*{ Rapport des études économiques de l'OCDE en France de 1977 } INTRODUCTION*socio=rien. L'économie*socio=ec1 française*socio=ac a enregistré au quatrième*socio=rien trimestre*socio=te de 1975 et au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1976 une phase*socio=te de reprise très soutenue de l'activité*socio=rien, qui faisait suite*socio=rien à la récession*socio=ec2 sérieuse*socio=uv4 qu'elle avait connue au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1974 et dans la *socio=rien première moitié *socio=nil de 1975. Cette phase*socio=te de reprise rapide*socio=rien s'explique essentiellement par la croissance*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et par l'ampleur*socio=rien du mouvement*socio=ec2 de stocks*socio=ec1, mais aussi, quoique à travers*socio=rien des évolutions*socio=rien contrastées, par le développement*socio=uv3 soutenu de la consommation*socio=ec1 privée*socio=et. Par contre, les investissements*socio=ec1 productifs*socio=uv4 privés*socio=et n'ont pas marqué de reprise durable*socio=uv4 après*socio=rien le recul*socio=rien qu'ils avaient enregistré au moment*socio=rien de la récession*socio=ec2. Cette phase*socio=te de vive reprise a été*socio=rien suivie depuis le second*socio=rien trimestre*socio=te de 1976 par une croissance*socio=uv3 plus modérée de la demande*socio=ec1 et de la production*socio=ec1 et l'on a assisté*socio=rien à un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien dans les *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1976. A la fin*socio=rien de 1975 et dans les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1976, une accélération*socio=ec2 des prix*socio=ec1 et des *socio=ec1 coûts salariaux s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil produite ainsi qu'une dégradation*socio=uv3 du solde*socio=ec1 extérieur*socio=te, la croissance*socio=uv3 soutenue des exportations*socio=ec1 étant beaucoup plus que compensée par la forte*socio=rien progression*socio=ec2 des importations*socio=ec1. Enfin, il faut noter que la reprise de l'activité*socio=rien a seulement permis*socio=rien une stabilisation*socio=et du chômage*socio=ec1 par rapport*socio=rien au niveau*socio=rien atteint à la fin*socio=rien de 1975. La politique_économique*socio=et, qui avait pris *socio=rien un tour nettement*socio=nil expansionniste*socio=ec2 *socio=nil à partir de septembre*socio=rien 1975, est*socio=rien devenue progressivement*socio=rien plus restrictive*socio=uv4. Dans la ligne*socio=rien de la stratégie*socio=et adoptée à la réunion*socio=rien des Ministres*socio=ac des Finances*socio=ec1 de l'OCDE*socio=ac en juin*socio=rien 1976, le gouvernement*socio=ac a arrêté, en septembre*socio=rien, un*socio=rien programme*socio=et privilégiant les objectifs*socio=uv4 de freinage*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 et de réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien - conditions*socio=ec1 indispensables*socio=uv4 à la réalisation*socio=uv1 d'une croissance*socio=uv3 soutenue et durable*socio=uv4 de l'activité*socio=rien. Ce programme*socio=et se traduit à la fois*socio=rien par la présentation*socio=rien d'un*socio=rien budget*socio=ec1 en équilibre*socio=uv3 pour 1977, par une nette*socio=rien modération*socio=ec2 de l'augmentation*socio=ec2 des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil et par diverses*socio=rien mesures*socio=et visant à modérer les augmentations*socio=ec2 nominales*socio=rien. Enfin, diverses*socio=rien dispositions*socio=et visent à répartir la charge*socio=rien occasionnée par la sécheresse*socio=et. La juxtaposition de cette politique_économique*socio=et et de comportements*socio=rien prudents de la part*socio=rien des agents*socio=ac économiques*socio=ec1 - et, en particulier*socio=rien, des entreprises*socio=ac privées*socio=et - devrait entraîner en 1977 une modération*socio=ec2 dans l'évolution*socio=rien des revenus*socio=ec1 et des prix*socio=ec1, une réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et *socio=rien un certain rétablissement du*socio=nil solde*socio=ec1 extérieur*socio=te.*socio=nil *socio=nil Dans le même temps*socio=rien, on assisterait à une décélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 par rapport*socio=rien au rythme*socio=rien de progression*socio=ec2 enregistré en 1976 (3% environ contre 5%). Cette évolution*socio=rien pourrait entraîner une aggravation*socio=ec2 de la situation*socio=rien de l'emploi*socio=ec1. La présente*socio=rien étude*socio=ec2 analyse*socio=rien dans sa *socio=rien première partie les*socio=nil tendances*socio=ec2 récentes *socio=nil de l'activité*socio=rien intérieure*socio=te, des salaires*socio=ec1 et des prix*socio=ec1. L'évolution*socio=rien du marché_du_travail*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1 est*socio=rien ensuite rapidement examinée. Puis, l'étude*socio=ec2 analyse*socio=rien les relations*socio=rien extérieures*socio=te et la balance_des_paiements*socio=ec1. Une *socio=rien quatrième partie est *socio=nil consacrée à l'évolution*socio=rien de la politique_économique*socio=et depuis la fin*socio=rien de 1975. Enfin, les *socio=rien derniers paragraphes *socio=nil sont consacrés aux perspectives*socio=te à court_terme*socio=te et posent divers problèmes*socio=uv4 de politique_économique*socio=et. L'ÉVOLUTION*socio=rien DE LA politique_économique*socio=et DEPUIS LA FIN*socio=rien DE 1975. La politique_économique*socio=et qui, en France*socio=ac, durant les années*socio=rien 60 et au début*socio=rien des années*socio=rien 70, avait été*socio=rien caractérisée par une assez grande*socio=rien souplesse*socio=uv3, répondant avec rapidité*socio=rien - et partant, sans devoir*socio=rien mettre en oeuvre*socio=rien des moyens*socio=ec1 d'actions*socio=rien massifs*socio=rien - aux aléas*socio=rien conjoncturels*socio=uv4, a été*socio=rien marquée par des changements*socio=uv3 de cap*socio=rien beaucoup plus brusques depuis quelques années*socio=rien: fortement expansionniste*socio=ec2 en septembre*socio=rien 1975, elle était devenue, *socio=rien un an *socio=nil plus tard, beaucoup plus restrictive*socio=uv4, le gouvernement*socio=ac privilégiant l'objectif*socio=uv4 de stabilisation*socio=et interne*socio=te et de rééquilibre extérieur*socio=te, alors que la situation*socio=rien de l'emploi*socio=ec1 restait difficile*socio=rien. La politique_monétaire*socio=et. Après*socio=rien avoir été*socio=rien essentiellement inspirée par des objectifs*socio=uv4 de relance*socio=uv3 puis d'accompagnement*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 dès le printemps*socio=rien de 1975 et au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1976, la politique_monétaire*socio=et a pris une orientation*socio=et plus restrictive*socio=uv4 sous la pression*socio=ec2 conjointe*socio=rien des contraintes*socio=uv1 extérieures*socio=te et de la résurgence*socio=ec2 des *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil *socio=nil Durant l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien 1975, les moyens*socio=ec1 mis en oeuvre*socio=rien par les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 ont tendu à accroître la *socio=ec1 liquidité bancaire,*socio=nil *socio=nil essentiellement par un*socio=rien assouplissement*socio=uv3 très important*socio=rien du système*socio=rien des réserves_obligatoires*socio=ec1 *socio=rien ordinaires sur les*socio=nil dépôts*socio=ec1.