*{ Rapport des études économiques de l'OCDE au Canada de 1977 } INTRODUCTION*socio=rien. Le Canada*socio=ac a vu, l'an*socio=rien dernier*socio=rien, la position*socio=rien conjoncturelle*socio=uv4 relative*socio=rien de son économie*socio=ec1 se réajuster quelque peu par rapport*socio=rien au reste*socio=rien de la zone_de_l'_ocde*socio=te. En 1974-1975, il avait beaucoup mieux résisté que la plupart*socio=rien des autres pays_industrialisés*socio=ac au choc*socio=ec2 de la récession*socio=ec2 internationale*socio=te, mais au prix*socio=ec1 d'une dégradation*socio=uv3 de ses *socio=rien résultats relatifs sur le*socio=nil plan *socio=nil de l'inflation*socio=ec2 et d'une détérioration*socio=uv4 de sa balance*socio=ec1 extérieure*socio=te. En 1976, à la suite*socio=rien d'un*socio=rien changement*socio=uv3 d'orientation*socio=et de sa politique_économique*socio=et, il a mieux maîtrisé*socio=rien l'évolution*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 et, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil *socio=nil celle de sa position*socio=rien extérieure*socio=te. Les progrès*socio=uv1 réalisés sur*socio=rien le front*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 sont en partie*socio=rien imputables*socio=uv2 à l'évolution*socio=rien favorable*socio=ec2 des *socio=ec1 prix alimentaires *socio=nil et à la hausse*socio=rien du dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=rien, mais aussi à l'important*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la progression*socio=ec2 des *socio=ec1 salaires contractuels *socio=nil et à une certaine*socio=rien diminution*socio=ec2 des marges bénéficiaires*socio=ac effectives*socio=rien. La demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te marquant*socio=rien toutes deux une décélération*socio=ec2, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 est*socio=rien restée assez faible*socio=rien durant l'année*socio=rien et le taux*socio=rien de chômage*socio=ec1 recensé a encore augmenté, atteignant l'un*socio=rien de ses sommets*socio=rien d'après-guerre*socio=te au début*socio=rien de 1977. Le même processus*socio=te de réajustement devrait caractériser l'évolution*socio=rien générale*socio=rien de l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac cette année*socio=rien. Les prévisions*socio=ec2 actuelles*socio=te du Secrétariat*socio=ac laissent entrevoir que la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 sera sans doute*socio=rien assez modérée, tout en marquant*socio=rien une certaine*socio=rien accélération*socio=ec2 au fil*socio=rien des mois*socio=rien, mais que le chômage*socio=ec1 demeurera probablement élevé*socio=uv4. Le rythme*socio=rien tendanciel*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2 continuera sans doute*socio=rien à baisser, bien*socio=rien que cette *socio=rien évolution générale ait*socio=nil été *socio=nil masquée, pendant les *socio=rien premiers mois *socio=nil de l'année*socio=rien, par une hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 des produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1 et d'autres produits*socio=rien. A la suite*socio=rien du changement*socio=uv3 d'orientation*socio=et qui lui avait été*socio=rien apporté en 1975, la politique_économique*socio=et est*socio=rien restée axée en priorité*socio=uv4, en 1976, sur*socio=rien la réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2, considérée non seulement comme l'objectif*socio=uv4 immédiat*socio=rien, mais aussi comme une condition*socio=rien indispensable*socio=uv4 à une amélioration*socio=uv1 durable*socio=uv4 de la production*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1. Le budget*socio=ec1 fédéral*socio=et n'a pas stimulé davantage la demande*socio=ec1 qu'auparavant et il semble qu'il en ait été*socio=rien à peu près de même pour les opérations*socio=rien budgétaires*socio=et de l'ensemble*socio=rien du secteur_public*socio=et. La politique_monétaire*socio=et est*socio=rien demeurée relativement stricte*socio=rien jusqu'à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien, où le rythme*socio=rien d'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1 était descendu au-dessous de la *socio=rien limite inférieure *socio=nil de la *socio=rien fourchette retenue comme*socio=nil objectif*socio=uv4.*socio=nil La*socio=nil régulation*socio=et *socio=nil de la demande*socio=ec1 a été*socio=rien étayée par les activités*socio=rien de la Commission*socio=ac anti-inflation*socio=ec2, qui semblent avoir été*socio=rien assez efficaces*socio=uv4. L'orientation*socio=et de la politique_économique*socio=et n'a guère changé en 1977. La politique_budgétaire*socio=et qu'implique le budget*socio=ec1 fédéral*socio=et mis en oeuvre*socio=rien récemment ne stimulera guère davantage la demande*socio=ec1 et l'on ne s'attend pas que la politique_monétaire*socio=et s'écarte de son objectif*socio=uv4 actuel*socio=te, consistant à réduire l'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1 parallèlement au ralentissement*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2. La présente*socio=rien étude*socio=ec2 s'articule en trois parties*socio=rien, consacrées respectivement à l'évolution*socio=rien récente*socio=rien, à la politique_économique*socio=et (action*socio=rien sur*socio=rien les prix*socio=ec1 et les revenus*socio=ec1, notamment) et aux perspectives*socio=te à court_terme*socio=te. Les *socio=rien derniers paragraphes *socio=nil récapitulent, en guise*socio=rien de conclusion*socio=rien, les *socio=rien principales considérations *socio=nil qui se dégagent de l'étude*socio=ec2. politique_économique*socio=et. Comme le notait l'Étude*socio=ec2 de l'an*socio=rien dernier*socio=rien, la politique_économique*socio=et canadienne*socio=ac avait pris une orientation*socio=et nettement expansionniste*socio=ec2 au milieu*socio=rien de 1974 pour neutraliser l'influence sur*socio=rien l'activité*socio=rien intérieure*socio=te des puissantes*socio=rien forces*socio=uv1 déflationnistes*socio=ec2 extérieures*socio=te. Cette politique*socio=et a permis*socio=rien de réduire au minimum*socio=rien les répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien la production*socio=ec1 et l'emploi*socio=ec1 au Canada*socio=ac de la forte*socio=rien baisse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac. De fait*socio=rien, le Canada*socio=ac a connu l'une des récessions*socio=ec2 les plus modérées, de la zone_de_l'_ocde*socio=te et, sur*socio=rien l'ensemble*socio=rien de la période*socio=te 1973-1976, l'expansion*socio=ec2 de la production*socio=ec1 totale*socio=rien et la croissance*socio=uv3 du revenu*socio=ec1 réel*socio=ec2 par tête*socio=rien qu'il a enregistrées ont été*socio=rien parmi les plus vigoureuses*socio=rien du monde*socio=te industrialisé. Ces brillants résultats*socio=rien sont toutefois allés de pair*socio=rien avec *socio=rien un taux d'*socio=nil inflation*socio=ec2 *socio=nil non seulement élevé*socio=uv4 par rapport*socio=rien à l'évolution*socio=rien antérieure*socio=te, mais aussi nettement supérieur*socio=rien à celui des États-unis*socio=ac. Eu égard*socio=rien à ces tendances*socio=ec2 et au fait*socio=rien qu'une reprise s'amorçait après*socio=rien le ralentissement*socio=ec2 observé au début*socio=rien de 1975, la politique_économique*socio=et a été*socio=rien infléchie dans *socio=rien un sens moins*socio=nil expansionniste*socio=ec2 *socio=nil dans le courant*socio=rien de la même année*socio=rien. *socio=rien Un vaste programme*socio=et anti-inflation*socio=ec2 a*socio=nil été *socio=nil lancé, qui comportait non seulement la mise en oeuvre*socio=rien des *socio=et instruments budgétaires et*socio=nil monétaires*socio=ec1 classiques*socio=rien *socio=nil de la politique_économique*socio=et, mais aussi la mise en place*socio=rien, faute d'avoir pu obtenir*socio=rien l'accord*socio=et des partenaires_sociaux*socio=et *socio=rien sur un système de*socio=nil restrictions*socio=et volontaires*socio=uv4,*socio=nil d'*socio=nil un *socio=et dispositif réglementaire d'*socio=nil action*socio=rien sur*socio=rien les*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil et les revenus*socio=ec1. Cette orientation*socio=et générale*socio=rien n'a pas été*socio=rien modifiée en 1976. On était parti*socio=et du principe*socio=ec2, lors*socio=rien du lancement*socio=rien du programme*socio=et, que l'on ne pourrai! sans doute*socio=rien avancer que progressivement*socio=rien dans la voie*socio=rien de l'élimination*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2, notamment des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2, et seulement si la politique_économique*socio=et suivait