*{ Rapport des études économiques de l'OCDE au Canada de 1992 } Introduction*socio=rien. Après*socio=rien une forte*socio=rien reprise de l'activité*socio=rien au cours*socio=rien du printemps*socio=rien de 1991, le système*socio=rien de croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac s'est*socio=rien avéré*socio=rien très modéré. Au début*socio=rien de 1992 le PIB*socio=ec1 réel*socio=ec2 était encore inférieur*socio=rien de près de 2 pour cent*socio=rien au niveau*socio=rien observé deux ans*socio=rien plus tôt, lorsque l'économie*socio=ec1 était entrée*socio=rien dans la récession*socio=ec2. De ce fait*socio=rien, la tendance*socio=ec2 à la hausse*socio=rien du taux*socio=rien d'utilisation*socio=rien des capacités*socio=uv3 et à la baisse*socio=ec2 du chômage*socio=ec1 s'est*socio=rien inversée. A 11 pour cent*socio=rien, le taux*socio=rien de chômage*socio=ec1 dépasse de 4 points*socio=rien le niveau*socio=rien observé avant la récession*socio=ec2. La faiblesse*socio=ec2 considérable*socio=rien des marchés*socio=ec1 de produits*socio=rien et du marché_du_travail*socio=ec1 a permis*socio=rien une désinflation*socio=ec2 assez marquée, Après*socio=rien avoir atteint 7 pour cent*socio=rien en moyenne*socio=rien au cours*socio=rien des années*socio=rien 80, depuis le début*socio=rien de 1992 la *socio=rien hausse sur douze*socio=nil mois des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil à la consommation*socio=ec1 est*socio=rien de l'ordre*socio=rien de 11/2 pour cent*socio=rien, l'un*socio=rien des taux*socio=rien les plus bas*socio=rien parmi les pays_de_l'_ocde*socio=ac. Malgré l'atonie*socio=ec2 de la demande*socio=ec1, le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien s'est*socio=rien fortement creusé pour atteindre son niveau*socio=rien le plus élevé*socio=uv4 en proportion*socio=rien du PIB*socio=ec1 depuis la fin*socio=rien des années*socio=rien 50. L'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 a été*socio=rien entravée par la faiblesse*socio=ec2 de l'activité*socio=rien aux États-unis*socio=ac, mais aussi par le manque*socio=rien de confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac dû aux incertitudes*socio=uv3 que la restructuration*socio=et économique*socio=ec1 fait*socio=rien peser sur*socio=rien les perspectives*socio=te d'emploi*socio=ec1. La remontée récente*socio=rien de la demande*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac, ainsi que la meilleure*socio=rien tenue des coûts*socio=ec1 et l'assouplissement*socio=uv3 des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil devraient fournir l'élan*socio=rien nécessaire*socio=rien à l'accentuation*socio=ec2 de la reprise. Toutefois, le redressement*socio=ec2 sera vraisemblablement*socio=rien modéré au regard*socio=rien des épisodes*socio=rien antérieurs*socio=te. Comme la sous-utilisation*socio=rien des capacités*socio=uv3 et le chômage*socio=ec1 ne diminueront que lentement, l'inflation*socio=ec2 devrait rester inférieure*socio=rien aux objectifs*socio=uv4 fixés par les autorités*socio=et, qui prévoient une *socio=rien hausse sur douze*socio=nil mois des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil à la consommation*socio=ec1 de 3 pour cent*socio=rien d'ici la fin*socio=rien de 1992 et de 21/2 pour cent*socio=rien d'ici la mi-1994. La conduite*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et est*socio=rien déterminée par ces objectifs*socio=uv4 de réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2. Compte*socio=rien tenu des *socio=rien bons résultats sur le*socio=nil front des*socio=nil prix*socio=ec1,*socio=nil la*socio=nil banque_du_canada*socio=ac *socio=nil a laissé les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te se détendre sensiblement depuis 1990, encore qu'ils soient restés bien*socio=rien plus élevés*socio=uv4 qu'aux États-unis*socio=ac jusqu'au printemps*socio=rien de 1992. La décrue de l'inflation*socio=ec2 s'est*socio=rien accompagnée d'une baisse*socio=ec2 du dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de change*socio=rien, après*socio=rien les pressions*socio=ec2 à la hausse*socio=rien qui s'étaient exercées jusqu'à la fin*socio=rien de 1991. En raison*socio=rien du niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 publique*socio=et, la politique_budgétaire*socio=et a continué à mettre l'accent*socio=rien sur*socio=rien l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Le dépassement*socio=ec2 des objectifs*socio=uv4 initiaux*socio=rien concernant le déficit*socio=ec1 fédéral*socio=et résulte en totalité*socio=rien de l'impact*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 inattendue*socio=rien de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 sur*socio=rien le budget*socio=ec1. La *socio=rien première partie *socio=nil de l'Étude*socio=ec2 examine les raisons*socio=rien du *socio=rien caractère hésitant *socio=nil de la reprise et expose les prévisions*socio=ec2 à court_terme*socio=te. La *socio=rien deuxième partie analyse l'*socio=nil orientation*socio=et *socio=nil de la politique_économique*socio=et, dans le cadre*socio=rien de la stratégie*socio=et à moyen_terme*socio=te du gouvernement*socio=ac; l'accent*socio=rien est*socio=rien mis sur*socio=rien les effets*socio=rien probables*socio=uv4 des objectifs*socio=uv4 de réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2. La *socio=rien troisième partie *socio=nil aborde le thème*socio=rien proprement structurel*socio=uv4 de l'Étude*socio=ec2, qui a été*socio=rien au centre*socio=rien du débat_public*socio=et ces *socio=rien derniers temps,*socio=nil à*socio=nil savoir la*socio=nil compétitivité*socio=uv3 du*socio=nil Canada*socio=ac,*socio=nil globalement*socio=nil définie *socio=nil comme la capacité*socio=uv3 du pays*socio=ac d'être*socio=rien *socio=rien présent sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te *socio=nil tout en maintenant ou en améliorant le niveau_de_vie*socio=uv1 relatif*socio=rien de ses habitants*socio=ac. Les conclusions*socio=rien qui se dégagent de l'analyse*socio=rien sont présentées dans la *socio=rien quatrième partie.*socio=nil politique_économique*socio=et.*socio=nil La*socio=nil stratégie*socio=et d'*socio=nil ensemble.*socio=nil *socio=nil Telle qu'elle a été*socio=rien exposée initialement dans le Programme*socio=et de renouveau*socio=uv4 économique*socio=ec1 de novembre*socio=rien 1984, la stratégie*socio=et économique*socio=ec1 à moyen_terme*socio=te du gouvernement*socio=ac comporte deux volets*socio=rien: le premier*socio=rien consiste à créer pour le secteur_privé*socio=et un*socio=rien environnement*socio=et macro-économique*socio=ec1 interne*socio=te stable*socio=uv4 et prévisible*socio=uv4, le second*socio=rien à favoriser la croissance*socio=uv3 potentielle*socio=uv4 par la mise en oeuvre*socio=rien de réformes*socio=et structurelles*socio=uv4. Seule*socio=rien une approche globale*socio=rien de ce type*socio=rien, qui s'attache à des objectifs*socio=uv4 à moyen_terme*socio=te cohérents*socio=rien et intègre*socio=rien à la fois*socio=rien les instruments*socio=et macro-économiques*socio=ec1 et les instruments*socio=et micro-économiques*socio=ec1 est*socio=rien jugée susceptible*socio=rien d'améliorer la performance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac dans le long_terme*socio=te. Tandis que le *socio=rien premier volet *socio=nil de la stratégie*socio=et a été*socio=rien axé sur*socio=rien le rétablissement*socio=rien de l'équilibre*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1 par la réduction*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et et de l'inflation*socio=ec2, l'action*socio=rien micro-économique*socio=ec1 a eu surtout pour objet*socio=rien d'améliorer la performance*socio=uv3 de la productivité*socio=uv3 en réformant le système_fiscal*socio=et, en multipliant et en élargissant les liens*socio=rien commerciaux*socio=ec1 et en favorisant la concurrence*socio=ec1 grâce*socio=rien à la déréglementation*socio=et et à la privatisation*socio=et. Les budgets*socio=ec1 adoptés depuis 1984 ont freiné la progression*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 et porté à des niveaux*socio=rien plus traditionnels*socio=rien la part*socio=rien des recettes*socio=ec1 dans le PIB*socio=ec1. Parmi les nombreuses*socio=rien réformes*socio=et structurelles*socio=uv4 mises en oeuvre*socio=rien depuis 1984, on citera la déréglementation*socio=et de l'énergie*socio=ec1 et des transports*socio=ec1, l'accord*socio=et de libre-échange*socio=et avec les États-unis*socio=ac, la réforme*socio=et de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 et l'instauration*socio=rien de la taxe*socio=et sur*socio=rien les produits*socio=rien et services*socio=et, ainsi que la réforme*socio=et de l'assurance-chômage*socio=et. Les progrès*socio=uv1 dans la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv4 de cette stratégie*socio=et ont été*socio=rien inégaux*socio=uv2, notamment parce que l'ajustement*socio=et du secteur_privé*socio=et aux profondes*socio=rien réformes*socio=et mises en place*socio=rien graduellement dans la seconde moitié*socio=rien des années*socio=rien 80 prend du temps*socio=rien, mais aussi, plus récemment, à cause*socio=rien de la dégradation*socio=uv3 de la situation*socio=rien économique*socio=ec1 internationale*socio=te. Comme on l'a indiqué au chapitre*socio=rien I, les progrès*socio=uv1 ont *socio=rien été importants sur le*socio=nil front *socio=nil de l'inflation*socio=ec2 et le plafonnement*socio=uv4 des dépenses*socio=ec1 (voir ci après*socio=rien) a permis*socio=rien d'obtenir*socio=rien une structure*socio=ec1 budgétaire*socio=et plus satisfaisante*socio=uv4. On constate également une restructuration*socio=et fondamentale*socio=uv4 des *socio=ac entreprises canadiennes,*socio=nil *socio=nil soucieuses de tirer parti*socio=et des réformes*socio=et structurelles*socio=uv4. Toutefois, comme on le verra au chapitre*socio=rien III, la productivité*socio=uv3 et la compétitivité*socio=uv3 constituent toujours deux points*socio=rien noirs. L'absence*socio=rien de rebond apparent*socio=rien de la productivité*socio=uv3 totale*socio=rien des facteurs*socio=rien vient contredire les *socio=ec2 estimations économétriques faisant*socio=nil état*socio=rien de*socio=nil gains*socio=ec1 d'*socio=nil efficience*socio=uv3 substantiels*socio=rien *socio=nil à la faveur*socio=rien des *socio=et réformes fiscales *socio=nil et de l'accord*socio=et de libre-échange*socio=et avec les États-unis*socio=ac. Il serait cependant irréaliste*socio=uv4 d'attendre de ces réformes*socio=et *socio=rien un retournement à*socio=nil bref délai des*socio=nil performances*socio=uv3 économiques*socio=ec1.*socio=nil Devant la*socio=nil lenteur des*socio=nil progrès*socio=uv1,*socio=nil les*socio=nil autorités*socio=et *socio=nil ont lancé l'Initiative*socio=rien de la prospérité*socio=uv1, processus*socio=te de consultation*socio=uv1 ayant pour but*socio=rien de déterminer les réformes*socio=et structurelles*socio=uv4 supplémentaires*socio=rien requises*socio=uv4 pour améliorer la compétitivité*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1, et d'établir un*socio=rien consensus*socio=uv1 à cet effet*socio=rien (voir le chapitre*socio=rien III). Parallèlement, la réduction*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et revêt toujours une *socio=rien importance cruciale *socio=nil étant donné l'accroissement*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 publique*socio=et, la perte*socio=ec2 de flexibilité*socio=uv3 sur*socio=rien le plan*socio=rien budgétaire*socio=et et l'effet*socio=rien négatif*socio=rien de la désépargne publique*socio=et sur*socio=rien le solde*socio=ec1 extérieur*socio=te. L'austérité*socio=uv3 budgétaire*socio=et et la vigueur*socio=uv3 de l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 ont entraîné une diminution*socio=ec2 rapide*socio=rien des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et dans la seconde moitié*socio=rien des années*socio=rien 80. Cependant, l'ajustement*socio=et budgétaire*socio=et n'a pas suffi à réduire la charge*socio=rien de la dette*socio=ec1, et comme le redressement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 s'est*socio=rien interrompu, le processus*socio=te d'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et a subi *socio=rien un coup d'*socio=nil arrêt ces*socio=nil dernières années.