*socio=nil Par*socio=nil ailleurs,*socio=nil *socio=nil tout en maintenant en place*socio=rien le dispositif*socio=et de contrôle*socio=uv3 de l'expansion*socio=ec2 des *socio=ec1 crédits bancaires,*socio=nil *socio=nil par le jeu*socio=rien des réserves*socio=ec1 *socio=rien supplémentaires progressives sur *socio=nil les encours de crédit*socio=ec1 dépassant les normes*socio=et fixées préalablement, les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 ont limité ses effets*socio=rien en fixant des normes*socio=et de progression*socio=ec2 des concours bancaires*socio=ec1 qui se sont révélées relativement larges*socio=rien, en comparaison*socio=rien de la demande*socio=ec1 effective*socio=rien de crédits*socio=ec1 émanant des entreprises*socio=ac. Compte*socio=rien tenu de l'importance*socio=rien des exemptions ou des élargissements de normes*socio=et dont ont pu bénéficier de *socio=rien nombreuses catégories de*socio=nil crédits*socio=ec1 *socio=nil - le système*socio=rien d'encadrement*socio=rien du crédit*socio=ec1 n'a pas exercé d'effet*socio=rien contraignant*socio=uv2 durant l'année*socio=rien 1975. De plus, la politique*socio=et d'intervention*socio=et directe*socio=rien de la Banque*socio=ac de France*socio=ac, sur*socio=rien le *socio=ec1 marché monétaire,*socio=nil s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil également située dans une perspective*socio=rien de détente*socio=rien des taux*socio=rien. Les *socio=rien taux sur le*socio=nil *socio=ec1 marché monétaire *socio=nil ont baissé tout au long*socio=rien de l'année*socio=rien 1975, passant de plus de 11% en début*socio=rien d'année*socio=rien à 6,5% en fin*socio=rien d'année*socio=rien, ils sont toutefois demeurés en *socio=rien permanence supérieurs aux*socio=nil taux *socio=nil de l'Euro-dollar. Les pressions*socio=ec2 qui se sont exercées sur*socio=rien le franc*socio=ec1, d'abord*socio=rien au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1976 puis à partir du mois*socio=rien de juillet*socio=rien, ont amené la Banque*socio=ac de France*socio=ac à intervenir sur*socio=rien les taux*socio=rien monétaires*socio=ec1, en durcissant les conditions*socio=ec1 de ses achats*socio=ec1 *socio=rien sur appels d'*socio=nil offres.*socio=nil Par*socio=nil ailleurs,*socio=nil le*socio=nil taux *socio=nil d'escompte qui avait été*socio=rien ramené à 8% en septembre*socio=rien 1975 a été*socio=rien relevé en juillet*socio=rien 1976 (9-50%) et en septembre*socio=rien (10,50%) officialisant ainsi la politique*socio=et de taux*socio=rien élevés*socio=uv4 pratiqués par les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1. Les conditions*socio=ec1 générales*socio=rien du *socio=ec1 marché monétaire ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil naturellement influencées par les interventions*socio=et de la Banque*socio=ac de France*socio=ac. La *socio=rien moyenne mensuelle des*socio=nil taux *socio=nil de l'argent*socio=ec1 au jour*socio=rien le *socio=rien jour est passée*socio=te *socio=nil de 6,36% en janvier*socio=rien à 7,63% en mars*socio=rien. La détente*socio=rien qui est*socio=rien intervenue après*socio=rien la sortie du franc*socio=ec1 du serpent*socio=rien monétaire*socio=ec1 a été*socio=rien de brève*socio=rien durée*socio=te et la nouvelle*socio=rien tendance*socio=ec2 à la hausse*socio=rien qui s'est*socio=rien dessinée dès le mois*socio=rien de mai*socio=rien s'est*socio=rien confirmée à partir du mois*socio=rien de juillet*socio=rien où la moyenne*socio=rien de l'argent*socio=ec1 au jour*socio=rien le jour*socio=rien s'est*socio=rien élevée*socio=uv4 à 8,29% pour atteindre *socio=rien un sommet *socio=nil le 15 octobre*socio=rien (12,16%). Cette évolution*socio=rien s'est*socio=rien répercutée sur*socio=rien les taux*socio=rien débiteurs*socio=ac des banques*socio=ac et des établissements*socio=rien financiers*socio=ec1 et a pu, de ce fait*socio=rien, constituer *socio=rien un frein *socio=nil à l'endettement*socio=ec1 des entreprises*socio=ac. Le dispositif*socio=et de contrôle*socio=uv3 de la progression*socio=ec2 des *socio=ec1 crédits bancaires *socio=nil ne semble pas avoir été*socio=rien contraignant*socio=uv2 au *socio=rien premier semestre *socio=nil 1976, Les normes*socio=et de progression*socio=ec2 au-delà desquelles les banques*socio=ac et les institutions_financières*socio=ac étaient astreintes à réserves*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien pouvaient apparaître étroites*socio=rien, mais, par le jeu*socio=rien combiné des réserves*socio=ec1 de crédits*socio=ec1 non distribuées en 1975 et des crédits*socio=ec1 soumis à des normes*socio=et de progression*socio=ec2 plus larges*socio=rien ou hors normes*socio=et, qui représentent environ 20% des *socio=ec1 crédits bancaires *socio=nil à l'économie*socio=ec1, la progression*socio=ec2 effective*socio=rien des concours bancaires*socio=ec1 a pu, dans l'ensemble*socio=rien, satisfaire la demande*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 émanant des entreprises*socio=ac. Tout en n'apparaissant pas globalement modifiée par rapport*socio=rien au *socio=rien premier semestre,*socio=nil la*socio=nil politique*socio=et d'*socio=nil encadrement du*socio=nil crédit*socio=ec1 *socio=nil aurait dû s'avérer plus restrictive*socio=uv4 durant la seconde partie*socio=rien de l'année*socio=rien. En fait*socio=rien, la modération*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 de crédits*socio=ec1 des entreprises*socio=ac, en partie*socio=rien liée à la politique*socio=et de taux_d'_intérêts*socio=ec1 élevés*socio=uv4 qui a *socio=rien été conduite,*socio=nil *socio=nil a contribué à maintenir un*socio=rien volant d'économie*socio=ec1 de crédits*socio=ec1 non distribués généralement plus large*socio=rien que prévu. Pour l'année*socio=rien 1977, les autorités*socio=et se sont fixé un*socio=rien objectif*socio=uv4 de croissance*socio=uv3 de la masse_monétaire*socio=ec1 (M2) de 12,5%. Cet objectif*socio=uv4 vise à rapprocher les taux_de_croissance*socio=ec1 de la masse_monétaire*socio=ec1 et du PIB*socio=ec1 prévu officiellement*socio=et. Le système*socio=rien de limitation*socio=uv3 de l'expansion*socio=ec2 des *socio=ec1 crédits bancaires,*socio=nil *socio=nil tels qu'il a fonctionné depuis décembre*socio=rien 1972, restera en vigueur*socio=uv3 en 1977, avec toutefois des normes*socio=et de progression*socio=ec2 nouvelles*socio=rien 14 et il devrait constituer le dispositif*socio=et central*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et. En effet*socio=rien, les hypothèses*socio=ec2 officielles*socio=et d'évolution*socio=rien économiques*socio=ec1 en 1977 impliquent une relative*socio=rien neutralité*socio=uv1 du Trésor*socio=et et de l'Etranger. Cette neutralité*socio=uv1 découlerait à la fois*socio=rien du retour*socio=rien à l'équilibre*socio=uv3 budgétaire*socio=et et de l'absence*socio=rien d'intervention*socio=et sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=rien. De ce fait*socio=rien, la *socio=rien seule contrepartie *socio=nil de la masse_monétaire*socio=ec1 qui aurait *socio=rien un rôle actif*socio=uv4 *socio=nil dans la création*socio=rien