fermement la ligne*socio=rien tracée, sans s'en écarter pour atténuer les fluctuations*socio=ec2 à court_terme*socio=te. En conséquence*socio=rien, et en dépit*socio=rien du fléchissement*socio=rien qu'a ensuite marqué la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1, ni la politique_budgétaire*socio=et ni la politique_monétaire*socio=et ne se sont départies de l'orientation*socio=et plus rigoureuse*socio=uv4 qui leur avait été*socio=rien donnée au milieu*socio=rien de 1975. Le rythme*socio=rien d'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1 (MI*socio=rien) retenu*socio=rien comme objectif*socio=uv4 a été*socio=rien réduit au milieu*socio=rien de 1976 pour s'aligner sur*socio=rien le ralentissement*socio=ec2 prévisible*socio=uv4 de la croissance*socio=uv3 du PNB*socio=ec1 nominal*socio=rien, et l'orientation*socio=et générale*socio=rien du budget*socio=ec1 présenté en mars*socio=rien 1977 est*socio=rien restée prudente*socio=uv2. Au demeurant, les autorités*socio=et responsables*socio=uv2 ont été*socio=rien à même, jusqu'ici du moins, de ne pas s'écarter des *socio=rien principales lignes de*socio=nil conduite *socio=nil qu'elles s'étaient tracées en 1975: progression*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et égale*socio=rien à celle du PNB*socio=ec1 nominal*socio=rien; gestion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 destinée à assurer la régularité*socio=ec2 et le ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1, en se préoccupant*socio=uv4 moins des fluctuations*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et du taux_de_change*socio=ec1. Cette politique*socio=et relativement "non-interventionniste", qui contraste avec la régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 beaucoup plus active*socio=uv4 mise en oeuvre*socio=rien dans le passé*socio=te par les autorités*socio=et canadiennes*socio=ac, a toutefois été*socio=rien complétée par des interventions*socio=et directes*socio=rien dans le mécanisme*socio=et de fixation*socio=ec1 des prix*socio=ec1 et des salaires*socio=ec1, opérées par l'intermédiaire*socio=rien de la "Commission*socio=ac anti-inflation*socio=ec2". politique_budgétaire*socio=et. Le budget*socio=ec1 présenté en mai*socio=rien 1976 avait prévu que le déficit*socio=ec1 de l' état_fédéral*socio=ac, qui avait été*socio=rien de l'ordre*socio=rien de 4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 pendant l'exercice*socio=rien 1975-1976 serait ramené à 3,5 milliards*socio=rien, grâce*socio=rien à *socio=rien un freinage assez*socio=nil énergique*socio=ec1 *socio=nil de l'accroissement*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 et au retour*socio=rien à *socio=rien un rythme plus*socio=nil normal *socio=nil de la progression*socio=ec2 des recettes*socio=ec1, après*socio=rien les allégements*socio=uv3 fiscaux*socio=et opérés en 1975. Or*socio=rien, si le ralentissement*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 a été*socio=rien, en fait*socio=rien, un*socio=rien peu plus accentué que prévu, les recettes*socio=ec1 sont restées inférieures*socio=rien de près de 2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 au niveau*socio=rien escompté, de sorte*socio=rien que le déficit*socio=ec1 a atteint le montant*socio=ec1 singulièrement élevé*socio=uv4 de 4,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Ce résultat*socio=rien paraît imputable*socio=uv2 aux " stabilisateurs*socio=uv4 automatiques*socio=rien " qui agissent sur*socio=rien les recettes*socio=ec1 budgétaires*socio=et - le budget*socio=ec1 avait été*socio=rien calculé en supposant que le taux_de_croissance*socio=ec1 du PNB*socio=ec1 serait de 5,5% - et à une certaine*socio=rien surestimation des recettes*socio=ec1 procurées par les impôts*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1. Les moins-values*socio=ec1 de celles-ci sont imputables*socio=uv2 surtout à l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 des personnes*socio=ac physiques*socio=rien et à l'impôt*socio=et sur*socio=rien les sociétés*socio=ac. Il convient de noter que, si la progression*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 procurées par l'impôt*socio=et sur*socio=rien les personnes*socio=ac physiques*socio=rien, en s'établissant à 18% a été*socio=rien nettement inférieure*socio=rien au chiffre escompté de 25,5%, elle a néanmoins dépassé d'environ 5% la progression*socio=ec2 par tête*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des *socio=ec1 revenus salariaux.*socio=nil Ce*socio=nil dépassement*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil qui s'est*socio=rien produit*socio=rien alors que le facteur*socio=rien d'indexation*socio=ec1 de l'impôt*socio=et était de 11,3%, c'est-à-dire *socio=rien bien supérieur *socio=nil à la hausse*socio=rien de 7,5% de l'indice_des_prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1, semble confirmer que, comme l'a déjà noté l'étude*socio=ec2 de l'OCDE*socio=ac de l'an*socio=rien dernier*socio=rien, l'élasticité*socio=ec2 de l'impôt*socio=et par rapport*socio=rien au revenu*socio=ec1 est*socio=rien relativement élevée*socio=uv4 au Canada*socio=ac. L'évolution*socio=rien des dépenses*socio=ec1 fédérales*socio=ac s'est*socio=rien inscrite*socio=rien, semble-t-il, nettement à l'intérieur*socio=te des limites*socio=rien qu'impliquait la politique*socio=et à long_terme*socio=te annoncée en octobre*socio=rien 1975, selon laquelle la progression*socio=ec2 globale*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des dépenses*socio=ec1 de toutes les administrations_publiques*socio=ac ne devait pas être*socio=rien plus rapide*socio=rien que l'accroissement*socio=ec2 tendanciel*socio=ec2 du produit_national_brut*socio=rien. Calculé sur*socio=rien l'année*socio=rien civile*socio=et, le rythme*socio=rien de progression*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 a été*socio=rien ramené de 23% à 9,5%, en chiffres ronds. Bien*socio=rien qu'il n'existe pas à cet égard*socio=rien d'engagement*socio=uv1 formel*socio=rien, il semble bien*socio=rien que la plupart*socio=rien des administrations_provinciales*socio=ac aient aussi respecté cet objectif*socio=uv4 général*socio=rien. Toutefois, le ralentissement*socio=ec2 de la progression*socio=ec2 globale*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des dépenses*socio=ec1 des administrations_provinciales*socio=ac et locales*socio=te (hôpitaux*socio=et compris) a été*socio=rien moins net*socio=rien, puisque leur rythme*socio=rien d'accroissement*socio=ec2 est*socio=rien passé*socio=te de 22% en 1975 à environ 14% l'an*socio=rien dernier*socio=rien. On observe, en même temps*socio=rien, de nettes*socio=rien différences*socio=uv1, selon les niveaux*socio=rien d'administration_publique*socio=ac, en ce qui concerne les catégories*socio=rien de dépenses*socio=ec1 qui ont contribué au ralentissement*socio=ec2 global*socio=te de la progression*socio=ec2. Au niveau*socio=rien de l'état_fédéral*socio=ac, ce sont surtout les dépenses*socio=ec1 de transfert*socio=ec1 qui ont été*socio=rien freinées. Aux autres niveaux*socio=rien d'administration_publique*socio=ac, par contre, le freinage*socio=rien a surtout porté sur*socio=rien les dépenses*socio=ec1 finales*socio=rien, la cadence de progression*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 de transfert*socio=ec1 augmentant d'environ 3% et atteignant 24%. L'exposé du budget*socio=ec1 pour l'exercice*socio=rien 1977-1978 présenté en *socio=rien mars dernier,*socio=nil *socio=nil a clairement indiqué que la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec2 restera l'objectif*socio=uv4 *socio=uv4 prioritaire essentiel.