*{OMC, Rapport annuel 1997, Genève, 1998, pp.26-102.} *{p.26} Évolution*socio=rien de la politique_commerciale*socio=ec1 après*socio=rien Singapour*socio=ac. Le *socio=rien rapport annuel *socio=nil de 1996 de l'OMC*socio=ac contenait un*socio=rien examen*socio=ec2 de l'évolution*socio=rien de la politique_commerciale*socio=ec1 durant et après*socio=rien le Cycle*socio=te d'Uruguay*socio=ac. Il était centré sur*socio=rien la révolution*socio=ec2 intervenue au cours*socio=rien des dix *socio=rien dernières années *socio=nil environ dans l'élaboration de la politique_commerciale*socio=ec1 et les attitudes*socio=rien adoptées à l'égard*socio=rien de cette politique*socio=et et sur*socio=rien les transformations*socio=ec2 systémiques entraînées par la création de l'OMC*socio=ac. Le *socio=rien présent chapitre *socio=nil a pour objet*socio=rien d'examiner l'évolution*socio=rien constatée depuis lors*socio=rien dans le contexte du programme*socio=et de travail ambitieux*socio=uv2 qui attend l'OMC*socio=ac, après*socio=rien le succès*socio=uv1 de la Conférence ministérielle*socio=et de Singapour*socio=ac. Il *socio=rien porte sur les*socio=nil principaux faits nouveaux intervenus*socio=nil sur les*socio=nil plans *socio=nil unilatéral, régional*socio=te et multilatéral auxquels les responsables*socio=ac de l'élaboration des politiques_commerciales*socio=et auront à faire *socio=rien face compte *socio=nil tenu du programme*socio=et de travail "incorporé" de l'après*socio=rien Singapour*socio=ac ainsi que les *socio=rien nouvelles questions *socio=nil qui se sont dégagées des débats*socio=et menés depuis lors*socio=rien . Mise en oeuvre*socio=rien et achèvement*socio=rien des travaux*socio=rien du Cycle*socio=te d'Uruguay*socio=ac. les engagements pris à Singapour*socio=ac et ultérieurement. Pendant le Cycle*socio=te d'Uruguay*socio=ac, tous les Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac ont pris des engagement*socio=uv1 contraignants*socio=uv2 substantiels*socio=rien dans le cadre*socio=rien des Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac en ce qui concerne les droits*socio=uv1 de douane*socio=ac appliqués aux produits*socio=rien industriels*socio=ec1 et l'agriculture*socio=ec1, ainsi que sur*socio=rien l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 dans de *socio=rien nombreux secteurs de*socio=nil services*socio=ec1.*socio=nil En*socio=nil général,*socio=nil les*socio=nil pays_industrialisés*socio=ac *socio=nil et les pays*socio=ac en transition*socio=uv3 ont consolidé leurs droits*socio=uv1 de douane*socio=ac sur*socio=rien les produits*socio=rien manufacturés aux taux*socio=rien qu'ils appliquaient alors et se sont engagés à procéder à des abaissements*socio=ec2, égaux*socio=rien en moyenne*socio=rien à un*socio=rien peu moins de 40 %, sur*socio=rien la base*socio=rien de la valeur*socio=ec1 pondérée par les échanges*socio=ec1, dans le cas*socio=rien des pays_industrialisés*socio=ac et à 30 % pour les pays*socio=ac en transition*socio=uv3, alors que la gamme*socio=rien des produits*socio=rien visés par les consolidations effectuées par les pays_en_développement*socio=ac, souvent à des taux*socio=rien plafonds*socio=ec1 (voir ci-dessous), était sensiblement élargie,, depuis lors*socio=rien , *socio=rien un certain nombre de*socio=nil Membres*socio=ac (*socio=nil en_particulier *socio=nil à l'intérieur*socio=te du groupe*socio=rien APEC) ont entrepris une mise en oeuvre*socio=rien anticipée de leurs engagements du Cycle*socio=te d'Uruguay*socio=ac. Des engagements *socio=rien sectoriels supplémentaires importants ont*socio=nil été *socio=nil pris pendant ou après*socio=rien la première*socio=rien Conférence ministérielle*socio=et de l'OMC*socio=ac qui s'est*socio=rien tenue à Singapour*socio=ac en décembre*socio=rien 1996. en_particulier*socio=rien , des engagements supplémentaires*socio=rien concernant l'octroi*socio=rien d'un*socio=rien traitement*socio=rien consolidé en franchise de droits*socio=uv1 d'ici 2000 (ou 2005 pour quelques pays_en_développement*socio=ac) ont été*socio=rien souscrits sur*socio=rien une base*socio=rien NPF*socio=et pour les produits*socio=rien des technologies*socio=ec1 de l'information*socio=rien et les produits*socio=rien pharmaceutiques*socio=ec1. En ce qui concerne les produits*socio=rien des technologies*socio=ec1 de l'information*socio=rien , des engagements ont été*socio=rien pris par 28 participants*socio=ac (englobant 43 Membres*socio=ac et États*socio=ac ou territoires*socio=te douaniers*socio=et distincts*socio=rien ayant engagé le processus*socio=te d'accession à l'OMC*socio=ac) représentant*socio=rien environ 93 % du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te de ces produits*socio=rien et ayant signé la Déclaration sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 des produits*socio=rien des technologies*socio=ec1 de l'information*socio=rien . Bien*socio=rien que sur*socio=rien le plan*socio=rien de l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 potentiel*socio=uv4 en franchise de droits*socio=uv1, la gamme*socio=rien des produits*socio=rien visés soit encore loin*socio=rien d'être*socio=rien complète (les principaux*socio=rien Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac non parties*socio=rien à l'ATI étant les grandes*socio=rien économies*socio=ec1 d'amérique_latine*socio=ac et la totalité*socio=rien des pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac), la Déclaration *socio=rien est un complément essentiel*socio=uv4 des*socio=nil concessions*socio=uv1 en*socio=nil matière d'*socio=nil accès*socio=uv1 aux*socio=nil marchés*socio=ec1 *socio=nil adoptées à Marrakech. Par ailleurs*socio=rien , à Singapour*socio=ac, les Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac qui, dans le cadre*socio=rien de l'initiative*socio=rien sur*socio=rien les produits*socio=rien pharmaceutiques*socio=ec1, avaient déjà accepté d'éliminer les droits*socio=uv1 de douane*socio=ac sur*socio=rien plus de 600 produits*socio=rien , se sont entendus pour ajouter 465 produits*socio=rien à ceux qui bénéficiaient de l'admission*socio=rien en franchise. De plus, l'UE et les États-unis*socio=ac ont décidé d'accélérer l'élimination*socio=ec2 des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac sur*socio=rien les eaux-de-vie brunes qui avait été*socio=rien décidée pendant le Cycle*socio=te d'Uruguay*socio=ac et d'élargir aux eaux-de-vie distillées blanches l'initiative*socio=rien zéro*socio=rien pour zéro*socio=rien . En outre, 55 entités*socio=rien commerçantes*socio=ac représentant*socio=rien 69 Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac (tous les pays_industrialisés*socio=ac, plus de 40 pays_en_développement*socio=ac de toutes les régions*socio=te du monde*socio=te et six pays*socio=ac en transition*socio=uv3 d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=et) ont signé l'Accord*socio=et sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 des services*socio=ec1 de télécommunication*socio=ec1 de base*socio=rien en février*socio=rien 1997. Les services*socio=ec1 visés par la libéralisation*socio=et commerciale*socio=ec1 et l'ouverture*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 intérieurs*socio=te à la concurrence*socio=ec1 dans ce *socio=rien domaine important *socio=nil sont - avec des différences*socio=uv1 d'un*socio=rien Membre*socio=ac à l'autre - les services*socio=ec1 téléphoniques vocaux, notamment les services*socio=ec1 locaux*socio=te et nationaux*socio=te à grande*socio=rien distance et les services*socio=ec1 internationaux*socio=te,, la transmission*socio=rien de données,, les téléphones mobiles*socio=uv4 et cellulaires,, les autres services*socio=ec1 mobiles*socio=uv4,, les circuits loués,, et les télécommunications*socio=ec1 par satellite*socio=rien . Beaucoup d'engagements pris par des pays_en_développement*socio=ac et des pays*socio=ac développés*socio=uv4 entreront en vigueur*socio=uv3 le 1er janvier*socio=rien 1998 alors que d'autres seront mis en oeuvre*socio=rien progressivement au cours*socio=rien des années*socio=rien à venir, dans certains cas*socio=rien durant une période*socio=te allant jusqu'à 2013. *{p.27} Les résultats*socio=rien des négociations*socio=et sur*socio=rien les télécommunications*socio=ec1 de base*socio=rien et le renforcement de la concurrence*socio=ec1 qu'ils devraient encourager sont l'effet*socio=rien de l'évolution*socio=rien observée dans l'économie*socio=ec1 du secteur*socio=rien des télécommunications*socio=ec1, les bouleversements*socio=rien provoqués par les technologies*socio=ec1 nouvelles*socio=rien entraînant une baisse*socio=ec2 considérable*socio=rien du coût*socio=ec1 des communications*socio=ec1. *socio=rien Certaines conséquences *socio=nil ont déjà pu être*socio=rien observées avec la modification*socio=rien de la structure*socio=ec1 de la tarification*socio=et par des sociétés*socio=ac nationales*socio=te ainsi qu'avec les alliances nouvelles*socio=rien et les fusions intervenues parmi les principaux*socio=rien opérateurs*socio=ac internationaux*socio=te. Les secteurs*socio=rien des technologies*socio=ec1 de l'information*socio=rien et des télécommunications*socio=ec1 de base*socio=rien représentent une très *socio=rien large part des*socio=nil activités économiques*socio=ec1 internationales*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil réformes*socio=et *socio=nil prévues par les deux accords*socio=et auront donc probablement une *socio=rien incidence énorme,*socio=nil bien *socio=nil qu'encore incalculable, sur*socio=rien le coût*socio=ec1 de l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 et la structure*socio=ec1 des relations_internationales*socio=et dans ces *socio=rien importants secteurs *socio=nil factoriels. *socio=rien Un grand nombre de*socio=nil Membres*socio=ac *socio=nil de l'OMC*socio=ac sont parties*socio=rien à ces accords*socio=et: il est*socio=rien donc admis que la libéralisation*socio=et du commerce*socio=ec1 des services*socio=ec1 de télécommunication*socio=ec1 et des produits*socio=rien des technologies*socio=ec1 de l'information*socio=rien peut beaucoup contribuer au développement*socio=uv3 économique*socio=ec1 et à la création d'un*socio=rien environnement*socio=et propice*socio=rien à l'investissement*socio=ec1 (surtout dans les pays_en_développement*socio=ac), en_particulier*socio=rien , les pays*socio=ac qui restent en dehors du marché*socio=ec1 international*socio=te concurrentiel*socio=ec2 des télécommunications*socio=ec1 en maintenant des monopoles*socio=ec1 nationaux*socio=te, une tarification*socio=et non compétitive*socio=uv4 ou d'autres obstacles*socio=rien au développement*socio=uv3 du secteur*socio=rien , risquent fort*socio=rien de se placer dans une situation*socio=rien très défavorable*socio=uv4 sur*socio=rien le plan*socio=rien des coûts*socio=ec1 que devront supporter l'industrie*socio=ec1 et le commerce*socio=ec1 et de se priver d'un*socio=rien *socio=rien outil important *socio=nil à la fois*socio=rien pour les communications*socio=ec1 personnelles et le développement*socio=uv3 économique*socio=ec1. Le programme*socio=et de négociation*socio=et hérité du Cycle*socio=te d'Uruguay*socio=ac se poursuit, l'un*socio=rien des objectifs*socio=uv4 principaux*socio=rien étant la conclusion d'un*socio=rien accord*socio=et sur*socio=rien les *socio=ec1 services financiers *socio=nil comportant des engagements sensiblement améliorés en matière*socio=rien d'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1. Les négociations*socio=et visent à assurer des niveaux*socio=rien de libéralisation*socio=et de plus en plus élevés*socio=uv4 en *socio=et régime NPF,*socio=nil sur*socio=rien une*socio=nil base*socio=rien mutuellement*socio=nil avantageuse*socio=rien ,*socio=nil *socio=nil tout en garantissant une flexibilité*socio=uv3 appropriée pour les différents*socio=rien *socio=ac pays_en_développement Membres.*socio=nil *socio=nil À ce jour*socio=rien (fin*socio=rien septembre*socio=rien 1997), 19 participants*socio=ac aux négociations*socio=et (VUE*socio=rien comptant pour un*socio=rien participant) ont présenté des *socio=rien offres nouvelles *socio=nil ou révisées et *socio=rien un grand nombre *socio=nil ont annoncé leur intention de présenter des offres*socio=rien révisées. *socio=rien Un aboutissement des*socio=nil négociations*socio=et *socio=nil dans ce domaine*socio=rien devrait, comme dans le cas*socio=rien des télécommunications*socio=ec1, apporter une contribution*socio=uv1 majeure*socio=rien à l'ouverture*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 et à la création d'efficacités nouvelles*socio=rien dans *socio=rien un secteur d'*socio=nil infrastructure*socio=ec1 essentiel*socio=uv4 au*socio=nil fonctionnement d'*socio=nil un système_économique*socio=ec1 *socio=nil de plus en plus interconnecté et "mondialisé". En outre, les travaux*socio=rien qu'il avait été*socio=rien décidé à Singapour*socio=ac d'entreprendre dans de *socio=rien nouveaux domaines ont*socio=nil été *socio=nil lancés avec détermination*socio=rien et dans *socio=rien un esprit pragmatique*socio=uv4.*socio=nil Le*socio=nil Groupe *socio=nil de travail de la transparence*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 publics*socio=et a *socio=rien fait oeuvre utile*socio=uv4 *socio=nil en s'attaquant à l'étude*socio=ec2 des instruments internationaux*socio=te pertinents*socio=rien . Les *socio=rien grandes lignes d'*socio=nil un programme*socio=et *socio=nil de travail, sous forme*socio=rien de listes de questions*socio=rien , ont été*socio=rien établies pour le Groupe*socio=rien de travail des liens*socio=rien entre commerce*socio=ec1 et investissement*socio=ec1 et le Groupe*socio=rien de travail de l'interaction du commerce*socio=ec1 et de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Certains documents*socio=rien d'information*socio=rien sont aussi en cours*socio=rien d'élaboration. Les Membres*socio=ac ont aussi décidé de faire de la facilitation du commerce*socio=ec1 *socio=rien un domaine prioritaire*socio=uv4 des*socio=nil travaux futurs *socio=nil de l'OMC*socio=ac. Dans ce domaine*socio=rien , le Secrétariat*socio=ac a établi *socio=rien un document *socio=nil réunissant des renseignements*socio=ec2 sur*socio=rien les *socio=rien activités connexes d'*socio=nil organisations_internationales*socio=ac gouvernementales*socio=et *socio=nil et non gouvernementales*socio=et, qui a mis en lumière*socio=rien l'ampleur*socio=rien et le caractère*socio=rien approfondi des travaux*socio=rien engagés par ces organisations ainsi que l'importance*socio=rien que, leur accordaient les gouvernements*socio=ac et les milieux_d'_affaires*socio=ac. La réduction*socio=ec2 des obstacles*socio=rien au commerce*socio=ec1 a mis davantage en évidence*socio=rien le rôle*socio=rien des procédures*socio=et commerciales*socio=ec1 et douanières*socio=et et les possibilités*socio=rien de modernisation*socio=ec2 et de *socio=rien simplification résultant des*socio=nil progrès*socio=uv1 technologiques*socio=ec1 rapides *socio=nil ont provoqué un*socio=rien regain*socio=ec2 d'intérêt*socio=rien pour ces questions*socio=rien . Les Membres*socio=ac examinent la mesure*socio=rien dans laquelle des travaux*socio=rien doivent être*socio=rien entrepris à l'OMC*socio=ac sur*socio=rien la facilitation du commerce*socio=ec1 ainsi que la nécessité*socio=uv1 de compléter les travaux*socio=rien engagés par d'autres organismes*socio=ac. *socio=et Libéralisation unilatérale,*socio=nil régionale*socio=te et*socio=nil multilatérale.*socio=nil *socio=nil Une des questions*socio=rien qui continue*socio=rien de se poser dans les relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te est*socio=rien celle de l'interdépendance*socio=uv3 des *socio=et mesures unilatérales (*socio=nil autonomes*socio=uv2)*socio=nil prises*socio=rien *socio=nil par les gouvernements*socio=ac pour ouvrir leurs marchés*socio=ec1, de la prolifération d'accords*socio=et régionaux*socio=te et des engagements multilatéraux . Dans le chapitre*socio=rien correspondant du *socio=rien Rapport annuel *socio=nil de 1996 de l'OMC*socio=ac, le Secrétariat*socio=ac avait noté la mutation*socio=ec2 profonde*socio=rien qui s'était opérée dans les politiques_commerciales*socio=et, par le biais*socio=rien de politiques*socio=et davantage axées sur*socio=rien le marché*socio=ec1, *socio=rien en_particulier grâce *socio=nil à des réformes*socio=et radicales*socio=rien opérées par de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac et en transition*socio=uv3 dans le domaine*socio=rien des échanges*socio=ec1, de la politique*socio=et de change*socio=rien et sur*socio=rien le plan*socio=rien intérieur*socio=te,- l'adoption*socio=et générale*socio=rien d'une protection*socio=et par les droits*socio=uv1 de douane*socio=ac, la plus grande*socio=rien stabilité*socio=uv3 des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac et l'utilisation*socio=rien croissante*socio=rien du régime*socio=et de franchise de droits*socio=uv1,- la réduction*socio=ec2 des obstacles*socio=rien non tarifaires*socio=et, l'ouverture*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 au commerce*socio=ec1 et aux investissements*socio=ec1,, la maîtrise*socio=rien du bilatéralisme,, l'intégration*socio=ec2 des services*socio=ec1 au système*socio=rien multilatéral la présence*socio=rien dans le "programme*socio=et de travail incorporé" de calendriers*socio=et précis*socio=rien pour les nouvelles*socio=rien négociations*socio=et. *{p.28} Il mettait aussi l'accent*socio=rien sur*socio=rien la maîtrise*socio=rien du bilatéralisme grâce*socio=rien à l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien mécanisme*socio=et unifié de règlement des différends*socio=uv2, applicable*socio=rien à tous les domaines*socio=rien d'activité*socio=rien visés par l'OMC*socio=ac, sur*socio=rien le fait*socio=rien que le fonctionnement*socio=rien des accords*socio=et régionaux*socio=te avait pu être*socio=rien contrôlé en raison*socio=rien de l'application*socio=rien simultanée*socio=rien d'engagements pris dans le cadre*socio=rien de l'OMC*socio=ac et sur*socio=rien le rôle*socio=rien du MEPC qui avait permis de faciliter le processus*socio=te de transition*socio=uv3 et de réforme*socio=et. Quelle est*socio=rien la situation*socio=rien , une année*socio=rien plus tard, dans ces *socio=rien différents domaines?*socio=nil Libéralisation*socio=et *socio=nil autonome. L'une des questions*socio=rien qu'il convient de poser est*socio=rien de savoir*socio=rien si la libéralisation*socio=et autonome dans les pays_en_développement*socio=ac et en transition*socio=uv3 s'est*socio=rien ralentie, ou est*socio=rien du moins entrée*socio=rien dans une période*socio=te de consolidation*socio=uv3 à long_terme*socio=te des acquis*socio=uv2. Comme il a été*socio=rien noté plus haut*socio=rien , de *socio=rien récents rapports *socio=nil établis au titre*socio=rien de l'examen*socio=ec2 des politiques_commerciales*socio=et, y compris ceux qui sont en cours*socio=rien d'élaboration, ainsi que d'autres travaux*socio=rien menés dans le cadre*socio=rien de l'OMC*socio=ac (en_particulier*socio=rien au Comité*socio=ac de la balance_des_paiements*socio=ec1) ne permettent pas de conclure à l'existence*socio=rien de telles tendances*socio=ec2. Toutefois, l'interaction entre la libéralisation*socio=et autonome, les accords*socio=et régionaux*socio=te et les *socio=et négociations multilatérales est*socio=rien *socio=nil devenue plus complexe: - De nombreux*socio=rien pays*socio=ac en transition*socio=uv3 connaissent une situation*socio=rien économique*socio=ec1 plus difficile*socio=rien et certains ont pris de nouvelles*socio=rien mesures*socio=et commerciales*socio=ec1 temporaires*socio=rien pour des raisons*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec1. La situation*socio=rien de la balance*socio=ec1 extérieure*socio=te s'est*socio=rien dégradée du fait*socio=rien de l'accroissement*socio=ec2 de la demande*socio=ec1 d'importations*socio=ec1 et d'une faible*socio=rien croissance*socio=uv3 des exportations*socio=ec1, imputable*socio=uv2 à l'appréciation*socio=ec2 réelle*socio=ec2 des monnaies*socio=ec1 et à la faible*socio=rien croissance*socio=uv3 de la demande*socio=ec1 dans le marché*socio=ec1 principal de ces pays*socio=ac (l'union_européenne*socio=et),, bien*socio=rien que certains appliquent actuellement des surtaxes*socio=et à l'importation*socio=ec1 ou un*socio=rien régime*socio=et de dépôt*socio=ec1 pour faire face*socio=rien à une crise*socio=uv2 des balances_des_paiements*socio=ec1, aucun "recul*socio=rien " n'apparaît réellement. (Dans son Étude*socio=ec2 sur*socio=rien la situation*socio=rien économique*socio=ec1 en Europe*socio=ac en 1997, le Secrétariat*socio=ac de l'ONU*socio=ac a aussi noté que, si 1996 avait été*socio=rien une *socio=rien année difficile *socio=nil pour la plupart*socio=rien des pays*socio=ac en transition*socio=uv3 d'Europe*socio=ac, le processus*socio=te de transformation*socio=ec2 économique*socio=ec1 s'était approfondi et renforcé.) Au cours*socio=rien des deux *socio=rien dernières années,*socio=nil quatre*socio=nil pays*socio=ac en*socio=nil transition*socio=uv3 Membres*socio=ac *socio=nil de l'OMC*socio=ac (la Bulgarie*socio=ac, la Hongrie*socio=ac, la *socio=ac République slovaque *socio=nil et la *socio=ac République tchèque)*socio=nil *socio=nil ont participé au Comité*socio=ac de la balance_des_paiements*socio=ec1 à des consultations*socio=uv1 sur*socio=rien des dépôts*socio=ec1 ou des surtaxes*socio=et à l'importation*socio=ec1 et se sont engagés à éliminer ces mesures*socio=et progressivement. Ainsi, la surtaxe*socio=et adoptée par la Hongrie*socio=ac en mars*socio=rien 1995 a été*socio=rien éliminée le 1er juillet*socio=rien 1997 alors que le régime*socio=et de dépôt*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 de la *socio=ac République tchèque,*socio=nil *socio=nil datant du 21 avril*socio=rien 1997, a été*socio=rien éliminé le 21 août*socio=rien . - - Le processus*socio=te de *socio=et libéralisation unilatérale *socio=nil dans beaucoup de pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac est*socio=rien devenu plus complexe avec la généralisation*socio=rien , sur*socio=rien le plan*socio=rien régional*socio=te (voir ci-dessous) ou multilatéral commerciale*socio=ec1 plus négociée et davantage fondée sur*socio=rien la réciprocité. On pourrait citer, parmi les *socio=rien exemples récents *socio=nil étudiés dans le cadre*socio=rien du mécanisme*socio=et d'examen*socio=ec2 des politiques_commerciales*socio=et, celui des membres*socio=ac du MERCOSUR*socio=et (Argentine*socio=ac, Brésil*socio=ac, Paraguay, Uruguay*socio=ac), où l'adoption*socio=et d'un*socio=rien tarif*socio=et extérieur conclusion d'accords_de_libre-échange*socio=et avec les pays*socio=ac voisins*socio=rien ,, du Mexique*socio=ac, qui continue*socio=rien d'adopter des accords*socio=et régionaux*socio=te suivant*socio=rien les *socio=rien grandes lignes *socio=nil de l'ALENA*socio=et tout en ramenant à zéro*socio=rien 1000 droits*socio=uv1 de douane*socio=ac environ sur*socio=rien une base*socio=rien NPF*socio=et de façon*socio=rien unilatérale*socio=et et en lançant de plus *socio=rien vastes initiatives de*socio=nil libéralisation*socio=et commerciale*socio=ec1 multilatérale*socio=et,*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil et du Chili*socio=ac, qui applique *socio=rien un taux de*socio=nil droits*socio=uv1 NPF*socio=et uniforme*socio=uv4 *socio=nil et en même temps*socio=rien conclut des accords_de_libre-échange*socio=et avec ses principaux*socio=rien partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. - - Sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de l'Asie*socio=ac du Sud, le processus*socio=te de libéralisation*socio=et progresse aussi, dans un*socio=rien environnement*socio=et marqué par des difficultés*socio=ec2 politiques*socio=et globales. Ainsi, en Inde*socio=ac (qui se prépare actuellement pour son deuxième*socio=rien examen*socio=ec2 des politiques_commerciales*socio=et), la *socio=et réforme tarifaire *socio=nil se poursuit (le *socio=rien niveau moyen des*socio=nil droits*socio=uv1 de*socio=nil douane*socio=ac,*socio=nil *socio=nil déjà ramené à 35 % en 1997/98, devrait tomber au "niveau*socio=rien de l'Asie*socio=ac de l'_est*socio=te" à la fin*socio=rien du siècle*socio=rien et au "niveau*socio=rien mondial*socio=te" d'ici 2003),, la part*socio=rien des lignes*socio=rien tarifaires*socio=et visées par des restrictions*socio=et à l'importation*socio=ec1 sous forme*socio=rien de licences*socio=et a très sensiblement diminué depuis 1991 (de 80 environ à 28 %) et le gouvernement*socio=ac a pris l'engagement*socio=uv1 politique*socio=et majeur*socio=rien d'éliminer progressivement les restrictions*socio=et de ce type*socio=rien encore en vigueur*socio=uv3 pour les biens*socio=ec1 de consommation*socio=ec1. Sri Lanka a aussi entrepris d'éliminer (ou de redéfinir dans le cadre*socio=rien d'autres dispositions) les restrictions*socio=et qu'elle maintenait au préalable*socio=rien au titre*socio=rien des dispositions du GATT*socio=et relatives*socio=rien à la balance_des_paiements*socio=ec1 alors que le Bangladesh et le Pakistan*socio=ac doivent rendre plus transparentes*socio=uv4 les mesures*socio=et qu'ils appliquent à des fins*socio=rien de balance_des_paiements*socio=ec1. *{p.29} - Les marchés*socio=ec1 de l'Asie*socio=ac du Sud-est semblent poursuivre *socio=rien un vaste processus*socio=te de*socio=nil déréglementation*socio=et *socio=nil dans la plupart*socio=rien des domaines*socio=rien ,, l'intégration*socio=ec2 régionale*socio=te, même si elle garde*socio=rien une *socio=rien importance particulière,*socio=nil *socio=nil semble dans certains *socio=rien cas associée *socio=nil à des initiatives*socio=rien plus larges*socio=rien d'ouverture*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 ainsi qu'à une politique*socio=et industrielle*socio=ec1. Ainsi, par exemple*socio=rien , Singapour*socio=ac applique pour l'essentiel*socio=uv4 un*socio=rien régime*socio=et de libre-échange*socio=et pour les marchandises*socio=ec1 et les Philippines*socio=ac ont récemment engagé une phase*socio=te nouvelle*socio=rien et importante*socio=rien de libéralisation*socio=et. En Malaisie*socio=ac (qui fera aussi l'objet*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=ec2 de la politique_commerciale*socio=ec1 en 1997), le régime*socio=et d'admission*socio=rien en franchise a sensiblement progressé, portant maintenant sur*socio=rien 55 % des lignes*socio=rien tarifaires*socio=et contre 13 % quatre ans*socio=rien plus tôt, et la *socio=rien moyenne simple des*socio=nil taux de*socio=nil droits*socio=uv1 *socio=nil pour toutes les positions*socio=rien a diminué de 35 % environ pendant la même période*socio=te,, en même temps*socio=rien , la Malaisie*socio=ac appuie à la fois*socio=rien la création de la Zone*socio=te de libre-échange*socio=et des pays*socio=ac de L'ANASE (AFTA) et des initiatives*socio=rien lancées dans le cadre*socio=rien du Forum de coopération*socio=uv1 régionale*socio=te Asie-pacifique*socio=ac (APEC) pour encourager un*socio=rien "régionalisme*socio=te ouvert*socio=rien ", alors que la libéralisation*socio=et de l'investissement*socio=ec1 est*socio=rien fortement liée à la promotion*socio=uv3 des coentreprises et à l'orientation*socio=et de la politique*socio=et industrielle*socio=ec1. - - Les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac s'intègrent eux aussi davantage au système*socio=rien commercial*socio=ec1 multilatéral rien menés dans le cadre*socio=rien du mécanisme*socio=et d'examen*socio=ec2 des politiques_commerciales*socio=et ont montré que des pays*socio=ac comme le Bénin, l'Ouganda ou la Zambie ont sensiblement libéralisé leur politique_commerciale*socio=ec1, à la fois*socio=rien en application*socio=rien des Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac et du fait*socio=rien de l'exécution de programmes*socio=et d'ajustement*socio=et structurel*socio=ec2. En outre, les activités*socio=rien de coopération*socio=uv1 technique*socio=rien menées par l'OMC*socio=ac, individuellement ou en association avec d'autres organismes*socio=ac comme la CNUCED*socio=ac et le Centre*socio=rien du commerce*socio=ec1 international*socio=te, et qui sont fortement axées sur*socio=rien l'Afrique*socio=ac, tendent essentiellement à encourager une telle participation*socio=uv3 - en_particulier*socio=rien de la part*socio=rien des pays*socio=ac les moins avancés - grâce*socio=rien à une amélioration*socio=uv1 des conditions*socio=ec1 d'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1, à une facilitation du commerce*socio=ec1 et à une assistance*socio=uv1 visant à faire mieux connaître en Afrique*socio=ac les dispositions des Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac et leur utilité*socio=rien pour les pays_en_développement*socio=ac. - Engagements tarifaires*socio=et pris par les pays_en_développement*socio=ac. Pendant les séries successives*socio=rien de *socio=et négociations multilatérales,*socio=nil *socio=nil notamment le Cycle*socio=te d'Uruguay*socio=ac, la possibilité*socio=rien de consolider les droits*socio=uv1 de douane*socio=ac à des taux*socio=rien "plafonds*socio=ec1" - niveaux*socio=rien maximaux que les droits*socio=uv1 ne peuvent pas dépasser - a permis à de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac de faire des concessions*socio=uv1 importantes*socio=rien et de bénéficier de concessions*socio=uv1 accordées par d'autres pays*socio=ac. Toutefois, avec la poursuite*socio=rien de la libéralisation*socio=et autonome, *socio=rien un écart s'*socio=nil est *socio=nil creusé de plus en plus entre les taux*socio=rien de droits*socio=uv1 NPF*socio=et appliqués par de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac et les taux*socio=rien découlant des engagements juridiques*socio=et pris par ces pays*socio=ac au litre des Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac. Les rapports*socio=rien établis récemment dans le cadre*socio=rien de l'examen*socio=ec2 des politiques_commerciales*socio=et concernant certains pays_en_développement*socio=ac montrent clairement que les consolidations à des taux*socio=rien plafonds*socio=ec1 sont fréquentes*socio=rien dans les pays_en_développement*socio=ac et mettent en lumière*socio=rien les écarts*socio=rien entre les taux*socio=rien consolidés et les taux*socio=rien appliqués. Par exemple*socio=rien , de nombreux*socio=rien pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac ont consolidé leurs droits*socio=uv1 de douane*socio=ac sur*socio=rien les produits*socio=rien industriels*socio=ec1 à 35 ou 40 % en général*socio=rien , avec des taux*socio=rien plus élevés*socio=uv4 pour *socio=rien certaines lignes *socio=nil (par exemple*socio=rien pour les produits*socio=rien de l'industrie*socio=ec1 automobile*socio=ec1), alors que les taux*socio=rien appliqués sont considérablement*socio=rien plus faibles*socio=rien (par exemple*socio=rien , la moyenne*socio=rien non pondérée des taux*socio=rien appliqués par le MERCOSUR*socio=et en 1995 était de 10,7 %). Des tendances*socio=ec2 similaires*socio=rien peuvent être*socio=rien constatées dans d'autres régions*socio=te, comme l'Asie*socio=ac du Sud-est. Les rapports*socio=rien rédigés dans le cadre*socio=rien de l'examen*socio=ec2 des politiques_commerciales*socio=et pour le Brésil*socio=ac, le Mexique*socio=ac ou la Malaisie*socio=ac donnent des exemples*socio=rien de *socio=rien variations récentes des*socio=nil droits*socio=uv1 de*socio=nil douane*socio=ac *socio=nil en dessous des taux*socio=rien plafonds*socio=ec1 consolidés. Ces pratiques*socio=et signifient en fait*socio=rien que les consolidations - éléments*socio=rien essentiels*socio=uv4 de la stabilité*socio=uv3 des relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 multilatérales*socio=et - ont peut-être relativement peu d'intérêt*socio=rien dans les marchés*socio=ec1 intéressés, étant donné que les taux*socio=rien plafonds*socio=ec1 laissent une marge de *socio=rien manoeuvre considérable *socio=nil pour relever ou faire varier les taux*socio=rien (bien*socio=rien qu'à l'intérieur*socio=te de certaines*socio=rien limites) tout en respectant les disciplines*socio=rien multilatérales*socio=et. Évolution*socio=rien régionale*socio=te. L'un*socio=rien des *socio=rien phénomènes marquants des*socio=nil dernières années est le*socio=nil fait *socio=nil que les arrangements*socio=et régionaux*socio=te (unions*socio=ac douanières*socio=et, accords_de_libre-échange*socio=et ou associations plus souples*socio=uv4 s'étant fixé des objectifs*socio=uv4 en matière*socio=rien de commerce*socio=ec1 comme l'APEC) sont devenus la norme*socio=et dans les relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te. Il n'y a actuellement aucun Membre*socio=ac de l'OMC*socio=ac qui ne soit aussi membre*socio=ac d'un*socio=rien groupement*socio=rien ou d'un*socio=rien autre, défini*socio=rien de la façon*socio=rien indiquée ci-dessus. Les deux *socio=rien dernières années,*socio=nil le*socio=nil processus*socio=te d'*socio=nil intégration*socio=ec2 régionale*socio=te s'*socio=nil est renforcé*socio=nil sur *socio=nil tous les continents*socio=ac. *{p.30} - En Europe*socio=ac, le réseau*socio=rien d'accords*socio=et entre l'union_européenne*socio=et et d'autres pays*socio=ac s'est*socio=rien renforcé, la Commission*socio=ac ayant fait*socio=rien une proposition concrète*socio=rien tendant à admettre comme membres*socio=ac de l'UE *socio=rien un premier groupe de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil comprenant Chypre, l'Estonie, la Hongrie*socio=ac, la Pologne*socio=ac, la *socio=ac République tchèque *socio=nil et la Slovénie. Cette proposition s'appuie sur*socio=rien une structure*socio=ec1 de relations*socio=rien fermement établie (que l'on peut considérer soit comme une série de cercles concentriques soit comme une pyramide) entre l'UE et ses *socio=ac partenaires européens,*socio=nil méditerranéens *socio=nil et ACP et constitue une étape*socio=te importante*socio=rien dans le processus*socio=te d'intégration*socio=ec2 européenne*socio=ac et le resserrement*socio=ec2 des liens*socio=rien avec les pays*socio=ac voisins*socio=rien . Elle aura des incidences de plus en plus marquées sur*socio=rien les pays*socio=ac qui resteront à l'extérieur en ce sens*socio=rien que l'accès*socio=uv1 en franchise dont bénéficient déjà les importations*socio=ec1 en provenance*socio=rien des pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et orientale*socio=et (PECO) et qui doit bientôt s'accompagner d'un*socio=rien accès*socio=uv1 exempt de contingents*socio=ec2 pour les textiles*socio=ec1 et les vêtements*socio=ec1) est*socio=rien complété par un*socio=rien régime*socio=et de libre-échange*socio=et interne*socio=te pour les produits*socio=rien agricoles*socio=ec1, l'intégration*socio=ec2 des PECO dans le réseau*socio=rien de relations*socio=rien juridiques*socio=et de l'UE grâce*socio=rien à l'adoption*socio=et progressive*socio=rien de l'acquis*socio=uv2 communautaire*socio=ac, la participation*socio=uv3 au mécanisme de financement*socio=ec1 régional*socio=te européen*socio=ac et, en fin*socio=rien de compte*socio=rien , l'élargissement*socio=ec2 aux PECO de l'application*socio=rien des règles*socio=et de l'UE concernant l'investissement*socio=ec1 et le mouvement*socio=ec2 des personnes*socio=ac. - En même temps*socio=rien , l'UE réexamine de façon*socio=rien approfondie à la fois*socio=rien ses autres relations*socio=rien de libre-échange*socio=et et les relations*socio=rien avec les Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac et avec ses partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 NPE Une nouvelle*socio=rien génération*socio=ac d'accords*socio=et d'association a été*socio=rien conclue avec des *socio=ac pays méditerranéens en*socio=nil vue*socio=rien *socio=nil de l'établissement*socio=rien d'une *socio=te zone régionale de*socio=nil libre-échange*socio=et *socio=nil d'ici 2010. L'examen*socio=ec2 à mi-parcours de la quatrième*socio=rien (et dernière*socio=rien ) Convention*socio=et de Lomé a été*socio=rien achevé et des discussions*socio=rien ont été*socio=rien engagées pour déterminer la structure*socio=ec1 des arrangements*socio=et d'après*socio=rien Lomé,, enfin, des négociations*socio=et ont démarré en vue*socio=rien de libéraliser les échanges*socio=ec1 avec l'afrique_du_sud Les relations*socio=rien avec l'amérique_du_nord*socio=ac, le MERCOSUR*socio=et et l'Asie*socio=ac s'inscriront dans des *socio=rien cadres nouveaux,*socio=nil ,*socio=nil les*socio=nil relations techniques *socio=nil avec les États-unis*socio=ac se sont renforcées avec la conclusion de nouveaux*socio=rien accords*socio=et de reconnaissance*socio=uv1 mutuelle domaines de normalisation*socio=uv3, et le schéma*socio=rien de préférences*socio=et généralisées a été*socio=rien révisé, rendant l'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 de l'UE encore plus fortement différencié qu'auparavant. il faut se demander si ce processus*socio=te conduira à une structure*socio=ec1 des relations*socio=rien en matière*socio=rien de commerce*socio=ec1 et d'investissement*socio=ec1 plus cohérente ou au contraire*socio=rien plus fortement différenciée qu'actuellement. - Aux Amériques, le Canada*socio=ac et le Mexique*socio=ac s'appuient sur*socio=rien leurs relations*socio=rien à l'intérieur*socio=te de l'ALENA*socio=et pour conclure des accords*socio=et similaires*socio=rien avec leurs partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 d'amérique_latine*socio=ac. Le Canada*socio=ac et le Chili*socio=ac ont conclu un*socio=rien nouvel accord*socio=et de libre-échange*socio=et fondé sur*socio=rien l'ALENA*socio=et,, le Mexique*socio=ac, outre qu'il a ouvert*socio=rien des négociations*socio=et avec l'UE, renégocie l'accord*socio=et actuellement en vigueur*socio=uv3 conclu avec le Chili*socio=ac sur*socio=rien la base*socio=rien de l'ALENA*socio=et, négocie des accords*socio=et similaires*socio=rien avec la Bolivie*socio=ac, le costa_rica*socio=ac, la Colombie*socio=ac et le Venezuela*socio=ac, et envisage de conclure des accords*socio=et avec la quasi-totalité*socio=rien des pays*socio=ac des Amériques, notamment les *socio=ac pays caraïbes.*socio=nil Le*socio=nil MERCOSUR*socio=et *socio=nil cherche à mettre en place*socio=rien son propre*socio=rien tarit extérieur par le biais*socio=rien d'un*socio=rien processus*socio=te de "convergence*socio=uv3" d'ici 2001 pour le Brésil*socio=ac et l'Argentine*socio=ac et 2006 pour le Paraguay et l'Uruguay*socio=ac et s'efforce en même temps*socio=rien de conclure des accords_de_libre-échange*socio=et avec d'autres pays*socio=ac de l'ALADI, notamment les membres*socio=ac du Groupe*socio=rien andin, qui ont pour leur part*socio=rien engagé des négociations*socio=et avec la Communauté*socio=ac des Caraïbes*socio=ac (CARICOM). Le Chili*socio=ac, qui avait suivi jusqu'à une date récente*socio=rien une politique_commerciale*socio=ec1 fondée presque entièrement sur*socio=rien le traitement*socio=rien NPF*socio=et avec *socio=rien un taux de*socio=nil droit*socio=uv1 uniforme*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil passe maintenant (en *socio=rien grande partie *socio=nil pour des raisons*socio=rien défensives) à un*socio=rien régime*socio=et fondé sur*socio=rien des accords_de_libre-échange*socio=et avec ses partenaires*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac et participe activement au Forum APEC. Le projet*socio=rien de zone*socio=te de libre-échange*socio=et des Amériques sera en fait*socio=rien remplacé par les arrangements*socio=et commerciaux*socio=ec1 régionaux*socio=te existants*socio=rien . - Le réseau*socio=rien d'accords*socio=et régionaux*socio=te qui apparaît en amérique_latine*socio=ac soulève lui aussi des questions*socio=rien concernant à la fois*socio=rien le rapport*socio=rien entre la libéralisation*socio=et régionale*socio=te, autonome et multilatérale*socio=et, et la cohérence*socio=uv3 interne*socio=te des accords*socio=et eux-mêmes. Comment la mise en place*socio=rien du tarif*socio=et extérieur*socio=rien élargissement*socio=ec2 éventuel*socio=rien de ce dernier*socio=rien à *socio=rien d'autres pays*socio=ac *socio=nil s'accorderont-ils avec*socio=rien l'approche choisie*socio=rien par le Mexique*socio=ac et*socio=rien le Chili*socio=ac *socio=rien en matière de*socio=nil zones*socio=te de*socio=nil libre-échange*socio=et? Comment les différentes règles*socio=et d'origine appliquées*socio=nil dans la*socio=nil région*socio=te pourront-elles*socio=nil être conciliées*socio=nil ? L'*socio=nil adoption*socio=et *socio=nil par le MERCOSUR*socio=et *socio=rien d'un véritable tarif*socio=et extérieur création parmi ses*socio=nil membres*socio=ac de*socio=nil nouveaux groupes *socio=nil ayant des intérêts_communs et pouvant encourager ou empêcher une future*socio=rien *socio=et libéralisation multilatérale des*socio=nil échanges*socio=ec1?*socio=nil *socio=nil - En Afrique*socio=ac, une union douanière*socio=et - avec un*socio=rien tarif*socio=et extérieur constituée essentiellement de *socio=ac pays francophones d'*socio=nil Afrique *socio=nil de l'Ouest*socio=te, devrait *socio=rien devenir effective en*socio=nil janvier *socio=nil 1998,, en Afrique*socio=ac australe*socio=te, des négociations*socio=et complexes ont été*socio=rien engagées entre les membres*socio=ac de la Communauté*socio=ac du développement*socio=uv3 de l'Afrique*socio=ac australe*socio=te (SADC*socio=ac) en vue*socio=rien de donner effet*socio=rien au Protocole*socio=rien commercial*socio=ec1 de la SADC*socio=ac, qui prévoit l'instauration entre les membres*socio=ac de la Communauté*socio=ac d'un*socio=rien régime*socio=et de libre-échange*socio=et (mais non d'une union douanière*socio=et) huit *socio=rien ans après son*socio=nil entrée en*socio=nil vigueur*socio=uv3 *socio=nil (le Protocole*socio=rien n'a encore été*socio=rien ratifié par aucun membre*socio=ac). *{p.31} Le processus*socio=te de négociation*socio=et est*socio=rien rendu plus complexe du fait*socio=rien de la participation*socio=uv3 à la SADC*socio=ac de tous les membres*socio=ac de l'Union douanière*socio=et d'Afrique*socio=ac australe*socio=te (afrique_du_sud Namibie et Swaziland), qui fait*socio=rien elle-même l'objet*socio=rien d'une renégociation, et du fait*socio=rien des négociations*socio=et en cours*socio=rien entre l'afrique_du_sud union_européenne*socio=et au sujet*socio=rien de la structure*socio=ec1 future*socio=rien de leurs relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 - laquelle aura inévitablement une *socio=rien incidence sur les*socio=nil relations commerciales*socio=ec1 *socio=nil à la fois*socio=rien à l'intérieur*socio=te de l'Afrique*socio=ac australe*socio=te et entre les pays*socio=ac d'Afrique*socio=ac parties*socio=rien à la Convention*socio=et de Lomé et l'union_européenne*socio=et. - En Asie*socio=ac, la zone*socio=te de libre-échange*socio=et des pays*socio=ac de l'ANASE (AFTA) devrait être*socio=rien mise en place*socio=rien plus tôt que prévu (en 2005 et non en 2008), avec un*socio=rien élargissement*socio=ec2 à la fois*socio=rien de la gamme*socio=rien des produits*socio=rien visés par l'accord*socio=et et de son champ*socio=rien d'application*socio=rien global*socio=te, qui devrait comprendre les services*socio=ec1 et la propriété*socio=ec1 intellectuelle*socio=rien . Des négociations*socio=et ont été*socio=rien engagées en 1996 entre les parties*socio=rien à l'Arrangement*socio=et commercial*socio=ec1 préférentiel de l'Asie*socio=ac du Sud" en vue*socio=rien d'aboutir à la création d'une zone*socio=te de libre-échange*socio=et de l'Asie*socio=ac du Sud (SAFTA) d'ici 2001. - Un*socio=rien autre projet*socio=rien d'intégration*socio=ec2 régionale*socio=te à long_terme*socio=te intéressant l'Asie*socio=ac et le Pacifique*socio=te (y compris les Amériques) est*socio=rien le Forum de coopération*socio=uv1 économique*socio=ec1 Asie-pacifique*socio=ac (APEC), dont l'objectif*socio=uv4 est*socio=rien l'instauration d'un*socio=rien régime*socio=et libre*socio=uv2 et ouvert*socio=rien pour le commerce*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 dans la région*socio=te d'ici 2010 pour les pays*socio=ac développés*socio=uv4 et 2020 pour les pays_en_développement*socio=ac. Tous les progrès*socio=uv1 dans ces domaines*socio=rien doivent reposer sur*socio=rien une base*socio=rien NPF*socio=et. À la réunion*socio=rien au sommet*socio=rien tenue à Osaka en novembre*socio=rien 1995, l'APEC a défini*socio=rien dix principes*socio=ec2 devant*socio=rien guider la facilitation et la libéralisation*socio=et du commerce*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1 à l'intérieur*socio=te du groupe*socio=rien : caractère*socio=rien global*socio=te, compatibilité*socio=rien avec l'OMC*socio=ac, comparabilité, non-discrimination*socio=uv3, transparence*socio=uv3, statu_quo*socio=rien , *socio=rien démarrage simultané,*socio=nil processus*socio=te continu *socio=nil assorti de calendriers*socio=et différents*socio=rien , flexibilité*socio=uv3 et coopération*socio=uv1. Ces principes*socio=ec2 doivent être*socio=rien mis en pratique*socio=rien par le biais*socio=rien de plans*socio=rien d'action*socio=rien individuels*socio=uv2 adoptés par chaque *socio=ac pays membre,*socio=nil de*socio=nil plans*socio=rien d'*socio=nil action*socio=rien collectifs*socio=uv2 *socio=nil mis en oeuvre*socio=rien par le groupe*socio=rien dans son ensemble*socio=rien et d'activités*socio=rien communes. L'interdépendance*socio=uv3 entre les activités*socio=rien régionales*socio=te et multilatérales*socio=et est*socio=rien l'une des caractéristiques*socio=rien du monde*socio=te commercial*socio=ec1 d'aujourd'hui. Parmi les Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac, les *socio=et mesures unilatérales,*socio=nil *socio=nil si elles n'ont pas totalement disparu, semblent du moins effectivement assujetties aux disciplines*socio=rien du mécanisme*socio=et de règlement des différends*socio=uv2, fortement mis à l'épreuve*socio=rien actuellement par les Membres*socio=ac,, le mécanisme est*socio=rien de plus en plus utilisé par les pays_en_développement*socio=ac comme par les pays*socio=ac développés*socio=uv4. Même le recours*socio=ec1 aux mesures*socio=et antidumping et aux *socio=et mesures compensatoires *socio=nil - les plus critiquées par le passé*socio=rien en raison*socio=rien des possibilités*socio=rien d'abus*socio=uv1 et de discrimination*socio=uv1 qu'elles présentaient - semble diminuer dans les marchés*socio=ec1 développés*socio=uv4,, en revanche, des pays_en_développement*socio=ac de plus en plus nombreux*socio=rien apprennent à se servir de mécanismes*socio=rien de défense commerciale*socio=ec1 de ce type*socio=rien . C'est*socio=rien donc à propos*socio=rien de problèmes*socio=ec2 régionaux*socio=te/multilatéraux rien entre les taux*socio=rien de droits*socio=uv1 NPF*socio=et et les taux*socio=rien de droits*socio=uv1 préférentiels*socio=et, les différences*socio=uv1 constatées dans les normes*socio=et régionales*socio=te et internationales*socio=te, les procédures*socio=et d'approbation*socio=uv1 des produits*socio=rien et les règlements*socio=et sanitaires*socio=uv2, ainsi que la tendance*socio=ec2 à la multiplication*socio=rien des règles*socio=et d'origine*socio=rien , que se posent les questions*socio=rien "traditionnelles*socio=rien " concernant le commerce*socio=ec1 des marchandises*socio=ec1. Dans le domaine*socio=rien des services*socio=ec1 aussi, il *socio=rien est clair *socio=nil que la prolifération d'arrangements*socio=et régionaux*socio=te risque*socio=uv4 d'entraîner des différences*socio=uv1 croissantes*socio=rien dans les normes*socio=et d'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 par l'imposition*socio=et, sur*socio=rien le plan*socio=rien régional*socio=te, de conditions*socio=ec1 limitant l'accès*socio=uv1 transfrontières, l'établissement*socio=rien ou l'investissement*socio=ec1, ou encore l'admission*socio=rien des fournisseurs*socio=ac de services*socio=ec1 professionnels ou de la main-d'_oeuvre*socio=ac. L'un*socio=rien des dangers*socio=uv1 pratiques*socio=et de la multiplication*socio=rien des activités*socio=rien régionales*socio=te et multilatérales*socio=et est*socio=rien le risque*socio=uv4 d'incohérence découlant du *socio=rien simple fait *socio=nil que ces activités*socio=rien prennent énormément de temps*socio=rien aux gouvernements*socio=ac et aux administrateurs*socio=ac et qu'elles créent des pressions*socio=ec2 antagoniques. Ainsi, en Afrique*socio=ac australe*socio=te, il *socio=rien est évident *socio=nil que les *socio=rien travaux relatifs *socio=nil à l'ordre*socio=rien du jour*socio=rien intersectoriel établi pour la renégociation de l'Union douanière*socio=et d'Afrique*socio=ac australe*socio=te, la création de la SADC*socio=ac et les autres questions*socio=rien régionales*socio=te comme l'initiative*socio=rien transfrontières occupent une *socio=rien grande partie du*socio=nil temps *socio=nil des négociateurs dans chaque administration, qui a par ailleurs*socio=rien des *socio=rien tâches urgentes et*socio=nil considérables *socio=nil à entreprendre pour favoriser le développement*socio=uv3, De même, l'APEC, qui organise à la fois*socio=rien des réunions*socio=rien au sommet*socio=rien , des réunions*socio=rien ministérielles et des réunions*socio=rien de fonctionnaires*socio=et concernant une très large*socio=rien *socio=te zone géographique,*socio=nil *socio=nil utilise par définition une très grande*socio=rien quantité de ressources*socio=ec1 en personnel*socio=ac hautement qualifié." À l'OMC*socio=ac même, de nombreuses*socio=rien délégations se plaignent de ne pas pouvoir*socio=rien suivre effectivement ce qui se passe à Genève*socio=ac, et encore moins communiquer avec leur capitale*socio=uv2, en raison*socio=rien du *socio=rien grand nombre de*socio=nil réunions *socio=nil et de *socio=rien groupements formels et*socio=nil informels*socio=uv2 résultant *socio=nil de la structure*socio=ec1 complexe des Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac et du mécanisme*socio=et de règlement des différends*socio=uv2. Beaucoup de Membres*socio=ac ont des *socio=ec2 difficultés réelles *socio=nil à suivre l'ensemble*socio=rien des activités*socio=rien et à coordonner leur position*socio=rien et, si ces problèmes*socio=ec2 ne sont pas abordés, ils risquent de s'aggraver à mesure*socio=rien de l'introduction*socio=rien de *socio=rien questions nouvelles *socio=nil dans le programme*socio=et de travail de l'OMC*socio=ac. *{p.32} *socio=rien Questions sectorielles.*socio=nil Un certain nombre de*socio=nil questions sectorielles *socio=nil relevant du champ*socio=rien d'application*socio=rien des Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac et mentionnées dans *socio=rien différents rapports *socio=nil établis dans le cadre*socio=rien de l'examen*socio=ec2 des politiques_commerciales*socio=et semblent prendre de plus en plus d'importance*socio=rien et présentent dans certains cas*socio=rien des *socio=rien liens étroits *socio=nil avec des questions*socio=rien intersectorielles plus larges*socio=rien . Certaines*socio=rien d'entre elles (comme les conditions*socio=ec1 d'accès*socio=uv1 pour les *socio=ec1 services financiers)*socio=nil *socio=nil sont des questions*socio=rien étudiées et non résolues pendant le Cycle*socio=te d'Uruguay*socio=ac,, d'autres, comme la poursuite*socio=rien de la libéralisation*socio=et dans l'agriculture*socio=ec1, doivent être*socio=rien abordées au cours*socio=rien de nouvelles*socio=rien négociations*socio=et déjà prévues dans le "programme*socio=et de travail incorporé" dans les Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac. Le rythme*socio=rien et la portée*socio=rien du processus*socio=te d- intégration*socio=ec2" des textiles*socio=ec1 et des vêtements*socio=ec1 dans l'OMC*socio=ac est*socio=rien une *socio=rien troisième question *socio=nil à laquelle beaucoup de pays_en_développement*socio=ac portent un*socio=rien vif intérêt*socio=rien ,, comme il a été*socio=rien noté plus haut*socio=rien , ce processus*socio=te subit*socio=rien aussi les effets*socio=rien de l'évolution*socio=rien de la situation*socio=rien dans le domaine*socio=rien des accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 régionaux*socio=te et est*socio=rien donc fortement lié aux questions*socio=rien systémiques posées par l'interdépendance*socio=uv3 du régionalisme*socio=te et du multilatéralisme. *socio=rien Un quatrième secteur *socio=nil où les conditions*socio=ec1 en matière*socio=rien de commerce*socio=ec1 et d'investissement*socio=ec1 (et les relations*socio=rien entre l'État*socio=ac et le secteur_privé*socio=et) sont *socio=rien indissociables est *socio=nil celui de l'industrie*socio=ec1 automobile*socio=ec1. De récents*socio=rien examens*socio=ec2 des politiques_commerciales*socio=et et d'autres débats*socio=et menés dans le cadre*socio=rien de l'OMC*socio=ac ont montré à la fois*socio=rien que ce secteur*socio=rien était particulièrement sensible*socio=rien pour *socio=rien un grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac en*socio=nil voie d'*socio=nil industrialisation*socio=ec2 rapide *socio=nil (par exemple*socio=rien Brésil*socio=ac, Inde*socio=ac, Malaisie*socio=ac, Mexique*socio=ac et Indonésie*socio=ac) et qu'il existait des liens*socio=rien entre a) les conditions*socio=ec1 en matière*socio=rien de commerce*socio=ec1 et d'investissement*socio=ec1 (résultant*socio=rien de MIC telles qu'elles sont définies*socio=rien à l'OMC*socio=ac, d'une structure*socio=ec1 de l'investissement*socio=ec1 encouragée par des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac ou des mesures*socio=et non tarifaires*socio=et de protection*socio=et, et de mesures*socio=et d'incitation*socio=uv3 à l'investissement*socio=ec1 plus générales*socio=rien ) et b) les mesures*socio=et prises*socio=rien par l'État*socio=ac et par le secteur_privé*socio=et, concernant souvent les multinationales*socio=ec1 (promotion*socio=uv3 de "véhicules d'origine*socio=rien nationale*socio=te", pression*socio=ec2 exercée par les constructeurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 déjà *socio=rien présents sur le*socio=nil marché*socio=ec1 *socio=nil pour préserver leurs droits_acquis et empêcher l'entrée*socio=rien de nouveaux*socio=rien arrivants). Le "programme*socio=et de travail incorporé" et les négociations*socio=et commerciales*socio=ec1 futures*socio=rien : les défis à relever. Il ressort clairement de ce qui précède que le processus*socio=te de libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 se poursuit aux niveaux*socio=rien unilatéral, régional*socio=te et multilatéral mondialisation*socio=te" économique*socio=ec1 est*socio=rien entraîné par la libéralisation*socio=et du commerce*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1 et l'harmonisation*socio=uv3 des politiques*socio=et et exige des efforts continus*socio=te pour aller de l'avant dans ces deux domaines*socio=rien . Les politiques_commerciales*socio=et et économiques*socio=ec1 suivies par la plupart*socio=rien des pays*socio=ac sont encore axées sur*socio=rien l'ouverture*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 sur*socio=rien l'extérieur portée*socio=rien et le rythme*socio=rien de ce processus*socio=te puissent varier considérablement*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. Toutefois, les tendances*socio=ec2 constatées plus haut*socio=rien peuvent permettre de dégager et de mettre en *socio=rien lumière un certain nombre *socio=nil de défis auxquels le système*socio=rien commercial*socio=ec1 devra faire face*socio=rien sans tarder. Le premier*socio=rien de ces défis consiste à exécuter effectivement le "programme*socio=et de travail incorporé" hérité du Cycle*socio=te d'Uruguay*socio=ac (et complété lors*socio=rien de la Conférence ministérielle*socio=et de Singapour*socio=ac). Ce programme*socio=et de travail *socio=rien porte sur de*socio=nil nombreux domaines essentiels*socio=uv4 *socio=nil à la poursuite*socio=rien du processus*socio=te lancé en 1994 - sur*socio=rien des *socio=rien questions majeures *socio=nil telles que les accessions à l'OMC*socio=ac, les questions*socio=rien concernant l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 (y compris le développement*socio=uv3 des possibilités*socio=rien d'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 pour les pays*socio=ac les moins avancés), la poursuite*socio=rien du processus*socio=te de réforme*socio=et dans l'agriculture*socio=ec1, la conclusion des négociations*socio=et "en suspens*socio=rien " sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 de certains services*socio=ec1 et l'ouverture*socio=uv3 de nouvelles*socio=rien négociations*socio=et dans ce domaine*socio=rien , et le réexamen*socio=et d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil accords*socio=et *socio=nil issus du Cycle*socio=te d'Uruguay*socio=ac. Dans beaucoup de ces domaines*socio=rien , les travaux*socio=rien sont déjà bien*socio=rien engagés. Le *socio=rien deuxième est *socio=nil de faire en sorte*socio=rien que les accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 régionaux*socio=te soient compatibles*socio=rien avec les règles*socio=et commerciales*socio=ec1 multilatérales*socio=et. Cela signifie que les règles*socio=et et les principes*socio=ec2 de l'OMC*socio=ac devraient être*socio=rien à la base*socio=rien de tous *socio=rien mécanismes nouveaux *socio=nil qui pourraient être*socio=rien mis en place*socio=rien . Cela signifie aussi qu'il faut des règles*socio=et, définitions et procédures*socio=et claires*socio=rien pour assurer cette compatibilité*socio=rien . Les risques*socio=uv4 d'incompatibilité*socio=rien entre *socio=rien différents ensembles de*socio=nil règles*socio=et régionales*socio=te *socio=nil (par exemple*socio=rien règles*socio=et d'origine*socio=rien , mesures*socio=et d'exception*socio=rien en matière*socio=rien commerciale*socio=ec1, normes*socio=et) pourraient aussi être*socio=rien examinés, si possible*socio=rien avant qu'ils ne se matérialisent, dans le cadre*socio=rien de discussions*socio=rien bilatérales*socio=et et multilatérales*socio=et. Enfin, la possibilité*socio=rien d'incompatibilité*socio=rien entre les accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 régionaux*socio=te et internationaux*socio=te sera sensiblement réduite non seulement par l'élaboration de règles*socio=et mais aussi par la volonté résolue de libéraliser le commerce*socio=ec1 au niveau*socio=rien multilatéral des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac. *{p.33} Lé troisième*socio=rien défi*socio=uv2 consiste à faire en sorte*socio=rien que les négociations*socio=et futures*socio=rien s'appuient de façon*socio=rien constructive*socio=uv2 et sans faire d'exclusion*socio=rien sur*socio=rien les schémas*socio=rien mondiaux*socio=te qui apparaissent dans les relations*socio=rien en matière*socio=rien de commerce*socio=ec1 et d'investissement*socio=ec1, en veillant à ce qu'aucun participant ne soit marginalisé. Le Cycle*socio=te d'Uruguay*socio=ac a permis une intégration*socio=ec2 beaucoup plus forte*socio=rien des économies*socio=ec1 en développement*socio=uv3 majeures*socio=rien dans le système*socio=rien commercial*socio=ec1 international*socio=te mais il y a encore beaucoup de pays*socio=ac qui ne peuvent tirer parti*socio=et des *socio=rien nouvelles possibilités *socio=nil qui leur sont offertes*socio=rien en matière*socio=rien de commerce*socio=ec1 et d'investissement*socio=ec1 en raison*socio=rien d'obstacles*socio=rien extérieurs*socio=te (isolés ou en association), de limitations*socio=et des ressources*socio=ec1 physiques*socio=rien ou de l'offre*socio=rien ou de contraintes*socio=uv1 de politique*socio=et générale*socio=rien imposées par les pays*socio=ac eux-mêmes. Il importe de s'attaquer à toutes ces questions*socio=rien , de faire en sorte*socio=rien que tous les participants*socio=ac puissent tirer parti*socio=et des efforts réalisés au niveau*socio=rien multilatéral en_particulier*socio=rien en maintenant un*socio=rien accès*socio=uv1 universel*socio=uv2 et en encourageant une *socio=ec2 circulation régulière et*socio=nil transparente*socio=uv4 *socio=nil de l'information*socio=rien tout en préservant des procédures*socio=et de prises*socio=rien de décision*socio=rien efficaces*socio=uv4. Comme il a été*socio=rien indiqué plus haut*socio=rien , il faudra peut-être pour cela engager une réflexion*socio=rien sérieuse*socio=uv4 sur*socio=rien le déroulement*socio=rien et la structure*socio=ec1 des négociations*socio=et. Cette question*socio=rien pourra prendre encore davantage d'importance*socio=rien à mesure*socio=rien que le nombre*socio=rien des Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac ira en s'accroissant (il y a actuellement 29 demandes*socio=et d'accession examinées par des groupes*socio=rien de travail et d'autres seront présentées). L'une des tâches*socio=rien essentielles*socio=uv4 de l'OMC*socio=ac aujourd'hui est*socio=rien de parvenir à l'universalité sans affaiblir le système*socio=rien commercial*socio=ec1 multilatéral Le quatrième défi*socio=uv2, qui est aussi le principal, consiste à étudier les *socio=rien nouveaux domaines définis à*socio=nil Singapour*socio=ac *socio=nil et à examiner comment ils peuvent être*socio=rien abordés dans le contexte du programme*socio=et de travail multilatéral futur*socio=rien . il ressort de *socio=rien façon évidente de*socio=nil différents rapports *socio=nil établis dans le cadre*socio=rien de l'examen*socio=ec2 des politiques_commerciales*socio=et et concernant des pays*socio=ac développés*socio=uv4, des pays*socio=ac en transition*socio=uv3 et des pays_en_développement*socio=ac qu'il *socio=rien est possible *socio=nil de renforcer les avantages*socio=rien de la libéralisation*socio=et commerciale*socio=ec1 en ouvrant l'investissement*socio=ec1 à la participation*socio=uv3 étrangère et en engageant un*socio=rien processus*socio=te complémentaire de réforme*socio=et des réglementations*socio=et intérieures*socio=te, faute de quoi les goulets*socio=rien d'étranglement*socio=ec2 qui se manifestaient autrefois à la frontière*socio=te ne feraient peut-être que se déplacer. Les relations*socio=rien entre le commerce*socio=ec1, l'investissement*socio=ec1 et la création de conditions*socio=ec1 assurant effectivement le jeu*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 sont donc maintenant au coeur des politiques_économiques*socio=et et commerciales*socio=ec1. À l'OMC*socio=ac, les groupes*socio=rien de travail s'occupant des *socio=rien nouveaux domaines *socio=nil ont pris *socio=rien un bon départ *socio=nil en lançant le débat*socio=et multilatéral ces questions*socio=rien . Vu l'importance*socio=rien de la mondialisation*socio=te que les gouvernements*socio=ac perçoivent comme un*socio=rien défi*socio=uv2, leurs travaux*socio=rien devront progresser et être*socio=rien davantage associés à l'effort de *socio=rien réflexion général *socio=nil engagé à l'OMC*socio=ac. *{p.36} Le commerce*socio=ec1 et la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Résumé et conclusions. L'interface entre le commerce*socio=ec1 et la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 suscite *socio=rien un intérêt croissant,*socio=nil en*socio=nil partie *socio=nil parce que l'on se rend compte*socio=rien que, les mesures*socio=et commerciales*socio=ec1 gouvernementales*socio=et étant de plus en plus soumises à une discipline*socio=uv1 multilatérale*socio=et, les pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac qui faussent ou restreignent le commerce*socio=ec1 international*socio=te deviennent plus manifestes et peuvent être*socio=rien relativement plus importantes*socio=rien qu'auparavant. En outre, avec l'intégration*socio=ec2 croissante*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, les pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 ont de - plus en plus une dimension*socio=rien transfrontières. Qui plus est*socio=rien , l'élaboration de règles*socio=et commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te concernant le traitement*socio=rien que les pays*socio=ac doivent accorder aux sociétés*socio=ac étrangères*socio=ec1 opérant sur*socio=rien leur territoire*socio=te (en_particulier*socio=rien les règles*socio=et en matière*socio=rien d'investissement*socio=ec1 et de propriété*socio=ec1 intellectuelle*socio=rien ) a souligné la nécessité*socio=uv1 d'une coopération_internationale*socio=uv1 parallèle*socio=rien pour traiter les éventuelles*socio=rien pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 de ces sociétés*socio=ac. Il est*socio=rien à noter que ces *socio=rien faits nouveaux *socio=nil interviennent alors que, partout dans le monde*socio=te, on en vient à penser que des marchés*socio=ec1 concurrentiels*socio=ec2 ouverts*socio=rien et fonctionnant bien*socio=rien constituent la *socio=ec1 structure économique *socio=nil la plus propice*socio=rien au développement*socio=uv3 économique*socio=ec1,, et que tous les instruments réglementaires*socio=et qui ont été*socio=rien utilisés par le passé*socio=rien dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac (mesures*socio=et sectorielles*socio=rien , contrôles*socio=et concernant les transferts de technologie*socio=ec1, l'investissement*socio=ec1, etc.) sont peu à peu abandonnés au profit*socio=uv3 du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1, qui est*socio=rien généralement considéré comme le *socio=rien meilleur moyen *socio=nil de traiter les pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac qui risquent d'être*socio=rien préjudiciables*socio=et au fonctionnement*socio=rien de ces marchés*socio=ec1. Le *socio=rien présent chapitre porte principalement*socio=nil sur les*socio=nil pratiques*socio=et des*socio=nil entreprises*socio=ac,*socio=nil publiques*socio=et ou*socio=nil privées*socio=et,*socio=nil *socio=nil qui risquent de fausser ou d'entraver le commerce*socio=ec1 international*socio=te, et les mesures*socio=et prises*socio=rien par les pouvoirs_publics*socio=et pour y faire face*socio=rien . Pendant près de 50 ans*socio=rien , le GATT*socio=et d'abord*socio=rien , puis l'OMC*socio=ac, se sont attachés à assujettir à des disciplines*socio=rien multilatérales*socio=et les *socio=et mesures gouvernementales *socio=nil qui restreignent ou faussent les échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te, et c'est*socio=rien là *socio=rien bien sûr un domaine sur *socio=nil lequel les travaux*socio=rien de l'OMC*socio=ac continuent et doivent continuer de porter en priorité*socio=uv4. Il ne s'agit pas dans le *socio=rien présent chapitre *socio=nil de suggérer qu'il en va autrement mais, à titre*socio=rien complémentaire, d'examiner les effets*socio=rien de restriction*socio=et ou de distorsion des échanges*socio=ec1 que les pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac risquent d'avoir, les moyens*socio=ec1 juridiques*socio=et utilisés par les gouvernements*socio=ac pour empêcher que les entreprises*socio=ac n'adoptent un*socio=rien tel comportement*socio=rien ou pour y remédier et les domaines*socio=rien où on pourrait envisager de renforcer la coopération_internationale*socio=uv1. La section*socio=rien II présente*socio=rien les concepts*socio=rien et arguments*socio=ec2 économiques*socio=ec1 qui sont essentiels*socio=uv4 pour bien*socio=rien comprendre les questions*socio=rien en rapport*socio=rien avec la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Cette introduction*socio=rien traite de certaines*socio=rien structures*socio=ec1 de marché*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4, ainsi que de l'origine*socio=rien et des coûts*socio=ec1 des imperfections*socio=rien du marché*socio=ec1, Suivant*socio=rien une importante*socio=rien conclusion que l'on retrouve dans les ouvrages économiques*socio=ec1 et qui est*socio=rien mise en lumière*socio=rien dans cette partie*socio=rien , les pratiques_commerciales*socio=et qui sont en soi*socio=rien anticoncurrentielles*socio=uv4 peuvent parfois, mais pas toujours, améliorer le bien-être économique*socio=ec1. Par exemple*socio=rien , une fusion*socio=rien peut entraîner des gains*socio=ec1 d'efficience*socio=uv3 au niveau*socio=rien de la production*socio=ec1 qui sont supérieurs*socio=rien aux pertes*socio=ec2 que représente la hausse*socio=rien des prix*socio=ec1 pour les consommateurs*socio=ac. Comme presque toutes les décisions*socio=rien font intervenir ce type*socio=rien d'arbitrages*socio=et complexes, il *socio=rien est bien souvent*socio=nil impossible *socio=nil d'élaborer le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 sous forme*socio=rien de règles*socio=et perse, en d'autres termes*socio=rien d'interdictions certaines*socio=rien pratiques_commerciales*socio=et. Par ailleurs*socio=rien , l'objectif*socio=uv4 de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 ne peut *socio=rien être défini en*socio=nil termes simples *socio=nil - par exemple*socio=rien , maximiser "le degré*socio=rien de concurrence*socio=ec1". Il est*socio=rien souvent nécessaire*socio=rien d'adopter une approche fondée sur*socio=rien la règle de raison*socio=rien , qui exige des autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 qu'elles évaluent les pratiques*socio=et au cas*socio=rien par cas*socio=rien . La *socio=rien deuxième partie *socio=nil de la section*socio=rien Il traite: des aspects*socio=rien juridiques*socio=et et institutionnels*socio=et de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Elle met l'accent*socio=rien sur*socio=rien certains éléments*socio=rien des approches actuelles*socio=te concernant la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 dans les pays*socio=ac développés*socio=uv4 et contient une analyse*socio=rien des facteurs*socio=rien qui expliquent pourquoi cette politique*socio=et prend de plus en plus d'importance*socio=rien dans de nombreux*socio=rien pays_en_développement*socio=ac. Elle souligne aussi l'importance*socio=rien des activités*socio=rien de promotion*socio=uv3 de la concurrence*socio=ec1 en tant que complément*socio=rien des mesures*socio=et destinées*socio=rien à faire respecter le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 dans certains pays*socio=ac et examine les lacunes*socio=ec2 du droit*socio=uv1 et de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. L'une des *socio=rien principales raisons *socio=nil pour lesquelles les règles*socio=et de l'OMC*socio=ac profitent aux pays_membres*socio=ac est*socio=rien qu'elles limitent leur capacité*socio=uv3 de suivre, dans le domaine*socio=rien commercial*socio=ec1, une politique*socio=et du chacun_pour_soi*socio=uv1 qui réduit le bien-être global*socio=te. La section*socio=rien III pose la question*socio=rien de savoir*socio=rien s'il est*socio=rien probable*socio=uv4 que la poursuite*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 au plan*socio=rien national*socio=te sera associée*socio=rien à des effets*socio=rien de même type*socio=rien . Elle offre*socio=rien donc *socio=rien un cadre économique*socio=ec1 *socio=nil dans lequel déterminer si un*socio=rien renforcement de la coopération_internationale*socio=uv1 en matière*socio=rien de politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 se justifie pour des *socio=rien motifs analogues.*socio=nil *socio=nil Elle repose sur*socio=rien deux considérations*socio=rien fondamentales*socio=uv4. Premièrement, même avec une libéralisation*socio=et générale*socio=rien des échanges*socio=ec1 et des mouvements*socio=ec2 de facteurs*socio=rien , une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 sera nécessaire*socio=rien . Deuxièmement, de nombreuses*socio=rien interventions liées à la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 se caractérisent inévitablement par le fait*socio=rien qu'elles profitent à certains groupes*socio=rien au détriment*socio=uv2 d'autres. Néanmoins, elles peuvent présenter globalement des *socio=rien avantages supérieurs aux*socio=nil pertes*socio=ec2 *socio=nil qu'elles imposent à certains groupes*socio=rien . On se heurterait à *socio=rien coup sûr *socio=nil au même type*socio=rien de tension si la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 avait pour objet*socio=rien de promouvoir des intérêts mondiaux*socio=te plutôt que des intérêts nationaux*socio=te. Ainsi, le *socio=rien simple fait *socio=nil qu'une décision*socio=rien au titre*socio=rien de la politique*socio=et nationale*socio=te de la concurrence*socio=ec1 affecte les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 ne signifie pas qu'elle n'est*socio=rien pas justifiée d'un*socio=rien point*socio=rien de vue*socio=rien de l'efficience*socio=uv3 mondiale*socio=te. Pour qu'une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 soit indésirable*socio=uv4, il faut que les *socio=rien conséquences négatives *socio=nil pour les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 soient plus importantes*socio=rien que les avantages*socio=rien pour )es agents*socio=ac nationaux*socio=te. Dans ce cas*socio=rien , il peut alors, mais pas nécessairement, être*socio=rien utile*socio=uv4 d'accroître la coopération_internationale*socio=uv1 en matière*socio=rien de politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 afin d'améliorer le bien-être mondial*socio=te. Bien*socio=rien entendu, une intervention au titre*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 qui améliore le bien-être dans un*socio=rien pays*socio=ac peut néanmoins être*socio=rien préjudiciable*socio=et aux intérêts économiques*socio=ec1 d'un*socio=rien autre pays*socio=ac, Cela peut entraîner des tensions*socio=uv3 dans les relations_internationales*socio=et mais la théorie*socio=ec2 économique*socio=ec1 ne donne guère d'indications*socio=rien à ce sujet*socio=rien . La section*socio=rien III développe aussi les *socio=rien thèmes suivants:*socio=nil *socio=nil - La libéralisation*socio=et du commerce*socio=ec1 tend à accroître la concurrence*socio=ec1. Toutefois, même avec une libéralisation*socio=et à *socio=rien large échelle *socio=nil et une liberté*socio=uv1 de mouvement*socio=ec2 des facteurs*socio=rien , il faudra une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. - - D'un*socio=rien point*socio=rien de vue*socio=rien économique*socio=ec1, la position*socio=rien à l'égard*socio=rien de 1 a législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 ou de son application*socio=rien , y compris la décision*socio=rien de ne pas avoir du tout de législation*socio=et en la matière*socio=rien ou de ne pas appliquer la législation*socio=et existante*socio=rien , *socio=rien est un choix*socio=uv1 qui*socio=nil relève *socio=nil de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. *{p.37} En conséquence*socio=rien , il n'est*socio=rien , pas toujours possible*socio=rien de faire une distinction*socio=rien utile*socio=uv4 entre les *socio=et restrictions gouvernementales *socio=nil et les restrictions*socio=et du secteur_privé*socio=et en_particulier*socio=rien parce que, pour ces dernières*socio=rien , il faut le consentement*socio=rien tacite ou exprès*socio=rien des gouvernements*socio=ac. - Comme dans le cas*socio=rien de toute politique*socio=et qui affecte l'économie*socio=ec1, il est*socio=rien presque impossible*socio=rien de concevoir des situations*socio=rien dans lesquelles le choix*socio=uv1 en matière*socio=rien de politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 d'un*socio=rien pays*socio=ac n'affecte pas les autres pays*socio=ac. - - Il *socio=rien est facile *socio=nil de trouver de *socio=rien nombreux exemples de*socio=nil situations *socio=nil dans lesquelles il y a des retombées*socio=rien dans la pratique*socio=et, même si souvent on ne sait pas bien*socio=rien si celles-ci constituent des distorsions*socio=ec2 en ce sens*socio=rien qu'elles ont des *socio=rien effets négatifs sur *socio=nil le bien-être mondial*socio=te. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil les*socio=nil *socio=ec2 études empiriques *socio=nil qui mesurent systématiquement l'ampleur*socio=rien et la précellence des retombées*socio=rien et des distorsions*socio=ec2 découlant des politiques*socio=et nationales*socio=te de la concurrence*socio=ec1 font défaut*socio=rien . - Les effets*socio=rien de restriction*socio=et ou de distorsion des échanges*socio=ec1 des pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac sont examinés dans la section*socio=rien IV, qui classe*socio=rien ces pratiques*socio=et en trois *socio=rien grandes catégories:*socio=nil *socio=nil premièrement, les pratiques*socio=et qui risquent de restreindre les importations*socio=ec1, notamment les restrictions*socio=et verticales, les ententes*socio=et à l'importation*socio=ec1 et les restrictions*socio=et horizontales connexes*socio=rien (par exemple*socio=rien , les activités*socio=rien de normalisation*socio=uv3 non gouvernementales*socio=et abusives*socio=uv2), et les activités*socio=rien des entreprises*socio=ac qui jouissent de monopoles*socio=ec1 ou de privilèges*socio=uv2 exclusifs*socio=rien ou *socio=rien spéciaux sur le*socio=nil marché*socio=ec1 intérieur*socio=te,*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil deuxièmement, les pratiques*socio=et qui visent à exercer une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 ou qui ont cet effet*socio=rien , en_particulier*socio=rien les ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 et les arrangements*socio=et connexes*socio=rien , les ententes_internationales*socio=et, les fusions et les abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2, ainsi que certaines*socio=rien pratiques*socio=et en matière*socio=rien d'établissement*socio=rien des prix*socio=ec1 (fixation de prix*socio=ec1 abusivement bas*socio=rien , discrimination*socio=uv1 par les prix*socio=ec1, subventions*socio=ec1 croisées et dumping*socio=ec1),, et troisièmement, les pratiques*socio=et des sociétés*socio=ac étrangères*socio=ec1 opérant sur*socio=rien le territoire*socio=te des pays*socio=ac - le lien*socio=rien avec l'investissement*socio=ec1 et la propriété*socio=ec1 intellectuelle*socio=rien . Cette section*socio=rien traite des moyens*socio=ec1 juridiques*socio=et disponibles*socio=rien pour combattre*socio=rien ces pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac qui restreignent ou faussent les échanges*socio=ec1, dans le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 et aussi dans le droit*socio=uv1 commercial*socio=ec1 au niveau*socio=rien national*socio=te. Elle relève*socio=rien que, dans la plupart*socio=rien des cas*socio=rien , l'application*socio=rien d'une loi*socio=et bien*socio=rien conçue sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 dans le pays*socio=ac où les pratiques*socio=et ont lieu*socio=rien semblerait être*socio=rien la solution*socio=rien la plus appropriée et que, par conséquent*socio=rien , l'existence*socio=rien et le respect*socio=uv1 des législations*socio=et nationales*socio=te sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 ont pour les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 et le système*socio=rien commercial*socio=ec1 international*socio=te des retombées*socio=rien positives*socio=uv4 importantes*socio=rien . Il faut aussi souligner que la libéralisation*socio=et des *socio=et mesures gouvernementales *socio=nil qui restreignent les échanges*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 et d'autres formes*socio=rien de déréglementation*socio=et sont souvent les moyens*socio=ec1 les plus efficaces*socio=uv4 de prévenir les pratiques_commerciales*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 ou d'y remédier, en permettant une plus grande*socio=rien concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1, en_particulier*socio=rien dans les cas*socio=rien où ces *socio=et mesures gouvernementales *socio=nil prévalent. Il y a lieu*socio=rien de voir si les lois*socio=et nationales*socio=te sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 devraient recourir davantage à ces mesures*socio=et correctives*socio=ec2. Toutefois, plusieurs facteurs*socio=rien limitent le rôle*socio=rien que le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 joue actuellement dans la prévention ou la correction*socio=ec2 des effets*socio=rien préjudiciables*socio=et des pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 sur*socio=rien les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. 