*{ Rapport des études économiques de l'OCDE au Canada de 1999 } Évaluation*socio=ec2 et recommandations. Le Canada*socio=ac à encore enregistré de *socio=rien bons résultats économiques*socio=ec1,*socio=nil la*socio=nil forte expansion*socio=ec2 aux*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil et l'amélioration*socio=uv1 des paramètres*socio=rien fondamentaux*socio=uv4 de l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac ayant atténué l'impact*socio=rien de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac. La croissance*socio=uv3 du PIB*socio=ec1 en termes*socio=rien réels*socio=ec2, qui s'était accélérée à 4 pour cent*socio=rien en 1997, à atteint en moyenne*socio=rien quelque 3 pour cent*socio=rien en 1998, l'activité*socio=rien s'étant vigoureusement redressée en fin*socio=rien d'année*socio=rien et étant restée très ferme*socio=ec2 au début*socio=rien de 1999. La crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac à eu plusieurs *socio=rien effets sur l'*socio=nil économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Elle à directement touché les exportations*socio=ec1 vers cette région*socio=te et, indirectement*socio=rien, entamé les bénéfices*socio=ec1 tirés des produits*socio=rien de base*socio=rien en faisant baisser leurs prix*socio=ec1. En conjonction*socio=rien avec les *socio=rien turbulences sur les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil elle à en outre entamé la confiance*socio=uv1 des entreprises*socio=ac et des ménages*socio=ac et donc réduit leurs dépenses*socio=ec1. Mais, à la faveur*socio=rien de la dépréciation*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1, la croissance*socio=uv3 globale*socio=rien des exportations*socio=ec1 s'est*socio=rien poursuivie au même rythme*socio=rien, la diminution*socio=ec2 des ventes*socio=ec1 en Asie*socio=ac étant plus que compensée par l'augmentation*socio=ec2 des ventes*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac. Malgré le léger*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1, les créations*socio=rien d'emplois*socio=ec1 ont atteint en 1998 leur *socio=rien meilleur niveau des*socio=nil années *socio=nil 90 et se sont caractérisées en outre par une répartition*socio=uv3 plus égale*socio=rien entre les *socio=rien diverses catégories de*socio=nil travailleurs*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Dans le même temps*socio=rien, la *socio=rien sous-utilisation persistante des*socio=nil *socio=ec1 ressources économiques *socio=nil limitant les possibilités*socio=rien de répercussion*socio=ec2 de la baisse*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1, l'inflation*socio=ec2 est*socio=rien restée faible*socio=rien, à des *socio=rien niveaux proches *socio=nil de la *socio=rien limite inférieure *socio=nil de l'objectif*socio=uv4, fixé à 1-3 pour cent*socio=rien. En dépit*socio=rien des effets*socio=rien de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac, le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te est*socio=rien resté à peu près stationnaire*socio=rien en 1998 à environ 2 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 avant de marquer *socio=rien un net recul au*socio=nil début *socio=nil de 1999. Les indicateurs*socio=ec1 les plus *socio=rien récents témoignent *socio=nil d'une croissance*socio=uv3 relativement forte*socio=rien et à large*socio=rien assise durant la *socio=rien première partie *socio=nil de 1999. Le rythme*socio=rien de l'activité*socio=rien devrait ensuite revenir à son *socio=rien taux potentiel *socio=nil qui, selon les estimations*socio=ec2 du Secrétariat*socio=ac de l'OCDE*socio=ac, est*socio=rien maintenant supérieur*socio=rien à 2v2 pour cent*socio=rien par an*socio=rien. Ces perspectives*socio=te sont influencées par plusieurs facteurs*socio=rien partiellement antagonistes. L'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac devrait s'affaiblir quelque peu, entraînant un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de la croissance*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 extérieurs*socio=te canadiens*socio=ac. En revanche, les *socio=ac exportateurs canadiens devraient*socio=nil pouvoir*socio=et *socio=nil gagner des parts*socio=rien de marché*socio=ec1 car ils ont amélioré leur compétitivité*socio=uv3. De plus, la vigueur*socio=uv3 persistante*socio=rien de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te avec le ralentissement*socio=ec2 de l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et, la baisse*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 et le redressement*socio=ec2 de la confiance*socio=uv1 des consommateurs*socio=ac et des entreprises*socio=ac devraient compenser partiellement une *socio=rien moindre stimulation extérieure*socio=te.*socio=nil *socio=nil Il ne semble y avoir aucun signe de déséquilibre*socio=uv4 intérieur*socio=te susceptible*socio=rien de compromettre ces perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 relativement encourageantes*socio=uv4 dans les dix-huit *socio=rien prochains mois.*socio=nil Les*socio=nil effets *socio=nil de l'évolution*socio=rien du taux_de_change*socio=ec1 et le retournement*socio=rien du *socio=ec1 marché pétrolier *socio=nil se traduiront probablement par des hausses des prix*socio=ec1, mais l'inflation*socio=ec2 ne devrait pas dépasser sensiblement le *socio=rien point médian *socio=nil de la fourchette*socio=rien officielle*socio=et fixée comme objectif*socio=uv4, car elle se situe actuellement à *socio=rien un faible niveau *socio=nil et les *socio=ec1 ressources économiques *socio=nil demeurent sous-utilisées. Le déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te devrait rester peu important*socio=rien et pourrait même se resserrer nettement si les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien progressent plus qu'il n'a été*socio=rien prévu. Les incertitudes*socio=uv3 qui entourent ces perspectives*socio=te économiques*socio=ec1 semblent essentiellement tenir à l'évolution*socio=rien future*socio=rien de l'économie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac. Sous l'influence de la libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 en amérique_du_nord*socio=ac et des effets*socio=rien de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac, 85 pour cent*socio=rien environ des exportations*socio=ec1 canadiennes*socio=ac de marchandises*socio=ec1 se font aujourd'hui à destination*socio=rien des États-unis*socio=ac, contre 70 pour cent*socio=rien à la fin*socio=rien des années*socio=rien 80. Outre les *socio=rien amples conséquences *socio=nil que pourrait avoir, du point*socio=rien de vue*socio=rien des échanges*socio=ec1, toute *socio=rien modification sensible des*socio=nil perspectives*socio=te *socio=nil de l'économie*socio=ec1 américaine*socio=ac, les évolutions*socio=rien qui pourraient se produire aux États-unis*socio=ac risquent également de compliquer la conduite*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et au Canada*socio=ac. En particulier*socio=rien, on peut se demander comment la banque_du_canada*socio=ac devrait réagir à une hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 américains*socio=ac. Les *socio=rien événements récents *socio=nil fournissent d'utiles*socio=uv4 indications*socio=rien à cet égard*socio=rien. La décision*socio=rien qui à *socio=rien été prise *socio=nil par la banque_du_canada*socio=ac de relever les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te en août*socio=rien 1998 à visé à raffermir la confiance*socio=uv1 pour les investissements*socio=ec1 en dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac après*socio=rien une accélération*socio=ec2 de la baisse*socio=ec2 du taux_de_change*socio=ec1, une hausse*socio=rien des *socio=ec1 rendements obligataires canadiens*socio=ac *socio=nil et les turbulences*socio=rien qui ont généralement marqué l'environnement*socio=et financier*socio=ec1 dans *socio=rien un contexte de*socio=nil grande incertitude*socio=uv3.*socio=nil Bien *socio=nil que cette mesure*socio=rien puisse être*socio=rien justifiée, même si elle n'était pas nécessaire*socio=rien pour préserver des *socio=ec1 conditions monétaires compatibles*socio=rien *socio=nil avec l'objectif*socio=uv4 d'inflation*socio=ec2, il n'en demeure pas moins qu'on peut se demander comment les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 devraient intégrer ces interventions*socio=et dans leur stratégie*socio=et globale*socio=rien. Pour la Banque*socio=ac, une baisse*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1 pourrait justifier une modification*socio=rien des *socio=rien taux directeurs *socio=nil dans deux *socio=rien cas précis.*socio=nil *socio=nil Premièrement, si la baisse*socio=ec2 est*socio=rien d'une ampleur*socio=rien telle qu'elle risque*socio=uv4 d'écarter l'économie*socio=ec1 d'un*socio=rien sentier*socio=rien de croissance*socio=uv3 non inflationniste*socio=ec2 et durable*socio=uv4. Ce n'est*socio=rien pas cette raison*socio=rien qui à motivé le relèvement*socio=ec2 du taux*socio=rien d'escompte en août*socio=rien 1998. Deuxièmement, s'il y à un*socio=rien risque*socio=uv4 qu'une perte*socio=ec2 de confiance*socio=uv1 dans les actifs*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac entraîne une majoration*socio=rien de la prime de risque*socio=uv4 incluse dans les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à moyen*socio=rien et à long_terme*socio=te, ce qui serait préjudiciable*socio=et pour l'économie*socio=ec1. C'est*socio=rien effectivement*socio=rien ce qui s'est*socio=rien passé*socio=te en août*socio=rien 1998, lorsque les turbulences*socio=rien financières*socio=ec1 internationales*socio=te ont accru les risques*socio=uv4 liés à la détention d'actifs*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac. En fin*socio=rien de compte*socio=rien, la perte*socio=ec2 de confiance*socio=uv1 qui avait commencé à se manifester à été*socio=rien limitée, grâce*socio=rien notamment à une *socio=rien nette détente des*socio=nil taux américains*socio=ac *socio=nil durant l'automne*socio=rien, et la banque_du_canada*socio=ac à ensuite progressivement*socio=rien ramené le taux*socio=rien d'escompte vers son *socio=rien niveau antérieur *socio=nil lorsque les marchés_financiers*socio=ec1 se sont stabilisés. Dès lors*socio=rien, il semblerait judicieux*socio=uv4 d'éviter un*socio=rien durcissement*socio=ec2 des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil à la suite*socio=rien d'une hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 des États-unis*socio=ac, à condition*socio=rien que celle-ci ne soit pas Me*socio=rien à de *socio=rien nouvelles turbulences financières*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il serait souhaitable*socio=rien de résister à un*socio=rien tel relèvement*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 étant donné que l'inflation*socio=ec2 est*socio=rien actuellement proche de la *socio=rien limite inférieure *socio=nil de la *socio=rien fourchette retenue comme*socio=nil objectif*socio=uv4 *socio=nil et qu'on n'observe aucun signe de recrudescence*socio=ec2 des *socio=ec2 pressions inflationnistes.*socio=nil L'*socio=nil intention*socio=rien des*socio=nil autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 canadiennes*socio=ac *socio=nil de "sonder" le *socio=rien niveau potentiel de*socio=nil production*socio=ec1 parait*socio=nil conforme*socio=uv4 *socio=nil à cette démarche*socio=rien. La poursuite*socio=rien de l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et pourrait aider à atténuer certains des risques*socio=uv4 d'une telle stratégie*socio=et. L'amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien budgétaire*socio=et *socio=rien est impressionnante au*socio=nil regard du*socio=nil passé*socio=te *socio=nil et de la situation*socio=rien observée dans les autres pays*socio=ac. Le budget*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac étant maintenant en excédent*socio=ec1 depuis deux ans*socio=rien, le *socio=ec1 ratio dette/*socio=nil PIB *socio=nil à nettement diminué. Mais it reste*socio=rien élevé*socio=uv4 à l'échelon*socio=rien international*socio=te du fait*socio=rien d'une série de lourds*socio=rien déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et entre le début*socio=rien des années*socio=rien 80 et le milieu*socio=rien des années*socio=rien 90. La prime de risque*socio=uv4 s'en trouve accrue, de même que le risque*socio=uv4 d'instabilité*socio=uv3 des taux_d'_intérêt*socio=ec1, deux facteurs*socio=rien qui ont une influence *socio=rien négative sur les*socio=nil finances*socio=ec1 publiques*socio=et et*socio=nil sur l'*socio=nil économie*socio=ec1 en*socio=nil général.