*{ OCDE: Rapport sur l'emploi 1997 }

Les emplois*socio=ec1 à bas*socio=rien salaire*socio=ec1: tremplin*socio=rien vers un*socio=rien avenir*socio=te meilleur*socio=rien ou piège. 

Trois *socio=rien ans après la*socio=nil  publication *socio=nil  par l'OCDE*socio=ac de son importante*socio=rien étude*socio=ec2 sur*socio=rien 
l'emploi*socio=ec1, les *socio=rien nouvelles sur le*socio=nil  front *socio=nil  de l'emploi*socio=ec1 et du chômage*socio=ec1 sont à 
la *socio=rien fois bonnes et*socio=nil  mauvaises.*socio=nil  La*socio=nil  bonne nouvelle c'*socio=nil est *socio=nil  que certains pays*socio=ac 
- 
l'Irlande*socio=ac, la Nouvelle-zélande*socio=ac, les Pays-bas*socio=ac et le Royaume-uni*socio=ac - sont 
parvenus à réduire sensiblement leur chômage*socio=ec1 structurel*socio=uv4 après*socio=rien avoir 
procédé*socio=rien à des réformes*socio=et de *socio=rien grande envergure au*socio=nil  cours *socio=nil  de la décennie*socio=te 
écoulée, conformément aux recommandations*socio=rien de la Stratégie*socio=et pour l'emploi*socio=ec1 
et, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien, cette évolution*socio=rien s'est*socio=rien accompagnée de 
bonnes*socio=rien 
performances*socio=uv3 *socio=rien globales sur le*socio=nil  plan *socio=nil  de l'emploi*socio=ec1. D'autres pays*socio=ac, comme le 
japon*socio=ac, la Norvège*socio=ac et les États-unis*socio=ac, enregistrent de *socio=rien faibles niveaux de*socio=nil  
chômage*socio=ec1 total *socio=nil  et des taux*socio=rien d'activité*socio=rien relativement élevés*socio=uv4. 

La *socio=rien mauvaise nouvelle c'*socio=nil est *socio=nil  que le chômage*socio=ec1 structurel*socio=uv4 à continué d'augmenter 
et que la croissance*socio=uv3 de l'emploi*socio=ec1 est*socio=rien restée très faible*socio=rien dans beaucoup 
d'autrespays, surtout en Europe*socio=ac continentale*socio=te. Aujourd'hui, if y à 
environ 36 millions*socio=rien de chômeurs*socio=ac dans la zone_de_l'_ocde*socio=te, ce qui 
représente *socio=rien un taux de*socio=nil  chômage*socio=ec1 *socio=nil  de 7/2 pour cent*socio=rien. D'ici la fin*socio=rien de 1998, 
le taux*socio=rien de chômage*socio=ec1 devrait fléchir légèrement, s'établissant à environ 
7 pour cent*socio=rien, soit 35 millions*socio=rien de chômeurs*socio=ac. Beau coup*socio=rien plus nombreuses*socio=rien 
sont les personnes*socio=ac qui aimeraient occuper un*socio=rien emploi*socio=ec1 sans pour autant 
être*socio=rien activement engagées dans une recherche*socio=ec2 d'emploi*socio=ec1 car elles sont 
découragées. Les travailleurs*socio=ac les moins qualifiés*socio=uv4 et les moins 
expérimentés ont été*socio=rien touchés particulièrement durement par ces 
*socio=rien évolutions négatives sur le*socio=nil  marché_du_travail*socio=ec1.*socio=nil  Leur*socio=nil  taux d'*socio=nil emploi*socio=ec1 *socio=nil  à 
baissé dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, en *socio=rien termes absolus *socio=nil  et en *socio=rien termes 
relatifs,*socio=nil  en*socio=nil  particulier *socio=nil  parmi les hommes*socio=ac d'âge*socio=rien adulte*socio=ac, bien*socio=rien que le 
recul*socio=rien soit moins marque*socio=rien pour les femmes*socio=ac de la même tranche d'âge*socio=rien (chapitre*socio=rien 
4). 

En ce qui concerne l'évolution*socio=rien à moyen_terme*socio=te des salaires*socio=ec1 et des 
revenus*socio=ec1, on à enregistré *socio=rien un fléchissement en*socio=nil  termes réels*socio=ec2,*socio=nil  au*socio=nil  bas *socio=nil  de l'échelle*socio=rien 
des rémunérations*socio=ec1, dans certains pays*socio=ac, par exemple*socio=rien en Nouvelle-zélande*socio=ac 
et aux États-unis*socio=ac. Dans d'autres, par exemple*socio=rien en Australie*socio=ac, en Irlande*socio=ac 
et au Royaume-uni*socio=ac, si les salaires*socio=ec1 réels*socio=ec2 l'ont pas baissé au bas*socio=rien de l'échelle*socio=rien 
des rémunérations*socio=ec1, en revanche l'écart*socio=rien entre les plus hauts*socio=rien salaires*socio=ec1 et 
les plus bas*socio=rien salaires*socio=ec1 s'est*socio=rien souvent beaucoup creusé. Dans certains cas*socio=rien, 
cette *socio=rien évolution est *socio=nil  allée de pair*socio=rien avec une accentuation*socio=ec2 de la 
dispersion*socio=rien des revenus*socio=ec1 des familles*socio=uv1 et des ménages*socio=ac. 