monétaire*socio=ec1 serait constituée par les crédits*socio=ec1 à l'économie*socio=ec1. Ceux-ci, qui représentent environ 85% des contreparties*socio=ec1 de la masse_monétaire*socio=ec1, pourraient croître de l'ordre*socio=rien de 14% pour que l'objectif*socio=uv4 de progression*socio=ec2 globale*socio=rien de la masse_monétaire*socio=ec1 de 12,5% soit respecté. Compte*socio=rien tenu des normes*socio=et fixées pour les crédits*socio=ec1 soumis à réserves*socio=ec1 (7%) les crédits*socio=ec1 non soumis aux normes*socio=et générales*socio=rien pourraient croître de 35% environ, sans compromettre l'objectif*socio=uv4 global*socio=te de croissance*socio=uv3 de la masse_monétaire*socio=ec1. Le rythme*socio=rien de croissance*socio=uv3 des liquidités*socio=ec1, qui a été*socio=rien extrêmement rapide*socio=rien au cours*socio=rien du *socio=rien second semestre *socio=nil de 1975 (23% en *socio=rien termes annuels *socio=nil corrigés des *socio=rien variations saisonnières)*socio=nil s'*socio=nil est ralenti*socio=nil progressivement *socio=nil en 1976 (15% en *socio=rien termes annuels *socio=nil pour les *socio=rien neuf premiers mois)*socio=nil .*socio=nil Ce*socio=nil ralentissement*socio=ec2 a*socio=nil été *socio=nil observé principalement au niveau*socio=rien de la masse_monétaire*socio=ec1, car les placements*socio=ec1 dans les caisses*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 et les souscriptions de bons*socio=rien du Trésor*socio=et par le public*socio=et ont continué de progresser plus rapidement. L'évolution*socio=rien des diverses*socio=rien contreparties*socio=ec1 de la masse_monétaire*socio=ec1 a été*socio=rien contrastée depuis le début*socio=rien de l'année*socio=rien. La réapparition*socio=rien d'un*socio=rien déficit*socio=ec1 important*socio=rien de la balance*socio=ec1 courante*socio=te ainsi que les interventions*socio=et de la Banque*socio=ac de France*socio=ac pour soutenir le franc*socio=ec1 jusqu'à la sortie du serpent*socio=rien monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac, ont entraîné une diminution*socio=ec2 de la contrepartie*socio=rien en or*socio=rien et devises*socio=ec1 de la masse_monétaire*socio=ec1 de l'ordre*socio=rien de 10 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 durant le premier*socio=rien trimestre*socio=te. Depuis le mois*socio=rien de mars*socio=rien, la *socio=rien contrepartie or et*socio=nil devises*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil stabilisée autour de 40 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1. Les créances*socio=ec1 sur*socio=rien le trésor_public*socio=et se sont développées*socio=uv4 à *socio=rien un rythme extrêmement*socio=nil rapide au*socio=nil second semestre *socio=nil de 1975 (21,9 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 en données corrigées des *socio=rien variations saisonnières)*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil à la suite*socio=rien du recours*socio=ec1 massif*socio=rien aux *socio=ec1 moyens monétaires *socio=nil pour financer le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et, induit par la forte*socio=rien progression*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et consécutive*socio=rien aux mesures*socio=et de relance*socio=uv3 et au ralentissement*socio=ec2 du rythme*socio=rien des rentrées fiscales*socio=et. Au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1976, le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et est*socio=rien resté important*socio=rien, mais il convient de noter que son financement*socio=ec1 a été*socio=rien largement assuré par des ressources*socio=ec1 non monétaires*socio=ec1, et pour l'ensemble*socio=rien du semestre*socio=rien, le montant*socio=ec1 des *socio=ec1 créances monétaires sur*socio=rien le*socio=nil trésor_public*socio=et s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil accru de 8,9 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 alors que le solde*socio=ec1 d'exécution*socio=rien de la loi*socio=et de finances*socio=ec1 laissait apparaître un*socio=rien besoin*socio=uv1 de trésorerie*socio=ec1 de 17,10 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1. Durant les mois*socio=rien d'été*socio=rien, le gonflement*socio=ec2 des créances*socio=ec1 sur*socio=rien le Trésor*socio=et a de *socio=rien nouveau été important *socio=nil mais il s'agit là, en partie*socio=rien, d'un*socio=rien mouvement*socio=ec2 saisonnier normal*socio=rien et, en données corrigées des *socio=rien variations saisonnières,*socio=nil l'*socio=nil accroissement*socio=ec2 *socio=nil de cette contrepartie*socio=rien de la masse_monétaire*socio=ec1 n'aurait été*socio=rien que de 7,8 milliards*socio=rien pour les huit *socio=rien premiers mois *socio=nil de l'année*socio=rien. La progression*socio=ec2 des crédits*socio=ec1 à l'économie*socio=ec1 s'est*socio=rien accélérée durant la seconde partie*socio=rien de l'année*socio=rien 1975, corrélativement à la reprise de la demande*socio=ec1 et de la production*socio=ec1. Ainsi, en données corrigées des *socio=rien variations saisonnières,*socio=nil les*socio=nil crédits*socio=ec1 de*socio=nil caractère bancaire*socio=ec1 aux*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil et aux particuliers*socio=rien sont passés*socio=te d'un*socio=rien taux*socio=rien de progression*socio=ec2 de 12,7% mesuré en *socio=rien termes annuels,*socio=nil au*socio=nil deuxième et*socio=nil troisième trimestres*socio=te *socio=nil de 1975, à *socio=rien un taux *socio=nil de 14,4% au quatrième*socio=rien trimestre*socio=te. Ce mouvement*socio=ec2 s'est*socio=rien accentué au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1976 et, depuis, aux *socio=rien aléas mensuels *socio=nil près, on a observé une décélération*socio=ec2 de la tendance*socio=ec2. Mais, pour les *socio=rien neuf premiers mois *socio=nil de l'année*socio=rien, le taux*socio=rien de progression*socio=ec2 annuel*socio=rien des *socio=ec1 crédits bancaires *socio=nil a toutefois atteint 17%. L'infléchissement*socio=ec2 constaté au cours*socio=rien des *socio=rien derniers mois *socio=nil semble refléter *socio=rien un certain relâchement*socio=ec2 *socio=nil de la demande*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 de la part*socio=rien des entreprises*socio=ac succédant à la forte*socio=rien poussée du début*socio=rien d'année*socio=rien, celle-ci était due en partie*socio=rien à la reprise des investissements*socio=ec1 consécutive*socio=rien aux mesures*socio=et de stimulation*socio=rien de 1975 ainsi qu'à la forte*socio=rien reconstitution*socio=ec2 des stocks*socio=ec1, mais pourrait provenir également des effets*socio=rien du resserrement*socio=ec2 des normes*socio=et d'encadrement*socio=rien qui ont pu amener les banques*socio=ac à observer elles-mêmes un*socio=rien contrôle*socio=uv3 plus strict*socio=rien dans la distribution*socio=rien des crédits*socio=ec1 afin de conserver *socio=rien un certain *socio=nil volant d'économie*socio=ec1 de crédits*socio=ec1. Il est*socio=rien également possible*socio=rien que les banques*socio=ac aient, au cours*socio=rien des *socio=rien derniers mois,*socio=nil *socio=nil quelque peu réduit le volume*socio=rien des crédits*socio=ec1 consentis afin de demeurer sous le plafond*socio=ec1 des normes*socio=et