*{ Rapport des études économiques de l'OCDE en France de 1997 } Évaluation*socio=ec2 et recommandations. Après la reprise vigoureuse*socio=rien, mais plus brève*socio=rien qu'il n'avait été*socio=rien envisagé dans la précédente*socio=rien étude*socio=ec2, observée de la fin*socio=rien de 1993 au début*socio=rien de 1995, la croissance*socio=uv3 s'est*socio=rien essoufflée pour tomber à *socio=rien un taux *socio=nil proche de 1 pour cent*socio=rien en 1996. Cette décélération*socio=ec2 est*socio=rien largement imputable*socio=uv2 au *socio=rien net affaiblissement des*socio=nil exportations*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans une *socio=rien moindre mesure,*socio=nil les*socio=nil effets *socio=nil différés de la remontée mondiale*socio=te des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te en 1994 et les tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=rien ont également pu jouer *socio=rien un rôle.*socio=nil Les*socio=nil dépenses*socio=ec1 des*socio=nil ménages*socio=ac ont*socio=nil été *socio=nil soutenues et se sont Même accélérées au cours*socio=rien des six *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1996, du fait*socio=rien notamment d'une reprise de l'activité*socio=rien après*socio=rien les grèves de la fin*socio=rien de 1995 et des mesures*socio=et d'incitation*socio=uv3 à l'achat*socio=ec1 de voitures*socio=rien et à la construction*socio=ec1 de logements*socio=ec1. En conséquence*socio=rien, après*socio=rien avoir atteint *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4 *socio=nil en 1995, le taux*socio=rien d'épargne*socio=ec1 des ménages*socio=ac s'est*socio=rien fortement réduit. Il n'est*socio=rien pas à exclure toutefois que le renforcement*socio=ec2 du processus*socio=te d'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et à partir de la *socio=rien deuxième moitié *socio=nil de 1995 ait pu limiter*socio=rien la vigueur*socio=uv3 de la reprise de la consommation*socio=ec1 au début*socio=rien de 1996. Par ailleurs*socio=rien, l'affaiblissement*socio=rien des perspectives*socio=te de la demande*socio=ec1 et la baisse*socio=ec2 des taux*socio=rien d'utilisation*socio=rien des capacités*socio=uv3 ont freiné l'investissement*socio=ec1 des entreprises*socio=ac et les stocks*socio=ec1 se sont fortement contractés au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1996. Après*socio=rien avoir diminué pendant trois trimestres*socio=te successifs*socio=rien, la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 s'est*socio=rien redressée en 1996, tandis que celle des importations*socio=ec1 restait modérée depuis le début*socio=rien de 1995 suivant*socio=rien en cela l'évolution*socio=rien de la demande*socio=ec1 finale*socio=rien. L'excédent*socio=ec1 de la balance*socio=ec1 des opérations*socio=rien courantes*socio=te à de ce fait*socio=rien augmenté. Après*socio=rien s'être*socio=rien vigoureusement redressé pendant la phase*socio=te de reprise, l'emploi*socio=ec1 dans le secteur_privé*socio=et est*socio=rien resté stable*socio=uv4 depuis le milieu*socio=rien de 1995. Il semblerait qu'au cours*socio=rien de ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil sous l'effet*socio=rien conjugué*socio=rien de la modération*socio=ec2 des salaires*socio=ec1 et des *socio=et mesures gouvernementales *socio=nil pour réduire le coût*socio=ec1 du travail*socio=ec1 et développer le travail*socio=ec1 à temps_partiel*socio=ec1, la croissance*socio=uv3 soit devenue plus riche*socio=uv2 en emploi*socio=ec1. Malgré cela, *socio=rien suite an ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de l'activité*socio=rien, le taux*socio=rien de chômage*socio=ec1 à recommencé à s'orienter à la hausse*socio=rien et s'établissait à 12,6 pour cent*socio=rien en septembre*socio=rien 1996. La hausse*socio=rien des salaires*socio=ec1 à *socio=rien été faible *socio=nil et les rémunérations*socio=ec1 réelles*socio=ec2 sont restées stables*socio=uv4. Les prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 ont été*socio=rien poussés à la hausse*socio=rien par le relèvement*socio=ec2 du taux*socio=rien de la TVA*socio=et en août*socio=rien 1995. Néanmoins, l'inflation*socio=ec2 sous-jacente*socio=rien diminue lentement et est*socio=rien désormais proche de 1 pour cent*socio=rien. La faible*socio=rien pression*socio=ec2 des coûts*socio=ec1 du travail*socio=ec1 et le *socio=rien bas niveau du*socio=nil taux d'*socio=nil utilisation des*socio=nil capacités*socio=uv3 *socio=nil expliquent cette évolution*socio=rien. La croissance*socio=uv3 pourrait demeurer hésitante*socio=rien jusqu'à la fin*socio=rien de 1996, mais la *socio=rien forte détente des*socio=nil *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil et l'amélioration*socio=uv1 du contexte*socio=rien international*socio=te devraient permettre un*socio=rien raffermissement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien au cours*socio=rien des deux années*socio=rien à venir. La *socio=ec1 construction résidentielle privée*socio=et *socio=nil montre déjà des signes de reprise Grâce*socio=rien à la baisse*socio=ec2 des taux*socio=rien hypothécaires*socio=ec1, et l'investissement*socio=ec1 du secteur*socio=rien des entreprises*socio=ac devrait se redresser en raison*socio=rien des perspectives*socio=te de demande*socio=rien plus favorables*socio=ec2. L'amélioration*socio=uv1 de la *socio=rien situation sur le*socio=nil marché_du_travail*socio=ec1 *socio=nil devrait soutenir les dépenses*socio=ec1 de consommation*socio=ec1, même si l'épargne*socio=ec1 de précaution*socio=rien peut rester élevée*socio=uv4 en raison*socio=rien de la persistance*socio=te d'un*socio=rien fort*socio=rien chômage*socio=ec1 - le taux*socio=rien de chômage*socio=ec1 pourrait être*socio=rien encore de l'ordre*socio=rien de 12 pour cent*socio=rien en 1998. De plus, le net*socio=rien raffermissement*socio=ec2 de la formation*socio=et de stocks*socio=ec1 après*socio=rien le large*socio=rien mouvement*socio=ec2 récent*socio=rien de déstockage devrait stimuler l'activité*socio=rien. La sensibilité*socio=ec2 à court*socio=rien et moyen_terme*socio=te de l'économie*socio=ec1 française*socio=ac au mouvement*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 est*socio=rien d'une *socio=rien ampleur incertaine.*socio=nil Historiquement,*socio=nil *socio=nil elle parait avoir été*socio=rien assez limitée, mais elle à sans doute*socio=rien nettement augmenté depuis la libéralisation*socio=et des marchés_financiers*socio=ec1 au milieu*socio=rien des années*socio=rien 80, même s'il est*socio=rien encore difficile*socio=rien d'estimer de *socio=rien manière précise les*socio=nil effets *socio=nil de la récente*socio=rien et *socio=rien importante détente des*socio=nil *socio=ec1 conditions monétaires sur*socio=rien la*socio=nil croissance*socio=uv3 à*socio=nil moyen_terme*socio=te.*socio=nil *socio=nil Comme, de plus, cette détente*socio=rien à été*socio=rien plus tardive*socio=rien que dans beaucoup d'autres *socio=ac pays européens *socio=nil mais plus forte*socio=rien depuis la fin*socio=rien de 1995, le redressement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien pourrait être*socio=rien plus modéré en France*socio=ac que dans ses principaux*socio=rien partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1, mais la croissance*socio=uv3 pourrait y être*socio=rien ensuite plus vigoureuse*socio=rien. Le franc*socio=ec1 est*socio=rien resté soumis à de fortes*socio=rien pressions*socio=ec2 pendant la *socio=rien majeure partie *socio=nil de l'armée*socio=et 1995. Dans ces conditions*socio=ec1, le taux*socio=rien des prises*socio=rien en pensions*socio=et de la Banque*socio=ac de France*socio=ac à du *socio=rien être temporairement *socio=nil relevé à deux reprises. De son côté*socio=rien, le taux*socio=rien des appels*socio=rien d'offres*socio=rien, *socio=rien principal mode de*socio=nil refinancement*socio=ec1 des*socio=nil banques*socio=ac,*socio=nil est resté*socio=nil inchangé.*socio=nil Les*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil à trois mois*socio=rien qui étaient de 5,9 pour cent*socio=rien au début*socio=rien de 1995 sont passés*socio=te à 8 pour cent*socio=rien en mars*socio=rien pour revenir à 5,9 pour cent*socio=rien à partir d'août*socio=rien. Après*socio=rien une pointe*socio=ec2 à é.9 pour cent*socio=rien en octobre*socio=rien, ils se sont établis à 5,5 pour cent*socio=rien en décembre*socio=rien. Les pressions*socio=ec2 se sont atténuées depuis la fin*socio=rien 1995 à la suite*socio=rien du rappel*socio=rien par les autorités*socio=et de leur volonté*socio=uv1 de donner la priorité*socio=uv4 à l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. Les taux*socio=rien de la banque_centrale*socio=ac ont été*socio=rien abaissés en plusieurs étapes*socio=te et le taux*socio=rien du *socio=ec1 marché monétaire *socio=nil à trois *socio=rien mois est *socio=nil tombé à 31/2 pour cent*socio=rien - son niveau*socio=rien le plus bas*socio=rien depuis les années*socio=rien 60. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te se sont eux aussi inscrits*socio=rien en baisse*socio=ec2 et l'écart*socio=rien vis-à-vis des taux*socio=rien allemands*socio=ac à disparu depuis mai*socio=rien 1996. Cette évolution*socio=rien positive*socio=uv4 est*socio=rien notamment liée à la crédibilité*socio=uv1 renforcée de la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 et à la confiance*socio=uv1 des opérateurs*socio=ac sur*socio=rien le marché*socio=ec1 dans la réalisation*socio=uv1 dans de bonnes*socio=rien conditions*socio=ec1 de ]a troisième*socio=rien phase*socio=te de l' union_monétaire*socio=et. Les *socio=ec1 conditions monétaires,*socio=nil rigoureuses*socio=uv4 au*socio=nil début*socio=rien des*socio=nil années*socio=rien *socio=nil 90, ont été*socio=rien sensiblement assouplies en dépit*socio=rien des relèvements*socio=ec2 transitoires*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te pour faire face*socio=rien aux pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=rien. Du fait*socio=rien de la décrue des taux_d'_intérêt*socio=ec1 depuis la fin*socio=rien de 1995, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 sont désormais peu élevés*socio=uv4 par rapport*socio=rien aux autres pays*socio=ac et le taux_de_change*socio=ec1 effectif*socio=rien à cessé de s'apprécier. Si l'on en juge*socio=et d'après*socio=rien un*socio=rien indice des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil (qui prend en compte*socio=rien à la fois*socio=rien les mouvements*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et du taux_de_change*socio=ec1), l'orientation*socio=et actuelle*socio=te de la politique_monétaire*socio=et est*socio=rien beaucoup moins rigoureuse*socio=uv4 qu'elle ne l'a été*socio=rien au cours*socio=rien de n'importe quelle année*socio=rien depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 80. Depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 80, le secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1 français*socio=ac à été*socio=rien soumis à plusieurs chocs*socio=ec2 et son ajustement*socio=et à *socio=rien été imparfait.*socio=nil En*socio=nil conséquence,*socio=nil la*socio=nil rentabilité*socio=ec1 est assez*socio=nil faible.*socio=nil Les*socio=nil coopératives*socio=ac *socio=nil et les caisses*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 se sont mieux adaptées que les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 en partie*socio=rien du fait*socio=rien de l'avantage compétitif*socio=uv4 que leur donne la réglementation*socio=et par rapport*socio=rien aux banques*socio=ac commerciales*socio=ec1. En outre, ]a restructuration*socio=et des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 à été*socio=rien sérieusement entravée par une convention_collective*socio=ec1 très restrictive*socio=uv4. l'État*socio=ac à jusqu'à présent*socio=rien renfloué plusieurs banques*socio=ac, les sauvetages les plus importants*socio=rien étant ceux du Crédit*socio=ec1 Lyonnais*socio=ac, établissement*socio=rien public*socio=et, et du *socio=ec1 Crédit foncier de*socio=nil France*socio=ac,*socio=nil établissement*socio=rien *socio=nil semi-public. Après*socio=rien les contributions*socio=uv1 financières*socio=ec1 importantes*socio=rien dont il à déjà bénéficié, le Crédit*socio=ec1 Lyonnais*socio=ac se verra accorder une aide*socio=uv1 financière*socio=ec1 supplémentaire*socio=rien, le but*socio=rien étant de privatiser la banque*socio=ac le plus rapidement possible*socio=rien. Toute une série de réformes*socio=et, notamment l'harmonisation*socio=uv3 des conditions*socio=ec1 de la concurrence*socio=ec1, le renforcement*socio=ec2 des contrôles*socio=et prudentiels*socio=ec1 intérieurs*socio=te et extérieurs*socio=te et le désengagement*socio=et de l'État*socio=ac doivent être*socio=rien accélérés pour améliorer la performance*socio=uv3 du système_bancaire*socio=ec1. Depuis 1993, la progression*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et est*socio=rien mieux maîtrisée grâce*socio=rien aux réformes*socio=et de la sécurité_sociale*socio=et et à la plus grande*socio=rien rigueur*socio=uv3 budgétaire*socio=et de l'État*socio=ac. L'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et à progressé conformément aux objectifs*socio=uv4 à moyen_terme*socio=te, le déficit*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac étant ramené à environ 4 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 en 1996. Pour permettre les réductions*socio=ec2 d'impôt*socio=et prévues, le budget_de_l'_état*socio=et pour 1997 gèle les dépenses*socio=ec1 en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1, ce qui implique une sensible*socio=rien contraction*socio=ec2 en termes*socio=rien réels*socio=ec2. C'est*socio=rien là un*socio=rien objectif*socio=uv4 de dépenses*socio=ec1 plus restrictif*socio=uv4 que ne le prévoyait la loi*socio=et quinquennale*socio=te pour la période*socio=te 1994 à 1998. La réduction*socio=ec2 ainsi obtenue du déficit*socio=ec1 de l'État*socio=ac, conjuguée*socio=rien d'une part*socio=rien à la diminution*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 de la sécurité_sociale*socio=et et d'autre part*socio=rien à *socio=rien un important versement*socio=ec1 de*socio=nil France*socio=ac Télécom*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil devrait ramener le déficit*socio=ec1 global*socio=te à environ 3 pour cent*socio=rien en 1997. Même si *socio=rien un certain dérapage*socio=uv4 *socio=nil se produisait, comme le prévoit l'OCDE*socio=ac, il devrait *socio=rien être possible *socio=nil de prendre les mesures*socio=et requises*socio=uv4 pour ramener le déficit*socio=ec1 *socio=rien an niveau *socio=nil souhaité. En l'absence*socio=rien de mesures*socio=et complémentaires*socio=rien, le processus*socio=te d'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et ne progressera qu'avec lenteur*socio=rien et le déficit*socio=ec1 global*socio=te pourrait rester proche de 3 pour cent*socio=rien en 1998. Néanmoins, la dette*socio=ec1 publique*socio=et rapportée an*socio=rien PIB*socio=ec1 devrait de toute façon*socio=rien rester *socio=rien inférieure an taux *socio=nil de 60 pour cent*socio=rien, qui constitue l'objectif*socio=uv4 de Maastricht*socio=et. Au cours*socio=rien des *socio=rien cinq prochaines années,*socio=nil les*socio=nil impôts*socio=et directs des*socio=nil ménages*socio=ac *socio=nil seront réduits, le *socio=rien taux marginal supérieur *socio=nil étant ramené progressivement*socio=rien de 56.8 pour cent*socio=rien à 47,0 pour cent*socio=rien en l'an*socio=rien 2001. Malgré l'élargissement*socio=ec2 simultané*socio=rien de l'assiette*socio=rien d'imposition*socio=et, les moins-values*socio=ec1 nettes*socio=rien de recettes*socio=ec1 pourraient atteindre 75 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 en 2001 (prés*socio=rien de 1 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1). La réforme*socio=et du système*socio=rien d'imposition*socio=et directe*socio=rien des ménages*socio=ac était devenue nécessaire*socio=rien, le barème*socio=rien de l'impôt*socio=et étant l'un*socio=rien des plus progressifs de la zone_de_l'_ocde*socio=te et l'assiette*socio=rien d'imposition*socio=et étant extrêmement réduite. Néanmoins, Même après*socio=rien cette réforme*socio=et, nombre*socio=rien de mécanismes*socio=et d'exonération*socio=ec1 subsisteront; les autorités*socio=et n'envisagent pas d'intégrer les autres impôts*socio=et *socio=rien directs sur les*socio=nil ménages*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et le nombre*socio=rien de ménages*socio=ac qui acquitteront l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 en 2001 sera encore plus faible*socio=rien qu'il ne l'est*socio=te actuellement, soit environ la moitié*socio=rien du total*socio=rien. Peut-être sera-t-il difficile*socio=rien d'alléger substantiellement les prélèvements*socio=ec1 obligatoires*socio=uv2 étant donné les rigidités*socio=uv3 existant*socio=rien du côté*socio=rien des dépenses*socio=ec1 et le fait*socio=rien que plusieurs administrations*socio=ec1 procèdent à des prélèvements*socio=ec1 (ttat, collectivités_locales*socio=ac, administrations*socio=ec1 de sécurité_sociale*socio=et). Malgré ces difficultés*socio=uv4, les réformes*socio=et mises en oeuvre*socio=rien devraient permettre de baisser les prélèvements*socio=ec1 obligatoires*socio=uv2 en 1997. A la fin*socio=rien de 1995, le gouvernement*socio=ac à annoncé une vaste*socio=rien réforme*socio=et de la sécurité_sociale*socio=et. Ce plan*socio=rien comprenait deux types de dispositions*socio=et. D'une part*socio=rien des mesures*socio=et de redressement*socio=ec2 visant à rétablir en deux ans*socio=rien le régime*socio=et général*socio=rien de la sécurité_sociale*socio=et. Ces mesures*socio=et comprenaient la création*socio=rien d'une nouvelle*socio=rien taxe*socio=et directe*socio=rien pour financer une institution*socio=ac chargée de rembourser la dette*socio=ec1 accumulée*socio=rien (250 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1) du système*socio=rien de sécurité_sociale*socio=et, le gel*socio=et des allocations_familiales*socio=et en 1996, le relèvement*socio=ec2 de la cotisation*socio=ec1 des retraités*socio=ac et des chômeurs*socio=ac au régime*socio=et de soins_de_santé*socio=et qui reste*socio=rien toutefois inférieure*socio=rien à la moyenne*socio=rien et la mise sous condition*socio=rien de ressources*socio=ec1 d'une autre allocation_familiale. D'autre part*socio=rien, le plan*socio=rien prévoyait des mesures*socio=et structurelles*socio=uv4 essentiellement axées sur*socio=rien les dépenses*socio=ec1 de soins_de_santé*socio=et comportant notamment l'institution*socio=ac d'un*socio=rien contrôle*socio=uv3 du Parlement*socio=ac sur*socio=rien les dépenses*socio=ec1 de sécurité_sociale*socio=et, la mise en place*socio=rien de différents*socio=rien mécanismes*socio=et visant à assurer le respect*socio=uv1 des objectifs*socio=uv4 de dépenses*socio=ec1 fixés par le Parlement*socio=ac, et la création*socio=rien d'agences*socio=ac régionales*socio=te de l'hospitalisation dotées de pouvoirs*socio=et élargis en matière*socio=rien de planification*socio=et et de financement*socio=ec1 de l'hôpital. Des mécanismes*socio=et visant à faire respecter les objectifs*socio=uv4 de dépenses*socio=ec1 sont prévus, tant au niveau*socio=rien des professionnels*socio=ec1 de la santé*socio=et que dans le secteur*socio=rien hospitalier*socio=et. Les contrôles*socio=et seront renforcés Grâce*socio=rien à l'utilisation*socio=rien de références médicales*socio=et opposables*socio=rien et l'introduction*socio=rien accélérée de carnets*socio=rien de santé*socio=et individualisés. Lorsque la réforme*socio=et à été*socio=rien annoncée, on prévoyait qu'elle permettrait de dégager un*socio=rien excédent*socio=ec1 de la sécurité_sociale*socio=et en 1997. Néanmoins, les moins-values*socio=ec1 de recettes*socio=ec1 et ]a lenteur*socio=rien de la mise en place*socio=rien des mesures*socio=et de réforme*socio=et des soins_de_santé*socio=et maintiendront probablement le déficit*socio=ec1 à *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4 *socio=nil en 1996. De nouvelles*socio=rien mesures*socio=et concernant les recettes*socio=ec1 et les dépenses*socio=ec1 ont été*socio=rien annoncées en septembre*socio=rien 1996, afin de ramener le déficit*socio=ec1 de la sécurité_sociale*socio=et à 30 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 en 1997. Si les réformes*socio=et opérées depuis 1992 avaient très largement réussi à freiner les dépenses*socio=ec1, l'accélération*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 de santé*socio=et depuis 1995 montre les limites*socio=rien des mesures*socio=et antérieures*socio=te. Le *socio=rien dernier projet de*socio=nil réforme*socio=et du*socio=nil système_de_santé*socio=et marque une*socio=nil rupture*socio=ec2 *socio=nil avec le passé*socio=te, dont il faut se féliciter, grâce*socio=rien à la mise en place*socio=rien des instruments*socio=et nécessaires*socio=rien à la ma-itrise des dépenses*socio=ec1. Le succès*socio=uv1 de la réforme*socio=et dépendra dans une *socio=rien large mesure *socio=nil de la restructuration*socio=et effective*socio=rien du secteur*socio=rien hospitalier*socio=et, laquelle prendra vraisemblablement*socio=rien du temps*socio=rien, et les pouvoirs_publics*socio=et devront faire preuve*socio=ec2 de détermination*socio=rien pour faire accepter une reprise partielle*socio=rien en cas*socio=rien de dépassement*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1. Le gouvernement*socio=ac à défini*socio=rien les *socio=rien grandes lignes d'*socio=nil un plan budgétaire*socio=et quinquennal*socio=te *socio=nil pour la période*socio=te 1997-2001 ramenant le déficit*socio=ec1 de l'État*socio=ac à 2 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 en 2001 basé sur*socio=rien une hypothèse*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 du PIB*socio=ec1 de 2,5 pour cent*socio=rien par an*socio=rien. Le rythme*socio=rien choisi pour procéder à cet assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et tient compte*socio=rien des allégements*socio=uv3 d'impôts*socio=et directs*socio=rien prévus pour les *socio=rien cinq prochaines années.