*socio=nil En*socio=nil conséquence,*socio=nil le*socio=nil *socio=ec1 ratio dette publique*socio=et/*socio=nil PIB *socio=nil a atteint *socio=rien un nouveau sommet *socio=nil - traduisant le net*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 nominale*socio=rien du PIB*socio=ec1 ces *socio=rien dernières années *socio=nil - tandis que les lourds*socio=rien déficits*socio=ec1 du secteur*socio=rien publie ont entraîné une forte*socio=rien aggravation*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 de la balance*socio=ec1 courante*socio=te. Par ailleurs*socio=rien, un*socio=rien durcissement*socio=ec2 des *socio=ec1 conditions monétaires s'*socio=nil est*socio=rien avéré*socio=rien indispensable*socio=uv4 *socio=nil pour faire reculer l'inflation*socio=ec2, les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 étant particulièrement tenaces*socio=rien. En février*socio=rien 1991, la banque_du_canada*socio=ac et le Ministère*socio=ac des finances*socio=ec1 ont annoncé conjointement *socio=rien un ensemble d'*socio=nil objectifs*socio=uv4 en*socio=nil matière de*socio=nil réduction*socio=ec2 *socio=nil de l'inflation*socio=ec2, en vertu*socio=rien desquels la *socio=rien hausse annuelle *socio=nil de l'indice_des_prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 (IPC*socio=ec1) devait redescendre à 3 pour cent*socio=rien en décembre*socio=rien 1992 et à 2 pour cent*socio=rien en décembre*socio=rien 1995. Cette décision*socio=rien ne marquait pas à proprement parler un*socio=rien changement*socio=uv3 de la politique_monétaire*socio=et, mais l'attachement*socio=uv1 à *socio=rien un point d'*socio=nil ancrage à*socio=nil moyen_terme*socio=te clairement*socio=nil défini *socio=nil pour la politique_monétaire*socio=et et à un*socio=rien objectif*socio=uv4 au regard*socio=rien duquel le public*socio=et doit être*socio=rien en mesure*socio=rien de jauger les résultats*socio=rien de la Banque*socio=ac. Au total*socio=rien, la réalisation*socio=uv1 de ces objectifs*socio=uv4 renforcerait la crédibilité*socio=uv1 de la politique_monétaire*socio=et. Les *socio=rien sections suivantes *socio=nil présentent une analyse*socio=rien détaillée de la mise en oeuvre*socio=rien de la stratégie*socio=et depuis le début*socio=rien de 1991. L'évolution*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et et les perspectives*socio=te budgétaires*socio=et sont examinées en *socio=rien premier lieu,*socio=nil *socio=nil on aborde ensuite la conduite*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et, avant de passer en revue les progrès*socio=uv1 réalisés dans l'application*socio=rien des politiques*socio=et structurelles*socio=uv4. Évolution*socio=rien budgétaire*socio=et et perspectives*socio=te budgétaires*socio=et. Les difficultés*socio=uv4 budgétaires*socio=et persistantes*socio=rien du Canada*socio=ac sont dues à l'apparition*socio=rien d'un*socio=rien *socio=uv4 déséquilibre structurel *socio=nil entre les dépenses*socio=ec1 et les recettes_publiques*socio=et - qui tient essentiellement à une forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 - au cours*socio=rien de la décennie*socio=te qui a suivi le premier*socio=rien choc*socio=ec2 pétrolier*socio=ec1. En conjonction*socio=rien avec la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1, il en est*socio=rien résulté une croissance*socio=uv3 exponentielle de la dette*socio=ec1 publique*socio=et dans la *socio=rien première moitié des*socio=nil années *socio=nil 80 (graphique*socio=rien 7). Étant donné l'alourdissement*socio=ec2 très rapide*socio=rien du coût*socio=ec1 du service_de_la_dette*socio=ec1, ces déséquilibres*socio=uv4 budgétaires*socio=et ont *socio=rien été longs *socio=nil à corriger, et les progrès*socio=uv1 dans l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et ont *socio=rien été fragiles.*socio=nil Au*socio=nil cours *socio=nil de la période*socio=te de trois ans*socio=rien s'achevant en 1988, la rigueur*socio=uv3 budgétaire*socio=et et la fermeté*socio=rien de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 ont permis*socio=rien de réduire de plus de 4 points*socio=rien le déficit*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac en pourcentage*socio=rien du PIB*socio=ec1 et de le ramener à 21/2 pour cent*socio=rien. Parallèlement, les dépenses*socio=ec1 hors versements*socio=ec1 d'intérêts*socio=ec1 ont été*socio=rien réduites en pourcentage*socio=rien du PIB*socio=ec1 et l'on s'est*socio=rien efforcé de redynamiser les recettes*socio=ec1. De 1988 à 1991, la vive progression*socio=ec2 des paiements_d'_intérêts*socio=et, suivie d'un*socio=rien fléchissement*socio=rien de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1, a engendré une aggravation*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 qui a atteint 6 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1, en dépit*socio=rien d'un*socio=rien nouvel*socio=rien alourdissement*socio=ec2 de la pression*socio=ec2 fiscale*socio=et et d'une poursuite*socio=rien des mesures*socio=et de freinage*socio=rien des dépenses*socio=ec1 hors intérêts*socio=ec1. En conséquence*socio=rien, le *socio=ec1 ratio dette publique*socio=et nette*socio=rien/*socio=nil PIB,*socio=nil *socio=nil dont la hausse*socio=rien avait *socio=rien été temporairement *socio=nil maîtrisée, a avoisiné les 50 pour cent*socio=rien contre 10 pour cent*socio=rien environ au début*socio=rien des années*socio=rien 80. La relation*socio=rien dynamique*socio=uv4 entre les déficits*socio=ec1 et la dette*socio=ec1 a été*socio=rien particulièrement manifeste au niveau*socio=rien fédéral*socio=et, dont le solde*socio=ec1 d'exploitation*socio=ec1, contrairement à celui du secteur*socio=rien publie dans son ensemble*socio=rien, était devenu déficitaire*socio=ec2 au milieu*socio=rien des années*socio=rien 70. Vers le milieu*socio=rien des années*socio=rien 80, tandis qu'un*socio=rien huitième*socio=rien environ des recettes*socio=ec1 provinciales*socio=te était affecté au service_de_la_dette*socio=ec1, le ratio*socio=ec1 correspondant pour l' administration_fédérale*socio=ac était voisin*socio=rien de 30 pour cent*socio=rien et a continué de croître. La nette*socio=rien amélioration*socio=uv1 du solde*socio=ec1 d'exploitation*socio=ec1 de l'état_fédéral*socio=ac - qui s'explique pour les deux tiers*socio=rien par une limitation*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 hors versements*socio=ec1 d'intérêts*socio=ec1 - a été*socio=rien largement neutralisée par l'augmentation*socio=ec2 des versements*socio=ec1 d'intérêts*socio=ec1 en raison*socio=rien du gonflement*socio=ec2 de l'encours de la dette*socio=ec1. Afin d'enrayer le dépassement*socio=ec2 des objectifs*socio=uv4 initiaux*socio=rien en matière*socio=rien de déficit*socio=ec1 et de mieux garantir la réalisation*socio=uv1 de l'objectif*socio=uv4 à moyen_terme*socio=te d'équilibrage du budget*socio=ec1 fédéral*socio=et d'ici le milieu*socio=rien des années*socio=rien 90, dans le cadre*socio=rien du budget*socio=ec1 de février*socio=rien 1991 le gouvernement*socio=ac a pris des mesures*socio=et pour compenser partiellement les répercussions*socio=ec2 du fléchissement*socio=rien de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 sur*socio=rien les bases*socio=rien d'imposition*socio=et et sur*socio=rien les versements*socio=ec1 de sécurité_sociale*socio=et et financer les coûts*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien découlant de la réforme*socio=et de la taxe*socio=et sur*socio=rien les ventes*socio=ec1, de l'aide*socio=uv1 à l'agriculture*socio=ec1 et de la guerre*socio=et du Golfe*socio=te. Le plan*socio=rien de contrôle*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 introduit dans le budget*socio=ec1 de 1990 a été*socio=rien amplifié et élargi; par ailleurs*socio=rien, les accises*socio=ec1 et les cotisations*socio=ec1 d'assurance-chômage*socio=et ont été*socio=rien majorées. Ces mesures*socio=et, qui représentaient au total*socio=rien 4,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac (0,7 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1), devaient permettre de stabiliser à 30,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac (4,5 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1) le déficit*socio=ec1 fédéral*socio=et de l'exercice*socio=rien 1991/92 (commençant en avril*socio=rien 1991). L'activité*socio=rien économique*socio=ec1 se révélant plus faible*socio=rien que prévu, ce qui s'est*socio=rien traduit par d'importantes*socio=rien moins-values*socio=ec1 sur*socio=rien les recettes*socio=ec1 fiscales*socio=et (tableau*socio=rien 6), les autorités*socio=et ont pris de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et dans le courant*socio=rien de l'exercice*socio=rien budgétaire*socio=et. On peut citer le blocage*socio=rien par voie*socio=rien réglementaire*socio=et des salaires*socio=ec1 des fonctionnaires*socio=ac, une *socio=rien majoration supplémentaire des*socio=nil primes*socio=ec1 d'*socio=nil assurance-chômage*socio=et,*socio=nil l'*socio=nil introduction d'*socio=nil un dispositif*socio=et *socio=nil prévoyant le financement*socio=ec1 intégral*socio=rien des retraites*socio=ec1 de la fonction_publique*socio=et 2 et un*socio=rien gel*socio=et des dépenses*socio=ec1 discrétionnaires*socio=et et des *socio=rien nouveaux recrutements *socio=nil (à partir de *socio=rien fin janvier *socio=nil 1992). Les aides*socio=uv1 supplémentaires*socio=rien à l'agriculture*socio=ec1 étant financées par des coupes dans les dépenses*socio=ec1 militaires*socio=et et par un*socio=rien allégement*socio=uv3 du service_de_la_dette*socio=ec1 dû à la baisse*socio=ec2 plus marquée que prévu des taux_d'_intérêt*socio=ec1, on s'attendait, selon les estimations*socio=ec2 du budget*socio=ec1 1992 à maintenir la croissance*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 totales*socio=rien au-dessous de celle des recettes*socio=ec1, et à limiter*socio=rien le dépassement*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 prévu dans le budget*socio=ec1 à 1 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac. Les prévisions*socio=ec2 du budget*socio=ec1 de février*socio=rien 1992 se fondent sur*socio=rien l'hypothèse*socio=ec2 d'une *socio=rien détente continue des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil et d'un*socio=rien rebond de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 au second*socio=rien trimestre*socio=te. L'allégement*socio=uv3 du service_de_la_dette*socio=ec1 réduira de 2 points*socio=rien la croissance*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 et la reprise stimulera les recettes*socio=ec1 fiscales*socio=et (tableau*socio=rien 6), de sorte*socio=rien que la tendance*socio=ec2 à la hausse*socio=rien des déficits*socio=ec1 observée depuis la fin*socio=rien des années*socio=rien 80 devrait s'inverser. Le budget*socio=ec1 prévoit que le déficit*socio=ec1 fédéral*socio=et (sur*socio=rien la base*socio=rien des comptes*socio=rien publiques*socio=et) reviendra de 30.4 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac (4,6 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1) en 1991/92 à 27,5 milliards*socio=rien (3,8 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1) en 1992/93, soit un*socio=rien dépassement*socio=ec2 de 31/2 et 61/2 milliards*socio=rien respectivement par rapport*socio=rien aux prévisions*socio=ec2 faites *socio=rien un an *socio=nil et deux ans*socio=rien plus tôt. Ce nouveau*socio=rien dérapage*socio=uv4 reflète les effets*socio=rien du retard*socio=rien de la reprise économique*socio=ec1: les réductions*socio=ec2 d'impôts*socio=et, destinées*socio=rien en partie*socio=rien à favoriser la reprise, seront entièrement financées par des compressions*socio=et de dépenses*socio=ec1 durant l'exercice*socio=rien en cours*socio=te. Ces coupes généralisées affectent en particulier*socio=rien le secteur*socio=rien de la défense*socio=et. Les *socio=et mesures fiscales suivantes*socio=rien seront*socio=nil progressivement*socio=rien *socio=nil mises en place*socio=rien au cours*socio=rien des deux *socio=rien prochaines années:*socio=nil l'*socio=nil abaissement des*socio=nil taux d'*socio=nil imposition*socio=et *socio=nil et le relèvement*socio=ec2 de la déduction*socio=ec1 au titre*socio=rien des coûts*socio=ec1 en capital*socio=ec1 pour le secteur*socio=rien manufacturier*socio=ec1 et les industries*socio=ec1 de transformation*socio=ec2; la réduction*socio=ec2 de la surtaxe*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 des personnes*socio=ac physiques*socio=rien qui, de "temporaire*socio=rien" à l'origine*socio=rien, est*socio=rien devenue permanente*socio=te pour faire face*socio=rien à l'alourdissement*socio=ec2 imprévu*socio=uv4 du déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et; enfin, le réaménagement*socio=rien et l'amélioration*socio=uv1 du dispositif*socio=et de soutien*socio=uv3 pour enfants*socio=ac à charge*socio=rien avec l'instauration*socio=rien d'une déduction*socio=ec1 fiscale*socio=et unifiée. En outre, le budget*socio=ec1 prévoit de relancer la *socio=ec1 construction résidentielle *socio=nil en autorisant les acheteurs*socio=ac de logements*socio=ec1 à faire des prélèvements*socio=ec1 *socio=rien temporaires sur leurs*socio=nil plans d'*socio=nil épargne*socio=ec1 retraite*socio=ec1 *socio=nil agréés sans avoir à acquitter d'impôt*socio=et. Compte*socio=rien tenu du taux_de_croissance*socio=ec1 du PIB*socio=ec1 réel*socio=ec2 prévu dans le budget*socio=ec1 - 41/2 pour cent*socio=rien à partir de 1993 - et de l'effet*socio=rien décalé de la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1, le plan*socio=rien budgétaire*socio=et à moyen_terme*socio=te, révisé pour les quatre années*socio=rien à venir, envisage une forte*socio=rien contraction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 fédéral*socio=et. Toutefois, les objectifs*socio=uv4 d'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et fixés par le Budget*socio=ec1 1991 ont été*socio=rien retardés d'un*socio=rien an*socio=rien: on ne s'attend plus à voir le déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et disparaître avant 1997. Cela s'explique par l'incidence*socio=ec2 *socio=rien négative sur les*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et *socio=nil de la faiblesse*socio=ec2 inattendue*socio=rien de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 ces deux *socio=rien dernières années.