*{ OCDE: Rapport sur l'emploi 1977 } *socio=rien Chapitre titre *socio=nil d'une étude*socio=ec2 déposée par un*socio=rien groupe*socio=ac d'expert en juin*socio=rien 1977 et ayant pour titre*socio=rien "Pour le plein_emploi*socio=uv3 et la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1". POUR LE plein_emploi*socio=uv3 ET LA STABILITÉ*socio=uv3 DES PRIX*socio=ec1 LES OBJECTIFS*socio=uv4 DE L'ACTION*socio=rien GOUVERNEMENTALE*socio=et. L'objectif*socio=uv4 fondamental*socio=rien des gouvernements*socio=ac est*socio=rien de revenir à des taux_de_croissance*socio=ec1 raisonnables*socio=uv4 et à de *socio=rien hauts niveaux d'*socio=nil emploi*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil A notre avis*socio=rien, cela ne sera possible*socio=rien que si le problème*socio=uv4 de l'inflation*socio=ec2 est*socio=rien également résolu. Les *socio=rien événements récents *socio=nil ont engendré des anticipations*socio=uv3 pessimistes*socio=uv2. Les agents*socio=ac économiques*socio=ec1 s'attendent à des taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 beaucoup plus élevés*socio=uv4 que dans les années*socio=rien passées*socio=te, et ils sont assez sceptiques quant aux perspectives*socio=te de croissance*socio=uv3 de la production*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1. La *socio=rien situation initiale *socio=nil à partir de laquelle doit se faire le retour*socio=rien au plein_emploi*socio=uv3 et à la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 n'est*socio=rien pas favorable*socio=ec2. Dans ces conditions*socio=ec1, les gouvernements*socio=ac ont raison*socio=rien de viser *socio=rien un retour progressif au*socio=nil plein_emploi*socio=uv3 *socio=nil et à la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1. Ce qu'il faut, c'est*socio=rien une expansion*socio=ec2 modérée niais durable*socio=uv4, moins rapide*socio=rien dans sa phase*socio=te initiale*socio=rien qu'on eût pu le souhaiter dans d'autres circonstances*socio=rien, de manière*socio=rien à laisser s'estomper le souvenir de l'inflation*socio=ec2 récente*socio=rien et à rétablir la confiance*socio=uv1 des entreprises*socio=ac et des travailleurs*socio=ac dans les perspectives*socio=te d'évolution*socio=rien des affaires*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1. Cela laissera aussi le temps*socio=rien de procéder aux investissements*socio=ec1 et aux restructurations*socio=et industrielles*socio=ec1 qui se révèlent nécessaires*socio=rien à l'issue*socio=rien d'une récession*socio=ec2 profonde*socio=rien et compte*socio=rien tenu des *socio=rien modifications importantes *socio=nil intervenues dans les prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien. Une reprise trop forte*socio=rien dans sa phase*socio=te initiale*socio=rien aurait rapidement conduit à une résurgence*socio=ec2 des *socio=ec2 tensions inflationnistes.*socio=nil *socio=nil Des doutes seraient alors apparus quant au caractère*socio=rien durable*socio=uv4 du redressement*socio=ec2, les investissements*socio=ec1 s'en seraient trouvés freinés et les gouvernements*socio=ac auraient été*socio=rien contraints*socio=uv2 de revenir à des politiques*socio=et restrictives*socio=uv4, ce qui aurait abouti, fort*socio=rien probablement dès 1977 ou 1978, à une nouvelle*socio=rien récession*socio=ec2 et à des niveaux*socio=rien de chômage*socio=ec1 encore plus élevés*socio=uv4. Après*socio=rien l'expérience*socio=ec2 malheureuse des *socio=rien années récentes,*socio=nil *socio=nil on peut craindre que, pour un*socio=rien accroissement*socio=ec2 donné de la demande*socio=ec1, les risques*socio=uv4 d'une recrudescence*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2 ne soient plus grands*socio=rien, et les chances*socio=rien de voir se redresser les investissements*socio=ec1 moins grandes*socio=rien, que par le passé*socio=te. Il serait donc dangereux*socio=uv2 de vouloir*socio=rien aller, ou trop vite, ou trop lentement. L'objectif*socio=uv4 à viser est*socio=rien une expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 légèrement plus rapide*socio=rien que celle de l'_offre*socio=ec1 potentielle*socio=uv4. A notre avis*socio=rien, on peut raisonnablement s'attendre à une période*socio=te de *socio=ec2 progression régulière du*socio=nil revenu*socio=ec1 réel *socio=nil et de l'emploi*socio=ec1, les *socio=rien taux annuels d'*socio=nil accroissement*socio=ec2 du*socio=nil PNB*socio=ec1 réel*socio=ec2 *socio=nil s'établissant en moyenne*socio=rien à 51/2% pour l'ensemble*socio=rien de la zone_de_l'_ocde*socio=te sur*socio=rien la période*socio=te de *socio=rien cinq ans *socio=nil allant de 1975 à 1980. Il ne sera pas aisé*socio=rien de relever le niveau*socio=rien de l'emploi*socio=ec1 et les taux*socio=rien d'utilisation*socio=rien des capacités*socio=uv3 tout en cherchant en même temps*socio=rien à réduire encore le taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2. L'accroissement*socio=ec2 de la production*socio=ec1 allégera la charge*socio=rien des coûts*socio=ec1 fixes et atténuera les conflits*socio=uv1 afférents*socio=rien à la répartition*socio=uv3 des revenus*socio=ec1; par contre, l'expansion*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 entraînera, au bout*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain temps,*socio=nil des*socio=nil pressions*socio=ec2 en*socio=nil hausse sur les*socio=nil coûts*socio=ec1 *socio=nil et les prix*socio=ec1. Pour ramener progressivement*socio=rien l'inflation*socio=ec2 à *socio=rien un niveau acceptable*socio=uv2,*socio=nil les*socio=nil gouvernements*socio=ac *socio=nil devront donc recourir à *socio=rien un ensemble de*socio=nil mesures*socio=et monétaires*socio=ec1 et*socio=nil budgétaires*socio=et *socio=nil habilement dosées et, le cas*socio=rien échéant, faire appel*socio=rien à la politique*socio=et des prix*socio=ec1 et des revenus*socio=ec1. ce n'est*socio=rien pas à cause*socio=rien de tensions*socio=ec2 qui s'exerceraient Sur*socio=rien les marchés_du_travail*socio=ec1 - où subsiste encore *socio=rien un important chômage*socio=ec1 *socio=nil -qu'il faut éviter une croissance*socio=uv3 abrupte de la demande*socio=ec1, mais parce que, malgré les marges considérables*socio=rien de ressources*socio=ec1 actuellement inemployées*socio=ec2, *socio=rien un rythme d'*socio=nil accroissement*socio=ec2 trop*socio=nil rapide *socio=nil de la demande*socio=ec1 ferait renaître, sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des matières_premières*socio=ec1 et des produits*socio=rien, les anticipations*socio=uv3 qui ont caractérisé la phase*socio=te de haute*socio=rien conjoncture*socio=te de 1972-73, et dont les effets*socio=rien se répercuteraient en *socio=rien retour sur les*socio=nil marchés_du_travail*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil On ne saurait se dissimuler les conséquences*socio=rien qu'un*socio=rien chômage*socio=ec1 prolongé risque*socio=uv4 d'avoir à la longue*socio=rien, qu'il s'agisse des tensions*socio=ec2 sociales*socio=et, raciales et régionales*socio=te et, en fin*socio=rien de compte*socio=rien, (les attitudes*socio=uv3 à l'égard*socio=rien du travail*socio=ec1 et de la société*socio=ac en général*socio=rien. Au lieu*socio=rien d'une forte*socio=rien reprise initiale*socio=rien, suivie à *socio=rien bref délai *socio=nil par une nouvelle*socio=rien récession*socio=ec2, il vaut mieux accepter, malgré toutes les réticences*socio=rien que l'on peut éprouver à agir de la sorte*socio=rien, que les taux*socio=rien de chômage*socio=ec1 baissent moins rapidement maintenant, de manière*socio=rien à pouvoir*socio=et les ramener par la suite*socio=rien à des niveaux*socio=rien plus bas*socio=rien. Le profil*socio=rien de reprise à viser est*socio=rien celui qui permettra d'arriver à un*socio=rien chômage*socio=ec1 moyen*socio=rien aussi bas*socio=rien que *socio=rien possible sur l'*socio=nil ensemble *socio=nil de la période*socio=te de reprise. Nous rejetons l'idée*socio=rien que l'inflation*socio=ec2 puisse *socio=rien être un moyen *socio=nil de résoudre les tensions*socio=ec2 fondamentales*socio=uv4 qui l'ont précisément engendrée au départ*socio=rien. Les *socio=rien évolutions récentes *socio=nil n'ont montré que trop clairement comment l'inflation*socio=ec2 tendait à s'alimenter d'elle-même dès lors*socio=rien que l'illusion monétaire*socio=ec1 avait disparu, et que chacun cherchait à se prémunir contre de nouvelles*socio=rien hausses de prix*socio=ec1. L'inflation*socio=ec2 est*socio=rien injuste pour les groupes*socio=ac faibles*socio=rien et non organisés de la collectivité*socio=ac; elle freine la croissance*socio=uv3 dans la mesure*socio=rien où elle affaiblit l'efficacité*socio=uv3 du système_économique*socio=ec1 et crée l'incertitude*socio=uv3. Nos économies*socio=ec1 ne peuvent supporter longtemps une inflation*socio=ec2 qui s'accélère et, une fois*socio=rien cette accélération*socio=ec2 amorcée, le retour*socio=rien à une situation*socio=rien plus stable*socio=uv4 *socio=rien est loin d'*socio=nil être facile.*socio=nil *socio=nil Il faut donc viser à ramener le rythme*socio=rien d'inflation*socio=ec2 au-dessous du point*socio=rien à partir duquel il tend à s'accélérer et veiller à ce que, par sa rapidité*socio=rien ou sa variabilité*socio=uv3, il n'en arrive pas à empêcher la monnaie*socio=ec1 de remplir correctement sa fonction*socio=rien d'étalon de valeur*socio=ec1. La seconde de nos *socio=rien principales recommandations *socio=nil concerne non seulement la phase*socio=te de reprise, mais aussi la période*socio=te postérieure au rétablissement*socio=rien de niveaux*socio=rien d'emplois*socio=ec1 élevés*socio=uv4. Nous pensons qu'à l'avenir*socio=rien, lorsqu'ils définiront, expliqueront et mettront en oeuvre*socio=rien leur politique*socio=et, les gouvernements*socio=ac devront faire savoir*socio=rien plus clairement qu'ils n'accepteront pas - et, en définitive*socio=rien, qu'ils ne seront pas en mesure*socio=rien - de mener des politiques*socio=et qui permettraient ou accompagneraient (les taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 élevés*socio=uv4. Si l'on veut s'engager dans la voie*socio=rien d'un*socio=rien retour*socio=rien durable*socio=uv4 au plein_emploi*socio=uv3, il faut d'abord*socio=rien admettre que les gouvernements*socio=ac ne peuvent, en toutes circonstances*socio=rien, garantir le plein_emploi*socio=uv3 sans tenir compte*socio=rien de l'évolution*socio=rien des prix*socio=ec1 et des salaires*socio=ec1. Durant le *socio=rien grand essor économique*socio=ec1 *socio=nil de l'après-guerre*socio=te, les responsables*socio=uv2 de la détermination*socio=rien des prix*socio=ec1 et des négociations*socio=et de salaires*socio=ec1 se sont de plus en plus comportés comme s'il était exclu*socio=rien que des augmentations*socio=ec2 de prix*socio=ec1 ou de salaires*socio=ec1, aussi importantes*socio=rien soient-elles, puissent leur faire perdre des marchés*socio=ec1 ou des emplois*socio=ec1. La récession*socio=ec2 de 1974-75 a *socio=rien été un pénible rappel *socio=nil à la réalité*socio=ec2, mais elle a aussi ouvert*socio=uv4 des perspectives*socio=te nouvelles*socio=rien. Si cette leçon peut *socio=rien être retenue *socio=nil - à savoir*socio=rien qu'un*socio=rien comportement*socio=rien inflationniste*socio=ec2 aboutit inévitablement à un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 des affaires*socio=ec1 et à des pertes*socio=ec2 d'emplois*socio=ec1 -alors on devrait pouvoir*socio=et relever les niveaux*socio=rien d'emploi*socio=ec1, réduire les taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 et assurer des taux_de_croissance*socio=ec1 plus durables*socio=uv4. Une Politique*socio=et traduisant la volonté*socio=uv1 des gouvernements*socio=ac de ne pas s'accommoder de taux*socio=rien élevés*socio=uv4 d'inflation*socio=ec2 devrait incorporer quelques-uns ou l'ensemble*socio=rien des *socio=rien éléments suivants:*socio=nil fixation*socio=ec1 d'*socio=nil objectifs*socio=uv4 officiels*socio=et *socio=nil pour l'expansion*socio=ec2 des *socio=ec1 agrégats monétaires;*socio=nil politique_budgétaire*socio=et axée*socio=nil *socio=rien sur un objectif*socio=uv4 *socio=nil visant à éviter que les finances*socio=ec1 publiques*socio=et ne donnent une *socio=ec2 impulsion inflationniste à*socio=nil moyen_terme*socio=te;*socio=nil politique*socio=et des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil et des revenus*socio=ec1 conçue de façon*socio=rien à indiquer plus clairement quelles sont les évolutions*socio=rien de prix*socio=ec1 et de salaires*socio=ec1 compatibles*socio=rien avec la réalisation*socio=uv1 et le maintien*socio=rien du plein_emploi*socio=uv3; et mesures*socio=et visant à récompenser ou à pénaliser les agents*socio=ac économiques*socio=ec1, suivant*socio=rien qu'ils respectent ou non les principes*socio=ec2 directeurs*socio=rien concernant l'évolution*socio=rien des prix*socio=ec1 et des revenus*socio=ec1. La politique*socio=et du taux_de_change*socio=ec1 peut aussi jouer *socio=rien un rôle utile*socio=uv4;*socio=nil les*socio=nil petits pays*socio=ac *socio=nil dont l'économie*socio=ec1 est*socio=rien largement ouverte*socio=uv4 sur*socio=rien l'extérieur*socio=te auraient peut-être intérêt*socio=uv1, pour