*socio=nil *socio=nil étant donné l'évolution*socio=rien démographique*socio=ec1 qui implique l'accentuation*socio=ec2 vraisemblable*socio=rien des pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les dépenses*socio=ec1 après*socio=rien l'an*socio=rien 2000, un*socio=rien effort*socio=uv1 supplémentaire*socio=rien de réduction*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et s'avérera probablement nécessaire*socio=rien à terme*socio=rien. Le régime*socio=et général*socio=rien des salariés*socio=ac du secteur_privé*socio=et à été*socio=rien réformé en 1993. Le nouveau*socio=rien dispositif*socio=et comporte notamment *socio=rien un allongement progressif *socio=nil de la durée*socio=te de cotisation*socio=ec1 ouvrant droit*socio=uv1 à la retraite*socio=ec1 à *socio=rien taux plein.*socio=nil Son*socio=nil financement*socio=ec1 paraît*socio=nil être *socio=nil assuré jusqu'aux alentours*socio=rien de l'an*socio=rien 2010. Pour faire face*socio=rien à l'augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 au delà de 2010, une nouvelle*socio=rien adaptation*socio=uv3 du système*socio=rien pourrait s'avérer nécessaire*socio=rien. Les régimes*socio=et spéciaux*socio=rien de retraite*socio=ec1 (concernant essentiellement les salariés*socio=ac du secteur_public*socio=et) N'ont pas encore été*socio=rien réformés et les paiements*socio=ec1 au titre*socio=rien des pensions*socio=et progressent déjà à *socio=rien un rythme rapide.*socio=nil *socio=nil En l'absence*socio=rien de réforme*socio=et, les dépenses*socio=ec1 de l'administration_centrale*socio=ac et plus particulièrement des collectivités_locales*socio=ac au titre*socio=rien des retraites*socio=ec1 ne peuvent que s'alourdir fortement alors même que les paiements*socio=ec1 de transfert*socio=ec1 aux régimes*socio=et des cheminots et des agriculteurs*socio=ac devront rester élevés*socio=uv4. Les dépenses*socio=ec1 sociales*socio=et de l'État*socio=ac (par exemple*socio=rien le revenu*socio=ec1 minimum*socio=rien d'insertion*socio=uv3) pourraient être*socio=rien également mieux maîtrisées. Au cours*socio=rien de ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil il n'a pas *socio=rien été rare *socio=nil que les crédits*socio=ec1 initiaux*socio=rien ne soient pas respectés, reflétant largement les difficultés*socio=uv4 liées à la faiblesse*socio=ec2 de l'activité*socio=rien. La recherche*socio=ec2 d'une plus grande*socio=rien efficacité*socio=uv3 dans ces dispositifs*socio=et et en *socio=rien particulier un meilleur contrôle*socio=uv3 *socio=nil de l'éligibilité des demandeurs*socio=ac pourrait conduire à des économies*socio=ec1. Il est*socio=rien par *socio=rien ailleurs important *socio=nil de s'assurer que ces dispositifs*socio=et conduisent à une réinsertion*socio=uv1 satisfaisante*socio=uv4. La reforme de la gestion*socio=ec2 du secteur_public*socio=et pourrait conduire à une *socio=rien meilleure utilisation des*socio=nil ressources*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil système de*socio=nil rémunération*socio=ec1 engendre*socio=nil un très*socio=nil important glissement de*socio=nil salaire*socio=ec1 en*socio=nil raison des*socio=nil promotions*socio=ec2 *socio=nil et de l'avancement*socio=uv3 à l'ancienneté*socio=ec1, ce qui pose de *socio=uv4 sérieux problèmes en*socio=nil période*socio=te de*socio=nil faible*socio=rien inflation*socio=ec2 *socio=nil où l'on ne dispose que d'une faible*socio=rien marge de manoeuvre*socio=rien pour négocier les augmentations*socio=ec2 de salaire*socio=ec1. Nombre*socio=rien d'autres pays_de_l'_ocde*socio=ac ont une gestion*socio=ec2 plus flexible*socio=uv4 du secteur_public*socio=et. Contrairement à la fixation*socio=ec1 centralisée des salaires*socio=ec1 qui existe en France*socio=ac, les rémunérations*socio=ec1 ne sont généralement pas déterminées de manière*socio=rien uniforme*socio=uv4. Lorsque les entités*socio=rien gouvernementales*socio=et gèrent des enveloppes de dépenses*socio=ec1, la flexibilité*socio=uv3 de la détermination*socio=rien des rémunérations*socio=ec1 va souvent de pair*socio=rien avec une importante*socio=rien marge de manoeuvre*socio=rien concernant les effectifs*socio=rien. Néanmoins, la sécurité*socio=uv1 de l'emploi*socio=ec1 garantie de fait*socio=rien aux *socio=ac fonctionnaires français n'*socio=nil est*socio=rien pas*socio=nil incompatible*socio=uv4 *socio=nil avec une gestion*socio=ec2 rigoureuse*socio=uv4 des effectifs*socio=rien; des marges d'ajustement*socio=et existent en raison*socio=rien notamment du nombre*socio=rien des départs en retraite*socio=ec1 enregistré chaque année*socio=rien. La flexibilité*socio=uv3 de la gestion*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 est*socio=rien l'une des raisons*socio=rien pour lesquelles certains pays_membres*socio=ac de l'OCDE*socio=ac ont réussi à réduire largement leurs dépenses*socio=ec1 depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 90. En France*socio=ac également, l'allégement*socio=uv3 de la charge*socio=rien fiscale*socio=et parallèlement à une forte*socio=rien réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 sera facilitée par la mise en oeuvre*socio=rien de la réforme*socio=et de l'État*socio=ac qui donnera aux responsables*socio=uv2 de meilleurs*socio=rien instruments*socio=et et incitations*socio=uv3 pour améliorer l'efficacité*socio=uv3 de Faction du gouvernement*socio=ac. La *socio=rien situation sur le*socio=nil marché_du_travail*socio=ec1 s'*socio=nil est *socio=nil fortement dégradée entre le milieu*socio=rien des années*socio=rien 70 et le milieu*socio=rien des années*socio=rien 80. Le taux*socio=rien de chômage*socio=ec1 est*socio=rien actuellement de 121/2 pour cent*socio=rien, et comporte une *socio=rien importante composante conjoncturelle*socio=uv4.*socio=nil La*socio=nil composante structurelle*socio=uv4 *socio=nil que l'on estime*socio=rien entre 9 et 101/2 pour cent*socio=rien, n'a plus progressé significativement depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 80. ce niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 reflète les *socio=rien importants obstacles structurels*socio=uv4 *socio=nil qui entravent le fonctionnement*socio=rien du marché_du_travail*socio=ec1. Ceux-ci se traduisent par le recul*socio=rien tendanciel*socio=ec2 du taux*socio=rien d'emploi*socio=ec1 des entreprises*socio=ac, qui est*socio=rien actuellement l'un*socio=rien des plus faibles*socio=rien de la zone_de_l'_ocde*socio=te. Face*socio=rien à la montée du chômage*socio=ec1, les mesures*socio=et prises*socio=rien par le gouvernement*socio=ac concernant le marché_du_travail*socio=ec1 depuis la fin*socio=rien des années*socio=rien 80 ont essentiellement visé à réduire le coût*socio=ec1 du travail*socio=ec1 des travailleurs*socio=ac les moins qualifiés*socio=uv4, à favoriser l'emploi*socio=ec1 des personnes*socio=ac les plus en difficulté*socio=uv4 (jeunes*socio=ac et chômeurs*socio=ac de longue*socio=rien durée*socio=te) et à encourager le développement*socio=uv3 du travail*socio=ec1 à temps_partiel*socio=ec1. Le gouvernement*socio=ac à également pris des mesures*socio=et pour accroître la flexibilité*socio=uv3 du marché_du_travail*socio=ec1. Conjuguées*socio=rien à la très importante*socio=rien modération*socio=ec2 des salaires*socio=ec1, ces mesures*socio=et ont enrichi le contenu en emplois*socio=ec1 de la croissance*socio=uv3 et atténué l'effet*socio=rien de la faible*socio=rien croissance*socio=uv3 sur*socio=rien l'évolution*socio=rien du chômage*socio=ec1 au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil En revanche, les mesures*socio=et visant à réduire l'_offre*socio=ec1 de main-d'_oeuvre*socio=ac restent importantes*socio=rien. Globalement, le chômage*socio=ec1 devrait diminuer à moyen_terme*socio=te grâce*socio=rien à la réduction*socio=ec2 du chômage*socio=ec1 conjoncturel*socio=uv4. Les mesures*socio=et prises*socio=rien au cours*socio=rien de ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil notamment la baisse*socio=ec2 des charges*socio=rien pesant sur*socio=rien les travailleurs*socio=ac peu qualifiés*socio=uv4, devraient permettre *socio=rien un recul du*socio=nil chômage*socio=ec1 structurel*socio=uv4.*socio=nil Il*socio=nil est néanmoins*socio=nil probable*socio=uv4 *socio=nil que cette composante*socio=rien structurelle*socio=uv4 restera élevée*socio=uv4. L'ajustement*socio=et des salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2 globaux*socio=te aux chocs*socio=ec2 extérieurs*socio=te et intérieurs*socio=te ne s'est*socio=rien réalisée que lentement jusqu'au début*socio=rien des années*socio=rien 80, mais la progression*socio=ec2 des salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2 à été*socio=rien généralement plus faible*socio=rien que la croissance*socio=uv3 tendancielle*socio=ec2 de la productivité*socio=uv3 depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 80, en *socio=rien grande partie du*socio=nil fait *socio=nil de l'ampleur*socio=rien du chômage*socio=ec1. Plusieurs facteurs*socio=rien peuvent influencer la flexibilité*socio=uv3 des salaires*socio=ec1 notamment le système*socio=rien de négociation*socio=et salariale*socio=ec1 et le degré*socio=rien de concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des produits*socio=rien. La législation*socio=et du travail*socio=ec1 conduit à une superposition de dispositifs*socio=et depuis les dispositions*socio=et du code_du_travail jusqu'aux contrats*socio=ec1 individuels*socio=uv2. Les processus*socio=te de négociations*socio=et salariales*socio=ec1 peuvent s'effectuer à *socio=rien différents niveaux:*socio=nil local*socio=te ou*socio=nil national*socio=te,*socio=nil *socio=nil de l'entreprise*socio=ac ou de la branche*socio=rien. Les accords*socio=et négociés au niveau*socio=rien de la branche*socio=rien sont fréquemment étendus à l'ensemble*socio=rien des entreprises*socio=ac de la branche*socio=rien généralement à la demande*socio=ec1 des partenaires_sociaux*socio=et. L'étude*socio=ec2 de l'OCDE*socio=ac sur*socio=rien l'emploi*socio=ec1 de 1994 recommande de *socio=rien façon générale la*socio=nil décentralisation*socio=et des*socio=nil négociations*socio=et salariales*socio=ec1 *socio=nil qui aurait des effets*socio=rien positifs*socio=uv4 dans la mesure*socio=rien où les salaires*socio=ec1 refléteraient mieux les différentes*socio=rien conditions*socio=ec1 existant*socio=rien au niveau*socio=rien local*socio=te et au niveau*socio=rien de l'entreprise*socio=ac et qui favoriserait le retour*socio=rien à l'emploi*socio=ec1 des chômeurs*socio=ac. De ce fait*socio=rien, l'étude*socio=ec2 recommande la suppression*socio=rien à terme*socio=rien de l'extension*socio=rien administrative*socio=rien. Toutefois, dans le cas*socio=rien de la France*socio=ac, des études*socio=ec2 actuelles*socio=te suggèrent que de telles extensions n'entravent pas significativement ]a décentralisation*socio=et du processus*socio=te de formation*socio=et des salaires*socio=ec1. S'il n'est*socio=rien pas à exclure que dans certains cas*socio=rien, elle puisse s'imposer à certaines*socio=rien entreprises*socio=ac qui ne le souhaiteraient pas, le maintien*socio=rien de l'extension*socio=rien administrative*socio=rien se justifie également aux yeux*socio=rien des autorités*socio=et françaises*socio=ac par la faiblesse*socio=ec2 de la représentation syndicale et par la volonté*socio=uv1 de rééquilibrer les conditions*socio=ec1 dans lesquelles les rémunérations*socio=ec1 sont négociées. Le chômage*socio=ec1 des travailleurs*socio=ac les moins qualifiés*socio=uv4 à fortement augmenté et se situe à *socio=rien un niveau très*socio=nil élevé*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Dans le même temps*socio=rien, le coût*socio=ec1 du travail*socio=ec1 de cette catégorie*socio=rien à progressé plus vite que la moyenne*socio=rien jusqu'au début*socio=rien des années*socio=rien 90. Les deux *socio=rien principales raisons *socio=nil sont les relèvements*socio=ec2 successifs*socio=rien des taux*socio=rien de cotisation*socio=ec1 de sécurité_sociale*socio=et et la rapide*socio=rien augmentation*socio=ec2 du salaire*socio=ec1 minimum*socio=rien, particulièrement forte*socio=rien entre la fin*socio=rien des années*socio=rien 60 et le début*socio=rien des années*socio=rien 80. Afin de garantir un*socio=rien revenu*socio=ec1 minimum*socio=rien d'activité*socio=rien tout en s'assurant que le coût*socio=ec1 du travail*socio=ec1 ne constitue pas *socio=rien un obstacle *socio=nil à l'embauche*socio=ec1 des travailleurs*socio=ac peu qualifiés*socio=uv4, les autorités*socio=et françaises*socio=ac ont adopté à partir de 1993 une stratégie*socio=et visant à réduire sensiblement les *socio=ec1 cotisations patronales de*socio=nil sécurité_sociale*socio=et *socio=nil pour les travailleurs*socio=ac à bas*socio=rien salaire*socio=ec1. Pour sa part*socio=rien, l'étude*socio=ec2 de l'OCDE*socio=ac sur*socio=rien l'emploi*socio=ec1 recommande de reconsidérer le rôle*socio=rien du salaire*socio=ec1 minimum*socio=rien en tant qu'instrument*socio=et de redistribution*socio=et de façon*socio=rien à accroître les possibilités*socio=rien d'emploi*socio=ec1 et préconise une modulation*socio=rien du salaire*socio=ec1 minimum*socio=rien selon l'âge*socio=rien et la région*socio=te. L'étude*socio=ec2 de l'OCDE*socio=ac suggère aussi que si les conséquences*socio=rien redistributives d'une telle mesure*socio=rien sont jugées peu satisfaisantes*socio=uv4, elles pourraient être*socio=rien en partie*socio=rien atténuées par l'instauration*socio=rien d'une forme*socio=rien de prestation*socio=et liée à l'exercice*socio=rien d'un*socio=rien emploi*socio=ec1 pour les travailleurs*socio=ac les moins bien*socio=rien rémunérés. Il serait cependant très difficile*socio=rien d'atteindre par des mesures*socio=et de ce type*socio=rien les mêmes objectifs*socio=uv4 redistributifs qu'avec *socio=rien un système de*socio=nil salaire*socio=ec1 minimum.*socio=nil *socio=nil Pour leur part*socio=rien, les autorités*socio=et françaises*socio=ac considèrent que le sens*socio=rien de leur action*socio=rien, réduire le coût*socio=ec1 du travail*socio=ec1 peu qualifié*socio=uv4 sans peser sur*socio=rien le pouvoir_d'_achat*socio=ec1 des salariés*socio=ac concernés, ne serait pas compris si la garantie d'un*socio=rien revenu*socio=ec1 minimum*socio=rien d'activité*socio=rien que constitue le SMIC*socio=ec1 venait à s'affaiblir. Les deux dispositifs*socio=et (celui préconisé par l'OCDE*socio=ac et celui préconisé par les autorités*socio=et françaises*socio=ac) ont un*socio=rien coût*socio=ec1 budgétaire*socio=et important*socio=rien. Jusqu'à présent*socio=rien, en France*socio=ac, les réductions*socio=ec2 de charges*socio=rien sociales*socio=et ont été*socio=rien financées par le relèvement*socio=ec2 d'autres impôts*socio=et, ce qui atténue les effets*socio=rien positifs*socio=uv4 exercés sur*socio=rien l'emploi*socio=ec1 par l'abaissement*socio=rien du coût*socio=ec1 du travail*socio=ec1. De plus, dans une période*socio=te d'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et, cette stratégie*socio=et ne serait pas une réussite*socio=uv1 totale*socio=rien à moins qu'elle ne soit associée*socio=rien à un*socio=rien contrôle*socio=uv3 stricte*socio=rien des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et. Grâce*socio=rien à son système*socio=rien de protection_sociale*socio=et, la France*socio=ac à pu maintenir des taux*socio=rien de pauvreté*socio=uv1 à *socio=rien un faible niveau.*socio=nil *socio=nil Néanmoins, les systèmes*socio=rien de prélèvements*socio=ec1 et de redistribution*socio=et peuvent se traduire par une faible*socio=rien progression*socio=ec2, voire une régression des revenus*socio=ec1 de ceux qui retrouvent un*socio=rien travail*socio=ec1. Certains peuvent alors se retrouver maintenus dans l'inactivité*socio=uv3 ou dans des emplois*socio=ec1 mal*socio=rien rémunérés. Ces mécanismes*socio=et trouvent leur origine*socio=rien dans diverses*socio=rien prestations*socio=et attribuées sous condition*socio=rien de ressource, des charges*socio=rien sociales*socio=et élevées*socio=uv4 pesant sur*socio=rien les rémunérations*socio=ec1 les plus faibles*socio=rien, l'imposition*socio=et des bas*socio=rien revenus*socio=ec1 et les taux*socio=rien de compensation*socio=rien élevés*socio=uv4 au titre*socio=rien de l'indemnisation*socio=ec1 du chômage*socio=ec1. Étant donné la complexité*socio=rien des mécanismes*socio=et actuels*socio=te, il *socio=rien est difficile *socio=nil d'évaluer l'ampleur*socio=rien de ces effets*socio=rien. Malgré la réforme*socio=et de 1993 du système*socio=rien d'assurance*socio=ec1 chômage*socio=ec1, les taux*socio=rien de compensation*socio=rien calculés selon l'indicateur*socio=rien synthétique*socio=rien de l'OCDE*socio=ac, (voir note 36), restent relativement élevés*socio=uv4 pour les titulaires*socio=rien de faibles*socio=rien revenus*socio=ec1. Il convient cependant de noter que le calcul*socio=rien effectué ne prend pas en compte*socio=rien le durcissement*socio=ec2 des critères*socio=rien d'admission*socio=rien et le raccourcissement*socio=ec2 de la durée*socio=te de l'indemnisation*socio=ec1 qui sont des éléments*socio=rien de la réforme*socio=et. Les taux*socio=rien de compensation*socio=rien sont également élevés*socio=uv4 pour les bénéficiaires*socio=ac du revenu*socio=ec1 minimum*socio=rien d'insertion*socio=uv3. Le problème*socio=uv4 des trappes à chômage*socio=ec1 et à pauvreté*socio=uv1 peut être*socio=rien atténué de *socio=rien différentes façons.