*{ Rapport des études économiques de l'OCDE au Canada de 1985 } INTRODUCTION*socio=rien. Continuant de se redresser de la récession*socio=ec2 la plus grave*socio=rien qu'elle ait connue depuis la guerre*socio=et, l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac a enregistré plusieurs succès*socio=uv1 notables*socio=rien au cours*socio=rien des dix-huit *socio=rien derniers mois.*socio=nil *socio=nil En 1984, le PNB*socio=ec1 a progressé à *socio=rien un rythme annuel moyen sans*socio=nil précédent *socio=nil depuis 1976, et il a continué d'augmenter rapidement au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1985, la consommation*socio=ec1 privée*socio=et et l'investissement*socio=ec1 productif*socio=uv4 prenant le relais*socio=rien des exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien en tant que *socio=rien principale source de*socio=nil dynamisme*socio=uv3 *socio=nil de la demande*socio=ec1. Bien*socio=rien que l'on soit largement entré dans la *socio=rien troisième année *socio=nil de la reprise, l'inflation*socio=ec2 a continué de baisser et les hausses de prix*socio=ec1 et de salaires*socio=ec1 intervenues en 1984 ont été*socio=rien les plus faibles*socio=rien depuis de *socio=rien nombreuses années.*socio=nil *socio=nil De plus, la balance*socio=ec1 du commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te a dégagé un*socio=rien excédent*socio=ec1 record*socio=ec2, malgré une détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1. S'agissant des perspectives*socio=te d'évolution*socio=rien à court_terme*socio=te de l'économie*socio=ec1, aucun facteur*socio=rien interne*socio=te ne semble devoir*socio=rien sérieusement menacer la poursuite*socio=rien de la reprise, mais le rythme*socio=rien de croissance*socio=uv3 du PNB*socio=ec1 devrait se ralentir en 1986. Bien*socio=rien entendu, l'évolution*socio=rien de la situation*socio=rien aux États-unis*socio=ac aura une influence très importante*socio=rien. Le Canada*socio=ac se trouve néanmoins confronté à deux problèmes*socio=uv4 majeurs*socio=rien à moyen_terme*socio=te. Le déficit*socio=ec1 du budget*socio=ec1 fédéral*socio=et par rapport*socio=rien au PNB*socio=ec1 est*socio=rien l'un*socio=rien des plus élevés*socio=uv4 des grands*socio=rien pays_de_l'_ocde*socio=ac. Le Gouvernement*socio=ac actuel*socio=te, issu des élections*socio=et de septembre*socio=rien 1984, a assigné une haute*socio=rien priorité*socio=uv4 à la réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 et a pris, à cette fin*socio=rien, *socio=rien un certain nombre de*socio=nil mesures*socio=et spécifiques *socio=nil - le plus récemment à l'occasion*socio=rien de la présentation*socio=rien, en *socio=rien mai dernier,*socio=nil *socio=nil de son premier*socio=rien budget*socio=ec1 portant *socio=rien sur un exercice complet.*socio=nil Des*socio=nil mesures*socio=et structurelles*socio=uv4 *socio=nil ont aussi *socio=rien été prises *socio=nil dans le but*socio=rien de renforcer le rôle*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 dans l'économie*socio=ec1 et de réduire le degré*socio=rien de réglementation*socio=et - afin de résorber, à plus long_terme*socio=te, le déficit*socio=ec1 fédéral*socio=et en accroissant la production*socio=ec1. Cette réorientation*socio=et de la politique_économique*socio=et est*socio=rien jugée nécessaire*socio=rien pour surmonter l'autre grand*socio=rien problème*socio=uv4 auquel est*socio=rien confronté le Canada*socio=ac: la persistance*socio=te d'un*socio=rien chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4 qui, même s'il diminue, reste*socio=rien nettement supérieur*socio=rien à ce qu'il était à la fin*socio=rien de la précédente*socio=rien phase*socio=te de reprise, contrairement à ce que l'on observe aux États-unis*socio=ac. Le chapitre*socio=rien I de la présente*socio=rien étude*socio=ec2 examine les *socio=rien principaux aspects *socio=nil de l'évolution*socio=rien économique*socio=ec1 intervenue depuis *socio=rien un an *socio=nil environ, ainsi que les initiatives*socio=rien récemment prises*socio=rien par les pouvoirs_publics*socio=et. Les *socio=rien principales caractéristiques *socio=nil de la reprise actuelle*socio=te sont comparées à celles observées aux États-unis*socio=ac, tandis que l'examen*socio=ec2 de la politique_économique*socio=et met l'accent*socio=rien sur*socio=rien le problème*socio=uv4 du déficit*socio=ec1 du budget*socio=ec1 fédéral*socio=et et sa réduction*socio=ec2. Le chapitre*socio=rien Il est*socio=rien consacrée au problème*socio=uv4 du chômage*socio=ec1 - sa nature*socio=rien et les facteurs*socio=rien qui en sont peut-être à l'origine*socio=rien - problème*socio=uv4 qu'il convient d'analyser pour pouvoir*socio=et formuler des propositions*socio=rien d'action*socio=rien appropriées. Le chapitre*socio=rien III contient une évaluation*socio=ec2 des perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 à court_terme*socio=te du Canada*socio=ac, tandis que le chapitre*socio=rien IV résume*socio=rien les divers points*socio=rien examinés au long*socio=rien de l'étude*socio=ec2 et tente de tirer *socio=rien un certain nombre de*socio=nil conclusions *socio=nil concernant l'action*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=et. politique_économique*socio=et. La politique_économique*socio=et a subi une réorientation*socio=et majeure*socio=rien depuis l'automne*socio=rien de 1984. Jusque-là, la politique_budgétaire*socio=et avait été*socio=rien nettement expansionniste*socio=ec2, visant à soutenir une reprise qui, dans *socio=rien un premier temps,*socio=nil avait*socio=nil été en*socio=nil grande partie *socio=nil étayée par le déroulement*socio=rien du cycle*socio=te des stocks*socio=ec1, puis par l'évolution*socio=rien de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te. Il en est*socio=rien résulté une dégradation*socio=uv3 continue*socio=rien du *socio=ec1 solde financier des*socio=nil administrations_publiques*socio=ac *socio=nil dont le déficit*socio=ec1 était passé*socio=te de 5,0 pour cent*socio=rien du PNB*socio=ec1 pendant l'année*socio=rien de récession*socio=ec2 1982 à 6,3 pour cent*socio=rien en 1984, les effets*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 l'ayant emporté sur*socio=rien le jeu*socio=rien des stabilisateurs*socio=uv4 automatiques*socio=rien pendant la reprise, en raison*socio=rien, pour partie*socio=rien, de la faiblesse*socio=ec2 inattendue*socio=rien des recettes*socio=ec1 fiscales*socio=et. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 dépassant le taux_de_croissance*socio=ec1 de la production*socio=ec1, on pouvait alors s'attendre à une accélération*socio=ec2 de l'augmentation*socio=ec2 du rapport*socio=rien de la dette*socio=ec1 au PNB*socio=ec1. Le nouveau*socio=rien gouvernement_fédéral*socio=ac issu des élections*socio=et de septembre*socio=rien 1984 devait adopter une approche différente*socio=rien de la politique_économique*socio=et, délaissant le soutien*socio=uv3 direct*socio=rien de la demande*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1 pour s'attacher à réduire le déficit*socio=ec1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et à stimuler l'_offre*socio=ec1 au moyen*socio=rien de mesures*socio=et structurelles*socio=uv4 et de mesures*socio=et de déréglementation*socio=et. La banque_centrale*socio=ac n'a pas, pour sa part*socio=rien, modifié sa politique*socio=et, encore que le débat*socio=et sur*socio=rien la politique*socio=et et les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil se trouve compliqué par les effets*socio=rien du rythme*socio=rien d'innovation*socio=uv3 rapide*socio=rien que connaît le secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1. En outre, étant donné l'intégration*socio=uv1 étroite*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec1 du Canada*socio=ac et des États-unis*socio=ac, les évolutions*socio=rien qui se produisent dans ce dernier*socio=rien pays*socio=ac se répercutent rapidement sur*socio=rien les *socio=ec1 conditions monétaires canadiennes*socio=ac,*socio=nil *socio=nil exerçant ainsi une contrainte*socio=uv1 sur*socio=rien la conduite*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et. Malgré l'excédent*socio=ec1 record*socio=ec2 enregistré par la *socio=ec1 balance commerciale et*socio=nil *socio=rien un recul sensible *socio=nil de l'inflation*socio=ec2, les tentatives*socio=rien faites pour abaisser les taux_d'_intérêt*socio=ec1 intérieurs*socio=te ont été*socio=rien gênées par les *socio=rien fortes attaques *socio=nil subies à plusieurs reprises par le dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac, celles-ci étant apparemment dues à l'incertitude*socio=uv3 des opérateurs*socio=ac quant aux objectifs*socio=uv4 des autorités*socio=et concernant le taux_de_change*socio=ec1 et l'inflation*socio=ec2. politique_budgétaire*socio=et. Le tableau*socio=rien 5 présente*socio=rien de façon*socio=rien détaillée le compte*socio=rien d'affectation*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac (sur*socio=rien la base*socio=rien des comptes*socio=rien nationaux*socio=te) pour 1984 et le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1985. Reflétant l'orientation*socio=et expansionniste*socio=ec2 qui a caractérisé la politique_économique*socio=et pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de 1984, les recettes*socio=ec1 et les dépenses*socio=ec1 fédérales*socio=ac ont augmenté de 10,3 et 13,6 pour cent*socio=rien respectivement de sorte*socio=rien que le déficit*socio=ec1 a atteint 29,7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (7,0 pour cent*socio=rien du PNB*socio=ec1, contre 6,2 pour cent*socio=rien en 1983). Le redressement*socio=ec2 des bénéfices*socio=ec1 s'est*socio=rien traduit par une vive progression*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 tirées de l'impôt*socio=et sur*socio=rien les sociétés*socio=ac, et le produit*socio=rien des impôts*socio=et indirects*socio=rien a été*socio=rien gonflé par la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 des importations*socio=ec1 et par l'accroissement*socio=ec2 du produit*socio=rien de l'impôt*socio=et sur*socio=rien les *socio=ec1 recettes pétrolières et*socio=nil gazières,*socio=nil *socio=nil dû au développement*socio=uv3 de la production*socio=ec1 d'hydrocarbures*socio=rien. En revanche, les recettes*socio=ec1 tirées de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 des personnes*socio=ac physiques*socio=rien sont restées quelque peu en retrait, pour des raisons*socio=rien qui sont difficiles*socio=rien à saisir. La mise en oeuvre*socio=rien (tardive*socio=rien) des *socio=rien Projets spéciaux de*socio=nil relance*socio=uv3 *socio=nil (voir OCDE*socio=ac, Étude*socio=ec2 Economique*socio=ec1 sur*socio=rien le Canada*socio=ac, juin*socio=rien 1983) et des achats*socio=ec1 de matériel*socio=rien militaire ont gonflé les dépenses*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1. Le montant*socio=ec1 des subventions*socio=ec1 versées a augmenté du fait*socio=rien de l'accroissement*socio=ec2 de la *socio=ec1 production pétrolière *socio=nil et des effets*socio=rien du fléchissement*socio=rien du dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1 des États-unis*socio=ac sur*socio=rien le coût*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 importé. L'année*socio=rien passée*socio=te, la montée rapide*socio=rien des paiements_d'_intérêts*socio=et sur*socio=rien la dette*socio=ec1, dont la progression*socio=ec2 s'était fortement ralentie en 1983, a mis en évidence*socio=rien la sensibilité*socio=ec2 de ces paiements*socio=ec1 aux mouvements*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 de même qu'à l'augmentation*socio=ec2 de l'encours de la dette*socio=ec1. L'orientation*socio=et budgétaire*socio=et généralement restrictive*socio=uv4 adoptée l'an*socio=rien dernier*socio=rien par les administrations_provinciales*socio=ac a contribué à éliminer presque complètement le déficit*socio=ec1 global*socio=te du secteur*socio=rien PLH, qui est*socio=rien tombé à 0,3 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1. Si les provinces*socio=ac ont vu progresser fortement leurs dépenses*socio=ec1 au titre*socio=rien des intérêts*socio=ec1 et des subventions*socio=ec1, elles ont aussi bénéficié du gonflement*socio=ec2 du produit*socio=rien de l'impôt*socio=et sur*socio=rien les sociétés*socio=ac. De plus, les révisions apportées aux chiffres du PNB*socio=ec1 ont entraîné une augmentation*socio=ec2 des transferts*socio=ec1 du gouvernement_fédéral*socio=ac au titre*socio=rien du financement*socio=ec1 des programmes*socio=et établis. Compte*socio=rien tenu du régime_des_pensions*socio=et du Canada*socio=ac et du régime_des_rentes_du_québec, qui en sont encore au stade*socio=te de l'accumulation*socio=ec2 nette*socio=rien, le déficit*socio=ec1 global*socio=te des administrations_publiques*socio=ac a atteint l'an*socio=rien dernier*socio=rien 26,7 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (6,3 pour cent*socio=rien du PNB*socio=ec1). Malgré la *socio=rien fermeté persistante *socio=nil de la reprise au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1985, le *socio=ec1 solde financier des*socio=nil administrations_publiques*socio=ac ne*socio=nil fait*socio=rien *socio=nil apparaître aucune amélioration*socio=uv1 par rapport*socio=rien à l'important*socio=rien déficit*socio=ec1 atteint l'an*socio=rien dernier*socio=rien. De fait*socio=rien, les *socio=rien calculs préliminaires *socio=nil effectués par le Secrétariat*socio=ac donnent à penser que le déficit*socio=ec1 structurel*socio=uv4 des administrations_publiques*socio=ac s'est*socio=rien encore accru, en raison*socio=rien principalement de la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien du produit*socio=rien de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 des personnes*socio=ac physiques*socio=rien. L'exposé économique*socio=ec1 et financier*socio=ec1 publié en novembre*socio=rien 1984 présentait la stratégie*socio=et économique*socio=ec1 du nouveau*socio=rien gouvernement_fédéral*socio=ac. Celle-ci mettait l'accent*socio=rien sur*socio=rien la réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et (par des compressions*socio=et de dépenses*socio=ec1 et le recouvrement*socio=rien des coûts*socio=ec1, plutôt que par l'augmentation*socio=ec2 des impôts*socio=et), la promotion*socio=uv3 de la croissance*socio=uv3 par une diminution*socio=ec2 de la taille du secteur_public*socio=et et un*socio=rien allégement*socio=uv3 de la réglementation*socio=et, et l'encouragement*socio=uv4 de l'entreprise_privée. Dans cet exposé, le service_de_la_dette*socio=ec1 était considéré comme l'un*socio=rien des *socio=rien principaux facteurs responsables*socio=uv2 du*socio=nil niveau élevé*socio=uv4 et*socio=nil croissant du*socio=nil déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et *socio=nil et du gonflement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1, rendant la position*socio=rien financière*socio=ec1 du gouvernement_fédéral*socio=ac particulièrement vulnérable*socio=uv2 lorsque le taux_d'_intérêt*socio=ec1 réel*socio=ec2 est*socio=rien plus élevé*socio=uv4 que le taux_de_croissance*socio=ec1 du PNB*socio=ec1 réel*socio=ec2. La croissance*socio=uv3 de la dette*socio=ec1 *socio=et publique fédérale nette*socio=rien a*socio=nil été*socio=rien largement*socio=nil supérieure*socio=rien *socio=nil à celle de l'ensemble*socio=rien de l'économie*socio=ec1, de sorte*socio=rien que le rapport*socio=rien de la dette*socio=ec1 au PNB*socio=ec1 est*socio=rien passé*socio=te de 16,6 pour cent*socio=rien au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1974-1975 à 45,2 pour cent*socio=rien en 1984/85. Les mesures*socio=et annoncées dans l'exposé (voir l'annexe*socio=rien pour de plus *socio=rien amples détails)*socio=nil *socio=nil devaient permettre de réduire le déficit*socio=ec1 fédéral*socio=et, au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1985/86, d'un*socio=rien montant*socio=ec1 net*socio=rien de 2,2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, le ramenant ainsi à 34,9 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (sur*socio=rien la base*socio=rien des comptes*socio=rien publics*socio=et), chiffre qui est*socio=rien encore nettement supérieur*socio=rien aux 28,0 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 prévus initialement dans le budget*socio=ec1 de février*socio=rien 1984. Des mesures*socio=et devaient aussi *socio=rien être prises *socio=nil pour modifier la législation*socio=et concernant l'Agence*socio=ac d'examen*socio=ec2 de l'investissement*socio=ec1 étranger*socio=te (AEIE) et le Programme*socio=et énergétique*socio=ec1 national*socio=te dans le but*socio=rien d'accentuer le processus*socio=te de libéralisation*socio=et. Les commentaires*socio=rien officiels*socio=et accompagnant le budget*socio=ec1 présenté en mai*socio=rien 1985 par le gouvernement_fédéral*socio=ac réaffirmaient les *socio=uv4 objectifs prioritaires *socio=nil de l'exposé de novembre*socio=rien: stimuler l'_offre*socio=ec1 et contenir le déficit*socio=ec1 du budget*socio=ec1 fédéral*socio=et. Selon les estimations*socio=ec2 officielles*socio=et, les nouvelles*socio=rien dispositions*socio=et permettront de réduire le déficit*socio=ec1 de l'exercice*socio=rien 1985/86 dans la même proportion*socio=rien que les mesures*socio=et adoptées en novembre*socio=rien. Sur*socio=rien la base*socio=rien des comptes*socio=rien nationaux*socio=te, on estime*socio=rien maintenant officiellement*socio=et que le déficit*socio=ec1 du budget*socio=ec1 fédéral*socio=et sera ramené de 71/2 pour cent*socio=rien du PNB*socio=ec1 en 1984/85 à 6 et 51/4 pour cent*socio=rien en 1985/86 et 1986/87 respectivement et, dans l'optique*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien scénario intermédiaire d'*socio=nil évolution *socio=nil de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 générale*socio=rien, aux environs*socio=rien de 41/4 pour cent*socio=rien à la fin*socio=rien de la décennie*socio=te. Le rapport*socio=rien de la dette*socio=ec1 nationale*socio=te nette*socio=rien au PNB*socio=ec1 devrait se stabiliser au voisinage*socio=rien de 63 pour cent*socio=rien d'ici la fin*socio=rien des années*socio=rien 80. Les compressions*socio=et de dépenses*socio=ec1 et les réductions*socio=ec2 de coûts*socio=ec1 découlant d'une gestion*socio=ec2 plus efficace*socio=uv4 ("Initiatives*socio=rien de gestion*socio=ec2") assureront*socio=rien l'essentiel*socio=uv4 de la réduction*socio=ec2 prévue du déficit*socio=ec1. Le budget*socio=ec1 prévoit donc que les dépenses*socio=ec1 de programmes*socio=et (toutes les dépenses*socio=ec1 à l'exclusion*socio=rien des paiements_d'_intérêts*socio=et sur*socio=rien la dette*socio=ec1) n'augmenteront que de 2 pour cent*socio=rien par an*socio=rien en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1, pourcentage*socio=rien le plus faible*socio=rien depuis près de deux décennies*socio=te. Côté*socio=rien recettes*socio=ec1, les mesures*socio=et annoncées impliquent aussi bien*socio=rien des réductions*socio=ec2 que des augmentations*socio=ec2. Les principales*socio=rien mesures*socio=et concernant l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 des personnes*socio=ac physiques*socio=rien et l'impôt*socio=et sur*socio=rien les sociétés*socio=ac sont les suivantes*socio=rien: a) exonération*socio=ec1 de l'impôt*socio=et sur*socio=rien les plus-values*socio=ec1 d'un*socio=rien montant*socio=ec1 maximum*socio=rien de 0,5 million*socio=rien de dollars*socio=ec1 au total*socio=rien, progressivement*socio=rien appliquée sur*socio=rien six ans*socio=rien; b) limitation*socio=uv3 de l'indexation*socio=ec1 des tranches de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 des personnes*socio=ac physiques*socio=rien, des abattements*socio=ec1 au titre*socio=rien de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 et des déductions*socio=ec1 pour charges*socio=rien de famille*socio=uv1 à la *socio=rien seule fraction *socio=nil de la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 supérieure*socio=rien à 3 pour cent*socio=rien; c) *socio=rien majorations temporaires des*socio=nil impôts*socio=et *socio=nil (entre le milieu*socio=rien de 1985 et la fin*socio=rien de 1986) pour les titulaires*socio=rien de hauts*socio=rien revenus*socio=ec1 et les grandes*socio=rien entreprises*socio=ac, et impôt*socio=et *socio=rien temporaire sur le*socio=nil capital*socio=ec1 des*socio=nil grandes institutions_financières*socio=ac (*socio=nil banques*socio=ac à*socio=nil charte*socio=et et*socio=nil sociétés*socio=ac financières*socio=ec1)*socio=nil ;*socio=nil *socio=nil et d) suppression*socio=rien de l'abattement*socio=ec1 sur*socio=rien l'impôt*socio=et fédéral*socio=et. La réalisation*socio=uv1 de l'objectif*socio=uv4 d'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et a été*socio=rien rendue difficile*socio=rien par de profondes*socio=rien réformes*socio=et de la politique*socio=et nationale*socio=te en matière*socio=rien d'énergie*socio=ec1 (voir ci-après), annoncées par le nouveau*socio=rien gouvernement*socio=ac au début*socio=rien de 1985 et impliquant des moins-values*socio=ec1 de recettes*socio=ec1 substantielles*socio=rien en 1985 et 1986. L'incidence*socio=ec2 budgétaire*socio=et des diverses*socio=rien mesures*socio=et touchant les recettes*socio=ec1 est*socio=rien indiquée en *socio=rien termes quantitatifs *socio=nil dans le tableau*socio=rien 6. La base*socio=rien de calcul*socio=rien de la *socio=et taxe_de_vente fédérale sur*socio=rien les*socio=nil produits*socio=rien manufacturés*socio=nil est*socio=rien *socio=nil élargie et son *socio=rien taux est *socio=nil relevé d'un*socio=rien point*socio=rien. La moins-value*socio=ec1 de recettes*socio=ec1 qu'implique la suppression*socio=rien de la taxe*socio=et spéciale*socio=rien d'accroissement*socio=ec2 du taux*socio=rien de propriété*socio=ec1, en vertu*socio=rien de l'Accord*socio=et de l'Ouest*socio=te (voir ci-après) est*socio=rien partiellement compensée par une augmentation*socio=ec2 de la taxe*socio=et sur*socio=rien les carburants. Des plans*socio=rien concernant la privatisation*socio=et de trois sociétés*socio=ac de la Couronne*socio=ac ont été*socio=rien annoncés, et la vente*socio=ec1 éventuelle*socio=rien d'autres entreprises*socio=ac publiques*socio=et est*socio=rien à l'étude*socio=ec2. Des notes annexées ont été*socio=rien publiées en même temps*socio=rien que le budget*socio=ec1, comprenant par exemple*socio=rien, des propositions*socio=rien visant à instituer un*socio=rien impôt*socio=et *socio=rien minimum sur le*socio=nil revenu*socio=ec1 des*socio=nil personnes*socio=ac physique *socio=nil (à compter de l'année*socio=rien prochaine*socio=rien) et à simplifier la fiscalité*socio=et des entreprises*socio=ac). Le *socio=rien premier rapport d'*socio=nil un groupe_de_travail*socio=ac ministériel*socio=et *socio=nil chargé de l'examen*socio=ec2 des programmes*socio=et , qui a pour mandat*socio=rien d'évaluer l'utilité*socio=rien et l'efficacité*socio=uv3 des programmes*socio=et de dépenses*socio=ec1 actuels*socio=te, a aussi été*socio=rien présenté. Le budget*socio=ec1 prévoit par ailleurs*socio=rien une amélioration*socio=uv1 du système*socio=rien des pensions*socio=et; les principales*socio=rien réformes*socio=et s'appuient sur*socio=rien une réduction*socio=ec2 de la période*socio=te minimum*socio=rien pour l'ouverture*socio=uv3 des droits*socio=uv1 à pension*socio=et (qui serait ramenée de dix à deux ans*socio=rien), l'extension*socio=rien du bénéfice*socio=uv1 des régimes_de_pension*socio=et à tous le salariés*socio=ac au bout*socio=rien de deux ans*socio=rien de service*socio=et, la fixation*socio=ec1 des *socio=ec1 cotisations patronales minimum*socio=rien à*socio=nil *socio=rien un niveau égal *socio=nil à la moitié*socio=rien de la valeur*socio=ec1 de la pension*socio=et. Il est*socio=rien aussi proposé de modifier les règles*socio=et concernant les cotisations*socio=ec1 aux régimes*socio=et enregistrés d'épargne-retraite de manière*socio=rien à accroître considérablement*socio=rien les possibilités*socio=rien de déduction*socio=ec1 des cotisations*socio=ec1 du revenu*socio=ec1 imposable*socio=et. Cette modification*socio=rien va dans le sens*socio=rien de la transformation*socio=ec2 du régime*socio=et actuel*socio=te de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 en un*socio=rien régime*socio=et d'imposition*socio=et progressive*socio=rien des dépenses*socio=ec1. Il *socio=rien est difficile *socio=nil d'évaluer l'incidence*socio=ec2 globale*socio=rien du budget*socio=ec1 sur*socio=rien la demande*socio=ec1, en raison*socio=rien notamment des incertitudes*socio=uv3 qui entourent les réactions*socio=rien auxquelles donneront lieu*socio=rien les *socio=rien diverses modifications destinées *socio=nil à favoriser l'investissement*socio=ec1 fixe des entreprises*socio=ac. Sur*socio=rien la base*socio=rien d'une estimation*socio=ec2 des effets*socio=rien qu'auront les mesures*socio=et proposées dans les documents*socio=rien budgétaires*socio=et sur*socio=rien les recettes*socio=ec1 et les dépenses*socio=ec1, le Secrétariat*socio=ac a calculé que l'incidence*socio=ec2 du budget*socio=ec1 sur*socio=rien la demande*socio=ec1 serait négligeable*socio=rien cette année*socio=rien et légèrement restrictive*socio=uv4 en 1986, avec *socio=rien un effet négatif *socio=nil de 0,3 pour cent*socio=rien, peut-être, sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 du PNB*socio=ec1. Cependant, la *socio=et stratégie budgétaire doit*socio=nil être*socio=rien *socio=nil considérée dans une perspective*socio=rien à plus long_terme*socio=te et, s'il est*socio=rien probable*socio=uv4 que la réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 aura *socio=rien un effet restrictif*socio=uv4 à*socio=nil court_terme*socio=te sur la*socio=nil demande*socio=ec1,*socio=nil ses*socio=nil effets positifs*socio=uv4 sur l'_offre*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil dus à l'encouragement*socio=uv4 de l'investissement*socio=ec1 et à l'amélioration*socio=uv1 des qualifications*socio=uv3 des travailleurs*socio=ac, devraient en fin*socio=rien de *socio=rien compte être *socio=nil prédominants. Les autorités*socio=et s'attendent à ce que certaines*socio=rien des mesures*socio=et proposées aient, même à court_terme*socio=te, une *socio=ec2 incidence favorable sur*socio=rien l'*socio=nil investissement*socio=ec1.