*{ GATT, Commerce international 1987 } *{ GATT*socio=et, Le commerce*socio=ec1 international*socio=te en 1987/1988, Genève*socio=ac, 1988, pp.47-52. } *{ p.47 } III. La politique_commerciale*socio=ec1 et l'évolution*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. L'évolution*socio=rien du commerce*socio=ec1 des marchandises*socio=ec1 analysée dans la *socio=rien première section est *socio=nil d'une *socio=rien manière générale *socio=nil encourageante. Au cours*socio=rien des 18 *socio=rien derniers mois,*socio=nil l'*socio=nil expansion*socio=ec2 du*socio=nil commerce*socio=ec1 mondial*socio=te a*socio=nil été très*socio=nil supérieure *socio=nil à la moyenne*socio=rien des années*socio=rien 80 et il *socio=rien est vraisemblable *socio=nil que 1988 sera la *socio=rien deuxième année *socio=nil consécutive où la croissance*socio=uv3 des échanges*socio=ec1 avoisinera 5%. Les perspectives*socio=te pour 1989 et les *socio=rien années suivantes *socio=nil sont naturellement plus incertaines*socio=rien . Étant donné le nombre*socio=rien des questions*socio=rien non résolues qui sont évoquées à la fin*socio=rien de la *socio=rien première section,*socio=nil *socio=nil il y a tout lieu*socio=rien de présumer que la production*socio=ec1 et le commerce*socio=ec1 continueront d'être*socio=rien influencés par *socio=rien diverses évolutions *socio=nil affectant les prix*socio=ec1, l'emploi*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3, ainsi que par les politiques*socio=et conçues pour répondre à ces évolutions*socio=rien . Dans ce domaine*socio=rien , toute prévision*socio=ec2 à longue*socio=rien échéance*socio=te est*socio=rien naturellement difficile*socio=rien . L'action*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=et est*socio=rien nécessairement influencée par des *socio=rien considérations immédiates,*socio=nil *socio=nil mais les décisions*socio=rien de politique_commerciale*socio=ec1 doivent tenir le plus *socio=rien grand compte des*socio=nil facteurs sous-jacents *socio=nil et des tendances*socio=ec2 qui affectent l'évolution*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. C'est*socio=rien dans cet esprit*socio=rien que nous analyserons très rapidement les implications*socio=rien de deux *socio=rien importants facteurs *socio=nil qui, à long_terme*socio=te, tendent à modifier la structure*socio=ec1 de la production*socio=ec1 et du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te. Les forces*socio=uv1 du changement*socio=uv3. De nos jours*socio=rien , la *socio=rien seule constante,*socio=nil *socio=nil si l'on peut dire, de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te est*socio=rien le changement*socio=uv3. Il affecte la demande*socio=ec1, la production*socio=ec1, l'emploi*socio=ec1 et le commerce*socio=ec1. Parmi les facteurs*socio=rien de changement*socio=uv3, il en est*socio=rien deux en_particulier*socio=rien - les technologies*socio=ec1 nouvelles*socio=rien et les tendances*socio=ec2 divergentes*socio=uv2 de l'évolution*socio=rien démographique*socio=ec1 - qui contribueront puissamment à modeler la *socio=rien physionomie future du*socio=nil commerce*socio=ec1 mondial*socio=te.*socio=nil La*socio=nil technologie*socio=ec1 *socio=nil mondialise les marchés*socio=ec1. Il n'est*socio=rien guère douteux*socio=uv2 que le monde*socio=te est*socio=rien entré dans une nouvelle*socio=rien phase*socio=te de progrès*socio=uv1 technologiques*socio=ec1 rapides*socio=rien . De l'avis*socio=rien général*socio=rien , ceux-ci résultent en *socio=rien grande partie *socio=nil de l'emploi*socio=ec1 croissant*socio=rien , dans les domaines*socio=rien de la production*socio=ec1, de l'organisation*socio=ec2, de la conception*socio=ec2 des produits*socio=rien industriels*socio=ec1 et du marketing ec1 nouvelles*socio=rien fondées sur*socio=rien la micro-électronique*socio=ec1, qui sont elles-mêmes en *socio=rien constante évolution.