Dans son budget*socio=ec1 sur*socio=rien l'emploi*socio=ec1, l'OCDE*socio=ac à souligné la nécessité*socio=uv1 de 
renforcer la capacité*socio=uv3 des économies*socio=ec1 de l'OCDE*socio=ac de s'adapter*socio=rien rapidement 
aux mutations*socio=ec2 structurelles*socio=uv4 grâce*socio=rien à une croissance*socio=uv3 soutenue de l'emploi*socio=ec1 
et à l'élévation*socio=rien du niveau_de_vie*socio=uv1 réel*socio=ec2 de façon*socio=rien à faire reculer un*socio=rien 
chômage*socio=ec1 qui se maintient à *socio=rien un haut niveau.*socio=nil  *socio=nil  Pour atteindre ces objectifs*socio=uv4, 
l'étude*socio=ec2 sur*socio=rien l'emploi*socio=ec1 propose *socio=rien un ensemble,*socio=nil  vaste *socio=nil  et équilibré, de 
recommandations*socio=rien, préconisant notamment, dans toute la mesure*socio=rien du 
possible*socio=rien, d'aider les travailleurs*socio=ac à trouver des emplois*socio=ec1 qui leur 
permettent d'être*socio=rien hautement productifs*socio=uv4 et de gagner des salaires*socio=ec1 qui 
les mettent à l'abri*socio=rien, eux-mêmes et leur famille*socio=uv1, de la pauvreté*socio=uv1. L'expérience*socio=ec2 
montre que la Stratégie*socio=et pour l'emploi*socio=ec1 peut être*socio=rien efficace*socio=uv4 si les 
recommandations*socio=rien sont mises en oeuvre*socio=rien de *socio=rien façon cohérente et*socio=nil  systématique,*socio=nil  
*socio=nil  et que la volonté*socio=uv1 politique*socio=et est*socio=rien là. Cependant, de nombreux*socio=rien pays*socio=ac ne se 
sont pas encore engagés dans cette voie*socio=rien. Il y à maintes raisons*socio=rien à leur 
hésitation*socio=rien, mais ils craignent en particulier*socio=rien que l'application*socio=rien de 
toutes les recommandations*socio=rien, surtout celles qui préconisent une plus 
grande*socio=rien flexibilité*socio=uv3 sur*socio=rien les marchés_du_travail*socio=ec1 et des produits*socio=rien, ne 


menace*socio=uv4 la cohésion*socio=uv1 sociale*socio=et en entraînant une accentuation*socio=ec2 des 
inégalités*socio=uv1 de revenu*socio=ec1 et de la pauvreté*socio=uv1. 

Cet *socio=rien éditorial est centré*socio=nil  sur les*socio=nil  mesures*socio=et *socio=nil  que les pouvoirs_publics*socio=et 
pourraient prendre pour tenter de résoudre les difficultés*socio=uv4 que 
rencontrent, sur*socio=rien le marché_du_travail*socio=ec1, les travailleurs*socio=ac à bas*socio=rien salaire*socio=ec1, 
les travailleurs*socio=ac ayant *socio=rien un faible niveau de*socio=nil  formation*socio=et *socio=nil  et les 
travailleurs*socio=ac peu qualifiés*socio=uv4. De nombreux*socio=rien travailleurs*socio=ac se trouvent 
enfermés dans un*socio=rien cycle*socio=te où alternent faible*socio=rien rémunération*socio=ec1 et absence*socio=rien de 
rémunération*socio=ec1, avec les *socio=rien conséquences négatives *socio=nil  que cet état*socio=rien de fait*socio=rien 
risque*socio=uv4 d'entraîner sur*socio=rien le plan*socio=rien de la pauvreté*socio=uv1 et de la capacité*socio=uv3 
productive*socio=uv4, capacité*socio=uv3 productive*socio=uv4 des travailleurs*socio=ac eux-mêmes mais aussi 
de l'ensemble*socio=rien de l'économie*socio=ec1. C'est*socio=rien pourquoi les politiques*socio=et en faveur*socio=rien 
des bas*socio=rien salaires*socio=ec1 et des demandeurs*socio=ac d'emploi*socio=ec1 peu qualifiés*socio=uv4 constitueront 
l'un*socio=rien des *socio=rien grands thèmes de*socio=nil  réflexion *socio=nil  de la réunion*socio=rien que les ministres*socio=ac du 
Travail*socio=ec1 des pays_de_l'_ocde*socio=ac tiendront en octobre*socio=rien 1997. 