*socio=nil Une*socio=nil *socio=rien question difficile,*socio=nil *socio=nil pour le *socio=ac gouvernement canadien,*socio=nil est*socio=rien de*socio=nil savoir*socio=rien *socio=nil à quel rythme*socio=rien il conviendrait de réduire le déficit*socio=ec1, étant donné, d'une part*socio=rien, les problèmes*socio=uv4 que pose la persistance*socio=te de ce déficit*socio=ec1 à *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4 *socio=nil et, de l'autre, le souci*socio=rien de réduire le chômage*socio=ec1. Les problèmes*socio=uv4 liés à l'augmentation*socio=ec2 du rapport*socio=rien entre le déficit*socio=ec1 et le PNB*socio=ec1 sont les suivants*socio=rien: éviction*socio=ec2 de l'investissement_privé*socio=et et/ou accroissement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te, risque*socio=uv4 de monétisation de la dette*socio=ec1 et accélération*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2 en combinaison*socio=rien avec une réduction*socio=ec2 des *socio=rien possibilités futures d'*socio=nil action conjoncturelle*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil En revanche, une réduction*socio=ec2 trop rapide*socio=rien du déficit*socio=ec1 peut freiner la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 et, partant, décourager l'investissement*socio=ec1 en réduisant les perspectives*socio=te de production*socio=ec1. Il pourrait alors en résulter une diminution*socio=ec2 encore plus marquée des recettes*socio=ec1, ce qui irait en partie*socio=rien à l'encontre*socio=rien des efforts*socio=uv1 déployés initialement pour réduire le déficit*socio=ec1. En fait*socio=rien, la stratégie*socio=et choisie*socio=rien implique *socio=rien un rythme *socio=nil modéré de réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1, s'accélérant progressivement*socio=rien au fil*socio=rien des ans*socio=rien. Simultanément, les effets*socio=rien budgétaires*socio=et estimés des modifications*socio=rien proposées dans le budget*socio=ec1 pour ce qui est*socio=rien des impôts*socio=et et des dépenses*socio=ec1 restent soumis à une marge d'erreur*socio=uv4 considérable*socio=rien - dans la mesure*socio=rien où ces estimations*socio=ec2 sont sensibles*socio=rien non seulement aux hypothèses*socio=ec2 retenues*socio=rien en ce qui concerne l'évolution*socio=rien macroéconomique*socio=ec1, mais aussi (et pas isolément de ces dernières*socio=rien) aux réactions*socio=rien des agents*socio=ac économiques*socio=ec1 aux diverses*socio=rien mesures*socio=et envisagées. Par exemple*socio=rien, l'hypothèse*socio=ec2 officielle*socio=et concernant la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 en 1986 est*socio=rien plus pessimiste*socio=uv2 que les prévisions*socio=ec2 actuelles*socio=te du Secrétariat*socio=ac et conduit peut-être à sous-estimer l'ampleur*socio=rien probable*socio=uv4 de la réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1. En revanche, les conséquences*socio=rien de la *socio=rien suppression progressive *socio=nil proposée de l'impôt*socio=et sur*socio=rien les plus-values*socio=ec1 pourraient *socio=rien fort bien *socio=nil se traduire par des moins-values*socio=ec1 de recettes*socio=ec1 plus importantes*socio=rien que celles qui sont prévues dans le budget*socio=ec1 à moyen_terme*socio=te. La limitation*socio=uv3 de l'indexation*socio=ec1 constituera probablement *socio=rien un facteur important à*socio=nil long_terme*socio=te *socio=nil dont l'effet*socio=rien cumulé sera de réduire le déficit*socio=ec1 par le biais*socio=rien de l'augmentation*socio=ec2 implicite*socio=rien des impôts*socio=et réels*socio=ec2 due au "passage*socio=rien à des tranches supérieures*socio=rien" (les augmentations*socio=ec2 des *socio=ec1 revenus nominaux *socio=nil faisant passer les contribuables*socio=ac dans des tranches supérieures*socio=rien). politique_monétaire*socio=et. En novembre*socio=rien 1975, la banque_du_canada*socio=ac avait fixé un*socio=rien objectif*socio=uv4 de croissance*socio=uv3 pour la masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens étroit (*socio=nil MI)*socio=nil *socio=nil dans le cadre*socio=rien du programme*socio=et général*socio=rien de lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec2, qui prévoyait entre autres un*socio=rien contrôle*socio=uv3 des salaires*socio=ec1 et des prix*socio=ec1. Dans l'ensemble*socio=rien, le rythme*socio=rien de progression*socio=ec2 effectif*socio=rien de MI*socio=rien a été*socio=rien ramené par la suite*socio=rien à l'intérieur*socio=te de la *socio=rien fourchette retenue *socio=nil jusqu'à ce que des innovations*socio=uv3 touchant le secteur*socio=rien financier*socio=ec1 entraînent des modifications*socio=rien de la fonction*socio=rien de demande*socio=rien de monnaie*socio=ec1 et réduisent l'utilité*socio=rien de MI*socio=rien en tant qu'objectif*socio=uv4 monétaire*socio=ec1 intermédiaire*socio=rien et indicateur*socio=rien de la croissance*socio=uv3 du revenu*socio=ec1 nominal*socio=rien. Au moment*socio=rien où les objectifs*socio=uv4 ont été*socio=rien abandonnés, en novembre*socio=rien 1982, le taux_de_croissance*socio=ec1 de M1*socio=ec1 se situait au-dessous de la *socio=rien limite inférieure *socio=nil de la fourchette*socio=rien depuis plus d'un*socio=rien an*socio=rien. L'autre agrégat*socio=ec1 représentant*socio=rien la masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens étroit,*socio=nil *socio=nil MIA, continue*socio=rien de progresser rapidement, en raison*socio=rien du développement*socio=uv3 des dépôts*socio=ec1 à intérêt_quotidien transférables par chèques. L'intensification*socio=ec2 de la concurrence*socio=ec1 découlant des innovations*socio=uv3 intervenues sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1 semble estomper peu à peu le cloisonnement traditionnel*socio=rien (les quatre "piliers*socio=rien") du secteur*socio=rien financier*socio=ec1 canadien*socio=ac (banques*socio=ac, compagnies*socio=ac d'assurance*socio=ec1, sociétés*socio=ac de fiducie*socio=ec1 et sociétés*socio=ac de placement*socio=ec1). Le gouvernement*socio=ac a récemment publié un*socio=rien Livre Vert dans lequel sont analysées *socio=rien certaines modifications aux*socio=nil règles*socio=et gouvernant le*socio=nil fonctionnement des*socio=nil institutions_financières*socio=ac *socio=nil soumises à la réglementation*socio=et de l'état_fédéral*socio=ac. Les mesures*socio=et proposées, qui ne semblent pas avoir de *socio=rien conséquences directes *socio=nil pour la conduite*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et, ont pour objet*socio=rien de stimuler la concurrence*socio=ec1, de contrôler les "transactions*socio=ec1 internes*socio=te" (entre une institution_financière*socio=ac et ses principaux*socio=rien actionnaires*socio=ac) et de résoudre les problèmes*socio=uv4 de conflit*socio=uv1 d'intérêts*socio=uv1. De plus, elles permettraient aux institutions*socio=ac non bancaires*socio=ec1 de créer des banques*socio=ac. Il est*socio=rien prévu de revoir la législation*socio=et applicable*socio=rien aux banques*socio=ac à charte*socio=et à l'occasion*socio=rien du prochain*socio=rien examen*socio=ec2 décennal qui doit avoir lieu*socio=rien en 1990. La marge de manoeuvre*socio=rien des autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 a été*socio=rien sérieusement limitée par les évolutions*socio=rien financières*socio=ec1 internationales*socio=te. En 1984, les rendements*socio=ec1 canadiens*socio=ac ont en général*socio=rien évolué parallèlement à ceux des États-unis*socio=ac, marquant*socio=rien au *socio=rien premier semestre une*socio=nil