*socio=nil *socio=nil En permettant une adaptation*socio=uv3 plus souple*socio=uv4 à L'évolution*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et étrangère et, combinée avec des innovations*socio=uv3 dans des domaines*socio=rien tels que la biotechnologie*socio=rien , la technologie*socio=ec1 du laser, celle des fibres*socio=ec1 optiques, de l'énergie*socio=ec1 et de l'espace*socio=te, en facilitant la mise au point*socio=rien de *socio=rien produits nouveaux *socio=nil et plus différenciés, ces nouvelles*socio=rien technologies*socio=ec1 élargissent considérablement*socio=rien les possibilités*socio=rien de spécialisation*socio=uv3 et de diversification*socio=ec2 des produits*socio=rien qui alimentent le commerce*socio=ec1 international*socio=te. En même temps*socio=rien , elles renforcent la composante*socio=rien services*socio=ec1 du commerce*socio=ec1 des marchandises*socio=ec1. Les *socio=rien possibilités nouvelles *socio=nil qui s'offrent ainsi aux entreprises*socio=ac et aux pays*socio=ac sont encore amplifiées par les progrès*socio=uv1 majeurs*socio=rien réalisés dans les transports*socio=ec1 qui ne cessent de réduire le coût*socio=ec1 de L'acheminement*socio=rien international*socio=te des marchandises*socio=ec1. Les progrès*socio=uv1 récents*socio=rien en matière*socio=rien de télécommunications*socio=ec1 ont encore plus contribué à réduire la distance économique*socio=ec1 entre les pays*socio=ac. La possibilité*socio=rien de disposer d'une *socio=rien information meilleure *socio=nil et plus rapide*socio=rien élargit les marchés*socio=ec1 et internationalise toujours plus les décisions*socio=rien en matière*socio=rien de_production*socio=ec1, d'achat*socio=ec1 et de vente*socio=ec1. Les télécommunications*socio=ec1 modernes*socio=uv2 stimulent également les échanges*socio=ec1 mondiaux*socio=te en facilitant le développement*socio=uv3 du commerce*socio=ec1 international*socio=te des services*socio=ec1 et la réalisation*socio=uv1 d'un*socio=rien marché*socio=ec1 mondial*socio=te des capitaux*socio=ec1. *{ p.48 } À l'échelon de l'entreprise*socio=ac, ces changements*socio=uv3 contribuent puissamment à internationaliser la production*socio=ec1 et la distribution, à l'intérieur*socio=te des sociétés*socio=ac et entre sociétés*socio=ac de différents*socio=rien pays*socio=ac et à multiplier les petites*socio=rien ou moyennes*socio=rien entreprises*socio=ac spécialisées*socio=uv4 dont la viabilité*socio=uv3 est*socio=rien liée à l'existence*socio=rien de débouchés*socio=ec1 internationaux*socio=te pour leurs produits*socio=rien . Au plan*socio=rien de l'économie*socio=ec1 internationale*socio=te, les changements*socio=uv3 se caractérisent par des tendances*socio=ec2 qui ont été*socio=rien décrites dans la *socio=rien première section,*socio=nil à*socio=nil savoir une*socio=nil progression*socio=ec2 du*socio=nil commerce*socio=ec1 extérieur *socio=nil que celle de la production*socio=ec1 nationale*socio=te, une diversification*socio=ec2 des exportations*socio=ec1, qui s'étendent à des produits*socio=rien et à des marchés*socio=ec1 nouveaux*socio=rien , et l'apparition*socio=rien de nouveaux*socio=rien venus dans le peloton_de_tête La course aux investissements*socio=ec1 rentables*socio=ec2 et les nouvelles*socio=rien technologies*socio=ec1 conjuguent leurs effets*socio=rien pour favoriser la mondialisation*socio=te des marchés*socio=ec1 et élargir considérablement*socio=rien le champ*socio=rien du commerce*socio=ec1 international*socio=te. En conséquence*socio=rien le *socio=ec1 coût économique des*socio=nil obstacles*socio=rien non*socio=nil tarifaires*socio=et au*socio=nil commerce,*socio=nil *socio=nil notamment les restrictions*socio=et quantitatives, augmentera de pair*socio=rien avec la mondialisation*socio=te des marchés*socio=ec1 en cours*socio=rien , quand bien*socio=rien même ces obstacles*socio=rien resteraient au même niveau*socio=rien . Ce handicap*socio=uv2 économique*socio=ec1 est*socio=rien particulièrement dommageable*socio=uv4 au moment*socio=rien où l'évolution*socio=rien démographique*socio=ec1 commande plus que jamais une croissance*socio=uv3 plus rapide*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. L'évolution*socio=rien démographique*socio=ec1 et la dynamique*socio=uv4 du marché*socio=ec1. Suivant*socio=rien les plus récentes*socio=rien projections*socio=ec2 démographiques*socio=ec1 des nations_unies*socio=ac, les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 entrent dans une ère*socio=te où ils pourront de moins en moins se permettre de pénaliser leur croissance_économique*socio=ec1 en refusant ou en retardant les ajustements*socio=et structurels indispensables*socio=uv4. Dans plusieurs d'entre eux, le taux*socio=rien de natalité*socio=et est*socio=rien déjà inférieur*socio=rien à celui qui est*socio=rien généralement nécessaire*socio=rien pour maintenir l'effectif*socio=rien de leur population*socio=ac, et d'après*socio=rien les projections*socio=ec2 actuelles*socio=te, la contribution*socio=uv1 de ces pays*socio=ac à