L'ampleur*socio=rien et les caractéristiques*socio=rien des problèmes*socio=uv4 que posent la 
persistance*socio=te de *socio=rien hauts niveaux de*socio=nil  chômage*socio=ec1,*socio=nil  les*socio=nil  inégalités*socio=uv1 de*socio=nil  salaire*socio=ec1 *socio=nil  et 
la faiblesse*socio=ec2 des rémunérations*socio=ec1, l'absence*socio=rien de débouchés*socio=ec1 et le manque*socio=rien de 
qualifications*socio=uv3 varient selon les pays*socio=ac. C'est*socio=rien ainsi, par exemple*socio=rien, que la 
fréquence*socio=rien des emplois*socio=ec1 à bas*socio=rien salaire*socio=ec1, définis*socio=rien comme étant des emplois*socio=ec1 
qui, à plein_temps*socio=ec1, assurent un*socio=rien salaire*socio=ec1 inférieur*socio=rien aux deux tiers*socio=rien du 
salaire*socio=ec1 médian*socio=rien, va de moins de un*socio=rien emploi*socio=ec1 à plein_temps*socio=ec1 sur*socio=rien dix en Suède*socio=ac 
et en Finlande*socio=ac à *socio=rien un sur *socio=nil  quatre aux États-unis*socio=ac. Dans tous les pays*socio=ac, la 
probabilité*socio=ec2 d'occuper un*socio=rien emploi*socio=ec1 à bas*socio=rien salaire*socio=ec1 est*socio=rien plus élevée*socio=uv4 pour les 
femmes*socio=ac, les jeunes*socio=ac et les travailleurs*socio=ac peu qualifiés*socio=uv4 que pour les 
hommes*socio=ac et les *socio=ac travailleurs âgés.*socio=nil  

*socio=nil  Cependant, cette présentation*socio=rien statique des choses*socio=rien donne une vision*socio=ec2 
incomplète*socio=rien de l'emploi*socio=ec1 à bas*socio=rien salaire*socio=ec1. Les emplois*socio=ec1 à bas*socio=rien salaire*socio=ec1 sont 
souvent *socio=rien un tremplin *socio=nil  vers de meilleurs*socio=rien emplois*socio=ec1. L'analyse*socio=rien détaillée de 
mobilité*socio=uv3 présentée au chapitre*socio=rien 2, bien*socio=rien qu'elle ne porte*socio=rien que sur*socio=rien six 
pays*socio=ac, met en *socio=rien évidence un phénomène très*socio=nil  net de*socio=nil  mobilité*socio=uv3 ascendante sur 
l'*socio=nil échelle des*socio=nil  salaires*socio=ec1,*socio=nil  de*socio=nil  nombreux travailleurs*socio=ac quêtant*socio=nil  un emploi*socio=ec1 à*socio=nil  
bas salaire*socio=ec1 pour*socio=nil  un emploi*socio=ec1 *socio=nil  mieux rémunéré. C'est*socio=rien, certes, encourageant, 
mais l'optimisme*socio=uv1 doit être*socio=rien tempéré par le fait*socio=rien que les travailleurs*socio=ac 
peuvent n'échapper*socio=rien à un*socio=rien emploi*socio=ec1 faiblement rémunéré que temporairement*socio=rien. 
Par exemple*socio=rien, parmi les travailleurs*socio=ac ayant constamment occupé un*socio=rien emploi*socio=ec1 
au cours*socio=rien de la période*socio=te 1986-1991, ceux qui occupaient un*socio=rien emploi*socio=ec1 à bas*socio=rien 
salaire*socio=ec1 en début*socio=rien de période*socio=te ont, en moyenne*socio=rien, occupé ce type*socio=rien d'emploi*socio=ec1 
pendant quatre ans*socio=rien au Royaume-uni*socio=ac et aux États-unis*socio=ac, et pendant deux à 
trois ans*socio=rien au Danemark*socio=ac, en France*socio=ac, en Allemagne*socio=ac et en Italie*socio=ac. On observe, 
par ailleurs*socio=rien, un*socio=rien "effet*socio=rien d'aller et retour*socio=rien" dans tous les pays*socio=ac pour 
lesquels des données sont disponibles*socio=rien: de nombreux*socio=rien travailleurs*socio=ac 
semblent, en effet*socio=rien, passer alternativement d'un*socio=rien emploi*socio=ec1 à bas*socio=rien salaire*socio=ec1 à 
une absence*socio=rien de rémunération*socio=ec1. 