infléchir leurs *socio=ec2 tendances inflationnistes,*socio=nil *socio=nil à lier leur taux_de_change*socio=ec1 à celui d'un*socio=rien grand*socio=rien pays*socio=ac dont l'économie*socio=ec1 est*socio=rien plus stable*socio=uv4. Le dosage*socio=rien correct des politiques*socio=et à appliquer variera suivant*socio=rien les particularités*socio=rien de chaque pays*socio=ac, et notamment selon la force*socio=uv1 du gouvernement*socio=ac et de ses organes*socio=ac constitutifs, le statut*socio=et et le prestige de la banque_centrale*socio=ac, ainsi que des centrales*socio=rien patronales*socio=ec1 et syndicales*socio=ac. La difficulté*socio=uv4 pour les gouvernements*socio=ac d'appliquer une politique*socio=et répondant à ces critères*socio=rien dépendra de la mesure*socio=rien dans laquelle les *socio=rien décisions relatives aux*socio=nil salaires*socio=ec1 *socio=nil et aux prix*socio=ec1 sont monopolisées et politisées, de l'histoire*socio=te passée*socio=te de chaques pays*socio=ac au regard*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 et du chômage*socio=ec1, du degré*socio=rien d'homogénéité*socio=uv3 de l'existence*socio=rien éventuelle*socio=rien de divisions*socio=rien politiques*socio=et profondes*socio=rien etc. Cela souligne l'importance*socio=rien de toute action*socio=rien qui peut être*socio=rien entreprise*socio=ac pour renforcer la concurrence*socio=ec1. Toutefois, dans des conditions*socio=ec1 défavorables*socio=uv4, une politique*socio=et de non-accompagnement*socio=uv3 de l'inflation*socio=ec2, fondée sur*socio=rien une approche macro-économique*socio=ec1 générale*socio=rien, peut laisser subsister une situation*socio=rien caractérisée par des *socio=rien niveaux inacceptables d'*socio=nil inflation*socio=ec2 *socio=nil ou de chômage*socio=ec1, ou les deux à la fois*socio=rien; peut-être n'y a-t-il alors d'autre choix*socio=uv1 pour les gouvernements*socio=ac que d'adopter des politiques*socio=et impliquant une intervention*socio=et plus poussée dans le processus*socio=te de détermination*socio=rien des prix*socio=ec1 et des revenus*socio=ec1, avec toutes les difficultés*socio=uv4 et les risques*socio=uv4 que cela comporte. ASSURER UNE MEILLEURE*socio=rien RÉGULATION*socio=et DE LA DEMANDE*socio=ec1. C'est*socio=rien d'abord*socio=rien par leur *socio=rien action sur les*socio=nil recettes*socio=ec1 *socio=nil et les dépenses*socio=ec1 Publiques*socio=et, ainsi que sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1, la masse_monétaire*socio=ec1 et l'_offre*socio=ec1 de crédit*socio=ec1, que les gouvernements*socio=ac pourront le mieux assurer la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 et contenir l'inflation*socio=ec2. A l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, les autorités*socio=et doivent s'employer à guider la demande*socio=ec1 le long*socio=rien du sentier*socio=rien relativement étroit*socio=rien qui devrait permettre d'assurer une reprise durable*socio=uv4. La *socio=rien limite inférieure *socio=nil de ce *socio=rien sentier est *socio=nil déterminée par la nécessité*socio=uv1 d'atteindre *socio=rien un taux d'*socio=nil expansion*socio=ec2 suffisant *socio=nil Pour favoriser le redressement*socio=ec2 des investissements*socio=ec1, en permettant aux entreprises*socio=ac de mieux étaler leurs coûts*socio=ec1 fixes et d'améliorer leurs marges bénéficiaires*socio=ac, et en créant *socio=rien Un climat *socio=nil tel qu'elles s'attendent à avoir besoin*socio=uv1 de capacités*socio=uv3 supplémentaires*socio=rien dans un*socio=rien avenir*socio=te raisonnablement proche. La *socio=rien limite supérieure du*socio=nil sentier est *socio=nil déterminée par le point*socio=rien à partir duquel un*socio=rien accroissement*socio=ec2 rapide*socio=rien de la demande*socio=ec1 globale*socio=rien aurait pour effet*socio=rien de ranimer les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2. Dans ces conditions*socio=ec1, les pouvoirs_publics*socio=et devraient peut-être suivre une politique*socio=et de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 relativement active*socio=uv4, qui impliquerait des injections successives*socio=rien de pouvoir_d'_achat*socio=ec1 *socio=rien sur un certain nombre de*socio=nil mois *socio=nil ou même d'années*socio=rien, tout en se tenant prêts*socio=ec1 à commencer de réduire les impulsions dès lors*socio=rien que les forces*socio=uv1 endogènes s'affermiraient. Mais étant donné la difficulté*socio=uv4 de détecter les changements*socio=uv3 de tendance*socio=ec2, et compte*socio=rien tenu des erreurs*socio=uv4 possibles*socio=rien de prévision*socio=ec2 et des délais*socio=rien qui s'écoulent avant que les mesures*socio=et nécessaires*socio=rien ne soient prises*socio=rien et ne fassent sentir leurs effets*socio=rien, les politiques*socio=et de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 doivent également être*socio=rien prudentes*socio=uv2 en ce sens*socio=rien que, lorsqu'il semble nécessaire*socio=rien de changer de cap*socio=rien, il faut se garder d'appliquer en une *socio=rien seule fois *socio=nil toute la dose d'expansion*socio=ec2 ou de restriction*socio=et apparemment requise*socio=uv4. Les pouvoirs_publics*socio=et doivent être*socio=rien prêts*socio=ec1 à agir assez rapidement, mais ils doivent aussi essayer de régler la demande*socio=ec1 sans heurts, en procédant par approximations successives*socio=rien. A mesure*socio=rien que les anticipations*socio=uv3 concernant l'inflation*socio=ec2 et la croissance*socio=uv3 s'assainiront, il devrait être*socio=rien de plus en plus possible*socio=rien aux autorités*socio=et, et d'ailleurs*socio=rien préférable*socio=uv4, de définir*socio=rien les politiques_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et en fonction*socio=rien des besoins*socio=uv1 à moyen_terme*socio=te et, pour corriger les *socio=rien écarts mineurs *socio=nil de la demande*socio=ec1 globale*socio=rien par rapport*socio=rien à la trajectoire*socio=ec2 tracée, de s'en remettre aux stabilisateurs*socio=uv4 incorporés, destinés à renforcer les mécanismes*socio=et auto-correcteurs de l'économie*socio=ec1. Il restera évidemment nécessaire*socio=rien de recourir à des mesures*socio=et délibérées en cas*socio=rien de perturbations*socio=ec2 importantes*socio=rien. Les pouvoirs_publics*socio=et peuvent et doivent contribuer à assainir les anticipations*socio=uv3 concernant l'inflation*socio=ec2 et la croissance*socio=uv3, en insistant davantage sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'harmoniser la régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 à court_terme*socio=te avec les objectifs*socio=uv4 à moyen_terme*socio=te de la politique_économique*socio=et. En étant replacées de façon*socio=rien plus explicite*socio=rien dans le cadre*socio=rien du moyen_terme*socio=te, les politiques*socio=et de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 devraient présenter *socio=rien un caractère plus*socio=nil stable*socio=uv4 *socio=nil et plus prévisible*socio=uv4. politique_monétaire*socio=et. La politique_monétaire*socio=et agit normalement sur*socio=rien l'inflation*socio=ec2 de par son incidence*socio=ec2 sur*socio=rien les décisions*socio=rien de dépense*socio=ec1 ou d'épargne*socio=ec1, et donc sur*socio=rien la pression*socio=ec2 de la demande*socio=ec1. Toutefois, comme on a pu le voir très nettement durant la période*socio=te de forte*socio=rien expansion*socio=ec2 de 1972-73, la politique_monétaire*socio=et peut plus particulièrement avoir une incidence*socio=ec2 sur*socio=rien les prix*socio=ec1 par certains canaux bien*socio=rien délimités, comme les marchés*socio=ec1 de l'immobilier*socio=ec1 et des produits*socio=rien de base*socio=rien. Si l'_offre*socio=ec1 est*socio=rien inélastique et le crédit*socio=ec1 abondant, de fortes*socio=rien hausses de prix*socio=ec1 peuvent en effet*socio=rien facilement se déclencher sur*socio=rien ces marchés*socio=ec1 et s'alimenter ensuite d'elles-mêmes, ce qui aura des répercussions*socio=ec2 *socio=rien importantes sur les*socio=nil anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 en*socio=nil général *socio=nil et, partant, sur*socio=rien les négociations*socio=et salariales*socio=ec1 et les prix*socio=ec1 pratiqués dans d'autres secteurs*socio=rien de l'économie*socio=ec1. Les erreurs*socio=uv4 qui ont conduit à l'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 excessive*socio=rien de 1971-72 ont été*socio=rien dues pour une part*socio=rien aux événements*socio=rien ayant entouré la dislocation du système*socio=rien de parités*socio=ec1 ajustables. Mais elles ont aussi résulté du fait*socio=rien que l'on n'a pas su pleinement évaluer toutes les conséquences*socio=rien de la forte*socio=rien montée des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2, notamment pour interpréter l'évolution*socio=rien des *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux,*socio=nil *socio=nil et du fait*socio=rien que les phénomènes*socio=rien monétaires*socio=ec1 ne font souvent sentir leurs *socio=rien principaux effets sur le*socio=nil monde*socio=te réel*socio=ec2 *socio=nil qu'avec *socio=rien un décalage assez*socio=nil long.*socio=nil *socio=nil Nous croyons que l'annonce publique*socio=et d'objectifs*socio=uv4 concernant le taux_de_croissance*socio=ec1 de la masse_monétaire*socio=ec1 constituerait pour les gouvernements*socio=ac l'un*socio=rien des meilleurs*socio=rien moyens*socio=ec1 de faire savoir*socio=rien clairement qu'ils sont déterminés à ne pas s'accommoder de taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 élevés*socio=uv4. Dans les circonstances*socio=rien actuelles*socio=te, il faudrait viser à réduire progressivement*socio=rien ces objectifs*socio=uv4 dans le temps*socio=rien, à mesure*socio=rien que le taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 serait ramené vers des niveaux*socio=rien acceptables*socio=uv2. Le réalisme, en économie*socio=ec1 aussi bien*socio=rien qu'en politique*socio=et, conduit à penser que les gouvernements*socio=ac n'arriveront pas toujours à atteindre leur objectif*socio=uv4 monétaire*socio=ec1. Nous pensons donc, pour la plupart*socio=rien, que cette approche doit être*socio=rien pragmatique*socio=uv4 et relativement souple*socio=uv4, en retenant par exemple*socio=rien, comme taux*socio=rien d'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 admissible, non pas une valeur*socio=ec1 fixe mais plutôt une fourchette*socio=rien avec une *socio=rien limite inférieure *socio=nil et une *socio=rien limite supérieure.*socio=nil D'*socio=nil un autre*socio=nil côté,*socio=nil une*socio=nil souplesse*socio=uv3 excessive *socio=nil pourrait finalement jeter le discrédit sur*socio=rien cette approche. Il est*socio=rien d'autres raisons*socio=rien pour lesquelles les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 devraient s'attacher, un*socio=rien peu plus que dans le passé*socio=te, à l'évolution*socio=rien des *socio=ec1 agrégats monétaires et*socio=nil un*socio=rien *socio=nil peu moins à celle des taux_d'_intérêt*socio=ec1. Dans une période*socio=te où l'illusion monétaire*socio=ec1 s'estompe, les fluctuations*socio=ec2 des anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 ont tendance*socio=ec2 à se traduire directement par des variations*socio=rien imprévisibles*socio=uv4 des *socio=ec1 taux_d'_intérêt nominaux;*socio=nil *socio=nil dans ces conditions*socio=ec1, les autorités*socio=et monétaires*socio=ec1 risquent sans doute*socio=rien davantage de se tromper et de s'écarter des résultats*socio=rien souhaités, si elles mènent leur action*socio=rien en fonction*socio=rien d'un*socio=rien objectif*socio=uv4 axé sur*socio=rien les taux_d'_intérêt*socio=ec1 plutôt que sur*socio=rien les *socio=ec1 agrégats monétaires.