l'accroissement*socio=ec2 de la population*socio=ac mondiale*socio=te sera seulement de 50 pour 1000 durant la période*socio=te 1990-2010. Compte*socio=rien tenu de ces projections*socio=ec2 et en admettant qu'aucun changement*socio=uv3 majeur*socio=rien n'intervienne dans leurs politiques*socio=et d'immigration*socio=et, les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 se trouvent placés devant*socio=rien la perspective*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 démographique*socio=ec1 à peu près nulle*socio=rien , d'un*socio=rien vieillissement progressif de leur population*socio=ac et d'un*socio=rien *socio=ec2 accroissement régulier *socio=nil de la proportion*socio=rien des retraités*socio=ac par rapport*socio=rien à la population_active*socio=ac. Ces mêmes statistiques*socio=ec2 démographiques*socio=ec1 font prévoir une progression*socio=ec2 de près de 50% de la population*socio=ac des pays_en_voie_de_développement*socio=ac entre 1990 et 2010, soit un*socio=rien accroissement*socio=ec2 net*socio=rien de 1,4 milliard*socio=rien de personnes*socio=rien . Les taux_de_croissance*socio=ec1 de la population_active*socio=ac sont, bien*socio=rien entendu, plus difficiles*socio=rien à prédire en raison*socio=rien des *socio=rien variations possibles des*socio=nil taux d'*socio=nil activité *socio=nil de la main-d'_oeuvre*socio=ac disponible*socio=rien . Cela étant, les prévisions*socio=ec2 font état*socio=rien d'un*socio=rien accroissement*socio=ec2 net*socio=rien de 55%, représentant*socio=rien l'arrivée*socio=rien de 600 millions*socio=rien de nou veaux travailleurs*socio=ac dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac entre 1990 et 2010, Cette augmentation disponible*socio=rien dans ces pays*socio=ac est*socio=rien légèrement supérieure*socio=rien à la population*socio=ac actuelle*socio=te globale de l'amérique_du_nord*socio=ac et de l'Europe*socio=ac occidentale*socio=te. On a vu que la mondialisation*socio=te des marchés*socio=ec1 induite par la technologie*socio=ec1 se traduit par une offre*socio=rien de produits*socio=rien étrangers*socio=uv4 plus variés et moins chers. Les restrictions*socio=et quantitatives et autre, mesure*socio=rien , non tarifaires*socio=et de protection*socio=et empêchent les consommateurs*socio=ac et les industries*socio=ec1 utilisatrices de bénéficier de ces avantages*socio=rien . En isolant le marché*socio=ec1 national*socio=te alors que le monde*socio=te extérieur pour effet*socio=rien , non seulement d'augmenter le prix*socio=ec1 des produits*socio=rien étrangers*socio=uv4 par rapport*socio=rien à celui des produits*socio=rien indigènes équivalents*socio=rien (comme le font les droits*socio=uv1 de douane*socio=ac consolidés). mais aussi de creuser sans cesse cet écart*socio=rien à mesure*socio=rien que les produits*socio=rien étrangers*socio=uv4 deviennent meilleur*socio=rien marché*socio=ec1. Les branches*socio=rien exportatrices*socio=ec1 seront elles-mêmes indirectement affectées par ce processus*socio=te car le commerce*socio=ec1 international*socio=te n'est*socio=rien pas à *socio=rien sens unique.*socio=nil Toute*socio=nil mesure de*socio=nil limitation*socio=et des*socio=nil importations*socio=ec1 *socio=nil se traduit nécessairement. en définitive*socio=rien . par une moindre*socio=rien participation*socio=uv3 à l'expansion*socio=ec2 des exportations*socio=ec1 mondiales*socio=te. *{ p.49 } Cette *socio=rien situation est lourde de*socio=nil conséquences *socio=nil pour l'évolution*socio=rien de la demande*socio=ec1, de la production*socio=ec1 et du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te. Les statistiques*socio=ec2 démographiques*socio=ec1 conduisent à penser qu'au cours*socio=rien des prochaines*socio=rien décennies*socio=te, les pays_en_voie_de_développement*socio=ac auront le plus grand*socio=rien potentiel*socio=uv4 de croissance*socio=uv3 et seront les marchés*socio=ec1 les plus dynamiques*socio=uv4 pour *socio=rien un grand nombre de*socio=nil marchandises*socio=ec1 *socio=nil et de services*socio=ec1. Comme, d'autre part*socio=rien , la nature*socio=rien des biens*socio=ec1 et services*socio=ec1 demandés varie suivant*socio=rien le revenu*socio=ec1 et l'âge*socio=rien des consommateurs*socio=ac, il est*socio=rien probable*socio=uv4 que d'importants*socio=rien changements*socio=uv3 interviendront aussi dans la composition*socio=rien de la production*socio=ec1 mondiale*socio=te. Pour ce qui est*socio=rien des projections*socio=ec2 concernant la