*{ Rapport des études économiques de l'OCDE au Canada de 1998 } Évaluation*socio=ec2 *socio=rien et recommandations.*socio=nil Malgré un ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la croissance*socio=uv3 au milieu*socio=rien de 1998, dû*socio=rien à *socio=rien un affaiblissement *socio=nil de la *socio=te conjoncture extérieure,*socio=nil le*socio=nil Canada*socio=ac *socio=nil à enregistré de *socio=rien bons résultats économiques*socio=ec1 au*socio=nil cours *socio=nil des deux *socio=rien dernières années,*socio=nil son*socio=nil PIB*socio=ec1 réel*socio=ec2 *socio=nil progressant à *socio=rien un rythme annuel *socio=nil de 31/2 pour cent*socio=rien depuis le milieu*socio=rien de 1996. Naguère alimentée essentiellement par des sources*socio=rien extérieures*socio=te, la croissance*socio=uv3 à été*socio=rien tirée, de plus en plus, par la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, elle-même soutenue par la faiblesse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et le regain*socio=ec2 de confiance*socio=uv1 des entreprises*socio=ac et des consommateurs*socio=ac dans *socio=rien un contexte de*socio=nil forte amélioration*socio=uv1 budgétaire*socio=et.*socio=nil Avec*socio=nil un certain décalage,*socio=nil l'*socio=nil accélération*socio=ec2 *socio=nil de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 à entravé de *socio=rien nombreuses créations d'*socio=nil emplois*socio=ec1 *socio=nil dans le secteur_privé*socio=et, faisant reculer le chômage*socio=ec1 à des niveaux*socio=rien jamais vus depuis le début*socio=rien de la décennie*socio=te. Bien*socio=rien que le rebond de la croissance*socio=uv3 ait en *socio=rien grande partie *socio=nil résorbé le sous-emploi*socio=ec1 des ressources*socio=ec1, il subsiste une marge de capacités*socio=uv3 inutilisées*socio=rien qui exerce une pression*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien les coûts*socio=ec1 et les prix*socio=ec1. De ce fait*socio=rien, l'inflation*socio=ec2 est*socio=rien restée faible*socio=rien, se maintenant ces *socio=rien derniers mois à*socio=nil proximité *socio=nil de la *socio=rien limite inférieure *socio=nil de l'objectif*socio=uv4 de 1 `à 3 pour cent*socio=rien fixé par les autorités*socio=et. Enfin, étant donné que la demande*socio=ec1 de produits*socio=rien à *socio=rien forte intensité d'*socio=nil importations*socio=ec1 à*socio=nil été particulièrement*socio=nil vigoureuse *socio=nil et que la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des matières_premières*socio=ec1 à pesé sur*socio=rien les recettes*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, la balance*socio=ec1 des opérations*socio=rien courantes*socio=te est*socio=rien redevenue déficitaire*socio=ec2. Les retombées*socio=rien de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac et le relèvement*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te l'an*socio=rien passé*socio=te pourraient mettre *socio=rien un frein *socio=nil à l'activité*socio=rien au cours*socio=rien de la période*socio=te à venir. Toutefois, *socio=rien un certain nombre de*socio=nil facteurs *socio=nil devraient compenser en partie*socio=rien cet effet*socio=rien: l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te semble devoir*socio=rien se poursuivre aux États-unis*socio=ac, principal*socio=rien partenaire*socio=ac commercial*socio=ec1 du Canada*socio=ac, Même si elle est*socio=rien plus lente*socio=rien: la dépréciation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 à compensé en partie*socio=rien l'effet*socio=rien de l'effondrement*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien, et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te ont fléchi à la faveur*socio=rien d'une révision*socio=rien en baisse*socio=ec2 des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 et de la réduction*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 publique*socio=et. D'après*socio=rien les prévisions*socio=ec2 du Secrétariat*socio=ac de l'OCDE*socio=ac, la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 devrait donc se poursuivre à *socio=rien un rythme *socio=nil modéré, à peu prés*socio=rien conforme*socio=uv4 à son potentiel*socio=uv4. *socio=rien Un nouveau resserrement*socio=ec2 *socio=nil de l'écart*socio=rien de production*socio=ec1 au cours*socio=rien de la période*socio=te 1998-99 ne pouvant être*socio=rien que faible*socio=rien l'inflation*socio=ec2 devrait rester modérée, conformément à l'objectif*socio=uv4 officiel*socio=et. Malgré un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1, le déficit*socio=ec1 de la balance*socio=ec1 des opérations*socio=rien courantes*socio=te restera sans doute*socio=rien à peu prés*socio=rien stable*socio=uv4, puisque la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 se ralentira et que les termes_de_l'_échange*socio=ec1 cesseront de se détériorer. Étant donné les remous*socio=rien observés actuellement dans l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, les incertitudes*socio=uv3 entourant ces perspectives*socio=te sont plus grandes*socio=rien qu'à l'accoutumée. Les économies*socio=ec1 de l'Asie-pacifique*socio=ac n'absorbant que 8 pour cent*socio=rien des exportations*socio=ec1 canadiennes*socio=ac, les risques*socio=uv4 directement liés aux échanges*socio=ec1 semblent assez peu importants*socio=rien. Une nouvelle*socio=rien baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien pourrait entamer la confiance*socio=uv1 des entreprises*socio=ac et nuire à leurs investissements*socio=ec1, mais là encore, les *socio=rien effets directs *socio=nil de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac devraient rester limités, sauf pour la Colombie-britannique*socio=ac, qui commerce*socio=ec1 beaucoup avec la région*socio=te. Les *socio=rien retombées indirectes *socio=nil de ces perturbations*socio=ec2 par l'intermédiaire*socio=rien des États-unis*socio=ac pourraient en revanche se révéler plus sérieuses*socio=uv4 dans la mesure*socio=rien où elles aggraveraient sensiblement l'incidence*socio=ec2 *socio=rien négative sur les*socio=nil exportations*socio=ec1 *socio=nil et la confiance*socio=uv1 du secteur_privé*socio=et - surtout dans le contexte*socio=rien d'instabilité*socio=uv3 accrue des marchés_financiers*socio=ec1 au Canada*socio=ac et dans le reste*socio=rien du monde*socio=te. L'affaiblissement*socio=rien des marchés*socio=ec1 des actions*socio=rien renforce aussi le risque*socio=uv4 de réduction*socio=ec2 de la consommation*socio=ec1 lié *socio=rien an faible taux d'*socio=nil épargne*socio=ec1 des*socio=nil ménages*socio=ac.*socio=nil Ces*socio=nil incertitudes*socio=uv3 posent*socio=nil un problème*socio=uv4 aux*socio=nil autorités*socio=et monétaires*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il y à *socio=rien un an,*socio=nil la*socio=nil réduction*socio=ec2 rapide *socio=nil de l'écart*socio=rien entre production*socio=ec1 effective*socio=rien et production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 semblait justifier *socio=rien un certain resserrement*socio=ec2 des*socio=nil *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil pour éviter l'apparition*socio=rien de *socio=ec2 tensions inflationnistes.*socio=nil De*socio=nil fait*socio=rien,*socio=nil la*socio=nil banque_du_canada*socio=ac *socio=nil à relevé les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te à cinq*socio=rien reprises depuis octobre*socio=rien 1997. Cependant, seul*socio=rien le premier*socio=rien relèvement*socio=ec2 visait à modérer l'ampleur*socio=rien de la stimulation*socio=rien monétaire*socio=ec1. Ceux de la fin*socio=rien de 1997 et du début*socio=rien de 1998 avaient pour but*socio=rien de contrer la détente*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires,*socio=nil *socio=nil due à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien le dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac, que les autorités*socio=et jugeaient excessive*socio=rien. La *socio=rien dernière majoration,*socio=nil *socio=nil intervenue à la fin*socio=rien d'août*socio=rien 1998 et en partie*socio=rien annulée depuis, était une réaction*socio=rien à l'affaiblissement*socio=rien de la confiance*socio=uv1 dans les investissements*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac, qui se traduisait par une intensification*socio=ec2 de la pression*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1 et une hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te. Ces interventions*socio=et n'ont pas empêché une baisse*socio=ec2 de l'indice des *socio=ec1 conditions monétaires (*socio=nil ICM)*socio=nil ,*socio=nil qui*socio=nil mesure*socio=rien l'*socio=nil effet*socio=rien *socio=nil combiné des variations*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te et du taux_de_change*socio=ec1 et sert de *socio=rien guide opérationnel *socio=nil à la politique_monétaire*socio=et. Cet assouplissement*socio=uv3 des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=rien est opportun *socio=nil étant donné l'assombrissement et le caractère*socio=rien plus incertain*socio=rien des perspectives*socio=te pour l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien et l'absence*socio=rien de tensions*socio=ec2 sur*socio=rien le front*socio=rien de l'inflation*socio=ec2. Le maintien*socio=rien de cette orientation*socio=et monétaire*socio=ec1 plus souple*socio=uv4 serait justifié jusqu'à ce que l'écart*socio=rien de production*socio=ec1 se resserre de nouveau*socio=rien. Du fait*socio=rien du niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 de la dette*socio=ec1 publique*socio=et du Canada*socio=ac par rapport*socio=rien à celle des autres pays*socio=ac, le *socio=rien caractère incertain *socio=nil de la *socio=te conjoncture extérieure *socio=nil rehausse aussi l'importance*socio=rien du maintien*socio=rien de l'équilibre*socio=uv3 budgétaire*socio=et afin de rendre l'économie*socio=ec1 moins vulnérable*socio=uv2 en cas*socio=rien de chocs*socio=ec2. Après*socio=rien plusieurs années*socio=rien de fortes*socio=rien restrictions*socio=et, la politique_budgétaire*socio=et s'oriente progressivement*socio=rien vers une plus grande*socio=rien neutralité*socio=uv1, l' administration_fédérale*socio=ac et les administrations_provinciales*socio=ac ayant commencé à réduire les impôts*socio=et et à augmenter les dépenses*socio=ec1. Avec des finances*socio=ec1 publiques*socio=et de plus en plus florissantes, on s'est*socio=rien *socio=rien bien sûr *socio=nil demandé comment utiliser le "dividende*socio=ec1" procuré par les excédents*socio=ec1 et quels devraient être*socio=rien les objectifs*socio=uv4 de la politique_budgétaire*socio=et à moyen_terme*socio=te. étant donné qu'au rythme*socio=rien actuel*socio=te de réduction*socio=ec2 de la dette*socio=ec1, il faudra probablement encore *socio=rien cinq ans *socio=nil pour ramener le *socio=ec1 ratio dette/*socio=nil PIB du*socio=nil Canada*socio=ac *socio=nil seulement à la moyenne*socio=rien de l'OCDE*socio=ac, priorité*socio=uv4 doit être*socio=rien donnée à maintenir ce ratio*socio=ec1 sur*socio=rien une tendance*socio=ec2 nettement décroissante*socio=ec2. Compte*socio=rien tenu des risques*socio=uv4 attachés aux perspectives*socio=te, cela renforce la nécessité*socio=uv1 d'une *socio=et planification budgétaire prudente*socio=uv2.*socio=nil Cette*socio=nil orientation *socio=nil permettra sans doute*socio=rien aux stabilisateurs*socio=uv4 automatiques*socio=rien de jouer en cas*socio=rien de ralentissement*socio=ec2 économique*socio=ec1 inattendu*socio=rien. Elle n'exclut pas non plus de nouvelles*socio=rien réductions*socio=ec2 d'impôt*socio=et *socio=rien an fil du*socio=nil temps.*socio=nil *socio=nil Comme on l'a vu dans l'étude*socio=ec2 de l'an*socio=rien dernier*socio=rien, il serait en *socio=rien particulier souhaitable *socio=nil de modifier le système_fiscal*socio=et canadien*socio=ac et, plus particulièrement, de supprimer les surtaxes*socio=et, de réindexer intégralement le système*socio=rien d'imposition*socio=et du revenu*socio=ec1 des personnes*socio=ac physiques*socio=rien, de réduire plus rapidement les cotisations*socio=ec1 d'assurance-chômage*socio=et afin de rééquilibrer le Compte*socio=rien de l'assurance-emploi*socio=et, et de modifier le régime_fiscal*socio=et des sociétés*socio=ac en vue*socio=rien d'améliorer la compétitivité*socio=uv3. Des dépenses*socio=ec1 limitées dans les secteurs*socio=rien prioritaires*socio=uv4 (notamment) la mise en valeur*socio=ec1 du capital_humain*socio=ec1 et la santé*socio=et) pourraient également être*socio=rien envisagées dans la mesure*socio=rien ou, conjuguées*socio=rien aux *socio=et aménagements fiscaux *socio=nil précédemment évoqués, elles contribueraient à renforcer l'efficience*socio=uv3 économique*socio=ec1. De façon*socio=rien plus générale*socio=rien, il faudra accorder davantage d'importance*socio=rien à la réforme*socio=et structurelle*socio=uv4 pour développer le potentiel*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1. Avec le recul*socio=rien, en effet*socio=rien, on se rend compte*socio=rien que les effets*socio=rien escomptés, sur*socio=rien la productivité*socio=uv3 et la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4, des nombreuses*socio=rien mesures*socio=et de politique*socio=et structurelle*socio=uv4 mises en oeuvre*socio=rien depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 80 ont tardé à se matérialiser. Bien*socio=rien que les raisons*socio=rien de cette situation*socio=rien ne soient pas encore parfaitement claires*socio=rien, *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil éléments *socio=nil semblent avoir joué, notamment: la lenteur*socio=rien de l'ajustement*socio=et dans certains *socio=rien secteurs face aux*socio=nil nouvelles orientations*socio=et *socio=nil et impulsions de l'action*socio=rien économique*socio=ec1; l'existence*socio=rien pendant une *socio=rien bonne partie des*socio=nil années *socio=nil 90 d'un*socio=rien large*socio=rien volant de ressources*socio=ec1 inutilisées*socio=rien et l'absence*socio=rien manifeste d'autres conditions*socio=ec1 jugées favorables*socio=ec2 à la productivité*socio=uv3 et à la croissance*socio=uv3 (taux*socio=rien élevés*socio=uv4 d'innovation*socio=uv3, de R-D*socio=ec1 et d'investissement*socio=ec1); et le fait*socio=rien que les petites*socio=rien et moyennes*socio=rien entreprises*socio=ac - dont la contribution*socio=uv1 à l'activité*socio=rien est*socio=rien assez forte*socio=rien au Canada*socio=ac - se sont montrées moins ouvertes*socio=uv4 sur*socio=rien l'extérieur*socio=te, moins enclines à innover et moins productives*socio=uv4 qu'ailleurs*socio=rien. *socio=rien Certaines évolutions récentes *socio=nil Permettent cependant de penser qu'une amélioration*socio=uv1 durable*socio=uv4 de l'efficience*socio=uv3 économique*socio=ec1 et du potentiel*socio=uv4 de croissance*socio=uv3 est*socio=rien en train*socio=rien de se dessiner: l'environnement*socio=et macro-économique*socio=ec1 est*socio=rien devenu. plus favorable*socio=ec2; les ressources*socio=ec1 productives*socio=uv4 se sont largement déplacées du secteur_public*socio=et vers le secteur*socio=rien prive; l'ouverture*socio=uv3 de plus en plus large*socio=rien de l'économie*socio=ec1 aux échanges*socio=ec1 continue*socio=rien de stimuler la concurrence*socio=ec1; et les rigidités*socio=uv3 constatées dans certains secteurs*socio=rien où le processus*socio=te de réforme*socio=et à pris du retard*socio=rien font enfin l'objet*socio=rien de mesures*socio=et correctives*socio=ec2. Quoi qu'il en soit, il ne faudrait pas se réjouir*socio=rien trop vite, car *socio=rien un certain nombre de*socio=nil tâches *socio=nil restent 4 accomplir dans le domaine*socio=rien structurel*socio=uv4, outre celles mentionnées ci-dessus touchant la fiscalité*socio=et, pour faire face*socio=rien en particulier*socio=rien à l'évolution*socio=rien de la technologie*socio=ec1 et aux forces_du_marché*socio=ec1. Le secteur*socio=rien financier*socio=ec1 *socio=rien est un des*socio=nil domaines *socio=nil dans lesquels la restructuration*socio=et parait devoir*socio=rien se poursuivre. *socio=rien Un rapport officiel*socio=et à*socio=nil été *socio=nil publié récemment sur*socio=rien les *socio=uv4 problèmes structurels *socio=nil de ce secteur*socio=rien: possibilité*socio=rien pour les entités*socio=rien étrangères*socio=te et nationales*socio=te d'entrer dans le secteur*socio=rien, nature*socio=rien des pouvoirs*socio=et dont disposent les *socio=rien différentes catégories d'*socio=nil établissements financiers*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil types de structures*socio=ec1 de capital*socio=ec1 offerts*socio=rien à ces établissements*socio=rien, et examen*socio=ec2 du cadre*socio=rien réglementaire*socio=et gouvernant*socio=rien leurs activités*socio=rien. Les recommandations*socio=rien du rapport*socio=rien sont en cours*socio=te de révision*socio=rien par le gouvernement*socio=ac. Elles devraient aussi influer sur*socio=rien les décisions*socio=rien des autorités*socio=et concernant les fusions bancaires*socio=ec1 récemment proposées ainsi que leur *socio=rien effet sur la*socio=nil concurrence*socio=ec1.