'Bien*socio=rien que, dans certains cas*socio=rien où il existe des problèmes*socio=ec2 structurels fondamentaux*socio=uv4 et où l'influence du gouvernement*socio=ac *socio=rien est forte,*socio=nil *socio=nil il peut aussi être*socio=rien justifié de mettre en place*socio=rien des réformes*socio=et portant sur*socio=rien la structure*socio=ec1 du marché*socio=ec1 et/ou des *socio=et politiques réglementaires *socio=nil proconcurrentielles. Premièrement, si environ 70 pays*socio=ac, dont la plupart*socio=rien des grandes*socio=rien nations*socio=te commerçantes*socio=ac, ont des législations*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1, beaucoup n'en ont pas (mais ils sont nombreux*socio=rien à en élaborer une). Deuxièmement, même lorsqu'il existe une législation*socio=et nationale*socio=te sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1, elle peut ne pas s'appliquer aux pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac en raison*socio=rien d'exclusions*socio=uv1 sectorielles*socio=rien , ou d'exemptions de nature*socio=rien horizontale (par exemple*socio=rien lorsqu'il s'agit de pratiques*socio=et autorisées par le gouvernement*socio=ac). Les secteurs*socio=rien dans lesquels les pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 semblent prévaloir sont souvent ceux qui sont exemptés, ce qui n'est*socio=rien pas surprenant*socio=rien . *socio=rien Un troisième facteur *socio=nil qui limite la capacité*socio=uv3 de la législation*socio=et nationale*socio=te sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 de répondre aux intérêts commerciaux*socio=ec1 d'autres pays*socio=ac est*socio=rien que cette législation*socio=et n'est*socio=rien pas toujours appliquée. C'est*socio=rien aux bureaux*socio=rien nationaux*socio=te de la concurrence*socio=ec1 qu'il incombe (exclusivement ou conjointement avec un*socio=rien droit*socio=uv1 d'action*socio=rien privé*socio=et, selon le pays*socio=ac) de faire appliquer la loi*socio=et. Naturellement, ces organes administratifs*socio=et doivent établir des priorités*socio=uv4 en ce qui concerne l'utilisation*socio=rien de leurs ressources*socio=ec1 limitées. On s'est*socio=rien parfois demandé dans quelle mesure*socio=rien ils répondraient aux plaintes émanant d'intérêts_étrangers*socio=uv4, au moins dans certains pays*socio=ac. Lorsqu'il existe un*socio=rien droit*socio=uv1 d'action*socio=rien privé*socio=et, le droit*socio=uv1 de recours*socio=ec1 ne dépend généralement pas de la nationalité*socio=ac, mais il se peut que des *socio=et règles juridiques générales*socio=rien *socio=nil concernant la qualité*socio=rien pour agir limitent dans certains cas*socio=rien la capacité*socio=uv3 des entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec1 ayant *socio=rien un intérêt *socio=nil à l'exportation*socio=ec1 mais pas de présence*socio=rien juridique*socio=et dans le pays*socio=ac d'engager une action*socio=rien . Par ailleurs*socio=rien , la capacité*socio=uv3 de la législation*socio=et nationale*socio=te sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 de prendre en compte*socio=rien les intérêts et préoccupations*socio=uv4 d'autres pays*socio=ac risque*socio=uv4 d'être*socio=rien limitée par les critères*socio=rien fondamentaux*socio=uv4 qui lui sont inhérents*socio=rien . C'est*socio=rien en partie*socio=rien parce que certains régimes*socio=et nationaux*socio=te de la concurrence*socio=ec1 tiennent compte*socio=rien , dans la législation*socio=et elle-même et/ou dans son application*socio=rien , de considérations*socio=rien autres que celles de l'efficience*socio=uv3 allocative lors*socio=rien de la prise*socio=rien de décisions*socio=rien . Certains de ces critères*socio=rien , par exemple*socio=rien l'amélioration*socio=uv1 de la compétitivité*socio=uv1 à l'exportation*socio=ec1 des producteurs*socio=ac nationaux*socio=te, peuvent donner lieu*socio=rien à des décisions*socio=rien qui ont des effets*socio=rien discriminatoires*socio=uv2 sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 et le bien-être d'autres pays*socio=ac. Toutefois, même lorsque l'accent*socio=rien est*socio=rien mis sur*socio=rien l'efficience*socio=uv3 allocative et le bien-être, les législations*socio=et nationales*socio=te ne sont pas neutres*socio=rien quant au lieu*socio=rien où les avantages*socio=rien et les coûts*socio=ec1 de l'efficience*socio=uv3 interviennent. En fin*socio=rien de compte*socio=rien , les législations*socio=et nationales*socio=te sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 prennent en compte*socio=rien principalement les coûts*socio=ec1 et les avantages*socio=rien qui sont enregistrés dans leur pays*socio=ac et pas ceux qui concernent les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. Le risque*socio=uv4 de décisions*socio=rien préjudiciables*socio=et au bien-être des partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 est*socio=rien particulièrement grand*socio=rien dans le cas*socio=rien d'une approche fondée sur*socio=rien le bien-être national*socio=te total*socio=rien , selon laquelle l'efficience*socio=uv3 des producteurs*socio=ac nationaux*socio=te compense les coûts*socio=ec1 pour les consommateurs*socio=ac. Mais, même lorsque le bien-être des consommateurs*socio=ac au plan*socio=rien national*socio=te *socio=rien est un facteur *socio=nil prédominant, il peut y avoir divergence*socio=uv1 entre les *socio=rien effets sur *socio=nil le bien-être national*socio=te et les *socio=rien effets sur *socio=nil le bien-être à l'étranger*socio=te, l'exemple*socio=rien le plus frappant à cet égard*socio=rien étant les ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1. S'agissant des entreprises*socio=ac jouissant de monopoles*socio=ec1 ou de droits*socio=uv1 *socio=rien exclusifs sur le*socio=nil marché*socio=ec1 national*socio=te,*socio=nil le*socio=nil présent chapitre *socio=nil traite des problèmes*socio=ec2 d'accès*socio=uv1 qui peuvent se poser non seulement sur*socio=rien le marché*socio=ec1 couvert par le monopole*socio=ec1 ou la position*socio=rien de puissance*socio=uv1 de marché*socio=ec1, mais encore sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 situés en aval*socio=rien , auxquels il n'est*socio=rien possible*socio=rien d'accéder qu'en utilisant des installations contrôlées par une entreprise*socio=ac ayant une position*socio=rien dominante*socio=uv2, et sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 en amont, par exemple*socio=rien ceux des biens*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1. On fait*socio=rien valoir que l'approche la plus efficace*socio=uv4 pour réduire et éliminer ces problèmes*socio=ec2 d'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 (ainsi *socio=rien bien sur *socio=nil que de nombreux*socio=rien autres problèmes*socio=ec2) consiste à entreprendre une réforme*socio=et structurelle*socio=ec2 des marchés*socio=ec1 visant à laisser jouer la concurrence*socio=ec1, que l'on complétera par l'application*socio=rien continue*socio=te du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1. *{p.38} Dans certains cas*socio=rien , en_particulier*socio=rien celui des monopoles*socio=ec1 naturels*socio=rien , une réglementation*socio=et proconcurrentielle sera aussi nécessaire*socio=rien pour protéger le bien-être intérieur*socio=te et les intérêts des fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4. Il *socio=rien est souhaitable *socio=nil que ces *socio=et arrangements réglementaires *socio=nil soient fondés, tant au niveau*socio=rien national*socio=te qu'au niveau*socio=rien international*socio=te, sur*socio=rien les principes*socio=ec2 du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1. Cela contribuera à assurer non seulement la cohérence*socio=uv3 mutuelle et de concurrence*socio=ec1 mais aussi celle des politiques*socio=et de réglementation*socio=et de divers secteurs*socio=rien et de divers pays*socio=ac. Cela devrait aussi aider à se protéger contre le risque*socio=uv4 d'un*socio=rien détournement de la réglementation*socio=et et d'avoir à disposition*socio=et *socio=rien un ensemble de*socio=nil principes*socio=ec2 faisant*socio=nil office de*socio=nil filet de*socio=nil sécurité*socio=uv1,*socio=nil *socio=nil qui pourrait faciliter l'élimination*socio=ec2 progressive*socio=rien des *socio=et régimes réglementaires spéciaux*socio=rien *socio=nil lorsque le changement*socio=uv3 technologique*socio=ec1 et les réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 aboutiront à des marchés*socio=ec1 concurrentiels*socio=ec2 dans le secteur*socio=rien en question*socio=rien . L'application*socio=rien extraterritoriale de sa législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 *socio=rien est un moyen *socio=nil par lequel un*socio=rien pays*socio=ac peut chercher à traiter les pratiques*socio=et suivies dans d'autres pays*socio=ac qui risquent d'avoir des effets*socio=rien préjudiciables*socio=et sur*socio=rien son commerce*socio=ec1, en_particulier*socio=rien lorsque ces autres pays*socio=ac ne veulent pas ou ne peuvent pas prendre des mesures*socio=et. Toutefois, le champ*socio=rien d'application*socio=rien extraterritoriale de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 d'un*socio=rien pays*socio=ac, surtout lorsque les entreprises*socio=ac visées n'ont pas de présence*socio=rien juridique*socio=et sur*socio=rien son territoire*socio=te, est*socio=rien limité par des considérations*socio=rien pratiques*socio=et, notamment la difficulté*socio=ec2 d'obtenir*socio=rien les preuves*socio=ec2 nécessaires*socio=rien et de faire appliquer les jugements. Quoi qu'il en soit, comme on l'a maintenant largement admis et comme le prouve la *socio=rien récente fusion *socio=nil Boeing-mcdonnell Douglas, l'application*socio=rien extraterritoriale des législations*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 risque*socio=uv4 fort*socio=rien de donner lieu*socio=rien à des différends*socio=uv2 entre pays*socio=ac et de poser des difficultés*socio=ec2 aux entreprises*socio=ac qui sont aux prises*socio=rien avec des normes*socio=et et procédures*socio=et différentes*socio=rien , voire contradictoires*socio=uv2. Ces désavantages de l'extraterritorialité sont l'une des raisons*socio=rien pour lesquelles on insiste beaucoup depuis quelques *socio=rien années sur *socio=nil la mise en place*socio=rien de mécanismes*socio=rien de coopération*socio=uv1 entre les pays*socio=ac dans le domaine*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1, et en_particulier*socio=rien de sa mise en oeuvre*socio=rien . Cette évolution*socio=rien , qui est*socio=rien examinée dans la section*socio=rien V, s'est*socio=rien traduite par la conclusion d'accords*socio=et bilatéraux*socio=et et autres entre les responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 ainsi que d'accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 et d'accords*socio=et d'intégration*socio=uv1 économique*socio=ec1 régionaux*socio=te, mais s'est*socio=rien aussi concrétisée dans le cadre*socio=rien de l'OMC*socio=ac. En ce qui concerne l'OMC*socio=ac d'abord*socio=rien , *socio=rien un grand nombre *socio=nil de dispositions et de mécanismes*socio=rien peuvent présenter *socio=rien un intérêt,*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil on mentionnera les arrangements*socio=et en matière*socio=rien de consultation*socio=uv1 et de coopération*socio=uv1 prévus par chacun des principaux*socio=rien accords*socio=et de l'OMC*socio=ac, les règles*socio=et générales*socio=rien de l'OMC*socio=ac concernant la non-discrimination*socio=uv3 et la transparence*socio=uv3, les domaines*socio=rien dans lesquels l'OMC*socio=ac prévoit déjà certaines*socio=rien normes*socio=et minimales*socio=rien que les gouvernements*socio=ac doivent suivre pour combattre*socio=rien ou réglementer les pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 des entreprises*socio=ac (notamment dans le secteur*socio=rien des télécommunications*socio=ec1 de base*socio=rien ), les dispositions qui prévoient des mesures*socio=et correctives*socio=ec2 applicables*socio=rien aux pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac, notamment dans le domaine*socio=rien de la lutte*socio=uv1 contre le dumping*socio=ec1, et le mécanisme*socio=et de règlement des différends*socio=uv2 de l'OMC*socio=ac, Le nombre*socio=rien de domaines*socio=rien dans lesquels le système*socio=rien commercial*socio=ec1 multilatéral traite de questions*socio=rien en rapport*socio=rien avec la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 a augmenté avec l'aboutissement*socio=rien du Cycle*socio=te d'Uruguay*socio=ac et les travaux*socio=rien menés ultérieurement par l'OMC*socio=ac. Pour les raisons*socio=rien indiquées au *socio=rien premier paragraphe,*socio=nil il*socio=nil est peu*socio=nil probable*socio=uv4 *socio=nil que ce processus*socio=te se ralentisse ou s'inverse. Il ne s'agit pas de déterminer si les questions*socio=rien liées à la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 seront traitées dans le contexte de l'OMC*socio=ac mais comment elles le seront et à quel point*socio=rien le cadre*socio=rien établi à cet effet*socio=rien sera cohérent*socio=rien . Il y a aussi de plus en plus de dispositions en rapport*socio=rien avec la concurrence*socio=ec1 dans les accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 régionaux*socio=te, conclus par exemple*socio=rien en Europe*socio=ac, dans les Amériques et entre l'Australie*socio=ac et la Nouvelle-zélande*socio=ac, et dans les arrangements*socio=et de coopération*socio=uv1 portant *socio=rien spécifiquement sur le*socio=nil droit*socio=uv1 *socio=nil et la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, par exemple*socio=rien l'ensemble*socio=rien de principes*socio=ec2 et de règles*socio=et équitables*socio=uv2 convenus au niveau*socio=rien multilatéral pratiques_commerciales*socio=et restrictives*socio=uv4 de l'ONU*socio=ac, les Recommandations*socio=rien de l'OCDE*socio=ac et *socio=rien un nombre croissant d'*socio=nil accords*socio=et bilatéraux*socio=et,*socio=nil *socio=nil qui incorporent des principes*socio=ec2 de courtoisie*socio=uv1 traditionnelle*socio=rien et de courtoisie*socio=uv1 positive*socio=uv4. Ces principes*socio=ec2 prévoient que les organismes*socio=ac chargés de faire appliquer la loi*socio=et doivent tenir compte*socio=rien de l'incidence*socio=rien de leur *socio=rien action sur *socio=nil les intérêts des autres pays*socio=ac, voire engager une action*socio=rien à la demande*socio=ec1 d'un*socio=rien autre pays*socio=ac. Le caractère*socio=rien disparate de ces arrangements*socio=et de coopération*socio=uv1 est*socio=rien frappant. Il en existe au plan*socio=rien bilatéral*socio=et, régional*socio=te et multilatéral conclus dans le contexte d'arrangements*socio=et commerciaux*socio=ec1 plus larges*socio=rien ou séparément*socio=rien , ils sont d'application*socio=rien générale*socio=rien ou sectorielle*socio=rien ou encore visent des *socio=rien domaines spécifiques,*socio=nil *socio=nil et ils regroupent des pays*socio=ac très différents*socio=rien . il semble que les arrangements*socio=et les plus dynamiques*socio=uv4 soient ceux qui ont été*socio=rien conclus entre les responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 de certains pays_de_l'_ocde*socio=ac, où la coopération*socio=uv1 en matière*socio=rien de mise en oeuvre*socio=rien pour des affaires*socio=ec1 spécifiques*socio=rien a parfois contribué sensiblement au succès*socio=uv1 des enquêtes et de l'instruction*socio=rien dans le cas*socio=rien d'affaires*socio=ec1 ayant une dimension*socio=rien transfrontières. Toutefois, la plupart*socio=rien des instruments en question*socio=rien ne sont pas contraignants*socio=uv2 et/ou les engagements y sont énoncés en termes*socio=rien d'effort maximal ou, du moins, une coopération*socio=uv1 n'est*socio=rien pas exigée lorsqu'il y apparemment conflit*socio=uv1 entre des intérêts nationaux*socio=te. En outre, ils sont limités si l'on considère l'échange*socio=ec1 d'informations*socio=rien confidentielles entre les responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1. Par ailleurs*socio=rien , étant donné le nombre*socio=rien relativement faible*socio=rien de dispositions contraignantes*socio=uv2 convenues au sujet*socio=rien des normes*socio=et fondamentales*socio=uv4 et les différences*socio=uv1 importantes*socio=rien qui subsistent, la capacité*socio=uv3 des responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 de prendre en compte*socio=rien les intérêts d'autres pays*socio=ac, même s'ils le veulent, peut être*socio=rien restreinte par les critères*socio=rien fondamentaux*socio=uv4 des législations*socio=et nationales*socio=te. La coexistence de mécanismes*socio=rien essentiellement consultatifs*socio=uv2 pour tenter de prendre en considération*socio=rien les intérêts et préoccupations*socio=uv4 des partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 et de systèmes*socio=rien fondés essentiellement sur*socio=rien la primauté*socio=uv4 du droit*socio=uv1 pour l'application*socio=rien nationale*socio=te de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 donne inévitablement lieu*socio=rien à des tensions*socio=uv3. Un*socio=rien autre facteur*socio=rien limitant le rôle*socio=rien que la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 peut jouer dans la prévention ou la correction*socio=ec2 des pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac qui entravent ou faussent les échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te est*socio=rien la situation*socio=rien des petits*socio=rien pays*socio=ac, en_particulier*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac dont beaucoup n'ont pas encore de législation*socio=et ni de services*socio=ec1 compétents*socio=uv4 dans ce domaine*socio=rien . Ces pays*socio=ac sont handicapés*socio=ac lorsqu'il s'agit de *socio=rien combattre certaines pratiques*socio=et des*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil ayant une dimension*socio=rien internationale*socio=te, à la fois*socio=rien parce que les entreprises*socio=ac multinationales*socio=ec1 seront mieux armées face*socio=rien aux responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 des grandes*socio=rien économies*socio=ec1 dans lesquelles ces pratiques*socio=et en cause*socio=rien et parce qu'ils ont davantage besoin*socio=rien d'accéder à des renseignements*socio=ec2 qui se trouvent hors de leur juridiction*socio=et. Cela souligne l'importance*socio=rien de la coopération_internationale*socio=uv1 pour ces pays*socio=ac. Mais ils ne sont généralement pas parties*socio=rien aux instruments les plus dynamiques*socio=uv4 (qui de toute façon*socio=rien fonctionnent bien*socio=rien parce qu'ils reposent *socio=rien sur un climat de*socio=nil confiance*socio=uv1 *socio=nil mutuelle ils *socio=rien n'ont pas*socio=nil toujours de*socio=nil responsables*socio=ac *socio=nil de la concurrence*socio=ec1 et*socio=rien , lorsqu'*socio=rien ils *socio=rien en ont,*socio=nil *socio=nil ils manquent parfois*socio=rien de ressources*socio=ec1. Toutefois*socio=rien , il est*socio=rien encourageant de noter qu'un*socio=rien *socio=rien nombre croissant *socio=nil de ces pays*socio=ac ont établi ou mettent actuellement en oeuvre*socio=rien des régimes*socio=et de la concurrence*socio=ec1. *{p.39} En conclusion, la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien généralement l'instrument le plus approprié pour combattre*socio=rien les pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac qui restreignent ou faussent le commerce*socio=ec1 international*socio=te et, par conséquent*socio=rien , l'application*socio=rien de la législation*socio=et nationale*socio=te dans ce domaine*socio=rien aura toujours des retombées*socio=rien positives*socio=uv4 pour les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1,, néanmoins on ne peut pas supposer, pour les raisons*socio=rien exposées ci-dessus, que les régimes*socio=et nationaux*socio=te de la concurrence*socio=ec1 fonctionneront toujours d'une *socio=rien manière compatible *socio=nil avec les intérêts des partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1, nonobstant les mécanismes*socio=rien de coopération*socio=uv1 en place*socio=rien . On ne dispose pas de *socio=ec2 renseignements empiriques *socio=nil systématiques permettant de mesurer l'ampleur*socio=rien des problèmes*socio=ec2 que les lois*socio=et et *socio=rien mécanismes existants *socio=nil ne permettent pas de résoudre, mais il semble que, de l'avis*socio=rien général*socio=rien , un*socio=rien renforcement de la coopération_internationale*socio=uv1 *socio=rien est souhaitable.*socio=nil Un grand nombre d'*socio=nil idées ont*socio=nil été avancées*socio=nil sur la*socio=nil façon *socio=nil d'encourager cette coopération*socio=uv1. On n'a pas cherché ici à en évaluer le bien-fondé mais on relèvera qu'elles correspondent en gros*socio=rien à trois approches possibles*socio=rien : - D'une part*socio=rien , poursuite*socio=rien des efforts en cours*socio=rien , en s'attachant en_particulier*socio=rien à renforcer les accords*socio=et de courtoisie*socio=uv1, principalement bilatéraux*socio=et, tout en cherchant peut-être à faire converger les normes*socio=et fondamentales*socio=uv4 lorsque cela *socio=rien est possible *socio=nil et que l'incidence*socio=rien au plan*socio=rien international*socio=te *socio=rien est importante.*socio=nil *socio=nil Comme on l'a vu ci-dessus, une telle approche semble avoir ses limites mais ce serait à la communauté*socio=ac internationale*socio=te de décider si les problèmes*socio=ec2 qu'elle ne permet pas de régler sont suffisamment importants*socio=rien pour justifier *socio=rien un niveau de*socio=nil coopération*socio=uv1 *socio=nil accru. - - D'autre part*socio=rien , établissement*socio=rien d'une autorité*socio=et supranationale et élaboration de normes*socio=et internationales*socio=te détaillées qui seraient administrées par cette autorité*socio=et. Cette approche semble aller au-delà de ce que la communauté*socio=ac internationale*socio=te *socio=rien est prête *socio=nil à envisager pour le moment*socio=rien en fait*socio=rien d'action*socio=rien multilatérale*socio=et. - - Entre ces deux extrêmes*socio=rien , *socio=rien diverses suggestions *socio=nil quant à la possibilité*socio=rien de renforcer la coopération_internationale*socio=uv1, en lui donnant *socio=rien un caractère contraignant*socio=uv2,*socio=nil *socio=nil pour ce qui est*socio=rien de la mise en oeuvre*socio=rien et des normes*socio=et fondamentales*socio=uv4, sans pour autant créer une institution*socio=ac supranationale. - S'agissant de la mise en oeuvre*socio=rien , deux *socio=rien grandes catégories de*socio=nil solutions,*socio=nil *socio=nil qui pourraient s'exclure mutuellement ou se compléter, semblent se retrouver dans nombre*socio=rien de ces propositions intermédiaires: - il faudrait veiller à ce que soient disponibles*socio=rien des procédures*socio=et et voies*socio=rien de recours*socio=ec1 efficaces*socio=uv4, qui permettent de recourir aux tribunaux*socio=ac nationaux*socio=te (lesquels sont les institutions*socio=ac les plus neutres*socio=rien du point*socio=rien de vue*socio=rien de la nationalité*socio=ac) pour faire respecter la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1, prévoir un*socio=rien droit*socio=uv1 d'action*socio=rien privé*socio=et à l'intention des personnes*socio=ac étrangères*socio=ec1 affectées par des pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 et reconnaître qu'elles ont qualité*socio=rien pour agir. Il s'agit là d'une approche analogue*socio=rien à celle qui a été*socio=rien adoptée dans l'Accord*socio=et de l'OMC*socio=ac sur*socio=rien les ADPIC pour faire respecter les droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien . - - Il faudrait faire en sorte*socio=rien que les services*socio=ec1 administratifs*socio=et chargés de faire appliquer la loi*socio=et soient mieux à même de traiter les plaintes de personnes*socio=ac ou pays*socio=ac étrangers*socio=uv4, en leur donnant une plus grande*socio=rien responsabilité*socio=uv1 au plan*socio=rien international*socio=te pour ce qui est*socio=rien de la façon*socio=rien de répondre à ces plaintes et d'y donner suite*socio=rien . - Au sujet*socio=rien des normes*socio=et fondamentales*socio=uv4, nombre*socio=rien des thèses*socio=rien présentées partent de l'idée*socio=rien que les règles*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 devraient être*socio=rien axées plus exclusivement sur*socio=rien l'efficience*socio=uv3 et le bien-être, que les pays*socio=ac devraient être*socio=rien disposés à abandonner les règles*socio=et qui risquent en soi*socio=rien de favoriser l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 intérieure*socio=te au détriment*socio=uv2 de celles d'autres pays*socio=ac. Plusieurs idées*socio=rien ont aussi été*socio=rien avancées sur*socio=rien la façon*socio=rien de faire en sorte*socio=rien que les critères*socio=rien d'efficience*socio=uv3 et de *socio=rien bien être *socio=nil soient appliqués sur*socio=rien une base*socio=rien plus neutre*socio=rien du point*socio=rien de vue*socio=rien du poids*socio=rien accordé aux effets*socio=rien dans le pays*socio=ac et aux *socio=rien effets sur les*socio=nil partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1.*socio=nil Par*socio=nil exemple,*socio=nil *socio=nil l'une des *socio=rien premières choses *socio=nil à faire serait de parvenir à un*socio=rien accord*socio=uv1 en vue*socio=rien de la prohibition des ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1. Des suggestions*socio=rien ont aussi été*socio=rien faites au sujet*socio=rien d'un*socio=rien critère*socio=rien de l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1, qui revêtirait la forme*socio=rien soit d'une norme*socio=et positive*socio=uv4 soit d'une règle concernant l'annulation ou la réduction*socio=ec2 de concessions*socio=uv1 commerciales*socio=ec1. En outre, plusieurs idées*socio=rien ont été*socio=rien proposées quant à la façon*socio=rien de combiner la nécessité*socio=uv1 pour les autorités*socio=et nationales*socio=te de faire des déterminations fondées sur*socio=rien la règle de raison*socio=rien et des normes*socio=et et mécanismes*socio=rien de procédure*socio=et minimaux*socio=rien qui protégeraient les intérêts des partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. Quatre autres *socio=rien grandes questions *socio=nil sont aussi traitées: rôle*socio=rien que les principes*socio=ec2 généraux*socio=rien liés à la non-discrimination*socio=uv3 devraient jouer,, mécanisme de coopération*socio=uv1 en matière*socio=rien de procédures*socio=et, par exemple*socio=rien en ce qui concerne l'accès*socio=uv1 à l'information*socio=rien et les fusions,, applicabilité du mécanisme*socio=et de règlement des différends*socio=uv2 de l'OMC*socio=ac ou d'un*socio=rien autre mécanisme,, et façon*socio=rien de tenir compte*socio=rien de la *socio=rien situation spéciale des*socio=nil pays_en_développement*socio=ac,*socio=nil *socio=nil et notamment du fait*socio=rien que nombre*socio=rien d'entre eux n'appliquent pas encore de législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 et des spécificités de leur situation*socio=rien économique*socio=ec1. Une question-clé qui se pose à la communauté*socio=ac internationale*socio=te lorsqu'elle cherche à déterminer quel type*socio=rien et quel niveau*socio=rien de coopération_internationale*socio=uv1 dans l'application*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 sont appropriés du point*socio=rien de vue*socio=rien du commerce*socio=ec1 international*socio=te peut se résumer comme suit: les retombées*socio=rien positives*socio=uv4 des législations*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 élaborées et appliquées essentiellement à des fins*socio=rien nationales*socio=te permettront-elles de régler les problèmes*socio=ec2 découlant pour les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 des pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac qui restreignent ou faussent les échanges*socio=ec1? Si la réponse est*socio=rien que ces problèmes*socio=ec2, tels qu'ils se posent dans la pratique*socio=et, seront ainsi réglés de manière*socio=rien satisfaisante*socio=uv4, on peut en déduire qu'avec une coopération_internationale*socio=uv1 renforcée, de caractère*socio=rien essentiellement volontaire*socio=uv4, surtout dans le domaine*socio=rien de l'application*socio=rien des lois*socio=et, la communauté*socio=ac aura trouvé une parade adéquate*socio=uv2. Or*socio=rien , le *socio=rien chapitre précise *socio=nil qu'on ne peut pas supposer que les problèmes*socio=ec2 qui se posent aux partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 pourront toujours être*socio=rien résolus de cette façon*socio=rien . Cela tient à la fois*socio=rien à des questions*socio=rien de mise en oeuvre*socio=rien , liées à la marge de manoeuvre*socio=rien que les autorités*socio=et nationales*socio=te ont pour engager une action*socio=rien et dans certains cas*socio=rien arriver à une décision*socio=rien et à des questions*socio=rien en rapport*socio=rien avec les normes*socio=et fondamentales*socio=uv4 liées à l'utilisation*socio=rien de critères*socio=rien autres que l'efficience*socio=uv3 et à l'absence*socio=rien de prise*socio=rien en compte*socio=rien des *socio=rien effets sur les*socio=nil partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 au*socio=nil plan *socio=nil de l'efficience*socio=uv3 et du bien-être. Si la communauté*socio=ac internationale*socio=te estime*socio=rien que les problèmes*socio=ec2 qui subsistent sont assez importants*socio=rien dans la pratique*socio=et, elle devra se demander dans quelle mesure*socio=rien elle pourrait, pour des raisons*socio=rien d'intérêt*socio=uv1 mutuel, intensifier la coopération_internationale*socio=uv1, éventuellement en prévoyant des règles*socio=et plus contraignantes*socio=uv2 pour les cas*socio=rien où les intérêts nationaux*socio=te divergent. Il lui faudrait examiner la nature*socio=rien et la portée*socio=rien de ces règles*socio=et, par exemple*socio=rien se demander si elles devraient être*socio=rien liées au droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 en général*socio=rien ou viser des secteurs*socio=rien ou *socio=rien domaines particuliers *socio=nil dans lesquels des problèmes*socio=ec2 se posent. L'objet*socio=rien du *socio=rien présent chapitre n'*socio=nil est *socio=nil pas de répondre à ces questions*socio=rien , ce qui exigerait des travaux*socio=rien complémentaires de nature*socio=rien empirique*socio=ec2 et analytique*socio=rien , mais de les énoncer d'une manière*socio=rien qui aiderait la communauté*socio=ac internationale*socio=te à les examiner et à y répondre. *{p.40} I. Introduction*socio=rien . La question*socio=rien des *socio=rien effets négatifs *socio=nil que les pratiques_commerciales*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 peuvent avoir sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 international*socio=te est*socio=rien à l'étude*socio=ec2 depuis de nombreuses*socio=rien décennies*socio=te. De fait*socio=rien , on avait initialement prévu, après*socio=rien la dernière*socio=rien guerre*socio=et mondiale*socio=te, que les règles*socio=et sur*socio=rien les *socio=et mesures gouvernementales *socio=nil seraient accompagnées, dans la Charte*socio=et de la Havane instituant une organisation_internationale*socio=ac du commerce*socio=ec1, de règles*socio=et internationales*socio=te pour le contrôle*socio=uv3 des pratiques_commerciales*socio=et restrictives*socio=uv4. Ces *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil question est à*socio=nil nouveau au*socio=nil premier rang des*socio=nil priorités*socio=uv4 du*socio=nil programme*socio=et *socio=nil de travail sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 international*socio=te, comme en témoigne*socio=rien la *socio=rien décision prise *socio=nil par les Ministres*socio=ac de l'OMC*socio=ac à Singapour*socio=ac en décembre*socio=rien 1996 d'établir *socio=rien un groupe *socio=nil de travail de l'interaction du commerce*socio=ec1 et de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Le rapport*socio=rien entre le commerce*socio=ec1 et la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 fait*socio=rien aussi l'objet*socio=rien et d'une *socio=rien attention croissante au*socio=nil plan bilatéral*socio=et et*socio=nil régional*socio=te.*socio=nil L'*socio=nil intérêt *socio=nil de plus en plus grand*socio=rien que suscite cette question*socio=rien peut s'expliquer par de *socio=rien nombreux facteurs,*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil quatre, en_particulier*socio=rien , sont décrits ici. Le *socio=rien premier est le*socio=nil sentiment *socio=nil que par suite*socio=rien de l'abaissement*socio=rien des obstacles*socio=rien gouvernementaux*socio=ac au cours*socio=rien des séries de négociations*socio=et commerciales*socio=ec1 successives*socio=rien , les restrictions*socio=et et distorsions*socio=ec2 commerciales*socio=ec1 qui résultent des pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac ont peut-être relativement plus d'importance*socio=rien qu'auparavant. À cela il faut ajouter l'intégration*socio=ec2 croissante*socio=rien de l'économie*socio=ec1 mondiale*socio=te, sous l'impulsion non seulement de la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 mais aussi de la vaste*socio=rien expansion*socio=ec2 de l'investissement_étranger_direct*socio=ec1. Ainsi, les pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 des entreprises*socio=ac prennent de plus en plus une dimension*socio=rien transfrontières et leurs effets*socio=rien se font sentir dans plusieurs pays*socio=ac et parfois dans le monde*socio=te entier*socio=rien . Un*socio=rien autre *socio=rien facteur est le*socio=nil développement*socio=uv3 des*socio=nil règles*socio=et internationales*socio=te,*socio=nil aux*socio=nil plans bilatéral*socio=et,*socio=nil régional*socio=te et*socio=nil multilatéral *socio=nil , qui protègent les intérêts des sociétés*socio=ac étrangères*socio=ec1 opérant sur*socio=rien le territoire*socio=te d'un*socio=rien pays*socio=ac donné. Par exemple*socio=rien , à l'OMC*socio=ac, à la suite*socio=rien du Cycle*socio=te d'Uruguay*socio=ac, des règles*socio=et commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te de ce genre*socio=rien ont été*socio=rien mises en place*socio=rien dans le domaine*socio=rien des services*socio=ec1 et de la propriété*socio=ec1 intellectuelle*socio=rien , et *socio=rien un groupe *socio=nil de travail étudie le rapport*socio=rien entre le commerce*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1. Des pays*socio=ac estiment que ces règles*socio=et internationales*socio=te devraient être*socio=rien accompagnées d'un*socio=rien renforcement de la coopération_internationale*socio=uv1 visant à contrôler les pratiques_commerciales*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 des sociétés*socio=ac en question*socio=rien . Enfin, *socio=rien fait nouveau important,*socio=nil *socio=nil on s'accorde de plus en plus à penser, dépassant les clivages Nord-sud et Est-ouest, que le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien souvent le *socio=rien seul moyen juridique*socio=et *socio=nil de faire face*socio=rien aux pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 des entreprises*socio=ac, même s'il y a encore considérablement*socio=rien à faire avant de se mettre d'accord*socio=uv1 sur*socio=rien le détail*socio=rien . Le *socio=rien présent chapitre *socio=nil traite principalement des pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac, publiques*socio=et ou privées*socio=et, qui risquent de fausser ou d'entraver le commerce*socio=ec1 international*socio=te. On reconnaît *socio=rien bien sûr *socio=nil que le commerce*socio=ec1 d'État*socio=ac, entre autres mesures*socio=et, contribue largement à limiter*socio=rien ou à fausser la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'importation*socio=ec1 et d'exportation*socio=ec1. Toutefois, il y a près de 50 ans*socio=rien que le GATT*socio=et d'abord*socio=rien , puis l'OMC*socio=ac cherchent, avec un*socio=rien succès*socio=uv1 mitigé, à limiter*socio=rien les *socio=rien effets négatifs des*socio=nil *socio=et mesures gouvernementales sur*socio=rien le*socio=nil commerce*socio=ec1 *socio=nil et à assujettir celles-ci à une discipline*socio=uv1 internationale*socio=te. L'objet*socio=rien du *socio=rien présent chapitre n'*socio=nil est *socio=nil pas d'étudier l'éventail*socio=rien des questions*socio=rien que ces travaux*socio=rien ont soulevées mais, en proposant des éléments*socio=rien complémentaires, d'examiner les pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac qui restreignent et faussent les échanges*socio=ec1, les moyens*socio=ec1 juridiques*socio=et utilisés par les gouvernements*socio=ac pour prévenir un*socio=rien tel comportement*socio=rien ou y remédier, les *socio=rien formes existantes de*socio=nil coopération_internationale*socio=uv1 *socio=nil et les domaines*socio=rien dans lesquels on pourrait envisager un*socio=rien renforcement de cette coopération*socio=uv1. Cela signifie aussi que le chapitre*socio=rien ne traite pas des arrangements*socio=et intergouvernementaux qui risqueraient d'avoir des conséquences*socio=rien pour la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te, par exemple*socio=rien ceux qui concernent le pétrole*socio=ec1 ou d'autres produits*socio=rien de base*socio=rien . L'expression*socio=rien "politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1" est*socio=rien interprétée de *socio=rien manière différente suivant le*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil et le contexte. Au *socio=rien sens large,*socio=nil *socio=nil elle pourrait inclure toutes les politiques*socio=et touchant à la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1, y compris la politique_commerciale*socio=ec1 et la politique*socio=et de réglementation*socio=et, ainsi que la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 ou la législation*socio=et antitrust. Étant donné que le *socio=rien présent chapitre est axé*socio=nil sur le*socio=nil comportement des*socio=nil entreprises*socio=ac,*socio=nil *socio=nil comme on l'a vu au paragraphe*socio=rien qui précède, il met surtout l'accent*socio=rien sur*socio=rien la législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 (législation*socio=et antitrust) quoiqu'il examine à l'occasion*socio=rien d'autres activités*socio=rien et instruments gouvernementaux*socio=ac visant à promouvoir la concurrence*socio=ec1 et à réglementer le comportement*socio=rien des entreprises*socio=ac. Par exemple*socio=rien , une *socio=rien activité importante,*socio=nil *socio=nil qui complète dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac les mesures*socio=et destinées*socio=rien à faire respecter le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1, est*socio=rien la promotion*socio=uv3 de la concurrence*socio=ec1 (c'est-à-dire les travaux*socio=rien de recherche*socio=ec2 et de promotion*socio=uv3 visant à éliminer les obstacles*socio=rien à la concurrence*socio=ec1 imposés par l'État*socio=ac). Le chapitre*socio=rien comporte *socio=rien cinq grandes sections.*socio=nil La*socio=nil section Il*socio=nil est *socio=nil consacrée à l'économie*socio=ec1 de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 et aux principaux*socio=rien instruments juridiques*socio=et utilisés dans ce domaine*socio=rien par les autorités*socio=et nationales*socio=te. La section*socio=rien III traite de certains aspects*socio=rien de l'économie*socio=ec1 de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 dans un*socio=rien contexte international*socio=te, et insiste sur*socio=rien les conséquences*socio=rien des politiques*socio=et nationales*socio=te pour les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. La section*socio=rien IV *socio=rien porte sur un certain nombre de*socio=nil domaines *socio=nil dans lesquels on a constaté que le comportement*socio=rien des entreprises*socio=ac posait des problèmes*socio=ec2 dans les relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te. Des questions*socio=rien liées à l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 pour les importations*socio=ec1, à l'exercice*socio=rien de la puissance*socio=uv1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, à l'investissement*socio=ec1 étranger*socio=te et aux droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien y sont examinées. Cette section*socio=rien recense les questions*socio=rien qui se posent et décrit le rôle*socio=rien que le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 et le droit*socio=uv1 commercial*socio=ec1 peuvent jouer et jouent effectivement face*socio=rien à ces pratiques*socio=et ainsi que les facteurs*socio=rien qui peuvent limiter*socio=rien leur efficacité*socio=uv3. La section*socio=rien V examine les divers arrangements*socio=et en matière*socio=rien de coopération_internationale*socio=uv1 mis en place*socio=rien dans le cadre*socio=rien de l'OMC*socio=ac, dans des accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 bilatéraux*socio=et ou régionaux*socio=te ou dans des *socio=et accords bilatéraux *socio=nil consacrés aux questions*socio=rien se rapportant au droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 en vue*socio=rien de surmonter les difficultés*socio=ec2 qui se posent aux régimes*socio=et nationaux*socio=te de la concurrence*socio=ec1 lorsqu'il s'agit de traiter les problèmes*socio=ec2 de concurrence*socio=ec1 ayant une dimension*socio=rien commerciale*socio=ec1 internationale*socio=te. *{p.41} Il. Politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1: *socio=rien considérations générales.*socio=nil *socio=nil II.1 L'économie*socio=ec1 de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Aux fins*socio=rien de l'analyse*socio=rien économique*socio=ec1, la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien généralement évaluée en termes*socio=rien "d'efficience*socio=uv3 économique*socio=ec1" ou "d'efficience*socio=uv3 paretienne". La répartition*socio=uv3 des ressources*socio=ec1 est*socio=rien efficiente*socio=uv4 lorsqu'il n'existe, pour organiser la production*socio=ec1 et la distribution des marchandises*socio=ec1, aucune autre solution*socio=rien qui améliore la situation*socio=rien de certains consommateurs*socio=ac sans nuire à celle des autres. Une proposition fondamentale*socio=uv4 découle de la recherche de l'efficience*socio=uv3 économique*socio=ec1, à savoir*socio=rien que toute intervention gouvernementale*socio=ac devrait être*socio=rien aussi ciblée que *socio=rien possible sur son*socio=nil objectif*socio=uv4,*socio=nil de*socio=nil manière *socio=nil à réduire au minimum*socio=rien les *socio=rien effets secondaires indésirables*socio=uv4 ou*socio=nil distorsions*socio=ec2 *socio=nil auxquels ces interventions sont parfois associées*socio=rien . Si l'efficience*socio=uv3 est*socio=rien le critère*socio=rien fondamental appliqué dans l'analyse*socio=rien économique*socio=ec1, l'efficience*socio=uv3 économique*socio=ec1 ne peut pas être*socio=rien considérée comme le seul*socio=rien objectif*socio=uv4 de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 - d'autres facteurs*socio=rien peuvent influer sur*socio=rien les décisions*socio=rien des responsables*socio=ac de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Mettant en pratique*socio=rien la notion*socio=rien d'efficience*socio=uv3 économique*socio=ec1, la plupart*socio=rien des analyses*socio=rien économiques*socio=ec1 considèrent que l'objet*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien de maximiser le "bien-être", défini*socio=rien comme la somme*socio=rien du surplus*socio=ec1 des consommateurs*socio=ac et du surplus*socio=ec1 des producteurs*socio=ac dans le secteur*socio=rien considéré. Le surplus*socio=ec1 des consommateurs*socio=ac est*socio=rien une mesure*socio=rien monétaire*socio=ec1 de l'avantage net*socio=rien dont bénéficient les consommateurs*socio=ac. Plus précisément, c'est*socio=rien la différence*socio=rien globale entre ce que les consommateurs*socio=ac d'un*socio=rien produit*socio=ec1 ou d'un*socio=rien service seraient disposés à payer*socio=rien et ce qu'ils payent effectivement. Le surplus*socio=ec1 des producteurs*socio=ac correspond à la différence*socio=rien entre les recettes*socio=ec1 dégagées par les producteurs*socio=ac et les *socio=ec1 coûts de_production.*socio=nil il*socio=nil est*socio=rien *socio=nil à noter que, dans ce cadre*socio=rien théorique, les intérêts des consommateurs*socio=ac et les intérêts des producteurs*socio=ac ont *socio=rien un poids *socio=nil égal. Il en résulte une *socio=rien conséquence importante,*socio=nil à*socio=nil savoir *socio=nil que la répartition*socio=uv3 du surplus*socio=ec1 entre les consommateurs*socio=ac et les producteurs*socio=ac n'est*socio=rien pas prise*socio=rien en compte*socio=rien perse. Cela ne veut pas dire que les économistes*socio=ac en général*socio=rien ne s'occupent pas des questions*socio=rien de répartition*socio=uv3. En fait*socio=rien , deux raisons*socio=rien expliquent cette façon*socio=rien de voir les choses*socio=rien . La *socio=rien première raison,*socio=nil *socio=nil et la raison*socio=rien fondamentale*socio=uv4, pour laquelle les économistes*socio=ac préfèrent ne pas tenir compte*socio=rien des questions*socio=rien de répartition*socio=uv3 dans leurs analyses*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien qu'il *socio=rien est difficile *socio=nil de déterminer d'un*socio=rien point*socio=rien de vue*socio=rien économique*socio=ec1 ce que le résultat*socio=rien au plan*socio=rien de la distribution devrait être*socio=rien . La *socio=rien deuxième raison est *socio=nil que la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien , pour les gouvernements*socio=ac, *socio=rien un moyen très*socio=nil indirect *socio=nil et très coûteux*socio=ec2 d'arriver à une répartition*socio=uv3 souhaitable*socio=rien des revenus*socio=ec1. On peut présumer que l'intérêt*socio=rien pour les consommateurs*socio=ac découle d'un*socio=rien intérêt*socio=rien plus fondamental pour les individus*socio=ac ayant de *socio=rien bas niveaux de*socio=nil revenu*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil consommateurs*socio=ac *socio=nil constituent toutefois *socio=rien un groupe *socio=nil hétérogène comprenant des individus*socio=ac aux niveaux*socio=rien de revenu*socio=ec1 différents*socio=rien . Aussi une politique*socio=et qui redistribue l'excédent*socio=ec1 des producteurs*socio=ac aux consommateurs*socio=ac risque*socio=uv4 d'être*socio=rien inefficace*socio=uv4 si l'on veut venir , *socio=rien dans les pays_industrialisés*socio=ac,*socio=nil de*socio=nil nombreux consommateurs*socio=ac sont aussi propriétaires*socio=ac des entreprises*socio=ac,*socio=nil notamment *socio=nil par l'intermédiaire*socio=rien des*socio=rien caisses*socio=ec1 de pensions*socio=et et*socio=rien par *socio=rien des prises de*socio=nil participation*socio=uv3.*socio=nil Aussi,*socio=nil une partie du*socio=nil surplus*socio=ec1 *socio=nil qu'une entreprise*socio=ac pratiquant des prix*socio=ec1 de monopole*socio=ec1 a pris aux consommateurs*socio=ac sera au bout*socio=rien du compte*socio=rien redistribuée aux consommateurs*socio=ac. Intuitivement, on peut considérer que l'objectif*socio=uv4 de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien de maximiser la taille du Il gâteau*socio=rien ". La façon*socio=rien dont ce *socio=rien gâteau est *socio=nil réparti entre les *socio=rien différents groupes au*socio=nil sein *socio=nil de la société*socio=ac est*socio=rien toutefois une *socio=rien question différente,*socio=nil *socio=nil que d'autres mesures*socio=et - par exemple*socio=rien impôts*socio=et et programmes*socio=et de dépenses*socio=ec1 appliqués à des fins*socio=rien de redistribution*socio=et - permettent de mieux traiter. Sous cet angle*socio=rien , un*socio=rien prix*socio=ec1 de monopole*socio=ec1 n'est*socio=rien pas indésirable*socio=uv4 parce qu'il implique un*socio=rien transfert du surplus*socio=ec1 des consommateurs*socio=ac aux producteurs*socio=ac c'est-à-dire un*socio=rien transfert qui n'a pas d'incidence*socio=rien sur*socio=rien la taille du Il gâteau*socio=rien ". En revanche, le prix*socio=ec1 de monopole*socio=ec1 serait considéré comme indésirable*socio=uv4 dans la mesure*socio=rien où il évince des consommateurs*socio=ac qui seraient disposés à payer*socio=rien suffisamment pour couvrir les *socio=ec1 coûts de_production supplémentaires*socio=rien *socio=nil que leur consommation*socio=ec1 entraînerait, mais pas le prix*socio=ec1 de monopole*socio=ec1,- on appelle ce type*socio=rien d'inefficience la perte*socio=ec2 sèche découlant pour l'économie*socio=ec1 du système*socio=rien monopolistique*socio=ec2 de fixation des prix*socio=ec1. En outre, les prix*socio=ec1 de monopole*socio=ec1 peuvent être*socio=rien considérés comme indésirables*socio=uv4 en raison*socio=rien des autres coûts*socio=ec1 qui sont associés à la concurrence*socio=ec1 imparfaite*socio=rien (voir ci-après). II.1.a Structures*socio=ec1 de marché*socio=ec1. Pour définir*socio=rien la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, il faut avoir une *socio=rien certaine idée *socio=nil de la façon*socio=rien dont le marché*socio=ec1 considéré fonctionne dans la pratique*socio=et. La *socio=rien présente partie *socio=nil décrit les modèles*socio=rien utilisés dans les analyses*socio=rien économiques*socio=ec1 des marchés*socio=ec1. Concurrence*socio=ec1 parfaite*socio=rien . Il y a concurrence*socio=ec1 parfaite*socio=rien dans *socio=rien un secteur *socio=nil lorsque, entre autres choses*socio=rien , les entreprises*socio=ac estiment qu'individuellement elles n'exercent pas d'influence *socio=rien sensible sur les*socio=nil prix*socio=ec1 du*socio=nil marché*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Tel sera très probablement le cas*socio=rien lorsque le secteur*socio=rien comprend *socio=rien un grand nombre de*socio=nil petites entreprises*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Dans ce contexte, les entreprises*socio=ac produiront toujours une *socio=rien unité supplémentaire *socio=nil à la *socio=rien seule condition *socio=nil que le prix*socio=ec1 qu'elles peuvent obtenir*socio=rien couvre le coût*socio=ec1 de la production*socio=ec1 de cette unité*socio=rien , sans faire intervenir des considérations*socio=rien plus stratégiques*socio=uv4 (sur*socio=rien la façon*socio=rien dont une restriction*socio=et de la production*socio=ec1 pourrait faire monter les prix*socio=ec1 d'une *socio=rien manière générale)*socio=nil .*socio=nil Le*socio=nil fonctionnement du*socio=nil marché*socio=ec1 *socio=nil dans le *socio=rien secteur est efficient*socio=uv4 *socio=nil en ce sens*socio=rien que le coût*socio=ec1 de la *socio=rien dernière unité produite*socio=nil est *socio=nil exactement égal à ce que les consommateurs*socio=ac sont disposés à payer*socio=rien pour cette unité*socio=rien . Les mécanismes*socio=rien du marché*socio=ec1 maximisent automatiquement le surplus*socio=ec1 social*socio=et (la somme*socio=rien des surplus*socio=ec1 des consommateurs*socio=ac et des producteurs*socio=ac) et il n'y a aucune raison*socio=rien que la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 intervienne. *{p.42} L'intérêt*socio=rien de cette structure*socio=ec1 du marché*socio=ec1 peut *socio=rien bien sûr être *socio=nil contesté et, de fait*socio=rien , on peut considérer qu'il y a très peu de marchés*socio=ec1 parfaitement concurrentiels*socio=ec2 au *socio=rien sens strict.*socio=nil *socio=nil Certains semblent toutefois se rapprocher de cette structure*socio=ec1,, c'est*socio=rien le cas*socio=rien par exemple*socio=rien de certains *socio=ec1 marchés agricoles,*socio=nil *socio=nil où les producteurs*socio=ac individuels*socio=uv2 (agriculteurs*socio=ac) produisent trop peu pour avoir une *socio=rien incidence sensible sur les*socio=nil prix*socio=ec1 du*socio=nil marché*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Mais, même sur*socio=rien les *socio=ec1 marchés agricoles,*socio=nil *socio=nil il y a souvent des agents*socio=ac, y compris des intermédiaires privés*socio=et et des offices*socio=rien de commercialisation*socio=ec1 publics*socio=et, qui ont des activités*socio=rien suffisamment étendues pour exercer individuellement une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1. Le concept*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 *socio=rien parfaite est donc*socio=nil utile*socio=uv4 *socio=nil non parce qu'il correspond à une situation*socio=rien proche de la réalité*socio=ec2, mais parce qu'il constitue *socio=rien un critère grâce *socio=nil auquel on peut évaluer, dans quelle mesure*socio=rien les autres structures*socio=ec1 du marché*socio=ec1 s'écartent de l'efficience*socio=uv3 parfaite*socio=rien . Monopole*socio=ec1. L'extrême opposé de la concurrence*socio=ec1 *socio=rien parfaite est le*socio=nil monopole*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans ce cas*socio=rien , l'inefficience n'est*socio=rien pas due, comme ci-dessus, à un*socio=rien transfert du surplus*socio=ec1 au détriment*socio=uv2 des consommateurs*socio=ac. Le problème*socio=uv4 tient plutôt à ce que le producteur*socio=ac restreint la production*socio=ec1 de manière*socio=rien à faire monter le prix*socio=ec1 au-dessus du niveau*socio=rien qu'il aurait en situation*socio=rien de concurrence*socio=ec1 parfaite*socio=rien ou d'efficience*socio=uv3, pour qu'il ait *socio=rien un niveau plus*socio=nil profitable*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Ici, les consommateurs*socio=ac sont disposés à payer*socio=rien plus pour une consommation*socio=ec1 additionnelle*socio=rien que ce que coûterait la production*socio=ec1 correspondante*socio=rien . En raison*socio=rien de cette "perte*socio=ec2 sèche" ou inefficience du monopole*socio=ec1, une intervention est*socio=rien indiquée (du moins en_principe*socio=ec2). On peut noter que cette inefficience résulte de l'incapacité*socio=rien de )'entreprise*socio=ac de faire payer*socio=rien des prix*socio=ec1 distincts*socio=rien aux consommateurs*socio=ac qui évaluent différemment son produit*socio=ec1. Si l'entreprise*socio=ac est*socio=rien obligée de fixer *socio=rien un seul prix*socio=ec1 *socio=nil qui s'applique à tous les consommateurs*socio=ac, elle l'établira à *socio=rien un niveau supérieur *socio=nil à celui auquel certains consommateurs*socio=ac achèteront, profitant de ce que d'autres sont disposés à payer*socio=rien plus. Certains consommateurs*socio=ac sont donc évincés. Mais si l'entreprise*socio=ac pouvait pratiquer une discrimination*socio=uv1 parfaite*socio=rien par les prix*socio=ec1, c'est-à-dire faire *socio=rien payer un prix*socio=ec1 *socio=nil à chaque consommateur*socio=ac, elle pourrait fixer le prix*socio=ec1 pour chaque consommateur*socio=ac au niveau*socio=rien correspondant à la valeur*socio=ec1 de la consommation*socio=ec1 pour ce consommateur*socio=ac. *socio=rien Bien sûr,*socio=nil une*socio=nil discrimination*socio=uv1 parfaite *socio=nil par les prix*socio=ec1 est*socio=rien très difficile*socio=rien dans la pratique*socio=et. Mais ce raisonnement*socio=rien indique pourquoi l'hostilité à l'égard*socio=rien de la discrimination*socio=uv1 par les prix*socio=ec1 dont témoignent*socio=rien quelques législations*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 et, dans le contexte commercial*socio=ec1, les procédures*socio=et antidumping, ne trouve guère d'écho*socio=rien dans l'analyse*socio=rien économique*socio=ec1. Structures*socio=ec1 de marché*socio=ec1 avec degrés*socio=rien de concurrence*socio=ec1 intermédiaires: oligopole*socio=ec1 et concurrence*socio=ec1 monopolistique*socio=ec2. La plupart*socio=rien des secteurs*socio=rien ne sont ni en situation*socio=rien de concurrence*socio=ec1 parfaite*socio=rien ni en situation*socio=rien de monopole*socio=ec1 mais quelque part*socio=rien entre ces deux extrêmes*socio=rien . Étant donné que la *socio=rien situation sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 est *socio=nil très complexe et très variable, on ne peut pas donner une *socio=rien description unique *socio=nil globale du fonctionnement*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 imparfaite*socio=rien . Le terme*socio=rien oligopole*socio=ec1 *socio=rien est un terme général *socio=nil désignant les structures*socio=ec1 de marché*socio=ec1 qui comptent *socio=rien un nombre *socio=nil limité d'entreprises*socio=ac, suffisamment limité en fait*socio=rien pour que chacune tienne compte*socio=rien de son influence sur*socio=rien le prix*socio=ec1 du marché*socio=ec1. S'il est*socio=rien relativement simple*socio=rien d'analyser les situations*socio=rien de concurrence*socio=ec1 parfaite*socio=rien et les monopoles*socio=ec1 et de faire des recommandations*socio=rien à leur sujet*socio=rien , ces formes*socio=rien de concurrence*socio=ec1 intermédiaire sont beaucoup plus complexes, en raison*socio=rien du *socio=rien grand nombre *socio=nil d'interactions possibles*socio=rien entre les entreprises*socio=ac regroupées dans ces structures*socio=ec1. Encadré IV. 1: Absence*socio=rien de *socio=rien relation simple *socio=nil entre la concentration*socio=ec2 du marché*socio=ec1 et le, bien-être. On prétend souvent que les marchés*socio=ec1 qui comptent *socio=rien un petit nombre de*socio=nil producteurs*socio=ac et*socio=nil un secteur *socio=nil de la distribution de taille inégale*socio=uv2 tendent à être*socio=rien moins concurrentiels*socio=ec2. C'est*socio=rien pourquoi on a recours*socio=ec1 aux indices de la concentration*socio=ec2, mesures*socio=et qui trouvent de *socio=rien nombreuses applications *socio=nil dans la mise en oeuvre*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. L'une des plus *socio=rien simples est *socio=nil l'indice de concentration*socio=ec2 pour les quatre premières*socio=rien entreprises*socio=ac, qui mesure*socio=rien la part*socio=rien combinée du marché*socio=ec1 détenue*socio=rien par les quatre plus grandes*socio=rien entreprises*socio=ac. Un*socio=rien indice plus élaboré est*socio=rien l'indice de Herfindahl-hirschman qui donne proportionnellement *socio=rien un poids plus*socio=nil grand aux*socio=nil grandes entreprises*socio=ac *socio=nil dans le calcul*socio=rien de la concentration*socio=ec2 du marché*socio=ec1, Malheureusement, l'interprétation*socio=ec2 ces indices n'est*socio=rien pas précise*socio=rien . Si l'on est*socio=rien en présence*socio=rien de grandes*socio=rien entreprises*socio=ac, c'est*socio=rien peut-être en raison*socio=rien de leur comportement*socio=rien anticoncurrentiel à l'égard*socio=rien des concurrents*socio=ac, ou de difficultés*socio=ec2 d'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1. Ou encore, c'est*socio=rien peut-être simplement que les grandes*socio=rien entreprises*socio=ac sont des producteurs*socio=ac plus efficients*socio=uv4. Ces divers facteurs*socio=rien qui, expliquent pourquoi il peut y avoir dans *socio=rien un secteur *socio=nil une distribution asymétrique des tailles des entreprises*socio=ac ou pourquoi *socio=rien un secteur *socio=nil comprend une ou quelques entreprises*socio=ac dominantes*socio=uv2 peuvent avoir des conséquences*socio=rien très différentes*socio=rien au plan*socio=rien de la politique*socio=et. Mais, les indices de concentration*socio=ec2 ne permettent pas d'établir une distinction*socio=rien entre ces situations*socio=rien . Cela montre qu'il n'y a pas de *socio=rien relation claire *socio=nil entre là concentration*socio=ec2 dans *socio=rien un secteur *socio=nil et le bien-être. Étant donné les limites reconnues des indices de concentration*socio=ec2 lorsqu'ils analysent des affaires*socio=ec1 au titre*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1, les *socio=ac organismes responsables *socio=nil recherchent généralement des renseignements*socio=ec2 sur*socio=rien les conditions*socio=ec1 d'entrée*socio=rien , les économies*socio=ec1 d'échelle*socio=rien , la nature*socio=rien et l'ampleur*socio=rien du changement*socio=uv3 et de l'innovation*socio=uv3, les impressions des clients*socio=ac quant aux performances*socio=uv3 et le degré*socio=rien de rivalité entre les entreprises*socio=ac, entre autres variables, en plus des données sur*socio=rien le degré*socio=rien de concentration*socio=ec2 du marché*socio=ec1 à l'examen*socio=ec2. t {fin*socio=rien de l'encadré IV,1} *{p.43} Le choix*socio=uv1 de politique*socio=et dépend dans une très *socio=rien large mesure du*socio=nil détail *socio=nil de la structure*socio=ec1 du marché*socio=ec1 et des décisions*socio=rien stratégiques*socio=uv4" prises*socio=rien par les entreprises*socio=ac au sujet*socio=rien de variables comme les prix*socio=ec1, les quantités, la conception*socio=ec2 des produits*socio=rien et les dépenses*socio=ec1 de commercialisation*socio=ec1. La plupart*socio=rien des modèles*socio=rien d'oligopole*socio=ec1 et de concurrence*socio=ec1 monopolistique*socio=ec2 prévoient que les entreprises*socio=ac appliqueront des prix*socio=ec1 se situant au-dessus des coûts*socio=ec1 marginaux*socio=rien . Toutefois, étant donné que ces modèles*socio=rien décrivent des situations*socio=rien dans lesquelles il ne peut pas y avoir collusion des entreprises*socio=ac, celles-ci ne peuvent pas appliquer des prix*socio=ec1 de monopole*socio=ec1. Si toutes les entreprises*socio=ac pratiquaient un*socio=rien prix*socio=ec1 fixé par un*socio=rien monopoleur*socio=ec2, chacune aurait alors intérêt*socio=rien à abaisser son prix*socio=ec1 et ainsi à accroître ses ventes*socio=ec1. Par conséquent*socio=rien , les entreprises*socio=ac peuvent trouver qu'il *socio=rien est difficile *socio=nil de pratiquer durablement un*socio=rien prix*socio=ec1 de monopole*socio=ec1, en l'absence*socio=rien de mécanismes*socio=rien facilitant la collusion. Collusion tacite. La discussion*socio=rien qui précède ne tient pas compte*socio=rien de la possibilité*socio=rien qu'ont les entreprises*socio=ac *socio=rien sur un marché*socio=ec1 *socio=nil oligopolistique de faire monter les prix*socio=ec1 par des accords*socio=et collusoires, y compris des arrangements*socio=et implicites reposant sur*socio=rien des stratégies*socio=et commerciales*socio=ec1 évoluées. Si les ententes*socio=et formelles*socio=rien sont souvent interdites en soi*socio=rien par les législations*socio=et nationales*socio=te sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 (à une *socio=rien importante exception *socio=nil près, celle des ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1), les arrangements*socio=et tacitement collusoires sont de par leur nature*socio=rien plus difficiles*socio=rien à déceler et se multiplient car il n'est*socio=rien pas possible*socio=rien d'identifier des accords*socio=et formels*socio=rien . Pour comprendre la nature*socio=rien du comportement*socio=rien collusoire, on examinera brièvement certaines*socio=rien des stratégies*socio=et utilisées pour promouvoir la collusion implicite et les difficultés*socio=ec2 qui peuvent se poser à cet égard*socio=rien . Le problème*socio=uv4 fondamental dans le cas*socio=rien des oligopoles*socio=ec1 est*socio=rien que chaque entreprise*socio=ac a intérêt*socio=rien à produire davantage, d'où *socio=rien un niveau de_production*socio=ec1 supérieur *socio=nil à celui qui maximiserait les profits*socio=ec1 dans le secteur*socio=rien tout entier*socio=rien . Étant donné qu'il n'est*socio=rien pas possible*socio=rien de passer des contrats*socio=ec1 ayant force*socio=uv1 exécutoire*socio=rien qui restreignent la production*socio=ec1 des entreprises*socio=ac, tout accord*socio=et entre entreprises*socio=ac visant à freiner la production*socio=ec1 est*socio=rien menacé par la tentation*socio=rien de tricherie*socio=ec1. Si, certaines*socio=rien entreprises*socio=ac freinent leur production*socio=ec1 en vue*socio=rien de faire monter les prix*socio=ec1, d'autres sont encouragées à l'accroître afin de profiter des prix*socio=ec1 plus élevés*socio=uv4. Les efforts unilatéraux visant à accroître les profits*socio=ec1 sont alors voués à l'échec*socio=uv1. Comme de nombreux*socio=rien autres types de coopération*socio=uv1 volontaire*socio=uv4, la collusion tacite repose sur*socio=rien des échanges*socio=ec1 répétés. Lorsqu'elles se rencontrent fréquemment, les entreprises*socio=ac ont la possibilité*socio=rien de punir" les violations des accords*socio=et tacites. Tel n'est*socio=rien pas le cas*socio=rien lorsque les entreprises*socio=ac ne se rencontrent que sporadiquement (comme on le suppose généralement dans les modèles*socio=rien d'oligopoles*socio=ec1 les plus simples*socio=rien ). Les ententes*socio=et sur*socio=rien les prix*socio=ec1 peuvent avoir pour origine*socio=rien la menace*socio=ec2 de prix*socio=ec1 plus compétitifs*socio=uv4 (voire ci une guerre*socio=et des prix*socio=ec1), en réponse à une tricherie*socio=ec1 de certaines*socio=rien entreprises*socio=ac qui ne respectent pas l'accord*socio=et implicite voulant qu'elles freinent leur production*socio=ec1 pour soutenir le prix*socio=ec1 découlant de la collusion, Si la tentation*socio=rien de tricherie*socio=ec1 (à savoir*socio=rien le gain*socio=ec1 à court_terme*socio=te sous la forme*socio=rien d'une augmentation résultant*socio=rien de l'exploitation*socio=ec1 du prix*socio=ec1 fixé dans le cadre*socio=rien de la collusion) est*socio=rien plus faible*socio=rien que la punition correspondant à la tricherie*socio=ec1 (perte*socio=ec2 de profits*socio=ec1 due à une guerre*socio=et des prix*socio=ec1, par exemple*socio=rien ), l'arrangement*socio=et collusoire implicite peut s'auto-alimenter et ne pas requérir de contrats*socio=ec1 explicites*socio=rien . Dans ce cas*socio=rien , les pertes*socio=ec2 *socio=rien futures associées *socio=nil à une décomposition du cartel*socio=ac sont supérieures*socio=rien aux gains*socio=ec1 découlant au départ*socio=rien de la tricherie*socio=ec1. Le raisonnement*socio=rien qui précède donne aussi à penser qu'il existe des situations*socio=rien dans lesquelles une collusion tacite peut poser des difficultés*socio=ec2. Par exemple*socio=rien , plus les autres parties*socio=rien à l'accord*socio=et tacite mettent du temps*socio=rien à déceler la tricherie*socio=ec1, ou plus il *socio=rien est difficile *socio=nil d'associer une baisse*socio=ec2 constatée des prix*socio=ec1 à la tricherie*socio=ec1 plutôt qu'à des facteurs*socio=rien extérieurs*socio=te défavorables*socio=uv4, plus il est*socio=rien tentant de tricher et plus il *socio=rien est difficile *socio=nil de conserver l'arrangement*socio=et intact. En général*socio=rien , plus le nombre*socio=rien d'entreprises*socio=ac participant aux arrangements*socio=et est*socio=rien élevé*socio=uv4 plus ces problèmes*socio=ec2 sont graves*socio=rien . De même, moins les entreprises*socio=ac accordent*socio=rien de poids*socio=rien aux profits*socio=ec1 futurs*socio=rien par rapport*socio=rien aux profits*socio=ec1 courants*socio=te, plus il *socio=rien est difficile *socio=nil de maintenir l'accord*socio=et tacite. Il est*socio=rien aussi plus difficile*socio=rien d'arriver à un*socio=rien arrangement*socio=et collusoire lorsque les entreprises*socio=ac n'ont pas du tout les mêmes *socio=ec1 coûts de_production,*socio=nil *socio=nil car alors elles ont tendance*socio=ec2 à ne pas avoir les mêmes intérêts s'agissant des niveaux*socio=rien de_production*socio=ec1 et de prix*socio=ec1 souhaités. Un*socio=rien autre moyen*socio=rien d'arriver à un*socio=rien arrangement*socio=et collusoire, et de surmonter les problèmes*socio=ec2 de coordination*socio=uv3 entre entreprises*socio=ac, est*socio=rien de laisser une entreprise*socio=ac jouer le rôle*socio=rien de meneur de prix*socio=ec1. Cette entreprise*socio=ac annonce son intention de modifier un*socio=rien prix*socio=ec1 et elle laisse les autres entreprises*socio=ac faire des annonces analogues*socio=rien , Si celles-ci n'en font pas, le prix*socio=ec1 n'est*socio=rien pas modifié. Ces annonces, qui servent à se faire une idée*socio=rien de la réaction du marché*socio=ec1, existent dans de *socio=rien nombreux secteurs.*socio=nil *socio=nil il y a encore une autre possibilité*socio=rien , celle de mettre en *socio=rien place un *socio=nil mécanisme de coordination*socio=uv3 sous la forme*socio=rien d'une association sectorielle*socio=rien qui, outre qu'elle sert de lieu*socio=rien de *socio=rien discussion sur les*socio=nil questions d'*socio=nil intérêt*socio=uv1 commun*socio=uv2,*socio=nil *socio=nil peut se voir confier la tâche*socio=rien apparemment inoffensive de collecter des renseignements*socio=ec2 sur*socio=rien la production*socio=ec1 et les prix*socio=ec1 et de les communiquer à ses membres*socio=ac. Un*socio=rien mécanisme, qui encourage une vision commune des *socio=rien questions sectorielles *socio=nil et permet de communiquer rapidement les statistiques*socio=ec2, aide*socio=uv1 le secteur*socio=rien à définir*socio=rien des prix*socio=ec1 de collusion appropriés et à déceler la concurrence*socio=ec1 déloyale*socio=uv2. II.1.b Sources*socio=rien et coûts*socio=ec1 de la concurrence*socio=ec1 imparfaite*socio=rien . Pourquoi y a-t-il concurrence*socio=ec1 imparfaite*socio=rien ? Ou, pour dire les choses*socio=rien de manière*socio=rien légèrement différente*socio=rien , quels facteurs*socio=rien économiques*socio=ec1 ont tendance*socio=ec2 à limiter*socio=rien le degré*socio=rien de concurrence*socio=ec1 dans divers secteurs*socio=rien ? On examinera ici à ce sujet*socio=rien trois facteurs*socio=rien les économies*socio=ec1 d'échelle*socio=rien , les barrières*socio=et à l'entrée*socio=rien et la différenciation*socio=rien des produits*socio=rien . Économies*socio=ec1 d'échelle*socio=rien . Lorsque les coûts*socio=ec1 unitaires diminuent avec le volume*socio=rien de la production*socio=ec1 d'une entreprise*socio=ac, on parle d'économies*socio=ec1 d'échelle*socio=rien (internes*socio=te). Celles-ci peuvent tenir aux *socio=ec1 coûts de_production *socio=nil fixes, qui peuvent être*socio=rien davantage répartis sur*socio=rien une grosse*socio=rien production*socio=ec1." En outre, comme les technologies*socio=ec1 ne sont pas toujours divisibles, les installations de_production*socio=ec1 doivent parfois avoir une certaine*socio=rien taille pour utiliser la technologie*socio=ec1 la plus efficiente*socio=uv4. L'échelle*socio=rien optimale*socio=uv4 minimale*socio=rien varie d'un*socio=rien secteur*socio=rien à l'autre mais, lorsqu'il y a économies*socio=ec1 d'échelle*socio=rien , le marché*socio=ec1 risque*socio=uv4 de ne pouvoir*socio=rien accepter qu'un*socio=rien nombre*socio=rien limité d'entreprises*socio=ac - si davantage d'entreprises*socio=ac y entrent, les *socio=ec1 coûts moyens *socio=nil de chacune pourraient devenir*socio=rien trop importants*socio=rien par rapport*socio=rien à la disposition des consommateurs*socio=ac à payer*socio=rien . Dans le cas*socio=rien extrême du "monopole*socio=ec1 naturel", seule*socio=rien une entreprise*socio=ac est*socio=rien économiquement viable*socio=uv4. *{p.44} Barrières*socio=et à l'entrée*socio=rien . Les conditions*socio=ec1 d'entrée*socio=rien dans *socio=rien un secteur d'*socio=nil activité peuvent*socio=nil être extrêmement*socio=nil importantes *socio=nil pour la performance*socio=uv3 économique*socio=ec1. Si l'entrée*socio=rien est*socio=rien coûteuse*socio=ec2 ou impossible*socio=rien , il y a de *socio=rien bonnes raisons *socio=nil de s'attendre que le secteur*socio=rien sera imparfaitement concurrentiel*socio=ec2. On peut distinguer au moins trois catégories*socio=rien apparentées de barrières*socio=et présumées à l'entrée*socio=rien - les *socio=et barrières juridiques,*socio=nil les*socio=nil coûts*socio=ec1 d'*socio=nil entrée*socio=rien *socio=nil qui ont déjà été*socio=rien supportés par les entreprises*socio=ac en place*socio=rien et les barrières*socio=et stratégiques*socio=uv4. Les *socio=et barrières juridiques *socio=nil sont celles qui sont imposées par des restrictions*socio=et formelles*socio=rien , Il n'est*socio=rien pas rare*socio=rien , par exemple*socio=rien , que les gouvernements*socio=ac restreignent l'entrée*socio=rien dans des secteurs*socio=rien tels que les télécommunications*socio=ec1, les services*socio=ec1 médicaux*socio=et, les services*socio=ec1 de taxi et de nombreuses*socio=rien autres industries*socio=ec1 de services*socio=ec1. Ces limitations*socio=et peuvent être*socio=rien justifiées par des objectifs*socio=uv4 liés à l'intérêt*socio=uv1 général*socio=rien , comme la protection*socio=et des consommateurs*socio=ac, et elles peuvent être*socio=rien plus ou moins restrictives*socio=uv4 dans la pratique*socio=et. En revanche, les restrictions*socio=et commerciales*socio=ec1 sont des *socio=et barrières juridiques *socio=nil à l'entrée*socio=rien dont l'objectif*socio=uv4 *socio=rien exprès est *socio=nil d'empêcher l'entrée*socio=rien d'entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1. Les avantages*socio=rien que les entreprises*socio=ac en place*socio=rien peuvent avoir sous la forme*socio=rien de *socio=ec1 coûts de_production plus*socio=nil faibles*socio=rien *socio=nil ou de réseaux*socio=rien commerciaux*socio=ec1 établis constituent une autre forme*socio=rien de barrières*socio=et à l'entrée*socio=rien . Par exemple*socio=rien , ces entreprises*socio=ac peuvent avoir des relations*socio=rien contractuelles*socio=ec1 de longue*socio=rien date avec les fournisseurs*socio=ac ou elles peuvent avoir accès*socio=uv1 à des techniques*socio=rien de_production*socio=ec1 brevetées peu coûteuses*socio=ec2. De même, elles peuvent avoir un*socio=rien avantage du point*socio=rien de vue*socio=rien de la réputation*socio=uv1, leurs marques*socio=rien étant bien*socio=rien établies. La caractéristique*socio=rien essentielle*socio=uv4 de ces *socio=rien facteurs est *socio=nil qu'ils empêchent l'entrée*socio=rien en la rendant trop coûteuse*socio=ec2 pour les postulants,, ceux-ci devront peut-être par exemple*socio=rien engager de grosses*socio=rien dépenses*socio=ec1 de commercialisation*socio=ec1 et pratiquer des prix*socio=ec1 très bas*socio=rien au départ*socio=rien pour attirer *socio=rien un nombre suffisant de*socio=nil consommateurs*socio=ac.*socio=nil Ce*socio=nil type de*socio=nil phénomène *socio=nil donne l'avantage à celui qui se manifeste en premier*socio=rien et, là encore, on aboutit à une structure*socio=ec1 non concurrentielle*socio=ec2 du marché*socio=ec1. L'importance*socio=rien des barrières*socio=et autres que juridiques*socio=et est*socio=rien déterminée dans une *socio=rien certaine mesure *socio=nil par les actions*socio=rien des entreprises*socio=ac en place*socio=rien . Celles-ci peuvent avoir agi de manière*socio=rien stratégique*socio=uv4 pour ériger de telles barrières*socio=et, c'est-à-dire pour empêcher l'entrée*socio=rien . Ce comportement*socio=rien peut revêtir de *socio=rien nombreuses formes.*socio=nil Par*socio=nil exemple,*socio=nil *socio=nil dans les cas*socio=rien où il y a d'importants*socio=rien effets*socio=rien d'apprentissage*socio=uv3 par l'expérience*socio=ec2, les entreprises*socio=ac peuvent être*socio=rien encouragées à accroître leur production*socio=ec1 (et à abaisser leurs prix*socio=ec1) plus qu'il ne serait indiqué compte*socio=rien tenu des profits*socio=ec1 courants*socio=te, en vue*socio=rien de réduire plus vite leurs *socio=ec1 coûts de_production *socio=nil et de prendre l'avantage sur*socio=rien leurs concurrents*socio=ac. Un*socio=rien autre *socio=rien exemple est *socio=nil celui d'une entreprise*socio=ac établie qui a recours*socio=ec1 à un*socio=rien régime*socio=et des prix*socio=ec1 et à des primes*socio=ec1 de fidélité*socio=uv1 pour récompenser un*socio=rien attachement*socio=uv1 durable*socio=uv4. Les entreprises*socio=ac en place*socio=rien peuvent accaparer les circuits de distribution grâce*socio=rien à des accords*socio=et d'exclusivité*socio=rien ou lancer des campagnes*socio=et de publicité*socio=rien à outrance pour fidéliser les consommateurs*socio=ac. Les entreprises*socio=ac de pointe*socio=uv4 peuvent accélérer le rythme*socio=rien de mise au point*socio=rien des *socio=rien nouveaux produits de*socio=nil manière *socio=nil à décourager le clonage, ou elles peuvent faire breveter des produits*socio=rien à outrance de manière*socio=rien à empêcher d'autres entreprises*socio=ac d'utiliser la technologie*socio=ec1. En revanche, si les entreprises*socio=ac en place*socio=rien poussent le comportement*socio=rien monopolistique*socio=ec2 au-delà d'un*socio=rien *socio=rien certain point,*socio=nil l'*socio=nil entrée peut*socio=nil être *socio=nil encouragée, La notion*socio=rien de marché*socio=ec1 contestable est*socio=rien souvent utilisée dans le débat*socio=et sur*socio=rien les politiques*socio=et pour décrire un*socio=rien marché*socio=ec1 où la menace*socio=ec2 d'entrée*socio=rien a pour effet*socio=rien de discipliner les entreprises*socio=ac en place*socio=rien ." Cette notion*socio=rien repose sur*socio=rien une hypothèse qui n'est*socio=rien pas toujours explicitée. Une entreprise*socio=ac en place*socio=rien peut pratiquer des prix*socio=ec1 de monopole*socio=ec1 tant que les entreprises*socio=ac postulantes restent hors du marché*socio=ec1 mais *socio=rien être prête *socio=nil à accroître sa production*socio=ec1 et à pratiquer un*socio=rien prix*socio=ec1 concurrentiel*socio=ec2 si *socio=rien un nouveau fournisseur*socio=ac *socio=nil tente d'entrer sur*socio=rien le marché*socio=ec1. Si les nouveaux*socio=rien fournisseurs*socio=ac le savent, ils ne trouveront pas rentable*socio=ec2 d'entrer sur*socio=rien le marché*socio=ec1 et la menace*socio=ec2 d'entrée*socio=rien n'aura alors pas pour effet*socio=rien de discipliner l'entreprise*socio=ac en place*socio=rien . Par conséquent*socio=rien , pour que la menace*socio=ec2 d'entrée*socio=rien (par opposition*socio=rien à l'entrée*socio=rien effective*socio=rien ) ait une incidence*socio=rien à cet égard*socio=rien , il faut qu'il y ait une *socio=rien certaine forme *socio=nil d'inertie, de manière*socio=rien que le prix*socio=ec1 pratiqué par l'entreprise*socio=ac en place*socio=rien avant l'entrée*socio=rien soit analogue*socio=rien à celui qui serait pratiqué si l'entrée*socio=rien avait lieu*socio=rien . Il *socio=rien est possible *socio=nil que l'entreprise*socio=ac en place*socio=rien soit temporairement*socio=rien freinée par la capacité*socio=uv3 qu'elle a au moment*socio=rien de l'entrée*socio=rien et, dans ce cas*socio=rien , la menace*socio=ec2 d'accroissement*socio=ec2 immédiat*socio=rien de la production*socio=ec1 et de réduction*socio=ec2 du prix*socio=ec1 en cas*socio=rien d'entrée*socio=rien n'est*socio=rien pas crédible*socio=uv2. Dans ces conditions*socio=ec1, il peut être*socio=rien rentable*socio=ec2 pour l'entreprise*socio=ac en place*socio=rien de choisir au départ*socio=rien une capacité*socio=uv3 qui soit suffisamment élevée*socio=uv4 pour décourager l'entrée*socio=rien . Cela signifierait alors que la simple*socio=rien menace*socio=ec2 d'entrée*socio=rien exerce une discipline*socio=uv1 sur*socio=rien l'entreprise*socio=ac en place*socio=rien . Différenciation*socio=rien des produits*socio=rien . On parle de différenciation*socio=rien lorsque les caractéristiques*socio=rien des *socio=rien produits offerts *socio=nil par les *socio=ac producteurs concurrents *socio=nil diffèrent de telle manière*socio=rien qu'ils ne sont pas parfaitement interchangeables aux yeux*socio=rien des consommateurs*socio=ac. Par exemple*socio=rien , les *socio=rien voitures sur un certain *socio=nil segment du marché*socio=ec1 peuvent *socio=rien être similaires,*socio=nil *socio=nil mais il peut exister entre elles des différences*socio=uv1 importantes*socio=rien en ce qui concerne la ligne*socio=rien , les performances*socio=uv3 et la qualité*socio=rien . Dans d'autres secteurs*socio=rien , les différences*socio=uv1 peuvent se rapporter davantage à l'image*socio=rien du produit*socio=ec1 et à la marque*socio=rien . Par exemple*socio=rien , peu nombreux*socio=rien sont les consommateurs*socio=ac qui dans un*socio=rien test anonyme sont capables*socio=rien de faire la différence*socio=rien entre deux savonnettes. Néanmoins, certains seraient disposés à payer*socio=rien plus pour leur marque*socio=rien favorite. La différenciation*socio=rien des produits*socio=rien donne aux producteurs*socio=ac une certaine*socio=rien puissance*socio=uv1 monopolistique*socio=ec2 ou puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1. Moins un*socio=rien produit*socio=ec1 est*socio=rien interchangeable avec ceux de marques*socio=rien concurrentes*socio=ec2, plus le prix*socio=ec1 peut être*socio=rien maintenu à *socio=rien un niveau élevé*socio=uv4 *socio=nil sans que le produit*socio=ec1 cède du terrain*socio=rien à ces marques*socio=rien concurrentes*socio=ec2. Comme on l'a suggéré plus haut*socio=rien , les produits*socio=rien ne sont pas seulement conçus comme étant différents*socio=rien au stade*socio=te de la mise au point*socio=rien , mais leurs différences*socio=uv1 sont souvent renforcées par le jeu*socio=rien des stratégies*socio=et de commercialisation*socio=ec1. Une caractéristique*socio=rien des marchés*socio=ec1 où il y a différenciation*socio=rien des *socio=rien produits est *socio=nil que la variété a une valeur*socio=ec1 propre*socio=rien , et cela pour deux raisons*socio=rien . Premièrement, différents*socio=rien consommateurs*socio=ac peuvent apprécier *socio=rien différentes caractéristiques *socio=nil et plus le choix*socio=uv1 *socio=rien est vaste,*socio=nil *socio=nil plus il *socio=rien est facile *socio=nil pour chaque consommateur*socio=ac de trouver un*socio=rien produit*socio=ec1 qui correspond de près à la spécification*socio=rien qu'il juge*socio=et "idéale*socio=rien ". Deuxièmement, les consommateurs*socio=ac peuvent apprécier la variété en soi*socio=rien . Par exemple*socio=rien , la plupart*socio=rien des gens*socio=ac préfèrent la variété pour ce qui est*socio=rien des produits*socio=rien alimentaires*socio=ec1 et des vêtements*socio=ec1. La différenciation*socio=rien des produits*socio=rien constitue alors *socio=rien un facteur additionnel *socio=nil à prendre en compte*socio=rien aux fins*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 - préserver le choix*socio=uv1 et la variété pour satisfaire des *socio=rien goûts différents.*socio=nil *{p.45} Les*socio=nil coûts*socio=ec1 *socio=nil de la concurrence*socio=ec1 imparfaite*socio=rien . Trois grands*socio=rien *socio=ec1 coûts économiques *socio=nil sont généralement associés à la concurrence*socio=ec1 imparfaite*socio=rien . Premièrement, comme on l'a vu plus haut*socio=rien dans la *socio=rien discussion sur les*socio=nil monopoles*socio=ec1,*socio=nil l'*socio=nil un des*socio=nil problèmes*socio=ec2 fondamentaux*socio=uv4 *socio=nil posés par la concurrence*socio=ec1 imparfaite*socio=rien (monopole*socio=ec1 aussi bien*socio=rien qu'oligopole*socio=ec1) est*socio=rien que les consommateurs*socio=ac n'ont pas droit*socio=uv1 à une certaine*socio=rien expansion*socio=ec2 de la production*socio=ec1, bien*socio=rien qu'ils soient prêts*socio=rien à payer*socio=rien suffisamment pour couvrir les *socio=ec1 coûts de_production correspondants*socio=rien ,*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil en d'autres termes*socio=rien , il y a une perte*socio=ec2 sèche. Comme on l'a déjà vu, dans l'idéal, la production*socio=ec1 devrait être*socio=rien poussée jusqu'au point*socio=rien où la valeur*socio=ec1 attribuée par le consommateur*socio=ac à la *socio=rien dernière unité de*socio=nil produit*socio=ec1 est exactement*socio=nil égale au*socio=nil *socio=ec1 coût de_production (*socio=nil marginal*socio=rien )*socio=nil .