main-d'_oeuvre*socio=ac, la combinaison*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 élevée*socio=uv4 dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac et faible*socio=rien ou nulle*socio=rien dans les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 affectera vraisemblablement*socio=rien la compétitivité*socio=uv1 relative*socio=rien de toutes sortes*socio=rien d'industries*socio=ec1. S'il *socio=rien est impossible *socio=nil de prévoir exactement le résultat*socio=rien de ces *socio=rien diverses évolutions,*socio=nil *socio=nil il n'est*socio=rien guère douteux*socio=uv2 que les *socio=rien prochaines années *socio=nil verront persister et même peut-être s'intensifier les forces*socio=uv1 qui poussent l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te à un*socio=rien ajustement*socio=et des structures*socio=ec1 de la production*socio=ec1 et du commerce*socio=ec1. Les défis posés aux politiques_commerciales*socio=et. Les forces*socio=uv1 de changement*socio=uv3 analysées ci-dessus posent un*socio=rien défi*socio=uv2 direct*socio=rien aux politiques_commerciales*socio=et qui, en_particulier*socio=rien , doivent constamment rechercher les moyens*socio=ec1 de faciliter en *socio=rien temps opportun les*socio=nil ajustements*socio=et nécessaires.*socio=nil *socio=nil En d'autres termes*socio=rien , les tendances*socio=ec2 actuelles*socio=te du système*socio=rien commercial*socio=ec1 et des politiques_commerciales*socio=et nationales*socio=te sont-elles susceptibles*socio=rien de faciliter ou d'entraver la mutation*socio=ec2 en cours*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te? Le système*socio=rien commercial*socio=ec1 multilatéral évolution*socio=rien des structures*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3 d e l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te de deux manières*socio=rien , dont la première*socio=rien consiste à promouvoir la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 et la deuxième*socio=rien à établir *socio=rien un cadre de*socio=nil règles*socio=et *socio=nil et de disciplines*socio=rien pour la conduite*socio=rien des politiques_commerciales*socio=et nationales*socio=te. En empêchant la majoration*socio=rien des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac (par le moyen*socio=rien des "consolidations"), en interdisant l'application*socio=rien de restrictions*socio=et quantitatives en dehors de circonstances*socio=rien exceptionnelles*socio=uv4 et en établissant des dispositions tendant à réduire au minimum*socio=rien les distorsions*socio=ec2 dans le jeu*socio=rien de la concurrence*socio=ec1, ces règles*socio=et et disciplines*socio=rien visent à rendre à l'avenir*socio=te les politiques_commerciales*socio=et plus stables*socio=uv4 et plus prévisibles*socio=uv4 et à promouvoir ainsi les investissements*socio=ec1 liés à l'échange*socio=ec1 international*socio=te, qui commandent eux-mêmes l'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2. Le système*socio=rien commercial*socio=ec1 ne s'est*socio=rien pas toujours acquitté de ces tâches*socio=rien avec toute l'efficacité*socio=uv3 espérée par ses créateurs*socio=rien . Néanmoins, la valeur*socio=ec1 de ces règles*socio=et et la volonté des gouvernements*socio=ac de défendre le système*socio=rien du GATT*socio=et ne se sont toujours pas démenties 40 *socio=rien années après l'*socio=nil entrée en*socio=nil vigueur*socio=uv3 *socio=nil de l'accord_général*socio=rien . Le système*socio=rien a été*socio=rien soumis à des tensions*socio=uv3 particulières*socio=rien dans les années*socio=rien 80, du fait*socio=rien de phénomènes*socio=rien d'ordre*socio=rien principalement macro-économique, mais aussi micro-économique*socio=ec1. Malgré ces tensions*socio=uv3 (imputables*socio=uv2 aussi, en partie*socio=rien , à des erreurs*socio=uv4 de politique_commerciale*socio=ec1), il n'y a pas eu de retour*socio=rien en force*socio=uv1 du protectionnisme*socio=et. Conscients*socio=uv2 de l'importance*socio=rien d'un*socio=rien renforcement des règles*socio=et de la concurrence*socio=ec1, d'une libéralisation*socio=et accrue des échanges*socio=ec1 et d'une extension*socio=rien de celle-ci à de *socio=rien nouveaux domaines du*socio=nil commerce*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil pays_membres*socio=ac du*socio=nil GATT*socio=et,*socio=nil *socio=nil qui ont vu depuis 1980 leur nombre*socio=rien augmenter de onze tandis que six autres pays*socio=ac sont sur*socio=rien