*socio=nil Le*socio=nil budget*socio=ec1 prévoit*socio=nil *socio=rien un certain nombre de*socio=nil mesures*socio=et de*socio=nil stimulation,*socio=nil destinées *socio=nil surtout à aider l'investissement*socio=ec1 des entreprises*socio=ac mais son orientation*socio=et générale*socio=rien (qui *socio=rien table sur une*socio=nil progression*socio=ec2 du*socio=nil PNB*socio=ec1 *socio=nil de 4%) paraît assez prudente*socio=uv2. Les chiffres de recettes*socio=ec1 et de dépenses*socio=ec1 présentés dans le budget*socio=ec1 sont quelque peu faussés par une révision*socio=rien du système*socio=rien de partage*socio=uv1 des recettes*socio=ec1 fiscales*socio=et entre l'état_fédéral*socio=ac et les provinces*socio=ac, laquelle prévoit que celles-ci recevront directement désormais une plus *socio=rien forte proportion du*socio=nil produit des*socio=nil impôts*socio=et directs *socio=nil mais que les transferts*socio=ec1 que leur verse l' état_fédéral*socio=ac en seront réduits d'autant. Les incidences*socio=ec2 estimées de ces aménagements*socio=et sur*socio=rien les recettes*socio=ec1 et dépenses*socio=ec1 fédérales*socio=ac ne sont présentées, dans les documents*socio=rien budgétaires*socio=et, que dans l'"optique*socio=rien de la trésorerie*socio=ec1", de sorte*socio=rien qu'elles peuvent ne pas être*socio=rien directement comparables*socio=rien aux chiffres indiqués dans le tableau*socio=rien 8. Un*socio=rien ajustement*socio=et approximatif donne à penser que, dans l'hypothèse*socio=ec2 où les nouvelles*socio=rien règles*socio=et de répartition*socio=uv3 n'auraient pas été*socio=rien appliquées, les recettes*socio=ec1 procurées par l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 auraient augmenté d'environ 15% en 1977-1978, soit seulement 3% de moins que pendant l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien (en dépit*socio=rien d'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 beaucoup plus net*socio=rien de la progression*socio=ec2 globale*socio=rien des revenus*socio=ec1 des ménages*socio=ac et d'un*socio=rien facteur*socio=rien d'indexation*socio=ec1 supérieur*socio=rien à l'augmentation*socio=ec2 probable*socio=uv4 des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1), alors que le total*socio=rien des recettes*socio=ec1 aurait augmenté à peu près au même rythme*socio=rien qu'en 1976-1977. En ce qui concerne les dépenses*socio=ec1, bien*socio=rien que les économies*socio=ec1 paraissent un*socio=rien peu plus faibles*socio=rien que les moins-values*socio=ec1 de recettes*socio=ec1, le taux*socio=rien de progression*socio=ec2 ajusté aurait, lui aussi, été*socio=rien très proche de celui qui a été*socio=rien enregistré en 1976-1977. En définitive*socio=rien, après*socio=rien ajustement*socio=et, ni les recettes*socio=ec1 ni les dépenses*socio=ec1 n'auraient marqué d'accélération*socio=ec2 ni de ralentissement*socio=ec2 notables*socio=rien et le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et aurait été*socio=rien proche de 5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1. Il est*socio=rien trop tôt pour évaluer les incidences*socio=ec2 des budgets*socio=ec1 provinciaux*socio=te, car tous n'ont pas encore été*socio=rien présentés, mais ceux qui l'ont été*socio=rien ont généralement tendance*socio=ec2 à accentuer l'orientation*socio=et restrictive*socio=uv4, en retenant comme *socio=uv4 objectifs prioritaires la*socio=nil lutte*socio=uv1 *socio=nil contre l'inflation*socio=ec2 et la réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1. En 1976, les incidences*socio=ec2 de la politique_budgétaire*socio=et sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 ont probablement été*socio=rien à peu près neutres*socio=rien. Il ressort d'estimations*socio=ec2 officieuses tendant à éliminer l'influence de la conjoncture*socio=te sur*socio=rien le budget*socio=ec1 fédéral*socio=et que le déficit*socio=ec1 de ce dernier*socio=rien, important*socio=rien en 1975, a sensiblement diminué en 1976, mouvement*socio=ec2 qui cadre*socio=rien à peu près avec les évaluations*socio=ec2 du "solde*socio=ec1 budgétaire*socio=et de *socio=rien haut niveau d'*socio=nil emploi*socio=ec1"*socio=nil *socio=nil présentées, pour l'état_fédéral*socio=ac, dans l'Elude de l'OCDE*socio=ac de l'an*socio=rien dernier*socio=rien. Toutefois, ces estimations*socio=ec2 ne concernent que les opérations*socio=rien budgétaires*socio=et fédérales*socio=ac. Afin d'évaluer dans une optique*socio=rien plus large*socio=rien les incidences*socio=ec2 des opérations*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac sur*socio=rien l'économie*socio=ec1, le Secrétariat*socio=ac a essayé d'estimer l'effet*socio=rien du secteur_public*socio=et sur*socio=rien la demande*socio=ec1 globale*socio=rien, en utilisant *socio=rien un modèle quantitatif *socio=nil très simplifié. Ces estimations*socio=ec2, qui ne prennent en considération*socio=rien les incidences*socio=ec2 que dans le cadre*socio=rien d'une même année*socio=rien et ne tiennent donc pas compte*socio=rien des effets*socio=rien à retardement des *socio=et mesures budgétaires prises*socio=rien les*socio=nil *socio=rien années précédentes,*socio=nil *socio=nil confirment que les opérations*socio=rien budgétaires*socio=et ont fortement stimulé l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 en 1975, mais indiquent qu'elles ont exercé *socio=rien un effet de*socio=nil freinage *socio=nil en 1976. Cela paraît cadrer avec les indications*socio=rien données par les estimations*socio=ec2 relatives*socio=rien au "budget*socio=ec1 de *socio=rien haut niveau d'*socio=nil emploi*socio=ec1"*socio=nil *socio=nil de l' état_fédéral*socio=ac, ainsi qu'avec le net*socio=rien ralentissement*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 et l'accélération*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac observés en 1976. Pour 1977, les *socio=rien seules indications disponibles *socio=nil sont des estimations*socio=ec2 non officielles*socio=et du budget*socio=ec1 fédéral*socio=et, calculées en éliminant les influences conjoncturelles*socio=uv4, et des estimations*socio=ec2 de son incidence*socio=ec2 sur*socio=rien la demande*socio=ec1, calculées par simulation*socio=rien à l'aide*socio=uv1 d'un*socio=rien modèle*socio=rien économétrique*socio=ec2. Les premières*socio=rien laissent entrevoir une certaine*socio=rien augmentation*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 alors que les secondes indiquent que les incidences*socio=ec2 en 1977 des mesures*socio=et prises*socio=rien dans le cadre*socio=rien du budget*socio=ec1 seront relativement faibles*socio=rien. politique_monétaire*socio=et. La politique_monétaire*socio=et avait reçu une orientation*socio=et moins libérale à peu près en même temps*socio=rien que la politique_budgétaire*socio=et, c'est-à-dire au milieu*socio=rien de 1975. En 1976, elle a *socio=rien été conduite de*socio=nil façon *socio=nil à permettre à la production*socio=ec1 de progresser à *socio=rien un rythme raisonnable*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil pourvu que cette expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 aille de pair*socio=rien avec une baisse*socio=ec2 continue*socio=rien du taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2. Comme l'indiquait l'Étude*socio=ec2 de l'an*socio=rien dernier*socio=rien, les autorités*socio=et canadiennes*socio=ac ont modifié leur technique*socio=rien d'action*socio=rien monétaire*socio=ec1 et l'axent maintenant davantage sur*socio=rien la maîtrise*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1. Fin*socio=rien 1975, elles se sont ainsi fixé comme objectif*socio=uv4, pour la *socio=ec1 masse M1,*socio=nil une*socio=nil fourchette*socio=rien de*socio=nil taux_de_croissance *socio=nil allant de 10 à 15%, étant entendu que celle-ci pourrait être*socio=rien révisée en baisse*socio=ec2, en fonction*socio=rien des objectifs*socio=uv4 définis*socio=rien dans le cadre*socio=rien du programme*socio=et anti-inflation*socio=ec2, tout en étant adaptée aux besoins*socio=uv1 de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 en termes*socio=rien réels*socio=ec2. L'expansion*socio=ec2 de la *socio=ec1 masse M1 entre*socio=nil octobre*socio=rien *socio=nil et la mi-janvier avait été*socio=rien accentuée par une grève*socio=ec1 postale; mais comme le rythme*socio=rien était demeuré élevé*socio=uv4 après*socio=rien la disparition*socio=rien des séquelles*socio=rien de cette grève*socio=ec1, le taux*socio=rien d'escompte a été*socio=rien relevé de 0,5% en mars*socio=rien. Les *socio=rien mois suivants,*socio=nil le*socio=nil rythme d'*socio=nil expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil vivement ralenti, descendant à l'intérieur*socio=te de la fourchette*socio=rien qui avait *socio=rien été retenue comme*socio=nil objectif*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil puis au-dessous de la *socio=rien limite inférieure *socio=nil de celle-ci. Combinée*socio=rien au ralentissement*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2, cette baisse*socio=ec2 a conduit la banque_du_canada*socio=ac à fixer, en août*socio=rien, une *socio=rien nouvelle fourchette *socio=nil pour l'accroissement*socio=ec2 de la *socio=ec1 masse M1:*socio=nil *socio=nil 8 à 12% par rapport*socio=rien au *socio=rien niveau moyen *socio=nil de cette dernière*socio=rien observé pendant la période*socio=te février-avril. Au cours*socio=rien des *socio=rien neuf mois *socio=nil qui se sont *socio=rien terminés fin avril *socio=nil 1977, le rythme*socio=rien de croissance*socio=uv3 de la masse_monétaire*socio=ec1 est*socio=rien demeuré constamment au-dessous de la *socio=rien limite inférieure *socio=nil de la *socio=rien nouvelle fourchette,*socio=nil l'*socio=nil écart *socio=nil étant particulièrement prononcé à la fin*socio=rien de l'an*socio=rien dernier*socio=rien. Cela a conduit les autorités*socio=et à réduire à quatre reprises le taux*socio=rien d'escompte de la banque_du_canada*socio=ac, qui, de 9,5% en octobre*socio=rien, s'est*socio=rien trouvé ramené à 7,5% au début*socio=rien du mois*socio=rien de mai*socio=rien. En mai*socio=rien, M1*socio=ec1 a augmenté assez rapidement pour que son taux*socio=rien d'expansion*socio=ec2 remonte à proximité*socio=rien de la fourchette*socio=rien, par rapport*socio=rien à la période*socio=te de base*socio=rien; les chiffres hebdomadaires provisoires*socio=rien de la *socio=rien première partie du*socio=nil mois de*socio=nil juin *socio=nil indiquent qu'il se situe à l'intérieur*socio=te de la *socio=rien fourchette retenue comme*socio=nil objectif*socio=uv4.