*socio=nil *socio=nil L'une d'entre elles consiste à diminuer la générosité*socio=uv1 des systèmes*socio=rien de prestations*socio=et. Ce n'est*socio=rien pas la stratégie*socio=et qui à *socio=rien été privilégiée *socio=nil par le *socio=ac gouvernement français.*socio=nil *socio=nil Afin que le retour*socio=rien au travail*socio=ec1 se traduise par une hausse*socio=rien significative*socio=uv4 des revenus*socio=ec1, celui-ci à cherché à obtenir*socio=rien une baisse*socio=ec2 des *socio=rien taux marginaux effectifs de*socio=nil prélèvement*socio=ec1 *socio=nil tout en conservant des revenus*socio=ec1 de *socio=rien remplacement suffisants.*socio=nil *socio=nil à cet effet*socio=rien, la suppression*socio=rien de la décote dans la réforme*socio=et de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 et le mécanisme*socio=et d'intéressement*socio=ec1 du revenu*socio=ec1 minimum*socio=rien d'insertion*socio=uv3 constituent un*socio=rien pas dans la bonne*socio=rien direction*socio=et. Les formules*socio=rien de retraite*socio=ec1 anticipée, notamment à l'occasion*socio=rien de la restructuration*socio=et des entreprises*socio=ac, demeurent d'importants*socio=rien instruments*socio=et de la politique*socio=et d'emploi*socio=ec1 et sont à l'origine*socio=rien du très *socio=rien faible taux d'*socio=nil activité des*socio=nil *socio=ac travailleurs âgés.*socio=nil *socio=nil Il conviendrait d'avoir moins largement recours*socio=ec1 à de tels programmes*socio=et passifs. Bien*socio=rien que la législation*socio=et concernant la protection*socio=et de l'emploi*socio=ec1 ait été*socio=rien assouplie en 1986, avec la suppression*socio=rien de l'autorisation*socio=et administrative*socio=rien de licenciement*socio=ec1, elle à été*socio=rien de nouveau*socio=rien légèrement durcie en 1989 et 1993 pour les licenciements*socio=ec1 collectifs*socio=uv2. Les règles*socio=et applicables*socio=rien aux licenciements*socio=ec1 pour raisons*socio=rien individuelles*socio=uv2 sont relativement libérales*socio=et. Les coûts*socio=ec1 des licenciements*socio=ec1 massifs*socio=rien et le *socio=rien temps nécessaire *socio=nil pour la mise en oeuvre*socio=rien sont élevés*socio=uv4 en raison*socio=rien des plans*socio=rien sociaux*socio=et qui les accompagnent. Néanmoins, ces plans*socio=rien sociaux*socio=et facilitent la *socio=rien bonne marche des*socio=nil restructurations*socio=et.*socio=nil *socio=nil Outre les restrictions*socio=et légales, certaines*socio=rien conventions_collectives*socio=ec1 prévoient de strictes*socio=rien obligations*socio=uv1 qui peuvent sérieusement entraver le rythme*socio=rien de la restructuration*socio=et. Bien*socio=rien que les règles*socio=et concernant les contrats*socio=ec1 à durée*socio=te déterminée soient relativement rigoureuses*socio=uv4, cette formule*socio=rien s'est*socio=rien rapidement: développée*socio=uv4. Dans le passé*socio=te, l'emploi*socio=ec1 à temps_partiel*socio=ec1 était peu développé*socio=uv4 comparativement aux autres pays_de_l'_ocde*socio=ac, ce qui tient probablement au choix*socio=uv1 d'asseoir l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 familial*socio=uv2 et non sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 individuel*socio=uv2. Le membre*socio=ac de la famille*socio=uv1 qui à un*socio=rien emploi*socio=ec1 à temps_partiel*socio=ec1 se voit en effet*socio=rien assujetti à *socio=rien un taux marginal d'*socio=nil imposition*socio=et relativement*socio=nil élevé*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Néanmoins, l'_offre*socio=ec1 d'emploi*socio=ec1 à temps_partiel*socio=ec1 s'est*socio=rien fortement accrue depuis 1992, avec la mise en place*socio=rien de mesures*socio=et généreuses*socio=uv2 pour inciter les employeurs*socio=ac à offrir ce type*socio=rien d'emploi*socio=ec1. Le dispositif*socio=et actuel*socio=te est*socio=rien peut-être très généreux*socio=uv2, compte*socio=rien tenu du nombre*socio=rien élevé*socio=uv4 de travailleurs*socio=ac à temps_partiel*socio=ec1 qui souhaiteraient travailler plus longtemps. La flexibilité*socio=uv3 de la durée*socio=te du travail*socio=ec1 pour les travailleurs*socio=ac à temps_plein est*socio=rien encore peu développée*socio=uv4 même si la législation*socio=et en ce domaine*socio=rien s'est*socio=rien assouplie. Depuis 1994, des accords*socio=et peuvent être*socio=rien conclus autorisant une plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3 compensée par une réduction*socio=ec2 globale*socio=rien de la durée*socio=te du travail*socio=ec1, mais les accords*socio=et de cc type*socio=rien restent encore peu nombreux*socio=rien. Au cours*socio=rien de ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil il à *socio=rien été fait largement*socio=nil appel aux*socio=nil mesures_actives*socio=et *socio=nil de la politique*socio=et de l'emploi*socio=ec1 dans le but*socio=rien essentiel*socio=uv4 de favoriser l'intégration*socio=uv1 des jeunes*socio=ac, de réintégrer les chômeurs*socio=ac de longue*socio=rien durée*socio=te et d'offrir un*socio=rien emploi*socio=ec1 aux personnes*socio=ac ayant *socio=rien un faible potentiel*socio=uv4 de*socio=nil gains*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil nombre de*socio=nil personnes*socio=ac *socio=nil concernées à fortement augmenté, de même que les dépenses*socio=ec1 budgétaires*socio=et à cet effet*socio=rien. Des mesures*socio=et ont été*socio=rien récemment prises*socio=rien pour rationaliser certains programmes*socio=et et réduire la générosité*socio=uv1 de quelques autres. Il subsiste néanmoins une multitude*socio=rien de dispositifs*socio=et et les modifications*socio=rien sont fréquentes*socio=rien. Ceci implique des coûts*socio=ec1 d'information*socio=rien élevés*socio=uv4 et nombre*socio=rien de programmes*socio=et se traduisent par de lourdes dépenses*socio=ec1 de suivi et de contrôle*socio=uv3. De plus, certains mécanismes*socio=et, tels que les programmes*socio=et d'emploi*socio=ec1 dans le secteur_public*socio=et sont relativement peu efficaces*socio=uv4 en ce qui concerne le retour*socio=rien à des emplois*socio=ec1 réguliers*socio=ec2. Une évaluation*socio=ec2 systématique*socio=rien des programmes*socio=et relatifs*socio=rien au marché_du_travail*socio=ec1 à été*socio=rien décidée dans la loi*socio=et quinquennale*socio=te sur*socio=rien l'emploi*socio=ec1 de 1993. Celle-ci à déjà conduit à la rationalisation*socio=uv3 de certains dispositifs*socio=et et devrait conduire à des mesures*socio=et plus efficaces*socio=uv4 à moindre*socio=rien coût*socio=ec1. Les efforts*socio=uv1 de coopération*socio=uv1 entre le service_public*socio=et de l'emploi*socio=ec1, et l'organisme*socio=ac responsable*socio=uv2 de l'indemnisation*socio=ec1 du chômage*socio=ec1 et de l'administration*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des programmes*socio=et touchant au marché_du_travail*socio=ec1 devront être*socio=rien poursuivis. Si le niveau*socio=rien d'éducation*socio=et de l'ensemble*socio=rien de la population*socio=ac est*socio=rien encore relativement faible*socio=rien par rapport*socio=rien à d'autres pays_de_l'_ocde*socio=ac, le nombre*socio=rien de jeunes*socio=ac obtenant *socio=rien un diplôme *socio=nil et la durée*socio=te moyenne*socio=rien des études*socio=ec2 ont sensiblement augmenté depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 70 et, sur*socio=rien la base*socio=rien de ces critères*socio=rien, le niveau*socio=rien d'instruction*socio=rien des jeunes*socio=ac est*socio=rien maintenant l'un*socio=rien des plus élevés*socio=uv4 de la zone_de_l'_ocde*socio=te. Le système_éducatif*socio=et n'en continue*socio=rien pas moins de présenter certaines*socio=rien lacunes*socio=uv4. Le nombre*socio=rien d'étudiants*socio=ac quittant l'université sans avoir obtenu de *socio=rien diplôme est très*socio=nil Élevé*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil et le passage*socio=rien de l'école*socio=et à la vie_active*socio=ec1 *socio=rien reste difficile,*socio=nil *socio=nil même si les liens*socio=rien entre les établissements*socio=rien scolaires*socio=et et les entreprises*socio=ac ont été*socio=rien renforcés et si l'administration*socio=ec1 des programmes*socio=et de formation*socio=et à été*socio=rien décentralisée. La formation*socio=et permanente*socio=te est*socio=rien très développée*socio=uv4 si l'on en juge*socio=et par le nombre*socio=rien d'heures*socio=rien qui lui sont consacrées, mais ne semble pas globalement très efficace*socio=uv4. Nombre*socio=rien de programmes*socio=et sont relativement de courte*socio=rien durée*socio=te, ne conduisent pas à l'obtention*socio=rien d'un*socio=rien diplôme*socio=rien et sont souvent ciblés sur*socio=rien les personnes*socio=ac ayant déjà *socio=rien un niveau d'*socio=nil instruction élevé*socio=uv4.*socio=nil Dans*socio=nil nombre de*socio=nil domaines,*socio=nil la*socio=nil réforme*socio=et du*socio=nil marché*socio=ec1 des*socio=nil produits *socio=nil pourrait renforcer le dynamisme*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1. La libéralisation*socio=et des secteurs*socio=rien abrités est*socio=rien actuellement en cours*socio=te, en *socio=rien grande partie du*socio=nil fait *socio=nil de l'initiative*socio=rien européenne*socio=ac de marché_unique*socio=ec1. Néanmoins, les progrès*socio=uv1 faits*socio=rien pour intensifier les pressions*socio=ec2 de la concurrence*socio=ec1 entre les *socio=rien différents secteurs *socio=nil sont très inégaux*socio=uv2. La déréglementation*socio=et des *socio=et services privés de*socio=nil transport*socio=ec1 est*socio=rien *socio=nil très avancée et ce secteur*socio=rien s'est*socio=rien bien*socio=rien adapté à l'évolution*socio=rien de la situation*socio=rien. En revanche, l'évolution*socio=rien de la compagnie*socio=ac aérienne*socio=rien nationale*socio=te ne progresse qu'avec lenteur*socio=rien et la société*socio=ac nationale*socio=te de chemin*socio=rien de fer*socio=rien à eu des difficultés*socio=uv4 à accélérer le rythme*socio=rien de l'ajustement*socio=et et demeure chroniquement déficitaire*socio=ec2. Globalement, les consommateurs*socio=ac ont bénéficié d'une baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 mais continuent à payer*socio=rien les importantes*socio=rien aides*socio=uv1 consenties*socio=rien aux entreprises*socio=ac de transport*socio=ec1 public*socio=et. Le secteur*socio=rien des télécommunications*socio=ec1 s'est*socio=rien ouvert*socio=uv4 plus lentement que dans la plupart*socio=rien des autres pays_de_l'_ocde*socio=ac, mais la libéralisation*socio=et fera un*socio=rien pas en avant avec l'ouverture*socio=uv3 du capital*socio=ec1 de France*socio=ac Télécom*socio=ec1 et le démantèlement*socio=et des *socio=rien derniers obstacles *socio=nil à la concurrence*socio=ec1. Les sociétés*socio=ac publiques*socio=et ont toujours un*socio=rien monopole*socio=ec1 dans les secteurs*socio=rien de la distribution*socio=rien du gaz*socio=ec1 et de l'électricité*socio=ec1 et, si l'on en juge*socio=et d'après*socio=rien les plans*socio=rien actuels*socio=te, leur libéralisation*socio=et ne se fera qu'avec lenteur*socio=rien. Selon des exercices*socio=rien de simulation*socio=rien réalisés par le Secrétariat*socio=ac de l'OCDE*socio=ac, *socio=rien un vaste programme*socio=et de*socio=nil libéralisation*socio=et *socio=nil pourrait avoir d'importants*socio=rien effets*socio=rien positifs*socio=uv4 sur*socio=rien la production*socio=ec1. Concernant le marché*socio=ec1 des produits*socio=rien, des progrès*socio=uv1 pourraient également être*socio=rien accomplis dans différents*socio=rien autres domaines*socio=rien. Tandis que le processus*socio=te de privatisation*socio=et s'est*socio=rien poursuivi au cours*socio=rien de ces *socio=rien dernières années,*socio=nil nombre des*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil encore concernées ont de *socio=rien mauvais résultats *socio=nil et doivent recevoir de l'état*socio=rien des aides*socio=uv1 financières*socio=ec1 très importantes*socio=rien. Il faut donc accélérer le processus*socio=te de restructuration*socio=et des entreprises*socio=ac en difficulté*socio=uv4. En outre, le développement*socio=uv3 des entreprises*socio=ac ne se conçoit pas sans un*socio=rien *socio=et environnement réglementaire stable*socio=uv4 et*socio=nil rationnel*socio=rien.*socio=nil *socio=nil à cet égard*socio=rien, il conviendrait d'alléger la *socio=rien charge administrative qui*socio=nil pèse sur les*socio=nil *socio=ac entreprises françaises.*socio=nil En*socio=nil effet*socio=rien,*socio=nil bien*socio=rien *socio=nil que quelques mesures*socio=et aient *socio=rien été prises *socio=nil dans le passé*socio=te pour réduire le coût*socio=ec1 de la réglementation*socio=et, il reste*socio=rien encore fort*socio=rien à faire pour en alléger le poids*socio=rien en France*socio=ac. De plus, les *socio=et programmes publics *socio=nil sont souvent fragmentés et complexes. Ceci vaut non seulement pour les programmes*socio=et concernant le marché_du_travail*socio=ec1, mais aussi pour ceux qui concernent la recherche*socio=ec2 et le développement*socio=uv3. Leur complexité*socio=rien et la multiplicité*socio=rien des institutions*socio=ac concernées rendent difficiles*socio=rien la coordination*socio=uv3 et l'évaluation*socio=ec2 de l'efficacité*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et. Enfin, la pression*socio=ec2 fiscale*socio=et peut aussi jouer *socio=rien un rôle.*socio=nil *socio=nil Elle peut influencer la création*socio=rien et la survie*socio=uv1 des entreprises*socio=ac. Elle peut également modifier la mobilité*socio=uv3 des individus*socio=ac sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1, dans la mesure*socio=rien où cette *socio=rien dernière est en*socio=nil partie *socio=nil réduite à cause*socio=rien du niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des commissions*socio=ac et des taxes*socio=et qui s'appliquent aux *socio=ec1 transactions immobilières.*socio=nil En*socio=nil France*socio=ac,*socio=nil le*socio=nil gouvernement*socio=ac des*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil se caractérise par le rôle*socio=rien relativement limité que joue le marché*socio=ec1 des *socio=ec1 valeurs mobilières *socio=nil dans le financement*socio=ec1 et le contrôle*socio=uv3 des entreprises*socio=ac et par la forte*socio=rien concentration*socio=ec2 de l'actionnariat. De plus, malgré les privatisations*socio=et engagées depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 80, le rôle*socio=rien des entreprises*socio=ac publiques*socio=et reste*socio=rien relativement important*socio=rien. Le président-directeur-général qui cumule des fonctions*socio=rien habituellement *socio=rien séparées ailleurs,*socio=nil *socio=nil demeure assez indépendant*socio=rien des contrôles*socio=et internes*socio=te et externes*socio=ec1. Bien*socio=rien qu'une structure*socio=ec1 duale soit possible*socio=rien comme en Allemagne*socio=ac, il n'existe de directoire et conseil*socio=rien de surveillance*socio=et que dans *socio=rien un petit nombre d'*socio=nil entreprises*socio=ac;*socio=nil les*socio=nil salariés*socio=ac *socio=nil et les banques*socio=ac sont peu impliqués dans le contrôle*socio=uv3 des dirigeants*socio=ac. Les actionnaires*socio=ac sont moins actifs*socio=uv4 qu'aux États-unis*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac: par exemple*socio=rien, les investisseurs*socio=ac institutionnels*socio=et exercent moins souvent leurs droits_de_vote, les mécanismes*socio=et de prise*socio=rien de décision*socio=rien et de communication*socio=ec1 manquent souvent de transparence*socio=uv3, et la loi*socio=et donne moins de facilité aux actionnaires*socio=ac minoritaires pour surveiller l'action*socio=rien des dirigeants*socio=ac et des actionnaires*socio=ac majoritaires. La concentration*socio=ec2 des pouvoirs*socio=et exécutifs apparaît donc critiquable, étant donné la faiblesse*socio=ec2 des contre-pouvoirs effectifs*socio=rien. La rentabilité*socio=ec1 des fonds*socio=ec1 propres*socio=rien des entreprises*socio=ac publiques*socio=et dans le secteur*socio=rien concurrentiel*socio=ec2 à *socio=rien été moindre *socio=nil que celle du secteur_privé*socio=et. Les mécanismes*socio=et de contrôle*socio=uv3 se sont parfois montrés peu efficaces*socio=uv4. Les privatisations*socio=et ont repris depuis 1993. *socio=rien Neuf grandes sociétés*socio=ac *socio=nil ont depuis *socio=rien lors été *socio=nil cédées, le contrôle*socio=uv3 passant dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien il un*socio=rien groupe*socio=ac d'investisseurs*socio=ac financiers*socio=ec1 agissant de concert*socio=uv1 et formant ainsi *socio=rien un noyau dur.*socio=nil Un système de*socio=nil participations*socio=ec2 *socio=nil croisées assez important*socio=rien dans le secteur_privé*socio=et est*socio=rien une autre caractéristique*socio=rien des entreprises*socio=ac privatisées. Ceci pourrait favoriser la poursuite*socio=rien des objectifs*socio=uv4 des entreprises*socio=ac sur*socio=rien le long_terme*socio=te. étant donné la faible*socio=rien contestabilité du contrôle*socio=uv3, ce *socio=rien système profite les*socio=nil dirigeants*socio=ac des*socio=nil pressions*socio=ec2 du*socio=nil marché*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil modèle français*socio=ac de*socio=nil gouvernement*socio=ac des*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil était adapté lorsque les banques*socio=ac étaient les principaux*socio=rien fournisseurs*socio=ac de *socio=ec1 financement externe,*socio=nil *socio=nil lorsque l'État*socio=ac jouait *socio=rien un rôle déterminant *socio=nil dans la fixation*socio=ec1 des priorités*socio=uv4 des entreprises*socio=ac et lorsque le marché*socio=ec1 de référence*socio=rien était essentiellement le marché*socio=ec1 intérieur*socio=te. La libéralisation*socio=et des marchés_financiers*socio=ec1 depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 80, la globalisation*socio=te des activités*socio=rien industrielles*socio=ec1 et commerciales*socio=ec1 et le désengagement*socio=et de l'État*socio=ac ont fait*socio=rien naître des pressions*socio=ec2 en vue*socio=rien de modifier ce modèle*socio=rien, qui se sont déjà traduites par des *socio=rien évolutions notables.