*socio=nil Le*socio=nil deuxième*socio=rien coût *socio=nil découlant d'une concurrence*socio=ec1 *socio=rien imparfaite est *socio=nil l'inefficience interne*socio=te, c'est-à-dire la mauvaise*socio=rien répartition*socio=uv3 des ressources*socio=ec1 dans l'entreprise*socio=ac. Cette inefficience, qui se manifeste par un*socio=rien accroissement*socio=ec2 des *socio=ec1 coûts de_production,*socio=nil *socio=nil peut renforcer la tendance*socio=ec2 des entreprises*socio=ac qui ont une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 à réduire leur production*socio=ec1." Le problème*socio=uv4 de l'inefficience interne*socio=te peut avoir pour origine*socio=rien plusieurs facteurs*socio=rien , dont une connaissance*socio=ec2 incomplète*socio=rien des contributions*socio=uv1 des différents*socio=rien employés*socio=ac, des possibilités*socio=rien d'amélioration*socio=uv1 technique*socio=rien et des possibilités*socio=rien d'amélioration*socio=uv1 des caractéristiques*socio=rien du produit*socio=ec1 ou service. On dit souvent que ces inefficiences sont caractéristiques*socio=rien des monopoles*socio=ec1 publics*socio=et, mais il n'est*socio=rien pas réellement prouvé qu'elles posent moins de problèmes*socio=ec2 dans les monopoles*socio=ec1 privés*socio=et ou, d'ailleurs*socio=rien , dans les ententes*socio=et sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 oligopolistiques. Par conséquent*socio=rien , le remplacement*socio=rien d'un*socio=rien monopole*socio=ec1 public*socio=et par un*socio=rien monopole*socio=ec1 privé*socio=et ne résoudra peut-être pas le problème*socio=uv4 de l'inefficience interne*socio=te. Ce qu'il faut, c'est*socio=rien une concurrence*socio=ec1 réelle*socio=ec2 pour remédier au manque*socio=rien de dynamisme*socio=uv3 interne*socio=te. Il est*socio=rien à noter que de nombreux*socio=rien économistes*socio=ac considèrent l'absence*socio=rien de dynamisme*socio=uv3 interne*socio=te comme l'un*socio=rien des principaux*socio=rien coûts*socio=ec1 de la concurrence*socio=ec1 imparfaite*socio=rien . Les secteurs*socio=rien imparfaitement concurrentiels*socio=ec2 tendent à générer des profits*socio=ec1 exceptionnels*socio=uv4 ou "rentes*socio=et économiques*socio=ec1". Ces rentes*socio=et peuvent se manifester sous la forme*socio=rien de profits*socio=ec1 pour les propriétaires*socio=ac mais peuvent aussi revêtir d'autres formes*socio=rien , comme un*socio=rien relèvement*socio=ec2 de salaire*socio=ec1 pour les employés*socio=ac ou un*socio=rien relèvement*socio=ec2 des prix*socio=ec1 pour les fournisseurs*socio=ac de produits*socio=rien intermédiaires. Pour bénéficier de ces profits*socio=ec1 potentiels*socio=uv4 et les protéger, les entreprises*socio=ac investissent des ressources*socio=ec1 dans la recherche de rente*socio=et. Par exemple*socio=rien , elles peuvent lancer des campagnes*socio=et de publicité*socio=rien acharnées, choisir des normes*socio=et de produits*socio=rien peu compatibles*socio=rien avec les produits*socio=rien d'autres entreprises*socio=ac, et faire pression*socio=ec2 pour obtenir*socio=rien une protection*socio=et ou des droits*socio=uv1 de_production*socio=ec1 exclusifs*socio=rien . Les ressources*socio=ec1 réelles*socio=ec2 utilisées dans ce processus*socio=te (y compris le temps*socio=rien limité dont disposent les gestionnaires*socio=ac) représentent un*socio=rien coût*socio=ec1 pour la société*socio=ac, en plus des pertes*socio=ec2 sèches pour l'économie*socio=ec1 et des coûts*socio=ec1 de l'inefficience interne*socio=te. Des *socio=ec2 études empiriques *socio=nil ont montré que les coûts*socio=ec1 de la recherche de rente*socio=et peuvent être*socio=rien dans certains *socio=rien cas substantiels.*socio=nil *socio=nil II.1.c Quelques considérations*socio=rien économiques*socio=ec1 de base*socio=rien . Compte*socio=rien tenu de certains des arguments*socio=ec2 avancés au sujet*socio=rien des coûts*socio=ec1 de la concurrence*socio=ec1 imparfaite*socio=rien , on peut conclure que c'est*socio=rien à la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 de maximiser le degré*socio=rien de concurrence*socio=ec1. Cela réduirait au minimum*socio=rien les coûts*socio=ec1 découlant des pertes*socio=ec2 sèches, de l'inefficience interne*socio=te et de la recherche de rente*socio=et. Les choses*socio=rien sont toutefois plus compliquées que cela, et cela pour plusieurs raisons*socio=rien . On verra ci-après, par exemple*socio=rien , pourquoi tous les arrangements*socio=et contractuels*socio=ec1 entre entreprises*socio=ac qui limitent la concurrence*socio=ec1 ne sont pas socialement indésirables*socio=uv4 et pourquoi le comportement*socio=rien de certaines*socio=rien entreprises*socio=ac, manifestement hostiles à la concurrence*socio=ec1, peut être*socio=rien défendable pour des raisons*socio=rien de bien-être. La politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 et la théorie*socio=ec2 de l'optimum de *socio=rien second rang.*socio=nil *socio=nil Si l'on peut avancer ces arguments*socio=ec2 c'est*socio=rien essentiellement que, dans certains cas*socio=rien , plusieurs facteurs*socio=rien font que l'on n'arrive pas à l'efficience*socio=uv3 totale*socio=rien et que des arbitrages*socio=et sont alors nécessaires*socio=rien . Par exemple*socio=rien , comme on le verra, ces arbitrages*socio=et peuvent intervenir en raison*socio=rien de la *socio=rien présence simultanée *socio=nil d'une puissance*socio=uv1 monopolistique*socio=ec2 et d'économies*socio=ec1 d'échelle*socio=rien , d'une puissance*socio=uv1 monopolistique*socio=ec2 à plusieurs stades*socio=te de la chaîne*socio=rien de_production*socio=ec1 ou d'une puissance*socio=uv1 monopolistique*socio=ec2 associée*socio=rien à des externalités. La proposition qui précède est*socio=rien généralement connue sous le nom*socio=rien de "théorie*socio=ec2 de l'optimum de *socio=rien second rang"*socio=nil .*socio=nil *socio=nil Ce que cette théorie*socio=ec2 implique, c'est*socio=rien que l'élimination*socio=ec2 complète d'une source*socio=rien de distorsion, comme l'élimination*socio=ec2 d'un*socio=rien système*socio=rien monopolistique*socio=ec2 d'établissement*socio=rien des prix*socio=ec1 *socio=rien sur un marché*socio=ec1 *socio=nil donné, n'améliore pas nécessairement le bien-être lorsqu'il existe d'autres distorsions*socio=ec2. Dans la pratique*socio=et, il y a presque toujours plusieurs sources*socio=rien d'inefficience. Il découle de cette théorie*socio=ec2 qu'il n'est*socio=rien pour ainsi dire jamais justifié dans la pratique*socio=et de considérer que la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 doit avoir pour objectif*socio=uv4 absolu*socio=rien une concurrence*socio=ec1 "maximale*socio=rien ". Cette pensée*socio=rien économique*socio=ec1 est*socio=rien aussi compatible*socio=rien avec l'usage*socio=rien juridique*socio=et consistant à évaluer les pratiques_commerciales*socio=et à l'aide*socio=uv1 d'une approche fondée sur*socio=rien la règle de raison*socio=rien , qui préside à de *socio=rien nombreuses décisions des*socio=nil responsables*socio=ac *socio=nil de la concurrence*socio=ec1. Manifestement, l'un*socio=rien des principaux*socio=rien soucis des responsables*socio=ac de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien de faire en sorte*socio=rien que celle-ci n'interfère pas indûment avec le processus*socio=te concurrentiel*socio=ec2 normal*socio=rien , qui périodiquement évince les entreprises*socio=ac inefficientes du marché*socio=ec1. Le problème*socio=uv4 *socio=rien est bien *socio=nil résumé dans une décision*socio=rien concernant Alcoa prise*socio=rien au titre*socio=rien de la législation*socio=et antitrust des États-unis*socio=ac: "Après*socio=rien avoir incité un*socio=rien concurrent efficace*socio=uv4 à participer à la concurrence*socio=ec1, on ne saurait se retourner contre lui lorsqu'il gagne."" Ce qui *socio=rien est difficile,*socio=nil bien sûr,*socio=nil c'*socio=nil est *socio=nil de faire la distinction*socio=rien entre les cas*socio=rien où la position*socio=rien dominante*socio=uv2 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 ou le monopole*socio=ec1 ont été*socio=rien établis grâce*socio=rien à une efficience*socio=uv3 et à une *socio=rien clairvoyance supérieures *socio=nil et les cas*socio=rien où la position*socio=rien a *socio=rien été acquise par*socio=nil exemple *socio=nil par le jeu*socio=rien de tactiques de prédation. *{p.46} Arbitrages*socio=et dynamiques*socio=uv4. Les arbitrages*socio=et auxquels la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 oblige sont en *socio=rien grande partie *socio=nil statiques, c'est-à-dire qu'ils n'ont pour la plupart*socio=rien pas de *socio=rien véritable dimension *socio=nil temporelle. Toutefois, il y a une autre catégorie*socio=rien d'arbitrages*socio=et, pour lesquels le *socio=rien temps est essentiel*socio=uv4,*socio=nil *socio=nil ce qui complique encore beaucoup la prise*socio=rien de décisions*socio=rien déjà difficile*socio=rien . Comme on le verra ci-après, des *socio=rien imperfections temporaires *socio=nil sont parfois nécessaires*socio=rien , par exemple*socio=rien pour inciter les entreprises*socio=ac à investir dans la mise au point*socio=rien de produits*socio=rien . Le système*socio=rien des brevets*socio=et, qui octroie des droits*socio=uv1 *socio=rien exclusifs temporaires,*socio=nil en*socio=nil est une*socio=nil manifestation.*socio=nil *socio=nil S'il *socio=rien est facile *socio=nil de comprendre que ces arrangements*socio=et sont nécessaires*socio=rien , il est*socio=rien beaucoup plus difficile*socio=rien de déterminer comment ils devraient être*socio=rien conçus. Par ailleurs*socio=rien , les décisions*socio=rien concernant la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 obligent aussi à des arbitrages*socio=et entre les intérêts à, court_terme*socio=te et les intérêts à long_terme*socio=te. Comme exemple*socio=rien d'arbitrage*socio=et dynamique*socio=uv4 difficile*socio=rien , on peut également citer le cas*socio=rien des entreprises*socio=ac qui prennent aujourd'hui des décisions*socio=rien d'investissement*socio=ec1 en vue*socio=rien d'entrer *socio=rien demain sur un marché*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Si elles pensent que la concurrence*socio=ec1 sera *socio=rien forte demain,*socio=nil *socio=nil peut-être en raison*socio=rien de l'application*socio=rien vigoureuse*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, la rentabilité*socio=ec1 escomptée pourra être*socio=rien si faible*socio=rien qu'elles s'abstiendront d'entrer sur*socio=rien ce marché*socio=ec1. L'objet*socio=rien du système*socio=rien de brevets*socio=et est*socio=rien d'empêcher ce mécanisme d'entraver l'entrée*socio=rien dans des secteurs*socio=rien dans lesquels la recherche-développement*socio=ec2 *socio=rien est importante *socio=nil en promettant des positions*socio=rien de monopole*socio=ec1 (limitées) aux entreprises*socio=ac qui réussissent. Il *socio=rien est évident *socio=nil que l'incidence*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 dans des domaines*socio=rien comme la recherche-développement*socio=ec2 peut être*socio=rien beaucoup plus importante*socio=rien pour le bien-être à long_terme*socio=te que ses effets*socio=rien statiques. Malheureusement, la compréhension*socio=rien des effets*socio=rien dynamiques*socio=uv4 de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien limitée en raison*socio=rien de la *socio=rien complexité inhérente des*socio=nil questions *socio=nil soulevées. Divergence*socio=uv1 de vues*socio=rien au sujet*socio=rien de la nécessité*socio=uv1 d'une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. L'une des raisons*socio=rien fondamentales*socio=uv4 pour lesquelles les vues*socio=rien divergent quant à la nécessité*socio=uv1 d'avoir des politiques*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien liée à l'interprétation*socio=ec2 de ce qui semble être*socio=rien , tout au moins de prime abord*socio=rien , des rentes*socio=et découlant d'une position*socio=rien concurrentielle*socio=ec2 imparfaite*socio=rien . Les rentes*socio=et en question*socio=rien représentent-elles une compensation*socio=rien justifiée pour les investissements*socio=ec1 antérieurs*socio=te, par exemple*socio=rien , dans la recherche-développement*socio=ec2 ou sont-elles des *socio=rien avantages inattendus *socio=nil pour les entreprises*socio=ac qui se trouvent être*socio=rien au *socio=rien bon endroit au*socio=nil bon moment,*socio=nil *socio=nil ou encore sont-elles le résultat*socio=rien d'un*socio=rien comportement*socio=rien anticoncurrentiel? L'école*socio=et de Schumpeter pencherait pour la première*socio=rien théorie*socio=ec2. Selon elle, la concurrence*socio=ec1 parfaite*socio=rien ne donne pas une efficience*socio=uv3 maximale*socio=rien , sauf statiquement parlant. Mais il y a maximisation du bien-être par *socio=rien un taux d'*socio=nil innovation*socio=uv3 élevé*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Pour cela, il faut que les entreprises*socio=ac puissent de fait*socio=rien réaliser des profits*socio=ec1 suffisamment importants*socio=rien pour récupérer des dépenses*socio=ec1 antérieures*socio=te au titre*socio=rien de la recherche-développement*socio=ec2. Une autre théorie*socio=ec2 qui aboutit à des conclusions assez proches*socio=rien du point*socio=rien de vue*socio=rien de la politique*socio=et est*socio=rien en *socio=rien partie associée *socio=nil à l'Université*socio=et de Chicago." Selon celle-ci, les imperfections*socio=rien du marché*socio=ec1 tiennent principalement aux interventions du gouvernement*socio=ac. Ou bien*socio=rien les imperfections*socio=rien créées par le secteur_privé*socio=et sont temporaires*socio=rien , car les profits*socio=ec1 qui en résultent inciteront bientôt d'autres entreprises*socio=ac à entrer sur*socio=rien le marché*socio=ec1, ou bien*socio=rien elles s'expliquent par la supériorité des techniques*socio=rien de_production*socio=ec1 et de produits*socio=rien des entreprises*socio=ac en place*socio=rien . Le rôle*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien alors principalement de faciliter l'entrée*socio=rien sur*socio=rien le marché*socio=ec1, surtout en empêchant les gouvernements*socio=ac d'intervenir indûment, et aussi de prévenir les pratiques_commerciales*socio=et les plus manifestement inefficientes, comme les ententes*socio=et horizontales. Une *socio=rien troisième ligne de*socio=nil pensée est *socio=nil celle de la "nouvelle*socio=rien théorie*socio=ec2 de l'organisation*socio=ec2 industrielle*socio=ec1". L'élément*socio=rien distinctif de ce volumineux ensemble*socio=rien de textes*socio=rien publiés est*socio=rien qu'il recourt à des modèles*socio=rien détaillés des aspects*socio=rien stratégiques*socio=uv4 de l'interaction des entreprises*socio=ac." Le *socio=rien tableau général *socio=nil qui se dégage est*socio=rien beaucoup moins optimiste*socio=uv2 en ce qui concerne l'efficience*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 laissés à eux-mêmes. Mais la théorie*socio=ec2 ne propose aucune règle simple*socio=rien pour la conduite*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Au contraire*socio=rien , les résultats*socio=rien se caractérisent tous principalement par le fait*socio=rien qu'ils sont très sensibles*socio=rien aux aspects*socio=rien détaillés de la technologie*socio=ec1 et de l'interaction stratégique*socio=uv4. Cet ensemble*socio=rien de théories plaide vigoureusement en faveur*socio=rien d'une approche fondée sur*socio=rien la règle de raison*socio=rien pour ce qui est*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. On peut y voir une réaction à des arguments*socio=ec2 plus simplistes sur*socio=rien l'efficience*socio=uv3 des marchés*socio=ec1, mais il réfute aussi certains des arguments*socio=ec2 plus radicaux*socio=rien découlant d'autres approches, comme celle de l'École*socio=et de Chicago. Malheureusement, cette approche "pêche*socio=ec1 par excès*socio=rien " en ce sens*socio=rien que les ouvrages sont si abondants*socio=rien qu'ils peuvent justifier ou condamner *socio=rien un large éventail de*socio=nil pratiques_commerciales*socio=et restrictives*socio=uv4 *socio=nil ou d'interventions au titre*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Il y a d'autres "doctrines" au sujet*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Mais, ce qui importe aux fins*socio=rien du *socio=rien présent chapitre c'*socio=nil est *socio=nil que la théorie*socio=ec2 économique*socio=ec1 ne donne pas une *socio=rien description unique,*socio=nil uniforme*socio=uv4,*socio=nil du*socio=nil fonctionnement des*socio=nil secteurs imparfaitement*socio=nil concurrentiels*socio=ec2 *socio=nil et, en_particulier*socio=rien , ne donne pas de consigne simple*socio=rien , sans ambiguïté*socio=rien , pour l'élaboration de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. En outre, même lorsqu'ils sont d'accord*socio=uv1 au sujet*socio=rien des modèles*socio=rien à utiliser pour l'analyse*socio=rien des branches*socio=rien d'activités*socio=rien , les experts*socio=ac ne s'entendent souvent pas sur*socio=rien l'application*socio=rien des modèles*socio=rien à des ensembles*socio=rien de faits*socio=rien donnés. Il *socio=rien est important *socio=nil d'en tenir compte*socio=rien lorsqu'on examine les questions*socio=rien de concurrence*socio=ec1 du point*socio=rien de vue*socio=rien de l'élaboration de la politique*socio=et. Par ailleurs*socio=rien , comme on le verra ci-après, il y a néanmoins eu ces dix *socio=rien dernières années une*socio=nil convergence*socio=uv3 de*socio=nil vues partielle sur les*socio=nil objectifs*socio=uv4 *socio=nil et la conception*socio=ec2 optimale*socio=uv4 des législations*socio=et nationales*socio=te sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1, ainsi qu'un*socio=rien large*socio=rien accord*socio=uv1 sur*socio=rien les *socio=rien outils analytiques *socio=nil de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. II.2 Les objectifs*socio=uv4 déclarés du droit*socio=uv1 et de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Les législations*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des pays*socio=ac qui ont une telle législation*socio=et ont en commun*socio=uv2 *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil objectifs*socio=uv4 fondamentaux*socio=uv4.*socio=nil Au*socio=nil niveau *socio=nil le plus élémentaire, un*socio=rien *socio=uv4 objectif essentiel *socio=nil de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 de la plupart*socio=rien de ces pays*socio=ac est*socio=rien de maintenir *socio=rien un degré *socio=nil de rivalité suffisant*socio=rien entre les entreprises*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=ec1. *{p.47} Dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac toutefois, l'objectif*socio=uv4 du maintien*socio=rien de cette rivalité entre entreprises*socio=ac est*socio=rien aussi lié à des objectifs*socio=uv4 économiques*socio=ec1 et sociaux*socio=et plus généraux*socio=rien , qui à leur tour*socio=rien influent sur*socio=rien la manière*socio=rien dont les lois*socio=et pertinentes*socio=rien sont appliquées et les questions*socio=rien réglées. Ces objectifs*socio=uv4 plus généraux*socio=rien sont entre autres: - protéger les consommateurs*socio=ac contre l'exercice*socio=rien indu d'une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1,, - - promouvoir l'efficience*socio=uv3 économique*socio=ec1, d'un*socio=rien point*socio=rien de vue*socio=rien aussi bien*socio=rien statique que dynamique*socio=uv4,, - - promouvoir le commerce*socio=ec1 et l'intégration*socio=ec2 dans une union économique*socio=ec1 ou une zone*socio=te de libre-échange*socio=et,, - - faciliter la libéralisation*socio=et économique*socio=ec1, y compris la privatisation*socio=et, la déréglementation*socio=et et la réduction*socio=ec2 des obstacles*socio=rien au commerce*socio=ec1 extérieur - - préserver et promouvoir le développement*socio=uv3 de l'économie_de_marché*socio=ec1 dans de bonnes*socio=rien conditions*socio=ec1,, - promouvoir les valeurs*socio=ec1 démocratiques*socio=uv2, comme le pluralisme et la dispersion*socio=rien du pouvoir*socio=et socio-économique*socio=ec1,, - - assurer l'équité*socio=uv1 des transactions*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1,, - - protéger l'intérêt_public*socio=et, en prenant en compte*socio=rien (dans certains cas*socio=rien ) des considérations*socio=rien liées à la compétitivité*socio=uv1 et à l'emploi*socio=ec1 sectoriels*socio=rien ,, - - réduire au minimum*socio=rien la nécessité*socio=uv1 de prévoir des formes*socio=rien de réglementation*socio=et ou d'intervention politique*socio=et plus agressives dans une économie_de_marché*socio=ec1 ,, - - protéger les *socio=rien possibilités offertes aux*socio=nil petites et*socio=nil moyennes entreprises*socio=ac.*socio=nil *socio=nil - La législation*socio=et, la jurisprudence*socio=et et les mesures*socio=et d'exécution des pays*socio=ac ayant des régimes*socio=et de la concurrence*socio=ec1 bien*socio=rien développés*socio=uv4 reflètent nombre*socio=rien de ces *socio=uv4 objectifs fondamentaux,*socio=nil *socio=nil du moins dans une *socio=rien certaine mesure.*socio=nil *socio=nil Toutefois, les pays*socio=ac mettent souvent l'accent*socio=rien *socio=rien sur un objectif*socio=uv4 ou*socio=nil un but particulier *socio=nil qui leur sert de principe*socio=ec2 directeur*socio=rien dans leurs politiques*socio=et et législations*socio=et. On trouvera dans les parties*socio=rien 5 et 6 ci-après divers exemples*socio=rien des approches suivies par les pays*socio=ac développés*socio=uv4 et les pays_en_développement*socio=ac en ce qui concerne la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Il *socio=rien est important *socio=nil de noter que des conflits*socio=uv1 peuvent surgir entre certains des objectifs*socio=uv4 déclarés de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Par exemple*socio=rien , l'objectif*socio=uv4 consistant à promouvoir "l'équité*socio=uv1" et à protéger les *socio=rien possibilités offertes aux*socio=nil petites et*socio=nil moyennes entreprises*socio=ac *socio=nil ne sera pas toujours compatible*socio=rien avec l'objectif*socio=uv4 de la maximisation de l'efficience*socio=uv3 économique*socio=ec1. Dans ce contexte on relèvera que, ces dix *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil objectifs*socio=uv4 *socio=nil de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 des grands*socio=rien pays*socio=ac ayant une telle politique*socio=et ont eu tendance*socio=ec2 à converger vers les valeurs*socio=ec1 Il essentielles*socio=uv4" de la promotion*socio=uv3 de (a rivalité concurrentielle*socio=ec2, de l'efficience*socio=uv3 et (parfois) de l'intégration*socio=uv1 économique*socio=ec1. Cette tendance*socio=ec2 se manifeste non seulement dans les déclarations officielles mais aussi dans les lois*socio=et adoptées et les projets*socio=rien de lois*socio=et présentés ces *socio=rien derniers temps,*socio=nil *socio=nil et dans les débats*socio=et qui ont lieu*socio=rien dans des instances*socio=et comme le Comité*socio=ac du droit*socio=uv1 et de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 de l'OCDE*socio=ac. La convergence*socio=uv3 apparente des objectifs*socio=uv4 *socio=rien est un facteur important *socio=nil qui favorise la cohérence*socio=uv3 globale des approches concernant la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 dans les pays*socio=ac qui mettent en oeuvre*socio=rien une telle politique*socio=et. II.3 Les *socio=rien principaux éléments *socio=nil de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. On trouvera ci-après un*socio=rien aperçu des *socio=rien principaux éléments du*socio=nil droit*socio=uv1 *socio=nil de la concurrence*socio=ec1 tels qu'ils figurent dans les législations*socio=et de la plupart*socio=rien des pays*socio=ac qui en ont, ainsi qu'une analyse*socio=rien de l'importance*socio=rien économique*socio=ec1 de ces dispositions. Accords*socio=et horizontaux. L'expression*socio=rien "accords*socio=et horizontaux" désigne les arrangements*socio=et implicites ou explicites*socio=rien entre les entreprises*socio=ac qui se font concurrence*socio=ec1 *socio=rien sur un même*socio=nil marché*socio=ec1 *socio=nil avec des produits*socio=rien identiques ou similaires*socio=rien . Il existe deux *socio=rien grandes catégories d'*socio=nil accords*socio=et horizontaux*socio=nil explicites:*socio=nil *socio=nil premièrement, il y a le "noyau*socio=rien dur*socio=rien " constitué par les ententes*socio=et "pures*socio=rien ", y compris les accords*socio=et de fixation des prix*socio=ec1, de réduction*socio=ec2 de la production*socio=ec1, ou de répartition*socio=uv3 de la clientèle*socio=ac entre fournisseurs*socio=ac *socio=rien sur un marché*socio=ec1.*socio=nil Ces*socio=nil arrangements*socio=et *socio=nil n'ont d'autre but*socio=rien que de transférer le surplus*socio=ec1 des consommateurs*socio=ac aux producteurs*socio=ac moyennant des pertes*socio=ec2 sèches, une inefficience interne*socio=te et la recherche de rente*socio=et. Cela vaut aussi pour les accords*socio=et en vertu*socio=rien desquels (es entreprises*socio=ac se répartissent les marchés*socio=ec1. Tous les experts*socio=ac s'accordent*socio=rien à penser que ces accords*socio=et sont manifestement préjudiciables*socio=et au bien-être des consommateurs*socio=ac. En conséquence*socio=rien , la plupart*socio=rien des organismes*socio=ac chargés de la concurrence*socio=ec1 ont pour préoccupation*socio=uv4 première*socio=rien d'empêcher leur conclusion. Les ententes*socio=et pures*socio=rien supposent généralement une concertation*socio=uv1 de deux entreprises*socio=ac nationales*socio=te ou plus qui cherchent à fixer les prix*socio=ec1 ou à limiter*socio=rien autrement la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 locaux*socio=te. *{p.48} Toutefois, elles peuvent aussi comprendre des arrangements*socio=et entre entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec1 qui décident de se partager les marchés*socio=ec1 intérieurs*socio=te des pays_d'_accueil*socio=ac. Si l'ampleur*socio=rien des activités*socio=rien cartellaires *socio=rien est difficile *socio=nil à évaluer en soi*socio=rien (pour des *socio=rien raisons évidentes,*socio=nil les*socio=nil entreprises*socio=ac en*socio=nil cause *socio=nil préfèrent garder leurs arrangements*socio=et secrets), il semble qu'une *socio=rien part croissante des*socio=nil ententes*socio=et *socio=nil ait une portée*socio=rien internationale*socio=te." Dans la pratique*socio=et, les organismes*socio=ac chargés de la concurrence*socio=ec1 des petits*socio=rien pays*socio=ac peuvent avoir des difficultés*socio=ec2, s'ils agissent seuls*socio=rien , à mobiliser des ressources*socio=ec1 suffisantes*socio=rien pour déceler un*socio=rien tel comportement*socio=rien , enquêter à son sujet*socio=rien et engager les *socio=rien poursuites nécessaires.*socio=nil *socio=nil Aussi, dans certains cas*socio=rien , une coopération_internationale*socio=uv1 sera peut-être nécessaire*socio=rien pour mener des enquêtes et engager des poursuites*socio=rien au sujet*socio=rien des accords*socio=et horizontaux qui transcendent les *socio=te frontières nationales.*socio=nil La*socio=nil *socio=rien deuxième catégorie d'*socio=nil arrangements*socio=et *socio=nil horizontaux regroupe les accords*socio=et qui peuvent parfois se traduire par des économies*socio=ec1 pour les entreprises*socio=ac visées et ne sont donc généralement pas condamnés de *socio=rien manière catégorique.*socio=nil Ces*socio=nil accords*socio=et *socio=nil peuvent inclure des consortiums de recherche-développement*socio=ec2, des arrangements*socio=et de coopération*socio=uv1 ayant pour objet*socio=rien de fixer les normes*socio=et de produits*socio=rien et certains types d'alliances stratégiques*socio=uv4 qui envisagent un*socio=rien transfert de savoir-faire*socio=uv3 entre entreprises*socio=ac ou d'efficiences spécifiques*socio=rien au plan*socio=rien de la production*socio=ec1." De nombreux*socio=rien pays*socio=ac prévoient pour ces arrangements*socio=et des exceptions*socio=rien limitées à la prohibition générale*socio=rien des accords*socio=et horizontaux dans la législation*socio=et nationale*socio=te sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1. Outre ces deux catégories*socio=rien d'accords*socio=et horizontaux, une collusion tacite ou une coordination*socio=uv3 oligopolistique peut limiter*socio=rien la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1. Bien*socio=rien qu'un*socio=rien tel comportement*socio=rien puisse certainement donner des résultats*socio=rien qui sont moins qu'optimaux du point*socio=rien de vue*socio=rien du bien-être, il est*socio=rien extrêmement difficile*socio=rien d'influer directement sur*socio=rien lui car il ne s'accompagne pas d'accords*socio=et exprès*socio=rien ni d'une coopération*socio=uv1. En conséquence*socio=rien , les autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 s'attachent généralement à déceler les accords*socio=et exprès*socio=rien et à engager des poursuites*socio=rien à leur sujet*socio=rien . En outre, elles peuvent chercher à réduire au minimum*socio=rien les possibilités*socio=rien de collusion tacite dans leurs pays*socio=ac respectifs*socio=rien en faisant campagne*socio=rien pour des politiques_économiques*socio=et structurelles qui facilitent l'entrée*socio=rien sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 dans des conditions*socio=ec1 de concurrence*socio=ec1. Fusions. On peut distinguer trois types de fusions fondamentalement différentes*socio=rien : les fusions horizontales, les fusions verticales et les fusions conglomérales. Les fusions horizontales regroupent au moins deux entreprises*socio=ac opérant dans le même secteur*socio=rien d'activités*socio=rien et sur*socio=rien le même marché*socio=ec1 géographique*socio=te. Ces fusions réduisent le nombre*socio=rien de concurrents*socio=ac sur*socio=rien le marché*socio=ec1, ce qui en soi*socio=rien a tendance*socio=ec2 à faire monter les prix*socio=ec1, exactement comme dans le cas*socio=rien d'une entente*socio=et. Toutefois, les décisions*socio=rien au titre*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 concernant les fusions horizontales sont compliquées par le fait*socio=rien que, en permettant à d'anciens*socio=rien rivaux d'intégrer leurs installations de_production*socio=ec1, ces fusions peuvent aussi avoir une *socio=rien incidence sur les*socio=nil *socio=ec1 coûts de_production.*socio=nil *socio=nil Si une fusion*socio=rien a pour effet*socio=rien de réduire les coûts*socio=ec1 variables, elle peut en réalité*socio=ec2 faire baisser les prix*socio=ec1 du marché*socio=ec1 par rapport*socio=rien à ceux qui étaient pratiqués auparavant, et elle est*socio=rien alors souhaitable*socio=rien d'un*socio=rien point*socio=rien de vue*socio=rien social*socio=et. Même si les coûts*socio=ec1 variables restent inchangés*socio=rien , une fusion*socio=rien peut *socio=rien être souhaitable *socio=nil lorsqu'elle permet de faire des économies*socio=ec1 suffisantes*socio=rien au titre*socio=rien des coûts*socio=ec1 fixes. Par exemple*socio=rien , des économies*socio=ec1 peuvent être*socio=rien réalisées du fait*socio=rien que l'on évite les doubles emplois*socio=ec1 en ce qui concerne la mise au point*socio=rien des produits*socio=rien et des procédés, la commercialisation*socio=ec1, la distribution, l'administration, etc. Les autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 ont alors des difficultés*socio=ec2 à trancher, ce qui n'est*socio=rien pas le cas*socio=rien avec les ententes*socio=et horizontales qui ne permettent pas de faire des économies*socio=ec1, ou alors uniquement*socio=rien des économies*socio=ec1 très limitées. Ainsi, la théorie*socio=ec2 économique*socio=ec1 ne donne pas de réponse globale à la question*socio=rien de savoir*socio=rien si une *socio=rien fusion est souhaitable,*socio=nil *socio=nil mais elle donne à penser que la réponse doit être*socio=rien trouvée *socio=rien après un examen*socio=ec2 *socio=nil approfondi de la *socio=rien situation particulière du*socio=nil secteur en*socio=nil cause.*socio=nil *socio=nil Les fusions verticales se réalisent entre des entreprises*socio=ac qui opèrent à différents*socio=rien stades*socio=te du processus*socio=te de_production*socio=ec1 et de commercialisation*socio=ec1 dans *socio=rien un secteur.*socio=nil *socio=nil Elles ont souvent pour but*socio=rien une amélioration*socio=uv1 de l'efficience*socio=uv3 grâce*socio=rien à une réduction*socio=ec2 des coûts*socio=ec1 de transaction*socio=ec1 et autres coûts*socio=ec1 par l'internalisation des différents*socio=rien stades*socio=te de la production*socio=ec1 et de la distribution, mais elles peuvent aussi être*socio=rien utilisées pour interdire l'accès*socio=uv1 des concurrents*socio=ac aux sources*socio=rien d'approvisionnement*socio=ec1 en intrants ou aux circuits de distribution. Les fusions conglomérales regroupent des entreprises*socio=ac exerçant des activités*socio=rien qui n'ont pas de liens*socio=rien entre elles. Ces fusions ne posent généralement pas de problème*socio=uv4 du point*socio=rien de vue*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 car, d'une *socio=rien manière générale,*socio=nil *socio=nil elles n'augmentent pas la puissance*socio=uv1 que les entreprises*socio=ac peuvent exercer sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de produits*socio=rien visés. Toutefois, elles suscitent parfois des préoccupations*socio=uv4 en cas*socio=rien de subventions*socio=ec1 croisées et d'arrangements*socio=et réciproques*socio=uv2 visant à limiter*socio=rien la concurrence*socio=ec1 qui couvrent différents*socio=rien marchés*socio=ec1. Dans la pratique*socio=et, la *socio=rien principale question *socio=nil que les organismes*socio=ac chargés de la concurrence*socio=ec1 traitent lorsqu'ils examinent *socio=rien un projet de*socio=nil fusion est *socio=nil celle de savoir*socio=rien s'il accroîtrait de *socio=rien manière substantielle la*socio=nil capacité*socio=uv3 *socio=nil d'exercer une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1. En règle générale*socio=rien , ils analysent pour cela l'incidence*socio=rien que la fusion*socio=rien peut avoir sur*socio=rien les parts*socio=rien de marché*socio=ec1 ou le degré*socio=rien de concentration*socio=ec2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de produits*socio=rien et les marchés*socio=ec1 géographiques*socio=te pertinents*socio=rien , ainsi que divers autres facteurs*socio=rien , tels que les barrières*socio=et qui existent à l'entrée*socio=rien et la nature*socio=rien et l'importance*socio=rien de l'innovation*socio=uv3 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 (voir l'encadré IV.2 pour certaines*socio=rien définitions et *socio=rien concepts analytiques clés *socio=nil de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1). En outre, ils peuvent tenir compte*socio=rien de l'effet*socio=rien de la *socio=rien fusion sur l'*socio=nil efficience*socio=uv3,*socio=nil *socio=nil dans la mesure*socio=rien où la législation*socio=et nationale*socio=te pertinente*socio=rien les y autorise. *{p.49} ENCADRÉ IV.2 a)Règles*socio=et per se ou règle de raison*socio=rien . Il s'agit d'une distinction*socio=rien fondamentale*socio=uv4 établie dans le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1. Les règles*socio=et per se indiquent qu'une pratique*socio=et donnée ( par exemple*socio=rien , les soumissions concertées ou concentrations horizontales sur*socio=rien les prix*socio=ec1) est*socio=rien absolument interdite, ce qui reflète l'idée*socio=rien qu'un*socio=rien tel *socio=rien comportement est *socio=nil tout à fait*socio=rien préjudiciable*socio=et. L'application*socio=rien de la "règle de raison*socio=rien " à une pratique*socio=et donnée signifie que la légalité de cette *socio=rien pratique est *socio=nil évaluée en fonction*socio=rien de ses effets*socio=rien économiques*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 pertinents*socio=rien . Par exemple*socio=rien , dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, les restrictions*socio=et verticales sur*socio=rien le marché*socio=ec1 sont soumises à la règle de raison*socio=rien - l'idée*socio=rien étant que ces restrictions*socio=et ne sont pas toujours préjudiciables*socio=et et peuvent même être*socio=rien favorables*socio=ec2 dans des *socio=rien circonstances particulières.*socio=nil *socio=nil b) Puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1. L'une des *socio=rien questions clés qui*socio=nil est *socio=nil posée dans de nombreuses*socio=rien affaires*socio=ec1 au titre*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien de savoir*socio=rien s'il existe une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 ou s'il *socio=rien est possible *socio=nil qu'une telle puissance*socio=uv1 soit établie ou renforcée. D'une *socio=rien manière générale cette*socio=nil expression *socio=nil s'étend de la capacité*socio=uv3 d'une entreprise*socio=ac (ou d'un*socio=rien groupe*socio=rien d'entreprises*socio=ac agissant conjointement) de maintenir avec profit*socio=ec1 les prix*socio=ec1 au dessus du niveau*socio=rien concurrentiel*socio=ec2 pendant une période*socio=te assez longue*socio=rien . Les facteurs*socio=rien qui contribuent à l'établissement*socio=rien d'une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 sont à *socio=rien un fort degré de*socio=nil concentration*socio=ec2 sur le*socio=nil marché*socio=ec1,*socio=nil l'*socio=nil existence de*socio=nil barrières*socio=et *socio=nil à l'entrée*socio=rien et l'absence*socio=rien de produits*socio=rien pouvant se substituer au produit*socio=ec1 fourni par les entreprises*socio=ac dont le *socio=rien comportement est *socio=nil à l'examen*socio=ec2. L'exercice*socio=rien de la puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 peut avoir pour conséquences*socio=rien , outre l'application*socio=rien de prix*socio=ec1 supérieurs*socio=rien au niveau*socio=rien concurrentiel*socio=ec2, une baisse*socio=ec2 de la qualité*socio=rien des services*socio=ec1 ou une absence*socio=rien d'innovation*socio=uv3 sur*socio=rien le ou les marchés*socio=ec1 considérés. c) Marchés*socio=ec1 de produits*socio=rien et marchés*socio=ec1 géographiques*socio=te pertinents*socio=rien . La définition des marchés*socio=ec1 de produits*socio=rien et des marchés*socio=ec1 géographiques*socio=te *socio=rien pertinents est une*socio=nil étape*socio=te clé *socio=nil de l'analyse*socio=rien de nombreuses*socio=rien affaires*socio=ec1 examinées au titre*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil *socio=nil il faut pour cela identifier l'éventail*socio=rien des proches*socio=rien substituts d'un*socio=rien produit*socio=ec1 et l'espace*socio=te géographique*socio=te dans lequel les consommateurs*socio=ac peuvent aisément se tourner vers d'autres fournisseurs*socio=ac pour se procurer le produit*socio=ec1. Les marchés*socio=ec1 géographiques*socio=te pertinents*socio=rien peuvent être*socio=rien locaux*socio=te, nationaux*socio=te, internationaux*socio=te, ou même mondiaux*socio=te, selon le produit*socio=ec1 à l'examen*socio=ec2, la nature*socio=rien de la rivalité entre les fournisseurs*socio=ac du produit*socio=ec1 et la présence*socio=rien ou l'absence*socio=rien de facteurs*socio=rien (par exemple*socio=rien frais*socio=ec1 de transport*socio=ec1, droits*socio=uv1 de douane*socio=ac ou autres mesures*socio=et) qui empêchent les importations*socio=ec1 de contrer l'exercice*socio=rien de la puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 intérieur*socio=te. {fin*socio=rien de l'encadré IV,2} Restrictions*socio=et verticales du marché*socio=ec1. Les restrictions*socio=et verticales du marché*socio=ec1 désignent les accords*socio=et conclus entre opérateurs*socio=ac à divers stades*socio=te du processus*socio=te de_production*socio=ec1 et de distribution. Ces arrangements*socio=et font souvent l'objet*socio=rien de dispositions spécifiques*socio=rien dans les législations*socio=et nationales*socio=te sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 ou sont traités*socio=rien comme des *socio=rien exemples possibles d'*socio=nil abus*socio=uv1 de*socio=nil position dominante*socio=uv2 *socio=nil dans le cas*socio=rien d'une approche fondée sur*socio=rien la règle de raison*socio=rien ou d'une approche cas*socio=rien par cas*socio=rien . Au nombre*socio=rien de ces arrangements*socio=et figurent les accords*socio=et d'exclusivité*socio=rien (restrictions*socio=et limitant pour une entreprise*socio=ac le choix*socio=uv1 de ses acheteurs*socio=ac ou de ses fournisseurs*socio=ac), les accords*socio=et d'exclusivité*socio=rien territoriale*socio=te (restrictions*socio=et limitant le choix*socio=uv1 de l'emplacement*socio=rien d'une entreprise*socio=ac), les accords*socio=et de ventes*socio=ec1 liées (restrictions*socio=et concernant la source*socio=rien des approvisionnements*socio=ec1 pour *socio=rien certaines catégories de*socio=nil facteurs *socio=nil utilisés par l'entreprise*socio=ac) et la pratique*socio=et des prix*socio=ec1 de vente*socio=ec1 imposés (restrictions*socio=et concernant le prix*socio=ec1 *socio=rien devant être *socio=nil pratiqué par les entreprises*socio=ac en aval*socio=rien ). S'il *socio=rien est difficile *socio=nil d'évaluer ces types d'arrangements*socio=et, c'est*socio=rien que tout en restreignant la capacité*socio=uv3 des entreprises*socio=ac de participer librement à la concurrence*socio=ec1, ils peuvent avoir pour effet*socio=rien d'accroître l'efficience*socio=uv3. *socio=rien Un exemple simple de*socio=nil situation *socio=nil dans laquelle on peut constater qu'ils améliorent l'efficience*socio=uv3 est*socio=rien celui de la "double*socio=rien marginalisation*socio=uv1": chaque entreprise*socio=ac d'une chaîne*socio=rien verticale impose une marge sur*socio=rien le coût*socio=ec1 de ses intrants pour réaliser un*socio=rien profit*socio=ec1. Le prix*socio=ec1 à payer*socio=rien par le consommateur*socio=ac sera inutilement accru du fait*socio=rien que les marges ultérieures*socio=te s'ajoutent aux marges antérieures*socio=te. Ce problème*socio=uv4 tient à *socio=rien un manque de*socio=nil coordination*socio=uv3 des*socio=nil décisions *socio=nil concernant les prix*socio=ec1 des entreprises*socio=ac liées verticalement. La théorie*socio=ec2 économique*socio=ec1 donne à penser que le bien-être augmenterait si les entreprises*socio=ac en amont pouvaient empêcher les entreprises*socio=ac en aval*socio=rien d'ajouter des marges en fixant les prix*socio=ec1 que les entreprises*socio=ac en aval*socio=rien font payer*socio=rien à leurs clients*socio=ac - c'est-à-dire en suivant*socio=rien la pratique*socio=et des prix*socio=ec1 imposés. Un*socio=rien autre exemple*socio=rien d'arrangement*socio=et vertical est*socio=rien celui d'un*socio=rien fabricant qui vend par l'intermédiaire de plusieurs détaillants*socio=ac. Le fabricant peut alors bénéficier d'une diminution*socio=ec2 de la concurrence*socio=ec1 "intra-marque" entre points*socio=rien de vente*socio=ec1 au détail*socio=rien ." Par exemple*socio=rien , un*socio=rien fournisseur*socio=ac peut exiger que tous les négociants revendent son produit*socio=ec1 au même prix*socio=ec1. On peut dire que cette pratique*socio=rien des "prix*socio=ec1 imposés" réduit la concurrence*socio=ec1 intra-marque au détriment*socio=uv2 des consommateurs*socio=ac. Elle peut aussi faciliter la collusion, car il est*socio=rien alors plus facile*socio=rien de collecter des statistiques*socio=ec2 de prix*socio=ec1 et de déceler ainsi s'il y a tricherie*socio=ec1 par rapport*socio=rien au prix*socio=ec1 convenu. L'accord*socio=et d'exclusivité*socio=rien territoriale*socio=te *socio=rien est un arrangement*socio=et *socio=nil contractuel du même ordre*socio=rien , qui peut aussi limiter*socio=rien la concurrence*socio=ec1 intra-marque. Par exemple*socio=rien , un*socio=rien producteur*socio=ac peut attribuer des zones*socio=te différentes*socio=rien à différents*socio=rien détaillants*socio=ac, avec un*socio=rien droit*socio=uv1 de vente*socio=ec1 exclusif*socio=rien dans cette zone*socio=te. En limitant la concurrence*socio=ec1 entre détaillants*socio=ac, le fabricant peut inciter plus vivement chacun d'entre eux à réaliser des investissements*socio=ec1 qui sont favorables*socio=ec2 aux consommateurs*socio=ac (par exemple*socio=rien , communication*socio=ec1 de renseignements*socio=ec2 utiles*socio=uv4). Ces restrictions*socio=et verticales peuvent aussi servir à protéger les investissements*socio=ec1 de notoriété dans des biens*socio=ec1 de consommation*socio=ec1 de marque*socio=rien ou être*socio=rien utilisées par les entreprises*socio=ac pour faciliter leur *socio=rien entrée sur de*socio=nil nouveaux marchés*socio=ec1 *socio=nil en aidant à établir des circuits de distribution efficaces*socio=uv4. *{p.50} Là encore, il est*socio=rien manifeste que les arrangements*socio=et contractuels*socio=ec1 anti-concurrentiels peuvent accroître le bien-être et que les décisions*socio=rien en matière*socio=rien de politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 doivent tenir compte*socio=rien de l'interaction de divers types de distorsion. Abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2. Le classement*socio=rien des pratiques_commerciales*socio=et restrictives*socio=uv4 en restrictions*socio=et horizontales et verticales procède d'une logique*socio=uv4 économique*socio=ec1. La plupart*socio=rien des législations*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 quant à elle établissent aussi une distinction*socio=rien entre les accords*socio=et entre entreprises*socio=ac et "l'abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2" ou la "monopolisation*socio=ec2". Il s'agit là d'une pratique*socio=et utilisée par les entreprises*socio=ac dominantes*socio=uv2 pour maintenir, améliorer ou exploiter une position*socio=rien dominante*socio=uv2 *socio=rien sur un marché*socio=ec1.*socio=nil Les*socio=nil pratiques*socio=et *socio=nil qui peuvent être*socio=rien traitées dans cette rubrique sont, entre autres, les accords*socio=et d'exclusivité*socio=rien , l'exclusion*socio=rien forcée des marchés*socio=ec1 par voie*socio=rien d'intégration*socio=ec2 verticale, les ventes*socio=ec1 liées, le contrôle*socio=uv3 d'installations limitées et de facteurs*socio=rien ou circuits de distribution essentiels*socio=uv4, le comportement*socio=rien prédateur en matière*socio=rien de prix*socio=ec1 ou hors prix*socio=ec1, la discrimination*socio=uv1 par les prix*socio=ec1, les arrangements*socio=et contractuels*socio=ec1 d'exclusivité*socio=rien et, dans certains pays*socio=ac, le *socio=rien simple fait *socio=nil de pratiquer des prix*socio=ec1 supérieurs*socio=rien au niveau*socio=rien concurrentiel*socio=ec2 ou l'imposition*socio=et d'autres pratiques*socio=et abusives*socio=uv2 sous forme*socio=rien d'exploitation*socio=ec1. Il ressort de la discussion*socio=rien qui précède que l'évaluation*socio=ec2 des éventuels*socio=rien abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2 suppose des arbitrages*socio=et complexes et exige donc une analyse*socio=rien détaillée. Les questions*socio=rien qui sont parfois posées dans l'analyse*socio=rien des prétendus abus*socio=uv1 sont les suivantes*socio=rien : i) l'entreprise*socio=ac ou les entreprises*socio=ac concernées ont-elles une puissance*socio=uv1 *socio=rien suffisante sur le*socio=nil marché*socio=ec1 *socio=nil pour adopter *socio=rien un comportement *socio=nil prédateur dans l'espoir*socio=uv1 d'un*socio=rien gain*socio=ec1 pécuniaire? ii) La situation*socio=rien se caractérise-t-elle par des abus*socio=uv1 à répétition ou s'agit-il simplement d'un*socio=rien cas*socio=rien isolé? et iii) Y a-t-il d'autres explications*socio=rien plausibles au comportement*socio=rien en question*socio=rien qui donneraient à penser qu'il pourrait y avoir un*socio=rien objectif*socio=uv4 commercial*socio=ec1 légitime*socio=uv2. Il peut même *socio=rien être difficile *socio=nil d'évaluer si une entreprise*socio=ac occupe une position*socio=rien dominante*socio=uv2. Les pays*socio=ac appliquent des seuils différents*socio=rien en ce qui concerne les parts*socio=rien de marché*socio=ec1. Comme on l'a vu ci-dessus, les parts*socio=rien de marché*socio=ec1 détenues*socio=rien par les entreprises*socio=ac ou le degré*socio=rien de concentration*socio=ec2 du secteur*socio=rien n'indiquent pas précisément le degré*socio=rien de concurrence*socio=ec1 ou de puissance*socio=uv1 monopolistique*socio=ec2 *socio=rien sur un marché*socio=ec1 *socio=nil - les organismes*socio=ac doivent aussi prendre en compte*socio=rien des facteurs*socio=rien comme les barrières*socio=et à l'entrée*socio=rien et la nature*socio=rien et l'importance*socio=rien de l'innovation*socio=uv3 sur*socio=rien le marché*socio=ec1. II.4 Politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 et réglementation*socio=et économique*socio=ec1. En droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1, les interventions des *socio=et autorités gouvernementales *socio=nil sont limitées en ce sens*socio=rien qu'elles fixent simplement les "règles*socio=et du jeu*socio=rien " et n'exigent pas une participation*socio=uv3 aux opérations*socio=rien courantes*socio=te des entreprises*socio=ac. Une autre méthode*socio=rien d'intervention consiste à moins s'en remettre aux mécanismes*socio=rien du marché*socio=ec1 et à fixer beaucoup plus en détail*socio=rien les conditions*socio=ec1 dans lesquelles les opérations*socio=rien ont lieu*socio=rien , ou à aller encore plus loin*socio=rien et à veiller à ce que toutes les activités*socio=rien soient confiées à des entreprises_publiques*socio=et. Ce substitut de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 qu'est*socio=rien la réglementation*socio=et concerne dans la pratique*socio=et de *socio=rien nombreux secteurs *socio=nil de l'économie*socio=ec1. Par exemple*socio=rien , les services*socio=ec1 d'alimentation*socio=ec1 en eau, en électricité*socio=ec1 et en gaz*socio=ec1, les services*socio=ec1 de téléphone*socio=rien , l'agriculture*socio=ec1, les transports*socio=ec1 et les professions libérales*socio=et sont soumises à réglementation*socio=et dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac. Les principaux*socio=rien instruments de la réglementation*socio=et sont des contrôles*socio=et des prix*socio=ec1, des quantités, de la qualité*socio=rien , de l'entrée*socio=rien et de la sortie. Trois situations*socio=rien de base*socio=rien peuvent exiger des interventions réglementaires*socio=et: les monopoles*socio=ec1 naturels*socio=rien , les externalités au plan*socio=rien de la production*socio=ec1 (par exemple*socio=rien , lorsque la production*socio=ec1 peut exposer la santé*socio=et de tiers à des risques*socio=uv4) et les problèmes*socio=ec2 d'information*socio=rien (par exemple*socio=rien , lorsque les consommateurs*socio=ac ne peuvent pas juger de la qualité*socio=rien des services*socio=ec1 fournis). Toutefois, il est*socio=rien établi dans les ouvrages économiques*socio=ec1 que les entreprises*socio=ac en place*socio=rien cherchent souvent à faire adopter une réglementation*socio=et principalement pour se protéger des rigueurs de la concurrence*socio=ec1 sans que cette réglementation*socio=et ait nécessairement une *socio=rien fonction valable *socio=nil liée à l'efficience*socio=uv3. Contrairement à la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, la réglementation*socio=et suppose habituellement une relation*socio=rien continue*socio=te entre celui qui réglemente et ceux qui sont visés par la réglementation*socio=et. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil la*socio=nil réglementation*socio=et *socio=nil tend à être*socio=rien utilisée dans les économies_de_marché*socio=ec1 où les distorsions*socio=ec2 sont réputées être*socio=rien suffisamment graves*socio=rien pour que l'on estime*socio=rien que les mécanismes*socio=rien du marché*socio=ec1, même soumis à la discipline*socio=uv1 de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, ne donnent pas *socio=rien un résultat *socio=nil satisfaisant. À l'heure*socio=rien actuelle*socio=te, de nombreux*socio=rien pays*socio=ac développés*socio=uv4 et en développement*socio=uv3 ont tendance*socio=ec2 à abandonner les réglementations*socio=et détaillées et à recourir de plus en plus aux *socio=rien solutions offertes *socio=nil par le marché*socio=ec1, ce qui tient en partie*socio=rien aux difficultés*socio=ec2 rencontrées avec ces réglementations*socio=et. Les secteurs*socio=rien réglementés sont d'une *socio=rien manière générale *socio=nil exemptés de l'application*socio=rien des législations*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 que ce soit explicitement ou implicitement, et, en même temps*socio=rien , ils sont associés aux problèmes*socio=ec2 de concurrence*socio=ec1 les plus graves*socio=rien , La réglementation*socio=et a souvent des dimensions*socio=rien internationales*socio=te, par exemple*socio=rien lorsqu'elle régit l'accès*socio=uv1 des producteurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 aux marchés*socio=ec1. Elle peut aussi avoir des effets*socio=rien indirects, par exemple*socio=rien dans le cas*socio=rien des services*socio=ec1 d'électricité*socio=ec1, en influant sur*socio=rien les prix*socio=ec1 des intrants dans les secteurs*socio=rien exportateurs*socio=ac. Le traitement*socio=rien des installations essentielles*socio=uv4 *socio=rien est un exemple *socio=nil intéressant de l'interface entre la réglementation*socio=et et la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, qui fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'une *socio=rien attention croissante *socio=nil dans l'économie*socio=ec1 d'aujourd'hui, en_particulier*socio=rien dans le contexte des réseaux*socio=rien d'entreprises*socio=ac. La doctrine*socio=ec2 des installations essentielles*socio=uv4 reconnaît que, dans certains secteurs*socio=rien , la capacité*socio=uv3 des entreprises*socio=ac concurrentes*socio=ec2 d'utiliser certains avoirs*socio=ec1 ou installations uniques*socio=rien , qui sont contrôlés par une seule*socio=rien entreprise*socio=ac et ne peuvent pas être*socio=rien efficacement reproduits peut être*socio=rien une *socio=rien condition préalable *socio=nil à l'existence*socio=rien d'une concurrence*socio=ec1 pour la fourniture*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et services*socio=ec1 donnés. *{p.51} On peut citer à titre*socio=rien d'exemple*socio=rien d'installations essentielles*socio=uv4, les lignes*socio=rien de transport*socio=ec1 d'électricité*socio=ec1, les oléoducs ou gazoducs (dans certains marchés*socio=ec1) et certains segments*socio=rien des réseaux*socio=rien de télécommunication*socio=ec1 qui constituent des intrants essentiels*socio=uv4 pour les services*socio=ec1 en aval*socio=rien . En vertu*socio=rien de la Loi*socio=et antitrust des États-unis*socio=ac, on peut considérer comme un*socio=rien acte de monopolisation*socio=ec2 délibéré le fait*socio=rien de refuser aux entreprises*socio=ac concurrentes*socio=ec2 l'accès*socio=uv1 à une installation essentielle*socio=uv4. En imposant l'obligation*socio=uv1 d'accorder l'accès*socio=uv1 aux installations essentielles*socio=uv4 - ce qui est*socio=rien sans aucun doute une *socio=rien mesure nécessaire *socio=nil dans certains cas*socio=rien - on crée aussi des problèmes*socio=ec2 importants*socio=rien . Premièrement, afin de dédommager de manière*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 le propriétaire de l'installation sans permettre l'application*socio=rien d'un*socio=rien prix*socio=ec1 excessif*socio=rien aux concurrents*socio=ac ou une compression*socio=et anticoncurrentielle de leurs revenus*socio=ec1, il est*socio=rien souvent nécessaire*socio=rien de fixer le prix*socio=ec1 ou le barème*socio=rien de prix*socio=ec1 auquel l'accès*socio=uv1 à l'installation sera assuré. La fixation de prix*socio=ec1 *socio=rien est difficile en*socio=nil soi *socio=nil et peut exiger un*socio=rien suivi continu*socio=rien des coûts*socio=ec1 de l'entreprise*socio=ac et de son taux*socio=rien de rentabilité*socio=ec1. En outre, une fois*socio=rien que l'on s'est*socio=rien efforcé de fixer un*socio=rien prix*socio=ec1 spécifique*socio=rien pour l'accès*socio=uv1, il peut se révéler nécessaire*socio=rien de réglementer la qualité*socio=rien du service fourni et le moment*socio=rien où il est*socio=rien fourni, afin que le monopoleur*socio=ec2 n'esquive pas l'effet*socio=rien de la réglementation*socio=et des prix*socio=ec1 en occultant ces éléments*socio=rien . Enfin, l'expérience*socio=ec2 de secteurs*socio=rien comme celui des télécommunications*socio=ec1 ces dix *socio=rien dernières années *socio=nil a prouvé que de nombreuses*socio=rien installations qui à *socio=rien un moment *socio=nil donné paraissent uniques*socio=rien et essentielles*socio=uv4 peuvent en *socio=rien fait être *socio=nil remplacées par des techniques*socio=rien de substitution*socio=rien . Dans ces secteurs*socio=rien , si l'on rend obligatoire*socio=uv2 l'accès*socio=uv1 aux installations existantes*socio=rien , les nouveaux*socio=rien concurrents*socio=ac sont moins encouragés à "inventer pour contourner" les goulets*socio=rien d'étranglement*socio=ec2 - et le rythme*socio=rien du progrès*socio=uv1 technologique*socio=ec1 diminue. Pour toutes ces raisons*socio=rien , il faut se montrer prudent*socio=ec2 lorsque l'on décide que des avoirs*socio=ec1 donnés sont des installations essentielles*socio=uv4 et que l'on rend obligatoire*socio=uv2 l'accès*socio=uv1 à ces installations." Néanmoins, les prescriptions en matière*socio=rien d'accès*socio=uv1 peuvent dans certains *socio=rien cas être un instrument*socio=nil important *socio=nil pour remédier à des situations*socio=rien monopolistiques*socio=ec2 et promouvoir l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 des concurrents*socio=ac étrangers*socio=uv4. Détournement de la réglementation*socio=et. Il existe une *socio=rien distinction importante *socio=nil entre l'objectif*socio=uv4 déclaré des lois*socio=et et réglementations*socio=et et leurs fins*socio=rien pratiques*socio=et. On peut parfois constater que les politiques_économiques*socio=et, par exemple*socio=rien la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 et la politique_commerciale*socio=ec1, servent les intérêts de certains groupes*socio=rien organisés et non le public*socio=et dans son ensemble*socio=rien . Le concept*socio=rien de détournement de la réglementation*socio=et, ou réglementation*socio=et destinée à protéger les producteurs*socio=ac en place*socio=rien ou d'autres groupes*socio=rien de défense d'intérêts donnés, couvre cette question*socio=rien ." Ce concept*socio=rien repose sur*socio=rien la constatation*socio=rien que les entreprises*socio=ac de *socio=rien nombreux secteurs *socio=nil peuvent en réalité*socio=ec2 chercher à faire adopter une réglementation*socio=et dans leur *socio=rien propre intérêt,*socio=nil *socio=nil car celle-ci peut limiter*socio=rien l'entrée*socio=rien dans le secteur*socio=rien et aider les entreprises*socio=ac en place*socio=rien à tirer un*socio=rien prix*socio=ec1 plus élevé*socio=uv4 de leurs produits*socio=rien . Les idées*socio=rien qui le sous-tendent s'appliquent non seulement à la réglementation*socio=et au *socio=rien sens strict *socio=nil mais aussi à toute mesure*socio=rien gouvernementale*socio=ac qui cherche à influer sur*socio=rien le comportement*socio=rien du secteur_privé*socio=et et a *socio=rien un rapport direct *socio=nil avec la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Le terme*socio=rien "détournement" s'applique à une situation*socio=rien dans laquelle l'organisme*socio=ac de réglementation*socio=et ne défend par les intérêts qu'il est*socio=rien supposé défendre, puisqu'il favorise le secteur*socio=rien soumis à réglementation*socio=et et non le bien-être public*socio=et en général*socio=rien ." Cette situation*socio=rien peut être*socio=rien le résultat*socio=rien d'une corruption*socio=uv1 flagrante. Mais, chose*socio=rien plus intéressante*socio=rien , elle peut aussi prendre des formes*socio=rien plus subtiles et l'organisme*socio=ac de réglementation*socio=et peut ne même pas être*socio=rien conscient*socio=uv2 de ce détournement. Par exemple*socio=rien , les organismes*socio=ac de réglementation*socio=et ont besoin*socio=rien de connaissances*socio=ec2 spécialisées*socio=uv4 sur*socio=rien le secteur*socio=rien qu'ils soumettent à réglementation*socio=et, et ils jugent donc utile*socio=uv4 de recourir aux services*socio=ec1 d'individus*socio=ac qui ont précédemment travaillé dans ce secteur*socio=rien . Il est*socio=rien probable*socio=uv4 que ces personnes*socio=ac auront une attitude positive*socio=uv4 à l'égard*socio=rien du secteur*socio=rien en question*socio=rien . Par ailleurs*socio=rien , il y a souvent des mouvements*socio=ec2 de personnel*socio=ac considérables*socio=rien dans le sens*socio=rien opposé, de l'organisme*socio=ac de réglementation*socio=et vers les secteur*socio=rien . Les responsables*socio=ac de la réglementation*socio=et qui espèrent travailler à l'avenir*socio=te pour le secteur*socio=rien soumis à réglementation*socio=et auront aussi probablement tendance*socio=ec2 à lui être*socio=rien plus favorables*socio=ec2 que ce ne serait normalement le cas*socio=rien . Il s'agit là de *socio=rien considérations additionnelles *socio=nil à prendre en compte*socio=rien dans les cas*socio=rien où les gouvernements*socio=ac ont recours*socio=ec1 à la réglementation*socio=et pour faire face*socio=rien à des pratiques*socio=et jugées anticoncurrentielles*socio=uv4 ou pour d'autres raisons*socio=rien . Du fait*socio=rien des tensions*socio=uv3 entre des aspects*socio=rien de la réglementation*socio=et économique*socio=ec1 et les objectifs*socio=uv4 de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, on considère dans *socio=rien un nombre croissant de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil que la promotion*socio=uv3 de changements*socio=uv3 proconcurrentiels dans la politique*socio=et de la réglementation*socio=et et autres *socio=et politiques gouvernementales *socio=rien est un élément important *socio=nil de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Dans le cadre*socio=rien de ces activités*socio=rien de promotion*socio=uv3, les agents*socio=ac des organismes*socio=ac concernés effectuent des travaux*socio=rien de recherche*socio=ec2 font des représentations formelles*socio=rien aux organismes*socio=ac de réglementation*socio=et et oeuvrent avec d'autres services*socio=ec1 de l'administration à l'élaboration de politiques*socio=et plus larges*socio=rien et d'approches concernant la gestion*socio=ec2 des *socio=ec1 affaires économiques.*socio=nil *{p.52} *socio=rien Un récent rapport *socio=nil de l'OCDE*socio=ac sur*socio=rien la réforme*socio=et des réglementations*socio=et souligne l'importance*socio=rien du travail de promotion*socio=uv3 effectué par les organismes*socio=ac chargés de la concurrence*socio=ec1 pour contrer les effets*socio=rien préjudiciables*socio=et d'une réglementation*socio=et gouvernementale*socio=ac excessive*socio=rien et recommande que les gouvernements*socio=ac confèrent expressément aux organismes*socio=ac le pouvoir*socio=et et les ressources*socio=ec1 nécessaires*socio=rien pour effectuer ces travaux*socio=rien . II.5 La structure*socio=ec1 institutionnelle*socio=ac et l'orientation*socio=et de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 dans les pays*socio=ac développés*socio=uv4: étude*socio=ec2 des approches nationales*socio=te. Les approches nationales*socio=te concernant la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 peuvent être*socio=rien décrites d'après*socio=rien plusieurs caractéristiques*socio=rien , y compris leur structure*socio=ec1 institutionnelle*socio=ac, leur orientation*socio=et globale ou leurs objectifs*socio=uv4 et leur teneur*socio=rien . S'agissant de la structure*socio=ec1 institutionnelle*socio=ac, une *socio=rien question intéressante *socio=nil a trait au degré*socio=rien d'indépendance" à l'égard*socio=rien des pressions*socio=ec2 politiques*socio=et dont jouissent les organismes*socio=ac chargés de la concurrence*socio=ec1." Il convient de noter, toutefois, que différents*socio=rien pays*socio=ac cherchent à assurer le degré*socio=rien d'indépendance qu'ils jugent approprié dans l'administration du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 de *socio=rien différentes manières.*socio=nil Par*socio=nil exemple,*socio=nil certains*socio=nil accordent *socio=nil une très *socio=rien grande importance *socio=nil à la séparation*socio=rien structurelle des organismes*socio=ac chargés de la concurrence*socio=ec1 et des autres organes du gouvernement*socio=ac." Dans d'autres pays*socio=ac, on estime*socio=rien que le degré*socio=rien d'indépendance approprié peut être*socio=rien assuré grâce*socio=rien à des règles*socio=et de procédure*socio=et ou des traditions*socio=rien qui limitent le champ*socio=rien de la participation*socio=uv3 des ministères*socio=ac dans des affaires*socio=ec1 particulières*socio=rien ", ce qui s'explique peut-être par une tradition*socio=uv1 d'indépendance de la prise*socio=rien de décisions*socio=rien des sociétés*socio=ac. Dans d'autres pays*socio=ac encore, l'administration du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 fait*socio=rien délibérément l'objet*socio=rien d'un*socio=rien contrôle*socio=uv3 ministériel*socio=et exprès*socio=rien ." D'un*socio=rien point*socio=rien de *socio=rien vue institutionnel,*socio=nil *socio=nil les autres *socio=rien caractéristiques importantes du*socio=nil droit*socio=uv1 *socio=nil de la concurrence*socio=ec1 qui se retrouvent dans les régimes*socio=et de nombreux*socio=rien pays*socio=ac sont une grande*socio=rien transparence*socio=uv3, assurée par des *socio=rien activités destinées *socio=nil à informer le public*socio=et et un*socio=rien équilibrage effectif*socio=rien des pouvoirs*socio=et en ce qui concerne l'instruction*socio=rien des affaires*socio=ec1 et les mesures*socio=et d'exécution, d'une *socio=rien manière compatible *socio=nil avec les prescriptions et doctrines juridiques*socio=et et administratives*socio=rien en vigueur*socio=uv3 dans les pays*socio=ac en question*socio=rien . L'accent*socio=rien mis sur*socio=rien les objectifs*socio=uv4 globaux*socio=te de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 varie aussi d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. Par exemple*socio=rien , la protection*socio=et du bien-être des consommateurs*socio=ac est*socio=rien généralement considérée comme l'objectif*socio=uv4 premier*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 (antitrust) des États-unis*socio=ac, bien*socio=rien que des *socio=rien lignes directrices récentes *socio=nil montrent que les autorités*socio=et sont aussi sensibles*socio=rien à la promotion*socio=uv3 des gains*socio=ec1 d'efficience*socio=uv3, en_particulier*socio=rien dans le contexte des fusions. L'objectif*socio=uv4 de la promotion*socio=uv3 de l'intégration*socio=uv1 économique*socio=ec1 est*socio=rien essentiel*socio=uv4 en ce qui concerne le rôle*socio=rien et l'application*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 dans la *socio=ac Communauté européenne.*socio=nil En*socio=nil Allemagne,*socio=nil *socio=nil le renforcement de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 a *socio=rien été associé à*socio=nil un *socio=nil effort visant à restaurer une économie_de_marché*socio=ec1 robuste*socio=rien et une société*socio=ac démocratique*socio=uv2 à l'issue*socio=rien de la Deuxième*socio=rien guerre*socio=et mondiale*socio=te. Au Japon*socio=ac, l'objectif*socio=uv4 global*socio=te de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien de protéger les intérêts des consommateurs*socio=ac en général*socio=rien et aussi de promouvoir le développement*socio=uv3 démocratique*socio=uv2 et global*socio=te de l'économie*socio=ec1 nationale*socio=te. Au Royaume-uni*socio=ac, le concept*socio=rien de l'intérêt*socio=uv1 général*socio=rien a joué *socio=rien un rôle important *socio=nil dans le développement*socio=uv3 de la jurisprudence*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1,, néanmoins, les déclarations faites par les responsables*socio=ac font maintenant moins de place*socio=rien à cet aspect*socio=rien et les propositions de lois*socio=et à l'examen*socio=ec2 rendent la législation*socio=et du pays*socio=ac plus conforme*socio=uv4 aux règles*socio=et de la CE, outre qu'elles visent à la moderniser et à la rationaliser d'une *socio=rien manière générale.*socio=nil Le*socio=nil Canada*socio=ac *socio=nil met l'accent*socio=rien sur*socio=rien l'objectif*socio=uv4 global*socio=te de la promotion*socio=uv3 de l'efficience*socio=uv3 économique*socio=ec1 et sur*socio=rien le rôle*socio=rien joué par la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 dans la facilitation de la *socio=et réforme réglementaire *socio=nil et de la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1. *{p.53} L'encadré IV.3 reprend les *socio=rien principaux éléments *socio=nil des approches concernant la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil pays*socio=ac développés*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Il convient de prendre note de deux caractéristiques*socio=rien institutionnelles*socio=et de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 qui sont jugées importantes*socio=rien dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac. La *socio=rien première est *socio=nil que le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 ne tient généralement pas compte*socio=rien de la nationalité*socio=ac des entreprises*socio=ac qui opèrent *socio=rien sur un marché*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil et qu'il s'attache plutôt à déterminer dans quelle mesure*socio=rien elles contribuent à assurer *socio=rien un degré élevé*socio=uv4 *socio=nil de rivalité entre les entreprises*socio=ac. *{p.54} La *socio=rien deuxième est *socio=nil que le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 a pour objet*socio=rien de protéger la concurrence*socio=ec1 en tant que processus*socio=te plutôt qu'à promouvoir les intérêts d'entreprises*socio=ac données *socio=rien sur un marché*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Une autre variable importante*socio=rien de la structure*socio=ec1 institutionnelle*socio=ac de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien le rôle*socio=rien des *socio=et autorités publiques,*socio=nil par*socio=nil opposition*socio=rien aux*socio=nil entreprises_privées *socio=nil et aux particuliers*socio=rien , dans le dépôt*socio=ec1 des plaintes. Dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac développés*socio=uv4 et en développement*socio=uv3, les *socio=et autorités publiques sont*socio=nil responsables*socio=uv2 au*socio=nil premier_chef*socio=ac *socio=nil de l'instruction*socio=rien des affaires*socio=ec1 et des poursuites*socio=rien en cas*socio=rien de violation de la loi*socio=et. Toutefois, dans certains pays*socio=ac (notamment aux États-unis*socio=ac), les actions*socio=rien intentées devant*socio=rien les tribunaux*socio=ac par des parties*socio=rien privées*socio=et contribuent dans une *socio=rien large mesure *socio=nil à assurer activement le respect*socio=uv1 de la loi*socio=et. En réalité*socio=ec2, il semblerait que, dans plusieurs pays*socio=ac, on envisage la possibilité*socio=rien de permettre, voire d'encourager, un*socio=rien renforcement du rôle*socio=rien des parties*socio=rien privées*socio=et dans l'application*socio=rien de la loi*socio=et. En donnant au secteur_privé*socio=et des droits*socio=uv1 en matière*socio=rien d'exécution, on libérerait des ressources*socio=ec1, que les organismes_publics chargés de faire respecter la loi*socio=et pourraient consacrer aux affaires*socio=ec1 ayant plus d'importance*socio=rien en raison*socio=rien de leurs *socio=rien effets sur l'*socio=nil économie*socio=ec1 *socio=nil ou la jurisprudence*socio=et du pays*socio=ac. *socio=rien Un phénomène important *socio=nil observé ces *socio=rien dernières années *socio=nil dans l'orientation*socio=et institutionnelle*socio=ac de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 de plusieurs pays*socio=ac développés*socio=uv4 est*socio=rien la sensibilisation à l'aspect*socio=rien dynamique*socio=uv4 de la concurrence*socio=ec1 et le "réglage de précision*socio=rien " de l'application*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 aux industries*socio=ec1 du savoir*socio=rien , à la recherche-développement*socio=ec2 et aux pratiques*socio=et des licences*socio=et dans le domaine*socio=rien de la propriété*socio=ec1 intellectuelle*socio=rien , Le concept*socio=rien de "marchés*socio=ec1 de l'innovation*socio=uv3" a été*socio=rien élaboré pour évaluer les effets*socio=rien de pratiques_commerciales*socio=et données, et d'éventuelles*socio=rien interventions au titre*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, sur*socio=rien les incitations*socio=uv3 à innover dans divers secteurs*socio=rien , Le rôle*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 dans l'optique des industries*socio=ec1 du savoir*socio=rien a *socio=rien été un thème central *socio=nil des audiences publiques*socio=et que la Commission*socio=ac fédérale*socio=et du commerce*socio=ec1 des États-unis*socio=ac a tenues en 1995-1996. D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil *socio=nil ces audiences ont fait*socio=rien ressortir l'importance*socio=rien globale de la concurrence*socio=ec1 en tant que stimulant de l'innovation*socio=uv3 et de l'efficience*socio=uv3 dynamique*socio=uv4, et confirmer que la teneur*socio=rien et l'orientation*socio=et générales*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 suivie par les États-unis*socio=ac étaient judicieuses*socio=uv4, tout en donnant à penser que des ajustements*socio=et mineurs*socio=rien pourraient être*socio=rien apportés aux politiques*socio=et d'exécution en ce qu'elles s'appliquaient aux industries*socio=ec1 novatrices." On a observé une *socio=rien évolution semblable *socio=nil dans d'autres pays*socio=ac. Enfin, *socio=rien un fait nouveau important *socio=nil intervenu ces dix *socio=rien dernières années *socio=nil dans la structure*socio=ec1 institutionnelle*socio=ac et l'orientation*socio=et de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 des pays*socio=ac développés*socio=uv4 est*socio=rien l'internationalisation*socio=te croissante*socio=rien des activités*socio=rien d'exécution, et en_particulier*socio=rien la multiplication*socio=rien des accords*socio=et de coopération*socio=uv1 multilatéraux pour faire face*socio=rien au comportement*socio=rien anticoncurrentiel qui s'exerce au-delà des *socio=te frontières nationales.*socio=nil *socio=nil D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil ces*socio=nil accords*socio=et constituent*socio=nil un cadre *socio=nil pour des notifications et consultations*socio=uv1 sur*socio=rien les activités*socio=rien d'exécution touchant aux intérêts de plusieurs pays*socio=ac. Dans certains cas*socio=rien , ils prévoient aussi des enquêtes conjointes, et l'application*socio=rien du principe*socio=ec2 de la courtoisie*socio=uv1 entre les nations*socio=te, qu'il s'agisse de la courtoisie*socio=uv1 "positive*socio=uv4" ou de la courtoisie*socio=uv1 traditionnelle*socio=rien , en ce qui concerne les mesures*socio=et d'exécution." Ces accords*socio=et ont joué *socio=rien un rôle important *socio=nil dans plusieurs procédures*socio=et, engagées pour faire respecter la loi*socio=et, qui ont abouti." La mondialisation*socio=te a une autre conséquence*socio=rien , à savoir*socio=rien que, dans l'évaluation*socio=ec2 d'arrangements*socio=et commerciaux*socio=ec1 donnés, suivant*socio=rien la nature*socio=rien des produits*socio=rien visés et l'ampleur*socio=rien de la concurrence*socio=ec1, les organismes*socio=ac chargés de la concurrence*socio=ec1 définissent*socio=rien de plus en plus les marchés*socio=ec1 comme étant internationaux*socio=te et donnent *socio=rien un poids considérable au*socio=nil rôle des*socio=nil importations*socio=ec1 *socio=nil en tant que facteur*socio=rien pouvant empêcher l'exercice*socio=rien d'une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 dans leur juridiction*socio=et. II.6 Le *socio=rien rôle croissant *socio=nil de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=ac et les économies_en_transition*socio=ec1. Il y a encore une dizaine*socio=rien d'années*socio=rien , le groupe*socio=rien des pays*socio=ac qui avaient des législations*socio=et bien*socio=rien développées*socio=uv4 en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 était constitué en *socio=rien majeure partie de*socio=nil pays*socio=ac développés*socio=uv4.*socio=nil Ces*socio=nil dernières années *socio=nil toutefois, *socio=rien un nombre croissant de*socio=nil pays_en_développement*socio=ac *socio=nil et d'économies_en_transition*socio=ec1 ont adopté une législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 ou considérablement*socio=rien amélioré celle qui existait en vue*socio=rien d'établir des économies_de_marché*socio=ec1 saines*socio=uv2. On trouvera récapitulés au tableau*socio=rien IV.1 des renseignements*socio=ec2 sur*socio=rien l'adoption*socio=et de législations*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=ac et les économies_en_transition*socio=ec1. En général*socio=rien , si les pays_en_développement*socio=ac et les économies_en_transition*socio=ec1 accordent*socio=rien une *socio=rien importance croissante *socio=nil à la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, c'est*socio=rien qu'ils reconnaissent de plus en plus le lien*socio=rien qui existe entre les objectifs*socio=uv4 de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 et ceux des réformes*socio=et orientées sur*socio=rien le marché*socio=ec1, qu'il s'agisse de réformes*socio=et internes*socio=te ou de libéralisation*socio=et commerciale*socio=ec1. en_particulier*socio=rien , les réformes*socio=et adoptées par de nombreuses*socio=rien économies*socio=ec1 en développement*socio=uv3 et en transition*socio=uv3 ces *socio=rien dernières années *socio=nil ont pour objectif*socio=uv4 général*socio=rien d'améliorer le fonctionnement*socio=rien des marchés*socio=ec1 de produits*socio=rien , de capitaux*socio=ec1 et de facteurs*socio=rien au plan*socio=rien interne*socio=te, tout en facilitant l'adaptation*socio=uv3 à la concurrence*socio=ec1 internationale*socio=te. *{p.55} La politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 *socio=rien est un *socio=nil instrument qui renforce les effets*socio=rien bénéfiques de ces réformes*socio=et en encourageant les gains*socio=ec1 d'efficience*socio=uv3 et en aidant à les transférer (du moins en partie*socio=rien ),aux consommateurs*socio=ac, tout en facilitant l'adaptation*socio=uv3 à la concurrence*socio=ec1 internationale*socio=te. Par exemple*socio=rien , l'existence*socio=rien d'une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 efficace*socio=uv4 peut aider à faire en sorte*socio=rien que les secteurs*socio=rien qui sont privatisés et/ou déréglementés ne puissent se réorganiser en monopoles*socio=ec1 privés*socio=et. Par ailleurs*socio=rien , tant dans les économies*socio=ec1 en développement*socio=uv3 que dans les économies_en_transition*socio=ec1, la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 a été*socio=rien délibérément utilisée comme un*socio=rien instrument d'intégration*socio=uv1 économique*socio=ec1 régionale*socio=te. Une question*socio=rien qui se pose parfois lorsqu'on examine le rôle*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 dans le développement*socio=uv3 économique*socio=ec1 est*socio=rien celle de savoir*socio=rien si des politiques*socio=et industrielles*socio=ec1 qui font une *socio=rien grande place *socio=nil aux "champions*socio=ac nationaux*socio=te" (c'est-à-dire les grandes*socio=rien entreprises*socio=ac nationales*socio=te chargées de commercialiser à l'intérieur*socio=te et au plan*socio=rien international*socio=te des lignes*socio=rien de produits*socio=rien donnés) peuvent mieux répondre aux besoins des pays_en_développement*socio=ac. D'après*socio=rien de *socio=rien nombreuses indications *socio=nil toutefois, l'existence*socio=rien d'une concurrence*socio=ec1 *socio=rien vigoureuse sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 intérieurs*socio=te *socio=nil a plus de chances*socio=rien d'accroître la compétitivité*socio=uv1 internationale*socio=te des entreprises*socio=ac nationales*socio=te qu'elle n'en a de lui nuire car, étant exposées à la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien le plan*socio=rien interne*socio=te, les entreprises*socio=ac cherchent à améliorer leurs produits*socio=rien et leurs techniques*socio=rien de commercialisation*socio=ec1 et à s'adapter*socio=rien rapidement à l'évolution*socio=rien de la *socio=rien situation sur le*socio=nil marché*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Dans certains cas*socio=rien , il peut *socio=rien être important *socio=nil aussi de prendre en compte*socio=rien la nécessité*socio=uv1 qu'ont les entreprises*socio=ac de réaliser des économies*socio=ec1 d'échelle*socio=rien , mais même là la mise en oeuvre*socio=rien de disciplines*socio=rien en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1, associée*socio=rien à des mesures*socio=et de libéralisation*socio=et commerciale*socio=ec1 qui permettent aux entreprises*socio=ac de produire pour les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te, sert mieux l'objectif*socio=uv4 de l'amélioration*socio=uv1 de la compétitivité*socio=uv1 internationale*socio=te. L'existence*socio=rien de conditions*socio=ec1 assurant le jeu*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 et d'une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 permettant de régler les différends*socio=uv2 d'une *socio=rien manière compatible *socio=nil avec le principe*socio=ec2 de la primauté*socio=uv4 du droit*socio=uv1 peut aussi contribuer à accroître l'intérêt*socio=rien que présentent les pays_d'_accueil*socio=ac pour l'investissement*socio=ec1 et le transfert de technologies*socio=ec1. Les législations*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 des économies*socio=ec1 en développement*socio=uv3 et en transition*socio=uv3 sont souvent calquées sur*socio=rien celles des économies*socio=ec1 développées*socio=uv4 tout en restant adaptées aux besoins spéciaux*socio=rien des économies_de_marché*socio=ec1 émergentes*socio=ec2. Par exemple*socio=rien , les lois*socio=et des économies*socio=ec1 en mutation*socio=ec2 de l'Europe*socio=ac orientale*socio=et sont fondées dans une *socio=rien large mesure sur *socio=nil celles de la *socio=ac Communauté européenne *socio=nil et de l'Allemagne*socio=ac, alors que celles des pays*socio=ac d'amérique_latine*socio=ac reprennent dans une *socio=rien centaine mesure *socio=nil les dispositions des États-unis*socio=ac et du Canada*socio=ac ainsi que de la *socio=ac Communauté européenne.