*socio=nil La*socio=nil nouvelle technique d'*socio=nil intervention*socio=et,*socio=nil *socio=nil davantage axée sur*socio=rien la maîtrise*socio=rien de l'évolution*socio=rien des *socio=ec1 agrégats monétaires,*socio=nil *socio=nil implique que les autorités*socio=et adoptent une attitude*socio=uv3 plus souple*socio=uv4 à l'égard*socio=rien du taux_de_change*socio=ec1 du dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac, puisque les interventions*socio=et visant à stabiliser ce dernier*socio=rien risquent de rendre plus ardue*socio=rien la tenue en main*socio=rien de la masse_monétaire*socio=ec1. Aussi, lorsque les forces_du_marché*socio=ec1 ont fait*socio=rien monter le taux_de_change*socio=ec1 dans les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1976, puis l'ont fait*socio=rien fortement baisser à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien et, de nouveau*socio=rien, au début*socio=rien de 1977, les autorités*socio=et ne sont intervenues pour freiner aucun de ces mouvements*socio=ec2 (abstraction*socio=rien faite d'interventions*socio=et au jour*socio=rien le jour*socio=rien, destinées*socio=rien à maintenir la régularité*socio=ec2 de l'évolution*socio=rien sur*socio=rien les marchés*socio=ec1). Partant du principe*socio=ec2 que le taux_de_change*socio=ec1 peut jouer *socio=rien un rôle important *socio=nil dans l'influence exercée par la politique_monétaire*socio=et sur*socio=rien l'activité*socio=rien économique*socio=ec1, elles ont considéré que sa montée initiale*socio=rien contribuait à la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec2 (en dépit*socio=rien de certaines*socio=rien répercussions*socio=ec2 défavorables*socio=uv4 à court_terme*socio=te sur*socio=rien la compétitivité*socio=uv3) et que la baisse*socio=ec2 qu'il a plus récemment marquée pouvait atténuer la faiblesse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te en soutenant celle-ci. Dans les *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1975 et les *socio=rien premiers mois *socio=nil de l'an*socio=rien dernier*socio=rien, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te ont été*socio=rien soumis à deux influences antagonistes: la baisse*socio=ec2 des *socio=rien taux correspondants aux*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil et l'orientation*socio=et restrictive*socio=uv4 de la politique*socio=et de la banque_du_canada*socio=ac. Au premier*socio=rien trimestre*socio=te, en raison*socio=rien des considérables*socio=rien besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 liés aux importantes*socio=rien constitutions de stocks*socio=ec1, les taux*socio=rien à court_terme*socio=te ont en fait*socio=rien continué d'augmenter. Ce mouvement*socio=ec2 a été*socio=rien accentué par le relèvement*socio=ec2 du taux*socio=rien d'escompte opéré *socio=rien début mars *socio=nil et par l'attente généralisée d'un*socio=rien nouveau*socio=rien relèvement*socio=ec2 à *socio=rien bref délai.*socio=nil En*socio=nil fait,*socio=nil la*socio=nil banque_du_canada*socio=ac est *socio=nil intervenue pour empêcher les pressions*socio=ec2 à la hausse*socio=rien de se renforcer encore. en acquérant sur*socio=rien le marché*socio=ec1 libre*socio=uv2 *socio=rien un volume considérable de*socio=nil bons du*socio=nil Trésor*socio=et *socio=nil et d'acceptations bancaires*socio=ec1. C'est*socio=rien à ce moment*socio=rien que l'écart*socio=rien entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te pratiqués respectivement au Canada*socio=ac et aux États-unis*socio=ac a atteint, avec 4,5%, un*socio=rien chiffre maximal. Au deuxième*socio=rien trimestre*socio=te, l'action*socio=rien de la banque_centrale*socio=ac et *socio=rien un certain fléchissement des*socio=nil besoins*socio=uv1 de*socio=nil financement*socio=ec1 des*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil ont entraîné une stabilisation*socio=et des taux*socio=rien canadiens*socio=ac bien*socio=rien que ceux-ci aient recommencé d'augmenter aux États-unis*socio=ac. Influencés par une nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 des taux*socio=rien dans le pays*socio=ac voisin*socio=rien, à partir du milieu*socio=rien de l'année*socio=rien environ, ainsi que par l'évolution*socio=rien assez peu dynamique*socio=uv4 de la *socio=te conjoncture intérieure,*socio=nil les*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 à*socio=nil court_terme *socio=nil ont amorcé une assez forte*socio=rien baisse*socio=ec2 à partir de l'automne*socio=rien. Ce mouvement*socio=ec2 a été*socio=rien accentué par l'action*socio=rien de la banque_du_canada*socio=ac, qui, *socio=rien après être *socio=nil intervenue pour stabiliser le marché*socio=ec1, a réduit à plusieurs reprises son taux*socio=rien d'escompte en fonction*socio=rien du ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 de la *socio=ec1 masse_monétaire M1.*socio=nil Les*socio=nil taux_d'_intérêt à*socio=nil long_terme*socio=te,*socio=nil abstraction*socio=rien *socio=nil faite d'un*socio=rien ajustement*socio=et en *socio=rien hausse sur le*socio=nil mouvement*socio=ec2 des*socio=nil taux à*socio=nil court_terme*socio=te en*socio=nil février et*socio=nil mars,*socio=nil *socio=nil ont généralement suivi une *socio=ec2 tendance descendante *socio=nil en 1976 et baissé finalement d'un*socio=rien point*socio=rien environ entre le début*socio=rien et la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. Cette évolution*socio=rien étant à peu près parallèle*socio=rien à celle qui s'est*socio=rien produite aux États-unis*socio=ac, les différences*socio=uv1 entre les deux pays*socio=ac n'ont guère varié. Les écarts*socio=rien entre les taux*socio=rien à court*socio=rien et à long_terme*socio=te ont continué à se réduire durant l'année*socio=rien, notamment pour les valeurs*socio=ec1 publiques*socio=et, de sorte*socio=rien que les rendements*socio=ec1 des fonds_publics*socio=et à court*socio=rien et à long_terme*socio=te étaient pratiquement identiques au troisième*socio=rien trimestre*socio=te. Toutefois, avec l'accélération*socio=ec2 de la baisse*socio=ec2 des taux*socio=rien à court_terme*socio=te durant le dernier*socio=rien trimestre*socio=te, les écarts*socio=rien sont réapparus pour les fonds_publics*socio=et et atteignaient 1,25% à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. Si l'orientation*socio=et fondamentale*socio=uv4 de la politique_monétaire*socio=et a correspondu, dans l'ensemble*socio=rien, au *socio=et programme gouvernemental de*socio=nil réduction*socio=ec2 progressive*socio=rien *socio=nil de l'inflation*socio=ec2, on peut néanmoins s'interroger sur*socio=rien la façon*socio=rien dont a été*socio=rien interprétée l'évolution*socio=rien des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil dans les *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1976 et les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1977, où le rythme*socio=rien d'expansion*socio=ec2 de M1*socio=ec1 est*socio=rien resté au-dessous de la *socio=rien limite inférieure *socio=nil de la fourchette*socio=rien de *socio=rien taux retenue comme*socio=nil objectif*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Il s'agirait alors de savoir*socio=rien si ces écarts*socio=rien par rapport*socio=rien à la ligne*socio=rien tracée étaient dus à des *socio=rien variations soudaines *socio=nil de la demande*socio=ec1 de monnaie*socio=ec1 (qui ne peuvent parfois être*socio=rien décelées qu'au bout*socio=rien de plusieurs mois*socio=rien) Ou bien*socio=rien à des mouvements*socio=ec2 inattendus*socio=rien du PNB*socio=ec1 nominal*socio=rien (ou réel*socio=ec2). En mars*socio=rien 1976, le relèvement*socio=ec2 du taux*socio=rien d'escompte a été*socio=rien opéré au moment*socio=rien où l'activité*socio=rien progressait encore rapidement et où l'inflation*socio=ec2 était forte*socio=rien; plus tard dans l'année*socio=rien, les autorités*socio=et n'ont pas réagi immédiatement au ralentissement*socio=ec2 du rythme*socio=rien d'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1. Bien*socio=rien que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 eussent quelque peu baissé au début*socio=rien de l'automne*socio=rien, le taux*socio=rien d'escompte n'a été*socio=rien réduit qu'à la fin*socio=rien du mois*socio=rien de novembre*socio=rien. Cette réduction*socio=ec2 aurait pu intervenir plus tôt si elle n'avait risqué d'entraîner un*socio=rien gonflement*socio=ec2 inopportun des ventes*socio=ec1 de bons*socio=rien d'épargne*socio=ec1 canadiens*socio=ac. La nervosité*socio=rien des marchés*socio=ec1 des changes*socio=rien à cette époque*socio=te a peut-être aussi joué *socio=rien un rôle.