*socio=nil *socio=nil En outre, en s'attachant trop aux taux_d'_intérêt*socio=ec1, le gouvernement*socio=ac risque*socio=uv4, étant donné son propre*socio=rien avantage en tant qu'emprunteur*socio=ac, d'introduire une distorsion*socio=uv4 expansionniste*socio=ec2 dans sa politique_monétaire*socio=et. Il n'y a pas de *socio=rien raison intrinsèque *socio=nil pour que la *socio=rien relation fonctionnelle *socio=nil qui détermine la demande*socio=ec1 de monnaie*socio=ec1 se traduise par une relation*socio=rien d'équivalence entre les variations*socio=rien de l'agrégat*socio=ec1 monétaire*socio=ec1 choisi et celles du revenu*socio=ec1 national*socio=te nominal*socio=rien. A court_terme*socio=te, l'objectif*socio=uv4 devra être*socio=rien ajusté en fonction*socio=rien des variations*socio=rien de la vitesse*socio=rien de circulation*socio=ec2 de la monnaie*socio=ec1, ayant *socio=rien un caractère conjoncturel*socio=uv4 *socio=nil ou liées à l'évolution*socio=rien des taux_d'_intérêt*socio=ec1, et il faudra peut-être le réviser en cas*socio=rien de graves*socio=rien perturbations*socio=ec2 exogènes*socio=rien. A plus long_terme*socio=te, il y aura des variations*socio=rien de longue*socio=rien durée*socio=te dans la demande*socio=ec1 des actifs*socio=ec1 considérés comme faisant partie*socio=rien de la masse_monétaire*socio=ec1. Ces facteurs*socio=rien doivent être*socio=rien pris en considération*socio=rien lorsqu'il s'agit aussi bien*socio=rien de définir*socio=rien des objectifs*socio=uv4 nationaux*socio=te que de comparer la rigueur*socio=uv3 des politiques_monétaires*socio=et suivies dans divers pays*socio=ac. Financement*socio=ec1 des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et. La très forte*socio=rien expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 de 1971-72 n'a pas été*socio=rien due essentiellement à la nécessité*socio=uv1 de financer des déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et; d'un*socio=rien autre côté*socio=rien, les déficits*socio=ec1 énormes*socio=rien provoqués récemment par la récession*socio=ec2 et par la nécessité*socio=uv1 de contrebalancer les importants*socio=rien *socio=ec1 excédents financiers *socio=nil de certains pays*socio=ac pétroliers*socio=ec1 ont généralement pu être*socio=rien couverts sans que l'expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 devienne excessive*socio=rien. De toute évidence*socio=rien, lorsqu'un*socio=rien gouvernement*socio=ac apprécie correctement le déficit*socio=ec1 (ou l'excédent*socio=ec1) nécessaire*socio=rien pour compenser l'écart*socio=rien entre l'épargne*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 du secteur_privé*socio=et, ce déficit*socio=ec1 peut être*socio=rien financé sans qu'il en résulte forcément *socio=rien un taux d'*socio=nil expansion*socio=ec2 monétaire*socio=ec1 de*socio=nil nature *socio=nil à provoquer ultérieurement l'inflation*socio=ec2, ou sans que les taux_d'_intérêt*socio=ec1 montent à *socio=rien un niveau *socio=nil tel que leurs effets*socio=rien défavorables*socio=uv4 sur*socio=rien les dépenses*socio=ec1 privées*socio=et viennent annuler l'effet*socio=rien stimulant du budget*socio=ec1. Des difficultés*socio=uv4 peuvent surgir dans la pratique*socio=rien, notamment lorsque l'opinion*socio=ac publique*socio=et en général*socio=rien tend à voir dans l'existence*socio=rien d'un*socio=rien important*socio=rien déficit*socio=ec1 budgétaire*socio=et la probabilité*socio=ec2 d'une accélération*socio=ec2 de l'inflation*socio=ec2. Ces difficultés*socio=uv4 pourraient être*socio=rien atténuées par l'émission*socio=rien de titres*socio=rien publics*socio=et indexés. Il importe également d'essayer sans cesse de convaincre l'opinion*socio=ac que les déficits*socio=ec1 budgétaires*socio=et ne sont pas en eux-mêmes inflationnistes*socio=ec2, dans la mesure*socio=rien où ils n'excèdent pas ce qu'il faut pour compenser l'excès*socio=rien d'épargne*socio=ec1 du secteur_privé*socio=et. L'expérience*socio=ec2 récente*socio=rien montre que les autorités*socio=et ne perdent pas nécessairement le contrôle*socio=uv3 des variables*socio=ec2 monétaires*socio=ec1 en période*socio=te de récession*socio=ec2 anormale, et qu'une politique_monétaire*socio=et prudente*socio=uv2 n'est*socio=rien pas incompatible*socio=uv4 avec une politique_budgétaire*socio=et de relance*socio=uv3 appropriée. Toutefois, à mesure*socio=rien que la reprise s'accélère, le maintien*socio=rien de l'équilibre*socio=uv3 économique*socio=ec1 global*socio=te requiert une réduction*socio=ec2 rapide*socio=rien du déficit*socio=ec1 du secteur_public*socio=et. Si les pouvoirs_publics*socio=et ne peuvent pas ou ne veulent pas prendre les mesures*socio=et nécessaires*socio=rien, on aboutit soit à une poussée d'inflation*socio=ec2, soit, dans le cas*socio=rien où un*socio=rien objectif*socio=uv4 monétaire*socio=ec1 est*socio=rien observé, à une *socio=rien forte hausse des*socio=nil taux_d'_intérêt*socio=ec1 qui*socio=nil fait *socio=nil que les emprunts*socio=ec1 et les investissements*socio=ec1 du secteur_privé*socio=et se trouvent "évincés". politique_budgétaire*socio=et. Les modifications*socio=rien des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et la fiscalité*socio=et ont généralement eu l'incidence*socio=ec2 que l'on pouvait escompter sur*socio=rien l'activité*socio=rien économique*socio=ec1, bien*socio=rien que parfois après*socio=rien des délais*socio=rien d'une *socio=rien longueur inattendue *socio=nil et malencontreuse. Les échecs*socio=rien de la politique_budgétaire*socio=et ne résultent pas tellement - ou, du moins, pas seulement - du fait*socio=rien que les mesures*socio=et n'ont pas *socio=rien été prises au*socio=nil moment opportun du*socio=nil point de*socio=nil vue *socio=nil de la régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 à court_terme*socio=te; ils sont plutôt dus au fait*socio=rien que l'on n'a pas su assurer à la fois*socio=rien la souplesse*socio=uv3 voulue à court_terme*socio=te et la *socio=rien maîtrise nécessaire *socio=nil de l'équilibre*socio=uv3 entre l'accroissement*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et et l'accroissement*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 privées*socio=et à moyen_terme*socio=te. Les gouvernements*socio=ac devraient établir et publier des objectifs*socio=uv4 budgétaires*socio=et à moyen_terme*socio=te, conçus de manière*socio=rien à indiquer la position*socio=rien budgétaire*socio=et fondamentale*socio=uv4 pour laquelle - aux niveaux*socio=rien souhaités de production*socio=ec1, d'emploi*socio=ec1 et de prix*socio=ec1 - tout écart*socio=rien entre l'épargne*socio=ec1 privée*socio=et et l'investissement*socio=ec1 intérieur*socio=te privé*socio=et (augmenté des exportations*socio=ec1 persistantes*socio=rien d'épargne*socio=ec1 intérieure*socio=te) est*socio=rien équilibré par *socio=rien un écart *socio=nil correspondant et de *socio=rien sens contraire *socio=nil entre les dépenses*socio=ec1 et les recettes_publiques*socio=et. Les gouvernements*socio=ac devraient aussi fournir régulièrement une analyse*socio=rien de la situation*socio=rien indiquant dans quelle mesure*socio=rien les écarts*socio=rien observés entre les résultats*socio=rien et les objectifs*socio=uv4 budgétaires*socio=et tiennent à leur action*socio=rien délibérée plutôt qu'au jeu*socio=rien des stabilisateurs*socio=uv4 automatiques*socio=rien, et faire savoir*socio=rien comment ils se proposent en fin*socio=rien de compte*socio=rien d'annuler ou de compenser les mesures*socio=et anticycliques délibérées qu'ils ont été*socio=rien amenés à prendre. En formulant*socio=rien cette suggestion*socio=rien, nous reprenons des idées*socio=rien qui sont à la base*socio=rien de *socio=rien diverses tentatives *socio=nil déjà faites dans ce sens*socio=rien, comme la notion*socio=rien d'"excédent*socio=ec1 budgétaire*socio=et de plein*socio=rien" aux États-unis*socio=ac, celle de "budget*socio=ec1 neutre*socio=rien" en Allemagne*socio=ac ou la "politique_budgétaire*socio=et structurelle*socio=uv4" aux Pays-bas*socio=ac, sans vouloir*socio=rien pour autant nous prononcer en faveur*socio=rien d'une *socio=rien technique particulière.*socio=nil L'*socio=nil intégration*socio=uv1 d'*socio=nil objectifs*socio=uv4 budgétaires*socio=et *socio=nil dans des projections*socio=ec2 à moyen_terme*socio=te, régulièrement révisées, permettrait d'ajuster avec la souplesse*socio=uv3 voulue la position*socio=rien budgétaire*socio=et à plus long_terme*socio=te en fonction*socio=rien des événements*socio=rien imprévus*socio=uv4 qui peuvent survenir et de l'évolution*socio=rien des préférences*socio=uv4 du public*socio=et quant aux priorités*socio=uv4 économiques*socio=ec1 et sociales*socio=et à moyen_terme*socio=te. Dans le même temps*socio=rien, la poursuite*socio=rien d'objectifs*socio=uv4 budgétaires*socio=et, établis en fonction*socio=rien de la situation*socio=rien du secteur_public*socio=et dans le cadre*socio=rien d'une projection*socio=ec2 à moyen_terme*socio=te de la structure*socio=ec1 de la demande*socio=ec1 intérieure*socio=te et de la balance*socio=ec1 extérieure*socio=te, aiderait les pouvoirs_publics*socio=et à concilier leurs *socio=et mesures budgétaires de*socio=nil stabilisation à*socio=nil court_terme*socio=te *socio=nil avec les objectifs*socio=uv4 économiques*socio=ec1 et sociaux*socio=et à relativement long_terme*socio=te, notamment si cela était assorti de normes*socio=et à moyen*socio=rien ternie visant les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et. Des normes*socio=et rigoureuses*socio=uv4 concernant le déficit*socio=ec1 des finances*socio=ec1 publiques*socio=et deviendront de plus en plus nécessaires*socio=rien à mesure*socio=rien que la reprise progressera et que le *socio=ec1 solde épargne /*socio=nil investissement *socio=nil s'inversera, les propensions à épargner et à investir retrouvant des valeurs*socio=ec1 plus normales*socio=rien. Nous serions favorables*socio=ec2 à des procédures*socio=et administratives*socio=rien de régulation*socio=et des dépenses*socio=ec1, qui agiraient automatiquement sur*socio=rien les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et en termes*socio=rien réels*socio=ec2 et sur*socio=rien les négociations*socio=et salariales*socio=ec1 dans le secteur*socio=rien publie, dès lors*socio=rien qu'au cours*socio=rien de l'exercice*socio=rien budgétaire*socio=et le taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 affectant les programmes*socio=et de dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et viendrait à dépasser le *socio=rien taux retenu comme*socio=nil objectif*socio=uv4.*socio=nil Les*socio=nil mesures*socio=et de*socio=nil *socio=et stabilisation budgétaire de*socio=nil caractère*socio=rien *socio=nil délibéré devraient normalement, soit *socio=rien être temporaires,*socio=nil *socio=nil soit s'amortir d'elles-mêmes, soit prendre la forme*socio=rien d'une accélération*socio=ec2 ou d'un*socio=rien ralentissement*socio=ec2 des *socio=et programmes publics *socio=nil déjà décidés. Le fait*socio=rien de prévoir dans les textes*socio=rien que les majorations*socio=rien ou réductions*socio=ec2 d'impôts*socio=et cesseront d'être*socio=rien appliquées à une date donnée, peut grandement contribuer à provoquer un*socio=rien mouvement*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 privées*socio=et dans la direction*socio=et souhaitée. Contrairement à l'opinion*socio=ec2 communément admise, certains pays*socio=ac ont su atteindre *socio=rien un degré de*socio=nil souplesse*socio=uv3 fort utile*socio=uv4 en*socio=nil matière de*socio=nil dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et.*socio=nil L'*socio=nil action au*socio=nil plan des*socio=nil dépenses*socio=ec1 exerce*socio=nil sur l'*socio=nil économie*socio=ec1 un effet plus*socio=nil rapide *socio=nil et plus sûr*socio=rien et, lorsqu'elle doit être*socio=rien orientée dans *socio=rien un sens restrictif*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil elle a l'énorme*socio=rien avantage de ne pas faire monter les coûts*socio=ec1 et les prix*socio=ec1. On pourrait envisager "d'automatiser" l'action*socio=rien budgétaire*socio=et en incorporant dans la législation*socio=et des mécanismes*socio=et qui auraient pour effet*socio=rien de déclencher des mesures*socio=et visant la fiscalité*socio=et ou les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et si, par exemple*socio=rien, le chômage*socio=ec1 venait à dépasser *socio=rien un certain niveau,*socio=nil *socio=nil ou l'inflation*socio=ec2 *socio=rien un certain taux.*socio=nil *socio=nil Ainsi se trouverait étendue au domaine*socio=rien budgétaire*socio=et l'idée*socio=rien d'introduire des mécanismes*socio=et incorporés permettant d'exprimer concrètement la détermination*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=et de ne pas s'accommoder de taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 élevés*socio=uv4, tout en renforçant les stabilisateurs*socio=uv4 automatiques*socio=rien en tas d'insuffisance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1. *socio=et Mesures budgétaires et*socio=nil monétaires*socio=ec1 sélectives*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Il y a souvent avantage à mener des politiques*socio=et structurelles*socio=uv4 à moyen_terme*socio=te intéressant*socio=rien certains secteurs*socio=rien ou certaines*socio=rien régions*socio=te. Durant une récession*socio=ec2, il est*socio=rien aussi tentant de préconiser une approche sélective*socio=uv4 visant à stimuler la demande*socio=ec1 dans les secteurs*socio=rien ou les régions*socio=te où le chômage*socio=ec1 conjoncturel*socio=uv4 est*socio=rien élevé*socio=uv4. Mais, plus son *socio=rien action est sélective*socio=uv4,*socio=nil plus*socio=nil un gouvernement*socio=ac *socio=nil s'expose aux pressions*socio=ec2 des différents*socio=rien groupes_d'_intérêt*socio=ac. A la limite*socio=rien, le gouvernement*socio=ac: qui mène une politique*socio=et de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 nécessairement *socio=uv4 restrictive risque *socio=nil de se trouver ainsi amené à venir au secours de chacune des victimes*socio=ac inévitables*socio=rien de sa politique*socio=et - ce qui est*socio=rien la meilleure*socio=rien des recettes*socio=ec1, non pour assurer la croissance*socio=uv3 sans inflation*socio=ec2, mais l'inflation*socio=ec2 sans la croissance*socio=uv3. Toutefois, nous sommes pour la plupart*socio=rien en faveur*socio=rien de mesures*socio=et quasi sélectives*socio=uv4 visant à agir *socio=rien sur certaines grandes composantes*socio=ec1 *socio=nil de la demande*socio=ec1 - investissement*socio=ec1 productif*socio=uv4, construction*socio=ec1 de logements*socio=ec1, formation*socio=et de stocks*socio=ec1, consommation*socio=ec1, etc. L'expérience*socio=ec2 des pays*socio=ac qui ont eu recours*socio=ec1 à des *socio=et mesures budgétaires temporaires*socio=rien *socio=nil pour favoriser ou freiner la formation*socio=et de capital*socio=ec1 fixe, qu'il s'agisse des investissements*socio=ec1 productifs*socio=uv4 ou de la construction*socio=ec1 de logements*socio=ec1, est*socio=rien modérément encourageante. Nous avons noté avec intérêt*socio=uv1 le système*socio=rien suédois de subventions*socio=ec1 à la production*socio=ec1 destinée à la constitution*socio=rien de stocks*socio=ec1 en période*socio=te de récession*socio=ec2. Les majorations*socio=rien ou les réductions*socio=ec2 temporaires*socio=rien d'impôts*socio=et indirects*socio=rien peuvent être*socio=rien utilisées pour atténuer l'instabilité*socio=uv3 conjoncturelle*socio=uv4 de la consommation*socio=ec1 privée*socio=et, notamment en période*socio=te de "stagflation" lorsqu'un*socio=rien abaissement*socio=rien des impôts*socio=et indirects*socio=rien peut avoir en même temps*socio=rien pour effet*socio=rien de ralentir la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 et de stimuler la demande*socio=ec1. Mesures*socio=et visant directement l'emploi*socio=ec1. Dans les *socio=rien circonstances présentes,*socio=nil *socio=nil où des taux*socio=rien de chômage*socio=ec1 anormalement élevés*socio=uv4 ne peuvent être*socio=rien réduits que progressivement*socio=rien en raison*socio=rien du danger*socio=uv1 de voir se ranimer l'inflation*socio=ec2, on peut préconiser l'adoption*socio=rien de mesures*socio=et destinées*socio=rien à relever le niveau*socio=rien de l'emploi*socio=ec1 correspondant à un*socio=rien accroissement*socio=ec2 donné de la demande*socio=ec1 globale*socio=rien. La création_d'_emplois*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien dans le secteur_public*socio=et en *socio=rien est un exemple.