*socio=nil *{p.56} *socio=rien Bien sûr,*socio=nil l'*socio=nil adoption*socio=et de*socio=nil législations*socio=et sur la*socio=nil concurrence*socio=ec1 n'*socio=nil est en*socio=nil soi qu'*socio=nil un des*socio=nil moyens*socio=ec1 *socio=nil dont les pays*socio=ac disposent pour renforcer la concurrence*socio=ec1 et le rôle*socio=rien des forces_du_marché*socio=ec1 dans leur économie*socio=ec1. D'autres instruments importants*socio=rien sont la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1, l'élimination*socio=ec2 des *socio=et régimes réglementaires inefficaces*socio=uv4 *socio=nil et, le cas*socio=rien échéant, une démonopolisation*socio=et structurelle des secteurs*socio=rien . Certes, la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien la plus efficace*socio=uv4 lorsqu'elle est*socio=rien introduite conjointement avec d'autres réformes*socio=et axées sur*socio=rien le marché*socio=ec1. À cet égard*socio=rien , *socio=rien un aspect *socio=nil intéressant des législations*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 mises en oeuvre*socio=rien par certaines*socio=rien économies_en_transition*socio=ec1 est*socio=rien qu'elles contiennent des dispositions spécifiques*socio=rien prévoyant un*socio=rien examen*socio=ec2 des réformes*socio=et du marché*socio=ec1, comme la privatisation*socio=et prospective. II.7 Lacunes*socio=ec2 constatées dans le champ*socio=rien d'application*socio=rien et la portée*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1. Les exceptions*socio=rien et exemptions sont *socio=rien un facteur important *socio=nil qui peut limiter*socio=rien l'efficacité*socio=uv3 globale des législations*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1. On peut les classer en deux grandes*socio=rien (catégories*socio=rien ) les exemptions explicites*socio=rien , qui sont prévues dans la législation*socio=et ou la réglementation*socio=et,, et ii) les exemptions implicites, dans les cas*socio=rien où la loi*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien supplantée par des *socio=et régimes réglementaires sectoriels*socio=rien *socio=nil ou par un*socio=rien régime*socio=et nationalisé ou prévoyant un*socio=rien contrôle*socio=uv3 de l'État*socio=ac. Une étude*socio=ec2 majeure*socio=rien réalisée récemment au sujet*socio=rien du champ*socio=rien et de la portée*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 met l'accent*socio=rien *socio=rien sur un certain nombre de*socio=nil secteurs *socio=nil dans lesquels ces exemptions peuvent être*socio=rien constatées dans les pays*socio=ac développés*socio=uv4. Ces secteurs*socio=rien sont indiqués dans le tableau*socio=rien IV.2. Le tableau*socio=rien IV.2 indique que les exemptions de l'application*socio=rien de la loi*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 dans les pays*socio=ac développés*socio=uv4 se retrouvent généralement dans les secteurs*socio=rien qui font l'objet*socio=rien d'une réglementation*socio=et gouvernementale*socio=ac spécifique*socio=rien . Ces secteurs*socio=rien sont l'agriculture*socio=ec1, la pêche*socio=ec1 et la sylviculture, l'énergie*socio=ec1 et les services_publics*socio=et, les transports*socio=ec1 et les services*socio=ec1 postaux. D'autres secteurs*socio=rien dans lesquels on constate des exemptions partielles*socio=rien ou totales*socio=rien sont la défense, les communications*socio=ec1, les marchés_financiers*socio=ec1 (y compris les assurances), les média et l'édition et, dans certains pays*socio=ac, une partie*socio=rien du secteur*socio=rien de la distribution et du secteur*socio=rien manufacturier*socio=ec1. Un*socio=rien autre *socio=rien vaste domaine *socio=nil dans lequel il existe des exemptions dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac développés*socio=uv4 est*socio=rien celui des petites*socio=rien et moyennes*socio=rien entreprises*socio=ac. On a moins de renseignements*socio=ec2 sur*socio=rien les exemptions de L'application*socio=rien de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=ac mais il semble qu'il y existe aussi d'importantes*socio=rien exceptions*socio=rien et exemptions. Les exceptions*socio=rien et exemptions en ce qui concerne la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 s'expliquent par divers facteurs*socio=rien . Par exemple*socio=rien , les exceptions*socio=rien liées au travail reflètent des considérations*socio=rien de politique*socio=et interne*socio=te se rapportant au rôle*socio=rien des syndicats*socio=ac. Les exceptions*socio=rien concernant les services_publics*socio=et ou le secteur*socio=rien des télécommunications*socio=ec1 peuvent dans une *socio=rien certaine mesure *socio=nil tenir à des craintes au sujet*socio=rien de l'existence*socio=rien de monopoles*socio=ec1 naturels*socio=rien , et les exceptions*socio=rien en matière*socio=rien de défense peuvent s'expliquer par des raisons*socio=rien de sécurité*socio=uv1 nationale*socio=te. Dans certains cas*socio=rien toutefois, il se pourrait bien*socio=rien que le changement*socio=uv3 technologique*socio=ec1, qui a rendu la concurrence*socio=ec1 possible*socio=rien dans de *socio=rien nombreuses situations *socio=nil où l'on estimait antérieurement qu'elle était impossible*socio=rien , ait supprimé la nécessité*socio=uv1 de prévoir des exemptions dans ces secteurs*socio=rien . Dans d'autres, l'existence*socio=rien d'exemptions peut simplement être*socio=rien la conséquence*socio=rien des pressions*socio=ec2 qui se sont exercées en vue*socio=rien d'une protection*socio=et (recherche de rente*socio=et). Aussi reconnaît-on de plus en plus au plan*socio=rien international*socio=te qu'il faut réévaluer périodiquement si les exceptions*socio=rien et exemptions dans le domaine*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 sont toujours nécessaires*socio=rien . II.8 Conclusion. La politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 *socio=rien est un aspect difficile *socio=nil de la prise*socio=rien de décision*socio=rien économique*socio=ec1. il n'existe pas de modèle*socio=rien global*socio=te de la concurrence*socio=ec1 imparfaite*socio=rien qui puisse guider dans tous les cas*socio=rien l'action*socio=rien des responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1. Et même lorsque la théorie*socio=ec2 permet d'identifier des principes*socio=ec2 communs*socio=uv4, il se peut que les leçons*socio=ec2 soient difficiles*socio=rien à mettre en pratique*socio=rien parce qu'elles sont fonction*socio=rien de caractéristiques*socio=rien du marché*socio=ec1 qu'il *socio=rien est difficile en*socio=nil soi *socio=nil d'observer. L'analyse*socio=rien doit tenir compte*socio=rien à la fois*socio=rien des concurrents*socio=ac potentiels*socio=uv4 et des concurrents*socio=ac effectifs*socio=rien , des gains*socio=ec1 d'efficience*socio=uv3 qui peuvent découler des pratiques_commerciales*socio=et restrictives*socio=uv4, des conséquences*socio=rien des décisions*socio=rien en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien la croissance_économique*socio=ec1, etc. Et si certains types de comportements anticoncurrentiels flagrants, comme la fixation des prix*socio=ec1 et la segmentation horizontale des marchés*socio=ec1, devraient selon la plupart*socio=rien des observateurs être*socio=rien interdits en soi*socio=rien , *socio=rien un grand nombre de*socio=nil décisions *socio=nil doivent se fonder sur*socio=rien la règle de raison*socio=rien . Cela vaut également que l'on évalue les pratiques_commerciales*socio=et au niveau*socio=rien national*socio=te ou au niveau*socio=rien international*socio=te. *{p.57} Les objectifs*socio=uv4 déclarés de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, tels que les reflètent la législation*socio=et et les institutions*socio=ac judiciaires*socio=et, englobent *socio=rien un large éventail de*socio=nil buts,*socio=nil *socio=nil dont l'équité*socio=uv1 et la protection*socio=et des possibilités*socio=rien pour les petites*socio=rien et moyennes*socio=rien entreprises*socio=ac, ainsi que l'efficience*socio=uv3 économique*socio=ec1. Il peut parfois y avoir conflit*socio=uv1 entre ces objectifs*socio=uv4. Toutefois, ces dix *socio=rien dernières années,*socio=nil les*socio=nil objectifs*socio=uv4 *socio=nil de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 suivie par de nombreux*socio=rien pays*socio=ac ont eu tendance*socio=ec2 à converger vers les valeurs*socio=ec1 fondamentales*socio=uv4 de l'efficience*socio=uv3 économique*socio=ec1 et du bien-être des consommateurs*socio=ac. Il s'agit là d'un*socio=rien *socio=rien facteur important,*socio=nil *socio=nil qui contribue à assurer une certaine*socio=rien cohérence*socio=uv3 dans les approches concernant la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 de nombreux*socio=rien pays*socio=ac. Les *socio=rien principaux éléments *socio=nil de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 sont les dispositions législatives*socio=et se rapportant aux restrictions*socio=et horizontales et verticales sur*socio=rien le marché*socio=ec1, aux abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2 ou à la monopolisation*socio=ec2 et au contrôle*socio=uv3 des fusions, entre autres. Par ailleurs*socio=rien , *socio=rien un nombre croissant de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil reconnaissent l'importance*socio=rien de la promotion*socio=uv3 de la concurrence*socio=ec1 en tant qu'élément*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Bien*socio=rien que la structure*socio=ec1 institutionnelle*socio=ac de cette politique*socio=et varie considérablement*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre, il existe entre les pays*socio=ac des facteurs*socio=rien communs*socio=uv4, par exemple*socio=rien la volonté d'assurer une certaine*socio=rien indépendance, grâce*socio=rien à un*socio=rien équilibrage des pouvoirs*socio=et, dans les processus*socio=te d'instruction*socio=rien des affaires*socio=ec1, de poursuites*socio=rien et de prise*socio=rien de décision*socio=rien . *socio=rien Un fait nouveau important *socio=nil intervenu au cours*socio=rien des dix *socio=rien dernières années est *socio=nil la mise en oeuvre*socio=rien d'une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 dans *socio=rien un nombre croissant d'*socio=nil économies*socio=ec1 en*socio=nil développement*socio=uv3 *socio=nil et en transition*socio=uv3. Un*socio=rien autre élément-clé de l'évolution*socio=rien de la structure*socio=ec1 institutionnelle*socio=ac de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien l'action*socio=rien menée par les responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 pour mieux faire face*socio=rien au comportement*socio=rien anticoncurrentiel transfrontières, grâce*socio=rien à des accords*socio=et de coopération*socio=uv1 multilatéraux bilatéraux*socio=et. Enfin, il existe *socio=rien un facteur *socio=nil qui limite la capacité*socio=uv3 de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 de traiter les pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, à savoir*socio=rien les exemptions de l'application*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1. On a de plus en plus conscience*socio=uv1 au plan*socio=rien international*socio=te de la nécessité*socio=uv1 de réexaminer la portée*socio=rien de ces exemptions. *{p.58} III. La politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te. L'objet*socio=rien de la *socio=rien présente section est *socio=nil de tenter de préciser les aspects*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 qui, d'après*socio=rien la théorie*socio=ec2 économique*socio=ec1, concerneraient spécialement les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te et d'indiquer dans quelles circonstances*socio=rien il pourrait *socio=rien être possible *socio=nil de renforcer la coopération_internationale*socio=uv1 pour accroître le bien-être. Dans la *socio=rien première partie,*socio=nil *socio=nil on explique de quelle manière*socio=rien essentielle*socio=uv4 la politique_commerciale*socio=ec1 affecte le degré*socio=rien de concurrence*socio=ec1 et on fait*socio=rien aussi valoir que si un*socio=rien commerce*socio=ec1 libéral*socio=et est*socio=rien fondamental pour pallier les imperfections*socio=rien du marché*socio=ec1, même avec une large*socio=rien libéralisation*socio=et et une libre*socio=uv2 circulation*socio=ec2 des facteurs*socio=rien , une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 sera encore nécessaire*socio=rien . Il est*socio=rien procédé ensuite à un*socio=rien examen*socio=ec2 du rôle*socio=rien et de l'incidence*socio=rien de la politique*socio=et nationale*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te. en_particulier*socio=rien , les distorsions*socio=ec2 qui pourraient être*socio=rien causées par les politiques*socio=et nationales*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 sont mises en lumière*socio=rien et, à partir de cette analyse*socio=rien , certaines*socio=rien conclusions quant à l'efficacité*socio=uv3 de *socio=rien différentes solutions aux*socio=nil problèmes*socio=ec2 des*socio=nil distorsions*socio=ec2 *socio=nil sont présentées. Dans la *socio=rien dernière partie,*socio=nil les*socio=nil points essentiels*socio=uv4 *socio=nil de l'analyse*socio=rien sont résumés brièvement. III.1 L'incidence*socio=rien des interventions de politique_commerciale*socio=ec1 sur*socio=rien le comportement*socio=rien des entreprises*socio=ac. Pour préciser la relation*socio=rien entre la politique_commerciale*socio=ec1 et la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, il faut d'abord*socio=rien considérer les effets*socio=rien des obstacles*socio=rien au commerce*socio=ec1 sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1. Dans le cas*socio=rien des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac, il *socio=rien est clair *socio=nil que ces mesures*socio=et augmentent le coût*socio=ec1 de l'approvisionnement*socio=ec1 des marchés*socio=ec1 pour les importateurs*socio=ac et, de ce fait*socio=rien , réduisent la compétitivité*socio=uv1 des importations*socio=ec1. Le rôle*socio=rien des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac quand il existe un*socio=rien monopoleur*socio=ec2 national*socio=te mérite*socio=rien d'être*socio=rien considéré. Le droit*socio=uv1 de douane*socio=ac élargit la fourchette*socio=rien des prix*socio=ec1 que le monopoleur*socio=ec2 Peut appliquer sans perdre des clients*socio=ac au profit*socio=uv3 de fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4. Si par conséquent*socio=rien les fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 sont suffisamment compétitifs*socio=uv4 sans droit*socio=uv1 de douane*socio=ac pour vendre à un*socio=rien prix*socio=ec1 qui limite la capacité*socio=uv3 du monopoleur*socio=ec2 d'appliquer un*socio=rien prix*socio=ec1 de monopole*socio=ec1, le droit*socio=uv1 de douane*socio=ac permet au monopoleur*socio=ec2 de relever le prix*socio=ec1 qu'il applique pour les consommateurs*socio=ac nationaux*socio=te. Si la branche*socio=rien de_production*socio=ec1 nationale*socio=te *socio=rien est un oligopole*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil droit*socio=uv1 de*socio=nil douane*socio=ac *socio=nil relèvera encore le prix*socio=ec1 à la consommation*socio=ec1, mais le mécanisme sera plus complexe et le résultat*socio=rien dépendra de l'analyse*socio=rien des entreprises*socio=ac quant à la mesure*socio=rien dans laquelle leurs prix*socio=ec1 seront affectés par les coûts*socio=ec1 plus élevés*socio=uv4 pour les producteurs*socio=ac étrangers*socio=uv4, du degré*socio=rien de concurrence*socio=ec1 entre les entreprises*socio=ac nationales*socio=te, etc. Ces conséquences*socio=rien des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac et de beaucoup d'autres obstacles*socio=rien au commerce*socio=ec1 sont évidentes*socio=rien . Mais ces obstacles*socio=rien peuvent aussi affecter la concurrence*socio=ec1 de façon*socio=rien plus subtile. D'abord*socio=rien , la compétitivité*socio=uv1 des fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 *socio=rien existants est *socio=nil affectée non seulement par les obstacles*socio=rien au commerce*socio=ec1, mais aussi par le nombre*socio=rien de ces fournisseurs*socio=ac. Plus l'obstacle*socio=rien *socio=rien est important,*socio=nil *socio=nil plus le marché*socio=ec1 est*socio=rien restreint du point*socio=rien de vue*socio=rien des exportateurs*socio=ac vers ce marché*socio=ec1 et plus le nombre*socio=rien des entreprises*socio=ac pour qui il apparaît rentable*socio=ec2 d'entrer sur*socio=rien ce marché*socio=ec1 diminue lorsque cela implique des charges*socio=rien fixes. Cela tend en soi*socio=rien à restreindre le degré*socio=rien de concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1, outre le fait*socio=rien que les obstacles*socio=rien au commerce*socio=ec1 influencent la compétitivité*socio=uv1 des entreprises*socio=ac existantes*socio=rien . De plus, les droits*socio=uv1 de douane*socio=ac, comme d'autres obstacles*socio=rien au commerce*socio=ec1, peuvent aussi influer sur*socio=rien la tendance*socio=ec2 des entreprises*socio=ac à conclure des arrangements*socio=et collusoires (voir plus loin*socio=rien ). Certains obstacles*socio=rien au commerce*socio=ec1, y compris les contingents*socio=ec2 d'importation*socio=ec1 et d'exportation*socio=ec1 et les mesures*socio=et d'autolimitation des exportations*socio=ec1, restreignent directement le volume*socio=rien des échanges*socio=ec1. L'effet*socio=rien négatif*socio=rien de ces mesures*socio=et pour la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien ici encore évident*socio=rien . Il *socio=rien est clair *socio=nil également que ces mesures*socio=et avantagent les entreprises*socio=ac de la branche*socio=rien de_production*socio=ec1 qui ne sont pas directement touchées par la mesure*socio=rien commerciale*socio=ec1, puisqu'en réduisant l'approvisionnement*socio=ec1 du marché*socio=ec1 elles tendent à accroître le prix*socio=ec1 du marché*socio=ec1 - c'est-à-dire la rente*socio=et de contingentement*socio=ec2. En général*socio=rien , il ressort de l'analyse*socio=rien ci-dessus que selon toute probabilité*socio=ec2 la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 sous la forme*socio=rien d'un*socio=rien abaissement*socio=rien des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac et d'un*socio=rien assouplissement*socio=uv3 du caractère*socio=rien restrictif*socio=uv4 des contingents*socio=ec2 a tendance*socio=ec2 à accroître le degré*socio=rien de concurrence*socio=ec1. Il existe cependant une *socio=rien différence importante entre*socio=nil droits*socio=uv1 de*socio=nil douane*socio=ac et*socio=nil restrictions*socio=et *socio=nil quantitatives, D'abord*socio=rien , le droit*socio=uv1 de douane*socio=ac est*socio=rien généralement pénalisant pour les entreprises*socio=ac qui exportent vers le marché*socio=ec1. Les restrictions*socio=et quantitatives, en revanche, peuvent être*socio=rien souhaitées à la fois*socio=rien par les entreprises*socio=ac locales*socio=te et par les concurrents*socio=ac étrangers*socio=uv4 qui bénéficient d'une répartition*socio=uv3 de licences*socio=et d'importation*socio=ec1 satisfaisante*socio=uv4, en raison*socio=rien des effets*socio=rien anticoncurrentiels qui en découlent. Une augmentation quantitative peut être*socio=rien suffisamment prononcée pour compenser l'impact*socio=rien négatif*socio=rien de la diminution*socio=ec2 des ventes*socio=ec1 même pour les entreprises*socio=ac existantes*socio=rien qui exportent vers ce marché*socio=ec1. Cette caractéristique*socio=rien des restrictions*socio=et quantitatives est*socio=rien probablement porteuse de ramifications importantes*socio=rien du point*socio=rien de vue*socio=rien de la politique_économique*socio=ec1. Deuxièmement, il y a des raisons*socio=rien de penser que les *socio=rien effets négatifs des*socio=nil restrictions*socio=et *socio=nil quantitatives pour le degré*socio=rien de concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 d'importation*socio=ec1 sont plus importants*socio=rien que ceux des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac, en ce sens*socio=rien qu'avec une concurrence*socio=ec1 *socio=rien imparfaite un contingent*socio=ec2 *socio=nil résultera en des prix*socio=ec1 intérieurs*socio=te plus élevés*socio=uv4 qu'avec un*socio=rien droit*socio=uv1 de douane*socio=ac générant le même volume*socio=rien d'importations*socio=ec1. En effet*socio=rien , si les fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 sont assujettis à des restrictions*socio=et quantitatives, il leur *socio=rien est impossible *socio=nil de s'approprier une plus *socio=rien grande part du*socio=nil marché*socio=ec1 *socio=nil lorsque les fournisseurs*socio=ac en place*socio=rien restreignent la production*socio=ec1 pour augmenter les prix*socio=ec1. Les subventions*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 peuvent avoir des effets*socio=rien ambigus sur*socio=rien le degré*socio=rien de concurrence*socio=ec1 *socio=rien sur un marché*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil Comme il a été*socio=rien indiqué dans la section*socio=rien II.1, la caractéristique*socio=rien des marchés*socio=ec1 imparfaitement concurrentiels*socio=ec2 - c'est-à-dire des marchés*socio=ec1 particulièrement intéressants*socio=rien sous l'angle*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 - est*socio=rien qu'il y a sous-production par rapport*socio=rien à une situation*socio=rien plus concurrentielle*socio=ec2. Cette sous-production constitue pour les entreprises*socio=ac le principal moyen*socio=rien d'obtenir*socio=rien un*socio=rien surplus*socio=ec1 des consommateurs*socio=ac. Les subventions*socio=ec1 aux entreprises*socio=ac imparfaitement concurrentielles*socio=ec2, toutefois, ont tendance*socio=ec2 à encourager ces entreprises*socio=ac à développer leur production*socio=ec1. Les concurrents*socio=ac peuvent réagir en contenant leur production*socio=ec1. Mais si les subventions*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 accroissent la production*socio=ec1 *socio=rien totale sur le*socio=nil marché*socio=ec1 d'*socio=nil exportation*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil elles tendront à améliorer les effets*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien manque éventuel de*socio=nil concurrence*socio=ec1 sur ce*socio=nil marché*socio=ec1.*socio=nil *{p.59} *socio=nil Cela ne signifie pas, naturellement, que ces subventions*socio=ec1 soient nécessairement désirables*socio=rien du point*socio=rien de vue*socio=rien social*socio=et, et pour plusieurs raisons*socio=rien . D'abord*socio=rien , elles doivent être*socio=rien financées au moyen*socio=rien de la perception de taxes*socio=et, ce qui implique des coûts*socio=ec1 propres*socio=rien en termes*socio=rien de distorsions*socio=ec2. Les subventions*socio=ec1 peuvent aussi être*socio=rien détournées par des groupes_d'_intérêt*socio=ac. Si elles vont par exemple*socio=rien à des branches*socio=rien de_production*socio=ec1 pour lesquelles le pays*socio=ac qui accorde la subvention*socio=ec1 a perdu un*socio=rien avantage_comparatif*socio=ec2, elles tendent à empêcher un*socio=rien ajustement*socio=et à *socio=rien un schéma de*socio=nil spécialisation*socio=uv3 international*socio=te efficient*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil De plus, les subventions*socio=ec1 à des entreprises*socio=ac en place*socio=rien inefficientes peuvent permettre à ces entreprises*socio=ac d'empêcher l'entrée*socio=rien d'entreprises*socio=ac potentiellement plus efficientes*socio=uv4, avec pour résultat*socio=rien des pertes*socio=ec2 d'efficience*socio=uv3 à long_terme*socio=te. Si la pratique*socio=et donne à penser que les coûts*socio=ec1 en question*socio=rien sont généralement supérieurs*socio=rien aux gains*socio=ec1 hypothétiques découlant des subventions*socio=ec1, on notera toutefois que les subventions*socio=ec1 n'ont pas sur*socio=rien le degré*socio=rien de concurrence*socio=ec1 des conséquences*socio=rien aussi évidentes*socio=rien que beaucoup d'autres instruments de politique_commerciale*socio=ec1. La *socio=rien quatrième catégorie de*socio=nil mesures*socio=et commerciales*socio=ec1 comprend*socio=nil diverses formes de*socio=nil mesures*socio=et non*socio=nil tarifaires*socio=et *socio=nil autres que les contingents*socio=ec2 et mesures*socio=et d'autolimitation des exportations*socio=ec1 traditionnels*socio=rien , telles que prescriptions sanitaires*socio=uv2, normes*socio=et de produit*socio=ec1 et prescriptions en matière*socio=rien d'étiquetage*socio=rien . Même si elles sont motivées par des considérations*socio=rien autres, ces mesures*socio=et non tarifaires*socio=et peuvent non seulement affecter les *socio=ec1 flux commerciaux,*socio=nil *socio=nil mais aussi constituer une barrière à l'entrée*socio=rien sur*socio=rien le marché*socio=ec1 et restreindre ainsi la concurrence*socio=ec1, Des normes*socio=et de produit*socio=ec1 nationales*socio=te divergentes*socio=uv2 peuvent impliquer des coûts*socio=ec1 substantiels*socio=rien pour les exportateurs*socio=ac. Les entreprises*socio=ac seront ainsi incitées à se concentrer *socio=rien sur un marché*socio=ec1 particulier *socio=nil (une seule*socio=rien norme*socio=et de produit*socio=ec1), ce qui tendra, à son tour*socio=rien , à renforcer la concentration*socio=ec2 du marché*socio=ec1. La *socio=rien cinquième catégorie de*socio=nil mesures*socio=et commerciales*socio=ec1 *socio=nil ayant des *socio=rien implications immédiates *socio=nil pour la concurrence*socio=ec1 concerne les mesures*socio=et antidumping. Dans la mesure*socio=rien où le dumping*socio=ec1 entraîne des effets*socio=rien défavorables*socio=uv4 pour le pays*socio=ac d'importation*socio=ec1, par exemple*socio=rien si un*socio=rien produit*socio=ec1 est*socio=rien vendu à un*socio=rien prix*socio=ec1 inférieur*socio=rien au coût*socio=ec1 de fabrication*socio=ec1 afin d'éliminer les concurrents*socio=ac et de dégager de ce fait*socio=rien des profits*socio=ec1 de monopole*socio=ec1, les procédures*socio=et antidumping peuvent être*socio=rien alors considérées comme une extension*socio=rien au niveau*socio=rien international*socio=te de la législation*socio=et nationale*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 qui vise à prévenir les abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2. en_principe*socio=ec2, par conséquent*socio=rien , les réglementations*socio=et antidumping peuvent avoir *socio=rien un effet *socio=nil proconcurrentiel. Mais en pratique*socio=rien le comportement*socio=rien d'éviction est*socio=rien extrêmement difficile*socio=rien à identifier sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te et les critères*socio=rien appliqués pour examiner les allégations de dumping*socio=ec1 ne permettent pas de distinguer aisément entre les pratiques*socio=et concurrentielles*socio=ec2 normales*socio=rien , afin par exemple*socio=rien de "soutenir la concurrence*socio=ec1", et les pratiques*socio=et d'éviction. Beaucoup d'économistes*socio=ac ont fait*socio=rien valoir que les procédures*socio=et antidumping étaient souvent utilisées pour restreindre la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1. La question*socio=rien des relations*socio=rien entre la lutte*socio=uv1 contre le dumping*socio=ec1 et la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien traitée de façon*socio=rien plus détaillée dans la section*socio=rien IV. Les données empiriques*socio=ec2 concernant les effets*socio=rien de la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 sur*socio=rien les incitations*socio=uv3 qu'ont les entreprises*socio=ac à se comporter de façon*socio=rien plus ou moins concurrentielle*socio=ec2 confirment en général*socio=rien l'hypothèse proccincurrentielle de la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1. Mais il faut souligner que les *socio=ec2 études empiriques relatives*socio=rien *socio=nil à l'impact*socio=rien de la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 sur*socio=rien le degré*socio=rien de concurrence*socio=ec1 soulèvent beaucoup de problèmes*socio=ec2. Comme il a été*socio=rien dit dans la section*socio=rien II.1, il n'y a pas de *socio=rien relation simple *socio=nil entre les mesures*socio=et de la concurrence*socio=ec1 et du bien-être et, par conséquent*socio=rien , pas de *socio=rien moyen simple *socio=nil de quantifier l'impact*socio=rien proconcurrentiel de la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 sur*socio=rien le bien-être. Les *socio=rien effets sur *socio=nil le bien-être dépendent en *socio=rien grande partie des*socio=nil conséquences *socio=nil de la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 sur*socio=rien les prix*socio=ec1. Il va sans dire que la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 abaisse les prix*socio=ec1 et accroît ainsi le bien-être. Les efforts visant à déterminer dans quelle mesure*socio=rien la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 accroît la concurrence*socio=ec1 soulèvent des difficultés*socio=ec2 conceptuelles. Pour cela en effet*socio=rien , il faut une mesure*socio=rien du degré*socio=rien de concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1. Une mesure*socio=rien pour cela est*socio=rien fournie par les marges prix-coût des entreprises*socio=ac, qui quantifient la déviation entre une *socio=rien situation effective *socio=nil et une *socio=rien situation hypothétique de*socio=nil concurrence*socio=ec1 parfaite.*socio=nil En*socio=nil pratique,*socio=nil la*socio=nil libéralisation*socio=et des*socio=nil échanges*socio=ec1 *socio=nil affectera généralement à la fois*socio=rien la *socio=rien situation effective de*socio=nil concurrence*socio=ec1 imparfaite *socio=nil et le scénario*socio=rien de concurrence*socio=ec1 parfaite*socio=rien qui sert de référence*socio=rien , L'emploi*socio=ec1 de cette mesure*socio=rien aboutit donc au résultat*socio=rien paradoxal que la déviation observée par rapport*socio=rien à la situation*socio=rien de concurrence*socio=ec1 parfaite*socio=rien peut s'accentuer effectivement suite*socio=rien à la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1, bien*socio=rien que les prix*socio=ec1 aient baissé. Si l'on considère par exemple*socio=rien une réduction*socio=ec2 du droit*socio=uv1 de douane*socio=ac *socio=rien sur un produit*socio=ec1 *socio=nil vendu par une entreprise*socio=ac monopolistique*socio=ec2 étrangère, du point*socio=rien de vue*socio=rien de l'entreprise*socio=ac cette réduction*socio=ec2 tarifaire*socio=et *socio=rien est équivalente *socio=nil à une réduction*socio=ec2 de coût*socio=ec1. La libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 en tant que telle a donc pour effet*socio=rien d'accroître la marge prix-coût de cette entreprise*socio=ac. Cette libéralisation*socio=et incitera bien*socio=rien entendu l'entreprise*socio=ac à développer sa production*socio=ec1 et le prix*socio=ec1 baissera lui aussi en conséquence*socio=rien . Mais il n'y a pas lieu*socio=rien de supposer que le prix*socio=ec1 baissera dans une *socio=rien proportion supérieure *socio=nil à la réduction*socio=ec2 de coût*socio=ec1 c'est*socio=rien tout au plus le contraire*socio=rien qui risque*socio=uv4 de se produire. Il se peut donc que la marge prix-coût augmente sous l'effet*socio=rien de la libéralisation*socio=et. Il ne faut évidemment pas y voir le reflet*socio=rien d'une diminution*socio=ec2 du bien-être des consommateurs*socio=ac ou de la concurrence*socio=ec1, mais seulement une limite de la mesure*socio=rien employée. Ce qui précède a des *socio=rien implications importantes *socio=nil pour l'interprétation*socio=ec2 des *socio=ec2 études empiriques sur*socio=rien la*socio=nil corrélation *socio=nil entre les taux*socio=rien de marque*socio=rien des entreprises*socio=ac et les droits*socio=uv1 de douane*socio=ac selon les branches*socio=rien de_production*socio=ec1 et les pays*socio=ac et à *socio=rien différents moments.*socio=nil L'*socio=nil idée est *socio=nil que, si la corrélation*socio=ec2 est*socio=rien positive*socio=uv4, les entreprises*socio=ac très protégées*socio=rien ont tendance*socio=ec2 à se comporter de façon*socio=rien moins concurrentielle*socio=ec2 (avec une marge prix-coût plus importante*socio=rien ). Les quelques études*socio=ec2 disponibles*socio=rien vont en ce sens*socio=rien . Mais dans certains cas*socio=rien , les mesures*socio=et proconcurrentielles sont assez modestes*socio=rien , voire insignifiants du point*socio=rien de vue*socio=rien statistique*socio=ec2. *{p.60} Ainsi, dans une étude*socio=ec2 récente*socio=rien (Économie*socio=ec1 européenne*socio=ac, 1996) de la *socio=ac Communauté européenne,*socio=nil *socio=nil il a été*socio=rien avancé que la création du marché_unique*socio=ec1 européen*socio=ac avait fait*socio=rien baisser les marges prix-coût de 0,2 % par an*socio=rien , soit une réduction*socio=ec2 totale*socio=rien pour la période*socio=te 1986-1992 inférieure à 1,5 %. Il *socio=rien est clair *socio=nil qu'il s'agit d'estimations*socio=ec2 globales et que dans certaines*socio=rien entreprises*socio=ac ou *socio=rien certaines branches de_production*socio=ec1 les*socio=nil effets pourraient*socio=nil être *socio=nil beaucoup plus importants*socio=rien . De plus, ces études*socio=ec2 ne reflètent pas d'autres aspects*socio=rien des gains*socio=ec1 résultant*socio=rien de la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 et de la concurrence*socio=ec1, tels que la pression*socio=ec2 à la baisse*socio=ec2 des prix*socio=ec1 et les incitations*socio=uv3 à l'innovation*socio=uv3 accrues. En conclusion, il y a de *socio=rien fortes raisons *socio=nil de penser, sur*socio=rien la base*socio=rien de considérations*socio=rien théoriques et aussi à la lumière*socio=rien de l'expérience*socio=ec2 pratique*socio=rien , que la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 sous la forme*socio=rien d'un*socio=rien abaissement*socio=rien des droits*socio=uv1 de douane*socio=ac, d'une élimination*socio=ec2 des restrictions*socio=et quantitatives, etc. a des effets*socio=rien proconcurrentiels. Justification*socio=uv3 de la nécessité*socio=uv1 d'une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 même en cas*socio=rien de libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1. Il est*socio=rien naturel de se demander jusqu'où vont les effets*socio=rien proconcurrentiels du commerce*socio=ec1 international*socio=te. Le libre-échange*socio=et, associé*socio=rien à la libre*socio=uv2 mobilité*socio=uv3 des facteurs*socio=rien de_production*socio=ec1, assurerait-il *socio=rien un degré de*socio=nil concurrence*socio=ec1 suffisant *socio=nil pour rendre superflues les politiques*socio=et de la concurrence*socio=ec1 au niveau*socio=rien tant national*socio=te qu'international*socio=te? Derrière cette question*socio=rien se préfigure l'idée*socio=rien que tous les profits*socio=ec1 oligopolistiques générés par les décisions*socio=rien des entreprises*socio=ac (par opposition*socio=rien à ceux qui découlent des réglementations*socio=et des pouvoirs_publics*socio=et) seraient éliminés par le jeu*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 dans *socio=rien un système de*socio=nil libre-échange*socio=et *socio=nil généralisé et de libre*socio=uv2 mobilité*socio=uv3 des facteurs*socio=rien , en raison*socio=rien des *socio=ec2 pressions concurrentielles *socio=rien sur un marché*socio=ec1 mondial*socio=te *socio=nil unifié. Même si l'argument était valable*socio=rien dans son principe*socio=ec2, la nécessité*socio=uv1 d'une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 se ferait encore ressentir dans la pratique*socio=et. Premièrement, il existe *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil obstacles au*socio=nil commerce*socio=ec1 *socio=nil qui ne tiennent pas à la politique_commerciale*socio=ec1, tels les coûts*socio=ec1 de transport*socio=ec1, les barrières*socio=rien linguistiques, le manque*socio=rien d'informations*socio=rien sur*socio=rien les conditions*socio=ec1 de la demande*socio=ec1 locale*socio=te, les différentes*socio=rien législations*socio=et concernant l'innocuité des produits*socio=rien , etc., et ces obstacles*socio=rien au commerce*socio=ec1 devraient persister dans l'immédiat*socio=rien . Ces obstacles*socio=rien ont tendance*socio=ec2 à segmenter les marchés*socio=ec1 et à créer ainsi des créneaux de marché*socio=ec1 géographiques*socio=te où les entreprises*socio=ac peuvent exercer une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1. Ces créneaux peuvent comprendre parfois des pays*socio=ac entiers*socio=rien et parfois des *socio=te zones géographiques *socio=nil plus restreintes. Deuxièmement, les entreprises*socio=ac peuvent aussi prendre *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil initiatives pour*socio=nil limiter la*socio=nil concurrence*socio=ec1 à*socio=nil travers le*socio=nil choix*socio=uv1 *socio=nil de la conception*socio=ec2 des produits*socio=rien (compatibilité*socio=rien avec d'autres produits*socio=rien , par exemple*socio=rien ), la forme*socio=rien des contrats*socio=ec1 avec les distributeurs et les détaillants*socio=ac, la publicité*socio=rien (par exemple*socio=rien création d'images de marque*socio=rien ) ou encore à travers*socio=rien leurs contrats*socio=ec1 avec les consommateurs*socio=ac (rabais*socio=rien de fidélité*socio=uv1 à la marque*socio=rien par exemple*socio=rien ). Toutes ces mesures*socio=et peuvent limiter*socio=rien le degré*socio=rien de concurrence*socio=ec1 auquel sont exposées les entreprises*socio=ac. Troisièmement, il existe aussi des raisons*socio=rien technologiques*socio=ec1 qui expliquent que les marchés*socio=ec1 puissent être*socio=rien imparfaitement concurrentiels*socio=ec2, comme il a été*socio=rien dit dans la section*socio=rien II,1. Ainsi, l'existence*socio=rien d'économies*socio=ec1 d'échelle*socio=rien importantes*socio=rien , les économies*socio=ec1 de gamme*socio=rien et l'irréversibilité des investissements*socio=ec1 peuvent conduire à des structures*socio=ec1 de marché*socio=ec1 faisant intervenir *socio=rien un nombre *socio=nil limité seulement d'entreprises*socio=ac même quand les échanges*socio=ec1 ont été*socio=rien libéralisés. Sur*socio=rien ces marchés*socio=ec1, les entreprises*socio=ac profiteront sans doute de leur pouvoir*socio=et de monopole*socio=ec1 et créeront ainsi des inefficiences susceptibles*socio=rien de justifier une intervention sous une forme*socio=rien ou une autre à travers*socio=rien la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Les entreprises*socio=ac peuvent aussi juger bon*socio=rien de former des ententes_internationales*socio=et, qui appelleraient elles aussi une intervention. Quatrièmement, si le commerce*socio=ec1 international*socio=te se développe à *socio=rien un rythme rapide par*socio=nil rapport *socio=nil à la production*socio=ec1, il *socio=rien reste modeste par*socio=nil rapport *socio=nil à l'approvisionnement*socio=ec1 local*socio=te. Dans les pays_de_l'_ocde*socio=ac par exemple*socio=rien , 80 % environ de la production*socio=ec1 d'articles*socio=rien manufacturés est*socio=rien vendue dans les pays*socio=ac. Il *socio=rien est vrai *socio=nil que la menace*socio=ec2 des entrants*socio=ec1 internationaux*socio=te tendra à inciter les producteurs*socio=ac nationaux*socio=te à la discipline*socio=uv1, mais on peut douter que les décisions*socio=rien de ces derniers*socio=rien en matière*socio=rien de prix*socio=ec1 soient largement conditionnées par de telles menaces*socio=ec2, comme noté dans la section*socio=rien II.1. De plus, dans beaucoup de pays*socio=ac la *socio=rien majeure partie *socio=nil de la production*socio=ec1 se situe encore dans des secteurs*socio=rien non directement exposés à la concurrence*socio=ec1 internationale*socio=te, c'est-à-dire non exportateurs*socio=ac. Le secteur_public*socio=et, par exemple*socio=rien , est*socio=rien rarement exposé à la concurrence*socio=ec1 étrangère, de même que beaucoup de types de services*socio=ec1. Les secteurs*socio=rien non exportateurs*socio=ac peuvent toutefois être*socio=rien exposés à la concurrence*socio=ec1 internationale*socio=te en cas*socio=rien d'entrée*socio=rien d'entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec1 par le biais*socio=rien de l'investissement_direct*socio=ec1. Pour que cette entrée*socio=rien ait *socio=rien un effet *socio=nil proconcurrentiel plus prononcé, elle doit prendre la forme*socio=rien d'investissements*socio=ec1 nouveaux*socio=rien ("en terrain*socio=rien vierge") plutôt que d'acquisitions*socio=ec1 et de fusions impliquant des entreprises*socio=ac locales*socio=te. Toutefois, l'investissement_étranger_direct*socio=ec1 dans les pays_de_l'_ocde*socio=ac au cours*socio=rien de la dernière*socio=rien décennie*socio=te s'est*socio=rien essentiellement fait*socio=rien à travers*socio=rien des fusions et des acquisitions*socio=ec1, ce qui devrait atténuer la portée*socio=rien des *socio=ec2 pressions concurrentielles *socio=nil exercées par cet investissement*socio=ec1. Cinquièmement, l'expérience*socio=ec2 suggère aussi que l'intégration*socio=ec2 per se ne suffit pas. Ainsi, il semble que même des marchés*socio=ec1 importants*socio=rien avec peu d'obstacles*socio=rien internes*socio=te au commerce*socio=ec1, comme ceux de la *socio=ac Communauté européenne *socio=nil et des États-unis*socio=ac, requièrent encore une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 active*socio=uv4 malgré leur degré*socio=rien d'intégration*socio=ec2 élevé*socio=uv4. Ces considérations*socio=rien expliquent que la plupart*socio=rien des pays*socio=ac auront besoin*socio=rien d'une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 même si le commerce*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 sont largement libéralisés. Toutefois, on verra dans la *socio=rien section suivante *socio=nil que l'application*socio=rien des politiques*socio=et dans ce domaine*socio=rien au niveau*socio=rien national*socio=te aura des *socio=rien effets sur les*socio=nil partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1.*socio=nil Nombre *socio=nil de ces effets*socio=rien seront certes positifs*socio=uv4, mais *socio=rien certaines décisions *socio=nil affecteront probablement les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 de *socio=rien façon négative *socio=nil aussi. Selon la nature*socio=rien de ces répercussions*socio=ec2 négatives*socio=rien , des pays*socio=ac risquent de se trouver confrontés au dilemme*socio=rien du "prisonnier", c'est-à-dire à un*socio=rien problème*socio=uv4 dont la solution*socio=rien pourrait passer par un*socio=rien accord*socio=et international*socio=te. Ces questions*socio=rien vont maintenant être*socio=rien examinées plus avant. III.2 Répercussions*socio=ec2 des politiques*socio=et de la concurrence*socio=ec1 appliquées au niveau*socio=rien national*socio=te et nécessité*socio=uv1 d'une coopération_internationale*socio=uv1. Dans la section*socio=rien III.1 on a fait*socio=rien valoir que la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 avait des effets*socio=rien proconcurrentiels importants*socio=rien . Ce raisonnement*socio=rien supposait implicitement que les gouvernements*socio=ac ne changent pas les "règles*socio=et du jeu*socio=rien " en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 entre les entreprises*socio=ac, par exemple*socio=rien en modifiant leur politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 dans *socio=rien un sens moins*socio=nil concurrentiel*socio=ec2.*socio=nil *{p.61} Bien *socio=nil que simplificatrice, cette hypothèse n'est*socio=rien pas vaine: on soutient parfois que, comme la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 empêche les pays*socio=ac de recourir aux politiques_commerciales*socio=et pour promouvoir leurs intérêts nationaux*socio=te aux dépens*socio=uv2 d'autres pays*socio=ac, elle les incitera à opter à cet effet*socio=rien de plus en plus pour d'autres politiques*socio=et, y compris éventuellement la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Il faut souligner que d'un*socio=rien point*socio=rien de vue*socio=rien économique*socio=ec1, toute prise*socio=rien de position*socio=rien concernant la législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 ou sa mise en oeuvre*socio=rien , y compris la décision*socio=rien de ne pas avoir du tout de législation*socio=et dans ce domaine*socio=rien ou de ne pas mettre en oeuvre*socio=rien la législation*socio=et existante*socio=rien , *socio=rien est un choix*socio=uv1 de*socio=nil politique*socio=et.*socio=nil *socio=nil Il en découle qu'il est*socio=rien souvent difficile*socio=rien de dissocier les restrictions*socio=et du secteur_privé*socio=et des mesures*socio=et prises*socio=rien par les pouvoirs_publics*socio=et, car l'existence*socio=rien des restrictions*socio=et du secteur_privé*socio=et pourrait *socio=rien être attribuable au*socio=nil choix*socio=uv1 des*socio=nil pouvoirs_publics*socio=et *socio=nil de ne pas intervenir, ou de ne pas faire appliquer la législation*socio=et qui leur permettrait d'intervenir. Quand une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien appliquée au niveau*socio=rien national*socio=te, on peut raisonnablement supposer qu'elle vise à promouvoir les intérêts des agents*socio=ac économiques*socio=ec1 nationaux*socio=te, sans tenir compte*socio=rien des intérêts des agents*socio=ac économiques*socio=ec1 étrangers*socio=uv4. Comme indiqué dans la section*socio=rien II.1, dans la plupart*socio=rien (mais certes pas la totalité*socio=rien ) des analyses*socio=rien économiques*socio=ec1 les intérêts des agents*socio=ac économiques*socio=ec1 nationaux*socio=te sont identifiés à la notion*socio=rien de bien-être national*socio=te. À partir de ce principe*socio=ec2, on s'efforcera dans la *socio=rien présente section *socio=nil de préciser les incitations*socio=uv3 susceptibles*socio=rien d'orienter les pays*socio=ac qui maximisent le bien-être dans leur choix*socio=uv1 d'une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. L'idée*socio=rien est*socio=rien de déterminer dans quelles circonstances*socio=rien le souci*socio=rien de promouvoir les intérêts nationaux*socio=te peut avoir des *socio=rien conséquences négatives *socio=nil telles pour les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 qu'il serait justifié d'envisager une coopération_internationale*socio=uv1 accrue en matière*socio=rien de politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Le problème*socio=uv4 économique*socio=ec1 fondamental, en l'espèce*socio=rien , est*socio=rien que les conséquences*socio=rien indésirables*socio=uv4 pour les autres pays*socio=ac ne sont pas intégralement compensées, d'un*socio=rien point*socio=rien de vue*socio=rien mondial*socio=te, par l'impact*socio=rien positif*socio=uv4 pour le pays*socio=ac qui applique la politique*socio=et. L'analyse*socio=rien est*socio=rien donc centrée sur*socio=rien les aspects*socio=rien des politiques*socio=et nationales*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 qui, par leur caractère*socio=rien du "chacun_pour_soi*socio=uv1", justifieraient une coopération_internationale*socio=uv1. Inutile*socio=rien de dire qu'il existe des considérations*socio=rien autres, et sans doute valables*socio=rien du point*socio=rien de vue*socio=rien économique*socio=ec1, qui justifieraient un*socio=rien accord*socio=et à ce sujet*socio=rien et qui ne sont pas prises*socio=rien en compte*socio=rien dans l'analyse*socio=rien ,, certaines*socio=rien de ces considérations*socio=rien sont traitées dans d'autres parties*socio=rien du *socio=rien présent chapitre.*socio=nil Aux*socio=nil fins *socio=nil de l'analyse*socio=rien ci-après, on supposera que les gouvernements*socio=ac ne se préoccupent que du bien-être national*socio=te et qu'une coopération_internationale*socio=uv1 n'aurait des avantages*socio=rien que dans la mesure*socio=rien où elle accroîtrait la somme*socio=rien des niveaux*socio=rien de bien-être national*socio=te. Cela implique qu'aucun poids*socio=rien n'est*socio=rien attaché à la distribution du bien-être entre les pays*socio=ac. Il faut souligner que cette hypothèse ne vaut que pour la simplicité*socio=rien de l'argumentation*socio=ec2 et qu'elle ne préjuge pas des objectifs*socio=uv4 que les pays*socio=ac se devraient de poursuivre. Comme noté dans la section*socio=rien II.1, il *socio=rien est courant *socio=nil dans les analyses*socio=rien économiques*socio=ec1 consacrées aux *socio=rien questions relatives *socio=nil à la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 de négliger les problèmes*socio=ec2 de distribution. Toutefois, si l'hypothèse peut être*socio=rien défendue quand sont essentiellement en jeu*socio=rien les intérêts nationaux*socio=te en raison*socio=rien des *socio=rien possibilités offertes *socio=nil par les régimes*socio=et nationaux*socio=te d'imposition*socio=et ayant *socio=rien un effet *socio=nil redistributif, etc., elle est*socio=rien peut-être moins défendable quand il s'agit d'examiner les questions*socio=rien de politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 au niveau*socio=rien international*socio=te. III.2.a Les coûts*socio=ec1 possibles*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 appliquée au niveau*socio=rien national*socio=te. Supposons qu'un*socio=rien pays*socio=ac dit "d'origine*socio=rien " doive choisir entre deux décisions*socio=rien A et B en matière*socio=rien de politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 qui ont des implications*socio=rien pour un*socio=rien partenaire*socio=ac commercial*socio=ec1 étranger*socio=te. La décision*socio=rien A maximiserait le bien-être général*socio=rien . Si l'autorité*socio=et nationale*socio=te chargée de la concurrence*socio=ec1 choisissait la politique*socio=et A, son choix*socio=uv1 maximiserait le bien-être total*socio=rien des deux pays*socio=ac. Il n'y aurait pas alors de déviation par rapport*socio=rien à la distribution souhaitable*socio=rien des ressources*socio=ec1 du point*socio=rien de vue*socio=rien social*socio=et résultant*socio=rien de l'intervention de politique*socio=et même si celle-ci ne visait à servir que l'intérêt*socio=uv1 national*socio=te. Mais, si l'autorité*socio=et nationale*socio=te chargée de la concurrence*socio=ec1 choisissait la politique*socio=et B, il y aurait une mauvaise*socio=rien distribution des ressources*socio=ec1 d'un*socio=rien point*socio=rien de *socio=rien vue général *socio=nil - c'est-à-dire qu'il y aurait une distorsion.", Si ces distorsions*socio=ec2 étaient empiriquement omniprésentes, elles représenteraient un*socio=rien argument de poids*socio=rien en faveur*socio=rien d'une coopération_internationale*socio=uv1 renforcée concernant les politiques*socio=et nationales*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1. Il y a deux sources*socio=rien fondamentales*socio=uv4 de distorsions*socio=ec2 internationales*socio=te induites par les politiques*socio=et de la concurrence*socio=ec1 appliquées au niveau*socio=rien national*socio=te. La première*socio=rien tient au fait*socio=rien que la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 d'un*socio=rien pays*socio=ac affecte les consommateurs*socio=ac étrangers*socio=uv4, mais ne prend pas leurs intérêts en compte*socio=rien , Le cas*socio=rien le plus *socio=rien évident est *socio=nil celui d'une entente*socio=et à l'exportation*socio=ec1. Ce type*socio=rien de comportement*socio=rien coopératif entre les entreprises*socio=ac nationales*socio=te peut accroître le bien-être national*socio=te, précisément parce qu'il impose une charge*socio=rien aux consommateurs*socio=ac étrangers*socio=uv4. Les fusions offrent des *socio=rien exemples similaires.*socio=nil *socio=nil Supposons que deux entreprises*socio=ac nationales*socio=te dans un*socio=rien pays*socio=ac envisagent de fusionner. La fusion*socio=rien sera approuvée par l'autorité*socio=et chargée de la concurrence*socio=ec1 qui cherche à maximiser le bien-être dans le pays*socio=ac en question*socio=rien si elle considère que l'effet*socio=rien positif*socio=uv4 de la *socio=rien fusion sur les*socio=nil profits*socio=ec1 des*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil qui fusionneront compensera son *socio=rien effet négatif éventuel sur les*socio=nil consommateurs*socio=ac du*socio=nil pays*socio=ac.*socio=nil *{p.62} *socio=nil À supposer que soit le calcul*socio=rien de l'autorité*socio=et chargée de la concurrence*socio=ec1, on voit qu'il n'est*socio=rien pas tenu compte*socio=rien en l'espère des *socio=rien conséquences négatives possibles *socio=nil de la fusion*socio=rien pour les consommateurs*socio=ac dans les pays*socio=ac étrangers*socio=uv4 et que la fusion*socio=rien peut être*socio=rien approuvée même si elle amoindrit le bien-être général*socio=rien . La *socio=rien deuxième raison qui*socio=nil fait *socio=nil que la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 appliquée au niveau*socio=rien national*socio=te peut induire des distorsions*socio=ec2 est*socio=rien qu'elle ne prend pas en considération*socio=rien les intérêts des producteurs*socio=ac étrangers*socio=uv4. Par exemple*socio=rien , une fusion*socio=rien entre deux entreprises*socio=ac nationales*socio=te pourra être*socio=rien approuvée parce qu'elle transfère les profits*socio=ec1 des entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec1 aux entités*socio=rien qui fusionneront. Il se peut encore qu'un*socio=rien comportement*socio=rien d'éviction qui affecte les entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec1 ne soit pas contesté comme il l'aurait été*socio=rien s'il avait visé les entreprises*socio=ac nationales*socio=te. Il importe de noter que *socio=rien certaines décisions en*socio=nil matière de*socio=nil politique*socio=et *socio=nil de la concurrence*socio=ec1 peuvent affecter de *socio=rien façon négative *socio=nil d'autres pays*socio=ac tout en accroissant le bien-être mondial*socio=te dans l'ensemble*socio=rien (sans tenir compte*socio=rien des aspects*socio=rien redistributifs). En d'autres termes*socio=rien , il peut y avoir des répercussions*socio=ec2 négatives*socio=rien de la politique*socio=et nationale*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 qui ne sont pas des distorsions*socio=ec2. Ainsi, une fusion*socio=rien entre deux entreprises*socio=ac du pays*socio=ac d'origine*socio=rien qui accroît la compétitivité*socio=uv1 peut profiter à ce pays*socio=ac, tout en affectant simultanément de *socio=rien façon négative un pays*socio=ac étranger*socio=te *socio=nil parce qu'elle amoindrit les profits*socio=ec1 des entreprises*socio=ac dudit pays*socio=ac. La fusion*socio=rien en question*socio=rien serait permise par le pays*socio=ac d'origine*socio=rien si celui-ci agit en ne tenant aucun compte*socio=rien des intérêts_étrangers*socio=uv4, mais elle pourrait aussi être*socio=rien permise si le pays*socio=ac d'origine*socio=rien tient compte*socio=rien du bien-être général*socio=rien et que les pertes*socio=ec2 dans les pays*socio=ac étrangers*socio=uv4 sont plus que compensées par les gains*socio=ec1 dans le pays*socio=ac d'origine*socio=rien . On voit donc que les décisions*socio=rien A et B sont identiques en l'espèce*socio=rien et qu'il n'y a pas de distorsion au sens*socio=rien où ce *socio=rien mot est *socio=nil utilisé ici. Autrement dit, il n'y a pas de distorsion dans ce cas*socio=rien parce que la décision*socio=rien d'autoriser la fusion*socio=rien non seulement augmente la part*socio=rien du II gâteau*socio=rien " qui revient au pays*socio=ac d'origine*socio=rien , mais aussi influe positivement sur*socio=rien sa taille totale*socio=rien d'un*socio=rien point*socio=rien de *socio=rien vue général.*socio=nil *socio=nil Cela ne vaut pas pour les ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1, où la pratique*socio=et qui consiste à s'approprier une part*socio=rien du "gâteau*socio=rien " plus grande*socio=rien - en appliquant des prix*socio=ec1 monopolistiques*socio=ec2 - fait*socio=rien que la taille totale*socio=rien du gâteau*socio=rien " est*socio=rien diminuée. Deux autres observations peuvent être*socio=rien faites au sujet*socio=rien des distorsions*socio=ec2. Premièrement, même si la politique*socio=et nationale*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 dans un*socio=rien pays*socio=ac vise à maximiser seulement le surplus*socio=ec1 des consommateurs*socio=ac, sans qu'aucun poids*socio=rien ne soit attaché au surplus*socio=ec1 des producteurs*socio=ac nationaux*socio=te, elle peut quand même avoir des répercussions*socio=ec2 *socio=rien négatives sur les*socio=nil consommateurs*socio=ac étrangers*socio=uv4.*socio=nil La*socio=nil fusion *socio=nil examinée dans l'hypothèse ci-dessus peut par exemple*socio=rien avoir des effets*socio=rien bénéfiques pour les consommateurs*socio=ac dans le pays*socio=ac d'origine*socio=rien et donc être*socio=rien approuvée (même si le surplus*socio=ec1 des producteurs*socio=ac n'est*socio=rien pas pris en compte*socio=rien ), indépendamment de ses effets*socio=rien préjudiciables*socio=et *socio=rien éventuels sur les*socio=nil consommateurs*socio=ac étrangers*socio=uv4.*socio=nil *socio=nil Si le gain*socio=ec1 pour les consommateurs*socio=ac nationaux*socio=te *socio=rien est inférieur *socio=nil à la perte*socio=ec2 pour les consommateurs*socio=ac étrangers*socio=uv4, la politique*socio=et nationale*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 induirait une distorsion, en_principe*socio=ec2, toutefois, on peut penser que les *socio=rien conséquences négatives *socio=nil pour les consommateurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 sont généralement d'autant plus restreintes que la maximisation du bien-être des consommateurs*socio=ac est*socio=rien privilégiée rapport*socio=rien aux intérêts des producteurs*socio=ac. Deuxièmement, des distorsions*socio=ec2 en relation*socio=rien avec la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 pourraient apparaître sur*socio=rien le marché*socio=ec1 intérieur*socio=te du pays*socio=ac qui applique la politique*socio=et et aussi sur*socio=rien ses marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1. Une entente*socio=et à l'exportation*socio=ec1 cause*socio=rien des distorsions*socio=ec2 qui sont ressenties sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 étrangers*socio=uv4, alors que l'inverse se produit*socio=rien lorsque les entreprises*socio=ac nationales*socio=te sont autorisées à interdire l'accès*socio=uv1 du marché*socio=ec1 national*socio=te aux entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec1. Du point*socio=rien de vue*socio=rien économique*socio=ec1, il n'y a pas de distinction*socio=rien entre ces deux types de situation*socio=rien lorsque les distorsions*socio=ec2 affectent le pays*socio=ac étranger*socio=te. Mais juridiquement parlant, les situations*socio=rien diffèrent -quand des distorsions*socio=ec2 se manifestent sur*socio=rien le marché*socio=ec1 national*socio=te, l'autorité*socio=et du pays*socio=ac étranger*socio=te chargée de la concurrence*socio=ec1 ne sera pas forcément en mesure*socio=rien d'intervenir, alors que, si la pratique*socio=et restrictive*socio=uv4 prend effet*socio=rien dans le pays*socio=ac étranger*socio=te, il se pourrait qu'elle y soit forcée. III.2.b Les distorsions*socio=ec2 en tant que justification*socio=uv3 d'une coopération_internationale*socio=uv1 en matière*socio=rien de politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Il a été*socio=rien avancé récemment plusieurs propositions d'accords*socio=et internationaux*socio=te visant à prendre en compte*socio=rien les questions*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 au niveau*socio=rien international*socio=te. L'un*socio=rien des objectifs*socio=uv4 de ces propositions est*socio=rien de limiter*socio=rien les *socio=rien conséquences négatives *socio=nil pour les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 des politiques*socio=et de la concurrence*socio=ec1 appliquées dans l'intérêt*socio=uv1 national*socio=te. L'analyse*socio=rien plus haut*socio=rien a permis de mettre en lumière*socio=rien les conséquences*socio=rien de ces politiques*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Dans la *socio=rien présente section,*socio=nil *socio=nil on examinera dans quelle mesure*socio=rien les répercussions*socio=ec2 négatives*socio=rien de la politique*socio=et nationale*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 pourraient justifier une coopération_internationale*socio=uv1 qui viserait à accroître le bien-être total*socio=rien en limitant ces répercussions*socio=ec2, Mais il faut souligner, encore une fois*socio=rien , que cette argumentation*socio=ec2 *socio=rien fait abstraction des*socio=nil aspects *socio=nil redistributifs qui peuvent *socio=rien fort bien *socio=nil inciter des gouvernements*socio=ac à rechercher un*socio=rien accommodement mutuel dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien arrangement*socio=et de coopération*socio=uv1 sous une forme*socio=rien ou une autre, indépendamment des implications*socio=rien pour le bien-être général*socio=rien . Théoriquement, toutes les interventions d'un*socio=rien pays*socio=ac dans le cadre*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 affectent nécessairement tous les autres pays*socio=ac, où qu'elles se situent dans l'économie*socio=ec1. Pour prendre *socio=rien un exemple *socio=nil extrême, mais parlant, supposons qu'un*socio=rien pays*socio=ac intervienne, à travers*socio=rien sa politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, dans *socio=rien un secteur *socio=nil où il n'y a pas de commerce*socio=ec1 international*socio=te, où il n'y a pas d'investissement_étranger_direct*socio=ec1 et où il n'y a pas d'importations*socio=ec1 d'intrants, de sorte*socio=rien que l'intervention n'a pas d'impact*socio=rien *socio=rien direct sur les*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil d'autres pays*socio=ac. Une intervention dans le cadre*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 dans ce secteur*socio=rien aurait néanmoins des implications*socio=rien indirectes pour les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 du pays*socio=ac. Elle affecterait par exemple*socio=rien les ventes*socio=ec1 dans le secteur*socio=rien et, par conséquent*socio=rien , la demande*socio=ec1 de facteurs*socio=rien de_production*socio=ec1 du secteur*socio=rien . Cela influencerait les prix*socio=ec1 des facteurs*socio=rien en général*socio=rien et donc aussi les conditions*socio=ec1 de coût*socio=ec1 dans le secteur*socio=rien exportateur*socio=ec1. Ainsi, l'intervention faite dans le cadre*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 affecterait les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 du pays*socio=ac, même si elles concernaient le secteur*socio=rien non exportateur*socio=ec1. *{p.63} *{p.64} À leur tour*socio=rien , les conditions*socio=ec1 dans lesquelles ces partenaires*socio=ac commercent avec les pays*socio=ac tiers seraient modifiées, etc. Dans la pratique*socio=et, bien*socio=rien entendu, la plupart*socio=rien de ces effets*socio=rien seront très modestes*socio=rien ou en tout cas*socio=rien presque impossibles à quantifier. Cependant, l'exemple*socio=rien montre que la question*socio=rien n'est*socio=rien pas de savoir*socio=rien si la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 affecte les autres pays*socio=ac, puisque tel est*socio=rien toujours le cas*socio=rien , mais plutôt si ces répercussions*socio=ec2 incitent les gouvernements*socio=ac à envisager la possibilité*socio=rien d'une coopération_internationale*socio=uv1. Sur*socio=rien la base*socio=rien des hypothèses et des arguments*socio=ec2 ci-dessus concernant l'augmentation possible*socio=rien du bien-être national*socio=te aux dépens*socio=uv2 du bien-être étranger*socio=te, mais sans réduction*socio=ec2 du bien-être général*socio=rien , la perte*socio=ec2 de bien-être étranger*socio=te ne justifierait pas, à elle seule*socio=rien , une coopération_internationale*socio=uv1 pour mettre en oeuvre*socio=rien la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Pour cela, il faudrait aussi que *socio=rien certaines décisions *socio=nil au moins du pays*socio=ac dans le cadre*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 réduisent le bien-être total*socio=rien , c'est-à-dire que certaines*socio=rien distorsions*socio=ec2 soient présentes*socio=rien . Ce *socio=rien raisonnement fait abstraction bien *socio=nil entendu de toute considération*socio=rien quant aux aspects*socio=rien redistributifs des interventions liées à la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 - considération*socio=rien qui peut *socio=rien fort bien *socio=nil contribuer à déterminer comment les gouvernements*socio=ac décideront d'agir. On a vu dans la section*socio=rien Il que la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 implique intrinsèquement des arbitrages*socio=et entre des intérêts différents*socio=rien . Ces arbitrages*socio=et existeraient même si la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 était appliquée par une autorité*socio=et qui maximiserait le bien-être général*socio=rien . Les décisions*socio=rien de l'autorité*socio=et en question*socio=rien impliqueraient souvent des gains*socio=ec1 pour les parties*socio=rien résidant dans certains pays*socio=ac aux dépens*socio=uv2 de parties*socio=rien dans d'autres pays*socio=ac, mais les gains*socio=ec1 totaux*socio=rien seraient supérieurs*socio=rien aux pertes*socio=ec2 totales*socio=rien . Autrement dit, *socio=rien certaines décisions prises *socio=nil pour maximiser le bien-être national*socio=te maximiseront également le bien-être général*socio=rien . La définition de la notion*socio=rien de distorsion considérée jusqu'à présent*socio=rien ne prenait en compte*socio=rien que la politique*socio=et isolée d'un*socio=rien seul*socio=rien pays*socio=ac. Dans *socio=rien un cadre international*socio=te *socio=nil qui comprendrait un*socio=rien accord*socio=et international*socio=te sous une forme*socio=rien ou une autre, l'attention*socio=rien serait centrée sur*socio=rien les politiques*socio=et des *socio=ac pays participants *socio=nil dans leur ensemble*socio=rien . Les conséquences*socio=rien de ces politiques*socio=et sont, dans les cas*socio=rien les plus simples*socio=rien , indépendantes les unes des autres. Si par exemple*socio=rien deux pays*socio=ac autorisent chacun une entente*socio=et à l'exportation*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 intérieur*socio=te de l'autre pays*socio=ac, l'impact*socio=rien négatif*socio=rien de la décision*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac du point*socio=rien de vue*socio=rien du bien-être mondial*socio=te est*socio=rien alors indépendant de la décision*socio=rien de l'autre pays*socio=ac. Il *socio=rien est clair *socio=nil que dans ce cas*socio=rien l'existence*socio=rien de distorsions*socio=ec2 serait une justification*socio=uv3 économique*socio=ec1 d'un*socio=rien accord*socio=et. Le cas*socio=rien des ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 représente *socio=rien un exemple de*socio=nil situation *socio=nil dite de "dilemme*socio=rien du prisonnier" Appliqué à la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, le dilemme*socio=rien du prisonnier présente*socio=rien deux caractéristiques*socio=rien fondamentales*socio=uv4. Premièrement, indépendamment du fait*socio=rien qu'un*socio=rien pays*socio=ac choisisse une politique*socio=et du Il chacun_pour_soi*socio=uv1" en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 ou une politique*socio=et plus "coopérative", l'autre pays*socio=ac a toujours intérêt*socio=rien à appliquer une politique*socio=et du "chacun_pour_soi*socio=uv1". Les deux pays*socio=ac choisiront donc ce type*socio=rien de politique*socio=et. Deuxièmement, le niveau*socio=rien de bien-être qui en résulte pour chaque pays*socio=ac *socio=rien est inférieur *socio=nil à ce qu'il aurait été*socio=rien si les deux pays*socio=ac avaient plutôt coopéré. Le dilemme*socio=rien tient donc au fait*socio=rien que les pays*socio=ac ont un*socio=rien intérêt*socio=uv1 commun*socio=uv2 à éviter les politiques*socio=et de la concurrence*socio=ec1 "stratégiques*socio=uv4", mais qu'ils préfèrent toutefois appliquer ces politiques*socio=et indépendamment de la politique*socio=et suivie par l'autre pays*socio=ac. Le *socio=rien rôle éventuel d'*socio=nil un accord*socio=et international*socio=te en*socio=nil matière de*socio=nil politique*socio=et *socio=nil de la concurrence*socio=ec1 dans ces circonstances*socio=rien serait de modifier les coûts*socio=ec1 et les avantages*socio=rien associés aux *socio=rien différentes issues *socio=nil pour chaque participant, afin de limiter*socio=rien le risque*socio=uv4 que la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 soit appliquée au nom*socio=rien du "chacun_pour_soi*socio=uv1". Il peut arriver aussi que les décisions*socio=rien des pays*socio=ac affectent les mêmes branches*socio=rien de_production*socio=ec1. Dans ce cas*socio=rien , il faut tenir compte*socio=rien de l'impact*socio=rien combiné des politiques*socio=et en question*socio=rien . Si deux distorsions*socio=ec2 se renforcent mutuellement, l'utilité*socio=rien d'une coopération_internationale*socio=uv1 est*socio=rien encore plus évidente*socio=rien que lorsque les effets*socio=rien sont ressentis dans des *socio=rien secteurs différents.*socio=nil *socio=nil Mais il se peut également (en_principe*socio=ec2 du moins) que ces décisions*socio=rien se contredisent plus ou moins les unes les autres. Une coopération_internationale*socio=uv1 ne serait alors pas forcément justifiée dans le *socio=rien présent cadre *socio=nil théorique même s'il y a certaines*socio=rien distorsions*socio=ec2. L'encadré IV.4 présente*socio=rien des exemples*socio=rien chiffrés illustrant cette possibilité*socio=rien ainsi qu'une situation*socio=rien de dilemme*socio=rien du prisonnier. De quelles données empiriques*socio=ec2 dispose-t-on concernant la prévalence et l'ampleur*socio=rien des distorsions*socio=ec2 dans la pratique*socio=et? Malheureusement, les travaux*socio=rien qui ont été*socio=rien publiés fournissent très peu d'indications*socio=rien à ce sujet*socio=rien . Il existe certes de nombreuses*socio=rien études*socio=ec2 qui tentent d'évaluer les pertes*socio=ec2 sèches causées par une concurrence*socio=ec1 imparfaite*socio=rien en général*socio=rien , mais il n'y a pas d'études*socio=ec2 systématiques sur*socio=rien l'ampleur*socio=rien ou la prévalence des distorsions*socio=ec2 effectives*socio=rien . Il *socio=rien est clair *socio=nil que ces études*socio=ec2 poseraient quantité de difficultés*socio=ec2 conceptuelles et pratiques*socio=et. On peut néanmoins avancer que les interactions effectives*socio=rien dans le cadre*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 présentent bien*socio=rien parfois les caractéristiques*socio=rien du dilemme*socio=rien du prisonnier quand on observe que les pays*socio=ac prennent des *socio=et mesures unilatérales *socio=nil et/ou forment des accords*socio=et internationaux*socio=te apparemment pour prendre directement en compte*socio=rien ces problèmes*socio=ec2. III.3 Conclusions. À l'évidence*socio=rien , sans réglementation*socio=et les politiques_commerciales*socio=et nationales*socio=te tendent généralement à bénéficier à certains groupes_d'_intérêt*socio=ac aux dépens*socio=uv2 d'autres groupes_d'_intérêt*socio=ac, nationaux*socio=te ou étrangers*socio=uv4. *{p.65} Cette *socio=rien considération est une*socio=nil justification*socio=uv3 *socio=nil primordiale des différents*socio=rien Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac. L'objet*socio=rien de la *socio=rien présente section *socio=nil était d'examiner les problèmes*socio=ec2 éventuellement posés par l'application*socio=rien des politiques*socio=et nationales*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te et de voir si le *socio=rien raisonnement applicable *socio=nil dans le domaine*socio=rien de la politique_commerciale*socio=ec1 valait aussi pour les politiques*socio=et de la concurrence*socio=ec1 suivies au niveau*socio=rien national*socio=te. Les interventions dans le cadre*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 dans les secteurs*socio=rien non exportateurs*socio=ac bénéficient usuellement à certains groupes_d'_intérêt*socio=ac nationaux*socio=te au détriment*socio=uv2 d'autres groupes*socio=rien nationaux*socio=te. Ces interventions peuvent toutefois être*socio=rien justifiées si elles renforcent l'efficience*socio=uv3 économique*socio=ec1 de la répartition*socio=uv3 des ressources*socio=ec1. Des conflits*socio=uv1 du même ordre*socio=rien surgissent aussi dans les secteurs*socio=rien exportateurs*socio=ac et là encore des interventions peuvent être*socio=rien justifiées dans *socio=rien un souci d'*socio=nil efficience*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil Il ne suffit pas qu'une décision*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac en relation*socio=rien avec la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 affecte de *socio=rien façon négative un pays*socio=ac étranger*socio=te *socio=nil pour qu'en elle-même cette décision*socio=rien soit injustifiée*socio=rien du point*socio=rien de vue*socio=rien de l'efficience*socio=uv3 mondiale*socio=te. Pour que la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 soit indésirable*socio=uv4 en ce sens*socio=rien , elle doit impliquer une distorsion, c'est-à-dire que les *socio=rien conséquences négatives *socio=nil pour les intérêts_étrangers*socio=uv4 doivent l'emporter sur*socio=rien les avantages*socio=rien pour les agents*socio=ac économiques*socio=ec1 nationaux*socio=te. C'est*socio=rien seulement dans ce cas*socio=rien que la politique*socio=et nationale*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 entraîne une répartition*socio=uv3 inefficiente des ressources*socio=ec1 d'un*socio=rien point*socio=rien de *socio=rien vue général.*socio=nil La*socio=nil nécessité*socio=uv1 *socio=nil d'une coopération_internationale*socio=uv1 en matière*socio=rien de politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 qui renforce le bien-être mondial*socio=te peut alors, mais pas immanquablement, être*socio=rien ressentie. Le cadre*socio=rien d'analyse*socio=rien permettant d'arriver à cette conclusion ne prend pas en considération*socio=rien les implications*socio=rien des effets*socio=rien des interventions liées à la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien la distribution du revenu*socio=ec1 entre les pays*socio=ac. Les principales*socio=rien observations formulées dans la *socio=rien présente section *socio=nil peuvent plus *socio=rien spécifiquement être *socio=nil résumées comme suit: La libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 tend à accroître la concurrence*socio=ec1. Toutefois, même avec une libéralisation*socio=et de *socio=rien vaste portée *socio=nil et une libre*socio=uv2 circulation*socio=ec2 des facteurs*socio=rien , une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 *socio=rien reste nécessaire.*socio=nil *socio=nil - D'un*socio=rien point*socio=rien de vue*socio=rien économique*socio=ec1, toute prise*socio=rien de position*socio=rien concernant la législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 ou sa mise en oeuvre*socio=rien , y compris la décision*socio=rien de ne pas avoir du tout de législation*socio=et en la matière*socio=rien ou de ne pas mettre en oeuvre*socio=rien la législation*socio=et existante*socio=rien , *socio=rien est un choix*socio=uv1 en*socio=nil matière de*socio=nil politique*socio=et *socio=nil de la concurrence*socio=ec1. il n'est*socio=rien donc pas toujours possible*socio=rien de faire une distinction*socio=rien appropriée entre les restrictions*socio=et des pouvoirs_publics*socio=et et celles du secteur_privé*socio=et, d'autant plus que ces dernières*socio=rien supposent le consentement*socio=rien implicite ou explicite*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=et. - En théorie*socio=ec2, il est*socio=rien presque impossible*socio=rien de concevoir des situations*socio=rien où le choix*socio=uv1 d'un*socio=rien pays*socio=ac en matière*socio=rien de politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 n affecterait pas les autres pays*socio=ac et dans la pratique*socio=et aussi les exemples*socio=rien démontrant l'existence*socio=rien de ces répercussions*socio=ec2 abondent. Les répercussions*socio=ec2 négatives*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac à un*socio=rien autre résultant*socio=rien de l'application*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 n'impliquent pas nécessairement une réduction*socio=ec2 du bien-être général*socio=rien . Celui-ci est*socio=rien amoindri quand les répercussions*socio=ec2 négatives*socio=rien induisent aussi des distorsions*socio=ec2. Ces relations*socio=rien doivent *socio=rien être prises en*socio=nil compte *socio=nil lorsque l'on examine la nature*socio=rien de la coopération_internationale*socio=uv1 dans le domaine*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Les effets*socio=rien redistributifs des interventions en matière*socio=rien de politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 sont un*socio=rien autre aspect*socio=rien à prendre en considération*socio=rien . - Les travaux*socio=rien empiriques*socio=ec2 qui mesurent systématiquement l'ampleur*socio=rien et la prévalence de ces distorsions*socio=ec2 font défaut*socio=rien . - IV. Aspects*socio=rien des relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te liés à la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Dans la *socio=rien présente section *socio=nil on examinera *socio=rien un certain nombre de*socio=nil domaines *socio=nil où il a été*socio=rien discerné que le comportement*socio=rien des entreprises*socio=ac suscitait des problèmes*socio=ec2 pour les relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te, ainsi que les réponses des gouvernements*socio=ac face*socio=rien à ces comportements. L'idée*socio=rien est*socio=rien d'identifier les problèmes*socio=ec2 posés, d'examiner le rôle*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 pour remédier à leurs conséquences*socio=rien défavorables*socio=uv4 éventuelles*socio=rien pour le commerce*socio=ec1 ainsi que les facteurs*socio=rien qui peuvent limiter*socio=rien ce rôle*socio=rien et d'indiquer de quelle manière*socio=rien ces questions*socio=rien sont prises*socio=rien en compte*socio=rien (quand elles le sont) dans le cadre*socio=rien de l'OMC*socio=ac. Ces questions*socio=rien sont regroupées sous quatre rubriques*socio=rien : - Accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 pour les produits*socio=rien importés. On examinera ici les effets*socio=rien des restrictions*socio=et verticales du marché*socio=ec1, des ententes*socio=et à l'importation*socio=ec1, et des activités*socio=rien de normalisation*socio=uv3 du secteur_privé*socio=et ainsi que du commerce*socio=ec1 d'État*socio=ac, des privilèges*socio=uv2 exclusifs*socio=rien ou spéciaux*socio=rien et des monopoles*socio=ec1. - - Exercice*socio=rien d'une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1. Dans cette sous-section on examinera les ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 et arrangements*socio=et similaires*socio=rien , les ententes_internationales*socio=et, les fusions et les abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2 ainsi que la pratique*socio=et des prix*socio=ec1 d'éviction et la discrimination*socio=uv1 par les prix*socio=ec1. - Investissement*socio=ec1 étranger*socio=te. droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien . Cette section*socio=rien se conclut par un*socio=rien examen*socio=ec2, sur*socio=rien la base*socio=rien des *socio=rien aspects spécifiques traités,*socio=nil d'*socio=nil un certain nombre de*socio=nil facteurs généraux *socio=nil qui déterminent dans quelle mesure*socio=rien le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 peut remédier aux problèmes*socio=ec2 identifiés en relation*socio=rien avec le commerce*socio=ec1 international*socio=te. IV.1 Accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 pour les produits*socio=rien importés. IV.1.a Restrictions*socio=et verticales du marché*socio=ec1. Les restrictions*socio=et verticales du marché*socio=ec1 (c'est-à-dire les arrangements*socio=et contractuels*socio=ec1 qui lient les entreprises*socio=ac aux étapes*socio=te successives*socio=rien de la chaîne*socio=rien de distribution des produits*socio=rien ) peuvent avoir des *socio=rien effets négatifs sur l'*socio=nil accès*socio=uv1 aux*socio=nil marchés*socio=ec1.