*socio=nil La*socio=nil faiblesse*socio=ec2 *socio=nil de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 en termes*socio=rien réels*socio=ec2 devenant de plus en plus évidente*socio=rien, la banque_du_canada*socio=ac a réagi vigoureusement et, fût-ce avec *socio=rien un retard relativement*socio=nil long,*socio=nil le*socio=nil taux_de_croissance*socio=ec1 *socio=nil de la masse_monétaire*socio=ec1 a été*socio=rien ramené à *socio=rien un niveau *socio=nil proche du *socio=rien rythme retenu comme*socio=nil objectif*socio=uv4.*socio=nil Action sur les*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil et les revenus*socio=ec1. L'étude*socio=ec2 de l'an*socio=rien dernier*socio=rien rappelait les conditions*socio=ec1 dans lesquelles le dispositif*socio=et actuel*socio=te réglementant les prix*socio=ec1 et les revenus*socio=ec1 avait été*socio=rien mis en place*socio=rien au Canada*socio=ac au milieu*socio=rien d'octobre*socio=rien 1975, à la suite*socio=rien de l'échec*socio=uv1 des négociations*socio=et tendant à l'institution*socio=ac d'un*socio=rien système*socio=rien de directives*socio=et volontaires*socio=uv4. Cette réglementation*socio=et a été*socio=rien conçue comme la pièce*socio=rien maîtresse d'un*socio=rien dispositif*socio=et plus vaste*socio=rien, destiné à attaquer l'inflation*socio=ec2 sur*socio=rien plusieurs fronts*socio=rien à la fois*socio=rien et comportant aussi la mise en oeuvre*socio=rien d'instruments*socio=et budgétaires*socio=et et monétaires*socio=ec1 plus classiques*socio=rien. L'une de ses *socio=rien principales caractéristiques est *socio=nil que, à la différence*socio=rien des dispositifs*socio=et adoptés dans certains autres pays*socio=ac, il est*socio=rien axé sur*socio=rien une réduction*socio=ec2 progressive*socio=rien du rythme*socio=rien de hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 au lieu*socio=rien de tabler, même dans la période*socio=te initiale*socio=rien, sur*socio=rien le "refroidissement" qu'opère *socio=rien un blocage des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil ou des revenus*socio=ec1, ou des deux à la fois*socio=rien. Au cours*socio=rien des trois "périodes*socio=te d'application*socio=rien" sur*socio=rien lesquelles le programme*socio=et est*socio=rien étalé (périodes*socio=te de douze mois*socio=rien s'achevant respectivement en octobre*socio=rien 1976, 1977 et 1978), la hausse*socio=rien de l' indice_des_prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 doit progressivement*socio=rien diminuer: les taux*socio=rien cibles sont respectivement 8%, 6% et 4%. Des taux-cibles, liés à ces derniers*socio=rien, ont également été*socio=rien fixés pour la progression*socio=ec2 des *socio=ec1 rémunérations salariales,*socio=nil *socio=nil etc. En raison*socio=rien de l'articulation*socio=ec2 constitutionnelle du Canada*socio=ac, les gouvernements*socio=ac provinciaux*socio=te avaient la possibilité*socio=rien d'adhérer ou non au programme*socio=et. En fait*socio=rien, huit des dix provinces*socio=ac ont adopté les directives*socio=et concernant les rémunérations*socio=ec1, les deux autres ayant élaboré un*socio=rien dispositif*socio=et qui leur *socio=rien est propre.*socio=nil Le*socio=nil champ du*socio=nil programme*socio=et *socio=nil étant très vaste*socio=rien (en ce qui concerne la gamme*socio=rien des revenus*socio=ec1 soumis à surveillance*socio=et) et la souplesse*socio=uv3 de ses *socio=rien modalités considérable,*socio=nil *socio=nil il était inévitable*socio=rien que son application*socio=rien soulève initialement *socio=rien un certain nombre de*socio=nil difficultés*socio=uv4 *socio=nil de mise au point*socio=rien, qui paraissent avoir causé quelque perplexité chez les partenaires_sociaux*socio=et. Certains aménagements*socio=et de détail*socio=rien ont été*socio=rien apportés à la réglementation*socio=et des prix*socio=ec1 que comporte le programme*socio=et; le plus important*socio=rien, opéré en *socio=rien septembre dernier,*socio=nil *socio=nil concerne la troisième*socio=rien période*socio=te d'application*socio=rien. Pendant la *socio=rien première année d'*socio=nil application du*socio=nil *socio=et dispositif réglementaire,*socio=nil la*socio=nil Commission*socio=ac anti-inflation*socio=ec2 a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil saisie de plans*socio=rien de rémunération*socio=ec1 applicables*socio=rien à 2,4 millions*socio=rien de salariés*socio=ac (un*socio=rien peu plus des deux tiers*socio=rien du *socio=rien nombre total *socio=nil assujetti au contrôle*socio=uv3 de l'état_fédéral*socio=ac). Pour 1,1 million*socio=rien d'entre eux, les augmentations*socio=ec2 prévues se situaient dans le cadre*socio=rien des directives*socio=et, le relèvement*socio=ec2 moyen*socio=rien étant de 7% (moyenne*socio=rien arithmétique résultant*socio=rien des directives*socio=et: environ 10%); pour les autres, le relèvement*socio=ec2 moyen*socio=rien prévu était de 15,6%, soit environ 5,9% de plus que le chiffre résultant*socio=rien des directives*socio=et, et les demandes*socio=et devaient, par conséquent*socio=rien, faire l'objet*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=ec2 détaillé par la Commission*socio=ac. Celle-ci s'est*socio=rien prononcée sur*socio=rien environ 2 700 de ces demandes*socio=et et a autorisé des relèvements*socio=ec2 dont la moyenne*socio=rien s'établit à 11,4%. Au milieu*socio=rien du mois*socio=rien de mars*socio=rien 1977, la Commission*socio=ac avait été*socio=rien saisie de plans*socio=rien concernant 3,2 millions*socio=rien de salariés*socio=ac (environ 90% du total*socio=rien des assujettis au contrôle*socio=uv3 de l'état_fédéral*socio=ac); elle en avait entériné *socio=rien un nombre *socio=nil couvrant 1,2 million*socio=rien de salariés*socio=ac. Le tableau*socio=rien 10 fait*socio=rien le point*socio=rien des plans*socio=rien examinés par la Commission*socio=ac au cours*socio=rien des *socio=rien dix-sept premiers mois *socio=nil de son activité*socio=rien. L'importance*socio=rien des relèvements*socio=ec2 de rémunération*socio=ec1 demandés ayant généralement tendance*socio=ec2 à diminuer, l'objectif*socio=uv4 numérique fixé pour la première*socio=rien période*socio=te d'application*socio=rien du programme*socio=et a été*socio=rien atteint puisque, globalement, l'augmentation*socio=ec2 moyenne*socio=rien des rémunérations*socio=ec1 effectives*socio=rien s'est*socio=rien établie à 0,3 point*socio=rien au-dessous du chiffre de 9,7% résultant*socio=rien des directives*socio=et. Les accords*socio=et conclus jusqu'ici pour la deuxième*socio=rien et la *socio=rien troisième années du*socio=nil programme*socio=et *socio=nil font apparaître des écarts*socio=rien en moins qui sont comparables*socio=rien. Pendant la *socio=rien première année d'*socio=nil application du*socio=nil *socio=et dispositif réglementaire (*socio=nil année*socio=rien civile *socio=nil 1975, en général*socio=rien), les entreprises*socio=ac étaient autorisées à calculer leurs marges bénéficiaires*socio=ac suivant*socio=rien l'un*socio=rien ou l'autre des quatre régimes*socio=et suivants*socio=rien: distribution*socio=rien, coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien, ligne*socio=rien de production*socio=ec1 ou marge nette*socio=rien. Les marges bénéficiaires*socio=ac retenues*socio=rien comme objectifs*socio=uv4 étaient calculées pour chaque entreprise*socio=ac en fonction*socio=rien des marges prévalant dans chaque branche*socio=rien d'activité*socio=rien pendant la période*socio=te de *socio=rien référence correspondante.