*socio=nil Les*socio=nil moins-values*socio=ec1 sur recettes*socio=ec1 *socio=nil découlant des *socio=et mesures fiscales *socio=nil annoncées dans le dernier*socio=rien budget*socio=ec1 seront compensées dans une *socio=rien large mesure *socio=nil par des coupes dans les dépenses*socio=ec1. Le *socio=ec1 ratio dépenses/*socio=nil PIB *socio=nil suivrait grosso modo la *socio=ec2 trajectoire descendante *socio=nil fixée auparavant, les dépenses*socio=ec1 hors intérêts*socio=ec1 progressant à *socio=rien un rythme annuel moyen *socio=nil de 3 pour cent*socio=rien comme indiqué dans le budget*socio=ec1 1991. En effet*socio=rien, la loi*socio=et sur*socio=rien le contrôle*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1, qui regroupe toute une série de mécanismes*socio=et afférents*socio=rien au plan*socio=rien de contrôle*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1, prévoit que les dépenses*socio=ec1 hors intérêts*socio=ec1 ne peuvent excéder les prévisions*socio=ec2 du budget*socio=ec1 1991, sauf dans quelques *socio=rien circonstances bien *socio=nil spécifiées. En principe*socio=ec2, si les dépenses*socio=ec1 au titre*socio=rien d'un*socio=rien programme*socio=et dépassent les prévisions*socio=ec2 pour des raisons*socio=rien économiques*socio=ec1 ou par suite*socio=rien de *socio=et mesures gouvernementales,*socio=nil des*socio=nil réductions*socio=ec2 compensatoires doivent*socio=nil être*socio=rien opérées*socio=nil ailleurs*socio=rien.*socio=nil Tout*socio=nil dépassement*socio=ec2 *socio=nil qui se produirait en dépit*socio=rien de ces dispositions*socio=et devra être*socio=rien compensé au cours*socio=rien des deux *socio=rien exercices suivants.*socio=nil L'*socio=nil impact *socio=nil de l'action*socio=rien budgétaire*socio=et du gouvernement_fédéral*socio=ac peut être*socio=rien amplifié ou neutralisé par les évolutions*socio=rien aux autres niveaux*socio=rien d'administration*socio=ec1. En termes*socio=rien de dépenses*socio=ec1, le secteur*socio=rien des provinces*socio=ac, collectivités_locales*socio=ac et hôpitaux*socio=et est*socio=rien plus important*socio=rien que l'administration_fédérale*socio=ac. Mais du fait*socio=rien de réserves*socio=ec1 à l'égard*socio=rien de la qualité*socio=rien de la signature*socio=rien, qui renchérissent l'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1, les déficits*socio=ec1 des emprunteurs*socio=ac du secteur*socio=rien des provinces*socio=ac, collectivités_locales*socio=ac et hôpitaux*socio=et ont généralement été*socio=rien relativement réduits. De surcroît*socio=rien, les régimes_de_retraite*socio=et du Canada*socio=ac et du Québec*socio=ac ont affiché des excédents*socio=ec1 relativement stables*socio=uv4 depuis leur création*socio=rien en 1966, si bien*socio=rien que l'évolution*socio=rien du déficit*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac a été*socio=rien déterminée essentiellement par les développements*socio=rien au niveau*socio=rien fédéral*socio=et. Cela n'a pas empêché, parfois, une dégradation*socio=uv3 notable*socio=rien du solde*socio=ec1 budgétaire*socio=et du secteur*socio=rien des provinces*socio=ac, collectivités_locales*socio=ac et hôpitaux*socio=et - imputable*socio=uv2 aux administrations_provinciales*socio=ac - mais dans le passé*socio=te ces dérapages*socio=uv4 ont été*socio=rien corrigés assez rapidement. A l'opposé de cette tendance*socio=ec2, l'augmentation*socio=ec2 marquée du déficit*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac en 1991 (de 4 pour cent*socio=rien à 6 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1) a été*socio=rien due dans une *socio=rien large mesure au*socio=nil secteur des*socio=nil provinces*socio=ac,*socio=nil collectivités_locales*socio=ac et*socio=nil hôpitaux*socio=et (*socio=nil tableau *socio=nil 7), bien*socio=rien qu'un*socio=rien redressement*socio=ec2 de la situation*socio=rien financière*socio=ec1 des administrations_locales*socio=ac ait partiellement compensé la *socio=rien forte hausse du*socio=nil déficit*socio=ec1 des*socio=nil provinces*socio=ac.*socio=nil La*socio=nil dégradation*socio=uv3 *socio=nil accusée du solde*socio=ec1 budgétaire*socio=et de ce secteur*socio=rien tient à un*socio=rien brusque ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 des recettes*socio=ec1, la progression*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 étant du même ordre*socio=rien qu'à l'échelon*socio=rien fédéral*socio=et. Cependant, l'expansion*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 des provinces*socio=ac a *socio=rien été bien plus*socio=nil forte,*socio=nil *socio=nil et celle de leurs recettes*socio=ec1 bien*socio=rien plus faible*socio=rien, que les *socio=rien moyennes correspondantes *socio=nil pour le secteur*socio=rien des provinces*socio=ac, collectivités_locales*socio=ac et hôpitaux*socio=et. De plus, ces données globales*socio=rien masquent des différences*socio=uv1 considérables*socio=rien d'une province*socio=ac à l'autre. Tandis que, à l'instar*socio=rien du gouvernement_fédéral*socio=ac, la plupart*socio=rien des provinces*socio=ac ont effectué des coupes dans les dépenses*socio=ec1, la plus grande*socio=rien d'entre elles, l'Ontario*socio=ac, a pris d'importantes*socio=rien mesures*socio=et de relance*socio=uv3. Étant donné l'augmentation*socio=ec2 rapide*socio=rien de l'endettement*socio=ec1 de certaines*socio=rien collectivités*socio=ac territoriales et les pressions*socio=ec2 exercées de ce fait*socio=rien par les marchés_financiers*socio=ec1 - comme en témoigne*socio=rien le déclassement*socio=ec2 des obligations*socio=ec1 par les agences*socio=ac de notation*socio=rien - toutes les provinces*socio=ac ont désormais adopté des politiques_budgétaires*socio=et restrictives*socio=uv4. Cependant, plusieurs facteurs*socio=rien structurels*socio=uv4 donnent à penser que, cette fois-ci*socio=rien, elles pourraient mettre Plus de temps*socio=rien à rééquilibrer leur budget*socio=ec1. La situation*socio=rien budgétaire*socio=et difficile*socio=rien du secteur*socio=rien des provinces*socio=ac, collectivités_locales*socio=ac et hôpitaux*socio=et reflète en *socio=rien partie un freinage du*socio=nil rythme de*socio=nil progression*socio=ec2 des*socio=nil transferts*socio=ec1 fédéraux*socio=et *socio=nil aux autres niveaux*socio=rien d'administration*socio=ec1. Les provinces*socio=ac se sont plaintes de ce que le gouvernement_fédéral*socio=ac leur fait*socio=rien supporter son propre*socio=rien problème*socio=uv4 budgétaire*socio=et et ont laissé entendre que le "désengagement*socio=et fédéral*socio=et" de la décennie*socio=te écoulée explique pour l'essentiel*socio=uv4 leur déficit*socio=ec1. Il faut toutefois relativiser les efforts*socio=uv1 déployés pour réduire les transferts*socio=ec1 fédéraux*socio=et (voir annexe*socio=rien 1). Comme le montre le graphique*socio=rien 8, les transferts*socio=ec1 fédéraux*socio=et au secteur*socio=rien des provinces*socio=ac, administrations_locales*socio=ac et hôpitaux*socio=et avaient eu tendance*socio=ec2 à croître fortement: mesurés en proportion*socio=rien du PIB*socio=ec1, ils étaient deux fois*socio=rien plus élevés*socio=uv4 au milieu*socio=rien des années*socio=rien 80 que dans les années*socio=rien 50 et 60. Dans le même temps*socio=rien, les dépenses*socio=ec1 des provinces*socio=ac ont fortement augmenté en proportion*socio=rien du PIB*socio=ec1. Vu la croissance*socio=uv3 très rapide*socio=rien des dépenses*socio=ec1 financées par voie*socio=rien de transferts*socio=ec1, l'état_fédéral*socio=ac a dû réagir face*socio=rien à cette composante*socio=rien structurelle*socio=uv4 importante*socio=rien de son déficit*socio=ec1. Les mesures*socio=et prises*socio=rien durant les années*socio=rien 804 pour découpler les transferts*socio=ec1 fédéraux*socio=et de l'évolution*socio=rien des coûts*socio=ec1 des programmes*socio=et provinciaux*socio=te ont abouti à une stabilisation*socio=et globale*socio=rien, à *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil de la part*socio=rien des transferts*socio=ec1 aux provinces*socio=ac, collectivités_locales*socio=ac et hôpitaux*socio=et dans le total*socio=rien des dépenses*socio=ec1 fédérales*socio=ac hors intérêts*socio=ec1. A elles seules*socio=rien, ces dispositions*socio=et ont pesé sur*socio=rien les finances*socio=ec1 provinciales*socio=te, les dépenses*socio=ec1 fédérales*socio=ac ayant augmenté moins rapidement que l'inflation*socio=ec2 dans la seconde moitié*socio=rien des années*socio=rien 80. La *socio=rien situation est *socio=nil devenue encore plus sérieuse*socio=uv4 avec la mise en place*socio=rien en 1990 du plan*socio=rien de contrôle*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1, qui a pour effet*socio=rien de geler certains transferts*socio=ec1 fédéraux*socio=et aux provinces*socio=ac calculés par habitant*socio=ac et de freiner l'expansion*socio=ec2 d'autres transferts*socio=ec1. La croissance*socio=uv3 des transferts*socio=ec1 fédéraux*socio=et aux provinces*socio=ac sous forme*socio=rien de *socio=ec1 dotations financières *socio=nil - à l'exclusion*socio=rien de ceux consistant en *socio=rien un pourcentage *socio=nil de l'impôt*socio=et - est*socio=rien alors devenue inférieure*socio=rien à celle des dépenses*socio=ec1 fédérales*socio=ac hors intérêts*socio=ec1. Les difficultés*socio=uv4 budgétaires*socio=et des provinces*socio=ac sont aggravées Par le fait*socio=rien que la pression*socio=ec2 en faveur*socio=rien d'une hausse*socio=rien des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et est*socio=rien très intense*socio=rien et particulièrement difficile*socio=rien à contenir dans des domaines*socio=rien comme la santé*socio=et, l'éducation*socio=et et les services_sociaux*socio=et, qui sont du ressort des autorités*socio=et provinciales*socio=te. Certaines*socio=rien provinces*socio=ac ont réagi en augmentant les impôts*socio=et. Mais la marge de manoeuvre*socio=rien dans ce *socio=rien sens est *socio=nil limitée par l'opposition*socio=rien des électeurs et par les impératifs*socio=uv4 de la concurrence*socio=ec1, qui font que les systèmes*socio=rien fiscaux*socio=et ne doivent pas trop s'écarter de ceux des autres provinces*socio=ac et des États-unis*socio=ac. politique_monétaire*socio=et. Objectifs*socio=uv4 en matière*socio=rien de réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2. Ainsi qu'on l'a déjà noté, depuis le début*socio=rien de 1991 la politique_monétaire*socio=et canadienne*socio=ac est*socio=rien axée sur*socio=rien la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv4 d'inflation*socio=ec2 annoncés. Ceux-ci sont formulés de telle manière*socio=rien que la *socio=ec2 trajectoire descendante *socio=nil de l'inflation*socio=ec2 est*socio=rien assez abrupte pour dénoter un*socio=rien ferme*socio=ec2 attachement*socio=uv1 à la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1, tandis