Bien*socio=rien qu'emploi*socio=ec1 à faible*socio=rien rémunération*socio=ec1 ne soit pas synonyme*socio=rien d'emploi*socio=ec1 peu 
qualifié*socio=uv4, l'action*socio=rien globale*socio=rien, face*socio=rien à nombre*socio=rien des problèmes*socio=uv4 qu'engendre la 
faiblesse*socio=ec2 des rémunérations*socio=ec1, doit s'orienter vers une stratégie*socio=et 
pluriforme d'apprentissage*socio=uv3 à vie*socio=uv1 destinée à améliorer constamment les 
qualifications*socio=uv3 et les compétences*socio=uv3 de la population*socio=ac et des actifs*socio=uv4. La 
préparation*socio=rien à l'emploi*socio=ec1 ne peut plus *socio=rien être un processus*socio=te sans*socio=nil  suite *socio=nil  qui se 
limite*socio=rien à la formation*socio=et initiale*socio=rien, aussi essentielle*socio=uv4 soit-elle. Dans tous 
les pays*socio=ac, les individus*socio=ac qui constitueront la population_active*socio=ac d'ici 
dix ans*socio=rien travaillent dés*socio=rien à présent*socio=rien, dans la proportion*socio=rien d'environ 80 pour 
cent*socio=rien; or*socio=rien, nombre*socio=rien d'entre eux ont *socio=rien un faible niveau de*socio=nil  formation*socio=et.*socio=nil  *socio=nil  Pour 
générer en plus *socio=rien grand nombre des*socio=nil  emplois*socio=ec1 plus*socio=nil  productifs*socio=uv4,*socio=nil  plus*socio=nil  
qualifiés*socio=uv4 *socio=nil  et mieux payés, les pays_de_l'_ocde*socio=ac doivent concevoir des 


stratégies*socio=et qui leur permettent de s'attaquer efficacement aux obstacles*socio=rien 
qui empêchent les entreprises*socio=ac et les travailleurs*socio=ac; d'investir dans les 
qualifications*socio=uv3 et les compétences*socio=uv3 et d'exploiter ces qualifications*socio=uv3 et 
ces compétences*socio=uv3. L'apprentissage*socio=uv3 à vie*socio=uv1, avec un*socio=rien apprentissage*socio=uv3 en cours*socio=te 
d'emploi*socio=ec1 fondé sur*socio=rien une solide*socio=rien formation*socio=et initiale*socio=rien qui crée à la fois*socio=rien la 
motivation*socio=uv3 et la capacité*socio=uv3 d'adapter*socio=rien et d'améliorer les qualifications*socio=uv3, 
peut donner plus de souplesse*socio=uv3 aux entreprises*socio=ac et renforcer l'aptitude*socio=uv3 
des travailleurs*socio=ac à tirer parti*socio=et des *socio=rien nouvelles formes 
d'*socio=nil organisation_du_travail*socio=ec1 *socio=nil  et des nouvelles*socio=rien technologies*socio=ec1, 

Dans le cadre*socio=rien d'une stratégie*socio=et d'apprentissage*socio=uv3 à vie*socio=uv1, il *socio=rien est fondamental 
*socio=nil  d'aider les travailleurs*socio=ac les moins qualifiés*socio=uv4 à améliorer leurs 
compétences*socio=uv3 et à obtenir*socio=rien des emplois*socio=ec1 qui leur permettent de les 
utiliser. Ces travailleurs*socio=ac ne bénéficient généralement que de très peu 
de formation*socio=et liée à l'emploi*socio=ec1 dans l'entreprise*socio=ac. Ceux qui en ont le plus 
besoin*socio=uv1 sont souvent dissuadés de faire l'investissement*socio=ec1 nécessaire*socio=rien à 
titre*socio=rien personnel*socio=ac, en raison*socio=rien du coût*socio=ec1 et parce que cet investissement*socio=ec1 
risque*socio=uv4 de ne pas être*socio=rien rentabilisé, en ce sens*socio=rien qu'il peut ne pas 
déboucher *socio=rien sur un emploi*socio=ec1 de*socio=nil  qualité,*socio=nil  bien *socio=nil  rémunéré. Cela peut aussi 
contribuer à les enfermer dans l'emploi*socio=ec1 à bas*socio=rien salaire*socio=ec1, ce qui, au 
niveau*socio=rien de l'ensemble*socio=rien de l'économie*socio=ec1, entraîne assurément une perte*socio=ec2 de 
production*socio=ec1 potentielle*socio=uv4. Quant à savoir*socio=rien quelle est*socio=rien l'ampleur*socio=rien de cette 
perte*socio=ec2, c'est*socio=rien actuellement impossible*socio=rien car on n'a pas d'estimations*socio=ec2 
fiables*socio=rien de la rentabilité*socio=ec1 des investissements*socio=ec1 consacrés à la formation*socio=et 
continue*socio=rien pour la collectivité*socio=ac. 