*socio=nil En*socio=nil fait,*socio=nil *socio=nil pour l'ensemble*socio=rien des branches*socio=rien d'activité*socio=rien, la marge bénéficiaire *socio=rien moyenne effectivement *socio=nil réalisée a *socio=rien été égale *socio=nil à 65,5% du plafond*socio=ec1 autorisé. Pour les entreprises*socio=ac soumises au régime*socio=et de la marge nette*socio=rien (entreprises*socio=ac manufacturières*socio=ec1, surtout), les chiffres enregistrés ont été*socio=rien nettement inférieurs*socio=rien aux plafonds*socio=ec1 autorisés. Moins de 45% de toutes les entreprises*socio=ac ont réalisé des marges proches*socio=rien des plafonds*socio=ec1 autorisés, c'est-à-dire, selon la définition*socio=rien de la Commission*socio=ac anti-inflation*socio=ec2, dépassant 90% du chiffre plafond*socio=ec1. Toutefois, ces moyennes*socio=rien ne rendent pas compte*socio=rien de la grande*socio=rien diversité*socio=uv1 des résultats*socio=rien, aussi bien*socio=rien entre branches*socio=rien d'activité*socio=rien qu'à l'intérieur*socio=te de celles-ci. Pendant la première*socio=rien période*socio=te d'application*socio=rien, si moins de 45% des entreprises*socio=ac ayant communiqué des informations*socio=rien ont indiqué que leurs bénéfices*socio=ec1 étaient proches*socio=rien du plafond*socio=ec1 moyen*socio=rien, 18% de ces entreprises*socio=ac ont réalisé des bénéfices*socio=ec1 excédentaires*socio=ec2, d'un*socio=rien montant*socio=ec1 d'environ 43 millions*socio=rien de dollars*socio=ec1. Les renseignements*socio=ec2 concernant la deuxième*socio=rien période*socio=te d'application*socio=rien (année*socio=rien civile*socio=et 1976, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien) et provenant des *socio=rien rapports trimestriels des*socio=nil grandes sociétés*socio=ac *socio=nil laissent entrevoir que les marges bénéficiaires*socio=ac *socio=rien moyennes effectives *socio=nil seront de *socio=rien nouveau inférieures aux*socio=nil *socio=ec1 plafonds moyens retenus*socio=rien comme*socio=nil objectifs*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil En outre, le *socio=rien niveau moyen des*socio=nil relèvements*socio=ec2 de*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil demandés par les grandes*socio=rien entreprises*socio=ac dans le cadre*socio=rien de la procédure*socio=et de préavis*socio=rien a tendance*socio=ec2 à baisser depuis le début*socio=rien de 1976. Jusqu'ici, les faits*socio=rien montrent clairement que l'évolution*socio=rien des revenus*socio=ec1 s'est*socio=rien nettement assagie pendant la période*socio=te considérée et qu'il en a été*socio=rien de même, *socio=rien bien sûr *socio=nil pour les prix*socio=ec1. Mais il n'est*socio=rien pas absolument certain*socio=rien que les progrès*socio=uv1 réalisés sur*socio=rien ces deux fronts*socio=rien puissent être*socio=rien imputés entièrement aux activités*socio=rien de la Commission*socio=ac anti-inflation*socio=ec2. Les résultats*socio=rien favorables*socio=ec2 enregistrés dans le domaine*socio=rien des prix*socio=ec1 sont dus, pour une *socio=rien bonne part,*socio=nil *socio=nil à l'évolution*socio=rien des prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1, lesquels, calculés en monnaie*socio=ec1 locale*socio=te, ont augmenté seulement de 1,5% pendant les douze mois*socio=rien se terminant en octobre*socio=rien 1976; le coût*socio=ec1 des produits*socio=rien manufacturés importés ("produits*socio=rien finals*socio=rien") s'est*socio=rien accru de 1% à peine et celui des produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1 a diminué de plus de 3,5%. En outre, le prix*socio=ec1 départ-exploitation des produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1 d'origine*socio=rien intérieure*socio=te, qui se situe, lui aussi, au-dehors du champ*socio=rien d'application*socio=rien de la réglementation*socio=et, a baissé d'environ 8,5%. Quant aux salaires*socio=ec1, les données relatives*socio=rien aux accords*socio=et conclus avant l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 de la réglementation*socio=et faisaient déjà apparaître un*socio=rien ralentissement*socio=ec2, lequel pourrait bien*socio=rien avoir été*socio=rien accentué par l'atonie*socio=ec2 de la demande*socio=ec1, le *socio=ec2 marasme tendanciel du*socio=nil marché_du_travail*socio=ec1 *socio=nil et la décélération*socio=ec2 inattendue*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1. En revanche, plusieurs indications*socio=rien de fait*socio=rien inclinent à penser qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil résultats peuvent*socio=nil être inscrits *socio=nil à l'actif*socio=ec1 de la Commission*socio=ac anti-inflation*socio=ec2. Dans le domaine*socio=rien des revenus*socio=ec1, il apparaît d'abord*socio=rien que les taux*socio=rien de rémunération*socio=ec1 ont sans doute*socio=rien augmenté de 1% de plus dans le secteur*socio=rien non réglementé que dans le secteur*socio=rien entrant directement dans le champ*socio=rien de la réglementation*socio=et. On aurait pu normalement s'attendre que ce soit le contraire*socio=rien, puisque les travailleurs*socio=ac syndiqués (proportionnellement plus nombreux*socio=rien dans les grandes*socio=rien entreprises*socio=ac, donc dans le champ*socio=rien d'application*socio=rien du programme*socio=et) défendent relativement mieux leurs positions*socio=rien, en général*socio=rien, lorsque le marché_du_travail*socio=ec1 est*socio=rien atone. Il apparaît ensuite que la progression*socio=ec2 des taux*socio=rien de rémunération*socio=ec1 des salariés*socio=ac des secteurs*socio=rien non commerciaux*socio=ec1, dont il y a tout lieu*socio=rien de penser qu'ils sont généralement moins influencés par la conjoncture*socio=te économique*socio=ec1 générale*socio=rien, s'est*socio=rien ralentie davantage que celle des taux*socio=rien de rémunération*socio=ec1 dans les secteurs*socio=rien commerciaux*socio=ec1. En *socio=rien troisième lieu,*socio=nil agir*socio=nil sur *socio=nil les marges bénéficiaires*socio=ac des grandes*socio=rien entreprises*socio=ac implique probablement que l'on agit aussi directement sur*socio=rien la plupart*socio=rien des marges pratiquées sur*socio=rien le marché*socio=ec1, par l'intermédiaire*socio=rien du *socio=rien jeu normal *socio=nil de la concurrence*socio=ec1 (particulièrement lorsque la demande*socio=ec1 est*socio=rien languissante); or*socio=rien, les faits*socio=rien montrent que les marges bénéficiaires*socio=ac des entreprises*socio=ac contrôlées ont sans *socio=rien doute été inférieures *socio=nil d'environ 1% à celles des entreprises*socio=ac qui ne le sont pas directement. Toutefois, comme on l'a noté plus haut*socio=rien, les marges des entreprises*socio=ac contrôlées n'ont pas atteint les plafonds*socio=ec1 fixés dans le cadre*socio=rien du programme*socio=et, ce qui donne à penser que ce dernier*socio=rien n'a pas opéré en tant que facteur*socio=rien de limitation*socio=uv3. Il est*socio=rien plus difficile*socio=rien d'interpréter le fait*socio=rien que la Commission*socio=ac anti-inflation*socio=ec2 a pu réduire *socio=rien notablement bon nombre des*socio=nil demandes*socio=et de*socio=nil relèvement*socio=ec2 de*socio=nil salaires*socio=ec1 *socio=nil qui lui ont été*socio=rien soumises. Il n'est*socio=rien pas impossible*socio=rien, d'une part*socio=rien, que l'importance*socio=rien de certaines*socio=rien revendications*socio=uv1 syndicales*socio=ac ait été*socio=rien réduite et ramenée au niveau*socio=rien de celles dont on estimait qu'elles pourraient être*socio=rien avalisées par la Commission*socio=ac et, d'autre part*socio=rien, que des entreprises*socio=ac aient assez facilement donné leur accord_de_principe*socio=et à des revendications*socio=uv1 dont elles avaient de *socio=rien bonnes raisons *socio=nil de penser qu'elles seraient "laminées". Dans le domaine*socio=rien des prix*socio=ec1, il ressort clairement des faits*socio=rien que, du moins pendant les premiers*socio=rien stades*socio=te de mise en oeuvre*socio=rien du programme*socio=et, les entreprises*socio=ac ont différé*socio=rien des relèvements*socio=ec2 qu'elles envisageaient, afin d'éviter le tort*socio=rien que pouvait leur causer la publicité*socio=rien donnée aux infractions*socio=rien à la réglementation*socio=et. Ce renvoi à plus tard des décisions*socio=rien de prix*socio=ec1 est*socio=rien aussi imputable*socio=uv2 en partie*socio=rien au temps*socio=rien qu'ont mis les *socio=et services administratifs *socio=nil pour mettre au point*socio=rien dans tous leurs détails*socio=rien les modalités*socio=rien d'application*socio=rien de la réglementation*socio=et. Au demeurant, dans le cadre*socio=rien de la procédure*socio=et de préavis*socio=rien, maintes entreprises*socio=ac ont réduit l'importance*socio=rien des relèvements*socio=ec2 de prix*socio=ec1 qu'elles demandaient ou bien*socio=rien n'ont déposé*socio=rien aucune demande*socio=rien de relèvement*socio=ec2. Finalement, les éléments*socio=rien de fait*socio=rien connus jusqu'ici inclinent à penser que, dans l'ensemble*socio=rien, le programme*socio=et a eu une influence positive*socio=uv4. Pour essayer de confirmer cette *socio=rien impression générale,*socio=nil le*socio=nil Secrétariat*socio=ac *socio=nil a effectué quelques calculs*socio=rien économétriques*socio=ec2. Mais leurs résultats*socio=rien sont assez peu concluants*socio=rien. *socio=rien Un certain nombre *socio=nil de tests - qui n'ont absolument rien*socio=rien de décisif*socio=rien, *socio=rien bien sûr *socio=nil - indiquent que l'évolution*socio=rien effective*socio=rien des salaires*socio=ec1 a *socio=rien été un *socio=nil peu en retrait de celle que l'on pouvait prévoir en extrapolant leurs tendances*socio=ec2 antérieures*socio=te, mais qu'il n'en a pas été*socio=rien de même en ce qui concerne les prix*socio=ec1. Des travaux*socio=rien économétriques*socio=ec2 effectués au Canada*socio=ac ont abouti à des *socio=rien indications analogues.