que la *socio=rien fourchette est suffisamment*socio=nil large *socio=nil pour que les objectifs*socio=uv4 apparaissent réalisables*socio=rien. L'indice visé est*socio=rien FIPC*socio=ec1, encore que pour des *socio=rien raisons opérationnelles l'*socio=nil accent *socio=nil soit mis sur*socio=rien FIPC*socio=ec1 hors alimentation*socio=ec1 et énergie*socio=ec1. Une *socio=rien option reste ouverte*socio=uv4 *socio=nil à des fins*socio=rien d'ajustement*socio=et temporaire*socio=rien des objectifs*socio=uv4 en fonction*socio=rien de l'effet*socio=rien des *socio=rien fortes variations *socio=nil de la fiscalité*socio=et indirecte*socio=rien. L'ensemble*socio=rien du sentier*socio=rien d'évolution*socio=rien prévu ne peut être*socio=rien réexaminé que dans des *socio=rien circonstances spécifiques et*socio=nil exceptionnelles*socio=uv4 *socio=nil mais il n'est*socio=rien pas modifiable du *socio=rien seul fait *socio=nil du non-respect d'un*socio=rien des objectifs*socio=uv4. *socio=rien Un retournement des*socio=nil anticipations*socio=uv3 du*socio=nil secteur_privé*socio=et *socio=nil sous l'influence de cette approche de la politique_monétaire*socio=et fondée sur*socio=rien des objectifs*socio=uv4 d'inflation*socio=ec2 rendrait moins coûteux*socio=ec2 l'élimination*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2. Jusqu'ici, l'expérience*socio=ec2 du Canada*socio=ac dans ce *socio=rien domaine est *socio=nil mitigée. Les données d'enquête*socio=ec2 recueillies par le Conference Board donnent à penser que les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 à court_terme*socio=te ont baissé considérablement*socio=rien (voir graphique*socio=rien 9) avec la forte*socio=rien décélération*socio=ec2 interne*socio=te des prix*socio=ec1 mise en évidence*socio=rien au chapitre*socio=rien 1. Entre le quatrième*socio=rien trimestre*socio=te de 1991 et le premier*socio=rien trimestre*socio=te de 1992, la proportion*socio=rien des chefs*socio=ac d'entreprise*socio=ac qui s'attendaient à voir les prix*socio=ec1 croître à *socio=rien un taux *socio=nil de 2 pour cent*socio=rien ou moins dans les six mois*socio=rien à venir est*socio=rien passée*socio=te de 31,7 pour cent*socio=rien à 67 pour cent*socio=rien. De même, le pourcentage*socio=rien des réponses*socio=rien indiquant *socio=rien un taux d'*socio=nil inflation*socio=ec2 *socio=nil de 3 pour cent*socio=rien ou moins est*socio=rien passé*socio=te de 69,8 pour cent*socio=rien à 94,8 pour cent*socio=rien. Il s'agit là d'un*socio=rien changement*socio=uv3 spectaculaire*socio=rien par rapport*socio=rien au troisième*socio=rien trimestre*socio=te de 1991, où seulement 37,3 pour cent*socio=rien des réponses*socio=rien prévoyaient une hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 de 3 pour cent*socio=rien ou moins. Ces résultats*socio=rien d'enquêtes peuvent indiquer un*socio=rien gain*socio=ec1 de crédibilité*socio=uv1 à très court_terme*socio=te, mais ils ne révèlent pas dans quelle mesure*socio=rien les agents*socio=ac économiques*socio=ec1 s'attendent à une décrue durable*socio=uv4 de l'inflation*socio=ec2. A cet égard*socio=rien, la viscosité des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te (voir ci-après) porte*socio=rien à croire que les anticipations*socio=uv3 de l'inflation*socio=ec2 future*socio=rien demeurent relativement élevées*socio=uv4. De surcroît*socio=rien, on ne décèle pas encore d'effets*socio=rien de crédibilité*socio=uv1 sur*socio=rien les marchés_du_travail*socio=ec1 qui seraient susceptibles*socio=rien de réduire le coût*socio=ec1 à court_terme*socio=te de la désinflation*socio=ec2: comme indiqué au chapitre*socio=rien 1, la réaction*socio=rien des salaires*socio=ec1 à l'évolution*socio=rien de la situation*socio=rien de l'emploi*socio=ec1 est*socio=rien restée conforme*socio=uv4 à l'expérience*socio=ec2 passée*socio=te. Mais cela n'est*socio=rien pas tout à *socio=rien fait surprenant,*socio=nil *socio=nil car il faudra sans *socio=rien doute un certain temps *socio=nil avant que le gain*socio=ec1 de crédibilité*socio=uv1 lié à la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv4 de réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2 ne commence à influer sur*socio=rien le comportement*socio=rien du secteur_privé*socio=et. Étant donné que les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 ont fait*socio=rien de plus en plus de la stabilité*socio=uv3 leur principal*socio=rien objectif*socio=uv4, il n'est*socio=rien pas non plus étonnant*socio=rien que les marchés_financiers*socio=ec1 accordent*socio=rien beaucoup d'attention*socio=rien à la publication*socio=rien des indices des prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1. Bien*socio=rien que les autorités*socio=et aient *socio=rien bien fait savoir *socio=nil qu'elles s'attachent à l'évolution*socio=rien tendancielle*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2 et non aux fluctuations*socio=ec2 mensuelles*socio=rien, depuis la fin*socio=rien des années*socio=rien 80, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te du Canada*socio=ac réagissent aux annonces mensuelles*socio=rien concernant FIPC*socio=ec1, ce qui laisse penser que les opérateurs*socio=ac suivaient de près la publication*socio=rien des chiffres de FIPC*socio=ec1 bien*socio=rien avant l'annonce des objectifs*socio=uv4 de réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2 en 1991 (voir annexe*socio=rien 11). Ce résultat*socio=rien confirme l'observation*socio=ec2 faite précédemment, à savoir*socio=rien que la formulation*socio=rien de tels objectifs*socio=uv4 n'a pas représenté une nouvelle*socio=rien orientation*socio=et de la politique_monétaire*socio=et mais plutôt une clarification*socio=rien et une formalisation des objectifs*socio=uv4 existants*socio=rien en matière*socio=rien de stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1. De plus, le fait*socio=rien que les réactions*socio=rien de FIPC*socio=ec1 aux variations*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 sont asymétriques*socio=rien (les taux_d'_intérêt*socio=ec1 ne réagissent qu'à une augmentation*socio=ec2 de FIPC*socio=ec1 plus forte*socio=rien que prévu) implique qu'auparavant les opérateurs*socio=ac du marché*socio=ec1 reconnaissaient que les chiffres effectifs*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 dépassaient l'objectif*socio=uv4 à long_terme*socio=te implicite*socio=rien de la banque_du_canada*socio=ac. Mise en oeuvre*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et. Depuis la mi-1990, devant*socio=rien le fléchissement*socio=rien de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 et le recul*socio=rien de l'inflation*socio=ec2, la banque_du_canada*socio=ac a laissé les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil se détendre, mais progressivement*socio=rien pour ne pas amplifier l'instabilité*socio=uv3 sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1. Ce desserrement transparaît pour l'essentiel*socio=uv4 dans le comportement*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te qui sont retombés d'un*socio=rien *socio=rien point haut *socio=nil de 14 pour cent*socio=rien à moins de 61/2 pour cent*socio=rien (graphique*socio=rien 10) - cette baisse*socio=ec2 ne s'est*socio=rien interrompue que temporairement*socio=rien au début*socio=rien de 1992, quand le dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac a fait*socio=rien l'objet*socio=rien de spéculations à la baisse*socio=ec2. Toutefois, le rythme*socio=rien de l'assouplissement*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 a été*socio=rien très mesuré. D'ailleurs*socio=rien, le taux*socio=rien des prêts*socio=ec1 à vue*socio=rien a eu tendance*socio=ec2 à dépasser celui des bons*socio=rien du Trésor*socio=et à trois mois*socio=rien, et après*socio=rien avoir sensiblement diminué jusqu'à la mi-1991, l'écart*socio=rien de taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te entre le Canada*socio=ac et les États-unis*socio=ac s'est*socio=rien maintenu aux environs*socio=rien de 3 pour cent*socio=rien avant de s'établir à moins de 2 pour cent*socio=rien au milieu*socio=rien de 1992. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te, qui avaient culminé à 11/2 pour cent*socio=rien, ont enregistré une baisse*socio=ec2 plus modérée. Les rendements*socio=ec1 des obligations*socio=ec1 publiques*socio=et à long_terme*socio=te se sont nettement repliés au cours*socio=rien du semestre*socio=rien s'achevant en janvier*socio=rien 1992 pour revenir à un*socio=rien peu moins de 9 pour cent*socio=rien. Après*socio=rien s'être*socio=rien raffermis temporairement*socio=rien, à l'instar*socio=rien des taux*socio=rien américains*socio=ac, ils sont retombés à ce niveau*socio=rien au milieu*socio=rien de 1992. Bien*socio=rien que l'inflation*socio=ec2 canadienne*socio=ac (mesurée par l'indice implicite*socio=rien des prix*socio=ec1 du PIB*socio=ec1) soit inférieure*socio=rien à celle des États-unis*socio=ac depuis le dernier*socio=rien trimestre*socio=te de 1989, l'écart*socio=rien de taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te entre les deux pays*socio=ac a *socio=rien été lent *socio=nil à se réduire (graphique*socio=rien 10). Il est*socio=rien probable*socio=uv4 que les obligations*socio=ec1 canadiennes*socio=ac supportent toujours une prime de risque*socio=uv4, soit parce que les résultats*socio=rien relativement satisfaisants*socio=uv4 sur*socio=rien le front*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 ne sont pas encore considérés comme acquis*socio=uv2 (voir ci-dessus), soit parce qu'on estime*socio=rien que le dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac va se déprécier en termes*socio=rien réels*socio=ec2 avant d'atteindre *socio=rien un niveau viable*socio=uv4.*socio=nil En*socio=nil dépit *socio=nil de la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 l'expansion*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 et du crédit*socio=ec1 s'est*socio=rien fortement ralentie (tableau*socio=rien 8)1. Les niveaux*socio=rien élevés*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 et l'incertitude*socio=uv3 accrue quant à la progression*socio=ec2 future*socio=rien des revenus*socio=ec1 contribuent à expliquer la faible*socio=rien expansion*socio=ec2 des concours aux ménages*socio=ac. De plus, les entreprises*socio=ac se sont efforcées d'assainir leur bilans*socio=ec1 en privilégiant le financement*socio=ec1 sur*socio=rien fonds*socio=ec1 propres*socio=rien et les *socio=ec1 emprunts obligataires *socio=nil de plus longue*socio=rien durée*socio=te. La contraction*socio=ec2 du *socio=ec1 crédit bancaire *socio=nil ne semble pas imputable*socio=uv2 à la faiblesse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 de crédit*socio=ec1, mais plutôt à un*socio=rien rationnement de l'_offre*socio=ec1 par le système_bancaire*socio=ec1. Les *socio=ac banques canadiennes *socio=nil se trouvent dans une situation*socio=rien très favorable*socio=ec2 du point*socio=rien de vue*socio=rien des bénéfices*socio=ec1 et des fonds*socio=ec1 propres*socio=rien et paraissent en mesure*socio=rien de faire face*socio=rien à d'éventuelles*socio=rien pertes*socio=ec2 sur*socio=rien prêts*socio=ec1 liées aux difficultés*socio=uv4 récentes*socio=rien d'Olympia & York. Comme elles sont disposées à abaisser leur taux*socio=rien de base*socio=rien pour réduire leurs marges sur*socio=rien les effets*socio=rien à court_terme*socio=te, à l'opposé de ce qui se produit*socio=rien aux États-unis*socio=ac (voir graphique*socio=rien 11), on peut penser qu'elles recherchent même activement de *socio=rien nouvelles possibilités de*socio=nil prêts*socio=ec1.