socio=uv3 concernant les *socio=rien variations futures *socio=nil des taux_de_change' que suscite l'ampleur*socio=rien de la distorsion que les*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 peuvent*socio=rien introduire dans*socio=rien la concurrence*socio=ec1 internationale*socio=te. Dans*socio=rien l'environnement*socio=et actuel*socio=te, la *socio=rien principale source d'*socio=nil inquiétude des*socio=nil producteurs*socio=ac *socio=nil et des commerçants*socio=ac est*socio=rien le *socio=rien grand nombre de*socio=nil facteurs apparemment*socio=nil externes*socio=ec1 *socio=nil qui peuvent avoir une *socio=rien incidence sur les*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 des*socio=nil grandes monnaies*socio=ec1.*socio=nil Ces*socio=nil facteurs ont*socio=nil été la*socio=nil cause *socio=nil non seulement de larges*socio=rien fluctuations*socio=ec2 à court_terme*socio=te, mais aussi d'écarts*socio=rien plus durables*socio=uv4 par rapport*socio=rien aux niveaux*socio=rien qui correspondraient au pouvoir_d'_achat*socio=ec1 des différentes*socio=rien monnaies*socio=ec1. Il n'est*socio=rien pas difficile*socio=rien de prévoir comment les sociétés*socio=ac et les entrepreneurs*socio=ac qui envisagent d'investir en installations et en matériels*socio=rien vont réagir et quelle sera, à travers*socio=rien l'investissement*socio=ec1, l'incidence*socio=rien de cette réaction sur*socio=rien la production*socio=ec1 et le commerce*socio=ec1 mondiaux*socio=te - face*socio=rien à l'opinion*socio=uv1 largement répandue que les valeurs*socio=ec1 relatives*socio=rien des monnaies*socio=ec1 nationales*socio=te ne reflètent pas la compétitivité*socio=uv1 réelle*socio=ec2 de chaque pays*socio=ac. La dérive à long_terme*socio=te et les *socio=rien fortes oscillations à*socio=nil court_terme*socio=te des*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 *socio=nil sont particulièrement graves*socio=rien pour les décisions*socio=rien ; d'investissement*socio=ec1 dans les industries*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et les industries*socio=ec1 en concurrence*socio=ec1 avec les importations*socio=ec1. *{ p.27 } Les distorsions*socio=ec2 et le "bruit" qu'elles engendrent brouillent les signaux*socio=rien émis sous forme*socio=rien de prix*socio=ec1 par le marché*socio=ec1 mondial*socio=te, qui sont l'information*socio=rien brute*socio=rien permettant de discerner l'apparition*socio=rien d'excédents*socio=ec1 et de pénuries*socio=ec2 dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te ainsi que les variations*socio=rien de la compétitivité*socio=uv1 internationale*socio=te. Le sentiment*socio=rien que le système*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 ne fonctionne pas correctement peut également avoir pour effet*socio=rien de miner la fidélité*socio=uv1 des autorités*socio=et à une politique_commerciale*socio=ec1 relativement ouverte*socio=uv4 et libérale*socio=et. Dans certains cas*socio=rien , on pensera, à tort*socio=rien , que des politiques_commerciales*socio=et plus restrictives*socio=uv4 pourront en quelque manière*socio=rien aider un*socio=rien pays*socio=ac à supporter les effets*socio=rien défavorables*socio=uv4 des variations*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1. Mais le plus souvent, il s'agira plutôt d'une sorte*socio=rien de désabusement conduisant à cesser de s'inquiéter des politiques_commerciales*socio=et puisque les taux_de_change*socio=ec1 faussent déjà tellement la situation*socio=rien . Ces remarques ne font qu'illustrer l'un*socio=rien des *socio=rien nombreux aspects *socio=nil que peut revêtir l'interdépendance*socio=uv3 des politiques*socio=et et montrer comment, en ces matières*socio=rien , des problèmes*socio=ec2 qui apparaissent dans *socio=rien un domaine *socio=nil peuvent avoir de *socio=rien graves conséquences *socio=nil dans d'autres domaines*socio=rien . Le rôle*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien commercial*socio=ec1 renforcé. Les pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et s'accentuent toujours en période*socio=te de faible*socio=rien croissance_économique*socio=ec1. Dans la *socio=te conjoncture actuelle,*socio=nil ces*socio=nil pressions*socio=ec2 *socio=nil s'intensifient du fait*socio=rien des difficultés*socio=ec2 rencontrées dans d'autres domaines*socio=rien de l'action*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=et dont il *socio=rien est question aux*socio=nil pages précédentes.