d'encadrement*socio=rien. L'amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien de trésorerie*socio=ec1 des entreprises*socio=ac enregistrée en 1975 s'est*socio=rien poursuivie au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1976. Selon l'enquête*socio=ec2 semestrielle de l'INSEE*socio=ac faite en mai*socio=rien 1976, l'aisance*socio=uv1 de trésorerie*socio=ec1 des entreprises*socio=ac à cette époque*socio=te était la meilleure*socio=rien enregistrée depuis 1967. La conjugaison de plusieurs facteurs*socio=rien peut expliquer ce résultat*socio=rien: les entreprises*socio=ac ont bénéficié tout à la fois*socio=rien de reports fiscaux*socio=et importants*socio=rien, d'un*socio=rien *socio=rien fort volume *socio=nil de commandes d'origine*socio=rien publique*socio=et et d'une évolution*socio=rien du crédit*socio=ec1 plus favorable*socio=ec2 tant au niveau*socio=rien des normes*socio=et d'encadrement*socio=rien qu'à celui des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Cette politique_monétaire*socio=et de relance*socio=uv3 était nécessaire*socio=rien, en raison*socio=rien de l'importance*socio=rien du recul*socio=rien de l'activité*socio=rien au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1975. On peut cependant se demander si un*socio=rien développement*socio=uv3 aussi important*socio=rien des trésoreries des entreprises*socio=ac concentré sur*socio=rien une période*socio=te de temps*socio=rien très brève*socio=rien, alors que les incitations*socio=uv3 à investir étaient faibles*socio=rien, en raison*socio=rien notamment de l'existence*socio=rien de larges*socio=rien capacités*socio=uv3 de production*socio=ec1 inemployées*socio=ec2, n'a pas *socio=rien favorisé un certain nombre d'*socio=nil anticipations*socio=uv3 *socio=nil ou de comportements*socio=rien inflationnistes*socio=ec2 au sein*socio=rien des entreprises*socio=ac. Celles-ci se seraient notamment traduites par *socio=rien un rythme rapide de*socio=nil reconstitution*socio=ec2 des*socio=nil stocks*socio=ec1 de*socio=nil matières_premières*socio=ec1 *socio=nil importées et par l'accentuation*socio=ec2 de la progression*socio=ec2 des taux*socio=rien de salaires*socio=ec1 horaires*socio=rien. Entre mai*socio=rien et décembre*socio=rien, on a enregistré une certaine*socio=rien dégradation*socio=uv3 de la situation*socio=rien de trésorerie*socio=ec1 des entreprises*socio=ac, liée en partie*socio=rien au ralentissement*socio=ec2 des rythmes de progression*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et des prix*socio=ec1 ainsi qu'au resserrement*socio=ec2 de la politique_monétaire*socio=et. politique_budgétaire*socio=et. La mise en oeuvre*socio=rien d'une politique_budgétaire*socio=et expansionniste*socio=ec2 et le ralentissement*socio=ec2 spontané*socio=rien du rythme*socio=rien de rentrées fiscales*socio=et ont entraîné un*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et de 37,7 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 en 1975, représentant*socio=rien 2,6% du PIB*socio=ec1. La loi*socio=et de finances*socio=ec1 initiale*socio=rien pour 1976 était en équilibre*socio=uv3. Le montant*socio=ec1 des dépenses*socio=ec1 à *socio=rien caractère définitif *socio=nil s'élevait à 293 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1, en progression*socio=ec2 de 13% par rapport*socio=rien au budget*socio=ec1 initial*socio=rien de 1975. Cependant, par rapport*socio=rien à la loi*socio=et de finances*socio=ec1 rectifiée pour 1975, la progression*socio=ec2 était beaucoup plus modérée (2,5%). Plusieurs facteurs*socio=rien ont entraîné l'apparition*socio=rien d'un*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et en 1976. En *socio=rien premier lieu,*socio=nil une*socio=nil partie importante des*socio=nil dépenses*socio=ec1 *socio=nil engagées en 1975 au titre*socio=rien des programmes*socio=et de relance*socio=uv3 de septembre*socio=rien ont *socio=rien été effectivement *socio=nil payées en 1976. Par ailleurs*socio=rien, les pertes*socio=ec2 de recettes*socio=ec1 fiscales*socio=et provenant des mesures*socio=et d'aide*socio=uv1 à l'investissement*socio=ec1 ont pesé pour une *socio=rien large part,*socio=nil sur l'*socio=nil année *socio=nil 1976 en raison*socio=rien de la date tardive*socio=rien de passation_des_marchés*socio=ec1 mais également du fait*socio=rien que leur montant*socio=ec1 a été*socio=rien plus élevé*socio=uv4 que prévu. Des mesures*socio=et supplémentaires*socio=rien d'incitation*socio=uv3 fiscale*socio=et à l'investissement*socio=ec1, qui ont pris essentiellement la forme*socio=rien de reports de paiements*socio=ec1 ayant été*socio=rien également adoptées en début*socio=rien d'année*socio=rien, le solde*socio=ec1 d'exécution*socio=rien de la loi*socio=et de finances*socio=ec1 a été*socio=rien très largement déficitaire*socio=ec2 au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1976 (- 17,10 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 contre - 9,25 au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1975). Au mois*socio=rien de septembre*socio=rien 1976, le gouvernement*socio=ac a donné une orientation*socio=et plus restrictive*socio=uv4 à la politique_budgétaire*socio=et et fiscale*socio=et. Le financement*socio=ec1 des *socio=rien charges nouvelles destinées *socio=nil à indemniser les *socio=ac agriculteurs victimes *socio=nil de la sécheresse*socio=et, à rééquilibrer divers *socio=et régimes sociaux *socio=nil et à faire face*socio=rien aux réajustements de rémunérations*socio=ec1 de pensions*socio=et ou de dépenses*socio=ec1 dans le secteur_public*socio=et, a entraîné un*socio=rien alourdissement*socio=ec2 important*socio=rien de la fiscalité*socio=et. La deuxième*socio=rien loi*socio=et de finances*socio=ec1 rectificative*socio=uv4 pour 1976 prévoit un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des charges*socio=rien de 9,38 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1, dont 5,5 sont destinés à indemniser les agriculteurs*socio=ac, 1,07 à réduire le déficit*socio=ec1 de différents*socio=rien régimes*socio=et de sécurité_sociale*socio=et et 2,8 à financer les suppléments*socio=rien de dépenses*socio=ec1 de fonctionnement*socio=rien ou de personnel*socio=ac de différents*socio=rien ministères*socio=ac. Les recettes*socio=ec1 correspondantes*socio=rien sont obtenues*socio=rien, soit grâce*socio=rien à une augmentation*socio=ec2 spontanée*socio=rien des ressources*socio=ec1 par rapport*socio=rien aux estimations*socio=ec2 de la loi*socio=et de finances*socio=ec1 (3,88 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1), soit par suite*socio=rien d'une augmentation*socio=ec2 de la pression*socio=ec2 fiscale*socio=et directe*socio=rien ou indirect*socio=rien (5,5 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1) qui intervient avant la fin*socio=rien de l'année*socio=rien 1976. Abstraction*socio=rien faite des dépenses*socio=ec1 exceptionnelles*socio=uv4 qui viennent d'être*socio=rien mentionnées, le rythme*socio=rien des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et semble s'être*socio=rien sensiblement ralenti dans le courant*socio=rien de l'été*socio=rien. Par ailleurs*socio=rien, les rentrées fiscales*socio=et (la TVA*socio=et notamment) ont *socio=rien été importantes *socio=nil depuis la rentrée