*socio=nil Des*socio=nil problèmes*socio=ec2 commerciaux*socio=ec1 *socio=nil de cette nature*socio=rien surgissent usuellement quand des restrictions*socio=et verticales empêchent les entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec1 d'avoir accès*socio=uv1 aux réseaux*socio=rien de distribution qui sont contrôlés par les fournisseurs*socio=ac nationaux*socio=te. Les pratiques*socio=et en cause*socio=rien dans ce domaine*socio=rien comprennent les systèmes*socio=rien de distribution exclusive*socio=rien qui empêchent les distributeurs de commercialiser les produits*socio=rien des concurrents*socio=ac, la vente*socio=ec1 liée qui subordonne l'achat*socio=ec1 d'un*socio=rien produit*socio=ec1 d'une marque*socio=rien donnée à l'achat*socio=ec1 d'un*socio=rien autre produit*socio=ec1 de la même marque*socio=rien , les rabais*socio=rien de fidélité*socio=uv1 ou les remises sur*socio=rien les ventes*socio=ec1 qui sont des incitations*socio=uv3 financières*socio=ec1 à ne pas distribuer les produits*socio=rien des concurrents*socio=ac, les systèmes*socio=rien d'exclusivité*socio=rien territoriale*socio=te qui empêchent les distributeurs de vendre en dehors d'une certaine*socio=rien *socio=te zone géographique *socio=nil et les boycotts de distributeurs qui peuvent être*socio=rien utilisés pour imposer des restrictions*socio=et verticales. *socio=rien Un certain nombre de*socio=nil différends*socio=uv2 commerciaux*socio=ec1 en*socio=nil relation *socio=nil avec les restrictions*socio=et verticales ont été*socio=rien examinés dans le cadre*socio=rien du GATT*socio=et/de l'OMC*socio=ac, bien*socio=rien que les dispositions prévues en la matière*socio=rien dans ce cadre*socio=rien soient limitées. Le mieux connu est*socio=rien le différend*socio=rien entre le Japon*socio=ac et les États-unis*socio=ac concernant les pellicules et papiers*socio=rien photographiques destinés aux consommateurs*socio=ac dans lequel étaient en cause*socio=rien , outre des questions*socio=rien en relation*socio=rien avec les pratiques_commerciales*socio=et, des *socio=et mesures gouvernementales connexes*socio=rien *socio=nil (pour de plus *socio=rien amples détails,*socio=nil *socio=nil voir encadré IV.5 sur*socio=rien le différend*socio=rien entre les États-unis*socio=ac et le Japon*socio=ac concernant les pellicules et papiers*socio=rien photographiques destinés aux consommateurs*socio=ac). *{p.66} Comme noté dans la partie*socio=rien II, dans les pays*socio=ac ayant une législation*socio=et moderne*socio=uv2 en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1, les restrictions*socio=et verticales affectant le marché*socio=ec1 autres qu'à travers*socio=rien les prix*socio=ec1 sont considérées au cas*socio=rien par cas*socio=rien ou selon la "règle de raison*socio=rien " conformément au droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1, plutôt qu'interdites per se. En effet*socio=rien , ces restrictions*socio=et peuvent renforcer l'efficience*socio=uv3 de *socio=rien diverses manières,*socio=nil par*socio=nil exemple *socio=nil en réduisant les coûts*socio=ec1 des transactions*socio=ec1 et le parasitisme, et il y a peu de risques*socio=uv4 qu'elles restreignent la concurrence*socio=ec1 lorsqu'elles sont appliquées par des entreprises*socio=ac qui ne bénéficient pas d'une position*socio=rien dominante*socio=uv2., Dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, les restrictions*socio=et verticales appliquées par une entreprise*socio=ac dominante*socio=uv2 qui interdisent l'accès*socio=uv1 à *socio=rien un réseau *socio=nil de distribution pourraient donner lieu*socio=rien à une action*socio=rien s'il n'existe pas d'autre possibilité*socio=rien que les réseaux*socio=rien de distribution auxquels l'accès*socio=uv1 est*socio=rien interdit,, mais même dans ce cas*socio=rien l'existence*socio=rien de considérations*socio=rien d'efficience*socio=uv3 légitimes*socio=uv2, la définition du marché*socio=ec1 concerné et le temps*socio=rien , les coûts*socio=ec1 et les obstacles*socio=rien qu'impliquerait l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien système*socio=rien de distribution parallèle*socio=rien interviendront pour beaucoup. Bien*socio=rien qu'en_principe*socio=ec2 l'application*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 puisse généralement permettre de surmonter les problèmes*socio=ec2 d'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 pour les fournitures*socio=ec1 et les fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 résultant*socio=rien des effets*socio=rien d'exclusion*socio=rien des restrictions*socio=et verticales dans le pays*socio=ac en question*socio=rien , *socio=rien un certain nombre de*socio=nil facteurs doivent*socio=nil être *socio=nil analysés pour déterminer dans quelle mesure*socio=rien ces problèmes*socio=ec2 commerciaux*socio=ec1 seront résolus dans la pratique*socio=et: - Il convient d'abord*socio=rien de déterminer en général*socio=rien s'il existe une législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 et, dans l'affirmative*socio=rien , si elle est*socio=rien effectivement applicable*socio=rien ou appliquée, surtout lorsqu'il est*socio=rien considéré que ce sont les intérêts des producteurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 plutôt que ceux des producteurs*socio=ac nationaux*socio=te qui sont affectés de façon*socio=rien défavorable*socio=uv4. Ces aspects*socio=rien sont traités*socio=rien de façon*socio=rien plus détaillée dans la sous-section 5 ci-dessous. - - il faut aussi apprécier si, compte*socio=rien tenu des critères*socio=rien communément employés*socio=rien par les autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 dans les cas*socio=rien examinés suivant*socio=rien la "règle de raison*socio=rien ", il sera plus difficile*socio=rien de corriger la situation*socio=rien dans les cas*socio=rien impliquant une interdiction*socio=et de l'accès*socio=uv1 pour les fournitures*socio=ec1 et les fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4. Dans certains pays*socio=ac, des critères*socio=rien tels que l'équité*socio=uv1 ou la loyauté*socio=uv1, la protection*socio=et des petites*socio=rien et moyennes*socio=rien entreprises*socio=ac ou les *socio=rien effets sur l'*socio=nil emploi*socio=ec1 *socio=nil ou la branche*socio=rien de_production*socio=ec1 nationale*socio=te peuvent jouer *socio=rien un rôle.*socio=nil *socio=nil Mais même lorsque des critères*socio=rien de "concurrence*socio=ec1" purs*socio=rien sont employés*socio=rien , avec une évaluation*socio=ec2 des effets*socio=rien en termes*socio=rien d'efficience*socio=uv3 et de bien-être, la situation*socio=rien peut *socio=rien être difficile *socio=nil à corriger, En effet*socio=rien , lorsque les coûts*socio=ec1 et les avantages*socio=rien sont appréciés conformément à la règle de raison*socio=rien , les mesures*socio=et de mise en oeuvre*socio=rien dans le cas*socio=rien des restrictions*socio=et verticales peuvent ne pas prendre en compte*socio=rien les *socio=rien effets négatifs *socio=nil de ces restrictions*socio=et sur*socio=rien les producteurs*socio=ac étrangers*socio=uv4. - - On s'est*socio=rien également demandé si l'application*socio=rien judicieuse*socio=uv4 et efficiente*socio=uv4 de critères*socio=rien de droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 purement "neutres*socio=rien " (en termes*socio=rien d'appréciation*socio=uv1 des conséquences*socio=rien de pratiques_commerciales*socio=et dans le pays*socio=ac et à l'étranger*socio=te) résoudrait tous les problèmes*socio=ec2 commerciaux*socio=ec1 légitimes*socio=uv2 posés par les restrictions*socio=et verticales. Selon certains, même quand une concurrence*socio=ec1 *socio=rien suffisante est *socio=nil déjà assurée par la présence*socio=rien de multiples*socio=rien fournisseurs*socio=ac nationaux*socio=te *socio=rien sur un marché*socio=ec1 *socio=nil qui ont chacun des arrangements*socio=et prévoyant des restrictions*socio=et verticales avec leurs distributeurs, cela peut tendre à interdire l'accès*socio=uv1 aux fournitures*socio=ec1 et aux fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 (ainsi qu'aux nouveaux*socio=rien entrants*socio=ec1 nationaux*socio=te) ou du moins à rendre l'entrée*socio=rien très coûteuse*socio=ec2 (du fait*socio=rien de la nécessité*socio=uv1 d'établir *socio=rien un réseau *socio=nil de distribution nouveau*socio=rien ). On pourrait prendre l'exemple*socio=rien d'un*socio=rien marché*socio=ec1 de l'automobile*socio=ec1 qui serait dominé*socio=uv2 par une poignée de fournisseurs*socio=ac nationaux*socio=te concurrents*socio=ac ayant chacun *socio=rien un réseau *socio=nil de concessionnaires exclusifs*socio=rien ). La *socio=rien question est de*socio=nil savoir *socio=nil s'il y a là un*socio=rien problème*socio=uv4 d'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 qu'il faut corriger. - Des restrictions*socio=et verticales telles que les systèmes*socio=rien de distribution exclusive*socio=rien peuvent, comme on l'a vu, être*socio=rien justifiées par des considérations*socio=rien d'efficience*socio=uv3,, dans certains cas*socio=rien , celles-ci peuvent présenter *socio=rien un grand intérêt *socio=nil pour les nouveaux*socio=rien Y compris ceux qui font le commerce*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=ec1 étrangers*socio=uv4, et faciliter l'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1. Il pourrait donc *socio=rien être opportun *socio=nil d'analyser un*socio=rien autre aspect*socio=rien : compte*socio=rien tenu des éléments*socio=rien mentionnés au premier*socio=rien et au deuxième*socio=rien alinéas ci-dessus (par exemple*socio=rien le caractère*socio=rien discrétionnaire*socio=et de la décision*socio=rien d'agir, la non prise*socio=rien en compte*socio=rien des gains*socio=ec1 d'efficience*socio=uv3 induits au-delà des frontières*socio=te), peut-il, dans certains pays*socio=ac, y avoir un*socio=rien risque*socio=uv4 que la législation*socio=et nationale*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 soit appliquée de manière*socio=rien telle qu'il y ait une discrimination*socio=uv1 à l'encontre*socio=rien des restrictions*socio=et verticales appliquées par les fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 par rapport*socio=rien à celles appliquées par les fournisseurs*socio=ac nationaux*socio=te? Il n'y a pas dans le cadre*socio=rien de l'OMC*socio=ac de dispositions qui obligent spécifiquement*socio=rien les Membres*socio=ac à agir contre les restrictions*socio=et verticales qui restreignent ou entravent le commerce*socio=ec1 international*socio=te. Les procédures*socio=et de consultations*socio=uv1 et de coopération*socio=uv1 prévues dans la Décision*socio=rien de 1960 du GATT*socio=et, l'AGCS*socio=ac et l'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC peuvent être*socio=rien invoquées dans leurs *socio=rien domaines respectifs.*socio=nil *{p.67} *socio=nil Les autres dispositions fondamentales*socio=uv4 de l'OMC*socio=ac éventuellement pertinentes*socio=rien sont les règles*socio=et générales*socio=rien en matière*socio=rien de non-discrimination*socio=uv3, de transparence*socio=uv3 et de protection*socio=et des concessions*socio=uv1 et des avantages*socio=rien , qui sont examinées dans la section*socio=rien V.1 du *socio=rien présent chapitre.*socio=nil Il*socio=nil est important *socio=nil aussi de noter que dans la pratique*socio=et les restrictions*socio=et verticales interdiront dans une plus ou moins *socio=rien grande mesure l'*socio=nil accès*socio=uv1 au*socio=nil marché*socio=ec1 *socio=nil pour les fournitures*socio=ec1 ou les fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 en *socio=rien grande partie en*socio=nil fonction des*socio=nil *socio=et mesures gouvernementales *socio=nil facilitant ou rendant difficile*socio=rien l'établissement*socio=rien d'autres réseaux*socio=rien de distribution. À ce propos*socio=rien , les engagements au regard*socio=rien de l'AGCS*socio=ac concernant l'établissement*socio=rien par les entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec1 d'une présence*socio=rien commerciale*socio=ec1 locale*socio=te et l'élimination*socio=ec2 des restrictions*socio=et quantitatives concernant la concurrence*socio=ec1 autorisée sur*socio=rien le marché*socio=ec1, en plus des activités*socio=rien de promotion*socio=uv3 de la concurrence*socio=ec1 menées par les organismes*socio=ac chargés de la mise en oeuvre*socio=rien , peuvent jouer *socio=rien un rôle important en*socio=nil faveur *socio=nil de la réduction*socio=ec2 ou de l'élimination*socio=ec2 de ces *socio=et restrictions gouvernementales.*socio=nil *socio=nil IV.1.b Ententes*socio=et à l'importation*socio=ec1 et *socio=rien questions similaires.*socio=nil Les*socio=nil ententes*socio=et *socio=nil à l'importation*socio=ec1 formées par les importateurs*socio=ac ou les acheteurs*socio=ac nationaux*socio=te et les mesures*socio=et similaires*socio=rien (telles que boycotts des concurrents*socio=ac étrangers*socio=uv4 ou les refus collectifs*socio=uv2 de traiter avec eux) sont bien*socio=rien entendu préoccupantes*socio=rien du point*socio=rien de vue*socio=rien de l'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1. Parmi les *socio=rien questions similaires *socio=nil figurent l'exclusion*socio=rien des concurrents*socio=ac étrangers*socio=uv4 des associations professionnelles*socio=ec1 ou leur admission*socio=rien par ces associations à des conditions*socio=ec1 discriminatoires*socio=uv2 et, en_particulier*socio=rien , l'utilisation*socio=rien à des fins*socio=rien d'exclusion*socio=rien des *socio=rien activités normatives *socio=nil de ces associations." Les ententes*socio=et "dures", par exemple*socio=rien pour la fixation des prix*socio=ec1, les restrictions*socio=et visant la production*socio=ec1, le découpage du marché*socio=ec1 et la répartition*socio=uv3 de la clientèle*socio=ac, sont en *socio=rien temps normal *socio=nil totalement prohibées par le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1, même si elles ne le sont pas toujours sans quelque ambiguïté*socio=rien (dans certains pays*socio=ac, elles peuvent être*socio=rien autorisées si les importateurs*socio=ac sont confrontés à des fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 dominants et s'il n'est*socio=rien pas considéré que la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 nationaux*socio=te est*socio=rien substantiellement restreinte).` Les autres mécanismes*socio=rien de coopération*socio=uv1 entre concurrents*socio=ac, par exemple*socio=rien pour les *socio=rien activités normatives *socio=nil et les achats*socio=ec1 groupés, sont souvent analysés au regard*socio=rien de la "règle de raison*socio=rien ". Les ententes*socio=et à l'importation*socio=ec1 qui ont pour *socio=rien seule fonction *socio=nil de tenter d'exercer un*socio=rien pouvoir*socio=et de monopsone afin d'obtenir*socio=rien *socio=rien un meilleur prix*socio=ec1 des*socio=nil fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 peuvent*socio=nil être *socio=nil considérées plus favorablement, du point*socio=rien de vue*socio=rien de l'efficience*socio=uv3 et du bien-être du pays*socio=ac, que les ententes*socio=et qui exercent aussi une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 à l'intérieur*socio=te du pays*socio=ac du côté*socio=rien de la vente*socio=ec1 ou qui cherchent à exclure les fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 en pratiquant un*socio=rien boycott collectif*socio=uv2." On considérera probablement que ces *socio=rien dernières formes de*socio=nil restrictions*socio=et *socio=nil horizontales dérogent à la législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1, lorsque celle-ci est*socio=rien effectivement mise en oeuvre*socio=rien , tandis que les premières*socio=rien pourront être*socio=rien tolérées dans la mesure*socio=rien où elles font l'objet*socio=rien d'un*socio=rien examen*socio=ec2 selon la règle de raison*socio=rien , nonobstant leurs *socio=rien effets sur les*socio=nil partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1.*socio=nil *socio=nil L'une des questions*socio=rien posées dans le cadre*socio=rien des relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te concernait l'efficacité*socio=uv3 de la mise en oeuvre*socio=rien par les *socio=ac pays importateurs *socio=nil de leur législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 concernant ces pratiques*socio=et, en_particulier*socio=rien quand les ententes*socio=et ou les oligopoles*socio=ec1 pour l'importation*socio=ec1 ou l'achat*socio=ec1 sont considérés comme restreignant l'accès*socio=uv1 au *socio=ec1 marché importateur.*socio=nil "*socio=nil Ces*socio=nil *socio=rien questions générales *socio=nil sont examinées plus loin*socio=rien dans la sous-section 5. Au début*socio=rien des années*socio=rien 90, les préoccupations*socio=uv4 suscitées par la mise en *socio=rien oeuvre inadéquate au*socio=nil niveau national*socio=te *socio=nil de la législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 vis-à-vis d'ententes*socio=et à l'importation*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 des États-unis*socio=ac ont conduit à une révision*socio=rien des directives*socio=et des États-unis*socio=ac concernant la mise en oeuvre*socio=rien internationale*socio=te, en vue*socio=rien de permettre l'application*socio=rien de la législation*socio=et antitrust des États-unis*socio=ac aux activités*socio=rien dont le siège*socio=rien se trouve à l'étranger*socio=te telles que les ententes*socio=et à l'importation*socio=ec1 qui restreignent l'accès*socio=uv1 des *socio=ac producteurs américains aux*socio=nil marchés*socio=ec1 étrangers*socio=uv4.*socio=nil *{p.68} *socio=nil Encadré IV.5 États-unis*socio=ac/Japon*socio=ac - Différend*socio=rien concernant les pellicules de papier*socio=ec1 photographiques. Cela représentait *socio=rien un retour *socio=nil à la position*socio=rien qui, en matière*socio=rien de mise en oeuvre*socio=rien , prévalait jusqu'au début*socio=rien des années*socio=rien 80, quand la législation*socio=et antitrust des États-unis*socio=ac était utilisée pour faire opposition*socio=rien à des arrangements*socio=et étrangers*socio=uv4 dont on considérait qu'ils empêchaient les *socio=ac entreprises américaines *socio=nil d'accéder aux marchés*socio=ec1 étrangers*socio=uv4." Mais bien*socio=rien qu'il y ait eu réaffirmation*socio=rien récemment que la juridiction*socio=et des États-unis*socio=ac en matière*socio=rien antitrust s'étendait aux pratiques*socio=et affectant les périodiques*socio=te américains*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1, il n'a pas été*socio=rien recouru jusqu'à présent*socio=rien à cette juridiction*socio=et dans des *socio=rien cas particuliers,*socio=nil *socio=nil peut-être en raison*socio=rien de difficultés*socio=ec2 à accéder aux renseignements*socio=ec2 nécessaires*socio=rien et/ou d'une préférence persistante pour une mise en oeuvre*socio=rien par les autorités*socio=et nationales*socio=te responsables*socio=uv2. En plus de la Décision*socio=rien de 1960 du GATT*socio=et qui recommande des consultations*socio=uv1 et des dispositions de l'AGCS*socio=ac et de l'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC concernant la coopération*socio=uv1 en vue*socio=rien de la mise en oeuvre*socio=rien de la législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1, les principales*socio=rien dispositions qui pourraient *socio=rien être pertinentes *socio=nil dans le cadre*socio=rien de l'OMC*socio=ac sont celles qui concernent en général*socio=rien le traitement*socio=rien national*socio=te, l'obligation*socio=uv1 NPF*socio=et, la transparence*socio=uv3 et la protection*socio=et des concessions*socio=uv1 et des avantages*socio=rien . Ces aspects*socio=rien sont développés*socio=uv4 plus bas*socio=rien dans la section*socio=rien V.1. En outre, les règles*socio=et existantes*socio=rien de l'OMC*socio=ac couvrent de façon*socio=rien assez détaillée la question*socio=rien de l'adoption*socio=et de normes*socio=et techniques*socio=rien , y compris par les associations professionnelles*socio=ec1. L'Accord*socio=et de l'OMC*socio=ac sur*socio=rien les *socio=rien obstacles techniques au*socio=nil commerce*socio=ec1 *socio=nil vise à faire en sorte*socio=rien que les normes*socio=et et règlements*socio=et techniques*socio=rien , tant gouvernementaux*socio=ac que non gouvernementaux*socio=ac, ne constituent pas *socio=rien un moyen de*socio=nil discrimination*socio=uv1 *socio=nil à l'encontre*socio=rien des produits*socio=rien importés et ne créent pas d'obstacles*socio=rien non nécessaires*socio=rien au commerce*socio=ec1. Les Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac doivent prendre toutes mesures*socio=et raisonnables*socio=uv4 en leur pouvoir*socio=et pour faire en sorte*socio=rien que les organismes_non_gouvernementaux à activité*socio=rien normative se conforment aux dispositions fondamentales*socio=uv4 de l'Accord*socio=et et acceptent et respectent le Code*socio=et de pratique*socio=rien pour l'élaboration l'adoption*socio=et et l'application*socio=rien des normes*socio=et joint à l'Accord*socio=et. L'Accord*socio=et sur*socio=rien l'application*socio=rien des mesures*socio=et sanitaires*socio=uv2 et phytosanitaires contient des dispositions similaires*socio=rien . IV.l.c Commerce*socio=ec1 d'État*socio=ac, privilèges*socio=uv2 exclusifs*socio=rien ou spéciaux*socio=rien et monopoles*socio=ec1. Les conséquences*socio=rien que les entreprises*socio=ac commerciales*socio=ec1 d'État*socio=ac, les entreprises*socio=ac bénéficiant de droits*socio=uv1 exclusifs*socio=rien ou spéciaux*socio=rien et les monopoles*socio=ec1 peuvent avoir sur*socio=rien l'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 pour les produits*socio=rien importés sont depuis longtemps *socio=rien un sujet de*socio=nil préoccupation*socio=uv4 constante *socio=nil pour les relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te. *{p.69} Cet *socio=rien aspect est *socio=nil reflété par exemple*socio=rien dans l'article*socio=rien XVII:3 du GATT*socio=et, qui reconnaît que les entreprises*socio=ac de ce genre*socio=rien pourraient être*socio=rien utilisées de telle façon*socio=rien qu'il en résulterait de sérieuses*socio=uv4 entraves*socio=ec2 au commerce*socio=ec1, ainsi que dans les dispositions de l'article*socio=rien VIII de l'AGCS*socio=ac. Comme mentionné dans l'introduction*socio=rien , ce *socio=rien chapitre est *socio=nil axé spécialement sur*socio=rien les pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac, tant publiques*socio=et que privées*socio=et, qui peuvent fausser ou entraver le commerce*socio=ec1 international*socio=te. Il pourrait donc être*socio=rien utile*socio=uv4 de dire quelques mots*socio=rien des raisons*socio=rien qui nous conduisent à considérer des questions*socio=rien qui pourraient relever davantage, apparemment, des *socio=et mesures gouvernementales *socio=nil que du comportement*socio=rien des entreprises*socio=ac. Ces raisons*socio=rien sont au nombre*socio=rien de cinq*socio=rien . Premièrement, il s'agit d'un*socio=rien domaine*socio=rien où l'absence*socio=rien de concurrence*socio=ec1 nationale*socio=te peut déboucher sur*socio=rien des problèmes*socio=ec2 de commerce*socio=ec1 international*socio=te. Deuxièmement, il s'agit d'un*socio=rien domaine*socio=rien qui recoupe à la fois*socio=rien la question*socio=rien des *socio=et mesures gouvernementales *socio=nil et celle du comportement*socio=rien des entreprises*socio=ac,, souvent, il *socio=rien est difficile *socio=nil de dire si les effets*socio=rien restrictifs*socio=uv4 sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 international*socio=te qui résultent de la conduite*socio=rien des entreprises*socio=ac en question*socio=rien sont imputables*socio=uv2 à des mesures*socio=et d'application*socio=rien *socio=rien générale prises *socio=nil par les pouvoirs_publics*socio=et, aux initiatives*socio=rien laissées à la discrétion des pouvoirs_publics*socio=et ou au comportement*socio=rien autonome des entreprises*socio=ac elles-mêmes. Troisièmement, le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 prend en compte*socio=rien ces aspects*socio=rien à divers degrés*socio=rien . Quatrièmement, l'approche fondamentale*socio=uv4 suivie dans l'Accord*socio=et sur*socio=rien l'OMC*socio=ac consiste à chercher à réglementer le comportement*socio=rien de ces entreprises*socio=ac sur*socio=rien le marché*socio=ec1 en imposant aux *socio=ac gouvernements membres des*socio=nil obligations*socio=uv1 *socio=nil à cet égard*socio=rien , indépendamment des facteurs*socio=rien qui déterminent ce comportement*socio=rien , Cinquièmement, certaines*socio=rien des règles*socio=et pertinentes*socio=rien de l'OMC*socio=ac s'appliquent aux monopoles*socio=ec1 privés*socio=et et aussi à ceux qui résultent d'initiatives*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=et. Dans les relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te, il a été*socio=rien perçu que trois types de problèmes*socio=ec2 en matière*socio=rien d'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 étaient plus particulièrement posés en relation*socio=rien avec les activités*socio=rien des entreprises*socio=ac qui bénéficient d'un*socio=rien monopole*socio=ec1 ou d'une position*socio=rien de puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 *socio=rien sur un marché*socio=ec1 national*socio=te:*socio=nil *socio=nil - Le premier*socio=rien problème*socio=uv4 concerne l'accès*socio=uv1 pour les produits*socio=rien et les services*socio=ec1 au marché*socio=ec1 qui fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'un*socio=rien monopole*socio=ec1 ou de droits*socio=uv1 spéciaux*socio=rien ou exclusifs*socio=rien , soit dans le domaine*socio=rien des services*socio=ec1 (par exemple*socio=rien , services*socio=ec1 de télécommunications*socio=ec1 de base*socio=rien ) soit dans le domaine*socio=rien des produits*socio=rien (par exemple*socio=rien , produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 dont l'importation*socio=ec1 est*socio=rien contrôlée par des offices*socio=rien de commercialisation*socio=ec1, monopoles*socio=ec1 des alcools et des tabacs et autres monopoles*socio=ec1 de commerce*socio=ec1 d'État*socio=ac). - - Le deuxième*socio=rien problème*socio=uv4 concerne l'impact*socio=rien des monopoles*socio=ec1 ou des positions*socio=rien de puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 sur*socio=rien la capacité*socio=uv3 des produits*socio=rien , des services*socio=ec1 ou des fournisseurs*socio=ac de services*socio=ec1 étrangers*socio=uv4 d'approvisionner les marchés*socio=ec1 en aval*socio=rien , dont l'accès*socio=uv1 dépend de l'utilisation*socio=rien d'installations assujetties au monopole*socio=ec1 ou à la position*socio=rien de puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1. Cet élément*socio=rien a été*socio=rien primordial dans les négociations*socio=et sur*socio=rien le secteur*socio=rien des télécommunications*socio=ec1. - - Une *socio=rien troisième source de*socio=nil tensions*socio=uv3 commerciales*socio=ec1 a*socio=nil été l'*socio=nil accès*socio=uv1 aux*socio=nil marchés*socio=ec1 *socio=nil en amont pour les intrants, en_particulier*socio=rien les biens*socio=ec1 d'équipement*socio=ec1, en relation*socio=rien avec la production*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=ec1 par une entreprise*socio=ac dominante*socio=uv2 ou privilégiée de la production*socio=ec1 d'*socio=rien électricité*socio=ec1 et*socio=rien du matériel*socio=rien de télécommunications*socio=ec1 sont des exemples*socio=rien éloquents. - Avant d'examiner chacun de ces problèmes*socio=ec2 et de voir comment ils sont pris en compte*socio=rien dans le droit*socio=uv1 commercial*socio=ec1, dans la *socio=et législation réglementaire *socio=nil et dans le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1, il convient de faire certaines*socio=rien observations *socio=rien générales sur *socio=nil les dispositions de l'OMC*socio=ac qui se rapportent aux entreprises*socio=ac d'État*socio=ac, aux monopoles*socio=ec1 et aux entreprises*socio=ac bénéficiant de droits*socio=uv1 spéciaux*socio=rien ou exclusifs*socio=rien . C'est*socio=rien seulement dans la mesure*socio=rien où une entreprise*socio=ac est*socio=rien isolée des disciplines*socio=rien du marché*socio=ec1 concurrentiel*socio=ec2 et qu'elle bénéficie donc d'une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 qu'elle peut opérer de manière*socio=rien telle qu'il y ait restriction*socio=et de l'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 pour les biens*socio=ec1 et les services*socio=ec1 des autres pays*socio=ac. Il n'est*socio=rien donc pas surprenant*socio=rien que les règles*socio=et du GATT*socio=et et de l'AGCS*socio=ac prennent spécialement en considération*socio=rien les monopoles*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 pour les marchandises*socio=ec1 (article*socio=rien XVIH a) et 4 a) et b) et article*socio=rien 11:4 du GATT*socio=et) et les fournisseurs*socio=ac de services*socio=ec1 monopolistiques*socio=ec2 (article*socio=rien VIII: 1 -4 de l'AGCS*socio=ac) ainsi que les entreprises*socio=ac bénéficiant de privilèges*socio=uv2 exclusifs*socio=rien ou spéciaux*socio=rien (article*socio=rien XVIH du GATT*socio=et) ou les fournisseurs*socio=ac exclusifs*socio=rien de services*socio=ec1 substantiellement préservés de la concurrence*socio=ec1 (article*socio=rien VIII:5 de l'AGCS*socio=ac). Une autre caractéristique*socio=rien des règles*socio=et de l'OMC*socio=ac est*socio=rien que, si elles prennent en compte*socio=rien implicitement les situations*socio=rien dans lesquelles un*socio=rien gouvernement*socio=ac peut être*socio=rien en mesure*socio=rien d'exercer un*socio=rien contrôle*socio=uv3 discrétionnaire*socio=et sur*socio=rien l'activité*socio=rien d'une entreprise*socio=ac qui peut affecter les échanges*socio=ec1, le critère*socio=rien du contrôle*socio=uv3 par le gouvernement*socio=ac n'est*socio=rien pas généralement applicable*socio=rien pour déterminer si une entreprise*socio=ac est*socio=rien assujettie aux obligations*socio=uv1. Rien*socio=rien dans les règles*socio=et ne suggère qu'un*socio=rien comportement*socio=rien autonome des entreprises*socio=ac qui dérogerait aux normes*socio=et prévues dans les dispositions pertinentes*socio=rien de l'OMC*socio=ac puisse ne pas être*socio=rien couvert par les obligations*socio=uv1 acceptées par les Membres*socio=ac à travers*socio=rien ces dispositions. Accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 assujetti au monopole*socio=ec1 ou à la position*socio=rien de puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1. Le GATT*socio=et de 1994 autorise les Membres*socio=ac à maintenir des monopoles*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1. Il prévoit de fait*socio=rien une "exception*socio=rien générale*socio=rien " aux autres obligations*socio=uv1 pour les mesures*socio=et "nécessaires*socio=rien pour assurer le respect*socio=uv1" de ces monopoles*socio=ec1. Plutôt que d'assujettir l'existence*socio=rien du monopole*socio=ec1 ou des privilèges*socio=uv2 exclusifs*socio=rien ou spéciaux*socio=rien a des négociations*socio=et et à des règles*socio=et, l'approche retenue*socio=rien dans le cadre*socio=rien du GATT*socio=et a consisté à encourager les négociations*socio=et" et à établir des règles*socio=et concernant le rapport*socio=rien compétitif*socio=uv4 entre les produits*socio=rien importés et les produits*socio=rien nationaux*socio=te qui devraient être*socio=rien reflétées dans le comportement*socio=rien de marché*socio=ec1 des monopoles*socio=ec1 ou entreprises*socio=ac privilégiées l'importation*socio=ec1 ne doivent pas avoir pour effet*socio=rien d'assurer une protection*socio=et supérieure*socio=rien au taux*socio=rien de droit*socio=uv1 consolidé. *{p.70} Les entreprises*socio=ac d'État*socio=ac et les entreprises*socio=ac qui bénéficient de privilèges*socio=uv2 exclusifs*socio=rien ou spéciaux*socio=rien ne doivent pas, dans leurs décisions*socio=rien concernant les importations*socio=ec1, faire de discrimination*socio=uv1 sur*socio=rien la base*socio=rien du pays*socio=ac d'origine*socio=rien des produits*socio=rien , mais prendre leurs décisions*socio=rien en s'inspirant de considérations*socio=rien d'ordre*socio=rien commercial*socio=ec1." Les transactions*socio=ec1 relevant du commerce*socio=ec1 d'État*socio=ac ne doivent pas être*socio=rien utilisées pour appliquer des restrictions*socio=et à l'importation*socio=ec1 incompatibles*socio=uv4 avec les règles*socio=et générales*socio=rien du GATT*socio=et de 1994 concernant ces mesures*socio=et." Le droit*socio=uv1 de maintenir un*socio=rien monopole*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 n'entraîne pas le droit*socio=uv1 d'opérer une discrimination*socio=uv1 affectant la *socio=rien livraison sur le*socio=nil marché*socio=ec1 intérieur*socio=te de*socio=nil produits *socio=nil importés. Toutefois, cet accent*socio=rien mis sur*socio=rien le comportement*socio=rien des entreprises*socio=ac soulève une difficulté*socio=ec2 qui a été*socio=rien largement perçue dans les règles*socio=et du GATT*socio=et appliquées aux entreprises*socio=ac d'État*socio=ac et aux entreprises*socio=ac auxquelles il a été*socio=rien accordé des privilèges*socio=uv2 exclusifs*socio=rien ou spéciaux*socio=rien : celle de la surveillance*socio=et et de la mise en oeuvre*socio=rien , c'est-à-dire des moyens*socio=ec1 de faire en sorte*socio=rien que le contrôle*socio=uv3 discrétionnaire*socio=et des pouvoirs_publics*socio=et où les intérêts autonomes*socio=uv2 de ces entreprises*socio=ac ne conduisent pas, dans la pratique*socio=et, aux actes mentionnés au paragraphe*socio=rien ci-dessus quand c'est*socio=rien le comportement*socio=rien des entreprises*socio=ac qu'il faut surveiller et non des *socio=et règles gouvernementales d'*socio=nil application*socio=rien générale*socio=rien .*socio=nil *socio=nil Pour essayer de prendre en compte*socio=rien ce problème*socio=uv4, une très *socio=rien large place a*socio=nil été *socio=nil accordée à la transparence*socio=uv3 et à la notification des renseignements*socio=ec2 concernant les activités*socio=rien de ces entreprises*socio=ac." Toutefois, les arrangements*socio=et en matière*socio=rien de transparence*socio=uv3 n'ont pas bien*socio=rien fonctionné et ce *socio=rien fait est *socio=nil reflété dans le Mémorandum*socio=et d'accord*socio=et du Cycle*socio=te d'Uruguay*socio=ac, qui cherche à y remédier en prévoyant l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien groupe*socio=rien de travail chargé d'examiner non seulement les notifications, mais aussi le questionnaire*socio=rien proprement dit. Mais même si l'on disposait de renseignements*socio=ec2 plus adéquats*socio=uv2 sur*socio=rien le fonctionnement*socio=rien de ces entreprises*socio=ac, il resterait à savoir*socio=rien si cela serait en *socio=rien soi suffisant *socio=nil pour permettre de déterminer aisément si les décisions*socio=rien affectant les importations*socio=ec1 reflètent une certaine*socio=rien discrimination*socio=uv1, surtout dans le cas*socio=rien des secteurs*socio=rien de produits*socio=rien moins homogènes*socio=uv4. La plupart*socio=rien des concessions*socio=uv1 concernant le fonctionnement*socio=rien des entreprises*socio=ac commerciales*socio=ec1 d'État*socio=ac négociées dans le cadre*socio=rien du GATT*socio=et ont pris la forme*socio=rien de consolidations tarifaires*socio=et"', bien*socio=rien que la possibilité*socio=rien d'autres formes*socio=rien d'engagement*socio=uv1 soit explicitement reconnue dans les articles*socio=rien XVII:3 et 11:4. Même si, comme cela a déjà été*socio=rien dit, le GATT*socio=et n'assujettit pas l'existence*socio=rien des monopoles*socio=ec1 à l'importation*socio=ec1 ou des droits*socio=uv1 exclusifs*socio=rien ou spéciaux*socio=rien à des négociations*socio=et, rien*socio=rien ne s'oppose à cela et il est*socio=rien à noter que dans le contexte de négociations*socio=et récentes*socio=rien en matière*socio=rien d'accession, notamment avec d'anciens*socio=rien pays*socio=ac à commerce*socio=ec1 d'État*socio=ac, des engagements ont été*socio=rien recherchés concernant non seulement le comportement*socio=rien des entreprises*socio=ac auxquelles il avait été*socio=rien accordé des droits*socio=uv1 exclusifs*socio=rien à l'importation*socio=ec1, mais aussi l'existence*socio=rien de ces droits*socio=uv1 - la structure*socio=ec1 du marché*socio=ec1 proprement dite (question*socio=rien désormais dite des "droits*socio=uv1 commerciaux*socio=ec1"). L'approche retenue*socio=rien dans le cadre*socio=rien de l'AGCS*socio=ac concernant les *socio=rien effets sur le*socio=nil commerce*socio=ec1 des*socio=nil monopoles*socio=ec1 *socio=nil et des entreprises*socio=ac avec des droits*socio=uv1 *socio=rien exclusifs est similaire *socio=nil en certains points*socio=rien à celle suivie dans le cadre*socio=rien du GATT*socio=et. L'obligation*socio=uv1 fondamentale*socio=uv4 est*socio=rien de faire en sorte*socio=rien que l'entreprise*socio=ac ne se comporte pas d'une manière*socio=rien qui porte*socio=rien atteinte au rapport*socio=rien compétitif*socio=uv4 entre les services*socio=ec1 et fournisseurs*socio=ac de services*socio=ec1 nationaux*socio=te et ceux des autres Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac qui est*socio=rien établi par l'obligation*socio=uv1 NPF*socio=et et les engagements spécifiques*socio=rien du Membre*socio=ac. Il y a toutefois une *socio=rien différence importante par*socio=nil rapport au*socio=nil GATT*socio=et *socio=nil en ce sens*socio=rien que la structure*socio=ec1 de l'AGCS*socio=ac en tant qu'accord*socio=et couvrant la fourniture*socio=ec1 de services*socio=ec1 à travers*socio=rien la présence*socio=rien commerciale*socio=ec1 de fournisseurs*socio=ac de services*socio=ec1 étrangers*socio=uv4 (c'est-à-dire à travers*socio=rien l'investissement*socio=ec1 étranger*socio=te) ainsi qu'à travers*socio=rien la fourniture*socio=ec1 transfrontières d'un*socio=rien service signifie que pour les marchés*socio=ec1 qui sont soumis à des monopoles*socio=ec1 et des droits*socio=uv1 exclusifs*socio=rien , l'AGCS*socio=ac prévoit explicitement des négociations*socio=et et des engagements concernant l'entrée*socio=rien sur*socio=rien le marché*socio=ec1 et, par conséquent*socio=rien , les monopoles*socio=ec1 ou les droits*socio=uv1 exclusifs*socio=rien eux-mêmes. D'ailleurs*socio=rien , le droit*socio=uv1 des fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 de s'établir sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 assujettis à des monopoles*socio=ec1 ou des droits*socio=uv1 exclusifs*socio=rien a *socio=rien été un sujet de*socio=nil négociation*socio=et et*socio=nil un secteur d'*socio=nil engagement*socio=uv1 majeurs,*socio=nil en_particulier *socio=nil pour les télécommunications*socio=ec1. À cet égard*socio=rien , l'AGCS*socio=ac prévoit non seulement des engagements sur*socio=rien l'octroi*socio=rien du traitement*socio=rien national*socio=te aux fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 en ce qui concerne les mesures*socio=et affectant leur présence*socio=rien commerciale*socio=ec1, mais aussi des engagements sur*socio=rien 1-accès aux marchés*socio=ec1" en relation*socio=rien avec les droits*socio=uv1 spéciaux*socio=rien ou exclusifs*socio=rien qui prennent la forme*socio=rien de restrictions*socio=et quantitatives limitant l'entrée*socio=rien sur*socio=rien le marché*socio=ec1, indépendamment du fait*socio=rien que ces restrictions*socio=et sont ou non discriminatoires*socio=uv2 pour les services*socio=ec1 ou les fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4. En ce qui concerne la législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1, son applicabilité et sa mise en *socio=rien oeuvre effective face au*socio=nil comportement des*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil auxquelles il a été*socio=rien accordé un*socio=rien monopole*socio=ec1 d'État*socio=ac ou des droits*socio=uv1 exclusifs*socio=rien qui a *socio=rien un effet de*socio=nil restriction*socio=et *socio=nil ou de distorsion des échanges*socio=ec1 peuvent être*socio=rien limitées. Cela est*socio=rien dû au fait*socio=rien que les secteurs*socio=rien en question*socio=rien sont souvent exclus de la juridiction*socio=et du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 (voir discussion*socio=rien et tableau*socio=rien IV.2 dans la partie*socio=rien 11) ou à une "intervention des pouvoirs_publics*socio=et" ou à des moyens*socio=ec1 de défense juridiques*socio=et similaires*socio=rien de *socio=rien nature générale *socio=nil qui assurent l'immunité. Les organismes*socio=ac chargés de la concurrence*socio=ec1 peuvent certes jouer *socio=rien un rôle de*socio=nil promotion*socio=uv3 important *socio=nil dans ces domaines*socio=rien , mais il n'est*socio=rien pas surprenant*socio=rien que bien*socio=rien souvent les États*socio=ac se gardent d'inclure dans leur législation*socio=et nationale*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 des dispositions qui pourraient être*socio=rien incompatibles*socio=uv4 avec d'autres initiatives*socio=rien délibérées qu'ils pourraient prendre. Même lorsqu'ils disposent d'une législation*socio=et permettant cela, les possibilités*socio=rien de mise en oeuvre*socio=rien risquent d'être*socio=rien limitées. Il y a toutefois quelques exceptions*socio=rien . *socio=rien Un exemple marquant est *socio=nil celui de la *socio=ac Communauté européenne,*socio=nil *socio=nil dont la législation*socio=et s'applique à la fois*socio=rien aux mesures*socio=et des *socio=ac gouvernements membres régissant*socio=rien leurs*socio=nil entreprises d'*socio=nil état*socio=rien et*socio=nil entreprises *socio=nil ayant des droits*socio=uv1 spéciaux*socio=rien ou exclusifs*socio=rien et au *socio=rien comportement sur le*socio=nil marché*socio=ec1 *socio=nil de ces entreprises*socio=ac. L'exemple*socio=rien est*socio=rien particulièrement intéressant du point*socio=rien de vue*socio=rien du système*socio=rien commercial*socio=ec1 *socio=rien multilatéral constitue un droit*socio=uv1 international*socio=te public*socio=et largement inspiré *socio=nil par le *socio=rien souci d'éliminer les obstacles aux échanges*socio=ec1.*socio=nil *{p.71} Dans le*socio=nil cadre des dispositions en question,*socio=nil la*socio=nil Communauté*socio=ac a*socio=nil fait des progrès*socio=uv1 considérables vers l'*socio=nil ouverture*socio=uv3 *socio=nil à la concurrence*socio=ec1 de secteurs*socio=rien jusque-là fermés et*socio=rien , *socio=rien lorsque cela n'a*socio=nil pas*socio=nil été considéré*socio=nil possible ou*socio=nil souhaitable,*socio=nil en matière de*socio=nil réglementation*socio=et pour éviter des restrictions*socio=et des échanges*socio=ec1 *socio=nil intracommunautaires. Ces *socio=rien dispositions sont essentiellement les suivantes: -*socio=nil Les *socio=ac États membres *socio=nil doivent s'abstenir de prendre des mesures*socio=et qui permettraient à des entreprises_privées*socio=et de se dérober aux obligations*socio=uv1 découlant des règles*socio=et communautaires*socio=ac en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1. - - Dans le domaine*socio=rien du commerce*socio=ec1 des marchandises*socio=ec1, les articles*socio=rien 30 et 37 du Traité*socio=rien CE ont *socio=rien été employés *socio=nil vis-à-vis des monopoles*socio=ec1 nationaux*socio=te présentant *socio=rien un caractère commercial*socio=ec1 *socio=nil pour assurer l'élimination*socio=ec2 de mesures*socio=et et quantitative et la non-discrimination*socio=uv3 entre ressortissants*socio=ac des *socio=ac États membres a*socio=nil été*socio=rien *socio=nil interprété comme imposant l'aménagement*socio=et des *socio=ec1 monopoles commerciaux de*socio=nil manière*socio=rien *socio=nil à éliminer tous droits*socio=uv1 d'importation*socio=ec1 exclusifs*socio=rien . - - En ce qui concerne les entreprises*socio=ac d'État*socio=ac ou les entreprises*socio=ac avec des droits*socio=uv1 spéciaux*socio=rien ou exclusifs*socio=rien , l'article*socio=rien 90 du Traité*socio=rien CE dispose que les mesures*socio=et prises*socio=rien par les États*socio=ac ne doivent pas *socio=rien être contraires *socio=nil aux autres règles*socio=et du Traité*socio=rien , notamment celles qui concernent la concurrence*socio=ec1 et la libre*socio=uv2 circulation*socio=ec2 des marchandises*socio=ec1 et des services*socio=ec1. La Commission*socio=ac s'est*socio=rien prévalue de cet article*socio=rien non seulement pour réglementer le comportement*socio=rien des entreprises*socio=ac bénéficiant de droits*socio=uv1 spéciaux*socio=rien ou exclusifs*socio=rien , mais aussi pour imposer l'élimination*socio=ec2 de droits*socio=uv1 exclusifs*socio=rien , notamment dans le secteur*socio=rien des télécommunications*socio=ec1." La Cour*socio=rien européenne*socio=ac de justice*socio=et a confirmé cette position*socio=rien en statuant que si la simple*socio=rien création d'une position*socio=rien dominante*socio=uv2 par l'octroi*socio=rien d'un*socio=rien droit*socio=uv1 exclusif*socio=rien n'était pas en soi*socio=rien incompatible*socio=uv4 avec l'article*socio=rien 86 du Traité*socio=rien CE, un*socio=rien *socio=ac État membre *socio=nil contreviendrait aux articles*socio=rien 86 et 90 si, en exerçant simplement le droit*socio=uv1 exclusif*socio=rien , l'entreprise*socio=ac en question*socio=rien ne pouvait pas éviter d'abuser de sa position*socio=rien dominante*socio=uv2. - En ce qui concerne les monopoles*socio=ec1 ou les positions*socio=rien dominantes*socio=uv2 de caractère*socio=rien privé*socio=et, le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 cherche généralement à prévenir l'abus*socio=uv1 plutôt qu'à remédier à toute imperfection*socio=rien dans la structure*socio=ec1 du marché*socio=ec1. Dans la *socio=rien première moitié *socio=nil du Xxème siècle*socio=rien , les États-unis*socio=ac ont eu largement recours*socio=ec1 à la démonopolisation*socio=et structurelle, mais depuis cette méthode*socio=rien a été*socio=rien utilisée de façon*socio=rien beaucoup plus sélective*socio=rien . Le principal *socio=rien exemple récent *socio=nil d'intervention structurelle d'une ampleur*socio=rien telle est*socio=rien le jugement convenu rendu en 1982 concernant AT*socio=rien &T (ultérieurement remplacé, en partie*socio=rien , par la Loi*socio=et de 1996 sur*socio=rien les télécommunications*socio=ec1), qui concernait une branche*socio=rien de_production*socio=ec1 partiellement réglementée. Les changements*socio=uv3 introduits dans le cadre*socio=rien de l'affaire*socio=ec1 AT*socio=rien &T ont joué *socio=rien un rôle décisif *socio=nil en Étant les bases*socio=rien du développement*socio=uv3 ultérieur*socio=te de la concurrence*socio=ec1 et de l'innovation*socio=uv3 dans le secteur*socio=rien des télécommunications*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac. Accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 en aval*socio=rien . Comme indiqué plus haut*socio=rien , l'un*socio=rien des problèmes*socio=ec2 posés dans le cadre*socio=rien des relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te en relation*socio=rien avec les entreprises*socio=ac bénéficiant de monopoles*socio=ec1 ou de positions*socio=rien de puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 et leurs implications*socio=rien du point*socio=rien de vue*socio=rien de l'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 a été*socio=rien celui de la capacité*socio=uv3 des produits*socio=rien , des services*socio=ec1 ou des fournisseurs*socio=ac de services*socio=ec1 étrangers*socio=uv4 d'approvisionner les marchés*socio=ec1 en aval*socio=rien , dont l'accès*socio=uv1 dépend de l'utilisation*socio=rien d'installations contrôlées par l'entreprise*socio=ac en position*socio=rien dominante*socio=uv2. Cette entreprise*socio=ac peut chercher à utiliser cette position*socio=rien pour se donner un*socio=rien avantage compétitif*socio=uv4 par rapport*socio=rien aux autres fournisseurs*socio=ac sur*socio=rien ces marchés*socio=ec1 en aval*socio=rien . Cette considération*socio=rien à été*socio=rien particulièrement importante*socio=rien dans le domaine*socio=rien des télécommunications*socio=ec1, où souvent les réseaux*socio=rien nationaux*socio=te encore contrôlés par un*socio=rien fournisseur*socio=ac principal constituent une installation essentielle*socio=uv4 pour les concurrents*socio=ac qui veulent fournir des services*socio=ec1 d'aval*socio=rien . Mais elle peut *socio=rien être importante *socio=nil aussi pour *socio=rien diverses branches de_production*socio=ec1 et*socio=nil activités de*socio=nil services*socio=ec1 *socio=nil et notamment pour les industries*socio=ec1 dites de réseaux*socio=rien (par exemple*socio=rien , gaz*socio=ec1, électricité*socio=ec1, eau et transport*socio=ec1). *{p.72} Les problèmes*socio=ec2 potentiels*socio=uv4 d'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 pour les fournisseurs*socio=ac en aval*socio=rien qui ont été*socio=rien identifiés sont essentiellement de trois types: - Interconnexion. Lorsque l'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 en aval*socio=rien dépend de l'utilisation*socio=rien d'une "installation essentielle*socio=uv4", les conditions*socio=ec1 d'accès*socio=uv1 à cette installation et d'utilisation*socio=rien de cette installation sont d'une importance*socio=rien critique*socio=uv2 du point*socio=rien de vue*socio=rien du rapport*socio=rien compétitif*socio=uv4 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 en aval*socio=rien entre les services*socio=ec1 fournis par l'entreprise*socio=ac qui contrôle*socio=uv3 l'installation et ses concurrents*socio=ac. En outre, les conditions*socio=ec1 d'accès*socio=uv1 peuvent être*socio=rien utilisées pour opérer une discrimination*socio=uv1 en faveur*socio=rien des services*socio=ec1 et des fournisseurs*socio=ac non affiliés*socio=rien nationaux*socio=te et au détriment*socio=uv2 des services*socio=ec1 et des fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 ou entre ces derniers*socio=rien . - - *socio=rien Mauvais usage de*socio=nil renseignements*socio=ec2.*socio=nil Le*socio=nil fournisseur*socio=ac monopolistique*socio=ec2 *socio=nil ou le fournisseur*socio=ac en position*socio=rien dominante*socio=uv2 qui contrôle*socio=uv3 une installation essentielle*socio=uv4 aura accès*socio=uv1 à des renseignements*socio=ec2 sur*socio=rien les activités*socio=rien de ses concurrents*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 en aval*socio=rien qui peuvent être*socio=rien utilisés d'une manière*socio=rien anticoncurrentielle qui lui donnerait un*socio=rien avantage compétitif*socio=uv4 pour l'approvisionnement*socio=ec1 de ces marchés*socio=ec1. - - Subventionnement croisé anticoncurrentiel. Une entreprise*socio=ac qui bénéficie d'un*socio=rien monopole*socio=ec1 ou d'une position*socio=rien dominante*socio=uv2 peut utiliser les rentes*socio=et perçues à ce titre*socio=rien pour accorder des subventions*socio=ec1 croisées aux *socio=rien activités sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 en*socio=nil aval concurrentiels*socio=ec2 au*socio=nil détriment*socio=uv2 des*socio=nil concurrents*socio=ac.*socio=nil *socio=nil - Dans le cadre*socio=rien de l'OMC*socio=ac, ces problèmes*socio=ec2 ont jusqu'à *socio=rien présent été *socio=nil essentiellement considérés en relation*socio=rien avec le secteur*socio=rien du commerce*socio=ec1 des services*socio=ec1 et ils ont *socio=rien été traités en_particulier *socio=nil pour le secteur*socio=rien des télécommunications*socio=ec1. L'article*socio=rien VIII de l'AGCS*socio=ac stipule en général*socio=rien que dans les cas*socio=rien où un*socio=rien fournisseur*socio=ac monopolistique*socio=ec2 d'un*socio=rien Membre*socio=ac de l'OMC*socio=ac (ou un*socio=rien fournisseur*socio=ac exclusif*socio=rien de services*socio=ec1 substantiellement à l'abri de la concurrence*socio=ec1) entrera en concurrence*socio=ec1 pour la fourniture*socio=ec1 d'un*socio=rien service se situant hors du champ*socio=rien de ses droits*socio=uv1 monopolistiques*socio=ec2, le Membre*socio=ac fera en sorte*socio=rien que ce fournisseur*socio=ac n'abuse pas de sa position*socio=rien monopolistique*socio=ec2 pour agir sur*socio=rien son territoire*socio=te d'une manière*socio=rien incompatible*socio=uv4 avec les obligations*socio=uv1 NPF*socio=et fondamentales*socio=uv4 et les engagements spécifiques*socio=rien pris concernant ce service. S'agissant de l'interconnexion, cette obligation*socio=uv1 *socio=rien générale est développée*socio=uv4 *socio=nil dans L'Annexe*socio=rien de l'AGCS*socio=ac sur*socio=rien les télécommunications*socio=ec1 qui stipule, par exemple*socio=rien , que chaque Membre*socio=ac fera en sorte*socio=rien que les renseignements*socio=ec2 *socio=rien pertinents sur les*socio=nil conditions*socio=ec1 *socio=nil affectant l'accès*socio=uv1 et le recours*socio=ec1 aux réseaux*socio=rien et services_publics*socio=et de transport*socio=ec1 des télécommunications*socio=ec1 soient mis à la disposition du public*socio=et et que l'accès*socio=uv1 à ces réseaux*socio=rien et services*socio=ec1 et l'usage*socio=rien de ces réseaux*socio=rien et services*socio=ec1 soient accordés suivant*socio=rien des modalités raisonnables*socio=uv4 et non discriminatoires*socio=uv2. Sur*socio=rien la question*socio=rien de l'interconnexion, une étape*socio=te supplémentaire*socio=rien a été*socio=rien franchie avec ce qu'il est*socio=rien convenu d'appeler le "document*socio=rien de référence*socio=rien ", qui *socio=rien fait partie *socio=nil des engagements pris par de nombreux*socio=rien Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac à l'issue*socio=rien des négociations*socio=et sur*socio=rien les télécommunications*socio=ec1 de base*socio=rien conclues en février*socio=rien 1997. Ce document*socio=rien prend en compte*socio=rien , en_particulier*socio=rien , le cas*socio=rien d'un*socio=rien réseau*socio=rien ou service_public*socio=et de transport*socio=ec1 des télécommunications*socio=ec1 qui constitue une installation essentielle*socio=uv4 qui est*socio=rien fournie exclusivement ou essentiellement par *socio=rien un seul fournisseur*socio=ac ou*socio=nil un nombre *socio=nil limité de fournisseurs*socio=ac et qu'il n'est*socio=rien pas possible*socio=rien de remplacer d'un*socio=rien point*socio=rien de vue*socio=rien économique*socio=ec1 ou technique*socio=rien pour fournir un*socio=rien service. Les Membres*socio=ac en question*socio=rien se sont engagés à appliquer des mesures*socio=et appropriées en vue*socio=rien d'empêcher un*socio=rien fournisseur*socio=ac principal" de ne pas mettre à la disposition des autres fournisseurs*socio=ac de services*socio=ec1 en *socio=rien temps opportun les*socio=nil renseignements*socio=ec2 techniques sur *socio=nil les installations essentielles*socio=uv4 et les renseignements*socio=ec2 commercialement pertinents*socio=rien qui leur sont nécessaires*socio=rien pour fournir des services*socio=ec1. Le document*socio=rien de référence*socio=rien contient aussi des dispositions assez détaillées visant à assurer aux fournisseurs*socio=ac de services*socio=ec1 en aval*socio=rien la possibilité*socio=rien d'une interconnexion avec un*socio=rien fournisseur*socio=ac principal suivant*socio=rien des modalités, à des conditions*socio=ec1 et à des tarifs*socio=et non discriminatoires*socio=uv2 et d'une qualité*socio=rien non moins favorable*socio=ec2 que celle assurée par le principal fournisseur*socio=ac pour ses propres*socio=rien services*socio=ec1 similaires*socio=rien ou pour les services*socio=ec1 similaires*socio=rien des fournisseurs*socio=ac affiliés*socio=rien ainsi que pour ceux d'autres fournisseurs*socio=ac non affiliés*socio=rien . Un*socio=rien organe interne*socio=te indépendant doit être*socio=rien établi pour régler les différends*socio=uv2 en matière*socio=rien d'interconnexion. S'agissant du *socio=rien mauvais usage possible de*socio=nil renseignements*socio=ec2,*socio=nil le*socio=nil document de*socio=nil référence prévoit*socio=nil un engagement*socio=uv1 *socio=nil de la part*socio=rien du Membre*socio=ac d'appliquer des mesures*socio=et appropriées en vue*socio=rien d'empêcher des fournisseurs*socio=ac principaux*socio=rien d'utiliser des renseignements*socio=ec2 obtenus auprès de concurrents*socio=ac d'une manière*socio=rien qui donne des résultats*socio=rien anticoncurrentiels. En ce qui concerne le subventionnement croisé, l'article*socio=rien VIII de l'AGCS*socio=ac prévoit l'obligation*socio=uv1 générale*socio=rien pour les membres*socio=ac de faire en sorte*socio=rien que tout fournisseur*socio=ac monopolistique*socio=ec2 d'un*socio=rien service ou fournisseur*socio=ac exclusif*socio=rien de services*socio=ec1 exerçant une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 n'abuse pas de sa position*socio=rien de puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 pour agir d'une manière*socio=rien incompatible*socio=uv4 avec les engagements spécifiques*socio=rien des Membres*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 en aval*socio=rien . Conformément au document*socio=rien de *socio=rien référence sur les*socio=nil télécommunications*socio=ec1 de*socio=nil base,*socio=nil *socio=nil incorporé dans les listes nationales*socio=te de beaucoup de Membres*socio=ac, ceux-ci sont tenus d'appliquer les mesures*socio=et appropriées en vue*socio=rien d'empêcher des fournisseurs*socio=ac principaux*socio=rien de pratiquer un*socio=rien subventionnement croisé anticoncurrentiel. Le traitement*socio=rien de ces questions*socio=rien dans le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 varie d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. Pour certains pays*socio=ac, la portée*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien circonscrite par des exclusions*socio=uv1 sectorielles*socio=rien (voir tableau*socio=rien IV.2 et discussion*socio=rien dans la partie*socio=rien 11). Hormis ces exclusions*socio=uv1 sectorielles*socio=rien , le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 pourrait *socio=rien bien être applicable,*socio=nil *socio=nil surtout si les pratiques*socio=et éventuellement anticoncurrentielles*socio=uv4 en question*socio=rien concernent des marchés*socio=ec1 situés hors du champ*socio=rien du monopole*socio=ec1 ou des droits*socio=uv1 exclusifs*socio=rien et qu'en conséquence*socio=rien le moyen*socio=rien de défense assuré par le droit*socio=uv1 impératif*socio=uv4 ne serait pas normalement applicable*socio=rien . Comme indiqué plus haut*socio=rien , la législation*socio=et communautaire*socio=ac en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 est*socio=rien inusuelle en ce sens*socio=rien que ses règles*socio=et s'appliquent aussi aux mesures*socio=et qui peuvent *socio=rien être prises *socio=nil ou maintenues par les *socio=ac États membres *socio=nil à l'égard*socio=rien des entreprises*socio=ac d'État*socio=ac et des entreprises*socio=ac ayant des droits*socio=uv1 spéciaux*socio=rien ou exclusifs*socio=rien . *{p.73} Conformément à l'article*socio=rien 90 du Traité*socio=rien CE, la Commission*socio=ac a pris des mesures*socio=et pour limiter*socio=rien l'abus*socio=uv1 possible*socio=rien de positions*socio=rien de monopole*socio=ec1 ou de positions*socio=rien de puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 en aval*socio=rien dans le secteur*socio=rien des télécommunications*socio=ec1. Bien*socio=rien que ces mesures*socio=et soient inspirées par la jurisprudence*socio=et en relation*socio=rien avec la législation*socio=et communautaire*socio=ac en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 concernant les installations essentielles*socio=uv4, le refus de traiter et les *socio=rien questions connexes,*socio=nil *socio=nil elles diffèrent de l'application*socio=rien usuelle du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 en ce sens*socio=rien qu'elles imposent une combinaison*socio=rien de réformes*socio=et structurelles*socio=ec2 du marché*socio=ec1 et de *socio=et régimes réglementaires proconcurrentiels*socio=nil nationaux*socio=te.*socio=nil Le*socio=nil droit*socio=uv1 *socio=nil de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien généralement applicable*socio=rien quand un*socio=rien monopole*socio=ec1 privé*socio=et abuse de sa puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 en aval*socio=rien , notamment en refusant l'accès*socio=uv1 à une installation essentielle*socio=uv4. Selon la législation*socio=et des États-unis*socio=ac en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1, le refus de l'accès*socio=uv1 à une installation essentielle*socio=uv4 par un*socio=rien monopoleur*socio=ec2 qui menace d'éliminer la concurrence*socio=ec1 *socio=rien sur un marché*socio=ec1 en*socio=nil aval peut*socio=nil être *socio=nil considéré comme un*socio=rien acte de monopolisation*socio=ec2 délibérée quand le monopoleur*socio=ec2 pourrait raisonnablement offrir un*socio=rien accès*socio=uv1 ouvert*socio=rien à l'installation et que d'autres conditions*socio=ec1 sont réunies. Toutefois, comme dans le cas*socio=rien des *socio=ac Communautés européennes *socio=nil et de leurs *socio=ac États membres,*socio=nil le*socio=nil contrôle*socio=uv3 des*socio=nil pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 *socio=nil dans les activités*socio=rien en aval*socio=rien aux États-unis*socio=ac est*socio=rien souvent partagé entre les autorités*socio=et chargées de la réglementation*socio=et, par exemple*socio=rien la Commission*socio=ac fédérale*socio=et des communications*socio=ec1 (FCQ et les organes qui s'occupent des télécommunications*socio=ec1 au niveau*socio=rien des États*socio=ac. Le *socio=rien mauvais usage de*socio=nil renseignements*socio=ec2 commerciaux*socio=ec1 *socio=nil par une entreprise*socio=ac intégrée verticalement pose un*socio=rien autre problème*socio=uv4, qui peut relever à la fois*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 et de la *socio=et politique réglementaire.*socio=nil *socio=nil Dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac, ce problème*socio=uv4 ne fait*socio=rien pas l'objet*socio=rien de dispositions spécifiques*socio=rien dans la législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1, mais peut plutôt être*socio=rien considéré dans le contexte de *socio=et procédures judiciaires *socio=nil ou de négociations*socio=et avec les parties*socio=rien en, cas*socio=rien de fusions, de monopolisation*socio=ec2 ou d'abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2. En règle générale*socio=rien , on cherche à éviter les abus*socio=uv1 potentiels*socio=uv4 en érigeant des barrières*socio=et qui empêchent que des renseignements*socio=ec2 confidentiels*socio=uv2 soient communiqués entre les unités*socio=rien qui constituent une entreprise*socio=ac intégrée verticalement. Les dispositions en la matière*socio=rien ont *socio=rien été importantes *socio=nil dans la restructuration*socio=et compétitive*socio=uv4 du secteur*socio=rien des télécommunications*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac et dans d'autres pays*socio=ac. Le subventionnement croisé par les entreprises*socio=ac de leurs *socio=rien activités sur les*socio=nil marchés*socio=ec1 concurrentiels*socio=ec2,*socio=nil *socio=nil en utilisant les profits*socio=ec1 provenant de marchés*socio=ec1 protégés*socio=rien ou monopolisés, est*socio=rien une autre pratique*socio=rien qui recoupe les domaines*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 et de la réglementation*socio=et et qui a été*socio=rien une source*socio=rien de préoccupation*socio=uv4 majeure*socio=rien dans le secteur*socio=rien des télécommunications*socio=ec1. On peut y voir l'illustration de l"'effet*socio=rien de levier" entre un*socio=rien marché*socio=ec1 et un*socio=rien autre qu'exerce la puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1. Le problème*socio=uv4 se pose particulièrement quand des entreprises*socio=ac exercent des activités*socio=rien simultanément sur*socio=rien des marchés*socio=ec1 réglementés et non réglementés, puisque l'entreprise*socio=ac peut être*socio=rien fortement incitée, dans ces circonstances*socio=rien , à pratiquer un*socio=rien subventionnement croisé de ses *socio=rien activités sur le*socio=nil marché*socio=ec1 concurrentiel*socio=ec2 *socio=nil en allouant des coût*socio=ec1 additionnels*socio=rien au marché*socio=ec1 réglementé. Cette pratique*socio=rien peut renforcer à la fois*socio=rien : i) la compétitivité*socio=uv1 de l'entreprise*socio=ac sur*socio=rien le marché*socio=ec1 non réglementé,, et ii) sa base*socio=rien tarifaire*socio=et ou le prix*socio=ec1 qu'elle peut demander (selon la réglementation*socio=et) sur*socio=rien le marché*socio=ec1 réglementé. Ces considérations*socio=rien ont *socio=rien été importantes *socio=nil dans le règlement convenu rendu dans l'affaire*socio=ec1 AT*socio=rien &T aux États-unis*socio=ac en 1982. La question*socio=rien de l'effet*socio=rien de levier exercé par la puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 se pose également dans les cas*socio=rien de monopolisation*socio=ec2 n'impliquant pas de réglementation*socio=et. Il est*socio=rien parfois dit, par exemple*socio=rien , que les prescriptions en matière*socio=rien de vente*socio=ec1 assortie de conditions*socio=ec1 sont utilisées pour étendre à un*socio=rien autre marché*socio=ec1 (jusqu'alors non monopolisé) le contrôle*socio=uv3 du monopoleur*socio=ec2 *socio=rien sur un produit*socio=ec1 *socio=nil lié. L'analyse*socio=rien économique*socio=ec1 démontre cependant que les circonstances*socio=rien dans lesquelles l'utilisation*socio=rien de l'effet*socio=rien de levier constitue un*socio=rien instrument viable*socio=uv4 de monopolisation*socio=ec2 sont limitées puisque en général*socio=rien la puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 ne peut pas être*socio=rien simultanément exploitée *socio=rien sur un marché*socio=ec1 *socio=nil et utilisée pour étendre le contrôle*socio=uv3 *socio=rien sur un autre*socio=nil marché*socio=ec1.*socio=nil Accès*socio=uv1 aux*socio=nil marchés*socio=ec1 *socio=nil en amont. Les entreprises*socio=ac qui jouissent d'un*socio=rien monopole*socio=ec1 ou d'une position*socio=rien de puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 sont dans une *socio=rien certaine mesure *socio=nil à l'abri des disciplines*socio=rien du marché*socio=ec1 pour leurs achats*socio=ec1 d'intrants. Cet élément*socio=rien a été*socio=rien une *socio=rien source particulière de*socio=nil tensions*socio=uv3 *socio=nil dans le commerce*socio=ec1 international*socio=te s'agissant des achats*socio=ec1 de matériel*socio=rien de_production*socio=ec1 d'électricité*socio=ec1, de transport*socio=ec1 et de télécommunications*socio=ec1 par les entreprises*socio=ac de services_publics*socio=et, en_particulier*socio=rien quand les entreprises*socio=ac en question*socio=rien appartiennent à l'État*socio=ac ou si, du fait*socio=rien des privilèges*socio=uv2 spéciaux*socio=rien ou exclusifs*socio=rien qui leur ont été*socio=rien octroyés, elles peuvent être*socio=rien soumises à des décisions*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=et. Mais des problèmes*socio=ec2 commerciaux*socio=ec1 ont été*socio=rien posés aussi en relation*socio=rien avec les politiques*socio=et en matière*socio=rien de marchés*socio=ec1 publics*socio=et d'entreprises_privées*socio=et en position*socio=rien dominante*socio=uv2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 de services_publics*socio=et. Pour les marchandises*socio=ec1, ces questions*socio=rien sont prises*socio=rien en compte*socio=rien dans le cadre*socio=rien du GATT*socio=et à travers*socio=rien la combinaison*socio=rien des règles*socio=et relatives*socio=rien aux entreprises*socio=ac commerciales*socio=ec1 d'État*socio=ac (y compris les entreprises_privées*socio=et bénéficiant de privilèges*socio=uv2 exclusifs*socio=rien ou spéciaux*socio=rien ) et des règles*socio=et concernant les marchés*socio=ec1 publics*socio=et. En ce qui concerne les marchés*socio=ec1 publics*socio=et, les Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac sont exemptés des règles*socio=et du GATT*socio=et qui interdisent la discrimination*socio=uv1 en faveur*socio=rien des produits*socio=rien nationaux*socio=te. La disposition de l'article*socio=rien XVIX relative*socio=rien à la non-discrimination*socio=uv3 ne s'applique pas non plus et elle est*socio=rien remplacée par *socio=rien un critère *socio=nil de "traitement*socio=rien juste*socio=uv2 et équitable*socio=uv2". Pour pouvoir*socio=rien bénéficier de ces exemptions, les produits*socio=rien doivent être*socio=rien achetés pour "les besoins des pouvoirs_publics*socio=et" et non pas pour être*socio=rien revendus dans le commerce*socio=ec1 ou pour servir à la production*socio=ec1 de marchandises*socio=ec1 destinées*socio=rien à la vente*socio=ec1 dans le commerce*socio=ec1. *{p.74} Pour le moment*socio=rien , les marchés*socio=ec1 publics*socio=et de services*socio=ec1 sont exclus de la portée*socio=rien des obligations*socio=uv1 fondamentales*socio=uv4 au regard*socio=rien de l'AGCS*socio=ac. La mesure*socio=rien dans laquelle les achats*socio=ec1 de matériel*socio=rien et autres intrants par les entreprises*socio=ac de services_publics*socio=et bénéficieraient de cette exemption et constitueraient des marchés*socio=ec1 publics*socio=et au sens*socio=rien du GATT*socio=et et de l'AGCS*socio=ac n'a pas été*socio=rien testée dans le cadre*socio=rien des mécanismes*socio=rien de règlement des différends*socio=uv2 du GATT*socio=et ou de l'OMC*socio=ac. Malgré l'absence*socio=rien de précision*socio=rien quant à savoir*socio=rien où s'arrêtent les règles*socio=et du GATT*socio=et et de l'AGCS*socio=ac concernant les marchés*socio=ec1 publics*socio=et et où commencent celles relatives*socio=rien aux achats*socio=ec1 des entreprises*socio=ac commerciales*socio=ec1 d'État*socio=ac, 26 Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac se sont engagés dans le cadre*socio=rien de l'Accord*socio=et plurilatéral de l'OMC*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 publics*socio=et à appliquer les règles*socio=et assez détaillées de cet accord*socio=et, qui prescrivent à la fois*socio=rien la non-discrimination*socio=uv3 et le respect*socio=uv1 de procédures*socio=et de passation_des_marchés*socio=ec1 spécifiques*socio=rien , en ce qui concerne les achats*socio=ec1 effectués par certaines*socio=rien entreprises_publiques*socio=et, en_particulier*socio=rien dans les secteurs*socio=rien de l'eau, de l'électricité*socio=ec1, du transport*socio=ec1 urbain*socio=te, des ports aéroports reconnaître que, s'agissant de faire en sorte*socio=rien que les achats*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=ec1 par les monopoles*socio=ec1 d'État*socio=ac et les entreprises*socio=ac avec des privilèges*socio=uv2 spéciaux*socio=rien ou exclusifs*socio=rien soient ouverts*socio=rien à la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien une base*socio=rien non discriminatoire*socio=uv2, l'Accord*socio=et représente une tentative*socio=rien qui *socio=rien est loin d'*socio=nil être *socio=nil complète: la majorité*socio=rien des Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac ne sont pas Parties*socio=rien à l'Accord*socio=et,, tous les achats*socio=ec1 des entreprises_publiques*socio=et ne sont pas couverts, mais seulement les achats*socio=ec1 des entreprises*socio=ac désignées,, et même pour les entités*socio=rien couvertes tous les avantages*socio=rien ne sont pas accordés sur*socio=rien une base*socio=rien non discriminatoire*socio=uv2 à toutes les autres Parties*socio=rien à l'Accord*socio=et sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 publics*socio=et. Les *socio=ac Communautés européennes *socio=nil offrent ici encore *socio=rien un exemple *socio=nil intéressant d'approche visant à éviter les problèmes*socio=ec2 commerciaux*socio=ec1 qui pourraient résulter des pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac de services_publics*socio=et en matière*socio=rien de passation_des_marchés*socio=ec1. Dans son régime*socio=et intérieur*socio=te, la Communauté*socio=ac a franchi une étape*socio=te supplémentaire*socio=rien par rapport*socio=rien à l'Accord*socio=et de l'OMC*socio=ac sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 publics*socio=et en ce sens*socio=rien que la portée*socio=rien des règles*socio=et communautaires*socio=ac en matière*socio=rien de marchés*socio=ec1 publics*socio=et a été*socio=rien étendue aux achats*socio=ec1 des entités*socio=rien opérant dans les secteurs*socio=rien de l'eau, de l'énergie*socio=ec1, du transport*socio=ec1 et des télécommunications*socio=ec1, qu'elles appartiennent ou non à l'État*socio=ac. L'efficacité*socio=uv3 de la législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 face*socio=rien aux problèmes*socio=ec2 posés par les politiques*socio=et d'achats*socio=ec1 discriminatoires*socio=uv2 des entités*socio=rien publiques*socio=et est*socio=rien limitée à la fois*socio=rien par les dispositions de fond*socio=rien des lois*socio=et et, s'agissant des pratiques*socio=et de l'État*socio=ac, par les questions*socio=rien d'immunité. Lorsque les entreprises*socio=ac en question*socio=rien sont privées*socio=et, dans certains cas*socio=rien les efforts des organismes*socio=ac chargés de la concurrence*socio=ec1 en matière*socio=rien de mise en oeuvre*socio=rien et/ou de promotion*socio=uv3 ont joué *socio=rien un rôle important.*socio=nil Un exemple *socio=nil notable en est*socio=rien fourni par les décisions*socio=rien concernant les achats*socio=ec1 de matériel*socio=rien dans le secteur*socio=rien des télécommunications*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac, où l'application*socio=rien de la législation*socio=et antitrust a constitué à favoriser une libéralisation*socio=et substantielle*socio=rien . Quelques conclusions. L'examen*socio=ec2 des problèmes*socio=ec2 d'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 résultant*socio=rien des activités*socio=rien des monopoles*socio=ec1 d'État*socio=ac et autres entreprises*socio=ac en position*socio=rien dominante*socio=uv2 auquel il a été*socio=rien procédé ci-dessus permet de dégager *socio=rien un certain nombre de*socio=nil points:*socio=nil *socio=nil - Comme la surveillance*socio=et et la mise en oeuvre*socio=rien des règles*socio=et visant à éviter que les entreprises*socio=ac, qui jouissent d'une puissance*socio=uv1 structurelle sur*socio=rien le marché*socio=ec1 et qui peuvent être*socio=rien influencées par les pouvoirs_publics*socio=et, opèrent une discrimination*socio=uv1 à l'encontre*socio=rien des produits*socio=rien importés ou des fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 et soulèvent des difficultés*socio=ec2 intrinsèques*socio=rien , on s'est*socio=rien davantage attaché à rechercher des solutions*socio=rien aux problèmes*socio=ec2 commerciaux*socio=ec1 éventuels*socio=rien à travers*socio=rien des règles*socio=et qui prennent en compte*socio=rien la structure*socio=ec1 du marché*socio=ec1 elle-même (démonopolisation*socio=et). Ce type*socio=rien d'approche est*socio=rien incorporé dans l'AGCS*socio=ac et il ressort aussi à l'évidence*socio=rien de certaines*socio=rien négociations*socio=et en matière*socio=rien d'accession dans le cadre*socio=rien de l'OMC*socio=ac. On a noté, de plus, que cette démarche*socio=rien était celle retenue*socio=rien par la *socio=ac Communauté européenne.*socio=nil *socio=nil L'approche en *socio=rien question est conforme*socio=uv4 *socio=nil à la tendance*socio=ec2 largement répandue qui consiste à opter dans le monde*socio=te entier*socio=rien pour des politiques*socio=et de démonopolisation*socio=et et de privatisation*socio=et à des fins*socio=rien autres que le commerce*socio=ec1 international*socio=te. - - Si la réforme*socio=et structurelle*socio=ec2 ne peut pas pallier les imperfections*socio=rien du marché*socio=ec1, soit pour des considérations*socio=rien de politique*socio=et gouvernementale*socio=ac prioritaires*socio=uv4, soit du fait*socio=rien d'une longue*socio=rien tradition*socio=uv1 de position*socio=rien de puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1, soit en raison*socio=rien d'un*socio=rien "monopole*socio=ec1 naturel" (économies*socio=ec1 d'échelle*socio=rien ou de *socio=rien gamme considérables)*socio=nil ,*socio=nil les*socio=nil problèmes*socio=ec2 d'*socio=nil accès*socio=uv1 aux*socio=nil marchés*socio=ec1 *socio=nil peuvent, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil être *socio=nil pris en compte*socio=rien en veillant à ce que les entreprises*socio=ac concernées soient en_principe*socio=ec2 assujetties aux disciplines*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1. Mais en cas*socio=rien de dysfonctionnement , lorsque les pouvoirs_publics*socio=et ont une large*socio=rien latitude pour intervenir, l'application*socio=rien des principes*socio=ec2 généraux*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 peut ne pas *socio=rien être suffisante *socio=nil pour protéger les intérêts des fournitures*socio=ec1 et des fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4, en_particulier*socio=rien si les installations essentielles*socio=uv4 sont contrôlées par des entreprises*socio=ac dominantes*socio=uv2. Des *socio=et régimes réglementaires *socio=nil proconcurrentiels peuvent *socio=rien être nécessaires *socio=nil pour éviter les problèmes*socio=ec2 d'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1. - - Il est*socio=rien à noter que la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1, l'application*socio=rien des principes*socio=ec2 du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 et les *socio=et arrangements réglementaires *socio=nil proconcurrentiels ont et doivent jouer des rôles*socio=rien complémentaires et synergiques. Par exemple*socio=rien , l'article*socio=rien VIII de l'AGCS*socio=ac incorpore dans cet accord*socio=et certaines*socio=rien règles*socio=et tout à fait*socio=rien fondamentales*socio=uv4 en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 s'agissant des monopoles*socio=ec1 et des fournisseurs*socio=ac exclusifs*socio=rien de services*socio=ec1,, ces règles*socio=et ont été*socio=rien développées*socio=uv4 sous la forme*socio=rien de principes*socio=ec2 réglementaires*socio=et plus détaillés dans les résultats*socio=rien des négociations*socio=et de l'OMC*socio=ac sur*socio=rien les télécommunications*socio=ec1 de base*socio=rien ,, et à leur tour*socio=rien ces principes*socio=ec2 réglementaires*socio=et imposent aux *socio=ac gouvernements Membres à*socio=nil titre*socio=rien individuel*socio=uv2 *socio=nil de maintenir des régimes*socio=et et des organes réglementaires*socio=et nationaux*socio=te. Les *socio=rien relations existant *socio=nil entre les règles*socio=et du Traité*socio=rien CE en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1, les directives*socio=et communautaires*socio=ac et les autorités*socio=et nationales*socio=te des *socio=ac États membres *socio=nil de la CE chargées de la réglementation*socio=et reproduisent *socio=rien un schéma similaire.*socio=nil Le*socio=nil rôle *socio=nil synergique que peuvent jouer la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 et la *socio=et politique réglementaire *socio=rien est apparent *socio=nil aussi dans certains aspects*socio=rien de la pratique*socio=et récente*socio=rien dans le secteur*socio=rien des télécommunications*socio=ec1 aux États-unis*socio=ac et au Canada*socio=ac. *{p.75} - Le fait*socio=rien de fonder les règles*socio=et internationales*socio=te concernant les *socio=et régimes réglementaires sur*socio=rien les*socio=nil principes*socio=ec2 généraux*socio=rien *socio=nil de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 devrait favoriser la cohérence*socio=uv3 mutuelle non seulement de ces deux domaines*socio=rien de politique*socio=et, mais aussi des *socio=et politiques réglementaires dans*socio=nil *socio=rien différents secteurs *socio=nil et entre différents*socio=rien pays*socio=ac. Cela devrait aussi aider à éviter le risque*socio=uv4 de "détournement de la réglementation*socio=et" et donc d'une utilisation*socio=rien des *socio=et régimes réglementaires *socio=nil pour opposer des obstacles*socio=rien aux fournitures*socio=ec1 et aux fournisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4. Le fait*socio=rien de fonder les règles*socio=et internationales*socio=te concernant les *socio=et régimes réglementaires *socio=rien sur un consensus*socio=uv1 international*socio=te *socio=nil quant aux principes*socio=ec2 fondamentaux*socio=uv4 du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 pourrait présenter un*socio=rien autre avantage, en ce sens*socio=rien que le "filet*socio=rien de sécurité*socio=uv1" permanent*socio=rien constitué par ces principes*socio=ec2 pourrait, de par son existence*socio=rien , faciliter l'élimination*socio=ec2 progressive*socio=rien des *socio=et régimes réglementaires spéciaux*socio=rien au*socio=nil fur*socio=rien *socio=nil et à mesure*socio=rien que l'évolution*socio=rien technologique*socio=ec1 et la démonopolisation*socio=et mèneront à des marchés*socio=ec1 concurrentiels*socio=ec2 dans les secteurs*socio=rien concernés. - - Il *socio=rien est souhaitable *socio=nil aussi de faire en sorte*socio=rien que les autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 aient et jouent *socio=rien un rôle de*socio=nil promotion*socio=uv3 *socio=nil actif s'agissant de lutter contre les effets*socio=rien de restriction*socio=et des échanges*socio=ec1 induits par les *socio=et politiques réglementaires *socio=nil et de favoriser les réformes*socio=et proconcurrentielles. Comme on l'a vu plus haut*socio=rien dans la partie*socio=rien Il, dans beaucoup de pays*socio=ac cet aspect*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien déjà reconnu. Il englobe les interventions formelles*socio=rien des autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien des travaux*socio=rien des organes chargés de la réglementation*socio=et et des procédures*socio=et des tribunaux*socio=ac et la participation*socio=uv3 "en coulisse" aux comités*socio=ac et autres *socio=et instances gouvernementales *socio=nil qui s'occupent de l'élaboration des politiques*socio=et. - IV.2 L'exercice*socio=rien d'une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1. La *socio=rien présente section du*socio=nil chapitre *socio=nil traite des *socio=rien sujets suivants:*socio=nil *socio=nil i) ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 et arrangements*socio=et similaires*socio=rien ,, ii) ententes_internationales*socio=et, fusions et abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2,- et iii) prix*socio=ec1 d'éviction, discrimination*socio=uv1 par les prix*socio=ec1, subventionnement croisé et dumping*socio=ec1. IV.2.a Ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 et arrangements*socio=et similaires*socio=rien . Les ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 varient quelque peu dans leur nature*socio=rien et leur portée*socio=rien . Les ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 "pures*socio=rien " sont celles dont les activités*socio=rien sont exclusivement dirigées vers les marchés*socio=ec1 étrangers*socio=uv4. Les ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 "mixtes" sont celles qui restreignent la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 intérieur*socio=te du pays*socio=ac exportateur*socio=ec1 ainsi que sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 étrangers*socio=uv4. Les ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 pures*socio=rien sont considérées comme n'entrant pas dans le champ*socio=rien d'application*socio=rien de la législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 de la plupart*socio=rien des pays*socio=ac parce que soit: i) on considère qu'elles ne relèvent pas de la juridiction*socio=et nationale*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1,, et/ou ii) elles sont explicitement exemptées de l'application*socio=rien de la législation*socio=et." Les ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 mixtes sont généralement assujetties aux mêmes prescriptions ou prohibitions totales*socio=rien , pour l'essentiel*socio=uv4, que les ententes*socio=et qui affectent le marché*socio=ec1 national*socio=te seulement, bien*socio=rien que certains pays*socio=ac prévoient des exemptions spéciales*socio=rien pour ces ententes*socio=et si la restriction*socio=et ou l'effet*socio=rien sur*socio=rien le marché*socio=ec1 national*socio=te est*socio=rien accessoire par rapport*socio=rien à la restriction*socio=et sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1. Si la tolérance peut être*socio=rien inspirée dans certains cas*socio=rien par des considérations*socio=rien mercantilistes, on peut aussi considérer que, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil *socio=nil elle reflète une modération*socio=ec2 raisonnable*socio=uv4 de la part*socio=rien des autorités*socio=et nationales*socio=te chargées de la concurrence*socio=ec1 dans l'exercice*socio=rien de leur compétence*socio=uv4 vis-à-vis d'arrangements*socio=et dont les effets*socio=rien sont ressentis en totalité*socio=rien ou en majorité*socio=rien à l'extérieur du pays*socio=ac d'origine*socio=rien ." Cette approche correspond à une orientation*socio=et de principe*socio=ec2 caractéristique*socio=rien d'une époque*socio=te où la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 visait principalement à protéger le bien-être des consommateurs*socio=ac dans l'économie*socio=ec1 nationale*socio=te. Mais dès lors*socio=rien qu'aujourd'hui l'interdépendance*socio=uv3 mutuelle économies*socio=ec1 est*socio=rien de plus en plus largement reconnue, l'exemption des ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 peut aussi être*socio=rien considérée comme une politique*socio=et du Il chacun_pour_soi*socio=uv1" car elle implique qu'une conduite*socio=rien qui serait inacceptable*socio=uv4 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 national*socio=te peut-être permise si son impact*socio=rien n'est*socio=rien ressenti que sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 étrangers*socio=uv4. On a jugé préoccupante*socio=uv4 une autre *socio=rien catégorie importante d'*socio=nil arrangements*socio=et *socio=nil horizontaux en raison*socio=rien de leurs *socio=rien conséquences possibles,*socio=nil à*socio=nil travers la*socio=nil promotion*socio=uv3 *socio=nil de "champions*socio=ac" nationaux*socio=te, concernant l'exercice*socio=rien d'une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te: les arrangements*socio=et coopératifs pour la recherche*socio=ec2 -développement, surtout quand de par leur conception*socio=ec2 les dispositions de loi*socio=et relatives*socio=rien aux entreprises*socio=ac communes de recherche-développement*socio=ec2 les rendent susceptibles*socio=rien à une utilisation*socio=rien "stratégique*socio=uv4". *{p.76} La plupart*socio=rien des pays*socio=ac ayant une réglementation*socio=et moderne*socio=uv2 en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 prévoient spécialement d'une *socio=rien certaine manière une*socio=nil coopération*socio=uv1 *socio=nil interentreprises (entreprises*socio=ac communes et consortiums) pour entreprendre des programmes*socio=et de recherche-développement*socio=ec2 qui, sinon, ne pourraient pas être*socio=rien réalisés. Il a été*socio=rien noté, cependant, que les dispositions prévues concernant ces arrangements*socio=et ne devraient pas prendre la forme*socio=rien d'exemptions générales*socio=rien de la législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1, puisque la concurrence*socio=ec1 a aussi *socio=rien un rôle utile*socio=uv4 *socio=nil à jouer à travers*socio=rien les incitations*socio=uv3 qu'elle fournit en faveur*socio=rien de l'innovation*socio=uv3 et de l'adoption*socio=et de technologies*socio=ec1 nouvelles*socio=rien en temps*socio=rien voulu. Les considérations*socio=rien en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 sont particulièrement importantes*socio=rien quand ces arrangements*socio=et englobent également la phase*socio=te de la production*socio=ec1,, dans ces cas-là, il est*socio=rien parfois jugé approprié d'appliquer les règles*socio=et relatives*socio=rien aux fusions. La question*socio=rien des mesures*socio=et de contrôle*socio=uv3 à l'exportation*socio=ec1 est*socio=rien aussi étroitement liée au fait*socio=rien que de nombreux*socio=rien pays*socio=ac continuent à avoir recours*socio=ec1 à des entreprises*socio=ac appartenant à l'État*socio=ac ou contrôlées par lui pour la commercialisation*socio=ec1 internationale*socio=te. Ces entreprises*socio=ac sont utilisées par exemple*socio=rien pour la commercialisation*socio=ec1 internationale*socio=te de produits*socio=rien agricoles*socio=ec1 ou de produits*socio=rien minéraux*socio=ec1 et autres produits*socio=rien de base*socio=rien . Ces organismes*socio=ac peuvent permettre d'obtenir*socio=rien des résultats*socio=rien sensiblement identiques à ceux des ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 (c'est-à-dire qu'il y a exploitation*socio=ec1 d'une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1). Bien*socio=rien qu'en_principe*socio=ec2 la législation*socio=et des *socio=ac pays importateurs en*socio=nil matière*socio=rien de*socio=nil concurrence*socio=ec1 *socio=nil soit généralement applicable*socio=rien aux ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 ou arrangements*socio=et similaires*socio=rien dans les autres pays*socio=ac en raison*socio=rien de la "doctrine*socio=ec2 des effets*socio=rien ", pour des raisons*socio=rien pratiques*socio=et, il est*socio=rien souvent difficile*socio=rien pour ces pays*socio=ac, d'engager les actions*socio=rien appropriées pour faire appliquer la législation*socio=et, car les *socio=rien pièces nécessaires *socio=nil pour prouver l'existence*socio=rien des ententes*socio=et se trouvent généralement à l'extérieur juridiction*socio=et du pays*socio=ac importateur*socio=ec1 (dans le pays*socio=ac d'origine*socio=rien ). Pour trouver une solution*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 au problème*socio=uv4 des ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1, deux éléments*socio=rien interviennent donc: dans les *socio=ac pays exportateurs,*socio=nil *socio=nil l'abrogation des exemptions applicables*socio=rien lorsque celles-ci constituent *socio=rien un obstacle *socio=nil à la mise en oeuvre*socio=rien et à la coopération*socio=uv1 et, pour faciliter l'action*socio=rien dans le pays*socio=ac importateur*socio=ec1, le renforcement des arrangements*socio=et coopératifs entre les autorités*socio=et nationales*socio=te chargées de la mise en oeuvre*socio=rien . Les règles*socio=et de l'OMC*socio=ac, sous leur forme*socio=rien actuelle*socio=te, ne peuvent pas faire beaucoup en ce qui concerne les ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 purement privées*socio=et. La Décision*socio=rien de 1960 et les dispositions de l'AGCS*socio=ac et de l'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC en matière*socio=rien de consultations*socio=uv1 peuvent être*socio=rien invoquées, mais elles ne prescrivent aucune *socio=rien action spécifique.