*socio=nil Par*socio=nil ailleurs,*socio=nil les*socio=nil responsables*socio=uv2 gouvernementaux*socio=ac *socio=nil procèdent actuellement à un*socio=rien réexamen*socio=et du Système*socio=rien de paiements*socio=ec1 en vue*socio=rien de donner à un*socio=rien plus *socio=rien grand nombre d'*socio=nil établissements financiers*socio=ec1 accès*socio=uv1 direct au*socio=nil système.*socio=nil Bien *socio=nil que les réformes*socio=et récentes*socio=rien du marché_du_travail*socio=ec1 semblent avoir entraîné *socio=rien un recul du*socio=nil chômage*socio=ec1 structurel*socio=uv4,*socio=nil un effort*socio=uv1 supplémentaire serait*socio=nil nécessaire *socio=nil pour remédier au problème*socio=uv4 du sous-emploi*socio=ec1 des ressources*socio=ec1 dans plusieurs régions*socio=te ou limiter*socio=rien à plus long_terme*socio=te la contraction*socio=ec2 de l'_offre*socio=ec1 de main-d'_oeuvre*socio=ac, qui freine la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4. Dans le *socio=rien premier cas,*socio=nil *socio=nil comme l'indiquaient déjà les études*socio=ec2 précédentes*socio=rien, une série de mesures*socio=et devraient *socio=rien être prises,*socio=nil *socio=nil telles que l'élimination*socio=ec2 des différences*socio=uv1 régionales*socio=te entre les prestations*socio=et d'assurance-chômage*socio=et et l'approfondissement*socio=uv3 de la notion*socio=rien de "quotient*socio=rien patronal", afin de favoriser la création_d'_emplois*socio=ec1 et de supprimer les disparités*socio=uv1 entre secteurs*socio=rien et entre régions*socio=te, ce à quoi pourrait également contribuer l'Accord*socio=et sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 intérieur*socio=te s'il était appliqué intégralement. Dans le second*socio=rien, il faudrait chercher à augmenter le taux*socio=rien d'activité*socio=rien par divers moyens*socio=ec1, par exemple*socio=rien en renforçant les dispositions*socio=et qui empêchent de fixer *socio=rien un âge de*socio=nil départ obligatoire*socio=uv2 *socio=nil à la retraite*socio=ec1; en éliminant les dispositions*socio=et du régime_de_pensions*socio=et qui découragent l'exercice*socio=rien d'une activité*socio=rien rémunérée; en rendant les possibilités*socio=rien de retraite*socio=ec1 anticipé du régime_public*socio=et moins attrayantes*socio=rien; et en permettant aux Canadiens*socio=ac d'allonger leur vie_professionnelle*socio=ec1 par des mesures_actives*socio=et en faveur*socio=rien de l'emploi*socio=ec1 et de la formation*socio=et. Toute *socio=rien nouvelle initiative en*socio=nil vue *socio=nil d'améliorer le fonctionnement*socio=rien du marché_du_travail*socio=ec1 devrait aussi atténuer les problèmes*socio=uv4 inhérents*socio=rien à la transition*socio=uv3 vers une économie*socio=ec1 de plus en plus axée sur*socio=rien le savoir*socio=uv3. même si l'on observe *socio=rien un déplacement *socio=nil de la demande*socio=ec1 vers les travailleurs*socio=ac qualifiés*socio=uv4 au détriment*socio=uv2 des autres ce n'est*socio=rien pas là une tendance*socio=ec2 dominante sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1 canadien*socio=ac. Certains éléments*socio=rien qui influent sur*socio=rien son comportement*socio=rien, telles les différences*socio=uv1 entre hommes*socio=ac et femmes*socio=ac et entre générations*socio=ac, ne semblent pas directement liés à l'évolution*socio=rien de la rentabilité*socio=ec1 de l'éducation*socio=et et de la formation*socio=et. Ce qui signifie que d'autres forces*socio=uv1, comme les variations*socio=rien de l'_offre*socio=ec1 dues à la démographie*socio=ec1 et des facteurs*socio=rien institutionnels*socio=et, jouent *socio=rien un rôle important.*socio=nil *socio=nil Toutefois, la situation*socio=rien des travailleurs*socio=ac varie beaucoup en fonction*socio=rien de leurs compétences*socio=uv3, et même si le passage*socio=rien à l'économie*socio=ec1 du savoir*socio=uv3 se *socio=rien fait progressivement au*socio=nil Canada*socio=ac,*socio=nil l'*socio=nil évolution *socio=nil de la technologie*socio=ec1 et des échanges*socio=ec1 montre que le pays*socio=ac s'oriente de plus en plus dans cette direction*socio=et. En outre, par rapport*socio=rien aux autres pays*socio=ac, le secteur*socio=rien à *socio=rien forte intensité de*socio=nil connaissances*socio=ec2 est *socio=nil relativement peu étendu. Il paraît donc raisonnable*socio=uv4 de donner une *socio=rien grande place *socio=nil à la mise en valeur*socio=ec1 du capital_humain*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien effort*socio=uv1 national*socio=te visant à accélérer la transition*socio=uv3 vers une économie*socio=ec1 fondée sur*socio=rien le savoir*socio=uv3 qui pourrait constituer *socio=rien un atout *socio=nil pour la croissance*socio=uv3. Bien*socio=rien que le Canada*socio=ac ait réussi à augmenter la proportion*socio=rien de jeunes*socio=ac qui entrent à l'école*socio=et et la longueur*socio=rien de leurs études*socio=ec2, on constate encore certains *socio=rien résultats inquiétants *socio=nil étant donné le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des dépenses*socio=ec1 par rapport*socio=rien aux autres pays*socio=ac. Ainsi, le taux*socio=rien d'abandon*socio=rien scolaire*socio=et *socio=rien est important *socio=nil et le niveau*socio=rien de compétences*socio=uv3 de base*socio=rien, en particulier*socio=rien, reste*socio=rien étonnamment bas*socio=rien dans une perspective*socio=rien internationale*socio=te. En faisant une plus *socio=rien large place aux*socio=nil cours d'*socio=nil enseignement*socio=et professionnel*socio=ec1,*socio=nil à*socio=nil effectifs *socio=nil restreints, on pourrait peut-être rendre le système*socio=rien plus attrayant*socio=rien et abaisser ainsi le taux*socio=rien d'abandon*socio=rien. La mise en place*socio=rien de *socio=et programmes scolaires *socio=nil plus orientés vers l'emploi*socio=ec1 contribuerait aussi à retenir l'attention*socio=rien des élèves*socio=ac et les aiderait à acquérir une *socio=rien meilleure maîtrise *socio=nil des savoirs élémentaires. La comparaison*socio=rien avec d'autres pays_de_l'_ocde*socio=ac qui obtiennent*socio=rien de *socio=rien meilleurs résultats *socio=nil semble indiquer, cependant, que la difficulté*socio=uv4 du Canada*socio=ac à relever le niveau*socio=rien de compétences*socio=uv3 de base*socio=rien de l'ensemble*socio=rien de sa population*socio=ac tient à des déficiences*socio=uv3 de son système_éducatif*socio=et. De plus, les niveaux*socio=rien de compétences*socio=uv3 de base*socio=rien varient énormément selon les régions*socio=te, ce qui donne à penser qu'il faudra un*socio=rien effort*socio=uv1 de coopération*socio=uv1 dans tout le pays*socio=ac de manière*socio=rien à ce que les niveaux*socio=rien d'éducation*socio=et et les *socio=et programmes scolaires *socio=nil correspondent aux besoins*socio=uv1 de l'économie*socio=ec1 du savoir*socio=uv3. Il serait aussi indispensable*socio=uv4, parallèlement, de promouvoir la mobilité*socio=uv3 et la transférabilité des qualifications*socio=uv3, en instaurant *socio=rien un système de*socio=nil validation*socio=ec2 applicable *socio=nil dans toutes les provinces*socio=ac. Le gouvernement_fédéral*socio=ac à accepté de ne plus intervenir directement dans les programmes*socio=et de formation*socio=et lorsque les administrations_provinciales*socio=ac le lui demandent. Une formation*socio=et spécialement adaptée aux conditions*socio=ec1 et possibilités*socio=rien locales*socio=te peut en effet*socio=rien donner de *socio=rien meilleurs résultats,*socio=nil *socio=nil et sa prise_en_charge*socio=uv3 par les provinces*socio=ac permet d'améliorer la souplesse*socio=uv3, la transparence*socio=uv3 et l'intégration*socio=uv1 à des services*socio=et apparentés (comme les affaires_sociales*socio=et et l'éducation*socio=et). Toutefois, le transfert*socio=ec1 de la politique*socio=et de formation*socio=et aux provinces*socio=ac doit être*socio=rien conçue de façon*socio=rien à éviter certains risques*socio=uv4. Si les qualifications*socio=uv3 n'étaient pas reconnues d'une province*socio=ac à l'autre, cette mesure*socio=rien pourrait en fait*socio=rien réduire la mobilité*socio=uv3 de la main-d'_oeuvre*socio=ac dans tout le pays*socio=ac, en renforçant l'effet*socio=rien des barrières*socio=rien interprovinciales qui existent déjà. En outre, la décentralisation*socio=et fait*socio=rien naître la possibilité*socio=rien que certaines*socio=rien provinces*socio=ac agissent sans tenir compte*socio=rien des autres, comme cela semble être*socio=rien le cas*socio=rien pour les universités*socio=et. Enfin, l'évaluation*socio=ec2 des besoins*socio=uv1 de formation*socio=et et des résultats*socio=rien exige une infrastructure*socio=ec1 et des compétences*socio=uv3 considérables*socio=rien en matière*socio=rien de recherche*socio=ec2 que beaucoup de provinces*socio=ac ne possèdent pas actuellement. Il est*socio=rien donc essentiel*socio=uv4 que le transfert*socio=ec1 de la responsabilité*socio=uv1 de la formation*socio=et aux provinces*socio=ac les amène*socio=rien à concrétiser les bienfaits*socio=uv2 potentiels*socio=uv4 et à régler les problèmes*socio=uv4 mentionnés ci-dessus. En particulier*socio=rien, les provinces*socio=ac devront avoir pour objectif*socio=uv4 de développer une culture*socio=et d'évaluation*socio=ec2 vis-à-vis des programmes*socio=et de formation*socio=et et s'inspirer de l'expérience*socio=ec2 acquise*socio=rien au niveau*socio=rien fédéral*socio=et. L'une des caractéristiques*socio=rien du système*socio=rien de formation*socio=et actuel*socio=te, fondé sur*socio=rien la réussite*socio=uv1 de programmes*socio=et antérieurs*socio=te, est*socio=rien qu'il tend à privilégier ceux. qui possèdent déjà certaines*socio=rien compétences*socio=uv3. Ainsi, il creuse l'écart*socio=rien de qualification*socio=uv3 entre les travailleurs*socio=ac en fonction*socio=rien de leur degré*socio=rien d'instruction*socio=rien, créant *socio=rien un cercle vertueux*socio=uv2 *socio=nil pour ceux qui sont déjà bien*socio=rien lotis *socio=rien an départ.*socio=nil *socio=nil Si une telle approche *socio=rien est susceptible *socio=nil de donner des résultats*socio=rien et de faciliter la transition*socio=uv3 vers l'économie*socio=ec1 du savoir*socio=uv3, elle doit cependant être*socio=rien complétée par des programmes*socio=et visant à transmettre des compétences*socio=uv3 plus élémentaires à ceux qui ne sont pas en mesure*socio=rien de profiter de formations*socio=et plus poussées Par ailleurs*socio=rien, la formation*socio=et en entreprise*socio=ac des salariés*socio=ac est*socio=rien généralement centrée sur*socio=rien ceux qui possèdent déjà de bonnes*socio=rien compétences*socio=uv3. En outre, bien*socio=rien que la formation*socio=et assurée par les employeurs*socio=ac soit importante*socio=rien en proportion*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des financements*socio=ec1 considérés, elle *socio=rien est faible par*socio=nil rapport *socio=nil à ce que l'on observe dans les autres pays*socio=ac. Cela montre qu'il faut trouver les moyens*socio=ec1 d'inciter les employeurs*socio=ac à accroître leur effort*socio=uv1 de formation*socio=et. Parmi les mesures*socio=et envisageables figurent notamment *socio=rien un système de*socio=nil taxe*socio=et *socio=nil et de crédit*socio=ec1 d'impôt*socio=et pour formation*socio=et, l'obligation*socio=uv1 de dépenser *socio=rien un pourcentage minimum *socio=nil de la masse_salariale*socio=ec1 pour la formation*socio=et et une aide*socio=uv1 publique*socio=et aux fonds*socio=ec1 communs*socio=uv4 employeur*socio=ac/employés*socio=rien. Il faudrait toutefois s'assurer que ces initiatives*socio=rien sont à même de déboucher sur*socio=rien des formations*socio=et utiles*socio=uv4 et de bénéficier à ceux qui en ont le plus besoin*socio=uv1. En définitive*socio=rien, après*socio=rien une période*socio=te d'ajustement*socio=et difficile*socio=rien, les performances*socio=uv3 économiques*socio=ec1 du Canada*socio=ac se sont nettement améliorées au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Pour les pouvoirs_publics*socio=et, la tâche*socio=rien consiste maintenant à faire le nécessaire*socio=rien pour que cette évolution*socio=rien favorable*socio=ec2 se poursuive dans *socio=rien un contexte extérieur*socio=te incertain.*socio=nil *socio=nil En l'absence*socio=rien de *socio=ec2 pressions inflationnistes,*socio=nil *socio=nil il parait opportun*socio=rien de maintenir des *socio=ec1 conditions monétaires souples*socio=uv4.*socio=nil La*socio=nil politique_budgétaire*socio=et *socio=nil devrait veiller à ce que la dette*socio=ec1 publique*socio=et, dont le *socio=rien niveau est élevé*socio=uv4,*socio=nil reste *socio=nil nettement orientée à la baisse*socio=ec2, tandis que le système_fiscal*socio=et devra être*socio=rien adapté. Les politiques*socio=et structurelles*socio=uv4 auront aussi *socio=rien un rôle *socio=nil à jouer à cet égard*socio=rien, car des efforts*socio=uv1 restent à faire sur*socio=rien plusieurs fronts*socio=rien: dans le secteur*socio=rien financier*socio=ec1 en particulier*socio=rien, actuellement en pleine*socio=rien restructuration*socio=et; sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1, où de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et s'imposent pour réduire encore davantage le chômage*socio=ec1 structurel*socio=uv4; dans le domaine*socio=rien de l'éducation*socio=et et de la formation*socio=et, enfin, pour faciliter la transition*socio=uv3 vers l'économie*socio=ec1 du savoir*socio=uv3. 1- La situation*socio=rien macro-économique*socio=ec1. Facteurs*socio=rien influant sur*socio=rien l'activité*socio=rien économique*socio=ec1. L'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac s'est*socio=rien redressée très lentement après*socio=rien la récession*socio=ec2 du début*socio=rien des années*socio=rien 90 (graphique*socio=rien 1), car les importants*socio=rien déséquilibres*socio=uv4 budgétaires*socio=et ont exige *socio=rien un ensemble de*socio=nil mesures*socio=et macro-économiques*socio=ec1 peu*socio=nil propices *socio=nil à la croissance*socio=uv3. Le niveau*socio=rien élevé*socio=uv4 des déficits*socio=ec1 publics*socio=et et de l'endettement*socio=ec1 non seulement à exclu*socio=rien une *socio=et orientation budgétaire expansionniste*socio=ec2 *socio=nil mais à aussi empêché les responsables*socio=uv2 d'assouplir les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil comme l'aurait requis*socio=uv4 l'excédent*socio=ec1 de l'_offre*socio=ec1 dans l'économie*socio=ec1. Le relâchement*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 qui *socio=rien est effectivement *socio=nil intervenu à revêtu essentiellement la forme*socio=rien d'une dépréciation*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 restant relativement élevés*socio=uv4. Dans ces conditions*socio=ec1, la reprise à été*socio=rien fondée essentiellement sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1, alors que la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te est*socio=rien demeurée peu dynamique*socio=uv4, la confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac se situant toujours à *socio=rien un bas niveau par*socio=nil rapport au*socio=nil passé*socio=te.