les rangs*socio=rien pour devenir*socio=rien membres*socio=ac à *socio=rien part entière,*socio=nil *socio=nil se sont lancés dans le cycle*socio=te de négociations*socio=et le plus ambitieux*socio=uv2 et de la portée*socio=rien la plus vaste*socio=rien qu'ait connu le GATT*socio=et. *{ p.50 } Cette initiative*socio=rien répond en même temps*socio=rien aux préoccupations*socio=uv4 qu'inspire la multiplication*socio=rien des différends*socio=uv2 commerciaux*socio=ec1 et au sentiment*socio=rien que, dans une conjoncture*socio=te macro-économique défavorable*socio=uv4, les règles*socio=et existantes*socio=rien n'ont pas toujours *socio=rien été capables *socio=nil d'empêcher la prolifération de mesures*socio=et qui bloquent plus qu'elles ne facilitent l'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2. Les limitations*socio=et quantitatives des exportations*socio=ec1 à caractère*socio=rien discriminatoire*socio=uv2 et le développement*socio=uv3 des subventions*socio=ec1 à l'agriculture*socio=ec1 figurent actuellement parmi les mesures*socio=et les plus dangereuses pour le système*socio=rien de commerce*socio=ec1 multilatéral on s'est*socio=rien plaint d'une utilisation*socio=rien plus agressive des mesures*socio=et antidumping et des *socio=et mesures compensatoires.*socio=nil '*socio=nil *socio=nil Ce sont principalement les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 qui, soumis à des pressions*socio=ec2 protectionnistes*socio=et, recourent à ces méthodes*socio=rien . De leur côté*socio=rien , de nombreux*socio=rien pays_en_voie_de_développement*socio=ac ont un*socio=rien régime*socio=et commercial*socio=ec1 caractérisé par des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac élevés*socio=uv4 et non consolidés et des formalités de licences*socio=et d'importation*socio=ec1, que ces pays*socio=ac justifient par l'état*socio=rien de leur balance_des_paiements*socio=ec1 mais qui assurent souvent une protection*socio=et considérable*socio=rien à telle ou telle branche*socio=rien de_production*socio=ec1. L'interdépendance*socio=uv3 croissante*socio=rien des économies*socio=ec1 nationales*socio=te des pays*socio=ac développés*socio=uv4 et des pays_en_voie_de_développement*socio=ac rendra de plus en plus coûteuses*socio=ec2 leurs erreurs*socio=uv4 de politique_commerciale*socio=ec1. en_particulier*socio=rien , les distorsions*socio=ec2 structurelles de la production*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1 réduisent les possibilités*socio=rien d'investissements*socio=ec1 rentables*socio=ec2 et de création_d'_emplois*socio=ec1. Pour créer 600 millions*socio=rien de nouveaux*socio=rien emplois*socio=ec1 dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac au cours*socio=rien des deux prochaines*socio=rien décennies*socio=te, il faudra savoir*socio=rien mieux que dans le passé*socio=rien mobiliser l'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te et réunir les conditions*socio=ec1 nécessaires*socio=rien pour attirer de nouveaux*socio=rien flux*socio=ec1 nets*socio=rien de capitaux*socio=ec1 vers des investissements*socio=ec1 productifs*socio=uv4. Des réformes*socio=et réussies des politiques_commerciales*socio=et des pays_en_voie_de_développement*socio=ac, des taux_de_change*socio=ec1 réalistes*socio=uv4 et une amélioration*socio=uv1 dans le monde*socio=te entier*socio=rien de l'environnement*socio=et lié aux politiques_commerciales*socio=et, faciliteraient la réalisation*socio=uv1 de cet objectif*socio=uv4 en favorisant des ajustements*socio=et structurels qui inciteraient nationaux*socio=te et étrangers*socio=uv4 à investir dans ces pays*socio=ac. Les pays_en_voie_de_développement*socio=ac ne prendront conscience*socio=uv1 de tout le potentiel*socio=uv4 des réformes*socio=et en question*socio=rien que si les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 s'attachent à améliorer l'environnement*socio=et lié à leurs politiques_commerciales*socio=et. Il est*socio=rien à peine nécessaire*socio=rien d'ajouter qu'en réagissant de manière*socio=rien constructive*socio=uv2 aux forces*socio=uv1 qui poussent à changer les structures*socio=ec1 de la production*socio=ec1 et du commerce*socio=ec1, les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 serviraient du même coup*socio=rien leurs *socio=rien propres intérêts.