et la perception*socio=rien, le 15 décembre*socio=rien, du report*socio=rien de la moitié*socio=rien de l'acompte de l'impôt*socio=et sur*socio=rien les sociétés*socio=ac du 15 mars*socio=rien devait entraîner un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 en fin*socio=rien d'année*socio=rien. Aussi le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et pourrait-il être*socio=rien plus modéré au *socio=rien second semestre *socio=nil qu'il ne l'a été*socio=rien au premier*socio=rien et atteindre pour l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien un*socio=rien montant*socio=ec1 inférieur*socio=rien à 20 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 environ. Le projet_de_loi*socio=et de finances*socio=ec1 pour 1977 *socio=rien présente un budget*socio=ec1 en*socio=nil équilibre*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil dont les dépenses*socio=ec1 à *socio=rien caractère définitif *socio=nil s'accroissent de 13,7% par rapport*socio=rien à la loi*socio=et de finances*socio=ec1 initiale*socio=rien de 1976, soit à *socio=rien un rythme *socio=nil légèrement plus rapide*socio=rien que celui prévu officiellement*socio=et pour le PIB*socio=ec1 (13,1%). Comparée à la loi*socio=et de finances*socio=ec1 rectifiée pour 1976, la progression*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 définitives*socio=rien serait beaucoup plus modérée, de l'ordre*socio=rien de 10%, ce qui, compte*socio=rien tenu de la prévision*socio=ec2 officielle*socio=et de l'indice de prix*socio=ec1 du produit_intérieur_brut*socio=rien en 1977 (8,2%), implique une progression*socio=ec2 en volume*socio=rien des dépenses*socio=ec1 budgétaires*socio=et inférieure*socio=rien à 2% en 1977 par rapport*socio=rien à 1976. Bien*socio=rien qu'il soit difficile*socio=rien de juger effectivement*socio=rien l'incidence*socio=ec2 future*socio=rien de la politique_budgétaire*socio=et à partir du projet_de_loi*socio=et de finances*socio=ec1 en raison*socio=rien de la possibilité*socio=rien de faire voter des lois*socio=et de finances*socio=ec1 rectificatives en cours*socio=te d'année*socio=rien, le budget*socio=ec1 de 1977 semble néanmoins s'inscrire dans la ligne*socio=rien d'une politique*socio=et restrictive*socio=uv4, dans la mesure*socio=rien où il implique notamment un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 sensible*socio=rien du rythme*socio=rien de croissance*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et. Ce ralentissement*socio=ec2 peut être*socio=rien constaté, en particulier*socio=rien, au niveau*socio=rien des créations*socio=rien d'emplois*socio=ec1, qui seront ramenées à 21 647 contre 32 43 033 en 1976. La pression*socio=ec2 fiscale*socio=et ne devrait pas se renforcer entre 1976 et 1977. Parmi les *socio=et dispositions fiscales *socio=nil contenues dans le projet_de_loi*socio=et de finances*socio=ec1 pour 1977, deux devraient exercer *socio=rien un rôle modérateur sur l'*socio=nil évolution des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil et des coûts*socio=ec1 et deux autres mesures*socio=et sont destinées*socio=rien à exercer une action*socio=rien stimulante sur*socio=rien l'activité*socio=rien. En *socio=rien premier lieu,*socio=nil le*socio=nil taux normal *socio=nil de la taxe*socio=et sur*socio=rien la valeur_ajoutée*socio=ec1 (TVA*socio=et) antérieurement*socio=rien fixé à 20% est*socio=rien ramené à 17,6% à partir du 1er janvier*socio=rien 1977. Cette mesure*socio=rien, qui devrait exercer une action*socio=rien modératrice sur*socio=rien les prix*socio=ec1 de certains produits*socio=rien industriels*socio=ec1 (textile*socio=ec1, cuir, habillement*socio=rien notamment) entraînerait une moins-value*socio=ec1 fiscale*socio=et de 8,7 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1. En *socio=rien second lieu,*socio=nil le*socio=nil prélèvement*socio=ec1 conjoncturel*socio=uv4 est *socio=nil remis en vigueur*socio=uv3 à partir du 1er janvier*socio=rien 1977; le plafond*socio=ec1 d'augmentation*socio=ec2 de l'indice_des_prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 des produits*socio=rien manufacturés en deçà duquel le prélèvement*socio=ec1 conjoncturel*socio=uv4 serait supprimé, est*socio=rien fixé à 2,5% durant six mois*socio=rien, mais il n'est*socio=rien pas fixé de seuil*socio=rien au déclenchement*socio=rien du mécanisme*socio=et du prélèvement*socio=ec1. La norme*socio=et d'accroissement*socio=ec2 des marges au-delà de laquelle le prélèvement*socio=ec1 s'effectuerait a été*socio=rien fixée à 13%. Parmi les mesures*socio=et de soutien*socio=uv3 de l'activité*socio=rien, il faut citer une augmentation*socio=ec2 de 0,5 point*socio=rien des coefficients d'amortissement*socio=ec1 dégressif des biens*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1. Cette mesure*socio=rien améliorera la situation*socio=rien de trésorerie*socio=ec1 des entreprises*socio=ac qui développeront leurs acquisitions de biens*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1 en 1977. Sa portée*socio=rien semble toutefois relativement limitée. Par ailleurs*socio=rien, un*socio=rien fonds*socio=ec1 d'action*socio=rien conjoncturelle*socio=uv4 de 2,5 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 *socio=rien est inscrit au*socio=nil budget*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il devrait être*socio=rien mis en oeuvre*socio=rien si les objectifs*socio=uv4 de croissance*socio=uv3 que se sont fixés les pouvoirs_publics*socio=et en 1977 semblaient en cours*socio=te d'année*socio=rien ne pas devoir*socio=rien se réaliser. L'action*socio=rien stimulative sur*socio=rien la conjoncture*socio=te de ce type*socio=rien de dépenses*socio=ec1 ne s'exerçant toutefois qu'après*socio=rien *socio=rien un certain délai,*socio=nil *socio=nil pour que celle-ci soit sensible*socio=rien en 1977 il faudrait que Jes dépenses*socio=ec1 soient engagées tôt dans l'année*socio=rien. En 1955, les administrations_publiques*socio=ac appréhendées au sens*socio=rien de la comptabilité*socio=ec1 nationale*socio=te ont eu un*socio=rien besoin*socio=uv1 de financement*socio=ec1 de 32,8 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1, représentant*socio=rien environ 2,3% du PIB*socio=ec1. Ce besoin*socio=uv1 de financement*socio=ec1 avait deux origines*socio=rien essentielles*socio=uv4: le déficit*socio=ec1 de l'État*socio=ac et celui des collectivités_locales*socio=ac. En 1976, une amélioration*socio=uv1 peut être*socio=rien attendue en ce qui concerne l'État*socio=ac, dont le déficit*socio=ec1 en termes*socio=rien de comptabilité*socio=ec1 nationale*socio=te passerait de 24,465 millions*socio=rien de francs*socio=ec1 à 7 à 8 milliards*socio=rien selon les estimations*socio=ec2 des experts*socio=ac nationaux*socio=te. Par contre, les comptes*socio=rien des collectivités_locales*socio=ac se seraient à nouveau*socio=rien dégradés d'environ 3 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1, en raison*socio=rien notamment de la vive progression*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1. Les organismes*socio=ac de sécurité_sociale*socio=et, qui dégageaient jusqu'en 1975 un*socio=rien solde*socio=ec1 de financement*socio=ec1 positif*socio=uv4, mais qui s'amenuisaient d'année*socio=rien en année*socio=rien, enregistreraient en 1976 un*socio=rien besoin*socio=uv1 de financement*socio=ec1 de l'ordre*socio=rien de 1,5 à 2 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1, en raison*socio=rien du creusement*socio=rien de l'écart*socio=rien entre le rythme*socio=rien de rentrée des cotisations*socio=ec1 et le rythme*socio=rien de croissance*socio=uv3 des *socio=et prestations sociales.