*socio=nil *socio=nil En outre, le Canada*socio=ac n'était pas bien*socio=rien armé pour faire face*socio=rien à la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 internationaux*socio=te et aux turbulences*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec1 du milieu*socio=rien des années*socio=rien 90, de sorte*socio=rien que le resserrement*socio=ec2 des *socio=ec1 conditions monétaires intérieures*socio=te *socio=nil qui à eu lieu*socio=rien à ce moment*socio=rien, associé*socio=rien à l'affaiblissement*socio=rien de la demande*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1, à donné *socio=rien un coup d'*socio=nil arrêt *socio=nil à la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1. Les deux *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil toutefois, ont été*socio=rien marquées par *socio=rien un revirement remarquable *socio=nil de la situation*socio=rien économique*socio=ec1. Non seulement la croissance*socio=uv3 à repris mais elle s'est*socio=rien aussi élargie. Si la bonne*socio=rien performance*socio=uv3 de l'économie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac à joué *socio=rien un rôle *socio=nil en favorisant la demande*socio=ec1 d'exportations*socio=ec1, la solidité*socio=rien de l'expansion*socio=ec2 observée dernièrement au Canada*socio=ac tient dans une *socio=rien large mesure au*socio=nil cadre *socio=nil de la politique*socio=et intérieure*socio=te. La bonne*socio=rien performance*socio=uv3 sur*socio=rien le plan*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 et le rapide*socio=rien progrès*socio=uv1 de l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et ont ouvert*socio=uv4 la voie*socio=rien à une baisse*socio=ec2 sans précédent*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à partir de 1996. Cela à *socio=rien permis un renforcement*socio=ec2 substantiel *socio=nil de la croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, malgré de fortes*socio=rien *socio=et restrictions budgétaires,*socio=nil *socio=nil car la confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac s'est*socio=rien redressée (graphique*socio=rien 1). Les paragraphes*socio=rien qui suivent passent en revue tour*socio=rien à tour*socio=rien trois des *socio=rien principaux facteurs influant*socio=nil sur l'*socio=nil activité économique*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil tâches *socio=nil auxquelles devront s'atteler les décideurs*socio=ac dans la période*socio=te à venir sont examinées à la fin*socio=rien de ce chapitre*socio=rien, avec les perspectives*socio=te d'évolution*socio=rien économique*socio=ec1 du Canada*socio=ac. *socio=ec1 Conditions monétaires.*socio=nil *socio=nil Comme cela est*socio=rien indiqué plus en détail*socio=rien dans les études*socio=ec2 précédentes*socio=rien de l'OCDE*socio=ac, la banque_du_canada*socio=ac vise à orienter les *socio=ec1 conditions monétaires de*socio=nil façon*socio=rien *socio=nil à maintenir l'inflation*socio=ec2 dans la fourchette*socio=rien de 1 à 3 pour cent*socio=rien dont la durée*socio=te d'application*socio=rien à récemment été*socio=rien étendue jusqu'à la fin*socio=rien de 2001. La Banque*socio=ac s'appuie sur*socio=rien plusieurs indicateurs*socio=ec1 pour évaluer les tendances*socio=ec2 futures*socio=rien d'inflation*socio=ec2, y compris les estimations*socio=ec2 de l'écart*socio=rien entre production*socio=ec1 effective*socio=rien et production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4, l'évolution*socio=rien des coûts*socio=ec1, la pente*socio=rien de la courbe des rendements*socio=ec1 et les *socio=ec1 agrégats monétaires.*socio=nil Comme*socio=nil point*socio=rien *socio=nil de repère opérationnel*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et, elle utilise l'indice des *socio=ec1 conditions monétaires (*socio=nil ICM)*socio=nil *socio=nil qui conjugue les variations*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te et du taux_de_change*socio=ec1 effectif*socio=rien, vecteurs les plus importants*socio=rien de l'influence de la politique_monétaire*socio=et sur*socio=rien l'économie*socio=ec1. Les autorités*socio=et ont souligné, toutefois, que l'orientation*socio=et souhaitée de l'ICM*socio=ec1 à *socio=rien un moment *socio=nil donné n'est*socio=rien pas précise*socio=rien, se situant plutôt à l'intérieur*socio=te d'une zone*socio=te, et qu'elle doit être*socio=rien constamment réévaluée eu. égard*socio=rien aux *socio=rien nouvelles informations *socio=nil et aux chocs*socio=ec2 économiques*socio=ec1. De fait*socio=rien, l'ICM*socio=ec1 *socio=rien est sensible *socio=nil à la pondération*socio=rien affectée au taux_d'_intérêt*socio=ec1 et au taux_de_change*socio=ec1, qui peut varier au fil*socio=rien du temps*socio=rien, ainsi qu'A la *socio=rien définition retenue du*socio=nil taux_de_change*socio=ec1 effectif *socio=nil (voir annexe*socio=rien 1). Compte*socio=rien tenu du décalage*socio=rien avec lequel les actions*socio=rien engagées par les pouvoirs_publics*socio=et ont une incidence*socio=ec2 sur*socio=rien l'économie*socio=ec1, les évolutions*socio=rien des deux *socio=rien dernières années *socio=nil reflètent dans une *socio=rien large mesure les*socio=nil modifications des*socio=nil *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil intervenues jusqu'à la fin*socio=rien de 1996. à ce moment*socio=rien là, l'ICM*socio=ec1 était tombé à son plus *socio=rien bas niveau *socio=nil de ces dernières*socio=rien décennies*socio=te. Contrairement aux tendances*socio=ec2 observées durant la *socio=rien première moitié *socio=nil de la décennie*socio=te, le relâchement*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 intervenu depuis le milieu*socio=rien de 1995 à revêtu essentiellement la forme*socio=rien de baisses des taux_d'_intérêt*socio=ec1, le taux_de_change*socio=ec1 effectif*socio=rien se raffermissant en fait*socio=rien légèrement (graphique*socio=rien 2). Avec *socio=rien un taux d'*socio=nil inflation*socio=ec2 *socio=nil escompté de l'ordre*socio=rien de 2 pour cent*socio=rien, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 réels*socio=ec2 à court_terme*socio=te sont tombés de près de 6 pour cent*socio=rien à environ 1 pour cent*socio=rien, ce qui à considérablement*socio=rien stimulé la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Face*socio=rien à des signes de plus en plus nombreux*socio=rien de réaction*socio=rien de l'économie*socio=ec1 à la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1, la Banque*socio=ac à cherché à stabiliser les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil dans la *socio=rien dernière partie *socio=nil de 1996. De fait*socio=rien, les réductions*socio=ec2 continues*socio=te des taux_d'_intérêt*socio=ec1 durant cette période*socio=te visaient à compenser l'effet*socio=rien du renforcement*socio=ec2 du dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac et non à relâcher encore les *socio=ec1 conditions monétaires.*socio=nil *socio=nil Tout en continuant de soutenir la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1, les *socio=ec1 conditions monétaires ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil quelque peu durcies en 1997 et dans la *socio=rien première moitié *socio=nil de 1998. Cela apparaît plus clairement lorsqu'on observe l'évolution*socio=rien de l'ICM*socio=ec1 réel*socio=ec2, qui est*socio=rien l'indicateur*socio=rien le plus adapté pour des comparaisons*socio=rien à long_terme*socio=te (graphique*socio=rien 2). En outre, comme cela est*socio=rien indiqué dans l'annexe*socio=rien 1, l'utilisation*socio=rien d'un*socio=rien indice plus large*socio=rien du taux_de_change*socio=ec1 (tenant compte*socio=rien des monnaies*socio=ec1 des pays*socio=ac d'Asie*socio=ac) fait*socio=rien apparaître une augmentation*socio=ec2 légèrement plus prononcée de l'ICM*socio=ec1 au cours*socio=rien de cette période*socio=te. Plus récemment, les *socio=ec1 conditions monétaires ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil sensiblement assouplies, le dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac étant soumis à des pressions*socio=ec2 persistantes*socio=rien à la baisse*socio=ec2. *socio=rien An moment *socio=nil de la rédaction*socio=rien de la présente*socio=rien étude*socio=ec2, elles étaient plus souples*socio=uv4 qu'à la fin*socio=rien de 1996, l'incidence*socio=ec2 sur*socio=rien les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil de la dépréciation*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1 ayant largement compensé une hausse*socio=rien de 21/2 points*socio=rien de pourcentage*socio=rien environ des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te. La première*socio=rien augmentation*socio=ec2 du taux*socio=rien bancaire*socio=ec1 à la *socio=rien fin juin *socio=nil 1997 visait encore à maintenir à peu prés*socio=rien stables*socio=uv4 les *socio=ec1 conditions monétaires face*socio=rien *socio=nil à la faiblesse*socio=ec2 récurrente*socio=rien de la monnaie*socio=ec1 qui à *socio=rien fait suite au*socio=nil durcissement*socio=ec2 *socio=nil de la politique_monétaire*socio=et aux États-unis*socio=ac. *socio=rien Début octobre,*socio=nil *socio=nil toutefois, la Banque*socio=ac à cherché à modérer le degré*socio=rien de stimulation*socio=rien monétaire*socio=ec1, alors Même que les mesures*socio=et de l'inflation*socio=ec2 tendancielle*socio=ec2 (voir annexe*socio=rien 1) étaient proches*socio=rien de l'extrémité*socio=rien inférieure*socio=rien de la fourchette*socio=rien, car il était de plus en plus évident*socio=rien que l'économie*socio=ec1 connaissait une expansion*socio=ec2 rapide*socio=rien et absorbait la capacité*socio=uv3 inutilisée*socio=rien. La pression*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien le dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac s'accentuant fortement vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien, en raison*socio=rien des retombées*socio=rien de la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 en Asie*socio=ac et de l'évolution*socio=rien correspondante*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien, la Banque*socio=ac à encore relevé les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à trois reprises de la *socio=rien fin novembre *socio=nil jusqu'à la *socio=rien fin janvier *socio=nil 1998. Cette action*socio=rien était motivée par la nécessité*socio=uv1 à la fois*socio=rien de contrer l'affaiblissement*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires résultant*socio=rien *socio=nil de la dépréciation*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1 et de parer à une perte*socio=ec2 éventuelle*socio=rien de confiance*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac dans les actifs*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac. Dans les mois*socio=rien qui ont suivi, les autorités*socio=et se sont abstenues de procéder à de nouvelles*socio=rien hausses des taux_d'_intérêt*socio=ec1 malgré la faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien de la monnaie*socio=ec1, la situation*socio=rien en Asie*socio=ac et la diminution*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien les ayant conduites à réviser à la baisse*socio=ec2 les anticipations*socio=uv3 d'inflation*socio=ec2 et à revoir par conséquent*socio=rien l'objectif*socio=uv4 concernant les *socio=ec1 conditions monétaires.*socio=nil *socio=nil Toutefois, face*socio=rien à l'accélération*socio=ec2 de la baisse*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 et aux pressions*socio=ec2 à la hausse*socio=rien s'exerçant sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à moyen*socio=rien et à long_terme*socio=te, la banque_du_canada*socio=ac à relevé d'un*socio=rien point*socio=rien les taux*socio=rien à court_terme*socio=te en août*socio=rien. Cette augmentation*socio=ec2, qui à été*socio=rien partiellement annulée depuis, visait à soutenir le dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac et à renforcer la confiance*socio=uv1, tout en empêchant un*socio=rien assouplissement*socio=uv3 excessif*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires.*socio=nil l'*socio=nil ICM *socio=nil ne tient pas expressément compte*socio=rien de la relation*socio=rien entre les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te et les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te. Les autorités*socio=et ont reconnu ce problème*socio=uv4: lorsqu'elles ont expliqué les dernières*socio=rien augmentations*socio=ec2 du taux*socio=rien bancaire*socio=ec1, elles ont fait*socio=rien remarquer que les marchés*socio=ec1 semblent avoir négligé *socio=rien certaines évolutions positives*socio=uv4 *socio=nil de l'économie*socio=ec1 comme la baisse*socio=ec2 sensible*socio=rien des taux*socio=rien à long_terme*socio=te. De fait*socio=rien, depuis le début*socio=rien de 1995, le rendement*socio=ec1 sur*socio=rien les obligations*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 à long_terme*socio=te est*socio=rien tombé de plus de 9 pour cent*socio=rien à 5 pour cent*socio=rien environ, soit le plus *socio=rien bas niveau *socio=nil depuis les années*socio=rien 60. Cela est*socio=rien en partie*socio=rien dû aux évolutions*socio=rien internationales*socio=te. En outre, avec *socio=rien un certain décalage par*socio=nil rapport aux*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 à*socio=nil court_terme*socio=te,*socio=nil les*socio=nil taux à*socio=nil long_terme*socio=te *socio=nil sont tombés au-dessous des *socio=rien taux correspondants des*socio=nil États-unis*socio=ac au*socio=nil début *socio=nil de 1997 (graphique*socio=rien 3). La marge négative*socio=rien entre les taux*socio=rien canadiens*socio=ac et les taux*socio=rien des États-unis*socio=ac qui à persisté jusqu'à récemment était sans précédent*socio=rien. Elle semble être*socio=rien imputable*socio=uv2 essentiellement à deux facteurs*socio=rien: l'attachement*socio=uv1 aux objectifs*socio=uv4 de maîtrise*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 à renforcé la confiance*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac; du fait*socio=rien de l'amélioration*socio=uv1 rapide*socio=rien de la situation*socio=rien budgétaire*socio=et, l'on à moins craint que les pouvoirs_publics*socio=et n'adoptent des politiques*socio=et inflationnistes*socio=ec2 pour alléger leur *socio=rien lourde charge d'*socio=nil endettement*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans ce contexte*socio=rien, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te ont continué de baisser alors que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te se sont nettement raffermis (graphique*socio=rien 3). Du fait*socio=rien des *socio=rien turbulences sur les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 mondiaux*socio=te *socio=nil et de la fuite*socio=ec2 des investisseurs*socio=ac vers les actifs*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te du Canada*socio=ac se sont légèrement accrus durant l'été- alors que les taux*socio=rien à long_terme*socio=te des États-unis*socio=ac diminuaient*socio=rien - puis se sont de *socio=rien nouveau inscrits sur une*socio=nil tendance*socio=ec2 *socio=nil à la baisse*socio=ec2. La pente*socio=rien de la courbe des rendements*socio=ec1 s'est*socio=rien progressivement*socio=rien aplatie en 1997 et dans les *socio=rien premiers mois *socio=nil de 1998. Par le passé*socio=te, un*socio=rien tel aplatissement à souvent été*socio=rien suivi d'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1. Mais dans la mesure*socio=rien où cette *socio=rien évolution est *socio=nil due à la baisse*socio=ec2 de la prime de risque*socio=uv4 incorporée dans les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te, elle devrait stimuler l'activité*socio=rien économique*socio=ec1. La Banque*socio=ac à aussi tenu compte*socio=rien de l'évolution*socio=rien des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil dans son évaluation*socio=ec2 du niveau*socio=rien approprié de l'ICM*socio=ec1. La décision*socio=rien de réduire la stimulation*socio=rien monétaire*socio=ec1 *socio=rien an deuxième semestre *socio=nil de 1997 à été*socio=rien en partie*socio=rien motivée par les préoccupations*socio=uv4 suscitées par la croissance*socio=uv3 rapide*socio=rien de la mesure*socio=rien de la monnaie*socio=ec1 utilisée pour les transactions*socio=ec1 (M1*socio=ec1). Cette accélération*socio=ec2 à *socio=rien été attribuable *socio=nil pour une *socio=rien large part *socio=nil à des transferts*socio=ec1 de fonds*socio=ec1 vers les dépôts*socio=ec1 à vue*socio=rien des entreprises*socio=ac, associés*socio=rien à l'introduction*socio=rien de taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=rien attrayants sur ces*socio=nil dépôts*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Néanmoins, la croissance*socio=uv3 de M1*socio=ec1 était considérée comme trop forte*socio=rien Même en tenant compte*socio=rien de ces déplacements*socio=rien d'actifs*socio=ec1. à mesure*socio=rien que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te ont commencé d'augmenter et que ces modifications*socio=rien de portefeuille*socio=ec1 ont cessé, la croissance*socio=uv3 de la masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens étroit s'*socio=nil est *socio=nil nettement ralentie. Le léger*socio=rien redressement*socio=ec2 récent*socio=rien semble être*socio=rien dû à des *socio=rien facteurs temporaires.