*socio=nil La*socio=nil croissance*socio=uv3 des*socio=nil *socio=ec1 agrégats monétaires de*socio=nil *socio=rien définition large s'*socio=nil est considérablement *socio=nil ralentie au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années (*socio=nil tableau *socio=nil 8). Ces *socio=rien derniers mois,*socio=nil l'*socio=nil expansion*socio=ec2 sur douze*socio=nil mois *socio=nil de M2, M2+ et M3 s'est*socio=rien maintenue à l'intérieur*socio=te de la fourchette*socio=rien de 5 à 6 pour cent*socio=rien, ce qui peut être*socio=rien considéré comme étant grosso modo compatible*socio=rien avec l'orientation*socio=et anti-inflationniste*socio=ec2 de la politique_monétaire*socio=et. Trois *socio=rien grands facteurs *socio=nil expliquent ce ralentissement*socio=ec2. En *socio=rien premier lieu,*socio=nil le*socio=nil processus*socio=te de*socio=nil désinflation*socio=ec2 *socio=nil a modéré la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 de monnaie*socio=ec1. En *socio=rien second lieu,*socio=nil un volume exceptionnel*socio=uv4 de*socio=nil fonds*socio=ec1 a*socio=nil été *socio=nil placé en 1991 en obligations*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 du Canada*socio=ac. Enfin, étant donné l'atonie*socio=ec2 de la demande*socio=ec1, la faiblesse*socio=ec2 de l'activité*socio=rien de crédit*socio=ec1 a réduit les besoins*socio=uv1 de financement*socio=ec1 des institutions*socio=ac collectant des dépôts*socio=ec1; il n'est*socio=rien plus autant nécessaire*socio=rien pour ces établissements*socio=rien d'attirer des ressources*socio=ec1, et en particulier*socio=rien de gros*socio=rien dépôts*socio=ec1. Alors que ce *socio=rien dernier facteur *socio=nil semble confirmer l'idée*socio=rien que la faiblesse*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 monétaire*socio=ec1 est*socio=rien l'indice d'une reprise hésitante*socio=rien, la possibilité*socio=rien d'une instabilité*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 de monnaie*socio=ec1 implique (du moins dans le cas*socio=rien de M3) que le comportement*socio=rien actuel*socio=te des *socio=ec1 agrégats monétaires larges*socio=rien doit*socio=nil être*socio=rien *socio=nil interprété avec prudence*socio=uv1. En revanche, la reprise de l'expansion*socio=ec2 de la masse_monétaire*socio=ec1 de *socio=rien définition étroite au*socio=nil début *socio=nil de 1992 paraît dénoter plus clairement un*socio=rien raffermissement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1. Toutefois, en dépit*socio=rien de la forte*socio=rien baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te, l'accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de *socio=rien MI est restée*socio=nil bien *socio=nil en-deça de la Poussée observée lors*socio=rien des deux précédentes*socio=rien phases*socio=te de reprise. Cette progression*socio=ec2 de Mi*socio=rien plus lente*socio=rien que ne l'auraient laissé prévoir les corrélations historiques*socio=te semble indiquer que la demande*socio=ec1 de monnaie*socio=ec1 au *socio=rien sens étroit est *socio=nil devenue moins sensible*socio=rien aux fluctuations*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Progrès*socio=uv1 des réformes*socio=et structurelles*socio=uv4. Les *socio=rien principales initiatives gouvernementales*socio=et sur le*socio=nil front structurel*socio=uv4 *socio=nil - l'accord*socio=et de libre-échange*socio=et avec les États-unis*socio=ac, la réforme*socio=et de la fiscalité*socio=et des revenus*socio=ec1 et de la fiscalité*socio=et indirecte*socio=rien, et la réforme*socio=et du régime*socio=et d'assurance-chômage*socio=et - ont été*socio=rien analysées en profondeur*socio=rien dans les trois précédentes*socio=rien Études*socio=ec2. Parmi les *socio=rien évolutions récentes sur le*socio=nil plan *socio=nil de la politique*socio=et structurelle*socio=uv4 qui seront passées*socio=te en revue dans cette section*socio=rien, la plus *socio=rien importante est la*socio=nil réforme*socio=et *socio=nil de la réglementation*socio=et des institutions_financières*socio=ac. Le chapitre*socio=rien III sera consacré aux possibilités*socio=rien de *socio=rien nouvelles initiatives du*socio=nil côté de*socio=nil l'_offre*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil notamment dans les domaines*socio=rien de l'éducation*socio=et et des barrières*socio=rien commerciales*socio=ec1 entre les provinces*socio=ac, en vue*socio=rien de renforcer la productivité*socio=uv3. La refonte*socio=et de la réglementation*socio=et applicable*socio=rien aux institutions_financières*socio=ac a débuté au milieu*socio=rien des années*socio=rien 80, lorsque le gouvernement*socio=ac a publié une série de documents*socio=rien esquissant une réforme*socio=et progressive*socio=rien. Cette initiative*socio=rien correspondait à l'engagement*socio=uv1 pris par le gouvernement_fédéral*socio=ac de moderniser la réglementation*socio=et en vigueur*socio=uv3 pour les institutions_financières*socio=ac non bancaires*socio=ec1, suite*socio=rien au réaménagement*socio=rien de la loi*socio=et bancaire*socio=ec1 en 1980. D'autres éléments*socio=rien sont à l'origine*socio=rien de cette réforme*socio=et: *socio=rien un souci d'*socio=nil expansion*socio=ec2 *socio=nil de la part*socio=rien de ces institutions*socio=ac - face*socio=rien à l'évolution*socio=rien des préférences*socio=uv4 de la clientèle*socio=ac et des liens*socio=rien de capitaux*socio=ec1 dans le secteur*socio=rien financier*socio=ec1 non bancaire*socio=ec1 - et l'internationalisation*socio=te de plus en plus poussée des marchés_financiers*socio=ec1. En 1988, en conjonction*socio=rien avec certains changements*socio=uv3 au niveau*socio=rien provincial*socio=te, la *socio=et réglementation fédérale a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil modifiée de manière*socio=rien à permettre aux institutions_fédérales de détenir des maisons*socio=rien de titres*socio=rien sous la forme*socio=rien de filiales*socio=rien. Le processus*socio=te de réformes*socio=et s'est*socio=rien accéléré dans le courant*socio=rien de l'année*socio=rien dernière*socio=rien. Une réglementation*socio=et adoptée en décembre*socio=rien 1991 et mise en vigueur*socio=uv3 en 1992 supprime *socio=rien bon nombre des*socio=nil barrières *socio=nil qui subsistaient entre des institutions*socio=ac bancaires*socio=ec1, les compagnies*socio=ac d'assurances*socio=ec1, les sociétés*socio=ac de fiducie*socio=ec1 et de prêt*socio=ec1 et les coopératives*socio=ac de crédit*socio=ec1. Les institutions_financières*socio=ac assujetties à la *socio=et réglementation fédérale *socio=nil sont désormais en mesure*socio=rien d'offrir la plupart*socio=rien des services*socio=et financiers*socio=ec1, soit directement, soit indirectement*socio=rien par le biais*socio=rien de filiales*socio=rien ou de réseaux*socio=rien. Il subsiste toutefois *socio=rien certaines exceptions,*socio=nil *socio=nil notamment les restrictions*socio=et à l'encontre*socio=rien de la vente*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des services*socio=et d'assurance*socio=ec1 par les succursales*socio=ec1 d'établissements*socio=rien collectant des dépôts*socio=ec1. Ces réformes*socio=et entraîneront une intensification*socio=ec2 de la concurrence*socio=ec1, et offriront de ce fait*socio=rien aux ménages*socio=ac et aux entreprises*socio=ac un*socio=rien plus *socio=rien large éventail de*socio=nil fournisseurs*socio=ac de*socio=nil services*socio=et *socio=nil et de produits*socio=rien financiers*socio=ec1. Par ailleurs*socio=rien, *socio=rien un nouveau dispositif*socio=et *socio=nil améliore la Protection*socio=et prudentielle*socio=ec1: ainsi, il interdit, sous_réserve*socio=rien de certaines*socio=rien exemptions, les transactions*socio=ec1 entre des institutions_financières*socio=ac réglementées et des entreprises*socio=ac apparentées afin de limiter*socio=rien les opérations*socio=rien pour *socio=rien compte propre.*socio=nil La*socio=nil réforme*socio=et *socio=nil se Poursuit actuellement par le réexamen*socio=et du système*socio=rien d'assurance-dépôts et des Mécanismes*socio=et de réglementation*socio=et et de surveillance*socio=et à l'échelon*socio=rien fédéral*socio=et; de plus, des discussions*socio=rien sont en cours*socio=te entre l'état_fédéral*socio=ac et les provinces*socio=ac pour harmoniser et mieux coordonner les réglementations*socio=et fédérales*socio=ac et provinciales*socio=te applicables*socio=rien aux institutions_financières*socio=ac non bancaires*socio=ec1. Une autre étape*socio=te vers l'uniformisation des règles*socio=et applicables*socio=rien aux institutions_financières*socio=ac consiste en la *socio=rien suppression progressive des*socio=nil réserves_obligatoires*socio=ec1 *socio=nil pour les banques*socio=ac à charte*socio=et. Avec la promulgation de la nouvelle*socio=rien loi*socio=et bancaire*socio=ec1 en juin*socio=rien 1992, les réserves_obligatoires*socio=ec1 primaires*socio=rien seront progressivement*socio=rien éliminées sur*socio=rien deux ans*socio=rien, tandis que les réserves*socio=ec1 secondaires*socio=rien sont supprimées immédiatement. Cette mesure*socio=rien a pour objet*socio=rien de mettre les banques*socio=ac dans une position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 comparable*socio=rien à celle des autres établissements*socio=rien collectant des dépôts*socio=ec1. Le *socio=rien nouveau système *socio=nil prévoit que les chambres de compensation*socio=rien devront continuer de détenir des dépôts*socio=ec1 à la banque_du_canada*socio=ac pour apurer leurs *socio=rien positions nettes après la*socio=nil compensation *socio=nil journalière des chèques et autres moyens*socio=ec1 de paiement*socio=ec1. La réforme*socio=et du système*socio=rien d'assurance-chômage*socio=et a eu pour effet*socio=rien d'accroître les ressources*socio=ec1 consacrées à la formation*socio=et des chômeurs*socio=ac tout en rendant le système*socio=rien moins généreux*socio=uv2; la durée*socio=te maximale*socio=rien des allocations*socio=et a été*socio=rien réduite et une période*socio=te minimum*socio=rien d'emploi*socio=ec1 plus *socio=rien longue est *socio=nil exigée pour l'ouverture*socio=uv3 des droits*socio=uv1. Dans le cadre*socio=rien de la Stratégie*socio=et de mise en valeur*socio=ec1 de la main-d'_oeuvre*socio=ac, les crédits*socio=ec1 de formation*socio=et ont été*socio=rien portés de 0,5 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac en 1990 à 1,8 milliard*socio=rien en 1992. En outre, le gouvernement*socio=ac prévoit de consacrer 1.6 milliard*socio=rien de dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac à l'amélioration*socio=uv1 des qualifications*socio=uv3 et aux mesures*socio=et en faveur*socio=rien des personnes*socio=ac ne recevant*socio=rien pas d'allocation*socio=et chômage*socio=ec1. La moindre*socio=rien générosité*socio=uv1 de l'assurance-chômage*socio=et devrait abaisser le "taux*socio=rien naturel*socio=rien" de chômage*socio=ec1 de 1/2 point*socio=rien d'ici le milieu*socio=rien des années*socio=rien 90. Mais, même après*socio=rien les réformes*socio=et récentes*socio=rien, la durée*socio=te de versement*socio=ec1 des prestations*socio=et de chômage*socio=ec1 reste*socio=rien liée aux niveaux*socio=rien régionaux*socio=te de chômage*socio=ec1, ce qui décourage la mobilité*socio=uv3 interprovinciale de la main-d'_oeuvre*socio=ac. Dans le domaine*socio=rien de la politique_commerciale*socio=et, la grande*socio=rien priorité*socio=uv4 du Canada*socio=ac est*socio=rien l'heureux*socio=rien aboutissement*socio=rien du cycle*socio=te d'Uruguay*socio=ac des négociations_commerciales_multilatérales*socio=et. Le Canada*socio=ac a beaucoup à gagner d'une issue*socio=rien favorable*socio=ec2 de ces négociations*socio=et (notamment pour l'agriculture*socio=ec1, l'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 et le régime*socio=et des mesures*socio=et correctives*socio=ec2) et il a joué *socio=rien un rôle particulièrement*socio=nil actif*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Parallèlement aux NCM*socio=ac, le Canada*socio=ac a oeuvré de *socio=rien façon complémentaire *socio=nil à la libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 régionaux*socio=te. La mise en oeuvre*socio=rien de l'accord*socio=et de libre-échange*socio=et entre le Canada*socio=ac et les États-unis*socio=ac, qui prévoit la suppression*socio=rien des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac entre les deux pays*socio=ac d'ici à 1999, a marqué une nouvelle*socio=rien étape*socio=te. Sous la pression*socio=ec2 des importateurs*socio=ac et des utilisateurs*socio=rien finaux, tant au Canada*socio=ac qu'aux États-unis*socio=ac, les réductions*socio=ec2 de droits*socio=uv1 ont été*socio=rien accélérées en 1990 et 1991 et devraient l'être*socio=rien également cette année*socio=rien. Toutefois, la portée*socio=rien de ces réductions*socio=ec2 a tendance*socio=ec2 à se réduire chaque fois*socio=rien. Malgré de *socio=rien nombreux cas de*socio=nil frictions*socio=ec2 commerciales*socio=ec1 *socio=nil (les plus récentes*socio=rien concernent les exportations*socio=ec1 canadiennes*socio=ac de voitures*socio=rien et de bois*socio=rien d'oeuvre*socio=rien résineux), les mécanismes*socio=et de règlement*socio=et des différends*socio=uv2 prévus par l'accord*socio=et ont amélioré la capacité*socio=uv3 du Canada*socio=ac de protéger ses intérêts*socio=uv1 commerciaux*socio=ec1. Le Canada*socio=ac a également engagé des négociations*socio=et avec le Mexique*socio=ac et les États-unis*socio=ac en vue*socio=rien de mettre en *socio=rien place un accord_de_libre-échange_nord-américain*socio=et (*socio=nil ALENA*socio=et)*socio=nil .