*socio=nil Ces*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil devraient normalement *socio=rien être temporaires *socio=nil puisqu'il faut veiller à ce qu'elles soient compatibles*socio=rien avec les contraintes*socio=uv1 économiques*socio=ec1 et politiques*socio=et globales*socio=rien affectant le niveau*socio=rien et la croissance*socio=uv3 de l'emploi*socio=ec1 et des dépenses*socio=ec1 du secteur_public*socio=et à moyen_terme*socio=te. Il y aurait également lieu*socio=rien d'approfondir l'examen*socio=ec2 des programmes*socio=et institués dans *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil en*socio=nil vertu *socio=nil desquels, pendant une période*socio=te déterminée, les employeurs*socio=ac du secteur_privé*socio=et ont pu recevoir des subventions*socio=ec1 lorsqu'ils embauchaient de *socio=rien nouveaux effectifs.*socio=nil *socio=nil Nous considérons que ces mesures*socio=et visant directement l'emploi*socio=ec1 sont justifiées pour réduire *socio=rien un niveau de*socio=nil chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4 *socio=nil - notamment parmi certains groupes*socio=ac particulièrement touchés, comme les jeunes*socio=ac venant de terminer leurs études*socio=ec2 - lorsque l'inflation*socio=ec2 ou la situation*socio=rien extérieure*socio=te s'opposent à la mise en oeuvre*socio=rien d'une *socio=rien action générale de*socio=nil relance*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil Mais ceci implique que la portée*socio=rien de ces mesures*socio=et doit être*socio=rien limitée car, si la *socio=rien situation est de*socio=nil nature *socio=nil à permettre une forte*socio=rien augmentation*socio=ec2 de la demande*socio=ec1, il est*socio=rien en principe*socio=ec2 préférable*socio=uv4 d'y arriver par une *socio=rien action générale de*socio=nil relance*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil MIEUX CONCILIER LES DEMANDES*socio=et CONCURRENTES*socio=ec2. Si l'on ne parvient pas à concilier les demandes*socio=et concurrentes*socio=ec2 de manière*socio=rien satisfaisante*socio=uv4, la croissance*socio=uv3 risque*socio=uv4 de s'en trouver compromise, directement, par la structure*socio=ec1 défectueuse de la demande*socio=ec1 finale*socio=rien qui en résulterait - notamment l'insuffisance*socio=uv3 des investissements*socio=ec1 productifs*socio=uv4 - ou, indirectement*socio=rien, par l'inflation*socio=ec2 qui serait ainsi engendrée. Le problème*socio=uv4 de l'investissement*socio=ec1. L'une des questions*socio=rien fondamentales*socio=uv4 est*socio=rien de savoir*socio=rien si les investissements*socio=ec1 qui seront réalisés à l'avenir*socio=rien suffiront à assurer la capacité*socio=uv3 supplémentaire*socio=rien de production*socio=ec1 et le nombre*socio=rien d'emplois*socio=ec1 voulus pour permettre le retour*socio=rien au plein_emploi*socio=uv3. L'investissement*socio=ec1 a pris *socio=rien un retard assez*socio=nil considérable *socio=nil durant la récession*socio=ec2. En même temps*socio=rien, dans beaucoup de pays*socio=ac, les besoins*socio=uv1 d'investissement*socio=ec1 se sont accrus en raison*socio=rien des impératifs*socio=uv4 de la protection*socio=et de l'environnement*socio=et et de la nécessité*socio=uv1 de parvenir à une plus grande*socio=rien autonomie*socio=uv1 en matière*socio=rien d'énergie*socio=ec1 (encore que, dans certains cas*socio=rien, cet accroissement*socio=ec2 soit en partie*socio=rien compensé par une progression*socio=ec2 plus lente*socio=rien de la demande*socio=ec1 de logements*socio=ec1). A supposer même qu'un*socio=rien flux*socio=ec1 d'épargne*socio=ec1 suffisant*socio=rien puisse être*socio=rien assuré, les événements*socio=rien exceptionnels*socio=uv4 intervenus ces *socio=rien dernières années *socio=nil ont conduit à un*socio=rien pessimisme généralisé quant à la possibilité*socio=rien de voir entreprendre *socio=rien un volume d'*socio=nil investissements*socio=ec1 suffisant.*socio=nil Les*socio=nil primes*socio=ec1 de*socio=nil risque*socio=uv4 *socio=nil se sont alourdies. Les entrepreneurs*socio=ac sont moins confiants quant aux perspectives*socio=te de ventes*socio=ec1 et de profits*socio=ec1, moins certains en ce qui concerne les approvisionnements*socio=ec1 futurs*socio=rien en énergie*socio=ec1 et en matières_premières*socio=ec1 ainsi qu'au sujet*socio=rien du coût*socio=ec1 de ces approvisionnements*socio=ec1, plus *socio=rien inquiets devant les*socio=nil réglementations*socio=et relatives *socio=nil à la lutte*socio=uv1 contre la pollution*socio=et ou à la sécurité*socio=uv1 et devant*socio=rien l'évolution*socio=rien des comportements*socio=rien vis-à-vis des affaires*socio=ec1. Outre ces préoccupations*socio=uv4 générales*socio=rien, on a observé dans certains pays*socio=ac une *socio=ec2 augmentation tendancielle des*socio=nil coûts*socio=ec1 *socio=nil de la main-d'_oeuvre*socio=ac et des autres moyens*socio=ec1 de production*socio=ec1 par rapport*socio=rien aux prix*socio=ec1 des produits*socio=rien finis, ainsi qu'une souplesse*socio=uv3 moins grande*socio=rien dans l'ajustement*socio=et de la consommation*socio=ec1 de travail*socio=ec1 aux fluctuations*socio=ec2 de la production*socio=ec1. En raison*socio=rien du *socio=rien faible taux de*socio=nil rendement*socio=ec1 du*socio=nil capital*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil on n'investit pas assez; en outre, les investissements*socio=ec1 qui sont réalisés visent à économiser la main-d'_oeuvre*socio=ac et à réduire d'autres coûts*socio=ec1 plutôt qu'à accroître la capacité*socio=uv3 de production*socio=ec1 et à fournir des emplois*socio=ec1 supplémentaires*socio=rien. De ce fait*socio=rien, à mesure*socio=rien que le chômage*socio=ec1 conjoncturel*socio=uv4 diminuera, on verra apparaître une forme*socio=rien plus persistante*socio=rien de chômage*socio=ec1 structurel*socio=uv4, tenant à une inadéquation*socio=uv3 entre le stock*socio=ec1 de capital*socio=ec1 et l'_offre*socio=ec1 de main-d'_oeuvre*socio=ac. Cette situation*socio=rien peut être*socio=rien due au fait*socio=rien que les hausses des coûts*socio=ec1 de main-d'_oeuvre*socio=ac, résultant*socio=rien de négociations*socio=et salariales*socio=ec1 mettant l'accent*socio=rien sur*socio=rien les gains*socio=ec1 réels*socio=ec2 après*socio=rien impôts*socio=et, ne sont pas pleinement répercutées sur*socio=rien les prix*socio=ec1, en raison*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 internationale*socio=te, d'un*socio=rien contrôle*socio=uv3 des prix*socio=ec1 ou de politiques*socio=et de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 de caractère*socio=rien restrictif*socio=uv4. Une surévaluation des taux_de_change*socio=ec1 peut aussi jouer à cet *socio=rien égard un rôle important.*socio=nil Certaines divergences*socio=uv1 d'*socio=nil opinion*socio=ec2 *socio=nil sont apparues au sein*socio=rien de notre Groupe*socio=ac concernant la gravité de ce problème*socio=uv4. Non seulement les renseignements*socio=ec2 dont on dispose au sujet*socio=rien de l'évolution*socio=rien de la rentabilité*socio=ec1 et de l'intensité*socio=rien de capital*socio=ec1 sont équivoques, mais il *socio=rien est difficile de*socio=nil savoir *socio=nil si les marchés*socio=ec1 se sont adaptés durablement à *socio=rien un niveau plus*socio=nil élevé*socio=uv4 des*socio=nil *socio=ec1 coûts salariaux réels*socio=ec2.*socio=nil D'*socio=nil après*socio=rien les*socio=nil renseignements*socio=ec2 *socio=nil examinés, il semble probable*socio=uv4 que dans certains cas*socio=rien - aux États-unis*socio=ac, en Allemagne*socio=ac, en Italie*socio=ac, au Royaume-uni*socio=ac, aux Pays-bas*socio=ac et peut-être aussi dans les pays*socio=ac scandinaves - les entreprises*socio=ac sont plus réticentes à investir du fait*socio=rien qu'elles s'attendent à une réduction*socio=ec2 de leurs profits*socio=ec1. Dans certains autres pays*socio=ac, par contre, comme le Canada*socio=ac, le Japon*socio=ac et la France*socio=ac, il *socio=rien est difficile *socio=nil de dire s'il y a vraiment*socio=rien eu un*socio=rien changement*socio=uv3 structurel*socio=uv4 notable*socio=rien dans le niveau*socio=rien de la rentabilité*socio=ec1. Le *socio=rien meilleur moyen *socio=nil pour les gouvernements*socio=ac de contribuer à la solution*socio=rien de ces problèmes*socio=uv4 est*socio=rien de parvenir à replacer l'économie*socio=ec1 nationale*socio=te sur*socio=rien une trajectoire*socio=ec2 de croissance*socio=uv3 à moyen_terme*socio=te compatible*socio=rien avec une *socio=ec2 augmentation régulière *socio=nil de la production*socio=ec1 et une *socio=rien atténuation progressive des*socio=nil anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Ils renforceraient ainsi l'incitation*socio=uv3 à investir en réduisant la crainte*socio=uv1 de voir adopter à l'avenir*socio=rien des mesures*socio=et restrictives*socio=uv4, rendraient *socio=rien possible un vigoureux redressement*socio=ec2 conjoncturel*socio=uv4 des*socio=nil profits*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et faciliteraient tout ajustement*socio=et structurel*socio=uv4 nécessaire*socio=rien de la relation*socio=rien entre les coûts*socio=ec1 de main-d'_oeuvre*socio=ac et les prix*socio=ec1 des produits*socio=rien. Que peut-on faire d'autre? Dans la situation*socio=rien actuelle*socio=te où les taux*socio=rien d'utilisation*socio=rien des capacités*socio=uv3 sont faibles*socio=rien et les anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2 fortes*socio=rien, une modification*socio=rien du dosage*socio=rien des instruments*socio=et d'action*socio=rien employés*socio=rien, dans le sens*socio=rien de l'aisance*socio=uv1 monétaire*socio=ec1 et de l'austérité*socio=uv3 budgétaire*socio=et, ne contribuerait peut-être pas beaucoup à stimuler l'investissement*socio=ec1 et risquerait de relancer l'inflation*socio=ec2. Une autre solution*socio=rien serait d'accroître les incitations*socio=uv3 fiscales*socio=et en faveur*socio=rien de l'investissement*socio=ec1. Mais, dans les cas*socio=rien où le *socio=rien faible niveau de*socio=nil rentabilité*socio=ec1 est *socio=nil dû à de fortes*socio=rien pressions*socio=ec2 salariales*socio=ec1, l'effet*socio=rien de ce genre*socio=rien d'incitations*socio=uv3 risque*socio=uv4 fort*socio=rien d'être*socio=rien annulé par de nouvelles*socio=rien augmentations*socio=ec2 de salaires*socio=ec1. S'il se pose *socio=rien effectivement un problème*socio=uv4 d'*socio=nil investissement*socio=ec1 de*socio=nil caractère durable*socio=uv4,*socio=nil le*socio=nil seul moyen *socio=nil de le résoudre serait peut-être que le gouvernement*socio=ac, les syndicats*socio=ac et le patronat*socio=ac parviennent à un*socio=rien consensus*socio=uv1 sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 d'une augmentation*socio=ec2 des profits*socio=ec1 et des investissements*socio=ec1. L'analyse*socio=rien des questions*socio=rien en cause*socio=rien pourrait *socio=rien être considérablement *socio=nil affinée par *socio=rien un usage plus*socio=nil systématique des*socio=nil techniques de*socio=nil présentation des*socio=nil comptes en*socio=nil période*socio=te d'*socio=nil inflation*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Cela aiderait tous ceux qui interviennent dans les négociations*socio=et salariales*socio=ec1 