*socio=nil La*socio=nil croissance*socio=uv3 tendancielle*socio=ec2 de*socio=nil M1*socio=ec1 reste suffisamment*socio=nil élevée*socio=uv4 *socio=nil pour soutenir une expansion*socio=ec2 robuste*socio=rien de la production*socio=ec1. *socio=et Orientation budgétaire.*socio=nil *socio=nil En 1992, le déficit*socio=ec1 des *socio=ac administrations_publiques canadiennes *socio=nil (dans l'optique*socio=rien des comptes*socio=rien nationaux*socio=te) atteignait 8 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1, soit plus du double*socio=rien de la moyenne*socio=rien de l'OCDE*socio=ac, entraînant une progression*socio=ec2 rapide*socio=rien du *socio=ec1 ratio endettement public*socio=et/*socio=nil PIB *socio=nil jusqu'à des niveaux*socio=rien très élevés*socio=uv4 par rapport*socio=rien aux normes*socio=et internationales*socio=te et impliquant des paiements_d'_intérêt*socio=et équivalant à 5 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1. L'accentuation*socio=ec2 de la vulnérabilité*socio=uv1 de l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac aux chocs*socio=ec2 financiers*socio=ec1 qui en est*socio=rien résultée et les *socio=rien effets négatifs correspondants sur la*socio=nil performance*socio=uv3 économique*socio=ec1 de*socio=nil manière plus*socio=nil générale *socio=nil ont conduit à une *socio=rien modification radicale *socio=nil de l'orientation*socio=et des politiques*socio=et et, à compter de 1994, les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et ont commencé de diminuer rapidement (graphique*socio=rien 4). En 1997, le *socio=ec1 solde financier des*socio=nil administrations_publiques*socio=ac *socio=nil à enregistré un*socio=rien excédent*socio=ec1 d'un*socio=rien pour cent*socio=rien environ du PIB*socio=ec1 alors que le reste*socio=rien de la zone_de_l'_ocde*socio=te, où l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et était plus progressif*socio=rien, connaissait encore un*socio=rien déficit*socio=ec1 de 1l/2 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1. Ce *socio=rien revirement impressionnant *socio=nil de la position*socio=rien budgétaire*socio=et canadienne*socio=ac à été*socio=rien M dans une *socio=rien large mesure *socio=nil à une réduction*socio=ec2 du rapport*socio=rien des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et au PIB*socio=ec1, qui à diminué de 81/2 points*socio=rien. En revanche, la moitié*socio=rien environ de l'amélioration*socio=uv1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et dans les autres pays_de_l'_ocde*socio=ac au cours*socio=rien de cette période*socio=te à été*socio=rien obtenue au moyen*socio=rien d'un*socio=rien alourdissement*socio=ec2 de la charge*socio=rien fiscale*socio=et. Bien*socio=rien que les responsables*socio=uv2 canadiens*socio=ac aient été*socio=rien contraints*socio=uv2 par l'ampleur*socio=rien du problème*socio=uv4 budgétaire*socio=et du pays*socio=ac et sa charge*socio=rien d'endettement*socio=ec1 relativement élevée*socio=uv4 par rapport*socio=rien aux États-unis*socio=ac, cela semble confirmer l'expérience*socio=ec2 internationale*socio=te selon laquelle la maîtrise*socio=rien des dépenses*socio=ec1 *socio=rien est vraisemblablement un objectif*socio=uv4 plus*socio=nil efficace*socio=uv4 *socio=nil que la hausse*socio=rien des recettes*socio=ec1 dans l'optique*socio=rien de la réduction*socio=ec2 des déficits*socio=ec1 structurels*socio=uv4. D'après*socio=rien les calculs*socio=rien du Secrétariat*socio=ac de l'OCDE*socio=ac, l'essentiel*socio=uv4 de l'amélioration*socio=uv1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et du Canada*socio=ac de 1992 à 1997 à été*socio=rien imputable*socio=uv2 à des *socio=et mesures discrétionnaires.*socio=nil *socio=nil Les influences conjoncturelles*socio=uv4 - c'est-à-dire un*socio=rien rétrécissement*socio=ec2 de l'écart*socio=rien entre production*socio=ec1 effective*socio=rien et production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 - représentent moins d'un*socio=rien cinquième*socio=rien de la variation*socio=rien positive*socio=uv4 du solde*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac au cours*socio=rien de cette période*socio=te. Le déficit*socio=ec1 du budget*socio=ec1 structurel*socio=uv4, qui était resté irréductiblement élevé*socio=uv4 (de l'ordre*socio=rien de 5 à 6 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1) depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 80, à commencé de diminuer graduellement en 1994-95 avant de fléchir de 5 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 en 1996-97 (graphique*socio=rien 4). Comme on l'a noté, cette réduction*socio=ec2 massive*socio=rien de la demande*socio=ec1 n'a pas empêché l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 de se ressaisir durant cette période*socio=te, car elle s'est*socio=rien accompagnée d'un*socio=rien relâchement*socio=ec2 des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil et d'un*socio=rien renforcement*socio=ec2 de la confiance*socio=uv1 des entreprises*socio=ac et des consommateurs*socio=ac. Le resserrement*socio=ec2 budgétaire*socio=et à été*socio=rien poursuivi en 1998, mais à *socio=rien un rythme *socio=nil beaucoup plus lent*socio=rien, avec une incidence*socio=ec2 *socio=rien négative directe estimée*socio=nil sur la*socio=nil demande*socio=ec1 *socio=nil de l'ordre*socio=rien de 1/4 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 durant l'année*socio=rien en cours*socio=te. L'administration_fédérale*socio=ac et les administrations*socio=ec1 des provinces*socio=ac ont contribué dans la Même proportion*socio=rien à l'amélioration*socio=uv1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et et se trouvent maintenant en *socio=rien position excédentaire *socio=nil (dans l'optique*socio=rien des comptes*socio=rien nationaux*socio=te). Cependant, l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et à commencé plus tôt dans les provinces*socio=ac (graphique*socio=rien 4), car leur endettement*socio=ec1 extérieur*socio=te les rendait plus sensibles*socio=rien à des *socio=rien réactions négatives des*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Ainsi, la baisse*socio=ec2 initiale*socio=rien du déficit*socio=ec1 structurel*socio=uv4 des administrations_publiques*socio=ac à *socio=rien été attribuable *socio=nil pour une *socio=rien large part aux*socio=nil évolutions *socio=nil intervenues au niveau*socio=rien des provinces*socio=ac. En revanche, c'est*socio=rien au niveau*socio=rien fédéral*socio=et qu'a été*socio=rien opéré par la suite*socio=rien l'essentiel*socio=uv4 de la *socio=et restriction budgétaire,*socio=nil l'*socio=nil État*socio=ac *socio=nil améliorant sensiblement sa situation*socio=rien budgétaire*socio=et en 1996 et 1997. A compter du budget*socio=ec1 de 1997, l'administration_fédérale*socio=ac à commencé de consentir certains allégements*socio=uv3 fiscaux*socio=et, essentiellement en faveur*socio=rien des revenus*socio=ec1 faibles*socio=rien et intermédiaires*socio=rien (voir chapitre*socio=rien Il). Du côté*socio=rien des dépenses*socio=ec1, les *socio=rien nouvelles initiatives *socio=nil ont visé essentiellement à améliorer l'accès*socio=uv1 aux connaissances*socio=ec2 et aux compétences*socio=uv3 (y compris par la création*socio=rien de la Fondation*socio=rien boursière*socio=ec1 du millénaire, voir chapitre*socio=rien III). En outre, les transferts*socio=ec1 aux provinces*socio=ac (pour les soins_de_santé*socio=et, l'enseignement*socio=et universitaire et l'aide_sociale*socio=et) ont été*socio=rien accrus par rapport*socio=rien aux plans*socio=rien budgétaires*socio=et précédents*socio=rien, ce qui à réduit les pressions*socio=ec2 fiscales*socio=et au niveau*socio=rien des administrations_provinciales*socio=ac. Malgré ces mesures*socio=et, l' administration_fédérale*socio=ac continuera vraisemblablement*socio=rien de rembourser une partie*socio=rien de sa dette*socio=ec1, les budgets*socio=ec1 incorporant "des facteurs*socio=rien de prudence*socio=uv1" sous la forme*socio=rien de réserves*socio=ec1 pour imprévus*socio=uv4 et de prévisions*socio=ec2 fondées sur*socio=rien des hypothèses*socio=ec2 conservatrices quant aux principales*socio=rien variables*socio=ec2 macro-économiques*socio=ec1. Néanmoins, les *socio=rien initiatives récentes *socio=nil impliquent que la politique_budgétaire*socio=et au niveau*socio=rien de l'administration_fédérale*socio=ac s'oriente progressivement*socio=rien vers une plus grande*socio=rien neutralité*socio=uv1. Les perspectives*socio=te pour les provinces*socio=ac sont assez semblables*socio=rien. La majorité*socio=rien d'entre elles ont aujourd'hui une législation*socio=et prévoyant un*socio=rien budget*socio=ec1 en équilibre*socio=uv3 et pour certaines*socio=rien des plans*socio=rien de réduction*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 (voir annexe*socio=rien Il). Les quelques provinces*socio=ac (notamment le Québec*socio=ac et l'Ontario*socio=ac) qui sont encore déficitaires*socio=ec2 prévoient d'éliminer ces déficits*socio=ec1 d'ici à la fin*socio=rien de la décennie*socio=te. U encore, étant donné que des "facteurs*socio=rien de prudence*socio=uv1" sont incorporés dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil budgets*socio=ec1 provinciaux*socio=te,*socio=nil les*socio=nil objectifs*socio=uv4 budgétaires*socio=et devraient*socio=nil être *socio=nil atteints ou dépassés, malgré des réductions*socio=ec2 continues*socio=te de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 des personnes*socio=ac physiques*socio=rien et les augmentations*socio=ec2 prévues des dépenses*socio=ec1 (essentiellement dans les secteurs*socio=rien de la santé*socio=et et de l'enseignement*socio=et). Ainsi, l'évolution*socio=rien des budgets*socio=ec1 des provinces*socio=ac ne devrait pas modifier sensiblement l'orientation*socio=et budgétaire*socio=et tendancielle*socio=ec2 au niveau*socio=rien fédéral*socio=et, qui à été*socio=rien décrite plus haut*socio=rien. Bien*socio=rien que l'on ne s'attende pas à ce que la politique_budgétaire*socio=et devienne expansionniste*socio=ec2, la baisse*socio=ec2 progressive*socio=rien des *socio=rien taux effectifs des*socio=nil impôts*socio=et directs sur les*socio=nil personnes*socio=ac physiques *socio=nil tant au niveau*socio=rien de l' administration_fédérale*socio=ac qu'A celui des administrations_provinciales*socio=ac signifie que la croissance*socio=uv3 du revenu*socio=ec1. disponible*socio=rien des ménages*socio=ac ne souffre plus de l'alourdissement*socio=ec2 automatique*socio=rien de la fiscalité*socio=et. Environnement*socio=et extérieur*socio=te. Les ventes*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac représentant*socio=rien plus de 80 pour cent*socio=rien des exportations*socio=ec1 totales*socio=rien de marchandises*socio=ec1 et prés*socio=rien de 30 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1, l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 au Canada*socio=ac est*socio=rien fortement influencée par la conjoncture*socio=te chez son principal*socio=rien partenaire*socio=ac commercial*socio=ec1. En outre, bien*socio=rien que l'amélioration*socio=uv1 des fondamentaux*socio=uv4 économiques*socio=ec1 ait donné une certaine*socio=rien marge de manoeuvre*socio=rien aux responsables*socio=uv2 canadiens*socio=ac, il y à des limites*socio=rien à la mesure*socio=rien dans laquelle les taux_d'_intérêt*socio=ec1 dans les deux pays*socio=ac peuvent diverger. Ces deux *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil évolutions aux*socio=nil États-unis*socio=ac ont*socio=nil été très*socio=nil favorables*socio=ec2 *socio=nil à la croissance*socio=uv3 au Canada*socio=ac. Comme on l'a noté plus haut*socio=rien, la stabilité*socio=uv3 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac à permis*socio=rien d'utiliser la politique_monétaire*socio=et pour stimuler la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, alors que la forte*socio=rien croissance*socio=uv3 enregistrée dans ce pays*socio=ac à favorisé*socio=rien le dynamisme*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1, à laquelle les *socio=ac exportateurs canadiens étaient*socio=nil bien*socio=rien *socio=nil placés pour répondre. La bonne*socio=rien performance*socio=uv3 persistante*socio=rien de l'économie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac à permis*socio=rien au marché*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 du Canada*socio=ac de connaître une expansion*socio=ec2 rapide*socio=rien, malgré une forte*socio=rien baisse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 dans les *socio=ac pays asiatiques.*socio=nil Bien*socio=rien que*socio=nil seule*socio=rien une*socio=nil *socio=rien petite partie des*socio=nil échanges*socio=ec1 du*socio=nil Canada*socio=ac *socio=nil se fasse avec la région*socio=te Asie-pacifique*socio=ac (8 pour cent*socio=rien, y compris le Japon*socio=ac), ce qui limite*socio=rien les *socio=rien effets directs *socio=nil de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac, celle-ci à néanmoins affecté l'économie*socio=ec1 du fait*socio=rien de plusieurs *socio=rien facteurs indirects.*socio=nil *socio=nil Le plus *socio=rien important est l'*socio=nil incidence*socio=ec2 *socio=nil de la crise*socio=uv2 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 mondiaux*socio=te des produits*socio=rien de base*socio=rien et les termes_de_l'_échange*socio=ec1 du Canada*socio=ac. Bien*socio=rien qu'en diminution*socio=ec2, la part*socio=rien des produits*socio=rien de base*socio=rien dans les exportations*socio=ec1 de marchandises*socio=ec1 du Canada*socio=ac est*socio=rien encore relativement élevée*socio=uv4 (plus d'un*socio=rien tiers*socio=rien). Cependant, si la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien à conduit à une diminution*socio=ec2 prononcée des prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1, les prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 se sont aussi ralentis, ce qui à modéré la dégradation*socio=uv3 des ternies de l'échange*socio=ec1 du Canada*socio=ac. Les évolutions*socio=rien en Asie*socio=ac ont aussi contribué à la pression*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien le dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac, à la fois*socio=rien du fait*socio=rien de leur incidence*socio=ec2 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 mondiaux*socio=te des produits*socio=rien de base*socio=rien et en générant des flux*socio=ec1 d'actifs*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 des États-unis*socio=ac. Dans ces conditions*socio=ec1, il est*socio=rien devenu. plus difficile*socio=rien pour le Canada*socio=ac de maintenir des *socio=rien écarts négatifs de*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil Canada*socio=ac *socio=nil souffre aussi indirectement*socio=rien des effets*socio=rien de freinage*socio=rien de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 aux États-unis*socio=ac. Cependant, dans la mesure*socio=rien où cela à contribué à la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, la pression*socio=ec2 s'exerçant sur*socio=rien la politique_monétaire*socio=et s'est*socio=rien relâchée et l'un*socio=rien des risques*socio=uv4 pesant sur*socio=rien l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac à pu être*socio=rien ainsi atténué. Si, globalement, le Canada*socio=ac n'est*socio=rien guère exposé aux retombées*socio=rien de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac, cela n'est*socio=rien pas le cas*socio=rien pour certains secteurs*socio=rien d'activité*socio=rien et certaines*socio=rien provinces*socio=ac. Prés*socio=rien de 70 pour cent*socio=rien des exportations*socio=ec1 du Canada*socio=ac vers les économies*socio=ec1 de l'Asie-pacifique*socio=ac dépendent de la base*socio=rien de ressources_naturelles*socio=ec1 du pays*socio=ac. Les secteurs*socio=rien qui exportent