*socio=nil La*socio=nil participation*socio=uv3 *socio=nil à cet accord*socio=et trilatéral aiderait le Canada*socio=ac à concurrencer le Mexique*socio=ac sur*socio=rien le marché*socio=ec1 le plus important*socio=rien, celui des États-unis*socio=ac, et à rester aussi attractif*socio=ec2 que les États-unis*socio=ac en tant que base*socio=rien d'investissement*socio=ec1 pour l'approvisionnement*socio=ec1 de l'ensemble*socio=rien du marché*socio=ec1 nord-américain*socio=ac. Le gouvernement*socio=ac a également continué de réduire son rôle*socio=rien dans l'économie*socio=ec1 par le biais*socio=rien de la déréglementation*socio=et et de la privatisation*socio=et. Un*socio=rien projet_de_loi*socio=et visant à instituer *socio=rien un nouveau régime*socio=et des*socio=nil télécommunications*socio=ec1 a*socio=nil été *socio=nil soumis au Parlement*socio=ac. La réforme*socio=et proposée vise à assouplir la réglementation*socio=et et à encourager la concurrence*socio=ec1 tout en favorisant la propriété*socio=ec1 et le contrôle*socio=uv3 canadiens*socio=ac des infrastructures*socio=et de télécommunications*socio=ec1 et en garantissant l'accès*socio=uv1 des Canadiens*socio=ac à des services*socio=et de télécommunications*socio=ec1 fiables*socio=rien, abordables et de *socio=rien haute qualité.*socio=nil *socio=nil En outre, les changements*socio=uv3 intervenus dans le secteur*socio=rien des transports*socio=ec1 depuis sa déréglementation*socio=et en 1987 font l'objet*socio=rien d'une évaluation*socio=ec2 qui pourrait déboucher sur*socio=rien des modifications*socio=rien de la politique*socio=et nationale*socio=te des transports*socio=ec1. *socio=rien Sur un plan plus*socio=nil général,*socio=nil le*socio=nil gouvernement*socio=ac *socio=nil a entrepris une évaluation*socio=ec2, administration*socio=ec1 par administration*socio=ec1, des réglementations*socio=et existantes*socio=rien, une *socio=rien attention particulière *socio=nil étant accordée à leurs *socio=rien effets sur la*socio=nil compétitivité*socio=uv3.*socio=nil Les*socio=nil privatisations*socio=et *socio=nil réalisées l'an*socio=rien dernier*socio=rien concernaient Petro-canada*socio=ac (privatisation*socio=et partielle*socio=rien) et Telesat Canada*socio=ac. Depuis 1984, le gouvernement*socio=ac a privatisé 23 sociétés*socio=ac de la Couronne*socio=ac (entreprises*socio=ac publiques*socio=et) et autres holdings et en a dissous une demi-douzaine*socio=rien. Au total*socio=rien, *socio=rien 46 entités publiques*socio=et *socio=nil sont touchées par les mesures*socio=et de rationalisation*socio=uv3 annoncées dans le budget*socio=ec1 1992. Vingt*socio=rien et un*socio=rien agences*socio=ac ou autres organismes_gouvernementaux*socio=ac seront supprimés tandis que d'autres feront l'objet*socio=rien de fusions ou de regroupements. Deux holdings sont en cours*socio=te de privatisation*socio=et et trois autres privatisations*socio=et sont envisagées, notamment celle de la Monnaie*socio=ec1 royale canadienne*socio=ac. Après*socio=rien avoir baissé progressivement*socio=rien durant la seconde moitié*socio=rien des années*socio=rien 80, les subventions*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac, telles que définies*socio=rien dans les comptes*socio=rien nationaux*socio=te, ont augmenté de 0,4 point*socio=rien pour atteindre 2,1 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 en 1991, en raison*socio=rien surtout de la progression*socio=ec2 des aides*socio=uv1 fédérales*socio=ac. Cet accroissement*socio=ec2 résulte pour *socio=rien un tiers *socio=nil environ des subventions*socio=ec1 accordées à *socio=rien titre temporaire aux*socio=nil petites entreprises*socio=ac *socio=nil pour atténuer l'impact*socio=rien de l'instauration*socio=rien de la TPS*socio=et, et pour environ 40 pour cent*socio=rien des aides*socio=uv1 au secteur*socio=rien agricole*socio=ec1. Le soutien*socio=uv3 à l'agriculture*socio=ec1 *socio=rien est important et*socio=nil continue *socio=nil de croître. Selon les estimations*socio=ec2 du Secrétariat*socio=ac, l'aide*socio=uv1 aux *socio=ac producteurs canadiens,*socio=nil *socio=nil mesurée par l'équivalent-subvention à la production*socio=ec1 (ESP*socio=ec2), est*socio=rien passée*socio=te de 36 pour cent*socio=rien en 1989 à 45 pour cent*socio=rien en 1991 et égale*socio=rien ainsi la moyenne*socio=rien de l'OCDE*socio=ac; le chiffre correspondant est*socio=rien de 30 pour cent*socio=rien aux États-unis*socio=ac, où les ESP*socio=ec2 n'ont guère augmenté au cours*socio=rien de cette période*socio=te. En principe*socio=ec2, le nouveau*socio=rien programme*socio=et de soutien*socio=uv3 des *socio=ec1 revenus agricoles *socio=nil (voir l'Étude*socio=ec2 de l'an*socio=rien dernier*socio=rien), qui est*socio=rien entré en vigueur*socio=uv3 en 1991, doit parvenir à terme*socio=rien à l'autofinancement*socio=ec1. Toutefois, comme il est*socio=rien apparu que le *socio=rien nouveau système *socio=nil pourrait entraîner une diminution*socio=ec2 de l'assistance*socio=uv1 en 1992, la formule*socio=rien de calcul*socio=rien des paiements*socio=ec1 de soutien*socio=uv3 a été*socio=rien ajustée. De surcroît*socio=rien, contrairement à ce qui était prévu, le *socio=rien nouveau système *socio=nil de garantie de ressources*socio=ec1 n'a pas entraîné la disparition*socio=rien des mesures*socio=et spéciales*socio=rien, puisque des aides*socio=uv1 supplémentaires*socio=rien ont été*socio=rien accordées en 1991. Malgré ces mesures*socio=et, les *socio=ec1 revenus agricoles *socio=nil se sont fortement contractés Les autorités*socio=et ont souligné que le *socio=rien nouveau système *socio=nil de garantie de ressources*socio=ec1 était uniquement*socio=rien destiné à permettre un*socio=rien ajustement*socio=et dans de bonnes*socio=rien conditions*socio=ec1 à la baisse*socio=ec2 des revenus*socio=ec1 (et donc à une moindre*socio=rien assistance*socio=uv1 de la part*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=et. Les mesures*socio=et prises*socio=rien au printemps*socio=rien 1991 ont pour but*socio=rien de favoriser la participation*socio=uv3 au *socio=rien nouveau système.*socio=nil Les*socio=nil aides*socio=uv1 supplémentaires *socio=nil accordées plus récemment reflètent la dégradation*socio=uv3 brutale*socio=rien et imprévue des marchés*socio=ec1 en 1990-91 et doivent donc être*socio=rien considérées comme compatibles*socio=rien avec l'objectif*socio=uv4 structurel*socio=uv4 à long_terme*socio=te d'ajustement*socio=et à des revenus*socio=ec1 plus faibles*socio=rien et à une moindre*socio=rien assistance*socio=uv1 des pouvoirs_publics*socio=et. Conclusions*socio=rien. La croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac a subi une contraction*socio=ec2 de 1,7 pour cent*socio=rien en 1991, ce qui représente l'une des plus fortes*socio=rien baisses du PIB*socio=ec1 en volume*socio=rien parmi les pays_de_l'_ocde*socio=ac. L'expansion*socio=ec2 n'a été*socio=rien que modérée depuis le rebond de l'activité*socio=rien au second*socio=rien trimestre*socio=te de l'an*socio=rien dernier*socio=rien. De plus, alors que dans tous les autres cycles*socio=te économiques*socio=ec1 de ces dernières*socio=rien décennies*socio=te la production*socio=ec1 avait retrouvé son niveau*socio=rien d'avant la récession*socio=ec2 en l'espace*socio=te de trois trimestres*socio=te, au début*socio=rien de 1992 le PIB*socio=ec1 réel*socio=ec2 était encore inférieur*socio=rien de 2 pour cent*socio=rien au maximum*socio=rien observé début*socio=rien 1990. Cette faible*socio=rien croissance*socio=uv3 reflète l'atonie*socio=ec2 de l'activité*socio=rien aux États-unis*socio=ac, principal*socio=rien marché*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 du Canada*socio=ac, et le manque*socio=rien de confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac. En outre, l'expansion*socio=ec2 rapide*socio=rien de l'endettement*socio=ec1 du secteur_privé*socio=et à la fin*socio=rien des années*socio=rien 80 a sans doute*socio=rien pesé sur*socio=rien la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. De surcroît*socio=rien, en raison*socio=rien du gonflement*socio=ec2 antérieur*socio=rien de la dette*socio=ec1 publique*socio=et, la politique_budgétaire*socio=et a été*socio=rien axée sur*socio=rien la maîtrise*socio=rien du déficit*socio=ec1 de l'état_fédéral*socio=ac, de sorte*socio=rien que le secteur*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac n'a guère stimulé la demande*socio=ec1 à court_terme*socio=te. Enfin, en dépit*socio=rien d'un*socio=rien desserrement sensible*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil depuis la mi-1990, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 sont restés relativement tendus et le dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac a continué de s'apprécier durant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de 1991, au détriment*socio=uv2 des exportations*socio=ec1 et des bénéfices*socio=ec1 des entreprises*socio=ac. La faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien de l'activité*socio=rien a abouti à un*socio=rien sous-emploi*socio=ec1 considérable*socio=rien des ressources*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des produits*socio=rien et du travail*socio=ec1. L'écart*socio=rien entre la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 et la production*socio=ec1 effective*socio=rien (mesuré par le taux*socio=rien d'utilisation*socio=rien des capacités*socio=uv3), qui s'est*socio=rien formé depuis 1989, *socio=rien est comparable *socio=nil à celui du creux*socio=ec2 de la récession*socio=ec2 de 1981-82. Le taux*socio=rien de chômage*socio=ec1 est*socio=rien pour le *socio=rien moment inférieur *socio=nil à celui du début*socio=rien des années*socio=rien 80, mais à 11 pour cent*socio=rien il dépasse sensiblement le "taux*socio=rien naturel*socio=rien" de sous-emploi*socio=ec1, qui atteindrait de 71/2 à 81/2 pour cent*socio=rien selon la plupart*socio=rien des estimations*socio=ec2. Cette situation*socio=rien a entraîné une nette*socio=rien modération*socio=ec2 des *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil La*socio=nil *socio=rien hausse annuelle des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil à la consommation*socio=ec1 - qui s'était maintenue à 4-5 pour cent*socio=rien durant la *socio=rien majeure partie des*socio=nil années *socio=nil 80 - est*socio=rien tombée à 1-2 pour cent*socio=rien, ce qui constitue le *socio=rien meilleur résultat *socio=nil depuis une trentaine*socio=rien d'années*socio=rien. En revanche, du fait*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 étrangère*socio=te et de la dégradation*socio=uv3 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien s'est*socio=rien fortement creusé. Le *socio=rien retour apparent *socio=nil de la reprise aux États-unis*socio=ac ainsi que la moindre*socio=rien pression*socio=ec2 des coûts*socio=ec1 et l'assouplissement*socio=uv3 des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil devraient fournir l'impulsion*socio=ec2 nécessaire*socio=rien à une accentuation*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans le courant*socio=rien de cette année*socio=rien. Toutefois, étant donné l'orientation*socio=et toujours restrictive*socio=uv4 de la politique_budgétaire*socio=et, l'objectif*socio=uv4 monétaire*socio=ec1 de stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 encore très modérée aux États-unis*socio=ac, la remontée sera lente*socio=rien au regard*socio=rien des épisodes*socio=rien passés*socio=te, le PIB*socio=ec1 progressant de moins de 21/2 pour cent*socio=rien en 1992 et d'un*socio=rien peu plus de 4 pour cent*socio=rien en 1993. Étant donné que les ressources*socio=ec1 inemployées*socio=ec2 resteront *socio=rien vraisemblablement importantes,*socio=nil l'*socio=nil inflation*socio=ec2 semble*socio=nil devoir *socio=nil se cantonner au-dessous des objectifs*socio=uv4 officiels*socio=et (3 pour cent*socio=rien à la fin*socio=rien de 1992 et 21/2 pour cent*socio=rien à la mi-1994). En revanche, le déficit*socio=ec1 de la balance_des_paiements_courants*socio=ec1 ne baissera que modérément en pourcentage*socio=rien du PIB*socio=ec1 au cours*socio=rien de la période*socio=te 1992-93, en raison*socio=rien d'une nouvelle*socio=rien dégradation*socio=uv3 