*socio=nil '*socio=nil *socio=nil Parmi les secteurs*socio=rien où une politique*socio=et nouvelle*socio=rien pourrait à la fois*socio=rien améliorer la productivité*socio=uv3 des divers pays*socio=ac industriels*socio=ec1 et favoriser la croissance*socio=uv3 des pays_en_voie_de_développement*socio=ac figurent en *socio=rien bonne place l'*socio=nil agriculture*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil le textile-habillement )*socio=rien . *socio=rien Bien entendu,*socio=nil certains ajustements*socio=et ont déjà eu*socio=nil lieu car un niveau élevé*socio=uv4 de*socio=nil protection*socio=et *socio=nil n'a pas empêché d'importants*socio=rien transferts d'emplois*socio=ec1 au profit*socio=uv3 d'autres secteurs*socio=rien de l'économie*socio=ec1. Si les secteurs*socio=rien en déclin*socio=ec2 revendiquent le maintien*socio=rien d'une protection*socio=et spéciale*socio=rien , cela donne à penser que l'opération*socio=rien d'ajustement*socio=et *socio=rien est loin d'*socio=nil être *socio=nil terminée. Le niveau_de_vie*socio=uv1 et la compétitivité*socio=uv1 d'un*socio=rien pays*socio=ac seront pénalisés tant que des ressources*socio=ec1 seront bloquées au profit*socio=uv3 de productions*socio=ec1 inefficaces*socio=uv4 et que les consommateurs*socio=ac et les utilisateurs*socio=rien de biens*socio=ec1 intermédiaires seront forcés de payer*socio=rien les produits*socio=rien au-dessus de leur prix*socio=ec1 mondial*socio=te parce que le *socio=rien secteur est protégé.*socio=nil *{ p.51 } *socio=nil Encadré 4 - La tentation*socio=rien des restrictions*socio=et quantitatives à caractère*socio=rien discriminatoire*socio=uv2 et les raisons*socio=rien qui rendent leur élimination*socio=ec2 si difficile*socio=rien . La multiplication*socio=rien des restrictions*socio=et discriminatoires*socio=uv2 est*socio=rien souvent la conséquence*socio=rien de problèmes*socio=ec2 d'ajustement*socio=et non résolus ou dont la solution*socio=rien a été*socio=rien trop longtemps différée. La plupart*socio=rien des accords*socio=et connus établissant des limitations*socio=et discriminatoires*socio=uv2 concernent ces secteurs*socio=rien à problèmes*socio=ec2 bien*socio=rien connus que sont l'agriculture*socio=ec1, le textile-habillement Dans le cas*socio=rien des textiles*socio=ec1 et des vêtements*socio=ec1, la plupart*socio=rien des limitations*socio=et ont été*socio=rien négociées dans le cadre*socio=rien de ]'Arrangement*socio=et multifibres. La dernière*socio=rien prorogation de l'AMF*socio=ac a été*socio=rien négociée en 1986, soit *socio=rien un quart de*socio=nil siècle après l'*socio=nil introduction de*socio=nil restrictions*socio=et discriminatoires*socio=uv2 spéciales *socio=nil dites "temporaires*socio=rien " sur*socio=rien les textiles*socio=ec1 et le vêtement*socio=ec1. ~ Cette expérience*socio=ec2, parmi d'autres, incline fortement à penser que ces "solutions*socio=rien à des problèmes*socio=ec2 d'ajustement*socio=et résultant*socio=rien d'une nouvelle*socio=rien donne des avantages*socio=rien compétitifs*socio=uv4 sont devenues elles-mêmes *socio=rien un élément du*socio=nil problème*socio=uv4.*socio=nil Cela*socio=nil est *socio=nil dû en partie*socio=rien à ce que les restrictions*socio=et quantitatives n'ont pas seulement pour effet*socio=rien de faire bénéficier les producteurs*socio=ac nationaux*socio=te d'une marge de protection*socio=et vis-à-vis de leurs concurrents*socio=ac étrangers*socio=uv4, mais aussi de bloquer le mécanisme des prix*socio=ec1 (qui continuerait à jouer si était adoptée la formule*socio=rien de droits*socio=uv1 de douane*socio=ac non prohibitifs). Les restrictions*socio=et quantitatives à caractère*socio=rien discriminatoire*socio=uv2 présentent en outre deux caractéristiques*socio=rien essentielles*socio=uv4 qui sont encore plus importantes*socio=rien : L'expérience*socio=ec2 montre que les pouvoirs_publics*socio=et, disposant de cet instrument, ont plus de latitude pour élever le niveau*socio=rien global*socio=te de protection*socio=et car il leur est*socio=rien plus facile*socio=rien de prendre des mesures*socio=et à l'encontre*socio=rien d'un*socio=rien seul*socio=rien ou de quelques *socio=ac pays fournisseurs *socio=nil que d'atteindre tous les *socio=ac pays fournisseurs *socio=nil qui peuvent compter des partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 économiquement puissants*socio=rien . Ainsi se trouve accru le risque*socio=uv4 que la protection*socio=et accordée ne soit pas *socio=rien véritablement nécessaire *socio=nil ou, en d'autres termes*socio=rien , qu'elle complique les problèmes*socio=ec2 d'ajustement*socio=et. ou même en crée de nouveaux*socio=rien dans des cas*socio=rien où le libre*socio=uv2 jeu*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 aurait assuré un*socio=rien ajustement*socio=et ordonné. Une fois*socio=rien mises en place*socio=rien , les restrictions*socio=et quantitatives à caractère*socio=rien discriminatoire*socio=uv2 sont généralement difficiles*socio=rien à supprimer car elles créent souvent des *socio=rien situations acquises *socio=nil au bénéfice non seulement des producteurs*socio=ac protégés*socio=rien du pays*socio=ac importateur*socio=ec1, mais aussi des fournisseurs*socio=ac traditionnels*socio=rien établis dans le ou les *socio=ac pays exportateurs.