*socio=nil Les*socio=nil fonds*socio=ec1 propres *socio=nil jouent désormais *socio=rien un rôle *socio=nil beaucoup plus important*socio=rien dans le financement*socio=ec1 des entreprises*socio=ac. Les privatisations*socio=et récentes*socio=rien ont été*socio=rien marquées par une importante*socio=rien participation*socio=uv3 d'investisseurs*socio=ac étrangers*socio=te qui ont en général*socio=rien moins hésité à s'impliquer dans la gestion*socio=ec2 des entreprises*socio=ac insuffisamment performantes; certaines*socio=rien participations*socio=ec2 croisées entre entreprises*socio=ac peu rentables*socio=ec2 ont été*socio=rien défaites; et la considération*socio=rien patronale à reconnu la nécessité*socio=uv1 de mettre au point*socio=rien des méthodes*socio=rien plus transparentes*socio=uv4 de contrôle*socio=uv3, notamment en réduisant les participations*socio=ec2 croisées et en augmentant le nombre*socio=rien et les pouvoirs*socio=et des administrateurs*socio=ac indépendants*socio=uv2. Globalement, le modèle*socio=rien français*socio=ac de gouvernement*socio=ac des entreprises*socio=ac évolue vers *socio=rien un modèle *socio=nil plus équilibré à l'égard*socio=rien des actionnaires*socio=ac. La création*socio=rien de fonds*socio=ec1 de pension*socio=et, s'ils sont totalement indépendants*socio=uv2 des sociétés*socio=ac cotées et de leurs actionnaires*socio=ac, le retrait de l'État*socio=ac du secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1 et la mise en place*socio=rien de certains mécanismes*socio=et pour faciliter la surveillance*socio=et par les actionnaires*socio=ac pourraient contribuer à prolonger cette tendance*socio=ec2. Quels que soient les défauts*socio=rien que puisse avoir le système*socio=rien français*socio=ac à cet égard*socio=rien, ils n'ont pas empêché la France*socio=ac d'avoir l'un*socio=rien des revenus*socio=ec1 par habitant*socio=ac les plus élevés*socio=uv4 au monde*socio=te et d'être*socio=rien l'un*socio=rien des plus importants*socio=rien pays_d'_accueil*socio=ac des investissements*socio=ec1 étrangers*socio=te. Les politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 ont largement contribué à améliorer la crédibilité*socio=uv1 de l'ensemble*socio=rien de l'action*socio=rien gouvernementale*socio=et et l'équilibre*socio=uv3 des composantes*socio=ec1 de la politique_économique*socio=et s'est*socio=rien considérablement*socio=rien amélioré. La forte*socio=rien décrue des taux_d'_intérêt*socio=ec1 depuis la fin*socio=rien de 1995 et l'amélioration*socio=uv1 du contexte*socio=rien international*socio=te devraient ouvrir la voie*socio=rien à un*socio=rien raffermissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 dans les années*socio=rien à venir. Il importe de consolider ces gains*socio=ec1 - notamment par un*socio=rien engagement*socio=uv1 résolu à ]a poursuite*socio=rien de l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et. Les finances*socio=ec1 publiques*socio=et se sont certes améliorées, mais il semble bien*socio=rien, tant dans une perspective*socio=rien à moyen*socio=rien qu'à long_terme*socio=te, qu'il conviendrait de poursuivre vigoureusement la réforme*socio=et des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et pour permettre des allégements*socio=uv3 d'impôt*socio=et et de nouvelles*socio=rien réductions*socio=ec2 sensibles*socio=rien des déficits*socio=ec1. Au cours*socio=rien de ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil ]a France*socio=ac s'est*socio=rien engagée dans de nombreuses*socio=rien réformes*socio=et structurelles*socio=uv4 tant sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des produits*socio=rien que sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1. Il serait souhaitable*socio=rien d'amplifier ces réformes*socio=et. Ceci permettrait à *socio=rien terme un renforcement*socio=ec2 du*socio=nil potentiel*socio=uv4 de*socio=nil croissance*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil améliorerait la situation*socio=rien budgétaire*socio=et et favoriserait la réduction*socio=ec2 du chômage*socio=ec1. Politique*socio=et macro-économique*socio=ec1. politique_monétaire*socio=et. Depuis qu'elle à acquis*socio=uv2 un*socio=rien statut*socio=et indépendant*socio=rien, en 1994, la Banque*socio=ac de France*socio=ac définit*socio=rien et met en oeuvre*socio=rien la politique_monétaire*socio=et. L'objectif*socio=uv4 des autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 françaises*socio=ac est*socio=rien de préserver la valeur*socio=ec1 interne*socio=te et externe*socio=ec1 de la monnaie*socio=ec1. Les décisions*socio=rien concernant le régime*socio=et de taux_de_change*socio=ec1 et la parité*socio=ec1 du franc*socio=ec1 restent du ressort du gouvernement*socio=ac, mais ]a banque_centrale*socio=ac est*socio=rien responsable*socio=uv2 de la mise en oeuvre*socio=rien de la politique*socio=et. L'orientation*socio=et de la politique_monétaire*socio=et favorise la réalisation*socio=uv1 des critères*socio=rien de Maastricht*socio=et. Les objectifs*socio=uv4 d'inflation*socio=ec2 et de taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te fixés par le Traité*socio=rien de Maastricht*socio=et sont actuellement respectés et devraient l'être*socio=rien encore jusqu'à l'échéance*socio=te de 1997. Les fluctuations*socio=ec2 du franc*socio=ec1 à l'intérieur*socio=te du mécanisme*socio=et de change*socio=rien du système_monétaire*socio=ec1 européen*socio=ac sont peu importantes*socio=rien depuis la fin*socio=rien de 1995. évolution*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et du taux_de_change*socio=ec1. Au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1995, le franc*socio=ec1 avait été*socio=rien soumis à de vives pressions*socio=ec2 sous l'effet*socio=rien des turbulences*socio=rien qui avaient agité les marchés*socio=ec1 des changes*socio=rien internationaux*socio=te et le mécanisme*socio=et de change*socio=rien européen*socio=ac, ainsi qu'en raison*socio=rien des incertitudes*socio=uv3 précédant les élections*socio=et de la *socio=rien fin avril *socio=nil et du *socio=rien début mai.*socio=nil *socio=nil Pour contrer la spéculation*socio=ec1, le taux*socio=rien des prises*socio=rien en pension*socio=et avait été*socio=rien porté à 8 pour cent*socio=rien (graphiques*socio=rien 5 et 6). Le franc*socio=ec1 s'est*socio=rien redressé après*socio=rien les élections*socio=et, et le taux*socio=rien des prises*socio=rien en pension*socio=et à été*socio=rien abaissé à plusieurs reprises, revenant à 6,15 pour cent*socio=rien en août*socio=rien. Les turbulences*socio=rien qui se sont produites N'ont guère eu d'incidence*socio=ec2 sur*socio=rien les taux*socio=rien à long_terme*socio=te, lesquels ont baissé parallèlement aux taux*socio=rien allemands*socio=ac, mais l'écart*socio=rien entre les deux pays*socio=ac est*socio=rien resté stable*socio=uv4 et important*socio=rien, aux alentours*socio=rien de 60 à 70 centièmes de point*socio=rien. Des tensions*socio=ec2 monétaires*socio=ec1 sont réapparues à la fin*socio=rien du mois*socio=rien de septembre*socio=rien 1995, ce qui à amené la banque_centrale*socio=ac à porter le taux*socio=rien des prises*socio=rien en pension*socio=et à 7,25 pour *socio=rien cent début octobre,*socio=nil *socio=nil afin de défendre la parité*socio=ec1 du franc*socio=ec1. Les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien le franc*socio=ec1 se sont à nouveau*socio=rien atténuées lorsque le gouvernement*socio=ac à rappelé que l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et constituerait sa première*socio=rien priorité*socio=uv4 pour 1996 et 1997. Cette annonce et la réduction*socio=ec2 des incertitudes*socio=uv3 entourant l'avenir*socio=te du projet*socio=rien de monnaie*socio=ec1 unique*socio=rien ont calmé les marchés*socio=ec1 des changes*socio=rien et ont entraîné une baisse*socio=ec2 très sensible*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 au cours*socio=rien des *socio=rien mois suivants.*socio=nil Les*socio=nil taux directeurs *socio=nil de la banque_centrale*socio=ac ont été*socio=rien abaissés à plusieurs reprises jusqu'en octobre*socio=rien 1996. Son taux*socio=rien d'intervention*socio=et à été*socio=rien ramené à 3,20 pour cent*socio=rien (contre 5 pour cent*socio=rien en octobre*socio=rien 1995) et le taux*socio=rien des prises*socio=rien en pension*socio=et, à 4,75 pour cent*socio=rien. Les taux*socio=rien à court_terme*socio=te ont suivi, les taux*socio=rien du *socio=ec1 marché monétaire *socio=nil à trois mois*socio=rien se situant actuellement aux alentours*socio=rien de 3'/2 pour cent*socio=rien, leur plus *socio=rien bas niveau *socio=nil depuis les années*socio=rien 60. Les taux*socio=rien à court_terme*socio=te sont faibles*socio=rien également par comparaison*socio=rien avec les autres pays*socio=ac du G7*socio=ac, à l'exception*socio=rien du Japon*socio=ac et de l'Allemagne*socio=ac. *socio=rien Un tiers *socio=nil de la baisse*socio=ec2 d'environ 250 centièmes de point*socio=rien au total*socio=rien observée depuis la fin*socio=rien de 1995 *socio=rien est attribuable *socio=nil il l'assouplissement*socio=uv3 de la politique_monétaire*socio=et en Allemagne*socio=ac, les deux autres tiers*socio=rien s'expliquant par une diminution*socio=ec2 de l'écart*socio=rien de taux*socio=rien. Abstraction*socio=rien faite d'un*socio=rien léger*socio=rien mouvement*socio=ec2 spéculatif entre juillet*socio=rien et la mi-septembre 1996, qui n'a guère eu d'incidence*socio=ec2 sur*socio=rien l'évolution*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1, le franc*socio=ec1 est*socio=rien resté proche de sa parité*socio=ec1 centrale*socio=rien au sein*socio=rien du mécanisme*socio=et de change*socio=rien depuis la fin*socio=rien de 1995. Quant au taux_de_change*socio=ec1 effectif*socio=rien, il est*socio=rien resté pratiquement stationnaire*socio=rien. L'assouplissement*socio=uv3 de la politique_monétaire*socio=et, la plus grande*socio=rien crédibilité*socio=uv1 de la politique*socio=et macro-économique*socio=ec1 et la confirmation*socio=rien de la mise en oeuvre*socio=rien du projet*socio=rien de Maastricht*socio=et dans les délais*socio=rien prévus sont autant de facteurs*socio=rien qui ont contribué à faire baisser les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te. Depuis l'année*socio=rien passée*socio=te, ces derniers*socio=rien ont diminué de plus de 100 centièmes de point*socio=rien, pour s'établir actuellement en dessous de é.0 pour cent*socio=rien. L'écart*socio=rien vis-à-vis des taux*socio=rien allemands*socio=ac, qui était encore important*socio=rien il y à *socio=rien un an,*socio=nil *socio=nil à disparu. en mai*socio=rien, et les taux*socio=rien français*socio=ac sont passés*socio=te au-dessous des taux*socio=rien allemands*socio=ac. Comme les taux*socio=rien à court_terme*socio=te, les taux*socio=rien nominaux*socio=ec1 à long_terme*socio=te sont relativement bas*socio=rien par comparaison*socio=rien avec les autres pays*socio=ac. Les taux*socio=rien hypothécaires*socio=ec1 et les taux*socio=rien des concours bancaires*socio=ec1 aux entreprises*socio=ac ont eux aussi baissé. Le taux*socio=rien de base*socio=rien appliqué par les banques*socio=ac aux entreprises*socio=ac, par exemple*socio=rien, est*socio=rien tombé à é.55 pour cent*socio=rien (contre 8,25 pour *socio=rien cent un an *socio=nil auparavant). Les taux*socio=rien de *socio=rien certaines catégories de*socio=nil crédit*socio=ec1 *socio=nil restent très élevés*socio=uv4, en particulier*socio=rien pour les petites*socio=rien entreprises*socio=ac. L'évolution*socio=rien très sensible*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires au*socio=nil cours*socio=rien des*socio=nil *socio=rien dernières années est *socio=nil mise en évidence*socio=rien par un*socio=rien indice des *socio=ec1 conditions monétaires,*socio=nil *socio=nil qui combine l'évolution*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et celle du taux_de_change*socio=ec1 (graphique*socio=rien 7). La construction*socio=ec1 de cet indice repose sur*socio=rien l'idée*socio=rien selon laquelle les taux_d'_intérêt*socio=ec1 influent sur*socio=rien plusieurs composantes*socio=ec1 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, tandis que les différences*socio=uv1 d'orientation*socio=et monétaire*socio=ec1 entre les pays*socio=ac entraînent des flux*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 et des mouvements*socio=ec2 de taux_de_change*socio=ec1 et, par conséquent*socio=rien, des variations*socio=rien de la demande*socio=ec1 extérieure*socio=te et de la demande*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1. Comme tout *socio=rien indicateur simple,*socio=nil l'*socio=nil indicateur des*socio=nil *socio=ec1 conditions monétaires (*socio=nil ICM)*socio=nil *socio=nil à des limites*socio=rien. Par construction*socio=ec1 l'ICM*socio=ec1 peut traduire des variations*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires par*socio=nil rapport*socio=rien *socio=nil à une moyenne*socio=rien, mais faute de références objectives à *socio=rien un niveau neutre,*socio=nil *socio=nil il ne reflète qu'un*socio=rien degré*socio=rien de rigueur*socio=uv3 relatif*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires.*socio=nil Par*socio=nil ailleurs*socio=rien,*socio=nil l'*socio=nil ICM *socio=nil ne tient pas compte*socio=rien des autres facteurs*socio=rien qui influent sur*socio=rien l'activité*socio=rien, comme l'orientation*socio=et de la politique_budgétaire*socio=et. En outre, la Banque*socio=ac de France*socio=ac juge*socio=et souhaitable*socio=rien d'introduire les taux*socio=rien à long_terme*socio=te dans le calcul*socio=rien de l'indicateur*socio=rien dans la mesure*socio=rien où ceux-ci jouent *socio=rien un rôle important *socio=nil dans les conditions*socio=ec1 de financement*socio=ec1 de l'économie*socio=ec1 française*socio=ac. Le graphique*socio=rien 7 montre que, rigoureuses*socio=uv4 au début*socio=rien des années*socio=rien 90, (les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 à court_terme*socio=te étaient proches*socio=rien de 7 pour cent*socio=rien) les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil se sont sensiblement assouplies par la suite*socio=rien. Cette *socio=rien évolution est *socio=nil mise en évidence*socio=rien par d'autres indicateurs*socio=ec1 (tableau*socio=rien 5). Ce mouvement*socio=ec2 de détente*socio=rien à continué jusqu'au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1996. Par comparaison*socio=rien internationale*socio=te, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 sont maintenant parmi les plus bas*socio=rien, et la courbe des rendements*socio=ec1 accuse l'une des pentes les plus fortes*socio=rien. La "règle*socio=et de Taylor", c'est-à-dire *socio=rien un calcul *socio=nil simple' visant à fixer le taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te à *socio=rien un niveau *socio=nil approprié pour respecter l'objectif*socio=uv4 d'inflation*socio=ec2 de la banque_centrale*socio=ac et réduire les fluctuations*socio=ec2 de la production', suggère que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 sont tombés à *socio=rien un niveau qui*socio=nil est compatible *socio=nil avec la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 à moyen_terme*socio=te et une faible*socio=rien inflation*socio=ec2. Si l'assouplissement*socio=uv3 des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil à contribué à stimuler la reprise en 1994, des conditions*socio=ec1 plus rigoureuses*socio=uv4 au cours*socio=rien des trois premiers*socio=rien trimestres*socio=te de 1995 ont coïncidé avec l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et et un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien dans la plupart*socio=rien des autres pays*socio=ac d'Europe*socio=ac, accentuant probablement le fléchissement*socio=rien de la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 qui s'est*socio=rien amorcé *socio=rien an début *socio=nil de 1995 (graphique*socio=rien 7). Il *socio=rien est difficile d'*socio=nil isoler les*socio=nil effets des*socio=nil mouvements*socio=ec2 des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil et du taux_de_change*socio=ec1 de ceux des autres facteurs*socio=rien qui ont influé sur*socio=rien l'activité*socio=rien au cours*socio=rien des *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Si l'incidence*socio=ec2 des mouvements*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien est importante *socio=nil et si son *socio=rien ampleur sur les*socio=nil échanges*socio=ec1 extérieurs*socio=te est *socio=nil à peu prés*socio=rien conforme*socio=uv4 à cc que l'on pouvait attendre, les analyses*socio=rien économétriques*socio=ec2 mettent souvent en évidence*socio=rien une sensibilité*socio=ec2 assez faible*socio=rien de l'économie*socio=ec1 française*socio=ac aux mouvements*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 (INSEE*socio=ac, 1996a). D'après*socio=rien une étude*socio=ec2 récente*socio=rien de la Banque*socio=ac de France*socio=ac (Frochen, 1996), les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil auraient des effets*socio=rien plus limités sur*socio=rien l'activité*socio=rien qu'en Allemagne*socio=ac ou au Royaume-uni*socio=ac, principalement en raison*socio=rien d'une moindre*socio=rien incidence*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court*socio=rien et à long_terme*socio=te. En revanche, des travaux*socio=rien récemment effectués à l'OCDE*socio=ac et d'autres études*socio=ec2 donnent à penser que la sensibilité*socio=ec2 de la consommation*socio=ec1 des ménages*socio=ac aux variations*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 s'est*socio=rien accrue depuis la libéralisation*socio=et des marchés_financiers*socio=ec1, au milieu*socio=rien des années*socio=rien 801. Ces travaux*socio=rien suggèrent que les *socio=ec1 conditions monétaires rigoureuses*socio=uv4 *socio=nil auraient eu, pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de la *socio=rien première moitié des*socio=nil années *socio=nil 90, *socio=rien un effet négatif non*socio=nil négligeable sur la*socio=nil croissance*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil Par contre, une plus grande*socio=rien sensibilité*socio=ec2 aux taux_d'_intérêt*socio=ec1 permettrait d'envisager avec plus d'optimisme*socio=uv1 les effets*socio=rien positifs*socio=uv4 de la détente*socio=rien monétaire*socio=ec1 *socio=rien récente sur la*socio=nil croissance*socio=uv3 future *socio=nil de la production*socio=ec1. Des simulations*socio=rien de l'évolution*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 avec le modèle*socio=rien INTERLINK*socio=ec2 de l'OCDE*socio=ac suggèrent que l'évolution*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court*socio=rien et à long_terme*socio=te entre leur *socio=rien niveau moyen *socio=nil de 1995 et celui du milieu*socio=rien de 1996 pourrait exercer *socio=rien un puissant effet stimulant*socio=nil sur l'*socio=nil activité.