fortement vers cette région*socio=te sont, en particulier*socio=rien, l'agriculture*socio=ec1, la sylviculture et l'extraction*socio=ec1 minière*socio=ec1. Ces secteurs*socio=rien sont ceux qui ont été*socio=rien aussi le plus touchés par la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 du marché*socio=ec1 mondial*socio=te, avec des diminutions*socio=rien particulièrement prononcées pour les métaux*socio=rien de base*socio=rien, le bois*socio=rien d'oeuvre*socio=rien, le bétail*socio=rien et le pétrole*socio=ec1 brut*socio=rien. Géographiquement, c'est*socio=rien la côte Pacifique*socio=te qui est*socio=rien la plus exposée à ces évolutions*socio=rien. La Colombie-britannique*socio=ac représente plus de 40 pour cent*socio=rien des exportations*socio=ec1 du Canada*socio=ac vers la région*socio=te Asie-pacifique*socio=ac et *socio=rien un tiers des*socio=nil exportations*socio=ec1 totales *socio=nil de la province*socio=ac (soit 81/2 pour cent*socio=rien de son PIB*socio=ec1) vont vers cette région*socio=te. En outre, 85 pour cent*socio=rien des exportations*socio=ec1 de la Colombie-britannique*socio=ac vers les économies*socio=ec1 d'Asie-pacifique*socio=ac sont des produits*socio=rien des industries*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 et les restrictions*socio=et commerciales*socio=ec1 existant*socio=rien dans ce domaine*socio=rien (voir chapitre*socio=rien Il) limitent la capacité*socio=uv3 des *socio=ac producteurs canadiens *socio=nil de compenser les pertes*socio=ec2 en Asie-pacifique*socio=ac par une augmentation*socio=ec2 des livraisons*socio=rien vers le marché*socio=ec1 des États-unis*socio=ac. Du fait*socio=rien de sa plus *socio=rien grande exposition aux*socio=nil évolutions sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 asiatiques*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil Colombie-britannique*socio=ac *socio=nil à vu son économie*socio=ec1 s'affaiblir considérablement*socio=rien, *socio=rien marquant un net *socio=nil contraste avec le reste*socio=rien du pays'. En résumé, la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac et la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien représentent un*socio=rien choc*socio=ec2 extérieur*socio=te négatif*socio=rien non négligeable*socio=rien pour l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac. Cependant, l'incidence*socio=ec2 est*socio=rien concentrée dans certains secteurs*socio=rien et régions*socio=te. En outre, les effets*socio=rien du choc*socio=ec2 ont jusqu'ici été*socio=rien en partie*socio=rien compensés par les évolutions*socio=rien positives*socio=uv4 intervenues tant à l'étranger*socio=te qu'au Canada*socio=ac. Notamment, en partie*socio=rien comme suite*socio=rien à la crise*socio=uv2, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te ont baisse*socio=ec2, ce qui à contribué à faire grimper la valeur*socio=ec1 des actions*socio=rien. Cela à aussi vraisemblablement*socio=rien contribué à soutenir la demande*socio=ec1, comme on le verra plus en détail*socio=rien ci-après. *socio=rien Évolution récente.*socio=nil Du*socio=nil fait *socio=nil des influences favorables*socio=ec2 décrites précédemment, l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac s'est*socio=rien accrue à *socio=rien un taux annuel *socio=nil de 31/2 pour cent*socio=rien depuis le milieu*socio=rien de 1996, malgré un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 plus récent*socio=rien. Cette performance*socio=uv3 favorable*socio=ec2 doit être*socio=rien mise en perspective*socio=rien, toutefois. Même si l'économie*socio=ec1 finit la décennie*socio=te sans entrer dans la récession*socio=ec2, comme le donnent à penser les prévisions*socio=ec2 actuelles*socio=te du Secrétariat*socio=ac de l'OCDE*socio=ac, la croissance*socio=uv3 dans les années*socio=rien 90 se sera établie en moyenne*socio=rien à juste*socio=rien ffu/,~ pour cent*socio=rien, soit *socio=rien un faible taux *socio=nil tant par rapport*socio=rien aux *socio=te périodes passées *socio=nil que par rapport*socio=rien aux normes*socio=et internationales*socio=te (tableau*socio=rien 1). Le chapitre*socio=rien Il examinera les acteurs*socio=ac structurels*socio=uv4 qui pourraient expliquer ce résultat*socio=rien - en plus des aspects*socio=rien macro-économiques*socio=ec1 déjà mentionnés. Le reste*socio=rien du *socio=rien présent chapitre *socio=nil passe en revue les évolutions*socio=rien économiques*socio=ec1 récentes*socio=rien avant de s'interroger sur*socio=rien le point*socio=rien de savoir*socio=rien si l'amélioration*socio=uv1 de la performance*socio=uv3 économique*socio=ec1 pourra être*socio=rien maintenue à court*socio=rien et moyen_terme*socio=te. Demande*socio=rien et production*socio=ec1. Comme on l'a noté, le renforcement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 à compter du milieu*socio=rien de 1996 reflète une diversification*socio=ec2 des sources*socio=rien de croissance*socio=uv3, la consommation*socio=ec1 et l'investissement_privé*socio=et ayant réagi à la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Malgré le recul*socio=rien des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et au titre*socio=rien des biens*socio=ec1 et services*socio=et, la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te globale*socio=rien s'est*socio=rien accrue de plus de 5 pour cent*socio=rien en 1997, contre 1 1 /2 pour cent*socio=rien en moyenne*socio=rien dans les années*socio=rien 90 (tableau*socio=rien 1). En revanche, la croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1, bien*socio=rien que relativement soutenue, à 8 pour cent*socio=rien, n'a guère dépassé sa performance*socio=uv3 moyenne*socio=rien au cours*socio=rien du cycle*socio=te. En outre, les importations*socio=ec1 ayant favorisées par la forte*socio=rien expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, le solde*socio=ec1 extérieur*socio=te réel*socio=ec2 à en art freiné la croissance*socio=uv3 en 1997. Ces tendances*socio=ec2 globales*socio=rien sont devenues moins prononcées cette année*socio=rien, les exportations*socio=ec1 se maintenant mieux que la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te. Cette variation*socio=rien de la demande*socio=ec1 étant accompagné d'un*socio=rien tassement*socio=rien de la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1, les exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien se sont redressées. Néanmoins, la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 s'est*socio=rien sensiblement ralentie au milieu*socio=rien de 1998,en1 raison*socio=rien pour partie*socio=rien de divers conflits*socio=uv1 du travail*socio=ec1. La consommation*socio=ec1 privée*socio=et sert de moteur*socio=uv4 à la reprise depuis le milieu*socio=rien de1996. En 1997, elle s'est*socio=rien accrue au taux*socio=rien le plus rapide*socio=rien enregistré depuis *socio=rien neuf ans,*socio=nil -*socio=nil grâce *socio=nil à la plus forte*socio=rien poussée de la demande*socio=ec1 de biens*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 durables*socio=uv4 depuis la reprise du début*socio=rien des années*socio=rien 80. Cela est*socio=rien d'autant plus remarquable*socio=rien que, parallèlement, est*socio=rien intervenue une baisse*socio=ec2 du revenu*socio=ec1 disponible*socio=rien réel*socio=ec2 (sous l'effet*socio=rien de l'alourdissement*socio=ec2 automatique*socio=rien de la fiscalité*socio=et), impliquant une forte*socio=rien diminution*socio=ec2 du d'épargne*socio=ec1 des ménages*socio=ac. De fait*socio=rien, entre le milieu*socio=rien de 1996 et la fin*socio=rien de 1997, ce *socio=rien taux est *socio=nil tombé de 6 pour cent*socio=rien à près de zéro*socio=rien, le plus *socio=rien bas niveau *socio=nil jamais enregistré. Si la *socio=ec2 baisse tendancielle antérieure*socio=te du*socio=nil taux*socio=rien d'*socio=nil épargne*socio=ec1 des*socio=nil ménages*socio=ac *socio=nil reflétait en partie*socio=rien les effets*socio=rien de la désinflation*socio=ec2, sa diminution*socio=ec2 récente*socio=rien ne peut être*socio=rien expliquée de cette manière*socio=rien (graphique*socio=rien 5). Cependant, la mesure*socio=rien dans l'optique*socio=rien des comptes*socio=rien nationaux*socio=te ignore d'importantes*socio=rien sources*socio=rien d'épargne*socio=ec1, notamment les plus-values*socio=ec1 sur*socio=rien les actifs*socio=ec1 (logement*socio=ec1, actions*socio=rien, obligations*socio=ec1 et fonds*socio=ec1 de pension*socio=et), ainsi que l'accumulation*socio=ec2 de biens*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 durables*socio=uv4. Mesuré sur*socio=rien la base*socio=rien de la variation*socio=rien du patrimoine*socio=et réel*socio=ec2 net*socio=rien, le taux*socio=rien d'épargne*socio=ec1 des ménages*socio=ac s'est*socio=rien en fait*socio=rien accru depuis 1996 et est*socio=rien proche de sa moyenne*socio=rien à long_terme*socio=te. Cela donne à penser que, si les ménages*socio=ac épargnent peu sur*socio=rien leur revenu*socio=ec1 courant*socio=rien, leur position*socio=rien financière*socio=ec1 *socio=rien globale reste favorable*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Outre la croissance*socio=uv3 du patrimoine*socio=et réel*socio=ec2 net*socio=rien, le redressement*socio=ec2 de la courbe des rendements*socio=ec1 à la fin*socio=rien de 1996 et au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1997 (graphique*socio=rien 3) à peut-être entraîné une augmentation*socio=ec2 de la consommation*socio=ec1 privée*socio=et plus forte*socio=rien que celle des revenus*socio=ec1 en encourageant les ménages*socio=ac à anticiper leurs dépenses*socio=ec1. Le retour*socio=rien de la courbe des rengrenants vers une pente*socio=rien plus normale*socio=rien intervenu depuis à éliminé une partie*socio=rien de l'élan*socio=rien ainsi imprimé à la consommation*socio=ec1. Cependant, dans le même temps*socio=rien, le revenu*socio=ec1 disponible*socio=rien réel*socio=ec2 s'est*socio=rien finalement redressé (en partie*socio=rien du fait*socio=rien de la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te). Ainsi, après*socio=rien une progression*socio=ec2 peu dynamique*socio=uv4 au début*socio=rien de 1998, la consommation*socio=ec1 privée*socio=et s'est*socio=rien accrue à *socio=rien un rythme *socio=nil assez soutenu plus récemment. L'investissement*socio=ec1 résidentiel*socio=ec1, qui s'est*socio=rien aussi fortement redressé et à augmenté de plus de 10 pour cent*socio=rien tant en 1996 qu'en 1997 (tableau*socio=rien 1), les acheteurs*socio=ac essayant de tirer parti*socio=et des taux*socio=rien *socio=ec1 hypothécaires nominaux *socio=nil les plus faibles*socio=rien depuis une génération*socio=ac, à connu récemment *socio=rien un tassement *socio=nil (sous l'effet*socio=rien notamment de conflits*socio=uv1 du travail*socio=ec1). Néanmoins, il *socio=rien est loin *socio=nil d'avoir atteint les niveaux*socio=rien enregistrés à la fin*socio=rien des années*socio=rien 80, les mises en chantier*socio=rien se situant à l'extrémité*socio=rien inférieure*socio=rien des besoins*socio=uv1 potentiels*socio=uv4 estimés en fonction*socio=rien des évolutions*socio=rien démographiques*socio=ec1. Cette situation*socio=rien à intrigué les analystes*socio=ac et les à conduit à examiner les changements*socio=uv3 structurels*socio=uv4 qui pourraient avoir diminué le potentiel*socio=uv4 de formation*socio=et de ménages*socio=ac, notamment parmi les jeunes*socio=ac qui sont la *socio=rien source principale *socio=nil de la *socio=rien nouvelle demande de*socio=nil logements*socio=ec1.*socio=nil En*socio=nil particulier,*socio=nil *socio=nil il à été*socio=rien avancé que la forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 de la scolarisation*socio=et dans l'enseignement*socio=et universitaire en réponse*socio=rien aux besoins*socio=uv1 du *socio=ec1 marché travail *socio=nil considéré comme plus *socio=rien exigeant sur le*socio=nil plan du*socio=nil niveau de*socio=nil connaissances*socio=ec2 *socio=nil (voir chapitre*socio=rien III), de même que l'incapacité*socio=rien d'une *socio=rien proportion croissante *socio=nil des veaux entrants de trouver des emplois*socio=ec1 offrant des perspectives*socio=te d'avenir*socio=te, se sont peut-être traduits par une baisse*socio=ec2 sensible*socio=rien de la part*socio=rien des jeunes*socio=ac souhaitant fonder une famille*socio=uv1. En outre, les immigrants - qui entrent désormais pour une semblent initialement plus *socio=rien large part *socio=nil dans l'accroissement*socio=ec2 démographique*socio=ec1 avoir une propension*socio=ec1 plus faible*socio=rien à fonder une famille*socio=uv1 que les autres Canadiens*socio=ac. Une autre explication*socio=rien de la demande*socio=ec1 plus faible*socio=rien qu'escomptée est*socio=rien que, si les taux*socio=rien hypothécaires*socio=ec1 sont faibles*socio=rien par rapport*socio=rien au passé*socio=te, en termes*socio=rien réels*socio=ec2 ils sont encore plus élevés*socio=uv4 qu'à la fin*socio=rien des années*socio=rien 80, lorsque la forte*socio=rien croissance*socio=uv3 des prix*socio=ec1 des logements*socio=ec1 s'était traduite par un*socio=rien coût*socio=ec1 d'utilisation*socio=rien réel*socio=ec2 négatif*socio=rien du logement*socio=ec1. L'investissement*socio=ec1 des entreprises*socio=ac à réagi vigoureusement à la bonne*socio=rien tenue des bénéfices*socio=ec1 enregistrée jusqu'à récemment, à la faiblesse*socio=ec2 des coûts*socio=ec1 de finance*socio=ec1 Ment et à la diminution*socio=ec2 des prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien des machines*socio=ec1 et du matériel*socio=rien. En 1997, il à connu sa plus forte*socio=rien expansion*socio=ec2 depuis prés*socio=rien d'une décennie*socio=te. Les dépenses*socio=ec1 au titre*socio=rien des machines*socio=ec1 et du matériel*socio=rien ont été*socio=rien particulièrement dynamiques*socio=uv4, augmentant de 31 pour cent*socio=rien entre le deuxième*socio=rien trimestre*socio=te de 1996 et le troisième*socio=rien trimestre*socio=te de 1997, avant de se tasser récemment. Cependant, l'augmentation*socio=ec2 rapide*socio=rien de cette composante*socio=rien de l'investissement*socio=ec1 surestime sa contribution*socio=uv1 (à court_terme*socio=te) à la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1, car son contenu en importations*socio=ec1 est*socio=rien beaucoup plus élevé*socio=uv4 que celui de la construction*socio=ec1 non résidentielle*socio=ec1 qui à progressé à des taux*socio=rien moins spectaculaires*socio=rien (graphique*socio=rien é). Ce n'est*socio=rien pas une *socio=rien simple coïncidence *socio=nil si le ralentissement*socio=ec2 des investissements*socio=ec1 en machines*socio=ec1 et matériel*socio=rien s'est*socio=rien accompagné d'un*socio=rien tassement*socio=rien de la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1. Malgré sa remontée récente*socio=rien, l'investissement*socio=ec1 des entreprises*socio=ac s'est*socio=rien accru *socio=rien an cours des*socio=nil années *socio=nil 90 à *socio=rien un taux *socio=nil modéré par rapport*socio=rien aux deux décennies*socio=te précédentes*socio=rien (tableau*socio=rien 1). C'est*socio=rien là *socio=rien un facteur *socio=nil qui explique la croissance*socio=uv3 plus faible*socio=rien de la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4, comme on le verra au chapitre*socio=rien Il. Les investissements*socio=ec1 dans les stocks*socio=ec1 ont contribué à la relance*socio=uv3 de l'activité*socio=rien, tout comme ils avaient aggravé le ralentissement*socio=ec2 précédent*socio=rien (tableau*socio=rien 1). Néanmoins, le rapport*socio=rien des stocks*socio=ec1 aux ventes*socio=ec1 à diminué sensiblement en 1996 et en 1997, la demande*socio=ec1 finale*socio=rien progressant plus fortement que la constitution*socio=rien de stocks*socio=ec1. Bien*socio=rien que ce rapport*socio=rien se soit légèrement redressé récemment, il est*socio=rien resté à des niveaux*socio=rien d'une faiblesse*socio=ec2 inégalée, car l'accumulation*socio=ec2 des stocks*socio=ec1 à connu *socio=rien un net coup de*socio=nil frein.