*socio=nil Par*socio=nil ailleurs,*socio=nil *socio=nil avec la réalisation*socio=uv1 d'un*socio=rien excédent*socio=ec1, les pressions*socio=ec2 se sont rapidement accentuées dans le sens*socio=rien d'une baisse*socio=ec2 de l'impôt*socio=et et d'un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1. D'où la nécessité*socio=uv1 d'un*socio=rien cadre*socio=rien à moyen_terme*socio=te de politique_budgétaire*socio=et - définissant*socio=rien dans une *socio=rien optique prospective un plan cohérent *socio=nil pour les dépenses*socio=ec1 de programmes*socio=et, les modifications*socio=rien de la fiscalité*socio=et et la réduction*socio=ec2 de l'endettement*socio=ec1 - de manière*socio=rien à bien*socio=rien ancrer les anticipations*socio=uv3 des agents*socio=ac économiques*socio=ec1 et des marchés_financiers*socio=ec1. à cet égard*socio=rien, il faudrait prioritairement*socio=rien veiller à ce que le ratio*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1 du secteur_public*socio=et continue*socio=rien de s'inscrire nettement sur*socio=rien une tendance*socio=ec2 5 la baisse*socio=ec2, ce qui suppose que les autorités*socio=et s'efforcent de dégager de nouveaux*socio=rien excédents*socio=ec1 budgétaires*socio=et. Une telle approche à un*socio=rien autre avantage, permettre d'amortir les chocs*socio=ec2 économiques*socio=ec1 futurs*socio=rien. En allégeant le service_de_la_dette*socio=ec1, on dégagerait également des ressources*socio=ec1 pour diminuer l'impôt*socio=et et, plus généralement, réformer le système_fiscal*socio=et. Depuis le milieu*socio=rien des années*socio=rien 80, le Canada*socio=ac à mis en *socio=rien oeuvre un vaste ensemble de*socio=nil mesures*socio=et de*socio=nil réforme*socio=et structurelle*socio=uv4 *socio=nil dans le but*socio=rien d'augmenter la productivité*socio=uv3 et de renforcer la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1. Ces réformes*socio=et ont été*socio=rien entreprises*socio=ac essentiellement pour combler certaines*socio=rien lacunes*socio=uv4 du cadre*socio=rien de politique_économique*socio=et; it fallait en effet*socio=rien ouvrir plus largement l'économie*socio=ec1 à la concurrence*socio=ec1 internationale*socio=te et s'assurer l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te, alléger les charges*socio=rien réglementaires*socio=et pour les entreprises*socio=ac et redéployer la fiscalité*socio=et en faisant une plus *socio=rien large place *socio=nil à l'impôt*socio=et sur*socio=rien la consommation*socio=ec1. Plus récemment, les réformes*socio=et ont également été*socio=rien alignées sur*socio=rien les recommandations*socio=rien de la Stratégie*socio=et de l'OCDE*socio=ac pour l'emploi*socio=ec1 destinées*socio=rien à améliorer le fonctionnement*socio=rien du marché_du_travail*socio=ec1 et des marchés*socio=ec1 des produits*socio=rien. La Canada*socio=ac semble maintenant recueillir les fruits*socio=rien de ces réformes*socio=et structurelles*socio=uv4: à en juger par les données statistiques*socio=ec2 révisées, les résultats*socio=rien obtenus par le Canada*socio=ac pour la productivité*socio=uv3 totale*socio=rien des facteurs*socio=rien ces deux dernières*socio=rien décennies*socio=te sont meilleurs*socio=rien qu'on le pensait et certains indices donnent à penser que la croissance*socio=uv3 de la productivité*socio=uv3 tendancielle*socio=ec2 à augmenté dans les années*socio=rien 90. Ces résultats*socio=rien sont encourageants*socio=uv4, mais it ne faut pas se dissimuler que le niveau*socio=rien de productivité*socio=uv3 au Canada*socio=ac reste*socio=rien nettement plus faible*socio=rien qu'aux États-unis*socio=ac; les autorités*socio=et canadiennes*socio=ac doivent donc poursuivre leur action*socio=rien dans le domaine*socio=rien structurel*socio=uv4 pour que le Canada*socio=ac ne se laisse pas distancer par son voisin*socio=rien du point*socio=rien de vue*socio=rien du niveau_de_vie*socio=uv1. De nouveaux*socio=rien progrès*socio=uv1 sont nécessaires*socio=rien, en particulier*socio=rien, dans quatre domaines*socio=rien: le marché_du_travail*socio=ec1, la fiscalité*socio=et, les échanges*socio=ec1 intérieurs*socio=te et le secteur*socio=rien financier*socio=ec1. Bien*socio=rien que la vigueur*socio=uv3 récente*socio=rien de la croissance*socio=uv3 de l'emploi*socio=ec1 et la baisse*socio=ec2 du chômage*socio=ec1 soient en *socio=rien partie attribuables *socio=nil à des facteurs*socio=rien conjoncturels*socio=uv4, les réformes*socio=et du marché_du_travail*socio=ec1 devraient aider à conforter ces résultats*socio=rien favorables*socio=ec2 en faisant encore reculer le chômage*socio=ec1 structurel*socio=uv4. On ne peut que féliciter les autorités*socio=et canadiennes*socio=ac d'avoir appliqué à un*socio=rien tel degré*socio=rien les recommandations*socio=rien de la Stratégie*socio=et pour l'emploi*socio=ec1 en réformant l'assurance-chômage*socio=et et les *socio=et prestations sociales *socio=nil et en accordant une *socio=rien large place aux*socio=nil mesures*socio=et "*socio=nil actives*socio=uv4"*socio=nil du*socio=nil marché_du_travail*socio=ec1.*socio=nil Il*socio=nil reste *socio=nil néanmoins plusieurs questions*socio=rien à régler, à savoir*socio=rien: examiner les possibilités*socio=rien de tenir davantage compte*socio=rien du recours*socio=ec1 antérieur*socio=rien au régime*socio=et d'assurance-emploi*socio=et et d'une *socio=rien moindre différenciation régionale*socio=te des*socio=nil allocations*socio=et,*socio=nil *socio=nil achever les négociations*socio=et avec les provinces*socio=ac (en particulier*socio=rien l'Ontario*socio=ac) pour qu'elles prennent en charge*socio=rien les mesures_actives*socio=et du marché_du_travail*socio=ec1, envisager une modulation*socio=rien du salaire*socio=ec1 minimum*socio=rien en fonction*socio=rien de l'âge*socio=rien afin de favoriser l'emploi*socio=ec1 des jeunes*socio=ac et mettre en oeuvre*socio=rien les dispositions*socio=et de l'Accord*socio=et sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 intérieur*socio=te relatives*socio=rien à la mobilité*socio=uv3 des travailleurs*socio=ac de manière*socio=rien à assurer la reconnaissance*socio=uv1 des qualifications*socio=uv3 professionnelles*socio=ec1 entre les provinces*socio=ac. Régler ces problèmes*socio=uv4 contribuerait certainement à *socio=rien un meilleur fonctionnement du*socio=nil marché_du_travail*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Il faut également agir dans le domaine*socio=rien de la fiscalité*socio=et. Bien*socio=rien qu'on se soit engagé dans un*socio=rien allégement*socio=uv3 de la fiscalité*socio=et aux niveaux*socio=rien fédéral*socio=et et provincial*socio=te, la charge*socio=rien fiscale*socio=et globale*socio=rien et les *socio=rien taux marginaux d'*socio=nil imposition*socio=et sont*socio=nil élevés*socio=uv4 au*socio=nil Canada*socio=ac par*socio=nil rapport aux*socio=nil États-unis*socio=ac *socio=nil et augmentent automatiquement étant donné l'indexation*socio=ec1 partielle*socio=rien des barèmes*socio=rien d'imposition*socio=et. Cette situation*socio=rien à des conséquences*socio=rien pour la compétitivité*socio=uv3 et comporte des risques*socio=uv4 pour les bases*socio=rien d'imposition*socio=et au Canada*socio=ac. De plus, l'efficience*socio=uv3 exige un*socio=rien allégement*socio=uv3 de l'impôt*socio=et. Il faudrait donner priorité*socio=uv4 à cet égard*socio=rien à la réduction*socio=ec2 des taux*socio=rien de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 des personnes*socio=ac physiques*socio=rien et relever les tranches auxquelles s'appliquent les *socio=rien taux marginaux,*socio=nil *socio=nil tout en amorçant une indexation*socio=ec1 intégrale*socio=rien de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 des personnes*socio=ac physiques*socio=rien. Il semble en outre nécessaire*socio=rien d'abaisser les taux*socio=rien de cotisation*socio=ec1 à l'assurance-emploi*socio=et afin d'éviter l'alourdissement*socio=ec2 des prélèvements*socio=ec1 obligatoires*socio=uv2 sur*socio=rien les salaires*socio=ec1 du fait*socio=rien d'un*socio=rien relèvement*socio=ec2 des cotisations*socio=ec1 de retraite*socio=ec1. Des mesures*socio=et devraient par *socio=rien ailleurs être prises *socio=nil pour réduire le *socio=rien taux maximum *socio=nil de l'impôt*socio=et sur*socio=rien les sociétés*socio=ac et les impôts*socio=et sur*socio=rien le capital*socio=ec1 de manière*socio=rien à aligner le régime_fiscal*socio=et applicable*socio=rien aux entreprises*socio=ac du Canada*socio=ac sur*socio=rien celui des États-unis*socio=ac. à cet égard*socio=rien, il importe d'encourager les provinces*socio=ac à participer à une ample*socio=rien réforme*socio=et de la fiscalité*socio=et des entreprises*socio=ac pour atténuer les distorsions*socio=uv4 actuelles*socio=te qui entraînent des disparités*socio=uv1 dans les incitations*socio=uv3 d'un*socio=rien secteur*socio=rien et d'une activité*socio=rien à l'autre. Ces initiatives*socio=rien, surtout celles qui concernent l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1, seront coûteuses*socio=ec2 en termes*socio=rien de manque*socio=rien à gagner sur*socio=rien les recettes*socio=ec1. Pour ménager*socio=rien suffisamment de possibilités*socio=rien d'allégement*socio=uv3 d'impôt*socio=et dans le contexte*socio=rien d'une politique_budgétaire*socio=et axée sur*socio=rien le désendettement*socio=rien, il faudra maîtriser*socio=rien strictement les dépenses*socio=ec1 à tous les niveaux*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac. Une nouvelle*socio=rien hiérarchisation des dépenses*socio=ec1 et un*socio=rien effort*socio=uv1 constant*socio=rien de réforme*socio=et s'imposent donc pour parvenir à des prestations*socio=et de services*socio=et plus satisfaisantes*socio=uv4 dans des domaines*socio=rien comme la santé*socio=et et l'éducation*socio=et, sans gonfler indûment les dépenses*socio=ec1 totales*socio=rien. Le Canada*socio=ac s'est*socio=rien employé*socio=rien 5 réduire et éliminer les obstacles*socio=rien à la libre*socio=uv2 circulation*socio=ec2 transnationale des biens*socio=ec1, des services*socio=et et des investissements*socio=ec1, mais l'action*socio=rien des autorités*socio=et canadiennes*socio=ac n'a pas été*socio=rien autant couronnée de succès*socio=uv1 pour l'élimination*socio=ec2 de ces *socio=rien obstacles sur le*socio=nil plan interne*socio=te.*socio=nil La*socio=nil persistance*socio=te de*socio=nil certaines restrictions*socio=et aux*socio=nil échanges*socio=ec1 *socio=nil et à la mobilité*socio=uv3 des facteurs*socio=rien entre les provinces*socio=ac restent deux *socio=rien éléments décevants *socio=nil de la réforme*socio=et structurelle*socio=uv4. Certaines*socio=rien mesures*socio=et de libéralisation*socio=et ont *socio=rien été prises,*socio=nil *socio=nil notamment pour les marchés*socio=ec1 publics*socio=et provinciaux*socio=te, mais l'Accord*socio=et sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 intérieur*socio=te *socio=rien est loin d'*socio=nil être *socio=nil mis en oeuvre*socio=rien et nécessiterait *socio=rien un nouvel engagement*socio=uv1 *socio=nil de ses signataires*socio=rien vis-à-vis de ses objectifs*socio=uv4. L'Entente-cadre sur*socio=rien l'union_sociale, récemment négociée, devrait donner une impulsion*socio=ec2 importante*socio=rien à la libéralisation*socio=et des échanges*socio=uv3 internes*socio=te en fixant des échéances*socio=te pour la réalisation*socio=uv1 des objectifs*socio=uv4 d'amélioration*socio=uv1 de la mobilité*socio=uv3 des travailleurs*socio=ac, tout en offrant des possibilités*socio=rien de plus grande*socio=rien efficience*socio=uv3 dans la mise en oeuvre*socio=rien des programmes_sociaux*socio=et. Dans le domaine*socio=rien des échanges*socio=ec1 internes*socio=te, les études*socio=ec2 précédentes*socio=rien de l'OCDE*socio=ac ont mis en évidence*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'achever la réforme*socio=et du secteur*socio=rien financier*socio=ec1 après*socio=rien les *socio=rien grandes initiatives du*socio=nil début des*socio=nil années *socio=nil 90. Dernièrement, deux mesures*socio=et ont *socio=rien été prises *socio=nil dans ce domaine*socio=rien: l'autorisation*socio=et de créer des succursales*socio=ec1 de banques*socio=ac étrangères*socio=te et la démutualisation (c'est-à-dire la possibilité*socio=rien pour les mutuelles d'assurance-vie*socio=ec1 de se transformer en sociétés*socio=ac anonymes). Elles devraient contribuer à une plus grande*socio=rien efficience*socio=uv3 et à une plus vive concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 intérieur*socio=te. Néanmoins, plusieurs autres réformes*socio=et seraient souhaitables*socio=rien pour compléter cette action*socio=rien, eu égard*socio=rien aux recommandations*socio=rien qui ont été*socio=rien formulées en