augmentation*socio=ec2 *socio=nil qui devait se trouver inversée à la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. Alors que les autorités*socio=et souhaitaient voir baisser les niveaux*socio=rien des rendements*socio=ec1 intérieurs*socio=te, tant en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1 qu'en termes*socio=rien réels*socio=ec2, compte*socio=rien tenu de l'amélioration*socio=uv1 des résultats*socio=rien obtenus sur*socio=rien le plan*socio=rien de l'inflation*socio=ec2, de la fermeté*socio=rien de la balance*socio=ec1 courante*socio=te, et aussi du niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 du chômage*socio=ec1, leurs efforts*socio=uv1 se sont heurtés dans certains cas*socio=rien à des attaques*socio=rien spéculatives*socio=ec2 contre le dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac. Ces attaques*socio=rien, qui sont intervenues de *socio=rien manière générale au*socio=nil moment *socio=nil où l'on s'attendait à voir se maintenir le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 aux États-unis*socio=ac, ont apparemment été*socio=rien provoquées par l'incertitude*socio=uv3 des opérateurs*socio=ac quant à l'importance*socio=rien relative*socio=rien que les autorités*socio=et canadiennes*socio=ac attachaient aux taux_d'_intérêt*socio=ec1 intérieurs*socio=te, d'une part*socio=rien, et aux taux_de_change*socio=ec1, de l'autre. La *socio=rien forte hausse des*socio=nil rendements*socio=ec1 du*socio=nil *socio=ec1 marché monétaire intérieur*socio=te *socio=nil intervenue au milieu*socio=rien de 1984 s'est*socio=rien produite dans *socio=rien un climat de*socio=nil faiblesse*socio=ec2 du*socio=nil taux_de_change*socio=ec1,*socio=nil les*socio=nil évolutions sur le*socio=nil *socio=ec1 marché monétaire *socio=nil et le marché*socio=ec1 des changes*socio=rien s'étant conjuguées*socio=rien pour exercer une pression*socio=ec2 à la *socio=rien hausse sur les*socio=nil taux intérieurs*socio=te.*socio=nil Bien *socio=nil que les rendements*socio=ec1 soient retombés à la fin*socio=rien de 1984, les écarts*socio=rien entre le Canada*socio=ac et les États-unis*socio=ac se sont élargis, reflétant l'incertitude*socio=uv3 des opérateurs*socio=ac quant à la valeur*socio=ec1 future*socio=rien du dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac. Ces écarts*socio=rien sont jusqu'ici restés positifs*socio=uv4. Après*socio=rien une nouvelle*socio=rien pression*socio=ec2 à la *socio=rien hausse sur les*socio=nil rendements*socio=ec1 au*socio=nil cours *socio=nil des deux *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1985, les taux*socio=rien à court_terme*socio=te aussi bien*socio=rien qu'à long_terme*socio=te ont amorcé une tendance*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 depuis le mois*socio=rien de février*socio=rien; à la fin*socio=rien de septembre*socio=rien, le taux*socio=rien d'escompte (9,0 pour cent*socio=rien) avait retrouvé son niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien depuis sept ans*socio=rien. Les taux*socio=rien "réels*socio=ec2" - selon la *socio=rien définition classique *socio=nil - demeuraient néanmoins relativement élevés*socio=uv4, tant par rapport*socio=rien au passé*socio=te que par rapport*socio=rien aux normes*socio=et internationales*socio=te. Cela tient au niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 internationaux*socio=te et à la volonté*socio=uv1 de la banque_centrale*socio=ac de contenir l'inflation*socio=ec2, mais pourrait aussi témoigner de certaines*socio=rien préoccupations*socio=uv4 des opérateurs*socio=ac quant à l'évolution*socio=rien future*socio=rien de l'inflation*socio=ec2. Les contraintes*socio=uv1 évidentes*socio=rien qui empêchent les autorités*socio=et de mener une politique_budgétaire*socio=et plus expansionniste*socio=ec2, ainsi que la nécessité*socio=uv1 d'assurer la poursuite*socio=rien de la reprise - notamment de développer l'investissement*socio=ec1 fixe des entreprises*socio=ac - amènent à se demander si la politique_monétaire*socio=et ne pourrait pas jouer *socio=rien un rôle plus*socio=nil actif*socio=uv4 *socio=nil dans le raffermissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1. Depuis l'abandon*socio=rien des objectifs*socio=uv4 monétaires*socio=ec1 en 1982, les fluctuations*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1 ont tenu une *socio=rien grande place *socio=nil dans la conduite*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et en raison*socio=rien de leurs répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien le plan*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 et aussi du risque*socio=uv4 qu'une forte*socio=rien dépréciation*socio=ec2 n'amène*socio=rien les opérateurs*socio=ac à anticiper la poursuite*socio=rien du mouvement*socio=ec2, entraînant des pressions*socio=ec2 à la *socio=rien hausse sur les*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 intérieurs*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil dollar*socio=ec1 des*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil atteignant des niveaux*socio=rien sans précédent*socio=rien par rapport*socio=rien à toutes les monnaies*socio=ec1, les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 avaient le choix*socio=uv1 entre laisser le dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac suivre l'ascension rapide*socio=rien de la monnaie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, faisant ainsi perdre aux *socio=ac producteurs canadiens leur*socio=nil compétitivité*socio=uv3 par*socio=nil rapport*socio=rien *socio=nil à presque tous leurs concurrents*socio=ac, ou le laisser se déprécier par rapport*socio=rien au dollar*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, risquant ainsi d'aller à l'encontre*socio=rien de la politique*socio=et de lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec2 menée au plan*socio=rien national*socio=te. Dans les faits*socio=rien, on a vu se produire en 1984 une certaine*socio=rien dépréciation*socio=ec2 vis-à-vis du dollar*socio=ec1 des États-unis*socio=ac et une certaine*socio=rien appréciation*socio=ec2 vis-à-vis des monnaies*socio=ec1 du reste*socio=rien du monde*socio=te, de sorte*socio=rien que le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien effectif est *socio=nil resté relativement stable*socio=uv4. Au premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1985, cependant, le taux_de_change*socio=ec1 bilatéral*socio=et avec le dollar*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, de même que le taux_de_change*socio=ec1 effectif*socio=rien, ont accusé une forte*socio=rien baisse*socio=ec2, et sont restés à peu près inchangés*socio=rien durant le deuxième*socio=rien trimestre*socio=te. Il importe de noter que, compte*socio=rien tenu de la forte*socio=rien intégration*socio=uv1 des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 du Canada*socio=ac et des États-unis*socio=ac (et de la différence*socio=rien de taille des deux économies*socio=ec1), il y a des limites*socio=rien à ce que les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 canadiennes*socio=ac peuvent faire pour déconnecter l'évolution*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 canadiens*socio=ac de celle des taux*socio=rien pratiqués aux États-unis*socio=ac. Compte*socio=rien tenu de l'importance*socio=rien des *socio=rien résultats sur le*socio=nil plan *socio=nil de l'inflation*socio=ec2 si l'on veut retrouver une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 à moyen_terme*socio=te, il serait difficile*socio=rien de prétendre*socio=rien que les considérations*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1 n'ont pas à jouer *socio=rien un rôle *socio=nil prédominant dans la conception*socio=et de la politique_monétaire*socio=et. Politique*socio=et énergétique*socio=ec1. En février*socio=rien de cette année*socio=rien, le gouvernement_fédéral*socio=ac a mis *socio=rien un terme au*socio=nil conflit*socio=uv1 *socio=nil qui l'opposait à Terre-neuve*socio=ac au sujet*socio=rien de la mise en valeur*socio=ec1 des *socio=ec1 réserves énergétiques *socio=nil de cette province*socio=ac, et qui portait surtout sur*socio=rien des questions*socio=rien constitutionnelles de juridiction sur*socio=rien les ressources*socio=ec1 situées au large*socio=rien des côtes. Le *socio=rien mois suivant,*socio=nil le*socio=nil Gouvernement*socio=ac *socio=nil a conclu *socio=rien un nouvel accord*socio=et *socio=nil - l'Accord*socio=et de l'Ouest*socio=te - avec l'Alberta*socio=ac, la