*socio=nil *socio=nil Si aucun signe ne donne à penser à *socio=rien un important *socio=nil surstockage qui exigerait des mesures*socio=et de correction*socio=ec2, la constitution*socio=rien de stocks*socio=ec1 à cessé de contribuer à la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1. La forte*socio=rien expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 globale*socio=rien à compter du milieu*socio=rien de 1996 à entraîné une réduction*socio=ec2 considérable*socio=rien de l'_offre*socio=ec1 excédentaire*socio=rien dans l'économie*socio=ec1. D'après*socio=rien les estimations*socio=ec2 du Secrétariat*socio=ac de l'OCDE*socio=ac, l'écart*socio=rien entre production*socio=ec1 effective*socio=rien et production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 s'est*socio=rien rétréci pour passer de prés*socio=rien de 3 pour cent*socio=rien au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1996 à environ 1 pour cent*socio=rien, malgré l'affaiblissement*socio=rien récent*socio=rien de la croissance*socio=uv3 de l'activité*socio=rien. L'absorption*socio=rien rapide*socio=rien des ressources*socio=ec1 inutilisées*socio=rien tient *socio=rien an fait *socio=nil que le potentiel*socio=uv4 de production*socio=ec1 semble encore s'accroître à *socio=rien un taux *socio=nil modéré par *socio=rien rapport an passé*socio=te.*socio=nil D'*socio=nil après les*socio=nil calculs du*socio=nil Secrétariat*socio=ac,*socio=nil la*socio=nil croissance*socio=uv3 *socio=nil de la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 s'est*socio=rien progressivement*socio=rien accélérée pour passer de 21/4 pour cent*socio=rien au milieu*socio=rien de 1990 à 21/2 pour cent*socio=rien actuellement, sous l'effet*socio=rien d'importantes*socio=rien dépenses*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1 et d'un*socio=rien certain*socio=rien redressement*socio=ec2 de la productivité*socio=uv3 totale*socio=rien des facteurs*socio=rien. Cependant, si les données préliminaires*socio=rien semblent corroborer cette derniére évolution*socio=rien, l'absence*socio=rien de données récentes*socio=rien ne permet pas de dire précisément si, une fois*socio=rien ajustée pour tenir compte*socio=rien des influences conjoncturelles*socio=uv4, la productivité*socio=uv3 totale*socio=rien des facteurs*socio=rien s'accroît de *socio=rien nouveau après une*socio=nil longue période*socio=te de*socio=nil stagnation*socio=ec2 de*socio=nil manière générale.*socio=nil *socio=nil On ne peut donc exclure que l'économie*socio=ec1 ait devant*socio=rien elle une moins grande*socio=rien marge de croissance*socio=uv3 que ne l'indiquent les estimations*socio=ec2 ci-dessus avant de se heurter à son *socio=rien niveau maximum de*socio=nil production*socio=ec1 durable*socio=uv4.*socio=nil marché_du_travail*socio=ec1.*socio=nil Avec*socio=nil un certain décalage,*socio=nil l'*socio=nil accélération*socio=ec2 du*socio=nil rythme *socio=nil de l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 à favorisé*socio=rien la croissance*socio=uv3 de l'emploi*socio=ec1 (tableau*socio=rien 2) et de nouvelles*socio=rien réductions*socio=ec2 du chômage*socio=ec1 ont pu ainsi intervenir, celui-ci passant de près de 10 pour cent*socio=rien de la population_active*socio=ac à la fin*socio=rien de 1996 à moins de 81/2 pour cent*socio=rien ces *socio=rien derniers mois,*socio=nil niveau *socio=nil auquel il n'était pas revenu*socio=ec1 depuis le début*socio=rien de la décennie*socio=te. Néanmoins, *socio=rien un certain *socio=nil volant de ressources*socio=ec1 inutilisées*socio=rien persiste sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1 car le chômage*socio=ec1 structurel*socio=uv4 semble aussi avoir reculé. D'après*socio=rien les estimations*socio=ec2 du Secrétariat*socio=ac, le taux*socio=rien structurel*socio=uv4 de chômage*socio=ec1 est*socio=rien tombé de prés*socio=rien de 9 pour cent*socio=rien durant la *socio=rien première moitié des*socio=nil années *socio=nil 90 à 8 pour cent*socio=rien comme suite*socio=rien aux réformes*socio=et du système*socio=rien d'assurance*socio=ec1 chômage*socio=ec1 et des programmes*socio=et d' aide_sociale*socio=et. L'incidence*socio=ec2 de ces initiatives*socio=rien, et de leur calendrier*socio=et, est*socio=rien toutefois difficile*socio=rien à quantifier et certains analystes*socio=ac, y compris ceux du *socio=ac ministère canadien des*socio=nil Finances*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil estiment que le taux*socio=rien structurel*socio=uv4 pourrait déjà être*socio=rien plus faible*socio=rien. Contrairement aux baisses précédentes*socio=rien des années*socio=rien 90, le *socio=rien recul récent du*socio=nil chômage*socio=ec1 n'*socio=nil est *socio=nil pas dû à *socio=rien un fléchissement du*socio=nil taux d'*socio=nil activité.*socio=nil En*socio=nil fait,*socio=nil ce*socio=nil taux s'*socio=nil est *socio=nil légèrement accru (tableau*socio=rien 2). Cependant, il se situe encore à 21/2 points*socio=rien au-dessous du niveau*socio=rien prévalant à la fin*socio=rien des années*socio=rien 80 et bien*socio=rien au-dessous de son niveau*socio=rien tendanciel*socio=ec2 estimé, ce qui donne à penser qu'il existe *socio=rien un grand nombre de*socio=nil travailleurs*socio=ac *socio=nil qui pourraient réintégrer la population_active*socio=ac si les conditions_économiques*socio=ec1 continuent de s'améliorer. *socio=rien Un aspect particulièrement*socio=nil positif*socio=uv4 *socio=nil de l'amélioration*socio=uv1 récente*socio=rien du taux*socio=rien d'activité*socio=rien est*socio=rien qu'elle à été*socio=rien plus prononcée parmi les jeunes*socio=ac, pour lesquels ce taux*socio=rien avait le plus diminué dans les années*socio=rien 90 (de prés*socio=rien de 10 points*socio=rien). Bien*socio=rien qu'une telle baisse*socio=ec2 ait été*socio=rien en *socio=rien partie attribuable *socio=nil à l'augmentation*socio=ec2 de la scolarisation*socio=et induite par l'importance*socio=rien croissante*socio=rien du savoir*socio=uv3 dans l'économie*socio=ec1 (voir chapitre*socio=rien III), les médiocres*socio=uv2 possibilités*socio=rien d'emplois*socio=ec1 offertes*socio=rien aux jeunes*socio=ac ont aussi joué *socio=rien un grand rôle.*socio=nil Les*socio=nil jeunes*socio=ac *socio=nil sont les premiers*socio=rien à *socio=rien être licenciés en*socio=nil cas de*socio=nil récession*socio=ec2 *socio=nil et les derniers*socio=rien à être*socio=rien embauchés en cas*socio=rien d'expansion*socio=ec2. De tout temps*socio=rien, cela à entraîné une certaine*socio=rien période*socio=te d'attente entre un*socio=rien redressement*socio=ec2 économique*socio=ec1 et l'amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te d'emploi*socio=ec1 des jeunes*socio=ac. Cette fois*socio=rien, du fait*socio=rien de la persistance*socio=te d'un*socio=rien *socio=rien important écart entre*socio=nil production*socio=ec1 effective et*socio=nil production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 *socio=nil pendant une période*socio=te exceptionnellement longue*socio=rien, il à fallu beaucoup plus de temps*socio=rien aux jeunes*socio=ac pour retrouver leur place*socio=rien dans l'emploi*socio=ec1. Une autre caractéristique*socio=rien positive*socio=uv4 de l'évolution*socio=rien récente*socio=rien du marché_du_travail*socio=ec1 est*socio=rien que presque tons les emplois*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien créés sont des emplois*socio=ec1 à plein-temps dans le secteur_privé*socio=et. L'emploi*socio=ec1 dans le secteur_public*socio=et s'est*socio=rien stabilisé car la *socio=rien majeure partie des*socio=nil réductions*socio=ec2 *socio=nil prévues au niveau*socio=rien fédéral*socio=et sont déjà intervenues. Dans le secteur_privé*socio=et, certaines*socio=rien des personnes*socio=ac travaillant contre leur gré*socio=rien à temps_partiel*socio=ec1 (un*socio=rien tiers*socio=rien du total*socio=rien) ont été*socio=rien en mesure*socio=rien d'obtenir*socio=rien un*socio=rien emploi*socio=ec1 à plein_temps*socio=ec1. En outre, l'emploi*socio=ec1 salarié*socio=ac à commencé de s'accroître de *socio=rien nouveau après une*socio=nil stagnation*socio=ec2 *socio=nil de plus de deux années*socio=rien jusqu'au milieu*socio=rien de 1997. Dans le Même temps*socio=rien, avec l'amélioration*socio=uv1 des conditions*socio=ec1 du marché_du_travail*socio=ec1, la *socio=rien forte hausse du*socio=nil travail*socio=ec1 indépendant au*socio=nil cours *socio=nil de cette période*socio=te - qui dans une *socio=rien certaine mesure *socio=nil semble avoir représenté un*socio=rien chômage*socio=ec1 caché (voir annexe*socio=rien VI) - à été*socio=rien en partie*socio=rien inversée. Inflation*socio=ec2. En raison*socio=rien de l'excédent*socio=ec1 de l'_offre*socio=ec1, l'inflation*socio=ec2 est*socio=rien restée peu marquée, la *socio=rien hausse annuelle des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil à la consommation*socio=ec1 se situant ces *socio=rien derniers mois *socio=nil à l'extrémité*socio=rien inférieure*socio=rien de la marge de 1 à 3 pour cent*socio=rien fixée par les pouvoirs_publics*socio=et (tableau*socio=rien 3). L'inflation*socio=ec2 tendancielle*socio=ec2 (annexe*socio=rien 1) s'est*socio=rien aussi maintenue dans une *socio=rien fourchette faible et*socio=nil stable*socio=uv4.*socio=nil Bien *socio=nil que l'écart*socio=rien de production*socio=ec1 se soit régulièrement rétréci, le sous-emploi*socio=ec1 persistant*socio=rien des ressources*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des *socio=rien produits continue *socio=nil d'exercer une pression*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien l'inflation*socio=ec2. En outre, les augmentations*socio=ec2 de coûts*socio=ec1 ont été*socio=rien modérées même si la dépréciation*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1 à atténué l'incidence*socio=ec2 de la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te. Si dans leur ensemble*socio=rien les marges de profit*socio=ec1 ont augmenté avant de fléchir récemment, le renforcement*socio=ec2 de la concurrence*socio=ec1 au niveau*socio=rien des ventes*socio=ec1 de détail*socio=rien à conduit à des ristournes de prix*socio=ec1 généralisées. Le *socio=rien principal facteur *socio=nil ayant joué en sens*socio=rien inverse et contribué à maintenir la croissance*socio=uv3 de l'indice_des_prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 semble être*socio=rien les anticipations*socio=uv3 d'inflation*socio=ec2 qui restent proches*socio=rien du *socio=rien point intermédiaire *socio=nil de 2 pour cent*socio=rien de la fourchette*socio=rien fixée comme objectif*socio=uv4. Malgré les fortes*socio=rien hausses intervenues dans certaines*socio=rien régions*socio=te, les prix*socio=ec1 des logements*socio=ec1 N'ont augmenté que modérément dans l'ensemble*socio=rien du pays*socio=ac. La mesure*socio=rien la plus large*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 - l'indice_des_prix*socio=ec1 du PIB*socio=ec1 - n'a pas marqué de progression*socio=ec2 annuelle*socio=rien récemment. Outre les *socio=rien différents facteurs contribuant*socio=nil an ralentissement*socio=ec2 *socio=nil de la hausse*socio=rien de l'IPC*socio=ec1, cela s'explique par la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires,*socio=nil *socio=nil qui sont pris en compte*socio=rien dans cet indice. Les augmentations*socio=ec2 de salaires*socio=ec1 sont restées modérées. Le léger*socio=rien redressement*socio=ec2 des hausses annuelles*socio=rien négociées (tableau*socio=rien 3) tient an*socio=rien redémarrage*socio=ec2 de la progression*socio=ec2 des rémunérations*socio=ec1 dans le secteur_public*socio=et après*socio=rien plusieurs années*socio=rien de rigueur*socio=uv3. Les données d'enquête*socio=ec2 donnent à penser que la croissance*socio=uv3 des salaires*socio=ec1 à *socio=rien été un *socio=nil peu plus élevée*socio=uv4 pour les salariés*socio=ac non syndiqués. Ainsi, l'augmentation*socio=ec2 *socio=rien moyenne sous-jacente des*socio=nil salaires*socio=ec1 *socio=nil dans l'ensemble*socio=rien de l'économie*socio=ec1 semble être*socio=rien de l'ordre*socio=rien de 2 pour *socio=rien cent sur une*socio=nil base annuelle.*socio=nil Au*socio=nil niveau.*socio=nil sectoriel,*socio=nil des*socio=nil pénuries*socio=ec2 *socio=nil et de fortes*socio=rien augmentations*socio=ec2 des salaires*socio=ec1 ont été*socio=rien signalées pour les personnels*socio=ac qualifiés*socio=uv4 dans le secteur*socio=rien de l'informatique*socio=ec1 et dans les autres secteurs*socio=rien de haute*socio=rien technologie*socio=ec1. Cependant, ces groupes*socio=ac représentent une *socio=rien petite fraction *socio=nil de la population_active*socio=ac. La croissance*socio=uv3 du revenu*socio=ec1 du travail*socio=ec1 par salarié*socio=ac à été*socio=rien exceptionnellement élevée*socio=uv4 en 1997 mais à dérivé à la baisse*socio=ec2 depuis. Cela semble avoir été*socio=rien da an*socio=rien versement*socio=ec1 de primes*socio=ec1 plus importantes*socio=rien que la *socio=rien normale associé en*socio=nil partie aux*socio=nil gains*socio=ec1 de*socio=nil productivité*socio=uv3.*socio=nil De*socio=nil fait,*socio=nil le*socio=nil redressement*socio=ec2 conjoncturel*socio=uv4 *socio=nil de la production*socio=ec1 à entraîné une reprise de ]a productivité*socio=uv3 (tableau*socio=rien 2), qui à A peu près correspondu aux augmentations*socio=ec2 de salaires*socio=ec1, de sorte*socio=rien que les coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac sont restés à peu près stables*socio=uv4. Solde*socio=ec1 extérieur*socio=te. Après*socio=rien les déficits*socio=ec1 persistants*socio=rien enregistrés depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 80, la balance*socio=ec1 des opérations*socio=rien courantes*socio=te est*socio=rien devenue légèrement excédentaire*socio=rien en 1996 (tableau*socio=rien 4). L'amélioration*socio=uv1 du solde*socio=ec1 extérieur*socio=te tenait à plusieurs facteurs*socio=rien, y compris la faiblesse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 relative*socio=rien du Canada*socio=ac, l'amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 attribuable*socio=rien à la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de *socio=rien base sur le*socio=nil marché*socio=ec1 mondial*socio=te *socio=nil et le rétablissement*socio=rien de la compétitivité*socio=uv3 internationale*socio=te dû à la fois*socio=rien à la dépréciation*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1 et à la faiblesse*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2 intérieure*socio=te. L'excédent*socio=ec1 ne s'est*socio=rien révélé que temporaire*socio=rien, toutefois, car *socio=rien un grand nombre *socio=nil de ces évolutions*socio=rien se sont inversées ces deux *socio=rien dernières années *socio=nil environ. Pour la *socio=rien première fois *socio=nil dans les années*socio=rien 90, la demande*socio=ec1 globale*socio=rien à augmenté plus rapidement que chez les principaux*socio=rien partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 du Canada*socio=ac, avec *socio=rien un déplacement *socio=nil vers les biens*socio=ec1 à *socio=rien forte intensité d'*socio=nil importation*socio=ec1 *socio=nil (comme les biens*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 durables*socio=uv4 et les investissements*socio=ec1 en machines*socio=ec1 et matériels*socio=rien). En outre, les termes_de_l'_échange*socio=ec1 du Canada*socio=ac se sont dégradés en raison*socio=rien d'une baisse*socio=ec2 importante*socio=rien des prix*socio=ec1 des *socio=rien produits primaires *socio=nil pour lesquels le pays*socio=ac *socio=rien est un exportateur*socio=ec1 net.*socio=nil La*socio=nil dégradation*socio=uv3 *socio=nil de la compétitivité*socio=uv3 globale*socio=rien n'a pas joué de rôle*socio=rien, car les mesures*socio=et des COON relatifs*socio=rien se sont en fait*socio=rien améliorées du fait*socio=rien de la tendance*socio=ec2 à l'affaiblissement*socio=rien du dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac et de la quasi-stabilité des coûts*socio=ec1 unitaires*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac en monnaie*socio=ec1 nationale*socio=te. Depuis la fin*socio=rien de 1997, le déficit*socio=ec1 de la balance*socio=ec1 des opérations*socio=rien courantes*socio=te s'est*socio=rien rétréci quelque peu car la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1 s'est*socio=rien ralentie alors que les exportations*socio=ec1 se sont relativement bien*socio=rien maintenues malgré une forte*socio=rien baisse*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 des *socio=ac pays asiatiques.