*socio=nil *socio=nil Toutefois ces résultats*socio=rien doivent être*socio=rien considérés en ne perdant pas de vue*socio=rien les difficultés*socio=uv4 auxquelles on s'est*socio=rien heurté en général*socio=rien lorsqu'on a essayé d'expliquer par des modèles*socio=rien économétriques*socio=ec2 le comportement*socio=rien des salaires*socio=ec1 et des prix*socio=ec1 au cours*socio=rien des toutes *socio=rien dernières années *socio=nil caractérisées par une inflation*socio=ec2 élevée*socio=uv4, et en tenant compte*socio=rien aussi, en l'occurrence*socio=rien, des conditions*socio=ec1 inhabituelles qui régnaient au Canada*socio=ac au moment*socio=rien où le programme*socio=et a été*socio=rien lancé et qui n'ont peut-être pas été*socio=rien convenablement prises*socio=rien en compte*socio=rien dans la simulation*socio=rien. La façon*socio=rien dont on évalue l'impact*socio=rien du programme*socio=et dépend finalement, sans doute*socio=rien, de la façon*socio=rien dont on pense que se forment les anticipations*socio=uv3 lorsque le taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 atteint des niveaux*socio=rien rarement égalés jusque-là. Si l'on postule que le comportement*socio=rien des agents*socio=ac économiques*socio=ec1 n'a guère changé de *socio=rien façon notable *socio=nil depuis les années*socio=rien 60 et les *socio=rien premières années *socio=nil 70, on peut interpréter les résultats*socio=rien des travaux*socio=rien économétriques*socio=ec2 effectués par le Secrétariat*socio=ac et au Canada*socio=ac comme indiquant que le programme*socio=et n'a guère eu d'impact*socio=rien *socio=rien notable sur le*socio=nil ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de l'inflation*socio=ec2 par les salaires*socio=ec1 et par les prix*socio=ec1. Mais si l'on postule - ce qui paraît plus plausible - que l'inflation*socio=ec2 du milieu*socio=rien des années*socio=rien 70 a fondamentalement*socio=rien modifié les anticipations*socio=uv3 et que celles-ci se sont atténuées de façon*socio=rien plus graduelle*socio=rien que l'indiquaient les relations*socio=rien observées dans les années*socio=rien antérieures*socio=te, il paraît indéniable*socio=rien que le programme*socio=et a contribué à réduire les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 et, partant, à ralentir le rythme*socio=rien d'inflation*socio=ec2. Conclusions*socio=rien. L'année*socio=rien 1976 a été*socio=rien au Canada*socio=ac la *socio=rien première année *socio=nil complète d'application*socio=rien du vaste*socio=rien programme*socio=et de lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec2 conçu selon des *socio=rien lignes nouvelles.*socio=nil *socio=nil Celui-ci a été*socio=rien lancé dans les *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1975, au terme*socio=rien d'une période*socio=te où le niveau*socio=rien d'activité*socio=rien avait pu être*socio=rien maintenu en dépit*socio=rien des fortes*socio=rien impulsions déflationnistes*socio=ec2 d'origine*socio=rien extérieure*socio=te mais où le rythme*socio=rien d'inflation*socio=ec2 ne s'était pas ralenti. Prenant une position*socio=rien tout à fait*socio=rien conforme*socio=uv4 à la stratégie*socio=et adoptée en juin*socio=rien 1976 par le Conseil*socio=ac de l'OCDE*socio=ac, réuni au niveau*socio=rien des ministres*socio=ac, les autorités*socio=et canadiennes*socio=ac sont parties*socio=rien du principe*socio=ec2 qu'il était absolument indispensable*socio=uv4 de réduire l'inflation*socio=ec2 si l'on voulait que l'expansion*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et la progression*socio=ec2 de l'emploi*socio=ec1 reprennent *socio=rien un rythme *socio=nil à la fois*socio=rien durable*socio=uv4 et rapide*socio=rien. Elles ont aussi reconnu que la réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2 et des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 ne pouvait être*socio=rien que graduelle*socio=rien et comportait nécessairement certains coûts*socio=ec1. L'évolution*socio=rien de l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac au cours*socio=rien de l'an*socio=rien dernier*socio=rien doit donc être*socio=rien considérée sous l'angle*socio=rien de ces objectifs*socio=uv4 d'action*socio=rien à plus long_terme*socio=te. Il était inévitable*socio=rien, par exemple*socio=rien, que l'infléchissement*socio=ec2 dans *socio=rien un sens *socio=nil beaucoup moins stimulant de la politique_économique*socio=et se répercute sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 de l'activité*socio=rien, qui s'est*socio=rien ralentie dans le courant*socio=rien de l'an*socio=rien dernier*socio=rien, et il *socio=rien est possible *socio=nil qu'il ait contribué à faire augmenter le taux*socio=rien de chômage*socio=ec1, qui atteint actuellement le niveau*socio=rien très élevé*socio=uv4 de 8%. Et, à cause*socio=rien notamment des effets*socio=rien à retardement de la précédente*socio=rien baisse*socio=ec2 de compétitivité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et de l'augmentation*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 des invisibles*socio=rien, la balance*socio=ec1 courante*socio=te ne s'est*socio=rien guère améliorée, en dépit*socio=rien d'un*socio=rien changement*socio=uv3 de position*socio=rien conjoncturelle*socio=uv4 relative*socio=rien qui a eu des *socio=ec2 incidences favorables sur*socio=rien les*socio=nil paiements*socio=ec1 extérieurs*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac,*socio=nil *socio=nil qui était en hausse*socio=rien depuis le milieu*socio=rien de 1975, a fortement baissé depuis novembre*socio=rien 1976. Par contre, le Canada*socio=ac a obtenu l'an*socio=rien dernier*socio=rien de *socio=rien meilleurs résultats *socio=nil dans le domaine*socio=rien de l'inflation*socio=ec2. La quasi-stabilité fortuite des *socio=ec1 prix alimentaires a*socio=nil notablement*socio=rien *socio=nil contribué à freiner la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1, mais le changement*socio=uv3 d'orientation*socio=et de la politique_économique*socio=et et les activités*socio=rien de la Commission*socio=ac anti-inflation*socio=ec2 ont probablement joué *socio=rien un rôle capital*socio=ec1 *socio=nil dans l'important*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la progression*socio=ec2 des salaires*socio=ec1 résultant*socio=rien des conventions_collectives*socio=ec1. Les perspectives*socio=te à court_terme*socio=te indiquent que l'année*socio=rien 1977 sera une *socio=rien deuxième année d'*socio=nil ajustement*socio=et.