septembre*socio=rien 1998 par le Groupe_de_travail*socio=ac sur*socio=rien l'avenir*socio=te du secteur*socio=rien des services*socio=et financiers*socio=ec1 et à la décision*socio=rien qui à *socio=rien été prise *socio=nil par le gouvernement*socio=ac en décembre*socio=rien 1998 de ne pas autoriser*socio=rien deux projets*socio=rien de fusions concernant quatre des plus grandes*socio=rien banques*socio=ac du Canada*socio=ac. Au milieu*socio=rien de 1999, le gouvernement*socio=ac à annoncé son intention*socio=rien de *socio=rien définir un nouveau cadre *socio=nil pour le secteur*socio=rien financier*socio=ec1. De *socio=rien nombreuses questions devront*socio=nil être *socio=nil réglées, notamment: l'assouplissement*socio=uv3 des restrictions*socio=et aux liens*socio=rien capitalistiques dans le secteur*socio=rien bancaire*socio=ec1; l'autorisation*socio=et, pour les banques*socio=ac, de commercialiser des produits*socio=rien d'assurance*socio=ec1 dans leurs succursales*socio=ec1 et de pratiquer le crédit-bail automobile*socio=ec1; l'intensification*socio=ec2 de la concurrence*socio=ec1 entre les divers établissements*socio=rien en renforçant, par exemple*socio=rien, le mouvement*socio=ec2 des coopératives*socio=ac de crédit*socio=ec1; l'harmonisation*socio=uv3 des réglementations*socio=et fédérales*socio=ac et provinciales*socio=te dans le secteur*socio=rien financier*socio=ec1; l'élargissement*socio=ec2 de l'accès*socio=uv1 au système*socio=rien canadien*socio=ac de paiements*socio=ec1, au profit*socio=ec1 de toutes les institutions_financières*socio=ac (soumises à une réglementation*socio=et adéquate*socio=uv2). Il importe également de veiller à ce que la réglementation*socio=et et le contrôle*socio=uv3 soient renforcés compte*socio=rien tenu des risques*socio=uv4 accrus qu'implique une concurrence*socio=ec1 plus intense*socio=rien. En définitive*socio=rien, les effets*socio=rien de la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac se révélant au total*socio=rien assez limités, l'économie*socio=ec1 canadienne*socio=ac à encore enregistré de *socio=rien bons résultats.*socio=nil La*socio=nil croissance*socio=uv3 est restée*socio=nil robuste *socio=nil et jamais autant d'emplois*socio=ec1 N'ont été*socio=rien créés depuis plus d'une décennie*socio=te. Dans le même temps*socio=rien, l'inflation*socio=ec2 s'est*socio=rien maintenue à *socio=rien un bas niveau,*socio=nil le*socio=nil déficit*socio=ec1 extérieur*socio=te *socio=nil demeurant lui aussi relativement faible*socio=rien. Bien*socio=rien que l'économie*socio=ec1 des États-unis*socio=ac puisse évoluer dans *socio=rien un sens moins*socio=nil propice *socio=nil à l'activité*socio=rien au Canada*socio=ac, il faut s'attendre à une croissance*socio=uv3 soutenue. La compétitivité*socio=uv3 des *socio=ac entreprises canadiennes est*socio=rien très*socio=nil favorable*socio=ec2 *socio=nil et, l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et ayant bien*socio=rien progressé, la politique_monétaire*socio=et et la politique_budgétaire*socio=et peuvent maintenant appuyer conjointement l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1. En l'absence*socio=rien de *socio=ec2 pressions inflationnistes *socio=nil et de turbulences*socio=rien financières*socio=ec1 internationales*socio=te, il semblerait justifié de maintenir dans l'immédiat*socio=rien une politique_monétaire*socio=et souple*socio=uv4. Sur*socio=rien le plan*socio=rien budgétaire*socio=et, il faudrait veiller à ce que le ratio*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1 du secteur_public*socio=et reste*socio=rien nettement à la baisse*socio=ec2, tout en ajustant le système_fiscal*socio=et et en redéployant les dépenses*socio=ec1 en faveur*socio=rien des programmes*socio=et prioritaires*socio=uv4. Parallèlement, une action*socio=rien pourrait être*socio=rien menée dans divers domaines*socio=rien de la politique*socio=et structurelle*socio=uv4 - notamment le marché_du_travail*socio=ec1, la fiscalité*socio=et, le commerce*socio=ec1 intérieur*socio=te et le secteur*socio=rien financier*socio=ec1 - pour conforter les gains*socio=ec1 d'efficience*socio=uv3 économique*socio=ec1. Ainsi seraient réunies les conditions*socio=ec1 d'une sensible*socio=rien amélioration*socio=uv1 du niveau_de_vie*socio=uv1 au Canada*socio=ac. Politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1. Les performances*socio=uv3 récentes*socio=rien de l'économie*socio=ec1 ont été*socio=rien favorisées par les politiques*socio=et macro-économiques*socio=ec1 judicieuses*socio=uv4 en place*socio=rien, en particulier*socio=rien l'engagement*socio=uv1 en faveur*socio=rien d'objectifs*socio=uv4 annoncés de maltaise de l'inflation*socio=ec2 et d'une réduction*socio=ec2 continue*socio=rien du *socio=ec1 ratio dette publique*socio=et/*socio=nil PIB.*socio=nil Après*socio=rien le*socio=nil relèvement*socio=ec2 des*socio=nil taux_d'_intérêt administrés*socio=rien *socio=nil destiné à prévenir une éventuelle*socio=rien perte*socio=ec2 de confiance*socio=uv1 dans les actifs*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac dans le contexte*socio=rien de la crise*socio=uv2 russe*socio=ac l'an*socio=rien dernier*socio=rien, le retour*socio=rien au calme*socio=rien des marchés_financiers*socio=ec1 à permis*socio=rien d'inverser cet ajustement*socio=et à la hausse*socio=rien, et les écarts*socio=rien de taux_d'_intérêt*socio=ec1 par rapport*socio=rien aux États-unis*socio=ac sont redevenus négatifs*socio=rien. Cette évolution*socio=rien reflète un*socio=rien renforcement*socio=ec2 de la crédibilité*socio=uv1 financière*socio=ec1, la situation*socio=rien budgétaire*socio=et à tous les niveaux*socio=rien d'administration*socio=ec1 s'étant considérablement*socio=rien améliorée, avec de *socio=rien bonnes chances *socio=nil de voir le *socio=ec1 ratio dette publique*socio=et/*socio=nil PIB *socio=nil se maintenir sur*socio=rien une trajectoire*socio=ec2 fortement décroissante*socio=ec2 dans les *socio=rien prochaines années.*socio=nil Les*socio=nil paragraphes *socio=nil qui suivent examinent de façon*socio=rien plus détaillée l'évolution*socio=rien des politiques_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1 depuis 1998. Le chapitre*socio=rien s'achève par une analyse*socio=rien des problèmes*socio=uv4 auxquels seront confrontés les autorités*socio=et au cours*socio=rien des *socio=rien prochains mois,*socio=nil *socio=nil notamment en ce qui concerne la conduite*socio=rien de ]a politique_monétaire*socio=et en "sondant" le *socio=rien niveau potentiel de*socio=nil production*socio=ec1 *socio=nil et le cadre*socio=rien approprié de la politique_budgétaire*socio=et à moyen_terme*socio=te. Gestion*socio=ec2 Monétaire*socio=ec1. Le *socio=rien cadre Opérationnel.*socio=nil *socio=nil Dans la conduite*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et, la banque_du_canada*socio=ac est*socio=rien guidée par des objectifs*socio=uv4 politique*socio=et explicites*socio=rien de maltaise de l'inflation*socio=ec2 établis en concertation*socio=uv1 avec le gouvernement*socio=ac. Depuis 1995, la Banque*socio=ac vise à maintenir la *socio=rien hausse annuelle *socio=nil de l'indice_des_prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1 à l'intérieur*socio=te d'une fourchette*socio=rien de 1 à 3 Pour cent*socio=rien. L'an*socio=rien dernier*socio=rien, cet objectif*socio=uv4 à été*socio=rien reconduit jusqu'en 2001, les autorités*socio=et estimant qu'il serait utile*socio=uv4 de disposer d'une Période*socio=te plus longue*socio=rien au cours*socio=rien de laquelle l'économie*socio=ec1 Pourrait démontrer sa capacité*socio=uv3 de fonctionner de manière*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 dans une situation*socio=rien de faible*socio=rien inflation*socio=ec2, avant de déterminer un*socio=rien objectif*socio=uv4 à long_terme*socio=te compatible*socio=rien avec la stabilité*socio=uv3 des Prix*socio=ec1. En même temps*socio=rien, la Banque*socio=ac à réaffirmé qu'en raison*socio=rien du délai*socio=rien avec lequel la politique_monétaire*socio=et produit*socio=rien ses effets*socio=rien, elle continuerait à s'efforcer de ramener le taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 tendanciel*socio=ec2 évalué par *socio=rien un indicateur des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil à la consommation*socio=ec1 essentiels*socio=uv4, qui exclut les composantes*socio=ec1 instables*socio=uv4 que sont l'alimentation*socio=ec1 et l'énergie*socio=ec1 ainsi que l'effet*socio=rien des modifications*socio=rien de la fiscalité*socio=et indirecte*socio=rien - vers le centre*socio=rien de la *socio=rien fourchette sur une*socio=nil période*socio=te *socio=nil de 2 ans*socio=rien environ. L'estimation*socio=ec2 par la Banque*socio=ac des tendances*socio=ec2 futures*socio=rien des prix*socio=ec1 s'appuie sur*socio=rien une évaluation*socio=ec2 des écarts*socio=rien de production*socio=ec1 actuels*socio=te et prévisibles*socio=uv4, de l'évolution*socio=rien du taux_de_change*socio=ec1, des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 et d'un*socio=rien *socio=rien large éventail *socio=nil d'autres indicateurs*socio=ec1, notamment les agrégats*socio=ec1 de monnaie*socio=ec1 et de crédit*socio=ec1. Dans une *socio=rien optique opérationnelle,*socio=nil les*socio=nil autorités*socio=et utilisent*socio=nil un *socio=nil indice des *socio=ec1 conditions monétaires (*socio=nil ICM)*socio=nil *socio=nil qui associe les variations*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te et du taux_de_change*socio=ec1 effectif*socio=rien - principaux*socio=rien canaux par lesquels la politique_monétaire*socio=et peut influer sur*socio=rien l'économie*socio=ec1. La Banque*socio=ac applique sa politique*socio=et en agissant sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te et, partant, sur*socio=rien les *socio=ec1 conditions monétaires.*socio=nil *socio=nil à cet effet*socio=rien, elle établit une *socio=rien fourchette opérationnelle *socio=nil pour le taux*socio=rien de financement*socio=ec1 au jour*socio=rien le *socio=rien jour sur le*socio=nil *socio=ec1 marché monétaire.*socio=nil *socio=nil Dans ce contexte*socio=rien, l'introduction*socio=rien récente*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien nouveau système électronique de*socio=nil transfert*socio=ec1 des*socio=nil paiements*socio=ec1 (*socio=nil Système de*socio=nil transfert*socio=ec1 des*socio=nil paiements*socio=ec1 de*socio=nil grande valeur*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil STPGV) à entraîné quelques modifications*socio=rien dans la mise en oeuvre*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et. Il existe encore une *socio=rien fourchette opérationnelle *socio=nil de 50 points*socio=rien de base*socio=rien pour le taux*socio=rien au jour*socio=rien le jour*socio=rien, mais la *socio=rien limite supérieure *socio=nil de la fourchette*socio=rien - le "taux*socio=rien d'escompte" est*socio=rien désormais le taux*socio=rien perçu sur*socio=rien les découverts accordés aux participants*socio=ac au STPGV, tandis que la *socio=rien limite inférieure est le*socio=nil taux *socio=nil que la Banque*socio=ac verse sur*socio=rien tous les dépôts*socio=ec1 au jour*socio=rien le jour*socio=rien. En outre, il existe maintenant un*socio=rien objectif*socio=uv4 ponctuel pour le taux*socio=rien au jour*socio=rien le jour*socio=rien - Mé au centre*socio=rien de la fourchette*socio=rien - qui est*socio=rien renforcé par des opérations*socio=rien d'open*socio=rien market*socio=ec1. Les autorités*socio=et ont également modifié leur mode*socio=rien d'intervention*socio=et sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des changes*socio=rien. Auparavant, elles vendaient ou achetaient des devises*socio=ec1 quand la valeur*socio=ec1 du dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac diminuait ou augmentait d'un*socio=rien montant*socio=ec1 donné durant la journée*socio=rien, à *socio=rien un rythme *socio=nil fixé par avance*socio=rien. En septembre*socio=rien 1998, elles ont décidé de suspendre ces interventions*socio=et "symétriques", estimant que le marché*socio=ec1 des changes*socio=rien avait gagné suffisamment en maturité*socio=uv1 pour n'avoir plus besoin*socio=uv1 d'une gestion*socio=ec2 continue*socio=rien des liquidités*socio=ec1 par la banque_centrale*socio=ac. De plus, la régularité*socio=ec2 des interventions*socio=et avait eu tendance*socio=ec2 à obscurcir la fonction*socio=rien de signal*socio=rien que celles-ci pouvaient avoir. Toutefois, les autorités*socio=et continueront à intervenir d'une manière*socio=rien discrétionnaire*socio=et "asymétrique" lorsqu'elles estimeront que la marché*socio=ec1 des changes*socio=rien dépasse sensiblement les objectifs*socio=uv4 