*socio=nil Les*socio=nil obligations*socio=uv1 NPF*socio=et générales du*socio=nil GATT*socio=et *socio=nil et de l'AGCS*socio=ac sont applicables*socio=rien à la législation*socio=et nationale*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 dans la mesure*socio=rien où celle-ci s'applique à ces arrangements*socio=et, mais l'obligation*socio=uv1 de "traitement*socio=rien national*socio=te" prévue dans le GATT*socio=et ne concerne que le traitement*socio=rien des importations*socio=ec1, non celui des exportations*socio=ec1, et celle prévue dans l'AGCS*socio=ac ne concerne que le traitement*socio=rien par un*socio=rien Membre*socio=ac de l'OMC*socio=ac des services*socio=ec1 ou des fournisseurs*socio=ac de services*socio=ec1 des autres Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac. En ce qui concerne les entreprises*socio=ac de commercialisation*socio=ec1 internationale*socio=te appartenant à l'État*socio=ac ou contrôlées par lui, les règles*socio=et du GATT*socio=et interdisent généralement leur utilisation*socio=rien pour mettre en oeuvre*socio=rien des restrictions*socio=et quantitatives à l'exportation*socio=ec1 (sous_réserve*socio=rien de *socio=rien certaines exceptions)*socio=nil ,*socio=nil *socio=nil mais elles n'empêchent pas que ces organismes*socio=ac soient utilisés pour exercer une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 à travers*socio=rien les prix*socio=ec1 appliqués. Les ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 contrôlées par l'État*socio=ac pourraient aussi être*socio=rien incompatibles*socio=uv4 avec les règles*socio=et du GATT*socio=et prohibant en général*socio=rien les restrictions*socio=et à l'exportation*socio=ec1. La question*socio=rien des relations*socio=rien entre la législation*socio=et et les principes*socio=ec2 en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 et les arrangements*socio=et contrôlés par les pouvoirs_publics*socio=et qui permettent à des entreprises*socio=ac de fixer leurs prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 ou les quantités exportées a été*socio=rien l'objet*socio=rien de bien*socio=rien des discussions*socio=rien . Même si ces arrangements*socio=et ont souvent été*socio=rien mis en place*socio=rien à la demande*socio=ec1 des *socio=ac pays importateurs *socio=nil et que par conséquent*socio=rien dans ce cas*socio=rien ils ne sont pas motivés par *socio=rien un désir des*socio=nil entreprises*socio=ac exportatrices*socio=ec1 *socio=nil d'exercer une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1, du point*socio=rien de vue*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 ils peuvent soulever des *socio=rien questions similaires *socio=nil à celles posées en relation*socio=rien avec les ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 privées*socio=et, abstraction*socio=rien faite du rôle*socio=rien des pouvoirs_publics*socio=et dans leur mise en place*socio=rien et/ou leur supervision*socio=rien . L'Accord*socio=et de l'OMC*socio=ac sur*socio=rien les sauvegardes*socio=et stipule qu'un*socio=rien Membre*socio=ac de l'OMC*socio=ac "ne cherchera pas à prendre, ne prendra ni ne maintiendra de mesures*socio=et d'autolimitation des exportations*socio=ec1, d'arrangements*socio=et de commercialisation*socio=ec1 ordonnée ou toute autre *socio=rien mesure similaire *socio=nil à l'exportation*socio=ec1 ou à l'importation*socio=ec1". Parmi les exemples*socio=rien de mesures*socio=et similaires*socio=rien auxquels il *socio=rien est fait référence *socio=nil dans l'Accord*socio=et figurent la modération*socio=ec2 des exportations*socio=ec1, les systèmes*socio=rien de surveillance*socio=et des prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1, la surveillance*socio=et des exportations*socio=ec1 et les régimes*socio=et de licences*socio=et d'exportation*socio=ec1 discrétionnaires*socio=et, qui assurent une protection*socio=et au pays*socio=ac importateur*socio=ec1. Sont incluses dans cette prohibition les mesures*socio=et prises*socio=rien par *socio=rien un seul Membre*socio=ac *socio=nil et celles qui relèvent d'accords*socio=et, d'arrangements*socio=et et de mémorandums d'accord*socio=et signés par deux Membres*socio=ac ou plus. *{p.77} L'Accord*socio=et stipule en outre que les Membres*socio=ac n'encourageront ni ne soutiendront l'adoption*socio=et ou le maintien*socio=rien en vigueur*socio=uv3, par des entreprises_publiques*socio=et et privées*socio=et, de mesures*socio=et non gouvernementales*socio=et équivalentes. L'Accord*socio=et reconnaît ainsi qu'il est*socio=rien parfois difficile*socio=rien d'établir le degré*socio=rien d'implication du gouvernement*socio=ac dans ces mesures*socio=et. IV.2.b ententes_internationales*socio=et, fusions et abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2. Des problèmes*socio=ec2 important*socio=rien peuvent être*socio=rien posés dans le cadre*socio=rien des relations*socio=rien commerciales*socio=ec1 internationales*socio=te quand des entreprises*socio=ac tentent d'exercer une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 au niveau*socio=rien du marché*socio=ec1 mondial*socio=te, soit à travers*socio=rien une action*socio=rien collective*socio=uv2 (ententes_internationales*socio=et, entreprises*socio=ac communes, alliances, etc.) soit à travers*socio=rien l'acquisition*socio=ec1 d'une seule*socio=rien entreprise*socio=ac en position*socio=rien dominante*socio=uv2 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 mondial*socio=te (par fusions et acquisitions*socio=ec1) et l'abus*socio=uv1 possible*socio=rien de cette position*socio=rien . Ces situations*socio=rien sont préoccupantes*socio=rien non seulement pour les pays*socio=ac qui sont essentiellement consommateurs*socio=ac du produit*socio=ec1 ou du service, mais aussi pour les pays*socio=ac dont les producteurs*socio=ac du produit*socio=ec1 ou les fournisseurs*socio=ac du service peuvent être*socio=rien affectés de *socio=rien façon négative *socio=nil par le comportement*socio=rien anticoncurrentiel ou par une position*socio=rien *socio=uv2 dominante individuelle ou*socio=nil collective sur*socio=rien le*socio=nil marché*socio=ec1 mondial*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil ententes_internationales*socio=et *socio=nil et les accords*socio=et de partage*socio=uv1 du marché*socio=ec1 entre entreprises*socio=ac de deux pays*socio=ac ou davantage sont généralement considérés comme équivalant à des accords*socio=et de fixation des prix*socio=ec1 et autres accords*socio=et de collusion au niveau*socio=rien horizontal dans le cadre*socio=rien d'un*socio=rien seul*socio=rien pays*socio=ac. Dans les deux types de cas*socio=rien , la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien restreinte, les prix*socio=ec1 sont augmentés, la production*socio=ec1 est*socio=rien amoindrie et/ou les marchés*socio=ec1 sont répartis dans l'intérêt*socio=rien propre*socio=rien des entreprises*socio=ac. Dans la mesure*socio=rien où les effets*socio=rien de ces arrangements*socio=et dans un*socio=rien pays*socio=ac sont similaires*socio=rien à ceux des ententes*socio=et nationales*socio=te, la mise en oeuvre*socio=rien de la législation*socio=et existante*socio=rien en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 devrait permettre en *socio=rien grande partie *socio=nil d'y remédier. Aux États-unis*socio=ac, par exemple*socio=rien , dans les années*socio=rien 40 et 50 les autorités*socio=et chargées de la lutte*socio=uv1 antitrust ont eu à connaître d'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil cas d'*socio=nil ententes*socio=et *socio=nil affectant les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te de *socio=rien produits primaires *socio=nil et d'articles*socio=rien manufacturés. Ces cas*socio=rien impliquaient la fixation de prix*socio=ec1 et la répartition*socio=uv3 directe*socio=rien des marchés*socio=ec1 nationaux*socio=te entre des entreprises*socio=ac qui autrement auraient été*socio=rien concurrentes*socio=ec2, renforcées par des interdictions entreprises*socio=ac participantes*socio=rien . Dans beaucoup de ces cas*socio=rien , les ententes*socio=et étaient fondées sur*socio=rien des systèmes*socio=rien de concession*socio=uv1 réciproque*socio=uv2 de brevets*socio=et. Dans les années*socio=rien 90, on a observé une forte*socio=rien intensification*socio=ec2, dans les principaux*socio=rien pays*socio=ac ayant une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, des activités*socio=rien des autorités*socio=et chargées de la mise en oeuvre*socio=rien , en relation*socio=rien avec des ententes_internationales*socio=et. Ainsi, au début*socio=rien de 1997, la Division*socio=rien antitrust du Département*socio=ac de la justice*socio=et des États-unis*socio=ac a *socio=rien fait savoir *socio=nil qu'environ 20 % des entreprises*socio=ac défenderesses dans les affaires*socio=ec1 dont elle avait eu à connaître récemment avaient leur siège*socio=rien à l'étranger*socio=te. *{p.78} L'amélioration*socio=uv1 des arrangements*socio=et en matière*socio=rien de coopération_internationale*socio=uv1 aux fins*socio=rien de la mise en oeuvre*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 a contribué considérablement*socio=rien aux succès*socio=uv1 obtenus en la matière*socio=rien (voir encadré IV.6 pour des *socio=rien exemples récents d'*socio=nil actions *socio=nil engagées contre des ententes_internationales*socio=et présumées). Les efforts vigoureux*socio=rien des organismes*socio=ac nationaux*socio=te chargés de la concurrence*socio=ec1 pour faire appliquer la législation*socio=et dans le cadre*socio=rien d'ententes_internationales*socio=et, conjugués à la coopération*socio=uv1 volontaire*socio=uv4 entre les autorités*socio=et nationales*socio=te quand cela *socio=rien est possible,*socio=nil *socio=nil ont des retombées*socio=rien positives*socio=uv4 importantes*socio=rien et peuvent donner des résultats*socio=rien satisfaisants*socio=uv4 bien*socio=rien souvent. Parfois, cependant, il est*socio=rien à craindre que les autorités*socio=et d'un*socio=rien pays*socio=ac soient peu enclines à intervenir activement pour faire appliquer la législation*socio=et dans la mesure*socio=rien où il est*socio=rien considéré que l'entente*socio=et, bien*socio=rien qu'opérationnelle*socio=rien sur*socio=rien le territoire*socio=te de ce pays*socio=ac, présente*socio=rien des avantages*socio=rien à l'exportation*socio=ec1 pour la branche*socio=rien de_production*socio=ec1 nationale*socio=te qui minorent ses effets*socio=rien anticoncurrentiels dans le pays*socio=ac. La situation*socio=rien pourrait alors présenter une certaine*socio=rien similarité avec celle des ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 examinée plus haut*socio=rien . Autre similarité, il peut *socio=rien être difficile *socio=nil dans la pratique*socio=et de mettre en oeuvre*socio=rien la législation*socio=et nationale*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 s'agissant de ces ententes*socio=et dans les pays*socio=ac qui sont des importateurs*socio=ac des produits*socio=rien ou des services*socio=ec1 en question*socio=rien , notamment en ce qui concerne l'accès*socio=uv1 aux renseignements*socio=ec2 *socio=rien nécessaires sur le*socio=nil comportement des*socio=nil producteurs*socio=ac *socio=nil installés dans des pays*socio=ac où les autorités*socio=et ne voient pas forcément l'intérêt*socio=rien d'agir contre l'entente*socio=et en question*socio=rien . La position*socio=rien dominante*socio=uv2 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 international*socio=te d'une seule*socio=rien entreprise*socio=ac peut avoir sur*socio=rien les intérêts commerciaux*socio=ec1 des *socio=ac pays importateurs des*socio=nil *socio=rien effets similaires *socio=nil à ceux d'une entente_internationale. Le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 offre*socio=rien des moyens*socio=ec1 de remédier aux abus*socio=uv1 des positions*socio=rien dominantes*socio=uv2 ou à la monopolisation*socio=ec2 et de prévenir l'établissement*socio=rien ou le renforcement d'une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 à travers*socio=rien des fusions et des acquisitions*socio=ec1. À bien*socio=rien des titres*socio=rien le droit*socio=uv1 applicable*socio=rien dans les deux *socio=rien situations est similaire,*socio=nil *socio=nil mais avec la différence*socio=rien que le *socio=rien simple établissement *socio=nil d'une position*socio=rien dominante*socio=uv2 *socio=rien sur un marché*socio=ec1 à*socio=nil travers une*socio=nil concurrence*socio=ec1 légitime*socio=uv2 *socio=nil ne peut généralement pas donner lieu*socio=rien à une action*socio=rien , alors que l'établissement*socio=rien d'une position*socio=rien dominante*socio=uv2 (ou *socio=rien un amoindrissement substantiel *socio=nil de la concurrence*socio=ec1) à travers*socio=rien des fusions et des acquisitions*socio=ec1 peut être*socio=rien empêchée. on pourrait retenir comme exemple*socio=rien de position*socio=rien dominante*socio=uv2 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 mondiaux*socio=te le cas*socio=rien de Microsoft pour les systèmes*socio=rien d'exploitation*socio=ec1 des ordinateurs*socio=rien ,, en 1994, les autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 des États-unis*socio=ac et de l'union_européenne*socio=et ont enquêté *socio=rien sur certaines pratiques*socio=et *socio=nil de Microsoft (voir encadré IV.7). Des problèmes*socio=ec2 de chevauchement entre les législations*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 sont aussi posés dans le contexte des fusions. Les autorités*socio=et des États-unis*socio=ac et de la *socio=ac Communauté européenne *socio=nil ont également enquêté sur*socio=rien la *socio=rien fusion récente *socio=nil entre Boeing et Mcdonneil Douglas pour déterminer ses effets*socio=rien du point*socio=rien de vue*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 international*socio=te des aéronefs civils gros-porteurs. Dans certains cas*socio=rien , les autorités*socio=et nationales*socio=te concernées par des affaires*socio=ec1 de dimensions*socio=rien internationales*socio=te ont exprimé des points*socio=rien de *socio=rien vue similaires sur des*socio=nil arrangements*socio=et commerciaux*socio=ec1 *socio=nil (voir encadré IV.7 pour l'affaire*socio=ec1 Microsoft),, dans d'autres cas*socio=rien , il a été*socio=rien adopté des positions*socio=rien divergentes*socio=uv2, du moins initialement (voir encadré IV.8 pour des affaires*socio=ec1 de fusion*socio=rien soumises à un*socio=rien examen*socio=ec2 dans plusieurs pays*socio=ac, y compris l'affaire*socio=ec1 récente*socio=rien Boeing-mcdonnell Douglas). Une question*socio=rien qui mérite*socio=rien l'attention*socio=rien consiste à savoir*socio=rien si les voies*socio=rien de recours*socio=ec1 dont on dispose actuellement dans le cadre*socio=rien de l'application*socio=rien de la législation*socio=et nationale*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 sont suffisantes*socio=rien pour protéger les intérêts du système*socio=rien commercial*socio=ec1 international*socio=te dans son ensemble*socio=rien quand il y a abus*socio=uv1 ou création, par des fusions, de position*socio=rien dominante*socio=uv2 s*socio=rien u les marchés*socio=ec1 internationaux*socio=te. S'il est*socio=rien clairement dans l'intérêt*socio=rien de la communauté*socio=ac internationale*socio=te que les pays*socio=ac, en_particulier*socio=rien les principales*socio=rien économies*socio=ec1, aient une législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 efficace*socio=uv4 qui permette de prendre en compte*socio=rien ces questions*socio=rien et s'il *socio=rien est vrai *socio=nil que ces législations*socio=et ont souvent été*socio=rien appliquées avec succès*socio=uv1 (parfois dans le cadre*socio=rien d'une coopération*socio=uv1), l'incertitude*socio=uv3 demeure quant à savoir*socio=rien si les résultats*socio=rien refléteront nécessairement l'intérêt*socio=uv1 commun*socio=uv2 des pays*socio=ac dans tous les cas*socio=rien : - Cette incertitude*socio=uv3 tient notamment au fait*socio=rien que la législation*socio=et nationale*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1, telle qu'actuellement appliquée prend d'abord*socio=rien en compte*socio=rien les effets*socio=rien anticoncurrentiels qui sont ressentis par les consommateurs*socio=ac (ou, dans certains cas*socio=rien , par les producteurs*socio=ac) qui relèvent de la juridiction*socio=et du pays*socio=ac et non les pratiques*socio=et qui affectent essentiellement d'autres pays*socio=ac. *{p.79} Une fusion*socio=rien peut être*socio=rien approuvée si l'on considère que les gains*socio=ec1 d'efficience*socio=uv3 induits dans le pays*socio=ac qui examine la fusion*socio=rien compenseront toutes les pertes*socio=ec2 dues à une restriction*socio=et de la concurrence*socio=ec1 dans ce pays*socio=ac,, mais les pertes*socio=ec2 pour les consommateurs*socio=ac et les producteurs*socio=ac résultant*socio=rien de la restriction*socio=et de la concurrence*socio=ec1 dans les autres pays*socio=ac ne seront pas nécessairement prises*socio=rien en compte*socio=rien dans le calcul*socio=rien . La situation*socio=rien peut *socio=rien être similaire *socio=nil lorsqu'on évalue les avantages*socio=rien découlant des pratiques*socio=et d'une entreprise*socio=ac dominante*socio=uv2 existante*socio=rien en termes*socio=rien d'efficience*socio=uv3 par rapport*socio=rien aux *socio=rien effets négatifs *socio=nil de ces pratiques*socio=et. Comme on l'a vu dans la section*socio=rien III, cette asymétrie *socio=rien est inhérente *socio=nil à l'approche du "bien-être [ national*socio=te ] total*socio=rien ", mais elle peut aussi apparaître dans le cadre*socio=rien d'une approche qui privilégie les intérêts des consommateurs*socio=ac nationaux*socio=te quand le marché*socio=ec1 international*socio=te est*socio=rien segmenté. De plus, certaines*socio=rien législations*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 prévoient explicitement la prise*socio=rien en compte*socio=rien , du côté*socio=rien positif*socio=uv4 de la balance*socio=ec1, de l'augmentation des ventes*socio=ec1 internationales*socio=te des entreprises*socio=ac nationales*socio=te lorsque des fusions et arrangements*socio=et similaires*socio=rien sont examinés. - Au-delà des *socio=rien effets possibles *socio=nil de cette asymétrie dans les critères*socio=rien de la législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 (dans une perspective*socio=rien internationale*socio=te), il y a toujours un*socio=rien risque*socio=uv4 que dans certains pays*socio=ac la décision*socio=rien d'ouvrir une enquête*socio=ec2 sur*socio=rien une fusion*socio=rien ou un*socio=rien abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2 et les déterminations qui en résulteront ne dépendront pas forcément de procédures*socio=et totalement indépendantes et apolitiques. On peut craindre que s'il est*socio=rien considéré que la fusion*socio=rien ou l'abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2 procure des *socio=rien avantages nets au*socio=nil pays*socio=ac d'*socio=nil origine,*socio=nil *socio=nil même si cela est*socio=rien aux dépens*socio=uv2 d'autres pays*socio=ac, la volonté d'agir sera moindre*socio=rien . - - La question*socio=rien de savoir*socio=rien qui peut agir contre les abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2 dans le monde*socio=te ou les créations*socio=rien de telles positions*socio=rien par des fusions et des acquisitions*socio=ec1 doit aussi être*socio=rien considérée. En pratique*socio=rien , il semble que dans beaucoup de cas*socio=rien impliquant des fusions, les petits*socio=rien pays*socio=ac se sentent contraints*socio=uv2 d'accepter la réglementation*socio=et en la matière*socio=rien des principaux*socio=rien pays*socio=ac ou systèmes*socio=rien , en_particulier*socio=rien la *socio=ac Communauté européenne *socio=nil et les États-unis*socio=ac. Face*socio=rien à une fusion*socio=rien qui a des *socio=rien effets négatifs *socio=nil pour ses consommateurs*socio=ac, *socio=rien un petit pays*socio=ac importateur*socio=ec1 *socio=nil peut craindre que s'il a recours*socio=ec1 contre cette fusion*socio=rien à des mesures*socio=et de contrôle*socio=uv3 plus rigoureuses*socio=uv4 que celles appliquées dans les principaux*socio=rien marchés*socio=ec1, il risquera simplement d'inciter les entreprises*socio=ac concernées à renoncer à exercer une *socio=rien activité sur son*socio=nil territoire*socio=te.*socio=nil "*socio=nil *socio=nil En outre, les petits*socio=rien pays*socio=ac peuvent avoir des difficultés*socio=ec2 à obtenir*socio=rien des entreprises*socio=ac les renseignements*socio=ec2 nécessaires*socio=rien , en_particulier*socio=rien si ces entreprises*socio=ac n'ont pas de présence*socio=rien commerciale*socio=ec1 sur*socio=rien leur territoire*socio=te. En cas*socio=rien d'abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2, les petits*socio=rien pays*socio=ac peuvent éventuellement prendre des mesures*socio=et contre des pratiques*socio=et spécifiques*socio=rien quand celles-ci peuvent être*socio=rien suivies par l'entreprise*socio=ac indépendamment de ses pratiques*socio=et sur*socio=rien les autres marchés*socio=ec1, mais quand tel n'est*socio=rien pas le cas*socio=rien , par exemple*socio=rien lorsqu'une mesure*socio=rien corrective pourrait exiger la divulgation*socio=et de renseignements*socio=ec2 confidentiels*socio=uv2 qui deviendraient connus au niveau*socio=rien international*socio=te, il est*socio=rien encore une fois*socio=rien probable*socio=uv4 qu'on devrait compter sur*socio=rien les autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 principaux*socio=rien pour agir efficacement. - *{p.80} IV.2.c Prix*socio=ec1 d'éviction, discrimination*socio=uv1 par les prix*socio=ec1, subventionnement croisé et dumping*socio=ec1. Cette *socio=rien section porte sur la*socio=nil façon *socio=nil dont le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 et le droit*socio=uv1 commercial*socio=ec1 traitent les pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac consistant à fixer des prix*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 à des niveaux*socio=rien jugés, d'une *socio=rien certaine façon,*socio=nil suffisamment*socio=nil bas pour*socio=nil être préjudiciables*socio=et.*socio=nil *socio=nil Dans le cadre*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1, cette question*socio=rien concerne trois principaux*socio=rien types de situation*socio=rien : - Prix*socio=ec1 d'éviction. La question*socio=rien ici est*socio=rien de savoir*socio=rien si une entreprise*socio=ac cherche à monopoliser le marché*socio=ec1 en évinçant les concurrents*socio=ac par des ventes*socio=ec1 à des prix*socio=ec1 inférieurs au *socio=ec1 coût de_production,*socio=nil *socio=nil ce qui lui permet ensuite de relever les prix*socio=ec1 de façon*socio=rien à compenser largement le coût*socio=ec1 de la vente*socio=ec1 à bas*socio=rien prix*socio=ec1. Ces pratiques*socio=et sont jugées anticoncurrentielles*socio=uv4 dans la plupart*socio=rien des. pays*socio=ac ayant une législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1. Pour l'examen*socio=ec2 des pratiques*socio=et de prix*socio=ec1 d'éviction, *socio=rien un grand nombre d'*socio=nil autorités*socio=et responsables*socio=uv2 *socio=nil de la concurrence*socio=ec1 choisissent une approche en deux temps*socio=rien , consistant tout d'abord*socio=rien à étudier la structure*socio=ec1 du marché*socio=ec1 (y compris le degré*socio=rien de puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 de l'entreprise*socio=ac prétendument prédatrice et l'importance*socio=rien des barrières*socio=et à l'entrée*socio=rien ) pour déterminer si l'entreprise*socio=ac en cause*socio=rien pourrait se trouver en position*socio=rien de puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 après*socio=rien le succès*socio=uv1 de ses pratiques*socio=et prédatrices puis, si c'est*socio=rien le cas*socio=rien , à examiner de façon*socio=rien détaillée les coûts*socio=ec1 supportés par l'entreprise*socio=ac et les prix*socio=ec1 qu'elle pratique*socio=rien . Dans certaines*socio=rien législations*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1, les ventes*socio=ec1 à un*socio=rien prix*socio=ec1 inférieur*socio=rien aux coûts*socio=ec1 variables moyens*socio=ec1 sont réputées constituer une présomption*socio=ec2 d'intention prédatrice et les ventes*socio=ec1 à des prix*socio=ec1 supérieurs*socio=rien aux coûts*socio=ec1 variables moyens*socio=ec1 une présomption*socio=ec2 réfragable du contraire*socio=rien , même si les prix*socio=ec1 sont inférieurs aux coûts*socio=ec1 totaux*socio=rien moyens*socio=ec1. - - Discrimination*socio=uv1 par les prix*socio=ec1. Dans certains pays*socio=ac, une différence*socio=rien entre les prix*socio=ec1 demandés par une entreprise*socio=ac à ses clients*socio=ac qui n'est*socio=rien pas justifiée par une *socio=rien différence sous-jacente des*socio=nil coûts*socio=ec1 *socio=nil correspondant à l'approvisionnement*socio=ec1 des clients*socio=ac peut être*socio=rien considérée comme une pratique*socio=et anticoncurrentielle, sous_réserve*socio=rien de certaines*socio=rien conditions*socio=ec1, qu'elle soit ou non associée*socio=rien à une intention prédatrice. La législation*socio=et peut alors protéger les clients*socio=ac contre des prix*socio=ec1 élevés*socio=uv4 et discriminatoires*socio=uv2 mais peut aussi tenter de remédier au préjudice*socio=et causé aux autres vendeurs du produit*socio=ec1. Aux États-unis*socio=ac, l'ajustement*socio=et des prix*socio=ec1 en fonction*socio=rien des conditions*socio=ec1 du marché*socio=ec1 établies par les concurrents*socio=ac peut être*socio=rien admis comme moyen*socio=rien de défense. Selon la législation*socio=et de la *socio=ac Communauté européenne sur*socio=rien la*socio=nil concurrence*socio=ec1,*socio=nil la*socio=nil discrimination*socio=uv1 *socio=nil par les prix*socio=ec1 (et la pratique*socio=et associée*socio=rien du refus de vente*socio=ec1) est*socio=rien considérée comme un*socio=rien abus*socio=uv1 possible*socio=rien de position*socio=rien dominante*socio=uv2, en_particulier*socio=rien quand un*socio=rien fournisseur*socio=ac dominant ne traite pas de façon*socio=rien équitable*socio=uv2 avec ses clients*socio=ac réguliers*socio=ec2 et que cela a une *socio=rien incidence sur le*socio=nil commerce*socio=ec1 *socio=nil intracommunautaire. - - - Subventionnement croisé. Le subventionnement croisé est*socio=rien une catégorie*socio=rien de pratiques*socio=et qui, le plus souvent, n'est*socio=rien pas *socio=rien spécifiquement régie *socio=nil par la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1. La question*socio=rien se pose cependant à propos*socio=rien du traitement*socio=rien des abus*socio=uv1 possibles*socio=rien de position*socio=rien dominante*socio=uv2 ou des tentatives*socio=rien de monopolisation*socio=ec2. Cette pratique*socio=rien peut être*socio=rien considérée comme une façon*socio=rien d'utiliser des bénéfices*socio=ec1 réalisés grâce*socio=rien à une position*socio=rien de puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 pour un*socio=rien produit*socio=ec1 ou *socio=rien sur un marché*socio=ec1 géographique*socio=te *socio=nil afin d'obtenir*socio=rien , par "effet*socio=rien de levier", un*socio=rien avantage compétitif*socio=uv4 pour un*socio=rien autre produit*socio=ec1 ou *socio=rien sur un autre*socio=nil marché*socio=ec1 géographique*socio=te *socio=nil en vendant à bas*socio=rien prix*socio=ec1. Elle peut constituer une forme*socio=rien de pratique*socio=rien de prix*socio=ec1 d'éviction et être*socio=rien traitée comme telle. Toutefois, même quand il ne s'agit pas d'une pratique*socio=et prédatrice d'établissement*socio=rien des prix*socio=ec1, le subventionnement croisé peut être*socio=rien considéré comme une pratique*socio=et déloyale*socio=uv2 ou anticoncurrentielle dans des *socio=rien situations particulières.*socio=nil C'*socio=nil est le*socio=nil cas *socio=nil notamment quand la position*socio=rien de puissance*socio=uv1 *socio=rien sur un marché*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil exploitée par "effet*socio=rien de levier" *socio=rien sur un *socio=nil autre, résulte d'un*socio=rien monopole*socio=ec1 ou d'un*socio=rien droit*socio=uv1 exclusif*socio=rien accordé par l'État*socio=ac (pour un*socio=rien examen*socio=ec2 plus approfondi de cette question*socio=rien , voir la partie*socio=rien 1.c ci-dessus). Le droit*socio=uv1 commercial*socio=ec1 international*socio=te, tel qu'il *socio=rien est inscrit *socio=nil dans les Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac, autorise les *socio=ac gouvernements Membres,*socio=nil *socio=nil malgré les autres obligations*socio=uv1 qui leur incombent dans le cadre*socio=rien de l'OMC*socio=ac en matière*socio=rien d'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1, à imposer des droits*socio=uv1 antidumping ou à accepter des engagements en matière*socio=rien de prix*socio=ec1 pour faire face*socio=rien à certaines*socio=rien pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac relatives*socio=rien à la fixation des prix*socio=ec1, à savoir*socio=rien le dumping*socio=ec1, dans les cas*socio=rien où elles causent ou menacent de causer un*socio=rien dommage*socio=ec2 important*socio=rien à une branche*socio=rien de_production*socio=ec1 établie ou causent *socio=rien un retard important *socio=nil dans la création d'une branche*socio=rien de_production*socio=ec1 nationale*socio=te. La définition fondamentale*socio=uv4 du dumping*socio=ec1 dans l'Accord*socio=et de l'OMC*socio=ac sur*socio=rien la mise en oeuvre*socio=rien de l'article*socio=rien VI du GATT*socio=et (Accord*socio=et antidumping) est*socio=rien contenue à l'article*socio=rien 2.1, qui est*socio=rien ainsi libellé: "2.1 Aux fins*socio=rien du présent*socio=rien accord*socio=et, un*socio=rien produit*socio=ec1 doit être*socio=rien considéré comme faisant l'objet*socio=rien d'un*socio=rien dumping*socio=ec1, c'est-à-dire comme étant introduit sur*socio=rien le marché*socio=ec1 d'un*socio=rien autre pays*socio=ac à un*socio=rien prix*socio=ec1 inférieur*socio=rien à sa valeur*socio=ec1 normale*socio=rien , si le prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 de ce produit*socio=ec1, lorsqu'il est*socio=rien exporté d'un*socio=rien pays*socio=ac vers un*socio=rien autre, *socio=rien est inférieur au*socio=nil prix*socio=ec1 comparable *socio=nil pratiqué au cours*socio=rien d'opérations*socio=rien commerciales*socio=ec1 normales*socio=rien pour le produit*socio=ec1 similaire*socio=rien destiné à la consommation*socio=ec1 dans le pays*socio=ac exportateur*socio=ec1." Lorsque aucune vente*socio=ec1 du produit*socio=ec1 similaire*socio=rien n'a lieu*socio=rien au cours*socio=rien d'opérations*socio=rien commerciales*socio=ec1 normales*socio=rien " sur*socio=rien le marché*socio=ec1 intérieur*socio=te du pays*socio=ac exportateur*socio=ec1 ou lorsque, du fait*socio=rien de la *socio=rien situation particulière du*socio=nil marché*socio=ec1 *socio=nil ou du *socio=rien faible volume des*socio=nil ventes*socio=ec1 sur ce*socio=nil marché*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil de telles ventes*socio=ec1 ne permettent pas une *socio=rien comparaison valable,*socio=nil l'*socio=nil Accord*socio=et *socio=nil antidumping prévoit, à l'article*socio=rien 2.2, que "la marge de dumping*socio=ec1 sera déterminée par comparaison*socio=rien avec un*socio=rien prix*socio=ec1 comparable*socio=rien du produit*socio=ec1 similaire*socio=rien lorsque celui-ci est*socio=rien exporté à destination*socio=rien d'un*socio=rien pays*socio=ac tiers approprié, à condition*socio=rien que ce prix*socio=ec1 soit représentatif*socio=uv2, ou avec le *socio=ec1 coût de_production *socio=nil dans le pays*socio=ac d'origine*socio=rien majoré d'un*socio=rien montant*socio=ec1 raisonnable*socio=uv4 pour les frais*socio=ec1 d'administration et de commercialisation*socio=ec1 et les frais*socio=ec1 de *socio=rien caractère général,*socio=nil *socio=nil et pour les bénéfices*socio=ec1". L'article*socio=rien 2.4 de l'Accord*socio=et antidumping *socio=rien porte sur la*socio=nil façon *socio=nil dont les comparaisons*socio=rien entre le prix*socio=ec1 d'exportation*socio=ec1 et la valeur*socio=ec1 normale*socio=rien doivent être*socio=rien réalisées. L'Accord*socio=et établit d'autres règles*socio=et de forme*socio=rien et de *socio=rien fond régissant l'*socio=nil application des*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil antidumping. L'existence*socio=rien simultanée*socio=rien de deux *socio=et régimes juridiques,*socio=nil le*socio=nil droit*socio=uv1 *socio=nil de la concurrence*socio=ec1 et la législation*socio=et antidumping, établissant des critères*socio=rien et des procédures*socio=et différant sur*socio=rien le fond*socio=rien pour traiter d'éventuelles*socio=rien pratiques*socio=et de vente*socio=ec1 à bas*socio=rien prix*socio=ec1 par les entreprises*socio=ac, a entraîné des débats*socio=et considérables*socio=rien au sujet*socio=rien de leur relation*socio=rien et de leurs contradictions possibles*socio=rien . *{p.81} Du point*socio=rien de vue*socio=rien du droit*socio=uv1 de l'OMC*socio=ac, le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien assujetti à la règle du GATT*socio=et en matière*socio=rien de traitement*socio=rien national*socio=te, qui exige que, s'agissant de la réglementation*socio=et intérieure*socio=te, le traitement*socio=rien accordé aux produits*socio=rien importés ne soit pas moins favorable*socio=ec2 que celui qui est*socio=rien accordé aux produits*socio=rien d'origine*socio=rien nationale*socio=te, alors que cette obligation*socio=uv1 ne s'applique pas aux mesures*socio=et antidumping qui sont des mesures*socio=et à la frontière*socio=te relevant de l'article*socio=rien VI du GATT*socio=et. La question*socio=rien essentielle*socio=uv4 est*socio=rien donc de savoir*socio=rien pourquoi les pays*socio=ac qui ont exercé le droit*socio=uv1 d'appliquer des régimes*socio=et antidumping ont estimé que la protection*socio=et contre les pratiques*socio=et de fixation de prix*socio=ec1 abusivement bas*socio=rien assurée par le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 n'est*socio=rien pas suffisante*socio=rien en ce qui concerne les importations*socio=ec1 et pourquoi *socio=rien un système de*socio=nil protection*socio=et supplémentaire *socio=nil présentant les caractéristiques*socio=rien du système*socio=rien antidumping est*socio=rien justifié dans de telles situations*socio=rien . Les dispositions de l'OMC*socio=ac concernant le dumping*socio=ec1 ne donnent aucune *socio=rien indication sur leur*socio=nil raison_d'_être*socio=et sous-jacentes.*socio=nil *socio=nil Toutefois, *socio=rien un certain nombre de*socio=nil motifs ont*socio=nil été *socio=nil avancés pour justifier l'existence*socio=rien d'un*socio=rien régime*socio=et établissant ses *socio=rien propres critères et*socio=nil procédures*socio=et,*socio=nil applicable en*socio=nil cas *socio=nil de fixation "déloyale*socio=uv2" des prix*socio=ec1 des importations*socio=ec1 et différent*socio=rien de celui qui est*socio=rien prévu pour les *socio=rien produits semblables d'*socio=nil origine nationale*socio=te.*socio=nil *socio=nil - Subventionnement croisé. Il semble qu'à l'origine*socio=rien , la législation*socio=et antidumping soit née des craintes de voir les sociétés*socio=ac d'autres pays*socio=ac, situées à l'abri de barrières*socio=et protectrices et ayant peut-être formé une entente*socio=et sur*socio=rien le marché*socio=ec1 intérieur*socio=te de leur pays*socio=ac, profiter d'un*socio=rien avantage compétitif*socio=uv4 "déloyal" en subventionnant leurs exportations*socio=ec1 à l'aide*socio=uv1 des bénéfices*socio=ec1 résultant*socio=rien des prix*socio=ec1 élevés*socio=uv4 qu'elles pratiquent sur*socio=rien le marché*socio=ec1 intérieur*socio=te. Il semblerait qu'il s'agisse là d'un*socio=rien *socio=rien motif sous-jacent constant.*socio=nil Par*socio=nil exemple,*socio=nil le*socio=nil fait *socio=nil que des mesures*socio=et correctives*socio=ec2 antidumping ne sont pas appliquées dans le commerce*socio=ec1 interne*socio=te à la *socio=ac Communauté européenne (*socio=nil politique*socio=et *socio=nil maintenant élargie à l'Espace*socio=te économique*socio=ec1 européen*socio=ac) a été*socio=rien expliqué par la possibilité*socio=rien d'arbitrage*socio=et (réimportation de produits*socio=rien faisant l'objet*socio=rien d'un*socio=rien dumping*socio=ec1) à l'intérieur*socio=te de la Communauté*socio=ac et par l'existence*socio=rien de lois*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 interdisant les pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4. - - Prix*socio=ec1 d'éviction. Parfois, les systèmes*socio=rien antidumping sont jugés nécessaires*socio=rien pour combattre*socio=rien les prix*socio=ec1 d'éviction. Toutefois, on ne sait pas exactement dans combien d'affaires*socio=ec1 antidumping les critères*socio=rien de prédation fixés dans les lois*socio=et modernes*socio=uv2 sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 seraient remplis." À cet égard*socio=rien , les procédures*socio=et parallèles*socio=rien engagées au titre*socio=rien de la législation*socio=et antidumping et de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 dans les affaires*socio=ec1 relatives*socio=rien à la vente*socio=ec1 de téléviseurs aux États-unis*socio=ac par des *socio=ac producteurs japonais *socio=nil sont dignes d'intérêt*socio=rien (voir encadré IV.9). - - Dumping*socio=ec1 stratégique*socio=uv4. On a affirmé qu'il était possible*socio=rien de chercher à pratiquer des prix*socio=ec1 à l'exportation*socio=ec1 inférieurs aux *socio=ec1 coûts de_production totaux*socio=rien moyens *socio=nil afin d'accroître la production*socio=ec1 pour faire rapidement tomber la part*socio=rien des coûts*socio=ec1 d'apprentissage*socio=uv3 et bénéficier d'économie*socio=ec1 d'échelle*socio=rien , en vue*socio=rien d'obtenir*socio=rien un*socio=rien avantage stratégique*socio=uv4 par rapport*socio=rien aux concurrents*socio=ac. Ce raisonnement*socio=rien a été*socio=rien avancé à propos*socio=rien de secteurs*socio=rien à *socio=rien forte intensité de*socio=nil recherche-développement*socio=ec2 *socio=nil caractérisés par l'importance*socio=rien de l'apprentissage*socio=uv3 par l'expérience*socio=ec2, comme le secteur*socio=rien des semi-conducteurs. - - Exportation*socio=ec1 des récessions. On a affirmé que, puisque les cycles*socio=te conjoncturels des économies*socio=ec1 nationales*socio=te ne coïncidaient pas dans le temps*socio=rien , il était possible*socio=rien que les exportations*socio=ec1 en dumping*socio=ec1 de sociétés*socio=ac situées dans des économies*socio=ec1 en récession*socio=ec2 provoquent une désorganisation*socio=uv4, en_particulier*socio=rien dans les secteurs*socio=rien à *socio=rien forte intensité de*socio=nil capital*socio=ec1 *socio=nil caractérisés par une proportion*socio=rien élevée*socio=uv4 de charges*socio=rien fixes et dans les cas*socio=rien où le marché*socio=ec1 intérieur*socio=te du pays*socio=ac d'exportation*socio=ec1 n'est*socio=rien pas pleinement concurrentiel*socio=ec2. *{p.82} On a craint que, puisque ces exportations*socio=ec1 à bas*socio=rien prix*socio=ec1 sont liées au cycle*socio=te conjoncturel et devraient donc être*socio=rien de courte*socio=rien durée*socio=te, l'ajustement*socio=et de la branche*socio=rien de_production*socio=ec1 du pays*socio=ac importateur*socio=ec1, d'abord*socio=rien à la baisse*socio=ec2 pour faire face*socio=rien à la nouvelle*socio=rien concurrence*socio=ec1, puis à la *socio=rien hausse après la*socio=nil disparition *socio=nil de cette concurrence*socio=ec1, ne représente des pertes*socio=ec2 de bien-être pour l'économie*socio=ec1 qui ne seraient pas compensées par les avantages*socio=rien procurés aux consommateurs*socio=ac par des prix*socio=ec1 temporairement*socio=rien peu élevés*socio=uv4. - Problèmes*socio=ec2 juridictionnels. On a affirmé que la possibilité*socio=rien de traiter les problèmes*socio=ec2 provoqués par les importations*socio=ec1 à bas*socio=rien prix*socio=ec1 au titre*socio=rien de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 était limitée du fait*socio=rien que les entreprises*socio=ac exportatrices*socio=ec1 en cause*socio=rien ne relevaient pas de la compétence*socio=uv4 du pays*socio=ac importateur*socio=ec1,, les renseignements*socio=ec2 à présenter à l'appui*socio=rien d'une action*socio=rien engagée au titre*socio=rien de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 pourraient donc *socio=rien être difficiles à*socio=nil obtenir *socio=nil et les *socio=rien décisions résultant *socio=nil de ces procédures*socio=et difficiles*socio=rien à appliquer. - - Économie*socio=ec1 politique*socio=et. On a affirmé que la possibilité*socio=rien d'obtenir*socio=rien une protection*socio=et contre le dumping*socio=ec1 était l'une des conditions*socio=ec1 auxquelles les pays*socio=ac avaient accepté de s'engager à prendre des mesures*socio=et d'ouverture*socio=uv3 des marchés*socio=ec1 et qu'il n'était pas raisonnable*socio=uv4 de penser que des mesures*socio=et commerciales*socio=ec1 visant à lutter contre le dumping*socio=ec1 seraient plus justifiées sur*socio=rien le plan*socio=rien de leurs *socio=rien effets sur l'*socio=nil efficience*socio=uv3 *socio=nil et le bien-être que d'autres mesures*socio=et commerciales*socio=ec1,, sans la "soupape de sécurité*socio=uv1" que constitue la possibilité*socio=rien d'adopter une protection*socio=et contre le dumping*socio=ec1, les pays*socio=ac seraient moins disposés à souscrire des engagements en matière*socio=rien tarifaire*socio=et ou concernant l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 en général*socio=rien . C'est*socio=rien pourquoi le principe*socio=ec2 sur*socio=rien lequel repose la législation*socio=et antidumping diffère de celui qui sous-tend la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 en ce sens*socio=rien qu'il vise à protéger les concurrents*socio=ac et non la concurrence*socio=ec1. Dans le même ordre*socio=rien d'idée*socio=rien , on a aussi justifié les mesures*socio=et de protection*socio=et contre le dumping*socio=ec1 en affirmant que les mesures*socio=et qui seraient employées*socio=ac si celles-ci n'étaient pas autorisées (comme les mesures*socio=et de sauvegarde*socio=et) auraient des effets*socio=rien plus *socio=rien négatifs sur le*socio=nil commerce*socio=ec1 *socio=nil et le bien-être. - Il convient de noter que plusieurs de ces arguments*socio=ec2 reposent, en totalité*socio=rien ou en *socio=rien grande partie,*socio=nil sur le*socio=nil fait *socio=nil que les conditions*socio=ec1 du marché*socio=ec1 dans le pays*socio=ac exportateur*socio=ec1 sont imparfaites. Dans la mesure*socio=rien où une coopération_internationale*socio=uv1 renforcée peut aider à éliminer ces imperfections*socio=rien , le besoin*socio=rien ressenti d'assurer une protection*socio=et contre le dumping*socio=ec1 devrait diminuer. Il se pose aussi la question*socio=rien de savoir*socio=rien si les critères*socio=rien et les procédures*socio=et spécifiques*socio=rien du système*socio=rien antidumping sont suffisamment bien*socio=rien adaptés, compte*socio=rien tenu des raisons*socio=rien qui justifient l'existence*socio=rien du système*socio=rien , et s'il faudrait s'inspirer à cet égard*socio=rien de l'expérience*socio=ec2 acquise*socio=rien à l'occasion*socio=rien des procédures*socio=et engagées au titre*socio=rien de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 dans des affaires*socio=ec1 de discrimination*socio=uv1 par les prix*socio=ec1. Les différences*socio=uv1 de fond*socio=rien et de forme*socio=rien entre la législation*socio=et antidumping et la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 sont trop nombreuses*socio=rien et complexes pour être*socio=rien examinées dans le *socio=rien présent chapitre.*socio=nil *socio=nil Elles ont trait à des questions*socio=rien telles que la façon*socio=rien dont le marché*socio=ec1 considéré ou la branche*socio=rien de_production*socio=ec1 nationale*socio=te *socio=rien est défini,*socio=nil le*socio=nil dommage*socio=ec2 *socio=nil causé aux concurrents*socio=ac et le dommage*socio=ec2 causé à la concurrence*socio=ec1, le traitement*socio=rien du bien-être du producteur*socio=ac et du consommateur*socio=ac, le traitement*socio=rien de l'intention, le traitement*socio=rien des charges*socio=rien fixes et variables et *socio=rien différentes questions *socio=nil concernant la *socio=et procédure juridique,*socio=nil par*socio=nil exemple*socio=rien l'*socio=nil obtention*socio=rien des*socio=nil éléments*socio=rien de*socio=nil preuve*socio=ec2,*socio=nil l'*socio=nil attribution*socio=rien *socio=nil de la charge*socio=rien et de la preuve*socio=ec2 et l'indépendance des institutions*socio=ac qui appliquent la loi*socio=et. Une comparaison*socio=rien avec la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 effectuée *socio=rien uniquement sur la*socio=nil base *socio=nil de l'efficience*socio=uv3 allocative et limitée aux pratiques*socio=et de prix*socio=ec1 d'éviction tendrait à faire ressortir ces différences*socio=uv1, mais il ne faut pas négliger le fait*socio=rien que cette législation*socio=et fait*socio=rien fréquemment intervenir d'autres considérations*socio=rien , la *socio=rien fois sur le*socio=nil plan juridique*socio=et *socio=nil et le *socio=rien plan pratique.*socio=nil *socio=nil Il faut aussi noter qu'un*socio=rien *socio=rien bon nombre de*socio=nil préoccupations*socio=uv4 *socio=nil exprimées au sujet*socio=rien des régimes*socio=et antidumping tiennent à la façon*socio=rien dont ces régimes*socio=et sont appliqués en pratique*socio=rien ou plutôt qu'aux dispositions de fond*socio=rien qui les régissent. Outre ces points*socio=rien fondamentaux*socio=uv4, il existe *socio=rien un certain nombre *socio=nil d'interfaces opérationnelles*socio=rien entre la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 et la législation*socio=et antidumping. en_particulier*socio=rien : - La législation*socio=et antidumping exige qu'une plainte soit déposée par la branche*socio=rien de_production*socio=ec1 nationale*socio=te. Cela peut nécessiter, entre les sociétés*socio=ac qui constituent la branche*socio=rien de_production*socio=ec1, une *socio=rien certaine forme d'*socio=nil action *socio=nil concertée, qui pourrait, en l'absence*socio=rien d'une autorisation*socio=rien accordée par l'État*socio=ac en application*socio=rien de la législation*socio=et antidumping ou de doctrines plus générales*socio=rien permettant des actions*socio=rien concertées pour présenter de bonne_foi exemple*socio=rien la doctrine*socio=ec2 Noerr-pennington aux États-unis*socio=ac), donner lieu*socio=rien à une action*socio=rien au titre*socio=rien de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1. Toutefois, si l'action*socio=rien concertée, par exemple*socio=rien l'échange_de_renseignements*socio=ec2, va au-delà de ce qui *socio=rien est nécessaire *socio=nil pour déposer une plainte ou si la plainte n'est*socio=rien pas présentée de bonne_foi dispositions de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1. - - Les engagements en matière*socio=rien de prix*socio=ec1 entre les autorités*socio=et et les exportateurs*socio=ac dont les pratiques*socio=et de dumping*socio=ec1 ont été*socio=rien constatées sont souscrits séparément*socio=rien par chaque exportateur*socio=ec1. Dans la mesure*socio=rien où ils ne constituent pas des arrangements*socio=et entre concurrents*socio=ac, ils ne relèvent pas de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1. Mais toute action*socio=rien concertée entre les exportateurs*socio=ac et la branche*socio=rien de_production*socio=ec1 du pays*socio=ac d'importation*socio=ec1 relèverait de cette législation*socio=et. - - Une question*socio=rien qui se pose est*socio=rien la mesure*socio=rien dans laquelle il *socio=rien est possible *socio=nil de tenir compte*socio=rien , dans une procédure*socio=et antidumping, de la situation*socio=rien en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 qui règne dans la branche*socio=rien de_production*socio=ec1 nationale*socio=te qui dépose la plainte, en_particulier*socio=rien si la concurrence*socio=ec1 n'y est*socio=rien pas parfaite*socio=rien et s'il y a des raisons*socio=rien de penser que la plainte est*socio=rien présentée en vue*socio=rien de préserver cette situation*socio=rien . À cet égard*socio=rien , l'article*socio=rien 3.5 de l'Accord*socio=et antidumping de l'OMC*socio=ac dispose que, pour déterminer s'il existe *socio=rien un lien de*socio=nil causalité *socio=nil entre les importations*socio=ec1 faisant l'objet*socio=rien d'un*socio=rien dumping*socio=ec1 et le dommage*socio=ec2 causé à la branche*socio=rien de_production*socio=ec1 nationale*socio=te, les autorités*socio=et examineront tous les facteurs*socio=rien connus autres que les importations*socio=ec1 faisant l'objet*socio=rien d'un*socio=rien dumping*socio=ec1 qui, au même moment*socio=rien , causent un*socio=rien dommage*socio=ec2 à la branche*socio=rien de_production*socio=ec1 nationale*socio=te, notamment les pratiques_commerciales*socio=et restrictives*socio=uv4 des producteurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 et nationaux*socio=te et la concurrence*socio=ec1 entre ces mêmes producteurs*socio=ac. En outre, l'Accord*socio=et antidumping exige que les autorités*socio=et ménagent aux consommateurs*socio=ac et aux utilisateurs*socio=rien industriels*socio=ec1 la possibilité*socio=rien de fournir des renseignements*socio=ec2 en rapport*socio=rien avec l'enquête*socio=ec2 en ce qui concerne le dumping*socio=ec1, le dommage*socio=ec2 et le lien*socio=rien de causalité*socio=rien . Il faut aussi noter que, dans certains pays*socio=ac, il est*socio=rien prévu que les autorités*socio=et tiennent compte*socio=rien de l'intérêt*socio=uv1 national*socio=te lorsqu'elles décident d'imposer ou non des mesures*socio=et antidumping ou qu'elles en déterminent l'ampleur*socio=rien . Ce *socio=et pouvoir discrétionnaire peut*socio=nil être*socio=rien *socio=nil utilisé pour remédier aux situations*socio=rien dans lesquelles la branche*socio=rien de_production*socio=ec1 nationale*socio=te cherche à consolider un*socio=rien marché*socio=ec1 monopolistique*socio=ec2 ou oligopolistique par le biais*socio=rien de plaintes antidumping. *{p.83} On ne sait pas très bien*socio=rien dans quelle mesure*socio=rien il a effectivement été*socio=rien utilisé de cette façon*socio=rien en pratique*socio=rien . En outre, dans certains pays*socio=ac, les autorités*socio=et responsables*socio=uv2 de la concurrence*socio=ec1 ont soit expressément le droit*socio=uv1, conformément à la législation*socio=et, de faire connaître leur opinion*socio=uv1 lors*socio=rien d'une procédure*socio=et antidumping, soit la possibilité*socio=rien de le faire en application*socio=rien de dispositions ou de doctrines permettant, d'une *socio=rien façon générale,*socio=nil aux*socio=nil parties *socio=nil tierces intéressées de présenter des interventions désintéressées aux tribunaux*socio=ac, notamment aux tribunaux*socio=ac administratifs*socio=et. Là non plus, on ne sait pas dans quelle mesure*socio=rien ces interventions sont prises*socio=rien en compte*socio=rien . - Une autre interface opérationnelle*socio=rien entre la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 et les mesures*socio=et de protection*socio=et d'exception*socio=rien concerne la définition du marché*socio=ec1 géographique*socio=te considéré dans le cadre*socio=rien de cette législation*socio=et. Normalement, avec la libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1, le marché*socio=ec1 sera de plus en plus international*socio=te mais l'éventuelle*socio=rien *socio=rien application future de*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil antidumping ou d'autres mesures*socio=et de protection*socio=et d'exception*socio=rien crée une incertitude*socio=uv3 qui rend les autorités*socio=et responsables*socio=uv2 de la concurrence*socio=ec1 moins disposées à accepter une définition large*socio=rien du marché*socio=ec1 géographique*socio=te. - IV.3 Investissement*socio=ec1 étranger*socio=te. L'investissement_étranger_direct*socio=ec1 est*socio=rien une façon*socio=rien de plus en plus importante*socio=rien pour les entreprises*socio=ac d'approvisionner les marchés*socio=ec1 étrangers*socio=uv4 - selon des estimations*socio=ec2 de la CNUCED*socio=ac, il est*socio=rien maintenant à cet égard*socio=rien plus important*socio=rien que le commerce*socio=ec1 transfrontières - et est*socio=rien de plus en plus intégré au commerce*socio=ec1. En fait*socio=rien , dans l'accord_général_sur_le_commerce_des services*socio=ec1 de l'OMC*socio=ac, l'approvisionnement*socio=ec1 des marchés*socio=ec1 des services*socio=ec1 par le biais*socio=rien de la présence*socio=rien commerciale*socio=ec1 d'un*socio=rien fournisseur*socio=ac étranger*socio=te est*socio=rien considéré comme une forme*socio=rien de commerce*socio=ec1 international*socio=te. L'investissement*socio=ec1 étranger*socio=te ayant progressé très rapidement ces *socio=rien dernières années,*socio=nil *socio=nil à la *socio=rien fois sur le*socio=nil plan *socio=nil de sa valeur*socio=ec1 totale*socio=rien et celui du nombre*socio=rien des sociétés*socio=ac intéressées (la CNUCED*socio=ac estime*socio=rien qu'il y a maintenant plus de 40 000 sociétés*socio=ac multinationales*socio=ec1, dont ~ beaucoup sont basées dans des pays_en_développement*socio=ac), de plus en plus de questions*socio=rien liées au droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1, notamment celles qui portent sur*socio=rien les fusions et les abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2, concernent les activités*socio=rien de ces sociétés*socio=ac. Cela soulève *socio=rien un certain nombre de*socio=nil questions *socio=nil dans l'application*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 qui sont importantes*socio=rien dans une perspective*socio=rien internationale*socio=te. L'un*socio=rien des éléments*socio=rien des relations*socio=rien entre l'investissement*socio=ec1 étranger*socio=te et la politique*socio=et de concurrence*socio=ec1 est*socio=rien la contribution*socio=uv1 importante*socio=rien que cette dernière*socio=rien peut apporter à l'élimination*socio=ec2 des obstacles*socio=rien à l'entrée*socio=rien sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 rencontrés par les investisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4. Si les restrictions*socio=et verticales peuvent jouer *socio=rien un rôle positif*socio=uv4 *socio=nil en facilitant l'accès*socio=uv1 des nouveaux*socio=rien arrivants, elles peuvent aussi être*socio=rien utilisées soit par une entreprise*socio=ac dominante*socio=uv2 existante*socio=rien , soit dans le cadre*socio=rien d'une action*socio=rien collective*socio=uv2 de la part*socio=rien des entreprises*socio=ac existantes*socio=rien , pour empêcher l'entrée*socio=rien des investisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 sur*socio=rien le marché*socio=ec1, par exemple*socio=rien en interdisant l'accès*socio=uv1 aux circuits de distribution. Ainsi, il existe une synergie*socio=uv3 entre la libéralisation*socio=et de l'investissement*socio=ec1 et l'application*socio=rien effective*socio=rien d'une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, semblable*socio=rien à celle qui existe entre cette même politique*socio=et et l'accès*socio=uv1 des importations*socio=ec1 aux marchés*socio=ec1. Outre qu'elle aide*socio=uv1 à éliminer les obstacles*socio=rien à l'entrée*socio=rien , une politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 efficace*socio=uv4 peut faciliter l'investissement*socio=ec1 étranger*socio=te en ce sens*socio=rien qu'elle *socio=rien fait partie d'*socio=nil un *socio=et environnement juridique et*socio=nil réglementaire *socio=nil créé pour les investisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 et perçu comme reposant sur*socio=rien des principes*socio=ec2 que les investisseurs*socio=ac comprennent, auquel ils sont habitués et qui limite le risque*socio=uv4 de décisions*socio=rien arbitraires*socio=uv4. Il est*socio=rien probable*socio=uv4 que le recours*socio=ec1 à la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 pour réglementer les pratiques_commerciales*socio=et des investisseurs*socio=ac a moins d'effets*socio=rien de restriction*socio=et ou de distorsion des échanges*socio=ec1 et de l'investissement*socio=ec1 que d'autres moyens*socio=ec1 d'action*socio=rien qui ont été*socio=rien utilisés à cette fin*socio=rien par certains pays*socio=ac (par *socio=rien exemple encadrement *socio=nil de l'investissement*socio=ec1 et prescriptions de résultat*socio=rien , et réglementation*socio=et du transfert de technologie*socio=ec1). Fréquemment, l'effet*socio=rien initial*socio=rien de l'investissement_étranger_direct*socio=ec1 sera de renforcer la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 locaux*socio=te. Cela sera le *socio=rien cas en_particulier *socio=nil pour les investissements*socio=ec1 dans des projets*socio=rien entièrement nouveaux*socio=rien (c'est-à-dire la plupart*socio=rien des investissements*socio=ec1 dans les pays_en_développement*socio=ac) mais la reprise et la remise en état*socio=rien d'une entreprise*socio=ac locale*socio=te peuvent aussi avoir cet effet*socio=rien . Toutefois, il *socio=rien est possible *socio=nil qu'avec le temps*socio=rien , le marché*socio=ec1 devienne de plus en plus concentré et se caractérise par l'existence*socio=rien d'une entreprise*socio=ac dominante*socio=uv2 ou d'un*socio=rien *socio=rien petit nombre d'*socio=nil entreprises*socio=ac dominantes*socio=uv2.*socio=nil Cela*socio=nil est *socio=nil peut-être plus probable*socio=uv4 quand les entreprises*socio=ac intéressées sont des entreprises*socio=ac multinationales*socio=ec1, parce qu'elles apportent normalement une plus grande*socio=rien efficience*socio=uv3 et que les marchés*socio=ec1 qui donnent à ces sociétés*socio=ac un*socio=rien avantage compétitif*socio=uv4 sont ceux qui se caractérisent par des économies*socio=ec1 d'échelle*socio=rien et par une tendance*socio=ec2 parallèle*socio=rien à la concentration*socio=ec2. Naturellement, si les gouvernements*socio=ac ont prévu des incitations*socio=uv3, financières*socio=ec1 ou sous forme*socio=rien d'une protection*socio=et contre la concurrence*socio=ec1, à l'établissement*socio=rien de ces entreprises*socio=ac, cette tendance*socio=ec2 s'en trouvera renforcée. Il y a donc des raisons*socio=rien de penser qu'un*socio=rien pays*socio=ac qui s'ouvre aux investisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 doit avoir mis en place*socio=rien des moyens*socio=ec1 juridiques*socio=et pour lutter contre les pratiques_commerciales*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 de ces investisseurs*socio=ac (ainsi que des sociétés*socio=ac nationales*socio=te). Cela est*socio=rien d'autant plus vrai*socio=rien que l'on considère de plus en plus que les moyens*socio=ec1 utilisés traditionnellement par de nombreux*socio=rien pays*socio=ac pour traiter ces problèmes*socio=ec2 (par exemple*socio=rien examen*socio=ec2 ex ante de l'investissement*socio=ec1, différentes*socio=rien prescriptions de résultat*socio=rien et réglementation*socio=et du transfert de technologie*socio=ec1) permettent souvent moins bien*socio=rien d'évaluer les *socio=rien effets sur *socio=nil le bien-être et ont des *socio=rien conséquences négatives,*socio=nil *socio=nil en ce sens*socio=rien qu'ils découragent l'investissement*socio=ec1 étranger*socio=te et qu'il devient plus coûteux*socio=ec2 d'attirer cet investissement*socio=ec1. En outre, du fait*socio=rien des obligations*socio=uv1 internationales*socio=te, il est*socio=rien plus difficile*socio=rien de maintenir des règles*socio=et qui établissent une discrimination*socio=uv1 à l'encontre*socio=rien des sociétés*socio=ac étrangères*socio=ec1 (en raison*socio=rien des engagements souscrits dans le cadre*socio=rien de l'AGCS*socio=ac et de l'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC ainsi que d'accords*socio=et bilatéraux*socio=et et régionaux*socio=te sur*socio=rien l'investissement*socio=ec1) ou des importations*socio=ec1 de produits*socio=rien étrangers*socio=uv4 (par exemple*socio=rien en raison*socio=rien de l'Accord*socio=et sur*socio=rien les MIC). La législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 fournit un*socio=rien mécanisme non discriminatoire*socio=uv2 de lutte*socio=uv1 contre les pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 des sociétés*socio=ac basées à l'étranger*socio=te, mais aussi des sociétés*socio=ac locales*socio=te, qui nuisent au bien-être national*socio=te. *{p.84} Une autre raison*socio=rien pour laquelle des pays*socio=ac de plus en plus nombreux*socio=rien se dotent ou envisagent de se doter d'une législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 et d'autorités*socio=et responsables*socio=uv2 de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien qu'à cause*socio=rien de la *socio=rien présence sur leur*socio=nil territoire*socio=te de*socio=nil sociétés*socio=ac étrangères*socio=ec1 en*socio=nil nombre croissant,*socio=nil *socio=nil ils subissent de plus en plus les incidences des *socio=rien décisions prises *socio=nil par les autorités*socio=et de la concurrence*socio=ec1 des autres pays*socio=ac où ces sociétés*socio=ac opèrent et qui influent sur*socio=rien leurs activités*socio=rien mondiales*socio=te, par *socio=rien exemple sur le*socio=nil plan *socio=nil des fusions,, ces pays*socio=ac pourront beaucoup plus facilement coopérer avec ces autorités*socio=et et peser sur*socio=rien leurs décisions*socio=rien s'il existe une autorité*socio=et nationale*socio=te responsable*socio=uv2 de la concurrence*socio=ec1. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil aspects *socio=nil de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 et de son application*socio=rien sont souvent considérés comme particulièrement importants*socio=rien pour l'investissement*socio=ec1 étranger*socio=te. Dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac développés*socio=uv4 et, de plus en plus, dans les pays_en_développement*socio=ac, l'investissement*socio=ec1 étranger*socio=te prend surtout la forme*socio=rien de fusions, d'acquisitions*socio=ec1 et d'arrangements*socio=et similaires*socio=rien , co-entreprises par exemple*socio=rien . Ainsi, les règles*socio=et et procédures*socio=et relatives*socio=rien aux fusions sont souvent les *socio=rien premiers aspects *socio=nil de la législation*socio=et nationale*socio=te de la concurrence*socio=ec1 que connaissent les investisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4. Comme il a été*socio=rien indiqué plus haut*socio=rien , elles visent essentiellement à faire en sorte*socio=rien que les fusions et les arrangements*socio=et similaires*socio=rien ne conduisent pas à la création ou au renforcement d'une position*socio=rien dominante*socio=uv2 *socio=rien sur un marché*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil à moins que cela ne soit compensé par des *socio=rien avantages suffisants en*socio=nil matière d'*socio=nil efficience*socio=uv3.*socio=nil *socio=nil Normalement, les fusions entre sociétés*socio=ac dont la taille dépasse *socio=rien un certain niveau doivent*socio=nil être *socio=nil notifiées et peuvent aussi nécessiter une enquête*socio=ec2 et une approbation*socio=uv1 ex ante. Elles peuvent être*socio=rien interdites, ou bien*socio=rien autorisées seulement sous_réserve*socio=rien de certaines*socio=rien conditions*socio=ec1 visant à remédier à leurs effets*socio=rien préjudiciables*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1. En ce qui concerne l'application*socio=rien ex post de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 aux pratiques*socio=et des sociétés*socio=ac multinationales*socio=ec1, *socio=rien un domaine *socio=nil qui a retenu l'attention*socio=rien en raison*socio=rien de son caractère*socio=rien transnational est*socio=rien celui des arrangements*socio=et verticaux conclus à l'intérieur*socio=te de l'entreprise*socio=ac en cause*socio=rien qui, par exemple*socio=rien , empêchent les filiales*socio=rien d'exporter vers certains marchés*socio=ec1 ou les obligent à acheter des facteurs*socio=rien de_production*socio=ec1 spécifiques*socio=rien à la société_mère*socio=ac. Les arrangements*socio=et intra-entreprises ne relèvent généralement pas du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 puisque les entreprises*socio=ac ne sont pas censées se concurrencer elles-mêmes. Cependant, le point*socio=rien contesté tient au fait*socio=rien que les sociétés*socio=ac prennent des décisions*socio=rien d'achat*socio=ec1 et de vente*socio=ec1 ne reposant pas sur*socio=rien des raisons*socio=rien d'efficience*socio=uv3 ou des considérations*socio=rien commerciales*socio=ec1,, or*socio=rien la législation*socio=et et la politique*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 peuvent *socio=rien limiter considérablement,*socio=nil bien *socio=nil que de façon*socio=rien indirecte, la possibilité*socio=rien de prendre des décisions*socio=rien de ce type*socio=rien . Ce n'est*socio=rien que lorsque les sociétés*socio=ac sont à l'abri des pressions*socio=ec2 de la concurrence*socio=ec1 et des disciplines*socio=rien du marché*socio=ec1 qu'elles peuvent prendre de telles décisions*socio=rien et rester en activité*socio=rien . En aidant à maintenir des marchés*socio=ec1 compétitifs*socio=uv4 et à empêcher les abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2, la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 peut avoir pour effet*socio=rien d'enlever aux sociétés*socio=ac la possibilité*socio=rien d'agir de façon*socio=rien non efficiente*socio=uv4. On peut par ailleurs*socio=rien noter qu'une telle façon*socio=rien d'agir serait incompatible*socio=uv4 avec la "recherche d'efficience*socio=uv3" qui caractérise de plus en plus l'investissement*socio=ec1 étranger*socio=te et l'intégration*socio=ec2 verticale transnationale des entreprises*socio=ac. Une autre *socio=rien question relative au*socio=nil droit*socio=uv1 *socio=nil de la concurrence*socio=ec1 qui présente*socio=rien une *socio=rien importance particulière *socio=nil pour l'investissement_étranger_direct*socio=ec1 est*socio=rien celle de l'accès*socio=uv1 aux éléments*socio=rien de preuve*socio=ec2 nécessaires*socio=rien pour contester de façon*socio=rien efficace*socio=uv4 les pratiques*socio=et des sociétés*socio=ac multinationales*socio=ec1 ou comprendre pleinement les conséquences*socio=rien des fusions et acquisitions*socio=ec1. en_particulier*socio=rien les petits*socio=rien pays_d'_accueil*socio=ac aux ressources*socio=ec1 limitées ont difficilement accès*socio=uv1 à cette information*socio=rien . Les questions*socio=rien concernant l'accès*socio=uv1 à l'information*socio=rien et la coopération_internationale*socio=uv1 à cet égard*socio=rien sont examinées de façon*socio=rien plus approfondie dans la partie*socio=rien 5 ci-dessous. Si la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 a *socio=rien un rôle souhaitable et*socio=nil légitime*socio=uv2 *socio=nil à jouer en ce qui concerne l'investissement_étranger_direct*socio=ec1, il importe aussi qu'elle ne le restreigne pas inutilement, À cet égard*socio=rien , des problèmes*socio=ec2 pourraient se poser dans trois domaines*socio=rien : - Le premier*socio=rien concerne la charge*socio=rien que fait*socio=rien peser sur*socio=rien les sociétés*socio=ac qui fusionnent l'application*socio=rien *socio=rien simultanée sur différents marchés*socio=ec1 *socio=nil de modalités établies dans le cadre*socio=rien de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 qui, souvent, imposent des prescriptions substantiellement différentes*socio=rien en matière*socio=rien de notification et de procédure*socio=et et prévoient l'application*socio=rien de *socio=rien critères différents sur le*socio=nil fond *socio=nil et des calendriers*socio=et différents*socio=rien . En outre, comme il a été*socio=rien indiqué plus haut*socio=rien , même l'application*socio=rien de critères*socio=rien identiques dans leur forme*socio=rien peut conduire à des *socio=rien résultats différents d'*socio=nil un pays*socio=ac *socio=nil à l'autre selon le lieu*socio=rien géographique*socio=te où sont obtenus les gains*socio=ec1 d'efficience*socio=uv3. La coexistence de procédures*socio=et est*socio=rien une question*socio=rien qui se pose en_particulier*socio=rien à propos*socio=rien des fusions entre sociétés*socio=ac multinationales*socio=ec1. La fusion*socio=rien entre Gillette et Wilkinson Sword a été*socio=rien examinée dans 14 pays*socio=ac. Cette coexistence n'entraîne pas seulement des coûts*socio=ec1 importants*socio=rien pour les sociétés*socio=ac et les autorités*socio=et responsables*socio=uv2 de la concurrence*socio=ec1 intéressées mais est*socio=rien aussi probablement préjudiciable*socio=et à l'investissement*socio=ec1 et au commerce*socio=ec1 en raison*socio=rien de l'incertitude*socio=uv3 commerciale*socio=ec1 qu'elle crée. - - Si les procédures*socio=et d'approbation*socio=uv1 des fusions, selon le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1, sont généralement neutres*socio=rien quant à la nationalité*socio=ac des entreprises*socio=ac intéressées, elles risquent d'être*socio=rien utilisées pour établir une discrimination*socio=uv1 à l'encontre*socio=rien des investisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 ou des importations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=ec1 étrangers*socio=uv4 et ainsi, dans une *socio=rien certaine mesure,*socio=nil *socio=nil de remplacer les systèmes*socio=rien d'examen*socio=ec2 plus ouvertement discriminatoires*socio=uv2 qui étaient courants*socio=te à une certaine*socio=rien époque*socio=te, Cela peut résulter d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil facteurs:*socio=nil les*socio=nil critères *socio=nil établis par la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 peuvent eux-mêmes mettre explicitement l'accent*socio=rien sur*socio=rien le maintien*socio=rien de la branche*socio=rien de_production*socio=ec1 et de l'emploi*socio=ec1 locaux*socio=te ou, comme il a été*socio=rien indiqué ailleurs*socio=rien , accorder une plus grande*socio=rien valeur*socio=ec1 aux gains*socio=ec1 d'efficience*socio=uv3 obtenus sur*socio=rien le territoire*socio=te qu'à ceux qui sont obtenus hors du territoire*socio=te,, ou bien*socio=rien le processus*socio=te de prise*socio=rien de décisions*socio=rien concernant l'ouverture*socio=uv3 et la clôture des procédures*socio=et peut être*socio=rien quelque peu politisé. - - Les procédures*socio=et d'approbation*socio=uv1 des fusions peuvent aussi être*socio=rien utilisées pour imposer des restrictions*socio=et à l'investissement*socio=ec1 extérieur pays*socio=ac peut être*socio=rien tenté d'interdire la reprise d'une société*socio=ac étrangère par une société*socio=ac nationale*socio=te, ou d'imposer des conditions*socio=ec1 à cette reprise, s'il estime*socio=rien qu'elle serait préjudiciable*socio=et à l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 nationale*socio=te et à l'emploi*socio=ec1. Le lien*socio=rien entre l'investissement*socio=ec1 étranger*socio=te et la politique*socio=et de concurrence*socio=ec1 est*socio=rien implicite ou explicite*socio=rien dans *socio=rien un certain nombre *socio=nil de dispositions de l'OMC*socio=ac. L'article*socio=rien 9 de l'Accord*socio=et sur*socio=rien les MIC dispose que, au cours*socio=rien de l'examen*socio=ec2 du fonctionnement*socio=rien de l'accord*socio=et qui doit avoir lieu*socio=rien au plus tard en 2000, il faudra déterminer s'il convient de compléter l'accord*socio=et par des dispositions relatives*socio=rien à la fois*socio=rien à la politique*socio=et en matière*socio=rien d'investissement*socio=ec1 et à la politique*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1. *{p.85} Ce lien*socio=rien résulte en partie*socio=rien du fait*socio=rien que lors*socio=rien de la négociation*socio=et de l'accord*socio=et, certains pays*socio=ac avaient estimé qu'il était parfois nécessaire*socio=rien d'imposer des prescriptions de résultat*socio=rien aux investisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 pour compenser les pratiques_commerciales*socio=et anticoncurrentiel les. Ils avaient considéré que, si l'accord*socio=et avait interdit ou réglementé les prescriptions de résultat*socio=rien imposées aux investisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 davantage que les prescriptions visées, déjà incompatibles*socio=uv4 avec les règles*socio=et du GATT*socio=et, il aurait fallu envisager parallèlement d'instaurer une coopération_internationale*socio=uv1 dans le domaine*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, qui aurait *socio=rien été un autre*socio=nil moyen *socio=nil de lutter contre les pratiques_commerciales*socio=et en question*socio=rien . Il a aussi été*socio=rien tenu compte*socio=rien dans l'AGCS*socio=ac et l'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC d'une préoccupation*socio=uv4 similaire*socio=rien de la part*socio=rien de certains pays*socio=ac, qui estimaient que les engagements concernant l'octroi*socio=rien d'avantages*socio=rien aux entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec1 opérant sur*socio=rien leur territoire*socio=te devaient être*socio=rien contrebalancés par un*socio=rien renforcement de la coopération_internationale*socio=uv1 visant à lutter contre les pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 de ces entreprises*socio=ac. Ainsi, l'article*socio=rien IX de l'AGCS*socio=ac et l'article*socio=rien 40 de l'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC prévoient des consultations*socio=uv1 et une coopération*socio=uv1 entre les Membres*socio=ac sur*socio=rien ces questions*socio=rien . Certaines*socio=rien dispositions horizontales des Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac présentent aussi *socio=rien un intérêt *socio=nil à cet égard*socio=rien . L'article*socio=rien Il de l'AGCS*socio=ac et l'article*socio=rien 4 de l'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC exigent en règle générale*socio=rien le traitement*socio=rien NPF*socio=et pour les investisseurs*socio=ac étrangers*socio=uv4 dans l'application*socio=rien de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 et des autres lois*socio=et réglementant le comportement*socio=rien commercial*socio=ec1 dans les domaines*socio=rien visés par ces accords*socio=et, alors que l'article*socio=rien 3 de l'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC et, dans la mesure*socio=rien où un*socio=rien engagement*socio=uv1 spécifique*socio=rien a été*socio=rien souscrit, l'article*socio=rien XVII de l'AGCS*socio=ac exigent le traitement*socio=rien national*socio=te en la matière*socio=rien . Les dispositions de l'article*socio=rien 63 de l'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC et de l'article*socio=rien III de l'AGCS*socio=ac concernant la transparence*socio=uv3 sont aussi pertinentes*socio=rien . IV.4 droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien . Le lien*socio=rien entre les pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 et les droits_de_propriété*socio=et *socio=rien intellectuelle est une*socio=nil question *socio=nil qui se pose depuis longtemps dans les relations*socio=rien économiques*socio=ec1 internationales*socio=te,, elle a par *socio=rien exemple été examinée*socio=nil lors des*socio=nil travaux *socio=nil menés sous les auspices*socio=rien de la CNUCED*socio=ac sur*socio=rien l'élaboration d'un*socio=rien code*socio=et de conduite*socio=rien pour le transfert de technologie*socio=ec1. Avec la négociation*socio=et et la conclusion de l'Accord*socio=et de l'OMC*socio=ac sur*socio=rien les aspects*socio=rien des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien qui touchent au commerce*socio=ec1 (ADPIC) et de l'accord_général_sur_le_commerce_des services*socio=ec1, elle a pris une dimension*socio=rien plus spécifiquement*socio=rien commerciale*socio=ec1. Les pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 faisant intervenir une utilisation*socio=rien des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien sont habituellement régies*socio=rien par la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1, à l'intérieur*socio=te du cadre*socio=rien fondamental relatif*socio=rien aux restrictions*socio=et verticales et horizontales, aux abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2 et aux fusions. Toutefois, l'application*socio=rien de cette législation*socio=et aux affaires*socio=ec1 relatives*socio=rien à l'utilisation*socio=rien de droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien soulève *socio=rien un certain nombre de*socio=nil questions particulières:*socio=nil *socio=nil - Tout d'abord*socio=rien , il *socio=rien est nécessaire *socio=nil de faire une distinction*socio=rien entre les restrictions*socio=et de la concurrence*socio=ec1 que les législateurs ont délibérément cherché à placer dans le champ*socio=rien d'application*socio=rien du droit_de_propriété intellectuelle*socio=rien considéré et celles pour lesquelles cela n'est*socio=rien pas le cas*socio=rien et qui peuvent donc donner lieu*socio=rien à une action*socio=rien au titre*socio=rien de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1. Celle-ci ayant traditionnellement mis l'accent*socio=rien sur*socio=rien l'efficience*socio=uv3 allocative à court_terme*socio=te, la détermination*socio=rien de cette ligne*socio=rien de partage*socio=uv1 a créé certaines*socio=rien tensions*socio=uv3 entre le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 et la législation*socio=et sur*socio=rien la propriété*socio=ec1 intellectuelle*socio=rien . Plus récemment, l'évolution*socio=rien des théories sur*socio=rien le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 a donné davantage d'importance*socio=rien à la promotion*socio=uv3 de l'efficience*socio=uv3 dynamique*socio=uv4 (qui correspond à la raison_d'_être*socio=et sous-jacente*socio=rien de l'octroi*socio=rien de droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien ), ce qui contribue à une meilleure*socio=rien coexistence des deux domaines*socio=rien d'action*socio=rien . - - Les droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien peuvent créer ou contribuer à créer une position*socio=rien de puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1. À cet égard*socio=rien , il *socio=rien est important *socio=nil de noter qu'au cours*socio=rien des dernières*socio=rien décennies*socio=te, les tribunaux*socio=ac et les autorités*socio=et responsables*socio=uv2 de la concurrence*socio=ec1 ont eu moins tendance*socio=ec2 à présumer que les droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien comme les brevets*socio=et créaient nécessairement une puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1. Ils sont maintenant de plus en plus disposés à examiner cette *socio=rien question cas par*socio=nil cas *socio=nil selon les particularités*socio=rien de chaque affaire*socio=ec1, reconnaissant par exemple*socio=rien que sur*socio=rien la centaine*socio=rien de milliers*socio=rien de brevets*socio=et délivrés chaque année*socio=rien , seule*socio=rien une minorité*socio=ac relativement petite*socio=rien donnera naissance*socio=rien à une puissance*socio=uv1 significative*socio=uv4 sur*socio=rien le marché*socio=ec1. - - Une *socio=rien troisième caractéristique spécifique des*socio=nil droits_de_propriété*socio=et intellectuelle est *socio=nil qu'ils sont de *socio=rien façon inhérente plus*socio=nil susceptibles *socio=nil de détournement que d'autres formes*socio=rien de propriété*socio=ec1. En évaluant les avantages*socio=rien et les inconvénients*socio=uv4 de dispositions précises*socio=rien de contrats*socio=ec1 de licence*socio=et, les autorités*socio=et responsables*socio=uv2 de la concurrence*socio=ec1 pourraient, dans *socio=rien un souci d'*socio=nil amélioration*socio=uv1,*socio=nil tenir*socio=nil compte *socio=nil de la mesure*socio=rien dans laquelle ces dispositions pourraient contribuer à réduire ce risque*socio=uv4. - - Le caractère*socio=rien territorial des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien signifie que fréquemment, la législation*socio=et nationale*socio=te autorise leurs détenteurs*socio=ac à les utiliser pour empêcher les importations*socio=ec1 parallèles*socio=rien et par conséquent*socio=rien pour faire respecter des arrangements*socio=et d'exclusivité*socio=rien géographique*socio=te. - Normalement, dans l'application*socio=rien de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1, les restrictions*socio=et horizontales faisant intervenir l'utilisation*socio=rien de droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien sont traitées plus sévèrement que les restrictions*socio=et verticales. Des préoccupations*socio=uv4 particulières*socio=rien apparaissent quand des accords*socio=et de licence*socio=et entre concurrents*socio=ac, comme ceux qui établissent des communautés*socio=ac de brevets*socio=et, servent à former des ententes*socio=et qui fixent les prix*socio=ec1, limitent la production*socio=ec1 et/ou divisent les marchés*socio=ec1 (voir encadré IV. 10). Comme pour les restrictions*socio=et verticales en général*socio=rien , la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1, telle qu'elle s'applique aux arrangements*socio=et de licence*socio=et entre sociétés*socio=ac intégrées verticalement, tend généralement désormais à reconnaître de plus en plus largement les *socio=rien avantages sur le*socio=nil plan *socio=nil de l'efficience*socio=uv3. Les droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien peuvent aussi jouer *socio=rien un rôle *socio=nil dans des affaires*socio=ec1 de monopolisation*socio=ec2 ou d'abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2. De nombreuses*socio=rien affaires*socio=ec1 de ce type*socio=rien impliquent des entreprises-réseau faisant appel*socio=rien à une technologie*socio=ec1 de pointe*socio=uv4, dont la puissance*socio=uv1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 conférée par des brevets*socio=et et des droits_d'_auteur*socio=et peut être*socio=rien sensiblement renforcée du fait*socio=rien de la nécessité*socio=uv1 d'assurer la compatibilité*socio=rien des produits*socio=rien et des systèmes*socio=rien . *{p.86} L'un*socio=rien des domaines*socio=rien dans lesquels les accords*socio=et horizontaux relatifs*socio=rien à l'exercice*socio=rien des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien ont généralement été*socio=rien jugés acceptables*socio=uv2 au titre*socio=rien de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien celui des sociétés*socio=ac de perception, représentant*socio=rien les détenteurs*socio=ac de droits_d'_auteur*socio=et et de droits*socio=uv1 voisins*socio=rien . Dans ce cas*socio=rien , en raison*socio=rien du très *socio=rien grand nombre de*socio=nil détenteurs*socio=ac de*socio=nil droits*socio=uv1,*socio=nil *socio=nil on peut considérer que les avantages*socio=rien en matière*socio=rien d'efficience*socio=uv3 résultant*socio=rien de l'administration collective*socio=uv2 des licences*socio=et, par rapport*socio=rien à. une administration individuelle*socio=uv2, l'emportent sur*socio=rien les effets*socio=rien anticoncurrentiels. Naturellement, même quand cette action*socio=rien collective*socio=uv2 est*socio=rien jugée acceptable*socio=uv2 en_principe*socio=ec2, l'application*socio=rien de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 peut aider à empêcher le recours*socio=ec1 abusif*socio=uv2 à des activités*socio=rien collectives*socio=uv2 ou leur développement*socio=uv3 injustifié*socio=rien dans les cas*socio=rien où elles ne sont pas appropriées. Si les *socio=rien critères applicables *socio=nil à l'examen*socio=ec2 des pratiques*socio=et faisant intervenir l'usage*socio=rien des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien présentent beaucoup de points*socio=rien communs*socio=uv4, il y a aussi des différences*socio=uv1 importantes*socio=rien . Par exemple*socio=rien , la législation*socio=et de la *socio=ac Communauté européenne sur*socio=rien la*socio=nil concurrence*socio=ec1,*socio=nil du*socio=nil fait*socio=rien *socio=nil qu'elle met l'accent*socio=rien sur*socio=rien l'intégration*socio=ec2 des marchés*socio=ec1, interdit généralement l'utilisation*socio=rien des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien pour empêcher les importations*socio=ec1 parallèles*socio=rien et, par conséquent*socio=rien , créer une segmentation des marchés*socio=ec1 à l'intérieur*socio=te de la Communauté*socio=ac, même dans des situations*socio=rien où la législation*socio=et en matière*socio=rien de propriété*socio=ec1 intellectuelle*socio=rien n'a pas été*socio=rien harmonisée entre les *socio=ac États membres.