et les décisions*socio=rien concernant les prix*socio=ec1 à ne pas se laisser induire en erreur*socio=uv4 par les distorsions*socio=uv4 résultant*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 passée*socio=te. La réduction*socio=ec2 des fonds*socio=ec1 *socio=rien propres disponibles,*socio=nil *socio=nil liée à la baisse*socio=ec2 de la rentabilité*socio=ec1 n'a pas, tout au moins jusqu'à récemment, fait*socio=rien sérieusement obstacle*socio=rien à l'investissement*socio=ec1 des entreprises*socio=ac. L'épargne*socio=ec1 croissante*socio=rien des ménages*socio=ac a compensé la diminution*socio=ec2 des moyens*socio=ec1 de financement*socio=ec1 internes*socio=te des entreprises*socio=ac; les circuits*socio=rien financiers*socio=ec1 ont bien*socio=rien fonctionné, permettant à celles-ci d'utiliser cette épargne*socio=ec1. Mais la crainte*socio=uv1 a été*socio=rien exprimée que, les taux*socio=rien d'autofinancement*socio=ec1 diminuant et le rapport*socio=rien endettement*socio=ec1/capital*socio=ec1 social*socio=et des entreprises*socio=ac augmentant, ce processus*socio=te ne soit pas loin*socio=rien d'atteindre ses limites*socio=rien financières*socio=ec1. Dans la mesure*socio=rien où tel est*socio=rien le cas*socio=rien, la solution*socio=rien consisterait à donner plus de souplesse*socio=uv3 au marché*socio=ec1 des capitaux*socio=ec1, en élargissant la gamme*socio=rien des *socio=ec1 actifs financiers,*socio=nil *socio=nil en atténuant les restrictions*socio=et aux placements*socio=ec1 en actions*socio=rien et en éliminant les *socio=et mesures fiscales *socio=nil qui découragent ce type*socio=rien de placement*socio=ec1. Plusieurs d'entre nous seraient aussi enclins à préconiser des solutions*socio=rien plus radicales*socio=rien, introduisant dans les *socio=ec1 rémunérations salariales "*socio=nil un*socio=rien élément*socio=rien de*socio=nil participation*socio=uv3 au*socio=nil capital"*socio=nil des*socio=nil entreprises*socio=ac,*socio=nil par*socio=nil exemple*socio=rien,*socio=nil des*socio=nil formules*socio=rien d'*socio=nil intéressement des*socio=nil salariés*socio=ac,*socio=nil *socio=nil selon lesquelles ces derniers*socio=rien sont rémunérés en partie*socio=rien par l'émission*socio=rien d'actions*socio=rien et la distribution*socio=rien de dividendes*socio=ec1, ou par une participation*socio=uv3 aux bénéfices*socio=ec1. Les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et. Si la demande*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et qui sont généralement assurés par le secteur_public*socio=et tend normalement à s'accroître à mesure*socio=rien que la société*socio=ac s'enrichit, *socio=rien bon nombre *socio=nil d'indices donnent à penser qu'au cours*socio=rien des dix *socio=rien dernières années plusieurs*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil sont allés trop loin*socio=rien dans cette voie*socio=rien, non sans risquer de compromettre aussi bien*socio=rien leur croissance*socio=uv3 que le succès*socio=uv1 de leurs efforts*socio=uv1 pour réduire l'inflation*socio=ec2. Ces dangers*socio=uv1 peuvent naître du fait*socio=rien que l'investissement*socio=ec1 productif*socio=uv4 se trouve ainsi freiné, et que des taux*socio=rien élevés*socio=uv4 d'imposition*socio=et affaiblissent l'incitation*socio=uv3 à travailler et à prendre des risques*socio=uv4. Et dans la mesure*socio=rien où les revendications*socio=uv1 salariales*socio=ec1 sont désormais davantage axées sur*socio=rien le revenu*socio=ec1 après*socio=rien impôt*socio=et, l'accroissement*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et, financé par des relèvements*socio=ec2 d'impôts*socio=et, a dans certains cas*socio=rien engendré une "inflation*socio=ec2 par la fiscalité*socio=et", même lorsque la demande*socio=ec1 globale*socio=rien n'était pas excessive*socio=rien. Les gouvernements*socio=ac ont eu raison*socio=rien de chercher à établir des normes*socio=et d'évolution*socio=rien des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et qui jouent le rôle*socio=rien de "limites*socio=rien de vitesse*socio=rien" en indiquant le point*socio=rien critique*socio=uv2 au-delà duquel le taux*socio=rien d'accroissement*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 aurait probablement des effets*socio=rien regrettables sur*socio=rien l'inflation*socio=ec2 ou sur*socio=rien la croissance*socio=uv3, ou sur*socio=rien les deux. Au cours*socio=rien des dix *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et (*socio=nil transferts*socio=ec1 *socio=nil compris), exprimées en pourcentage*socio=rien du PNB*socio=ec1, ont augmenté de 0,4% par an*socio=rien dans la zone_de_l'_ocde*socio=te. La plupart*socio=rien des pays*socio=ac qui ont sensiblement dépassé cette moyenne*socio=rien se sont trouvés dans une *socio=rien situation difficile.*socio=nil *socio=nil Dans l'avenir*socio=te immédiat*socio=rien, la progression*socio=ec2 des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et sera limitée par la nécessité*socio=uv1 d'une redistribution*socio=et des ressources*socio=ec1 au profit*socio=ec1 de l'investissement*socio=ec1 et, dans beaucoup de pays*socio=ac, en faveur*socio=rien des exportations*socio=ec1 nettes*socio=rien, dans le contexte*socio=rien d'une expansion*socio=ec2 un*socio=rien peu plus lente*socio=rien de la production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4. En vue*socio=rien de mieux maîtriser*socio=rien l'évolution*socio=rien des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et, nous serions, dans l'ensemble*socio=rien, favorables*socio=ec2 aux dispositifs*socio=et visant à éliminer le freinage*socio=rien fiscal*socio=et dû à l'inflation*socio=ec2, c'est-à-dire l'accroissement*socio=ec2 de la charge*socio=rien fiscale*socio=et qui se produit*socio=rien automatiquement lorsque les prix*socio=ec1 (et partant les revenus*socio=ec1) augmentent alors que les abattements*socio=ec1 fiscaux*socio=et et les tranches d'imposition*socio=et ne varient pas en valeur*socio=ec1 nominale*socio=rien. Ce résultat*socio=rien peut être*socio=rien obtenu soit par l'indexation*socio=ec1 automatique*socio=rien des divers paramètres*socio=rien du système*socio=rien d'imposition*socio=et des revenus*socio=ec1, soit par des dispositions*socio=et moins rigoureuses*socio=uv4 exigeant*socio=rien des gouvernements*socio=ac qu'ils effectuent chaque année*socio=rien les ajustements*socio=et requis*socio=uv4, sauf *socio=rien décision contraire expresse.*socio=nil *socio=nil Nous sommes également en faveur*socio=rien des efforts*socio=uv1 entrepris pour revoir les priorités*socio=uv4 et améliorer l'efficience*socio=uv3 des *socio=et programmes publics.*socio=nil L'*socio=nil affectation*socio=ec1 rationnelle*socio=uv4 des*socio=nil ressources*socio=ec1 *socio=nil pose toujours des problèmes*socio=uv4 particuliers*socio=rien dans le secteur*socio=rien publie, du fait*socio=rien qu'il n'est*socio=rien pas astreint aux disciplines*socio=rien du marché*socio=ec1 ni exposé à la concurrence*socio=ec1. L'objectif*socio=uv4 devrait être*socio=rien de mieux mettre en lumière*socio=rien le *socio=rien lien existant *socio=nil entre la demande*socio=ec1 de certains services_publics*socio=et et le prix*socio=ec1 que la collectivité*socio=ac est*socio=rien disposée à payer*socio=rien pour les obtenir*socio=rien. A un*socio=rien peu plus longue*socio=rien échéance*socio=te, il y a peut-être lieu*socio=rien de craindre une *socio=rien réaction excessive *socio=nil contre les dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et. Des dépenses*socio=ec1 publiques*socio=et insuffisantes*socio=uv4 risquent aussi d'avoir des effets*socio=rien défavorables*socio=uv4 sur*socio=rien la croissance*socio=uv3 et le bien-être*socio=uv1 ainsi que, par le biais*socio=rien d'anticipations*socio=uv3 déçues, sur*socio=rien l'inflation*socio=ec2. C'est*socio=rien ce qui se passe notamment lorsqu'un*socio=rien gouvernement*socio=ac fait*socio=rien peser une trop *socio=rien grande part *socio=nil de l'effort*socio=uv1 d'austérité*socio=uv3 budgétaire*socio=et sur*socio=rien les investissements*socio=ec1 publics*socio=et d'infrastructure*socio=ec1 économique*socio=ec1 ou sociale*socio=et, au détriment*socio=uv2 de la productivité*socio=uv3 de l'ensemble*socio=rien de l'économie*socio=ec1. Le secteur*socio=rien extérieur*socio=te. Le conflit*socio=uv1 suscité par les *socio=ec2 pressions concurrentes sur*socio=rien les*socio=nil ressources*socio=ec1 a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil accentué dans la plupart*socio=rien des pays_de_l'_ocde*socio=ac par la dégradation*socio=uv3 des termes_de_l'_échange*socio=ec1, consécutive*socio=rien à la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1 et d'autres produits*socio=rien de base*socio=rien. Cette dégradation*socio=uv3 est*socio=rien déjà, pour une part*socio=rien, en voie*socio=rien d'être*socio=rien compensée par les exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=et, et celles-ci continueront de s'accroître à mesure*socio=rien que les *socio=ac pays producteurs de*socio=nil pétrole*socio=ec1 *socio=nil pourront dépenser leurs recettes*socio=ec1 massivement accrues. Pour l'avenir*socio=te, le *socio=ec1 prélèvement externe *socio=nil le plus *socio=rien important sur les*socio=nil ressources*socio=ec1 des*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil de l'OCDE*socio=ac est*socio=rien celui qu'implique l'engagement*socio=uv1 d'assurer un*socio=rien transfert*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 suffisant*socio=rien aux pays_en_développement*socio=ac. Nous insistons vivement sur*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de réaliser promptement les objectifs*socio=uv4 internationaux*socio=te retenus*socio=rien pour l'aide_publique_au_développement*socio=et. En outre, les transferts*socio=ec1 nécessaires*socio=rien devraient aussi être*socio=rien assurés par un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 et par des mesures*socio=et visant à renforcer le pouvoir_d'_achat*socio=ec1 des pays_en_développement*socio=ac. Certains pays*socio=ac voient leurs ressources*socio=ec1 soumises à des pressions*socio=ec2 supplémentaires*socio=rien, du fait*socio=rien qu'ils doivent renforcer la position*socio=rien de leur balance_des_paiements_courants*socio=ec1 pour des raisons*socio=rien sans rapport*socio=rien avec le problème*socio=uv4 pétrolier*socio=ec1. Dans les pays*socio=ac où, compte*socio=rien tenu de ces divers facteurs*socio=rien, le transfert*socio=ec1 nécessaire*socio=rien de ressources*socio=ec1 au profit*socio=ec1 du secteur*socio=rien extérieur*socio=te *socio=rien est important,*socio=nil le*socio=nil gouvernement*socio=ac *socio=nil ne devrait pas le différer trop longtemps, parce qu'il importe que les ajustements*socio=et requis*socio=uv4 puissent s'opérer aisément sans accentuer la spirale*socio=rien des prix*socio=ec1 et des salaires*socio=ec1. Ces pays*socio=ac risqueraient autrement d'être*socio=rien en butte à des difficultés*socio=uv4 encore persistantes*socio=rien à moyen_terme*socio=te. La politique*socio=et des prix*socio=ec1 et des revenus*socio=ec1. Il nous paraît souhaitable*socio=rien que les gouvernements*socio=ac examinent régulièrement avec les organisations*socio=ac d'employeurs*socio=ac et de travailleurs*socio=ac l'évolution*socio=rien générale*socio=rien des prix*socio=ec1 et des salaires*socio=ec1 pour les douze *socio=rien prochains mois *socio=nil environ, qui serait compatible*socio=rien avec la réalisation*socio=uv1 ou le maintien*socio=rien de niveaux*socio=rien d'emploi*socio=ec1 élevés*socio=uv4. En effet*socio=rien, si les gouvernements*socio=ac entendent adopter une politique*socio=et ne s'accommodant pas de taux*socio=rien élevés*socio=uv4 d'inflation*socio=ec2, il faut qu'ils soient prêts*socio=ec1 à indiquer aux responsables*socio=uv2 de la détermination*socio=rien des salaires*socio=ec1 et des prix*socio=ec1 quel comportement*socio=rien de leur part*socio=rien serait compatible*socio=rien avec la politique_monétaire*socio=et et budgétaire*socio=et qu'ils se proposent de suivre. Cette idée*socio=rien n'est*socio=rien pas nouvelle*socio=rien. Ce qui *socio=rien est nouveau c'*socio=nil est le*socio=nil contexte *socio=nil dans lequel ces discussions*socio=rien interviennent, après*socio=rien une *socio=ec2 récession inflationniste de*socio=nil *socio=rien grande ampleur.