Bien*socio=rien des questions*socio=rien demeurent concernant ]a *socio=rien meilleure façon *socio=nil  de mettre en 
oeuvre*socio=rien des stratégies*socio=et qui encouragent l'apprentissage*socio=uv3 tout au long*socio=rien de 
la vie*socio=uv1. Il est*socio=rien généralement admis que les mécanismes*socio=et de marché*socio=ec1 ne 
sauraient, à eux seuls*socio=rien, surmonter les obstacles*socio=rien très réels*socio=ec2 auxquels les 
entreprises*socio=ac et les travailleurs*socio=ac se heurtent lorsqu'ils envisagent de 
faire un*socio=rien investissement*socio=ec1 dans la formation*socio=et, obstacles*socio=rien qui vont des 
contraintes*socio=uv1 Mes aux marchés_financiers*socio=ec1 pour les individus*socio=ac, au problème*socio=uv4 
posé par les entreprises*socio=ac qui profitent de l'effort*socio=uv1 de formation*socio=et fait*socio=rien 
par d'autres entreprises*socio=ac en débauchant leurs; travailleurs*socio=ac, une fois*socio=rien 
ceux-ci formés. Il *socio=rien est nécessaire *socio=nil  de mettre en place*socio=rien des mécanismes*socio=et 
incitatifs appropriés pour pallier les insuffisances*socio=uv3 du marché*socio=ec1, il *socio=rien est 
difficile *socio=nil  de dire quelle serait la *socio=rien meilleure façon *socio=nil  de procéder. Des 
formules*socio=rien comme les prélèvements*socio=ec1 pour la formation*socio=et et les chèques 
formation*socio=et individuels*socio=uv2 ont été*socio=rien testées, mais elles ont donné des 
résultats*socio=rien divers. Il serait intéressant*socio=rien, notamment, de réfléchir de 
façon*socio=rien plus approfondie à la possibilité*socio=rien d'instituer des procédures*socio=et 
nationales*socio=te de validation*socio=ec2/reconnaissance*socio=uv1 des qualifications*socio=uv3, car ce 
serait *socio=rien un moyen *socio=nil  d'améliorer le fonctionnement*socio=rien du marché_du_travail*socio=ec1. La 
mise en place*socio=rien de systèmes*socio=rien d'évaluation*socio=ec2 et de reconnaissance*socio=uv1 des 
compétences*socio=uv3 acquises*socio=rien permettront *socio=rien un meilleur équilibre*socio=uv3 *socio=nil  en favorisant 
une évolution*socio=rien vers des compétences*socio=uv3 plus larges*socio=rien et qui puissent être*socio=rien 
transférées, surtout s'agissant de ]a formation*socio=et des adultes*socio=ac. De fait*socio=rien, 
certains pays*socio=ac s'efforcent actuellement de définir*socio=rien des normes*socio=et nationales*socio=te 
de qualification*socio=uv3 et d'évaluation*socio=ec2, souvent en consultation*socio=uv1 avec le monde*socio=te 
des entreprises*socio=ac et les organisations_syndicales, tous ayant intérêt*socio=uv1 à 
ce qu'on parvienne à définir*socio=rien et à appliquer des normes*socio=et. Les systèmes*socio=rien de 
validation*socio=ec2 peuvent contribuer de façon*socio=rien positive*socio=uv4 à l'amélioration*socio=uv1 du 
marché*socio=ec1 de la formation*socio=et des adultes*socio=ac si les critères*socio=rien sont admis par tous, 
donnent lieu*socio=rien à un*socio=rien suivi adéquat*socio=uv2 et sont convenablement appliqués. il 
est*socio=rien impératif*socio=uv4 que ces systèmes*socio=rien soient suffisamment souples*socio=uv4 pour s'adapter*socio=rien 
sans délai*socio=rien à l'évolution*socio=rien rapide*socio=rien des technologies*socio=ec1. 

Des réformes*socio=et efficaces*socio=uv4 des politiques*socio=et d'éducation*socio=et et de formation*socio=et sont 
essentielles*socio=uv4 pour améliorer la situation*socio=rien de nombre*socio=rien des travailleurs*socio=ac les 


moins rémunérés et les moins qualifiés*socio=uv4, et de nombreux*socio=rien pays*socio=ac ont 
intensifié leurs efforts*socio=uv1 dans ce sens*socio=rien. Cependant, ces réformes*socio=et peuvent 
ne pas être*socio=rien efficaces*socio=uv4 pour tout_le_monde et il est*socio=rien irréaliste*socio=uv4 de penser 
qu'une amélioration*socio=uv1 de l'_offre*socio=ec1 de compétences*socio=uv3 entraînera 
nécessairement, 
du moins à court*socio=rien ou moyen_terme*socio=te, une augmentation*socio=ec2 correspondante*socio=rien du 
nombre*socio=rien des emplois*socio=ec1 à forte*socio=rien productivité*socio=uv3. Oui plus est*socio=rien, même si la 
formation*socio=et *socio=rien continue est efficace*socio=uv4 *socio=nil  pour certains individus*socio=ac, il faut du 
temps*socio=rien pour qu'elle donne des résultats*socio=rien. D'autres mesures*socio=et doivent donc 
*socio=rien être prises en*socio=nil  faveur des*socio=nil  bas salaires*socio=ec1.*socio=nil  