*socio=nil Certains*socio=nil pays,*socio=nil en_particulier*socio=rien des*socio=nil pays_en_développement,*socio=nil *socio=nil ont eu recours*socio=ec1 à des lois*socio=et ou des réglementations*socio=et *socio=rien spéciales sur *socio=nil le transfert de technologie*socio=ec1 pour empêcher les abus*socio=uv1 liés à la concession*socio=uv1 de licences*socio=et d'exploitation*socio=ec1 des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien . Cette approche différait de celle qui reposait sur*socio=rien une législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 *socio=rien sur un certain nombre de*socio=nil points importants,*socio=nil *socio=nil notamment par le fait*socio=rien que ces lois*socio=et et réglementations*socio=et étaient axées sur*socio=rien les transactions*socio=ec1 auxquelles participaient des sociétés*socio=ac étrangères*socio=ec1, qu'elles définissaient des critères*socio=rien et des objectifs*socio=uv4 considérés comme ayant *socio=rien un rapport *socio=nil avec le développement*socio=uv3 et pas seulement avec la "concurrence*socio=ec1" (visant en_particulier*socio=rien à améliorer le pouvoir*socio=et de négociation*socio=et du pays*socio=ac importateur*socio=ec1) et qu'elles insistaient *socio=rien sur un examen*socio=ec2 *socio=nil ex ante pour l'approbation*socio=uv1 des transactions*socio=ec1 relatives*socio=rien à un*socio=rien transfert de technologie*socio=ec1. De nombreux*socio=rien pays*socio=ac, suivant*socio=rien la tendance*socio=ec2 généralisée à adopter des politiques_économiques*socio=et plus ouvertes*socio=rien et plus axées sur*socio=rien les marchés*socio=ec1, ont abandonné ou affaibli ces lois*socio=et et réglementations*socio=et, en partie*socio=rien parce qu'il était reconnu qu'elles avaient parfois eu pour effet*socio=rien de décourager le transfert de technologie*socio=ec1 et qu'elles permettaient moins bien*socio=rien que la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 d'évaluer les avantages*socio=rien et les inconvénients*socio=uv4 sur*socio=rien le plan*socio=rien du bien-être national*socio=te. Il faut aussi noter que les lois*socio=et relatives*socio=rien à la propriété*socio=ec1 intellectuelle*socio=rien elles-mêmes peuvent prévoir, en cas*socio=rien d'usage*socio=rien abusif*socio=uv2 des droits*socio=uv1, des mesures*socio=et correctives*socio=ec2 qui ne sont pas assujetties aux critères*socio=rien établis par la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1. C'est*socio=rien le *socio=rien cas en_particulier *socio=nil dans le domaine*socio=rien des brevets*socio=et, où de nombreuses*socio=rien lois*socio=et nationales*socio=te exigent la concession*socio=uv1 d'une licence*socio=et obligatoire*socio=uv2 dans *socio=rien certaines situations,*socio=nil par*socio=nil exemple *socio=nil lorsque les besoins raisonnables*socio=uv4 du marché*socio=ec1 ne sont pas satisfaits. L'une des *socio=rien principales questions *socio=nil qui s'est*socio=rien posée lors*socio=rien de la négociation*socio=et de l'Accord*socio=et de l'OMC*socio=ac sur*socio=rien les ADPIC a été*socio=rien le souhait*socio=rien exprimé par certains pays*socio=ac, en_particulier*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac, de contrebalancer les engagements en matière*socio=rien de protection*socio=et de la propriété*socio=ec1 intellectuelle*socio=rien par la reconnaissance*socio=uv1 du droit*socio=uv1 des Membres*socio=ac d'empêcher les pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 supposant l'utilisation*socio=rien des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien et par une coopération_internationale*socio=uv1 visant à faciliter cette action*socio=rien , en_particulier*socio=rien dans l'intérêt*socio=rien des pays*socio=ac disposant de ressources*socio=ec1 limitées. Il a été*socio=rien tenu compte*socio=rien de ces préoccupations*socio=uv4 aux articles*socio=rien 8.2 et 40. Il est*socio=rien reconnu à l'article*socio=rien 8.2 que "des mesures*socio=et appropriées, à condition*socio=rien qu'elles soient compatibles*socio=rien avec les dispositions du présent*socio=rien accord*socio=et, pourront *socio=rien être nécessaires *socio=nil afin d'éviter l'usage*socio=rien abusif*socio=uv2 des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien par les détenteurs*socio=ac de droits*socio=uv1 ou le recours*socio=ec1 à des pratiques*socio=et qui restreignent de manière*socio=rien déraisonnable*socio=uv2 le commerce*socio=ec1 ou sont préjudiciables*socio=et au transfert international*socio=te de "technologie*socio=ec1". *{p.87} L'article*socio=rien 40 *socio=rien porte sur le*socio=nil contrôle*socio=uv3 des*socio=nil pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 *socio=nil dans les licences*socio=et contractuelles*socio=ec1. Il affirme le droit*socio=uv1 des Membres*socio=ac de spécifier dans leur législation*socio=et les pratiques*socio=et ou conditions*socio=ec1 en matière*socio=rien de concession*socio=uv1 de licences*socio=et qui pourront, dans des *socio=rien cas particuliers,*socio=nil constituer*socio=nil un usage abusif*socio=uv2 de*socio=nil droits_de_propriété*socio=et intellectuelle *socio=nil ayant des effets*socio=rien préjudiciables*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 considéré et d'adopter, en conformité avec les autres dispositions de l'accord*socio=et, des mesures*socio=et appropriées pour prévenir ou contrôler ces pratiques*socio=et. Il n'y a pas d'accord*socio=et *socio=rien explicite sur les*socio=nil pratiques*socio=et *socio=nil qui devraient être*socio=rien considérées comme entrant dans cette catégorie*socio=rien , ni en *socio=rien fait sur les*socio=nil pratiques*socio=et *socio=nil qui ne devraient pas y entrer. Toutefois, l'accord*socio=et contient une courte*socio=rien liste exemplative de pratiques*socio=et qui peuvent être*socio=rien considérées comme des usages*socio=rien abusifs: il s'agit des clauses*socio=rien de rétrocession exclusives, des conditions*socio=ec1 empêchant la contestation de la validité*socio=rien et des régimes*socio=et coercitifs de licences*socio=et groupées. Comme il a été*socio=rien indiqué, les mesures*socio=et visant à remédier aux pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 comportant l'utilisation*socio=rien de droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien doivent *socio=rien être compatibles *socio=nil avec les dispositions de l'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC. *socio=rien Un type de*socio=nil mesures*socio=et correctives*socio=ec2 *socio=nil explicitement prévu est*socio=rien la concession*socio=uv1 de licences*socio=et obligatoires dans le domaine*socio=rien des brevets*socio=et et des schémas*socio=rien de configuration*socio=et des circuits intégrés. L'article*socio=rien 31 contient des conditions*socio=ec1 détaillées visant à protéger les intérêts légitimes*socio=uv2 du détenteur du droit*socio=uv1 en cas*socio=rien de concession*socio=uv1 de licence*socio=et obligatoire*socio=uv2 mais *socio=rien un certain nombre *socio=nil de ces conditions*socio=ec1 (par exemple*socio=rien celles qui concernent l'obligation*socio=uv1 de chercher tout d'abord*socio=rien à obtenir*socio=rien une licence*socio=et volontaire*socio=uv4, le niveau*socio=rien de rémunération*socio=ec1 à verser au détenteur du droit*socio=uv1 et le fait*socio=rien que le produit*socio=ec1 en cause*socio=rien ne peut être*socio=rien fourni que sur*socio=rien le marché*socio=ec1 intérieur*socio=te) sont assouplies quand la licence*socio=et obligatoire*socio=uv2 est*socio=rien concédée "pour remédier à une pratique*socio=et jugée anticoncurrentielle à l'issue*socio=rien d'une *socio=et procédure judiciaire ou*socio=nil administrative*socio=rien "*socio=nil .*socio=nil L'*socio=nil article*socio=rien *socio=nil 40 contient une disposition selon laquelle un*socio=rien Membre*socio=ac qui envisage d'engager une action*socio=rien contre une firme d'un*socio=rien autre Membre*socio=ac peut demander l'ouverture*socio=uv3 de consultations*socio=uv1 avec ce Membre*socio=ac, qui est*socio=rien tenu de coopérer en fournissant les renseignements*socio=ec2 non confidentiels*socio=uv2 à la disposition du public*socio=et qui présentent *socio=rien un intérêt *socio=nil en l'espèce*socio=rien et les renseignements*socio=ec2 confidentiels*socio=uv2 dont il dispose, sous_réserve*socio=rien de la législation*socio=et intérieure*socio=te et de la conclusion d'accords*socio=et mutuellement satisfaisants*socio=uv4 concernant le respect*socio=uv1 du caractère*socio=rien confidentiel de ces renseignements*socio=ec2. De même, un*socio=rien pays*socio=ac dont des sociétés*socio=ac sont visées par une action*socio=rien de ce type*socio=rien dans un*socio=rien autre *socio=ac pays Membre *socio=nil peut aussi demander l'ouverture*socio=uv3 de consultations*socio=uv1. L'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC semble donner aux pays*socio=ac qui souhaitent se protéger contre les utilisations abusives*socio=uv2 et anticoncurrentielles*socio=uv4 des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien de *socio=rien bonnes raisons *socio=nil de se doter d'une législation*socio=et efficace*socio=uv4 sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 et d'une autorité*socio=et responsable*socio=uv2 de la concurrence*socio=ec1. Les dispositions de l'article*socio=rien 40 et les dispositions spéciales*socio=rien de l'article*socio=rien 31 relatives*socio=rien à la concession*socio=uv1 de licences*socio=et obligatoires pour remédier aux pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 sont fondées sur*socio=rien l'application*socio=rien de critères*socio=rien et de procédures*socio=et établis dans le cadre*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1. Étant donné que dans de nombreux*socio=rien pays*socio=ac, en_particulier*socio=rien des pays_en_développement*socio=ac, les contrats*socio=ec1 de transfert de technologie*socio=ec1 devraient être*socio=rien le plus souvent associés à des transactions*socio=ec1 avec des sociétés*socio=ac étrangères*socio=ec1, les actions*socio=rien engagées pour faire cesser des pratiques*socio=et anticoncurrentiel les présumées pourront souvent nécessiter l'obtention*socio=rien de renseignements*socio=ec2 en dehors du pays*socio=ac. D'où l'importance*socio=rien des arrangements*socio=et de coopération*socio=uv1 prévus à l'article*socio=rien 40, qui devraient fonctionner de façon*socio=rien optimale*socio=uv4 quand ils peuvent être*socio=rien mis en oeuvre*socio=rien par les autorités*socio=et de la concurrence*socio=ec1 des pays*socio=ac intéressés. Un*socio=rien autre lien*socio=rien qui existe entre l'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC et le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien l'importance*socio=rien donnée dans la partie*socio=rien III de cet accord*socio=et, concernant les moyens*socio=ec1 de faire respecter les droits*socio=uv1, aux sauvegardes*socio=et visant à éviter des procédures*socio=et abusives*socio=uv2 dans ce domaine*socio=rien . Toute tentative*socio=rien visant à faire respecter des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien non valables*socio=rien ou obtenus par des moyens*socio=ec1 frauduleux ou par *socio=rien un comportement inéquitable*socio=uv2,*socio=nil *socio=nil ou toute action*socio=rien en justice*socio=et objectivement sans fondement*socio=uv4 engagée pour faire respecter des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien , peuvent donner lieu*socio=rien à une action*socio=rien au titre*socio=rien de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1. IV.5 Conclusions concernant les facteurs*socio=rien qui influent sur*socio=rien la capacité*socio=uv3 du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 de régler les problèmes*socio=ec2 commerciaux*socio=ec1. Les *socio=rien précédentes parties *socio=nil de la *socio=rien présente section *socio=nil traitent de divers domaines*socio=rien du commerce*socio=ec1 international*socio=te dans lesquels des problèmes*socio=ec2 spécifiques*socio=rien se posent en raison*socio=rien du comportement*socio=rien des entreprises*socio=ac, et de leurs rapports*socio=rien avec le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 et les règles*socio=et commerciales*socio=ec1. Il semblerait que, la plupart*socio=rien du temps*socio=rien , l'application*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 serait le moyen*socio=rien le plus approprié de régler ces problèmes*socio=ec2 (bien*socio=rien que, dans certains cas*socio=rien , où il existe des problèmes*socio=ec2 structurels fondamentaux*socio=uv4 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 et où le gouvernement*socio=ac a de *socio=rien nombreuses possibilités *socio=nil d'exercer son influence, il puisse être*socio=rien justifié de combiner des réformes*socio=et portant sur*socio=rien la structure*socio=ec1 du marché*socio=ec1 et des politiques*socio=et de réglementation*socio=et proconcurrentielles). Faisant *socio=rien fond sur l'*socio=nil analyse *socio=nil figurant dans la section*socio=rien III, la *socio=rien présente section *socio=nil a pour objet*socio=rien d'évaluer les *socio=rien facteurs généraux *socio=nil qui déterminent dans quelle mesure*socio=rien le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 peut être*socio=rien appliqué dans la pratique*socio=et pour prévenir ou corriger les problèmes*socio=ec2 commerciaux*socio=ec1 qui découlent du comportement*socio=rien des entreprises*socio=ac et, dans les cas*socio=rien où il est*socio=rien appliqué, si les résultats*socio=rien obtenus reflètent les intérêts des partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 ainsi que ceux du pays*socio=ac qui le met en oeuvre*socio=rien . Avant d'aborder la question*socio=rien , il convient de souligner que la libéralisation*socio=et des *socio=et mesures gouvernementales *socio=nil qui restreignent le commerce*socio=ec1 et l'investissement*socio=ec1 ainsi que les autres formes*socio=rien de déréglementation*socio=et sont souvent le moyen*socio=rien le plus efficace*socio=uv4 de prévenir les pratiques_commerciales*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 ou d'y remédier, en permettant à la concurrence*socio=ec1 de s'exercer plus librement sur*socio=rien le marché*socio=ec1. De fait*socio=rien , dans certains pays*socio=ac, les responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 et les tribunaux*socio=ac compétents*socio=uv4 peuvent recommander une telle libéralisation*socio=et en vertu*socio=rien de la législation*socio=et nationale*socio=te sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 pour remédier aux pratiques_commerciales*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4. La communauté*socio=ac internationale*socio=te pourrait utilement*socio=rien se demander dans quelle mesure*socio=rien cette possibilité*socio=rien existe et est*socio=rien utilisée dans la pratique*socio=et. *{p.88} IV.5.a Existence*socio=rien d'une législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1. Une *socio=rien condition préalable évidente *socio=nil de l'utilisation*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 pour répondre aux préoccupations*socio=uv4 d'ordre*socio=rien commercial*socio=ec1 est*socio=rien l'existence*socio=rien d'une législation*socio=et nationale*socio=te sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1. Il apparaît qu'environ 70 pays*socio=ac, y compris la plupart*socio=rien des grandes*socio=rien nations*socio=te commerçantes*socio=ac, qu'elles soient développées*socio=uv4, en transition*socio=uv3 ou en développement*socio=uv3, ont une telle législation*socio=et. Mais cela signifie qu'un*socio=rien *socio=rien grand nombre de*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil n'en ont pas. Pour plus de détails*socio=rien , voir, dans la partie*socio=rien II.7, le tableau*socio=rien IV.2 sur*socio=rien les exemptions de l'application*socio=rien de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Dans certains cas*socio=rien , l'application*socio=rien extraterritoriale de la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 des partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 affectés permet de faire face*socio=rien aux pratiques_commerciales*socio=et suivies dans un*socio=rien pays*socio=ac où il n'y a pas de législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1, mais une telle approche a ses limites et pose des difficultés*socio=ec2, comme il est*socio=rien indiqué ci-dessous. Il se peut également que, dans certains pays*socio=ac qui n'ont pas de législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1, il existe d'autres instruments permettant de contrôler au moins en partie*socio=rien les pratiques_commerciales*socio=et qui pourraient être*socio=rien assujetties au droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1. Une *socio=rien question clé *socio=nil qui se pose à cet *socio=rien égard est *socio=nil celle de savoir*socio=rien dans quelle mesure*socio=rien de tels mécanismes*socio=rien pourraient servir à régler les problèmes*socio=ec2 auxquels se heurtent les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. IV.5.b Exemptions Même lorsqu'elle existe, la législation*socio=et nationale*socio=te sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 peut ne pas s'appliquer à une pratique*socio=et donnée parce que son champ*socio=rien d'application*socio=rien est*socio=rien limité par des exemptions. Ces exemptions peuvent être*socio=rien soit horizontales - par exemple*socio=rien , dans le cas*socio=rien des pratiques*socio=et imposées par un*socio=rien gouvernement*socio=ac - ou sectorielles*socio=rien . On trouvera de plus *socio=rien amples détails *socio=nil à cet égard*socio=rien dans l'encadré IV.2. Il est*socio=rien à noter que le champ*socio=rien de ces exemptions est*socio=rien souvent très large*socio=rien et qu'elles concernent des secteurs*socio=rien dans lesquels les pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 sont omniprésentes. IV.5.c Non-application du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1. Lorsqu'il existe dans un*socio=rien pays*socio=ac une législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 et qu'elle *socio=rien est applicable *socio=nil à une pratique*socio=et commerciale*socio=ec1 donnée, la *socio=rien question clé *socio=nil qui se pose du point*socio=rien de vue*socio=rien international*socio=te est*socio=rien celle de savoir*socio=rien dans quelle mesure*socio=rien elle sera appliquée dans la pratique*socio=et, en_particulier*socio=rien dans les cas*socio=rien où l'on estime*socio=rien dans le pays*socio=ac en question*socio=rien que ce sont principalement les intérêts des partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 qui risquent d'être*socio=rien affectés. Cette question*socio=rien peut être*socio=rien considérée sous deux angles: - dans quelle mesure*socio=rien les entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec1 ont-elles un*socio=rien droit*socio=uv1 d'action*socio=rien privé*socio=et pour faire respecter la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1, et - - dans quelle mesure*socio=rien les autorités*socio=et administratives*socio=rien chargées de faire appliquer le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 agiront-elles dans des situations*socio=rien où ce sont des intérêts_étrangers*socio=uv4 qui sont en jeu*socio=rien ? - Droit*socio=uv1 d'action*socio=rien privé*socio=et. Si les pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac dans un*socio=rien pays*socio=ac importateur*socio=ec1 créent des problèmes*socio=ec2 d'accès*socio=uv1 au marché*socio=ec1 pour les entreprises*socio=ac exportatrices*socio=ec1, par exemple*socio=rien en raison*socio=rien de restrictions*socio=et verticales, l'existence*socio=rien d'un*socio=rien droit*socio=uv1 d'action*socio=rien privé*socio=et devant*socio=rien les tribunaux*socio=ac ou d'autres organes judiciaires*socio=et compétents*socio=uv4, qui pourrait être*socio=rien invoqué par ces entreprises*socio=ac exportatrices*socio=ec1, serait une façon*socio=rien d'assurer le respect*socio=uv1 de la législation*socio=et nationale*socio=te sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1. Là encore deux considérations*socio=rien sont à prendre en compte*socio=rien : les actions*socio=rien privées*socio=et antitrust sont-elles possibles*socio=rien en vertu*socio=rien du droit*socio=uv1 du pays*socio=ac visé? Et les sociétés*socio=ac exportatrices*socio=ec1 ont-elles qualité*socio=rien pour agir, S'agissant du premier*socio=rien de ces points*socio=rien , l'existence*socio=rien d'un*socio=rien droit*socio=uv1 d'action*socio=rien privé*socio=et, les travaux*socio=rien en cours*socio=rien à l'OCDE*socio=ac montrent que la situation*socio=rien diffère d'un*socio=rien pays*socio=ac à l'autre. Dans certain*socio=rien pays*socio=ac, des actions*socio=rien privées*socio=et peuvent être*socio=rien engagées directement auprès des tribunaux*socio=ac au sujet*socio=rien de l'ensemble*socio=rien des pratiques*socio=et relevant du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1. Dans d'autres, cela n'est*socio=rien possible*socio=rien que pour certaines*socio=rien pratiques*socio=et. Et lorsque cette possibilité*socio=rien existe, la fréquence*socio=rien des actions*socio=rien engagées varie beaucoup. Par exemple*socio=rien , elles sont courantes*socio=te aux États-unis*socio=ac, mais rares*socio=rien au Royaume-uni*socio=ac. Dans les pays*socio=ac où il existe *socio=rien un système *socio=nil d'exécution administratif*socio=et ou des tribunaux*socio=ac spécialisés*socio=uv4, l'accès*socio=uv1 direct*socio=rien aux tribunaux*socio=ac *socio=rien ordinaires est rare mais*socio=nil possible après examen*socio=ec2 *socio=nil par l'organe ou les organes spécialisés*socio=uv4. Lorsqu'il n'existe pas de droit*socio=uv1 d'action*socio=rien privé*socio=et, une *socio=rien question importante *socio=nil se pose, celle de savoir*socio=rien si les sociétés*socio=ac étrangères*socio=ec1 qui ne sont pas officiellement enregistrées ou qui n'ont pas d'autre forme*socio=rien de présence*socio=rien juridique*socio=et dans le pays*socio=ac ont qualité*socio=rien pour engager une action*socio=rien au titre*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1. S'il apparaît que la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 n'établit normalement pas de discrimination*socio=uv1 en fonction*socio=rien de la nationalité*socio=ac des entreprises*socio=ac, des travaux*socio=rien complémentaires sont nécessaires*socio=rien pour déterminer dans quelle mesure*socio=rien les entreprises*socio=ac n'ayant pas de présence*socio=rien juridique*socio=et sur*socio=rien le marché*socio=ec1 ont qualité*socio=rien pour agir. Alors qu'une règle qui exige une présence*socio=rien juridique*socio=et dans le pays*socio=ac établirait de facto une discrimination*socio=uv1 à l'égard*socio=rien des entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec1, elle ne le ferait pas nécessairement du point*socio=rien de *socio=rien vue formel *socio=nil en ce sens*socio=rien que toutes les entreprises*socio=ac, qu'elles soient nationales*socio=te ou étrangères*socio=ec1, qui ont une présence*socio=rien dans le pays*socio=ac seraient traitées également. Liberté*socio=uv1 de décision*socio=rien de l'administration pour engager des actions*socio=rien . Lorsque les parties*socio=rien privées*socio=et n'ont pas de droit*socio=uv1 d'action*socio=rien direct*socio=rien , la décision*socio=rien d'engager une action*socio=rien dépend des organismes*socio=ac administratifs*socio=et chargés de faire appliquer la législation*socio=et antitrust. Évidemment, ces organismes*socio=ac, comme tous les organismes*socio=ac administratifs*socio=et, ont des ressources*socio=ec1 limitées et doivent établir des priorités*socio=uv4 en ce qui concerne leur utilisation*socio=rien . Du point*socio=rien de vue*socio=rien des partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1, il *socio=rien est crucial de*socio=nil savoir *socio=nil si les ressources*socio=ec1 seront suffisantes*socio=rien pour permettre de traiter les affaires*socio=ec1 dans lesquelles leurs intérêts commerciaux*socio=ec1 sont affectés et si, lorsqu'ils fixent leurs priorités*socio=uv4, les bureaux*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 auront tendance*socio=ec2 à établir une discrimination*socio=uv1 à l'égard*socio=rien des actions*socio=rien dans lesquelles il apparaît que les effets*socio=rien préjudiciables*socio=et s'exercent davantage sur*socio=rien les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 que sur*socio=rien le bien-être et l'efficience*socio=uv3 au plan*socio=rien national*socio=te. Il faut se demander dans quelle mesure*socio=rien les sociétés*socio=ac privées*socio=et sont habilitées à présenter des requêtes ou des plaintes aux responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 afin que ceux-ci engagent une action*socio=rien , à obtenir*socio=rien que leurs plaintes soient examinées et qu'une *socio=rien éventuelle décision *socio=nil de ne pas agir soit motivée, et à faire appel*socio=rien , le cas*socio=rien échéant, d'une telle décision*socio=rien . L'existence*socio=rien de ces droits*socio=uv1 *socio=rien est un facteur *socio=nil qui pourra influer sur*socio=rien la décision*socio=rien des responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 d'agir d'une manière*socio=rien qui n'établira pas de discrimination*socio=uv1 à l'égard*socio=rien des entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec1 affectées. S'il est*socio=rien généralement admis que les entreprises*socio=ac peuvent adresser des requêtes aux responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 et qu'aucune discrimination*socio=uv1 n'est*socio=rien établie sur*socio=rien la base*socio=rien de la nationalité*socio=ac de l'entreprise*socio=ac qui présente*socio=rien une telle requête, il n'est*socio=rien pas certain*socio=rien que les entreprises*socio=ac qui n'ont pas de présence*socio=rien juridique*socio=et dans le pays*socio=ac aient toujours qualité*socio=rien pour le faire, même si elles sont affectées par une prétendue pratique*socio=rien anticoncurrentielle. Quant à savoir*socio=rien si les responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 sont tenus d'examiner les plaintes, des travaux*socio=rien en cours*socio=rien à l'OCDE*socio=ac donnent à penser que tel n'est*socio=rien pas le cas*socio=rien dans la plupart*socio=rien des pays*socio=ac. *{p.89} S'agissant du droit*socio=uv1 d'obtenir*socio=rien une réponse des responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 auxquels la requête est*socio=rien adressée, la situation*socio=rien diffère d'un*socio=rien pays*socio=ac à L'autre, que l'on considère l'obligation*socio=uv1 de répondre ou l'obligation*socio=uv1 de motiver la réponse. En ce qui concerne *socio=rien un éventuel droit*socio=uv1 d'*socio=nil appel des*socio=nil entreprises*socio=ac *socio=nil lorsque les responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 n'engagent pas d'action*socio=rien en réponse à leur plainte, des travaux*socio=rien en cours*socio=rien à l'OCDE*socio=ac tendent à montrer qu'il n'existe pas dans tous les pays*socio=ac. IV.5.d Critères*socio=rien énoncés dans le droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1. Lorsqu'il est*socio=rien allégué que des pratiques_commerciales*socio=et sont préjudiciables*socio=et à des pays*socio=ac étrangers*socio=uv4 et que des procédures*socio=et visant à faire appliquer la législation*socio=et sont engagées, il *socio=rien est important *socio=nil de se demander si les critères*socio=rien utilisés par les responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 permettront de prendre en compte*socio=rien de manière*socio=rien adéquate*socio=uv2 les intérêts de ces pays*socio=ac. L'analyse*socio=rien qui précède dans le *socio=rien présent chapitre *socio=nil soulève à cet égard*socio=rien trois questions*socio=rien qui méritent d'être*socio=rien examinées plus avant: - Dans la législation*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 de certains pays*socio=ac, ce que l'on pourrait considérer comme des critères*socio=rien de concurrence*socio=ec1 purs*socio=rien (en rapport*socio=rien avec l'efficience*socio=uv3 allocative) est*socio=rien toujours accompagné d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre *socio=nil d'autres considérations*socio=rien qui peuvent être*socio=rien utilisées pour donner la priorité*socio=uv4 aux intérêts des producteurs*socio=ac nationaux*socio=te plutôt qu'à ceux des consommateurs*socio=ac nationaux*socio=te et des consommateurs*socio=ac et producteurs*socio=ac étrangers*socio=uv4. Même lorsque ces considérations*socio=rien ne sont pas expressément énoncées dans la législation*socio=et, il est*socio=rien parfois allégué que, dans la pratique*socio=et, elles sous-tendent dans certains cas*socio=rien les décisions*socio=rien des responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 et des tribunaux*socio=ac. Comme on l'a vu dans la section*socio=rien Il, ces autres objectifs*socio=uv4 du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 peuvent être*socio=rien la loyauté*socio=uv1 et l'équité*socio=uv1, la volonté d'éviter une concentration*socio=ec2 excessive*socio=rien du pouvoir*socio=et économique*socio=ec1 et la protection*socio=et des petites*socio=rien et moyennes*socio=rien entreprises*socio=ac, la promotion*socio=uv3 de l'activité*socio=rien industrielle*socio=ec1 au plan*socio=rien national*socio=te et de l'emploi*socio=ec1 et l'amélioration*socio=uv1 de la compétitivité*socio=uv1 à l'exportation*socio=ec1 des producteurs*socio=ac et fournisseurs*socio=ac de biens*socio=ec1 et services*socio=ec1 nationaux*socio=te, En outre, il est*socio=rien à noter que, si les règles*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 de la *socio=ac Communauté européenne ont*socio=nil spécifiquement*socio=rien pour*socio=nil objet*socio=rien *socio=nil de prévenir les pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 qui pourraient restreindre ou fausser les échanges*socio=ec1, elles ne s'appliquent qu'aux échanges*socio=ec1 entre les *socio=ac États membres *socio=nil de la Communauté*socio=ac et avec les autres *socio=ac pays européens parties*socio=rien *socio=nil à divers accords*socio=et régionaux*socio=te, et non aux échanges*socio=ec1 avec le reste*socio=rien du monde*socio=te. - - Même lorsque les critères*socio=rien de l'efficience*socio=uv3 allocative sont généralement applicables*socio=rien , le fait*socio=rien que ces critères*socio=rien sont généralement appliqués du point*socio=rien de vue*socio=rien de l'efficience*socio=uv3 et du bien-être dans le pays*socio=ac considéré et peuvent ne pas tenir compte*socio=rien des effets*socio=rien préjudiciables*socio=et sur*socio=rien le bien-être des producteurs*socio=ac et consommateurs*socio=ac à l'étranger*socio=te risque*socio=uv4 d'aboutir à des situations*socio=rien où, dans la mise en oeuvre*socio=rien de la législation*socio=et nationale*socio=te sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1, on négligera les intérêts des partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. Tel est*socio=rien le *socio=rien cas en_particulier *socio=nil lorsqu'on adopte une approche fondée sur*socio=rien une analyse*socio=rien du bien-être national*socio=te total*socio=rien , selon laquelle les coûts*socio=ec1 pour les consommateurs*socio=ac nationaux*socio=te peuvent être*socio=rien compensées par les efficiences des producteurs*socio=ac nationaux*socio=te. Même lorsque l'accent*socio=rien est*socio=rien mis essentiellement sur*socio=rien le bien-être des consommateurs*socio=ac nationaux*socio=te, ce bien-être correspondra normalement à celui des partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1, mais on ne peut pas supposer qu'il en sera toujours ainsi. L'exemple*socio=rien le plus évident*socio=rien à cet *socio=rien égard est *socio=nil celui des ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1, où il y a divorce*socio=rien entre les *socio=rien effets sur les*socio=nil consommateurs*socio=ac nationaux*socio=te *socio=nil et les *socio=rien effets sur les*socio=nil consommateurs*socio=ac du*socio=nil reste du*socio=nil monde*socio=te,*socio=nil *socio=nil mais on peut citer aussi d'autres exemples*socio=rien de cloisonnement des marchés*socio=ec1, par exemple*socio=rien , les fusions et restrictions*socio=et verticales affectant les producteurs*socio=ac étrangers*socio=uv4. - - Une autre question*socio=rien a aussi été*socio=rien soulevée, à propos*socio=rien des restrictions*socio=et verticales: l'application*socio=rien de critères*socio=rien d'efficience*socio=uv3 qui sont neutres*socio=rien dans leurs *socio=rien effets sur les*socio=nil pays*socio=ac *socio=nil affectés permettrait-elle de résoudre de manière*socio=rien satisfaisante*socio=uv4 tous les problèmes*socio=ec2 commerciaux*socio=ec1 légitimes*socio=uv2,, en d'autres termes*socio=rien , y a-t-il des restrictions*socio=et verticales qui pourraient ne pas poser de problèmes*socio=ec2 au plan*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 mais restreindre néanmoins indûment l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1. La *socio=rien question est *socio=nil posée, et il faudrait l'examiner plus avant que la communauté*socio=ac internationale*socio=te puisse proposer une réponse. - IV.5.e Indépendance des responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1. Plus les responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 sont indépendants*socio=et des processus*socio=te politiques*socio=et, plus on peut s'attendre qu'ils seront prêts*socio=rien à engager des procédures*socio=et et à traiter objectivement les affaires*socio=ec1 portant sur*socio=rien des pratiques*socio=et prétendument anticoncurrentielles*socio=uv4 qui affectent des intérêts_étrangers*socio=uv4. Par indépendance, on entend ici, premièrement, le degré*socio=rien d'autonomie par rapport*socio=rien à l'exécutif*socio=ac et au législatif*socio=et dont les responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 jouissent pour traiter des affaires*socio=ec1 spécifiques*socio=rien et, deuxièmement, la possibilité*socio=rien d'annulation que leurs décisions*socio=rien soient annulées pour des raisons*socio=rien politiques*socio=et et, le cas*socio=rien échéant, les sauvegardes*socio=et applicables*socio=rien à cet égard*socio=rien . Toutefois, il importe également de noter qu'un*socio=rien *socio=rien long passé *socio=nil d'indépendance, éventuellement associé*socio=rien à des règles*socio=et qui empêchent les ingérences dans la conduite*socio=rien des procédures*socio=et concernant des affaires*socio=ec1 spécifiques*socio=rien , peut aboutir dans la pratique*socio=et à *socio=rien un degré *socio=nil d'autonomie supérieur*socio=rien à celui que les *socio=et arrangements institutionnels *socio=nil laissent entrevoir, et vice-versa. Comme on doit s'y attendre, la situation*socio=rien diffère *socio=rien considérablement suivant les*socio=nil responsables*socio=ac.*socio=nil À*socio=nil un *socio=nil extrême, il y a les responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 qui font simplement partie*socio=rien d'un*socio=rien ministère*socio=ac soumis quotidiennement à un*socio=rien contrôle*socio=uv3 politique*socio=et. À l'autre extrême, il y a ceux qui jouissent en vertu*socio=rien de la loi*socio=et d'une autonomie complète dans leurs opérations*socio=rien , dont les *socio=rien principaux postes *socio=nil sont plus ou moins garantis*socio=rien et dont les décisions*socio=rien ne peuvent être*socio=rien contestées que devant*socio=rien les tribunaux*socio=ac. Mais aucun service gouvernemental*socio=et qui dépend pour son budget*socio=ec1 de crédits*socio=ec1 annuels*socio=rien financés sur*socio=rien les deniers de l'État*socio=ac ne peut être*socio=rien complètement indépendant. IV.5.f Extraterritorialité. L'application*socio=rien extraterritoriale du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 *socio=rien est un moyen *socio=nil par lequel un*socio=rien pays*socio=ac peut chercher à prévenir ou à corriger les pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 d'un*socio=rien autre pays*socio=ac qui ont sur*socio=rien lui des effets*socio=rien préjudiciables*socio=et. Il n'est*socio=rien pas rare*socio=rien en effet*socio=rien qu'un*socio=rien pays*socio=ac, se fondant sur*socio=rien la doctrine*socio=ec2 dite "des effets*socio=rien ", y ait recours*socio=ec1 dans les cas*socio=rien où il considère que les pratiques*socio=et d'entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec1 sont préjudiciables*socio=et à la concurrence*socio=ec1 et, en_particulier*socio=rien , aux consommateurs*socio=ac sur*socio=rien son territoire*socio=te. Il a ainsi la possibilité*socio=rien de faire face*socio=rien aux pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac à l'étranger*socio=te qui visent à exercer une puissance*socio=uv1 à l'exportation*socio=ec1 vers son marché*socio=ec1, par exemple*socio=rien par des ententes*socio=et à l'exportation*socio=ec1 ou des fusions. L'application*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 d'un*socio=rien pays*socio=ac aux pratiques*socio=et suivies *socio=rien sur un autre*socio=nil territoire*socio=te *socio=nil dont il considère qu'elles affectent ses exportations*socio=ec1 est*socio=rien plus rare*socio=rien . *{p.90} Cette approche pourrait en théorie*socio=ec2 permettre de faire face*socio=rien aux situations*socio=rien dans lesquelles les responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 d'un*socio=rien pays*socio=ac ne prennent pas des mesures*socio=et pour lutter contre les pratiques*socio=et qui restreignent l'accès*socio=uv1 des importations*socio=ec1. En réalité*socio=ec2 les considérations*socio=rien pratiques*socio=et limitent les possibilités*socio=rien d'application*socio=rien extraterritoriales de la législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 d'un*socio=rien pays*socio=ac, en_particulier*socio=rien lorsque les entreprises*socio=ac n'ont pas de présence*socio=rien juridique*socio=et sur*socio=rien son territoire*socio=te. L'une d'elles est*socio=rien la difficulté*socio=ec2 du pays*socio=ac à obtenir*socio=rien des renseignements*socio=ec2 nécessaires*socio=rien pour faire valoir son point*socio=rien de vue*socio=rien lorsque ses renseignements*socio=ec2 ne révèlent pas sa compétence*socio=uv4 et que les entreprises*socio=ac ne veulent pas coopérer. Dans certains cas*socio=rien , le gouvernement*socio=ac du pays*socio=ac d'origine*socio=rien des entreprises*socio=ac ne sera peut-être pas disposé à coopérer lui-même ni à voir ses entreprises*socio=ac coopérer,, certains pays*socio=ac peuvent avoir des lois*socio=et empêchant leurs entreprises*socio=ac de divulguer l'information*socio=rien dans ces situations*socio=rien . Même lorsque les responsables*socio=ac de l'information*socio=rien sont disposés à coopérer en communiquant les renseignements*socio=ec2, leur capacité*socio=uv3 de le faire est*socio=rien généralement restreinte par des dispositions nationales*socio=te interdisant l'échange_de_renseignements*socio=ec2 confidentiels*socio=uv2. À cela il faut ajouter une autre difficulté*socio=ec2 pratique*socio=rien , celle de l'application*socio=rien des jugements, là encore, surtout lorsque les entreprises*socio=ac en question*socio=rien n'a pas de présence*socio=rien juridique*socio=et dans le pays*socio=ac. Il convient aussi de noter que l'application*socio=rien extraterritoriale des législations*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 peut donner lieu*socio=rien à des différends*socio=uv2 entre pays*socio=ac et créer des difficultés*socio=ec2 pour les entreprises*socio=ac, qui doivent faire face*socio=rien à des normes*socio=et et procédures*socio=et différentes*socio=rien et parfois contradictoires*socio=uv2. Tel est*socio=rien le *socio=rien cas en_particulier *socio=nil lorsque les pays*socio=ac ont des vues*socio=rien divergentes*socio=uv2 sur*socio=rien ce que sont leurs intérêts nationaux*socio=te. La fusion*socio=rien Boeing-mcdonnell Douglas illustre bien*socio=rien les difficultés*socio=ec2 auxquelles l'application*socio=rien extraterritoriale peut donner lieu*socio=rien , même dans un*socio=rien pays*socio=ac qui a lui-même largement recours*socio=ec1 à cette pratique*socio=rien . Quoique l'application*socio=rien de la "doctrine*socio=ec2 des effets*socio=rien " dans ses rapports*socio=rien avec les consommateurs*socio=ac soit maintenant assez courante*socio=te, elle continue*socio=rien de créer des tensions*socio=uv3 considérables*socio=rien entre les pays*socio=ac." L'application*socio=rien extraterritoriale du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 dans les cas*socio=rien où la question*socio=rien posée est*socio=rien celle des effets*socio=rien préjudiciables*socio=et sur*socio=rien les producteurs*socio=ac et les exportations*socio=ec1 risque*socio=uv4, si elle devient effective*socio=rien , de donner lieu*socio=rien à des difficultés*socio=ec2 encore plus grandes*socio=rien dans les relations*socio=rien entre les pays*socio=ac. Ces désavantages sont largement reconnus par les responsables*socio=ac de la concurrence*socio=ec1 eux-mêmes et c'est*socio=rien là l'une des raisons*socio=rien pour lesquelles ils préconisent un*socio=rien renforcement de la coopération_internationale*socio=uv1 entre eux, en_particulier*socio=rien par le jeu*socio=rien de l'application*socio=rien du principe*socio=ec2 de la courtoisie*socio=uv1 positive*socio=uv4. IV.5.g coopération_internationale*socio=uv1. *socio=rien Un large éventail d'*socio=nil accords*socio=et bilatéraux*socio=et,*socio=nil régionaux*socio=te *socio=nil et multilatéraux prévoyant une coopération*socio=uv1 dans la mise en oeuvre*socio=rien du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 ont étés conclu, dont l'objet*socio=rien est*socio=rien de faire face*socio=rien à certaines*socio=rien des difficultés*socio=ec2 recensées ci-dessus et de les résoudre. Ces arrangements*socio=et sont examinés dans la *socio=rien section suivante.*socio=nil *socio=nil V. Accords*socio=et internationaux*socio=te en vigueur*socio=uv3 et coopération_internationale*socio=uv1 au niveau*socio=rien de la législation*socio=et et de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. On trouvera dans le *socio=rien présent chapitre un *socio=nil aperçu des dispositions pertinentes*socio=rien de l'Accord*socio=et instituant l'organisation_mondiale_du_commerce*socio=ac, des arrangements*socio=et de coopération*socio=uv1 et de mise en oeuvre*socio=rien de la législation*socio=et de la concurrence*socio=ec1 conclu entre les organes chargés de la concurrence*socio=ec1 et des dispositions en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 d'accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 internationaux*socio=te autres que les Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac. V.1 Dispositions des Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac. V.1.a Rétrospective*socio=rien . L'accord_général*socio=rien sur*socio=rien "...d'empêcher les pratiques_commerciales*socio=et Ces six pratiques*socio=et devaient être*socio=rien considérées comme ayant des *socio=rien effets nuisibles sur le*socio=nil commerce*socio=ec1 *socio=nil lorsqu'elles étaient le fait*socio=rien d'une ou de plusieurs entreprises*socio=ac commerciales*socio=ec1 exerçant, à titre*socio=rien individuel*socio=uv2 ou collectif*socio=uv2, le contrôle*socio=uv3 effectif*socio=rien du commerce*socio=ec1 d'un*socio=rien ou plusieurs produits*socio=rien entre plusieurs produits*socio=rien . Le texte*socio=rien définissait en outre une procédure*socio=et permettant d'ajouter d'autres pratiques*socio=et à la liste par voie*socio=rien d'accord*socio=et. *{p.91} En cas*socio=rien de réclamation, l'organisation*socio=ac procédait à une enquête*socio=ec2 si elle décidait qu'il y avait lieu*socio=rien de le faire. Si elle faisait droit*socio=uv1 à la réclamation, l'État*socio=ac Membre*socio=ac intéressé était invité à prendre toutes les mesures*socio=et en son pouvoir*socio=et pour remédier à la situation*socio=rien . Lorsqu'il devint évident*socio=rien que la Charte*socio=et de La Havane n'entrerait pas en vigueur*socio=uv3, les PARTIES*socio=rien CONTRACTANTES*socio=ec1 à l'accord_général*socio=rien ont tenu, en 1954-1955, une session*socio=rien d'examen*socio=ec2 afin de déterminer si l'accord_général*socio=rien devait être*socio=rien amendé ou complété. Ces travaux*socio=rien ont débouché, en novembre*socio=rien 1960, sur*socio=rien l'adoption*socio=et par les PARTIES*socio=rien CONTRACTANTES*socio=ec1 d'une Décision*socio=rien concernant les dispositions prises*socio=rien en vue*socio=rien de consultations*socio=uv1 sur*socio=rien les pratiques_commerciales*socio=et restrictives*socio=uv4. V.1.b Dispositions relatives*socio=rien aux consultations*socio=uv1 et à la coopération*socio=uv1. Les trois grands*socio=rien Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac, que sont le GATT*socio=et, l'AGCS*socio=ac et l'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC, prévoient des procédures*socio=et de consultations*socio=uv1 et de coopération*socio=uv1 concernant les pratiques*socio=et anticoncurrentiel les. Pour ce qui est*socio=rien du GATT*socio=et, ces procédures*socio=et sont définies*socio=rien dans la Décision*socio=rien ci-dessus adoptée par les PARTIES*socio=rien CONTRACTANTES*socio=ec1 du GATT*socio=et. La Décision*socio=rien reconnaît que les pratiques_commerciales*socio=et qui entravent la concurrence*socio=ec1 dans le commerce*socio=ec1 international*socio=te peuvent freiner l'expansion*socio=ec2 du commerce*socio=ec1 mondial*socio=te et le développement*socio=uv3 économique*socio=ec1 des différents*socio=rien pays*socio=ac, compromettant ainsi les avantages*socio=rien des réductions*socio=ec2 de droits*socio=uv1 de douane*socio=ac et de la suppression*socio=rien des restrictions*socio=et quantitatives, ou porter atteinte de toute autre manière*socio=rien aux objectifs*socio=uv4 de l'accord_général*socio=rien sur*socio=rien les *socio=et tarifs douaniers *socio=nil et le commerce*socio=ec1. Elle reconnaît d'autre part*socio=rien qu'une coopération_internationale*socio=uv1 *socio=rien est nécessaire *socio=nil pour lutter efficacement contre les pratiques*socio=et restrictives*socio=uv4 qui ont des effets*socio=rien dommageables*socio=uv4 dans le commerce*socio=ec1 international*socio=te. Elle prend acte néanmoins de ce que les PARTIES*socio=rien CONTRACTANTES*socio=ec1 n'auraient pu, étant donné les circonstances*socio=rien , assumer sous quelque forme*socio=rien que ce soit la réglementation*socio=et de ces pratiques*socio=et ni se charger d'enquêtes. Elle recommande que toute partie*socio=rien contractante*socio=ac engage, si elle y est*socio=rien invitée par une autre partie*socio=rien contractante*socio=ac, des consultations*socio=uv1 bilatérales*socio=et ou multilatérales*socio=et selon le cas*socio=rien , sur*socio=rien des pratiques*socio=et restrictives*socio=uv4 ayant des effets*socio=rien dommageables*socio=uv4 dans le commerce*socio=ec1 international*socio=te. La partie*socio=rien sollicitée doit examiner la demande*socio=ec1 avec compréhension*socio=rien et se prêter à des consultations*socio=uv1 mutuellement satisfaisantes*socio=uv4 et, si elle reconnaît l'existence*socio=rien de ces effets*socio=rien dommageables*socio=uv4, elle doit prendre les mesures*socio=et qui lui paraissent indiquées pour en assurer la suppression*socio=rien . Ces dispositions ont été*socio=rien invoquées dans trois cas*socio=rien seulement (voir encadré IV.5). L'article*socio=rien IX de l'AGCS*socio=ac reconnaît que certaines*socio=rien pratiques_commerciales*socio=et des fournisseurs*socio=ac de services*socio=ec1 peuvent limiter*socio=rien la concurrence*socio=ec1 et par là restreindre le commerce*socio=ec1 des services*socio=ec1. Il prévoit que chaque Membre*socio=ac doit, à la demande*socio=ec1 de tout autre Membre*socio=ac, se prêter à des consultations*socio=uv1 en vue*socio=rien d'éliminer ces pratiques*socio=et. Le Membre*socio=ac auquel la demande*socio=ec1 est*socio=rien adressée l'examine de manière*socio=rien approfondie et avec compréhension*socio=rien et coopère en fournissant les renseignements*socio=ec2 non confidentiels*socio=uv2 à la disposition du public*socio=et qui présentent *socio=rien un intérêt *socio=nil en l'espèce*socio=rien , ainsi que d'autres renseignements*socio=ec2 disponibles*socio=rien , sous_réserve*socio=rien de sa législation*socio=et intérieure*socio=te et de la conclusion d'un*socio=rien accord*socio=uv1 satisfaisant concernant le respect*socio=uv1 du caractère*socio=rien confidentiel de ces renseignements*socio=ec2. L'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC contient une disposition analogue*socio=rien , qui est*socio=rien analysée plus en détail*socio=rien à la section*socio=rien IV.4. V.1.c Non-discrimination*socio=uv3. Les trois grands*socio=rien Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac contiennent des règles*socio=et *socio=rien générales relatives au*socio=nil traitement national*socio=te *socio=nil et au traitement*socio=rien de la nation_la_plus_favorisée*socio=et, qui pourraient être*socio=rien d'application*socio=rien dans des cas*socio=rien où la législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 ou d'autres règles*socio=et de droit*socio=uv1 d'un*socio=rien Membre*socio=ac de l'OMC*socio=ac visant à lutter contre le comportement*socio=rien anticoncurrentiel des entreprises*socio=ac, ou la manière*socio=rien dont ces textes*socio=rien sont appliqués, manifestent une discrimination*socio=uv1 à l'égard*socio=rien des biens*socio=ec1 et services*socio=ec1 ou des ressortissants*socio=ac d'autres Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac ou entre ces biens*socio=ec1, ces services*socio=ec1 ou ces ressortissants*socio=ac. En ce qui concerne le commerce*socio=ec1 des marchandises*socio=ec1, ces lois*socio=et tomberaient sous le coup*socio=rien de la règle du traitement*socio=rien national*socio=te énoncée à l'article*socio=rien III:4 si elles affectaient la vente*socio=ec1, la mise en vente*socio=ec1, l'achat*socio=ec1, le transport*socio=ec1, la distribution et l'utilisation*socio=rien de ces *socio=rien produits sur le*socio=nil marché*socio=ec1 intérieur*socio=te.*socio=nil *socio=nil Si une disposition légale*socio=et accordant en droit*socio=uv1 *socio=rien un traitement moins*socio=nil favorable*socio=ec2 aux*socio=nil produits *socio=nil importés qu'aux *socio=rien produits similaires d'*socio=nil origine nationale*socio=te *socio=nil contreviendrait de manière*socio=rien flagrante à l'article*socio=rien III, elle pourrait aussi s'appliquer au cas*socio=rien où il s'agirait d'une discrimination*socio=uv1 de fait*socio=rien . L'article*socio=rien III a été*socio=rien interprété comme exigeant*socio=rien que les produits*socio=rien importés bénéficient de l'égalité*socio=uv1 de traitement*socio=rien par rapport*socio=rien aux produits*socio=rien nationaux*socio=te. La jurisprudence*socio=et du GATT*socio=et montre également que les procédures*socio=et de mise en oeuvre*socio=rien , tout comme les lois*socio=et organiques et les règlements*socio=et, sont soumises à l'article*socio=rien III. L'obligation*socio=uv1 relative*socio=rien au traitement*socio=rien national*socio=te prévue dans l'AGCS*socio=ac (article*socio=rien VII) présente*socio=rien deux différences*socio=uv1 importantes*socio=rien par rapport*socio=rien à la disposition relative*socio=rien au traitement*socio=rien national*socio=te du GATT*socio=et: la *socio=rien première est *socio=nil qu'il ne s'agit pas d'une règle d'application*socio=rien générale*socio=rien , mais d'un*socio=rien engagement*socio=uv1 spécifique*socio=rien contracté par les Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac visant à accorder le traitement*socio=rien national*socio=te pour les *socio=rien secteurs inscrits *socio=nil dans leur liste,, la seconde est*socio=rien que cette disposition ne s'applique pas seulement au traitement*socio=rien des services*socio=ec1 mais au traitement*socio=rien des fournisseurs*socio=ac de services*socio=ec1 des autres Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac. Il est*socio=rien à noter que, si ces dispositions peuvent s'appliquer aux cas*socio=rien où des mesures*socio=et visant à lutter contre le comportement*socio=rien anticoncurrentiel des entreprises*socio=ac constituent une discrimination*socio=uv1 à l'égard*socio=rien des biens*socio=ec1 ou services*socio=ec1 importés ou des sociétés*socio=ac étrangères*socio=ec1 qui fournissent des services*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 national*socio=te, elles ne s'appliquent pas au traitement*socio=rien discriminatoire*socio=uv2 des exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=ec1 par rapport*socio=rien au *socio=rien traitement sur le*socio=nil marché*socio=ec1 national*socio=te.*socio=nil Les*socio=nil règles*socio=et relatives au*socio=nil traitement *socio=nil de la nation_la_plus_favorisée*socio=et contenues dans le GATT*socio=et et l'AGCS*socio=ac ont aussi une *socio=rien vaste portée *socio=nil et pourraient s'appliquer aux cas*socio=rien où les mesures*socio=et visant à lutter contre les pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac établissent une discrimination*socio=uv1 entre les autres Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac en ce qui concerne le traitement*socio=rien des produits*socio=rien d'importation*socio=ec1 en provenance*socio=rien de ces Membres*socio=ac ou des produits*socio=rien d'exportation*socio=ec1 à destination*socio=rien de ces Membres*socio=ac ou des services*socio=ec1 fournis par ces Membres*socio=ac ou des fournisseurs*socio=ac de services*socio=ec1 de ces membres*socio=ac. En ce qui concerne l'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC, les obligations*socio=uv1 relatives*socio=rien au traitement*socio=rien national*socio=te et au traitement*socio=rien de la nation_la_plus_favorisée*socio=et qu'il contient" interdisent, à *socio=rien un petit nombre d'*socio=nil exceptions *socio=nil près, la discrimination*socio=uv1 à l'égard*socio=rien des ressortissants*socio=ac et entre des ressortissants*socio=ac des autres Membres*socio=ac de l'OMC*socio=ac pour ce qui touche les questions*socio=rien concernant l'existence*socio=rien , l'acquisition*socio=ec1, la portée*socio=rien , le maintien*socio=rien des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien et les moyens*socio=ec1 de les faire respecter ainsi que les questions*socio=rien concernant *{p.92} l'exercice*socio=rien des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien dont l'Accord*socio=et traite expressément. Divers autres Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac contiennent aussi des règles*socio=et relatives*socio=rien au traitement*socio=rien national*socio=te et au traitement*socio=rien de la nation_la_plus_favorisée*socio=et, comme l'Accord*socio=et sur*socio=rien les *socio=rien obstacles techniques au*socio=nil commerce*socio=ec1 *socio=nil et l'Accord*socio=et sur*socio=rien l'application*socio=rien des mesures*socio=et sanitaires*socio=uv2 et phytosanitaires. Il en va de même de l'Accord*socio=et sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 publics*socio=et qui *socio=rien est un accord*socio=et *socio=nil plurilatéral. V.1.d Transparence*socio=uv3. De nombreux*socio=rien Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac contiennent des obligations*socio=uv1 touchant la publication*socio=rien et la notification des lois*socio=et et réglementations*socio=et et des décisions*socio=rien judiciaires*socio=et et administratives*socio=rien d'application*socio=rien générale*socio=rien touchant au thème*socio=rien de l'accord*socio=et considéré."' Ces dispositions sont d'application*socio=rien générale*socio=rien et recouvrent généralement toutes les mesures*socio=et qui affectent le secteur*socio=rien du commerce*socio=ec1 en question*socio=rien . Dans le cas*socio=rien de l'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC, il *socio=rien est fait expressément*socio=nil référence aux*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil qui touchent à la "prévention d'un*socio=rien usage*socio=rien abusif*socio=uv2 des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien ". Comme on l'a vu à la section*socio=rien IV.l.c les règles*socio=et du GATT*socio=et applicables*socio=rien aux entreprises*socio=ac jouissant d'un*socio=rien monopole*socio=ec1 ou de privilèges*socio=uv2 exclusifs*socio=rien ou spéciaux*socio=rien insistent tout particulièrement sur*socio=rien la notification des renseignements*socio=ec2 concernant les activités*socio=rien de ces dernières*socio=rien . LAGCS prévoit aussi des procédures*socio=et *socio=rien spéciales applicables *socio=nil à la fourniture*socio=ec1 de renseignements*socio=ec2 par les fournisseurs*socio=ac monopolistiques*socio=ec2 et les fournisseurs*socio=ac exclusifs*socio=rien de services*socio=ec1. V.1.e Normes*socio=et minimales*socio=rien . D'une *socio=rien manière générale,*socio=nil l'*socio=nil OMC*socio=ac ne*socio=nil précise *socio=nil pas les normes*socio=et *socio=rien minimales sur *socio=nil lesquelles les Membres*socio=ac doivent se fonder pour déterminer quelles sont les pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac qu'il y a lieu*socio=rien de prévenir. Il existe cependant *socio=rien un petit nombre d'*socio=nil exceptions.*socio=nil *socio=nil Les plus importantes*socio=rien d'entre elles concernent les règles*socio=et applicables*socio=rien aux entreprises*socio=ac qui détiennent un*socio=rien monopole*socio=ec1 ou qui jouissent de privilèges*socio=uv2 exclusifs*socio=rien ou spéciaux*socio=rien . On en trouvera un*socio=rien aperçu à la section*socio=rien IV. 1.c. Les plus significatives*socio=rien dans ce domaine*socio=rien sont sans doute celles que contient l'article*socio=rien VIII de l'AGCS*socio=ac, qui ont été*socio=rien reprises et étoffées dans l'Annexe*socio=rien sur*socio=rien les télécommunications*socio=ec1, en_particulier*socio=rien les engagements pris par *socio=rien un grand nombre de*socio=nil Membres*socio=ac *socio=nil de l'OMC*socio=ac en ce qui concerne les services*socio=ec1 de télécommunication*socio=ec1 de base*socio=rien au titre*socio=rien d'un*socio=rien "document*socio=rien de référence*socio=rien " qui définit*socio=rien les mesures*socio=et de sauvegardes*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 et les principes*socio=ec2 réglementaires*socio=et. L'Accord*socio=et sur*socio=rien les *socio=rien obstacles techniques au*socio=nil commerce*socio=ec1 *socio=nil et l'Accord*socio=et sur*socio=rien l'application*socio=rien des mesures*socio=et sanitaires*socio=uv2 et phytosanitaires contiennent eux aussi des règles*socio=et de fond*socio=rien et de procédure*socio=et minimales*socio=rien , visant à faire en sorte*socio=rien que les règlements*socio=et techniques*socio=rien et les normes*socio=et d'une part*socio=rien , les mesures*socio=et sanitaires*socio=uv2 et phytosanitaires d'autre part*socio=rien , ne créent pas d'obstacles*socio=rien non nécessaires*socio=rien au commerce*socio=ec1 international*socio=te. Les Membres*socio=ac s'engagent à prendre toutes les mesures*socio=et en leur pouvoir*socio=et pour faire en sorte*socio=rien que les organismes_non_gouvernementaux à activité*socio=rien normative respectent ces normes*socio=et, notamment en adhérant à un*socio=rien Code*socio=et de pratique*socio=rien pour l'élaboration, l'adoption*socio=et et l'application*socio=rien des normes*socio=et qui est*socio=rien reproduit en annexe*socio=rien à l'Accord*socio=et sur*socio=rien les *socio=rien obstacles techniques au*socio=nil commerce*socio=ec1.*socio=nil Il*socio=nil est *socio=nil à noter par ailleurs*socio=rien qu'un*socio=rien *socio=rien certain nombre d'*socio=nil Accords*socio=et *socio=nil de l'OMC*socio=ac contiennent une norme*socio=et "négative*socio=rien ", en vertu*socio=rien de laquelle les Membres*socio=ac s'engagent à ne pas empêcher les entreprises*socio=ac d'agir d'une manière*socio=rien qui ne fausse*socio=rien pas ou qui ne restreigne pas les échanges*socio=ec1 ou de ne pas encourager ou soutenir chez ces entreprises*socio=ac *socio=rien un comportement *socio=nil qui aurait des effets*socio=rien de restriction*socio=et ou de distorsions*socio=ec2 des échanges*socio=ec1. C'est*socio=rien ainsi que l'article*socio=rien XVII:11 c) du GATT*socio=et fait*socio=rien obligation*socio=uv1 aux Membres*socio=ac de ne pas empêcher les entreprises*socio=ac ressortissant de leur juridiction*socio=et d'agir conformément aux principes*socio=ec2 énoncés aux alinéas a) et b) du même paragraphe*socio=rien (prendre des décisions*socio=rien concernant leurs achats*socio=ec1 ou leurs ventes*socio=ec1 se traduisant par des importations*socio=ec1 ou des exportations*socio=ec1 en s'inspirant de considérations*socio=rien d'ordre*socio=rien commercial*socio=ec1 et en offrant aux entreprises*socio=ac des autres parties*socio=rien contractantes*socio=ec1 des possibilités*socio=rien adéquates*socio=uv2 de participer à ces achats*socio=ec1 ou à ces ventes*socio=ec1 dans des conditions*socio=ec1 de libre*socio=uv2 concurrence*socio=ec1 et conformément aux usages*socio=rien commerciaux*socio=ec1 ordinaires*socio=rien ). L'Accord*socio=et sur*socio=rien les sauvegardes*socio=et fait*socio=rien obligation*socio=uv1 aux Membres*socio=ac de s'abstenir d'encourager et de soutenir l'adoption*socio=et ou le maintien*socio=rien en vigueur*socio=uv3, par des entreprises_publiques*socio=et et privées*socio=et, de mesures*socio=et non gouvernementales*socio=et équivalant aux mesures*socio=et dites de la "zone*socio=te grise" dont il prévoit l'élimination*socio=ec2. L'Accord*socio=et sur*socio=rien les *socio=rien obstacles techniques au*socio=nil commerce*socio=ec1 *socio=nil et l'Accord*socio=et sur*socio=rien l'application*socio=rien des mesures*socio=et sanitaires*socio=uv2 et phytosanitaires interdisent aux Membres*socio=ac de prendre des mesures*socio=et obligeant ou encourageant les organismes_non_gouvernementaux à agir d'une manière*socio=rien incompatible*socio=uv4 avec leurs dispositions. V.1.f Mesures*socio=et correctives*socio=ec2. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil Accords*socio=et *socio=nil de l'OMC*socio=ac autorisent expressément des mesures*socio=et correctives*socio=ec2 face*socio=rien au comportement*socio=rien des entreprises*socio=ac réputé avoir des effets*socio=rien dommageables*socio=uv4 sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 international*socio=te. L'article*socio=rien VI du GATT*socio=et et l'Accord*socio=et sur*socio=rien la mise en oeuvre*socio=rien de l'article*socio=rien VI (Accord*socio=et antidumping) autorisent les Membres*socio=ac, sous_réserve*socio=rien de certaines*socio=rien conditions*socio=ec1, à imposer des droits*socio=uv1 antidumping ou à obtenir*socio=rien des engagements de prix*socio=ec1 pour faire face*socio=rien à certaines*socio=rien pratiques*socio=et de fixation des prix*socio=ec1 utilisées par les entreprises*socio=ac, à savoir*socio=rien le dumping*socio=ec1, dont les Membres*socio=ac reconnaissent, à l'article*socio=rien VI:1,c du GATT*socio=et, qu'il est*socio=rien condamnable s'il cause*socio=rien ou menace de causer un*socio=rien dommage*socio=ec2 important*socio=rien à une branche*socio=rien de_production*socio=ec1 établie ou s'il retarde de *socio=rien façon importante *socio=nil la création d'une branche*socio=rien de_production*socio=ec1 nationale*socio=te. L'Accord*socio=et sur*socio=rien les marchés*socio=ec1 publics*socio=et, qui *socio=rien est un accord*socio=et multilatéral *socio=nil prévoit qu'à titre*socio=rien d'exception*socio=rien aux règles*socio=et normales*socio=rien qui obligent à recourir à des procédures*socio=et d'appel*socio=rien d'offres*socio=rien ouvertes*socio=rien ou sélectives, une procédure*socio=et limitée peut être*socio=rien autorisée lorsque des offres*socio=rien groupées ont été*socio=rien présentées. L'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC reconnaît les droits*socio=uv1 des Membres*socio=ac de prendre, en conformité avec les autres dispositions de l'Accord*socio=et, des mesures*socio=et appropriées pour contrôler les pratiques*socio=et ou conditions*socio=ec1 en matière*socio=rien de concession*socio=uv1 de licences*socio=et qui peuvent, dans des *socio=rien cas particuliers,*socio=nil constituer*socio=nil un usage abusif*socio=uv2 de*socio=nil droits_de_propriété*socio=et intellectuelle ayant*socio=nil un effet préjudiciable*socio=et sur la*socio=nil concurrence*socio=ec1 sur le*socio=nil marché*socio=ec1 *socio=nil considéré"', et, d'une manière*socio=rien plus générale*socio=rien , éviter l'usage*socio=rien abusif*socio=uv2 des droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien par les détenteurs*socio=ac de droits*socio=uv1 ou le recours*socio=ec1 à des pratiques*socio=et qui restreignent de manière*socio=rien déraisonnable*socio=uv2 le commerce*socio=ec1 ou sont préjudiciables*socio=et au transfert de technologie*socio=ec1. *{p.93} V.1.g Règlement des différends*socio=uv2. Dans l'ensemble*socio=rien , le mécanisme*socio=et de règlement des différends*socio=uv2 de l'OMC*socio=ac peut être*socio=rien mis en oeuvre*socio=rien dans les cas*socio=rien où un*socio=rien Membre*socio=ac considère qu'un*socio=rien avantage résultant*socio=rien pour lui directement ou indirectement de l'Accord*socio=et de l'OMC*socio=ac se trouve annulé ou compromis*socio=uv1 ou que la réalisation*socio=uv1 de l'un*socio=rien des objectifs*socio=uv4 de l'Accord*socio=et est*socio=rien entravée du fait*socio=rien : a) qu'un*socio=rien autre Membre*socio=ac ne remplit pas les obligations*socio=uv1 qu'il a contractées aux termes*socio=rien du présent*socio=rien accord*socio=et; b) ou qu'un*socio=rien autre Membre*socio=ac applique une mesure*socio=rien , contraire*socio=rien ou non aux dispositions du présent*socio=rien accord*socio=et; c) ou qu'il existe une autre situation*socio=rien . La première*socio=rien de ces causes*socio=rien d'action*socio=rien , à savoir*socio=rien l'allégation qu'un*socio=rien autre Membre*socio=ac ne respecte pas les obligations*socio=uv1 qu'il a contractées, pourrait être*socio=rien invoquée à propos*socio=rien des obligations*socio=uv1 des Membres*socio=ac évoquées plus haut*socio=rien en liaison*socio=rien avec les pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac. Les affaires*socio=ec1 correspondant à la *socio=rien deuxième cause d'*socio=nil action,*socio=nil *socio=nil dans lesquelles il est*socio=rien allégué que des *socio=rien avantages résultant *socio=nil de l'Accord*socio=et pour un*socio=rien Membre*socio=ac se trouvent annulés ou compromis*socio=uv1 même si la mesure*socio=rien n'est*socio=rien pas contraire*socio=rien aux dispositions des Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac, sont souvent qualifiées d'affaires*socio=ec1 "en situation*socio=rien de non-violation"?"' La question*socio=rien de savoir*socio=rien si cette disposition pouvait être*socio=rien invoquée efficacement à l'encontre*socio=rien d'un*socio=rien Membre*socio=ac qui ne ferait pas appliquer la législation*socio=et interne*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 visant à empêcher les pratiques*socio=et des entreprises*socio=ac qui entravent l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1 des partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 a suscité d'amples*socio=rien controverses*socio=uv1."' Quoiqu'il en soit, il y a *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil obstacles importants *socio=nil à surmonter pour pouvoir*socio=rien établir le bien-fondé d'une telle plainte. Tout d'abord*socio=rien , la charge*socio=rien de la preuve*socio=ec2 appartient pour une *socio=rien large part *socio=nil au plaignant, qui doit présenter une justification*socio=uv3 détaillée à l'appui*socio=rien de l'affirmation*socio=rien que la mesure*socio=rien non liée à une violation en cause*socio=rien a eu pour effet*socio=rien d'annuler ou de compromettre des *socio=rien avantages résultant *socio=nil pour lui de l'Accord*socio=et de l'OMC*socio=ac. Il faudrait ensuite établir qu'une omission, à savoir*socio=rien le fait*socio=rien de n'avoir pas fait*socio=rien appliqué la loi*socio=et équivaut à 1"' application*socio=rien " d'une "mesure*socio=rien " par le Membre*socio=ac intéressé. Il faut enfin démontrer que la mesure*socio=rien ne pouvait pas raisonnablement être*socio=rien prévue au moment*socio=rien où l'obligation*socio=uv1 ou la concession*socio=uv1 a été*socio=rien négociée. S'il semble à *socio=rien première vue *socio=nil qu'il existe des *socio=rien obstacles importants *socio=nil à surmonter pour pouvoir*socio=rien se fonder sur*socio=rien une plainte en situation*socio=rien de non-violation pour mettre en *socio=rien cause un Membre*socio=ac *socio=nil qui aurait omis de prendre des mesures*socio=et face*socio=rien à des pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 qui entravent le commerce*socio=ec1, la chose*socio=rien semblerait plus facile*socio=rien lorsque l'application*socio=rien de la législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 s'est*socio=rien accompagnée d'une mesure*socio=rien positive*socio=uv4 de la part*socio=rien du Membre*socio=ac qui a toléré des mesures*socio=et entravant le commerce*socio=ec1 par des entreprises*socio=ac, par exemple*socio=rien approbation*socio=uv1 d'une fusion*socio=rien ou octroi*socio=rien d'une exemption. Il est*socio=rien à noter que, lorsqu'une plainte en situation*socio=rien de non-violation aboutit, le Membre*socio=ac n'a nullement l'obligation*socio=uv1 de retirer la mesure*socio=rien (article*socio=rien 26 du Mémorandum*socio=et d'accord*socio=et sur*socio=rien le règlement des différends*socio=uv2), mais c'est*socio=rien aux parties*socio=rien au différend*socio=rien de le décider. Le *socio=rien groupe spécial *socio=nil ou l'Organe d'appel*socio=rien se contenterait de recommander aux parties*socio=rien d'arriver à un*socio=rien ajustement*socio=et mutuellement satisfaisant. Les plaintes fondées sur*socio=rien la cause*socio=rien d'action*socio=rien visée à l'alinéa*socio=rien c) sont souvent qualifiées de "plaintes motivées par d'autres situations*socio=rien ". Si cette disposition a une *socio=rien vaste portée,*socio=nil *socio=nil puisqu'elle ne se rapporte pas exclusivement aux *socio=et mesures gouvernementales,*socio=nil *socio=nil il importe de relever qu'aucun *socio=rien groupe spécial *socio=nil créé dans le cadre*socio=rien du GATT*socio=et ou de l'OMC*socio=ac n'a jamais statué sur*socio=rien de telles plaintes."' De plus, ce ne sont pas les règles*socio=et renforcées du Mémorandum*socio=et d'accord*socio=et sur*socio=rien le règlement des différends*socio=uv2 de l'OMC*socio=ac en ce qui concerne l'adoption*socio=et et la surveillance*socio=et et la mise en oeuvre*socio=rien des recommandations*socio=rien et décisions*socio=rien qui s'appliquent en *socio=rien pareil cas;*socio=nil *socio=nil ce sont les anciennes règles*socio=et du GATT*socio=et, en vertu*socio=rien desquelles les rapports*socio=rien de *socio=rien groupes spéciaux doivent*socio=nil être *socio=nil adoptés par consensus*socio=uv1. V.1.h Activités*socio=rien de l'OMC*socio=ac qui se rapportent à la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1. Programme*socio=et incorporé. Chacun des grands*socio=rien Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac (qui portent l'un*socio=rien sur*socio=rien les produits*socio=rien , le *socio=rien second sur les*socio=nil services*socio=ec1,*socio=nil le*socio=nil troisième sur les*socio=nil droits_de_propriété*socio=et intellectuelle)*socio=nil contient*socio=nil un "*socio=nil programme*socio=et *socio=nil incorporé" relatif*socio=rien à de nouvelles*socio=rien négociations*socio=et ou à un*socio=rien réexamen*socio=et qui peuvent englober des questions*socio=rien touchant la législation*socio=et et la politique*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1. En ce qui concerne le commerce*socio=ec1 des produits*socio=rien , l'article*socio=rien 9 de l'Accord*socio=et sur*socio=rien les mesures*socio=et concernant les investissements*socio=ec1 et liées au commerce*socio=ec1 prévoit que, dans le cadre*socio=rien de l'examen*socio=ec2 du fonctionnement*socio=rien de l'Accord*socio=et qui doit avoir lieu*socio=rien dans les *socio=rien cinq ans *socio=nil qui suivront l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 de l'Accord*socio=et sur*socio=rien l'OMC*socio=ac c'est-à-dire d'ici à l'an*socio=rien 2000) on déterminera s'il convient de compléter l'Accord*socio=et par des dispositions relatives*socio=rien à la politique*socio=et en matière*socio=rien d'investissement*socio=ec1 et la politique*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1. Des modifications*socio=rien seront proposées, le cas*socio=rien échéant, à la Conférence ministérielle*socio=et. L'AGCS*socio=ac *socio=rien offre un cadre *socio=nil pour des négociations*socio=et ultérieures*socio=te en vue*socio=rien de favoriser la libéralisation*socio=et progressive*socio=rien du commerce*socio=ec1 des services*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de séries de négociations*socio=et successives*socio=rien , dont la première*socio=rien série devrait commencer autour de l'an*socio=rien 2000. Cela pourrait s'appliquer aussi à d'autres activités*socio=rien visées par l'AGCS*socio=ac, notamment en ce qui concerne les travaux*socio=rien laissés en *socio=rien suspens après le*socio=nil Cycle*socio=te d'*socio=nil Uruguay*socio=ac.