colombie_britannique*socio=ac et la Saskatchewan*socio=ac, qui remplace les ententes*socio=et de 1981 sur*socio=rien les *socio=ec1 ressources énergétiques *socio=nil qui auraient dû rester en vigueur*socio=uv3 jusqu'à la fin*socio=rien de 1986. L'Accord*socio=et de l'Ouest*socio=te comporte trois *socio=rien principaux volets,*socio=nil *socio=nil concernant la déréglementation*socio=et des prix*socio=ec1 et de la commercialisation*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 brut*socio=rien (et mettant fin*socio=rien à plus d'une décennie*socio=te de réglementation*socio=et des prix*socio=ec1), des dispositions*socio=et permettant la transition*socio=uv3 vers *socio=rien un système de*socio=nil détermination des*socio=nil prix*socio=ec1 du*socio=nil gaz_naturel*socio=ec1 axé*socio=nil sur le*socio=nil marché*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et le démantèlement*socio=et des *socio=et arrangements budgétaires *socio=rien spéciaux relatifs au*socio=nil secteur *socio=nil de l'énergie*socio=ec1: a) Pétrole*socio=ec1 brut*socio=rien. Les prix*socio=ec1 et le niveau*socio=rien de la production*socio=ec1 et des importations*socio=ec1 sont fixés librement par les acheteurs*socio=ac et les vendeurs (étant entendu que les provinces*socio=ac conservent leur pouvoir*socio=et *socio=rien constitutionnel sur l'*socio=nil exploitation*socio=ec1 des*socio=nil ressources*socio=ec1)*socio=nil .*socio=nil Les*socio=nil restrictions*socio=et *socio=nil concernant les contrats*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 à court_terme*socio=te de pétrole*socio=ec1 brut*socio=rien et de produits*socio=rien pétroliers*socio=ec1 (jusqu'à *socio=rien un an,*socio=nil *socio=nil ou deux ans*socio=rien pour le *socio=rien brut lourd)*socio=nil *socio=nil sont aussi levées, mais une autorisation*socio=et préalable*socio=rien demeure nécessaire*socio=rien pour les contrats*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 à plus long_terme*socio=te. b) gaz_naturel*socio=ec1. Le prix*socio=ec1 intérieur*socio=te du pétrole*socio=ec1 produit*socio=rien en Alberta*socio=ac est*socio=rien gelé à son niveau*socio=rien actuel*socio=te dans l'attente de la mise en place*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien de fixation*socio=ec1 des prix*socio=ec1 axé sur*socio=rien le marché*socio=ec1, au début*socio=rien de novembre*socio=rien 1985 au plus tard. Depuis 1975, ce prix*socio=ec1 était fixé par *socio=rien voie administrative en*socio=nil fonction *socio=nil de celui du pétrole*socio=ec1 brut*socio=rien. c) Fiscalité*socio=et. L'ensemble*socio=rien des taxes*socio=et *socio=rien spéciales sur l'*socio=nil énergie*socio=ec1 est *socio=nil supprimé et l'impôt*socio=et sur*socio=rien les *socio=ec1 recettes pétrolières et*socio=nil gazières *socio=nil (calculé sur*socio=rien la base*socio=rien des recettes*socio=ec1 et non des profits*socio=ec1) sera progressivement*socio=rien supprimé. Simultanément, les paiements*socio=ec1 d'indemnisation*socio=ec1 pétrolière*socio=ec1 doivent *socio=rien être progressivement *socio=nil éliminés, en vertu*socio=rien du principe*socio=ec2 que les incitations*socio=uv3 fiscales*socio=et ne doivent pas être*socio=rien plus ou moins favorables*socio=ec2 selon la localisation des activités*socio=rien, la propriété*socio=ec1 des entreprises*socio=ac ou leur contrôle*socio=uv3. Les *socio=rien parties contractantes *socio=nil prévoient que le secteur*socio=rien concerné utilisera les ressources*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien dont il disposera pour accroître sa capacité*socio=uv3 de production*socio=ec1 et elles entendent donc surveiller étroitement ses activités*socio=rien d'investissement*socio=ec1. CONCLUSIONS*socio=rien. La reprise économique*socio=ec1 canadienne*socio=ac, après*socio=rien la plus profonde*socio=rien récession*socio=ec2 de l'après-guerre*socio=te observée en 1981/82, reste*socio=rien soutenue. Si elle a été*socio=rien, dans l'ensemble*socio=rien, assez semblable*socio=rien aux reprises d'avant 1973, il faut cependant noter la structure*socio=ec1 particulière*socio=rien de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1. Fortement stimulée au départ*socio=rien par le déroulement*socio=rien du cycle*socio=te des stocks*socio=ec1, la reprise actuelle*socio=te a été*socio=rien alimentée principalement par les exportations*socio=ec1 jusque dans les *socio=rien derniers mois *socio=nil de 1984. L'investissement*socio=ec1 fixe des entreprises*socio=ac, qui avait continué de baisser durant la phase*socio=te initiale*socio=rien de la reprise, s'est*socio=rien fortement redressé au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1985. Il a maintenant, avec la consommation*socio=ec1 privée*socio=et, pris le relais*socio=rien des exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien comme *socio=rien principal facteur de*socio=nil dynamisme*socio=uv3 *socio=nil de la demande*socio=ec1. Le taux*socio=rien de chômage*socio=ec1 a diminué de plus de 2 points*socio=rien 1/2 par rapport*socio=rien au *socio=rien niveau maximum *socio=nil de 121/4 pour cent*socio=rien enregistré pendant la récession*socio=ec2, et au troisième*socio=rien trimestre*socio=te de 1985 certains indices donnaient à penser que la situation*socio=rien du marché_du_travail*socio=ec1 continuait de s'améliorer. L'une des *socio=rien caractéristiques notables du*socio=nil redressement*socio=ec2 *socio=nil de l'activité*socio=rien, maintenant largement entré dans sa *socio=rien troisième année,*socio=nil *socio=nil tient au ralentissement*socio=ec2 rapide*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 depuis 1981, celle-ci étant revenue de plus de 12 pour cent*socio=rien à environ 4 pour cent*socio=rien. De fait*socio=rien, les principaux*socio=rien indicateurs*socio=ec1 de l'évolution*socio=rien des prix*socio=ec1 et des salaires*socio=ec1 ont enregistré leurs hausses les plus faibles*socio=rien depuis de *socio=rien nombreuses années.*socio=nil Les*socio=nil entreprises*socio=ac ont*socio=nil été en*socio=nil mesure *socio=nil d'abaisser leur ratio*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1 et les bénéfices*socio=ec1 des entreprises*socio=ac industrielles*socio=ec1 se sont améliorés. Par rapport*socio=rien à l'économie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, la compétitivité*socio=uv3 du Canada*socio=ac s'est*socio=rien nettement améliorée l'an*socio=rien dernier*socio=rien, mais elle s'est*socio=rien légèrement dégradée vis-à-vis de l'ensemble*socio=rien des autres partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. Les exportations*socio=ec1 vers un*socio=rien marché*socio=ec1 américain*socio=ac en *socio=rien plein essor,*socio=nil *socio=nil qui joue *socio=rien un rôle *socio=nil prédominant dans le commerce*socio=ec1 extérieur*socio=te du pays*socio=ac, ont permis*socio=rien à la *socio=ec1 balance commerciale canadienne*socio=ac *socio=nil de dégager un*socio=rien excédent*socio=ec1 record*socio=ec2 en 1984. Le nouveau*socio=rien gouvernement*socio=ac, issu des élections*socio=et de septembre*socio=rien 1984, a annoncé une vaste*socio=rien réorientation*socio=et de la politique_économique*socio=et dans le "Programme*socio=et de renouveau*socio=uv4 économique*socio=ec1" qu'il a publié en novembre*socio=rien 1984. Les nouvelles*socio=rien orientations*socio=et visent essentiellement à réduire le degré*socio=rien d'intervention*socio=et des pouvoirs_publics*socio=et dans l'économie*socio=ec1 et le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et du secteur*socio=rien publie. Les premières*socio=rien mesures*socio=et concernant la mise en oeuvre*socio=rien de la nouvelle*socio=rien politique*socio=et ont été*socio=rien annoncées dans l'exposé de novembre*socio=rien, et ont été*socio=rien suivies de mesures*socio=et supplémentaires*socio=rien dans le cadre*socio=rien du premier*socio=rien budget*socio=ec1 du nouveau*socio=rien gouvernement_fédéral*socio=ac pour *socio=rien un exercice complet,*socio=nil *socio=nil présenté en mai*socio=rien 1985. Le gouvernement*socio=ac donne la priorité*socio=uv4 à la réduction*socio=ec2 de l'important*socio=rien déficit*socio=ec1 fédéral*socio=et, cette réduction*socio=ec2 étant considérée comme nécessaire*socio=rien au rétablissement*socio=rien d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 et satisfaisante*socio=uv4 à moyen_terme*socio=te. La réduction*socio=ec2 prévue doit se faire essentiellement par une amputation des autorisations*socio=et de