*socio=nil  D'aucuns estiment qu'un*socio=rien système*socio=rien judicieusement conçu de prestations*socio=et 
subordonnées à l'exercice*socio=rien d'une activité*socio=rien peut *socio=rien être un moyen *socio=nil  de traiter 
le problème*socio=uv4 de la pauvreté*socio=uv1 qu'engendre l'emploi*socio=ec1 à bas*socio=rien salaire*socio=ec1. Les 
prestations*socio=et accordées sous condition*socio=rien de ressources*socio=ec1 viennent compléter 
les revenus*socio=ec1 des travailleurs*socio=ac occupant des emplois*socio=ec1 faiblement rémunérés, 
incitant fortement ces travail*socio=ec1 leurs à rechercher du travail*socio=ec1; elles 
sont progressivement*socio=rien réduites à mesure*socio=rien que les revenus*socio=ec1 augmentent. De 
tels dispositifs*socio=et existent sous *socio=rien diverses formes *socio=nil  dans six pays_de_l'_ocde*socio=ac 
- 
au Canada*socio=ac, en Irlande*socio=ac, en Italie*socio=ac, en Nouvelle*socio=rien Zélande, au Royaume-uni*socio=ac 
et aux États-unis*socio=ac -, et ils ont pris davantage d'ampleur*socio=rien récemment en 
Irlande*socio=ac, au Royaume-uni*socio=ac et aux États-unis*socio=ac. Actuellement, les dépenses*socio=ec1 
Mes à ce type*socio=rien de dispositif*socio=et représentent 0,5 pour cent*socio=rien du PIB*socio=ec1 au 
Royaume-uni*socio=ac et 0,2 pour cent*socio=rien aux États-unis*socio=ac. S'agissant des États-unis*socio=ac, 
il à été*socio=rien estimé que le système*socio=rien du crédit*socio=ec1 d'impôt*socio=et au titre*socio=rien des revenus*socio=ec1 
du travail*socio=ec1 assure des prestations*socio=et à environ 6 millions*socio=rien de contribuables*socio=ac 
actifs*socio=uv4 dont les revenus*socio=ec1 se situent en deçà du seuil*socio=rien de pauvreté*socio=uv1 
officiel*socio=et et permet d'élever les revenus*socio=ec1 d'environ 1 million*socio=rien d'entre eux 
au-dessus du seuil*socio=rien de pauvreté*socio=uv1 officiel*socio=et. 

Si les prestations*socio=et subordonnées à l'exercice*socio=rien d'une activité*socio=rien sont 
intéressantes*socio=rien par bien*socio=rien des aspects*socio=rien, elles ne sont pas la *socio=rien solution 
miracle au*socio=nil  problème*socio=uv4 *socio=nil  de l'emploi*socio=ec1 à bas*socio=rien salaire*socio=ec1 - pour des raisons*socio=rien qui 
ont 
été*socio=rien examinées dans les Perspectives*socio=te de l'emploi*socio=ec1 de 1996. Ce type*socio=rien de 
dispositif*socio=et à le plus de chances*socio=rien de réussir dans les pays*socio=ac où la 
*socio=rien distribution existante des*socio=nil  salaires*socio=ec1 est relativement*socio=nil  inégale*socio=uv2,*socio=nil  *socio=nil  où les 
prestations*socio=et sont maintenues à *socio=rien un bas niveau par*socio=nil  rapport aux*socio=nil  *socio=ec1 gains 
moyens 
*socio=nil  et où elles sont étroitement ciblées sur*socio=rien les familles*socio=uv1 avec enfants*socio=ac. 

Les systèmes*socio=rien de prestations*socio=et subordonnées à l'exercice*socio=rien d'une activité*socio=rien, 
destinés à compléter des revenus*socio=ec1 d'activité*socio=rien insuffisants*socio=uv4, peuvent se 
révéler très coûteux*socio=ec2 pour les finances*socio=ec1 publiques*socio=et, aggravant des 
situations*socio=rien budgétaires*socio=et déjà difficiles*socio=rien dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, en 
particulier*socio=rien si les prestations*socio=et prennent la forme*socio=rien d'un*socio=rien versement*socio=ec1 global*socio=te 
au profit*socio=ec1 des titulaires*socio=rien de faibles*socio=rien rémunérations*socio=ec1 et si les inégalités*socio=uv1 
de salaire*socio=ec1 continuent de se creuser au bas*socio=rien de l'échelle*socio=rien des 
rémunérations*socio=ec1. C'est*socio=rien la *socio=rien principale raison *socio=nil  qui pousse à soumettre ces 
prestations*socio=et à conditions*socio=ec1 de ressources*socio=ec1 et à les cibler, encore que le 
Royaume-uni*socio=ac tente actuellement une expérience*socio=ec2 pour mettre en évidence*socio=rien 
les effets*socio=rien d'un*socio=rien élargissement*socio=ec2 de ce type*socio=rien d'aide*socio=uv1 à l'ensemble*socio=rien des 
titulaires*socio=rien de faibles*socio=rien rémunérations*socio=ec1. Mais l'application*socio=rien de conditions*socio=ec1 
de ressources*socio=ec1 et le ciblage*socio=ec2 enclenchent inévitablement un*socio=rien engrenage*socio=ec1 de 
la pauvreté*socio=uv1 pour certains groupes*socio=ac qui ne gagnent pas *socio=rien grand chose,*socio=nil  voire*socio=nil  
rien *socio=nil  du tout, à travailler plus. Des réformes*socio=et instituées récemment en 
Australie*socio=ac peuvent apporter une *socio=rien réponse partielle *socio=nil  à ce problème*socio=uv4. L'Australie*socio=ac 
est*socio=rien passée*socio=te d'un*socio=rien système*socio=rien prenant en compte*socio=rien les ressources*socio=ec1 de toute la 
famille*socio=uv1 à *socio=rien un système *socio=nil  davantage axé sur*socio=rien la situation*socio=rien personnelle de l'individu*socio=ac. 