*socio=nil Au*socio=nil total*socio=rien,*socio=nil le*socio=nil déficit*socio=ec1 des*socio=nil opérations*socio=rien économiques*socio=ec1 des*socio=nil administrations*socio=ec1 *socio=nil pourrait atteindre *socio=rien un niveau voisin *socio=nil de 25 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 en valeur*socio=ec1 courante*socio=te, ce qui représenterait environ 1,5% du PIB*socio=ec1. En 1977, les mesures*socio=et annoncées en vue*socio=rien de rétablir l'équilibre*socio=uv3 de la sécurité_sociale*socio=et (compression*socio=et du rythme*socio=rien de croissance*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 et augmentation*socio=ec2 des cotisations*socio=ec1) ainsi qu'une réduction*socio=ec2 sensible*socio=rien du déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et, pourraient entraîner une amélioration*socio=uv1 du solde*socio=ec1 des opérations*socio=rien économiques*socio=ec1 des administrations*socio=ec1, qui demeurerait toutefois négatif*socio=rien et pourrait atteindre 10 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1. La politique*socio=et des prix*socio=ec1. Au cours*socio=rien du *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1976, la politique*socio=et des prix*socio=ec1 s'est*socio=rien exercée dans le sens*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien retour progressif *socio=nil à la liberté*socio=uv1 des prix*socio=ec1 à la production*socio=ec1 des produits*socio=rien industriels*socio=ec1. Par contre, au stade*socio=te de la consommation*socio=ec1, les prix*socio=ec1 de vente*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil produits alimentaires*socio=ec1 ont*socio=nil été *socio=nil taxés afin d'éviter des hausses trop importantes*socio=rien liées à l'évolution*socio=rien défavorable*socio=uv4 des marchés*socio=ec1. Cela a été*socio=rien le cas*socio=rien des pommes de terre, de la viande et des produits*socio=rien pharmaceutiques*socio=ec1 pour lesquels une baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 a été*socio=rien appliquée. Devant*socio=rien l'accélération*socio=ec2 du rythme*socio=rien d'inflation*socio=ec2, le gouvernement*socio=ac a arrêté, en septembre*socio=rien 1976, un*socio=rien dispositif*socio=et visant à bloquer les prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 jusqu'au 31 décembre*socio=rien, à leur niveau*socio=rien du 15 septembre*socio=rien, à l'exception*socio=rien des produits*socio=rien *socio=ec1 alimentaires frais,*socio=nil *socio=nil ainsi que des produits*socio=rien dont le prix*socio=ec1 est*socio=rien fixé dans le cadre*socio=rien du traité*socio=rien de Rome. Les blocage*socio=rien des *socio=et tarifs publics *socio=nil (à l'exception*socio=rien de la taxe*socio=et pour la radio et la télévision) s'exercera jusqu'au 1er avril*socio=rien 1977. Par ailleurs*socio=rien, il a été*socio=rien décidé, à partir du 1er janvier*socio=rien 1977, d'abaisser le taux*socio=rien de TVA*socio=et applicable*socio=rien à de *socio=rien nombreux produits de*socio=nil consommation*socio=ec1 *socio=nil manufacturés et à certains services*socio=et (de 20 à 17,6%). Le gouvernement*socio=ac a, par ailleurs*socio=rien, demandé au Parlement*socio=ac de rétablir la mise en application*socio=rien du prélèvement*socio=ec1 conjoncturel*socio=uv4 à partir du 1er janvier*socio=rien 1977. Conclusions*socio=rien de politique_économique*socio=et. Alors que la reprise de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1, amorcée au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1975, s'est*socio=rien amortie trop tôt pour entraîner une amélioration*socio=uv1 sensible*socio=rien de la situation*socio=rien de l'emploi*socio=ec1, l'économie*socio=ec1 française*socio=ac s'est*socio=rien rapidement trouvée confrontée à une résurgence*socio=ec2 des *socio=ec2 tensions inflationnistes *socio=nil et à un*socio=rien déficit*socio=ec1 de la balance*socio=ec1 courante*socio=te. Cette dégradation*socio=uv3 a certes été*socio=rien accentuée en 1976 par les effets*socio=rien défavorables*socio=uv4 de la sécheresse*socio=et sur*socio=rien les échanges*socio=ec1 dans le domaine*socio=rien agricole*socio=ec1 et alimentaire*socio=ec1 et sur*socio=rien les importations*socio=ec1 de pétrole*socio=ec1. Mais, avant même l'apparition*socio=rien de ces causes*socio=rien accidentelles, un*socio=rien déséquilibre*socio=uv4 extérieur*socio=te important*socio=rien était réapparu. Des pressions*socio=ec2 s'étaient exercées sur*socio=rien le franc*socio=ec1, entraînant sa sortie du serpent*socio=rien monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac le 15 mars*socio=rien 1976, puis la baisse*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1. Dans ces circonstances*socio=rien, compte*socio=rien tenu du risque*socio=uv4 évident*socio=rien d'apparition*socio=rien d'une spirale*socio=rien "aggravation*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2, détérioration*socio=uv4 de la balance*socio=ec1 extérieure*socio=te, baisse*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1", les autorités*socio=et ne pouvaient pratiquement choisir qu'une politique*socio=et visant à améliorer la performance*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et à redresser la balance_des_paiements*socio=ec1. Le programme*socio=et annoncé le 22 septembre*socio=rien pourrait avoir *socio=rien un certain succès*socio=uv1 *socio=nil dans ces deux domaines*socio=rien. Il entraînera néanmoins inévitablement des risques*socio=uv4 de dégradation*socio=uv3 à court_terme*socio=te de l'activité*socio=rien et de l'emploi*socio=ec1. Cette politique*socio=et de stabilisation*socio=et doit cependant être*socio=rien appréciée dans une perspective*socio=rien à moyen_terme*socio=te. Ainsi que cela a été*socio=rien établi dans la stratégie*socio=et de soutien*socio=uv3 de l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1, *socio=rien définie lors *socio=nil de la réunion*socio=rien des ministres*socio=ac de l'OCDE*socio=ac en *socio=rien juin dernier,*socio=nil le*socio=nil retour *socio=nil à la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et des revenus*socio=ec1 constitue la base*socio=rien indispensable*socio=uv4 au développement*socio=uv3 d'une croissance*socio=uv3 équilibrée et, partant, à l'amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien de l'emploi*socio=ec1. A cette fin*socio=rien, la politique*socio=et de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 doit conduire à une croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2. De plus, comme l'ont admis les ministres*socio=ac de l'OCDE*socio=ac, la poursuite*socio=rien des efforts*socio=uv1 en vue*socio=rien de promouvoir *socio=rien un meilleur consensus*socio=uv1 social*socio=et doit*socio=nil être *socio=nil considérée comme l'un*socio=rien des objectifs*socio=uv4 de la politique_économique*socio=et, permettant de compléter utilement*socio=rien les politiques*socio=et