fixés. Conduite*socio=rien de la politique_monétaire*socio=et. L'activité*socio=rien économique*socio=ec1 à augmenté à *socio=rien un rythme *socio=nil soutenu tout au long*socio=rien de l'année*socio=rien 1997, et les autorités*socio=et en ont conclu qu'un*socio=rien durcissement*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 graduel*socio=rien était nécessaire*socio=rien pour poursuivre la réalisation*socio=uv1 de l'objectif*socio=uv4 d'inflation*socio=ec2, les capacités*socio=uv3 inemployées*socio=ec2 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des produits*socio=rien étant mobilisées rapidement. Entre le milieu*socio=rien de 1997 et le début*socio=rien de 1998, la *socio=rien fourchette opérationnelle du*socio=nil taux au*socio=nil jour le*socio=nil jour à*socio=nil été *socio=nil augmentée à cinq*socio=rien reprises, de 1l/4 point*socio=rien au total*socio=rien. Néanmoins, la variation*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires globales*socio=rien au*socio=nil cours*socio=rien *socio=nil de cette période*socio=te - mesurée par l'ICM*socio=ec1 de la banque_du_canada*socio=ac - à été*socio=rien relativement limitée en raison*socio=rien de l'effritement du dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac (graphique*socio=rien 8). Cette dégradation*socio=uv3 à été*socio=rien imputable*socio=uv2 aux séquelles*socio=rien de la crise*socio=uv2 financière*socio=ec1 en Asie*socio=ac et à la baisse*socio=ec2 connexe*socio=rien des prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien. L'ampleur*socio=rien de la détérioration*socio=uv4 des termes_de_l'_échange*socio=ec1 devenant plus manifeste, la Banque*socio=ac à abandonné l'idée*socio=rien d'un*socio=rien resserrement*socio=ec2 à court_terme*socio=te. Au *socio=rien premier semestre *socio=nil de 1998, elle s'est*socio=rien abstenue de relever les taux_d'_intérêt*socio=ec1, bien*socio=rien que la pression*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1 se soit accentuée. En conséquence*socio=rien, les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil se sont nettement assouplies. En juillet*socio=rien, toutefois, avec les préoccupations*socio=uv4 croissantes*socio=rien suscitées par l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te et la dégradation*socio=uv3 de la situation*socio=rien en Russie*socio=ac, la dévaluation*socio=ec2 du dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac s'est*socio=rien fortement amplifiée et les prix*socio=ec1 des obligations*socio=ec1 canadiennes*socio=ac ont été*socio=rien soumis à des pressions*socio=ec2. Les autorités*socio=et sont finalement intervenues massivement sur*socio=rien le marché*socio=ec1 des changes*socio=rien afin d'enrayer les anticipations*socio=uv3 fondées sur*socio=rien des extrapolations et de rétablir une *socio=rien certaine prise de*socio=nil risque*socio=uv4 *socio=nil dans les deux sens*socio=rien. Cette action*socio=rien n'ayant pas restauré la confiance*socio=uv1 dans les instruments*socio=et libellés en dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac en raison*socio=rien du choc*socio=ec2 que le moratoire russe*socio=ac à ensuite provoqué sur*socio=rien les marchés_financiers*socio=ec1, la Banque*socio=ac à relevé son taux_d'_intérêt*socio=ec1 officiel*socio=et de 1 point*socio=rien en août*socio=rien. Le *socio=rien calme est alors*socio=nil revenu*socio=ec1 sur les*socio=nil marchés*socio=ec1.*socio=nil Le*socio=nil durcissement*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 *socio=nil qui en est*socio=rien résulté s'est*socio=rien toutefois révélé de courte*socio=rien durée*socio=te. Au cours*socio=rien de l'automne*socio=rien de 1998, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac ont été*socio=rien réduits en trois étapes*socio=te de 75 points*socio=rien de base*socio=rien au total*socio=rien pour répondre à l'instabilité*socio=uv3 des marchés_financiers*socio=ec1 et à des problèmes*socio=uv4 de liquidité*socio=ec1; le Canada*socio=ac à pu abaisser les taux*socio=rien dans les mêmes proportions*socio=rien, sans déclencher de *socio=rien nouvelles attaques *socio=nil contre la monnaie*socio=ec1. De fait*socio=rien, depuis le début*socio=rien de 1999, le dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac à eu tendance*socio=ec2 à s'apprécier, à la fois*socio=rien vis-à-vis du dollar*socio=ec1 des États-unis*socio=ac et en *socio=rien termes effectifs,*socio=nil en*socio=nil raison *socio=nil de la *socio=rien fermeté générale des*socio=nil indicateurs*socio=ec1 intérieurs*socio=te récents *socio=nil et d'une certaine*socio=rien amélioration*socio=uv1 des perspectives*socio=te des prix*socio=ec1 mondiaux*socio=te des produits*socio=rien de base*socio=rien. Cela à permis*socio=rien d'abaisser de nouveau*socio=rien le taux*socio=rien d'escompte (de 25 points*socio=rien de base*socio=rien à la fin*socio=rien de mars*socio=rien puis au début*socio=rien de mail pour le ramener à 43/4 pour cent*socio=rien, ]a baisse*socio=ec2 cumulée étant supérieure*socio=rien au relèvement*socio=ec2 de 1 point*socio=rien opéré en août*socio=rien 1998. La Banque*socio=ac à expliqué ces ajustements*socio=et par l'amélioration*socio=uv1 de la confiance*socio=uv1 des investisseurs*socio=ac et par le fait*socio=rien que l'inflation*socio=ec2 tendancielle*socio=ec2 est*socio=rien restée voisine*socio=rien de la *socio=rien limite inférieure *socio=nil de l'objectif*socio=uv4 officiel*socio=et, sans indice de tensions*socio=ec2 sur*socio=rien les capacités*socio=uv3 intérieures*socio=te. Le raffermissement*socio=ec2 des *socio=ec1 conditions monétaires globales*socio=rien au*socio=nil cours*socio=rien des*socio=nil *socio=rien derniers mois,*socio=nil *socio=nil tel qu'il ressort de l'évolution*socio=rien de l'ICM*socio=ec1, à neutralisé. pour plus d'un*socio=rien tiers*socio=rien l'assouplissement*socio=uv3 qui s'était produit*socio=rien tout au long*socio=rien de 1998 (graphique*socio=rien 8). Tandis que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à court_terme*socio=te sont aujourd'hui revenus*socio=ec1 à leurs niveaux*socio=rien du début*socio=rien de 1998, le taux_de_change*socio=ec1 effectif*socio=rien, en dépit*socio=rien de sa récente*socio=rien remontée, reste*socio=rien plus bas*socio=rien qu'il ne l'était à ce moment-là*socio=rien. Ainsi qu'on l'a noté, la *socio=rien principale raison *socio=nil qui à incité les autorités*socio=et à relever le taux*socio=rien d'escompte en août*socio=rien 1998 à été*socio=rien l'apparition*socio=rien de primes*socio=ec1 de risque*socio=uv4 dans les taux_d'_intérêt*socio=ec1 canadiens*socio=ac, comme en témoigne*socio=rien la hausse*socio=rien des taux*socio=rien à moyen*socio=rien et long_terme*socio=te à *socio=rien un moment *socio=nil où les taux*socio=rien américains*socio=ac comparables*socio=rien étaient en train*socio=rien de décroître. L'écart*socio=rien de rendement*socio=ec1 à long_terme*socio=te traditionnel*socio=rien par rapport*socio=rien aux États-unis*socio=ac est*socio=rien devenu négatif*socio=rien en 1997 (graphique*socio=rien 9, partie*socio=rien A), probablement en raison*socio=rien de l'amélioration*socio=uv1 rapide*socio=rien de la situation*socio=rien budgétaire*socio=et et de l'inflation*socio=ec2 relativement plus faible*socio=rien au Canada*socio=ac. Le retour*socio=rien à des écarts*socio=rien positifs*socio=uv4 au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1998 dans le contexte*socio=rien des turbulences*socio=rien financières*socio=ec1 mondiales*socio=te laisse penser qu'il restait encore du chemin*socio=rien à faire avant que la crédibilité*socio=uv1 de la politique*socio=et ne soit pleinement restaurée. L'évolution*socio=rien ultérieure*socio=te est*socio=rien toutefois encourageante. Après*socio=rien s'être*socio=rien resserrés progressivement*socio=rien, les écarts*socio=rien de taux_d'_intérêt*socio=ec1 Canada*socio=ac/États-unis*socio=ac sont redevenus négatifs*socio=rien. Parallèlement, l'écart*socio=rien entre le rendement*socio=ec1 des obligations*socio=ec1 classiques*socio=rien et celui des obligations*socio=ec1 indexées est*socio=rien resté faible*socio=rien (moins de 1 1/2 pour cent*socio=rien). Bien*socio=rien que cet indicateur*socio=rien reflète la liquidité*socio=ec1 du marché*socio=ec1 et les préférences*socio=uv4 en matière*socio=rien de portefeuille*socio=ec1, sa *socio=ec2 baisse régulière *socio=nil montre que les investisseurs*socio=ac sont de plus convaincus que l'inflation*socio=ec2 restera faible*socio=rien. Abstraction*socio=rien faite des fluctuations*socio=ec2 à court_terme*socio=te, les taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te ont varié relativement peu au cours*socio=rien de l'année*socio=rien écoulée, ne dépassant les *socio=rien taux courts *socio=nil que dans des proportions*socio=rien limitées. Cela contraste avec la situation*socio=rien observée pendant la plus *socio=rien grande partie des*socio=nil années *socio=nil 90, caractérisée par une courbe des rendements*socio=ec1 à la pente*socio=rien positive*socio=uv4 très marquée (graphique*socio=rien 9, partie*socio=rien B). Dans le passé*socio=te, l'apparition*socio=rien d'une courbe des rendements*socio=ec1 plate*socio=rien à été*socio=rien souvent suivie d'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1. Toutefois, dans la mesure*socio=rien où l'aplatissement récent*socio=rien reflète une diminution*socio=ec2 de la prime de risque*socio=uv4 sur*socio=rien les *socio=rien taux longs Me *socio=nil à une amélioration*socio=uv1 budgétaire*socio=et, il ne semble pas annoncer *socio=rien un fléchissement *socio=nil de la croissance*socio=uv3. De même, il ne semble pas que le ralentissement*socio=ec2 de l'expansion*socio=ec2 des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil depuis 1997 (tableau*socio=rien 7) puisse être*socio=rien interprété comme le signe d'un*socio=rien affaiblissement*socio=rien de l'activité*socio=rien. De fait*socio=rien, les variations*socio=rien des *socio=ec1 agrégats monétaires de*socio=nil *socio=rien définition étroite *socio=nil et des agrégats*socio=ec1 larges*socio=rien ont été*socio=rien fortement influencées par l'innovation*socio=uv3 financière*socio=ec1 et d'autres changements*socio=uv3 institutionnels*socio=et. Depuis trois ans*socio=rien environ, M1*socio=ec1 croit beaucoup plus rapidement que ne le laisserait prévoir la relation*socio=rien historique*socio=te entre cet agrégat*socio=ec1 et le PIB*socio=ec1 réel*socio=ec2 et nominal*socio=rien. Ce dynamisme*socio=uv3 reflète en partie*socio=rien une augmentation*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 de monnaie*socio=ec1 par suite*socio=rien du *socio=rien bas niveau des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil jusqu'en 1997. Toutefois, *socio=rien un certain nombre de*socio=nil facteurs particuliers *socio=nil ont également contribué à doper la croissance*socio=uv3 de M1*socio=ec1. Notamment, les comptes*socio=rien courants*socio=te bancaires*socio=ec1 ont connu une expansion*socio=ec2 extraordinaire*socio=rien, les entreprises*socio=ac bénéficiant de conditions*socio=ec1 favorables*socio=ec2 pour accumuler des actifs*socio=ec1 liquides; les banques*socio=ac ont commencé à se livrer une concurrence*socio=ec1 plus active*socio=uv4 pour les dépôts*socio=ec1 des entreprises*socio=ac, en particulier*socio=rien les comptes*socio=rien des petites*socio=rien sociétés*socio=ac; depuis la suppression*socio=rien des réserves_obligatoires*socio=ec1 différenciées, les banques*socio=ac ne sont plus incitées à distinguer entre les comptes*socio=rien à vue*socio=rien et les comptes*socio=rien à préavis*socio=rien. La modération*socio=ec2 récente*socio=rien de la croissance*socio=uv3 de M1*socio=ec1 semble refléter dans une *socio=rien large mesure *socio=nil l'influence décroissante*socio=ec2 de ces *socio=rien facteurs particuliers.