Bien*socio=rien qu'on ne dispose pas encore de données définitives*socio=rien, cette "individualisation" 
du système*socio=rien de prestations*socio=et semble effectivement*socio=rien avoir permis*socio=rien, dans une 
*socio=rien certaine mesure,*socio=nil  *socio=nil  que le revenu*socio=ec1 de la famille*socio=uv1 augmente lorsque l'un*socio=rien des 
éléments*socio=rien du couple dans un*socio=rien ménage*socio=ac de chômeurs*socio=ac accepte un*socio=rien emploi*socio=ec1 à 
temps_partiel*socio=ec1 ou un*socio=rien emploi*socio=ec1 à plein_temps*socio=ec1 faiblement rémunéré 

Si des prestations*socio=et subordonnées à l'exercice*socio=rien d'une activité*socio=rien peuvent 
amener un*socio=rien plus *socio=rien grand nombre de*socio=nil  travailleurs*socio=ac *socio=nil  faiblement rémunérés à 
occuper un*socio=rien emploi*socio=ec1, elles peuvent aussi exercer des pressions*socio=ec2 à la 
baisse*socio=ec2 
sur*socio=rien les faibles*socio=rien rémunérations*socio=ec1. Si tel est*socio=rien le cas*socio=rien, elles peuvent cesser 
de répondre à l'objectif*socio=uv4 de garantie de revenu*socio=ec1 qui est*socio=rien visé, alors même 
que la dépense*socio=ec1 publique*socio=et augmente. S'il *socio=rien est vrai *socio=nil  que la baisse*socio=ec2 des 
salaires*socio=ec1 peut encourager les employeurs*socio=ac à recruter des travailleurs*socio=ac 
faiblement rémunérés en plus *socio=rien grand nombre,*socio=nil  *socio=nil  cela peut aussi tendre à 
affaiblir les incitations*socio=uv3 au travail*socio=ec1 pour ceux qui perçoivent des 
prestations*socio=et. Au total*socio=rien, le problème*socio=uv4 des basses rémunérations*socio=ec1 ne 
régresserait pas autant que les *socio=rien effets immédiats du*socio=nil  dispositif*socio=et *socio=nil  le 
donneraient à penser. 

Ces préoccupations*socio=uv4 ont conduit certains pays*socio=ac, en particulier*socio=rien en Europe*socio=ac 
continentale*socio=te, à opter pour un*socio=rien salaire*socio=ec1 plancher (fixé par voie*socio=rien 
législative ou par négociation_collective*socio=ec1) tout en menant une politique*socio=et 
de réduction*socio=ec2 ou d'exonération*socio=ec1 des charges*socio=rien sociales*socio=et ciblée sur*socio=rien le bas*socio=rien de 
l'échelle*socio=rien des salaires*socio=ec1. Le *socio=rien but est *socio=nil  de faire en sorte*socio=rien que le travail*socio=ec1 
assure un*socio=rien revenu*socio=ec1 minimum*socio=rien tout en évitant que le coût*socio=ec1 de la 
main-d'_oeuvre*socio=ac 
ne dissuade*socio=rien les entreprises*socio=ac d'embaucher des travailleurs*socio=ac non qualifiés*socio=uv4. 
Telle est*socio=rien la ligne*socio=rien d'action*socio=rien qui à été*socio=rien adoptée en Belgique*socio=ac, en France*socio=ac et 
aux Pays-bas*socio=ac. 