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 et d'un*socio=rien regain*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1. Comme la reprise attendue de l'activité*socio=rien dépend dans une *socio=rien large mesure *socio=nil de la vigueur*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 étrangère*socio=te, l'un*socio=rien des principaux*socio=rien risques*socio=uv4 entourant ces prévisions*socio=ec2 paraît être*socio=rien celui d'un*socio=rien environnement*socio=et externe*socio=ec1 moins favorable*socio=ec2. Les évolutions*socio=rien observées récemment incitent toutefois à penser que le solde*socio=ec1 extérieur*socio=te courant*socio=rien pourrait être*socio=rien plus favorable*socio=ec2 que prévu. Sur*socio=rien le plan*socio=rien intérieur*socio=te, l'incertitude*socio=uv3 dans le domaine*socio=rien de l'emploi*socio=ec1, liée à la restructuration*socio=et économique*socio=ec1 et la poursuite*socio=rien de l'assainissement*socio=uv3 financier*socio=ec1 dans le secteur_privé*socio=et, risquent de peser sur*socio=rien la demande*socio=ec1. D'un*socio=rien autre côté*socio=rien, l'assouplissement*socio=uv3 récent*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires,*socio=nil *socio=nil plus prononcé que prévu, pourrait permettre de réduire plus rapidement le déséquilibre*socio=uv4 de l'_offre*socio=ec1 et de la demande*socio=ec1 sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1 et l'écart*socio=rien entre production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 et production*socio=ec1 effective*socio=rien. Les incertitudes*socio=uv3 liées au débat*socio=et constitutionnel*socio=rien et au solde*socio=ec1 budgétaire*socio=et des administrations_provinciales*socio=ac constituent néanmoins un*socio=rien risque*socio=uv4 pour les perspectives*socio=te à court_terme*socio=te, car elles pourraient entamer la confiance*socio=uv1 des marchés_financiers*socio=ec1. En dépit*socio=rien des incertitudes*socio=uv3 qui entourent le profil*socio=rien de la reprise économique*socio=ec1, les conditions*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 d'une croissance*socio=uv3 durable*socio=uv4 sont à l'évidence*socio=rien réunies. Depuis 1984, le gouvernement*socio=ac met en oeuvre*socio=rien une stratégie*socio=et à moyen_terme*socio=te destinée d'une part*socio=rien à rétablir l'équilibre*socio=uv3 macro-économique*socio=ec1 en réduisant les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et et l'inflation*socio=ec2, et d'autre part*socio=rien à renforcer la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 au moyen*socio=rien de réformes*socio=et structurelles*socio=uv4. Étant donné l'ampleur*socio=rien des déséquilibres*socio=uv4 initiaux*socio=rien et la nécessité*socio=uv1, pour le secteur_privé*socio=et, de s'adapter*socio=rien au nouvel*socio=rien environnement*socio=et issu des réformes*socio=et, les progrès*socio=uv1 dans la réalisation*socio=uv1 de ces objectifs*socio=uv4 ont *socio=rien été lents.*socio=nil Ces*socio=nil derniers temps,*socio=nil *socio=nil toutefois, des percées décisives*socio=rien dans certains domaines*socio=rien ont renforcé la crédibilité*socio=uv1 de la stratégie*socio=et et modifié les anticipations*socio=uv3 du secteur_privé*socio=et. Ces avancées ont été*socio=rien particulièrement *socio=rien visibles sur les*socio=nil fronts *socio=nil de l'inflation*socio=ec2 et de l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et. L'annonce d'objectifs*socio=uv4 officiels*socio=et de réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2 en 1991 a contribué à accroître l'efficacité*socio=uv3 de la politique_monétaire*socio=et. L'introduction*socio=rien de ces objectifs*socio=uv4 n'a pas représenté à proprement parler une nouvelle*socio=rien orientation*socio=et de la politique_monétaire*socio=et, car il y a déjà *socio=rien un certain temps *socio=nil que la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 constitue un*socio=rien objectif*socio=uv4 important*socio=rien pour les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1. La formulation*socio=rien de tels objectifs*socio=uv4 constitue plutôt un*socio=rien engagement*socio=uv1 *socio=rien explicite sur un point d'*socio=nil ancrage à*socio=nil moyen_terme*socio=te clairement*socio=nil défini,*socio=nil *socio=nil permettant au public*socio=et d'évaluer les résultats*socio=rien obtenus par les autorités*socio=et en matière*socio=rien de lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec2. A vrai*socio=rien dire, le fait*socio=rien que les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 n'aient pas diminué les *socio=rien années précédentes *socio=nil reflétait sans doute*socio=rien l'absence*socio=rien d'une *socio=rien définition claire *socio=nil de la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 et d'un*socio=rien calendrier*socio=et précis*socio=rien en vue*socio=rien de sa réalisation*socio=uv1. Le net*socio=rien ralentissement*socio=ec2 des augmentations*socio=ec2 de prix*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1991 et au début*socio=rien de 1992 donne à penser que la politique_monétaire*socio=et a mieux atteint ses objectifs*socio=uv4. Cependant, il est*socio=rien trop tôt pour dire comment les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 réagiront à cette approche. Il n'apparaît pas clairement, qu'à long_terme*socio=te, elles se soient ajustées aux objectifs*socio=uv4 annoncés; de fait*socio=rien, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te se sont détendus mais demeurent élevés*socio=uv4, et la réaction*socio=rien des salaires*socio=ec1 à l'évolution*socio=rien de la situation*socio=rien de l'emploi*socio=ec1 a été*socio=rien grosso modo la même que par le passé*socio=te, ce qui donne à penser qu'il n'y a guère eu d'effet*socio=rien de "crédibilité*socio=uv1" supplémentaire*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1. Cela n'est*socio=rien pas surprenant*socio=rien, étant donné que le secteur_privé*socio=et a sans doute*socio=rien besoin*socio=uv1 de constater que les objectifs*socio=uv4 de réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2 sont atteints avant de les intégrer dans ses propres*socio=rien anticipations*socio=uv3. Les pressions*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 et de l'inflation*socio=ec2 s'atténuant, les autorités*socio=et ont assoupli les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil ces deux *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil même si elles se sont parfois opposées activement à une baisse*socio=ec2 trop rapide*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et du taux_de_change*socio=ec1. Cette attitude*socio=uv3 s'est*socio=rien traduite par une croissance*socio=uv3 relativement lente*socio=rien des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil et, jusqu'à une période*socio=te récente*socio=rien, par des écarts*socio=rien de taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te élevés*socio=uv4 entre le Canada*socio=ac et les États-unis*socio=ac. L'atténuation*socio=rien des *socio=ec2 tensions inflationnistes *socio=nil a toutefois permis*socio=rien d'abaisser sensiblement le taux_de_change*socio=ec1 depuis *socio=rien fin novembre,*socio=nil *socio=nil sans compromettre la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv4 de réduction*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2. Parallèlement, la diminution*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 du budget*socio=ec1 fédéral*socio=et continue*socio=rien de revêtir une *socio=rien importance primordiale,*socio=nil *socio=nil étant donné le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 publique*socio=et en pourcentage*socio=rien du PIB*socio=ec1, la moindre*socio=rien flexibilité*socio=uv3 de la politique_budgétaire*socio=et qui en résulte, le souci*socio=rien de réduire les pressions*socio=ec2 à la *socio=rien hausse sur les*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil et l'impact*socio=rien négatif*socio=rien de la désépargne publique*socio=et sur*socio=rien le solde*socio=ec1 extérieur*socio=te. Pour que soit atteint l'objectif*socio=uv4 à moyen_terme*socio=te d'un*socio=rien budget*socio=ec1 fédéral*socio=et équilibré d'ici le milieu*socio=rien des années*socio=rien 90, les autorités*socio=et ont pris des mesures*socio=et destinées*socio=rien à compenser partiellement les effets*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 sur*socio=rien les recettes*socio=ec1 et les dépenses*socio=ec1. En conséquence*socio=rien, le déficit*socio=ec1 fédéral*socio=et ne s'est*socio=rien creusé que modérément et le solde*socio=ec1 budgétaire*socio=et structurel*socio=uv4 a continué de s'améliorer. Cependant, malgré un*socio=rien plafonnement*socio=uv4 réglementaire*socio=et, le freinage*socio=rien des dépenses*socio=ec1 demandera des efforts*socio=uv1 considérables*socio=rien. Tandis que la plupart*socio=rien des provinces*socio=ac ont adopté des budgets*socio=ec1 restrictifs*socio=uv4 en 1991, l'augmentation*socio=ec2 rapide*socio=rien des dépenses*socio=ec1 observée ces *socio=rien dernières années *socio=nil a gonflé leur déficit*socio=ec1 global*socio=te, neutralisant partiellement le resserrement*socio=ec2 opéré à l'échelon*socio=rien fédéral*socio=et. Actuellement, toutes les provinces*socio=ac mettent en oeuvre*socio=rien des compressions*socio=et de dépenses*socio=ec1, et certaines*socio=rien augmentent également les impôts*socio=et, réduisant ainsi quelque peu la marge de *socio=rien manoeuvre offerte *socio=nil par les mesures*socio=et d'allégement*socio=uv3 de la fiscalité*socio=et annoncées dans le dernier*socio=rien budget*socio=ec1 fédéral*socio=et. Plus généralement, les provinces*socio=ac doivent s'atteler à une *socio=rien tâche difficile mais*socio=nil indispensable*socio=uv4:*socio=nil *socio=nil contenir le coût*socio=ec1 grandissant*socio=rien de leurs activités*socio=rien, en particulier*socio=rien dans des domaines*socio=rien comme la santé*socio=et et l'aide_sociale*socio=et. Cela est*socio=rien devenu d'autant plus nécessaire*socio=rien que les transferts*socio=ec1 qui leur sont alloués par l' état_fédéral*socio=ac progressent plus lentement. Ainsi qu'on l'a déjà noté, les réformes*socio=et structurelles*socio=uv4 constituent *socio=rien un volet important *socio=nil de la *socio=et stratégie gouvernementale.*socio=nil *socio=nil Depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 80, *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'entre elles ont été*socio=rien mises en oeuvre*socio=rien, notamment la déréglementation*socio=et des secteurs*socio=rien de l'énergie*socio=ec1 et des transports*socio=ec1, la reformulation de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, la privatisation*socio=et des entreprises*socio=ac publiques*socio=et, la mise en place*socio=rien de l'accord*socio=et de libre-échange*socio=et avec les États-unis*socio=ac, un*socio=rien programme*socio=et global*socio=te de *socio=et réformes fiscales *socio=nil et la réforme*socio=et du système*socio=rien d'assurance-chômage*socio=et. Ces mesures*socio=et ont été*socio=rien examinées en détail*socio=rien dans les Études*socio=ec2 *socio=rien annuelles précédentes.