*socio=nil La*socio=nil dégradation*socio=uv3 du*socio=nil solde*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=nil ces deux *socio=rien dernières années est imputable*socio=uv2 *socio=nil essentiellement à une baisse*socio=ec2 prononcée de l'excédent*socio=ec1 du commerce*socio=ec1 de marchandises*socio=ec1 (tableau*socio=rien 4). Bien*socio=rien que cela puisse être*socio=rien attribué dans une *socio=rien large mesure aux*socio=nil facteurs susmentionnés *socio=nil (notamment la vigueur*socio=uv3 et la composition*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et l'amélioration*socio=uv1 des termes_de_l'_échange*socio=ec1), les récentes*socio=rien performances*socio=uv3 commerciales*socio=ec1 peuvent néanmoins être*socio=rien considérées comme décevantes*socio=rien, compte*socio=rien tenu de la position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 exceptionnellement favorable*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac, avec un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien bien inférieur aux*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil de la parité*socio=ec1 du pouvoir_d'_achat*socio=ec1. La forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 de la propension*socio=ec1 à importer dans *socio=rien un grand nombre de*socio=nil secteurs peut*socio=nil être en*socio=nil partie *socio=nil expliquée par l'incidence*socio=ec2 des accords*socio=et commerciaux*socio=ec1. Cependant, si ces derniers*socio=rien ont aussi encouragé la propension*socio=ec1 à exporter, le Canada*socio=ac n'a pas apparemment été*socio=rien en mesure*socio=rien de tirer pleinement parti*socio=et de la *socio=rien forte hausse récente *socio=nil de la demande*socio=ec1 américaine*socio=ac. Contrairement au compte*socio=rien commercial*socio=ec1, la balance*socio=ec1 des *socio=rien invisibles est *socio=nil restée à peu prés*socio=rien stable*socio=uv4, ses principales*socio=rien composantes*socio=ec1 ne changeant*socio=rien guère. Malgré les bénéfices*socio=ec1 élevés*socio=uv4 (et dans une *socio=rien large mesure *socio=nil réinvestis) des entreprises*socio=ac sous contrôle*socio=uv3 étranger*socio=te, le déficit*socio=ec1 du revenu*socio=ec1 des investissements*socio=ec1 à en *socio=rien fait un *socio=nil peu diminué car la reconduction de la dette*socio=ec1 extérieure*socio=te à des taux*socio=rien. d'intérêt*socio=ec1 plus faibles*socio=rien à fait*socio=rien baisser les coûts*socio=ec1 du service*socio=et. Perspectives*socio=te à court_terme*socio=te. Prévisions*socio=ec2 centrales*socio=rien et hypothèse*socio=ec2 de base*socio=rien. Du fait*socio=rien de la *socio=rien légère hausse des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 à*socio=nil court_terme*socio=te *socio=nil et des *socio=rien effets négatifs *socio=nil de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac, la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 devrait encore se ralentir, s'établissant en moyenne*socio=rien aux alentours*socio=rien de 21/2 pour cent*socio=rien au cours*socio=rien des dix-huit *socio=rien prochains mois *socio=nil environ (tableau*socio=rien 5). Avec une production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 augmentant à *socio=rien un rythme juste supérieur *socio=nil à 21/2 pour *socio=rien cent an cours *socio=nil de cette période*socio=te, d'après*socio=rien les estimations*socio=ec2 du Secrétariat*socio=ac de l'OCDE*socio=ac, l'écart*socio=rien entre production*socio=ec1 effective*socio=rien et production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 ne devrait plus se rétrécir. Après*socio=rien son emballement*socio=rien en 1997, la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te devrait progresser plus lentement. L'expansion*socio=ec2 de la consommation*socio=ec1 privée*socio=et devrait rester inférieure*socio=rien à celle du revenu*socio=ec1 disponible*socio=rien, le taux*socio=rien d'épargne*socio=ec1 des ménages*socio=ac, très faible*socio=rien par rapport*socio=rien au passé*socio=te, revenant peu à peu à *socio=rien un niveau plus*socio=nil normal.*socio=nil L'*socio=nil investissement*socio=ec1 résidentiel*socio=ec1 *socio=nil devrait s'accroître légèrement, compte*socio=rien tenu de l'amélioration*socio=uv1 du revenu*socio=ec1 des ménages*socio=ac et des taux*socio=rien hypothécaires*socio=ec1 toujours favorables*socio=ec2. La faiblesse*socio=ec2 persistante*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te devrait aussi contribuer à soutenir les dépenses*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1 des entreprises*socio=ac, encore que l'on s'attende à ce que ces investissements*socio=ec1 augmentent à des taux*socio=rien moins spectaculaires*socio=rien, comme en témoignent*socio=rien les enquêtes sur*socio=rien les intentions*socio=rien d'investissements*socio=ec1. Comme on l'a vu, la formation*socio=et de stocks*socio=ec1 ne contribuera vraisemblablement*socio=rien pas à la croissance*socio=uv3 au cours*socio=rien de la période*socio=te à venir. En revanche, *socio=rien après cinq années de*socio=nil *socio=et restrictions budgétaires,*socio=nil les*socio=nil dépenses*socio=ec1 publiques *socio=nil soutiendront de nouveau*socio=rien légèrement la demande*socio=ec1. La croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1 devrait se poursuivre à *socio=rien un rythme plus*socio=nil lent,*socio=nil en*socio=nil raison *socio=nil de plusieurs facteurs*socio=rien se compensant partiellement. à court_terme*socio=te, la vigueur*socio=uv3 continue*socio=rien de la demande*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac limite*socio=rien les *socio=rien effets négatifs *socio=nil de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac; par la suite*socio=rien, l'amélioration*socio=uv1 de la compétitivité*socio=uv3 due à la dépréciation*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1 devrait modérer l'incidence*socio=ec2 du ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 aux États-unis*socio=ac sur*socio=rien les exportations*socio=ec1 du Canada*socio=ac. On s'attend que le déficit*socio=ec1 de la balance*socio=ec1 des opérations*socio=rien courantes*socio=te reste*socio=rien quasiment stable*socio=uv4, les importations*socio=ec1 progressant à peu près à la même cadence que les exportations*socio=ec1 et la dégradation*socio=uv3 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 du Canada*socio=ac prenant fin*socio=rien. Bien*socio=rien que la croissance*socio=uv3 des salaires*socio=ec1 soit appelée à se redresser quelque peu avec la baisse*socio=ec2 graduelle*socio=rien du chômage*socio=ec1 vers son taux*socio=rien structurel*socio=uv4 estimé et malgré les effets*socio=rien de la dépréciation*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1, l'inflation*socio=ec2 devrait rester faible*socio=rien - et compatible*socio=rien avec l'objectif*socio=uv4 officiel*socio=et - durant la période*socio=te considérée, compte*socio=rien tenu de la persistance*socio=te d'une *socio=rien offre excédentaire *socio=nil dans l'économie*socio=ec1 et de la concurrence*socio=ec1 exercée par les prix*socio=ec1 des *socio=ac producteurs asiatiques.*socio=nil Les*socio=nil prévisions*socio=ec2 *socio=nil ci-dessus, qui sont celles publiées dans les Perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 de l'OCDE*socio=ac de décembre*socio=rien 1998 sont fondées sur*socio=rien les hypothèses*socio=ec2 suivantes*socio=rien. Le PIB*socio=ec1 réel*socio=ec2 dans la zone_de_l'_ocde*socio=te s'accroît de plus de 2 pour cent*socio=rien en 1998 et de moins de 2 pour cent*socio=rien en 1999, alors que l'expansion*socio=ec2 des échanges*socio=ec1 mondiaux*socio=te s'accélère pour passer de moins de 5 à 51/2 pour cent*socio=rien. Avec des *socio=ec1 taux_de_change nominaux constants*socio=te *socio=nil à compter d'octobre*socio=rien 1998, les prix*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 du Canada*socio=ac augmentent en *socio=rien rythme annuel *socio=nil d'environ 2 pour cent*socio=rien au cours*socio=rien de la période*socio=te à venir. Le prix*socio=ec1 moyen*socio=rien en dollars*socio=ec1 des *socio=ec1 importations pétrolières *socio=nil de l'OCDE*socio=ac (caf) s'établit selon les estimations*socio=ec2 à 13 dollars*socio=ec1 le baril*socio=ec1 en moyenne*socio=rien au *socio=rien deuxième semestre *socio=nil de 1998 et augmente quelque peu par la suite*socio=rien, se situant en moyenne*socio=rien à 14 dollars*socio=ec1 durant la *socio=rien deuxième moitié *socio=nil de 1999. Le *socio=ec1 solde financier des*socio=nil administrations_publiques*socio=ac *socio=nil ajusté pour tenir compte*socio=rien des variations*socio=rien conjoncturelles*socio=uv4 s'améliore pour passer à 3 /4 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 environ en 1998 et reste*socio=rien stable*socio=uv4 par la suite*socio=rien. Les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te diminuent progressivement*socio=rien à mesure*socio=rien que baissent les *socio=rien taux correspondants aux*socio=nil États-unis*socio=ac.*socio=nil Les*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 à*socio=nil long_terme*socio=te *socio=nil augmentent aussi quelque peu mais restent inférieurs*socio=rien aux taux*socio=rien à long_terme*socio=te des États-unis*socio=ac. Risques*socio=uv4 et incertitudes*socio=uv3. Les perspectives*socio=te sont sujettes*socio=rien à plusieurs risques*socio=uv4 et les incertitudes*socio=uv3 qui les entourent sont plus importantes*socio=rien que d'habitude*socio=rien. Celles-ci concernent essentiellement des *socio=rien événements intervenant *socio=nil au-delà des frontières*socio=te du Canada*socio=ac, en particulier*socio=rien les remous*socio=rien qui ont affecté *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil Asie*socio=ac *socio=nil et se sont propagés à d'autres économies*socio=ec1 émergentes*socio=ec2 où la situation*socio=rien n'est*socio=rien pas encore stabilisée. Un*socio=rien approfondissement*socio=uv3 de la crise*socio=uv2 risquerait de ralentir la croissance*socio=uv3 au Canada*socio=ac encore que, comme on l'a vu précédemment, la part*socio=rien relativement peu importante*socio=rien des exportations*socio=ec1 canadiennes*socio=ac absorbée par les économies*socio=ec1 de l'Asie-pacifique*socio=ac limite*socio=rien les effets*socio=rien commerciaux*socio=ec1 directs*socio=rien d'une nouvelle*socio=rien dégradation*socio=uv3 possible*socio=rien des perspectives*socio=te de cette région*socio=te. Une incidence*socio=ec2 plus prolongée de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac sur*socio=rien les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien affecterait négativement les bénéfices*socio=ec1 et les investissements*socio=ec1 des entreprises*socio=ac au Canada*socio=ac mais, 1à encore, l'effet*socio=rien de *socio=rien freinage sur *socio=nil l'économie_globale ne devrait pas être*socio=rien surestimé, compte*socio=rien tenu de la part*socio=rien de moins en moins grande*socio=rien du secteur*socio=rien des ressources_naturelles*socio=ec1. Néanmoins, le fait*socio=rien que les marchés*socio=ec1 considèrent encore le Canada*socio=ac comme un*socio=rien producteur*socio=ac de produits*socio=rien de base*socio=rien pourrait compliquer la gestion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1, cet élément*socio=rien ayant joué *socio=rien un rôle *socio=nil dans la faiblesse*socio=ec2 récente*socio=rien du dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac et les pressions*socio=ec2 à la *socio=rien hausse correspondantes sur le*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Cependant, compte*socio=rien tenu des *socio=rien liens étroits *socio=nil entre les économies*socio=ec1 du Canada*socio=ac et des États-unis*socio=ac, le risque*socio=uv4 le plus important*socio=rien du côté*socio=rien extérieur*socio=te semblerait être*socio=rien une dégradation*socio=uv3 marquée des perspectives*socio=te aux États-unis*socio=ac, que cette dégradation*socio=uv3 résulte des turbulences*socio=rien qui affectent l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te on d'autres facteurs*socio=rien, comme la crise*socio=uv2 boursière*socio=ec1. *socio=rien An niveau intérieur*socio=te,*socio=nil les*socio=nil risques*socio=uv4 *socio=nil entourant les perspectives*socio=te semblent moins importants*socio=rien. Néanmoins, bien*socio=rien que le manque*socio=rien de dynamisme*socio=uv3 de l'activité*socio=rien de ces *socio=rien derniers mois *socio=nil reflète des *socio=rien facteurs temporaires *socio=nil (notamment des conflits*socio=uv1 du travail*socio=ec1), il *socio=rien est possible *socio=nil que la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te soit moins forte*socio=rien que prévu. Les dépenses*socio=ec1 de consommation*socio=ec1, en particulier*socio=rien, pourraient, compte*socio=rien tenu du *socio=rien faible taux d'*socio=nil épargne*socio=ec1 des*socio=nil ménages*socio=ac,*socio=nil *socio=nil faire l'objet*socio=rien d'une réduction*socio=ec2 plus importante*socio=rien que celle escomptée, en particulier*socio=rien dans le cas*socio=rien d'une forte*socio=rien correction*socio=ec2 persistante*socio=rien du *socio=ec1 marché boursier.*socio=nil De*socio=nil fait*socio=rien,*socio=nil l'*socio=nil instabilité*socio=uv3 actuelle*socio=te du*socio=nil marché boursier *socio=nil pourrait nuire à la confiance*socio=uv1 du secteur_privé*socio=et, qui à joué *socio=rien un grand rôle *socio=nil dans l'amélioration*socio=uv1 de la performance*socio=uv3 économique*socio=ec1 ces *socio=rien dernières années.*socio=nil Le*socio=nil maintien de*socio=nil politiques_économiques*socio=et saines*socio=uv2 *socio=nil devrait, toutefois, limiter*socio=rien les risques*socio=uv4 d'une évolution*socio=rien défavorable*socio=uv4. Perspectives*socio=te à moyen_terme*socio=te. Le scénario*socio=rien de référence*socio=rien. Bien*socio=rien que les risques*socio=uv4 soient considérables*socio=rien, les perspectives*socio=te à moyen_terme*socio=te du Canada*socio=ac semblent favorables*socio=ec2. *socio=rien Un scénario central du*socio=nil Secrétariat*socio=ac *socio=nil de l'OCDE*socio=ac (tableau*socio=rien é) table*socio=rien, pour la période*socio=te 1998-2003, sur*socio=rien une croissance*socio=uv3 du PIB*socio=ec1 réel*socio=ec2 de 3 pour cent*socio=rien en moyenne*socio=rien, soit prés*socio=rien du double*socio=rien du taux*socio=rien atteint jusqu'ici dans les années*socio=rien 90 et *socio=rien un niveau identique *socio=nil à celui des années*socio=rien 80. Dans la zone_de_l'_ocde*socio=te, la croissance*socio=uv3 devrait être*socio=rien de 23/4 pour cent*socio=rien (contre 21/4 pour cent*socio=rien). Le *socio=rien facteur sous-jacent *socio=nil de cette *socio=rien évolution est *socio=nil une plus forte*socio=rien expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te, qui devrait se réaligner sur*socio=rien les tendances*socio=ec2 à long_terme*socio=te après*socio=rien son excès*socio=rien de faiblesse*socio=ec2 de la *socio=rien première moitié des*socio=nil années *socio=nil 90. Cela *socio=rien est vrai *socio=nil pour toutes les grandes*socio=rien composantes*socio=ec1 de la demande*socio=ec1, à l'exception*socio=rien des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et qui devraient continuer de s'accroître à *socio=rien un rythme plus*socio=nil lent *socio=nil que dans les années*socio=rien 80. Dans l'hypothèse*socio=ec2 d'un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 réel*socio=ec2 constant*socio=rien à compter de 2000, les exportations*socio=ec1 devraient s'accroître parallèlement aux débouchés*socio=ec1, ce qui ne devrait entraîner que peu de changements*socio=uv3 par rapport*socio=rien à la performance*socio=uv3 passée*socio=te. Bien*socio=rien que l'accélération*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 des importations*socio=ec1 associée*socio=rien à la plus *socio=rien forte demande intérieure*socio=te *socio=nil ne laisse guère présager d'amélioration*socio=uv1 du solde*socio=ec1 extérieur*socio=te, le déficit*socio=ec1 de la balance*socio=ec1 des opérations*socio=rien courantes*socio=te devrait rester faible*socio=rien par rapport*socio=rien au passé*socio=te. Le taux*socio=rien d'activité*socio=rien revenant à son niveau*socio=rien tendanciel*socio=ec2, le chômage*socio=ec1 ne devrait diminuer que lentement, restant au-dessus de son taux*socio=rien structurel*socio=uv4 qui devrait aussi dériver à la baisse*socio=ec2 comme suite*socio=rien aux réformes*socio=et du marché_du_travail*socio=ec1. L'écart*socio=rien entre production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 et production*socio=ec1 