*socio=nil C'*socio=nil est *socio=nil ainsi que des concessions*socio=uv1 importantes*socio=rien ont été*socio=rien consenties en février*socio=rien 1997 dans le secteur*socio=rien des télécommunications*socio=ec1 de base*socio=rien , notamment sur*socio=rien des questions*socio=rien touchant la politique*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 et la réglementation*socio=et de la concurrence*socio=ec1 (voir section*socio=rien IV.1.c), et des négociations*socio=et sur*socio=rien les *socio=ec1 services financiers *socio=nil sont en cours*socio=rien . De nouvelles*socio=rien négociations*socio=et sur*socio=rien les services*socio=ec1 de transport*socio=ec1 maritime sont en cours*socio=rien . *{p.94} *socio=rien Un Groupe *socio=nil de travail des services*socio=ec1 professionnels examine les possibilités*socio=rien d'élaboration de disciplines*socio=rien multilatérales*socio=et sur*socio=rien les obligations*socio=uv1 et procédures*socio=et en matière*socio=rien de qualification et les régimes*socio=et de licences*socio=et dans ce domaine*socio=rien , ainsi que l'utilisation*socio=rien de normes*socio=et techniques*socio=rien internationales*socio=te. Il doit être*socio=rien procédé à l'examen*socio=ec2 de la mise en oeuvre*socio=rien de l'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC après*socio=rien l'an*socio=rien 2000. Groupe*socio=rien de travail de l'interaction du commerce*socio=ec1 et de la politique*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1. À la première*socio=rien conférence ministérielle*socio=et de l'OMC*socio=ac qui s'est*socio=rien tenue à Singapour*socio=ac en décembre*socio=rien 1996 les Ministres*socio=ac ont décidé, compte*socio=rien tenu des dispositions existantes*socio=rien de VOMC relatives*socio=rien aux questions*socio=rien en rapport*socio=rien avec la politique*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 et du programme*socio=et incorporé prévu dans ce domaine*socio=rien , y compris dans l'Accord*socio=et sur*socio=rien les MIC: "d'établir *socio=rien un groupe *socio=nil de travail chargé d'étudier les questions*socio=rien soulevées par les Membres*socio=ac au sujet*socio=rien de l'interaction du commerce*socio=ec1 et de la politique*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1, y compris les pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4, afin de déterminer les domaines*socio=rien qui pourraient être*socio=rien examinés plus avant dans le cadre*socio=rien de l'OMC*socio=ac." La *socio=rien décision précise *socio=nil que les travaux*socio=rien entrepris ne préjugeront pas l'éventualité*socio=rien de négociations*socio=et futures*socio=rien et que les négociations*socio=et futures*socio=rien , s'il en est*socio=rien , concernant les disciplines*socio=rien multilatérales*socio=et n'auront lieu*socio=rien qu'après*socio=rien une *socio=rien décision expresse des*socio=nil Membres*socio=ac *socio=nil de l'OMC*socio=ac prise*socio=rien par consensus*socio=uv1. La décision*socio=rien souligne l'importance*socio=rien de la coopération*socio=uv1 avec la CNUCED*socio=ac et les autres enceintes*socio=rien intergouvernementales appropriées. Elle demande*socio=rien que le Groupe*socio=rien de travail de l'interaction du commerce*socio=ec1 et de la politique*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 et le Groupe*socio=rien de travail des liens*socio=rien entre commerce*socio=ec1 et investissement*socio=ec1, qui a été*socio=rien créé en parallèle*socio=rien , tirent chacun parti*socio=et des travaux*socio=rien de l'autre si nécessaire*socio=rien . Le Groupe*socio=rien de travail doit faire rapport*socio=rien au Conseil*socio=ac général*socio=rien qui déterminera après*socio=rien deux ans*socio=rien la procédure*socio=et à suivre. Mécanisme*socio=et d'examen*socio=ec2 des politiques_commerciales*socio=et. Le Mécanisme*socio=et d'examen*socio=ec2 des politiques_commerciales*socio=et, défini*socio=rien à l'annexe*socio=rien 3 de l'Accord*socio=et sur*socio=rien l'OMC*socio=ac, prévoit une *socio=et surveillance multilatérale *socio=nil recouvrant de *socio=rien multiples aspects des*socio=nil politiques*socio=et et*socio=nil pratiques_commerciales*socio=et des*socio=nil Membres*socio=ac.*socio=nil Les*socio=nil questions de*socio=nil concurrence*socio=ec1 *socio=nil y sont souvent abordées sous l'angle*socio=rien de leurs *socio=rien effets sur les*socio=nil importations*socio=ec1 *socio=nil ou les exportations*socio=ec1 de biens*socio=ec1 et de services*socio=ec1 d'un*socio=rien Membre*socio=ac et l'efficacité*socio=uv3 de la répartition*socio=uv3 des ressources*socio=ec1 intérieures*socio=te. Les rapports*socio=rien du Secrétariat*socio=ac et les débats*socio=et de l'organe d'examen*socio=ec2 des politiques_commerciales*socio=et passent généralement en revue les principes*socio=ec2 fondamentaux*socio=uv4, les dispositions légales et les *socio=et arrangements institutionnels applicables*socio=rien *socio=nil à la législation*socio=et et à la pratique*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 dans les pays_membres*socio=ac (acceptabilité des ententes*socio=et nationales*socio=te, des ententes*socio=et d'importation*socio=ec1 ou d'exportation*socio=ec1 et d'autres pratiques_commerciales*socio=et restrictives*socio=uv4 analogues*socio=rien ; *socio=et pouvoirs légaux des*socio=nil autorités *socio=nil chargées de la concurrence*socio=ec1; dispositions relatives*socio=rien à la mise en oeuvre*socio=rien de la législation*socio=et et leur efficacité*socio=uv3; et *socio=rien un certain nombre de*socio=nil facteurs *socio=nil comme l'extraterritorialité de l'application*socio=rien des politiques*socio=et de la concurrence*socio=ec1). Les rapports*socio=rien portent également sur*socio=rien le rôle*socio=rien des entreprises*socio=ac d'Etat*socio=rien , les monopoles*socio=ec1 réglementés et la privatisation*socio=et; les conditions*socio=ec1 relatives*socio=rien aux importations*socio=ec1 parallèles*socio=rien en vertu*socio=rien des lois*socio=et qui régissent la concurrence*socio=ec1 et la propriété*socio=ec1 intellectuelle*socio=rien ; le lien*socio=rien entre la déréglementation*socio=et nationale*socio=te et les politiques_commerciales*socio=et, ainsi que d'autres *socio=rien questions pertinentes *socio=nil qui peuvent se poser dans des *socio=rien cas particuliers.*socio=nil Autres*socio=nil activités *socio=nil de l'OMC*socio=ac. Au cours*socio=rien des débats*socio=et des groupes*socio=rien de travail chargés d'examiner les demandes*socio=et d'accession à l'OMC*socio=ac, des questions*socio=rien ont', été*socio=rien soulevées à propos*socio=rien de problèmes*socio=ec2 comme les droits*socio=uv1 commerciaux*socio=ec1, la privatisation*socio=et, la déréglementation*socio=et et la législation*socio=et nationale*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1. Les pays*socio=ac ont parfois été*socio=rien invités à prendre des engagements, en ce qui concerne par exemple*socio=rien les droits*socio=uv1 commerciaux*socio=ec1 et la fourniture*socio=ec1 de renseignements*socio=ec2 à l'avenir*socio=te. À l'occasion*socio=rien de l'examen*socio=ec2 de certains accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 régionaux*socio=te par le Comité*socio=ac des accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 régionaux*socio=te ou avant sa création par les groupes*socio=rien de travail compétents*socio=uv4, des questions*socio=rien ont été*socio=rien posées et des problèmes*socio=ec2 soulevés au sujet*socio=rien des dispositions relatives*socio=rien à la concurrence*socio=ec1 contenues dans ces accords*socio=et. V.2 Accords*socio=et de coopération*socio=uv1 axés sur*socio=rien la mise en oeuvre*socio=rien de la législation*socio=et de la concurrence*socio=ec1. V.2.a Arrangements*socio=et multilatéraux coopération*socio=uv1 en ce qui concerne la législation*socio=et de la concurrence*socio=ec1 L'ensemble*socio=rien de principes*socio=ec2 et de règles*socio=et équitables*socio=uv2 convenus au niveau*socio=rien multilatéral et restrictives*socio=uv4 de l'ONU*socio=ac, adopté en 1980, *socio=rien est un instrument*socio=nil multilatéral objet de*socio=nil favoriser la*socio=nil coopération*socio=uv1 en *socio=nil ce qui concerne*socio=rien la *socio=rien mise en oeuvre *socio=nil de la législation*socio=et de la concurrence*socio=ec1 et*socio=rien l'harmonisation*socio=uv3 en*socio=rien la matière*socio=rien . Selon*socio=rien ce texte*socio=rien , on entend*socio=rien par pratiques_commerciales*socio=et restrictives*socio=uv4:*socio=rien - *socio=rien les actes ou*socio=nil comportements d'entreprises*socio=ac *socio=nil qui, par l'abus*socio=uv1 ou l'acquisition*socio=ec1 et*socio=rien l'abus*socio=uv1 *socio=rien d'une position dominante*socio=uv2 de*socio=nil force*socio=uv1 sur le*socio=nil marché*socio=ec1,*socio=nil *socio=nil limitent l'accès*socio=uv1 aux*socio=rien marchés*socio=ec1 ou, *socio=rien d'une autre manière,*socio=nil restreignent *socio=nil indûment la concurrence*socio=ec1, ayant ou risquant *socio=rien d'avoir des effets préjudiciables*socio=et au*socio=nil commerce*socio=ec1 international*socio=te,*socio=nil notamment à*socio=nil celui des pays_en_développement*socio=ac et au*socio=nil développement*socio=uv3 économique*socio=ec1 *socio=nil de ces pays*socio=ac, ou qui, *socio=rien en raison d'accords*socio=et ou*socio=nil d'arrangements*socio=et officiels*socio=et,*socio=nil non*socio=nil officiels*socio=et,*socio=nil *socio=nil écrits ou non écrits, entre entreprises*socio=ac *socio=rien ont les mêmes répercussions*socio=ec2.*socio=nil *socio=nil - Le *socio=rien texte définit *socio=nil aussi des normes*socio=et et procédures*socio=et visant à faciliter la coopération*socio=uv1. Le Secrétariat*socio=ac de la CNUCED*socio=ac a publié une importante*socio=rien série de *socio=rien commentaires bien documentés*socio=nil sur *socio=nil la mise en oeuvre*socio=rien de ce texte*socio=rien et les *socio=rien questions connexes.*socio=nil Les*socio=nil principes*socio=ec2 et*socio=nil règles*socio=et définis *socio=nil dans ce texte*socio=rien n'ont pas *socio=rien un caractère obligatoire*socio=uv2.*socio=nil *socio=nil Leur mise en ceuvre par les pays_membres*socio=ac de la CNUCED*socio=ac a été*socio=rien encouragée dans le cadre*socio=rien de l'organisation*socio=ec2 de *socio=rien réunions annuelles régulières*socio=ec2 d'*socio=nil un groupe d'*socio=nil experts*socio=ac *socio=nil et d'autres *socio=rien activités connexes du*socio=nil Secrétariat*socio=ac *socio=nil de la CNUCED*socio=ac.I" Le Groupe*socio=rien d'experts*socio=ac de la CNUCED*socio=ac *socio=rien est un organe*socio=nil unique,*socio=nil *socio=nil regroupant des spécialistes*socio=ac des questions*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 recrutés sur*socio=rien une *socio=rien large base.*socio=nil La*socio=nil coopération_internationale*socio=uv1 en*socio=nil matière de*socio=nil politique*socio=et *socio=nil de la concurrence*socio=ec1 a été*socio=rien amorcée en 1967 dans le cadre*socio=rien de l'OCDE*socio=ac, en vertu*socio=rien d'une *socio=rien Recommandation sur la*socio=nil coopération*socio=uv1 entre*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil dans le domaine*socio=rien des pratiques_commerciales*socio=et restrictives*socio=uv4 affectant les échanges*socio=ec1 internationaux*socio=te, qui a été*socio=rien révisée à diverses*socio=rien reprises; la *socio=rien dernière révision *socio=nil date de juillet*socio=rien 1995. *{p.95} Lorsqu'un*socio=rien *socio=ac pays membre *socio=nil engage une enquête*socio=ec2 ou une procédure*socio=et qui peut affecter des intérêts importants*socio=rien d'un*socio=rien autre *socio=ac pays membre,*socio=nil il*socio=nil est*socio=rien *socio=nil invité à le notifier au *socio=ac pays membre *socio=nil intéressé. La notification doit être*socio=rien faite dans les *socio=rien circonstances suivantes:*socio=nil *socio=nil lorsqu'il s'agit d'obtenir*socio=rien des informations*socio=rien localisées sur*socio=rien le territoire*socio=te de l'autre *socio=ac pays membre;*socio=nil *socio=nil lorsqu'il s'agit d'une pratique*socio=et exécutée, totalement ou partiellement, sur*socio=rien le territoire*socio=te d'un*socio=rien autre *socio=ac pays membre;*socio=nil *socio=nil lorsqu'on peut prétendre que la mesure*socio=rien considérée aboutira à des mesures*socio=et d'exécution susceptibles*socio=rien d'affecter des comportements sur*socio=rien le territoire*socio=te d'un*socio=rien autre pays*socio=ac et, en cas*socio=rien de fusion*socio=rien , lorsqu'une partie*socio=rien impliquée dans la *socio=rien fusion est *socio=nil constituée ou organisée selon la législation*socio=et d'un*socio=rien autre *socio=ac pays membre.*socio=nil La*socio=nil Recommandation*socio=rien *socio=nil contient une description*socio=rien détaillée des procédures*socio=et de notification. En *socio=rien deuxième lieu,*socio=nil la*socio=nil Recommandation *socio=nil de l'OCDE*socio=ac encourage les pays*socio=ac à envisager de coordonner les enquêtes dans des cas*socio=rien appropriés. Cette coordination*socio=uv3 peut prendre les *socio=rien formes suivantes:*socio=nil *socio=nil notification des calendriers*socio=et et programmes*socio=et retenus*socio=rien pour la prise*socio=rien de décision*socio=rien ; partage*socio=uv1 d'informations*socio=rien factuelles et d'analyses*socio=rien , dans le respect*socio=uv1 des législations*socio=et nationales*socio=te régissant*socio=rien la confidentialité*socio=uv1 de l'information*socio=rien ; sollicitation des entités*socio=rien faisant l'objet*socio=rien de l'enquête*socio=ec2 pour qu'elles autorisent les pays*socio=ac coopérants à partager les informations*socio=rien confidentielles; et coordination*socio=uv3 des discussions*socio=rien ou des négociations*socio=et relatives*socio=rien aux mesures*socio=et correctives*socio=ec2 lorsque les intérêts de plusieurs pays*socio=ac pourraient être*socio=rien affectés. En *socio=rien troisième lieu,*socio=nil les*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil sont engagés à répondre aux demandes*socio=et d'aide*socio=uv1 des autres pays_membres*socio=ac. Cette aide*socio=uv1 peut prendre la forme*socio=rien d'une aide*socio=uv1 aux fins*socio=rien de l'obtention*socio=rien de renseignements*socio=ec2, fourniture*socio=ec1 d'informations*socio=rien détenues*socio=rien en propre*socio=rien ; recours*socio=ec1 à des mesures*socio=et contraignantes*socio=uv2 pour obtenir*socio=rien des renseignements*socio=ec2 d'entités*socio=rien faisant l'objet*socio=rien de l'enquête*socio=ec2 localisées sur*socio=rien le territoire*socio=te du pays*socio=ac auteur*socio=rien de la demande*socio=ec1; et fourniture*socio=ec1 d'informations*socio=rien relevant du domaine*socio=rien public*socio=et. La Recommandation*socio=rien n'a pas *socio=rien un caractère obligatoire*socio=uv2 et*socio=nil est *socio=nil subordonnée à la législation*socio=et des pays_membres*socio=ac. Elle a largement inspiré des *socio=et accords bilatéraux *socio=nil conclus entre *socio=rien un certain nombre de*socio=nil pays_membres*socio=ac *socio=nil de l'OCDE*socio=ac. Enfin, il est*socio=rien à noter que les pays*socio=ac signataires*socio=rien de cette Recommandation*socio=rien se réunissent périodiquement sous les auspices*socio=rien du Comité*socio=ac du droit*socio=uv1 et de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 de l'OCDE*socio=ac. Le Comité*socio=ac fournit aux pays*socio=ac qui ont la plus grande*socio=rien expérience*socio=ec2 de l'application*socio=rien du droit*socio=uv1 et de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 l'occasion*socio=rien de procéder à des échanges*socio=ec1 de données et d'expériences, et des échanges*socio=ec1 de vues*socio=rien pour examiner des *socio=rien questions techniques *socio=nil et leurs applications*socio=rien au niveau*socio=rien de la politique*socio=et générale*socio=rien , En 1994, le Comité*socio=ac a établi *socio=rien un rapport intérimaire*socio=nil sur la*socio=nil convergence*socio=uv3 des*socio=nil politiques*socio=et *socio=nil de la concurrence*socio=ec1. Les conclusions du rapport*socio=rien sont qu'en dépit*socio=rien des différences*socio=uv1 importantes*socio=rien qui subsistent au niveau*socio=rien de la législation*socio=et, des procédures*socio=et et des politiques*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1, on constate une convergence*socio=uv3 importante*socio=rien de l'approche des problèmes*socio=ec2 de mise en oeuvre*socio=rien de la législation*socio=et de la concurrence*socio=ec1 chez les pays_membres*socio=ac, convergence*socio=uv3 due à: i) la réalisation*socio=uv1 d'un*socio=rien consensus*socio=uv1 de plus en plus large*socio=rien quant aux *socio=uv4 objectifs fondamentaux *socio=nil de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1, et ii) la multiplication*socio=rien des moyens*socio=ec1 d'analyse*socio=rien et des méthodologies communes touchant les questions*socio=rien liées à la mise en oeuvre*socio=rien des législations*socio=et. Le Comité*socio=ac de l'OCDE*socio=ac a exécuté *socio=rien un nombre important de*socio=nil projets,*socio=nil *socio=nil dont une étude*socio=ec2 sur*socio=rien la convergence*socio=uv3 des procédures*socio=et préalables*socio=rien à la notification des fusions et, récemment, l'élaboration d'une approche commune de l'application*socio=rien de la législation*socio=et de la concurrence*socio=ec1 face*socio=rien à des ententes*socio=et horizontales "dures". Les membres*socio=ac du Comité*socio=ac sont également membres*socio=ac du Groupe*socio=rien conjoint sur*socio=rien les échanges*socio=ec1 et la concurrence*socio=ec1, aux côtés*socio=rien des membres*socio=ac du Comité*socio=ac des échanges*socio=ec1 de l'OCDE*socio=ac. Au programme*socio=et de travail actuel*socio=te du Groupe*socio=rien conjoint figurent, entre autres, l'examen*socio=ec2 de l'incidence*socio=rien des restrictions*socio=et verticales du marché*socio=ec1 sur*socio=rien l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1, les droits*socio=uv1 des entreprises*socio=ac étrangères*socio=ec1 en vertu*socio=rien des lois*socio=et de la concurrence*socio=ec1, etc. V.2.b *socio=et Arrangements bilatéraux.*socio=nil *socio=nil Il existe *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil arrangements*socio=et *socio=nil visant à stimuler la coopération*socio=uv1 en matière*socio=rien d'application*socio=rien de la législation*socio=et de la concurrence*socio=ec1 à l'échelon bilatéral*socio=et. Les accords*socio=et conclus dans les années*socio=rien 70 et 80 entre les États-unis*socio=ac et l'Allemagne*socio=ac, l'Australie*socio=ac et le Canada*socio=ac, et la France*socio=ac et l'Allemagne*socio=ac, contiennent des dispositions analogues*socio=rien à celles de la Recommandation*socio=rien de l'OCDE*socio=ac en matière*socio=rien de notification, d'échange_de_renseignements*socio=ec2, de coordination*socio=uv3 des actions*socio=rien et de consultations*socio=uv1."' Des *socio=et accords bilatéraux récents*socio=rien *socio=nil contiennent des mécanismes*socio=rien de coopération*socio=uv1 plus élaborés. L'accord*socio=et entre le gouvernement*socio=ac des États-unis*socio=ac d'Amérique*socio=ac et la Commission*socio=ac des *socio=ac Communautés européennes *socio=nil touchant l'application*socio=rien des lois*socio=et de la concurrence*socio=ec1, conclu en 1991, *socio=rien est un excellent*socio=nil exemple *socio=nil de ces arrangements*socio=et de coopération*socio=uv1 bilatéraux*socio=et. Il prévoit la notification par chaque partie*socio=rien des mesures*socio=et de mise en oeuvre*socio=rien de la loi*socio=et qui affectent des intérêts importants*socio=rien de l'autre partie*socio=rien et l'échange_de_renseignements*socio=ec2 de *socio=rien caractère général sur la*socio=nil politique*socio=et *socio=nil de la concurrence*socio=ec1 de chaque pays*socio=ac et de renseignements*socio=ec2 *socio=rien spécifiques sur le*socio=nil comportement *socio=nil anticoncurrentiel. Il ne fait*socio=rien pas obligation*socio=uv1 aux parties*socio=rien de dévoiler des renseignements*socio=ec2 dont la divulgation*socio=et est*socio=rien interdite par la loi*socio=et de la partie*socio=rien à laquelle ils ont été*socio=rien demandés ou serait incompatible*socio=uv4 avec des intérêts importants*socio=rien de ladite partie*socio=rien . *{p.96} La partie*socio=rien qui se voit communiquer des renseignements*socio=ec2 confidentiels*socio=uv2 est*socio=rien tenue d'en respecter la confidentialité*socio=uv1 et de rejeter toute demande*socio=rien de divulgation*socio=et émanant d'une tierce partie*socio=rien . L'accord*socio=et contient également des dispositions concernant la coopération*socio=uv1 et la coordination*socio=uv3 de mesures*socio=et de mise en oeuvre*socio=rien de la loi*socio=et dans les cas*socio=rien où les deux parties*socio=rien sont désireuses d'appliquer ces mesures*socio=et ou cet ordre*socio=rien à des *socio=rien situations connexes.*socio=nil *socio=nil Pour éviter tout litige de mise en oeuvre*socio=rien de la loi*socio=et, l'accord*socio=et prévoit que chaque partie*socio=rien doit prendre en compte*socio=rien les intérêts importants*socio=rien de l'autre partie*socio=rien lorsqu'elle adopte des mesures*socio=et de cet ordre*socio=rien , notamment lorsqu'il s'agit de décider de l'ouverture*socio=uv3 d'une enquête*socio=ec2 ou d'une procédure*socio=et, de la portée*socio=rien de l'enquête*socio=ec2 ou de la procédure*socio=et, de la nature*socio=rien des mesures*socio=et correctives*socio=ec2 ou des sanctions*socio=et demandées; il énonce également *socio=rien un certain nombre de*socio=nil principes*socio=ec2 *socio=nil à respecter pour tenter de minimiser les *socio=rien effets négatifs *socio=nil que pourraient avoir pour l'autre partie*socio=rien les mesures*socio=et de mise en oeuvre*socio=rien . Ce principe*socio=ec2, qui a pour but*socio=rien d'atténuer les *socio=rien conséquences négatives *socio=nil de ces mesures*socio=et et qui peut aller jusqu'à l'adoption*socio=et d'une décision*socio=rien de renoncer à prendre des mesures*socio=et de mise en oeuvre*socio=rien de la loi*socio=et afin de préserver les intérêts d'un*socio=rien pays*socio=ac étranger*socio=te, est*socio=rien connu sous le nom*socio=rien de doctrine*socio=ec2 de la courtoisie*socio=uv1 "traditionnelle*socio=rien ". L'accord*socio=et entre les États-unis*socio=ac et les *socio=ac Communautés européennes *socio=nil comporte une nouveauté*socio=rien par rapport*socio=rien aux arrangements*socio=et de coopération*socio=uv1 bilatéraux*socio=et précédents*socio=rien : au principe*socio=ec2 de courtoisie*socio=uv1 traditionnelle*socio=rien s'ajoute le principe*socio=ec2 de "courtoisie*socio=uv1 positive*socio=uv4" en vertu*socio=rien duquel si une *socio=rien partie estime *socio=nil que des activités*socio=rien anticoncurrentielle déployées sur*socio=rien le territoire*socio=te de l'autre partie*socio=rien a des incidences *socio=rien négatives sur *socio=nil des intérêts importants*socio=rien la concernant, elle peut en informer l'autre partie*socio=rien et demander que les autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 de ladite partie*socio=rien adoptent les mesures*socio=et de mise en *socio=rien oeuvre pertinentes.*socio=nil Les*socio=nil autorités*socio=et *socio=nil chargées de la concurrence*socio=ec1 de la partie*socio=rien à laquelle est*socio=rien adressée la notification sont tenues de déterminer s'il y a lieu*socio=rien d'adopter des mesures*socio=et de mise en oeuvre*socio=rien ou de renforcer celles qui ont été*socio=rien engagées face*socio=rien aux pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 signalées par la *socio=rien partie auteur *socio=nil de la notification, et de l'aviser de leurs décisions*socio=rien à cet égard*socio=rien . Toutefois, il est*socio=rien expressément précisé que la partie*socio=rien à laquelle est*socio=rien adressée la notification conserve toute la liberté*socio=uv1 que lui confèrent les lois*socio=et et la politique*socio=et d'adopter ou non des mesures*socio=et de mise en *socio=rien oeuvre face aux*socio=nil activités anticoncurrentielles*socio=uv4 *socio=nil notifiées et que rien*socio=rien n'empêche la *socio=rien partie auteur *socio=nil de la notification de prendre des mesures*socio=et de mise en *socio=rien oeuvre face *socio=nil à ces activités*socio=rien . Les *socio=ac Communautés européennes *socio=nil et les États-unis*socio=ac ont élaboré récemment *socio=rien un projet d'*socio=nil accord*socio=et sur l'*socio=nil application des*socio=nil principes*socio=ec2 de*socio=nil courtoisie*socio=uv1 positive*socio=uv4 en*socio=nil vue *socio=nil de la mise en oeuvre*socio=rien de leurs lois*socio=et sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1, qui va encore plus loin*socio=rien dans le sens*socio=rien de la coopération*socio=uv1 en matière*socio=rien de mise en oeuvre*socio=rien . L'Accord*socio=et entre le *socio=ac gouvernement canadien *socio=nil et le gouvernement*socio=ac des États-unis*socio=ac d'Amérique*socio=ac concernant l'application*socio=rien de leurs lois*socio=et de la concurrence*socio=ec1 et de leurs lois*socio=et relatives*socio=rien aux pratiques_commerciales*socio=et déloyales*socio=uv2, conclu en 1995, présente*socio=rien des points*socio=rien communs*socio=uv4 importants*socio=rien avec l'accord*socio=et entre les États-unis*socio=ac et les *socio=ac Communautés européennes.*socio=nil *socio=nil Il contient des dispositions concernant la notification, l'échange*socio=ec1 d'informations*socio=rien , la coordination*socio=uv3 des mesures*socio=et de mise en oeuvre*socio=rien de la législation*socio=et, la coopération*socio=uv1 face*socio=rien aux pratiques*socio=et anticoncurrentiel les constatées sur*socio=rien le territoire*socio=te d'une partie*socio=rien qui lèsent les intérêts de l'autre partie*socio=rien ("courtoisie*socio=uv1 positive*socio=uv4"), l'évitement des conflits*socio=uv1 ("courtoisie*socio=uv1 traditionnelle*socio=rien "), et les consultations*socio=uv1. Il précise*socio=rien les obligations*socio=uv1 qui incombent à la partie*socio=rien à laquelle l'autre partie*socio=rien communique des renseignements*socio=ec2 confidentiels*socio=uv2. Il prévoit en outre expressément des mesures*socio=et de coopération*socio=uv1 et de coordination*socio=uv3 en vue*socio=rien de faire appliquer les lois*socio=et sur*socio=rien les pratiques_commerciales*socio=et frauduleuses, y compris l'échange_de_renseignements*socio=ec2 et la coordination*socio=uv3 des activités*socio=rien de détection et de mise en oeuvre*socio=rien dans ce domaine*socio=rien . Comme dans l'accord*socio=et entre les États-unis*socio=ac et les *socio=ac Communautés européennes,*socio=nil l'*socio=nil échange_de_renseignements*socio=ec2 est*socio=rien *socio=nil subordonné à la législation*socio=et nationale*socio=te en ce qui concerne la confidentialité*socio=uv1 des renseignements*socio=ec2 fournis par les parties*socio=rien . La coopération*socio=uv1 entre les autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 du Canada*socio=ac et des États-unis*socio=ac *socio=rien est régie *socio=nil par les dispositions du Traité*socio=rien d'entraide juridique*socio=et en matière*socio=rien pénale entre le gouvernement_du_canada et le gouvernement*socio=ac des États-unis*socio=ac d'Amérique*socio=ac, entré en vigueur*socio=uv3 en 1990. Les autorités*socio=et chargées de veiller à l'application*socio=rien de la loi*socio=et de l'un*socio=rien des deux pays*socio=ac peuvent demander l'aide*socio=uv1 de l'autre pays*socio=ac afin d'obtenir*socio=rien des éléments*socio=rien de preuve*socio=ec2 au sujet*socio=rien d'éventuelles*socio=rien infractions*socio=rien pénales, ce qui peut les amener à prendre des mesures*socio=et contraignantes*socio=uv2, comme par exemple*socio=rien délivrer des mandats de perquisition. L'échange_de_renseignements*socio=ec2 est*socio=rien soumis à des prescriptions strictes*socio=rien en matière*socio=rien de confidentialité*socio=uv1. Le *socio=rien Traité porte sur *socio=nil l'entraide pénale en général*socio=rien , et pas simplement en matière*socio=rien d'application*socio=rien de la législation*socio=et de la concurrence*socio=ec1. L'Accord*socio=et de coopération*socio=uv1 et de coordination*socio=uv3 entre la Commission*socio=ac des pratiques_commerciales*socio=et australienne et la Commission*socio=ac du commerce*socio=ec1 néo-zélandaise entré en vigueur*socio=uv3 en 1994 prévoit la notification des mesures*socio=et de mise en oeuvre*socio=rien qui pourraient affecter des intérêts importants*socio=rien de l'autre partie*socio=rien . Il facilite en outre l'échange_de_renseignements*socio=ec2 de *socio=rien caractère général *socio=nil et la coordination*socio=uv3 des mesures*socio=et de mise en oeuvre*socio=rien et l'échange_de_renseignements*socio=ec2 sur*socio=rien des *socio=rien questions spécifiques *socio=nil liées à la mise en couvre, y compris l'obtention*socio=rien de renseignements*socio=ec2 et de documents*socio=rien pour le compte*socio=rien de l'autre partie*socio=rien . En 1994, les États-unis*socio=ac ont adopté une "Loi*socio=et sur*socio=rien l'assistance*socio=uv1 internationale*socio=te en matière*socio=rien d'application*socio=rien de mesures*socio=et antitrust". Cette loi*socio=et autorise les autorités*socio=et antitrust américaines*socio=ac à négocier des accords*socio=et avec les autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 d'un*socio=rien pays*socio=ac étranger*socio=te sur*socio=rien la base*socio=rien d'un*socio=rien *socio=rien certain nombre de*socio=nil critères *socio=nil concernant, notamment, le traitement*socio=rien des renseignements*socio=ec2 confidentiels*socio=uv2. Ces accords*socio=et conclus, les autorités*socio=et compétentes*socio=uv4 sont autorisées à dévoiler les renseignements*socio=ec2 confidentiels*socio=uv2 contenus dans leurs dossiers*socio=rien aux autorités*socio=et antitrust de pays*socio=ac étrangers*socio=uv4 et à prendre des mesures*socio=et contraignantes*socio=uv2 pour obtenir*socio=rien des renseignements*socio=ec2 pour le compte*socio=rien de l'autorité*socio=et étrangère qui les demande*socio=rien . Le premier*socio=rien accord*socio=et relevant de cette loi*socio=et vient d'être*socio=rien conclu avec l'Australie*socio=ac. V.3 Dispositions contenues dans des accords*socio=et internationaux*socio=te autres que les Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac touchant à la concurrence*socio=ec1. V.3.a Traité*socio=rien de Rome. Le Traité*socio=rien de Rome (Traité*socio=rien CE) *socio=rien est un excellent*socio=nil exemple d'*socio=nil utilisation *socio=nil de la législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 comme moyen*socio=rien de libéralisation*socio=et des échanges*socio=ec1 et d'intégration*socio=uv1 économique*socio=ec1. Comme on le sait, le traité*socio=rien comportait dès l'origine*socio=rien des dispositions touchant la concurrence*socio=ec1, et le principe*socio=ec2 de la liberté*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 *socio=rien est inscrit *socio=nil parmi ses principes*socio=ec2 fondamentaux*socio=uv4. *{p.97} L'établissement*socio=rien d'un*socio=rien régime*socio=et assurant que la concurrence*socio=ec1 n'est*socio=rien pas faussée dans le marché_commun*socio=ec1" figure en effet*socio=rien parmi les *socio=uv4 objectifs fondamentaux *socio=nil de la Communauté*socio=ac. Les règles*socio=et de concurrence*socio=ec1 s'appliquent aux accords*socio=et entre entreprises*socio=ac ou pratiques*socio=et concertées (article*socio=rien 85), à l'abus*socio=uv1 de position*socio=rien dominante*socio=uv2 par des entreprises*socio=ac (article*socio=rien 86), aux entreprises_publiques*socio=et et aux entreprises*socio=ac auxquelles les *socio=ac États membres accordent*socio=rien des*socio=nil droits*socio=uv1 spéciaux*socio=rien ou*socio=nil exclusifs*socio=rien (*socio=nil article*socio=rien *socio=nil 90) et aux subventions*socio=ec1 accordées par les *socio=ac États membres (*socio=nil article*socio=rien *socio=nil 92). Des règles*socio=et concernant le contrôle*socio=uv3 des opérations*socio=rien de concentration*socio=ec2 ont été*socio=rien adoptées en 1989. Les règles*socio=et de concurrence*socio=ec1 du Traité*socio=rien CE sont uniques*socio=rien de par leur caractère*socio=rien supranational dont témoignent*socio=rien , notamment, le rôle*socio=rien des institutions*socio=ac de la CE, et en_particulier*socio=rien la Commission*socio=ac de la CE, la mise en oeuvre*socio=rien des règles*socio=et, le fait*socio=rien qu'elles peuvent avoir une *socio=rien incidence directe sur l'*socio=nil ordre juridique*socio=et des*socio=nil *socio=ac États membres *socio=nil et le principe*socio=ec2 de la primauté*socio=uv4 du droit*socio=uv1 de la concurrence*socio=ec1 communautaire*socio=ac sur*socio=rien le droit*socio=uv1 national*socio=te qui ne serait pas conforme*socio=uv4 à ces règles*socio=et. Les règles*socio=et communautaires*socio=ac s'appliquant uniquement*socio=rien aux pratiques*socio=et et comportements qui peuvent avoir des incidences sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 entre *socio=ac États membres,*socio=nil *socio=nil elles n'ont pas supplanté les législations*socio=et nationales*socio=te de la concurrence*socio=ec1. Si c'est*socio=rien à la Commission*socio=ac des Communautés*socio=ac qu'il appartient en *socio=rien premier lieu *socio=nil de faire appliquer les règles*socio=et de concurrence*socio=ec1 communautaires*socio=ac, la Commission*socio=ac coopère de *socio=rien diverses manières *socio=nil avec les autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 des *socio=ac États membres *socio=nil dans l'exercice*socio=rien de ces fonctions*socio=rien . - Dans les affaires*socio=ec1 pour lesquelles c'est*socio=rien la Commission*socio=ac qui mène l'enquête*socio=ec2, elle transmet les documents*socio=rien les plus importants*socio=rien aux autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 des *socio=ac États membres,*socio=nil *socio=nil qui peuvent être*socio=rien représentés lors*socio=rien des auditions des entreprises*socio=ac. - - Les autorités*socio=et nationales*socio=te peuvent faire connaître leur point*socio=rien de *socio=rien vue sur les*socio=nil projets de*socio=nil décisions *socio=nil concernant les affaires*socio=ec1 individuelles*socio=uv2 devant*socio=rien le Comité*socio=ac consultatif*socio=uv2 sur*socio=rien les pratiques*socio=et restrictives*socio=uv4 et les positions*socio=rien dominantes*socio=uv2 et le Comité*socio=ac consultatif*socio=uv2 sur*socio=rien le contrôle*socio=uv3 des opérations*socio=rien de concentration*socio=ec2. - Les autorités*socio=et des *socio=ac États membres *socio=nil peuvent, à la demande*socio=ec1 de la Commission*socio=ac, coopérer dans le cadre*socio=rien des enquêtes effectuées dans les locaux*socio=te des entreprises*socio=ac qui se trouvent sur*socio=rien leur territoire*socio=te. - À côté*socio=rien du rôle*socio=rien que peuvent jouer les autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 des *socio=ac États membres *socio=nil dans les enquêtes menées par la Commission*socio=ac, les tribunaux*socio=ac nationaux*socio=te et les autorités*socio=et nationales*socio=te chargés de la concurrence*socio=ec1 peuvent aussi faire appliquer certaines*socio=rien règles*socio=et de concurrence*socio=ec1 communautaires*socio=ac. Cette tendance*socio=ec2 s'est*socio=rien affirmée ces *socio=rien dernières années,*socio=nil la*socio=nil Commission*socio=ac *socio=nil étant en faveur*socio=rien d'une application*socio=rien plus décentralisée des règles*socio=et de concurrence*socio=ec1 communautaires*socio=ac."' Autre *socio=rien élément important *socio=nil à souligner à propos*socio=rien du lien*socio=rien entre les règles*socio=et de concurrence*socio=ec1 communautaires*socio=ac et les lois*socio=et nationales*socio=te: l'interdépendance*socio=uv3 des articles*socio=rien 3, 5, 85 et 86 du Traité*socio=rien CE. Comme on l'a déjà dit, dans *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil affaires*socio=ec1 la*socio=nil Cour de*socio=nil justice*socio=et européenne*socio=ac *socio=nil a considéré que l'adoption*socio=et par un*socio=rien *socio=ac État membre de*socio=nil mesures*socio=et *socio=nil qui consistent à imposer ou à favoriser *socio=rien un comportement *socio=nil anticoncurrentiel ou à renforcer les effets*socio=rien d'accords*socio=et anticoncurrentiels était contraire*socio=rien à ces dispositions considérées globalement. V.3.b Dispositions d'autres accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 touchant à la concurrence*socio=ec1. Pour analyser l'approche des questions*socio=rien de la concurrence*socio=ec1 adoptée dans d'autres accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 que le Traité*socio=rien CE, nous examinerons: i) le degré*socio=rien de coordination*socio=uv3 des règles*socio=et de fond*socio=rien en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1; ii) les mécanismes*socio=rien de consultation*socio=uv1 et de coopération*socio=uv1; iii) le règlement des différends*socio=uv2 liés à la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1; iv) le traitement*socio=rien des monopoles*socio=ec1 et des entreprises*socio=ac qui jouissent de droits*socio=uv1 spéciaux*socio=rien ou exclusifs*socio=rien ; et v) le lien*socio=rien entre les règles*socio=et de la concurrence*socio=ec1 et l'application*socio=rien des mesures*socio=et correctives*socio=ec2 en matière*socio=rien commerciale*socio=ec1. Coordination*socio=uv3 des règles*socio=et de fond*socio=rien en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1. On peut établir une distinction*socio=rien entre les accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 qui contiennent une obligation*socio=uv1 générale*socio=rien qui veut que les parties*socio=rien prennent des mesures*socio=et face*socio=rien aux pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 des entreprises*socio=ac, avec parfois en parallèle*socio=rien l'obligation*socio=uv1 d'adopter des lois*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 à l'échelon national*socio=te, mais qui ne définissent*socio=rien pas de règles*socio=et de *socio=rien fond spécifiques,*socio=nil *socio=nil et les accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 qui établissent des règles*socio=et de fond*socio=rien communes. L'accord_de_libre-échange_nord-américain*socio=et (ALENA*socio=et), qui fait*socio=rien obligation*socio=uv1 à chaque partie*socio=rien d'adopter ou de maintenir des mesures*socio=et prohibant les comportements anticoncurrentiels et d'exercer toute action*socio=rien appropriée à cet égard*socio=rien et prévoit que les parties*socio=rien se consultent de temps*socio=rien à autre sur*socio=rien l'efficacité*socio=uv3 des mesures*socio=et qu'elles ont entreprises*socio=ac, appartient à la *socio=rien première catégorie.*socio=nil *socio=nil On trouve une disposition analogue*socio=rien dans l'Accord*socio=et de libre-échange*socio=et entre le Canada*socio=ac et le Chili*socio=ac, qui a été*socio=rien signé récemment. La coordination*socio=uv3 des règles*socio=et de *socio=rien fond spécifiques en*socio=nil matière de*socio=nil concurrence*socio=ec1 est *socio=nil prévue, notamment, dans les accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 entre la *socio=ac Communauté européenne *socio=nil et des pays*socio=ac tiers' Le degré*socio=rien de coordination*socio=uv3 *socio=rien est fonction du*socio=nil degré d'*socio=nil intégration*socio=uv1 économique*socio=ec1 *socio=nil envisagé dans l'accord*socio=et. C'est*socio=rien ainsi que, si des normes*socio=et de fond*socio=rien en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 figuraient déjà dans les accords_de_libre-échange*socio=et conclus par la Communauté*socio=ac au début*socio=rien des années*socio=rien 70 avec divers États*socio=ac de l'AELE, des règles*socio=et de concurrence*socio=ec1 plus détaillées ont été*socio=rien insérées dans certains accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 conclus par la *socio=ac Communauté européenne *socio=nil depuis le début*socio=rien de la présente*socio=rien décennie*socio=te, qui tendent vers une plus grande*socio=rien intégration*socio=uv1 économique*socio=ec1 que la création d'une simple*socio=rien zone*socio=te de libre-échange*socio=et. C'est*socio=rien le cas*socio=rien des accords*socio=et européens*socio=ac conclus avec des pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et d'Europe*socio=ac orientale*socio=et"', et l'Accord*socio=et sur*socio=rien l'Espace*socio=te économique*socio=ec1 européen*socio=ac. *{p.98} Selon les dispositions en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 de chacun des Accords*socio=et européens*socio=ac, sont incompatibles*socio=uv4 avec le *socio=rien bon fonctionnement *socio=nil de l'accord*socio=et considéré dans la mesure*socio=rien où ils affectent le commerce*socio=ec1 entre la Communauté*socio=ac et le pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien ou d'Europe*socio=ac orientale*socio=et en question*socio=rien : i) tous les accords*socio=et entre entreprises*socio=ac, toutes décisions*socio=rien d'associations d'entreprises*socio=ac et toutes pratiques*socio=et concertées qui ont pour objet*socio=rien ou pour effet*socio=rien d'empêcher, de restreindre ou de fausser le jeu*socio=rien de la concurrence*socio=ec1; et il) le fait*socio=rien pour une ou plusieurs entreprises*socio=ac d'exploiter de façon*socio=rien abusive une position*socio=rien dominante*socio=uv2 sur*socio=rien le territoire*socio=te de la Communauté*socio=ac ou du pays*socio=ac considéré dans son ensemble*socio=rien ou dans une partie*socio=rien de celui-ci. Ces pratiques*socio=et sont évaluées en fonction*socio=rien des critères*socio=rien qui se dégagent de l'application*socio=rien des règles*socio=et contenues aux articles*socio=rien 85 et 86 du Traité*socio=rien CE. Si ces dispositions considérées s'appliquent expressément au comportement*socio=rien anticoncurrentiel qui affecte le commerce*socio=ec1 entre les Parties*socio=rien , les Accords*socio=et européens*socio=ac contiennent des dispositions séparées*socio=rien faisant obligation*socio=uv1 aux pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et d'Europe*socio=ac orientale*socio=et d'aligner la législation*socio=et en vigueur*socio=uv3 et la législation*socio=et *socio=rien future sur le*socio=nil droit*socio=uv1 *socio=nil de la concurrence*socio=ec1 communautaire*socio=ac en général*socio=rien , et pas seulement en ce qui concerne des comportements qui affectent le commerce*socio=ec1 entre les parties*socio=rien . L'Accord*socio=et sur*socio=rien l'Espace*socio=te économique*socio=ec1 européen*socio=ac (EEE) prévoit l'application*socio=rien des règles*socio=et de concurrence*socio=ec1 communautaires*socio=ac primaires*socio=rien et secondaires*socio=rien aux pratiques*socio=et et aux comportements anticoncurrentiels à l'intérieur*socio=te de l'EEE qui sont susceptibles*socio=rien d'affecter le commerce*socio=ec1 entre les parties*socio=rien contractantes*socio=ec1. C'est*socio=rien ainsi que les règles*socio=et de concurrence*socio=ec1 applicables*socio=rien aux entreprises*socio=ac, définies*socio=rien aux articles*socio=rien 53 et 54 de l'Accord*socio=et, sont pratiquement les, mêmes que celles qui figurent aux articles*socio=rien 85 et 86 du Traité*socio=rien CE. Les règles*socio=et de concurrence*socio=ec1 de l'Accord*socio=et EEE recouvrent en outre le contrôle*socio=uv3 des opérations*socio=rien de concentration*socio=ec2, lesquelles sont déclarées incompatibles*socio=uv4 avec l'accord*socio=et si elles créent ou renforcent une position*socio=rien dominante*socio=uv2 ayant comme conséquence*socio=rien qu'une concurrence*socio=ec1 effective*socio=rien serait entravée de manière*socio=rien significative*socio=uv4 sur*socio=rien le territoire*socio=te auquel s'applique l'accord*socio=et ou dans une *socio=rien partie substantielle *socio=nil de celui-ci. Les règles*socio=et de concurrence*socio=ec1 communautaires*socio=ac secondaires*socio=rien sont intégrées à l'Accord*socio=et EEE sous la forme*socio=rien d'une liste complète des textes*socio=rien adoptés en application*socio=rien des règles*socio=et de concurrence*socio=ec1 du Traité*socio=rien CE et du Traité*socio=rien CECA, ponant sur*socio=rien des questions*socio=rien comme le contrôle*socio=uv3 des opérations*socio=rien de concentration*socio=ec2, les accords*socio=et de distribution exclusive*socio=rien ou d'achat*socio=ec1 exclusif*socio=rien , les accords*socio=et de licence*socio=et de brevets*socio=et, les accords*socio=et de spécialisation*socio=uv3 et les accords*socio=et de recherche*socio=ec2 et de développement*socio=uv3, etc. Les dispositions de l'Accord*socio=et EEE qui sont identiques à celles des règles*socio=et communautaires*socio=ac primaires*socio=rien et secondaires*socio=rien doivent être*socio=rien interprétées conformément aux *socio=rien décisions pertinentes *socio=nil rendues par la Cour*socio=rien de justice*socio=et européenne*socio=ac avant la date de la signature*socio=rien de l'Accord*socio=et EEE. La coordination*socio=uv3 des règles*socio=et de concurrence*socio=ec1 contenues dans un*socio=rien accord*socio=et commercial*socio=ec1 régional*socio=te n'est*socio=rien pas l'apanage dés*socio=rien accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 conclus par les *socio=ac Communautés européennes;*socio=nil *socio=nil elle se retrouve aussi dans la Convention*socio=et instituant PAELE et les accords_de_libre-échange*socio=et conclus récemment entre divers pays*socio=ac de l'AELE et des pays*socio=ac d'Europe*socio=ac centrale*socio=rien et d'Europe*socio=ac orientale*socio=et, ainsi que dans *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 entre*socio=nil pays_en_développement*socio=ac.*socio=nil *socio=nil Parmi les accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 entre pays_en_développement*socio=ac dans le cadre*socio=rien desquels des règles*socio=et de *socio=rien fond relatives *socio=nil à la concurrence*socio=ec1 ont été*socio=rien adoptées ou sont en cours*socio=rien d'élaboration on peut citer le Pacte*socio=et andin, le Traité*socio=rien du MERCOSUR*socio=et et le Traité*socio=rien du marché_commun*socio=ec1 de l'Afrique*socio=ac de l'_est*socio=te et de l'Afrique*socio=ac australe*socio=te. Enfin, comme on le verra plus loin*socio=rien , l'Australie*socio=ac et la Nouvelle-zélande*socio=ac ont pris des dispositions en vue*socio=rien d'élargir le champ*socio=rien et la portée*socio=rien territoriale*socio=te de leur législation*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 afin que celle-ci puisse s'appliquer aux comportements anticoncurrentiels que l'on pourrait constater sur*socio=rien le territoire*socio=te de chacune des parties*socio=rien . ii) Consultation*socio=uv1 et coopération*socio=uv1. De nombreux*socio=rien accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 prévoient *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil obligations*socio=uv1 en*socio=nil matière de*socio=nil consultation*socio=uv1 *socio=nil et de coopération*socio=uv1 en vue*socio=rien de l'application*socio=rien des mesures*socio=et visant à lutter contre le comportement*socio=rien anticoncurrentiel. C'est*socio=rien aussi le cas*socio=rien de ceux qui ne comportent pas de prescriptions de *socio=rien fond spécifiques *socio=nil concernant le contrôle*socio=uv3 des pratiques*socio=et anticoncurrentiel les. Il est*socio=rien intéressant de noter à cet égard*socio=rien que les mécanismes*socio=rien de coopération*socio=uv1 élaborés à l'origine*socio=rien dans le cadre*socio=rien des accords*socio=et de coopération*socio=uv1 bilatéraux*socio=et évoqués à la sous-section précédente*socio=rien sont désormais prévus dans les accords*socio=et commerciaux*socio=ec1. C'est*socio=rien ainsi que des procédures*socio=et de "courtoisie*socio=uv1 positive*socio=uv4" selon lesquelles une partie*socio=rien peut demander aux autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 d'une autre partie*socio=rien de prendre des mesures*socio=et appropriées face*socio=rien à des comportements anticoncurrentiels constatés sur*socio=rien son territoire*socio=te sont prévues dans le *socio=rien Traité sur la*socio=nil Charte*socio=et européenne*socio=ac *socio=nil de l'énergie*socio=ec1 et dans les règles*socio=et d'application*socio=rien des divers accords*socio=et européens*socio=ac. Si la plupart*socio=rien des accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 qui contiennent des règles*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 prévoient des procédures*socio=et de notification, d'échange_de_renseignements*socio=ec2, de consultations*socio=uv1 et de coopération*socio=uv1 non institutionnalisées, d'autres confèrent un*socio=rien rôle-clé à des institutions_internationales*socio=ac pour l'application*socio=rien des règles*socio=et en la matière*socio=rien . *{p.99} Ainsi, dans le cadre*socio=rien de l'Accord*socio=et sur*socio=rien l'Espace*socio=te économique*socio=ec1 européen*socio=ac, deux "autorités*socio=et de surveillance*socio=et", la Commission*socio=ac des Communautés*socio=ac et l'Autorité*socio=et de surveillance*socio=et AELE créée en vertu*socio=rien de l'article*socio=rien 108 de l'Accord*socio=et EEE, se partagent la responsabilité*socio=uv1 de l'application*socio=rien des règles*socio=et de concurrence*socio=ec1 prévues dans l'Accord*socio=et EEE. L'article*socio=rien 56 de l'accord*socio=et définit*socio=rien les compétences*socio=uv4 de chacune de ces deux autorités*socio=et pour les *socio=rien cas particuliers *socio=nil visés à l'article*socio=rien 53 et à l'article*socio=rien 54. L'Autorité*socio=et de surveillance*socio=et qui est*socio=rien compétente donné doit mener son enquête*socio=ec2 en coopération*socio=uv1 avec les autorités*socio=et nationales*socio=te compétentes*socio=uv4 et avec l'autre autorité*socio=et de surveillance*socio=et. Des protocoles annexés à l'Accord*socio=et EEE définissent*socio=rien les règles*socio=et qui régissent la coopération*socio=uv1 entre les autorités*socio=et de surveillance*socio=et dans le cadre*socio=rien des enquêtes. Ces règles*socio=et prévoient notamment qu'une autorité*socio=et de surveillance*socio=et ouvre une enquête*socio=ec2 à la demande*socio=ec1 de l'autre autorité*socio=et de surveillance*socio=et, si celle-ci juge*socio=et l'enquête*socio=ec2 nécessaire*socio=rien . L'autorité*socio=et qui a présenté la demande*socio=ec1 peut être*socio=rien représentée et prendre une part*socio=rien active*socio=uv4 à l'enquête*socio=ec2. Un*socio=rien autre *socio=rien protocole définit les*socio=nil compétences*socio=uv4 *socio=nil de chacune des autorités*socio=et de surveillance*socio=et dans le domaine*socio=rien du contrôle*socio=uv3 des opérations*socio=rien de concentration*socio=ec2 et énonce les règles*socio=et touchant la coopération*socio=uv1 entre les deux autorités*socio=et. Selon les règles*socio=et de concurrence*socio=ec1 adoptées en 1991 dans le cadre*socio=rien du Pacte*socio=et andin, le Conseil*socio=ac de l'Accord*socio=et de Carthagène est*socio=rien chargé d'ouvrir des enquêtes sur*socio=rien des *socio=rien cas particuliers *socio=nil de violations alléguées, à la demande*socio=ec1 d'un*socio=rien *socio=ac État membre *socio=nil ou d'une entreprise*socio=ac lésée. Le *socio=rien Protocole sur la*socio=nil politique*socio=et en*socio=nil matière de*socio=nil concurrence*socio=ec1 *socio=nil adopté en 1996 par les pays_membres*socio=ac du MERCOSUR*socio=et prévoit la coopération*socio=uv1 entre les autorités*socio=et nationales*socio=te des *socio=ac États membres *socio=nil et les organismes_internationaux*socio=ac aux fins*socio=rien de l'application*socio=rien des règles*socio=et de concurrence*socio=ec1. iii) Règlement des différends*socio=uv2. Il est*socio=rien à noter que les dispositions relatives*socio=rien à la politique*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 contenues dans les accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 en vigueur*socio=uv3 évoquées dans les paragraphes*socio=rien qui précèdent ne prévoient pas que les différends*socio=uv2 que peut susciter leur application*socio=rien soient soumis au mécanisme*socio=et de règlement*socio=et des différends*socio=uv2 prévus dans ces textes*socio=rien . C'est*socio=rien le cas*socio=rien aussi bien*socio=rien des accords*socio=et qui contiennent des obligations*socio=uv1 assez générales*socio=rien en matière*socio=rien de politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1"', que des accords*socio=et qui contiennent des règles*socio=et et procédures*socio=et plus détaillées de consultation*socio=uv1 et de coopération*socio=uv1 en vue*socio=rien de l'application*socio=rien des règles*socio=et considérées. Les règles*socio=et d'application*socio=rien adoptées eu égard*socio=rien aux dispositions sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1 contenues dans les Accords*socio=et européens*socio=ac prévoient par exemple*socio=rien que si les procédures*socio=et en matière*socio=rien de consultations*socio=uv1 et d'échange_de_renseignements*socio=ec2 ne débouchent pas sur*socio=rien une solution*socio=rien mutuellement acceptable*socio=uv2, le Conseil*socio=ac d'association doit procéder à un*socio=rien échange*socio=ec1 de vues*socio=rien à la demande*socio=ec1 d'une des parties*socio=rien dans les trois mois*socio=rien qui suivent ladite demande*socio=rien . Le Conseil*socio=ac d'association peut formuler des recommandations*socio=rien concernant le règlement de ces cas*socio=rien , mais sans préjuger le droit*socio=uv1 des parties*socio=rien de prendre unilatéralement les mesures*socio=et appropriées ni les mesures*socio=et qui pourraient *socio=rien être prises au*socio=nil titre des*socio=nil lois*socio=et en*socio=nil matière de*socio=nil concurrence*socio=ec1 en*socio=nil vigueur*socio=uv3 sur le*socio=nil territoire*socio=te *socio=nil de chacune des parties*socio=rien . iv) Monopoles*socio=ec1, entreprises*socio=ac d'Etat*socio=rien et entreprises*socio=ac jouissant de droits*socio=uv1 spéciaux*socio=rien ou exclusifs*socio=rien . De nombreux*socio=rien accords*socio=et commerciaux*socio=ec1, y compris ceux qui ne contiennent pas de dispositions génériques sur*socio=rien la concurrence*socio=ec1, contiennent des prescriptions concernant les entreprises_publiques*socio=et, les monopoles*socio=ec1 et les entreprises*socio=ac qui jouissent de droits*socio=uv1 spéciaux*socio=rien ou exclusifs*socio=rien . En vertu*socio=rien de l'ALENA*socio=et, chaque *socio=rien partie est *socio=nil tenue de faire en sorte*socio=rien , par l'application*socio=rien d'un*socio=rien contrôle*socio=uv3 réglementaire*socio=et, d'une surveillance*socio=et administrative*socio=rien ou d'autres mesures*socio=et, que tout monopole*socio=ec1 privé*socio=et désigné par elle, ou tout monopole*socio=ec1 public*socio=et maintenu ou désigné par elle: 1) agisse d'une manière*socio=rien qui ne soit pas incompatible*socio=uv4 avec les obligations*socio=uv1 de la partie*socio=rien aux termes*socio=rien de l'ALENA*socio=et lorsqu'il exerce des *socio=et pouvoirs réglementaires,*socio=nil administratifs *socio=nil ou autres pouvoirs*socio=et gouvernementaux*socio=ac que la partie*socio=rien lui a délégués relativement au produit*socio=ec1 ou au service faisant l'objet*socio=rien du monopole*socio=ec1; 2) agisse uniquement*socio=rien en fonction*socio=rien de considérations*socio=rien commerciales*socio=ec1 au moment*socio=rien d'acheter ou de vendre le produit*socio=ec1 ou le service faisant l'objet*socio=rien du monopole*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 pertinent*socio=rien ; 3) accorde *socio=rien un traitement non*socio=nil discriminatoire*socio=uv2 aux*socio=nil investissements*socio=ec1 des*socio=nil investisseurs*socio=ac,*socio=nil aux*socio=nil produits *socio=nil et aux fournisseurs*socio=ac de services*socio=ec1 d'une autre partie*socio=rien , au moment*socio=rien d'acheter ou de vendre le produit*socio=ec1 ou le service faisant l'objet*socio=rien du monopole*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 pertinent*socio=rien ; et 4) n'utilise pas sa situation*socio=rien de monopole*socio=ec1 pour se livrer, *socio=rien sur un marché*socio=ec1 *socio=nil non monopolisé de son territoire*socio=te, à des pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 pouvant nuire à un*socio=rien investissement*socio=ec1 d'un*socio=rien investisseur*socio=ac d'une autre partie*socio=rien , notamment par la fourniture*socio=ec1 discriminatoire*socio=uv2 du produit*socio=ec1 ou du service faisant l'objet*socio=rien du monopole*socio=ec1, par l'interfinancement ou par *socio=rien un comportement abusif*socio=uv2.*socio=nil *socio=nil En ce qui concerne les entreprises*socio=ac d'Etat*socio=rien , l'ALENA*socio=et fait*socio=rien obligation*socio=uv1 à chaque partie*socio=rien de faire en sorte*socio=rien , par l'application*socio=rien d'un*socio=rien contrôle*socio=uv3 réglementaire*socio=et, d'une surveillance*socio=et administrative*socio=rien ou d'autres mesures*socio=et, que toute entreprise*socio=ac d'Etat*socio=rien qu'elle maintient ou établit agisse d'une manière*socio=rien qui ne soit pas incompatible*socio=uv4 avec les obligations*socio=uv1 de la partie*socio=rien aux termes*socio=rien des dispositions de l'ALENA*socio=et sur*socio=rien l'investissement*socio=ec1 et les *socio=ec1 services financiers *socio=nil dans l'exercice*socio=rien de *socio=et pouvoirs réglementaires,*socio=nil administratifs *socio=nil ou autres pouvoirs*socio=et gouvernementaux*socio=ac délégués par la partie*socio=rien , et de faire en sorte*socio=rien qu'une entreprise*socio=ac d'Etat*socio=rien qu'elle maintient ou établit accorde, dans la vente*socio=ec1 de ses produits*socio=rien ou services*socio=ec1, *socio=rien un traitement non*socio=nil discriminatoire*socio=uv2 aux*socio=nil investissements*socio=ec1 effectués*socio=nil sur son*socio=nil territoire*socio=te *socio=nil par des investisseurs*socio=ac d'une autre partie*socio=rien . En vertu*socio=rien des dispositions des accords*socio=et européens*socio=ac relatives*socio=rien aux entreprises_publiques*socio=et et aux entreprises*socio=ac jouissant de droits*socio=uv1 spéciaux*socio=rien ou exclusifs*socio=rien , les Conseils*socio=ac d'association sont tenus de faire en sorte*socio=rien que les principes*socio=ec2 du Traité*socio=rien CE, en_particulier*socio=rien ceux qui sont définis*socio=rien à l'article*socio=rien 90, soient mis en application*socio=rien dans *socio=rien un délai *socio=nil déterminé à compter de l'entrée*socio=rien en vigueur*socio=uv3 de l'accord*socio=et. Les monopoles*socio=ec1 d'Etat*socio=rien de caractère*socio=rien commercial*socio=ec1 doivent être*socio=rien progressivement adaptés afin d'éliminer toute discrimination*socio=uv1 entre les ressortissants*socio=ac des parties*socio=rien quant aux conditions*socio=ec1 d'achat*socio=ec1 et de commercialisation*socio=ec1 des produits*socio=rien à la fin*socio=rien d'une période*socio=te de transition*socio=uv3 qui est*socio=rien précisée. *{p.100} Selon l'Accord*socio=et sur*socio=rien l'Espace*socio=te économique*socio=ec1 européen*socio=ac, les parties*socio=rien contractantes*socio=ec1 doivent, en ce qui concerne les entreprises_publiques*socio=et et les entreprises*socio=ac jouissant de droits*socio=uv1 spéciaux*socio=rien ou exclusifs*socio=rien , veiller à ce qu'il n'existe aucune *socio=rien mesure contraire aux*socio=nil règles*socio=et *socio=nil de l'Accord*socio=et EEE, notamment à celles prévues à l'article*socio=rien 4, qui interdit toute discrimination*socio=uv1 exercée en raison*socio=rien de la nationalité*socio=ac, aux règles*socio=et de concurrence*socio=ec1 applicables*socio=rien aux entreprises*socio=ac définies*socio=rien aux articles*socio=rien 53 à 67 et aux règles*socio=et concernant les aides*socio=uv1 d'Etat*socio=rien qui figurent aux articles*socio=rien 61 à 63. Pour ce qui est*socio=rien des entreprises*socio=ac chargées de la gestion*socio=ec2 de services*socio=ec1 d'intérêt*socio=rien économique*socio=ec1 général*socio=rien ou présentant le caractère*socio=rien d'un*socio=rien monopole*socio=ec1 fiscal*socio=et, elles sont soumises aux règles*socio=et de l'Accord*socio=et EEE, notamment aux règles*socio=et de concurrence*socio=ec1, dans les limites où leur application*socio=rien ne fait*socio=rien pas échec*socio=uv1 à l'accomplissement de la *socio=rien mission particulière *socio=nil qui leur a été*socio=rien impartie. Selon l'Accord*socio=et de libre-échange*socio=et entre le Mexique*socio=ac, la Colombie*socio=ac et le Venezuela*socio=ac, chaque partie*socio=rien doit faire en sorte*socio=rien que ses entreprises*socio=ac d'Etat*socio=rien *socio=rien accordent sur son*socio=nil territoire*socio=te un traitement non*socio=nil discriminatoire*socio=uv2 aux*socio=nil personnes*socio=ac physiques ou*socio=nil morales*socio=uv2 *socio=nil des autres parties*socio=rien dans la vente*socio=ec1 de produits*socio=rien et la fourniture*socio=ec1 de services*socio=ec1. Chaque partie*socio=rien a par ailleurs*socio=rien l'obligation*socio=uv1 de faire en sorte*socio=rien que ses monopoles*socio=ec1 gouvernementaux*socio=ac et ses entreprises*socio=ac d'Etat*socio=rien : i) agissent uniquement*socio=rien en fonction*socio=rien de considérations*socio=rien commerciales*socio=ec1 au moment*socio=rien d'acheter ou de vendre le produit*socio=ec1 ou le service faisant l'objet*socio=rien du monopole*socio=ec1 sur*socio=rien le marché*socio=ec1 pertinent*socio=rien du territoire*socio=te de cette partie*socio=rien ; et ii) n'utilisent pas leur situation*socio=rien de monopole*socio=ec1 pour se livrer, *socio=rien sur un marché*socio=ec1 *socio=nil non monopolisé, à des pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 pouvant nuire à des personnes*socio=ac des autres parties*socio=rien . v) Lien*socio=rien avec les mesures*socio=et correctives*socio=ec2 en matière*socio=rien commerciale*socio=ec1. *socio=rien Un certain nombre d'*socio=nil arrangements*socio=et commerciaux*socio=ec1 régionaux*socio=te *socio=nil prévoient la non-application des mesures*socio=et antidumping dans le commerce*socio=ec1 mutuel entre les parties*socio=rien en raison*socio=rien de la coopération*socio=uv1 en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 qu'ils supposent. Ainsi, selon l'Accord*socio=et sur*socio=rien l'espace*socio=te économique*socio=ec1 européen*socio=ac, les mesures*socio=et antidumping, les droits*socio=uv1 compensateurs*socio=uv3 et les mesures*socio=et sanctionnant les pratiques_commerciales*socio=et illicites ne s'appliquent pas aux relations*socio=rien entre les parties*socio=rien contractantes*socio=ec1. L'Australie*socio=ac et la Nouvelle-zélande*socio=ac ont conclu un*socio=rien accord*socio=et de rapprochement*socio=rien économique*socio=ec1 au litre duquel elles ont décidé de mettre fin*socio=rien à l'application*socio=rien des mesures*socio=et antidumping dans leurs échanges*socio=ec1 mutuels*socio=uv2 à compte*socio=rien , du 1er juillet*socio=rien 1990 et de modifier leur législation*socio=et de la concurrence*socio=ec1 de façon*socio=rien à ce qu'elle s'applique sans réserve*socio=rien aux transactions*socio=ec1 anticoncurrentielles*socio=uv4 qui se produiraient sur*socio=rien leur territoire*socio=te respectif*socio=rien . Il a fallu pour cela étoffer les dispositions des lois*socio=et internes*socio=te en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 de l'Australie*socio=ac et de la Nouvelle-zélande*socio=ac concernant l'abus*socio=uv1 de positions*socio=rien dominantes*socio=uv2 afin qu'elles s'appliquent aussi aux positions*socio=rien dominantes*socio=uv2 existant*socio=rien dans l'autre pays*socio=ac ou *socio=rien sur un marché*socio=ec1 *socio=nil constitué par l'Australie*socio=ac et Nouvelle-zélande*socio=ac. La portée*socio=rien de la législation*socio=et de l'Australie*socio=ac et la Nouvelle-zélande*socio=ac en la matière*socio=rien a également été*socio=rien modifiée de façon*socio=rien à s'appliquer au comportement*socio=rien des personnes*socio=ac qui résident ou qui font commerce*socio=ec1 dans l'autre pays*socio=ac. Ces modifications*socio=rien de fond*socio=rien ont été*socio=rien accompagnées de modifications*socio=rien en ce qui concerne les mesures*socio=et de mise en oeuvre*socio=rien de la législation*socio=et en vertu*socio=rien desquelles les tribunaux*socio=ac d'un*socio=rien pays*socio=ac sont autorisés, notamment siéger sur*socio=rien le territoire*socio=te de l'autre pays*socio=ac dans des circonstances*socio=rien appropriées et, la coopération*socio=uv1 entre les organes des deux pays*socio=ac chargés de veiller à la mise en oeuvre*socio=rien de la législation*socio=et doit être*socio=rien renforcée. L'Accord*socio=et de libre-échange*socio=et entre le Canada*socio=ac et le Chili*socio=ac prévoit aussi que les lois*socio=et sur*socio=rien les droits*socio=uv1 antidumping ne s'appliquent pas, entre les parties*socio=rien , même si la concurrence*socio=ec1 n'y est*socio=rien abordée qu'en *socio=rien termes généraux.*socio=nil L'*socio=nil ALENA*socio=et,*socio=nil *socio=nil qui contient des dispositions identiques à celles de l'Accord*socio=et de libre-échange*socio=et entre le Canada*socio=ac et le Chili*socio=ac en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 ne dit rien*socio=rien des droits*socio=uv1 des parties*socio=rien d'appliquer des mesures*socio=et antidumping et des *socio=et mesures compensatoires.*socio=nil Le*socio=nil Groupe*socio=rien *socio=nil de travail sur*socio=rien le commerce*socio=ec1 et la concurrence*socio=ec1 doit établir *socio=rien un rapport sur les*socio=nil questions pertinentes *socio=nil concernant les rapports*socio=rien entre les lois*socio=et et la politique*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 et le commerce*socio=ec1 dans la zone*socio=te de libre-échange*socio=et, dans les *socio=rien cinq ans suivant l'*socio=nil entrée en*socio=nil vigueur*socio=uv3 *socio=nil de l'ALENA*socio=et et formuler des *socio=rien recommandations sur les*socio=nil travaux supplémentaires *socio=nil appropriés. Une disposition analogue*socio=rien concernant les *socio=rien travaux supplémentaires *socio=nil entre le commerce*socio=ec1 et les politiques*socio=et de la concurrence*socio=ec1 est*socio=rien prévue dans l'Accord*socio=et de libre-échange*socio=et entre le Mexique*socio=ac, le Venezuela*socio=ac et la Colombie*socio=ac. V.3.c Autres activités*socio=rien touchant à la concurrence*socio=ec1 prévues dans des accords*socio=et commerciaux*socio=ec1 régionaux*socio=te. Outre les accords*socio=et ci-dessus qui traitent expressément des questions*socio=rien liées à la concurrence*socio=ec1, il y a lieu*socio=rien de relever un*socio=rien peitit nombre*socio=rien d'autres activités*socio=rien déployées dans le cadre*socio=rien d'accords*socio=et régionaux*socio=te. Le conseil_économique Asie-pacifique*socio=ac, par exemple*socio=rien , ',J est*socio=rien une *socio=rien instance importante *socio=nil où sont débattues la cooperation technique*socio=rien et les questions*socio=rien de concurrence*socio=ec1 qui se posent dans le Bassin*socio=rien du Pacifique*socio=te. Les activités*socio=rien recouvrent notamment l'élaboration et la mise à jour*socio=rien périodique*socio=te de plans*socio=rien d'action*socio=rien nationaux*socio=te sur*socio=rien la réforme*socio=et de la réglementation*socio=et et la privatisation*socio=et, ainsi que des débats*socio=et plus généraux*socio=rien , et des réunions*socio=rien et des *socio=rien séminaires sur des*socio=nil questions particulières.*socio=nil Un groupe *socio=nil de travail créé pour donner suite*socio=rien à l'initiative*socio=rien de création de la Zone*socio=te de libre-échange*socio=et des Amériques étudie les *socio=rien aspects techniques *socio=nil de la politique*socio=et de la concurrence*socio=ec1 et le rôle*socio=rien qu'elle peut jouer. Il procède actuellement à l'établissement*socio=rien d'un*socio=rien , inventaire*socio=ec1 de la législation*socio=et des membres*socio=ac en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1, qui *socio=rien porte sur les*socio=nil règles*socio=et de*socio=nil fond *socio=nil et les règles*socio=et de procédure*socio=et, V.4 Conclusion. Le *socio=rien nombre important de*socio=nil mécanismes de*socio=nil coopération*socio=uv1 entre*socio=nil gouvernements*socio=ac en*socio=nil vue *socio=nil de lutter contre les pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4 des entreprises*socio=ac montre que la nécessité*socio=uv1 d'une coopération*socio=uv1 intergouvernementale*socio=et est*socio=rien incontestée. Quoi d'étonnant*socio=rien puisque le comportement*socio=rien des entreprises*socio=ac qui demandent à être*socio=rien surveillées déborde de plus en plus les frontières*socio=te. *{p.101} Il est*socio=rien frappant de constater à quel point*socio=rien les arrangements*socio=et de coopération*socio=uv1 sont divers. Certains sont conclus au niveau*socio=rien bilatéral*socio=et, régional*socio=te et multilatéral commerciaux*socio=ec1 plus généraux*socio=rien , d'autres se situent entièrement en dehors du cadre*socio=rien de ces accords*socio=et, certains portent sur*socio=rien des *socio=rien secteurs spécifiques *socio=nil ou des *socio=rien thèmes particuliers;*socio=nil la*socio=nil participation*socio=uv3 des*socio=nil pays*socio=ac est *socio=nil aussi très variable. Il se trouve - ce qui n'est*socio=rien sans doute pas *socio=rien un hasard *socio=nil - que les arrangements*socio=et les plus dynamiques*socio=uv4 sont ceux qui ont été*socio=rien conclus entre les autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 de certains pays_de_l'_ocde*socio=ac. La coopération*socio=uv1 au cas*socio=rien par cas*socio=rien en matière*socio=rien de mise en oeuvre*socio=rien entre les autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 au titre*socio=rien de tels accords*socio=et a permis de faire aboutir les enquêtes et les poursuites*socio=rien dans *socio=rien un certain nombre d'*socio=nil affaires*socio=ec1 *socio=nil transfrontières. Mais ces arrangements*socio=et de coopération*socio=uv1 ont aussi leurs limites. Certains d'entre eux sont des instruments juridiques*socio=et de caractère*socio=rien 'non obligatoire*socio=uv2 et/ou sont fondés sur*socio=rien l'engagement*socio=uv1 des parties*socio=rien d'agir du mieux de leurs possibilités*socio=rien . C'est*socio=rien le cas*socio=rien de l'ensemble*socio=rien de principes*socio=ec2 et de règles*socio=et de l'ONU*socio=ac, de la Recommandation*socio=rien de l'OCDE*socio=ac et des dispositions de plusieurs Accords*socio=et de l'OMC*socio=ac relatives*socio=rien aux consultations*socio=uv1 et à la coopération*socio=uv1. Dans le cadre*socio=rien des *socio=et arrangements bilatéraux fondés*socio=nil sur*socio=rien le*socio=nil principe*socio=ec2 *socio=nil de la courtoisie*socio=uv1 négative*socio=rien ou positive*socio=uv4, la coopération*socio=uv1 n'est*socio=rien pas obligatoire*socio=uv2 si des intérêts nationaux*socio=te impérieux*socio=rien s'y opposent. Ces instruments, bien*socio=rien qu'utiles*socio=uv4 à de *socio=rien nombreux égards,*socio=nil *socio=nil ne sont viables que dans la mesure*socio=rien où les pays*socio=ac considérés n'ont pas des intérêts nationaux*socio=te divergents*socio=uv2 ou que ces divergences*socio=uv1 ne sont pas telles qu'une coopération*socio=uv1 volontaire*socio=uv4, fondée sur*socio=rien l'intérêt*socio=rien des deux parties*socio=rien de s'attacher à les faire fonctionner, ne suffit pas pour venir à bout*socio=rien des difficultés*socio=ec2. Il est*socio=rien à noter qu'exception*socio=rien faite d'un*socio=rien *socio=rien petit nombre d'*socio=nil accords*socio=et *socio=nil comme les accords*socio=et entre pays*socio=ac d'Europe*socio=ac, l'Accord*socio=et entre l'Australie*socio=ac et la Nouvelle-zélande*socio=ac et certains engagements pris dans le cadre*socio=rien de l'OMC*socio=ac, les normes*socio=et de fond*socio=rien de caractère*socio=rien obligatoire*socio=uv2 sont relativement peu nombreuses*socio=rien . Les différences*socio=uv1 qui persistent à cet égard*socio=rien entre les pays*socio=ac restreignent les possibilités*socio=rien d'une coopération*socio=uv1 fondée sur*socio=rien les principes*socio=ec2 de courtoisie*socio=uv1 puisque les autorités*socio=et nationales*socio=te chargées de la concurrence*socio=ec1 ne peuvent pas, même si elles sont prêtes*socio=rien à le faire, prendre en compte*socio=rien les intérêts des autres pays*socio=ac si ce n'est*socio=rien pas compatible*socio=rien avec la législation*socio=et nationale*socio=te. Comme on l'a vu plus haut*socio=rien dans le *socio=rien présent chapitre,*socio=nil les*socio=nil critères nationaux*socio=te en*socio=nil matière de*socio=nil concurrence*socio=ec1 *socio=nil ne peuvent pas toujours être*socio=rien conformes*socio=uv4 aux intérêts des autres pays*socio=ac. De plus, même lorsque les autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 sont portées à user généreusement des pouvoirs*socio=et qui leur sont conférés pour prendre en compte*socio=rien les préoccupations*socio=uv4 exprimées par un*socio=rien autre pays*socio=ac en vertu*socio=rien d'un*socio=rien accord*socio=et de courtoisie*socio=uv1, il y a toujours le risque*socio=uv4 que ces décisions*socio=rien soient annulées par les tribunaux*socio=ac. C'est*socio=rien ce qui peut se produire en_particulier*socio=rien lorsque la législation*socio=et nationale*socio=te de la concurrence*socio=ec1 prévoit un*socio=rien droit*socio=uv1 d'action*socio=rien privé*socio=et."' On voit donc quelles sont les limites de ces mécanismes*socio=rien , qui sont avant tout des mécanismes*socio=rien de consultation*socio=uv1, lorsqu'il s'agit de prendre en compte*socio=rien les intérêts et les préoccupations*socio=uv4 des partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1 dans le cadre*socio=rien de mécanismes*socio=rien fondés sur*socio=rien la primauté*socio=uv4 du droit*socio=uv1 destinés à veiller à l'application*socio=rien de la loi*socio=et de la concurrence*socio=ec1 sur*socio=rien le plan*socio=rien interne*socio=te. Les arrangements*socio=et de coopération*socio=uv1 existants*socio=rien en vue*socio=rien de la mise en oeuvre*socio=rien de concurrence*socio=ec1 ont un*socio=rien autre inconvénient important*socio=rien : ils ne prévoient pas l'échange_de_renseignements*socio=ec2 confidentiels*socio=uv2 entre les autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1. Si l'on s'efforce actuellement d'intensifier la coopération*socio=uv1 dans ce domaine*socio=rien , les progrès*socio=uv1 réalisés jusqu'ici ont *socio=rien été lents,*socio=nil *socio=nil à de *socio=rien rares exceptions *socio=nil près. Il en va de même pour les arrangements*socio=et visant à reconnaître et à mettre en oeuvre*socio=rien les décisions*socio=rien adoptées dans d'autres pays*socio=ac. La *socio=rien faible ampleur *socio=nil de la coopération_internationale*socio=uv1 dans ces domaines*socio=rien risque*socio=uv4 d'empêcher en_particulier*socio=rien les petits*socio=rien pays*socio=ac et les autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1 de faire face*socio=rien à des pratiques*socio=et qui s'exercent largement au-delà des frontières*socio=te. De nombreux*socio=rien pays*socio=ac ne sont pas encore dotés d'une législation*socio=et de la concurrence*socio=ec1 ni d'autorités*socio=et en la matière*socio=rien , et donc ne sont pas en mesure*socio=rien de recourir à des arrangements*socio=et de coopération*socio=uv1 qui sont, expressément ou non, tributaires*socio=rien de l'existence*socio=rien de leurs relations*socio=rien entre les autorités*socio=et chargées de la concurrence*socio=ec1. Il *socio=rien est un autre*socio=nil secteur *socio=nil dans lequel la coopération*socio=uv1 serait nécessaire*socio=rien , mais demeure limitée, c'est*socio=rien dans le domaine*socio=rien de l'harmonisation*socio=uv3 des prescriptions de procédure*socio=et, pour les cas*socio=rien où une même affaire*socio=ec1 fait*socio=rien l'objet*socio=rien d'une procédure*socio=et dans plusieurs pays*socio=ac. Cette observation*socio=ec2 s'applique en_particulier*socio=rien au traitement*socio=rien des fusions et des acquisitions*socio=ec1. Il ressort de ce qui précède, ainsi que d'autres points*socio=rien relevés dans le *socio=rien présent chapitre,*socio=nil *socio=nil que l'on semble s'accorder à reconnaître que le renforcement de la coopération_internationale*socio=uv1 *socio=rien est nécessaire *socio=nil afin de combler les lacunes*socio=ec2 des *socio=rien mécanismes existants.*socio=nil *socio=nil Toute une série de suggestions*socio=rien ont été*socio=rien avancées."' Nous ne chercherons pas ici à en déterminer l'intérêt*socio=rien , et nous nous contenterons de les classer en trois *socio=rien grandes catégories:*socio=nil *socio=nil - Les premières*socio=rien vont dans le sens*socio=rien de la poursuite*socio=rien des efforts en cours*socio=rien , en mettant l'accent*socio=rien sur*socio=rien le renforcement des arrangements*socio=et de courtoisie*socio=uv1, bilatéraux*socio=et principalement, accompagné dans la mesure*socio=rien du possible*socio=rien d'efforts en vue*socio=rien de l'harmonisation*socio=uv3 volontaire*socio=uv4 des règles*socio=et de fond*socio=rien , lorsque c'est*socio=rien possible*socio=rien et que cela peut être*socio=rien suivi d'effets*socio=rien *socio=rien importants sur le*socio=nil plan international*socio=te.*socio=nil *socio=nil Comme on l'a dit, cette approche a ses limites, mais c'est*socio=rien à la communauté*socio=ac internationale*socio=te de décider si les problèmes*socio=ec2 qu'elle ne permet pas de résoudre sont suffisamment importants*socio=rien pour justifier une coopération*socio=uv1 plus intense*socio=rien . *{p.102} Les secondes préconisent la création d'une autorité*socio=et supranationale, ainsi que l'élaboration de règles*socio=et internationales*socio=te détaillées que ladite autorité*socio=et serait chargée d'administrer. Cette approche semble dépasser l'action*socio=rien multilatérale*socio=et que la communauté*socio=ac internationale*socio=te *socio=rien est prête *socio=nil à envisager à l'heure*socio=rien actuelle*socio=te. - Entre les deux, on trouve toute une série de suggestions*socio=rien visant à renforcer la coopération_internationale*socio=uv1 dans le cadre*socio=rien de règles*socio=et impératives, qu'il s'agisse de la mise en oeuvre*socio=rien ou des normes*socio=et de fond*socio=rien , mais sans aller jusqu'à la création d'une institution*socio=ac supranationale. - Pour ce qui est*socio=rien de la mise en oeuvre*socio=rien , les propositions "intermédiaires" peuvent se classer à leur tour*socio=rien en deux *socio=rien grandes catégories,*socio=nil *socio=nil qui pourraient soit remplacer les autres, soit les compléter. Il s'agirait: - De prévoir des procédures*socio=et et des mesures*socio=et correctives*socio=ec2 effectives*socio=rien de mise en oeuvre*socio=rien de la législation*socio=et de la concurrence*socio=ec1 par l'intermédiaire des tribunaux*socio=ac nationaux*socio=te (qui sont les institutions*socio=ac nationales*socio=te qui établissent le moins de discrimination*socio=uv1 en fonction*socio=rien de la nationalité*socio=ac), et de prévoir un*socio=rien droit*socio=uv1 d'action*socio=rien privée*socio=et pour les étrangers*socio=uv4 lésés par des pratiques*socio=et anticoncurrentielles*socio=uv4, en leur accordant le *socio=et statut juridique nécessaire*socio=rien *socio=nil à cette fin*socio=rien . Cette approche serait analogue*socio=rien à celle que contient l'Accord*socio=et sur*socio=rien les ADPIC de l'OMC*socio=ac en ce qui concerne les moyens*socio=ec1 de faire respecter les droits_de_propriété*socio=et intellectuelle*socio=rien . - - De tenter de rendre les autorités*socio=et administratives*socio=rien chargées de veiller à la mise en oeuvre*socio=rien de la loi*socio=et plus réceptives aux plaintes déposées par des pays*socio=ac ou des ressortissants*socio=ac étrangers*socio=uv4 en renforçant l'obligation*socio=uv1 internationale*socio=te des administrations*socio=ac considérées de rendre des *socio=rien comptes sur la*socio=nil manière *socio=nil dont elles donnent suite*socio=rien à ces plaintes et dont elles les traitent. En ce qui concerne les normes*socio=et de fond*socio=rien , beaucoup de suggestions*socio=rien avancées reposent sur*socio=rien le principe*socio=ec2 que les normes*socio=et en matière*socio=rien de concurrence*socio=ec1 devraient être*socio=rien plus systématiquement axées sur*socio=rien l'efficience*socio=uv3 et le bien-être, ce qui amènerait les pays*socio=ac à renoncer à appliquer des normes*socio=et qui ont pour effet*socio=rien de favoriser l'activité*socio=rien économique*socio=ec1 du pays*socio=ac par rapport*socio=rien à celle des autres pays*socio=ac. *socio=rien Diverses suggestions *socio=nil ont également été*socio=rien avancées sur*socio=rien la façon*socio=rien de faire en sorte*socio=rien que ces critères*socio=rien en matière*socio=rien d'efficience*socio=uv3 et de bien-être soient appliqués de manière*socio=rien plus neutre*socio=rien quant à leurs effets*socio=rien dans le pays*socio=ac et sur*socio=rien les partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. Une des *socio=rien premières choses *socio=nil à faire, qui paraît évidente*socio=rien , serait de tenter d'arriver à un*socio=rien accord*socio=et sur*socio=rien l'interdiction*socio=et des ententes*socio=et d'exportation*socio=ec1. On pourrait aussi adopter *socio=rien un critère *socio=nil concernant l'accès*socio=uv1 aux marchés*socio=ec1, qui pourrait prendre la forme*socio=rien soit d'une règle positive*socio=uv4, soit d'une règle relative*socio=rien à l'annulation ou à la réduction*socio=ec2 de concessions*socio=uv1 commerciales*socio=ec1. Par ailleurs*socio=rien , de *socio=rien nombreuses suggestions *socio=nil concernent la manière*socio=rien d'allier la nécessité*socio=uv1 pour les autorités*socio=et nationales*socio=te de rendre des déterminations fondées sur*socio=rien la règle de raison*socio=rien à des normes*socio=et minimales*socio=rien et des procédures*socio=et qui protègent les intérêts des partenaires*socio=ac commerciaux*socio=ec1. On peut encore dégager quatre autres *socio=rien grandes questions des*socio=nil suggestions *socio=nil avancées. La première*socio=rien concerne le rôle*socio=rien de principes*socio=ec2 généraux*socio=rien de non-discrimination*socio=uv3; la seconde les mécanismes*socio=rien de coopération*socio=uv1 en matière*socio=rien de procédure*socio=et, par exemple*socio=rien en ce qui concerne l'accès*socio=uv1 aux renseignements*socio=ec2 et les fusions; la troisième*socio=rien l'applicabilité du mécanisme*socio=et de règlement des différends*socio=uv2 de l'OMC*socio=ac ou d'un*socio=rien autre mécanisme en la matière*socio=rien ; la quatrième*socio=rien a trait à la manière*socio=rien de prendre en compte*socio=rien le *socio=rien cas particulier pays_en_développement*socio=ac,*socio=nil *socio=nil sachant que nombre*socio=rien d'entre eux sont pas encore dotés d'une législation*socio=et de la concurrence*socio=ec1 et compte*socio=rien tenu de la spécificité*socio=uv3 de leur situation*socio=rien économique*socio=ec1.