*socio=nil Ces*socio=nil derniers*socio=rien ,*socio=nil *socio=nil notamment, peuvent à l'abri de ces accords*socio=et de partage*socio=uv1 du marché*socio=ec1 profiter de la réduction*socio=ec2 du volume*socio=rien des exportations*socio=ec1 pour augmenter leurs prix*socio=ec1. En outre, ce système*socio=rien handicape les nouveaux*socio=rien venus du pays*socio=ac exportateur*socio=ec1 qui pourraient vouloir*socio=rien leur faire concurrence*socio=ec1 en raison*socio=rien de la difficulté*socio=ec2 qu'ils ont de se faire inscrire sur*socio=rien la liste des bénéficiaires*socio=ac de licences*socio=et d'exportation*socio=ec1 gratuites. En l'absence*socio=rien de *socio=et règles multilatérales *socio=nil prévoyant une dégressivité de ces mesures*socio=et ou limitant leur durée*socio=te d'application*socio=rien , ce système*socio=rien de *socio=rien situations acquises *socio=nil accroît le risque*socio=uv4 qu'une restriction*socio=et quantitative discriminatoire*socio=uv2 reste*socio=rien en vigueur*socio=uv3 bien*socio=rien au-delà de la période*socio=te transitoire d'ajustement*socio=et envisagée lors*socio=rien de son adoption*socio=et. Fin*socio=rien de l'encadré 4. On comprend mieux ainsi pourquoi le recours*socio=ec1 à des mesures*socio=et de protection*socio=et pour résoudre les problèmes*socio=ec2 d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 retarde celui-ci plus souvent qu'il ne le facilite. Outre que ce retard*socio=rien rendra plus douloureux*socio=uv2 l'ajustement*socio=et final*socio=rien , il aura, dans l'intervalle, freiné la croissance*socio=uv3 globale de l'économie*socio=ec1. Conclusions. Il importe donc que les gouvernements*socio=ac laissent les forces*socio=uv1 de changement*socio=uv3 se concrétiser par une accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans les pays*socio=ac développés*socio=uv4 comme dans les pays_en_voie_de_développement*socio=ac. La plupart*socio=rien des pays*socio=ac ont depuis longtemps admis que le maintien*socio=rien d'obstacles*socio=rien commerciaux*socio=ec1 entre leurs différentes*socio=rien provinces*socio=ac ou régions*socio=te serait *socio=rien un grave handicap*socio=uv2 *socio=nil pour le développement*socio=uv3 national*socio=te. Dans les pays*socio=ac à économie_de_marché*socio=ec1 , l'existence*socio=rien d'un*socio=rien cadre*socio=rien de règles*socio=et garantissant une libre*socio=uv2 concurrence*socio=ec1 entre les différentes*socio=rien régions*socio=te et un*socio=rien système_monétaire*socio=ec1 national*socio=te efficace*socio=uv4 ont été*socio=rien des facteurs*socio=rien essentiels*socio=uv4 de la croissance_économique*socio=ec1. Il existe, bien*socio=rien entendu, d'importantes*socio=rien différences*socio=uv1 entre la concurrence*socio=ec1 qui s'exerce dans *socio=rien un cadre national*socio=te *socio=nil et la concurrence*socio=ec1 internationale*socio=te (ceci tenant compte*socio=rien des taux_de_change*socio=ec1 et des différences*socio=uv1 qu'existent dans des domaines*socio=rien tels que les *socio=ec1 flux financiers *socio=nil et la mobilité*socio=uv3 de la main-d'_oeuvre*socio=ac). Il n'en reste*socio=rien pas moins, et ce *socio=rien point est *socio=nil fondamental, que plus augmente la part*socio=rien du commerce*socio=ec1 des biens*socio=ec1 et services*socio=ec1 dans le revenu*socio=ec1 national*socio=te, plus est*socio=rien indispensable*socio=uv4 *socio=rien un bon fonctionnement du*socio=nil système commercial*socio=ec1 multilatéral système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te,*socio=nil *socio=nil qui sont les homologues à l'échelon mondial*socio=te du cadre*socio=rien réglementaire*socio=et et monétaire*socio=ec1 du commerce*socio=ec1 national*socio=te. *{ p.52 } Ces deux piliers*socio=rien de l'ordre*socio=rien économique*socio=ec1 