*socio=nil La*socio=nil *socio=ec2 progression tendancielle *socio=nil se poursuivra sans *socio=rien doute sur le*socio=nil front *socio=nil de la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec2, grâce*socio=rien surtout aux effets*socio=rien exercés sur*socio=rien les gains*socio=ec1 par les conventions*socio=et salariales*socio=ec1 conclues l'an*socio=rien dernier*socio=rien, mais ces effets*socio=rien pourraient *socio=rien être temporairement *socio=nil masqués, notamment dans les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1977, par l'évolution*socio=rien exogène défavorable*socio=uv4 dans le domaine*socio=rien de l'alimentation*socio=ec1 et de l'énergie*socio=ec1. On peut s'attendre que la politique_économique*socio=et garde*socio=rien, cette année*socio=rien, son orientation*socio=et générale*socio=rien et ne stimule guère davantage, de ce fait*socio=rien, l'activité*socio=rien économique*socio=ec1. Globalement, la progression*socio=ec2 du PNB*socio=ec1 pourrait rester modérée et risque*socio=uv4 d'être*socio=rien insuffisante*socio=uv4 pour réduire la marge de capacités*socio=uv3 inutilisées*socio=rien en 1977. Mais à semble que l'on puisse s'attendre à une accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 au *socio=rien premier semestre *socio=nil de l'an*socio=rien prochain*socio=rien. Il paraît nécessaire*socio=rien, dans ces conditions*socio=ec1, que la politique_économique*socio=et garde*socio=rien une orientation*socio=et relativement stricte*socio=rien. A l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, une action*socio=rien de relance*socio=uv3 risquerait d'attiser les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2; elle serait probablement inopportune si elle stimulait la consommation*socio=ec1 publique*socio=et ou la consommation*socio=ec1 privée*socio=et, composantes*socio=ec1 de la demande*socio=ec1 qui ont toutes deux augmenté très rapidement ces *socio=rien dernières années;*socio=nil *socio=nil elle pourrait être*socio=rien inefficace*socio=uv4 si elle visait à redonner du tonus à l'investissement*socio=ec1 des entreprises*socio=ac. Au demeurant, pour renforcer cet ensemble*socio=rien d'orientations*socio=et, il conviendrait peut-être d'envisager la possibilité*socio=rien de proroger, sous une forme*socio=rien modifiée et moins contraignante, le programme*socio=et d'action*socio=rien sur*socio=rien les prix*socio=ec1 et les revenus*socio=ec1 au-delà d'octobre*socio=rien 1977, époque*socio=te à laquelle son articulation*socio=ec2 doit être*socio=rien révisée. L'examen*socio=ec2 des faits*socio=rien incline à penser que les activités*socio=rien de la Commission*socio=ac anti-inflation*socio=ec2 ont contribué à calmer l'effervescence, en particulier*socio=rien dans le domaine*socio=rien des salaires*socio=ec1, et peut-être aussi dans celui des prix*socio=ec1, aussi bien*socio=rien directement qu'indirectement*socio=rien, notamment en agissant sur*socio=rien les anticipations*socio=uv3. Leur effet*socio=rien n'a peut-être pas été*socio=rien très spectaculaire*socio=rien mais les résultats*socio=rien obtenus, aussi modestes*socio=rien qu'ils soient, sont loin*socio=rien d'être*socio=rien négligeables*socio=rien, dans ce domaine*socio=rien particulièrement difficile*socio=rien de la politique_économique*socio=et. Le taux*socio=rien de chômage*socio=ec1 étant de l'ordre*socio=rien de 8%, la solution*socio=rien du problème*socio=uv4 de l'inflation*socio=ec2 ne doit assurément pas être*socio=rien recherchée dans une compression*socio=et supplémentaire*socio=rien de la demande*socio=ec1. C'est*socio=rien sans doute*socio=rien dans une " régulation*socio=et " persévérante des revenus*socio=ec1 et des prix*socio=ec1 que réside, semble-t-il, la *socio=rien meilleure chance *socio=nil de réduire encore le taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2. On peut estimer regrettable*socio=rien à cet égard*socio=rien, que, alors que la réglementation*socio=et prévoit un*socio=rien réexamen*socio=et du "facteur*socio=rien de protection*socio=et de base*socio=rien" (c'est-à-dire de l'indexation*socio=ec1 sur*socio=rien le coût_de_la_vie) applicable*socio=rien à la *socio=rien deuxième année *socio=nil dans le cas*socio=rien où l'évolution*socio=rien des prix*socio=ec1 aurait dépassé l'objectif*socio=uv4 fixé pour la *socio=rien première année,*socio=nil *socio=nil elle ne prévoit pas de réexamen*socio=et en baisse*socio=ec2 correspondant, pour le cas*socio=rien - qui s'est*socio=rien effectivement*socio=rien présenté - où le taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 a *socio=rien été inférieur *socio=nil à l'objectif*socio=uv4 visé. Comme l'indique l'étude*socio=ec2, le niveau*socio=rien très élevé*socio=uv4 qu'atteint actuellement le chômage*socio=ec1 n'est*socio=rien pas directement comparable*socio=rien aux précédents*socio=rien maximas conjoncturels*socio=uv4; il n'en constitue pas moins une cause*socio=rien de *socio=uv4 sérieuses préoccupations.*socio=nil L'*socio=nil étude*socio=ec2 *socio=nil note que le chômage*socio=ec1 des jeunes*socio=ac est*socio=rien apparemment difficile*socio=rien à réduire puisqu'il reste*socio=rien extrêmement élevé*socio=uv4 en dépit*socio=rien des divers programmes*socio=et mis en oeuvre*socio=rien; et les prévisions*socio=ec2 du Secrétariat*socio=ac indiquent que, avec la persistance*socio=te d'une basse*socio=rien conjoncture*socio=te, le taux*socio=rien de chômage*socio=ec1 des adultes*socio=ac du *socio=rien sexe masculin (*socio=nil chefs*socio=ac de*socio=nil famille*socio=uv1,*socio=nil *socio=nil pour la plupart*socio=rien) pourrait désormais augmenter. On peut se demander s'il ne conviendrait pas de mettre en oeuvre*socio=rien de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et spécifiques*socio=rien pour atténuer la gravité du problème*socio=uv4 que pose le chômage*socio=ec1, y compris, éventuellement, une réorganisation*socio=uv4 générale*socio=rien des *socio=et dispositifs administratifs fédéraux et*socio=nil provinciaux*socio=te *socio=nil destinée à améliorer l'efficacité*socio=uv3 des programmes*socio=et actuels*socio=te de soutien*socio=uv3 du marché*socio=ec1 de l'emploi*socio=ec1. On pourrait peut-être aussi envisager la possibilité*socio=rien de prendre des mesures*socio=et sélectives*socio=uv4 pour encourager l'investissement*socio=ec1 dans le *socio=rien seul secteur *socio=nil où les perspectives*socio=te sont relativement favorables*socio=ec2 et les pénuries*socio=ec2 de capacités*socio=uv3 apparemment généralisées dans le monde*socio=te entier*socio=rien, c'est-à-dire dans les industries*socio=ec1 productrices de ressources*socio=ec1 et les industries*socio=ec1 axées sur*socio=rien l'exploitation*socio=ec1 des ressources*socio=ec1. C'est*socio=rien effectivement*socio=rien ce que l'on fait*socio=rien dans le domaine*socio=rien énergétique*socio=ec1; on pourrait peut-être étendre cette action*socio=rien à d'autres secteurs*socio=rien fournisseurs*socio=ac de *socio=rien produits primaires *socio=nil ou semi-finis. L'intensification*socio=ec2 de l'activité*socio=rien d'investissement*socio=ec1 aurait non seulement des *socio=rien effets immédiats sur l'*socio=nil emploi*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil mais elle pourrait aussi, à long_terme*socio=te, exercer une influence favorable*socio=ec2 sur*socio=rien la balance_des_paiements*socio=ec1. Cette *socio=rien dernière est au*socio=nil Canada*socio=ac un sujet de*socio=nil préoccupation*socio=uv4 générale.*socio=nil *socio=nil Alors même que les problèmes*socio=uv4 de l'inflation*socio=ec2 et du chômage*socio=ec1 sembleraient nettement plus graves*socio=rien il apparaît que la *socio=ec1 balance commerciale *socio=nil et la balance*socio=ec1 des invisibles*socio=rien aient également subi une détérioration*socio=uv4 tendancielle*socio=ec2. Les causes*socio=rien de cette évolution*socio=rien ne sont pas faciles*socio=rien à discerner. Une *socio=rien explication possible pourrait*socio=nil être la*socio=nil progression*socio=ec2 des*socio=nil coûts*socio=ec1 unitaires de*socio=nil main-d'_oeuvre*socio=ac *socio=nil nettement plus rapide*socio=rien au Canada*socio=ac qu'aux États-unis*socio=ac, ce qui met encore davantage en relief*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de maîtriser*socio=rien le taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 au Canada*socio=ac. La nécessité*socio=uv1 d'une amélioration*socio=uv1 dans le domaine*socio=rien du commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te est*socio=rien renforcée par la considération*socio=rien que des déficits_courants*socio=ec1 de l'ordre*socio=rien de ceux actuels*socio=te ou projetés*socio=rien pourraient, à plus long_terme*socio=te, être*socio=rien considérés comme non appropriés dans un*socio=rien pays*socio=ac où les niveaux_de_vie*socio=uv1 relativement élevés*socio=uv4 ne justifient pas *socio=rien un appel large et*socio=nil durable*socio=uv4 aux*socio=nil ressources*socio=ec1 extérieures*socio=te.*socio=nil *socio=nil Toutefois, le problème*socio=uv4 ne se pose pas dans l'immédiat*socio=rien. Jusqu'ici, l'importance*socio=rien du déficit*socio=ec1 courant*socio=rien n'a pas été*socio=rien considérée comme préoccupante*socio=uv4, car, d'une part*socio=rien, on estime*socio=rien que la mise en valeur*socio=ec1 des ressources_naturelles*socio=ec1 dont le Canada*socio=ac se trouve doté ne peut se faire sans le concours de l'épargne*socio=ec1 étrangère*socio=te et, d'autre part*socio=rien, le Canada*socio=ac n'a pas éprouvé de difficultés*socio=uv4 lorsqu'il s'est*socio=rien adressé aux marchés*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1 étrangers*socio=te.