*socio=nil *socio=nil En outre, elle constitue une réponse*socio=rien décalée au relèvement*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 durant le *socio=rien second semestre *socio=nil de 1997. Enfin, une légère*socio=rien contraction*socio=ec2 de M1*socio=ec1 au cours*socio=rien de l'automne*socio=rien de 1998 parait *socio=rien être Me au*socio=nil soutien*socio=uv3 des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 *socio=nil et à l'incertitude*socio=uv3 financière*socio=ec1 qui à conduit à un*socio=rien resserrement*socio=ec2 des conditions*socio=ec1 de crédit*socio=ec1. La croissance*socio=uv3 de la masse_monétaire*socio=ec1 au *socio=rien sens étroit *socio=nil à toutefois repris au début*socio=rien de 1999 et, à en juger par les relations*socio=rien passées*socio=te, son rythme*socio=rien actuel*socio=te apparaît suffisamment élevé*socio=uv4 pour maintenir l'expansion*socio=ec2 économique*socio=ec1 à *socio=rien un taux voisin *socio=nil de son potentiel*socio=uv4. Parallèlement, les *socio=ec1 agrégats monétaires larges*socio=rien ont*socio=nil été*socio=rien *socio=nil déprimés par un*socio=rien mouvement*socio=ec2 massif*socio=rien de bascule des dépôts*socio=ec1 vers les fonds*socio=ec1 communs*socio=uv4 de placement*socio=ec1. La banque_du_canada*socio=ac à commencé à publier *socio=rien un nouvel indicateur,*socio=nil *socio=nil M2++, qui inclut ces derniers*socio=rien. Cet indicateur*socio=rien affiche une expansion*socio=ec2 assez régulière*socio=ec2. Selon les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1, son taux*socio=rien actuel*socio=te de croissance*socio=uv3 sur*socio=rien douze mois*socio=rien, de l'ordre*socio=rien de 7 pour cent*socio=rien, *socio=rien est compatible *socio=nil avec le maintien*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 à l'intérieur*socio=te de la *socio=rien fourchette retenue comme*socio=nil objectif*socio=uv4.*socio=nil L'*socio=nil expansion*socio=ec2 du*socio=nil crédit*socio=ec1 aux*socio=nil entreprises*socio=ac (*socio=nil tableau *socio=nil 7), plutôt robuste*socio=rien jusqu'à l'été*socio=rien de 1998, s'est*socio=rien considérablement*socio=rien réduite en septembre*socio=rien avant de reprendre vers la fin*socio=rien de l'année*socio=rien. Ce mouvement*socio=ec2 à reflété un*socio=rien durcissement*socio=ec2 temporaire*socio=rien des conditions*socio=ec1 de crédit*socio=ec1, les banques*socio=ac et les investisseurs*socio=ac du monde*socio=te entier*socio=rien ayant réévalué les risques*socio=uv4. De fait*socio=rien, l'écart*socio=rien de taux_d'_intérêt*socio=ec1 entre les obligations*socio=ec1 de sociétés*socio=ac et les obligations*socio=ec1 publiques*socio=et à doublé pour atteindre quelque 120 points*socio=rien de base*socio=rien, avant de redescendre aux alentours*socio=rien de 80 points*socio=rien de base*socio=rien ces *socio=rien derniers temps.*socio=nil Un autre*socio=nil élément modérateur à*socio=nil été la*socio=nil réduction*socio=ec2 des*socio=nil besoins*socio=uv1 de*socio=nil financement*socio=ec1 consécutive *socio=nil à une baisse*socio=ec2 de la formation*socio=et de stocks*socio=ec1. En revanche, le crédit*socio=ec1 aux ménages*socio=ac s'est*socio=rien à peine ralenti en septembre*socio=rien avant de retrouver rapidement son rythme*socio=rien de croissance*socio=uv3 vigoureux*socio=rien. Tandis que l'expansion*socio=ec2 du crédit*socio=ec1 à ]a consommation*socio=ec1 s'est*socio=rien modérée, celle des *socio=ec1 crédits hypothécaires au*socio=nil logement *socio=nil à repris récemment, en dépit*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien faible niveau d'*socio=nil activité sur le*socio=nil *socio=ec1 marché immobilier.*socio=nil *socio=nil étant donné que les taux*socio=rien hypothécaires*socio=ec1 sont sensiblement inférieurs*socio=rien aux taux*socio=rien des prêts*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1, if y à eu *socio=rien un certain effet de*socio=nil substitution du*socio=nil *socio=ec1 crédit hypothécaire au*socio=nil crédit *socio=nil à la consommation*socio=ec1. Au total*socio=rien, l'évolution*socio=rien des *socio=ec1 agrégats monétaires *socio=nil et du crédit*socio=ec1, ainsi que les *socio=rien informations sur les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil donnent à penser que si l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 s'est*socio=rien modérée du fait*socio=rien du resserrement*socio=ec2 du crédit*socio=ec1 au *socio=rien second semestre *socio=nil de 1998, ce ralentissement*socio=ec2 à été*socio=rien probablement peu important*socio=rien. Au cours*socio=rien de la période*socio=te à venir, comme indiqué au *socio=rien premier chapitre *socio=nil et dans l'analyse*socio=rien ci-après, l'orientation*socio=et monétaire*socio=ec1 semble devoir*socio=rien soutenir la croissance*socio=uv3 à son *socio=rien taux potentiel *socio=nil ou à *socio=rien un rythme voisin *socio=nil de celui-ci. L'orientation*socio=et de la politique_budgétaire*socio=et. administrations_publiques*socio=ac. La politique_budgétaire*socio=et à pris également *socio=rien un tour plus*socio=nil neutre.*socio=nil Après une*socio=nil période*socio=te *socio=nil prolongée d'assainissement*socio=uv3, l'austérité*socio=uv3 budgétaire*socio=et s'est*socio=rien sensiblement atténuée avec la réalisation*socio=uv1 d'excédents*socio=ec1. Au cours*socio=rien de la période*socio=te de quatre ans*socio=rien s'achevant en 1997, l'amélioration*socio=uv1 du *socio=ec1 solde financier des*socio=nil administrations_publiques*socio=ac (*socio=nil définition*socio=rien des*socio=nil comptes*socio=rien nationaux*socio=te)*socio=nil à*socio=nil *socio=rien été considérable,*socio=nil *socio=nil de 2 pour cent*socio=rien de PIB*socio=ec1 en moyenne*socio=rien par an*socio=rien, soit une réduction*socio=ec2 totale*socio=rien de 81/2 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 (graphique*socio=rien 10). Ce *socio=rien résultat est *socio=nil à comparer avec un*socio=rien gain*socio=ec1 de 1/4pour cent*socio=rien seulement à la fois*socio=rien dans la zone*socio=te euro et dans la zone_de_l'_ocde*socio=te durant le même laps*socio=rien de temps*socio=rien. En 1998, le redressement*socio=ec2 du *socio=ec1 solde financier s'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil fortement ralenti, comme dans beaucoup de pays*socio=ac, de sorte*socio=rien que l'excédent*socio=ec1 budgétaire*socio=et qui était apparu l'année*socio=rien précédente*socio=rien d'a que légèrement augmenté pour s'établir aux environs*socio=rien de 1 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1. Selon les estimations*socio=ec2 du Secrétariat*socio=ac de l'OCDE*socio=ac, l'amélioration*socio=uv1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et du Canada*socio=ac est*socio=rien imputable*socio=uv2 pour l'essentiel*socio=uv4 à des *socio=et mesures discrétionnaires,*socio=nil *socio=nil les influences conjoncturelles*socio=uv4 (en l'occurrence*socio=rien, la réduction*socio=ec2 des capacités*socio=uv3 inemployées*socio=ec2) n'ayant contribué que pour *socio=rien un quart *socio=nil environ à ces gains*socio=ec1. De 1994 à 1997, l'amélioration*socio=uv1 du solde*socio=ec1 budgétaire*socio=et structurel*socio=uv4 à représenté environ -él/2 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 (graphique*socio=rien 10, partie*socio=rien B), soit plus du double*socio=rien de l'estimation*socio=ec2 correspondante*socio=rien pour les États-unis*socio=ac. La *socio=rien nouvelle hausse *socio=nil limitée de l'excédent*socio=ec1 effectif*socio=rien du budget*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac au Canada*socio=ac en 1998, dans le contexte*socio=rien d'un*socio=rien certain*socio=rien resserrement*socio=ec2 de l'écart*socio=rien conjoncturel*socio=uv4, donne à penser que l'orientation*socio=et de la politique_budgétaire*socio=et est*socio=rien devenue relativement neutre*socio=rien. Le redressement*socio=ec2 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et canadiennes*socio=ac résulte principalement de compressions*socio=et de dépenses*socio=ec1. Cependant, même si l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et à été*socio=rien moins tributaire*socio=rien de mesures*socio=et d'accroissement*socio=ec2 des recettes*socio=ec1 que dans beaucoup d'autres pays*socio=ac, en l'absence*socio=rien d'indexation*socio=ec1 effective*socio=rien des tranches d'imposition*socio=et, la pression*socio=ec2 fiscale*socio=et directe*socio=rien s'est*socio=rien accentuée progressivement*socio=rien pour atteindre des niveaux*socio=rien sans précédent*socio=rien, en dépit*socio=rien de quelques premiers*socio=rien allégements*socio=uv3 d'impôts*socio=et. Le *socio=ec1 ratio dépenses/*socio=nil PIB à*socio=nil été*socio=rien *socio=nil ramené d'un*socio=rien maximum*socio=rien de plus de 50 pour cent*socio=rien au début*socio=rien des années*socio=rien 90 à *socio=rien un niveau voisin *socio=nil de 43 pour cent*socio=rien, les variations*socio=rien de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 ayant contribué pour 2 points*socio=rien environ à cette contraction*socio=ec2. L'allégement*socio=uv3 du service_de_la_dette*socio=ec1 à aussi joué *socio=rien un certain rôle,*socio=nil *socio=nil même si les paiements_d'_intérêt*socio=et *socio=rien nets sur l'*socio=nil importante dette*socio=ec1 publique*socio=et du*socio=nil Canada*socio=ac *socio=nil (voir ci-après) se sont maintenus à *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4,*socio=nil aux*socio=nil environs *socio=nil de 5 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 (graphique*socio=rien 10, partie*socio=rien q.. Les dépenses*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac ont diminué (en termes*socio=rien nominaux*socio=ec1) en 1996 comme en 1997. Depuis, elles se sont redressées, mais leur expansion*socio=ec2 est*socio=rien restée inférieure*socio=rien à celle du PIB*socio=ec1. La faible*socio=rien baisse*socio=ec2 du ratio*socio=ec1 de dépenses*socio=ec1 en 1998 *socio=rien est attribuable *socio=nil à la croissance*socio=uv3 modérée de la consommation*socio=ec1 publique*socio=et, les autres grandes*socio=rien composantes*socio=ec1 de la dépense*socio=ec1 (transferts*socio=ec1 aux particuliers*socio=rien et aux entreprises*socio=ac, investissement*socio=ec1, paiements_d'_intérêt*socio=et ayant augmenté grosso modo au même rythme*socio=rien que le PIB*socio=ec1 (annexe*socio=rien statistique*socio=ec2, tableau*socio=rien F). Tous les niveaux*socio=rien d'administration*socio=ec1 ont contribué à l'amélioration*socio=uv1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et. L'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et à commencé plus tôt dans les provinces*socio=ac (graphique*socio=rien 10, partie*socio=rien A), car leur dette*socio=ec1 extérieure*socio=te les rendait plus vulnérables*socio=uv2 à des *socio=rien réactions négatives des*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1 face au*socio=nil niveau élevé*socio=uv4 des*socio=nil déficits*socio=ec1 *socio=nil et de l'endettement*socio=ec1. Toutefois, après*socio=rien la réalisation*socio=uv1 d'un*socio=rien équilibre*socio=uv3 budgétaire*socio=et global*socio=te au niveau*socio=rien des provinces*socio=ac en 1997, l'amélioration*socio=uv1 budgétaire*socio=et à marqué une pause, Par conséquent*socio=rien, la *socio=rien nouvelle hausse *socio=nil de l'excédent*socio=ec1 financier*socio=ec1 des administrations_publiques*socio=ac en 1998 à été*socio=rien due intégralement à l'échelon*socio=rien fédéral*socio=et, où le durcissement*socio=ec2 budgétaire*socio=et s'est*socio=rien poursuivi, quoique à *socio=rien un rythme *socio=nil plus modéré. Les deux *socio=rien sections suivantes *socio=nil examinent de façon*socio=rien plus détaillée les tendances*socio=ec2 récentes*socio=rien des finances*socio=ec1 fédérales*socio=ac et provinciales*socio=te. Tandis que l'analyse*socio=rien s'est*socio=rien appuyée*socio=rien jusqu'ici sur*socio=rien les comptes*socio=rien nationaux*socio=te, on utilisera ci-après les données des comptes*socio=rien publics*socio=et. Ces dernières*socio=rien tendent à faire apparaître des soldes*socio=ec1 budgétaires*socio=et un*socio=rien peu moins favorables*socio=ec2 (du fait*socio=rien notamment d'un*socio=rien *socio=rien traitement différent des*socio=nil opérations des*socio=nil comptes de*socio=nil pension*socio=et des*socio=nil salariés*socio=ac *socio=nil de la fonction_publique*socio=et). administration_fédérale*socio=ac. Les efforts*socio=uv1 résolus déployés par le gouvernement*socio=ac actuel*socio=te depuis son entrée*socio=rien en fonctions*socio=rien en 1993 ont abouti à une amélioration*socio=uv1 marquée de la situation*socio=rien *socio=et budgétaire fédérale (*socio=nil tableau*socio=rien *socio=nil 8). Si la réserve*socio=rien pour éventualités de 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 prévue dans le cadre*socio=rien de la *socio=et planification budgétaire n'*socio=nil est*socio=rien *socio=nil pas en *socio=rien définitive nécessaire *socio=nil durant l'exercice*socio=rien 1998/99 (s'achevant en mars*socio=rien), le redressement*socio=ec2 du solde*socio=ec1 budgétaire*socio=et aura été*socio=rien de 45 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 (environ à pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1). Cette amélioration*socio=uv1 résulte d'une contraction*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 de programme*socio=et, du fait*socio=rien essentiellement des mesures*socio=et d'austérité*socio=uv3 inscrites*socio=rien dans les budgets*socio=ec1 1994, 1995 et 1996, mais aussi