programmes*socio=et et par une compression*socio=et des dépenses*socio=ec1 de fonctionnement*socio=rien. Les paiements*socio=ec1 de transfert*socio=ec1 sont relativement peu touchés, le gouvernement*socio=ac restant attaché au principe*socio=ec2 de l'universalité de la protection_sociale*socio=et. Néanmoins, certaines*socio=rien incertitudes*socio=uv3 subsistent; par exemple*socio=rien, les coupes envisagées dans les dotations*socio=ec1 aux provinces*socio=ac feront prochainement l'objet*socio=rien de négociations*socio=et. Du côté*socio=rien des recettes*socio=ec1, les mesures*socio=et arrêtées en mai*socio=rien impliquent à moyen_terme*socio=te *socio=rien un réaménagement *socio=nil de la structure*socio=ec1 fiscale*socio=et faisant une plus *socio=rien large place *socio=nil à l'impôt*socio=et indirect*socio=rien au détriment*socio=uv2 de l'impôt*socio=et direct*socio=rien, notamment par l'instauration*socio=rien progressive*socio=rien d'une exonération*socio=ec1 partielle*socio=rien de l'impôt*socio=et sur*socio=rien les plus-values*socio=ec1, l'un*socio=rien des objectifs*socio=uv4 étant de canaliser les ressources*socio=ec1 vers l'investissement*socio=ec1 productif*socio=uv4, en particulier*socio=rien le capital-risque*socio=ec1 vers les petites*socio=rien et moyennes*socio=rien entreprises*socio=ac. Les surtaxes*socio=et temporaires*socio=rien frappant le revenu*socio=ec1 des personnes*socio=ac physiques*socio=rien et des personnes_morales visent à réduire le déficit*socio=ec1 à court_terme*socio=te, tandis que le seuil*socio=rien de 3 pour cent*socio=rien fixé pour l'indexation*socio=ec1 du barème*socio=rien de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 des personnes*socio=ac physiques*socio=rien constitue une mesure*socio=rien à plus long_terme*socio=te. Celle-ci aura toutefois pour effet*socio=rien d'accentuer l'érosion*socio=ec2 fiscale*socio=et (par le jeu*socio=rien du glissement*socio=rien des tranches), contrecarrant ainsi l'évolution*socio=rien à moyen_terme*socio=te en faveur*socio=rien de la fiscalité*socio=et indirecte*socio=rien qu'impliquent les autres *socio=et mesures fiscales.*socio=nil En*socio=nil raison*socio=rien des*socio=nil moins-values*socio=ec1 sur*socio=rien recettes*socio=ec1 *socio=nil entraînées par l'Accord*socio=et de l'Ouest*socio=te, l'ensemble*socio=rien des mesures*socio=et adoptées ne pourra agir que *socio=rien progressivement sur le*socio=nil déficit*socio=ec1.*socio=nil Des*socio=nil mesures*socio=et complémentaires *socio=nil ont aussi *socio=rien été prises *socio=nil dans le but*socio=rien de favoriser la flexibilité*socio=uv3 dans le secteur_privé*socio=et. L'orientation*socio=et réglementaire*socio=et de l'Agence*socio=ac d'examen*socio=ec2 de l'investissement*socio=ec1 étranger*socio=te et du Programme*socio=et énergétique*socio=ec1 national*socio=te a été*socio=rien supprimée, et le gouvernement*socio=ac a entrepris de réduire progressivement*socio=rien les réglementations*socio=et dans le secteur*socio=rien des transports*socio=ec1. Le budget*socio=ec1 présenté en mai*socio=rien prévoit une amélioration*socio=uv1 des incitations*socio=uv3 en faveur*socio=rien de la recherche*socio=ec2 et du développement*socio=uv3. Il *socio=rien est difficile *socio=nil d'apprécier l'incidence*socio=ec2 que le budget*socio=ec1 fédéral*socio=et de mai*socio=rien 1985 pourra exercer sur*socio=rien l'économie*socio=ec1; d'après*socio=rien les premières*socio=rien estimations*socio=ec2 du Secrétariat*socio=ac de l'OCDE*socio=ac, l'effet*socio=rien sur*socio=rien la demande*socio=ec1 pourrait être*socio=rien pratiquement neutre*socio=rien cette année*socio=rien et devenir*socio=rien légèrement restrictif*socio=uv4 en 1986. Les budgets*socio=ec1 provinciaux*socio=te pour l'exercice*socio=rien 1985/86 présentés à ce jour*socio=rien tendent à confirmer l'orientation*socio=et prudente*socio=uv2 antérieure*socio=te. Bien*socio=rien que les *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux *socio=nil soient tombés à leur plus *socio=rien bas niveau *socio=nil depuis plusieurs années*socio=rien, le recul*socio=rien encore plus rapide*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 a amené les taux_d'_intérêt*socio=ec1 "réels*socio=ec2" à des niveaux*socio=rien relativement élevés*socio=uv4, à la fois*socio=rien par rapport*socio=rien au passé*socio=te et par rapport*socio=rien aux autres pays*socio=ac. Les tentatives*socio=rien faites par les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 pour faire baisser les taux_d'_intérêt*socio=ec1 - baisse*socio=ec2 qui était souhaitable*socio=rien du point*socio=rien de vue*socio=rien de l'investissement*socio=ec1 intérieur*socio=te et qu'autorisaient les *socio=rien bons résultats obtenus*socio=nil sur le*socio=nil plan *socio=nil de l'inflation*socio=ec2 - ont été*socio=rien compromises par les réactions*socio=rien défavorables*socio=uv4 du marché*socio=ec1 des changes*socio=rien. Le dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac a perdu un*socio=rien peu de terrain*socio=rien ces *socio=rien dernières années sur la*socio=nil monnaie*socio=ec1 américaine*socio=ac,*socio=nil *socio=nil mais son taux_de_change*socio=ec1 effectif*socio=rien n'a guère bougé jusqu'au début*socio=rien de 1985. La marge d'autonomie*socio=uv1 de la politique*socio=et canadienne*socio=ac étant limitée, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 dépendront largement à l'avenir*socio=rien de l'évolution*socio=rien qui se produira aux États-unis*socio=ac. Dans ces conditions*socio=ec1, le PNB*socio=ec1 réel*socio=ec2 devrait s'accroître de quelque 4 pour cent*socio=rien durant l'année*socio=rien en cours*socio=te, grâce*socio=rien à l'augmentation*socio=ec2 de la consommation*socio=ec1 privée*socio=et et au redressement*socio=ec2 de l'investissement*socio=ec1 fixe des entreprises*socio=ac. Compte*socio=rien tenu du ralentissement*socio=ec2 attendu de la croissance*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 par rapport*socio=rien au rythme*socio=rien exceptionnellement rapide*socio=rien qu'elle a connu ces *socio=rien derniers temps,*socio=nil *socio=nil et du resserrement*socio=ec2 progressif*socio=rien de la politique_budgétaire*socio=et, la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 devrait revenir aux environs*socio=rien de 3 pour cent*socio=rien en 1986. Étant donné la faiblesse*socio=ec2 des gains*socio=ec1 de productivité*socio=uv3 et de la croissance*socio=uv3 de l'_offre*socio=ec1 de main-d'_oeuvre*socio=ac, le chômage*socio=ec1 devrait ainsi retomber au-dessous de 10 pour cent*socio=rien, niveau*socio=rien qui serait le plus bas*socio=rien depuis le début*socio=rien de 1982, mais qui resterait élevé*socio=uv4 par rapport*socio=rien au passé*socio=te. L'inflation*socio=ec2 ne devrait pas augmenter et le solde*socio=ec1 extérieur*socio=te accusera sans *socio=rien doute un léger déficit*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil grandes sources d'*socio=nil incertitude*socio=uv3 *socio=nil pour le court_terme*socio=te tiennent aux évolutions*socio=rien qui se produiront aux États-unis*socio=ac et à leurs répercussions*socio=ec2 sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1 et de change*socio=rien canadiens*socio=ac. Si, à court_terme*socio=te, les perspectives*socio=te de la reprise sont généralement satisfaisantes*socio=uv4, le Canada*socio=ac devra cependant résoudre deux problèmes*socio=uv4 importants*socio=rien au cours*socio=rien des années*socio=rien à venir: le chômage*socio=ec1 et le déficit*socio=ec1 *socio=et budgétaire fédéral *socio=nil qui, l'un*socio=rien et l'autre, se maintiennent à des niveaux*socio=rien élevés*socio=uv4. L'ampleur*socio=rien du chômage*socio=ec1 au Canada*socio=ac peut paraître paradoxale si l'on considère le taux*socio=rien de créations*socio=rien d'emplois*socio=ec1, le plus fort*socio=rien de la zone_de_l'_ocde*socio=te. On a montré dans la présente*socio=rien étude*socio=ec2 que ce chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4 a des aspects*socio=rien conjoncturels*socio=uv4 et structurels*socio=uv4 importants*socio=rien. La composante*socio=rien structurelle*socio=uv4 s'est*socio=rien trouvée amplifiée dans *socio=rien un premier temps *socio=nil par la croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien de la population_active*socio=ac et l'évolution*socio=rien de sa composition*socio=rien, ainsi que par les effets*socio=rien de certaines*socio=rien *socio=et mesures législatives *socio=nil adoptées au