*socio=nil De*socio=nil fait,*socio=nil dans*socio=nil bon nombre de*socio=nil pays*socio=ac,*socio=nil *socio=nil divers signes indiquent que les attitudes*socio=uv3 ont changé. En appliquant une formule*socio=rien "d'action*socio=rien concertée" selon des modalités*socio=rien adaptées à leur situation*socio=rien et à leurs institutions*socio=ac, les gouvernements*socio=ac devraient faire un*socio=rien effort*socio=uv1 sérieux*socio=uv4 pour que les enseignements*socio=et recueillis au cours*socio=rien de cette période*socio=te ne soient pas perdus. Dans les discussions*socio=rien concernant les directives*socio=et à établir en matière*socio=rien de salaires*socio=ec1 et de prix*socio=ec1, on sera inévitablement amené à examiner la plupart*socio=rien des grands*socio=rien objectifs*socio=uv4 de la politique_économique*socio=et: production*socio=ec1, emploi*socio=ec1, revenus*socio=ec1 disponibles*socio=rien réels*socio=ec2, profits*socio=ec1, répartition*socio=uv3 des revenus*socio=ec1, etc. Ces discussions*socio=rien pourraient donc *socio=rien être un moyen *socio=nil de mieux concilier ex ante*socio=te les demandes*socio=et concurrentes*socio=ec2, en permettant de dégager un*socio=rien consensus*socio=uv1 sur*socio=rien certains objectifs*socio=uv4 de l'action*socio=rien gouvernementale*socio=et. Un*socio=rien gouvernement*socio=ac qui adopterait cette approche devrait évidemment s'efforcer d'appliquer les directives*socio=et aux prix*socio=ec1 et aux salaires*socio=ec1 dont il a la responsabilité*socio=uv1 dans le secteur_public*socio=et. Dans certains cas*socio=rien, des majorations*socio=rien de salaires*socio=ec1 excessives*socio=rien accordées dans le secteur_public*socio=et ont été*socio=rien une *socio=rien source importante d'*socio=nil inflation*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Mais, d'un*socio=rien autre côté*socio=rien, en essayant de donner "valeur*socio=ec1 d'exemple*socio=rien" à de *socio=rien faibles majorations de*socio=nil salaires*socio=ec1 *socio=nil décidées dans le secteur_public*socio=et, on risque*socio=uv4 d'introduire de graves*socio=rien distorsions*socio=uv4 dans la structure*socio=ec1 des salaires*socio=ec1. Plus les organisations*socio=ac représentatives des employeurs*socio=ac et des travailleurs*socio=ac au niveau*socio=rien national*socio=te sont importantes*socio=rien et fortement centralisées, plus une politique*socio=et des prix*socio=ec1 et des revenus*socio=ec1 dans le secteur_privé*socio=et devient nécessaire*socio=rien et possible*socio=rien. Lorsque les négociations*socio=et sont fortement centralisées, les *socio=rien diverses parties en*socio=nil cause *socio=nil perçoivent beaucoup plus aisément que les avantages*socio=rien obtenus par l'une sans l'accord*socio=et des autres seront annulés par le processus*socio=te inflationniste*socio=ec2. La centralisation permet aussi au gouvernement*socio=ac d'essayer d'infléchir le résultat*socio=rien des négociations*socio=et en menaçant*socio=rien de relever les impôts*socio=et si les majorations*socio=rien de salaires*socio=ec1 et les hausses des prix*socio=ec1 sont excessives*socio=rien, ou en promettant au contraire*socio=rien des réductions*socio=ec2 d'impôts*socio=et si elles sont modérées. La persévérance*socio=uv1, l'habileté et le sens*socio=rien de l'intérêt*socio=uv1 général*socio=rien avec lesquels les gouvernements*socio=ac d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil ont mis en oeuvre*socio=rien des politiques*socio=et des prix*socio=ec1 et des revenus*socio=ec1 sont assurément *socio=rien fort remarquables.*socio=nil *socio=nil Mais, en ce qui concerne les grands*socio=rien pays*socio=ac, les exemples*socio=rien de succès*socio=uv1 durable*socio=uv4, du point*socio=rien de vue*socio=rien du freinage*socio=rien de l'inflation*socio=ec2 ou de l'expansion*socio=ec2 de l'emploi*socio=ec1, ne nous paraissent pas particulièrement impressionnants*socio=rien. Certains dangers*socio=uv1 que ce genre*socio=rien de politique*socio=et comporte à plus longue*socio=rien échéance*socio=te nous préoccupent, de même que la difficulté*socio=uv4 d'établir et d'appliquer des directives*socio=et pour les décisions*socio=rien à prendre en matière*socio=rien de salaires*socio=ec1 et de prix*socio=ec1 dans des *socio=rien cas particuliers.*socio=nil C'*socio=nil est en*socio=nil raison *socio=nil de ces difficultés*socio=uv4 et dangers*socio=uv1 qu'ont été*socio=rien suggérées de *socio=rien nombreuses formules *socio=nil visant à atténuer le conflit*socio=uv1, à *socio=rien un niveau *socio=nil décentralisé, entre l'intérêt*socio=uv1 général*socio=rien et les intérêts_particuliers des parties*socio=rien directement en cause*socio=rien. Le mécanisme*socio=et le plus élaboré à cet *socio=rien égard est *socio=nil peut-être le "prélèvement*socio=ec1 conjoncturel*socio=uv4" français*socio=ac, qui a pour objet*socio=rien de pénaliser les hausses excessives*socio=rien des salaires*socio=ec1 unitaires*socio=rien et /ou des marges bénéficiaires*socio=ac. Le principe*socio=ec2 de ces *socio=rien techniques est *socio=nil séduisant. Malgré les complications et difficultés*socio=uv4 administratives*socio=rien que risque*socio=uv4 d'entraîner leur application*socio=rien, elles méritent un*socio=rien examen*socio=ec2 plus approfondi. L'établissement*socio=rien de normes*socio=et d'évolution*socio=rien des prix*socio=ec1 et des salaires*socio=ec1, applicables*socio=rien à chaque *socio=rien cas particulier,*socio=nil *socio=nil soulève des difficultés*socio=uv4 multiples*socio=rien. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil *socio=nil nous ne sommes pas partisans*socio=ac d'une politique*socio=et comportant des interventions*socio=et permanentes*socio=te dans le détail*socio=rien du processus*socio=te de détermination*socio=rien des prix*socio=ec1 et des revenus*socio=ec1. Tout ce que l'on gagne sur*socio=rien le plan*socio=rien de la relation*socio=rien entre inflation*socio=ec2 et *socio=rien hauts niveaux d'*socio=nil emploi*socio=ec1 est *socio=nil annulé par le coût*socio=ec1 que représentent les distorsions*socio=uv4 introduites dans l'économie*socio=ec1, et par le fait*socio=rien que des institutions_sociales et politiques*socio=et existantes*socio=rien sont ainsi détournées de leurs *socio=rien fonctions normales.*socio=nil *socio=nil Cependant, dans *socio=rien certaines situations extrêmement*socio=nil difficiles,*socio=nil le*socio=nil recours*socio=ec1 *socio=nil à une politique*socio=et, contractuelle*socio=rien ou réglementaire*socio=et, de limitation*socio=uv3 des hausses de salaires*socio=ec1 et/ou de blocage*socio=rien des prix*socio=ec1 peut se justifier comme mesure*socio=rien d'urgence*socio=rien, à condition*socio=rien de s'accompagner d'une politique*socio=et appropriée de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1. L'objectif*socio=uv4 primordial*socio=rien devrait être*socio=rien de briser la spirale*socio=rien des prix*socio=ec1 et des salaires*socio=ec1, et de créer des conditions*socio=ec1 favorables*socio=ec2 à une *socio=rien sensible atténuation des*socio=nil anticipations*socio=uv3 inflationnistes*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil Pour certains des petits*socio=rien pays_de_l'_ocde*socio=ac, une grande*socio=rien cohésion*socio=uv1 sociale*socio=et et politique*socio=et, et le fait*socio=rien d'être*socio=rien exposés à une forte*socio=rien concurrence*socio=ec1, constituent le meilleur*socio=rien support possible*socio=rien d'une politique*socio=et relativement ambitieuse*socio=uv2 des prix*socio=ec1 et des revenus*socio=ec1, et il nous semble que, dans *socio=rien un nombre *socio=nil limité de cas*socio=rien, ce genre*socio=rien de politique*socio=et a remporté quelques succès*socio=uv1. Mais il ne faudrait pas extrapoler cette expérience*socio=ec2 au cas*socio=rien d'autres pays*socio=ac où les mêmes conditions*socio=ec1 ne sont pas réunies. Nous sommes favorables*socio=ec2 aux dispositifs*socio=et assurant la collecte et la diffusion*socio=rien régulières*socio=ec2 d'informations*socio=rien sur*socio=rien l'évolution*socio=rien des prix*socio=ec1, et prévoyant des analyses*socio=rien qui permettent de discerner dans quelle mesure*socio=rien cette *socio=rien évolution est conforme*socio=uv4 aux*socio=nil normes*socio=et de*socio=nil comportement non*socio=nil inflationniste*socio=ec2.*socio=nil Ce*socio=nil type de*socio=nil mécanisme*socio=et peut*socio=nil être *socio=nil considéré comme l'un*socio=rien des éléments*socio=rien d'une politique*socio=et de concurrence*socio=ec1 efficace*socio=uv4, aussi bien*socio=rien que d'une politique*socio=et des prix*socio=ec1 et des revenus*socio=ec1. Il serait par ailleurs*socio=rien également souhaitable*socio=rien d'améliorer l'information*socio=rien et l'analyse*socio=rien en ce qui concerne l'évolution*socio=rien des revenus*socio=ec1, tant salariaux*socio=ec1 que non salariaux*socio=ec1, avant et après*socio=rien impôt*socio=et; cela devrait faciliter l'examen*socio=ec2 des *socio=rien questions relatives *socio=nil à l'égalité*socio=uv1 et aux incitations*socio=uv3 nécessaires*socio=rien. AMÉLIORER LE FONCTIONNEMENT*socio=rien DES MARCHÉS*socio=ec1. En agissant résolument dans tous les secteurs*socio=rien pour faire disparaître les contraintes*socio=uv1 et les rigidités*socio=uv3, et favoriser la concurrence*socio=ec1 et la mobilité*socio=uv3, les gouvernements*socio=ac pourraient améliorer l'efficacité*socio=uv3 des instruments*socio=et dont ils disposent pour conduire la politique*socio=et macroéconomique*socio=ec1 et faciliter ainsi l'obtention*socio=rien de *socio=rien meilleurs résultats sur le*socio=nil plan des*socio=nil prix*socio=ec1 *socio=nil et de la croissance*socio=uv3. Cela nécessite dans certains cas*socio=rien la suppression*socio=rien des obstacles*socio=rien qui entravent le libre*socio=uv2 jeu*socio=rien des forces_du_marché*socio=ec1, et dans d'autres une action*socio=rien de la part*socio=rien des autorités*socio=et pour compléter les renseignements*socio=ec2 donnés par le marché*socio=ec1. Lorsque nous parlons d'"améliorer" le fonctionnement*socio=rien du marché*socio=ec1, il s'agit plutôt, dans bien*socio=rien des cas*socio=rien, d'arrêter ou d'inverser une tendance*socio=ec2 à la dégradation*socio=uv3. La perte*socio=ec2 de souplesse*socio=uv3 dans le fonctionnement*socio=rien du marché_du_travail*socio=ec1 est*socio=rien peut-être l'une des *socio=rien principales raisons *socio=nil pour lesquelles, ces *socio=rien dernières années,*socio=nil le*socio=nil taux de*socio=nil chômage*socio=ec1 *socio=nil observé au sommet*socio=rien du cycle*socio=te conjoncturel*socio=uv4 n'a cessé d'augmenter dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac. Le chômage*socio=ec1 s'est*socio=rien aggravé parmi les jeunes*socio=ac et les femmes*socio=ac tandis que, dans le même temps*socio=rien, les offres*socio=rien d'emploi*socio=ec1 augmentaient pour la main-d'_oeuvre*socio=ac masculine adulte*socio=ac. Les rigidités*socio=uv3 du marché_du_travail*socio=ec1 sont en *socio=rien partie psychologiques et*socio=nil juridiques*socio=et,*socio=nil *socio=nil mais elles tiennent aussi au caractère*socio=rien inadapté des écarts*socio=rien de salaires*socio=ec1 et à l'alourdissement*socio=ec2 des coûts*socio=ec1 d'embauche*socio=ec1 et de licenciement*socio=ec1. Nous sommes en faveur*socio=rien des mesures*socio=et classiques*socio=rien visant à corriger les inadéquations*socio=uv3 qui se produisent entre l'_offre_et_la_demande*socio=ec1 de *socio=rien certaines catégories de*socio=nil main-d'_oeuvre*socio=ac.*socio=nil Ces*socio=nil mesures*socio=et devraient*socio=nil progressivement *socio=nil permettre à l'économie*socio=ec1 de fonctionner à *socio=rien un niveau de*socio=nil demande globale plus*socio=nil élevé*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil sans que des pénuries*socio=ec2 de main-d'_oeuvre*socio=ac ou de fortes*socio=rien pressions*socio=ec2 salariales*socio=ec1 n'apparaissent dans certains secteurs*socio=rien. Des mesures*socio=et visant plus directement à accroître la souplesse*socio=uv3 de la structure*socio=ec1 des salaires*socio=ec1 sont également souhaitables*socio=rien. Les salaires*socio=ec1 étant à la fois*socio=rien des revenus*socio=ec1 et des coûts*socio=ec1, il peut y avoir conflit*socio=uv1 entre égalité*socio=uv1 et efficacité*socio=uv3. On peut y remédier dans une *socio=rien certaine mesure *socio=nil par des actions*socio=rien visant à empêcher la discrimination*socio=uv1 envers certains groupes*socio=ac sociaux*socio=et, et par des programmes*socio=et d'investissement*socio=ec1 dans la formation*socio=et et le développement*socio=uv3 des ressources_humaines*socio=ec1, qui peuvent à la fois*socio=rien améliorer l'efficacité*socio=uv3 et réduire l'inégalité*socio=uv1. En dehors de cela, l'approche classique*socio=rien consiste à laisser les salaires*socio=ec1 relatifs*socio=rien refléter les écarts*socio=rien de productivité*socio=uv3, en cherchant en même temps*socio=rien à assurer plus d'égalité*socio=uv1 au moyen*socio=rien de la fiscalité*socio=et et des transferts*socio=ec1. On peut aussi faire en sorte*socio=rien que les écarts*socio=rien de salaires*socio=ec1 eux-mêmes reflètent au moins en partie*socio=rien les jugements de la collectivité*socio=ac quant à la répartition*socio=uv3 souhaitable*socio=rien des revenus*socio=ec1, quitte à corriger les déséquilibres*socio=uv4 qui en résultent sur*socio=rien les marchés_du_travail*socio=ec1 en taxant ou en subventionnant les employeurs*socio=ac. Ces deux approches ont leurs avantages*socio=rien aussi bien*socio=rien que leurs limites*socio=rien. La redistribution*socio=et des revenus*socio=ec1 au moyen*socio=rien de la fiscalité*socio=et et des transferts*socio=ec1 a, certes, *socio=rien un rôle capital*socio=ec1 *socio=nil à jouer, niais il y a ici des *socio=rien limites évidentes *socio=nil imposées par la nécessité*socio=uv1 de ne pas abolir toute incitation*socio=uv3. Dans le même temps*socio=rien, avec une offre*socio=rien plus abondante*socio=rien de main-d'_oeuvre*socio=ac qualifiée*socio=uv4, il devrait *socio=rien être possible *socio=nil d'accepter ou de favoriser une *socio=rien évolution progressive *socio=nil vers une répartition*socio=uv3 plus égalitaire des revenus*socio=ec1 primaires*socio=rien, en compensant peut-être, dans certains cas*socio=rien, toute incidence*socio=ec2 défavorable*socio=uv4 sur*socio=rien l'emploi*socio=ec1, par l'octroi*socio=rien de subventions*socio=ec1 ou d'autres avantages*socio=rien aux employeurs*socio=ac. Dans les négociations*socio=et relatives*socio=rien à la structure*socio=ec1 des salaires*socio=ec1 et aux conditions_de_travail*socio=ec1, il faut accorder plus d'attention*socio=rien aux besoins*socio=uv1 et aux capacités*socio=uv3 des *socio=rien différentes catégories de*socio=nil main-d'_oeuvre*socio=ac.