d'une hausse*socio=rien des recettes*socio=ec1, induite principalement par l'expansion*socio=ec2 de l'économie*socio=ec1. Ces deux tendances*socio=ec2 sont partiellement compensées par un*socio=rien alourdissement*socio=ec2 de la charge*socio=rien de la dette*socio=ec1 publique*socio=et. La baisse*socio=ec2 du niveau*socio=rien des dépenses*socio=ec1 par rapport*socio=rien à 1993/94 reflète à ]a fois*socio=rien des coupes généralisées dans les programmes*socio=et de l' administration_fédérale*socio=ac (à quelques *socio=rien exceptions prés,*socio=nil *socio=nil notamment les prestations*socio=et aux *socio=ac personnes âgées)*socio=nil *socio=nil et des réductions*socio=ec2 des transferts*socio=ec1 aux autres niveaux*socio=rien d'administration*socio=ec1 (sauf pour les paiements*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien du système*socio=rien de péréquation*socio=et). L'incidence*socio=ec2 des mesures*socio=et de restriction*socio=et antérieures*socio=te n'a été*socio=rien que partiellement neutralisée par les *socio=rien initiatives prises *socio=nil à partir du budget*socio=ec1 1997 (d'un*socio=rien total*socio=rien de 71/2 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1), principalement en faveur*socio=rien du système_de_santé*socio=et, de l'accès*socio=uv1 au savoir*socio=uv3 et de l'acquisition*socio=rien de compétences*socio=uv3. Les deux tiers*socio=rien de ces crédits*socio=ec1 représentent des *socio=ec1 paiements monétaires additionnels*socio=rien du*socio=nil Système*socio=rien de*socio=nil transfert canadien*socio=ac en*socio=nil matière*socio=rien de*socio=nil santé*socio=et *socio=nil et de programmes_sociaux*socio=et (TCSPS) au profit*socio=ec1 des provinces*socio=ac, le reste*socio=rien consistant en dépenses*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien au titre*socio=rien d'autres initiatives*socio=rien dans le domaine*socio=rien de la santé*socio=et, de l'éducation*socio=et (notamment la Fondation*socio=rien des bourses*socio=rien du millénaire) et d'ajustements*socio=et économiques*socio=ec1 (en particulier*socio=rien au profit*socio=ec1 de la pêche*socio=ec1 et de l'agriculture*socio=ec1). En dépit*socio=rien de ces mesures*socio=et, on estime*socio=rien que le ratio*socio=ec1 des dépenses*socio=ec1 de programme*socio=et au PIB*socio=ec1 à diminué de 4 points*socio=rien entre 1993/94 et 1998/99. Parallèlement, les recettes*socio=ec1 budgétaires*socio=et en proportion*socio=rien du PIB*socio=ec1 auraient augmenté de 1l/2 point*socio=rien de pourcentage*socio=rien selon les estimations*socio=ec2. Hormis l'effet*socio=rien (limité) de certains facteurs*socio=rien ponctuels (par exemple*socio=rien l'instauration*socio=rien de la *socio=et prestation fiscale pour*socio=nil enfants*socio=ac)*socio=nil ,*socio=nil les*socio=nil mesures gouvernementales prises*socio=rien *socio=nil depuis 1993 N'ont pas eu d'incidence*socio=ec2 *socio=rien nette globale sur les*socio=nil recettes*socio=ec1 budgétaires*socio=et fédérales*socio=ac.*socio=nil Certaines mesures*socio=et génératrices de*socio=nil recettes_publiques*socio=et *socio=nil introduites dans les budgets*socio=ec1 précédents*socio=rien, principalement pour améliorer l'équité*socio=uv1 du système*socio=rien d'imposition*socio=et et réduire *socio=rien un certain nombre *socio=nil de privilèges fiscaux*socio=et, ont été*socio=rien compensées par l'allégement*socio=uv3 général*socio=rien des impôts*socio=et amorcé dans le budget*socio=ec1 1998 et par l'impact*socio=rien cumulé. de la réduction*socio=ec2 des cotisations*socio=ec1 d'assurance-emploi*socio=et ces *socio=rien dernières années.*socio=nil *socio=nil Toutefois, ainsi qu'on l'a noté, l'alourdissement*socio=ec2 automatique*socio=rien de la fiscalité*socio=et dû à une indexation*socio=ec1 partielle*socio=rien, s'ajoutant aux modifications*socio=rien de la composition*socio=rien des revenus*socio=ec1, à eu tendance*socio=ec2 à accroître le *socio=ec1 ratio recettes/*socio=nil PIB.*socio=nil Le*socio=nil budget *socio=nil 1997 prévoyait une réduction*socio=ec2 progressive*socio=rien du déficit*socio=ec1 fédéral*socio=et jusqu'à 2 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 en 1997/98, puis 1 pour cent*socio=rien en 1998/99. Lors*socio=rien de l'élaboration*socio=rien du budget*socio=ec1 fédéral*socio=et 1998, on tablait *socio=rien sur un solde*socio=ec1 zéro *socio=nil pour ces deux exercices*socio=rien. En définitive*socio=rien, un*socio=rien excédent*socio=ec1 (de 3,5 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1, soit 0,3 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1) à été*socio=rien enregistré en 1997/98, pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis l'exercice*socio=rien 1969/70. Ce *socio=rien résultat meilleur *socio=nil que prévu reflétait pour l'essentiel*socio=uv4 des recettes*socio=ec1 plus fortes*socio=rien qu'escompté du fait*socio=rien d'hypothèses*socio=ec2 économiques*socio=ec1 très prudentes*socio=uv2, ce qui à compensé et bien*socio=rien au-delà l'élévation*socio=rien des dépenses*socio=ec1 résultant*socio=rien de *socio=rien nouvelles initiatives gouvernementales*socio=et.*socio=nil Les*socio=nil résultats *socio=nil définitifs pour l'exercice*socio=rien 1998/99 ne seront pas disponibles*socio=rien avant l'automne*socio=rien, mais il s'avère pour le moment*socio=rien que l'excédent*socio=ec1 budgétaire*socio=et sera du même ordre*socio=rien qu'en 1997/98. Les recettes*socio=ec1 ont continué de dépasser les prévisions*socio=ec2 budgétaires*socio=et initiales*socio=rien, contrairement à ce qui s'était produit*socio=rien durant l'exercice*socio=rien précédent*socio=rien, mais les dépenses*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien ont sans doute*socio=rien compensé globalement l'accroissement*socio=ec2 inattendu*socio=rien des recettes*socio=ec1. La charge*socio=rien de la dette*socio=ec1 publique*socio=et à été*socio=rien sensiblement inférieure*socio=rien à l'estimation*socio=ec2 du budget*socio=ec1 car les taux_d'_intérêt*socio=ec1 se sont révélés bien*socio=rien plus bas*socio=rien que prévu. Cependant, les révisions des données pour la période*socio=te 1996/97-1998/99 ont entraîné d'importants*socio=rien ajustements*socio=et à la hausse*socio=rien des sommes dues au titre*socio=rien du programme*socio=et de péréquation*socio=et, ce qui s'est*socio=rien traduit par une forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 des transferts*socio=ec1 fédéraux*socio=et aux provinces*socio=ac à la fin*socio=rien de l'exercice*socio=rien 1998/99. Dans le cadre*socio=rien du budget*socio=ec1 présenté en février*socio=rien 1999, le gouvernement*socio=ac s'est*socio=rien engagé "à équilibrer le budget*socio=ec1 ou à faire mieux" pour l'exercice*socio=rien en cours*socio=te et le prochain*socio=rien. Le budget*socio=ec1 fédéral*socio=et continue*socio=rien de s'appuyer sur*socio=rien trois éléments*socio=rien fondamentaux*socio=uv4: *socio=rien un plan budgétaire*socio=et sur deux*socio=nil ans reposant*socio=nil sur des*socio=nil hypothèses*socio=ec2 "*socio=nil prudentes*socio=uv2"*socio=nil *socio=nil en ce qui concerne l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 et les taux_d'_intérêt*socio=ec1, plus modérées que les prévisions*socio=ec2 du secteur_privé*socio=et, une *socio=rien réserve annuelle *socio=nil pour éventualités de 3 milliards*socio=rien de dollars*socio=ec1 et, en cas*socio=rien de non-utilisation, l'affectation*socio=ec1 de celle-ci au remboursement*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 publique*socio=et. La croissance*socio=uv3 du PIB*socio=ec1 nominal*socio=rien prévue par le plan*socio=rien budgétaire*socio=et *socio=rien est inférieure *socio=nil de 1 point*socio=rien à la présente*socio=rien estimation*socio=ec2 consensuelle du secteur_privé*socio=et pour 1999, et de V2 point*socio=rien pour 2000. Les dépenses*socio=ec1 de programme*socio=et devraient continuer de décroître en pourcentage*socio=rien du PIB*socio=ec1, en dépit*socio=rien d'une augmentation*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 en faveur*socio=rien de la santé*socio=et et des infrastructures*socio=et et recherches*socio=ec2 connexes*socio=rien. Cependant, les fonds*socio=ec1 alloués à ces utilisations*socio=rien pour les deux *socio=rien prochains exercices ont*socio=nil été *socio=nil dans une *socio=rien large mesure *socio=nil déjà affectés à l'exercice*socio=rien 1998/99. Parallèlement, le rapport*socio=rien recettes*socio=ec1/PIB*socio=ec1 devrait décroître sous l'effet*socio=rien des réductions*socio=ec2 de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 des personnes*socio=ac physiques*socio=rien (voir le chapitre*socio=rien III pour une description*socio=rien plus détaillée). Même si ces prévisions*socio=ec2 budgétaires*socio=et sont sujettes*socio=rien à quelques risques*socio=uv4 (notamment en ce qui concerne le produit*socio=rien de l'impôt*socio=et sur*socio=rien les bénéfices*socio=ec1 des sociétés*socio=ac), les hypothèses*socio=ec2 de planification*socio=et économique*socio=ec1 prudentes*socio=uv2 qui ont été*socio=rien adoptées devraient permettre au budget*socio=ec1 fédéral*socio=et de demeurer excédentaire*socio=rien au cours*socio=rien des deux *socio=rien prochains exercices *socio=nil si la politique_économique*socio=et *socio=rien reste inchangée administrations_provinciales*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Toutes les provinces*socio=ac restent déterminées à équilibrer leurs budgets*socio=ec1 respectifs*socio=rien. Cependant, on l'a vu, l'assainissement*socio=uv3 s'est*socio=rien ralenti dans la plupart*socio=rien des provinces*socio=ac, voire interrompu dans quelque cas*socio=rien. Huit provinces*socio=ac (sur*socio=rien dix) tablent *socio=rien sur un budget*socio=ec1 en*socio=nil équilibre*socio=uv3 ou*socio=nil excédentaire *socio=nil en 1998/99, contre cinq*socio=rien l'année*socio=rien précédente*socio=rien (tableau*socio=rien 9). *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil provinces*socio=ac ont*socio=nil été notablement *socio=nil touchées par la crise*socio=uv2 asiatique*socio=ac. En revanche, la plupart*socio=rien d'entre elles ont bénéficié de transferts*socio=ec1 fédéraux*socio=et plus élevés*socio=uv4. L'une des raisons*socio=rien du ralentissement*socio=ec2 des progrès*socio=uv1 sur*socio=rien le front*socio=rien budgétaire*socio=et est*socio=rien que les budgets*socio=ec1 1998 mettaient l'accent*socio=rien sur*socio=rien les réductions*socio=ec2 d'impôts*socio=et, y compris dans les provinces*socio=ac qui poursuivent toujours le processus*socio=te d'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et (c'est*socio=rien le cas*socio=rien de l'Ontario*socio=ac). De fait*socio=rien, cinq*socio=rien provinces*socio=ac ont annoncé des réductions*socio=ec2 de l'impôt*socio=et sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 des personnes*socio=ac physiques*socio=rien en 1998, et si l'on tient compte*socio=rien des *socio=rien initiatives prises *socio=nil en 1997, le nombre*socio=rien des entités*socio=rien ayant mis en oeuvre*socio=rien des mesures*socio=et de ce type*socio=rien s'élève à huit. S'agissant des impôts*socio=et sur*socio=rien les sociétés*socio=ac, six provinces*socio=ac ont allégé les prélèvements*socio=ec1 assis sur*socio=rien les salaires*socio=ec1 ou réduit le taux*socio=rien de l'impôt*socio=et sur*socio=rien les bénéfices*socio=ec1 des sociétés*socio=ac. Les budgets*socio=ec1 de 1999 ont mis l'accent*socio=rien sur*socio=rien les investissements*socio=ec1 destinés à améliorer la santé*socio=et de la population*socio=ac (en partie*socio=rien financés par des *socio=ec1 transferts financiers fédéraux*socio=et)*socio=nil et*socio=nil sur*socio=rien la*socio=nil poursuite*socio=rien *socio=nil de la réduction*socio=ec2 de la pression*socio=ec2 fiscale*socio=et sur*socio=rien les ménages*socio=ac et les entreprises*socio=ac. Pour 1999/2000, trois provinces*socio=ac (l'Ontario*socio=ac, la Colombie-britannique*socio=ac et Terre-neuve*socio=ac) s'attendent encore à des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et. Toutes comptent cependant équilibrer leur budget*socio=ec1 au cours*socio=rien des *socio=rien prochaines années.