*socio=nil C'*socio=nil est *socio=nil pourquoi on a de plus en plus tendance*socio=ec2 à voir les importations*socio=ec1 comme une menace*socio=ec2 et à considérer que les marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 sont difficiles*socio=rien et incertains*socio=rien . Comme les mesures*socio=et prises*socio=rien par les pouvoirs_publics*socio=et ont des répercussions*socio=ec2 qui dépassent les *socio=te frontières nationales,*socio=nil *socio=nil il faut les apprécier dans un*socio=rien contexte international*socio=te et non purement national*socio=te. En faussant l'environnement*socio=et concurrentiel*socio=ec2, les *socio=et politiques_commerciales protectionnistes *socio=nil affaiblissent la croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te - à la fois*socio=rien directement par leurs répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien les niveaux*socio=rien et la structure*socio=ec1 du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te, et indirectement par l'incertitude*socio=uv3 qu'elles contribuent à aggraver et qui paralyse l'investissement*socio=ec1, en_particulier*socio=rien l'investissement*socio=ec1 lié au commerce*socio=ec1. *{ p.28 } Ces mesures*socio=et et ces menaces*socio=ec2 dans le domaine*socio=rien commercial*socio=ec1 ont aussi déclenché, récemment, de vives réactions sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 et les marchés*socio=ec1 des changes*socio=rien du monde*socio=te entier*socio=rien . Ainsi qu'il ressort du *socio=rien présent rapport,*socio=nil *socio=nil l'interaction entre les politiques*socio=et est*socio=rien devenue de plus en plus marquée et l'on a plus que jamais besoin*socio=rien d'un*socio=rien ensemble*socio=rien de règles*socio=et et de *socio=rien disciplines propre *socio=nil à réduire l'incertitude*socio=uv3 entourant les politiques_commerciales*socio=et futures*socio=rien et à garantir que les *socio=rien décisions prises au*socio=nil niveau national*socio=te tiendront*socio=nil compte des*socio=nil répercussions*socio=ec2 *socio=nil qu'elles peuvent avoir dans d'autres pays*socio=ac. Dans le domaine*socio=rien commercial*socio=ec1, cet ensemble*socio=rien de règles*socio=et et de disciplines*socio=rien s'appelle l'accord_général*socio=rien sur*socio=rien les *socio=et tarifs douaniers *socio=nil et le commerce*socio=ec1. La décision*socio=rien de lancer les Négociations*socio=et de l'uruguay_round*socio=et, qui met l'accent*socio=rien sur*socio=rien l'amélioration*socio=uv1 des règles*socio=et et disciplines*socio=rien commerciales*socio=ec1 - en_particulier*socio=rien celles dont dépendent les conditions*socio=ec1 de concurrence*socio=ec1 - montre l'importance*socio=rien que les gouvernements*socio=ac attachent au renforcement de ce cadre*socio=rien multilatéral orienter les politiques_commerciales*socio=et nationales*socio=te. Le lancement*socio=rien de cette nouvelle*socio=rien série de négociations*socio=et n'a, *socio=rien bien sûr,*socio=nil *socio=nil pas mis fin*socio=rien aux pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et et aux frictions commerciales*socio=ec1. Afin de contenir les pressions*socio=ec2 et de maîtriser*socio=rien les frictions qui apparaîtront inévitablement au cours*socio=rien des négociations*socio=et, la Déclaration de Punta del Este comporte un*socio=rien accord*socio=et de statu_quo*socio=rien et établit un*socio=rien mécanisme*socio=et de surveillance*socio=et pour contrôler le respect*socio=uv1 de cet engagement*socio=uv1. Il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 de sauvegarder les niveaux*socio=rien actuels*socio=te de libéralisation*socio=et du commerce*socio=ec1, mais ce n'est*socio=rien pas assez Les taux_de_croissance*socio=ec1 décevants*socio=rien de la production*socio=ec1 et du commerce*socio=ec1 mondiaux*socio=te, les nouvelles*socio=rien tensions*socio=uv3 et difficultés*socio=ec2 qui affectent l'environnement*socio=et économique*socio=ec1 et commercial*socio=ec1, ainsi que l'état*socio=rien des politiques_commerciales*socio=et, montrent bien*socio=rien qu'il *socio=rien est nécessaire *socio=nil d'améliorer et d'élargir le cadre*socio=rien qui régit le commerce*socio=ec1 international*socio=te. uruguay_round*socio=et offre*socio=rien une *socio=rien occasion unique *socio=nil de doter la communauté*socio=ac internationale*socio=te d'un*socio=rien système*socio=rien commercial*socio=ec1 qui puisse fonctionner efficacement jusqu'à la fin*socio=rien du siècle*socio=rien et au-delà.