*socio=nil Cet*socio=nil effet *socio=nil serait peu important*socio=rien la *socio=rien première année,*socio=nil mais*socio=nil an bout *socio=nil de trois ans*socio=rien, le PIB*socio=ec1 pourrait s'en trouver majoré de 1/2 à 1 pour cent*socio=rien (selon les hypothèses*socio=ec2 de simulations*socio=rien) et les effets*socio=rien de long_terme*socio=te sur*socio=rien la production*socio=ec1 pourraient atteindre 2 pour cent*socio=rien. Les *socio=rien bons résultats enregistrés*socio=nil sur le*socio=nil plan *socio=nil de l'inflation*socio=ec2, la volonté*socio=uv1 d'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et et les *socio=rien diverses initiatives *socio=nil qui ont *socio=rien été prises *socio=nil dans le domaine*socio=rien de la réforme*socio=et structurelle*socio=uv4 se sont soldés par une baisse*socio=ec2 importante*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te, par la résorption*socio=ec2 totale*socio=rien de leur écart*socio=rien vis-à-vis de l'Allemagne*socio=ac et par une réduction*socio=ec2 notable*socio=rien de l'écart*socio=rien sur*socio=rien les taux*socio=rien à court_terme*socio=te. De même, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 se situent aujourd'hui à *socio=rien un bas niveau par*socio=nil comparaison *socio=nil avec les autres pays*socio=ac et l'équilibre*socio=uv3 entre les différents*socio=rien instruments*socio=et de ]a politique_économique*socio=et s'est*socio=rien très sensiblement amélioré. Il semble important*socio=rien de maintenir un*socio=rien engagement*socio=uv1 ferme*socio=ec2 envers l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et si ]'on veut réduire les risques*socio=uv4 de perturbation*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 et profiter de cet acquis*socio=uv2 pour accroître la crédibilité*socio=uv1 de la politique_économique*socio=et. à cet égard*socio=rien, les marchés_financiers*socio=ec1 attachent aussi beaucoup d'importance*socio=rien aux perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 à moyen_terme*socio=te, qui pourraient être*socio=rien rendues plus favorables*socio=ec2 par une accélération*socio=ec2 du processus*socio=te de réforme*socio=et structurelle*socio=uv4. Monnaie*socio=ec1 et crédit*socio=ec1. Si les considérations*socio=rien du taux_de_change*socio=ec1 jouent *socio=rien un rôle primordial *socio=nil dans la détermination*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et, les objectifs*socio=uv4 d'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 contribuent aussi 5 fournir *socio=rien un point de*socio=nil référence 5*socio=nil moyen_terme*socio=te.*socio=nil l'*socio=nil endettement*socio=ec1 total est un autre*socio=nil indicateur qui*socio=nil est *socio=nil étroitement surveillé. Depuis 1994, l'objectif*socio=uv4 de croissance*socio=uv3 de M3 est*socio=rien fixé à moyen_terme*socio=te, le *socio=rien taux retenu *socio=nil étant de 5 pour cent*socio=rien (sans fourchette*socio=rien), sur*socio=rien ]a base*socio=rien d'un*socio=rien taux_de_croissance*socio=ec1 provisionnel du même ordre*socio=rien pour la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 nominale*socio=rien. Les objectifs*socio=uv4 monétaires*socio=ec1 intermédiaires*socio=rien visent, à terme*socio=rien, à assurer la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1, définie*socio=rien par *socio=rien un taux d'*socio=nil inflation*socio=ec2 inférieur *socio=nil à 2 pour cent*socio=rien. Le taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 *socio=rien sous-jacent est *socio=nil actuellement proche de 1 pour cent*socio=rien. La demande*socio=ec1 de monnaie*socio=ec1 n'a guère augmenté ces *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Elle s'était fortement contractée entre le début*socio=rien de 1993 et le début*socio=rien de 1994 en raison*socio=rien de la récession*socio=ec2, du retour*socio=rien à une courbe des *socio=rien taux ascendante *socio=nil ainsi qu'à divers facteurs*socio=rien ponctuels, mais elle s'est*socio=rien redressée ensuite jusqu'à la fin*socio=rien de 1995 (graphique*socio=rien 8). Elle est*socio=rien restée à peu *socio=rien prés stationnaire au*socio=nil premier semestre *socio=nil de 1996, du fait*socio=rien de la faiblesse*socio=ec2 de l'activité*socio=rien et d'une modification*socio=rien de la composition*socio=rien des portefeuilles*socio=ec1, avec une réduction*socio=ec2 de la part*socio=rien des placements*socio=ec1 à court_terme*socio=te sur*socio=rien le *socio=ec1 marché monétaire,*socio=nil *socio=nil qui sont inclus dans M3, et une augmentation*socio=ec2 de celle des placements*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1, plus rentables*socio=ec2, qui ne sont pas inclus dans M3. à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, M3 ne dépasse guère son niveau*socio=rien de la fin*socio=rien de 1992. Entre le *socio=rien second semestre *socio=nil de 1992 et le *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1996, cet agrégat*socio=ec1 n'a progressé que de 2,1 pour *socio=rien cent an total,*socio=nil *socio=nil alors que la croissance*socio=uv3 cumulée de ]a production*socio=ec1 nominale*socio=rien à atteint 11,4 pour cent*socio=rien. D'après*socio=rien les estimations*socio=ec2 de la Banque*socio=ac de France*socio=ac, des *socio=rien facteurs particuliers *socio=nil (tels que les privatisations*socio=et et les changements*socio=uv3 de fiscalité*socio=et concernant les gains*socio=ec1 sur*socio=rien les parts*socio=rien de fonds*socio=ec1 communs*socio=uv4 de placement*socio=ec1) ont entraîné une réduction*socio=ec2 de 3 à 4 pour cent*socio=rien de M3 *socio=rien an cours des*socio=nil dernières années.*socio=nil *socio=nil Même si l'on tient compte*socio=rien de ces facteurs*socio=rien, M3 à peu augmenté au regard*socio=rien des objectifs*socio=uv4 annoncés depuis 1992, et la croissance*socio=uv3 du PIB*socio=ec1 effectif*socio=rien à été*socio=rien beaucoup plus faible*socio=rien que la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 prévue par la banque_centrale*socio=ac. La croissance*socio=uv3 de l'endettement*socio=ec1 total*socio=rien à été*socio=rien beaucoup plus soutenue que l'expansion*socio=ec2 de M3. Elle ne s'est*socio=rien guère ralentie pendant la récession*socio=ec2 et est*socio=rien toujours restée voisine*socio=rien de 5 pour cent*socio=rien depuis 1992 (graphique*socio=rien 8). Cependant, cela tient pour une *socio=rien large part *socio=nil à une forte*socio=rien accélération*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 émanant de l'État*socio=ac. Alors que la croissance*socio=uv3 de celle-ci se ralentissait au cours*socio=rien des derniers*socio=rien mois', la demande*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 de l'administration_centrale*socio=ac à continué à progresser de plus de 10 pour cent*socio=rien. En revanche, les emprunts*socio=ec1 des ménages*socio=ac et des entreprises*socio=ac ont pratiquement stagné depuis le milieu*socio=rien de 1994. Ils sont restés presque insensibles*socio=rien à la reprise entre la fin*socio=rien de 1993 et le milieu*socio=rien de 1995, et la diminution*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 depuis la fin*socio=rien de 1995 n'a pas encore eu d'effet*socio=rien stimulant sur*socio=rien la demande*socio=ec1 totale*socio=rien de crédit*socio=ec1 émanant du secteur_privé*socio=et. Cependant, le *socio=rien petit nombre d'*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil qui ont accès*socio=uv1 au *socio=ec1 marché monétaire *socio=nil ont fortement accru leurs emprunts*socio=ec1 sur*socio=rien celui-ci, avec une progression*socio=ec2 de 18 pour cent*socio=rien en *socio=rien glissement annuel en*socio=nil juin *socio=nil 1996. D'après*socio=rien la Banque*socio=ac de France*socio=ac, les *socio=rien dernières indications relatives *socio=nil à la distribution*socio=rien de crédits*socio=ec1 nouveaux*socio=rien traduisent une reprise significative*socio=uv4 des crédits*socio=ec1, notamment ceux accordés aux ménages*socio=ac (prêts*socio=ec1 à *socio=rien taux zéro et*socio=nil crédits*socio=ec1 an logement*socio=ec1)*socio=nil .*socio=nil *socio=nil étant donné que les ménages*socio=ac et les entreprises*socio=ac empruntent*socio=rien principalement aux banques*socio=ac, l'activité*socio=rien de prêt*socio=ec1 des banques*socio=ac à été*socio=rien très peu soutenue ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil tandis que les emprunts*socio=ec1 de l'État*socio=ac sont venus stimuler le développement*socio=uv3 du marché*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1. Une partie*socio=rien du système_bancaire*socio=ec1 se trouve encore dans une *socio=rien situation difficile.*socio=nil *socio=nil Depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 80, le système_bancaire*socio=ec1 français*socio=ac qui à connu une profonde*socio=rien libéralisation*socio=et, à *socio=rien fait face *socio=nil à des difficultés*socio=uv4 auxquelles il à eu du mal*socio=rien à s'adapter*socio=rien. La libéralisation*socio=et des marchés_financiers*socio=ec1 à intensifié la concurrence*socio=ec1 au niveau*socio=rien de la collecte des dépôts*socio=ec1 et, dans *socio=rien un contexte défavorable*socio=uv4 de*socio=nil structure*socio=ec1 *socio=nil inversée de la courbe des taux_d'_intérêts*socio=ec1, les marges se sont réduites ces *socio=rien dernières années en*socio=nil particulier *socio=nil sous l'effet*socio=rien d'une pression*socio=ec2 accrue sur*socio=rien les taux*socio=rien débiteurs*socio=ac. En matière*socio=rien de prêts*socio=ec1, la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien, en effet*socio=rien, de plus en plus âpre depuis la récession*socio=ec2 de 1993, les banques*socio=ac essayant d'accroître on de préserver leur *socio=rien position sur un marché*socio=ec1 qui*socio=nil reste en*socio=nil stagnation*socio=ec2.*socio=nil Les*socio=nil problèmes*socio=uv4 du*socio=nil secteur bancaire*socio=ec1 ont*socio=nil été *socio=nil aggravés par le *socio=rien grand nombre de*socio=nil défaillances d'*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil en 1993 et par les difficultés*socio=uv4 du secteur*socio=rien de l'immobilier*socio=ec1. La rentabilité*socio=ec1 du système_bancaire*socio=ec1 s'en est*socio=rien trouvée sérieusement entamée. Globalement, les banques*socio=ac ont accusé une perte*socio=ec2 en 1994, avant de retrouver des résultats*socio=rien légèrement positifs*socio=uv4 en 1995, avec des degrés*socio=rien de rentabilité*socio=ec1 très divers suivant*socio=rien les établissements*socio=rien. L'amélioration*socio=uv1 intervenue en 1995 s'explique en partie*socio=rien par une diminution*socio=ec2 des provisions*socio=rien pour créances*socio=ec1 douteuses*socio=uv2, qui sont néanmoins restées importantes*socio=rien (8,1 pour cent*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des crédits*socio=ec1 en décembre*socio=rien 1995). La rentabilité*socio=ec1 (bénéfices*socio=ec1 après*socio=rien impôt*socio=et rapportés aux fonds*socio=ec1 propres*socio=rien) *socio=rien est faible *socio=nil (3,5 pour cent*socio=rien en 1995 et 5,3 pour cent*socio=rien en *socio=rien moyenne sur *socio=nil 1991-95) en comparaison*socio=rien avec des taux*socio=rien de rendement*socio=ec1 de près de 10 pour cent*socio=rien en Europe*socio=ac continentale*socio=te et de plus de 15 pour cent*socio=rien aux États-unis*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac en 1994. Pour l'avenir*socio=te, les perspectives*socio=te restent incertaines*socio=rien. Depuis le milieu*socio=rien de 1995, le nombre*socio=rien de faillites*socio=ec1 à recommencé à augmenter, même s'il reste*socio=rien nettement inférieur*socio=rien au sommet*socio=rien atteint en 1993. Plus important*socio=rien encore, la crise*socio=uv2 du secteur*socio=rien de l'immobilier*socio=ec1, qui s'était amorcée au début*socio=rien des années*socio=rien 90, n'est*socio=rien pas terminée. Les prix*socio=ec1 ont continué de baisser dans la région*socio=te Ile de France*socio=ac et le stock*socio=ec1 de bureaux*socio=rien inoccupés est*socio=rien encore important*socio=rien. Leur *socio=rien superficie est *socio=nil tombée à moins de 4 millions*socio=rien de mètres carrés en 1995, mais les nouveaux*socio=rien locaux*socio=te à usage*socio=rien de bureaux*socio=rien pourraient la faire remonter à 4,5 millions*socio=rien de mètres carrés en 1996. En dépit*socio=rien des mesures*socio=et prises*socio=rien par le gouvernement*socio=ac pour stimuler la construction*socio=ec1 de logements*socio=ec1, le nombre*socio=rien de ventes*socio=ec1 de maisons*socio=rien et d'appartements à diminué en 1995 et les prix*socio=ec1 ont encore baissé. Les banques*socio=ac, qui ont dû reprendre *socio=rien un volume très*socio=nil important de*socio=nil *socio=ec1 biens immobiliers aux*socio=nil promoteurs*socio=rien en*socio=nil défaut*socio=rien de*socio=nil paiement,*socio=nil *socio=nil en ont vendu une partie*socio=rien, souvent avec une moins-value*socio=ec1 considérable*socio=rien. Espérant un*socio=rien redressement*socio=ec2 des prix*socio=ec1, certaines*socio=rien banques*socio=ac conservent des *socio=ec1 biens immobiliers *socio=nil dans leur bilan*socio=rien, mais elles enregistrent souvent des pertes*socio=ec2 jusqu'à la vente*socio=ec1 de ces biens*socio=ec1. Une partie*socio=rien des biens*socio=ec1 improductifs à été*socio=rien regroupée dans des *socio=rien entités spéciales (*socio=nil structures*socio=ec1 *socio=nil de cantonnement). Cela permet de résoudre certains problèmes*socio=uv4 en maintenant les ratios*socio=ec1 de fonds*socio=ec1 propres*socio=rien au-dessus du minimum*socio=rien légal*socio=et à court_terme*socio=te, mais avec des coûts*socio=ec1 de portage très élevés*socio=uv4. Les provisions*socio=rien pour *socio=ec1 biens immobiliers douteux*socio=uv2 *socio=nil ont à *socio=rien nouveau été considérables *socio=nil en 1995 et elles couvrent un*socio=rien peu plus de ]a moitié*socio=rien des actifs*socio=ec1 douteux*socio=uv2. Il est*socio=rien probable*socio=uv4 que les établissements*socio=rien financiers*socio=ec1 continueront à faire des *socio=rien provisions importantes,*socio=nil *socio=nil mais sans doute*socio=rien plus faibles*socio=rien qu'en 1995. L'ajustement*socio=et du secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1, qui s'est*socio=rien traduit par un*socio=rien processus*socio=te de concentration*socio=ec2 et par la fermeture*socio=ec1 d'établissements*socio=rien non rentables*socio=ec2, à été*socio=rien beaucoup plus rapide*socio=rien en ce qui concerne les coopératives*socio=ac de crédit*socio=ec1 et les caisses*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 que parmi les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1. Dans cc *socio=rien dernier secteur,*socio=nil l'*socio=nil ajustement*socio=et est *socio=nil notamment entravé par deux facteurs*socio=rien: i) une convention_collective*socio=ec1, qui est*socio=rien beaucoup plus stricte*socio=rien que celle des coopératives*socio=ac de crédit*socio=ec1 et des caisses*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1; et ii) des distorsions*socio=uv4, qui dorment un*socio=rien avantage_comparatif*socio=ec2 aux caisses*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 et aux coopératives*socio=ac de crédit*socio=ec1. Si la libéralisation*socio=et de 1984 à atténué la distinction*socio=rien entre les divers établissements*socio=rien financiers*socio=ec1, certaines*socio=rien différences*socio=uv1 subsistent. Les produits*socio=rien d'épargne*socio=ec1 populaire*socio=rien bénéficiant d'avantages*socio=rien fiscaux*socio=et existent encore (Livret*socio=rien A, Livret*socio=rien bleu, Codevi*socio=ec1 et Plans*socio=rien d'épargne*socio=ec1 logement*socio=ec1). Certains d'entre eux ne sont proposés que par certains établissements'. Par ailleurs*socio=rien, les caisses*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 sont des institutions*socio=ac sans but*socio=rien lucratif, cc qui signifie qu'elles ne versent pas de dividendes*socio=ec1. La Poste*socio=rien n'a pas été*socio=rien scindée en deux entités*socio=rien, l'une assurant les services*socio=et financiers*socio=ec1 et l'autre les services*socio=et postaux. La comptabilité*socio=ec1 est*socio=rien en revanche scindée mais rend encore difficile*socio=rien la surveillance*socio=et des comportements*socio=rien anticoncurrentiels. La plupart*socio=rien de ces distorsions*socio=uv4 à la concurrence*socio=ec1 font qu'il est*socio=rien encore plus difficile*socio=rien, pour les banques*socio=ac commerciales*socio=ec1, d'atteindre *socio=rien un taux de*socio=nil rentabilité*socio=ec1 satisfaisant*socio=uv4,*socio=nil surtout*socio=nil sur un marché*socio=ec1 *socio=nil atone où la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien vive. D'un*socio=rien autre côté*socio=rien, ces distorsions*socio=uv4, bien*socio=rien que nuisibles*socio=rien au bien-être*socio=uv1, n'impliquent pas nécessairement la persistance*socio=te d'un*socio=rien déséquilibre*socio=uv4 dans le secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1, à condition*socio=rien que les banques*socio=ac puissent réaliser les adaptations*socio=uv3 nécessaires*socio=rien. Or*socio=rien, l'ajustement*socio=et des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 est*socio=rien sérieusement entravé par leur convention_collective*socio=ec1. La rémunération*socio=ec1 *socio=rien effective est *socio=nil généralement fixée dans la convention_collective*socio=ec1. Par ailleurs*socio=rien, la masse_salariale*socio=ec1 augmente automatiquement dans des proportions*socio=rien non négligeables*socio=rien (de 2 à 21/2 pour cent*socio=rien par an*socio=rien) sous l'effet*socio=rien des promotions*socio=ec2, des changements*socio=uv3 structurels*socio=uv4 de qualification*socio=uv3 et de l'ancienneté*socio=ec1. Les réductions*socio=ec2 d'effectifs*socio=rien sont difficiles*socio=rien car la convention_collective*socio=ec1 prévoit *socio=rien un ordre spécifique en*socio=nil cas de*socio=nil licenciement*socio=ec1 pour*socio=nil raisons économiques*socio=ec1 *socio=nil (par exemple*socio=rien, les salariés*socio=ac ayant moins d'un*socio=rien an*socio=rien d'ancienneté*socio=ec1 doivent *socio=rien être licenciés les*socio=nil premiers,*socio=nil et*socio=nil un classement *socio=nil doit ensuite *socio=rien être fait en*socio=nil fonction *socio=nil de l'ancienneté*socio=ec1, des performances*socio=uv3 professionnelles*socio=ec1 et de la situation*socio=rien familiale*socio=uv2). La législation*socio=et relative*socio=rien aux horaires*socio=rien de travail*socio=ec1 est*socio=rien plus restrictive*socio=uv4 que dans les secteurs*socio=rien des coopératives*socio=ac de crédit*socio=ec1 et des caisses*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1. Des décrets datant de 1937 restreignent*socio=rien les heures*socio=rien d'ouverture*socio=uv3 (pas de travail*socio=ec1 par équipe*socio=rien, ouverture*socio=uv3 des agences*socio=ac pendant *socio=rien un maximum de*socio=nil cinq jours consécutifs *socio=nil et pour *socio=rien un total *socio=nil de 39 heures*socio=rien). Les différences*socio=uv1 de normes*socio=et de travail*socio=ec1 suivant*socio=rien les secteurs*socio=rien se reflètent dans la *socio=rien forte dispersion du*socio=nil *socio=ec1 ratio coûts de*socio=nil fonctionnement*socio=rien/*socio=nil revenu brut*socio=rien.