*socio=nil Huit*socio=nil entités *socio=nil (six provinces*socio=ac et deux territoires*socio=te) ont mis en oeuvre*socio=rien les *socio=et règles budgétaires inscrites*socio=rien *socio=nil dans les textes*socio=rien législatifs, dont sept prévoient l'équilibre*socio=uv3 budgétaire*socio=et. jusqu'à présent*socio=rien, en dépit*socio=rien du ralentissement*socio=ec2 récent*socio=rien de l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et au niveau*socio=rien provincial*socio=te, les critères*socio=rien en matière*socio=rien d'équilibre*socio=uv3 budgétaire*socio=et et d'endettement*socio=ec1 (voir le tableau*socio=rien A2 de l'annexe*socio=rien de l'étude*socio=ec2 de l'an*socio=rien dernier*socio=rien) ont été*socio=rien en général*socio=rien respectés, voire dépassés. à titre*socio=rien d'exemple*socio=rien, le Québec*socio=ac à toutes les chances*socio=rien de dépasser ses objectifs*socio=uv4 de réduction*socio=ec2 du déficit*socio=ec1 pour la *socio=rien troisième année consécutive *socio=nil en parvenant à équilibrer son budget*socio=ec1 avec *socio=rien un an d'*socio=nil avance.*socio=nil *socio=nil Pour 1998/99, les territoires_du_nord-ouest sont la *socio=rien seule entité qui*socio=nil risque*socio=uv4 *socio=nil de ne pas satisfaire à son obligation*socio=uv1 légale*socio=et de maintenir l'équilibre*socio=uv3 budgétaire*socio=et (leur législation*socio=et permet le report*socio=rien des déficits*socio=ec1 sur*socio=rien l'exercice*socio=rien suivant*socio=rien). Certains territoires*socio=te ou provinces*socio=ac ont adopté des plans*socio=rien de politique_budgétaire*socio=et qui ne sont pas appliqués par la voie*socio=rien législative. Ainsi, le Nouveau-brunswick*socio=ac à établi une trajectoire*socio=ec2 pour les remboursements*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 au cours*socio=rien des 15 *socio=rien prochaines années,*socio=nil *socio=nil en indiquant les excédents*socio=ec1 à atteindre sur*socio=rien des périodes*socio=te de quatre ans*socio=rien. Dans l'Ontario*socio=ac, l'administration_provinciale s'appuie *socio=rien sur un plan de*socio=nil résorption*socio=ec2 du*socio=nil déficit*socio=ec1 en*socio=nil cinq ans,*socio=nil *socio=nil mais elle à soumis une proposition*socio=rien de loi*socio=et qui rendrait obligatoire*socio=uv2 l'équilibre*socio=uv3 budgétaire*socio=et à partir de l'exercice*socio=rien 2001/02, toute augmentation*socio=ec2 d'impôt*socio=et *socio=rien devant être *socio=nil approuvée par les électeurs. En revanche, la Colombie-britannique*socio=ac, durement touchée par la crise*socio=uv2 en Asie*socio=ac, à adopté dans le cadre*socio=rien de son budget*socio=ec1 de 1999 *socio=rien un nouveau plan de*socio=nil réduction*socio=ec2 *socio=nil de son déficit*socio=ec1 en *socio=rien cinq ans,*socio=nil devant *socio=nil aboutir à un*socio=rien budget*socio=ec1 équilibré en 2002/03; elle à en outre relevé son objectif*socio=uv4 d'endettement*socio=ec1 en proportion*socio=rien du PIB*socio=ec1 de manière*socio=rien à pouvoir*socio=et tenir compte*socio=rien des investissements*socio=ec1 d'action*socio=rien conjoncturelle*socio=uv4 ainsi que des fluctuations*socio=ec2 imprévues du PIB*socio=ec1. Évolution*socio=rien de la dette*socio=ec1. A la faveur*socio=rien des progrès*socio=uv1 récents*socio=rien de l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et, le ratio*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 publique*socio=et s'est*socio=rien nettement orienté à la baisse*socio=ec2. Toutefois, ce *socio=rien résultat remarquable doit*socio=nil être *socio=nil relativisé. L'endettement*socio=ec1 net*socio=rien des administrations_publiques*socio=ac à augmenté fortement pour passer de quelque 13 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 en 1981 à 67 pour cent*socio=rien au milieu*socio=rien des années*socio=rien 90 (dans l'optique*socio=rien des comptes*socio=rien nationaux*socio=te). Bien*socio=rien que l'on retrouve une *socio=rien évolution comparable *socio=nil dans quelques autres économies*socio=ec1 de l'OCDE*socio=ac, la *socio=rien position relative du*socio=nil Canada*socio=ac *socio=nil à eu tendance*socio=ec2 à se dégrader au fil*socio=rien du temps*socio=rien. Alors qu'en 1980 le Canada*socio=ac venait au *socio=rien troisième rang *socio=nil des sept grandes*socio=rien économies*socio=ec1 en termes*socio=rien de *socio=ec1 ratio dette publique*socio=et nette*socio=rien/*socio=nil PIB,*socio=nil il*socio=nil est*socio=rien passé*socio=te *socio=nil par la suite*socio=rien à l'avant-dernier rang*socio=rien (devant*socio=rien L'Italie*socio=ac). Au milieu*socio=rien des années*socio=rien 90, le ratio*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 publique*socio=et canadienne*socio=ac dépassait la moyenne*socio=rien de la zone_de_l'_ocde*socio=te de près de 25 points*socio=rien de PIB*socio=ec1 (graphique*socio=rien Il). Depuis lors*socio=rien, les ratios*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1 continuant de croître dans d'autres pays*socio=ac, cet écart*socio=rien s'est*socio=rien sensiblement réduit, mais on estime*socio=rien qu'il est*socio=rien encore voisin*socio=rien de 15 points*socio=rien de PIB*socio=ec1 actuellement, Cette amélioration*socio=uv1 reflète principalement les évolutions*socio=rien au niveau*socio=rien de l'administration_fédérale*socio=ac, dont la dette*socio=ec1 à dfl~ nettement baissé par rapport*socio=rien au PIB*socio=ec1, tandis que le ratio*socio=ec1 l'endettement*socio=ec1 des provinces*socio=ac à tout juste*socio=rien commencé de décroître et demeure plus élevé*socio=uv4 qu'au milieu*socio=rien des années*socio=rien 90 (tableau*socio=rien 9). Cependant, la dette*socio=ec1 de l'administration_fédérale*socio=ac était beaucoup plus importante*socio=rien au moment*socio=rien où l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et à commencé, puisqu'elle représentait presque les trois quarts*socio=rien de la dette*socio=ec1 publique*socio=et totale*socio=rien. Néanmoins, on l'a vu, les provinces*socio=ac ont été*socio=rien plus exposées aux changements*socio=uv3 d'humeur*socio=rien des investisseurs*socio=ac internationaux*socio=te, étant donné leur dépendance*socio=uv1 5 l'égard*socio=rien du financement*socio=ec1 extérieur*socio=te. Seules*socio=rien les provinces*socio=ac qui ont dégagé des excédents*socio=ec1 pendant plusieurs années*socio=rien (Saskatchewan*socio=ac, Manitoba*socio=ac, Alberta*socio=ac) ont bénéficié d'un*socio=rien relèvement*socio=ec2 de leur cote*socio=ec1 de crédit*socio=ec1 par les grandes*socio=rien agences*socio=ac de notation*socio=rien. La Colombie-britannique*socio=ac est*socio=rien la seule*socio=rien province*socio=ac qui ait eu sa note abaissée ces deux *socio=rien dernières années *socio=nil (en dépit*socio=rien d'une dette*socio=ec1 relativement faible*socio=rien au regard*socio=rien du PIB*socio=ec1 provincial*socio=te), apparemment à cause*socio=rien de ses perspectives*socio=te budgétaires*socio=et incertaines*socio=rien. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil l'*socio=nil administration_fédérale*socio=ac *socio=nil à pris des mesures*socio=et pour mieux gérer les fluctuations*socio=ec2 inattendues*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 par une restructuration*socio=et prudente*socio=uv2 de l'encours de sa dette*socio=ec1. La part*socio=rien de la dette*socio=ec1 fédérale*socio=et à court_terme*socio=te à *socio=rien été notablement *socio=nil réduite, de sorte*socio=rien que l'effet*socio=rien en *socio=rien première année *socio=nil d'une hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à été*socio=rien réduit de moitié*socio=rien par rapport*socio=rien à ce qu'il aurait pu être*socio=rien au milieu*socio=rien des années*socio=rien 90. Parallèlement, les avoirs*socio=ec1 des non-résidents*socio=ac en titres*socio=rien d'emprunt*socio=ec1 du *socio=ac gouvernement canadien *socio=nil ont diminué régulièrement pour passer d'un*socio=rien maximum*socio=rien de 28 pour cent*socio=rien du total*socio=rien en 1993 5 moins de 25 pour cent*socio=rien aujourd'hui, la part*socio=rien des titres*socio=rien libellés en monnaies*socio=ec1 étrangères*socio=te étant inférieure*socio=rien à 10 pour cent*socio=rien. L'administration_fédérale*socio=ac est*socio=rien déterminée à conserver une structure*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1 prudente*socio=uv2 en maintenant la part*socio=rien des titres*socio=rien d'emprunts*socio=ec1 à taux*socio=rien fixe aux deux tiers*socio=rien du total*socio=rien, niveau*socio=rien qui à été*socio=rien atteint récemment. étant donné que la dette*socio=ec1 émise sur*socio=rien le marché*socio=ec1 décroît, les autorités*socio=et doivent veiller en toute priorité*socio=uv4 à ce que le marché*socio=ec1 correspondant continue*socio=rien de fonctionner de manière*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 et *socio=rien reste attrayant *socio=nil pour les investisseurs*socio=ac dans ce nouvel*socio=rien environnement*socio=et. Parmi les initiatives*socio=rien à cet effet*socio=rien figurent un*socio=rien programme*socio=et de rachat*socio=rien d'obligations*socio=ec1, des modifications*socio=rien des règles*socio=et d'adjudication des titres*socio=rien d'état*socio=rien et des mesures*socio=et de promotion*socio=uv3 du marché*socio=ec1 à terme*socio=rien des titres*socio=rien du *socio=ac gouvernement canadien.*socio=nil Évaluation*socio=ec2 et*socio=nil enjeux*socio=rien.*socio=nil L'*socio=nil an*socio=rien dernier*socio=rien,*socio=nil les*socio=nil responsables*socio=uv2 *socio=nil de la politique_monétaire*socio=et ont été*socio=rien confrontés dans tous les pays*socio=ac à un*socio=rien défi*socio=uv2 particulier*socio=rien, Hé aux incertitudes*socio=uv3 concernant l'évolution*socio=rien économique*socio=ec1 et financière*socio=ec1 mondiale*socio=te. Au Canada*socio=ac, la tâche*socio=rien des autorités*socio=et à été*socio=rien compliquée de surcroît*socio=rien par l'impact*socio=rien de la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 des ressources_naturelles*socio=ec1 sur*socio=rien l'économie*socio=ec1. En accentuant les pressions*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 sur*socio=rien le taux_de_change*socio=ec1 dans le contexte*socio=rien de la crise*socio=uv2 russe*socio=ac, ce facteur*socio=rien à incité la banque_du_canada*socio=ac à ne pas réduire les taux_d'_intérêt*socio=ec1 pendant cette période*socio=te, de crainte*socio=uv1 que, dans le contexte*socio=rien des *socio=rien turbulences sur les*socio=nil marchés_financiers*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil cela ne provoque une perte*socio=ec2 de confiance*socio=uv1 dans les actifs*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac. De fait*socio=rien, durant l'été*socio=rien de 1998, la baisse*socio=ec2 du dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac à pris des proportions*socio=rien telles que, étant donné la hausse*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 à long_terme*socio=te, la banque_du_canada*socio=ac à décidé de relever temporairement*socio=rien les *socio=rien taux courts.*socio=nil *socio=nil Avec le recul*socio=rien, et au vu de l'expérience*socio=ec2 des *socio=ac pays producteurs de*socio=nil produits*socio=rien de*socio=nil base*socio=rien *socio=nil confrontés à une *socio=rien situation analogue,*socio=nil une*socio=nil démarche *socio=nil moins interventionniste aurait *socio=rien été possible.*socio=nil *socio=nil Cependant, il faut reconnaître que la décision*socio=rien de la Banque*socio=ac est*socio=rien intervenue dans *socio=rien un contexte *socio=nil particulièrement agit et au milieu*socio=rien d'une grande*socio=rien incertitude*socio=uv3: ne pas tenir compte*socio=rien des pressions*socio=ec2 du marché*socio=ec1 aurait pu avoir des effets*socio=rien préjudiciables*socio=et à ]a *socio=rien fois sur la*socio=nil stabilité*socio=uv3 du*socio=nil marché_financier*socio=ec1 et*socio=nil sur la*socio=nil confiance*socio=uv1 *socio=nil et le comportement*socio=rien des ménages*socio=ac et des entreprises*socio=ac. On peut néanmoins se demander si la Banque*socio=ac ne devrait pas veiller à bien*socio=rien faire comprendre les raisons*socio=rien et le *socio=rien caractère temporaire *socio=nil d'une modification*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1 lorsque celle-ci vise à éviter une perte*socio=ec2 de confiance*socio=uv1 dans les actifs*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac. En l'occurrence*socio=rien, la forte*socio=rien réduction*socio=ec2 des taux_d'_intérêt*socio=ec1 américains*socio=ac à l'automne*socio=rien qui à rasséréné les marchés*socio=ec1 à permis*socio=rien une *socio=rien détente rapide des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 au*socio=nil Canada*socio=ac,*socio=nil de*socio=nil sorte *socio=nil que leur *socio=rien précédente hausse *socio=nil semble avoir eu en définitive*socio=rien une incidence*socio=ec2 relativement *socio=rien mineure sur l'*socio=nil évolution économique*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Mais cet épisode*socio=rien illustre l'importance*socio=rien qu'il y à à renforcer encore la crédibilité*socio=uv1 et la transparence*socio=uv3 de la politique_monétaire*socio=et pour permettre à la Banque*socio=ac de concentrer davantage son *socio=rien attention sur l'*socio=nil évolution à*socio=nil moyen_terme*socio=te des*socio=nil *socio=ec1 conditions monétaires au*socio=nil regard*socio=rien *socio=nil de l'objectif*socio=uv4 d'inflation*socio=ec2. Les *socio=rien développements récents *socio=nil soulignent aussi les précautions que la Banque*socio=ac doit prendre Pour exprimer ses *socio=rien vues sur l'*socio=nil évolution future des*socio=nil *socio=ec1 conditions monétaires.