Mais cette formule*socio=rien n'est*socio=rien pas une *socio=rien solution miracle *socio=nil  non plus. Un*socio=rien salaire*socio=ec1 
plancher fixé à *socio=rien un niveau trop*socio=nil  élevé*socio=uv4 *socio=nil  nuira aux perspectives*socio=te d'emploi*socio=ec1 
des travailleurs*socio=ac faiblement rémunérés et qui manquent d'expérience*socio=ec2. En 
outre, les réductions*socio=ec2 ou les exonérations*socio=ec1 de charges*socio=rien sociales*socio=et pour tous 
les salaires*socio=ec1 inférieurs*socio=rien à *socio=rien un certain seuil pourraient*socio=nil  être coûteuses*socio=ec2 
*socio=nil  pour les finances*socio=ec1 publiques*socio=et car elles entraînent *socio=rien un manque *socio=nil  à gagner. Il 
*socio=rien est difficile,*socio=nil  *socio=nil  également, de dire si l'emploi*socio=ec1 s'en trouvera accru en 
*socio=rien termes nets,*socio=nil  *socio=nil  car on sait bien*socio=rien que ce type*socio=rien de dispositif*socio=et peut entraîner 
d'importants*socio=rien effets*socio=rien d'aubaine (en ce sens*socio=rien que de nombreuses*socio=rien embauches 
de travailleurs*socio=ac faiblement rémunérés auraient eu lieu*socio=rien de toute façon*socio=rien) 
et d'importants*socio=rien effets*socio=rien de substitution*socio=rien (les entreprises*socio=ac pouvant 
substituer des emplois*socio=ec1 faiblement rémunérés à d'autres, mieux rémunérés). 

Malheureusement, les données qui permettraient de dire dans quelle 
mesure*socio=rien ces deux approches contribuent efficacement à l'amélioration*socio=uv1 des 
bas*socio=rien salaires*socio=ec1 et au renforcement*socio=ec2 des incitations*socio=uv3 au travail*socio=ec1 sont rares*socio=rien. 
Aussi est-il indispensable*socio=uv4 d'élargir nos connaissances*socio=ec2 concernant l'efficacité*socio=uv3 
de ces politiques*socio=et sur*socio=rien deux points*socio=rien au moins: i) leur incidence*socio=ec2 sur*socio=rien les 
perspectives*socio=te d'emploi*socio=ec1 au niveau*socio=rien individuel*socio=uv2 et sur*socio=rien l'emploi*socio=ec1 total*socio=rien; et ii) 
leur incidence*socio=ec2 sur*socio=rien la pauvreté*socio=uv1. Ces questions*socio=rien doivent, en outre, être*socio=rien 
évaluées dans une perspective*socio=rien à long_terme*socio=te. Ainsi qu'on l'observe aux 
chapitres*socio=rien 2 et 5, *socio=rien obtenir un emploi*socio=ec1 *socio=nil  ne suffit pas pour gagner la 
bataille. Conserver son emploi*socio=ec1 en ayant de bonnes*socio=rien perspectives*socio=te de 
progression*socio=ec2 du salaire*socio=ec1 se révélé *socio=rien fort difficile *socio=nil  pour de nombreux*socio=rien 
travailleurs*socio=ac faiblement rémunérés, notamment les femmes*socio=ac, les adultes*socio=ac d'âge*socio=rien 
mûr et les travailleurs*socio=ac les moins qualifiés*socio=uv4. 

A long_terme*socio=te, le bien-être*socio=uv1 des travailleurs*socio=ac se trouvant au bas*socio=rien de l'échelle*socio=rien 
des rémunérations*socio=ec1 dépend pour beaucoup de l'amélioration*socio=uv1 de leur 


productivité*socio=uv3. Quant à savoir*socio=rien quelle serait la *socio=rien meilleure façon *socio=nil  d'atteindre 
cet objectif*socio=uv4, cela doit s'envisager dans le contexte*socio=rien plus large*socio=rien des 
politiques*socio=et et des institutions*socio=ac destinées*socio=rien à renforcer les incitations*socio=uv3 à 
la production*socio=ec1 et l'utilisation*socio=rien efficace*socio=uv4 des qualifications*socio=uv3 de nature*socio=rien à 
accroître la productivité*socio=uv3, tant du côté*socio=rien des entreprises*socio=ac que du côté*socio=rien des 
travailleurs*socio=ac. Si c'est*socio=rien la responsabilité*socio=uv1 directe*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=et 
que de veiller à ce que les individus*socio=ac aient les connaissances*socio=ec2 de base*socio=rien 
qui leur permettront d'apprendre tout au long*socio=rien de leur vie*socio=uv1, les 
stratégies*socio=et *socio=rien globales destinées *socio=nil  à favoriser des profils*socio=rien de carrière*socio=rien 
caractérisés par de *socio=rien hauts niveaux de*socio=nil  productivité*socio=uv3 *socio=nil  et des salaires*socio=ec1 
élevés*socio=uv4 ne donneront les résultats*socio=rien escomptés que si elles s'appuient sur*socio=rien 
l'action*socio=rien des gouvernements*socio=ac - moyennant *socio=rien un net renforcement*socio=ec2 *socio=nil  de la 
coordination*socio=uv3 entre les ministères*socio=ac - et du secteur_privé*socio=et, ainsi que, le 
cas*socio=rien échéant, sur*socio=rien la concertation*socio=uv1 entre les partenaires_sociaux*socio=et.