*socio=nil *socio=nil Alors que, dans le cas*socio=rien du *socio=ec1 Crédit agricole,*socio=nil ce*socio=nil ratio était*socio=nil faible*socio=rien par*socio=nil comparaison*socio=rien *socio=nil avec les autres pays*socio=ac, à 64*socio=rien pour cent*socio=rien en 1994, celui des banques*socio=ac commerciales*socio=ec1 s'échelonnait de 72 à 86 pour cent*socio=rien alors que la moyenne*socio=rien nationale*socio=te atteignait 74 pour cent*socio=rien. En comparaison*socio=rien, les ratios*socio=ec1 atteignaient 63, 66 et 67 pour cent*socio=rien respectivement en Allemagne*socio=ac, en Suisse*socio=ac et au Royaume-uni*socio=ac. Il faut cependant noter que le ratio*socio=ec1 français*socio=ac s'explique par une chute brutale*socio=rien du PNB*socio=ec1 en 1994. Sur*socio=rien une période*socio=te plus longue*socio=rien, il reste*socio=rien proche de la moyenne*socio=rien observée ans*socio=rien ces pays*socio=ac. Ces distorsions*socio=uv4 et la convention_collective*socio=ec1 du secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1 ont contribué l'aggravation*socio=ec2 de la crise*socio=uv2 de ce secteur*socio=rien. Alors qu'on aurait pu s'attendre à ce que la faible*socio=rien rentabilité*socio=ec1 incite les banques*socio=ac à prendre moins de risques*socio=uv4, cela n'a pas le cas*socio=rien. Au contraire*socio=rien, la concurrence*socio=ec1 s'est*socio=rien intensifiée depuis 1994 et elle est*socio=rien venue particulièrement vive dans certains segments*socio=rien du marché*socio=ec1, les banques*socio=ac essayant d'accroître ou du moins de maintenir leurs parts*socio=rien dans un*socio=rien marché*socio=ec1 morose. Le président*socio=ac de la Commission*socio=ac bancaire*socio=ec1 à incité les banques*socio=ac à renforcer leurs; contrôles*socio=et internes*socio=te en matière*socio=rien de gestion*socio=ec2 des risques*socio=uv4 et de rentabilité*socio=ec1 et mieux informer le public*socio=et. En plus de ces conditions*socio=ec1 de concurrence*socio=ec1 inéquitables, se pose le problème*socio=uv4 du rôle*socio=rien de l'État*socio=ac en tant qu'actionnaire*socio=ac. Le gouvernement*socio=ac considère aujourd'hui que l'État*socio=ac n'a pas la capacité*socio=uv3 d'exercer correctement le rôle*socio=rien d'actionnaire*socio=ac d'institution_financière*socio=ac et à décidé de se désengager totalement de cc secteur*socio=rien. l'État*socio=ac à da venir au secours de plusieurs banques*socio=ac publiques*socio=et et accorder des subventions*socio=ec1 à une compagnie*socio=ac d'assurance*socio=ec1 publique*socio=et. L'opération*socio=rien de renflouement la plus importante*socio=rien à été*socio=rien celle du Crédit*socio=ec1 lyonnais*socio=ac. Une structure*socio=ec1 complexe, détenant *socio=rien un important portefeuille*socio=ec1 d'*socio=nil actifs*socio=ec1 productifs*socio=uv4 *socio=nil et d'actifs*socio=ec1 très compromis*socio=uv1, à été*socio=rien constituée en 1995, l'État*socio=ac garantissant les pertes*socio=ec2 potentielles*socio=uv4 à hauteur*socio=rien de 50 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1. Les plans*socio=rien de redressement*socio=ec2 ont été*socio=rien décrits en détail*socio=rien dans la dernière*socio=rien étude*socio=ec2. En dépit*socio=rien de deux plans*socio=rien sociaux*socio=et, de la vente*socio=ec1 de filiales*socio=rien étrangères*socio=te et de l'aide*socio=uv1 de l'État*socio=ac, le Crédit*socio=ec1 Lyonnais*socio=ac à eu du mal*socio=rien à équilibrer ses comptes*socio=rien au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1996, en raison*socio=rien surtout d'une demande*socio=rien de crédit*socio=ec1 peu soutenue et d'une restructuration*socio=et trop lente*socio=rien. Le *socio=rien dernier plan social*socio=et *socio=nil annoncé en juin*socio=rien, le plus important*socio=rien jusqu'à présent*socio=rien, pourrait concerner 5 000 salariés*socio=ac (sur*socio=rien *socio=rien un total *socio=nil de 35 000). Récemment, des aides*socio=uv1 supplémentaires*socio=rien ont été*socio=rien annoncées pour assurer la survie*socio=uv1 de la banque*socio=ac. De nouvelles*socio=rien mesures*socio=et de restructuration*socio=et sont envisagées et la banque*socio=ac pourrait bientôt être*socio=rien privatisée. Un*socio=rien autre plan*socio=rien de redressement*socio=ec2 est*socio=rien envisagé pour le *socio=ec1 Crédit foncier,*socio=nil *socio=nil qui à affiché une perte*socio=ec2 de 10,7 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 en 1995. Bien*socio=rien que le *socio=ec1 Crédit foncier *socio=nil n'appartienne pas à l'État*socio=ac, il avait une mission*socio=rien publique*socio=et consistant à offrir des Prêts*socio=ec1 au logement*socio=ec1 peu coûteux*socio=ec2, Grâce*socio=rien à des subventions*socio=ec1 directes*socio=rien et à des possibilités*socio=rien de refinancement*socio=ec1 avantageuses*socio=rien. Jusqu'en 1995, il à eu le monopole*socio=ec1 de ]a distribution*socio=rien des Prêts*socio=ec1 à l'accession à ]a propriété*socio=ec1. Par ailleurs*socio=rien, depuis 19, avait fortement diversifié ses activités*socio=rien, fournissant *socio=rien un volume important *socio=nil de ce au secteur*socio=rien de l'immobilier*socio=ec1. Cette diversification*socio=ec2 opérée au *socio=rien mauvais moment du*socio=nil cycle*socio=te immobilier*socio=ec1 est *socio=nil à l'origine*socio=rien de ses graves*socio=rien difficultés*socio=uv4. Pour l'instant*socio=rien, la C, des dépôts*socio=ec1 et consignations (CDC) à proposé de racheter les parts*socio=rien du foncier*socio=ec1, mais ne participera pas financièrement*socio=rien au plan*socio=rien de sauvetage*socio=uv1, tandis l'État*socio=ac à offert*socio=rien une garantie illimitée pour les engagements*socio=et de la banque*socio=ac. L'on prévoit aussi la reprise d'une partie*socio=rien des agences*socio=ac et du personnel*socio=ac par le à immobilier*socio=ec1 de France*socio=ac (CIF), tandis que le Parlement*socio=ac devra se prononc~ d'autres mesures*socio=et. Celles-ci consisteront sans doute*socio=rien à créer une autre inst~ publique*socio=et qui reprendra le reste*socio=rien de l'actif*socio=ec1 et du passif*socio=ec1. Le coût*socio=ec1 de l'opération*socio=rien le public*socio=et, devrait *socio=rien être faible *socio=nil au moins dans l'immédiat*socio=rien. Les graves*socio=rien difficultés*socio=uv4 du *socio=ec1 Crédit foncier *socio=nil posent une *socio=rien nouvelle fois la*socio=nil question du*socio=nil contrôle*socio=uv3 interne*socio=te,*socio=nil *socio=nil et du gouvernement*socio=ac d'entreprise*socio=ac. Les mécanisme*socio=et contrôle*socio=uv3 interne*socio=te semblent trop lâches et la réaction*socio=rien aux problèmes*socio=uv4 apparaît lente*socio=rien, en particulier*socio=rien lorsque les établissements*socio=rien de crédit*socio=ec1 sont proches*socio=rien de F lui appartiennent. Les réformes*socio=et visant notamment l'établissement*socio=rien de concurrence*socio=ec1 plus équitables*socio=uv2, le renforcement*socio=ec2 des mesures*socio=et de contrôle*socio=uv3 et le désengagement*socio=et de l'État*socio=ac doivent être*socio=rien accélérées. politique_budgétaire*socio=et. Le budget*socio=ec1 de 1995 et les budgets*socio=ec1 rectificatifs se traduisent par une augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 et des recettes*socio=ec1. Le budget*socio=ec1 de 1995, présenté par le précédent*socio=rien gouvernement*socio=ac, visait à limiter*socio=rien les dépenses*socio=ec1 et à réduire le déficit*socio=ec1. Conformément an*socio=rien *socio=et programme budgétaire à*socio=nil moyen_terme*socio=te,*socio=nil les*socio=nil dépenses*socio=ec1 *socio=nil devaient rester stables*socio=uv4 en termes*socio=rien réels*socio=ec2 (et augmenter de 2 pour cent*socio=rien en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1) et le déficit*socio=ec1 devait être*socio=rien ramené à 3,6 pour cent*socio=rien (tableau*socio=rien é). Les modifications*socio=rien apportées à la fiscalité*socio=et étaient mineures*socio=rien et la limitation*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 devait surtout toucher*socio=rien les investissements*socio=ec1, les transferts*socio=ec1 aux collectivités_locales*socio=ac et à l'union_européenne*socio=ac. Le nouveau*socio=rien gouvernement*socio=ac à présenté une loi*socio=et de finances*socio=ec1 rectificative*socio=uv4 au milieu*socio=rien de 1995. Plusieurs initiatives*socio=rien ont *socio=rien été prises en*socio=nil matière de*socio=nil dépenses*socio=ec1,*socio=nil en*socio=nil fonction des*socio=nil priorités*socio=uv4 du*socio=nil gouvernement*socio=ac:*socio=nil deux*socio=nil nouveaux programmes*socio=et ciblés*socio=nil sur les*socio=nil chômeurs*socio=ac de*socio=nil longue durée*socio=te *socio=nil et les jeunes*socio=ac, remplaçant partiellement des programmes*socio=et précédents*socio=rien, et une accélération*socio=ec2 de l'allégement*socio=uv3 général*socio=rien des *socio=ec1 cotisations patronales de*socio=nil sécurité_sociale*socio=et au*socio=nil niveau*socio=rien des*socio=nil bas*socio=rien salaires.*socio=nil Par*socio=nil ailleurs*socio=rien,*socio=nil le*socio=nil gouvernement*socio=ac *socio=nil à prévu une augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 au titre*socio=rien de la réhabilitation*socio=rien du parc*socio=ec1 de logements_sociaux*socio=et et en faveur*socio=rien des petites*socio=rien et moyennes*socio=rien entreprises*socio=ac, et il à reconduit la majoration*socio=rien de l'allocation*socio=et de rentrée scolaire*socio=et. Pour financer ces *socio=rien nouvelles initiatives,*socio=nil *socio=nil couvrir les moins-values*socio=ec1 de recettes*socio=ec1 et les dépenses*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien du *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1995 et ramener le déficit*socio=ec1 Sur*socio=rien la trajectoire*socio=ec2 prévue, les dépenses*socio=ec1 non prioritaires*socio=uv4 ont été*socio=rien réduites et les impôts*socio=et ont été*socio=rien fortement augmentés. Le *socio=rien taux normal *socio=nil de la TVA*socio=et à été*socio=rien relevé de 18,6 à 20,6 pour cent*socio=rien en août*socio=rien 1995 et la fiscalité*socio=et des entreprises*socio=ac et l'impôt*socio=et de solidarité*socio=uv1 sur*socio=rien la fortune*socio=ec1 ont été*socio=rien alourdis. Globalement, les impôts*socio=et ont été*socio=rien majorés de l'équivalent*socio=rien de près de 1 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 en *socio=rien année pleine.*socio=nil En*socio=nil dépit *socio=nil d'une augmentation*socio=ec2 plus rapide*socio=rien des recettes*socio=ec1 et d'une diminution*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 du régime*socio=et d'assurance*socio=ec1 chômage*socio=ec1, le besoin*socio=uv1 de financement*socio=ec1 de la sécurité_sociale*socio=et est*socio=rien resté proche de 70 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 en 1995. Cela s'explique dans une *socio=rien large Mesure *socio=nil à la fois*socio=rien par le ralentissement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien et par une accélération*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 de santé*socio=et. Le déficit*socio=ec1 *socio=rien total est *socio=nil tombé à 5 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 12, Soit exactement l'objectif*socio=uv4 fixé par le gouvernement*socio=ac (tableau*socio=rien 7). Deux facteurs*socio=rien ont contribué à cc résultat*socio=rien: à la tin de 1995, la Caisse*socio=ec1 des dépôts*socio=ec1 et consignations à apporté une contribution*socio=uv1 importante*socio=rien au budget_de_l'_état*socio=et, et les dépenses*socio=ec1 gouvernementales*socio=et associées*socio=rien à l'émission*socio=rien d'obligations*socio=ec1 sont désormais comptabilisées, déduction*socio=ec1 faite du "coupon couru" aux fins*socio=rien du calcul*socio=rien du déficit*socio=ec1 suivant*socio=rien la définition*socio=rien de Maastricht*socio=et. Avec cette *socio=rien nouvelle méthode *socio=nil de comptabilisation, la France*socio=ac s'est*socio=rien alignée sur*socio=rien les autres pays*socio=ac de l'union_européenne*socio=ac. Le budget*socio=ec1 de 1996 poursuit l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et. Le budget*socio=ec1 de 1996 visait encore une fois*socio=rien la limitation*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 et une nouvelle*socio=rien réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1, et se fondait sur*socio=rien une croissance*socio=uv3 prévisionnelle de la production*socio=ec1 de 2,8 pour cent*socio=rien en termes*socio=rien réels*socio=ec2 et de pré de 5 pour cent*socio=rien en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1. Les dépenses*socio=ec1 devaient progresser de 1,8 pour cent*socio=rien par *socio=rien rapport an niveau du*socio=nil budget*socio=ec1 *socio=nil rectificatif de juillet*socio=rien 1995 et le déficit*socio=ec1 devait être*socio=rien ramené à 288 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 (3,6 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1). Les restrictions*socio=et de dépenses*socio=ec1 se traduisaient notamment par une diminution*socio=ec2 de l'investissement*socio=ec1 en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1 et par l'introduction*socio=rien d'un*socio=rien pacte*socio=et de stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 avec les collectivités_locales*socio=ac qui prévoit la stabilisation*socio=et en francs*socio=ec1 constants*socio=te pendant 3 ans*socio=rien de la *socio=rien majeure partie des*socio=nil transferts*socio=ec1 *socio=nil de l'État*socio=ac vers les collectivités_locales*socio=ac. Par ailleurs*socio=rien, les barèmes*socio=rien de salaires*socio=ec1 des agents*socio=ac de la fonction_publique*socio=et ont été*socio=rien gelés, même si la masse_salariale*socio=ec1 totale*socio=rien à continué d'augmenter en raison*socio=rien des mesures*socio=et décrites précédemment et du vieillissement*socio=ec2 des effectifs*socio=rien. Étant donné l'accroissement*socio=ec2 rapide*socio=rien des dépenses*socio=ec1 en faveur*socio=rien du marché_du_travail*socio=ec1, dû pour une *socio=rien large part aux*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil adoptées au milieu*socio=rien de 1995, et la *socio=rien hausse persistante *socio=nil et soutenue des paiements_d'_intérêt*socio=et, les compressions*socio=et de dépenses*socio=ec1 prévues dans les domaines*socio=rien non prioritaires*socio=uv4 étaient importantes*socio=rien. Le budget*socio=ec1 comportait une série de mesures*socio=et concernant les recettes*socio=ec1, mais leur *socio=rien importance globale *socio=nil pour 1996 est*socio=rien relativement faible*socio=rien (10 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien). Il s'agissait notamment d'un*socio=rien relèvement*socio=ec2 de la taxe*socio=et sur*socio=rien les produits*socio=rien pétroliers*socio=ec1 et de la réduction*socio=ec2 ou de la suppression*socio=rien des incitations*socio=uv3 fiscales*socio=et à l'investissement*socio=ec1 dans *socio=rien différents produits financiers*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil gouvernement*socio=ac *socio=nil comptait tirer 22 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 des privatisations*socio=et, dont l6.5 milliards*socio=rien devaient être*socio=rien consacrés 5 un*socio=rien renforcement*socio=ec2 du capital*socio=ec1 des entreprises*socio=ac publiques*socio=et. Si l'évolution*socio=rien des recettes*socio=ec1 et des dépenses*socio=ec1 en 1996 à été*socio=rien déterminée, pour une *socio=rien large part,*socio=nil *socio=nil par les mesures*socio=et *socio=rien prises an milieu *socio=nil de 1995, le budget*socio=ec1 de 1996 prévoit une baisse*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 de près de 35 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1. Cependant, la croissance*socio=uv3 ayant été*socio=rien beaucoup plus lente*socio=rien que prévu, les recettes*socio=ec1 fiscales*socio=et devraient *socio=rien être inférieures aux*socio=nil prévisions*socio=ec2.*socio=nil Par*socio=nil ailleurs,*socio=nil *socio=nil depuis le début*socio=rien de 1996, plusieurs initiatives*socio=rien ont *socio=rien été prises *socio=nil pour stimuler la consommation*socio=ec1 privée*socio=et et la construction*socio=ec1 de logements*socio=ec1, et la fiscalité*socio=et à été*socio=rien allégée en faveur*socio=rien des petites*socio=rien et moyennes*socio=rien entreprises*socio=ac. En revanche, 20 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 de crédits*socio=ec1 voté ont été*socio=rien gelés afin de neutraliser les effets*socio=rien du ralentissement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 sur*socio=rien le budget*socio=ec1. Le budget*socio=ec1 rectificatif de fin*socio=rien d'année*socio=rien maintient presque inchangé*socio=rien l'objectif*socio=uv4 de déficit*socio=ec1 du budget*socio=ec1 pour 1996. La réforme*socio=et de la sécurité_sociale*socio=et vise les dépenses*socio=ec1 de santé*socio=et. En dépit*socio=rien des réformes*socio=et précédentes*socio=rien, qui avaient permis*socio=rien de freiner très sensiblement la hausse*socio=rien des dépenses*socio=ec1 de sécurité_sociale*socio=et, le déficit*socio=ec1 est*socio=rien resté obstinément*socio=rien élevé*socio=uv4. Cela s'explique en partie*socio=rien par le manque*socio=rien de dynamisme*socio=uv3 des recettes*socio=ec1, mais aussi par une nouvelle*socio=rien accélération*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 de santé*socio=et en 1995. *socio=rien Un plan *socio=nil détaillé, tendant à assurer la maîtrise*socio=rien durable*socio=uv4 des dépenses*socio=ec1 de santé*socio=et et à permettre an*socio=rien régime*socio=et général*socio=rien de la sécurité_sociale*socio=et de dégager *socio=rien un léger excédent*socio=ec1 *socio=nil en 1997, été*socio=rien annoncé en novembre*socio=rien 1995. Ce plan*socio=rien comportait des mesures*socio=et de redressement*socio=ec2 portant sur*socio=rien les recettes*socio=ec1 et les dépenses*socio=ec1. *socio=rien Un nouvel impôt*socio=et direct,*socio=nil la*socio=nil contribution*socio=uv1 *socio=nil pour le remboursement*socio=ec1 la dette*socio=ec1 sociale*socio=et (CRDS) à été*socio=rien institué en février*socio=rien 1996. Le produit*socio=rien de ce nouvel*socio=rien impôt*socio=et sert à financer la Caisse*socio=ec1 d'amortissement*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 sociale*socio=et (CADES). Cette nouvelle*socio=rien institution*socio=ac assurera le remboursement*socio=ec1 et le service_de_la_dette*socio=ec1 cumulée (250 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1) de la sécurité_sociale*socio=et au cours*socio=rien des 3 *socio=rien prochaines années.