effective*socio=rien ne devrait se réduire que graduellement, la production*socio=ec1 effective*socio=rien ne dépassant jamais la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4, qui s'accroîtra selon les estimations*socio=ec2 à *socio=rien un taux *socio=nil de 21/4 pour cent*socio=rien du fait*socio=rien du redressement*socio=ec2 de la productivité*socio=uv3 totale*socio=rien des facteurs*socio=rien. Dans le même temps*socio=rien, l'inflation*socio=ec2 devrait rester faible*socio=rien, revenant vers le *socio=rien point intermédiaire *socio=nil de la fourchette*socio=rien. La tâche*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=et. La concrétisation*socio=rien de ce scénario*socio=rien favorable*socio=ec2 dépendra - outre l'environnement*socio=et extérieur*socio=te qui est*socio=rien devenu plus incertain*socio=rien - des politiques*socio=et mises en oeuvre*socio=rien au Canada*socio=ac, tant dans le domaine*socio=rien macro-économique*socio=ec1 que dans le domaine*socio=rien structurel*socio=uv4 La politique_monétaire*socio=et, en particulier*socio=rien, jouera *socio=rien un rôle central,*socio=nil *socio=nil car elle devra faire en sorte*socio=rien que les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil soient orientées de façon*socio=rien à permettre le retour*socio=rien sans heurt*socio=rien de la production*socio=ec1 vers son *socio=rien niveau potentiel *socio=nil sans que cela déclenche une *socio=rien hausse sensible *socio=nil de l'inflation*socio=ec2, comme le prévoit le scénario*socio=rien ci-dessus. à court_terme*socio=te, compte*socio=rien tenu de la dégradation*socio=uv3 et du caractère*socio=rien plus incertain*socio=rien des perspectives*socio=te d'évolution*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, cela suppose de renoncer pour le moment*socio=rien à tout resserrement*socio=ec2. Dans une perspective*socio=rien plus lointaine, cependant, lorsque se produira de nouveau*socio=rien une réduction*socio=ec2 de l'écart*socio=rien de production*socio=ec1, il faudra envisager de revenir à une action*socio=rien plus restrictive*socio=uv4. De fait*socio=rien, un*socio=rien dépassement*socio=ec2 du potentiel*socio=uv4 exigerait une action*socio=rien correctrice 7 pour faire face*socio=rien aux pressions*socio=ec2 d'inflation*socio=ec2 correspondantes*socio=rien, ce qui conduirait à de plus *socio=rien grandes variations conjoncturelles*socio=uv4 *socio=nil de l'économie*socio=ec1 et, éventuellement, à terme*socio=rien, à une plus faible*socio=rien croissance*socio=uv3 moyenne*socio=rien. La fixation*socio=ec1 d'objectifs*socio=uv4 d'inflation*socio=ec2 à contribué à une nette*socio=rien amélioration*socio=uv1 de la performance*socio=uv3 des prix*socio=ec1 ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil mais n'a pas encore été*socio=rien testée dans une situation*socio=rien où l'économie*socio=ec1 opère quasiment à pleine*socio=rien capacité*socio=uv3. Compte*socio=rien tenu du caractère*socio=rien prospectif des objectifs*socio=uv4 en question*socio=rien, le problème*socio=uv4 auquel sont confrontés les décideurs*socio=ac tient à la nécessité*socio=uv1 de réconcilier l'action*socio=rien immédiate*socio=rien requise*socio=uv4 pour faire face*socio=rien à l'apparition*socio=rien éventuelle*socio=rien de pressions*socio=ec2 d'inflation*socio=ec2 avec le fait*socio=rien qu'il existe une large*socio=rien marge d'erreurs*socio=uv4 autour des estimations*socio=ec2 des principales*socio=rien variables*socio=ec2 sur*socio=rien lesquelles est*socio=rien fondée leur évaluation*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2 future*socio=rien. D'une part*socio=rien, les conclusions*socio=rien empiriques*socio=ec2 selon lesquelles, pour le Canada*socio=ac, les mesures*socio=et prises*socio=rien par les pouvoirs_publics*socio=et ont leur principale*socio=rien incidence*socio=ec2 sur*socio=rien l'inflation*socio=ec2 avec *socio=rien un délai *socio=nil de six à huit trimestres*socio=te donnent à penser que les autorités*socio=et devraient faire montre de prudence*socio=uv1. De l'autre, eu égard*socio=rien à l'expérience*socio=ec2 positive*socio=uv4 des États-unis*socio=ac à cet égard*socio=rien, on peut avancer que, face*socio=rien aux très grandes*socio=rien incertitudes*socio=uv3 entourant les estimations*socio=ec2 de la capacité*socio=uv3 économique*socio=ec1 et du taux*socio=rien structurel*socio=uv4 du chômage*socio=ec1, la politique_monétaire*socio=et devrait être*socio=rien utilisée pour déterminer si, comme suite*socio=rien à la réforme*socio=et structurelle*socio=uv4, l'économie*socio=ec1 est*socio=rien à même d'atteindre des niveaux*socio=rien plus élevés*socio=uv4 de production*socio=ec1 et des niveaux*socio=rien plus faibles*socio=rien de chômage*socio=ec1 sans *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil L'*socio=nil ICM*socio=ec1 s'*socio=nil est*socio=rien révélé*socio=nil *socio=rien être un outil conceptuel et*socio=nil pratique *socio=nil dans la conduite*socio=rien de la politique*socio=et car il à permis*socio=rien d'attirer l'attention*socio=rien sur*socio=rien le fait*socio=rien que, pour une petite*socio=rien économie*socio=ec1 ouverte*socio=uv4, le taux_de_change*socio=ec1 *socio=rien est un important instrument*socio=et de*socio=nil transmission monétaire*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Cependant, le niveau*socio=rien approprié de l'ICM*socio=ec1 pouvant varier à la suite*socio=rien de chocs*socio=ec2 économiques*socio=ec1, le marché*socio=ec1 à parfois eu du mal*socio=rien à interpréter les interventions*socio=et de la banque_du_canada*socio=ac. Par exemple*socio=rien, une dépréciation*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1 imputable*socio=uv2 à un*socio=rien choc*socio=ec2 *socio=rien négatif sur les*socio=nil termes_de_l'_échange*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil comme cela s'est*socio=rien produit*socio=rien récemment an*socio=rien Canada*socio=ac, pourrait en fait*socio=rien avoir *socio=rien un effet de*socio=nil freinage sur la*socio=nil demande*socio=ec1 globale *socio=nil et, dans ce cas*socio=rien, une augmentation*socio=ec2 compensatrice des taux_d'_intérêt*socio=ec1 ne serait pas indiquée. La difficulté*socio=uv4 dans ces conditions*socio=ec1 tient à la nécessité*socio=uv1 de faire en sorte*socio=rien que le marché*socio=ec1 comprenne pourquoi la Banque*socio=ac n'essaie pas de ramener l'ICM*socio=ec1 à son *socio=rien niveau initial.*socio=nil *socio=nil Cependant, s'il importe de faire preuve*socio=ec2 de flexibilité*socio=uv3 face*socio=rien aux chocs*socio=ec2 économiques*socio=ec1, il n'est*socio=rien pas certain*socio=rien que les modifications*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil générées par le marché*socio=ec1 après*socio=rien une dégradation*socio=uv3 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 soient tout à fait*socio=rien celles requises*socio=uv4 pour réaliser les objectifs*socio=uv4 d'inflation*socio=ec2. Ces limites*socio=rien de l'ICM*socio=ec1 en tant qu'instrument*socio=et opérationnel*socio=rien sont bien*socio=rien comprises par les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 qui ont essayé de remédier aux problèmes*socio=uv4 que cela posait au niveau*socio=rien de la transmission*socio=rien de signaux*socio=rien. La politique_budgétaire*socio=et aura aussi *socio=rien un rôle important *socio=nil à jouer pour préserver les améliorations*socio=uv1 récentes*socio=rien de la performance*socio=uv3 économique*socio=ec1. Du fait*socio=rien de l'environnement*socio=et extérieur*socio=te incertain*socio=rien, il est*socio=rien d'autant plus important*socio=rien d'éviter de revenir à des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et qui pourraient conduire à des pressions*socio=ec2 à la *socio=rien hausse sur les*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil En réduisant encore ses ponctions*socio=ec1 sur*socio=rien l'épargne*socio=ec1, le gouvernement*socio=ac contribuerait à maintenir les taux_d'_intérêt*socio=ec1 aux *socio=rien bas niveaux requis*socio=uv4 *socio=nil pour que puissent intervenir l'augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1 et la croissance*socio=uv3 potentielle*socio=uv4 de la production*socio=ec1 envisagées dans le scénario*socio=rien ci-dessus. L'approche adoptée par le Canada*socio=ac d'objectifs*socio=uv4 budgétaires*socio=et sur*socio=rien deux années*socio=rien, conjuguée*socio=rien à des hypothèses*socio=ec2 prudentes*socio=uv2 de planification*socio=et (voir l'études*socio=ec2 précédentes*socio=rien) à permis*socio=rien d'éliminer les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et, mais l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien point*socio=rien d'ancrage*socio=rien à moyen_terme*socio=te pour la politique_budgétaire*socio=et sous la forme*socio=rien d'un*socio=rien objectif*socio=uv4 pour le rapport*socio=rien dette*socio=ec1/PIB*socio=ec1 pourrait être*socio=rien utile*socio=uv4 dans ce contexte*socio=rien. Bien*socio=rien qu'il ne soit pas facile*socio=rien de dire quel est*socio=rien le *socio=rien rythme souhaitable de*socio=nil réduction*socio=ec2 *socio=nil de la dette*socio=ec1 , rapprocher le rapport*socio=rien de la dette*socio=ec1 publique*socio=et de la moyenne*socio=rien de l'OCDE*socio=ac à moyen_terme*socio=te semble *socio=rien être un premier objectif*socio=uv4 minimum,*socio=nil *socio=nil car cela permettrait de réduire la vulnérabilité*socio=uv1 face*socio=rien aux modifications*socio=rien de l'humeur*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec1. Comme on peut le voir dans le graphique*socio=rien 7, malgré sa baisse*socio=ec2 récente*socio=rien, le rapport*socio=rien canadien*socio=ac de la dette*socio=ec1 publique*socio=et au PIB*socio=ec1 est*socio=rien encore élevé*socio=uv4 par rapport*socio=rien aux autres pays*socio=ac. Au rythme*socio=rien actuel*socio=te de réduction*socio=ec2 de la dette*socio=ec1, il se rapprocherait de la moyenne*socio=rien de l'OCDE*socio=ac et du niveau*socio=rien des États-unis*socio=ac où une légère*socio=rien baisse*socio=ec2 est*socio=rien aussi attendue - vers la fin*socio=rien de la période*socio=te à moyen_terme*socio=te considérée. Les excédents*socio=ec1 budgétaires*socio=et n'excluent pas toutefois des réductions*socio=ec2 d'impôts*socio=et et des augmentations*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1, la baisse*socio=ec2 correspondante*socio=rien de la charge*socio=rien d'endettement*socio=ec1 diminuant les paiements_d'_intérêts*socio=et. Les initiatives*socio=rien de dépenses*socio=ec1 prévues dans certains secteurs*socio=rien (comme la mise en valeur*socio=ec1 du capital_humain*socio=ec1) pourraient contribuer à l'efficience*socio=uv3 économique*socio=ec1. Néanmoins, il faudrait donner la priorité*socio=uv4 aux réductions*socio=ec2 d'impôts*socio=et. Comme le montre le graphique*socio=rien 8, *socio=rien an cours *socio=nil des quatre *socio=rien dernières années,*socio=nil le*socio=nil montant*socio=ec1 des*socio=nil impôts*socio=et *socio=nil recouvrés à réduit de 1 1/2 à 2 points*socio=rien chaque année*socio=rien la croissance*socio=uv3 du revenu*socio=ec1 disponible*socio=rien, les transferts*socio=ec1 n'apportant qu'une *socio=rien légère compensation.*socio=nil *socio=nil Si la charge*socio=rien fiscale*socio=et à contribué à l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et, la faiblesse*socio=ec2 inégalée du taux*socio=rien d'épargne*socio=ec1 des ménages*socio=ac signifie que la croissance*socio=uv3 du revenu*socio=ec1 après*socio=rien impôt*socio=et sera *socio=rien un facteur déterminant des*socio=nil perspectives*socio=te à*socio=nil moyen_terme*socio=te.*socio=nil *socio=nil Si les *socio=rien taux effectifs moyens*socio=ec1 des*socio=nil impôts*socio=et directs sur les*socio=nil particuliers *socio=nil ne diminuent pas de façon*socio=rien significative*socio=uv4, la progression*socio=ec2 du revenu*socio=ec1 disponible*socio=rien ne sera vraisemblablement*socio=rien pas suffisamment forte*socio=rien pour soutenir la croissance*socio=uv3 escomptée des dépenses*socio=ec1 des ménages*socio=ac, malgré la forte*socio=rien croissance*socio=uv3 prévue de l'emploi*socio=ec1. Les réductions*socio=ec2 d'impôts*socio=et sont aussi importantes*socio=rien pour des raisons*socio=rien de concurrence*socio=ec1. Bien*socio=rien que la charge*socio=rien fiscale*socio=et du Canada*socio=ac ne soit pas excessive*socio=rien par rapport*socio=rien à la moyenne*socio=rien de l'OCDE*socio=ac, elle est*socio=rien beaucoup plus élevée*socio=uv4 qu'aux États-unis*socio=ac (voir l'étude*socio=ec2 de l'an*socio=rien dernier*socio=rien). Cette forme*socio=rien de pression*socio=ec2 doit *socio=rien être prise en*socio=nil compte.*socio=nil *socio=nil Comme on l'a noté, le budget*socio=ec1 de 1998 prévoit de légers*socio=rien allégements*socio=uv3 fiscaux*socio=et. Les possibilités*socio=rien de nouvelles*socio=rien réductions*socio=ec2 fiscales*socio=et sont examinées dans le *socio=rien chapitre suivant.*socio=nil *socio=nil Il s'agit notamment d'éliminer les surtaxes*socio=et, de réintroduire l'indexation*socio=ec1 effective*socio=rien du système*socio=rien d'impôts*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 des particuliers*socio=rien et d'accélérer les réductions*socio=ec2 des primes*socio=ec1 d'assurance*socio=ec1 chômage*socio=ec1 pour compenser l'augmentation*socio=ec2 plus rapide*socio=rien attendue des taux*socio=rien de cotisation*socio=ec1 au régime_des_pensions*socio=et. En outre, il serait souhaitable*socio=rien de remédier à plusieurs des lacunes*socio=uv4 et distorsions*socio=uv4 dont souffre le régime*socio=et d'imposition*socio=et sur*socio=rien les sociétés*socio=ac. Enfin, les perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 du Canada*socio=ac à moyen_terme*socio=te dépendront de *socio=rien façon importante du*socio=nil progrès*socio=uv1 des*socio=nil politiques*socio=et structurelles*socio=uv4.*socio=nil Une*socio=nil importante hypothèse*socio=ec2 *socio=nil sous-tendant les prévisions*socio=ec2 ci-dessus est*socio=rien que les réformes*socio=et structurelles*socio=uv4 améliorent l'efficience*socio=uv3 de l'utilisation*socio=rien des ressources*socio=ec1. Cependant, comme on l'a noté, malgré certains signes encourageants*socio=uv4, rien*socio=rien ne permet encore de dire avec certitude*socio=rien que la *socio=ec2 progression tendancielle *socio=nil de la productivité*socio=uv3 totale*socio=rien des facteurs*socio=rien s'est*socio=rien bien*socio=rien redressée. Dans ces conditions*socio=ec1, on peut craindre que les réformes*socio=et structurelles*socio=uv4 ne se traduisent pas aussi rapidement par les gains*socio=ec1 d'efficience*socio=uv3 escomptés, ce qui impliquerait une croissance*socio=uv3 plus faible*socio=rien de la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4 au cours*socio=rien de la période*socio=te considérée. En outre, le scénario*socio=rien ci-dessus part*socio=rien de l'hypothèse*socio=ec2 qu'un*socio=rien redressement*socio=ec2 du taux*socio=rien d'activité*socio=rien, de même que la diminution*socio=ec2 du taux*socio=rien structurel*socio=uv4 du chômage*socio=ec1, permettront une progression*socio=ec2 plus forte*socio=rien de l'emploi*socio=ec1 sans entraîner de tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés_du_travail*socio=ec1. là encore, malgré une légère*socio=rien augmentation*socio=ec2 récente*socio=rien, des incertitudes*socio=uv3 considérables*socio=rien entourent encore l'évolution*socio=rien future*socio=rien du taux*socio=rien d'activité*socio=rien. Outre l'absence*socio=rien éventuelle*socio=rien de gains*socio=ec1 de productivité*socio=uv3, la faible*socio=rien progression*socio=ec2 persistante*socio=rien de l'utilisation*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac limiterait les possibilités*socio=rien d'amélioration*socio=uv1 durable*socio=uv4 de la performance*socio=uv3 économique*socio=ec1. Bien*socio=rien que l'on puisse raisonnablement supposer que les initiatives*socio=rien passées*socio=te vont porter de plus en plus leurs fruits*socio=rien dans l'environnement*socio=et économique*socio=ec1 plus favorable*socio=ec2 actuel*socio=te, compte*socio=rien tenu des risques*socio=uv4 et incertitudes*socio=uv3 mentionnés ci-dessus, il ne parait pas fondé de relâcher les efforts*socio=uv1 de réforme*socio=et structurelle*socio=uv4 dans plusieurs domaines*socio=rien,