international*socio=te constituent la structure*socio=ec1 institutionnelle*socio=ac indispensable*socio=uv4 pour que chaque pays*socio=ac puisse pleinement exploiter le potentiel*socio=uv4 de croissance_économique*socio=ec1 créé par les progrès*socio=uv1 de la technologie*socio=ec1. On ne saurait trop insister sur*socio=rien ce point*socio=rien , car ces avancées technologiques*socio=ec1 élargissent grandement les possibilités*socio=rien de spécialisation*socio=uv3 internationale*socio=te à *socio=rien un moment *socio=nil où la croissance*socio=uv3 démographique*socio=ec1 mondiale*socio=te fait*socio=rien apparaître le *socio=rien besoin impérieux *socio=nil d'une croissance_économique*socio=ec1 plus rapide*socio=rien . L'interdépendance*socio=uv3 toujours plus étroite*socio=rien des différents*socio=rien marchés*socio=ec1 modifie également le cadre*socio=rien dans lequel doivent *socio=rien être définies les*socio=nil politiques_commerciales*socio=et.*socio=nil *socio=nil Dès le milieu*socio=rien des années*socio=rien 70, il est*socio=rien apparu que celles-ci ne se limitaient pas aux mesures*socio=et à la frontière*socio=te, comme le montre la décision*socio=rien d'inscrire à l'ordre*socio=rien du jour*socio=rien des négociations*socio=et du tokyo_round*socio=et des mesures*socio=et qui peuvent affecter la concurrence*socio=ec1 internationale*socio=te, telles que les normes*socio=et techniques*socio=rien et les subventions*socio=ec1 à la production*socio=ec1. La part*socio=rien du commerce*socio=ec1 international*socio=te dans le revenu*socio=ec1 national*socio=te est*socio=rien en augmentation la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, et l'expérience*socio=ec2 récente*socio=rien a démontré de *socio=rien manière spectaculaire *socio=nil à quel point*socio=rien les *socio=ec1 flux commerciaux pouvaient*socio=nil être*socio=rien *socio=nil affectés par la politique*socio=et des taux_de_change*socio=ec1 d'un*socio=rien pays*socio=ac, sa politique*socio=et monétaire*socio=ec1 et sa politique*socio=et fiscale*socio=ec1 (par le biais*socio=rien de la balance*socio=ec1 courante*socio=te), de sorte*socio=rien que les distinctions traditionnelles*socio=rien entre les *socio=rien différents volets *socio=nil de la politique*socio=et des États*socio=ac s'estompent de plus en plus. De quelque manière*socio=rien que l'on choisisse de définir*socio=rien la politique_commerciale*socio=ec1 dans cette période*socio=te de mutation*socio=ec2, il *socio=rien est clair *socio=nil qu'elle est*socio=rien maintenant, dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, le plus important*socio=rien instrument de répartition*socio=uv3 des ressources*socio=ec1 et, qu'à ce titre*socio=rien , elle est*socio=rien en passe de devenir*socio=rien bientôt, au même titre*socio=rien que les politiques*socio=et monétaire*socio=ec1 et fiscale*socio=ec1, *socio=rien un élément essentiel*socio=uv4 *socio=nil de la politique_économique*socio=ec1 nationale*socio=te. La confiance*socio=uv1 des milieux_d'_affaires*socio=ac et du marché*socio=ec1 dépend donc de plus en plus de l'idée*socio=rien qu'ils se font de la politique_commerciale*socio=ec1 et des relations*socio=rien de politique_commerciale*socio=ec1 entre les pays*socio=ac. On comprend ainsi pourquoi les marchés_financiers*socio=ec1 et les bourses de valeurs*socio=ec1 suivent aujourd'hui de beaucoup plus près qu'il y a seulement quelques années*socio=rien l'évolution*socio=rien du commerce*socio=ec1 et des politiques_commerciales*socio=et, et qu'ils y sont beaucoup plus sensibles*socio=rien . Les négociations_commerciales_multilatérales*socio=et en cours*socio=rien peuvent faciliter le processus*socio=te d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2 dans tous les secteurs*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, premièrement en abaissant les niveaux*socio=rien de protection*socio=et tout en élargissant l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 extérieurs*socio=te, et deuxièmement en améliorant le fonctionnement*socio=rien du système*socio=rien commercial*socio=ec1 de façon*socio=rien à réduire l'incertitude*socio=uv3 qui entoure les transactions*socio=ec1. Le résultat*socio=rien , à long_terme*socio=te, sera une croissance_économique*socio=ec1 plus forte*socio=rien , c'est-à-dire précisément la réponse nécessaire*socio=rien aux défis posés par l'innovation*socio=uv3 technologique*socio=ec1 et l'évolution*socio=rien démographique*socio=ec1 mondiale*socio=te.