*socio=nil La*socio=nil contribution*socio=uv1 est prélevée*socio=nil sur la*socio=nil plupart des*socio=nil catégories de*socio=nil revenus*socio=ec1 *socio=nil et son produit*socio=rien devrait être*socio=rien de l'ordre*socio=rien de 21 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 en 199 Par ailleurs*socio=rien, les allocations_familiales*socio=et n'ont pas *socio=rien été relevées *socio=nil en 1996. Les pensions*socio=et imposables et les chômeurs*socio=ac gagnant plus de 1,2 fois*socio=rien le salaire*socio=ec1 minimum*socio=rien sont assujettis à des cotisations*socio=ec1 plus élevées*socio=uv4 an*socio=rien régime*socio=et d'assurance*socio=ec1 maladie*socio=et (majoration*socio=rien de 1,2 point*socio=rien en 1996 et en 1997). En 1997, leur taux*socio=rien de cotisation*socio=ec1 sera encore que de 3,8 pour cent*socio=rien, alors que le *socio=rien taux normal est de*socio=nil 68 pour*socio=nil cent,*socio=nil L'*socio=nil industrie*socio=ec1 *socio=nil pharmaceutique à acquitter une contribution*socio=uv1 exceptionnelle*socio=uv4 2,5 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 à la suite*socio=rien de la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 des *socio=ec1 dépenses pharmaceutiques *socio=nil en 1995. Pour contenir les dépenses*socio=ec1 de sécurité_sociale*socio=et à moyen_terme*socio=te, le plan*socio=rien d-' réforme*socio=et prévoit l'institution*socio=ac d'un*socio=rien contrôle*socio=uv3 annuel*socio=rien du Parlement*socio=ac à travers*socio=rien de nouvelles*socio=rien lois*socio=et de financement*socio=ec1 de la sécurité_sociale*socio=et. Les objectifs*socio=uv4 de dépenses*socio=ec1, qui étaient jusqu'à présent*socio=rien négociés entre l'administration*socio=ec1 chargée des soins_de_santé*socio=et, les professionnels*socio=ac de la santé*socio=et et l'État*socio=ac, seront ainsi à l'avenir*socio=rien fixés par le Parlement*socio=ac, le premier*socio=rien débat*socio=et concernant les objectifs*socio=uv4 de 1997 ayant eu lieu*socio=rien l'automne*socio=rien 1996. En attendant, une limite*socio=rien de 2,1 pour cent*socio=rien à été*socio=rien fixée aux augmentations*socio=ec2 de dépenses*socio=ec1 concernant les médecins*socio=ac et les autres professionnels*socio=ac de la santé*socio=et pour 1996 14. Les mécanismes*socio=et devant*socio=rien permettre de respecter les objectifs*socio=uv4 de dépenses*socio=ec1 en 1997 et au-delà seront bientôt mis en place*socio=rien. Les détails*socio=rien des mécanismes*socio=et ne sont pas encore connus. Le contrôle*socio=uv3 de l'activité*socio=rien des médecins*socio=ac sera également renforcé au moyen*socio=rien de références médicales*socio=et opposables*socio=rien et les traitements*socio=rien injustifiés devraient *socio=rien être progressivement réduits*socio=nil grâce *socio=nil à la mise en place*socio=rien accélérée de carnets*socio=rien de santé*socio=et et de cartes de santé*socio=et électroniques*socio=rien. Enfin l'utilisation*socio=rien de médicaments génériques sera encouragée. S'agissant de l'hôpital, le plan*socio=rien de réforme*socio=et à instauré des agences*socio=ac régionales*socio=te d'hospitalisation. Celles-ci, mises en *socio=rien place an début *socio=nil de 1997, seront dotées de pouvoirs*socio=et élargis dans les domaines*socio=rien du financement*socio=ec1 des hôpitaux*socio=et. Ces agences*socio=ac seront également chargées de négocier des contrats*socio=ec1 de moyen_terme*socio=te avec les *socio=et hôpitaux publics et*socio=nil privés,*socio=nil les*socio=nil budgets*socio=ec1 *socio=nil étant répartis sur*socio=rien la base*socio=rien d'indicateurs*socio=ec1 de l'activité*socio=rien hospitalière et de la qualité*socio=rien sanitaire*socio=uv2. Jusqu'à présent*socio=rien, les budgets*socio=ec1 augmentaient dans les mêmes proportions*socio=rien ex ante*socio=te pour tons les hôpitaux*socio=et, mais les dépassements de dépenses*socio=ec1 étaient courants*socio=te. Enfin, les règles*socio=et de composition*socio=rien des conseils_d'_administration*socio=ec1 des *socio=et hôpitaux publics *socio=nil sont modifiées de telle sorte*socio=rien que les Mus locaux*socio=te (maire on président*socio=ac du Conseil*socio=ac général*socio=rien), n'en assureront*socio=rien plus automatiquement la présidence*socio=rien. Ce changement*socio=uv3 devrait favoriser la mise en oeuvre*socio=rien des *socio=et restructurations hospitalières *socio=nil qui ont pu susciter parfois, par le passé*socio=te, de fortes*socio=rien résistances*socio=uv3 liées à des préoccupations*socio=uv4 locales*socio=te, notamment l'emploi*socio=ec1. Lorsque ce plan*socio=rien à été*socio=rien présenté à la fin*socio=rien de 1995, le déficit*socio=ec1 du régime*socio=et général*socio=rien de la sécurité_sociale*socio=et devait, selon les estimations*socio=ec2 officielles*socio=et, tomber à l6,6 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 en 1996, pour laisser la place*socio=rien à un*socio=rien excédent*socio=ec1 de 1l,8 milliards*socio=rien en 1997 (alors que le déficit*socio=ec1 devait atteindre 52,5 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 en 1996 et 47,7 milliards*socio=rien en 1997 en l'absence*socio=rien de réforme*socio=et). La réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 de la seule*socio=rien assurance*socio=ec1 maladie*socio=et devait contribuer pour moitié*socio=rien 5 cette amélioration*socio=uv1. Jusqu'en août*socio=rien 1996, les dépenses*socio=ec1 du régime*socio=et général*socio=rien de la sécurité_sociale*socio=et sont restées soutenues, les dépenses*socio=ec1 de santé*socio=et progressant de près de 4 pour cent*socio=rien tandis que les recettes*socio=ec1 ont été*socio=rien plus faibles*socio=rien que prévu. D'après*socio=rien les dernières*socio=rien estimations*socio=ec2 Officielles*socio=et, le déficit*socio=ec1 du régime*socio=et général*socio=rien atteindrait 51,5 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1. La *socio=rien majeure partie *socio=nil de l'écart*socio=rien par rapport*socio=rien 5 l'objectif*socio=uv4 initial*socio=rien s'explique par la faiblesse*socio=ec2 de la conjoncture*socio=te économique*socio=ec1. Dans une *socio=rien moindre mesure,*socio=nil la*socio=nil lenteur *socio=nil avec laquelle les mesures*socio=et de réforme*socio=et des soins_de_santé*socio=et ont été*socio=rien mises en oeuvre*socio=rien, à pu jouer également *socio=rien un rôle *socio=nil sachant que certaines*socio=rien mesures*socio=et, comme la restructuration*socio=et des hôpitaux*socio=et, par exemple*socio=rien, ne se traduiront que par une réduction*socio=ec2 progressive*socio=rien des dépenses*socio=ec1. Le budget*socio=ec1 de 1997 plafonne les dépenses*socio=ec1 nominales*socio=rien et amorce une réforme*socio=et de la fiscalité*socio=et directe*socio=rien. Conformément au *socio=et programme budgétaire *socio=nil établi pour une période*socio=te de *socio=rien cinq ans,*socio=nil les*socio=nil dépenses*socio=ec1 budgétaires*socio=et *socio=nil de l'État*socio=ac ont été*socio=rien plafonnées en termes*socio=rien réels*socio=ec2 depuis 1994. Cette fois-ci*socio=rien, le gouvernement*socio=ac est*socio=rien allé plus loin*socio=rien et à prévu un*socio=rien gel*socio=et des dépenses*socio=ec1 en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1 pour 1997 afin de permettre une réduction*socio=ec2 d'impôts*socio=et. Les mesures*socio=et visent de façon*socio=rien à peu prés*socio=rien équilibrée les recettes*socio=ec1 et les dépenses*socio=ec1, si bien*socio=rien que la réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 sera faible*socio=rien (tableau*socio=rien é). Les paiements_d'_intérêts*socio=et augmentant encore en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1, les dépenses*socio=ec1 primaires*socio=rien en termes*socio=rien réels*socio=ec2 devront diminuer de plus de 1 pour cent*socio=rien en 1997. Les dépenses*socio=ec1 seront réduites dans la plupart*socio=rien des ministères*socio=ac (en particulier*socio=rien celles des ministères*socio=ac des Affaires*socio=ec1 étrangères*socio=te, de la Culture*socio=et, du Logement*socio=ec1 et de l'industrie*socio=ec1) et les effectifs*socio=rien seront quelque peu allégés (5 600 postes*socio=rien au total*socio=rien). Les dépenses*socio=ec1 concernant les programmes*socio=et ciblés en faveur*socio=rien du marché_du_travail*socio=ec1 seront fortement réduites par rapport*socio=rien au niveau*socio=rien qu'elles auraient atteint en l'absence*socio=rien de réforme*socio=et en 1997, mais les mesures*socio=et de support continueront néanmoins à augmenter globalement. Cela s'explique dans une *socio=rien large mesure *socio=nil par les nouvelles*socio=rien réductions*socio=ec2 des *socio=ec1 cotisations patronales de*socio=nil sécurité_sociale*socio=et,*socio=nil *socio=nil qui étaient déjà prévues. En 1997, le produit*socio=rien des privatisations*socio=et ne devrait pas *socio=rien être supérieur *socio=nil aux injections de capitaux*socio=ec1 prévues dans les entreprises*socio=ac publiques*socio=et, pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis la reprise des privatisations*socio=et, en 1993. Le budget*socio=ec1 de 1997 prévoit une réforme*socio=et de la fiscalité*socio=et directe*socio=rien, échelonnée sur*socio=rien une période*socio=te de *socio=rien cinq ans.*socio=nil Les*socio=nil impôts*socio=et directs *socio=nil frappant les ménages*socio=ac sont composés, en France*socio=ac, de taxes*socio=et générales*socio=rien à *socio=rien taux unique peu*socio=nil Élevé*socio=uv4 (*socio=nil CSG*socio=et *socio=nil et CRDS) et d'un*socio=rien impôt*socio=et ayant une *socio=rien assiette étroite et*socio=nil un barème très*socio=nil progressif,*socio=nil *socio=nil qui n'est*socio=rien acquitté que par la moitié*socio=rien des ménages*socio=ac environ. Pour les ménages*socio=ac qui y sont assujettis, la progressivité*socio=rien de cet impôt*socio=et est*socio=rien déjà très forte*socio=rien à des niveaux*socio=rien de revenus*socio=ec1 relativement bas*socio=rien. La *socio=et réforme fiscale *socio=nil vise à alléger le barème*socio=rien de l'impôt*socio=et et à en élargir l'assiette*socio=rien. Les taux*socio=rien d'imposition*socio=et seront progressivement*socio=rien réduits sur*socio=rien une période*socio=te de *socio=rien cinq ans.*socio=nil Le*socio=nil taux marginal maximum,*socio=nil par*socio=nil exemple,*socio=nil *socio=nil passera de 56.8 pour cent*socio=rien en 1996 à 54*socio=rien pour cent*socio=rien en 1997, puis à 47 pour cent*socio=rien en 2001 (tableau*socio=rien 8). De plus, 1,5 million*socio=rien de ménages*socio=ac supplémentaires*socio=rien ne seront plus assujettis à l'impôt*socio=et en raison*socio=rien de la suppression*socio=rien de la décote et du relèvement*socio=ec2 de la tranche il *socio=rien taux zéro.*socio=nil L'*socio=nil élargissement*socio=ec2 *socio=nil de l'assiette*socio=rien de l'impôt*socio=et (élimination*socio=ec2 progressive*socio=rien de déductions*socio=ec1 dont bénéficient plus de 100 catégories*socio=rien de professions*socio=ec1 libérales*socio=et, imposition*socio=et de certaines*socio=rien prestations*socio=et et élimination*socio=ec2 de la déductibilité fiscale*socio=et de *socio=rien certaines catégories de*socio=nil dépenses*socio=ec1,*socio=nil par*socio=nil exemple)*socio=nil *socio=nil en limitera les effets*socio=rien budgétaires*socio=et. Globalement la réduction*socio=ec2 d'impôt*socio=et atteindra 25 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 en 1997 et 75 milliards*socio=rien au bout*socio=rien de la *socio=rien cinquième année.*socio=nil *socio=nil A la suite*socio=rien de la présentation*socio=rien du budget*socio=ec1, le gouvernement*socio=ac à annoncé une série de mesures*socio=et destinées*socio=rien 5 ramener le déficit*socio=ec1 de la sécurité_sociale*socio=et de 47,2 milliards*socio=rien 5 moins de 30 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 en 1997. Les taxes*socio=et spécifiques*socio=rien augmenteront de 5 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 environ en 1997 et le financement*socio=ec1 de la sécurité_sociale*socio=et sera modifié dans sa composition*socio=rien. Le taux*socio=rien des *socio=ec1 cotisations salariales *socio=nil sera ramené de é.8 à 5,5 pour cent*socio=rien. En contrepartie*socio=rien, la CSG*socio=et augmentera de 1 pour cent*socio=rien et son assiette*socio=rien sera élargie. Ce changement*socio=uv3 se traduira par une légère*socio=rien réduction*socio=ec2 des cotisations*socio=ec1 5 la charge*socio=rien des salariés*socio=ac tout en fournissant des recettes*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien à la sécurité_sociale*socio=et (5 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1). Diverses*socio=rien autres mesures*socio=et touchant les recettes*socio=ec1 permettront de dégager 8 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien et les mesures*socio=et concernant les dépenses*socio=ec1 devraient permettre d'économiser 5 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1. En outre, l'objectif*socio=uv4 national*socio=te des dépenses*socio=ec1 d'assurance*socio=ec1 maladie*socio=et (contenue dans une enveloppe de 600 2 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1) apparaît très rigoureux*socio=uv4. Le déficit*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac sera réduit, en 1997, par une contribution*socio=uv1 exceptionnelle*socio=uv4 de France*socio=ac télécom*socio=ec1 (37,5 milliards*socio=rien de francs*socio=ec1). Il s'agit d'un*socio=rien versement*socio=ec1 en contrepartie*socio=rien de la prise_en_charge*socio=uv3 partielle*socio=rien des droits*socio=uv1 5 pension*socio=et par l'État*socio=ac, avant l'ouverture*socio=uv3 du capital*socio=ec1. Cc transfert*socio=ec1 ne sera pas comptabilisé dans le budget_de_l'_état*socio=et, mais il sera affecté à *socio=rien un nouveau fonds*socio=ec1 public*socio=et.*socio=nil Par*socio=nil ailleurs,*socio=nil des*socio=nil changements*socio=uv3 *socio=nil ont réduit le besoin*socio=uv1 de financement*socio=ec1 selon la définition*socio=rien de Maastricht*socio=et, par comparaison*socio=rien avec le besoin*socio=uv1 de financement*socio=ec1 "national*socio=te" calculé par l'INSEE*socio=ac 17. Grâce*socio=rien à ces changements*socio=uv3, les *socio=rien méthodes comptables *socio=nil utilisées par la France*socio=ac sont alignées sur*socio=rien celles des autres pays*socio=ac de l'union_européenne*socio=ac, mais l'INSEE*socio=ac afin de ne pas introduire de rupture*socio=ec2 dans ses séries continuera de publier des chiffres sur*socio=rien la base*socio=rien des anciennes définitions*socio=rien des comptes*socio=rien nationaux*socio=te jusqu'en 1998, date à laquelle les procédures*socio=et comptables*socio=rien seront mises en conformité*socio=uv3 avec le *socio=rien nouveau manuel de*socio=nil comptabilité*socio=ec1 nationale*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil critère de*socio=nil Maastricht*socio=et *socio=nil concernant le déficit*socio=ec1 semble pouvoir*socio=et être*socio=rien respecté. Les prévisions*socio=ec2 de l'OCDE*socio=ac pour 1997 tiennent compte*socio=rien des mesures*socio=et décrites plus haut*socio=rien, mais supposent que les dépenses*socio=ec1 sociales*socio=et seront quelque peu supérieures*socio=rien aux objectifs*socio=uv4 officiels*socio=et ambitieux*socio=uv2 fixés pour 1996 et 1997. Les prévisions*socio=ec2 officielles*socio=et tablent sur*socio=rien une diminution*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 de santé*socio=et en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1 au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1996, qui permettrait de ramener les dépenses*socio=ec1 sur*socio=rien la trajectoire*socio=ec2 officielle*socio=et pour l'ensemble*socio=rien de l'année*socio=rien, et sur*socio=rien une augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 nominales*socio=rien de 1,7 pour cent*socio=rien seulement en 1997. Les prévisions*socio=ec2 de l'OCDE*socio=ac supposent une augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 de santé*socio=et de 2'/2 pour cent*socio=rien jusqu'en 1998, ce qui est*socio=rien légèrement supérieur*socio=rien aux prévisions*socio=ec2 officielles*socio=et. L'une des principales*socio=rien incertitudes*socio=uv3 concerne les augmentations*socio=ec2 de salaire*socio=ec1 des agents*socio=ac de la fonction_publique*socio=et. Le gouvernement*socio=ac à annoncé que les négociations*socio=et avec les syndicats*socio=ac vont s'ouvrir sous peu. Les prévisions*socio=ec2 de l'OCDE*socio=ac supposent des augmentations*socio=ec2 de salaire*socio=ec1 modérées, de 0,5 pour cent*socio=rien au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1997 et d'un*socio=rien Même montant*socio=ec1 les deux *socio=rien semestres suivants.*socio=nil Les*socio=nil prévisions*socio=ec2 *socio=nil impliquent une *socio=ec2 réduction régulière *socio=nil mais modérée du déficit*socio=ec1 sous-jacent*socio=rien entre 1996 et 1998, le solde*socio=ec1 primaire*socio=rien corrigé des influences conjoncturelles*socio=uv4 baissant de l'équivalent*socio=rien de 1/2 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 (graphique*socio=rien 9). Les déficits*socio=ec1 de l'État*socio=ac et de la sécurité_sociale*socio=et diminueront sans doute*socio=rien quelque peu en 1997, mais l'évolution*socio=rien du déficit*socio=ec1 total*socio=rien en 1997 et 1998 sera influencée par le versement*socio=ec1 exceptionnel*socio=uv4 de France*socio=ac Télécom*socio=ec1 en 1997. On constate *socio=rien un léger écart *socio=nil entre les prévisions*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 établies par le gouvernement*socio=ac et celles de l'OCDE*socio=ac pour 1997 (1/4 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1), mais il semble exister une certaine*socio=rien marge de manoeuvre*socio=rien pour faire face*socio=rien à un*socio=rien dérapage*socio=uv4 éventuel*socio=rien dans le cadre*socio=rien de futurs*socio=rien budgets*socio=ec1 rectificatifs. Pour 1998, les prévisions*socio=ec2 de l'OCDE*socio=ac font apparaître une nouvelle*socio=rien réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 sous-jacent*socio=rien, et le déficit*socio=ec1 global*socio=te atteindrait 3 pour cent*socio=rien en 1998. La dette*socio=ec1 publique*socio=et, selon la définition*socio=rien de Maastricht*socio=et, restera *socio=rien vraisemblablement inférieure *socio=nil au. critère*socio=rien des 60 pour cent*socio=rien. L'après-maastricht : de nouvelles*socio=rien réformes*socio=et du secteur_public*socio=et s'imposent. Le gouvernement*socio=ac à présenté une prévision*socio=ec2 du budget_de_l'_état*socio=et *socio=rien sur cinq ans *socio=nil de 1997 à 2001 associé*socio=rien à une croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 réelle*socio=ec2 estimée à 2,5 pour cent*socio=rien et à *socio=rien un taux d'*socio=nil inflation*socio=ec2 *socio=nil de 1,8 pour cent*socio=rien par an*socio=rien. Selon ce scénario*socio=rien, le besoin*socio=uv1 de financement*socio=ec1 de l'État*socio=ac diminuera de 2,9 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 en 1997 à 1,9 pour cent*socio=rien en 2001. Les prévisions*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 des recettes*socio=ec1 gouvernementales*socio=et avant la réforme*socio=et de la fiscalité*socio=et se situaient en-dessous de celles du PIB*socio=ec1. En escomptant la réforme*socio=et de la fiscalité*socio=et directe*socio=rien, les prévisions*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 des recettes*socio=ec1 sont ramenées à près de 3 pour cent*socio=rien. Les futurs*socio=rien budgets*socio=ec1 devront demeurer rigoureux*socio=uv4 afin de maintenir une réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 de 1/4 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 par an*socio=rien de 1998 à 2001. Les dépenses*socio=ec1 de l'État*socio=ac ne devraient pas augmenter de plus de 1/4 pour cent*socio=rien en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1 en 1998 et de 174 pour cent*socio=rien par an*socio=rien jusqu'en 2001. Si la croissance*socio=uv3 devait s'avérer plus soutenue que prévu, les déficits*socio=ec1 pourraient être*socio=rien encore réduits et les baisses d'impôts*socio=et plus importantes*socio=rien. Selon les prévisions*socio=ec2 officielles*socio=et du budget*socio=ec1 de la sécurité_sociale*socio=et, les recettes*socio=ec1 évolueraient conformément au PIB*socio=ec1 et les dépenses*socio=ec1 nominales*socio=rien augmenteraient de 2,5 pour cent*socio=rien par an*socio=rien jusqu'en 1999. Une maîtrise*socio=rien soutenue des dépenses*socio=ec1 de santé*socio=et (croissance*socio=uv3 nulle*socio=rien en termes*socio=rien réels*socio=ec2) permettrait d'atteindre un*socio=rien excédent*socio=ec1 du compte*socio=rien de la sécurité_sociale*socio=et en 1999. Compte*socio=rien tenu de la rigidité*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 de l'état*socio=rien dont 80 pour cent*socio=rien représentent des frais*socio=ec1 de personnel*socio=ac, des paiements_d'_intérêts*socio=et et des transferts*socio=ec1, le Rapport*socio=rien économique*socio=ec1, social*socio=et et financier*socio=ec1 du gouvernement*socio=ac souligne que les objectifs*socio=uv4 sont ambitieux*socio=uv2. Compte*socio=rien tenu du programme*socio=et de réforme*socio=et de la fiscalité*socio=et *socio=rien directe sur cinq ans,*socio=nil le*socio=nil scénario officiel*socio=et à*socio=nil moyen_terme*socio=te *socio=nil ne laisse entrevoir qu'une faible*socio=rien diminution*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac en 2001. La *socio=et réforme fiscale *socio=nil comporte des éléments*socio=rien qui ont une *socio=rien importance considérable,*socio=nil *socio=nil dans la mesure*socio=rien où le barème*socio=rien de l'impôt*socio=et est*socio=rien l'un*socio=rien des plus progressifs de la zone_de_l'_ocde*socio=te et son *socio=rien assiette est très*socio=nil étroite.