de gestion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1. Par ailleurs*socio=rien, des mesures*socio=et sélectives*socio=uv4 doivent être*socio=rien mises en *socio=rien oeuvre sur le*socio=nil marché_du_travail*socio=ec1 *socio=nil dans les régions*socio=te ou les secteurs*socio=rien industriels*socio=ec1 où les problèmes*socio=uv4 d'emploi*socio=ec1 se posent avec le plus d'acuité*socio=rien. Enfin, la politique_économique*socio=et doit également tendre à promouvoir les investissements*socio=ec1 productifs*socio=uv4. Dans l'ensemble*socio=rien, la politique*socio=et de stabilisation*socio=et menée en France*socio=ac *socio=rien est bien conforme*socio=uv4 aux*socio=nil objectifs*socio=uv4 *socio=nil de la stratégie*socio=et à moyen_terme*socio=te des pays_de_l'_ocde*socio=ac, et son succès*socio=uv1 dans le domaine*socio=rien des prix*socio=ec1 et de l'équilibre*socio=uv3 extérieur*socio=te semble *socio=rien être un préalable nécessaire *socio=nil à la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv4 majeurs*socio=rien du Viie Plan*socio=rien. Certes, il apparaît qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre des*socio=nil objectifs*socio=uv4 quantitatifs *socio=nil du Viie Plan*socio=rien sont désormais hors d'atteinte: ainsi, le Plan*socio=rien retenait une croissance*socio=uv3 très soutenue des investissements*socio=ec1 productifs*socio=uv4 (7,5% en volume*socio=rien par an*socio=rien) sur*socio=rien la période*socio=te 1975-1980 qui, compte*socio=rien tenu des *socio=rien résultats récents,*socio=nil *socio=nil impliquerait pour les années*socio=rien à venir *socio=rien un taux de*socio=nil progression*socio=ec2 *socio=nil jamais réalisé dans le passé*socio=te. Par contre, la stratégie*socio=et du développement*socio=uv3 à moyen_terme*socio=te retenue*socio=rien par le Plan*socio=rien et les actions*socio=rien en *socio=rien profondeur sur les*socio=nil structures*socio=ec1 *socio=nil qu'il propose pour réaliser une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 permettant le retour*socio=rien à une utilisation*socio=rien plus normale*socio=rien des capacités*socio=uv3 de production*socio=ec1 et de la main-d'_oeuvre*socio=ac, ne pourront être*socio=rien mises en oeuvre*socio=rien tant que l'inflation*socio=ec2 demeurera incontrôlée. Il semble notamment particulièrement difficile*socio=rien d'obtenir*socio=rien le taux_de_croissance*socio=ec1 souhaité pour les investissements*socio=ec1 productifs*socio=uv4 tant que les incertitudes*socio=uv3 que l'inflation*socio=ec2 fait*socio=rien peser sur*socio=rien les perspectives*socio=te générales*socio=rien ne seront pas levées et tant que la politique*socio=et restrictive*socio=uv4 de la demande*socio=ec1 devra être*socio=rien maintenue. Sans entrer dans le détail*socio=rien des mesures*socio=et adoptées qui ont été*socio=rien examinées dans le corps*socio=rien du projet*socio=rien d'étude*socio=ec2, on peut définir*socio=rien les *socio=rien grandes lignes *socio=nil de la stratégie*socio=et du plan*socio=rien gouvernemental*socio=et de la *socio=rien façon suivante:*socio=nil *socio=nil dans une première*socio=rien phase*socio=te, à l'aide*socio=uv1 de mesures*socio=et de caractère*socio=rien réglementaire*socio=et (blocage*socio=rien partiel*socio=rien des prix*socio=ec1, baisse*socio=ec2 des taux*socio=rien de TVA*socio=et sur*socio=rien les biens*socio=ec1 de consommation*socio=ec1), les pouvoirs_publics*socio=et cherchent à limiter*socio=rien le rythme*socio=rien de hausse*socio=rien des prix*socio=ec1. Parallèlement, une *socio=rien action est entreprise*socio=ac *socio=nil afin de tenter de freiner la progression*socio=ec2 des salaires*socio=ec1 en la ramenant à *socio=rien un taux identique *socio=nil à celui de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1. Enfin, une politique_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et plus restrictive*socio=uv4 tend à ralentir le rythme*socio=rien d'expansion*socio=ec2 des liquidités*socio=ec1, tout en favorisant, par des mesures*socio=et sélectives*socio=uv4, le financement*socio=ec1 des exportations*socio=ec1 et des investissements*socio=ec1 productifs*socio=uv4. A l'issue*socio=rien de cette première*socio=rien phase*socio=te, plusieurs objectifs*socio=uv4 pourraient être*socio=rien en voie*socio=rien de réalisation*socio=uv1: - le ralentissement*socio=ec2 du rythme*socio=rien de progression*socio=ec2 des *socio=ec1 rémunérations salariales entraînerait*socio=nil un*socio=rien allégement*socio=uv3 des*socio=nil coûts *socio=nil et une amélioration*socio=uv1 de la compétitivité*socio=uv3; - la stabilisation*socio=et du pouvoir_d'_achat*socio=ec1 des ménages*socio=ac permettrait d'opérer une redistribution*socio=et du revenu*socio=ec1 national*socio=te plus favorable*socio=ec2 aux entreprises*socio=ac, qui faciliterait le financement*socio=ec1 des investissements*socio=ec1 productifs*socio=uv4; le retour*socio=rien à l'équilibre*socio=uv3 budgétaire*socio=et devrait également favoriser cet objectif*socio=uv4; - le ralentissement*socio=ec2 du rythme*socio=rien de *socio=ec2 progression réel *socio=nil de la consommation*socio=ec1 privée*socio=et par rapport*socio=rien à 1976 permettrait d'alléger la pression*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et de limiter*socio=rien le développement*socio=uv3 des importations*socio=ec1. La demande*socio=ec1 extérieure*socio=te et les investissements_privés*socio=et prendraient progressivement*socio=rien le relais*socio=rien de la demande*socio=ec1 des ménages*socio=ac. Les prévisions*socio=ec2 établies par le Secrétariat*socio=ac de l'OCDE*socio=ac pour 1977 impliquent *socio=rien un certain succès*socio=uv1 *socio=nil de la politique_économique*socio=et actuelle*socio=te, mais qui serait néanmoins tempéré par le développement*socio=uv3 partiel*socio=rien de tendances*socio=ec2 défavorables*socio=uv4. C'est*socio=rien surtout dans le domaine*socio=rien des investissements_privés*socio=et non résidentiels*socio=ec1 qu'a *socio=rien été retenu le*socio=nil risque*socio=uv4 *socio=nil de voir s'instaurer *socio=rien un climat *socio=nil d'attentisme lié à la fois*socio=rien à l'existence*socio=rien d'une marge importante*socio=rien de capacités*socio=uv3 inemployées*socio=ec2 et du manque*socio=rien de confiance*socio=uv1 des chefs*socio=ac d'entreprise*socio=ac dans les perspectives*socio=te à court_terme*socio=te. Dans le domaine*socio=rien extérieur*socio=te, on pourrait assister à une amélioration*socio=uv1 sensible*socio=rien des *socio=ec1 échanges commerciaux en*socio=nil volume*socio=rien,*socio=nil *socio=nil tenant à la disparition*socio=rien des *socio=rien causes spécifiques de*socio=nil développement*socio=uv3 des*socio=nil importations*socio=ec1 *socio=nil de 1976 (sécheresse*socio=et, reconstitution*socio=ec2 de stocks*socio=ec1, etc..) et à la poursuite*socio=rien de la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1. Cependant, dans le cadre*socio=rien des hypothèses*socio=ec2 de développement*socio=uv3 du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te retenues*socio=rien pour 1977, il semble que le redressement*socio=ec2 du commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te français*socio=ac risque*socio=uv4 d'être*socio=rien