*socio=nil L'*socio=nil éventail des*socio=nil choix*socio=uv1 possibles *socio=nil entre l'emploi*socio=ec1 rémunéré et le retrait de la vie_active*socio=ec1 devrait être*socio=rien élargi. Les restrictions*socio=et à l'accès*socio=uv1 à certaines*socio=rien professions*socio=ec1 devraient être*socio=rien atténuées. Dans certains pays*socio=ac, les modalités*socio=rien de financement*socio=ec1 de la sécurité_sociale*socio=et devraient être*socio=rien modifiées afin que l'emploi*socio=ec1 soit moins lourdement taxé. Il peut aussi être*socio=rien indiqué d'accorder des subventions*socio=ec1 temporaires*socio=rien pour couvrir une partie*socio=rien des coûts*socio=ec1 d'embauche*socio=ec1 de nouveaux*socio=rien travailleurs*socio=ac. Laissés à eux-mêmes, les marchés_financiers*socio=ec1 sont généralement innovateurs et concurrentiels*socio=ec2; abstraction*socio=rien faite des réglementations*socio=et nécessaires*socio=rien pour protéger prêteurs*socio=ac et emprunteurs*socio=ac, la compartimentalisation actuelle*socio=te des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 devrait être*socio=rien démantelée et il faudrait permettre aux taux_d'_intérêt*socio=ec1 de refléter les forces_du_marché*socio=ec1. Nous recommandons également la suppression*socio=rien des obstacles*socio=rien institutionnels*socio=et à l'émission*socio=rien d'obligations*socio=ec1 indexées. L'émission*socio=rien de ce genre*socio=rien de titres*socio=rien réduirait les incertitudes*socio=uv3 devant*socio=rien lesquelles se trouvent les emprunteurs*socio=ac et fournirait aux épargnants*socio=ac une meilleure*socio=rien protection*socio=et contre l'inflation*socio=ec2. L'existence*socio=rien de titres*socio=rien indexés devrait aussi aider à stabiliser les prix*socio=ec1 d'autres actifs*socio=ec1, tels que les terrains*socio=rien et les matières_premières*socio=ec1, dans les périodes*socio=te d'inflation*socio=ec2. Nous sommes pour la plupart*socio=rien convaincus que les gouvernements*socio=ac eux-mêmes devraient être*socio=rien prêts*socio=ec1 à émettre des obligations*socio=ec1 indexées. Dans les pays*socio=ac où les marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 sont plus perfectionnés, il ne serait pas souhaitable*socio=rien de présenter ce *socio=rien nouveau type d'*socio=nil actif*socio=ec1 financier*socio=ec1 comme*socio=nil un placement*socio=ec1 privilégié,*socio=nil *socio=nil réservé à quelques catégories*socio=rien d'épargnants*socio=ac, ou offert*socio=rien en quantités*socio=rien limitées à chacune d'entre elles. Au contraire*socio=rien, l'obligation*socio=uv1 publique*socio=et indexée ne devrait être*socio=rien que l'une des *socio=rien nombreuses formes de*socio=nil placement*socio=ec1 possibles,*socio=nil *socio=nil et devrait porter *socio=rien un faible taux_d'_intérêt*socio=ec1 réel*socio=ec2 *socio=nil pour permettre de jauger le marché*socio=ec1. S'agissant des marchés*socio=ec1 de produits*socio=rien, nous sommes en faveur*socio=rien des politiques*socio=et classiques*socio=rien de concurrence*socio=ec1. Le problème*socio=uv4 d'assurer une juste*socio=rien récompense à l'innovation*socio=uv3 nous préoccupe. A ces deux égards*socio=rien, il importe de garantir la liberté*socio=uv1 d'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1, aussi bien*socio=rien pour les nouveaux*socio=rien producteurs*socio=ac nationaux*socio=te que pour les fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=te. Un*socio=rien effort*socio=uv1 soutenu en vue*socio=rien d'éliminer les obstacles_tarifaires*socio=et et non tarifaires*socio=et aux importations*socio=ec1 de produits*socio=rien manufacturés et autres, notamment en provenance*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac, constituerait peut-être le *socio=rien meilleur moyen *socio=nil d'encourager la concurrence*socio=ec1, et permettrait à la fois*socio=rien de freiner l'inflation*socio=ec2 et de promouvoir la croissance*socio=uv3. Cela exige que des mesures*socio=et vigoureuses*socio=rien soient prises*socio=rien pour faciliter l'ajustement*socio=et sectoriel*socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac. Il faut aussi, dans les pays_en_développement*socio=ac, créer et préserver des conditions*socio=ec1 favorables*socio=ec2 aux investissements*socio=ec1 et au maintien*socio=rien d'un*socio=rien taux_de_change*socio=ec1 concurrentiel*socio=ec2. La logique*socio=uv4 économique*socio=ec1 plaide fortement en faveur*socio=rien d'un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des apports*socio=rien de capitaux*socio=ec1 acheminés vers ces pays*socio=ac; cela devrait en effet*socio=rien donner une impulsion*socio=ec2 supplémentaire*socio=rien à la croissance*socio=uv3 économique*socio=ec1 mondiale*socio=te. Compte*socio=rien tenu de l'analyse*socio=rien que nous avons faite de l'origine*socio=rien des dérèglements, notamment en ce qui concerne la flambée d'inflation*socio=ec2 des années*socio=rien 1972-74, il est*socio=rien manifeste qu'il faut prendre des dispositions*socio=et pour réduire la vulnérabilité*socio=uv1 de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te aux chocs*socio=ec2 imprévus*socio=uv4, que ceux-ci viennent de ruptures*socio=ec2 d'approvisionnements*socio=ec1 ou de fortes*socio=rien fluctuations*socio=ec2 de la demande*socio=ec1. S'agissant des produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1, nous sommes d'accord*socio=uv1 sur*socio=rien l'opportunité*socio=uv3 de constituer des stocks*socio=ec1 de céréales*socio=ec1 de sécurité*socio=uv1. Pour les *socio=ec1 matières_premières industrielles,*socio=nil *socio=nil nous appuyons les politiques*socio=et visant à encourager l'investissement*socio=ec1 international*socio=te, tout en respectant le désir*socio=uv1 des *socio=ac pays producteurs *socio=nil d'exercer leur souveraineté*socio=et sur*socio=rien les ressources*socio=ec1 de leur territoire*socio=te; dans certains cas*socio=rien, nous sommes aussi en faveur*socio=rien de mesures*socio=et visant à réduire l'instabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1 de produits*socio=rien de base*socio=rien par la constitution*socio=rien de stocks_régulateurs. Des politiques*socio=et énergétiques*socio=ec1 plus vigoureuses*socio=rien sont nécessaires*socio=rien. Il est*socio=rien essentiel*socio=uv4 de laisser jouer à fond*socio=rien les mécanismes*socio=et du marché*socio=ec1. Des mesures*socio=et complémentaires*socio=rien peuvent néanmoins être*socio=rien requises*socio=uv4 pour fixer une ligne*socio=rien directrice concernant l'évolution*socio=rien à long_terme*socio=te des prix*socio=ec1 de l'énergie*socio=ec1, encourager les opérations*socio=rien de recherche*socio=ec2 et développement*socio=uv3 concernant la production*socio=ec1 et la consommation*socio=ec1 d'énergie*socio=ec1, et améliorer l'efficacité*socio=uv3 dans la *socio=ec1 consommation énergétique.*socio=nil *socio=nil Enfin, les *socio=rien considérations relatives *socio=nil à l'environnement*socio=et soulèvent de graves*socio=rien problèmes*socio=uv4 pour le fonctionnement*socio=rien des mécanismes*socio=et du marché*socio=ec1. Nous sommes partisans*socio=ac des méthodes*socio=rien d'action*socio=rien reposant sur*socio=rien le mécanisme*socio=et des prix*socio=ec1, qui relèvent du principe*socio=ec2 "pollueur-payeur"; dans certains cas*socio=rien, toutefois, il peut être*socio=rien indispensable*socio=uv4 de recourir à des réglementations*socio=et directes*socio=rien. LA DIMENSION*socio=rien INTERNATIONALE*socio=te DU PROBLÈME*socio=uv4. On ne peut porter qu'une appréciation*socio=uv1 *socio=rien provisoire sur les*socio=nil nouveaux arrangements*socio=et monétaires*socio=ec1 internationaux*socio=te,*socio=nil *socio=nil plus décentralisés et plus souples*socio=uv4, dont les *socio=rien principales caractéristiques *socio=nil sont le flottement*socio=ec1 généralisé des taux_de_change*socio=ec1 et le rôle*socio=rien accru réservé aux marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 privés*socio=et dans la formation*socio=et des liquidités*socio=ec1 internationales*socio=te. La coordination*socio=uv3 des politiques*socio=et de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1. Les difficultés*socio=uv4 des *socio=rien cinq dernières années *socio=nil sont pour une *socio=rien large part imputables*socio=uv2 au*socio=nil fait *socio=nil que la synchronisation et l'interdépendance*socio=uv3 économiques*socio=ec1 des pays*socio=ac développés*socio=uv4 et en développement*socio=uv3 sont devenues très étroites*socio=rien, alors que la responsabilité*socio=uv1 de la politique_économique*socio=et est*socio=rien restée fermement aux mains*socio=rien d'entités*socio=rien nationales*socio=te indépendantes*socio=uv2. Dans ces conditions*socio=ec1, rien*socio=rien ne garantit que les répercussions*socio=ec2 économiques*socio=ec1 et politiques*socio=et, sur*socio=rien le reste*socio=rien du monde*socio=te, des mesures*socio=et prises*socio=rien dans les grands*socio=rien pays*socio=ac seront ressenties et prises*socio=rien en compte*socio=rien par les responsables*socio=uv2 des décisions-clés, sauf s'ils se révèlent capables*socio=rien d'agir en hommes_d'_état d'envergure*socio=rien mondiale*socio=te. Les responsables*socio=uv2 des politiques*socio=et nationales*socio=te devraient, dans l'intérêt*socio=uv1 bien*socio=rien compris de leurs pays*socio=ac respectifs*socio=rien, avoir des relations*socio=rien et des consultations*socio=uv1 régulières*socio=ec2 entre eux. Ils devraient s'efforcer périodiquement de préciser leur position*socio=rien quant à la nécessité*socio=uv1 de stimuler ou de freiner la demande*socio=ec1 dans l'ensemble*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te. Les pays*socio=ac qui devraient, les premiers*socio=rien, prendre des mesures*socio=et pour relancer la demande*socio=ec1 sont ceux qui ont un*socio=rien chômage*socio=ec1 élevé*socio=uv4, *socio=rien un faible taux d'*socio=nil inflation*socio=ec2,*socio=nil une*socio=nil balance_des_paiements*socio=ec1 favorable*socio=ec2 *socio=nil et d'abondantes*socio=rien réserves*socio=ec1, et qui jouissent d'un*socio=rien solide*socio=rien crédit*socio=ec1 à l'étranger*socio=te. Les arguments*socio=ec2 inverses valent s'il s'agit de freiner globalement la demande*socio=ec1. Il *socio=rien est nécessaire *socio=nil d'atténuer les tendances*socio=ec2 actuellement divergentes*socio=uv2 des performances*socio=uv3 économiques*socio=ec1 des divers pays_de_l'_ocde*socio=ac. Cette *socio=rien tâche est *socio=nil grandement compliquée par le déficit*socio=ec1 de la balance*socio=ec1 courante*socio=te globale*socio=rien de la zone_de_l'_ocde*socio=te vis-à-vis des pays*socio=ac de l'OPEP*socio=ac. Certains pays*socio=ac se sont si massivement endettés ces *socio=rien dernières années *socio=nil qu'ils sont peut-être près d'avoir épuisé leur crédit*socio=ec1 à l'étranger*socio=te. Il est*socio=rien assez urgent*socio=uv4 qu'une plus *socio=rien large part du*socio=nil *socio=ec1 déficit pétrolier *socio=nil soit supportée par les pays*socio=ac dont le crédit*socio=ec1 à l'étranger*socio=te reste*socio=rien intact. La persistance*socio=te des tendances*socio=ec2 actuelles*socio=te risque*socio=uv4 d'affaiblir la confiance*socio=uv1, de favoriser le recours*socio=ec1 à des *socio=et mesures protectionnistes en*socio=nil matière*socio=rien d'*socio=nil échanges*socio=ec1 *socio=nil et de conduire au démantèlement*socio=et progressif*socio=rien du système*socio=rien ouvert*socio=uv4 d'échanges*socio=ec1 et de paiements*socio=ec1 internationaux*socio=te. La première*socio=rien et *socio=rien principale condition *socio=nil pour arrêter cette tendance*socio=ec2 est*socio=rien que les pays*socio=ac où le taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 est*socio=rien élevé*socio=uv4 mettent en oeuvre*socio=rien des politiques*socio=et anti-inflationnistes*socio=ec2 efficaces*socio=uv4. La *socio=rien deuxième condition est *socio=nil que les pays*socio=ac en *socio=rien bonne position,*socio=nil *socio=nil qui pourraient connaître une expansion*socio=ec2 plus rapide*socio=rien sans risquer de voir s'accélérer l'inflation*socio=ec2, acceptent la responsabilité*socio=uv1 de soutenir l'élan*socio=rien de la reprise de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 mondiale*socio=te. Les taux_de_change*socio=ec1. Depuis l'instauration*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien plus souple*socio=uv4, les taux_de_change*socio=ec1 ont eu tendance*socio=ec2 à suivre de près les variations*socio=rien des prix*socio=ec1 et des coûts*socio=ec1 relatifs*socio=rien - c'est-à-dire à se déprécier dans les pays*socio=ac le taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 était supérieur*socio=rien à la moyenne*socio=rien, et inversement. En courte*socio=rien période*socio=te toutefois, les fluctuation*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 ont été*socio=rien comparativement importantes*socio=rien, en raison*socio=rien de l'incidence*socio=ec2 des évolutions*socio=rien monétaire*socio=ec1 et autres sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te, et du fait*socio=rien que les ajustements*socio=et s'opèrent plus lentement sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 des biens*socio=ec1 et des services*socio=et réels*socio=ec2 que sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1. De surcroît*socio=rien, dans le cas*socio=rien de quelques pays*socio=ac, une tendance*socio=ec2 à "surajuster" les taux_de_change*socio=ec1 en baisse*socio=ec2 a encore accentué la difficulté*socio=uv4 de maîtriser*socio=rien les *socio=ec2 tensions inflationnistes intérieures*socio=te.