*socio=nil La*socio=nil principale initiative *socio=nil du même genre*socio=rien dans la période*socio=te récente*socio=rien a été*socio=rien la refonte*socio=et du cadre*socio=rien réglementaire*socio=et régissant*socio=rien les institutions_financières*socio=ac, qui aboutit à supprimer la Plupart*socio=rien des barrières*socio=rien restantes entre les banques*socio=ac, les compagnies*socio=ac d'assurances*socio=ec1 et autres institutions*socio=ac non bancaires*socio=ec1, tout en renforçant l'efficacité*socio=uv3 du système*socio=rien de surveillance*socio=et. Par ailleurs*socio=rien, devant*socio=rien les résultats*socio=rien médiocres*socio=uv2 de l'économie*socio=ec1 en matière*socio=rien de productivité*socio=uv3 et de compétitivité*socio=uv3, le gouvernement*socio=ac a lancé un*socio=rien processus*socio=te de consultation*socio=uv1, l'"Initiative*socio=rien de la prospérité*socio=uv1", destiné à définir*socio=rien les domaines*socio=rien dans lesquels de *socio=rien nouvelles actions structurelles*socio=uv4 seraient*socio=nil nécessaires *socio=nil et à favoriser le consensus*socio=uv1 à cet égard*socio=rien. La compétitivité*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac - définie*socio=rien d'une *socio=rien manière générale *socio=nil par sa capacité*socio=uv3 d'affronter la concurrence*socio=ec1 des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te tout en maintenant ou en améliorant le niveau_de_vie*socio=uv1 relatif*socio=rien des habitants*socio=ac du pays*socio=ac - s'est*socio=rien nettement dégradée au cours*socio=rien des deux dernières*socio=rien décennies*socio=te. L'érosion*socio=ec2 des gains*socio=ec1 de productivité*socio=uv3 a été*socio=rien l'un*socio=rien des *socio=rien principaux facteurs en*socio=nil cause:*socio=nil la*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil de la productivité*socio=uv3 totale*socio=rien des facteurs*socio=rien (PTF*socio=et) s'est*socio=rien fortement ralentie dans les années*socio=rien 70 pour se tarir presque entièrement dans les années*socio=rien 80. Si la plupart*socio=rien des pays_de_l'_ocde*socio=ac ont vu leurs gains*socio=ec1 de productivité*socio=uv3 se ralentir de façon*socio=rien très marquée, les résultats*socio=rien enregistrés à cet égard*socio=rien par le Canada*socio=ac sont parmi les plus mauvais*socio=rien. Néanmoins, ce ralentissement*socio=ec2 de la productivité*socio=uv3 *socio=rien est difficile *socio=nil à expliquer empiriquement. La réduction*socio=ec2 de la marge de rattrapage*socio=rien par rapport*socio=rien au niveau*socio=rien de productivité*socio=uv3 des États-unis*socio=ac et le ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 des *socio=ec1 échanges commerciaux *socio=nil ont pu jouer *socio=rien un rôle,*socio=nil *socio=nil de même que les chocs*socio=ec2 pétroliers*socio=ec1. Les effets*socio=rien de ces derniers*socio=rien ont probablement été*socio=rien plus importants*socio=rien au Canada*socio=ac qu'ailleurs*socio=rien, car la consommation*socio=ec1 d'énergie*socio=ec1 dans l'industrie*socio=ec1 y était plus élevée*socio=uv4 au départ*socio=rien et, jusqu'en 1985, le *socio=ac gouvernement canadien *socio=nil a veillé à ce que les utilisateurs*socio=rien d'énergie*socio=ec1 ne subissent pas de *socio=rien plein fouet *socio=nil les hausses du prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1. D'autres facteurs*socio=rien, notamment les carences*socio=rien du système_éducatif*socio=et, ont sans doute*socio=rien également eu leur part*socio=rien dans l'évolution*socio=rien médiocre*socio=uv2 de la productivité*socio=uv3. Certains de ces facteurs*socio=rien ont cessé d'agir: les prix*socio=ec1 réels*socio=ec2 de l'énergie*socio=ec1 ont baissé, le secteur*socio=rien de l'énergie*socio=ec1 a été*socio=rien déréglementé et le Canada*socio=ac s'est*socio=rien engagé dans un*socio=rien processus*socio=te d'ouverture*socio=uv3 du marché*socio=ec1 avec les États-unis*socio=ac dans le cadre*socio=rien de l'accord*socio=et de libre-échange*socio=et. Toutefois, l'amélioration*socio=uv1 de la productivité*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac n'est*socio=rien pas encore en vue*socio=rien. Les avantages*socio=rien des importantes*socio=rien réformes*socio=et structurelles*socio=uv4 énoncées*socio=rien ci-dessus deviendront plus manifestes avec le temps*socio=rien, mais de *socio=rien nouvelles initiatives seraient*socio=nil utiles*socio=uv4 *socio=nil dans des domaines*socio=rien où apparaissent des freins à la croissance*socio=uv3 de la productivité*socio=uv3. A cet égard*socio=rien, il convient de citer en particulier*socio=rien l'enseignement*socio=et et la formation*socio=et, la recherche-développement*socio=ec1 et la levée des entraves*socio=uv4 internes*socio=te et externes*socio=ec1 aux *socio=ec1 échanges commerciaux.*socio=nil En*socio=nil dépit*socio=rien du*socio=nil niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des*socio=nil dépenses *socio=nil et des taux*socio=rien de scolarisation*socio=et, il est*socio=rien généralement reconnu que l'enseignement*socio=et secondaire*socio=rien au Canada*socio=ac est*socio=rien peu performant. Les taux*socio=rien d'abandon*socio=rien sont élevés*socio=uv4 et le niveau*socio=rien des élèves*socio=ac, en sciences et mathématiques notamment, semble moins bon*socio=rien que dans certains autres pays*socio=ac. De plus, au Canada*socio=ac le processus*socio=te de transition*socio=uv3 entre l'école*socio=et et le monde*socio=te du travail*socio=ec1 est*socio=rien inefficace*socio=uv4, de sorte*socio=rien qu'une *socio=rien forte proportion d'*socio=nil élèves*socio=ac *socio=nil de l'enseignement*socio=et secondaire*socio=rien n'acquièrent pas de qualifications*socio=uv3 professionnelles*socio=ec1. Pour améliorer les résultats*socio=rien dans ces domaines*socio=rien, il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 de revoir le contenu des programmes*socio=et des établissements*socio=rien scolaires*socio=et en veillant à l'acquisition*socio=rien des compétences*socio=uv3 de base*socio=rien et à une meilleure*socio=rien intégration*socio=uv1 des *socio=ec1 cours professionnels au*socio=nil système*socio=rien d'*socio=nil apprentissage*socio=uv3 *socio=nil post-secondaire. Les améliorations*socio=uv1 possibles*socio=rien n'appellent pas nécessairement un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des ressources*socio=ec1, mais plutôt une adaptation*socio=uv3 du système*socio=rien aux besoins*socio=uv1 des futurs*socio=rien travailleurs*socio=ac. Les administrations_provinciales*socio=ac envisagent ou mettent déjà en oeuvre*socio=rien des mesures*socio=et de réforme*socio=et face*socio=rien à"ces problèmes*socio=uv4. Comme c'est*socio=rien le cas*socio=rien pour l'éducation*socio=et, l'action*socio=rien dans le domaine*socio=rien de la recherche-dévelopement (R-D*socio=ec1) n'implique pas obligatoirement une augmentation*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 déjà consacrées à ce secteur*socio=rien - le régime_fiscal*socio=et de la R-D*socio=ec1 au Canada*socio=ac est*socio=rien déjà le plus généreux*socio=uv2 parmi les pays*socio=ac industriels*socio=ec1 - mais une utilisation*socio=rien plus profitable*socio=uv4 de ces ressources*socio=ec1. La *socio=rien principale option *socio=nil consisterait à améliorer encore les mécanismes*socio=et de diffusion*socio=rien des nouvelles*socio=rien technologies*socio=ec1. Ce serait d'autant plus bénéfique*socio=rien que le Canada*socio=ac compte*socio=rien une *socio=rien forte proportion de*socio=nil petites entreprises*socio=ac.*socio=nil Le*socio=nil transfert*socio=ec1 au*socio=nil secteur_privé*socio=et *socio=nil de la recherche*socio=ec2 financée sur*socio=rien fonds_publics*socio=et et la spécialisation*socio=uv3 accrue des universités*socio=et pourraient également améliorer l'efficience*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 de R-D*socio=ec1. S'agissant des barrières*socio=rien commerciales*socio=ec1, de nouvelles*socio=rien avancées sont encore Possibles*socio=rien aussi bien*socio=rien dans la réduction*socio=ec2 des tarifs*socio=et frappant les importations*socio=ec1 que dans la libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 entre les provinces*socio=ac. Malgré l'allégement*socio=uv3 des restrictions*socio=et aux importations*socio=ec1 au cours*socio=rien des années*socio=rien 80 et les réductions*socio=ec2 tarifaires*socio=et attendues dans le cadre*socio=rien de l'accord*socio=et de libre-échange*socio=et avec les États-unis*socio=ac, les droits*socio=uv1 sur*socio=rien certains produits*socio=rien demeurent élevés*socio=uv4. En outre, il existe d'importants*socio=rien obstacles*socio=rien non tarifaires*socio=et à l'importation*socio=ec1, imposés principalement par les administrations_provinciales*socio=ac. Qui plus est*socio=rien, le marché*socio=ec1 interne*socio=te canadien*socio=ac comporte de fortes*socio=rien entraves*socio=uv4 à la libre*socio=uv2 circulation*socio=ec2 des biens*socio=ec1, des services*socio=et, des capitaux*socio=ec1 et de la main-d'_oeuvre*socio=ac, qui limitent la concurrence*socio=ec1 au-delà des *socio=te frontières provinciales,*socio=nil *socio=nil favorisant ainsi les producteurs*socio=ac les moins efficaces*socio=uv4. Des réformes*socio=et dans ces domaines*socio=rien pourraient améliorer la croissance*socio=uv3 de la productivité*socio=uv3 à moyen_terme*socio=te. Mais il est*socio=rien peu probable*socio=uv4 que cela suffise à compenser l'érosion*socio=ec2 de la compétitivité*socio=uv3 internationale*socio=te en termes*socio=rien de coûts*socio=ec1 enregistrés au Canada*socio=ac durant ces *socio=rien dernières années;*socio=nil de*socio=nil fait,*socio=nil l'*socio=nil évolution des*socio=nil salaires*socio=ec1 *socio=nil n'a pas entièrement suivi la performance*socio=uv3 relativement médiocre*socio=uv2 du pays*socio=ac en matière*socio=rien de productivité*socio=uv3. Cette érosion*socio=ec2 a été*socio=rien particulièrement marquée vis-à-vis des États-unis*socio=ac, notamment dans les *socio=ec1 industries manufacturières;*socio=nil ses*socio=nil effets*socio=rien *socio=nil transparaissent dans la dégradation*socio=uv3 du solde*socio=ec1 extérieur*socio=te et dans le niveau*socio=rien exceptionnellement bas*socio=rien des marges bénéficiaires*socio=ac. Tandis qu'une nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 du dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac *socio=rien est susceptible *socio=nil d'atténuer ce problème*socio=uv4 dans l'immédiat*socio=rien, la dépréciation*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1 n'est*socio=rien pas une solution*socio=rien viable*socio=uv4 à plus long_terme*socio=te. En effet*socio=rien, avec la reprise de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1, une rapide*socio=rien dépréciation*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1 pourrait raviver les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2, d'où le risque*socio=uv4 de compromettre les acquis*socio=uv2 de la lutte*socio=uv1 contre l'inflation*socio=ec2 et, par là même, la crédibilité*socio=uv1 de l'action*socio=rien gouvernementale*socio=et. La modération*socio=ec2 salariale*socio=ec1 et la poursuite*socio=rien de la restructuration*socio=et offrent, semble-t-il, une *socio=rien meilleure solution.*socio=nil *socio=nil En tout état*socio=rien de cause*socio=rien, pour ce qui est*socio=rien de l'industrie*socio=ec1, en particulier*socio=rien le secteur*socio=rien manufacturier*socio=ec1, où s'impose un*socio=rien ajustement*socio=et très supérieur*socio=rien à la moyenne*socio=rien, cette *socio=rien dernière option apparaît*socio=nil inévitable.*socio=nil *socio=nil En résumé, l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac a *socio=rien été longue *socio=nil à sortir de la récession*socio=ec2, la faiblesse*socio=ec2 de l'activité*socio=rien à l'étranger*socio=te, le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des coûts*socio=ec1 et le manque*socio=rien de confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac ayant déprimé la demande*socio=ec1. Toutefois, si dans le court_terme*socio=te beaucoup dépend d'une remontée de la demande*socio=ec1 étrangère*socio=te, le cadre*socio=rien structurel*socio=uv4 est*socio=rien en place*socio=rien pour une amélioration*socio=uv1 de la performance*socio=uv3 économique*socio=ec1 à moyen_terme*socio=te. L'inflation*socio=ec2 a fortement décru et l'orientation*socio=et actuelle*socio=te de la politique_monétaire*socio=et laisse entrevoir de nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 vers la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1. Un*socio=rien autre *socio=rien facteur décisif *socio=nil pour l'amélioration*socio=uv1 de la *socio=rien situation est l'*socio=nil engagement*socio=uv1 des*socio=nil autorités*socio=et en*socio=nil faveur *socio=nil de l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv4 budgétaires*socio=et à moyen_terme*socio=te *socio=rien exigeant un freinage continu*socio=te des*socio=nil dépenses*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil actions *socio=nil menées ces *socio=rien dernières années *socio=nil par le gouvernement*socio=ac en matière*socio=rien de réformes*socio=et structurelles*socio=uv4 contribueront à renforcer le potentiel*socio=uv4 de croissance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1. La réponse*socio=rien appropriée devant*socio=rien les préoccupations*socio=uv4 qui subsistent au sujet*socio=rien de la compétitivité*socio=uv3 et de la faible*socio=rien croissance*socio=uv3 de la productivité*socio=uv3 consisterait à étendre ces réformes*socio=et à des domaines*socio=rien comme la mise en valeur*socio=ec1 des ressources_humaines*socio=ec1, la recherche-développement*socio=ec1 et la suppression*socio=rien des *socio=rien derniers obstacles aux*socio=nil *socio=ec1 échanges commerciaux.*socio=nil