insuffisant*socio=uv4 pour constituer l'élément*socio=rien moteur*socio=uv4 de la croissance*socio=uv3 et pour conduire au rééquilibrage*socio=uv3 de la balance*socio=ec1 courante*socio=te qui enregistrerait toutefois une très nette*socio=rien amélioration*socio=uv1 par rapport*socio=rien à 1976, si les objectifs*socio=uv4 officiels*socio=et de limitation*socio=uv3 des importations*socio=ec1 de produits*socio=rien pétroliers*socio=ec1 étaient atteints. C'est*socio=rien dans le domaine*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 que les problèmes*socio=uv4 apparaissent les plus importants*socio=rien. Les éléments*socio=rien qui devraient continuer à exercer une action*socio=rien défavorable*socio=uv4 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 au cours*socio=rien des *socio=rien prochains mois,*socio=nil *socio=nil tels que la hausse*socio=rien des *socio=ec1 prix agricoles *socio=nil et celle des prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1, notamment en ce qui concerne les produits*socio=rien énergétiques*socio=ec1, risquent de retarder l'apparition*socio=rien ou de tempérer l'ampleur*socio=rien d'une véritable*socio=rien décélération*socio=ec2 de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1. Certes, en l'absence*socio=rien des mesures*socio=et mises en oeuvre*socio=rien, on aurait *socio=rien vraisemblablement assisté *socio=nil à une nouvelle*socio=rien accélération*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2. Cependant, une stabilisation*socio=et ou une légère*socio=rien diminution*socio=ec2 du rythme*socio=rien de hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 risquent d'apparaître, aux yeux*socio=rien du corps*socio=rien social*socio=et, comme des résultats*socio=rien insuffisants*socio=uv4 pour entraîner *socio=rien un retour spontané *socio=nil à des comportements*socio=rien moins inflationnistes*socio=ec2. Il semble que la politique*socio=et conjoncturelle*socio=uv4 doive donc rester orientée vers la recherche*socio=ec2 d'une résorption*socio=ec2 des déséquilibres*socio=uv4 qui se sont développés*socio=uv4 en 1976. Mais, au-delà de cette politique*socio=et à court_terme*socio=te, des actions*socio=rien en profondeur*socio=rien visant à favoriser une réduction*socio=ec2 durable*socio=uv4 de l'inflation*socio=ec2 devraient être*socio=rien entreprises*socio=ac. A cet égard*socio=rien, il convient de rappeler que, lors*socio=rien de la dernière*socio=rien récession*socio=ec2, malgré le recul*socio=rien de la demande*socio=ec1, l'appréciation*socio=ec2 du franc*socio=ec1 qui entraînait un*socio=rien allégement*socio=uv3 des prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 et la baisse*socio=ec2 des cours*socio=ec1 des matières_premières*socio=ec1, la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te n'est*socio=rien pas descendue sensiblement en dessous d'un*socio=rien *socio=rien rythme annuel *socio=nil de 10%, ce qui prouve à l'évidence*socio=rien que des réformes*socio=et plus profondes*socio=rien doivent être*socio=rien juxtaposées à une politique*socio=et de gestion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1. A la fin*socio=rien de 1976, on pouvait observer quelques signes d'amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1: en effet*socio=rien, une certaine*socio=rien décélération*socio=ec2 de la tendance*socio=ec2 des prix*socio=ec1 (abstraction*socio=rien faite des *socio=rien effets immédiats des*socio=nil décisions prises *socio=nil dans le domaine*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien énergétiques*socio=ec1) se manifestait. Mais la politique_économique*socio=et continuera à être*socio=rien confrontée dans le courant*socio=rien de 1977 à des tâches*socio=rien extrêmement difficiles*socio=rien et d'importants*socio=rien aléas*socio=rien subsistent: on ne peut encore faire une évaluation*socio=ec2 précise*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 du prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 - et, partant, de son incidence*socio=ec2 sur*socio=rien le taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 et sur*socio=rien le montant*socio=ec1 du déficit*socio=ec1 courant*socio=rien, Et, si les *socio=te perspectives actuelles d'*socio=nil un*socio=rien développement*socio=uv3 *socio=nil relativement peu soutenu du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te en 1977 se concrétisaient, cette évolution*socio=rien irait à l'encontre*socio=rien de l'objectif*socio=uv4 gouvernemental*socio=et de restructuration*socio=et des ressources*socio=ec1 en faveur*socio=rien de l'exportation*socio=ec1 et des investissements*socio=ec1. Mais, à l'inverse, si les mesures*socio=et actuellement à l'étude*socio=ec2 dans certains des plus importants*socio=rien pays_membres*socio=ac sont *socio=rien effectivement prises,*socio=nil *socio=nil elles rendront plus aisées la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv4 de pays*socio=ac comme la France*socio=ac, où les contraintes*socio=uv1 dans le domaine*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 et de la balance_des_paiements*socio=ec1 interdisent actuellement tout relâchement*socio=ec2 significatif*socio=rien de la politique_économique*socio=et. En tout état*socio=rien de cause*socio=rien, une amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien des prix*socio=ec1 dans les mois*socio=rien qui viennent ne peut suffire à justifier l'abandon*socio=rien de la politique*socio=et anti-inflationniste*socio=ec2 que les autorités*socio=et doivent poursuivre avec persévérance*socio=uv1, afin d'obtenir*socio=rien des résultats*socio=rien durables*socio=uv4. Et cela d'autant plus qu'il apparaît indispensable*socio=uv4 dans les circonstances*socio=rien actuelles*socio=te de réaliser une plus grande*socio=rien continuité*socio=uv1 dans l'orientation*socio=et de la politique_économique*socio=et: en effet*socio=rien, l'expérience*socio=ec2 des *socio=rien années récentes *socio=nil montre que les changements*socio=uv3 abrupts dans les politiques*socio=et de gestion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 risquent de créer des *socio=uv4 déséquilibres sérieux.*socio=nil *socio=nil Cependant, si l'on assistait à une détérioration*socio=uv4 trop marquée de la situation*socio=rien de l'emploi*socio=ec1, il serait conforme*socio=uv4 aux objectifs*socio=uv4 à moyen_terme*socio=te de lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec2 de prendre suffisamment tôt des mesures*socio=et sélectives*socio=uv4 visant à soutenir l'emploi*socio=ec1 plutôt que d'avoir à faire appel*socio=rien plus tardivement à des actions*socio=rien beaucoup plus amples*socio=rien de soutien*socio=uv3 de l'activité*socio=rien, visant à corriger une situation*socio=rien devenue préoccupante*socio=uv4. Il *socio=rien est incontestable *socio=nil que la politique*socio=et actuelle*socio=te de stabilisation*socio=et implique des coûts_sociaux*socio=et et économiques*socio=ec1 importants*socio=rien. Mais, si elle réussit à réduire de façon*socio=rien permanente*socio=te les attitudes*socio=uv3 et les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2, elle aura créé les bases*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 mieux équilibrée de l'économie*socio=ec1 sur*socio=rien le long_terme*socio=te.