*socio=nil *socio=nil Nous sommes opposés à *socio=rien un retour *socio=nil à des taux_de_change*socio=ec1 fixés officiellement*socio=et et nous sommes aussi assez réservés au sujet*socio=rien des *socio=rien diverses propositions *socio=nil faites pour limiter*socio=rien la flexibilité*socio=uv3 des taux_de_change*socio=ec1 par des *socio=et mécanismes officiels.*socio=nil *socio=nil Cela dit, nous n'avons pas d'avis*socio=rien bien*socio=rien tranché, ni ne sommes tout à fait*socio=rien d'accord*socio=uv1 entre nous, sur*socio=rien la mesure*socio=rien dans laquelle il pourra *socio=rien être nécessaire ou*socio=nil souhaitable *socio=nil que les autorités*socio=et interviennent sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de change*socio=rien. Les *socio=et interventions officielles *socio=nil ne sont pas le *socio=rien principal facteur agissant*socio=nil sur les*socio=nil taux_de_change*socio=ec1;*socio=nil *socio=nil ce qui importe le plus à cet égard*socio=rien, c'est*socio=rien la politique*socio=et macroéconomique*socio=ec1 générale*socio=rien suivie par les pays*socio=ac concernés. C'est*socio=rien une erreur*socio=uv4 que d'essayer d'empêcher des mouvements*socio=ec2 de taux_de_change*socio=ec1 rendus inévitables*socio=rien par des variations*socio=rien des coûts*socio=ec1 et des prix*socio=ec1 relatifs*socio=rien ou par d'autres facteurs*socio=rien modifiant la situation*socio=rien foncière*socio=ec1 de la balance*socio=ec1 des opérations*socio=rien courantes*socio=te ou en capital*socio=ec1 d'un*socio=rien pays*socio=ac. Cependant, si l'on veut que les pays*socio=ac en *socio=rien faible position *socio=nil soient en mesure*socio=rien de réduire leur taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 élevé*socio=uv4, il faut que leur taux_de_change*socio=ec1 puisse fluctuer dans une marge se situant à *socio=rien un niveau suffisamment*socio=nil bas *socio=nil pour les inciter à restructurer leur production*socio=ec1 en l'orientant davantage vers l'exportation*socio=ec1, mais en même temps*socio=rien assez élevé*socio=uv4 pour leur permettre - en liaison*socio=rien avec des mesures*socio=et appropriées de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1 et d'autres dispositions*socio=et - de rapprocher leur taux*socio=rien d'inflation*socio=ec2 de ceux enregistrés par les pays*socio=ac moins inflationnistes*socio=ec2. Comme il faudra *socio=rien un certain temps *socio=nil pour que s'opèrent les ajustements*socio=et requis*socio=uv4 des flux*socio=ec1 d'échanges*socio=ec1 et de paiements*socio=ec1, ces conditions*socio=ec1 devront être*socio=rien réalisées, non pas pour quelques mois*socio=rien mais pour une, deux ou plusieurs années*socio=rien. Certains d'entre nous doutent que, même au cas*socio=rien où les politiques*socio=et requises*socio=uv4 seraient mises en oeuvre*socio=rien dans tous les pays*socio=ac, les fluctuations*socio=ec2 des taux_de_change*socio=ec1 puissent rester dans les limites*socio=rien de cette marge relativement étroite*socio=rien, vu les incertitudes*socio=uv3 inévitables*socio=rien de l'évolution*socio=rien économique*socio=ec1 (et politique*socio=et). Ils pensent, par conséquent*socio=rien, qu'il y aurait lieu*socio=rien, dans les conditions*socio=ec1 présentes*socio=rien, de prévoir, en cas*socio=rien de besoin*socio=uv1, des interventions*socio=et plus actives*socio=uv4 des autorités*socio=et de divers pays*socio=ac sur*socio=rien certains marchés*socio=ec1 de change*socio=rien en vue*socio=rien d'empêcher ou de corriger des fluctuations*socio=ec2 excessives*socio=rien des cours*socio=ec1. En ce qui concerne les petits*socio=rien pays_de_l'_ocde*socio=ac, certains membres*socio=ac du Groupe*socio=ac estiment que quelques-uns parmi ces pays*socio=ac auraient peut-être intérêt*socio=uv1 à rattacher, officiellement*socio=et ou non, leur taux_de_change*socio=ec1 à la monnaie*socio=ec1 d'un*socio=rien grand*socio=rien pays*socio=ac où la tenue des prix*socio=ec1 serait satisfaisante*socio=uv4. Une "norme*socio=et en matière*socio=rien de taux_de_change*socio=ec1" pourrait ainsi s'ajouter aux normes*socio=et monétaire*socio=ec1 et budgétaire*socio=et et à celles concernant les prix*socio=ec1 et les revenus*socio=ec1, ou les remplacer, dans le cadre*socio=rien d'une politique*socio=et qui ne s'accommoderait pas d'une forte*socio=rien inflation*socio=ec2 intérieure*socio=te. Il n'existe pas de *socio=rien formule simple *socio=nil ou d'un*socio=rien maniement facile*socio=rien en matière*socio=rien de politique*socio=et des taux_de_change*socio=ec1. Il faudra peut-être, dans les années*socio=rien qui viennent, expérimenter toute une série de méthodes*socio=rien dans les différents*socio=rien pays*socio=ac, pour déterminer celles qui permettraient le mieux d'assurer le dosage*socio=rien voulu de flexibilité*socio=uv3 et de stabilité*socio=uv3. C'est*socio=rien seulement avec le temps*socio=rien que l'on saura quel est*socio=rien le *socio=rien degré nécessaire de*socio=nil régulation*socio=et collective*socio=uv2.*socio=nil Les*socio=nil liquidités*socio=ec1 internationales*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil rôle plus*socio=nil important *socio=nil que sont désormais appelés à jouer les prêteurs*socio=ac privés*socio=et dans les opérations*socio=rien de financement*socio=ec1 officiel*socio=et marque*socio=rien le point*socio=rien culminant d'une longue*socio=rien transformation*socio=ec2 du processus*socio=te de création*socio=rien de liquidités*socio=ec1. Il s'ensuit que les limites*socio=rien de la création*socio=rien de réserves*socio=ec1 sont devenues imprécises et fluctuantes, dépendant davantage du jugement*socio=rien porté par le marché*socio=ec1 privé*socio=et sur*socio=rien le crédit*socio=ec1 dont jouissent les différents*socio=rien pays*socio=ac que d'une évaluation*socio=ec2 officielle*socio=et, multilatérale*socio=et, des politiques*socio=et mises en oeuvre*socio=rien et des besoins*socio=uv1 de l'ensemble*socio=rien du système*socio=rien. Le système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te présente*socio=rien désormais certaines*socio=rien des caractéristiques*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien national*socio=te de crédit*socio=ec1 sans banque_centrale*socio=ac. Ce n'est*socio=rien pas l'accroissement*socio=ec2 des liquidités*socio=ec1 internationales*socio=te en lui-même, si considérable*socio=rien qu'il ait été*socio=rien, qui constitue pour nous le point*socio=rien le plus préoccupant*socio=uv4. Nous sommes en revanche préoccupés par la répartition*socio=uv3 extrêmement inégale*socio=uv2 des dettes*socio=ec1 extérieures*socio=te accumulées aussi bien*socio=rien au sein*socio=rien qu'en dehors de la zone_de_l'_ocde*socio=te. L'accès*socio=uv1 aux *socio=ec1 ressources financières internationales*socio=te est*socio=rien *socio=nil à certains moments*socio=rien si facile*socio=rien que les gouvernements*socio=ac sont tentés de différer des ajustements*socio=et nécessaires*socio=rien, mais il peut *socio=rien brusquement devenir plus*socio=nil difficile du*socio=nil fait de*socio=nil changements*socio=uv3 d'*socio=nil attitude*socio=uv3 des*socio=nil marchés*socio=ec1 au*socio=nil regard *socio=nil de la solvabilité*socio=rien de certains pays*socio=ac. En outre, les limites*socio=rien à l'expansion*socio=ec2 des *socio=ec1 ressources financières internationales*socio=te *socio=nil ne peuvent *socio=rien devenir effectives *socio=nil qu'en soumettant à de graves*socio=rien tensions*socio=ec2 le système*socio=rien dans son ensemble*socio=rien et la viabilité*socio=uv3 des intermédiaires*socio=rien financiers*socio=ec1 privés*socio=et qui jouent *socio=rien un rôle si*socio=nil important.*socio=nil *socio=nil Nous ne pensons pas qu'il faille, pour pallier ces dangers*socio=uv1, essayer de restreindre les activités*socio=rien des marchés*socio=ec1 de capitaux*socio=ec1 internationaux*socio=te. Il s'agirait plutôt de gérer plus efficacement l'_offre*socio=ec1 de liquidités*socio=ec1. Il devrait y avoir des rapports*socio=rien plus étroits*socio=rien entre les prêts*socio=ec1 de source*socio=rien privée*socio=et et les conditions*socio=ec1 mises à l'octroi*socio=rien de crédits*socio=ec1 par les organismes*socio=ac officiels*socio=et. Les institutions_financières*socio=ac privées*socio=et devraient être*socio=rien plus attentives à la situation*socio=rien économique*socio=ec1 générale*socio=rien des *socio=ac pays emprunteurs,*socio=nil *socio=nil et ceux-ci devraient être*socio=rien disposés à demander un*socio=rien peu plus tôt l'avis*socio=rien et le concours des organismes*socio=ac *socio=et officiels multilatéraux.*socio=nil *socio=nil Il serait nécessaire*socio=rien d'accroître le volume*socio=rien des moyens*socio=ec1 de financement*socio=ec1 officiels*socio=et disponibles*socio=rien pour soutenir des programmes*socio=et de stabilisation*socio=et appropriés et aider les pays*socio=ac à traverser la période*socio=te prolongée d'ajustement*socio=et à la hausse*socio=rien du prix*socio=ec1 du pétrole*socio=ec1. En outre, il faudrait régulièrement examiner les mécanismes*socio=et mis en place*socio=rien pour surveiller les activités*socio=rien des marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te et pour assurer, en cas*socio=rien de réel*socio=ec2 besoin*socio=uv1, des facilités de crédit*socio=ec1 de dernier*socio=rien ressort, afin d'éviter le danger*socio=uv1 de voir l'ensemble*socio=rien du système_monétaire*socio=ec1 soumis à de graves*socio=rien tensions*socio=ec2. A plus longue*socio=rien échéance*socio=te, quelle est*socio=rien l'évolution*socio=rien probable*socio=uv4 ou souhaitable*socio=rien du système_monétaire*socio=ec1 international*socio=te dans son ensemble*socio=rien? On donnera peut-être la *socio=rien meilleure définition des*socio=nil arrangements*socio=et actuels*socio=te *socio=nil en disant qu'ils constituent *socio=rien un système *socio=nil orienté vers le marché*socio=ec1 ou système*socio=rien "fédératif", dans lequel l'accès*socio=uv1 aux moyens*socio=ec1 de *socio=ec1 financement externes *socio=nil et les conditions*socio=ec1 auxquelles ils peuvent être*socio=rien obtenus sont déterminés par des institutions_privées dans chaque cas*socio=rien individuel*socio=uv2, mais par l'effet*socio=rien conjugué*socio=rien des politiques_monétaires*socio=et suivies dans les *socio=rien grands centres financiers*socio=ec1 *socio=nil pour l'ensemble*socio=rien du système*socio=rien. *socio=rien Un pareil système *socio=nil fédératif peut être*socio=rien viable*socio=uv4 si les autorités*socio=et responsables*socio=uv2 de la politique_monétaire*socio=et dans les grands*socio=rien pays*socio=ac sont disposées à prêter suffisamment attention*socio=rien à la situation*socio=rien - et aux besoins*socio=uv1 - de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te dans son ensemble*socio=rien. Cela ne fait*socio=rien que confirmer la nécessité*socio=uv1 d'étroites*socio=rien consultations*socio=uv1 et d'une meilleure*socio=rien coordination*socio=uv3 des politiques*socio=et de régulation*socio=et de la demande*socio=ec1. Il n'y a pas lieu*socio=rien d'accroître encore le nombre*socio=rien des réunions*socio=rien ni de créer de nouveaux*socio=rien organismes_internationaux*socio=ac. Mais le niveau*socio=rien mondial*socio=te des prix*socio=ec1 est*socio=rien devenu si sensible*socio=rien aux fluctuations*socio=ec2 de la demande*socio=ec1, et toute perte*socio=ec2 de confiance*socio=uv1 affectant l'investissement*socio=ec1, l'évolution*socio=rien des stocks*socio=ec1 et le comportement*socio=rien des consommateurs*socio=ac semble se propager si rapidement d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, qu'il *socio=rien est bien certain *socio=nil qu'une étroite*socio=rien coopération_internationale*socio=uv1 doit être*socio=rien l'un*socio=rien des éléments*socio=rien essentiels*socio=uv4 d'un*socio=rien programme*socio=et visant à rétablir le plein_emploi*socio=uv3 et la stabilité*socio=uv3 des prix*socio=ec1.