*socio=nil Les*socio=nil marchés *socio=nil et les médias*socio=rien ont tendance*socio=ec2 à considérer toutes les déclarations*socio=et comme ayant *socio=rien un caractère *socio=nil inconditionnel et à se montrer surpris et désorientés si des événements*socio=rien imprévus*socio=uv4 aboutissent à *socio=rien un résultat différent.*socio=nil à*socio=nil titre d'*socio=nil exemple,*socio=nil l'*socio=nil assouplissement*socio=uv3 des*socio=nil *socio=ec1 conditions monétaires en*socio=nil réponse*socio=rien *socio=nil à la baisse*socio=ec2 des Prix*socio=ec1 des produits*socio=rien de base*socio=rien semble avoir conduit le marché*socio=ec1 à estimer que ]a banque_du_canada*socio=ac ne prendrait pas de mesures*socio=et pour neutraliser l'effet*socio=rien d'une perte*socio=ec2 de confiance*socio=uv1 potentielle*socio=uv4 dans les actifs*socio=ec1 libellés en dollars*socio=ec1 canadiens*socio=ac. Par conséquent*socio=rien, plutôt que de commenter l'orientation*socio=et prévisible*socio=uv4 de la politique_monétaire*socio=et, il serait plus efficace*socio=uv4 que la Banque*socio=ac rappelle en permanence*socio=rien aux participants*socio=ac l'analyse*socio=rien détaillée de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 qui figure dans ses publications*socio=rien périodiques*socio=te, en laissant le marché*socio=ec1 tirer des *socio=rien conclusions sur les*socio=nil implications *socio=nil qui en découlent pour l'évolution*socio=rien future*socio=rien des *socio=ec1 conditions monétaires.*socio=nil Par*socio=nil ailleurs*socio=rien,*socio=nil le*socio=nil fait*socio=rien *socio=nil que le dollar*socio=ec1 canadien*socio=ac à atteint *socio=rien un point bas historique*socio=te *socio=nil (vis-à-vis du dollar*socio=ec1 des États-unis*socio=ac) en 1998 à suscité un*socio=rien débat*socio=et sur*socio=rien l'opportunité*socio=uv3 du régime*socio=et de *socio=ec1 taux_de_change flottants.*socio=nil *socio=nil Certes il n'existe pas de *socio=rien moyen clair et*socio=nil simple *socio=nil de mettre en évidence*socio=rien les coûts*socio=ec1 et les avantages*socio=rien des différents*socio=rien régimes*socio=et, mais l'évolution*socio=rien récente*socio=rien donne à penser que les taux_de_change*socio=ec1 flexibles*socio=uv4 ont *socio=rien été bénéfiques *socio=nil pour le Canada*socio=ac, car ils ont limité les fluctuations*socio=ec2 de la production*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1 face*socio=rien à des chocs*socio=ec2 économiques*socio=ec1. Normalement, les chocs*socio=ec2 atteignant le Canada*socio=ac sont différents*socio=rien de ceux qui affectent les États-unis*socio=ac. En particulier*socio=rien, les termes_de_l'_échange*socio=ec1 du Canada*socio=ac tendent à être*socio=rien corrélés négativement avec ceux de son voisin*socio=rien, car le Canada*socio=ac *socio=rien est un exportateur*socio=ec1 net de*socio=nil produits de*socio=nil base,*socio=nil *socio=nil tandis que les États-unis*socio=ac en sont un*socio=rien importateur net*socio=rien. Toutefois, l'expérience*socio=ec2 de l'an*socio=rien dernier*socio=rien incite à penser que les avantages*socio=rien potentiels*socio=uv4 de la flexibilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 face*socio=rien à des chocs*socio=ec2 économiques*socio=ec1 sont renforcés par la crédibilité*socio=uv1 de la politique_budgétaire*socio=et et monétaire*socio=ec1. A plus long_terme*socio=te, les autorités*socio=et devront favoriser des *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil qui soient propices*socio=rien à une expansion*socio=ec2 durable*socio=uv4 tout en préservant le *socio=rien faible taux tendanciel*socio=ec2 d'*socio=nil inflation*socio=ec2 du*socio=nil Canada*socio=ac.*socio=nil *socio=nil étant donné que la *socio=rien hausse annuelle des*socio=nil Prix*socio=ec1 *socio=nil à la consommation*socio=ec1 frôle la *socio=rien limite inférieure *socio=nil de la *socio=rien fourchette retenue comme*socio=nil objectif*socio=uv4 officiel*socio=et,*socio=nil *socio=nil il n'apparaît pas nécessaire*socio=rien de durcir les *socio=ec1 conditions monétaires *socio=nil dans l'immédiat*socio=rien. Cela ne veut pas dire qu'une orientation*socio=et monétaire*socio=ec1 moins stimulante ne sera pas nécessaire*socio=rien à *socio=rien un moment *socio=nil ou à un*socio=rien autre. Les prévisions*socio=ec2 centrales*socio=rien du Secrétariat*socio=ac de l'OCDE*socio=ac ne présument pas que les capacités*socio=uv3 inemployées*socio=ec2 seront intégralement résorbées dans le court_terme*socio=te, mais l'excédent*socio=ec1 de l'_offre*socio=ec1 n'est*socio=rien pas considérable*socio=rien, et l'on ne peut exclure une disparition*socio=rien de l'écart*socio=rien conjoncturel*socio=uv4 durant l'année*socio=rien à venir. L'intention*socio=rien de la banque_du_canada*socio=ac de "sonder" le *socio=rien niveau potentiel *socio=nil de la production*socio=ec1 apparaît justifiée, étant donné l'expérience*socio=ec2 des États-unis*socio=ac en la matière*socio=rien et compte*socio=rien tenu de la forte*socio=rien marge d'erreur*socio=uv4 entourant les estimations*socio=ec2 de l'écart*socio=rien conjoncturel*socio=uv4 et de la faiblesse*socio=ec2 actuelle*socio=te de l'inflation*socio=ec2. Il *socio=rien est clair *socio=nil cependant qu'une telle approche comporte un*socio=rien risque*socio=uv4 inflationniste*socio=ec2 plus grand*socio=rien due la *socio=rien démarche traditionnelle *socio=nil qui consiste à réagir de *socio=rien façon symétrique aux*socio=nil variations des*socio=nil estimations*socio=ec2 *socio=nil de l'écart*socio=rien entre la production*socio=ec1 effective*socio=rien et la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4. Les progrès*socio=uv1 continus*socio=te de l'assainissement*socio=uv3 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et pourraient atténuer certains des risques*socio=uv4 inhérents*socio=rien à cette stratégie*socio=et. L'amélioration*socio=uv1 de la situation*socio=rien budgétaire*socio=et à *socio=rien été remarquable,*socio=nil par*socio=nil rapport *socio=nil aux autres pays*socio=ac mais aussi au regard*socio=rien des chiffres passés*socio=te. Après*socio=rien une période*socio=te prolongée de déficits*socio=ec1 de *socio=rien grande ampleur,*socio=nil le*socio=nil budget*socio=ec1 des*socio=nil administrations_publiques*socio=ac est excédentaire *socio=nil depuis deux ans*socio=rien, pour la *socio=rien première fois *socio=nil depuis le début*socio=rien des années*socio=rien 50. En conséquence*socio=rien, le ratio*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 publique*socio=et s'est*socio=rien nettement orienté à la baisse*socio=ec2. Toutefois, sous l'effet*socio=rien d'une longue*socio=rien série de déficits*socio=ec1, la dette*socio=ec1 publique*socio=et à augmenté dans d'énormes*socio=rien proportions*socio=rien et en dépit*socio=rien de sa contraction*socio=ec2 récente*socio=rien elle reste*socio=rien très élevée*socio=uv4 par comparaison*socio=rien avec les autres pays*socio=ac. Parallèlement, avec le retour*socio=rien des excédents*socio=ec1 budgétaires*socio=et, les pressions*socio=ec2 en faveur*socio=rien de réductions*socio=ec2 d'impôts*socio=et et d'augmentations*socio=ec2 de dépenses*socio=ec1 plus rapides*socio=rien se sont intensifiées, de sorte*socio=rien que les progrès*socio=uv1 sur*socio=rien le front*socio=rien budgétaire*socio=et se sont ralentis. De fait*socio=rien, en 1997 comme en 1998, les nouvelles*socio=rien dépenses*socio=ec1 et réductions*socio=ec2 d'impôts*socio=et avaient été*socio=rien calibrées de manière*socio=rien à absorber l'excédent*socio=ec1 budgétaire*socio=et auquel on pouvait s'attendre sur*socio=rien la base*socio=rien de politiques*socio=et inchangées*socio=rien. Ainsi, le gouvernement_fédéral*socio=ac s'est*socio=rien efforcé de maintenir un*socio=rien équilibre*socio=uv3 budgétaire*socio=et relatif*socio=rien depuis que le déficit*socio=ec1 à été*socio=rien éliminé, en 1997/98. à l'échelon*socio=rien provincial*socio=te également, l'assainissement*socio=uv3 budgétaire*socio=et s'est*socio=rien nettement ralenti, même si les ratios*socio=ec1 d'endettement*socio=ec1 viennent tout juste*socio=rien de commencer à décroître, sous l'effet*socio=rien surtout de réductions*socio=ec2 d'impôts*socio=et dans *socio=rien bon nombre de*socio=nil provinces*socio=ac ou*socio=nil territoires*socio=te,*socio=nil *socio=nil mais aussi en raison*socio=rien de *socio=rien nouvelles initiatives en*socio=nil matière de*socio=nil dépenses*socio=ec1.*socio=nil On*socio=nil est *socio=nil ainsi amené à s'interroger sur*socio=rien le cadre*socio=rien dans lequel la politique_budgétaire*socio=et pourrait s'inscrire dans le long_terme*socio=te. Il sera crucial*socio=rien de réduire le ratio*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 publique*socio=et, actuellement élevé*socio=uv4, pour raffermir la confiance*socio=uv1 du marché*socio=ec1 dans la gestion*socio=ec2 budgétaire*socio=et du pays*socio=ac. En outre, un*socio=rien allégement*socio=uv3 du service_de_la_dette*socio=ec1 libérerait des ressources*socio=ec1 pour faire face*socio=rien aux priorités*socio=uv4 gouvernementales*socio=et que sont la réforme*socio=et du système_fiscal*socio=et et le renforcement*socio=ec2 des soins_de_santé*socio=et et de l'acquisition*socio=rien de compétences*socio=uv3. S'il n'est*socio=rien pas aisé*socio=rien de déterminer le rythme*socio=rien de réduction*socio=ec2 de la dette*socio=ec1 que le gouvernement*socio=ac devait adopter, un*socio=rien objectif*socio=uv4 possible*socio=rien pourrait consister à aligner le *socio=ec1 ratio dette publique*socio=et totale*socio=rien/*socio=nil PIB du*socio=nil Canada*socio=ac sur*socio=rien *socio=nil ]a moyenne*socio=rien de l'OCDE*socio=ac, qui lui est*socio=rien aujourd'hui inférieure*socio=rien de 15 points*socio=rien environ. D'après*socio=rien les prévisions*socio=ec2 actuelles*socio=te, ce résultat*socio=rien pourrait être*socio=rien atteint en 2001. Le Canada*socio=ac pourrait aussi essayer d'égaler la performance*socio=uv3 des États-unis*socio=ac, qui constitue sans *socio=rien doute un élément de*socio=nil référence plus*socio=nil pertinent.*socio=nil *socio=nil En maintenant les budgets*socio=ec1 en équilibre*socio=uv3, dans l'optique*socio=rien des comptes*socio=rien publics*socio=et, à l'échelon*socio=rien fédéral*socio=et comme à l'échelon*socio=rien provincial*socio=te, il serait possible*socio=rien de ramener le ratio*socio=ec1 de la dette*socio=ec1 publique*socio=et à *socio=rien un niveau *socio=nil proche de celui des États-unis*socio=ac en une dizaine*socio=rien d'années*socio=rien. Ces deux objectifs*socio=uv4 ont *socio=rien un caractère *socio=nil relativement arbitraire, mais la théorie*socio=ec2 économique*socio=ec1 ne fournit guère d'éléments*socio=rien d'analyse*socio=rien précis*socio=rien en ce qui concerne les ratios*socio=ec1 appropriés de dette*socio=ec1 publique*socio=et. Il est*socio=rien néanmoins manifeste que la situation*socio=rien du Canada*socio=ac appelle une réduction*socio=ec2 soutenue et rapide*socio=rien de la dette*socio=ec1 publique*socio=et de manière*socio=rien à accélérer la baisse*socio=ec2 du *socio=ec1 ratio dette publique*socio=et/*socio=nil PIB.*socio=nil Des*socio=nil excédents budgétaires*socio=et *socio=nil serviraient aussi d'amortisseur contre des chocs*socio=ec2 économiques*socio=ec1 futurs*socio=rien. Une telle approche n'exclurait pas de *socio=rien nouvelles initiatives en*socio=nil matière de*socio=nil dépenses*socio=ec1 *socio=nil et de fiscalité*socio=et. De fait*socio=rien, *socio=rien un grand nombre de*socio=nil questions fiscales*socio=et *socio=nil restent à résoudre (notamment l'indexation*socio=ec1, les cotisations*socio=ec1 de retraite*socio=ec1 et d'assurance-emploi*socio=et et les impératifs*socio=uv4 d'efficience*socio=uv3 et de compétitivité*socio=uv3). La marge de manoeuvre*socio=rien dans ce domaine*socio=rien serait considérablement*socio=rien renforcée par une redéfinition*socio=uv3 des priorités*socio=uv4 et un*socio=rien contrôle*socio=uv3 étroit*socio=rien et permanent*socio=te des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et. Les réformes*socio=et de la politique_fiscale*socio=et et du secteur_public*socio=et sont