*socio=nil *socio=nil Cependant, Même après*socio=rien cette réforme*socio=et, de nombreux*socio=rien mécanismes*socio=et d'exonération*socio=ec1 subsisteront et le nombre*socio=rien de ménages*socio=ac assujettis à l'impôt*socio=et diminuera encore. Par ailleurs*socio=rien, une intégration*socio=uv1 avec les impôts*socio=et directs*socio=rien à *socio=rien taux unique *socio=nil et à *socio=rien large assiette *socio=nil n'a pas été*socio=rien réalisée. *socio=rien Un nouvel élargissement*socio=ec2 *socio=nil de l'assiette*socio=rien devraient rester à l'ordre*socio=rien du jour*socio=rien. En revanche, il ne semble guère y avoir de marge pour réduire le poids*socio=rien des prélèvements*socio=ec1, comme en témoigne*socio=rien le fait*socio=rien que la multitude*socio=rien de changements*socio=uv3 fiscaux*socio=et inscrits*socio=rien au budget*socio=ec1 de 1997 et influant sur*socio=rien la situation*socio=rien financière*socio=ec1 de la sécurité_sociale*socio=et n'auront qu'une incidence*socio=ec2 très limitée sur*socio=rien le montant*socio=ec1 total*socio=rien des recettes*socio=ec1 fiscales*socio=et. D'après*socio=rien les estimations*socio=ec2 officielles*socio=et, la fiscalité*socio=et totale*socio=rien et les contributions*socio=uv1 à la sécurité_sociale*socio=et tomberont de 44,9 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 en 1996 à 44,7 pour cent*socio=rien en 1997, mais elles resteront nettement supérieures*socio=rien à leur niveau*socio=rien de 1993, de 43,8 pour cent*socio=rien. Les réductions*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 à moyen_terme*socio=te officiellement*socio=et prévues ne semblent pas suffisamment ambitieuses*socio=uv2 étant donné que les pressions*socio=ec2 sur*socio=rien les dépenses*socio=ec1 vont s'accentuer sous l'effet*socio=rien de l'évolution*socio=rien démographique*socio=ec1 après*socio=rien l'an*socio=rien 2000. Des prévisions*socio=ec2 à long_terme*socio=te effectuées par le Secrétariat*socio=ac, mettant l'accent*socio=rien sur*socio=rien l'évolution*socio=rien future*socio=rien des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et de santé*socio=et et de pensions*socio=et, laissent entrevoir une dégradation*socio=uv3 rapide*socio=rien de la position*socio=rien financière*socio=ec1 de la sécurité_sociale*socio=et. En l'absence*socio=rien d'une réorientation*socio=et de la politique*socio=et et sous des hypothèses*socio=ec2 spécifiques*socio=rien de croissance*socio=uv3 et d'évolutions*socio=rien démographiques*socio=ec1, le déficit*socio=ec1 public*socio=et total*socio=rien pourrait atteindre prés*socio=rien de 5 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 en 2015 (Roseveare et al., 1996). Une augmentation*socio=ec2 des prélèvements*socio=ec1 pourrait s'avérer nécessaire*socio=rien pour maintenir la dette*socio=ec1 publique*socio=et à *socio=rien un niveau constant en*socio=nil proportion du*socio=nil PIB*socio=ec1.*socio=nil Pour*socio=nil pouvoir*socio=et *socio=nil procéder à des allégements*socio=uv3 d'impôts*socio=et et à des réductions*socio=ec2 plus ambitieuses*socio=uv2 du déficit*socio=ec1, il est*socio=rien indispensable*socio=uv4 de poursuivre vigoureusement le processus*socio=te de réforme*socio=et des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et. La France*socio=ac est*socio=rien l'un*socio=rien des pays_de_l'_ocde*socio=ac où les dépenses*socio=ec1 sont les plus élevées*socio=uv4 en proportion*socio=rien du PIB*socio=ec1 (graphique*socio=rien 10). Malgré des efforts*socio=uv1 soutenus de réduction*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 au. niveau*socio=rien de l'État*socio=ac et de la sécurité_sociale*socio=et depuis 1993, plusieurs autres pays*socio=ac sont mieux parvenus à réduire leurs dépenses*socio=ec1 depuis ces *socio=rien dernières années.*socio=nil Les*socio=nil réformes*socio=et *socio=nil qui ont été*socio=rien entreprises*socio=ac dans la gestion*socio=ec2 des services_publics*socio=et de base*socio=rien et la restructuration*socio=et des entreprises*socio=ac publiques*socio=et devraient être*socio=rien accélérées. Ce *socio=rien dernier point est *socio=nil examiné plus loin*socio=rien dans le chapitre*socio=rien consacré au gouvernement*socio=ac des entreprises*socio=ac. S'agissant de la sécurité_sociale*socio=et, les réformes*socio=et de l'assurance*socio=ec1 chômage*socio=ec1, de la santé*socio=et et des régimes_de_pension*socio=et ont permis*socio=rien de réduire très sensiblement les dépenses*socio=ec1 par rapport*socio=rien à leur tendance*socio=ec2. Entre 1993 et 1996, les dépenses*socio=ec1 de sécurité_sociale*socio=et ont augmenté en moyenne*socio=rien de 1,5 pour cent*socio=rien en termes*socio=rien réels*socio=ec2, contre 3,3 pour cent*socio=rien entre 1983 et 199319. Des progrès*socio=uv1 sensibles*socio=rien afin de réduire l'augmentation*socio=ec2 des soins*socio=rien ambulatoires avaient déjà été*socio=rien réalisés avant le programme*socio=et de réformes*socio=et de 1995. Des objectifs*socio=uv4 de dépenses*socio=ec1 ont été*socio=rien institués dés*socio=rien 1992 pour les cliniques privées*socio=et, les laboratoires*socio=rien, les services*socio=et infirmiers et les physiothérapistes. Les nouvelles*socio=rien mesures*socio=et de limitation*socio=uv3 des dépenses*socio=ec1 avaient été*socio=rien introduites sous la forme*socio=rien de références médicales*socio=et opposables*socio=rien, définissant*socio=rien des *socio=et normes médicales *socio=nil et des sanctions*socio=et en cas*socio=rien de non respect*socio=uv1 de ces normes*socio=et, et de l'institution*socio=ac progressive*socio=rien de dossiers*socio=rien médicaux*socio=et. En revanche, peu de progrès*socio=uv1 avait été*socio=rien réalisé dans la réforme*socio=et de la gestion*socio=ec2 du secteur*socio=rien *socio=et hospitalier public.*socio=nil Les*socio=nil dépenses*socio=ec1 *socio=nil ont marqué une nouvelle*socio=rien accélération*socio=ec2 en 1995, faisant ainsi apparaître les limites*socio=rien des réformes*socio=et précédentes*socio=rien. Le programme*socio=et de réformes*socio=et de la fin*socio=rien 1995, décrit en détail*socio=rien plus haut*socio=rien, est*socio=rien beaucoup plus ambitieux*socio=uv2 dans la mesure*socio=rien où il comporte un*socio=rien plafond*socio=ec1 de dépenses*socio=ec1 impératif*socio=uv4. Les plafonds*socio=ec1 de dépenses*socio=ec1 pour 1997 sont très ambitieux*socio=uv2. Dans le secteur*socio=rien hospitalier*socio=et, par exemple*socio=rien, les salaires*socio=ec1 augmenteraient plus que les objectifs*socio=uv4 officiels*socio=et de dépenses*socio=ec1 par le *socio=rien simple jeu du*socio=nil vieillissement*socio=ec2 des*socio=nil effectifs *socio=nil et des promotions*socio=ec2. Par ailleurs*socio=rien, la restructuration*socio=et du secteur*socio=rien hospitalier*socio=et pourrait prendre plus de temps*socio=rien que prévu bien*socio=rien que la décentralisation*socio=et devrait faciliter l'équilibrage de l'_offre*socio=ec1 et de la demande*socio=ec1 au niveau*socio=rien local*socio=te. Il sera sans doute*socio=rien très difficile*socio=rien de respecter ces plafonds*socio=ec1 de dépenses*socio=ec1 et l'application*socio=rien de pénalités en cas*socio=rien de dépassement*socio=ec2 pourrait se révéler difficile*socio=rien d'un*socio=rien point*socio=rien de vue*socio=rien politique*socio=et. Cette réforme*socio=et marque*socio=rien une rupture*socio=ec2 avec le passé*socio=te, mais elle ne permettra de contenir durablement les dépenses*socio=ec1 de santé*socio=et que si le secteur*socio=rien hospitalier*socio=et *socio=rien est véritablement *socio=nil restructuré et si les plafonds*socio=ec1 de dépenses*socio=ec1 sont effectivement*socio=rien respectés. La réforme*socio=et de 1993 du régime*socio=et général*socio=rien de retraite*socio=ec1 (des salariés*socio=ac du secteur_privé*socio=et) comprend le rallongement progressif*socio=rien de la durée*socio=te de cotisation*socio=ec1 de 37'/2 à 40 ans*socio=rien ouvrant droit*socio=uv1 à la retraite*socio=ec1 à *socio=rien taux plein *socio=nil et la réduction*socio=ec2 progressive*socio=rien de la générosité*socio=uv1 des pensions*socio=et versées. En outre, les avantages*socio=rien non contributifs sont maintenant financés par le fonds*socio=ec1 de *socio=uv1 solidarité vieillesse *socio=nil (FSV). Cette réforme*socio=et visait à assurer le financement*socio=ec1 du régime*socio=et général*socio=rien jusqu'en 2010, tandis que les caisses*socio=ec1 complémentaires*socio=rien ont décidé d'abaisser progressivement*socio=rien les taux*socio=rien de rendement*socio=ec1 et d'accélérer les relèvements*socio=ec2 prévus des taux*socio=rien de cotisation*socio=ec1. Contrairement au régime_de_retraite des salariés*socio=ac du secteur_privé*socio=et, les régimes_de_retraite*socio=et spéciaux*socio=rien (dont bénéficient principalement les agents*socio=ac de la fonction_publique*socio=et et les salariés*socio=ac de certaines*socio=rien entreprises*socio=ac publiques*socio=et), N'ont pas encore fait*socio=rien l'objet*socio=rien de réformes*socio=et. D'après*socio=rien les scénarios*socio=rien à long_terme*socio=te établis par le Commissariat général*socio=rien du Plan*socio=rien (1995), les dépenses*socio=ec1 de ces régimes*socio=et *socio=rien an titre des*socio=nil retraites*socio=ec1 *socio=nil vont sans doute*socio=rien augmenter beaucoup plus rapidement que celles des autres et un*socio=rien relèvement*socio=ec2 important*socio=rien des taux*socio=rien de cotisation*socio=ec1 serait nécessaire*socio=rien pour éviter *socio=rien un creusement des*socio=nil déficits*socio=ec1.*socio=nil Une*socio=nil majoration *socio=nil de 1 point*socio=rien du taux*socio=rien de cotisation*socio=ec1 permettrait d'assurer jusqu'en 2005 la stabilité*socio=uv3 financière*socio=ec1 du régime*socio=et général*socio=rien des salariés*socio=ac du secteur_privé*socio=et, mais une augmentation*socio=ec2 de 1l points*socio=rien serait nécessaire*socio=rien pour les fonctionnaires*socio=ac de l'État*socio=ac, et de 15 points*socio=rien pour les salariés*socio=ac des collectivités_locales*socio=ac. Enfin, alors que les pensions*socio=et versées aux salariés*socio=ac des chemins*socio=rien de fer*socio=rien et aux agriculteurs*socio=ac ne changeront guère ou diminueront peut-être, l'État*socio=ac et les autres régimes*socio=et devront continuer à financer d'importants*socio=rien déficits*socio=ec1. Si la réforme*socio=et de l'État*socio=ac en cours*socio=te vise bien*socio=rien à améliorer les méthodes*socio=rien de gestion_publique*socio=et, de nombreux*socio=rien progrès*socio=uv1 restent à faire notamment dans la gestion*socio=ec2 des ressources_humaines*socio=ec1. Les normes*socio=et de travail*socio=ec1 applicables*socio=rien aux fonctionnaires*socio=ac sont beaucoup plus restrictives*socio=uv4 que celles qui sont en vigueur*socio=uv3 dans le secteur_privé*socio=et. Elles concernent environ 75 pour cent*socio=rien des plus de 5 millions*socio=rien d'agents*socio=ac de l'État*socio=ac, des collectivités_locales*socio=ac et des services_publics*socio=et de la poste*socio=rien et des télécommunications*socio=ec1, les autres salariés*socio=ac étant couverts par des contrats*socio=ec1 privés*socio=et. La rémunération*socio=ec1 des agents*socio=ac de la fonction_publique*socio=et est*socio=rien fondée *socio=rien sur un système de*socio=nil notation *socio=nil comportant des augmentations*socio=ec2 d'échelon*socio=rien à l'ancienneté*socio=ec1 et par promotion*socio=uv3. *socio=rien Un grand nombre de*socio=nil primes*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil parfois sans *socio=rien lien direct *socio=nil avec les performances*socio=uv3, viennent s'ajouter à la rémunération*socio=ec1 individuelle*socio=uv2. Une personne*socio=rien qui entre dans la fonction_publique*socio=et est*socio=rien assurée de voir son salaire*socio=ec1 augmenter pendant la plus *socio=rien grande partie *socio=nil de sa carrière*socio=rien. Le système*socio=rien de rémunération*socio=ec1 entraîne *socio=rien un glissement des*socio=nil salaires*socio=ec1 très*socio=nil important,*socio=nil *socio=nil de l'ordre*socio=rien de 1 pour cent*socio=rien depuis 1990. De cc fait*socio=rien, la masse_salariale*socio=ec1 augmente fortement, Même en l'absence*socio=rien d'augmentation*socio=ec2 des barèmes*socio=rien. Un*socio=rien tel glissement*socio=rien était supportable*socio=rien lorsque l'inflation*socio=ec2 était élevée*socio=uv4, mais il pose de *socio=uv4 sérieuses difficultés en*socio=nil période*socio=te de*socio=nil faible*socio=rien inflation*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil car il n'est*socio=rien plus possible*socio=rien de négocier des augmentations*socio=ec2 de salaires*socio=ec1. Les agents*socio=ac de la fonction_publique*socio=et peuvent prendre leur retraite*socio=ec1 à 60 ans*socio=rien (certaines*socio=rien catégories*socio=rien d'entre eux peuvent le faire à 55 ans*socio=rien) mais doivent cesser leurs fonctions*socio=rien à 65 ans*socio=rien. Alors que le rapport*socio=rien entre la pension*socio=et nette*socio=rien versée et le salaire*socio=ec1 net*socio=rien en fin*socio=rien de carrière*socio=rien atteignait 74,7 pour cent*socio=rien en 1993 dans le secteur_public*socio=et, il était seulement de 69,4 pour cent*socio=rien dans le secteur_privé*socio=et, et l'écart*socio=rien s'est*socio=rien encore creusé depuis 1993 (car les taux*socio=rien de compensation*socio=rien des retraites*socio=ec1 de la fonction_publique*socio=et N'ont pas été*socio=rien réduits). Ainsi qu'on l'a noté plus haut*socio=rien, les paiements*socio=ec1 au titre*socio=rien des pensions*socio=et vont augmenter rapidement dans les années*socio=rien à venir pour des raisons*socio=rien démographiques*socio=ec1. En raison*socio=rien des effets*socio=rien dynamiques*socio=uv4 du régime_de_pensions*socio=et et du système*socio=rien de rémunération*socio=ec1, Même si les salaires*socio=ec1 et les pensions*socio=et étaient gelés au cours*socio=rien des *socio=rien prochaines années,*socio=nil des*socio=nil mesures*socio=et supplémentaires devraient*socio=nil être prises *socio=nil pour atteindre le degré*socio=rien de maîtrise*socio=rien des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et envisagé dans les prévisions*socio=ec2 officielles*socio=et à moyen_terme*socio=te. Au cours*socio=rien des dernières*socio=rien décennies*socio=te, le nombre*socio=rien d'agents*socio=ac de l'État*socio=ac hors militaires*socio=et n'a été*socio=rien réduit qu'en 1987 et 1988, et une légère*socio=rien diminution*socio=ec2 est*socio=rien prévue pour 1997. Cette *socio=rien situation est surprenante compte *socio=nil tenu de la décentralisation*socio=et de nombreux*socio=rien services*socio=et depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80, décentralisation*socio=et qui s'est*socio=rien traduite, en revanche, par une augmentation*socio=ec2 rapide*socio=rien de l'emploi*socio=ec1 au niveau*socio=rien local*socio=te. La sécurité*socio=uv1 de l'emploi*socio=ec1 garantie de fait*socio=rien aux fonctionnaires*socio=ac n'est*socio=rien pas incompatible*socio=uv4 avec une gestion*socio=ec2 rigoureuse*socio=uv4 des effectifs*socio=rien; des marges d'ajustement*socio=et existent en raison*socio=rien notamment du nombre*socio=rien des départs en retraite*socio=ec1 enregistré chaque année*socio=rien, plus de 60 000 en 1996. Par ailleurs*socio=rien, les diverses*socio=rien mesures*socio=et prises*socio=rien au cours*socio=rien de la dernière*socio=rien décennie*socio=te dans le but*socio=rien d'améliorer le système*socio=rien de gestion*socio=ec2 (déconcentration des services*socio=et et création*socio=rien de centres*socio=rien de "responsabilité*socio=uv1", ont permis*socio=rien d'obtenir*socio=rien un*socio=rien peu plus de souplesse*socio=uv3 dans la gestion*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 autres que les dépenses*socio=ec1 de personnel*socio=ac. Par comparaison*socio=rien avec la France*socio=ac, certains pays_de_l'_ocde*socio=ac ont toujours eu des méthodes*socio=rien de gestion*socio=ec2 plus souples*socio=uv4, tandis que d'autres les ont modifiées ces *socio=rien dernières années.*socio=nil Seules l'*socio=nil Allemagne*socio=ac *socio=nil et l'Espagne*socio=ac ont encore des systèmes*socio=rien aussi rigides*socio=uv4 que le système*socio=rien français*socio=ac (tableau*socio=rien 9). En revanche, les pratiques*socio=et de gestion*socio=ec2 sont très différentes*socio=rien. Aux Pays-bas*socio=ac, par exemple*socio=rien, les barèmes*socio=rien de salaires*socio=ec1 sont fixés au niveau*socio=rien. central*socio=rien, mais les ministères*socio=ac peuvent modifier en partie*socio=rien la répartition*socio=uv3 entre ressources_humaines*socio=ec1 et autres ressources*socio=ec1, à condition*socio=rien de respecter une enveloppe budgétaire*socio=et globale*socio=rien. Dans beaucoup d'autres pays*socio=ac, les salaires*socio=ec1 négociés au niveau*socio=rien. central*socio=rien sont inférieurs*socio=rien aux salaires*socio=ec1 effectifs*socio=rien, ce qui laisse une marge pour des écarts*socio=rien de salaires*socio=ec1 régionaux*socio=te, individuels*socio=uv2 et professionnels*socio=ec1. La possibilité*socio=rien de différencier les niveaux*socio=rien de salaires*socio=ec1 va souvent de pair*socio=rien avec une marge de *socio=rien Manoeuvre importante en*socio=nil matière d'*socio=nil effectifs,*socio=nil *socio=nil et les ministères*socio=ac, ou certaines*socio=rien de leurs branches*socio=rien, gèrent de *socio=rien façon autonome *socio=nil leur enveloppe budgétaire*socio=et. C'est*socio=rien an*socio=rien Royaume-uni*socio=ac et en Nouvelle-zélande*socio=ac que les réformes*socio=et sont probablement allées le plus loin*socio=rien, les pratiques*socio=et de gestion*socio=ec2 étant presque identiques dans le secteur_public*socio=et et dans le secteur_privé*socio=et. On constate une certaine*socio=rien corrélation*socio=ec2 entre le niveau*socio=rien et l'évolution*socio=rien des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et (graphique*socio=rien 10) et les *socio=rien différentes méthodes de*socio=nil gestion*socio=ec2 *socio=nil appliquées par les pays*socio=ac. Une plus grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3 dans la gestion*socio=ec2 des ressources*socio=ec1 permettrait d'alléger le poids*socio=rien des impôts*socio=et, particulièrement lourds*socio=rien en France*socio=ac, tout en réduisant