début*socio=rien des années*socio=rien 70. Cependant, l'augmentation*socio=ec2 du chômage*socio=ec1 observée en 1981-82 ne peut guère être*socio=rien attribuée aux mêmes facteurs*socio=rien, dont l'incidence*socio=ec2 semble avoir diminué du fait*socio=rien des changements*socio=uv3 d'ordre*socio=rien démographique*socio=ec1 et législatif qui sont intervenus entre temps*socio=rien. En outre, la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien des marchés_du_travail*socio=ec1 a entraîné une plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3 dans la détermination*socio=rien des salaires*socio=ec1 et a conduit à réexaminer les règles*socio=et existantes*socio=rien d'organisation_du_travail*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien des conventions_collectives*socio=ec1. La forte*socio=rien dégradation*socio=uv3 de la situation*socio=rien des marchés_du_travail*socio=ec1 depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80 semblerait plutôt liée à la gravité de la récession*socio=ec2 de 1981/82. Il est*socio=rien donc indispensable*socio=uv4 que la reprise en cours*socio=te se poursuive pour que la composante*socio=rien conjoncturelle*socio=uv4 du chômage*socio=ec1 puisse se résorber progressivement*socio=rien. A cet égard*socio=rien, il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 que l'investissement*socio=ec1 fixe des entreprises*socio=ac continue*socio=rien de se redresser, en raison*socio=rien tant des *socio=rien effets immédiats *socio=nil qu'il exercerait sur*socio=rien la demande*socio=ec1 que des conséquences*socio=rien qu'il aurait à plus long_terme*socio=te sur*socio=rien les capacités*socio=uv3 de production*socio=ec1. Faute de quoi, le chômage*socio=ec1 *socio=uv4 conjoncturel risque *socio=nil de se transformer peu à peu en chômage*socio=ec1 structurel*socio=uv4 par manque*socio=rien de possibilités*socio=rien d'emplois*socio=ec1 économiquement viables*socio=uv4. Il *socio=rien est difficile *socio=nil de déterminer avec précision*socio=rien la part*socio=rien du chômage*socio=ec1 conjoncturel*socio=uv4 et celle du chômage*socio=ec1 structurel*socio=uv4. Globalement, les salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2 ont fait*socio=rien preuve*socio=ec2 d'une assez grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3 au Canada*socio=ac et le problème*socio=uv4 de l'écart*socio=rien entre les salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2 et la productivité*socio=uv3 n'a pas revêtu le *socio=rien caractère persistant *socio=nil et généralisé que l'on a pu observer dans certains *socio=ac pays européens.*socio=nil *socio=nil Toutefois, comme on l'avait noté dans l'Étude*socio=ec2 de l'an*socio=rien dernier*socio=rien, la récession*socio=ec2 de 1981/82 a porté *socio=rien un coup particulièrement*socio=nil rude au*socio=nil secteur *socio=nil de l'exploitation*socio=ec1 des ressources_naturelles*socio=ec1 - plus important*socio=rien au Canada*socio=ac que dans la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac développés*socio=uv4 de l'OCDE*socio=ac. Le fait*socio=rien que *socio=rien certaines branches *socio=nil de ce secteur*socio=rien n'aient guère bénéficié de la reprise jusqu'à *socio=rien présent est *socio=nil révélateur de *socio=uv4 problèmes structurels *socio=nil à plus long_terme*socio=te liés à l'évolution*socio=rien de la demande*socio=ec1 et de l'_offre*socio=ec1 internationales*socio=te. Les nets*socio=rien changements*socio=uv3 observés dans la répartition*socio=uv3 régionale*socio=te du chômage*socio=ec1 confirment cette hypothèse*socio=ec2. En conséquence*socio=rien, bien*socio=rien que le marché_du_travail*socio=ec1 canadien*socio=ac ait déjà manifesté une grande*socio=rien mobilité*socio=uv3 sur*socio=rien le plan*socio=rien des salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2 et des facteurs*socio=rien de production*socio=ec1, toute politique*socio=et visant à apporter une solution*socio=rien à long_terme*socio=te au problème*socio=uv4 du chômage*socio=ec1 devrait comporter des actions*socio=rien visant à faciliter l'ajustement*socio=et structurel*socio=uv4. La réorientation*socio=et récente*socio=rien de la politique*socio=et de l'emploi*socio=ec1, appelant une étroite*socio=rien coopération*socio=uv1 entre pouvoirs_publics*socio=et et patronat*socio=ac, met l'accent*socio=rien sur*socio=rien l'amélioration*socio=uv1 des qualifications*socio=uv3 de la main-d'_oeuvre*socio=ac et de leur adéquation*socio=uv1 aux besoins*socio=uv1 du marché*socio=ec1. A moyen_terme*socio=te, les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 du Canada*socio=ac dépendront essentiellement de l'évolution*socio=rien de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 internationale*socio=te. Dans le budget*socio=ec1 présenté en mai*socio=rien, le *socio=ac gouvernement canadien *socio=nil a exposé trois scénarios*socio=rien économiques*socio=ec1 et budgétaires*socio=et à moyen_terme*socio=te. Le *socio=rien scénario intermédiaire prévoyait*socio=nil un accroissement*socio=ec2 du*socio=nil PNB*socio=ec1 réel*socio=ec2 *socio=nil de 3 pour cent*socio=rien par an*socio=rien en moyenne*socio=rien. Cela représente un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 par rapport*socio=rien au *socio=rien rythme récent *socio=nil de la reprise en cours*socio=te et, selon des estimations*socio=ec2 officielles*socio=et de source*socio=rien canadienne*socio=ac, le taux*socio=rien de chômage*socio=ec1 se maintiendrait encore aux alentours*socio=rien de 81/2 pour cent*socio=rien à la fin*socio=rien de la présente*socio=rien décennie*socio=te - chiffre supérieur*socio=rien au taux*socio=rien estimé de chômage*socio=ec1 en situation*socio=rien de plein_emploi*socio=uv3. Ces projections*socio=ec2 sont largement conditionnées par l'évolution*socio=rien de l'économie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, où l'on s'attend à *socio=rien un certain ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de l'activité*socio=rien à court_terme*socio=te. En outre, des incertitudes*socio=uv3 subsistent quant aux perspectives*socio=te à moyen_terme*socio=te de certaines*socio=rien des industries*socio=ec1 canadiennes*socio=ac fondées sur*socio=rien l'exploitation*socio=ec1 des ressources_naturelles*socio=ec1. Cela étant, les problèmes*socio=uv4 engendrés par l'ampleur*socio=rien du déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et et l'alourdissement*socio=ec2 du service_de_la_dette*socio=ec1 appellent de toute évidence*socio=rien une action*socio=rien déterminée. C'est*socio=rien pourquoi les autorités*socio=et se trouvent enfermées dans *socio=rien un dilemme *socio=nil lorsqu'il s'agit de déterminer le rythme*socio=rien approprié de réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1. Le compromis*socio=uv1 adopté et énoncé*socio=rien dans la stratégie*socio=et financière*socio=ec1 à moyen_terme*socio=te consiste à ramener le déficit*socio=ec1 du budget*socio=ec1 fédéral*socio=et de 71/2 pour cent*socio=rien du PNB*socio=ec1 actuellement à 43/4 pour cent*socio=rien environ en 1990. Si le ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 aux États-unis*socio=ac devait être*socio=rien plus marqué qu'on ne le prévoit actuellement, l'amélioration*socio=uv1 du marché_du_travail*socio=ec1 et la réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et pourraient être*socio=rien menacées. Les mesures*socio=et qu'il conviendrait alors de prendre seraient déterminées en partie*socio=rien par l'évolution*socio=rien du taux_de_change*socio=ec1 et des taux_d'_intérêt*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac. La politique_monétaire*socio=et devrait être*socio=rien axée sur*socio=rien la stabilisation*socio=et des prix*socio=ec1, ce qui impliquerait une étroite*socio=rien surveillance*socio=et de l'évolution*socio=rien du taux_de_change*socio=ec1. Une reprise plus faible*socio=rien que prévu retarderait inévitablement l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et souhaité, mais il serait risqué de chercher à y remédier par de nouvelles*socio=rien *socio=et mesures budgétaires *socio=nil délibérées, et les stabilisateurs*socio=uv4 automatiques*socio=rien devraient pouvoir*socio=et jouer librement. Néanmoins, de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et de réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 se justifieraient si les améliorations*socio=uv1 attendues du solde*socio=ec1 budgétaire*socio=et structurel*socio=uv4 ne se concrétisaient pas à plus long_terme*socio=te.